ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT
MALADIES
INFECTIEUSES AFFECTIONS DE LA PEAU, KYSTES HYDATI
a nature du sujet traité, nous les avons groupés en cinq parties : 1°
Maladies
infectieuses ; — 2° Affections du tégument ex-ter
° Thérapeutique. BOURNE VILLE. 1er juin 1889. PREMIÈRE PARTIE
Maladies
infectieuses. MALADIES INFECTIEUSES I. Vari
VILLE. 1er juin 1889. PREMIÈRE PARTIE Maladies infectieuses.
MALADIES
INFECTIEUSES I. Variole du fœtus ; — Varioloï
Société de biologie, 1851, p. 39. Charcot. Œuvres complètes, t. vin,
Maladies
infectieuses. 1 Dès le début de la nouvelle gro
de l'aphonie et une grande gêne de la respiration. Vers la fin de la
maladie
, il s'est mani-festé une salivation abondante. L'
t que son ventre est plus plat qu'il ne l'était, avant le début de sa
maladie
. Elle n'éprouve aucune incommodité; elle digère b
t singulière de l'ensemble symptomatique, marche toujours aiguë de la
maladie
, caractères nécroscopiques d'une nature vraiment
iques d'une nature vraiment à part ; si, de plus, on considère que la
maladie
est de celles qui, après qu'on les a eues une foi
athologie niéd. de Requin (B.). Charcot. Œuvres complètes, t. viii,
Maladies
infectieuses. 2 ganté ou occasionnelle, qui se
rgeois, citadins et campagnards, etc., etc.; tous sont sujets à cette
maladie
; le jeune âge et la circonstance d'être un nou-v
, de maison en maison, d'un village à un autre, la transmission de ia
maladie
par contagion. Les documents les plus précieux su
nnent y chercher un refuge ont peut-être été aulrefois atteints de la
maladie
, et qu'ils y entrent, pour la plupart, au début o
e literie, ou, enfin, par l'entremise d'un individu non atteint de la
maladie
. En somme, en temps ordinaire, car il faut bien
nsemble ou séparément, sont capables, à elles seules, de pro-duire la
maladie
de toutes pièces ; toujours est-il qu'aux yeux de
la contagion, est-ce, au con-traire, le développement primitif de la
maladie
qu'il faut sur-tout invoquer ici? C'est ce qu'on
dant rapporté un certain nombre d'exemples très authentiques de cette
maladie
, observés chez des vieillards. Citons entre aut
e. E. Conditions d'immunité. — Ceux qui, une fois déjà, ont subi la
maladie
, en sont exempts pour l'avenir. Yoilàune règle qu
ieux établie, mais tou-jours à une époque peu éloignée du terme de la
maladie
pri-mitive, qu'on a vu, en pareil cas, reparaître
hologie interne, t. I, 1855, p. 37. — Ril-liet et Barthez, Traité des
maladies
des enfants, p. 684 et 691, 1853; — et surtout: T
ment les enfants ou les adultes, pendant la convalescence d'une autre
maladie
aiguë, ou pendant le cours d'une affection tébril
omiques et symptomatologiques qui la distinguent, en Algérie (Haspel,
Maladies
de l'Algérie, t. II, p. 248); en Egypte, au Caire
a rougeole, et principalement les for-mes anomales et malignes de ces
maladies
peuvent parfois, pendant leur période prodromique
ébrile et autres symptômes plus spécialement propres à cette dernière
maladie
, servent le plus souvent à la faire reconnaître.
l'absence complète de docu-ments relatifs aux premières phases de la
maladie
et aux cir-constances éliologiques. — Les fièvres
), pseudo-continues (1494), la fièvre jaune, la peste, sont autant de
maladies
propres à cer-taines localités, à certains climat
mptômes putrides rapidement mortels (668, B. T., et Rayer, Traité des
maladies
des reins, 1.1, p. 359). —L'explora-tion attentiv
ons revenant irrégulièrement, par accès, pendant toute la durée de la
maladie
, d'un gonfle-ment notable du foie, d'épigaslralgi
rie, p. 157). — En cas de tuberculisa-fion générale aiguë, lorsque la
maladie
revêt la forme typhoïde (825, B.), l'erreur de
les fatigues intellec-tuelles, les émotions morales antérieures à la
maladie
, ou se prolongeant même pendant son cours, doiven
ations rationnelles (114. C. D. E.). Ici, surtout, les périodes de la
maladie
, la forme qu'elle affecte primitivement ou qu'ell
pour modérer le mou-vement fébrile, mais bien plutôt pour attaquer la
maladie
dans son essence et l'enrayer dans sa marche, que
force des sujets, et qui ne peut être mise en œuvre qu'au début de la
maladie
et dans les cas où les phénomènes typhoïdes ne pr
tifs formeront, en pareil cas, au moins dans les premiers temps de la
maladie
, la base de la médication. C. Dans la majorité
pas, en général, à prédominer complètement, et, vers le déclin de la
maladie
, ils fournissent le plus souvent l'indi-cation pr
incipale. Nous devons alors, comme dit Pringle {Ob-servations sur les
maladies
des armées, Paris, 1793), «varier la méthode et
er, mais, cette fois, elle se montre à une époque moins avancée de la
maladie
, et alors que le mouvement fébrile est encore bie
4 grammes dans les cas graves), Charcot. Œuvres complètes, t. viii,
Maladies
infectieuses. 3 administré dans le cours de la
ne le sont cependant pas encore, du huitième au quinzième jour de la
maladie
par exemple (Boucher de la Ville-Jossy, Thèses de
ue. — Application des principes généraux du traitement hygiénique des
maladies
aiguës (126). Insister spécialement sur les règle
Il est des cas où il faut les accorder à une époque peu avancée de la
maladie
; ce sont, à peu de choses près, ceux qui ont réc
ine pratique, t. II, 4863. — Marrotte, Etude sur l'inanition dans les
maladies
aiguës, dans Bulletin général de théra-peutique.)
s, dans 6. Médication mercurielle employée dans le but d'arrêter la
maladie
dans sa marche, de la faire avorter : c'est ainsi
n des symptômes pris un à un, ni sur la durée et la terminaison de la
maladie
envisagée dans son ensemble ; qu'elle peut provoq
la nécrose n'est pas la seule forme sous laquelle se manifestent les
maladies
laryn-gées typhiques, et les accidents qu'elles o
r avait fait remarquer que la fièvre typhoïde se distingue des autres
maladies
par une « modification profonde imprimée aux tiss
; en sorte que, sous ce rapport, l'affection typhoïde est aux autres
maladies
aiguës ce qu'est la phthisie aux maladies chroniq
ion typhoïde est aux autres maladies aiguës ce qu'est la phthisie aux
maladies
chroniques. » Dans le domaine de sa propre pratiq
urement accidentelles. » MM. Barlhez et Rilliel, dans leur Traité des
maladies
des enfants (t. II, p. 706), rangent aussi l'angi
e ; mais elle appartient le plus communément aux phases ultimes de la
maladie
, ou même à la convalescence. Elle ne s'annonce so
nt rare de voir cette affeclion secon-daire revêtir les allures d'une
maladie
chronique et dégénérer en phthisie laryngée. 2°
la trachéotomie dans le typhus. Charcot. Œuvres complètes, t. viii,
Maladies
infectieuses. \ C'est un article de M. Frey, in
suivant lui, rendre suffisamment compte des formes variées que celte
maladie
peut revêtir, sans pour cela changer de nature. L
fièvre typhoïde sont des affections consanguines. Ce ne sont pas deux
maladies
absolu-ment distinctes et qu'on puisse opposer l'
transition, par-venir à tracer des tableaux où ces formes d'une même
maladie
1. « Dans notre pays (en Irlande), pendant le r
oc. cit., livre VII.) sont artificiellement représentées comme deux
maladies
essen-tiellement différentes; mais, c'est alors f
(notre fièvre typhoïde) et le typhus exan-thématique ne sont pas deux
maladies
essentiellement distinc-tes, mais bien deux forme
aladies essentiellement distinc-tes, mais bien deux formes d'une même
maladie
. (Voy. Roki-tansky, Handbuch der Spec. path. Anat
tomi- ques et symplomatiqu.es de premier ordre, et que ce sont deux
maladies
bien différentes. MM. Shatluk (de Boston) et Vall
e, pendant l'année 1847, a été conduit plus tard à admettre que cette
maladie
diffère complètement de la fièvre typhoïde, mais
où elle trouvera sans doute un jour une solution définitive. Dans les
maladies
spécifiques, lorsqu'il s'agit d'établir des disti
y.) ; c'est la cause qui con-stitue ici le caractère essentiel de la
maladie
. Et, par exemple, les maladies d'intoxication pal
stitue ici le caractère essentiel de la maladie. Et, par exemple, les
maladies
d'intoxication paludéenne (1450. B.) ne peuvent-
que méconnaissable. Songe-t-on néanmoins à considérer comme autant de
maladies
distinctes ces variétés presque innombrables qu'e
tés presque innombrables qu'engendrent des transformations d'une même
maladie
, et méconnaît-on leur identité d'origine ? La con
s observée à Reims par M. Landouzy, la transmission contagieuse de la
maladie
était manifeste. La stupeur était prononcée dès l
, on aura, ce nous s emble, démontré du même coup que ce sont là deux
maladies
distinctes, et qu'il faul, en nosographie, sépare
carac-tères anatomiques et symptomatiques propres à chacune des deux
maladies
réunies sur un même individu, on serait natu-rell
erait natu-rellement conduit à dire qu'il y a eu complication de deux
maladies
différentes, et non pas seulement complication de
ptômes et des vices anatomiques particuliers à deux formes d'une même
maladie
. Quoi qu'il en soit, alors même qu'on démontrer
s de le distinguer nettement de la fièvre typhoïde, et d'en faire une
maladie
à part. Nous manquons malheureusement de détails
i serviraient, suivant certains auteurs, de transition entre les deux
maladies
, dont elles fe-raient pressentir déjà l'identité
opre, car la fièvre de famine (1422) paraît mériter de constituer une
maladie
bien distincte. — En Allemagne : Typhus, exanthem
rtain nombre de symptômes qui caractérisent la première période de la
maladie
. B. Première période. — Céphalalgie frontale pl
oïde et qui ne contribuent pas peu à faire reconnaître cette dernière
maladie
pendant le cours de sa première période, fassent
vulsions générales ou.partielles, ou encore d'une syncope. y. Si la
maladie
doit, au contraire, se terminer par la guéri-son,
t souvent aussi le signal d'une prompte et heureuse terminaison de la
maladie
(Gorrigan). D. De 1 exanthème du typhus fever e
ut. Ces taches persistent habituellement jusqu'à la terminaison de la
maladie
; mais elles éprouvent des transformations success
paraître tous les jours ou tous les deux jours, jusqu'à la fin de la
maladie
(Jenner). — Quoi qu'il en soit, on voit qu'il est
rosées, en tout semblables à celles qui caractéri-sent cette dernière
maladie
, parmi les pétéchies de l'exan-thème typhique.
réquemment, pendant le cours de la deuxième période. E. Durée de la
maladie
, convalescence. — En temps d'épi-démie, la marche
s de la première période. En temps or-dinaire, la durée moyenne de la
maladie
, dans les cas où elle se termine par la mort, est
sous ce rapport, il n'y a rien d'ab-solu, et l'on voit quelquefois la
maladie
, s'éloignant du type que nous avons pris pour poi
ent les caractères à l'aide desquels on pourrait dis-tinguer ces deux
maladies
. — Dans le typhus fever, l'inva-sion se fait brus
a diarrhée s'y montrent quelquefois, mais seulement vers la fin de la
maladie
. — Dans le typhus fever, il arrive assez souvent
tiques (Corrigan). La convalescence est rapide. La durée totale de la
maladie
est moins longue que celle de la fièvre typhoïde.
arie beaucoup suivant les épidé- Charcot. Œuvres complètes, t. vin,
Maladies
infectieuses. 5 nécroscop1e. Vexanthème intes
ntre quelquefois des cas où tous les symp-tômes se rapportent à cette
maladie
, et où l'on trouve cepen-dant les follicules isol
ollie par places, chez la majeure partie des individus qui mies. La
maladie
se montre souvent beaucoup plus bénigne chez les
gique, p. 128, 1854). Le sang, extrait par la saignée, au début de la
maladie
, ne présente pas de couenne ; les saignées faites
ible en-core. Le typhus fever règne aussi fort souvent, sous forme de
maladie
populaire, dans le nord de l'Amérique, où il para
e théâtre d'épidémies de typhus plus ou moins meurtrières. Partout la
maladie
s'est présentée avec des caractères qui permetten
té des cas. La rate était habituellement volumineuse et ra-mollie. La
maladie
affectait souvent une marche relativement rapide;
NOTE HISTORIQUE. Il semble donc que le typhus fever n'est pas une
maladie
ex-clusivement propre à la Grande-Bretagne ou à l
gne ou à l'Amérique du nord. Ce n'est probablement pas non plus une
maladie
mo-derne; son histoire ne peut être qu'un fragmen
cumpetechiis. Carlsruhe, 1746. — M. Sar-cone, Histoire raisonnée des
maladies
observées à Naples, traduct. par Belloy. Paris 18
ections scorbutiques, la fièvre à rechute (relapsing fever), sont les
maladies
qui les ont le plus souvent précédées, accompa-gn
saignées trouvent très rarement leur application, même au début de la
maladie
(Cor-rigan). Les purgatifs sont rarement usités d
sbourg-1. La lumière commence à se faire parmi nous, au sujet de la
maladie
qui règne actuellement à Saint-Pétersbourg. Les j
nature à dissiper les doutes concernant le véri-table caractère de la
maladie
dont il s'agit. Il est permis de reconnaître aujo
ie dont il s'agit. Il est permis de reconnaître aujourd'hui que cette
maladie
n'est pas la peste, ainsi que le bruit en avait c
te époque, les faits analogues se sont multipliés de toutes parts. La
maladie
mérite d'autant plus de fixer l'atten-tion des mé
rling, médecin du gouvernement à Perm, assure qu'il a vu 40 cas de la
maladie
épidémique qu'il rapproche d'une affection observ
ons. Enfin, lord Napier annonce de Berlin, en date du 5 avril, qu'une
maladie
inconnue a paru dans la vallée de la Vistulc, et
ing. H n'est pas à la connaissance du gouvernement prussien que cette
maladie
vienne de Saint-Pétersbourg. ment de brisement
période, et persistent ensuite, pendant toutp la durée du cours de la
maladie
. Au bout d'environ vingt-quatre heures apparais
u bout d'environ vingt-quatre heures apparaissent les symptômes de la
maladie
constituée. La face est rouge, la physionomie s'a
intensité moindre. Ces deux accès constituent habituellement toute la
maladie
; on a vu cependant les rechutes se produire une
inaison fatale a lieu, 'en général, du dixième au douzième jour de la
maladie
. Dans la forme bilieuse, l'étude méthodique des s
; celle-ci est appréciable dès le deuxième ou le troisième jour de la
maladie
. La détumescence de l'organe s'opère au con-trair
é, appartiennent surtout à la forme bilieuse. La durée totale de la
maladie
varie de 21, 23 jours à 30, 40 même 32 jours. Ell
gie, il faut signaler, au premier rang, le caractère contagieux de la
maladie
: plusieurs méde-cins et plusieurs personnes atta
e seigle. L'abus des boissons spiritueuses prédispose à contracter la
maladie
. Suivant le professeur Botkin, il ne se serait
r par la description qui précède, l'identité paraît complète entre la
maladie
de Saint-Pétersbourg etlerealpsing fever des au
re à les rencontrer, lorsqu'il s'agit d'épidémies diverses d'une même
maladie
. C'est ainsi que la léthalilé plus grande de l'ép
étéo- *• Voir plus loin, p. 145. Cuarcot. Œuvres complètes, t. vin,
Maladies
infectieuses. 6 risrae, douleurs iliaques, diar
le au marc de café. Vers le cinquième, sixième ou septième jour de la
maladie
, alors que tous les symptômes paraissent avoir at
intensité moindre.Ces deux accès constituent habituellement toute la
maladie
; on a vu cependant la rechute se produire une sec
ucune altération des glandes de Peyer ou des follicules isolés. Cette
maladie
ne paraît avoir été observée, jusqu'à ce jour, qu
. mes et les caractères nécroscopiques, l'exacte ressemblance de la
maladie
dominante à Saint-Pétersbourg avec le relapsing f
place de la fièvre à » rechute. » Cette loi de succession des deux
maladies
, dans le cours d'une même épidémie, a conduit M.
excellence, tandis que celle-là se-rait, si l'on peut ainsi dire, la
maladie
de l'encombrement. Quoi qu'il en soit, il y a là
aux et les professeurs de médecine, à Saint-Pétersbourg, désignent la
maladie
? » Réponse. — L'épidémie ne présente à l'observ
ande intensité des symptômes qui le caractérisent; pourtant, d'autres
maladies
, qui appartiennent au même genre de maladies typh
sent; pourtant, d'autres maladies, qui appartiennent au même genre de
maladies
typhoïdes, viennent de se montrer pour la pre-miè
ère-ment la fièvre récurrente. » Deuxième question. — Est-ce que la
maladie
était connue auparavant en Russie, soit dans la c
avant ce jour en Russie dans quelques localités. » En 4 840, cette
maladie
sévit très sérieusement à Moscou, sous la forme b
eu des cas dans les hôpitaux de Saint-Pétersbourg, ou ailleurs, où la
maladie
s'est communiquée par le toucher? (sic). » Répo
ns, chirurgiens, infirmiers et gardes-ma-lades ont été atteints de la
maladie
, dans les salles des hôpi-taux; on ne compte jusq
uestion. — Que sait-on de l'origine, de la nature et du progrès de la
maladie
, des symptômes par les-quels elle se déclare, et
loppée ; dès le mois de novembre suivant, on comptait déjà 500 cas de
maladie
observés dans les hôpi-taux civils ; vers la fin
civils; et si l'on comprend les cas de typhus ordinaires et d'au-tres
maladies
aiguës, le nombre s'en est élevé jusqu'à 250 et m
ur, y compris le typhus pétéchial ou la fièvre typhoïde et les autres
maladies
aiguës. » Les hommes sont plus sujets à la mala
e et les autres maladies aiguës. » Les hommes sont plus sujets à la
maladie
que les femmes. Les ouvriers adonnés à la boisson
écessaires pour arrêter, autant que pos-sible, le développement de la
maladie
. Une caserne d'infante-rie et une manufacture imp
subite qu'importante que l'on constate au-jourd'hui, dans les cas de
maladie
. » Cinquième question. — Quelle a été la propor
int-Pétersbourg et le nombre journalier de? personnes atteintes de la
maladie
? » Réponse. — Si nous admettons le chiffre appr
is de février, 300 cas par jour, fiè-vre récurrente, typhus et autres
maladies
y comprises : la proportion approximative ressort
. » Sixième question. — Quelle a été la proportion entre les cas de
maladie
et celui des morts? » Réponse. — Ce n'est pas à
ques y comprises. » Il reste évident que si l'on ne comprend que la
maladie
fièvre récurrente et typhus, la proportion sera e
r, à Saint-Pétersbourg? Réponse. — La mortalité journalière due aux
maladies
épi-démiques, dans les hôpitaux, typhus et fièvre
générale-» ment, quand ils ont distingué la vraie peste de toutes les
maladies
quali-» fiées de pestilentielles par les écrivain
stilentielles par les écrivains médicaux ou autres, considéré » cette
maladie
comme récente, comparativement, et ils en ont fix
c'est-à-dire aux aines et aux aisselles, la forme épidé-" mique de la
maladie
, la contrée où elle régnait (Egypte, Syrie et Lib
In R. Mead, Opéra, interpr. A. G. Lorry, Paris, 1751. DÉFINITION.
Maladie
fébrile, endémique dans certaines contrées, pou-v
nt en quelque sorte le surnom de protée qu'on a parfois donné à cette
maladie
. Cependant, si on a le soin d'élaguer les épiphén
intermittente (Chenot, de Mer- Cjiargot. (Euvres complètes t. vin,
Maladies
infectieuses. 7 tens). Ces derniers phénomènes,
r l'intervention de l'art. Il arrive fréquem-ment, d'ailleurs, que la
maladie
éclate à l'improviste, sans avoir été précédée d'
-vient toute réaction de l'organisme. Dans cette forme terrible de la
maladie
, les pestiférés succombent, le plus souvent, avan
ème au cinquième jour. Ou bien encore, après une courte rémission, la
maladie
reprend son cours: les bu-bons restent stationnai
; le pouls est fréquent, irré-gulier, faible, et sous cette forme, la
maladie
peut se prolonger parfois pendant dix, douze, qui
revêt peu à peu le carac-tère de fièvre hectique ; le dénoûment de la
maladie
est ainsi de nouveau mis en question, et trop sou
aspects les plus caractéristiques, fait assez sentir que, dans cette
maladie
, la fièvre est vraiment le phé-nomène capital ; e
éraux. Ces charbons, qui sont, en pareil cas, le premier indice de la
maladie
, peuvent naître, dit M. Gosse, sur un point quelc
lus ou moins constante : ce n'est pas la condition fondamentale de la
maladie
. ment à l'époque où les escharres étant formées
iels apparaissent, en général, le deuxième ou le troisième jour de la
maladie
; ils se développent habituelle-ment avec une gra
itude remarquable du système vas-culaire à sang noir. B. Lorsque la
maladie
s'est prolongée au-delà de deux ou trois jours :
véritable nature du mal ; à cette époque, régnent habituellement des
maladies
populaires (typhus, fièvres pa-ludéennes rémitten
en outre, à l'ouverture des cadavres, dans les cas où la nature de la
maladie
est restée douteuse, les ganglions lymphatiques p
le. Bientôt, d'ailleurs, le doute ne sera plus possible, car, devenue
maladie
dominante, la peste se montrera dans chaque cas,
lui qu'on tire des veines, pendant la vie, aux diverses époques de la
maladie
, ne se recouvre jamais, dit-on, d'une couenne in-
s sont les symptômes qui dominent en pareils cas. — D'autres fois, la
maladie
affecte une marche moins rapide, et il y a plus d
ômes. Mais trop souvent aussi, cet heureux événement n'a pas lieu; la
maladie
revêt décidément le caractère typhoïde, et l'anim
e. Toutes ces lésions sont plus prononcées encore, dans les cas où la
maladie
a marché moins rapidement. (Delafond, Traité de l
cas où la maladie a marché moins rapidement. (Delafond, Traité de la
maladie
de sang des bêtes bovines, Paris, 1848, p. 179; —
i caractérisent la peste, nous reconnaîtrons qu'il existe entre cette
maladie
et l'affec-tion charbonneuse épizootique, des tra
paraît avoir lieu quelquefois, développée chez lui primiti-vement, la
maladie
charbonneuse peut se manifester par des symptômes
es lieux et dans des circonstances où l'appari-tion de cette dernière
maladie
est une éventualité supposable, le diagnostic pou
s; chaleur douce et moiteur de la peau se montrant dès le début de la
maladie
, et persistant pendant son cours; un pouls plein
que tous vers la fin. — La peste spo-radique est presque toujours une
maladie
bénigne. ÉTIOLOGIE. A. Développement primitif
quent ainsi suffisamment l'apparition de ces typhus (1568), et de ces
maladies
d'intoxi-cation paludéenne (1448), qui, habituell
peste. — %. Pour l'obser-vateur placé dans le lieu même où sévit une
maladie
épidé-mique, il est, on le conçoit, toujours fort
oup plus sim-ple. 11 suffit, en effet, pour le résoudre, de suivre la
maladie
pas à pas, dans son développement progressif, et
er à trouver les éléments de la Charcot. Œuvres complètes, t. viii,
Maladies
infectieuses. 8 ) solution. Trop longtemps on a
t le théâtre de l'épidémie pestilentielle. On a vu, en pareil cas, la
maladie
éclater à bord, quelques jours après le départ du
er hors des foyers épidémiques. Loin des pays où règne l'épidémie, la
maladie
n'a jamais éclaté chez des personnes compromises,
és dans un lieu où ne rè-gne pas la peste peuvent bien communiquer la
maladie
à un certain nombre d'individus; mais il paraît c
s épidémies de peste qui ont été observées dans les contrées où cette
maladie
n'est pas endémique. Dans ces con-trées, en effet
propres à fixer la peste. Il ne faut pas oublier cepen-dant que cette
maladie
terrible a autrefois ravagé presque indistincteme
s ou pernicieuses, typhus, qui jouent, par rapport à elle, le rôle de
maladies
prodromiques. — En même temps, beaucoup d'individ
à ils ont contracté la peste. — Lorsque l'épidémie esta son début, la
maladie
tue souvent en quelques jours, en quelques heures
mplètement. —Tous ces caractères placent la peste au premier rang des
maladies
épidémiques. Est-ce à dire qu'il faille, à cause
oie de contagion? Assurément non. «Il ne convient pas d'opposer » les
maladies
épidémiques aux maladies contagieuses : ces » deu
ent non. «Il ne convient pas d'opposer » les maladies épidémiques aux
maladies
contagieuses : ces » deux qualifications n'impliq
pliquent entre elles ni contradic- » tion, ni coexistence.....Telle
maladie
peut être contagieuse » sans être épidémique ;
oir une singulière prédisposition à contracter la peste; chez eux, la
maladie
se montre habituellement très grave, et le plus s
e doc-teur Pruner a vu des enfants de trois à six mois succomber à la
maladie
, en vingt-quatre ou quarante-huit heures, avec de
-bert-Roche). — Les individus faibles et cachectiques, ou atteints de
maladies
chroniques, de phthisie, par exemple, ne sont pas
en œuvre dans chaque cas indistinctement, à toutes les périodes de la
maladie
et dans toutes ses formes. Tantôt, par exemple, l
rige contre ces mêmes affections, lorsqu'elles apparais-sent dans des
maladies
autres que la peste. IX. Fièvre jaune. Bibl
1694. — « C'est là le premier traité médical sur la fièvre jaune. La
maladie
décrite par Ferreyra régna à Olinda, en 1684. L'a
he army in Jamaïca (p. 2G et 27). London, 1796. — Lind, Essai sur les
maladies
des Européens dans les pays chauds. — Histoire de
Devèze, Recherches et observations sur les causes et les effets de la
maladie
épidémique qui a ra-vagé Philadelphie en 1793, Ph
malattre di genio analogo, Bologne, 1824. — F. Dufour, Histoire de la
maladie
régnante à Livourne en 1804, Imprimé à Pise, 1804
Paris, 1823. — J.-A. llochoux, Dissertation sur le typhus amaril ou
maladie
de Barcelone, improprement appelée fièvre jaune,
a des Espa-gnols. — Yellow Fever, Blach vomit Fever des Anglais. — La
maladie
épidémique qui a sévi à Barcelone, en 1821, a été
oncé. Ces phénomènes prodromiques peuvent d'ailleurs faire défaut; la
maladie
éclate, en elfet, assez souvent à l'impro-viste,
ore, par en haut, le long de la Charcot. (Euvres complotes, r. vin,
Maladies
infectieuses. 9 colonne vertébrale jusqu'à la r
exercice des fonctions cérébrales durant cette première phase de la
maladie
qui s'accomplit dans l'espace de deux ou trois jo
ommu-nément, la terminaison fatale. Si l'issue doit être heureuse, la
maladie
dure un peu plus longtemps et se prolonge au-delà
ème jour. E. Convalescence. —Elle s'établit brusquement, lorsque la
maladie
s'arrête à la fin de la première période ou au mi
délai. Dans les cas heureux, il s'opère une réaction salutaire et la
maladie
reprend son cours; mais, le plus souvent, la réac
tre aussi, et c'est là un autre caractère qui lui est commun avec ces
maladies
pestilentielles, des cas où l'atteinte profonde d
légitimer l'existence d'une forme de la fièvre jaune dans laquelle la
maladie
se présenterait sous le type rémittent ou même so
enfin, c'est chez un sujet plongé dans la cachexie paludéenne que la
maladie
éclate. Mais, dans tous les cas, il est facile de
ate. Mais, dans tous les cas, il est facile de faire la part des deux
maladies
dont les carac-tères ne peuvent être confondus, e
onvenable d'exprimer les modifications survenues dans la marche de la
maladie
en disant qu'elle s'est compliquée de l'élément p
M. Dutroulau; nous croyons que, dégagée de toute complication, celte
maladie
se montre cons-tamment, pendant sa première pério
tar de 1828, comme devant constituer le caractère anatomique de cette
maladie
. L'organe a conservé son volume normal; sa cohési
où la mort était survenue après trois jours et quelques heures de la
maladie
seulement; ce qui suppose qu'elle avait commencé
est mou, diffluent, de couleur écarlate.— A une époque avancée de la
maladie
, il présente toujours une teinte sombre, ou môme
ues à tous les lieux où paraît la fièvre jaune, on remarque que cette
maladie
ne sévit guère à une distance un peu éloignée du
té en premier lieu (a) président, comme on sait, au développement des
maladies
d'intoxication paludéenne ; si elles nous font co
ainement pas le mystère qui couvre encore l'origine de cette dernière
maladie
. La fièvre paludéenne est endémique à peu près pa
e la contagion n'est pas l'agent principal de la propagation de cette
maladie
. Reste à savoir maintenant, si la contagion de la
ple, où les individus sains se trouvent longtemps en contact avec les
maladies
dans un espace étroit et mal aéré. Mais c'est là
, les étrangers sont presque exclusivement frappés par cette dernière
maladie
; ils le sont d'autant plus sûrement Cit.vucoT.
le sont d'autant plus sûrement Cit.vucoT. Œuvres complètes, r. vin,
Maladies
infectieuses. 10 qu'ils habitent la colonie dep
uissent à un plus haut degré que les enfants. Dans les contrées où la
maladie
n'est pas endémique, et surtout dans les lieux où
t difficile de les distinguer. Elles ont en effet avec cette dernière
maladie
d'assez nom-breux traits de ressemblance. La comp
e ce temps d'arrêt qui se manifeste, à un moment donné du cours de la
maladie
, dont les symptômes changent alors tout à coup, e
, qui joue, pour ainsi dire, par rapport à la première, le rôle d'une
maladie
nouvelle ; on le retrouverait aussi dans la fièvr
période, c'est-à-dire pendant les deux ou trois premiers jours de la
maladie
, et il s'y montre, dans la grande majorité des ca
dans la rémittente bilieuse. On ne rencontre pas dans celte dernière
maladie
, la coloralion pourpre de la face et des conjonti
les analogies et mon- Irer les différences qui existent entre cette
maladie
et la fièvre jaune, à laquelle on Fa comparée *.
le au marc de café. Vers le cinquième, sixième ou septième jour de la
maladie
, alors que tous les symptômes paraissent avoir at
e. Ces deux accès constituent habituellement tous les symptômes de la
maladie
; on a vu cependant les rechutes se reproduire une
une altération des glandes de Peyer ou des follicules isolés. — Celte
maladie
ne paraît avoir été observée jusqu'à ce jour, qu'
ort d'assez grandes différences, suivant les épidémies, c'est une des
maladies
les plus meurtrières. Ses allures insi-dieuses pe
les cas isolés, endémiques ou sporadiques, elle donne, au début de la
maladie
, une marche ou une physio-nomie insidieuse qui re
de l'épigastralgie, des vomissements et des évacuations bilieuses. La
maladie
est en général d'autant plus grave qu'elle attaqu
partisans de l'antiquité de la fièvre jaune, pour caractériser cette
maladie
. — Les épidé-mies qui ont ravagé les Antilles et
ituent un ensemble d'altérations qui ne se retrouve dans aucune autre
maladie
. Si la fièvre jaune n'est point con-tagieuse, ce
especte à l'avenir les gens qu'elle a frappés une fois déjà (p. 141);
maladie
mo-derne, suivant toute apparence (p. 149), elle
ce jour dans des limites géographiques assez précises (p. 142). Cette
maladie
mérite donc bien, pour toutes ces rai-sons, de pr
mérite donc bien, pour toutes ces rai-sons, de prendre rang parmi les
maladies
spécifiques, et, pour dire notre sentiment sur un
des cas, la prédominance de certains symptômes, la forme que revêt la
maladie
, la période à laquelle elle est parvenue. Dans le
s salins, sont aussi des moyens qu'il convient d'employer tant que la
maladie
en est encore à sa première phase. Dans les pério
Il faudrait avoir exclusivement recours à ces derniers agents, si la
maladie
se présentait dès l'origine sous la forme congest
les travaux de M. Louis en 1828, comme le caractère anatomique de la
maladie
. Or, M. le docteur Guyon vient de mettre sous l
et l'affection connue sous le nom à'ictère grave. Dans cette dernière
maladie
, en effet, le foie est également atteint de dégén
, n'impliquent pas sans doute une différence de nature entre les deux
maladies
; mais il est indispensable d'en tenir compte, au
dans l'état actuel de la science, être basée sur la nature intime des
maladies
. XI. Sur la température du rectum dans le cho
s parties centrales, chez les cholériques, aux diverses époques de la
maladie
. Le ther-momètre était introduit dans le rectum e
eptique d'ailleurs bien portante. 84 ans, Femme a ffaiblie ; pas de
maladie
déterminée. 75 ans, Habituellement bien portant
mbre lOnovembre !2novembre kHAitcoT. Œuvres complètes, t. viii,
Maladies
infectieuses. 11 CAS TERMINÉS PAR LA GUÉRISON.
haude. Le chiffre maximum a été 39°, 6 (obs. 9, et, dans ce cas, la
maladie
s'est terminée par la gué-rison), le chiffre mini
ons qui en dérivent, pour le traitement préventif et curatif de cette
maladie
, mérite une place à part, parce qu'elle a été adr
et n'a éprouvé aucune ma-ladie grave jusqu'à l'époque du début de la
maladie
actuelle. Il ne paraît pas, en particulier, que d
rouverait des plus remarqua-bles dans l'article Herpès, du Traité des
maladies
de la peau, de M. Rayer, dans le Trente de Romber
maladies de la peau, de M. Rayer, dans le Trente de Romberg, sur les
maladies
du système nerveux, dans le premier volume de la
Voici d'abord un intéressant passage que nous extrayons du Traité des
maladies
de la peau de Lorry (De morb. cutan. Paris, 1777,
èrement dans l'espace d'une nuit. M. Rayer enfin, dans son Traité des
maladies
de la peau (t. III, p. 733), rapporte un cas recu
ions, c'est là un fait secondaire, entiè-rement accessoire : la vraie
maladie
est toujours dans le derme, tandis que dans l'asp
n juge par trois ou quatre faits dans lesquels, à ma connaissance, la
maladie
consistait en une ischémie due à des lésions arté
ouvent irréguliers, et de dimensions très variables. Dans un cas de
maladie
bronzée où la peau avait été examinée au micros
'apparition devait remonter à une époque fort éloignée du début de la
maladie
et qui pouvait être même congénitale. En second l
, tantôt par une gué-rison complète. Presque toujours la nature de la
maladie
a t. Mémoires de la Société de biologie, 1852,
mais que les gens qui l'entouraient regardaient comme la suite d'une
maladie
vénérienne. Il alla consulter un chirurgien, qui
avec précision. La cause par laquelle ils ont été affectés de cette
maladie
est la même qui engendre les hydatides dans d'aut
ts d'hy-datides ne se montre en général qu'à une époque avancée de la
maladie
. Si cependant une tumeur affecte le siège et pr
, tous recommandent l'opération, car, dans la majorité des cas, si la
maladie
a été abandonnée à elle-même, elle a eu une issue
(Bayle, Bul. thérap.). Mais aune époque plus ou moins avancée de la
maladie
, le traitement chirurgical deviendra nécessaire.
envi-ron. Les symptômes qu'il a remarqués pendant cette période de sa
maladie
sont de l'oppression et une douleur sourde et pro
urs. Cette fois, elle a persisté jusqu'à la ter-minaison fatale de la
maladie
. Le 19 juillet, Plalz est pris tout à coup de d
t la profession de tailleur. Cet homme fait remonter le début de sa
maladie
au mois de novembre de l'année dernière. A cette
iques. Le malade succomba le 3 août. Pendant les premiers jours de la
maladie
, le liquide du kyste était devenu tout à fait pur
ue des renseignements très vagues relativement au développement de sa
maladie
. Nous pouvons cependant apprendre que, depuis un
s kystes multiples (voyez C. Davaine, Traité des entozoaires et des
maladies
vermineuses, p. 651). Ce qui frappe le plus dans
s n'ont plus lieu tous les jours, comme dans les premiers temps de la
maladie
; ils ne surviennent plus que tous les deux ou tr
epuis que M. Cruveilhier a attiré l'at-tention des médecins sur cette
maladie
à peu près inconnue avant lui, elle a donné lieu
tracer, à l'aide de ces matériaux, une histoire dogma-tique de cette
maladie
. Mais les ulcères simples de l'estomac se présent
t une coloration café au lait ou même cho-colat. Dès le début de la
maladie
, la constipation est opiniâtre, et le malade ne p
/2 seule-ment. Sur 3 estomacs provenant d'individus morts de diverses
maladies
, nous avons constaté que le diamètre de l'estomac
s observés pendant la vie ; il les a rencontrés, d'ailleurs, dans des
maladies
très diverses et dans lesquelles les viscères int
propriété, en vertu de laquelle l'organisme, un moment ébranlé par la
maladie
, retourne spontanément à cet état d'équilibre qui
irations transcen-dantes vers la connaissance de la nature intime des
maladies
, on aboutit à des hypothèses qui ont sur la prati
nconnues, en vertu desquel-les l'économie tend à revenir de l'état de
maladie
à l'état de santé *. En détachant ce qu'ils app
être dans cette observation qui démontre que le plus grand nombre des
maladies
, au moins des maladies aiguës, peut se terminer s
tion qui démontre que le plus grand nombre des maladies, au moins des
maladies
aiguës, peut se terminer spontanément par la guér
e base indirecte. Mais il reste, Dieu merci, an assez grand nombre de
maladies
qu'on peut invoquer pour témoigner de la puissanc
r sujet d'un prix, la question suivante : Déterminer quelles sont les
maladies
dans lesquelles la médecine agissante est préféra
ai sens, est loin d'être une contemplation oisive de la mar-che d'une
maladie
; il faut, en même temps, que l'on évite de troub
n'est nullement susceptible de deux manières opposées de diriger les
maladies
, l'une par des moyens actifs et l'autre en livran
c seulement de faire un juste discernement entre les divers genres de
maladies
qui peuvent exiger l'une ou l'autre de ces manièr
utre de ces manières, entièrement assorties aux divers caractères des
maladies
dont on peut être chargé de diriger le traitement
uant avec soin, d'après une classification métho-dique, les genres de
maladies
qui peuvent être guéries par une simple expectati
la suppose d'ailleurs, et, passant en revue les différents genres de
maladies
qui la composent, de déterminer quelles sont cell
ces-sivement les circonstances diverses qui peuvent modifier une même
maladie
, dans sa forme et dans ses tendances vers la guér
ctionn. des sciences médicales, t. XIV, p. 247. Au premier rang des
maladies
auxquelles l'expectation peut être applicable com
omme méthode générale de traitement, nous voudrions placer celles des
maladies
spécifiques proprement dites1, contagieuses ou no
posant qu'il existe, n'a pas encore été trouvé ; puis viendraient les
maladies
évidemment douées d'un certain degré de spécifici
la nature spécifique est encore un objet de contestation ; certaines
maladies
enfin qui se comportent, à plusieurs égards, à la
n'agit que par des voies indirectes. On peut modifier heureusement la
maladie
dans ses phénomènes extérieurs, mais on ne l'atte
l : Ars sanandi, p. 13, 14. 2. Requin. — De la spécificité dans les
maladies
. Thèse de concours, p. 39, 65, 69, 1851. IL O
rmer, ainsi que nous le pensons, la base de la thérapeutique dans les
maladies
spécifiques proprement dites, dont le remède est
eole, contre la fièvre typhoïde même, une fois déclarées, lorsque ces
maladies
sont exemptes de complications, et qu'il ne se pr
le lieu de faire remarquer qu'en raison de leur spécificité même, ces
maladies
rentrent de plein droit dans le domaine de la méd
e la surface du globe. couvrait des agents capables d'atteindre ces
maladies
dans leur essence, on serait sans doute bientôt c
naison favorable. A plus forte raison, devrait-on les prescrire si la
maladie
venait à revêtir une de ces formes graves dont le
nge-reuses de nos devanciers nous ont appris qu'on n'arrête point les
maladies
spécifiques dans leur évolution pour ainsi dire f
onstituer l'unique méthode de traitement pendant tout le cours de ces
maladies
, il en est d'autres où, tout en formant le fonds
exemple, dans les pyrexies bénignes ou typhodes, dans bon nombre des
maladies
mias-matiques, c'est bien l'expectation qui convi
times, et les complications particulières aux diverses époques de ces
maladies
, réclament, souvent d'une manière impérieuse, l'e
rte expectation mitigée, essentiellement appropriée à cette classe de
maladies
et souvent applicable aux maladies qui s'en rappr
ement appropriée à cette classe de maladies et souvent applicable aux
maladies
qui s'en rapprochent. Le médecin sait ici qu'il n
ait l'appliquer, d'une manière générale, aux pyrexies franches et aux
maladies
qui s'en rapprochent, surtout à celles de ces div
s diverses affections qui ont une longue durée. — Pour ce qui est des
maladies
spécifiques de second ordre (Requin), elles prése
ue par la modification lente de l'orga- 1. Pringle, Observ. sur les
maladies
des armées. Paris, U93. 2. L'expérience a démon
ies des armées. Paris, U93. 2. L'expérience a démontré que dans les
maladies
typhoïdes, le méde-cin devait être sobre d'émissi
seau et Pidoux *, d'une manière très générale, classer assez bien les
maladies
aiguës, selon l'ordre des indications plus ou moi
ue, sous le nom d'apoplexie, l'auteur aura bien pu englober plusieurs
maladies
diffé-rentes. 1Y. Les affections subordonnées
aladies diffé-rentes. 1Y. Les affections subordonnées à certaines
maladies
constitu-tionnelles ou diathésiques demandent à ê
u-laire, principalement lorsqu'il s'agit de la forme asthénique de la
maladie
. On trouverait au besoin, dans les monographies d
of the urinary organs. » London, 1857, passim. 2. Rayer, Traité des
maladies
de la peau, t. i, p. 45, 1835. la Charité d'un
urement superficielle, ou si au contraire elle est l'expression d'une
maladie
dialhésique, de la scrofule, par exemple. Dans le
ujourd'hui la teigne faveuse, la teigne tonsurante, la gale, sont des
maladies
dont on peut, le plus souvent, entrepren-dre sans
sans danger pour le ma-lade, la cure définitive 2. V. Il est des
maladies
qui, par suite de leur longue durée, ont pour ain
n nombre assez imposant d'observations qui démontrent qu'en effet les
maladies
et les indispositions habituelles appartiennent à
xtrêmement rares, et j'ai vu pour mon propre 1. Raymond, Traité des
maladies
qu'il est dangereux de guérir, Paris, 1816. 2.
ers regrets. C'est chez les vieillards surtout que l'on rencontre ces
maladies
, devenues infirmités habituelles, et dont il sera
rder tout au moins de déterminer la brusque dispa-rition. YI. Les
maladies
de prédisposition, héréditaires, celles que Porta
maladies de prédisposition, héréditaires, celles que Portai appelait
maladies
de famille, ne sont guère susceptibles d'être heu
e, l'état nerveux (névropathie protéiforme), le plus grand nombre des
maladies
comprises sous le nom générique d'aliénation men-
s dans l'atténuation du nombre, de la violence, de la spécificité des
maladies
, par le déploie-ment de la santé générale et la r
té, des lumières et de l'aisance, que cherchés dans la guérison de la
maladie
une fois formée 1. » Cette remarque est en grande
pre ou spedalsked, le crétinisme, la pellagre, etc. — Il est donc des
maladies
incurables, et malheureusement le nombre en est g
ces, tel est, en effet, alors le seul but de l'art. VIL Certaines
maladies
paraissent jusqu'à un certain point liées aux rév
avoir, quelquefois au moins, une influence curatrice évidente sur les
maladies
préexistantes. C'est ce qui a fait dire à Bordeu
ui doit être la base du traitement. VIII. Il peut arriver que les
maladies
intercurrentes aient sur les maladies préexistant
VIII. Il peut arriver que les maladies intercurrentes aient sur les
maladies
préexistantes l'influence la plus heureuse. La po
si que certaines affections aiguës peuvent amender ou même guérir des
maladies
de longue durée : c'est ainsi qu'on a vu plusieur
uérir des maladies de longue durée : c'est ainsi qu'on a vu plusieurs
maladies
de la peau guéries par un érysi-pèle2 ; l'état fé
atier, Propos, sur l'érysipèle, in-4, Paris, 1831. IX. Il y a des
maladies
qui, lorsqu'elles sont franches et légiti-mes, te
quelquefois même les faire cesser complètement l, etc. Le nombre des
maladies
médicatrices n'est certainement pas très grand, m
de complications viscérales, de relarder son emploi, et de laisser la
maladie
livrée à elle-même pendant quelque temps, ainsi q
erait peut-être plus vrai de dire que la tendance à la chronicité des
maladies
est en raison inverse de leur acuité primitive. C
s maladies est en raison inverse de leur acuité primitive. Celles des
maladies
chroniques qui sont le plus remarquables par leur
urs (Laënnec, Landré-Beauvais, Poilroux), les désigner sous le nom de
maladies
chroniques primitives ou primitivement chroniques
stic restera nécessairement incertain. Cela est surtout vrai pour les
maladies
épidémiques, où la connaissance non-seulement du
lorsqu'il s'agit d'instituer le traitement. « L'art de connaître une
maladie
naissante, dit Sarcone, n'est que trop semblable
istinguer l. » Cette obscurité, qui couvre le diagnostic au début des
maladies
épidémiques, réclame en général une sage expectat
eminentiora febris incognitas 3. » 1. Sarcone, Hist. raisonnée des
maladies
obsei^vées à Naples, t. II, p-106, 1805. 2. Sai
entre autres cas particuliers, se rencontrer dans le cours d'une même
maladie
, aiguë ou chronique, alors même qu'elle se montre
tions de s'abstenir d'une médication énergique. On a remarqué que les
maladies
des en-fants , considérées d'une manière générale
éférer une médecine expectante et pas-sive, c'est dans bon nombre des
maladies
de l'enfance... Ce sont les enfants les plus jeun
être très réservé sur les saignées quand les savants sont atteints de
maladies
aiguës. — Certaines conditions physiologiques doi
n 1. Eléments de pathologie générale, p. 600, 1856. 2. Traité des
maladies
des enfants, t. I, p. 60, 1855. 3. Traité sur d
erve, même dans les cas où elle est indiquée par la nature même de la
maladie
. Une femme qui a ses règles ne doit pas être saig
on peu commune, et presque exclusivement propres à un petit nombre de
maladies
. — L'espèce humaine, disaient les an-ciens humori
aux yeux des humoristes les phénomènes que l'on observe au déclin des
maladies
. On s'est beaucoup égayé sur le compte de ce syst
enferme-t-il pas cependant un fond de vérité ? Pendant le cours d'une
maladie
aiguë fé-brile, la désassimilation, ou, pour nous
les observateurs des crises ont re-marqué qu'à un certain état de la
maladie
, il n'y a souvent exaspération des symptômes que
rison s'obtient d'ailleurs par d'autres médica-tions, soit contre des
maladies
qui ont résisté jusque-là à toutes les méthodes c
curatives mises précédemment en usage. ' 3° Enfin, on abandonne la
maladie
à elle-même ; en d'au-tres termes, on fait de l'e
tions , car on parviendrait seulement ainsi à savoir quelles sont les
maladies
qui peuvent guérir spontanément ; en second lieu,
ieu, on arriverait à connaître exactement la durée et l'intensité des
maladies
traitées par la médecine expectante ; et l'on pou
juger de l'efficacité de la médecine agissante dans le traitement des
maladies
, et, dans une maladie quel-conque, de la supérior
e la médecine agissante dans le traitement des maladies, et, dans une
maladie
quel-conque, de la supériorité de telle ou telle
action relativement à la mortalité, à la marche lente ou rapide delà
maladie
; et, pour atteindre ce but, il est nécessaire de
même affection au même de-gré, les uns relatifs à des sujets dont la
maladie
aura été aban-donnée à elle-même, les autres à de
périmentation ne peut pas évidemment être appliquée à tous les cas de
maladie
. Plusieurs maladies ré-clament impérieusement les
ut pas évidemment être appliquée à tous les cas de maladie. Plusieurs
maladies
ré-clament impérieusement les secours de l'art ;
a marche naturelle, la durée et les différentes cir-constances de ces
maladies
. Dans les cas, je le répète, où les affections so
employer la méthode expectante. C'est ainsi que, dans la pneumonie,
maladie
réputée pour très grave, quelques médecins, réflé
qu'il serait utile d'es-sayer la méthode expectante, en présence des
maladies
contre lesquelles on connaît cependant des remède
ittente est certainement le triomphe de la médecine agissante : cette
maladie
spécifique a trouvé son remède spé-cifique, et le
lique, d'une manière générale, aux ma-ladies et aux circonstances des
maladies
où les méthodes ac-tives seraient inutiles, impui
l'expeclation pure peut constituer, pendant tout le cours d'une même
maladie
, l'unique méthode de trai-tement; mais il en est
aquelle s'applique, en définitive, peut-être au plus grand nombre des
maladies
aiguës qui rentrent véritablement dans le domaine
nt véritablement dans le domaine de la pathologie interne. Dans les
maladies
douées d'un haut degré de spécificité et qui ne r
doit, le plus souvent, constituer la base du traitement. Il est des
maladies
d'une bénignité extrême, il en est d'in-curables
aladies d'une bénignité extrême, il en est d'in-curables ; il y a des
maladies
médicatrices, et des maladies qu'il est dangereux
e, il en est d'in-curables ; il y a des maladies médicatrices, et des
maladies
qu'il est dangereux de guérir. L'expectation conv
it M. Grisolle à établir qu'en définitive, dans la première série, la
maladie
a eu une durée assez longue eu égard au peu de gr
r. « L'in-flammation du poumon participant de la nature bénigne de la
maladie
(la fièvre synoque), c'est-à-dire atteignant bien
emple, où il s'agit de modifier len-tement l'organisme occupé par une
maladie
constitutionnelle. Dans le but de prévenir, en
et de chirurgie, 1862, nos 16 et 18.) 3. Nous rappelons ici que la
maladie
décrite par M. Wunderlich, sous le nom de paralys
Romberg, sous le nom de tabès dorsalis, ne diffère pas au fond de la
maladie
nommée ataxie locomotrice progressive par M. Duch
ce fait n'avait pourtant aucune relation étroite avec cette dernière
maladie
; mais que de fois les tentatives thérapeutiques
inq ans. Début lent à la suite de fatigue et après avoir été mouillé.
Maladie
datant de trois mois; sensibilité obtuse aux memb
strabisme, qui se montre assez souvent au nombre des symptômes de la
maladie
. On a même vu les agents thérapeutiques mis en us
avoir eu parfois ce résultat. On voit donc combien le nitrate d'ar-ia
maladie
appelée plus tard ataxie locomotrice progressive,
dorsalis. A peine rencontre-t-on un des malheureux atteints de cette
maladie
qui n'ait le dos couvert de cicatrices... et qui
btenu une entière gué-rison. Mais il faut remarquer que, chez lui, la
maladie
, quoi-que les troubles de la motilité fussent trè
d'argent étaient dans des conditions bien différentes. Le début delà
maladie
remontait chez elles à plusieurs années, et, depu
u leurs caractères nor-maux. Or, tant en raison de l'ancienneté de la
maladie
qu'en raison de l'ensemble des symptômes, les mal
d'abord l'histoire de cinq cas d'ataxie lo-comotrice dans lesquels la
maladie
, quoique très avancée, a été modifiée très favora
Le nitrate d'argent a déjà été employé dans le traitement de diverses
maladies
, telles que la gastralgie et la gastrite, la chor
psie ; mais c'est surtout chez les su-jets atteints de cette dernière
maladie
qu'on a observé la teinte noire de la peau, et se
tout à fait impossible. Les bras avaient d'abord été épargnés par la
maladie
; mais il y a cinq ans, le bras droit a commencé
la malade dont nous venons de rapporter l'observation, le début de la
maladie
datait de plus de quinze ans, et, au moment où l'
ice de la Salpêtrière le 19 mars 1861. Elle n'a été atteinte d'aucune
maladie
jusqu'à l'âge de trente et un ans ; elle fut alor
re en bijoux de jais. C'est à cette époque que remonte le début de sa
maladie
actuelle. A quelques mois d'intervalle, elle fut
Pour terminer l'énu-mération des symptômes delà première période delà
maladie
, il faut signaler encore une salivation très abon
sion de la menstruation pen-dant six mois. Un an après le début de la
maladie
, l'altération de la motilité et de la sensibilité
xie locomotrice progressive dans tout son développement. Seulement la
maladie
était de date moins an-cienne, et le début ne rem
ariée à vingt-six ans, a eu huit enfants; elle n'a jamais souffert de
maladie
grave, à part celle dont il s'agit actuellement.
a jamais éprouvé de dérangement notable de la santé. Le début de la
maladie
actuelle remonte au mois de mai 1860. Alors doule
Elle est en-voyée à l'hospice de la Salpêtrière avec un certificat de
maladie
incurable. L'admission à la Salpêtrière date du
elques symptômes qui n'appartiennent pas au type le plus commun de la
maladie
. Aux membres inférieurs le sens du tact est émous
sont encore faibles, mais les mouvements ataxiques ont disparu. La
maladie
, dans le cas qui va suivre, datait de cinq ans en
me incurable à l'hospice de la Salpêtrière le 13 juillet 1858. Aucune
maladie
nerveuse chez ses parents. Attaques d'hystérie de
nt ; jamais d'irrégularité no-table de la menstruation. Début de la
maladie
actuelle, il y a quinze ans au moins. Vers cett
ues jours de traitement, et l'on peut alors étudier complètement la
maladie
du système nerveux. La malade, lorsqu'elle est
es les mieux accusés ; à l'époque où le traitement a été institué, la
maladie
était parvenue, depuis longtemps déjà, à une péri
ns présenté l'histoire étaient tous des cas invétérés ; chez tous, là
maladie
était depuis long-temps stationnaire, ou encore e
que dans des cas moins graves et moins avancés, on pourra enrayer la
maladie
dans sa marche, ou obtenir tout au moins un amend
struation, irré-gulière jusque là, a été très régulière. Lorsque la
maladie
a débuté, P... habitait depuis quatre ou cinq ans
n a songé, pour la première fois, à traiter par les sels d'argent les
maladies
i. Extrait du Dictionnaire encyclop. des scienc
ou l'oxyde d'argent, I. Affections du système nerveux. Parmi les
maladies
qu'on s'est efforcé de combattre par les sels d'a
d'autant plus que pour produire un effet sensible sur la marche de la
maladie
, il faut administrer l'argent pendant longtemps e
s plus tard, Powel revenait sur l'emploi des sels d'argent dans cette
maladie
, qu'il affirmait avoir souvent améliorée ou compl
velles recherches sur ce sujet. C. Paralysie agitante. — Bans cette
maladie
, d'après nos observations personnelles, l'emploi
cas favorables, ils appartenaient tantôt à la pre-mière période de la
maladie
, tantôt aune époque beaucoup plus avancée. On ne
épinière, qui ont été rangées, jusqu'à ces derniers temps, parmi les
maladies
les plus rebelles à toute espèce de traitement.
eut être utilement traitée par le nitrate d'argent, vers la fin de la
maladie
. Ebers, Boudin, Mitchell (de Philadelphie), en on
e sevrage. Krause et Kaiser l'ont administré à l'intérieur dans cette
maladie
; ce dernier conseille de le faire prendre sous f
prétend avoir retiré de bons effets, dans la période aiguë de cette
maladie
, de l'usage interne du nitrate d'argent, surtout
e ; ils ont cherché à introduire ce médicament dans le traitement des
maladies
vénériennes : mais les expériences de M. Ricord e
cas, des effets utiles, agit surtout sur l'élément dyspep-tique de la
maladie
. Au reste, il est fort possible que les sels d'ar
. Des préparations d'argent et de leur utilité dans le traitement des
maladies
vénériennes. Montpellier et Paris, 1839. — Hudson
es, 1864. — Topinard. De l'ataxie locomotrice et en particulier de la
maladie
appelée ataxie locomotrice progressive. Paris, 18
s intervention d'aucun moyen accessoire, pendant toute la durée de la
maladie
, et continuée même, en général, deux ou trois jou
ômes. Or, dans tous ces cas, il nous a paru que la durée totale de la
maladie
avait été très notablement abrégée ; en effet, el
it dû être maintenue pendant 12 ou 15 jours, et la durée totale de la
maladie
a été alors de 20 jours en moyenne. 1. A.-B. Ga
'effets pathogénétiques capables d'inspirer la moindre inquiétude. La
maladie
ne subissait aucune modi-fication brusque ; tout
moins dans la plupart des cas, jusqu'à la cessation définitive de la
maladie
. Les organes digestifs n'ont jamais présenté de
on, la médication n'ayant été en rien modifiée, la durée totale de la
maladie
n'a pas dépassé 22 jours. La convalescence a ét
éjà plusieurs fois suivie de bons effets dans la forme subaiguë de la
maladie
, et même aussi dans sa forme chronique primitive,
heures, dans les cas intenses. TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
Maladies
infectieuses. Pages I. Variole du fœtus. — Va
............ 50 Le typhus fever et la fièvre typhoïde sont-ils deux
maladies
es-sentiellement distinctes?.....................
pectation en médecine, 305; — bibliographie, définition, 310; — —
maladies
auxquelles elle s'ap-plique, 313; — mitigée, 315,
que, 313; — mitigée, 315, 337; — dans la pneumonie, 318; — dans les
maladies
constitution-nelles, 319; — dans la goutte, 319;
maladies constitution-nelles, 319; — dans la goutte, 319; — dans les
maladies
hérédi-taires, 322 ; — dans les maladies d'évolut
s la goutte, 319; — dans les maladies hérédi-taires, 322 ; — dans les
maladies
d'évolution, 323 ; — dans les ma-ladies aiguës, 3
—, 403 ; — hy-dragogue, 404; — cristal de — 404. Lysis, 332. M
Maladies
aiguës : tendance à la chronicité, 327. — chron
— chroniques primitives, 327. — intercurrentes : influence sur les
maladies
préexistantes, 324. — médicatrices, 325,337. Ma
ment du — par les alcalins à haute dose, 439. S Saignée, dans les
maladies
aiguës, 317. Sclérodermie, 199. Syphilis, sels
ŒUVRES COMPLÈTES DE J.M. CHARCOT
MALADIES
DES VIEILLARDS GOUTTE ET RHUMATISME TOME VII
arcot, nous avons rassemblé tous les tra-vaux de notre maître sur les
maladies
des vieillards. Ce vo-lume se compose : 1° Des Le
ose : 1° Des Leçons cliniques sur les mala-dies des vieillards et les
maladies
chroniques, faites en 1866, et recueillies par M.
par M. B. Bail; — 2° des Leçons sur la thermométrie clinique dans les
maladies
des vieil-lards, faites en 1869, et recueillies p
ions sur la Goutte et le rhumatisme chronique ; — 5° de Varia sur les
maladies
des vieillards. BOURNEVÏLLE. Février 1889.
EVÏLLE. Février 1889. PRÉFACE DE L'AUTEUR1 Les « Leçons sur les
Maladies
des vieillards et les Ma-ladies chroniques, » com
. Paris, 1er octobre 1881. J. M. CHARCOT. 1. Les Leçons sur les
maladies
du système nerveux ». INTRODUCTION LA MÉDECIN
e celle des adultes, et à fixer votre attention sur quelques-unes des
maladies
qu'on rencontre plus spécialement dans les asiles
désormais que le cri des organes souffrants. 2° En second lieu, la
maladie
avait pu être considérée au-trefois comme un être
eresse et d'humidité, le corps humain éprouve des changements, et les
maladies
en emprun-tent les caractères. C'est sur ce fonde
dispositions habituelles du corps et de l'esprit, et sur-tout sur les
maladies
dont nous pouvons être affectés ? Poursuivant c
es comme les saisons de la vie, et leur attribuait par conséquent des
maladies
spéciales. Sans accepter cette interprétation, la
inement confirmé la réalité du fait ; et nous savons qu'il existe des
maladies
qui tiennent aux révolu-tions des âges. Dans la
nditions dans les-quelles Hippocrate observait. C'est surtout sur les
maladies
aiguës fébriles qu'il avait concentré son attenti
qui permettraient de prévoir les crises, les accidents, l'issue de la
maladie
, et de fournir des indications pour l'emploi des
choses d'un peu haut. On est arrivé ainsi à reconnaître que chaque
maladie
a une évolution propre, un mode spécial de dévelo
ete singulièrement altérée lorsqu'on est allé jusqu'à considérer les
maladies
comme des êtres concrets, comme des individus, au
'un animal ou une plante. On est arrivé à reconnaître que tantôt la
maladie
parcourt rapidement les périodes successives quel
phases de son évolution. De là vient la distinction établie entre les
maladies
aiguës et les affections chroniques, qui répond é
sert de lien. C'est ainsi que s'est produite la grande conception des
maladies
constitutionnelles et diathésiques. Cette idée re
enferme volontairement dans la sphère des phénomènes extérieurs de la
maladie
, c'est-à-dire des symptômes. Mais il est en mêm
les à ses moyens d'investigation. De plus, même dans le domaine des
maladies
organiques, où elle semblerait devoir s'imposer,
la nosograpbie de lumières nouvelles, en permettant la distinction de
maladies
que l'analogie de leurs symptômes aurait pu laiss
t y chercher aucun éclaircis-sement concernant la cause prochaine des
maladies
, ou le mécanisme de leur formation. Tels sont,
être séparée, n'a pas seulement pour but de restreindre le nombre des
maladies
sans matière, en montrant que des lésions peuvent
l'anatomie et de la physiologie pour en déduire les con-ditions de la
maladie
, est pleine de dangers, hérissée d'écueils. Ne no
es venins, des substances putrides, etc. L'idée de produire ainsi des
maladies
artificielles est loin d'être nou-velle, et il fa
e les affections à lente évolution lui échappent le plus souvent. Les
maladies
constitutionnelles et diathésiques, en particulie
urraît-il en être autrement si les conditions de développement de ces
maladies
sont le plus souvent ignorées du médecin lui-même
t de relever les analogies qui existent, à quelques égards, entre les
maladies
diathésiques dites spontanées, et certaines intox
la pathologie expérimentale est impuis-sante à faire naître certaines
maladies
d'ensemble, elle peut souvent en imiter les sympt
prétendaient entendre des choses inouïes. D'ailleurs, la plupart des
maladies
de la poitrine, celles du cœur, les affections ch
justice, la manie singulière qui les poussait à considérer toutes les
maladies
comme des inflammations i. Les choses en restèr
aduction du Dr Jaccoud, 1.1. p. 53, 1863. + * * PREMIÈRE PARTIE
Maladies
des vieillards. PREMIÈRE LEÇON Caractères gén
férences. — Organisation de la Salpêtrière an point de vue médical. —
Maladies
chroniques ; maladies des vieillards. — Historiqu
on de la Salpêtrière an point de vue médical. — Maladies chroniques ;
maladies
des vieillards. — Historique de la pathologie sén
la vieillesse : cachet particulier qu'elle im-prime à la plupart des
maladies
. Messieurs, Les conférences auxquelles vous a
égorie comprend des femmes de tout âge, frappées, pour la plupart, de
maladies
chroniques réputées incurables, et qui les ont ré
s dans les conditions les plus favorables pour étudier avec fruit les
maladies
à lente évolution. En effet, la nombreuse popul
s appelés à constater les lé- sions organiques qui caractérisent la
maladie
, lorsqu'elle s'est terminée par la mort. Dans d
pécialement votre attention sur les caractères les plus géné-raux des
maladies
qui surviennent à la dernière période de la vie.
nière période de la vie. I. L'importance d'une étude spéciale des
maladies
des vieil-lards ne saurait être contestée aujoLir
pourrait-on citer quel-ques écrits où la physionomie particulière des
maladies
séniles ait été entrevue. Si l'on en excepte le p
Thèse de doctoral, an VIII. rhumatisme noueux, arthritis pauperum,
maladie
très fréquente chez les indigents. Landré-Beauvai
raîne ; elle mérite, à tous égards, d'être placée au premier rang des
maladies
chroniques rassemblées dans cet asile et qui devr
ieillards est-il une affection nerveuse ? (1817). Recherc/ies sur une
maladie
encore peu connue, qui, a recu-le nom de Ramollis
la pathologie des vieillards, mais aussi sur l'histoire de plusieurs
maladies
chroniques, se trou-vent accumulées dans ce vaste
us venons de citer, plusieurs monographies importantes, relatives aux
maladies
de la vieillesse, ont été publiées par des obser-
le but que Prus avait cherché à réaliser dans ses Recherches sur les
maladies
de la vieillesse, présentées à l'Académie de méde
doit à cet auteur le premier traité, dogmatique qui ait paru sur les
maladies
des vieillards (2). Malheureusement, cet ouvrage,
llers, etc. Erlangen, 1839. de Beau (1) et de Gillette (2), sur les
maladies
des vieillards, ainsi que le Traité clinique publ
e nombreux emprunts. Le premier est le volumineux Traité clinique des
maladies
des vieil-lards, dû à la plume de M. le docteur G
rattacher autant que possible les particularités qui distin-guent les
maladies
de l'âge sénile aux modifications anatomi-ques ou
rits sont de date récente et appartien- 1. Etudes cliniques sur les
maladies
des vieillards (Journal de médecine de Beau. 1843
cellulaires du parenchyme, les éléments musculaires et 1. Rayer. —
Maladies
des reins, t. I, p. 3. 2. Il est à peine nécess
la question sous trois points de vue différents : 1° Il existe des
maladies
spéciales à la vieillesse, et qui se rattachent,
s les plus intéressants de la médecine des vieillards. 2° Parmi les
maladies
qui peuvent exister aux autres épo-ques de la vie
typhoïde, Murchison pour le typhus, et d'autres auteurs pour diverses
maladies
(1). Qui ne sait, d'ailleurs, que Louis XV est mo
st de 1,6 p. 100. — Les vieilles femmes sont plus exposées à ces deux
maladies
que ne sont les hommes âgés. — Pour la fièvre typ
tion dans l'âge senile. — Les organes semblent souffrir isolément. —•
Maladies
latentes. — Les lésions les plus graves peuvent p
n peut en tirer. — Defervescences, crises, perturbations critiques. —
Maladies
dans lesquelles la température s'abaisse au lieu
on générale, que nous sommes habitués à rencontrer en pré-sence de la
maladie
, subir une transformation complète. A cette époqu
us, et c'est dans l'âge sénile qu'on observe le plus grand nombre des
maladies
latentes (1). Messieurs, ce point de vue est as
ptes à nous induire en erreur, qu'à nous éclairer sur la nature de la
maladie
(2). 1. « A un âge avancé, les organes semblent
par cette exploration méthodique fournissent pour chaque espèce de
maladie
des types constants, avec des variantes qui corre
riantes qui corres-pondent aux circonstances les plus importantes des
maladies
; car ainsi seulement on pouvairétablir que ces t
ient d'après certaines règles, d'après certaines lois, suivant que la
maladie
a été abandonnée à elle-même, ou traitée par l'em
, au milieu de tous ces phénomènes, à l'in- 1, Etudes clin, sur les
maladies
des vieillards. Journal de Beau, 1843, p. 292.
r moi-même. Cette brusque élévation de la température, au début des
maladies
, correspond assez exactement à ce que nous obser-
Mais cette rapidité de l'invasion ne se rencontre que dans certaines
maladies
; il en est d'autres où la chaleur fébrile s'accr
fébriles de la vieillesse. II. Le frisson a marqué le début de la
maladie
, qui suit, à partir de ce moment, une évolution r
es correspondent avec une grande exactitude aux diverses phases de la
maladie
. Un amendement momentané succède habituellement
c'est là un calme trompeur, et le soir même ou le lendemain matin, la
maladie
reprend sa marche. La tem-pérature remonte à 40 d
scn. (Pneumonie der Kin-desalter. Berlin, 1862). cette époque de la
maladie
, peut également être provoqué par le tartre stibi
n potion à la dose de 120 grammes. Pendant la pre-mière période de la
maladie
vous voyez la température s'a-baisser lentement,
dicament, pour se relever aussitôt qu'il cesse d'être administré ; la
maladie
reprend ensuite son cours naturel, et se termine
s sujets, est le signal des phénomènes critiques qui doivent juger la
maladie
; on les voit se produire soit au moment même où
pés jusqu'ici que des cas qui se terminent par la guérison ; quand la
maladie
doit avoir une issue funeste, la température, qui
soumis à l'emploi des contre-stimulants, mais encore dans ceux où la
maladie
a été abandonnée à elle-même. Les quatre tablea
ontré toute l'importance de la thermométrie clinique dans l'étude des
maladies
des vieillards, et l'utilité des résultats auxque
laire. Jusqu'ici, messieurs, je ne vous ai guère entretenus que des
maladies
dans lesquelles la chaleur s'élève au-desssus du
parties centrales se maintient au degré normal pendant le cours de la
maladie
, et que la chaleur s'élève aux approches de la mo
deux séances précédentes, les caractères généraux que présentent les
maladies
dans l'âge sénile ; aujourd'hui, je me propose d'
er votre attention d'autant plus que l'histoire pathologique de cette
maladie
présente bien des difficultés à résoudre, bien de
us demander s'il faut confondre dans une description commune ces deux
maladies
ou établir entre elles une distinction radicale.
qu'il y eût là un problème à résoudre. Sous le nom à'arthritis ou de
maladie
articulaire (articulorum passio), ils nous ont la
ulaire (articulorum passio), ils nous ont laissé la description d'une
maladie
dans laquelle nous retrouvons les caractères tant
que nous espérons vous démontrer en étudiant successivement ces deux
maladies
, pour les rapprocher ensuite l'une de l'autre, et
nts de vue comme un type des affections constitutionnelles, comme une
maladie
modèle. En effet, par des circonstances malheu-re
nomènes qui se présentent à notre observation, dans le cours de cette
maladie
. Nous espérons donc, messieurs, que l'abondance d
cide urique dans le sang constitue un des principaux caractères de la
maladie
. 11 est incontestable que la plupart des manifes-
urs, la diathèse se borne à pro-duire pendant toute l'évolution de la
maladie
, des troubles intérieurs de cette espèce, sans ja
opposition à la goutte régulière, qui répond au type classique de la
maladie
. Cependant, même ici, nous ren-controns des affec
ndant ces deux termes correspondent aux deux phases principales de la
maladie
. Ainsi, le goutteux éprouvera d'abord des accès
s troubles fonctionnels qu'on peut attribuer à la ré-trocession de la
maladie
; mais les affections viscérales liées àdes lésion
sont en général la cause déterminante de la mort. Au reste, quand la
maladie
se pro-longe, on voit à la fin survenir cet état
rvenir cet état cachectique qui termine volontiers toutes les grandes
maladies
constitutionnelles ; c'est alors que se développe
pondre aux moyens thérapeutiques qu'on peut opposer aux progrès de la
maladie
. x\près avoir formulé ces notions préliminaires
l s'efface dans l'intervalle des attaques, au moins à l'origine de la
maladie
(Garrod) (1); il se manifeste de nouveau quelque
omonique de la diathèse goutteuse; on peut aussi le constater dans la
maladie
de Bright et l'intoxication saturnine. 11 est cep
forme pas de dépôts, par le refroidisse-ment, aussi longtemps que la
maladie
est apyrétique ; on n'y constate que des traces d
les tissus envahis, qui sont frap-pés, pour toujours, du cachet de la
maladie
. Commençons par étudier ce qui se passe dans le
, pour s'éloigner de la synoviale. A une période plus avancée de la
maladie
, quand l'état chro-nique a succédé aux accès aigu
ns qui correspondent à cette désignation. — Dépôt d'urate de soude. —
Maladie
de Bright. — Néphrite interstitielle. Altératio
mie pathologique des lésions viscérales qui peuvent résulter de cette
maladie
. Mais, comme vous le savez, l'occasion de faire l
t chronique, lorsqu'une affection inter-mittente ou les progrès de la
maladie
avaient déterminé la mort. Nous allons les passer
ire; mais il est incontestable qu'elles sont très-communes dans cette
maladie
. En second lieu, nous rencontrons la néphrite g
oncomitantes du rein, qui correspon-dent aux lésions ordinaires de la
maladie
de Bright. 11 existe d'abord une néphrite paren
rticale, et cet état granuleux du rein, qui appartient en propre à la
maladie
de Bright. Mais, en dehors de. la néphrite pare
s manifestations de la goutte. Ce serait là une forme viscérale de la
maladie
. Bien que les altérations du parenchyme rénal,
d'urate de soude, ne diffèrent en rien de celles qui existent dans la
maladie
de Bright ordinaire, les symptômes propres à cett
es doigts des tumeurs formées par des amas de matière gypseuse. Cette
maladie
est incurable. Il existe des faits analogues ch
goutte aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une
maladie
chronique : mais l'accès aigu a une physionomie b
faut cependant pas oublier que la goutte est, dans tous les cas, une
maladie
essentiellement chronique. En effet,le premier ac
hysionomie d'un accès aigu est si différente de celle que présente la
maladie
envisagée à l'état permanent, que nous sommes for
ujet qui, jusqu'alors, n'avait jamais ressenti les atteintes de cette
maladie
. Dans la majorité des cas, des prodromes spéciaux
as dans lesquels le gros orteil n'est affecté que secondairement : la
maladie
débute sur un autre point, le genou, par exemple.
le genou ou sur toute autre join-ture. 11 est enfin une forme de la
maladie
qui mérite une attention spéciale, car elle prése
t libres de toute manifestation morbide. Cependant, à mesure que la
maladie
progresse, elle change insensiblement de caractèr
ade, frappé d'une analogie incontestable, s'imagine volontiers que sa
maladie
a changé de nature et s'est transformée en rhumat
pitations, des troubles nerveux divers ; on dirait, en un mot, que la
maladie
, d'abord concentrée, a fini par s'étaler; elle ga
'état cachectique se montrent toujours, à des degrés divers, quand la
maladie
est arrivée à ce point. Aussi, les affections int
diqué, les extrémités supérieures commencent à subir l'invasion de la
maladie
. C'est à ce moment qu'on observe les déformations
s. Todd a vu l'albuminurie se montrer deux ans après le début de la
maladie
; et deux ans plus tard, le sujet éprouvait des ac
te. — Manifestations cérébrales de la goutte. — Son influence sur les
maladies
de l'axe médullaire n'est pas encore bien démontr
d nombre d'auteurs se sont attachés à décrire les transformations des
maladies
(mutationes morborum). La goutte occupe une grand
-quée, lorsqu'il s'agit de prouver que, sans perdre son identité, une
maladie
, peut revêtir les formes les plus variées. Il e
e. Il ne faut point appliquer indistinctement ce terme à toutes les
maladies
dont le goutteux peut se trouver atteint; ces aff
on ne saurait les ranger au nombre des conséquences directes de cette
maladie
. Nous réserverons donc le nom de goutte viscéra
voqué par l'intervention d'une cause directe. Le cours régulier de la
maladie
a été in-terrompu par une émotion vive, par une i
t les alcooliques sont tolérés à haute dose. Dans le second cas, la
maladie
prend une forme inflamma-toire. Il existe une viv
et du froid. On peut cependant se demander si l'existence de cette
maladie
n'a pas été trop légèrement admise chez un certai
amore avait depuis longtemps signalé dans les cas chroniques de cette
maladie
. Il est d'ailleurs probable qu'il se produit à
utteux, paraissent surtout reconnaître pour causes l'alcoolisme ou la
maladie
de Bright. Mais ce qui domine ici la situation,
a encore sa part ; mais il est inté-ressant de remarquer que les deux
maladies
marchent parallè-lement sous ce rapport, et que t
moyens d'éviter toute erreur. V. L'influence de la goutte sur les
maladies
delamoelle épiniôre est une question encore litig
goutte, et deviennent presque la règle, à une certaine période de la
maladie
. Elles sont rares, au contraire, dans les diver-s
ineuse de la goutte ne diffère que bien peu, par ses symptômes, de la
maladie
de Brigth ordinaire. On trouve en général les uri
ais ce symptôme fait souvent défaut. On constate aussi, comme dans la
maladie
de Bright ordinaire, de la dypepsie et de la diar
s le cours de la goutte, il existe d'autres manifestations de la même
maladie
, qui, sans envahir les organes intérieurs, se loc
tte ; plusieurs auteurs l'ont observée après lui ; mais de toutes les
maladies
oculaires qui ont été rapprochées de la goutte, c
ents de ce genre, lorsqu'ils sur-viennent dans le cours même de cette
maladie
, paraissent se rattacher à la diathèse goutteuse.
mais bien des complications qui peuvent survenir dans le cours de la
maladie
. Comment les affections intercur-rentes sont-elle
s par la goulle ? On peut, à cet égard, établir un parallèle entre la
maladie
de Bright, le diabète et l'affection qui nous occ
l. Mais lorsqu'il n'existe point de cachexie, la terminaison de ces
maladies
est loin d'être aussi funeste et les choses se pa
des affections conco-mitantes de la goutte, qui présentent avec cette
maladie
des rapports plus intimes que ceux sur lesquels n
Scuda-more, loin de pressentir cette affinité, soutient que ces deux
maladies
se rattachent à des causes tout opposées. Mais un
n effet, que le diabète peut alterner avec les symptômes d'une autre,
maladie
, et particulièrement avec des accès de goutte et
hai (de Calvi) s'est également occupé des rapports entre ces diverses
maladies
, à propos de la gangrène diabé-tique, dès l'année
a évidemment une corrélation plus ou moins intime entre ces diverses
maladies
se reproduisant ainsi, à divers de- grés, chez
sez souvent chez les sujets goutteux. La pa-renté qui réunit ces deux
maladies
a été reconnue de tout temps. «Tu as la gravelle
précéder l'apparition de la goutte, pour alterner ensuite avec cette
maladie
. On peut établir, en effet, trois catégories à
x de la goutte. Il peut y avoir émission de sable 1. Leçons sur les
Maladies
des organes urinaires, trad. de Patron, Pans, 174
es des organes urinaires, trad. de Patron, Pans, 1745, p. 251, 278. —
Maladies
des reins, Paris, 1809, t. T, p. 94, 197,198, a
uthentiques ; mais M. Rayer a signalé l'existence de l'une et l'autre
maladie
, sinon chez le même individu, au moins dans la mê
savez déjà, bien des observateurs à proclamer l'identité de ces deux
maladies
. Nous serons mieux préparés à nous pro-noncer sur
appliquer. Pathologie historique de la goutte. — Antiquité de cette
maladie
. — Auteurs qui en ont signalé l'existence. Diminu
tômes qui la caractérisent et des affinités qui l'unissent à d'autres
maladies
. Il nous reste maintenant à chercher les conditio
sociales qui paraissent y prédisposer l'espèce humaine. Envisager une
maladie
à ce point de vue, c'est faire en grand son étiol
istorique de la goutte. Retracer les vicissitudes que subissent les
maladies
dans le cours des siècles, et rechercher, dans l'
ais, pour qu'il soit possible d'appliquer ce procédé à l'é-tude d'une
maladie
, il faut que l'attention de nos prédéces-seurs ai
démiques, qui ont autrefois exercé de grands ravages, et de certaines
maladies
chroniques qui ont attiré, de tout temps, les reg
place évidemment au premier rang. 11 est certain, en effet, que cette
maladie
prédominait autrefois, d'une manière en quelque s
istoriens et les satires des poetes, sont remplis d'allusions à cette
maladie
. Au premier siècle de l'ère chrétienne, Arétée
i (1) nous appren-nent que, même en Angleterre, la fréquence de cette
maladie
à diminué, d'après Owen et Fuller, et qu'elle a n
ifférents. Quant à l'influence exer-cée sur le développement de cette
maladie
par les excès de table, elle a toujours figuré au
sme articulaire; aussi plusieurs auteurs le considèrent-ils comme une
maladie
nouvelle, ou du moins presque inconnue aux ancien
les diverses régions du globe dans lesquelles pré-dominent certaines
maladies
, et nous permet ainsi d'étudier, sur la plus vast
elle n'existe aujourd'hui que sur un seul point du globe, à l'état de
maladie
généralement répandue ; vous avez déjà nommé l'An
pour nous servir de l'expression de Muhry (3), le rhumatisme est une
maladie
ubiquitaire. Il y a là une différence frappante e
des circonstances particulières qui peuvent donner naissance à cette
maladie
. Nous aurons l'occasion, dans le cours de cette é
ité. Ajoutons enfin que ce sont surtout les formes asténiques de la
maladie
qui prédominent dans le sexe féminin. 4° Age. —
ets affaiblis que chez les hommes vigou-reux; seulement le type de la
maladie
est modifié par les conditions générales de l'org
pauperes, plures sapientes quam fatuos, » dit-il en parlant de cette
maladie
. Il est in-contestable que les hommes politiques
est si fréquent, d'après Magnus Huss, il n'est pas question de cette
maladie
, lien est de même en Danemarck, en Russie et en P
que le plomb favoriserait la manifestation de la goutte ; mais cette
maladie
peut-elle éclater sous l'influence de cette seule
s intéressant à noter, que l'on aime à se figurer la goutte comme une
maladie
de gens pléthoriques. Mais ïodd a prouvé qu'elle
thologique, 1829; t. I, p. 553, et t. II, p. 387. — Rayer. Traité des
maladies
des reins, Paris, 1839, t. I, p. 243. — Cruveil-h
e albumineuse, la cachexie saturnine sont, elles aussi, au nombre des
maladies
qui coïncident avec un excès d'acide urique dans
en tissu fibreux les expose en première ligne aux atteintes de cette
maladie
. Sans méconnaître ce qu'il peut y avoir de plau
écèdent immédiatement l'accès de goutte. Les symptômes locaux de la
maladie
peuvent, jusqu'à un certain point, se prêter à la
n acceptant ce point de départ, en déduire les autres symptômes de la
maladie
? Tel a été le but des efforts de M. Garrod. Nous
videmment la formation de ces dépôts cristallins qui caractérisent la
maladie
. 3° La goutte se porte de préférence sur l'arti
Ses rapports avec le rhumatisme aigu. — Principales variétés de cette
maladie
. — Rhuma-tisme articulaire chronique progressif (
odifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la
maladie
. Messieurs, Après avoir approfondi l'histoire
goutte, nous allons nous occuper d'une affection si voisine de cette
maladie
, que bien des fois elle a été confondue avec elle
n grand avantage. Tandis que la goutte, qui, en France, n'est pas une
maladie
nosocomiale, et qui d'ailleurs est peu fréquent
on totale. La plupart des auteurs qui ont spécialement étudié cette
maladie
, ont puisé leurs observations dans des établissem
r à décrire. I. La dénomination que j'ai choisie pour désigner la
maladie
dont il s'agit consacre une interprétation nosogr
te, nous établirons plus tard une distinction radicale entre ces deux
maladies
. II. Le rhumatisme articulaire chronique se p
n'y voyons, au contraire, que les formes diverses d'une seule et même
maladie
. Pour n'en citer qu'un seul exemple, il nous su
iste cependant quelquefois. C'est surtout dans la forme bénigne de la
maladie
qu'elles se rencontrent ; on voit survenir, chez
ne com-porte guère d'affections viscérales, et dans laquelle toute la
maladie
semble se concentrer sur la jointure affectée. On
Heberden (digitorum nodi) constituent le type le moins grave de cette
maladie
. C'est surtout ici qu'une discussion critique d
ale, qui domine l'ensemble des manifestations symptomatiques de cette
maladie
: nous voulons parler de Valtération du sang par
elle nous permet enfin d'établir une séparation radicale entre cette
maladie
et les autres diathèses qui partagent avec elle l
circonstances particulières qui résultent des conditions mêmes de la
maladie
. C'est ainsi que les altérations qu'on rencontre
scolastique de l'ancienne médecine, le terme subaigu s'appliquait aux
maladies
aiguës dont la durée dépassait vingt et un jours
aiguës dont la durée dépassait vingt et un jours — limite extrême des
maladies
ai-guës proprement dites, — et pouvait s'étendre
es, du rhumatisme articulaire chronique. Ainsi, dans cette forme de
maladie
, les affections articulai-res ont plus de fixité
—Arch. fur physiol. Heilkunde, t. XI, 1852. 2. Bonnet. — Traité des
maladies
des articulations. Paris, 1845, t. I, p. 32 ves
a prolongation ou du retour incessant de l'affection rhumatismale, la
maladie
est devenue décidément chronique. Les altérations
es. C'est ce que démontre l'étude des lésions qui caractérisent cette
maladie
. Pour ce qui concerne les os et les cartilages, d
cellules de cartilages. D'ailleurs, à une époque plus avan-cée de la
maladie
, la distinction s'accuse de la manière la plus év
e rencontrent simultanément, il y a évidemment juxtaposition des deux
maladies
; elles ne se transforment jamais pour se confond
puration, qui constituent à nos yeux le caractère anatomique de cette
maladie
. Mais on est amené ici à se demander si une irr
État général dans le rhumatisme. — Fièvre. — Marche irrégulière de la
maladie
. — Rapport entre l'intensité du mouvement fébrile
plus fréquent chez eux, au contraire, que la forme chronique de cette
maladie
: nous vous l'avons déjà prouvé. Nous ne saurio
é les diversités qui résultent, dans l'expression symptomatique d'une
maladie
, de la réaction lente ou de la réaction aiguë de
nnaître que si certaines apparences rap-prochent quelquefois ces deux
maladies
, il n'en est ainsi que dans des circonstances fou
ue en grande partie à nous faire envi-sager cette affection comme une
maladie
générale ou du moins à siège indéterminé et non c
Nous arrivons à la môme conclusion par l'étude de l'évolu-tion de la
maladie
, et des conditions étiologiques qui peuvent lui d
ticulaire, il n'affecte presque jamais le gros orteil; d'ailleurs, la
maladie
envahit simultanément les membres inférieurs et s
cas, il n'existe aucune preuve expérimentale d'une rétrocession de la
maladie
provoquée par les agents extérieurs, comme nous l
une autre, et de changer plusieurs fois de siège dans le cours de la
maladie
. 1. Monneret. — Thèse de concours pour le profe
erlich, fournir aucune donnée précise relati-vement à la marche de la
maladie
; cependant on observe le plus souvent le minimum
nous ne voyons point un frisson violent en marquer les débuts, et la
maladie
se constitue, en général, par une augmentation pr
ctères spéciaux qui ne se rencontrent pas au même degré dans d'autres
maladies
fébriles. L'artère est volumineuse comme dans cer
logie à signaler : c'est la marche irrégu-lière et paroxystique de la
maladie
. Partout ailleurs, on ne trouve que des différenc
t, l'une des distinctions les plus im-portantes qui séparent les deux
maladies
. On sait que le caillot d'une saignée, dans le
par l'étude des lésions articulaires et des caractères généraux de la
maladie
: nous allons en trouver une nouvelle preuve dans
ardite rhumatismale. — Modi-fications apportées à l'histoire de cette
maladie
parles progrès de l'histologie moderne. — Structu
Lésions de canalisation. — Etat typhoïde. — Période chronique de la
maladie
. — Affections multiples qui sont la conséquence d
trouvent, avec les mêmes caractères, dans les formes chroniques de la
maladie
. Pendant le cours des accès de la goutte aiguë,
tour incessant des accès commence à imprimer la forme chro-nique à la
maladie
, que l'on voit se développer des altérations perm
premières atteintes, et n'attendent guère, pour semanifester, que la
maladie
ait traversé sa période initiale. Il ne s'agit pl
voquée en doute par plusieurs auteurs ; et l'on peut dire que plus la
maladie
a de la tendance à revêtir la forme chronique, pl
ion d'une lymphe plastique comme l'un des principaux caractères de la
maladie
; on sait aussi que dans ses études si remarquabl
rap-porter à de simples dépôts fibrineux toutes les lésions de cette
maladie
(Simon). C'est là le développement excessif d'une
à l'intérieur des cavi-tés cardiaques joue un rôle important dans la
maladie
; mais ce phénomène est toujours secondaire, et ne
tion sem-blable à celle du mucus. Telle est la première période de la
maladie
. Fig. 17. — Endocardite aiguë. Coupe de la valv
s pour l'agrégation, 1866, p. 28. trentà la période chronique de la
maladie
. Le travail phleg-masique se propage en changeant
le. Les figures 2, 5, 6 et 7 de la planche V de l'Atlas du Traité des
maladies
des reins sont des exemples de néphrite rhumatism
des exemples de néphrite rhumatismale chez des sujets atteints d'une
maladie
du cœur. Les embolies capillaires du rein donne
s complications ne sont pas exclusivement propres à cette forme de la
maladie
. On les rencontre d'abord assez fréquemment dan
l s'agit là d'une 1. Du rhumatisme viscéral, p. 61. seule et même
maladie
, malgré la diversité des manifestations pathologi
ardite s'est développée chez des rhumatisants chroniques, sans que la
maladie
ait jamais affecté la forme aiguë. Deux de ces fa
tions caractéristiques du rhumatisme chronique. Elle attribuait cette
maladie
à l'humidité de la loge qu'elle avait longtemps h
seconde entrée à l'infirmerie, elle offrait des signes évidents d'une
maladie
de cœur. Les symp-tômes de cette affection s'étan
lles se développent de préférence à l'épo-que des exacerbations de la
maladie
, et lorsqu'on se rapproche en quelque sorte de l'
lorsqu'on se rapproche en quelque sorte de l'état aigu. Au reste, ces
maladies
ont en général un caractère moins sérieux lorsqu'
ous reconnaîtrons bientôt que, par contre, cette dernière forme de la
maladie
comporte certaines affections presque complè-teme
, je ne l'ai jamais rencontrée dans cette affection. Mais plusieurs
maladies
qui se rattachent à la moelle épi-nière se rencon
en dehors des jointures. Nous avons vu que la goutte, en de-hors des
maladies
viscérales, produit quelquefois des affec-tions a
ppartiennent surtout aux formes subaiguës et peu intenses de ces deux
maladies
. On peut aussi les rencontrer dans le rhumatisme
e chronique. Elles sont peu communes dans la forme intense de cette
maladie
; on les trouve surtout dans le rhumatisme chroniq
rticulaire chronique. — Ils constituent, au fond, une seule et môme
maladie
. — Rhumatisme ar-ticulaire chronique progressif o
des membres. — Deux types principaux ; leurs variétés. Marche de la
maladie
. — Altérations consécutives. — Forme atrophique ;
ous vos yeux l'appareil symptomatique qui révèle l'existence de cette
maladie
. Nous avons insisté déjà sur la nécessité de re
et du rhumatisme d'Heberden. Ce ne sont point là, d'ailleurs, trois
maladies
distinctes, mais trois formes particulières d'une
adies distinctes, mais trois formes particulières d'une seule et môme
maladie
. Il n'en est pas moins indispensable de les sépar
nce les petites jointures, celles des mains en particulier. C'est une
maladie
qui se montre trop souvent au-dessus des ressourc
que les petites articulations étaient le siège de prédilection de la
maladie
. Les jointures plus vo-lumineuses ne se prennent
che progressive que nous venons de si-gnaler. Dans le premier cas, la
maladie
présente une évolution rapide ; dans le second, e
ou-vent l'une des premières déformations qui signalent le début de la
maladie
. Ce type peut offrir deux variétés. Dans la pre
s peuvent se présenter : a. Chez les jeunes sujets, la marche de la
maladie
est rapide, et les contractions spasmodiques des
ent guère aux cas de cette espèce. b. Chez les sujets plus âgés, la
maladie
suit une évolution plus lente, et les mouvements
x, ainsi que l'é-tendue des déformations qui en résultent. Quand la
maladie
s'est prolongée pendant un certain espace de temp
nique de ceux que produisent la paralysie agitante et diverses autres
maladies
. Mais la goutte donne lieu aux mêmes contractions
ôt tophacé, comme dans la goutte. Symptômes généraux ; marche de la
maladie
. A. L'hématologie, l'étude chimique des sécréti
ar de longs inter-valles de rémission. Dans les cas de ce genre, la
maladie
dure habituellement moins longtemps. Après deux,
n spas-modique des doigts se manifesta trois mois après le début delà
maladie
: la déformation consécutive persista pendant une
ans ces cas surtout qu'on peut étudier le mode d'enva-hissement de la
maladie
. Les douleurs sont moins vives, il y a moins de r
umatisme chronique, par l'étude des deux formes principa-les de cette
maladie
, qui font suite au rhumatisme noueux, dans la cla
mités, les mieux caractérisées ; c'est Y Arthrite déformante. Cette
maladie
ne diffère pas essentiellement de la précé-dente
r contribuer à la déformation (Forme hypertrophique d'Adams). Cette
maladie
a été surtout étudiée au point de vue de la patho
tout attiré l'attention des chirurgiens ; néanmoins, l'étude de cette
maladie
pré-sente un grand intérêt pour le médecin; en ef
tes partielles aiguës, avec fièvre et rétraction mus-culaire; puis la
maladie
persista, sous forme d'arthrite sèche ; en dernie
e l'affection au rhumatisme noueux. C. Au contraire, le début de la
maladie
peut, comme nous l'avons vu, être lent, insidieux
âge de quatre-vingt-deux ans, après avoir longtemps souffert de cette
maladie
. Il avait eu, en 1818, des douleurs assez vives d
ixante ans, atteinte, depuis vingt-cinq ans, de rhumatisme noueux, la
maladie
avait fini par se localiser sur les genoux, qui é
'est constituée à l'état chronique, c'est plutôt une infirmité qu'une
maladie
. — Je fais abstraction ici des lésions viscérales
temporaire, des parties molles. Ce sont là de véritables accès que la
maladie
regarde souvent comme des attaques de goutte. L
vie; et c'est là un point qu'il importe de faire ressortir. C'est une
maladie
héréditaire; elle peut se mani-fester chez plusie
s manifestations peuvent alterner aussi avec les accès aigus de cette
maladie
. Il n'est pas rare de le rencontrer chez des suje
tisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de celte
maladie
. — Pathologie historique. — Prépondérance de la g
déjà. — Géographie médicale. — Le rhumatisme articulaire aigu est une
maladie
qui appartient surtout aux climats tempérés. — Il
le terrain de l'ôtiologie, nous verrons les di-verses formes de cette
maladie
se rapprocher et se confondre : nous les verrons
ail-leurs cette dernière affection avec le rhumatisme, sous le nom de
maladie
articulaire (articulorum passio). Baillou est le
Baillou est le premier auteur qui ait signalé le rhumatisme comme une
maladie
à part ; et ce qui prouve que cette distinction m
constaté, sur ces débris humains, les lésions qui caractérisent cette
maladie
. On trouve, à cet égard, de pré- cieux renseign
réconçues, il s'est établi une confusion regrettable entre toutes les
maladies
qui recon-naissent le froid pour origine : et l'o
Il paraît cependant établi que le rhumatisme articulaire aigu est une
maladie
qui appartient plus spécialement aux climats temp
héorie du rhumatisme, car les affections héréditaires ne sont pas des
maladies
accidentelles, passa-gères, elles tiennent à la c
s de cinq à dix ans ; et, d'après West et la plupart des auteurs, les
maladies
du cœur sont plus fré-quentes chez les jeunes rhu
clusivement le rhumatisme chronique à la ménopause. Néanmoins cette
maladie
peut se montrer, soit avant, soit après les époqu
t toutes les déforma-tions caractéristiques de rhumatisme noueux : la
maladie
avait débuté à l'âge de quatre ans. —J'ai déjà si
miter l'er-reur d'Eisenmann, qui, sous le nomd'Erkaltungskrankheiten (
maladies
par refroidissement), a écrit un ouvrage dans leq
ux. Les trois quarts environ des femmes atteintes de cette dernière
maladie
la rattachent à l'influence prolongée du froid hu
ans de telles conditions. Et pourtant, d'une manière habituelle, la
maladie
n'éclate pas brusquement; il y a lopins souvent u
cas de rhumatisme noueux, ce qui démontre bien qu'il s'agit là d'une
maladie
surtout plé-béienne, quoique l'opinion contraire
comme pour la goutte, peuvent déterminer à la fois l'explosion de la
maladie
et le siège pri-mitif qu'elle doit occuper. Nou
du point lésé. Chez une femme atteinte du rhumatisme noueux, cette
maladie
avait débuté par l'épaule droite, qui avait été f
icile de déterminer s'il s'agit là d'une affection générale, ou d'une
maladie
purement locale, consécutive à la violence extéri
atisme articulaire aigu se développer à la suite d'un grand nombre de
maladies
diverses. Chez un individu déjà rhumatisant, un
mation des join-tures, peut aussi se développer à l'occasion de cette
maladie
(Garrod, Lorrain, Broadhurst, Trousseau) (1). C
eulement pour la formeaiguë, mais encore pour laforme chronique de la
maladie
. En effet, l'apparition des règles, la ménopaus
ible : M. Danjoy, qui a appelé l'attention sur ce point, croit que la
maladie
est alors modifiée dans son évolution qui serait
ement de j.a goutte À. Considérations générales. —La goutte est une
maladie
héréditaire constitutionnelle, primitivement chro
ses manifestations aiguës. Mais la goutte est quelquefois aussi une
maladie
acquise, tantôt par des écarts de régime, tantôt
rience a depuis longtemps démontré. Nous ne prétendons point que la
maladie
soit radicalement incurable ; on possède des exem
utte du rhumatisme articulaire. Dans la forme aiguë de cette dernière
maladie
, M. le professeur Monneret avait déjà démontré l'
les règles qui doivent présider à son emploi ? 1° La goutte est une
maladie
à rétrocession, comme nous l'avons établi plus ha
ntir les sécrétions, ce qui peut entraver l'évolution régulière de la
maladie
. 11 déter-mine aussi, chez certains sujets, des e
Vichy, Carlsbad, etc.), elles paraissent avantageuses, au début de la
maladie
, chez les sujets robustes, et surtout sur ceux qu
s le colchique pour combattre les accidents les plus pres-sants de la
maladie
. Dans les cas où il y a des phénomènes d'acuité
lus souvent, on est impuissant à entraver la marche progressive de la
maladie
. Les alcalins à haute dose sont ici moins effic
curer un certain soulagement pendant les exacerbations fébriles de la
maladie
. La teinture d'iode, à l'intérieur, a été préco
sible dans les cas très invétérés du rhumatisme noueux, et lorsque la
maladie
s'est déclarée dans un âge avancé. 1. Arch. gén
u'elles soient l'une et l'autre également efficace pour com-battre la
maladie
, ce dont je serais disposé à douter. Il y a un
nent pas à guérir. DEUXIÈME PARTIE Thermométrie clinique dans les
maladies
des vieillards. PREMIÈRE LEGÓN De l'importanc
re. — Préliminaires. — Difficultés de la pathologie des vieillards.,—
Maladies
latentes. — Absence de commémoratifs. — Défaut de
ue c'est chez les vieillards que Ton ob-serve le plus grand nombre de
maladies
latentes. D'ailleurs, il ne faut pas oublier qu
s. Le plus souvent vous en serez réduit à ignorer quand et comment la
maladie
s'est développée, et, pendant son cours, vous ne
votre attention. Supposons qu'il s'agisse de la.pneumonie /obaire,
maladie
fréquente dans cet hospice, et qui fait périr cha
manifeste chez l'adulte. En somme à cette époque de la vie, c'est une
maladie
qu'il est, en général, très facile de recon-naîtr
nous sufira de faire remarquer que chez eux, même au plus fort de la
maladie
, et dans les cas où la lésion est le plus éten-du
ur cas anomalies que peut présenter chez les gens âgés, atteints de
maladies
aiguës, l'état général, et plus spécialement l'ét
ales de l'or-ganisme. Messieurs, c'est surtout lorsqu'il s'agit des
maladies
dans lesquelles la chaleur s'élève au-delà du tau
deux courbes se faire en sens inverse. Ainsi, le cinquième jour de la
maladie
, le matin, dans le temps même où la température d
es de col-lapsus, qu'il est assez commun d'observer dans le cours des
maladies
aiguës des vieillards; qu'il me suffise pour le m
i-paux. Io Si la température centrale, à un moment quelconque d'une
maladie
et quelle que soit la maladie, s'élève à 41° 5, l
centrale, à un moment quelconque d'une maladie et quelle que soit la
maladie
, s'élève à 41° 5, le danger est grand. Si elle at
s ne parler que des sujets valides, ou autrement dit, libres de toute
maladie
antérieure, de tout état cachectique, au moment o
is, quel que soit l'âge, la tempéra-ture, même lorsqu'il s'agit d'une
maladie
dont le caractère est de produire habituellement
tique, atteinte de pneumonie lo-baire ; les maxima au plus fort de la
maladie
n'ont dépassé qu'une seule fois 39°, 5 ; — l'autr
lusieurs jours, presque sans interruption, comme cela a lieu dans une
maladie
à type continu, la pneumonie lobaire par exemple,
ues de la vie. Quoi- 1. Voir : Gharcot. — Œuvres complètes, tome V,
Maladies
des poumons, etc., p. 631. Gharcot. CEuv. compl
, annoncent-elles un cas grave, quel que soit d'ailleurs le nom de la
maladie
? Telles sont les questions qui se sont présenté
saurait être invoquée, du moins comme élément principal, que dans une
maladie
à évolution lente. Elle ne saurait jouer un rôle
tés de la médication dite antipyréti-que, appliquée au traitement des
maladies
aiguës à haute tem-pérature. Or, quel est l'effet
heure, sous forme de tracés graphiques, pendant le cours de certaines
maladies
, fournissent chez le vieillard comme chez l'adult
1867.)1 des types constants et caractéris-tiques pour chacune de ces
maladies
; car c'est sur cette cir-constance même qu'est f
car c'est sur cette cir-constance même qu'est fondé ce diagnostic des
maladies
fébriles par la température, sur lequel M. le pro
nique des vieillards (Suite). Sommaire. — Caractères thermiques des
maladies
fébriles dites typiques chez les vieillards. — 1°
miques des maladies fébriles dites typiques chez les vieillards. — 1°
Maladies
fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à
ques chez les vieillards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2°
Maladies
fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles
ébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3°
Maladies
fébriles à type intermittent. De l'élévation ra
rale qui sur-vient, à l'époque de la terminaison fatale dans quelques
maladies
des centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. — Af
justifier cette assertion en prenant pour exemple cpielques-unes des
maladies
fébriles dites typiques que l'on rencontre chez l
ies fébriles dites typiques que l'on rencontre chez le vieillard. Ces
maladies
peuvent être rangées en trois groupes, suivant qu
est continu, rémittent ou inter-mittent. Caractères thermiques des
maladies
fébriles dites typiques chez les vieillards. 1°
miques des maladies fébriles dites typiques chez les vieillards. 1°
Maladies
fébriles à type continu. — Elles sont beau-coup m
ez le vieillard plus habituellement que la broncho-pneumonie. a) La
maladie
débute généralement par un frisson (c'est par err
pneumonie lobaire, si la terminaison doit ou non être favorable. 2°
Maladies
fébriles à type rémittent. — La pneumonie lobaire
e, elles l'ont à peu près complètement défaut chez le vieillard. 3°
Maladies
fébriles à type intermittent. — A la Salpê-trière
ntrale QUI SURVIENT a l'éPOQUE de la terminaison fatale dans quelques
maladies
des centres NERVEUX. Je n'ai eu en vue jusqu'ic
s maladies des centres NERVEUX. Je n'ai eu en vue jusqu'ici que les
maladies
fébriles ; mais, dans le cours d'autres maladies,
ue jusqu'ici que les maladies fébriles ; mais, dans le cours d'autres
maladies
, on peut voir survenir brus-quement, à un moment
ous les cas, le système nerveux est profondément affecté. Ce sont les
maladies
telles que le tétanos (traumatique ou non traumat
nt le type de ces élévations terminales de la température. Ces deux
maladies
s'accompagnent de convulsions toniques et c'est e
ébut la température était de 38°, 8; cinq 1. L'observation de cette
maladie
a été recueillie et publiée par nous dans la Revu
ire avec collapsus. — Des pneumonies algides. — Du collapsus dans les
maladies
pestilentielles. Messieurs, Je ne me suis occ
que je désire appeler au-jourd'hui votre attention. S'il existe des
maladies
dont l'état fébrile constitue un ca-ractère const
ons l'état qui nous occupe), ne figure en général dans l'histoire des
maladies
, qu'à titre de phénomène épisodique, d'accident l
insi dans le choléra lui-même, jusqu'ici con-sidéré comme le type des
maladies
algides, le refroidissement est tout extérieur, i
e se montre très rarement d'une manière durable dans le cours d'une
maladie
. Les quelques exemples de ce genre qu'on pourrait
uelques exemples de ce genre qu'on pourrait citer sont relatifs à des
maladies
chroniques. Au premier rang, on doit placer les a
es conditions d'inanition et de marasme peuvent se retrouver dans des
maladies
autres que le cancer; à ce pro-pos on cite l'aném
11. C'est surtout à titre d'incident survenant dans le cours des
maladies
aiguës, que l'algïdité centrale est intéressante
i s'observent pres-que toujours à un certain degré, lorsque certaines
maladies
fébriles se terminent par une défervescence rapid
l'alcoolisme. Mais c'est surtout quand il survient dans le cours des
maladies
aiguës, fébriles, que le collapsus mérite de fixe
ême ensem-ble de symptômes peut se montrer à toutes les époques de la
maladie
. Dans la période d'état, l'apparition du collapsu
pneumonie lobaire, a présenté, dès le début et pendant la durée de la
maladie
, un ensemble de symptômes qui la faisaient ressem
s constitue un des caractères de la forme sidérante de la plupart des
maladies
pestilentielles : ainsi on l'observe dans la fièv
2. Dans la fièvre pernicieuse algide, voir : Griesinger, Traité des
maladies
nfectieuses, p. Paris, 1868, de fatiguer votre
mpagnent quelquefois de vives douleurs. Chronique dès son origine, la
maladie
qui les a produits n'a jamais succédé à une attaq
xtrémités, ou même des membres, tous ces carac-tères ont imprimé à la
maladie
, dans les cas où nous l'a-vons observée, une phys
douleur articulaire est à peine sensible, pendant tout le cours de la
maladie
, alors même que les dévia-tions des membres se pr
ense la nuit que le jour ; elle n'existe guère que dans les cas où la
maladie
est depuis longtemps constituée. Nous avons cru r
s que c'est principalement chez les jeunes sujets, dans les cas où la
maladie
a coïncidé avec la grossesse, l'accouchement, la
un phénomène qui se montre au début, et lors des exacerbations de la
maladie
. Nous n'a-vons pu l'observer que dans ce dernier
aît considérer comme à peu près constante à une certaine époque de la
maladie
. Nous ne l'avons que ra-rement notée, peut-être p
iculations qui sont le plus souvent affectées, pendant le cours de la
maladie
. Toutes les jointures ne se prennent pas indiffér
sme arti-culaire chronique, et ne se manifeste généralement que si la
maladie
existe depuis fort longtemps. Cet auteur rapporte
complète de l'articulation du genou, même à une époque avancée de la
maladie
. La rétrac-tion des muscles me paraît la principa
out celles qui se produisent à une époque très voisine du début de la
maladie
. Nous sommes naturellement amenés à rechercher qu
chercher quelle peut être la cause de la rétraction. Au début de la
maladie
, la rétraction musculaire est tou-jours active, c
de cas, cet épanchement articulaire n'a existé à aucune époque de la
maladie
. Chez les malades que nous avons observées, la
ons. — Les phénomènes fébriles peuvent se montrer soit au début de la
maladie
, soit dans son cours, aux époques des exacerbatio
ta son enfant, bien qu'elle fût dans la période d'accroissement de la
maladie
, et déjà percluse de tous ses membres ; le plus s
, la marche toujours croissante, et, en quelque sorte, fatale, que la
maladie
suivra tôt ou tard. Ce n'est pas sans un certai
araît avoir laplus grande influence sur la durée de l'évolution de la
maladie
. On peut, sous ce point de vue, établir deux caté
s ont été en décroissant et ont fini par disparaître complètement. La
maladie
était alors terminée, laissant après elle les dif
res. Dans la première des observations qui suivent, la marche de la
maladie
a été relativement très rapide ; on peut, dans la
e se montrent plus aujourd'hui que par intervalles. L'évolution de la
maladie
s'est opérée complète-ment, dans l'espace de sept
amais connu sa mère ; son père, assure-t-eite, n'a jamais présenté de
maladie
semblable à la sienne, non plus que ses frères. E
nfin, qui prétendent souffrir sur fout à chaque époque menstruelle.
Maladies
intercurrentes. — Landré-Beauvais admet que la go
e. Pour nous, nous n'avons guère noté, dans nos observations, que des
maladies
intercurrentes qu'aucun lien véritable ne semblai
ies intercurrentes qu'aucun lien véritable ne semblait rattacher à la
maladie
principale. Quelques infirmes, il est vrai, étaie
rvations qu'il nous a laissées, nous voyons que, dans la première, la
maladie
avait commencé à 30 ans; dans la deuxième, elle d
serait presque toujours à l'époque de la ménopause que débuterait la
maladie
. Ainsi 3 femmes seulement sur 33 furent prises pe
deux périodes dans la vie, où se montre principalement le début de la
maladie
; la première période s'étend de 20 à 30 ans ; la
rolongée du froid humide paraît avoir contribué à la production de la
maladie
. Il était intéressant de rechercher quel laps d
use, ainsi que Haygarth l'a remarqué. Quelle est la fréquence de la
maladie
? nous sommes por-tés à croire qu'elle est assez
tures, ou à leur périphérie n'ont été observées à aucune époque de la
maladie
, quel qu'ait été d'ailleurs le nombre des petites
nes (MM. Rayer, Cruveilhier, Piorry), considérer la goutte confie une
maladie
bien dis-tincte, suffisamment caractérisée au poi
réditaire, qu'elle n'attaque que rarement les femmes, qu'elle est une
maladie
des gens riches, qu'elle reconnaît pour cause l'u
pour pouvoir re-cueillir quelques faits relatifs à la première de ces
maladies
; mais, pendant tout le cours de notre internat,
mois régu-lièrement. Dans sa jeunesse, cette femme n'a éprouvé aucune
maladie
. Depuis l'âge de quatorze ans, elle sert en maiso
i apportait sur son lit ; au bout de onze mois, l'enfant meurt (d'une
maladie
inconnue). A la suite de l'émotion que cet événem
eurs qui sont le siège des douleurs, à cotte nouvelle période de la
maladie
; c'est alors qu'il commence à apercevoir une défo
ons ; mais, nous l'avons dit, le-rhumatisme n'est pas actuellement la
maladie
principale. Nous, avons parlé du début de l'affec
'idée dégoutte a été associée, dans l'esprit des médecins, à celle de
maladie
rénale, ce qui tient à l'exis-tence souvent obser
rson. Leurs observations sont analysées dans le chapitre du livre des
maladies
du rein, de M. le professeur Rayer qui traite des
h edith., p. 313. London 1823, cité par M. Royer, dans son Traité des
maladies
du rein, t. II, p. 540. 2, T. II, p. 42. Arch
con-sidérable, qui n'est jamais générale et abondante, comme dans la
maladie
de Bright. La quantité de l'urine n'est pas di-mi
cteur Todd pour différencier la néphrite chronique des goutteux de la
maladie
de Bright aiguë et chro-nique. Il est certain que
n et les symptômes qui en résultent peuvent s'observer, dans d'autres
maladies
que la goutte, et de plus, nous verrons bientôt,
goutteux peuvent présenter anatomiquement toutes les lésions de la
maladie
de Bright (néphrite albumineuse, desquamma-tive o
rein. En 1849, dans l'examen des reins d'un goutteux mort d'une autre
maladie
, il rencontra, dit-il, un dépôt crayeux considéra
et granuleux du rein tenait-il uniquement à la période avancée de la
maladie
où étaient mort ses malades. C'est ce qui paraît
sorte que l'altération du rein dans ce cas, est un type parfait de la
maladie
de Bright avec dégénération granuleuse du troisiè
cale qui constituent, dans ce cas particulier, les granulations de la
maladie
de Bright, on voit des tubes uri-nifères, presque
de la goutte (dépôts d'urate de soude dans les cartilages), et de la
maladie
de Bright (troisième degré de M. Rayer) ; les rei
qui s'est montrée avec tout l'ensemble cli-nique et anatomique de la
maladie
de Bright. Les dépôts ura-tiques que nous avons t
les deux ordres d'affections (1). Chez douze individus atteints d'une
maladie
de plomb bien déterminée, — colique ou para-lysie
ière ne diffère pas essentielle-ment de ce qu'il est à Edimbourg, les
maladies
de plomb sont nombreuses dans les hôpitaux, et ce
risolle et Tanquerel des Planches, qui ont poussé si loin l'étude des
maladies
de plomb. Ces arguments n'ont pas cependant une v
ns périodiques aux petites jointures des extrémités inférieures, la
maladie
tend peu à peu à devenir continue et prend enfin
u-ler, soit à la Charité, soit à l'Hôtel-Dieu, pour y être traités de
maladies
saturnines bien déterminées et invétérées pour la
s supérieurs qui sont le siège du mal, à cette nouvelle période de la
maladie
. C'est alors qu'il commence à apercevoir une dé-f
ons. Mais, nous l'avons dit le rhumatisme n'est pas actuellemeut la
maladie
principale. Nous avons parlé du début de l'affect
ns quelques articulations phalangiennes, le but ou le résul-tat de la
maladie
a été tout différent de ce que nous venons de voi
endocardite, pericardite, etc., et souvent aussi, le pronostic de la
maladie
n'est en rien changé. — La blennorrhagie. A la su
ue cette sorte d'arthrite est tantôt une affection locale, tantôt une
maladie
constitutionnelle. plusieurs exemples (On Gout,
er ordre (thèse de Charcot). En général, d'après mes observations, la
maladie
se prépare pendant la grossesse et éclate avec to
rôle n'est qu'accessoire, puisqu'elle provoque le développement d'une
maladie
qu'une autre cause eût pu dé-velopper. Il peut se
fà qu'une indication très sommaire et peu explicite de cette dernière
maladie
; tandis que la goutte, au contraire, s'y trouve,
lans une description com-mune, sous la dénomination à'arthrilis ou de
maladie
articu-laire (articulorum passio) ; et il ne semb
ité, Cœlius Aurelianus (Morb. chron., lib. V. cap. ii) « appellent la
maladie
arthritique un genre, et la podagre une espèce. »
r la première fois, une acception nosographique déterminée. Or, cette
maladie
qu'a décrite Baillou (Opera omnia). Genev., 1762,
120). Sujet à la goutte, et auteur d'un intéressant travail sur cette
maladie
, M. le docteur Galtier-Boissière (De la goutte, D
, et embrasse toute la partie affectée (Guilbert, De la goutte et des
maladies
goutteuses. Paris, 1820, p. 110. — Gendrin, Leçon
tte. Presque constamment, lorsqu'il s'agit du rhumatisme noueux, la
maladie
observe dans ses envahissements une parfaite symé
lequel une seule des mains fut affectée pendant toute la durée de la
maladie
; Haygarth n1a rapporté également qu'un fait du mê
ns l'espace de six années, à la Salpêtrière, je n'ai vu que 3 fois la
maladie
former son action aux articulations d'un seul côt
ient le pre-mier siège, voire même le siège à peu près exclusif de la
maladie
. Le mode suivant lequel les arthropathies se su
ue généralisée. Aux membres supérieurs les doigts sont, dans les deux
maladies
, affectés les premiers, puis c'est le poignet, pu
pie, qui ne peuvent laisser subsister aucun doute sur la nature de la
maladie
et qui démontrent péremptoirement ce qu'avance M.
e son père, sa mère, son frère et sa sœur ont été atteints de la même
maladie
. La plupart des jointures ont été successivement
s que détermine, là aussi, le rhuma-tisme noueux. Dans cette dernière
maladie
, les déformations (1). Ce travail a été reprodu
g se rencontre d'une manière habituelle dans la forme chronique de la
maladie
de Bright, dans certaines intoxications saturnine
té de Garrod). Consultez : Scudamore, loc. cit. — Rayer, Traité des
maladies
des reins. Paris, 1838, t. I, p. 94, 197, 198. —
ur Pathologie. Heidelberg, 1843, § I, p. 17. — Brodie, Leçons sur les
maladies
des organes urinaires, traduites par J. Patron. P
e pour l'époque à laquelle elle a été recueillie (De la goutte et des
maladies
goutteuses. Paris, 1820, p. 89), une autre non mo
ite par M. Rayer sous le nom de Néphrite goutteuse (Rayer, Traité des
maladies
des reins, t. II, p. 42, 1840) ; c'est, à proprem
s'agit ne diffèrent en rien d'essen-tiel de ce qu'elles sont, dans la
maladie
de Bright ordinaire et indépendante de la goutte.
néphrite albummeuse des goutteux peut, comme les autres formes de la
maladie
, s'accompagner des redoutables symptômes de Y uré
saturnine se trouve dans les leçons cliniques du même auteur, sur les
maladies
du sys-tème nerveux (Clinical lect. on Paralysis,
ner la première place dans la série des phénomènes qui constituent la
maladie
, et je re-garderai jusqu'à nouvel ordre Furate co
es qui peuvent survenir chez les goutteux, aux diverses époques de la
maladie
, par suite de l'application inopportune des agent
mait pas traces d'albumine et il n'existait d'ailleurs aucun signe de
maladie
rénale. Deux jours après le début de l'affection
dic. Times. 1855, p. 66, t. I) (p. 409). Danger de l'opium dans les
maladies
des reins et dans la goutte. — Chez les sujets at
ffection quelconque du paren-chyme rénal, mais en particulier dans la
maladie
de Bright, l'opium détermine souvent des effets h
ssant rapporté par le docteur Todd, dans ses Leçons cliniques sur les
maladies
des voies urinaires (loc. cit., p. 343). Il s'agi
ostic a été discuté avec soin par M. Brinton, dans ses Leçons sur les
maladies
de Vestomac (The diseases of the stomach, etc., 2
se des parois mus-culaires du cœur dans la goutte, surtout lorsque la
maladie
date-de loin, est un fait attesté par un bon nomb
rminant la crise cardiaque. Consultez à ce sujet Stokes, Traité des
maladies
du cœur, tra-duc. de Sénac. Paris, 1804, p. 328,
e. II y a là un intéressant sujet de recher-ches. On sait que dans la
maladie
de Bright ancienne, où les accidents gastrique so
ale. 2° Rhumatisme articulaire chronique primitif fixe ou partiel. La
maladie
reste généralement localisée sur une ou deux gran
t sont dans l'expres-sion symptomatique, non dans l'essence même delà
maladie
. Ils se relient aussi au rhumatisme articulaire a
Paris, 1866. — Bail, Du rhumatisme viscéral. Paris. 1866. (p. 606).
Maladies
du cœur dans le rhumatisme articulaire chronique—
éviations que présen-tent tôt ou tard les membres, dans les cas où la
maladie
a agi avec intensité, se prêtent pour chaque part
de la Salpêtrière. Un fait intéressant, c'est que i'apparition de la
maladie
a lieu souvent plusieurs années après que les suj
sse, j'ai rencontré des faits analogues. D'après mes observations, la
maladie
se prépare pendant la grossesse et éclate avec to
tend de vingt à trente ans, la seconde de quarante à soixante ans. La
maladie
est rare chez les très jeunes sujets ; je l'ai ce
. Presque toujours celles-ci disparaissent au moment où se déclare la
maladie
articulaire. La relation dont il s'agit avait été
il existe entre ces deux affections une certaine connexité. Sur les
maladies
de l'œil dans le rhumatisme articulaire chro-niqu
urs semaines, être suivie de bons effets dans la forme subaiguë de la
maladie
et aussi dans sa forme chronique généralisée, au
urtout dans les cas très invétérés de rhumatisme noueux et lorsque la
maladie
s'est déclarée dans un âge avancé. J'ai observé q
— Il est parfaitement exact que ces nodosités constituent parfois une
maladie
de famille et qu'elles coïncident souvent, chez u
e des diabètes se suc-cédant par accès avec les symptômes d'une autre
maladie
, et particulièrement avec des accès de goutte ou
estrel : goutte, diabète, phlegmon diffus). — Gharcot (Leçons-sur les
maladies
des vieillards, etc., 3P fascicule, Paris, 1807 :
la goutte est récente et qu'il n'existe pas d'état ca-chectique, les
maladies
intercurrentes sont loin de prendre aussi habitue
ens que la vie n'est pas compromise ; mais il l'est en ce sens que la
maladie
est incurable. M. Charcot déclare n'avoir vu sign
ent circonscrits à une moitié du corps et comparativement modérés, la
maladie
a été grave dès le début. Elle s'est compliquée d
é de lésions du cœur. La chorée, chez le vieillard, paraît être une
maladie
émo-tionnelle, comme le sont tant d'autres névros
iteurs, Paris. IMP MOHPOCO TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
Maladies
des Vieillards. Avis de l'éditeur..............
férences. — Organisation de la Salpctrière au point de vue médical. —
Maladies
chroniques ; maladies des vieillards. — Histo-riq
on de la Salpctrière au point de vue médical. — Maladies chroniques ;
maladies
des vieillards. — Histo-rique de la pathologie sé
e la vieillesse : cachet particulier qu'elle imprime à la plupart des
maladies
........ 1 DEUXIÈME LEÇON de l'état fébrile ch
ction dans l'âge sénile. — Les organes semblent souffrir isolément. —
Maladies
latentes. Les lésions les plus graves peuvent Cha
n peut en tirer. — Défervescences, crises, perturbations critiques. —
Maladies
dans lesquelles la température s'a-baisse au lieu
en excès dans le sang des rhumatisants. La goutte n'est pas la seule
maladie
qui coïncide avec cette altération. — Modifica-ti
ns qui correspondent à cette désignation. — Dépôt d'urate de soude. —
Maladie
de Bright. — Néphrite interstitielle. Altérat
goutte aiguë, goutte chronique. — La goutte est toujours au fond une
maladie
chronique ; mais l'accès aigu a une physionomie b
ubite. —Manifestations cérébrales de la goutte. Son influence sur les
maladies
de l'axe médullaire n'est pas encore bien démontr
appliquer. Pathologie historique de la goutte. — Antiquité de cette
maladie
. — Auteurs qui en ont signalé l'existence.—Diminu
es rapports avec le rhu-matisme aigu. — Principales variétés de cette
maladie
. — Rhumatisme articulaire chronique progressif (r
ifications qui correspondent aux principales formes cliniques de la
maladie
.......................,............... 164 para
Etat général dans le rhumatisme. — Fièvre. — Marche irrégulière de la
maladie
. — Rapport entre l'intensité du mouvement fébrile
ocardite rhumatis-male. Modifications apportées à l'histoire de cette
maladie
par les pro-grès de l'histologie moderne. — Struc
articulaire chronique. — Ils constituent, au fond, une seule et même
maladie
. — Rhumatisme articulaire chronique progressif ou
es membres. — Deux types principaux ; leurs va-riétés. Marche de la
maladie
. — Altérations consécutives. — Forme atro-phique
tisme articulaire. — Elles sont communes à toutes les formes de cette
maladie
. —Pathologie historique. — Pré-pondérance de la g
déjà. — Géographie médi-cale.— Le rhumatisme articulaire aigu est une
maladie
qui appartient surtout aux climats tempérés. — Il
...............272 DEUXIÈME PARTIE Thermométrie clinique dans les
maladies
des vieillards. PREMIÈRE LEÇON de L'IMPORTANC
dans LA CLINIQUE DES VIEILLARDS (Sllite). Caractères thermiques des
maladies
fébriles dites typiques chez les vieil-lards. — 1
iques des maladies fébriles dites typiques chez les vieil-lards. — 1°
Maladies
fébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à
ues chez les vieil-lards. — 1° Maladies fébriles à type continu. — 2°
Maladies
fébriles à type rémittent. — 3° Maladies fébriles
ébriles à type continu. — 2° Maladies fébriles à type rémittent. — 3°
Maladies
fébriles à type intermittent. De l'élévation ra
trale qui survient, à l'époque de la terminaison fatale dans quelques
maladies
des centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. —Aff
re avec collapsus. — Des pneumonies algidcs. — Du col-lapsus dans les
maladies
pestilentielles.....?..........., . . . 330 TRO
la pneumonie lobaire, 343 ; — température dans le —, 344 ; — dans les
maladies
pestilentielles. 349. Concrétions : — d'acide l
ure dans 1' —), 324. Erysipèle dans la goutte, 112. F Fébriles (
Maladies
) chez les vieil-lards, 316; — type continu, 317 ;
394. Goutte cérébrale, 101. Goutte chronique, 82 ; — gravité des
maladies
intercurrentes, 83 ; — acci-dents abarticulaires,
u peu de progrès qu'a fait la connaissance du siège et des causes des
maladies
, pour me servir du langage de l'immortel Morgagni
ète que possible. Le Muséum de Sandifort n'est vraiment riche qu'en
maladies
des os; on n'y voit, sur les parties (4) Muséum
ple de Baillie, qui a figuré dans dix fascicules un certain nombre de
maladies
des organes contenus dans le thorax et dans l'abd
anches d'Astley Cooper sur les hernies (3i); celles de Hooper sur les
maladies
du cerveau (3a); celles de Richard Bright sur cer
les maladies du cerveau (3a); celles de Richard Bright sur certaines
maladies
des reins, du foie, des poumons, des intestins (3
ns, du foie, des poumons, des intestins (33); celles d'Ansley sur les
maladies
du foie dans les pays chauds (34). Les trois dern
ui, seule, peut nous éclairer sur le siège, les causes, la nature des
maladies
, et donner des bases solides à la thérapeutique,
c une série de planches de véritables monographies sur l'ensemble des
maladies
de chaque organe, si nous adoptons l'ordre anatom
cet hiver. Paris, le 3o septembre 1828. Ière Livraison Pl. 1ère
MALADIES
DU PLACENTA-. Planche II. J. G. Martin del. e
A-. Planche II. J. G. Martin del. et lith. Lith. de Langlumé.
MALADIES
DU PLACENTA. Transformation du Placenta en vési
môle vésiculaire. Paris, 1827. In-8°, fig. 1ère Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU PLACENTA. Planche II. J. G. Martin del. et
iguré planche n représente un fœtus de cinq à six semaines. 6°. Les
maladies
du placenta sont une cause d'avortement bien plus
ement tous les organes, je n'y découvrais aucun point de départ de la
maladie
; les malades avortaient ou bien arrivaient au ter
sur le col utérin, puisse être regardée comme cause de la mort. Les
maladies
du placenta méritent d'autant plus de nous occupe
ent susceptibles d'une interprétation facile. Ire Livraison Pl.3.
MALADIES
DES NERFS GANGLIONNAIRES . MALADIES DES NERFS G
facile. Ire Livraison Pl.3. MALADIES DES NERFS GANGLIONNAIRES .
MALADIES
DES NERFS GANGLIONNAIRES. Transformation fibreu
tercepter l'entrée de Fair dans la caisse du tympan? L'histoire de la
maladie
aurait pu seule nous l'apprendre. Plusieurs filet
ions si peu connues des ganglions nerveux. 1ère Livraison, Pl. 4.
MALADIES
DU REIN. MALADIES DU REIN. Cancer du rein.
des ganglions nerveux. 1ère Livraison, Pl. 4. MALADIES DU REIN.
MALADIES
DU REIN. Cancer du rein. (PLANCHE IV, fc LIVR
nté beaucoup de variations. De là j'inférai que Vavoques avait deux
maladies
distinctes par leur siège et par leurs indication
(*) Nouvelle Bibliothèque médicale, 1825. 1ère Livraison Pl. 5.
MALADIES
DU REIN. MALADIES DU REIN. NÉPHRITE. Néphri
othèque médicale, 1825. 1ère Livraison Pl. 5. MALADIES DU REIN.
MALADIES
DU REIN. NÉPHRITE. Néphrite aiguë (fig. 1-2)
récis, et j'apprends que les vomissemens dataient de l'invasion de la
maladie
qu'on attribuait à une indigestion ; que l'oppres
et le dix-huitième de l'invasion. Ouverture du cadavre. — A quelle
maladie
avions-nous eu affaire? Telle était la première q
issimulais pas l'incertitude du diagnostic, et je trouvais dans cette
maladie
quelque chose d'insolite que je ne pouvais pénétr
nait souvent de cette région, marchait parfois inclinée à gauche . sa
maladie
a débuté par des nausées, des vomissemens qu'elle
tion qui me paraît propre à jeter un grand jour sur le diagnostic des
maladies
du rein. Généralement on explore le rein par la r
t-on de signe matériel vraiment caractéristique sur l'existence d'une
maladie
du rein que lorsque cet organe a acquis un volume
les phénomènes sympathiques ne s'usent pas, pour ainsi dire, dans les
maladies
chroniques. Sous le rapport de l'anatomie patho
ontré dernièrement MM. Edwards et Audouin. » 2e Livraison Pl. 1re
MALADIES
DES VAISSEAUX LYMPHATIQUES . MALADIES DES VAISS
n. » 2e Livraison Pl. 1re MALADIES DES VAISSEAUX LYMPHATIQUES .
MALADIES
DES VAISSEAUX LYMPHATIQUES. Matière tuberculeus
re. 11 est bien évident que cette union n'est point le résultat d'une
maladie
. Dans ce cas, comme dans le précédent, il est cla
ble qu'il n'existe jamais à cette époque, puisque le pied-bot est une
maladie
accidentelle et non point une maladie de première
ue, puisque le pied-bot est une maladie accidentelle et non point une
maladie
de première formation; 3° nous avons vu que chez
manière à produire une luxation partielle. 2e. Livraison, Pl. 5.
MALADIES
DE LA RATE. MALADIES DE LA RATE. Splénite, pu
luxation partielle. 2e. Livraison, Pl. 5. MALADIES DE LA RATE.
MALADIES
DE LA RATE. Splénite, pus concret combiné. (f
rj^Wo aaîgncîe abondanxe l'avait beaucoup soulagée, et qn'ftTifin 1*
maladie
présentant le type intermittent, on avait eu reco
pense d'ailleurs que le canal intestinal n'entre pour rien dans cette
maladie
. Je supprime entièrement le sulfate de quinine. S
iodique et dans les premiers jours et à une époque plus avancée de la
maladie
. Cette splénite a-t-elle été la cause, a-t-elle é
ême titre que la pneumonie l'est de la fièvre pneumonique. Toutes les
maladies
de la rate que j'ai eu occasion d'observer ont pr
ente il est permis de douter si la rate joue un rôle tel quel dans la
maladie
, il ne peut y avoir aucune espèce de doute à une
n ; on arrive ainsi en tremblant au terme heureux ou malheureux de la
maladie
. Demandez à ces médecins ce qui a guéri leur mala
intermittente inutilement et mollement combattue. Quelque chose de la
maladie
primitive surgit de temps en temps du milieu des
adie primitive surgit de temps en temps du milieu des symptômes de la
maladie
consécutive. Quelqu'un des viscères splanchniques
quina n'est point un antiphlogistique. Non, je ne pense pas que cette
maladie
lût au-dessus des ressources de l'art bien dirigé
à jeter une vive lumière sur les symptômes souvent si incohérens des
maladies
, et à diriger les applications thérapeutiques.
organe ne donnant d'indice d'une lésion quelconque. — Quinze jours de
maladie
, accès intermittens présumés les premiers jours.
ulfate de quinine ont été employés. Déterminer, i° le caractère de la
maladie
, i° les indications à remplir. L'exploration la
d'inscrire sur la feuille d'observations le nom exact et précis de la
maladie
, mais j'aurais dit : quel que soit l'organe affec
de la maladie, mais j'aurais dit : quel que soit l'organe affecté, la
maladie
doit être classée parmi les rémittentes; et le ty
des constitutions épidé-miques qui planaient pour ainsi dire sur les
maladies
de toute une saison, d'une médication constante,
tante, uniforme, quel que fût le siège, quelle que fût la forme de la
maladie
. Ce qui tue dans le plus grand nombre des cas, ce
ouble général en obéissant aux indications qu'il vous fournit, et, la
maladie
une fois localisée, vous aurez le temps d'agir ;
rvations, des exemples de fièvres adyna-miques, d'entérites et autres
maladies
aiguës ou chroniques, dans lesquels il est fait m
e le rôle que joue le ramollissement de la rate dans l'histoire de la
maladie
. Les faits suivans pourront concourir à la soluti
u naturelle; pouls presque naturel pour la fréquence. J'espère que la
maladie
sera terminée : la nuit est très-bonne. Le 17 a
à neuf heures du soir. Avant l'ouverture, je me demandais à quelle
maladie
j'avais affaire. Il ne pouvait exister sur ce poi
aillances continuelles, phénomène observé pendant tout le cours de la
maladie
, ne pouvaient être rapportées qu'au trouble de ce
é administré un peu tard et à des doses trop faibles pour enrayer une
maladie
aussi intense. L'ouverture du cadavre va tout é
n de ces deux lésions, relativement au rôle qu'elles ont joué dans la
maladie
, ne peut être équivoque. Le rouge ponctué indique
rter. L'altération essentielle, celle qui me paraît avoir dominé la
maladie
, c'est le ramollissement de la rate. Qu'on se rap
cheresse et rougeur de la langue : elle était au troisième jour de la
maladie
qui avait débuté par deux accès de fièvre tierce
Nous portons tous un prognostic fâcheux. Voici les commémoratifs : la
maladie
avait débuté dix à douze jours auparavant par un
e de caïmans, de dérivatifs. Le temps des fébrifuges était passé : la
maladie
aurait peut-être cédé comme par enchantement à ce
hui il ne ferait que l'exaspérer; il y a changement de nature dans la
maladie
, au moins sous le rapport thérapeutique. J'ai sui
s d'abord pensé au ramollissement de la rate ; mais la longueur de la
maladie
m'avait dissuadé de cette idée : je ne pouvais so
st autre chose qu'une nuance de la mélanose. 2e Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE CERVEAU . MALADIES DU CERVEAU. Tumeurs d'a
ance de la mélanose. 2e Livraison. Pl. 6. MALADIES DE CERVEAU .
MALADIES
DU CERVEAU. Tumeurs d'apparence perlée formées
résolution complète. Ces symptômes firent présumer que le siège de la
maladie
était dans le cerveau : l'embonpoint de la malade
'une forte constitution, qui, après seize ans de service et plusieurs
maladies
vénériennes, fut pris d'une céphalalgie tellement
tie de l'encéphale ne présente dans tous ses points aucune « trace de
maladie
. « Les organes thoraeiques et abdominaux n'ont
surprendre; puisque c'est presque toujours ainsi que se terminent les
maladies
organiques avec compression du cerveau. Il semble
Livraison, Pl. 1.re APOPLEXIE DU COEUR. - APOPLEXIE DES POUMONS.
MALADIES
DU POUMON. Apoplexie pulmonaire. Grand nombre d
amena immédiatement l'hémoptysie. Diagnostic. Hémoptysie, suite de
maladie
du cœur ; peut-être apoplexie pulmonaire circonsc
de la qualité du sang : dans un cas d'apoplexie pulmonaire, suite de
maladie
du cœur (je n'ai pas noté laquelle ), j'ai trouvé
ait un calibre très-inférieur à celui qui lui est naturel. Il y avait
maladie
du cœur dans l'exemple que je citais à l'instant.
considérable pour expliquer la mort. Cet état de spasme surmonté, la
maladie
pourra s'organiser pour ainsi dire et la résoluti
trophie du cœur. Elle succomba à la manière des individus affectés de
maladie
du cœur. A l'ouverture, on trouva le cœur envelop
ntage de la précision et d'un rapprochement fondé sur la nature de la
maladie
. Il y a en effet, ici comme dans l'apoplexie du p
ine un cas de ce genre. iiie livraison. ^ 3e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU POUMON. (Gangrène.) MALADIES DU POUMON. Ga
raison. ^ 3e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU POUMON. (Gangrène.)
MALADIES
DU POUMON. Gangrené du poumon. — Plusieurs hémo
oir servir de type pour la gangrène du poumon. Il nous présente cette
maladie
à plusieurs périodes, et nous rend témoins des ef
gangrène du poumon survienne chez un individu parfaitement sain; une
maladie
antérieure du poumon,une cause quia agi sur tout
hronique avait précédé; une attaque d'épilepsie sembla le début de la
maladie
gangreneuse; et, chose remarquable! cette maladie
mbla le début de la maladie gangreneuse; et, chose remarquable! cette
maladie
survint à la suite d'une saignée. J'ai eu occasio
s et même pendant plusieurs jours après l'attaque favoriserait-il les
maladies
gangreneuses? Parmi les observations que j'ai rec
naux bronchiques. Les hémoptysies qui surviennent dans le cours de la
maladie
ne doivent pas plus étonner que les hémorrhagies
moindre contact a suffi pour rompre. La gangrène primitive est une
maladie
assez rare, mais la gangrène, suite d'infiltratio
la manière la plus manifeste que la gangrène du poumon n'est pas une
maladie
au-dessus des ressources de la nature et de l'art
e vieil adage : A juvantibus et lœdentibus. 3e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES ARTÈRES. (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.)
Pl. 3. MALADIES DES ARTÈRES. (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.)
MALADIES
DES ARTÈRES. Anévrysme de la crosse de r aorte
latation artérielle sans hypertrophie du cœur; 3e. Livraison, Pl.
maladies
des artères Anévrisme de la crosse de l'aorte.
nt une grande quantité de sang sans avoir jamais donné aucun signe de
maladie
. A l'ouverture, on trouve que la portion descenda
e. 3e. Livraison. Pl. 5. MALADlES DU FOIE . ( Acéphalocystes .)
MALADIES
DU FOIE. Deux kystes acéphalocystes du foie. A
heval. Je ne sache pas que l'hématémèse ait été noté dans ce genre de
maladie
. La gêne apportée dans la circulation de la veine
trêmement rapide. Les hydropisies ascites tiennent bien souvent à des
maladies
sous-péritonéales; que peuvent contre elles les m
foie, avec beaucoup de détails. ) APOPLEXIE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
MALADIES
DE LA MOELLE ÊPINIÈRE. Apoplexie de la moelle é
le malade ressentit, sans cause connue, les premières atteintes de la
maladie
qui l'amène à l'hôpital. L'invasion se manifesta
ions, le 18 janvier à quatre heures du matin, après quarante jours de
maladie
. Ouverture du cadavre le 19 janvier, vingt - hu
tique cicatrisé FAP (fig. 1), FAA (fig. 1) la première invasion de la
maladie
, quatre à cinq ans auparavant. Le malade, que j'a
) n'avait cédé qu'à la longue; et la circonstance commémorative d'une
maladie
antérieure tout-à-fait semblable heureusement gué
à quarante jours, c'est-à-dire à l'époque de l'invasion de la seconde
maladie
, le foyer apoplectique représenté par la lame jau
c la grande loi anatomique de la continuité du système nerveux. Les
maladies
de la moelle ne produisent pas d'effet croisé. La
sans dormir. Du reste, face naturelle, aucune douleur, aucun signe de
maladie
. M. Gauthier appelé pense, comme le malade, que c
cul des probabilités qu'il est obligé de faire à l'occasion de chaque
maladie
. Je viens d'être témoin (*) d'un fait qui a des r
nt la douleur; c'était la première fois que j'observais une semblable
maladie
. Je crus à un rhumatisme aigu. La douleur et la p
, avec ou sans mobilité, et qui disparaîtra de la science lorsque les
maladies
seront mieux connues dans leur siège immédiat. N'
olontaire des urines et des matières fécales. Peut-on méconnaître une
maladie
de la moelle ? Les douleurs qu'éprouve le malade,
ra plusieurs exemples dans un intéressant Mémoire de M. Hutin sur les
maladies
de la moelle épinière (*). Attendons au reste pou
tait un peu ramolli et infiltré de sang. » 4e. Livraison. Pl. Ire
MALADIES
DE l'ESTOMAC. (Cancers.) MALADIES DE L ESTOMA
g. » 4e. Livraison. Pl. Ire MALADIES DE l'ESTOMAC. (Cancers.)
MALADIES
DE L ESTOMAC (CANCERS). Vomissemens muqueux ind
nt de causes connues qui aient pu préparer de loin et provoquer cette
maladie
. Diagnostic. Tumeurs probablement de nature can
e entre en quelque sorte comme un élément nécessaire dans ce genre de
maladies
: mais tantôt elle use lentement couche par couch
vrir aucune tumeur, aucune région sensible. Je pense qu'il existe une
maladie
chronique latente de quelqu'un des points du cana
omme une suite nécessaire de l'âge avancé que comme le résultat d'une
maladie
proprement dite. Eau gommeuse : opiacés. — Le mal
et des épiploons, on aurait pu douter de la nature gangreneuse de la
maladie
. La portion gangrenée du foie n'était pas entouré
atement suite au tissu sain. C'est ainsi que, dans un grand nombre de
maladies
dites cancéreuses de l'utérus, je n'ai trouvé rie
apillaire veineux, éclaire la question des cachexies consécutives. La
maladie
reste locale tout le temps que la matière cancére
nous révéler une altération aussi profonde. 4e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. MALADIES DE L'ES
. 4e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS.
MALADIES
DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. Amincissement ex
te n'est pas douloureuse. Rien du côté du thorax. Commémoratifs. La
maladie
, qui date de huit jours, paraît due à un travail
es. Le canal intestinal et le gi^os intestin sont donc le siège de la
maladie
. — Le ifr octobre , l'état du malade s'est aggrav
face s'altère profondément, les traits s'étirent comme à la fin d'une
maladie
chronique. Les parois abdominales et les extrémit
testin, que l'on rencontre fréquemment chez les enfans à la suite des
maladies
intestinales. Bien que très-minces et dilatées, l
d'une altération semblable éprouvée par toute la portion malade. La
maladie
essentielle était donc bornée à une très-petite p
la solution des problèmes aussi compliqués que ceux de la plupart des
maladies
internes, il est besoin quelquefois de plusieurs
re s'est énormément ballonné. H y a donc eu trois périodes dans cette
maladie
. Du 18 septembre jusqu'au 6 octobre, affection dé
u'on ne devrait pas hésiter à la pratiquer. 4e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. (Goutte.) MALADIES DES ART
. 4e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES ARTICULATIONS. (Goutte.)
MALADIES
DES ARTICULATIONS (GOUTTE). (PLANCHE III, IVe L
ner la première place dans la série des phénomènes qui constituent la
maladie
, et je regarderai jusqu'à nouvel ordre l'urate co
et dans le défaut de cette sécrétion dans l'autre : la goutte est une
maladie
constitutionnelle, cjue prépare et que provoque u
e l'opulence et de l'intempérant. Le rhumatisme, au contraire, est la
maladie
de la classe laborieuse de la société , du labour
ocs les plus violens et les plus habituels. 4e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DE LA COLONNE VERTEBRALE . MALADIES DE LA COLON
uels. 4e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DE LA COLONNE VERTEBRALE .
MALADIES
DE LA COLONNE VERTÉBRALE. Déviation antéro-post
fusion, pour la distinguer des autres espèces d'ankylose. A quelle
maladie
succède une incurvation aussi considérable ? Je v
anglions nerveux doit être plus fréquente qu'on ne l'imagine dans les
maladies
de la colonne vertébrale ; distendus et comprimés
continuité du canal; j'ai pu constater pour la vingtième fois que les
maladies
de la colonne vertébrale, comme d'ailleurs toutes
complètement absorbées, d'où la disparition des os sans débris. Si la
maladie
est bornée à un ou deux os, l'incurvation se fait
x antérieur et postérieur jouent donc un rôle très-important dans les
maladies
de la colonne vertébrale, et constituent en quelq
, tissu cellulaire, tissu fibreux, muscles, 4e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DE L'UTÉRUS. ( Vices de Conformation . Utérus bif
L'UTÉRUS. ( Vices de Conformation . Utérus bifidés et cloisonnés.)
MALADIES
DE L'UTÉRUS. Vices de conformation.— Utérus bif
, page 437. (**) Archives de médecine, i8a5. 4e. Livraison. Pl. 6
MALADIES
DE L'UTÉRUS. (Phlébite utérine.) MALADIES DE L'
4e. Livraison. Pl. 6 MALADIES DE L'UTÉRUS. (Phlébite utérine.)
MALADIES
DE L'UTÉRUS. Phlébite utérine (*) ( PLANCHE V
C'est ce que j'espère démontrer plus tard. 5e. Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DU TESTICULE. (Sarcocèle.) MALADIES DU TESTICUL
tard. 5e. Livraison. Pl. 1. MALADIES DU TESTICULE. (Sarcocèle.)
MALADIES
DU TESTICULE (SARCOCÈLE). (planche 1, vc livrai
e ces lésions aient précédé ou coexisté, soit qu'elles aient suivi la
maladie
. Le foie et les poumons tiennent le premier rang
ération, qui en général réussit très-bien dans ce cas, cette forme de
maladie
se conciliant presque toujours avec l'intégrité d
vec l'intégrité de tous les autres organes. 5e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU LARYNX MALADIES DU LARYNX. (planche ii, ve
us les autres organes. 5e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU LARYNX
MALADIES
DU LARYNX. (planche ii, ve livraison.) Organe
t de la sortie de l'air. Sous le rapport de leur siège, je divise les
maladies
du larynx en celles de la portion sus-glottique,
te. L'inflammation , la plus fréquente et la plus grave de toutes ces
maladies
, se présente tantôt sous le mode aigu, tantôt sou
a pâleur ou l'infiltration de la partie sus-glottique du larynx , aux
maladies
de laquelle elle participe toujours plus ou moins
ce n'est donc que lorqu'ils ont acquis une certaine densité, dans les
maladies
chroniques du larynx par exemple, que le doigt pe
quentes du périchondre et des cartilages costaux : mêmes tissus, même
maladie
; mais la différence de localité entraîne d'immens
mécanique de suffocation et de mort. Aussi, bien loin de regarder la
maladie
qui nous occupe comme l'exemple d'un asthme de no
s d'inflammation sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx,
maladie
qui mérite de prendre place dans nos cadres nosol
une fois envahis par l'affection tuberculeuse, dominent en général la
maladie
, et l'affection laryngée n'est plus, en quelque s
ecours dans ce cas, comme d'ailleurs dans l'exploration de toutes les
maladies
du larynx. Je dois dire ici qu'à l'aspect du tiss
t des végétations, je me suis demandé si je n'avais pas affaire à une
maladie
cancéreuse ; jamais je n'ai mieux senti le vide d
chose est une incurabilité résultant du siège et de la période de la
maladie
; autre chose est une incurabilité radicale, et j
aient mis dans tout leur jour et le siège précis, et la nature de la
maladie
cancéreuse. 5e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DE
cis, et la nature de la maladie cancéreuse. 5e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DE L'OVAIRE (Kyste) MALADIES DE L'OVAIRE (KYSTE
cancéreuse. 5e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DE L'OVAIRE (Kyste)
MALADIES
DE L'OVAIRE (KYSTES). (planche m, ve livraison)
les qui expliquent et la fréquence et le caractère particulier de ses
maladies
. Situé au milieu de la cavité pelvienne, isolé de
aux altérations les plus graves de l'ovaire, et cet isolement de ses
maladies
appelle ,justifie même en partie les tentatives h
asser l'économie au moyen de l'extirpation. La presque totalité des
maladies
dont l'ovaire est susceptible peuvent être rangée
ulent naturellement de la connaissance approfondie du caractère de la
maladie
. Les principales espèces que j'ai eu occasion de
ls signes établirons-nous donc le diagnostic différentiel de ces deux
maladies
, diagnostic qui n'est pas seulement intéressant c
uité, jamais par voie d'infection générale. 5e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU CERVEAU. (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU (IDIO
générale. 5e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CERVEAU. (Idiotie)
MALADIES
DU CERVEAU (IDIOTIE). (planches iv et v, ve liv
ERVEAU (IDIOTIE). (planches iv et v, ve livraison.) De toutes les
maladies
dites mentales, il n'en est aucune sur laquelle l
ent à l'autopsie un développement incomplet, ou bien les traces d'une
maladie
éprouvée pendant la vie intrà-utérine; chez les s
nt la vie intrà-utérine; chez les seconds, on trouve les traces d'une
maladie
plus ou moins grave éprouvée après ve livraison
idiotie acquise m'ont paru devoir être réunies dans la même classe de
maladies
, sous la même dénomination, comme deux espèces bi
tie acquise est le dernier résultat, le résultat commun de toutes les
maladies
cérébrales : ainsi il est une idiotie apoplectiqu
tuelle et morale où se trouvent ces individus. Cessons donc d'appeler
maladies
mentales, maladies de l'âme, les maladies qui por
se trouvent ces individus. Cessons donc d'appeler maladies mentales,
maladies
de l'âme, les maladies qui portent sur l'intellig
dus. Cessons donc d'appeler maladies mentales, maladies de l'âme, les
maladies
qui portent sur l'intelligence et sur les faculté
les facultés affectives. L'âme, principe immatériel, est incapable de
maladies
; mais l'instrument par lequel elle agit, le cerve
tie congéniale de l'idiotie acquise, la première étant la suite d'une
maladie
cérébrale éprouvée pendant la vie intrà-utérine,
dant la vie intrà-utérine, de même que la seconde est une suite d'une
maladie
cérébrale éjDrouvée pendant la vie extra-utérine.
rébrale éjDrouvée pendant la vie extra-utérine. Mais quelle est cette
maladie
antérieurement éprouvée? Ce n'est point un foyer
M. Barbier du Bocage, l'un de ses membres. 5e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DU CERVEAU. (Idiotie.) mulée clans les ventricu
, qui était ici parfaitement bien conformé. 5e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DU CERVEAU.( Apoplexie ) MALADIES DU CERVEAU.
nformé. 5e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU.( Apoplexie )
MALADIES
DU CERVEAU. HÉMORRHAGIE SPONTANÉE DU CERVEAU (A
nt de l'entrée du malade : sans doute trop d'élémens entrent dans les
maladies
pour que nous puissions atteindre dans le plus gr
ente et ne peut être qu'une tumeur fibreuse molle de l'utérus, ou une
maladie
de l'ovaire. Pronostic. Grave, non sous le poin
, i5 vol. in-B , tome ITT , art. Apoplexie. 6e. Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DU CERVEAU. (Arachnitis Cerébrale.) MALADIES DU
e. Livraison. Pl. 1. MALADIES DU CERVEAU. (Arachnitis Cerébrale.)
MALADIES
DU CERVEAU (MÉNINGITES). --—------¦ n -|~ r- -.
excessive. Point de céphalalgie. La langue devient sèche et noire. La
maladie
est qualifiée d'adynamique et traitée comme telle
pas quel rapport il pourrait y avoir entre le kyste de l'ovaire et la
maladie
cérébrale. La pleurésie a dû n'avoir lieu que les
ouls est petit, très-irrégulier : je vois là tous les symptômes de la
maladie
cérébrale, sauf les cris brusques et les mouvemen
s l'hydropisie ventriculaire aiguë, me fait incliner vers la première
maladie
. Dans le doute, je suspends tout moyen actif. — L
umeur, plus de cris au moindre contact comme les jours précédens : la
maladie
cérébrale me paraît confirmée. (Demi-bain.) — Le
de la respiration, qui m'a paru un symptôme caractéristique de cette
maladie
, même dans la première période. Il serait d'aille
tête lui faisait moins de mal. Selles involontaires. Je pense que la
maladie
cérébrale fait des progrès, que les accidens de c
bouche. Insensibilité complète. Mort le cinquante-neuvième jour de la
maladie
. Ouverture du cadavre. Les ventricules latéraux
malade depuis quelques jours et qu'il a beaucoup vomi. — Diagnostic.
Maladie
cérébrale, peut-être tubercule ancien autour duqu
es tuberculeuses qui longent les vaisseaux. 6e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU CERVEAU. (Arachnitis.) Réflexions. — On ne s
ôme local ou sympathique, et il est certain qu'avant l'invasion de la
maladie
l'enfant jouissait de la plus parfaite santé. Je
arachnoïdien s'est étendu jusqu'au cerveau. 6e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ( Arachnitis ventriculaire
ADIES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ( Arachnitis ventriculaire et spinale.
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (PLANCHE III, VIe LIVRAI
omique par M. Sestier, l'un de ses membres. 6e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU REIN. MALADIES DU REIN Transformations et
r, l'un de ses membres. 6e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU REIN.
MALADIES
DU REIN Transformations et productions enkystée
en en chef de l'hôpital des Enfans malades. 6e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES EXTRÉMITÉS. (Amputation dans l'articulation s
DES EXTRÉMITÉS. (Amputation dans l'articulation scapulo-humerale.)
MALADIES
DES EXTRÉMITÉS. Cicatrices des solutions de con
nière des ganglions nerveux. A. Charal. del. Lith. de l'hatier.
MALADIES
DU PLACENTA A trop/de d'une portion du placenta
esse double. (PLANCHE VI, VIe LIVRAISON.) L étude approfondie des
maladies
du placenta me paraît devoir jeter un jour tout n
evoir jeter un jour tout nouveau sur les vices de conformation et les
maladies
du fœtus, sur son défaut de développement, sur sa
mes efforts pour compléter la série si importante et si négligée des
maladies
de cet organe. Le fait suivant, que je dois à l
rdon ombilical du fœtus mort depuis long-temps. Mais quelle est cette
maladie
du placenta ? Son tissu est jaunâtre, d'apparence
ient çà et là dans cette dernière portion. ( ) Voyez Tre livraison,
Maladies
du placenta , pl. i, a. VIe LIVRAISON. i Ré
une lésion aussi circonscrite et aussi bien définie. Ïl existe une
maladie
aiguë très-grave et très-fréquente, tantôt sporad
, des stimulans et dérivatifs cutanés : je crois devoir appeler cette
maladie
entérite folliculeuse primitive aiguë. Inconnue
signalée, quant à son siège, par Rœderer et Wagler, sous le titre de
maladie
muqueuse, expression remarquable qui prouve que l
remarquable qui prouve que la fièvre n'était pour eux qu'une forme de
maladie
. Prost, dans un ouvrage qui fut accueilli avec dé
; mais elle a été pour la première fois ( 1813 ) considérée comme une
maladie
spéciale par MM. Petit et Serres, qui ont le méri
doctrine des fièvres. Des histoires plus ou moins complètes de cette
maladie
ont été publiées depuis par M. Broussais et son é
phoïde (*). Les nombreuses occasions que j'ai eues d'observer cette
maladie
soit sporadiquement, soit épidémiquement (**), m'
rai (*) Recherches anatomico-pathologiques et thérapeutiques sur la
maladie
connue sous les noms de gastro-entérite , fièvres
ont comme le résumé rapide des notions que j'ai pu acquérir sur cette
maladie
. Desformes anatomiques de Ventérite folliculeus
euse primitive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des
maladies
décrites sous les noms de fièvres muqueuse, lente
uleur locale. On ne peut donc, sans faire le sacrifice du siège de la
maladie
et de la lésion qui la constitue essentiellement,
une gastro-entérite, l'estomac étant presque toujours sain dans cette
maladie
: vous aurez beau ingérer, soit par la bouche, so
enflammés, d'où le nom de fièvre entéro-mésen-térique, imposé à cette
maladie
. Du reste, comme les plaques agminées occupent to
uelquefois prédominante et constitue une forme bien remarquable de la
maladie
; 6° je crois devoir rapprocher de l'entérite foll
auquel je fais allusion avait éprouvé des symptômes ataxiques, et sa
maladie
n'avait duré que douze jours. Quelquefois la lési
es formes précédentes, est très-souvent primitive. Tantôt, lorsque la
maladie
a été rapidement funeste, elle se présente sous l
e pas à l'usure, d'où la perforation, accident si fréquent dans cette
maladie
: la muqueuse est souvent décollée dans une plus
t de données qu'il faut faire entrer dans la solution du problème des
maladies
. VIII. Laforme gangreneuse est quelquefois cons
pas nécessaire, %° parce qu'elle tend à donner une fausse idée de la
maladie
. IX. Dans toutes les formes d'entérite follicul
qu'elles se sont successivement développées. Souvent l'histoire de la
maladie
jette une vive lumière sur l'interprétation de la
eurs de l'antiquité avaient reconnu qu'il existe un certain nombre de
maladies
fébriles qui ont un point de départ évident, mani
ue d'autres n'ont aucun point de départ spécial, et semblent être des
maladies
de l'ensemble de l'organisation : les premières,
effectivement une entérite folliculeuse aiguë (forme pustuleuse). Sa
maladie
datait de sept à huit jours, et rien n'annonçait
e pouls presque apyrétique dans l'intervalle des exaspérations, et la
maladie
simuler une intermittence pernicieuse. Quel est
ique. Au reste, cette difficulté se reproduit dans un grand nombre de
maladies
abdominales. XIX. Les symptômes locaux sont d'a
onné, et résiste sous la pression. XX. Il n'est pas rare de voir la
maladie
présenter alternativement la forme typhoïde et la
érites folliculeuses qui se manifestent sous une forme sub-aiguë ; la
maladie
marche uno tenore sans augmentation ni diminution
t vingt-un, vingt-huit, quarante jours ; c'est l'état de prodrome des
maladies
aiguës à l'état permanent, d'où le nom de fièvre
le nom de fièvre lente nerveuse, qui lui a été imposé par Huxham; de
maladie
muqueuse chronique, par Rœderer et Wagler ; c'est
s dépendent d'une cause agissant sur l'ensemble de l'économie : cette
maladie
locale n'est peut-être qu'une éruption analogue a
tif de fièvre, est symptomatique au même titre que la fièvre dans les
maladies
éruptives, que la fièvre dans la pneumonie et la
s, que la fièvre dans la pneumonie et la pleurésie. XXIII. Dans les
maladies
éruptives, variole, scarlatine, rougeole, certes
même dans la pleurésie, dans la pneumonie, dans l'érysipèle, dans les
maladies
qui sont le plus essentiellement locales : un ind
i les accompagne; la cessation des phénomènes généraux annonce que la
maladie
locale est bornée , qu'elle ne fera plus de progr
s ulcérations aussi profondes et aussi étendues qu'au plus fort de la
maladie
. XXV. On voit donc qu'il y a deux choses, clini
e, par ses phases diverses, les degrés, la marche et les phases de la
maladie
. Alors l'état de l'intestin rendra un compte auss
tique. XXVII. De même qu'il est impossible d'arrêter subitement une
maladie
éruptive, la variole, la scarlatine, la rougeole,
ose d'exagéré dans cette idée de Pinel, qui comparait la marche d'une
maladie
fébrile aux diverses périodes de l'accroissement
uelquefois seront nécessaires pour obtenir la solution complète de la
maladie
. Je possède des observations qui sont péremptoire
XVIII. Toutefois, il est une distinction importante à faire entre les
maladies
qui surviennent subitement sans prédisposition ma
'effet d'une suppression brusque de transpiration par exemple, et les
maladies
qui sont le résultat d'une action long-temps cont
qu'il m'a été souvent donné de le constater : la génération de cette
maladie
me paraît recevoir un jour tout nouveau de l'étud
ue le traitement n'a que peu ou point d'influence sur la marche de la
maladie
; et cette conséquence n'acquiert-elle pas une no
us de tout éloge, a démontré, d'après ces calculs, que la durée de la
maladie
a été à peu près la même, les symptômes également
ès à leur thérapeutique, leurs revers à la gravité inexpugnable de la
maladie
, si vous en exceptez, dis-je, ce petit nombre, vo
sa thérapeutique, mais ces causes sont communes à un grand nombre de
maladies
; je n'en trouve aucune qui soit spéciale : une te
, et la cherté des grains multiplia les fraudes. Il est des causes de
maladies
qui ont besoin d'un certain temps d'incubation et
s sensibles que long-temps après leur action. Cherchez les causes des
maladies
, disait Sydcnham, non-seulement dans la constitut
entériques, etc., je fus appelé coup sur coup pour un grand nombre de
maladies
qui s'annoncèrent avec des symptômes formidables,
les premières et les principales victimes, et, chose remarquable, la
maladie
sévit avec plus d'intensité peut-être sur la clas
symptômes; est-elle un effet, une crise, en un mot gouverne-t-elle la
maladie
ou est-elle gouvernée par elle ? XXXVI. M. Peti
locales, les cataplasmes émolliens comme l'ancre de salut dans cette
maladie
. Le chef de cette école célèbre est même persuadé
les entérites folliculeuses aiguës, qu'il comprend avec une foule de
maladies
légères sous le titre de gastro-entérites. Il n'e
Stoll, ne compte plus qu'un très-petit nombre de partisans dans cette
maladie
: les médecins français qui ne l'ont pas complète
t ne m'a pas paru avoir une influence avantageuse sur la marche de la
maladie
, et que les entérites folliculeuses avec dévoieme
, jamais je n'ai arrêté brusquement, je n'ai fait avorter ce genre de
maladies
, et rien ne me prouve que les dévoiemens avec ano
XL. Voilà à l'aide de quels moyens j'ai amené à bon port une foule de
maladies
qu'un traitement stimulant aurait probablement ex
entérite folliculeuse aiguë ne doit pas être traitée à la manière des
maladies
essentiellement inflammatoires. XLI. Si la méth
lques cas, si elle convient en général dans la première période de la
maladie
, il arrive bien souvent qu'elle est essentielleme
nsolerons-nous de notre impuissance et de nos revers en disant que la
maladie
était parvenue jusqu'à la désorganisation et que
x et du système circulatoire, vous pouvez, vous devez même traiter la
maladie
localement. Une ou plusieurs applications de sang
de réaction vitale et permet à l'économie de suffire aux frais de la
maladie
. XLIV. Mais ici l'abus est bien près de l'usage
s un grand nombre de cas, influer avantageusement sur la marche de la
maladie
. Dans l'épidémie dont j'ai parlé, j'ai eu beaucou
nt perturbateur employé dès le début pourrait enrayer la marche de la
maladie
et changer le mode de fluxion dirigée vers les or
ois les pernicieux effets d'un purgatif administré au plus fort de la
maladie
, ou à son déclin ; j'ai vu les accidens les plus
un état assez analogue à celui de l'ivresse, il e. Livraison. Pl.
MALADIES
DE L'INTESTIN GRÈLE (Entérite Folliculeuse aigue.
ster sur la nécessité d'une diète absolue pendant tout le cours de la
maladie
, et de la plus grande circonspection dans le régi
cés sans pain, du bouillon de bœuf, du poulet, etc. Dans aucune autre
maladie
, la convalescence n'est aussi pénible à diriger.
le-même, tout le temps qu'elle subsiste, atteste que les traces de la
maladie
ne sont pas complètement dissipées. L. Une réfl
ec tant d'avantages aux idées dominantes du moment. Or, dans quelle
maladie
l'impuissance de l'art est-elle plus manifeste qu
glandes qu'il a décrites comme spécialement affectées dans plusieurs
maladies
et par l'action de certains purgatifs. ne fixe
araît un peu volumineux. — Pour commémoratifs, je recueille que cette
maladie
date de huit jours environ, qu'elle est la suite
ppliqués aux jambes la veille de son entrée; que, dans le cours de sa
maladie
, les sinapismes et les pédiluves sinapisés ont ét
onstamment répondre la forme ataxique. La rapidité de la marche de la
maladie
, dans l'observation précédente, s'explique par la
absence de douleur locale s'observe très-communément dans ce genre de
maladie
; la douleur est toujours en raison inverse des p
rence du traitement que l'art est encore sans règles fixes dans cette
maladie
, et les praticiens de bonne foi avoueront tous qu
contre des lésions identiquement les mêmes. 7e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DE L'INTESTIN GRELE. ( Entérite folliculeuse aigu
servation qu'on vient de lire m'a paru être le type de cette forme de
maladie
. Ces pustules sont essentiellement formées par le
lles, dis-je, sont aussi affectées; il semble que dans cette forme de
maladie
, la fluxion se faisant d'une manière extrêmement
lire, que l'éruption intestinale était une éruption critique; mais la
maladie
n'a duré que quelques jours; et il est probable q
étonne le mérite des grands maîtres. Le changement est si brusque, la
maladie
s'est aggravée si promptement, que je pus craindr
s ou villosités tantôt saines, tantôt tron- 7e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DE L'INTESTIN GRÊLE (Entérite Folliculeuse aigue.
sa trame fibreuse. Réflexions. — La rapidité de la marche de cette
maladie
s'explique par l'acuité et l'intensité de l'altér
art de leur influence dans la terminaison si rapidement funeste de la
maladie
. La forme intermittente de la maladie appelait-el
son si rapidement funeste de la maladie. La forme intermittente de la
maladie
appelait-elle l'emploi du fébrifuge? Le fébrifuge
Maison royale de Santé le 23 avril 1829, se disant convalescent d'une
maladie
grave qu'on a caractérisée de gastro-entérite, et
out le temps que lui laissaient les douleurs 7e. Livraison. Pl.4.
MALADIES
DE L'INTESTIN GRÊLE. ( Entérite folliculeuse aigu
a la chute des phénomènes fébriles, au moment de la convalescence, la
maladie
locale n'est nullement guérie; que dans l'entérit
rt. — Les ganglions mésentériques paraissent le siège principal de la
maladie
. — Traces d'une entérite folliculeuse ancienne. (
asion. Le malade n'a évacué que par lavemens dans tout le cours de sa
maladie
. Ouverture du cadavre. Cerveau et méninges dans
engorgement glanduleux. L'espèce d'intermittence que présenta cette
maladie
dans les derniers jours, les sueurs abondantes qu
anatomique la raison suffisante de la mort. 7e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES INTESTINS. ( planche v, viie livraison.)
t. 19, p. 332. — Année 1829. viie lvraison. 7e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE LA PEAU. (Productions Cornées) MALADIES DE L
7e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DE LA PEAU. (Productions Cornées)
MALADIES
DE LA PEAU. (Planche vi, vne livraison.) Produc
'une production cornée particulière, et (1) Voyez Rayer, Traité des
maladies
de la peau. Paris, i835, tom. m, p. 640. (2) Vo
d, appuyé sur un fait qu'il eut occasion d'observer, prétendit que la
maladie
décrite par Louis, sous le titre de fongus de la
nion de Siébold, et établit, d'après un fait très-intéressant, que la
maladie
connue sous le nom de fongus de la dure-mère rési
Ebermaier seul a eu le bon esprit d'établir une distinction entre les
maladies
de la dure-mère et les maladies des os du crâne.
t d'établir une distinction entre les maladies de la dure-mère et les
maladies
des os du crâne. Voici le résumé des notions que
os du crâne. Voici le résumé des notions que j'ai pu acquérir sur les
maladies
connues sous le nom de fongus de la dure-mère.
ongueuses de la dure-mère comme appartenant à l'innombrable tribu des
maladies
cancéreuses. Membrane fibreuse douée d'une sensib
ints principaux comme plus particulièrement prédisposés à ce genre de
maladies
: i° les gouttières olfactives, i° la selle turci
e-mère qui revêt la selle turcique ont été regardées à tort comme une
maladie
du corps ou de la tige pituitaire. XIII. Les tu
eurs semblables chez des individus qui avaient succombé à toute autre
maladie
. Ici se rapporte ce que j'ai déjà eu occasion de
oses égales d'ailleurs sous le rapport du siège et de la nature de la
maladie
. J'ai cru trouver une des données du pro^ blême d
soit de ses membranes, qui peuvent survenir à diverses périodes de la
maladie
, doivent être tenus en ligne de compte. Un certai
rs careinomateuses de cet organe. Je ne l'ai pas encore observé comme
maladie
primitive, mais je suis persuadé qu'il peut exist
sieurs années de la pierre. Soumis au cathétérisme, on reconnut cette
maladie
, et il fut décidé qu'on aurait recours à la litho
niquée par M» Marx, au nom de M. Dupuytren. 8e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU CERVEAU (Tumeurs Cancéreuses des Méninges) (
turels, voilà les seuls symptômes par lesquels s'est manifestée cette
maladie
. Je me suis souvent demandé pourquoi, parmi les c
ns le cas actuel au contraire (planche 11), 8e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DU CERVEAU. ( Tumeurs cancéreuses des Meninges.)
u; nous les rencontrerons dans la plupart des maladies de cet organe,
maladies
qui nous présentent tantôt des lésions extrêmemen
élève interne à la Maison royale de Santé. 8e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU CERVEAU. Sous-arachnitis aigue.- Inflammation
i le résultat des observations que j'ai été à même de faire sur cette
maladie
. I. Les sinus de la dure-mère, comme tous les d
of the Rrain. Londoii 1826, in-4°» coloriées. (***) Mémoire sur les
maladies
des sinus veineux de la dure-mère. {Journal hebdo
us, dans l'état actuel de la science, rien de spécial à opposer à une
maladie
dont les causes sont jusqu'à ce jour enveloppées
, par M. Mallat, interne provisoire dans le service de M. Guersent.
MALADIES
DU CERVEAU (MÉNINGITE). ( planche iv, viiie liv
ès les observateurs modernes, n'avaient existé à aucune période de la
maladie
. Les deux observations suivantes nous offrent deu
ée. Le sujet de cette observation était grand buveur d'eau-de-vie. La
maladie
avait immédiatement succédé à un excès de ce genr
té rendues involontairement dès le premier moment de l'invasion de la
maladie
. Commémoratifs. — La maladie datait seulement d
le premier moment de l'invasion de la maladie. Commémoratifs. — La
maladie
datait seulement de trente-six heures. Le 20, il
tait seulement de trente-six heures. Le 20, il était allé à Bercy. Sa
maladie
a débuté pendant la nuit du 21 au 22 par un état
vrai de tout point si j'avais pesé mûrement toutes les données de la
maladie
et en particulier le mode d'invasion. Jamais en e
cas, d'où l'apoplexie séreuse des auteurs. 8e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DU CERVEAU. (Atrophies.) MALADIES DU CERVEAU.
uteurs. 8e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU. (Atrophies.)
MALADIES
DU CERVEAU. Hémiplégie droite incomplète. — Fac
mené à l'Hôtel-Dieu le i3 février i83o, avec tous les symptômes d'une
maladie
du cœur portée au plus haut degré. Il était de pl
gence ordinaire et marchait à l'aide d'un bâton jusqu'au moment où la
maladie
du cœur le força de s'aliter. Il succomba deux jo
e j'aurai occasion de le démontrer. 4°. La question de savoir si la
maladie
est congénitale, ou si elle a eu lieu après la na
ment, car le cerveau est aussi développé que possible. Il y a donc eu
maladie
, défaut de nutrition du cerveau; et peu importe,
rà-utérine ou pendant la vie extrà-utérine. 8e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DU CERVEAU. (Idiotie) MALADIES DU CERVEAU. (
à-utérine. 8e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DU CERVEAU. (Idiotie)
MALADIES
DU CERVEAU. ( planche vi, viiie livraison. )
précédemment adopté l'opinion de Gall d'une manière exclusive. Voyez
Maladies
du Cerveau (5e livr. p. 5. ) Voyez Cours d'études
ertaine époque du développement du cerveau. 9e. Livraison. Pl. I.
MALADIES
DES TESTICULES. Sarcocèle. MALADIES DU TESTIC
au. 9e. Livraison. Pl. I. MALADIES DES TESTICULES. Sarcocèle.
MALADIES
DU TESTICULE (SARCOCÈLE.) (planche i10, ixe liv
ne qui est à peu de chose près celle de tous les sarcocèles, suite de
maladies
vénériennes. Ces deux militaires avaient éprouvé
s vénériennes. Ces deux militaires avaient éprouvé antérieurement une
maladie
vénérienne consistant chez l'un en un chancre sur
l'hôpital. On reconnaît que l'épididyme est le siège essentiel de la
maladie
; il est induré, volumineux, peu sensible à la pre
sentée fig. 1 et 2. C'est celle qui m'a paru succéder constamment aux
maladies
ixe livraison. 1 vénériennes incomplètement gué
est en effet l'épididyme qui est constamment le siège essentiel de la
maladie
, laquelle procède de la tête ou de l'extrémité re
utivement que le corps du testicule est lui-même affecté, et alors la
maladie
s'y propage de deux manières : ou bien l'infiltra
e. Tel est le fait suivant : Sur un sujet mort de je ne sais quelle
maladie
, l'un des testicules était volumineux et dur, l'
creux à leur centre (*). Rien de plus facile à différencier que les
maladies
de l'épididyme et celles du corps du testicule. J
ue je regarde l'extirpation comme généralement indispensable dans les
maladies
du corps du testicule, tandis que les maladies de
indispensable dans les maladies du corps du testicule, tandis que les
maladies
de l'épididyme me paraissent le plus souvent marq
ce qu'on peut obtenir avec de la persévérance dans le traitement des
maladies
de l'épididyme. M. S..., âgé de vingt-cinq ans,
u testicule est parfaitement sain; point de causes probables de cette
maladie
; ni excès, ni efforts, ni maladie syphilitique ;
point de causes probables de cette maladie; ni excès, ni efforts, ni
maladie
syphilitique ; des douleurs vives avaient précédé
erculeuse infiltrée, et je me fondais i° sur le mode d'invasion de la
maladie
qui avait attaqué d'abord l'épididyme, 20 sur le
e tumeur qu'une très-petite quantité de liquide, et j'affirmai que la
maladie
avait son siège dans le corps même du testicule,
omplètement traitées; l'une de ces deux causes pouvait avoir amené la
maladie
du testicule. Il est décidé qu'on commencera par
est décidé qu'on commencera par détruire le rétrécissement; que si la
maladie
du testicule persiste après le rétablissement du
rs blanches. Du reste, le canal déférent est parfaitement sain. Cette
maladie
était d'ailleurs, comme la plupart des infiltrati
upart des infiltrations tuberculeuses de l'épididyme, une suite de la
maladie
vénérienne. L'extirpation était évidemment le seu
pontanés ; ceux-ci reconnaissent le plus souvent pour cause, soit une
maladie
vénérienne, soit une constitution scrophuleuse, s
tent que les sarcocèles cancéreux disent avoir de nombreux revers, la
maladie
cancéreuse se manifestant dans d'autres points de
pour ainsi dire qu'en désespoir de cause l'opération du sarcocèle.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. (planches ii, iii, iv, v, vi
ngue les cartilages articulaires [usure des cartilages articulaires),
maladie
que j'ai toujours vue précédée d'une altération d
ncore une bonne anatomie pathologique de cette branche importante des
maladies
chirurgicales, et c'est cette lacune que je vais
vant-bras, lisez en arrière de Vavant-bras. 9e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. (Luxations de la mainsur l'ava
toute espèce, en conteste l'existence, et 9eme. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. Luxation du poignet. Luxat
sur le cadavre. Comme faits d'anatomie pathologique relatifs à cette
maladie
, je ne connais que la planche cent troisième du b
par le docteur Manec, l'un de ses membres. 9e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DES ARTICULATIONS (Luxations du Coude) tement.
eux côtés, et qu'elle était congénitale. A la rigueur, une « pareille
maladie
pourrait être produite par une violente torsion e
, que les luxations figurées par Sandifort fussent consécutives à une
maladie
de l'articulation radio-cubitale supérieure, mais
ance de MM. Berard , agrégés de la Faculté. 9e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. ( Ânchilose de la mâchoire.
tication, soit pour l'articulation des sons, doive être exempte d'une
maladie
qui a pour condition essentielle l'immobilité. Le
ment des exemples dans l'ouvrage de Sandifort, si riche d'ailleurs en
maladies
des os de toute espèce. L'observation suivante (*
vertébrale. Enfin, l'articulation de la mâchoire inférieure, que les
maladies
articulaires respectent le plus ordinairement, ay
athologistes sous le point de vue clinique, et prendre rang parmi les
maladies
des articulations. Cette maladie est d'autant p
inique, et prendre rang parmi les maladies des articulations. Cette
maladie
est d'autant plus importante à étudier, qu'elle e
des praticiens distingués, méconnaissant le véritable caractère de la
maladie
, ont eu recours aux applications réitérées de san
avait été prise d'un rhumatisme articulaire 9e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DES ARTICULATIONS. ( Corps étrangers.) aigu, le
de volume dans les articulations, et sans savoir précisément à quelle
maladie
nous avions affaire, je ne pouvais trop me rendre
as mon attente. Enfin, un jour, cherchant à me rendre compte de cette
maladie
, qui semblait ne se rallier à aucune des espèces
de cette maladie, qui semblait ne se rallier à aucune des espèces de
maladies
articulaires consignées dans nos cadres nosologiq
es les articulations douloureuses ; dès ce moment j'ai reconnu que la
maladie
consistait dans l'usure des cartilages, et au lie
extraction à l'aide d'une petite incision. 10e. Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. (Ramollissement .pultacé.) MALADI
vraison. Pl. 1. MALADIES DE L'ESTOMAC. (Ramollissement .pultacé.)
MALADIES
DE L'ESTOMAC. (PLANCHES I ET II, Xe LIVRAISON.)
logique de cette analogie aussi-bien que de tous les phénomènes de la
maladie
. J'ai prouvé que les perforations spontanées aigu
tte espèce de rétrogradation vers l'état gélatineux, muqueux, est une
maladie
de la première enfance. Cependant on l'observe au
e diarrhée verte très-fréquente, semblable à de l'herbe hachée, si la
maladie
est intestinale; des vomissemens muqueux ou bilie
la maladie est intestinale; des vomissemens muqueux ou bilieux si la
maladie
attaque l'estomac; une soif ardente, insatiable,
s à différencier le ramollissement gélatiniforme de toutes les autres
maladies
de l'enfance. Dans la maladie cérébrale (hydroc
t gélatiniforme de toutes les autres maladies de l'enfance. Dans la
maladie
cérébrale (hydrocéphale ventriculaire aiguë) il y
t observateur attentif, que l'assoupissement est idiopathique dans la
maladie
cérébrale et symptomatique dans la maladie gastro
t est idiopathique dans la maladie cérébrale et symptomatique dans la
maladie
gastro-intestinale. Les vomissemens, le pouls len
idère les différences relatives à l'âge auquel elles se déclarent, la
maladie
gastro-intestinale dépassant rarement l'âge de de
aladie gastro-intestinale dépassant rarement l'âge de deux ans, et la
maladie
cérébrale embrassant depuis deux jusqu'à dix-huit
lente et suspicieuse, qui se manifeste dès les premiers momens de la
maladie
cérébrale, à l'état de la face, des pupilles, au
s fréquentes et rapides de mieux et de plus mal, et à la marche de la
maladie
, on évitera toute espèce d'erreur, même dès la pr
rice : dans tous les cas ne le perdez pas de vue, il est menacé d'une
maladie
presque toujours mortelle quand elle est abandonn
ogistiques et les dérivatifs affaiblissent le malade sans diminuer la
maladie
; la faim et la soif, au contraire, condamnent au
om de ramollissement gélatiniforme que j'ai cru devoir donner à cette
maladie
, est une description abrégée de la lésion anatomi
niforme de l'estomac et des intestins, chez les enfans, constitue une
maladie
toute spéciale, ayant ses causes particulières ,
le sorte que les praticiens qui ont l'habitude d'observer ce genre de
maladies
peuvent, d'après les symptômes, établir d'une man
ordinairement brunâtre, lorsque le malade succombant à la suite d'une
maladie
, soit aiguë, soit chronique, 1 estomac ne contien
it jours au moins pour qu'elle soit aussi complète que dans l'état de
maladie
. XIX. De là je conclus que le ramollissement gé
rconstances les plus opposées. Ainsi je l'ai rencontré à la suite des
maladies
les plus diverses, aiguës ou chroniques, avec ou
amollie fortement teinte en rouge lie de vin. A la suite de certaines
maladies
aiguës ou chroniques, la coloration de la membran
de santé, le 27 avril i83o. Pour commémoratifs, je recueillis que la
maladie
avait débuté par une grande céphalalgie avec épis
ens qu'on lui commande. Mort le gc jour de son entrée et le 24e de la
maladie
. Ouverture du cadavre seize heures après la mor
démie d'entérites folliculeuses aiguës; je pensais que telle était la
maladie
à laquelle nous avions affaire; et en effet l'aut
des follicules; mais évidemment la gravité et la forme insolite de la
maladie
ne peuvent pas s'expliquer par l'entérite follicu
observation qui me paraît de la plus haute importance : c'est que les
maladies
impriment a nos organes des altérations tout-à-fa
uer ce ramollissement à la putréfaction. » 10e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. (Ramollissement gelatiniforme.) 1
L'ESTOMAC. (Ramollissement gelatiniforme.) 10e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. ( Cancer. ) MALADIES DE L'ESTOM
e.) 10e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DE L'ESTOMAC. ( Cancer. )
MALADIES
DE L'ESTOMAC (CANCERS). (planches iii et iv, xe
éolaire gélatiniforme est une des espèces les plus remarquables de la
maladie
cancéreuse; elle est essentiellement constituée,
ent sur un grand nombre de points. Enfin, de toutes les espèces de la
maladie
cancéreuse, c'est celle qui exclut le plus l'idée
e espèce de zone de quelques travers de doigt de largeur. Tant que la
maladie
est bornée à l'estomac, il est rare que l'hydropi
a surface externe, l'estomac dégénéré est, dans un degré avancé de la
maladie
, couvert d'aspérités ou bosselures transparentes
celle de la muqueuse; c'est ce qu'on voit très-bien aux limites de la
maladie
qui offre tous les caractères de l'altération com
ra çà et là des espèces de brides qui opposent au développement de la
maladie
du dedans au dehors un obstacle plus ou moins con
et un dépérissement progressif ont-ils été les seuls symptômes de la
maladie
. L'observation suivante me paraît un des types
par le calcul des probabilités que je fis à cet égard, à accuser une
maladie
chronique du foie. Que faire ? le régime, la méde
tte méthode empirique qui, dans l'ignorance absolue et du siège de la
maladie
et de sa nature , administre à tort et à travers
certitude d'avoir exploré l'abdomen avec soin, car je soupçonnais une
maladie
du foie. On conçoit pourquoi, le pylore étant enc
ombé à l'épanchement dans les plèvres, et nullement aux progrès de la
maladie
cancéreuse. xe livraison. a L'étude de la fig
est jamais plus considérable et surtout plus permanent que lorsque la
maladie
cancéreuse affecte le cardia ; il fut porté jusqu
ns un cas que j'ai eu occasion d'observer. 10e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. (Cancers.) 10e. Livraison. Pl.
. 4. MALADIES DE L'ESTOMAC. (Cancers.) 10e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. ( Ulcères . ) MALADIES DE L'EST
) 10e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L'ESTOMAC. ( Ulcères . )
MALADIES
DE L'ESTOMAC. (planches v ET vi, Xe livraison.)
stomac ne me paraît pas avoir fixé l'attention des observateurs comme
maladie
spéciale. Je m'estimerai heureux si les planches
'estomac est enveloppée dans une obscurité profonde , ou plutôt cette
maladie
reconnaît toutes les causes de la gastrite. Mais
tre de la face, tout portait à penser que nous avions affaire à cette
maladie
; tel était l'avis des divers praticiens qui avai
n ennemi toujours présent, il s'en faut bien qu'il soit dominé par la
maladie
, comme dans le cancer, et souvent il peut vaquer
passe en quelque sorte inaperçu; le secret du traitement dans cette
maladie
, comme d'ailleurs dans toutes les lésions de l'es
ais rien de plus difficile à diriger que le traitement de ce genre de
maladie
. C'est dans les détails de l'application que la s
laise que depuis dix jours. Je dois faire remarquer le siège de cette
maladie
au pylore ; l'on conçoit que l'ulcération doit ma
esquelles on la sentait, semblaient militer fortement en faveur de la
maladie
cancéreuse. Ce fait établit en outre un mode d'ob
bligeance de mon ami le docteur Vallerand. 10e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE L'ESTOMAC . (Ulcères.) PHLÉBITE ET ABCÈS V
es hôpitaux civils qui pratiquent la plupart des amputations pour des
maladies
chroniques, pour des tumeurs blanches, par exempl
insi; car si les malades succombent à une période moins avancée de la
maladie
, on rencontre toutes les périodes de l'inflammati
ormation du pus, elle n'a rien qui doive nous étonner, la durée de la
maladie
étant au moins de cinq à six jours. XL Les abcè
a santé. Un fait fondamental en pathologie , c'est que la plupart des
maladies
par infection miasmatique portent leur action sur
canal intestinal attire le poison fébrile : je suis persuadé que ces
maladies
par infection purulente ne seraient point marquée
aient sans doute avec le sang une partie de la cause matérielle de la
maladie
, mais cette cause matérielle est incessamment ren
ies envenimées, voilà les causes les plus fréquentes de cette funeste
maladie
. Il est en outre des phlébites spontanées sans ca
cette inflammation de l'artère pulmonaire. 11e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU POUMON . ( Pneumonie lobulaire.) Marie-Antoi
té à une phlébite utérine et hypogastrique. L'histoire clinique de la
maladie
concorde parfaitement avec les résultats fournis
ration, me parait avoir puissamment contribué à l'issue funeste de la
maladie
. Ce n'est pas la première fois que j'observe de
te de n'avoir pas pu retrouver les notes relatives à l'histoire de la
maladie
: Chez une femme qui succomba quinze jours aprè
st suivi d'une sueur abondante, laquelle persista tout le temps de la
maladie
. La plaie se dessèche et se couvre d'une couenne
ion qui parcourt ses périodes accoutumées. 11e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DU POUMON. Pneumonie lobulaire . 11e. Livrais
ie. Choree. Mort le treizième jour de Vinvasion des symptômes de la
maladie
du poumon. Becquet, âgé de trente-neuf ans, anc
ire qui limite la gangrène d'un membre; mais bien de l'histoire de la
maladie
qui nous présente tous les caractères cliniques d
vation apprend que les pneumonies qui surviennent dans le cours d'une
maladie
grave, ou chez des individus actuellement affaibl
e maladie grave, ou chez des individus actuellement affaiblis par une
maladie
quelconque, se terminent souvent par gangrène; au
our rien dans les phénomènes de la chorée. 11e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DE L'UTERUS.(Tumeurs fibreuses.) MALADIES DE L
11e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L'UTERUS.(Tumeurs fibreuses.)
MALADIES
DE L UTÉRUS (XIe LIVRAISON.) Tumeur fibreuse
emblable et à la suite des mêmes accidens. 11e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE L'UTERUS. ( Polypes.) MALADIES DE L UTÉRUS.
idens. 11e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DE L'UTERUS. ( Polypes.)
MALADIES
DE L UTÉRUS. (Planche vi, xie livraison.) Polyp
s follicules muqueux de l'orifice du museau de tanche n'est point une
maladie
, mais une hypertrophie, conséquence assez fréquen
séquence des déchirures peu considérables. 12e. Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DU FOIE MALADIES DU FOIE Foie granuleux ( Cyr
ures peu considérables. 12e. Livraison. Pl. 1. MALADIES DU FOIE
MALADIES
DU FOIE Foie granuleux ( Cyrrhose. ) (xiie li
considéré comme une des causes les plus fréquentes de cette dernière
maladie
. IL II est certain que lorsqu'on rencontre des
t le sang qu'elles contiennent est séreux. 12e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU FOIE MALADIES DU FOIE. Cancer par masses d
contiennent est séreux. 12e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU FOIE
MALADIES
DU FOIE. Cancer par masses disséminées. (xilc
disséminées. (xilc LIVRAISON, PLANCHES 1 ET 3.) I. De toutes les
maladies
du foie, la plus fréquente et la plus grave est p
de masses disséminées. Il n'est pas moins positif que cette forme de
maladie
cancéreuse affecte une prédilection spéciale pour
uoi se réduisent nos ressources thérapeutiques contre une aussi grave
maladie
. Le traitement du cancer au foie est donc inconnu
neux, seul moyen que nous ayons d'agir sur cet organe. L'histoire des
maladies
cancéreuses dû foie se réduit donc, dans l'état a
atiquée pour l'ascite, si commune dans les périodes avancées de cette
maladie
. Ce signe est pathognomonique. Du reste, lorsque
on des gros troncs vasculaires. Uictère, si fréquent dans ce genre de
maladie
, est la conséquence de la compression des gros ca
et parle tissu cellulaire qui entoure les vaisseaux biliaires, que la
maladie
se propage jusqu'à Fcstomacétau duodénum; tantôt
out d'un temps plus ou moins long, on n'eût pas manqué de regarder la
maladie
du foie comme consécutive à l'opération. Il est p
e quelques-unes de ces tumeurs. XIX. Au lieu donc de distinguer les
maladies
cancéreuses du foie, en celles qui sont formées a
général, d'un foie qui déborde les côtes, pour faire soupçonner cette
maladie
. Combien de fois l'absence de ce signe caractéris
atarrhale, et, pendant deux mois, on le* traita uniquement pour Cette
maladie
. L'état de tristesse et de morosité fut attribu
s un autre cas, des praticiens distingués crurent à l'existence d'une
maladie
du cœur et ne furent retirés de leur erreur que l
ux circonstances expliquent l'oppression et les palpitations dans les
maladies
du foie : i° le soulèvement du diaphragme et du c
rer d une sécurité trompeuse, en donnant l'éveil sur la gravité de la
maladie
. XXIV. L'obscurité du diagnostic, déjà si grand
s ou combinaisons de lésions qui ont si souvent lieu dans ce genre de
maladies
La mort n'est pas toujours le résultat soit de l'
, un autre à une pleurésie hémorrhagique, suite d'une extension de la
maladie
du foie au diaphragme. XXV. La thérapeutique es
eureux le médecin qui, dans le cours du traitement d'une aussi longue
maladie
, n'aura point à se reprocher, ou quelques tentati
cin se bornera à la contemplation stérile des diverses périodes de la
maladie
et des lésions qu'elle laisse après la mort, à un
Pl. 3. Symptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'une
maladie
du cœur : plus tard vomissemens : le foie ne débo
e un compte exact de son état, persuadé que nous avions affaire à une
maladie
"de foie ou de l'estomac, et que les palpitations
Je prescris une poudre que j'ai souvent employé avec succès dans les
maladies
du cœur avec e'panchement dans les cavités thorac
ne à ma première opinion que l'estomac ou le foie sont le siège de la
maladie
. Cette opinion devient pour moi une certitude, lo
t dans l'état le plus parfait d'intégrité. 12e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DU FOIE . 12e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU
2e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DU FOIE . 12e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU FOIE. MALADIES DE L'APPAREIL EXCRÉTEUR DE LA
. MALADIES DU FOIE . 12e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU FOIE.
MALADIES
DE L'APPAREIL EXCRÉTEUR DE LA BILE. (Planches 4
rens chefs autour desquels peuvent se ranger le plus grand nombre des
maladies
de l'appareil excréteur de la bile. I. Les calc
m'a porté à donner une grande attention aux canaux biliaires dans les
maladies
du foie. Ayant eu occasion d'examiner un certain
canaux biliaires, contenaient un liquide fortement teint en jaune.
MALADIES
DU FOIE; 12e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L
tement teint en jaune. MALADIES DU FOIE; 12e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DE L ESTOMAC. Rétrécissement du pylore. Cancers
itrate d'argent et avec l'acide hydro-chlorique triomphèrent de cette
maladie
. On eut le soin d'entretenir l'ouverture des nari
firmerie. L'exploration n'apprend rien : dépérissement ; soupçon de
maladie
organique de l'estomac : traitement empirique par
considérable de la membrane musculeuse. Il m'a paru évident que la
maladie
avait débuté par la membrane fibreuse et par la m
re. Tous les autres organes étaient sains. 12e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. 13e. Livraison. Pl. I. MALADIES
Livraison. Pl. 6. MALADIES DE L'ESTOMAC. 13e. Livraison. Pl. I.
MALADIES
DE L'UTÉRUS ET DES OVAIRES. (XIIIe LIVRAISON, P
e LIVRAISON, PLANCHÉS I, 11, 111.) Considérations générales sur les
maladies
des femmes en couches en général et sur le typh
e succombe par ses suites. On concevra la fréquence et la gravité des
maladies
puerpérales, si l'on considère: i° les changemens
nnent-ils compliquer les suites de l'accouchement. X. De toutes les
maladies
qui peuvent attaquer la femme en couches, il n'en
° que la péritonite n'est pas la seule lésion dont s'accompagne cette
maladie
; i° que les moyens thérapeutiques dirigés contre
ques dirigés contre les phlegmasies ne sont pas tous dans ce genre de
maladies
. XI. Le typhus puerpéral est donc une maladie p
ous dans ce genre de maladies. XI. Le typhus puerpéral est donc une
maladie
produite par l'encombrement, une maladie par infe
yphus puerpéral est donc une maladie produite par l'encombrement, une
maladie
par infection, une maladie contagieuse miasmatiqu
e maladie produite par l'encombrement, une maladie par infection, une
maladie
contagieuse miasmatiquement, qui ravagera la Mate
d'une femme morte du typhus puerpéral, le 4e jour de l'invasion de la
maladie
et le 5e de l'accouchement. Cet utérus est vu par
T, est comme racorni ; la coupe, CT, ver- 13e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DE L'UTÉRUS. MALADIES DE L'UTERUS ET DES OVAIRE
la coupe, CT, ver- 13e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DE L'UTÉRUS.
MALADIES
DE L'UTERUS ET DES OVAIRES. 13e. Livraison. Pl.
'ont permis de constater autopsiquement que sept ou huit cas de cette
maladie
. Je rappellerai ici une considération thérapeutiq
ontrer les ganglions lymphatiques pelviens enflammés dans ce genre de
maladie
, j'ai pu établir immédiatement le parallèle entre
el dans le typhus puerpéral. Tel est le caractère de gravité de cette
maladie
, que, malheureusement, je ne me suis jamais tromp
te, le pus était parfaitement formé au bout de vingt-quatre heures de
maladie
. Dans celle qui suit, il l'était tout aussi bien,
die. Dans celle qui suit, il l'était tout aussi bien, et cependant la
maladie
n'avait duré que quinze heures; mais il est proba
s la première fois que j'ai pu m'assurer qu'on attribue souvent à une
maladie
postérieure à l'accouchement, une lésion qui lui
ramollissement aigu avec mélanose. Dans l'observation suivante, la
maladie
a présenté une plus longue durée. La gravité qui
, et, comme la saignée, il échoua complètement toutes les fois que la
maladie
présenta un caractère de gravité bien prononcé. L
iques a exercée sur les symptômes et sur la terminaison funeste de la
maladie
. Des faits plus nombreux présenteraient des combi
nite, ayant succombé au bout d'un temps plus ou moins long à d'autres
maladies
consécutives, j'ai rencontré le pus des vaisseaux
douleur légère et tuméfaction à la région 13e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DE L'UTÉRUS. hypogastrique et sur-tout à gauche
vation qu'on vient de lire est le seul exemple que j'aie rencontré de
maladie
puerpérale mortelle, offrant pour toute lésion du
'inflammation propre de ces vaisseaux. Quant au diagnostic de cette
maladie
, il est bien difficile de l'établir d'après un se
es nausées , des vomissements; voilà des symptômes bien vagues. Cette
maladie
se confond par ses symptômes, soit avec la phlébi
it convenir d'ailleurs à l'inflammation des vaisseaux lymphatiques.
MALADIES
DE L'UTÉRUS» Tumeurs fibreuses avec kyste séreu
onception, et sous ce point de vue, les utérus cloisonnés diffèrent
MALADIES
DE L'UTÉRUS. ( Utérus Cloisonné.) 13e. Livrai
térus Cloisonné.) 13e. Livraison. Pl. 5. 13e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE L'UTÉRUS (Tumeurs Fibreuses) essentielleme
rnière crise, elle expira au moment où je me rendais auprès d'elle.
MALADIES
DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. DU CHOLERA-MORBU
ES INTESTINS. DU CHOLERA-MORBUS. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR CETTE
MALADIE
. (xiVe LIVRAISON.) I. Il serait difficile d'a
son et d'habitudes sociales; d'où l'opinion de l'importation de cette
maladie
en Europe par l'armée russe qui de l'Orient s'est
urait être révoquée en doute. Le plus ou le moins de gravité dans les
maladies
n'établit pas de différences de nature ; et parfo
relatives au choléra; parce que chacun cherche à faire rentrer cette
maladie
dans la doctrine qu'il s'est faite ou qu'il a ado
e l'épidémie. On peut ranger sous trois chefs principaux toutes les
maladies
qui se rattachent au choléra, et qui ont été obse
ce. II. Une circonstance qui n'a pas peu contribué à multiplier les
maladies
, ce sont ces instructions populaires pour le trai
médecin appelé éprouvait un moment d'hésitation pour distinguer cette
maladie
factice d'une maladie réelle. La suppression de t
it un moment d'hésitation pour distinguer cette maladie factice d'une
maladie
réelle. La suppression de tous ces moyens incendi
iques. Obligé de donner, à la Maternité, des purgatifs dans certaines
maladies
puerpérales, je voyais demi-once d'huile douce de
étendue plus encore que par son intensité II n'est peut-être aucune
maladie
plus insidieuse que cette inflammation subaiguë d
cholérique survenant chez des individus affaiblis par 1 age, par des
maladies
antérieures aiguës ou chroniques, par l'accouchem
rêmement probable que la malade aurait résisté à l'une ou l'autre des
maladies
auxquelles elle a succombé. Elle eût peut-être ré
ssement , la dépression du pouls; tous symptômes qui annoncent que la
maladie
n'est plus locale et que tous les centres nerveux
ous les choléras, et qui donne souvent une apparence fort grave à une
maladie
légère quant au fond et susceptible de céder sous
que j'ai déjà dit des vomissements, c'est-à-dire que la gravité de la
maladie
ne m'a paru nullement mesurée sur ce symptôme. Le
exactement que tous les autres symptômes, le degré de gravité de la
maladie
. Les crampes et les vomissements ont une influenc
r : son intensité est, en général, proportionnelle à la gravité de la
maladie
; dans aucune autre, il n'est porté aussi loin; c'
en peut revêtir , et du traitement que j'ai suivi dans cette terrible
maladie
. Choléra moyen suivi d'une irritation gastro-in
émollients, continués avec persévérance, ont fini par triompher de la
maladie
, que des erreurs répétées dans le régime ont cons
es d'augmentation et de diminution, plus l'invasion est brusque et la
maladie
foudroyante. On conçoit qu'une lésion préparée de
dont j'ai observé quelques cas, chez des personnes affaiblies par des
maladies
antérieures, et que les médecins de l'Inde ont vu
et dans le gros intestin et dans l'intestin grêle ; chez d'autres, la
maladie
a paru siéger tantôt dans le gros intestin seulem
éra survenant chez une femme nouvellement accouchée; l'issue de toute
maladie
grave et du choléra, en particulier, ne se mesure
ravité qui résulte du spasme de l'accouchement ajouté au spasme de la
maladie
. Choléra très-grave, non-asphyxique, chez une f
ail de l'accouchement n'a pas avancé d'un pas depuis l'invasion de la
maladie
; il n'y a pas eu une seule contraction utérine.
uleur. Fumigations alcooliques toutes les 14e. Livraison. Pl. 1re
MALADIES
DE L'ESTOMAC. Choléra - morbus 14e. Livraison
MALADIES DE L'ESTOMAC. Choléra - morbus 14e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DES INTESTINS. Choléra - morbus. 14e. Livrais
ALADIES DES INTESTINS. Choléra - morbus. 14e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES INTESTINS. Choléra-morbus. deux heures. R
et s'éteignit sans que nous ayons pu enrayer en rien la marche de la
maladie
. À l'ouverture, je trouvai le gros intestin parse
luxion si rapide et si intense, qui me paraît le fait culminant de la
maladie
. XXIII. J'avais entendu plusieurs de mes confrè
AD I E S DES INTESTINS. Choléra-morbus. 14e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES INTESTINS. Choléra - morbus. Choléra non-
ditions , peut devenir gangreneuse. XXV. Il semble donc que plus la
maladie
se sera prolongée après la période de réaction, e
es lésions anatomiques ont été très prononcées. Il semble, lorsque la
maladie
se prolonge, que la mort est le résultat de l'épu
s ; sirop d'éther, une once, à preizdre en deux fois. Une heure. La
maladie
a marche' avec une très grande rapidité. La face
des secours, voilà les conditions du succès dans le traitement d'une
maladie
aussi promptement mortelle. Choléra asphyxique.
s et des faits exposés ci-dessus, que le choléra-morbus constitue une
maladie
spéciale, qui ne ressemble qu'à elle-même, et qui
uestions qui méritent de nous occuper. En médecine, la nature d'une
maladie
est établie, autant que possible , lorsqu'on est
parvenu à déterminer et son analogie et ses différences avec d'autres
maladies
mieux connues, ïl est des maladies dont la nature
e et ses différences avec d'autres maladies mieux connues, ïl est des
maladies
dont la nature est connue lorsqu'on connaît d'une
a nature est établie par la détermination des causes; exemple : les
maladies
syphilitiques, pour lesquelles les questions de s
a; la nature de la variole est d'être prévenue par le vaccin. Toute
maladie
se composant d'un grand nombre d'éléments divers,
e cadavre, si bien qu'il est ordinairement facile de diagnostiquer la
maladie
d'après la seule inspection du eorps. Le globe de
es bien prononcés; d'une autre part, il n'est pas fort rare, dans des
maladies
autres que le choléra, de voir le sang présenter
rir les causes morbides, miasmatiques ou autres productrices de cette
maladie
. Les globules du sang des cholériques, soumis à
s, non crépitants, ne sont jamais engoués de sérosité, comme dans les
maladies
avec agonie râleuse; les gros vaisseaux artériels
sur l'anatomie pathologique du choléra, il est évident, i ° que cette
maladie
ne saurait être rangée parmi celles qui trouvent
ération organique qu'on ne rencontre pas constamment a la suite d'une
maladie
, ne peut pas être considérée comme faisant partie
ne peut pas être considérée comme faisant partie essentielle de cette
maladie
, on sera fondé à restreindre beaucoup l'importanc
du choléra, et à chercher ailleurs les véritables caractères de cette
maladie
. i° 11 n'est pas moins évident que les lésions
s ou agminés a fait placer dans cet élément anatomique le siège de la
maladie
. La forme arrondie des follicules de l'intestin g
ériques avait frappé les premiers observateurs qui attribuaient cette
maladie
à l'absence de la bile ; mais nous avons (i) Di
ne pouvant être considérées que comme un élément dans l'histoire des
maladies
, cherchons dans l'observation clinique, c'est-à-d
ion. Dans le dévoiement cholérique, véritable sueur intestinale, la
maladie
est purement locale; soit que la cause ait agi av
es gros vaisseaux. Dire quelle est la limite qui sépare les cas où la
maladie
est purement locale et se concilie avec l'état d'
équilibre de l'innervation, rupture que nous trouvons dans toutes les
maladies
graves, et qui doit varier prodigieusement suivan
e des Anglais,, de i483, dont Caïus nous a conservé l'histoire. Cette
maladie
, qui ravagea une grande partie de l'Europe, sous
mortels, se voyaient des cas beaucoup moins graves, dans lesquels la
maladie
paraissait bornée à une sécrétion surabondante de
euse intestinale est le point de départ, le phénomène culminant de la
maladie
, on peut se demander si c'est la spécialité ou bi
énomènes si spéciaux du choléra-morbus. A cela je répondrai que toute
maladie
spéciale reconnaît une cause spéciale; mais que l
er sur la Pologne , ont fait admettre que le choléra-morbus était une
maladie
contagieuse. Que le choléra soit contagieux d'i
re chose que l'épidémie prise dans son acception la plus élevée toute
maladie
qui reconnaît pour cause une condition inconnue d
ment épidémique. Que si on objecte le développement successif de la
maladie
, je répondrai que les conditions dans lesquelles
e, sa terminaison, et céder le pas à la dysenterie (i). Le choléra,
maladie
épidémique, peut-il dans certaines conditions, de
ne ferait que reculer la difficulté ; car, enfin, il faut bien que la
maladie
ait commencé quelque part. Le choléra est donc
n que la maladie ait commencé quelque part. Le choléra est donc une
maladie
épidémique. Sa cause formelle est inconnue , de m
Il en est de la thérapeutique du choléra comme de celle de toutes les
maladies
inconnues dans leurs causes • nous ne combattons
ndication que présente le choléra; indications qui n'attaquent pas la
maladie
au cœur5 il est vrai, qui constituent ce qu'on ap
ion, se privent d'une ressource puissante dans le traitement de cette
maladie
. N'oublions pas que la muqueuse gastrique a prése
t dans l'Inde de la réputation la plus générale. J'avoue que dans une
maladie
caractérisée par une fluxion énorme dirigée sur l
te autre influence que celle du choléra. 15e. Livraison. Pl. 1ère
MALADIES
DU CERVEAU (Apoplexie des Enfants nouveaux nés)
. 1ère MALADIES DU CERVEAU (Apoplexie des Enfants nouveaux nés)
MALADIES
DU CERVEAU Apoplexie des Enfants nouveautés (xv
couchement, soit quelque temps auparavant. 15e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU POUMON, DU THYMUS ET DU PANCREAS. (Maladies
Livraison. Pl. 2. MALADIES DU POUMON, DU THYMUS ET DU PANCREAS. (
Maladies
du Foetus.) MALADIES DU POUMON, DU THYMUS ET DU
LADIES DU POUMON, DU THYMUS ET DU PANCREAS. (Maladies du Foetus.)
MALADIES
DU POUMON, DU THYMUS ET DU PANCRÉAS CHEZ LE FOETU
t plus considérable que la droite. Considérations générales sur tes
maladies
de l'œuf. Pendant la gestation, l'œuf doit être
s plèvres. Ascite; foie d'un vert-olive foncé, comme dans certaines
maladies
des adultes, et ayant, sous le rapport du volume,
un organe propre au fœtus, c'est chez le fœtus qu'il faut étudier ses
maladies
. Il semblerait que dans quelques cas, il y ait, o
ns, quoique inertes dans le fœtus, peuvent être le siège de plusieurs
maladies
; je ne connais aucune observation plus curieuse q
e la vie se serait maintenue si le trou de Botal était resté libre.
Maladies
des poumons chez le fœtus. De toutes les maladi
it resté libre. Maladies des poumons chez le fœtus. De toutes les
maladies
qui surviennent chez le fœtus et chez l'enfant no
tredit, sont celles qui affectent le tissu même du poumon. Souvent la
maladie
semble n'avoir précédé que de quelques jours le m
ablissement de la respiration. Dans un plus grand nombre de cas, la
maladie
date de plusieurs jours et peut-être même de plus
cette différence que l'asphyxie, telle que je l'entends, tient à une
maladie
des poumons antérieure à l'aeccouchement, tandis
é d'un tiers, d'un quart, sans trouble funeste. Ce n'est que dans les
maladies
chroniques ou sub-aiguës des poumons, que l'écono
la période de coction. Les phlyctènes annoncent-elles constamment une
maladie
syphilitique constitutionnelle? C'est une questio
ns qui pesaient trois onces et trois gros. 15e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DE LA BOUCHE, DE L'ŒSOPHAGE ET DE L'ESTOMAC (En
E LA BOUCHE, DE L'ŒSOPHAGE ET DE L'ESTOMAC (Enfants nouveaux nés)
MALADIES
DE LA BOUCHE, DU PHARYNX, DE L'OESOPHAGE ET DE L'
l intestinal, et se manifeste à une période plus ou moins avancée des
maladies
aiguës ou chroniques, quelquefois même pendant un
ta par une entérite latente. Je ne le vis qu'au bout de trois mois de
maladie
. Depuis quinze jours, il était sous l'influence d
et mal aérées ; tel est en particulier l'hôpital de Limoges, où cette
maladie
faisait autrefois de'grands ravages. J'avoue que
lésion que l'ulcération de l'estomac. Quant au siège primitif de la
maladie
dans les follicules, s'il peut y avoir quelque in
gré, il n'en est pas de même lorsque l'ulcération est commençante. (
Maladies
du Foetus.) Hydrocéphale. HYDROCÉPHALIE DU FO
ijumeaux, TE, qui ont leur volume naturel. 15e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DU CERVEAU. (Absence du Cervelet.) MALADIES D
. Livraison. Pl. 5. MALADIES DU CERVEAU. (Absence du Cervelet.)
MALADIES
DU CERVEAU. {Absence complète du cervelet, chez
la pathologie, soit de l'expérimentation. 15e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DES INTESTINS. Hernies (Hernie par le trou Oval
névrotique du muscle obturateur interne. 16e. Livraison. Pl. Ière
MALADIES
DU PLACENTA MALADIES DU PLACENTA. (Pl. ïre, X
turateur interne. 16e. Livraison. Pl. Ière MALADIES DU PLACENTA
MALADIES
DU PLACENTA. (Pl. ïre, XVIe livraison). Le pl
ent au fœtus, dont l'organisation complexe est passible de toutes les
maladies
observées chez l'adulte (voy. XVe livr.); mais il
'enfant arrive mort ou prodigieusement affaibli. On peut dire que les
maladies
propres au fœtus n'influent que médiocrement sur
res au fœtus n'influent que médiocrement sur sa nutrition, et que les
maladies
de la mère exercent sur cette nutrition une influ
ements que présentent les foyers sanguins. 16e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU COEUR Pericardite. MALADIES DU COEUR ( P
nguins. 16e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU COEUR Pericardite.
MALADIES
DU COEUR ( PLANCHE II, XVIe LIVRAISON.) Péric
ssemblable me parait dénoter deux périodes bien distinctes dans cette
maladie
; la couche granuleuse, compacte, adhérente ou vas
is et Bouillaud ont jeté un si grand jour. 16e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DU FOIE ( Phlébite ) MALADIES DU FOIE. Abcè
nd jour. 16e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DU FOIE ( Phlébite )
MALADIES
DU FOIE. Abcès traumatiques consécutifs. Phlébi
J'explorai le thorax et Fabdomen sans pouvoir y découvrir de cause de
maladie
. Diète, boissons adoucissantes. Plus tard, à la s
e continue avec redoublement, m'annoncèrent que j'avais affaire à une
maladie
très grave, à une fièvre symptomatique, dont je n
les dissèque sans entamer leur continuité. 16e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINI È R E. Spina-Bifida MALADI
vraison. Pl. 4. MALADIES DE LA MOELLE ÉPINI È R E. Spina-Bifida
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE Spina bifida (XVIe livr.,
es dénominations est employée presque indifféremment pour désigner la
maladie
qui nous occupe. Il semble en effet naturel d'adm
esque inévitablement suivie d'à-raclmitis. 16e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DE L'UTÉRUS. (Déplacement) MALADIES DE L'UTÉR
s. 16e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DE L'UTÉRUS. (Déplacement)
MALADIES
DE L'UTÉRUS. Déplacements ( Pl. V, XVIe livrais
rfaitement indiquée dans la planche X de la belle publication sur les
Maladies
de l'Utérus, faite par madame Boivin et le profes
de tanche s'observe encore quelquefois par (1) Traité pratique des
Maladies
de l'Utérus et de ses annexes, fonde sur un grand
ren pour la guérison des chutes du rectum. 16e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DES VEINES. (Varices) MALADIES DES VEINES (
rectum. 16e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DES VEINES. (Varices)
MALADIES
DES VEINES (XVIe livr., pl. VL) Dilatation de
de 48 ans, ancien militaire, entré à l'Hôpital Saint-Antoine pour une
maladie
qui offrait tous les signes rationnels et sensibl
ns relatives à la circulation, que dans l'autre il y a stase du sang,
maladie
. Il suit de ces considérations, que dans le cas
rable. M. Reynaud (1) rapporte l'exemple d'une femme affectée d'une
maladie
de l'articulation de la hanche, dont la veine tég
confirmer ou infirmer cette explication. 17e. Livraison. Pl. Ire.
MALADIES
DU CERVEAU. Atrophie des Circonvolutions MALA
son. Pl. Ire. MALADIES DU CERVEAU. Atrophie des Circonvolutions
MALADIES
DU CERVEAU CHEZ LE FOETUS (XVIIe livr., pl. I.)
ler inflammation. Ce que j'ai dit ailleurs [voy. XVe livr.) sur les
maladies
du foetus, prouve, de la manière la plus pérempto
res et les muscles fléchisseurs rétractés. 17e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DE LA VESSIE ET DE LA PROSTATE MALADIES DE LA V
17e. Livraison. Pl. 2. MALADIES DE LA VESSIE ET DE LA PROSTATE
MALADIES
DE LA VESSIE ET DE LA PROSTATE (XVIIe livr., pl
vessie. Dans la XXVe observation de Home, le malade fut sondé pour la
maladie
de la protaste, en 1802. On ne reconnut la présen
était aréolaire. L'hypertrophie de la prostate est généralement une
maladie
des vieillards. Sa gravité tient à Fobstacle qu'e
i se sont occupés avec un si grand succès dans ces derniers temps des
maladies
des voies urinaires (i). Dysurie, puis rétentio
très abondant continua pendant huit jours. Je me demandais à quelle
maladie
j'avais affaire : j'avais reconnu que l'obstacle
te idée avait déjà été mise à exécution, Lafaye ( Chopart, traité des
maladies
des voies urinaires) appelé auprès d'Astruc , aff
de cet article, 5 juin 1833, l'application du cathétérisme forcé aux
maladies
de la prostate, vient en quelque sorte d'acquérir
robablement des quintes de toux, ou peut-être de l'accroissement delà
maladie
. Un petit gravier d'acide urique très inégal fut
e gomme élastique que dans quelques jours. 17e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES MUSCLES. MALADIES DES MUSCLES. (XVIIe liv
ns quelques jours. 17e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES MUSCLES.
MALADIES
DES MUSCLES. (XVIIe livr., pl. III.) Apoplexi
rouvait au plus haut degré le sentiment de prostration propre à cette
maladie
; depuis un mois il n'avait pas quitté le lit; je
ration du rhumatisme puerpéral. L'état puerpéral imprime à toutes les
maladies
un caractère de gravité aussi réel qu'inexplicabl
suppuration est déjà formée, qu'on hésite encore à reconnaître cette
maladie
: on croit en avoir triomphé dans un point lorsqu
te atténue cette douleur. La soif est toujours très vive. Le 9 , la
maladie
semble circonscrite au pied, dont pourtant le vol
its et ces expériences me paraissent jeter le plus grand jour sur une
maladie
aiguë que j'ai eu occasion d'observer plusieurs f
communiquai à mon honorable confrère les idées que j'avais sur cette
maladie
: nous convînmes que ce malade serait saigné et s
ouleur ocrée des parois de quelques-unes de ces figures F A , F'A'.
MALADIES
DES MUSCLES ( XVIIe livr., pl. III. ) Inflamm
sie puerpérale aiguë ou chronique; ou pendant la convalescence de ces
maladies
. J'ai noté dans plusieurs observations la coïncid
uchement venait à surprendre une femme affectée de rhumatisme , cette
maladie
s'aggravait immédiatement après, se terminait par
sort de cette observation et de plusieurs autres, c'est que, dans les
maladies
articulaires, tout le temps que l'inflammation es
ps que la péritonite et ne paraît avoir eu qu'une faible part dans la
maladie
et dans sa terminaison funeste. Dans les observat
e d'inflammation des synoviales. Au reste, l'état général annonce une
maladie
fort grave. La face est jaunâtre, altérée; la res
est parfois intermittent, dénotent toujours l'excessive gravité de la
maladie
. Le 22 mars, des douleurs plus vives se prononc
usage a été continué à la dose d'un gros depuis le commencement de la
maladie
. L'état général est toujours très grave et touj
dénudation. L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une
maladie
primitive, mais bien le symptôme, soit d'une phlé
oblongs interposés aux faisceaux charnus. 17e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU CŒUR ET DE L'AORTE. Anévrisme. MALADIES DU
e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DU CŒUR ET DE L'AORTE. Anévrisme.
MALADIES
DU COEUR ET DE LA CROSSE DE L AORTE. (XVIIe LIV
ie descriptive, tom. m. Voyez aussi J. Bouillaud, Traité clinique des
maladies
du cœur. Paris, i835, 2 vol. in-8°. (2) Voyez A
is les caractères que nous avons indiqués. 17e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES INTESTINS. Hernie diaphragmatique MALADIE
ivraison. Pl. 5. MALADIES DES INTESTINS. Hernie diaphragmatique
MALADIES
DES INTESTINS. (XVIIe livr., pl. V.) Hemie di
piploon qui était compacte et graisseux. 18e. Livraison. Pl. Ière
MALADIES
DES REINS ET DES CAPSULES SURRÉNALES (CANCER).
n était limitée à un seul lobule: la portion de rein respectée par la
maladie
avait été refoulée vers la partie supérieure de l
ent émises sur la part que prennent les veines dans la production des
maladies
cancéreuses. Bonin (Nie. Charles), 49 ans, se p
ns. Que de causes se réunissaient ici pour rendre le diagnostic de la
maladie
du rein presque impossible. L'infiltration coïnci
me paraît permettre d'établir assez positivement le diagnostic de la
maladie
. L'affection du cœur était trop peu considérable
ette injection prouve que le système veineux n'est pour rien dans les
maladies
cancéreuses, tandis que le système artériel parai
du poumon dans la phlébite traumatique on autre, c'est-à-dire par une
maladie
des veines du poumon consécutive à une maladie de
, c'est-à-dire par une maladie des veines du poumon consécutive à une
maladie
des veines du rein. MALADIES DU CERVELET ET D
des veines du poumon consécutive à une maladie des veines du rein.
MALADIES
DU CERVELET ET DE LA PROTUBÉRANCE ANNULAIRE (MA
nuât à se lever et à se promener solitairement. On reconnut alors une
maladie
de poitrine fort avancée. Le malade s'éteignit av
, que le cervelet est plus fréquemment que le cerveau, le siège de le
maladie
tuberculeuse. C'est dans le tissu cellulaire de
triques bien distinctes, dont plusieurs sont demi-transparentes. La
maladie
tuberculeuse du cerveau et du cervelet se présent
e non-seulement dans les symptômes, niais encore dans la marche de la
maladie
. Ainsi il n'est pas rare de voir le retour appare
uellement avec les tubercules cérébraux. La marche insidieuse de la
maladie
est bien dessinée dans l'observation suivante.
pas habituelles : que cependant ne voyant en lui aucune apparence de
maladie
, ses parents toujours prêts, d'ailleurs à s'alarm
naturelle ; la parole libre et même beaucoup plus facile qu'avant la
maladie
. L'intelligence avait pris un accroissement extra
anes contenus dans le thorax et l'abdomen. 18e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DES OVAIRES Kistes Pileux. 18e. Livraison. Pl
4. MALADIES DES OVAIRES Kistes Pileux. 18e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES OVAIRES. Kistes Pileux. MALADIES DES OVAI
. 18e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES OVAIRES. Kistes Pileux.
MALADIES
DES OVAIRES. Kystes pileux. (XVIIP livr., Pl. I
ce sujet {Journal complémentaire, tom. 4). 18e. Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DES OVAIRES Kistes pileux. Aux faits de kyste
ue, et ne repose sur aucun fait positif. 18ème. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DES OVAIRE S Foetus Pétrifié MALADIES DES OVA
18ème. Livraison. Pl. 6. MALADIES DES OVAIRE S Foetus Pétrifié
MALADIES
DES OVAIRES (XVIIIe livr., pl. VI. ) Kyste ov
st. de l'Académie royale des Sciences, 1748. 19 Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DU FOIE, DE LA RATE ET DU GRAND EPIPLOON. (Acép
LADIES DU FOIE, DE LA RATE ET DU GRAND EPIPLOON. (Acéphalocistes)
MALADIES
DU FOIE, DE LA RATE, ET DU GRAND ÉPIPLOON. (ACÉ
t de Chirurgie pratiques, t. i«, page 193. 19e. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU FOIE ET DU PERITOINE. 19e. Livraison. Pl. 4.
Pl. 2. MALADIES DU FOIE ET DU PERITOINE. 19e. Livraison. Pl. 4.
MALADIES
DU COEUR Cancer mélanique. 19e. Livraison. Pl
4. MALADIES DU COEUR Cancer mélanique. 19e. Livraison. Pl. 3.
MALADIES
DES EXTRÉMITÉS. Cancer mélanique de la main.
âte arsenicale ne lit qu'accroître l'intensité du développement de la
maladie
. Ce fut alors qu'il se décida à entrer à l'Hôpita
umon, et nous révèle la puissance conservatrice de la nature dans les
maladies
tuberculeuses de cet organe. Ce serait à tort que
aît avoir donné le nom de mélanose enkystée. 19 Livraison. Pl. 5.
MALADIES
DU FŒTUS Monstruosité MALADIES DU FOETUS. «
enkystée. 19 Livraison. Pl. 5. MALADIES DU FŒTUS Monstruosité
MALADIES
DU FOETUS. « MONSTRUOSITÉS. XIXe livr., Pl. V e
hernie de la cavité crânienne', hernie occi- 19 Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DU FŒTUS Monstruosité pitale ; hernie cervica
pieds-bots : physica physicè demonstranda. 20. Livraison. Pl. 1.
MALADIES
DES OS Cancers. CANCER DES OS. (Planche i,
a spina ventosa; bien au contraire, les os qui sont le siège de cette
maladie
sont usés molécule par molécule, et se fracturent
èdent pour que je ne doive pas la mentionner ici : chez ce malade, la
maladie
cancéreuse avait envahi les os et le foie; point
se être regardé comme le point de départ de l'altération. Pourquoi la
maladie
cancéreuse n'affecterait-elle pas primitivement l
même encore son extrémité supérieure GT. 20me. Livraison. Pl. 2.
MALADIES
DU CŒUR Rupture. MALADIES DU COEUR. ( XXe L
érieure GT. 20me. Livraison. Pl. 2. MALADIES DU CŒUR Rupture.
MALADIES
DU COEUR. ( XXe LIVRAISON, PLANCHE 1. ) expli
la malade présentait depuis plusieurs années tous les symptômes d'une
maladie
du cœur et qu'elle mourut à la manière des indivi
ens de progression. La rupture spontanée du cœur est en général une
maladie
de la vieillesse. Elle occupe presque toujours le
20 Livraison. Pl. 3. Apoplexie et Atrophie des Circonvolutions
MALADIES
DU CERVEAU. (Planche 3, xxe livraison.) Apoplex
ésence d'une certaine quantité de pus qui aurait remplacé le sang. La
maladie
datant de trois jours, l'altération observée étai
antérieur est seul respecté. Réflexions. — L'invasion subite de la
maladie
semblait annoncer un foyer apoplectique ; mais un
e que cette nuance de ramollissement peut avoir lieu primitivement.
MALADIES
DE L ESTOMAC. Ulcère chronique de Vestomac. (
, ont établi : i° l'existence de l'ulcère chronique de Vestomac comme
maladie
essentiellement différente de l'ulcère cancéreux
de gastrite et de l'ulcère cancéreux de cet organe, cependant, cette
maladie
peut être en général soupçonnée et même dans quel
qu'il faut modifier suivant les exigences de l'estomac ; 4° que cette
maladie
est la cause la plus fréquente de l'hématémèse et
t jeter un nouveau jour sur les questions pratiques relatives à cette
maladie
, laquelle est beaucoup plus fréquente que je ne l
envisagé, c'est celui de sa gravité qui survit en quelque sorte à la
maladie
elle-même ; car la cicatrisation de l'ulcère une
ronique de l'estomac, sont sous l'imminence de la recrudescence de la
maladie
par l'action des causes les plus légères. J'ai eu
par l'action des causes les plus légères. J'ai eu occasion de voir la
maladie
se reproduire trois fois sur le même sujet à des
atifs réitérés n'avaient pas eu quelque part à la recrudescence de la
maladie
et de la perforation. J'ai dû me reprocher l'empl
loureuse à l'épigastre ; ce fut alors qu'elle me fit l'histoire de sa
maladie
. Elle avait été prise dix-huit mois auparavant de
ffaissé et tantôt tympanisé; la malade est 20e. Livraison. Pl. 6.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DA
cemens congéniaux, sur lemv causes, leurs caractères anatomiques. .
Maladies
de la colonne vertébrale; déviation ntéro-postéri
e, bbf rvations, analyse chimique, réflexions générales sur cette '
maladie
. \ ... j'. ï .. |. .... #. ... ....... Maladies
érales sur cette ' maladie. \ ... j'. ï .. |. .... #. ... .......
Maladies
des os, cancers.................. Maladies des
|. .... #. ... ....... Maladies des os, cancers..................
Maladies
des muscles, apoplexie musculaire. Considérations
es, ou rhumatisme puerpéral. Réfexions et observations.............
Maladies
des extrémités, cicatrices des solutions de conti
S D 1 l'esomac, ulcère chronique. Considérations et observations.
Maladies
de , . ' * I- ? 1/ • chronique, perforation, ga
, estomac et des intestins. Amincissement ou atrophie aiguë dune
Maladies
de . . , , . . - . „. parois de 1 arc du colon.
i 3 1 8 \ ': 5-6 5-6 3-4 6 1-2 2 1-2-3-4-5 1-2-3-4 i
Maladies
de l'estomac. Cancers , vomissemens muqueux indom
e pylore. Observations et réflexions. — Cancer gangreneux latent. .
Maladies
des intestins. Hernie par le trou ovalaire.......
ns nouveau «nés. Observations et réflexions......... ............
Maladies
du foie et de l'appareil excréteur de la bile....
ions. --de la rate et du grand épiploon. Acéphalocystes. ... ....
Maladies
de la rate. Splénite, pus concret combiné. Ramoll
. . . Jr . if " 3° JCiÉSîOBîS SE I'AFPAEIIl SE LA RESPIRATION.
Maladies
du larynx. Laryngites sous-muqueuses de la région
laryngite chronique ulcéreuse. Considérations et observations......
Maladies
du poumon. Gangrène diffuse............. --Gang
onaire en général. . 4". LÉSIONS SE X.'APPAREIL SE IA CIRCULATION
Maladies
du cœur. Rupture........,...... . ---Péricardit
..... —— Cancer mélanique. Considérations et observations........
Maladies
des artères. Anévrysme de la crosse de l'aorte sa
uf jours. Observations et considérations générales.................
Maladies
des veines. Dilatation des veines sous-cutanées a
de l'accouchement. Observations et considérations générales. . . ,
Maladies
des vaisseaux lymphatiques. Matière tuberculeuse
ons. S: LÉSIONS SE L'APPAREIL SES SENSATIONS ET SE L'INNERVATION.
Maladies
de la peau. Productions cornées............. Ma
NNERVATION. Maladies de la peau. Productions cornées.............
Maladies
des nerfs ganglionnaires. Transformation fibreuse
du tronc nerveux de communication entre ces ganglions.............
Maladies
de la moelle épinière. Apoplexie. Observations et
inière. Apoplexie. Observations et considérations générales sur cette
maladie
.................. --Spina bifida; méningite sou
2 2 1 2 2 4 4 3- 4 6 | 6 | 1.2-3 j 1 ! 6 b' 3 - ;
Maladies
du fœtus. Monstruosité spina bifida occipital et
hernie cervicale du poumon , hernie thoracique, du foie, etc. .....
Maladies
dj cerveau. Méningite sous-arachnoïdienne aiguë d
nce d i cervelet chez une jeune fille, morte dans sa onzième année.
Maladies
du 'cervelet et de la protubérance annulaire. Mas
générales.............. 6° LÉSIONS DES ORGANES GÉNITO-URINAIRES.
Maladies
d u rein. Transformations et productions enkystée
ales.............. --Cancer. Observations et réflexions.........*
Maladies
des reins et des capsules surrénales. Cancer. Obs
ies des reins et des capsules surrénales. Cancer. Observations.....
Maladies
de ia vessie et de la prostate. Considérations et
.......... — et des ovaires. Considérations et observations sur les
maladies
des femmes en couches en général et sur le typhus
leux. Observations et considérations générales sur ces affections .
Maladies
du placenta. Foyers sanguins.............. ---A
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vvc LouRnoT, 33, rue de
, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIEE SOUS LA DIRECTION
ON A L'ÉTUDE DE - L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA
MALADIE
DE THOMSEN. (Dé la Réaction myotonique). La m
LES DANS LA MALADIE DE THOMSEN. (Dé la Réaction myotonique). La
maladie
de Thomsen se caractérise essentiellement, comme
s muscles sont (1) P. Marie, Dict. encyc. d. sc. méd. Art. Thomsen (
Maladie
de), 111° s. 1. XVII. (2) Erb, Die Thomsen'sche
plus de ces troubles dans la contraction volontaire des muscles, la
maladie
de Thomsen présente d'autres caractères que nous
rique des nerfs et des muscles avaient de carac- téristique dans la
maladie
de Thomsen, et, les comparant aux troubles myo-
e dans le service de M. le professeur Charcot, un malade atteint de
maladie
de Thomsen, qui présentait à un haut degré le dés
ortant, mais ohèse. Le grand-père paternel est mort à 60 ans, d'une
maladie
de poitrine. La grand'mère était originale, d'un
maternel s'est suicidé par asphyxie. La grand'mère, atteinte d'une
maladie
de coeur, est morte subitement. t. Un oncle est
'apoplexie. Boul... a eu 5 soeurs. L'ainée, 33 ans, est atteinte de
maladie
de Thomsen, depuis son enfance; elle a 2 enfant
8. On trouvera encore dans le travail de Déléage, l'évolution de la
maladie
de Boul... depuis sa sortie de la Salpe- trière
première fois dans le service de M. Raymond, qui reconnaît alors la
maladie
de Thomsen, et quelques jours après, adresse le
1. PHOTOTYPE négatif A. LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne ET LONGUET
Maladie
DE THOMSEN y·· Babé et Cie ÉDITEURS Nouvell
I. PHOTOTYPE négatif A, LONDE PHornCoLLoGRAPI41E CHÊNE ET LONGUET
Maladie
DE THOMSEN y" J3ABÉ ET FIE ÉDITEURS ÉTUDE D
, en état de tétanos incomplet. Voyons ce qui se produit, en cas de
maladie
de Thomsen, dans ces trois conditions différent
esse aussitôt que cesse le courant. Il n'en est pas de même dans la
maladie
de Thomsen ; mais les effets produits varient s
a longue durée consécutive des contractions ainsi produites dans la
maladie
de Thomsen. Lorsque les excitations faradiques,
isolée du muscle. Les effets produi ts sur les muscles atteints de
maladie
de Thomsen, en se plaçant dans ces conditions d
IQUE DES MUSCLES. 13 Il n'en est pas ainsi pour les muscles dans la
maladie
de Thomsen; mais les effets produits par ce gen
CD C9 en CD C"> O P- CD en 1 FIG. 1. - Bout... (
Maladie
de Thomsen) 25 juillet {888. -Excitations faradiq
gue.) , (A suivre) Huet. CONSIDÉRATIONS SUR LE TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PAR LA MÉTHODE DU DOCTEUR MO
aura que la partie C B qui 1. Voir le no 6, 1891. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX 19 pourra s'allonger ; la pa
nt ses diamètres longitudinal et transversal ; il en TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 21 est de même pour le cana
ricules nous suggère l'idée de l'application de ce traite- ment aux
maladies
où les noyaux des nerfs crâniens sont intéressés;
raitement. Que l'on considère les lésions anatomo-pathologiques des
maladies
sys- tématisées du système nerveux comme résult
gique, nous cherchons à provoquer dans les premières périodes de la
maladie
une 22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.
estruction des fibres nerveuses. Dans les périodes avancées de la
maladie
, il devient encore plus évident que les indicat
évident que les indications thérapeutiques sont les mêmes dans les
maladies
sys- tématisées avec processus inflammatoire ou
n avenir plus ou moins éloigné, quand, plus instruit des causes des
maladies
, nous saurons les prévenir. En attendant, conte
ous avons dit est exact, il faut s'attendre à ce que TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 23 la suspension ne donne d
ont pas encore trop avancées. Dans les périodes trop avancées de la
maladie
, le tissu conjonctif épaissi ne se laisse pas fa-
sultats de la suspension ne sont pas les mêmes pour les différentes
maladies
; ils sont très favorables dans les ma- ladies
beau- coup moins, dans les dégénérescences secondaires et dans les
maladies
à lésions disséminées. En effet, dans les malad
ires et dans les maladies à lésions disséminées. En effet, dans les
maladies
à lésions systématiques, . les symptômesmorbide
ne joue pas un grand rôle dans les manifestations morbides de celle
maladie
. Les myélites tiennent le milieu entre les mala
bides de celle maladie. Les myélites tiennent le milieu entre les
maladies
systématiques el les dégénérescences secondaire
générescences ascendantes ou descen- dantes. La suspension dans ces
maladies
sera tantôt sans résultats, tantôt au contraire
que est caractérisée par des troubles de la motilité TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 25 et des phénomènes spasmo
itation des fibres consécutif à la dégénérescence. Comme dans cette
maladie
on ne trouve pas des symp- tômes uniquement dus
raîtdans la majoritédescasetau boutd'un temps plus ou moins long la
maladie
redevient ce qu'elle était avant le traitement.
des accidents graves. Enfin, il ne faut pas oublier TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 27 qu'une distension trop g
e la sorte aux indications qui varient avec chaque malade et chaque
maladie
. J'ai construit un appareil répondant à ces ind
e à l'arc mobile du plan, en se déplaçant pendant le TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 29 mouvement de la planche,
Fie. 3. Appareil du D' Bogroff pour la suspension. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 31 n'ont que 37 centimètres
et de l'hyperhémie sera en proportion directe av ec TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 33 la durée et l'énergie de
gée trois tabétiques, leur âge était de 26 à 36 ans. Le début de la
maladie
remontait à 2 ou 3 ans. Le nombre total des séa
ent de l'été de l'année dernière, était traitée à la TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 35 clinique duDl' Motschout
ques séances, les douleurs disparaissent complètement. A part les
maladies
du coeur, des vaisseaux, des reins (1) et des pou
- Raoult. Traitement de l'ataxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du système nerveux par la suspension. Progrès me'
III, 129, 1889. - RAOULT. De la suspension dans le trai- tement des
maladies
du système nerveux. Progrès méd., 25, VI, il, 331
- Hausalter P. et A. ADAM. De la suspension dans le traitement des
maladies
du système nerveux. Progrès méd., 25, X, 44, 47
Neurol. Cent. Bl., 22, 661, 1889. - Short. The brit. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 37 med. Journ., 14 sept., p
889, p. 438. P. V. STEIN. La sus- pezzs. appliquée au traitement de
maladies
nerveuses. Piatigorsk, 1889. ALEXANDRE BOGROFF,
déformation de la face, telle qu'on la voit sur la planche III. La
maladie
a débuté en août 1890. Elle avait été bien por-
a pas eu de récidive. C. C. DELPRAT, Chef de la Policlinique des
maladies
nerveuses, à l'hôpital de l'Université d'Amster
santé, il est plus fréquent de le voir chez les convalescents d'une
maladie
fébrile prolongée et particuliè- rement chez le
opposés et de voir évoluer chez certains individus sans fièvre des
maladies
qui sont es- sentiellement fébriles. La suppu
es Sci. Méd. art. Névroses. (2) Loc. cit. (3) Traité clinique des
maladies
du système nerveux, (4) Bail, Maladies' mentale
ient pas, et on crut encore que la fièvre était symptomatique d'une
maladie
abdominale. Cependant le temps passait ; la fiè
ils ont le délire sitôt qu'ils ferment les (1) Traité clinique des
maladies
du système nerveux, page 495. - · v 4 50 NOUV
endant toute la journée commandaient le doute. L'existence de cette
maladie
était inad- missible déjà au cinquième jour, ca
n considération que chez une hys- térique il peut se développer des
maladies
avec lésion, surtout quand c'est un cas excepti
olument contraire à ce qu'on observe dans le rhumatisme. Dans cette
maladie
l'anémie est rapide et la peau prend un teint pâl
de nature hystérique. Cette névrose simule parfaitement beaucoup de
maladies
organiques, ce qui a fait commettre de graves e
re explication possible. - J. A. ESTÈYES, professeur agrégé , Des
maladies
du système nerveux à la Faculté Buenos-Ayres. (
t être que dangereux pour les moeurs. En se proposant de guérir des
maladies
qui demandent un long traitement on excite des
DE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE ('Cli \\'.111, DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
SERVEUSES, SERVICE DE M. LE l'1t01 ? CHARCOT) .
e occasionnelle apparente; cependant, quoique le fait soit rare, la
maladie
est quelquefois précédée par des attaques convu
out, traîner les membres inférieurs raidis, pres- que comme dans la
maladie
cle Little. A lous ces symptômes viennent bien-
nless (1) une paralysie généralisée et subite marqua le début de la
maladie
. Chez le malade de Hughes (2), elle survint après
(3) Ollivier. Chorée el alhélose double. (Leçons cliniques sur les
maladies
des enfants, 1889, page 165). (4) Greidenberg
nifestations cérébrales. Mère. 76 ans, vit encore. n'a jamais eu de
maladies
nerveuses. Deux frères bien portants, une soeur
el. Deux oncles bien portants et cinq tantes qui n'ont jamais eu de
maladies
nerveuses. Une do ces tantes est tuorte'a la Sa
tude de pouce simulant grossièrement le tremblement rhyth- mé de la
maladie
de Parkinson (Muet) (1) (Audry) (2). Si l'on ch
l ne s'agit donc pas à proprement parler de troubles adhérents à la
maladie
elle-même mais n'étant que la simple conséquenc
dans la chorée chronique. C'est un ca- ractère commun avec ces deux
maladies
, qui les sépare nettement des autres affections
sque la température était plus élevée. Ni la menstruation, ni les
maladies
fébriles ou autres, ne paraissent pas modifier
que Gowers (1) en a fait à juste litre un élément nécessaire de la
maladie
. Ce caractère, ce signe spasmodique des mouveme
ui concerne le plus ou moins de fréquence de celte démarche dans la
maladie
, on peut dire que dans la moitié des faits la mar
e à l'augmentation des convulsions athétosiques occasionnées par la
maladie
. Mais c'est surtout le malade de Kurella qui est
ilement. Il a quatre frères et une soeur tous bien portants. Pas de
maladies
nerveuses. Grand-père paternel, mort à 66 ans d
nt qua- rante jours, sans aucune complication ni modification de sa
maladie
antérieure. A l'âge de neuf ans les crises de c
s assez forts. M. P. Richer, chef de laboratoire de la clinique des
maladies
nerveuses, a exa- miné notre malade au point de
sait com- bien les déviations vertébrales sont fréquentes dans des
maladies
diverses el en particulier dans les maladies du
nt fréquentes dans des maladies diverses el en particulier dans les
maladies
du système nerveux (1), Il nous sera permis de
nerveux (1), Il nous sera permis de citer parmi ces affections : la
maladie
de Friedreich, la sciatique, la maladie de Morv
r parmi ces affections : la maladie de Friedreich, la sciatique, la
maladie
de Morvan, la syringomyélie, les myo- pathies,
nombre d'observations dans lesquelles l'atrophie dépend d'une autre
maladie
et en particulier de-la paralysie infantile. Le
x de l'athétose double de ceux de la sclérose en pla- ques et de la
maladie
de Friedreich. Huet, quand il fait le diagnosti
de nos athéto- siques doubles et celle des individus atteint de la
maladie
de Freidreich, sclérose en plaque, paralysie gé
de celle qu'on ob- serve au cours du tabès spasmodique infantile ou
maladie
de Little. Écriture. Depuis quelques années, on
ttaque apoplectiforme sur- vient aussi dans la période ultime de la
maladie
. Kurella signale chez son malade une apoplexie
veau des membres inférieurs d'après Massalongo. On sait que dans la
maladie
de Little, la contracture des membres infé- rie
: \ A L'ETUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA
MALADIE
DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (sui
comparer l'effet des excitations faradiqnes sur les muscles dans la
maladie
de Thomsen et sur les muscles dans l'état normal.
férence qui existe entre la réaction électrique des muscles dans la
maladie
de Thomsen et celle des muscles normaux. La f
ta C cn S c M n , r ta M E Fia. 10. -Bout ... (
Maladie
de Thomsen) 1" octobre 1888. - Excitations faradi
cn > 13 m- ? M- m fit Fig. 11. - A. et B. Boul... (
Maladie
de Thomsen) 21 août 1888. - A. Inscription myogra
M M a c c/] n t, m Ut O S Fin. 12. -Boul... (
Maladie
de Thomsen), 25 sept. 1888. Réactions faradiques
d m c ti M G M n f m en c Fin. 13. -Boul... (
Maladie
de Thomsen), 2G sept. 1888. Excitations faradique
a m en e c M cl f M M o CC FiG. ho Boul... (
Maladie
de Thomsen), 26 sept. 1888. Excitations faradique
Il c Il n C/3 C M n te CI m FIL. 15. Boul... (
Maladie
de '1 homsen), 20 sept. 9883. - W cilations farad
quentes z25 par seconde, ligne F). En résumé on voit que, dans la
maladie
de Thomsen, lorsque les exci- tations d'un musc
en r b i : 'J> H 58 ? 1" S3 M 1'tc. 16. - Boul... (
Maladie
de Thomsen). Excitations faradiques du droit anté
lontaire, unique, brusque et énergique. Lorsqu'un malade atteint de
maladie
de Thomsen, par exemple, veut don- ner un coup
ue au froid, peut-être aussi à une augmentation dans le degré de la
maladie
, quoique les troubles myo- toniques des mouveme
CI- M C M 03 g C m n r H M FiG. 17. Bout... (
Maladie
deThomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiqu
raduelle. (A suivre) E. Huet, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. Nouvelle iconographie de. l
ice, vous pourriez être fort en retard. Déjà, cela va sans dire, la
maladie
est constituée anatomiquement; la lésion spinal
ez simple. Bien que la sy- philis soit très souvent l'origine de la
maladie
, du moins, si l'on s'en rapporte aux statistiqu
t la miction, nous avons appris que depuis les premiers jours de sa
maladie
, il ruinait mal, qu'il était parfois obligé de
du membre inférieur sont normales et n'ont pas été modifiées par la
maladie
. Mais il n'en est, plus de même si nous re- che
frappant des très réels services que peut rendre dans l'examen des
maladies
et des difformités, la connaissance de la conform
rales, surtout les scolioses, sont fréquemment associées à diverses
maladies
du système nerveux. C'est la en neuropatho- log
ce genre, nous nous contenterons de passer en revue les différentes
maladies
nerveuses où se sont rencontrées, il notre conn
- dence qu'on a constatés entre les scolioses vulgaires et diverses
maladies
nerveuses. La scoliose vulgaire accompagnant un
aide il de nouvelles recherches et y inciter. CHAPITRE PREMIER
MALADIES
DE LA MOELLE. Nous n'avons pas il nous occuper
mentionné dans les premiers faits qui ont servi à constituer cette
maladie
nouvelle. Au contraire, la plupart des observat
symptôme apparaît d'ordinaire quelques années après le début de la
maladie
; d'autres fois, son apparition est contemporaine
n de Briihl, elle se montre vers i'age de 16 ans 1/2, tandis que la
maladie
ne commence il se caractériser que vers i'age d
s'accompagnait d'aucun phénomène douloureux de quelque (1) Leyden,
Maladies
de la moelle, trad. franc..1. B. Baillière, 1879,
premier atteint continue à présenter, pendant toute la durée de la
maladie
, les symptômes les plus accentués. Nous avons r
, 1888), le rachis était normal malgré une forte prédominance de la
maladie
à gauche. Il est vrai que les muscles du tronc n'
'enquête. Observation I (personnelle). Syringomyélie. Début de la
maladie
il y a ans, par le côté droit. Scoliose énorme,
nvulsions. Le malade ne connaît parmi ses proches, aucun exemple de
maladie
nerveuse ni de déviation verté- brale. A. P.
déviation verté- brale. A. P. Santé antérieure excellente. Aucune
maladie
aigué. Début. Il y a 6 ou 7 ans, sans cause app
rcot, salle Prus. A. Il. Père hémiplégique il 50 ans. Mère morte de
maladie
aiguë. 5 frères et soeurs. Un frère, plus de 10
n. Les quatre autres ont suc- combé à des affections aiguës. Pas de
maladies
nerveuses connues dans la fa- mille. Le malad
fs concomitants du côté des yeux ( ? ) z Pneumonie à 27 ans. Pas de
maladies
vénériennes. Le P... a été successivement culti
ire jouer un rôle important dans la palhogénie de la scoliose de la
maladie
de Frie- dreich ». Nous aurons à revenir plus
qu'il tend à la considérer comme relevant d'un trouble trophique.
MALADIE
DE MORVAN. Les déviations observées dans la mal
le trophique. MALADIE DE MORVAN. Les déviations observées dans la
maladie
de Morvan doivent se placer à côté de celles qu
lacer à côté de celles qui existent dans la syringomyélie. Ces deux
maladies
, en effet, sont proches parentes, si elles ne s
que (1) Gazette hebdos, de méd., 1888, no 39, p. 617. (2) Leyden,
Maladies
de la moelle épinière. Trad. franç., p. 'no. (3
E DE FI111 ? Dlil ? ICII. Les déviations vertébrales associées à la
maladie
de Friedreich présen- tent une grande ressembla
des cas. Elle appa- raît d'ordinaire 2 à 5 ans après le début de la
maladie
. Cependant elle peut précéder les autres symptô
i à l'âge de 14 ans les premiers symptômes ca- ractéristiques de la
maladie
. La déformation était très prononcée (cypho- sc
est la pathogénie des déviations vertébrales, si fréquentes dans la
maladie
de Friedreich : « Une analogie séduisante, dit-
ne à droite et qu'il n'y aurait rien là d'étonnant de la part d'une
maladie
qui commence d'habitude par s'attaquera des mus
I, page 8, une photographie représentant un cas de scoliose dans la
maladie
de Friedreich. (2) Zeitsch1'i{t {il¡' Klinische
mme aspect clinique, il ce qu'on trouve dans la syringomyélie et la
maladie
de Friedreich, et dépendant peut-être d'un proc
logues il celles qui se mollirent clans la syringomyélie ou dans la
maladie
de Friedreich et qui paraissent s'étendre unifo
dessin de M. P. ficher, qui ligure dans le musée de la clinique des
maladies
nerveuses, et qui représente une femme tabétique
me- rican Journal of the med. Science. Les premiers symptômes de la
maladie
dataient de 24 ans, quand le malade succomba à
ville et Guérard. croient plutôt" un trouble de nutrition des os.
Maladies
spinales ne s'accompagnant pas de déviations ve
nt pas de déviations vertébrales. On peul dire que la plupart des
maladies
de la moelle épinière peuvent, dans une mesure
t pouvait en impo- ser pour une scoliose des plus sévères ; mais la
maladie
, apparue rapide- ment il la suite d'une émotion
cas très prononcés. I IALLIUN, Ancien Interne de la Clinique îles
maladies
du système nerveux. CONTRIBUTION A L'ETUDE LE
TION A L'ETUDE LE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES DANS LA
MALADIE
DE THOMSEN. (De la Réaction myotonique). - (sui
M a B M c c/r n f M m w FiG. 18. -- Boul .. (
Maladie
de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiq
> f à t'j.. H : ¡j 5- M tj1 1. I : . 19. Boul... (
Maladie
de Thomsen), 1" oct. 1888. Réactions faradiques d
gt; U) f ." M. h3 a sa él- is p Fir. 20. Boni... (
Maladie
de Thomsen), 28 sept. 1888. - Excitations faradiq
f > m > f ro ..., M l'1' M H FIG. 21. (
Maladie
de Thomsen). Excitations faradiques du droit anté
arfois accompagnent et suivent la contraction des mus- cles dans la
maladie
de Thomsen. On voit qu'ils peuvent être produits
UES. Les troubles de l'excitabilité galvanique des muscles, dans la
maladie
de Thomsen, ne présentent pas moins d'intérêt q
a cuisse. (A suivre) E. HUET, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTO
ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES, SERVICE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. S
nquent dans la chorée chronique. Mais revenons à la marche de notre
maladie
. Le plus souvent elle reste en élat stationnair
reste en élat stationnaire ainsi que les signes concomitants de la
maladie
; pen- dant longtemps les mouvements involontair
que dans les cas où la mort a eu lieu, c'est toujours par une autre
maladie
que les malades sont morts : Elle a lieu chez
te toujours sans amélioration appréciable, par conséquent c'est une
maladie
grave, incurable, malgré qu'elle ne menace pas
ces dernières années nous avons appris à mieux connaître certaines
maladies
nerveuses. Nous nous proposons donc, dans ce ch
thétose double, telles que les chorées, les ma- ladies des tics, la
maladie
de Friedreich, la sclérose en plaque, paralysie
volontaires, qui par leur aspect extérieur ressemblent à ceux de la
maladie
qui nous intéresse, mais qui en doivent être no
ent. Si, à ces caractères on ajoute ceux lires de l'évolution de la
maladie
et enfin l'état mental (imbécillité), on aura t
ent se sont occupés beaucoup du diagnostic différentiel de ces deux
maladies
. A vrai dire lorsque la chorée chronique est bi
culaire manquent toujours dans la chorée chronique. La marche de la
maladie
est plus régulièrement progressive dans la chor
double est né un imbécile, au moins dans la majorité des cas où la
maladie
s'accompagne de troubles mentaux. En tout cas dan
n facilement au traitement. La chorée électrique de Dubini. Dans la
maladie
deDubini, les secousses im olontaires s'accompa
aires. En 1886, P. Marie faisait connaître en France celte nouvelle
maladie
el en publiait la première observation recueill
ndre le paramyoclonus avec l'athétose double. Tics convulsifs. La
maladie
des tics que nous ont bien fait con- naître, da
symptomatiques permettront de faire le diagnostic. En effet dans la
maladie
des tics les mouvements sont brusques, rapides,
ctères des mouvements involontaires, on pourra déjà distin- guer la
maladie
des tics de l'athétose double. En même temps qu
u sur le diagnostic différentiel de l'athétose double et des autres
maladies
avec tremblements ; ce qui serait sortir de notre
es cas, faire légèrement hésiter, au premier abord, le clinicien.
Maladie
de Parkinson. La présence d'un véritable tremblem
thétose double, ont une irrégularité qui ne se retrouve pas dans la
maladie
de Parkinson. En effet, le tremblement dans cet
maladie de Parkinson. En effet, le tremblement dans cette dernière
maladie
se compose d'oscillations rhythmées de petite é
urs été nerveuse et émotive. Elle-même n'a jamais eu, dit- elle, de
maladies
notables, elle est irritable, pleure et se désole
nt-bras ; ces douleurs sont-passagères.- Cette éruption rappelle la
maladie
décrite par M. Brocq sous le nom de « folliculi
s air- tificiellement provoquées par des brûlures, en- un mot d'une
maladie
simu- lée..L'examen du caractère de la, malade,
qui aurait été nécessaire 'pour lever. tous les doutes.. j' ' 'L'a
maladie
fut traitée par le'bromure de potassium et les do
sont encore trop rares pour permettre de tracer l'évo- lution de la
maladie
. Dans un cas de Lamy, la déviation a débuté et di
lescence. CHAPITRE IV DÉVIATIONS VERTÉBRALES DANS DIVERSES AUTRES
MALADIES
NERVEUSES. Aliénation mentale. Paralysie généra
a fait ressortir la fréquence des déviations vertébrales dans cette
maladie
. Indépendamment de l'ensellure qui accompagne l
1876. (6) Voir Talamon, Lésions osseuses et articulaires liées aux
maladies
du système ner- veux. Rev. de méd., 1878, et Ch
e s'applique, suivant nous, à cette dernière. D'ailleurs dans cette
maladie
les muscles fessiers et les muscles du mollet s
férieurs, aussi bien que son siège dans la région lombaire, ré- (1)
Maladies
du système nerveux. Amyotrophies. 214 NOUVELLE
constatation peut éclairer la pathogénie des scolioses vulgaires.
Maladies
nerveuses diverses. Il nous reste à citer quelq
ires. Maladies nerveuses diverses. Il nous reste à citer quelques
maladies
nerveuses où les déviations ver- tébrales sont
ès Audry (1), le premier de ces auteurs parait avoir confondu cette
maladie
avec l'athétose double. Signalons encore les dé
encore les déviations associées à l'acromégalie, si toutefois cette
maladie
doit prendre place parmi les affections nerveuses
posées par divers auteurs pour expli- quer les déviations dans. les
maladies
de la moelle ou du cerveau. On a invoqué deux t
difformités qui nous occupent. Un mot encore sur les déviations des
maladies
médullaires. Nous ferons observer qu'elles appa
symétriques. Ce sont : la syringomyélie, la paralysie infantile, la
maladie
de Friedreich, le tabes. Toutes ces affections at
rise de la moelle. La région de la substance grise, frappée dans la
maladie
de Friedreich, est celle des co- lonnes de Clar
provisoirement créé dans cet hospice et rattaché à la Clinique des
maladies
nerveuses, un exemple intéressant de cette as-
sam- ment justifiée. HALLION, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. NOTE SUR QUELQUES ATTITUDES
tème nerveux. NOTE SUR QUELQUES ATTITUDES RARES OBSERVÉES DANS LA
MALADIE
DE PARKINSON Ayant eu l'occasion depuis quelque
erver à la Salpêtrière, un assez grand nombre de sujets atteints de
maladie
de Parkinson, nous en avons rencontré quelques-
i d'une santé satisfaisante.' M. Beli. fait remonter le début de sa
maladie
actuelle au mois de novembre 1887, et l'attribu
t déformée, les articulations métacarpo-phalangiennes volumi- Beli.
maladie
de Parkinson. Fig. 2G. - Altitude anormale. Ren
e de M. P. Richer, d'après une photographie). ATTITUDES RARES DE LA
MALADIE
DE PARKINSON. 225 neuses ; les quatre derniers
eau des épaules et du cou, aspect qu'on a rarement constaté dans la
maladie
de Parkinson, et qui se rapproche beaucoup de c
métrorrhagie abondante et d'accidents puerpéraux. Histoire de la
maladie
. Mme Ot. raconte que sa maladie a débuté dans les
idents puerpéraux. Histoire de la maladie. Mme Ot. raconte que sa
maladie
a débuté dans les premiers mois de 1890 à la su
êne & LONGUET. Attitude anormale simulant UN TORTICOLIS dans la
maladie
DE Parkinson Nouvelle Iconographie DE la SALPÊT
OTOCOLLOGRAPHI6 C"tNd & Longuet. Déformation DE la main dans la
maladie
DE Parkinson simulant UNE contracture. NOUVELLE
LIOOItAPIiIF CHÎN6 ET Longuet. Attitude pendant la Marche dans la
maladie
DE parkinson. LOUIS BATTAILLE & Ce ÉDITEU
kinson. LOUIS BATTAILLE & Ce ÉDITEURS ATTITUDES RARES DE LA
MALADIE
DE PARKINSON. 227 resté longtemps hésitant lors
'hui, le doute est peut-être encore permis, quoique la marche de la
maladie
fasse beau- coup incliner de ce côté ; si c'est
ncliner de ce côté ; si c'est, comme nous le croyons, une véritable
maladie
de Parkinson, l'attitude de la tête simulant un t
ionné ; il nie tout excès alcoolique, il n'a pas eu la syphilis. La
maladie
aurait débuté il y a 4 ans à la suite d'une bless
a déformation de la main, de reconnaître due Rab. est atteint de la
maladie
de Parkinson, mais pendant longtemps, alors que
ON A L'ETUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES 1 DANS LA
MALADIE
DE THOMSEN. ` (De la Réaction myotonique). (Sui
ité de 15, 17 (1) Voir les nez i, 2, 3, 1892. Ftc. 27. - Boul... (
Maladie
de Thomsen), 27 juillet 1888. - Excitations galva
veau une contraction, mais elle est beaucoup plus brève que dans la
maladie
de Thomsen. De même les secousses suivantes de
ssez élevée (jus- qu'à 20 milliampères) sur notre malade atteint de
maladie
de Thomsen. Fig. 28. Excitations galvaniques du
03t NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. FiG. 29. - Roui ... (
Maladie
de Thomsen), 3 aofit 188S. - Excitations galvaniq
renversement du sens du courant. (Réduit au 1/3). Pta. 30. Boul... (
Maladie
de Thomsen), 4 août 1588.- Excitations galvanique
au repos de toute excitation électrique. Tout en Fin. 31. Boul... (
Maladie
de Tliomsen), 13 août 1888. - Excitations galvani
lupart des tracés de fermeture du pôle négatif FiG. 32. - Bout ... (
Maladie
de Thomsen), 13 août 1888. - Excitations galvaniq
la cuisse. Avec un courant de 22 milliampères il Cc. 33. - Houl... (
Maladie
de Tliomsen), Il août 188. Excitations galvanique
contenté de constater par l'exploration directe FiG. 34. - Boul... (
Maladie
de 111Omsell) ? 4 JUllltl 1888. Ëxcnauonssainnjue
ie de St-Pétm'sbourg, sept. 1888) (1) a trouvé, dans un cas type de
maladie
de Thomsen, que la période d'exci- tation laten
t des auteurs qui ont observé, depuis le travail de Erb, des cas de
maladie
de Thomsen, et cette réaction paraît de plus en p
r Erb, et la plupart des auteurs qui ont rapporté depuis des cas de
maladie
de Thomsen, dans l'excitabilité faradique des m
ment, croyons-nous, que les altérations musculaires, constituant la
maladie
de Thomson, sont plus accusées. Ce qui fait l'i
ction myotonique c'est qu'elle est spéciale aux muscles atteints de
maladie
de Thomson. Jusqu'à présent, en effet, on l'a t
fournit des signes objectifs autorisant ;'1 affirmer le diagnostic de
maladie
de Thomsen. - E. HUET, Ancien interne de la
aladie de Thomsen. - E. HUET, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉ
ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CIL111C01' (
es. Les contractures et la marche spasmodique sont communs aux deux
maladies
. La sclérose en plaques, bien qu'on puisse l'ob
aractéristiques clans la sclérose en plaques. Ataxie héréditaire ou
maladie
de Friedreich. Elle pré- sente peut-être plus d
le et Pilliet, admettent la possibilité d'une pareille erreur. La
maladie
de Friedreich présente non seulement de l'incoord
ces fonda- mentales qui permettront très nettement de distinguer la
maladie
de Frie- dreich de l'athétose double. En effet
e (1) Voy. les n" 2 et 3, 1892. (2) D'Espine et Picot, Manuel des
maladies
de l'enfance, 1889. 252 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
it plus commune chez les filles que chez les garçons. Dans les deux
maladies
la marche est lente et progressive et l'on ne con
et progressive et l'on ne con- naît pas d'exemple de guérison. La
maladie
de Friedreich est héréditaire ou familiale, ce qu
nce fondamentale consiste en ce fait, dont la dénomination des deux
maladies
donne immédiatement l'idée nette : l'athétose dou
qu'il n'y ait plus besoin de s'occuper de diagnostic entre les deux
maladies
, lequel diagnostic doit être aussi facile à faire
ntal souvent affecté dans l'un et l'autre cas, l'âge du début de la
maladie
, les convulsions qui en ont marqué l'éclosion, pe
e jamais dans l'athétose double est l'amé- lioration relative de la
maladie
. En effet à mesure que les malades atteints de
faiblesse, de raideur qui prédominent dans les bras. Donc c'est une
maladie
qui survient par accès, et caractérisée par cer
r certains prodromes, signes n'existant pas dans l'athétose double,
maladie
congénitale et sans prodromes. Les mouvements c
l'imbécillité, les différentes déformations et l'incurabilité de la
maladie
. II. MOUVEMENTS ATHÉTOIDES Qu'entendons-nous
s involontaires d'al- lure athétoïde qui s'observent dans l'une des
maladies
que nous venons d'énumérer. Puis nous insistero
la pathogénie de ces mouvements involontaires dans l'une et l'autre
maladie
, il nous semble qu'il existe, au point de vue cli
uante-sept ans. L'auteur donne la description des antécédents de sa
maladie
, des symp- tômes ataxiques dont celle-ci était
de l'athétose double faisaient défaut. De plus l'exis- tence d'une
maladie
confirmée avant l'apparition des mouvements invo-
dans l'alhétose double et ceux observés quelquefois au cours d'une
maladie
quelconque, ataxie ou autres, il nous paraît cert
ts de vue et qui surviennent à titre de complication au cours d'une
maladie
nerveuse. Leur début est toujours accidentel, j
é de transformation. Celle-ci au contraire est assez fréquente. Les
maladies
des parenls sonl représentées par les types morbi
de mettre en doute une pareille influence. Ce sont quelquefois des
maladies
infectieuses ou autres qui sont notées; la fièv
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. exactement le début de la
maladie
. Nous croyons, avec Richardière, Massa- longo e
ion des vibrations rapides et con- tinues au traitement de quelques
maladies
du système nerveux. Leçon recueillie par Gilles
tats de la méthode qu'il a employée dans le traitement de certaines
maladies
du système nerveux. L'ouvrage de M. M. Granvill
parfois si douloureuses qui sont le cortège presque obligé de cette
maladie
, semblaient disparaître presque complètement ; le
lus d'une fois l'hypothèse des bons ef- fets d'un traitement cle la
maladie
de Parkinson par un procédé qui rap- pellerait
sur les phénomènes douloureux qui accompa- gnent si fréquemment la
maladie
de Parkinson. Aussitôt descendu du fauteuil tré
cise l'action de la thérapeutique vibratoire dans le traitement des
maladies
mentales. Malgré leur décousu pour ainsi dire,
uelques minutes. On sai combien est individuelle pour ainsi dire la
maladie
de Par- kinson, etil faudra s'inspirer les cond
ne une sédation de tout l'organisme. Cette action est durable ; les
maladies
neurasthéniques soumises à notre observation ont
s électriques. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de clinique des
maladies
du système nerveux. DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRI
accidents convulsifs qui constituent la forme habi- tuelle de cette
maladie
ne se montrant ni avant son apparition, ni pendan
ance organique où vivent'ces jeunes filles les expose davantage aux
maladies
ambiantes et font d'elles en particulier un terra
vé la santé robuste où la représente la photographie prise avant la
maladie
. Les fonctions menstruelles s'étaient alors rét
ssitôt que la pression cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la
maladie
de Raynaud. Jamais elle n'a été précédée de syn
t atteintes, poignet, cou-de-pied, etc. Quant à l'acromégalie, à la
maladie
de Paget les différences sont trop grandes pour
plus élevée que dans l'inter- valle des crises. D'autre part, la
maladie
de Raynaud présente quelques,traits que nous UN
s mentionnée. Du reste on a déjà, à diverses reprises, rapproché la
maladie
de Raynaud et l'hystérie. Quoiqu'il en soit, no
courte station debout et l'emp8- chaient de marcher. DÉBUT de la
maladie
actuelle. Au mois d'octobre 1885, il s'est un j
ssé (1) Monod et Reboul, Contrib. à l'étude du panaris analgésique (
Maladie
de Morvan) in Archiv. gén. de Méd., 1888, p. 28
altération appréciable. Ce malade a été considéré comme un type de
maladie
de Morvan et décrit comme tel, à une époque où
Or, £ t>uRs UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN 291 la
maladie
du Morvan a vécu comme entité morbide ; elle n'es
s. A. SOUQUES, Ancien interne, médaille d'or de la clinique des
maladies
du système nerveux. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTO
ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (S
ES NERVEUSES. SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (Suite et fin ').
Maladies
infectieuses. Massalongo leur attribue la plupart
ppeler le rôle qu'on a fait jouer, dans ces dernières années, à ces
maladies
infectieuses, dans l'établissement des sclérose
u début de l'athétose double. Chez un de nos malades (obs. n°2), la
maladie
a débuté par des convulsions. Ollivier rapporte
comme ayant précédé l'apparition des premières manifestations de la
maladie
. Parmi elles il nous faut citer en particulier
des antécédents personnels des malades. Dans la plupart des cas la
maladie
s'est développée sans cause occasion- nelle app
reste encore un des points les plus obscurs dans l'histoire de cette
maladie
. Nous rappellerons d'abord que Hammond supposai
oints de détails. Les uns ont admis que l'athétose double était une
maladie
, les autres qu'il ne s'agissait la que d'un syndr
a une certaine titubation de la tête qui pourrait faire croire à la
maladie
de Friedreich. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DO
halalgie : pas de migraine, ni de névralgie, ni de rhumatismes, ni de
maladie
de peau, aucun indice de syphilis. Caractère em
insi comprise des complications qui peuvent survenir dans certaines
maladies
nerveuses, sous forme de mouvements involontair
tres affec- tions qui peuvent la simuler (tabes dorsal spasmodique,
maladie
de Frie- dreich, chorée chronique, etc.), il se
itive (Thèse de Paris, 1853). Progrès médical, 1878. Leçons sur les
maladies
du, système nerveux, t. II. - Leçons sur les ma
eçons sur les maladies du, système nerveux, t. II. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III. Semaine médicale, 188
ère enfance (Bull. Soc. anal., 1888). D'Espine et Picot. Manuel des
maladies
de l'enfance, 1889. Julius Dreschfeld. Sur quel
osi (Vratch. SI-Péte2,sb., 1882). - Grasset. Localisations dans les
maladies
céré- brales, 1880. Revue critique de l'athétos
Kinderloehmung Monographie, 1865. Henoch. Leçons cliniques sur les
maladies
des enfants. C. H. Hughes. A unique case of bi-
, prof. agrégé. Chorée et athétose double (Leçons cliniques sur les
maladies
des enfants, 1889). W. Osier. The cerebral pals
la branche B. PAUL BICHER, Chef du laboratoire de la Clinique des
maladies
du système nerveux. Le gérant : Louis BATTAIL
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DES
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CIIEZ LES ENFANTS.
ouveau choix s'imposait parmi ces mala- dies. Nous avons choisi les
maladies
organiques de l'encéphale pour con- server un c
un cadre naturel à notre observation primitive, éliminant ainsi les
maladies
organiques de la moelle épinière dont notre collè
que et commande les symptômes. S'agit-t-il de lésions du foyer ? la
maladie
offre d'ordinaire un type régulier, unila- téra
e toujours et souvent très étroitement de celle qui se rattache aux
maladies
à lésions matérielles. La ressemblance est parf
de commencer cette étude parallèle de l'hystérie simulatrice et des
maladies
organiques de l'encéphale, nous avons cru qu'il n
l'hystérie, il serait à noire avis souverainement injuste de ne pas
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 331
hystériques et l'embarras s'en accroît d'autant pour donner à leur
maladie
une étiquette convenable. On en vient alors à i
er une idée du chemin parcouru depuis 1850 dans la connaissance des
maladies
du système nerveux et de l'hystérie en particulie
i les faits d'hystérie se multiplient de nos jours, c'est que cette
maladie
est déjà mieux connue. Cela est vrai surtout po
1. (2) id. id. 12 nov. 1892. (3) Semaine médicale, 8 juin 1892.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 333
ilité proverbiale dont on prétendait faire la caractéristique de la
maladie
, of- frent au contraire dans la plupart des cas
(1) Briquet, Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, p. 90.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 3 : J0
ez récent (1889), publié par Duvoisin de l3àle dans les Annales des
maladies
de l'enfance de Leipzig, que pour la majo- rité
aliénés. Cette tendance à faire de l'hystérie, même infantile, une
maladie
pure- ment psychique, se remarque en effet chez
ires concernant l'hystérie et en parti- (1) Charcot, Levons sur les
maladies
du sysl. tPTU., t. III, p. 2.'i2. 336 NOUVELLE
(2) Grancher, Journ. de méd. et de chirurgie pral., février 1888.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 337
encontrer chez les enfants de ces associations pathologiques où les
maladies
mentales prennent le pas sur l'hystérie pure. A
s de la Tourette, Traité clin, ri Ilu·rrip. de l'hystérie, 1). ;Il.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 339
ère plus d'importance que les divisions fondées sur la marche de la
maladie
, sur la localisation ou la nature des symptô- m
circonstances con- tingentes ; mais au fond, c'est toujours la même
maladie
qui est en cause. Les divisions qu'on a voulu é
cela n'implique aucune différence essentielle dans la nature de la
maladie
». ' III. Études sur les syndromes hystériques
aut aborder la question plus spéciale de l'hystérie simulatrice des
maladies
nerveuses organiques chez les enfants. Mais ava
s citer. Depuis, on a répété surabondamment que la simula- tion des
maladies
par l'hystérie s'étendait à la pathologie tout en
tendait à la pathologie tout entière et qu'il y avait-d'un côté les
maladies
organiques, de l'autre celles qui ne l'étaient
s, alors même qu'il s'agissait de la dépister dans la simulation de
maladies
dont la con- naissance était familière il tout
dont la con- naissance était familière il tout le monde, comme les
maladies
des organes digestifs ou respiratoires. Pour
adies des organes digestifs ou respiratoires. Pour ce qui est des
maladies
organiques du système nerveux, leur étude était
qu'il n'est qu'hystérique, faire la part de la névrose et celle des
maladies
organiques, quand elles se combinent. N'est-ce pa
sociations pathologiques et des combinaisons de l'hystérie avec les
maladies
organiques du système nerveux; il en a fourni deu
araît donc démontré actuellement que si l'hystérie peut simuler les
maladies
organiques du système nerveux, elle peut aussi bi
rveux, elle peut aussi bien se combiner de diverses façons avec ces
maladies
. Que penser dès lors de la théorie de Buzzard (
(5), qui soutient au contraire la simulation de l'hystérie par les
maladies
nerveuses organiques ? Nombre de cas rapportés pa
nombreux et non moins bien observés. Tant pis si l'hystérie et les
maladies
nerveuses organiques s'identifient au point d'ê
ole dans l'étude complexe des syndromes hystériques simulateurs des
maladies
nerveuses organiques. Pour être jus- tes, nous
gnorance des médecins, au grand détriment de leurs malades. Que les
maladies
simulées existent chez les enfants, nous ne songe
lation que nous avons en vue ; celle-ci s'impose au sujet comme une
maladie
et il ne saurait la forger de toutes pièces, alor
es pièces, alors môme que l'imitation concourt à la produire. Cette
maladie
a beau s'appe- ler l'hystérie, elle n'en est pa
ver leur dernière ressource aux partisans quand même et partout des
maladies
simulées, nous ne saurions mieux faire que de l
83. (2) Charcot, Leçons du mardi, 1888, p. ` ? 0,3. (3) Dufestcl,
Maladies
simulées chez les enfants, thèse Paris, 1888. M
3) Dufestcl, Maladies simulées chez les enfants, thèse Paris, 1888.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 343
ger au besoin des symptômes réels faisant foncièrement partie de la
maladie
, les symptômes simulés que l'artifice des malad
entre nos mains (1) ». PREMIÈRE PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS EN FOYER
en ajouter après cet illustre maitre. (1) Charcot, Leçons sur les
maladies
du syst. nerv., t. III, p. 20. 344 NOUVELLE ICO
calisai, motrices de l'écorce cérébrale. Revue de médecine, 1883.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 315
localisation étroite de celles-ci) ». Heine en 1860 donne à cette
maladie
le nom qui lui est resté; mais c'est encore à l
reviennent la priorité et la plus large part des travaux que cette
maladie
a inspirés et qui nous ont amenés à sa concepti
des symptômes. Ce sont là les traits essentiels, fondamentaux de la
maladie
. Comme phénomènes contingents dans le tableau g
place prépondérante que semble leur assigner le titre même de cette
maladie
. Voyons maintenant comment l'hystérie peut simu
d'autres termes, y a-t-il dans l'hys- térie d'une part, clans cette
maladie
organique des centres nerveux d'autre part, des
s avoir examiné parallèlement chacun des symptômes principaux de la
maladie
copiée par l'autre. (1) P. Marie, Dict. encyc
91. (6) Axenfeld et IIuchard, Traité des névroses, 1883, p. 1011.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 347
ssante et déjà si chargée cle la simulation hystérique des diverses
maladies
du système nerveux. Poursuivant notre comparais
r encore l'existence possible de troubles de la sensibilité dans la
maladie
organique et à plus forte raison dans l'hystéri
Les ressemblances sont donc nombreuses et importantes dans les deux
maladies
; l'une peut copier l'autre sans cesser d'être el
les cas où la simulation est possible, c'est- à-dire les cas où la
maladie
organique, affectant un type dégrade, peut se c
insisté plutôt sur la similitude des symptômes que sur leur antago-
MALADIES
ORGANIQUES DE L'IL>iCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 9
a vécu quelque temps auprès de sa grand'mère, avant l'époque de sa
maladie
, et son imagina- tion paraît encore frappée de
er de mécanicien, il est souvent forcé de s'interrompre pour cause de
maladie
: c'est un alcoolique et un fumeur. Il y a envi
; nous le prions d'agréer une fois de plus tous nos remerclments.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 351
s tremblements à l'ctat de repos. A. Jambe droite. B. Bras droit.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 353
t en légère adduction pourrait d'abord faire croire à un Fig. 44.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 355
à la première expé- rience par la pointe électrique. Marche de la
maladie
. A partir de la première application d'électricit
DE REPOS - État DE MOUVEMENT Ty. BATAILLEZ oS : t-CIF.J Éditeurs
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 357
nfants parmi lesquels 7 sont morts, tous dans le premier âge, et de
maladies
étrangères au système nerveux. Pour ce qui rega
ien caractérisées. C'est-à-dire, que les deux phénomènes, (1) Voyez
Maladies
du système nerveux, t. III, p. 323 et suivantes.
o, Directeur de l'Ecole de médecine et professeur de Clinique des
maladies
du système nerveux : l Santiago (Chili). LA FAR
traire, on ne peut se promettre rien de cette manipulation dans les
maladies
de la moelle épinière et des viscères. En ce qui
ormale. La séance durait 3, 5, 10 minutes. La douleur causée par la
maladie
cédait à notre faradisation en même temps que pâl
t pas du tout fugace; il peut durer plusieurs heures comme dans les
maladies
des membres dont nous avons parlé plus haut. Notr
n vaso-motrice suffise seulepour guérir lamy- ringite et les autres
maladies
de l'oreille. Tout en étant un moyen puissant (
rtébrale qui est destinée à la moelle épinière. C'est donc dans les
maladies
de cet organe qu'il faut recourir à la faradisati
hi- sie, et la raison en est claire. Dans une période avancée de la
maladie
la faradisation de la région claviculaire n'est
s, en général plus d'importance pour le pronostic que la date de la
maladie
à l'exclusion toutefois des cas tout à fait inv
a myélite, parce que tout le monde est d'accord sur la nature de la
maladie
; c'est une affection inflammatoire. Tout en reco
e comportait. PAUL Richer, Chef du Laboratoire de la Clinique des
maladies
du système nerveux. (1) Parmentier, De la for
thies coxo-fémo- rales au début du -), par Charcot, 121. Thomsen,
maladie
de (Contribution à l'étude de l'excitabilité él
électrique dans la -), par Huet, 1, 92, 169, 229. Traitement des
maladies
du système ? ici,- veux (Considérations sur le
ophiques des mains et des avant-bras d'origine probablement ), 2.
Maladie
de Thomsen, 1, 2. Maladie de Parkinson (Attitud
avant-bras d'origine probablement ), 2. Maladie de Thomsen, 1, 2.
Maladie
de Parkinson (Attitude anormale simulant un tor
sement du champ visuel ' dans l' -), 44, 45; (Tremblement -), 43.
Maladie
de Thomsen (Tracés de secousses musculaires dan
, 14, 15, 16, 17, 22, 23, 24, 25, 21, 28, 29, 30, 31, 32, 33, 34.
Maladie
de Parkinson (Attitude anormale dans la -), 2G.
ONS DU PROGRÈS MÉDICAL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
maladies
i min mm M. le Professeur CHARCOT Leçons du P
recueil qui paraît aujourd'hui. J.-M. CHARGOT. Mars 1892. De la
Maladie
de Morvan. (Leçon du 6 décembre 1889). Sommai
889). Sommaire. — Étude des divers troubles trophiques des doigts :
maladie
de Maurice Raynaud (gangrène symétrique des extré
phalanges, macules de morphea rubra ou alba sur le reste du corps).
Maladie
de Morvan : historique; caractères des panaris, l
de vue clinique et anato-mo-pathologique. Relation d'un cas type de
maladie
de Morvan compliqué d'hystérie. Superposition des
angrène symétrique des extrémités, doigts, orteils, nez, oreilles, ou
maladie
de Raynaud, Mais nous ne ferons que l'indiquer en
mie est encore discutée par quelques auteurs. Je veux parler de cette
maladie
que le médecin qui l'a le premier décrite, Ma le
e nous appellerons plus volontiers, pour plus de commodité, du nom de
Maladie
de Morvan. La mutilation est ici produite par des
e et de la lèpre mutilante et si je ne borne pas mon étude à la seule
maladie
de Morvan, c'est surtout pour me mettre en mesure
lques exemples d'affections mutilantes des mains, un cas typique de
maladie
de Morvan, qui se trouve actuellement dans le ser
lègue, M. Hanot. Il était d'ailleurs opportun de vous parler de cette
maladie
, après nos récentes leçons sur la syringomyélie,
fesseur Bail, qui en a fait une importante étude, est une forme de la
maladie
, décrite autrefois par Alibert, puis en 1845 par
dans la sclerodermie dactylique. J'ajouterai qu'à aucune époque de la
maladie
(je connais cette femme depuis bien des années),
trer. Il n'y a pas de raison pour en faire la cause primordiale de la
maladie
. D'autre part, dans ces cas, Pierret a constaté l
bien possible, étant donnée la symétrie des lésions et la marche delà
maladie
, on ne la connaît du moins pas encore. Mais res
cléro-dermique, d'une importance capitale dans le diagnostic de cette
maladie
. Arrivons maintenant à la lèpre. C'est de la fo
tuberculeuse, elle lui est cependant identique au fond. C'est la même
maladie
parasitaire, infectieuse, produite par le bacille
lleurs, les deux formes coïncident. C'est aujourd'hui pour nous une
maladie
exotique, à peu près inconnue dans notre pays. Je
, la Grèce, la Turquie, la Norvège où il y a des léproseries et où la
maladie
porte le nom de Spedalsked. Je ne parle pas de l'
rte le nom de Spedalsked. Je ne parle pas de l'Asie (la lèpre est une
maladie
biblique), ni de l'Afrique et de l'Amérique du Su
Nous allons apprendre maintenant à distinguer l'une et l'autre de la
maladie
de Morvan. Messieurs, avant de procéder à l'exa
ait concernant ce complexus pathologique — je n'ose dire encore cette
maladie
— d'après les travaux de M. Morvan lui-même et ce
agne, connu déjà par une intéressante contribution à l'histoire de la
maladie
dite cachexie pachy-dermique ou myxcedème, n'a pa
la gliomatose médullaire (Arch. de Neurol., 1889), assimile les deux
maladies
Tune à l'autre et n'en veut faire qu'une seule.
mportante découverte de l'analgésie. Je cite ici textuellement : « La
maladie
que nous « avons en vue d'étudier consiste dans l
recherches de M. Morvan. Arrivons maintenant à l'aspect général de la
maladie
, telle qu'il l'a décrite. Les trois phénomènes
relative et surtout thermoanesthésie. Il n'en est pas de même dans la
maladie
de Morvan. Le troisième phénomène du syndrome q
e particularité, pour ne pas être tenté de repousser le diagnostic de
maladie
de Morvan, par ce seul fait que l'on aurait const
tiologie, de la marche et de la durée, du pronostic, etc. C'est une
maladie
dont l'évolution est excessivement longue dans la
de l'extinction, complète en apparence, de tous les symptômes, que la
maladie
est arrêtée. En effet, dans le cas de Prouff, il
rrez, est breton lui aussi. Mais il est bien connu aujourd'hui que la
maladie
en question peut s'observer partout. Elle semble
e je vous ai dit au début de cette leçon. Vous ne confondrez pas la
maladie
de Morvan avec la sclérodermie, parce que, dans c
bles , c'est de sphacèle surtout qu'il s'agit. Arrivons enfin à une
maladie
dont je vous ai entretenus dans mes précédentes l
us ai entretenus dans mes précédentes leçons et qui présente, avec la
maladie
de Morvan, des analogies assez accentuées pour qu
e la sensibilité, mais ceux-ci sont beaucoup plus étendus que dans la
maladie
qui nous occupe, et, déplus, ils ne portent pas,
ntellement ; il ne constituerait pas, comme cela parait être clans la
maladie
de Morvan, le phénomène prédominant (1). J'ajoute
tic post-mortem. Connaît-on le substratum anatomique qui produit la
maladie
de Morvan? Les uns disent qu'il s'agit de névrite
n n'a jamais, soit dit en passant, cherché ni fourni la preuve que la
maladie
de Morvan fût de nature infectieuse et causée par
ssentielle. La parésie et l'analgésie sembleraient accessoires, et la
maladie
de Morvan serait surtout, comme le dit cet auteur
l'obligeance de M. Hanot, et qui présente un exemple classique de la
maladie
de Morvan, avec quelques particularités, cependan
une fièvre typhoïde. Ce qui est parfaitement sûr, c'est qu'il fit une
maladie
grave, fébrile, puisqu'il se souvient d'avoir été
en 1888, sont consignés dans la thèse de M. d'Oger de Spéville sur la
maladie
de Morvan. Ils sont identiques à ce que nous avon
Fig. 3. — Déformations et mutilations persistantes produites par la
maladie
de Morvan (face palmaire). Chose remarquable, l
Fig. 4. _ Déformations et mutilations persistantes produites par la
maladie
de Morvan (face dorsale). gauche (4 cent, à gau
première fois observé par M. Hanot, il présentait bien le type de la
maladie
de Morvan, telle que je vous l'ai décrite en comm
raisemblable, que l'hystérie s'est surajoutée chez notre homme à la
maladie
de Morvan. A quelle époque cette complication e
e incapacité de travail définitive. Au trouble profond apporté par la
maladie
, s'est joint chez cet homme le chagrin de se voir
hystérique est survenue, se superposant à l'anesthésie limitée de la
maladie
de Morvan et, lorsque pour la seconde fois le mal
au contraire, nous sommes beaucoup plus désarmés en ce qui touche la
maladie
de Morvan. Nous ne pouvons même pas dire qu'elle
l est mort il y a peu de temps ; le malade n'a pu nous dire de quelle
maladie
. Sa mère est encore vivante; elle est bien portan
Sa mère est encore vivante; elle est bien portante, n'a jamais eu de
maladies
nerveuses, ni d'attaques de nerfs. Tous ses frère
i aux poumons. Pas de sucre dans les urines. Pas d'alcoolisme. Pas de
maladies
antérieures. « Considérant que la monoplégie co
nesthésie dans les monoplégies hystériques, s'il n'existait une autre
maladie
dans laquelle on rencontre également des troubles
ribués de la même manière, c'est-à-dire par segments de membre. Cette
maladie
est la syringomyélie. Mais, d'autre part, à ne co
es entre elles ! Je ne parle pas de leur nature, l'hystérie étant une
maladie
de nature dynamique, j'entends par là une maladie
'hystérie étant une maladie de nature dynamique, j'entends par là une
maladie
dans laquelle les lésions matérielles n'ont pas e
, etc. Ce n'est pas à dire que souvent le diagnostic entre les deux
maladies
ne soit pas difficile. Les atrophies musculaires
ie, chez l'homme comme chez la femme d'ailleurs, est bien souvent une
maladie
tenace, difficile à guérir et rebelle à tous les
) Briquet. — Traité de l'hystérie, p. 478. (2) Voyez Leçons sur les
Maladies
du Système nerveux, t- III, p. 213, et Leçons du
e forme, pourra simuler toutes les espèces de tremblements liés à des
maladies
organiques ou purement névropathiques. Combien ne
par une sclérose en plaques ou une paralysie agitante, ou encore une
maladie
de Basedow, mais qu'il est tout simplement une ma
2. Imite la paralysie agitante ou le tremblement sénile. Imite la
maladie
de Basedow, le tremblement alcoolique, celui de l
paralysie agitante est le prototype du tremblement oscillatoire ; la
maladie
de Basedow, les tremblements de l'alcoolisme, de
volontaires. Ces deux espèces de tremblement se rencontrent dans des
maladies
bien distinctes. La première dans la sclérose en
ique ou encore hémiplégique, tout comme les tremblements des diverses
maladies
qu'ils peuvent imiter. Vous n'oublierez jamais,
me. Cela constitue un contraste frappant avec ce qui se voit dans les
maladies
à tremblement pouvant être simulées par l'hystéri
remblement de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques, de la
maladie
de Basedow enfin, ne présente pas une pareille mo
hilis. Jamais il n'a abusé des boissons alcooliques. Le début de la
maladie
actuelle remonte à l'année 1887. Un jour du mois
de la sclérose multiloculaire des centres nerveux. Est-ce donc de la
maladie
en question qu'il s'agirait dans notre cas ? C'es
ndes. Il occupe les quatre membres et rappelle absolument celui de la
maladie
de Basedow. Mais il suffit tout de suite de con
rès une première attaque hystérique, il ne peut être attribué ni à la
maladie
de Basedow, ni à la paralysie générale progressiv
ement l'attaque. Voilà donc bien établie la nature hystérique de la
maladie
de cet homme et de son tremblement. Cependant, il
âgé de 39 ans, cultivateur, est entré dans le service de clinique des
maladies
nerveuses le 1G janvier 1890. On ne connaît rie
equel il n'en eut qu'une seule. Plus tard, jusqu'à l'apparition de la
maladie
actuelle, il n'en eut point du tout. Ses attaques
rd, quand il s'engagea* il n'en était plus question. Histoire de la
maladie
. — Il y a deux ans (février \88$), sans motif, sa
éressante déjà et si chargée de la simulation hystérique des diverses
maladies
du système nerveux (1). (I) Voir sur ce sujet l
d'or des hôpitaux, sur les syndromes hystériques « simulateurs » des
maladies
organiques de la moelle épinière (th. Paris, 1891
ions gastriques. Quelques au-teursajoutent àla caractéristique que la
maladie
n'offre aucun danger. Il est vrai qu'il en est ai
ourra prévoir si la migraine et la paralysie, clans l'évolution de la
maladie
, se localiseront à l'avenir du côté droit ou, au
nre. 1° Cas de Mœbius doc. cit.) Il s'agit d'une fille de 6 ans. La
maladie
a débuté à l'âge de 1 an. Les accès ont eu lieu s
'agit plus alors, ainsi que l'a parfaitement relevé M. Senator, d'une
maladie
périodique clans l'acception rigoureuse du mot, m
die périodique clans l'acception rigoureuse du mot, mais plutôt d'une
maladie
continue avec exacerbations périodiques. C'est là
produit à de certaines époques chez notre malade d'aujourd'hui. La
maladie
commence en général dans l'enfance : à 11 mois, 4
dans 4 cas. Il est des cas, comme celui de Marie et Parinaud, où la
maladie
paraît tendre à la guérison, mais je ne crois pas
nin, et il y a eu du côté maternel une tante aliénée. Les cas où la
maladie
tend à s'aggraver progressivement semblent beauco
et qui, en dehors de ses accidents migraineux, n'a jamais souffert de
maladies
sérieuses. Je ne rappellerai pas ses antécédents
a quelques exceptions à la règle et, d'ailleurs, chez notre sujet, la
maladie
d'aujourd'hui a été précédée par des accès de cép
s, l'affection migraineuse semble tendre à prendre ce caractère d'une
maladie
continue avec exacerbations périodiques dont parl
Antécédents héréditaires, côté maternel : Mère morte à 71 ans d'une
maladie
du foie. Grand-père mort devieillesse. Une tante
adie du foie. Grand-père mort devieillesse. Une tante est morte d'une
maladie
du foie; e^e a été prise de troubles mentaux à la
es de feu qui ont été pratiquées, à diverses reprises, au début de la
maladie
. Lqs antécédents héréditairesmériteht de nous a
ète, caractéristique, de tout un segment de membre. A ce moment, la
maladie
, loin d'être améliorée par les divers traitemen
i d'autres causes ayant provoqué le développement de la névrose. Sa
maladie
a débuté, il y a trois ans, par des vertiges auxq
le malade, ainsi que je l'avais prévu dans la première période de sa
maladie
, est sujet à des grandes attaques d'hystérie clas
confondrez pas non plus avec l'asphyxie symétrique des extrémités, ou
maladie
de M. Raynaud. Celle-ci présente avec l'œdème ble
'avons jamais rencontré dans l'œdème bleu des hystériques. De plus la
maladie
de Raynaud procède d'une façon progressive et non
vibles,d'appareils plâtrés, etc..., dont l'application au début de la
maladie
a produit de si désastreux effets chez notre mala
arents bien portants, vivant encore. 2 sœurs, dont l'une, atteinte de
maladie
nerveuse, est en traitement dans le même service.
uvient pas d'avoir été malade étant petite, ni plus tard. Sa première
maladie
serait, dit-elle, la maladie actuelle. Il y a 1
étant petite, ni plus tard. Sa première maladie serait, dit-elle, la
maladie
actuelle. Il y a 11 mois passés elle portait un
ssa à cet hospice, ayant sans doute reconnu la véritable nature de sa
maladie
(1). Les douleurs de hanche, qui se confondaien
s ascendants et les collatéraux, il est bien certain cependant que la
maladie
n'a pu se développer ainsi de toutes pièces chez
e est faite aujourd'hui et qu'après tout ce qui a été écrit sur cette
maladie
si simple il ne reste plus grand'chose à en dire.
ible au chatouillement. Douleurs dans le pied depuis le début de la
maladie
, continues, sourdes, entrecoupées par des élancem
ouchements antérieurs normaux et sans accidents consécutifs. — Pas de
maladies
antérieures, sauf une variole grave. Dernier ac
s personnels sont également à peu près négatifs en ce qui concerne la
maladie
actuelle. Rougeole dans l'enfance; pas de convuls
première atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'humidité. La
maladie
dura un mois environ. La douleur était localisée
on. Pendant deux ans et neuf mois le malade souffre des retours de sa
maladie
et pondant tout ce temps il en présente les sympt
lité externe en ce qui touche l'anesthésie. Quant à l'étiologie de la
maladie
, elle nous échappe, mais du moins on ne peut incr
ortante. Pas de coqueluche, pas de chorée, pas de convulsions. Pas de
maladies
infectieuses, sauf la rougeole. Elle est réglée d
feu à la fesse. Elle a fait un long séjour à l'hôpital au début de la
maladie
et depuis se soignait seule chez elle. Etat act
nts hystérogènes : iliaque, testicule gauche. Depuis le début de sa
maladie
, M... est d'un caractère triste. Il a mangé toute
de la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été décrits dans cette
maladie
. La raison est bien simple. On pourrait penser év
t avoir suffi pour déterminer de toutes pièces le développement de la
maladie
; les marches forcées, le séjour longtemps assis
uoique n'ayant jamais vécu dans des pays marécageux. Histoire de la
maladie
. — Vers le mois de mai 1890 apparaissent les prem
a plus de cent ans, par Cotugno, étudiée avec soin par Valleix, cette
maladie
paraissait désormais classée, lorsque Lasègue déc
éditaires n'offrent rien d'intéressant à relever au point de vue delà
maladie
qui nous occupe. Notons en passant qu'il ne conna
dans le cas présent, elle ne constituerait pas à elle seule toute la
maladie
. Je ne reviens pas sur l'alcoolisme. Je vous ai
ralysés. Ce mécanisme contraste avec celui qui régit le masque delà
maladie
de Parkinson qui, en raison de la fixité du regar
gies sine materia, qui se sont montrées plusieurs fois combinées à la
maladie
de Basedow, et qui ont été récemment étudiées ave
de la parole, mort), de de Grœfe et de Mauthner. D'autres fois, la
maladie
reste stationnaire. Birsdall cite2 faits où l'aff
r. On voit le syndrome Ophthalmoplegie externe se combiner à d'autres
maladies
des centres nerveux, parmi lesquels on peut citer
s ganglionnaires de la moelle. L'ophthalmoplégie concomitante de la
maladie
ataxi-que ne modifie pas beaucoup, que l'on sache
e existe dans les muscles les plus affectés. Mais on sait que dans la
maladie
de Duchenne la réaction de dégénérescence est dif
les membres supérieurs furent pris. C'est 3 mois après le début de la
maladie
qu'il s'est aperçu du ptosis dont vous remarquez
à peu près fatalement, et bien minime est la proportion des cas où la
maladie
se serait arrêtée. La combinaison de la polio-enc
ère calme, n'a jamais eu d'accidents nerveux avant l'apparition de la
maladie
actuelle. Il nie toute infection syphilitique. En
et un ans, d'origine anglaise, née d'un père ataxique. Début de la
maladie
il y a trois ans par l'apparition lente et progre
Antécédents personnels. — Le malade ne se rappelle avoir fait aucune
maladie
étant enfant. De quatorze à dix-huit ans il eut
s avoir fait la campagne de 1870 à 1871, pendant laquelle il n'eut ni
maladies
ni blessures, il acheva son service dans les colo
cette époque (1876) jusqu'en 1888, le malade n'eut absolument aucune
maladie
. Histoire de la maladie actuelle. — Elle débuta
'en 1888, le malade n'eut absolument aucune maladie. Histoire de la
maladie
actuelle. — Elle débuta dans le cou-rant de l'ann
lement. Il avoue avoir fait quelques excès alcooliques au début de sa
maladie
, lorsque, accablé d'une lassitude perpétuelle, il
us de force. Tout alla de mal en pis, si bien qu'après quatre mois de
maladie
, Peyn..., complètement infirme, demandait à entre
de y remédiait en partie en contractant son frontal. Aujourd'hui la
maladie
est en voie d'amélioration : la chute de la paupi
elève que le malade a dans sa jeunesse été atteint d'épilepsie. Cette
maladie
aurait cessé complètement depuis trente ans. Il y
migraines. En 1889 il eut un catarrhe de la vessie. Histoire de la
maladie
actuelle. — En janvier 1890 le malade fut atteint
huit. Tout cela resta sans influence bien nette sur l'évolution de la
maladie
, qui était d'ailleurs sujette, presque d'un jour
n. Il est possible que l'on ne doive pas l'attribuer au progrès de la
maladie
elle-même. En effet le malade était médecin, se r
tionné dans l'observation ci-dessus, à reconstituer l'évolution de la
maladie
. Cet auteur donne avec quelques détails complémen
s dont il était atteint. Dans ces trois cas de polioencéphalite, la
maladie
n'a pas évolué de la même manière. Chez le premie
être confondue avec un certain nombre d'autres affections, avec les
maladies
amyotrophiques en particulier. Pour la distinguer
dans le segment supérieur de leur corps. On les trouve aussi dans la
maladie
de Duchenne-Aran, dans laquelle les localisations
point de polioencéphalite. Point de faciès spécial, en effet, dans la
maladie
de Ducheime-Aran, pas de chute des paupières, pas
seul, en dehors de toute amyo-trophie du côté des membres, lorsque la
maladie
débute par le bulbe. Mais en n'envisageant que le
be. Mais en n'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la
maladie
de Charcot très fréquemment le même port de tête
a-bitus extérieur est très frappant chez les sujets atteints de cette
maladie
. En ce qui concerne les épaules et le segment sup
is, et qui permettent presque de faire à distance le diagnostic de la
maladie
myopathique. On peut en dire autant du faciès s
ques. Ce n'est pas une raison pour douter de l'origine centrale de la
maladie
. Pour ne parler que des réactions électriques,
triques (1) des conclusions légitimes contre l'origine centrale de la
maladie
, démontrée, ainsi que cela a été plusieurs fois c
e Dr Vi-gouroux, chef du service électrothérapique de la clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière. Nous en dirons auta
'une polynévrite. De plus notre malade n'était plus, à l'époque où sa
maladie
a débuté, sous l'influence du poison plombique et
dans ce cas d'un malade, dont l'âge n'est pas connu, mais chez qui la
maladie
semble, en raison des renseignements fournis dans
sinon complètement, du moins en grande partie. Existe-t-il d'autres
maladies
amyotrophiques avec lesquelles on pourrait confon
rès particuliers et qu'on ne rencontre ainsi réunis dans aucune autre
maladie
: faciès d'Hutchinson et amyotrophies. Sur un c
anaris analgésiques {Type Morvan) (1). Sommaire. — Syringomyélie et
maladie
de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'uni
troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la
maladie
de Morvan. Caractères des troubles de la sensibil
t souvent dans ces deux dernières années de la syringomyélie et de la
maladie
de Morvan, deux formes noso-graphiques récemment
ts morbides, sur la question de savoir s'ils doivent représenter deux
maladies
autonomes parfaitement séparées l'une de l'autre,
s de mars 1891, recueillie par M. Blocq. cas, le groupe morbide dit
maladie
de Morvan ne serait plus qu'un épisode, une forme
Société médicale des hôpitaux, que la symptomato-logie assignée à la
maladie
de Morvan peut relever tout entière des lésions s
. Cela me paraît être désormais une querelle vidée. Il n'y a pas deux
maladies
distinctes : il n'y en a qu'une, et la maladie de
ée. Il n'y a pas deux maladies distinctes : il n'y en a qu'une, et la
maladie
de Morvan, comme je le disais tout à l'heure, rep
ginale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la
maladie
syringomyélique (1). Mais, peut-être se trouve-
niquement les symptômes syringomyé-liques et ceux qu'on attribue à la
maladie
de Morvan peuvent se trouver sur un même sujet, c
genre. Il établit (1) Voir à ce sujet (¹ I, p. 17) la leçon sur la
Maladie
de Morvan, délivrée le 6 décembre 1889, c'est-à-d
thologiques. (G. G.). en quelque sorte la transition entre les deux
maladies
qu'on dit distinctes. Parmi les partisans de la d
ères de la syringomyélie, les autres que les traits distinctifs de la
maladie
de Morvan y sont très accentués. Pour nous, il s'
élie, et de l'autre côté en quoi consiste le groupe symptomatique dit
maladie
de Morvan. Ainsi seulement vous pourrez apprécier
hystérie ; la névrose ajoute alors ses symptômes propres à ceux de la
maladie
organique et c'est probablement ainsi qu'il faut
oire régulière. On connaît cependant déjà des cas asymétriques, où la
maladie
se présente sous forme de monoplégie, d'autres où
e qu'il n'y a pas dissociation. Le tact serait toujours perdu dans la
maladie
de Morvan et ce serait là un caractère fondamenta
la syringomyélie, les panaris analgésiques seraient la règle dans la
maladie
de Morvan. Dans l'un et l'autre casd'ailleurs il
orvan reconnaît, lui, théoriquement, pour substratum anatomique de la
maladie
par lui décrite, une lésion spinale centrale occu
rs auxquels je faisais allusion tout à l'heure ont émis l'avis que la
maladie
de Morvan, marquée anatomi-quement par des névrit
à Reims, par exemple, à Tubingue, à Moscou, etc. L'hypothèse de la
maladie
de Morvan, névrite périphérique endémique, à l'ex
faire valoir bien d'autres arguments encore qui tendent à établir que
maladie
de Morvan et syringomyélie c'est tout un. Et d'
r être conduit à penser que le syndrome de Morvan ne répond pas à une
maladie
autonome, mais représente seulement un épisode de
ar la clinique comme de par l'anatomie pathologique, syringomyélie et
maladie
de Morvan ne font qu'un. Toutefois, en raison de
uelques troubles trophi-ques qui dépassent un peu le cadre tracé à la
maladie
de Morvan. Telles sont les trois escarres spontan
Le voilà, hélas ! à l'âge de 26 ans, mutilé, infirme ; sans doute la
maladie
pourra s'arrêter dans son évolution et peut-être
ntraire, elles ne pouvaient pas être consécutives et produites par la
maladie
sucrée, au lieu de lui avoir donné naissance. Tan
Il ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du diabète vrai, du diabète
maladie
constitutionnelle, par vice de la nutrition, soit
ues et la névralgie symétrique apparaissait en pleine évolution de la
maladie
. L'observation de M. Worms a été maintes fois rep
ine ou encore y être représenté par un taux peu élevé et cependant la
maladie
s'accompagner de symptômes graves. Peut-être, dan
certaine analogie avec le tabès et une confusion possible avec cette
maladie
à sa période préataxique. Mais quelques auteurs
ue. Il n'y aurait plus pour faire le diagnostic de l'ataxie liée à la
maladie
sucrée que l'absence des troubles oculaires tabét
grands parents. Antécédents personnels. — Il ne se rappelle aucune
maladie
pendant l'enfance. A partir de vingt-neuf ans, il
f insatiable, ni sur le mode de début et l'évolution ultérieure de la
maladie
dont il est atteint. Mais je veux relever dans so
ssemble à la paraplégie alcoolique. Après ce parallèle entre les deux
maladies
, qui peut être suivi à peu près dans tous les ter
second. Dans celui-ci il s'agit encore du tabès vrai; mais avec cette
maladie
coexiste le diabète vrai, qui la suit ou la précè
s chez le même sujet sans qu'il y ait combinaison véritable. Les deux
maladies
restent distinctes, autonomes, chez cet individu,
est intéressant pour vous de constater. Parlons tout d'abord de la
maladie
constitutionnelle cause de tous les accidents, pa
re que divers traitements médicamenteux ont été employés contre cette
maladie
et qu'aucun n'a donné de résultats appréciables.
es phénomènes observés chez les alcooliques paralytiques et que notre
maladie
a présentés à un haut degré. Je veux parler d'abo
ber à chaque instant dans des diagnostics erronés en prenant pour une
maladie
à lésion organique une affection qui n'en comport
l'étranger où la conversion « à l'hystérie mâle considérée comme une
maladie
fréquente chez les travailleurs manuels », est en
à l'existence de la lèpre, du béribéri, de la fièvre jaune et autres
maladies
exotiques, bien que ce soient là des affections q
pu faire, des documents sur lesquels se fonde la connaissance de ces
maladies
. Il devrait en être de même en matière d'hystérie
decin peut contribuer souvent à répandre l'hystérie et à en faire une
maladie
épidémique. Surtout ne dorlotons pas trop l'hysté
ères de l'hystérie Iraumatique, dont on a voulu faire bien à tort une
maladie
à part sous le nom de névrose Iraumatique. En r
us ne connaissons encore que l'état actuel, étudier l'évolution de la
maladie
, les antécédents, et rechercher surtout les diver
d'un caractère difficile et sujet à des emportements violents. Pas de
maladies
caractérisées pendant cette période. Nous parlero
Avec la névrose hystérique, cette simulatrice toujours téconde des
maladies
organiques des centres nerveux, il faut s'attendr
edit., t. V, p. 326. 5 Gintrac. — Traité théorique et pratique des
maladies
de Vappareil nerveux. Paris, 1869, t. IV, p. 860.
ssez régulières quoique peu colorées et peu abondantes. Début de la
maladie
actuelle. — Vers l'âge de douze ou treize ans, sa
ue dans la pathologie nerveuse, a pris rang, vous le savez, parmi les
maladies
spinales. Elle a suscité déjà d'importants travau
ntenant de discerner les formes imparfaites, les formes frustes de la
maladie
, et l'histoire de ces 1 Leçon du 5 mai 1891, re
une preuve que les plus habiles peuvent parfois s'y méprendre, car la
maladie
incriminée n'est en réalité aucunement en cause ;
e hypothèse. Le traumatisme que nous avons relevé à l'origine de la
maladie
présente, figure-t-il parmi les facteurs étiologi
pement d'un gliôme des centres nerveux. Vaut-il mieux admettre que la
maladie
, latente jusque-là, a été seulement accélérée dan
c'est l'existence d'une scoliose qui s'est développée au cours de la
maladie
. J'ai fait marquer sur le dos du sujet la ligne d
et 1890 (1). • On accuse les médecins d'inventer chaque jour des
maladies
nouvelles. Ce reproche, s'il était formulé sérieu
formulé sérieusement, serait mal fondé. Sans doute, il n'y a guère de
maladies
nouvelles sous le soleil. La plupart des « espèce
si l'on en voit une apparaître tous les cent ans. Mais nous appelons
maladies
nouvelles celles que nous parvenons à isoler dans
le savions pas hier. Il n'y a donc, en fait, rien de nouveau dans ces
maladies
, si ce n'est le nom dont on les baptise. Or si la
omyélie ne remonte pas à plus cle huit ou dix ans. Chaque fois qu'une
maladie
est tirée ainsi de l'obscurité, on cherche à lui
certain nombre d'années, et n'apparaître que fort tard, alors que la
maladie
existait déjà depuis fort longtemps, ne s'étant j
sements, ni vertiges, ni chorée ; il affirme n'avoir jamais eu aucune
maladie
vénérienne ; il est très sobre, boit très peu à s
accidents n'ont, du reste, aucun rapport avec le développement de sa
maladie
, comme on va le voir. Celle-ci, en effet, sembl
l lui raconte tout d'abord que M. Charcot l'a soigné en 1875 pour une
maladie
extraordinaire « n'ayant pas encore de nom dans l
l'ataxie. A l'hémiplégie spasmodique, qui constituait alors toute la
maladie
, se sont ajoutées des manifestations nerveuses di
iagnostic sera formel et que M. Charcot prononcera enfin le nom de la
maladie
extraordinaire qui n'avait pas encore « de nom da
est même exagéré. Toutefois, loin de rester le phénomène unique d'une
maladie
spinale indéterminée, il s'est compliqué de sympt
en permanence, de façon à constituer, trente ans après le début de la
maladie
, un ensemble symptoma-tique dont la signification
trophique, limité à l'extrémité du membre malade, à une variété de la
maladie
de Marie. Il s'agirait, en d'autres termes, d'une
dentifier avec l'acromegalie proprement dite. L'acromegalie est une
maladie
dont le type est à peu près invariable ; elle se
ions symp-tomatiques sont sujettes à varier ; que le type idéal de la
maladie
n'est pas réalisé dans tous les cas ; que l'hyper
mple de ces troubles trophiques qui se montrent au cours de certaines
maladies
de la moelle ou des racines et des nerfs périphér
t dans la presse, au sujet de l'identité de la syringomyélie et de la
maladie
de Morvan, (1) Ein Fall von Syringomyelie und e
Il existe évidemment de grandes analogies sympto-matiques entre la
maladie
de Morvan et la syringo-myélie. Toute la question
se réduisent pas à une question de degré ; en d'autres termes, si la
maladie
de Morvan n'est pas une simple variété de la glio
des troubles trophiques périphériques sur les autres symptômes de la
maladie
complète. Dans cette dernière hypothèse, la mal
symptômes de la maladie complète. Dans cette dernière hypothèse, la
maladie
de Morvan reconnaîtrait, cela va sans dire, pour
L'observation de M. Gombault est relative à un bas-breton atteint de
maladie
de Morvan. Celle de M. Joffroy concerne une femme
trée dès aujourd'hui l'identité de nature de Iasyringomyélie et de la
maladie
de Morvan, il resterait à envisager, au point de
e Todd, intitulé : Leçons cliniques sur la paralysie et sur certaines
maladies
du cerveau. Il y a là une description très exacte
thérapeutique. Trop souvent, dans cet hospice, en face des nombreuses
maladies
cérébro-spinales qui se présentent à nous, nous d
e et de ses enfants, la rue qu'il habite, les divers événements de sa
maladie
, etc., etc. Je vous ferai remarquer en passant qu
la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette
maladie
. Lésions de la papille du nerf optique; diagnosti
s la sclérose en plaques. Cette affection est régie, comme les autres
maladies
chroniques du système nerveux, par des lois d'u
c'est que la sclérose en plaques n'appartient pas à la catégorie des
maladies
fatalement progressives et incurables. Sa marche,
rmale (1). Je puisais mes principaux arguments dans l'évolution de la
maladie
. On trouvait en effet, dans son histoire passée,
odiquement, il ne vous restera plus qu'à interroger l'évolution de la
maladie
avec ses arrêts et ses rémissions si caractéristi
B). Les formes atypiques abortives ou frustes primitives. — Ici la
maladie
a subi un arrêt de développement et n'est jamais
et de tabes proprement dit. Nous éliminons ici, cela va sans dire, la
maladie
juvénile que l'on appelle ataxie héréditaire ou d
constate des signes de tabes et des signes de sclérose disséminée. La
maladie
de Friedreich constitue, en effet, une entité mor
refois et s'est en grande partie effacée avec le temps. Assurément la
maladie
peut encore être reconnue aujourd'hui, mais, à co
être songer à une myélite transverse, à une lésion cérébelleuse, à la
maladie
de Friedreich. Détrompez-vous ; ces diverses affe
ystagmus, vous serez, je pense, entièrement fixés sur la nature de la
maladie
présente. Mais il y a encore, dans l'histoire de
er que la sclérose en plaques se développait souvent à la suite d'une
maladie
infectieuse ou d'une maladie aiguë. C'est là, vou
se développait souvent à la suite d'une maladie infectieuse ou d'une
maladie
aiguë. C'est là, vous disais-je, un point sur leq
jour, que l'affection a débuté (1} P. Marie. Sclérose en plaques et
maladies
infectieuses. {Progrès rnéd., 1884, p. 287.) ch
le qui fait le sujet de cette remarquable observation. Ainsi donc, sa
maladie
s'est développée dans le cours d'un rhumatisme ar
ence que le tableau complet peut se dégrader, s'user, s'effacer et la
maladie
s'acheminer vers la guérison. Il n'y a, du reste,
ennuis et des malheurs que e passerai sous silence. Le début de sa
maladie
date déjà de neuf ans ; il a été marqué par de la
zeilles par les Allemands en 1870. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de
maladies
nerveuses. Une sœur de la malade est morte de la
ions; pas de coqueluche. Rougeole en 1871. Elle n'a fait aucune autre
maladie
jusqu'en 1875, à l'âge de 9 ans, où elle fut atte
st entrée le 7 août 1888 à la Salpêtrière, service de la Clinique des
maladies
du système nerveux. Antécédents héréditaires. —
e, âgée actuellement de vingt-quatre ans, a eu, à dix-huit ans, « une
maladie
de nerfs » caractérisée par un hoquet persistant
ents héréditaires. — 1° Côlé paternel. — Son père est atteint d'une
maladie
de cœur. Il est sujet à de violentes colères. Son
dix-neuf ans, se présente à la consultation externe delà Clinique des
maladies
du système nerveux, avriH890. Antécédents héréd
re apathique, inintelligent. Antécédents personnels. Histoire de la
maladie
. — La malade a été réglée avant douze ans, assez
e depuis quelque temps elle perd beaucoup plus. Elle n'a jamais eu de
maladies
antérieures, notamment jamais de danse de Saint-G
rente ans, employée, sè présente à la consultation de la Clinique des
maladies
du système nerveux, au mois de mai 1890. Antécé
rhumatisant. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune
maladie
nerveuse ou mentale. Il était parfaitement sobre
te. (G. G ). Fin du Tome Premier. TABLE DES MATIÈRES i. De la
Maladie
de Morvan. (Leçon). Sommaire. — Etude des div
çon). Sommaire. — Etude des divers troubles trophiques des doigts :
maladie
de Maurice Raynaud (gangrène symétrique des extré
halanges ; macules de morphœa rubra ou alba sur le reste du corps).
Maladie
de Morvan : historique ; caractère des panaris ;
de vue clinique et anatomo-pathologique. Relation d'un cas type de
maladie
de Morvan compliqué d'hystérie. Superposition des
gésiques. (Type Morvan). (Leçon). Sommaire. — Syringomyélie" et
maladie
de Morvan. Travaux de M. Joffroy démontrant l'uni
troubles tro-phiques. Formes frustes et atypiques. Symptômes de la
maladie
de Morvan. Caractères des troubles de la sensib
la sclérose en plaques. Quelques symptômes rares ou anormaux de cette
maladie
. Lésions de la papille du nerf optique; diagnosti
que, 318. Moelle : lésion par coup de feu de la—, 335. Morvan :
maladie
de — , 1 ; — historique, 9; — pronostic. 15; — di
Ophthalmoplégie externe : dans les tumeurs du bulbe, 195 ; — dans la
maladie
de Basedow, 196; — isolée, 198; — dans la paralys
de la moelle et du plexus brachial, 333. Simulation hystérique des
maladies
organiques, G9 ; — du syndrome de Weber, 308 ; —
econdaire dans le —, 424. Syringomyélie: 16; —typeMorvan, 243; — et
maladie
de Morvan, 244, 252, 361 ; Diagnostic rétrospecti
mp. v. goupy et jourdan, rue de ren'n'es, "i. Charcot. Clinique des
maladies
du système nerven-. T. I. IM. I. Charcot. Cli
s maladies du système nerven-. T. I. IM. I. Charcot. Clinique des
maladies
du système nerveux. T. I. Pl. II. Fig. 2. — C
après traitement. (V. n° XIII, p. 2S7 à £84.) Charcot. Clinique des
maladies
du système nerveux. T. I. Pl. m. Fig. 5. — Co
alors suivant le même mécanisme que la réunion des parties molles.
MALADIES
DES OS Jrac/urfr dit ca/du, J/mur. 23'Livrais
mur. 23'Livraison PL. a.Chazal (U- Im de Benard de m'Abbage 4
MALADIES
DES OS ^fraxtiire, du Col du fémur. 23.'Livra
ttention se porte sur deux organes, le poumon et le cerveau; sur deux
maladies
, la pneumonie et le ramollissement; car voilà les
femme delà Salpé-trière qui mourut ^4 jours après la fracture, d'une
maladie
étrangère. Voici l'observation qui a été recueill
ure du repli fibro-synovial était conservée. xxvi5 livraison. 2
MALADIES
DES OS 26e Livraison PL.5 Fracture intra-ca
nt en arrière et la partie postérieure du pourtour de cette cavité.
MALADIES
DES OS Liucaliûn du fémur. Livraison, PI S.
lissement et qui n'a pu me fournir aucun renseignement positif sur la
maladie
de la hanche. J'avais diagnostiqué pendant la v
ed tournée en dehors, et comme je n'avais qu'accessoirement étudié la
maladie
de la hanche, je pensai que je pourrais bien avoi
ions nouvelles dans lesquelles se trouvent les parties déjà luxées.
MALADIES
DES OS 29 Livraison Pl. 1re luxation du fém
d parfaitement compte de son état, assure que depuis l'invasion de la
maladie
, elle est toujours glacée, que les applications l
le résultat du déplacement de l'atlas, et ce déplacement tenait à une
maladie
des ligamens qui unissent l'apophyse odontoide à
écédente, je n'avais eu occasion d'étudier qu'un très petit nombre de
maladies
de la moelle, en sorte que mon attention ne se po
l'interpréter : autant, en effet, les crampes sont communes dans les
maladies
de la moelle, autant elles sont rares dans les ma
unes dans les maladies de la moelle, autant elles sont rares dans les
maladies
du cerveau. La tête et le cou ne me présentèrent
'algidité, si manifeste et si remarquable pendant tout le cours de la
maladie
, vient à l'appui de l'opinion des physiologistes
, par la diminution d'action des muscles inspirateurs. Sans doute les
maladies
du tissu propre de la moelle sont plus fréquentes
, et surtout de son enveloppe osseuse, qu'elles ne sont primitives.
Maladie
de Varticulation de la 2e avec la 3e 'vertèbre ce
it pas difficile de reconnaître la source de cette paralysie dans une
maladie
des vertèbres cervicales. La tête, en effet, fort
urtout celui du côté droit, ont été affectés. Bien convaincu que la
maladie
consistait dans une compression de la partie supé
3' vertèbre cervicale, que la cause de ce déplacement était dans une
maladie
des articulations de ces vertèbres, je prescrivis
gament vertébral commun postérieur très aminci. y livraison .PIJ.
MALADIES
DES OS Luxation spontanée de la 1re vertebre ce
appartenaient à une vieille femme de la Salpêtrière, qui mourut d'une
maladie
étrangère à l'objet qui nous occupe. La plupart d
autrui pour subvenir à ses besoins naturels. La malade attribuait sa
maladie
à un rhumatisme goutteux dont elle aurait été tou
at des os d'une main appartenant à un autre sujet, affecté de la même
maladie
et qui m'a paru présenter à son maximum les altér
ez grand nombre de fois le déplacement des phalanges consécutif à une
maladie
articulaire. Plusieurs des femmes qui présentaien
s qui surprendront les personnes qui n'ont pas approfondi l'étude des
maladies
articulaires, et à l'aide de mouvemens prudemment
mité. Mais il ne faut s'attendre à un succès complet que lorsque la
maladie
n'est pas ancienne; car, si la lésion articulaire
mussat pense qu'il faut s'abstenir de toute opération, à moins que la
maladie
ne soit tout-à-fait circonscrite. » Explication
ont elle avait fait partie, i° je reconnus la nature cancéreuse de la
maladie
; i° je jugeai que le tissu qu'on me présentait av
ôt il y a des moyens de circonscription, d'isolement, en sorte que la
maladie
ne se propage plus; tantôt il n'y a pas de moyen
conçoit que les moyens d'isolement sont comme non avenus, lorsque la
maladie
cancéreuse reconnaît une cause interne générale.
lorsque la maladie cancéreuse reconnaît une cause interne générale.
MALADIES
DES OS 21e livraison TU A Charal del ZM.J
dans la catégorie des ostéo-chondrophy tes plutôt que dans celle des
maladies
cancéreuses, que nous devrons ranger une tumeur d
, d'excavations contenant une matière sanguinolente; (i) Traité des
maladies
chirurgicales, tome m, page 6o5. on trouvera, d
as d'anatomie pathologique, de même que je ne connais pas deux cas de
maladies
, soit internes, soit externes, qui soient exactem
ment plus grand du tissuspon-gieux, ne changent rien à la nature delà
maladie
, en tant que végétation. On pourrait dire dans ce
e que je puisse invoquer en faveur de la différence qui les sépare.
MALADIES
DES OS 1Ac'livraison ni (Humérus.) CL. Ck
ni (Humérus.) CL. CkcucaL dôL. Tm. de,Ierncmâr,£ena.rii et C.
MALADIES
DES OS ( Bajsùi . ) 3é°Livraison PI, S d.
er toute l'économie par l'intermédiaire de la circulation veineuse.
MALADIES
DES OS njù Jjwrauion TU, a. Ma^ai d*i.+ X
facultés intellectuelles jusqu'au dernier moment. Dans le cours de sa
maladie
, elle n'offrit aucun symptôme de lésion ni du côt
rigidité articulaire mériterait un long chapitre dans l'histoire des
maladies
des articulations. Elle tient à la rétraction des
ous-cutanée , par le docteur Ch. Phillips. Paris , 1841 , page 188.
MALADIES
DES EXTREMITES 33 livraison PU Vic d wjifor
PU Vic d wjiformafzon. Â.ûuaal dtl. Imp. Lenu;rcicr$enan£ct
MALADIES
DU FOETUS Vices de conformation. (PLANCHES V
te participation de l'imagiuation de la mère à la production de cette
maladie
. YICES DE CONFORMATIONS. 33e livraison ru
me et les animaux , Paris , i836 , tome ii , pag. 237 et suivantes.
MALADIES
DES EXTREMITES Livraison,. PIS. Vice de con
ntérite folliculeuse, est un des faits les plus remarquables de cette
maladie
: tantôt les deux parotides sont simultanément env
rares où les parotides sont survenues à une époque peu avancée de la
maladie
; tandis que les cas où les parotides ont été l'av
parotides en critiques, c'est-à-dire qui exercent sur la marche de la
maladie
une influence salutaire, et en symptomatiques, me
uérison, et surtout comme seul propre à lever l'étranglement dans une
maladie
où l'étranglement me paraît jouer un rôle des plu
ues et rationnels d'un cancer au foie. A une période avancée de cette
maladie
, la bouche devint sèche et le siège d'une inflamm
n'ai observé de parotide suppurée que dans les périodes avancées des
maladies
aiguës et chroniques, et j'ignore s'il existe un
éexistante imprime à cette parotide un caractère symptomatique. Les
maladies
de la glande parotide ont cela de particulier, qu
sujet, je crois devoir la rapporter ici pour servir à l'histoire des
maladies
de la parotide en général. Cancer ulcéré mélani
tiques , art. Hydkophthalmie , par J. L. Sanson , tome x, page 166.
MALADIES
DES YEUX_DU LARYNX ET DE LA PAROTIDE 3oe Liimus
aires environnantes étaient parfaitement saines. Les progrès de cette
maladie
« furent lents, la personnequi en était le sujet
des sondes dont le diamètre irait toujours croissant. Fig. 2 et 2'.
Maladies
du duodénum. Ulcère chronique simple. Perforation
l'estomac, D. au duodénum. Ré flexions.Nous avons vu, au sujet des
maladies
del'estomac, que cet organe était fréquemment le
ndre compte de la manière dont cet anneau circulaire s'était formé.
MALADIES
DE L'ŒSOPHAGE ET DES INTESTINS ^livraison Fl6
les. Il est assez fréquent de voir, dans les dernières périodes des
maladies
chroniques, des érosions hémorrhagiques de l'esto
umeur non pédiculée était revêtue par la membrane muqueuse intacte.
MALADIES
DE L'ESTOMAC Livraison Pl2 1° Cicatrices Mé
présente l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière, morte d'une
maladie
chronique dont je n'ai pas tenu note, mais qui ét
t même scientifique du mot ; caries anciens ont désigné par le mot de
maladie
noire, mot auquel Boissier de Sauvages a substitu
uquel Boissier de Sauvages a substitué celui de m,elœna[^^ noir), les
maladies
dont les vomissemens et les déjections noires son
côté de l'estomac, je diagnostiquai, dans un cas particulier, que la
maladie
avait son siège dans l'estomac et non dans l'inte
ic, et plus tard l'autopsie démontra que je ne m'étais pas trompé. La
maladie
consistait dans une végétation cancéreuse de l'ex
'une part, bien plus philosophique que celle tirée de la marche de la
maladie
, ainsi que le voulait Tissot, qui affectait le mo
ment noir n'a pas paru, il y a doute sur le caractère cancéreux de la
maladie
. Le doute cesse pour eux aussitôt qu'apparaît la
ent susceptibles de guérison à l'aide d'un régime approprié. Pour les
maladies
de l'estomac, c'est presque toujours un traitemen
Lipsiae, 1826, in-4, fig.—P. Rayer, Traité théorique et pratique des
maladies
de la peau, 2e édition , Paris, i835, t. m, p. 68
u, 2e édition , Paris, i835, t. m, p. 688 et suiv. et Atlasi^X, i5.
MALADIES
DE L'ESTOMAC. 51e Livraison 1ere Hémorragie
l. Imp. Lemercier et Cie (planche ii et iii, xxxive livraison.)
Maladies
de l'estomac, du duodénum y de Vintestin grêle et
Cochin. Avec quelque exactitude qu'ait été tracée l'histoire de la
maladie
, il est bien difficile de rattacher les symptômes
ue comme fait d'anatomie pathologique extrêmement remarquable sur les
maladies
des follicules de l'estomac, du duodénum, de l'in
sidère ces groupes de symptômes comme traduisant à l'extérieur ou une
maladie
nouvelle ou une forme nouvelle de maladie; i° par
uisant à l'extérieur ou une maladie nouvelle ou une forme nouvelle de
maladie
; i° par l'anatomie pathologique, qui constate une
dépendant très probablement du volume du plan des cryptes. Depuis sa
maladie
, cet homme a constamment été pris d'une constipat
d'ulcération. On ne voit guère de médication bien appropriée à cette
maladie
, si ce n'est l'emploi des astringens, de l'alun,
ihilation de la cavité du kyste. «La seconde particularité de cette
maladie
est le développement remarquable des ganglions ly
ait ordinairement? Peut-être le chagrin, la mauvaise ;i) Traité des
maladies
des en/ans nouveau-nés et h la mamelle, 3e éditio
sa membrane interne. a.Cha.iaHUK. Imp. tltLinurcur; Benard ttC
MALADIES
DES INTESTINS ji?livraison PL 3. Posions, c
//s j/i .r //t/cj//// a- Chacal Jd. ImpdiLimercur, Benardet C"'
MALADIES
DE L ESTOMAC. i ii ii n a un ¦ (PLANCHE I, XXVI
Marie-Félicité Legay, âgée de 66 ans, est malade depuis \[\ mois. Sa
maladie
a débuté par de violentes douleurs d'estomac, sur
-termittens. Contrairement à ce qu'on observe habituellement dans les
maladies
chroniques de l'estomac, la malade est gaie et mê
pport anatomique. L'hypertrophie joue un rôle si important dans les
maladies
de l'estomac qu'elle a été confondue, même anatom
euse, d'où la nécessité, l'indispensable nécessité du régime dans les
maladies
chroniques de l'estomac : or, le régime pour l'es
as dont il s'agit, on révoquait en doute le caractère cancéreux de la
maladie
delà muqueuse gastrique, je trouverais dans les g
este, rien de phis fréquent que la lésion des deux épiploons dans les
maladies
de l'estomac; et si on admettait des départemens
dois pas omettre l'intégrité parfaite de tous les autres organes. La
maladie
avec hypertrophie cancéreuse de l'estomac était d
pression. Ce qui me frappe, c'est la circonscription parfaite de la
maladie
, c'est l'absence de tout'phénomène sympathique. I
ur vive à l'épigastre. 4 novembre : pour la première fois depuis sa
maladie
, vomissemens bilieux qui continuent les jours sui
s prévenir en faisant cesser l'inflammation qui en est le principe.
MALADIES
DE L'ESTOMAC 27e Livraison PL 1 Cancer, Cha
ens auxquels néanmoins succomba la malade le 6 mai, après 15 jours de
maladie
. « Le lendemain, le cadavre offrait les particu
xcessive de l'anus et l'atrophie du sphincter à la reproduction de la
maladie
, et légitime la méthode de l'excision qui a pour
cellulaire séreux extrêmement délié. Cette femme étant morte d'une
maladie
tout-à-fait étrangère à l'éventration, je m'assur
n'est pas ici le lieu de parler des accidens qui « accompagnent cette
maladie
. » (T. n, pag. 235 et 2'36. ) mées par la ligne
ne retrouve à leur place que quelques filamens fibreux disséminés.
MALADIES
DES INTESTINS . 24e Livraison Pl 5 Hernies
O médicale. CL. CkazaI dd. Jjith. de Motard, rut ds ÛCHèayt-*.
MALADIES
DES INTESTINS 4e Livraison Pl. 6 Hem'/r Omb
ient les bases de la méthode que l'on adopte pour la distribution des
maladies
, la classe des déplacemens doit être maintenue da
la naissance ou congéniaux; 3° les déplacemens consécutifs à d'autres
maladies
. Il n'est pas nécessaire d'insister sur les ava
mode de lésion. Ainsi, je considère comme autant d'invaginations les
maladies
connues sous le nom de chute du rectum, chute de
à contribution pour recouvrir la volumineuse (•t) Voyez Traité des
maladies
de Vutérus, par madame Boivin et A. Dugès , Paris
t-Hilaire, Histoire des anomalies de l'organisation , 1.1, p. 37,^.
MALADIES
DES INTESTINS. .^livraison TU Hernies Ombil
fallait la montrer au chirurgien, qu'elle pourrait l'éclairer sur sa
maladie
; et en effet, M. Robert vit, non sans étonnement,
s que le malade, qui avait survécu plusieurs années, était mort d'une
maladie
étrangère aux conséquences de l'iléus. Les déta
érique, et une autre fois un fragment d'épiploon. 3° La durée de la
maladie
a varié entre quatre jours et quarante : le plus
foule de cas inaperçus de la part « de l'individu tant en santé qu'en
maladie
, et qu'elles disparaissent avec la même facilité.
manifestent les symptômes de l'étranglement; cependant quelquefois la
maladie
débute subitement par les symptômes les plus grav
tin. (i) Annali universali di mcdicina, octobre et novembre i834-
MALADIES
DE LES TESTENT GRELE Invagmalion. 22\CL wra f
fô'on M 4 et S A. Otazad, Zi/h. - de Benard, r.dcl 'Clbbayc, 4.
MALADIES
DE L'INTESTIN GRÊLE Invcicj in adtio n %2e li
ous les jours nos malades de la Salpêtrière, soit dans le cours d'une
maladie
aiguë (pneumonie, péritonite), soit dans le cours
d'une maladie aiguë (pneumonie, péritonite), soit dans le cours d'une
maladie
chronique (cancer de l'utérus, maladies du foie,
ite), soit dans le cours d'une maladie chronique (cancer de l'utérus,
maladies
du foie, péritonite chronique), sont prises d'une
mbilicale, nous devons la considérer comme tout-à-fait étrangère à la
maladie
principale. Une ancienne hernie ombilicale épiplo
es. 3° La tumeur ombilicale n'était donc qu'un épiphénomène dans la
maladie
qui consistait essentiellement dans un obstacle a
. La membrane muqueuse qui la recouvrait n'était nullement altérée.
MALADIES
DES INTESTINS 26e Livraison Pl.6 Rétrécisse
ulcères chroniques de l'intestin grêle appartiennent à la classe des
maladies
tuberculeuses ; il ne serait pas plus exact d'aff
j'ai constatée un grand nombre de fois, savoir : que, dans toutes les
maladies
fébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas a
lésion locale, mais avec la cessation de la marche progressive de la
maladie
. La fièvre tombée, la résolution commence dans la
u milieu du tissu pulmonaire ardoisé, dans lequel ils sont plongés.
MALADIES
DES INTESTINS yl'ipraifoiv Pl..3 1° Entérit
ec l'état général, insistance qui est d'ailleurs commune à toutes les
maladies
des femmes en couche, même les plus graves; il en
une légère tuméfaction œdémateuse; que le véritable remède dans cette
maladie
, ce sont des fomentations avec la décoction de qu
n ; c'est qu'il y a autre chose que de l'inflammation dans toutes ces
maladies
puerpérales. Ici, comme dans un très grand nombre
qui ont lieu et semblent même accélérer la terminaison fatale. Aucune
maladie
ne désenchante plus des saignées répétées à outra
maladie ne désenchante plus des saignées répétées à outrance que les
maladies
puerpérales. A l'apparition de la première épidém
a structure, sur les usages des organes et sur le diagnostic de leurs
maladies
. (1) Voyez xme livraison, et Journal universel
lletin de VAcadémie royale de médecine, Paris, i836, t. 1% p. 642).
MALADIES
DU GROS INTESTIN 31 * Livraison PL S. ti- ¦
omatique de l'entérite folliculeuse; mais il y a dans la marche de la
maladie
, dans son mode d'invasion, dans l'ensemble des sy
ui entraine la conviction du praticien habitué à observer ce genre de
maladie
. Relativement à l'infection du sang dans l'enté
à moi, j'admets rationnellement l'infection du sang dans toutes les
maladies
fébriles, dans le rhumatisme, dans la pleurésie,
l'entérite pseudo-membraneuse comme une des formes anatomiques de la
maladie
connue de nos jours sous le titre de fièvre typho
observation. Sur le corps d'un enfant de cinq à six ans, mort d'une
maladie
qui paraissait avoir été très aiguë, j'ai trouvé
ns. Il mourut au bout de deux jours avec sa parfaite connaissance. Sa
maladie
datait de dix à douze jours. A l'extérieur, le
a fin de l'intestin grêle d'un jeune enfant mort de je ne sais quelle
maladie
. Il y avait du sang dans la cavité intestinale; l
e se confondent jamais complètement. (1) Voyez la xive livraison.
MALADIES
DES INTESTINS 38e Livraison Pl.?. Entérite
Entérite folliculeuse A Chazal Imp.£crnercier,BerLar'd U. C.
MALADIES
DES INTESTINS 3b°elu raison PU.3 Entérites
le des deux individus précédens. A son entrée, le huitième jour de la
maladie
, les selles étaient continuelles,sanglantes , cou
épidémique, qu'elle atteint ce degré d'intensité, qui fait de cette
maladie
un des plus grands fléaux de l'humanité, un fléau
rectum et l'S iliaque du colon ; que dans certaines circonstances la
maladie
est limitée au rectum, dans d'autres au rectum et
dysenterie en fébrile et ennon fébrile. Ladysenterie fébrile est une
maladie
très grave qu'il faut combattre énergique-ment La
qu'il faut combattre énergique-ment La dysenterie non fébrile est une
maladie
ordinairement légère qui se dissipe, ou spontaném
es d'entérite qui se manifeste le plus souvent à la suite des longues
maladies
, et qui précipite la terminaison fatale. J'ai eu
nter, lorsqu'on veut expliquer la génération du plus grand nombre des
maladies
aiguës ou chroniques. 7. Dans l'état chronique,
je soumets les malades, pour reconnaître, avec le siège précis de la
maladie
, la source première de tous les accidens. 11. E
ouvrer leur faculté assimilatrice. Il y a eu , dans le cours de cette
maladie
, des périodes plus ou moins longues, où la perdri
ne péritonite. De ce qui précède sur la dysenterie, il suit que cette
maladie
doit être traitée avec le plus grand soin à l'éta
vidus. il. Du reste, voici le traitement que j'ai adopté pour cette
maladie
: dans les dysenteries légères, apyrétiques, trait
fiance, et qui ressort naturellement de l'anatomie pathologique de la
maladie
; mais, dans les dysenteries très graves, le succè
et le moment de l'opportunité, en pareil cas, c'est l'invasion de la
maladie
. Je conçois toutefois que, dans les dysenteries é
e d'ailleurs dans toutes les phlegmasies épidémiques, dans toutes les
maladies
miasmatiques, l'élément inflammatoire ne doive êt
e 100.—Bulletin de VAcadémie royale de médecine, tome m , page y3i.
MALADIES
DES INTESTINS fo*livraison. Pl.5 Dysenterie
raison. Pl.5 Dysenterie Chacal dd. Imp.ZemercursdejiardetC.
MALADIES
DU RECTUM. (Planche m, xxve livraison.) Expli
ommode à l'orifice anal, et me demandait mon avis sur la nature de la
maladie
, qu'il soupçonnait être une dégénération cancéreu
nt par l'anus ; la douleur n'était pas vive. Cette femme mourut d'une
maladie
étrangère à l'affection du rectum. A l'ouvertur
t. Ce cas est un de ceux dans lesquels l'extirpation complète de la
maladie
était possible et par conséquent présentait des c
lades avant le moment marqué par les progrès toujours croissans de la
maladie
locale. Tel est le cas suivant, qui peut être con
ans, entre le 28 avril 1820 au dépôt de mendicité de Limoges pour une
maladie
de l'extrémité inférieure du rectum, qu'on avait
érieure du rectum, qu'on avait soupçonnée de nature vénérienne. Cette
maladie
consistait dans un ulcère cancéreux très consid
est connue sous le nom de cachexie cancéreuse et qui tient moins à la
maladie
elle-même qu'aux hémorrhagies dont elle s'accompa
it de rouet ou de diable. La malade me raconta qu'elle avait eu une
maladie
vénérienne a5 ans auparavant; qu'à cette époque s
ment éclairé. La pneumonie est la terminaison la plus fréquente des
maladies
organiques. L'épuisement , le marasme le plus com
je recueillis que 12 ans auparavant la femme Roger avait éprouvé une
maladie
syphilitique consistant en des végétations; qu'il
l'anus. Femme Queulen, 46 ans, réglée à 18, mère à 19, ayant eu une
maladie
vénérienne à 3o; emploi immodéré du mercure; chut
organe. La première question à résoudre, lorsqu'on aura affaire à une
maladie
du rectum, sera donc de déterminer s'il s'agit d'
ectum, au-dessus de la portée du doigt, dans les premiers temps de la
maladie
, peut être reconnu à l'aide du doigt par suite de
resté convaincu que l'anneau circulaire n'avait été pour rien dans la
maladie
, qui consistait essentiellement dans un rétréciss
près notre visite, et l'ouverture du cadavre n'a pas été faite. y
MALADIES
DES INTESTINS 25 e Livraison PL 3. ( Reclnm
onséquemment quant au caractère de curabilité ou d'incurabilité de la
maladie
. Une bonne anatomie pathologique du rectum serait
rte que celle de la jambe. Ne voit-on pas dans tout cela une cause de
maladie
se jeter, heureusement pour la malade, sur des pa
ranchise et avec une sorte de confusion, je ne pensai nullement à une
maladie
primitive du rectum, à un rétrécissement circulai
pas devoir m'y livrer, ne conservant aucun doute sur la nature de la
maladie
. Je fus donc étrangement surpris, lorsqu'à la fin
méfiance sur l'exactitude du diagnostic que nous avions porté sur la
maladie
, et plusieurs des membres de la famille étaient p
, sans avoir pu préciser ni le siège, ni la nature de cette tumeur.
MALADIES
DU RECTUM %,ltur^'ori Pl.. 1re ZiylamaJzôn
liers, qu'on appelle acéphalocystes. J'en ai vu plusieurs exemples.
MALADIES
DE LA RATE 34e Livraisons. Pl. 4 /"JoycrsJa
cas, le caractère fibreux du kyste révélerait encore l'origine de la
maladie
. Dans le cas qui nous occupe, le kyste acéphalocy
dons-nous des à-peu-près dans le diagnostic et dans le traitement des
maladies
. Dans beaucoup de cas, l'inflammation ne se bor
état d'intégrité, si l'on peut parler d'intégrité à l'occasion d'une
maladie
; mais je l'ai observée constamment dans les kyste
kystes acéphalocystes du foie sont traités avec beaucoup de détail.
MALADIE
DE LA HATE $5tLivraison PUT Kystes Acep/ial
nes ne se propagent au foie; je dois même dire que le plus souvent la
maladie
reste limitée au foie et que l'infection cancéreu
ladie reste limitée au foie et que l'infection cancéreuse, dans cette
maladie
, consiste bien plus ordinairement dans la multipl
dominales, on peut suivre de l'œil et du doigt le développement de la
maladie
, reconnaître de la fluctuation, croire à l'existe
'ouverture du corps d'un malade âgé de soixante-dix-huit ans, dont la
maladie
du foie n'avait pu être que soupçonnée, attendu q
e nous pouvons faire, c'est de constater le caractère incurable de la
maladie
, et, par conséquent, d'éviter des tentatives de m
yant rencontré sur le corps d'une vieille femme, morte de toute autre
maladie
, un foie à la surface convexe duquel proéminait u
Sur le corps d'une femme âgée de la Salpêtrière, morte de toute autre
maladie
, je trouvai un kyste hydatique occupant la convex
qui n'étonnera nullement ceux qui ont fait une étude particulière des
maladies
du fœtus, et qui ont comme moi constaté la présen
chez des enfans nouveau-nés. (i) (i) Voyez Ch. Billard: Traite des
maladies
des enfans nouveau-nés, Paris , 1837, page $1.
Traite des maladies des enfans nouveau-nés, Paris , 1837, page $1.
MALADIES
DU i OiE livraison. ru Masses Cancer crises
ifs, tantôt consécutifs. Les premiers sont indépendans de toute autre
maladie
cancéreuse préexistante; les seconds succèdent à
te autre maladie cancéreuse préexistante; les seconds succèdent à une
maladie
cancéreuse siégeant dans un organe plus ou moins
un organe plus ou moins éloigné. Il est des sujets chez lesquels la
maladie
cancéreuse naît et se développe dans un seul orga
l'épuisement des forces. Dans ce cas, le cancer se comporte comme une
maladie
purement locale. Il en est d'autres chez lesquels
mbre d'organes : il semblerait que, dans cette catégorie de faits, la
maladie
a été d'abord purement locale; que, du lieu primi
us exactement le tissu cellulaire sous-pleural, paraît le siège de la
maladie
. Ces plaques, qui sont d'aspect cartilagineux, so
oujours renaissantes, dont j'abattais vainement quelques-unes; que la
maladie
était dans le sang comme on le dit, que c'était d
tions d'urate et de | ' chaux, qui me paraissent caractéristiques des
maladies
goutteuses. XXIIIe LIVRAISON. 1 de coutume, p
stance du frontal était rugueux ; tous les autres os étaient sains.
MALADIES
DU FOIE Gzrieer. 23e Livraison PL. 5 (LOu
zrieer. 23e Livraison PL. 5 (LOuu.cJ.Ad. JLiA .ilt IStnard.
MALADIES
DU FOIE. (Planche iv , xxixe livraison.) LÉSI
qui déborde les côtes, et à mesurer, en quelque sorte, le degré de la
maladie
sur le degré de proéminence de cet organe dans le
foie, et que les symptômes rapportés par J.-L. Petit à cette dernière
maladie
appartiennent bien plus souvent aux tumeurs de la
ée, avec épanchement de bile ou d'urine dans la cavité péritonéale.
MALADIES
DIT FOIE 29e Livraison Pl. 4 Calculs biliai
lculs biliaires. A Chazal del. Lith de Lemercier, Benard et Cie
MALADIES
DU FOIE. aboi: s. ( PLANCHE 1 . XLe LIVRAISON
ong du rebord des côtes faisaient, en quelque sorte, le fond de cette
maladie
, et, sans trop l'approfondir, je crus y reconnaît
t pas tout-à-fait aussi satisfaisant : le malade, dans le cours de sa
maladie
, avait présenté a plusieurs reprises de l'exaltat
lairé et dévoué m'a été si utile dans le traitement de cette longue
maladie
, a long-temps pratiqué la médecine en Angleterre
ages : je raconte seulement toutes les circonstances de cette cruelle
maladie
. L'exaltation cérébrale avec exacerbation est à
usqu'au commencement de mai, cinq mois et demi après l'invasion de la
maladie
, en présentant les diverses phases de la phthisie
té des accidens qui ont signalé ie début et la première période de la
maladie
. Ici le diagnostic était facile. Le siège et la v
t elle venait me demander naïvement une attestation, par laquelle une
maladie
de cinq mois, qui avait résisté à tous les moyens
iliaires, et con stituent une espèce bien tranchée d'abcès du foie.
Maladie
du foie. — Ictère fébrile. — Abcès biliaires extr
chirurgie française et étrangère, Paris, 1841 , tome ni , page 345.
MALADIES
DU FOIE 40e Livraison Pl.1 A6 ces A Chaza
, âgé de 56 ans, jouissait habituellement d'une bonne santé; la seule
maladie
qu'il eût éprouvée était une inflammation chroniq
d'esprit peuvent être pour quelque chose dans le développement d'une
maladie
du foie, ils ne furent pas épargnés à M. G., qui,
uleurs présumées rhumatismales, mais qui étaient évidemment dues à la
maladie
du foie, redoublèrent d'intensité : elles occupai
ent, au contraire, leur caractère naturel pendant tout le cours de la
maladie
. Leur quantité était en raison inverse des sueurs
ssi profonds qu'élevés. Le pouls offrit pendant tout le cours de la
maladie
une fréquence remarquable de uoà 13o pulsations.
ur lequel le malade m'avait demandé conseil plusieurs années avant sa
maladie
, et qui était le siège d'élancemens douloureux, e
t également favorable à l'un et à l'autre mode de développement de la
maladie
cancéreuse : elle explique parfaitement comment l
ctent absolument le même mode de développement. L'état latent de la
maladie
du foie s'explique par l'indépendance parfaite de
nt à l'absence d'ictère, je crois avoir prouvé ailleurs que, dans les
maladies
du foie, l'ictère ne survient que lorsqu'il exist
ronique profonde de l'organe a-t-elle provoqué le développement de la
maladie
? Quant au traitement du cancer mélanique ou au
u raiaon., p/j Ci- ChazaL del. X. de Benard, r. de. l'ûiiaye 4.
MALADIES
DU LARYNX, DE LA TRACHÉE ET DU CORPS THYROÏDE.
des innombrables variétés de structure que présente ce corps dans la
maladie
connue sous le nom de goitre. La figure 2 repré
is à linfluence sans cesse agissante des causes productrices de cette
maladie
, et n'ont été soumis à aucun traitement, alors à
dois même dire qu'il y a peu, infiniment peu de solidarité entre les
maladies
de la glande thyroïde et celles du larynx, si bie
aryténo-cricoïdienne, et il est probable que, dans ce cas, il y a eu
maladie
de l'articulation. Les figures i' et i établiss
ité pratique de ta phthisie laryngée, de la laryngite chronique etdes
maladies
de la voix , par A. Trousseau et H. Belloc, Paris
s maladies de la voix , par A. Trousseau et H. Belloc, Paris, 1837,
MALADIES
DIT LARYNX, DE LA TRACHEE ET DU CORPS THYROÏDE
DE La • PLI A Chazal del. J-TTLp. d~e.£cmircicr/Bina.rdctC.
MALADIES
DU POUMON. MELANOSE OU OEDEME NOIR. — KYSTE A C
hôpital, mais que je n'ai plus observée depuis. Aucun symptôme de la
maladie
puerpérale ne pouvait s'y rattacher. La malade su
vient que les kystes acéphalocystes des poumons soient de toutes les
maladies
les plus communes chez les ruminans et soient si
e chirurgie pratiques, article Acéphalocystes, tome i , page ?-4~ .
MALADIES
DU POUMON ^"livraison Pl. 2, MéLanoses _. f
ernies. (Planche m, xxie livraison.) Les hernies du poumon sont une
maladie
extrêmement rare : à peine en trouve-t-on quelque
choléra (il avait alors 77 ans), et ayant succombé par suite de cette
maladie
, sa poitrine, sur laquelle on avait reconnu la he
ps vulnérant. Je crois me rappeler que c'était un timon de voiture.
MALADIES
DU POUMON. 2l'' LïvreusorL' n.3. Hernie.
ers temps sur la pneumonie, le champ de l'observation sur ce genre de
maladie
, bien loin d'être épuisé, semble s'agrandir enco
u'on croit l'atteindre. Il s'en faut bien que la pneumonie soit une
maladie
toujours identique à elle-même. Il en est de beau
ivisions en rapport avec les divers points de vue sous lesquels cette
maladie
peut être envisagée, et avec les circonstances va
e seul moyen convenable pour arriver à une description générale de la
maladie
. Parmi les différences qu'on peut établir entre
a pleuro-pneumonie, avec prédominance de la pneumonie. Si certaines
maladies
se développent sans qu'on puisse découvrir le moi
indre rapport entre les causes appréciables qui les produisent et ces
maladies
elles-mêmes, il n'en est pas de même de la pneumo
ites ne sont autre chose que des pneumonies latentes: c'est qu'aucune
maladie
n'est plus insidieuse que la pneumonie latente du
e du lendemain, le médecin qui n'a pas l'habitude de voir ce genre de
maladie
est tout étonné de trouver agonisant ou mort un v
né aucune inquiétude. Appelé en consultation, le cinquième jour de la
maladie
, auprès d'un vieillard de la haute société, âgé d
eumonie chronique, de réveiller, de soutenir la vie jusqu'à ce que la
maladie
fût purement localisée; car alors je ne désespére
ns pas que, dans la pneumonie, l'état local n'est qu'une partie de la
maladie
, que l'état général est la source d'indications n
nergiquement; mais le lendemain, le surlendemain, vous trouvez que la
maladie
s'étend dans le même lobe, dans le même poumon ou
ans la pneumonie; qu'elle est à la pneumonie ce que la fièvre est aux
maladies
éruptives. Cela est si vrai que, lorsque la fièvr
ent ces tubercules et ces cavernes étaient d'une date antérieure à la
maladie
. On voyait une douzaine de tubercules dans le pou
maladie. On voyait une douzaine de tubercules dans le poumon droit.
MALADIE
S DU POUMON Livraison PIS. Pneumonie. Cha
ires, les autres pisiformes, les autres irréguliers. Réflexions. La
maladie
dont on vient de lire l'histoire a présenté plusi
s' individus épuisés, cachexies, si je puis m'exprimer ainsi, par des
maladies
chroniques, succombent très souvent à des lésions
dies chroniques, succombent très souvent à des lésions autres que ces
maladies
chroniques. Ainsi,tout récemment, une malade, aff
non une différence de nature, mais une différence de période dans la
maladie
; que, s'il pouvait exister quelques doutes à cet
ré qu'un certain nombre de cavernes pulmonaires est le résultat d'une
maladie
des ganglions et de l'ouverture de la poche formé
nt, avec les kystes plâtreux et même quelquefois avec les cavernes.
MALADIES
DES POUMOAS 3a? Livraison Pl.f. A Chazal de
oi n'en serait-il pas de même des caillots sanguins des anévrysmes?
MALADIES
DES VEINES 23e Livraison Pl. 3 û. ChazaL cl
S VEINES 23e Livraison Pl. 3 û. ChazaL clrl. Lith de Benard
MALADIES
DES VEINES ffîLivraison Pl.4 A Chazal del.
e proprement dite, la formation du pus est le premier phénomène de la
maladie
. Après la phlébite traumatique, c'est-à-dire ap
cer utérin 5 ce qui n'étonnera pas, si l'on considère que, dans cette
maladie
, les veines utérines, qui longent les bords de l'
oppe à l'occasion du cancer utérin, comme à l'occasion de toute autre
maladie
chronique, par suite de l'altération du sang. L
à la Salpêtrière comme atteinte de cancer utérin, que le siège de la
maladie
occupait la zone la plus élevée du vagin, de tell
ébite avait exercée sur la terminaison, d'ailleurs inévitable', de la
maladie
. A l'ouverture du cadavre, partie supérieure du
ne cave supplémentaire avait été également le siège d'une phlébite.
MALADIES
DES VEINES 27e Livraison Pl. 4 ( Phlébite)
envahi. La transformation était bornée à l'avant-bras et à la main.
MALADIES
DES VEINES p*livraison FIS. Tissu erectûe a
ent, la moindre pression sont extrêmement douloureux. Je reconnais la
maladie
décrite par les auteurs, sous le titre de Scorbut
tuméfié. L'état général est excellent. Point de réaction fébrile. La
maladie
est purement locale, et l'examen attentif des gro
constamment observé que, dans la période aiguë, douloureuse de cette
maladie
, les évacuations sanguines générales et locales,
qu'il y a de certain, c'est que le nom de scorbut, sous lequel cette
maladie
est généralement indiquée, aie grave inconvénient
rapeutiques, qui ne sont pas toujours en rapport avec la nature de la
maladie
. Ces hémorrhagies spontanées de la peau (i), du t
tion dans les veines de substances irritantes. (i) Voyez Traité des
maladies
dé la peau, par M. Rayer, Paris, i835, tome m, pa
es dé la peau, par M. Rayer, Paris, i835, tome m, pag. 5o3 et suiv.
MALADIES
DES VEINES. M*Livraison. «V' FIS. Varices
caillots si récens qu'on ne saurait les considérer comme cause de la
maladie
et qu'ils doivent s'être formés dans les derniers
Elle a eu le succès le plus complet. Relativement à la marche de la
maladie
, il est des gangrènes par oblitération qui marche
e M. Legroux 1827) est remarquable sous le rapport de la marche de la
maladie
. troisième observation. — 66 ans ; au mois de j
a gangrène dite sénile a changé entièrement la thérapeutique de cette
maladie
; ainsi aux toniques employés sous toutes les form
térite, mais sans succès. Les douleurs atroces qui accompagnent cette
maladie
me paraissent nécessiter l'emploi de l'opium que
ation parfaite de la gangrène. Pratiquée dans les premiers temps delà
maladie
, l'amputation ne s'opposerait pas à l'extension d
ion ne me paraît pas d'ailleurs d'une grande utilité dans ce genre de
maladie
, car elle décolle les caillots sanguins. Cœur.—
ans doute la saignée n'a été pour rien dans le développement de cette
maladie
; mais au moins doit-on conclure que la saignée n'
u troisième degré; et là, on ne reconnut le véritable caractère de la
maladie
du pied que quelques jours après, lorsqu'à l'inse
rées. Il y a encore quelque chose d'obscur dans la gangrène, suite de
maladie
des artères, ce qui tient à l'imperfection de l'a
ction de l'anatomie pathologique du système artériel dans ce genre de
maladie
: à priori, on peut dire que toutes les causes qu
on de la membrane interne et par conséquent la coagulation du sang.
MALADIES
DES ART EUE S. Livraison PL 5 (Gangrené Spo
ndiquée sur la figure, continuité très importante sous le rapport des
maladies
des deux ordres des valvules et qui établit une s
ues interne et moyenne ne manquent qua une période plus avancée de la
maladie
, et souvent alors il en résulte des poches second
interne, ce qui se voyait quelquefois dans la première période de la
maladie
; mais ce qui arrivait presque nécessairement dan
PLlel2. (Znévrisrftes. Cha-zal dd. l-i L.cLo Benard- ôt Trey.
MALADIES
DES ARTERES 9$ * Jjivra/son PlJ. Anévrismes
jivra/son PlJ. Anévrismes A Chazal del. Lilh.deX/nariU Fry.
MALADIES
DES ARTÈRES. ANÉVRYSME. (PLANCHES II ET III,
ette erreur est bien commune) qu'avaient donné à ses douleurs et à sa
maladie
les médecins qu'il avait consultés. Le pouls es
épanchement dans la plèvre. Je ne pus donc me rendre à l'idée d'une
maladie
du cœur, et je soutins que le cœur n'était pour r
ntercostaux, en est bien souvent la source ; d'autres fois, c'est une
maladie
des vertèbres, une carie superficielle d'abord,pu
. Le mot douleurs ou névralgies rhumatismales, appliqué à l'étude des
maladies
du système nerveux et musculaire, me parait aussi
et musculaire, me parait aussi vague que le mot ictère, appliqué aux
maladies
du foie. Je dois aussi faire remarquer que la nat
ane respiratoire, doit soutenir nos espérances dans le traitement des
maladies
les plus graves de ces organes. 3° llelativemen
rtébrale a pu seule nous faire découvrir le véritable caractère de la
maladie
. Anévrysme de la portion descendante de la cros
Paris, 1841 , pages 333 et suiv,, a consacré un bon chapitre à cette
maladie
: nous y renvoyons. de l'épine du dos, au niveau
les douleurs chaudes s'étaient succédées pendant tout le cours de la
maladie
. A partir de ce moment, la sensation de chaleur r
artenu cet anévrysme latéral de la carotide primitive. J'ignore si la
maladie
a été diagnostiquée, j'ignore si la destruction p
de VAcadémie royale de médecine, tome 11, p. 800 ; tome ni, p. 185.
MALADIES
DES ARTERES 40e Livraison n.2. tlruvrisme c
L'Avrte thorœczque. (LÛiazal aleù. IrnpXenLtrcàr, Senardet C. '
MALADIES
DES ARTERES. 40e Livraison PU. Amdris me de
enir à l'étendue de l'altération, et peut-être aussi à l'époque de la
maladie
. L'étendue de l'altération s'opposait manifesteme
altération ne paraît pas appartenir à une époque aussi avancée de la
maladie
que les altérations qui ont été décrites, et la t
raison anatomique et physiologique de sa prédisposition à ce genre de
maladie
. Lorsque la transformation fibreuse a eu lieu d
artiel du ventricule gauche du cœur mérite le nom d'anévrysme faux.
MALADIES
DU CŒUH. 21e Livraison Pl.4 Ûnevr us'me A
Hypertrophie j tome x , page 222. — J. Bouillaud, Traité clinique des
maladies
du cœur, deuxième édition, Pans , 184 ï, tome 11,
eux locaux et généraux les plus graves, sous l'influence des moindres
maladies
du cœur, tandis que, chez d'autres, les lésions o
La cyanose que l'on observe si souvent dans les périodes avancées des
maladies
du cœur, tient exclusivement aux poumons, à une r
c'est le plus souvent Xœdème du poumon, lésion si fréquente dans les
maladies
du cœur, lésion si subite qui emporte souvent en
n , et par conséquent de cyanose. L'œdème des poumons est, dans les
maladies
du cœur, un phénomène du même ordre que l'infiltr
de guérison, ou plutôt de soulagement, dans les périodes avancées des
maladies
du cœur ; tandis que dans les premières périodes,
la Salpêtrière, je me suis souvent exercé à déterminer l'origine des
maladies
du cœur chez les vieilles femmes: or, le catarrhe
nt bien souvent paru la point de départ de l'asthme symptomatique des
maladies
du cœur. Mais si, dans un certain nombre de cas,
ar conséquent celle de la circulation pulmonaire, ont pu précéder les
maladies
du cœur, et plus particulièrement les dilatations
souvent c'est par les poumons que finissent les individus affectés de
maladies
du cœur; le moindre catarrhe peut avoir, dans ce
ais âges , Paris , 184 r , page 373. — Bouillaud, Traité clinique des
maladies
du cœur, deuxième édition , Paris , 1481 , tome 1
résultat de l'œdème du poumon, et l'œdème du poumon le résultat de la
maladie
du cœur. Je suis convaincu que si le malade avait
vomitifs dans un jour. Je ne terminerai pas ces réflexions sur les
maladies
du cœur, réflexions que je reprendrai plus tard,
appliqué sur un artère que par l'oreille appliquée sur le sternum,
MALADIES
DU CŒUR Dilatation ,cw ex, hypertrophie des qua
lusieurs reprises les médecins les plus éclairés, qui qualifièrent sa
maladie
de spasmes du cœur, et motivèrent leur opinion su
p de facilité. L'appétit était excellent. Le nom A'asthme imposé à sa
maladie
rassurait son moral par l'idée de longévité qui e
moral par l'idée de longévité qui est attachée dans le monde à cette
maladie
. C'était en effet un asthme sympathique d'une mal
e monde à cette maladie. C'était en effet un asthme sympathique d'une
maladie
organique du cœur avec hypertrophie. Mais quelle
maladie organique du cœur avec hypertrophie. Mais quelle était cette
maladie
? Peut-être qu'avec les moyens de diagnostic nouv
? Peut-être qu'avec les moyens de diagnostic nouveaux acquis sur les
maladies
du cœur, ce problème n'aurait pas été insoluble a
ls biliaires de différens volumes au nombre de 81. Réflexions. — La
maladie
du cœur ne s'est donc révélée chez ce malade que
onchiques. Le malade n'a point d'ailleurs succombé directement à la
maladie
du cœur, car cette maladie n'a présenté aucunes t
point d'ailleurs succombé directement à la maladie du cœur, car cette
maladie
n'a présenté aucunes traces de progrès récens, ma
ais bien à l'asthme symptoma-tique qui est la suite si habituelle des
maladies
du cœur. Quant au mode de formation de la coque
illement des valvules mitrales. Ces faits nous occuperont ailleurs.
MALADIES
DTJ CŒUR 20*Livraison. Pl. 4. perforalivTV Sp
, l'altération peut avoir eu lieu pendant la vie, dans le cours de la
maladie
, dans les derniers momens de la vie, ou après la
er l'intimité de l'adhérence et je suis resté convaincu qu'il y avait
maladie
de la membrane interne et que la concrétion avait
pour la plupart dans l'excellent ouvrage de M. Bouillaud ( Traité des
maladies
du cœur), ou voit que, dans plusieurs cas, il y a
éveloppement, non d'une conformation primitive des germes, mais d'une
maladie
, d'une irritation des valvules sygmoïdes qui a am
œur malade, je pose en fait que les trois quarts des malades morts de
maladies
aiguës ou chroniques sans longue agonie, auraient
séquence l'épaissis-sement des valvules sygmoïdes et leur adhésion.
MALADIES
DU CŒUR Livraison Pl.4 A Chazal. Lith de
x qu'on ne l'avait fait jusqu'ici la connexion du rhumatisme avec les
maladies
des valvules et la péricardite. (i) , La question
ardite ni sur le vivant ni sur le cadavre, et que je ne connais cette
maladie
que par les travaux de M. Bouillaud : il est vrai
ie; et en effet dans tous les cas que j'ai eu occasion d'observer, la
maladie
, parvenue à son summum, a présenté pendant la vie
a valvule tricuspide des valvules sygmoïdes de l'artère pulmonaire.
MALADIES
DU CŒUR 28e Livraison pi. s. rétrécissement
était presque inintelligible. Cet homme qui avait contracté plusieurs
maladies
vénériennes, traitées par le mercure, faisait rem
Evidemment sa paresse, son apathie, sa mauvaise volonté tenaient à la
maladie
organique, que sa mort a permis de découvrir. Tou
l'oreillette droite ne sont pas indispensables pour la circulation.
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DU CŒUR 29e Livraison n 2. C a ncor A Cha
n 2. C a ncor A Chazal del Ltfh.iLù.J.einerUfr,Betuirdd C1?
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DU CŒUR 29e Livraison PU. Cancer Tubercul
ux et des côtes gauches qui répondent au cœur, signale le début d'une
maladie
du cœur; chez d'autres, c'est aux dépens des poum
e, et les anévrysmes du cœur avec amincissement des parois, entre les
maladies
du cœur proprement dites et les épanchemens dans
loierait sans mesure et sans méthode. Je suis persuadé que dans cette
maladie
, les évacuations sanguines, locales, rarement gén
s par l'électuaire purgatif. Respectons le canal alimentaire dans les
maladies
chroniques; car,dans les maladies chroniques, les
ctons le canal alimentaire dans les maladies chroniques; car,dans les
maladies
chroniques, les organes digestifs sont d'une susc
rand nombre de praticiens modernes sont imbus de l'idée que, dans les
maladies
du cœur, le foie est ordinairement volumineux, hy
lumineux, hypertrophié, et déborde les côtes, consécutivement à cette
maladie
du cœur. Eh bien! je déclare que je n'ai point en
u cœur. Eh bien! je déclare que je n'ai point encore observé dans les
maladies
du cœur ce développement du foie hypertrophié ou
sur le cadavre l'hypertrophie du foie coïncidant avec telle ou telle
maladie
du cœur ou de ses enveloppes. Je possède plusieur
ses enveloppes. Je possède plusieurs observations dans lesquelles une
maladie
cancéreuse du foie qui occupait la convexité de l
e sur le cœur, que des praticiens d'un grand mérite avaient cru à une
maladie
du cœur, et ne sont revenus de leur erreur que lo
nneux que celui des saignées pratiquées dans les premiers temps de la
maladie
. Le 23, au matin , après une nuit paisible, le
e corps est couvert de sueur par suite d'un (1) Traité clinique des
maladies
du cœur, deuxième édition, Paris, i84i, 2 vol. in
aire et de la loi de coïncidence des inflammations du cœur avec cette
maladie
,aris , 1840 , in-8. exercice violent, et qu'une
là le traitement qui m'a paru le meilleur dans le traitement de cette
maladie
. » Après avoir saigné une fois, deux, trois foi
la pneumonie œdémateuse sont un des accidens les plus redoutables des
maladies
aiguës et chroniques des organes de la respiratio
n et l'autre doivent être bien distingués de la pneumonie œdémateuse,
maladie
très fréquente chez les vieillards, et à laquelle
ur dortoir et à prendre des alimens pendant la marche rapide de cette
maladie
, dont la durée est ordinairement, de deux ou troi
es de médecine,deuxième série, tome x. — T5. Prus, Recherches sur les
maladies
de la vieillesse ( Mémoires de l'Académie royale
es surveillantes, malgré nos avis réitérés , ne sont averties de leur
maladie
que par le râle des agonisantes , et les malades,
re n'est point accompagné de fièvre ; la pneumonie œdémateuse est une
maladie
essentiellement fébrile. Dans l'œdème, la percuss
de mes observations. Ouverture du cadavre. — J'avais noté que cette
maladie
consistait dans une tumeur développée dans le crâ
e gauche, la perte du goût survenus dans les dernières périodes de la
maladie
tiennent bien manifestement et à la compression d
ompression. L'amaurose est un phénomène commun à un grand nombre de
maladies
organiques du cerveau et le résultat soit d'une c
cas précédens, n'ont aucun rapport avec la nature carcinomateuse delà
maladie
, mais bien avec le siège, la forme de la tumeur,
aux changemens de temps. Pour commémoratifs, je recueille que cette
maladie
date de trois ans, qu'elle avait débuté par un af
IIe LIVRAISON.) Etudes sur la paraplégie. Pendant que l'étude des
maladies
du cerveau semble préoccuper tous les esprits, ce
des maladies du cerveau semble préoccuper tous les esprits, celle des
maladies
de la moelle est sinon complètement négligée, au
vier (d'Angers) seul parmi nous a attaché son nom à l'histoire de ces
maladies
, et, malgré les faits nombreux consignés dans so
ent ouvrage, je ne crains pas de le dire, l'anatomie pathologique des
maladies
de cet organe, et par conséquent leur diagnostic
une bouillie blanche. XXXIIe LIVRAISON. I classe si importante de
maladies
.Je vais, à l'occasion des planches 1 et i de la x
un timon de voiture, et c'est à cet accident qu'elle fait remonter sa
maladie
, bien qu'elle ait pu marcher encore pendant deux
ans l'observation qu'on vient de lire. La douleur est donc dans cette
maladie
en raison inverse de la lésion de la moelle. La
u de faveur parmi les assistans et qui paraissait contraster avec une
maladie
, en apparence asthé-nique, qui exigeait le cathét
nisation de la moelle. Je m'inquiète sérieusement sur l'issue de la
maladie
; car il est à craindre que les muscles de fa res
tte douleur l'obligea une attitude désordonnée qui rappelle celle des
maladies
cérébrales. La malade est assise sur son lit,la t
avec la gaîté enfantine, qu'elle avait manifestée tout le temps de la
maladie
. Elle ne peut pas appuyer le dos sur les oreill
uleur, un grand effort de volonté peut dans la première période de la
maladie
produire la contraction musculaire, mais bientôt
e de douleurs de tête intolérables et d'étourdissemens. Diagnostic.
Maladie
delà moelle. Quelle maladie? Est-ce compression?
rables et d'étourdissemens. Diagnostic. Maladie delà moelle. Quelle
maladie
? Est-ce compression? est-ce lésion du tissu propr
des reins. Dans l'observation qui précède, la dernière période delà
maladie
, qui date du a3 décembre, a été dominée par les a
excavation très prononcée que lui fournit (i) P. Rayer, Traité des
maladies
des reins et de la sécrétion urinaire, Paris , i8
cerveau, ne peuvent pas rendre compte de la forme paraplégique de la
maladie
. Toutefois on ne saurait trop appeler l'attention
i5, salle Saint-Gabriel, paraplégique, raconte ainsi l'histoire de sa
maladie
: Elle était portière à l'une des grilles du Lux
uite de ce défaut de sensibilité, qu'elle n'a pas senti se former une
maladie
de articulation méta-carpo-phalangienne du gros o
r une maladie de articulation méta-carpo-phalangienne du gros orteil,
maladie
que je considère comme le résultat de la pression
aucune douleur. L'abondance de la suppuration que four -nissait cette
maladie
de l'articulation, les eschares au sacrum, qui se
raplégique incomplètement et du sentiment et du mouvement meurt d'une
maladie
étrangère à la paralysie. Plusieurs fois j'avais
rd: toujours est-il que'cette transformation est, d'une part, une des
maladies
les plus fréquentes de la moelle, et, d'une autre
ue , paraplégique du mouvement seulement, mourut de je ne sais quelle
maladie
. A l'ouverture, atrophie des nerfs optiques, avan
moelle. J'avais même été tenté, dans le principe, de considérer cette
maladie
comme tenant à une compression du bulbe et de la
s cordons médians postérieurs président exclusivement au sentiment.
MALADIES
DE LA MOELLE EPINIERE 9 9 "l^raison F//™ Tace
.T A. chazal del Imp. d Xerrurcie^Btnaid'to C1? ^2 fLivraison
MALADIES
DE LA MOELLE EPINIERE Face post en cure. tace
tace posterieure. ~£ Choraldel. Imp.de.Lfiriirde.ryBcnardftC"'
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (PLANCHE VI, XXXVe LIVRAI
ralysie par les vertèbres déplacées ou par le pus de la carie dans la
maladie
connue sous le nom de mal de Pott. On conçoit, en
minuant, comme dans la paraplégie non douloureuse. Dès le début de la
maladie
, la lésion du sentiment apparaît en même temps qu
servation (octobre i83a), j'avais eu de rares occasions d'étudier les
maladies
de la moelle. Je croyais que l'hémiplégie emporta
une paralysie du mouvement, m'éclairerait de suite sur le siège de la
maladie
. Qu'il me soit permis de dire ici que les hémip
connaître les circonstances les plus minutieuses de l'invasion de la
maladie
: ils vous diront qu'ils ont été pris, l'un en ca
ue, si on avait pu diagnostiquer ou plutôt soupçonner la nature de la
maladie
, il aurait été rationnel de faire une ponction ex
on, si toutefois cette évacuation avait eu lieu à cette période de la
maladie
, dans laquelle la moelle était simplement comprim
de la dure-mère, tandis que la paraplégie non douloureuse tient à une
maladie
du tissu propre de la moelle. On conçoit d'ailleu
ne (Bulletin de VAcadémie royale de Médecine, Paris, 1839, tom. m.)
MALADIES
DE LA MOELLE EPINIERE ffi* Livraison. PL 6. Át/
s¿ cLcepkcdocusfos. @ Cfta a/c/t/ Imp. deLemerciér^B criard et C.
MALADIES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (PLANCHE V, XXXVIIIe LIV
'échappaient de sa main. XXXVll6 LIVRAISON. I Je diagnostique une
maladie
du tissu propre de la moelle, et je me fonde prin
ue j'avisais aux moyens, hélas! bien peu certains de remédier à cette
maladie
, la malade est prise, le 9 mars, de douleurs extr
recueillis dans le but déclaircir cette question d'étiologie, que les
maladies
de la moelle reconnaissent presque toujours pour
e du gros intestin, la dysenterie, cette terminaison si fréquente des
maladies
chroniques, n'était venue précipiter le moment de
a quant aux symptômes qu'elle a déterminés et quant à la marche de la
maladie
, une notable différence entre cette observation e
e, une notable différence entre cette observation et la précédente.
Maladie
de la colonne vertébrale. — Compression de la moe
'épaisseur de la moelle. L'étude de la sensibilité cutanée dans les
maladies
de la moelle présente un grand intérêt. La perte
ématurée fait un si grand vide parmi nous. Voici quelques mots sur sa
maladie
. Depuis trois ans environ, Sanson était affecté
ur sa maladie. Depuis trois ans environ, Sanson était affecté d'une
maladie
des voies urinaires, il avait une rétention d'uri
triction et de barre a persisté, à divers degrés, tout le temps de sa
maladie
. Nous ne pouvions méconnaître, M. le docteur Raye
tre, M. le docteur Rayer et moi, l'importance de la coïncidence d'une
maladie
des voies urinaires et de la paraplégie, coïncide
'avais moi-même dans mon service, à cette époque, un homme affecté de
maladie
des reins, qui venait d'être pris d'une anesthési
respectés ; mais quel rapport existait-il dans le cas actuel entre la
maladie
de la prostate et la paraplégie. L'idée à laquell
ubstance blanche paraissait avoir moins d'épaisseur que de coutume.
MALADIES
DE LA MOELLE EPINIERE ßf livraison./¿fi. A. c
f livraison./¿fi. A. chazal del Imp. Ltmercù-r, £ e ricuci et Ñ
MALADIES
DU CERVEAU. Apoplexie de la protubérance et des
ligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ, par suite d'une
maladie
étrangère a l'attaque. Cicatrice avec déformation
erait bien constatée, ne pouvait remonter qu'aux derniers jours de la
maladie
. C'était donc dans la protubérance et le cervel
ossibilité d'articuler les sonsy observé chez une femme de 45 ans (la
maladie
avait un an d'ancienneté), le corps strié gauche
ûpop/e.xie /le la, protubérance?. Ctl ^XaLdcL. Ltth.JeßenarJL.
MALADIES
DE LA PROTUBÉRANCE ANNULAIRE ET DU BULBE RACHID
rotubérance. L'anatomie pathologique, non moins que la clinique des
maladies
de la protubérance annulaire et de celles du bulb
ir ee point obscur de la science. (1) Voyez Ch. Billard, Traité des
maladies
des en/ans nouveau-nés, 3e édition , augmentée pa
iothèque médicale, 1825 , tome ix, page 3i4- XXXVe LIVRAISON. I 2
MALADIES
DE LA PROTUBERANCE ANNULAIRE. Un enfant, âgé de
cette structure, Ânatomie descriptive, tome iv, pages 5o,2 et 6io).
MALADIES
DE LA PROTUBERANCE ANNULAIRE ET DU BULBE RACHIDIE
35e. Livraison Pl.3 a.aa.xalJcl. Tm.cte£emercier.£ enarc/cé C.
MALADIES
DU CERVEAU. (PLANCHE II, XXVe LIVRAISON.) Tum
le que de classer les tumeurs cérébrables, parce qu'à l'exception des
maladies
tuberculeuses , un grand nombre de productions or
vu, en outre, que cette lésion devait être rapportée à la classe des
maladies
cancéreuses. Les tumeurs cancéreuses et tubercu
n symptôme; quelquefois même les individus ayant succombé à une autre
maladie
, ce n'est qu'à l'autopsie qu'on a reconnu Pexiste
rs cérébrales, c'est la présence dans d'autres parties du corps d'une
maladie
cancéreuse ou tuberculeuse. Ainsi, une femme de l
t par suite d'une lésion des méninges ou de la substance cérébrale.
MALADIES
DU CERVEAU. ygf livraison Pl. 2. A. Chazal de
ygf livraison Pl. 2. A. Chazal del. Lith.de Beitartt'.rlïr/v.
MALADIES
DU CERVEAU. (PLANCHE II, XXXIIIe LIVRAISON.) AP
pour qu'il y ait doute depuis le premier moment de l'apparition de la
maladie
jusqu'à sa terminaison ; io° que les caractères d
sement reposent surtout sur le mode d'invasion et sur la marche de la
maladie
. Dans le foyer apoplectique, l'invasion est subit
la rigidité, et sur la lésion du sentiment. Le mode d'invasion de la
maladie
confirme encore ce diagnostic. Le vomissement à l
ut au cerveau, à la moelle et aux nerfs. 2g " Jj iv rais on PL 2.
MALADIES
DU CERVEAU Ë. Ch baL ¿eL. Irrap disXcmercui,
MALADIES DU CERVEAU Ë. Ch baL ¿eL. Irrap disXcmercui, Benard el
MALADIES
DU CERVEAU. (planche i, xxxvie livraison.) apop
e texte au développement des points principaux relatifs à l'étude des
maladies
, connues depuis les belles recherches de MM. Lall
vue thérapeutique , j'ai établi par des faits la curabilité de cette
maladie
, qui a été long-temps regardée comme incurable.
tensité des accidens reconnaît-elle pour cause l'acuité extrême de la
maladie
, (i) L'observation suivante établira d'une mani
iltration était survenue depuis (1) Voyez Tonnelle, Mémoire sur les
maladies
des sinus veineux de la dure mère. Paris, 1829,11
nlèvent sans lacération de la substance cérébrale ; en aucun point la
maladie
n'a franchi la substance grise. Le corps strié, v
Réflexions. Le dévoiement, moyen si puissant de dérivation dans les
maladies
cérébrales, ne préserve donc pas des congestions
poplt iò par Joyer A. Chazal lith. Im. dcLemcmtr, S åì ard et Ñ
MALADIES
DU CERVEAU ET DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. (planche i
considère la microeéphalie avec hydrocéphalie comme le résultat d'une
maladie
éprouvée par le fœtus dans le sein de sa mère : J
euses des vertèbres voisines présentaient leur disposition normale.
MALADIES
DU CERVEAU ET DELAMOELLE ÉPINIERE Jg e Livraiso
Spina -oi/¡¿¿¿a,. A. Chazal del. Im.£em¿rcúr,I!eraij-d. et. Ñ.
MALADIES
DU CERVEAU. (planche iii, xxxiiie livraison.)
Réflexions. On ne saurait mettre en doute ici, la préexistence delà
maladie
du rocher sur la lésion du cerveau : ce fait vien
rder l'abcès enkysté du cerveau comme appartenant à une période de la
maladie
bien antérieure à l'inflammation des ventricules
s méninges ou du cerveau. Il est rare d'avoir l'occasion de suivre la
maladie
depuis le moment de la formation de l'abcès jusqu
rvé dans la méningite des enfans me donne incontinent l'éveil sur une
maladie
cérébrale et mes soupçons se convertissent en cer
t. La lésion cérébrale est enfin diagnostiquée; je me demande si la
maladie
a son siège dans la séreuse ven-triculaire, dans
cérébrale ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans tous les cas, il y a
maladie
irritative, inflammation. Saignée du pied. Le 2
que le malade put aller prendre ses repas au réfectoire. Les faits de
maladie
cérébrale abondent en exemples d'amélioration sem
plus tard étaient à toute extrémité. Je ne compris rien dans cette
maladie
à la première période qui embrasse l'intervalle d
vrogne, sujet à des attaques d'épilepsie, mourut de je ne sais quelle
maladie
. « On me présenta la faux du cerveau qui était ex
ur £an,cereuj-ey des Meninges, 0. Imp. de,ÚåãØÃΣÃ,Âmartlet Ñ16
MALADIES
DU CERVELET. ( xxxviie livraison , planche v. )
ropos pour montrer l'obscurité dont s'enveloppent le plus souvent les
maladies
de cet organe. Induration des circonvolutions m
Affaiblissement croissant, pouls fébrile, immobilité; aucun indice de
maladie
locale autre que les eschares. La malade s'éteint
du cervelet. Ces sillons n'ont quelquefois (1) Voyez Esquirol, Des
Maladies
mentales, Paris, i838 , tome u, page 28.Ï. XXXVII
e a donc été simplement déposée à la surface de ces filets nerveux.
MALADIES
DU CERVELET 37e. Livraison Pl. 5. Ñ1ñà1ã1ñå,_
ñÈå*ã Æåã/ÿ. Î.. Ñêàëà/, (Û. 1òïð - ñ1å,Õåòà-àá'; Âåïñè-à. è Ñ*
MALADIES
DE LA PEAU. Productions cornees. (Planche m,
ncées en âge et (1) Voy. P. Rayer, Traité théorique et pratique des
maladies
delà peau. 2" edit. Paris, i835. T. HT , pag. 640
du mucus ou du pus desséché dont se recouvre la peaii dans certaines
maladies
aux productions cornées. On aurait pu considérer
e à un fait aussi bien circonstancié que celui qu'on vient de lire.
MALADIES
DE LA PEAU Productions cornées. 24e Livraison
es cancéreuses de la Salpétrière meurent assez souvent de toute autre
maladie
que le cancer. Les cancers de l'utérus sont assez
ie et les poumons étaient très habituellement affectés dans les mêmes
maladies
, et qu'enfin, dans certaines cachexies, suite de
ans contredit le cancer tuberculeux. (i) Voyez P. Rayer, Traité des
maladies
de la peau , 2 e édition, Paris , i835 , t. n, p.
2 e édition, Paris , i835 , t. n, p. 2 2 , et pl. xiv, in-4 , col.
MALADIES
DE LA PEAU,DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES
es ñåèãååãåøñ. A. Chazal del. Imp. de demereur ; £trw.rd, et t:
MALADIES
DE LA PEAU.DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES
e l'école pratique. Je manque de toute espèce de renseignemens sur la
maladie
à laquelle il a succombé. Il est probable que c'e
érait en rien de la substance nerveuse du nerf facial du côté sain.
MALADIES
DES NERFS 15eLu raison.Fi. £. Ckcvx.a.1 dcL.
te est évidemment le seul obstacle à l'excrétion de l'urine. -„ vio
MALADIES
DE LA PROSTATE Chacal. Zith.. Je ßeriard, r.
i° L'existence d'un calcul urinaire ou de plusieurs calculs dans les
maladies
de la prostate est un fait très fréquemment obser
er en ligne de compte dans les diverses méthodes de traitement de ces
maladies
: il faut savoir aussi que, dans ce cas, les calc
la suite d'une même cause, le rétrécissement du canal de l'urètre.
MALADIES
DE LA PROSTATE. 26e Livraison Pl.5. ¿¿. ¿Yl¿t
e  cJLarJ et/reu (planche i, xxxe livraison.) » .. Fig. i et i'.
Maladies
de la prostate. Les figures I et F représentent
s ecchymoses sous-muqueuses et muqueuses représentées figure 2. Cette
maladie
hémorrhagique se rattache à une lésion du système
chez un jeune homme de 15 ans, mort deux mois après l'invasion d'une
maladie
de l'articulation coxo-fémorale droite. On trouva
e descriptive, tome h, Splanchnologie , page 758. 1Livraison PL /
MALADIES
DE LA VESSIE ET DE LA PROSTATE A. Chazal del
cissemens du canal de l'urètre jouent un rôle très important dans les
maladies
des voies urinaires. Us constituent la cause la p
es qu'ont présenté les autres organes, ni à plus forte raison, sur la
maladie
à laquelle cet individu a succombé; mais il m'a p
externe et de médecine opératoire. Paris, iS/fi j tome v, page 433.
MALADIES
DE LA VESSIE, DE LA PROSTATE,ET DU CANAL DE L'URE
donnent toutes les apparences de l'altération décrite sous le nom de
maladie
de Brigbt. Il est probable que cette atrophie n'e
eignement sur le sujet qui a fourni ce rein. Je ne connaissais pas la
maladie
de Bright, lorsque j'ai fait dessiner cette figur
atroce, les vomissemens continuels et l'état syncopal du début de la
maladie
. Quelles sont les indications thérapeutiques qu
Quelles sont les indications thérapeutiques que présente une pareille
maladie
? Evidemment, dans la première période, la seule
trière, qui est venue quatre fois au moins dans mon service, pour une
maladie
du rein très facile à diagnostiquer. Habituelleme
ète de douleurs, et la santé redevenait parfaite. Le seul symptôme de
maladie
était la fétidité habituelle des urines. D'après
meur et le principe de tous les accidens étaient dans le rein, que la
maladie
consistait dans une distension du rein, du calice
, groupés comme le docteur Rayer représente ceux du mucus (Traité des
maladies
des reins et des altérations de la sécrétion urin
urinaires constituent la plus large et la plus importante partie des
maladies
de cet appareil si compliqué : elles embrassent t
il comporte , par M. !e docteur Rayer. Voyez son ouvrage : Traité des
maladies
des reins et des altérations de la sécrétion urin
-temps dans mon service un malade affecté depuis longues années d'une
maladie
du rein gauche : il éprouvait souvent de grandes
ion aucune avec la vessie. Cela s'explique par cette loi générale des
maladies
des appareils de sécrétion, savoir, que toute rét
interne de l'hôpital Necker, xxxvie livraison. fLivraison PL3.
MALADIES
DES REINS. (xilculs rcf/aiL-jci —fCyslej miUtil
miUtiloculazres - (l. CAa.tai Jel. Imp /..ineracr.-Benardai Ñ.
MALADIES
DES REINS. 36eLivraison ã 1.4. Calculs re íà
eul fait positif qui établisse que le sang coagulé ait été capable de
maladie
, c'est-à-dire dévie ; sous ce rapport le sang coa
tin de l'Académie royale de médecine, Paris, 1840 , tome v, page ).
MALADIES
DES REINS eLivraison, PL 5. Ci. Cfia.xa.LdtL.
la prédisposition au cancer, comme d'ailleurs sur celle à toutes les
maladies
, une influence non équivoque. J'ai vu trois foi
ren-seignemens suivans : Cet homme faisait remonter la cause de sa
maladie
à un coup d'épée qu'il reçut à la mamelle en se b
des de l'aisselle fussent dans l'état le,plus parfait d'intégrité, la
maladie
repullula : après un an ou dix-huit mois d'un tra
nullement à l'application de la ligature. 2¿ ll wraiô on, TL. 4.
MALADIES
DE LA MAMELLE Cancer mcurunairc ch z L'homme^.
réglée, mais moins abondamment que de coutume : elle affirmait que la
maladie
datait d'un an seulement, et que depuis six mois,
on détaillée est xxvie livraison. i une des nombreuses formes des
maladies
connues sous le nom de cancer des mamelles ; mais
de cette question est subordonnée à la détermination de la nature des
maladies
comprises sous le titre de cancer. M. Blandin a
s que la distinction des périodes de crudité et de ramollissement des
maladies
cancéreuses est tout-à-fait artificielle; et que
ticule, et même aux organes internes; à l'utérus, à l'estomac, etc.
MALADIES
DE LA MAMELLE ôLivraison f '.J ia/ice/'S. C
, et la malade faisait remonter tout au plus à 4 ans l'invasion de la
maladie
. Les faits de ce genre ne sont pas assez rares
actères du cancer le plus aigu, le plus douloureux. Elle mourut d'une
maladie
étrangère au cancer, de l'inévitable pneumonie sé
s, par des tubercules cutanés ; et que dans un grand nombre de cas la
maladie
reste limitée aux parties primitivement envahies
ltré. La malade faisait remonter à six mois seulement l'origine de sa
maladie
; elle souffrait d'atroces douleurs et prenait 18
l'entrée du bassin , et que j'avais pu croire pendant la vie être une
maladie
cancéreuse n'était autre chose qu'un kyste pileux
phlébite suppurative diffuse avec accidens de résorption purulente.
MALADIES
DES MAMELLES 27e Livraison Pl.3. C ancor ^4
is qui président à la production et à la propagation de cette cruelle
maladie
, je vais consigner ici quelques faits qui ont bea
n après l'invasion de la pleurésie. Les commémoratifs relatifs à la
maladie
des mamelles sont les suivans: premier coup, reçu
affectée de cancer ne peut donc pas prévenir la reproduction de cette
maladie
, pas plus que l'amputation, pas plus que la gangr
r quelques faits, qu'il est, dans certains cancers, une période où la
maladie
semble purement locale. La gangrène ou rescarif
ette cause d'infection n'est pas douteuse, à une période donnée de la
maladie
, elle est encore douteuse dans le principe, au m
n suis maintenant aux alcalis à petite dose. 5/"' Livraison Tl.2.
MALADIES
DES MAMELLES Cancer . A.ChaMiLdd. Im. de-Xi
elles il se manifeste ! La période de la vie affectée à cette cruelle
maladie
est circonscrite entre 35 et 5o ans. Cependant j'
pouvoir y découvrir quelque cause au moins éloignée de cette terrible
maladie
. La vie la plus irréprochable comme la plus disso
sinait le col. Cette malade fut soumise au traitement ordinaire des
maladies
cancéreuses, traitement purement symp-tomatique e
en évident que nous avions sous les yeux les divers degrés de la même
maladie
; que, dans le premier degré, il y avait infiltrat
t son siège dans la substance ambiante du cerveau. L'histoire de la
maladie
prouve en effet qu'ici, comme dans tous les cas d
manière subaiguë ; c'est par lui que se terminent le plus souvent les
maladies
organiques du cerveau, tumeurs, kystes, abcès enk
cerveau est-elle liée au cancer de l'utérus? La funeste tendance des
maladies
cancéreuses à infecter toute l'économie en partan
fait singulièrement ressortir les veines gorgées du suc cancéreux.
MALADIES
DE L'UTERUS . (Úë.ñåã. 23e Livraison, Pl.6.
ni à la grossesse ni à l'accouchement, mais peut avoir influé sur la
maladie
puerpérale à laquelle la femme a succombé quelque
ppartenait à une femme de la Salpêtrière, âgée de 78 ans, morte d'une
maladie
tout-à-fait étrangère à la lésion de ces organes.
trière chez les femmes avancées en âge, indépendamment de toute autre
maladie
, par suite de l'adhésion des parois opposées du c
cas suivant : On adressa à la Société anatomique, sous le titre de
maladie
de lovaireP un utérus des plus singuliers que j'a
tés, au moins des espèces principales de cette terrible et si commune
maladie
. Malgré les travaux importans publiés sur cette m
importans publiés sur cette matière, je ne crois pas qu'il existe une
maladie
qui ait un plus grand besoin d'anatomie pathologi
our cela, il faut commencer l'étude de l'altération aux limites de la
maladie
. Le vagin est extrêmement favorable à cette étude
ut assassiné eh sa présence le 28 juillet i83o. Elle fait remonter sa
maladie
à la commotion morale que lui causa cet affreux s
; car je retrouvai là tous les symptômes généraux de cette redoutable
maladie
. Je ne soupçonnai même pas la gangrène de l'utéru
nte de Fobturation des artères ? Les symptômes qu'a présentés cette
maladie
sont tellement étrangers à ceux qui appartiennent
à l'apoplexie capillaire, que je me crois fondé à les rapporter à la
maladie
de l'utérus; car on peut appliquer aux lésions or
éreuses une gangrène humide du tissu de l'utérus sans aucune trace de
maladie
cancéreuse proprement dite. Cette gangrène humide
oraùortPl.f, Q-OiaxoLdd. Zitk.dcßenard. ¡4?''Livraison, PI 2.
MALADIES
DE L'UTERUS A. Chazal del. Xílh.. de. Benard,
canal de l'urètre que, dans le cathétérisme pratiqué pour ce genre de
maladie
, on doit diriger la sonde en bas et en arrière, e
ière de la vésicule du fiel dans certains cas de calculs biliaires.
MALADIE
S DE L'UT E RUS /Jfp /àñå//ãñã//. îá*livraiso
ãñã//. îá*livraison Pi. 4. a. Chaza/del. ZM de£esi*re¿e¿/ ey.
MALADIES
DE L UTÉRUS. Cancer. (Planche ii, xxviic livr
olume d'un œuf de dinde, dans le triangle sus-claviculaire.—En outre,
maladie
de l'utérus qui a débuté, il y a dix mois, par un
l'altération du rein, connue dans ces derniers temps, sous le nom de
maladie
deBright; et cette atrophie peut être portée au p
e éliminés par les voies urinaires et par la transpiration cutanée.
MALADIES
DE L'UTERUS Ñ am or 27. Zi¿ r¿t¿ for/ i°¿. 2.
xxiv° livraison.) Hernies de Vutérus. L'utérus se déplace dans la
maladie
connue sous le nom de chute de Uutérus, et l'ovai
considération ne serait pas sans importance pour le diagnostic de la
maladie
, qui serait impossible si l'on s'attendait à trou
cadavre d'une femme âgée d'environ cinquante ans, Chopart [Traitédes
maladies
chirurgicales, t. ii, p. 3o) a vu la matrice sort
l'anneau, conservait assez de mollesse. Cette femme étant morte d'une
maladie
de poitrine à lâge de soixante-et-onze ans, Lalle
gt-deux ans, la tumeur existait depuis quarante (1) VoyezTraité des
maladies
de Vutéruset de ses annexes , par madame Boivin e
es premiers temps de la vie que dans l'âge adulte et la vieillesse.
MALADIES
DE L'UTERUS. IIerni . 34?e'Iwrawoii I/, â.
. 34?e'Iwrawoii I/, â. A. Chazal del Im dtlemaxierb'enard.etÑ
MALADIES
DE L'UTÉRUS ET DU VAGIN. (planche ii, xxxviie l
région lombaire, que j'ai pu déterminer le véritable caractère de la
maladie
. Du reste, l'un et l'autre mode de terminaison pa
e du rein gauche, de l'uretère et de la vessie, semblent indiquer une
maladie
antérieure de l'utérus, dont cette phlegmasie n'a
que les épanchemens sanguins spontanés, survenus dans le cours de la
maladie
, antérieurement à l'œdème, étaient un des effets
e l'effet d'un vice dans le sano;. Enfin, je ferai remarquer que la
maladie
a débuté par une douleur sciatique indépendamment
ne et de chirurgie pratiques, article Phlébite, tome xu , page 63y.
MALADIES
DU REIN-MALADIES DE L'UTERUS . 37 eLvoraùon PL
(Abcès.) ( Ga,rtar¿n .) Cl.Cha.ialM. Imp. Zenieruer,Beiiardet
MALADIES
DE L'UTÉRUS ET DE SES ANNEXES. (PLANCHE ni, XXX
u de tanche ( fîg. i") , il était bien difficile de diagnostiquer une
maladie
cancéreuse; j'avoue que, pour mon compte, si j'av
icien dans la plus grande perplexité, relativement au caractère de la
maladie
. Je le répète, avant d'avoir ouvert l'utérus, je
ostérieures des cuisses? Mais si ces douleurs révèlent le siège de la
maladie
, il s'en faut bien qu'elles en révèlent la nature
nches des plexus lombaire et sciatique, qui accompagnent toujours les
maladies
de l'utérus. J'attache une très grande importance
re, et surtout à la douleur sacro-coccygienne, pour le diagnostic des
maladies
de l'utérus : il est rare qu'une lésion irritativ
même que le museau de tanche est respecté pendant tout le cours de la
maladie
. J'ai vu plusieurs fois le corps de l'utérus déso
ion du museau de tanche, je restais dans le doute sur la nature de la
maladie
. Je dois dire aussi que la malade n'accusait pres
rus. L'extirpation a donc (1) Boivin et Dugès , Traité-pratique des
maladies
de l'utérus et de ses annexes, Paris , i833, tome
in. Plusieurs personnes avaient contesté le caractère cancéreux de la
maladie
, et se fondaient sur l'absence du suc cancéreux.
constaté la fréquence de leur inflammation catarrhale aiguë, dans les
maladies
puerpérales; et à la vue de ce liquide purulent q
raison, PI 5. (Z. f/iaxal ¿¿1- Ittl. Leinercierlieriar'cl et C.
MALADIES
DE L OVAIRE. Kyste aréolaire. (Planche i, xxv
Société anatomique, bulletin n° 16, 3« série, déc. i836, pag. 208.)
MALADIES
DE 17OVAIRE. Kistc areolaire. Pl. 1re Livra
ouchement, mais encore sous le rapport de la pathologie, à raison des
maladies
consécutives dont elles sont ïa source. Déjà pl
que l'estomac, le foie ou l'intestin ont été le siège primitif de la
maladie
. Le cancer consécutif se manifeste toujours sou
ersonnes. Sa face jaune paille et sa maigreur extrême attestaient une
maladie
chronique arrivée à sa dernière période. Je la re
ade, n'a pas vu ses règles depuis trois ans et demi, fait remonter sa
maladie
au mois d'avril, époque où elle éprouva un saisis
s trompes , soit que ces organes eussent été le point de départ de la
maladie
, soit qu'ils eussent été consécutivement envahis
des organes contenus dans la cavité thoraeique. Réflexions. Que la
maladie
ait débuté par les ovaires ou par le péritoine, c
giques appartiennent bien plutôt aux péritonites tuberculeuses qu'aux
maladies
cancéreuses du péritoine proprement dites, ainsi
'abdomen , reçu trois mois auparavant, pouvait-il rendre compte de la
maladie
actuelle. Diagnostic. Le dévoiement, qui, du re
anent de l'abdomen, ne sont jamais à dédaigner dans le diagnostic des
maladies
abdominales. Le 6 août, la malade n'était pas p
anatomie pathologique de texture de la dégénération cancéreuse. •
MALADIES
DU PERITOINE Grossesse^ jocrtfo/bectZe*. g* L
ME LIVRAISONS XXI A XL. LÉSIONS DE L'APPAREIL DE LA LOCOMOTION.
Maladies
des os. Fractures du col du fémur. Considérations
cervicale. Compression de la moelle. Hémiplégie..................
Maladies
des articulations de la main. Rhumatisme : usure
es), naissant de l'os des îles. Structure aréolaire de ces tumeurs.
Maladies
des os. Ostéo-chondrophytes............. --Canc
ace .......... --Tumeurs érectiles des os du crâne. ... *........
Maladies
des extrémités. Vices de conformation. Lésions co
.... LÉSIONS SE L'APPAREIL DE LA DIGESTION ET DE SES DÉPENDANCES.
Maladies
de la parotide , du larynx et des yeux. Parotide
e des parties contenues dans la cavité orbitaire...................
Maladies
de l'œsophage et des intestins. Rétrécissement et
ssement et végétations polypeuses de l'œsophage....................
Maladies
de l'estomac. Cicatrices d'ulcérations folliculeu
tions générales sur les hémorrhagies de l'estomac................
Maladies
de l'estomac et des intestins. Développement énor
éreuses des épiploons. Plaques opalines du péritoine...............
Maladies
de l'estomac et du péritoine. Cancer gélatiniform
tions générales et faits relatifs au cancer du péritoine...........
Maladies
des intestins. Chute du rectum ou invagination du
1 — 3 6 TABLE DU TOME II. LÉSIONS DES ORGANES GÉNITO-URINAIRES.
Maladies
de la prostate. Prostate hypertrophiée et bilobée
ion.— Calcul urinaire. Hypertrophie de la vessie...................
Maladies
de la prostate et de la vessie. Développement du
la suite de calculs prostatiques. — Phlébite vésicale..............
Maladie
de la vessie et du canal de l'urètre. Réflexions
isse-mens du canal de l'urètre et sur l'hypertrophie de la vessie .
Maladies
des reins. Considérations générales sur les lésio
-Phlébite rénale. Loupes graisseuses. Coloration jaune du rein.....
Maladies
de la mamelle. Cancer de la mamelle chez l'homme.
seur de la cicatrice. Envahissement de la mamelle droite...........
Maladies
de l'utérus. Cancer. Réflexions............. --
rnies de l'utérus et sur les hernies de l'ovaire.................
Maladies
de l'utérus et du vagin. Gangrène de l'utérus et
n. Gangrène par érosion de la partie supérieure du vagin...........
Maladies
de l'utérus et de ses annexes. Utérus cancéreux e
rompes utérines remplies de matières tuberculeuses...............
Maladies
de l'ovaire. Kyste aréolaire.............. --Gr
onsidérations générales sur les grossesses extra-utérines ovariennes.
Maladies
du fœtus. Adhésions congénitales de deux jumeaux
ions générales sur les monstres doubles par adhésion.............
Maladies
du péritoine. Grossesse péritonéale. Considératio
ord et ensuite l'atrophie du tissu propre. 1 liv., pl. iv, p. 3.— Les
maladies
impriment à nos organes des altérations lout-à-fa
'accidens mortels. 26e pl. n, p. 6. ï AME. L'àme est incapable de
maladies
. 5e liv., pl. iv et v, p. 2. AMNÉSIE. Diverses so
vées. Insuffisance de l'observation clinique pour la connaissance des
maladies
. Nécessité des planches pour l'étude de I'anatomi
1, 11, 111, iv, v, p. âo. ANSLEY. Perfection de ses planches sur les
maladies
du foie dans les pays chauds. lre liv., Avant-P
raitement antiphlogistique dans les phlegmasies et notamment dans les
maladies
puerpérales. 31e liv., pl. ni, p. 3. ANTISPASMODI
lligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ par suite d'une
maladie
étrangère à l'attaque. Cicatrice avec déformation
e par oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p. 5. — Marche de la
maladie
; thérapeutique. 27e liv., pl. v, p. 6.—Erreur de
p. g. ARTHRITE. 9c liv., pl. 11, m, iv, v, vi, p. ARTICULATIONS.
Maladies
des articulations; goutte. 4e liv.,, pl. ni, p. 1
— Usure des cartilages articulaires : importance de l'étude de cette
maladie
; causes, symptômes. 9e liv., pl. 11, m, iv, v, vi
duite par la rigidité des articulations. 32e liv., pl. 1, n, p. 16. —
Maladies
des articulations de la main : rhumatisme. Usure
r quelques cholériques. 14e liv., pl. 1, 11, m, rv, v, p. 23. BILE.
Maladies
de l'appareil excréteur de la bile : calculs bili
liv., pl. 1, n, p. /. BRACHET, de Lyon (M.). Ses travaux sur les
maladies
du placenta. 16eliv., pl. 1, p. /. BREMSER. Mér
i, p. 4. BRIGHT (Richard). Perfection de ses planches sur certaines
maladies
des reins, du foie, des poumons, des intestins. l
estines in fever. 7e liv., pl. 1,11, m, iv, p. 46. BULBE RACHIDIEN.
Maladies
du bulbe rachidien : tumeur cancéreuse comprimant
m, p. 8.— Symptômes vagues d'affection épigastrique; apparences d'une
maladie
du cœur; plus tard, vomissemens ; le foie ne débo
u foie. 37e liv., pl. iv, p. 4.— Nullité de la thérapeutique dans les
maladies
cancéreuses. 37eliv. pl.iv,p..5. —Cancer utérin c
., pl. n, ni, iv, v, vi, p. / et /o. — Importance de l'élude de cette
maladie
; ses causes ; ses symptômes. 9e liv., pl. n, m,
., pl. 11, p. 2. CERVEAU. Perfection des planches de Hooper sur les
maladies
du cerveau. lre liv., Avant - Propos, p. iv. — Ma
ooper sur les maladies du cerveau. lre liv., Avant - Propos, p. iv. —
Maladies
du cerveau : tumeurs d'apparence perlée formées p
t chez une jeune fille morte dans sa 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.—
Maladies
du cerveau chez le fœtus. Atrophie des circonvolu
ligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ, par suite d'une
maladie
étrangère à l'attaque. Cicairice avec déformation
mme organe de l'instinct de la reproduction. 15e liv., pl. v, p. 2. —
Maladies
du cervelet et de la protubérance annulaire. Mass
parties du corps. Symptômes. 18e liv., pl. 11 , p. 4. — Marche de la
maladie
. Mode d'action. Ces tubercules soni le plus souve
pl. iv, v,p. /. CHOLÉRA MORBUS. Considérations générales sur cette
maladie
. Exactitude des descriptions données par les méde
. — Questions fondamentales sur le choléra morbus. Classification des
maladies
qui s'y rattachent. De l'influence épidémique sur
11, p. 2; 30eliv., pl. iv, p. 3. — Elle est le plusordinairemenl une
maladie
de la vieillesse. 20'' liv., pl. n, p. 2.—A quoi
iv., pl. iv, p. 4. — Ce rétrécissement est toujours le résultat d'une
maladie
. 28e liv., pl. iv, p. 5. — Rétrécissement de l'or
e liv., pl. i, n, m, iv, y,p. 4s. —Les crampes sont communes dans les
maladies
de la moelle, et rares dans celles du cerveau. 25
5.— Causes de la cyanose qu'on observe dans les périodes avancées des
maladies
du cœur. 39e liv., pl. vi, p. 5. GYCLOGÉPHALIE.
meurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à la famille des
maladies
cancéreuses; trois espèces principales de tumeurs
res ; ses variétés ; elle précipite la terminaison fatale des longues
maladies
; elle tend essentiellement à passer à l'état chr
- parties du corps; symptômes. 18e liv., pl. 11, p. 4. — Marche de la
maladie
; mode d'aclion ; ces tubercules sont le plus sou
euse primitive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des
maladies
décrites sous les noms de fièvre muqueuse, putrid
e aiguë ne donne pas la raison suffisante delà mort; dans nulle autre
maladie
n'est plus manifeste l'impuissance de l'art. - Ex
mort; les ganglions mésenlériques paraissent le siège principal de la
maladie
. Traces d'une entérite folliculeuse ancienne. 7e
ntérite folliculeuse, est un des faits les plus remarquables de celte
maladie
. 39e liv., pl. v, p. /. ENTORSE. 9e liv., pl. 1
humérale. 6e liv., pl. v, p./. EPIDIDYMË. Diagnostic distinclif des
maladies
de l'épididyme et de celles du corps du testicule
ies de l'épididyme et de celles du corps du testicule; curabililé des
maladies
de l'épididyme. = Infiltration tuberculeuse de l'
réolaire gélatiniforme des épiploons. 10p liv., pl. 111 , iv, p. 2. —
Maladies
du grand épiploon. 19e liv., pl. i, ii, y - /.
Extirpation du museau de tanche. 39e liv., pl. m, p. 3. EXTRÉMITÉS.
Maladies
des extrémités : Cicatrices des solutions de cont
oniatique dans la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. 4. — Dans toutes les
maladies
fébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas a
ion locale, mais bien avec la cessation delà marche progressive de la
maladie
. 30e liv., pl. m, p. 2. — La fièvre coïncidant av
lle le plus souvent la destruction du fœtus? Ie liv. pl. 1, n, p. â.—
Maladies
du thymus, du pancréas, et du poumon chez le fœtu
e pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissance. = Fréquence des
maladies
des poumons chez le fœtus. 15^ 11y., pl. u, p. 4.
e liv., pl. n, p. à. — Hydrocéphalie du fœtus. 15e liv. pl. m, p. . —
Maladies
du cerveau chez le fœtus : atrophie des circonvol
l. 1, p. 3. FOIE. Importance des planches de Richard Bright sur les
maladies
du foie. 11C liv., Avant-Propos, p. iv.— Deux kys
i, p. 5.—Symptômes vagues d'affection épigastrique : apparences d'une
maladie
du cœur : plus tard vomissemens : le foie ne débo
ns et l'intérieur du globe de l'œil. 22e liv., pl. i, p. i.— Dans les
maladies
du foie l'ictère ne survient que lorsqu'il y a ob
meurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à la famille des
maladies
cancéreuses. 8e liv., pl. 1, n, ni, p. 2. FOURC
sie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de la
maladie
du poumon. 11e liv., pl. iv, p. 1.—'Rareté de la
r oblitération des artères. 27e liv., pl. v. p. S. — — Marche de la
maladie
; thérapeutique. 26e liv., pl. v, p. G. — Erreu
te hypertrophiée; l'hypertrophie de la prostate est ordinairement une
maladie
de vieillards; moyen de traitement proposé par M.
liv., pl. 1, p. 1. — Rôle important que joue l'hypertrophie dans les
maladies
de l'estomac. 27e liv., pl. 1, p. 2. — Hypertroph
ses dans les cancers du foie. 12e liv., pl. 11 , m , p. 4. — Dans les
maladies
du foie, l'ictère ne survient que lorsqu'il exist
p. 5. INTESTINS. Importance des planches de Richard Bright sur les
maladies
des intestins. lre liv., Avant-Propos, p. iv. — S
ropos, p. iv. — Sur l'absorption intestinale. 2e liv., pl. i, p. 3. —
Maladies
des intestins—Amincissement extrême ou atrophie a
v, p. . — Questions fondamentales sur le choléra ; classification des
maladies
qui se rattachent au choléra. De l'influence épid
ge ; ses caractères: elle précipite la terminaison fatale des longues
maladies
: elle tend essentiellement à passer à l'état chr
sies laryngées primitives indépendantes de toute lésion pulmonaire. =
Maladies
du larynx: laryngite sous-muqueuse de la région s
xation incomplète. 29e liv., pl. 1, p. 2. LYMPHATIQUES (Vaisseaux).
Maladies
des vaisseaux lymphatiques: matière tuberculeuse
des extrémités digitales de la main gauche. 27e liv., pl. v, p. 8. —
Maladies
des articulations de la main : Rhumatisme. Usure
ans le traitement du choléra. 14e liv., pl. ij n, ni, iv',v, p. 5o.
MALADIES
. Maladies de la bouche chez les nouveau-nés. 15e
itement du choléra. 14e liv., pl. ij n, ni, iv',v, p. 5o. MALADIES.
Maladies
de la bouche chez les nouveau-nés. 15e liv., pl.
pl. m, p. 4 ; — Idem, chez les nouveau-nés. 15e liv., pl. ni, p. 4. —
Maladies
de l'œsophage chez les nouveau-nés. 15e liv., pl.
e liv., pl. m, p. 4 ; — Idem, en général. 38e ljv., pl. vi, p. /. —
Maladies
de l'œuf. 15e liv., pl. n, p. / ; — de l'utérus.
liv., pl. n, p. /; — Idem, chez le fœtus. 15e liv-, pl. n, p. /, 4- —
Maladies
du rectum. 25eliv., pl. m, p. /; 33eliv., pl. i,
ulaire. 32eliv., pl. m, iv, p. 4 s — du vagin. 37e liv., pl. n, p. /.
Maladie
muqueuse. 7e liv., pl. i, n, ni, iv, p. /.—¦ Mala
v., pl. n, p. /. Maladie muqueuse. 7e liv., pl. i, n, ni, iv, p. /.—¦
Maladie
muqueuse chronique. 7e liv., pl. i, n, m , iv, p.
e. 7e liv., pl. i, n, m , iv, p. y. — Différence de gravité entre les
maladies
épidémiques et les maladies sporadiques. 7e liv.,
, p. y. — Différence de gravité entre les maladies épidémiques et les
maladies
sporadiques. 7e liv., pl. i, n, tir, iv, p. o. —L
s et les maladies sporadiques. 7e liv., pl. i, n, tir, iv, p. o. —Les
maladies
impriment à nos organes des altérations tout-à-fa
erminer. 10e liv., pl. i, n, p. 8.—Comment on établit la nature d'une
maladie
en médecine. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. 34.
observation de la même affection. 32e liv., pl. i,u,p. 8. MENTALES (
Maladies
). Impropriété de l'expression Maladies mentales.
iv., pl. i,u,p. 8. MENTALES (Maladies). Impropriété de l'expression
Maladies
mentales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. METASTASE.
1, m, iv, v, p. 3g. — Spina biflda Considérations générales sur cette
maladie
. 16e liv., pl. iv, p. /. — Si l'ouverture de la t
s altération. 25e liv., pl. iv, p. 3. — Eludes sur la paraplégie. Les
maladies
de la moelle ont élé incomplètement étudiées jusq
iale sous-deltoïdienne. Mort parpleurésie. 30e liv., pl. v, p /. —Les
maladies
de la moelle reconnaissent presque toujours pour
vi, p 4. MURAT (M.). A le premier rassemblé les faits relatifs aux
maladies
du placenta. 16e liv., pl. i, p. i. MUSC. Sur l
uration et atrophie de la moelle. 32" liv., pl. 1, n, p. 14. NERFS.
Maladies
des nerfs ganglionnaires : transformation fibreus
rés. Catarrhe pulmonaire. Raie volumineuse. 15e liv., pl. 11, p. 6. —
Maladies
de la bouche, du pharynx, de l'œsophage et de l'e
pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une
maladie
primitive. 17e liv., pl. m, p. ô. — Coïncidence d
. 4- — L'œdème du poumon est un des accidens les plus redoutables des
maladies
des organes respiratoires et circulatoires. 40e l
HAGE. Rupture de l'aorte dans l'œsophage. 3e liv., pl. m, iv, p. 6. —
Maladies
de l'œsophage chez les nouveau-nés. 15e liv., pl.
ues. 38e liv., pl. vi, p. 3. OEUF. Considérations générales sur les
maladies
de l'œuf. 15e liv., pl. n, p. i. OLFACTION. Abs
R (d'Angers). Seul, parmi nous, il a aiiaché son nom à l'histoire des
maladies
de la moelle épinière. 32e liv., pl. 1, 11, p. /.
n'y a pas de dégénérations d'organes. 5e liv., pl. t, p. 2, 3. — Les
maladies
impriment à nos organes des altérations tout-à-fa
OS. Richesse du Muséum anatomicum de Sandifort en représentations des
maladies
des os. lre liv., Avant-Propos, p. iij. — Examen
Du redressement des os dans le pied-bot. 2e liv., pl. iv, p. i3.—Les
maladies
du tissu osseux ont leur siège, non dans le tissu
pression de la moelle. Hémiplégie. Algidité. 25e liv., pl. iv, p. /.—
Maladies
de l'articulation de la deuxième avec la troisièm
M. Lallemand sur l'otorrhée cérébrale. 33e liv.,pl. m,p. 2. OVAIRE.
Maladies
de l'ovaire : kystes. 5e liv., pl. in,~p. i ; 6e
raphique de ses ouvrages. lrc liv., Avant-Propos, p. iij. PANCRÉAS.
Maladies
du pancréas chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. i.
38e liv., pl. v,p. S, 6. PARAPLÉGIE. Etudes sur la paraplégie. Les
maladies
de la moelle ont été incomplètement étudiées jusq
elle de l'anatomie pathologique. lre liv., Avant-propos ,p-v. PEAU.
Maladies
de la peau. Productions cornées. 7e liv., pl. vi,
la peau. 35e liv., pl. v, p. 4. —Sur la sensibilité cutanée dans les
maladies
de la moelle. 38e liv., pl. v, p. 9. PERCY. Son
s est une cause de gangrène sénile. 27e liv., pl. v, p. 2. PHARYNX.
Maladies
du pharynx : muguet ou stomatite. 15e liv., pl. m
enta entraîne-t-elle le plus souvent la destruction du foetus ? — Les
maladies
du placenta sont une cause bien plus fréquente d'
1, 11, m p. ig. — Les pneumonies qui surviennent dans le cours d'une
maladie
grave se terminent souvent par la gangrène. = Sig
pl. iv, p. 2. — La pneumonie est la terminaison la plus fréquente des
maladies
organiques. 25°liv., pl. ni, p. 3. — Coïncidence
sie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de la
maladie
du poumon. 11e liv., pl. iv, p. i. — Rareté de la
poumons chez les cholériques. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, v, p. 3g. —
Maladies
du poumon chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. — Do
n enfant qui mourut immédiatement après sa naissance. = Fréquence des
maladies
des poumons chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. 4.
. 5. — L'œdème du poumon est un des accidens les plus redoutables des
maladies
des organes respiratoires et circulatoires. 40e l
e hypertrophiée ; l'hypertrophie de la prostate est ordinairement une
maladie
de vieillards; moyen de traitement proposé par M.
ut, iv, p. /2.—Le ramollissement gélaiiniforme est la terminaison des
maladies
organiques du cerveau. 23e liv., pl. vi, p. 3. —
ratatinement des cicatrices pulmonaires. 32e liv., pl. v, p. 5. RATE.
Maladies
de la rate : splénite, pus concret combiné. 2e li
v, p. 46. REINS. Perfection des planches de Richard Bright, sur les
maladies
des reins lre liv., Avant-Propos, p. iv. — Cancer
du cœur. 28e liv., pl. ïv, p. 4. — Il est toujours le résultat d'une
maladie
. 28e liv., pl. ïv, p. 5.— Symptômes et traitement
eillards. 29e liv., pl. v, p. 3. — De la valeur des saignées dans les
maladies
puerpérales. 31e liv., pl. m, p. 3. — De l'emploi
le épinière. 38e liv., pl. v, p. —Sur la sensibilité cutanée dans les
maladies
de la moelle. 381" liv., pl. v, p. p.— Le fourmil
tle et du choléra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, v, p. 42. SUEUR. Les
maladies
de la moelle reconnaissent presque toujours pour
sur les doctrines de la phlébite. 36e liv., pl. v, p. /. TESTICULE.
Maladies
du testicule ( sarcocèle) : cancer alvéolaire du
t. THORAX. Phlegmon diffus du thorax. 32e 1¡V., pl. y,p. /. THYMUS.
Maladies
du thymus chez le fœtus. 15e liv., pl. n, ». i.
Réflexions sur le thymus. 15e liv., pl. n, p. 3. THYROÏDE (corps).
Maladies
du corps thyroïde: accidens auxquels peut donner
tion de transformation. 28e liv., pl. y, p. 4. TRANSPIRATION. Les
maladies
de la moelle reconnaissent presque toujours pour
trompes. 39e liv.,pl. ni, ». 4. TROUSSE-GALANT. Identité de cette
maladie
avec le choléra épidémique. 14e liv., pl. 1, n, 1
es parties du corps; symptômes. 18e liv., pl. n, p. 4. — Marche de la
maladie
; mode d'action ; ces tubercules sont le plus souv
meurs dites fongueuses de la dure-mère appartiennent à la famille des
maladies
cancéreuses : trois principales espèces de tumeur
tèbres cervicales et des premières dorsales. 38e liv., pl. v, p. S. —
Maladies
de la colonne vertébrale. Compression de la moell
. v. VIEILLARDS. L'hypertrophie de la prostate est généralement une
maladie
des vieillards. 17° liv., pl. n, p. 3. — La ruptu
llards. 17° liv., pl. n, p. 3. — La rupture spontanée du cœur est une
maladie
des vieillards. 20e liv., pl. 11, p. 2. — La pneu
RCHIVES DE r' NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
l'imitation ait 1 Blocq et Oiianofï. Séméiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses. 1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE.
qui ont mal soigné leur vérole parce qu'elle paraissait bénigne. La
maladie
ne s'était manifestée que par un petit chancre,
comotrice d'origine syphilitique. Tabes spécifique, 1882, p. 6. '
Maladies
du système nerveux, 1. 1, 1878, p. 329, et t. II,
ontraires et peuvent se superposer, l'une constituant le fond de la
maladie
, et l'autre déterminant la forme, donnant le po
5-76, t. VII, p. 187. 1 Chauvet. - Influence de la syphilis sur les
maladies
du système nerveux central, th. d'agrégation, 1
eux central, th. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE. sy
ement de ce fait particulier. (La fin au prochaitt numéro.) DE LA
MALADIE
DES TICS. (tics, chorée, IlTllillll : : diagnos
; Par le D' L. C(1.1BBEItI', de Toulouse, L'étude détaillée de la
maladie
des tics remonte seulement à ces dernières anné
de l'Ilôtel-Dieu de Paris, t. II, 4" édition, p. 267, 268. DE LA
MALADIE
DES TICS. 11 taire, et qu'elle se réclame de la
nt l'oeil de l'observateur, et le moment où l'examen a porté. Si la
maladie
est une, la plupart des signes qui la caractéri
e affection trouvent leur sosie dans telle autre. Les quatre cas de
maladie
des tics que nous publions vien- nent à l'appui
ent, croyons-nous, une idée générale, suffisamment com- plète de la
maladie
et des principales formes qu'elle peut revêtir.
ltivateur, décédé à quatre- vingt-deux ans, après quelques jours de
maladie
; homme doux, tran- quille. Mère morte à soixant
z2 PATHOLOGIE NERVEUSE. Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. - An... est la plus jeune de sept enfants. Deu
es semaines; les quatre autres, quatre soeurs, n'ont jamais fait de
maladie
sérieuse, ont des enfants bien portants. Elle-m
partie médiane, mesure 1 centimètre dans le sens vertical. DE LA
MALADIE
DES TICS. 13 Le tic est caractérisé par la cont
e, âgée de soixante-quatorze ans, bien portante, n'a jamais fait de
maladie
sérieuse; elle avait deux frères : l'ainé mort
lui semble toujours qu'il oublie d'inscrire les acquits de - DE LA
MALADIE
DES TICS. 15 la régie, bien qu'il n'ait jamais
nt-il de considérer les uns et les autres comme relevant d'une même
maladie
dont les manifestations extrêmes sont reliées e
te ans hydropique. Antécédents personnels. Ma... n'a jamais fait de
maladie
, mais sa santé a toujours été délicate. Dans so
atorze ans, les menstrues sont toujours venues régulièrement. DE LA
MALADIE
DES TICS. 17 Etat actuel. - Taille : 1m.22; con
raisonne juste; caractère doux, mais très méfiant. ' Début de la
maladie
. Le début de l'affection remonte à l'âge de qua
ions sont l'objet. Il en Fig. 1. - Phototypie de Ma... M... DE LA
MALADIE
DES' TICS. 19 est de même de la main droite, l'
: C'est comme ça, sinon va te faire foutre; c'est ainsi. » DE LA
MALADIE
DES TICS. 21 ' Mais en plus de ces exclamations
! Troubles psychiques. Les troubles psychiques ressortissent à la
maladie
du doute. Ils s'observent pour les choses les plu
nt les rues de la ville. Cette observation est un cas typique de la
maladie
des tics. On y retrouve tous les caractères nos
er sont tous des tiqueux, ou bien por- tent en eux les germes de la
maladie
. L'hérédité de transformation serait-elle en ca
l'alcoolisme chez les descendants, le défaut de développement DE LA
MALADIE
DES TICS. 23 physique en est regardé comme la t
riginelle. En consé- quence, il est légitime de rapporter ce cas de
maladie
des tics àl'hérédité de transformation, représe
la contraction répond à la position du pied en valgus équin. DE LA
MALADIE
DES TICS. 25 ainsi un commencement de valgus éq
emi, lymphatique, nerveuse. Dans les antécédents, on ne note aucune
maladie
sérieuse; pas d'attaques de nerfs, pas de stigm
ion soit portée sur eux. Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. Fluxion de poitrine à l'âge de deux ans et dem
, partiels ils sont limités à la face et au bras droit; géné- DE LA
MALADIE
DES TICS. 27 ralisés, ils occupent la tête, les
tent ceux emprumtés à l'héré- dité, au début et à l'évolution de la
maladie
. , DE LA MALADIE DES TICS. 9 La chorée, le pl
à l'héré- dité, au début et à l'évolution de la maladie. , DE LA
MALADIE
DES TICS. 9 La chorée, le plus habituellement,
cente sont séparées par un plateau plus ou moins accidenté. DE LA
MALADIE
DES TICS.' 31 tisme ou de l'hystérie; parfois,
ère, M. le Par Fort, de Car- bonne. ' ..... » .... 1 .. 1 DE LA
MALADIE
DES TICS. 33 parmi les ascendants, on est tenu
et à la durée de l'affection, il y a lieu de faire observer que la
maladie
n'a pas été précédée de troubles de l'intellige
nt entre les spasmes hysté- riques et les contractions propres à la
maladie
des tics : l'un est em- prunté à l'ouvrage de :
nts, en un mot, s'accomplissent avec une harmonie parfaite. Dans la
maladie
des tics, au contraire, le rythme n'existe pas,
que la malade soit une hystérique. Si on envisage, au contraire, la
maladie
des tics, on n'a pas de peine à reconnaître que
cas donné, on ne retrouve pas tous les éléments constitutifs de la
maladie
, ce n'est pas une raison suffisante pour laisse
d'observations, comme on a relevé leur présence dans des cas où la
maladie
des tics n'était pas en cause. La maladie des
ence dans des cas où la maladie des tics n'était pas en cause. La
maladie
des tics convulsifs, telle qu'elle a été décrite
s lésions en foyer du cerveau qui, selon toute vraisemblance. DE LA
MALADIE
DES TICS. 37 7 ascendants; elle est affirmée pa
ise en évidence par la longue période écoulée depuis le début de la
maladie
. L'apparition des mou- vements à l'âge de six a
tiers les cas de paralysie piogressive. Certainement, dans les deux
maladies
, le processus morbide n'est pas le même, puisque,
, cependant, sont considérés comme deux des principaux facteurs des
maladies
nerveuses; et si l'on admet l'efficacité de la
roche plutôt de celui donné par M. Pitres i qui admet que dans la
maladie
des tics, « les contractions sont lentes, graduel
le même mot. Voilà donc des caractères qui n'appartiennent pas à la
maladie
des tics, dont le propre de L'écholalie est de
7° année, n° 6, p. 511 . 'A.Pitres, loc. cit., p. 33, 351. DE LA
MALADIE
DES TICS. 39 compris, ce signe a une valeur de
mier ordre, et sa présence chez la malade confirme le diagnostic de
maladie
des tics. La coprolalie n'existe pas chez J...
es caractères propres à la, chorée, aux spasmes hystériques et à la
maladie
des tics, il résulte que J... est atteinte de c
ère affection. C'est une hystérique chez laquelle s'est déclarée la
maladie
des tics convulsifs, ou, si l'on préfère, une t
médecine, 7' année, Il'' G, f. 511;. 40 .PATHOLOGIE NERVEUSE. DE LA
MALADIE
DES TICS. des lésions relevant de la superposit
MALADIE DES TICS. des lésions relevant de la superposition de deux
maladies
, de même chez J... elle a créé deux états morbi
rer associées l'une à l'autre ? L'hérédité qui crée à elle seule la
maladie
des tics ne joue pas non plus un médiocre rôle
pi- lepsie se marie souvent avec l'hystérie pour constituer cette
maladie
qui a reçu le nom d'hystéro-épilepsie à crises sé
- rées. De même, il existe des cas dans lesquels l'hystérie et la
maladie
des tics convulsifs viennent se greffer l'une sur
iennent se greffer l'une sur l'autre 1. » . De cette étude sur la
maladie
des tics, découlent les conclu- sions suivantes
cs, découlent les conclu- sions suivantes : Sous la dénomination de
maladie
des tics, il convient de comprendre non seuleme
s lésions en foyer du cer- veau (Obs. I, II, III et IV). Lorsque la
maladie
des tics coexiste avec l'hystérie, il est possi
ces deux névroses (Obs. II, IV). Les caractères distinctifs de la
maladie
des tics sont tirés du début de l'affection, de
; Revue de médecine, 7° année, n° G, p. ji8, dt9. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 41 Les qualités du mouve
térique. (Archiv. de Neurologie, 1890, n° 60.) l'hystérie et les
maladies
organiques DU cerveau. 43 les observations suiv
un de ces cas, il n'était possible de diagnostiquer la nature de la
maladie
en se basant sur la considération de l'attaque
ques-uns d'entre eux; 3° à l'absence des phénomènes persistants des
maladies
orga- niques ; -4° à l'état mental des malades.
mes dans le cas de Cha... 3° L'absence de phénomènes persistants de
maladies
orga- niques nous a fourni pour tous les cas un
omme une base, parce que nous savons qu'ont été observés des cas de
maladies
organiques du cerveau, lesquels, pendant longte
moteurs ou émotifs, qui ont marqué le début déjà L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 45 névrose; dans le prem
e sont encore vivants et bien por- tants ; les autres sont morts de
maladies
aiguës. Antécédents personnels. AU... n'a jamai
AU... n'a jamais souffert de troubles dignes de remarque jusqu'à la
maladie
actuelle. Il a fait les cam- pagnes de Crimée e
recueillir cette observation dans son service. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 47 gagnant très bien sa
, les iodures; en même temps il lui fit connaître, la gravité de sa
maladie
, en l'engageant à se soigner très sérieuse- men
ue à un point. 0 ? il droit. Pas d'altérations. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 49 Examen viscéral. Le c
e diagnostic d'hystérie, qui a été confirmé après par l'issue de la
maladie
, s'appuyait sur l'hémianesthésie étendue et pro
osso-labié des hystériques, thèse de Paris, 1888. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. SI inférieur, ne dépose
issent tous d'une bonne santé. Personne de sa famille ne souffre de
maladies
nerveuses. Antécédents personnels Bo... n'a jam
e maladies nerveuses. Antécédents personnels Bo... n'a jamais eu de
maladies
dignes de remarque dans sa première jeunesse. D
roi abdominale apparurent les signes d'une contu- L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 53 ' si.on très diffuse,
fficultés et de tâtonnements à trouver les diffé- L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 55 rentes parties de ses
e anomalie, ni dans le coeur, ni dans les vaisseaux. MARCHE DE la
maladie
. A partir du moment de son entré* dans la clini
uefois à peine sensible. Le 9 août, se produisit un épisode dans la
maladie
de B..., sur lequel nous reviendrons dans la di
e au moins de ces phénomènes était due à l'hystérie. Le cours de la
maladie
a démontré com- bien notre conviction était lég
1 V. Charcot. OEUVI'es complètes, t. IX, p. 134. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 59 3° L'absence de paral
lades nous est offert par la sciatique. Il est connu que dans cette
maladie
l'on observe des déviations de la colonne vertébr
hystérie était la cause de tous ces phénomènes. ' La marche de la
maladie
a de tous points confirmé notre idée à présent,
s sur le spasme glosso-labié. (Sem. médic, 1887.) L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 61 phénomènes très nette
très intéressant à connaître pour nous expliquer l'étiologie de la
maladie
, nous croyons devoir insister sur ce point. L
paralysie . Fig. 14. - Examen du 16 août 1892. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
. ORGANIQUES DU CERVEAU. 63 hystéro-traumatique.
lpêtrière. En effet, notre malade, pendant une longue période de sa
maladie
, aurait représenté un type parfait de névrose t
us démontre que de prudence est nécessaire dans le diagnostic des
maladies
nerveuses, même lorsque, par l'apparence et par
gi- quement. C'est que dans le diagnostic entre l'hystérie et les
maladies
organiques, il ne faut pas se contenter d'envisag
danger plus grand. La température monte démesurément comme dans les
maladies
infectieuses et la mort peut survenir dans un l
M. Lepine, Mairet et Lemoine sur les troubles de nutrition dans les
maladies
nerveuses. M. Lemoine, dans la Gazette des hôpi
RINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 71 la crise qui marque le déclin des
maladies
infectieuses; mais il n'avait pas d'expériences
les grandes res- sources de la faith-healing et que, de ce fait, la
maladie
nous trouve de moins en moins désarmés devant e
e constater que certains de ces thaumaturges étaient atteints de la
maladie
dont ils vont désormais guérir les manifestatio
as enlever à son malade un dernier espoir, surtout s'il juge que la
maladie
de son client est justiciable du /azith- healin
uels sont les effets directs de la faith-healing ? Quelles sont les
maladies
dans lesquelles elle produit des effets curatifs
s imparfaites de la réalité, car un bras peut être atteint de vingt
maladies
différentes, et c'est tou- jours le même membre
tuaires d'aujourd'hui. Combien la figuration directe, réelle de la
maladie
eût été plus instructive ! Une seule fois j'ai re
uctive ! Une seule fois j'ai rencou- tré cette représentation d'une
maladie
qui avait été l'objet d'un miracle thérapeutiqu
à l'usage des sanctuaires ne nous ap- prend rien de précis sur les
maladies
qui s'y guérissent sous l'influence de la faith
à l'opération, celle-ci ne devant être que palliative, puisque la
maladie
cancéreuse était déclarée incurable. « Puisque sa
uaire, comment révoquer en doute qu'elles eussent été guéries d'une
maladie
réputée incurable ? Le Dr Fowler connaissait bi
à s'exercer, il faut à la faith-healing des sujets spéciaux et des
maladies
spé- ciales, de celles qui sont justiciables de
prit sur le corps est assez efficace pour produire la gué- rison de
maladies
que l'ignorance où on était il n'y a pas long-
ions physiques : tels sont les cas développés à la suite de quelque
maladie
physique grave ou bien pendant la puerpéralilé,
fférentes du reste, suivant la forme d'aliénation et l'acuité de la
maladie
. Tandis que la manie sans agitation a une toxic
xicité de l'urine, l'élément premier dépendant de l'intensité de la
maladie
: chez tous les malades, quelle que soit la forme
: chez tous les malades, quelle que soit la forme revêtue, plus la
maladie
était intense, plus le degré de toxicité était él
physique qui a donné naissance à la folie : puerpéralité, puberté,
maladies
infectieuses; les urines, à part peut-être quel
yant jamais eu la chorée, ils ne sont pas caractéristiques de cette
maladie
. Ils indiquent, très probablement, la calcificati
n'ont pas été suffisamment étudiés. Je crois, pour ma part, que la
maladie
remonte beaucoup plus loin qu'on ne le croit. S
u'après les hallucinations, c'est-à-dire, à la période d'état de la
maladie
. L'opinion n'est pas encore fixée sur ce côté de
, elles sont précoces et semblent être un symp- tôme saillant de la
maladie
. Par leur aspect clinique général, ces derniers
les des délires de persécution. Ils constituent peut-être entre ces
maladies
mentales comme un groupe mixte de transi- tion,
énérescence, nous n'au- rons plus alors en médecine mentale d'autre
maladie
que la dégé- nérescence. D'ailleurs, folie des
phiques qui constituent le syndrome d'une déchéance inquiétante. La
maladie
se termine par la guérison (dans ce cas, elle p
isement du système nerveux par le surmenage physique, l'anémie, les
maladies
somatiques, les hé- morrhagies et surtout la pu
la paralysie du bras; puis tous ces phénomènes disparaissent. Et la
maladie
reste guérie. Discussion : M. LUDVIG. C'est trè
re-mériens, leurs relations constatées entre les symp- tômes ou les
maladies
du cerveau. Ainsi, quand il existe des trou- bl
é- lancolique, dégoût de la famille. Cet état a empiré depuis une
maladie
intercurrente. L'examen du malade constate une an
et s'emploie dans la psychiatrie pour déterminer tout un groupe de
maladies
mentales. II). M. le Dr D.abcuEwmcH. Sur les
cas, le rapporteur invoque les influences morales comme cause de la
maladie
. En plus, cette cause est notée dans beaucoup d
ow serait plutôt d'avis que la similitude du tableau clinique de la
maladie
dans les différents cas indique- rait qu'il s'a
longée qu'il a inventée et employée avec succès dans deux cas de la
maladie
de Pott. Le malade est assis dans son ht, on ne
que revient la décision dernière; quand même il s'agirait ici d'une
maladie
de Pott il ne croit pas que cela constituerait un
u tabes et de la paralysie alcoo- lique. L'étiologie complexe de la
maladie
donnait une explication suffisante de ce syndro
hermanesthésie) échappa aux observations, tandis que le cours de la
maladie
des autres cas a complètement prouvé le diagnos
uche du corps et du visage. C'est vers l'âge de treize ans que la
maladie
débuta, après un typhus abdominal très grave, p
combiné aidera à éclairer les recherches sur la genèse de certaines
maladies
fonctionnelles. MM. A. IZOJEVNIROV, W. Roth, [L
Contribution à l'étude de la bradycardie avec accès épileptiformes (
maladie
de Adams-Stokes). 11 s'agit d'un homme de cinqu
e cinquante ans, ayant toujours joui d'une bonne santé, sans aucune
maladie
sérieuse précédente, atteint d'accès épileptifo
Huchard a proposé de nommer du nom de leurs premiers observateurs,
maladie
d'Adams- Stokes. AI11. A. KOJEV,91KOV, A. Kor
ait, peut-être, le début de l'accès et ce dernier était relié à une
maladie
du coeur, en tant que les accès épileptiques ne
1° la folie rhu- matismale ; 2° la folie dans ses rapports avec les
maladies
de la peau, l'artério-sclérose, l'obésité ; 3°
ce manuel représente dans une forme concise un véritable traité des
maladies
mentales d'après les données les plus récentes
ose d'une façon très précise, très claire, toute la séméiologie des
maladies
mentales, les chapitres de la Folie systématisé
alons encore l'étude des folies associées aux ma- ladies générales,
maladies
infectieuses, folie des diathèses rajeuni par l
es. En revanche, le chapitre des Folies sympathiques, associées aux
maladies
locales des viscères, eût peut-être gagné à êtr
se proposent de faire un Traité complet de l'histo- logie fine des
maladies
du système nerveux. Cette histologie est bien d
diverses affections du système nerveux central et périphé- rique :
maladie
de Charcot, polynévrite, paralysie pseudo-hyper-
maladie de Charcot, polynévrite, paralysie pseudo-hyper- trophique,
maladie
de Thomsen, etc. Ainsi, dans la sclérose latérale
nce exercée par les émo.tions sur le développement et la marche des
maladies
BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et mentales,- de
e débilité se reliant à la dégénérescence, à la neurasthénie, à des
maladies
gé- nérales antérieures... Il est à remarquer a
tions suivantes : 1° Pathologie : « Des auto-intoxications dans les
maladies
men- tales. » -Rapporteurs MM. les docteurs Rég
r la différence qui sépare le régime médical pour le traitement des
maladies
mentale s de celui que réclame le traitement de
ement des maladies mentale s de celui que réclame le traitement des
maladies
ordinaires : pour ces dernières le médecin a re
en aide aux infirmiers blessés dans leurs fonctions ou atteints de
maladies
incurables. Nous faisons mieux que cela dans le
dans aucune autre publication. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES
maladies
DU système NERVEUX. M. CHARCOT SCLÉROSE LATÉRAL
existe entre les deux affections, c'est, vous le savez, que dans la
maladie
ATROPHIE D'UN MEMBRE INFERIEUR. 1G3 de Duchen
ran, la poliomyélite antérieure est isolée, tandis que dans l'autre
maladie
elle paraît être consécutive ou tout au moins a
faite : dès cette époque, la paralysie dite pseudo-hypertrophique,
maladie
progressive, n'é- tait pas confondue avec l'amy
Cette forme avait cependant été englobée dans la description de la
maladie
de Duchenne ; vous pourrez voir dans son livre
ous des modalités diverses, elles appartiennent à une seule et même
maladie
: la myopathie primitive. Messieurs, mon intent
s guère quelle en serait l'origine, ni la syphilis, ni aucune autre
maladie
infec- tieuse, ne sauraient être invoquées ici.
ne remarqua rien d'anormal dans son état de santé. Histoire DE la
maladie
. Il y a deux mois, il luifut impossible de paye
ives de Neurologie, n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité clinique des
maladies
du système nerveux, trad. franc, de Lubansky, 1
des tabétiques. C'est souvent un signe précoce qui peut révéler la
maladie
dans des circonstances particulières à des pers
les phénomènes qui se produisent. Enfin vous 1 Hammond. Traité des
maladies
du système nerveux; trad. franc, de Labailie-La
mpossible à beaucoup de personnes qui cependant n'ont rien de cette
maladie
. C'est à l'occlusion des yeux, et aux effets qu
c les patients ne fixent pas leurs pieds. Voilà pourquoi 1 Althaùs.
Maladies
de la moelle épinière ; trad. franç., 1885, p. 22
é, la faculté de marcher jusque dans une période très avancée de la
maladie
. » Vous pourrez trouver la confirmation de ce f
« Le symptôme de Romberg, dit Vanlair ? n'a rien à faire 1 Vulpian.
Maladies
du système nerveux; maladies de la moelle, t. 1
Vanlair ? n'a rien à faire 1 Vulpian. Maladies du système nerveux;
maladies
de la moelle, t. 1, 1879, p. 502. 1 Trousseau
men post-morlem a confirmé le dia- 1 Voir : Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, Paris, 1887, t. III, p. 202
rs incidents, qui, pour n'ètre pas sous la dépendance directe de la
maladie
prin- cipale n'en sont pas moins intéressants.
accidentelles, leur valeur au point de vue de la pathogénie de la
maladie
en général ne saurait peut-être entrer en considé
s les affec- tions de la caisse; enfin, en troisième lieu, dans les
maladies
générales du système nerveux et de l'appareil c
males. Elle continue les douches et le sirop d'iodure de fer. Les
maladies
du système nerveux, avec ou sans lésions systém
cerner à quelle période d'hypertension ou d'hypoten- sion en est le
maladie
. Le traitement quinique suffit encore dans le p
ter dans ce cas que la neurasthénie a reparu sous l'influence de la
maladie
utérine, et des pertes ; et que le cachet -laby
eille moyenne manifeste; on a plutôt tendance à tout rapporter à la
maladie
constatée et à à négliger l'affection du labyri
paralytiques généraux, même tout à fait à la dernière période de la
maladie
. La figure 20, prise trois semaines après l'acc
re morte à cinquante-neuf ans avec de l'ictère, aurait contracté sa
maladie
ultime à la suite d'une peur que lui aurait faite
e ans de « congestion cérébrale accompagnée de convulsions ». Cette
maladie
aurait duré deux jours. La grand'- mère materne
ntrer dans les myoclo- nies des phénomènes psychiques comme dans la
maladie
des tics convulsifs. Les myoclonies ne sont pas
s qui sont universellement considérées comme caractéristiques d'une
maladie
sont, en fait, un reflet beaucoup plus exact de
(profession, âge, hérédité, causes, etc.) sorties complications et
maladies
consécutives. Il est encore pas mal de régions
ERN. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVII, 5.) L'étude de toutes les
maladies
cérébrales envisagées à ce point de vue, montre
on d'une augmentation de poids, il est éga- ment vrai que, plus une
maladie
est ancienne, plus rare en est la guérison. Mai
guérison. Mais, considérée en soi, l'augmentation du poids dans les
maladies
de longue durée n'a rien à faire avec un pronosti
n'a rien à faire avec un pronostic fâcheux; elle prouve, non que la
maladie
est incurable, mais qu'elle est ancienne. Autre
par le Dr Ladame. Sous ce nom, le D' Gerlier a décrit une nouvelle
maladie
qui serait caractérisée par trois ordres de sig
époque où il a constaté pour la première fois l'existence de celte
maladie
, le D'' Gerlier en a observé une dizaine de cas
tité clinique; 2° c'est un syn- drome commun à plusieurs classes de
maladies
; 3° les cas les plus nombreux pourront être ra
s plus rebelles et d'une localisation spéciale se rapprochent de la
maladie
des tics de Marie ou de la chorée électrique qu
istoire de la chorée rhumatismale et de la chorée consécutive à des
maladies
infectieuses. M. Moos. Des troubles de l'équi
e vue de la phtisie pulmonaire, mais ni syphilis, ni alcoolisme, ni
maladies
nerveuses dans sa famille. Aucun accident penda
lie mais, comme il manque beaucoup de symptômes appartenant à cette
maladie
, il vaut mieux attribuer l'état des phalangette
ception, la mort avait lieu de un à quatre ans après le début de la
maladie
. Aucun des enfants ne dépassa l'âge de cinq ans
onséquence de lésions profondes de l'or- ganisme ; il succède à des
maladies
aiguës, à des maladies puerpé- rales. En très p
rofondes de l'or- ganisme ; il succède à des maladies aiguës, à des
maladies
puerpé- rales. En très peu de temps, les accide
mécontentement, à se plaindre de tout, qui juge définitivement la
maladie
. Il peut enfin aussi arriver que la guérison n'ai
tout cas, la gué- rison reste complète sans laisser de traces. La
maladie
à laquelle le délire de collapsus ressemble le pl
mes anémiques à la suite de travaux manuels. En tout cas, c'est une
maladie
des plus opiniâtres : quelques malades ont cepe
nérescence mentale préalable et dans ce cas la terminaison de la
maladie
par la démence. La guérison constitue une fin rar
et de l'infamie est un peu exagéré; en effet ce sont toujours à des
maladies
organiques de l'espèce humaine que l'on a affai
veuses dans des portions particulières du cerveau, les suites d'une
maladie
étendue. Shrimple a donné à cette catégorie d'a
se de la parole, de malformations congénitales ou accidentelles, de
maladies
du système nerveux central ou périphérique, ou
des mal- formations congénitales ou accidentelles, ou encore à des
maladies
organiques ou fonctionnelles du système nerveux
descriptions. P. SOLFIER. VIII. Les troubles de la marche dans les
maladies
nerveuses, par le Dr P. BLOCQ. (Bibliothèque CH
nt au point de vue séméiologique les troubles de la marche dans les
maladies
du système nerveux. En faisant une étude d'ense
culaires, arthropathies, paralysie agi- tante), et hypertrophiques (
maladie
de Thomsen). Les différents troubles de la marc
ue. La variété tonique revêt trois types : paralytique, myotonique (
maladie
de Thomsen), et parkin- sonnien. La variété clo
rencontre dans les affections du cerveau et du cervelet, dans la
maladie
deMénière; spasmodique elle s'observe dans la scl
démarche à la fois ataxique et paraplégiqu e, que la démarche de la
maladie
de Friedreich est à la fois titubante et ataxique
ger (2,000 fr., 4894). Au meilleur mémoire sur la thérapeutique des
maladies
mentales et sur l'or- ganisation des asiles pub
glantée sur son lit, dans la chambre voisine. Moreau, atteint d'une
maladie
de cerveau, a profité de l'absence de ses six enf
(J.). Thérapeutique appliquée. Consultations médicales sur quelques
maladies
fréquentes. Volume in-12 cartonné de 185 pages.
éd., n° 3F, 37, 39, 40. 1885.) GEuvrescon : plètes : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III,' p. 299-3G9. - Ce
u des convulsions dans l'enfance. Antécédents personnels. Jamais de
maladie
grave. Pas d'in- continence nocturne. Il ne peu
énéral. Intelligent, renseigne bien sur les divers événements de sa
maladie
. Examen du membre supérieur droit. Motilité. La
cissement du champ visuel et l'oedème bleu, la vraie nature de la
maladie
, à savoir l'existence d'une monoplégie purement
sque sans contracture. ' Charcot. OEuvres complètes : Leçons sur la
maladie
du système nerveux, t. III, p. 353. TROIS CAS
s. Aucun antécédent névropa- thique. Antécédents personnels. - Sa
maladie
actuelle est sa première maladie. Il avait touj
ue. Antécédents personnels. - Sa maladie actuelle est sa première
maladie
. Il avait toujours eu une santé parfaite. Il n'es
nt va- . gués quand on l'interroge sûr cette période initiale de la
maladie
. 11 raconte cependant qu'il eut à cette époque
s dis- cussion. L'hystérie et la sclérose en plaque sont les deux
maladies
du système nerveux qu'on voit coexister le plus
rophie blanche de la papille, relèvent incontesta- blement de cette
maladie
, et le diagnostic sur ce point est bien assuré.
. méd., nos 34, 39, 40, 1885.) - OEuu7-es complètes. Leçons sur les
maladies
du sys- tème nerveux, t. III, p. 299-3G9. ' r
es de Neurologie, t. XX, 1890, p. 231.) 28. Charcot. Clinique des
maladies
du système nerveux, t. 1, Pa- ris, 1892, p. 29.
seul enfant de sa famille qui a dû sup- porter les atteintes de la
maladie
. Il a déjà vu mourir un de ses frères d'atrophi
s venons ? de donner sur l'hérédité. 1, Histoire antérieure de la
maladie
. Elle aurait débuté à l'âge de sept ans. Jusqu'
s venons de donner, soit sur l'hérédité, soit sur l'évolution de la
maladie
, il n'est pas douteux que nous sommes en présen
enant. Au point de vue héréditaire, il n'est pas banal de voir la
maladie
frapper trois générations successives et conserve
d'oeil est accompagnée des autres dé- ' Déjerine. Hérédité dans les
maladies
du système nerveux. Thèse agrég., 1886. lérv. F
u bien n'est que la conséquence du mauvais état de nutrition que la
maladie
a peu à peu entraîné, ou bien mérite d'être rap
névropathiques, de les mettre un peu en parallèle avec le tabès, la
maladie
de Friedreich, la sclérose en plaques, etc. L'h
Ce n'est que dès le moment où on a reconnu l'énorme impor tance des
maladies
hystériques chez l'homme et que beaucoup de név
thologues contemporains ont consacré toute une série d'études à ces
maladies
et nous ont donné leur précision caractéristiqu
mes différentes du tremblement, qui ont été jamais observé dans les
maladies
nerveuses, et ne possède aucune particularité q
ent en gardant le caractère dominant dans le tableau clinique de la
maladie
apparaissait périodiquement comme des attaques.
cit, nous avons appris qu'il était malade dès son enfance et que sa
maladie
s'est déclarée comme une série d'attaques d'un
taque successive. · ' Le malade ne peut pas indiquer la cause de sa
maladie
, ni don- UN CAS SINGULIER DE L HYSTERIE %IAIE.
. En considérant le caractère singulier du tableau clinique de la
maladie
, on peut aisément conclure que nous avons un cas
n type régulier ; ils interrompaient comme une phase le cours de la
maladie
. Le même caractère porte le tremblement dans un
droit, apparu soudainement après l'effroi. Le premier accès de la
maladie
ne durait que quelques jours, mais il était sui
er son impor- tance. Ces symptômes essentiels et fondamentaux de la
maladie
, dont ils fournissent la caractéristique vérita
use, viennent s'ajouter, à une pé- riode généralement avancée de la
maladie
, des idées de négation généralisée portant d'ab
heures à quelques mois (irritabilité, perte desommeil, anxiété), la
maladie
débute en général brusquement par une agitation
sans phéno- mènes cataleptiformes. Le plus souvent, la marche de la
maladie
consiste en un mélange déréglé de stades d'agit
psychique, avec amnésie complète sur le temps et l'existence de la
maladie
; 2° guérison avec léger airai- blissement des f
ications et la paralysie générale (\Ville). En somme, le fond de la
maladie
est la confusion des idées par suite de l'affaibl
t la confusion mentale primitive revêt le caractère d'une véritable
maladie
par les phénomènes somatiques qui l'accompa- gn
arante ans. Tous les auteurs s'accordent pour reconnaitre que cette
maladie
csttaconséqucnced'un état d'épuisement cérébral
es. (Annales mé(lico-2)sychologiqïics, oct. 1892.) E. B. XXXIV. Les
maladies
DE L1 volonté chez les criminels ; par le Dl' E
ue sur les états maniaques. Dans un cas de mélancolie chronique, la
maladie
intercurrente a produit un effet semblable à ce
lle produit toujours dans les états maniaques. Mais, en général, la
maladie
tendait plutôt à accroître encore l'état de dép
En résumé, l'influence du choléra est analogue il celle des autres
maladies
graves intercurrentes, mais elle présente des par
s, fait des ouvertures à un membre du service médical et simule des
maladies
pour se faire examiner. La jeune fille, récla
ormant une entité définie, l'autre éveillée qui accompagne d'autres
maladies
. L'invasion de cette dernière est parfois si pr
e; ses causes prédis- posantes sont l'hérédité et l'existence d'une
maladie
nerveuse. Quelle est la nature de la catalepsie
aud font de ces deux névroses deux formes symptomatiques de la même
maladie
: 38.-) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. « la fac
eptions. » (Annales méclico- psychologiques, juin 1892.) XXXVIII.
Maladie
DE Friedreich accompagnée DE troubles trophiques
clérose en plaques et l'ataxie de Duchenne (de Boulogne). C'est une
maladie
de longue durée, sou- vent héréditaire, caracté
Dr Szczypiorski rapporte l'observation d'un malade atteint de cette
maladie
chez lequel il a trouvé des troubles trophiques e
reux plantaire est excavé, disposition qui parait constante dans la
maladie
de Friedreich. Les réflexes son nor- maux. La s
ion comparée de l'aliénation mentale. R. M.-C. XLII. UN cas DE la
maladie
appelée KATATONIE; par Percy-Smitu. (The Journa
l'agent le plus commun et le plus puissant dans la genèse de cette
maladie
; il ne conteste pas le rôle de certains autres fa
nsiste à rechercher s'il existe réellement une forme aiguë de cette
maladie
. Bien que cette forme aiguë ait été décrite par
t il trace d'ahord un historique assez étendu. Sous cette forme, la
maladie
apparait généralement entre trente-cinq et quar
tion d'un affaiblissement intellectuel très accusé. La durée de la
maladie
est habituellement de vingt à trente ans, le pron
r quelques considéra- tions sur le diagnostic différentiel de cette
maladie
. . R. DE lUSGB.1VE-CL1Y.. LI. Les calculs bil
rédité légère; excentricités, émotivité, idées fixes; début de la
maladie
à l'âge adulte; période d'inquiétude ; délire de
d'affai- blissement intellectuel. VI : Hérédité légère, début de la
maladie
à l'âge adulte, il y a quatre ans ; période d'i
deur; confusion mentale. VII : pas d'hérédité ; développement de la
maladie
à l'âge adulte (novembre 1885), période d'incub
culaires et plus spécia- lement les anomalies de la réfraction; les
maladies
des oreilles, et peut-être la syphilis. La po
action musculaire. R. M.-C. LX. Observations DE chorée héréditaire (
maladie
de Huntizzgtolz); par \ ? h. MENZIES. (The Jour
e 1892 et janvier 1893.) . Les travaux qui ont été consacrés à la
maladie
de Huntington montrent que cette affection est
es peisistent durant le sommeil dépend beaucoup de la période de la
maladie
sur laquelle porte l'observation. En somme, v
orte l'observation. En somme, voici les principaux éléments de la
maladie
: tout d'abord, il n'y a que des secousses acco
èrement prédis- posé son état de paralysie : la plus commune de ces
maladies
ter- minales est la tuberculose. On trouve à
ne vient en ligne qu'après l'alcoolisme, le principal facteur de la
maladie
. M. Roubinovitch. Je rappellerai à l'occasion d
érédité seule ne peuvent déterminer la para- lysie générale, qu'aux
maladies
aussi complexes que cette dernière il faut des
t mort, le jeudi 23 février, des suites de la longue et douloureuse
maladie
qui le tenait éloigné de son enseignement depui
ir fait, pendant deux ans (1875-1876), le cours complé- mentaire de
maladies
mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la
t nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale, (lui venait d'être créée à la f
cette chaire était ambigu, puisqu'elle comprenait, d'une part, les
maladies
mentales et, en même temps, non pas les ma- lad
ntales et, en même temps, non pas les ma- ladies nerveuses mais les
maladies
de l'encéphale. Il chercha alors à obtenir le B
te des principaux travaux de M. le professeur Ball : Leçons sur les
maladies
mentales, 1883; 2e édition en 1890; La morphino
ollaboration avec M. CHAMBARD); Leçons professées à la Clinique des
maladies
mentales; Erythème symptomatique des tu- meurs
) ; Argent, emploi médical, avec M. le professeur Ga,RCOT (ibis,) ;
Maladie
bronzée (Ibid.) ; Maladies de l'aorte (Ibid.) ;
, avec M. le professeur Ga,RCOT (ibis,) ; Maladie bronzée (Ibid.) ;
Maladies
de l'aorte (Ibid.) ; Sclérodermie (Ibid.) ; Ang
etc. Il a également fait paraître les Leçons de M. Charcot sur les
maladies
des vieillards (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X.
s vieillards (1866). B. BIBLIOGRAPHIE X. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales; par le Dr Magnan Les leçons cliniques
out au dehors : telle est la formule du maniaque. L'évolution de la
maladie
présente trois stades succes- sifs : 10 le débu
nitoire très tranchée, indiquant nettement que l'on a affaire à une
maladie
somatique et non pas seulement à un simple trou
là la véritable prophylaxie à opposer aux compli- cations de cette
maladie
. On peut presque dire que tout maniaque fébrici
suggestion hypnotique ou non n'est pas un moyen de traitement d'une
maladie
, mais ne peut guère servir qu'à combattre un sy
ent momentanément une accalmie, mais n'em- pêche en aucune façon la
maladie
d'évoluer. Et si, comme nous le croyons, la sug
avait été successivement interne des Asiles et chef de clinique des
maladies
mentales et médecin du bureau de bienfaisance d
ns visuelles (thèse) ;. Des délires multiples (Prix Esquirol) ; Des
maladies
de l'esprit (1888); La morphinomanie et les mor
dvint que plusieurs bestiaux furent enlevés dans la commune par des
maladies
diverses, et, après avoir cher- ché en vain les
Leipzig, 1893. - Vorlag. von Ambr. Abel. MOELLER. Du traitement des
maladies
du coeur par la méthode des D" Schott et De Nau
le traitement de la sclérose en plaques a propos des leçons sur les
maladies
de la moelle. Brochure in-8° de 16 p. Paris, 18
dans les manifestations hystériques n'essaye plus de définir cette
maladie
. « On désigne provisoi- 1'ement, dit-il, sous l
préalable, on réunira les fragments et on recomposera le tout de la
maladie
' ». Le conseil donné par Lasègue a été suivi e
tents ont évité de se prononcer sur la définition générale de cette
maladie
. Ils se bornent pour la plupart à montrer un ce
r, au moins dans ce premier volume, une définition générale de la
maladie
. Cette résolution de s'abstenir de définition g
idée très précise d'un caractère isolé et une idée très vague de la
maladie
à laquelle on rattache ce caractère ; il n'y a
érie n'existerait pas et ne mériterait pas d'être étudiée comme une
maladie
distincte. C'est ce qu'ont pensé quelques aut
urra résumer un assez grand nombre des faits connus. I.-L'HYSTÉRIE,
maladie
par représentation. Une définition, comme on sa
ux, psychiques, que l'on avait observés depuis longtemps dans cette
maladie
ne se trouvait pas un symp- tôme plus important
s sensations affectives et des passions 1. » L'hystérie devient une
maladie
émotionnelle et sans doute on peut facilement r
stion comme une méthode scientifique de diagnostic et d'analyse des
maladies
nerveuses. Il a montré que cette paralysie pouv
7's of motion and sensation dépendant of idea, 1869. , Charcot. -
Maladies
du système nerveux, t. III, p. 288 et sq. 3 Cha
ot. - Maladies du système nerveux, t. III, p. 288 et sq. 3 Charcot.
Maladies
du système nerveux, t. III, p, 351. Id., ibid.,
is l'état mental pathologique de l'hystérique. Cette conception des
maladies
par suggestion était loin d'être admise à cette
ées ont la plus grande importance et déterminent non seu- lement la
maladie
hystérique en général mais encore la forme très
tance du rêve qui est pro- prement hystérique et qui caractérise la
maladie
. M. Charcot a toujours exprimé ces théories ave
et il a servi à M. Moebius pour formuler une défini- tion de cette
maladie
: « On peut considérer, dit-il 2, comme hystéri
ptômes autour d'un phénomène moral, « l'hystérie est un ensemble de
maladies
par représentation. » ' Moebius, op. cil., p. 1
ré de la conscience normale3 ». « Le caractère essentiel de celte
maladie
de la désagrégation était la formation dans l'esp
s subconscients, et les con- sidère comme caractéristiques de cette
maladie
. Mais le travail le plus important qui soit ven
érie ne sont pas des manifestations spontanées, idiopathiques de la
maladie
, mais sont en étroite connexion avec le trauma
déjà données et qui cherchent à grouper tous les symp- tômes de la
maladie
autour d'un phénomène principal le dé- doubleme
'une fluxion de poitrine. Homme doux, rangé, n'ayant jamais fait de
maladie
sérieuse. 11 avait trois frères qui sont morts
s à la suite d'une peur. Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. M... n'a pré- senté dans son jeune âge ni conv
es plus classiques, l'on est en présence de la forme vulgaire de la
maladie
où sont représentées, à des degrés divers, les
était,émotionné. Pas d'antécédents héréditaires, n'ajamais fait de
maladie
, ni présenté d'accidents de nature convulsive, a
ie et la paralysie agitante ne sont ? en réalité qu'une seule et même
maladie
. La coexistence de deux névroses n'est pas chos
I. SUR l'action sédative ET HYPNOTIQUE DE ! la DUBOISINE dans LES
maladies
mentales; parle Dr BELMONDO. (Riv. p. di (l'en.)
d'excitation psychique ou motrice accompagnant diverses- formes de
maladies
mentales. Comme telle, on doit la pré- REVUE DE
s l'espace sous-arachnoïdien et cela dès les premières phases de la
maladie
. Il est permis de se demander si le processus m
difiée, améliorée, de telle sorte que les progrès de cette terrible
maladie
soient arrêtés en tout ou en partie. Dans les t
bonne heure, on pourra dans quelques cas arrêter les progrès de la
maladie
et donner aux malades des mois et peut-être des
es réitérées. R. M.-C. IX. NOTES DE thérapeutique CLINIQUE dans LES
maladies
mentales ; » ? par AKGnisANi. (Il ilianicomio,
ou des inspirations irrésistibles, mais qu'elle est atteinte d'une
maladie
nerveuse, l'hysthérie, qui a pu contribuer à dé
ntenu, afin de ne pas transporter à d'autres malades le germe de la
maladie
. J. Séglas. LXVII. Biographie d'un crimimel s
ve et la mélancolie avec stupeur, l'auteur reprend l'étude de cette
maladie
à un autre point de vue, celui de l'évolu- tion
ce que l'on sait de cette terminaison, et par l'as- sociation de la
maladie
mentadie avec le tabès dorsal ; enfin le dernie
ènes 'd'auto-intoxication et crises épileptiformes consécutives. La
maladie
subissait d'ailleurs une hérédité névropathique
r qu'il ne parait y avoir eu aucun rapport entre la gravité de la
maladie
primordiale et les troubles mentaux dont elle a p
nnent à l'appui « de l'opinion suivant laquelle le génie serait une
maladie
men- « taie, une maladie de dégénérescence. »
inion suivant laquelle le génie serait une maladie men- « taie, une
maladie
de dégénérescence. » « Si l'on admet cette conc
ntal Science, octobre 1892.) LYŸlIII. QUELQUES observations DE la
maladie
appelée KATATONIE, par M. J. NOLAN. (Ibid.) L
ment manifestes les phénomènes pathologiques latents propres à la
maladie
, phénomènes qui peuvent toutefois, dans d'autres
cents individus. (1mericanjoumal of insanity, 1892.) E. B. XC. Les
maladies
rénales et la folie; par le Dr Georges Tulle. L
par le Dr Georges Tulle. L'opinion générale des auteurs est que les
maladies
des reins sont rarement un facteur important da
iques agités sans albumine et sans cylindres dans les urines. Les
maladies
rénales sont donc beaucoup plus communes chez l
sans phénomènes de rigidité, es auteurs retracent l'histoire de la
maladie
d'une emme cnez laquelle on avait observé des s
élirantes ce que je pense de la symptomatologie spé- ciale de cette
maladie
et à son diagnostic différentiel. Pour le mo- m
appartenant à des natio- nalités différentes sont conduits par une
maladie
identique, tout à fait par des procédés analogu
gique. Au surplus, on remarquera que pendant le stade initial de la
maladie
, qui peut durer des mois, voire parfois des année
primée, un autre jour, elle était en parfait état. L'ensemble de la
maladie
dura ainsi deux ans et demi; elle guérit alors, e
que (paranoïa). Dans le cas particulier, elles sont le résidu d'une
maladie
aiguë dont l'évolu- tion a aujourd'hui achevé s
ne maladie aiguë dont l'évolu- tion a aujourd'hui achevé son cycle,
maladie
qui était représentée par les symptômes suivant
dénominations et la pluralité des types pris à tort pour autant de
maladies
distinctes; l'intelligence est toujours frappée p
Bosc, chef de clinique médicale, est institué chef de clinique des
maladies
mentales, en remplacement de M. LAPON, dont le
le traitement de la sclérose en plaques à propos des leçons sur les
maladies
de la moelle par P. Marie. Paris, 1892. Librair
ure et névrite multiple, par Gowers, 1 il ; ma- nuel pratique des
maladies
men- tales, par Régis, 141 ; atlas de patholo
hystéri- ques, par Richer, 304; - troubles de la marche dans les
maladies
nerveuses, par Blocq, 306; syphilis du systèm
lis du système nerveux, par Gowers, 308; leçons cliniques sur les
maladies
mentales, par Iagnan, 40 ? ;-thérapeutique sug-
s consécutives il la section du -, par Motiratof, 472. Cnumn.s,
maladie
de la volonté chez les -, par Laurent, 379. D
tinale dans la fo- lie, par llacpherson, 392. DUB01SIJ\E dans les
maladies
men- tales, par Belmundo, 450. Epilepsie, tox
le ordinaire, par Newth, 46; origine de la -, par Bucke, 468 ; et
maladies
rénales, par Tulle, 468. FH1EDHEICn, svndrome
par Robertson, 464. Hystérie , diagnostic différentiel avec les
maladies
organiques du cerveau, par Ghilarducci, il ; -
,,271. TFTwos céphalique, par Nerlich,271. Thérapeutique dans les
maladies
mentales, par Anarisani, 456. Tics, maladie d
érapeutique dans les maladies mentales, par Anarisani, 456. Tics,
maladie
des, par Chabbert, 10 - , par Bourneville et No
8 : A PROPOS D'UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE. LA PATHOGÉNIE DE LA
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET, PAR M. KLIPPEL, Médecin d
'en- trevoir (2), une centaine (3) d'observations de cette curieuse
maladie
ont été recueillies ; ce nombre est certes bien
urg. Soc. London, 1882. (2) Cités par P,\GR'r, (3) JULES VINRENT,
Maladie
osseuse de Paget. Thèse Paris, 1904. (4) Lancer
t être tirées de cette constatation. (1) Klippel et P1EIIIIE-WW.,
Maladie
oiseuse de Pagel unilatérale avec hyperlhtrmii
Pathologie générale de Bouchard, t. III, p. 9-92. (2) L. Jacquet,
Maladie
osseuse de Paget guérie par le traitement antisyp
rcher dans tous les cas, qui permettra peut-être de différencier la
maladie
de Paget d'affections os- seuses analogues (ost
rieur droit et de la colonne vertébrale. Sur la date du début de sa
maladie
la malade man- que de précision : sa mémoire en
IL dorsales. Elle revêt donc complètement le type classique dans la
maladie
de Paget. Il n'y a pas de courbure de compensat
e Pozzi; rhumatisme ostéo-hypertrophique de Féréol). Si le nom de «
maladie
osseuse de Pagel» » a prévalu, c'est qu'il ne p
ultérieure, nous devons nous arrêter à la théorie syphilitique delà
maladie
de Pagel. Cerlains auteurs, en effet, à la suit
à la syphilis un rôle capital et exclusif dans l'étiologie de cette
maladie
osseuse. Une telle théorie est-elle actuellemen
cinés » (3). (1) LANNELONGUE, De l'origine héddo..synhilitiqlle des
maladies
de Parrot et de Pa- get. Acad. de Médecine, 3 m
uilflin medicnl, 1903, p 161 et 116. (2) A. Fouumea. A provos de la
maladie
de Paget considérée comme une m'mires- talion d
a insisté sur cette étiologie, et a rapporté trois observations de
maladie
de Pagel survenue chez des syphilitiques acquis,
, et peut-être donc syphilitique : cela porterait à cinq les cas de
maladie
de Paget observés chez des sujets ayant acquis la
onnexions qui existent entre la syphilis héréditaire tardive, et la
maladie
osseuse de Paget, cette « syphilis ultra- tardi
ia Paget, certains caractères toutefois séparent nettement ces deux
maladies
. Les pagétiques souffrent parfois, mais ces dou
ut Pasteur, 1907-1908). ). (1) Ménétrier et G,WCKLKR, Deux cas de
maladie
osseuse de Paget avec examen anatomique, Sociét
s de la Soc. méd., 1903, p. 574. (2) l1rrreTmsn et liuBCVS-D VAL.
Maladie
osseuse de Pagel et Syphilis. Soc. méd. des hôp
ournier, lorsqu'à l'occasion d'un même sujet on trouvera : « 1° une
maladie
de Paget typique; 2° des manifestations bérédo-sy
croyons-nous ; celle observation idéale prouvera simplement que la
maladie
de Paget peut se développer chez des hérédo-syp
t-on préjuger d'un certain nombre d'observations de ce genre que la
maladie
osseuse de Paget a peut-être plus de prédilec-
jels, que la syphilis joue un certain rôle dans la pathogénie de la
maladie
de Paget : nous reviendrons d'ailleurs sur ce p
omme le fait remarquer lui-même le professeur Four- nier (4), « une
maladie
lente, et surtout une maladie à phases successive
e le professeur Four- nier (4), « une maladie lente, et surtout une
maladie
à phases successives, forcément n'est pas const
as- sium ». . Depuis lors, il est vrai, quelques observa lions de
maladie
de Paget amen- dées par le traitement antisyphi
ent ne veut pas dire que ce médicament agit sur la cause même de la
maladie
, qu'il est spécifique. L'introduc- tion, dans u
, ne plaide pas d'une façon absolue pour l'origine spécifique de la
maladie
de Paget, il existe pourtant certaines observatio
us voulons nous borner, pour le moment, à montrer que si certaines,
maladies
de Paget relèvent peut-être de la syphilis, grâce
e cause, sur lesquelles nous reviendrons dans la suite), toutes les
maladies
de Paget ne sont pas d'origine syphilitique, que
yphilitique » (Fournier). Une preuve, bien (1) Gaucher et ROSTA1NE,
Maladie
osseuse de Paget améliorée par le traitement an
quet, loc. Cit.. (4) Fréchou, loc. cil. (5) Du Castel et SFBIPER,
Maladie
osseuse de Pagel. Soc. de dermat. et syphil., 1
s encore montrent l'insuffisance de la théorie syphi- litique de la
maladie
osseuse de Paget. Gaston Legros (3) et André Léri
lleurs que celle du cheval, chez lequel on a décrit, sous le nom de
Maladie
du son (Big Head), une affec- tion que Barthélé
étude et nous laisse quelque peu indécis, c'est de constater que la
maladie
du cheval lèse surtout les épiphyses tandis que
Goldmann, Verein Freiburger Aerzte, 30 mai 1902. (5) BAa1'HÉLEItT,
Maladie
osseuse de Paget chez l'homme et maladie du son c
ai 1902. (5) BAa1'HÉLEItT, Maladie osseuse de Paget chez l'homme et
maladie
du son chez le cheval. Thèse de Lyon, 1901. 1
16 KLIPPEL ET PIERRE-WEIL En face de la théorie syphilitique de la
maladie
de Pagel se dresse la théorie tropho-névrotique
quer des altérations du squelette, cela est incontestable : mais la
maladie
de Paget relève-t-elle toujours d'une telle pat
lle pathogénie ? Pitres et Vaillard (5) le pensent et attribuent la
maladie
à la névrite dégénérative des filets ner- veux
oteurs. (3) Ki,iPPEL et P1ERRE-WEIL, Présentation d'un squelette de
maladie
osseuse de Pagel. Soc. de Neurol., séance du 5
S (A. Léri et G. Legros). Détail de deux têtes fémorales : A), de
maladie
de Paget ; 13), d'ostéomalacie. On voit l'aspec
voit l'aspect ouaté et la disparition partielle des contours dans la
maladie
de Paget, l'aspect alvéolaire si particulier da
I A et B. - Détail de l'extrémité inférieure de deux fémurs. A), de
maladie
de Paget. B), d'ostéomalacie. C. - Un tibia e
ladie de Paget. B), d'ostéomalacie. C. - Un tibia et un péroné de
maladie
de Paget. AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (A
Un tibia de syphilis osseuse héréditaire tardive (A) et un tibia de
maladie
de Paget (B). Comparer la coque compacte d'hypé
us allons revenir : «Il faudrait, disent-ils, dans les autopsies de
maladies
de Paget, prélever pour chacun des grands os l'
ble pas permis, aujourd'hui, de les considérer comme la cause de la
maladie
osseuse. Elles sont liées sans doute à des troubl
re sclérose médullaire ne sont à la base des lésions osseuses de la
maladie
de Paget. Mais il est probable pourtant que toute
mbres, incrustées de sels calcaires. « Les lésions osseuses de la
maladie
de Paget semblent être, selon lui, des lésions
es plaques athéromateuses sur (1) Béclère, Radiographie d'un cas de
maladie
de Pagel. Soc. médic. des hôpitaux 9 juillet 19
ancet, 23 janvier 1904. (4) APERT et BOPN.11T-LAGUEUL6, Deux cas de
maladie
de Pagel. Soc. médie. des hôpi- taux, 8 mars 19
u mot. Donc l'athérome est fréquent, sinon constant, au cours de la
maladie
osseuse de Paget ; malheureusement dans toutes
t Agasse-Lafont(7), J. Walter. La pathogénie « artérielle » de la
maladie
osseuse de Paget explique bien comment l'affect
adémie de médecine, 3 mars 1903. (7) OI : TT1GER et AG.155GL.1FOVT.
Maladie
osseuse de Pagel. Trois cas observés dans une m
os » (Bé- colère). La théorie de l'artério-sclérose, cause de la
maladie
de Paget, concorde bien avec les constatations
, en s'engageant plus avant dans cette théorie « artérielle » de la
maladie
de l'aget, dire que c'est par l'intermédiaire de
'est par un raisonnement tout analogue à celui qui veut faire de la
maladie
de Pagel une manifestation de l'artério-sclérose
s, a pro- voquél'éclosioii de l'ancienne théorie rhumatismale de la
maladie
de Paget que Huchard et Binet 2), que Lancereau
Un fadeur important nous échappe encore dans la pa- thogénie de la
maladie
osseuse de Paget.. N SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DB ?
QUE COMPARATIVE - DE QUELQUES AFFECTIONS DYSTROPHIANTES DES OS (
MALADIE
DE PAGET, SYPHILIS OSSEUSE, OSTÉl\L\.L.\.CIE, RAC
RACHITISME). PAR R ' G. LEGROS et A. LERI. Un certain nombre de
maladies
osseuses ont été souvent jusqu'ici diffi- ciles
présentent entre elles certaines similitudes cliniques : d'une part
maladie
de Paget et syphilis osseuse tardive dont les m
dont les déformations parfois plus ou moins analogues à celles des
maladies
précédentes sont souvent assez comparables entr
donné des lésions très curieuses et des mieux caractérisées est la
maladie
de Pagel. L'examen d'os atteints de ma- DE QUEL
s radiographies d'os secs qu'il nous a été donné de faire, seule la
maladie
de Paget réalise cette disposition et cet aspec
pêtrière, 1901. (3) Nous aurions voulu comparer un tibia atteint de
maladie
de Paget avec un libia « en lmme de sabre », pu
bien spéciale encore, presque aussi caractéristique que celle de la
maladie
de Paget. La couche compacte est conservée au m
s des os ne semblent pas très dissem- blables. L'aspect ouaté de la
maladie
de Pagel, l'aspect alvéolaire de l'os- Léomalac
un argument insuffisant contre la théorie de l'identification de la
maladie
de Paget et de « l'hérédo-syphilis ultra-tardive
s, n° 273, 1903. 5. Louis I)U]3BEUIL-CII.IllUAIII)I : [,. Un cas de
maladie
de Basedow héréditaire aeeom. j agitée de scoli
t très bien portants, un frère en bonne santé, terrassier. Pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Antécédents personne
maladies nerveuses dans la famille. Antécédents personnels. Aucune
maladie
antérieure, aucun signe ni d'éthylisme ni de sy
très obscurs cités par Albert dans son Traité sur le diagnostic des
maladies
chirurgical- les (1), où l'on peut songer à une
ès un traitement électrique. L'autre (1) E. Alueiit, Diagnostic des
maladies
chirurgicales. Traduction italienne du Pro- fes
ute atrophie musculaire progressive qui débute par le bulbe est une
maladie
de Charcot fruste, de même que toute atrophie m
NATRICES D'OCCUPATION) par MAGE de LÉPINAY INTRODUCTION « Les
maladies
les plus faciles à observer ne sont pas toujours
troubles moteurs des dyskinésies professionnelles à ceux du tabès,
maladie
aussi bien définie au point de vue anatomique q
ns les an- técédents héréditaires du patient on retrouve des cas de
maladies
sem- blables : un malade de Berger, atteint de
à la crampe des écrivains dont la soeur et la mère avaient la même
maladie
. La répétition fréquente d'un même acte fonctio
D'au- tres, regardant avec Dubois (de Berne) les névroses comme des
maladies
de l'esprit, des psychonévroses, ne font interv
net (Revue scientifique, 30 janvier 1909) : « Les névroses sont des
maladies
portant sur les différentes fonctions de l'orga
de 30 ans, employé de bureau, qui n'ayant eu jusqu'à 25 ans aucune
maladie
, fut pris à cette époque de douleurs et sensati
ille de 10 ans, qui, dit-il, a un léger tremblement des mains. Sa
maladie
actuelle a commencé en 1891, à l'âge de 30 ans. A
crire. C'est à ces deux circonstances réunies que M. V. attribue sa
maladie
. Vers la fin de 1891, le sujet remarqua que sa
en proches parents ; l'association de ces deux 96 MACÉ DE LÉPINAY
maladies
, avec une crampe des écrivains montre la parenté
s médecins se plaisent à mettre en regard de l'image actuelle d'une
maladie
, des oeuvres d'art anciennes, qui, parfois, en so
furent les causes de cette abstention ? D'abord, contrairement aux
maladies
organiques qui impriment à l'in- dividu des déf
« Au temps de Gallien même il se trouvait des gens qui avaient des
maladies
fausses. Et, soit qu'il y ait simplement de la ma
r ta marche vers la connaissance de la vérité. z(1) Henry Meige, La
maladie
de la fille de St-Geosmes d'après J. François Clé
OTALE BILATÉRALE PAR LE Dr P. ZOSIN, Docent chargé du cours des
maladies
nerveuses et mentales à la Faculté ' de Médecin
fants dont 4 sont morts en bas âge sans pouvoir bien déterminer les
maladies
dont ils ont souffert : l'un est mort avec diar
. Il y a plus de deux ans depuis son dernier accuuchement. Avant la
maladie
dont elle souffre maintenant, elle a été toujou
pas de signes ou de symptômes de pellagre. Début et marche de la
maladie
. - Dans le mois de juin 1908, quelques jours av
présentait de l'incontinence d'urine dans la première semaine de sa
maladie
. On était aussi obligé de la faire manger. De m
decin, nous ne pouvons nous édifier en détail sur l'évolution de sa
maladie
. D'après ce qu'elle nous dit et d'après les ren
venance brusque des manifestations éloignerait la supposition d'une
maladie
infectieuse chronique, telle que la syphilis, la
gé de 66 ans, n'a jamais présenté de maladies- importantes avant la
maladie
actuelle. Il prétend qu'il n'est ni syphilitique,
gie expérimentale, Ne 11, 1906. Barssnun : Leçons cliniques sur les
maladies
nerveuses, Paris, 1S95, leçon XXI. 1. , TROIS O
seur Grasset le 19 janvier 1909. Antécédents personnels. - Pas de
maladies
antérieures. Il se dit « très ner- veux », se m
de manifestations analogues à celles qu'il présente. . Début de la
maladie
actuelle. - A l'âge de 22 il 23 ans se sont produ
e la SalplÎtriè. e, septembrE-octobre 1904. (3) Grasset et RAUZIER,
Maladies
du système nerveux, t. II, p. 554. 130 RIMBAUD
teurs considèrent aujourd'hui, en effet, l'achondroplasie comme une
maladie
analogue par opposition au gigantisme, et veulent
oscane) (PI. XIX). Antécédents héréditaires. Le père est mort d'une
maladie
infectieuse aiguë à 45 ans ; il était de haute
e de notre nain sont vivants et sains ; trois soeurs sont mortes de
maladies
aiguës ; aucun de ces six enfants ne présentait d
les siens, il fut élevé par l'Assistance publique. II n'eut aucune
maladie
digne d'être mentionnée ; son intelligence était
et les mains typiquement carrés en font un exemple classique de la
maladie
si bien décrite par M. P. Marie. Les mensurations
d'hui après la démonstration de cas assez nombreux dans lesquels la
maladie
avait le caractère héréditaire et fa- milial.
caractère héréditaire et fa- milial. Dans son beau livre sur les
maladies
familiales et congénitales, Apert a largement t
rie ait en soi quelque chose de très séduisant ; selon M. Marie, la
maladie
du cartilage serait secondaire à une dystrophie
a- nisme pour expliquer l'origine de l'achondroplasie. Dans cette
maladie
, en effet, il ne s'agit pas d'un simple défaut ou
tte en général comme dans l'infanti- lisme, mais au contraire d'une
maladie
anatomiquement bien caractérisée du cartilage d
omiquement bien caractérisée du cartilage de conjugaison ; et cette
maladie
n'est pas étendue à tout le squelette mais est
t comme ces mêmes agents sont le plus souvent la cause première des
maladies
que nous considérons comme d'origine auto-toxiq
lectuelle subit l'influence 'de l'inanition, de la faiblesse, de la
maladie
. Elle est modifiée par certaines substances : opi
ciable et d'autant .plus long qu'elles sont plus compliquées. : Les
maladies
et les traumatismes de l'organe atteignent la fon
incapacité d'agir. La psychologie se tire d'affaire en invoquant une
maladie
de la volonté, c'est-à-dire une maladie de la f
d'affaire en invoquant une maladie de la volonté, c'est-à-dire une
maladie
de la faculté de se déterminer librement à pose
et éminents se con- tenter d'une explication aussi réjouissante. La
maladie
ne consiste pas non plus dans un manque d'impul
sessions pathologiques que les philosophes appellent sans doute des
maladies
du libre arbitre doivent être considérées comme u
cérébral. Pour faire sortir les affec- tions mentales et certaines
maladies
nerveuses des ténèbres où elles sont encore plo
n est amené tout naturellement à rapprocher ces affections d'autres
maladies
dont l'origine mentale est bien prouvée : les t
s d'une crampe des écrivains de la main droite. Il n'a jamais eu de
maladie
sérieuse. Obligé d'écrire' toute la journée, il
les fonctions du membre sont troublées. Le caractère électif de la
maladie
permettra d'éliminer aussitôt les accidents par
es avecceux que l'on observe parfois dans la paralysie générale, la
maladie
de Parkinson, la sclérose en plaques, la chorée ;
où plusieurs examens successifs seront nécessaires pour préciser la
maladie
. Il en était ainsi 208 MACÉ DE LÉPINAY dans l
les plus vigoureuses. Si jamais on arrive à écrire l'his- toire des
maladies
spéciales à chaque corps de métier, je suis persu
ique. Enfin un dernier élément de pronostic sera l'ancienneté de la
maladie
: une névrose négligée ou mal soignée pen- dant
banaux, les tics, et il plus forte raison les troubles moteurs des
maladies
organiques : chorées, tabès, paralysie générale
teurs des maladies organiques : chorées, tabès, paralysie générale,
maladie
de Parkinson, qui s'accom- pagneront toujours d
. Les altérations osseuses ont été étudiées au cours de différentes
maladies
nerveuses : certains auteurs ont constaté une f
les paralytiques généraux (Régis-Campbell), et même dans un cas de
maladie
de Basedow (Koeppen). Nous n'avons trouvé en
ce de l'os. Les altérations sont d'autant plus considérables que la
maladie
a débuté chez des sujets plus jeunes ; ainsi il
fit alors entrer au serviee de M. le Par Baumel de la clinique des
maladies
des enfants, le 11 février 1902. A cette époque
ur de l'Institut de Radiologie. L'histoire anatomo-clinique de la
maladie
de Paget est déjà ancienne ; elle date de 1876
nt dans la littérature médicale une soixantaine d'observations delà
maladie
de Paget ; la plupart d'entr'elles ont été étu-
esquels 10 vivants ; elle mourut à l'âge de 60 ans à la suite d'une
maladie
intestinale. Son père, lui aussi, sauf quelques
sé bien chargé ; il était dans ses dernières années souffrant d'une
maladie
de coeur qui l'emporta à l'âge de 66 ans. 254
t très actif, très vigoureux et très alerte. Il nie -absolument toute
maladie
vénérienne ; il est très affirmatif à cet égard
ans à peu près, il commença à ressentir les premiers troubles de la
maladie
actuelle. Ils se manifestèrent par une sensatio
tête NOUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXI
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET (Pascarolo et Bei-tolotti).
mme NOUVELLLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXII
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET 1 (Pascarolo et Bertolotti).
''Nouvelle Iconographie DE*LA*SALPLTRItRE" T. XXII. PI. XXXIII
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET (Pescarolo et l3erlolofli).
li). NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXIV
MALADIE
DE PAGET Radiographie de la main. (Pascarolo
otre malade. Il s'agit incontestablement ici d'un cas typique de la
maladie
de Paget et nous nous bornerons à souligner les
aractérise le rhumatisme articulaire chronique. En général, dans la
maladie
de Paget il s'agitseule- ment de quelques troub
el et Weil, comme il a été dit plus haut, il s'agissait d'un cas de
maladie
osseuse de Paget à forme unilatérale et à ce pr
er- den chez leur malade plaide pour la parenté qui existe entre la
maladie
de Paget et le rhumatisme chronique. Les rapp
de la syphilis héréditaire. La théorie de l'hérédo-syphilis dans la
maladie
de Paget a rassemblé des nombreux partisans not
est donc problable que les troubles des échanges organiques dans la
maladie
de Paget ne sont pas constitués par une simple
908. NOUVELLLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE T. XXII. PI. XXXV
MALADIE
DE DUPUYTREN (Roudnew). Masson & Ce Edite
sson & Ce Editeurs. Phototypie Berthaud UNIVERSITE D'ODESSA
MALADIE
DE DUPUYTREN PAR R W., ROUDNEW Privat-Docen
e de Dupuytren, parait assez intéressant pour la pa- thogénie de la
maladie
, encore obscure à bien des égards; d'un autre c
euve directe de la discontinuité éternelle de protoplasme foetal.
MALADIE
DE DUPUYTREN 269 La doctrine du stoïcisme absol
ogique intéressant. Nous trouvons les indications suivantes de la
maladie
de Dupuytren dans la littérature. Pour la premi
les autres moments étiologiques. Doberauer, examinant sept cas de
maladie
de Dupuytren, pense que les professions mécaniq
rac- ture de Dupuytren. Pour lui l'artério-sclérose peut donner une
maladie
non seulement par la modification du substratum
ez notre malade, sans cause extérieure, sans phénomènes de névrite,
MALADIE
DE DUPUYTREN 271 se développe peu à peu une con
oelle sont aussi les centres trophiques des différents tissus. Leur
maladie
donne un trouble de la nutrition de tissu ce qui
la nutrition des tissus; on décrit les atrophies et les différentes
maladies
de la peau d'origine cérébrale. Le docteur Majevs
s de la peau d'origine cérébrale. Le docteur Majevsky examinant une
maladie
d'origine corticale a remarqué par exemple l'ap-
chez une aliénée nous avons supposé la localisation corticale de la
maladie
. Des cas frappants de l'inlluence de la suggest
L'étude des symptômes particuliers des troubles trophiques dans les
maladies
du cerveau et de la moelle nous aidera à comprend
supposition sont : a) l'hérédité ; b) le le fils est atteint d'une
maladie
d'origine corticale ; c) voyant le doigt fléchi
n générale, quand il s'agit de détermination de la localisation des
maladies
nerveuses, nous nous sommes convaincus qu'elle
e camarade, le Dr B...,qui nous a raconté les faits suivants sur sa
maladie
. En 1886, en tirant au revolver de petit calibr
eux qui fut lié avec la peau et le tissu conjonctif environnant. Le
MALADIE
DU DUPUYTREN 273 redressement devint complet qu
a malaslia di Dupuytren, Rit. medica, 1905, n° 30. 23. lAi%Di.Ni.
Maladie
de Dupuytren et artériosclérose médullaire. Nouve
e 8 avril 1904. Antécédents héréditaires.- Père mort à 73 ans d'une
maladie
de coeur ; mère morte à 52 ans de la variole. U
morte à 52 ans de la variole. Une tante paternelle est morte d'une
maladie
de foie ; une tante maternelle est morte d'une
UIS CHEZ UNE FEMME 277 Antécédents personnels. z M... n'a pas eu de
maladie
grave dans sa jeu- nesse. Son développement phy
'oedème dont les carac- tères s'éloignent notablement de ceux de la
maladie
de Meige. Courtelle- mont (2) a rapporté derniè
- sements hystériques pendant deux ans, à l'âge de 12 à 14 ans). La
maladie
actuelle a débuté il y a deux ans et demi après
stence de la côte cervicale. Le tableau clinique et la marche de la
maladie
de leur côté témoignent clairement que les douleu
attention sur ces secousses, comme sur un symptôme très grave de la
maladie
. (1; M1Íllch. med. 4'oc%ensc%., 1906, no 15.
ns favorable. La méthode n'a rien J, Fw. 14. - Ecriture de avant sa
maladie
, pendant sa crampe des écrivains, » et après le
roses ; 3° Sur l'état mental du sujet ; 4° Sur Y ancienneté de la
maladie
. Une crampe, sans lésion organique définie, pri
rne, médicamenteux, ne sera indiqué qu'aux cas exceptionnels où une
maladie
générale semblerait être à l'origine de la dysk
Pierre). --Sur un cas de crampe professionnelle symptomatique de la
maladie
de Bright. Soc. biol., 15 février 1896, p. 414.
22. BRISSAUD. - Tics et spasmes cloniques de la face, Leçons sur les
maladies
nerveu- ses, 1895, p. 502. Claudication inter
sme (Archives générales de médecine, Paris, 1904) ; La mort dans la
maladie
bronzée d'Addison (Archives générales de médecine
u tremblement provoqué ou exagéré par l'opoihérapie surrénale dans la
maladie
d'Addison (Archives générales de médecine, 1903
morte d'une affection qu'elle ne peut pré- ciser. Histoire de la
maladie
. Elle raconte qu'elle est malade depuis 15 ans ;
r degré de cbromolyse, comme cela s'observe couramment au cours des
maladies
toxiques ou infectieuses. (1) Voir pour la tech
on. A un point de vue purement anatomique, nous pouvons dire que la
maladie
a réalisé une véritable section transversale de
apporter la solution définitive du pro- blème, et faire pour cette
maladie
ce qu'elle n'a pu encore réaliser pour la tuber
de ces épidémies a beaucoup augmenté nos con- naissances sur cette
maladie
. Parmi les travaux que ces épidémies ont suscit
portant à l'anatomie pathologique, l'autre à l'élude clinique de la
maladie
). Ces travaux et un travail antérieur d'un autr
t apporté d'importantes contributions à nos connaissances sur cette
maladie
. Quel est le résultat principal de l'étude de c
r cette maladie. Quel est le résultat principal de l'étude de cette
maladie
pendant les dernières années, tel que nous le p
opinion classique pour ainsi dire, la poliomyélite aiguë serait une
maladie
systématique de la moelle, détruisant une parti
eption a pour base en premier lieu l'étude des cas chroniques de la
maladie
(ils mériteraient, d'ailleurs, d'èlre considérés,
nt que nous sachions. 374 PETREN ET EHRENBERG comme des cas de la
maladie
, mais plutôt comme les reliquats d'une poliomyé
plus l'attention était attirée sur ce fait qu'au commencement de la
maladie
les lésions anatomiques du sys- tème nerveux on
tilité est beaucoup plus diffuse immédiatement après le début de la
maladie
qu'à l'état chroni- que, d'un autre côté par le
es anatomiques faites sur les sujets morts peu après le début de la
maladie
. Dans ces derniers cas, en effet, il semble qu'
larke, aux faisceaux latéraux et aux méninges. On sait aussi que la
maladie
est susceptible de s'étendre quelquefois au bul
que la poliencéphalile peut être une autre localisation de la même
maladie
. Mais c'est le grand mérite .de Medin d'avoir p
crâniens. Medin établit une distinction entre quelques formes de la
maladie
, d'après l'extension et la localisation des lés
nous essayons d'exprimer en peu de mots comment la conception de la
maladie
s'est modifiée, nous dirons que l'on a vu s'effac
cas, allait fort loin. Il faut reconnaître que nos idées sur cette
maladie
avaient déjà commencé à se modifier en ce sens
points importants où la discussion sur la conception générale de la
maladie
n'est point du tout close. ÉTUDES CLINIQUES S
'un malade (obs. XIX) qui est mort chez lui le troisième jour de la
maladie
, et de plus un cas (très léger, seulement une p
à 1907, nous n'avons pas eu non plus à la clinique de cas de cette
maladie
dans la phase aiguë. Des 17 cas, cinq se rappor
per- mettent de formuler des conclusions sur l'épidémiologie de la
maladie
et par conséquent nous ne nous en occuperons pl
sinon décisive, du moins d'une certaine valeur, pour penser que la
maladie
est contagieuse. Étudiant l'épidémiologie de la
nser que la maladie est contagieuse. Étudiant l'épidémiologie de la
maladie
, llolt et Bartlett ont récemment rassemblé 40 c
ne fois. La plupart de nos cas ont été observés au début réel de la
maladie
, c'est-à-dire 9 cas pendant la première semaine
r étudier dans des conditions favorables les premières phases de la
maladie
. De plus, pendant les étés de 190-1903, j'ai vu e
pendant les étés de 190-1903, j'ai vu en consultation 14 cas de la
maladie
se rapportant à des parties du pays fort distan
de Kronoberg, où, d'après Wickman, il y a eu 263 cas certains de la
maladie
en 1905 (sur une po- 376 PETREN ET E11RENBERG '
ont été observés à une phase très postérieure de l'évolution de la
maladie
, c'est-à-dire 4 cas dans les quatre premiers mo
ire 4 cas dans les quatre premiers mois après le commencement de la
maladie
et 5 autres cas dans la première année ; les au
ux aussi nous être utiles dans l'étude des symptômes initiaux de la
maladie
. Parmi les sujets que nous avons observés à la
ons observés à la clinique, trois sont morts à la phase aiguë de la
maladie
, tous les trois le surlendemain de l'entrée à la
Un quatrième sujet a heureusement traversé la première phase de la
maladie
, mais est mort, au bout de cinq mois, d'une pneum
er lieu nous occuper, c'est de l'étude des symptômes au début de la
maladie
et surtout de l'étude de la méningite aiguë don
utant que nous le puissions savoir, n'ont pas été faites pour cette
maladie
jusqu'ici ; à ce propos nous discuterons la rel
idémique et la question du diagnostic dif- férentiel entre ces deux
maladies
. ' Puis j'étudierai (P.), dans un autre chapitr
lysie, d'abord pendant les premiers temps (les premiers mois) de la
maladie
, ensuite dans les cas où elle persiste. Je veux
rvations m'ont donné des raisons de me préoccuper du pronostic dela
maladie
,surtout de la question de savoir après quel temps
ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 377 mes différentes delà
maladie
doit-on admettre ? Faut-il admettre comme une f
doit-on admettre ? Faut-il admettre comme une forme spéciale de la
maladie
la poliomyélite de l'adulte Faut-il ad- mettre
l sens faut-il admettre une forme ou des formes encéphaliques de la
maladie
? J'examinerai, en outre, la ques- tion, si sou
ningite aiguë se sont présentés dans beaucoup de cas au début de la
maladie
. Dans l'Amérique du Nord, deux petites épidémies
iquant qu'il a existé une méningite aiguë à la phase initiale de la
maladie
. C'est surtout dans les travaux français qu'on
nées, les symptômes d'une méningite spinale aiguë au début de la
maladie
se sont présentés dans un grand nombre de cas. Dé
avons employé cette méthode aussi dans un certain nombre de cas de
maladies
du système nerveux autres que des cas de poliomyé
syphilis, de ménin- gite séreuse ou tuberculeuse ou encore d'autres
maladies
. La numération dans les cas où, dans l'état act
s avons faites nous-mêmes sur les premiers symptômes généraux de la
maladie
, surtout les symptômes qui pouvaient se rapporter
s qui pouvaient se rapporter à une mé- ningite, sur la marche de la
maladie
au début et, en outre, sur la première appariti
en outre, sur la première apparition des paralysies au début de la
maladie
. Quant aux symptômes que présente la maladie dé
alysies au début de la maladie. Quant aux symptômes que présente la
maladie
déjà développée, c'est-à-dire les troubles moteur
de la paralysie aux membres (un, deux ou plusieurs) au début de la
maladie
; il nous a semblé que c'est ainsi que nous pou
é de 4 ans, de Oesterby, entre à la cli- nique le 2 mars 1907. La
maladie
a commencé à la fin de novembre 1906 par de la fi
gauche, combinée d'atrophie musculaire. Par ailleurs aucun signe de
maladie
. Nous l'avons traité deux mois à la clinique et
. Observation IV. G. L..., fille, 2 ans, de Oestra Noebbeloef. La
maladie
a commencé en août 1907 avec de la fièvre; puis e
malade dit qu'il est apparu en même temps plusieurs cas de la même
maladie
dans la région où elle demeure et aussi que quelq
7 ans, de Jaerlaasa, entre à la clinique le 19 mars 1908. - J La
maladie
a commencé le 12 mars par un mal de tête et des f
ervation XV. A. J..., fille, 8 ans, du département de Kronoberg. La
maladie
a commencé en avril 1905 par un mal de tête et de
II1.- Observations ou LES troubles moteurs (du moins au début de la
maladie
) ONT atteint trois membres ou les quatre membre
20 août avec des symptômes semblables et est mort le 23 août. La
maladie
de la fille a aussi commencé le même jour (le 20)
symptômes bulbaires (il y a toutefois dyspnée). Le pronostic de la
maladie
semble être très incertain. Le 25 août une ponc
e pneumonie lobaire 394 PETREL ET EHRENBERG double. Pendant cette
maladie
il apparaît très nettement que la force des mou
le que la respiration ait empiré pendant la pneumonie, parce que la
maladie
emploie surtout les muscles du cou auxiliaires de
rs. Observation XX. J. L..., élève officier, 19 ans, de Vexia. La
maladie
a commencé le 4 février 1905, dans une école mili
VATION XXIII. S. P..., paysan, 36 ans, de Werum. En octobre 1905,la
maladie
a commencé par un mal de tête très violent, qui
.., polisseur de verre, 26 ans, du Massachusetts (Etats-Unis). La
maladie
a commencé ily a trois ans et demi. En premier li
E. P... a été par la suite tout à fait sain. Le 12 octobre 1907, la
maladie
a commencé par des frissons et mal de tête, sur
èvre a continué pendant six semaines à partir du commencement de la
maladie
. Il a eu des douleurs très intenses de l'épaule g
é arec laquelle les symptômes généraux se présentent au début de la
maladie
avant l'appari- tion de la paralysie. Il .n'y a
sence à peu près constante de ces symptômes généraux au début de la
maladie
est si nette qu'ils ont une importance considér
iomyélite aiguë, mais leur absence est une présomption contre cette
maladie
. Dans ces derniers temps, nous avons observé un
t symptôme d'irritation, de toute douleur, de fièvre au début de la
maladie
correspond bien au type ordinaire de l'hémato-
is groupé aussi complètement que possible tous les cas pu- bliés de
maladies
de la moelle étudiés par l'observation clinique e
to- mique où il me paraissait probable, étant donné la nature de la
maladie
, qu'on pouvait tirer des conclusions sur les vo
té tactile, qui sont survenus plus tard dans le développement de la
maladie
, par une myélite secondaire qui est venue compl
nt, il y a 3 cas où la parésie a commencé dès le premier jour de la
maladie
, 8 cas où elle s'est déclarée au cours du second
. Il faut remarquer que nous avons admis comme étant le début de la
maladie
, les premiers symptômes indiqués par le malade
cas, être fondé à conclure que le temps écoulé entre le début de la
maladie
et la parésie a été d'un ou dé deux jours plus co
es enfants, et c'est un fait bien connu que souvent, au début d'une
maladie
, ils réagissent contre l'infection générale par
lus longtemps encore et aujourd'hui (deux mois après le début de la
maladie
), il y a encore quelques mouvements des jambes
raideur du dos a été (jusqu'à ce moment) constant pendant toute la
maladie
, mais il a été beaucoup plus prononcé au début
ar les auteurs, qui les ont nommés de noms différents dans les deux
maladies
où ils ont été étudiés, la sciatique et la méni
s peut être mise en rapport avec quelques autres ca- ractères de la
maladie
, par exemple, avec l'extension de la lésion anato
on obser- vés à la clinique qu'assez longtemps après le début de la
maladie
. En conséquence, pour les symptômes méningitiqu
cas (42 0/0) qui n'ont été obser- vés que plus tard au cours de la
maladie
. De toute façon, nous ne pouvons établir une re
demeurés dans l'indécision pour faire le diagnostic entre ces deux
maladies
épidémiques (Caverly, Macphail, Mackenzie, Boon
en pourrait dépendre du temps qui s'est écoulé entre le début de la
maladie
et la ponction lombaire; c'est-à-dire, on pourr
autres cas à l'examen fait pendant les trois pre- miers mois de la
maladie
, on a trouvé une augmentation du nombre des cel
Brissaud et Londe) qu'il peut exister dès les premiers jours de la
maladie
une lym- phocytose nette sans aucun leucocyte.
méninges dans les cas qui ont succombé pendant la phase aiguë de la
maladie
, nous trouvons, entre les observations anatomique
onclusion qu'on peut nettement faire la diffé- rence entre ces deux
maladies
. Leegaard, en étudiant la grande épidémie norvé
nes, traitent la question du diagnostic différentiel entre les deux
maladies
comme une question encore indécise (Harbitz et
ral dans la poliomyélite, pendant les deux premières semaines de la
maladie
, une lymphocytose pure et pas de leucocytes dans
bro-spinale épidémique ; car, si l'on peut trouver dans la dernière
maladie
(ce qui est bien connu) une lymphocytose pendan
ocytose pendant la convalescence, il y a toujours au début de cette
maladie
une leucocytose. Celle différence entre la poliom
avoir une très grande importance pour le diagnostic entre les deux
maladies
. Pour notre part, nous jugeons la question du d
us trouvons en présence d'une manifestation épidémique de l'une des
maladies
. Car, si nous n'avons pas affaire à des cas isolé
isolés, mais à plusieurs cas réunis, les différences entre les deux
maladies
apparaî- tront avec évidence : dans la poliomyé
s crâniens ou de leurs noyaux, , Par conséquent, quand une de ces
maladies
se déclare dans un certain nombre de cas ou dan
tiques aux symptômes de la méningite sé- reuse ; car, dans les deux
maladies
, nous avons pour le liquide céphalo- rachidien
recherches cytolo- giques sur le liquide céphalo-rachidien dans des
maladies
différentes, il y a quatre cas désignés comme m
st atteinte d'une diphtérie et est transportée à l'hôpital pour les
maladies
infectieuses le 18 novembre. Observation XXIX.
. En résumé, ces cas ne se présentent pas dans la même façon qu'une
maladie
d'un certain type (ce que font en général les c
coup plus fréquemment dans les dernières grandes épidémies de cette
maladie
qu'ils ne l'ont été antérieurement. Certaine- m
it, en effet, en parfait accord avec notre expérience ordinaire des
maladies
épidémiques. ? 2 PETRÉN ET EHRENBERG SUR LA P
s les cas qui n'ont été observés que longtemps après le début de la
maladie
, nous avons demandé aux malades (ou à leurs par
a été pratiqué sur des individus morts pendant la phase aiguë de la
maladie
et où l'examen a été poussé assez loin pour les
y ait une extension semblable de la lésion dans tous les cas de la
maladie
; au con- traire, on peut considérer comme cert
moelle dor- sale, située entre les deux renflements atteints par la
maladie
, a également été atteinte. Si cette conceptio
abdominaux a été observée par Wickman (un mois après le début de la
maladie
) et par Fowler (huit mois ; il y avait une scol
Medin (n" XXIX de ses observations), deux mois après le début de la
maladie
et (obs. XLVII) au bout de deux semaines ; mais
e lordose). Le cas a été observé un an et demi après le début de la
maladie
. C'est encore un autre type qui a été décrit pa
les abdominaux que nous avons observés pendant la phase aiguë de la
maladie
, c'est l'impossibilité qu'ont les enfants à s'a
atteints quand il s'agit d'une paralysie dans la phase aiguë de la
maladie
, et Wickman a spécialement insisté sur celle rè
: Dans l'un de ces cas (XI), le temps écoulé depuis le début de la
maladie
n'est aujourd'hui que de mois. En faisant la palp
observation porte sur cinq mois à peu près de- puis le début de la
maladie
et la paralysie de tous les muscles abdominaux
i-année. Dans le cas XXII, il y avait, 19 mois après le début de la
maladie
, une lordose, mais l'examen de l'état des muscles
parésie des muscles abdominaux, mais pas une paralysie complète; la
maladie
durait alors depuis 9 mois. D'après notre avis,
les abdominaux peut se produire très longtemps après le début de la
maladie
du moins quand elle a commencé déjà auparavant.
uis longtemps déjà quitté la clinique, 12 mois après le début de la
maladie
. Les grands droits sont assez bien conservés ;
il est très probable qu'on a toujours, quand il y a au début de la
maladie
une paralysie des muscles abdominaux, en même tem
n offert d'anormal ; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; la seule
maladie
dont elle ait été atteinte est la rougeole. Elle
tête qui ont persisté jusqu'à l'épo- que actuelle. Le début de la
maladie
actuelle remonte à deux ans. A cette époque (mai
il en a été de même de son adolescence. Néanmoins il n'a pas fait de
maladies
sérieuses dignes d'être notées. De très bonne
ns que les métacarpiens et les phalanges sont élargis comme dans la
maladie
de P.- Marie. Mais, à celé de ces simples ébauc
NTISME ' AVEC UNE ÉTUDE COMPLÈTE DE L'ÉCHANGE MATÉRIEL DANS CETTE
MALADIE
(1), PAR R ETTORE LEVI et GIUSEPPE FRANCHINI
2 ans à la suite d'une cys- tite ; depuis 20 ans il souffrait d'une
maladie
du système nerveux dont le fils ne sait nous di
ait partielle, la libido nulle. Il affirme n'avoir contracté aucune
maladie
vénérienne. Bientôt il abandonna tout essai de
res années il a énormément engraissé, tout en ne souffrant d'aucune
maladie
, il est devenu encore plus faible, sa démarche es
vons rappe- ler au lecteur que M. Palazzi nie avoir contracté toute
maladie
véné- rienne et qu'il n'en porte en effet actue
crâne, dans sa partie faciale, surtout, est identique dans les deux
maladies
. - Les radiographies nous ont montré en outre q
symptômes d'acromégalie sans gigantisme, chez cette jeune fille la
maladie
a débuté vers l'âge de tu ans, mais malgré cela e
plètement soudés. L'auteur suppose justement que dès le début de la
maladie
hypophy- saire les cartilages étaient probablem
Dès 1815 pourtant, Murât (5) pouvait écrire que le naevus est une
maladie
: on sait quels progrès étaient réservés à cette
progrès étaient réservés à cette idée. Le naevus est en réalité une
maladie
congénitale. Tel naîtra porteur du naevus, comm
ire dans le groupe jusqu'alors univoque d'une autre derma- tose, la
maladie
de Recklinghausen. Nous savons, en effet actuel
e la moelle au jour de l'autopsie, vingt ans après l'évolution delà
maladie
, ne prouve pas que ces racines ou ces cellules
i peu- vent expliquer cette intégrité, surtout si l'on songe que la
maladie
a évo- lué à une époque de la vie où les format
et accompagnées d'ankylose coxo-fémorale. Becllterew considère la
maladie
qu'il a décrite comme tout à fait spé- ciale. E
leurs dans le dos, au cou et au niveau de la colonne verlébrale. La
maladie
s'étend de haut en bas, len- tement, pendant de
es radicu- laires, ainsi que quelques autres symptômes, séparent la
maladie
décrite par lui de la spondylose rhizomélique.
hez un malade qui a présenté de la spon- dylose. Ils considèrent la
maladie
de Bechterew comme une cyphose hérédo-traumatiq
diaire entre ces deux variétés. Schlesinger, tout en admettant deux
maladies
au point de vue clinique, croit que le type ana
logique est le même dans les deux cas. S. Popoff rapporte à la même
maladie
toutes les variétés de déviation et d'ankylose
Osipoff et toute l'école de Bechterew distinguent deux formes de la
maladie
et soulignent l'origine nerveuse de la première
es anatomo-pathologiques des cas se rapportant aux deux types de la
maladie
et lorsqu'on aura découvert des formes intermédia
es lésions anatomiques trouvées, parlent plutôt' en faveur des deux
maladies
différentes. Actuellement, il existe dans la li
édicale 6 études anatomo- pathologiques ; quatre se rapportent à la
maladie
de Bechterew, deux autres à la spondylose rhizo
sium et des injections de mercure. Les parents considèrent que la
maladie
actuelle a été causée par le séjour 496 ROUDNEW
phénomènes de la paralysie pro- gressive. Quant à l'origine de la
maladie
, nous croyons qu'il faut surtout incriminer le
résultats des études macro et microscopiques de notre cas, à quelle
maladie
nous avons affaire. Au point de vue clinique, c
de vue clinique, ce cas présente des symptômes qu'on trouve dans la
maladie
de Bechterew. Le malade présente, en effet, une i
qui n'avaient pas été notées à l'au- topsie des sujets morts de la
maladie
de Bechterew. Nous ne nous attendions pas du to
fines lamelles et se décalcifient facilement. Troschine considère la
maladie
5U4 KOUDNEW de Bechterew et la spondylose rhi
c'est-à-dire dépendant de causes nerveuses. Pourquoi considérer ces
maladies
comme des formes neuropathiques ? ' ? Est-ce qu
e comme le résultat d'une tropho- neurose, malgré l'existence d'une
maladie
nerveuse (inflammation des méninges). On a égal
vertébrale ; son cas n'est cependant pas considéré comme un cas de
maladie
de Bechterew. Enfin, Marie, Marie et Léri, sont
se des ligaments; la spondylose rhizoméli- que se rapporte donc aux
maladies
des échanges minéraux. L'interprétation de Mari
t Léri a été accueillie avec une certaine mé- fiance, car certaines
maladies
, comme par exemple l'ostéomalacie et le ra- chi
de, au contraire, le refroidissement a donné un coup de fouet à une
maladie
qui a trouvé des conditions convenables à son d
rew. Quelques auteurs ont exprimé l'idée qu'il faut attribuer cette
maladie
à l'action combinée de causes morbides. Ils ont
ffection, mais Bechterew et Marie insistent sur l'individualité des
maladies
décrites par eux. Ils auront toujours eu le gra
le grand mérite d'avoir mis en relief les types extrêmes d'une même
maladie
. Notons en terminant que dans les cas de Bechte
neumonie catarrhale est la cause de la mort. Il est évident que les
maladies
de la colonne vertébrale présentent des condi-
Pholotyplc BN thAlitl POLICLINIQUE GÉNÉRALE DE TURIN Section des
maladies
nerveuses du Professeur D NEGRO SUR UN CAS D'OS
Joseph ROASENDA. J'ai eu l'occasion de suivre, dans la section des
maladies
nerveuses de la Policlinique générale de Turin,
as de tabes dorsal où l'on notait deux faits assez rares dans cette
maladie
mais que l'on peut, selon toute probabilité, lu
ment sain et vigoureux. Il n'est pas alcoolique. N'a jamais eu de
maladies
importantes. Il ne présente pas d'antécédents h
es, Bévue de Médecine, 1886) ; et cela quoique, dans le cours de sa
maladie
, on ait rencontré chez notre malade des phénomè
enfin plusieurs particularités, sans altérer le cadre général de la
maladie
, rapprochent plus ou moins le cas d'autres form
nique le 27 janvier 1909. Son père mourut à l'âge de 73 ans d'une
maladie
de coeur ; la mère mourut après une opération s
r ovarieu, semble-t-il. Le malade n'a eu dans son enfance d'autre
maladie
que la rougeole ; il n'eut pas de retard dans l
a femme est morte il y a 18 mois, à l'âge de 51 ans, à la suite d'une
maladie
gastrique grave. (1) J. PAOI1, Med. chirur. t
un modeste buveur. Il nie avoir jamais contracté la syphilis ou des
maladies
vénériennes. Il y a environ 15 ans, un jour, en
- plasme ovarique et le cancer gastrique probable de sa femme. La
maladie
osseuse dont Lippi est affecté date de 15 ans; el
bia droit. Il existe un autre cas récemment décrit parMeier comme
maladie
de Paget ; le début se fit par l'hypertrophie d
cordent avec ce qui a été écrit par la majorité des auteurs sur la
maladie
de Pagel, la distribution des déformations osse
a sans tenir compte du type des lésions osseuses, qui dans les deux
maladies
sont bien différentes. * Dans l'acromégalie ce
lésions symétri- ques, respectant le crâne et le visage. Dans la
maladie
de Kahler on a des fractures spontanées, de l'alb
ombilic. C'est là un ensemble qui rappelle de près l'as- pect de la
maladie
de Paget, mais qui ne peut servir à notre cas, pa
1906) ; un cas inédit de Bozzolo (cité par Ferri dans le Traité des
maladies
nerveuses de Clillord Albntt, p. 308) et enfin le
s présente des particularités propres qui ['éloignent du lype de la
maladie
décrite d'abord par le grand chi- rurgien angla
éite raréfiante donne la caractéris- tique histo-pathologique de la
maladie
de Pagel. Quant aux observations de Paget et de
ante. On peut dire que tous ceux qui étudièrent dans la suite cette
maladie
, ont eu recours, pour l'étude appro- fondie des
ordent désormais à rete- nir, à savoir que la caractéristique de la
maladie
de Paget est un processus d'ostéoporose aboutis
r la base de considérations cliniques, qui relie la syphilis et les
maladies
parasyphilitiques. Or, comme l'on sait, une des
e théorie aurait reçu un très solide appui si l'on avait trouvé une
maladie
de Paget chez un individu ayant en même temps d
tats négatifs, entièrement exclure la syphilis de l'étiologie de la
maladie
de Paget ? Il est certain que nous ne pourrons pa
e l'ont fort justement fait observer Klippel et Weil, dirait que la
maladie
de Paget peut se développer chez un syphilitiqu
les identifier avec certitude ? Des cinq caractères communs à la
maladie
de Paget et à celle de Parrot énumérés par Etie
iffu- sion à un grand nombre d'os est beaucoup plus marquée dans la
maladie
de Paget que dans la syphilis,tandis que le sta
in (3), delà composition chimique des os. Faute d'un cas avéré de
maladie
de Paget chez un hérédo-syphilitique, la questi
is il existe un facteur commun à un très grand nombre des cas de la
maladie
de Paget et qui est invoqué par plusieurs auteurs
o-vasculaires sont à compter parmi les plus fidèles compagnes de la
maladie
de Paget et dans mon cas aussi je dus admettre
isme tardif. Enfin je noterai encore la plus grande fréquence de la
maladie
en An- gleterre où les formes goutteuses sont c
l'état actuel des choses, un jugement absolu sur l'étiologie de la
maladie
osseuse de Paget est prématuré. Considérant les
: des fièvres paludéennes contractées en Espagne et en Egypte, une
maladie
intestinale au Tonkin, une sciatique dans le mê
nels. Br... est né à terme et fut nourri au sein par sa mère. Comme
maladie
grave,nous relevons chez lui, la coqueluche à 2 a
plètes au-dessous de la lésion. La compression a été causée par une
maladie
de la colonne vertébrale, que je considérais co
ckman remarque que la paralysie, chez les malades qui meurent de la
maladie
, peut être soit ascen- dante, soit descendante.
ogistes, mais on n'a pas encore nettement constaté, dans des cas de
maladies
bulbaires, s'il peut exister des symptômes se rap
oire qu'on peut voir dans des cas de tumeur du cerveau (ou d'autres
maladies
ayant un effet correspondant sur le cerveau) et
, chez qui le dia- gnostic était encore indécis et les signes d'une
maladie
organique du cerveau non évidents, un arrêt de
e la ponction ait exercé d'influeuce spéciale sur cette issue de la
maladie
, parce que tout le cervelet avait été détruit par
s les cas de tumeur du cerveau et surtout du cervelet ou des autres
maladies
qui peuvent amener une compression de la substa
es sur un semblable aplatissement du cervelet, mais la nature de la
maladie
du cerveau (hydrocéphalie) nous explique sans d
que les cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë de la
maladie
, ce symptôme a été trouvé dans 5 cas sur 15, c'
, je n'avais pas l'intention de me prononcer sur le pronostic de la
maladie
qu'on pouvait croire assez étudié. Mais en regard
lent admettre une fréquence un peu plus grande de cette issue de la
maladie
(Gowers, Pierre Marie). Cependant, c'est sur- t
des cas de mort par la poliomyélite et pendant la phase aiguë de la
maladie
. D'après lui, il y a eu 159 cas avec issue fata
ui a traité de la grande épidémie norvégienne, indique 84 cas où la
maladie
a amené la mort, ce qui donne une mortalité de
la mortalité devient 14, 6 0/0. Le fait que le pronostic dans cette
maladie
est plus mauvais pour les individus plus âgés e
dus vus en consultation quelques mois au moins après le début de la
maladie
, et, par conséquent, il n'y a pas de cas mortels
de celle conclusion, que le danger de mort est plus grand quand la
maladie
ne vient qu'après l'enfance. Sans doute, il f
mme cas de cette espèce, je compte trois cas où l'observation de la
maladie
s'étend (dans le cas II) à 3 mois après le débu
ntinué pendant tout le temps qui a suivi les premières phases de la
maladie
. Par conséquent ces observations nous ÉTUDES CL
ng, c'est-à-dire pendant des années au moins si le traitement de la
maladie
a été continué avec persévérance. Ces observati
non seulement pendant les pre- mières semaines après le début de la
maladie
, mais quelquefois encore quand les troubles mot
s eu en général, une opinion aussi favorable sur le pronostic de la
maladie
. La grande importance de l'examen électrique po
' . est une méthode de traitement qui doit être essayée dans cette
maladie
. D'accord avec l'opinion souvent soutenue penda
dié, dans un travail en suédois (79), le traitement des différentes
maladies
organiques du système nerveux (sauf le tabes) p
Pierre Marie (62) (1892), insistent sur l'identité réelle des deux
maladies
. Toutefois Gowers fait exception en traitant de
ux maladies. Toutefois Gowers fait exception en traitant des « deux
maladies
» sous la même rubrique. De même, les auteurs i
rique. De même, les auteurs insistent sur la grande rareté de cette
maladie
à l'âge adulte (Oppenheim, Dejerine et Thomas). L
e 14 ans. Je groupe ci-dessous mes observations d'après l'âge où la
maladie
a commencé : 564 PETREN ET EHRENBERG ÉTUDES C
but, l'on ne retrouve dans les cas sporadiques tous les types de la
maladie
qu'on a signalés dans les épidémies. Il reste
GANTISME AVEC UNE ÉTUDE COMPLÈTE DE L'ÉCHANGE MATÉRIEL DANS CETTE
MALADIE
, PAR ETTORE LEVI et GIUSEPPE FRANCHINI (Sui
palement le foie, comme le démontre en effet sa diminution dans les
maladies
de cet organe (cirrhose atrophique, atrophie ja
on de la for- mule des phosphates, étant donné la grande variété de
maladies
chez lesquelles elle se produit ; une augmentat
ifestes, telles qu'on en voit rarement les pareilles, même dans les
maladies
de l'appareil digestif, par exemple dans les cata
fait est peut-être en rapport avec la cause et la forme même de la
maladie
. Il est certain qu'après des pertes assez fortes
ini) a d'ailleurs constaté plus d'une fois les mêmes faits dans une
maladie
qui a de nombreux traits communs avec celle qui
change en question et comme il arrive peut-être par exemple dans la
maladie
de Basedow), par suite de l'état de santé des m
des recherches nouvelles faites pendant les diverses périodes de la
maladie
pourront l'éclaircir. Pour les graisses, nous l
breux échanges organiques auxquels on a procédé dans cette dernière
maladie
: des autopsies nombreuses ont aussi montré dan
lques cas les faits d'atrophie dominaient le cadre aussi bien si la
maladie
était à une période précoce qu'à une période avan
n devrait admettre selon Tamburini dans les stades terminales de la
maladie
. L'un de nous (Franchini) qui a eu la chance d'
x cas d'acromégalie à des périodes variables du développement de la
maladie
et toujours avec une étude complète de l'échang
a en ligne générale entre les résultais de nos études dans ces deux
maladies
; nous devons faire remarquer cependant que nos
tion du phosphore sur- tout dans les périodes d'aggravation de la
maladie
et inversion de la formule des phosphates dans
l'examen histologique et chimique du sang nous donne dans ces deux
maladies
pres- que les mêmes altérations. Ces ressembl
intestinales de même qu'on l'admet aujourd'hui pour de nombreuses
maladies
hépatiques (foie dispeptique) et dans des cas de
ange matériel chez sept acromégaliques à différentes périodes de la
maladie
chez et un même individu à des stades plus ou m
été malade, sauf pendant son enfance. Il eut entre 8 et 10 ans une
maladie
éruptive dont il ne connaît pas le diagnostic. Il
uchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX (hospice DE la S,\LPÊl BIL.I
u intéressant de montrer quelle place elle doit occu- per parmi les
maladies
du cervelet ; nous avons été ainsi conduits à pro
place à cette atrophie olivo-rubro-cérébelleuse dans le groupe des
maladies
du cervelet ; pour cela nous allons rapidement pa
hies croisées (Thomas et Cornélius), ou à des lésions de la moelle (
maladie
de Friedreich, tabes) ; d'autres au contraire se
rophies secondaires : IIémiall'ophie cérébelleuse. Atrophie de la
maladie
de Friedreich, du tabes, etc. Atrophies primiti
être fait facilement. L'âge de l'enfant, la lente évolution de la
maladie
, l'absence de tares syphilitiques ou tuberculeu
ormal. Il était gaucher, mais il écrivait avec la main droite. La
maladie
actuelle date du mois de juin 1903. A cette époqu
L A. D..., âgée de 16 ans, entre dans le service de la clinique des
maladies
du système nerveux en 1903. A son entrée on not
jusqu'à cette époque, il commence à engraisser en même temps que sa
maladie
fait des progrès. L'affection (maux de tôle, dimi
ris par l'aspect féminin qu'avait pris le malade après une année de
maladie
. A cette occasion Nonne rappelle le cas d'un ho
rie et Marinesco (4), dès le commencement de leurs études sur cette
maladie
, ont attiré l'attention sur le développement exag
onsistant en un pied-bot avec rétraction dorsale des doigts ; cette
maladie
n'avait pas, il semble, de ca- 'ractère progres
ôtés et localisée uniquement aux pieds. Il nie avoir eu syphilis ou
maladies
vénériennes, il n'a jamais bu de vin, il ne fum
ion des réflexes profonds supérieurs et inférieurs, la marche de la
maladie
, et l'intégrité des nerfs moteurs bulbaires.
ne myopathie prothopathique par la 656 ALESSANDRlIVI marche de la
maladie
, qui a progressé de l'extrémité distale des membr
scoliose et de l'hypertro- phie des nerfs. On peut exclure aussi la
maladie
de Friedreich par l'ab- sence de l'ataxie et de
troubles des mouvements oculaires, comme aussi parce que dans cette
maladie
manquent les atrophies musculaires. Contre la s
de quelques-uns des symptômes les plus caractéris- tiques de cette
maladie
(nystagmus, parole lente, allure chancelante). En
se présente spontanément : existe t-il un lien entre cette nouvelle
maladie
et l'affection dont le patient a souffert dans so
On a attribué une grande importance, comme cause déterminante, aux
maladies
infectieuses, surtout à l'influenza (Ballet et
trau- matisme, la fatigue et le froid. L'intervalle qui sépare la
maladie
primitive de l'atrophie secondaire est très var
a parenté ne se rap- pelaient les particularités de la marche de la
maladie
; toutefois il est certain que les muscles atte
es scalènes, les intercostaux ne sont pas atteints. La marche de la
maladie
dans notre cas a été chronique,progressive,comme
dé ; mais les observations ultérieures montrèrent qu'entre les deux
maladies
il y a un rapport causal. Quelques-uns croient
&ES WEBER, - Med. New., 24 juin 4899. Brissaud. - Leçon sur les
maladies
nerveuses (deuxième série), Masson, Paris, 1899.
/ ! spinalen Muskelatrophie, Neurol. Centr. 1908, p. 753. ODDO. -
Maladies
de la moelle et du bulbe. Paris, Doin, 1908. CL
85) (exception faite toutefois pour Vizioli) l'opinion que ces deux
maladies
seraient en réalité une seule et même maladie,
opinion que ces deux maladies seraient en réalité une seule et même
maladie
, seulement avec une localisation différente et ce
ent chez de jeunes en- fants et que les symptômes au début des deux
maladies
sont analogues. Dans ce travail, nous avons ins
conséquent, cette différence entre les symptômes initiaux des deux
maladies
est une raison assez forte contre l'idée qu'il s'
aladies est une raison assez forte contre l'idée qu'il s'agirait de
maladies
d'une nature identique. Dans un autre travail p
us tard (1891), Strüm- pell mentionne comme analogie entre les deux
maladies
« qu'elles n'écla- tent - sauf de rares excepti
aiguë, c'est-à-dire une nouvelle raison contre l'analogie des deux
maladies
. Puis, c'est surtout mon compatriote, Medin, qu
année un cas de poliencéphalite et l'autre année trois cas de cette
maladie
qu'on ne peut en général regarder comme très ra
aucune raison de croire à l'analogie ou même à l'identité des deux
maladies
. Il me semble évident qu'il faudrait voir une c
an semble défendre l'opinion que la poliencépha- lite peut être une
maladie
analogue à la poliomyélite. Comme raison en fav
es trouvées plusieurs fois dans des cas de poliomyélite aiguë où la
maladie
a entraîné la mort pendant la phase initiale aura
la conclusion qu'il faut faire une distinction nette entre les deux
maladies
. . Il y a encore une raison qu'on a citée en f
affections ; c'est le fait qu'on a quelquefois observé que les deux
maladies
se rencontrent ou chez le même malade ou en mêm
trop fréquentes pour qu'on puisse considérer la rencontre des deux
maladies
chez les mêmes individus ou dans les mêmes fami
te. Mais il n'est pas pour cela nécessaire de conclure que les deux
maladies
sont analogues ou identiques ; car, si l'on sup
analogues ou identiques ; car, si l'on suppose qu'il s'agit de deux
maladies
bien différentes, se rapportant à des formes di
d'infection, on pourrait expliquer les cas de ren- contre des deux
maladies
comme la conséquence d'une localisation extra-
s la pneumonie et la méningite cérébro-spinale épidémique comme des
maladies
différentes. Il est évident que cette comparaison
dent comme impossible de faire une distinction vraie entre les deux
maladies
(Raymond). Comme je l'ai déjà dit, Medin consid
ur pratique, sinon théorique) sur le pronostic et l'évolution de la
maladie
: dans les cas en voie de guérison, il s'agirai
près constant dans la méningite. Toutefois, môme si l'issue de la
maladie
ou les symptômes indiqués ci- ÉTUDES CLINIQUES
re la poliomyélite et la polynévrite, les caractères de la dernière
maladie
sont, d'après mon opinion, bien différents il p
gé de 24 ans, entre à la clinique le 11 octobre 1908. Avant cette
maladie
, il n'a pas eu de maladie particulière. Pendant s
clinique le 11 octobre 1908. Avant cette maladie, il n'a pas eu de
maladie
particulière. Pendant son service militaire, il
es malades, on a seulement à remarquer que le développe- ment de la
maladie
dans le cas XXXVI a été très lent et surtout que
ature à mettre en lumière le diagnostic différentiel entre les deux
maladies
. Je vais indiquer ici les différences essentiel
ences essentielles qui, d'après mon opinion, caractérisent les deux
maladies
. Si nous regardons le début des maladies, la po
, caractérisent les deux maladies. Si nous regardons le début des
maladies
, la poliomyélite est caracté- risée à la fois p
rencontrons des différences très nettes et évidentes entre les deux
maladies
. A certains égards il y a analogie ; par exemple
a analogie ; par exemple dans les 672 ' PETRIN ET EHRENBERG deux
maladies
ce sont en général les membres inférieurs auxquel
u même membre montre souvent des différences notables dans les deux
maladies
. On peut le constater même aux membres inférieu
lite se montre plus distinctement encore ; car, dans cette dernière
maladie
la paralysie est le plus souvent localisée surtou
ynévrite). Si l'on se rend compte de ces différences entre les deux
maladies
, je ne crois pas que le diagnostic fasse souven
'y avait.pas de symptômes méningitiques, pas de début brusque de la
maladie
, mais une paralysie des quatre membres qui a di
élite et la polynévrite, en insis- tant sur cette idée que les deux
maladies
seraient dues à une infection localisée dans le
ation aiguë de la moelle, surtout des cornes antérieures, due à une
maladie
infectieuse d'une nature spécifique, inflammati
tie des cornes antérieures. La polynévrite, au con- traire, est une
maladie
avec répartition symétrique et typique des symp
t une maladie avec répartition symétrique et typique des symptômes,
maladie
qu'il faut pour cela attribuer, comme Gowers l'a
qui correspond plus Il la mienne. 674 PETREN ET EHRENBERG sang,
maladie
où l'on peut expliquer la répartition typique des
seraient les moins résistantes contre les agents qui provoquent la
maladie
. Si cette conception des deux maladies est exac
les agents qui provoquent la maladie. Si cette conception des deux
maladies
est exacte (et je ne vois pas de raison d'en dout
on moi, aussi distincte qu'elle peut l'être quand il s'agit de deux
maladies
se rapportant aux parties du corps qui sont dan
aiguë. Pour la question de savoir quelles formes différentes de la
maladie
il faut admettre, j'ai donné des raisons qui me
pas de raisons suffisantes d'admettre des formes différentes de la
maladie
. Natu- rellement, nous pouvons faire la distinc
pas de raisons suffisantes d'en faire des formes spé- ciales de la
maladie
. Wickman a décrit comme formes spéciales les ca
ngueur 676 PETREN ET EHIIENBERG de la moelle. Les seuls cas de la
maladie
qu'il me semble légitime de sépa- rer des autre
l me semble légitime de sépa- rer des autres, ce sont les cas où la
maladie
a atteint les noyaux du bulbe ou de la protubér
uteurs sont d'accord sur ce point que la poliomyélite aiguë est une
maladie
infectieuse. En général, on a accepté l'idée que
s grande extension de l'inflammation pen- dant la phase aiguë de la
maladie
, il va de soi qu'on est venu à une autre concep
on est venu à une autre conception sur la voie de pénétration de la
maladie
: savoir que l'infection se répartirait dans le
pas. Comme je l'ai déjà dit, tous sont d'accord qu'il s'agit d'une
maladie
infectieuse, mais je voudrais encore ajouter qu
ncore ajouter qu'il faut conclure que la poliomyélite aiguë est une
maladie
infectieuse d'une nature spécifique.Je tire cel
clusion de ce qu'ont de si caractéristique, la forme du début de la
maladie
et la forme de la répartition des lésions anatomi
a concordance sur tous ces points capitaux des cas différents de la
maladie
constitue, à mon avis, une preuve suffisante qu'i
dans tous les cas, de la même forme d'infection, c'est-à-dire d'une
maladie
* infectieuse spécifique. Une autre raison pou
es caractères typiques et en général constants pour les différentes
maladies
infectieuses. On sait que divers auteurs ont tr
regardent comme sans intérêt pour la question de l'étiologie de la
maladie
; Looft et Dethloff, des coques très ressemblant
iste sur le caractère de la poliomyélite aiguë d'être nettement une
maladie
infec- tieuse spécifique. BIBLIOGRAPHIE 1.
rd, t. V, Paris, 1901. 26. Dejerine (J.) et Thomas (A.). Traité des
maladies
de la moelle épinière, Paris, 1902. 27. Denne
, t. II, p. 1253. 61. Marie (P.). Hémiplégie cérébrale infantile el
maladies
infectieuses, Progrès s médical, 1885, t. II, p
ses, Progrès s médical, 1885, t. II, p. 167. 62. - Leçons sur les
maladies
de la moelle, Paris, 1892. 63. - Sur la coïncid
and Psychiatri, Bd. VII, mai 1909, 82. R\YMoxD (F.). Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 2' série, Paris, 1897. 83
st exceptionnel que toutes les particularités morphologiques de cette
maladie
soient réunies au complet chez un même sujet.
'EC'l-RONIP.1,IE (Markeloff) Masson et O, Editeurs CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'UNIVERSITÉ D'ODESSA (Pr
Th. W..., âgée de 50 ans, célibataire, se présente à la clinique des
maladies
nerveuses se plaignant de maux de tête, de vert
pointe, 229. Ostéite déformante (Un cas d ? La pathogé- nie de la
maladie
osseuse de Paget) (4 pi.), par KLIPPEL et yVEIL
d, 215. Pagel (Un cas d'ostéite déformante. La pa- thoqénie de la
maladie
osseuse de -) (4 pL). par 11LIPPEL et Reil, 1.
igantisme avec une étude complète de l'échange matérieldans celte
maladie
(4 pl ), 449, 566. Gastinel et Thidierge. Un ca
Weil. \ propos d'un cas d'ostéite déformante. La pathogénie de la
maladie
osseuse de l'aget (4 pl ? 1. De la disposition
tude radiographique de quelques affections dystrophiantes des os (
maladie
de Paget, syphilis osseuse, osteomalacie, rachi
que com- parative de quelques affections dystro- phiantes des os (
maladie
de Paget, sy- philis osseuse, ostéomalacie, rac
73 i TABLE DES AUTEURS complète de l'échange matériel dans cette
maladie
(4 pl.), 449, 566. Lhermitte et Lejonne. Atroph
el. A propos d'un cas d'ostéite déformante. La patho- génie de la
maladie
osseuse de Paget (i pL), 1. - De la dispositi
athie tabétique de la colonne vertébrale (2 pi.), 509. Roudnew.
Maladie
de Dupuytren (1 pl.), 267. Ankylose de la col
énat romain par C. 111accari (Pon- T1GLIOTT1), XXXVII. Dupuytren (
Maladie
de ) (ItouDNE\v),XXXV. Dystrophiantes (Affectio
tabétique de la colonne vertébrale [Roasenda), LV et LVI. Paget (
Maladie
osseuse de -) (Pascarolo et Bertolotti), XXXI a
E E NEUROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NEUVËUSES ET MENTALES Fondez par J.-M. Cil ARGO
US LA DIRECTION DE M.I. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
e cérébelleux. (Progrès médical, 20 janvier 189r, et Leçons sur les
maladies
nerveuses.) 2 Blin. Bulletins de la Société ana
r anal. and, l'hys., juillet 1883.) - Cité in Nothnagel. Traité des
maladies
de l'ettcéphale. Trad. Keraval. 10 PATHOLOGIE
istologiques et anato- miques relativement à une grande quantité de
maladies
mentales est extrêmement restreint et les faits
ains des investigations micros- copiques. Dans quelques formes de
maladies
mentales, particulière- ment dans les maladies
s quelques formes de maladies mentales, particulière- ment dans les
maladies
organiques, où nous pouvons constater des altér
s actuels, mais des faits, qui ont précédé le développement de sa
maladie
. Nous avons dit plus haut, que les nouvelles imag
sse à ses yeux, se rappellera beau- coup de faits de l'époque de sa
maladie
, ce que nous obser- vons dans les cas de psycho
une tradition héréditaire; 5° par des déformations locales ou des
maladies
des organes de la parole. Dans son étude, M. La
fant n'a jamais su parler. 2 Ladreit de Lacharrière, in Annales des
maladies
de l'oreille et du larynx, 1876. Dans un récent
es parents, il n'avait même pas fait usage de la parole avant cette
maladie
, et on pouvait le consi- dérer comme n'ayant po
. (Médecine, Détroit, novembre 1896.) L'électro-diagnostic dans les
maladies
nerveuses permet de dire si la lésion intéresse
envisage la valeur de l'électricité dans le traitement des diverses
maladies
du système nerveux, tant organiques que dynamiq
s du système nerveux, tant organiques que dynamiques. Dans aucune
maladie
organique du cerveau, l'application de UG 6 REV
de le long du sterno-mastoïdien. L'électricité n'a jamais guéri une
maladie
de la moelle. Elle n'est indiquée dans aucune a
uses. L'électrothérapie joue un grand rôle dans le traitement des
maladies
dynamiques, mais il est difficile de faire la par
té contribue beaucoup à relever les sujets affaiblis par une longue
maladie
. P. II ELL.11. VU. Un cas DE mélancolie avec
DE IUSGRAYE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Sur un cas DE
maladie
DE LITTLE; par M. leprofesseur f. Raymond. (Sem
il s'agit de la sclérose latérale amyotrophique d'une part et de la
maladie
de Little d'autre part. L'étude de cette derniè
us rappelons le mémoire même de Little pour justifier le nom de
maladie
de Little appliqué à ce cas; mais ce n'est
pas- modique, espèce morbide éphémère dans laquelle on engloba la
maladie
de Little. M. le professeur Raymond rappelle av
rs lui assignent un dernier refuge dans la pathologie infantile, la
maladie
de Little serait le dernier vestige de cette es
conséquence. Le fait d'être né avant terme n'est pour rien dans la
maladie
de Little, la production d'une lésion céré- bra
it développement du faisceau pyramidal chez des enfants atteints de
maladie
de Little. De sorte que pas plus chez l'enfant
chez l'adulte il n'existe une espèce morbide, tabes spasmodique ou
maladie
de Little, en rapport constant avec une dégénér
loppement du faisceau pyramidal. Ce qu'on a décrit sous les noms de
maladie
de Little, de paraplégie spasmodique infantile,
rophique que soulèvent les deux cas suivants : Dans le premier la
maladie
est déjà parvenue à une période avancée; il s'a
c moral qui parait avoir joué un rôle décisif dans l'éclosion de sa
maladie
actuelle, mais ce n'est qu'en sep- tembre 189o
de la trépidation spinale. Pas de trouble des sphincters. Depuis la
maladie
fait des progrès lents mais continus, les fonct
E1'UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE, à ï faire de doute, il s'agit de la
maladie
de Charcot, de la sclérose latérale amyotrophiq
stement à la sclérose des cordons latéraux qui donnait son nom à la
maladie
; or Leyden a constaté cette sclérose chez des
amidaux, cela ne devait pas lui permettre de nier l'existence de la
maladie
de Charcot. M. Raymond n'a pas de peine à montr
sans la lésion. Le malade avait tous les signes spasmodiques de la
maladie
de Charcot; il n'y avait pas la moindre trace d
lusivement dans son corps cellulaire dans le type Aran-Duchenne, la
maladie
de Charcot 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. a
sont autres, autres surtout le mode d'évolution et le pronostic. Le
maladie
de Charcot par l'envahissement du bulbe inévita
e 28 juillet de l'année 1893, à l'entré du malade à la clinique des
maladies
nerveuses, on constata : un abaissement de la p
; en été la malade se portait mieux ; mais du mois de septembre la
maladie
empira de nouveau ; on remar- qua un abaissemen
yeux (l'examen a eu lieu à SOCIÉTÉS SAVANTES. 75 la clinique des
maladies
des yeux), on constate une faiblesse et un épui
e dévia du même côté, tout le reste des symptômes et le cours de la
maladie
apparaissent dans le cas cité, d'après l'auteur,
donne à l'auteur le droit de les unir aux cas peu nombreux de cette
maladie
, qui ont été décrits jusqu'à ce temps. 76 SOCIÉ
JAKovENKO trouve qu'il serait plus juste de donner dans ce cas à la
maladie
en question, le nom de paralysie asthénique gén
nitale, comme entité clinique. Le rapporteur a observé douze cas de
maladie
78 SOCIÉTÉS SAVANTES. de Little, dont deux fi
transformation en paraplégie complète; 2° le début congénital de la
maladie
; 3° l'affaiblissement des symptômes morbides dan
t un affai- blissement de la réaction à la lumière. Durant toute la
maladie
la température resta normale. Dans deux semaine
r cette opinion : 1° à cause du développement non momentané de la
maladie
; 2" à cause de la localisation symétrique et élec
KY. Archives, 2e série, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des
maladies
du système nerveux (2° série); par le professeu
sur le terrain clinique il y a intérêt pratique à distin- guer ces
maladies
l'une de l'autre, si le diagnostic différentiel e
le traitement. La prophylaxie joue le rôle principal. En face de la
maladie
déclarée, il faut enlever les douleurs, lutter co
nsi dire jamais et imposent le diagnostic. Au pronostic fatal de la
maladie
, le traitement symptomatique de Froeiilzel est
national DE médecine. Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des
maladies
nerveuses mentales. Comité d'organisation. Les
iscutée dans une séance, que tiendront en commun les sections des
maladies
nerveuses et de chirurgie. Traitement opératoir
des maladies nerveuses et de chirurgie. Traitement opératoire des
maladies
du cerveau. Nous indiquons ci-dessous les trava
e. » Professeur J. Crocq (de Bruxelles) : « Un nouveau symptôme des
maladies
du cerveau. » Priv.-Docent A. Korniloff (de Mos
hogénie de la paralysie générale des aliénés; délimitation de cette
maladie
des formes morbides voisines. Rapports prévus : p
omén (de Helsin-fors)* « Nouvelles contributions sur une singulière
maladie
de famille sous forme de démence progressive. b
et la suggestion dans leurs rapports avec la médecine légale et les
maladies
mentales. Communications annoncées : Priv.-Doce
l'application de l'hypnotisme et de la suggestion au traitement des
maladies
mentales. » Dr Alex. Robertson (de Glas- gow) :
de pages. Pointe-il-Pitre, 1S9G. Chez l'auteur. GuiLLON (A.). Des
maladies
de la ntëmo'e.Essai sur les hypermné- sies. Vol
erlag von S. Karger. 96 AVIS A NOS abonnés. RAYMOND. Clinique des
maladies
du système nerveux (hospice de la Salpêtrière,
RVEUSE. CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER.
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMI
drais vous parler des rap- ports qui existent entre certains cas de
maladies
du système nerveux et la maladie que nous avons
ui existent entre certains cas de maladies du système nerveux et la
maladie
que nous avons étudiée ensemble il y a quelque
rveux. Cependant le côté éliologique et nosologique reste très en
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 9 lui retard et, chose rema
aites. Qu'a-t-on fait pour l'étude étiologique et nosologique des
maladies
du système nerveux ? D'abord on a adopté la vieil
thologie. Mais il s'agit d'hérédité d'organe et non d'héré- dité de
maladie
, ce qui est différent : l'idée de l'hérédité éc
osologie; elle explique seulement la forme et la localisation de la
maladie
. Puis on a'étudié la syphilis et son influence
on a'étudié la syphilis et son influence sur le déve- loppement des
maladies
du système nerveux. C'est là une grosse questio
erculeuses sur le même appareil, est distinct et séparé du bloc des
maladies
du système nerveux. Quand la syphilis envahit l
use que nous retrou- verons et discuterons, mais qui met un peu les
maladies
vul- gaires du système nerveux hors du domaine
le rôle des intoxications et des infections dans la production des
maladies
du système ner- veux. Evidemment, un certain
ladies du système ner- veux. Evidemment, un certain nombre de ces
maladies
sont sous la dépendance directe des infections
Congrès de Bordeaux, 1805. - Deux cas {l'hystérie provoquée par une
maladie
aiguë (fièvre typhoïde et grippe), in Leç. de c
artic[0yt/)'o ? e musculaire progressive, p.31 I « « L'étiologie
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 101 est fort obscure. Sclér
ale amyotrophique p. z0 : « On ne sait rien sur les causes de cette
maladie
. » - Sclérose en plaques, p. 327 : « L'étiologi
gie. Donc, il peut être intéressant d'étudier les rapports de ces
maladies
du système nerveux avec une autre maladie plus
dier les rapports de ces maladies du système nerveux avec une autre
maladie
plus générale : la sclérose mulliple disséminée
a en diminuera le nombre. La sclérose multiple disséminée est une
maladie
dans l'étiologie et l'essence de laquelle il y
coup de cas un rapport entre la sclérose multiple disséminée et les
maladies
du système nerveux. Voici d'abord un fait que
à droite qu'à gauche pour le biceps. Il n'y a pas de réaction de
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 103 dégénérescence. Cette a
orter le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique. Voilà une
maladie
du système nerveux bien caractérisée. Si mainte
cas, nous ver- rons que notre malade a autre chose : il a d'autres
maladies
si vous voulez; j'aime mieux dire : il a d'autr
e dissé- minée. Je n'ai pas à revenir sur la description de cette
maladie
qui a été faite dans le trimestre dernier, mais
a lésion anato- mique est une sclérose encore. Sans doute c'est une
maladie
systématisée, c'est-à-dire que le tissu névrogl
die systématisée, c'est-à-dire que le tissu névroglique ne parait
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 105 s'allumer que de second
sclérose au même titre que toutes les autres. Pourquoi en faire une
maladie
à part, distincte des autres ? 1 Pourquoi dire
des rapports de la sclérose multiple disséminée avec l'ensemble des
maladies
du système nerveux. Pour le moment, enregistr
nil la lésion d'encé- phalomyélite... Cette collection si variée de
maladies
ne se comprend dans son unité souveraine, que s
dies sont considérées comme des syndromes reliés entre eux par une
maladie
commune : la sclérose multiple dissé- minée.
ien la multiplicité des causes sclérogènes, premier caractère de la
maladie
, caractère qui empêche de classer les accidents
liniques. 'la Du côté du tube digestif nous trouvons une gastrite
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. toi chronique avec dilatati
ne raison pour faire de la sclérose médullaire une exception et une
maladie
à part au milieu des autres. Il est bien plus r
atérale amyotrophique, être considérée comme une localisation de la
maladie
, sclérose multiple disséminée, sur les cornes a
1 Vulpian. ? f«7. du sy ? ncit'. : malud. de la moelle, 181 ! ). '
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 1 I 1 rieure et médiane des
rome aaalomo-clinique qui doit, le plus souvent, être rattaché aune
maladie
plus géné- 1'ale que l'on peut appeler la sclér
nosographie à l'heure actuelle », qu'il décrit le tabes « parmi les
maladies
de la moelle et comme une maladie de la moelle
u'il décrit le tabes « parmi les maladies de la moelle et comme une
maladie
de la moelle ». 2. Avec le tabes coexistent sou
bien distinctes, unies seulement par les mêmes causes, par la même
maladie
générale chez le même sujet. Ce sont là des foy
ations scléreuses. Vous avez enfin l'associa- tion du tabes avec la
maladie
de Basedow, qui s'accompagne souvent de scléros
e ta moelle. (.11,ch. de Xeurol., 1887, XI, 15G et 380; XII. 27.)
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 113 3. Au tabes on trouve é
cause. Voilà- donc, après les atrophies musculaires, un deuxième
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. '1 1 5 grand exemple de syn
une névropathe mentale : double hérédité classique, d'un côté de la
maladie
sclérose multiple disséminée, de l'autre de la
érose multiple disséminée, de l'autre de la localisation de cette
maladie
sur le système nerveux. Personnellement : cet h
que ou un paludéen, Leçons de clin, méd., 3° série, 1897, p. 301.
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 117 une infection pneumococ
disséminée. Mais il faut en même temps, pour la production de la
maladie
, la collaboration d'autres éléments étiologiques,
le, tels : l'arthritisme héréditaire ou acquis (rhumatisme, goutte,
maladie
bradytrophiques) dont nous avons étudié déjà la
érose multiple dissé- minée. Ces causes deviennent ainsi celles des
maladies
du système nerveux que nous rattachons à la scl
mble que j'ai suffisamment étayé ma thèse : dans beaucoup de cas de
maladies
du système nerveux il y a en même temps de la s
alors autorisé à dire que les deux groupes morbides ne font qu'une
maladie
: la slcérose multiple disséminée. Les diverses
nt qu'une maladie : la slcérose multiple disséminée. Les diverses
maladies
du système nerveux sont donc de plus en plus, s
depuis 18ï71, uniquement des syndromes anatomo-cliniques et non des
maladies
vraies, des espèces nosologiques. Le tabes, l'a
omo-cliniques à la sclérose multiple disséminée, qui, elle, est une
maladie
, - j'espère vous l'avoir démontré ailleurs. '
ir démontré ailleurs. ' Voir la Ire édition de mes Leçons sur les
maladies
du système raer- veux. , MALADIES DU SYSTÈME
e édition de mes Leçons sur les maladies du système raer- veux. ,
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 119 D Il va sans dire que t
s et les myélites diffuses. Peut-on admettre la sclé- rose dans les
maladies
à processus parenchymateux pri- mitif ? ' « C
e que pour l'éclaircisse- 1 Journal des Praticiens, 1897, p. 303.
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 121 ment de cette question
leçons sur la sclé- rose multiple disséminée connaissent bien cette
maladie
cliniquement, la décrivent très bien symptomati
apparent, au point de vue anatomo- pathologique, et comme c'est une
maladie
surtout caracté- risée par sa lésion, le désacc
de l'arté- riosclérose, que l'artériosclérose fait l'unité de cette
maladie
, étant derrière et à l'origine de ces divers fo
INIQUE NERVEUSE. clérose forme « le lien initial commun de bien des
maladies
à apparence terminale distincte. » Et on dévelo
thogène des vaisseaux dans la production des scléroses observées.
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 123 Tout récemment encore,
épart nécessaire des autres foyers de sclérose. Donc, comme toute
maladie
fréquente, vaste et compré- hensive, la scléros
r pour la thérapeutique et spécialement pour la théra- peutique des
maladies
du système nerveux, puisque c'est plus spéciale
ai- tement antisyphilitique : il luttera contre les progrès de la
maladie
, contre certains éléments... Mais le traitement a
tiologiques et de l'ensemble de nos connaissances cliniques sur les
maladies
du système nerveux. RECUEIL DE FAITS. OBSER
âge, vingt-un ans, auquel a débuté l'aphasie, la longue durée de la
maladie
paraissaient deux conditions très favorables po
amélioration malgré sa longue durée et le jeune âge du début de la
maladie
. Nous croyons qu'il est plus rationnel d'admett
s passées d'une façon identique. Tout me porte à le croire, car la-
maladie
des deux femmes revêtait une forme absolu- ment
ison. On peut imaginer un cas où la colère serait remplacée par une
maladie
physique, ou bien on peut considérer les effets
sque sous l'influence du désordre mental, il vient à surgir quelque
maladie
somatique, lorsque par exemple la colère e déte
nce nous enseigne qu'il n'y a ni augmentation de la diffusion des
maladies
mentales, ni accroissement de la tendance à la fo
: d'abord de très fréquentes rechutes à début brusque alors que la
maladie
paraissait évoluer favorablement; une rigi- dit
asile; enfin la guérison finale complète après trois ans et demi de
maladie
. R. DE11USGRAVE-CLAY. VI. UN cas DE stupeur men
héréditaires et mise en jeu par des causes occasionnelles variées (
maladies
du cerveau, traumatismes crâniens, intoxication
persisté pendant une année envi- ron sans symptômes organiques, la
maladie
fut longtemps envisagée comme une mélancolie.
gée comme une mélancolie. L'été de 1896, cependant, l'image de la
maladie
changea essen- tiellement. Alors apparurent des
absurdes et ambi- tieuses, ne se présenté pendant le progrès de la
maladie
. A l'autopsie, on constata une méningo-encéplia
F. XIV. Cas montrant l'importance D'UN diagnostic précis dans LES
maladies
mentales; par M. Daniel-H. ARTHUR. (Medico-legal
nes cer- vicales et des premières dorsales. Décès après deux ans de
maladie
, à l'autopsie : tumeurs gliomateuses symétrique
e, ensuite analgésie, enfin, anesthésie totale. Mort après un an de
maladie
, à l'autopsie : neuroâlyome ganglionnaire intér
gauche. Rachis cer- vical convexe àdroite. Mort après quatre ans de
maladie
à l'autopsie : tumeurs avec formation de cavité
pilepsie idiopathique, l'indication est pré- cise si au début de la
maladie
un spasme localisé constituait à lui seul toute
cation thyroïdienne à forte dose, ressem- blent aux symptômes de la
maladie
de Graves : éruptions cuta- nées, sueurs profus
n thyroïdienne confirment la théorie de Mobius, d'après laquelle la
maladie
de Graves est due à une hyperactivité rie la gl
e, bains, soins contre les accidents gangreneux. soins aseptiques ;
maladies
infectieuses, secours en cas d'acci- 168 REVUE
mière arrivée. Principaux symptômes morbides et principaux types de
maladies
; mesures à prendre. Exemples concrets et descr
mation : pour ne citer qu'un exemple, le nombre des aliénés dont la
maladie
est due directement à cette cause, était en moy
cience. Dr Vraarco (de Paris) : Influence de l'accouchement sur les
maladies
nerveuses et mentales. D1' FOYEAU de COURIfELLE
dullaires. ' " ' ' Le tabès médullaire parait être, avant tout, une
maladie
Archives, 2e série, t. IV. 12 178 pathologie
uement en vue, dans ce mémoire, les localisations médullaires de la
maladie
; à ce titre, le tabès reste une affection de la r
r les lois qui président à l'envahissement de ces systèmes par la
maladie
. Ainsi : où débute le tabes ? - Les fibres radicu
sclérose des cordons et des racines postérieurs. Un grand nombre de
maladies
(affections médullaires proprement dites, intox
il suffit de repérer sur chacun d'eux, les taches scléreuses de la
maladie
tabétique. Mais les notions nouvelles sur la fa
ndants, au cours d'un tabès avancé (deuxième étape anatomique de la
maladie
). Les lettres ont la même signification que dan
cé montre les 196 PATHOLOGIE NERVEUSE. autres localisations de la
maladie
qui a suivi ses principales phases. Si l'on veu
es faisceaux endo- gènes, à une période plus ou moins avancée de la
maladie
, démontre que le tabes n'évolue pas uniquement
'est, à notre avis, la lésion de la deuxième étape anatomique de la
maladie
. Une dernière question reste à résoudre : Comme
quantaine d'observations, dans lesquelles les diverses phases de la
maladie
auraient été soigneusement relevées mois par mo
abes qui s'arrêtent, ceux à longue rémission et enfin ceux dont une
maladie
intercurrente arrête le développement. Or, et c
et non dans chacun de ses syndromes constitutifs, cesse d'être une
maladie
cyclique. Dans notre travail inaugural, nous av
tenant, d'aller plus loin dans ce parallèle entre les lésions et la
maladie
que nous venons de résumer en disant : localisa
hes sur quelques points de l'histoire anatomique et clinique, de la
maladie
de Duchenne; et nous conservons l'espoir de rep
voir discerner, mais parce que les aliénés sont sujets à toutes les
maladies
, inter- currentes. Nulle part dans le texte d
d'aliénés les aura en se consacrant exclusivement à la pratique des
maladies
du système nerveux. D'ailleurs, même en consacr
uelque valeur, dési- reux de se consacrer entièrement à l'étude des
maladies
men- tales, à rester toute leur vie dans les pe
il pense qu'ils militent en faveur de la conception du zona comme
maladie
infectieuse aiguë, quand on les rapproche des aut
guë, quand on les rapproche des autres points d'assimilation que la
maladie
possède avec les fièvres exanthéma- REVUE DE pa
UE DE pathologie NERVEUSE. 229 tiques, savoir la marche de toute la
maladie
, l'immunité acquise, l'apparition épidémique, e
les lèvres sont épaissis. Les mains sont énormes. Les signes de la
maladie
de Basedow (goitre, exophlalmie, tachycardie (1
r rappelle que Lancereaux a rapporté trois cas d'acromé- galie avec
maladie
de Basedow. Dans deux de ces cas, la glande pit
nerfs, en en respectant certaines zones et cela, dès le début de la
maladie
. Il y a là une sorte de mélange du type Erb avec
Il y avait en eux de l'artiste, du peintre : leurs descriptions de
maladies
mentales ressemblent à ces grandes compositions
lisme, le goitre et le crétinisme, l'hérédité et la prophylaxie des
maladies
mentales et nerveuses..Ne sont-ce pas là, en ef
t, M. le doyen montre ce qu'il faut entendre par classification des
maladies
, expose à cet égard la conception de Pinel, et
quelles la discussion pouvait être engagée. La paralysie générale,
maladie
intermédiaire aux psychoses et aux affections org
constitue un véritable stig- mate paralytique. Dès le début de la
maladie
, l'état démentiel commençant se trahit par l'im
e. Dans certains cas même, ni les renseignements sur le début de la
maladie
, ni l'examen direct du malade ne suffisent à ét
t de M. Arnaud, sur les relations de la paralysie générale avec les
maladies
infectieuses. Je suis. convaincu de l'importance
ntiques à celles que détermine la syphilis.' Le rôle que jouent les
maladies
infectieuses aiguës dans la palho= génie de la
pui de cette théorie, je crois que la para-' lysie générale est une
maladie
post-infectieuse, consécutive presque toujours
, consécutive presque toujours à la syphilis et plus rarement à des
maladies
aiguës. Cette théorie infectieuse de la paralys
que diffuse ; il en est de même de l'alcoolisme ; mais, pour que la
maladie
éclate, il faut qu'une autre cause. intervienne
tique de la paralysie générale, M. Régis a invoqué les cas où cette
maladie
se développe dans l'adolescence. Ces faits, sel
ourquoi ? parce que la para- lysie générale est essentiellement une
maladie
de l'adulte qui exige pour se manifester le com
c'est qu'il n'apparaît qu'à une période beaucoup trop avancée de la
maladie
; la seconde, c'est qu'il est beaucoup trop vari
qui ne se rappelle avoir vu des sujets considérés au début de leur
maladie
comme atteints d'un accès de délire mé- lancoli
hognomonique n'est encore venu élucider cette étude si complexe. La
maladie
se traduit surtout par un cortège de symptômes
ettre un peu de clarté dans la valeur des lésions anatomiques de la
maladie
, comme cela a été fait pour les affections de l
dons latéraux, tabès ou sclérose des cordons postérieurs, etc.). La
maladie
commençant par un syslème quelconque peut passe
thologistes irréduc- tibles qui persistent à voir en ces états deux
maladies
distinctes sont obliges de reconnaître l'existe
evêtir le masque de la méningoencéphalite diffuse générale. Dans la
maladie
classique de Bayle où le cachet démentiel ouvre
es cérébrales et les tubes ner- veux sont les premiers frappés ; la
maladie
se propage en second lieu aux méninges : d'où l
t paralytiques, dont le summum s'observe à la troisièmepériode delà
maladie
. Les adhérences cérébrales se font de l'encépha
le de la substance grise, reconnaissables au cachet démentiel de la
maladie
et à l'absence de conceptions délirantes; 4° en
e centrale du cervelet et de la base de l'en- céphale. C'est là une
maladie
intéressante, à formeinconnue et qui n'a pas eu
prendre cette affection pour ce qu'elle est, c'est-à-dire pour une
maladie
psychique par excellence. Aux travaux de Charco
va être étudié; il s'agit, en en'et, de l'hystérie simulatrice des
maladies
de l'encéphale chez l'enfant. A Nancy parut en
tial, et qui disparaissent quand le chirurgien est intervenu. Les
maladies
infectieuses peuvent, comme chez l'adulte, être d
ils sont franchement hystériques, je signalerai le bégayement et la
maladie
des tics. Sur ving-trois enfants bègues qu'il m
mal avait été reconnue. Les mêmes considérations s'appliquent.à la
maladie
des tics ; je ne parle pas ici des grands tics
ystérie ou constitue du moins une prédisposi- tion formelle à cette
maladie
. C'est ce que je vais essayer de démontrer. L
s j'ai relevé les émotions vives, les trauma- tismes et surtout les
maladies
infectieuses au nombre desquelles domine la rou
'influence d'une cause occasionnelle, telle qu'un choc moral ou une
maladie
infectieuse. Enfin une dernière preuve de l'aff
leur lorsqu'il s'agit de la suggestion hypnotique au traitement des
maladies
infan- tiles. La suggestibilité des enfants est
quie, etc. ; 4° les troubles psychiques survenant dans le cours des
maladies
aiguës, en particulier l'in- sornmie, l'agilati
e vingt-cinq ans. ' (B.) SOCIÉTÉS SAVANTES. 265 sur la rareté des
maladies
à tremblements dans l'enfance, tandis que l'hys
mois, sauf accident. Et il en est de même pour d'autres formes des
maladies
mentales. (B.) -) 218 SOCIÉTÉS SAVANTES. En É
côté. A l'examen, qui a eu lieu quelques mois après le début de la
maladie
, on constata une absence de symptômes généraux cé
it ans, toujours bien portante. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. La
maladie
débuta par de fortes céphalalgies. Vers la fin
idérables réalisés depuis quelques années du côté de la science des
maladies
mentales et amélioré le trai- tement des aliéné
omination « paralysie générale », alors qu'il n'est que phase d'une
maladie
ou d'une intoxication. La syphilis, l'alcooli
oolisme, nicotisme et veilles pro- longées), etc., conduisent à des
maladies
souvent englobées sous l'étiquette « paralysie
médecine, 1°' décembre 1891.) .) Ollivier. Cours cliniques sur les
maladies
des enfants, 1889; 17, 18, 19, 20, 21, 23 leçon
Coutdrie. Thèse Paris, 1896. 3 Charcot. Leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux, t. I, II, III. Leçons du ma
I, II, III. Leçons du mardi, 1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des
maladies
du système nerveux, leçons publiées par Guinon,
.) - Jules Simon. Conférences thérapeu- tiques et cliniques sur les
maladies
des enfants (2e édition, 1887). -Gilles de la T
fections cérébrales. 111. Manifestations hystériques simu- lant les
maladies
des autres organes. IV. Manifestations hystériq
hystérique. V. Manifestations hystériques associées à d'au- tres
maladies
. Cette classification, certes, n'est pas parfai
n'a rien de particulier à noter. 302 ' CLINIQUE NERVEUSE. Pas de
maladies
depuis la naissance. L'enfant a été nourri au s
Comme antécédents personnels, rien de particulier à noter. Pas de
maladies
antérieures que la coqueluche à trois ans. En j
déjà, qu'il marche difficilement et qu'il éprouve des douleurs. La
maladie
de l'an passé va reparaître. » En effet, je con
traumatisme qui est il. la tête de la paralysie, l'évolution de la
maladie
, sa disparition totale; puis la reprise de l'ac
peux donc pas donner de renseignements complets sur cette dernière
maladie
, mais nous verrons plus loin que j'avais soigné
habite loin des Essarts.) Il aurait eu, m'écrivent les parents, une
maladie
de la moelle épinière ? ? ... Il a eu un côté p
s bien guéri, il jouit actuelle- ment d'une parfaite santé. Cette
maladie
de la moelle, pour moi qui ai connu l'enfant, a
fréquentes, constipation. On constate dans la première année de sa
maladie
un peu d'amai- grissement, un peu de faiblesse
re de la sugges- tion. 0 : Ta rougeole va te guérir de ton ancienne
maladie
, lui dis-je, tu n'auras plus envie de boire. »
(23 juin) à Loire comme par le passé. Cependant, depuis un an, la
maladie
ne semble pas être en progrès, car les parents es
t vite amé- liorée, il semble s'être habitué, pour ainsi dire, à sa
maladie
. Aujourd'hui c'est un petit garçon de six ans-e
et il se porte beaucoup mieux que dans la première période de sa
maladie
. 1. - .HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 319 D'ap
un diabète hydrurique chez un hystérique, une association de deux
maladies
distinctes ? Un cas, à peu près analogue, rappo
ntre les réflexes rotuliens furent abolis dès le commencement de la
maladie
. Après une période stationnaire qui dura enviro
ce cas d'une poliomyélite aiguë. XIII. INFLUENCE du tabac -sur LES
maladies
du système nerveux; par Niccolo 13UCCELLI. (Riv
Asystolie POST-li1'ILEI''rrQUE; par le D'' Féré. La coïncidence de
maladies
du coeur avec l'epilepsie est assez fréquente p
t incontes- tables. (Revue neurologique , avril 1897.) E. B. XIX.
Maladie
DE LI1'TLE ET rigidité spasmodique spinale DES en
faite par MM. Marie (tabes dor- sal spasmodique vrai) et Brissaud (
maladie
de Little). Mais au lieu d'attribuer à ces dern
trépidation épileptoïde. Le diagnostic avait pu se poser avec une
maladie
de Little. En même temps la malade présentait u
me 'psychique. Trois variétés : 1° celles qui sont consécutives aux
maladies
graves; 2° celles qui sont dues à une diminution
es très différentes de nature. Du nycthémère appliqué à l'étude des
maladies
nerveuses et mentales. M. PAILHAS (Albi). S'app
es aux crises tluxionnaires. 4° Ainsi appliquée à l'observation des
maladies
mentales, l'in- tervention nycthémérale permet
es ascendants, arthritisme. alcoolisme, tubercu- lose, cérébralité,
maladies
mentales et nerveuses. Le second groupe compren
ns tous les cas. Mais cette lésion anato- mique peut être due à une
maladie
locale (hérédité cérébrale) ou une maladie géné
ique peut être due à une maladie locale (hérédité cérébrale) ou une
maladie
générale (arthritisme, alcoolisme). 11 existe don
me). 11 existe donc deux grands groupes de paralysie générale, l'un
maladie
locale du système nerveux, l'autre symptomatiqu
l'un maladie locale du système nerveux, l'autre symptomatique d'une
maladie
géné- rale. Les nécropsies démontrent que cette
éloignés ont les premiers été rappelés, les plus rapprochés de la
maladie
ont apparu en dernier lieu. Ce qui semble prouver
Féré, que l'épilepsie spontanée et la paralysie infantile sont deux
maladies
conformes et de la même espèce ; seulement, dan
cours de pareils cas, on rencontre de telles transformations de la
maladie
, qui nous obligent à chercher une nouvelle explic
ocale, qui agissait d'abord, conti- nue d'agir jusqu'à la fin de la
maladie
. M. le professeur KOJEVNIKOFF fait attention à
des médecins russes à Kiew (en 1896), les membres de la section des
maladies
nerveuses et mentales onléluunecommission de ci
nes cervicales, mais encore de la septième. M. VERzILOFF. Un cas de
maladie
de Thomsen (avec présentation d'un malade). Le
c présentation d'un malade). Le rapporteur décrit un cas typique de
maladie
de Thomsen chez un soldat de vingt-trois ans. L
typique de maladie de Thomsen chez un soldat de vingt-trois ans. La
maladie
se déve- loppant progressivement dès l'âge de d
mécaniques, on voit nettement que la particularité principale de la
maladie
en question consiste en un relâchement lent, pr
cette même clinique avec tous les symptômes caractéristiques de la
maladie
en question, mais, comme dans le premier cas, s
ande valeur. Le cas du rapporteur présente une combinaison des deux
maladies
en question. 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez une
thésie et paralysie des sphincters. Quatre ans après le début de la
maladie
elle mourut il cause de phénomènes bulbaires tr
syphilitique a mis un cachet très marqué sur tout le tableau de la
maladie
et donna tous les symptômes positifs, qui peuve
le épinière ; 2° des oscillations très marquées dans le cours de la
maladie
; 3° le tableau général de la maladie très grav
marquées dans le cours de la maladie ; 3° le tableau général de la
maladie
très grave d'un cours rapide; 4° une améliorati
rre et eut une blessure il la peau du front, et trois mois avant la
maladie
il a eu une forte frayeur. Outre les symptômes
n'étaient pas tout à fait l perdus dans le tableau compliqué de la
maladie
et laissaient la pos- sibilité de diagnostiquer
ssante et variée. L'élément dynamique psychique cons- titue seul la
maladie
, ou bien il dénature l'affection organique à la
est décédé le 11 septembre à la suite d'une longue et dou- loureuse
maladie
qui depuis plusieurs mois l'avait arraché à son
G. Fischer. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'ans les
maladies
nerveuses. Volume in-12 de 182 pages. Paris, 18
e tableau de la coxal- gie organique. Et pourtant l'évolution de la
maladie
, sa terminaison heureuse au bout de deux mois,
comme le dit Pitres, que les divisions fondées sur la marche de la
maladie
, sur la localisation ou la nature des symptômes
de l'âge viril, elle peut simuler chez l'enfant, presque toutes les
maladies
du système nerveux HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE
r dans un cas de pseudo-méningite hystérique (observa- 1 Toutes les
maladies
du système nerveux cérébral. (Thèse Barde), 189,3
ées sur l'hystérie de l'enfance, elle ne copie abso- lument que les
maladies
susceptibles de frapper l'homme' à cette périod
le, elle peut s'associer chez l'en- fant à d'autres névroses et aux
maladies
organiques, et cette association est bien faite
faite pour égarer souvent le clinicien. Cette coexistence avec les
maladies
organiques, si bien mise en relief par Charcot
hybride non encore étu- diée ou que l'on estime avoir amélioré une
maladie
grave jusque-là rebelle à tout traitement, quan
né une malade, et que je ne trouve rien en elle qui se rapporte aux
maladies
connues, je regarde l'affection dont elle est a
t dans lequel se trouve la nutrition générale des tissus dans cette
maladie
. Les effets morbides peuvent se montrer superfi
vité. Délire des grandeurs et de satisfaction, etc. Evolution de la
maladie
,- Mars 1 897. Excitabilité et irritabilité extrêm
ous ont nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation mentale ou
maladie
nerveuse dans la' famille. Cette négation ne no
n judaïque et comme nous connaissons aujourd'hui la fré- quence des
maladies
nerveuses et mentales chez les individus de cet
x qui compliquent si souvent la grippe est de donner au début de la
maladie
de 2 à 5 grammes d'autipyrine par jour. XXII.
convulsions n'ont pas reparu. P. RELLAY. XXIV. LE TRIONAL dans le ?
maladies
mentales; par AGOSTINI. (ll blani- comio. Anno
ion de l'irritation réflexe ne modifie que rarement la marche de la
maladie
. Dans 87 p. 100 des cas réunis par l'auteur, le
re, dans une mesure plus ou moins large, le traitement oculaire des
maladies
nerveuses : s'ils ne sont pas devenus enthousia
s de plus sur la néces- sité, lorsqu'on se trouve en présence d'une
maladie
nerveuse (et particulièrement de celles de ces
ésence d'une maladie nerveuse (et particulièrement de celles de ces
maladies
qui sont les moins accessibles au traitement, c
dre où elles ont été présentées au Congrès. A. Marie. SECTION DES
maladies
NERVEUSES ET mentales ' Séméiologie des obsessi
s en état d'opportunité morbide par des fatigues, du surmenage, une
maladie
, qui ont créé ou accentué chez eux un état névr
tente, considérée par tous les auteurs comme la plus fréquente, la
maladie
se traduit par des paroxysmes plus ou moins rappr
suit de là que l'échelle croissante que nous avons établie dans la
maladie
au point de vue de la symptomatologie clinique :
ifestent ultérieurement; en un mot, qu'il y ait des récidives de la
maladie
. Il est des cas où un accès d'obsession ne guér
alheureuse. Elle a eu un accès de convulsions, unique dans toute sa
maladie
. - Jusqu'ici nous n'avons à enregistrer que des
e myélite, ou les deux à la fois ? Nous croyons, et la marche de la
maladie
nous y autorise, que chez notre malade les neur
hial. Il passe en revue beaucoup de remèdes jadis employés pour ces
maladies
, et beaucoup d'autres, qu'on emploie aujourd'hu
tômes stationnaires. Contribution et l'étude de la pathogénie de la
maladie
deBasedotu. 1\1, H,\SKOVEC, de Prague. On conna
isance des diverses théories en ce qui concerne la pathogénie de la
maladie
de Basedow, qui ont été émises jusqu'à présent.
rielle et l'accélération du pouls, tel le symp- tôme cardinal de la
maladie
de Basedow. Quelle est la cause de celte accélé
soeurs à t'age de dix ans. L'aînée mourut des conséquences de cette
maladie
à l'âge de dix ans ; la seconde soeur présente à
lassique des manifes- tations exclut tout doute sur la nature de la
maladie
. - La question, s'il y a dans la paralysie musc
r devenir paralytique géné- ral qui, héréditairement prédisposé aux
maladies
cérébrales, con- tracte la syphilis et, de plus
ment de la Tauride, le rapport est de 2 à 1. Les rapports de cette.
maladie
, chez les hommes et chez les femmes, se trouven
nes et les basses classes; chez les femmes, au contraire, c'est une
maladie
qui, jusqu'à présent, n'a exclusivement existé qu
chez les femmes que chez les hommes, par conséquent la durée de la
maladie
pour elles est, en moyenne, un peu plus longue qu
romégalie unilatérale, d'un cas qui se présente sous l'aspect de la
maladie
de Raynaud, d'un cas compliqué de tahes et enfin
e tabes. Néanmoins, il reste indiqué dans la première période de la
maladie
encore en pleine voie d'évolution, où il peut i
ysiques et morales de l'organisme, et de compenser les effets de la
maladie
. Contribution sur la pathologie et sur l'anatom
n'a encore donnés. Cette méthode n'a pas pour but la guérison de la
maladie
elle-même, mais elle tend', à soulager ou à met
au moins dans ses lignes principales, quel que soit le siège de la
maladie
. La localisation médullaire ne fait pas excepti
tre heures, par cures de dix jours, dans la période d'augment de la
maladie
; SOCIÉTÉS SAVANTES. 4S3 Mayet trouve qu' « o
de prodomes carac- térisée par le syndrome habituel d'invasion des
maladies
infec- tieuses et fébriles (frisson, fièvre, cé
marche capricieuse, engendrent les formes les plus disparates. La
maladie
, d'une durée moyenne de quinze jours, quoique trè
par suite de tuberculose pulmonaire. Antécédents personnels. Pas de
maladie
grave antérieure. Notre malade aurait toujours
ès de folie aiguë. Son mari peint la brusquerie de l'invasion de la
maladie
, en nous disant : « Ça l'a prise comme un coup
le ne peut d'ailleurs donner de renseigne- ments bien précis sur sa
maladie
et prétend que si elle a refusé de manger à l'h
mmédiatement penser à l'acro- mégalie. Et en effet, de quelle autre
maladie
pourrait-il s'agir ici, en présence de cette hy
t pas oublier que les cas types réunissant tous les symptômes d'une
maladie
, sans exception, sont fort rares. Contraireme
s, soeurs et parents n'ont présenté de signes d'acromégalie ; cette
maladie
chez elle est donc ac- quise. , Nous ne voulo
lons pas nous attarder à faire ici un diagnostic différentiel de la
maladie
avec d'autres affections qu'on pour- rait confo
tions qu'on pour- rait confondre avec elle, savoir le myxoedème, la
maladie
osseuse de Paget, l'éléphantiasis, etc., la sim
RE EXOPHTALMIQUE; Par le D' F. DEVAY, Ancien chef de clinique des
maladies
mentales, médecin à ILl m.lison de santé de Sai
yon). Les observations de psychoses survenant dans le cours d'une
maladie
de Basedow sont encore peu nombreuses. llirschl,
lysie générale, sont représentées. Cepeudant, l'auteur admet que la
maladie
de 1 )al ! 1'bÜcltel' sur l'scltyatl'ie, 1893.
ense que la mélancolie ou la manie peuvent marquer le début de la
maladie
de Basedow; que celle-ci peut se compliquer de
roubles vésaniques qui empruntent leur forme et leur ori- gine à la
maladie
première. D'autres auteurs nient au con- . trai
il semblerait que la forme d'aliénation men- tale qui découle de la
maladie
de Basedow, névrose de l'an- goisse par excelle
sa mère a eu 12 enfants, 7 sont vivants, 5 sont morts eu bas âge de
maladie
indéterminée. Le malade a eu, à quatorze ans, u
0 juillet. Le malade sort guéri de sa psychose et de son syn- drome
maladie
de Basedow, conservant cependant son goitre qui
considérer comme pathogéniques, quoique la première crise vraie de
maladie
de Graves n'ait apparu qu'au moment de la guéri
considérer cette succession de phé- nomènes : accès de mélancolie,
maladie
de Basedow, comme une association morbide tempo
cette dernière opinion que nous nous arrê- tons ; nous disons : la
maladie
de Basedow détermine dans quelque cas, par le f
enne, un état psy- chique caractérisé et par les symptômes de cette
maladie
et par de la mélancolie anxieuse. Nous sommes,
llirschl, qui n'admettent pas la mélancolie symptoma- tique de, la
maladie
de BaSedow. Les raisons qu'ils en donnent sont
ue. En somme, nous nous croyons en droit de dire : 3° Le syndrome
maladie
de Basedow est capable de créer un état psychiq
ée comme un symptôme épisodique, aussi fréquent que la manie, de la
maladie
de Basedow; 2° Le traitement de ce symptôme ne
dépend uniquement du temps pendant lequel l'individu a survécu à sa
maladie
et de l'activité circulatoire du sujet; les lac
plaques. L'ischémie n'a que faire ici. - ,Ne serait-ce donc pas une
maladie
endogène due à des conditions anormales congéni
et inférieures sont de l'ataxie véritable, comme dans le tabes, la
maladie
de Friedreich, la polynévrite ataxique. Mais, t
, soit 13,5 p. 100. P. KERAVAL. XXXIX. Contribution A l'étude DE la
maladie
DES TICS convulsifs (névrose convulsivc mimétiq
nre d'interpréta- tion ; elle survient d'ailleurs plus rare dans la
maladie
des tics. Les actes impulsifs sont ici représen
ans l'espèce, à l'intensité intellectuelle, mais il convient que la
maladie
développe, chez ces individus, de la mauvaise h
, car, autrement, il eùt été remarqué; il ne constitue donc pas une
maladie
indépendante. Il n'y a pas de destructions osse
il l'impute à l'écorce du cerveau. P. KERAVAL. XLII. OBSERVATION DE
maladie
DE hlOIIV : 11 ; par M. Bielsciiowsky. (iYetM'0
NTES. CONGRÈS INTERNATIONAL DE MEDECINE DE MOSCOUI. Section DES
maladies
mentales et nerveuses (Suite). Pathogénie el an
e puisse produire des exca- vations dans la moelle. Le terme de «
maladie
de Morvan est à remplacer par celui de « comple
acille spécifique ne sont pas une raison suffisante pour exclure la
maladie
. Les symptômes qu'on ne rencontre que dans chaq
xclure la maladie. Les symptômes qu'on ne rencontre que dans chaque
maladie
à l'exclusion des autres, ont une importance cl
ntrer que la douleur physique, autant comme symptôme qui procède de
maladies
d'autres tissus de l'organisme animal, que comm
L'auteur passe en revue beaucoup de remèdes jadis employés pour ces
maladies
et beaucoup d'autres SOCIÉTÉS SAVANTES. su3 3
étude a pour but d'isoler en une entité clinique comparable à la
maladie
de Lasègue. De la suggestion ; par le professeu
coer- citives. De l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales; par A.-A. TOKARSKY (Moscou). Le som
On ne peut faire disparaître les symptômes isolés par lesquels une
maladie
mentale se manifeste que sous la condition de l
tence, etc. Dans l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales il ne faut pas perdre de vue qu'au déb
des maladies mentales il ne faut pas perdre de vue qu'au début des
maladies
mentales aiguës la susceptibilité » l'hypnotisa
ent, et même des personnes qui étaient très susceptibles avant leur
maladie
deviennent complètement réfractaires. La sus- c
sultats par l'appli- cation de l'hypnotisme dans les périodes où la
maladie
commence à devenir stationnaire. En ce qui co
ommence à devenir stationnaire. En ce qui concerne les formes des
maladies
mentales, l'hypno- tisme peut donner des résult
ns hypnotiques proprement dites. Eu somme, dans le traitement des
maladies
mentales, on ne 51 G SOCIÉTÉS SAVANTES. peut
plus efficaces, restent très souvent sans aucune influence sur les
maladies
, et il y a beaucoup de malades qui ne peuvent ê
peuvent être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des
maladies
nerveuses, l'hypnotisme et la suggestion doivent
cTOnorr, de Moscou. Au point de vue bio-chimique la pathogenèse des
maladies
nerveuses à substratum anatomique peut être réd
n principe, l'organothérapie doit être applicable au traitement des
maladies
nerveuses, puisqu'il s'agit de l'introduction dan
en train deconquérir ses droits de citoyen dausle traitement t des
maladies
nerveuses. L'application de la méthode de Brown-
es. L'application de la méthode de Brown- Sequard au traitement des
maladies
nerveuses pourrait bien jeter une nouvelle lumi
pourrait bien jeter une nouvelle lumière sur la pathogenèse de ces
maladies
. M. LUCAS-CIL1\IPIOVnII' : nE, de Paris. Je ne
n du globe oculaire. Indications. Elles sont au nombre de deux : la
maladie
de Basedow et l'épilepsie essentielle. a). Le
. L'influence du sympathique cervical sur les manifestations delà
maladie
de Basedow est indéniable; mais il ne faut pas po
nt de la névrose de l'estomac et dis- paraissent avec elle Cas de
maladies
cérébrales dans lesquelles les fonctions respirat
à feu; il discute les explications possibles. L'exploitation d'une
maladie
imaginaire au profit de la - thérapeutique. M
st une rareté clinique, en ce sens que les diverses phases de cette
maladie
ne s'excluent pas l'une l'autre, et ne se suive
er- sécution paraissent s'arrêter, s'améliorer et même guérir. La
maladie
se manifeste de préférence à l'âge adulte de tren
est vrai, montrent manifestement l'action déterminante de certaines
maladies
(tuberculose, cardiopa- thies, myélopathies, et
ure. ASILES D'ALIÉNÉS. Nouvelle réglementation DE la CLINIQUE DES
maladies
mentales A l'Asile CLINIQUE : situation DU chef
8 octobre 1879 établissant à l'asile Sainte-Anne la cli- nique des
maladies
mentales ; Arrête : . Article premier. Le profe
le premier. Le professeur titulaire de la chaire de la clinique des
maladies
mentales à l'Asile clinique (Sainte-Anne) rempl
13 avril 1897, réglementant à nouveau le service de la clinique des
maladies
mentales à l'Asile clinique. Vous vous rappelez q
Ministre de l'Intérieur, le professeur titulaire de la clinique des
maladies
mentales à l'Agile clinique remplira les fonction
ont lieu dans la marche du délire de chaque aliéné, tient note des
maladies
accidentelles qui se manifestent et viennent co
s, avec- tous les auteurs modernes, que la dégénérescence est une
maladie
spécifique ayant, entre autres caractères, celui
eur écono- ' mique, qui, agissant sur l'individu physique, créé les
maladies
, sur l'individu moral; le crime, agissant sur l
e la chorée est un syndrome clinique qui reconnaît pour origine une
maladie
infectieuse quelconque, et que la localisation
'être suivant les lois de la pathologie générale, comme toute autre
maladie
; 3° Les s symptômes mentaux ne constituent pas
die; 3° Les s symptômes mentaux ne constituent pas exclusivement la
maladie
et ne sont de sûrs guides pour le diagnostic qu
ires. Nouveau journal. Nous signalons l'apparition du Journal de*
maladies
nerveuses, paraissant tous les mois, sous la dire
la persécution, par Toy et'l'aty, 527. Diagnostic précis dans les
maladies
mentales, par Arthu : , 144. Digestifs. Rôle
Hil- lemanrl et Petrucci, a2. Hypnotisme dans le traitement des
maladies
mentales, par Tokarskv, 51 i. " Hystérie infa
t atrophie mus- culaire, par Marinesco, 85. TABLE DES MATIERES.
Maladie
DE Basedow. Pathologie de la-, par ilaskovec, 4
RES. Maladie DE Basedow. Pathologie de la-, par ilaskovec, 443.
Maladie
DE Liitle, par Raymond, 47, par van Gehuchten,
.Maladie de Morvan. Observation de - , par Biel.cltowsly, 508.
Maladie
DE 'l'novsEV, par VeriloOE', 349. Manicome. L
ce psychique de la -, par Richardson, f10. .NYCTIIÉ3lÈnE dans les
maladies
ner- veuses et mentales, par l'ailhas, 33t.
érose latérale amyotrophique il 'début bulbaire, par Raymond, 47.
Maladies
du système nerveux et - multiple disséminée, pa
ma- ladies du -, par Raymond, 82. Tabac Influence du - dans les
maladies
du système nerveux, par l3uccelli, 322. Tabès
dans le goitre avec crétinisme, par Parker, 162. Tics convulsifs.
Maladie
des -, par 13resler, 505. Toxines. Etude comp
ich, 408. dans TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. 555 les
maladies
mentales, par Agos- tini, 409. Tumeur du crân
D' Et HUET, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière. D'' LA1V1VOIS; Pr
grouper pour écrire, en collaboration, un livre de Séméiotique des
maladies
du système nerveux suivant des données et un pr
urologie, tant français qu'étrangers, et les articles consacrés aux
maladies
nerveuses dans nos plus récents Traités médicau
par cela même ils nous niellent à même de reconnaître quelle est la
maladie
en présence de laquelle nous nous trouvons. Cer
tre utiles, non seulement pour poser le diagnostic clinique d'une
maladie
nerveuse, mais encore pour en poser le diagnostic
n font une sorte de compendium d'électricité médicale appliquée aux
maladies
nerveuses. Enfin, dans un ordre de faits tout d
s manifestations ocu- laires qui peuvent se rencontrer au cours des
maladies
nerveuses, nous déterminerons la valeur semeiol
me on le voit, un certain nombre de ces amblyopies accompagnent des
maladies
nerveuses connues (hystérie, lésions du trijumeau
matisme, - Choc, plaie à l'occiput ou à l'étage antérieur du crâne.
Maladie
neigeuse caractérisée dont l'hémianopsie n'est qu
e. C'est elle, enfin, qu'on trouve à l'origine d'un grand nombre de
maladies
LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. 37 7 nerveuses
ines conditions, particulièrement dans la syphilis et dans quelques
maladies
nerveuses, on voit se prendre successivement le
permet souvent le diagnostic entre ces deux variétés écologiques.
Maladies
du système nerveux. Hémorragies des centres ou de
lioencéphalite d'après Brissaud). Zona ophtalmique (rarement) . -
Maladies
générales infectieuses. - Diphtérie : le plus sou
iquc considérable. A côté de la mydriase tardive qui accompagne les
maladies
nerveuses géné- ralisées (tabès, paralysie géné
lata- tions pupillaires. Névroses, hystérie, épilepsie, certaines
maladies
mentales aux périodes d'excitation. Des alterna
écisse- ment pupillaire sont toujours un signe fâcheux au cours des
maladies
mentales. Dans l'accès d'épilepsie, il faut c
es âgées indemnes de paralysie générale, de tabès et de toute autre
maladie
nerveuse. Elles semblent dues il des atrophies
hénomène, qu'on nomme hippus, se rencontre, rarement, dans quelques
maladies
nerveuses (méningite tuberculeuse...). On le voit
ès rare est d'ailleurs mal connue. On ne l'a rencontré que dans des
maladies
nerveuses variées très avancées. Pillz signale
les rétractions cicatricielles des paupières. Quelquefois, dans les
maladies
graves, aux approches de e l'agonie, le clignem
ombreuses affections, con- stitue la manifestation principale d'une
maladie
qui, sans être de nature exclusivement nerveuse
s importants, qui caractérisent l'exophtalmie si particulière de la
maladie
de Basedow, on peut rencontrer d'antres trouble
e, a une valeur séméiologique considérable pour le diagnostic de la
maladie
de Basedow. II faut .toujours rechercher les sign
Mais, en même temps, il faut rechercher les autres symptômes de la
maladie
de Basedow, la ta- chycardie, le goitre, le tre
ère passagère et peu accentuée ; t'anévrysme de l'artère basilairc,
maladie
exceptionnelle accompagnée de symptômes hullm-p
momentanément un nystagmus avec vertige et titubation. Certaines
maladies
de l'oreille, surtout celles qui sont vertigineus
jouant un rôle important dans l'équilibration. Nystagmus dans les
maladies
nerveuses. Le nystagmus peut se rencontrer dans
nerveuses. Le nystagmus peut se rencontrer dans un grand nombre de
maladies
nerveuses, mais avec une fréquence inégale. Dan
tation rare, dans d'autres, il constitue un symptôme habitue) de la
maladie
. C'est le cas pour la sclérose en plaques, la m
abitue) de la maladie. C'est le cas pour la sclérose en plaques, la
maladie
de Friedreich. Vices de conformation de la tète
oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cérébrale héréditaire,
maladie
de Friedreich, Ilérédo- ataxie cérébelleuse. Pa
réflexes rotuliens disparais- sent. C'est le tableau clinique de la
maladie
de Friedreich. Le nystagmus de 1'I1l"rédo-ataxi
équent, en présence d'un nystagmus sans altérations oculaires, sans
maladies
de l'oreille, sans causes professionnelles, il fa
être psychique, émo- tionnel. Il s'exagère beaucoup dans certaines
maladies
nerveuses. Habituellement, l'hypersécrétion lac
res. C'est le seul moyen de sauver l'oeil pendant l'évolution de la
maladie
. Cela ne dispense pas de faire metiodenscment l
ome de Weber. Syndrome modifié type Foville (p. 70). [POULARD.]
MALADIES
DE L'OREILLE . par le D' LANNOIS Le nerf de l
s avoir constitué les stries acoustiques du plancher du 1" ven- LES
MALADIES
DE L'OREILLE ET LE SYSTEME NERVEUX. 125 tricule
endant par la capsule interne aux circonvolutions temporales. 12G
MALADIES
DE L'OREILLE. fibres se rendant directement il
ons un sens trop étroit. Les questions qui rattachent l'oreille aux
maladies
du système nerveux sont très complexes et témoi
mmodité, nous les diviserons de la façon suivante : lu Rapports des
maladies
de l'oreille avec les maladies du système nerve
la façon suivante : lu Rapports des maladies de l'oreille avec les
maladies
du système nerveux; 2° Etude générale des troub
es du système nerveux; 2° Etude générale des troubles de l'ouïe; 30
Maladies
de l'oreille interne et dit 1/(')'/ acous- tiqu
les nerveux déterminés par les lésions de l'oreille. I. RAPPORT DES
MALADIES
DE L'OREILLE AVEC LES MALADIES DU SYSTÈME NERVE
sions de l'oreille. I. RAPPORT DES MALADIES DE L'OREILLE AVEC LES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX Il s'agit là d'un chapitre d
TÈME NERVEUX Il s'agit là d'un chapitre de l'étiologie générale des
maladies
de l'oreille : c'est seulement à ce point de vu
'abord ces rapports, devant étudier plus loin le retentissement des
maladies
de l'oreille sur le système nerveux. 10 Lésio
eille est le mieux connue : la surdité est une des séquelles le LES
MALADIES
DE L'OREILLE ET LE SYSTÈME NERVEUX. 127 plus so
LE ET LE SYSTÈME NERVEUX. 127 plus souvent observées de cette grave
maladie
. Si la propagation du pus se fait aux deux orei
e la surdi-mutité toutes les fois que la méningite cérébro-spinale,
maladie
endémique dans le nord de l'Allemagne, subit un
il s'agissait dans ces cas d'une labyrinthite aiguë primitive, dite
maladie
de Voltolini, mais on admet actuellement que l'
ache criblée du fond du conduit auditif interne. [LANNOIS.] 128
MALADIES
DE L'OREILLE. 5° Sclérose en plaques. Tabes. -
et produisent de l'agitation. Elle se manifesterait dans certaines
maladies
nerveuses sous l'influence du courant galvaniqu
au niveau du tragus ou du PILITIQUE e : nor.. U [LANNOIS.] 150
MALADIES
DE L'OREILLE. " ? conduit détermine une sensati
nnements. Les irritations ou les dégénérescences du ILANNOIS ] me
MALADIES
DE L'OREILLE. nerf auditif se traduisent par de
es bourdonnements tributaires de la cochlée, et inversement. III.
MALADIES
DE L'OREILLE INTERNE ET DU NERF AUDITIF Nous
éception des sons, et celles qui portent sur le nerf lui-même. I.
MALADIES
DE L'OREILLE INTERNE Les lésions du labyrinthe
ons de la cavité crânienne, comme nous l'avons vu pour la méningite
MALADIES
DE L'OREILLE INTERNE, cérébro-spinale épidémiqu
ent du sang (heillorrhagies, grossesse, chlorose, convalescence des
maladies
graves) et se traduit par la triade; de la surdit
sagèrement ces symptômes. La congestion du labyrinthe, soit active (
maladies
infectieuses, inllam- mations de la caisse, dig
avec une très grande lenteur, il est vrai. Le [LANNOIS.] ] 154. .
MALADIES
DE L'OREILLE'. - caillot s'organise, devient fi
être considérée comme incurable. 4° Labyrinthites infectieuses. Les
maladies
infectieuses tou- chent plus souvent l'oreille
s élevées ou répétées du médicament et dispa- iiannois.-[ n< !
MALADIES
DE L'OREILLE. raissent généralement après cessa
vant aller jusqu'à la disparition des corpuscules de Nissl. II. -
MALADIES
DU NERF AUDITIF Le nerf auditif peut être attei
: aux symptômes généraux des tumeurs et aux signes de compression
MALADIES
DU NERF AUDITIF. - 157 cérébelleuse s'ajoutent
apports avec les déterminaisons auditives. (D'après Testai.) 138. .
MALADIES
DE L'OREILLE. juguée; nystagmus); 4° un état na
1pl1 : - cations infra-crâniennes des otites. - [LANNOIS.] HO ?
MALADIES
DE L'OREILLE. - 1° Paralysie faciale. La paraly
idérés comme rares jusqu'aux travaux de Mac Ewen, - LdNN01S.] 142
MALADIES
DE L'OREILLE. qui démontre leur fréquence : leu
tion totale du labyrinthe : les cellules du vesti- ILANNOIS.] 144
MALADIES
DE L'OREILLE; . ' buleetdes canaux semi-circula
ion de la Société française d'Otologie et Laryngologie. Enfin les
maladies
de l'oreille peuvent donner lieu à des réflexes
uel, qu'il a souvent PRATIQUE i ! OEUROI.. , if0 {LANNOIS.] )46
MALADIES
DE L'OREILLE. une mémoire infidèle, de l'incapa
e des ponts et distincte de la peur de l'espace, etc. ' Enfin les
maladies
de l'oreille peuvent être une cause d' hallucinat
mentale : le mode pathogenitptc est ici le même que dans les autres
maladies
infectieuses (pneumonie, lièvre typhoïde, etc.).
autres maladies infectieuses (pneumonie, lièvre typhoïde, etc.).
MALADIES
DU NEZ par le Dr LANNOIS Les fosses nasales o
uellement le contrôle de l'expérimentation et de - [LANNOIS ] 148
MALADIES
DU NEZ. l'anatomie pathologique. Un deuxième ce
les troubles de l'odorat et 2° les troubles nerveux consécutifs aux
maladies
du nez. 1. - TROUBLES DE L'ODORAT On peut obs
entaire de l'olfactif dont quelques cas' ont été publiés. Certaines
maladies
infec- tieuses, la grippe notamment, peuvent do
n l'a signalée dans le tabès et au début delà - . LANNOIS.] 150 .
MALADIES
DU NEZ. paralysie générale. Les vieillards ont
trychnine, l'électricité, etc. II. TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX
MALADIES
DU NEZ Les maladies du nez occasionnent des tro
té, etc. II. TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les
maladies
du nez occasionnent des troubles nerveux extraord
essentielle sans examen des fosses TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX
MALADIES
DU NEZ. 151 nasales et surtout du sinus frontal
ou thérapeutiques, peuvent se rencontrer à leur [LANNOIS. - 152 -
MALADIES
DU NEZ. point dé départ. Mais c'est surtout le
cial, névralgies .du trijumeau ou éloignées, migraines, cauchemars,
maladie
de Basedow, chorée, hystérie, épilepsie), des t
dant le travail de la digestion. ' TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX
MALADIES
DU NEZ. 155 Mais les réflexes les plus singulie
nt réel et par- fois chute, que l'on observe souvent dans certaines
maladies
nerveuses, le tabès, la maladie de Basedow, etc
'on observe souvent dans certaines maladies nerveuses, le tabès, la
maladie
de Basedow, etc. Quant aux objets environnants, i
dotymphatiquc du labyrinthe. Nous en dirons autant des vertiges des
maladies
infectieuses aiguës etdes intoxi- cations, des
odifications de pression du liquide qu'il contient. 5" Toutes les
maladies
infectieuses aiguës peuvent donner lieu au vert
u'un élément accessoire dans l'ensemble 'du tableau clinique, de la
maladie
infectieuse. 4° Le vertige n'est aussi qu'un de
die infectieuse. 4° Le vertige n'est aussi qu'un des éléments d'une
maladie
spéciale, localisée il certaines régions des en
ac Léman (Gerlicr, Ladame) et du nord du Japon (Nakano, MIura) : la
maladie
de Gerlier ou vertige paralysant (en japonais k
ais kubisagari, c'est-à-dire « celui dont la tête tombe »). Celle
maladie
est caractérisée, par des troubles visuels avec v
nt musculaire plus ou moins pro- nonce. pendant tout le cours de la
maladie
qui dure de un Ù. cinq mois. La maladie elle-mê
pendant tout le cours de la maladie qui dure de un Ù. cinq mois. La
maladie
elle-même, débutant brusquement et presque toujou
minante vraie, parait devoir être cherchée dans les ébahies, car la
maladie
frappe à peu près exclusivement les cultivateur
ne congestion, ou parfois par une hémorragie labyrinthique. que les
maladies
infectieuses, la fièvre typhoïde, la grippe, la v
les signes des affections provocatrices des troubles auriculaires (
maladies
infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en
ux n'est qu'un des éléments accessoires du tableau morbide dans une
maladie
générale ou dans une maladie des centres nerveu
ccessoires du tableau morbide dans une maladie générale ou dans une
maladie
des centres nerveux, il est toute une caté- gor
anifestations clini- ques prennent une importance prépondérante, la
maladie
causale est effacée. On leur a donné à tous ind
eur a donné à tous indistinctement le nom de vertige de Ménière, de
maladie
de Ménière : on doit, avec Lannois et Chavanne, l
ue, chronique avec paroxysmes, continue. Il faut réserver le nom de
maladie
de Ménière il la variété apo- plecliforme, moda
: dans les caries du rocher, an cours de cer- taines méningites, de
maladies
infectieuses aiguës ou de leucocythemie, de syp
la variété paroxystique du syndrome de Ménière, ce n'est plus la «
maladie
de Ménière » proprement dite. A chaque nou- vel
connaissent sans doute semblable origine, ont été observés dans les
maladies
rénales et surtout dans la néphrite inter- stit
are dans la migraine, surtout dans la migraine ophtalmique, dans la
maladie
de Basedow, au début de la paralysie agilanle (
rne; on accélère ainsi artificiellement ! l'évolution normale de la
maladie
de Ménière qui tend à la suppression des vertig
. BA ! ! )XSK ! Soc. 11lédic, des Itôpil., 1902 et If)0 ? Annales des
maladies
de l'oreille, février 1904. 2. Il cst intéres
prédominant de l'appareil circulatoire. L'hystérie et l'épilepsie,
maladies
à crises, simu- lent parfois l'apoplexie. Le di
les pneumonies graves, les méningites bacillaire ou à trypanosomes (
maladie
du sommeil), etc. Dans ta genèse du sommeil hyp
survient au cours d'une paralysie générale, d'une méningite, d'une
maladie
cardiaque pour les- quelles on soignait le mala
né dans le coma, sans que l'on possède aucun éclaircissement sur la
maladie
anté- rieure. Le tracé thermométrique donne peu
ie (42° à 45°) et d'une agitation extrêmes (convulsions). Certaines
maladies
infectieuses, variole, typhoïde, pneumonie, etc
lion intellectuelle profonde. Le diagnostic est en général aisé. La
maladie
du sommeil présente une aire géographique particu
e générale, dépendre dune affection systématisée, ou provenir d'une
maladie
strictement nerveuse ou mentale. Les fautes d'h
es alcooliques enfin acquiert une véritable valeur pronostique. Les
maladies
chroniques la déterminent aussi. Les tuberculeux,
de même encore au cours des affections cardiaques, dans les grandes
maladies
de l'appareil digestif (notamment dans le cancer
n traitera ce trouble morbide par la thérapeutique spécifique de la
maladie
causale; on supprimera l'intoxication médicamen
Le timbre est parfois nasonné. Ces caractères se retrouvent dans la
maladie
de Friedreich, dans l'lééclo-ataxie cérébel- le
xtrê- mement tremblée. ' On observe encore de la scansion dans la
maladie
de Little et surtout (lans l'alhélose double. L
aires des muscles de la phonation et de l'articulation. Dans peu de
maladies
il est donné d'observer d'aussi violents effort
asmodique; s'observe dans les chorées, dans les myoclonies. dans la
maladie
des lies. Le discours est coupé par les contrac
laquement de langue et retournement de la tête. La convulsion de la
maladie
des tics, plus violente encore, provoque un cri o
ombreux et divers. Le langage est précipité dans la chorée, dans sa
maladie
des tics. LES TROUBLES DE LA PAROLE. souvent
ladie des tics. LES TROUBLES DE LA PAROLE. souvent encore dans la
maladie
de Parkinson, ainsi que nous avons eu l'occasio
chez l'tcplccr- sique, épie la coprntatie est caractéristique de la
maladie
des tics déjà étudiée, que l'écholalie (répétit
l'intelligence même du langage est spécialement troublée dans cette
maladie
. Dans les états d'obnubilation intellectuelle (
changements de caractère (fréquents) survenus depuis le début de la
maladie
. VIII. Examen de la motilité. Le malade était-i
élale de Wernicke. Dans le. premier cas, l'aphasie de Broca est une
maladie
; elle n'est qu'lI n syndrome (anarthrie de Brocaa
ndues, est donc seul il bénéficier franchement de l'évolution de la
maladie
. Et parfois, il peut être difficile de dépister d
e de la pronon- cialion, de l'émission des mois représente toute la
maladie
. La lecture mentale, l'écriture, l'intelligence
UTIER.] 1 L'APRAXIE par le D' MOUTIER L'apraxie est non pas une
maladie
à proprement, parler, mais un syn- drome. Elle
dents personnels, savoir quelle a été l'histoire de sa vie, quelles
maladies
il a laites, quelles intoxications il a subies,
nent de l'embonpoint, les règles chez les femmes sont normales. Les
maladies
infectieuses intercurrentes donnent souvent peu d
rencontre dans les intoxications (alcoolisme, saturnisme), dans les
maladies
infectieuses, élans les auto-intoxications (urémi
la suite de la fatigue cérébrale, de l'inanition, dans le cours des
maladies
infectieuses, des infections et des intoxicatio
alades les idées de persécution active constituent presque toute la
maladie
, l'idée de persécution passive; est très réduit
toutes leurs sensations. Certains autres ont ces mêmes craintes des
maladies
poussées Ù un degré excessif, angoissant, on ne
alysie générale et même peuvent être le sym- ptôme révélateur de la
maladie
; les paralytiques généraux font des excès vénér
un accès de confusion mentale on fera comprendre qu ils ont eu une
maladie
sérieuse, on les adaptera au milieu nouveau où il
rnement. Les établissements privés consacrés au traitement d'autres
maladies
ne pourront recevoir les personnes atteintes d'
ntal de la personne à placer, et indiquant les particularités de sa
maladie
^et la nécessité de faire traiter la personne dé
r l'état de chaque personne qui y sera retenue, sur la nature de sa
maladie
et les résultats du traitement. Le préfet prono
ement contient des locaux particuliers pour les aliénés atteints de
maladies
accidentelles, el pour ceux qui ont des habitudes
qué par cette ordonnance; 4° S'il reçoit des personnes atteintes de
maladies
autres que celles qu'il a déclaré vouloir trait
ons je déclaré nécessaire, tant au point de vue du iraitement de la
maladie
que de ses conséquences possibles, que.,)] ......
le de tics, con- stater 1 écholalie ou la coprolalie, comme dans la
maladie
des tics ordi- naires. On peut aussi constater
cryptolchidic, phimosis, épi, et hypospadias). Garrod a signalé une
maladie
cardiaque congénitale; avec cyanose chez un idi
at intellectuel amène l'idiotie ('). cl) Idiotie amaurotique. Cette
maladie
, appelée encore idiotie amau- rotique familiale
ale, 1908) Poynton, Parsons, Gordon Holmes (Brain 1906). C'est une,
maladie
primitive des éléments nerveux altérés, surtout
uère que chez les bébés, c'est-à-dire tout à fait au début de cette
maladie
. Nous avons déjà dit sur quels signes on pouvai
urnisme est également peu important. Après la naissance, toutes les
maladies
infectieuses entraînant les encéphalites qui se t
mentale qui entraîne les impulsions, les perversions, etc. " .. Les
maladies
terminales des idiots sont la. tuberculose, pulmo
ou tuberculose aiguë généralisée; 1'-atlu;epsicou enfin toutes les
maladies
intercurrentes que l'on : peut observer chez l'
i<'l'I1¡]ekÎ) peut être un des j'rcmiers syni- 1) ! ÙllIes de la
maladie
. D) Sensibilité à la pression. Baresthésie. - L
fs sont souvent des signes précoces, apparaissant au début de la]
maladie
, et par suite doivent être recherchés avec le p
ion et qu'ils semblaient être, comme on l'a dit, la signature de la
maladie
. On admet presque unanimement aujourd hui avec
SCÉRALES La sensibilité des viscères peut être altérée au cours des
maladies
du système nerveux; quelquefois exaltée (hypere
pe de douleur ne répond donc pas d'une façon exclusive à un type de
maladie
. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. M5 Pa
valeur d'indication; par leur pré- cocité fréquente, au début de la
maladie
, elles aident souvent à dépister l'affection en
e nerveux, en laissant de côté les céphalées observées au cours des
maladies
générales fébriles, des infections, des intoxic
e. En effet, elle peut quelquefois constituer à elle seule toute la
maladie
(migraine, céphalée d'origine névralgique). Le
occupe une des premières places dans le tableau symptomatique de la
maladie
, et peut, par sa pré- sence, soit guider, soit
nt la cause. Elle est circonscrite ou diffuse et s'observe dans les
maladies
de l'encéphale et de ses enveloppes. Dans les m
articulier, la céphalée fait partie des symptômes car- dinaux de la
maladie
, constituant avec la constipation et les vomis-
mende dans la suite et disparaît même sou- vent dans le cours de la
maladie
. Contrairement à la céphalée secondaire, la cép
souffre nullement de la tête. Les accès de migraine constituent la
maladie
migraine. Dans la migraine oplzlctlzrtojléiyzte
dans les affections du système nerveux et s'observent : 1° dans les
maladies
organiques (de la moelle en particulier) ; '2" da
affections un peu particulières, telles que (akinésie algère et la
maladie
de Dercum. 1,' akil1(;sie algère ou syndrome
ividus de souche nevropathifmectdott être considérée, non comme une
maladie
spéciale, mais comme une manifestation des névr
oupe des algies centrales (Dejerine). Dans l'adipose douloureuse ou
maladie
de Dercum, la douleur est un des symptômes prim
omparée à l'idée fixe. On pourrait même dire qu'il s'agit ici d'une
maladie
de l'attention. » (Dejerine.) Les algies centra
ons des extrémités, comme l'acroparesthésie, l'érytliromélalgie, la
maladie
de Raynaud, les dysesthésies prennent une place
aux douleurs et aux autres symptômes objectifs ou subjectifs de la
maladie
. Dans l'ac1'oparesthésie, les dysesthésies cons
nt le soir après la fatigue. Dans l'asphyxie locale des extrémités (
maladie
de Raynaud), les dysesthésies représentent à el
thésie et l'analgésie des téguments. Dans les stades suivants de la
maladie
, stades d'asphyxie locale, stades de gangrène,
et finissent par se perdre dans le complexus sympto- matique de la
maladie
. C'est donc surtout à cette période d'invasion
ienneté de l'affection, temps de plus en plns court à mesure que la
maladie
fait des progrès ; ils disparaissent complètement
dans les névroses ou psychoné- vroses. Mais c'est surtout'dans les
maladies
mentales qu'elles acquièrent, une réelle import
il et repos). Chacun d'eux peut être diminué ou exalté au cours des
maladies
ner- veuses. C'est ainsi que, dans le tabes, le
ctivité fonctionnelle, leurs besoins, leur condition de santé ou de
maladie
. C'est de ce complexus d'impres- sions transmis
ns profondes du sens céneslhésique ne se voient guère (lue dans les
maladies
mentales; mais ce sens peut être partiellement
ALGIES par Georges GUILLAIN Les névralgies ne constituent pas des
maladies
; ce sont des syndromes cliniques caractérisés p
es les causes susceptibles de créer des névralgies. Il n'est pas de
maladies
infectieuses, d'intoxications, d'auto-intoxicatio
bserve dans l'anémie, la chlorose1, les cachexies, dans beaucoup de
maladies
infec- tieuses. d'intoxications ou d'auto-intox
La céphalalgie se constate comme signe prodromique de beaucoup de
maladies
infectieuses, telles que la fièvre typhoïde et le
eur pathologique ou du moins aucune valeur pour le diagnostic d'une
maladie
organique. C'est là, semble-t-il, ce due Goers
ient disparaître entièrement. xm VARIATIONS DES RÉFLEXES DANS LES
MALADIES
A) Abolition des réflexes. - Dans la pratique c
ants du tabès. Ce signe est devenu un des signes cardinaux de cette
maladie
: il est connu sous le nom de signe de 11'ealrl
. dépister des cas frustes ou des tabès à la première période de la
maladie
. L'abolition des réflexes tendineux achilléen e
lexes tendineux achilléen et rotulien s'observe éga- Iement dans la
maladie
de Friedreich. « Les réflexes tendineux sont pr
oujours absents et c'est celle absence qui contribue il donner a la
maladie
de hricclreicll cet aspect clinique singulier con
ettre' qu'il y a eu erreur et que ces cas n'appartiennent pas il la
maladie
de Friedreich, ou bien attribuer celle exagératio
blable, et je vous engage à vous méfier un peu des prétendus cas de
maladie
de Friedreich dans lesquels les réflexes tendin
, soit 29 pour 100, et en rapprochant. l'évolution ultérieure de la
maladie
de la constatation de ce symptôme, il nota que, t
xes n'est peut-être pas dans tous les cas en rapport direct avec la
maladie
du foie, elle relève peut-être de l'intoxication
ompressions de la moelle, la paralysie reste flasque au début de la
maladie
, il y a alors abolition des réflexes. Puis, dan
Benboffer et Oddo ont fait des constatations analogues.. Dans la
maladie
de Parkinson, on a signalé le plus souvent l'abo-
rébro-spinal. Les réflexes peuvent être abolis ou diminués dans les
maladies
mentales. Cramer (MÜnchene1' med. 117och., nove
re pour le diagnostic et le pronostic de ces affections. Dans les
maladies
mentales, la paralysie générale est la seule qui
itiques d'ancienne date, mais encore dans la première période de la
maladie
, c'est-à-dire de un mois à deux ans. L'abolitio
res dans les muscles de l'avant- bras. A un stade plus avancé de la
maladie
, il y a abolition des réflexes au niveau des mu
paralysie géné- 'rale, elle tend à diminuer après les progrès de la
maladie
et dès que le malade devient grabataire. , Da
rculeuse et cérébro-spinale. On a pu le constater également dans la
maladie
de Friedreich, dans l'hérédo-ataxie cérébelleus
dans les polynévrites ni dans l'atrophie Charcot-Marie, ni dans la
maladie
de Parkinson, ni dans la paralysie infantile, n
z les névro- pathes il peut aller jusqu'à l'exagération sans qu'une
maladie
proprement dite du système nerveux puisse donne
es. Celle altération est bi-latérale et souvent dans le début de la
maladie
. Le réflexe crémastérien a été considéré comme
xes tendineux. Le réflexe cutané disparaît également dans certaines
maladies
mentales : mélancolie, catatonie. L'absence d
compression de l'aorte. B) La disparition de ce phénomène dans les
maladies
au cours des- quelles l'excitabilité directe de
me l'indice que le malade est, atteint, outre son hémiplégie, d'une
maladie
hydropigène cardiaque ou rénale (Crouzon). Le
; ils lui sont surajoutés et dépendent bien plus du malade ou de la
maladie
, cause de l'hémi- plégie, que de l'hémiplégie e
iques (Bris- saud, etc.). Diagnostic. A) De l'hémiplégie avec les
maladies
qui peuvent la simuler. En réalité, il n'y eu a
iter celte erreur, d'autant plus que les différents symptômes de la
maladie
de Parkinson sont assez caractéristiques pour ê
bite, oreille). L'hémiplégie peut s'observer au cours de toutes les
maladies
infec- tieuses par suite soit d'une lésion des
is dans son lit, et on recherche alors le phénomème essentiel de la
maladie
qui est une contrac- ture de flexion des fléchi
Kernig dans' la méningite ou les réactions méningées, puis dans les
maladies
du système nerveux. Le signe de Kernig, comme n
uive la phase de la contracture et s'accentue avec révolution de la
maladie
. Il peut, quand le malade évolue vers la guéris
il a une valeur assez grande pour déceler les formes frustes de la
maladie
; nous avons pu nous-memc l'observer au déclin d
cén)bro-spi- nale fruste presque ambulatoire, et l'évolution de la
maladie
vers la paralysie spinale de l'adulte, avec atr
ment dans la pneumonie, quelquefois il s'observe dès le début de la
maladie
, accompagné ou non d'autres signes méningés; qu
gnes méningés; quelquefois enfin il s'observe dans le décours de la
maladie
et est alors caractéristique d'une véritable mé
cas après la l'ac hi-cocaïnisat i 011. Signe de Kernig clans les
maladies
du système nerveux. Le signe de Kernig a été re
r, il se montre très fréquemment, surtout à la période finale de la
maladie
; il indique l'apparition de troubles mé- dulla
ôme le plus important à bien connaître. Le diagnostic général de la
maladie
est à ce prix, et la connaissance précise des tro
les peuvent se noter; leur étude scia plus utile à propos de chaque
maladie
présentée. L'atrophie musculaire diffère selo
es poly- névrites, les complications médullaires ou névritiques des
maladies
infec- tieuses aiguës, fébriles, évoluent de la
ral. ' Les .affections chroniques, la tuberculose, la syphilis, les
maladies
spéciales il l'axe cérébro-spinal, la sclérose
syndrome étudié, et tout particulièrement ici, il y a, non pas une
maladie
, mais des malades. Nous exposerons tout d'abord
e la démarche ataxique peut, se rencontrer. Il en est ainsi dans la
maladie
de Friedreich, où le malade titube et talonne.
immobilisé ainsi d'une à deux minutes. Cette myotonie est toute la
maladie
, et le spasme une fois vaincu, il ne subsiste r
st ainsi des fractures, luxations, ostéomyélites, des lésions de la
maladie
de Barlow, des atrophies muscu- laires réflexes
sans contracture; atrophie musculaire constante. Le diagnostic des
maladies
rentrant dans ce cadre est assez facile. Nous y
niveau des mains; les doigts sont un peu fléchis. L'évolution de la
maladie
se l'ait en une ou deux aimées au maximum, et l
est une hémato- myélie par décompression brusque (mal des caissons,
maladie
des plon- geurs, des scaphandriers). Dans lotis
s, le mal de Poil, le cancer vertébral, la s ! J1'il1golll ! Jélie,
maladies
dans lesquelles la défor- mation osseuse, la di
it absolument que dans la syringomyélie. Il existe enfin dans celte
maladie
de la eyplw-scoliose avec incurvation transver-
nt spaslique, est quelquefois alaxo- ail cérébello-spasmodique. Les
maladies
que nous rangeons ici ne sont pas toutes il pré
lérose latérale ainyolrophique. Enfin, la description de tontes ces
maladies
a trouvé sa place dans les paragraphes précéden
titue plutôt une/infirmité. fort gênante à la vérité, (prune grande
maladie
. Le début est essentiellement variable, mais' e
générale des myélites transverses chroniques. Consé- cutives à des
maladies
chroniques comme la tuberculose, ou bien à des
tives à des maladies chroniques comme la tuberculose, ou bien à des
maladies
aiguës comme la fièvre typhoïde, essentiellement
s aiguës. fréquemment liées il la syphilis ou à la tuberculose. Ces
maladies
sur- viennent, de façon précoce chez le syphili
urs et souvent une, deux, parfois trois semaines et plus. Dans la
maladie
de l cmdor/ ('), la mort survient en de 2 à 5 jou
fréquemment les réflexes cutanés le sont également. II s'agit d'une
maladie
ascendante, fébrile, atteignant d'abord les mem
muscle sur lequel un la constate. La polynévrite peut dépendre de
maladies
infectieuses comme la lièvre typhoïde, la dipht
musculaire. I. (In uhscrvc (huis la rnqr un syndrome analogue il la
maladie
de Landry. [MOUTIER.] 504 - PARAPLÉGIE. ' "'
en plaques des atrophies d'origine myélopathique. De même, dans la
maladie
de Fez- reich, il peut exister très rapidement
che variable, temps qui va se raccourcissant avec les progrès de la
maladie
, le malade éprouve dans un seul ou dans les deux
t dans le groupe des paraplégies. Il convient de réserver le nom de
maladie
de Little au syndrome des enfants nés avant ter
tion peut rappeler de -près certains cas de sclérose en plaques, de
maladie
de Fri'edreich ou d hérédo-ataxie cérébelleuse
o- trophie en général, ni de troubles accusés de la sensibilité. La
maladie
peut persister indéfiniment, ou se terminer dan
agnostic en une certaine mesure. Les grandes lésions cérébrales, la
maladie
de Little, les diplé- gics, la spina bifida, so
nd fracas. Nul syndrome n'est aussi polymorphe. Le plus souvent, la
maladie
est tenace et le malade réduit à l'immobilité,
t de graves complications trophiques, finit par succomber à quelque
maladie
incidente ou il une méningite ascendante, direc
peut n'être en certains cas pourtant qu'une infirmité plutôt qu'une
maladie
. Quoiqu'il en soit, et dune façon très générale
d'une manière générale, être aussi peu profitable au malade quil la
maladie
. (Brissaud et Pierre Marie.) Lorsque les malade
erliner ¡llinische TV ochensch1'ift, août 1885 et mars 1886). Cette
maladie
est caractérisée par des paraly- sies survenant
es de la sensibilité ni de troubles de l'intelligence ; souvent, la
maladie
sur- vient la nuit, et c'est au matin que le ma
ignit les membres actifs qu'après la cession du travail. Quand la
maladie
est constituée, elle porte le plus souvent sur le
respectés. La disparition de la paralysie est progressive quand la
maladie
s'est constituée d'une façon graduelle; les mus
de Gollf7am ou il y a eu un accès unique. Un autre caractère de la
maladie
de Westphal est son caractère familial et héréd
t, de Goldllam que ce caractère a été relevé. La transmission de la
maladie
se fait directement, et l'hérédité similaire es
tiologique,par la symptomatologie concomitante, par la marche de la
maladie
et surtout son mode de début. Avec ces éléments
s intra-rachi-. diennes, surviennent le plus souvent'au cours d'une
maladie
antérieure- ment reconnue (tuberculose vertébra
. D'ailleurs la paralysie faciale se voit, dans un grand nombre de.
maladies
infectieuses (syphilis secondaire, fièvre typho
ts dans les paralysies graves du nerf sciatique. [G. GUILLAIN.] 1
MALADIES
DU LARYNX par le Dr M. LANNOIS Il est classiq
ure du pied de la circonvolution frontale ascendante : de plus cote
MALADIES
DU LARYNX. 657 de la zone qui commandait les. m
aurons plusieurs fois l'occasion de la retrouver. [LANNOIS] 1 640
MALADIES
DU LARYNX. I. TROUBLES SENSITIFS Nous indique
s pendant les repas. PHATIQUE NEUIIOL. 41 [LA 1Y l\'Ors.] ] 642
MALADIES
DU LARYNX. L'affection est tenace et récidive p
s malades neurasthéniques ou hypocondriaques se croient atteints de
maladies
graves : ils ont la phobie de la tuberculose, d
catégorie ont été signalés par Lewin, Gerhardt. ELANNOIS ] 64.4 .
MALADIES
DU LARYNX. Ziemssen, Schrôtter, Garel, Cartaz,
rses autres para- lysies. Nous ne ferons d'ailleurs qu'énumérer les
maladies
qui les causent, car elles ont déjà été signalé
s cellules elles-mêmes. Toutefois, on s'explique . [LANNOIS.] 646
MALADIES
DU LARYNX. mal que ce soient surtout les noyaux
l'arsenic. Mais ce sont surtout les toxines sécrétées au cours des
maladies
infec- tieuses qu'il faut incriminer : nous avo
Peut-être ne s'agit-il pas d'une position d'adduc- [LANNOIS. 648
MALADIES
DU LARYNX. tion forcée vraie (Garel), mais si l
spasme du larynx on en vue le spasme Ionique. [LANNOIS.] t ? 0
MALADIES
DU LARYNX. Il en existe deux variétés distincte
t le spasme respiratoire n'est qu'un épisode dans l'évolution de la
maladie
causale et c'est à elle que doit s'appliquer le
on peut le comparer à l'épilcpsie où à côté des [LANNOIS.] 654 -
MALADIES
DU LARYNX. formes dites essentielles, il y a la
les chorées chroniques progressives. On les trouvera encore dans la
maladie
des tics. 5° Spasme glottique phonique. Le spas
if, d'un tableau morbide préalablement reconnu : ce ne sont pas des
maladies
, ce sont des suites ou des complications d'une
ont pas des maladies, ce sont des suites ou des complications d'une
maladie
. Les atrophies musculaires progressives constit
s progressives constituent, au contraire, le symptôme capital d'une
maladie
ou au moins l'un de ses symptômes élémentaires
res : elles peuvent être acquises ou présenter les caractères d'une
maladie
de développement.. Les amyotrophies acquises su
phie progressive de l'adulte peut être le seul signe clinique d'une
maladie
, ces cas sont tout il fait exceptionnels; presq
t l'atrophie musculaire progressive se présente sous la forme d'une
maladie
de développement et en offre tous les carac- tè
s rapidement. (Babinski et Onanoff) ('), etc.... Dans ce groupe des
maladies
de développement entrent toutes les formes des my
es dites primitives, progressives, géné- ralisées : A) Atrophies,
maladies
du développement, d'origine congénitale, atrophie
SCULAIRES PROGRESSIVES DE L'ENFANCE ET DE L'ADOLESCENCE Atrophies
maladies
de développement (d'origine probablement congén
-Dejerine. Connue toutes les affections héréditaires ou familiales,
maladie
de Fl'icdreich, bérédo-ataxie cérébelleuse, etc
e entre la netteté du caractère héréditaire et l'âge de début de la
maladie
: la' maladie débute d'autant plus tôt que son
teté du caractère héréditaire et l'âge de début de la maladie : la'
maladie
débute d'autant plus tôt que son caractère héré
ques est bien en faveur de la théorie des amyotrophies héréditaires
maladies
de dégénérescence, d'origine conceptiollnelle o
cara n'a observé qu'une jeune fille sur 15 sujets atteints de cette
maladie
(=). On voit assez souvent dans les familles la p
us facile- ment par les femmes que, quand elles sont, atteintes, la
maladie
est sou- vent plus tardive et plus lente, et qu
au de tous les tissus et semblent démontrer que l'affection est une
maladie
de dégéné- rescence « beaucoup plus générale qu
plus étendu de faits où entreraient, par exemple, la myotonie de la
maladie
de Thomsen et la myoplégie de la paralysie famili
etc.), n'ont pas par elles-mêmes d'influence sur l'évolution de la
maladie
première. Tels sont les caractères ordinaires d
xamen ra- dioscopique, de James Ross (2) qui ri trouvé dans la même
maladie
des lésions manifestes des fibres musculaires d
cause cérébrale » ; en 1868 (') il renonça lui-même à attribuer la
maladie
à un état morbide de l'encéphale, « parce que dan
e cas aucun phénomène cérébral ne s'était montré dans le cours delà
maladie
». Depuis lors les observations ne se comptent pl
a dénommés « myopsychies » (cho- rées deSydenham et de Huntington,
maladie
des tics, maladie de Thomsen, myopathie, maladi
sychies » (cho- rées deSydenham et de Huntington, maladie des tics,
maladie
de Thomsen, myopathie, maladie de Parkinson). L
et de Huntington, maladie des tics, maladie de Thomsen, myopathie,
maladie
de Parkinson). Les troubles physiques et les trou
roubles physiques et les troubles psychiques semblent être dans ces
maladies
la conséquence d'une même cause héréditaire, d'
jerine (1), Sachs (8), Val- dès Anciano (9) ont rencontré chacun la
maladie
de Friedreich. Ber- nhardt (1°) a observé chez
mme elle sur le tissu musculaire ; c'est la myotonie congénitale ou
maladie
de Thomsen. Nous avons dit déjà qu'histologique
tion et de la réaction élec- trique mvotonique qui caractérisent la
maladie
de Thomsen. On peut aussi observer chez les myo
les degrés entre l'hypertrophie ou la myotonie localisée jusqu'à la
maladie
de Thomsen la plus étendue et la plus caractéri
nois (') (myotonie loca- lisée), de Lépine (2) (myopathie suivie de
maladie
de Thomsen), de Hoff- mann n (maladie de Thomse
pine (2) (myopathie suivie de maladie de Thomsen), de Hoff- mann n (
maladie
de Thomsen suivie de myopathie sur d'autres muscl
queues différents tvpes ne sont que des formes d'une seule et .même
maladie
, la dystrophie musculaire primitive de Erb, la my
montrent qu'elle n'est pas une simple atrophie musculaire, mais une
maladie
portant plus ou moins sur le développement de tou
s ils peuvent exister dans toutes les variétés topographiques de la
maladie
; ils créent entre elles un lien qui fait que la m
ue les principales variétés de localisation et d'évolution de cette
maladie
. 9. Variété pseudo-hypertrophique ou myoscléros
ercurrentes mal caractérisées qui donneraient un coup de fouet à la
maladie
. La pseudo-hypertrophie fait généralement place à
rès étendue et des déformations très pro- noncées, succombent à des
maladies
intercurrentes, en particulier des affections d
outerons enfin que les arnyotrophies myélopathiques de l'en- fance,
maladies
du développement portant primitivement sur le sys
embres inférieurs seuls [Soca n. P. Marie et Sainton (4)]. Quand la
maladie
débute par les membres supérieurs, elle envahit t
doute tout différents de l'atrophie Charcot-Marie. La marche de la
maladie
est extrêmement lente : arrivée à un degré très
a maladie est extrêmement lente : arrivée à un degré très avancé la
maladie
n'a même plus l'air de progresser, peut-être i
bres, jusqu'à un âge très avancé s'ils ne sont emportés par quelque
maladie
intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cett
e ni dans l'atrophie Charcot-Marie ni, au même degré, dans aucune
maladie
connue; , 2° Une cypho-scoliose parfois très pr
lution du syndrome Aran-Duchenne est naturellement variable avec la
maladie
provocatrice; elle est particulièrement rapide da
de pas à être prise à son tour. La mort est parfois le fait d'une
maladie
intercurrente, plus souvent de la propagation d
t d'une maladie intercurrente, plus souvent de la propagation de la
maladie
causale ; fréquemment le malade suc- combe avec
ndrome Aran-Duchenne étant éliminées, reste-t-il une place pour une
maladie
d'Aran-Duchenne, caractérisée par une poliomyél
ain de poliomyélite antérieure chronique pure; sans affirmer que la
maladie
d'Aran-Duchenne n'existe pas, nous croyons avec P
beinent sanguin (liérnatomyélies). On pourrait y ajouter toutes les
maladies
chroniques de la moelle où ces cornes antérieur
ctures, luxations, contusions) ou dépression atmosphérique brusque (
maladie
du caisson) rendront sou- vent le diagnostic év
ont pas exceptionnelles, soit spontanément, soit à l'occasion d'une
maladie
infectieuse quelconque, est la durée peut être
) Névrites infectieuses ou toxiques de cause interne. - Toutes les
maladies
infectieuses peuvent provoquer, dans leur cours o
'estacci- dentellement aussi qu'un certain nombre de dyscrasies, de
maladies
générales chroniques (diabète, goutte, rhumatis
- bable que, dans beaucoup de cas où l'affection évolue comme une
maladie
infectieuse indépendante, il en est de même et qu
e, apyrétique ou accompagné des symptômes fébriles d'invasion d'une
maladie
infectieuse (fièvre jusqu'à 40°, frissons, courba
ment dans les nerfs, mais aussi dans la moelle. Dans le béribéri,
maladie
contagieuse et épidémique. la polynévrite est l
r toutes les affections congénitales, héréditaires ou fami- liales,
maladies
du développement ou maladies de dégénérescence, q
nitales, héréditaires ou fami- liales, maladies du développement ou
maladies
de dégénérescence, qui existent « en puissance
considérée comme exceptionnellement la cause d'amyotrophies ou de
maladies
« simulant» cette amyotrophie (Raymond, Raïchline
erveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence mentale;
maladies
congénitales diverses : myotonie congénitale, Fri
quand l'hypertrophie musculaire est l'un des symptômes mêmes d'une
maladie
du muscle, ce qui est fréquent : dans ce cas, o
. -1,'hylcrtrophie musculaire est un des éléments essentiels de la
maladie
de Thomsen ou myotonie congénitale, affection tuu
itales, d'autres sont acquises; cer- taines sont consécutives Ù une
maladie
infectieuse ou toxique, d'autres paraissent spo
ints. Un petit nombre seulement paraissent répondre à une véritable
maladie
muscu- laire primitive, localisée ou généralisé
lu jusqu'ici considérer connue absolument caractéristiques de cette
maladie
. Bien que le tenue de myopathie hypertrophiante
tères spéciaux de la contractilité volontaire et élec- trique de la
maladie
de Thomsen. Mais nous dirons que ces caractères
mmes musclés » publiée par Van Duyse (2) [bien des caractères de la
maladie
de Thomsen, nous avons fort tendance à croire q
atrophie. L'hypertrophie préatrophique est donc déjà un signe de la
maladie
de la fibre musculaire : on comprend qu'avant d
saines. ei , qF. - 1 5 GROUPE. ? W PERTRÔPHIES MYOTONIQUES - -
Maladie
de Thomsen. Parmi les hypertrophies musculaires
ins généralisées, les plus fréquentes de beaucoup sont celles de la
maladie
de Thomsen.. L'hypertrophie musculaire est en
té de la décontraction, du relâchement muscu- [A, LF1R1. Fig. 18.
Maladie
de Thomsen. Remarquer le développement lILhlé
volontaire, quand on répète les excitations sur le même muscle. La
maladie
de Thomsen est essentiellement familiale et héréd
entiellement familiale et héréditaire, comme les myopathies. v La
maladie
de Thomsen paraissait ainsi parfaitement individu
ons et notamment dans les myopathies, d'autre part que myopathie et
maladie
de Thomsen peuvent évoluer simultanément ou suc
aires depuis l'lryper- trophie et la myotonie localisées jusqu'à la
maladie
de Thomsen la plus étendue; la myotonie a pu pr
y a donc toutes les formes de passage entre la myopathie pure et la
maladie
de Thomsen pure et, si l'on ajoute que les deux a
out entre l'hypertrophie préatrophique que nous avons étudiée et ta
maladie
de Thomsen une différence de degré en intensité e
ait aux dépens du sarcoplasma autour des noyaux prolifères, dans la
maladie
de Thomsen la persistance dans l'intérieur des
des cas, on trouvait à l'origine des accidents une fièvre typhoïde,
maladie
infectieuse dont on sait la fréquente influence
vraie chez un sujet qui nC11l'éseu- lait pas les réactions de la
maladie
de Thomsen. Remarquer surtout le développemen
emble donc qu'il s'agit là d'une lésion très analogue à celle de la
maladie
de Thomsen : augmentation du sarco- plasma et m
b peut s'ob- server dans différentes circonstances, en dehors de la
maladie
de Thom- sen, que son existence est en revanche
son existence est en revanche indispensable au diagnostic de cette
maladie
^ mais seulement parce qu'elle en est un symptôme
iment une différence essentielle, une différence de nature entre la
maladie
de Thomsen et certaines des hypertrophies muscula
: partielles ou totales ( ? ). - ")" Hypertrophies myotoniques :
Maladie
de Thomsen : Syndrome : 1° Hypertrophie muscu
s uniquement dans la lésion des cordons postérieurs; dans le tabes,
maladie
générale du système nerveux, les altérations les
de l'ataxie et des différents signes ordi- naires du tabès et de la
maladie
causale, la paraplégie, généralement spasmodiqu
l sont si communs dans la sclérose en plaques, c'est que dans cette
maladie
il existe généralement des plaques prolubéran-
vec tremblement intentionnel très accusé. INCOORDINATION DANS LES
MALADIES
HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES. 777 III. INCOORDINA
DIES HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES. 777 III. INCOORDINATION DANS LES
MALADIES
HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES (FORMES MIXTES) No
Nous avons réservé, pour les décrire ensemble, un certain nombre de
maladies
qui toutes se présentent le plus souvent, chez pl
famille, soit dans une seule, soit dans plusieurs générations. Ces
maladies
ont pour caractère commun une incoordination ma
ébelleuse asynergique et titubante. 11 faut dire d'ailleurs que ces
maladies
sont assez rares, et que les particularités de
'elles n'ont pas été jusqu'ici suffisamment analysées. a) Dans la
maladie
de Friedreich ou ataxie héréditaire, le début de
nes, plus ou moins constants,. donne parfois aux sujets atteints de
maladie
de Friedreich un aspect spécial que Charcot a a
donne la clef de celle association de symp- INCOORDINATION DANS LES
MALADIES
HÉRÉDITAIRES OU FAMILIALES. 779 tomes ataxiques
incoordination présente à peu près les mêmes caractères que dans la
maladie
de Friedreich. La marche est lente, incertaine,
a station debout est hésitante, oscillante, instable, comme dans la
maladie
de Friedreich. Il y a pas ou peu de signe de Romb
troubles de la coordination sont donc à peu près les mêmes dans la
maladie
de Friedreich et dans la maladie isolée par P. Ma
donc à peu près les mêmes dans la maladie de Friedreich et dans la
maladie
isolée par P. Marie; ce qui distingue celle-ci,
s organiques analogues, mais distincts, on bien intéressant dans la
maladie
de Friedreich un nombre de systèmes autres que da
et Sottas, Pierre Marie présente aussi bien des analo- gies avec la
maladie
de Friedreich : début précoce et caractère famili
(glycosurie, etc.). 111. Cas intermédiaires et mixtes : groupe des
maladies
hérédi- taires ou familiales avec incoordinatio
uer certains troubles sensitifs et comme tonique général dans cette
maladie
essentiellement cachectisante ; ils peuvent don
ès, quand Frenkel (de Hciden) eut 1 idée de la pratiquer dans cette
maladie
selon des principes absolument nouveaux. , Le
ises d'angine paroxystique pure (Brissaud, Bonnier). . SYNDROMES ET
MALADIES
BULBAIRES Les altérations bulbaires coïncident
-dire la paralysie labio-glosso- laryngée s'observe tantôt dans des
maladies
rigoureusement définies comme le tabes, la syri
ype bulbaire précédemment individualisé fait défaut. SYNDROMES ET
MALADIES
BULBAIRES. ' 805 Paralysie labio-glosso-palato-
olrophique. Dans ces différents cas, et plus spécia- lement dans la
maladie
de Charcot, le début est lent, insidieux, progres
t lent, insidieux, progres- sif. Il ne survient dans cette dernière
maladie
qu'après une série de troubles spastiques et at
s telles que la fièvre typhoïde, la diphtérie, les septicémies, les
maladies
éruptives, les infections hémorragiques tout ,
rement. Le début est violent, masqué parfois par le complexus de la
maladie
antécédente. Il existe des phénomènes généraux in
les affections nucléaires systématisées, l'hémiplégie SYNDROMES ET
MALADIES
BULBAIRES. 805 croisée de type bulbaire fait ra
tic de tabès (Gianelli, Paviot) ou de sclérose en plaques. Dans ces
maladies
toutefois, le syndrome d'hyper- tension crânien
très prononcée suivie d'une longue période d'état stationnaire, la
maladie
peut reprendre, une marche progressive, inéluct
ndre, une marche progressive, inéluctable cette fois. Diagnostic.
Maladie
caractérisée seulement après plusieurs ictus su
rates dans lesquelles la myasthénie n'est pas, en général, toute la
maladie
, ou n'atteint qu'exceptionnellement une valeur
ation. Ces sym- ptômes sont remarquablement intenses dans certaines
maladies
aiguës, comme la grippe. On les notera d'autre
ladies aiguës, comme la grippe. On les notera d'autre part dans des
maladies
chro- niques telles que la tuberculose, la syph
t marqué sur la force et la résistance musculaires des désordres ou
maladies
de l'abdomen. ptôses, diarrhée, affections ovar
nerveuses, s'accompagnent de phénomènes dé- pressifs, notamment les
maladies
bulbaires et cérébelleuses, les chorées, les mi
e, l'intoxication hépatique et surtout une tuberculose incidente.
Maladies
familiales. - Les maladies familiales se manifest
ue et surtout une tuberculose incidente. Maladies familiales. - Les
maladies
familiales se manifestent chez des individus en
r (V oirchap. Paraplégie). . Vertige paralysant de Gerlier. - Cette
maladie
est caracté- risée par des accès à début soudai
a définir mie asthénie à localisation bulbaire initiale. C'est une.
maladie
fréquente surtout de 18 à 50 ans, frappant la f
de plus extrêmement sensibles au froid. Enfin, MYASTHENIE. 815 la
maladie
elle-même est parfois curable, mais le plus souve
oit pris au- dessus de 40 ans. On a cependant signalé des cas où la
maladie
s'est montrée familiale, congénitale, héréditai
dernier. D'autres localisations, différentes selon le malade ou la
maladie
, pré- cisent ou modifient ce syndrome : telles
, prend un aspect pleurard. Le malade rit en travers comme dans les
maladies
bulbaires classées. La parole mal formée, nasilla
elles-ci se répètent. Nous ne reviendrons pas sur l'évolution de la
maladie
. La marche peut être lente, aiguë, coupée de ré
s cas, il faudrait savoir se prémunir contre un diagnostic hâtif de
maladie
bulbaire ou de neu- rasthénie banale. On doit t
iner. Le muscle lui-même ne peut être cause de convulsions : aucune
maladie
musculaire, myopathie, myo- site, ne s'accompag
- Le ? convulsions, étant un symptôme commun à un grand -nombre de
maladies
, n'ont pas d'unité, complète dans leur allure c
ral de contracture. Le tétanos amène une raideur maxima; d'au- tres
maladies
s'accompagnent d'une rigidité moins soutenue perm
e l'hystérie, l'épilepsie constitue une prédisposition durable. Les
maladies
infectieuses peuvent s'accom- pagner, au contra
e il tirer au clair. S'il y de la fièvre, on peut avoir affaire aux
maladies
infectieuses à début brusque et à la plupart de
éventuelle en épilepsie, si l'on est interrogé sur les suites de la
maladie
. S'il s'agit d'un enfant plus âgé, on procédera
1- sites tuberculeuses, etc. Quand elles surviennent au cours de la
maladie
CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES. - 825 conf
e, ramollissement, qui peuvent amener des convulsions ; mais ici la
maladie
est déjà diagnos- tiquée antérieurement ou faci
ions d'origine indéterminée, de rechercher les signes latents de la
maladie
: hyperexcitabilité électrique ou mécanique des n
ndemnes de toute affec- tion préalable, s'affirmant ainsi comme une
maladie
primitive (Char- tier). Un malade infecté prése
ent malaisée faire le départ de ce qui revient à l'une et à l'autre
maladie
. PXATKHXEUROL. M [ROUSSI.] TREMBLEMENTS p
par seconde); le type de ce rythme rapide est le tremblement de la
maladie
de Basedow. Le rythme peut être moyen, de y 1/'
me dans la sclérose en plaques, dans la paralysie agitante, dans la
maladie
de Basedow. Mais, il travers l'évolution d'un tre
es des mouvements choreiformes et des trem- blements : telle est la
maladie
de Friedrcich où les mouvements inten- tionnels
e ce tremblement est progressive : il s'exagère dans le cours de la
maladie
et au sur et il mesure qu'il s'accentue, il entra
e en plaques, nous mentionnerons immédiatement le tremblement de la
maladie
de Friedreich qui est en effet très analogue à
rès analogue à celui de la sclérose en plaques. Le diagnostic de la
maladie
se fera par l'ataxie statique, les mouvements cho
nfirmé ces recherches. . Tels. sont les principaux tremblements des
maladies
organiques cérébro-spinales : il convient d'y a
me est plus irrégulier que dans le clonus vrai. Tremblement de la
maladie
de Parkinson. Ce tremblement, suivant Brissaud,
ment de la tête proprement dit; la tète ne tremble donc pas dans la
maladie
de Parkinson dans la majorité des cas. Cependan
argument en faveur du trouble fonctionnel central qui préside il la
maladie
. Nous n'insisterons pas sur les autres symptôme
s n'insisterons pas sur les autres symptômes qui caracté- risent la
maladie
, car le tremblement est le hllls carucU'risliyuc
enons d'indiquer, on ne doit pas conclure d'emblée à l'existence de
maladie
de Parkinson; il faut penser quelquefois au tremb
es cas de Charcot, de Grandlllaison, de Boinet, etc. Enfin, dans la
maladie
de Parkinson, on peut observer des formes aty-
s aty- piques, tels sont les cas des tremblements unilatéraux de la
maladie
de Parkinson où le tremblement s'est étendu à d
bi-latéral d'abord devient unilatéral dans la suite; 4" Le cas de
maladie
de Parkinson sans tremblement. Tremblement séni
tremblement sénile s'oppose imméclia- tement au 'tremblement de la
maladie
de Parkinson; comme lui, il existe au repos abs
discutée dans la thèse de liourgarel en 1887. * " Tremblement de la
maladie
de Basedow. Le tremblement de la maladie de Bas
7. * " Tremblement de la maladie de Basedow. Le tremblement de la
maladie
de Basedow est un symptôme cardinal de cette affe
ptômes caractéristiques qui étaient connus dès la description de la
maladie
(goitre, exophtalmie, tachycardie), M. Pierre Mar
a méthode graphique a montré qu'en moyenne les oscillations dans la
maladie
de Basedow se produisent 8 fois 1/2 par seconde.
uentes de mouvements choréiformes et des tremblements, telle est la
maladie
de Friedreich où un mouvement intentionnel coexis
s, des mois, il peut être généralisé, il imite le tremblement de la
maladie
de Basedow, le tremble- ment alcoolique et celu
, le tremblement de la paralysie générale cl le trem- blement de la
maladie
de Basedow. Ce n'est guère qu'en recherchant les
e de Basedow. Ce n'est guère qu'en recherchant les symptômes de ces
maladies
que l'on peut faire le diagnostic. 2" Trembleme
l'attitude du serment, ce tremblement ressemble donc à celui de la
maladie
de Basedow, il est peu marqué au repos; enfin i
ffec- tion secondaire : érysipèle, phlegmon, gangrène, ou enfin une
maladie
intercurrente comme la tuberculose, la scarlati
ez d'exactitude ces mouvements à des mouvements de poulpe. ' z La
maladie
des tics peut quelquefois être confondue avec la
nce, mais il garde néanmoins l'apparence de l'acte initial. Dans la
maladie
des tics, il s'agit d'une assemblée de contract
mposer pour la chorée. suffira de décom- poser les mouvements de la
maladie
des tics en chacun des actes pseudo- intentionn
mouvements choréiques se distingueront de l'ataxie statique -de la
maladie
de F1'ied1'eicJt. Cette ataxie statique est carac
t atteint, ou, pour mieux dire, la chorée de l'enfant est une autre
maladie
que celle de l'adulte, et celle de l'adulte est
e maladie que celle de l'adulte, et celle de l'adulte est une autre
maladie
que celle du vieillard. CHORÉE DES ENFANTS OU C
eluche, de la scarlatine. Enfin les faits de chorée consécutive aux
maladies
infectieuses sont rassemblés dans la thèse de S
cot et ses élèves sont partisans des rapports de la chorée avec les
maladies
ner- veuses. Suivant Charcot, la coexistence de
nce hémilatérale. Quel- quefois la prédominance reste du côté où la
maladie
a commencé, c'est la prédominance fixe, quelque
he parallèle à la fièvre quand celle-ci survient dès le début de la
maladie
. ' Formes. Le type qne nous venons de décrire e
olle d'emblée et son début est brusque, quand il est progressif, la
maladie
se révèle par une marche inhabile ou par la mal
érente de la chorée vulgaire, aussi souvent a-t-on pu prendre cette
maladie
pour une paralysie infantile ou pour une. polynév
est après des alter- natives d'amélioration et d'aggravation que la
maladie
décroît lentement. L'amélioration se l'ait prog
, cepen- dant on a pu observer de^ rechutes qui donnent alors il la
maladie
une durée excessive de 8 il 10 mois; on a pu ob
main Sée, la durée est dimi- nuée il chaque récidive nouvelle. La
maladie
peut passer il Létal chronique dans des cas excep
ssesse; ce seraient alors, des' manifestations de l'hystérie ou une
maladie
des tics' ou une chorée chronique; cependant nomb
is, 1901), et même cette existence ne peut être mise en doute. La
maladie
débute dans la première moitié de la grossesse, p
dant les 4 premiers mois. Le. début est brusque ou lent et quand la
maladie
est constituée, elle se présente avec les signe
éique comme dans le cas c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des
maladies
mentales et nerveuses de Saint- Pétersbourg, 18
les et nerveuses de Saint- Pétersbourg, 1896). Le pronostic de la
maladie
est plus grave que celui de la chorée vul- gain
! 1). CHORÉE VARIABLE Brissaud a écrit dans ses « Leçons sur les
maladies
nerveuses a. (2" Série, 1899), une variété de c
u reste être associés à des tics2"ariables....' L'évolution de la
maladie
est naturellement très irrégulière, puisqu'il y
l y a variabilité des mouvements dans le temps et dans la forme. La
maladie
peut durer longtemps et finir par guérir, le ma
plus s'alimenter, il tombe dans le gâtisme complet ;-la durée de la
maladie
est cependant assez longue, beaucoup de malades a
u cours de certaines névro- ses, ils sont un signe accessoire de la
maladie
de Basedow (Dieulafoy). On les observe égalemen
sence de myoclonies, mais encore d'autres affections nerveuses : la
maladie
des tics connue, dans des cas signalés par Lemoin
té entre elles. C'est ainsi que M. Raymond (loc. cil.) considère la
maladie
des tics comme un des anneaux de la chaîne path
ue de liergeron et de. llenoch, la chorée fibrillaire de Morvan, la
maladie
deDubini, et enfin la myoclonie familiale d'Unver
in la myoclonie familiale d'Unverriclit. Nous laisserons de côté la
maladie
des tics, le tic non douloureux de la face que
latéral ; c'est en général par les membres inférieurs que débute la
maladie
. Les contractions se produisent par accès ou pa
es de la sensibilité. L'intelligence est intacte. La marche de la
maladie
est progressive au début, mais arrivée à sa pér
d'Allico, Riforma medica, 1897), il peut cire sympto- matiquc de la
maladie
de Heckiinghausen et de l'urémie cérébrale; on l'
açon constante une élé- vation de la température. La marche de la
maladie
est rapide, les secousses et les accès se répè-
, les secousses et les accès se répè- tent et se rapprochent, et la
maladie
évolue progressivement pour se ter- miner par l
iement et de difficulté de la déglutition : La description de cette
maladie
a été faite par Unverricht, en 1891 : il s'agis
CTIONS DIVERSES On a signalé encore diverses myoclonies au cours de
maladies
du système nerveux et dans la paralysie général
] 870 .. MYOCLONIES. ' On les a rencontrées aussi à la suite des
maladies
toxi-infectieuses de l'enfance. - .. Nystagmu
- laire, la difficulté de la démarche pourraient en imposer pour la
maladie
de Little, mais cette maladie, si elle s'accomp
émarche pourraient en imposer pour la maladie de Little, mais cette
maladie
, si elle s'accompagne de contractures, ne -s'ac
llws très nets : les convulsions, la fièvre marquant le début de la
maladie
, l'envahissement se l'ait progressivement, quel-
rs mois, quelquefois en plusieurs années; beaucoup plus rarement la
maladie
a été généralisée d'emblée. Quand la maladie es
oup plus rarement la maladie a été généralisée d'emblée. Quand la
maladie
est constituée elle est caractérisée par une tria
] 871k ATHETOSE. ' L'évolution de l'athétose double est lente, la
maladie
peut durer un nombre d'années indéterminé; il n
uite un grand nombre d'années dans les hospices d'incurables. Cette
maladie
est chronique et le séjour à l'hôpital peut amene
Scherb. Enfin, à côté de ces caractères qui sont essentiels dans la
maladie
, nous ne, devons pas oublier que le malade est
nes épilepti- l'ormes, mais ils accompagnent surtout le début de la
maladie
. Enfin, il l'inverse de ce que l'on rencontre q
survenir longtemps après le début de l'hémiplégie, mais dès que la
maladie
est constituée, elle ne s'atténue guère et elle
dehors de l'action accidentelle d'une crise con-. vulsive ou d'une
maladie
générale. De récents travaux ont cherché à mettre
a persistance, prend un caractère pathologique » (Dupré), c'est une
maladie
de l'habitude. C'est à tort qu'on a décrit sépa-
dispositions légères aggravent géné- ralement les contractions; les
maladies
graves, et surtout fébriles, les calment : ils
faites TICS. 881 1 sur la légitimité d'une comparaison entre une
maladie
il progression ana- tomiclue et une affection à
. Le degré d'envahissement le plus accentué est représenté par la
maladie
des tics (Gilles de la Tourette). Cette affection
aux caractères des tics, ce qui permet d'en faire le diagnostic. La
maladie
ne va pas sans une atteinte profonde de l'état
des vésaniques sont les avant-coureurs de la démence (Du- four). La
maladie
des tics est presque toujours incurable. Le tic
s la genèse des tics (Noguès), de même que l'obsession est plus une
maladie
de l'émotivité que de la volonté (Pitres et Régis
re des spasmes. Pour Joifroy (') les tics, et particulière- ment la
maladie
des tics, rentrent dans un groupe naturel étendu
ations diverses de la dégénérescence, groupe que l'on peut dénommer
maladies
nlusculo- psychiques d'origine conceptionnellc
s de langage que certains auteurs, avec G. Cuinon, on ! admis une «
maladie
des tics sans tics », un tic purement mental « qu
et des torticolis spasmodiques francs, ceux-ci soit symptomatiques (
maladies
contagieuses et toxiques, syphilis, épilepsie, af
(') a particulièrement étudié le dia- gnostic de la chorée avec la
maladie
des tics ; il résume ainsi les caractères diffé
ractérisée par des manifestations tantôt de la chorée, tantôt de la
maladie
des tics, évoluant sur un terrain de dégénéresc
où les tics prédominent, le diagnostic avec les tics simples ou la
maladie
des tics ne peut se faire que par l'extrême var
s : pneumonie, fièvre typhoïde, méningites aiguës, tétanos, urémie,
maladie
du sommeil (Sicard et Moutier), granulie, hémor-
ctilité volontaire, la catalepsie ne saurait être confondue avec la
maladie
de Th inseii oil cette contractilité saurait êt
de Th inseii oil cette contractilité saurait être confondue avec Ia
maladie
de Thomsen où cette contractilité n'est qu'entr
accompagnée de troubles - psychiques. C'estun symptôme, et non une
maladie
comme le voulait Kabl- baum. Il s'agit d'une vé
exes (Frenkel. Babinski). On la rencontre, le plus souvent, dans la
maladie
de Friedreich; elle peut s'observer également d
ssus ou à peu près tous, ils peuvent s'observer dans la plupart des
maladies
de l'axe cérébro-spinal et de ses dépendances.
e, elles feront partie intégrante du tableau cli- nique banal de la
maladie
étudiée. Il en est ainsi notamment dans le (abc
e main de prédicateur cI de main en pince de homard, ou simulent la
maladie
de Dupuytren, soil enfin que la destruction des
e à la main une similitude remarquable avec le type observé dans la
maladie
de Morvan. soit que l'infiltration oedémateuse
trophonévroses, familiales ou isolées mais complexes, telles que la
maladie
de Dercum associée à la sclérodermie, par exemp
le, ces lésions, ainsi que la gangrène symétrique des extrémités ou
maladie
de Haynaud et l'érythromélalgie, se trouvant décr
s distales. Par là, cette sclérodactylie se rapproche parfois de la
maladie
de Raynaud. D'ailleurs, il est fréquent, dans c
s de la maladie de Raynaud. D'ailleurs, il est fréquent, dans cette
maladie
, d'observer un certain degré de sclérodermie. des
spécialement les névrites traumatiques. A une période avancée de la
maladie
, il est ordinaire d'observer des ulcé- rations
les de la pigmentation se rencontrent dans un assez petit nombre de
maladies
, si l'on en excepte la lèpre surtout, accessoirem
aille ? Nous ne saurions 1 affirmer. 11 s'agit là en tout cas d'une
maladie
autonome plus intéres- sante pour le dermatolog
ur un point d'importance pri- mordiale : le zona véritable, le zona
maladie
ne récidive jamais ; au contraire, les éruption
ndrome individualisé sous le nom de neurofibromatose généralisée ou
maladie
de Recklinghausen. Cette affection est congénital
e fugace et la trophonévrose chronique, et cela non seulement d une
maladie
à l'autre, mais encore d'un individu il un autre,
miplégiques ou les paraplégiques, que l'affection en cause soit une
maladie
chronique ou une affection aiguë du cerveau ou
certaines formes morbides dans lesquelles les oedèmes sont toute la
maladie
. Chez certains malades de l'un ou de l'autre se
ologie précise échappe jusqu ce jour. Cet oedème angioneurotique ou
maladie
de Quincke apparaît pour des causes souvent lég
chronique, des oedèmes traumatiques, du myxoedème, ainsi que de la
maladie
de Dercum. - Certains auteurs ont signalé une c
a- ml"J'ique ? C'est là un point encore peu éclairci\ De même, la
maladie
de Dercum ou adipose douloureuse est-elle un tr
hie glandulaire, peut-être thyroïdienne ? Le tableau clinique de la
maladie
de Dercum est assez variable pour qu'il soit ut
xcep- tionnelle, la panat1'o- phie locale de Gowers. Dans cette
maladie
, « certaines zones circonscrites du visage, du tr
de décubitus. Nous verrons plus loin de quelle façon, avec Fig. 5.
Maladie
de Dercum (d'après G. Ballet). TROUBLES TROPHIQ
ts plantaires ne relèvent guère que de l'une ou l'autre de ces deux
maladies
, tabès ou diabète. Le mal perforant tabétique
des tégu- ments, intervient, seule pour mutiler les doigts dans les
maladies
men- tionnées. Il est ordinaire de noter l'atte
e assez fré- quentes. Au plus bas degré de l'échelle se trouve la
maladie
de Raynaud. Cette affection n'arrive pas; à v
ntissement de la croissance des ongles a été observé dans nombre de
maladies
nerveuses, son accélération dans un certain nombr
ophie glandulaire dans des affections comme l' acro mlgalie, la
maladie
de Paget, peut- être même certaines hy- pertr
segments osseux. Par ce méca- nisme se forment les scolioses de la
maladie
de Friedreich et de la " syringomyélie, le th
es crâniens, les lésions du sympathique ou du trijumeau, diverses
maladies
infectieuses. le tabès, la syringomyé- 1 ic,
n fibre-tendineuse palmaire, d'origine syringomyélique, simulant la
maladie
de Dupuytren.-On ren- contre parfois des ruptur
nomènes satellites de la lièvre et à rechercher, d'autre part, les
maladies
nerveuses au cours desquelles peut se, trouver
d'abord à un point de vue, et nous verrons ensuite quelles sont les
maladies
nerveuses dans lesquelles on peut rencontrer l'hy
clnes ait pour résultat la production de la lièvre. Fièvre dans les
maladies
nerveuses. - L'élévation de la température [O.
zoN.7 956 HYPERTHERMIE. a été constatée dans un certain nombre de
maladies
nerveuses ; elle peut être dans certains cas un
lle peut être dans certains cas une complication infectieuse de ces
maladies
ner- veuses, telle la fièvre urinaire dans le c
ent à une altération ou à une lésion du système nerveux. Dans ces
maladies
organiques du système nerveux, la fièvre peut ê
s rémissions matinales; elle peut s'élever encore vers la fin de la
maladie
et persister encore pendant l'agonie et après l
isse progressivement et redevient presque normale vers la fin de la
maladie
pour se relever ensuite aux approches de la mort
température et pouls, c'est la fièvre dissociée; vers la fin de la
maladie
, le pouls s'accélère d'une façon considérable.
idement 40°, elle a une évolution irrégulière, el vers la fin de la
maladie
elle se termine par une chute graduelle : courb
ouvait avoir une inlluence sur la cessation des mouvements. Dans la
maladie
de Basedow il y a quelquefois de petites poussées
LES SUDORAUX V La sécrétion sudorale est souvent influencée par les
maladies
ner- veuses. On ne connaît pas l'existence des
, elle se voit chez les neurasthéniques. On l'observe enfin dans la
maladie
de 13asednte : elle se montre par paroxysmes de
ARTÉRIELLE La pression artérielle peut être troublée dans quelquos
maladies
ner- veuses. La technique pour rechercher la pr
lard, etc. Hypertension. L'hypertension ne s'observe guère dans les
maladies
nerveuses; cependant il peut être un symptôme p
deParis 1907), mais dans ces cas, elle n'est pas un symptôme de la
maladie
nerveuse, mais plutôt de la maladie qui en est
lle n'est pas un symptôme de la maladie nerveuse, mais plutôt de la
maladie
qui en est une des causes efficientes, nous vou
s laryngées, les troubles respiratoires sont peu fréquents dans les
maladies
nerveuses. Comme l'étude des troubles du larynx
s respiratoires peuvent s'observer enfin dans les névroses, dans la
maladie
de Basedow et enfin dans l'hystérie sous forme d'
e de la sclérose en plaques. Il existe enfin des tachycardies de la
maladie
de Basedow et de la tachy- cardie essentielle p
e la tachy- cardie essentielle paroxystique, La tachycardie de la
maladie
de Basedow s'observe dans toutes les variétés d
e la maladie de Basedow s'observe dans toutes les variétés de cette
maladie
, aussi bien dans la forme fruste que dans la fo
complète. Elle est, suivant Brissaud, le symptôme fondamental de la
maladie
et son évolution persiste tant que persiste l'aff
u tremblement auquel elle est associée suivant certains auteurs. La
maladie
de Basedow peut être fruste ; il convient alors d
rison, un état dou- loureux qui constitue alors à lui seul toute la
maladie
; on les a observés après la lithotritie, après
es peuvent être preta- ]Jéti(lues, et apparaître longtemps avant la
maladie
confirmée : mais c'cst NÉVRALGIES VESICALES. -
péciaux dans lé labes. Souvent prémonitoires et seul symptôme de la
maladie
pendant des mois et des années, elles sont surt
a lésion. Celle miction par regorgement est très fréquente dans les
maladies
du système nerveux et se produit à une époque p
abondantes produites pap'un mécanisme analogue. Nombreuses sont les
maladies
de la moelle dans lesquelles on la ren- contre
'évacua- tion involontaire des matières fécales ; fréquente dans la
maladie
de Frie- dreich, elle est rare, au. contraire,
s la maladie de Frie- dreich, elle est rare, au. contraire, dans la
maladie
de Little; Dans les syringomyélies, l'incontine
la vessie retient une notable quantité d'urine. Or, dans certaines
maladies
du système nerveux, le regorgement s'établit tr
acuations régulières dont la répétition dépendra de la marche de la
maladie
et de l'abondance de l'urine retenue. Une faibl
possible, les antiseptiques dans les complica- tions urinaires des
maladies
nerveuses à cause de la réaction toujours vive,
ntôt un phénomène banal, un réflexe qu'on retrouve dans beaucoup de
maladies
d'autres appareils, tantôt un symptôme même, de
s. ' Traitement. La polyurie n'est qu'un symptôme; c'est, donc la
maladie
génératrice qu'on traitera tout d'abord, s'il est
tion urinaire est signalée dans un certain nombre d'observations de
maladie
du système, nerveux. Dans le tabès, dans le tét
du rein. . - ' y . NÉVROPATHIE URINAIRE LES faux urinaires Les
maladies
de l'appareil urinaire sont peut-être, entre tout
ppareil urinaire; les symptômes, normaux, surtout le reliquat de la
maladie
, sont amplifiés il l'infini par l'imagination du
bord et intermittente, puis perma- nente : elle constitue alors une
maladie
véritable à lésion caractérisée, que l'absence
t même souvent -Luie cause de douleurs. . On le retrouve dans les
maladies
qui conduisent à l'onanisme, l'idiotie. la déme
upart des cas, on se demande si l'onanisme est cause ou effet de la
maladie
nerveuse. L'influence de lésions du cervelet, c
ou bien elle est d'origine psychopathique. Plus fréquente dans les
maladies
de la moelle, on l'observe dans certaines affecti
de la moelle ne jouent pas le principal rôle. - Très rare dans la
maladie
de Friedreich, plus fréquente dans la syrin- go
les que les peu- vent provoquer une paralysie faciale otitique, des
maladies
du l'oie ou de l'estomac, un état fébrile. Tr
amyotrophique. Le syndrome bulbaire survient ici vers la fin d'une
maladie
à évolution progressive et rapide. Il existe une
de la contracture avec exagération des réflexes tendineux. Dans la
maladie
de Charcot, la langue peut être pendant quelque
celle paresse initiale et passagère de la fonction est propre à la
maladie
de 7'honr.çmn. Troubles trophiques. Nous n'avon
et du médiastin, dans un très grand nombre d'infections et même de
maladies
dyscrasiques. Pratiquement, on devra songer à u
ments dans l'oedème aigu angioneurotique. 11 existe parfois dans la
maladie
de Quinckc des crises gastriques violentes avec
nt durer des mois. Syndrome de Reichmann. - On appelait autrefois «
maladie
de Reichmann » un syndrome constitué par hypers
ant vertige de Ménière qu'il convient de ne point rap- porter à une
maladie
de l'estomac. Là aussi on peut trouver des nausée
es crises intestinales d'ordres divers sont fréquentes au cours des
maladies
nerveuses, mais elles sont rarement douloureuse
énéral. Il peut exister également des crises intes- tinales dans la
maladie
de ()li«cl : c.. , [F. MOUTIER.] 998 TROUBLES
F. MOUTIER.] 998 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la
maladie
de Friedreich et la sclérose en plaques peuvent s
de la méningite; elle fait place à de l'incontinence à la fin de la
maladie
. Associée à du tympanisme, elle fait-partie du
e du sphincter externe de l'anus. Troubles hystériques simulant une
maladie
organique. Avant d'aborder l'élude des troubles
scrit un régime inutile; car seul l'isolement claustral supprime la
maladie
. Quand elle n'a plus son cénacle et qu'aux pris
s l'avons déjà dit, supprimer l'entourage, c'est supprimer sinon la
maladie
, du moins une cause occasionnelle au début. san
indications spéciales concernant l'hystérie, la neurasthénie ou les
maladies
plus spéciales comme le tabès. 11 nous reste
ervention chirurgicale peut avoir ses indications précises dans les
maladies
organiques, il n'en est pas de même dans les ca
s crises douloureuses; mais ils souffrent tout le temps. Or, aucune
maladie
organique de l'estomac ne détermine une douleur
à réclamer une intervention; devrons-nous les y encourager ? Si la
maladie
, cause déterminante de certaines crises et caus
ies de malades bien différentes. Tantôt il se rencontre au cours de
maladies
organiques pures, sans phénomènes démentiels, t
il fait partie du tableau clinique d'une psychopathie. Gâtisme et
maladies
non démentielles. Le conta est à coup sur le sy
oce. Rappelons qu'il n'existe de troubles des sphincters ni dans la
maladie
de Landry, ni dans les poliomyélites antérieure
yndrome de Korsakow). Le gâtisme peut exister encore au cours des
maladies
aiguës les plus diverses; il coïncide généralem
La main présente des déformations extrêmement variées au cours de
maladies
purement locales, au cours de maladies neuro-musc
rêmement variées au cours de maladies purement locales, au cours de
maladies
neuro-musculaires ou ostéo-articulaires à déter
ires à détermination locale occasionnelle ou constante, au cours de
maladies
générales. Ces déformations peuvent n'être qu'un
-moteur ou trophique prédominant sur les parties molles, soit à une
maladie
dystrophique ou inflammatoire essentiellement o
à fait irrégulières, vraiment déformantes, variables dans une même
maladie
, déterminant des anoma- lies de l'orme et de di
C) Affections mutilantes : Main de Morvan : syringomyélie, lèpre.
Maladie
de Raynaud. Sckhv- rlr.rmir. : sclérodactylie.
-.médiane ; main d'Aran-Duchenne. IV. - Mouvements anormaux : , '
Maladie
de Parldnson. Athélose : hémi-athétose, - athétos
c2,o ? ? ,iégale dont le développement se fait un peu plus tard, la
maladie
em- piétant sur l'âge adulte, les épiphyses é
la dilatation bron- chique et la pleu- résie.purulente sont les
maladies
que l'on retrouve le plus souvent dans l'étio
rale, soit locale (Bezançon et de -long). La cyanose congénitale ou
maladie
bleue provoque souvent un élargis- sement en sp
mbreux entre ces différentes déformations constatables au cours des
maladies
cardiaques et pulmonaires qui troublent l'hémat
qui peut aussi être isolée, la rétraction de l'aponévrose palmaire,
maladie
de Duchenne (fig. 9). Au début on ne constate q
ti- culier. '. Une variété intéressante de la neurofibromatose ou
maladie
de Hel'Idin- ghausen, le névrome plexi forme, p
n opératoire. DIFFORMITÉS ACQUISES. Dans l'adipose douloureuse ou
maladie
de Dercum, même généralisée, il est remarquable
anaris des extrémités supérieures » à laquelle on a donné le nom de
maladie
de Morvan. En réalité, on n'admet plus guère que
nom de maladie de Morvan. En réalité, on n'admet plus guère que la
maladie
de Morvan soit une entité clinique; les cas
entité clinique; les cas doivent en être répartis entre deux
maladies
à troubles sensitifs objectifs tout particuli
t une teinte brunâtre plus ou moins foncée qui rappelle celle de la
maladie
d'Addison. En dehors de ces sclérodermies génér
, dans un cas de Miraull). La gangrène symétrique des extrémités ou
maladie
de Raynaud débute par une période plus ou moins
ides le long des mains et des avant-bras. A la période suivante, la
maladie
de Raynaud se distingue tout lait de la sclérod
nécrose et s'élimine, l'ongle se recourbe et se recroqueville. La
maladie
de Raynaud n'est pas toujours limitée aux mains :
survenir un acrosphacèle par congélation tout il fait analogue à la
maladie
de Raynaud ; les doigts se durcissent, se racco
oigt complet. Cet acrosphacèle est d'autant plus à rapprocher de la
maladie
de Raynaud que Etienne (') a constaté la diminu
hé- rédo-syphilitiques, après un accou- chement laborieux ou une
maladie
de la mère, etc. Elle est beaucoup moins fréq
yringomyélie (fin. 18) : elle est souvent unilatérale. Dans cette
maladie
l'Intégrité extrê- mement prolongée des muscles
ompagnée des autres déformations osseuses que l'on observe dans ces
maladies
. De plus son début brusque et non douloureux, sa
mou, blanc, bleu ou rouge, les symptômes associés ou les signes des
maladies
causales permettront en général de faire assez fa
utilantes. 17 Les mutilations produites par la sclérodermie, par la
maladie
de Ray- naud peuvent s'observer, quoique plus r
ne gangrène sèche, noire, momifiante, mutilante; elle diffère de la
maladie
de Raynaud par son siège unilatéral, son étendu
névrite les accompagnent, et les précèdent. L'rrïnlrrrrrt est une
maladie
des pays chauds, spéciale à la race nègre, cara
c'est moins par l'examen du pied que par les signes associés de la
maladie
, dont le pied-bot n'est qu'un symptôme, qu'on fer
ue les principales variétés de pieds-bots que l'on observe dans les
maladies
nerveuses congénitales ou acquises, myopathique
sive distingue- raient théoriquement les diplégies infantiles de la
maladie
de Little pro- prement dite : mais, en réalité,
« syndrome de Little » que dans presque tous les cas de soi-disant
maladie
de Little on trouve une lésion cérébrale (') et n
ement laborieux (Couvelaüc) ou dont les mères' ont été atteintes de
maladies
infectieuses au cours de la grossesse (Charrin
Little. ' , Fig. 6 : - Pied-bot congénital spasmo- dique dans la
maladie
de Little. - . ATTITUDES VICIEUSES. 1055 co
Friedreich » s'observe presque constamment et précoce- ment dans la
maladie
de Freidreich, exceptionnellement dans certaines
« griffe. pied-creux » congénitale de Duchenne, dans le pied de la
maladie
de Friedreich et de la névrite interstitielle h
ciaux seulement que les résultats obtenus présentent de l'intérêt :
maladie
de Paget, hydrocéphalie par exemple. Dans l'hyd
, si Brissaud et Meige, Launois et Roy insistent sur le gigantisme,
maladie
univoque, essentiel- lement évolutive, allant d
doivent donc se rechercher avec soin les signes de cette der- nière
maladie
. Gigantisme avec infantilisme. Le gigantisme av
antisme acromégalique. Le diagnostic est en général très simple. La
maladie
de Paget débute après quarante ans et atteint s
ent le nanisme ou l'accompagnent; la plupart, il est vrai, sont des
maladies
classées et dûment rcemnucs. Nous écarterons na
res détermine le raccourcissement de la taille. L'achondroplasie,
maladie
parfois fa- miliale, est donc caractérisée par
tion, molluscum, nawi (rechercher le syndrome caractéristique de la
maladie
de leClvl1l1g11al1SCl1 ; nsevi, fibromes sous-c
condition que de tels écarts ne soient point sous la dépendance de
maladies
ou de difformités acquises. Or, en obstétrique to
ageons naturellement pas ici l'écri- ture des individus atteints de
maladies
acquises. Il s'agit seulement des caractères, d
voire disproportionnées avec l'état cérébral de l'immense majorité.
Maladies
nerveuses congénitales, évolutives, familiales. C
ui déterminent l'apparition du plus grand nombre d'entre elles. ,
Maladie
de Little. - Amyotrophie Charcot-Marie, maladie
d'entre elles. , Maladie de Little. - Amyotrophie Charcot-Marie,
maladie
de Friedreich, hérédo-ataxic cérébelleuse de Pi
e progres- sive de l'enfance de Dejerine et Sottas. ' Myopathies.
Maladie
de Thomsen. Paralysies périodiques familiales.
par le Dr CROUZON L'importance de la syphilis dans l'étiologie des
maladies
nerveuses nous amène à rechercher ici comment c
s, coexister avec des lésions nerveuses à une période avancée de la
maladie
, de nombreux cas ont été mentionnés. Nous nous co
s muqueuses 5 ans, 10 ans, 15 ans et même plus après le début de la
maladie
, mais l'examen des muqueuses peut donner des ren-
us les cas, elle est un indice qui doit conduire à rechercher cette
maladie
. Le vitiligo est aussi souvent un indice de syp
du testicule indolent, à bosselures met énatementsur la piste de la
maladie
. z Il nous reste il mentionner les stigmates du
er les stigmates du système nerveux qui sont caractéristiques de la
maladie
. Tout d'abord le signe de Robertson, c'est-à-di
et faire rejeter par conséquent toute influence étiologique à cette
maladie
dans une affection du système nerveux. Il est n
ête sur le malade portera sur ses antécédents, sur la recherche des
maladies
de l'enfance, s'il a eu des érosions, des maladie
la recherche des maladies de l'enfance, s'il a eu des érosions, des
maladies
de gorge, des maux d'yeux, des écoulements d'or
n lame de sabre hyperostosé ou quelquefois, suivant Lannelongue, la
maladie
de Pagel. Enfin, l'hérédo-syphilis peut produir
t peut-être même plus fréquem- ment que dans n'importe quelle autre
maladie
. Stigmates faciaux. On constate ces stigmates s
nterons d'indiquer les résultats des recherches pratiquées dans les
maladies
du système nerveux. La réaction de Wassermann s
PHILIS. 1115 Mais on l'a rencontrée aussi dans un certain nombre de
maladies
du système nerveux où la syphilis ne pouvait êt
es résultats du traitement sont le plus souvent négatifs et môme la
maladie
peut être aggravée. Toutefois il est difficile
ession du liquide céphalo-rachidien a pu être étudiée dans diverses
maladies
. Dans l'épilepsie, Nageotte et Jamais (Société mé
ie. Cependant une pression normale a été rencontrée, dans ces mêmes
maladies
, et on ne peut tirer aucun argument de l'absence
idien l'azote total égale l'azote de l'albumine augmentant dans les
maladies
parallèlement à l'augmentation de l'albumine; l
constaté dans le liquide céphalo-rachidien des épileptiques et des
maladies
organiques par Denalh. Enfin, S. A. K. Wilson,
hiffre des chlorures dans le liquide céphalo-rachidien an cours des
maladies
des enfants a été étudié par Domenico Crisofi. Ce
ons maintenant étudier. ÉTUDE DU LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN DANS LES
MALADIES
NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans le
DANS LES MALADIES NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les
maladies
nerveuses chroniques qui sont le principal obje
(Charrier, Marie et Levaditi). Liquide céphalo-rachidien dans les
maladies
mentales. Les études faites sur ce point ont ét
Poil, il n'y avait pas de lym- phocytes. Cyto-diagnostic dans la
maladie
de Friedreich. Barjon et Cade y ont trouvé un l
la fois : lymphocytose et polynucléose. Cyto-diagnostic dans les
maladies
infectieuses. Le cyto-diagnos- tic a surtout ét
dies infectieuses. Le cyto-diagnos- tic a surtout été fait dans les
maladies
de l'enfance. Ce sont surtout les travaux de No
loracini de Rome qui a trouvé aussi une légère leucocytose dans les
maladies
à détermination méningée. Pratique nedroi.. , ,
seront cependant moins favorables étant donné l'allure fatale de la
maladie
. Cependant, des améliorations passagères ont été
en diminuant la mortalité, mais encore en abrégeant la durée de la
maladie
, et en diminuant la fréquence des complications.
Beck), sont très rares. La somnolence, contrairement à celle de la
maladie
du sommeil, n'est pas uniquement diurne et n'al
e et Merle). Elle n'est pas obligatoire et, souvent, à la fin de la
maladie
, elle est remplacée par de l'hypothermie. Modif
tions crâniennes considérables (cràne en tour). Comparaison avec la
maladie
du sommeil, les syndromes néopla- siques et hém
drome inflammatoire ressemble étrangement au tableau clinique de la
maladie
du sommeil qui, à côté de lésions méningo-encépha
u des extrémités : ces modifications pourront être dues soit il une
maladie
du système nerveux central ou périphérique, soi
éralement classées par les auteurs, il tort, ou à raison, parmi les
maladies
du sys- tème nerveux, affections dont l'origine
es déformations plus ou moins systématisées de l'acromégalie, de la
maladie
de Paget, de l'ostéo-arthropathie hypertrophian
us ou d'un tibia doit pouvoir permettre d'affirmer un diagnostic de
maladie
de Paget douteux, un élargissement de la selle
s cas, il pourra s'agir d'accidents purement névro- pathiques ou de
maladies
définies de la moelle ou du cerveau dans l'appa-
de la détermination locale au niveau d'un traumatisme ancien d'une
maladie
générale, tuberculose, syphilis, tumeur, etc., dé
e crâne et le rachis peuvent présenter des lésions localisées d'une
maladie
générale, comme la tuberculose ou la syphilis, ou
isolée par Pierre Marie. La spondylose rhizomélique est plutôt une
maladie
de la première moitié de la vie. elle est général
ces affections dystrophiantes, c'est, à tort ou à raison, parmi les
maladies
du système nerveux que les auteurs ont pris cou
l'acromégalie, l'achondroplasie, la dysostose cléido-cranienne, la
maladie
de Paget, etc. Les autres peuvent atteindre tou
ississemellt de la couche compacte le long du bord concave; dans la
maladie
de Paget, l'os est entièrement " ouateux n, la
es Sciences, l3eims, 1907. [A. zar.7 Fig. 5. C) Tête de. fémur de
maladie
de Pagel. 1182 RADIOLOGIE. niographique muni
Levi et fonde (') et Iludelo et Ileitz, l'étude radiologique de la
maladie
de Paget, nous basant tout d'abord sur la radio
Les nombreuses radiographies que nous avons prises d'os atteints de
maladie
de Paget, et parallèlement d'os ostéomalaeiques
ints, d'autres fois très déformés, ne se retrouve que dans la seule
maladie
de Pagel. Sa mise en évidence sur le vivant a don
s déformations relativement peu accentuées. L'examen des os dans la
maladie
de Pagel montre à la périphérie une condensatio
a plaque sen- sible. M. Héclèrc a insisté sur l'existence dans la
maladie
de Paget, dans un certain nombre de cas au moin
lacie, écrit Bouchard, arrivée il son développement extrême est une
maladie
rare, mais ses formes ébauchées sont fréquentes;
rts de Beatlj;ll,(l el de Marinesco sur « la Radiothérapie dans les
maladies
de la moelle épinière » (Congrès de Physiothéra
iques du tabès. [d. LÉRL] 1190 RADIOLOGIE. La radiothérapie des
maladies
nerveuses, encore mal connue et imprécise dans
PPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ . AU DIAGNOSTIC ET AU TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX par E. HUET ' Chef dit Ser
uvent employée soit pour le diagnostic, soit pour le traitement des
maladies
du système nerveux. Les modes d'application de
plications du courant galvanique au traitement et au diagnostic des
maladies
nerveuses. Comme les électrodes sont habituelleme
iques dans les applications du courant galvanique au traitement des
maladies
nerveuses sont insignifiants en raison des faible
11(ABf.I : DU COUTANT galvanique Pour appliquer au traitement des
maladies
nerveuses les actions de l'état variable du cou
la réaction de dégénérescence; parfois, aussi, dans le cours de ces
maladies
, elle se montre sur des muscles paraissant enco
syndromes de dégénérescence dans les processus chroniques Dans les
maladies
du système nerveux qui portent sur les neurones
ns dans une partie au moins des territoires nerveux atteints par la
maladie
, ou bien si on n'en a pas trouvé à un premier exa
. ou de l'atrophie Charcot-Marie; on peut voir, dans cette dernière
maladie
en particulier, des muscles atteints depuis dix
GÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. il de muscles, quand la
maladie
n'est pas trop ancienne. Les muscles, en effet,
semaines ou quelques mois après. Dans le processus chronique de la
maladie
, l'évo- lution prend parfois à certains moments
et dans quelles autres affec- tions elle doit manquer. - Dans les
maladies
de l'encéphale elle fait habituellement défaut; a
ecter dans les processus chroniques. La. DR se rencontre dans les
maladies
de la moelle qui atteignent les cornes antérieu
des cordons blancs, telles le tabès (*), l'ataxie cérébelleuse, la
maladie
de Little. 11 y aurait intérêt à rechercher com
11 y aurait intérêt à rechercher comment la DR se comporte dans les
maladies
de la moelle suivant leur nature; nous ne donnero
, la DR n'apparaît souvent qu'un certain temps après le début de la
maladie
, tantôt avec les carac- tères de la DR des proc
Dans ces cas encore, il y a lieu de tenir compte de la nature de la
maladie
et du siège originel des altérations; ainsi à é
blie avec quelque certitude que lorsqu'on a reconnu la nature de la
maladie
et lorsque la cause qui a donné lieu à la DR n'
dans les jours qui suivent une lésion nerveuse ou l'invasion d'une
maladie
atteignant les neurones, on peut prévoir le dév
lité électrique avaient été signalées déjà dans des observations de
maladie
de Thomsen (myotonie congénitale), mais la réac
nstituent des signes objectifs important ? pour le diagnostic de la
maladie
de Thomsen et elles I HATIQUK \EUItOI.. 80
re, ne sont pas toujours également développés en tout temps dans la
maladie
de Thomscn et qu'ils peuvent n'apparaitre que d
tion myotonique paraisse plus spécialement sous la dépendance de la
maladie
de Thomsen, il convient de signaler qu"(dle a é
ise, présentant les mêmes troubles de la motilité volontaire que la
maladie
de Thomscn, mais s'en distin- guant par leur ap
ns, telles que des paralysies cérébrales (1 ? enedil;t), des cas de
maladie
de Basedow, de poliocncéphalites, de poliomyéli
iminu- tion de la résistance électrique n'est pas constante dans la
maladie
de Basedow. On s'est élevé aussi contre l'inter
e 'a<SO-Il10tC111' sur la diminution de la résistance dans cette
maladie
, et on a fait remarquer que l'hyperhidrose si f
re que, sans être constant, il constitue un symptôme fréquent de la
maladie
de Basedow. Il peut y avoir intérêt à le recherch
ÉLECTROTHERAPIE. APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ AU TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX Pour exposer les application
ème nerveux nous ne passerons pas en revue une par une ces diverses
maladies
. Afin d'éviter de trop longs développements et de
ments et des répétitions nombreuses, nous réunirons par groupes ces
maladies
, rapprochant les unes des autres celles qui son
uxquels nous nous arrêtons sont forcément artificiels, et nombre de
maladies
du système nerveux s'étendent dans plusieurs gr
irons quatre groupes principaux. Dans le premier prennent place les
maladies
qui portent plus particulièrement sur les neurone
éphale, soit dans la moelle. Dans le second se trouvent réunies les
maladies
qui portent plus parti- culièrement sur les neu
es nerveuses et nerfs. Dans ce second groupe nous ferons entrer des
maladies
de l'appareil moteur atteignant plus particuliè
culièrement les muscles. Dans le troisième nous nous occuperons des
maladies
portant plus particulièrement sur les neurones
rième nous réunirons les névroses, hystérie et neurasthénie. et des
maladies
qui n'auront pas eu place dans les groupements pr
i n'auront pas eu place dans les groupements précé- dents, comme la
maladie
de Basedow, la maladie de Parkinson, etc. I. MA
dans les groupements précé- dents, comme la maladie de Basedow, la
maladie
de Parkinson, etc. I. MALADIES DÉPENDANT DE LÉS
ents, comme la maladie de Basedow, la maladie de Parkinson, etc. I.
MALADIES
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREM
ives au traitement de ces dernières seront données plus loin. Les
maladies
portant plus particulièrement sur les neurones ce
lectrique, qu'un certain temps se soit écoulé depuis le début de la
maladie
: d'une façon générale, cependant, on pourra at
te. Il en a été parlé dans une autre partie de cet ouvrage. II. -
MALADIES
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMEN
iter des redites trop nombreuses nous ne passerons pas en revue ces
maladies
suivant une classification nosographique rigoureu
assez faibles. A une époque pas très éloignée encore du début de la
maladie
une intensité de. à 5 m. A. se montre souvent suf
ez traitement. A mesure que l'on s'éloigne davantage du début de la
maladie
les périodes de repos du traitement électrique
te évolution, revient au traitement ou il la marche naturelle de la
maladie
. Le traitement électrique, cependant, discrètemen
l soutient le moral des malades en leur faisant considérer que leur
maladie
n'est pas sans espoir de gué- rison ou d'amélio
ucoup plus rapide. On pourra essayer de mettre en oeuvre dans cette
maladie
l'un ou l'autre des modes de traitement électri
ier, d'ailleurs, il faut compter avec l'évolu- tion naturelle de la
maladie
, très différente suivant les cas, et ne pas oub
, faudra-t-il compter avec l'évolution spontanée et naturelle de la
maladie
. Il ne faut cependant pas écarter systématiquemen
le, époque dès laquelle on a commencé à appliquer au traitement des
maladies
nerveuses l'électricité fournie par les machines
cher à redresser les fausses interprétations qu'ils se font de leur
maladie
et de ses symptômes. L'électrisation statique e
ale au niveau des muscles bulbo-caverncux. Goitre exophtalmique. (
Maladie
de Basedow. Maladie de Graves.) Le goitre exoph
muscles bulbo-caverncux. Goitre exophtalmique. (Maladie de Basedow.
Maladie
de Graves.) Le goitre exophtalmique a été consi
Le goitre exophtalmique a été considéré pendant longtemps comme une
maladie
nerveuse que l'on rapportait soit il des troubles
bulbe et du grand sympathique. On rapporte quelquefois aussi celle
maladie
il des troubles dans les fonctions des glandes pa
s'est occupé tout particulièrement du traitement élec- trique de la
maladie
de Basedow, donne la préférence à la faradisation
par l'électricité a été souvent tenté dans la paralysie agitante ou
maladie
de Parkinson, mais sans résultats bien apprécia
f. Myoclonies. Dans les diverses formes de myoclotties et dans la
maladie
des tics, l'électrisation peut être un adjuvant d
orte de rééducation fonctionnelle par une gymnastique appropriée.
Maladie
de Raynaud. Cette maladie, appelée aussi asphyxie
onnelle par une gymnastique appropriée. Maladie de Raynaud. Cette
maladie
, appelée aussi asphyxie locale des extrémités,
rose avec lésions cardiaques ou rénales, intoxications, infections,
maladies
nerveuses ou de la nutrition. Parfois ces troub
aires des malades. Je voudrais simplement indiquer quelles sont les
maladies
du système nerveux qui paraissent bénéficier de
s croire en effet, il l'exemple de certains auteurs, que toutes les
maladies
du système ner- veux, organiques ou fonctionnel
ut d'abord l'utilité des bains froids, des lotions froides dans les
maladies
infectieuses avec lièvre, délire, troubles ataxo-
, principalement, dans les formes cliniques dites cérébrales de ces
maladies
(lièvre typhoïde, rhumatisme articulaire aigu, pn
motrice de Kleist, 225. Aran-Duchenne (Svndrome -), 688, 698. (
Maladie
de -); existe-t-eUe ? 706. Main, 1059. - \'oy.
es, 73, 472. Bactériologie du liquide céphalorachi- dien dans les
maladies
nerveuses, 1152. Barbouillage et gâtisme, 1011.
sthésie, 515. Séméiologie. Symptômes bulbaires, 799. Syndromes et
maladies
bulbaires. Syndromes nucléaires purs, sans hémi
es, U155. - Paralysie infantile. Tumeurs cérébrales, 1156. Autres
maladies
, 117.· - Syphilis, .1138. D Dactylite blecn
lleux de -) 768. Duchenne-Aran (Atrophies à type ), ), 688, 698. (
Maladie
de existence), 706. Voy. Atrophie musculaire, G
odactylie, 1015, 1042. Électricité. Application au diagnostic des
maladies
du système nerveux, 1191. Courants galvaniques,
urants galvano- faradiques, 1238. Application au trai- tement des
maladies
du système nerveux. Maladies de l'encéphale et
238. Application au trai- tement des maladies du système nerveux.
Maladies
de l'encéphale et de la moelle, 1288, - Maladie
système nerveux. Maladies de l'encéphale et de la moelle, 1288, -
Maladies
des neurones moteurs périphériques, 1295. Éle
ons des neurones violeurs centraux. Hémiplégie cérébrale, 1288. ?
Maladies
des neurones moteurs périphériques, 1295. Polio
nsibilité, 996. Exner. Voy. Fibres à myéline. Exophtalmie dans la
maladie
de Basedow, 107. Valeur séméiologique, '108.
4. Familial (Caractère -) des myopathies, 665, 680. Familiales (
Maladies
), ), incoordination, 777. et dégénérescence, 1
(Syndrome type -), phénomènes oculaires, 71, 72, 472. Friedreich (
Maladie
de), incoordination, 777. tremblement, 859. Pie
nt électrique, 1541. Gastroxynsis de Rosbach, ! )fI3. Gâtisme, et
maladies
non démentielles, 1900. - et psychopathies, 101
chez l'adulte ou le vieillard, 462. Diac.- khstic de l'- avec les
maladies
qui peuvent la simuler, 468. - Diagnostic de
rnig, 484. intestinales, 998. Hémosialémèse, 988. Héréditaires (
Maladies
). incoordi- nation, 777. Hérédo-ataxie céréb
aroxysmes intestinaux, 997. - Trou- . bles intestinaux simulant une
maladie
organique, 999. - OEdèmes, 1028, 1046. - Pied
cérébel- leuse, 767. - Asynergie cérébelleuse, 769. - dans les
maladies
héréditaires ou /icmi- liales, 777. - dans les
1088. - type Brissaud, 1089. - Traitement, 1091. Infectieuses (
Maladies
). - Lymphocy- tose rachidienne, 1157. Infecti
Centres moteurs corticaux, 657. centres moteurs hulhaires, G58 ?
Maladies
, 036. TIIOVBLES seksitifs. Ancsthesie, 040. lly
ns X, 1166. (Lésions de la réaction de dégéné- rescence, lu)56. -
Maladies
, Traite- ment par l'électricité, 12 : alc,, 129
action de substances médicamenteuses, infections, intoxications,
maladies
du système nerveux. Importance relative des d
auditif, origine, trajet et décussation de ses libres, 124. - -,
maladies
. Effets des lésions situées dans son trajet int
uses. Caractères, 548. ? réac- tion de dégénérescence, 1257. - - (
Maladies
des - -). Traitement par l'électricité, z19.95,
vroses du larynx, 652. 11'a1l111ati- ques, tremblement, 847. Nez,
maladies
, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles
Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles nerveux consé- cutifs aux
maladies
du nez, 150. Nissl. Voy. Cellule nerveuse. No
. - des mineurs, dans les affections de l'oreille, ho. - dans les
maladies
ner- veuses, 11'1. - autres variétés, 112. -
, 588. - des paupières. Inner- vation, physiologie, 585. Oreille,
maladies
. Lésions congénitales ou acquises au début de l
névroses, 128. - Étude générale des niOUIlLES de l'ouïe, 12¡¡. -
Maladies
de l'oreille interne et du nerf acoustique, 1
iques. Troubles réflexes, 142. Troubles psychiques, 145. interne,
maladies
, 152. Troubles circulatoires, 155. - Inflammati
musculaire type Duchenne- Aran, 702. Cytodiagnostic, 1157. Paget (
Maladie
de -). ). Radiodiagnostic, 1178, 1181, 1182.
ause. Traumatisme, compres- sion, tumeurs cérébrales, méningites,
maladies
du système nerveux, 81. - Infections, intoxicat
dique, 498. - avec troubles sphinctériens et trophi- ques, 499. -
Maladies
familiales, 501'. - spasmodiques fonctionnelles
s radiothérapiques, 1185. Paresthésies du larynx, 641. Parkinson (
Maladie
de). Voy. Paralysie agitante. ? Parole, troub
trique, 228. Psychiques. Voy. Troubles psychiques. Psychoses et
maladies
de l'oreille, 146. Troubles de la sensibilité o
ors des con- ditions morbides, 435. - Variations des - - dans les
maladies
. Abolition partielle, 456. - Abolition générali
Aet ? du peaucier, 419. Solaires (Syndromes -), -1001. Sommeil (
Maladie
du -), 189. - morbide, 189. - dans les infectio
1. - par intoxication. - réflexe. - d'origine centrale. - dans la
maladie
de Basedow. - essen- tielle paroxystique, 942.
traplégies, 490. Thalamus, lésions, hémiinesthésie, 511. Thomsen (
Maladie
de), hypertrophie musculaire, 758. - particular
es, 838.- permanents. dans la sclérose en plaques, 858. - dans la
maladie
de Friedreich, - la paralysie générale, 859.
dans la maladie de Friedreich, - la paralysie générale, 859. - la
maladie
de Parkinson, 840. - sénile, 842. - dans la mal
le, 859. - la maladie de Parkinson, 840. - sénile, 842. - dans la
maladie
de Basedow. hystérique, 845. - dans les névro
s du liquide ventriculaire. Evolution, zou. - Comparaison avec la
maladie
du sommeil, les syndromes néoplasiques et hém
cations au diagnostic, 161. Vertige rotatoire, 162. - Vertige des
maladies
infectieuses, 165. Vessie, névralgies, 945. V
étrangers touchant, de près ou de loin, au système nerveux et à ses
maladies
(Anatomie, Histologie. Physiologie technique, A
sur une ou plusieurs questions concernant le système nerveux et ses
maladies
. Ces indications sont méthodiquement réparties de
intérêt artistique. Elle réunit les mémoires originaux relatifs aux
maladies
nerveuses ou mentales, ainsi que les travaux ay
x, sculptures, gravures, etc., qu'ont inspirés les difformités, les
maladies
, les opérations chirurgicales, etc. Son oeuvre
velle Iconographie de la Salpê- trière s'occupent exclusivement des
maladies
du système nerveux. Elles se complè- tent l'une
NEUROLOGIE ARCHIVES DE Il NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondiïiï par J.-M. CHARCO
par J.-M. CHARCOT PUH A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de Paris.
e clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Pi ofesseur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
elon Striimpell, demeureraient indemnes dans les cas types de cette
maladie
. De l'existence des « fibres spéciales de coord
larges assises, mais non plus solides, sa théorie scientifique des
maladies
de la moelle ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
car on s'expliquerait diffici- lement que le poison déterminant la
maladie
se localisât précisément, on ignore par quelle
être appelé, selon Obersteiner, du moins au sens étroit du mot, une
maladie
générale du système nerveux; mais ce n'est pas
pporte trente-quatre observations ayant trait à l'influence d'une
maladie
accidentelle sur les accès épileptiques. Cette in
surtout lorsqu'il.s'est agi d'affections aiguës ayant déterminé une
maladie
fébrile. L'observation XXXII a trait t la fièvr
une lièvre typhoïde qui dura un mois. Pendant toute la durée de la
maladie
, et même pendant les six mois qui suivirent^elle
Les manifestations de l'épilepsie n'ont pas été influencées par la
maladie
, seul le nombre des crises semble avoir diminué
e faculté de médecine a tenu, en effet à assurer l'enseignement des
maladies
mentales par la création d'une cli- nique spéci
ulsion est impri- mée, dans vingt centres différents, à l'étude des
maladies
men- tales. Ce sont là autant de foyers scienti
siles pro- vinciaux : à devenir des hôpitaux pour le traitement des
maladies
du cerveau. Les préjugés du publie - et aussi c
disparaissent. Grâce à cette décentralisation de l'enseignement des
maladies
mentales, chaque province bénéficie de l'activité
Depuis longtemps on s'est préoccupé de l'enseignement clinique des
maladies
mentales dans les universités allemandes. Cinq
ées dans l'histoire du développement de l'enseignement clinique des
maladies
mentales dans les universités allemandes : l'un
nditions dans lesquelles était donné jusqu'alors l'enseignement des
maladies
mentales. A l'époque où Griesinger commença d'e
tzig, Wernieke, Kraepelin, Ziehen. 2 La création de la clinique des
maladies
mentales à la faculté de Paris ne remonte âu8re
ieuse un chiffre aussi considérable (cent) d'aliénés. » (Traité des
maladies
mentales, p. 578.) . Un pavillon spécial avec s
pour être admis, ne devrait point avoir été traité ailleurs; 2° sa
maladie
ne de- vrait dater que d'un an au plus ; 3o aus
d'aliénés dans le cours de la seconde année depuis l'invasion de la
maladie
que dans la première. » (Esquirol. Traité des m
nvasion de la maladie que dans la première. » (Esquirol. Traité des
maladies
mentales, 1.11, p. 404. Paris, 1838.) ' Griesin
ychiatrique, montre par le fait même qu'il tient l'enseignement des
maladies
mentales pour peu important et l'étudiant, par
milles et aux magistrats des médecins ayant quelques notions des
maladies
mentales. 2° La clinique de psychiatrie doit êt
faut lui ap- prendre à considérer chaque malade comme atteint d'une
maladie
déterminée du système nerveux central, et à se
ques sont rarement observés), qu'il soi- gne des sujets atteints de
maladies
nerveuses, car la psychiatrie n'est qu'un chapi
pose en conséquence la fondation d'établissements de traitement des
maladies
mentales. Combattus avec âpreté par la plupart
lic prend l'habitude de consulter le médecin compétent avant que la
maladie
soit confirmée ; des accidents, des suicides pe
eulement à l'enseignement de la psychiatrie, mais aussi à celui des
maladies
nerveuses. Un cer- tain nombre de lits (20 ou 2
t, comme le disait Griesinger, qu'un hôpital pour le traitement des
maladies
du cerveau, devait être organisée comme les aut
publications (1894-99), sur le repos au lit dans le traitement des
maladies
mentales, n'hésitant pas à affirmer que ce proc
ne médic, Il oct. 1899. Travail et alitement dans le traitement des
maladies
mentales. Arch. Neurologie, déc. 1899. 40 . -
iques, neurasthéniques, celui de la paralysie agitante, et d'autres
maladies
nerveuses. Son appareil lui permet aussi de faire
eçons et ses conférences. Il possède aussi la plupart des types des
maladies
mentales et nerveuses et sa collection s'en- ri
s les cas analogues qui représentent les diverses phases de la même
maladie
ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de
. A Leipzig, la clinique possède un pavillon d'isolement pour les
maladies
contagieuses. Nous reproduisons dans le tableau
t pas modifier les conclusions. R. M. C. Il. Les guérisons dans les
maladies
mentales ; par J. G. SouTAR. (1'he Journal, of
uin. R. de Musgrave-Clay. IV. Quelques cas tirés de la pratique des
maladies
mentales, par H.-J. iIAN : 11NG. (7'/te Journal
ément le type classique, mais ils sont une preuve de plus que cette
maladie
a changé d'aspect. Observation III. Femme de ci
te depuis son adolescence à des attaques récidivantes de manie : la
maladie
se présente avec ses symptômes ordinaires. Pour
nfin menace de mort immi- nente. La malade guérit pourtant, mais sa
maladie
restait un pro- blème pour l'auteur, lorsqu'il
erche un moyen de jeter quelque lumière sur ce que l'on appelle les
maladies
mentales. Il est évident qu'il y a des habitude
ayant résisté à la tendance héréditaire, ne présente aucun signe de
maladie
nerveuse. Dans chaque région mentale, on peut o
particulière à la katatonie n'appartient pas exclusivement à cette
maladie
, qu'elle se rencontre à un degré plus ou moins
s il est évident qu'il y a bien d'autres voies par les- quelles une
maladie
comme la syphilis peut exercer une influence pa
és d'une psychologie et d'une classification scientifiques dans les
maladies
mentales ; par W. Lloyd ANDRirZEN. (Itte Journa
s sans perte de la mémoire ; quelquefois, si le malade estjeune, la
maladie
aboutit à la guérison ; s'il a dépassé la pério
de la ménopause; b) altération avec modifications anatomiques : 1°
maladies
glandulaires gastro- intestinales (non dues à u
dulaires gastro- intestinales (non dues à un germe spécifique) ; 2°
maladies
du coeur, des reins, etc. 58 REVUE DE PATHOLO
rveau. d) méningite progressive chronique. e) folie consécutive aux
maladies
du système ner- veux (ataxie locomotrice avec s
es conditions que celles où il se trouvait au moment où a débuté la
maladie
. P. Keraval. XVIII. Deux cas d'idiotie famili
épinière et ses racines postérieures sont, en tant qu'il s'agit des
maladies
qui s'y rappor- tent, étudiées sous trois point
dies qui s'y rappor- tent, étudiées sous trois points de vue : 1°
Maladies
en relations avec le siège embryologique; 2° Mala
tes combinées systématiques où les altérations (à part celles de la
maladie
de Friedreich et du tabès avec altération des cor
s complète de mes cas. Etiologie. La fréquence plus grande de cette
maladie
chez la femme et à l'âge moyen de la vie est un
à l'âge moyen de la vie est un fait constant. Jamais je n'ai vu la
maladie
avant quarante ans. L'étude attentive des antéc
le vis-à-vis des agents d'intoxication. ' Souvent le -début de la
maladie
peut manifestement être rap- SOCIÉTÉS SAVANTES.
ns), on trouve le syndrome de l'anémie pernicieuse. Dans ces cas la
maladie
peut suivre une marche typique, évo- luant vers
nt les symptômes qui accompagnent l'éclosion et le début de cette
maladie
. Dans mes observations, je note souvent l'existen
nde du reste de nouvelles études. Evolution. L'évolution de cette
maladie
qui se termine par la mort ne dépasse pas deux
observations, carac- téristiques à tous égards, dans lesquelles la
maladie
a duré trois à quatre ans et est restée depuis
uis stationnaire. Analomie pathologique. Quant à la nature de cette
maladie
, voici la conclusion à laquelle je suis arrivé
e faisceau latéral et plus spécialement le faisceau pyramidal. La
maladie
se développe en foyers, d'où la dégénérescence
ections similaires rentrent dans cette dernière catégorie. Dans ces
maladies
en effet les racines sont attaquées au niveau d
eorges Guillain (de Paris). Dans six observations avec autopsies de
maladie
de Charcot, nous avons pu étudier à leurs princ
deux processus per- met de comprendre les différentes formes de la
maladie
de Charcot (forme amyotrophique et paréto-spasm
2 SOCIÉTÉS SAVANTES. reuse, on en vient à la conclusion que dans la
maladie
de Charcot la sclérose antéro-latérale est une
es sujets qui présentaient les carac- tères les plus typiques de la
maladie
dont ils étaient atteints et leur histoire clin
l'infantilisme et du myxoedème, et une vieille femme atteinte de la
maladie
de Parkinson. Sur deux cas avec autopsie de par
érieure. Au contraire, elle a, avec l'atrophie Aran- Duchenne et la
maladie
de Charcot, une parenté étroite au point de vue
et E. Ricklin (de Paris). L'opinion qui prétend fondre en une seule
maladie
l'atrophie musculaire progressive du type Aran-
clinique, on est bien obligé d'établir une distinc- tion entre une
maladie
(atrophie musculaire progressive du type Ai-tti
re la prétention de ceux qui confondent en une seule affection la
maladie
de Charcot et la maladie de Aran-Duchenne sous pr
x qui confondent en une seule affection la maladie de Charcot et la
maladie
de Aran-Duchenne sous pré- texte qu'on a vu des
s moins, pour cela, des observations qui établissent entre les deux
maladies
des degrés de transition. Les deux auteurs ont
tères his- tologiques étaient bien tels qu'on les rencontre dans la
maladie
de Charcot. Elle intéressait le faisceau de Tur
issait d'une myélite que j'ai décrite pour la première fois dans la
maladie
du SOCIÉTÉS SAVANTES. 81 jeune âge des chiens
Le paramyoclonus multiplex peut être associé à l'épilepsie, à la
maladie
de Recklinghausen, à la spondylose rhyzomélique.
ues; elle ouvre ' Il est probable qu'il ne s'agit pas là d'idiotie,
maladie
congénitale ou de l'enfance, mais de symptômes
ent les vaso-moteurs dans la production ou l'évolution de certaines
maladie
, je citerai le cas de trois jeunes filles que j
moins partiel des symp- tômes psychiques ; 2" Cours analogue de la
maladie
et ter- 'minaison identique; 3° Origine spontan
l'identité. Chacun d'eux garde sa personnalité propre même dans la
maladie
. Les observations de monstres dou- bles, qui so
gir en sens contraire sur leur développement physique et psychique,
maladies
, in- fluences morales, influences du milieu, so
n peu avant Prudence. A part la rougeole, elles n'ont fait aucune
maladie
. Elles ont parlé assez tardivement, et n'avaient
Elle jouit habituellement d'une bonne santé et n'a jamais fait de
maladie
sérieuse à part une varioloïde dans la seconde en
frère qui est au service. Le sorcelage, lui envoie toutes sortes de
maladies
; elle doit mourir de la poitrine. Quand elle s
ans, c'est-à-dire depuis près de vingt ans, il était atteint d'une
maladie
de langueur. Il a eu une soeur aliénée. ' La
ils. Si, dans cette sorte de psychose, qui appartient au groupe des
maladies
qu'on a appelées né- V1'oses de développement o
ire on réunit les anneaux qui forment les épisodes successifs de la
maladie
chez l'un et l'autre des malades, on aura peut-
et que le tabes est de celles-là. » Pierre Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, p. 380. Le labes dorsalis est une
ei,bieiig. Neurol. Ceutralbl. 1898,2 sq. 2 P. Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, etc., 1892. 3 ! 7 ? t<e ? 'i&l
st point altérée dans toute sa longueur comme dans la poliomyélite,
maladie
aiguë, détruisant tous les éléments histolôgiqu
miquement visible, succédant aux conditions de vie modifiées par la
maladie
, c'est-à-dire à certains processus d'irritation
l'autopsie n'ont permis de déceler la syphilis. Les symptômes de la
maladie
se rangeaient sous deux chefs : 10 symp- tômes
pour permettre d'identifier ces deux affections. Ce que les deux
maladies
ont surtout en commun, c'est l'atrophie primitive
que mélasyphilis, ni du côté de r' A'ageotte qui considère ces deux
maladies
comme des manifesta- t[ tions diversement local
des manifesta- t[ tions diversement localisées d'une seule et même
maladie
.1 - Suivant ces idées, la paralysie générale n'
celles des racines postérieures et de leurs prolongements. Dans la
maladie
, ce processus évolue d'ailleurs très lentement,
à « une action directe de la névrite optique sur la marche de la
maladie
». On a été jusqu'à prétendre, en effet, que lors
d'une lésion de l'écorce cérébrale ; le tabes dorsal n'est pas une
maladie
de la moelle épinière, mais du cerveau. Il est vr
la substance grise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle. Paris, 1892, 209, 380. ANATOMIE E
parmi les auteurs qui considèrent le tabes ordinaire comme « une
maladie
du téléneurone centripète ». Les nerfs du goût
ret, Raymond, etc., et surtout Pierre Marie dans ses leçons sur les
Maladies
delà moelle. (Appareil olfactif, appareil gusta
pète (Massary). Au point de vue étiologique aussi, le tabes est une
maladie
exo- 'géne. Redlich admet que, dans « plus de l
ner l'opinion an- cienne-d'après laquelle le tabes ne serait qu'une
maladie
de la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
s. L'auteur a constaté cet excès de pigment dans un grand nombre de
maladies
mentales, et a relevé le résultat de 'ses reche
que; par JACI1\TO DE LÉo1\ (de Montevideo). Au commencement de la
maladie
la plupart des sujets préten- dent ressentir de
ture augmentée (3î ? à 380,4 dans le cas de l'auteur). Lorsque la
maladie
est constituée, on observe autre chose : l'isot
doit pas se confondre avec les sensations de chaleur du début de la
maladie
; avoir des sensations de chaleur et ne.pas' sen
s nus et vus de face et de dos sem- blent indiquer cliniquement une
maladie
identique. La lésion anatomique sera-t-elle la
e qui parait être la plus vraisemblable. Le terrain sur lequel la
maladie
prend naissance, les conditions dans lesquelles e
c. Il ne faut pas oublier le rôle du paludisme, du typhus et autres
maladies
infectieuses, de la pneumonie, de la pleurésie,
autres maladies infectieuses, de la pneumonie, de la pleurésie, des
maladies
du système ner- veux (sclérose en plaques, tume
mptômes appartenant à l'hystérie (abasie, hémianesthésie, etc.). La
maladie
organique pourrait ainsi être par erreur mise h
janvier 1900), que l'intensité de ce courant varie dans différentes
maladies
du système neuro-muscu- laire ; mais c'est surt
relation divise la série tout entière de troubles visuels dans les
maladies
du système nerveux en deux grandes catégories :
l'ancsor (de Nancy). La neurasthénie vraie n'est pas seulement une
maladie
de l'âge adulte, mais aussi de la vieillesse. A
La forme cérébro-spinale est la plus fréquente. Le diagnostic de la
maladie
de Beard est par- ticulièrement délicat à un âg
ômes spinaux sont dus chez lui à la localisa- tion médullaire de la
maladie
de Recklinghausen. Les signes cuta- nés de la d
l'atténuation des phénomèaes cutanés, rendent intéressant ce cas de
maladie
de Recklinghausen, qui montre un des aspects mu
pects multiples sous lesquels peut se dérober ou se mani- fester la
maladie
. La dyspnée des neurasthéniques ; par ÂNDRu (de
cas analogues. Il considère cet état comme une nouvelle forme de la
maladie
et même une aggra- vation et ne voit pas là un
M. Roque de 1'unsac, chef de clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale à la faculté de médecine de Pari
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de
maladie
nerveuse familiale, mal définie, à allures de p
médecin suppléant de 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe familial des
maladies
du système nerveux tend à se développer tous le
-sujet s'est aperçu lui-môme, que son pied gauche'frappe le sol à
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. - 195 chaque pas et que le
aire est conservée aux membres supérieurs, le malade oppose une ,
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 1 Di vigoureuse résistance
ent pas avoir jamais été sérieusement ma- lade. 11 n'a jamais eu de
maladies
vénériennes. Il a été cultivateur, mais actuell
e vingt mois, bien portante. Il n'y a pas eu de fausses couches.-
MALADIE
NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première attaque d
ut le temps compris entre la première : et la deuxième atteinte, la
maladie
avait complètement disparu. Mais' il persistai
lven, le 4S oct. 99. Fig. 7. Écriture du malade, le 20 oct. 99.
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 20 l mouvement, il éprouver
es paraly- tiques douloureux des membres- inférieurs. A ce début,
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 203 absolument identique, a
d'une façon satisfaisante ? - Il s'agit donc là, en somme, d'une
maladie
nerveuse essen- tiellement transitoire et à évo
ulière de nos malades, les sujets étudiés par M. Pitres ont vu leur
maladie
aboutir presque fatalement à la mort, soit du f
ement à la mort, soit du fait de leur lésion nerveuse, soit par une
maladie
intercurrente peut- être favorisée par l'affect
nous ne pensons pas que l'on puisse légitimement y faire rentrer la
maladie
particulière qui nous occupe. Le professeur C
d aux membres inférieurs. Par contre, l'évolution progressive de la
maladie
, l'envahisse- ' Semaine Médicale, 1894, n° 57,
, Th. Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine, 183fui.
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. zou ment successif des dive
eur Lorrain, a étudié dans son intéressante thèse, une catégorie de
maladie
familiale encore peu connue au point de vue de
relaté dans la thèse de M. Lorrain (obs. XV), et dû à Hochhaus, la
maladie
a toujours suivi une marche progrès- sive. Ilis
que tous les cas relatés jusqu'à pré- sent n'ont pas rapport à des
maladies
familiales. Par contre, rien n'empêche de suppo
'que nous nous .trouvons en présence 1 Cités par Lorrain, p. 67.
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 207 d'une variété spéciale
Westphal7 a signalé,le cas d'un jeune garçon, qui à la suite d'une
maladie
infectieuse fut affecté de crises de paralysie
dans lesquels il Deiilsche Zeitsch. sur Yei-veilheillc, 1892. , 1
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 209 s'agit d'une paralysie
r travail l'auteur émet l'hypothèse que dans la pathogénie de cette
maladie
il s'agit probablement du développement d'un po
s familiales. L'affection aurait ainsi de grandes analogies avec la
maladie
de 9'bomseu. Le cas d'Orléansky2 se rapproche
,Goldflamtu), en.font une myopathie primitive; proche parente de la
maladie
: de Thomsen : L'atL teur insiste ensuite sur l
-être' chez' ces ' J. Donath. Wiener ut. «'ochensch., 1900, n- 2.
MALADIE
NERVEUSE FAMILIALE. 211 malades, il y a un arrê
promu «, docteur »ile médecin qui désire se consacrer à l'étude des
maladies
mentales ou qui a l'ambition de. faire sa carri
six mois dans une clinique psychiatrique et neurologique et que les
maladies
mentales fassent partie du programme de l'examen
ulement les médecins praticiens auront des notions précises sur les
maladies
mentales et nerveuses, mais encore on verra, pa
r, au' lieu de préjugés d'un autre âge, des notions exactes sur les
maladies
du système nerveux et leur traitement, il convi
(d'Iéna) est également partisan de l'enseignement obligatoire des
maladies
mentales et nerveuses et réclame un examen portan
itions qu'actuellement, une instruction théo- rique et pratique des
maladies
mentales. La psychiatrie doit faire partie du p
atre. D'ailleurs, il n'est pas dans ses attributions de soigner les
maladies
mentales, ces affections exigeant le placement da
D1' Koeppen (deux fois par semestre), deux cours de psychiatrie et
maladies
du cerveau (honoraires : 30 marks) l'un donné p
clinique avec ses applications à la médecine légale) ; six cours de
maladies
nerveuses et éleclrolltét'apie par les professeur
de ceux de leurs internes qui s'adonnent sérieusement à l'étude des
maladies
mentales, précisément au moment où ces derniers s
es années seront accomplies. A Halle, on inaugura la clinique des
maladies
mentales et ner- veuses, placée à côté des autr
ormer de plus en plus les cliniques psychiatriques en cliniques des
maladies
nerveuses... Sans un choix de malades qui embrass
Sans un choix de malades qui embrasse le domaine tout entier de ces
maladies
, sans les moyens d'ensei- nnement qui rendent p
ement ayant pour but de donner aux méde- cins les connaissances dès
maladies
mentales nécessaires aux besoins de leur pratiq
sei- gnée avec succès sans qu'on y joigne l'étude approfondie des
maladies
cérébrales organiques, y compris la paralysie gén
einement réalisé l'idéal de Griesinger, et possède une clinique des
maladies
mentales et nerveuses offrant pour l'ensei- gne
e à la clinique mé- dicale, en admettant, comme cette dernière, les
maladies
nerveu- ses. Le professeur 0. Binswanger, de Ié
ce, qui est aussi l'intérêt des malades. Il en est de même pour les
maladies
de la moelle épinière et du sys- tème nerveux e
trique a atteint son complet développement, un service spécial des
maladies
nerveuses est toujours annexé à la division psych
r le dévelop- pement et le perfectionnement de la thérapeutique des
maladies
mentales. Nous ne relèverons ici que l'organisa
attribuer l'essor extraordinaire qu'a pris en Allemagne l'étude des
maladies
men- tales ' et les réformes capitales apportée
s aliénés. Au point de vue scientifique, l'action des cliniques des
maladies
mentales est incontestable : vingt foyers scienti
' Il existe, en Allemagne, onze revues spécialement consacrées aux
maladies
mentales et nerveuses. Il L'Allgei)ieiiie Zeits
pour faire place à un véritable hôpital destiné au traitement des
maladies
du système nerveux central. Les mesures disciplin
ent des résultats féconds au point de vue du progrès de l'étude des
maladies
mentales, de l'en- seignement professionnel des
isparition des préjugés ayant trait à la prétendue incurabilité des
maladies
mentales. C'est en effet dans ces établissement
un asile d'incurables, mais comme un hôpital pour le traitement des
maladies
du cerveau1. - Si, après cette longue enquête s
nes Universités ! Qu'ils cessent de consi- dérer l'enseignement des
maladies
mentales comme une clinique accessoire, d'impor
ne se contentent plus la répugnance à placer les sujets atteints de
maladies
mentales dans les asiles ordinaires, encombrés
moins à placer leurs malades dans un hôpital de traitement pour les
maladies
mentales, dans une clinique psychiatrique, dans
Toulouse, Bordeaux, ne peuvent moins faire pour l'enseignement des
maladies
mentales que telle ville de 12000 habitants, ca
traditions d'un pays qui a été l'initiateur dans l'enseignement des
maladies
mentales, ne serait-ce pas porter atteinte au d
Sérieux et FARNAROER. Travail et alitement dans le traite- ment des
maladies
mentales. Arch. neurol., (léc. 1889. ' - 1'nscr
série). Paris, 1887. î. P. Sérieux. La nouvelle classification des
maladies
mentales du Prof. liraepelin. Revue de psychiat
s, à savoir : 26 cas d'alcoolisme chronique, 10 de sciatique, lo de
maladies
mentales, 7 de goutte, 22 de mal de tête, 10 de
2 d'incon- tinence nocturne d'urine, 1 de stupeur, 1 de douleur par
maladie
chronique avec grossissement de la cheville dro
' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. était utile non seulement dans les
maladies
mentales, mais encore dans toutes les affection
la dyspepsie nerveuse, l'alcoolisme chronique et diverses formes de
maladies
mentales, particulièrement la mélan- colie.-Il
ltat, l'aconitine fut essayée et amena une guérison complète. Cette
maladie
appartient presque exclusivement à l'enfance et à
ajoute quelques remarques sur les caractères particuliers que cette
maladie
pré- sente chez les jeunes sujets; chez l'adult
hypertrophie musculaire que quelques auteurs considèrent comme une
maladie
distincte. Au point de vue du diagnostic différen
ment simultané de muscles non associés. Le pronostic est sévère. La
maladie
peut durer de cinq à vingt ans. Les muscles res
parmi les adversaires de l'opinion qui fait de la neurasthénie une
maladie
indépen- dante. Mais le mot est commode pour dé
d'émettre sur la neurasthénie avec les variétés cliniques de cette
maladie
telles qu'elles ont été établies dans le travai
qui s'observe généralement aux extrémités inférieures dans la même
maladie
. Celle-ci, en effet, est en substance une analgés
ncontrée dix-sept fois sur vingt cas. D'une façon générale, plus la
maladie
est avancée, plus l'anesthésie est accentuée et
t pas encore si cette forme d'anesthésie se rencontre dans d'autres
maladies
, mais il est permis de prévoir qu'on l'observer
ue les femmes. On n'a pas trouvé d'indices de contagion directe. La
maladie
s'est mani- festée, dans les soixante et onze c
ut entier dans les détails : Un des traits caractéristiques de la
maladie
c'est la variabilité de son début : dans certai
tronc nerveux malade. Dans tous les cas observés par l'auteur la
maladie
a débuté par les jambes, et dans un quart des cas
ent de bonne heure et demeurent abolis pendant toute la durée de la
maladie
, et quelquefois même pendant plusieurs mois apr
« névrose professionnelle » est commode pour désigner un groupe de
maladies
dans lesquelles certains symptômes sont provoqu
lgie qui paraît avoir droit à une place distincte dans le cadre des
maladies
nerveuses. Beau- coup de gens souffrent d'un ma
ominations et en tenant compte des exacerbations irrégulières de la
maladie
et de sa longue durée on pourrait la désigner s
onstipation, précipitent le retour des crises; la menstruation, les
maladies
de l'appareil génital chez la femme sont encore d
l'in- fluenza, et les cas de lésions nerveuses consécutives à cette
maladie
sont peut-être plus nombreuses qu'on ne pense.
s mobiles, et dont le nombre est proportionnel à la gra- vité de la
maladie
: cultivés ils prendront l'aspect de baccilles
érieures. Les paresthésies s'observent souvent aussi au début de la
maladie
, ainsi que la diminution ou la perte de la puis
u'il est au moins probable qu'il existe une relation entre ces deux
maladies
, Brooks et Ullthoff ont rap- porté des faits où
ouvient que beaucoup d'auteurs les considèrent comme le siège de la
maladie
. La pig- mentation jaunâtre des couches optique
es études psychiatriques résulte de -l'accroissement progressif des
maladies
mentales, de l'extension que prennent aujourd'h
mment, ont pour conséquence la condamna- tion de sujets atteints de
maladies
mentales par les tribunaux civils ou militaires
se, les aliénés méconnus, etc. L'organisation de l'enseignement des
maladies
mentales en France et à l'étranger est examiné
ique, Pathologie géné- rale, Pathologie spéciale. En tête de chaque
maladie
, se place une. nomenclature alphabétique par no
ants du même âne - Quel est son état de santé ? Quelles ont été ses
maladies
? Déterminer quelle a été l'influence de l'héré
grippe) quelconque. Ces délires guérissent le plus souvent après la
maladie
qui les a causés, ne laissent derrière eux que l'
iurger. ' Mignot (R.). Élude des troubles pupillaires dans quelques
maladies
mentales. In-8° de 121 pages. Paris, 1900 ? Jou
tés, le malade a une soeztî, nerveuse, il a été atteint de diverses
maladies
infec- tieuses : coqueluche à cinq ans, trois a
peine. Archives, 2' série, t. NI. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. La
maladie
actuelle aurait débuté pour le malade il y a quat
ujours à l'engoue- ment actuel en accusant les oreilles. Toutes les
maladies
infectieuses peuvent se compliquer d'abcès des
rippe et Boppe en a rapporté un cas très intéressant. La dernière
maladie
infectieuse de notre maladé était jus- tement u
iciens de nos jours qui ne veulent plus reconnaître « la congestion
maladie
» de l'encéphale. Trousseau dans la retentissan
'à seize mois; qu'il a marché de bonne heure et qu'il n'a eu aucune
maladie
, sauf la rougeole. Jamais la moindre céphalée ;
re actuellement impossible. Tous les efforts faits pour étudier les
maladies
mentales par leur côté exclusivement clinique o
ailleurs, pour suivre l'auteur dans ses recherches sur les diverses
maladies
mentales ; nous nous bornerons donc, pour ne RE
au début de l'affection que plus tard et quel que soit 1 âge où la
maladie
se déclare. La recherche du goût du sel s'impose
euses considérations sur les sym- tômes objectifs et subjectifs des
maladies
, et sur les rapports à cet égard du malade et d
pied droit; il m'avait précédemment renseigné sur la marche de la
maladie
qui avait amené la chute de quatre orteils : actu
R. de Musgrave-Clay. XXVIII. L'hérédité dans ses rapports avec les
maladies
mentales par W.-F. Karqijhakson. (7'Ae yo : <
même génération peuvent présenter des variétés très différentes de
maladies
mentales ou d'autres troubles nerveux. Une forme
e famille non par l'aliénation mentale, mais par d'autres formes de
maladies
nerveuses. 11° La propension aux maladies menta
is par d'autres formes de maladies nerveuses. 11° La propension aux
maladies
mentales peut s'accentuer gra- duellement de gé
tuelle, naturelle ou acquise, tout en constatant la fréquence de la
maladie
chez des individus autrefois très intelligents.
vement de la population, les entrées, les sorties, les décès et les
maladies
incidentes. Celui de M. Paris se termine par de
les défectuosités dans le traite- ment des premières périodes de la
maladie
sont absolues et com- plètes ; 2° la façjn de t
le malade était entré à l'asile moins d'un an après le début de la
maladie
; dans 81 p. 100, la guérison a eu lieu moins d'
Institut central, pour l'étude de l'étiologie et la pathologie des
maladies
mentales. A noter le souci d'encourager et de f
diations optiques et provoqué la cécité psychique. Traitement de la
maladie
de l3vsedoco par le salicylate de soude. M. Bab
ouleurs seules ont été calmées temporairement, mais la marche de la
maladie
n'a pas été modifiée; enfin dans un cas de coliqu
bide, car l'observation montre qu'il se résout dans les principales
maladies
suivantes : 1° Dans la folie périodique, l'état
n lui-même qu'une valeur secondaire par rapport à l'évolution de la
maladie
. Or, un accès de mélancolie survenant chez un j
on peut encore écrire. F. 13OISSIER. 111. Léthargie d'Afrique ou
maladie
dit sommeil; par P. Alwsov et V. MoTT. (Londres
aisie de cette question, la pathologie et surtout l'étiologie de la
maladie
du sommeil sont encore mal connues et la nature e
maniaques, hyper- thermie parfois suivie d'hypothermie et mort par
maladie
inter- mittente ou dans le marasme. La filaria
a présence de la filaria perstans est constante dans le sang, et la
maladie
semble avoir la même répartition géographique q
sur un simple exa- men clinique, ces deux autopsies prouvent que la
maladie
du sommeil est une méningo-encéphalo-myélite. C
au point de vue symptomatique et diagnostique. Après l'étude des
maladies
des centres nerveux, cerveau etmoelle étudiées
blication ne ren- ferme cette année que peu d'articles relatifs aux
maladies
ner- veuses. En voici les titres : De l'inhibit
aladies ner- veuses. En voici les titres : De l'inhibition dans les
maladies
mentales, par Libertini; Contribution à l'étude
. Librairie Masson et C-1. Iloux (J.). Diagnostic el traitement des
maladies
nerveuses. Piéface du professeur J. Teissicr. I
ontraction d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la Clinique des
maladies
du système nerveux, t. V (sous presse), du prof
utres côtés, non moins intéressants, de la question «traitement des
maladies
mentales par l'alitement me sem- LE TRAITEMENT
x. 3° On l'observe souvent à l'état de conséquence éloignée d'une
maladie
de la troisième paire ou de son noyau, et elle pe
un ferment neutralisant la thyréoprotéine, n'est pas admissible. La
maladie
de Basedow parait être toujours sous la dépenda
ans consécutivement à une plaie par arme à feu. H. M. C. XXXI. La
maladie
de Henoch, ou purpura nerveux; par rrancis-A. T
31ediettl Jouî-i2ttl, 26 novembre 1898.) t L'auteur donne de cette
maladie
peu commune une description REVUE DE PATHOLOGIE
t de la face mais sans aura pares- thésique. M. II. XLIX. Sur les
maladies
de la moelle chez les nouveau-nés hérédo- syphi
nce l'ensemble syndromique de la sclérose en plaques. Dans les deux
maladies
observées, l'absence de syphilis hérédi- taire,
ance de toute influence extérieure permet de poser le diagnostic de
maladie
familiale. M. H. LI. Sur le diagnostic général
e l'ataxie locomotrice appartiennent à la période préataxique de la
maladie
et sont d'une importance capitale pour l'utilit
et il conclut qu'il est rationnel d'admettre par analogie que si la
maladie
peut être reconnue assez tôt, avant l'apparitio
ay. LV. Les névroses fonctionnelles dans leurs relations avec les
maladies
des femmes ; par H.-J. BOLDT. (7'Ae New York Médi
différenciation : dans la névrite multiple, il y a intoxication ou
maladie
infectieuse préalables, le début est brusque, m
« un malade sain d'esprit en vue de lui faire mieux comprendre « sa
maladie
et de lui en rendre le traitement plus utile, son
lement forcé de révéler pour obéir à la loi sur la notification des
maladies
infectieuses, le malade sachant par avance que
he Ne2v Yoi-li Médical Journal, 28 octobre 1899.) ' Il est peu de
maladies
qui soient plus accessibles que l'alcoo- lisme
ant ou pério- dique d'alcool, et que en somme, l'alcoolisme est une
maladie
pe2, se, et la première qu'il faut soigner chez
d'alcool assez considérables, il en est d'autres qui acquièrent la
maladie
à bon compte. -Reve- nant au traitement l'auteu
issipés, reste à choisir la médication générale à diriger contre la
maladie
: ici, un autre médicament excellent sera le ni
DE PATHOLOGIE MENTALE. 421' tion qui se pose à l'occasion de cette
maladie
est relative au mode d'action du virus : les fa
la syphilis est démontrée par les manifesta- tions cliniques de la
maladie
, et d'une façon plus concluante encore par les
sont atteintes les unes et les autres. Il veut aussi établir que la
maladie
dont il s'agit est une manifestation de la péri
s tractus optiques. Si l'on étudie maintenant la pathologie de la
maladie
, on y observe deux périodes, l'une de dégénéres
ur le moment. Il faut ajouter cependant que la syphilis est une des
maladies
qui ont le plus de tendance à bénéficier de la
éficier de la force médicatrice de la nature. Les rapports de cette
maladie
avec l'hérédité paraissent indi- rects. La sy
issent indi- rects. La symptomatologie est caractéristique, et la
maladie
se prête à la définition : c'est un trouble du
tants; cette concomitance est constante et nécessaire; sans elle la
maladie
n'existe pas. L'état mental est en état d'exalt
e 1899.) 1 ' Quand on étudie les rapports de la syphilis avec les
maladies
mentales, il faut avant tout étudier les différ
lemagne. A l'asile de Richmond que dirige l'auteur, à Dublin, la
maladie
a fait sa première apparation en 1894 ; la popu
agnostic.- Les épileptiques ont été parti- culièrement atteints. La
maladie
disparut en 1895 pour reparaître en 1896. (Popu
la cause du béribéri est inconnue, et que nons appelons béribéri la
maladie
quia éclaté dans nos asiles parce qu'elle en pr
gtemps on a refusé d'admettre l'identité du Kakké du Japon et de la
maladie
brésilienne avec le béribéri de la Chine et de
ne et de Ceylan. 11 se peut que l'on découvre un jour que plusieurs
maladies
ont été confondues sous le nom de béribéri (c'e
lie, de démence primitive, de folie circulaire, etc. Le début de la
maladie
coïncidait souvent chez les deux jumeaux, parfo
de trente-trois ans, hérédité psy- chopathique. Début brusque de la
maladie
par des phénomènes d'insomnie, d'excitation mot
éral grave. Confusion mentale profonde. Mort le huitième jour de la
maladie
. Observation II. Paysan, âgé de trente-deux ans
thologique ; 4° La syringomyélie gliomateuse (ou « vraie ») est une
maladie
de dégénération provenant des suites d'anomalie
sur le rythme sexuel mâle; l'auteur s'appuie pour l'établir sur les
maladies
périodiques y compris les affections mentales,
statistiques annuelles, relativement aux suicides, aux crimes, aux
maladies
des prisonniers, etc. Un cycle moyen de 33 jour
me nerveux. M. Grasset ne peut admettre que la supériorité soit une
maladie
, une manifestation de la névrose. Il y a, fait-il
ion, mais toute exagération de fonction n'est pas morbide. S'il y a
maladie
, la fonction est sacrée. Or, la supériorité intel
tionnement cérébral, mais au contraire le favorisant, n'est pas une
maladie
. ' En somme, pour être juste, il faut dire que
ar la souche commune. Ce trait commun est un tempérament et non une
maladie
. » 'M. Jonnart fait remarquer à M. Grasset que
ogie expérimentale. M. le D" Antheaume, ancien chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de Médecine, fera, à l'is
Bruxelles, 1900. Librairie Lamertin. DANIEL (G.). Traitement de la
maladie
de Little. In-8° de 18 pages. Bruxelles, 1900.
Eridano. Garnier (P.) et Cololian (P.). Traité de thérapeutique des
maladie
s mentales et nerveuses (Hygiène et prophylaxie
s héréditaire ; * Nv\ Par le D' E. RÉGIS, ·1 * Clargé du cour des
maladies
mentales à l'Umvm·silL de Bordeaux. J'ai eu la
névropathiques du côté maternel. Mère morte à trente-neuf ans d'une
maladie
de matrice (cancer de l'utérus ? ). De son pr
progressivement moins bonnes. Il n'avait cependant contracté aucune
maladie
, subi aucun traumatisme, commis aucun excès..
ent ainsi le rôle capital de cette infection dans l'étiologie de la
maladie
à tous les âges, sous toutes ses formes et dans
ion, c'est la forme exclusivement démente, sans aucun délire, de la
maladie
chez le sujet. - Il en est ainsi, la plupart du
ns celle de l'adolescent, explique comment chez elle et chez lui la
maladie
, réduite mentalement à un lent et silencieux af
it étrange que ce trouble trophique seul ne put se produire dans la
maladie
de Bayle, alors qu'on y rencontre tous ceux, de
ur ainsi dire paradoxale, la facilité aux fractures, dans certaines
maladies
, comme la paralysie générale, n'a d'égale on le
accouche- ment facile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'aucune
maladie
, son père mourut de la variole en l'année 1898.
s bonne. L'aîné des enfants a maintenant quatre ans, et sa première
maladie
a été la rougeole, qu'il a passé d'ailleurs sans
t E. Jendrassik ont publié, en 1885, l'observation d'un cas dont la
maladie
avait commencé à ' Le syndrome de Lille : par H
- 25° If est également impossible de dire dans quelles formes de
maladies
mentales il donnera des résultats avantageux; 26°
les autres, tous étaient à une période plus ou moins avancée de la
maladie
, quelques-uns même n'étaient entrés à l'hôpital
sujets en état d'imminence morbide, ou actuellement atteints par la
maladie
. Il est incontestablement résulté un avantage rée
it lessindife*1 cations nécessaires sur les tares héréditaires, les
maladies
qu'ils eues, les conditions domestiques et soci
ement plus fréquente que dans les affections soma- tiques. Quelques
maladies
mentales, telles que le délire chronique primit
al construits de naissance, les autres sont désorganisés depuis une
maladie
qui a nui au système nerveux, depuis môme une a
usceptibles de produire, avec d'autres éléments morbides, de vraies
maladies
mentales, mais qui, par eux-mêmes, ne sont pas
u cerveau ni de la moelle. Le chloroforme montre qu'il s'agit d'une
maladie
nettement fonctionnelle. Il existe des préoccup
la cause déterminante a été la même dans les deux cas, à savoir la
maladie
de M"10 C... qui a été dans cette affaire l'age
a ceux que les auteurs donnent de la P. G. juvénile, alors que la
maladie
est étiquetée idiotie, imbécilité, démence précoc
stic delà para- lysie générale juvénile à une certaine époque de la
maladie
. Il lui semble que les lésions décrites dans l'
sidence de M. Joffroy. Rôle des compressions hinesthésiques dans la
maladie
du doute. M. P. SOLLIER développe l'opinion que
ute. M. P. SOLLIER développe l'opinion que certaines formes de la
maladie
du doute tiennent à des troubles de la mémoire :
ma malade m'a paru digne d'être rapportée parce qu'il s'agit d'une
maladie
à lésions définies dans laquelle s'est rencontr
trée 1'lialliie.iiaLioii, symptôme qu'on observe dans les vésanies,
maladies
sans lésions, La sialorrhée était très abondant
atisme présenta les premiers signes (actuellement au complet) de la
maladie
de Uercum. La face, les mains et les pieds sont
ogie un seul fait démontrant que cela est pos- sible. D2tx cas de
maladie
familiale intermédiaire entre la maladie de P.
pos- sible. D2tx cas de maladie familiale intermédiaire entre la
maladie
de P. llarie et la maladie de Fricdrcicli. MM
maladie familiale intermédiaire entre la maladie de P. llarie et la
maladie
de Fricdrcicli. MM. Lenorle et AUBINE.4U (de Br
achant nettement à l'héredo- alaxie cérébelleuse ; des signes de la
maladie
de luiedreiclr, et des signes se rattachant à c
nervation du coeur; trouble d'origine sympathique. Dans deux cas de
maladie
de 1'lioinsen il y avait au contraire hypertens
e, une diplopie et selon toute vraisemblance, le premier jour de la
maladie
, une légère hémiparésie droite avec légère apha
BIBLIOGRAPHIE. XIX. Elude des /roubles pupillaires dans quelques
maladies
mentales; par le D' Iloger ! llicwr. 'l'hèse de
e. Paul Sérieux. ». Le co nple rendu des travaux de la clinique des
maladies
ner- veuses et psychiques du professeur 13ECIIT
utres classiques, que l'hérédité joue un rôle considérable dans les
maladies
psychiques, cette influence peut s'exprimer par
n, nous nous arrêtons seule- ment sur le mode de classification des
maladies
mentales adopté par M Beckhtereff. 11 divise ce
ation des maladies mentales adopté par M Beckhtereff. 11 divise ces
maladies
en six catégories : 1° Les psychoses ordinaires
eau, et 6° psychoses par arrêt de développement. La statistique des
maladies
nerveuses se rapporte à 286 malades, dont 537 h
ivisées par le professeur t3eclilaerell'en cinq catégories : y 1°
Maladies
des nerfs périfériques : a) névralgie, b) convuls
nvulsions, c) paralysies, d) névrite simple, e) poli-névrites; 2°
Maladies
de l'encéphale : a) hémorragie cérébrale, b) embo
urs cérébreuses, l) tumeurs du pont Varolet m) ophtalmoplégie. 3°
Maladie
de la moelle épinière et du bulbe : ' a) ankylose
n) amyotrophie progressive, o) paralysie bulbaire progressive. 4°
Maladies
organiques communes de l'encéphale el de la moell
d) sclérose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el autres
maladies
nerveuses communes : u) épilepsie, b) hystérie,
ie agitante, k) tétanos traumatique, 1) tétanie, in) myotétanie, K)
maladie
de Bawsedav, o) mixideme, p) hémicranie, '/) ma
myotétanie, K) maladie de Bawsedav, o) mixideme, p) hémicranie, '/)
maladie
de Meniere, r) inyosthénie, s) bégayement, t) a
à l'élude de l'instinct sexuel et de ses transfoi mations dans les
maladies
mentales. In-8° de 98 pages. Tou- louse, 1901.
ts - ' par Crooshank, 3 ? 7. - de'1·uhineu, par Sérieux, 359. des
maladies
neiveuses de Bechterew. 522 Cocvïn. Injection
e la -, par Guénnot, 91. Doute. Compression kinesthésique dans la
maladie
du , par Sollier, 503. Duboimne. Emploi du su
. 150. Expertise contre-bénévole, par Col- lin, 178. F\MH.iALE.
Maladie
, par Lenoble et Aubiueau, 512. Folie, Happon
96. Hémorragie méningée spinale, par llnpkins. 407. Hérédité et
maladies
mentales, par Fiirquharson, 328. t;tlsli, 343
. t;tlsli, 343. I)arSwi- talski, 343. IIÉRÉ,DO-S-l'IlILITIQUES.
Maladie
delà moelle chez les -, par de Peters. 'f01.
398. Lcvu iucts des nègres, par Nlil,enz e et 111ott, 268. z ou
maladie
du sommeil, par mansion et Aloll, 3J ? - ayant
us de la - multiple, par f'opolf, î38. Névroses fonctionnelles et
maladies
(feh lemmes. par Boldt, 409 hnpe- l'ioute int
quence douloureuse de la con- duite, par Mercier, 482. Pmu'UHA.
Maladie
de Denoch ou nerveux, par Thompson, 398. Pupi
erveux, par Thompson, 398. Pupillaires. 'froubles-dans quel- ques
maladies
mentales, par )li- gnot, 520. Pyramide. Dispo
ofesseur RAYMOND a tenu à perpétuer la tradition de la Clinique des
maladies
du système nerveux en continuant à offrir la pr
n des Neurologistes et des Psychiatres, aux travaux consa- crés aux
maladies
nerveuses sont venus s'ajouter les études de pa
ma- gistralement opéré la fusion entre la neuropathologie et les
maladies
cutanées et syphilitiques. Cette triple alliance
est d'ailleurs d'usage constant t de décrire dans les « Traités de
maladies
nerveuses » des affec- tions telles que l'acrom
nd nombre de travailleurs. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. MALADIE DE FRIEDREICH et
SPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX.
MALADIE
DE FRIEDREICH et HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE \
XIE CÉRÉBELLEUSE \1) PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Messieurs, Personne de vo
! psychopalhies : diverses. Cette notion de l'hé- rédité, dans les
maladies
mentales, a été acceptée par les médecins et les
n s'est élargie et s'est étendue aux manifestations somatiques ^des
maladies
ner- veuses. C'est depuis peu que s'es(affirmée
s'es(affirmée la notion d'une prédisposition générale à toutes les
maladies
nerveuses transmises héréditairement; je vous r
hérédité nerveuse peut être définie : l'aptitude à faire éclore des
maladies
nerveuses, conférée à un organisme] vicié dans
HARTIER, interne des Hôpitaux. (2) Professeur RAYMOND, Clinique des
maladies
du système nerveux, ! r série, p. Õ20. 6 RAYMON
que des maladies du système nerveux, ! r série, p. Õ20. 6 RAYMOND
maladies
familiales. Mais pour être vraiment familiales, e
i fidèlement respectées. Avec cette restriction, on peut dire de la
maladie
familiale, suivant les termes de P. Londe, quel
se rencontrer parmi plusieurs membres d'une même famille. C'est une
maladie
qui tend à créer, à côté du type normal de l'espè
ction acquise ou d'un accident de la vie intra-uté- rine, c'est une
maladie
du germe ou tout au moins de l'union des germes.
tions familiales, il en est une particulièrement intéres- sante, la
maladie
de Friedreich, du nom du premier médecin qui l'a
frustes, fragmentaires, et d'autre part des formes hybrides, où la
maladie
emprunte de nouveaux symptômes à des affections q
et le signalement d'une plante ou d'un animal s'il ne peut les ran-
MALADIE
DE FRIEDREICH ET HÉRÉD0-ATAX1E CÉRÉBELLEUSE Il
des syndromes vagues au lieu d'espèces morbides, décrire autant de
maladies
qu'il y a de malades. Dans mon enseignement,
nous aurons à considérer). La première est une forme classique de
maladie
de Friedreich. Louise V... est âgée de vingt an
t soeurs, tous vivants, et aucun d'eux n'a jamais été atteint d'une
maladie
quelconque du système nerveux. Les deux soeurs
ucun fait n'est à relater se rapprochant, de près ou de loin, de la
maladie
qu'elle présente. Bref, en apparence ni hérédit
son patri- moine pathologique. Venue au monde normalement, aucune
maladie
de l'enfance, ni con- vulsions, ni méningite, n
sans phénomènes oculaires, sans changement dans l'état général, la
maladie
va sans cesse en progres- sant ; l'ataxie s'acc
et du tendon d'Achille; c'est encore le réflexe cutané plantaire en
MALADIE
DE FRIEDREICH ET llÉIlÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 9
ntait, aucune trace d'hérédo-syphilis, et nous caractérise- rons sa
maladie
par ces symptômes : grosse ataxie, abolition des
ensemble symptomatique la plupart d'entre vous ont déjà reconnu la
maladie
de Friedreich. Si la scoliose semblemanquer pour
mportance des infec- tions bactériennes dans le développement de la
maladie
de Friedreich et dont on trouverait d'autres pr
OberthÜr (1). D'ailleurs, l'étude du diagnostic différentiel de la
maladie
de Friedreich nous conduit, par exclusion, àaff
Louise V..., l'impossibilité de la marche et (1) Deux autopsies de
maladie
de Friedreich, par A. Philippe et 013ERTIIUR, Rev
Lésions plus étendues que plus haut dans les cordons postérieurs.
MALADIE
DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D... PHILIPPE
OüERTIIÜR, in Revue Neurologique, 1901). BASSON ET Ch, Éditeurs.
MALADIE
DE FRIEDREICH ET HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 11
ulière, interrompue par des temps d'arrêt. S'il est des formes de
maladie
de Friedreich, rares d'ailleurs, que les douleu
uble de la coordination qui est la manifestation prédominante de la
maladie
, se distingue encore du syndrome général des lé
st bien une affection cérébelleuse qui se rapproche davantage de la
maladie
de Friedreich, principalement par son caractère f
familiale ? Tel est, messieurs, bien établi, le diagnostic de la
maladie
de Louise V... Le moment est venu de nous dem
d'autres termes, quel est le substratum anatomo-pathologique de la
maladie
de Friedreich ? 2 Friedreich, en 1861, au Congr
trois premières autopsies. L'illustre médecin crut voir dans cette
maladie
la forme héréditaire du 12 RAYMOND tabès dors
tait erreur dans cette manière d'envisager les choses, tant pour la
maladie
de Friedreich que pour le tabes dorsalis.Ai-je
iques et aux racines posté- rieures ? Or, il en est de môme pour la
maladie
de Friedreich ; le fait a été constaté par Schu
elles observations. En France, vers cetle époque, on voyait dans la
maladie
de Friedreich une combinaison de la sclérose en
isé, avec une fidélité presque parfaite, la symptomalo- logie de la
maladie
de Friedreich, Butimeyer constata et décrivit un
nservation nette dans les cordons postérieurs des libres endogènes.
MALADIE
DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D... (Philipp
I2TIlÜR, in Revue Neurologique, 1901). : \IAsso ? ET CIC, Editeurs.
MALADIE
DE FRIEDRE1CU ET llÉnÉDO-ATAXTE CÉRÉBELLEUSE 13
cet hospice ; et cette définition de la nature histo- logique de la
maladie
de Friedreich « sclérose.combinée primitive » lui
e de la moelle, la seule sclé- rose de ce genre jusqu'alors connue,
maladie
à point de départ ectoder- mique. Pour eux, d
incipalement dans la sclérose en plaques, qui, au même litre que la
maladie
de Friedreich, pourraient être alors consi- dér
vent même être assez prononcées pour que Pitt ait voulu faire de la
maladie
de Friedreich, une sclérose vasculaire. Je vous
encore controversé dans l'histoire de l'anatomie pathologique de la
maladie
de Friedreich est celui de savoir s'il y a vraime
ur la figure 2, similitude de lésions avec celles du cas précédent.
MALADIE
DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas R... (Philipp
OBERTHÜR, in Revue Neurologique, 1901). Masson et Cie, Éditeurs.
MALADIE
DE FRIEDREICH ET UÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 15
dans son évolution,et ces auleurs auraient tendance à penser que la
maladie
de Friedreich évo- lue d'abord sur le cordon po
, je décrivais déjà des formes frustes et des formes hybrides de la
maladie
. C'est ainsi que je présentais un malade remarqua
ées nouvelles ont été émises sur la patho- génie et la nature de la
maladie
de Friedreich. A cette époque, le profes- seur
n, se plaçant à un point de vue purement clinique, soutenait que la
maladie
de Friedreich devait être considérée comme l'ex
'hui à la recherche de lésions considérées comme l'exception dansja
maladie
de Friedreich; nous voulons parler des lésions
parfois à la berlue, à la migraine. Du reste, à part cette dernière
maladie
, elle n'a jamais été alitée que pour quatre cou
che. Elle a un commencement et une fin, une période de (1) VuLpiAN,
Maladies
du système nerveux, 1819-1886, t. I. p. 658 (2)
malade qui, en mai 1903,était arrivée à la secon- de période de la
maladie
. La première avait été caractérisée par le synd
gique qui est venu comme un coup de foudre pendant le décours de la
maladie
, qui a donné le tableau d'une paraplégie flasqu
le gauche a fini par le rattraper. En resumé, l'évolution de cette
maladie
peut être divisée en cinq pérodes : 1° Incubati
myélite transverse, telle que la décrivent les auteurs,est une des
maladies
de la moelle « qui résistent à tous les moyens de
t à tous les moyens de traitement con- nus actuellement » (Vulpian,
Maladies
du système nerveux, t. I, p. 672), nous demando
ur guérison à rapprocher du déterminisme qui a donné naissance à la
maladie
. Que cette tendance au retour à l'état normal s
LE ])r PIERRE MARIE DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET. PAR PIERRE MOCQUOT ET FRANÇOIS MOUT
e'certains vieillards chez lesquels on avait porté le diagnostic de
maladie
de Paget en évolution, notre maître, M. le Dr P
mble que cette déformation est beaucoup plus fréquente que la vraie
maladie
de Paget. Il s'agit de sujets dont l'âge varie
T. XVIII. PI. IX DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET ('P. Mocquot et F. Moutier) DÉFORMAT
ocquot et F. Moutier) DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 63 bordée de chaque côté par un relief
côtés. , FIG. 1 DÉ'OIl/l1ATlONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 65 Il se produit là en somme une défor
e T. XVIII. Pl. X DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET (P. Mocquot et F. Moutier) DÉFORMATI
ocquot et F. Moutier) DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE P.\GE1' 67 également sur ce fait que les vou
homme, l'écartement des condyles fémoraux parfois digne d'une vraie
maladie
de Paget (8 centimètres dans un cas), l'affaissem
rtout dans ces formes DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 69 légères qu'elle est mal limitée à s
Indice thoracique. DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 75 souvent, les cas où le transverse l
le tableau suivant : DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 77 d'affections mal précisées encore e
tal (Fig. 2). Nous allons maintenant envisager les rapports de la
maladie
de Paget et du syndrome que nous avons décrit,
es séniles. Fixe. 2 DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 79 Nous résumons d'abord les symptômes
NT LA MALADIE DE PAGET 79 Nous résumons d'abord les symptômes de la
maladie
de Paget, insistant sur ceux qui rapprochent d'
i- ble et justifiant par la même le titre de cette étude. Dans la
maladie
décrite par sir James Paget, ainsi qu'il résulte
erre Marie. Il n'y a même pas besoin de connaître l'évolution de la
maladie
, qui d'ailleurs est toute différente dans les deu
illeurs est toute différente dans les deux cas. Tandis que la vraie
maladie
de Paget débute à un âge encore peu avancé et q
du bassin. Il ne pourrait s'établir de confusion qu'au début de la
maladie
de Paget ou dans des formes atténuées de cette af
ions, après avoir vu les caractères différentiels spéciaux la vraie
maladie
de Paget, il faut encore rappeler un certain no
inissent toujours par se cacliecVser, et leur mort sinon due à leur
maladie
semble du moins hâtée par elle. Les pseudo- Pag
aux tibiaux » (3t. (1) Cependant il semble que dans quelques cas de
maladie
de Paget, on puisse re- trouver une déformation
embre 1901, p. 552-569. (2) Richard, Contribution à l'étude de la
maladie
osseuse de Paget. Thèse de Paris, 1886-87. (3
rvice de de Beurmann. DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 81 Il est même curieux de voir que sir
eillards voûtés, nous DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 83 avons constaté que très souvent la
rhizomélique, c'est une affection tout à fait éloignée, tant de la
maladie
de Paget que du syndrome qui simule celle-ci. Il
e un peu de celui que nous avons décrit; mais le rachitisme est une
maladie
d'évolution ; les malformations constatées remont
rroborer ces laits. - DÉFORMATIONS SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 85 progressent pas d'une façon continu
4 ; CHARCOT et Vulpian, OEuvres complètes de J ? 11. Charcot, t. VII.
Maladies
des vieillards, p. 575. Note sur l'ostéomalacie
pp. 780-797. Paris, 3e édit., 1901. (2) Durand Fardel, Traité des
maladies
des vieillards. Introd., p. XVI. Paris, 1856. (
od., p. XVI. Paris, 1856. (3) Richard, Contribution à l'étude de la
maladie
osseuse de Paget. Thèse de Paris, 1887, p. 76 e
t., p. 63, obs. VIII. DÉFORMATION^ SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA
MALADIE
DE PAGET 87 tomie pathologique du pseudo-Paget,
des cartilages costaux (1). En résumé, nous avons décrit non une
maladie
nouvelle, mais un syndrome complexe qui n'avait
volution sénile, dont le groupement donne une altitude rappelant la
maladie
de Paget. Nous sommes heureux de pouvoir en ter
lades y gisant ordinairement, tout ce qui peut être d'altération et
maladie
du corps humain ; et, ensemble y apprendre sur
n dessein en ce que je tâchais d'instruire les chirur- giens en une
maladie
qui n'est point de leur gibier, qui ne touche en
hant bien que les remèdes humains ne pouvaient avoir raison de leur
maladie
. Il est probable que vous n'ignorez pas qu'autr
ISE PARÉ 105 soulever en l'air un château. Ils peuvent donner des
maladies
, d'où la nécessité pour les médecins de connaît
« Il est certain, dit Paré, que les sorciers ne peuvent guérir les
maladies
naturelles, ni les médecins les maladies venues
iers ne peuvent guérir les maladies naturelles, ni les médecins les
maladies
venues par sortilège. » Aussi n'y a-t-ii pas de p
ique des ma- cérations et des austérités les plus sévères, quand la
maladie
le contraignit à s'arrêter dans un village du B
8e Année N° 2 Mars-Avril IIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX MALADIE DE FRIEDREICH ET
SPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX
MALADIE
DE FRIEDREICH ET HËRËDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE (
(1)1 [suite et fin), PAR F.RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Messieurs, Dans la précéd
- trophique, une affection ressemblant,par plus d'un symptôme, à la
maladie
de Friedreich et expliquée par la dégénérescenc
me propose de vous présenter un malade, type intermédiaire entre la
maladie
de Friedreich et celle de P. Marie, de le rappr
e voyez, Messieurs, le grand'père maternel était atteint de la même
maladie
que son petit-fils ; dans la deuxième génération,
au même âge. Tout en n'intéressant pas 'tous les descendants, cette
maladie
, qui prend indistinctement hommes ou femmes, es
profession de timonier. Né à 7 mois, il n'eut cependant aucune des
maladies
commu- nes à l'enfance, ni convulsions, ni méni
dès lors, l'affection dont il va être at- teint. Les progrès de la
maladie
vont lentement, sans troubles cérébraux d'aucun
vec NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T, XVI11. Pl. XVIII
MALADIE
DE FRIEDREICH OU HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE ? c'
ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE ? c' J : ... '1>..a...'.Nt1.Q.t,UÜ ...
MALADIE
DE 1'ltIt ? U ! tI : ICII ET llÉnÉDO-.\TAXOE CÉRÉ
s des sens, ni pied-bot, ni scoliose. Telle est donc, Messieurs, la
maladie
familiale dont nous pouvons fixer les symptômes
érie, l'hystéro-neurasthénie, le syn- drome de Ménière, ou bien les
maladies
organiques, comme le tabes, les affections céré
dont le cadre symptomatique renferme plus ou moins des traits de la
maladie
de Henri R..., c'est la sclérose en plaques et la
its de la maladie de Henri R..., c'est la sclérose en plaques et la
maladie
de Fried- reich. Avec la sclérose en plaques,
nifestation cérébrale et que les réflexes sont t diminués ? De la
maladie
de Friedreich, il a les troubles de la parole, l'
ts. , Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XVIII. PI. XIX
MALADIE
DE FRIEDREICH OU HERÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE (F.
.. (grandeur naturelle, colora- f ? 'll,i(r¡ : >ït-Pc111 l l ,
MALADIE
DE FRIEDREICH ET nÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 127
E CÉRÉBELLEUSE 127 Serait-ce donc alors, Messieurs, un cas de celte
maladie
familiale dont M. P. Marie donna la première de
montrent dans cer- tains cas, c'est d'une façon exceptionnelle. La
maladie
est essentiellement progressive, mais peut prés
s d'Henri R... occupe donc une place encore mal déterminée entre la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie. C'est encore un
types ? Mais Colin n'a-t-il pas noté de l'atrophie optique dans la
maladie
de Friedreich, et n'est-elle pas inconstante dans
nt ou dans leur exagération, le symptôme caractéristique soit de la
maladie
de Friedreich, soit de l'hérédo-ataxie de Marie
(1) PHILIPPE ET Oberthur, Revue Neurologique, 1903, Deux autopsies de
maladie
de Friedreich. (2) RAYMOND, Cliniques, 3e sér
corce cr ? llel1e de \1lie F.. , coloration Nissl (chambre claire).
MALADIE
DE FRIEDREICH ET llÉRÉDO-ATA XIE CÉRÉBELLEUSE 129
a distinction anatomique entre l'héré- do-ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich. » Or, depuis la description prim
rvelet s'associe à des lésions médullaires analogues à celles de la
maladie
de Friedreich : altérations des cordons postérieu
élève du même maître, Vincelet, la cite dans sa thèse, à côté d'une
maladie
de Friedreich avérée. Chez François Haud... le
s avec celles qu'il est classique de décrire comme substratum de la
maladie
de Friedreich ; c'est ainsi que dans cette dern
scopiques ou microscopiques du cervelet dans des cas indéniables de
maladie
de Friedreich. Les premières obser- vations de
es. » NOUVELLE ICONOGRAPHIE UE LA SALPGlRIÈRE T. XVIII. PI. XXI
MALADIE
DE FRIEDREICH (r. 'Raymond) rois do \1,'1;(,
MALADIE DE FRIEDREICH (r. 'Raymond) rois do \1,'1;(, E ? ) -\
MALADIE
DE rRIEDREICR ET IIÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 131
autrefois dans le service de mon collè- gue Pitres, est un type de
maladie
de Friedreich très complet, avec sco- liose, ny
Je me suis donc cru autorisé à porter dès le début le diagnostic de
maladie
de Friedreich et l'évolution de la maladie semb
e début le diagnostic de maladie de Friedreich et l'évolution de la
maladie
semble bien m'avoir donné raison. Au commenceme
se : Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrjère T. XVIII. Pl. XXII
MALADIE
DE FRIEDREICH (Obs. de Mélie F...) (F. 'Raymo
XXII MALADIE DE FRIEDREICH (Obs. de Mélie F...) (F. 'Raymond)
MALADIE
DE FRIEDREICH ET HÉRÉDO-ATAIXE CÉRÉBELLEUSE 133
s corps restiformes réduits de volume et clairsemés comme fibres.
MALADIE
DE FRIEDREICR ET HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 135
que constant, différentiel : l'atrophie isolée du cervelet. Cette
maladie
répond à des lésions de siège différent, apparten
nt dans ces dernières et comme telle, elle se rapproche alors de la
maladie
de Friedreich. Peut-elle au moins être distin
'hérédo- ataxie cérébelleuse pourrait suffire à la distinguer de la
maladie
de Frie- dreich, sclérose primitive des cordons
vie. Tantôt, il est atteint d'atrophie dégénérative ; les cellules
MALADIE
DE FR1EDREICU ET 111 : ftÉDO-ATAlIE CÉRÉBELLEUSE
tion pourrait jouer un rôle impor- tant dans le développement de la
maladie
, en mettant en activité une prédisposition fami
ésentant ce qu'il appela l'hérédo-ataxie cérébelleuse et l'ancienne
maladie
de Friedreich comme deux espèces morbides disti
mplètement distincte des deux affections, le dé- but fréquent de la
maladie
de Friedreich par l'abolition des réflexes et d
'hérédo- ataxie cérébelleuse familiale n'est pas autre chose que la
maladie
de Frie- dreich à ses débuts. Plus vraisembla
ch à ses débuts. Plus vraisemblable serait la théorie de Londe : la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie cérébelleuse s
t deux représentants d'un même groupe morbide ; dans la seconde, la
maladie
commence par le cervelet ; dans la première, el
e, elle débute par la moelle. Mieux encore faudrait-il voir dans la
maladie
de Friedreich, dans le syn- drome de Marie, dan
n familiale n'a rien qui puisse étonner si on la compare aux autres
maladies
du système ner- veux. Dans le tabes, par exempl
tion, sous une même dénomination. De plus en plus, dans l'étude des
maladies
du système nerveux, on tend à réunir dans des g
mes plus ou moins direc- tement rattachés au svstème cérébelleux.
MALADIE
DE FRIEDREICH ET IlÉnÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 139
érieures et d'un certain degré d'atrophie musculaire au cours de la
maladie
de Friedreich peut faire pressentir des formes
du même coup, facile de fixer les rapports respectifs des types de
maladies
familiales et les relations de ces mêmes types
pée norma- lement jusqu'à 8 ans, où elle fut subitement prise d'une
maladie
dont la des- cription nous fait penser à un rhu
orrhagies nous permettent de comprendre la marche irrégulière de la
maladie
. Mais il-nous reste : ' 1° Cette démence prog
te observation des précédentes, c'est la mar- che très rapide de la
maladie
. Il n'est guère admissible qu'une tumeur de cette
le 20 avril 1901. Père mort à l'âge de 50 ans, on ne sait de quelle
maladie
, mère vivante, un frère en bonne santé. En 18
Nantes, 1899, ne 29, p. 227. (4) It.wwo;vo, Leçons cliniques des
maladies
du système nerveux, VIe série, 1903. SYNDROME D
s et les troubles profonds de la sensibi- (1) Oppenheim, Traité des
maladies
nerveuses ; 2 vol. de la traduction italienne,
traduction italienne, p. 381. (2) T. CLIFFORD ALBCTT, Traité des
maladies
nerveuses. (3) Voir ce propos : M.FBRRON, De l'
gique. Etant donnée l'hypertrophie osseuse des ex- trémités dans la
maladie
de Marie, il était intéressant de savoir s'il y a
nèse de certaines acromégalies. Ils croient d'ailleurs que dans les
maladies
des glandes closes, à l'occasion des troubles d
oquement, leur insuf- fisance peut favoriser le développement de la
maladie
première. Ces faits d'acromégalie sans lésion p
tendance hypertrophique des extrémités, qui, quoique voisines de la
maladie
de Marie, s'en distinguent cependant par des ca
ophtalm. IClinik in Tübingen, t. II, 3, p. 411. PANAS. - Traité des
maladies
des yeux, t. 1, p. 619. Sébileau. Thèse de Pari
edème a été décrite chez les sujets qui, comme ceux affectés par la
maladie
de Quinke, avaient le coeur et les reins sains
, avaient le coeur et les reins sains et qui ne présentaient aucune
maladie
générale. Sans aucune étiologie localisée, avec
quoiqu'il suppose comme absolument démon- trée la pathogénie de la
maladie
: cette affirmation on ne peut pas encore la fa
erveux. Selon Meige ces deux formes seraient la manifestation d'une
maladie
unique qui, dans la maladie de Quinke, se prése
formes seraient la manifestation d'une maladie unique qui, dans la
maladie
de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et
es deux formes et nient qu'elles soient la manifestation d'une même
maladie
. Ayant eu le bonheur de pouvoir observer dans l
s l'espace de plusieurs années de nombreux échantillons de ces deux
maladies
, j'ai pu me for- mer une opinion personnelle qu
é d'une telle façon à l'urticaire qu'on doit étudier cette dernière
maladie
sous les mêmes points de vue : urticaire, oedème
rent peu à peu dans la convalescence. Pendant toute la durée de la
maladie
et de la convalescence, malgré le traitement hy
de l'éther sulfurique ne furent jamais très chargées pendant toute la~
maladie
. La quantité de chlorures éliminés était de 7-9
'oedèmes de Quinke qui se prolongèrent pendant toute la durée de la
maladie
et qui à partir de la deu- xième semaine s'asso
te malade et ses deux soeurs n'ont jamais eu de phénomènes de cette
maladie
. Dans le mois de mars 1904 la première des soeu
s encore guérie. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 205
Maladie
actuelle. J'ai vu la malade pour la première fois
hystérique, présente à la suite d'une intoxication intestinale une-
maladie
de Quinke. Les oedèmes se répètent avec prédile
fait bien peu de chose. Lorsque nous avons posé le diagnostic de «
maladie
de Quinke », nous n'en savons pas beaucoup plus q
pré- sence, en voir les liens avec d'autres phénomènes et d'autres
maladies
, et en faire une localisation pathogénique, que
oedème de Quinke. Pouvons-nous donc dire qu'il s'agissait de trois
maladies
associées, ou bien que tous les phénomènes cons
t ? i UN CAS DE DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE 211 Histoire de la
maladie
. Depuis cette dysenterie, le malade ne se sen-
ns l'airec- tion que nous étudions ici il ne s'agit nullement d'une
maladie
des nerfs ou des troncs nerveux. Zuber et plu
gique simple, non spasmodique, est un phénomène commun à toutes les
maladies
douloureuses du membre inférieur. « En dehors d
ne aux lésions spinales : « 1° les localisa- tions primitives de la
maladie
dans la moelle (méningo-myélite), et 2° les dég
ier et 28 février 1903. 204 V1GOUROUt ET L.41GlVGI.-LAVAS'fING La
maladie
évolue et deux mois après son entrée, Drap... est
s seraient mortes dans des conditions analogues. B... n'a pas eu de
maladie
sérieuse dans sa jeunesse. Il avait de légères
un même processus rapide de méningo-myélo-encéphalite réalisant une
maladie
unique de tout le né- vraxe, comme dans la conc
paraît aujourd'hui moins difficile que naguère. A la conception des
maladies
nerveuses, caractérisées par la systémati- sati
a décrits à part, à cause de leur longueur et indépendamment de la
maladie
causale. Les auteurs, qui partagent la première
travers la multiplicité des aspects, ils croient sentir l'unité de la
maladie
. - Les conceptions pathogéniques des dernières
s généraux, ces lésions varier avec la rapidité de l'évolution dela
maladie
? Une même maladie pourrait donc, à ses divers mo
ions varier avec la rapidité de l'évolution dela maladie ? Une même
maladie
pourrait donc, à ses divers moments, par de mul
ouvent chez un même malade la séparation des deux syndromes en deux
maladies
distinctes est arbitraire et sans valeur explic
d'embrasser, dans son ensemble et sous ses mille aspects, une même
maladie
. xvitt tt 16 ÉCOLE VÉTÉRINAIRE D'ALFORT MÉN
'autopsie fut confirmative. Observation. Chien âgé de 2 ans 1/2 ;
maladie
du jeune âge à 2 mois. Démence (1) progressive,
s avons pu recueillir sur l'animal sont les suivants : il a eu la «
maladie
du jeune âge » au moment du sevrage. Acheté à l
lors incapable de sortir de la maison ; c'est à cette période de la
maladie
qu'il nous fut présenté à l'École d'Alfort. L'a
ale chez l'homme. La consta- tation chez le chien des lésions d'une
maladie
, sur l'étiologie de laquelle les auteurs les pl
e méningo- encéphalite diffuse chez un chien, consécutivement à une
maladie
micro- (1) GoLTz. Der Hund ohne Grosshirz Pflùg
240 MARCHAND, PETIT ET COQUOT bienne certaine qu'on appelle « la
maladie
des chiens », montre qu'une affection cérébrale
n cérébrale à lésions bien définies peut être produite par diverses
maladies
infectieuses. On sait d'ailleurs que la maladie d
duite par diverses maladies infectieuses. On sait d'ailleurs que la
maladie
des chiens se lo- calise fréquemment sur le sys
érale par la- quelle elle se traduit, il faut supposer que d'autres
maladies
infectieuses sont sans doute susceptibles de pr
présente la constatation chez un chien primitivement atteint d'une
maladie
microbienne déterminée, de lésions inflammatoir
MYASTHÉNIE HYPOTONIQUE MORTELLE PAR E. DUPRÉ et P. PAGNIEZ La
maladie
actuellement désignée sous le nom de myasthénie g
alpêtrière après y avoir été hospitalisée pendant deux ans pour une
maladie
de Parkinson. Un seul frère, bien portant. Da
e du professeur Jolly, une étude critique très consciencieuse de la
maladie
à propos de deux observations personnelles et noz
relation de cause à effet entre cette anomalie insignifiante et la
maladie
et la mort de notre malade. R° OSPEDALE MAURI
ou mieux des individus à sys- tème nerveux faible, prédisposés aux
maladies
et chez lesquels les né- vroses règnent. Et l
roses règnent. Et les oedèmes, comme c'est le cas fréquent pour les
maladies
qui sai- sissent les sujets de cette classe, pe
tin (7) remarqua que le deuxième né du même patient souffrait-de la
maladie
dans ses premiers jours de sa vie. Dinkela- ker
cas les tuméfactions étaient idiopathiques, indépendantes de toute
maladie
ou cause occasionnelle. Mais il n'en est pas touj
isme, CO, tabagisme, th y- 2S6 ' VALOBRA roïdisme...) ou bien une
maladie
organique de l'axe cérébro-spinal ou des nerfs
l- lèle aux phénomènes cutanés. De plus, nous savons tous que les
maladies
par infection peuvent être causes des oedèmes d
la fièvre en parfaite analogie avec les manifestations toxiques des
maladies
infectieuses, elles se sont continuées après la
s, nos connaissances sur la présence des oedèmes de Quinke dans les
maladies
organiques du système nerveux (1). (1) Je lai
ystème nerveux (1). (1) Je laisse à part les formes hystériques des
maladies
dont nous parlons. Quoique la théorie du « maté
ymptomatologie. Nous connaissons la symptomatologie classique de la
maladie
de Quinke : sur la peau survient un oedème circon
décrites, lesquelles variations ap- partiennent toutefois à la même
maladie
, quoique les premiers auteurs qui ont étudié ce
ffirmé lui être cliniquement unis par des liens très étroits ? La
maladie
de Quinke a été pendant un certain laps de temps
ssi, qu'à présent, tandis que l'urticaire trouve sa place parmi les
maladies
de la peau, l'oedème circonscrit se trouve dans l
ies de la peau, l'oedème circonscrit se trouve dans le chapitre des
maladies
nerveuses, et cela dans les meilleurs traités cla
pothérapiethyroïdienne, etpar Levi (43) et Solis-Cohen (44) dans la
maladie
de Raynaud. Féré (45) nous a démontré l'urticai
[Cassirer 'Remak (50), Mari- nesco (49)- Pour ce qui concerne les
maladies
d'infection, souvenons-nous que la dothientérie
très souvent, s'établit comme pour toujours, et reste tandis que la
maladie
générale est guérie complètement. Après un laps
latée par Lôwelt (65). Une deuxième variété, c'est la suivante : La
maladie
commence par des oedèmes circonscrits et passag
rphologiques, il n'est plus un oedème de Quinke, c'est une nouvelle
maladie
! On pourrait peut-être observer que tandis que
souvenir de l'influence héréditaire que nous avons étudiée dans la
maladie
deQuinke, pour la rapporter aux observations de t
cédé par la scarlatine; dans l'ob- servation de Rapin (62), par une
maladie
d'infection avec fièvre; dans l'observation de
En général Dejerine et Thomas (85) affirment que dans la marche des
maladies
de la moelle on observe parfois des oedè- mes «
sez vite, remarquables par leur dureté ». Mais lorsqu'il s'agit des
maladies
avec lésions profondes etanatomiques du système
ant tout dans la syringomyélie, vu la prédilection anatomique de la
maladie
, le phénomène est plus fréquent dans le membre su
n- dante. D'ailleurs, toutes les théories sur la pathogénie de la
maladie
de Quinke ont été démolies. Cassirer après avoi
a pathogénie de l'oedème circonscrit dans l'ur- ticaire [et dans la
maladie
de Quinke, peuvent aussi être invoquées dans la
alogies et les liens cliniques que Meige lui-même avait vus avec la
maladie
de Quinke et que nous croyons avoir bien démont
ifférente pour la forme aiguë et pour la forme chronique de la même
maladie
. je crois plutôt que Meige même nous a indiqué
sorte qu'il nous serait facile de montrer que plu- sieurs fois les
maladies
ont été méconnues et confondues par les neuro-
atologistes. Je parle de l'éléphantiasis. Et je dis syndrome et pas
maladie
, car l'éléphantiasis peut se présenter comme sy
, car l'éléphantiasis peut se présenter comme symptôme de plusieurs
maladies
locales et générales, tout en ayant tou- LES OE
es indé- pendantes, mais seulement comme des symptômes de plusieurs
maladies
qui peuvent produire une altération fonctionnel
licate ; son impressionnabilité et son émotivité ex- trêmes. Pas de
maladies
dans l'enfance, mais vers l'âge de 18 ans, une an
dépense de volonté qu'elle a dû faire depuis le commencement de sa
maladie
. Jamais de douleurs dans le bras et la main.
esse domine dans son esprit, c'est la faiblesse qui est cause de sa
maladie
, c'est à la faiblesse qu'elle attribue les acci
une nerveuse surmenée, le premier jour où, après trois semaines de
maladie
, elle quitte son lit et veut écrire. HOPITAL BR
eut écrire. HOPITAL BROUSSAIS. SERVICE DE M. LE DOCTEUR OETTINGER
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET TROIS CAS OBSERVÉS DANS UNE MÊ
lir en- core, d'une façon certaine, la pathogénie de cette curieuse
maladie
. Nous apportons l'observation clinique de trois
ques, cardiaques et vasculaires,qui caractérisent essentiellement la
maladie
osseuse de Paget. ' Pour n'avoir pas à répéte
Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVIII. 111. XXXVII
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OE/tinger et Aftass
AMILIALE (OE/tinger et Aftasse-Lafol1t) Masson et Cie, Editeurs
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET 293 OBS. I. Bordier Louis-Vict
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVIII. Pl. XXXVIII
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agass
MALADIE OSSEUSE DE PAGET FAMILIALE (OEttillger et Agasse-Lafoiii)
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET 295 que le gauche, présente eu
cis, que nous croyons pouvoir affirmer qu'il était atteint aussi de
maladie
de Paget. Nous transcrivons d'ailleurs ces rens
servation, et que des détails si précis confirment le diagnostic de
maladie
de Paget chez un sujet qui avait l'at- titude c
96 OETTINGER ET AGASSE-LAFONT Telles sont nos trois observations de
maladie
osseuse de Paget. La troi- sième peut être disc
rvation que nous publions ici vient grossir le nombre des cas où la
maladie
de Paget s'est montrée comme une affection famili
t plusieurs heures au milieu d'une atmosphère surchargée de chlore.
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET 297 couverte de deux autres ca
des exposés à l'intoxication (13). 298 OETTINGER ET AGASSE-LAFONT
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET 299 de Moizard et Bourges (189
é l'attention sur les déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de Paget, sur les pseudo-Paget, comme les appel
- tisme des cas d'hérédo-syphilis. Le rachitisme présente avec la
maladie
osseuse de Paget d'étranges ana- logies : même
r les acides minéraux puisse jouer un rôle dans la pathogénie de la
maladie
osseuse de Paget, ce rachitisme des vieillards. I
ve des symptômes étant un des faits les plus caractéristiques de la
maladie
de Paget, il y a eu évidemment là une erreur d'
ctérisée ? C'est le point qu'il faut éclaircir. BIBLIOGRAPHIE DE LA
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET, EN FRANCE [Nous avons groupés
ications bibliographiques qui ne concernent pas des cas nouveaux de
maladie
de Paget.] 1. BouRcERET, Gazette des hôpitaux,
, 1904. (11 BESANÇON et LABBÉ, Traité d'hématologie, 1904, p. 36.
MALADIE
OSSEUSE DE PAGET ' 301 28-29, LANNELON6UE, Bull
. MOCQUOT ET Moutier, Déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de Paget (Travail du Laboratoire de M. Pierre M
e ne sait pas à quel âge elle a commencé à marcher. Elle a fait une
maladie
grave vers l'âge de 2 à 3 ans ; depuis cette époq
éristiques. Il existe donc actuellement environ 27 cas connus de la
maladie
de Pierre Marie et Sainfon en comptant celui de
n'étant le fait ni d'un accident du déve- loppement utérin ni d'une
maladie
foetale, mais étant en réalité « des varia-' ti
Lévy) (1), les types de dysostose étant multiples comme toutes les
maladies
familiales. Il est enfin une théorie qui nous p
s la même époque, Ad. Burggraeve (2) distingue des anencéphales par
maladie
et des anencéphales par arrêt de développement. C
emiers, « l'encéphale a été détruit dans le sein de la mère par une
maladie
dont on trouve presque généralement les traces
en principe que les productions congénitales résultent toutes d'une
maladie
, d'ailleurs indéterminée, du système nerveux, Jul
et des nerfs ; ils ont ainsi passé à côté des lésions propres de la
maladie
, les signalant parfois sans doute, mais d'une faç
ers, fourni la preuve anatomique qu'il s'agissait en l'espèce d'une
maladie
destructrice de l'axe cérébro-spinal. C'est la
maladie destructrice de l'axe cérébro-spinal. C'est la nature de la
maladie
, son point de départ et ses conséquences sur (1
ndant intéressant à retenir, au point de vue de la répercussion des
maladies
cérébro-spinales aiguës sur l'en- semble de l'o
des cas très distincts, correspondant probablement à l'époque où la
maladie
enva- hit l'organisme foetal. Nous reviendrons
l'observons ici, mais qui doit malgré tout devenir effective si la
maladie
dure un temps suffisant.Nous reviendrons sur ce
phaliens et des anencéphaliens se confondent dans une seule et même
maladie
: la méningite cérébro-spinale. Il convient maint
enté par ces malades ne se couvre exactement avec aucun de ceux des
maladies
familiales décrites jusqu'à présent. Mais nous.
l'ont fait MM. Raymond et Jendrassik, qu'il n'existe pas, entre les
maladies
nerveuses familiales, des limites bien tranchée
ranger le tableau offert par ces malades dans l'une ou l'autre des
maladies
familiales connues, nous voudrions insister sur
la formation d'un pied-bot varus équin, analogue au pied-bot de la
maladie
de Friedreich et qui se retrouve dans bon nombr
lques cas (Souques, Tooth, Duchateau). - Dans quelles catégories de
maladies
familiales pouvons-nous ranger l'affection de G
que que MM. Cestan et Guillain ont essayé d'isoler sous le nom de «
maladie
familiale à forme de sclérose en plaques ». Les
m de pseudo-sclérose en plaques. Quoiqu'il ne s'agisse pas là d'une
maladie
familiale, nous en donnerons un résumé, car sui
Pas d'ataxie. Il nous semble prudent de ne parler en présence d'une
maladie
sem- AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAMILIAL
la sclérose combinée que l'on trouve dans les rares autop- sies de
maladies
spastiques familiales.Ainsi dans les autopsies de
voulons en aucune façon faire de ce ta- bleau une forme nouvelle de
maladie
familiale ; mais nous pensons que ce cas doit f
nguer au point de vue nosographique des types nettement définis des
maladies
familiales, et en particulier si la distinction
e par MM. Cestan et Guillain entre la paraplégie de Lorrain et leur
maladie
à forme de sclérose en plaque doit être mainten
ques ne prouve qu'une chose, c'est que dans l'une et l'autre de ces
maladies
il s'agit d'un processus anatomo-pathologique dif
athologique diffus. Il nous semble donc inutile de garder le nom de
maladie
familiale à forme de sclérose en plaques, qui r
ion l'aspect dorsal spasmodique. D'une façon générale, toutes les
maladies
familiales semblent être des entités nosographi
t être des entités nosographiques beaucoup moins délimitées que les
maladies
non familiales. Londe a déjà montré il y a lo
y a longtemps qu'il pouvait y avoir des formes intermédiaires à la
maladie
de Friedreich et à l'hérédo-ataxie cérébelleuse.
ment tenté d'expliquer par cette hypothèse la symptomalologie de la
maladie
de Friedreich ; il suppose que dans des système
cette théorie n'explique pas tous les symptômes de cette espèce de
maladie
ni leur localisation variable, elle est cependa
ie, et cer- tains des signes du Friedreich et de quelques formes de
maladies
fami- liales spastiques. Touchant surtout les
la sclérose combinée que l'on trouve dans des affections telles que
maladies
spastiques familiales, maladie à forme de scléros
ouve dans des affections telles que maladies spastiques familiales,
maladie
à forme de sclérose en plaques (Brissaud, Fried
rencontrer des formes intermé- diaires. Si, en admettant le type de
maladie
familiale à forme de sclérose en plaques, on ve
possible que les mouvements convulsifs (1) Bmssnun, Leçons sur les
maladies
nerveuses, 189;i, p. 206. HÉMISPASME FACIAL PÉR
s frères et chez l'autre seule- ment trois ans après le début de la
maladie
, donnait à penser que ces cas se rapprochent pl
eurs particularités dignes de retenir l'attention. Le début de la
maladie
n'a pas été lent, insidieux, comme il est classi-
t classi- que de le rencontrer dans cette affection. Chez l'aîné la
maladie
a com- mencé à l'âge de 14 ans, brusquement, pa
ment des jointures, de telle sorte que, d'après ses indications, la
maladie
aurait eu un début brusque, aigu, douloureux, i
lit depuis le début de son affection. Chez le cadet, le début de la
maladie
a été aussi brusque que doulou- reux. La maladi
et, le début de la maladie a été aussi brusque que doulou- reux. La
maladie
a commencé tout d'un coup, le jeune homme ayant
ne d'attention. Nous avons vu comment l'aîné, depuis le début de sa
maladie
n'a plus quitté le lit ; le cadet,depuis deux moi
e lit ; le cadet,depuis deux mois après le e début douloureux de sa
maladie
, est entré à l'hôpital, parce qu'il ne pou- vai
longueur et de la grosseur, lequel débutant en même temps que la
maladie
, aurait amené un raccourcissement des os d'enviro
osseuse de l'humérus avec fracture, chez un malade atteint de cette
maladie
. ' En outre, le même sujet (l'aîné), se fait re
t demi, les deux autres à six mois. Le quatrième souffre de la même
maladie
que notre patient, et se trouve hospitalisé dans
nq ans en bonne santé. Aucun de ses collatéraux ne souffre de cette
maladie
. .. Antécédents personnels. A l'âge de cinq ans
père l'a pris pour l'aider aux travaux des champs. L'histoire de sa
maladie
date de deux ans, c'est-à-dire depuis l'âge de
dans tous les membres, de sorte que deux mois après le début de sa
maladie
, le patient est conduit à l'hôpital département
l'observation de son frère cadet. Antécédents personnels. Aucune
maladie
sérieuse jusqu'à l'âge de 10 ans. A cet âge-là,
e le commencement de la myopathie dont il souffre. Histoire de sa
maladie
. Pendant ses accès de paludisme il commence par
lade est forcé de garder le lit. Deux semaines après le début de la
maladie
, dans le même temps qu'il souffrait de douleurs,
'âge de 17 ans, c'est-à- dire trois ans encore après le début de sa
maladie
. A cet âge il commença à perdre petit à petit l
l'idée si ré- pandue qu'une violence extérieure peut provoquer une
maladie
articu- laire succède, par auto-suggestion, la
auto-suggestion, la réalisation de l'apparence extérieure de cette
maladie
, et l'on conçoit, dès lors, le rôle possible de l
urri au sein maternel, dentition facile, a marché à 12 mois, aucune
maladie
dans sa première en- fance. A4 ans 1/2, fièvre
ITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 453 La
maladie
actuelle remonte à 4 semaines environ. A cette ép
ignement sur l'en- fance du malade. Depuis l'âge de 4 ans, pas de
maladie
. Les seules manifestations morbides qu'il ait p
ccablé de fatigue, il s'endormit bientôt d'un profond sommeil. La
maladie
actuelle remonte à trois jours. Il jouissait alor
ça à marcher à 11 mois. Dans sa première enfance elle ne fit aucune
maladie
, ce fut toujours un en- fant superbe, nous dit
ment avancé, l'enfant est réglée depuis le mois de janvier 1903. La
maladie
actuelle remonte au mois de janvier 190. L'enfant
, il n'y a jamais eu la moindre fièvre dans toute l'évolution de la
maladie
. La fille étant toute nue debout devant nous, v
ATTITUDES VICIEUSES PAR CONTRACTURE HYSTÉRIQUE CHEZ LES ENFANTS 465
maladie
chronique, une tuberculose osseuse ou articulaire
ilité : elle affirme la date exacte, presque l'heure du début de sa
maladie
, accompagnant son récit d'une foule de petits d
tèbre dorsale, précède la gibbosité, a même existé pendant toute la
maladie
sans gibbosité. Ces cas, d'un diagnostic toujours
érique' a été guéri vite et complètement, il ne s'ensuit pas que la
maladie
le soit aussi. Pitres dit fort justement qu'on
nt que provoquer les accidents. Après suppression de l'accident, la
maladie
persiste donc, et de cela nous devons tenir com
tout, croit d'ailleurs à la possession et ne consent à parler de la
maladie
que lors de la venue de l'inspecteur général Cons
r plus longtemps et que si les prêtres avaient pu les continuer, la
maladie
ne se serait pas étendue si loin et si longtemp
nfructueux, le premier en référa à l'autorité, le second déclara la
maladie
surnaturelle. Des deux côtés, l'impuissance méd
eau curé. Celui-ci n'avait admis que par politique la réalité de la
maladie
naturelle et avait, au fond, les idées de son é
édées, quelques individus s'avisèrent alors d'un nouveau moyen. Une
maladie
éclata chez les bestiaux et de nouveau la populat
itique, puisqu'elle desservait la cause qu'elle prétendait servir ;
maladie
à carac- tère utilitaire puisqu'elle s'amenda p
complexes la clinique et surtout l'anatomie patho- logique de cette
maladie
. Nous étudierons spécialement dans ce mémoire l
t très marqué de la peau. Au point de vue pathogénique, c'était une
maladie
du cartilage primordial se tra- duisant par : a
sentent pas d'altérations paraissant en rapport constant avec cette
maladie
. Des malformations diverses ont été signalées d
etites taches blanches centrales ou marginées.' Cliniquement, ces
maladies
ne présentent pas de disproportion entre les di-
es complications, soit à l'époque différente à laquelle débutait la
maladie
. Eberth, Wyss, Neumann, Schmith, Lessing, Urtel
il nous est difficile de souscrire. «Le rachitisme, dit-il, est une
maladie
acquise, une ossi- fication vicieuse relevant d
nt des raretés discutables. En fait, le rachitisme est toujours une
maladie
acquise. L'achondroplasie, au contraire, est touj
rai nous a bientôt conduit à éliminer toute analogie entre ces deux
maladies
. La lésion essentielle de l'achondroplasie est
ctieux se localiserait directement sur le cartilage. « Si certaines
maladies
infectieuses, comme la fièvre typhoïde, don- ne
streptococciques à de jeunes cobayes, compare l'achondroplasie à la
maladie
de Parrot des nouveau-nés » (Leriche). - On p
dans les auto-intoxi- cations. « Je tendrais, dit-il, à reléguer la
maladie
du cartilage au rang des manifestations seconda
turé d'en conclure que le testicule est l'organe atteint dans cette
maladie
. Une dernière glande sur laquelle l'attention s
sernent des échanges. Il en est de même dans la plupart des autres
maladies
glandulaires. Qu'elles affectent toute l'économ
» cause première, mais la tuberculose, l'alcoolisme, et toute autre
maladie
sclé- 1 rasante pourront agir de même. On ne sa
hez le foetus (Ann. de Gyn. et d'Obstétr., 1903). DEPAUL. - Sur une
maladie
spéciale du système osseux développée pendant la
de la croissance rappelant celui de notre malade. Chez celui-ci la
maladie
semble être congénitale. Le fait qui attire imméd
er l'indication du sexe. Dans 17 il s'agit d'hommes, dans 18 cas la
maladie
concernait par contredes femmes.La proportion est
erne le premier point nous ne nous attarderons pas lon- guement. La
maladie
semble être dans notre cas comme d'habitude con
e voit que des divergences. Certains auteurs la regardent comme une
maladie
locale du cartilage (Parrot, De Buck). D'autres
le est bien constituée ; jamais on n'y a observé de monstres, ni de
maladies
nerveuses ou mentales. La grossesse de la mère
ie. Mais je crois avant tout qu'il ne s'agit certainement pas d'une
maladie
générale qui aurait laissé ses traces dans tout
et dans la jambe. Nous avons déjà vu qu'on ne peut songer ni à une
maladie
ni à une discrasie générale qui auraient laissé
ce qui concerne la polydactylie et la (1) L'ainhmn est le nom d'une
maladie
qui a été décrite pour la première fois par Sil
u- leur jusqu'à la chute de l'orteil. Menzel (61) a démontré que la
maladie
es cons- tituée par des bourgeons épithéliaux q
y a des au- teurs qui pensent à un défaut de développement dû à une
maladie
générale du foetus; et d'autres, enfin qui reco
path. Anat. Bd. 19, n" 1. 23. FEDE Ftrfizio. - Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, 1901, mars. 24. CHARRIN ET Le PLA
ut frappé par le choléra. Cinq ou six jours après le début de cette
maladie
le malade s'aperçut d'un tremblement aux membre
incontinence des urines et des matières dans les derniers temps de
maladie
, démarche ataxo-cérébelleuse et spastique. Cett
et qui, en 1800, s'étant soumis à un traitement mer- curiel, vit la
maladie
s'arrêter et rester stationnaire. Niepce (2) a
disparaître les tremblements fibrillaires et enraya complètement la
maladie
. Mais tous ces faits étaient oubliés ou méconnu
) Niepce, Académie de Médecine, avril 1853. (3) Hammond, Traité des
maladies
du système nerveux, p. 604 et suiv. (4) Raymond
uis plus de 16 ans. Un des malades de Léri est mort après 16 ans de
maladie
, un autre de ses malades est atrophique de- pui
ue l'inflammation mé- ningitique généralisée. Ce n'est pas avec des
maladies
de cette intensité qu'il est légitime de tirer
me il arrive souvent chez les individus de notre espèce affectés de
maladies
mentales ». NOUVELLE ICONOGRAPHIR DE LA SALPÊTR
sus-Christ était un médecin plus-excellent puisqu'il guérissait les
maladies
du corps et de l'âme, et que ses serviteurs par
tidler). SAINT PANTALÉON, MÉDECIN 617 7 efficacement à toutes les
maladies
qu'il guérit non par les règles infidèles d'Ili
saints inconnus en France, mais invo- qués par ailleurs contre les
maladies
. A la vérité, tous n'étaient pas mé- decins de
léon, et l'histoire ajoute : « Il faut croire que les pestes et les
maladies
de la ter- rible.guerre de Trente ans ont contr
se- maines sans abri, comme des bêtes sauvages. «Alors éclata la
maladie
. Tous les villageois,au sortir de la forêt,étaien
sont-ils suffisants pour per- mettre de conclure à l'hérédité de la
maladie
exostosique ? Oui, jusqu'à un certain point, su
moment donné de leur évolution, peuvent déterminer l'éclosion de la
maladie
primitive ou les laisser in- demnes des manifes
ons dont ils portent le germe. Quoi qu'il en soit, l'hérédité de la
maladie
exostosique est fréquente ; cette fréquence est n
rmation du squelette les données admises actuellement pour d'autres
maladies
héréditaires et familiales, il a cherché à montre
onsidérations précédentes, nous sommes amenés à nous demander si la
maladie
exostosique n'est pas proche parente du rachiti
rédisposés. 11 est un dernier chapitre de l'histoire clinique de la
maladie
exostosi- que qu'il nous resterait à étudier, c
nel mourut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mourut d'une
maladie
mal précisée; il semble qu'elle ait traîné un t
obuste ; ses parents ne se sou- viennent pas qu'il ait souffert des
maladies
communes de l'enfance ; ils affirment qu'il s'e
s trouvons : en ligne ascendante, sa mère qui mourut à 35 ans d'une
maladie
à long cours qui dura un an et commença par une
rasme; un de ses oncles paternels mourut à 40 ans à peu près, d'une
maladie
indéterminée des organes respiratoires. Ses paren
respiratoires. Ses parents racontent que durant les six mois de sa
maladie
le malade avait toujours de la toux. En ligne
uffre- teuse : elle eut durant l'enfance et l'adolescence de graves
maladies
qui toutes semblent avoir entamé l'appareil res
eil respiratoire fonc- tionne bien et ne présente pas de traces des
maladies
précédentes. Sur la clavicule gauche, près de l
au et des muqueuses visibles ro- sés : il a vaincu heureusement les
maladies
communes de l'enfance. Il a le long de la crête
cluent leur ouvrage en affir- ment que bien que la pathogénie de la
maladie
exostosique ne soit pas en- core parfaitement c
xos- toses, aux processus irritatifs chroniques représentés par les
maladies
constitutionnelles ou générales de l'organisme
émis l'hypothèse que la phtisie est sus- ceptible de déterminer la
maladie
exostosique. » On peut à cela faire l'objection
son côté, note, au contraire, que l'infection de Koch, soit dans la
maladie
des exostoses, soit chez les ascendants et collat
elle des sujets exostosiques décédée, comme nous avons dit, par une
maladie
qui se traînait en longueur avec de la toux et av
à priori, exclure l'influence de la phtisie sur la pathogénie de la
maladie
exostosique. - Je crois donc pouvoir conclure m
nière : En l'état actuel de nos connaissances sur l'étiologie de la
maladie
exos- tosique, spécialement dans les cas d'exos
e. L'autopsie de L... ne nous a pas révélé le point de départ de la
maladie
infectieuse dont il fut atteint. L... était déj
Ons I. La mère, Mme F..., âgée aujourd'hui de 50 ans, n'a eu aucune
maladie
au cours de sa vie, a mené à bien sept grossesses
est régulier. OBs. II. - F. Augustine, 18 ans. Née à terme. Pas de
maladie
dans l'en- fance. La croissance s'est arrêtée v
du fond de l'oeil. OBS. III. F. Alphonse,14 ans. Né à terme. Aucune
maladie
dans l'enfance. Garçon assez vigoureux, normale
à moins de 1/5. OBS. IV. F. Rosette, 20 mois. Née à terme. Pas de
maladies
infantiles. Est amenée à la consultation de M.
re de celui du foetus. D'autre part, on ne retrouve pas toujours la
maladie
infectieuse qui se- rait intervenue chez la mèr
e de l'intoxication. Il est remarquable que dans ces divers cas, la
maladie
du foetus ne se pro- pageât point à la mère et
nt de l'or- ganisme maternel dans lequel il vit sans déterminer une
maladie
c'est dans l'organisme foetal qu'il acquiert to
près lui et c'est bien tout de même l'an- nexe qui aura provoqué la
maladie
du foetus et déterminé la pseudencéphalie. L'ar
ne de superposition de deux états : l'anomalie qui est précoce ; la
maladie
qui intervient entre le troisième et le sixième m
oetus plus âgés encore. Dans tous les cas, il s'agit bien ici d'une
maladie
foetale et non pas d'une anomalie précoce de l'
maladie foetale et non pas d'une anomalie précoce de l'embryon ; la
maladie
peut évidemment intervenir chez des sujets préa
ez des sujets préalablement affectés d'une anomalie de la moelle.
Maladie
et anomalie. - C'est une erreur assez répandue qu
répandue que de considérer l'anomalie comme la forme spéciale de la
maladie
intra-utérine. L'exemple que nous avons sous le
ntre, en effet, qu'il n'existe aucune différence essentielle entre la
maladie
du foetus et la maladie de même nom de l'adulte
iste aucune différence essentielle entre la maladie du foetus et la
maladie
de même nom de l'adulte. Les processus anatomique
e, la prolongation de l'évolution de ces pro- cessus caractérise la
maladie
foetale. Des deux côtés, nous retrouvons la des-
leurs là rein de surprenant. 690 RABAUD Entre l'anomalie et la
maladie
intra-utérine, il n'y a qu'un seul point com- m
foetale, avec des variétés ? Ces variétés tiennent à la durée de la
maladie
: la néoformation vasculo- conjonctive se subst
atoire. C'est bien là l'association fréquente de l'anomalie avec la
maladie
, association qui a contribué pour sa part à créer
plique ainsi très simplement; il repose sur un caractère commun, la
maladie
, isolée dans un cas, se superposant, dans l'aut
t l'anencéphalie représentent des degrés divers d'une seule et même
maladie
congénitale. II. Cette maladie est une méningit
degrés divers d'une seule et même maladie congénitale. II. Cette
maladie
est une méningite à début cérébral qui se propage
nées relati- vement à la différence existant entre l'anomalie et la
maladie
, à la significa- tion de l'hémicrânie, etc., et
u le difforme, il reproduit les attributs réels et ty- piques de la
maladie
et de la tératologie ; de même les rêves émouvant
ar MATIGNON, 210. Déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de Paget (2 pl., 2 fig.), par MocQuoT et MOUTIE
seurs des -) (2 pl.), par Henry MEIGE et RUDLER, 112. Friedreich (
maladie
), et lzérédn-alaxie cé- rébelleuse (8 pl.), par
hérique (1 pi.), par BABiNsKi, 419. Hérédo-ataxie cérébelleuse et
maladie
de Friedreich. (8 pl.), par RAYMO'OE, 5 et 12
AGNIEZ, 661. Pagel (Déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de -) (2 pl., 2 tig.), par J\locQuoT et Moutier
ladie de -) (2 pl., 2 tig.), par J\locQuoT et Moutier, 61. Paget (
Maladie
osseuse de ) trois cas observes dans une même f
MEIGE, 234. Squelette (Déformations séniles du - si-, mutant la
maladie
de Pagel) (2 pl.; 2 fig.), par MOCQUOT et Mouti
MocQuoT et Moutier. Déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de Pa- get (2 pl., 2 fig.), 61. NoiCA. Deux f
ive progressive (1 pl., 1 fig.),426. QEttinger et E. Agasse-Lafont.
Maladie
710 TABLE DES AUTEURS osseuse de Paget. Trois
ie et de l'anencéphalie (6 pl., 12 fig.), 345, 602, 675. Raymond.
Maladie
de Friedreich et hérédo- ataxie cérébelleuse (3
des orteils dans l'Art (Laignel- LAVAST[1\'E), XVII. Friedreich (
maladie
de -) et hérédo-ataxie, cérébelleuse (RA BlOND)
ial périphérique (Babinski) YLV111. Herédo-ataxie cérébelleuse et
maladie
de Friedreich (Itnrnlonn), là à III, XVIII à
e et maladie de Friedreich (Itnrnlonn), là à III, XVIII à XXII.
Maladie
osseuse de Paget familiale (ont- TI1'o'GEH et A
UROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIARCOT
US LA DIRECTION DE MJI. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
le clinique (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
ndant les mois de septembre et d'octobre. Au mois de novembre, la
maladie
s'accentua : les phénomènes anciens devinrent p
l ne peut fournir aucun renseignement exact, ni sur la marche de sa
maladie
, ni sur les sensations qu'il éprouve actuelleme
que produit par une artérite oblité- rante. ' Traité pratique des
maladies
du système nerveux, t. I, p. 424, il édition, 1
élisme n'est pas propre à l'épilepsie. On le remarque dans d'autres
maladies
. Ainsi Otto a vu que la saignée diminuait le no
'on attribue généralement à diverses intoxi- cations et à certaines
maladies
infectieuses. Nous en avons été frappés et cela
e ce soit des arguments solides contre 1 Duclaw. - Le microbe et la
maladie
. 24 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. notre théorie p
pide coup d'oeil sur la marche des accidents et l'évo- lution de la
maladie
, nous fera mieux comprendre encore. Nous avons
ction et hétéro-infection. TRAITEMENT T Il n'y a peut-être pas de
maladie
où le traitement soit aussi varié que dans l'ép
de la non-effi- cacité de tous ces moyens etdel'incurabilité de la
maladie
dans la plupart des cas. Dans ces derniers temp
vue les différents médicaments que l'on doit recommander dans cette
maladie
. Nous avons établi que l'épilepsie générale, ap
ccès paroxystique et la deuxième vise les causes qui déterminent la
maladie
. La conception pathogé- génique de cette affect
s ses cas à aura, nous ne parvenons à un heureux résultat que si la
maladie
est d'ori- gine réflexe et non d'origine sympto
ont des épileptoïdes et non des épileptiques vrais. La marche de la
maladie
en effet n'est pas la même et la terminaison en
ut que par la direction qu'il va donner à l'enfant atteint de cette
maladie
, il lui évite des excitations funestes. Il doit
et à son habi- tation. Parmi les enfants atteints de cette terrible
maladie
, les uns sont intelligents, les autres sont déb
n mot, ni que ce soit une notion superflue pour la connaissance des
maladies
mentales. Il est des incorrections physiques, s
HOLOGIE MENTALE. VII. Rapport des anomalies morphologiques avec LES
maladies
NER- YEUSES ET MENTALES ENDOGÈNES; par SOMMER.
re les déviations morphologiques de la construction du crâne et les
maladies
neuropsychopathiques endogènes un rapport ou no
tout le monde abhorre ou craint un peu, comme la nuit, la mort, les
maladies
, les serpents, etc.; 2" peur de conditions spéc
qui s'as-ocient fréquemment, elles ne constituent en réalité qu'une
maladie
unique (Raymond). Le tabes et la paralysie géné
ue (Renaut). Le tabes associé à la paralysie générale constitue une
maladie
systématique affectant 48 REVUE DE PATHOLOGIE M
rébro-spinal, c'est un tabes psycho-sen- soriel (Pierret). Les deux
maladies
n'en font qu'une capable de se localiser divers
par la seule observation clinique, que chez les fous périodiques la
maladie
est permanente : même dans les intervalles, pen
uls pério- diques qui ne commettent pendant les accès aigus de leur
maladie
aucun acte nuisible. CAMUSET. II. Considérati
très variés et ne réalisent que rare- ment l'aspect clinique d'une
maladie
déterminée (neurasthénie, hystérie, épilepsie).
ne manquent plus d'invoquer, les uns et les autres, l'excuse d'une
maladie
susceptible, ou de jeter un doute dans l'esprit d
rime, n'avait pas figuré, jusqu'à présent, dans la nomenclature des
maladies
auxquelles on pouvait recourir, à l'oc- casion,
la sensation telles que le sens de la température. P. KERAVAL. V.
Maladie
DE ET lèpre; par Frenkel. (821TO10(J. - Central
de Zambaco-Pacha sur la lèpre : identité de la syringomyélie, de la
maladie
de Morvan, de l'asphyxie locale, de la gangrène
vant, accidents secondaires, pas de traitement sérieux. Début de la
maladie
il y a deux ans par de la céphalée, des vertige
e. Il y a surtout à retenir de cette observation : le début de la
maladie
seulement à l'âge de quinze ans; l'envahissement
es dans cette affection. Du reste le tabes est loin d'être la seule
maladie
nerveuse qui justifie la loi de corrélation ent
t-six ans par des douleurs fulgu- rantes aux membres inférieurs. La
maladie
se manifeste sous une forme remarquablement sen
mpagnée de plusieurs phénomènes qui pourraient manquer, sans que la
maladie
cessât d'être une véritable migraine ophalmique
e. CAMUSET. XIX. La NOTION étiologique DE L'IlRDO-SYPEIILIS dans la
maladie
DE LITTLE; par MM. les D"S Fournier et Gilles D
ETTE. (Noua. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, n° 1.) Deux cas de
maladie
de Little, dans lesquels l'hérédo-syphilis semb
hique lourde. Un premier enfant mort en bas âge était atteint de la
maladie
de Little. Le second, , REVUE DE PATHOLOGIE NER
ux cas, le diagnostic s'impose, il s'agit évidemment de deux cas de
maladie
de Little. Sans préjuger de la nature intime de
s lésions cérébrales ou médullaires, sans rechercher non plus si la
maladie
de Little n'est qu'une variété d'une grande cla
t-il les considérer comme atteints d'idiotie morale congénitale, de
maladie
psychique endogène. Cette idiotie 'morale doit-
tie morale ne peut être employée qu'après élimination de toutes les
maladies
qui ont parmi leurs symptômes un arrêt de dével
nce et sans qu'on puisse les consi- dérer comme les symptômes d'une
maladie
psychique. Est-il pos- sible de séparer ces cas
nauté. Dans les cas que nous envisageons, manque le critérium de la
maladie
, à savoir le dommage infligé directement à l'in
re atteints d'une affection mentale. Caractère criminel endogène et
maladie
psychique 'sont deux concepts différents. La fo
et si controversé qui, à aucun prix, ne doit être confondu avec les
maladies
mentales auxquelles l'hystérie peut s'associer
phalite interstitielle chez l'homme que chez la femme, rareté de la
maladie
chez les femmes des classes riches (4 ou 5 p. 1
de para- lysie générale conjugale. Parmi les autres facteurs de la
maladie
, M. Pierson range l'hérédité, les traumatismes
ultats satisfaisants, parfois il a même amené une aggravation de la
maladie
. Paul Sérieux. II. ORIGINE ET progrès DE la m
depuis 1870) du taux de la mortalité, le caractère chronique de la
maladie
, et la fâcheuse fréquence des rechutes. L'aug
ette fureur homicide transitoire et où la classer dans le cadre des
maladies
mentales ? Nous ne connaissons aucun aliéniste
Comme antécédents de famille on relate que la mère est morte d'une
maladie
de coeur, que le père qui est sourd, passe pour
ion, pas plus qu'il ne peut s'agir de tétanos pour le second, cette
maladie
néces- sitant une incubation d'une certaine dur
été commis le crime dont Marie C... s'est rendue cou- pable. Cette
maladie
a-t-elle pu influer sur les déterminations de l
able anesthésie morale. Un autre effet encore plus certain de celte
maladie
, c'est un amoindrissement notable de l'énergie
e la détermination de la fille C... ait été influencée par la grave
maladie
survenue chez elle avant l'accouchement, ou tout
stérie traumatique grave depuis le mois de juillet 1894; 3° Celte
maladie
a déterminé chez elle une déséquilibration ment
ait rendre le plus de service jusqu'à ce moment dans cette terrible
maladie
. Son action physiologique a été parfaitement ét
LOGIE PATHOLOGIQUE. CONCLUSIONS : 1° L'épilepsie générale est une
maladie
héréditaire et ses manifestations sous la dépen
, dit M. Redlich, une lésion anatomique fixe qui est la cause de la
maladie
de Parkinson. L'auteur en possède sept observatio
noté comme précédant ou accompagnant assez sou- vent le début de la
maladie
, la menstruation, le mariage, la mas- turbation
nnent dans l'état des affaires, les grèves, etc., l'ap- pdrition de
maladies
épidémiques comme l'influenza, ou l'existence d
tive est meilleur que celui de la forme délirante. La durée de la
maladie
, pour les cas traités dans les asiles, peut êtr
a guère été inférieure à cinq ans. Les caractères cliniques de la
maladie
ont été tels qu'on les a décrits à cette période
des localisations corticales est dans les mêmes relations avec les
maladies
du cerveau que l'aus- cullalion et la percussio
jonctif, localisées du côté nasal jusqu'à une période avancée de la
maladie
, et envahissant plus tard le côté temporal. Le
- ment de ce symptôme pourrait servir de mesure aux progrès de la
maladie
. (American journal ofinsanity, janvier 1895.) E.
ertains jours jusqu'à 40,1 ; deux mois et demi après le début de la
maladie
elle meurt, et à l'autopsie on trouve entre aut
e de la prédisposition et des causes dites occasionnelles, dans les
maladies
mentales . M. ToULOuzr étudie d'abord la prédis
rels. Tout le monde, en effet, n'est pas également prédisposé aux
maladies
infectieuses, et il est des tempéraments réfracta
és si l'on veut. Peut-être la prédisposition de ces individus à une
maladie
par- ticulière pourra un jour être décelée par
ée par les recherches où la téra- togénie aura une grande part : la
maladie
de Lillle ne frappe-t-elle pas les individus do
qu'aucune force ne se perd. En fait, l'alcool, un traumatisme, une
maladie
infectieuse, une émotion n'agissent pas toujour
auvaise voie quand on a voulu décrire des folies spéciales à chaque
maladie
, à la puer- péralité, au cancer, à l'anémie, et
tin, 9 heures. Deuxième question du pro- gramme : Corps thyroïde et
maladie
de Basedow ; rapporteur, M. le En dehors de cet
le Rappel de l'Ettre, avait perdu la raison à la suite d'une grave
maladie
de sa femme, et par un singulier revirement, de
une phtisie pulmonaire et rappelle que l'on a diagnostiqué diverses
maladies
du cerveau : apoplexies, etc., là où il s'agiss
ées que les méninges du cerveau. Charcot, dans ses Leçons sur les
maladies
du système nerveux, tome II, 1880, dit qu'on peut
malade et par son médecin : Pas d'antécédents héréditaires. Aucune
maladie
antérieure grave. Santé habituelle parfaite. Au
ari est mort phtisique; elle l'a soigné pendant tout le cours de sa
maladie
: elle a dû se fatiguer beaucoup, passer des nu
s trophiques, etc. La mort survient réguliè- rement par suite de la
maladie
primitive. Il est évident que tous les symptôme
n, âgé de quarante-trois ans, a souffert à l'âge de vingt ans d'une
maladie
de poitrine. Depuis cette époque il souffre de
nt atteinte en 1886, sinon en 1884. Quelque temps avant la mort, la
maladie
a fait des progrès rapides, comme nous pouvons
nt délirante, aussi vivement hallucinée qu'aux premiers jours de sa
maladie
, quand elle sort une semaine après son entrée s
celle de Paris, une clinique spécialement consacrée à l'étude des
maladies
nerveuses, elles comptent du moins dans leur corp
ations et des opérations intellectuelles. Comment se traduisent les
maladies
, les lésions du cerveau ? Elles se traduisent p
-t-il pas évident que tout médecin doit connaître les symptômes des
maladies
du cerveau, y compris les modifications de l'in
ris les modifications de l'intelligence, à l'égal des symptômes des
maladies
des autres organes, coeur, reins, poumons ou tu
ns de la vue, qui ne sont pas accidentelles, mais font partie de la
maladie
et entrent en quelque sorte dans la constitutio
ts, ni chez les descendants. Pas de sénilité apparente pro- noncée.
Maladies
antérieures : rhumatismes subaigu chronique art
pleine conscience, il diminue ou disparaît les derniers jours de la
maladie
. Les malades ont conscience de la gravité de le
s'observe pas ou bien ne se déclare qu'à une époque éloignée de la
maladie
; chez le persécuté sénile on retrouvera souvent
malin). - Présidence DE M. Joffroy. Question II : Corps thyroïde et
maladie
de Basedow; rapporteur, M. Brissaud. M. BRHS4
entent des signes analogues et parfois même identiques à ceux de la
maladie
de Basedow. - b) Dans la maladie de Basedow, si l
rfois même identiques à ceux de la maladie de Basedow. - b) Dans la
maladie
de Basedow, si le corps thyroïde n'est point vo
la glande, l'lcypcrtlryt·oïdcztio>i, provoquait l'éclosion'de la
maladie
de Basedow. Mais le goitre exophtalmique, consi
rs un signe primordial. Dans - l'épilepsie c'est l'absence; dans la
maladie
de Basedow c'est la ta- chycardie perçue (palpi
sont les causes nerveuses accidentelles, les chocs émotionnels, les
maladies
thyroïdiennes. A la suite d'une thyroïdite suba
ite subaiguë, d'origine grip- pale par exemple, on a vu évoluer une
maladie
de Basedow mais très incomplète dans son expres
apitre le plus important vise les lésions du corps thyroïde dans la
maladie
de Basedow. On pensa tout d'abord ¡que l'hyper-
rtrophie thyroïdienne n'est pas proportionnelle à l'intensité de la
maladie
, ce qui militait en faveur d'une modifi- cation
mes auquel il convient de pratiquer la section pour provoquer cette
maladie
de Basedow expérimentale : c'est juste à la hau
, dans cette seconde hypothèse, si l'hyper- thyroïdisation cause la
maladie
de Basedow, comment agit-elle sur les centres n
ire les chirurgiens, le seul traitement rationnel et efficace de la
maladie
de Basedow est l'intervention chirurgicale. Ils
ues morts subites; en raison de la friabilité des vaisseaux dans la
maladie
de Basedow et vu la nécessité de faire l'opérat
B. Médication thyroïdienne. S'il est un traitement illogique de la
maladie
de Basedow, c'est bien à coup sûreeliti qui consi
il semble avoir donné quelques bons ré- sultats ! Appliquer à deux
maladies
contraires la même méthode thérapeutique, surto
ile, mais encore avait exagéré considérablement les symptômes de la
maladie
de Basedow (Horsley, Canter, Marie). Nous n'avo
iques où l'on a vu les symptômes du myxoedème succéder à ceux de la
maladie
de Basedow. Elle expliquerait aussi comment, da
« S'il est vrai que, chez l'homme, les symptômes observés dans la
maladie
de Basedow relèvent également de l'liyperthyroïdi
rocède Pliyperthyroidation. Nous ne savons pas, dit-il, si, dans la
maladie
de Basedow, c'est le bulbe ou la glande thyroïde
'élimination, les canaux excréteurs de la glande thyroïde ; dans la
maladie
de Basedow, ils n'existent plus. Les coloration
expérimentale et qu'on ne manque guère de constater au début de la
maladie
de Basedow. C'est la période fonc- tionnelle.
ce dernier travail, le goitre exophtalmique est considéré comme une
maladie
infectieuse et la cause morhigbne de la ma- lad
r des explications proposées pour rendre compte des symptômes de la
maladie
de Basedow ? La théorie de la sécrétion exagéré
les faits. Personne jusqu'à présent n'a reproduit intégralement la
maladie
par les injections répétées de liquide thyroïdi
érapeutiques ne sont pas plus démons- tratifs. Dans certains cas la
maladie
parait avoir été aggravée par l'extrait thyroïd
ntradiction dans les effets du traite- ment chirurgical. Ainsi la
maladie
de Basedow ne peut actuellement s'expliquer par
lus : on pourrait par des raisons aussi vraisemblables expliquer la
maladie
par une insuffisance de cette sécrétion. En eff
e cette sécrétion. En effet, tous les symptômes secon- daires de la
maladie
, tremblements, contractures et convulsions, par
orie pourrait être soutenue, on peut penser que les symptômes de la
maladie
dépendent de l'intoxication de l'organisme par
s théories qui essayent d'expliquer le mécanisme pathogénique de la
maladie
de Basedow, il en est une qui est à l'ordre du
parti d'ailleurs qu'on en puisse tirer) pour l'interprétation de la
maladie
de Graves. M. Gley a par avance fait la critiqu
idents de myxoedème a provoqué des symptômes analogues à ceux de la
maladie
de Basedow, tachycardie, instabilité, du pouls,
l'exophtalmie. Ces symptômes rappellent le tableau clinique de la
maladie
de Basedow sauf l'augmentation de volume du corps
5pertliyroïdisation a reproduit un bon nombre des symp- tômes de la
maladie
de Basedow ; on ne peut dire qu'on détermine l'
efficacité du traitement par le suc thyroïdien dans certains cas de
maladie
de Basedow à la période secondaire d'hypothyroï
dans la genèse de la ma- ladie de Basedow, a cherché à rattacher la
maladie
à des lésions destructives du corps thyroïde (t
be, ou accessoirement dans la moelle, les noyaux qui président à la
maladie
de Basedow, et, secondairement, ,1'hy- 238 SOCI
ser les termes du problème. Personne n'a reproduit intégralement la
maladie
en injec- tant du liquide thyroïdien si j'en cr
ez un SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 malade du service de la Clinique des
maladies
mentales le trai- tement préconisé par Mikulicz
entales le trai- tement préconisé par Mikulicz (de Breslau) dans la
maladie
de Basedow, l'ingestion de thymus. Notre sujet,
disposée hérédi- taire, présentait outre les signes physiques de la
maladie
, des troubles mentaux caractérisés par des idée
la suite de l'emploi de la thyroïdine ou du corps thyroïde dans la
maladie
de Basedow. Au contraire, l'agitation a paru di
(de Bordeaux) lit une observation relative à une femme atteinte de
maladie
de Basedow typique. Cette femme était une hysté
yroïdienne lui assigne. Si l'on suit attentivement l'histoire de la
maladie
depuis son enfance, on est porté plutôt à cherche
ive, si je ne me trompe, au sujet de l'excitation génésique dans la
maladie
de Basedow. Se produit-elle chez la femme et fa
el (de Vannes) communique une observation de paralysie généraleavec
maladie
de Basedow et tabes combinés. Le goitre exophta
S SAVANTES. ' M. MADiLLE(de la Rochelle) apporte une observation de
maladie
de Graves guérie à la suite d'une grossesse nor
tique personnelle deux observa- tions typiques de l'existence de la
maladie
de Basedow avec le myxoedème. Ces faits semblen
vé récem- ment. 11 s'agit d'une malade qui a présenté à la fois une
maladie
de Basedow, une cirrhose hypertrophique thyroïd
. Peut-on ne pas reconnaître que tous deux sont atteints de la même
maladie
? Peut-on, dans le second cas, ne pas porter le
chez le paralytique général ; et, en fin de compte, la marche de la
maladie
est bien différente dans les deux cas. Quant à
qu'il a déjà exprimé, il souhaite qu'un ensei- gnement officiel des
maladies
mentales, avec stage scolaire des étudiants, so
rveau. - Cette forme doit être séparée de la paralysie générale. La
maladie
, due 'à des lésions athéromateuses des vaisseau
des états hallucinatoires. La mobilité des symptômes au début de la
maladie
est un signe im- portant. Les accès d'obnubilat
par les médecins compétents : t L'ivrognerie, y est-il dit, est une
maladie
sociale si grave, l'opinion publique s'est pron
liminé les cas d'origine toxique (alcool, morphine, cocaïne, plomb,
maladies
aiguës fébriles). Des hallucinations ou des ill
l'immobilité sont des manifestations épisodiques. , Le début de la
maladie
est précédé d'un stade prodromique dont la duré
rechutes. Le poids du corps diminue dans les premiers temps de la
maladie
. La durée moyenne est de quatre mois et demi; les
t dix-huit ans). Un tiers des patients étaient des héréditaires; la
maladie
s'est rencontrée chez des sujets jusque-là norm
on note : un état physique défectueux (anémie, embarras gastrique,
maladies
de l'oreille), des causes dépressives (maladie
embarras gastrique, maladies de l'oreille), des causes dépressives (
maladie
ou mort de parents, soucis, chagrins, amour malhe
GEOTTE, Chef des travaux d'anatomie pathologique de la Clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière '. Les faits sur l
descriptions histologiques est' que, dans un certain : groupe de
maladies
nerveuses chroniques, dont la clinique. nous mont
les lésions vasculo-conjonctives caractéristiques de cha- cune des
maladies
que nous avons en vue névrite trans- verse pour
en portants et sa femme est acluellement enceinte. Histoire de lu
maladie
. Depuis lontemps Wek.. se plaint de maux de tê
syphilis est considérée comme possible. Évolution ultérieure de la
maladie
. L'état du malade reste à peu près stationnaire
me, morte de la poitrine, n'a pas eu de fausse couche. Il nie toute
maladie
véné- rienne, ne porte aucune trace suspecte et
porte aucune trace suspecte et n'est pas alcoolique. Histoire de la
maladie
. - En 1879, le malade commença à res- sentir de
uarante-cinq mois au moment de son service militaire. Début de la
maladie
au commencement de 1889, par une sensa- tion de
iolo- "gique n'a pu être relevée : ni alcoolisme, ni saturnisme, ni
maladie
infectieuse. Les quatre symptômes cardinaux de
ions de polynévrite à rechutes citées par Eichhorst, la durée de la
maladie
a augmenté avec la répétition des rechutes : la
ue (n"5, 1894). Il s'agit du frère et de la soeur atteints de cette
maladie
exactement au même âge, vingt-six ans, et de la
e similitude de symptômes entre l'hérédo- ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Freidreich : l'une et l'autre sont surtout u
use et la maladie de Freidreich : l'une et l'autre sont surtout une
maladie
de l'équilibration générale. Et cependant la di
vue des lésions : alors qu'on trouve, dans toutes les autopsies de
maladie
de Friedreich, des lésions dégénératives très é
l'analogie du tableau clinique ? le cervelet est-il touché dans la
maladie
de Friedreich ? Ce qui est REVUE DE pathologie
système cérébello-médullaire encore imparfaitement connu : dans la
maladie
de Friedreich, le système cérébello-médullaire
fluenza. La névrite périphérique se développe fréquemment après des
maladies
aiguës telles que la fièvre typhoïde, le typhus
gard, le mot de Cullen n'est pas très loin de la vérité que c toute
maladie
est une sorte de maladie nerveuse ». Et de fait
est pas très loin de la vérité que c toute maladie est une sorte de
maladie
nerveuse ». Et de fait, le système nerveux est
fait, le système nerveux est plus ou moins atteint dans toutes les
maladies
et en soignant les maladies du système nerveux, n
t plus ou moins atteint dans toutes les maladies et en soignant les
maladies
du système nerveux, nous recherchons et portons
qui surviennent au cours de l'ataxie locomo- trice constituent 'une
maladie
spéciale placée sous la dépendance du tabes dor
atiques de Paris, les conceptions nouvelles sur la pathogenèse delà
maladie
de Marie de même que sur les relations nosograp
ut survenir. 2° Dans les faits qui constituent le second groupe, la
maladie
est au contraire nettement progressive et incu-
l ainsi que de ces deux cas conduisent à admettre l'existence d'une
maladie
caractérisée cliniquement par une paraplégie sp
intervenir la fragilité héréditaire d'un territoire nerveux et la
maladie
infectieuse ne fait qu'accélérer la dégénération
J 322 SOCIÉTÉS savantes. les symptômes qui caractérisent cette
maladie
: épaississement de la peau, des mains, des pie
sthénies génitales, intestinales, etc. La neurasthénie est donc une
maladie
du tonus. Le tonus est un réflexe (Broudgeest),
et fait' plusieurs séjours à l'Antiquaille pour les accidents de sa
maladie
. A son dernier séjour, en février 1893, elle es
chlorhydrate d'apocodérzie; par M. le Dr Toy, chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de Lyon. Il résulte de qu
par M. Bourneville. En rapprochant ces deux cas de l'observation de
maladie
de Base- dow traitée de la même façon et rappor
e l'intervention médicale en hydrothérapie dans son application aux
maladies
nerveuses. Dans ce travail l'au- teur, dont la
a nécessité d'en diriger et surveiller les effets, surtout dans les
maladies
ner- veuses, et rappelant combien l'eau froide
lles sont très médiocres, mais la malade a toujours été de même; la
maladie
n'a donc aucune influence fâcheuse sur elle au
sé qu'avant toutes choses il convenait d'éta- blir si oui ou non la
maladie
de Duchenne-Aran devait être net- tement différ
e de la sclérose latérale amyotrophique. <" ' ' ) » Mais si la
maladie
de Charcot, la pachyméningite cervicale hypertr
harcot faisait une lumineuse revision des atrophies musculaires, la
maladie
Duchenne-Aran ne possédait-elle plus la premièr
servent naturellement de véhicules à la transmission de toutes les
maladies
contagieuses. C'est en partie à eux qu'est due
venue de se procurer quelques années de repos en simulant une bonne
maladie
. C'est ainsi qu'il s'est donné tous les caractè
es'épileptiques. GUERTIN. Essai sur le rôle de l'infection dans les
maladies
du système nerveux central.- BAU7.AN. Du traite
ve- loppement de la folie. - MAUGUE. Contribution à l'étude de la
maladie
de Raynaud. VAZELLE. Contribution à l'étude des f
d'épilepsie. Fayet. Les aponévroses cervicales. Amy. Essai sur la
maladie
de Graves-Basedow. Ducroux. Contribution à l'étud
Ducroux. Contribution à l'étude de la neurasthénie. Rapports de la
maladie
de Breard avec les mala- dies infectieuses. LE
a- dies infectieuses. LE Maître. Des états cataleptiques dans les
maladies
mentales- Moricet. Contribution à l'étude des hyp
Geislesliranken. Springer. Berlin, 1893. ' H. Dagonet. Traité des
maladies
mentales. Paris, 1894. ' V. Krafïl-Ebing. Lehrb
Pî,actica Medicina contient des vues exactes sur le pronostic des
maladies
mentales, sur la manie et la mélancolie', dis-
re exclue de cet établissement : aussi 1 Marcé. Traité pratique des
maladies
mentales. Paris, 1862. ASSISTANCE DES ALIÉNÉS E
ictés en vue de pourvoir à l'hospitalisation des sujets atteints de
maladies
mentales. En -170, d'après un règlement d'assis
médecins que l'on doit l'inauguration du trai- tement rationnel des
maladies
mentales dans des asiles spé- ciaux ; ils euren
psodieen, travail devenu classique, sur le traitement psychique des
maladies
mentales. Il y trace une émouvante description
prend avec Kaissler la publication d'une Revue de thérapeutique des
maladies
mentales. Dans ses Iihap- sodieen et dans son é
t de traitement x (/7e</a) ! a/<) pour les sujets atteints de
maladies
mentales curables. La renfermerie de fous fondé
ndance à abuser, ne furent plus employés qu'à titre 1 Esquirol. Des
maladies
mentales, t. II, p. 401. 1 En 1804, Glawnim dir
piraYualiste ou psychologique pour laquelle la folie n'était qu'une
maladie
de l'âme, engendrée par le vice et la dépravati
que s'organisait à Leipzig et à Berlin l'enseignement clinique des
maladies
mentales, Nasse fondait à Bonn en 1818, une Rev
retentissement. En 181, parut la première édition de son Traité des
maladies
mentales, réédité ensuite en 1861'. Grie- singe
é que leur état le permet..., on les , 4 ' Griesinger. Traité des
maladies
mentales. 1861. Trad. franc. Paris, 1865. . 3
s exigences, trop longtemps mécon- nues du traitement rationnel des
maladies
mentales. Pour donner satisfaction aux desidera
tion aux desiderata de la science psychiatrique 1 J.-P. Falret. Des
maladies
mentales et des Asiles d'aliénés. Paris, 186'r.
ieuse un chiffre aussi considérable ('100) d'aliénés. » (Traité des
maladies
mentales, p. 578). Un pavillon spécial était ré
pour être admis, ne devrait point avoir été traité ailleurs; 2° sa
maladie
ne devrait dater que d'un an au plus; 3° aussit
aliénés dans le cours de la seconde année depuis l'inva- sion de la
maladie
, que dans la première. (Esquirol. Traité des mala
va- sion de la maladie, que dans la première. (Esquirol. Traité des
maladies
mentales, t. il, p. 'r01. Paris, 1838. 2 Il.
se en conséquence la fonda- tion d'établissements de traitement des
maladies
mentales. Le principe des quartiers de surveill
actif ou une surveillance perma- nente (mélancoliques, malpropres,
maladies
incidentes). « C'est, disait Parchappe en 1864,
les » (Pinel) de jadis, mais bien des hôpitaux pour la guérison des
maladies
mentales. L'adoption du non-restraint, la réa
r devenir à la fois de véri- tables hôpitaux pour le traitement des
maladies
mentales, et des colonies pour la vie en libert
péniten- tiaires aux criminels devenus aliénés. L'enseignement des
maladies
mentales est actuellement assuré dans 19 univer
elle du personnel de surveillance. Il existe 6 revues spéciales des
maladies
mentales et dix sociétés de psychiatrie. (Il. L
ntes : 1° le chloralose à la dose de 0 gr. 2 à 0 gr.4 agit dans les
maladies
mentales et nerveuses comme sédatif; à dose plu
n sous forme de convulsions, chez les sujets âgés ou atteints d'une
maladie
organique du cerveau; 2° Les malades s'accoutum
ccoutument au chloralose et celui-ci s'accumule; 3° La marche de la
maladie
n'est pas influencée par le chloralose ; 4° Les
Mackenzie combat d'ailleurs ses conclu- sions en ce qui concerne la
maladie
de Graves). M. Duncan Menzils préconise le même
de d'eau chaude; 7° il n'y a pas à craindre de transmission d'une
maladie
contagieuse, comme avec une baignoire; le malade
en 1879, décrivit une forme qui tout en res- semblant beaucoup à la
maladie
de Duchenne s'en distinguait par d'autres côtés
on, ainsi que des troubles de l'articulation des mots, donnant à la
maladie
une grande ressemblance avec la para- 384 REVUE
ERTÉBRALE ET DE LEUR PERCUSSION; NOUVELLE MÉTHOEE D'EXAMEN DANS LES
maladies
nerveuses; par.\V. de Bechterew. (Nell1'olog. Cen
assourdie, moins claire que dans les endroits sains. Dans un cas de
maladie
de 1\Iénière, il y avait complète obnubilation
la dépendance d'une lésion orga- nique et qu'une classification des
maladies
mentales pourra être établie sur une base patho
cents ne peut porter que sur un petit nombre d'années. Le nom de la
maladie
dans les tableaux de morbidité générale manque so
des paralysies générales, par rapport aux sujets atteints d'autres
maladies
men- tales. C'est à cette seconde manière d'éva
oiqu'elle ne soit pas à l'abri de l'erreur. Les formes calmes de la
maladie
peuvent, en effet, parfaitement échapper à l'asil
ie générale. Le même fait explique la différence de fréquence de la
maladie
dans les classes élevéespour les deux sexes. Al
e n'est guère connue; on accuse les abus d'opium. En tout cas cette
maladie
n'a été observée que chez les hommes. Amnésie c
mnésie consécutive. Durée : quelques heures à quelques jours. Cette
maladie
ne saurait être simulée, ni contagieuse en rais
t entré une para- lytique femme pour 3,5 hommes atteints de la même
maladie
. En quinze ans le nombre des femmes paralytique
des femmes. P. K. XLVI. DE LA MANIÈRE D'ÊTRE DE LA CONSCIENCE DE LA
MALADIE
DANS LA PARANOI ; par A. Mercklin. (Allg. Zeits
es de confusion mentale qui le prennent de temps à autre sont de la
maladie
, tandis qu'il ne conviendra pas de l'inanité de
abilité des buveurs tient en général non pas à la nature même de la
maladie
, mais à l'alcoolisation obligatoire qui sévit d
ium tremens est certes plus rare ; mais il n'en est pas de même des
maladies
du coeur et du rein. . Séance du 4 novembre.
même lésion atrophique, quelque ait été le processus initial de la
maladie
. L'atrophie des fibres corticales n'est donc pa
s faits sont-ils en rapport avec certaines variétés cliniques de la
maladie
. Si le fait se confirme de l'atrophie des fibre
tettin). De l'influence de la race sur la fréquence cl la forme des
maladies
mentales et nerveuses. 4 Dans le groupe de la r
upe sémitique se distingue par la prédisposition de ses membres aux
maladies
mentales; cette prédisposition ne peut s'ex- pl
aire honneur, bien qu'il prétende avoir perdu la mémoire depuis une
maladie
qu'il a eue au service et surtout depuis un tra
y' ">'r' BIBLIOGRAPHIE. , , ? . - ? ' ' r ? c. ' ( - III. Les
maladies
de la moelle èpiÎ71èl'c et du bulbe. Die Erkranku
ical constitue la première partie d'un ouvrage ayant.pour sujet les
maladies
de la moelle épinière et du bulbe. 11 renferme
matisme, des infections et des intoxications dans la production des
maladies
de la. moelle épi- J nier.' . .1 . Le dernier
. Le dernier chapitre, consacré à la thérapeutique générale. des
maladies
de la moelle épinière, est fort instructif. La qu
fet, toutes les observations apportées par M. Toy intéressent cette
maladie
. La glycosurie passagère non accompagnée de dia
part dans les particularités diverses qu'il pré- sente suivant les
maladies
dans lesquelles il se montre. On consultera not
lles on se trouve pour en expliquer la physiologie pathologique. 3°
Maladie
de Thomsen. - Les pages consacrées à la symptoma-
inimes et fugaces des cellules nerveuses. 428 BIBLIOGRAPHIE. 5°
Maladie
des tics convulsifs, - Cette maladie est traitée
euses. 428 BIBLIOGRAPHIE. 5° Maladie des tics convulsifs, - Cette
maladie
est traitée surtout d'après les travaux dus à l
6° Acromégalie. A propos de la nature et de la pathogénie de cette
maladie
, Massalongo émet l'opinion qu'elle est « une vari
une entité morbide que comme un syndrome se montrant dans diverses
maladies
cérébro-spinales, et surtout en rapport avec de
moire, car elle n'hospitalise pas seulement les aliénés atteints de
maladies
incidentes tandis qu'ils sont contraints de gar
ui sera soigneusement fermée, pour empêcher les aliénés relevant de
maladie
de se mouiller ou de boire inconsidérément de l
s, les deux quartiers des agités placés en avant, le pavillon des
maladies
infectieuses placé en arrière, ceux-là et celui-c
veillance absolument continue de même que les aliénés atteints de
maladies
incidentes réclament des soins de tous les instan
, quarante-huit ans; assez grand, fort; parfois céphalalgie; pas de
maladie
de peau; pas de rhu- matismes ; marié à vingt-s
adie de peau; pas de rhu- matismes ; marié à vingt-sept ans; pas de
maladies
vénériennes. [Famille du père. Père. Mort d'une
lmie, pas d'otite, pas d'adénites, pas d'abcès. Le père attribue la
maladie
à la forte émotion de la mère durant la gros- s
provoquer cer- tainement de nouveaux. RECUEIL DE FAITS. CAS DE
MALADIE
DE LANDRY D'ORIGINE INTLUENZIQUE SUIVI DE GUÉRI
es siens, il se sent inférieur en vigueur à ce qu'il était avant sa
maladie
. Souvent les épaules et les genoux sont le sièg
elative bénignité de cette affection, rangeable parmi les cas de la
maladie
de Landry, s'ajoute celui du rôle étiologique d
Ajoutons que les douleurs articulaires observées ici au début de la
maladie
, et volontiers attribuées par de nos confrères
me,'ont été constatés aussi par M. Mossé dans le premier des cas de
maladie
de Landry d'origine influenzique que naguère il
que sont éminemment variables. Ils dépendent de l'inten- sité de la
maladie
, des conditions dans lesquelles elle s'est déve-
es variétés de psychose polynévritique dépend, de l'intensité de la
maladie
, des conditions dans lesquelles elle s'est déve
t fatal dans les formes plus rapides et intenses, si la cause de la
maladie
ne peut être suppri- mée si les phénomènes morb
ral du patient est relativement satisfaisant, et que la cause de la
maladie
peut être éloignée. La guérison n'a lieu qu'apr
que les altérations de cette glande sont en corré- lation avec des
maladies
dont le fondement est une toxémie. Néanmoins le
s ou presque sans exception, aux formes subaiguës au chroniques des
maladies
infectieuses ou toxiques. Les lésions dégénér
élire aigu. Le délire aigu bacillaire doit être considéré comme une
maladie
infectieuse grave dans laquelle les symptômes d
sens qu'ils disparaissent ou diminuent beaucoup avec la chute de la
maladie
; cela ne nous autorise pas encore à conclure à
exes superficiels ET PROFONDS comme moyen DE D1.\- gnostic dans LES
maladies
mentales; par AGOS'rlNl. (Riv. sp. di frein., t
ons d'entourage, de développement, quelquefois un accident ou une
maladie
, ont affaibli le sens moral, ce dernier restant e
s ou pervertis. Aussi, pour être rationnelle, la classification des
maladies
men- tales, envisageant J'individu atteint d'al
e forme principale d'aliénation mentale. Si la classification des
maladies
mentales semble difficile à mo- difier dans l'é
un pas de plus à cette idée que la paralysie générale n'est qu'une
maladie
d'origine infectieuse. Si de la blennorrhagie o
patibles avec le tableau typique deFriedreich; que ce tableau de la
maladie
de Friedreich même circonscrit aux formes absol
Il s'agit d'un homme de quarante-trois ans, buveur. Le début de la
maladie
est brusque : maux de têle, impossibilité de se
s pathologiques de ces troubles, c'est-à-dire à faire connaître les
maladies
qui ont l'alcool pour cause. Trois médecins ont
z lesquels les troubles psychiques n'étaient que l'expression d'une
maladie
organique des centres ne) veux. Il n'en était p
été d'édit. scientif., 1890.) M. Ed. Toulouse, chef de clinique des
maladies
mentales de la Faculté de médecine, chargé par
aurait nier l'importance de ce facteur étiologique surtout dans les
maladies
mentales, mais il est essentiel de ne pas tout re
lui et de ne pas le donner comme explication trop facile à toute
maladie
. Il faut songer qu'un grand nombre de causes cong
d'autres encore sont alimentaires (pellagre, botulisme, etc.). Les
maladies
infectieuses (fièvres éruptives, érysipèle, oreil
es troubles psychiques qui rentrent dans les cadres ordinaires; les
maladies
générales et cutanées, les diathèses (rachitisme,
t se réduisent à des empoison- nements qui sont bactériens dans les
maladies
infectieuses et pro- viennent d'auto-intoxicati
ieuses et pro- viennent d'auto-intoxication dans les diathèses. Les
maladies
vis- cérales forment une classe de causes très
s vis- cérales forment une classe de causes très artificielles. Ces
maladies
entrent soit dans les infections, soit dans les
tc.). Un dernier article sur les causes patholo- giques a trait aux
maladies
nerveuses donnant lieu dans leur cours à des tr
r. Il se déclare partisan d'un examen obligatoire portant sur les
maladies
mentales. Déjà dans les temps les plus reculés, P
âge, la décadence de la psychiatrie, l'ignorance où l'on était des
maladies
mentales, ont conduit aux pires errements et au
de la psy- chiatrie. En faveur de l'enseignement obligatoire des
maladies
mentales, on peut encore invoquer les projets c
sez compte des relalions étroites, des in- fluences exercées par la
maladie
locale sur l'organisme et récipro- quement. E
ologiste ou le praticien en général de- mont rechercher dans chaque
maladie
, s'il n'y a pas un facteur toxique quelconque,
ts montrent, la nécessité d'interner les aliénés dès le début de la
maladie
: 10 dans l'intérêt de la sécurité publique; 2°
par Starr, 320. Anomalies. Rapports des mor- phologiques avec les
maladies
nerveuses et mentales endogènes par Sommer, 4
467. BiiNs en pluie par Gerhard, 382. Basedow. Contribution il la
maladie
de -, par Grube, 61. Corps thy- roide et mala
ntribution il la maladie de -, par Grube, 61. Corps thy- roide et
maladie
de -, par Bris- saud, 225; Renaut, 231 ; Joffro
ulbaire. Complexus symptomatique - , par Pineles, 383. Bulbe. Les
maladies
de la moelle et du -, par Leyden et Golds- ch
re anatomique des -, par Nissl, 395, 410. CÉPII \LALGlf- dans les
maladies
men- tales par Cullerre, 37. CÉI'II.\L011É1 R
liaux il'- cérébelleuse, par Londe 310. HÉREUO-Sl'PIIILIS dans la
maladie
de Littl, par Fournier et Gilles de la Touret
ECTOIIE pour paralysie congé- nitale, par Chipault, 375. LAUDHY :
Maladie
de , d'origine influenzique avec aphasie, par
, d'origine influenzique avec aphasie, par Pailhas, 459. Lèpre.
Maladie
de Morvan et -, par Fraenkel, 62. Localisatio
ans la section transversale totale de la -, par Renolds, 399. Les
maladies
de la - et du bulbe par Leyden et Goldscheider,
, 334. IORPIIIN0 : 11AN1E. Un cas de , par Seulecq, 39. Morvan.
Maladie
de et lèpre, par Frenkel, 02. Myopathie primi
ar Lamy, G3. Paralysie AGITA : 1TE et ses rapports avec certaines
maladies
nerveuses de vieillesse par liedlich, 139. Pa
n , marche, durée, terminaison de la , par Kaes, 405. Durée de la
maladie
et causes de la mort dans la -, par Heilbronn
r Hoflmann, 386. Paranoïa . Manière d'être de la conscience de la
maladie
dans la -, par Mercklin, 407. Affai- blisseme
cher et Meige, 91. PRÉDISPOSITIONS et causes occasion- nelles des
maladies
mentales par Toulouse, 168. Processus. Parall
ille de -, par Liebmann, 417. Race. Influence de la . sur les 1
maladies
mentales et nerveuses, par Buschan, il5. Rare
e et symétrique, par Souques et Charcot, 71. Thyroïde. Corps - et
maladie
de Basedow, par Brissaud, 225 ; Re- naut, 231
RISSEV Y ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES l'0\DI : L PAR J.-M. CIIA
OUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
inique (Sle- : lnne). F. RAYMOND Professeur de clinique ' des
maladies
du système nerveux à la Facullé de médecine
VES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA
MALADIE
DE RAYNAUD ` ET DE L'ÉftYTI3ROMÉLALGIE ; Par
vice de notre excellent maître, M. le Professeur Raymond, un cas de
maladie
de Raynaud et un cas d'érythro- mélalgie chez d
affections. Ils permettent de séparer une forme hystérique de la
maladie
de Raynaud et de l'érythromélalgie. Ils fournisse
d'autres observations person- nelles ou empruntées. Observation.
Maladie
de Raynaud à la deuxième période, affec- tant l
rfs. Antécédents personnels I'a point eu de fièvre éruptive ou de
maladie
générale dans son enfance. Elle commença à être r
'est au mois de mai 1892 qu'apparurent les premiers symptômes de la
maladie
dont nous allons nous occuper. Le 1er mai la mala
'histoire du trai- tement. L'hypnose nous révéla le rapport de la
maladie
de Raynaud avec l'émotion qu'avait éprouvée la'
d'elle. Elle entend raconter par un assistant qu'il a vu un cas de
maladie
de Raynaud qui a duré plusieurs années. Cette c
e c'était à la suite d'un propos médisant qu'elle avait commencé sa
maladie
. Nous eûmes alors à en modifier le début. Après
influence^d'un choc moral plus intense, est entrée d'emblée dans la
maladie
de Ray- naud. L'asphyxie des extrémités s'est m
rétation hypothétique, il n'est pas moins vrai que pour réaliser la
maladie
de Raynaud chez les hystériques, le rhumatisme
isme articulaire parait être une cause adjuvante impor- tante. La
maladie
a eu ici un début brusque. C'est subitement, so
que se sont développés les phénomènes vaso-moteurs. Alors que la
maladie
de Raynaud procède habituellement d'une' façon
es subconscientes secondaires. Les conversations se rapportant à sa
maladie
, que la malade a entendues, l'inquiè- tent et s
tivité de ces orga- nes pour des infections secondaires, de même la
maladie
n'est pas terminée avec l'idée fixe primitive.
encore que persécutée, et cependant, en raison de l'évolution de la
maladie
, de l'absence d'antécédents hérédi- taires, le
si, à la fin de la première période ou au début de la deuxième, la
maladie
marque parfois un temps d'arrêt, s'il- y a rémi
maslzurliatoire seraient, de même que la folie par obsessions, des
maladies
mentales dues à des névroses constitutionnelles
une folie systématique aiguë (paranoïa acuta) ; c'est, dit-il, une
maladie
provenant d'un épuisementfonctionnel, par exemp
l'espace ; mais il est encore parfois capable de mémoire. Quand la
maladie
affecte une marche moins aiguë, les hallucinati
même dans des hallucinations de la mémoire. La période d'acmé de la
maladie
est caractérisée par des hallucinations qui acq
tales sont dans un état d'infirmité qui préside à l'évolution de la
maladie
. C'est en vain que le monde extérieur fournit a
I. QUELQUES POINTS SUR l'association DES désordres sensitifs et des
maladies
viscérales; par JamesMACKENSIE. (Brain, Part. III
1893, avait démontré qu'il existe, associées avec les diffé- rentes
maladies
viscérales, des zones définies et constantes d'hy
ER. (Brain, part. 111, 1893, p. 393.) L'auteur pense que dans les
maladies
cérébrales les fonctions troublées, qu'elles so
primitive de la cellule nerveuse est la condition essentielle de la
maladie
. P. S. VI. Cas DE fracture DE la COLONNE vertéb
res et de la diffusion de l'irritation aux centres nerveux dans les
maladies
viscérales. P. S. XI. UN cas DE dégénération de
Disease, août 1894.) Revue rapide de la théorie thyroïdienne de la
maladie
de Graves. Deux observations de cas traités par
t prolongée doit avoir pour adjuvants physiques le traitement de la
maladie
du système ner- veux dont l'ivrognerie est le s
ement le public n'a pas encore appris à regarder la folie comme une
maladie
qui peut être cause de crime; aucune dispositio
ues individus ont été pendus, qui portaient des traces évidentes de
maladie
cérébrale. (American journal of insanity, 1894.
t recevra en même temps le traitement rationel en rapport avec sa
maladie
. (American journal o/ iasanily, 1884). E. B. XI
;-GoM/ ! a)7 ! ). MAYER. Présentation de deux frères atteints d'une
maladie
du système nerveux central de famille. Redlich.
efuse de retourner chez lui parce que, dit-il, il est atteint d'une
maladie
sexuelle incurable. Il tient absolument à cette
faits témoignent d'un symptôme élémentaire qui constitue toute la
maladie
; tels ceux dans lesquels il n'y a que de l'angoi
a ses travaux par la publication de son remarquable ouvrage sur les
Maladies
ii2flam- matoires du cerveau. La Commission adm
arrer plusieurs anecdotes très intéressantes de sa vie. L'âge et la
maladie
ont affaibli ses forces physiques, il ne peut plu
la paralysie considérée chez les aliénés. Paris, 1826. In-8°; Des
maladies
de la moelle épinière. Paris, 1839. In-8°; De la
éconnue a souvent donné lieu. Paris, 1845, 2 vol. iu-8 ? Traité des
maladies
inflammatoires du cerveau, ou histoire analomo-pa
ions d'hy- giène publique sur les aliénés, t. il, p. 164. A. 1833 ;
Maladies
incidentes des aliénés, t. II, p. 182 à 203. A.
que de l'encéphale, t. XI, p. 444; Considérations générales sur les
maladies
de l'E., t. XI, p. 485; Inflammations diffuses
. XIX, p. 117 à 141. A. 1839; Migraine, t. XX, p. 3 à 10. A. 1839 ;
Maladies
de la moelle épinière, t. XX, p. 33 à 129, A. 1
ue des sciences médicales des D" Raige-Delorme et Dechambre : Des
maladies
intercurrentes des aliénés, t. III, première part
folieet toutes les névroses devaient correspondre, comme toutes les
maladies
, à une lésion qu'il s'efforçait de découvrir. Ce
ébauches de toute sorte commis pendant leurs sorties de l'école. La
maladie
se communiqua par imitation à presque tous les
stingue ceux qui sont une manifestation directe et dépendante de la
maladie
, et qui sont par suite à la fois d'origine et d
qui apparait souvent après le rhumatisme, mais aussi après d'autres
maladies
infec- tieuses ; c'est donc une névrose infecti
es arguments suivants. D'abord, les asiles pour malades atteints de
maladies
somatiques ont été construits d'après le prin-
rables et de les qualifier par exemple de Maison de traitement pour
maladies
morales, i On conserverait le nom d'asile d'ali
s cloîtres ; ils ne sont venus à l'établissement que parce que leur
maladie
était devenue chronique. Le transport des alién
terdiction. Le Tribunal admet avec les médecins le diagnostic de la
maladie
, il admet que c'est une maladie mentale indénia
rs ; il n'est donc pas en droit incapable d'agir. On insinue que la
maladie
peut étendre son action, mais pour l'instant el
yser tous les symptômes qu'ils éprouvent, à chercher la cause de la
maladie
dont ils souffrent et à en supputer l'évolu- ti
ur les jambes. Je ne pouvais presque pas marcher. Depuis lors, ma
maladie
a été graduellement en empirant. Il y a deux an
mon état ou seulement retarder la marche toujours ascendante de la
maladie
? Je voudrais pouvoir marcher un peu plus et po
Il déclare que sa santé a toujours été parfaite ; il n'a eu aucune
maladie
, notamment aucun accident vénérien ; il n'a jamai
t plutôt une affection médullaire : simple névrose non définie ou
maladie
organique (sclérose en plaques ? ) non encore car
ar apoplexie; frère légèrement rhumatisant. Dans la famille, aucune
maladie
nerveuse ni mentale, pas de déformations congén
ent donc avoir constitué la cause. Après cessation de ces excès, la
maladie
rétrocéda; elle se manifesta plus tard à nouvea
les différents tableaux morbides envisagés suprà. Il en forme une
maladie
, la paranoïa, qu'il divise en paranoïa primaire e
e, à la pleurésie, à la dysenterie, à la scarlatine, et surtout aux
maladies
puer- pérales. L'histoire des délires plus ou
ou la d'illusion des propos, le désordre des facultés, le rôle des
maladies
ayant préalablement affaibli l'éco- nomie, enfi
y- chiques de la paranoïa. Il est convaincu que, dans cer- taines
maladies
déterminées qui, indubitablement, relèvent de l
ïa chronique simple, même dans des stades les plus tardifs de cette
maladie
, il peut survenir des bouffées d'hallucinations
t distincte de la paranoïa hallucinatoire aiguë, et que, lorsque la
maladie
a atteint son plein développement, il est diffi
isposition des symptômes caractérise l'aspect qui vaut son nom à la
maladie
. La maladie ainsi constituée peut revêtir à son
es symptômes caractérise l'aspect qui vaut son nom à la maladie. La
maladie
ainsi constituée peut revêtir à son tour des nu
araît en fait un simple accident de la paranoïa. Serbski divise les
maladies
aiguës dont nous venons d'ac- centuer les types
l'association des idées, très considérable à la période d'acmé delà
maladie
. Du reste, la confusion mentale généralisée (All.
. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA
MALADIE
DE RAYNAUD ET DE L'ÉRY'CIIROMÉ1,ALGIE (suite)';
L'évolution a jusqu'à un certain point respecté les degrés de la
maladie
. Elle a commencé par une période syncopale à laqu
es crises. - Ce qu'il faut encore indiquer, c'est l'intensité de la
maladie
. 1 Voir Archives de Neurologie, n° 95. FORME
. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉltYT11ROlÉrALGIr. '103 Le diagnostic de la
maladie
de Raynaud n'est pas douteux d'après les symptô
seaux. Rappelons aussi l'âge de la malade : quarantre-trois ans. La
maladie
de Raynaud se développe d'ha- bitude chez des j
éno- mènes de Raynaud de phénomènes urinaires. Sont-ils liés à la
maladie
de Raynaud ? Ou plutôt tous ces phénomènes ne s
bles urinaires serviront pour la discussion de la pathogénie de la
maladie
de Reynaud. Quelques examens d'urine ont été pr
consacré sa dissertation inaugurale (d872) à l'étude d'un cas de
maladie
de Raynaud.Il décrit sous le nom d'attaques épi-
ui voulant démontrer que l'asphyxie locale est un symptôme, non une
maladie
, la montre existant dans l'im- paludisme, les n
L'attention fixée sur ce point, la coexistence, la relation de la
maladie
de Raynaud et de l'hystérie sera plus souvent o
à souligner, 'c'est que notre intention n'est pas de ramener toute
maladie
de Raynaud à l'hystérie, mais de montrer qu'il
ie, mais de montrer qu'il existe une modalité hystérique de cette
maladie
. L'hystérie existe comme cause de l'asphyxie des
s purement doctrinal : la marche, le pronostic, le traitement de la
maladie
, sont éclairés par sa cause. L'intérêt n'est pa
L'intérêt n'est pas exclusivement clinique : La pathogé- nie de la
maladie
de Raynaud pourra être éclaircie par tout fait
108 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous avons trouvé d'autre part un cas de
maladie
de Raynaud modifié par l'hypnotisme : Asphyxie
sans connaissance. Elle a eu successivement une série de crises de
maladie
de Raynaud, toutes survenues dans des circonsta
u ' Raynaud avait déjà dit : « Dans quelques cas l'apparition de la
maladie
nous semble provoquée par une violente émotion
luence nécessaire et exclusive des émotions pour l'apparition de la
maladie
de Raynaud. Nous relevons un autre détail intér
Nous relevons un autre détail intéressant, c'est l'existence de la
maladie
de Raynaud chez deux soeurs, apparaissant chez
lanches comme sa fille, par intermittences. S'agit-il d'hérédité de
maladie
de Raynaud, ou plutôt d'hérédité de tempérament
une heure. Rien de particulier à la suite. C'est là un exemple de
maladie
de Raynaud chez un hys- térique avec anurie gué
ins. A propos de cette observation, Raynaud dit : A mesure que la
maladie
se développe et s'enracine les accidents nerveux
accidentelle ou à des intervalles éloi- gnes. On voit donc que la
maladie
de Raynaud est fréquente au cours de l'hystérie
nfluence des émo- tions. Bien plus, il est quelques observations de
maladie
de Raynaud hystérique. (A suivre.) REVUE DE
e son lit. Les douleurs continuent. Quatre mois après le début delà
maladie
(lorsque M. Politakis voit pour la première foi
E pathologie NERVEUSE. et à présent, sept mois après le début de la
maladie
, le malade peut marcher assez librement sans so
dans la littérature que très peu de cas de cette localisation de la
maladie
età symptomatologie très obscure et indé- termi
a sensi- bilité. Les phénomènes paralytiques dans cette forme de la
maladie
seraient dus à la lésion des racines spinales.
il ne sait s'il faut la considérer comme cause ou comme effet de la
maladie
. IX. Un cas d'ostéo-arthropathie HYPERTROPIIIAN
et rapportant plusieurs observations d'hysté- rie consécutive à des
maladies
infectieuses, formule une conception synthétiqu
fection qui peut se manifester sur le système nerveux, soit par une
maladie
organique, soit par des névroses. » · ' La dé
oit par des névroses. » · ' La démonstration est acquise pour les
maladies
organiques du système nerveux, quant à l'hystér
ne idée d'auto-sug- gestion et pour montrer le rôlepathogénique des
maladies
générales dans la production de ce qu'on appell
e des maladies générales dans la production de ce qu'on appelle les
maladies
du système nerveux. » DUCA3tP. XII. CONTRIBUT
me en ce que l'élément du tracé est simple. Dans ces deux dernières
maladies
, le tremblement est continuel, mais subit des e
inscripteur et les tracés obtenus. Ducamp. XIV. Association D'UNE
maladie
DE la moelle avec l'anémie PERNI- CIEUSE; par B
ache l'auteur dans ce cas. P. S. XV. Pathogénie ET traitement DE la
maladie
DE Basedow ; par J. Putnam. (Brain, part. II, p
Le fait le plus caractéristique est la distribution anormale de la
maladie
sur la plus grande 128 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
roid; sens musculaire complètement disparu. P. S. XXVIII. Un cas de
maladie
DE FRIEDREICH non héréditaire; par Ca.-E. NAMMA
ACK M. D. (Médical Record, 11 août 1894.) Observation bien nette de
maladie
de Friedreich chez une petite fille de quatorze
tare nerveuse; ses cinq frères ou soeurs de même. Sur les 23 cas de
maladie
de Friedreich signalés par l'Index medicus de 1
ssus syphilitiques pour les méninges de la base, et la marche de la
maladie
, le diagnostic porté fut : plaque de méningite
inactifs, sur lesquels l'attention ne se porte plus. E. B. XXXV.
Maladie
de MORVAN,, syringomyélie ET lèpre ; par le Dr
. Du reste, les revendications de M. Zambaco ne s'arrêtent pas à la
maladie
de Morvan et il réclame aussi, comme relevant d
me relevant de la lèpre, la sclérodermie, la sclérodac- tylie et la
maladie
de Raynaud. Pour M Zambaco, toutes ces maladies
rodac- tylie et la maladie de Raynaud. Pour M Zambaco, toutes ces
maladies
, qu'on s'efforçait jusqu'ici de distinguer les
t esprit que M. Marestang a étudié les rapports de la lèpre avec la
maladie
de Morvan. Or, on voit que, même si on se place
seul point de vue clinique, l'identité n'est pas parfaite entre la
maladie
de Morvan et la lèpre. L'anatomie pathologique
ant à la moelle, elle n'a encore été examinée que deux foi, dans la
maladie
de Morvan prise en Bretagne, et, dans les deux ca
le substratum anatomique habituel, sinon absolument constant de la
maladie
de Morvan, alors qu'elle est presque inconnue d
e puisse se traduire par des symptômes analogues ou identiques à la
maladie
de Morvan, à la sclérodermie, à la maladie de R
ogues ou identiques à la maladie de Morvan, à la sclérodermie, à la
maladie
de Raynaud; il s'agit de savoir si la similitud
, entraîner la notion d'iden- tité de nature. Comme il s'agit d'une
maladie
parasitaire dont le parasite peut être assez fa
lieu cependant de reconnaître qu'à la période prodromique de toute
maladie
mentale, il y a un état sentimental particulier
er, mais il est pas- sager, et, à la période de développement de la
maladie
, on peut, dans l'immense majorité des cas, déte
x ans et demi, atteinte de raideur spasmodique des membres typique (
maladie
de Little). Elle est atteinte de para- SOCIÉTÉS
(étiologie de Little). Discussion. M. WULFF a généralement vu cette
maladie
chez des individus dont l'intelligence était fa
médecins-experts près les tribunaux et de la Cour d'appel pour les
maladies
mentales. M. Motet a suivi sa voie avec une éne
ulation, mais une présomption seulement. En effet les prodromes des
maladies
mentales sont généralement très peu accusés et
ster d'émotion. PATHOLOGIE NERVEUSE. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA
MALADIE
DE RAYNAUD ' 1;T DG L'ÉRY'CIIRO\iÉLALGII : (sui
hôpitaux de Paris. ni. Y a-t-il au point de vue clinique dans la
maladie
de Ray- naud hystérique des caractères actuels
arités dues à son ori- à Voir Archives de Neurologie, il™ 95, 96.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 167 gine : elle
naires. Le noeud de la question nous paraît être dans ce fait. La
maladie
de Raynaud hystérique atteint-elle son troisième
'a pas existé, il n'en est pas moins vrai que, dans quelques cas de
maladie
de Raynaud, chez des hystériques, le stade de g
pouvait produire la gangrène. Mais Scheiber a signalé deux cas de
maladie
de Raynaud ininterrompue pendant huit jours sans
amputation des trois phalanges. Quant à la question de savoir si la
maladie
de Raynaud hys- térique a des rapports avec la
ÉLALGIE QUI EST PUREMENT HYSTÉRIQUE. Presque en même temps que la
maladie
de Raynaud, nous avons eu l'occasion d'observer
est morte à vingt-sept ans de tuber- 1 Lire pour les rapports de la
maladie
de Raynaud et de la scléro- dermie, la remarqua
n a été prise sous mon contrôle par M. Delta, externe du service.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHR0111ÉLALGIE. 169 culose pul
tuberculose pulmonaire. Elle allait la voir de temps en temps, et
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 171 aidait parfo
elle ressentit les premières douleurs qui marquent le début de sa
maladie
. Ces douleurs siégeaient au niveau de la plante d
técédents de la malade, guidé d'autre part par notre succès dans la
maladie
de Raynaud, nous mettons l'hypnose à profit.
ccès dans la maladie de Raynaud, nous mettons l'hypnose à profit.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMFLALGIE. Le jour de l'ent
a malade ne peut, pendant quatre mois, dormir ni jour ni nuit. La
maladie
est modifiée du jour au lendemain puis guérie c
rhumatisme articulaire aigu, sur lequel nous avons insisté dans la
maladie
de Raynaud se retrouve chez notre malade. Déjà
embre, décembre et janvier. La guérison s'est maintenue complète.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 175 La cause eff
qui a eu pour point de départ l'émotion. La nature psychique de la
maladie
est évi- dente. A neuf ans, l'enfant embrasse
chologique subcons- cient à résultat habituel. Si la nature de la
maladie
est nettement psychique, il est à peine besoin
x environs des quantités habituelles : 176 PATHOLOGIE NERVEUSE.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 177 '1 où l'affe
tient également à la femme. Or l'érythromélalgie est en général une
maladie
des hommes. On peut ajouter le cas de Weir Mi
un double point de vue. Elles servent de contribution à l'étude des
maladies
par émotion et à l'étude des troubles vaso-mote
erons plus loin est un exemple d'association d'erythroméiaigie avec
maladie
de Raynaud, chez une ma- lade hystérique et neu
isée au lobule du nez chez une malade très grande neurasthénique.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRTTIiR0111ÉLALGIE. 179 giques de
2. l'ixarsewsky. Gazella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. ' Clinique des
maladies
du système nerveux, t. I, 1892. ' Voir pour l'o
bleue suivant l'intensité de l'émotion, et suivant la période de la
maladie
(début, période d'état, période d'amélioration)
ladie (début, période d'état, période d'amélioration). D'ailleurs
maladie
de Raynaud et érythromélalgie ne consti- tuent
eurs maladie de Raynaud et érythromélalgie ne consti- tuent pas des
maladies
mais sont des syndromes vaso-moteurs, exagérati
trémités. Il y a une sorte de balancement des deux affections. La
maladie
dure depuis vingt-deux ans. 1 Société de biolog
-deux ans. 1 Société de biologie, janvier 1894. ' si Voir pour la
maladie
de Raynaud : Hutchinson (de l'Acropathologie, S
), crée le mot de phénomènes de Raynaud ; Kornfeld range les cas de
maladie
de Raynaud en trois classes (ŸViener ,»ieclicin
liie. Cen- tralblatt, janvier 1894). ' Société de dermatologie.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMELALGIE. 181 Les crises d
ous éludions nous permettent de péné- trer dans la pathogénie de la
maladie
de Raynaud et de l'éry- thromélalgie. Pour la
génie de la maladie de Raynaud et de l'éry- thromélalgie. Pour la
maladie
de Reynaud, ce n'est pas de la pathogénie de la
l'asphyxie et de la syncope des extrémités. Raynaud considère la
maladie
comme une névrose caracté- risée par l'exagérat
locale. Raynaud expliquait, par la localisation dans l'axe bulbo-
MALADIE
DE RAYNAUD ET ERYTIIR0111ELALGIE. 183 spinal du
dico-psycliologiques, 1892. 'Annales médico-psychologiques, 1882.
MALADIE
DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÈLALGIE. 1 85 nomènes vas
auteurs, d'habi- tude, font une pathogénie par comparaison avec la
maladie
de Raynaud. Ce serait une angio-névrose paralyt
ure hystérique, l'origine cen- trale peut être admise comme pour la
maladie
de Raynaud. Elle s'appuie sur la coexisteuce de
il dans les conclusions suivantes : A. -1° Il est certaine forme de
maladie
de Raynaud qui est purement hystérique. Elle es
t vraisemblablement possible dans cette forme; 5° Les exemples de
maladie
de Raynaud chez les hysté- riques ou causée par
; C. 7° Les faits observés servent de contribution à l'étude des
maladies
par émotion. Ils s'ajoutent à la liste déjà lon
o-mo- teurs de l'hystérie ; Ils ne constituent pas d'ailleurs des
maladies
autonomes, DE LA PARANOÏA. 187 -1 mais des co
qui critique l'expression de délire chronique et préfère le nom de
maladie
de Lasègue pour désigner le délire des persécut
- tique ou chirurgicale idées de persécution pendant et après les
maladies
aiguës persécutés à idées délirantes empruntées
es et profondes ; elle revêt souvent le carac- tère d'une véritable
maladie
, par les phénomènes somatiques, dénutrition, fi
majorité des cas, dit M. Korsakow, la para- noïa apparaît comme une
maladie
chronique, jusqu'ici tou- jours incurable. Mais
lesquelles, d'après l'analyse psychologique de l'état du malade, sa
maladie
doit être rangée dans la para- noïa, seulement
chent beaucoup de l'amenlia délirante. Ce qui sépare cette dernière
maladie
(appelée par beaucoup d'auteurs délire hallucin
précisément à la limite des états psychopathiques passagers et des
maladies
psychiques bien déterminées, telles que l'ament
ant lui, par les éléments du délire existant à la période aiguë des
maladies
et survivant à cette période aiguë ; on en a un
élire aigu pour un état particulier pou- vant se joindre à diverses
maladies
mentales. Le dosage des éléments morbides qui n
E suicide par pendaison; par le D1' E. Régis, chargé du cours des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux. (A
nt de toute attache d'hystérie, d'alcoolisme ou de trauma, dans les
maladies
infectieuses fébriles, ainsi que Sciamanna vien
vers états toxiques, depuis l'alcoolisme et ses analogues jusqu'aux
maladies
infectieuses fébriles, aux polynévri- tes, aux
, etc. G. DENY.. IV. DE la prédisposition ET DE l'hérédité dans LES
maladies
MIEN- tales; par le Dr TouLousE. (Bull. de la S
e cas à la suite de l'influenza, comme on en observe à la suite des
maladies
infectieuses aiguës : rien n'y manquait, pas mê
t vers la démence. E. B. XIII. La paralysie générale EST-ELLE UNE
maladie
infectieuse ? par le Dr BANNISTER. (American Jo
tudiant en médecine sera tenu désormais de passer un examen sur les
maladies
men- tales. ' G.D. XVI. CONTRIBUTION A L'HIST
t celle du contaminé présentent pen- dant l'évolution entière de la
maladie
complète identité, quant au système du délire;
ns l'organisation céré- brale) ; la ressemblance psychique avant la
maladie
; l'harmonie mentale ; l'intimité de la vie en
ement de symptômes particuliers, revêt à une certaine période de la
maladie
, parfois même dès le début, une apparence diffé
observer des hallucinations génitales. 5° Au sur et à mesure que la
maladie
évolue, les hallucinations verbales peuvent dev
personnalité. 220 0 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A mesure que la
maladie
progresse, les troubles de la person- nalité ne
délirante avec idées de pos- session ; ici, c'est l'évolution de la
maladie
, l'absence des phéno- mènes émotionnels fondame
urrait choisir que trente qui témoignent d'une opinion nette sur la
maladie
et son traitement. Il faut avant tout que le mé
'apôtre de la tempérance. La tempérance, c'est la prophylaxie d'une
maladie
qui fait des victimes matériellement, moralemen
e marche toute particulière, rapide et atténuée, dans lesquels la
maladie
se montre entre l'âge de cinquante à cinquante-si
des femmes) ne le lui permettent point. Ou bien il s'agit de deux
maladies
voisines, et cependant distinctes, dont l'une se
, ou bien ce sont deux formes différentes par l'aspect d'une même
maladie
modifiée par l'âge et qui devrait son individuali
En conséquence, le SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 délire qui a précédé la
maladie
et qui a cessé quand celle-ci a été en pleine é
pileptique, les excès d'agents toxiques, la marche insidieuse de la
maladie
. Si l'on lie trouve pas de symp- tômes somatiqu
ie, l'hystérie. Le délire des négations apparaît donc non comme une
maladie
spéciale, mais comme un .symptôme qui n'a rien
ns les nombreux travaux de ses élèves. L'aliénation mentale est une
maladie
du corps et non une maladie de l'esprit. Aussi
es élèves. L'aliénation mentale est une maladie du corps et non une
maladie
de l'esprit. Aussi est-ce faire de la médecine
es médi- caments nerveux ou calmants, s'améliorer et guérir. Si les
maladies
du corps, les intoxications, n'ont aucune influ
ASILES D'ALIENES. VII. CONSTRUCTION DE pavillons d'isolement POUR
maladies
conta- GIEUSES DANS LES ASILES. REFUS DE SUBVEN
aminant la question de l'installation de pavillons d'isolement pour
maladies
contagieuses pour les asiles publics d'aliénés
outes ses inscriptions, et voulant se consacrer à la spécialité des
maladies
mentales, 1,200 fr. par an et les avantages en
gnac-Bourg (Haute-Vienne), à la suite d'une longue et dou- loureuse
maladie
. « Jules-Yves Donnet était né à Magnac-Bourg, l
. Mais, hélas ! notre pauvre ami portait déjà en lui le germe de la
maladie
qui devait l'emporter. Dans le courant de 1894, i
aranoïa, Wahnsinn, Verrùcktbeit aiguë), ou que ce soit vraiment une
maladie
différente, peu importe. Le élassement, fût-il
ux-ci sur l'évolutiontplusou moins rapide, ceux-làsur l'issue de'la
maladie
;' tous sur le pronostic du--syndrome ou'de la p
gie z actuelle du mal de lrillt.rA1'époque où Bright découvritune
maladie
des, reins'caractérisée .par l'albuminurie,. l'oe
déterminer cliniquement et microscopiquement l'exis- tence, dans la
maladie
de Bright, d'une néphrite interstitielle, d'une
Bright d'être correcte en ce sens qu'elle sépare tout un groupe de
maladies
des reins d'autres maladies. Pour- quoi donc, j
e sens qu'elle sépare tout un groupe de maladies des reins d'autres
maladies
. Pour- quoi donc, jusqu'à plus ample informé, n
e le demande M. Cramer, un groupe paranoïa, qui embrasse toutes les
maladies
mentales à idées- systématisées, plus ou moms c
tères qui permettent de distinguer le groupe paranoïa des autres
maladies
mentales. S'il est accordé que, de même que le
'est pas sans intérêt de séparer nettement la paranoïa des autres
maladies
mentales de môme que la pléiade symptomatique du
léiade symptomatique du mal de Bright séparait ce groupe des autres
maladies
rénales. Aussi bien, ne suffit-il pas de dire :
ancolie. 386 t» CLINIQUE.} MENTALE.* r De même, également que les
maladies
ordinaires sont, 'chez lesi vieillards, représe
ie, 1887, p. 65. MoREL. Etudes cliniques, 1852. MOREL. Traité des
maladies
mentales, 1860. Fo1'ILLE. Elude clinique sur la
ques, III, 1851, p. 380.) BECQUET. - Du délire d'inanition dans les
maladies
. (Archives géné- rales de médecine, 1866 févrie
février, p. 169, et mars, p. 305.) DAGONET. De la stupeur dans les
maladies
mentales. (Annales médico-psychologiq., 1872, t
délicate, mais sans offrir des symptômes caractéristiques d'aucune
maladie
. Notre malade fut bien portante jusqu'à l'âge d
chlorose avec palpitations de coeur. Mais elle n'avait subi aucune
maladie
de conséquence lorsque, le 7 janvier 1893, elle t
1893, elle tomba subi- tement malade. Les renseignements sur cette
maladie
sont assez défectueux. Voici ce que je suis par
nter- rogeant la malade et ses parents. Dès le commencement de la
maladie
elle ne pouvait pas parler, seulement murmurer le
sives furent assez fréquentes pendant les huit premiers jours de la
maladie
; après ce temps elle semble avoir passé plus de
de départ ne pût pas être découvert. Le com- mencement subit de la
maladie
, l'aphasie et l'hémiplégie qui pré- dominaient
r caséeuse, comme lé- sion provocatrice des attaques. Mais toute la
maladie
s'explique le mieux en attribuant d'une part à
LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1
maladies
mentales; par e')) j\ 1ECEE.y., 1 . . ' Les sti
peut-être y découvrirait-on la lésion primor- diale de cette fatale
maladie
. (American jozt;-nai of insaiiity, 1894.) , t E
ide : un désordre psychique aigu produit par un choc nerveux ou une
maladie
générale, sans trouble émotionnel, avec abattem
on physique; il existe quelquefois des troubles vaso- moteurs et la
maladie
se termine le plus souvent par une guérison com
les impres- sions brusques et profondes sur le système nerveux, les
maladies
, fébriles, L'était puerpéral, les traumatismes
erveux : la folie n'est donc rien autre qu'un symptôme^ complexe de
maladie
corticale. t ' ' ' M ->f ;.On, peut dire que
ne sont cependant pas choses identiques, car- la folie suppose une
maladie
corticale actuelle greffée sur un cerveau dével
délire mégalomaniaque incohérent. Voilà quatorze jours que dure'la
maladie
qui s'est pro- gressivement aggravée. En dehors
manière de voir, d'abord la brusquerie de la fièvre qui commence la
maladie
et qui cesse rapidement, puis l'analogie avec l'e
e, refroidissement des extrémités. Il y a des cas dans lesquels, la
maladie
ayant revêtu le type circulaire, la stupeur à r
tabès et déjà paralysie ne suffisent pas pour identifier les deux '
maladies
.. En ce qui concerne la paralysie générale, il y
ïde ; tuméfaction des ganglions lympha- tiques sous-maxillaires. La
maladie
a débuté à l'âge de vingt-sept ans. De seize
ns. Les parents n'ont présenté aucune anomalie de formation, aucune
maladie
nerveuse. - 20 Syringomyélie (gliose centrale).
uivre régulièrement, sans interruptions, tous les incidents de sa
maladie
. J'ai déjà décrit cette malade sous le nom de « J
qui- sont intéressants'. Justine a été longtemps au plus fort de sa
maladie
anesthésique totale. Il est à remarquer que cet
entière souplesse. Ceci rappelle un peu ce que l'on voit dans la
maladie
de Thomsen, mais avec cette différence que cette
it frappant et caractéristique fait penser à la diplégie cérébrale (
maladie
de Little) dans ses formes tardives ou tabès sp
le, le tabès spasmodique ont commencé à dix ans, à la suite d'une
maladie
infectieuse, la rougeole. On comprend facilemen
euse, la rougeole. On comprend facilement, nous semble-t-il, qu'une
maladie
infectieuse quelconque, à n'importe quel âge, p
des symptômes de cet ordre. M. Marie a insisté sur l'action de ces
maladies
infectieuses dans certaines maladies : paralysies
a insisté sur l'action de ces maladies infectieuses dans certaines
maladies
: paralysies spasmodiques infantiles. N'y a-t-i
ECUEIL DE FAITS. résultat d'une infection. C'est donc une véritable
maladie
infectieuse, qui peut très bien, à notre avis,
de mal agirait donc comme la rougeole, la variole ou toute autre
maladie
infectieuse. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. AP
dans les mouvement ? ne laissaient aucun doute sur la nature de la
maladie
. U y avait déjà eu deux ans auparavant une cris
uence du traitement électrostatique ; 2° l'étiologie complexe de la
maladie
. Il, On sait que souvent la chorée même dans de
isme, qui fait que les partisans de l'origine rhumatismale de cette
maladie
le rangeraient évidemment dans leurs statistiqu
arcot : « C'est tou- jours la combinaison de l'arthritisme avec les
maladies
ner- veuses... Il est évident que le rhumatisme
qu'en affaiblissant l'orga- nisme et qu'il ne peut, comme d'autres
maladies
aiguës pro- voquer la chorée qu'à la condition
athogénie DE L'ASYOTABIE (mouvements involontaires dans différentes
maladies
organiques du système lier- veux) ; par Rossoli
es avec le tabès auquel la plupart des auteurs, consi- dérant cette
maladie
comme une affection spéciale des cordons postér
at des nerfs périphériques, quoique, à en juger .par l'histoire des
maladies
décrites, on puisse dans ces cas soup- çoniier-
chez les victimes et les auteurs des procès de sorcellerie. Quelles
maladies
mentales ont occasionné les procès des sorciers
observations, la plupart avec autopsies. Analyse de l'ensemble des
maladies
mentales étu- diées à l'asile de Lappviks de 18
le pronostic n'a été dans aucun ,des cas favorable. La durée de la
maladie
a été de quatre ans, dans 81,8 p, 100 de cas; d
maux à des extravagances. Celles-ci graduellement sont devenues une
maladie
chez les bons vivants et les dames du demi-mond
egré; 3° la menstruation est suspendue pendant toute la durée de la
maladie
dans les psychoses avec exaltation extrême, dans
lmique compliquée, elles indiquent, excepté dans ces deux dernières
maladies
, qu'il y a lésion organique. XXXIX. Contributio
econnaît aux magistrats, sinon une compétence absolue en matière de
maladies
mentales, du moins le pouvoir de libérer d'offi
ante de dire certaines paroles et du tic convulsif, rentrer dans la
maladie
du tic avec écholalie et koprolalie de Gilles de
l'attention des médecins qui se livrent spécialement 'à l'étude des
maladies
mentales. Ce travail a nécessité de la part de
dmettent généralement l'expression de stupidité pour désigner cette
maladie
. - Delasiauve, en 1843, fait remarquer que la s
é en ce sens qu'elle per- met de fixer l'esprit sur la nature d'une
maladie
dont il importe d'établir le diagnostic exact e
somatique qui prédomine, on a les formes qui simulent le mieux une
maladie
infectieuse et que l'on peut appeler formes typho
de Delasiauve qui peuvent alors s'accompagner de la conscience delà
maladie
et se rapprocher de la neurasthénie; si la conf
cupés de cette question et qui ont essayé de classer cette forme de
maladie
; les discussions auxquelles elle a donné lieu p
ur l'idée fondamentale que l'aliéné est une personne atteinte d'une
maladie
cérébrale et comme conséquence logique de cette
s'adresser à un magistral; pourquoi le faire quand il s'agit d'une
maladie
céré- brale ? De même que le médecin de la fa
die céré- brale ? De même que le médecin de la famille, en cas de
maladie
infec- tieuse, adresse un rapport au service sa
quérir du cas et indiquer les mesures à prendre; de même, en cas de
maladie
cérébrale, un rapport devrait être fait par le
rements dits. L'hôpital comprendrait en outre une division pour les
maladies
aiguës, une autre pour les convalescents et une
os abonnés, 1 fr. 75. Aux bureaux du Progrès Médical. Loaoe (P.).
Maladies
familiales du système nerueux. - Ilérédo- ataxi
re; service des morts; infirmeries; pavillon d'iso- lement pour les
maladies
contagieuses; bains et hydrothérapie; cuisine;
grille d'une force et d'une hauteur variables selon la nature des
maladies
mentales hospitalisées dans les sections, sera
s, des demi- tranquilles, des suicidiques ou des sujets atteints de
maladies
incidentes, et quelles modifications ces élémen
Iorel 2, Moreau (de Tours)3, Féré et d'autres. On sait que pour les
maladies
du système nerveux, l'héré- dité de transformat
é du côté maternel est plus fréquente, comme cela existe pour les
maladies
mentales. D'ailleurs, les expériences de Brown-
oison. Dans le même ordre d'idées interviennent encore toutes les
maladies
générales de la mère, sa mauvaise alimentation, l
leptiques ; nous ne nous y arrêterons pas plus longtemps. Certaines
maladies
générales ont aussi été considérées comme des c
matin. Enfin, il n'est pas moins curieux de constater l'action des
maladies
intercur- rentes. Les unes augmentent le nombre
e tout temps l'épilepsie comme une affection héréditaire, comme une
maladie
consti- tutionnelle. Cette question de prédis
le cas particulier. Nous admettrons donc que l'épilepsie est une
maladie
héré- ditaire, constitutionnelle; c'est assez d
es, chez les saturnins et les autres ? Il y a plus, et le début des
maladies
infectieuses est toujours accompagné de ces mêm
ude des réactions électriques de l'oeil est utile au diagnostic des
maladies
nerveuses quoiqu'elles soient loin jusqu'ici de
névrose traumatique, 12 d'hystérie ; 6 de neurasthénie. Dans les
maladies
organiques on observe souvent une réaction norm
e sorte que si on veut se rendre un compte exact de la marche de la
maladie
, il faut rechercher jour- nellement, en même te
rruptions. Chez les deux malades à qui le remède fut administré, la
maladie
datait de cinq ans au moins : les troubles ment
tique ET LE massage considérés comme agents thérapeutiques dans LES
maladies
NERVEUSES, avec observations ; par GUST SANDBLO
moyens dans le traitement des affections nerveuses; il énumère les
maladies
dans lesquelles il convient d'employer l'une ou l
me rapport thérapeutique avec la guérison ou l'amélio- ration de la
maladie
que les autres interventions chirurgicales qui
le traitement intervenait à une période suffisamment précoce de la
maladie
; 11° enfin les résultats obtenus sont assez . i
. Confusion men- tale consécutive. Finalement, démence. Ce genre de
maladie
est curable par l'abstinence, mais il rechute à
inattendus. Quoique son instruction fût souvent interrompue par la
maladie
, il fut toujours occupé d'augmenter ses connaissa
t assez rare à la colonie : alors que la proportion avec les autres
maladies
men- 488 asiles d'aliénés. tales est en Angle
s de 1893, 85 décès dont 65 dus à des causes cérébrales et 20 à des
maladies
thoraciques, parmi lesquelles cinq cas de tuber
, 385. Anatomie des centres nerveux, par Déjerine, 237. Anémie,
maladies
de la moelle et - pernicieuses, par Bowmann, 12
, par Ramey, 4GG. EmuiROMËLALGiE, d'une foime hys- térique de la
maladie
de Ray- mond et de 1' , par L. Lém, 1, 102, 1
, 324; - à la colonie du cap, par Green- lees, 487. Friedreich,
maladie
de non héré- ditaire, par Kaumack, 129. Gangr
un lié- i-élio-s,N-pliilitique, par Blocq, 205. Hfrédité dans les
maladies
men- tales, par 'l'otilouse, 2(e9. Hydarihros
stoire d'une , par Keraal, 76. Isolement, pavillons d' pour les
maladies
contagieuses dans les asiles, 245. Ivrognes,
. LEnmlscus,dégénération descendante du , par Bruce, 37. Lèpre,
maladie
de Morvan, syringo- myélie et -, par Gombault,
Batlaille, 497. Moelle, chirurgie de la -, par Thornburn, 1 19 ;
maladie
de la- et anémie pernicieuse, par Bow- mann,
la , par Kowaiewsky, 208; -, par Niclcle, 210; la est-elle une
maladie
infectieuse, par Bannis- ter, 211; attaques épi
473. - Ramollissement aigu du cerveau. par Zenner, 10. Haynaud,
maladie
de - et l'érythro- mélalgie, par L. Levi, 1, 10
r, 131. Syphilis de la moelle, par Sachs, 127. Syringomyélie,
maladie
de Morvan, et lèpre, par Gombault, 132. b Tab
e qui est dans le service depuis six mois et dont, par conséquent, la
maladie
n'a pour nous rien d'imprévu. (Une jeune fille de
e, que je vous présente et qui sont relatifs à diverses époques de la
maladie
(Fig. 1, 2, 3, 4 et 5). lu ^s «un; 10. y 2* f M
eux par excellence, n'appartient pas exclusivement à la catégorie des
maladies
nerveuses proprement dites. L'ancienne séméiologi
ux bâillements morbides considérés comme signes pronostiques dans les
maladies
aiguës : ainsi, pour Rœderer, les bâillements sur
us que M. Gilles de la Tourrette, dans son intéressant travail sur la
maladie
des tics (Archives de Neurologie), a ingénieuseme
mouvements convulsifsne sont pas toujours, chez un tiqueur, toute sa
maladie
, et que souvent derrière le tic il y a lieu de re
it de tics épouvantables ! Ce serait là, suivant lui, l'origine de sa
maladie
: mais le banquier tiqueur était-il en outre copr
il serait juste, comme on l'a fait quelquefois, d'appliquer le nom de
maladie
cle Cotugno (Dom. Cotunii, opuscula medica. T. II
qu'il s'agisse là d'une sciatique grave, d'une sciatique néorite. La
maladie
en effet dure depuis cinq ans déjà, ayant présent
ne faut pas confondre avec la douleur du genou qui s'observe dans les
maladies
de l'articulation de la hanche), enfin le point m
ans. Il avait, au service, contracté la fièvre typhoïde; pas d'autres
maladies
à signaler. Une fois libéré, il est entré dans un
s puissent contribuer à lui imprimer une forme grave. Mais au fond la
maladie
nerveuse se montre toujours la même quelle que so
1. Voir sur la polyopie monoculaire des hystériques : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III p. 322. Io période é
ifs. Elle a malheureusement succombé deux ans après par le fait d'une
maladie
organique du cœur. C'est ainsi que la paralysie
Charcot, à la mère. — Àvez-vous souffert aussi, madame, de cette même
maladie
? La mère. — Oui, monsieur, et mon mari égaleme
et au père : Avez-vous connu des membres de votre famille atteints de
maladies
nerveuses ou ayant eu la tête dérangée? Le père
e du rhumatisme de la petite qui est ici : a-t-elle eu avant d'autres
maladies
? La mère. — Oui, la rougeole à l'âge de 5 ans.
phénomènes-là ne 'sont nullement nécessaires à la constitution de la
maladie
hystérique, et à leur défaut, nous avons relevé a
ent à l'hystérie virile et ils s'y observent non seulement lorsque la
maladie
relève d'un traumatisme ou d'un choc nerveux, mai
. Leipzig. 1871. T. I, flg. 1 et 2. ?. Voir Charcot, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 103 et t. II,p. 132.
rome de Broivn-Séquard. Quelques-uns disent, remarquez-le en passant,
Maladie
de Brown-Séquard au lieu de syndrome. Je préfère
terme et je m'y attache. C'est qu'en effet il ne s'agit pas là d'une
maladie
autonome, mais seulement d'un ensemble symptomati
t, dont l'histoire est rapportée dans le 3e volume des Leçons sur les
maladies
du système nerveux. — Voir l'Appendice 11 2e
rd'hui encore il porte les traces. Voici dans quelles conditions la
maladie
s'est produite :1e 19 novembre 1886, vers 7 heure
énomènes relevés sont caractéristiques, l'histoire tout entière de la
maladie
. J'insisterai particulièrement sur les traits sui
té dans maintes circonstances, en particulier dans les Leçons sur les
maladies
du système nerveux (t. III, 1887, p. 27 et suivan
que la cause provocative a été vraiment minime. Voilà deux ans queda
maladie
a commencé et chez notre homme elle laisse subsis
minée par une lésion banale, porter un pronostic trop favorable. La
maladie
sera longue, à peu près nécessairement quoi qu'on
mme vous le faites ? Le malade : Oui, monsieur, c'est chez nous une
maladie
de famille. Mon père «st bègue, mon grand-père pa
important. (Au malade) : Y a-t-il dans votre famille quelque cas de
maladie
nerveuse autre que le bégaiement? le bégaiement e
le bégaiement? le bégaiement en somme est plutôt une infirmité qu'une
maladie
. J e malade : J'ai eu un frère, mort maintenant
eulement. J'oubliais de vous dire, monsieur, qu'au commencement de ma
maladie
, la première fois que j'ai eu le vertige, j'étais
bien le résultat d'un processus éteint, c'est-à-dire d'un reliquat de
maladie
. L'histoire de l'évolution du cas que nous devo
etc., un membre de la famille neuropathologique, ou autrement dit une
maladie
de diathèse nerveuse. Voici autant, qu'il a pu
et nous l'avons déjà présenté comme tel. Il est fils naturel — pas de
maladies
nerveuses bien déterminées; mais il est emporté,
et arbre généalogique, nous] ne [relevons chez les antécédents aucune
maladie
nerveuse typique, de parfait développement : seul
ici le rôle d'un agent i. Magnan. Influence, de Valcoolisme sur les
maladies
mentales. Genève, 1878. provocateur qjai met en
ituent plus guère que des infirmités incurables, derniers vestiges de
maladies
éteintes. Que pourrons-nous faire en faveur de
s'en faut, toujours moins durables, moins tenaces que ne le sont les
maladies
dites organiques. Vô Telle est en particulier
e ne s'accordaient en aucune façon avec l'intensité et la durée de la
maladie
; et nous avons vu des paralysies faciales, ne s'
sans cesse ni sans trêve. Voici d'ailleurs l'histoire clinique de la
maladie
telle qu'elle s'est déroulée depuis son début jus
ui est la règle aux époques antérieures, des cas graves ; soit que la
maladie
en vienne à s'éterniser à l'état chronique (choré
aiguë peut par elle-même, exceptionnellement il est vrai, devenir une
maladie
fort sérieuse. Nous devons nous appliquer à reche
cérale. La mort est survenue dix jours à peine après le début de la
maladie
convul-sive ; on avait constaté un peu avant une
un peu naïvement, d'enrayer la marche si habituellement fatale de la
maladie
, par l'emploi des agents antipyrétiques, en parti
te le résidu d'un processus éteint. Elle n'est pas l'expression d'une
maladie
en pleine activité et qu'on pourrait incriminer c
l'hystérie, dans le mal comitial, dans la paralysie agitante, dans la
maladie
de Basedowe dans les vésanies, etc., etc. Cela sa
ns les tempes, etc. Tels ont été les premiers symptômes relatifs à la
maladie
nerveuse que nous avons à considérer actuellement
éiques comme il figure dans leurs antécédents héréditaires ; mais les
maladies
nerveuses n'y font pas défaut non plus, et bien d
n cancer du larynx à l'âge de 56 ans ; la mère n'a jamais souffert de
maladies
nerveuses : réponses également négatives en ce qu
s été malade? Le malade : Non, monsieur, jamais je n'avais connu la
maladie
. M. Charcot: Vous avez servi? Le malade: Oui,
'ai raconté l'histoire dans le troisième volume de mes Leçons sur les
maladies
du système nerveux. (Appendice, p. 4il et suiv.)
tout à faits exceptionnels. Cette anomalie relative à l'âge auquel la
maladie
s'est développée ne sera pas la seule que nous au
é, ainsi que je l'ai fait remarquer, il y a longtemps (Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, p. 163,— oette leçon d
érée, pour le commençant qu'on voudrait initier à la connaissance des
maladies
organiques du centre nerveux et de la moelle épin
du centre nerveux et de la moelle épinière en particulier, comme une
maladie
d'étude. !.. Synonymes : Téphromyélite ou Polio
es et qui est représenté par un petit foyer de sclérose. (Extrait des
Maladies
du système nerveux, t. II. Œuvres complètes de J.
i fallait le prendre au pied delà lettre. Eh bien, ce problème-là, la
maladie
nous 1. Les expériences de M. Prévost de Genève
réditaires des sujets frappés de paralysie infantile, à penser que la
maladie
dont il s'agit, représente un des membres de la g
de paralysie infantile à l'âge de 3 ans 1/2. 1. L'hérédité dans les
maladies
du système nerveux. 1886, p. 204. Je relèverai
est relative la figure 5 empruntée au 2e volume de nos Leçons sur les
maladies
du système nerveux (t. II, fig. 5, 8, p. 181), of
Un troisième enfin, emprunté àlathèse de M. Déjerine, montrerait la
maladie
frappant le fils d'un paralytique général qui com
b. Vers l'âge de 60 ans ; un accès de mélancolie à l'occasion d'une
maladie
aiguë. » Sa femme issue d'une famille goutteu
ndent évidemment à faire reconnaître la paralysie infantile comme une
maladie
d'hérédité nerveuse. Mais je ne puis vous laisser
e pas 1.500 âmes. De là à conclure que la paralysie infantile est une
maladie
infectieuse, peut-être contagieuse, la voie est f
eeligmîiller,paraissent être relativement plus fréquentes, lorsque la
maladie
frappe les adolescents ou les adultes. Elles sera
nviron deux ans. Il était âgé de 19 ans quand il a été frappé de la
maladie
dont il s'agit.Nous ne lui connaissons pas d'anté
ns que je vais lui adresser devant vous, les principales phases de sa
maladie
. A la malade : Veuillez nous parler, je vous pr
dans l'espèce. Vous allez voir maintenant les divers symptômes de la
maladie
dont il s'agit dans ce cas, apparaître successive
vésicale, puisse permettre de fixer le diagnostic à une époque où la
maladie
en est encore à ses premiers commencements. Il y
mes premières études à cet égard remontent en effet à l'année 1872. (
Maladies
du système nerveux, t. II, 1° 2° 3e et 4e leçons.
re que, dans cette complication d'événements, il faut admettre que la
maladie
aerveuse, ataxie ou hystérie, qui se montre la pr
areille circonstance plus qu'une coïncidence fortuite ; mais les deux
maladies
, bien que développées en raison de conditions com
tionnels, étant mise à part, bien entendu, l'ataxie dite héréditaire (
maladie
de Friedreich) dans laquelle, au contraire, le ny
le nystagmus est fréquent; mais vous n'ignorez pas que cette dernière
maladie
est, nosographiquement, nettement séparée de l'at
tuent même jusqu'à un certain point un des caractères cliniques de la
maladie
. Ils peuvent se produire, vous le savez, — car c'
ssières, la rapprochent en quelque sorte clini-quement de l'hystérie,
maladie
mobile par excellence, du moins dans bon nombre d
noter dans les antécédents héréditaires : père, mort à 52 ans, d'une
maladie
du cœur ; mère morte « hydropique » ; deux sœurs
ois appelé l'attention dans mes Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau et de la moelle épinière (Paris, 1876,
mestique, que pour des indispositions tout à fait indépendantes de la
maladie
spinale, est venu nous trouver ces jours-ci se pl
nière dans le mal de Pott. Chose remarquable, bien que ce soit là une
maladie
éminemment vulgaire, on est resté bien longtemps
re ; ces douleurs augmentent par la flexion de la t. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. T. II, p. 104 et suiv. ¿0
conduisait tout naturellement à penser qu'une nouvelle poussée de la
maladie
ancienne, depuis si longtemps en apparence éteint
Onpouvait même craindre que les membres supérieurs, épargnés dans la
maladie
première, ne participassent cette fois dans une c
emble des signes classiques sur lesquels reposent le diagnostic de la
maladie
peut à cette époque être quelquefois simulé de la
le, presque malingre et, il y a trois ans, il a souffert d'une grande
maladie
dont le nom sonne mal à l'oreille ; c'était paraî
hoses allaient pour le mieux depuis plusieurs mois lorsque survint la
maladie
qui le retint au lit pendant près de six mois.
ances anatomiques et cliniques et c'est à juste titre, hélas I que la
maladie
en question est généralement réputée pour incurab
s de la suspension dans certains cas d'impuissance indépendants de la
maladie
tabétique, chez de jeunes sujets. Les résultats o
vront pas être soumis à la suspension les sujets qui sont atteints de
maladies
du cœur et des gros vaisseaux, ceux qui souffrent
s de maladies du cœur et des gros vaisseaux, ceux qui souffrent d'une
maladie
chronique des poumons : phtisie, emphysème ; ceux
de au moment de la première suspension est ainsi conçue : début de la
maladie
il y a cinq ans par des crises de douleurs fulgur
s sans canne ; j'urine beaucoup mieux, presque aussi bien qu'avant ma
maladie
. J'ai aussi des érections maintenant, seulement e
dité nerveuse très chargée,syphilis.Chez ce malade, l'évolution de la
maladie
avait été extrêmement rapide car, dans l'espace d
garde contre la pratique de la suspension, telles par exemple que les
maladies
organiques du cœur, la phtisie pulmonaire, les te
entres nerveux, autres que l'ataxie locomotrice, et aussi de quelques
maladies
purement nôvropathiques. M. le DrBlocq, notre anc
cette façon,dans le service une jeune fille de 13 ans, atteinte de la
maladie
de Friedreich. Cette malade, après un traitement
raitement du tabès. 11 nous a paru que les ataxiques frappés par la
maladie
lorsqu'ils sont très jeunes, et aussi,par contras
ets atteints cle paralysie spasmodique, à trois sujets affectés de la
maladie
de Friedreich, enfin à quatre cas de paralysie ag
e la maladie de Friedreich, enfin à quatre cas de paralysie agitante (
maladie
cle Parkinson). Aucun des malades atteints de p
gravation des symptômes paralytiques. Les trois malades atteints de
maladie
de Friedreich, traités p-ar la suspension sans ap
gitante,— nous relevons en passant qu'il s'est agi là de la véritable
maladie
de Parkinson et nullement d'un tremblement quelco
ar ce qui précède,à conseiller le traitement de la suspension dans la
maladie
de Parkinson, surtout lorsque la raideur des dive
doses longtemps prolongées. 2e, 3e, 4e, 5e et 6e Cas. — Exemples de
maladies
de Basedow présentant certaines particularités in
ités intéressantes : tremblement, fièvre, paraplégie spéciale dans la
maladie
de Basedow. Combinaison de la maladie de Basedow
re, paraplégie spéciale dans la maladie de Basedow. Combinaison de la
maladie
de Basedow avec l'hystérie, l'ataxie locomotrice
n, notion d'après laquelle la paralysie de ce genre est souvent une
maladie
d'hérédité' nerveuse, Mais je n'ai jamais été jus
des intervalles de calme absolu, pendant lesquels les symptômes de la
maladie
locale d'où ils dérivent persistant, les accès te
nté pour la première fois, vous constaterez qu'il 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, p. 348. s'est produi
ir, pour vous être présentés actuellement, cinq sujets atteints de la
maladie
de Basedow, et qui, tous offrent un certain intér
uelques points, peu connus ou même non encore signalés, concernant la
maladie
dont il s'agit. I. Voici d'abord un homme âgé d
s neuropathologiques, laisser paraître, à l'égard du diagnostic des «
maladies
à tremblement », des hésitations qui certes ne so
z notre homme,qui représente ici le type parfait du tremblement de la
maladie
de Basedow : c'est bien entendu du tremblement de
suite sans cause connue, et s'arrêter à nouveau. Le tremblement de la
maladie
de Basedow au contraire, est absolument continu.
tandis que, dans le même acte, les oscillations du tremblement de la
maladie
de Basedow n'augmentent pas notablement d'étendue
t de celui de la paralysie générale progressive, le tremblement de la
maladie
de Basedow se distingue par cette circonstance qu
p. 378. Ces traits cliniques qui caractérisent le tremblement de la
maladie
de Base-5 secondes 5 secondes 5 secondes 5 second
rrégulier (de 5 à.7 oscillations par seconde). 3° Tremblement de la
maladie
de Basedow (Marquât). Oscillations rapides, brève
n accusés,ces caractères-là, permettrait d'affirmer l'existence de la
maladie
en question, alors même que l'exophthalmie et le
ent défaut. Je n'ignore pas que cette notion des formes frustes de la
maladie
de Basedow que nous nous sommes depuis longtemp
de médecine de Berlin un cas qu'il considérait comme appartenant à la
maladie
de Basedow en l'absence de goitre et d'exophthalm
ont maintenant entre nos mains. En réalité, l'histoire clinique de la
maladie
de Basedow devait subir la même évolution que cel
conséquence qu'il a commencé à ressentir les premiers symptômes de la
maladie
. Le tremblement s'est montré, le premier; tout à
e ces crises diarrhéiques qui appartiennent au tableau régulier de la
maladie
de Basedow et dont je vous ai, du reste, entreten
omènes qui, si je ne me trompe, n'ont pas encore été signalés dans la
maladie
de Basedow et qui ne doivent pas cependant y être
u'on leur imprime. S'agirait-il là d'un symptôme particulier lié à la
maladie
de Basedow? C'est une question qui se présentera
ut à fait favorables à la thèse d'après laquelle dansl'histoire de la
maladie
de Basedow,l'hérédité nerveuse tient une large pl
atrice puissante ne saurait être méconnue, les divers symptômes de la
maladie
se sont accumulés dans un court espace de temps ;
remarquée tardivement. Quoi qu'il en soit, au bout de trois mois, la
maladie
était définitivement constituée, telle à peu près
oublier toutefois que tous ces symptômes peuvent se présenter dans la
maladie
de Basedow en dehors de toute complication et que
le Prof. J. Renault. L'auteur montre qu'il peut se présenter dans la
maladie
de Basedowun état fébrile plus ou moins intense,
t intéressante : elle est relative à une femme de 36 ans, atteinte de
maladie
de Basedow à la suite d'émotions pénibles et qui
orsque cette malade est sortie de l'hôpital, tous les symptômes de la
maladie
de Basedow persistaient à un certain degré ; mais
ches, donnerait un caractère très singulier à l'état fébrile lié à la
maladie
de Basedow. Quoi qu'il en soit, nous pouvons dès
a fièvre, indépendante de toute complication viscérale, peut, dans la
maladie
de Basedow, s'établir même pendant de longues pér
égliger de faire remarquer, cependant, que toutes les observations de
maladie
de Basedow avec fièvre, sans complication viscéra
qui, pendant un an, se sont reproduites à peu près tous les mois. La
maladie
de Basedow a commencé à paraître chez elle, il y
ment amélioré, sur tous les points, depuis un an. Les symptômes de la
maladie
sont toujours présents, sans doute, mais ils n'ex
equel je tiens à insister aujourd'hui à propos de ce troisième cas de
maladie
de Basedow est le suivant. En premier lieu, on ob
z la malade des symptômes hystériques,dans le temps même où ceux delà
maladie
de Basedow tendent à rétrocéder. La combinaison d
de Basedow tendent à rétrocéder. La combinaison de l'hystérie avec la
maladie
de Basedow chez un même sujet n'est certes pas ch
e et rétrécissement double du champ visuel. IV. Le quatrième cas de
maladie
de Basedow, surlequel je veux appeler votre atten
ui âgée, de 38 ans, qui est à la Salpêtrière depuis 4 ans environ. La
maladie
de Basedow a débuté chez elle il y a environ 0 an
ment a été à, n'en pas douter, chez elle, la cause provocatrice de la
maladie
; celle-ci s'est développée, du reste, peu de tem
alpitations, bientôt suivies d'exophtalmie, ont marqué le début de la
maladie
(en 1880), et, peu après, le tremblement est surv
à pouvoir se tenir debout et marcher. Les symptômes ordinaires de la
maladie
de Basedow ont, pendant ce temps,continué leur tr
encore aujourd'hui à l'état rudi-mentaire, 9 ans après le début de la
maladie
, bien que la situation depuis 2 ou 3 ans se soit
déjà longue de ceux qui se rattachent plus ou moins directement à la
maladie
de Basedow et en font, en quelque sorte, partie i
s'y attache, je vous présenterai en terminant un cinquième exemple de
maladie
de Basedow, dans lequel les membres inférieurs so
ons de cœur et que ses yeux devenaient saillants. Ces symptômes de la
maladie
de Basedow existent encore aujourd'hui et la tach
ent, il s'agit ici d'une combinaison de l'ataxie locomotrice et de la
maladie
de Basedow, dans laquelle celle-ci a précédé l'au
-ci a précédé l'autre de quatre ou cinq années. Actuellement les deux
maladies
coexistent sans toutefois se confondre ; c'est do
édicale des hôpitaux (2). 1. Le cas de paraplégie survenue dans une
maladie
chez une femme atteinte de maladie de Basedowpubl
as de paraplégie survenue dans une maladie chez une femme atteinte de
maladie
de Basedowpublié par M. Ballet, dans le n° 3 de l
s en jeu, toujours innocentes. Sans doute elles n'ont pas créé ici la
maladie
de toutes pièces, car l'histoire des antécédents
ont renvoyés à la leçon prochaine. L'un de nos sujets représentera la
maladie
neurasthénique à Tétat de pureté nosographique, c
diverses, sans sélection aucune. Est-ce donc qu'il s'agirait là d'une
maladie
nouvelle développée sous l'influence de nouvelles
nditions d'existence? Je n'en crois rien, Messieurs, pour ma part; la
maladie
date de loin je pense, et rien n'est changé à son
ion préalable; on le sait bien par l'histoire de l'ataxie locomotrice,
maladie
ancienne par excellence, sans aucun doute,et qui
ante autre tante père mère tante Aliénée ; dipso- Dipsomane. Aucune
maladie
Aucune maladie Aliénée mélan- mane; s'est suici
e père mère tante Aliénée ; dipso- Dipsomane. Aucune maladie Aucune
maladie
Aliénée mélan- mane; s'est suicidée nerveuse. n
par hérédité aux affections nerveuses, et, en outre, affaibli par une
maladie
antérieure, devenir, quelques jours après un acci
été traité pendant quelques mois pour un « ulcère de l'estomac». La
maladie
actuelle a débuté il y a deux mois sans cause occ
ite la sensibilité de cet organe est normale. Depuis le début de la
maladie
actuelle, le sommeil est fort écourté ; il dure à
Mouvement médical 1872 n° 3 et 4 et the Lancet 1872. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I p. 320 — La douleur ilia
ire des ouvriers actifs, gagnant bien leur vie, jusqu'au moment où la
maladie
dont ils souffrent les a désemparés et réduits à
enl il y a quelque semaines, à une époque plus voisine du début de la
maladie
: il présentait vraiment alors l'image vivante de
'ailleurs pas de convulsions dans l'enfance, pas d'alcoolisme, pas de
maladies
dignes d'être notées, en un mot, j usqu'à l'époqu
usqu'à l'époque où est survenu l'accident, cause occasionnelle de la
maladie
dont.il souffre actuellement. C'était à la fin
t à coup, sans incident nouveau qu'on puisse incriminer, voilà que la
maladie
s'aggrave et prend un caractère nouveau. Ce qui s
jours, plusieurs semaines ou même plusieurs mois, les symptômes de la
maladie
ner- 1. Vibert. Etude médico-légale sur les ble
rences vraiment capitales. Ainsi chez l'un de nos sujets, le n° 1, la
maladie
se développe en apparence spontanément, sans l'in
er même approximativement ; pourra-t-il déclarer que chez celui-ci la
maladie
est survenue spontanément, que cet autre a failli
'accident. Les symptômes hystériques un an après. 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. 4e édition, page 424. ýì.Ëâ
plusieurs fois, comme vous savez, en petit. Mais je craignais que ma
maladie
ne me reprît, et ne m'obligeât à recommencer les
de, il lui a été répondu par un refus formel, sous le prétexte que la
maladie
dont il souffre aurait été causée par « l'intempé
nt que « l'intempérance » n'est pour rien dans le développement de la
maladie
en question. Nous lui délivrerons en outre un deu
qui, je crois devoir le répéter, n'a jamais souffert autrefois d'une
maladie
nerveuse quelconque et ne compte pas, autant qu
ès convulsif. Quoiqu'il en soit, à partir de ce quatrième accès, la
maladie
pendant une longue période de quatorze mois n'est
cinq ans et où elle a acquis une grande réputation d'habileté. Pas de
maladies
nerveuses antérieures à l'affection dont il va êt
t, Arch, générales de Médecine, 1860, avril et octobre 1861. — Ribot,
Maladies
de la mémoire, 1881, p. 54. subconscience marqu
ent, vous le voyez, qu'on a reconnu qu'il ne s'était pas agi là d'une
maladie
primitive de l'estomac, mais bien de troubles gas
gine, soupçonner pour le moins, affirmer peut-être, la présence de la
maladie
tabétique et se trouver conduit à y rattacher les
rtiennent fort souvent, le plus souvent peut-être, à la période de la
maladie
où l'ataxie motrice n'a pas encore paru et que j'
rantes ». On a proposé tout récemment pour désigner cette phase de la
maladie
dont j'ai indiqué le premier les grands caractère
seuls représentants, en quelque sorte, pendant fort longtemps, de la
maladie
tabétique. «Maintes fois, disais-je en 1872, j'ai
et 30 nov. ; 14 déc. et 8 janv. 1873). Voir aussi les Leçons sur les
maladies
du système nerveux faites à la Salpêtrière, t. II
et le retour à l'état normal il n'y a, en quelque 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. ]I, 2e éclit., p. 35. 2.
peuvent être légitimement rapprochées des crises diarrbéiques cle la
maladie
de Basedow où le début brusque et la brusque cess
'on soit autorisé, sans plus attendre, à conclure à l'existence de la
maladie
tabétique. Cependant, il y a six ou sept ans, M.
s fois, les malades ont présenté du strabisme; d'autres fois enfin,la
maladie
au bout de trois ans a abouti à une « paralysie (
nt, pendant près de trois ans, constitué l'unique manifestation de la
maladie
tabétique. 4° Quelquefois les crises se rapproc
ut, à l'hôpital du Val-de-Grâce, service de M. Kelsch. Le début de la
maladie
avait eu lieu il y a onze ans, inauguré par les c
mme dans les conditions du type, s'allonge extraordinairement de 1.
Maladies
du système nerveux, loc. cit., p. 322. 2. 27 ja
un homme bien constitué, solide d'apparence, fatigué seulement par la
maladie
dont il souffre depuis bien longtemps. S'adress
s. S'adressant au malade : C'est bien le 3 décembre 1883, que votre
maladie
d'estomac a commencé ; avant ce jour-là vous étie
C'est bien, mais parlez-nous de vos crises gastriques. 1» Loe. cit.
Maladie
du système nerveux, 1879, p. 211. 2. J. Straus.
ômes de la série qui peuvent n'exister que passagèrement, bien que la
maladie
persiste d'ailleurs foncièrement et continue prog
, suivant moi, on eût pu chez notre patient, même dès l'origine de la
maladie
, reconnaître les troubles gastriques pour ce qu'i
va suivre. Vous allez voir, en effet, que, dès le commencement de la
maladie
, les crises gastriques se sont trouvées associées
oduiront pas. Certes, voilà un pauvre homme chez lequel la terrible
maladie
tabétique, semble avoir voulu exercer toutes ses
s paraissent avoir joué un rôle important dans le développement de la
maladie
que nous devons étudier maintenant. Klein a fai
inflammatoire. On sait que la boiterie date des premiers jours de la
maladie
; dans ce temps-là les douleurs occupaient, Pig
t de marcher reparut exactement comme la première fois. Cette fois la
maladie
n'a duré qu'un mois. La guérison depuis s'est mai
dans un ouvrage du professeur Weir-Mitchell, de Philadelphie, sur les
maladies
du système nerveux chez la femme, publié en 1885
u vieux, comptent parmi les prédisposés par hérédité à contracter des
maladies
nerveuses. Les troubles moteurs abasiques se mani
up sur l'ébranlement physique ; ou encore dans la convalescence d'une
maladie
aiguë qui a profondément débilité l'organisme, d'
quence de l'intoxication par l'oxyde de carbone. Il est toutefois une
maladie
nerveuse dont on pouvait s'attendre qu'elle viend
nts issus de nerveux et qui ont été eux-mêmes, plus tard, victimes de
maladies
nerveuses diverses. À partir de l'âge de 14 ans
logique, marquent cependant un acheminement vers les frontières de la
maladie
. Ces frontières sont décidément franchies à la su
e sorte le dernier appoint ; c'est alors, dans la convalescence de la
maladie
toxique, que sont apparus les symptômes abasiques
accident local, du syndrome; je ne parle pas ici pour le moment de la
maladie
tout entière. Qu'allons-nous faire pour l'y aid
es rétractions fibro-tendineuses, et enfin le mode- d'évolution de la
maladie
, pour ainsi dire subaigu et qui contraste singuli
du tout la famille de son père. Sa mère et sa tante sont mortes de
maladie
cardiaque. Celle-ci avait fréquemment souliert du
intellectuelle et son amnésie-Ce qu'il avait, antérieurement à cette
maladie
, appris à l'école il l'a depuis complètement oubl
ogressive s'agit-il chez ce malade? Existe-t-il une relation entre la
maladie
de l'enfance et celle qui s'offre actuellement à
euse et exerçant autrefois la profession de bijoutier en acier que la
maladie
l'a obligé d'abandonner il y a 3 ans. Malgré l'in
n de froid très caractéristique. A propos du développement de cette
maladie
d'enfance, je relèverai que les tares nerveuses n
ade. Sa mère, d'après le récit qu'il nous donne, était atteinte d'une«
maladie
de nerfs»qui la faisait se tenir le corps courbé
nous faire reconnaître qu'il s'est agi là de la paralysie-agitante ou
maladie
de Parkinson. Ajoutons qu'un des frères de notre
ongtemps, à savoir : que la paralysie spinale infantile est moins une
maladie
accidentelle, contingente, microbienne surtout co
contingente, microbienne surtout comme on l'a voulu prétendre, qu'une
maladie
d'hérédité nerveuse. Ils pourront contribuer peut
ai pour mon compte rencontrée plus de 60 ans après la cessation de la
maladie
qui lui avait donné naissance. A ces lésions spin
il n'y a pas, à proprement parler, de récidives à craindre; c'est une
maladie
qui ne nous attaque qu'une fois dans la vie. On c
bijoutier, et pendant cette longue période il n'avait éprouvé aucune
maladie
, aucune indisposition sérieuse. Mais voilà qu'il
e modification pupillaire. D'après ce qui précède,vous voyez que la
maladie
qui s'est manifestée pour la première fois chez
rouveront en quelque sorte surajoutés, dans la clinique, à ceux de la
maladie
spinale primitive. On comprend aisément combien
, certaines tumeurs intraspinales, la sclérose en plaques et enfin la
maladie
que j'ai désignée sous le nom de sclérose latéral
trophique, laquelle peut évoluer, on le sait bien t. Leçons sur les
maladies
du système nerveux etc. t. II. Voir onzième leçon
yotrophies de ce groupe, je citerai seulement à titre « d'exemple, la
maladie
dite paralysie pseudo-hypertrophique... Je me pro
us que la myopathie primitive est, sauf de très rares exceptions, une
maladie
infantile ou pour le moins juvénile ; or, vous sa
la substance grise. Il y y a cette différence, toutefois, que dans la
maladie
d'enfance, la lésion évolue constamment suivant l
s que c'est le mode chronique qu'elle affectera au contraire, dans la
maladie
de l'adulte. t. Voir sur le même sujet, E. Thom
. Cette anesthésie est évidemment de nature hystérique. Quelle est la
maladie
organique qui pourrait produire une pareille inse
t à la caserne et ce fut là, pense-t-on, la cause occasionnelle de sa
maladie
. Il tombe en attaque ; on le transporte au lazare
a pas trace d'épilepsie, il n'y en a que l'apparence. Quand les deux
maladies
cohabitent chez un même individu, elles vivent sé
Vous savez-qu'il y en a de 7 à 9 dans le tremblement vibratoire de la
maladie
de Basedow. Ce n'est donc pas^un tremblement rapi
ue vous devez connaître parce qu'ils vous permettront de découvrir la
maladie
quand les malades s'en cachent, ce qui est d'aill
t dans tous les sens, je finis par découvrir une chose : c'est que la
maladie
évoluait chaque jour en cinq actes, séparés par
Depuis quand ?» — Et elle me répondit : « C'est depuis que j'ai eu ma
maladie
du ventre. » La maladie « du ventre » avait depui
e me répondit : « C'est depuis que j'ai eu ma maladie du ventre. » La
maladie
« du ventre » avait depuis longtemps disparu ; ma
arvienne à le délivrer de la morphine, il lui restera ses deux autres
maladies
, tenaces elles aussi, à quel degré, je n'ai pas b
détails, tout ce que le malade sait, tout ce qu'il nous a dit sur la
maladie
pour laquelle il est venu nous consulter, et sur
e la foudre, en le frappant le 7 mai dernier, a déterminé chez lui la
maladie
qu'il nous faudra tout à l'heure étudier. Après
iers qu'ils paraissent devoir permettre de distinguer, à coup sûr, la
maladie
des tics de toutes les autres espèces d'affection
est animé d'une vitesse moyenne et fait un tour en dix secondes. — A,
maladie
des tics; B, chorée chronique. (Communiqués par M
orée chronique. (Communiqués par M. Dutil, interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux.) vements involontaires de l
ment reconnu par tout ce qui précède que c'est chez J... qu'existe la
maladie
des tics, et vous avez pu vous convaincre du même
véritable jour si, au lieu d'envisager seulement un des aspects de la
maladie
, on s'attache à en embrasser l'histoire tout enti
s que, suivant nous, la chorée dite d'Huntington ne constitue pas une
maladie
spéciale, autonome, distincte foncièrement de la
l'heure. Eh bien, nous ferons valoir à cet égard, que le début de la
maladie
s'est fait à 33 ans seulement, tandis que les tic
chorée chronique passe, et c'est de toute justice je crois, pour une
maladie
incurable; son évolution est fatale, et la thérap
dans sa marche progressive. Il n'en est pas tout à fait de même de la
maladie
des tics ; elle aussi est des plus fâcheuses, en
ques antécédents héréditaires à signaler : la mère serait morte d'une
maladie
de la moelle épinière ; ses jambes étaient complè
être signalés. Jamais, àpartune fièvre d'Afrique, Cr...t, n'a subi de
maladie
. Il a servi comme soldat en Afrique pendant douze
nter aujourd'hui, pour les étudier avec vous, quelques exemples d'une
maladie
organique spinale nouvellement introduite dans la
lie (1). Je viens de dire que l'introduction dans la clinique de la
maladie
en question était de date toute récente : cela es
, et [aueXoî moelle. 2. Dans la première édition des leçons sur les
maladies
du système nerveux de M. Gharcot (1874) la syring
tives au diagnostic différentiel de la syringomyélie, et à propos des
maladies
organiques spinales qui par plusieurs traits lui
hystérique, cette grande simulatrice, comme je l'ai dit ailleurs, des
maladies
organiques des centres nerveux. Jamais le clinici
. C'est une question fort discutée encore que celle de savoir si la
maladie
de Morvan, de Lannilis, ou, autrement dit le Pana
gomyélie, il.me reste à vous dire un mot concernant l'évolution de la
maladie
, son pronostic, son étiologie et enfin le diagnos
age physique, l'affaiblissement de l'organisme déterminé par diverses
maladies
infectieuses, telles que la fièvre typhoïde, le r
tion du mal est remarquablement lente, il peut arriver qu'une fois la
maladie
constituée, le sujet reste de longues années sans
, ajoute-t-il « nous pouvons admettre la possibilité de l'arrêt de la
maladie
et de son amélioration considérable et peut-être
t être établi, au point de vue du diagnostic, entre la syringomyélie,
maladie
organique du centre spinal, et certains aspects d
ndonner l'une et l'autre il y a cinq ans, en raison des progrès de la
maladie
dont il est atteint. Il n'y a pas à signaler da
sensitifs ; ni si c'est l'inverse qui a eu lieu. L'évolution de la
maladie
a été jusqu'ici lentement progressive ; elle n'a
, ayant exercé autrefois la profession de passementière. Chez elle la
maladie
paraît avoir débuté en 1879, c'est-à-dire il y a
l'absence bien constatée de la « période douloureuse » au début de la
maladie
avait bien vite fait repousser cette hypothèse. O
malade. Il n'y a pas à signaler d'antécédents héréditaires ; pas de
maladies
antérieures au développement de celle qui nous oc
s les bras et enfin dans les épaules. Depuis 1882 l'évolution de la
maladie
semble arrêtée; l'atrophie musculaire tout au moi
itifs particuliers qui distinguent la syringomyélie de la plupart des
maladies
spinales organiques peuvent,par contre, se retrou
maintenant. La syringomyélie est vous le savez, par excellence, une
maladie
lentement Fig. 124. — A. la main droite de P...
establement, les statistiques du jour le démontrent, elle est une des
maladies
les plus vulgaires parmi les travailleurs manuels
œurs : une sœur est morte en bas-âge; une autre sœur a succombé à une
maladie
de poitrine à l'âge de 11 ans; un frère est mort
me rappelle très bien. » Cependant il nous a raconté l'histoire de sa
maladie
, à plusieurs reprises, sans trop d'hésitation et
ieau clinique de l'hystérie chez la femme. Chez le mâle, en effet, la
maladie
, quelle qu'en soit la cause, se présente souvent
ence capitale entre les deux sexes, pour qui ne connaît pas à fond fa
maladie
chez la femme, — ce que l'on croit être le trait
ître l'a montré par de nombreux exemples, un caractère univoque de la
maladie
hystérique, même chez la femme. Chez elle, il y a
'est pas celui des hystériques.Ces derniers sont, 1. Leçons sur les
maladies
du système nerv., t. III, p. 252; dit-on, d'hum
e qu'aucun de ses parents dans la ligne collatérale fût atteint d'une
maladie
nerveuse quelconque. 11 a quatre enfants qui joui
ement raercuriel (Tracés)......... 233 Fig. 51. — Tremblement de la
maladie
de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig. 52. — Attaque
gées................... 223 2°, 3°, 4e, 5e et 6 cas . — Exemples de
maladies
de Basedow présentant certaines particularités in
ités intéressantes : tremblement, fièvre, paraplégie spéciale dans la
maladie
de Basedow. Combinaison de la maladie avec l'hyst
re, paraplégie spéciale dans la maladie de Basedow. Combinaison de la
maladie
avec l'hystérie, l'ataxie locomotrice progressive
conception, 93. — et epilepsie, 95. — et hystérie, 35, 99, 288. — et
maladies
nerveuses, 93. — Hallucinations, 390. — Rêves, 28
Ballet, 243, 284, 392, 417, 54~. Barrié, 243. Barth, 332. Basedow (
Maladie
de). — Crises diar-rhéiques, 233, 236, 240, 241,
ubles) dans l'empoisonnement par l'oxyde de carbone, 370. Cervelet (
Maladies
du) et Abasie, As-tasie, 474. Champ visuel (Rét
57. — Rhythme et cadence dans la, 5. Classe ouvrière (Pronostic des
maladies
nerveuses dans la), 261. Clinique (de la Méthod
s, 16, 93, 349. Déterminisme ambulatoire, 327. Diarrhée.— dans la
maladie
de Basedow, 233, 236, 240, 241, 335. — dans la mo
ue, 86, 383. — dans la paralysie infantile, 143. — (Traitement) de la
maladie
de Basedow, 239, 240. Electro-pronostic et para
. — (Fixité des), 151. Etat de mal. — choréique, 113, 239. —de la
maladie
de Basedow, 239. Etat de mal epileptique,113,23
paralysie faciale, 101. Fièvre. — Dans la chorée, 106 sq. — Dans la
maladie
de Basedow, 237, 238.— Rhumatismale et chorée. 11
3, 339, 340, Fraenkel, 234. Freud, 488. Frey,143. Friedreich (
Maladie
de). —et suspension, 217, 220, 221. — Nystagmus,
41. — dans l'hystéro neurasthénie, 261, 286, 296, 297, 528. — dans la
maladie
de Basedow, 236, 239, 241. — dans la neurasthén
oir d') dans le grand hypnotisme, 10. Intellectuel (Surmenage).— et
maladies
nerveuses, 93. Ischias arthritica, 25, 27. Is
2,127.— Dans l'état de mal épileptique, 113. Morvan, 498. Morvan (
Maladie
de), 498. Motchoutkowsky, 199, 200, 201, 202, 2
e en plaques, 164. N Nacrée (Papille du tabès), 164. Nerveuses (
Maladies
). — et rhumatisme, 114. — et Traumatisme, 30. N
on, 201, 202, 211, s*», — (Symptômes) dans l'hystérie, 163. — Dans la
maladie
de Basedow, 235. — Dans la sclérose en plaques, 1
98. Papille tabétique, 164. Paralysie agitante. ( Voy. Parkinson (
maladie
de). Paralysie alcoolique. —(Amnésies dans la),
égie.— alcoolique, 85. ( Voy. aussi: paralysie alcoolique.) — Dans la
maladie
de Basedow, 235, 239, 240, 242. — du Mal de Pott.
la), 204, 220. Parinaud, 98, 158, 159, 164, 257, 423. Parkinson (
Maladie
de). — et suspension, 220, 221. Parole. — dans
376. Rhumatisme articulaire. — et chorée, 104? 113, 114, 130. — et
maladies
nerveuses, 114. Rhythme. — dans le bâillement,
er, 44. Sattler, 417. Saturnisme, 84. — et hystérie, 121 sq. — et
maladies
nerveuses, 93. Sayre (Corset de), 200, 204, 209
214, 216. - Durée, 203, 209. — Effets physiologiques, 203, 204, — et
maladie
de Friedreich, 217, 220, 221. — Inefficacité de l
497, 517, 519. — Troubles trophiques,518, 519. Syringomyélie. — et
maladie
de Morvan, 498. — et lésions trophiques viscérale
61,277, sq. 281.— Stigmates, 281, 282. — Réflexes, 282. Tabes. — et
maladie
de Basedow, 243. — et nystagmus, 164. — et parai,
ulatoire épileptique, 323. — et épilepsie, 322 — et hystérie, 30 — et
maladies
nerveuses, 30. — et neurasthénie, 30. Traumatis
morphinomanie, 431, dans l'hystéro neurasthénie, 530, 531. — de la
maladie
de Basedow, 231, 232, 234, 236, 239, 241 — de la
NEUROLOGIE ARCHIVES DE , NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE 1 DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES f Fondée PAR,J.-M. CMAR
SOUS I.A DIIIKC11ON DE A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
que (Ste-Anne). MM. : F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
é pas d'autres traces d'infection ou d'intoxication possibles. La
maladie
actuelle a débuté le 10 septembre 1902, par des
aum lui impute un cours cyclique. « La catatonie, dit-il, est une
maladie
de cerveau à cours cyclique, où les symptômes psy
me indépendant. Ils trouvent qu'on peut le rencontrer dans diverses
maladies
psychiques comme com- plication de l'une ou aut
psychiques comme com- plication de l'une ou autre forme typique de
maladie
men- tale [Westphal (2), Figges (3), Mendel (4)
e malade fut transféré à la section d'Alek- céevsky (Histoire de la
maladie
écrite par le Dr P. A. Scherbats- chow). Janv
dans un cein, il répondit : « Chacun est à sa place. » (Histoire de
maladie
écrite par le Dr S. S. Protopopoff). Noire ob
E. Nous avons eu l'occasion d'observer le malade dans le stade de
maladie
déjà terminal, mais grâce à l'histoire de la mala
ns le stade de maladie déjà terminal, mais grâce à l'histoire de la
maladie
très détaillée, écrite à l'hôpital Préobragensk
bragensky, nous avons pu nous faire une idée de tout le cours de sa
maladie
. La maladie a débuté par une période mélancoliq
s avons pu nous faire une idée de tout le cours de sa maladie. La
maladie
a débuté par une période mélancolique avec des
suites de la masturbation. En même temps, depuis le début de la -
maladie
, on remarqua une confusion mentale, un délire, de
? Par conséquent, l'analyse clinique de la période initiale de la
maladie
doit occuper ici le premier lieu. Ne peut-on pa
enchaînement de conscience (stupeur). Effectivement, au début de la
maladie
(octobre 1895), le ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONI
t mélancolique. Déjà au mois d'avril, six mois après le début de la
maladie
, la con- fusion mentale chez notre malade et un
ent déjà très accentuées. Malgré le type mélancolique général de la
maladie
, on pouvait remarquer certains phénomènes « héb
e temps l'inhibition motrice s'accentuait ; au commencement de la
maladie
on a noté encore des illusions sensorielles. '
); 3° le cours atypique, puisque déjà six mois après le début de la
maladie
est survenue la démence déjà très nettement vis
arités, le diagnostic d'une mélancolie pure au commen- cement de la
maladie
doit être exclu. Restent encore deux autres for
s-quatre mois, ou après un stade d'affaiblissement comparatif de la
maladie
, passent dans une démence chro- nique, avec des
ve secondaire, car la démence a déjà été notée au commence- de la
maladie
. Il est vrai que nous ne pouvons pas nier chez
iale, ensuite l'excitation halluci- natoire dans la floraison de la
maladie
. et la démence pré- coce à la période terminale
. et la démence pré- coce à la période terminale. Le cours de cette
maladie
pré- sente un cas typique de « spannungsirresci
trique de Préobragensky, le il janvier en 4892.-De l'histoire de sa
maladie
(écrite par le Dr Maltschine), nous empruntons
ec un certain défaut men- tal. En 1887, nouvelle exacerbation de la
maladie
. En été de 1888, refus d'aliments pendant plusi
? A notre regret, nos renseignements concernant l'ori- i gine de la
maladie
sont incomplets. Nous savons qu'en 1882 a, (c'e
a, (c'est-à-dire dix ans avant l'entrée du malade à l'hôpital) la \
maladie
a débuté par une période mélancolique; mais nous
taire. Il est certain seulement que dejà un an après le début de la
maladie
, il présentait des phénomènes d'une démence trè
vrai, que nous connaissons concernant la période [, initiale de la
maladie
, nous devons noterque la maladie s'est développ
rnant la période [, initiale de la maladie, nous devons noterque la
maladie
s'est développée à un âge jeune (vingt-trois an
ne parlons pas déjà de cela, que dans le tout 'j commencement de la
maladie
, lorsque la psychose primaire ' était encore pr
ppement de la démence très vite . après la première explosion de la
maladie
. Il est vrai que 1 dans le cours suivant de la
losion de la maladie. Il est vrai que 1 dans le cours suivant de la
maladie
on pouvait observer chez le malade deux états,
aire; pourtant, pendant tout le temps depuis le développement de la
maladie
, nous n'avons pas observé d'intervalles lucides
tre des symptômes catatoniques. Vu le commencement atypique de la
maladie
et le déve- loppement prématuré de la démence,
nie typique. Si cette dernière était à douter au commencement de la
maladie
, maintenant corres- pond au type clinique de Ka
d'affaiblissement du procès morbide. Après le commencement de la
maladie
en 1882, il y a eu une rémission en 1883, puis
riode terminale toujours une démence. ¡ En comparant le cours de la
maladie
de nos deux cas, malgré l'identité des symptôme
présenté des phénomènes cata- toniques, mais dans le premier cas la
maladie
se dévelop- pait sans intermission; dans le sec
s de catatonie pure, mais ils peuvent compliquer aussi d'au- tres
maladies
mentales. Dans le but d'un diagnostic dilféren-
· Je veux citer en abrégé les résultats de mon observation de la
maladie
au mois de juin et juillet, sans m'arrêter sur le
juin et juillet, sans m'arrêter sur les détails de son histoire de
maladie
. Je commencerai par la description de la sphère
uré, l'alypie de la période initiale, la stéréotypie du cours de la
maladie
et 32 CLINIQUE MENTALE. l'affaiblissement trè
Ensuite il faut dire que pour l'amentia de Meynert, le début de la
maladie
par une période mélancolique ne convient pas, e
resque tout le symptomocomplexe catatonique, à savoir : début de la
maladie
par un délire mélancolique, inhibition motrice,
apport pronostique on peut envisager ce cas comme non favorable. La
maladie
doit se terminer par une démence, ou elle va se
e du point de vue que nous mettrons dans la base de la division des
maladies
; le critérium de la « forme indépen- dante » pr
'un tableau clinique défini et d'un cours typique et constant de la
maladie
; 2° D'un substratum anatomo-pathologique défin
fonctions sexuelles, tandis que la constance du développement de la
maladie
dans les conditions de l'inhibi- tion du toxiqu
e pas la dégénérescence et l'laé'édité au nombre des causes de la
maladie
donnée; pourtant d'autres investigateurs (Kraepe-
ibilité du cours rémittent et même, par le fait, périodique de la
maladie
. Ces particularités indiquent que certaines condi
rités indiquent que certaines condi- tions cardinales provoquent la
maladie
donnée. Nous n'avons pas à notre disposition de
des autres centres. Sans limite, les phénomènes propres à une seule
maladie
quelconque peu- vent être observés aussi dans d
eule maladie quelconque peu- vent être observés aussi dans d'autres
maladies
; niais cela n'enfreint pas l'unité du symplômo
sait que les centres moteurs s'alté- raient en premier lieu dans la
maladie
décrite par lui ; quant aux investigateurs qui
e expression clinique ces phénomènes sont connus de nous dans les
maladies
locales du cerveau. La contracture, la dis-. cé
. Il est connu que la catalepsie peut se manifester dans diverses
maladies
mentales et nerveuses, elle peut même être prov
e l'écorce cérébrale ; assurément dans la période primordiale de la
maladie
, toute l'affaire se bornait à des modificatious
concerne le second phénomène clinique : la constance du cours de la
maladie
, on peut l'admettre seulement dans certaines li
on peut l'admettre seulement dans certaines limites. Le cours de la
maladie
décrit par Kahlbaum est trop schématique et tro
trop schématique et trop indéter- miné. D'un côté, les stades de
maladie
cités par cet auteur n'ap- paraissent pas toujo
n, mais aussi des idées de persécution. Le cours consécutif de la
maladie
admet deux types : un cours progressif et un co
observations du professeur Fehige. Puis survient une réci- dive de
maladie
avec confusion mentale, qui se développe très r
dans le cours rémittent sur- vient un affaiblissement temporaire de
maladie
, accompa- gné d'un défaut mental plus ou moins
ou moins marqué ; ensuite apportait de nouveau une exacerbation de
maladie
avec délire épisodique, confusion mentale et ca
ant, ou comme une forme clinique, qui entre dans un autre groupe de
maladies
plus vaste. Pour le moment nous ne pouvons pas
ques, et vu l'indétermination de la nosologie et de l'étiologie des
maladies
psychiques. Outre un nombre assez médiocre de f
u corps de Nissl, le déplacement du noyau, etc. Dans son traité des
maladies
du système nerveux, Sir William Gowers disait q
ment certain c'est que, si les lésions vasculaires ne créent pas la
maladie
, elles jouent tout au moins un rôle impor- tant
rations nerveuses et les mêmes lésions vas- culaires, et dans cette
maladie
, M. Ford Robertson pense que les lésions va"cul
duisent les auteurs aux conclusions suivantes : la pathogénie de la
maladie
exostosique n'est pas encore nettement connue;
ose. R. C. XXVII. Les déviations de la colonne vertébrale dans la
maladie
de Parkinson; par SicARD et ALQUIER (Nouv. lcon
scolioses et cypho-lordo-scolioses); ils en concluent que « dans la
maladie
de Parkinson, on observe le plus souvent des dé
ne de celle de la paraplégie ; spasmodique et aussi de celles de la
maladie
de Friedreich et de l'hérédo-ataxie cérébelleus
arenté pathologique entre le syndrome du torticolis spasmodique, la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie. R. Charron. X
montrent que les troubles sensitifs se produisant au cours de cette
maladie
, sous l'influence des lésions médullaires, peuven
re que toute autre cause de débilité ou de déchéance, déterminer la
maladie
. Dès lors ce groupe d'épilepsies tardives, comp
; il n'y aurait de différence que dans le moment d'appairtion de la
maladie
: jeunesse et adolescence d'une part, âge adult
et où l'artério-sclérose constitue le substra- tum anatomique de la
maladie
, il n'y a pas de motif pour se refuser à en fai
if pour se refuser à en faire une variété distincte, voire même une
maladie
, spéciale, ainsi que l'a soutenu Crocq fils (An
re sans hypertrophie du squelette (gigan- tisme ou acromégalie). La
maladie
a évolué chez un homme de cinquante-huit ans ;
donc ici ni d'hystérie dont la malade n'a aucun stigmate, ni d'une
maladie
organique de j'estomac : Ce sont des crises gas
ot-Marie; le sujet, une femme de cinquante ans, après trente ans de
maladie
est morte d'une crise d'asystolie due à une sth
ée, dans tous les états morbides des cordons pos- térieurs : tabès,
maladie
de Friedreisch et amyotrophie de Charcot- Marie
1902). FAITS DIVERS. Asile DE VILLEJUIF. Service de M. TOULOUSE.
Maladies
men- tales et épilepsie. Le mercredi matin à 10
épilepsie, les re- cherches et les contradictions relatives à cette
maladie
ont été bien nombreuses ; tous les médecins qui
AII\E. - Influence flwo1'rtlde, bien que passagère, de Ce ? taÍ11Cs
maladies
infectieuses sur l'épilepsie. Rareté du goitre
Depuis longtemps frappé de l'influence suspensive que cer- taines
maladies
, infectieuses ont sur l'épilepsie, la fièvre ty
Pérou et surtout à Lima et au Bré- sil où elle constitue l'une des
maladies
les plus communes (Rendu). Il est probable que
emande, comme eux-mêmes, s'il s'agit bien d'épilepsie vraie : « Les
maladies
auxquelles les crétins succombent sont celles d
t notamment l'épilepsie. On a signalé chez le cré- tin des accès de
maladies
aiguës avec fureurs qui se rat- tachent probabl
qui se rat- tachent probablement à l'épilepsie». 1 Esquirol. Des
maladies
mentales, t. I, pages ` ? sur et suivantes, 1838.
gnements qu'a bien voulu me fournir le médecin de la famille sur la
maladie
du mari : « Je suis heureux de pouvoir vous fou
n'ayant jamais eu à soigner chez eux d'accidents propres à cette
maladie
. Mais on sait assez que cette raison n'est pas su
e générale. Quant aux causes de ce singulier phénomène d'une même
maladie
organique des centres nerveux se développant tan-
probabilité) entre l'infection initiale et le développe- ment de la
maladie
cérébrale. L'infection du mari a dû pré- céder
ulte pas que l'intelligence soit paralysée. Un malade atteint de la
maladie
du doute, sait parfaitement que ses angoisses,
ysies, des con- tractures, des troubles sensitifs observés dans les
maladies
orga- niques et que le moi normal est incapable
PATHOLOGIE MENTALE. II. Les rapports des symptômes mentaux avec les
maladies
soma- * tiques; par Nathan Rac. (The Journal of
: dans chaque ville, il faut créer un hôpital de réception pour les
maladies
mentales; il pourra être ou non rattaché à l'hô
nt pas actuellement à se familiariser avec l'étude des cas aigus de
maladies
mentales. R. DE Musgrave-Clay. III. Note sur la
action démontrée par les atro- phies multiples qui caractérisent la
maladie
) et par d'autres in- fluences encore. On serait
anière persistante et progressive. Le premier groupe con- cerne les
maladies
autres que la paralysie générale et la démence
e générale et la démence sénile, tandis que dans ces deux dernières
maladies
les deux grou- 'peso de symptômes peuvent se re
r rappelle les différents symptômes pupillaires observés dans cette
maladie
, et il conclut que la valeur diagnostique et pr
ses douteuses, il est vraisem- blable que l'agent toxique, dans ces
maladies
choisit d'une ma- nière en apparence capricieus
observons beaucoup de ces dissections psychologiques opérées par la
maladie
et qui jettent sur le fonc- tionnement normal u
lire en entier. P. KERAVAL.. XIII. L'élément histrionique dans les
maladies
mentales; par THÉODORE A. KELLOGG. (The New-Yor
l'auteur de la manière suivante : , L'élément histrionique dans les
maladies
mentales est dans cer- tains cas le résultat di
nfluence pratique appréciable sur le pronostic et le traitement des
maladies
men- tales. - R. de MUSGRAVE-CLAY. Archives,
ue la folie circulaire se rencontrerait dans 1,94 p. 100 des cas de
maladies
mentales et s'observerait deux fois plus souven
ent aucune tare héréditaire, 60 accu- saient de l'alcoolisme ou des
maladies
mentales chez le père ou la mère et 7 des tares
ets qui en étaient atteints il n'y en avait pas un seul chez qui la
maladie
ait débuté après 42 ans. Les accès de folie cir-
ur le perron.. P.' KERAVAL. XIX. L'auto-intoxication comme cause de
maladies
nerveuses et ..mentales; par A.-I. linarmshr. (
e paternelle et maternelle, né avant terme, ayant subi une foule de
maladies
infectieuses, et des traumatismes réitérés à la
t a commencé à parler comme un autre, quand, sous l'influence d'une
maladie
causant l'idiotie, il devient muet irrémédiable
e idée généralement admise et montre une filiation étroite entre la
maladie
sucrée et la perversion sexuelle ; l'impul- sio
E. B. XXVII. Un cas de polynévrite et de psychose polynévritique (
maladie
de Korsakoff) à la suite d'anthrax dans le cours
° Les Juifs fournissent un grand contingent au pourcentage de cette
maladie
mentale sur laquelle, après la syphilis, le fac
lles qui en sont dépourvues (à notre connaissance), ad- mettant des
maladies
organiques du corps (cerveau, etc.) par opposit
des maladies organiques du corps (cerveau, etc.) par opposition aux
maladies
mentales ou de l'esprit ( ! ). Mais son tra- va
e de leur sys- tème sensitif, et de plus qu'elle n'est pas la seule
maladie
capable de faire naître les premiers foyers d'i
spontanées que l'on rencontre fréquemment dans l'évolution de cette
maladie
. La forme de paralysie générale qui précède, ac
tère sensoriel qui tient aux localisations carac- téristiques de la
maladie
primordiale (tabes). « Les tabétiques déments s
ques transitoires. Pour M. Pierret ces rémissions sont propres à la
maladie
et caractérisent la paralysie générale tabétiqu
s de conclusions précises. Aussi bien s'agit-il du traitement d'une
maladie
actuellement incurable. Mais l'auteur passe en
bibliographiques au cours de l'article. SIMON. XLIV : De quelques
maladies
terminales de la mélancolie : par Adolf MEYER (
uvent de complications résultant d'ailleurs de leur état. Parmi les
maladies
qui les emportent, il y a à signaler surtout :
paralyti- que qui dominait la scène dans la dernière période de la
maladie
. A l'autopsie on trouva une gomme du cervelet a
t rapporte quelques observations de paralytiques géné- raux dont la
maladie
mit plusieurs années à évoluer, tout en pré- 16
- lades que je considère comme paralytiques généraux, vu que leur
maladie
remonte à plus de dix ans pour qnelques-uns et ex
bès; néanmoins, l'arthropathie classique permit de diagnostiquer la
maladie
et à l'autopsie une dégénération typique des co
nte des stigmates de dégénérescence men- tale depuis le début de sa
maladie
. , La ponction lombaire a manifesté une lymphoc
rale est-absolumeut intacte, ni à un syndrome de Little, puisque la
maladie
a debuté à sept ans. On peut se rattacher à l'hyp
différents de la course en extension. Il précise, pour les diverses
maladies
ner- veuses et pour les principales- maladies d
se, pour les diverses maladies ner- veuses et pour les principales-
maladies
de la nutrition, les appli- cations et les résu
s convulsifs. M. GGItILLON présente une jeune malade atteinte de la
maladie
des tics, avec coprolalie, troubles du caractèr
d'autant plus prédisposés aux troubles trophiques que, chez eux, la
maladie
atteint la totalité de l'axe cérébro-spinal. Ne
R. LEROY. VI. La tuberculose dans l'étiologie et la pathogénie des
maladies
ner- veuses et mentales. Etude critique et expé
éclampsie infantile, épilepsie jacksonienne, mala- die de Basedow,
maladie
de Menière, chorée de Sydenham, chorée molle, é
vations de Colella), sans symptomatologie constante comme dans la
maladie
de Korsakoff d'origine alcoolique ; caractérisés
e la vue. Le suicide est assez fréquent (27 des 214 suici- dés pour
maladies
incurables de Brierre de Boismont étaient des p
diopathique, guérison par un traitement institué dès le début de la
maladie
. -Plusieurs observations d'hémorrhagies de la p
cutanés et pupillaires, les plus importants pour la clinique. La
maladie
des tics est le plus souvent incurable : aussi es
urable : aussi est-elle d'autant plus intéressante l'observation de
maladie
des tics suivie de guérison. Celle-ci fut obten
est l'influence des professions insalubres sur la produc- tion des
maladies
chroniques du système nerveux ? De la statisti-
sante de séparation, Or, maintenant, il pa- rait que cette terrible
maladie
n'est pas un cas de divorce. Et l'on dit que no
taient des lésions du fond de l'oeil paraissant indépendantes de la
maladie
cérébrale dont elles étaient affectées. Obser
HÉRAPEUTIQUES. 219 nerveux de la femme, quifait que, en tout temps (
maladie
ou santé), la femme est plus impressionnable qu
ntait tout naturelle- ment à l'esprit qu'il pouvait exister quelque
maladie
ayant des symptômes analogues à ceux de la para
rcurrente. Et de ce fait, il existe bien, entre les symptômes de la
maladie
et les symptômes expéri- mentaux, certaines ana
mier coup d'oeil. C'est ainsi que la tachycardie, constante dans la
maladie
, manque dans l'état expé- rimental : le tremble
e insuffisance parathyroïdienne, il ne saurait, avec ses allures de
maladie
progressant graduellement, être entièrement analo
tière. Dans un cas seulement. où la mort survint du fait même de la
maladie
avec des symptômes d'une très grande intensité, o
tié des parathy- roïdes, si c'était déjà à leur insuffisance que la
maladie
était due. Cependant, en raison des modificatio
.de Moussu (et bien que tous les traitements aient donné dans cette
maladie
des résultats favorables), l'auteur, en ce mome
nser que certaines formes d'épilepsie, et peut-être encore d'autres
maladies
convulsives, pussent être en rapport aussi avec d
ouvements centrifuges et ascendants; tandis que dans le chagrin, la
maladie
, le découragement, la grande timidité, nos mouv
e les affections dues aux refroidissements; ils supportent bien les
maladies
infectieuses. P. Keraval. XLV. Physiologie pa
t ostéomalacia coherens ou ceroea. . On reconnaît maintenant que la
maladie
passe par deux phases; - dans la-première', l'o
s appropriés de traitement aux cas de début et aux cas passagers de
maladies
mentales dans les hôpitaux généraux : ouverture
on montrerait par là aux classes inférieures que la folie n'est une
maladie
ni honteuse ni répu- gnante, et qu'elle marche
honteuse ni répu- gnante, et qu'elle marche de pair avec les autres
maladies
. Il est asiles d'aliénés. 253 excellent que l
ces deux questions tous les médecins qui font de la consultation de
maladies
mentales répondront oui, avec quelques réserves
hôpital précisément ce qu'ils ne voient pas à l'asile, le début des
maladies
mentales, et ils apprendraient à les soigner de
6° Quel serait l'idéal des mesures à prendre pour le traitement des
maladies
mentales dans les classes pauvres ? - Pour M. C
ures sont au nombre de quatre : a, à l'hôpital général une salle de
maladies
mentales, telle qu'elle vient d'être décrite';
tiné aux malades que l'on interne sur certificat médical et dont la
maladie
z a un caractère aigu ; cet hôpital serait situ
ntatives de suicide. - : Ce spiritisme délirant' peut être toute la
maladie
en tant que - forme de délire mystique d'une co
nciens, et une inclination aux fausses réminiscences (comme dans la
maladie
deKorsakoff). La restitution de la mémoire se f
très froid, en restant dans l'eau jusqu'aux genoux, en péchant. La
maladie
dura à peu près deux ans, s'exprimant, vers la
ion d'une carci- nose jusque là latente ou méconnue. Or, prévoir la
maladie
, la deviner alors qu'elle n'est qu'à ses débuts
lir un diagnostic précis, et d'emblée être fixé sur la nature de la
maladie
, partant en état de fixer sur sa gravité les me
avait des frères ou des soeurs. Sa première enfance se passa sans
maladie
notable; elle fut réglée à dix-sept ans. Vers l
raux au point de vue nerveux ou néoplasique. La malade avait eu des
maladies
bénignes habituelles de l'en- fance ; sa menstr
a succombé à l'âge de cinquante-sept ans. Lui même n'a jamais eu de
maladies
infectieuses et notamment pas de syphilis. H a
., et défend la théorie considérant la chorée d'Hunting-, ton comme
maladie
essentielle des éléments nerveux. Examens histo
cette étude, M. Leclerc déduit les conclusions suivantes : dans les
maladies
du névraxe, le syndrome cérébelleux qui est la
i est atteint d'une tumeur céré- brale et qui a des symptômes de la
maladie
connue chez le cheval sous le nom d'ill ! 11wbi
rrier. XXXI. Troubles du mouvement chez un hystérique simulant la
maladie
de Thomsen; par MM. LECLERc et AGNIEL (Société mé
grand'mere. Examiné à cette époque le médecin fit le diagnostic de
maladie
de Thomsen et le fit entrer à l'hôpital. Ce q
ont amélioré. En comparant ces différents symptômes avec ceux de la
maladie
de Thomsen, et devant la constatation de l'inté
hystérique. C'est pour eux un cas d'aboulie hystérique simulant la
maladie
de Thomsen. G. Carrier. ' XXXII. Incontinence
liser^une véritable guérison de cette incontinence. A mesure que la
maladie
progressait, il fallait augmenter le nombre des
IV. Liquide céphalo-rachidien et méningite chronique dans un cas de
maladie
de Friedreich ; par MM. BARJON et Cadk. (Pro- v
MM. Barjon et Cade, à propos de l'autopsie d'un homme atteint de
maladie
de Friedreich, dttirent l'attention sur deux poin
accentuée, lésion qui a été trouvée^ rarement dans les autopsies de
maladie
de Friedreich.. G. C. XXXV. Maladie de Parkin
arement dans les autopsies de maladie de Friedreich.. G. C. XXXV.
Maladie
de Parkinson ; contribution à l'étude des formes
7G3). M. Grange rapporte deux observations de malades atteints de
maladie
de Parkinson à forme hémiplégique. Observation
ints de maladie de Parkinson à forme hémiplégique. Observation I.
Maladie
de Parkinson. Hémitremblement gauche. Athérome
dans la région précordiale. Grippe. Mort par pneumonie. Ons. Il.
Maladie
de Parkinson. Hémitremblement droit (bras surto
temps dans la pre- mière observation et durant toute la durée de la
maladie
pour l'observation II, ce qui a rendu le diagno
sistance des muscles aux mouvements passifs. 2° Même au début de la
maladie
, il y a, dans 70 p. 100 des cas envirou, dans l
exes cutanés et hébétude mentale. Chez les lapins bien portants, la
maladie
tend il se terminer dans un espace d'environ si
curatif. G° L'immunisation active à la période du début aigu de la
maladie
, essayée jusqu'ici une seule fois, a donné un r
x de la manie des adultes. IL DE Musgrave-Clay. LVI. Douze cas de «
Maladie
de Korsakow » chez des femmes; par John TURNER,
de cérébropathie psychique aiguë. Les symptômes principaux de cette
maladie
sont- outre la polyné- vrite l'amnésie et les p
vrite l'amnésie et les pseudo-réminiscences. Que l'on regarde la
maladie
de Korsakow comme une entité morbide légitime, ou
sumé de la littérature du sujet, publie douze observations de cette
maladie
, qu'il fait suivre de quelques remarques. Dans
langage. Plusieurs auteurs trouvent une connexité étroite entre la
maladie
de Korsakow et le delirium tremens quatre des m
ine par quelques considé- rations sur l'anatomie pathologique de la
maladie
de Korsakow (d'après les travaux étrangers) et
ressante, car elle peut expliquer la marche rapidement fatale de la
maladie
. M. TOULOUSE fait ressortir que les idées de gr
tique amène la guérison complète. Le traitement hypnotique dans les
maladies
organiques. M. PENNITZ6Y (de Saint-Pétersbourg)
nion de 346 SOCIÉTÉS SAVANTES. ce dernier, à savoir que, dans les
maladies
organiques du système nerveux, on peut parfois,
: Hue<t're'e.Une femme de cinquante ans avait, à la suite d'une
maladie
subie à l'âge de trente ans, souffert d'épileps
le Dr AKTHE\uME (André-Alphone-Louis), ancien chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine ^de Paris, in
le rôle souvent décisif qu'ils jouent dans le diagnostic de cette
maladie
. Aussi fréquente dans la clientèle hospitalière
permettre d'affirmer d'une manière absolue le diagnostic de cette
maladie
. Et si l'affaiblissement intellectuel ne suffit
des lèvres qui peuvent manquer jusqu'à une' période avancée de la
maladie
, et que d'autre part on peut rencontrer dans d'
s oculaires, un examen ultérieur à une période plus avancée de la
maladie
en eut fait observer. La proportion de 212 sur
exceptionnelle et ne se produirait qu'à une période avancée de la
maladie
où il est impossible de la constater à cause de
tains auteurs ont voulu voir de l'épilepsie, affection motrice, une
maladie
génitale, un trouble sexuel, soit dans la confo
e parait avoir un rapport défini avec les symptômes mentaux de la
maladie
où on l'observe, dans l'autre classe ce rapport p
. 2° Elles prouvent que lorsque le malade guérit en apparence, la
maladie
demeure latente : d'où persistance de la leucocyt
étiologie. R. DE IUSGR.1\'E-CLAY. LIX. Localisations rares de la
maladie
de Raynaud; par MM. DE- CLOUX, Ribadeau-Dumas e
sse médicale, 16 avril 1902). ' Les localisations à la face de la
maladie
de Raynaud sont parti- culièrement rares. Les a
allavardin insiste.sur ce fait; qu'il peut se produire au cours des
maladies
infectieuses, à côté des complications nerveuses
un cas de tabo-paralysie générale. G. D. LXII. Note sur un cas de
maladie
de Graves avec manie ; par J.-P. Grikves. (The
ce. Octobre 1903). Intéressante observation d'une femme atteinte de
maladie
de Graves chronique, chez laquelle cette maladi
femme atteinte de maladie de Graves chronique, chez laquelle cette
maladie
prit brusquement une forme aiguë, avec accompag
péricarde ; mort. H. DE IUSGn.avE-CL1'. 1.'\1'\. Nomenclature des
maladies
mentales; par A.-R. Urguiurt. (Tlte Journal of
03). C'est à propos d'une nouvelle édition de la Nomenclature ils
maladies
que va publier le Collège Royal des Médecins de L
l'auteur a pensé qu'il y avait lieu de reviser la nomenclatnre des
maladies
mentales. Il pense qu'il faut se rallier, dans le
die mentale, ce que plusieurs auteurs toutefois n'admettent pas. La
maladie
dont il s'agit peut. d'après I(raepelin,être dé
s des troubles trophiques ; mais ils disparaissent. La marche de la
maladie
est progressive, mais elle comporte quelques ré
rison se produit dans une certaine mesure : chez quelques sujets la
maladie
reste sta- tionnaire. L'auteur rapporte ici, tr
quels sont les rapports de l'hébéphrénie avec les autres formes de
maladies
mentales. Il est évident qu'elle constitue esse
omme on l'admet généralement, elle soit primitive et inhérente à la
maladie
, soit qu'on la consi- dère comme une conséquenc
st vraie que pour les premières périodes de la première de ces deux
maladies
, et les différences (surtout le caractère très
ébéphrénie) sont si nettes qu'on conçoit difficilement que les deux
maladies
aient pu être rapprochées dans une même classe.
vaccination n'a évidemment joué aucun rôle dans l'apparition de la
maladie
, si ce n'est par la plaie qu'elle a créée à la
sures urgentes. Un très grand nombre de phthisiques ont acquis leur
maladie
postérieurement à leur entrée à l'asile. Les ca
doption de mesures très fermes pour empêcher la propaga- tion de la
maladie
par les produits d'expectoration ; 9° une sur-
s et de tableaux. R. M. C. LXXIX. La toxémie dans l'étiologie des
maladies
mentales. Ouverture de la discussion; par M. T.
st un état primitif et que 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .la «
maladie
somatique » qui l'accompagne est consécutive, est
à la clinique de lui refuser la valeur d'un facteur étiologique des
maladies
men- tales. 2° La conscience- et les états ment
siologiques ne produirait-elle pas les phénomènes observés dans les
maladies
mentales ? 3° Beaucoup de maladies mentales ont u
les phénomènes observés dans les maladies mentales ? 3° Beaucoup de
maladies
mentales ont une apparition et une disparition
ésultante. 9° Il n'y a dans l'histoire clinique et pathologique des
maladies
mentales aucun phénomène qui soit le moins du m
e analogue à l'immunité, laquelle est un des caractères propres des
maladies
toxiques ou bactériennes. 10° De simples élévat
e ? : ' 42° En ce qui touche la théorie moderne suivant laquelle la
maladie
est un défaut de résistance, une faiblesse des
aître le rôle de la toxémie dans la genèse et la prolonga- tion des
maladies
mentales, mais elles sont trop complexes, trop
vité fonctionnelle, d'un organe soit considéré comme la cause de la
maladie
de cet organe. C'est un effet dont les causes son
une influence très secondaire. Considérer la folie comme une simple
maladie
du cerveau, c'est considérer le mal de Briglit
le maladie du cerveau, c'est considérer le mal de Briglit comme une
maladie
des reins et l'anémie perni- cieuse comme une m
lit comme une maladie des reins et l'anémie perni- cieuse comme une
maladie
du sang. Une pathologie de cette sorte a pu êtr
pas, actuellement, de base suffisante pour élever cer- tains cas de
maladie
récidivante en une entité morbide, la psy- chos
aler l'insuffisance actuelle des moyens d'enseignement clinique des
maladies
mentales, et les moyens d'y remédier : cet ense
hôpitaux généraux des salles spéciales consacrés au traitement des
maladies
mentales à leur début. Les malades n'y resterai
able et double. D'abord les étudiants se familiariseraient avec les
maladies
mentales, avec leur diagnostic au moment même o
la voie sensitive. Préparations de muscles provenant d'un cas de
maladie
de Pa1'lânon. M. JDELSOHN (de Riga) a pu véri
SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 9 sacré à l'étude des muscles dans diverses
maladies
, entre autres dans la maladie de Parkinson. Il
à l'étude des muscles dans diverses maladies, entre autres dans la
maladie
de Parkinson. Il trouva des lésions musculaires
on et non pas d'un changement artificiel. , 1 La choline dans les
maladies
nerveuses. M. S. A. K. WILS01/ (d'Edimbourg) co
ns appor- tées à la structure intime des cellules nerveuses par les
maladies
antérieures, l'inanition, enfin et surtout par
euse (alcoolisme chronique). V. Tout délire, survenant au cours des
maladies
générales, résulte d'une action toxique ou auto
t interstitielle. X. Le delirium tremens et le délire aigu sont des
maladies
générales du système nerveux, dans lesquelles l
ultés de médecine ou, à défaut, des agrégés ou chargés de cours des
maladies
men- tales, en exercice dans des facultés ou éc
nsait du concours le chef de clinique- de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale, à la Faculté de médecine de l'u
ts lier, dILaire. bon père et sa mère sont morts, jeunes encore, de
maladies
de coeur. Sun grand-père maternel, àné de quatr
base de confusion hallucinatoire et l'état mental des dégénérés. La
maladie
de M. N... scinde sa vie en deux périodes bien
de cette affection. Sans doute, je n'ai pas assisté au début de la
maladie
, je ne sais pas exactement ce qu'a été cette ph
un épiphénomène qui n'imprime aucun carac- tère particulier à cette
maladie
. On les signale mais on ne s'y arrête pas; et i
à-dire par l'exis- tence simultanée des troubles habituels de cette
maladie
et d'idées délirantes de persécution, d'une ten
n'aurait pas été atteint ni dans son enfan;e ni dans sa jeunesse de
maladies
sérieuses. Il a fait cinq ans de service mili-
assez 460 ' · CLINIQUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de
maladies
nerveuses ou mentales dans les ascendants. An
ou mentales dans les ascendants. Antécédents personnels. - Pas de
maladies
sérieuses de l'en- fance ; à dix-huit ans, pleu
par des ver- tiges ; le médecin de l'endroit le. soignait pour une
maladie
de la moelle épinière (sic). Il semble avoir
NTALE. Baillarger soutenait que quand il y a un délire, c'est une
maladie
nouvelle qui se surajoute à la démence paralytiqu
ons de l'ouïe et par suite les idées de persécution sont liées à la
maladie
elle-même et non à des complications étrangères
rait un prédisposé. La paralysie générale survenant alors comme une
maladie
surajoutée, aurait laissé persister le délire e
rables. L'hérédité intervient sans doute ici, comme dans toutes les
maladies
mentales, mais elle ne joue pas un rôle prépond
olique); 3° délires atypiques, et 4° délires atypiques par suite de
maladies
graves concomitantes (pachyméningite). II. Et
on et de la vie urbaine joue un rôle important dans l'étiologie des
maladies
nerveuses et de la folie ; mais on le sait surtou
acteur personnel lui-même peut varier suivant l'état de santé ou de
maladie
du sujet, et suivant la qualité et la quantité du
nce et l'expérimention sont d'accord pour nous montrer que dans les
maladies
nerveuses, l'ex- cès d'effort, l'excès de stimu
tumeur. R. de nIUSGR.1'E-CL4S'. LXXX. L'alcalinité du sang dans les
maladies
mentales; par ' Robert Pucu. (Tlee Journal of N
hoix est manifestement l'hystérie; il est peu de symptômes de cette
maladie
que la suggestion hypnotique ne puisse amender
ce que le traitement à domicile sera efficace comme dans les autres
maladies
médicales. R. de Musgrave-Clay. XVIII. Trépanat
de méningite tuberculeuse : Troubles généraux communs à diverses
maladies
(perte de l'appétit, état saburral de la langue
mmeil dans ses rapports avec les narcotiques dans le traitement des
maladies
mentales; par Henry n.\Y<ER, (The Journal of
e ou vésanique, les excès divers, le surmenage, le traumatisme, les
maladies
infectieuses ne sont que des causes occasionnel
teint lui aussi, d'atrophie cérébel- leuse. Il s'agit donc là d'une
maladie
familiale caractérisée SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 497
n'y a pas de limites très marquées et que entre ces deux groupes de
maladie
sont pos- sibles des formes transitoires. ' B
erait à désirer que les rapporteurs confirment par des histoires de
maladie
l'impossibilité de faire une limite bien accent
nage est une mesure bienfaisante et très grave dans la thérapie des
maladies
mentales. N.-N. l3acaor.r présume que la défini
ur au patronage, ne présentaient t pas autant les symptômes de leur
maladie
fondamentale que des pseudo-symptômes, acquis p
ervée qu'on aurait pu l'attendre, vu la grande propagation de cette
maladie
; ce fait tient, à ce qu'il paraît, à ce que le
OFF se souvient d'un cas de couches, observées dans la Clinique des
maladies
nerveuses de Moscou en 1892 chez une femme de 2
eur, ce qui est analogue, par exem- ple, à ce qui s'observe dans la
maladie
de Little. A. l3cnnsTrr, M. MOLTCHANOFF, S. Soo
mbre 1902 S.-S. MOLODENKOFF a montré un malade de la Clinique des
maladies
nerveuses atteint d'achondroplasie symétrique des
i, comme provocateur de l'épilepsie et l'épilepsie elle-même, comme
maladie
parasitaire. En contrôlant les investigations de
ion concernant cela, si la découverte d'un agent infec- tieux d'une
maladie
apparaît comme identique avec l'institution de
core indispensables bien des conditions pour le développement de la
maladie
. A.-N. BERNSTriN dit que lorsque lui et le rapp
noïde pour ne voir dans ces trois affections que les , formes d'une
maladie
unique, la démence précoce. Cette conception ha
, il fondait la Paralysie générale, en établissant l'unité de cette
maladie
là où Esquirol et Calmeil n'avaient vu que des
mportante dans la nosologie et tous les jours nous reconnaissons la
maladie
de Kroepelin. chez des malades qui auraient été
caractères psychologiques; la démence précoce est primitivement une
maladie
de l'affectivité : l'indifférence BIBLIOGRAPHIE
. Résumons maintenant dans ses grands traits la description de la
maladie
. La démence précoce débute par une phase prodro
voir l'avenir qui est réservé à ces prétendus neurasthéniques. La
maladie
peut s'acheminer plus ou moins rapidement, vers l
le est la triade sympto- malique qui caractérise au premier chef la
maladie
. Les troubles psychiques s'accompagnent de trou
nes des autres dans leur tendance héréditaire ? Un caractère ou une
maladie
acquis peuvent-ils se transmettre aux descendants
la sanction officielle : car avant de constater la fréquence d'une
maladie
, il faut s'entendre sur ce qu'elle est et ce qu
folies héréditaires; d'autres l'assimilent à cet égard aux autres
maladies
mentales. La statistique de l'auteur porte sur 43
a différence d'hérédité entre les deux sexes parait indiquer que la
maladie
est plus souvent acquise chez l'homme que chez
ite son rapport général sur les soins et le traitement au début des
maladies
mentales. Il pré- conise un système que M. le p
dessine d'un échelon inter- médiaire qui .est l'hôpital simple pour
maladies
mentales sans internement. De la sorte, promp
passage a l'asile fermé. L'auteur combat l'idée de fonder pour les
maladies
mentales des hôpitaux à part, établissements dist
des hôpitaux généraux eux-mêmes, tout en répondant aux besoins des
maladies
mentales au début, devraient comme dispo- sitio
TOXINES. Voir Epileptiques. Auto-intoxication. L' comme cause des
maladies
nerveuses et men- tales, par Karpinsky, 149.
des ten- tatives de suicide, par Jones, 400. Choline. La dans les
maladies
nerveuse^, par Wilson, 419. CHORÉE. Un cas de
Graphologie médicale, par Poppée, 235. Gn WES. Note sur un cas de
maladie
- de avec manie, par Grieves, 399. Grossess
yndrome Cél'éVl'O' spinal. Kohsakow. Voir Cerveau. Douze cas de
maladie
de - chez des rem, mes, par Turner, 330. Lési
ir Délire. La intermittente, par ' Gilbert-Ballet. 2. De quelques
maladies
ter- minâtes de l.i -, par llcyer. 162. Voir
nne vertébrale dans la mala- die de -, par Sicard et Alquier. 61.
Maladie
de -, contribution à 1 étude des formes unilaté
par Grande, 330. Ptéparations de muscles provenant d'un cas de
maladie
de , par Idelsohn, 418. l'ER50NEL SECO : -¡D \I
belleux, par Le- clerc, 32 ? R.w.ton. Localisations rares de la
maladie
de-, par Decloux, Ri- badeau, Dumas et Sabaréan
es narcotiques dans le traitement TABLE DES MATIÈRES. o37 i des
maladies
mentales, par Ray- ner. 490. SoMELLEmn. Le me
sonne- ment par le , par Alexander, 76. Symptômes mentaux. Voir
Maladies
somatirliies. pupillaires. Voir Aliénés. Sy
spasmodique, par Destarac, 70. Toxémie. La- dans l'eiiologie des
maladies
mentales. Ouverture de la discussion, par Clous
lees, Bruce et MarI', 407. Traitement hypnotique. Le - dans les
maladies
organiques, par l'ew- nitzky, 345. n Trfmelem
lovv, 17. Tuberculose. La - dans l'étiologie et la pathogénie des
maladies
nerveusPS et tnentalPS, tar uo, selli. 178. V
homme assez vigoureux et bien portant. Il mourut à de Go ans d'une
maladie
de coeur après une quinzaine de jours d'aliteme
sont encore vivants. L'aîné mourut à l'âge de 61 ans à la suite d'une
maladie
épidémique( ? ), il était plutôt haut de taille
jouit constamment d'une excel- lente santé et jamais il ne prit les
maladies
de l'enfance. A l'âge de 17 ans sa croissance s
l mesurait 1 m. 89 comme trois ans auparavant. Jamais il n'eut de
maladie
vénérienne, du reste il faut remarquer tout de
10 centimes. A part ce fait, il n'a jamais souffert d'aucune autre
maladie
et a toujours joui d'une excellent santé. En
athologie gén., 15 mai 1907. APERT. - Infantilisme, in Traité des
maladies
de l'enfance, Granclier et Comby, 1904, p. 991,
x. Rev. neurol., 1900, p. 901. Brissaud. - Geçous cliniques sur les
maladies
nerveuses, 1899, 2' série, p. 440. Bahnauo. Sui
de ces cas, qui fera l'objet d'un prochain mémoire, présentait une
maladie
de Banti qui fut la cause de sa mort, mais, dan
ules. Le premier de ces deux cas vint à mourir en conséquence de la
maladie
de Banti qui avait été probablement la cause pr
pubérale. L'autopsie montra, en dehors des lésions classiques de la
maladie
de Banti concernant la rate et le foie, une per
que soit l'origine réelle du syndrome, (1) BRISSAUD, Leçons sur les
maladies
nerveuses. - Henry Meige, L'infantilisme, t le
D'ACHONDROPLASIE PAR le D, P. ZOSIN Docent, chargé du cours des
maladies
nerveuses et mentales à la Faculté de Médecine
ettement du rachitisme la forme foetale, la considé- rant comme une
maladie
spéciale qu'il appele achondroplasie (de « priv.
En sorte qu'on peut nommer encore l'achondroplasie à juste titre la
maladie
de Parl'ot-Ma1'ie. i Par la détermination de ce
us le nom de Rachitisme, dit P. Moreau, on entend ? on le sait, une
maladie
caractérisée physiquement par des troubles delà;
aient le plus souvent comme nains, comme il y a eu toutes sortes de
maladies
, dont la plupart n'ont été reconnues que dans l
L'achondroplasie peut être tenue jusqu'à présent comme une forme de
maladie
très rare. Il est vrai que depuis le travail rema
tre typique même dans le vêtement. En étudiant la littérature de la
maladie
en question, nous n'avons pas pu trouver un cas
Le scepti- cismeen ce qui concerne la thérapeutique de différentes
maladies
nerveuses j même organiques cède sa place à un
emme il n'a pas d'enfants. Nie la syphilis. Son père est mort d'une
maladie
du cerveau, sa mère, dans la profonde vieillesse
troubles urinaires). Mais c'est trop peu pour se prononcer pour une
maladie
de la moelle épjnière. La tumeur était maligne.
i une opération : on a extirpé une tumeur de l'utérus. Pas d'autres
maladies
. Elle a 7 enfants bien portants. Une fausse cou
s médullaires, on constatait déjà clans les 6 pre- miers mois de la
maladie
que la jambe droite était plus faible que la gauc
ymptômes médullaires im- portants (/ ! an 1/2 depuis le début de la
maladie
). Cela nous fait penser que la tumeur n'a pas p
région précordiale, et de la respi- ration difficile. Pas d'autres
maladies
. La famille est bien portante. Etat actuel. - M
membres inférieurs, supérieurs faibles. On constate au cours de la
maladie
que le réflexe du tendon d'Achille droit dispar
rtèbres en avant ne laissaient pas de doutes quant à la cause de la
maladie
. La tumeur se développait évidemment dans les ver
ne. Réflexe du sphincter anal aboli. Se basant sur le cours de la
maladie
et surtout sur l'examen par le rec- tum, on peu
Affaiblissement du pied gau- che. En général pendant la durée de la
maladie
, il se plaignait davantage de la jambe gauche.
d'urine de faible degré). Du côté du rectum pas de troubles. Pas de
maladies
dans l'anamnèse. Elat actuel. - Malade d'une ta
r faire une laminectomie vu le .caractère toujours progressif de la
maladie
. L'opération fut exécutée le 29 juin 1909. On a
les membres gauches se contractèrent aussi. Il n'avoue pas d'autres
maladies
, pas de syphilis. Sa femme n'a pas eu de fausse
a plèvre et non dans l'os de la vertèbre. Quant aux symptômes de la
maladie
, on distingue dans le tableau cli- nique des tu
ussi prononcé que dans le cas de spondylite tuberculeuse ou dans la
maladie
de Bechterew ou de Marie. Nous passons aux symp
lles d'aucune autre affection. Billroth dit qu'il ne connaît pas de
maladie
plus désespérante, surtout à cause de sa longue
la douleur apparaît dans les vertèbres à une période avancée de la
maladie
. Quant aux autres symptômes radiculaires, les a
re que dans ces cas nous ne pouvons diagnosti- quer la nature de la
maladie
que lorsque les symptômes cliniques et l'existe
s des symptômes osseux, radiculaires et médullaires. Quelquefois la
maladie
débute brusquement. Dans le cas décrit par Bliss
mmation aiguë de la moelle est apparue un mois après le début de la
maladie
. Mais il faut bien se rappeler que les myélites
ue mortelle. Dans les cas d'enchondrome de la colonne vertébrale la
maladie
peut devenir chronique (par exemple d'urée de 5
sarcomatoses (Bruns). Ce n'est que le développement ultérieur de la
maladie
qui met le diagnostic sur la vraie voie. En out
a moelle. La réaction de Pirquet était positive et dans la suite la
maladie
s'est montrée de nature tuberculeuse. Souvent pou
. Souvent pour la contrôler nous l'avons appliquée dans différentes
maladies
nerveuses de nature non tuberculeuse (sclérose
ne et ainsi que ses compagnons il n'était nullement attristé par sa
maladie
. Sur l'autre malade, âgé de trente-cinq ans env
r le charadrios et lui attri- bue la faculté de prédire l'issue des
maladies
. En effet pour savoir si un malade va guérir ou
a guérir ou mourir, il suffit de lui présenter un charadrios. Si la
maladie
est mortelle, l'oiseau détourne sa (1) Gorgias,
guérir, l'oiseau le regarde en face, et aspire en quelque sorte la
maladie
par les yeux. Tel le Rédempteur qui a détourné
AN-BAPTISTE ET DE LA VILLE DE TUR1N ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE DU SYSTÈME NERVEUX ASS
rquer comment l'in- térêt dramatique que peut inspirer la vue d'une
maladie
familiale frap- pant plusieurs membres dans la
sions. xxm 7 98 BEBTOLOTTI senced'un échantillon isolé de cette
maladie
familiale transporté par ha- sard dans une clin
e grand-père de nos malades, mourut en 1898 à l'âge de 70 ans d'une
maladie
pulmonaire. Il parait qu'il a été toujours bien p
TRIÈRE. T. XXIII. Pl. XI 1. M-1 Ch. et son fils Charles, 7 ans.
MALADIE
FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE (Iertolot t i) . Masso
e, Éditeurs 11.0toi,l.,e nNlh.111 ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE z)9 présente enfin, aucune trace de c
e ex- cellente santé. Elle se maria avec son cousin en 1881. Pas de
maladies
infectieuses, pas d'intoxication, pas d'éthilis
ivant et très bien portant. Il est donc aisé de constater que cette
maladie
familiale a frappé seule- ment les individus du
auté. Venue au monde dans les meil- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 101 leures conditions possibles, c'ét
: . T. XXIII. Pl. XII 2. Marguerite 5. Aurélie 7. Elisabeth
MALADIE
FAMILIALE DEGENERATIVE (Bertolotti). Masson &
ie, Éditeurs. Phototypie Berthiud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 103 tion du cou est portée en avant e
tre très caractéristique. Les bords ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 105 de la papille sont très nets et p
Aurélie. 8. Main d'Elisabeth. 4. Jambes et pieds de Marguerite.
MALADIE
FAMILIALE DÉGENÉRATIVE (Bertolotti). Masson &
Cie, Editeurs PhototTjne Berthaud ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 107 beaucoup plus accusée au tiers in
le plus fort courant électrique. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 109 Les nerfs radial, cubital et médi
taques convulsives dans sa première enfance, jamais elle ne fit les
maladies
de cet âge. Son développement physique fut as-
sont complètement abolis, les mou- ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 115 vements de flexion et d'extension
orcée.et les jambes sont dans une position qui rappelle celle de la
maladie
de Little. L'examen'de.la sensibilité chez Auré
tait une enfant très jolie et très éveil- lée. A3 ans, elle fit une
maladie
fébrile avec tuméfaction et rougeur du visage,
e. Sa mère commençait à croire qu'Elisabeth serait épargnée -par la
maladie
de ses soeurs, lorsque, vers l'âge de 7 ans, el
encore une mine rose et rondelette ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 117 7 (V. PI. XII). Les attributs de
ui avais promis la première fois. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 119 9 En résumé, Elisabeth présente u
té musculaire, ni de contracture. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 121 Tous les mouvements passifs sont
logie très chargée de ces sujets. Il s'agit à n'en pas douter d'une
maladie
familiale qui a frappé seule- ment les individu
nant les mâles. Des faits de tel genre sont très fréquents dans les
maladies
familiales, il n'est pas nécessaire de s'y arrê
autre fait qui lui aussi a été déjà relevé plusieurs fois dans les
maladies
familiales. Dans notre première observation, no
ébrale familiale de Freud, la paraplégie familiale de Strumpell, la
maladie
de Little familiale et la maladie de Friedreich.
plégie familiale de Strumpell, la maladie de Little familiale et la
maladie
de Friedreich. Nous nous trouvons en présence d
spino-neurotique de Charcot-Marie. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 123 Existe-t-il des cas similaires da
médicale ? Nous avons passé en revue les observations cliniques des
maladies
fami- liales parues dans ces derniers 30 ans ;
rues dans ces derniers 30 ans ; or nous n'avons trouvé aucun cas de
maladie
familiale semblable à celle que nous avons décrit
cette observation : Il s'agit de quatre soeurs, chez lesquelles la
maladie
débuta dans la pre- mière enfance. Les parents
utche Zeitschrift f. Nervenheilkunde, 1896. (2) DEJERINE et Thomas,
Maladies
de la moelle, in Traité de Méd. de Brouardel et
ait d'1-Iigier, je n'ai pas trouvé autre chose dans le chapitre des
maladies
familiales à type cérébro-spinal, tandis que no
trouver des affinités encore plus importantes dans le chapitre des
maladies
familiales amyotrophiqueset notamment dans la f
Deutche Médical Wochenscrift, 1876. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 125 L'atrophie musculaire débute géné
pour deux raisons : avant tout pour démontrer leur analogie avec la
maladie
familiale que nous étudions ici, et en deuxième
and meut. dit seases, juin 1903. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 127 symptôme assez rare, puisque en t
mais aperçus ou constatés que plusieurs années après le début de la
maladie
. Dans les cas de Vizioli nous voyons l'atrophie
ques n'avait débuté que cinq ou six ans après le commencement de la
maladie
. Il est bon de faire observer que l'atrophie de
nt là pour démontrer comment dans les formes plus avancées de celte
maladie
l'atrophie musculaire, au lieu de rester limité
. Enfin dernièrement E. Levi, dans un remarquable travail sur cette
maladie
(7), a confirmé les faits énoncés par Sainton.
trois malades, mais il faut d'autre part remarquer comment dans la
maladie
étrange familiale,que nous avons décrite, tous
ta critica di clinica medica, 1907. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 12H des atrophies musculaires, etc. ;
arie, la plupart des auteurs sont d'accord à relever que dans cette
maladie
il n'y a ni exagération du tonus musculaire, ni
avoir une importance assez grande dans la séméiologie de certaines
maladies
nerveuses. Si l'on se rappelle à présent la ten
e crois à ce propos qu'il serait bon de préciser : si, en effet, la
maladie
commence dans la deuxième enfance ou dans la pu-
un arrêt dans l'état trophique des os des ex- trémités, mais si la
maladie
commence dans la première enfance, est à peu pr
fait que mes trois cas,qui justement avaient subi l'atteinte de la
maladie
dès leurs premières années, m'ont démontré les
tableau symptomatique présenté par les trois échantillons de cette
maladie
familiale. Nous avons souligné avant tout les
Nervenkranh., t. XX, p. 660, 1859. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE
MALADIE
FAMILIALE 133 A ce propos, il faut observer seu
ALADIE FAMILIALE 133 A ce propos, il faut observer seulement que la
maladie
familiale que nous avons décrite ici présente u
leur système nerveux. Si, comme le dit très bien Strûmpell (1), les
maladies
familiales représentent une forme spéciale des
ll (1), les maladies familiales représentent une forme spéciale des
maladies
héréditaires des systè- mes, il est bien certai
es maladies héréditaires des systè- mes, il est bien certain que la
maladie
familiale éclose dans ce milieu consanguin prés
ndue à plusieurs systèmes. On ne peut en effet envisager dans cette
maladie
familiale un facteur étiologique autre que l'hé
secondaire. Dans nos cas la tare héréditaire, comme la plupart des
maladies
familiales, a donc produit une dégénérescence ner
rmenage). Il m'a paru dans cet état des choses pouvoir ranger cette
maladie
fa- miliale dans la forme Charcot-Marie qui rep
ne extension tout à fait particulière. Chercher de faire de celle
maladie
familiale un échantillon type d'une nouvelle fo
on ne peut séparer d'une façon par trop systématique les nombreuses
maladies
familiales du système nerveux. Elles doivent
plusieurs réseaux nerveux. Envisagée de cette façon uniciste, toute
maladie
familiale doit entrer avant tout dans le grand
ar une classification rigoureuse. L'on doit dire simplement que les
maladies
familiales constituent des syndromes plus ou mo
re frère est vivant et bien portant. Antécédents personnels. Pas de
maladie
dans l'enfance. Développement physique et intel
s graves. Congrès de Toulouse, 1897, vol. II, p. 716. SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES (Dr E.' li'LA1'AV) A L'HOPITAL ISRAÉL
rigine n'est pas connue. Résumé. Dans le cas actuel la marche de la
maladie
fut tellement atypique qu'on a fait le diagnost
médullaires n'apparu- rent qu'au septième mois après le début de la
maladie
; ils consistaient en un affaiblissement des jam
ie et de pyémie (Nonne), dans les moelles des vieillards et dans la
maladie
de Parkinson (Redlich), dans Ja méningo-myélite
d'un processus infectieux ou toxique et que le principe actif de la
maladie
siège dans les vaisseaux. Il faut attirer l'att
'engourdissement) était un signe précurseur dénotant le début de la
maladie
de la moelle. Il est connu que dans des cas ana
s du côté des mem- bres inférieurs et des sphincters. Au début la
maladie
était tellement masquée qu'on supposait une affec
un épanchement pleural et ce n'est qu'une exacerbation rapide de la
maladie
, l'apparition de la tumeur au-dessus de la clavic
rd'hui l'urine s'élimine par gouttes. Le malade n'a pas eu d'autres
maladies
, pas de syphilis ; 4 enfants bien portants. Sa fe
ue, qu'on ren- contre dans la moelle au cours de toute une série de
maladies
: l'anémie per- nicieuse, la néphrite chronique
de -15 ans les premiers symptômes sont apparus six ans avant que la
maladie
soit définiti- vement installée; c'étaient des
ré un an et demi,puis ont disparu pour reparaître six mois avant la
maladie
définitive. Elles croissaient peu a peu, atteigna
ue tardivement que certains symptômes observés long- temps avant la
maladie
définitive sont devenus compréhensibles et assez
ômes du tout et puis tout il coup alarmer le malade. Le cours de la
maladie
, la paralysie intervenue brusquement, le bon ét
au des IXe-XIe vertèbres dorsales. - Evidemment à un moment de la
maladie
(quelques semaines avant la mort) la tumeur a a
son entrée à l'hôpital c'est-à-dire onze mois après le début de la
maladie
, les troubles urinaires ont commencé et l'affai
troublée. La malade est morte un an à peu près après le début de la
maladie
. L'autopsie montra une masse néo- TUMEURS DE LA
édiastinale ou cervicale est visible, et il survient au cours de la
maladie
des symptômes médullaires. Dans beaucoup de cas
nriicli, Nonne), septicémiques (Nonne), les moelles séniles dans la
maladie
de Parkinson (Redlich),daus les cas de mén i ug
ques- tions suivantes : 1° Existe-t-il, comme base anatomique des
maladies
mentales, des lé- sions cérébrales typiques, co
longtemps, on ne voulut se résoudre à admettre que les psy- choses,
maladies
de l'âme pussent relever d'une cause matérielle,
Pour affirmer l'irréductibilité de ces vésanies, qui restaient des
maladies
purement psychologiques, des maladies sine mate
s vésanies, qui restaient des maladies purement psychologiques, des
maladies
sine materna, on ne tint aucun compte des altérat
si l'on admît enfin la réalité des altérations anatomiques dans les
maladies
mentales, on souleva dès lors la question de pr
lire aigu dans l'espace d'une semaine environ après le début de la
maladie
et dont naguère encore on ignorait complètement
tale est évoluée depuis longtemps, ou d'individus décédés après une
maladie
suraiguë et de courte durée, le microscope (si no
ts in- dispensables pour établir une classification rationnelle des
maladies
men- tales. Il est évident,d'autre part,qu'auss
nent d'avoir lieu au congrès de Budapest, sur la classification des
maladies
mentales, ne nous montrent- ils pas,dans les di
cellulaires et des tissus de l'écorce cérébrale observées dans les
maladies
mentales sont, en fait, les lésions banales de
utre de ses tissus ; comment alors concevoir la base anatomique des
maladies
mentales ? Je répète ici ce que j'ai déjà dit a
mière de cette conception nouvelle de l'anatomie pathologi- que des
maladies
mentales nous a été suggérée par l'étude des beau
ne veulent voir dans certaines formes que des syndromes et non des
maladies
bien dé- finies. Nous pensons qu'il en sera ain
éterminer les caractères fondamentaux de chaque groupe ou espèce de
maladie
. Ce desideratum ne sera réalisé que lorsque nou
sse de Neurologie, ontmontré qu'il fallait s'efforcer d'étudier les
maladies
mentales en se plaçant sur le terrain biologiqu
vidus normaux. 3° Les altérations pathologiques du cerveau dans les
maladies
mentales frappent cet organe, soit pendant son
llies jusqu'à ce jour et à l'examen microscopique de la plupart des
maladies
mentales. 6° Il y a, dans les psychoses, des lé
vention médicale psychothérapeutique dans un grand nombre de cas de
maladies
mentales, parce que, disent-ils, la base anatomiq
le malade vient trouver le médecin, de gré ou de force, lorsque la
maladie
a déjà quelques mois au moins de durée. Si la p
lupart des aliénés n'ont lieu que de nombreuses années après que la
maladie
a évolué, les renseignements que l'autopsie pou
currence, alors qu'il s'agit de déterminer le point de départ de la
maladie
, ne sera d'au- cune valeur. Nous sommes donc
rganes du corps humain. Dans ces cas de délire aigu transitoire, la
maladie
éclate le plus souvent d'une manière brusque da
'est-ce pas, en effet, ce que l'on observe journelle- ment pour les
maladies
infectieuses, le typhus, la pneumonie, l'influenz
origine psychologique des psychonévroses et à plus forte raison des
maladies
mentales ! Si le. psychisme primaire a besoin d'u
lésions or- ganiques. Mais pour ce qui concerne le traitement de la
maladie
, it notre avis, cela revient au même. 130UV.
mographisme blanc comme très commun chez les personnes atteintes de
maladies
cutanées, dont certaines (prurigo) semblent y p
duire de ces faits quelques conclusions utiles pour J'étiologie des
maladies
de la peau. Il est hors de doute, que chez les
ubles de la circulation du sang dans le cerveau sur l'étiologie des
maladies
mentales. Il a émis l'opinion que lamélancolie es
ans les limites qui leur convien- nent, les manifestations de cette
maladie
, il faut d'abord avoir une concep- tion nette d
oyait autrefois pouvoir être produits par l'hystérie ; 3° que cette
maladie
était également incapable de produire des troub
ans effort. Il n'est pas aussi facile qu'on le croit de simuler une
maladie
. Pour une simple monoplégie; l'accident le plus
de ténacité, cela ne veut pas dire que nous fassions toujours de la
maladie
simulée un accident hystérique. Autant que les au
soin de faire remarquer que l'hystérie ainsi comprise n'est pas une
maladie
? - C'est une faculté spéciale, une manière d'agi
ctuellement, nous allons voir pourquoi. L'hsytérie n'étant plus une
maladie
, mais une propriété vitale, soit simple tendanc
es si- gnes d'hypothyroïdisme, permettait de faire le diagnostic de
maladie
de Dercum. Dans une contraction brusque de la p
901, no 19 ; GIRAUn, Th. Paris, 1894-1898 ; Cnnvtcw, Diagnostic des
maladies
simulées ; BAILLIÈRE, 1906 ; SAI;D, La simulation
bserver jus- qu'à présent des troubles psychiques au cours de cette
maladie
. Dans les travaux anciens de Danielsen (1841) e
grité jusqu'à la fin peut faiblir pendant la dernière période de la
maladie
». A propos de la forme anesthésique de la lèpr
de toutespiécespar la connaissance de l'irrévocable pronostic de la
maladie
; il n'est pas dû à l'action directe de la toxi-i
feste aucun trouble mental dépressif. Au moment de l'invasion de la
maladie
, lors des poussées, il présente des périodes d'
souvenirs soi-disant 1 perdus, réapparaissent tôt ou tard », si la
maladie
guérit (cas de l'alcoo- lisme, mais non de la l
stigmates de l'hérédo-syphilis, de la tuberculose ou de toute autre
maladie
dystrophiante, font défaut. Le coeur est normal
qu'à présent que des résultats fort incomplets. La pathogénie de la
maladie
est particulièrement ignorée. Or, comme avec le
mais été malade. La mère est morte, il y a 29 ans, après une longue
maladie
, qu'on ne sau- rait préciser, une cardiophathie
santeries. A 28 ans, à Sfax en Barbarie, il fut atteint d'une grave
maladie
d'yeux, caractérisée par une cuisson intense et
etits abcès aboutissant à suppuration. Il n'eut pas de fièvre et sa
maladie
guérit au bout d'un mois environ. Le patient af
réditaires. Son père est mort depuis longtemps on ne sait de quelle
maladie
. Il était bien bâti et de constitution forte. La
il était né ictérique) ; les autres moururent en bas âge à cause de
maladies
intercurrentes ; tous ces enfants étaient de conf
exanthèmes ordinaires de l'enfance ; plus tard il n'a jamais eu de
maladies
bien caractérisées et dignes d'être remarquées.
re est mort depuis beaucoup d'années, on ne peut préciser de quelle
maladie
. Il était de constitution robuste et de taille
et saine, bien bâtie et âgée de 61 ans. Elle n'aurait jamais eu de
maladies
de quelque importance. Notre patient a deux soe
attaques d'in- fluence guéries en peu de jours, il n'a jamais eu de
maladie
. Dès son enfance il montra une intelligence éve
ccourcies, sont tous des signes typiques et caractéristiques de telle
maladie
. Les mensurations nue ie vais exposer en seront
rs grosse et les extrémités très raccourcies. Elle n'a jamais eu de
maladies
notables ni en bas âge ni plus tard. Son développ
iente sortit de la maison de santé et depuis lors elle n'eut aucune
maladie
méritant mention. La fille a aujourd'hui 12 ans
ire très bien. Elle fut allaitée par sa mère et n'eut jamais aucune
maladie
. Il n'y a aucun doute que la fille aussi ne soi
plasique, et cela est vrai ; mais il n'est pas moins vrai que celte
maladie
parfois se complète avec l'âge. Par exemple dan
ntation de volume donnée par exem- ple par une hydrocéphalie (Cette
maladie
, chez nos sujets, a pu être mise hors de cause
rent nettement les L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 267 deux
maladies
. Dans nos cas il n'y a rien qui puisse faire soup
dis qu'nn l'achi, tique est en général un être faible, sujet ci des
maladies
, les achondroplasi- ques au contraire, en génér
lades sont démonstratives à cet égard ; aucun d'eux n'a souffert de
maladies
dangereuses. Un achon- droplasique, étudié par
t, eux qui, bien plus facile- ment que les autres, sont exposés aux
maladies
, particulièrement lorsqu'ils sont forcés d'exéc
e autre forme morbide, c'est avec le rachitisme. Aussi avec cette
maladie
l'examen radiographique nous aide beaucoup, car
, cette hérédité devient incontestable. Sur la pathogénèse de cette
maladie
, beaucoup de théories ont été émi- ses ; quelqu
us savons que le signe de Groefe est une des caractéristiques de la
maladie
de Basedow. On pourrait donc, dans notre cas, c
i d'ordinaire accompagnent celui de Grcefeet qui carac- térisent la
maladie
de Basedow. Dans notre deuxième cas, comme nous
*JV GIUSEPPE FRANCHIN1 ET MAURO ZANASI raient se rapporter à cette
maladie
; on pourrait donc penser à la théorie toxi-inf
n moment particulier, auquel on puisse attribuer l'origine de cette
maladie
. Mais des histoires de nos malades ressort un f
smettre à leurs enfants toutes les altérations particulières à leur
maladie
. En ces contrées donc il se formerait une petit
telle comparaison. La tuberculose, ainsi que la syphilis, sont des
maladies
bien déter- minées, dont l'origine est connue;
bleraient supérieures à leurs forces; leur histoire ne parle pas de
maladies
particulières, la tuberculose est rare. L'ACHON
CHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 273 ils ne sont pas sujets à des
maladies
infectieuses ; en somme ce sont des individus s
nfants de constitution faible, qui facilement sont atteints par des
maladies
; d'une mère néphrétique ou seulement anémique
ée; cause une perturbation de la croissance ; on sait que certaines
maladies
infectieuses, comme la typhoïde, peuvent détermin
ur les cartilages épiphysaires qui ont congéni- talement dans cette
maladie
une structure particulière et constituent un lo
. 1902. INSTITUT DES ÉTUDES SUPÉRIEURES DE FLORENCE SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISALION CÉPHALIQUE ISOLÉE. CO
s de Florence, Médecin de l'asile des aliénés. L'historique de la
maladie
, dont nous allons relater brièvement une observ
re atteint la centaine, ce qui prouve évidemment qu'il s'agit d'une
maladie
plutôt rare. Nous pourrions cependant faire rem
Nouvelle Iconographie de la Salpûtrii'riî. T. XXIII. pi. XXXII
MALADIE
DE PAGET (Catola). Masson & Cie, Editeurs
amp; Cie, Editeurs. Phtllol}llW II ! rlhnUtl, Pa1l8 SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISATION CEPHALIQUE 277 d'un éry
t chez les ascendants, soit chez les col- latéraux, n'a présenté de
maladies
ou de déformations osseuses. Antécédents person
ions osseuses. Antécédents personnels. La malade n'a jamais fait de
maladies
importan- tes. Elle eut un glaucome bilatéral i
sistance normales. Mesures du crâne et de la face : SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISATION CÉPHe\LIQiTL 279 280 CA
éformation osseuse dans les autres os du squelette. SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISATION. CÉPHALIQUE 281 De quel
l'ostéo- malacie, le rachitisme ou le gigantisme osseux qui est une
maladie
congé- nitale et s'accompagne toujours d'une hy
e observation ne nous paraissent pas ceux absolument typiques de la
maladie
de Paget. Il est encore une autre remarque à fa
ctives (parmi lesquelles nous pourrions citer la prédilection de la
maladie
pour certains os, pour le tibia, par exemple, l
un stade douloureux prémonitoire) entre 1'liCi-é(lo-svplillis et la
maladie
de Paget, en aboutissant à la conclusion que SU
maladie de Paget, en aboutissant à la conclusion que SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISATION CEPHALIQUE 283 le pagét
syphilis. C'est donc par des faits négatifs que la pathogénie de la
maladie
de Paget commence à trouver une simplification.
éclairée,mais que très vraisemblablement la patholo- SUR UN CAS DE
MALADIE
DE PAGET A LOCALISATION CÉPHALIQUE 285 gid médi
VVeil. A propos d'un cas d'ostéite déformante. La palhogénie de la
maladie
osseuse de Paget. Nouvelle Iconographie de la Sal
Obs. 86) décrivent,entre autres, le cas d'un homme qui contracta la
maladie
contagieuse à 37 ans et, quatre mois après, fut
e qui, par les caractères qu'elle présentait, fit diagnostiquer une
maladie
capsu- laire droite. Presque aussitôt après app
rébrale. L'importance de cette hérédité sur les formes multiples de
maladies
fonc- tionnelles et organiques du système nerve
éfavorable d'un traitement spécifique, avant le développement de la
maladie
, insuffisant ou complètement nul. Collins, au con
nts. Schuster a aussi essayé d'établir la durée de la période de la
maladie
à l'état latent ; et il a vu que cette période es
urs seulement, l'objection tombe quand on considère la marche de la
maladie
dans mon second cas. Là, le patient, frappé de
ê tl'1ère, n° 6, 106. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES (Dr E. PLATA ri) TUMEURS DE, LA MOELL
L'état général est bon. - J'ai visité le malade tout le temps de sa
maladie
avec le Dr Dunin et nous avons posé le diagnost
uleurs fortes, pénibles, continues qui durèrent tout le temps de la
maladie
, leur exacer- bation et les spasmes toniques qu
ns difficulté. Il est à noter que .même à une période avancée de la
maladie
les douleurs n'étaient pas très intenses, elles
a pris place surtout du côté droit. Dès les premiers moments de la
maladie
, on trouve de la rétention d'urine. Dans l'anam
s étaient peu accentués.Le traitement spécifique fut sans effet, la
maladie
progressa sans arrêt. La supposition qu'il s'agis
e se retrouve pas. Le malade ne buvait pas. Dans la famille, pas de
maladies
nerveuses ou psychiqucs. A pré- sent la malade
re du corps parlaient contre la sclérose en plaque. La marche de la
maladie
ne correspondait pas à l'affection combinée de la
ermanentes ou qui s'exacerbaient, le développement progressif de la
maladie
, t'age de la malade. Pour le diagnostic de la t
5 pour l'examen anatomo-pathologique. Il me manque l'histoire de la
maladie
. La tumeur correspondait aux VI, et VU. racines
en portants. La dernière grossesse eut lieu au début de la présente
maladie
. Jamais malade auparavant. Pas d'antécédents hé
et le résultat négatif de la cure spécifique faisaient éliminer ces
maladies
. L'évolution de la maladie, les fortes douleurs r
cure spécifique faisaient éliminer ces maladies. L'évolution de la
maladie
, les fortes douleurs revenant par accès, les co
les des jambes, l'affaiblis- sement des membres tout au début de la
maladie
qui ensuite se transforma en paralysie complète
e affirme en toute certitude qu'à la fin de la première année de la
maladie
elle s'est couchée avec les jambes normales et
é à l'hôpital de Jésus-Christ le 8 janvier 1900 dans le service des
maladies
internes (1). Le malade se plaint de douleurs d
ts des mains. Cet état dure depuis deux mois. Le malade attribue sa
maladie
à un coup de froid. Il fut contraint de faire u
rôle moteur des cellules de Betz. En effet, il y a des cas de celte
maladie
où on a pu suivre la dégénéres- cence ininterro
hémiplégie droite complète avec aphasie motrice totale. Durée de la
maladie
9 jours. Lésions macroscopiques. Foyer hémorrag
complète avec troubles de la sensibilité et psychiques. Durée de la
maladie
, 15 jours. ' Examen macroscopique. Grand foyer
e plus prononcée au membre supérieur ; pouvait marcher. Durée de la
maladie
, 52 jours. Examen macroscopique. - foyer conséc
plégie gauche incomplète avec hémiauestésie incomplète. Durée de la
maladie
2 mois. Examen macroscopique. - Tumeur cérébral
es cliniques. - 60 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Durée de la
maladie
75 jours. Examen macroscopique. Foyer hémorragi
... Notes cliniques. 50 ans,hémiplégie gauche complète. Durée de la
maladie
: 83 jours. Examen macroscopique. Grand foyer dét
. Notes cliniques.- 60 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de la
maladie
: 4 mois. Examen macroscopique. - Enorme foyer
tes cliniques. -48 ans, hémiplégie droite avec aphasie. Durée de la
maladie
4 mois. Examen macroscopique. Foyer hémorragique
otes cliniques. - 50 ans, hémiplégie gauche incomplète. Durée de la
maladie
4 mois. Examen macroscopique. Grand foyer hé- m
e supérieur. Le ma- lade pouvait marcher étant soutenu. Durée de la
maladie
, 5 mois. Examen macroscopique. Foyers hémorragi
incom- plète, intéressant surtout le membre supérieur. Durée de la
maladie
, 6 mois. Examen macroscopique. Petit foyer hémo
.. Notes cliniques. 46 ans, hémiplégie gauche complète. Durée de la
maladie
, 8 mois. Examen macroscopique. Foyer kystique q
otes cliniques. z 52 ans, hémiplégie gauche com- plète. Durée de la
maladie
, 10 mois. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENT
s, hémiplégie gauche avec trou- bles de la sensibilité. Durée de la
maladie
, 1 an. ' Examen macroscopique. Foyer hémorragiq
iplégie droite sans aphasie. Le malade pouvait marcher. Durée de la
maladie
, 18 mois. Examen macroscopique. Foyer dû à une
Notes cliniques. 60 ans, hémiplégie gauche complète. Du- rée de la
maladie
4 ans. Examen macroscopique. Foyer kystique qui
tracture intense du membre supérieur. Rire spasmodique. Durée de la
maladie
, 9 ans. Examen macroscopique. Ancien foyer hémo
pouvait marcher présentait des troubles intellectuels. Durée de la
maladie
: 3 ans. Examen macroscopique. - Petits foyers
ouvait marcher n'étant pas soutenu, mais difficilement. Durée de la
maladie
, 14 ans. .Examen macroscopique. Hémiatrophie ga
a moelle épinière au niveau du second segment lombaire. Durée de la
maladie
: un mois. Exa- men microscopique. Réaction man
immédiatement après l'accident, sont revenus en partie. Durée de la
maladie
68 jours. Examen macroscopique.- Destruction de
sectionné la moelle dans la région lombaire inférieure. Durée de la
maladie
: 3 mois. Examen microscopique. Des lésions ind
es. 20 ans, paraplégie flasque avec eschares multiples. Durée de la
maladie
4 mois. Examen macroscopique. Foyers myélitique
venue flasque pendant les deux derniers mois de sa vie. Durée de la
maladie
, 6 mois. Examen macroscopique. - Tumeur compriman
, paraplégie au commencement spasmodique, puis flasque. Durée de la
maladie
, une année. Examen macroscopique. Une tumeur ay
igne des orteils. Le malade peut marcher étant soutenu. Durée de la
maladie
, 16 mois. Examen macroscopique Gibbosité com- p
res des membres inférieurs, dont la motilité est nulle. Durée de la
maladie
: 19 mois. Examen macroscopique. Kyste ayant fo
paraplégie à début spasmodique ensuite devenu flasque. Durée de la
maladie
: 2 ans. Examen macroscopi- que. Mal de Pott ay
et incontinence d'urine. Il peut marcher étant soutenu. Durée de la
maladie
anis et demi. Examen macroscopique. Foyer de my
vait faire aucun mouvement avec ses membres inférieurs. Durée de la
maladie
, 4 ans. Examen macroscopique. Une sclérose comb
urs et à certains mus- cles de la face et de la langue. Durée de la
maladie
: 3 ans. Examen microscopique. Dans les frontal
grands troubles bulbaires ; il est mort suffoqué après trois ans de
maladie
. Examen microscopique. - Dans toute l'étendue d
lesquels elle ne pouvait t plus faire aucun mouvement. Durée de la
maladie
5 ans. Examen microscopique. Altérations des ce
aut à partir du 2e espace intercostal pour Usions cutanées dans les
maladies
nerveuses et mentales ne modifie pas ma façon de
1896 et 1897, de l'intervention possible pendant la gestation d'une
maladie
infectieuse légère, trop bénigne pour interrom-
ître un cas récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la clinique des
maladies
nerveuses, dirigée par le Professeur Mingazzini
mère morte paralytique à 86 ans. Deux soeurs mortes en bas-âge, de
maladies
que la malade ne sait préciser; deux frères, mort
bsence de ces troubles de la parole qui sont caractéristiques de la
maladie
en question. De même, on ne pourrait concilier
le résultat de l'examen neurologique n'est pas d'accord avec celle
maladie
. Plus difficile est le diagnostic différentiel
physe normales). Les antécédents sont nettement tuberculeux mais la
maladie
exostosique n'est, semble-t-il, pas familiale.
- gue, t. Il, p. 1"0. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES (Dl' E. FLATAU) TUMEURS DE LA MOELLE
ens des attitudes dans les orteils du côté gauche. Au cours de la
maladie
, fortes douleurs dans le membre inférieur gauche,
corps, la jambe gauche se contractait. Un mois après le début de la
maladie
, sa jambe gauche devient raide d'une manière s
et sur la face interne des bras gauche. Un an après le début de la
maladie
, légère amélioration, qui augmente encore après u
ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 463 En résumé, dans ce cas la
maladie
a évolué en 3 ans. Au début elle pro- duisait d
la nuque et de la difficulté d'uriner. Un mois après le début de la
maladie
la jambe gauche est devenue raide. A ce moment
upérieur droit. L'état du malade un an et demi après le début de la
maladie
, présentait un affaiblissement considérable des
On pensa à la myélite, à la sclérose en plaques (oscillations de la
maladie
assez notables), à la syringomyélie. Plus tard
on. Si nous prenons en considération tout le tableau clinique de la
maladie
, dans lequel au premier plan ressortent : 1° le
tion, chacun de ces symptômes pouvant être rencontré dans une autre
maladie
de la moelle épinière. En 1908, Bruns, dans une
et paresthésies constituent généralement la période de début de la
maladie
. Les symptômes radiculaires apparaissent souvent
la peau (Quante). Si nous passons maintenant au second stade de la
maladie
c'est-à-dire à la paralysie du type Brown-Séqua
eur) seulement, et cela aussi bien au début que dans la suite de la
maladie
. Nous attribuons à ce symptôme une grande importa
grande importance diagnos- tique. Quant au troisième stade de la
maladie
, c'est-à-dire à l'affection trans- verse de la
ant ces troubles n'entrent en jeu que plus tard dans le cours de la
maladie
. Dans le cas de Heilbronner on n'a pas pu consta-
de la vessie et du rectum se sont manifestés vers la 7e année de la
maladie
, malgré la localisation de la tu- meur dans la
n'a pas décélé de lésions du bulbe (Stertz). Quant à la durée de la
maladie
, elle est pour la plupart du temps chro- nique.
res. Les tumeurs intramédullaires affectent plutôt le tableau d'une
maladie
aiguë ou subaiguë quoique là aussi peuvent exis-
her ni rester debout I Dans un cas de Stertz la durée entière de la
maladie
(jus- qu'à la mort) n'était que de 1/2 mois ! D
ans notre XVIII, observation, un certain temps après le début de la
maladie
les deux membres inférieurs sont devenus immobi
rappeler que les symptômes qui sont entrés en scène au début de la
maladie
(la limite de l'anesthésie, la localisation des
e la tumeur. Il fautpar conséquent connaître toute l'histoire de la
maladie
et le développement graduel du ta- bleau cliniq
affection de la queue de cheval parlent le développement lent de la
maladie
, des accès de très fortes douleurs dans la région
iatique, des anesthésies apparaissant dans les stades avancés.de la
maladie
(pour tous les genres de la sensibilité), l'absen
ue de cheval parlent les douleurs bilatérales depuis le début de la
maladie
, leur persistance dans la région de l'os sacral
tant intacte tandis que la sacrée est touchée depuis le début de la
maladie
, mais avant tout l.i colonne vertébrale douloureu
s plus rapprochées et plus prolongées et la durée plus longue de la
maladie
. Dans certains cas pourtant la durée est très c
n cas qui évolua pendant 8 ans. Dans, le cas de Pntnam et Warren la
maladie
évolua pendant 19 ans. Gowers distingue les tum
ou tel autre genre de tumeurs. Ce n'est que le développement de la
maladie
, le moment d'apparition et la durée des différe
l de la sclérose en plaques. Outre cela on connaît des cas où cette
maladie
avait le type Brown-Séquard (Bruns) ou s'accomp
iagnostic définitif, et ce n'était que l'évolution ultérieure de la
maladie
qui m'assu- rait qu'il s'agissait bien de cette
qui caractérisent la sclérose : 1° Tout d'abord l'évolution de la
maladie
ne progresse pas aussi rapi- dement que dans le
les dernières années, l'état du malade pendant tout le temps de la
maladie
ne subissait pas ou presque pas de changements.
qu'elles ne le sont en réalité. L'examen plus précis au cours de la
maladie
démontre que les malades souffrent bien plus de
carie vertébrale. On réussit le plus souvent à dissimuler ces deux
maladies
. Les symptômes différentiels ont été indiqués p
vertébrale ; d'autres symptômes sont bilatéraux dès le début de la
maladie
. Dans un de nos éas, observé très longtemps che
nflamma- lion des méninges molles.De même dans un de mes cas, où la
maladie
pré- sentait les caractères d'une tumeur médull
l'opération (le Xe cas du travail d'Oppenheim). La nature de cette
maladie
n'est pas encore élucidée. Krause est d'avis qu'i
s très intenses et l'évolution graduelle toujours progressive de la
maladie
: troubles moteurs et sensi- tifs toujours croi
différence peut encore provenir d'autres causes : de la durée de la
maladie
, de la nature de la tumeur, du caractère individu
int la disparition soudaine de Charcot. La chaire de Clinique des
maladies
du système nerveux, à la Salpê- trière,- étant
ustifier le choix de ses collègues. Grâce à lui, l'enseignement des
maladies
nerveuses s'est poursuivi pendant quinze années
a Salpêtrière, F. Raymond avait publié une série de travaux sur les
maladies
nerveuses, notamment sa thèse de docto- rat (18
liographiques. 1 En prenant possession de la chaire de clinique des
maladies
du système NÉCROLOGIE 491 1 nerveux, le profe
sztte.s et la psychasthénie, en collaboration avec P. Janet, sur la
Maladie
de Parkinson, )'7/eo-ata.r ! 'e cérébelleuse et
la réduction de la taille ; le rachitisme, le chondrodyslrophie,la
maladie
de Pott,l'ostéomalacie, etc., peuvent en effet
'dans leurs tares physiques, ils portent le sceau des différen- tes
maladies
qui ont déterminé chez eux le nanisme, La perso
tous ces sujets montrent des signes psychiques et physiques de leur
maladie
nerveuse congénitale ou acquise, dont la microsom
ont morts de vieillesse, n'ayaut présenté, pendant leur vie, aucune
maladie
digne de mention ; le père n'était pas alcooliq
lle normale et d'excellente santé; deux sont morts en âge adulte de
maladies
aiguës; les deux autres (adultes aussi) sont enco
extrême petitesse ; il a été nourri par sa mère et n'a jamais eu de
maladie
. Son développement s'est fait sans accidents d'
es minimales proportions initiales. - Il n'a jamais en la moindre
maladie
; il a parlé et marché très tôt et s'est montré
hors de cela, il a toujours mené une vie régulière et n'a pas eu de
maladies
vénériennes; il gagne la vie, pour lui et pour
son âge, elle se développa normalement, n'ayant souffert .d'aucune
maladie
; elle a toujours été très vive et intelligente.
'âge de 55 ans, après avoir présenté la plupart des symptômes de la
maladie
de Duchenne ; l'ataxie était extrêmement pronon
e sont rares, car il est assez fréquent qu'après quelques années de
maladie
la perte du réflexe à la convergence vienne s'ajo
du tabes incipiens : les coupes sont figurées dans notre Traité des
maladies
de la moelle épinière, en collaboration avec le p
porteurs mêmes de la malformation : hydarthrose du genou (Kummei),
maladie
d'Addison (Mathew), scrofule (obs. p. II), baci
miliales ou non, non classées) (1). Nous n'insisterons que sur la
maladie
exostosique. Le raccourcissement affecte ou non
ale, et il n'est pas improbable que les infections surajoutées, les
maladies
infectieuses ne jouent le rôle de causes occasi
, que Steinberg croit possible. De même que l'achondroplasie,que la
maladie
exostosique par exemple, la brachymélie métapod
ie des lésions. (1) Article Achondroplasie de HUTINEL et Tixnsn, in
Maladies
des enfants, t. II, 1909, p. 636 et sq. brach
(A suivre.) ! «ni . 39 HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES (D'' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA MOELLE
rs. En outre,ils sont una- nimes à déclarer que, dans les cas où la
maladie
fait penser à une tumeur, il faut faire une lam
.ngen. Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk., 31,1906, p. 283. GLJXON.
Maladies
extrinsèques de la moelle épinière. Traité de méd
durée permettent à l'aliéniste de se prononcer sur la nature de la
maladie
et de formuler le diagnostic. En général, lorsqu'
ie confirmée qui allait l'atteindre, appartient aux prodromes de la
maladie
en voie de développement. Cependant, nous voyon
tude aussi active. « On était rarement d'accord sur l'origine de la
maladie
de notre frère convers. D'après les uns, c'étai
e voulut nuire à personne qu'à lui-même pendant tout le cours de sa
maladie
. Ce n'est pas là ce que l'on dit des frénétique
do Deus solus novit ». « Nous pouvons envisager de deux manières la
maladie
de notre convers. Disons d'abord que ce fut san
espèce particulière. Il y a, en effet, plusieurs variétés de cette
maladie
, qui sont pro- voquées, les unes par des alimen
é dont Hugues fut atteint, « D'autre part, on peut dire que cette
maladie
arriva par la très juste pro- vidence de Dieu,
tervention constante de théories mys- tiques dans l'explication des
maladies
. Quatre cents ans après G. Ofhuys, un éminent c
nnes amours et à la fréquentation du monde laïque, l'éclosion d'une
maladie
aussi connue et aussi classique que la LA MÉLAN
ns du monde, mais aussi aux médecins qui n'ont pas l'expérience des
maladies
mentales. Si, en effet, les profanes reconnaissen
ndent toujours à per- sister,dans la relation et le commentaire des
maladies
mentales, les mêmes vices et les mêmes erreurs
'agissait cliniquement d'un malade qui mourut à t'age de 35 ans, la
maladie
ayant duré huit ans en- viron. Le début se fit
sy- philis est le facteur étiologique, non seulement de 'certaines
maladies
nerveuses, mais aussi de quelques affections me
rologie et la psychiatrie. Nous avons en effet, dans le domaine des
maladies
de l'Encéphale, tout un groupe d'affections, le
ans, charron, infection syphilitique vers la 20° année. Durée de la
maladie
avant l'admission : 1 mois. Durée de la maladie
nnée. Durée de la maladie avant l'admission : 1 mois. Durée de la
maladie
à l'asile : 2 mois. Il meurt dans un ictus paraly
it dans ces quatre cas de paralytiques géné- raux décédés après une
maladie
de quatre à cinq ans de durée, type classique.
a alors une cica- trice devant les yeux. Quand on a affaire a des
maladies
très récentes, aiguës, ou au contraire très anc
tion n'a eu qu'une durée totale de trois mois depuis le début de la
maladie
jusqu'à la mort subite dans un ictus paraly- ti
ormations caractéristiques du sque- lette dans ces deux différentes
maladies
, déformations dont nous ne trou- vons pas la mo
imal, n'a subi aucun arrêt brusque et n'a été interrompu par aucune
maladie
. Actuellement ses proportions sont remarquables
pement psychique ab- solument normal et le caractère familial de sa
maladie
, nous font consi- dérer comme possible que les
appareil moteur, doigt surnuméraire presque normal, coïncident; une
maladie
intra-utérine paraît avoir existé au cours de l
ction du pouce. Kraepelin, dans la dernière édition de son Cours de
maladies
psychiques, mentionne un cas où le pied droit n'a
le des déformations digitales dans toutes sortes de diathèses et de
maladies
nerveuses, à savoir : les névrites, etc. ; il a
AND, 135. Familiale dégénérative (Etude clinique sur trois cas de
maladie
- du système ner- veux) (3 pl.), par BERTOLOTTI
par André-Thomas, 562. Nerveux (Etude clinique sur trois cas de
maladie
familiale dégété ? ,ative du sys- lème -) (3 p
pl., 18 fig.), par SI. V. V. SEDLETSKI, 695. Paget (Sur un cas de
maladie
de il lo- calisation céphalique isolée) (1 pl.)
sychique habituel des lépreux (1 pl.), 219. CATnLA. Sur un cas de
maladie
de Paget à localisation céphalique isolée. Cons
10T), IX. , troubles mentaux (de Beurmann et UouccrsoT), XVIII.
Maladie
familiale dégénérative (BERTOLOTTI), XI à XIII.
LEÇONS CLINIQUES SUR LES
MALADIES
CHRONIQUES DE L'APPAREIL LOCOMOTEUR PROFESS
l'a vu » , lisez : « comme on l'a cru ». LEÇONS CLINIQUES SUR LES
MALADIES
CHRONIQUES de L'APPAREIL LOCOMOTEUR. PREWIK
Messieurs , (1) L'objet de notre réunion est l'étude clinique des
maladies
chroniques de l'appareil locomoteur, c'est-à-dire
aux nerfs, des muscles au système nerveux. Nous aurons, pour chaque
maladie
, à déterminer à laquelle des deux classes elle ap
ffections de l'appareil locomoteur diffèrent, à plusieurs égards, des
maladies
de l'âge adulte qui ont le même siège. On en trou
s'explique aisément pourquoi l'enfance est l'âge de prédilection des
maladies
convulsives aiguës et chroniques; pourquoi les af
es; pourquoi les affections cérébrales compliquent presque toutes les
maladies
de cet âge; pourquoi les convulsions, les contrac
giques qui en dépendent, impriment encore des caractères spéciaux aux
maladies
chroniques de ses organes locomoteurs : ainsi sa
ffections dont nous devons nous occuper. On pourrait croire que les
maladies
chroniques épuisent plus promptement ces organism
ganisation plus robuste 4. de l'adulte, que la terminaison de ces
maladies
doit être plus souvent fatale que dans un âge plu
isée chez l'enfant que chez l'adulte. Mais très-fréquemment, dans les
maladies
chroniques, ces troubles ne sont que passagers, e
dance relative des organes essentiels à la vie, convertit parfois des
maladies
habituellement mortelles chez l'adulte en maladie
vertit parfois des maladies habituellement mortelles chez l'adulte en
maladies
curables chez l'enfant. Nous aurons occasion, je
tions provenant de faiblesse congénitale, d'une mauvaise hygiène , de
maladies
successives. Les familles pauvres sont embarrassé
ent ou sont enlevés par la moindre affection intercurrente. Quand nos
maladies
chroniques se rencontrent chez de pareils sujets,
ssi chez l'adulte placé dans un milieu semblable. La cachexie, que la
maladie
chronique tend à produire, est ainsi favorisée, a
sévissent autour d'eux, à la coqueluche, au croup, aux gangrènes, aux
maladies
éruptives. Toutes ces influences sont assurément
ques générales que j'avais à vous présenter sur les faits communs aux
maladies
chroniques de l'appareil locomoteur, spécialement
dans cet hôpital. L'ordre à suivre dans l'élude particulière de ces
maladies
est en quelque sorte tracé d'avance. Il faut les
tres systèmes. Mais la clinique est soumise (1) Traité clinique des
Maladies
des enfants, t. ior, p, 27, 2e édit., 1853; à d
tégorie que ceux de telle autre. Par ce motif, je commencerai par les
maladies
du système osseux. Il est naturel de diviser le
i par les maladies du système osseux. Il est naturel de diviser les
maladies
chroniques du squelette en deux classes, suivant
s études anatomiques, fixera d'abord notre attention. La principale
maladie
chronique du rachis est celle qui a reçu le nom d
r, de Hu-naud, de Séverin, et de tant d'autres qui ont parlé de cette
maladie
avant le célèbre chirurgien anglais. Définition
die avant le célèbre chirurgien anglais. Définition et nature de la
maladie
. — On peut définir le mal vertébral : une affecti
est nullement prouvé que cette lésion constitue généralement toute la
maladie
dans le principe. Aujourd'hui, l'opinion la plu
évidemment généraliser ces faits, si l'on tient compte des cas où la
maladie
, commence manifestement par le corps des vertèbre
toujours de la même nature, que c'est tantôt une ostéite, tantôt une
maladie
tuberculeuse, d'autres fois une arthrite, ou même
ubercules vertébraux, d'arthrite vertébrale, que l'on a imposées à la
maladie
qui nous occupe. Si maintenant j'abordais l'expos
voir une série de malades qui vous offriront le tableau vivant de la
maladie
. Le simple rapprochement de ces deux séries vous
ature et des effets de cette affection. lre période. Invasion de ta
maladie
. — La maladie peut commencer par les ligaments ou
ffets de cette affection. lre période. Invasion de ta maladie. — La
maladie
peut commencer par les ligaments ou par les os.
cette pièce une excavation profonde au centre de la vertèbre; ici, la
maladie
a débuté par l'intérieur de l'os; elle a dû être
e la vertèbre. C'est là un des effets ordinaires de cette forme de la
maladie
. Je me résume : on distingue dans la production
réunies par des ligaments flexibles, quelquefois même altérés par la
maladie
, il y a plus de mobilité dans ce point de la colo
bornée à la surface ou au centre du ligament ou de la vertèbre. Si la
maladie
fait des progrès, l'inclinaison augmente et la co
ient que la courbure postérieure de la colonne , et avaient décrit la
maladie
sous le nom de gibbosité, bosse, gibbus, ôëoç.
tituée par le premier cas, peut avoir lieu au début et à la fin de la
maladie
. Il n'y a d'abord ni angle ni même de courbe au c
indres que dans la région dorsale et chez les adultes. A la fin de la
maladie
, la courbe peut encore être régulière, lorsque pl
ais je termine auparavant ce qui est relatif au siège principal de la
maladie
, en vous parlant des moyens à l'aide desquels la
rice de la nature; la chose n'est plus possible de nos jours. Non, la
maladie
n'est pas ordinairement mortelle; ces pièces vous
l intérieur peut n'être que partiel ; dans ce cas on peut croire la
maladie
guérie ; il n'en est rien cependant ; après plusi
quelquefois une longue durée, et peut persister jusqu'à la fin de la
maladie
, si l'ulcération reste superficielle. Comment rec
peut trouver cette conformation physiologique unie à des symptômes de
maladie
, d'où l'obscurité très-grande du diagnostic. Av
ison légère de la tête à droite. Il est impossible de confondre cette
maladie
avec aucune autre. Cette enfant, strumeuse, nous
'on n'avait pas de notion exacte sur l'anatomie pathologique de cette
maladie
. 2° Il existe une seule pointe comme dans le ca
'il éprouvait des douleurs dans le dos. Soupçonnant l'existence d'une
maladie
des vertèbres, j'examine la colonne, et je découv
re manque, nous avons, comme moyen de diagnostic, les symptômes de la
maladie
. Quand le malade est un enfant et qu'on le soulèv
rt ces deux états. Le rachitisme est propre à l'enfance ; c'est une
maladie
générale ; l'autre affection ne s'accompagne d'au
tisme. Ces signes peuvent être insuffisants; on diagnostique alors la
maladie
par l'examen du reste du corps. On trouve des sig
ressemblance avec le mal de Pott dans l'état latent : le lumbago, les
maladies
des reins, de l'estomac, certaines névralgies, l'
eins, de l'estomac, certaines névralgies, l'anévrisme de l'aorte, les
maladies
de la moelle ; je n'insisterai pas sur les élémen
eut provoquer la destruction des vertèbres, nous décririons plusieurs
maladies
vertébrales de Pott au lieu d'une seule ; la chos
lieu à l'erreur ; tels sont les abcès dépendant d'une coxalgie. Celte
maladie
complique quelquefois le mal de Pott, et, lorsqu'
deux affections doit être rapportée la production du pus. D'autres
maladies
, qui ne sont pas des abcès, la hernie, l'ané-vrys
au troisième, dont elle était d'abord affectée ; c'est qu'en effet la
maladie
parcourt de nouveau, en sens inverse, quand la gu
plus à la masturbation. Il n'a été pris des premiers symptômes de sa
maladie
qu'à la fin de l'année dernière ; ils consistaien
es lésions plus graves, correspondant à des degrés plus avancés de la
maladie
. Ces lésions sont celles de la substance même de
tail du bon succès qui a suivi la méthode particulière de traiter une
maladie
que tous les efforts de fart n'ont encore pu gu
... Les patients de tout âge que j'ai traités au commencement de la
maladie
ont tous été guéris. » Dans l'autre ouvrage, on
ie ont tous été guéris. » Dans l'autre ouvrage, on lisait : « Une
maladie
aussi grave, dira peut être quelqu'un, est au-des
ue : « Pott n'a pas seulement décrit le premier avec exactitude cette
maladie
, il a encore ta gloire d'en avoir indiqué le trai
David, Dissertation sur les effets du mouvement et du repos dans les
maladies
chirurgicales. Paris, 1779, in-12. de Milan, ne
le mal vertébral, mais c'est un peu la faute de la constitution : la
maladie
survient chez des sujets trop faibles pour (i)
des hydropi-sies, l'anasarque, emportent quelquefois les malades. Des
maladies
fébriles, pneumonie, rougeole, variole, survenant
enlèvent plus facilement les malades, parce qu'ils sont affaiblis. La
maladie
des vertèbres tue donc moins souvent par elle-mêm
— Cet état peut durer de longues années. Il faudrait, pour arrêter la
maladie
osseuse, favoriser l'évolution des phases curativ
Nous ne connaissons aucun moyen d'arrêter sûrement les progrès de la
maladie
vertébrale; ils s'arrêtent cependant; mais la nat
peut agir ce médicament, et de quelle utilité il peut être contre la
maladie
des vertèbres. On stimule les fonctions de la r
pos a été regardé, à une époque, comme le grand moyen de guérir cette
maladie
; on en a fait une méthode de traitement qui vaut
en. Vous trouverez dans son ouvrage un éloge mérité du repos dans les
maladies
chirurgicales, et en particulier dans le mal vert
truction de plusieurs vertèbres, qui se produit par les progrès de la
maladie
. C'est là sans doute une opinion exagérée ; mais
imula ses douleurs. Lorsqu'on s'en aperçut, il n'était plus temps; la
maladie
avait fait (1) Pathological and practical obser
'une terminaison qui s'explique mieux par l'évolution naturelle de la
maladie
. En résumé, je suis disposé à proscrire, pour l
t s'applique également aux deux autres cas, puisqu'il faut traiter la
maladie
osseuse en même temps que les accidents dont elle
alysie. Je vous ai fait voir, en outre, que la guérison des cas où la
maladie
(1) Sixième leçon, 22 juin 1855. ne se compli
ont il a tracé le tableau ; il est arrivé à cette conclusion : que la
maladie
est le plus ordinairement de nature tuberculeuse,
r qu'on lui prête : la douleur peut cesser, en effet, et cependant la
maladie
n'en continue pas moins ses ravages. Mais le gran
le temps ; la douleur disparaît souvent par la marche spontanée de la
maladie
; le second, c'est le repos; le troisième, enfin,
dire que la destruction du derme a été superflue dans ces cas, que la
maladie
a guéri spontanément? Assurément, cette opinion p
temps où l'on croyait à l'utilité d'un écoulement d'humeur contre la
maladie
profonde des os. La stimulation extérieure est ic
a suppuration. Nous comprenons toutefois que, lorsque la marche de la
maladie
donne des inquiétudes sérieuses malgré le repos,
decin a rapporté, en 1813, avoir eu l'occasion d'observer beaucoup de
maladies
de l'épine dorsale, avec ou sans paralysie. « Le
leur inefficacité, que si j'avais moi-même un enfant attaqué de cette
maladie
, très-certainement je ne lui appliquerais pas de
les avantages qu'elle présente, les abcès par congestion restent une
maladie
fort grave. La méthode d'Abernethy devint génér
ns larges et directes; d'autres, à celle de David, qui abandonnait la
maladie
à elle-même. M. Bégin (1) a ouvert largement des
e directe et fistuleuse qui se produit dans la marche naturelle de 1;
maladie
. (1) J'arrive à l'examen des questions principa
ntention n'a pas été de vous donner une description complète de cette
maladie
; j'ai voulu seulement appeler votre attention sur
ique, on pouvait, en donnant le mercure, remédier aux accidents de la
maladie
et à la maladie elle-même. C'est dans cette même
, en donnant le mercure, remédier aux accidents de la maladie et à la
maladie
elle-même. C'est dans cette même circonstance, ai
ne jeune fdle de 7 ans, morte dans nos salles la semaine dernière. Sa
maladie
était une affection vertébrale dont vous voyez ic
neuses, qui ont été enlevées pour mettre à nu la moelle épi-nière. La
maladie
s'étend plus loin : les 9e et 12e vertèbres dorsa
seul, indépendamment des déformations qui sont communes à toutes les
maladies
de ce genre : c'était une vive douleur abdominale
ce cas est également une démonstration de cette autre vérité, que la
maladie
est rarement mortelle par elle-même. Ici la malad
très-différentes de celles du reste du rachis. Il en résulte que ses
maladies
présentent aussi des différences marquées. Cepend
igamenteuses forment la deuxième catégorie. Cette seconde forme de la
maladie
a reçu différents noms; on l'a nommée luxation sp
nation; elle a nui au progrès de la science et à la description de la
maladie
; la luxation n'est ici qu'un effet secondaire. Le
mie pathologique. L'anatomie pathologique permet de distinguer deux
maladies
sous-occipitales, ainsi que je l'ai établi plus h
atomiques et les phénomènes observés pendant la vie. Le siège de la
maladie
est tantôt bilatéral, tantôt unilatéral, c'est-à-
avoir affection des articulations droite et gauche ou d'une seule. La
maladie
peut occuper l'intervalle de deux ou trois os.
sant entre les os les soulèvent, repoussent les sur- (1) Traité des
maladies
des articulations. Paris, 1845. faces articulai
tissu cellulaire environnant. Les ligaments peuvent participer à la
maladie
; on les trouve épaissis, indurés ou ramollis, dét
ration superficielle, qui tend à devenir de plus en plus profonde. La
maladie
débute quelquefois par l'intérieur des os ; c'est
rcules se développant dans les masses de l'atlas, de l'axis. Quand la
maladie
procède de l'extérieur à l'intérieur, elle peut ê
sent d'admettre l'existence de lésions vitales, et ne voient dans les
maladies
des cartilages que des altérations physiques, tel
Ce dernier mode de destruction s'observe fréquemment dans certaines
maladies
générales, la syphilis, la scrofule. Les ligament
ment diminuée de ce côté. Cette lésion est, à mon avis, l'effet d'une
maladie
de la nature de celles qui nous occupent, et non
de a eu de la paralysie, des fistules cervicales, et a succombé à une
maladie
intercurrente. A l'ouverture , on a constaté une
es. Mécanisme de la guérison. — Après l'anatomie pathologique de la
maladie
, étudions celle de la guérison. La lésion si grav
e ordinairement les articulations dans leur état normal ; mais, si la
maladie
a duré plusieurs mois, il reste de la rigidité; u
ement se manifeste rapidement. Quand cet autre enfant a été moulé, la
maladie
ne datait que de quelques mois; il est néanmoins
re les deux moitiés de l'extrémité céphalique. Un autre effet de la
maladie
sous-occipitale, c'est la déformation du rachis ;
amélioration. IIIe cas. — Fille de cinq ans. Lors de son entrée, sa
maladie
était un cas modèle. La tête était penchée sur l'
bains. IVe cas. — Chez ce jeune enfant, une première atteinte de la
maladie
eut lieu au mois d'août dernier; elle n'a duré qu
et aujourd'hui l'enfant ne peut marcher, ce qui tient en partie à la
maladie
du cou, et probablement aussi à l'affaiblissement
ples. Cette région présente ordinairement, dans les deux formes de la
maladie
, un sillon profond, plus marqué s'il existe une l
les, la nature du pus, etc. Diagnostic différentiel. — Une première
maladie
qu'on peut confondre avec l'arthralgie sous-occip
rme d'accès est donc un des meilleurs caractères distinctifs des deux
maladies
. La contracture essentielle persiste, quelle qu
Torticolis pathologique. — Cette seconde espèce est produite par une
maladie
, ou bien par un vice de conformation du squelette
ai insisté précédemment sur les caractères spéciaux que présentait la
maladie
d'un enfant; ils vont nous servir pour distinguer
eur, obtenir un relâchement des agents du mouvement. Si, dans l'autre
maladie
, la douleur siège aux attaches des muscles, le di
rmation , qui peut être la suite d'une affection des muscles ou d'une
maladie
articulaire. Celle-ci laisse quelquefois après el
ulaire, d'un mal sous-occipital; il peut naître avec les suites d'une
maladie
guérie dans le sein de la mère; il est sujet, dan
abcès froids, les luxations traumatiques, les polypes du pharynx, les
maladies
de la base du crâne, exostoses, tumeurs fongueuse
angage, prétend qu'il ne faut pas donner à cette première forme de la
maladie
le nom d'arthrite, mais celui $arthralgie, parce
videmment le point de départ des symptômes et le siège constant de la
maladie
primitive. Je déclare que je ne connais pas d'aff
uvements par lesquels on porte la tête en sens inverse de celui où la
maladie
la dirige; elles sont surtout utiles quand le tor
Au début, les manipulations ont souvent une heureuse influence sur la
maladie
osseuse. M. Bonnet a émis ce principe général, qu
leur attitude normale. Ce principe m'a paru vrai dans certains cas de
maladie
sous-occipitale; mais il s'en faut de beaucoup qu
xpérience ; je n'y reviens pas. Si vous observez bien la marche de la
maladie
, vous verrez qu'elle est exactement la même, qu'o
la tête et d'obtenir l'attitude la plus favorable dans le cas où la
maladie
se termine par ankylose. Ainsi, par l'emploi des
Il consiste dans l'emploi des mêmes moyens. Je n'y reviens pas. La
maladie
est-elle devenue chronique, il s'agit surtout d'o
ts que nous avons examinés. Quoique je n'aie traité que de quelques
maladies
du rachis, nous pouvons cependant trouver, dans l
occasion d'exprimer des faits généraux qui s'appliquent également aux
maladies
des os courts des autres parties du squelette. No
, une salle consacrée aux sujets scrofuleux; suivez la marche de leur
maladie
, et vous observerez des phénomènes analogues à ce
te de luxation traumatique. 2° Pseudarthrose, suite de luxation par
maladie
ou pathologique; on les appelle encore, luxations
en que cette expression ait l'inconvénient de préjuger la cause de la
maladie
; il serait mieux de dire, à l'exemple de Pravaz,
, si je puis ainsi dire. L'allongement est propre à deux formes de la
maladie
, les luxations congénitales et les luxations path
sitions varient suivant l'opinion étiologique que l'on se forme de la
maladie
. On admet, dans un cas, qu'il n'y a jamais eu d'a
. c. Le déplacement de la tête fémorale, chez le fœtus, tient à une
maladie
de l'articulation de la hanche : c'est une luxati
ation pathologique. Pourquoi pas, en effet ? Le fœtus est sujet à des
maladies
dont le résultat peut être le même pendant la pér
ne longue durée. o° Le déplacement de ta tête du fémur est dû à une
maladie
de l'articulation, à une coxalgie. — Cette explic
tions complètes à l'époque de la naissance doivent leur origine à une
maladie
de la hanche. Que représentent les pièces sur les
a hanche. Que représentent les pièces sur lesquelles on s'appuie? Des
maladies
articulaires survenues peu de temps avant la nais
tre la suite tantôt d'un vice de développement originel, tantôt d'une
maladie
embryonnaire, d'autres fois d'une influence mécan
conde, on suppose que le déplacement de la tête du fémur est dû à une
maladie
de la hanche. Les auteurs qui ont présenté la tro
rnes, M. Fauvel. Ces cas sont des exceptions qut s'expliquent par des
maladies
survenues dans ces pseudarlhroses, ou bien par de
ce qui met sulla voie du diagnostic : elle doit faire supposer que la
maladie
date de la naissance , les luxations doubles acci
i, à maintenir la réduction. Il faut d'ailleurs (1) Dans toutes les
maladies
chroniques des os ou des articulations, je distin
me séparer de vous sans avoir au moins abordé l'histoire clinique des
maladies
musculaires, sans vous avoir au moins présenté un
ur, et où se retrouve comme un abrégé complet de toutes les formes de
maladies
musculaires. Cette affection est le strabisme.
uscle est plus fort, plus exercé que son antagoniste; il n'y a pas là
maladie
à proprement parler, mais une supériorité acquise
uise ou congénitale. Dans l'autre cas, le strabisme est causé par une
maladie
réelle, une lésion nerveuse, un spasme qui dépend
n spasme qui dépend lui-même de causes très-multipliées, convulsions,
maladies
cérébrales, etc. Je ne parle pas des cas de par
n° 23 de notre salle Sainte-Geneviève. A un an, elle fut prise d'une
maladie
fébrile qui dura deux mois, et dont la nature n'a
u; nous poursuivons l'étude clinique, commencée l'année dernière, des
maladies
chroniques de l'appareil locomoteur. Nous avons t
action involontaire, incessante, de certains muscles dans beaucoup de
maladies
douloureuses du pied ou de la jambe, produit des
u s'ils le sont à des degrés différents, l'équilibre est rompu. Une
maladie
assez fréquente dans cet hôpital, c'est la contra
st surtout par les paralysies qu'elles laissent à leur suite, que les
maladies
cérébrales et les convulsions-de l'enfance sont u
de l'enfance sont une cause si fréquente de pied bot. La marche de la
maladie
est, dans ce cas, presque uniforme. Un enfant est
édents, quoique par des causes différentes; chez l'un, le foyer de la
maladie
est dans la moelle, sans affection vertébrale; ch
ns ces cas d'hérédité? On ne peut invoquer constamment l'action d'une
maladie
convulsive intra-utérine, qui serait l'effet d'un
varus et au pied creux. C'est un exemple de pied bot produit par une
maladie
articulaire; mais le poids du corps a dû contribu
ccourcissement permanent. Qu'on appelle cela rétraction si l'on (1)
Maladies
des os, tome II, c. 3. (2) Mémoire sur la torsi
nt le système nerveux est resté profondément ébranlé à la suite d'une
maladie
convulsive intra-utérine, ou survenue dans la pre
un de mes maîtres que j'avais appelé en consultation diagnostiqua une
maladie
de la moelle, et il se trouva avoir raison. Une
qui, surtout chez les jeunes enfants, est susceptible de produire une
maladie
sérieuse. Différentes circonstances peuvent ame
ême d'une idiosyncrasie, d'un état cachectique, de la scrofule, d'une
maladie
aiguë intercurrente. C'est ce qui vient de se pas
sait un peu et qu'elle se plaignait déjà d'une légère céphalalgie; la
maladie
était alors évidemment à sa période d'incubation.
rmation des os. Nomenclature. — D'où vient le nom qui désigne cette
maladie
? Quelle est sa signification? Il y a environ de
t de dire qu'il désignât la principale partie affectée au début de la
maladie
, l'événement donna gain de cause à Glisson et à s
ésigner le ramollissement des os chez les adultes. Ancienneté de ia
maladie
. — Mais si le nom de rachitis était nouveau au di
— Mais si le nom de rachitis était nouveau au dix-septième siècle, la
maladie
qu'il désigne l'était-elle aussi? Glisson le croi
cken. Le grand motif de Glisson pour croire à la nouveauté de cette
maladie
, c'est qu'on n'avait pas décrit le rachitis avant
rachitis avant l'époque où il l'a observé. Mais vous comprenez que la
maladie
pouvait exister, bien que les médecins ne l'eusse
is, de la fragilité des os, de l'ostéomalacie. Paris, 1852. (3) Des
maladies
des os désignées sous le nom d'ostéomalacie. Pari
savants? Le mot chartre, de carcer, prison, qui désigna longtemps les
maladies
de langueur de l'enfance, et en particulier le ra
ant à trouver dans Hippocrate, Celse, Galien, la description de cette
maladie
, c'est aller trop loin. Dernièrement M. Castagne,
s ou moins d'affinité avec le rachitisme, pour ne m'occuper que de la
maladie
que Glisson a décrite de main de maître. § 1er.
e du rachitisme. Les altérations de la substance osseuse dans cette
maladie
présentent divers degrés qui forment autant de pé
ux états des os qui caractérisent les deux périodes principales de la
maladie
; et comme !c système osseux se présente sous une
tisme. Cette première période du rachitisme répond à ce degré de la
maladie
qui constitue les enfants noués, ainsi nommés des
un épaississement très-notable. Vous comprenez qu'à ce degré de la
maladie
, l'analyse chimique ne trouve presque plus de pho
ent démontré par M. Depaul (3). Il suffit de comparer des sque- (1)
Maladies
des os, t. II, p. 548. (2) Buffon, Histoire nat
ion des os consacre définitivement les formes, les dimensions, que la
maladie
leur avait données. Leurs courbures les plus biza
es à celles qu'ils présentaient au moment de l'envahissement de cette
maladie
? Je n'aurais, pour ma part, aucun doute à cet éga
es du squelette, bien qu'on se soit servi de son nom pour désigner la
maladie
. La région lombaire est celle qui est le plus sou
e du rachitisme se prolonge jusque-là. Même après la guérison de la
maladie
, le développement du bassin peut être entravé ave
e sont affectées ni avec la même fréquence, ni à la même époque de la
maladie
, ni au même degré. Glisson (1) avait déjà établ
sité ; ce sont : 1° l'état de l'ossification au moment du début de la
maladie
; 2° l'intensité d'action des forces extérieures
us grand développement est antérieur ou postérieur à l'invasion de la
maladie
en ressentent moins les effets. Je citerai comme
ts mécaniques puissants, sont les parties les plus maltraitées par la
maladie
. Le crâne se trouve dans les mêmes conditions.
s. Il résulte de ces influences, jointes aux causes spéciales de la
maladie
, plusieurs associations ou combinaisons de déform
de celles qui les précèdent dans l'évolution la plus ordinaire de la
maladie
. Il ressort de tout ceci que l'âge doit influer
le presque fermée; il n'y a donc pas eu ici de rachitisme crânien. La
maladie
s'est portée sur les poignets, qui sont renflés,
soit parce qu'elles se lient à l'action des causes qui ont produit la
maladie
. A. Le cerveau n'est modifié que dans son volum
éphalie, n'est pas inhérent au rachitisme; il se rapporte plutôt à la
maladie
qui a fait mourir l'enfant. Il va sans dire qu'
le crâne. Vous avez pu constater avec moi que c'est surtout quand la
maladie
se montre de très-bonne heure, qu'il y a rachitis
s sont exposés à de fréquentes affections de l'appareil respiratoire,
maladies
toujours graves, parce qu'elles portent sur des s
nts dans le rachitisme que chez les enfants qui succombent à d'autres
maladies
. Mais les vingt cas recueillis par M. Rufz ne suf
temps la proportion des rachitiques parmi les enfants non affectés de
maladies
tuberculeuses. Les tubercules sont rares, en effe
édit., t. XXVII, 1843. (3) Mémoire inédit, et : Barthez et Rilliet,
Maladies
des enfants, t. III, p. 333 et 366, 2e édit., 185
ot, qui venait d'être publiée par Morand (3). Navier concluait que la
maladie
de la femme Supiot avait été produite par des pri
rvations sur ramollissement des os. Paris, 1755. (3) Histoire de la
maladie
singulière et de l'examen d'une femme devenue en
c Portai (2), avec Pinel (3), qu'un effet symptomatique de toutes les
maladies
capables de troubler la nutrition dans l'enfance.
cela, on ne verrait pas, dans cet hôpital, des enfants minés par une
maladie
chronique, (1) Recherches sur le rachitisme, p.
uses déterminantes du rachitisme. Ces causes sont : l'hérédité, les
maladies
de l'enfance, l'humidité et autres conditions atm
de plus commun que de voir le rachitisme se développer à la suite des
maladies
éruptives, des fièvres aiguës, des entérites et a
formés presque uniquement de sérum. Behrs (1) a décrit, en 1847, une
maladie
de ce genre, compliquée de tumeurs lymphatiques,
nt ordinairement quand ces animaux sont atteints de ce qu'on nomme la
maladie
des chiens. On les observe également chez les chi
achitisme congénital éburné observé par M. Depaul ; la rapidité de la
maladie
coïncide aussi, dans ce cas, avec la rapidité du
ur obtenir des foies gras, deviennent rachitiques. Behrs dit que la
maladie
des porcs de Westphalie était héréditaire. Dauben
(1). On trouve chez ces enfants tous les caractères extérieurs des
maladies
de langueur : pâleur et bouffissure de la face ,
ssent de marcher, s'ils marchaient déjà au moment de l'invasion de la
maladie
. Les très-jeunes enfants ont même de la peine à s
(2) OEuvres diverses de médecine pratique, Castres, 1802, et Boyer,
Maladies
chirurg., t. III, p. 626, 1814. D. L'état aigu
quide inlra-crânien, il n'est pas toujours facile de distinguer cette
maladie
du rachitisme céphalique. MM. Rilliet et Barthe
analogue au rachitisme; mais il existe des différences entre ces deux
maladies
. Bien qu'on cite des cas d'ostéomalacie dans la p
te des cas d'ostéomalacie dans la première enfance, c'est surtout une
maladie
des adultes; en outre, les altérations anatomique
d'énormes cellules remplies d'une bouillie rougeâtre, de sorte (1)
Maladies
des enfants, 2e édit., t. II, p. 170. (2) Barth
'huile de poisson, de l'huile de foie de morue, dans la cure de cette
maladie
. Depuis bien des siècles, de pauvres pêcheurs d
sé du traitement par ces mots apho-ristiques : Curatio optima fit, la
maladie
se traite heureusement (4). Van Swieten assure
ré maître Guersant vont vous expliquer cette singularité : « Quand la
maladie
est dans son état, dit J. L. Petit, l'art a moins
rachitisme. Paris, 1797, p. 279. (5) Observations pratiques sur les
maladies
de la lymphe. Paris, 1810. (6) J. L. Petit, Mal
tiques sur les maladies de la lymphe. Paris, 1810. (6) J. L. Petit,
Maladies
des os, t. II, p. 564. (7) Dictionnaire de Méde
e, c'est que l'huile de morue soit un remède merveilleux contre cette
maladie
, que son action y soit réellement prodigieuse, s
On a remarqué que, pendant l'été et sous l'influence d'un air pur, la
maladie
marche moins vite. Il est donc important de trans
p. 236. Florence, 1747, et Van Swieten, Comment., t. V, p. 627. (5)
Maladies
des os. Paris, 1741, t. II, p. 535 et 565. (6)
xibilité des os est peu étendue, mais douloureuse. C'est un cas où la
maladie
est encore dans la période de ramollissement. I
es ou des ligaments intervertébraux. Cet état du rachis est moins une
maladie
, dans le sens ordinaire de ce mot, qu'un simple v
tature élevée, le corps mince et grêle. La simple convalescence d'une
maladie
aiguë, à fortiori la débilité qu'entraîne une mal
alescence d'une maladie aiguë, à fortiori la débilité qu'entraîne une
maladie
chronique, peuvent avoir le même résultat. La con
d'un homme qui contracta une lordose pour (1) Krankheiten, etc., ou
Maladies
de la colonne vertébrale, in-folio. Bamberg, 1824
t aux apophyses qu'aux corps vertébraux eux-mêmes. Duverney, dans ses
Maladies
des os, Wenzel (Maladies de la colonne vertébrale
rps vertébraux eux-mêmes. Duverney, dans ses Maladies des os, Wenzel (
Maladies
de la colonne vertébrale), ont décrit chacun un f
ren, le n° 539, sous le titre de «colonne affectée de (1) Duverney,
Maladie
des os, 1751, t. II, p. 117. (2) Humbert et Jac
n'est autre chose que le produit d'une altération pathologique, d'une
maladie
embryonnaire ; et, pour le cas particulier qui no
t autre enfant, atteint d'une tumeur blanche (1) Recherches sur les
maladies
nerveuses, Paris, 1855, p. fit*. du genou, vous
ciens devaient croire faute d'études anatomo-pa- (1) Des causes des
maladies
, chap. 7. (2) OEuvres d'Ambroise Paré, livr. XV
tion naturelle de la fréquence de la gibbosité à droite, puisque « la
maladie
qui altère la solidité des os doit plu- (1) Mém
rachitisme, comme on le dit encore si souvent. Le rachitisme est une
maladie
du premier âge, qui ne se prolonge guère au delà
de méd. et de chir. prat., art. Rachis, p. 78, 1835. (2) Traité des
maladies
chirurgicales, t. IV, p. 593, 1814. (3) Loc. ci
liose type, celle qui suit la marche régulière, comme on dirait d'une
maladie
aiguë, n'est à son début et longtemps après qu'un
idu. (1) Traité du Rakitis. Paris, 1772, p. 177. (2) Sur quelques
maladies
héréditaires, Mémoire in à l'Institut, Paris, 180
rition pendant une croissance trop rapide ou dans la convalescence de
maladies
graves, à la suite de la rougeole, de la scarlati
de véritables modifications de nutrition, des lésions organiques. Les
maladies
du cœur sont une des causes de mort les plus fréq
dyspnée, les phénomènes d'asphyxie sont provoqués, chez eux, par des
maladies
peu graves en elles-mêmes et, tout en ajoutant au
la gêne de leurs fonctions exposent particulièrement ces organes aux
maladies
congestives et inflammatoires, à l'asthme, à l'hé
ocrate : « 11 est arrivé que plusieurs » ont porté sans peine et sans
maladie
leur gibbosité jusqu'à la » vieillesse; cependant
s après une attaque très-légère de rachitisme. L'enfant n'a pas eu de
maladies
graves; elle a une constitution éminemment scrofu
aiguë, dont elle est bien guérie. On a observé dans le cours de cette
maladie
un fait que je vous ai signalé : c'est une dysp
ner lieu à une autre sorte d'erreur; elle pourrait faire croire à des
maladies
internes graves. Le médecin qui aura observé l'éi
ibbeux ne le confondra pas avec la phthisie pulmonaire, l'asthme, les
maladies
du cœur, etc. Cependant certains états complexes
tement de la scoliose. La scoliose est à peine considérée comme une
maladie
: on n'y voit qu'une difformité. Et cependant c'e
une difformité. Et cependant c'est un état plus grave que beaucoup de
maladies
réputées telles; elle pèse sur toute l'existence
es de la puberté, une constitution faible, une croissance rapide, les
maladies
de l'enfance ou de la jeunesse, les accouchements
ution, de croissance disproportionnée à l'état des forces., après les
maladies
longues, pendant une menstruation difficile, dans
latérale (1) Hannover. Annalen, Bd 4, hft 1, 1839. (2) Duverney,
Maladies
des os, t. II, p. 127, 1751. (3) Loder's, journ
de mal vertébral, qui manquent rarement, à une certaine période de la
maladie
, d'appuyer les mains sur les cuisses pour se sous
lte un léger redressement; l'épine est soulagée d'une partie du (1)
Maladies
des os, 1741, t. Ier, p. 66. fardeau dont elle
mal vertébral de Pott................ 6 Définition et nature de la
maladie
................. § Ier. — Anatomie pathologique
1° Denudation de la moelle................ 16 2° Extension de la
maladie
au centre nerveux........ 3° Déformation de la
. 266 Nomenclature.......................... ib. Ancienneté de la
maladie
..................... ib. Etats qu'il faut disti
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIIIECTIO
nts ou même dans leurs intervalles. Ces symp- tômes essentiels à la
maladie
, permanents, non douloureux, sont surtout const
des cas tout particuliers, qu'à une époque déjà assez avancée de la
maladie
. Cette disposition à la suggesti- bilité, à la
science et un même pouvoir- ». La sugges- tibilité elle-même et les
maladies
par représentation se ratta- chent à cette conc
ujourd'hui des médecins qui considèrent encore l'hystérie comme une
maladie
des organes génitaux et qui enlèvent les ovaire
re de fonctionner du cerveau, écrit M. Sol- lier ; il n'y a pas une
maladie
hystérique... c'est le mécanisme cérébral qui e
cérébrales les plus élevées. L'hystérie est moins, d'après eux, une
maladie
dans le sens ordinaire du mot, « qu'un mode par
nous amènent aussi à faire ren- trer l'hystérie dans le groupe des
maladies
mentales. Il faut cependant examiner les diffic
ises pour caractériser l'hystérie seule et la distinguer des autres
maladies
de l'esprit. Considérons d'abord le premier poi
mme une maladie mentale, résume- t-elle tous les symptômes de cette
maladie
? Sans doute un grand nombre de phénomènes décr
. ' Briquet, op. (;il., p. 481. ' Despine (d'Aix). Traitement des
maladies
nerveuses par le ma- gnétisme, 1840, p. 222; mê
semblent cependant dès aujourd'hui se rattacher légitimement à la
maladie
hystérique. Ce court résumé a simplement pour b
ement pour but de montrer qu'en rattachant l'hystérie au groupe des
maladies
mentales, nous n'oublions pas les nombreux symp
ique, M. Charcot montrait que l'élé- ment psychique joue dans cette
maladie
un rôle prédominant 2. « A notre avis, écrivait
de certaines remarques générales qui ont été faites sur toutes les
maladies
mentales. Ces maladies dépendent d'altérations
générales qui ont été faites sur toutes les maladies mentales. Ces
maladies
dépendent d'altérations inconnues du cerveau, e
mélancolies et les manies qui sont cependant considérées comme des
maladies
mentales, pourquoi ne les verrait-on pas dans l
a- tières excrémentitielles, l'anémie, la prédisposition même aux
maladies
infectieuses qui sont dans certains cas évidents,
t dans certains cas évidents, ne nous étonnent nullement dans cette
maladie
. Peut-être, un jour, ces modifications physiolo
contiendrait pas nettement les phéno- mènes caractéristiques de la
maladie
. Si l'on admet une fois pour toutes qu'une mala
. Si l'on admet une fois pour toutes qu'une maladie mentale est une
maladie
céré- brale et qu'elle s'accompagne toujours d'
re d'hystérie une quantité d'accidents qui appartiennent à d'autres
maladies
. Il est incontestable, M. Moebius le remarquait
tions médicales, pour les néphrites et les atrophies comme pour les
maladies
men- tales. Cela ne doit pas nous empêcher de f
t demandé si ces personnes étaient des malades et quelle était leur
maladie
. Pour étudier cette question, il faut faire d'a
e, même chez les hystériques, le somnambulisme dispa- raît quand la
maladie
nerveuse se guérit 2. « Ce sont les maladies de
dispa- raît quand la maladie nerveuse se guérit 2. « Ce sont les
maladies
de nerfs et l'hystérie, disait aussi Noizet, qui
açon la plus parfaite le caractère de tous les phénomènes de, cette
maladie
. S'il nous, arrivait de constater un somnambuli
e, en un mot, c'était un symptôme banal appartenant à à beaucoup de
maladies
mentales' ? Mais, quoi qu'il en soit, nous ne c
. Il nous parait donc im- possible de séparer complètement ces deux
maladies
; nous pensons qu'elles font partie toutes deux
us pensons qu'elles font partie toutes deux d'une vaste classe de
maladies
mentales très voisines les unes des autres et que
oisines les unes des autres et que nous avons proposé d'appeler les
maladies
de désagrégation mentale. « Nous sommes disposé
eurs autres auteurs qui ont aussi affirmé cette rela- tion des deux
maladies
. « La majeure partie des hystériques, pour ne p
frappé tous ceux qui ont étudié la nature psychologique de ces deux
maladies
mentales. Rapprocher et classer ce n'est pas co
hystérie pour lui con- server sa place, il suffit de distinguer les
maladies
mentales les unes des autres. Nous avons élar
et les actes subconscients, mais nous avons limité l'étude de cette
maladie
en la distin- guant des délires et des aliénati
ie que dans les délires, elle est beaucoup plus complète dans cette
maladie
que dans les états psychasthé- niques. CONCLU
dité pathologique joue dans l'hystérie comme dans toutes les autres
maladies
mentales un rôle absolument prépondérant 1, et
dans le sens de Morel nous pouvons dire que cette affection est une
maladie
de dégénérescence. Un très grand nombre de circ
ts cette pré- disposition latente : ce sont les hémorrhagies 2, les
maladies
anémiantes et chroniques, les maladies infectie
sont les hémorrhagies 2, les maladies anémiantes et chroniques, les
maladies
infectieuses, la-fièvre typhoïde en particulier
en particulier et dans certains cas les auto-intoxi- cations', les
maladies
organiques du système nerveux 4, les diverses i
ulateurs, 1861, p. 51. Babinsky. Association de l'hystérie avec les
maladies
organiques clu ssl. ieei-v. (l3zcll. et mem. de
e, est une maladie \mentale\ appartenant au groupe considérable des
maladies
de dégénérescence, elle Il'a que des symptômes
en masse. Le type de la pre- mière est la paralysie faciale dans la
maladie
de Bell, la para- lysie dans la poliomyélite ai
effet, comme je l'ai entendu dire à M. Charcot, l'hystérie est une
maladie
à manifestations exces- sives, ayant une tendan
es rencontre également. (Voir le mé- moire.) P. KERAVdL. III. UNE
MALADIE
TOUTE SPECIALE AFFECTANT TROIS FRÈRES ET SOEURS
e. Revues analy- tiques, n° 66.) En résumé le type clinique de la
maladie
se compose ainsi qu'il suit : vertiges, lourdeu
s cerveaux des paralytiques généraux arrivés au dernier terme de la
maladie
, et qu'à côté des altérations des fibres à myél
es paralytiques morts accidentelle- ment tout à fait au début de la
maladie
. J. Roubinovitch. X. DE LA STRUCTURE 111;;TOLOG
té. M. L. minot. Sur les modifications de la physionomie dans les
maladies
nerveuses et mentales. Le rapporteur accompagne s
promet de faire connaître dans la suite l'histoire détaillée de la
maladie
. M. le professeur KOJERNIKOF. Sur l'acromégalie
ade. Le malade, âgé de trente ans, présente un cas typique de cette
maladie
: augmentation du volume des poignets et des pi
ianopsie. 62 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. G. DOURDOUFI. Pathogénie de la
maladie
de Graves. - Le rap- porteur distingue : 1° les
- Le rap- porteur distingue : 1° les formes chirurgicales de cette
maladie
et celles qui dépendent de lésions de régions d
n action, à la cocaïne qui produit les principaux symptômes de la
maladie
de Graves. · Discussion. Cette communication do
Kojevnikof). Séance du 4 décembre 1892. M. M. LUNTZ. Un cas de la
maladie
de Friedreich (avec présen- tation du malade).
maternel, est faible d'esprit. Son frère cadet a été atteint de la
maladie
de Friedreich dès l'âge de quatre ans; il est m
se, 1812; - Considérations sur les tempéraments, sur les causes des
maladies
chroniques, à propos de travaux du D' Foucault
verses critiques de la phrénologie; - Essai de classifica- tion des
maladies
mentales; - Déontologie médicale, 1846; - Noie su
chologie, de pathologie, de médecine légale et de thérapeutique des
maladies
mentales. Après la guerre de 1870-1871, il ne r
ux abus, à apporter des secours prompt et effi- caces à ceux que la
maladie
ou la misère obligent à faire appel à la solida
ses rapports avec l'assistance publique, 1877 ; Classification des
maladies
mentales ayant pour double base la psycho- logi
santé semblait iné- branlable. Et voilà, qu'après quelques jours de
maladie
, il vient de s'éteindre, à quatre-vingt-neuf an
lair et précis. C'est là qu'on trouve exposée sa classification des
maladies
mentales, si remarquable de logique et de simpl
ruire à Londres un hôpi- tal destiné au traitement et à l'étude des
maladies
mentales. M. Clifford-Allbutt regrette que la c
, comment se fait-il que les médecins, même versés dans l'étude des
maladies
mentales, qui ont un aliéné dans leur clientèle
dans la société une situation difficile, il la doit uniquement à sa
maladie
; dès qu'il se trouvera au milieu de malades se
ar le Dr Shuttleworlb sur la nécessité de s'accorder dans le cas de
maladies
infectieuses. Heureusement, aucune épidémie n'e
Il tient sur ses genoux une fillette de quatre ans, affligée d'une
maladie
nerveuse pour laquelle on a, sans succès, consu
e en France, il y a trois ans, il avait été sujet à de fré- quentes
maladies
. Depuis quatre jours, il était dans un état de
dans l'habitude de regarder comme caracté- ristique de ces diverses
maladies
. Je m'arrêtai au diagnostic suivant : aclcyméni
combien grandes sont les variations du tableau cli- nique, dans les
maladies
chroniques de la moelle. L'absence de tout trou
e, quoique aujourd'hui il ait été produit des observations de cette
maladie
avec pièces anatomiques à l'ap- pui, dans lesqu
Cette affection ne semble avoir influé en rien sur la marche de la
maladie
. Dans le courant de la convalescence, quinze jo
Pendant plus de trois ans, en effet, et alors que les progrès de la
maladie
avaient déjà fait du patient un infirme, il n'y a
y a eu aucun trouble de la sensibilité pendant toute la durée de la
maladie
. Plus tard, lorsque les troubles de la sensibil
» D'autre part on retrouve la dissociation dans beaucoup d'autres
maladies
, l'hystérie (Charcot), la névrite alcoolique, (
a syringomyélie, le gliome suffit, et la forme spastique de cette
maladie
peut simuler, jusqu'à un certain point, le tablea
pu faire songer un ", moment à ce diagnostic étaient la durée de la
maladie
, la cyphose, .la paraplégie et l'analgésie de t
t définitive, cette observation n'en montre pas moins que, dans une
maladie
aussi grave que la grande hystérie, il exerce,
r 'P.,lÍER.\V,\L.1 .J,b.71 Ji-i-/l t XIII. Deux cas singuliers DE
maladie
DE FIHEDIlEICII; par Rossi. -' ' ï (Il manicomi
ut au plus dans l'adolescence, tandis que le tabes dorsalis est une
maladie
de l'âge adulte. L'ataxie de Friedreich se sépa
l' 1 rI" M 1 > " 'r 'tu ' '1 1 XVIILP.1R.111TUTOV1E.IT.aSIQUE ET
maladie
de.Thomsen; par GOVERS : r ? ..(Cenlr'nlbl. f.
NCI'vcnhcilk., N. F. Ill, 1892.) .n-. , . ,.J ''Association dé 'la
maladie
de Thomsen avec une "affeclioiic de là moelle.
, W ·.1 '" 1 tr ? ." t fil 1 XA.'DEUS cas d'ataxie'locomotrice"avec
maladie
DES jointures DE CHaRCOT; par Henry DAVY et Art
TDE PATHOLOGIE NERVEUSE. , lièrel,dif[6rdnté' de toutes des'autres'
maladies
^des'jointures^'Il 'croit' que11 toutes ! les. '
J' ! f'11 j ? û ,riz XXIV. CONTRIBUTION A''LA connaissance .'de. la
maladie
DE Thomsen 1 (MYOTONIE congénitale) ; par A. FR
31s. L'observation^III est partieuiièrement inté- 'rêssante, car'la
maladie
est observée immédiatement après la nais- rsâüc
e. , Il ? , . I ' .1. t , XXVI. Du symptôme de DE GRAÆFE dans la'
maladie
de rBASEDOW ...I;,#t- e ., par L. BRUNS. (Neu
we Il ? 11'' ! If. nit XXXV; Contribution A la pymptomatologiede la
maladie
DE BASSEDO N ;' - 'O'b ? "'Opal; E.7'A. HOMEN.
de car'-% diaq'ueSj'et'de névropathes présente' les1 signes r dé la
maladie
dé Basedo"les']'p]us"éaràclél'istiqù't3s"âvec;1
e de mutisme hystérique lorsqu'il ''décrivait ' si parfaitement'la*
maladie
de Lucinde.Obser- vation àl'appui ? "' ' t ,W.i
, 'mais résulte "plutôt "d'une 'auto-intoxi-, cation relevant de la
maladie
infectieuse.' ? J. Séglas. ? t ..rl, (' "'1/U'
. B. ' , fil l' ¡ 1 . XIII. INTERVENTION DE la chirurgie dans LES
maladies
cérébrales DE l'enfance; par le Dr Franck Parso
vons dire si - ;aladi"d' ' " "* 1 ' ' t .Nous ne pouvons dire si la
maladie
du foetus, ou changements' nutritifs provenant
LENMEYER. De l'emploi des médicaments * dérivatif externes dans les
maladies
cérébrales et nerveuses. Le séton à la nuque est
auteur débute par le traitement de l'épi- lepsie, «syndrome que des
maladies
diverses peuvent produire ». Tout en admettant
i amènent une sédation complète du système nerveux sans agir sur la
maladie
même. Aussi dans l'emploi des bromures, doit-on
s deux ou quatre mois. Durant les saisons chaudes, et pen- dant les
maladies
intercurrentes, on devra aussi diminuer ou sus-
d'anté- cédents syphylitiques, amène parfois la guérison. Dans la
maladie
de Bcasedo2v, le médecin américain recommande n
du matin, salle haute de la Bourse. Des auto-intoxications dans les
maladies
mentales.-Séance de 2 heures à 6 heures du soir
e de 2 heures à 6 heures du soir. Des auto-intoxi- cations dans les
maladies
mentales. A 6 heures, visite des tours de La Ro
' Mabille. Questions générales : 1 Les auto -intoxications dans les
maladies
mentales. - Rapporteurs : M. le Dr Régis et M.
de l'année scolaire 1892-1893, aide du laboratoire de clinique des
maladies
mentales, en remplacement de M. Champion. Facul
la fin de l'année scolaire 1892-1893, d'un cours complémentaire des
maladies
mentales. z Université de Vienne. M. le profess
ur qui aurait réalisé un pro grès capital dans la thérapeutique des
maladies
des centres ner- veux, telle que serait, par ex
, au secrétariat de l'Académie, à Bruxelles. Chaire DE clinique des
maladies
mentales. La Faculté de méde- cine a présenté j
ligne, notre ami M. Joffroy, agrégé, pour la chaire de clinique des
maladies
mentales laissée vacante parle décès du profess
riginaux, sur l'Endocardite ulcéreuse, les Embolies pulmonaires, la
Maladie
de Basedow, les Gangrènes viscérales, etc., il
a faites sur l'importance de la thermométrie dans la clinique des
maladies
des vieillards =, et faisons remarquer à ce pro-
s remarquables leçons sur les Troubles tro- phiques consécutifs aux
maladies
du cerveau et de la moelle épinière. La guerre
avait confié la publication du premier volume de ses Leçons sur les
maladies
du système ner- veux. Plusieurs leçons, dès 186
qu'en 1881. C'est durant cette période qu'il fit ses Lecons sur les
maladies
du poumon, du foie \ des reins 3, sur les Condi
pathogéniques de l'albzcmi- nurie 4, sur les Localisations dans les
maladies
du cer- veau et de la moelle épinière 5, etc.
ou faisait faire des planches murales représentant les lésions des
maladies
qu'il décrivait, procédés qu'il appliquait à se
alpêtrière suffisaient pour l'en- seignement d'un certain nombre de
maladies
, il n'en était plus de même pour une foule d'au
but poursuivi par le Maître est réalisé. Une chaire de clinique des
maladies
nerveuses est créée pour lui, à la Salpêtrière.
e jour se sont succédé, à côté de travaux sur l'hypnotisme, sur les
maladies
orga- niques du cerveau et de la moelle épinièr
s hystériques, les choréiques, les tiqzecux et dans quelques autres
maladies
des centres nerveux, 1802 ; - Sur un cas de par
nouveaux cas de paralysie hysléro-trltu- matique chez l'homme ; La
maladie
de F¡'iedl'eich Sur la claudication intermitten
itération artérielle; Hystérie et syphilis ; De l'in- fluence d'une
maladie
ou d'une intoxication antérieure sur le mode de
s. - 1888 : Arthralgie hysléro-traumatique du genou. - 1890 : De la
maladie
de 11101'van j Sur un cas d'hyslél'o-t1'aumalis
ation des vibrations rapides et continues au traitement de quelques
maladies
du système nerveux. - 1893 : Amyo- trophies spi
aitement de l'a taxie locomotrice progressive et de quelques autres
maladies
du système nerveux; Les malades dans l'art. - 189
t hystérie (1888); - Kpilepsie, hystérie et morphinoma- nie ; De la
maladie
de Morvan (1889) ; - Sclérose en plaques et para-
ation des vibrations rapides et continues au traitement de quelques
maladies
du système nerveux (1892). Bulletin médical :
hystérique; Des tics et des tiqueurs (1888) ; Nouveaux signes de la
maladie
de Ba.iedow; Accès d'automatisme ambulatoire de
de l'année 1880, pour l'ouvrage intitulé Les Localisations dans la
maladie
du cerveau et de la moelle épi- nière. M. Cha
t sur son emploi prolongé ainsi que l'exige la longue évolution des
maladies
mentales. Pourquoi ? parce que malgré ses brill
tout longtemps continué, ainsi que l'exigerait la thérapeutique des
maladies
mentales dont l'évolution est toujours fort lon
a quinine paraît avoir eu une efficacité. Hirt, dans son Traité des
maladies
du système nerveux mentionne les accès de fièvr
, je n'ai jamais rencontré la sclé- rose en plaques, qui paraît une
maladie
excessivement rare dans un pays aussi marécageu
historique consacré au rôle de l'hypnotisme dans le traitement des
maladies
mentales, les auteurs ont résumé sous forme tab
olin, médecin de l'asile de Lafond, et Pactet, chef de clinique des
maladies
men- tales à la Faculté de Paris. Lecture est
. Lecture est tout d'abord donnée du rapport préparatoire Sur les
maladies
mentales dans leurs rapports avec les auto-intoxi
nées et reconnues tant dans l'orga- nisme normal que dans l'état de
maladie
: Produits de la vie cellu- laire de nos tissus
l'effet de l'état mental. Comme cela a été constaté dans certaines
maladies
auto-toxiques, par exemple l'éclampsie, il y au
s phénomènes d'auto- inloxication jouent un rôle important dans les
maladies
mentales, sont confirmés par les récentes reche
nfirmés par les récentes recherches nosologiques sur les folies des
maladies
infectieuses aiguës, des maladies viscérales, des
s nosologiques sur les folies des maladies infectieuses aiguës, des
maladies
viscérales, des maladies diathésiques. En ce
lies des maladies infectieuses aiguës, des maladies viscérales, des
maladies
diathésiques. En ce qui concerne les psychoses
, des maladies diathésiques. En ce qui concerne les psychoses des
maladies
infectieuses, elles seraient le résultat soit d
ant dans son ensemble le problème des auto-intoxications dans les
maladies
mentales, on laisse sans doute le champ plus libr
les l'étaient même à ce moment no- tablement plus qu'au cours de la
maladie
, et à cette époque on était logiquement en droi
ense que la question des relations des auto- intoxications avec les
maladies
mentales est à son aurore, et qu'en ce moment t
s uns auront trait à des phénomènes d'auto-intoxication au cours de
maladies
mentales préexistantes; les autres se rapporten
riable. Cette cause, en effet, a été la puer- péralité, différentes
maladies
infectieuses (influenza, érysipèle, angines, fi
e même ensemble de symptômes qui ne diffèrent qu'en intensité. La
maladie
revêt toujours le type clinique décrit sous Je no
sieurs jours à inter- valles rapprochés et suivant les phases de la
maladie
, afin d'avoir, non plus comme on le fait presqu
plus comme on le fait presque toujours, un chiffre unique pour une
maladie
qui dure des mois, mais une série de moyennes. Il
sont variables et ne reproduisent pas, comme on l'a dit, ceux de la
maladie
. Chez ses malades, M. Séglas a trouvé, dans un
herches devront d'ailleurs être continuées suivant les phases de la
maladie
encore en cours. Enfin, il est à remarquer qu
ienne, mais d'o- rigine dyscrasique, dystrophique. Cliniquement, la
maladie
s'est présentée, au point de vue clinique, sous
rtitude du témoignage des aliénés, quelle que soit la forme de leur
maladie
, et pose en principe qu'ils ne doivent pas être
de extérieur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des
maladies
mentales, nul ne peut être sûr que dans le réci
AVANTES. : 2Õ7 -1 d'aliénés ; Nécessité des asiles ; Les causes des
maladies
mentales; - Conduite à tenir vis-à-vis des alié
malade n'entre pas dans la variété dite a des compteurs > de la
maladie
du doute, ni dans la catégorie des obsessions à
ividus à volonté très affaiblie. C'est cette évolution même de la
maladie
qui explique pourquoi tout traitement physique
un autre malade auquel il est fait allusion au cours du travail, la
maladie
évolue comme « une obsession qui devient une po
». Ces symptômes peuvent toutefois appa- raître dès le début de la
maladie
, ainsi que le prouve une troi- sième observatio
lirantes. Si, d'autre part, parmi les persécutés, il en est dont la
maladie
ne représente qu'un vice de développement intel
ité toujours dans le même sens, il en est d'autres chez lesquels la
maladie
se traduit par une dissociation assez rapide, p
Régis (E.) et Chevalier- La vaure. Des auto-intoxicalions dans le.1
maladies
mentales. (Congrès des médecins aliénistes des pa
dant la marche et la station debout impossibles. Evo- [¡Ilion de la
maladie
en mois. Mort dans le coma. Autopsie, gliome ne
dents héré- ditaires ; la malade avait été bien portante jusqu'à sa
maladie
actuelle, sauf un « catarrhe du nez » avec larm
e traitement spécifique, qui reste sans action. L'évolution de la
maladie
continue ; elle est régulière et rapide. Il sur
1892, à 6 heures du matin, quatre mois à peine après le début de sa
maladie
. Autopsie. L'autopsie est faite vingt-cinq heur
ités pen- dant l'année. En dehors de quelques cas de tuberculose,
maladie
commune chez les aliénés appartenant aux divers
s variétés de la dégéné- rescence, on n'y constate aucune espèce de
maladies
cachectiques, Fig. 32. asiles d'aliénés. 307
et les grabataires, les escharres sont à peu près in- connues. Les
maladies
accidentelles sont très peu nombreuses, et sont
emps que la dysenterie, on voyait sévir l'entérite chronique; celte
maladie
de misère a également disparu; et sa 310 asiles
nt ne soit pour une certaine part dans la multiplica- tion de cette
maladie
. IV. Les diverses régions du département fourni
clare toujours secondaire; elle serait, d'après lui, précédée d'une
maladie
de l'affectivité, de la sensibilité morale, le
E recherche DES réflexes tendineux et DE LEUR modification dans LES
maladies
mentales ET chez LES épileptiques; par W. DE Be
If, 13 par 10.000 habitants. Les malades admis se répartissent par
maladies
de la façon suivante : Mélancolie 32 p. 100; Ma
ets sont à terre sèche' Il n'y a pas de pavillon d'isolement : les*
maladies
contagieuses sont simplement soignées dans une sa
es milieux, : la folie dépend en grande partie desf rap- ports* des
maladies
mentales; mais l'altération de fonction peut co
s troubles de la circulation et de la respiration après deux ans'de
maladie
.' 'w nr l ? L'nutopsie ne révèle pas de lésions
pinale spasmodique, qui se complique d'érysipèle. Vers la fin de la
maladie
disparut le réflexe patellaire. Les trois cordo
iquée d'une altération des cordons postérieurs. L'évolu- tion de la
maladie
permet donc de préciser et de dire que différents
assimiler la sclérose en plaques à une myélite. La première est une
maladie
bien tranchée ayant son individualité jusque da
Présidence de M. JOLLY. M. KOEPPEN. Des altérations des os dans la
maladie
de Basedoiu. - Il s'agit d'une jeune fille de v
ladie depuis cinq ans et présentant en outre des symptômes de la
maladie
, c'est-à-dire du goitre, des palpitations de coeu
écessité d'examiner la nutrition et l'urine des malades affectés de
maladie
de Basedow. M. REMAK fait observer que l'ostéom
malacie sévit un peu à Berlin, mais dans les autres observations de
maladie
de Basedow, les os ne présentaient rien de semb
pathie pneumique (Marie) ne sont que des formes d'une seule et même
maladie
, quoiqu'à divers degrés de développement. Il se
entièrement à l'avis de Marie qui envisage l'acromégalie comme une
maladie
distincte et ne voit dansl'ostéo-arthropathie e
arthropathie et les doigts hippocratiques que des symp- tômes d'une
maladie
interne. Parmi les causes les plus fréquentes d
'une maladie interne. Parmi les causes les plus fréquentes de cette
maladie
, il faut pla- cer les processus pulmonaires, pu
purulents et chroniques ; on a éga- lement signalé l'influence des
maladies
du coeur et, dans un cas (Schmidt), celle de la
appor- teur relativement au diagnostic. M. le Dr FOKARSKY. Sur la
maladie
des tics convulsifs. Le rap- porteur présente l
eize ans. D'autres qui avaient fait leur. apparition au cours de la
maladie
, ont dis- paru entièrement ou ont diminué d'int
rition complète;des symptômes.. Les signes caractéris- tiques de la
maladie
des tics convulsifs sont, d'après le rapporteur :
'f 3(''3')'1 , \, Ces deux, derniers signes permettent de relier la
maladie
des tics convulsifs d'une part à la. myoclonie,
rteur présente, les conclusions suivantes : " ' r- r J'11'. 1° La
maladie
des tics convulsifs doit occuper en tant que form
istingué della myoclonie. ' , ' ' 01- ~ ' 3° La inériatchénié, la
maladie
des tics convulsifs et la myoclonie sont trois
els sont les principes qui* permettent de distinguer d'une part les
maladies
des tics convulsifs des maladies avec idées et-
ttent de distinguer d'une part les maladies des tics convulsifs des
maladies
avec idées et- mouvements obsédants,'et d'autre
dans le fond de l'AIle- «, magne, dès leur enfance, la misère et la
maladie
les ont accom- « pagnes partout. Ils ont fui le
rouver que Ahasvérus ou Car.- tophilus était 1 atteint de la,, même
maladie
que , les , malades de la Salpêtrière. - La,tra
nes époques de sa vie, écrit Matthieu Paris en 1571,.il il fait une
maladie
qu'on croirait incurable : il est comme ravi, en
appe en lui, c'est précisément le cachet spécial que lui imprime sa
maladie
et qu'on retrouve dans toutes ses apparitions. Ca
TUBÉRANTIELLES PAR MSI. H. ROYET J. COLLET Chef de clinique des
maladies
mentales Préparateur du cours de Pathologie gén
publiée par l'un de nous', alors son interne, dans les Annales des
maladies
de l'oreille et du larynx. Ce malade avait pré-
XXVI. 23 3ü4 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des symptômes cliniques de la
maladie
et des lésions bulbo- protubérantielles qui l'a
Son père est mort à cinquante ans, sa mère à quatre-vingts ans, de
maladies
indéterminées. Un frère bien portant. Un frère mo
ur le terrain de la clinique. Dans les deux cas, longue durée de la
maladie
; titubation cérébelleuse et mala- dresse des me
p. 207. SUR UNE LÉSION SYSTÉMATISÉE DU CERVELET. 365 tion de la
maladie
. Nous allons rapidement passer en revue les pri
s la plupart des cas de sclérose. Dans son Traité de diagnostic des
maladies
de l'encéphale, où sont colligés les cas d'atro
i, par l'augmentation de volume qu'elles ' Traité de diagnostic des
maladies
de l'encéphale. Trad. Keraval, p. 3 et suiv.
lait plutôt continu, mais seulement dans les derniers temps de la
maladie
. Il n'y a donc pas de caractère particulier qui p
travail antérieurement publié par l'un de nous dans les Annales des
maladies
de l'oreille et du larynx, nous ratta- chions c
arri- vions même à le considérer comme à peu près spécial à cette
maladie
. Cette conclusion trop affirmative était en parti
mène, et il faut arriver au mémoire de Loeri (deBudapesth), sur les
maladies
du larynx dans leurs rapports avec les affectio
r sa pathogénie l'interprétation du tremblement habituel dans cette
maladie
, à savoir « la longue persistance des cylin- dr
ent isolés ou au nombre de deux ou trois, 1 Charcot. Leçons sur les
maladies
du syst. nerveux, t. I, p. 267. 374 RECUEIL DE
te et elle mourut peu de temps après. ' . J. T...n'a jamais eu ni
maladie
grave, ni convulsions, ni troubles nerveux reco
- 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE rique est seule atteinte, et la
maladie
s'éteint sur place. Dans le 4 grand mal au cont
travail est d'insister sur l'impor- tance, dans la genèse de cette
maladie
, des tendances héréditaires : « Peut-être, dit-
dans ses causes, mais à peu près incontesté en effet, du nombre des
maladies
mentales, et il cherche les moyens de remédier
ancolie, l'épilepsie et la paralysie générale ; dans cette dernière
maladie
toutefois on constate une proportion d'hémoglob
ondaire, son maximum dans la para- lysie générale : dans les autres
maladies
mentales, les variations peuvent être considéré
es altérations avant le noyau de l'auditif, plus résistant. Plus la
maladie
dure longtemps, plus sont nettes les altération
car elles se rencontrent indistinc- tement chez ces deux ordres de
maladies
: C'est dans les états aigus accompagnés de dép
corticale a été constatée avec sa fréquence ordinaire dans cette
maladie
; mais il est à remarquer que très souvent (dansp
us élevée dans la paralysie générale que dans la plupart des autres
maladies
mentales. A l'inverse de l'affection dont il vi
ement dans la moitié des cas. Les scléroses superficielles, dans la
maladie
qui nous occupe, ont été constatées seulement d
en général ; 2°) si, en particulier, la suggestion peut agir sur la
maladie
donnée,-croit que l'emploi de violence, comme m
au début de sa communication, le rapporteur décrit un cas de cette
maladie
, observé chez une institutrice, âgée de cinquan
ue très prononcé, refus de prendre de la nourriture. Le cours de la
maladie
, qui a duré quatre ans et demi, a présenté, pri
, sans tare héréditaire et n'ayant pas souffert antérieure- ment de
maladies
graves. La maladie actuelle débuta à la fin du
ire et n'ayant pas souffert antérieure- ment de maladies graves. La
maladie
actuelle débuta à la fin du mois de décembre 18
moelle épinière quoiqu'on l'ait cherché. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE et
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN Séance du 13 juin 1892. P
t un homme de trente-six ans, sans hérédité, qui n'a pas eu d'autre
maladie
qu'une fièvre typhoïde, il y a dix-huit ans. Il
Sera publiée ailleurs. BIBLIOGRAPHIE- VII. Traité élémentaire des
maladies
mentales; par le professeur S. S. Korsakov. Mos
de l'Université de Moscou publie aujourd'hui un cours complet' des
maladies
men- tales. Dans la première partie de ce cou
IE. 427 -1 désirent se consacrer d'une façon spéciale à l'étude des
maladies
mentales, de consulter avec fruitles ouvrages d
ncore des anomalies du développement physique, de l'évo- lution des
maladies
mentales, de leur classification, de l'anatomie
l'emploi de la mé- thode graphique dans l'étude de l'évolution des
maladies
mentales. L'application de cette méthode a, en
ette première classe : le délire fébrile, l'état psychopathique des
maladies
générales sans fièvre, le délire du collapsus,
damentales des psychoses; 2° constitutions psychopathiques, et 3°
maladies
mentales à base organique. Au premier groupe se
s hystériques; g) les psychoses choréiques ; i) les psychoses de la
maladie
de 430 BIBLIOGRAPHIE. Basedow, de la paralysi
e, etc; 1,;) les psychoses et psycho- névroses traumatiques; 1) les
maladies
psychiques constitution- nelles consécutives au
constitution- nelles consécutives aux affections cérébrales; m) les
maladies
mentales constitutionnelles consécutives aux in
chapitres suivants sont consacrés à l'anatomie et à l'étiologie des
maladies
mentales. Le chapitre qui traite du diagnostic co
partie du Traité donne une description des diffé- rentes formes de
maladies
mentales d'après l'ordre indiqué par la classif
ur la paranoïa, les folies intermittentes, les psychoses liées à la
maladie
de Basedow, etc., etc. On peut sur un certain n
t les persécutés possédés. « Les symptômes les plus saillants de la
maladie
, disait l'un de nous à la Société médico-psycho
AUTO-ACCUSATEURS ET POSSÉDÉS. 439 tomes qui marquent le début de la
maladie
, les hallucinations verbales ne se montrant qu'
nous voyons se placer au premier plan à une certaine époque de la
maladie
, qui, au début, se présentait sous l'aspect le pl
maîtres au premier plan pour modifier à un tel point l'aspect de la
maladie
'.Lorsqu'on peut faire une pareille constatation,
at rudimentaire chez le persécuté ordinaire. L'évolution même de la
maladie
peut être assez' différente de ce que l'on obse
de pos- session peut ne survenir qu'après une certaine période de
maladie
n'offrant guère de symptômes différents de ceux d
ous au congrès de Paris et qui résumait fort bien l'évolution de sa
maladie
en disant que » ce fut d'abord une. obsession qui
es de possession apparaissent très vite, presque dès le début de la
maladie
. Dans la communi- cation à laquelle nous faisio
mènes spéciaux, impulsifs ou d'arrêt, qui ont marqué le début de la
maladie
et qui prédominent encore aujour- d'hui. Elle a
é toujours dans le même sens, il en est d'autres chez lesquelles la
maladie
se traduit par une dissociation assez rapide, p
mes expériences sur le rôle que peut jouer l'hypnotisme dans les
maladies
nerveuses, en particulier dans l'hystérie. J'es-
a fait croire à l'action bienfaisante de l'hypnotisme sur diverses
maladies
. Comme on le voit, contrairement à ce que souti
gie, juillet 1891.) Voir aussi : Association de l'hystérie avec les
maladies
organiques du DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. 449 de
un vomissement. On me la ramena aussitôt, craignant le retour de la
maladie
. Nouvelle séance d'hypnotisme. Ce vomis- sement
un séjour de six années dans des hôpitaux spécialement affectés aux
maladies
nerveuses, posséderait à un suprême degré ce qu
On ne devrait jamais oublier que l'hystérie peut simuler toutes les
maladies
, les copier, si je puis parler ainsi, points par
n jour lui être si funestes qu'on me l'amena. L'examen direct de la
maladie
me fit porter le diagnostic : hystérie avec per
OUBLES HYSTÉRIQUES PAR HYPNOTISME. PERSISTANCE DES TROUBLES DUS AUX
MALADIES
CONCOMITANTES. J'ai dit dans l'exposé de ce t
: figure expressive, tête bien conformée, fraîcheur du teint que la
maladie
n'avait pas altérée. Pas d'atrophie des muscles
naissance, attaques de sommeil. " Nous trouvons donc encore là deux
maladies
associées. Comme c'est la myopathie qui domine
on, on sera tenté de croire à l'efficacité de l'hypnotisme dans une
maladie
où jusque-là tout traitement a échoué. C'est là d
ait de la hanche, avait de la claudication, et craignait d'avoir la
maladie
de sa camarade ! Je l'examine et je constate'une
l'hérédité névropathique surtout que sont dus ces nom- breux cas de
maladies
nerveuses, hérédité, il est vrai, qui se trouve
e. La contratnte même qu'elle s'était imposée avait, sinon causé sa
maladie
, du moins déterminé le sens dans lequel elle se
inels, qui sont assaillis de remords, sont les gens qui, avant leur
maladie
, furent les plus honnêtes. C'est la pensée conrte
)iF)Il : JI 2flJift JI)&7Jyts It° SOCIETÉ, 1 DE PSYCHIATRIE et
MALADIES
NGRVEUSGSI;i 1)· DE BERLIN Séance du 14 novem
lco`;iStern) prouvent.'qu'il'peut'y avoir .confusion entre les deux
maladies
. M. Hoffmann, , dans1 son travail, repousse les
s ordinaires non spécifiques. Cet herpès indique donc que dans la
maladie
pendant laquelle il apparaît entre en jeu, soit c
rielle. C'est donc un complexus autonome indépendant de toute autre
maladie
nerveuse organique ou fonctionnelle qui apparti
ans le cubital. Il en existe une forme bénigne très supportable. La
maladie
a pour facteurs : l'anémie, surtout quand il ex
l'auteur désigne quatre types patholo- giques parmi lesquels est la
maladie
de Litlle; ces types sont : lu la rigidité géné
la maladie de Litlle; ces types sont : lu la rigidité généralisée (
maladie
de Little) ; 2° la rigidité para- plégique; 3°
éfaut à ses cinquante- trois observations. J. Nom. XII. Un cas de
maladie
de Morvan; par le professeur Grasset. Mont- pel
seur Grasset. Mont- pellier, 1892. Il s'agit d'un cas très net de
maladie
de Morvan, avec panaris analgésique, thermo-ane
lustrent cette intéressante leçon. P. S. XIII. A propos d'un cas de
maladie
des tics convulsifs avec mouve- ments par obses
le Dr A. Voisin, passe en revue les diverses opinions émises sur la
maladie
des tics convulsifs et le myriachit. Ce court e
Tokarsky sur le même sujet. J. Noir. XIV. L'hydrothérapie dans les
maladies
chroniques et les maladies nerveuses; parlesDSB
. J. Noir. XIV. L'hydrothérapie dans les maladies chroniques et les
maladies
nerveuses; parlesDSBENI-BARDE etMATERNE. 1 vol.
essaire ou tout au moins utile bibliographie. 505 dans toutes les
maladies
, les auteurs entreprennent de passer en revue t
'axe médullaire. Le pseudo-tabes n'est qu'un syndrome de diverses
maladies
amenant une neurasthénie de la moelle. » Ainsi, l
s'occupant dans leur livre d'une façon spéciale du trai- tement des
maladies
nerveuses par l'hydrothérapie, auraient dû rappel
de la notion du patois que l'enfant parlait habituellement avant sa
maladie
, sont les points les plus intéres- sants de l'h
ne, et, pendant la journée du lendemain, le cours du professeur des
maladies
nerveuses a été exclusivement consacré à un exp
: 0 fr. 40. Paris, 1893. Au Siège social. Charcot. - : Clinique-des
maladies
du système nerveux (leçons du professeur, mémoi
vel, par Yellowlees, 83. ' Ataxie, un cas d' - locomotrice avec
maladie
des jointures dp Charcot" par lleilhronner, 132
as lI'et Brouardel, 262. ' " "' , AUTO-11TO11CA'l'IO : IS,sur les
maladies
mentales`dans leurs rapports avec les -, ` pa
40; -, par Legrain, 264. "" ", 1 1'1 . 'Ij ) f 'Idl zip BASED0w(
Maladie
de),du symptôme de Groefe'dans la ? par Bruns,
i'- chez les aliénés, par Pelle- blini, 322. Ea.a.umr, - dans les
maladies
nerveuses et mentales, par Ven- tura, 236. '
ur mesurer '^ la des jambes, par Krauss;' h83. ' FIIIEDIIEICII (
Maladie
de). Un cas de ! 1 , par huntz, 62; deux cas si
u centre du ' ' chez le lapin, par Schtsbherbak, 482. - Graves (
Maladie
DE) -, par Dour- 'f dorfi, 62. ' ¡ , i * Ha
entes fuir- 1 mes de l ? par Bourneville et Noir, 259. dans les
maladies
' chroniques, par René Barde et Materne, 501.
i, 91. ,,7 '1 u" IjS, Morte, la - vivante, 346" ,r Ir : . Morvan (
maladie
de), un cas de ? par Grasset, 504. ' Motrice,
ar;Ho;he,49f.ty ? i,' '1" nn Osides altérations,,des,= dans, la ,
maladie
de Baseddw, pal' Koeppell 336." ., Hj. ? 0) ? ?
rédi- taire, par Gucci, 140. ? ^ " PABAMYOTONIE 1 ataxiqup.' et 1
maladie
1 de,'Tliomseril 'par' Gowers,' 140. Parole,
in; 164; psy- chiatrjque"de'Berlin, '166, '191; ? de psychiatrie et
maladies
ner- veuses de Berlin, 232, 419; de patronage
x, contribution à l'étude des lobes -, par Seppili, 55. Tiiomsen (
maladie
DE), paramyoto- nie et -, par Gowers, 140 ; con
tribution à la connaissance de la , par Frûs, 143. Tics, sur la
maladie
, des con- ? vulsifs, par Tokarsky,'341 ! 'Alpl'0-
des con- ? vulsifs, par Tokarsky,'341 ! 'Alpl'0- ' pas'd'un cas de
maladie
des par Roubihowitch, 504 ! 1 ! \/I'MI Toxici
de paris. J'ai beaucoup hésité avant de donner un nom nouveau à une
maladie
qui en a déjà tant subi. — J'aurais pu choisir en
Toutes ces dénominations, en effet, s'appliquent à des variétés de la
maladie
, aucune ne la comprend tout entière. J'ai cru d
récédents, tout en indiquant plus nettement le siège anatomique de la
maladie
. J'ai suivi dans cette étude l'ordre généraleme
trouvons que le périoste et le tissu osseux, incftmestoujours de ces
maladies
, n'en sont jamais les producteurs, et que la moel
s faits communs. Si le périoste n'a rien à faire avec l'origine des
maladies
qui nous occupent, le tissu osseux en est-il resp
ions? Le tissu osseux est donc atteint secondairement dans toutes ses
maladies
. Un trouble, une altération de la moelle a toujou
que j'ai cru devoir donner à mon travail. historique L'élude des
maladies
aiguës des os ne remonte pas à une époque bien él
it quelques mots, bien qu'il insiste surtoutsurla nécrose qui suit la
maladie
.—Crampton, le premier, parle de periostite (1818)
et ostéomyélite.— M. Maisonneuve fait une Thèse d'agré-gation sur les
maladies
du périoste et résume l'état de la science. Bér
puie sur elle pour admettre la na-ture quelquefois rhumatismale de la
maladie
. Nélaton se borne à dire qu'on serait dans l'er
publié des observations; il n'admet pas la nature rhuma-tismale delà
maladie
, mais reconnaît l'influence du froid local sur so
rulente. Un peu plus tard, il décrit l'ostéomyélite, dont il fait une
maladie
indépendante, quoique intimement liée aux abcès s
t, de son côté et dès 1857, observé une forme très-intéressante de la
maladie
. A l'occasion d'un mémoire de Klose, analysé dans
ière à l'âge des malades. M. Gosselin cherche à établir que c'est une
maladie
propre aux adolescents, siégeant constamment aux
s qu'ils avaient pu observer, concluaient sur un point spé-cial de la
maladie
. Leurs conclusions étaient bien déduites, mais ne
lables. M. Gamet, élève d'Ollier, reste sur ce terrain et décrit la
maladie
sous le nom d'ostéo périoslite juxtaépiphysaire.
azette des hôpitaux, 1862) t trace un tableau fidèle et complet de la
maladie
. L'historique et la critique, les symptômes, la m
e. Toutefois il tend à admettre la na-ture presque rhumatismale de la
maladie
, et c'est cette seule de ses opinions que nous au
'Augé, excellent tra-vail qui donne une idée exacte et complète de la
maladie
. La question était, du reste, à l'ordre du jour
-hémie. 1 Voy. Mouvement médical, 1885, et Leçons cliniques sur les
maladies
chirur-gicales des enfants, recueillies par Bourn
lle nous vivons encore. On veut isoler abso-lument ces cas des autres
maladies
aiguës des os ; on en veut faire un état morbide
, lorsqu'elle sor-tait, lui faisait redouter des accidents. Jamais de
maladies
graves, jamais de rhumatismes. A 59 ans, elle s'e
les malades ont succombé sans avoir présenté, pendant la durée de la
maladie
, la moindre marque d'une amélioration quelconque.
vements. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES par bourîneville 1 iii. exemple de
prochain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales, suites de couches, par le docteur
erniers temps est, sans contredit, le Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales, que vient de publier M. Ilervieux. O
aient rélégué sur un plan tout à fait secondaire l'étude clinique des
maladies
puerpé-rales. Et cependant, c'est un sujet qui n'
er-vices d'accouchements ! Dans un livre traitant exclusivement des
maladies
puerpérales, une question, une grave question doi
e la fièvre puerpérale par un point capital : c'est qu'elle donne aux
maladies
puerpérales pour point de départ» non pas la puer
plus tard l'occasion d'étudier. Tout d'abord l'auteur s'occupe des
maladies
du péritoine; il con-sacre un long chapitre à la
agées avec soin dans le Traité des ma-ladies puerpérales. Après les
maladies
du péritoine viennent celles de l'appareil génita
volumineux ouvrage; nous venons de signaler celles qui trai-tent des
maladies
des organes pelvi-abdominaux, maladies qui sont d
naler celles qui trai-tent des maladies des organes pelvi-abdominaux,
maladies
qui sont de beaucnup les plus fréquentes chez la
les plus fréquentes chez la nouvelle accouchée. Vien-nent ensuite les
maladies
du système circulatoire, dont l'importance, au mo
Gérant : a. de montméja. Sur un plan secondaire sont reléguées les
maladies
de l'appareil respiratoire et celles des centres
. — Les trois dernières sections sont consacrées, l'une à l'étude des
maladies
dia-thésiques (diathèses purulente, diphthéritiqu
ues (diathèses purulente, diphthéritique, gangreneuse); une autre aux
maladies
accidentelles (érysipèle, scarlatine et miliaire,
e pian suivi par M. Hervieux dans son Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales ; tel est le cadre dans lequel sont e
maladies puerpérales ; tel est le cadre dans lequel sont entrées les
maladies
des femmes en couches. Toujours les descr plions
ne des plus vastes expériences que jamais médecin puisse acquérir des
maladies
puerpérales. G. Peltier. REVUE PHOTOGRAPHIQUE
s qui, parfois, prenaient la forme d'accès. Les animaux atteints de
maladies
de peau avec prurit, forcés de se gratter et de s
ROPI LES par raymond la formation de l'égagropile, dans certaines
maladies
de peau. On trouve également chez cet animal des
appréciable de la fréquence du pouls. La plaie, point de départ de la
maladie
, n'offre rien de spécial. — Morphine à la dose de
urent assez souvent, J'excepte aussi cet état qui succède à certaines
maladies
graves, variole-, rougeole, scarlatine, fièvre
res de faits : l'influence du froid humide sur le développement de la
maladie
, les douleurs arti-culaires et musculaires, les l
ssant physiquement, ne soit très-souvent la cause occasionnelle d'une
maladie
rhumatis-male, mais cle ce qu'il produit très-sou
une maladie rhumatis-male, mais cle ce qu'il produit très-souvent une
maladie
rhumatis-male, on n'en peut conclure qu'il ne pro
opéricardiques constituent, en faveur de la nature rhumatismale de la
maladie
, une raison plus sérieuse, mais aussi spécieuse a
et rhumatisme sont également impuissants à expliquer l'origine de la
maladie
. — Y a-t-il quelque cause spéciale? M. Gosselin a
pement extrême. Sa fièvre pseudo-rhumatismale des adolescents est une
maladie
distincte, indépendante ; c'est une entité morbid
'état local suffira pour expliquer la suite des phénomènes. « Dans la
maladie
dont nous nous occupons, dit M. Gosselin, l'inf
ude de relation entre la cause et l'effet. Cette longue durée de la
maladie
à l'état en quelque sorte latent permet de croire
z mal si on ne tenait compte que de ce fait, la rareté relative de la
maladie
chez les petits enfants, dont l'ossification est
, — surviennent le plus souvent à la fin de la première période de la
maladie
ou au commencement de la seconde, pour le membre
que, 1870, pages 193 et 229; 1871, p. 9, La condition générale delà
maladie
étant connue, voyons main-tenant comment se manif
ébut, on ne note de douleurs spontanées. Période de déformation. La
maladie
poursuivant sa marche, il se produit des luxation
re d'arthropathie. En effet, l'épaule a été trois fois le siège de la
maladie
, et chaque fois l'af-fection occupait le bras dro
ière presque absolue dans l'arthropathie. D'ailleurs, la marche de la
maladie
dissi-pera les doutes qui pourraient rester encor
sités, les abcès qui apparaissent fré-quemment dans le cours de cette
maladie
ne s'observent pas dans l'arthropathie. Si l'on
ale, feront disparaître toute trace d'incertitude sur la nature de la
maladie
. La seule confusion possible, du reste, serait
mme a éprouvé, ii y a vingt-trois ans, les pre-mières atteintes de la
maladie
actuelle. Les douleurs fulgurantes, la constricti
émoire de M. Bouchut sur Vophthalmoscopie appliquée au diagnostic des
maladies
de la moelle épinière, mémoire duquel l'auteur es
e duquel l'auteur essaye de faire ressortir les faits suivants: Les
maladies
de la moelle épinière, telles que la myélite aigu
pille du nerf optique. — Les lésons du nerf optique produites par les
maladies
de la moelle sont le résultat d'une action réflex
tence d'une grossesse avait non-seulement provoqué l'apparition de la
maladie
dans une région où elle ne se manifeste pas d'ord
itement mercuriel, mis en vigueur vers le troisième septé-naire de la
maladie
, a été continué jusqu'à l'affaissement complet de
bras gauche, puis le droit. Alors que, vers la troisième année de la
maladie
, l'atrophie s'était éten-due aux membres inférieu
tibles d'être ratta-chées à des troubles trophiques consécutifs à des
maladies
: a) de la moelle, b) du cerveau comprend les art
diquées. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES PAR bourneville 1 iii. exemple de r
périodiques, les mémoires originaux, les chapitres consacrés à cette
maladie
dans les Traités d'accouchements, même les plus r
ance de la ther-mométrie au point de vue du diagnostic entre ces deux
maladies
:— Éclampsie puerpérale et urémie. Passons mainte
ometrie cli-nique dans Vhémorrhagie cérébrale et dans quelques autres
maladies
de l'encé-phale. Paris, 1870 ment par le forcep
essis, Dixon et Guépin. A ces Inobservations Wecker,dans sonTraitédes
maladies
des yeux, en ajoute d'autres publiées par Fischer
d'attaques nerveuses. — Il n'y a pas 1 Wecker, Traité pratique des
maladies
des yeux, t. I, p. 42. 2 Nous donnons encore au
ait des symptômes évi-dents d'intoxication urémique____Dans un cas de
maladie
deBright chronique que j'ai vu récemment, ce po
ans cette voie par Klose, y a vu le point de départ d'une forme de la
maladie
. En ce point, la suppuration est quelquefois vé
ns leurs cavités. La moelle centrale, rajeunie sous l'influence de la
maladie
, reprend sa coloration primitive rouge, puis su
élément nouveau. Cet élément, nouveau pour les auteurs qui font de la
maladie
qui nous occupe une entité morbide, est la cause
aladie qui nous occupe une entité morbide, est la cause même de cette
maladie
. La cause rhumatismale agit sur le péricarde comm
-même, qui admettent une cause spéciale pour expliquer le début de la
maladie
, reconnaissent toutefois que les troubles générau
iniques montrent, en effet, que, dans la grande majo-rité des cas, la
maladie
qui nous occupe est primitivement locale. Puis su
Je ne crois pas qu'on en puisse inférer la nature rhumatismale de la
maladie
. — La fin au prochain numéro. — PATHOLOGIE IN
ème est un garçon vivant et bien portant. — On ne nous signale aucune
maladie
nerveuse du côté des ascendants (grands-pères et
La mamelle, rudimentaire chez l'homme, [est très-rarement le siège de
maladie
; on y a cependant rencontré toutes les formes de
uvrage cité dans Tumeurs du sein, par Velpeau, p. 695. 2 Traité des
maladies
du sein. 1858, p. 695. loïdes, un certain nombr
orte l'histoire d'un'homme âgé de 42 ans bien portant jusque-là, sans
maladie
héréditaire, qui avait depuis un an, en dehors du
xtirpées aussi-tôt que possible. NOTES ET OBSERVATIONS SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES PAR BOURNEVILLE4 V. DEUX CAS DE DÉC
malade à l'hôpital.— 1 E. Hervieux, Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales, suites de couches, article Vulvitedi
oindre nécrose. Outre ces phénomènes locaux, on peut voir, quand la
maladie
occupe les extrémités des grands os, des décollem
lui ont valu d'être négligée par la plupart des au-teurs. C'était une
maladie
rentrant parfaitement dans les cadres de la patho
lui est particulière, se lève, frappe et se rompt l'os, altéré par la
maladie
. (Verneuil, Henrot.) La prostra-tion, l'adynamie,
r quelque idée de la multiplicité d'aspect qu'avec un fond commun, la
maladie
peut présenter. {(La fin prochainement.) PATH
-ture ; IL Cet abaissement s'accuse de plus en plus à mesure que la
maladie
approche d'une terminaison fatale ; III. Aussitôt
, Adr. Delahaye. Cet ouvrage, intéressant déjà par l'importance des
maladies
dont il s'occupe, a de plus tout l'attrait de la
M. Roubaud nous le dit, la plupart des auteurs qui ont écrit sur les
maladies
utérines passent sous silence la thérapeutique hy
e ou très-médiocre, au moins en ce qui concerne cer-taines classes de
maladies
. Cette critique faite par un hydrologiste, par le
que l'auteur élimine de la thérapeutique par les eaux mi-nérales les
maladies
aiguës de l'utérus, les affections malignes et en
at diathésique prime la lésion et qu'on ne doit voir dans beaucoup de
maladies
que la manifestation d'un état général qu'il faut
nature de l'affection. » Après avoir indiqué, pour chaque classe de
maladies
utérines, la médication hydrominérale qui lui e
rales de composition toute différente peuvent être employées dans les
maladies
de l'utérus. 11 nous en dit le pour-quoi et tend
d'années pour trouver les premières tentatives faites pour sortir les
maladies
des ovaires du chaos dans lequel elles se trou-va
dies des ovaires du chaos dans lequel elles se trou-vaient. Parmi ces
maladies
, la plus importante, sans contredit, celle qui, p
s spécialement et avec juste raison comme des formes chroniques de la
maladie
, pouvant toutefois se présenter avec des manifest
ire s'est manifestée seulement sous l'influence de la diathèse, de la
maladie
générale qui agit comme cause prédisposante en ne
ctères objectifs de la lésion sont ici suffisants pour reconnaître la
maladie
, bien que les antécédents ne nous fournissent à c
voulons parler des lésions analo-miques que l'on rencontre dans cette
maladie
, et surtout de leur corrélation; en un mot, de la
Duchenne et d'Aran, qui ne voient dans l'atrophie muscu-laire qu'une
maladie
des muscles ; la seconde, qui attribue aux lé-sio
n proche jusqu'à la partie centrale,c'est, je crois, attribuer à la
maladie
qui nous occupe un rôle et un siège qu'elle n'a p
ssive. » CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES par bourneville 1 V. deux cas de dé
et de chaque 1 Ses père et mère sont morts à cette époque de cette
maladie
qui, chez eux, avait revêtu la forme hémorrhagiqu
l'emploi à nos lecteurs. 2 Voy. Giraldès, Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des enfants, p. 492. nous n'avons
exceptionnelle sur laquelle il ne faut pas compter. La marche de la
maladie
est fort variable. Dans les cas simples, le mal d
es fragments nécrosés sortent avec le pus, puis tout se referme et la
maladie
est terminée. Plus souvent on incise dès que la
vation de Store ; huit jours dans celle de Gaclaud. Plus souvent la
maladie
est moins brutale, mais aboutit encore, à la mort
nt encore un grand rôle clans la marche et les terminai- sons de la
maladie
, tant par la nature môme des lésions que par les
généraux, en effet, malgré quelques rares exceptions, indique que la
maladie
a pénétré profondément et entraîne la pensée des
onde de l'os, —¦ des fusées purulentes et du phlegmon diffus. Nulle
maladie
, je crois, n'a été l'occasion de si nombreuses er
n serait tenté d'élever cette erreur à la hauteur d'un caractère delà
maladie
. Dans un nombre considérable défaits, les enfants
moyens et rechercher, afin de les éviter, les causes d'erreur. Deux
maladies
surtout sont signalées par les observateurs : — l
u coude, à l'épaule, etc., un abcès articulaire venant compli-quer la
maladie
première. Enfin il peut avoir cette sensibilité m
tre évitée que par une étude soigneuse du début et de la marche de la
maladie
, par un exa-men approfondi du malade, du siège ex
iguë, puisque la médullite, telle que je l'entends, comprend ces deux
maladies
. Je termine ce chapitre en signalant les médull
y aurait pas eu chez elle, semble-t-il, d'antécédents hystériques. La
maladie
a débuté à 54 ans, après une violente secousse mo
contractures qui constitue un des caractères les plus frappants de la
maladie
lorsqu'elle n'est pas parvenue encore aux phases
XXXI, p. 155, année 1856.) Davaine. — Traité des entozoaires et des
maladies
vermineuses. (Paris, 1860.) Michon. — Kyste hyd
des se déclare et emporte généralement le malade. La durée de cette
maladie
est tout à fait indéterminée.—Le début est lent,
es chiffres précis empruntés à J. Finsen, qui a surtout observé cette
maladie
en Islande, voici comment se répartissent 255 cas
mportance tout à fait secondaire. § VI. Diagnostic. —Au début de la
maladie
, le diagnostic est im-possible. — Plus tard, quan
9 0^78 0,59 0,59 0,59 Ceci posé, voyons brièvement quelles sont les
maladies
avec les-quelles les kystes de la rate peuvent êt
s troubles trophiques consécutifs aux lésions spontanées des nerfs.
MALADIES
DES VOIES [JUINAIRES D'UN NOUVEAU MODE DE FORMA
ant, peuvent jeter de la lumière sur cet état que j'ai décrit dans la
maladie
catarrhale particulière de la vessie que j'attrib
dance parmi les sédiments dans l'urine des vessies atteintes de cette
maladie
, et auquel jious assignerons sa valeur dans un pr
ésions qui peuvent se manifester sur la langue, à cette période de la
maladie
. Certaines autres formes, en général plus tardive
riedreich und Kekule. — Yirchow's Archiv, 1859. Frerichs. — Traitcdes
maladies
du foie, 1864, pages 415, 418, 425, 428. Jaccou
itansky. En 1845, Budd en fait mention à son tour dans son Traité des
maladies
du foie, et enfin en 1855, Virchow trouva la cara
on observe toujours deux ordres de symptômes : les uns tiennent à la
maladie
antérieure qui a amené la dégénérescence; les aut
es phénomènes produits par l'accumu-lation de ce pigment constitue la
maladie
qu'on a appelée mélan-hémie. I. Bibliographie.
don, 1828. Stewardson. — The American Journal, p. 42, 1841. Haspel. —
Maladies
de l'Algérie. Paris, 1850. Meckel.— Zeitschr. fii
pathol. Anat. 1849 et 1853. Planer. — Eodem loco, 1854. Frerichs. —
Maladies
du foie. — Art. Foie pigmenté, p. 262, an-née 186
g de la veine porte des matières noires pouvant devenir une source de
maladies
. La bile noire con-stituait naguère un élément es
par Frerichs à la pigmentation du foie, dans son Traité pratique des
maladies
du foie et des voies biliaires. III. Anatomie p
lle est hypertrophiée, ramollie dans les cas aigus, endurcie quand la
maladie
suit une marche chronique. En même temps que ces
mpêchent de songer au typhus, outre que la physionomie générale de la
maladie
n'avait rien de typhique, à part la haute tempéra
dans des conditions diverses et sur des parties différentes ; que les
maladies
offrent, pendant la durée de la constitution médi
us fréquent au renouvellement des saisons si influent pour toutes les
maladies
, quelles qu'elles soient, et en particulier pour
considère l'érysipèle non comme une affection locale, mais comme une
maladie
générale, ma-nifestation d'un état général. Ce
nir à la septicémie, et doit être classé, par conséquent, au rang des
maladies
septiques. On peut supposer, avec quelque raiso
e de signaler encore ici les travaux de Naumaim, de Heusinger sur les
maladies
de la rate, ainsi que les différents traités des
mies dues à la fluxion se rencontrent : 1° dans un cer-tain nombre de
maladies
fébriles ou infectieuses, dans la fièvre ty-phoïd
, comment se fait cet afflux exagéré du sang vers la rate pendant ces
maladies
? « Dépend-il d'un relâ-chement du parenchyme déjà
les rétrécissements ou les oblitéra tions de la veine porte, dans les
maladies
du foie, et principale ment la cirrhose. On les r
cirrhose. On les rencontre encore, mais bien plus rare-ment, dans les
maladies
du cœur et des poumons ; il ne semble donc pas, a
pour le diagnostic. — 11 faut chercher ces symptômes surtout dans des
maladies
générales avec intoxication du sang, puisque nous
es générales avec intoxication du sang, puisque nous avons vu que les
maladies
lo- cales, du cœur, des poumons ou du foie prod
exanthèmes fébriles, elle se perd généralement en même temps que ces
maladies
sans laisser à sa suite des modifications de tiss
ire de l'hypérémie de la rate qui emprunte son pro-nostic surtout aux
maladies
concomitantes ; toutefois, dans des cas très-rare
rs après cet accident. VI. Traitement. — Manifestation locale d'une
maladie
générale, l'hypérémie de la rate devient rarement
ables succès, c'est précisément à cause de l'existence antérieure des
maladies
paludéennes toxiques, septi-ques, ou des altérati
nerel). INFLAMMATION DE LA RATE L'inflammation de la rate est une
maladie
assez rare, puisque son existence a même été mise
Dictionnaire en 30 volumes, 1843. Boissy. — Considérations sur les
maladies
de la rate (T^èse Paris), 1847. Brard. — De la
marche de la splénite aiguë nous devrons considérer plusieurs cas: la
maladie
est très-aiguë, grave; — la maladie est moins int
rons considérer plusieurs cas: la maladie est très-aiguë, grave; — la
maladie
est moins intense ; — la maladie guérit. Dans l
maladie est très-aiguë, grave; — la maladie est moins intense ; — la
maladie
guérit. Dans les cas graves, l'invasion est mar
ficile de distinguer la splénite de la péritonite partielle, ou d'une
maladie
de l'estomac et du foie; souvent, malgré une appr
phié en 1869. Cet homme, alors âgé de 59 ans, était atteint non d'une
maladie
du cou proprement dite, mais d'une accélération d
ge de tous les médecins qui veulent saisir le début de la plupart des
maladies
nerveuses. De là l'intérêt qui s'attache au livre
goût de son métier. Je me propose aujourd'hui de vous parler d'une
maladie
telle-ment connue qu'il serait évidemment superfl
t la constriction circulaire, qui signale si souvent les débuts de la
maladie
, a manqué complètement ici : elle a été rem-placé
rois devoir vous exposer la marche que suit le plus habituellement la
maladie
. L'ataxie locomotrice, vous le savez certaineme
as les plus graves appartiennent aux périodes les plus avancées de la
maladie
, et notre malade ne fait point exception à cette
pourront se reporter aussi, pour suivre les différentes phases de la
maladie
, aux planches XXVII, XXVfl], XXXI etXXXIt delà Re
as da-vantage ; la rupture de la rate, comme le dit M. Vigla, est une
maladie
qu'il faudrait reconnaître avant de la traiter, e
les faits qu'il a observés, il pense qu'elle est capable d'arrêter la
maladie
, si on l'administre à temps. (De la peste ou typh
e de médecine de Paris un mémoire sur le traitement de celte terrible
maladie
par le hachisch. Cette substance avait été admini
mbèrent ; les six autres ont guéri ; de ceux-ci trois présentaient la
maladie
à un degré de moyenne intensité. Quant aux trois
déjà leur influence est presque arrêtée, et remplit ainsi, dans cette
maladie
si promptement mortelle, l'in-dication la plus ur
s hydrophobes. Il diminua à tel point l'horible symptomatalogie de la
maladie
, que le docteur Polli le considère comme étant le
énéral était satisfaisant. L... se disait aussi vigoureux qu'avant sa
maladie
. La peau était fraîche, rosée; le ventre n'avait
e l'anatomie pathologique est presque tout entière à faire pour les
maladies
des animaux. Quelques jeunes chefs de service l'é
y. Hémimélie). Artiiropatmes (Étude sur les) consécu-tives à quelques
maladies
de la moelle et du cerveau, par Bourne-ville, 9 ;
89. Bassereau, 251. Bibliographie. Traité clinique et prati-que des
maladies
puerpérales, suites de couches, par E. Hervieux (
hisch). Psoriasis scarlatiniforme, par Thorens, 167. Puerpérales (
Maladies
) [voy. Bibliogra-phie, Eclampsie, Utérus, Vulvite
EIIIE DE CHARLES HÉRISSEY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION
aJ GÉNÉRALE ' LA FAMILLE NÉVKOPATH 1Q LIE : Par Cn. FEUE. * Les
maladies
du système nerveux, qu'elles se ma- nifestent p
pathologiques; mais ses alliances avec les dé- générescences et les
maladies
de la nutrition ne font qu'accentuer la fatalit
out leur gravité dans l'hérédité qui nous a engagé à considérer les
maladies
du système nerveux dans leur ensemble, et à ras
s états pa- thologiques de l'esprit et n'ont considéré les autres
maladies
nerveuses qu'accessoirement et d'une manière gé
es; et une branche névropa-- thique proprement dite, comprenant les
maladies
du système nerveux qui affectent plus particuli
sans raison non plus que J. Frank décrit l'amour effréné comme une
maladie
Trélat. - Des causes de la folie. (Aitit. méd.
psych., 3" série, t. Il, 1856, p. 7 et 17".) 'Marcé. - Traite des
maladies
des femmes enceintes, des nouvelles accouchées
velles accouchées et des nourrices, etc., 18ï8. 3 Esquirol. - Des
maladies
mentales, 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉR
dans sa forme, bien que cela se puisse voir 3. Le plus souvent, la
maladie
qui se transmet se transforme*; c'est ainsi qu'
ain), des anor- maux (Maudsley), ou encore des sujets atteints de
maladies
du système nerveux, et surtout de névroses. 1 H
es affec- tions cérébro-spinales à lésion caractérisée. Or, cette
maladie
offre une particularité, c'est qu'elle a pu être
té, c'est qu'elle a pu être regardée comme la moins héréditaire des
maladies
mentales : et, d'après M. Doutrebente', quand,
es formes de folies, nous verrons qu'elle est un lien à différentes
maladies
nerveuses. MM. Bail et Régis ', se basant sur c
e point la folie; elle naît des ma- ladies pébrales et engendre des
maladies
cérébrales. Nous verrons qu'elle a de fréquents
utres fois, les troubles mentaux constituent à eux seuls toutes les
maladies
(piln,ptic psyc1tical équivalent, Spitzka) : ce
Michéa 2, de Solbrig3, etc. M. Despine4, après avoir parlé de la
maladie
mo- rale qui produit le crime, dit que le crimi
1883, lr. ,. ,. LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 17 malformation ou par
maladie
. Les autopsies de Bene- dickt, de Hanot, de Sch
sonne ne peut prendre place, et les frontières de la santé et de la
maladie
de l'es- prit ne peuvent être qu'arbitraires. ,
. 23 veuses dont le siège et la nature sont mal connus, certaines
maladies
congéniales des organes des sens exercent parfo
ais que leur fréquence peut faire admettre comme appartenant à la
maladie
à titre de symptôme habi- 1 Il. Royer-Collard.
méd., t. XL) 3 W. Griesinger. Des relations qui existent entre les
maladies
men- tales et les autres maladies nerveuses. (A
relations qui existent entre les maladies men- tales et les autres
maladies
nerveuses. (Ann. méd. psych., 4e série, t. IX,
lité, des hallucinations, etc. M. Huggard'a a cité un fait où la
maladie
de Parkinson coïncidait avec une folie circulai
. Mais, à défaut de manifestations psychiques coïnci- dentes, ces
maladies
n'en seraient pas moins nette- ment liées par l
ladies n'en seraient pas moins nette- ment liées par l'hérédité aux
maladies
mentales, aux névroses d'une part et, de l'autr
aux maladies mentales, aux névroses d'une part et, de l'autre, aux
maladies
cérébro-spinales à lésion. Pour ce qui est de
° A..., dix-sept ans. Folie du doute. Soeur choréique. Quant à la
maladie
de Parkinson, on a longtemps admis que sa cause
c produit par une émotion morale vive. Or, la biologie générale des
maladies
nerveuses nous montre que ces sortes de causes
t. Le travail récent de M. Lhirondel 3 nous montre que souvent la
maladie
de Parkinson est en rapport avec d'autres affec
on, 18RI,]J. 29, il6. 3 (. Lhirondel. Antécédents et causes dans la
maladie
de Parkinson- (Thèse lu Pans, ISS3.) 2 ? PATH
sous l'influence d'une hérédité directe, d'autres fois, c'est une
maladie
de famille, plus souvent, on le trouve associé
la même généalogie avec d'autres affections nerveuses. Quant à la
maladie
de Basedow, les recherches de MM. Ballet : et M
s de MM. Ballet : et Marie 3 montrent que non seulement c'est une
maladie
de famille (Cheadle); mais que fré- quemment el
(Cheadle); mais que fré- quemment elle est liée par l'hérédité aux
maladies
nerveuses et en particulier aux maladies mental
st liée par l'hérédité aux maladies nerveuses et en particulier aux
maladies
mentales qui peuvent coexister chez le même suj
. Contribution iL l'étude et au diagnostic des formes frustes de 11
maladie
de B(isedow. (Thèse de Paris, ISS3.; LA FAMILLE
cot) '. Tous les auteurs s'en- tendent pour la considérer comme une
maladie
de fa- mille et très fréquemment héréditaire, e
ns orales sur les phrénopathies ou traité théorique et pratique des
maladies
mentales, 2. éd. 1880, t. l, p. 428. 3 li.-II.
hologie de l'esprit, p. 2\6. 2 Bouvier. -- Leçons cliniques sur les
maladies
chroniques de l'appareil locomoteur, 1SS, p. 88
pasme de la glotte, l'asthme de Kopp, qui fréquemment aussi est une
maladie
de famille, et la tétanie, qui se rencontre sur
rappellent les secousses de l'épilepsie. La nature comitiale de la
maladie
est trahie par plusieurs caractères importants'
it publié en France par notre ami, 1 Bouchut. - Traité pratique des
maladies
des nouveau-nés, 5e édit., 1867, 1. 113. t Cl
ausse que l'ataxie était une névrose, avait déjà remarqué que cette
maladie
se trouve souvent associée dans la même famille
rvation LUI. - M. de L..., ataxique, avait eu, avant le début de sa
maladie
, un accès de mélancolie. Observation LIV. M. de
A FAMILLE KËYROPATUIQUE. 37 Nous ne citerons que pour mémoire cette
maladie
encore mal caractérisée que Friedreich a décrit
e Friedreich a décrite sous le nom d'ataxie héréditaire qui est une
maladie
de famille au premier chef. ' La maladie de T
héréditaire qui est une maladie de famille au premier chef. ' La
maladie
de Thomsen peut être, par ses origines \ rappro
omotrice 4. L'atrophie musculaire progressive est quelquefois une
maladie
de famille °, et elle pourrait s'associer à des
ère maternel paralytique général. Gli. Izéré. -.4tacie héréditaire,
maladie
de Friedreich. Sclérose diffuse de la moelle el
pseuclo-lael°ti°uphiue, dont l'hérédité a été mal étudiée, est une
maladie
de famille; on a vu souvent plusieurs frères et
pris de paralysie pseudo-hypertrophique. Plus Grasset. - Truite des
maladies
du système nerveux, 2- édit., p. 431. 1. 'Gower
es peut être héréditaire3. D'autres fois elle se présente comme une
maladie
de famille : nous avons connu deux frères et un
pourtant assez fréquemment dans l'hérédité des sujets atteints de
maladies
nerveuses. Mais nous pensons que ces affections
qu'ils se discriminent. On peut encore souvent être édifié sur les
maladies
de la moelle, les paralysies, les convulsions d
cialisée. Nous le répétons, ce qui est héréditaire, ce n'est pas la
maladie
, mais la prédisposition; et il ne suffit pas d'
(A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercosisnze aigu et chronique et des
maladies
ner- veuses, 121> relit. 1877. 11L'IiII.LIJI
s maladies ner- veuses, 121> relit. 1877. 11L'IiII.LIJI ! l'. La
maladie
! 'C ! 'LJII'0-CC(7'Clta2le. l3r,ml.- The natur
iii,asiheiii(z ("CI'VOltS exhaustion), New-Yock, 1 Sî9. Lecen. - La
maladie
cérébro-gastrique, 1SS2, etc. e 1 ? J.-13. Roqu
asculaires) ; Par MM. les D" G. BALLET, ancien chef de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de Paris, et L.
t L. MINOR, de Moscou. fCi.tr,til du laboratoire de la clinique des
maladies
du système 11er' cm..) I. Une patiente et jud
n cas récemment observé par nous dans le service de la clinique des
maladies
du système nerveux, et que nous avons pu étudie
t plusieurs ma- ladies assez mal définies, et aurait souffert d'une
maladie
du foie, probablement de nature calculeuse. L
a été atteinte très pro- bablement do la syphilis. Histoire de la
maladie
. - Il y a quatre ans, en 1878, grands chagrins,
récédée. Nous serions portés à penser que Sarrazin a succombé à une
maladie
infectieuse mal définie, il est vrai ; la pouss
clérose que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 55 dans la
maladie
de Duchenne la plus légitime. Comme dans cette
rigine péri-radiculaire des lésions du tabes, dans les cas types de
maladie
de Duchenne. Au reste nous ne pouvons discuter
ROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 77 cette femme comme atteinte d'une
maladie
infec- tieuse, la syphilis. Au reste, il y a de
ntes avec hyperesthésie cutanée. Mais, pendant toute la durée de la
maladie
, les phénomènes prédominants ont été ceux qui d
nes. Il en a toujours été de même avant comme pendant le cours delà
maladie
. L'en fantserait devenu peureux depuis son séjo
aque précédente. Examen de la sensibilité. - A aucune période de la
maladie
, en dehors des attaques et de l'état d'hypnotis
onnait les airs qu'il entendait. Pas d'accidents scrofuleux, pas de
maladies
antérieures. Il ne portait attention à rien,
rente-cinq ans, mécanicien, très bien constitué, très sobre. Aucune
maladie
; pas de migraine, d'accidents nerveux, de syphi
els, etc.] Mère, vingt-neuf ans, couturière,' bien portante. Pas de
maladies
antérieures, de migraines, de céphalalgies ; el
ui peuvent interrompre un certain temps sa production. Ainsi, les
maladies
intercurrentes en suspendent communément le cou
efois même il se peut que le mérycisme ne reparaisse pas après la
maladie
comme dans l'observation de Cliq . , mais nous
oint, et nous croyons avoir prouvé que le mérycisme n'était pas une
maladie
, mais un acte presque physiologique bien qu'ano
téI i'1ues. Le 28 octobre, c'est-à-dire le vingt-sixième jour de la
maladie
, les accès, qui s'étaient élevés à 1,351 la vei
ssi, M. Charcot, qui observa Rosa G... dès les premiers jours de la
maladie
, pensa-t-il avoir affaire à un cas d'épilepsie
considérer, ces attaques épileptiformes 1 Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 4° édit., t. I, p. 376. '
llement en cours d'ob- servation dans le service de la clinique des
maladies
du système nerveux, à la Salpêtrière. Il s'agit
éciable dans l'encéphale, et ils pensent que les symptômes de cette
maladie
devaient être expliqués par un ébranlement des di
la commotion cérébrale, pourrait déterminer les symptômes de cette
maladie
, et cela parce que les expériences avaient touj
e coma, coma traumatique, semblait le symptôme essentiel dans cette
maladie
. C'est pour cela que le, coma semblait décidé-
Paris, 1883. Librairie .Maison. GowEns. - De l'épilepsie et autres
maladies
convulsives chroniques. '1'1',1- duit de l'angl
n 1 Ferrier. Fonctions du cerveau, p. 230. De la localisation des
maladies
cérébrales, p.t33-134. DES LOCALISATIONS CEREBR
ns le nerf hypoglosse étaient sains. 6° Ferrier (Localisation des
maladies
cérébrales, p. 136, 137) rapporte le cas suivan
i- tish med. Journal, 1877) : Un enfant de dix ans, atteint d'une
maladie
de l'aorte qui l'enleva ultérieurement, fut pri
ans d'un érysipèle de la face. Une soeur, morte folle. Pas d'autres
maladies
nerveuses dans la famille. Archives, t. VII.
utre que ces symptômes sont en eénérat moins accentués que dans )a'
maladie
de Duchenne, ils présentent, dans leur mode d'a
? 1«2 ¿I ? Jlr"11' . e symptomes cerebraux qui font défaut dans la
maladie
... ¡ ,"t.' hl 1'1 i ? q" .T. n 1 t "'(tun'tI ?
oumon (accès 1 ik - .10 ., d'étouffement), du coeur (syncope). La
maladie
de Du- d 1 lu'y rr -1 - . 1 chenne se termine
t en outre intimement liée, avec les dégé- nérescences'et avec' les
maladies
de la nutrition-. ^Parmi les affections' congén
ermine la production des ma- nifestations hystériques 3 et les deux
maladies
peuvent marcher de pair sans s'influencer l'une
-être dire exclusivement, chez les su- z Dupouy. Recherches sur les
maladies
constitutionnelles et diathe- siqups dans leurs
goutte chez le même sujet, il faut citer la combinaison des deux
maladies
dans les familles. Observation L ? IIII. -NI.11
M. Fouqué, dans sa thèse % rap- 1 Charcot. Leçons cliniques sur les
maladies
des vieillards, 2e édit., 1874, p. 65. - ' Tr
un cas d'aphasie remplacée par 1 Turck. Traité de la goutte et des
maladies
goutteuses. Paris, 1837, p. 24. Gairdiier. -
is, 1784, p. 280. 4 Dagonet. - Traité élémentaire et pratique des
maladies
mentales, 1862, p. 210. s Berthier. - Les név
iduelle héréditaire ou congénitale. On peut dire que la plupart des
maladies
sont susceptibles de s'accompagner de quelque t
les renseignements bibliographiques, voir : Charcot. Leçons sur lre
maladies
du système nerveux, t Il, p. 233. 192 CLINIQUE
une rémission de quatre années, les symptômes se sont accentués, la
maladie
s'est parfaitement caractérisée; incoordination
ment d'atrophie des muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue des
maladies
du système nerveux. Paris, 1881. , Ross. - The
rt d'une cirrhose du foie. Une tante paternelle est morte d'une «
maladie
noire » ; elle était mélancolique et ne voulait p
corps nous porte à admettre la réalité de son affirma- tion. Pas de
maladies
infectieuses. Pas d'intoxications (satur- nine
terai qu'un seul exemple emprunté aux leçons de M. Vulpian, sur les
maladies
du système nerveux. De la note relative à la ma
, celle de la localisation à un système, le système sensitif, de la
maladie
de Duchenne, nous paraît à la fois l'une des do
nt Il millimètres. REVUE CRITIQUE DES TROUBLES URINAIRES DANS LES
MALADIES
DU SYS- TÈME NERVEUX, ET EN PARTICULIER DANS L'
R DANS L'ATAXIE LOCOMOTRICE; Par Cn. FÉRÉ. Dans l'évolution des
maladies
du système nerveux, les or- ganes urinaires son
t, l'ataxie locomotrice; aussi, après les avoir considérés dans les
maladies
du système nerveux en général, étudierons-nous
la diminution de tous les principes ' AI. Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 'i° éd., p. 279. '
ermanente à la névrose du grand sympathique désignée sous le nom de
maladie
de Basedow. L'albuminurie se rencontrerait enco
mentation des phosphates a été signalée dans un cer- tain nombre de
maladies
mentales. Mais MM. Bouchereau et Magnan 2 ont e
présentées qu'à titre accidentel. La phosphaturie signalée dans la
maladie
de Parkinson, notamment par Bence Jones, n'a pas
agnan. 2 Laporte. Contribution à l'élude de la Phosphaturie dans la
maladie
tic l'arkinson. Thèse de Paris, 1R7.1. DES TR
est aux complications rénales que succombent les sujets atteints de
maladies
du système nerveux qui souffrent de rétention d
ent assez souvent chez de jeunes sujets 1 Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, 3e éd., p. 295. DE
presque tous les ataxiques ont eu, à une époque quelconque de leur
maladie
, des troubles de la miction ». Ces troubles s
1882. , = Geffrier. - Elude sur les troubles de la miction dans les
maladies
du système nerveux. Thèse, 1884. DES TROUBLES
mporte de remarquer que, dans la forme dite ataxie hé- réditaire ou
maladie
de Z%riedreicla, cette maladie de famille qui D
a forme dite ataxie hé- réditaire ou maladie de Z%riedreicla, cette
maladie
de famille qui DES TROUBLES URINAIRES. 1 243
urnier avait donné une note plus juste en disant qu'en l'absence de
maladies
des voies urinaires, ces signes doivent faire s
aisi d'effroi à la vue de son ami mort pen- dant les manoeuvres. La
maladie
a commencé par une période d'excitation de son
convulsions générales, dont 1 F. Guyon. - Leçons cliniques sur les
maladies
des voies urinaires, 1881, p. 2f, 73, 205. RE
ues ou semi-épidémiques. M. Erb apporte deux faits dans lesquels la
maladie
se déclare successivement (lE cas) ou à peu prè
mère. Il tend dans l'espèce à croire à la nature infectieuse de la
maladie
. Remarque clinique : la violence et la durée de l
ntagion (Trousseau, Erb), arrive à conclure que le zoster est une «
maladie
générale, fébrile, spontanée, aiguë, presque cycl
i- que, se terminant toujours par guérison, conférant l'immunité,
maladie
générale à détermination cutanée circonscrite, la
la fièvre herpétique qui récidive très fréquemment. a) Le zoster,
maladie
aiguë, presque cyclique, infectieuse, con- féra
guë, presque cyclique, infectieuse, con- férant l'immunité, est une
maladie
générale à détermination cir- conscrite sur le
à expression cutanée dystrophique secondaire. , b) Il y a le zoster
maladie
générale, comme il y a la scarlatine. 11 y a un
la séméiotique qu'il appartiendra d'enseigner à ne pas confondre la
maladie
zoster avec les pures expressions symp- tomaliq
IX-NEUF ANS; ) par M. LraNDIEa. (France médicale, t. I, 1882.) La
maladie
débuta par de la céphalalgie et de la diarrhée, c
., t. LUI, 1882.) L'auteur rapporte deux nouveaux exemples de cette
maladie
qui peut se montrer sous quatre formes diverses
en même temps que d'au- tres sont atrophiés; dans une troisième, la
maladie
reste limitée à quelques muscles; - dans une qu
t particulier. L'hérédité semble jouer un rôle important dans cette
maladie
. car il n'est pas rare d'observer son développe
agit d'une femme, âgée de trente-cinq ans, morte après trois ans de
maladie
. Pendant la vie, elle présentait tous les sympt
comme on le sait, nui était combattue par Leyden. Les cas de cette
maladie
, disent les auteurs, ne sont pas précisément tr
s avons l'honneur de faire pourrait pa- raître ici déplacée. Ni les
maladies
infectieuses, ni les affections localisées à la
nt par la nature de ses symptômes et le siège de ses lésions que la
maladie
de Duchenne appartient à la grande famille des
logie du tabes (syphilis et hérédité en premier lieu, froid, excès,
maladies
infectieuse* dystrophies, etc.) Or, voici au po
ce d'une cause commune, mais qu'elles constituent une seule et même
maladie
. D'autre part, il n'est pas certain que les lés
nous, la cause dominante, suffisante et peut-être nécessaire de la
maladie
de Duchenne, c'est l'hérédité nerveuse. M. Fa
corde une sortie provisoire revient d'habitude dans le milieu où la
maladie
a pris naissance, où elle a fait explosion sous
orée, peuvent se montrer au début, dans le cours, ou à la fin de la
maladie
. Quand ils se développent au début, ils peuvent
Quand ils se développent au début, ils peuvent constituer toute la
maladie
, c'est bien alors la chorée molle des auteurs a
éservé les salles, de jour : le rez- de-chaussée renferme aussi les
maladies
somatiques et les ion- firmes. Tous ces locaux
y a quatre ans et avait, dit-on, parfaitement guéri après un an de
maladie
. L'accès actuel remonte- rait environ six mois.
la vision intérieure, la physionomie de ce parent, les phases de la
maladie
qu'il a traversée et surtout si j'avais pu voir
uelles, des fibres 1 Charcot. - Leçons sur la localisation dans les
maladies
du cerveau et delà moelle ép11 ! ière, p. 221.
terminées. Frère goutteux. Soeur actuellement bien portante. Pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Antécédents person
statée ne pouvait rester ina- perçue dans le tableau clinique de la
maladie
, ce qui estévident parla distension des veines
,, remontaient régulièrement et étaient cra- chées. Plus tard, la
maladie
se montra même après l'ingestion d'ali- ments s
mbarrassé ou re- froidi, surtout aussi pendant la constipation), la
maladie
augmen- tait de fréquence et d'intensité. Le pa
il attache son attention à l'observation des règles prescrites, la
maladie
augmente de suite. Le malade fut traité par l
on obtint pendant quelque temps un mieux sensible. Peu à peu, la
maladie
décrut d'elle-même. Le patient croit que la cau
la connaissance de M. N... en été 13t5 ? « Lorsqu'il me raconta sa
maladie
, je lui dis qu'un malade de AI. Pônsgen s'était
n'avait pas de sensation de malaise après la rumina- tion, mais la
maladie
lui était désagréable au point de vue social. I
omplètement absent, semblait revenir à une période ultérieure de la
maladie
. Un examen plus attentif ne tardait pas à décel
anifestations spasmodiques, les atrophies. L'étude anatomique de la
maladie
, rapprochée du complexus symptomatique en quest
ptomatique en question, permet d'affirmer que le tabes est bien une
maladie
systématique. Voici au surplus ce que démontre
édiane de chaque côté du sillon postérieur. A un degré avancé de la
maladie
, les cordons postérieurs sont affectés dans tou
tfr, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 331 1 et de la sélection de la
maladie
pour tel ou tel ensemble de zones (analogie ave
té droit. Les anamnestiques, diffus, relatent d'abord trois mois de
maladie
caractérisée par de l'oedème et de la difficult
és supérieures atteintes. P. K. 1 Voyez : Société de Psychiatrie et
maladies
nerveuses de Berlin. (Ar- chives de Neurologie,
ux, l'absence de rigidités ou contractures dans tout le cours de la
maladie
, la complication prématurée des accidents du dé
Neftel, dans la plupart des cas, même lors des stades avancés de la
maladie
, ce traitement enraye, ou même fait rétrocéder
ues exactes. Dans le projet de statistique applicable à l'étude des
maladies
mentales arrêté par le congrès aliéniste intern
l'insalubrité des atmosphères des cafés, et leur influence sur les
maladies
céré- brales ; mais, entraîné par le côté moral
qui rangent sous cette même dénomi- nation, la masturbation et les
maladies
du coeur, la fièvre typhoïde et l'insolation, d
fession est très indirecte ; entre elle et la folie se trouvent des
maladies
intermédiaires qui masquent à première vue la r
t ultime : aliénation mentale. Toute prufcsii n qui déterminera une
maladie
de l'appareil respiratoire, circula- toire ou u
des sens, sera capable à la condition d'un retentissement de cette
maladie
sur le cerveau de produire en définitive l'alié
tué, il fallait d'abord établir l'influence des professions sur les
maladies
des appareils respiratoires, circulatoires, dig
s que nous n'énumérons pas; puis il fallait établir l'influence des
maladies
de ces appareils sur la production de la folie; c
- diaque, grâce aux observations nombreuses de folies liées à des
maladies
de l'oreille ou consécutives à la perte de l'ouïe
professions agissant par- le retentissement cérébral secondaire des
maladies
d'appareils qu'elles ont primitivement développ
développées, il faut être bien pénétré de cette idée que la folie,
maladie
du cerveau, mal- gré ses allures différentes et
veau, mal- gré ses allures différentes et caractéristiques, est une
maladie
comme les maladies des autres organes et que, p
allures différentes et caractéristiques, est une maladie comme les
maladies
des autres organes et que, par suite elle n'é-
travaux de MM. Christian et Charcot sur les folies consécutives aux
maladies
aiguës et à la fièvre typhoïde en y joignant le
différentes folies que nous avons mentionnés; mais bien souvent ces
maladies
reconnaissent comme cause la profession ou des
nt les professions à retentissement indirect sur le cerveau par des
maladies
générales provenant de l'encombrement, de l'ins
copieux, que le caractère mélancolique des individus atteints de
maladies
chroniques des voies digestives que le délire fam
des voies digestives que le délire famélique de l'inanition ou des
maladies
où la diète a été trop prolongée. Souvent, à ce
r les professions sédentaires, si nui- sibles aux individus que les
maladies
, par retentissement de nu- trition (obésité, go
aise n'a jamais cessé d'occuper dans la connaissance et l'étude des
maladies
men- tales. De nombreux applaudissements accu
le pus, ils sont plutôt comparables à ceux observés dans certaines
maladies
infectieuses comme par exemple la fièvre typhoï
de paralysie générale examinés par ce procédé dans lesquels, que la
maladie
fût récente ou an- cienne, les fibres nerveuses
de l'écorce constitue la lésion pathognomonique exclusive de celte
maladie
; ses relations avec le syndrome : démence progr
ableaux morbides et les états cadavériques poly- morphes de la même
maladie
. M. ARNDT (de Greisswald). S'il est vrai que da
it d'une partie de ces états pathologiques compris sous les noms de
maladies
nerveuses fonctionnelles, névrosisme, neurasthé
asculaire. Ces constatations correspon- daient, soit au début de la
maladie
, soit à un stade avancé, tandis que souvent ell
sait en effet que l'aliénation mentale, comme la syphilis ou toute
maladie
imputable à une faute de l'individu, enlève au pa
l'ordre le plus respectable et de donner de la publicité à une des
maladies
que l'on cherche le plus à tenir cachées; d'autre
en revue les diverses phases par lesquelles a passé la science des
maladies
mentales depuis 1838 jusqu'à nos jours et const
de de convales- cence, mais, dans les autres phases d'évolution des
maladies
men- tales elles seront « ou indifférentes ou d
ette réforme et pour augmen- ter l'importance de l'enseignement des
maladies
mentales, M. Bail demande que tous les élèves s
'il a publiés et dont la plus grande partie ont trait à l'étude des
maladies
nerveuses ou mentales. Cette publication sera trè
beaucoup de points, un ouvrage nouveau. C'est un traité complet des
maladies
du système nerveux comprenant les affections du
de montrer que les seuls éléments symptomatiques nécessaires de la
maladie
sont la dé- mence et la paralysie, et que le dé
lire, qui devance quelquefois les phénomènes pathognomoniques de la
maladie
, constitue avec l'affaiblissement musculaire la s
comme la manifestation caractéristique d'une forme spéciale de la
maladie
, maisseulementcomme un phénomène surajouté. Et, s
mérite au premier chef l'attention de tous ceux qui s'occupent des
maladies
nerveuses. CB. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Des h
e niveau scientifique de la pathologie et de la théra- peutique des
maladies
du système nerveux. La majorité n'a pas été de
n'ait rempli pendant deux ans les fonctions de chef de clinique des
maladies
mentales, nommé au concours dans une Fu- culté
omparaison possible entre les épreuves du clinicat de la chaire des
maladies
mentales, et celles du concours pour les places
s épreuves des trois concours dont il est question : CLINICAT DES
MALADIES
MENTALES. 1° Épreuve sur un cas de maladie ordi
estion : CLINICAT DES MALADIES MENTALES. 1° Épreuve sur un cas de
maladie
ordinaire (10 minutes d'examen; 10 minutes d'ex
les médecins adjoints des asiles et tous les chefs de clinique des
maladies
mentales relevant d'une Faculté de l'Etat. Ceux
nt été chefs de clinique, nommés au concours auprès d'une chaire de
maladie
mentale dans une Faculté de l'Etat, l'avantage
heures), 30 points. 2° Epreuve clinique sur un malade atteint d'une
maladie
ordinaire (10 minutes d'examen; 20 minutes pour
inutes pour la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve clinique sur les
maladies
mentales; un seul malade (20 mi- nutes pour l'e
sque les médecins chefs de service sont en congé ou empêchés par la
maladie
. Il s'est agi, jusqu'ici, des médecins chefs de
ner plutôt que d'attirer les jeunes médecins vers la spécialité des
maladies
mentales. Ces craintes sont-elles fondées ? Les
peine âgée de vingt-deux ans. Cette jeune fille est atteinte d'une
maladie
terrible : elle a de fré- quentes attaques d'ép
e. Contribution à l'étude et au diagnostic des formes frustes de la
maladie
de Basedow. Volume in-8" de 86 pages. Prix : 2 fr
des sciences physiques en déterminant la cause anatomique de chaque
maladie
et le moyen rationnel de la combattre). Un volu
0. DOIN, 8, place de l'Odéon. Brousse (A.) De l'ataxie héréditaire (
Maladie
de Friédreich). Bro- chure in-8" de 100 pages.
talie. - Etablissements qui leur sont con- sacrés. Organisation des
maladies
mentales et nerveuses. Un volume in-8- de 355 p
884. Librairie G. Masson. GowEns. (W.-R.). De l'épilepsie et autres
maladies
convulsives chro- niques. Traduit de l'anglais
messe, 249. Système nerveux (des troubles uri- naires dans les
maladies
du), par Féré, 224 ; (maladies du), par Ross,
(des troubles uri- naires dans les maladies du), par Féré, 224 ; (
maladies
du), par Ross, 394. Tabes dorsal (le traiteme
du cerveau, par Heubner, 329. Urinaires (des troubles dans les
maladies
du système nerveux et en particulier dans l'ata
LA UItIILCIION UR 1111. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la de médecine de Paris. V. MAGN
de l'Asile clinique z F. RAYMOND Professeur «le clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
o- phique du tronc des nerfs optiques éveilla l'attention sur une
maladie
du système nerveux, fit suspecter la paralysie gé
tous des paralytiques généraux arrivés à une période avancée de la
maladie
, c'est dire que nous n'avons pu mesurer ni leur
63. Galezowski. Union médicale, 1866. BOUCIIUT. Du diagnostic des
maladies
du système nerveux par l'ophthalmoscope, 1866.
enant à titre de complication. Une dame neurasthénique, atteinte de
maladie
du doute depuis plusieurs années, se trouve ass
uels, les obsessions persistèrent, revêtant la forme d'une sorte de
maladie
du doute avec délire du toucher : craintes de t
UE MENTALE. J'ai observé un jeune homme de dix-sept ans, atteint de
maladie
du doute (scrupules, interrogations, manie du p
soigné pendant plusieurs années un homme de trente ans. atteint de
maladie
du doute avec scrupule de toute espèce, notam-
pt ans, d'ob- sessions anxieuses diverses, surtout sous la forme de
maladie
du ÉVOLUTION DES OBSESSIONS ET LEUR PASSAGE AU
en particulier, les différents types décrits sous le nom général de
maladie
du doute. Je serais d'ailleurs assez disposé à
aladie du doute. Je serais d'ailleurs assez disposé à croire que la
maladie
du doute mériterait déjà de constituer, dans le
us ou chez le même individu suivant les étapes, et la durée de la
maladie
. Tantôt le défaut, l'insuffisance de synthèse s
ce de l'obsession. THÉRAPEUTIQUE. La Rééducation motrice dans les
maladies
du sys- tème nerveux. Ses applications à l'atax
). Il n'est plus aujourd'hui de médecin habitué à la pratique des
maladies
nerveuses qui ne connaisse la rééducation motri
rendre de traiter le sujet en entier, de passer en revue toutes les
maladies
qui relèvent de cette thérapeutique et d'étudie
de la thérapeutique par le mouvement ; nous dirons à quel groupe de
maladies
elle s'adresse et suivant quelle méthode généra
applications faites alors de ces procédés thérapeutiques aux cas de
maladies
nerveuses ; pour ce dernier groupe d'affections
tituer l'organe altéré ; quant aux troubles de la motilité dans les
maladies
nerveuses, ils étaient aussi peu connus que cel
logie nerveuse, et bientôt il fallut compter avec tout un groupe de
maladies
ou de syndromes récemment décou- verts, le tabè
pe de maladies ou de syndromes récemment décou- verts, le tabès, la
maladie
de Friedreich, les affections céré- belleusés,
ctions céré- belleusés, les tics, les chorées, les tremblements, la
maladie
de Parkinson, l'athétose, les myôclonies, les c
ainsi l'incoordination du tabes et celle de la 60 THÉRAPEUTIQUE.
maladie
de Friedreich ne se ressemblent que d'assez loin.
et, d'après sa signifi- cation étymologique, indiquer que, dans les
maladies
dont nous nous occupons, il y a seulement défau
cin et non par des auxiliaires, par un médecin ayant l'habitude des
maladies
nerveuses et connaissant les difficultés de la
enèse, enfin il faudrait admettre presque autant de variétés que de
maladies
, aussi nous contenterons-nous d'é- numérer en l
hez les tabétiques, les hémiplégi- ques, les paraplégiques, dans la
maladie
de Parkinson, l'astasie-abasie, la maladie de F
s paraplégiques, dans la maladie de Parkinson, l'astasie-abasie, la
maladie
de Friedreich, les affections cérébelleuses ( ?
rs (préhen- sion, écriture, etc.) : dans le tabes, l'hémiplégie, la
maladie
de Parkinson, les chorées, les crampes professi
t aux localisations de ces symptômes propres non seulement à chaque
maladie
, mais à chaque malade pris en particulier. II
ieux faites et les plus utiles en clinique pour le diagnostic de la
maladie
, sont insuffisantes pour la thérapeutique, comb
nous savons mieux traiter le tabes, nous ne considérons plus cette
maladie
comme une affection à évolution fatalement prog
que et parfois de façon définitive, nous savons aussi que, quand la
maladie
évolue, c'est moins par une progression continu
combattre en 80 THÉRAPEUTIQUE. même temps que l'incoordination la
maladie
qui en est la cause, nous n'avons jamais vu d'i
endant quelques mètres. A ce moment, on assiste à une poussée de la
maladie
, l'incoordination gagne le tronc. Après cette p
le tabes était, pourlagrande majorité des cas, considéré comme une
maladie
sans appel, presque fatalement progressive et a
ond plus, bien souvent, à la réalité des faits ; non seulement la
maladie
peut spontanément présenter des rémissions dura-
étrangers à la fréquence de plus en plus grande de ces arrêts de la
maladie
. Plusieurs médecins ont même pu parler de guéri
mblé incompatibles : c'est dire combien a changé le pronostic de la
maladie
, or, il en est de même pour le plus grave de se
différences con- sidérables dans les lésions anatomiques d'une même
maladie
, le D1' Switalski expose une théorie qui a l'av
- tion dégénérative. Pas de troubles de la connaissance. Quand la
maladie
progresse, la mort est fréquente par gangrène d
alysie générale, dès que ces derniers apparaissent, la marche de la
maladie
, surtout de la paralysie générale, se précipite
o- 96 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. metalgie,
maladie
de llaynaud, oedème angionevrotiquede la peau,
sthésie, la névrose vasomotrice, ]'e ? '</</M'oma ? <', la
maladie
de Rayttaud, l'oedème circonscrit fugace et la
il est contre-indiqué chez les malades congestifs. F. 1301SS1ER. IL
Maladie
de Basedow avec troubles psychiques provoqués par
niser pour faire bénéficier les malades pauvres de cette méthode.
Maladie
de Dupuytren chez des tourneurs de bouchons. M.
le bouchon entre deux doigts de la main gauche, de nombreux cas de
maladie
de Dupuytren, il en présente des photo- graphie
aut pas abuser même des choses les meilleures ». Pathogénie de la
maladie
de Thomsenn. MM. G. Ballet et Bordas attribuent
phie d'origine médullaire. La secousse musculaire dans les diverses
maladies
du système nerveux. M. MENDELSON (de Saint-Pé
mporte des décisions d'espèce. Pour ce qui est de l'évolution de la
maladie
, j'ai constaté que les tuber- culeux névropathe
s et volontaires. Nous passons ensuite aux caractères morbides, aux
maladies
du caractère, qu'il ne faut pas confondre avec
caractère, qu'il ne faut pas confondre avec le caractère dans la
maladie
. Le Du Boudeten compte trois : l'hypochondrie, la
r; Membres titulaires : M. le De Mairet, professeur de clinique des
maladies
mentales la Faculté de Médecine de Montpellier;
e Médecine de Montpellier; le Dr Rémond, professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Toulouse ;
rçon eut une chorée grave, terminée par de l'idiotie, 5 avaient des
maladies
ou difformités congénitales : chorée, hydrocéph
faiblesse, 4 eurent dans les dernières années de leur jeunesse des
maladies
nerveuses curables, 2 seule- ment manifestèrent
ques de Charcot puis celles du professeur Raymond. A la section des
maladies
neiveuses et men- tales du douzième Congrès int
la mort du professeur KRAFTELI,NG ; le célèbre spécialiste pour les
maladies
nerveuses est mort hier à Gratz. Asiles d'ali
st nommé à l'asile de Marseille (poste créé). Cours de clinique des
maladies
mentales et des maladies de l'eizcé- phale. M.
seille (poste créé). Cours de clinique des maladies mentales et des
maladies
de l'eizcé- phale. M. le professeur Joffroy a c
phale. M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des
maladies
mentales le lundi 17 novembre 1902, à 2 heures et
le conti- nue les vendredis et lundis suivants, à la même heure.
Maladies
du système nerveux : M. Pierre Marie, agrégé; mer
; mer- credi à 4 heures (Grand Amphithéâtre). Hospice DE BICÊTRE.
Maladies
nerveuses et mentales des Enfants : M. BOURNEVI
d'admissibilité et le programme du concours. Nouvelle clinique des
maladies
nervuses. L'Université de Buda- Pest vient de f
ervuses. L'Université de Buda- Pest vient de fonder une clinique de
maladies
nerveuses et a dési- gné comme professeur le cé
gie morbide, 2° partie, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des
maladies
mentales el nerveuses, 1863. 8 Maret. Du délire
nta- minés en deux catégories, et considère la transmission de la
maladie
d'une part, de l'autre la simple reproduction de
ansmission et, au point de vue clinique, par la per- sistance de la
maladie
chez le sujet passif dans cette der- nière- apr
ENTALE. auteurs tendent à faire rentrer dans le cadre nouveau des
maladies
mentales familiales (Trénel', Fouque2, Sorel) ;
d'infec- tion musicale). (liev. neurol., 1902, p. 106). ' 1'réel.
Maladies
mentales familiales (Soc. niécl. psychol., 27' no
familiales (Soc. niécl. psychol., 27' no- vembre 1899). - Fouque.
Maladies
mentales familiales, th., Paris, 1901. 3 Régis.
s phy- siques (cohabitation), physiologiques (age, sexe, santé ou
maladie
, race), psychologiques (intelligence) et sociales
disposition, en l'augmentant généralement. Ce sont la misère, les
maladies
, les intoxications, les vices débilitants, les
M. Magnan. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FOLIES PAR CONTAGION. 145
maladie
indéterminée. Sa mère, prédisposée alcoolique a é
indéterminée. Dans les antécédents personnels, on ne relève pas de
maladies
infectieuses, mais de nombreux excès alcoolique
ommunication, que l'obsession au point de vue psychologique est une
maladie
de la volonté ; que l'élément aboulie joue le r
obsession. Bref, le malade est l'esclave de ses sensations et de sa
maladie
. De même, chez les dégénérés impulsifs, les idé
- rable de ces troubles, qui coexistent à certaines époques de sa
maladie
, ou se succèdent et se suppléent à des époques
lièrement'à la malade. La malade, elle-même, n'a pas fait de graves
maladies
dans son enfance, et n'a jamais eu d'accidents
ersion de l'instinct sexuel ne serait pas la cause efficiente de la
maladie
, dont elle souffre. Outre cet état mental ins
s, misère, que le premier accès véritablement psychpathique de sa
maladie
actuelle, éclata. Des troubles profonds se montrè
tc. Ce cortège de manifestations constituait le premier accès de la
maladie
. Ces idées, à la longue, préoccupaient moins l'
eurésie, qui dura sept mois. C'est dans la con- valescence de cette
maladie
, que les idées obsédantes, impulsions homicides
un certain degré de ballonnement du ventre. II y a deux ans, une
maladie
de son père fut une nouvelle cause pour l'éclos
troubles physiques, qui continuent à persister, la crainte que sa
maladie
va de nouveau éclater, consécutivement à la rémis
antécédents personnels de la malade on ne trouve ni convulsions, ni
maladie
fébrile, ni trouble mental nettement caractéris
la conduire chez un médecin afin de l'examiner et la rassurer de la
maladie
dont elle souffre du côté des yeux. A la longue
iode de cinq années, époque qui marque le début de ses troubles. La
maladie
a duré longtemps et a fini parla guérison. Ce m
de douleurs dans le ventre et par moments s'éva- nouit ; a la même
maladie
nerveuse que sa mère ; un fils, faible d'esprit
e, créée d'une part par une hérédité chargée, et de l'autre par des
maladies
fébriles surtout la fièvre typhoïde qui viennen
re trahit suffisamment l'état dégénératif manifeste. Le début de sa
maladie
remonte à l'âge de trente-quatre ans. Jusqu'à c
terrain, jamais on ne pourrait considérer ces troubles comme trois
maladies
distinctes adéquates aux trois périodes, car da
commit cette grande faute de trop l'isoler. Il fit du syndrome une
maladie
distincte avec une marche progressive et un pro
mises en avant jusqu'à cejour pour expliquer la patho- génie de la
maladie
de Paget : lésion médullaire; lésion d'une glan
te d'une observation avec autopsie et des lésions possibles de la
maladie
. La seconde éludie sept cas. La troisième expose
polio- encéphalo-myélite aiguë entraine M. Goldflam à localiser la
maladie
dans les centres corticaux moteurs. Si le foyer
, ni sa fréquence ne sont en constant rapport avec la gravité de la
maladie
; l'hypothermie ne coïncide pas non plus avec d'
avec une lésion de la moelle. M. Duplant pense que certains cas de
maladie
de Liltle peuvent être attribués à des cas semb
se fait à petits pas. Le malade présente l'attitude classique de la
maladie
de Parkinson. Pas de troubles oculaires. Il f
ux de suggestion morale, où un fort dominé un faible ; dans ceux de
maladies
nerveuses, où l'individu ne se possède pas assez
nt même qu'il eut réalisé les déformations caracté- ristiques de la
maladie
de Pierre Marie. M. P. Marie n'a jamais vu de p
he et lui-même avaient posé le diagnostic de sclé- rose en plaques,
maladie
dont le sujet présentait exactement les signes,
nomoniques de la sclérose en plaques et ne se produisent dans cette
maladie
qu'autant qu'il y a de plaques de sclérose sur
lleurs ; ils s'exagèrent dès qu'elle parle ou qu'on lui parle de sa
maladie
. Sensibilité cutanée normale ; les réflexes sont
de l'urémie, de la glycosurie. Ils ne sont pas en rapport avec une
maladie
infectieuse, ni avec l'hydrocéphalie. Ils appar
nt à de futurs éducateurs. " > Que d'enfants seront sauvés de la
maladie
et peut-être du crime, si ses auditeurs se souv
e Dr Béiullon, professeur. Objet du cours : 1° La thérapeutique des
maladies
de la personnalité, les lundis à cinq heures, à
GRAPHIQUE. 6 février, à huit heures et demie, Le caractère dans les
maladies
: Le tuberculeux, le cardiaque, le dyspeptique,
rations expérimentales et de présentations d'appareds. IIotel-Dieu.
Maladies
du système rrcrveux.-111. Gilbert Ballet repren
-111. Gilbert Ballet reprendra ses leçons cliniques {Traitement des
maladies
nerveuses), le Dimanche le, février, à 10 heure
pération n'a pu produire une paraly- sie générale, c'est-à-dire une
maladie
à lésions anatomiques bien caractérisées. Tout
depuis qu'on peut observer à la suite d'opérations l'apparition de
maladies
jusque-là méconnues, comme la paralysie général
trice). Tantôt des per- forations de la voûte palatine, parfois les
maladies
des yeux, de l'oreille, du nez, et qui peuvent
personnels. Dans son enfance, n'a jamais eu d'at- taques, ni aucune
maladie
infectieuse dont elle ait gardé souvenir. Quelq
l'y rencontra. Elle avait de fréquentes insomnies. Histoire de la
maladie
. La malade fut opérée le 24 mai 1897, î, pour u
r la mort de sa mère survenue quatre mois auparavant ; puis, par la
maladie
de sa soeur aînée, cardiaque, souffrant d'hémor
he, une ou deux fois par jour. Jamais de vulnéraire. Histoire de la
maladie
. Le malade était affecté d'une hernie inguinale
rien de particulier à noter dans ses anté- cédents personnels comme
maladie
infectieuse ou intoxication ayant pu déterminer
ation VIII (communiquée par M. le D, Mignot, chef de cli- nique des
maladies
mentales à la Faculté de Médecine). Mmo Ch... j
ue l'une est une affec- tion passagère et transitoire, l'autre, une
maladie
organique à marche progressive et fatale dans l
quelque temps, il obtient une guérison radicale, même lorsque la
maladie
remonte à une époque déjà éloignée. Dans un cas
de longs mois a paru offrir l'espoir d'une disparition totale de la
maladie
, il s'est toujours produit à un moment donné un
e de sa vie, ainsi que nous, médecins, établissons l'histoire d'une
maladie
. Prendre ses observa- tions suivant un plan déf
n de la valeur clinique de la contraction idio- musculaire dans les
maladies
mentales; par les ûrs Soukanoff et SaNNOUCHgINE
r diagnostique comme pathognomonique pour l'une ou l'autre forme de
maladies
mentales; on l'observe aussi bien dans les mala
'autre forme de maladies mentales; on l'observe aussi bien dans les
maladies
aiguës et curables que dans les maladies chroni
bserve aussi bien dans les maladies aiguës et curables que dans les
maladies
chroniques et incurables. Il est à noter que,
névrite interstitielle hypertrophique progressive de l'en- fance ou
maladie
de Dejerine, a pour caractères : ataxie des qua-
2» série, t. XV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. f - XXX.
Maladie
de Friedreich et hérédo-syphilis ; par le D1' BAY
; par le D1' BAYET. de Neurologie, 1002, n° 8). L'étiologie de la
maladie
de Friedreich est des plus obscure. On sait que
a maladie de Friedreich est des plus obscure. On sait que c'est une
maladie
familiale; on sait aussi que souvent c'est- l'h
tendrait à faire ranger l'hérédo-syphilis parmi le causes de cette
maladie
. Il s'agit de cinq frères ou soeurs présentant
ctéristiques. Or, ce que l'on voit de l'anatomie pathologique de la
maladie
de Friedreich tendant à faire croire qu'il s'ag
e bulbaire sans lésion anato- mique, paralysie bulbaire asthénique,
maladie
d'Erb; elle est mieux connue sous le nom de par
t ce dernier fait ne manque pas d'importance, la pellagre étant une
maladie
qui porte son action spécialement sur le système
stiques. Deux affections peuvent être ran- gées dans ce groupe : la
maladie
de Thomsen et la paralysie familiale périodique
e de Thomsen et la paralysie familiale périodique. Cliniquement, la
maladie
de Thomsen, c'est la maladie de la contraction
familiale périodique. Cliniquement, la maladie de Thomsen, c'est la
maladie
de la contraction musuculaire et le terme de myot
éloignées, elles sont irrégulières et imprévues. Qu'il s'agisse de
maladie
de Thomsen ou de paralysie pério- dique familia
paroxystique. D'ailleurs il existe des relations étroites entre la
maladie
de Tbomsen et la paralysie familiale périodique
me), des rapports fréquents, la cause toxique qui produit l'une des
maladies
amenant aussi l'autre. Et puisque la cause du tab
tique du bloc postérieur médullaire peut se produire dans d'autres
maladies
sans syphilis antérieure, telle par exemple la ma
ns d'autres maladies sans syphilis antérieure, telle par exemple la
maladie
de Friedreisch. M. Raymond voit d'ailleurs rétr
an- celante et ce phénomène progressa encore. Dans le cours de la
maladie
on nota plusieurs périodes d'exacerbation de l'at
erbation de l'ataxie, de sorte que, quatre mois après le début delà
maladie
, il n'était plus en état de marcher. Outre l'at
ut et le malade commença à bien marcher. 11 mourut à la suite d'une
maladie
physique occasionnelle (volvulus)L'autopsie mani-
cinquante ans, grand buveur, n'a jamais souffert de rien jusqu'à la
maladie
actuelle. Vers la mi- décembre 1901, sans perte
lesse dans les extrémités gauches; trois jours après le début de la
maladie
, c'est-à-direle 18 décembre, il entra dans l'hôpi
vait eu la syphilis à l'âge de vingt ans et comment est survenue la
maladie
actuelle, on n'a pas pu le savoir. A l'entrée, on
nésie antérograde (et en partie rétrograde) : depuis le début de sa
maladie
il ne se rappelle de rien ; de sa chambre le mala
l'impression. Une alexie de ce genre a été décrite par GRASHBY (le
maladie
pouvait lire le mot s'il l'avait devant ses yeu
té qu'il est propre seulement aux psychoses organiques. 3. Cours de
maladie
, caractérisé par l'in- constance de symptômes d
par l'in- constance de symptômes dans la période primordiale de la
maladie
et par l'échange subit tantôt des accerbations,
le 6 janvier 1903 à l'asile de Ville-Evrard, après quelques mois de
maladie
. Il était dans sa cinquantième année. Originair
utté sans répit afin de faire bénéficier les personnes atteintes de
maladies
mentales des progrès de la chirurgie contemporain
ues ouvertes où ces malades, dès le début et les premiers signes de
maladie
, puissent être traités durant un temps plus ou
Rémond, professeur à la Faculté de médecine de Toulouse (chaire des
maladies
mentales); M. Régis, chargé du cours à la Facul
s, chargé du cours à la Faculté de médecine de Bordeaux (chaire des
maladies
mentales). Nous adressons nos plus vives félici
opres sans l'autorisation des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière.
Maladies
mentales et nerveuses, M. J. Voisin : jeudi à 1
-Dieu. M. G. Ballet a repris ses leçons cliniques (Trai- tement des
maladies
nerveuses), le Dimanche 1er février, à 10 heures
i à 9 h. 1/2 (Salon de la Salle Sainte-Anne). Hospice DE Bicêtre.
Maladies
nerveuses et mentales des enfants ; M. Bournevi
pages. Librairie Alcan, 108, boulevard Saint-Germain. RuMLER. Les
maladies
sexuelles contagieuses ainsi que les pW) ! - ci
au après la prise d'habit), elle tomba gravement malade. « Cette
maladie
, qui étoit toujours accompagnée de grande : fiè
années. « Au commence- ment de 1660, elle tomba dans une dangereuse
maladie
, dont elle revint cependant à force de remèdes,
uerite Dupré, déjà souffrante d'algies diverses, est atteinte d'une
maladie
qui se manifeste par de grands accès de fièvre,
d'introduire dans la nomencla- ture la dysenterie hépatique. Cette
maladie
s'observe non seulement dans les pays chauds ma
onner lieu, comme l'a montré Netter, à de grands abcès. Bien que la
maladie
dont Marguerite Dupré fut atteinte en février 165
erite Dupré fut atteinte en février 1653, paraisse être la malaria,
maladie
endémique au monastère de Port-Royal, à cause d
Dans la nuit du 4 juillet, qui était environ le dixième jour de la
maladie
, son état s'aggrava. « Les douleurs ne lui donn
33. Le Supplément au Nécrologe de Port-Royal parle des « fréquentes
maladies
auxquelles elle était sujette 3 ». « Quelque te
frir toute ma vie toutes sortes d'humiliations, d'afflictions et de
maladies
, pour obtenir le secours de la grâce et le don de
ois toute signature qu'on pourroit extorquer de moi, en santé, en
maladie
et surtout à la mort 7. » Une pareille déclaratio
désavouer tout ce qu'on pourrait lui faire faire dans une dernière
maladie
. Dans ses divers écrits, elle cite Ieschayahou
c de fréquens redoublemens. Elle fut la première à sentir que cette
maladie
le conduiroit en peu de jours à l'éternité... S
t été enle- vées sans produire aucune amélioration. Le 'début de la
maladie
remonte à trois anset la ménopause qui date de
quinze.. Ous. XV. i)lllle B..., trente-quatre ans. Le début de la
maladie
remonte à trois mois et parait d'origine grippa
ale; ParleD.l. CUf.L>JIiR);. L'affection connue sous le nom de
maladie
de Reckling- hausen est-elle est toujours congé
is s'entendent pour admettre que, chez les sujets atteints de celte
maladie
, il existe une certaine faiblesse congénitale d
r ce point malgré son état de démence, et de la péri-encéphalite,
maladie
tenue comme la plus accidentelle des psychopathie
que, de céphalée, de vomissements, permit, avec l'évo- lution de la
maladie
, de diagnostiquer une tumeur cérébrale. Les att
a pas trois mois. L'angoisse persista pendant tout le cours de la
maladie
. Il faut noter l'association à l'angoisse de la t
; par le Dr ROUDNEW. La question des rapports du vitiligo avec les
maladies
nerveuses est d'un certain intérêt; l'achromie
térêt; l'achromie cutanée peut affecter aussi des rapports avec les
maladies
mentales. Il en fut ainsi dans l'obser- vation
dents, l'absence des symptômes tabétiques, le vitiligo et enfin la
maladie
psychique qui a terminé le cycle, tels furent l
fesseur JORFROY. La chorée de Sydenham, la chorée de Huntington, la
maladie
des tics, la maladie de Parkinson, la maladie d
horée de Sydenham, la chorée de Huntington, la maladie des tics, la
maladie
de Parkinson, la maladie de Thomsen, le tabes,
rée de Huntington, la maladie des tics, la maladie de Parkinson, la
maladie
de Thomsen, le tabes, la maladie de Friedreich,
tics, la maladie de Parkinson, la maladie de Thomsen, le tabes, la
maladie
de Friedreich, la syringomyélie et toutes les a
n suffisamment précise pour permettre de reconnaître la forme de la
maladie
dont cet individu était atteint. M. Arnauld f
plexie, était un buveur. Agée de six mois, la fillette supporta une
maladie
infec- tieuse très grave, probablement la scarl
'âge de trois ans elle eut la varicelle, à six ans la diphtérie. La
maladie
empirait lentement; dans ces der- niers temps l
nical, à ce qu'il parait avait le plus d'influence favorable sur la
maladie
. Dans le cas donné, sautent aux yeux les oscill
le cas donné, sautent aux yeux les oscillations dans le cours de la
maladie
, les graves exacerbations et le cours comparati
e, malgré les exacerbations. En faveur du caractère organique de la
maladie
par le caractère et la propagation des convulsion
, jouissant toujours d'une bonne santé, tomba malade subitement; la
maladie
débuta 390 SOCIÉTÉS SAVANTES. par un vertige,
démontra une papille étranglée. Trois jours après le début de la
maladie
, le 20noxembre 1899, le malade entra à l'hôpital.
; dans tout le reste, rien d'anormal. Dans le cours ultérieur de la
maladie
, on observa des oscilla- tions très marquées da
plus rares et moins accentuées. Sept semaines après le début de la
maladie
, la vue s'améliora et après plus de trois mois
ladie, la vue s'améliora et après plus de trois mois du débyt de la
maladie
, le malade se rétablit entièrement. Six mois ap
igé de s'occu- per dans une localité très froide et très humide. Sa
maladie
survint subitement et débuta par des phénomènes
, vertige, étal fébrile. Le 26 septembre 1901, troisième jour de sa
maladie
, le malade entra à l'hôpital. Le cours de la ma
ème jour de sa maladie, le malade entra à l'hôpital. Le cours de la
maladie
dans ce cas était presque identique à celui du
qu'à 39,5, ayant été nor- male le matin. Le cours ultérieur de la
maladie
se fit sans fièvre. Les symp- tômes principaux
flexion dorsale de tous les orteils. Dans le couis ultérieur de la
maladie
apparut une faiblesse de la vue, qui en progres
ec les périodes de rémissions ici aussi ressort au premier plan. La
maladie
céda peu à peu, et le malade quitta l'hôpital l
é de janvier, c'est-à-dire presque quatre mois après le début de la
maladie
. Pourtant actuellement encore la vue de l'oeil ga
nnaître, M. Bour- neville met en relief l'un des symptômes de cette
maladie
: le mensonge. Un remarquable mémoire est con
nomènes moteurs. L'étiologie des tics est celle de la plupart des
maladies
nerveuses et mentales. L'hérédité, l'imitation,
t un des symptômes BIBLIOGRAPHIE. 3'9-1 % importants, tels que la
maladie
de Gilles de la Tourette et la cho- rée variabl
e. Le diagnostic avec les chorées, le paramyoclonus multiplex et la
maladie
de Thomsen est ordinairement facile. Ou doit en
en que les cas, où la manie apparaît comme complication d'une autre
maladie
psychique quelconque, par exemple de la paralys
; on ne peut dire pour sûr d'aucun malade, qui a supporté l'une des
maladies
sus-nom- Arcuives, 2- série, t. XV. 26 402 CL
cuives, 2- série, t. XV. 26 402 CLINIQUE mentale. mées, que cette
maladie
ne se répétera pas. Ayant affaire ;IL un malade
adie ne se répétera pas. Ayant affaire ;IL un malade, atteint d'une
maladie
psychique aiguë pour la première fois, nous ne
te le degré de l'inclination de son organisme aux réci- dives de la
maladie
psychique. Se basant sur ce point de vue, nous
sujet au travail actuel; nous nous sommes servis des historiques de
maladie
comme des maniaques station- naires ainsi que c
nous venons de citer indiquent très nettement que la manie est une
maladie
psychique très rare. Si nous prenons les hommes
s, les maniaques font 1,50 p. 100 ; autrement dit, sur 200 cas de
maladie
psychique chez les hommes il revient un cas de
instituent d'une manière très définie ce fait que la manie est une
maladie
psychique très rare; pourtant, les chiffres ind
as l'hérédité est niée (12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des
maladies
nerveuses et mentales et l'alcoolisme du père e
(68,78 p. 100), dans 6 cas il y avait une indication sur les mêmes
maladies
chez de proches parents (frères, soeurs, tantes
iage avec le degré de la tare héréditaire dans d'au- tres formes de
maladies
mentales qui ont été examinées par nous sous ce
dans la manie, sur leur durée, sur les espèces clini- ques de cette
maladie
, etc.; mais nous avons décidé de ne pas toucher
cherches, je suis loin d'avoir découvert toujours à l'origine de la
maladie
la cause sexuelle incriminée. En revanche, tout
dure quatre heures. Le malade est persuadé qu'il est atteint d'une
maladie
de coeur très grave, et ne peut plus dormir san
e. A partir de ce moment, toujours angoissé, toujours inquiet de sa
maladie
de coeur, tou- jours sous la menace de la mort
sparaître. En décembre, consultation chez un spécia- liste pour les
maladies
de coeur, qui ne relève aucune lésion, et attri
it peut-être contribuera : a nous éclairer sur la nature même de la
maladie
. Nous y voyons le- malade atteint franchement d
sse Médicale. 10 juillet, 1897. Lalanne. Des états anxieux dans les
maladies
ment/des. Rapport au Congrès des aliénistes et
1684 (soixante dix-huit ans) Il s'agissait vraisemblablement d'une
maladie
de coeur, peut être d'une stéatose cardiaque ch
ce qui fait songer à une épidémie familiale. Il semble que cette
maladie
modifia complètement le tempéra- ment de Pierre
sujets prédisposés. En 1661 (vingt-sept ans), Pierre Thomas fit une
maladie
sur laquelle aucun renseignement ne nous est pa
moment où il se préparait à aller voir son père mourant, une autre
maladie
l'obligea à différer son départ. En mai 1665 (t
n 1696 (soixante-deux ans) il présenta les premiers symptômes de la
maladie
dont il devait moutir. 1-1 le frappa « seulemen
élier la langue qui étoit toujours également embarrassée » a. Une
maladie
intercurrente survint. « Je fus pris d'une lièvre
et lire des livres de piété. En 1697 (soixante-trois an=), après la
maladie
qu'il fit aux eaux de Bourbon, « j'eus le coura
modifications anatomiques et fonction- nelles de l'écorce dans ces
maladies
; 2° Des paralysies partielles et del'émousseme
airement le service d'infirmière de nuit, mais remplaçant en cas de
maladie
ou de congé la surveillante en chef et 17 infir
risques d'incen- die, d'attaques imprévues, d'apoplexies et autres
maladies
soudai- nes, de suicide chez des malades non so
et le tabes. La présence de l'albumine est constante dans ces deux
maladies
. L'ébullition ne donne à l'état normal qu'un lo
iquer, sans se contredire, les données anamnesticlues concernant sa
maladie
; on ne remarque point de défauts de mémoire ma
its commencèrent à se développer en 4889. La période initiale de la
maladie
était signa- lée par un certain engourdissement
vendre du poisson au marché : mais au printemps de l'année 1891 la
maladie
progressa plus rapidement sans aucune cause vis
s cas, dans la plupart des cas on. a trouvé des indications sur les
maladies
nerveuses et psychiques au moins chez 3 membres
as, on pouvait constater l'existence d'une hérédité homogène, et la
maladie
, le plus souvent, était transmise de la mère au
idées liypo- chondriaqueset, en particulier, la crainte d'avoir une
maladie
psy- chique. Pour la plus grande majorité des
etit nombre de cas seulement on peut signaler un début aigu de la
maladie
; par exemple, dans 1 cas les idées obsédantes se
obsédantes, mais ces anomalies appa- raissent non comme cause de la
maladie
donnée, mais comme symptôme accessoire simpleme
cas avec les cas des idées obsédantes, où ces dernières forment une
maladie
spéciale et constitutionnelle. D1' W. Si.n>3
avec l'élévation d'une « constitution des idées obsédantes » comme
maladie
particulière, et il rappelle qu'une telle tenta
ou moins durable sur l'état d'angoisse qui constitue le fond de la
maladie
». Les phobies spéciales sont divisées par Piti
ngoissante de la phtisie, des épingles, des chiens, de la folie, de
maladies
diverses). Les auteurs étudient ensuite les obs
ssions du doute, du scrupule, du mot, du chiffre, du langage, de la
maladie
. Obsessions impulsives. Cette variété n'est aut
s latentes et précipite l'évolu- 490 BIBLIOGRAPHIE. tion de cette
maladie
. « M. Cullerre appelle tout particulièrement l'
ement mentales, comme les troubles neurasthéniques, les phobies, la
maladie
du doute, les délires conscients... qui précisé
nel, comme s'ils s'équiva- laient. Une crampe des écrivains est une
maladie
fonction- nelle. On ne peut pas dire que c'est
ut pas dire que c'est une manifestation psychique ni hystérique. La
maladie
du doute est un trouble mental ou psychique (ce
itres : Hypnotisme et Hystérie'; Association de l'hystérie avec les
maladies
organiques du système nerveux, les névroses et
i- festations morbides les caractères ressortissant en propre aux
maladies
organiques du système nerveux et les carac- tèr
érie (1891), G. Masson, édit. ° Association de l'Iletéi,ic avec les
maladies
organiques... etc. (1892) G. Masson, édit. '
doctrinale. Le premier c'est « V Association de l'hystérie avec les
maladies
organiques, les névroses et diverses autres aff
ances en subir les atteintes ». C'est une névrose qui s'associe aux
maladies
les plus diverses. Et il cite : une observation
ion, la plupart se rapportent à l'hystérie et que, pour les autres (
maladies
non hystériques) le diagnostic, non seulement n
'ostéomyélite, la chorée » et après avoir dit que «le fond de cette
maladie
est psychique mais que la sugges- tion cependan
ravail précédemment cité sur « l'Association de l'hystérie avec les
maladies
organe- ques, les névroses, et diverses autres
quelques-uns empruntés à son livre, l'association de l'hystérie aux
maladies
organiques du système nerveux (Epilepsie et hys
st pas fonction de toxique ni de toxine ; ce n'est pas non plus une
maladie
autonome c'est un appareil symptomatique dû à l
e de 50 à 00 lits, et insistait sur l'utilité de l'enseignement des
maladies
mentales. La solution fut encore ajournée. En 1
</tMe et au Laboratoire d'anatomie. La « policlinique pour les
maladies
mentales et nerveuses » com- prend une salle d'
les cas analogues qui représentent les diverses phases de la même
maladie
ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de
zig réclame en effet sept quartiers, mais il en réserve un pour les
maladies
con- tagieuses. A Giessen la proximité du pavil
nte, ce symptôme étant un des caractères pres- que essentiels de la
maladie
de Parkinson. D'après ses recherches, l'auteur
gr. de la Salpêtrière, n" i 1902). Symptomatologie complète de la
maladie
avec cette particula- rité rare : Début du proc
ouleurs fulgurantes et narcolepsie ayant débuté dès l'origine de la
maladie
qui remonte à vingt-six ans. L'auteur se demand
les dénote toutes les propriétés caractéristi- ques de la myotonie (
maladie
de Thomsen). Plus tard à ce tableau commencent
dans l'iris, quelque chose d'analogue au trouble myotonique de la
maladie
de Thomsen, le microscope cornéen de Westien ayan
ont seuls affectés. Le décours du mouvement des pupilles a, avec la
maladie
de Thomsen, le seul point commun de la lenteur
que : la perte de substance de certains muscles est tardive dans la
maladie
de Thomsen, et, d'ailleurs, la raréfaction d'un
s faits relatifs à la manière d'être des pupilles dans le cours des
maladies
organiques du système nerveux central, M. Piltz
dire abolition de la conscience pendant la durée de la crise. Si la
maladie
est ancienne et a subi de fréquents paroxysmes,
des paralytiques généraux avéré» à une période peu avancée de leur
maladie
. Quelle est donc l'origine de cet oedème, les a
Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La période initiale de la
maladie
est apoplectique. Au début, vertige, vomissements
11. Malade B..., quarante-cinq ans. Commencement pro- gressif de la
maladie
, dans trois accès, céphalalgie, vertige, vomis-
Malade, de quarante-deux ans. Période initiale apo- plectique de la
maladie
. Au début, vomissement, hoquet, vertige. Phénom
gée. Cas IV. Alalade P..., quarante-sept ans. Développement de la
maladie
en quelques heures. Au début : vertige, nausée, v
binski devrait recommencer cette pratique à toutes les phases de la
maladie
. Alénizgisnze ou méningite. M. P3r(ISSAUD pré
ai étudié le réflexe plantaire sur 190 sujets, dont 130 atteints de
maladie
organique du système nerveux, 45 normaux adulte
e, sa pathologie et sur la théra- peutique générale et spéciale des
maladies
qui l'intéressent. Dans la deuxième partie, con
ologie criminelle, la Psychiatrie juridique, la Thérapeu- tique des
maladies
mentales, sur les étabtiasements d'aiiéiiés et
Thérapeutique : Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les
maladies
mentales et nerveuses. ltap- porteur : M. le D'
s 1' de certains aliénés, par Vaschide et Vurpas, 290. BASEDow.
Maladie
de Basedow avec troubles psychiques provoqués
ance pu- blique et de bienfaisance privée, 400. Contraction. V.
maladies
mentales. Corps calleux. Deux nouveaux cas de
. Dressage. Le - dans l'éducation, par Bordier. 205. Dupuytren.
Maladie
de chez des tourneurs de bouchons, par Bris-
Fracture chez un myopathiquo, par Crouzon, '96, FRII·.UAEICII.
Maladie
(le - ethérédo- sylaills, par liayet, 274. Gi
Locus NIGRR. Ramollissement loca- lisé au -, par Guillam, 385.
MALADIES
mentales. Sur la question de la valeur clinique
Hous- seau, 382. Secousses musculaires. Les clans les diverses
maladies
du système nerveux, par\Iendelson, 10î. Sein
ar Collet,185. Système nerveux. La rééducation motrice dans les
maladies
du - Ses applications à l'ataxie des ta- béti
- par Wirial, Sicart et ftavaut, 383. Thomsenn. Pathogénie de la
maladie
de , par Ballet et Bordas, 102. Tics, stéréot
NEUROLOGIE ARCHIVES DE E NECROLOGIE- HEVUE MENSUELLE Il DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fonder par J.-1H. CIIA1VC
S LA DIRECTION DE bl3l. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de Paris.
tion qu'on ne voie pas là le désir d'éri- ger un simple syndrome en
maladie
nouvelle, nous proposerons une dénomination à c
pitations, est atteint d'éreuthophobie. Il décrit ainsi lui-même sa
maladie
: Je me souviens d'avoir toujours eu beaucoup d
la communion, je m'abstins de toute pratique solitaire et que ma
maladie
n'était pas encore déclarée. Comme ma maladie est
e solitaire et que ma maladie n'était pas encore déclarée. Comme ma
maladie
est restée identique depuis son apparition, je
e rougis plus facilement et plus souvent. Je suis très ennuyé de ma
maladie
, et je donnerais tout ce que je possède pour gu
es lettres est atteint d'ereuthophobie. Il a rédigé lui-même sur sa
maladie
, l'intéressante observation suivante, à laquelle
t, soixante-six ans. Caractère sérieux, froid. Mère, atteinte d'une
maladie
de coeur. TI ès vive. Un peu scrupuleuse, sur l
de ses rougeurs. Il en a peur non parce qu'il y attache une idée de
maladie
ou de terreur instinctive, mais uniquement parc
oute une série de formes morbides, classées aujourd'hui parmi les
maladies
intellectuelles, depuis l'obsession «équivalent a
jusqu'à la mélancolie anxieuse (an- goisse aiguë), deviendront des
maladies
de l'émotivité. ' Lange. Les émotion ? élude ps
énomène intellectuel (idée fixe). D'autre part, si l'on envisage la
maladie
non plus dans la succession de ses phénomènes,
acquise, sans émo- tion morbide et sans idée fixe, c'est-à-dire la
maladie
réduite à son élément vaso-moteur. L'É'reutho
nce à rougir, avec émotion morbide, sans idée fixe, c'est-à-dire la
maladie
avec ses deux éléments vaso-moteur et affectif.
dance à rougir aves émo- tion morbide et idée fixe, c'est-à-dire la
maladie
au complet, avec ses trois éléments vaso-moteur
nte un grand intérêt clinique, l'auteur divise, pour son étude, les
maladies
mentales en cinq groupes : étals de dépression
entale folies inter- mittentes états d'affaiblissement intellectuel
maladies
céré- brales avec manifestations mentales prédo
nheilk. XVIII. N. F. VI, 1895.) Ce n'est pas la chicane qui est une
maladie
, c'est la personnalité qui la transforme en mal
ane qui est une maladie, c'est la personnalité qui la transforme en
maladie
. , 38 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les chican
ctes, embrasser l'ensemble du développement et de l'expansion de la
maladie
. Il faut encore bien exactement connaître les c
: c Maintenant je le retiens encore comme parjure ! » Et là est la
maladie
. Le chicanier ne cesse pas sa chicane quand il
NE folie cyclique; par le D' UMBERTO Steffani, aide de clinique des
maladies
mentales à l'Université de Padoue. (Padoue, Cal
élément de la folie raisonnante. La « paranoïa inventoria » est une
maladie
qui, pour' se produire, a besoin d'une prédispo
uteur en décrit un autre qui, s'il n'est pas absolument spécial aux
maladies
mentales et s'observe à peu près identique dans
nes affections fébriles de la pathologie ordinaire, prend, dans les
maladies
men- tales où on le rencontre, une importance v
onfirmée par ce l'ait qu'un tremblement analogue s'observe dans des
maladies
fébriles qui sont évidemment de nature infec- t
intimes entre la chorée chronique progressive et certaines autres
maladies
neuro-dégénératives, notamment la paralysie génér
et 1896.) E. B. II. LA. TEMPÉRATURE SUPERFICIELLE DU CRANE DANS LES
MALADIES
cérébrales; par le Dr MAc-C%srry. L'étude de
pérature superficielle de la tête peut-elle aider au diagnostic des
maladies
cérébrales D'après les recherches classiques de
ectés Les autres causes de tabès n'ont à elles seules produit cette
maladie
qu'extrêmement rarement. Il n'est qu'une maladie
ules produit cette maladie qu'extrêmement rarement. Il n'est qu'une
maladie
où l'infection syphilitique joue exactement le
ntracture des extrémités. A. M. XIII. Complications NERVEUSES DES
maladies
infectieuses ; par H. IIANDRORD. ((British. méd
iré clinique- ment. On peut diviser les complications nerveuses des
maladies
infectieuses en différentes classes, selon que
ues. Il s'agit de la manifestation, à l'âge de vintet un ans, d'une
maladie
cérébrale organique chez un individu indemne de
édominance des symp- lûmes physiques et nullement à la nature de la
maladie
. 68 sociétés savantes. M. Dupain constate que
ander si le marasme constitue une complication ou une phase de la
maladie
? On considérait autrefois la paralysie générale
es généraux peuvent mourir subitement à toutes les périodes de leur
maladie
. J'en ai vu mourir un, sous mes yeux, au moment
ar suite onvre une voie nouvelle aux médecins qui s'occupent de ces
maladies
. l'eu après le philosophe anglais Locke (16gaz) e
où vient le malade, renseignant sur la marche et le pronostic de la
maladie
. § 8. L'admission d'un malade doit être signifi
médecin aura également il fournir la preuve de ses connaissances en
maladies
mentales, mais il n'est pas nécessaire qu'il re
s avec leur famille et leurs amis. De même qu'autrefois, avant sa
maladie
, le malade est libre de recevoir qui il veut, qua
visiteurs n'aientàpénétrer à l'iniérieur de celui-ci hors le cas de
maladie
incidente néces- sitant le séjour au lit; s'il
ture normale, les oblige à avoir recours à la main gauche. Aussi la
maladie
n'est-elle pas dans ce cas la cause du fait en lu
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES 131 avait été rendu plus vulnérable par les
maladies
infectieuses (fièvre typhoïde, fièvre intermitt
résentaient aucun signe de paralysie générale ou d'hystérie et leur
maladie
a évolué comme évolue d'ordinaire l'ataxie loco
ie; par MM. MAIRET et VIRES (de Montpellier). L'épilepsie est une
maladie
qui est volontiers simulée dans ses attaques et
era décerné à l'auteur du meilleur mémoire sur la thérapeutique des
maladies
mentales et sur l'organisation des asiles publi
lleur ouvrage et obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les
maladies
mentales, en en arrêtant ou en en atténuant la
rtagée à titre de prix entre M. le Dr E. Régis, chargé du cours des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux,
rit sous le n° 2, et M. le D1' Ed. Tou- louse, chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de mé- decine de Paris, p
ux, 1,000 francs (annuel). Question : de l'hallucina- tion dans les
maladies
mentales. Deux mémoires ont concouru. Le prix e
sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les
maladies
nerveuses. L'Académie a reçu cinq travaux pour ce
est accordée à llIll. les J. Toy et Th. Taty, chefs de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Lyon, aute
era décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des
maladies
mentales et sur l'organisation des asiles publi
leur ouvrage et obtenu les meilleurs résultats, de guérison sur les
maladies
mentales, en en arrêtant ou en en atténuant la
sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les
maladies
nerveuses. Prix Orfila, 2,000 francs (bisannuel
sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les
maladies
nerveuses. Prix Lefèure, 1,800 francs (triennal
ue qui amène le développement de l'affection. Les symptô- mes de la
maladie
et ceux dus à l'imagination s'entre-croisent et
sie puerpérale; par Marie LEFLOCH. L'éclampsie puerpérale est une
maladie
infectieuse et probable- ment contagieuse. L'in
s extralucides, LEUR influence au POINT DE VUE DU développement DES
maladies
NERVEUSES ET mentales. Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; pa
aujourd'hui, plus grande que jamais, et leur action néfaste sur les
maladies
mentales et nerveuses, tant au point de vue cli
. Feindel. (Thèse de Paris, 1896.) La neurofibromatose généralisée,
maladie
de Reckiinghausen, est étudiée chez 4 malades.
les quatre à leur naissance. A côté de stigmates physiques de la
maladie
, fibromes cutanés multiples, taches pigamentair
bsédante. (Comm. à la Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, p. 107, Archives, 2c sér
e le rêve ; qu'il suffise de rappeler celui si célèbre 1 Ribot. Les
maladies
de la personnalité. Paris, 1891. ! Ballet. Le lan
luci- ' Calmeil. De la folie, t. II, p. 359. 2 Schùle. Traité des
maladies
mentales, p. 155. Archives, 2° série, t. III. 1
vail de systématisation constitue la période de prépa- ration de la
maladie
; elle dure jusqu'à ce que le malade ait trouvé
e ans. - Une soeur, bien portante, mère d'enfants sains. - Pas de
maladies
nerveuses dans le reste de la famille.] , Mère,
, dans la quinzième année et, alors, on avait à lutter et contre la
maladie
elle-même et contre les habitudes de vagabondag
DE THÉRAPEUTIQUE. I. LE REPOS ET L'EXERCICE DANS LE TRAITEMENT DES
MALADIES
NER- VEUSES ET MENTALES OUVERTURE DE LA DISCUSS
mis; il est très évident qu'il faut tenir compte de la nature de la
maladie
, et même des diverses périodes de la même malad
ule et du système lymphatique; or, ce rôle est surtout net dans les
maladies
mentales qui ont pour cause un surmenage cortic
rables au point de vue du pronostic en raison du début récent de la
maladie
et que beaucoup d'entre eux auraient probableme
DE Mus GRAVE CLAY. IL LE REPOS et l'exercice dans LE traitement DES
maladies
NER- VEUSES ET mentales; par le professeur L. M
t deviendrait peut-être un acheminement à un nouveau traitement des
maladies
de l'axe cérébro-spinal ; il faisait connaître
ès les attaques d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême excitation ou de
maladie
intercurrente, la fréquence des attaques ne par
t imprudent de se fier à la suggestion seule dans le traitement des
maladies
et qu'elle ne dispense nullement de l'emploi de
e obser- vation pour l'hystérie et pour l'laystéro-épilepsie. Les
maladies
mentales ne sont que peu ou point influencées.
n peut être employée comme traitement sympto- matique dans diverses
maladies
auxquelles on ne trouve pas de cause apparente,
'irritation réflexe ne pourra que rarement modifier la marche de la
maladie
. 3° Le nombre des cas connus, dans lesquels une
'affaiblissement intellectuel, étant le résultat d'un vice ou d'une
maladie
cérébrale, congénitale ou acquise, qui s'oppose
épileptiformes et 30 p. 100 de cachexie. Dans 12 cas pour 100 la
maladie
s'est développée entre vingt-cinq et trente ans
100 entre trente et quarante-cinq ans. Enfin dans 1 cas pour 100 la
maladie
s'est dévelopée entre quinze et vingt ans et dans
2,5 p. 100 entre vingt et vingt-cinq ans. La durée moyenne de la
maladie
a été de deux ans et huit mois. (American Journal
'est ainsi que la paralysie générale de nature syphilitique et la «
maladie
cérébrale syphili- tique D, ont de nombreux poi
tés et des symptômes ne seraient dus qu'à la distance qui sépare la
maladie
, de l'infection syphilitique. Chaque fois que l
nés, le surmenage cérébral n'a pu être incriminé comme cause de la
maladie
. (American Journal of insanity, juillet 1896.) E.
EXOPHTALMIQUE; par le Dr Serge SOUKHANOFF. Différentes formes de
maladies
mentales accompagnent le goitre exophtalmique à
isse encore, à l'heure actuelle, considérer aucune forme typique de
maladie
mentale comme se rapportant spécialement au goi
ou allaitement; ce sont là plutôt des causes occasion- nelles. Les
maladies
mentales se développant durant l'état puer- pér
est généralement favorable : les éléments se tirent, comme pour les
maladies
mentales en général, des données étiologiques e
les-guérisons spontanées ne sont pas rares; mais les progrès de la
maladie
peuvent être réguliers et continus, lents ou ra
de la sensibilité générale que l'on observe si fréquemment dans les
maladies
mentales et qui sembleraient devoir être des caus
insi dire directs, c'est-à- dire qu'ils accompagnent directement la
maladie
et sont associés à l'existence de produits anor
Ce travail n'est qu'une con- tribution à l'étude de l'influence des
maladies
aiguës sur l'évolution des affections mentales,
y. XXXIX. SUR LES symptômes mentaux QUI PEUVENT SURVENIR dans LES
maladies
somatiques; par Ernest Septimus REYNOLDS. (The Jo
relativement rare de voir la folie vraie survenir dans le cours des
maladies
somatiques : 2° Dans les hôpitaux généraux, la
xiste aucune forme spéciale de folie se rattachant à telle ou telle
maladie
somatique, en sorte qu'il est impossible de déd
'il est impossible de déduire des symptômes mentaux la nature de la
maladie
soma- tique primitive. Il y a cependant lieu de
; 5° La folie apparaît avec une fréquence extraordinaire dans les
maladies
somatiques qui s'accompagnent de névrite périphér
mie, la goutte et le diabète. Il est possible que dans les diverses
maladies
, l'agent étiologique des altérations des nerfs
la longueur de la survie trancheront la ques- tion. En somme, la
maladie
dont il s'agit possède une physionomie clinique
conclure à l'existence ou à l'absence d'une maladie mentale. Les
maladies
mentales se traduisent avant tout par des symp-
'inculpé d'une intoxication antérieure (alcool, morphine), ou d'une
maladie
(somnambulisme, épilepsie, hystérie) ; 4° perve
esprit est chose indivisible. M. \'VEmGnaT fait remarquer que les
maladies
mentales peuvent ètre plus ou moins accusées et
maladie mentale, lorsque l'aliéné se trou- verait, par suite de sa
maladie
, incapable de gérer ses intérêts. Les extraits
ins aliénistes allemands on a proposé de substituer à l'expresion «
maladie
mentale » le mot « trouble psychique », afin de
ont des ma- lades, et, pour apprécier en connaissance de cause leur
maladie
, l'expérience des choses médicales et les métho
ur termine par les propositions suivantes : 10 L'alcoolisme est une
maladie
physique et psychique. 2° Le «buveur i, SOCIÉTÉ
en forme de tour ne constitue pas à lui seul une prédisposition aux
maladies
mentales, mais on connaît toute une série de ca
inconnues, peut- être consécutivement à des localisations dans les
maladies
infec- tieuses, ou à la suite de traumatismes,
parPilgrim; Régime ali- mentaire dans les asiles, par Manson; - Des
maladies
du bassin chez les femmes et aliénation mentale
cédents héréditaires, le milieu familial, les accidents nerveux les
maladies
infectieuses subies par la « brute ». A Bicêtre
et même guéris. 1\IAG : >AN (V.). - Leçons cliniques SUI' les
maladies
mentales, faites à l'Asile clinique (Sainte-Ann
Par le D 11. ILIPIL, , ; 111édecin lcs HJpiLau. Comme beaucoup de
maladies
, le tabes affecte un système physiologique, cel
le microscope une fibre de la sensi- bilité d'une fibre motrice. La
maladie
fait cette distinction. En décrivant les troubl
1. HT. 17 î 58 CLINIQUE NERVEUSE. Vulpian 1, dans son traité des
maladies
du système nerveux, écrit : « L'odorat est rare
depuis un an et la digestion difficile ». Plus loin il ' Vulpian. -
Maladies
du système nerveux, 1879, t. I, p. 330. 2 Pierr
ystème nerveux, 1879, t. I, p. 330. 2 Pierret cité par Vulpian. 3
Maladies
de la moelle épinière, p. 610. ' Itaymond. Tabè
, p. 610. ' Itaymond. Tabès clorsttlis. Dict. encycl., p. 310. ''
Maladies
de la moelle, J 7. leçon, p. 21G. o Topinard. T
réelle; il prend une part incontestable à la symptomatologie de la
maladie
; malgré les souffrances de ces malades ayant t
sont dans un plan fort éloigne par rapport aux autres signes de la
maladie
. Cette seconde catégorie de cas nous a paru trè
tabétique et probablement alcoolique vers la troisième année de sa
maladie
. En se servant de différentes substances odoran
oin de là. Et dans ce cas il est évident que le goût participe à la
maladie
gastrique. En relation avec les sensations subj
eaucoup plus persistant et qui semble se lier plus étroitement à la
maladie
nerveuse, est caractérisé par une coloration blan
le trophique de la muqueuse linguale sous l'unique dépendance de la
maladie
nerveuse. La cause qui le régit, autorise le te
ortent sans la moindre hésitation les sensations subjectives à leur
maladie
. .Mais de l'illusion sensorielle à l'hallucinat
ehors du tabes lui-même. A supposer, en effet, que cette dernière
maladie
, en l'absence de mouvements ataxiques, ce qui n'e
mptômes visuels qui appartiennent à l'une et non à l'autre des deux
maladies
. Il semble en présence de toutes les variétés d
ne puissent être négligés dans une description complète de cette
maladie
. Autres symptômes accompagnant les troubles du
euvent être l'indice très précoce de la participation du bulbe à la
maladie
. Dans les deux observations citées plus haut et
. Jof- froy et Hanot, le goût se montre altéré dès le début de la
maladie
. Il y avait chez le premier de ces malades une sa
t, des analogies évidentes avec ce qu'on peut observer dans la même
maladie
relativement à d'autres nerfs cra- niens. Dan
quelques auteurs comme pour nous-même' le tabes vulgaire est une
maladie
du téléneurone centripète. Les nerfs du goût et
rd qu'il n'est peut-être pas un médecin, ayant quelque pratique des
maladies
mentales, qui oserait sou- tenir qu'un aliéné e
e carac- tère chez sa mère), jusqu'à 18 ans; à cet âge elle eut une
maladie
de trois mois, avec convulsions, maladie qui pa
ns; à cet âge elle eut une maladie de trois mois, avec convulsions,
maladie
qui paraît avoir été assez obscure d'après le n
e soit pas très riche sur ce point l'apparition de la folie dans la
maladie
de Graves est un fait connu, sur lequel l'auteu
ché l'hystérie, sans la constater; ce qui paraît les rattacher à la
maladie
de Graves c'est surtout leur groupement (différen
oedémateux : une autre dissemblance, c'est l'absence totale dans la
maladie
de Graves des hallucinations de l'odorat, si co
rrait-on pas induire (con- clure serait prématuré) que l'une de ces
maladies
est due à une insuffisance et l'autre à un excè
l'artério-clérose, l'alcoolisme, la syphilis, les chocs moraux, les
maladies
cérébrales, etc. Les manifestations de l'épilep
ns. Il est vraisemblable que, dans certaines circons- tances, toute
maladie
infectieuse peut déterminer une myélite, D'aill
étaux, métalliques, gazeux des auto-intoxications (diabète, anémie,
maladies
de l'estomac). Les refroidissements graves agis
aussi en détermi- nant l'apparition de produits toxiques. Dans les
maladies
infec- tieuses il faut incriminer tantôt l'infe
ite antérieure de l'a- dulte qui fréquemment est déterminée par une
maladie
infectieuse. Puis viennent la forme centrale de
ite transverse. La forme centrale de la paralysie de Landry est une
maladie
du territoire des artères centrales qui s'étend
La sclérose multiple parfois évolue rapidement, et le début de la
maladie
, qui peut frapper les nerfs optiques ou la protub
e choléra. Les pneumonies secondaires qui succèdent parfois à des
maladies
infectieuses graves peuvent en partie être attrib
plus aisément une dégé- nération de la moelle, de là le danger des
maladies
infectieuses de longue durée et à récidives mul
l'action spécifique du poison sur la fibre nerveuse qu'aucune autre
maladie
infectieuse ne persiste aussi longtemps dans l'
ensant obteuir leur guérison par la lecture des livres sacrés : les
maladies
mentales sont considérées comme une punition divi
faux goitres exophtalmiques, il doute de l'existence de cesfausses
maladies
de Basedow, existence quisemble cependant repos
roïdienne qui permettent de les distinguer nettement de la vraie
maladie
de Basedow. M. Riche critique les théories path
être laissée au chirurgien et parmi les opérations tentées dans la
maladie
de Basedow (thyroïdectomie totale ou partielle,
consultation externe et du laboratoire de chimie de la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. 348 RECUE
lles. Il s'agit d'une femme qui s'est présentée à la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière présentant l
té à relever. . Personnellement sans avoir jamais souffert d'aucune
maladie
aiguë grave, notre malade n'ajamais été d'une s
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII. Faisceau pyramidal et
maladie
DE LITTLE par M. VAN GEHUCHTEN. (Jourot. de Neu
la phase de l'hérédité qui a les rapports les plus intimes avec les
maladies
mentales, est la dégénérescence; c'est ce qui e
t 1888, XIX, 3, 4.) 11 la rapproche de la réaction myotonique de la
maladie
de Thom- son et des modalités électriques de la
OGIE PATHOLOGIQUES. 363 rasthénie et l'épilepsie sont de véritables
maladies
constitution- nelles du système nerveux, puisqu
ndique une hypérémie cérébrale, comme le fait se pro- duit dans les
maladies
fébriles. Une fontanelle très proéminente et tr
mi- ner la nature d'accidents méningitiques survenant au cours de
maladies
infectieuses (pneumonie, fièvre typhoïde). Si la
s plus de dix ans, les autres depuis moins de trois ans. Formes des
maladies
: REVUE DE pathologie mentale. 371 XLV. DE l'
généraux, et telles qu'on pouvait les considérer comme la base des
maladies
intercurrentes ayant déterminé la mort des suje
rtout chez les hystériques. - - J. SÉGLAS. XLVII. Association DES
maladies
du COEUR ET DES névroses ; par Fronda. (Il Mani
à avoir un rétrécissement mitral; après trois ans de durée, cette
maladie
ne détermina pas les tristes accidents de règle e
LAS. XLIX. DE l'influence DE l'élément nerveux ET mental dans LES
maladies
EN général; par CLOUSTON. (B1'itiscn Médical Jour
es armées l'action de la défaite sur l'augmentation immédiate des
maladies
épidémiques et la suspension de ces dernières a
cerveau ('exemple castration). La mort, consécutive à beaucoup de
maladies
, provient moins de l'aggravation du mal que de la
ndividu ; de là l'im- portance de la psychothérapie dans toutes les
maladies
. Dans le numéro précédent de septembre 1895, M.
nolds avait fait un article sur le même sujet : Des relations des
maladies
corporelles avec les troubles intellectuels; ains
formes les plus communes qui simulent la paralysie géné- rale. Les
maladies
auxquelles se rattachent ces pseudo-paralysies
état mental et développement intellectuel avant l'apparition de la
maladie
; premiers symptômes; marche de la maladie; trou
avant l'apparition de la maladie; premiers symptômes; marche de la
maladie
; troubles somatiques prédominants ; - réflexes
ue. Il est difficile de fixer avec précision la date du début de la
maladie
: probablement quinze ans. 2° La deuxième obser
syphilis héréditaire, l'hydrocéphalie, le début très précoce de la
maladie
(à neuf ans) par un ictus, l'existence de trouble
femme que chez l'homme : 20 hommes et 21 femmes. 2° Le début de la
maladie
s'est fait de quinze à seize ans dans 11 cas, d
t un moindre contingent de (4 à 2 cas). 3° La durée moyenne de la
maladie
a été, dans les 23 cas qui ont pu être utilisés
utilisés pour cette recherche, de quatre ans et demi. Dans 5 cas la
maladie
a duré plus de sept ans. 4° Des tares héréditai
probable 93 p. 100.) 380 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cours de la
maladie
, tandis que les troubles psychiques se dévelop-
ômes prodromiques, des troubles neurasthéniques : à la clinique des
maladies
mentales de Heidelberg, sur cent- quatre-vingt
e neurasthénique de la paralysie générale. L'âge auquel apparaît la
maladie
peut fournir ,.des indications utiles. La neura
jours dès la jeunesse. Au contraire la paralysie géné- rale est une
maladie
de l'âge adulte : sur cent quatre-vingl-neuf ca
important à considérer, non seulement à lapériode prodromique de la
maladie
, mais à un stade plus avancé. On aura lieu de c
u mot, comme le critérium de la paranoïa, qu'il oppose, en tant que
maladie
des facultés intellectuelles propre- ment dites
e et de troubles dans les conceptions, avec une notion exacte de la
maladie
, l'espoir de la guérison, des habitudes mystiqu
de l'épilepsie, surtout dans les cas d'équivalents psychiques de la
maladie
, il faut s'appuyer sur les antécédents épi- lep
de catatonie ont un pronostic commun et que par suite, une fois la
maladie
diagnos- tiquée, on peut en prédire la marche a
démence, mais fréquemment aussi par la guérison. Ils pensent que la
maladie
peut récidiver, même après un long intervalle.
pourrait se passer d'infirmiers atta- chés spécialement à certaines
maladies
. M. LUDN(G. Ces infirmiers sont une source d'en
ice de médecine interne ou d'ophtalmologie. Lorsque, à la fin de la
maladie
, la démence s'ins- talle, la prédominance des t
orté le malade, en général trois ou quatre ans après le début de la
maladie
( dans un cas, après une durée de trente-trois
de la démence sénile; on peut sans doute, rencontrer aussi dans ces
maladies
des foyers hémorragiques, mais l'artérioscléros
l faut citer, comme signes importants, les relations étroites de la
maladie
avec des ictus, le caractère particulier de l'a
flexes ten- dineux et cutanés, qui existaient au commencement de la
maladie
; disparurent plus tard. La sensibilité restait
absence de lésions des troncs nerveux et la polyurie du début de la
maladie
, tout indiquait, d'après l'auteur, une origine
aladie, tout indiquait, d'après l'auteur, une origine toxique de la
maladie
en question. La discussion ont pris part MM. le
de Paris. L'étude des relations de la syphilis héréditaire avec les
maladies
du système nerveux et en particulier avec les m
ire avec les maladies du système nerveux et en particulier avec les
maladies
nerveuses de l'enfance est tout il fait à l'ord
ant l'existence d'une lésion médullaire isolée dans certains cas de
maladie
de Little en souligne encore l'intérêt; les aut
ribuant à chacun la part qui lui revenait dans la description de la
maladie
. Les moeurs des morphinomanes, la morphinomanie
eur.) Les poisons jouent un rôle important dans la pathogénie des
maladies
(maladies humorales, maladies infectieuses, malad
s poisons jouent un rôle important dans la pathogénie des maladies (
maladies
humorales, maladies infectieuses, maladies à ré
rôle important dans la pathogénie des maladies (maladies humorales,
maladies
infectieuses, maladies à réactions nerveuses, m
pathogénie des maladies (maladies humorales, maladies infectieuses,
maladies
à réactions nerveuses, maladies à dystrophie él
s humorales, maladies infectieuses, maladies à réactions nerveuses,
maladies
à dystrophie élémentaire, etc.). Le tube digest
répondérant dans les accidents généraux qui surviennent la suite de
maladies
de l'estomac. Les parasites qui se développent
édité, des notions générales sur la vie, sur l'état de santé et des
maladie
; sur la mort, la naissance et la reproduction ;
enter sur l'âme humaine, la nature s'est chargée d'offrir, avec les
maladies
de l'âme et les diverses formes d'aliénation ment
la médecine générale, car elle trouve son étiologie dans toutes les
maladies
du corps. C'est dire que l'avancement de la psy
établissements hospitaliers à des hommes qui ne connaissent ni les
maladies
, ni l'hygiène c'est un non- sens. ( t3. ) 430
extra-lucides, leur influence au point de vue du développement des
maladies
nerveuses et mentales (Aperçu médico-1t ? al).
'ils conservent d'ailleurs encore des ' t1.-L.-J. Bayle. Traité des
maladies
du cerveau et de ses mem- brantes. Paris, Gabon
les aliénés. Paris, J.-B. Baillière, 1826. 2 Calmeil. Traité des
maladies
inflammatoires du cerveau, 2 volu- mes. Paris,
alysie générale... C'est donc à son mode de terminaison seul que la
maladie
doit son nom ». La mort se produit par des méca
' émet une opinion analogue : « Presque toujours, vers la fin de la
maladie
, on voit survenir un amaigrissement rapide et p
tivité de l'écorce sont anéanties (p. des 1 B. Bail. Leçons sur les
maladies
mentales, 2° édition. Paris, Asselin et Houzeau
Paris, Asselin et Houzeau, 1890. 2 E. Régis. Manuel pratique des
maladies
mentales, 2° édition. Paris, 0. Doin, 1892. 3
ints de rester continuellement cou- chés dans leur lit (p. 279). La
maladie
se termine ordinai- rement par la mort, qui arr
marastique ; 2° par pneumonie; 3° par convulsions; 4° enfin par une
maladie
intercurrente, pneumonie, pleurésie, eschares e
. Leonardo Vasard], Milano, 1886. 2 II. Schule. Traité clinique des
maladies
mentales. Traduction Dagonet et Duhamel. Paris,
RMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 437 à la dernière période de leur
maladie
, les paralytiques géné- raux deviennent complèt
isté entre l'état des malades avant la mort, entre la durée de la
maladie
et entre le genre de mort, nous obtenons les résu
égale- ment morts debout; ils sont au nombre de 12. Chez eux, la
maladie
a duré un peu plus longtemps que chez les précéde
nts puisqu'elle atteint 4 ans 1/2. Dans un cas à début tabétique la
maladie
a duré plus de 10 ans. Pour un autre, appartena
pu le plus - souvent faire remonter le début qu'à une époque où la
maladie
était déjà bièn apparente pour l'entourage. D
u'ils ont vu, mais ce qu'ils ont vu tenait, je le crois, moins à la
maladie
elle-même qu'à une tout autre cause. Les paraly
d'influence dans la production des troubles trophiques. Comme toute
maladie
chronique grave, la para- lysie générale altère
ron, et presque tous rangent ces ictus dans les complications de la
maladie
. Cette complication - de même que les affection
cation de la paralysie générale, mais comme un symtôme propre de la
maladie
et, de plus, comme sa terminaison naturelle et
e succombe normalemen à une de ces attaques, lorsque le cours de sa
maladie
n'est pas interrompu par quelque affec- tion in
us peu graves, souvent apoplectiformes, à la première période de la
maladie
. Puis, un long intervalle (un an, deux ans et p
e vraie) et de séjour obligé au lit; dans cette seconde variété, la
maladie
aurait habituellement une durée plus longue.
bien persuadés qu'ils ne sont pas une conséquence nécessaire de la
maladie
et qu'on peut ordi- nairement en empêcher la pr
du pronostic et pour une plus juste appréciation de la nature de la
maladie
. . Voir Annales médico-psychologiques, mars 189
ur les autres qui pouvaient s'alléguer comme producteurs de la même
maladie
, c'est-à-dire l'alcoolisme du père, la différen
que Little attachait beaucoup d'importance, dans la genèse de la
maladie
qui porte son nom, à l'asphyxie des nouveau-nés,
enfance, dans lequel entrent la paraplégie spasmodique infantile ou
maladie
de Little, l'hémiplégie spas- modique, la diplé
cher, d'après les cas déjà publiés, la nature pathologique de cette
maladie
. Les points intéressants de l'observation perso
s par les auteurs postérieurs à Landry comme caractéristiques de la
maladie
à savoir : une paralysie ascendante aiguë, caus
YOl'k Médical Journal, 6 juin 1896.) Dans le cas dont il s'agit la
maladie
a débuté par des phéno- mènes d'ophtalmoplégie
orcé d'entrer à l'hôpital, quatre jours après le commencement de la
maladie
. C'est un sujet robuste, se plaignant de douleurs
une attaque d'asphyxie quatre semaines après le commencement de la
maladie
. A l'autopsie, on ne trouve d'abord rien. Après
e blanche peut être dégénérée sans que la sensibilité soit altérée (
maladie
de Friedreich). LXIV. DE la FRÉQUENCE DE la neu
u finnois. Toutes les classes de la société sont atteintes de cette
maladie
et ce n'est pas constaté si elle est plus génér
, est, selon l'auteur, une des raisons de la grande fréquence de la
maladie
chez les femmes. ' Conférence donnée au premier
e plus souvent entre' les deux âges. En parlant des symptômes de la
maladie
, l'auteur s'arrête le plus aux symptômes dyspep
et puissent causer la neurasthénie chez les personnes disposées aux
maladies
nerveuses. Quant à l'étiologie de la neurasth
ques de la neurasthénie sont plusieurs. Elle naît souvent après des
maladies
infectieuses, surtout après l'inlluenza. Selon
locale, mais elles ne peuvent être considérées comme ayant causé la
maladie
, mais plutôt comme ses suites. Même dans les ca
ccidentelle causale. L'auteur accentue néanmoins que, même si v les
maladies
des parties génitales de la femme ne peuvent que
l'occasion du traumatisme. Il pense intervenir. LXVII. Un cas DE
maladie
osseuse DE Pajet SUIVI d'autopsie. Ce cas est i
phe, ne présente pas d'antécédents héré- ditaires ou personnels. La
maladie
a débuté il y a dix ans, pas de parésie, des cr
r 413 grammes. Poids des reins 130 et 135 grammes. Le diagnostic de
maladie
osseuse de Pajet n'est pas douteux. M. Pic appe
ont de nature à appuyer l'hypothèse de l'ori- gine médullaire de la
maladie
de Pajet. (Société des Sciences médi- cales de
érison encore incomplète au bout de sept mois. Si l'évolution de la
maladie
montre que cetle névrite s'est comportée comme
ournal of insanity, oc- tobre 1896.) E. R. LXXVI. CHOC nerveux ET
maladie
DU SYSTÈME nerveux COMME cause d'anémie PERNICI
omprendre la signification des principaux symptômes fournis par les
maladies
de la moelle, il faut connaître sa structure et
. Roth, on pourrait plutôt supposer ici l'origine parasitaire de la
maladie
en question. Selon M. Mouratoff les cas cités n
ans certains cas d'cemnésia de Aleynert pendant tout le cours de la
maladie
, existent des embarras de la parole indépendamm
'elle peut jeter une lumière sur le cours probable de l'issue de la
maladie
. M. le professeur KORSAKOW pense que les troubl
ont augmenté en fréquence et en intensité, d'où il résulte que les
maladies
mentales ont dû devenir plus fréquentes ; citon
peut donner aucune indication sur la prédisposition d'un peuple aux
maladies
men- tales. Ce dont il faut tenir compte, c'est
ère période, avec le mémoire original de Bourdon et Luys (1861), la
maladie
est regardée comme la sclérose des racines et d
eur Raymond à la Salpêtrière. Il montre combien l'évolution de la
maladie
tabétique est polymorphe; ce polymorphisme cliniq
lire est basé sur l'état mental primordial et sur l'évolution de la
maladie
. Jusqu'au moment où éclate le délire, le malade n
ées de persécution. C'est la troisième période de l'évolution de la
maladie
qui se termine toujours par la démence. C'est l
pide des états de conscience. Ils existent cependant au début de la
maladie
ou au moment de ses rémissions, mais chez les seu
on de Hamel et A. Marie, 492. Anémie pernicieuse. Choc nerveux et
maladies
du système nerveux comme cause d' -, par Derric
dans le tabes, par Kllppel, 257. GRHES. Troubles mentaux dans la
maladie
de, parMaude, 322. Hallucinations pénibles dans
s, par Wemgart, 242. INFECTIEUSES Complications ner- veuses des
maladies
-, par Iland- ford, 52. Infirmières blessées
tion des aliénés. Rovaume de Prusse, 75. r " Lèpre. Influence des
maladies
aiguës sur la -, par Todd, 52. * Lésions. Eta
Degrotte, 147. - de l'espace sous- arachnoïdien, par Jacoby, 211.
Maladies
nerveuses ET mentales. Le repos et l'exercice d
hroniques, par Najcke, 369. Mental. Élément nerveux et dans : les
maladies
, par Clouston, 373. Mentaux. Symptômes pouvant
, par Clouston, 373. Mentaux. Symptômes pouvant survenir dans les
maladies
soma- tiques, par Reynolds, 236. Moelle. Sect
ériques, par Williams, 328. Nerveux. Elément et mental dans les
maladies
, par Clouston, 373. Névrite alcoolique avec t
raumatique du cubital, par Feinte),470. Névroses. Association des
maladies
du coeur et des -, par Fronda, 372. Neurast
air, 53. Organe pseudo-électrique chez le Mormyrus, 480. PAJET.
Maladie
osseuse de -, par Devay, f6S. Paralysie des l
e des - cho- réiques, par Rousseau, 153. Pyramidal. Faisceau - et
maladie
de Little, par van Gehuc))t3n, 353. Racines p
, par Ireland, 255. Température superficielle du crâne dans les
maladies
cérébrales, par Mac Casl : ey, 6. Testiculair
ŒUVRES COMPLETES D E J.-M. CHARCOT LEÇONS sur les
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES pa
férentes. Le premier s'attache principalement au tableau abstrait des
maladies
; il néglige à dessein, ou relègue Gharcot. Œuv
firmer que, dès les premières périodes de l'ataxie, alors même que la
maladie
, encore à ses débuts, est marquée seulement par d
ans un ordre déterminé, toujours le même ou peu s'en faut ; c'est une
maladie
à part, autonome. La lésion à laquelle sont liés
attacher l'induration grise des cordons postérieurs et montrer que la
maladie
, considérée d'abord comme exceptionnelle, est, en
emment accomplis dans l'histoire, longtemps presque inextricable, des
maladies
spinales chro-niques. Ce résultat était d'ailleur
veuses, à certains faisceaux de fibres? Il est permis d'en douter. La
maladie
, au contraire, produit journellement de telles lé
motrice ; cette lésion existe, Messieurs, à toutes les épo-ques de la
maladie
, mais il faut savoir la chercher là où elle est.
r une complication, est venue arrêter prématurément l'évolution de la
maladie
. Je puis citer, à ce propos, l'observation de la
us devons ajouter que, d'après nos observations, à cette époque de la
maladie
, les racines spi-nales postérieures ne présentaie
riées quant aux symptômes,, et recueillies aux diverses époques de la
maladie
, on parviendra, tôt ou tard, — par la comparaison
'ici qu'elle ajoutât quoi que ce soit aux symp-tômes ordinaires de la
maladie
. L'extension progressive de la lésion scléreuse
e l'apparition de certaines com-plications qui s'observent dans cette
maladie
. Je me bornerai à un exemple. On sait qu'il n'est
votre attention. DEUXIÈME LEÇON Des actions rétrogrades dans les
maladies
spinales ; leurs rapports avec la sclérose des co
e. — Période prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. — Période de la
maladie
constituée ou de l'incoordination tabétique. — Pé
e dans la carie vertébrale, in Mém. et Rech. anat. path. sur diverses
maladies
. Paris, 1826. de carie des vertèbres dorsales a
lignes. Tous, vous savez que l'ataxie locomotrice progressive est une
maladie
chronique primitive qui s'attaque simultané-ment
tout porté jusqu'ici, ne constitue pas toujours à elle seule, dans la
maladie
, le fond anatomo-pathologique. K elle se rattache
a un parallèle à établir entre l'ataxie locomotrice progressive et la
maladie
que j'ai proposé d'ap-peler sclérose en plaques d
s, bien qu'il ne soit pas absolument constant. Quoi qu'il en soit, la
maladie
, dans cette période, est représentée cliniquement
, par les douleurs fulgurantes. Dans la seconde période, dite de la
maladie
constituée, et qui pourrait recevoir la désignati
elle est fort souvent méconnue. Pour beaucoup de personnes encore, la
maladie
ne commence qu'au moment où l'incoordination, l'a
autre phénomène concomitant, permettent communément de reconnaître la
maladie
pour ce qu'elle est et de la dénommer. Arrêtons
gurantes figurer de temps à autre dans la symptomatologie de diverses
maladies
, autres que l'ataxie, dans lesquelles les faiscea
où les douleurs fulgurantes constituaient à peu près seules toute la
maladie
. Quelques symptômes signalés dans le tableau cl
gnorer que, dès 1858, M. Gull, dans la précieuse collection de Cas de
maladies
spinales (Cases of Paraplegia), qu'il a publiée d
de l'ataxie locomotrice. Thèse de Paris, 1868. attention, dans les
maladies
spinales autres que la sclérose postérieure, par
manière très régulière. Elles peuvent se montrer dès l'origine de la
maladie
et eu consti-tuer pendant de longues années, avec
ionnée, je le crois du moins, dans aucun des traités spéciaux sur les
maladies
de l'estomac, même les plus récents. Maintes fo
et composer à elle seule, parfois pendant de longues années toute la
maladie
.—Or, ainsi que je vous l'ai fait pressentir, rien
fois. Elles se sont bientôt compliquées de douleurs en ceinture ; la
maladie
, depuis ce temps, est restée à peu près stationna
eurs auxquelles s'asso-cièrent des crises gastriques. Depuis lors, la
maladie
n'a pas subi d'aggravation. Ces faits, je pourr
lobe occipital et un cas d'ataxie à la première période? Ce sont deux
maladies
qu'on ne rapproche pas d'ha-bitude l'uoe de l'aut
ntérêt qui s'attache à l'étude ophthalmoscopique dans la clinique des
maladies
des centres nerveux. Je ne saurais donc trop vous
ons. — Cette arthropathie se développe à une époque peu avancée de la
maladie
spinale. — Prodromes. — Phases de l'arthropathie
ur préciser davantage, je dirai que, dans l'évolution naturelle de la
maladie
, il prend place, du moins en général, à une époqu
parition, pour ainsi dire constante et régulière, dans la marche delà
maladie
spinale, car c'est là un premier argument de quel
ilà, Messieurs, un beau spécimen de la forme bénigne et précoce de la
maladie
. Deuxième cas. — Chez un pharmacien de province
gastriques, se rapproche aussi de celle de M. B... A une époque où la
maladie
n'était symp-tomatiquement constituée que par des
, goutte, rhumatisme, etc., les affections articulaires propres à ces
maladies
ayant d'ailleurs une tout autre physionomie. B.
B. Cette arthropathie se développe à une époque peu avan-cée de la
maladie
spinale, le plus ordinairement alors que la sympt
articulaire survient à une époque bien déterminée de révolution de la
maladie
spinale. Acceptons les analogies, mais n'oublions
du rhumatisme noueux, de la goutte tophacée, ou une des lésions de la
maladie
d'Heberden, comme elle peut être aussi, enfin, le
hémorragie ou ramollissement du cerveau, à une cer-taine époque de la
maladie
, et qui rentrent anatomiquement dans la descripti
'est produit 1 Voyez pour plus de détails, Charcot : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 100, 5e édition. 2
pées de l'affection locale, ou-blier même absolument que, derrière la
maladie
delà jointure, il y a une maladie plus importante
er même absolument que, derrière la maladie delà jointure, il y a une
maladie
plus importante dans l'espèce et qui, en réa-lité
ux d'entre vous, qui ne sont pas déjà versés dans la connaissance des
maladies
nerveuses pourront d'ailleurs reconstituer ce tab
ns le traitement de l'ataxie, mais encore dans celui de bien d'autres
maladies
chroniques de la moelle épinière. On raconte des
cerai par le mal de Pott. Chose remarquable ! bien que ce soit là une
maladie
évidemment très vulgaire, on ne s'entend pas enco
mme atteinte de mal de Pott; cette femme a succombé par le fait d'une
maladie
intercurrente dans le temps même où la paraplégie
vent, pendant un temps fort long, ils com-posent à eux seuls toute la
maladie
, ou pour mieux dire toutes les apparences extérie
a maladie, ou pour mieux dire toutes les apparences extérieures de la
maladie
. C'est là une circon-stance capable de devenir l'
icultés on rencontre pour le diagnostic dans les premiers temps de la
maladie
. La condition organique n'est pas ici complètem
re qui prête, dans le cas où elle existe, une physionomie propre à la
maladie
. C'est lorsqu'il s'agit de cette forme-là, et de
mptomatique, sans pouvoir encore, toutefois, préciser la nature de la
maladie
primitive. Ensuite survint la paraplégie qui écla
s paralysés, des secousses, des crampes, une D. A cette phase de la
maladie
, sous l'action combinée de la suppression de l'in
qui ne manque à peu près jamais d'exister à une certaine époque de la
maladie
qui paraît devoir être rattachée, elle aussi, à l
u côté opposé à l'anesthésie tan- 1 Voyez Charcot. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, tome I, p. 27. dis qu'ils o
s); Ollivier, d'Angers (t. II, p. 319.) 2 Gharcot. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, tome L, p. 218, 219. commot
'ont étudié, ne s'observe-rait que comme une conséquence de certaines
maladies
organi-ques du cœur: le rétrécissement aortique,
blin Quarterly Journal of medic. Science. August. I. 146.— Traité des
maladies
du cœur et de l'aoHe, trad. par le Dr Senac, pp.
nnais-sance des faits que nous avons enregistrés dans la clinique des
maladies
de la moelle épinière. Je me vois forcé, à mon re
nce grise. Paralysie spinale infantile.— Elle sera considérée comme
maladie
d'éludé. — Symptômes: période d'invasion, ses mod
ion phy-siologique, trouvent leur confirmation dans la pathologie. La
maladie
, en effet, mieux encore que ne peut le faire le p
d'une modification de la sensibilité est un trait qui différencie les
maladies
du groupe des diverses for-mes de myélites que no
nente qui s'y surajoute — et qui constitue aussi un des symptômes des
maladies
scléreuses des cordons blancs antéro-latéraux par
e vous l'avais fait pressentir, le caractère clinique prédominant des
maladies
qui composent le groupe nosographique que nous no
e suraigu. Dans l'autre, elle prend dans sa marche, les allures d'une
maladie
primitivement chronique. Il y a là matière à une
t d'entrer dans l'analyse des faits. Nous choisirons comme éta-lon la
maladie
singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom
, dans l'espèce, la paralysie infantile peut être présentée comme une
maladie
d'étude ; car si nous réussissons à bien faire re
, je pense, rendue facile. Vous n'ignorez pas qu'il s'agit là d'une
maladie
propre jus-qu'à un certain point à l'enfance. En
la paralysie in-fantile est, vous le savez, des plus remarquables. La
maladie
a un début brusque, soudain, annoncé le plus souv
la paralysie infantile et elle semble s'accuser plus vite, dans cette
maladie
, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où
sont devenues définitives dans certains muscles, on peut dire que la
maladie
est arrê-tée. Il ne s'agit-plus, dès lors, que d'
de plus de soixante-dix ans, les vestiges très caractéristiques de la
maladie
qui l'a frappée à l'âge de cinq ans. Tels sont
égulier ; quelquefois, il se produit dans l'évolution naturelle de la
maladie
des irré-gularités qui, elles aussi, ont droit à
un trait d'union entre la paralysie in-fantile spinale et les autres
maladies
du groupe. III. Je vais essayer actuellement
mière période. C'est surtout relativement aux pre-mières phases de la
maladie
que les données positives con-cernant l'altératio
Boulogne), les aurait constatées trois semaines après le début de la
maladie
sur un fragment de muscle oblenu à l'aide de remp
olkmann et Steudener portent à le pen-ser, aux premières phases de la
maladie
. Mais, c'est là un point qui réclame de nouvelles
oc. cit. phériques, muscles ou nerfs, d'autres ont voulu y voir une
maladie
essentielle — ce qui, dans l'espèce surtout, ne v
nt, d'un cas de paralysie infantile spinale. L'époque de la vie où la
maladie
a éclaté, la brusquerie de l'invasion des acciden
ion de MM. Parrot et Joffroy, où il s'agit d'un enfant chez lequel la
maladie
remontait à peine à une année 1 ; dans un fait re
yez Leçon IX, p. 153 pement du sujet étant parfait à l'époque où la
maladie
appa-raît, vous ne devez pas vous attendre à voir
ronostic, cependant, ainsi que toutes les autres circon-stances de la
maladie
, diffèrent ici en général singulièrement de ce qu
. X... est âgé de 19 ans. Les seules particula-rités antérieures à sa
maladie
qui méritent d'être signalées, sont les suivantes
lle a été remarquée quelques semaines seu-lement après le début de la
maladie
. 11 est à regretter éga- lement que, faute d'ap
n pris, à Tair intelligent. On ne signale dans ses antécédents aucune
maladie
digne d'être re-levée ; pas de convulsions. Il n'
e vers le côté droit, tels sont actuellement les seuls vestiges de la
maladie
spinale. Les faits qui viennent d'être exposés
sur de jeunes sujets, morts à une date rapprochée de l'origine de la
maladie
, ont pu compléter à quelques égards, mais n'ont p
tions brusquement dévelop-pées se rattachent tous les phénomènes delà
maladie
, savoir : d'abord l'appareil fébrile initial, pui
antérieures de la substance grise. Il se produitlà, parle fait de la
maladie
, dans les parties centrales de la moelle épinière
éalité, c'est ce dont témoigne, entre autres, l'histoire de l'une des
maladies
spinales les plus communes chez l'adulte, et en m
aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 63, note 1. ONZIÈM
se trouvent alors comme entremêlés, ou mieux surajoutés à ceux de la
maladie
spinale primitive. Or, vous comprenez aisément, M
téristique; c'est, écrit M. Duchenne (de Boulogne), « le faciès de la
maladie
». Précisons, en faisant appel à un exemple concr
n exemple concret. Supposons le cas, très commun dans l'espèce, où la
maladie
n'a envahi encore qu'un certain nombre de muscles
On peut avancer que, dans les conditions régulières, la marche de la
maladie
est très lente : c'est par exception que, envahis
t sur ces observations, M. Duchenne avait cru pouvoir caractériser la
maladie
anato-miquement en lui imposant le nom à'atrophie
e des masses musculaires et masquer ainsi le principal symptôme de la
maladie
. Telles sont, Messieurs, les altérations muscul
cela du moins est arrivé dans tous les cas que j'ai recueillis, — la
maladie
s'étendre au bulbe et, à peu près toujours, c'est
"hérédité n'est pas signalée dans nos observations. L'âge auquel la
maladie
se développe varie entre 26 et 50 ans. Les femmes
olument étranger à l'atrophie primitive. Enfin, dans cette dernière
maladie
, l'absence de troubles quelconques de la sensibil
de répartition, d'enchaînement et d'évolu-tion des symptômes. a) La
maladie
débute, dans la grande majorité des cas, par les
, au contraire, peuvent conserver jusqu'aux der-nières périodes de la
maladie
un relief et une consistance qui contrastent sing
han-gent rien d'essentiel au tableau qUe je viens de tracer. Ainsi la
maladie
, dans certains cas, débule par les membres infé-r
autres formes ^atrophie musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1.1, p. 61, 2e édition. 2 J
s, conséquences des difformités qu'entraîne à peu près fatale-ment la
maladie
. A. Je vais vous donner tout d'abord quelques d
l, sont pris à leur tour. Il est probable que ce n'est point là une
maladie
rare. Se-lon toute vraisemblance, les faits publi
. De nouveaux phénomènes, qui constituent la seconde pé-riode de la
maladie
, ne tardent pas à se montrer ; ils semblent dépen
apins, a pour conséquence une déchirure 1 Gharcot. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. Il, p. 16. qui se fait d
aux caractères de la paralysie générale spinale subaiguë. C'est une
maladie
de l'adulte, car elle se montre surtout vers 35 à
mode d'invasion et de progression, les accidents, qui constituent la
maladie
, reproduisent, avec assez de fidélité, vous allez
dans le pronostic n'est pas absolue. Dans certains cas, en effet, la
maladie
dans sa marche ascendante, peut envahir le bulbe
ance, les choses changent de face et l'on peut voir, à bref délai, la
maladie
se terminer par la mort. Une autre particularit
illusoires et à des rechutes. Cette irrégularité dans la marche de la
maladie
mérite de fixer l'attention du mé-decin et l'obli
myotrophies de ce groupe, je citerai seulement, à titre d'exemple, la
maladie
dite paralysie pseudo-hypertrophique et les amyot
tal Sainte-Eugénie, dans le ser-vice de M. Bergeron, à la suite d'une
maladie
intercurrente. L'histoire de ce petit malade est
e la parole et de la déglutition survenus à une certaine époque de la
maladie
, tou-tes ces circonstances protesteraient, nu bes
0), l'hypertrophie apparente, constatée lors des phases ultimes de la
maladie
, serait le fait de l'hyperplasie conjonctive. « C
me, que présentent les masses musculaires à une certaine époque de la
maladie
, et je suis porté à croire que la substitution du
ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la
maladie
, tandis que celles atrophia musculorum lipo-matos
le contrôle d'autopsies nouvelles, avant de se décider à dé-nommer la
maladie
d'après le caractère anatomique. D'un autre côt
constitue en quelque sorte, symptornatique-ment, à peu près toute la
maladie
. Tandis, en effet, que l'ataxie locomotrice progr
resque toujours possible de le distin-guer non seulement de la grande
maladie
spinale systématique qu'on appelle l'ataxie locom
r de la forme vulgaire de la ma- 1 OUivier (d'Angers). — Traité des
maladies
de la moelle épinière. 3e édit. Paris 1837, t. II
et que les pieds n'arrivent pas à toucher le sol. 2 Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 2e édit., t. I, p. 245. rec
sinent aussi plus fortement dans le tabès spasmodique à mesure que la
maladie
progresse et s'aggrave, mais ils se caractérisent
considérons, bien d'autres phénomènes propres à différencier les deux
maladies
. Ainsi, dans l'ataxie, les divers sont : L'appl
ention des élèves sur ce phénomène singulier (Charcot, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, lle édition. T. I, p. 218, 18
peu moins fréquente chez la femme que chez l'homme. Ce n'est pas une
maladie
très com- mune; je n'ai pu, en parcourant ce va
réduits à l'impotence que dans l'ensemble. Il n'ap-paraît pas que la
maladie
puisse, par le seul fait des accidents qui lui so
dura-bles. Il y a donc lieu d'espérer encore que le pronostic de la
maladie
s'atténuera lorsqu'elle aura été mieux étudiée et
t, d'où résulte la monotonie du tableau clinique si particulière à la
maladie
, devra être envisagé aussi comme un élément de pr
gnostic de la contracture hystérique voir : Charcot. — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, pp. 3*4 et suivantes. —
nte delà moelle épinière ». J'ajouterai, pour com- i Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, p. llQ, pléter le ta
sculaires sur les membres affectés, par l'évolution plus rapide de la
maladie
considérée dans l'ensemble, par l'apparition pour
permettraient désormais, en toute occasion, de tracer entre les deux
maladies
une démarcation tranchée. L'ave-nir apprendra si
i quelques autres depuis lors. — Voyez à ce propos ses Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 2e édit., t. I, p. 264. 2 L
— Les faits se rapportent à trois groupes. Myélite consécutive aux
maladies
des voies urinaires. — Pa rareté chez la femme; s
e la prostate ; — pyélo-néphrite calculeuse. — Une exacerbation de la
maladie
des voies urinaires précède l'invasion des accide
duire tout d'abord, dans cette étude des paraplégies consécutives aux
maladies
des voies urinaires. Nous ne négligerons pas, cep
lytiques des membres inférieurs, survenant dans le cours de certaines
maladies
des voies urinaires, et paraissant devoir être ra
isent non plus comme cause mais au contraire comme con-séquence d'une
maladie
de la moelle épinière ; nous sommes éclairés main
tions. Le nombre même des faits dans lesquels on voit, au cours d'une
maladie
des voies uri-naires, apparaître la paraplégie, s
cas dans lesquels la faiblesse des membres, notée dans le cours de la
maladie
uri-naire, reconnaît pour cause, non plus une aff
uer rapidement les faits qui le concernent. Myélite consécutive aux
maladies
des voies urinaires. — Dans ces circonstances, il
cation vous permet déjà de prévoir par quelle réunion de symptômes la
maladie
va s'ac-cuser. Toutefois, avant d'aller plus lo
une chez les hommes. D'ordinaire, elle se développe dans le cours des
maladies
des voies urinaires de longue durée. Une gonorr
qu'apparaît la paraplégie. — Elle peut se montrer encore, liée à une
maladie
de la prostate, à une cystite ou à une pyélo-néph
ême. Ils éclatent à l'occasion d'une exacerbation des symptômes de la
maladie
primitive ou d'une complication inattendue. C'est
se présenter d'une façon beaucoup moins tardive, dans le cours d'une
maladie
des voies uri-naires. Je ne m'arrêterai pas, bi
Je ne m'arrêterai pas, bien entendu, à décrire les symp-tômes de la
maladie
des voies urinaires à laquelle succède l'affectio
que dans les cas précédents, et nous retrouvons dans l'étiologie les
maladies
de l'urèthre, de la vessie, de la prostate et des
t para-lytique des membres inférieurs, développé en conséquence d'une
maladie
des voies urinaires, est un phénomène au moins fo
qués pour expliquer le développement des paraplégies consécutives aux
maladies
des organes génito-urinaires. C'est ainsi que dan
ération du tympan. — Marche et station impossibles. — Évolution de la
maladie
. — Complica-tion : attaques d'hystérie. Histori
in des bruits d'oreille et l'invasion des sensations vertigineuses.
Maladies
de l'oreille : otite labyrinthique, otite moyenne
, catarrhe, etc. — Pronostic. — Guérison par surdité. — Traitement.
Maladies
réputées incurables. — Exemples de guérison. — Ca
onstatées par un médecin plus particulièrement versé dans l'étude des
maladies
de l'oreille et qui nous a obligeamment prêté son
ensemble symptomatique, que l'on désigne vulgairement sous le nom de
maladie
de Ménière, est sans doute difficile à reconnaîtr
rée comme elle le mérite dans lapratique usuelle. Bien que les cas de
maladie
de Ménière ne soient pas rares, tant s'en faut, a
s à la pratique des émissions sanguines. Le véritable caractère de la
maladie
ne fut reconnu que fort tard, à une époque où les
nt diverses espèces de vertige autre que celui qui se rattache à la
maladie
de xMénière, mais dans cette dernière affection i
vertical soit de gauche à droite, soit de droite à gauche. Il est des
maladies
,' qui, dans leurs divers accès croient éprouver t
sie ni de parésie temporaires. A l'origine, c'est-à-dire lorsque la
maladie
de Ménière en est encore à ses débuts, le vertige
des intervalles de calme absolu, pendant lesquels les symptômes de la
maladie
locale, d'où ils dérivent, persistent seuls. Mais
es sujets en proie, depuis de longues années, aux formes graves de la
maladie
de Ménière. Vous comprenez aisément, Messieurs,
s centres nerveux qui sont si fréquemment la conséquence des diverses
maladies
de l'oreille interne, n'in-terviennent pas habitu
ies de l'oreille interne, n'in-terviennent pas habituellement dans la
maladie
de Ménière, alors même que celle-ci en est arrivé
amendement équivalant, ou peut s'en faut, à une guérison. Le terme de
maladies
incurables, cela va de soi, ne saurait être pris
eutique est inter-venue. C'est à mon sens un très bel exemple de la
maladie
de Ménière ou pour mieux dire du vertige de Méniè
rois qu'elles consti-tuent le fait symptomatique fondamental, dans la
maladie
de Ménière, tandis que l'état vertigineux habitue
al of the med. Sciences, oct. 1874, 342. 2 Leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 1884, p. 316. Suivant
plutôt peut-être dans ce qu'on est convenu d'appeler la nature de la
maladie
que dans le siège anatomique. Si ce dernier, pour
es ves-tiges de l'une quelconque des manifestations tardives de cette
maladie
. Le résultant de cette investigation fut absolume
utionnelle, parmi lesquelles a figuré la roséole. Le traitement de la
maladie
à cette époque paraît avoir été régulièrement dir
lepsie partielle, indépendantes de la syphilis. Néanmoins, dans cette
maladie
, elle est, en général, beaucoup plus accentuée qu
d'une personne fort intelligente, témoin des principales phases de la
maladie
de M. K... J'utiliserai d'ailleurs, dans mon réci
peu près toujours entre cinq et six heures du soir. M. Lagneau, fils (
Maladies
syphiliti-ques du système nerveux. Paris, 1860, p
otrice corticale, voir Charcot, Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau, p. 160. Paris, 18*6. — M. Hanot a pré
lle ont apparu les douleurs fulgurantes, qui mar-quent le début de la
maladie
actuelle. Ces douleurs ont occupé tout d'abord le
embres jouissaient encore de tous leurs mouvements physiologiques, la
maladie
spinale n'étant représentée là que par des accès
. 166). recueil, t. II, p. 121 et t. III, p. 306 ; — Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, p. 62. 1 The influen
ade se mordait souvent la langue. 2 Voir: Charcot. — Leçons sur les
maladies
du sijstème nerveux, tome II. p. 330. fluence d
nts, la mort survint inopinément à la suite d'un accès de dyspnée. La
maladie
, chez celte femme, se serait déclarée, paraît-il,
été atteint d'atrophie musculaire ; elle-même n'a jamais eu d'au-tre
maladie
que les fièvres éruptives de l'enfance, enfin ell
viron, la droite fut envahie à son tour. A partir de cette époque, la
maladie
sui-vit son cours d'une façon régulière et lente,
mbres inférieurs. État actuel, mai 1869, 7 ans après le début de la
maladie
. L'a-trophie a envahi les deux mains, les deux br
ois semaines. Il n'avait entravé en rien la marche envahissante de la
maladie
, au contraire, la faiblesse des membres inférieur
tal Sainte-Eugénie, dans le ser-vice de M. Bergeron, à la suite d'une
maladie
intercurrente. L'histoire clinique du petit malad
tement atrophiés 3. Que se passe-t-il dans la seconde période de la
maladie
, alors que les muscles paralysés commencent à aug
rme que présentent les masses musculaires à une certaine époque de la
maladie
, et je suis porté à croire que la substitution du
ne devrait rigoureusement s'appliquer qu'aux premières périodes de la
maladie
, tandis que celles d'atrophia musculorum lipomato
e la parole et de la déglutition survenus à une certaine époque de la
maladie
; toutes ces circonstances, entre autres, protest
c consécutive.. 1 DEUXIÈME LEÇON des actions rétrogrades dans les
maladies
spinales,' leurs rapports avec la sclérose des co
. — Période prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. — Période de la
maladie
constituée ou de l'incoordination tabétique. — Pé
ons. — Cette arthropathie se développe à une époque peu avancée de la
maladie
spinale. Prodrames. — Phases de l'arthropathie do
ce grise. Paralysie spinale infantile. — Elle sera considérée comme
maladie
d'étude. — Symptômes : période d'invasion, ses mo
— Les faits se rapportent à trois groupes. Myélite consécutive aux
maladies
des voies urinaires. Sa rareté chez la femme ; sa
e la prostate ; — pyélo-néphrite calculeuse. — Une exacerbation de la
maladie
des voies urinaires précède l'invasion des accide
ération du tympan. — Marche et station impossibles. — Évolution de la
maladie
. — Complica-tion : attaques d'hystérie. Histori
in des bruits d'oreille et l'invasion des sensations vertigineuses.
Maladies
de l'oreille : otite labyrinthique, otite moyenne
, catarrhe, etc. — Pronostic. — Guérison par surdité. — Traitement.
Maladies
réputées incurables. — Exemples de guérison. — Ca
ose, etc.) Myélite centrale, 165, 167, 202,208. — consécutive aux
maladies
des voies urinaires, 326; — partielle, douleurs f
E NEUROLOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT
OUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
le clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
, très sobre, fumeur, caractère sournois, grand, vigoureux ; aucune
maladie
de peau, nez aquilin, cheveux châtain foncé. Il
physionomie régulière, cheveux châ- lain foncé, nez aquilin, pas de
maladie
de peau ni de syphilis. Bien qu'elle se soit ma
ui est arrivé de gâter dès les premiers jours de son arrivée. Comme
maladie
antérieure, on a signalé une bronchite en 1892.
les de la marche que l'on observe chez les individus atteints de la
maladie
de la moelle épinière, connue sous le nom de ta
simulés, cela est certain. Ils ne sauraient être rapportés à aucune
maladie
de la moelle épinière, du cerveau ou- d'un orga
anents de cette névrose. Pour nous, Delannoy n'est atteint d'aucune
maladie
de la moelle épinière, d'aucune maladie mentale
intellectuels permet d'avoir au moins des doutes sur la'réalité des
maladies
men- tales notées chez lui antérieurement. -Aus
débris, marque en dernier le degré de la destruction. - Dans les
maladies
comme la paralysie générale par exemple où la c
érose combinée enfin et surtout dans la paralysie générale : Aucune
maladie
n'offre peut-être des conditions aussi favorabl
le en passant, de l'altération des cornes de la moelle dans cette
maladie
; altération sur laquelle notre maitre M. le profe
ette lésion, on la rencontre décrite par d'autres auteurs, dans des
maladies
à vrai dire, très différentes des précédentes e
tubes nerveux de la moelle dont il a établi les lésions dans cette
maladie
, des figures semblables à celles que nous venons
. La même lésion pourrait, d'après Minnich, se rencontrer dans la
maladie
d'Adisson ainsi que le montrent les observa- ti
de Fleiner, de Balès et Kalindero et aussi dans une série d'autres
maladies
de la moelle où elle semble une lésion surajout
lons y revenir. Mais dès à présent, en considérant l'ensemble des
maladies
où cette même lésion, avec ses caractères si ne
mais au con- traire d'un processus banal paraissant à l'origine des
maladies
les plus dissemblables sous d'autres rapports.
là ce qui doit fixer notre attention comme se rapprochant plus des
maladies
à évolution lente, on observe des modifications
élément nerveux est le même à son début, si diverses que soient les
maladies
envisagées dans leur cause et leur évolution ul
dies envisagées dans leur cause et leur évolution ultérieure. Les
maladies
sont nombreuses, les manières de se détruire des
ses anatomo-pathologiques de la surdi-mutité. A. M. II. UN cas DE
maladie
DE Friedreich, ataxie héréditaire avec nécropsi
édical journal, 18\J't. A. )1. VII. L'ataxie, symptômes de diverses
maladies
. (British médical Association, Meeting de Brist
clut à une névrite périphérique par auto- intoxication. A. M. IX.
Maladie
D'A nDISO : '<1 et capsules surrénales : par A
ion ou suppression des capsules surrénales. C'est ainsi que dans la
maladie
d'Addison le sang se caille difficilement et l'
earcegould et l3arher citent un cas semblable. IV. Acromégalie et
maladies
de Grâces. Deux observations, l'une d'acromégal
saux dont l'extirpation fut suivie d'amendement des symptômes de la
maladie
de Graves (Scanes Spicer). Le D'' Stoker a cité
es lésions, au point de vue anatomo-patholoâique, des lésions de la
maladie
de Raynaud. A. M. XXI. Diathèse urique ET névro
. Cherchons si, chez des arthritiques notoires qui sont atteints de
maladies
nerveuses ou mentales, on trouve des traits com
(Ja/t)'6t<C/t. f. Psy- chiat., XIII, 1.) . Sur 80 cas de cette
maladie
, on compte 10 faits de récidive (observations)
s'agit-il d'une infection aiguë, mais de laquelle ? P. K. XXV. LES
maladies
nerveuses fonctionnelles ET la syphilis ; par P
ych., 1895, LI, 5.) On désigne dans l'Inde sous le nom de lalah une
maladie
dans laquelle le malade parle ou exécute des mo
trouvé chez ces malades des traces d'hystérie ou d'épilepsie. Cette
maladie
se voit dans l'Inde, surtout chez les femmes in
ue 3 cas de latah. Il donne huit observations se rapportant à celte
maladie
, et dit qu'on en voit tous les jours des cas da
e vie de privations. Le latah ne devrait pas être identifié avec la
maladie
des tics de Gilles de la Tourette. On pour- rai
bondance de tissu adipeux sous-cutané. A une certaine période de la
maladie
, il se produit des lordoses et des contractures,
ures, parfois de la surextensibililé de plusieurs articulations. La
maladie
évolue en neuf mois au minimum, six ans et demi
a cocaïne, de la morphine, du chloral, de la syphilis, de certaines
maladies
infectieuses aiguës, des facteurs psychiques. P
orables qu'il est institué à une époque plus voisine du début de la
maladie
. On se demande si, dans ces conditions, il ne s
dans ces conditions, il ne serait pas possible de diagnostiquer la
maladie
de très bonne heure, même dans la toute premièr
des ongles dans le myxoedème a poussé l'auteur à l'essayer dans une
maladie
des ongles dont la cause locale n'a pu être pré
îlots de sclérodermie s'observaient autour du siège principal de la
maladie
, montrant diverses phases de l'évo- lution de l
lement modifiés lorsqu'ils se ren- contrent isolément dans d'autres
maladies
que le myxoedème ; l'événement a justifié cette
M. Archives, 2° série, t. I. 5 66 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE : XI.
Maladie
D'ADDISION et SON traitement par l'extrait DE g
se de l'usage courant que l'on fait du salicylate de soude dans une
maladie
très répandue. Les accidents consécutifs à son
ophylactiques rendues nécessaires par le caractère infectieux de la
maladie
; et plus indispensables dans un asile que part
és par les tribunaux pour délits ou crimes commis pendant l'état de
maladie
. Il manquait à ces faits des cas de condamnation
qu'on peut et doit les considérer comme la partie essentielle de la
maladie
et non comme un simple épisode de celle-ci; 2
.'ioc;'a/;o< ! 7'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses (Salpêtrière 1887.189), r
très anciennes. Nous avons donc maintenant tous les détails de la
maladie
de Merc... C'est peut-être un prédisposé hérédi
uent un élément excep- tionnel dans la symptomatologie si riche des
maladies
du cer- veau. Ces réserves faites, voyons si le
sont les véritables causes de la production de ce phénomène, que la
maladie
de l'oreille, la lésion sensorielle périphériqu
our les hallucinations de la vue, qui disparurent vers la fin de la
maladie
; et elles paraissent bien devoir être mises su
faradique et galvanique se montre dans le degré le plus léger de la
maladie
; la réaction de dégénérescence partielle et pl
u- relles en vue de la guérison et de la prophylaxie de certaines
maladies
; c'est à lui qu'on s'adressera un jour et ce jou
jour est sans doute prochain pour la guérison et la prophylaxie des
maladies
morales; c'est il lui qu'on demandera de faire
pas, d'après les données scientifiques modernes, le crime comme une
maladie
et le criminel comme un malade. La punition, co
IE MENTALE. II. Sur LES affections DE la faculté musicale ,dans LES
maladies
cérébrales; par William W. IRELAND. (The Journa
nts n'abondent pas sur les rapports de la faculté musicale avec les
maladies
cérébrales et l'aliénation mentale; aussi penso
t désirable de posséder des observations propres à démontrer si les
maladies
de l'hémisphère droit peuvent abolir le pouvoir
se, et dans l'ignorance où nous sommes de la pathogénie vraie de la
maladie
, il nous est extrêmement difficile d'établir la
s satisfaisante que toute autre de la dissémination lointaine de la
maladie
, de l'altération des cordons médullaires qui n'on
signe d'Aryll Robertson. En revanche la rapidité de la marche de la
maladie
, sa terminaison funeste par des crises con- vul
ie générale, remarquable surtout par l'âge de la malade, puisque la
maladie
a été reconnue à l'âge de neuf ans et trois moi
er qu'elle avait débuté un certain temps auparavant. La durée de la
maladie
a été courte (quinze à seize mois) ; la démence
remarquer que la menstruation s'est établie pendant le cours de la
maladie
men- tale. 138 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
Est-on plus attentif et plus habile - aujourd'hui à reconnaître la
maladie
, ou faut-il voir là le résultat d'une hérédité
aralysie générale examinés à une période relativement précoce de la
maladie
, on n'a pas noté que l'excrétion des deux forme
a normale; - 2° dans les cas observés à des périodes diverses de la
maladie
la proportion entre les deux formes de sulfates t
les deux formes de sulfates ten- dait à s'accroître à mesure que la
maladie
progressait; 3° dans les onze cas étudiés de la
éformés était très , élevé, ce qui indique pour cette période de la
maladie
une aug- mentation très notable de l'activité d
s considé- rable au moment des attaques qu'aux autres époques de la
maladie
. R. M. C. XV. UN cas DE catalepsie avec silen
roit ont leur consistance ordinaire. R. M. C. XIX. LES EFFETS DES
maladies
somatiques INTERCURRENTES SUR LES troubles ment
ns qu'on ait jusqu'ici cherché le lien de causalité grâce auquel la
maladie
somatique modifie la maladie mentale. L'idée fo
leurs voies d'association, donnent lieu à tel ou tel symptôme de la
maladie
dite « confusion mentale ». C'est un travail d'an
e manque, et l'auteur.ne nous donne pas de tableau d'ensemble de la
maladie
en question. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143
ntrer des symptômes qui en sont exclus par tel autre. Aussi cette
maladie
a-t-elle reçu des noms différents (Amentia, Ver
' Cet ensemble de symptômes constituerait une entité morbide, une
maladie
type dont la marche est le plus souvent chronique
de régénération ; 2° l'apoplexie, la démence sénile, la plupart des
maladies
nerveuses sont négligeables comme facteurs d'hé
dies nerveuses sont négligeables comme facteurs d'hérédité ; 3° les
maladies
mentales et les caractères excentriques sont le
'alcoolisme prédispose les descendants aux excès alcooliques et aux
maladies
mentales ; 5° l'hérédité éloignée n'a que peu d
éréditaire, et alors incurable ou accidentelle, con- sécutive à une
maladie
aiguë, une chute, etc., et alors curable. Cet é
sanity, oct. 1894.) E. B. XXXIV. SUR LES troubles mentaux dans la
maladie
DES TICS CONVUL- siFS; par le Dr Remonchamps. (
a suite d'un internement. Pendant la durée de cet accès de manie la
maladie
des tics rétro- céda, elle se reconstitua ensui
17 cas connus, le délire a débuté dans la pre- mière semaine de la
maladie
, le plus souvent quatre ou cinq jours après les
MENTALE. loi délire du début se continue durant tout le cours de la
maladie
et persiste même pendant la convalescence. Le
rs sans hallucinations elles ivrognes). Il critique les expressions
maladies
mentales, maladies de l'esprit, qui, pour lui,
ons elles ivrognes). Il critique les expressions maladies mentales,
maladies
de l'esprit, qui, pour lui, n'ont aucune signif
vient le traitement individuel que réclament les sujets atteints de
maladies
mentales ? Comment peuvent être mis en oeuvre e
par la seule raison qu'on ne les traite pas ». (Traité pratique des
maladies
mentales. Paris, 1862, p. 656, 657.) Les observ
ue faire, cela se conçoit, d'une étude approfondie et prolongée des
maladies
mentales. Aussi n'en- trent-ils dans les servic
ls devraient être, c'est-à-dire des hôpitaux pour le traitement des
maladies
mentales, au lieu de rappeler des établissement
rd la médecine ordinaire, ne saurait se passionner pour l'étude des
maladies
mentales. Pourquoi ce licenciement de jeunes mé
evrault, Pans, 1880. 3 Girard de Cailleux. Études pratiques sur les
maladies
nerveuses et mentales. Paris, 1863, p. 191. l
r de ceux de leurs élèves qui s'adonnent sérieusement à l'étude des
maladies
mentales, et cela précisément au moment où ces
ciliter le placement des aliénés, à le provoquer dés le début de la
maladie
, afin de donner aux malades plus de chances de
ion des nerfs périphériques, on commença à remarquer que dans cette
maladie
peuvent aussi survenir différents changements d
s épileptiques. Nous ne pûmes savoir au juste le commencement de la
maladie
présente ; nous savons seulement que deux mois
e ce procès morbide, nous pouvons dire que nous avons affaire à une
maladie
aiguë de la moelle épinière et du bulbe. On peu
'état men- tal très caractéristique), tout cela indique que dans la
maladie
nommée la névrite multiple, souffrent non seule
190 THÉRAPEUTIQUE. pas d'envisager la névrite multiple comme une
maladie
de tout le système nerveux et nous voyons que d
. YVON, (Travail du laboratoire de thérapeutique de la Clinique des
maladies
nerveuses.) L'action et l'efficacité thérapeuti
ar M. Menière en novem- bre 1890 et en décembre 1892. Début de la
maladie
actuelle en décembre 1892. L'enfant avait toujo
âge de cinq ou six ans. Les parents ne savent à quoi attribuer la
maladie
, ils s'accusent l'un et l'autre de l'avoir trop
a pu obtenir sont assez maigres; ils nous indiquent pourtant que la
maladie
a duré trente-six ans, ce qui en fait remonter
e qui en fait remonter le début à l'âge de sept ans. La cause de la
maladie
demeure obscure : on ne signale pas d'ac- ciden
étudie ensuite l'état du réflexe du genou dans un certain nombre de
maladies
, particulièrement dans la diphtérie, dans la mé
l'on trouve souvent chez les déments jeunes et qui se rattache à la
maladie
de Raynaud; l'hématome de l'oreille, la product
ions des os du crâne; moins l'os est compact (suppuration et carie,
maladie
de Menière, tumeurs des os), moins : 28 REVUE d
nsidérer les lésious du corps thyroïde comme étant la règle dans la
maladie
de Basedow : l'état des vésicules et de leur co
ne d'années, de la valeur de la castra- lion dans le traitement des
maladies
du système nerveux. Rare- ment on a vu des opin
es troubles génitaux aient joué un rôle dans le développement de la
maladie
. Les symptômes à eux seuls constituent une indi
pathique du sujet est sans doute la cause principale, tandis que la
maladie
de l'appareil sexuel n'est qu'une cause occa- s
tions des candidats aux places d'in- terne. 'Esquirol. Traité des
maladies
mentales. Paris, 1838. 244 - asiles d'aliénés.
ettra à ceux de ces jeunes médecins qui s'intéressent à l'étude des
maladies
nerveuses et mentales, de prolonger leur séjour
'idiotie et considérer comme « idiots » tous les sujets atteints de
maladies
mentales caractérisées par un état de faiblesse
pulation (juin 1894) : 11 garçons, 6 filles. Les sujets atteints de
maladies
contagieuses sont isolés et quand le diagnostic
Congrès médical de Philadelphie en 1887 sur une classification des
maladies
mentales, et une communication sur la législation
e. Elle était atteinte d'un eczéma qu'elle attribuait bientôt à une
maladie
vénérienne qu'on lui aurait com- muniquée à l'a
dans ses remarquables Eludes cliniques et thermométriques sur les
maladies
du système nerveux a déjà constaté chez les indi-
. Négresse de cinquante-deux ans : sa soeur est atteinte de la même
maladie
. Pas d'hérédité. Trois ans avant son entrée à l
avec ou sans délire ; - si une génération échappe à l'hérédité, la
maladie
ne reparaît pas dans cette branche de la famill
ause toxique. Le malade a vingt-et-un ans. Hérédité nulle. Aucune
maladie
dans l'enfance sauf la coqueluche. A treize ans
s auteurs sont d'accord pour admettre que le tremblement dans cette
maladie
accompagne les mouvements, et pour mettre en do
aralysie agitante. Il ne paraît guère plus légi- time d'admettre la
maladie
de Friedreich ou celle de Graves. Seule l'hypot
dé d'un an l'apparition des autres smyptômes caractéristiques de la
maladie
, et de bien plus longtemps, l'abolition du réfl
le que l'ataxie figure dans la symptomatologie d'un grand nombre de
maladies
de l'axe cérébro-spinal; le plus communément c'
ncore à un degré très accusé dans la paraplégie ataxique et dans la
maladie
de Friedreich; elle se ren- contre aussi dans l
la moelle. Elle compte parmi les symptômes les plus saillants des
maladies
du cervelet, et accompagne parfois les tumeurs de
ont vainement épuisé chez lui tous les remèdes ordinaires de cette
maladie
; le seul médicament qui le soulage est une lotio
ar les lésions des méninges. Tout en admettant que dans certaines
maladies
des vertèbres, les lésions de la dure-mère peuv
aisant le geste d'écrire dans le vide. Pendant toute la durée de la
maladie
, convulsions fibrillaires et fasciculaires. M.
des bégayeurs et de la crampe des écrivains, plus comparables à la
maladie
des tics et aux hyperkinésies toniques. Genès
1.1'. (1l'.211'GI0lf ? lLllA ? I ? ) Statistique. - Sur 6806 cas de
maladies
nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'y avait que
uxquels sont exposées les travailleurs jouent leur rôle, quoique la
maladie
soit de toute saison, et qu'il n'y ait que peu
ki, la paralysie faciale rhumatismale est probablementune espèce de
maladie
infectieuse, qui, généralement, n'atteint l'hom
la névrite ascendante qui affecte, justement, la marche propre aux
maladies
infectieuses. Ajoutons avec Neumann que toute m
e propre aux maladies infectieuses. Ajoutons avec Neumann que toute
maladie
, y compris la tare névropathique, propre à, aff
nnaître dans le tableau clinique com- plexe et polymorphe une seule
maladie
, une forme fruste de la sclérose en plaques. Il
tériels et grossiers. La pédérastie est plus souvent un vice qu'une
maladie
; elle peut être modifiée par la volonté ou par un
'onanisme buccal sont plus fréquents. L'uranisme est toujours une
maladie
, un symptôme de dégéné- rescence, placé en deho
éraux. Un pavillon spécial doit être réservé aux sujets atteints de
maladies
contagieuses. Chambres de réunion, 1'é{ectoÏ1'e
ndes tables servant aux repas des malades. En général le nombre des
maladies
organiques incidentes varie entre 5 à 10 p. 100
, de l'étable, de la cuisine, de la buanderie, du pavillon pour les
maladies
conta- gieuses, des ateliers, l'organisation de
n pavillon spécial est réservé aux agités et aux sujets atteints de
maladies
incidentes. Il existe des chambres d'isolement po
de 12 à 15 lits. Il n'y a pas d'infirmerie. Les enfants atteints de
maladies
contagieuses sont envoyés à l'hôpital de Potsda
le pronostic, que sur une étude approfondie de l'évolu- tion de la
maladie
et sur la nature du traumatisme initial. Cette
de reprendre ses occupations et quelle sera la durée probable de sa
maladie
. Les névroses traumatiques de M. Crocq constitu
la physionomie peut être d'un utile secours dans le diagnostic des
maladies
.mentales, c'est ce que démontre M. Mon- geri,
banale, ont un réveil de la première lésion des centres nerveux. La
maladie
affecte alors le plus souvent le type de la par
de faible intelligence. « On n'y admet, ni les enfants atteints de
maladies
corporelles ou mentales, ni les enfants corromp
entes. On prévoit sa mort prochaine. On dit, à Fuerstenried, que la
maladie
du roi Othon est arrivée à sa der- nière périod
1894. - Imprenta y litografia central. ' R.1Y3(OND. - Clinique des
maladies
du système nerveux. - Hospice de la Salpêtrière
Goul..., vingt-un ans, est entré le 3 mai 1894 dans la section des
maladies
du système nerveux de l'hôpital de Moscou qui s
t. Chez les membres de la famille du palient, on n'a observé aucune
maladie
nerveuse. En novembre 1893, le malade fut reçu
des agiles publics d'aliénés (Bailleul). L'influence salutaire des
maladies
graves intercurrentes sur l'état mental des ali
ienne. Les notes que nous avons réunies depuis quatre ans sur les
maladies
incidentes pour une population moyenne d'environ
ndiquent des modifications favorables de l'état mental au cours des
maladies
suivantes : érysipèle de la face, pneumonie, tu
d'adénite avec suppuration abondante, ont bénéficié, du fait de la
maladie
intercurrente d'une véritable suppression des t
ns un état absolument analogue à celui que nous avons noté avant la
maladie
intercurrente. Elle présente de nouveau toutes
e résumer les conclusions qui semblent en découler. L'influence des
maladies
microbiennes chez les aliénés se traduirait dan
un homme de lettres bien connu et universellement respecté, qu'une
maladie
incurable avait conduit au seuil de la mort, a
à ce type tabétique, les symp- tômes qui prédominent au cours de la
maladie
indiquent une étroite relation, à la fois clini
e paraplégie spasmodique primitive. Dans un petit nombre de cas, la
maladie
participe des deux formes, mais cette combinais
lle correspond. Dans la forme spasmodique, la durée moyenne de la
maladie
est de un à deux ans, et dans la forme tabétique
ude des altérations subies par les vaisseaux sanguins dans les deux
maladies
est tellement grande qu'une différenciation est
nde qu'une différenciation est impossible à établir ; 3° Les deux
maladies
ont entre elles des rapports de dépendance si s
ublement de la personnalité est commun ; dans la plupart des cas la
maladie
est incurable. Savage a remarqué qu'une surdité
des de race noire, 49, c'est-à-dire 42 p. 100 étaient dus à la même
maladie
. Sur ces 295 cas, 163 autopsies ont été faites
able dans la race nègre que dans la race blanche. - La marche de la
maladie
est plus rapide chez le nègre. - Les cas de gué
démontrer que la paralysie générale n'est à aucun point de vue une
maladie
spécifique, mais bien une variété clinique d'en
isam- ment un type clinique bien accusé ; mais en comparant cette
maladie
avec des états cérébraux connexes, j'ai essayé de
t 6,1 \ S ! rU'Ht ? t XXXHI. Recherches collectives EN H. T;E,DE
maladies
mentais;; par Charles AIERCIEII. COLLECTIVES EN
maladies mentais;; par Charles AIERCIEII. COLLECTIVES EN I. e DI,;
MALADIES
MÊ ! 4 ? par Charles Mercier. (The Journal of i
non l'impossibilité de constater les signes physiques directs de la
maladie
; elle est par conséquent obligée de conclure d
ie ; elle est par conséquent obligée de conclure des symptômes à la
maladie
, sans posséder la 48 ô REVUE DE PATHOLOGIE MENT
les auteurs sont d'accord pour admettre que, en dehors de certaines
maladies
(fièvre typhoïde, tuberculose), les altérations
Nouvelle contribution A l'étude DES rapports qui existent ENTRE LES
maladies
chroniques DU rein ET la paralysie générale DES
tout au moins est vraie, - lorsqu'ils soutiennent qu'il existe une
maladie
spé- ciale qui est la sclérose artério-capillai
rs 352 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. que, dans certains cas, cette
maladie
peut aussi donner naissance à une maladie du ce
dans certains cas, cette maladie peut aussi donner naissance à une
maladie
du cerveau, et que cette maladie est la paralysie
peut aussi donner naissance à une maladie du cerveau, et que cette
maladie
est la paralysie générale des aliénés. R. M.-C.
S cas DE GUÉRISON DE H mélancolie après UNE très longue durée DE lv
maladie
; par James NEIL. (Tlte Journal of Mental Scien
iot et L.LCy-Firth,) A. M. XLV. Extraits D'UN rapport DU comité DES
maladies
mentales ET nerveuses; par VHIT<<'ELL. (O
corps); atrophie musculaire extrême. Il s'agit évidemment de deux
maladies
, car l'un des complexus morbides (l'atrophie) pré
gine est supposable lorsqu'en peu de temps se succèdent les deux
maladies
. Et alors, comme dans notre cas, la syphilis peut
e dans notre cas, la syphilis peut être rendue responsable des deux
maladies
. Mais le long intervalle de temps écoulé entre
ux maladies. Mais le long intervalle de temps écoulé entre les deux
maladies
est un argument contre la poliomyélite antérieu
l'épilepsie (26 h. 27, f.), l'analgésie cubitale est un signe de la
maladie
, quand on n'a pas affaire à de la paralysie génér
. LUI. Contribution A L'ÉTUDE DES altérations DE l'urine dans LES
MALADIES
MENTALES, ET, EN PARTICULIER, DANS LA PARALYSIE P
nt à prendre la valeur d'un facteur étiologique capable de créer la
maladie
de toutes pièces. A l'appui de cette idée l'aut
oient nègres pur sang ou demi-sang. D'après divers témoignages, les
maladies
mentales sont incon- nues chez les tribus sauva
is quelques années on a rencontré chez le nègre certaines formes de
maladies
men- tales qu'on n'avait jusque-là rencontrées
nerf fémoro-cutané externe, de rechercher les symp- tômes d'autres
maladies
(tabes, diabète) et de faire des réserves pour
nouveau qui a présenté tous les symptômes caractéristiques de cette
maladie
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
QUES. XXXIII. DE QUELQUES phénomènes réflexes peu connus dans LES
maladies
nerveuses, ET DE la PILEUR diagnostique DU phénom
s tabétiques n'est donc pas périphérique, le tabès dorsal étant une
maladie
qui débute par les ganglions spinaux et leurspro-
hilitique, les gommes de la moelle, en tenant compte du début de la
maladie
a la suite de l'infection, des symp- tômes de d
, t. XXVII, 1. 2.) Depuis Friedreich on a décrit un grand nombre de
maladies
dont le symptôme fondamental a toujours été l'a
herche à démontrer qu'il existe des formes intermédiaires, entre la
maladie
de Friedreich, l'atrophie du cer- velet, l'atax
nément chez les enfants en bas âge ou se développe à la suite d'une
maladie
infec- tieuse ou d'une maladie cérébrale aiguë,
âge ou se développe à la suite d'une maladie infec- tieuse ou d'une
maladie
cérébrale aiguë, chez les adultes, par exemple.
exemple. L'hérédité et le cachet familial manquent. La marche de la
maladie
. est éminemment lente; les paralysies et les cont
us les autres centres, le centre supérieur serait sujet à certaines
maladies
(dans certains genres de dé- mence ? ) ou inhib
, été et automne 1895.) Enfant de six ans, morte après neuf mois de
maladie
. Pièces revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE path
a syphilis de la femme. Il n'y a pas eu d'enfants. Le début de la
maladie
remonte déjà à un certain temps : la femme a été
wanger (Iéna), il est mort, de paralysie générale, après dix ans de
maladie
, -une femme dont le mari avait succombé à la mê
e sauraient amender. E. BLIN. X. Des étals cataleptiques dans les
maladies
mentales; par le D'' P. Lr;uairaE (1. Steinheil
eur envisage ensuite les syndromes hystériques simulateurs d'autres
maladies
, et aussi les associations morbides avec divers
ES I'ar le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire de la Clinique des
maladies
mentales. La pathologie a généralement profit a
qui est en quelque sorte, l'opposé de ce que l'on observe dans les
maladies
du neurone précédent ; ce tableau est celui de
t aux destructions de l'archineurone. Dans cette vue d'ensemble des
maladies
du système moteur, chaque grand syndrome, dégag
n autre, tôt ou tard ce neurone s'altère à son tour. On a alors une
maladie
de neurone à neurone, une dégénérescence de tra
Eh bien, dans ce cas, le téléneurone va s'altérer à son tour et la
maladie
va emprunter quelque chose des signes de la scl
nt la partici- pation du neurone périphérique. A un léger degré, la
maladie
^est presque, suivant une expression devenue cl
a voyons stationnaire. La conclusion de ces faits s'impose : La
maladie
d'un neurone moteur retentit sur le neurone voisi
îne dont les lésions primitives constituent les autres formes des
maladies
tabétiques. Ces dernières maladies sont absolumen
onstituent les autres formes des maladies tabétiques. Ces dernières
maladies
sont absolument distinctes du tabès par dégénér
si que les premiers observateurs des lésions histologiques de cette
maladie
l'avaient l pensé ? Est-ce à la périphérie du n
devient tabétique à la suite d'un traumatisme périphé- rique, d'une
maladie
générale, etc. C'est une question de l'ésis- la
sé. La dégénérescence de tous ces neurones est cons- tituée par des
maladies
qui se localisent primitivement sur la substanc
s qui constituent pour une bonne part l'anatomie pathologique de la
maladie
de Freidereich qui peut être consi- dérée, elle
'importance des lésions de ces mêmes collatérales dans le tabès, la
maladie
de Friedereich, etc., en s'appuyant 1 L'expérim
ement dans la sclérose combinée de Westphal d'une part et dans la
maladie
de Friederich d'autre part. C'est ce que nous avo
O-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES AVEC PANARIS ANALGÉSIQUES OU
MALADIE
DE SIORVAN. HÉMIPLÉGIE DROITE ET PARAPLÉGIE INF
convulsions, ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migraines, ni
maladies
de peau, ni panaris. Il avoue faire des excès d
ste, ni coléreux. Il estdoux et affectueux. n'aeu ni vers ni aucune
maladie
infectieuse, sauf la coqueluche à trois ans et pe
s), afin d'obtenir son placement, justifié par ses infirmités et sa
maladie
, dans l'une des divisions de l'hospice. L'autoris
Bourneville. Elude sur les al'lhl'opalhies consécutives il quelques
maladies
de la moelle el du cerveau (Revue photogr. des hô
ite par M. Morvan et à laquelle on donne généralement son nom. La
maladie
de Morvan et la syringomyélie, remises à jour d
arcot, Déjerine3 et Bruhl*, ont soutenu qu'il s'agissait là de deux
maladies
distinctes. M. Charcot a formulé son opinion da
t a conclu en ces termes : « Il était opportun de vous parler de la
maladie
de Morvan, après nos 1 Morvan. Gaz. lzebd., 188
la syringomyélie '. Le cas qui précède nous parait appartenir à la
maladie
de Morvan. Tout d'abord, les troubles de la sen
dit M. Grasset, il est démontré par des faits nombreux que dans la
maladie
de Morvan la dissociation de la sensibilité peu
as, à propos de cette observation, refaire l'historique de ces deux
maladies
. Nous renvoyons le lecteur à la thèse si consci
avantages peuvent être encore mis en doute dans certaines formes de
maladies
men- tales, ils sont certainement incontestable
énasthéniques et les déments présentèrent, avec l'aggravation de la
maladie
intercur- rente, comme un retour à la lucidité
rescence héréditaire comme cause ^étiologique prédis- posante de la
maladie
, dont le développement nécessite un autre facte
, celui de la motilité, le mode de début, la marche, la durée de la
maladie
, sa prétendue curabilité ne nous autorisent pas
, surtout au niveau des sutures. En raison de la longue durée de la
maladie
on avait pensé, jusque dans les derniers temps,
un examen pro- longé, car l'hystérie peut admirablement simuler des
maladies
490 SOCIÉTÉS SAVANTES. organiques. Bruns rapp
ER. Considérations cliniques sur les rapports de la syphilis et des
maladies
mentales. Sera publié in extenso et analysé ult
aliénés dans la lutte contre l'alcoolisme. Parmi les facteurs des
maladies
mentales, l'alcool vient en pre- mière ligne ap
favorables, il faut mettre eu première ligne la longue durée de la
maladie
avant l'admission. Cette durée a été en moyenne
ovembre 1890 à juillet 1895. La plupart de ces leçons ont trait aux
maladies
nerveuses, nous allons faire une rapide analyse
tômes et les complications de ces deux grandes névroses. Un cas de
maladie
de Morvan. L'observation que relate ici M. Gras
Morvan. L'observation que relate ici M. Grasset est un cas type de
maladie
de Morvan avec un tableau symptomatique complet
diagnostic est ici facile avec la névralgie et la névrite; avec la
maladie
de Maurice Raynaud qui donne lieu à de la gangr
nalgésie. La sclérodermie a bien été différenciée par Charcot de la
maladie
de Morvan. Elle ne détermine pas de névrose, ni
ome syringomyélique (dissociation de la sensibilité) existe dans la
maladie
de Morvan, mais y est plus fugace. Comme troubl
re prime dans la syringomyélie les panaris qui sont l'apanage de la
maladie
de Morvan. Des associations hystéro-o1'ganigues
ns, M. Grasset établit un groupe clinique qu'il caractérise ainsi :
maladie
infectieuse aiguë du système nerveux à marche p
générale qui, dit-il, lui est chère; c'est le rôle pathogénique des
maladies
générales dans la production de ce qu'on appell
e des maladies générales dans la production de ce qu'on appelle les
maladies
du système nerveux. A son avis, il n'y a pas de
, toutes sont véritablement sympto- matiques même l'hystérie et les
maladies
infectieuses jouent pour elle un rôle pathogène
vient parfois dans la pneumonie à la fin de la BIBLIOGRAPHIE. %tJ
maladie
au moment de la crise. Ce délire est caractérisé
. Examen critique d'une hypothèse (les auto -intoxications dans les
maladies
mentales); par M. leur Santenoise, ex-préparateur
r le but de la médecine men- tale : d'une part faire l'histoire des
maladies
mentales, d'autre part en établir la physiologi
la méthode d'observation » ; il passe en revue toutes les formes de
maladies
mentales, et cherche si à chacune d'elles cor-
pitre. L'intitulé du chapitre v : « Les auto-intoxications dans les
maladies
mentales . - Hypothèses connexes. - Conséquence
es chapitres relatifs à l'hypothèse de l'auto-intoxication dans les
maladies
mentales, conclusions d'un travail d'une logique
- cérébraux, par Barkan et Hirs- chfelder, 372. Acromégalie et
maladie
de Gra- ves, 47. - et ostéo-arthropatliies, p
Ranson, Sym Thomas et Benson, 372. - par Bruns, 486. ADDISSOV. La
maladie
d' et son traitement par l'extrait des glandes
simulées, par P. Garnier et Vallon, 28. L'- symptôme de diverses
maladies
, 46. L'- considérée comme symp- tôme des lési
la verbigération, par Warneck. Cataleptiques. États - dans les
maladies
mentales par Lemaitre, 407. CÉCI1É. Un cas de
côtes chez les aliénés, par Campbell, 50. Frif.dreich. Un cas de
maladie
de - , par Clarke, 14. Front. Trauma du - sui
par Charpen- tier, 153. LOIDE Weber-Fetcuneb, parWaller, 397.
Maladies
cérébrales aiguës de l'en- fance, par Muratow,
ue périodique, par Thomas, 357. Mentales. Rapport du comité des
maladies
-, par Whitwell, 353. Recherches collectives en
An. Paréso-analgésie des extré- mités supérieures avec panaris ou
maladie
de - avec imbécillité et hémiplégie, par lJoul'
avec imbécillité et hémiplégie, par lJoul'l1evi11e,HI. Un cas de
maladie
de -, par Gras- set, 493. Mouflon. Le cerveau
ar Bene- dild, 297. Musicale. Affections de la faculté dans les
maladies
cérébrales, par Ireland, 128. Musique et facu
, par Lévy Dom, 233. Suture des -, par Biuns, 486. Nerveuses. Les
maladies
- fonc- tionnelles et la syphilis, par Kowa-
int de vue du diagnostic, par Leszinsky, 216. peu connus dans les
maladies
nerveuses, par de Bechterew,374. Rénales. Aff
ne, par Metzler, ri3. Tics convllsifs. Troubles mentaux dans la
maladie
des -, par Ke- monchamps, 148. Torticolis men
stie, par Stefa- nowsl ? 293. Urine. Altération de l'- dans les
maladies
mentales et la paralysie générale, par Siegmund
.\ Il LES Il III S S E Y ARCHIVES D Ii NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES - PUBLIÉE SOUS LA DIRECTI
rale spinale diffuse subaiguë. > - Vu)pian, dans son Traité des,
maladies
du système nerveux, admet l'existence de la pre
te- diffuse subaiguë qui ne se distinguent d'autres cas -de cette
maladie
que. parce, que les cornes antérieures de la su
stance grise, soit même aux faisceaux de la substance blanche. La
maladie
perd alors, dit Vulpian, dans une certaine mesu
ans ses antécédents personnels ou héréditaires. '' ' Le début de sa
maladie
remonte au 2 décembre 1890 et a com- mencé de l
obligé de le sonder. ' ' ' 1 Trois semaines après le début de la
maladie
, la paralysie gagna les membres supérieurs et f
érieurs que dans les autres parties du corps. A aucune époque de sa
maladie
, il n'a éprouvé de douleurs ni continue, ni spont
oix est légèrement nasonnée. Réservoirs. Vers le dixième jour de la
maladie
, le malade a été pris de rétention d'urine et i
eux de laquelle on pourrait loger une mandarine. ' Etat général. La
maladie
parait avoir été marquée dès le début par un mo
somnie presque complète qui dure- rait depuis le commencement de sa
maladie
. Depuis six jours, il dit qu'il ne peut ingurgi
es incidents qui se sont produits au commencement ou au cours de la
maladie
, la femme du malade prononce le mot crises. D'a
ons médullaires, L'évolution 'des symptômes jusqu'à la période de
maladie
confirmée, s'est faite assez rapide- ment pour
après, paralysie des réservoirs. Vers le vingt et unième jour de la
maladie
, les membres supérieurs\sont enva- his. Enfin,
énérale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES
Maladies
DU système nerveux. M. CHARC01'. L'AMNÉSIE HYST
ures. Il prenait un jour par écrit l'histoire d'une hystérique, les
maladies
qu'elle avait déjà eues,' les hôpitaux où elle
façon très suffisante. Mais dans ces der- niers mois, depuis que sa
maladie
s'est aggravée elle a complè- tement oublié et
(d'Aix). De l'emploi du magnétisme animal dans le trai- tement des
maladies
nerveuses, 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE NERVEUSE.
de M. Falret ', mais je n'avais jamais eu l'occasion de voir cette
maladie
de l'esprit sous sa forme typique. Vous savez q
ations délicates doivent être très souvent altérées dans toutes les
maladies
de l'esprit et dans l'hystérie comme dans les a
servation et de la reproduction. Je crois qu'ils ont tort et que la
maladie
décompose et analyse mieux la mémoire que n'a p
ts de toute tare neuro- pathique. -On n'a jamais, en somme, noté de
maladie
nerveuse ou mentale chez aucun membre de la fam
reille adhérent, la voûte palatine ogi- vale. Il n'a jamais eu de
maladies
vénériennes, jamais de crise convul- sive d'auc
intéressantes. Le fait essentiel, qui domine le développement de la
maladie
, est le désordre émotionnel, d'où dérivent direct
comme les autres qui caractérisent le fonds neu- rasthénique de la
maladie
(réaction vaso-motrice exagérée, insta- bilité,
hallucinations. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Comment dans les
maladies
nerveuses évoluent les obsessions qui les hante
quelle forme surviennent les obsessions dans la paranoïa ? R Les
maladies
à obsession comportent deux groupes distincts :
es maniaques sont vite placés dans un asile, plus l'évolution de la
maladie
est favorable. Il ne faut pas considérer l'héré
tant' plus admissible que la dyslexie fut le premier symptôme de la
maladie
; les autres symptômes doivent être rapportés à
ôt autonome (surtout après la syphilis), tantôt greffé sur d'autres
maladies
du système nerveux central, sur la poliomyélite
céré- brale (papille étranglée bilatérale) un signe essentiel de la
maladie
fondamentale. Il y en a trois espèces : 10 L'
iguès. Mémoire également publié 2. Discussion : M. L11EYNERT. Une
maladie
au plus haut point dissé- minée, le tabes dorsa
. L'une d'elles est la rage humaine; le complexus clinique de cette
maladie
pré- sente une évolution dont on ne saurait méc
rations inflammatoires et même destructives indéniables. La seconde
maladie
à laquelle je fais allusion est la chorée grave
placée, affectée de folie morale, sous la rubrique « pour cause de
maladie
» purement et simplement. Or, quand on songe' 9
elle se borner à ce texte : une incapacité momentanée pour cause de
maladie
. - Entre temps, se multiplient les nombreuses c
s vieux mots de délire et démence (Wahnsinn-Bloedsinn) par celui de
maladie
. En ce qui concerne la tutelle des étrangers, i
t état de choses. Les psychoses aiguës se rattachent intimement aux
maladies
internes; on y trouve des gradations insensible
qui nous ramènent aux troubles fonctionnels du système nerveux. Ces
maladies
men- tales sont de jour en jour plus accessible
e clinique. Il faut aussi qu'elle soit ratta- chée à une section de
maladies
nerveuses qui la complète en lui procurant des
t de développement des facultés, et ayant eu dans sa jeunesse une
maladie
aiguë du cerveau, chez lequel on avait constaté d
s conventions sociales existantes. Nous voici donc en présence de
maladies
morales ; contre elles les asiles d'aliénés ne
elles dangereux pour l'ordre éta- bli ; puis, nous verrons dans les
maladies
mentales une explication de la criminalité et n
n'a pas décru; bien plus, à l'ex- ception de delirium tremens, les
maladies
nerveuses d'origine alcoo- lique ont plutôt aug
e désinfectées par les mêmes procédés que lorsqu'il s'agit d'autres
maladies
contagieuses, de la diphthérite par exemple, av
ement nuit surtout aux aliénés dont la respiration est, de par leur
maladie
, insuffisante, ainsi aux mélancoliques, aux mal-
firmerie pour les invalides et les infirmes avec divisions pour les
maladies
aiguës et surtout pour les maladies infectieuse
nfirmes avec divisions pour les maladies aiguës et surtout pour les
maladies
infectieuses; 7° annexe destinée à l'hos- pital
n de jeunes gens affectés de manifestations psychiques ? Combien de
maladies
organiques du système nerveux ? Faut-il menti
é des rapports de la section dite de traitement et de celle dite de
maladies
chroniques, il sera toujours aisé de classer, c
déments. , Il ne faut pas oublier que l'épilepsie est une terrible
maladie
, 11 - laquelle il faut constamment appliquer de
. La charité est impuissante à nous éclairer sur la nature de ces
maladies
, elle ne peut donc les alléger ni les améliorer.
t ce qu'il ne faut jamais perdre de vue en tout état de cause et de
maladie
. Il convient en outre de se répéter que les pro
e le sujet soit hypnotisable, toutes les fois qu'on a affaire à une
maladie
purement fonctionnelle. La suggestion hypnotiqu
assin. Aucun phénomène bulbaire. A la fin de la deuxième année de
maladie
, mort par paralysie de diaphragme. Examen microsc
tération quan- titative de la contractilité électrique. Début de la
maladie
à l'âge de deux ans. Ce sont les muscles périph
ain. Il parait que le frère de la malade fut aussi atteint de celte
maladie
. A propos de celte malade, le rapporteur cite enc
ns spéciales qui déterminent le déve - loppement ultérieur de cette
maladie
. De l'avis du rapporteur. cette forme d'atrophi
porteur. cette forme d'atrophie musculaire doit être rangée avec la
maladie
de Friedreich dans un même groupe d'affections
pe d'affections héréditaires il caractère dégénératif. ' Les deux
maladies
ne seraient alors que les extrêmes d'une série
e périphé- rique), mais compliquées. Elles tiennent à la fois de la
maladie
de Friedreich classique avec atrophie de la pla
ccès, tout au moins pour les malades, de traiter opératoirement les
maladies
du système ner- veux, comme ils ont pris l'habi
du système ner- veux, comme ils ont pris l'habitude de traiter les
maladies
ab- dominales et en particulier celles des orga
jamais nous n'avons vu d'amélioration sérieuse. Presque toujours la
maladie
poursuivait sa marche ou les malades succombaie
a eu recours au drainage. - 1 Giraldès. Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des en- fants, rec. par Bournevil
pas indiquée. Comme l'hydrocéphalie'est habituellement due à une
maladie
tu- berculeuse ou à la présence d'excroissances
llustrer la vie d'un homme. Gilles de la TOURNETTE. II. Epitome des
maladies
mentales ; par le Dr James SHAW. Bristol, John
a trait 138 bibliographie. aux définitions et classifications des
maladies
mentales. - Le cha- pitre II est un index de to
des différentes formes vésaniques. Le chapitre III est un index des
maladies
mentales avec leurs synonymes et leurs symptôme
dies mentales avec leurs synonymes et leurs symptômes groupés par
maladies
. Le chapitre IV traite de l'étiologie, le chapitr
osé de la législation et des questions médico-légales relatives aux
maladies
mentales. 1 J. Séglas.. III. Leçons du mardi à
aut mieux que cent étudiés superficiellement. P. S. V. Clinique des
maladies
du système nerveux; par M. le professeur CHARCO
prit du lecteur qui voudra bien s'arrêter sur le dia- gnostic de la
maladie
de Morvan, l'hystéro-traumatisme, les trem- ble
ormations bibliographie. 141 congénitales ou accidentelles, à des
maladies
du système nerveux central ou périphérique, enf
oués au point de vue moral et social. Elle les accuse d'enfanter la
maladie
, le vice et la pauvreté, et de multiplier leur
mme le démontre la Saint-James Gazette, que la cure de cette grande
maladie
sociale n'est possible que d'une manière ou d'une
de Paris a été chargé d'un cours de cli- nique de pathologie et des
maladies
de l'encéphale à ladite Faculté, pour suppléer
ur suppléer M. Bail, qui est en congé sur sa demande, pour cause de
maladie
. Hospice de la Salpêtrière. - M. le Dr Aug. Voi
. - M. le Dr Aug. Voisin a repris ses conférences cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, le dimanche 19 juin à di
t un essor nouveau. C'est par son esprit génial que la clinique des
maladies
mentales prit une direc- tion toute nouvelle.
velle. « Pendant environ trente ans, Meynert occupa la chaire des
maladies
mentales à l'Université de Vienne. Il est impossi
ur les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
hie, 1892. Printed by G.-H. Buchanan and C°. GRASSET. - Un cas de
maladie
de Morvan. Leçons recueillies par GuiBERT (IL).
ournal of Ne,'vous and Mental disease. Marie (P.). Leçons sur les
maladies
de la moelle. Volume in-8° de 504 pages, avec 2
orales pénibles telles que le suicide d'un employé de la maison, la
maladie
grave d'une nièce, etc. Ce cas est intéressant
ge d'être sur le champ répété. 1 Magnan. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales. Paris, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOG
ntés dans ces derniers temps au point de vue de la pathogénie des
maladies
du système nerveux par la recherche de l'uro-toxi
ssi sur de l'urine de malades qui n'étaient pas trop avancé dans la
maladie
. Peut-être même y aurait-il avantage à ne prend
y aurait-il avantage à ne prendre que des malades au débutde leur
maladie
alors qu'ils ont des accès isolés très éloignés ?
E TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES VISUELS DANS LES
MALADIES
NERVEUSES ; par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au p
DIES NERVEUSES ; par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au point de vue des
maladies
du système nerveux, les am- blyopies et amauros
mettre en évidence comme troubles visuels accompagnant différentes
maladies
nerveuses, et d'en esquisser la physiopathologi
siopatho- logie de l'affection et ses rapports avec les différentes
maladies
nerveuses. 1er. FORMES CLINIQUES DE l'amblyop
es, dont nous parlerons plus bas. l'amblyopie transitoire. 211 de
maladie
d'Addison à l'âge de vingt-cinq ans, un second de
rut. § II. Rapports DE l'amblyopie transitoire avec DIFFÉ- RENTES
maladies
NERVEUSES. - Les principales névropa- 214 . cli
sont plus rares que les troubles sensi- tifs, puisque dans les deux
maladies
mentionnées les troubles moteurs sont en généra
ur la neurasthénie, indique comme étant un des symp- tômes de cette
maladie
le mal de tête et ses différentes formes. Parmi
squ'à la gué-' rison presque complète. " 1 Il y a peu de temps la
maladie
a reparu subitement. Deux . sortes d'attaques :
souvent par l'amblyopie transi- toire) peut se présenter comme une
maladie
distincte, évoluant pour son propre compte; mai
ion symptomatique de la paralysie générale, peut-être même d'autres
maladies
. Les rapports entre l'épilepsie partielle et la
ls peuvent précéder de plusieurs années l'éclosion complète de la
maladie
. Ces phénomènes précoces ont justement pour carac
e corrélation intime établie par le substratum- anatomique de cette
maladie
, nous fait ressortir davantage l'intérêt pratiq
ou psychiques. Il s'agit de dépister à son début l'existence d'une
maladie
grave, dans les cas où, ni la syphilis (qui peu
Or, les localisations différentes de cette lésion, au début de la
maladie
, peuvent nous rendre compte des différents syn-
iter aux recherches pharma- cologiques appliquées au traitement des
maladies
. Elle peut aussi couronner les tentatives dont
n plus grande dans le diagnostic des localisations et la nature des
maladies
aussi bien médicales que chirurgicales que nous
une voie féconde à la nouvelle pathologie et à la prophy- laxie des
maladies
septiques et infectieuses. De pareils résultats
ations bactériologiques dont ont fait l'objet l'influenza et autres
maladies
épidémiques, parce qu'elles n'ont pas encore do
c'est la localisation. Nous ne considérerions pas plus longtemps la
maladie
comme une entité, un ennemi qui a envahi le cor
de la propagation de conceptions plus lumineuses sur les causes des
maladies
et des moyens de les prévenir. La localisation
au point de vue de la lumière qu'elle a jetée sur le diagnostic des
maladies
cérébrales et les moyens de les traiter dans le
n d'autres phénomènes similaires, d'obser- vation courante dans les
maladies
cérébrales, ouvrent la porte à de très intéress
chez l'animal lui-même, mais encore transmetlre aux descendants la
maladie
* ou une pré- disposition à l'acquérir. De par
qui permettra de se guider à travers l'inextricable labyrinthe des
maladies
cérébrales, au milieu duquel l'observation cliniq
était dirigée contre l'épilepsie essentielle, le morbus divinus, ou
maladie
sacrée des anciens. Les indications étaient-ell
traumatisme, les abcès cérébraux sont surtout en connexion avec les
maladies
aiguës ou chroniques de l'oreille interne. Ce
iquent seulement que nous pou- vons apporter un remède à de grosses
maladies
ou lésions du cer- veau, presque exclusivement,
variées des déviations des règles ordi- naires. , C'est dans les
maladies
de l'esprit que les idées localisatrices de Vir
bles succès de la chirurgie en ce qui concerne les autres formes de
maladie
céré- brale, ont fait naître l'application de m
e hypothèse permise à raison de l'obscurité de l'étiologie de cette
maladie
. Le trauma- tisme est jusqu'ici la seule cause
l'époque de la scarlatine, se serait manifestée à l'occasion d'une
maladie
fébrile ? 2 P. K. XIX. UN cas DE. paralysie de
alade n'a que peu de chose à la vessie et au rectum. D'ailleurs, la
maladie
remontant à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 21S
fant, avec remarques SUR LES rapports DE cette affection avec LES
maladies
INFECTIEUSES; par A. NOLDA. (Archiv f. Psychiat.,
t, comme l'a fait remarquer Cotard, s'observer encore dans d'autres
maladies
mentales, notam- ment dans la paralysie général
us ou moins fréquemment à titre de symptôme dans un grand nombre de
maladies
mentales diverses, tandis que sous sa forme typ
l qu'ils doivent forcément infirmer les premiers et dans toutes les
maladies
n'existe-t-il pas des cas frustes à côté des ty
t aussi de tous les détails particuliers relatifs au malade et à la
maladie
. Toutefois, d'une façon générale, on peut dire qu
ement impressionnés par ce mode de traitement. Ces deux genres de
maladies
se distinguent donc par bien des côtés, par l'exp
ême traitement. Est-ce assez pour confirmer qu'il s'agit là de deux
maladies
distinctes ? Je crois plutôt que le délire des né
mélancolie anxieuse et du délire des persécutions, c'est-à-dire de
maladies
depuis longtemps connues, de telle sorte que da
de négation typiques qui survinrent au bout de deux mois au plus de
maladie
. Si donc il y a des faits où le délire des néga
sa profession, tout comme le médecin ordinaire à l'égard des cas de
maladie
conta- gieuse. M. Régis. ' ' En matière de se
ré à ce point un chapitre de la seconde édition de mon Manuel des
maladies
mentales. J'ai examiné là la conduite à tenir lor
nnaître les malades et à leur faire supporter les écarts dus à leur
maladie
. Il en résulterait un grand bienfait par les ma
x des idées de même nature chez le mélancolique, l'ensemble de la
maladie
, l'évolution fait ces cas beaucoup plus voisins d
ymptôme de mélancolie; sauf cela, l'aspect général, la marche de la
maladie
, l'eussent fait considérer comme atteinte d'une
et se résume de la façon suivante : les troubles psychiques de la
maladie
de Basedow ne font point partie intégrante de l'a
ions), enfin la forme de leurs accès délirants. L'association de la
maladie
de Basedow avec la dégénérescence mentale n'est
ment dans les différentes conditions. Le choc moral qui provoque la
maladie
de Basedow peut réveiller simultanément les apt
. C'est une anomalie psychique, l'émotivité qui est à la base de la
maladie
. Celle-ci n'est souvent qu'un cas particulier d
héréditaire dont l'existence se manifeste sous l'influence de la
maladie
de Basedow. Ce fait est commun à bien d'autres ca
bien d'autres cas; mais ici il y a quelque chose de particulier. La
maladie
de Basedow dépend d'altérations du corps thyroï
a des troubles mentaux, témoins les crétins, les myxoedémateux. La
maladie
de Basedow joue donc, même SOCIÉTÉS SAVANTES. 3
qui tond à les atrophier. Nous nous trouvons donc en présence d'une
maladie
cérébro-spinale, qui dans la moelle comme dans
es tabès. Je cherche, depuis de longues années, à établir que les
maladies
du cerveau et les maladies de la moelle sont touj
uis de longues années, à établir que les maladies du cerveau et les
maladies
de la moelle sont toujours séparées à tort et à
sans en excepter la pensée, on peut ne considérer que deux grandes
maladies
. celle du système centripète de réception, cell
de réception, celle du système centrifuge, d'expression. Il est une
maladie
que j'ai montré intéresser tous les éléments du
s symptômes de la paralysie générale se sont montrés de nouveau. La
maladie
a suivi la marche ordinaire de la paralysie gén
tuées et profondes; elle revêt souvent le caractère d'une véritable
maladie
, parles phé- nomènes somatiques, dénutrition, f
rai également deux autres cas pratiqués avant le mien, pour la même
maladie
et dans la même intention, mais par des méthode
Dr S. Weir-Mitchell à l'hôpital orthopédique et à l'infirmerie des
maladies
nerveuse. Très petite, ne fait aucun effort pour
nner aux philosophes les indi- cations nécessaires pour étudier les
maladies
de la mémoire au 358 bibliographie. point de
médecins. , Paul BLOC(j. bibliographie. 359 XI. Leçons sur les
maladies
de la moelle ; par le Dl' Pierre Marie. Paris,
lace prépondé- rante à l'influence qu'acquerraient à cet égard, les
maladies
infec- tieuses dans la pathogénie d'un grand no
odique, de la paralysie infantile, de la sclérose en plaques, de la
maladie
de F1'Íed1'eich, des scléroses combinées, et de
ion compétente et critique qu'a con- sacrée M. Marie à tracer de la
maladie
de Duchenne un tableau aussi complet que bien o
upçonnée par Strumpell. L'auteur ne manque pas à l'occasion de la
maladie
de Friedriech qui prend les deux chapitres suiv
ne conception qu'il a déjà formulée et tendant à iden- tifier cette
maladie
avec l'hémiplégie cérébrale infantile. L'histoire
ons la part que l'auteur accorde aux troubles psychiques dans cette
maladie
, ainsi que le rôle prodromique que pourrait parfo
pos du même sujet : « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 350
maladies
chroniques, mais pour des cas récents et chroni
culté DE médecine DE PARIS, - Clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale. M. Gilbert Ballet, agrégé, a été
égé, est chargé, pendant l'année scolaire 1892-93, d'un cours des
maladies
mentales. Faculté DE médecine DE Berne. il. le
a décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeu- tique des
maladies
mentales et sur l'organisation des asilespublics
am- ner M. le Dr Wiederhold, directeur d'une maison de santé pour
maladies
nerveuses à Wilhelmshôhe, à trois mois de prison,
Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
ns actes, ou répéter certains mots préservateurs pour éviter qu'une
maladie
grave ne vienne frapper l'un de ses parents. El
oit obligée de répéter plusieurs fois « M. Nicolas » pour éviter la
maladie
. Pourquoi ? Elle n'en saitrien, mais elle doit
e est vivement émue et s'empresse de les déplacer par crainte de la
maladie
. Dans la rue, elle fait grande attention sur les
her la main de son médecin, parce qu'il pourrait lui communiquer la
maladie
des malades qu'il a touchés, mais elle consent
izzano (ltalie). Le diagnostic différentiel entre l'hystérie et les
maladies
organiques du cerveau constitue un des problème
le de réaliser la plupart des syndromes par lesquels s'accusent les
maladies
organiques du cerveau : l'hémiplégie, les convul-
rmer des syndromes tout à fait analogues à ceux de telle ~ ou telle
maladie
organique de la moelle ou du cerveau. Et cette
ellente monographie sur les syndromes hysté- riques simulateurs des
maladies
spinales '. Dans le présent travail, nous n'avo
n'avons pas eu l'idée d'entre- prendre une tâche semblable pour les
maladies
organiques du cerveau. Elle serait trop au-dess
édents de famille. Père nerveux, il avait des tics, il mourut d'une
maladie
de foie. La mère souffre de coxalgie depuis tre
oxalgie depuis trente-six ans. De ses trois frères l'un est mort de
maladie
chro- nique de la poitrine à l'âge de quarante-
à l'âge de 1 V. Souques. Des syndromes hystériques simulateurs des
maladies
de la moelle, Paris, 1891. * Qu'il nous soit
'a été très utile dans plusieurs circonstances. L'HYSTÉRIE ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 389 vingt-sept ans à une
90, les grandes attaques disparurent, la santé de l'hystérie ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 391 Mme Gi... s'améliora
889. Cepen- dant il est à remarquer que depuis la première année de
maladie
les accès n'ont jamais été accompagnés ni suivi
e de tous les événement : , qui lui sont arrivés. 1 MAItCHE DE la
maladie
. Les accès à forme d'épilepsie sensitive contin
entèrent du côté droit, ne touchant pas à la face L'HYSTÉRIE ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 393 et à la langue. Au c
on éminent maître et sur lequel il n'y a pas de doute possible : la
maladie
organique et l'hystérie évoluent alors chacune
ent, eux aussi, sous la dépendance de la névrose. L'évolution de la
maladie
nous a- donné pleinement raison; à l'heure prés
ontrent la nature fonctionnelle et comme il n'y a dans G... d'autre
maladie
fonctionnelle que l'hystérie nous devrions logi
ilepsie partielle. (Revue de Médecine, p. 609.) l'hystérie ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 395 ilyavaituneaffluence
e la langue anglaise, qu'elle parlait sans diffi- l'hystérie ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 397 Î année de maladie :
l'hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau. 397 Î année de
maladie
: « elle oubliait de temps à autre les mou- vem
té des médecins de Jussyr 1887.) ' 3 Voir dans les Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, p. 213, la relation
se d'une lésion organique, en considérant par- ticulièrement que la
maladie
a duré presque trois ans. En deuxième lieu, en
omène presque constant, selon Fournier'. 1. Enfin l'évolution de la
maladie
est bien différente dans la syphilis cérébrale.
les phénomènes ont été plus graves dans les premières années de la
maladie
: ils ont eu pour ainsi dire une explosion tumu
1 Fournier. La syphilis du cerveau, Paris, 1889. L'HYSTÉRIE ET LES
maladies
organiques DU cerveau. 399 aurait pu supposer u
tion de la sclérose disséminée ? Il n'y a aucun symp- tôme de cette
maladie
dans G... c'est vrai que Loewen- feld 2 rapport
let se développa plus tard. Mais ce fait d'une sclérose en plaques,
maladie
éminemment diffuse qui se mani- feste pendant s
USE. valent du mal comitial ? Tous les autres phénomènes de cette
maladie
sont absents; en outre, l'on sait que son début
parfaite harmonie avec tous les phénomènes, avec l'évolution de la
maladie
et avec son issue. Nous nous croyons donc autor
t paternel sont morts à un âge très avancé, il ne sait si c'est par
maladie
ou par vieillesse. Son père est un homme, très
es Antécédents PERSONNELS.- Cha..., dans son enfance n'eut aucune
maladie
: il urina au lit jusqu'à l'âge de douze ans, mai
ance lorsque l'on veut le recoucher, il dort pen- L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 403 dant plus d'une heur
ue de Cha.... 2° Avant tout, Cha... est prédisposé par hérédité aux
maladies
nerveuses. Cette prédisposition héréditaire se
onnalité des muscles de l'oeil, l'absence de phénomènes d'une autre
maladie
qui pourrait nous expliquer la diplopie, nous a
, comme nous le démontrons par l'examen objectif, L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 407 c'est à l'hystérie q
ctuelle une origine différente ? En présence de l'évolution de la
maladie
ainsi nette dans sa signification étiologique e
'hystérie qui était basé sur l'étiologie et sur l'évo- lution de la
maladie
. OBSERVATION III. - Hystérie à forme d'épilepsi
e famille. Son père mourut à l'âge de quarante- cinq ans, après une
maladie
de deux mois, sur laquelle on ne peut pas avoir
e ans, est très bien portante. De ses parents aucun ne soutire de
maladies
nerveuses. Antécédents personnels. - Dès sa pre
souffrir aucun trouble digne d'être remarqué. Un L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an après son premier
ALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an après son premier accident sa
maladie
actuelle se manifesta de la façon suivante. Une
physique et moral se troubla; six mois après au commencement de la
maladie
il fut obligé d'interrompre son métier. Soumis'
gères grada- Fig. 5 et 6. -Bar... 20 juin 1892. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 413 tions de toutes les
basant sur les argu- ments suivants : 1° Depuis trois ans que la
maladie
dure, on n'observe pas des lésions de motilité
elle un fait fort intéressant relaté par M. Charcot (Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, p. 80), qui démontr
ile, à la douleur et thermique à gauche, la perte L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 413 du sens musculaire d
ue médicale française et étrangère, 19 mars 1891. L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Observation IV. Hyst
l'âge da huit ans. Antécédents personnels. - F... n'a jamais eu de
maladies
graves. Pas de syphilis ni d'alcoolisme. Il est
e sa santé n'a plus été bonne. La faiblesse que lui avait laissé la
maladie
infectieuse réagit sur son esprit et la peur de
toute la rapidité et la netteté dési- rables. ' L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 419 Sensibilité spécifiq
forma medica, 1891, n° 177. * Charcot. - Leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux, recueillies par le D' G. Gu
recueillies par le D' G. Guinon. Paris, 1892. . - L'HYSTÉRIE ET LES
MALADIES
ORGANIQUES DU CERVEAU. 421 nous paraît y avoir
éliminées ici ? Nous ne le croyons pas, tous les phénomènes de ces
maladies
sont absents, il n'y a que l'hystérie qui nous
aliénation mentale. de myélite, de polynévrite consécutives à cette
maladie
infec- tieuse sont désormais très nombreux ; ce
si celle-ci est, en grande partie, comme l'enseigne M. Charcot, une
maladie
delà personnalité, il nous semble très probable
RANSITOIRE ? 1 contribution A l'étude DES TROUBLES VISUELS dans LES
maladies
' nerveuses; . par le D' ALBERT ANTONELLI.
la même voix, la même vision), et proprement dans les crises de ces
maladies
ner-' veuses (hystérie, épilepsie) auxquelles l
ral, les rapports entre l'r.mblyopie transitoire et les différentes
maladies
ner- veuses, tels que nous les avons fait resso
e, qu'une éclosion de syn- drôme prodromique ou accessoire lié à la
maladie
principale. En effet, abstraction faite des cas
plus complexes, telles que l'hys- térie ' et l'épilepsie, soit des
maladies
organiques du système nerveux. En admettant l
es accès, devenir le siège d'un trouble de nutrition Leçons sur les
maladies
du système nerveux, tome III. l'amblyopie trans
f. Psclaiat., 1876, p. 142. 5 Robin. - Troubles oculaires dans les
maladies
de l'encéphale. Paris, 1880, p. 357-358. 438
ns les cas où les accès d'amblyopie accompa- gnent ou précèdent une
maladie
nerveuse organique, telle que le tabès ou la dé
aux est idiopathique, pour ainsi dire, en constituant à lui seul la
maladie
, qui pourra tout au plus se rapporter à un état
qui vont devenir organiques. VI. Au point de vue du diagnostic des
maladies
nerveuses, l'amblyopie transitoire est rangée p
ntre l'amblyopie transitoire et d'autres affections, telles que les
maladies
des membranes de z l'oeil, glaucome, etc., est
début de la paralysie générale ou être associées à nombre d'autres
maladies
ner- veuses ou même être suivis de mort (un cas
servations de migraine ophtalmique dans le supplément au traité des
maladies
des yeux de Mackenzie, 1876. 15. Listing et Rue
(Th. de Paris, 1880.) 21. A. Robin. Des troubles oculaires dans les
maladies
de l'encé- phale. (Th. d'agrég.,1880.) , 22.
ons cérébrales. (Th. de Paris, 1882.) 27. Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux. (Paris, 1882 ) - 28. H. P
L. Thomas. - La migraine. (Paris, 1887.) 38. Galezowski. Traité des
maladies
des yeux. (Paris, 1888, p. 562.) 39. Charcot.
, Semaine médicale, 27 janvier 1892.) 54. P. Blocq et J. Onanoff. -
Maladies
nerveuses (sémiologie et nosdiagtic). Paris, 18
ses (sémiologie et nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131. CLINIQUE DES
maladies
DU système NERVEUX. - M. CHARCOT. LA SUGGESTION
llez voir qu'elle a complètement oublié la Sal- pêtrière, sa propre
maladie
, tout ce qu'elle a fait dans ces dernières anné
développées simultané- ment et indépendamment l'une de l'autre deux
maladies
; d'un côté l'hystérie avec ses anesthésies, ses
es attaques, des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à deux
maladies
mentales différentes. Il n'y a là qu'une seule et
de se développer ; tout semble fini pour elles dès le début de leur
maladie
, elles n'apprennent plus rien, ne comprennent plu
x que cela encore. Vous avez tous remarqué que, au cours même de la
maladie
, sous toutes sortes d'influences, les hystériqu
er de la volonté. Ce trou- ble, cette aboulie existe dans plusieurs
maladies
mentales, et en particulier dans l'hystérie don
'une attaque de paralysie; mère morte à soixante-six ans de la même
maladie
. Cette dernière était sujette aux névralgies, <
nnels. - John a toujours été très vigoureux e ne se rappelle aucune
maladie
. C'est un jockey très connu et très apprécié, c
sage immodéré des femmes et attribue même à des excès génésiques la
maladie
qui l'amène à l'hôpital. Pas de syphilis. L'a
nalyse détaillée de ces symp- tômes, il était aisé d'éliminer cette
maladie
organique. Les vertiges présentaient, en effet,
s rappelons-nous que les combinaisons de la grande névrose avec les
maladies
organiques du système ner- veux, et en particul
us, il n'y a dans les antécédents personnels de notre malade aucune
maladie
infectieuse (Charcot et Marie) ; au contraire,
ans un asile pendant la période la plus longue de l'évolution de sa
maladie
. Mais les conditions matérielles danslesquelles
ence : rien ne peut le soustraire à son angoisse. De même pour la
maladie
du toucher, l'idée d'une souillure pos- sible t
dorat, du goût, etc... et ce n'est que dix ans après le début de la
maladie
que se montrent les premiers signes d'idées - a
oral ne devra cependant pas être donné aux individus porteurs d'une
maladie
de coeur à cause de son action déprimante sur l
r de la folie puisque le vice est souvent fac- teur étiologique des
maladies
mentales. Le second aurait plus de valeur mais,
l'ivresse délirante considé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 4U1 rée comme une
maladie
, ne résistent pas à l'examen : faiblesse de vol
du 25 juillet. Présidence DE M. ÇnnISTIA1V. Observation d'un cas de
maladie
de tics convulsifs avec mouvements par obsessio
Société, qui l'accepte, de fêter avec la Société de psychiatrie et
maladies
nerveuses de Berlin, l'anniver- saire de la vin
es t. XXIV. " 32 498 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES - DE BERLIN. Séance du 12 janvier 1
nt dans'leurs ascendants des névropathies (épi- lepsie- nervosisme -
maladie
de Basedow). Il n'a jamais observé la transmiss
arante ans, célibataire, affectée de cette 502 SOCIÉTÉS SAVANTES.
maladie
depuis l'âge de vingt-sept ans. La malade, très n
d elle date de trois à quatre semaines. Chez un malade affecté de
maladie
de Thomsen, chaque étincelle provoquait de rapi
te suivit. M. MENDEL. Contribution ci l'anatomie pathologique de la
maladie
de Basedow. - En 1887, un professeur de quarant
chez les lapins et les chiens on peut provoquer les symptômes de la
maladie
de Base- dow. (Al'chiv f,1>sychiat" XXIV, 1.
és. La mort était survenue dans la première semaine au moment où la
maladie
avait atteint sa phase d'acnée, mais il ne s'ag
rement spi- nable. * Discussion sur l'anatomie pathologique de la
maladie
de l3asedow : M. Siemerling a fait l'autopsie d
it l'autopsie du malade présenté en décembre 1887 par M. Oppenheim (
maladie
de Basedow compliquée de maladie d'Addison). Le
en décembre 1887 par M. Oppenheim (maladie de Basedow compliquée de
maladie
d'Addison). Les corps resliformes étaient intac
ntait une dégénérescence mani- feste. - M. KOEPPEN dans un cas de
maladie
de Basedow a trouvé une légère rougeur dans la
e. Mais il n'y avait pas en ce cas de phénomènes ressortissant à la
maladie
de Basedow, ou bien il se présentait isolé- men
ue vient à l'appui de cette opinion. La myélite chro- nique est une
maladie
suffisamment caractérisée au lit du malade ; il
tion scientifique des faits ; on en a tiré un schéma artificiel des
maladies
de la moelle, on a sacrifié la clinique à l'ana
L'étude des observations des malades montre qu'il n'y a que deux
maladies
qui doivent être désignées sous le nom d'affectio
t au tableau morbide de la paralysie spinale spasmodique. Mais la
maladie
de Friedreich est une espèce à part de maladie
spasmodique. Mais la maladie de Friedreich est une espèce à part de
maladie
de la moelle. Enfin la maladie de Morvan (syr
riedreich est une espèce à part de maladie de la moelle. Enfin la
maladie
de Morvan (syringomyélie) est une cinquième for
au Congrès une étude sur quelques cas d'annésie antérograde dans la
maladie
de la désagrégation psychologique. La psychol
TIN BIBLIOGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les troubles de la marche dans les
maladies
nerveuses. Volume m-12, cartonné de 176 pages,
CnAPMAN (J.). Résumé d'une communication sur l'origine nerveuse des
maladies
et de leur traitement efficace par l'action direc
teur, 31, avenue de l'Opéra. CHAPMAN (J.). L'origine nerveuse des
maladies
et leur traitement effi- cace par l'action dire
ur les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du
hie et lithographie Ch. Bochm. Grasset et GUIBEAT (H.). - Un cas de
maladie
de Morvan. Brochure in-8° de 26 pages. Paris, 1
ement du cerveau, hypno- tisme, par Charcot, 136; - Epi- tome des
maladies
mentales, par J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi,
J. Shaw, 137 ; Leçons du mardi, par Charcot, 138; -Clinique des
maladies
du système nerveux, par Charcot, 139; - Trouble
; - 'Troubles de la mémoire, par Sollier, 357; - Leçons sur les
maladies
de la moelle, par P. Ma- rie, 359. Bulletin b
ologistes et aliénistes de Moscou, 127; - de psychia- trie et des
maladies
nerveuses de Berlin, 498,-d'hypmologie, 364.
par Ilinz, 271. TIIYNAIÉTINE, par Jolly, 500. Tics convulsifs,
maladies
des - avec mouvements par obsession, par liou
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTEME NERVEUX Imp. Vve Lourdot, 33, rue de
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA /O \ SALPÊTRIÈRE \ CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX FONDÉE PAR LE PROFESSEUR C
urnier). Parmi les nombreux malades qui fréquentent la Clinique des
maladies
cutanées et syphilitiques de l'hôpital St-Louis
3 frères et soeurs bien portants. A. P. A marché il 9 mois : pas de
maladies
d'enfance ; fièvre typhoïde à 10 ans ; pas d'al
plaques. En même temps gale. Elle semble ignorer le pourquoi de la
maladie
actuelle ; ne se souvient pas d'un accident pri
gique. GILLES de la TOURETTE. HUDELO, Ancien chef de clinique des
maladies
Chef de clinique des maladies du système nerveu
. HUDELO, Ancien chef de clinique des maladies Chef de clinique des
maladies
du système nerveux. cutanées et syphilitiques.
arie et Georges Guinon, Progr. méd., 1 mars 1885) et Leçons sur les
maladies
du système nerveux, tome III. (2) Pierre Marie
e et de broncho-pneumonie. Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. - Le malade a eu a 12 ans une scarlatine, sans
illantes, et on le réforme, en le prévenant qu'il est atteint d'une
maladie
grave. En 1869 (il avait il cette époque 21 ans
ion de dégénérescence dans la pa- ralysie pseudo-hypertrophique (1)
maladie
dont la nature purement muscu- (1) Bédard et Ré
e semble, à ce que l'on (1) Voir à ce sujet : Charcot, Clinique des
maladies
du système nerveux ; leçons du pro- fesseur, mé
phique dans la famille. Antécédents pei,soiiîiels et histoire de la
maladie
. Né a terme, il a eu dans l'en- fance quelques
ugle ». Jusqu'à dix-sept ans, bonne santé néanmoins. A ce moment la
maladie
s'ac- centue. Le bras droit s'affaiblit, ce qui
COTÉ L. BATTAILLE 61 CIL, EDITEURS DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DES
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS (1).
touché. Troubles raso-moteurs el secrétaires du côté paralysé. '
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 23 R
us ont fourni chacune un syn- (1) et (2) Voir plus haut, page 28.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 25 d
(1) Babinski, Soc. méd. hôp., 11 nov. 1892. (2) Id. loco cilato.
maladies
organiques DE l'encéphale chez LES enfants S 27
ants S 27 et, en fait, les associations de l'hystérie avec d'autres
maladies
sont, d'a- près ce que j'ai observé moi-même, c
ique infantile. CHAPITRE Il syndromes hystériques simulateurs des
maladies
par lésions limitées de la zone motrice cortica
sions par- tielles. (1) Charcot. Leçons du mardi, 1888, p. 203.
maladies
organiques DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS S 29
ée le 28 octobre 1891. Antécédents héréditaires. Mère nerveuse sans
maladie
déterminée. Père alcoolique. Dans la famille de
de Contribution au diagnostic différentiel entre l'hystérie et les
maladies
organiques du cerveau. L'au- teur y rapporte qu
e travail très consciencieux pouf les détails de l'observation. '
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 31 c
le, et il s'ensuit une dégénérescence totale du faisceau pyramidal.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 33 L
dents de la névrose, simulent les affections chirurgica- les ou les
maladies
organiques du système nerveux. Il faut donc les a
(1) P. RICHER, op. cil., p. 9. (2) P. Tricher, op. cit., p. 102.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CUEZ LES ENFANTS 35 C
eraient uniquement les contractures hystériques pouvant simuler les
maladies
organiques de l'écorce cérébrale. Les faits qui i
t des monoplégies associées dont ils donnent le tableau suivant :
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 37 d
sAun et Marie, Prog. médit, 1888 et Ballet, Soc. més. hôpit., 1890.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 39 r
mal. du syst. nerv., t. III, p. 481 et Leç. du mardi 1888, n° 19.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 41 d
u près nuls au point de vue nerveux. Antécédents personnels. Aucune
maladie
antérieure. A commencé à parler vers un an ; so
d'une santé robuste et n'a jamais eu d'attaques ni de convulsions.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 43 D
is plus tard, cette petite malade est toujours dans le même état.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 45 D
'à quelle limite peut être poussée la simulation par l'hystérie des
maladies
nerveuses à foyer circonscrit et quels soins il
Guinon, t. 1, p 308. (2) G. Tournant, thèse de Paris, mars 1892.
MALADIES
ORGANIQUES DE L ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 47 C
s de l'appareil de la vision. SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DES
MALADIES
DE L'APPAREIL DE LA VISION PAR LÉSIONS ORGANIQU
s sujets et en particulier des enfants qui sont, en dehors de toute
maladie
bien caracté- risée, frappés de cécité absolue
st éteinte simultanément dans les deux yeux sans qu'il y ait eu une
maladie
aiguë à l'origine de ces accidents. Chez ce même
si elles ne sont pas extrêmes Je n'ai observé que deux cas où la
maladie
progressa malgré mon trai- tement. Le pronostic
ns les cas non compliqués, de l'âge du ma- lade et de la date de la
maladie
, c'est-à-dire de la contractilité des muscles d
es temps, 1, 2, 3 mois par exemple. Dans les premières phases de la
maladie
l'effet de la première séance est en général pl
ar la faradisation de la région claviculaire. Dans quelques cas, la
maladie
a fait des progrès après l'interruption du trai
ent de lourdeur du bras malade qui est presque constante dans cette
maladie
si fréquente chez nous. La faradisation de la r
ulement quelques différences dans les versions. A l'origine de la
maladie
, les époux Muller s'étaient adressés au prê- tr
si des arthropathies analogues à celles observées dans le tabes. La
maladie
de Morvan est-elle identique à la syringomyélie ?
utopsie de M. Jof- froy semble établir que c'est une- seule et même
maladie
. Mais les parti- sans de la réalité se fondent
la syringomyélie et au contraire perte absolue et complète dans la
maladie
de Morvan. Mais les observations cliniques ont mo
montré depuis que la dissociation pouvait aussi s'observer dans la
maladie
de Morvan ; nous avons vu d'autre part que la p
e l'analogie entre les deux affections, et qu'on puisse regarder la
maladie
de Morvan soit comme un épisode, soit comme une
Dr Zambaco à l'Académie de Médecine. On sait que pour cet auteur la
maladie
de Morvan ne serait autre chose qu'une lèpre larv
ns centrales du système nerveux, lésions qui ressortiraient à trois
maladies
bien semblables, sinon identiques : la mala- di
néralement distribués par territoires nerveux, tandis que, dans les
maladies
centrales comme la syringomyélie, l'anesthé- si
fre de gastralgies, peut-être déjà en rapport avec le tabes. Pas de
maladie
infectieuse, ni de syphilis, ni d'excès alcooli
s de maladie infectieuse, ni de syphilis, ni d'excès alcooliques.
Maladie
actuelle. A l'âge de 14 ans, pendant l'établissem
cidents cutanés. Pneumonie à 36 ans. Excès alcooliques fréquents.
Maladie
actuelle. A 27 ans, l'oeil gauche est frappé subi
uspension n'a pas donné de résultat appréciable. Observation III.
Maladie
de Friedreich. Forme fruste. Déformations carac
re un peu forcer le diagnostic que de consi- dérer ce cas comme une
maladie
de Friedreich. Nous nepouvons savoir en effet s
E ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux (t) En présence de statist
nifeste actuellement une tendance à considérer un certain nombre de
maladies
cérébro-spinales comme produites par la syphili
ici la précision qu'on doit poursuivre aujourd'hui dans l'étude des
maladies
infectieuses, il appartient à l'anatomie patholog
l est possible, les relations qui existent entre la syphilis et les
maladies
nerveuses. En conformité avec ce que l'on obser
nte alors des analogies très grandes avec les produits de certaines
maladies
infectieuses telles que la tuberculose, la morv
e. L'intérêt du cas réside non seulement dans le peu de durée de la
maladie
, mais encore dans ce fait que le malade n'a pas
été conservées. (A suivre.) H. Lanlr, Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE D
ique des maladies du système nerveux. DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DES
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS (9 )
on binoculaire n'exis- tait pas ou existait imparfaitement avant la
maladie
(3) ». L'amaurose uni- latérale est donc relati
. cl'opltlctlm., 4 juin 1889. (4) SRVESTRE, Soc. méd. hop.. 1882.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 103
. hôpil., 1891. (2) Sauuntau, Ophlalmuplégics. Thèse Paris, 1892.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 105
s antécédents héréditaires. Dans les antécédents personnels, pas de
maladies
antérieures, mais tempé- rament nerveux et peti
s tempé- rament nerveux et petites crises ( ? ) assez fréquentes.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 107
ier et au second examen. DEUXIÈME PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE AVEC LÉSIONS DISSÉMIN
ces, d'ailleurs théoriques, entre ces deux variétés de lésions. Les
maladies
organiques qui en sont la conséquence offrent, no
es n'obéissent à aucune règle constante. Le type de ces dernières
maladies
, les seules dont nous ayons mainte- nant à nous
pathognomonique, aucun même n'est indispensable au diagnostic de la
maladie
; mais ils ne prennent de valeur réelle que par
agnostic. Or, les auteurs dé- crivent à la période d'invasion de la
maladie
trois phénomènes principaux composant le trépie
es observations démon- (1) CIIANTIOEI : SSF.. Tht'se Paris, 1884.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 109
comment l'hystérie réalise leur groupement de façon à si- muler la
maladie
elle-même. A ce propos, il n'est peut-être pas sa
peut se montrer d'autres fois intense et persistante comme dans les
maladies
organiques de l'encéphale; les enfants en particu
t., p. 206. (6) CIIA¡.;rCJlESsc, Soc. médic. hôpil., 1891, nu 17.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 111
l'absence de photophobie véritable, de vomissements et de fièvre.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS z3 E
ant un peu mieux ceux qui l'interrogent ; mais si on insiste sur la
maladie
antérieure, elle témoigne de la mauvaise hu- me
ents qui se seraient continués jusqu'à l'âge de 5 ans. Pas d'autres
maladies
. Il y a 18 mois, en octobre 1890, l'enfant qui
tion très régulière. Rien à l'auscultation des poumons ou du coeur.
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CITEZ LES ENFANTS 115
; 20 L'apparition d'un hoquet persistant au 2° et au 3e jour de la
maladie
; 3° Enfin, une rétention d'urine presque absol
ues. C'est à ce type que M. Marie croit devoir rattacher la plupart
MALADIES
ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 11l
z les enfants. A part une question de mots, la description de cette
maladie
donnée par notre excellent maître reste donc ab
ltes, elle peut revêtir des for- (I) J. Simon. Voir Revue mens, des
maladies
de l'enf. (déc. 1SS3, janv. 1884) et Confér thé
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mes permanentes et durables qui simulent les
maladies
organiques du sys- tème nerveux. IL En ce qui
rganiques du sys- tème nerveux. IL En ce qui louche seulement les
maladies
organiques de l'encé- phale, les « syndromes hy
les « syndromes hystériques simulateurs » s'adaptent aussi bien aux
maladies
par lésions en foyer qu'aux maladies par lésions
rs » s'adaptent aussi bien aux maladies par lésions en foyer qu'aux
maladies
par lésions disséminées des divers organes encé
s simu- lateurs et s'associe rarement chez les enfants aux diverses
maladies
de l'en- céphale. V. Le diagnostic obéit il d
rir la névrose et de séparer ses manifestations des symptômes de la
maladie
organique. VI. Dans tous les cas, le pronostic
question : ils ont la valeur de probabilité, rien de plus. 2. La
maladie
, chez les trois sujets que nous avons en vue, s'e
e que dans la lèpre ils n'en existent pas moins dans celle dernière
maladie
et leur constatation ne permet pas de conclure
rtrichose à localisation systématique peut se montrer en dehors des
maladies
organiques du système nerveux auxquelles elle e
ergique qui a été faite sur le côté gauche et en avant. Début de la
maladie
actuelle, 1884-1885. En 1884 et 1885 c'est-à-dire
avec rémission. Sensation de froid aux pieds depuis le début de la
maladie
dès 1885. Coeur : souffle diastolique doux à la
erchée attentivement (2). - P. Londe Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. (1) Bacakakis, Thèse de Par
E ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux (Suite) (I). En résumé, un
presque subitement d'une paraplégie grave. Au bout de 19 jours de
maladie
il est dans le même état au point de vue de la mo
LITE SYPTIILITIQUE 159 chow) et qui peuvent être réalisées par deux
maladies
infectieuses, pour ne citer que les plus vulgai
me réalisant sous la forme la plus commune le type anatomique de la
maladie
que nous envi- sageons ici, et dont les caractè
ée de paraplégie subite un an après l'accident primitif, et dont la
maladie
évolua en moins d'un mois. Les lésions médullaire
aires notables. Croup à l'âge de 5 ans ; trachéotomisé. Pas d'autre
maladie
grave avant de 25 ans. A cette époque (octobre
leur malade. (A suivre.) II. Lancr, Interne de la clinique des
maladies
du système nerveux. Le gérant : Louis BATTAII.1
forme très simple qui réunit tous les symptômes principaux de cette
maladie
et peut servir de modèle clinique. On lui donne l
oupe des démen- ces secondaires, dans l'idiotisme et aussi dans les
maladies
qui ont pour cause de graves inflammations du c
e d'un délire Cllro- nique. (Etudiant de l'Université. -Deux ans de
maladie
. Refus de nourriture, puis symptômes de démence
e moyenne, marié, âgé de 36 ans. Paralysie générale progressive. La
maladie
com- mença en 1881 et la mort eut lieu en novem
ras- thénie cérébro-spinale accompagnée d'un abattement général. La
maladie
a duré 8 mois, puis gérison. La photographie a
uis gérison. La photographie a été tirée à l'intérieur pen- dant la
maladie
. Mimique : Affaiblissement du muscle orbitaire
pporte à la catégorie des phénomènes bulbaires constants dans cette
maladie
, plutôt qu'aux symptômes fondamentaux de la démen
professeur dans un collège, homme fort intelligent, à mesure que la
maladie
se développe chez lui, devient parfaitement indif
que l'on ait toujours considéré, jusqu'à nos jours, cette dernière
maladie
comme inflammatoire, les recherches minutieuses
e ou dans le fond de l'Allemagne, dès leur enfance, la misère et la
maladie
les oilt accompagnés partout. Ils (1,) Charcot,
e la névrose. C'est chose remarquable qne la grande fré- quence des
maladies
nerveuses dans la race juive. Chez elle, qu'il s'
lle, qu'il s'agisse d'épilepsie, d'hystérie, de neurasthénie, ou de
maladies
mentales, la pro- portion est toujours considér
igion et sa nationalité. Il fut difficile de lui faire expliquer sa
maladie
. Il se plaignait surtout d'impuissance génitale
E ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux (Suite) (1). Les lésions m
lement. Mais voici que le tableau clinique se transforme, et que la
maladie
entre dans une seconde phase, la phase rachidie
lite transverse (ex. observ. V, VI, X). Lorsque l'évolution de la
maladie
est telle que nous venons de l'indi- 218 NOUVEL
voiture il l'âge de 70 ans; très vigoureux, n'avait jamais fait de
maladie
; un peu buveur, surtout dans les derniers temp
a eu 2 frères et 1 soeur du même lit. Les deux frères sont morls de
maladie
aiguë (fièvre typhoïde ? ), sa soeur vit encore
couchement difficile. W. lui-même n'a jamais fait antérieurement de
maladie
il proprement par- ler ; mais il eut quelques a
issement des envelop- pes de la moelle. Dans uneseconde phase de la
maladie
, l'apparition d'une paralysie dans le domaine d
s fut exactement pareille, on put constater, la phase ai- guë de la
maladie
une fois passée, les vestiges d'une névrite ancie
o- ration considérable par le traitement spécifique. Reliquat de la
maladie
en jan- vier 1893 : paraplégie spasmodique exag
e du côté gauche aurait commencé il tomber peu de temps après cette
maladie
. Dans tous les cas, il affirme que 4 ans plus t
e à peine les objets de cet oeil. Il prétend que, pendant la grande
maladie
qui l'a tenu 3 semaines au lit en juillet de l'
tout ner- veuse. Quatre enfants, tous vivants. Il n'y a pas de
maladies
nerveuses dans les collatéraux ou les ascendants
haut en bas des méninges cérébro- spinales, qui donne parfois il la
maladie
une physionomie tellement singulière qu'on ne s
cnl- moscope, décoloration des deux pupilles . - Incurabililé de la
maladie
malgré un traitement énergique. Nie.... Prude
accentués maintenant, taudis qu'ils faisaient défaut au début de la
maladie
. De plus ceux-ci prédomi- nent du côté gauche,
nt doulou- reux permanent au niveau de la région épigastrique. La
maladie
a évolué depuis le début sans fièvre : la tempéra
es graves. (A suivre.) H. Lamy, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. SUR UNE ESQUISSE RETROUVÉE
le rhumatisme chronique de l'affection goutteuse. Son livre sur les
maladies
des vieillards est un re- flet brillant de son
ologie expé- rimentale. Charcot publie alors ses recherches sur les
maladies
du foie, des reins et des poumons qui, traduite
rations du liquide sanguin. J'arrive du reste à ses études sur les
maladies
nerveuses dans lesquelles il a brillé d'un écla
deux choses de front, créait à la Salpêtrière l'ensei- gnement des
maladies
du système nerveux. Tout était à faire dans le vi
t relégués sous le nom général de paralytique tous les infirmes par
maladies
du cerveau ou de la moelle épinière. C'est l'ép
c lui dans cette voie féconde, et son tour, de ce groupe confus des
maladies
de la moelle non différenciées, il sort la scléro
il sort la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyolrophique (
maladie
de Charcot), les arthropathies des ataxiques (C
et Broca. De 1802 à 1876 son enseignement il la Salpêtrière sur les
maladies
or- ganiques du cerveau et de la moelle jette s
hystérie dont il dérive, a son déterminisme et ses lois : c'est une
maladie
que l'expérimentateur fait naître, raison de plus
chaire d'anatomie pathologique pour prendre possession de celle des
maladies
du système nerveux qu'on créait pour lui. Rien
E ET ANATOMO-PATHOLOGIQUE Travail du Laboratoire de la Clinique des
Maladies
, du Système nerveux (Suite et fin) (1). I. P
ination de paralysie spinale syphilitique. Le développement de la
maladie
, suivant Erb, a lieu d'une façon pro- gressive.
éder tous les autres, exister seuls pendant longtemps. Plus lard la
maladie
évolue jusqu'à la pa- résie spasmodique, rareme
ysie spinale syphilitique, lorsqu'elle existe isolée, constitue une
maladie
autonome et bien caractérisée, mais il re- conn
onnés ; puis il ne s'est soi- gné de nouveau qu'il l'occasion de la
maladie
actuelle. En avril 1892, il ressent des douleur
oncomitantes, qui peuvent témoigner de la nature syphilitique de la
maladie
. Nous verrons par la suite qu'elles se retrouve
Personnellement, il a toujours eu une bonne santé jusqu'ici. Pas de
maladies
graves, pas de fièvres éruptives dans l'enfance
l aujourd'Ini : il ren- seigne bien sur les divers événements de sa
maladie
, sauf un léger défaut de précision dans les dat
ver une ébauche de celle-ci, pour ainsi dire, dans l'histoire de la
maladie
. Nous n'en voulons pour exemple que l'observation
lle seule l'existence d'accidents cérébraux à un moment donné de la
maladie
, et principalement au début, est encore un argume
sque toujours de symptômes cérébraux. C'est avant tout, dit-il, une
maladie
cérébro-spinale. Les troubles cérébraux en ques
êtrière en décembre 1892. Bonne santé habituelle : n'a jamais eu de
maladie
grave dans l'enfance ni dans l'adolescence. Il
ivant. Observation XII. Chancre induré 6 ans avant le début de la
maladie
. Evolution lente el gra- duelle d'une paraplégi
le service de M. le professeur Charcot, salle Prus, n° 2. Pas de
maladie
nerveuse clans la famille à la connaissance du ma
Il est sorti amélioré après quelques jours de traitement ; mais la
maladie
depuis cette époque a continué à faire des pro-
plus com- mune, est essentiellement chronique. A aucun moment de la
maladie
on n'observe d'élévation de température, sauf c
ave de paraplé- gie syphilitique commune. 11 ne s'agit pas là d'une
maladie
différente : les traits essentiels de l'affecti
me grave de la paraplégie syphilitique commune. Enfin et surtout la
maladie
se montre incurable ou à peu près ; les es- cha
outes au sujet des relations de cette forme extrêmement grave de la
maladie
avec la syphilis. Jul- liard (2), dans sa thèse
t : « Dans quelques cas, on a observé un développement rapide de la
maladie
. Elle ahoutit à une paraplégie com- plète dans
. Notre observa- tion I se rapporte précisément à cette forme de la
maladie
. Celte paraplégie grave se montre comme une com
e. Eschare sacrée. Mort par septicémie un mois après le début de la
maladie
. Pas d'autopsie. M. X... 35 ans, professeur,
1. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 269 A partir de ce jour, la
maladie
évolue sans qu'aucune amélioration ait jamais é
e du sacrum, dont le débuta eu lieu pendant le 1er septénaire de la
maladie
. Les progrès de cette gangrène ont été des plus
dès le début. ' Aucun symptôme cérébral n'a été noté pendant cette
maladie
. Jusqu'à la fin les fonctions intellectuelles o
graves, cette abolition des réflexes persiste jusqu'à la fin de la
maladie
. Les muscles des membres inférieurs présentent
ares de décubitus, n'offrant aucune tendance à la cicatrisation. La
maladie
, jusqu'alors apyrétique, s'accompagne alors d'une
, comme on le voit, présente une analogie complète avec celui de la
maladie
que l'on désigne sous le nom de myélite central
sti- ques pour permettre de conclure à la nature syphilitique de la
maladie
(granulations embryonnaires avec cellules géant
mis des doutes sur ce point. II. LAMY, Interne de la clinique des
maladies
du système nerveux. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTR
paraissent avoir joué un rôle important dans le développement de la
maladie
. Klein a fait son entrée à Paris le 11 décembre
resté longtemps dans un service où on le soignait, dit-il, pour une
maladie
de foie ( ? ) Mais ne pouvant trouver en Russie
points de côté très pénibles, sans qu'il ait jamais eu cependant de
maladies
de poitrine. Il souffre aussi dans les membres,
nt fréquentes. S... se remit alors en quête d'un traitement pour sa
maladie
. A la fin d'août 1889, il consulta à Vienne le
1) âgée de 40 ans, mariée, a deux enfants, n'a jamais souf- fert de
maladies
somatiques aiguës ou chroniques. Ses règles étaie
gles étaient nor- males, quoique toujours très abondantes. Avant sa
maladie
, elle ne pré- sentait rien d'anormal au point d
ition des troubles psychiques eut lieuen 1885, vers le 17 avril. La
maladie
débuta par un état dépressif et par des accès spa
mncsliqties auxquelles on a joint la description de la marche de la
maladie
jusqu'au ler février 1801, sonl fournies parles o
facilement. II-XII. Dans le même état. C'est à cette phase de la
maladie
que nous nous arrêterons. Quoique ce cas contin
sans atten- dre le développement ultérieur du tableau général de la
maladie
, l'affec- tion morbide qui sert de thème à ma c
détermination des rapports qui existent entre cette affection et la
maladie
qui en est la cause, j'apporte en outre des don
d'autres enfin à l'amentia chronique. Remettant à l'époque où la
maladie
aura entièrement achevé son déve- loppement l'a
je me bornerai pour l'instant à indiquer que, dans sa mar- che, la
maladie
tend à prendre une forme cyclique. En effet l'alt
nsion et dépression, épisodique durant les premières an- nées de la
maladie
, présente dans ces derniers temps, un cycle bien
ation de ce cas, comme l'effet clinique général d'une seule et même
maladie
. Le tableau symptomatique des changements somat
opathie, se retrouvent isolés ou réunis dans les diverses formes de
maladies
mentales et se rap- portent en partie aux troub
s. En passant en revue les troubles trophiques qui accompagnent les
maladies
mentales, nous indiquerons ceux qui ont été solid
é d'établir pour l'une et l'autre forme un lien réciproque entre la
maladie
cérébrale et la lésion des articulations. Au poin
lle affection s'est- elle développée ? Est-elle l'indice de quelque
maladie
constitutionnelle ou de quelque forme aiguë de
que, dans le cas qui nous occupe, nous n'avons eu affaire ni à une
maladie
chronique, affection tuberculeuse, syphilitique
uberculeuse, syphilitique ou rhumatismale de l'articulation, ni aux
maladies
aiguës citées plus haut. Le développement, la m
guës citées plus haut. Le développement, la marche et l'issue de la
maladie
ne permet pas d'admettre, en effet, que nous ay
troubles qui accompagnent ces affections. En outre l'is- sue de la
maladie
, qui s'est effectuée sans nécessiter l'emploi de
ouvent les lésions qui déterminent les troubles trophiques dans les
maladies
menta- les. De quelle nature sont-elles ? c'est
ont probablement quelque lien avec certaines formes déterminées de
maladies
mentales doivent nous suffire pour le moment.
oncer qu'une de ses filles venait d'être atteinte subitement par la
maladie
, et que, ramassée dans la rue, elle était morte e
aucoup sont morts. Au dire de la malade, il n'y aurait jamais eu do
maladies
nerveuses dans sa famille ni du côté paternel,
actuellement bien por- tants Ù Kicw. Rosa A... ? n'a fait aucune
maladie
sérieuse jusqu'à ces dernières années. Elle sou
que héréditaire. Quelles ont été les causes occasionnelles de cetle
maladie
du voyage ? Des traumatismes comme dans le cas
lacé bientôt par l'ancienne tristesse quand revient la pensée de la
maladie
obsédante. Il nous reste maintenant il passer e
ce exagérée à ces souffrances, croyant qu'elles sont le signe d'une
maladie
pulmonaire grave quand elles siègent entre les
bel et bien hystérique : « A certaines époques, dit-il, il fait une
maladie
qu'on croirait incurable; il est comme ravi en
sager. Une nouvelle cause dé- pressive ne tarde pas à surgir. Et la
maladie
reparaît. La mémoire est souvent touchée, soit
l'avenir des névropathes voya- geurs ; car ils échappent, par leur
maladie
même, aux observations com- plètes. On ne peut
dipsomanes et de morphinomanes. En ce qui concerne spécialement la
maladie
des voyages dont ces mala- des sont atteints, o
appe en lui, c'est précisément le cachet spécial que lui imprime sa
maladie
, et qu'on retrouve dans toutes ses apparitions.
ubles apportés à son bureau « sortent d'un lieu infecté par quelque
maladie
contagieuse ». L'article suivant de son inventa
que autre léger remède, encourent souvent de longues et périlleuses
maladies
qui réduisent souvent leur famille à l'Hô- tel-
corps chez un épileptique, par Féré, 142. Hystérie simulatrice des
maladies
organi- ques de l'encéphale chezles enfants, (s
à XLVI. Danse macabre du Bar, XVI. Déformation des pieds dans la
maladie
de Friedreich, XII. Ilypel'tl'ichose chez un
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTEME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
siège constitue le plus grand centre scientifique pour l'étude des
maladies
nerveuses. Il n'est guère de médecins français, d
ement beaucoup qui sont venus chercher spontanément un remède à des
maladies
rebelles, mais il en est plus encore qui ont ét
111PLÉGIE HYSTÉRIQUE I Plus encore peut-être que celle des autres
maladies
, l'étude des affections du système nerveux a bé
ques. Il devait en être ainsi- d'ailleurs si l'on réfléchit que ces
maladies
ont le plus souvent des déterminations multiple
l'aide de la méthode graphique, la marche dans une série variée de
maladies
nerveuses. Nous ne décrirons pas complètement i
t(les cliniques et physiologiques sur la marche. - La marche dans les
maladies
du système nerveux étudiée par la méthode des e
de bien spécial dans ses antécédents héréditaires, si ce n'est une
maladie
nerveuse assez mal déterminée dont est mort son g
normales pour le diagnostic des défolmations que lui font subir les
maladies
. Comment reconnaître, en effet, que telle parti
cien peut retirer de l'examen morphologique dans un grand nombre de
maladies
parmi lesquelles les affections nerveuses tiennen
que nous lui avons assignés. PAUL RICHER, Chef du laboratoire des
maladies
du système nerveux. DES RÉTRACTIONS FIBRO-TEN
e mois, d'une fluxion de poitrine. Elle n'a du reste jamais fait de
maladie
jusqu'au moment du début de l'affection pour la
s hystériques. (A suivre.) PAUL Block, Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. 'un TYPE DE paralysie AGI
a malade quatre ans plus lard en 1878, à un degré plus avancé de la
maladie
, et l'on peut y voir l'exagération de l'attitude
ent n'oublieront pas ce tableau où tous les signes plastiques de la
maladie
se montraient si accentués. Nous avons pensé qu
pas encore été représenté. PAUL TRICHER. Chef du laboratoire des
maladies
du système nerveux. SUR UN LÉPREUX D'ALBERT D
rage inédit sur la représentation artistique des difformités et des
maladies
en général que nous espé- rons publier très pro
iles. C'est bel et bien un lépreux, atteint d'une forme mixte de la
maladie
. Sur la face, principalement aux lèvres, on recon
trophie musculaire progressive. Il a défini et classé cette étrange
maladie
, dans laquelle les muscles s'atrophient progres
ne attitude en rapport avec les muscles disparus, jusqu'à ce que la
maladie
par- venue à son dernier degré ait rendu tout d
, le long supinateur, est justement un des derniers atteints par la
maladie
. Depuis la déformation de la main, jusqu'au mou
, ÉDITEURS NOUVELLE. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH I Dans une récente séance de la
l'affection connue sous le nom d'ataxie locomotrice héréditaire ou
maladie
de Friedreich et faisait suivre l'ob- servation
stérieurement à sa publication, a été rapportée par M. Brousse à la
maladie
de Friedreich. 2° Une observation personnelle,
ervant de base à la thèse de M. Brousse : De l' ataxie héréditaire,
maladie
de Friedreich (Montpellier, 1882). 3° Le 24 m
LA SALPÊTRIÈRE. 5° En 1887, M. P. Blocq, interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux, rapportait dans les Archive
alade qui fut, de la part de M. Charcot, l'objet d'une leçon sur la
maladie
de Friedreich publiée par M. Berbez dans le Pro
maître avait été l'un des premiers en France ;t faire connaître la
maladie
de Friedreich. A cette époque (1884), nous avio
à l'un de nous pour étudier les caractères de la marche dans cette
maladie
, résultats consignés dans sa thèse inaugurale'.
udes cliniques et physiologiques sur la marche. -- La Marche dans les
maladies
du système nerveux étudiées par les méthodes de
es par les méthodes des empreintes. Paris, 1886, p. 50. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 47 seulement à deux ans, tandis
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I. PL. X DÉFORMATION DES PIEDS DANS LA
MALADIE
DE FRIEDREICH LECR06NIFH ET BABÉ, DtTHURS CIN
LA MALADIE DE FRIEDREICH LECR06NIFH ET BABÉ, DtTHURS CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 49 Jamais de troubles vésicaux.
, il n'existerait actuellement de publiés en France que sept cas de
maladie
de Friedreich dont un seul, celui de Brousse, ave
laquelle Friedreich appela pour la première fois l'attention sur la
maladie
qui devait porter son nom, il n'en aurait pas é
t bien portant; une soeur est morte jeune, nous ne savons de quelle
maladie
. La mère est nerveuse, impressionnable; elle a
our à Buenos-Ayres, qu'on s'est aperçu des premiers symptômes de sa
maladie
. Elle a été prise peu -IL peu et sans cause app
s après sou retour en France, environ deux ans après le début de sa
maladie
, elle a eu la rougeole; à ce moment, le trembleme
nton ou au nez avant d'arriver il la bouche. Au lieu de CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 51 tenir cette cuillère entre le
qu'il n'y ait rien a noter du côté des grands-parents. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 53 Quatre enfants : 1° une fille
bien portante jusqu'à l'âge de six ans. A cette époque elle eut une
maladie
que le médecin qualifia de fièvre muqueuse, bien
ste également pour tout le segment inférieur du membre. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 55 inférieur droit, commençant u
- Aub..., dix-huit ans, instituteur, est adressé à la Clinique des
maladies
du système nerveux par lI. le docteur Jacquin, le
tions que nous décrirons dans un instant. Depuis cette époque, la
maladie
a constamment progressé et le malade so présent
oigts de légers mouvements alhétosiques analogues (mais CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 57 moins marqués) à ceux que nou
succombé à soixante-dix ans. La mère de P... vit encore el n'a pas de
maladie
NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I. PL. XI SCOLIOSE
de maladie NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I. PL. XI SCOLIOSE DANS LA
MALADIE
DE FRIEDREICH LECROSNIBR ET BASÉ, } : "DIT ? UR
ADIE DE FRIEDREICH LECROSNIBR ET BASÉ, } : "DIT ? UR6 CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 511 nerveuse. Un oncle maternel
. On y retrouve tous les symptômes attribués par les auteurs à la «
maladie
de Friedreich » et signalés déjà pour la plu- p
'affection dans la seconde enfance, le plus souvent par CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 61 l'incoordination motrice des
Occupons-nous d'abord de la marche du sujet qui est atteint de la
maladie
de Friedreich. A la vérité, ses caractères ont fr
Nous aurions désiré é rapprocher, en ce qui concerne la marche, la
maladie
de Friedreich (ataxie locomotrice héréditaire)
avons rien à changer à ses termes généraux. L'individu atteint de
maladie
de Friedreich et chez lequel les troubles de la
llons exposer, nous semblent tout particulièrement dévo- lus à la
maladie
de Friedreich Lorsqu'on examine l'empreinte lai
S. IV HOUD..., OBS. III LE PL ? OBS. DE JOFFROY PHYSIONOMIE DANS LA
MALADIE
DE FRIEDREICH LECROSNIER ET babé, ÉDITKURS CI
LA MALADIE DE FRIEDREICH LECROSNIER ET babé, ÉDITKURS CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. ? Mais ce qu'elles ne peuvent no
En songeant cependant aux caractères communs qui semblent relier la
maladie
de Friedreich, ataxie locomotrice héréditaire, il
s seules. Gilles de la Tourette, P. LJLOCQ, IIUER. Clinique des
maladies
du système ncrvcuz. (A suivre.) t 1. Charco
temps, est pré- sentée au cours. Elle marche aussi bien qu'avant la
maladie
. Dans le cas qu'on vient de lire, il ne s'agit
que nous préco- nisons. ' P. BLOCQ, Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. 1. Société de chirurgie. Sé
ente-sept ans, fabricant d'abat-jour, se présente à la Clinique des
maladies
du système nerveux, le 15 décembre 1887 i. Anté
ar une opération 1. BLIN et DAMAYE, Externes de la Clinique des
maladies
du système nerveux. 1. Nous ajouterons que le m
ÉDANT A LA CONTRACTURE SPASMODIQUE. I 1. - Un certain nombre de
maladies
du système nerveux central pro- voquent dans le
apportée pour la première fois dans le 3" volume des Leçons sur les
maladies
du système nerveux de M. Charcot, 2;)" leçon, p.
r un cerveau dépourvu de corps cal- leux (Société de psychiatrie el
maladies
nerveuses de Berlin, séance du 9 mai 1888, anal
de la lésion cutanée. Ch. FEUE, Médecin de BicéLre. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICII (Suite et fin). 1 Anatomiqueme
la il résulte, croyons-nous, que les déformations du pied - dans la
maladie
de Friedreich sont assez spéciales pour être part
he assez particulièrement de celle que nous venons de décrire dans la
maladie
de Friedreich. Mais ici l'affection est unilaté
n qu'on puisse à la rigueur imaginer sa bilatéralité. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICII. 115 d'une façon générale la pet
andé et traînant, contribuent à donner aux individus atteints de la
maladie
de Friedreich un air de famille (pl. XII) qu'on r
ion III et qui sortent un peu du cadre symptomatique habituel de la
maladie
de Friedreich. Ils ont plus particulièrement trai
ncidant ou non avec l'anesthésie. Ftc. 43. Fie. 44. CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 117 parésie des mouvements assoc
nt, en effet, que l'hys- térie peut affecter les sujets atteints de
maladie
de Friedreich au même titre, du reste, qu'elle
ulière coïncidence, l'hystérie venant encore une fois compliquer la
maladie
de Friedreich. Suz. D... actuellement figée de
enne plus d'une heure. Puis, tout se dissipe, el la ma- CINQ CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 119 lade, qui ne perd jamais c
u violet.] . GILLES DE la TOURETTE, P. BLOCQ, IIUET. Clinique des
maladies
du système nerveux. FIG. n. NOTE SUR LES MODI
t un pied enveloppé de bande- lettes. S'il nous fallait désigner la
maladie
qui a réduit ce pauvre être à ce degré d'infirm
rions pas de nous tromper en disant que la « paralysie infantile »,
maladie
ancienne bien que ré- cemment nommée et décrite
rique. - Les complications articulaires survenant dans le cours des
maladies
de la moelle étaient connues et admises depuis
dans les membres inférieurs. Ce n'est que depuis trois ans que la
maladie
a fait de grands progrès; une arthropatliic du
velles par lettre, et prétend qu'elle marche aussi bien qu'avant sa
maladie
. III. Troisième groupe. Ce groupe comprend les
as. TERRILLON,, Chirurgien de la Salpêtrière. UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH Les observations de maladie de Fr
ière. UN NOUVEAU CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH Les observations de
maladie
de Friedreich publiées en France sont très peu
de base à une monographie complète que nous avons entreprise sur la
maladie
de Friedreich et qui paraîtra ulté- rieurement.
oué d'un caractère doux et affectueux, que n'a pu altérer sa longue
maladie
. Son intelligence est ordinaire, sans doute, mais
Il n'a jamais fait usage d'autres liqueurs. Avant le début de la
maladie
actuelle, il a été rarement souffrant : à l'âge
t ans. Il est boulanger a B..., où il est établi. Pas d'histoire de
maladie
nerveuse, ni d'autres. Il parait être sobre et
n'a jamais fait de fausses couches, et n'a jamais souffert d'autres
maladies
. Pas de bizarreries de carac- tère : sobre, ne
elle n'avait jamais été malade; rien d'anormal dans sa marche. La
maladie
actuelle de Pag... a débuté à l'àge de douze ou t
esque le sternum. Pour nous parler, il est obligé UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 157 de la relever, et l'on voit
tremblée et illisible », même plusieurs années avant le début de sa
maladie
. Actuellement, avec les yeux fermés, il lui est i
e sont nulle part atrophiées : elles présentent . UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 159 une résistance peu inférieur
revient à plusieurs reprises sur le même examen, UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. m l'attouchement simple, sans
corps souvent'fort éloignées du siège de l'infir- mité. Parmi ces
maladies
constitutionnelles qui impriment leur sceau sur
e pan de son vêtement mais il garde sur sa figure les marques de la
maladie
qui 172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA, SALPÊTRIÈR
ul but en le créant ' était de rappeler le symptôme majeur de cette
maladie
(axpov extré- ' mité, p.É ? aç grand), de façon
quelque peine à lui faire comprendre que ce n'était pas là toute sa
maladie
. (A suivre.) PIERRE Marie. 1 . UN NOUVEAU C
e sa maladie. (A suivre.) PIERRE Marie. 1 . UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICII (Suite et fin ! .) Les sensati
gie tend, du reste, à disparaître actuellement. UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 185 1 VIII. Les phénomènes d'ord
r, ou encore, mais moins exactement, à la coloration violacée de la
maladie
de Raynaud. Cette coloration existe aussi au ta
ui se trouve par- tout, que la force est toujours conservée dans la
maladie
de Friedreich. J'incline à croire au contraire
la diminution de la force est indiquée, et cela, UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 187 d'une façon précoce. Sur 68
a force diminuée 36 fois, dans la moitié des cas avant douze ans de
maladie
. Si une parésie simple ou une contracture n'était
simple ou une contracture n'était pas à peu près constante dans la
maladie
de Friedreich, comment expliquer ce pied bot sp
ation musculaire, et qui est un phénomène banal, ordinaire de cette
maladie
? Cette remarque donne à l'idée de la parésie c
te, la notion de la contracture ou de la parésie habituelle dans la
maladie
de Friedreich, répond à l'idée qu'il faut se fair
Il paraît bien probable que le cordon latéral est touché dans cette
maladie
, à peu près constamment, et qu'il s'agit d'une
ssance particulière que présentent les mouvements ataxiques dans la
maladie
de Friedreich. Musso a con- sacré tout un mémoi
venons de voir que la parésie est probable- ment ordinaire dans la
maladie
de Friedreich. J'incline à croire que l'épithèt
lo-parétique doit sortir des cas particuliers pour s'appliquer à la
maladie
de Friedreich en général; mais je l'avoue, ce n
t très réduite. Dans tous les cas, la faiblesse de l'ataxie dans la
maladie
de Friedreich me paraît tenir à la parésie, et à
NOUVELLE JCONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pareils dans aucune autre
maladie
. En tout cas, il m'a paru curieux et intéressan
ux faits ainsi pré- sentés prouvent peut-être que le pied bot de la
maladie
de Friedreich n'est pas un ensemble dont toutes
important, car il prouve peut-être à lui seul que le pied bot de la
maladie
de Friedreich est un pied bot de contracture. C
nte des pieds pendant la marche. C'est là un fait très rare dans la
maladie
de Friedreich, si bien que, malgré les 120 cas
l'attention sur la distribution si singulière de UN NOUVEAU CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 189 ces hypoesthésies, distribut
FRIEDREICH. 189 ces hypoesthésies, distribution qui rapproche cette
maladie
du tabes vulgaire, et que je suis le premier à
re suffirait à elle seule pour prouver, je crois, qu'il y a dans la
maladie
de Freidreich une anesthésie qui lui appartient
ation. Ce qui le prouve surtout, c'est que Pag... est aflecté de la
maladie
de Fried- reich, et de rien autre chose. Il n'e
re compte suffisamment. Ainsi donc, il y a une anes- thésie dans la
maladie
de Friedreich qui peut être caractérisée par son
uand ils existent, dans lamaladie de Friedreich. Sur cent cas de la
maladie
de Friedreich, il y en a quatre-vingts où un tr
ente-deux cas, l'examen a été pratiqué à des époques diverses de la
maladie
, depuis un an jusqu'à trente, ce qui prouve, sa
die, depuis un an jusqu'à trente, ce qui prouve, sans doute, que la
maladie
de Friedreich peut atteindre les dernières limi
tre très précoces et accompagner déjà les premiers linéaments de la
maladie
. En tout cas, il n'est rien moins que rare que
que rare que de trouver ces désordres dans les premiers temps de la
maladie
. Et si on analyse de près tous ces cas, on s'ap
hypo-anesthésics à l'hystérie ou à toute autre cause étrangère à la
maladie
de Friedreich. Ces troubles se caractérisent pa
a observé ces phénomènes dans presque oute une famille affectée de
maladie
de Friedreich. Enfin, faisons remarquer que l'i
t pas juste. Il ne paraît pas y avoir un seul cas d'impuissance par
maladie
de Friedreich, au moins assez précoce pour qu'o
précoce pour qu'on soit sûr que ce trouble relève réellement de la
maladie
non altérée, non déformée par des complications
u début de leur ataxie loco- motrice, alors que les signes de cette
maladie
sont peu nombreux et à peine marqués. On compre
occupation de l'affection locale peut faire oublier que derrière la
maladie
de la jointure, il y a une affection plus importa
ltat étant presque toujours défavorable 1. Dr Pavlidès. 1. Marsh,
Maladies
des articulations, 1887. LES AVEUGLES DANS L'AR
altitude la recherche de la lumière ne se rencontre généra- 1. Les
maladies
nerveuses étant une cause très fréquente de cécit
st pas sans intérêt de faire remarquer que, pendant l'évolution des
maladies
qui aboutissent à l'amaurose, l'impression lumine
a séméiologie de la paralysie agitante. C'est, en effet, une de ces
maladies
qui impriment aux malheureux patients une physion
quelques mots sur ce qu'on pourrait appeler le côté plastique de la
maladie
de Parkinson. Le type vulgaire est si connu qu'
pl. XLIII, que si notre malade ressemble à ses autres confrères en
maladie
par l'inclinaison en avant du tronc et de la tê
que étrange et saisissant. PAUL Richer, Chef du laboratoire des
maladies
du système nerveux. 1 UVELLE ICONOGRAPHIE T. I.
les trouvera très bien décrits, en particulier, dans le Traité des
maladies
de la moelle épinière de Leyden; mais l'évolution
orrespondre à des périodes pendant lesquelles des causes banales de
maladies
médullaires (froid, excès, etc.) vinrent ajouter
ts en bas âge; l'un d'eux aurait succombé à des convulsions. Pas de
maladies
ner- veuses dans la famille. L... lui-même, d
qui soient malades. Lui-même ne se souvient pas d'avoir fait aucune
maladie
avant le début de l'affection actuelle.. - La
fait aucune maladie avant le début de l'affection actuelle.. - La
maladie
dont il se plaint a débuté en mars 1862. Bar... é
ier espace interosseux se soit montrée dès les premiers temps de la
maladie
. Force dynamométrique : -. L'ACROMÉGALIE. 235
eux, le sixième âgé de soixante-dix ans, rhu- matisant.. 1 Pas de
maladie
jusqu'à l'âge de quinze ans. A cette époque premi
hémorrhoïdes ne viennent à sortir). Dans les premières années de sa
maladie
elle nous dit avoir éprouvé une soif très viole
... est de Milan; sa mère mourut à vingt-trois ans à la suite d'une
maladie
à marche rapide; son père à plus de cinquante-sep
rences d'une santé normale, pas de rachitisme, et d'ailleurs aucune
maladie
. Dans les premières années de l'âge adulte il com
kilogrammes, il aurait même un moment atteint 83 kilogrammes. La
maladie
actuelle commença il y a environ huit ans, c'est-
ckhausen) publiée en '1496 et reproduite dans le traité complet des
maladies
vénériennes dé Ricord -(édition de 1851). Elle re
êmes altérations. A gauche, un chevalier qui n'offre aucun signe de
maladie
est age- nouillé. Il porte l'étendard et reçoit
moniaques dans l'art. Par la place qu'oc- cupe la syphilis dans les
maladies
de l'axe cérébro-spinal, par l'attitude même du p
lace toute marquée dans une publication exclusivement consacrée aux
maladies
du système ner- veux (N. D. L. R.). NOUVELLE
g le professeur KiÍf3. Il nous l'a signalé jadis si sa clinique des
maladies
vénériennes, nous engageant à l'aller voir, pou
e. Qui pourraitse tromper â l'aspect deoe.s lésions et quelle autre
maladie
pourrait les produire si ce n'est la syphilis ?
ssible que, l'imagination frappée parle spectacle de 17a&aa ? a
maladie
, Grùnewald ait voulu représenter dans son tableau
aurait laissé ainsi un dorom.e1lJl1L des plus précieux de ce que la
maladie
a été â son apparition primitif, si esl permis
ue l'on peut voir de nos jours dans les formes un peu sévères de la
maladie
. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le bras d
d, en les voyant, le nom de grosse vérole que l'on avait donné à la
maladie
. Enfin tous les caractères de la syphilis ne se
. Epileptique (lentigo unilatéral chez un), 22, 23. Friedreich (
maladie
de), déformation des pieds dans la -, 10; physi
, 69; respiration dans l' , 29, 30, 31, 32, 33, 34. Friedreich (
maladie
de) anesthésie dans la - , 70, 71; écriture dan
ique, 10. Hystérie (champs usuels dans l'), 3, 6; - combinée à la
maladie
de Friedreich, 43, 44,47; schémas de sensibilit
d'anesthésie dans la fracture du), 37. Pied (empreinte du dans la
maladie
de Friedreich), 21 ; empreinte du - normal, 2
éré, 70. Fractures (voy. péroné, rachis). friedreich (cinq cas de
maladie
de) par Gilles de la Tourette, Blocq, Huet, 45,
ar Gilles de la Tourette, Blocq, Huet, 45, 114; un nouveau cas de
maladie
de par Socca, 155, 133. Hystérique (l'attitud
YPANOSOMIASE CTRYPANOS01lA CRUZI INOCULÉ PAR l'mitTOMA MAGISTA ) (
Maladie
DE CUAGAS) PAR Carlos CHAGAS, Cher de servi
core peu connue en France, mais qu'on appelle déjà, juste titre, la
Maladie
de Chagas, du nom du savant brésilien qui en a fa
à thyroïde notamment, et aussi sur les centres nerveux donnent à la
Maladie
de Chagas un intérêt tout particulier pour les ne
concernent la biologie du typa- Itosoma Cruzi, agent de la nouvelle
maladie
inoculée par la Triatoma ma- XXVI 1 2 CHAGAS
nt été observé chez les malades atteints de la forme nerveuse de la
maladie
. On a également cons- taté, en petite quantité,
ns aiguës, que ré- sultaient les syndromes nerveux chroniques de la
maladie
. Mais des consta- tations ultérieures nous ont
urs d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse chronique de la
maladie
, le syndrome le plus fréquent est la diplégie c
onographie DE la Salpêtrilke. T. XXVI. Pl. FORMES NERVEUSES DE LA
MALADIE
DE CHAGAS 1. Syndrome de Little ; méningo-encép
graphie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. II FORMES NERVEUSES DE LA
MALADIE
DE CHAGAS 6. Paralysie supra-bulbaire. - 9. Dip
raphie DE la Salpêtrière. T. XXVI. PI. III FORMES NERVEUSES DE LA
MALADIE
DE CHAGAS 3. Diplégie cérébrale spasmodique. Id
NOUVELLE TRYPANOSOMIASE sentée par des diplégiques anciens, dont la
maladie
date des premières années de leur existence. Il
observé chez les diplégiques, soit dans les phases initiales de la
maladie
, soit pendant son évolution. En outre, il n'est
iminué la tension du liquide. Nous avons encore observé, dans cette
maladie
, quelques cas de troubles mentaux intenses, lié
servations nombreuses, qui nous autorisent, ri affir- mer que cette
maladie
esl celle qui, llellt-l : f/'e, 11/'0 ? or¡11e, e
graphie DE la Salpêtrière. T. XXVl. Pl. IV FORMES NERVEUSES DE LA
MALADIE
DE CHAGAS 12. Diplégie cérébrale spasmodique. I
graphie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. V -FORMES NERVEUSES DE LA
MALADIE
DES CHAGAS Diplégie cérébrale spasmodique. Idio
l'ensemble des formes cliniques dans les- quelles nous divisons la
maladie
. La léthalité, dans les cas aigus, ainsi que no
s; dans les formes chroniques, les malades supportent longuement la
maladie
, et ils arrivent môme à la vieillesse; ils meur
Antécédents morbides héréditaires obscurs. Histoire morbide. - La
maladie
date de la première année de sa vie, au cours d
ménopause et c'est d'après elle il ce moment qu'a u rait débuté sa
maladie
actuelle : elle fut prise de vomissements incoerc
réquemment de pipettes, il a remarqué que, les premiers jours de sa
maladie
, il ne pouvait pas du tout aspirer les liquides ;
x cas que Babinski (1898) rattache à une polynévrite. SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES DU Ur ED. FLATAU A L'HôPITAL ISRAÉLIT
uis 4 jours rétention d'urine passagère à peine accentuée. Avant la
maladie
actuelle le patient se sentait bien portant, étai
toujours très nerveux. Point de crachement de sang, de toux, ni de
maladies
vénériennes ; usage modéré des boissons alcooli-
lusivement. Le tableau clinique (6 mois après le commencement de la
maladie
) présente les traits principaux suivants : doul
; pas de trou- bles sphinctériens. Dans le cours ultérieur de la
maladie
l'amélioration progresse rapidement sans oscill
t des douleurs localisées très exactement dès le commencement de la
maladie
, douleurs persistantes fixes. Ces douleurs, pen-
après un certain effort; ses forces diminuent.Deux ans auparavant,
maladie
des reins ; pas de toux, pas de crachements de sa
côté droit à la hauteur de ces côtés. Dans le cours ultérieur de la
maladie
,surviennent successivement des troubles dans le f
malade, leur localisation stricte depuis la période initiale de la
maladie
, se trouvent expliquées faci- lement par la com
ession des vaisseaux contigus aux racines. ' Pour l'évolution de la
maladie
dans la période immédiatement consécutive à l'o
t progressivement un tableau clinique en tout pareil au cours de la
maladie
avant l'opération, témoignait une affection nou
re dans le développement du tableau clinique et dans le cours de la
maladie
, pourquoi elles n'avaient pas le caractère de d
dans les termes généraux le développement du tableau clinique d'une
maladie
de la moelle, par laquelle passe pendant une anné
e, le rôle prépondérant des douleurs dans le cours subséquent de la
maladie
. Du reste même les troubles de la sensibilité d
Dans l'observation IV en effet, durant 9 mois, dès l'origine de la
maladie
, les douleurs ont fait complètement défaut, mal
e TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 53 fixe dans'la
maladie
subséquente. Aussi, vu l'évolution irrégulière av
la tumeur dans le tissu osseux. Cependant le cours subséquent de la
maladie
ainsi que l'état actuel du patient ont démontré
ifique à ce propos estencoreun peu confus et embrouillé. Il y a des
maladies
qui sont classées, soit dans le groupe des myoc
846, par le médecin italien Dubini, pour désigner le symptôme d'une
maladie
très probable- ment infectieuse, avec localisat
tions cérébrales, d'après les travaux de Ca- vagni et Stefanini. La
maladie
de Dubini, encore mal étudiée, a été clini- que
é clini- quement bien définie par les cas présentés. La désignation
maladie
au lieu de chorée a été donnée par Groco, non s
, mais encore parce que les secousses myocloniques ne sont, dans la
maladie
de Dubini, qu'un symptôme. En effet, par les ca
ubini, qu'un symptôme. En effet, par les cas publiés on voit que la
maladie
commence brusquement par céphalées continues, d
que toujours. Elle survient 90 fois sur 100 (Bianchi). A côté de la
maladie
de Dubini, dans laquelle les secousses myocloni-
a a décrit deux cas de myoclonus infectieux. Il ne s'agit pas de la
maladie
deDubini, mais de deux infections dans lesquelles
blié également des cas de myoclonies infectieuses, différents de la
maladie
de Dubini. Papillon et Gy ont présenté à la Soc
des myoclonies. Les descriptions des contractions musculaires de la
maladie
de Dubini et celles des contractions de tous le
es roluliens qui étaient exagérés. La sensibilité était normale. La
maladie
était apparue il la suite d'une forte émotion.
artie, présentent des variations. Par exemple, t'age préféré par la
maladie
est très variable. Dans le cas de Remak (1884)
ré par la maladie est très variable. Dans le cas de Remak (1884) la
maladie
est apparue à 11 ans, dans celui de Pierre Mari
e sens des contractions sans déplacement, nous devons rapprocher la
maladie
de Friedreich des myokimies et de la dite chorée
ntation les pseudo-claorées élec- triques de Ilenoch-Bergeron et la
maladie
de Gilles de la Tourette. Les myokimies, étudié
s douleurs et les hyperidroses sont signalées comme symptômes de la
maladie
. Dans d'autres descriptions on trouve les contr
fibrillaire de Morvan est ainsi décrite par l'auteur lui-même : «La
maladie
est caractérisée par des contractions fibrillaire
NIZ identiques ». EL après avoir bien étudié les relations des deux
maladies
, il finit par conclure qu'elles sonl analogues
geron. Dans ce travail on n'a pas oublié que les symptômes de cette
maladie
avaient déjà été signalés dans les descriptions
es au bras et à la jambe gauches. Henoch a minutieusement étudié la
maladie
en 1883. Elle est même connue sous le nom de ch
dix cas et avait montré la différence entre les mouvements de cette
maladie
et les mouve- ment choréiques. Ils étaient comm
laires siégeaient sur divers segments : tête, jambes, bras, etc. La
maladie
était extrêmement opiniâtre. Il parle d'un cas
sauter en avant. C'est cet acte qui a amené Trousseau à donner à la
maladie
la désignation de chorea sallatoria. D'autres
au symptoinatologique que les traités reproduisent. En résumé, la
maladie
est caractérisée par des secousses brusques, ra
eptionnels. Mais les secousses ont les mêmes caractéristiques et la
maladie
présente dans l'un et dans l'autre cas la même
I. XVII). La malade M. A., de 15 ans, est entrée à l'infirmerie des
maladies
nerveuses de notre service à l'hôpital de Santa
ée en 1909 à l'infirmerie de Ste-Marie de l'hôpital S. José. Sur sa
maladie
M. Ferreira da Costa a publié sa thèse dans laq
fortes ou plus faibles, mais il n'y a aucune période d'accalmie. La
maladie
a aujourd'hui une durée de cinq ans sans augmenta
L'unique tante paternelle qu'elle a est normale. La mère n'a aucune
maladie
nerveuse. Elle raconte qu'un de ses frères avait
sont localisées au tronc et aux épaules, au cou et à la face. La
maladie
s'est aggravée depuis un an et demi et surtout qu
éveloppée, intelligente, qui raconte avec précision la marche de sa
maladie
. La menstruation, qui a apparu à 13 ans, est ré
myoclonies,qui, comme les chorées symplomaliques, sont liées à des
maladies
organiques ou à des névroses. Mais à côté de ce
déjà décrit par Friedreich chez le malade qui a servi à définir la
maladie
. Cette brusquerie des secousses différencie le
la première de nos malades l'émotion est la cause appréciable de la
maladie
et surtout de son exagération. Les secousses de
nt augmenté, une seule fois, après une petite contrariété ; mais la
maladie
n'a pas eu son origine dans une perturbation ém
dans laquelle le nystagmus est la contraction dominante. C'est une
maladie
héréditaire et familiale de laquelle nous nous oc
ent apparaît dans les myoclonies sympto- matiques. Le début de la
maladie
est, en général, lent et insidieux et très varia-
a- tion et on a cité des cas de guérison ; mais presque toujours la
maladie
persiste, résiste à tous les traitemenls, et si
d'autres états morbides et les secondes ne sont associées à aucune
maladie
connue. Il est difficile de préciser, pour le m
er, pour le moment, les relations qui existent entre les myoclonies
maladies
et les myoclonies que nous appelons symptomatiq
commencement de ce travail et qui doivent comprendre les cas de la
maladie
de Dubini, les cas de Meynier, de Papillon et Gy,
e (Euzière et Maillet); 2° la myoclonie familiale épileptique ou la
maladie
d'Unverricht, et 3° le nystagmus-myoclonie de L
s on ne peut pas prendre ces secousses comme la manifestation d'une
maladie
surajoutée. Ces crises myocloniques peuvent avo
du même mal dans la même famille. Les observations des cas de cette
maladie
sont aujourd'hui nombreuses, et cette myoclonie f
être des analogies entre ces myoclonies chez les épileptiques et la
maladie
d'Unverricht. Nous pensons de la même manière.
nt décrit, nous allons aborder la question du dia- gnostic de cette
maladie
. A cause de la confusion des descriptions de ces
ar tous, sur le même critérium. Conséquemment il arrive que la même
maladie
a des désignations diffé- rentes. Nous avons dé
oordinatiozz motrice, écho- lalie et coprolalie et ensuite dénommée
maladie
des tics convulsifs. Les mouvements myoclonique
remière malade peut t enfiler une aiguille et coudre comme avant sa
maladie
; la seconde malade écrit avec une facilité rel
cilité relative et dans ses lettres personne ne peut décou- vrir la
maladie
dont elle souffre. Ces faits ont été déjà remar
té à la Société de Neurologie (11). ' Il semble aussi .que les deux
maladies
peuvent exister associées et on donne comme un
e et, après lui, Guinon et Charcot ont fait connaître des cas d'une
maladie
qu'ils ont nommée la maladie des tics convulsif s
arcot ont fait connaître des cas d'une maladie qu'ils ont nommée la
maladie
des tics convulsif s avant la définition des ti
ot, Guinon, etc. La majorité des cas de tics généralisés et de la
maladie
de Gilles de la Tourelle ont été décrits, derni
agnostic est parfois énorme dans les cas intermédiaires et les deux
maladies
ont certainement beaucoup de points de contact.
faut con- server comme une vérité scientifique bien démontrée. La
maladie
de Gilles de la Tourette a, par l'extension des m
ers travaux sur ce sujet, à propos du diagnostic différentiel de sa
maladie
: « je ne fais, disait-il, que mentionner la ch
e : « je ne fais, disait-il, que mentionner la chorée électrique ou
maladie
de Dubini, maladie probablement infectieuse qui
isait-il, que mentionner la chorée électrique ou maladie de Dubini,
maladie
probablement infectieuse qui, d'après cet auteur
il 1895. Raymond Leçon du 15 février 1895, vol. 1 des Cliniques des
maladies
du Syst. nerveux. LucAno. - Rev. di pat. nerv
a soeur ne peut donner d'autres ren- seignements sur le début de la
maladie
: elle ne vivait pas près de lui quand il a com
anie chroni- que associée, nous ne pouvons l'aborder à ce jour : la
maladie
qu'on ap- pelle la démence précoce en fournit l
ntribue pour une large part à égayer la collectivité. SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES DU PROFESSEUR HASKOVEC DE L'HOl'lTAL
rt de l'augmentation du pigment jaune due à l'âge et celle due à la
maladie
de Parkinson même. Nous n'avons constaté aucune
ne leur accorde pas une grande importance dans la pathogénie de la
maladie
de Palkinson. V CONCLUSIONS. 1. Nous avons
e et cet indice, aussi bien que plusieurs autres, font juger que sa
maladie
s'aggrave (1). » Dès cette période, Jeanne prés
évolution pendant le der- nier tiers de la grossesse (Parrot). La
maladie
est donc congénitale. Du fait de cetle sclérose d
quelques intrigues amoureuses. Il affirme qu'il n'a jamais eu ni de
maladies
vénériennes, ni de syphilis. Et lorsqu'il gagne
e ostéomalacique et lepoltique : en effet il manque tout indice des
maladies
qui primitivement provoquent ces déformations. On
nne ou difforme. Un frère et une soeur sont morts en bas âge, d'une
maladie
qu'on n'a pu préciser; une soeur encore jeune a s
ie qu'on n'a pu préciser; une soeur encore jeune a suc- combé à une
maladie
de coeur. Il ne semble pas que F. soit né d'accou
tait adonné à la bière et à l'alcool. Il dit qu'il n'a jamais eu de
maladies
vénériennes, ni syphilitiques. Il a été plusieu
ÉLUDE DE L'ACHONDROPLASIE C.PARHON Professeur de clinique des
maladies
nerveuses et men- tales à la Faculté de méde-
t être en rapport avec l'âge avancé du malade, son alcoolisme et la
maladie
dont il est mort, nous avons jugé utile de donn
pophyse. Malheureusement t'age avancé du ma- lade, l'alcoolisme, la
maladie
qui l'a emporté peuvent intervenir pour expliqu
ble. (1) Nous avons recueilli cette observation dans le service des
maladies
des vieil- lards pendant que l'un de nous suppl
est vivant ; c'est un fort buveur, il nie avoir jamais contracté de
maladies
vénériennes ou syphilitiques. - La mère est viv
e supérieur à la normale et il commence à marcher très tard. ' La
maladie
actuelle commença vers les premiers jours de mai
agération des réflexes superficiels, ahsents dans l'état aigu de la
maladie
, tandis que les réflexes rotuliens et achilléens
grâce au traitement pratiqué, il est facile de se prononcer sur la
maladie
qui donna lieu à une si riche et grave phéno- m
es permettaient cependant de ne pas être en doute au sujet des deux
maladies
. Chez mon malade, en somme, les troubles de la
rieure aiguë. Dans ces cas l'ictus apoplectique souvent commence la
maladie
; il peut y avoir aussi desconvulsionsgénérales
nte compression de la zone bulbo-prolubérantielle, produite par une
maladie
des os/par des tumeurs, par des anévrismes de l'a
endommageait l'intégrité fonctionnelle du bulbe, L'évolution de la
maladie
était un autre argument en opposition avec cett
dividu jeune, chez lequel on a observé une cause traumatique ou une
maladie
infectieuse, un précoce début el la successive di
exclure une compression due à d'autres facteurs en dépen- dance de
maladie
des os ou d'un anévrisme, soit pour certaines des
es objets lui tombaient souvent des mains. D'un autre côté, dans la
maladie
d'Erh-Golclllam, la fugacité des symptômes para
ns dans l'examen objectif, montrait des signes indéniables de cette
maladie
. Je résume les résultats principaux de l'examen d
f- fert d'hydrocéphalie interne sont sujets à des rechutes de celte
maladie
, localisée dans tel ou tel district encéphaliqu
timètres cubes; les dangers de la ponction lombaire étant, en cette
maladie
, moindres que dans les tumeurs. Les résultats t
sonne, dans toute sa parenté, n'a été atteint de psychose, ou d'une
maladie
nerveuse ou muscu- laire quelconque. Il n'a auc
aires d'une forme à l'autre, ni de formes frustes de quelqu'une des
maladies
mentionnées. Il n'y avait guère de raison de di
IATIQUE POPLITÉ EXTERNE, DU COTÉ GAUCHE PAR NOICA, Docent des
maladies
. nerveuses. et N. ZAHARESCU, Médecin adj
n muscle dont la masse charnue estanti-brachiale. Ce n'est donc (1)
Maladies
des musclés, in Traité de Pathologie de Brouardel
ce genre, elle nous a semblé intéressante à publier. SERVICE DES
MALADIES
NERVEUSES DE L'HOPITAL JUIF A ODESSA D' J. M. B
gressive de l'ouïe du même côté. Un an et demi après le début de la
maladie
: céphalées, vomissements, insomnie, démarche t
iosarcomes, tubercules) (1). Les premiers symptômes cliniques de la
maladie
se sont déclarés quatre mois avant la mort dans
fres, de trouver une relation de cause à effet entre la durée de la
maladie
d'une part et le tableau anatomo-pathologique q
eci est tout naturel, puisque la durée de la période clinique de la
maladie
ne peut pas nous donner l'expression exacte de
prononcée, les réflexes patellaires, présents au commencement de la
maladie
, ont disparu dans la suite. Il est intéressant
ne peut avoir le moindre renseignement. Il ne croit pas avoir eu de
maladie
éruptive quelconque, pas d'oreillons. A 6 ans,
ns un hôpital anglais. Il est impossible de savoir ce que fut cette
maladie
qui aurait duré 16 mois. Il semble y avoir eu u
i au sein, il a fait ses premiers pas à 12 mois. Il n'a fait aucune
maladie
dans l'enfance. Engagé à 18 ans dans un régimen
e pur on passe ainsi à un syndrome pluriglandulaire. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PATEI.IMO ! lo', 13
ifficulté pour expliquer l'association de la scléro- dermie avec la
maladie
de Basedow dans un certain nombre de cas alors
chan- gement dans la marche de l'affection. Tandis qu'auparavant la
maladie
avait pris une allure progressive au point que
ocation, un peu pluslard un changement s'opère dans la marche de la
maladie
; notre patiente commence il engraisser, sur- t
t, viennent régulièrement mais en petite quantité. Histoire de la
maladie
actuelle. Les premiers symptômes sont apparus v
beau- coup, la réveillant même plusieurs fois pendant la nuit. La
maladie
progresse rapidement, elle maigrit beaucoup, l'ex
t d'un Basedow grave et typi- que depuis un an. Après 6 à 7 mois de
maladie
la sclérodermie fait son apparition de la maniè
eund (4) publie le cas d'une femme âgée de 39 ans, chez laquelle la
maladie
a débuté par des douleurs articulaires, puis il s
no des jambes. Rasch (2) a vu une femme de 26 ans, atteinte de la
maladie
de Raynaud, de sclérodermie, de goitre, de tach
mie avec hémiatrophie linguale ayant débuté par le syn- drome de la
maladie
de Raynaud. 13u11. et Além, de la Soc. médicale d
ec évolution simultanée et parallèle du rhumatisme chronique, de la
maladie
de Ray- naud et de sclérodermie chez une femme
hie du corps thyroïde chez une femme de 57 ans avec sclérodermie et
maladie
de Raynaud. Dans le cas I de sclérodermie diffu
hôp. de Paris, 21 mars 1907, p. 282. (3) CLAUDE, Rose et Touchakd,
Maladie
de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme chroniqu
de Paris, 31 janvier 1908, p. 186. (6) Dupré et Kahn, Sclérodermie
maladie
de Baynaud (syndrome polyglandulaire). Bull. et
dale. Turrettini (2) publie le cas d'une jeune fille atteinte de la
maladie
de Raynaud et de sclérodermie et chez laquelle
r klin. Med., vol. 94, no- 5-6, 1910. (6) CLAUDE, Rose et Touchard,
Maladie
de Raynaud, sclérodermie et rhumatisme chroniqu
névrose du grand sympathique qui ouvre la voie de l'éruption de la
maladie
,sans être en état de produire à elle seule la scl
l paraît que déjà Hip- pocrate aurait donné la description de celte
maladie
; le grand clinicien grec rapporte en effet dans
pincer ; Galien aussi dans son Traité dé thérapeutique signale une
maladie
qu'il nomme la stegnose et qui consistait en un
s la suite, c'est à partir de 1871- 1872 que la pathogénie de cette
maladie
devient l'objet d'études vraiment scientifiques
tingent de ses idées personnelles. D'abord interprétée comme une
maladie
proprement localisée aux tissus cutanés, Thibte
que, dans plusieurs cas, on put relever entre la sclérodermie et la
maladie
dite pierres de la peau ou syndrome de Profi- c
u Traité de Médecine et de Thérapie de Brouardel et Gilbert sur les
Maladies
des os, page 576. Nouvelle Iconographie de la S
Editeurs ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 299 dans la
maladie
de Raynaud. Cette femme présentait encore des atr
ntre, avec la même localisation, dans le syndrome de Profichet ou «
maladie
ries pierres de la peau ». Enfin à la radiogr
es. Le processus atrophique responsable au premier chef de toute la
maladie
est loin de se borner à la peau ; et c'est là jus
mains et les jambes, mais qu'à l'inverse de ce qui se passe dans la
maladie
d'Addison, cette pigmentation bronzée respectai
une trace de cirrhose, bien que dans l'évolution terminale de cette
maladie
, il n'est pas douteux que ces cirrhoses existent
s,que dans plusieurs cas on peut relever entre la sdérodermie et la
maladie
dite : pierres de la ]Jean ou syndrome dePro- f
t les observations, rares jusqu'à présent, des cas appartenant à la
maladie
des pierres de la peau, on peut constater que p
ces observations, on peut affirmer que le syndrome de Profichet ou
maladie
des pierres de la peau est carac- térisé par la
ophie musculaire, on avait cru pouvoir conclure à une variété de la
maladie
de Recklinghausen, de même dans un cas de Profi
de Recklinghausen pouvait être discuté. Mais plus souvent encore la
maladie
des pierres de la peau (1) G. Cil. Profichet, S
ierres de la peau). Thèse de Paris, 1900. (2) A. Busi, Un cas de la
maladie
dite pierres de la peau. Annales d'électro-biolog
II, 1907. xxvi 20 306 RERTOLO'rTl peut être confondue avec la
maladie
de Raynaud ou asphyxie locale des~ extrémités;
t facile de conclure, par l'exposé de ces observations, que dans la
maladie
dite : pierres de la peau, très fréquemment il y
Cette constatation faite, les analogies entre la sclérodermie et la
maladie
des pierres de la peau restent, croyons-nous, ass
ans. Ses parents ne vivent plus. Le père succomba à la suite d'une
maladie
consomptive dont la nature resta ignorée par la m
il ne reste qu'une saur qui aurait été soignée dans le service des
maladies
urinaires pour lithiase vésicale, et un frère s
pas eu d'enfant ni de fausse couche. Son mari n'au- rait pas eu de
maladies
vénériennes, mais la malade affirme qu'il présent
yphilis bien qu'elle n'ait pas présenté d'autres symplômes de cette
maladie
. Mais elle était mariée depuis dix-sept ans à un
ligo en dehors de la syphilis, insiste sur lerôle de cette dernière
maladie
dans l'étiologie de ce trouble trophique. L'inf
isse droite d'un de ces malades rappellent ce qu'on observe dans la
maladie
de Paget ; sans s'arrêter à ce diagnostic il (i
ne hydrocèle du testicule droit, et qui est atteint également d'une
maladie
intéressante. Peu après qu'il fut admis, on s'a
ons-nous songera de l'exophtalmie ; mais les autres symptômes de la
maladie
de Basedow manquent. Le malade nous assure qu'i
e légère tuméfaction du périoste. L'homme n'a jamais souffert d'une
maladie
infectieuse quelconque, et chez lui il n'y a pa
és inférieures et ce que les Américains et les Anglais appellent la
maladie
de Milroy, quoique Nonne ait parlé le premier de
r de ce cas et l'ait décrit. , Je crois que les exemples de cette
maladie
sont très rares, car dans l'histoire de la méde
écrits. Le nombre des membres des familles, qui souffrent de cette
maladie
, est différent. Nonne trouvait sur 3 génération
ait sur 3 générations d'une même famille su- jets affligés de cette
maladie
; Milroy trouvait, sur G générations de 97 per-
érations de 97 per- sonnes d'une même famille, 22 affligés de cette
maladie
; Tobeisen trouvait, sur 3 générations de 7 per
sur 3 générations de 7 personnes d'une famille, 4 affligés de celte
maladie
; Hope et French trouvaient, sur 5 générations
sur 5 générations d'une famille de 42 membres, 13 affligés de celle
maladie
, pendant que dans notre famille de 2 généra- ti
les mêmes symptômes. Lorsqu'on revoit les divers symptômes de cette
maladie
relevés dans les différents cas, on trouve en p
cette opinion et croit que la cause de l'oedème est plutôt dans une
maladie
du système des vaisseaux lymphati- ques et du s
e opinion, que des anomalies du système veineux sont la cause de la
maladie
. D'après l'examen au microscope du morceau de s
en n'a indiqué que la cause de l'oedème du scrotum résidât dans une
maladie
primaire du système des vaisseaux lymphatiques ;
cas congénitaux familiaux, à ce dernier appartiennent les cas de la
maladie
décrite ci-dessus. On peut .admettre que dans n
arole spontanée. - On demande à la malade , le récit du début de sa
maladie
. Elle répond : « J'avais plus confiance, et puis
100. Elle transcrit l'imprimé en manuscrit pour les mots mousseux,
maladie
. An lieu d'Epernay, elle écrit epesnu. Le mot b
à 68 ans. Père, pein- tre sur vitraux, âgé de 66 ans, atteint d'une
maladie
de coeur. Deux enfants; le premier est mort en
ts; le premier est mort en venant au monde. Il n'y aurait pas eu de
maladie
ner- veuse ou mentale dans la famille. Antécé
sons incohérents; il n'a jamais dit papa ni maman. Enfin depuis cette
maladie
, il présente de l'agitation. Histoire de l'ex
tion avec gesticulation ne pouvait être confondue avec aucune autre
maladie
nerveuse ; ni la chorée chronique, ni la maladie
avec aucune autre maladie nerveuse ; ni la chorée chronique, ni la
maladie
des tics, ni les myoclonies ne pouvaient être c
muscles du côté paralysé, dit-il en substance, sont au début de la
maladie
flas- ques et inertes, tandis que ceux du côté
ns, exerçant le métier de repasseuse, vient à la con· sultation des
maladies
nerveuses, le 18 février 1905, pour une paralysie
éditaires. Elle-même a toujours eu une excellente santé : jamais de
maladies
infectieuses d'aucune sorte; ja- mais de symptô
; ja- mais de symptômes d'intoxication quelconque. Histoire de la
maladie
. Au commencement d'août 1903, la malade, déjà e
nouveau trai- tement, la malade fut adressée à la consultation des
maladies
nerveuses. Etat DE la malade LE 18 février 1905
âgée de 33 ans, sans profession, se présente à la consultation des
maladies
nerveuses, le 8 juillet 1905. Elle est atteinte d
t retrouver dans son passé aucune trace de syphilis. Histoire de la
maladie
. - Il y a deux ans, en juin 4903,1a malade qui av
Deux frères et une soeur, qui sont tous trois bien portants. Pas de
maladies
nerveuses, pas d'in- toxications à signaler dan
de service dans la Légion étrangère. Là il ne fut atteint d'aucune
maladie
infectieuse, mais il contracta l'habitude de bo
s accès de colère soudains. Il a une lionne santé, n'a jamais eu de
maladie
, a une vigueur encore très considérable pour so
on plus comme une affection limitée au tissu osseux, mais comme une
maladie
générale de tout l'organisme, on peut attribuer
ce noire où nos collègues brésiliens sont aussi de l'opinion que la
maladie
est rare. L'observation suivante mérite donc d'
utres cas dans la famille permettant de supposer qu'il s'agit d'une
maladie
héréditaire ou familiale ; ;, il n'y avait pas,
ticulier dans les antécédents personnels du malade : ni syphilis ni
maladie
infectieuse ou traumatique quelconque. La confo
éran- tes, bosselées. On pourrait songer à une forme fruste de la
maladie
de Paget : le volume du crâne est en effet augm
observation d'OEttinger et Agasse-Lafont signalant plusieurs cas de
maladie
de Paget dans une famille de blanchisseurs. Mie
e de blanchisseurs. Mieux encore, on pourrait penser à une forme de
maladie
de Paget céphalique (Catala, N. I. S., 1909) ou à
lique (Catala, N. I. S., 1909) ou à une forme anormale et fruste de
maladie
de Paget, analogue à celle décrite par Léri (So
plète de troubles fonctionnels. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET par André LÉRI Professeur agrégé à
ET par André LÉRI Professeur agrégé à la Faculté de Paris. La
maladie
de Paget est communément considérée comme une ost
nous a révélé la presque constance de semblable altération dans la
maladie
de Paget (3). Nos deux observations offraient c
(1) ANDRÉ LÉRi, Les lésions des extrémités, mains et pieds, dans la
maladie
de Paget. Société médicale des hôpitaux, 17 jan
dhé U;I\I et CHArEI.IN, Dé I or mal Uni de la base du crâne dans la
maladie
de Paget. Société médicale des hôpitaux, 12 juill
crâne el des os des membres les lésions historiques typiques de la
maladie
de Paget. Ainsi, les lésions de la base du crân
le constatation est tout à fait conforme au tableau ordinaire de la
maladie
de Paget qui, comme on lésait, procède par saut
et à schématiser, pour ainsi dire, les curieuses altérations que la
maladie
osseuse de Paget produit au niveau de la base.
ns que nous avons observées (1) : ÉTUDE DE LA HASE DU CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET 455 Tous les trous de la base du crâne
es sans être cariées il y a une vingtaine d'années, au moment où la
maladie
a commencé à faire des progrès notables. L'alvé
a pas, je crois, été signalée jusqu'ici comme une conséquence de la
maladie
de Pa- get : aussi dans la thèse de Vincent (19
l l'énorme augmentation de poids. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET 4a7 délimité, de l'os pagétique : c'es
. - L'hypertrophie osseuse n'est pas tout dans le pro- cessus de la
maladie
de Paget; il y a aussi des déformations dues au r
le rachitisme, l'ostéomalacie, etc... Généralement modérée dans la
maladie
de Pagel, cette déformation est parfois extrême
direction des os propres du nez). ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET 459 d'avant en )-riëre(P).LXVIH.f).2).
plus verticale, l'angle sphéno-basilaire se ferme. Dans les cas de
maladie
de Paget,cet angle n'aurait de raison de se ferme
tratifs : a« < 30 462 LÉÉI ÉTUDE DE LA RASE DU CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET 463 verses. Assurément ils ne permette
dire qu'il existe une formule radiogra- phique assez complexe de la
maladie
de Paget. L'hypertrophie et la porosité osseuse
4. Fig. 5. - Crâne no 5. Fig. 6. - Crâne na 6. LE CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET (A. Leri). Masson & CIel Editeur
I· ig. 5. - Crâne nu 5. Fig. 6. - Crâne n° (i. LE CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET (A. Léri). Maccon k Cie Editenr<;
et 4. - Le crâne no 7, vu de face et latéralement. LE CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET (A. Léri). Masson & Cie, Editeur
ction d'un dessm) Fig. 4. Crâne d'un nouveau-né. LE CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrièr
E Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXX LE CRANE DANS LA
MALADIE
DE PAGET (A. Léri). Masson & Cie, Éditeur
oit qu'il s'agisse d'associations de simples syndromes ou de vraies
maladies
, présente toujours un gros inté- rêt clinique,
- rêt clinique, même dans les cas où de tels syndromes et de telles
maladies
paraissent indépendants les uns des auLes et où
naler que nous trouvons ici des symptômes qui sont communs aux deux
maladies
: l'impuissance, des troubles trophiques, des t
es qui ont été décrites dans mon article précédent concernant cette
maladie
(2). Sur quelques points je crois quand même de
J'ai eu seulement l'occasion d'en examiner trois souffrant de cette
maladie
et j'ai constaté que chez aucune il n'y avait d'o
hes des anomalies de ces organes chez les femmes affligées de cette
maladie
ait été nul, il me semble pourtant désirable d'
ux de ce genre de malades. 482 BOCKS i TABLEAU CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX (Hôpital PANTEUMON, BUCAREST
e malades que nous avons eu ^occasion d'observer dans le service de
maladies
nerveuses de l'hôpital l'antelimon : 486 MARI
ois et accouché de deux enfants sains. Fumeur et grand buveur. La
maladie
actuelle a débuté il y a 17 ans, date à laquelle
ouvait plus marcher sans l'aide d'une canne ; avec le progrès de la
maladie
, il usait de deux cannes dans le même but. L'
ée que la marche est tout à fait impossible. Il nie la syphilis. Sa
maladie
actuelle date de l'automne 1909 ; depuis cette
e d'une pièce de 5 francs à la région fessière. L'évolution de la
maladie
pendant le séjour du malade dans notre service
i descen- daient jusqu'à la plante du pied. Avec le progrès de la
maladie
, la force musculaire de la jambe gauche a fai-
ait eu la fièvre palustre à 23 ans ; nie la syphilis et toute autre
maladie
infectieuse. Le 28 novembre de la même année, é
Froin a été observé dans diverses affections du névraxe, suites des
maladies
les plus différentes au point de vue étiologiqu
als de la suppuration. Ainsi par exem- ple dans un cas de Froin, la
maladie
a débuté brusquement à la suite d'un refroidiss
aire chez un nègre, par AUSTEIEGESILO, 430. Base du crâne dans la
maladie
de l'agel, pal' LÉ"I. 452. Basedow (Syndrome
Ciuron et Courbon, 42. Paget (Elude de la base du crâne dans la
maladie
de -), par LI : RI, 452. Paralysie a.qitanie (C
'hypophyse, 410. LÉRI (André). Etude de la base du crâne dans 1,(
maladie
de Paget, 452. Lévêque (Mlle Juliette) et DITE
(tuberculomes multiples) (Rauzier et Baumel). LUI et LIV. Chagas (
maladie
de), formes nerveuses (CHAGAS), I à V. Chai-l
rophie simple familiale KLIPPRL et FENSTEIN), LXIV. Crâne dans la
maladie
de Paget (LÉRI), LXV à LXX. Démarche latérale
et syndrome oxycéphalique (Charon et Courbon), LIX et LX. Paget (
Maladie
de), hase du crâne (Léri), LXV à LXX. Paralys
IVES N E U R DE 11 L 0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fonder par d.-M. CIItIRC(
US LA DiiiFcrioN nE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales ? [J\ Faculté de l11édPl'llIe de Paris
ile clmiyue (Sie-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté (le médecine
réelle valeur au point de vue de la thérapeutique chirurgicale des
maladies
de la moelle. Les paraplégies flaccides sont en
u sens musculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur
ur les maladies nerveuses, 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1899, p. 181. 3 Revue neurologique,
li.s (12-eh. f. I'sclz. Bd. 30, Ueft 2). - Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1899. p. 199. r. Haskovec. A propos
ogique (Semaine médicale, 1899, p. 513). 2 Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1893, p. 1 47. Archives, 2° série, t
UE. De l'extension et de son application dans le traite- ment des
maladies
, nerveuses; Par le D' P. KOULSDJY. L'extensio
spension et tous les procédés qui dérivaient d'elle, TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 19 sont passés au second plan, et si
t plutôt pour la forme. Ce n'est que dans les quelques services des
maladies
nerveuses, que la sus- pension se pratique enco
que la suspension doit tenir le premier rang dans le traitement des
maladies
ner-' veuses en général et du tabes dorsalis en
après qui, « la suspen- sion agit bien sur la marche générale de la
maladie
, et sur quelques symptômes particuliers=». Cet
cés pour l'action réelle et non imaginaire de la supension dans les
maladies
nerveuses et spécialement dans le tabes dorsali
r et Adam sont également d'avis ' Professeur Raymond : Clinique des
maladies
du système nerveux. Deuxième série, 1897. . 2
icher VOI'lI'agen, etc. ne 15. Leipzig, 1896.) \ TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 21 que la suspension agit par la sug
t par la suggestion 1. Ils obtinrent 20 améliorations sur 29 cas de
maladies
nerveuses, dont 4 améliorations sur 6 cas de ta
rai- 1 Hauslialter et Adam. De la suspension dans le traitement des
maladies
du système nerveux. (Progrès médical, n<" 44
off2, vient de publier une statistique approximative de 2212 cas de
maladies
nerveuses, dans lesquelles on applique les diff
114 cas tabétiques, N 1 M. Gilles de la Tourette. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1898. 2 M. P. A. Ostankof
extension de la colonne vertébrale, comme méthode de traitement des
maladies
nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique
ent des maladies nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique des
maladies
nerveuses de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) .
adies nerveuses de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) . TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 23 soignés par la suspension, avec 3
ons sur le labes dorsalis. (11'ralch, n 28, 1S98 ) TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 25 pathologistes d'abandonner son ap
n. (Journal de Médecine de Bordeaux, n° 42, 1889.) TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 29 Ces deux derniers procédés ont un
ontre, le support est formé de deux- por- . 7 ? 6. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. · 31 lions, ayant la forme d'un T. L
ds doit correspondre à peu de chose près à Fig. 7. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 33 l'extension du rachis. Nous comme
le fut proposée et étudiée physiologi- . Fig. 9. . TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 35 quement par M. Bogroff. Déjà avan
mpression et nullement dans le traitement des ataxiques et d'autres
maladies
ner- veuses. Contrairement à notre confrère d
sion avec la planche inclinée ou l'extension pour le traitement des
maladies
nerveuses en général et du tabès en particulier
de l'ensemble du procédé. Le plan incliné Fig. 10. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 37 formant un point de contact conti
e agent thérapeutique absolument rationnelle dans le traitement des
maladies
nerveuses. Dans le procédé de Mot- choutkowski
ation de la traction se produit par la planche même. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 39 Ceci permet d'exécuter la suspens
s pu constater le moindre signe de défaillance. En · TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 41 général, au début les séances se
tionnelle du nerf cutané externe, branche du plexus lombaire. Cette
maladie
, ou plutôt ce syndrome, a été décrit presque si
ntion chirurgicale. Un autre point à noter c'est l'apparition de la
maladie
pendant la convalescence d'une fièvre typhoïde.
e siégeant au niveau du premier nerf lombaire. G. DENI'. III. Les
maladies
nerveuses familiales (Maladies d'évolution) ; par
nerf lombaire. G. DENI'. III. Les maladies nerveuses familiales (
Maladies
d'évolution) ; par le Dr LONG. (Rev. méd. de la
s de ce travail peuvent être formulées de la façon ' suivante : Les
maladies
nerveuses, dites maladies héréditaires, maladie
re formulées de la façon ' suivante : Les maladies nerveuses, dites
maladies
héréditaires, maladies familiales ou maladies d
' suivante : Les maladies nerveuses, dites maladies héréditaires,
maladies
familiales ou maladies d'évolution, sont réunies
dies nerveuses, dites maladies héréditaires, maladies familiales ou
maladies
d'évolution, sont réunies par des caractères co
urée (6 ans) de son installation sans com- plication d'aucune autre
maladie
. R. C. XVII. Hystérie et goitre exophtalmique a
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de se propager. A la période d'état, la
maladie
peut se présenter sous diverses formes : hémich
bre 1899.) C'est la relation d'un cas de diabète sucré combiné à la
maladie
de Basedow. Une figure accompagne le texte. L'a
° l'hémicranie peut avoir un sens symptomatique aussi bien dans les
maladies
organiques du cer- veau que dans les névroses (
type actuel de diphtérie, tel que nous observons actuellement cette
maladie
, est un type dérivé de celui de Bretonneau et de
stationnaires, et le mot progressif, présumé caractéristique de la
maladie
, est mal placé. 11 note aussi l'apparition de l
ue de la maladie, est mal placé. 11 note aussi l'apparition de la
maladie
dans le sexe féminin (4 hommes, pour-1 femme) t
alors qu'on la regardait, il n'y a pas long- temps encore comme une
maladie
de l'âge mûr... ce qui le porte à incriminer la
ouvons comprendre ces changements'et la fréquence actuelle de cette
maladie
, et accuse principalement la civilisation, les
la paralysie bul- baire asthénique. Pendant une première phase, la
maladie
a évolué sous la forme d'une infection de natur
troubles qui ont déjà rétrocédé le matin du troi- sième jour de la
maladie
: il écrit quelques nombres, en copie d'autres,
es de l'excitabilité électrique et des réflexes, indépendants de la
maladie
actuelle, permettent de croire que la moelle ét
robable, d'après ce qui a été noté sur les premières semaines de la
maladie
, que la chute, qui a porté sur la face antérieu
n parasyphilitique ou métasy- philitique du tissu nerveux; soit une
maladie
à causes multiples parmi lesquelles la syphilis
e qui est certain, c'est que, sans la syphilis, le tabes serait une
maladies
très rare, les 9/10 des tabétiques étant de vieux
visite ou au théâtre. Lecognac exerce une action modératrice. Cette
maladie
qui débuta, il y a trois mois, fut d'abord espa
aru brusque- ment chez une jeune fille de cinq ans à la suite d'une
maladie
fébrile mal définie et caractérisé par la diffi
ns, qui, après REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 73 quelques mois de
maladie
caractérisée par de la céphalée et de la somnol
fren., 1900, i'asc. I.) La délinquence ne se confond pas avec la
maladie
. Elle l'enserre de tous les côtés ; çà et là, a
ionnelles du tempérament et du caractère que tout se perdra dans la
maladie
, qui la marquent à la 'période de début, non de
rd COHNING. (The 'net York Médical Journal, 17 février 1900.) Les
maladies
que l'auteur passe en revue au point de vue spéci
roches; 2° vis-à-vis d'autrui, de la société, on protège contre les
maladies
infectieuses, l'asile joue un rôle analogue ; u
sychiatrie où nous décrivons aussi la folie comme si elle était une
maladie
définie. Le terme défectuosité est plus général
et est trop paralysé et trop dépourvu de réflexes pour l'âge de- sa
maladie
. Paralysie infantile avec disposition radiculai
ntervient qu'à l'état de symptôme ; ce qu'il faut soigner, c'est la
maladie
mentale elle-même, laquelle est très difficile
ents héréditaires. -- Père et mère vivants et bien portants; pas de
maladies
nerveuses chez les collatéraux. Antécédents per
des excès alcooliques quotidiens. Pas de syphilis. Histoire de la
maladie
. Lundi dernier, Bern... a bu plus encore que de
pas souvent, mais prend volontiers des apéritifs. Histoire de la
maladie
. Il y a dix-huit jours, le malade fait la fête
jamais une heure de chômage pour raison de santé. Histoire de la
maladie
. Il y a quatre jours, pendant son travail, G...
lgré un travail pénible, il a été fort mal nourri. Histoire de la
maladie
. Dans le courant du mois de janvier 1900, sans
t à la boisson, qu'il ne s'enivre que très rarement. Histoire de la
maladie
. - Il y a huit jours, pendant son travail, L...
bonne santé. PARALYSIE UYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 107 i Histoire de la
maladie
. Il y a quinze jours D... a été vivement contra
et III) tandis qu'il en a fallu trois ou quatre dans les cas où la
maladie
durait depuis plusieurs semaines. Cela semble p
UE. De l'extension et de son application dans le traite- ment des
maladies
nerveuses' ; Par le D' Il. KOUINUJY. Quelle e
ives de Se1ll'olo,r¡ie, no 73, t. XIII, p. 18, 1902. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 11 L mie du centre cérébro-spinal. L
la Salpêtrière, 1888-1889. 3 Gilles de la Tourette. Leçons svr les
maladies
nerveuses, 1898. 112 THÉRAPEUTIQUE. ' moelle
surface du cerveau. . ' A. Bogroff. Contributions au traitement des
maladies
nerveuses, par le procédé du DT 0. llotcUoutlto
pc/t : 'a ? e e< te neurologie, 1891, n* 1). ' TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 1113 De' ses nombreuses expériences
té de thérapeutique appliquée, t. XIV, 1898.. 7/7- TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 118 moelle épinière en particulier.
es mensura- tions faites à la clinique Charcot : , TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAIT
S MALADIES NERVEUSES. 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 119 gurantes. Dans ses leçons du ven
rtson, signe de Westphal en plein développement. ' TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 121 1 11 y a sept mois il est venu à
alade exécuta les premiers exercices facilement avec TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. H3 une canne et même sans canne. Le
'effet produit par celle-ci chez les ataxiquesenamé- TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 12o liorantle signe de Romberg et l'
t sur l'incoordination. M.Pierre Marie dit, dans ses leçons sur les
maladies
de la moelle : «Qu'il me suffise de vous rappel
de l'incoordination. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des
maladies
du système nerveux, 1897. 8 P. Marie. Leçons su
e des maladies du système nerveux, 1897. 8 P. Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, p. 330. P. Marie. /.epOM ! < ?
A. Raoult. Traitement de l'ataxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du système nerveux par la suspension. (Progrès mé
nerveux par la suspension. (Progrès médical. 1889.) TRAITEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 129 « minutes à 40° et 50°. La mal
u à nous plaindre du procédé. L'extension convient à une foule de
maladies
nerveuses et tous les malades qui ont eu l'occa
e, comme moyen thérapeutique indispensable dans le traitement des
maladies
nerveuses. Elle doit être appliquée avec la même
t rares dans les asiles d'aliénés. Cependant, prenant le terme de «
Maladie
de Brigth z dans son sens le plus large, il est
la journée. La salive est liquide. Pas de cause appréciable; aucune
maladie
nerveuse. Observation IV. -Jeuné homme de vingt
syphilis 38 ans auparavant. Pendant les trois premiers mois de la
maladie
, état de lourdeur et de raideur des membres infér
uis rechute, paraplégie complète quatorze mois après le début de la
maladie
. Mort par infection urinaire. Examen histoloyir
à l'occasion de l'anniversaire de l'inauguration de la clinique des
maladies
mentales et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La
la cause de ce vice de développement à la 158 SOCIÉTÉS SAVANTES.
maladie
subie par le sujet à l'Age de trois ans et après
de cas frustes. Y a-t-il moins de progression que jadis dans cette
maladie
, y a-t-il dans certains cas même cessation de p
oue le sien. Y a-t-il donc variation de ce terrain, variation de la
maladie
ou variation thérapeutique ? ' - . SOCIÉTÉS SAV
longé, mercure et iode pendant des mois. Je crois donc que c'est la
maladie
et non le terrain qui change. M. Babinski. Oui,
troisième frontale. M. Roux (de Saint-Etienne) adresse un cas de
maladie
de Dencmrm avec goitre exophtalmique. M. Scii
vation a trait à une femme âgée de trente-trois ans. Le début de la
maladie
remonte à l'âge de vingt-six ans, marqué par l'
C'est relativement aux injections de sérum dans le traitement des
maladies
mentales et nerveuses que j'ai fait appliquer dan
images ou à des conditions particulières qui gênent leurs rapports (
maladie
, intoxication, traumatisme, choc moral), ces dern
d in-8° c1e580 pages, avec 18 figures. Roche (IL). Lutte contre les
maladies
et contre l'alcoolisme par l'organisation de l'
ngrès international de Moscou, qu'en Allemagne on connaissait cette
maladie
depuis long- temps et qu'elle avait même été dé
des cas publiés qui autorise à décrire l'éreuthophobie comme une
maladie
distincte. C'est pour lui une forme 'de phobie
dition qu'on ne voie pas là le désir d'ériger un simple syndrome en
maladie
nouvelle ». Il n'y- avait donc pas à se tromper
tion. Pour nous, on le sait, l'obsession est avant tout non pas une
maladie
de 1 intellectualité, ou de la. volonté, comme
volonté, comme le disent certains auteurs, dont M. Arnaud mais une
maladie
de l'émotivité. ' J. Soury. Théorie des Émotion
». Comme nous le faisions enfin, il conclut que « l'Ereuthophobie,
maladie
intellectuelle, a pour point de départ, pour ca
misération pour ce moi destiné à être toujours malheureux par cette
maladie
, s'em- 190 CLINIQUE NERVEUSE. parent de vous,
ment, la phobie est réveillée. Je crois donc que l'éreuthophobie,
maladie
intellectuelle, a pour point de départ, pour ca
gastriques, migraines]. Ma grand'- mère maternelle est morte d'une
maladie
de foie ( ? ). Ma grand'- mère maternelle vit e
s états mentaux fort divers, voire même opposés, qui forment quatre
maladies
mentales distinctes : lypémanie, manie, double
our cela de suivre les mêmes sujets du début à la terminaison de la
maladie
. Nous ne sommes mal- heureusement pas en mesure
lesquels - les recherches aient été opérées aux trois stades de la
maladie
. De ces 38 malades, 14 sont restés à la premièr
ion palustre semble avoir hâté, d'une façon notable la marche de la
maladie
, des accès paludiens ayant sou- vent correspond
e la paralysie : syphilis et civi- lisation, et le traitement de la
maladie
vénérienne est insuffisant à en prévenir le dév
t que traduire ces désordres au dehors et les diverses étapes de la
maladie
correspondent aux divers degrés de dégénérescence
les premières années de la vie un système nerveux fort; soigner la
maladie
dès le début, puisqu'il n'y a alors que trouble
s important pour le diagnostic. Smo. XVIII. Pathologie générale des
maladies
mentales; par Henry-J. 13EIIKLEY. (The E1 naeri
uv Journal of lnsanity, 1900, p. 45 i-499.) Extrait d'un traité des
maladies
mentales de l'auteur, actuelle- ment sous press
mme des formes : 214 Il . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d'une même
maladie
; il en sera de même sans doute prochaine- ment
au juste le processus et la vraie cause. On peut bien grouper les
maladies
, mais la valeur de ces classifications est rendue
r les organes végéta- tifs et la nutrition. Parfois, sans doute, la
maladie
psychique survit à la guérison pliysique. Mais
fait d'infection septique ; folie post-puerpérale, causée par une
maladie
pelvienne résultat d'infection septique. 11 rem
MENTALE. 227 7 ainsi en considération pour dénommer et définir une
maladie
, non le caractère qu'elle peut présenter à l'un
ie du sujet et son aboutissant final. La tendance essentielle de la
maladie
, considérée comme un tout. à la guérison ou à l
fait de leur vie ultérieure. Contagion n'est pas juste seulement de
maladies
mentales ou nerveuses d'ori- gine microbienne.
e d'aliénés. SlI01(. XXVI. L'imagination dans ses rapports avec les
maladies
mentales; par liobert-11. Co s1 ? (ilmerican JO
Christ est venu apporter le salut du péché et de 1 tristesse, de la
maladie
et de la mort; la Science chrétienne, c'est a l
ssez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal, de la
maladie
et de la mort.» Il y a de même dans les asiles de
ité, de nature hystérique, de concert avec le cours ultérieur de la
maladie
, imposent le diagnos- tic ; -6° quelquefois, tr
ilité extrême, peut aussi transitoirement se rencontrer en d'autres
maladies
; - 4° le diagnostic de la paralysie générale ne
uel- ques belles filles pauvres, ils les éduquent, les infectent de
maladies
vénériennes, et en font commerce. Lorsque ces p
Il y a donc lieu de se demander, avec M. le Par Ber- naud, si cette
maladie
n'a pas varié avec les époques (comme bien d'au
i cette maladie n'a pas varié avec les époques (comme bien d'autres
maladies
) et si la thérapeutique plus complète d'aujour-
é avec le diagnostic de troubles nerveux relevant du pes planus. La
maladie
a débuté à l'âge de onze ans par une tuméfactio
les cliniques et les laboratoires psychiatriques par les études des
maladies
nerveuses ou men- tales occupent une place impo
rer des conclusions philosophiques. L'instabilité, l'aboulie, les
maladies
de l'attention, de la vo- lonté, etc., tout ent
8J9,-t. If, p. 1333 et suiv. - ' Séglas. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales. Paris, 1895, p. 80. 3 KrafTt-Ebing.
l'évolution des divers symptômes, à ce qui constitue le fond de la
maladie
, en un mot, à l'état obsédant. L'état obsédan
, bien avant lui, Billod avait décrit certaines obessions comme des
maladies
de la volonté 2. P. Janet, qui a étudié avec ta
e du toucher). Annal, méd. psych., sept., octobre 1892. ' Billod.
Maladies
de la volonté. Annal, méd. psycli., 1847, t. X.
son contrôle gravement compromis. L'obsession est, avant tout, une
maladie
de la volonté. CLINIQUE MENTALE. Biographie d
athie. Sur une crainte et une timidité enfantines, se développe une
maladie
psy- chique irrésistible qui entraîne et pousse
estement. Cette histoire de sa vie et de sa 272 CLINIQUE MENTALE.
maladie
suscita chez moi un très vif intérêt pour ce jeun
heures, et dès que je croyais avoir trouvé un nouveau. remède à ma
maladie
, je m'empressais de le saisir. Ainsi s'écou- lè
de telle façon que j'en oubliais ma rougeur ou, pour mieux dire, ma
maladie
, et j'en étais tout heureux. Même en jouant du
e traduisait par un manque absolu d'intérêt pour tout. Au début, ma
maladie
était plus périodique, ensuite, elle m'envahit,
heureux je croyais jusqu'à la certitude que j'étais atteint d'une
maladie
physique qui s'appelle hypocondrie, qui comporte
'impatientais quelquefois. Comme je ne res- sentais plus du tout ma
maladie
, je me croyais guéri et je songeais qu'une soci
été plus jeune et plus gaie me conviendrait mieux. Mais aussitôt la
maladie
reparaissait et je devais m'échapper de - ce ce
er à cheval, conduire une voiture et enfin finissant par oublier ma
maladie
, je me voyais heureux. Certainement le cheval m
ique garçon à qui je montrais tout, m'a souvent évité des crises de
maladie
. De niaises et enfan- tines plaisanteries avec
voulais seulement m'arrêter quelques jours, ayant conscience de ma
maladie
, quoique je ne les aie pas vus depuis longtemps
IE D'UNE IDÉE FIXE. 283 Moi-même je n'ai pas eu depuis longtemps de
maladie
au sens propre du mot, si ce n'est la congestio
facilement par d'autres, mais parfois il m'arrivait de douter si ma
maladie
était physique ou psychique. C'est pour la prem
à remettre sous le secret, à mon médecin, une vue d'ensemble sur ma
maladie
. Par quoi a été causée cette misanthropie ? par
i restituer le cahier qui contenait sa confession et le récit de sa
maladie
, mais il se tranquillisa, sur mon affirmation q
nt destinées surtout à mettre en relief l'un des symptômes de cette
maladie
: le mensonge. Observation I. Idiotie morale ;
d'un de ses oncles, il nous annonce qu'il a un cousin atteint d'une
maladie
de nerfs et que ses parents désirent le placer
'acide urique dans la neurasthénie et l'auto -intoxication dans les
maladies
nerveuses; par Savan- pearce. (The amel'lCan jo
e qu'elle était autrefois : c'est REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 297 une
maladie
qui n'évolue pas. L'auteur fait des réserves pour
ions d'attaques même prolon- gées, on observerait des retours de la
maladie
. Mais il y a du moins des améliorations. 'Le
is, partant de cette notion connue depuis fort long- temps, que les
maladies
infectieuses survenant au cours de l'épi- lepsi
ois, contre l'idée première : que l'intoxication du sujet, dans les
maladies
infectieuses, arrête les crises ; car on ne peut
ndant plusieurs jours ou plusieurs semaines, ce qui a lieu dans une
maladie
infectieuse. Il envisage aussi l'hypothèse, que
tes. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les
maladies
nerveuses et mentales; par Richard DEWEY. (The
temporairement. P. KERAYAL. XI. De l'élongation des nerfs dans la
maladie
de Thomsen ; par W. SEIFFEh. (\'eurolog. Centra
entralbl., XIX, 1900.) Feu le professeur Gessler avait pensé que la
maladie
de Thomsen était due à une affection des plaque
e début des altérations anatomiques coïncide avec l'explosion de la
maladie
; le malade a depuis longtemps introduit le poi
st un symptôme précoce, qui peut précéder de dix ans le début de la
maladie
. Souvent à ce signe sont associées des modifica
de l'orifice pupillaire. Ce signe précède parfois le début de la '
maladie
. On peut l'observer chez des sujets normaux, des
tre par ce genre de manifesta- tions pathologiques, une véritable «
maladie
familiale ». R. C. XLIV. Macrodactylie et micro
gnées d'arythémie cardiaque. Il se croyait faussement atteint d'une
maladie
de coeur. ' L'autopsie n'a pu être faite. On n'
prises de cette idée au moment de la période mégalomaniaque de leur
maladie
. Une de mes malades très mélagomane se croit en
ésultats chez tous les morphinomanes et à toutes les périodes de la
maladie
. M. Joffroy répond qu'il l'applique indistincte
interprétations t;yisodirues se montrent au cours de la plupart des
maladies
men- tales. Leur rôle reste effacé; 2° Les inte
délire, lorsque le médecin est appelé à inter- venir. En outre, ces
maladies
ont une tendance toute particulière, à adapter
urée peuvent comporter un pronostic favorable. Un malade mort d'une
maladie
intercurrente pendant une de ces paraplégies fu
vie d'aucun trouble. Il s'agissait d'une jeune fille atteinte de la
maladie
de Friedreich, et, à cette occasion, je tiens à
on, je tiens à dire que' dans ce cas, aini que dans un autre cas de
maladie
de Friedreich, l'examen du liquide céphalo- rac
te, n'est pas surprenant, la lymphocytose manque tou- jours dans la
maladie
de Fiiedreich, on a là un nouveau caractère ser
cette affection du tabes. M. Marie ne s'en étonne pas, car, dans la
maladie
de Friedreich, les méninges sont respectées..
M. Raymond a employé trois fois ce mode d'exploration dans cette
maladie
sans trouver non plus de lymphocytose. Vitiligo
mis dans l'impossibilité d'agir sexuellement, de façou-àrisquer une
maladie
. vénérienne. - M. Souques. Le chancre même n
icatrices. Traces d'anciennes brûlures. Mal perforant du z pied. La
maladie
date de deux ans, époque à laquelle le malade s
le sommeil. La tristesse et l'anxiété augmentèrent par suite de la
maladie
de sa fille, devenue tuberculeuse. La malade pl
ression du crâne ne sont pas douloureuses Vu le début brusque de la
maladie
, l'état stationnaire des symp- tômes pendant de
ébrale. L'opération eut un effet très heureux sur l'évolution de là
maladie
: pendant plus de sept mois, la malade n'eut qu
re ans, serrurier, ayant beaucoup abusé de boissons alcooliques. La
maladie
a débuté il y a vingt-huit mois par un accès d'
ofulose. La plupart des auteurs considèrent les exostoses comme une
maladie
héré- çlitairc,-débutant ordinairement dans le
a syphilis (acquise ou héréditarie), comme l'une des causes de la
maladie
. - . Discussion. 11. ToKASKy trouve que les par
l'analogie, voire même l'iden- dité des lésions anatomiques de deux
maladies
, ne permet pas encore de conclure à l'identité
moyen âge à couvrir un grand nombre d'affections disparates : gale,
maladies
vénériennes, syphilis, etc. L'historique de la
tes : gale, maladies vénériennes, syphilis, etc. L'historique de la
maladie
est fait avec une grande érudition sur- tout en
nos hôpi- taux modernes, des « pilons » ou faux ladres simulant la
maladie
pour obtenir leur admission. 344 BIBLIOGRAPHI
s travaux parus. Dans la question de l'identité de la lèpre avec la
maladie
de Morvan, la syringomyélie, la morphée, l'aïnh
flirmatif en ce qui concerne la sclérodermie, la sclérodactylie, la
maladie
de Rayuau, l'atrophie musculaire progressive.
pris le soin de rendre justice à tous ceux qui se sont occupés des
maladies
chroniques du système nerveux des enfants, abou
l'hystéro-épilepsie à crises distinctes : Cliarcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. 1, t3, leçon, et Leçons du
t accompagné de convulsions toniques. (Cf. Cliarcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 136 leçon.) - 1 La
e la paralysie faciale périphérique. Le malade interrogé dit que sa
maladie
se présenta tout à coup, peu de jours avant, sa
que j'aie commencé le traitement électrique, le deuxième jour de sa
maladie
(courants galvanique et de Watteville, et le ma
rareté, est infiniment grave, car il ne parait pas y avoir d'autre
maladie
contagieuse qui détruise l'organe auditif aussi
jour, parfois le sixième et le sep- tième, rarement au déclin de la
maladie
. A ce propos, l'auteur fait remarquer qu'il s'a
os, l'auteur fait remarquer qu'il s'agit d'une localisa- tion de la
maladie
infectieuse comparable à l'atteinte du testicule
nl1'alúl. f.Nervenlieillc., XXIII, N. F. XI, 1900.) C'est un cas de
maladie
de Thomsen d'une espèce particulière. Le troubl
s, asphyxiques du foetus ; 2° les traumatismes céphaliques ; 3° les
maladies
infec- tieuses, et que les autres causes étaien
as dans lesquels, sans aucun doute la syphilis a été la cause de la
maladie
; il les résume. Quatre autres observations, égale
Déjà analysé. P. Keraval. LXX. Contribution à la casuistique de la
maladie
de Basedow; par S. Poporr. (Neurolog. Centralbl
es hémorrhagies utérines, nasales, laryngées, rectales, tenant à sa
maladie
basedowienne. Elle est encore affectée d'une en
lage. Les hémorrhagies peuvent donc jouer un rôle important dans la
maladie
de Basedow, même dans la forme fruste. P. KERAV
de la réaction vaso-mo- trice). Oppenheim, dans son Lehnbuch des
maladies
nerveuses, Berlin, 1898, s'exprime ainsi : « Il
o-huméral ne peut servir d'élément de dia- gnostic sérieux pour les
maladies
de cette région. Il manque quand d'autres réfle
cet tains muscles, de nature compensatrice; la terminaison de la
maladie
par la guérison, c'est-à-dire par un état station
lk., XXIII, N. F. XI, 1900.) Critique du mémoire de Nissl sur « les
maladies
mentales dites fonctionnelles » (Miinch. inedie
ndamment des commémoratifs. Signes directs : La sypliilis étant une
maladie
générale, il est évident que ce n'est ni dans u
du système nerveux. On.appelle en outre métasyphilitiques certaines
maladies
qui 1 ne sont pas essentiellement syphilitiques
comparati- vement silencieuses : les manifestations nerveuses de la
maladie
n'échappent pas à cette marche alternante. Un a
tic souvent difficile, d'autant que la paralysie générale étant une
maladie
des syphilitiques, il peut y avoir des moments
maladie des syphilitiques, il peut y avoir des moments où les deux
maladies
voisinent ou se compli- quent ; 6° Maladies de
des moments où les deux maladies voisinent ou se compli- quent ; 6°
Maladies
de la moelle, pseudo tubes ou tubes syphilitique
itait le diagnostic : l'auteur ayant eu deux cas de mort dans cette
maladie
, ne peut partager cette manière de voir : il ra
ue à accomplir un acte sous les yeux de quel- qu'un. Le début de la
maladie
remonte actuellement à dix-huit mois. Ces cas
dix-huit mois. Ces cas ne sont pas communs. Hammond dit que cette
maladie
est également fréquente dans les deux sexes. L'
396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XC. L'influence du climat sur les
maladies
nerveuses considérée au point de vue physiologi
ltitude doit être preféré. En résumé, l'influence du climat sur les
maladies
nerveuses est une question ouverte. Ce sont les
ait découlent les indications climatologiques essentielles dans les
maladies
du système nerveux, à la condition de mesurer c
puis huit ans, un autre l'est presque six mois après le début de la
maladie
. On peut dire que le pronostic est plus favorab
ue l'on a une ten- dance fâcheuse à considérer l'hystérie comme une
maladie
dépour- vue de tout danger, alors qu'elle peut,
gie de l'épilepsie demeure obscure : nous n'étudie- rons dans cette
maladie
que des symptômes, et c'est par l'obser- vation
pu dire que, chez un épileptique, un meurtre est un symptôme de la
maladie
au même titre qu'un vol chez un para- lytique g
ument indépendante de l'attaque caractéristique, existe en tant que
maladie
per se, et, au point de vue médico- légal, son
f les troubles d'origine bulbaire. Cette marche écarte l'idée d'une
maladie
de Landry. A noter que le malade, ancien syphil
liniques : une forme de dissociation à marche typique pour les deux
maladies
; deux formes de superposition : la forme d'exc
exes, quelques indications positives, soit pour le diagnostic de la
maladie
elle-même, soit pour la différenciation de ses
. 100 des cas. Dans presque toutes les formes un peu intenses de la
maladie
, ils sont affaiblis 80 p. 100 des cas. La choré
. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES. - PROFESSEUR RAYMOND. Sur trois cas
de, pour l'alimenter. N'empêche qu'elle a engraissé, au cours de sa
maladie
, qui n'a pas laissé de suites immédiates appréc
te-huit ans, en état d'hémiplégie. Sa mère a été emportée par une
maladie
de coeur, à l'âge de soixante-cinq ans. Elle a
le. Il y a lieu de retenir aussi que son mari est affecté du tabes,
maladie
dont vous connaissez les étroites relations ave
dont vous connaissez les étroites relations avec la syphilis. Sa
maladie
actuelle a débuté, il y a environ un an. A cette
t affecté du tabes, et, dans la très grande majorité des cas, cette
maladie
se développe chez d'anciennes syphiliti- ques.
encore quelques chances de guérir cette femme, en admettant que sa
maladie
soit bien une conséquence de la syphilis. Sym
n compte nous ont été fournis par sa soeur. Il n'y a jamais eu de
maladie
nerveuse ou mentale dans la famille. L... est m
881, n'a pas eu d'enfants. Bon travailleur, se conduisant bien. l.a
maladie
a débuté il y a trois ans par des troubles gastri
hématémèses, dyspepsie, ne pouvant travailler il dépensa pendant sa
maladie
l'argent péniblement économisé, il en fut très fr
rêmement mauvaise (hématémèses anciennes). Pronostic très grave. La
maladie
évolua rapidement et le malade mourut dans le g
a troisième observation sont la source commune où ils ont trouvé la
maladie
, enfin dans les observations IV et V le départ
de deux attaques congestives indéniables datant de sept ans : la
maladie
dure au moins depuis cette époque. C'est, pour l'
males si fréquentes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 501 1 dans cette
maladie
sont parfois violentes au point de rappeler des
tralbl., XIX, 1900.) Les éléments de la tare héréditaire sont : les
maladies
mentales et nerveuses, une anomalie du caractèr
le anormale du cerveau propre à la paralysie générale et à d'autres
maladies
mentales, mais elle ne fournit pas de renseigne-
à un homme ardent. . « Je sens que mon regard réfléchit toujours ma
maladie
quand ; les yeux d'autrui m'indiquent un esprit
ordinaire de la famille. Il serait donc important qu'une étude des
maladies
mentales fût une partie nécessaire du cours d'étu
'inlluence néfaste des professions insalubres sur la production des
maladies
chroniques du système nerveux; et plus que tout
on des professions insalubres sur la morbidité et la production des
maladies
nerveuses des enfants. A noter une étude fort i
s très utiles sur les con- seils et le traitement à donner dans ces
maladies
peu connues et souvent fort embarrassantes. MIR
vant : la démence précoce, telle que l'a décrite Kraepelin, est une
maladie
qui touche primitivement toutes les facultés acti
es ignorent ce qui s'est passé autour d'eux depuis le début de leur
maladie
: ils n'ont aucune conscience du milieu ou du c
nique où il insiste sur le diagnostic des formes unilatérales de la
maladie
de Parkinson avec les tremblements prac et post
des spéciales de l'hémiathé- tose empêchent de la confondre avec la
maladie
de Parkinson unilatérale. G. C. XXIV. Les ent
lie par défaut de coordination, la perte de parole après une longue
maladie
, enfin avec l'alalia mentalis. Le pronostic est
nosologiques bien déterminées, en tenant compte de l'évolution des
maladies
. C'est ainsi seule- ment qu'on arrivera à établ
, qui 'ne peuvent en conséquencenous renseigner sur la nature de la
maladie
; telles sont certaines mani- festations jusqu'i
t qu'après plu- varia. 529 sieurs années, quand l'évolution de la
maladie
pouvait permettre de le faire avec certitude. T
ronostic puissent être distin- guées entre elles dès le début de la
maladie
. L'auteur a l'habitude, depuis plusieurs années
(de Toulouse) ; 2° Pathologie mentale : Des états anxieux df/1¿ les
maladies
mentales. Rapporteur : M. LABANNE (de Bordeaux);
argé jusqu'à la fin de l'année scolaire, d'un cours de clinique des
maladies
mentales. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BIHUGIA.
de La.-rave, 335. B.SEDOW. Contribution à la casms- tique de la
maladie
de -, par l'opolT, 382... i Bégaiement. Obser
anoff, 339. Extension et son application dans le traitenent des
maladies
ne,- veuses, par KonlI1djy, 110. Faculté de m
l' - par Bourneville, 516. Imagination dans ses rapports avec les
maladies
mentales, par R. Chase, 228. Impulsion homici
AGNLTISEuns. A propos de la péti- tion des - par H. Lemesle, 246.
Maladies
neraeuses familiales, par Long, 46. Voir Extens
Th. Klingmann, 53. Sérum. Injections de-dans le trai- tement des
maladies
mentales et nerveuses, par A. Marie, 16ï. Soc
ique. De l'extension et de son application dans le traitement des
maladies
nerveuses, par P. Koumdjy. 18. Thomsen. De l'
par P. Koumdjy. 18. Thomsen. De l'élongation des nerfs dans la
maladie
de -, par Seitfer, 303. Thrombus multiples. M
et vous en sentirez les douces étreintes; vous verrez sans frémir la
maladie
envahir vos organes, car vous sentirez en vous l'
suite de vives contrariétés. Enfin, on put encore observer dans cette
maladie
, véritable Pro-tée, revêtant presque toutes les f
le, sur le nombre et l’époque de ses attaques a venir, la durée de sa
maladie
, les remèdes qui pourraient lui convenir. Ses rép
. Enfin, pour en revenir à l'instinct des remèdes, interrogé sur la
maladie
d’une dame du pays, Michel prescrivit une plante
s impressions, les sécrétions, les absorptions, les compositions, les
maladies
, et pourtant toujours liées à un lype électrique
ellement rendre d’importants services, surtout dans le diagnostic des
maladies
; c’est trop pour des personnes qui n’onl pas la c
que les principes et les règles pour nous conserver, pour éviter les
maladies
et pour rétablir la santé, n’ont pas été trouvés
retour plus ou moins immédiat, la punition par un mal physique appelé
maladie
ou crise, qui n’est autre chose que cet effort de
ÉTIQUE. Un de nos abonnés du Yar, M. C**‘, nous envoie une liste de
maladies
qu’il vient de traiter avec succès. Il nous prome
cure qu’il a opérée. En attendant ces récits, voici l’énumération des
maladies
qu’il a guéries : 1° Suppression de règles acco
, c’est.que quatre autres enfants de la même mère sont morts de cette
maladie
. Le magnétiseur, outre l’action directe, a employ
jets magnétisés: chemise, coiffe, langes, etc. 10° Plusieurs cas de
maladies
nerveuses, contusions, odontalgie, guéries en un
teur Maurice, de Privas, nous fait aussi parvenir une longue liste de
maladies
guéries par la médecine magnétique. Nous devons f
on néglige toute la classe des riches, qui, exposés à tout autant de
maladies
, doivent aussi participer aux bienfaits du magnét
priant, soufflant et touchant, ont la réputation de guérir plusieurs
maladies
, surtout les érysipèles, très-communs à Constanti
i parla pendant une minute environ, sans doute pour l’instruire de sa
maladie
. Tous deux étaient là, debout, sans que les allan
rver leur pratique, que j’y avais beaucoup de confiance dans quelques
maladies
nerveuses, mais peu dans les maladies inflammatoi
coup de confiance dans quelques maladies nerveuses, mais peu dans les
maladies
inflammatoires; mais que j’étais sur- tout char
eur grande supériorité en les tournant en ridicule : « La santé et la
maladie
, me « dit-il, sont également dans les mains de Di
er en doute l’influence de ces pratiques sur la guérison de certaines
maladies
; les annales de la médecine en contiennent de nom
soixante-treize opérations chirurgicales sans douleur, et de dix-hnit
maladies
internes, avee des réflexions cliniques. Yoici la
du pied au genou. « lit0 Ablation de dix-sept tumeurs scrotales. »
Maladies
internes. « 1° Trois migraines, un tic douloure
te: « On objectera, dit-il, que les cures citées ci-dessus sont des
maladies
essentiellement nerveuses; mais je répondrai que
subitement nous devra le même tribut que s'il eût fai t une longue
maladie
. I.a famille est responsable envers nous, et le p
tains châtelains qui, ayant quelques connaissances des remèdes et des
maladies
, usent de cet heureux privilège que le riche poss
erez désormais d’après les,nouveaux principes. Quelles que soient les
maladies
qui vous assaillent, ayez d’abord recours k la ma
tées par son secours, il n’y n point de convalescence; on passe de la
maladie
à la santé sans sabir la langueur, sans sentir le
rèjles d’une application rationnelle du magnétisme au traitement des
maladies
: c’est à vous maintenant de poursuivre.Comblez pa
it, et que son sommeil, de lourd qu’il était habituellement depuis sa
maladie
, avait été fort agité. Je la magnétisai encore, e
ient disparu complètement. Mme Krist demeure rue du Chantre, 18; sa
maladie
et sa guérison sont connues de toutes les personn
que des milliers ont été guéris; et je crois même que, de tontes les
maladies
connues, il y en a eo de guéries dans ma cellule.
ncendies, des trombes, des tourbillons, des guerres, des famines, des
maladies
contagieuses, etc-, etc.? Qu en pensez-vous, mon
supposer plutôt quelques vices physiques de conformation ou quelques
maladies
contre lesquelles il fautchercherdes ressources d
qui, pour avoir gardé des malades, se croyait capable de traiter des
maladies
. «On assure même, disait-il « dans son rapport, q
M. Lebrun, officier de santé et pharmacien, soutient sa thèse sur les
maladies
hystériques. 11 est admis membre titulaire. M
server à un grand chirurgien que les opérés mouraient tous de la même
maladie
, il nous fut répondu que c’était à l’encombrement
étisme ne peut être employé concurremment avec l’homœopathie dans les
maladies
aiguës qu’ils peuvent guérir ; il faut que l’un c
nt guéri (et guériront) sans les connaître ni les bien décrire, des
maladies
à' la cure desquelles les plus savants docteurs,
pé. M. Simon affirme que le magnétisme est impropre à la curation des
maladies
chroniques, tandis que les magnétiseurs ne se son
que les magnétiseurs ne se sont presque appliqués qu’à la curc de ces
maladies
. L’espace nous manque pour discuter cette opinion
puissantes raisons que le mesmérisme « est un remède pour beaucoup de
maladies
non amen-« dables par les moyens ordinaires, nous
-masies. La marche rapide et la terminaison si souvent funeste de ces
maladies
ne permettent point de tentatives hasardées, de p
lui ont assuré jusqu’ici la suprématie, le monopole, la priorité des
maladies
aiguës. Ce n’est que quand ce moyen, tant de fois
e guérit pas tous les agonisants, il l’a cru impuissant à enrayer les
maladies
inflammatoires. La conséquence de cette fausse
lliatif polychreste,' capable d’amender, mais non de guérir, quelques
maladies
. Les magnétiseurs, battus de ce côté, durent fo
uccès qu'ils y obtinrent dépassèrent toute attente, et la cure de ces
maladies
fut concédée ii la panacée mesméricnne. Cette con
agir sur les aiguës, puisque, dans l’acception ordinaire du mot, une
maladie
chronique n'est autre qu’une aiguë dont la durée
û faire revenir sur ce jugement illogique , c’est l'aggravation de la
maladie
sous l’influence magnétique, c’est-à-dire l'évano
eur, soit hasard, j’ai débuté en magnétisme par des cas désespérés de
maladies
aiguës ; j'ai réussi, et, méditant bien les mots
ins renommés furent appelés à donner leur avis commun sur cette grave
maladie
, et leurs prescriptions furent suivies avec une p
rible, rien n’en pouvait modifier la marche. Le quinzième jour, cette
maladie
, dont on ne s’était jamais dissimulé la gravité,
e le rebute; il croit que tout être est magnétisable par lui et toute
maladie
curable par le moyen qu’il possède. C’est dans ce
dernière fois ; il était déjà beaucoup mieux, il prédit la lin de sa
maladie
et indiqua le jour de sa convalescence. Tous le
ique français, dans l’espoir d’obtenir la guéri- son do sa terrible
maladie
. La Quinzaine démeut ce bruit absolument faux, qu
INIQUE MAGNÉTIQUE. Angine gangreneuse. — J’ai à rendre compte d’une
maladie
terrible,'destructive dans ses effets, prompte da
e remaria; mais la lune de miel fut bientôt troublée par une affreuse
maladie
que nous allonsessayer de décrire. J’ai à noter a
Que faire? Des saignées? Dans quel but? Il était évident que celte
maladie
était due aux émissions sanguines trop fréquentes
ailleurs les sangsues avaient tiré une grande quantité de sang, et la
maladie
n’en avaitpoint été affaiblie. Des sinapismes, de
. La mort semble moins affreuse lorsqu’elle arrive h la suite d’une
maladie
qui intéresse plusieurs organes et qui porte ses
soin du secours de ses organes? Sans doute, je ne pouvais empêcher la
maladie
de parcourir ses périodes; elle était due aux tro
alade avec de l’eau de Sedlitz,et je puis assurer qu’elle passa de la
maladie
la plus grave que l’on puisse voir à la santé la
u. Il faut remarquer que rien ne pouvait faire pressentir une telle
maladie
, car aucun des membres de cette nombreuse famille
portés à prêcher la parole de Dieu, ce qui avait fait désigner cette
maladie
,sous le nom de : mal de prédication. Des médecins
s corporels que des visions, prophéties, etc. (I). Cette singulière
maladie
, qui s’éteignit peu à peu, a reparu l’année derni
cita vivement ma compassion, et malgré mes craintes sur l’issue d’une
maladie
si aiguë, j’en entrepris le traitement magnétique
sme employé à temps et avant tout autre remède. L’invasion de celle
maladie
avait été soudaine et sa marche si rapide, qu’à d
symptômes, c’est l’abattement qui persista le plus. Voilà donc une
maladie
grave, souvent mortelle, de longue durée, conjuré
malade remis sur pied sans convalescence. M’objectera-t-on que cette
maladie
n’était qu’imminente, qu'elle n’était pas franche
en d’autres termes, le magnétisme est-il capable de guérir toutes les
maladies
? l.cs essais tentés jusqu’à ce jour ne nous aut
ndre son langage, révélerait bientôt les mystères qui entourent cette
maladie
. Nous invitons les magnétiseurs qui se trouvent
Van-Swiéten dit fort bien : « L’électricité ne fait que répercuter la
maladie
; d’autres lui succèdent quand elle ne réapparaît
ro- priétés bien singulières, qu’on portait en amulettes contre les
maladies
nerveuses, et que nous voyons encore de nos jours
ans, une dame des environs d’Ancy-le-Franc (Yonne) fut atteinte d’une
maladie
fort extraordinaire : elle était prise d’accident
gea. « Voilà, dit en terminant M. Tronsseau, des médicaments et des
maladies
à déconcerter les médecins et la science! » Sav
s pourquoi M. Trousseau est ainsi déconcerté? parce qu'il a guéri une
maladie
qu’il ne comprend pas avec un remède qu’il compre
» Or, moi qui admets l’existence d’un fluide dans l’homme devant une
maladie
semblable, je me dis : c’est par surabondance d’é
horée, contre les pôles couleurs, l’atrabile, comme ils disaient, ces
maladies
où nous voyons des cas d’électricité si remarquab
ousseau l'avoue franchement. «La vieille Laroche, dit-il, a guéri des
maladies
où toutes mes connaissances thérapeutiques ont éc
ait-il pas imaginer aux malades que le massage lui a guéris, que leur
maladie
n'existait plus? Mais à quoi bon crierî Aures hab
ous trouvons une particularité remarquable, qui prouve que toutes les
maladies
se terminent par des crises. L’enfant avait été
Piron, somnambule de Paris, ont toujours prétendu que le siège de la
maladie
était au nombril, qu’il existait là du phlegme ne
épileptique à la suite d’une chute suivie d’une grande frayeur. Cette
maladie
durait depuis trois ans , successivement traitée
t se suspendaient pendant huit mois); quelle a eu en sa vie plusieurs
maladies
, et qu’elle a tou jours été très-npnetise, c’est-
nvaincu des immenses avantages retirés du mesmérisme pour la cure des
maladies
les plus rebelles, el la prévention de la doule
) « sera établi par contribution volontaire pour le traite-« ment des
maladies
et la privation de la douleur des « opérations ch
rt remarquable. Elle fut endormie, donna une consultation, indiqua la
maladie
, prescrivit le remède; de l’aveu même du sieur Ba
’un de leur famille ont été guéris par les soins de la dame Ponson de
maladies
contre lesquelles la médecine ordinaire avait éch
coup. Là est le fond de la question. Qu’est-ce que l’hystérie? Une
maladie
si vaste que je devrais la comparer à la tour de
ce que je comprends. — Ce que je comprends mieux, c’est, que cette
maladie
est généralement mal traitée, par la raison toute
, l’incontinence d’urine, durant souvent moins de deux minutes. Cette
maladie
est très-rare; la plupart des cas regardés comme
vre la diminution graduelle de manière à avoir l’image complète de la
maladie
et de sa marche. Nous nous bornerons donc, TOliEV
locale à la fin. D. — Madame Geslin, atteinte depuis sept ans d’une
maladie
qui faisait son désespoir et qu'elle s'efforcait
ponctuellement suivi ont amené la complète guérison de cette cruelle
maladie
, que cette pauvre jeune femmeavait, par pudeur, d
es séances raisonnablement conversation. « Enfin une foule d'autres
maladies
moins graves qu’il serait trop long d’énumérer. »
épondu ainsi aux questions qui lui furent adressées. D. — De quelle
maladie
était atteinte mademoiselle X"*, votre cliente, e
était atteinte mademoiselle X"*, votre cliente, en 1844? R. — D’une
maladie
qui resfa d’abord cachée, simulant une affection
ppelé quelques-uns de ses confrères en consultation relativement à la
maladie
de mademoiselle X**‘? R. — Oui, plusieurs. D.
par madame Pouson ? R- — Aussi avantageux qu’il pouvait l’étre. La
maladie
ne pouvait guérir que par un effort de la nature;
conder; c’est ce que fit madame Pouson. D. — Depuis la guérison, la
maladie
a-t-elle reparu? R. — Quelques symptômes reparu
n devrait recourir au somnambulisme dans les cas assez fréquents de
maladies
simulées ou dissimulées, cl enfin dans leseas de
— Deux de mes confrères ont corroboré mon opinion sur la nature de la
maladie
. D. — Postérieurement à la consultation avec se
— Postérieurement à la consultation avec ses confrères, et croyant la
maladie
mortelle, a-t-il voulu's’éclairer plus amplement
on? R. — Oui. D. — Quelle a été l’opinion de la somnambule sur la
maladie
; Va-t-elle bien vue et définie? R. — La maladie
a somnambule sur la maladie; Va-t-elle bien vue et définie? R. — La
maladie
a été parfaitement décrite; mais l’intensité du m
édaigné par un médecin pour arriver à la connaissance de la véritable
maladie
, et que c’est une dotation de la divinité pour le
rois consultations depuis celle de ma cliente , et la description des
maladies
a toujours été exacte. » — Ces témoignages, loi
e dans la pratique médicale, l'influence de l’élément nerveux sur les
maladies
, sur le tempérament et sur tous les actes de la v
ment magnétique, l’indication des causes, probables ou connues, de la
maladie
, l’énoncé du ou des traitements suivis, etc.: enf
, l’énoncé du ou des traitements suivis, etc.: enfin, la marche de la
maladie
sous l’influence du magnétisme, le tout constaté
plus important pour l’avenir, le mode d’action du mesmérisme sur les
maladies
, comparé à celui des médicaments. Maintenant supp
oyen de guérison à ceux qui auraient le malheur d’être attaqués d’une
maladie
aussi longue et aussi douloureuse que celle que m
ppression. Cet état dura trois mois, après lesquels le germe de cette
maladie
n’était pas détruit. Le rhumatisme prit son cours
n’avait produitaucun effet, si ce n’est d'empêcher les progrès de la
maladie
. Cependant ma femme finit par tomber tout à fait
’une bonne sauté. Tout être assez malheureux pour éprouver pareille
maladie
, je l’engage à se mettre entre les mains de M. Ju
jusqu’à la pointe des pieds. Que, pour cette cruelle et dangereuse
maladie
, elle a fait quatre fois le voyage des eaux à Bou
obtenu le moindre succès; seulement il a pu arrêter les progrès de la
maladie
. Heureusement pour mon épouse, M. de Rovère est
Ma santé, peu à peu ruinée, fut totalement détruite par une violente
maladie
, pendant laquelle on reconnut la présence du téni
n établissement pour les opérations sans douleur et le traitement des
maladies
par le magnétisme. Nous ferons connaître dans nos
3° L’application thérapeutique du magnétisme humain au traitement des
maladies
. Pour atteindre ce but, la Société du magnétism
amie dissipera une indisposition commençante et préviendra ainsi une
maladie
; car les maladies commencent presque toujours par
ne indisposition commençante et préviendra ainsi une maladie; car les
maladies
commencent presque toujours par des indisposition
affection légère, une médecine aveugle en fait bien plus souvent une
maladie
grave en essayant de la combattre. C’est aux dépl
ur culbutés par les systèmes du lendemain, que l’humanité doit lantde
maladies
longues, souvent incurables; tant de malades vieu
soit que je veuille obtenir le coma, l’insensibilité, ou traiter des
maladies
par le mesmérisme seul. » L’auteur de Memerim i
acun ait son avis, sa doctrine, comme nous voyons en médecine la même
maladie
jugée d’autant de manières qu’on a consulté de do
e pouvant rien avaler.) 6. Marie Courtale, épouse Bidot, de Pau. (
Maladie
de langueur, fièvre lente, affection nerveuse.)
t palpitation de cœur.) 8. Marie Mirande, née Baron, de Geronce. (
Maladie
d'yeux.) 9. Jeanne Labau, épouse Labourdette, d
3. Marie Minvielle, épouse Boudenave, d’Aressy. (Migraine continue,
maladie
d'yeux, d’oreilles, coliques et vents.) là. Jea
éré, de Leurbe, arrondissement d’Oloson. (A la suite d'une longue
maladie
, un dépôt à la poitrine qu'il a rendu en vingt mi
e, de Pau. (Convulsion ncrvcu.»e à la tète, continuité de migraine,
maladie
d'yeux et d'oreilles.) 2/i. Thérèse, épouse IIe
ladie d'yeux et d'oreilles.) 2/i. Thérèse, épouse IIeyd, de Pau. (
Maladie
de foie, palpitation de cœur, douleurs de matrice
de règles, migraine.) 28. Marguerite, épouse Vocso, de Bizanos. (
Maladie
suite de couches.) 29. Jacques Labobde, de Lesc
e et mal d'oreilles.) 30. Marie Cuiboune, épouse Andîeu, de Pau. (
Maladie
très-compliquée des femmes, suite de couches et l
main droite.) 35. Marie Escodbës, de Pau. (Migraine permanente et
maladie
des nerfs.) 3(5. Marie Bellocq, épouse Baguette
os. (Inflammation dans les viscères et au bas-ventre, lait répandu,
maladie
d’yeux, d'oreilles, migraine cl mal de gorge.)
,Hautes-Pyrénées. (Vomissement périodique, constipation permanente,
maladie
des nerfs très-compliquée.) hl. Claudine, fille
ouleurs rhumatismales.) 4(3. Anne Rey, de Bizanos. (Fièvre lente,
maladie
des nerfs, migraine cl insomnie.) 47. Marie Sal
47. Marie Salenave, épouse Tiieil, de Pau. . (Migraine permanente,
maladie
d’yeux, (^'oreilles, palpitation de cceur, douleu
rate et de matrice.) 4S. Marie Lacassy, épouse. Jouany, de Pau. (
Maladie
des nerfs compliquée.) 'in. Louise, fille Bena,
Maladie de laogueur.) 52. Jean Bardé fils, de Gelos. (Migraine et
maladie
d'yeux.) 53. Pierre Radarlet, dit Pkré, de Siro
Pierre Radarlet, dit Pkré, de Siros. (Inflammation des intesljns «t
maladie
des nerfs, insomnie et vomissement périodique.)
. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, insomnie, palpitation de cœur,
maladie
des nerfs.) 56. Jeanne Piquette, épouse de Gelo
-Bigorre. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, palpitation de cœur cl
maladie
des nerfs.> 58. Jeanne I.oup, épouse Micoula
aine permanente.) (55. Ursule Claverie, épouse Pieulet, d’Arète. (
Maladie
de langueur et insomnie.,) 00. Jeanne Claverie,
tes, faiblesse générale, insomnie, migraine, mal d'oreilles, du cœur,
maladie
do matrice très-compliquée, affection nerveuse, e
ection nerveuse, etc.) 103) 71. Jeanne, fille Monleru, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 72. Pierrç Moünaut, de Gelos. (Doule
e. ¡De'. glandes.) 75. Aune M...., do Vic-Bigorre. {Migraine et
maladie
d'yeux.) 70. Joséphine, fille Labat, de Vic-Big
t, ne pouvaut rien avaler.) 78. Sophie-Catherine Castel, de Pau. (
Maladie
, d’yeux.) 7i>. Jean Beysku, d’Arète. (Oppr
(I)ouieurs rhumatismales.) S3. Marie Bordehaux. épouse d’Arète. (
Maladie
très-compliquée.) (1). 8fi. Domestique Courbet,
santé, depuis l’émaciation extrême jusqu’à la force ordinaire. Leurs
maladies
sont spécifiées dans le tableau ci-annexé. List
u’il ne varia nullement dans les autres. Etat ou pouls. Patient».
Maladies
. Aient. Pendant. lininndijtcm. après. Opération*.
la fièvre et de l'affaiblissement causé par une longue et douloureuse
maladie
. « Tel est le cas de Bissonalk, qui fut renvoyé
cette augmentation de sensibilité expose les patients à de nombreuses
maladies
nerveuses, trop de prudence ne peut être mise à e
uses, trop de prudence ne peut être mise à en étendre la pratique aux
maladies
chirurgicales sans importance. Cependant ce n’est
er sous le nom d’Eau de Benjoin, était tombé malade jeudi soir, et la
maladie
avait fait de tels progrès, qu’aujourd’hui il éta
éreux qui se sacrifie avec tant de courage au bien de l’humanité. Une
maladie
cruelle avait brisé mon avenir, le bonheur n’étai
de la reconnaissance, permettez-moi d’esquisser à grands traits et ma
maladie
et ma guérison, que je considère au moins comme t
sent ; je fus de ce nombre. Mon enfance se passa au milieu des milles
maladies
qui ne l’assiègent que trop souvent : à huit ans
créer un avenir honorable, et tout espoir me fut bientôt interdit! La
maladie
faisait de rapides progrès; j’abandonnai mes trav
voir recours à la médecine; je vis plusieurs docteurs célèbres, et ma
maladie
allait toujours cn s’aggravant; l'un d’eux, qui t
it toujours cn s’aggravant; l'un d’eux, qui traitait spécialement les
maladies
nerveuses, et qui mourut d’une affection de la mo
des courants de feu; c'est ce qui vous fit juger que le siège de la
maladie
était au moins en grande partie dans les intestin
œil droit le 2 juin de cette année. Dès le début, l'intensité de la
maladie
nécessitait immédiatement les secours du médecin;
n sage et raisonnée de cette force médicatrice dans le traitement des
maladies
est un puissaDt moyen de soulager l'humanité souf
mettant à l’action du magnétisme, remède si efficace dans ce genre de
maladies
! Eli bien ! moi qui m'honore du noble titre de
eur i la Cour des comptes. 1. Jeannette, fille feu Rf.y, de Pau. (
Maladie
d’yeux.) 2. Marie, épouse Buocsstr, de Saint-Fa
, h. de Pau. (Inflammation au bas-ventre et constipation, fièvre e(
maladie
des nerfs.) 5. Jeanne Mauüis, h. de Pau. (Mal
tion, fièvre e( maladie des nerfs.) 5. Jeanne Mauüis, h. de Pau. (
Maladie
de langueur, etc.) 0. Prosper, fils deLAtiDET,
10. Jeanne-Marie Salabbrtue, veuve Larreule, d’Ar- tiguélouve. (
Maladie
de langueur.) 11. Jean Gassiolle, d’Arliguélouv
se a cessé de suite )| 17. Jeanne Claverie, de Pau, rue Gassies. (
Maladie
d'yeux.) 18. Jeanne Hkngas, fille, de Jurançon.
rançon. (Ma adie d’yeux.) 19. Pierre Paleu, postillon, de Pau. (
Maladie
d'yeux, lièvre lente, migraine permanente, insomn
sans appétit.) 21. Pauline Carles, fille, de Pau. (Fièvre lente,
maladie
de langueur, etc.) 22. MaricDANASANS, épouse Pi
erge, ûlle, deuxième née, de Bosdarros. (Inflammation île poilrinc,
maladie
du foie cl insomnie sans appétit, etc.) 24. Mar
ans appétit, etc.) 24. Marie Prat, fdle, de I.oos. (Fièvre lente,
maladie
de langueur, elc.) 25. Jeanne Hkmïas, fille, de
aladie de langueur, elc.) 25. Jeanne Hkmïas, fille, de Jurançon. (
Maladie
d'yeux.) 20. Suzanne Pccueu , épouse Lapassade
nne Pccueu , épouse Lapassade , d’Arligué-louve. (Fièvre, migraine,
maladie
de matrice, etc.) 27. Alexis Cazaux, d’Ousse.
eis). (Oh'truclion de l'oie, une fistule au dessous de l'œil droit,
maladie
de nerfs, sans appétit, insomnie.) 30. Bernardi
30. Bernardine Lapèze, épouse Jeau Gocis, de Lalte- rade (Gers). (
Maladie
d'yeux ) 31. Bernard Baktiie, li. de Pau. (In
Haminnlion de poitrine, palpitation de cœur tendant à un anévrisme et
maladie
d'yeux.) 32. Marie Legrand, fille, deuxième née
ie Legrand, fille, deuxième née, d'Orlhez. (Coliques très-fortes et
maladie
de nerfs.) 33. Jean Gassies, dit Hourcade, de L
os. (Douleurs rhumatismales.) 34. Pierre Cazadx fils, d’Ousse. (
Maladie
d’yeux très-compliquée.) 35. Anne, fille Rey, d
de Bizanos. (Fièvres.) 36. Bergitte, fille Dadansens, de Pau. (
Maladie
d’yeux.) 37. Jeanne Pascal, épouse Daniel Canto
e d’yeux.) 37. Jeanne Pascal, épouse Daniel Canton, deNarcastel. (
Maladie
de femme compliquée.) 38. Jean Lapassade lils,
cl fièvre continue.) 39. Marie-Gracieuse, fdle Larrieu, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 40. Pierre Puyau fils, li. de Pau. (
appétit.) 42. Marie Candau, épouse Bronca, tailleur, deBaringue. (
Maladie
de langueur, forte palpitation de cœur.) 43. Je
nuau, épouse Bhoca, de Baringue. (Très-forte palpitation de cœur el
maladie
de nerfs.l 49. Marthe Nargassies, troisième née
maré, épouse Danos, de Tarbes. (Oppression de poilrine, toux sèche,
maladie
du talion de cœur, des éblouissements a perdre
ulsions nerveuses ) S1. Marie-Magdelaine, épouse Changé, de Pau. (
Maladie
d’yeux.) ¿2. Jean-Baptisle Lapkine, deuxième né
-Baptisle Lapkine, deuxième né, de Pau. Ilnflammation de ; oilrinc et
maladie
de nerfs.) ¿3. Madame G'", née I."*, de Pau.
.) ¿3. Madame G'", née I."*, de Pau. (Inflammatipn de poilrinc et
maladie
ds nerfs.) ¿4. Jeanne, (¡¡le Rey, de Bizanos.
5Ü. Victoire ,■ épouse Minvielle, troisième née, de Monlestruc. (
Maladie
d’yeux, douleurs de foie, affection de nerfs.)
.) Ci. Geneviève-Gracieusc Souchet, épouse Cazkkave, de Lembeye. (
Maladie
du fuie.) C5. Jean Mouciiouret fils, premier né
du fuie.) C5. Jean Mouciiouret fils, premier né, de Monlcslruc. (
Maladie
de langueur, fièvre lente, palpitation de cœur, m
manente, insomnie.) 75. Pierre Tisné fils, troisième né, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 70. Jean Pon, domestique chez Cazenave
, fille, de Pau. (Ilydropisic générale, toux continuelle, migraine,
maladie
du fuie, palpitation de cœur, insomnie, sans appé
nie, ete.) 79. Magdeleine Pkrmentier, épouse Bottv, de Jurançon. (
Maladie
de langueur et maladie de nerfs.) 80. Jean Barb
eine Pkrmentier, épouse Bottv, de Jurançon. (Maladie de langueur et
maladie
de nerfs.) 80. Jean Barbé, h. de Gélos. (Infl
ans appétit.) 81. Célesline, fille Pierre Pkrissou, de Jurançon. (
Maladie
d’yeux et inflammation de poitrine, etc.) 82. P
ndes au cou.) 87. Jeanne Jourrb, épouse Pierre Piqcepeb, de Pau. (
Maladie
d’yeux.) 88. Marie, fille Cuardies, dit Frances
erres-Gastel. (Panaris.) 102. Pierre Rieupeyrous, h. de Gélos. (
Maladie
de langueur, fièvre lente, sans appétit, insomnie
étit, insomnie, et'- 103. Catherine, lille Micoulajj, h. de Pau. (
Maladie
de nerfs; elle mangeait des charbons cl des cendr
109. Marguerite Fourcade, fille, de Pau. (Suppression des règles,
maladie
de langueur.) 110. Thérèse Capdeboscq, h. de Gé
de Gélos. (Migraine permanente ) 111. François Tourné, de Pau. (
Maladie
de langueur depuis plus de quatre ans, fièvre len
t compliquée.) 113. Magdeleine-Euplirosine Touron, de Jtiillacq. (
Maladie
de foie, lies nerfs l’estomac ne pouvant pas supp
122. Jeanne-Jeantin Minvielle, fille, première née, de Bilhère. (
Maladie
de langueur. L'eau magnétisée a sufli pour la gué
Guérie dans une séance.) 128. Pierre-Léon Cazenavh fils, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 129. Marie Croux-Bouville, fille, deux
.) 129. Marie Croux-Bouville, fille, deuxième née, li. de Pau. (
Maladie
des paupières ) 130. Anne Cazekave, fille, prem
des paupières ) 130. Anne Cazekave, fille, première née, de Pan. (
Maladie
d'yeux.) 131. Jean Saint-Pif.rrb, oncle, de Pla
ean Saint-Pif.rrb, oncle, de Plaisance (Gers). (Porte constipation,
maladie
de la vissie, rétention d’urine, coliques fréquen
sans appétit.) 132. Claudine Saint-Pierre, fille, de Plaisance. (
Maladie
du foie, migraine et palpitation de cœur permanen
eins.) 131. Joseph d’Auriac, de Sauiazan (Gers). (Fièvre lente et
maladie
de lauguour ) 135. Marie Ori», fille, de Mont-d
le, de Mont-de-Marsan. (Migraine permanente, palpitation de cœur et
maladie
de langueur.) 13G. Catherine Barrère, épouse Lu
, épouse Lubet Larrouué, de Moul de Marsan. (Obstruction du foie et
maladie
des femmes.) 137. Jean-Alexis IuquetTiIs, de Sa
aiul-Faust. (Hydrophie.) 138. Marie Singassan, fille, d’Abnos. (
Maladie
de langueur et suppre-sion des règles.) 139. Ma
e. L'eau magnétisée a sufû.) Ml. Anne Bernadotte, fille, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 112. Jean Loustalet, de Pau. (F.èvrc
ie Prat, veuve Hoürcade (57 ans), de Loos. (Perle blanche continue,
maladie
de langueur, malaise général.) 152. Marie, née
oitre ou bronchocèle.) 151. Catherine, fille Sol’birou, de l’an. (
Maladie
d'yeux, îles paupières, des crofltcs dans le nez
cl fièvre lente.) 168. Marie Bkrgittr, épouse Monrepos, de Gélos. (
Maladie
de langueur.) 159. I'ascoline Forgues, fille, d
. (Convulsions nerveuses.) 167. Pauline, fille Callet, de Pau. (
Maladie
d'yeux.) 1 G8. Marie Lapeyre, épouse Sarra, d’A
adie d'yeux.) 1 G8. Marie Lapeyre, épouse Sarra, d’Artiguélouye. (
Maladie
de langueur, insomnie, sans appétit.) lf.9. Marie
nie, sans appétit.) lf.9. Marie IIusté, première née, h. de Gélos. (
Maladie
des femmes, suppression des règles.) 170. Jeann
anne Mür, fille, deuxième née, de Pau.. (L'nc croûte sons le nez et
maladie
de nerfs.) (71. Suzanne Sbrgés, fille, de Pau.
œur, insomnie, sans appétit.) 172. Pierre Labat, de Saint-Faust. (
Maladie
d'jeux et de paupières.) 173. Jeanne Lafayk, ve
Nougué, épouse cTArricac, de Bilhère. (Coliques très-frcqucntes cl
maladie
de langueur ) 179. Suzanue-Clémenee Lefèvre, fi
ablement général.) 184. Catherine-Jeannc Laborde, fille, de Pau. (
Maladie
d’yeux.) 185. Marie, épouse Lalanne, de Bilhère
ie des femmes trcs-compliquée.) 186. Jean-François Days, de Pau. (
Maladie
de langueur; le malade avait perdu l’usage de ses
isée a suffi.) 189. Marie Taillefer, épouse Lassus, de Bordères. (
Maladie
d'yeux.) 190. Jeanne-Patiline Lalanne, d'Arbus.
rdinaires.) 19i. Marie Barbe, épouse Jean Caussadb, h. de Gélos. (
Maladie
de langueur, malaise général, sans appétit, insom
que les organes sont usés autant par les remèdes peut-être que par la
maladie
, le magnétisme est encore souverain quelquefois,
ouverain quelquefois, quelle ne serait pas son efficacité lorsque les
maladies
ne font que commencer!... a Nous savons bien qu
distingués de cette ville lui donna ses soins pendant cinq ans, et la
maladie
présenta une suite d’alternatives d’amélioration
ait beaucoup mieux, lorsque le traitement dût être interrompu par une
maladie
de l'empirique même. Reprise plus tard, cette méd
sent gêné, dit-il, quand il prend la position voùlée où le tenait sa
maladie
; et il croit qu’il a été l’objet d’une cure remar
nentd’étre envoyés par le gouvernement pour examiner celte affreuse
maladie
. On pourrait bien prendre toule la fine fleur de
vitale le moyen de paralyser les affreux symptômes de cette terrible
maladie
; mais messieurs les savants n’auront aucun prése
ands du temple?... — L’un des médecins qui ont examiné avec nous la
maladie
de la petite Cottin, M. Beaumont-Cliardou, qui a
sson fatale dequelquesmau vais grainsqu’on a semés, puis oubliés. Les
maladies
du corps ont aussi, dans nos imprudences ou nos e
arquée depuis dans trois ou quatre personnes : mystérieuse faculté ou
maladie
, qu’on appelle, je crois la Loco......le nom m’éc
e sont soumis sans scrupule à l’action magnélique, et qui, dans leurs
maladies
, sont allés jusqu'à consulter des somnambules.
public se familiarisera avec le sujet, l’application s'en étendra aux
maladies
internes qu’aussi bien aux externes, je pourrai a
Baron uu Pot et. (La suite prochainement.) VARIETES. trisles
maladies
nerveuses que l’on a honte d’avouer parce qu’elle
tion magnétique sur un jeune homme de 23 ans atteint de celte cruelle
maladie
, et les phénomènes qui se sont manifestés sont si
guérisons; qu’on pouvait aussi se servir pour la cure de beaucoup de
maladies
de la lucidité des somnambules, et il nous a fait
magnétisme le rétablissement de sa sanlé après avoir été en proie aux
maladies
les plus terribles el les plus difficiles à guéri
itution délicate, l’âge de l’adolescence, le tempérament nerveux, les
maladies
nerveuses, la confiance, la sympathie de la perso
ue, les sectateurs deCeitedoctrine affirment avoirguéri uneinfinitéde
maladies
telles que : asphyxies, paralysies, chloroses, su
pure curiosité; puisqu’il s’agit de déterminer un premier accès d’une
maladie
encore inconnue dont le retour peut influer grand
’essayer de la magnétiser et fit naître en elle un accès d’épilepsie,
maladie
à laquelle elle n’avait point été sujette auparav
on pourra essayer le magnélisme animal sur les personnes affectées de
maladies
nerveuses, rebelles aux différents moyens de l’ar
que dans le mode d’étre du système nerveux pour parvenir à guérir ces
maladies
. » En troisième lieu, nous ne devons pas nous f
édicales, cherchent à inoculer dans leurs semblables un état de vraie
maladie
sans autre but que celui de satisfaire leur curio
me faculté, le pouvoir admirable de rétablir l’équilibre rompu par la
maladie
dans l’organisation d’un de nos semblables, cela
rs ont loules une vertu cachée, sans songer encore que la plupart des
maladies
viennenl de celle âme dont lu nies l’existence ;
application directe du magnétisme, cet agent seul pouvant enrayer les
maladies
chroniques; elle finit en m’assurant qu’au bout d
ait parfaite; elle alla jusqu'à découvrir l’origine et fa cause de ma
maladie
; c'était la gale dont j'avais hérité de mon père
l’on considère que les sujets magnétisables sonl tous, ou affectés de
maladies
organiques, ou remarquables, en dehors de cette c
moyen de la parole, ils pouvaient nous en entretenir et nous dire les
maladies
qui se révèlent à eux, les remèdes qui s’y rappor
les reins, ou telle portion des intestins qui recèle la cause de leur
maladie
. D’un autre côté, il arrive fréquemment que le
ant ensuite à l’application de son système à la médecine, il dit : la
maladie
n’est que le dérangement des organes, M le retour
les eaux de la mer, il ne reconnaît aussi qu’une cause, une espèce de
maladie
, dont toutes celles auxquelles on a donné parmi n
ent d’Hippo-ctate, qui avait aussi pensé que ce que nous appelons des
maladies
n’était que des symptômes ou des modifications de
n’était que des symptômes ou des modifications de h grande et unique
maladie
qui affecte le corps humain , le dérangement de l
i affecte le corps humain , le dérangement de l’état sanitaire. Cette
maladie
est la gêne ou k» suspension du mouvement des hum
s’égarent souvent des hommes qui ont une grande pratique. Pour une
maladie
unique Mesmer n’emploie qu’un remède unique, la d
ent et l'exercice du magnétisme. 103 Lettre de M. Léon Lerolle sur sa
maladie
et sa cure. 161 Lettre de M. Mermoud de Po-liez,
oud de Po-liez, sur la persévérance dans le traitement magnétique des
maladies
, 321 ; exemple à l’appui. 325 Lettres de l’abbé A
MERIE DE CIlARLES HeRissry ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
deuxième volume de ses Etudes cliniques. Renaudin, qui a suivi la
maladie
après eux, le range parmi ses monomanies religi
phases extatiques que l'on rencontre quelquefois dans les diverses
maladies
mentales, notamment dans la manie, l'obtusion h
n, elle ne prendrait pas pour indice de malfaisance l'effet d'une
maladie
nerveuse. D'autre part, ayant ouï que la folie
; il avait des varices consi- dérables ; il n'aurait pas eu d'autre
maladie
. [Deux frères; le plus jeune est mort prématuré
rcluse de douleurs, aveugle et atteinte d'anasarque ; on ignore les
maladies
qu'elle a pu faire ; elle avait deux hernies, d
embre parmi les ascendants ou descendants ayant été sujet à quelque
maladie
nerveuse. 5) RECUEIL DE FAITS. Noire malade.
;i0 et prise pour 2 centimes de tabac par semaine. Le début de la
maladie
remonte à l'âge de dix-huit ans. C'est en effet
quittera place et entra comme infirmier à la Pitié. A ce moment, la
maladie
prit une marche rapide, Cher... tombait cinq à
pliquer le long de la colonne vertébrale. 1 Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. T. 1er, 4e édi- tion, 1880.
ller. Paris, 4879. - Charcot, Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau, 4876. Luys, Recherches sur le système
système nerveux céré6ro-spinal, sa structure, ses fonctions et ses
maladies
. G. Ballet, Recherches anatomiques et cliniques
hademie des Wissenschaften zu Vte ? 4839. - Charcot, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1872. z Magnan, De l'hémian
s fonctions du cerveau, Tr. Fr. Paris, 1878, et De localisation des
maladies
cérébrales, Paris, 1880. H. Munk, Zur phys. der
der Gehirrz Iii-ai2- keiten. J. Grasset, Des localisations dans les
maladies
cérébrales. Paris, 1880. Exner, Untersucleungez
pas encore, dit-il, d'observations de troubles auditifs dans les
maladies
cérébrales, principalement dans le ramollissement
t dans le ramollissement;... pas d'observations d'agueusis dans les
maladies
du cerveau... Les observations manquent encore,
rsuivie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. GOITRE exophthalmique ou
maladie
de BASEDOSV, nature ET traitement de cette affe
dre de succession et de leurs causes, établit la pathogénie de la
maladie
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 87 Î Les troub
que les considérations précédentes, oblige à placer le siège de la
maladie
de Graves dans le bulbe. Mais s'agit-il d'un pr
mouvait en tous sens pied et jambe, et ne voulut jamais croire à sa
maladie
, qui guérit fort bien dans un appareil plâtré a
me. M. M. VI. SUR LES altérations anatomiques DU cerveau dans LES
maladies
infectieuses; par A. Rosenthal. (Gazela lekarska,
ant à des altérations analogues d'autres organes survenant dans les
maladies
infectieuses. M. M. Vil. LEPTODZENINGITIS h^emo
n, vol. XIV, 1881, p. 1.) Le père est mort depuis deux ans, d'une
maladie
deBright; il n'a pas eu d'affection nerveuse. I
fection nerveuse. Il avait deux frères, dont l'un est mort aussi de
maladie
de Bright, et l'autre est aliéné. Deux de ses c
s bulbaires. Des lettres de malades prises à diverses époques de la
maladie
font foi de cette pro- gression. Notons ici, qu
asiles d'aliénés. E. CH. III. LE traitement médical rationnel DES
maladies
mentales aiguës ET curables; par le Dr Wiltie 1
habituelles sont des gens instruits et surtout des médecins. Cette
maladie
, qui consiste dans l'usage continu des injectio
er les rechutes, il est nécessaire, avant tout, de faire subir à la
maladie
qui avait né- cessité primitivement l'emploi de
que qu'au point de vue mental. R. de M.-C. VIII. De l'influence des
maladies
aiguës sur la genèse des maladies mentales ; pa
M.-C. VIII. De l'influence des maladies aiguës sur la genèse des
maladies
mentales ; par Emile KPGEPELIN. (f1 TCIt. f. Psyc
00. - La classification repose également, ici, sur la phase de la
maladie
à laquelle les vésanies se montrent. I. Celles
atistiques des auteurs prouve la fréquence des psychoses dans cette
maladie
. Les cent cinquante cas réunis par M. K... ont
l'affection pulmonaire, se prolonge des semaines, des mois après la
maladie
. Toutes bénignes, ces psychopathies exigent la
le stade initial c'est-à-dire du troisième au cinquième jour de la
maladie
; leur évolution dépend delà variabilité de l'as
abituelle : une semaine. Gué- rison. E. Fièvre typhoïde. C'est la
maladie
aiguë par excellence du délire et des troubles
implement préparé le système nerveux, elle n'est plus en cause. Les
maladies
voisines de la fièvre typhoïde donnent bien plu
es matériaux sérieux, touchant la genèse des psychoses par d'autres
maladies
aiguës, dut forcer l'auteur à borner làses mono
rsonne qui parle on perçoit une vibration, a recherché si certaines
maladies
cérébrales ne pourraient pas modifierla transmi
tion mentale et d'affections nerveuses. Son père a suc- combé à une
maladie
pendant laquelle il a eu la raison profondé- me
ause de divorce parce que, parait-il, ils ont vu guérir cer- taines
maladies
chroniques sur la guérison desquelles on ne comp-
ge de secrétaire au lieu et place de M. SCIId : FER, empêché par la
maladie
. La première communication d'intérêt scientifiq
jours s'étaient écoulés, des- quels elle n'avait aucune mémoire. La
maladie
ne concordait pas SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 avec
rtaines sphères sensitives. AI. Rieger. De l'albuminurie dans les
maladies
cérébrales. Ayant eu l'occasion d'être consulté
et d'une des malades de NI. Hagen (observation III du travail : les
maladies
des reins comme cause de psychose'), malade aup
qu'il s'agit non d'une néphrite ayant causé la psychose, mais d'une
maladie
cérébrale héréditaire, dont AI. Hagen n'avait vu
nerveux ; parmi les secondes, l'exis- tence chez les ascendants de
maladies
quelconques du système ner- 140 BIBLIOGRAPHIE.
nsidérables; tantôt il a une action temporaire sur l'ensemble de la
maladie
qu'il parait arrêter dans sa marche au moins mo
f de l'a- sile d'aliénés et professeur chargé du cours clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux,
ecine de Bordeaux, vient de succom- ber à une longue et douloureuse
maladie
. AI. Lagardellë est né à Verduu-sur-Garonne (Ta
delle avait inauguré à Niarseille des conférences cliniques sur les
maladies
mentales. Statue DE Pu. Pinel. Dans sa séance d
doit même faire partie à l'avenir de la séméiologie de beaucoup de
maladies
et spécialement de celles du système nerveux. ,
que pos- sible des phases successives et de l'évolution de cette
maladie
. En ce qui concerne les autres variétés de déli
de culpabilité, arrivés à une période plus ou moins avancée de leur
maladie
, revêtir la physionomie Jes monomanes tristes.
de ces dispositions intimes qui constituent le véritable fond de la
maladie
. Ces tendances existent souvent pendant bien de
u début, devient, à une période plus avancée et surtout quand la'
maladie
passe à l'état chronique, à la fois moral et ph
s n'ont rien et sont rien qui vaille; ils sont pourris, atteints de
maladies
ignobles, quelques-uns croient avoir la syphili
soigne, aux domestiques qui le servent; il va leur communiquer des
maladies
mortelles, les compromettre ou les déshonorer;
ême et le persécuté qui s'en prend au monde exté- rieur. Lorsque la
maladie
devient plus intense, ou revêt dès le début une
J'arrive, pour terminer ce parallèle, à l'étude de la marche de la
maladie
. Le délire des persécutions est essentiellement
ntiellement rémittent ou, si l'on veut, continu avec paroxysmes; la
maladie
débute en général de bonne heure, se développe
le mal ne paraît pas évoluer au delà de cette forme ébauchée. La
maladie
a une toute autre allure chez les néga- teurs :
s anxieux avec idées de ruine, guérissent habituellement. Mais la
maladie
est sujette à des retours, à des intervalles plus
e chronicité spécial à certains mélancoliques intermittents dont la
maladie
est devenue continue. Je veux seulement signale
re.) PATHOLOGIE MENTALE RECHERCHES CLINIQUES SUR LA FRÉQUENCE DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES; Par le Dr S. DAN
ections génitales sur la production et la marche de la folie et des
maladies
nerveuses chez les femmes a déjà été traitée pl
stes continuent, dans divers traités, à discuter de l'influence des
maladies
sexuelles sur la folie chez la femme. Ainsi,
ovaires est le siège de souffrances profondes. Morel croit que les
maladies
primitives des organes génitaux chez les femmes
rectes de la folie (p. 66); et, en ce qui touche la fréquence des
maladies
sexuelles chez les aliénées, il se borne à note
der, comme les précédents auteurs, la question de la fréquence de
maladies
sexuelles chez les aliénées. 1 Bail, Dagonet, L
estion. Mairet5 croit que la folie peut être 1 Esquirol. Traité des
maladies
mentales. - Guislain. - Leçons orales sur les p
les p/t;e'(0a</tte.s', 1880. J. Falret. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, 18G4. larcl. Sur la folie des femmes
, 18G4. larcl. Sur la folie des femmes enceintes, 18o8. )Iitirft.
Maladies
sexuelles et aliénation mentale. (oef/ïpr mé- d
oef/ïpr mé- dical. Octol)re-iioveiiil)re 1881, janvier 1882.) DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 173 provoquée et e
ns sexuelles. Boussi , au contraire, ne croit pas à l'influence des
maladies
sexuelles sur la folie. Enfin, Boyé 3, se fonda
autres et sur ses propres observa- tions, arrive à conclure que les
maladies
des organes génitaux s'observent souvent chez l
organes génitaux s'observent souvent chez les aliénées et que ces
maladies
sont fréquemment la cause de la folie. Quant
1 Boussi. Etude sur les troubles nerveux réflexes observés dans les
maladies
utérines. Thèse de Paris, 1880. 3 Boyé. - Essai
osantes morales ne sont liées comme les mala- dies sexuelles et les
maladies
mentales chez la femme (loc. cit., p. 306). E
si, Emminghaus, Leidesdorf, Hammond). Les auteurs qui admettent aux
maladies
sexuelles chez la femme une certaine influence
. GeM<<;ii ? aK/t/te : <e;t (Zicijzàseïtà IltutdGuch). DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 175 ment (Marcé, R
e par les auteurs qui se sont occupés de la question du rapport des
maladies
sexuelles chez la femme avec la folie, il resta
osait avant tout, à savoir quelle est la fréquence, en général, des
maladies
sexuelles chez la femme aliénée. ~En effet, si
uvait établir d'une manière plus nette le degré de la fréquence des
maladies
sexuelles, en général, chez les aliénées et, en
1 dit très brièvement que la folie chez la femme est accompagnée de
maladies
sexuelles daus dix cas sur cent. Les autres cro
maladies sexuelles daus dix cas sur cent. Les autres croient ces
maladies
fréquentes, mais sans rien préciser. Krafft- Eb
logie, 1881, 11- 4 (Arch. of. iiied. Netu-York, 1880 février. DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 177 mairement que
raphiques, je n'ai pu trouver d'autres données sur la fréquence des
maladies
sexuelles chez les aliénées. On a pourtant enco
aliénées, dont sept mélancoliques et trois maniaques, a trouvé des
maladies
de l'utérus et de l'ovaire dans sept cas. J.-C.
ne donne aucun détail ni sur l'âge, ni sur les formes mentales des
maladies
observées dans les autopsies. D'après mes propr
les autopsies. D'après mes propres recherches' à la Clinique des
maladies
mentales de mon maître, M. le professeur Mierze
riques qui précèdent, on voit que la question de la fréquence des
maladies
sexuelles chez les aliénées est loin d'être rés
résultats 'S.DaniUo.SMfe rôle de la menstruation dans le cours des
maladies
mentales. Medesinokaia Bibliotek(i 1881. ? 5 (j
n Sexual-Organeu des Weibes, zui- GeM<M-<as)'MHe;i, 1870. DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 179 des données tr
celles-ci, neuf avaient eu de huit à douze couches). Les formes des
maladies
mentales dans le groupe des malades réglées éta
gêné- rale, quatorze; délire chronique, trente-un; alcoolisme DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. ist chronique, deu
aurait la complication de la folie en général chez la femme par les
maladies
sexuelles, à peu près dans 69 p. 100. Dans le
he). 'e ? rCheYlêTmaladès7après 'la'ménopause, a' ! exception DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 183 de l'atrophie
ur trente-huit cas, n'en présente que douze, compliquées avec des
maladies
sexuelles. Cette différence, il est vrai, tient
ois à gauche). En examinant la complication de la folie par les
maladies
sexuelles d'après t'âge, on voit qu'avant la mé
réglées et non réglées), les données numériques de la fréquence des
maladies
sexuelles à l'expression centé- simale, on trou
-huit fois sur soixante, comme chez les aliénées non réglées, DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 185 mais quarante-
la démence, sur dix cas avant la ménopause, se trouve compliquée de
maladies
sexuelles quatre fois, taudis qu'après la ménop
En ce qui regarde les complications de la folie par les formes des
maladies
sexuelles accompagnant diffé- rents états physi
luent d'une façon manifeste sur la complication de la folie par les
maladies
sexuelles. En résumé, les résultats de mes re
paraissent être les suivants : La complication de la folie par les
maladies
sexuelles chez la femme doit être regardée comm
couches influent considérablement sur le. degré de fréquence des
maladies
sexuelles, comme avant la ménopause et après la
nopause et après la cessation des règles. - > >. : .. - DES
MALADIES
SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 1 S7 Quant à l'inf
MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 1 S7 Quant à l'influence des
maladies
sexuelles chez la femme, sur la folie déjà exis
t le retour d'âge, la compli- cation de l'aliénation mentale parles
maladies
sexuelles est un fait qui se rencontre plus sou
avenir les considérations théoriques. La folie n'est pas une de ces
maladies
soudaines, accidentelles et passagères auxquell
lle est l'expression d'une dégénérescence de l'espèce (Morel). La
maladie
, au lieu d'avoir son origine dans l'abâtardisse
issants à réagir contre le mal qui les enlace ou les agite. Puis la
maladie
progresse et la conscience disparaît. Si tell
E AVEC CONSCIENCE. 193 lutté, dissimulé le plus possible, et que la
maladie
n'a apparu au dehors qu'après avoir vaincu leur
la lutte et la dissimulation qui, masquant l'évolution lente de la
maladie
, simule une brusque apparition. Ce que nous v
s lueurs de conscience et, à certains moments, l'appréciation de la
maladie
dont ils sont affectés. Il semble alors, ajoute
rédité con- gestive, excès de travail, telles sont les causes de la
maladie
. A. l'admission tous les symptômes physiques et
progressive à forme expansive, au premier degré. Durant six mois la
maladie
évolue sans la moindre lueur de raison ; les sy
en grâce de le guérir. Le soir toute conscience avait disparu et la
maladie
reprenait son cours. Observation III. Habitud
u vol ont apparu. Dans l'établissement, jusqu'au mois d'avril, la
maladie
resta stationnaire. La dipsomanie et la kleptoman
188t. C'est la première fois que le 1 J.-M. Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, 3p édit., 1880, p. 3
ade s'améliorera d'une façon sensible. R. DE M. C. X. NOTE SUR la
maladie
DE Menière et EN particulier SUR SON traitement
(Revue de Médecine, 1881.) Les auteurs débutent par une étude de la
maladie
d'après les documents récents et l'observation
e, une sensation passagère de vertige précèdent les symptômes de la
maladie
de Ménière confirmée. Elle se présente sous deu
tervalle et pouvant re- vêtir la forme d'un véritable paroxysme. La
maladie
dure tant que la surdité n'est pas complète.
ouve deux exemples dans ce travail. Longtemps réputée incurable, la
maladie
de Méniëre ne fut véritablement améliorée que p
sait que la densité du cerveau varie dans les différentes formes de
maladies
mentales. Aussi le la 229 REVUE DE pathologie
de cette brochure consiste surtout dans l'étude des prodromes de la
maladie
dont le nom ataxie locomotrice induit le médeci
ocomotrice induit le médecin parfois en erreur, car bien souvent la
maladie
est constituée alors que l'ataxie n'a pas encor
tuations- 230 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. qui se rapprochent des
maladies
mentales ; comment faut-il les envisager ? Quel
, sui- vant de préférence l'hérédité (dix faits). La marche de la
maladie
est paroxystique (intermittences et rémissions);
ématique et la mélan- colie terminales seraient plutôt de nouvelles
maladies
prenant la place de la première qu'un degré plu
oit de relier l'éruption à l'époque de la guerre. P. K. XIII. Les
maladies
DE la connaissance ; par J. WEISS, de Vienne, (
Sur l'action DE l'hyoscyamine ET sa VALEUR THÉRAPEU- tique dans les
maladies
mentales; par G. Riva. (Rivisla di Freniatria,
'accélération des mouvements respiratoires. De toutes les formes de
maladies
mentales, c'est dans la manie récurrente que l'
rdé pour cause d'aliénation mentale, quelle que soit la durée de la
maladie
. Il ne fait exception que pour les cas où, par su
un accès délirant consécutif à une fièvre typhoïde ou quelqu'autre
maladie
aiguë, un malade commette un acte criminel. L'e
les des services voisins. MARCEL 13nLIND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 9 ? ? ! «<
ldenburg quelques paroles de regret. M. Westphal présente un cas de
maladie
de Thomsen. Il s'agit de cette affection consis
le dans les pays visités par lui. M. V. D. Steinen répond que cette
maladie
, peu connue à Java, aurait été observée parmi les
iption qu'il a donnée de ces formes morbides et dans son Traité des
maladies
du cerveau et dans le fait présenté par lui à l
es fonctions de l'écorce du cerveau. M. Fritsch. De l'influence des
maladies
fébriles sur les psychoses. M. Pohl. Du process
sciences médicales et particulièrement de la branche qui traite des
maladies
du système nerveux ont été considérables depuis
de la névralgie diaphragmatique, des tremblements en général, do la
maladie
de Parkinson, des paralysies d'origine viscéral
ions pathologiques montre qu'il existe des formes différentes de la
maladie
de Parkinson. L'étude des prodromes et des fonc
s dans l'ataxie locomotrice; par HREL. Thèse de Paris, 1882. , La
maladie
et le système nerveux; par Cartier. Thèse de Pari
o. Thèse de Paris, 1882. Etude sur le poids de l'encéphale dans les
maladies
mentales ; par Bn ? Thèse de Paris, 1882. Du
comme avant-coureur de leur accès apoplectiforme. La marche de la
maladie
de Ménière est bien faite aussi pour donner des
; il n'est pas étonnant que le vertige soit un signe précoce de ces
maladies
longtemps méconnues, parce' que les signes obje
ent rencontré cette symptorpatolo-ie. (Fera et Demars : Note sur la
maladie
de Ménière, Rev. de,M, é,,d., 1884). ,J C'est l
iencéphalite diffuse. Le délire des petitesses signalé dans cette
maladie
par le D' Materne paraît fort voisin du délire
s prétexte qu'elle ne peut les payer; elle se croit atteinte d'une -
maladie
contagieuse et s'imagine qu'elle répand une ode
vec voracité ceux qu'ils ne croient pas empoisonnés. Marche de la
maladie
, rémit- lente ou continue avec pa- roxysmes.
nvier-lévrier 1882. INVERSION DU SENS GÉNITAL.. 297 épisode d'une
maladie
plus profonde. C'est un syn- drome, une des nom
iellement vicieux, ont paru jusqu'ici peu disposés à attribuer à la
maladie
la part qui lui en revient. Ainsi, Tardieu, con
des obsessions ou des impulsions ne modifie pas le fond même de la
maladie
, nous allons présenter quelques observations de
ement tranchés, qu'on pourrait croire à des formes particulières de
maladies
mentales, tandis qu'ils cons- tituent simplemen
ue ces délires multiples ne sont que des épisodes variés de la même
maladie
; chez-tous ces malades l'hérédité fait sentir
dème du poumon survint et le malade mourut. D'après la marche de la
maladie
, il n'était pas douteux que le malade avait été
ire, elles ne pouvaient pas être con- sécutives et produites par la
maladie
sucrée '. » A la même époque, On-le rapportait
te cer- tains troubles nerveux observés pendant le cours de cette
maladie
. La discussion de cette question présente certain
e s'observent pas plus spécialement dans telle ou telle forme de la
maladie
... bien que leur pathogénie soit encore fort ob
t. De la glycosurie ou diabète sucré, etc., 1875, p. 79. Boucliard.
Maladies
par ralentissement de la nutrition , 1882 p. ls
nd pas de l'amaigrissement musculaire, complica- tion tardive de la
maladie
qui nous occupe. Elle se montre avant L tous le
énal elisea. ses, 3o bdit., Lonaon 1848, p. 3 ? . · 0 Annales des
maladies
de l'oreille et du larynx, 1882. DES TROUBLES N
. Philadelphie, nies. Tinles, t. X, 1879-1880, p. 318. «Desinnrres.
Maladies
des yeux, 2e édit., t. III, p. 521. 3rs REVUE C
s yeux, 2e édit., t. III, p. 521. 3rs REVUE CRITIQUE. Sur ! 2,000
maladies
de la vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du
ance ou leur aggravation continue, I leur apparition à la fin de la
maladie
ont permis d'embrasser sous le nom d'amblyopie
UES. 355 OBSERVATION IX. M. J..., du Havre, cinquante-quatre ans,
maladie
du foie avec jaunisse, en 1866. 11 y a deux ans,
188 p. 967. °- Gazette hebdomadaire, 18S1, n" zou. ' 3 Bouchard.
Maladies
par ralentissement de la· nutriliot,1882, p. 19 i
n et destruction de la substance cérébrale. Dans l'abcès aigu, la
maladie
évolue vers la mort en huit à douze jours ; .pa
au-dessous de trois ans, en dehors des traumatismes du crâne, des
maladies
organiques du cerveau, de la microcéphalie, les
cas, indépendamment de l'hygiène et du traitement spécial de chaque
maladie
, il faut, suivant l'auteur, donner le bromure e
hthéritiquo et les autres formes de paralysie mentionnées après les
maladies
aiguës. Les symptômes différaient, par la march
Voici le résumé de l'observation, base de ce travail. Début de la
maladie
en 1866 à la suite d'un travail manuel exagéré,
ertébrales (dixième REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 année de la
maladie
) devrait dépendre de la nature sponta- nément c
squ'alors bien portante; parmi les symptômes caractéristiques d'une
maladie
de la moelle, ne sauraient dépendre que du foye
té, ni de justesse, il fait remarquer que le médecin qui soigne une
maladie
d'estomac se garde bien de refuser les 392 REVU
s traumatismes chirurgicaux et leur influence sur la marche de la
maladie
. Nous ne pouvons faire mieux que de résumer les c
âne peuvent provoquer le développement de la paralysie générale. La
maladie
peut débuter peu de temps après bibliographie.
ens du même ordre dans le traitement de la paralysie générale. La
maladie
, même à la dernière période, n'est pas une contre
t simplement, quelquefois même par première intention. Cu. F. Des
maladies
mentales et nerveuses; par Ai. 13u,lod, médecin e
t-il des signes ou des indices qui permettent de reconnaitre qu'une
maladie
mentale est héréditaire, en l'absence de notion
à cette faculté un concours pour une place de chef de clinique des
maladies
mentales. Concours POUR l'internat EN médecine
tudes cli- niques sur 1'), par Gautier, 263. Albuminurie dans les
maladies
cé- rébrales, 138; - comme synp- tôme de l'ac
onne, 26 'i . Aliénées (recherches cliniques sur la fréquence des
maladies
sexuel- les chez les), par Danillo, 171. Alié
ne lésion du), 88. Cerveau (altérations anatomiques du dans les
maladies
infec- tieusesl, par Itosenthal, 89. '<06
des aliénistes de l'Alle- magne du Sud-Ouest, 131. Connaissance (
maladies
de la), par Weiss, 234. Contraction paradoxal
s symptômes de la paralysie progressive, par Be- chetrew, 90. n
Maladie
de Méniere (note sur la et en particulier sur s
de M. Char- cot), par Féré et Demars, ? ? 0; - par Gellé, 273.
Maladies
mentales aiguës et cu- rables (traitement des),
s (traitement des), par Bur- mann, 95. TABLE DES MATIÈRES.. 407
Maladies
mentales et nerveuses par Billod (bibliographie
Maladies mentales et nerveuses par Billod (bibliographie), 399.
Maladies
mentales (influence des maladies aiguës sur la
r Billod (bibliographie), 399. Maladies mentales (influence des
maladies
aiguës sur la genèse des), par Krrepelin, 105.
allet, 67. Sexuelles (recherches cliniques sur la fréquence des
maladies
chez les aliénées), par Danillo, 171. Sexue
iété psychiatrique de Berlin, 12 ? Sociétédé psychia- trie et des
maladies
nerveuses de Berlin, 246. Statue de Ph. Pinel
Sklowsky, 88. Température (basse), par Kasyreff,- 88. Thomsen (
Maladie
de), par West- phal, 246. Transfert (une appl
RIE DE CHARLES HÉRISSËY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE . DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE 9 0 U 8 I. A D I
ts contradic- toires et erronés, et tant de microbes pour tant de
maladies
de sorte que les adversaires delà bactériolo- g
ureuse, car plus on s'expose au miasme palustre, plus on verra la
maladie
réapparaître, tandis que pour le ver- tige mari
nt donné qu'on n'acquiert l'immunité qu'en voyageant. Pour qu'une
maladie
infectieuse se développe, il lui faut toujours
tes, ce qui n'est pas admissible comme incubation pour aucune autre
maladie
, de ce que du moins nous connaissons jusqu'à pr
e qu'elle soit si courte peu importe pour l'in- cubation des autres
maladies
alors nous nous demandons comment on peut expli
'argent, le massage lescalmaient plus ou moins, mais en général, la
maladie
continuant sa marche progressive empira. Après
e était satisfaisant. Dans le courant des deux dernières années, la
maladie
paraissait avoir progressé ; on me communi- qua
'ai eu l'occasion de revoir ma ma- lade. La marche ultérieure de la
maladie
confirma complètement notre diagnostic quant à
culeux. Lui-même n'a jamais été robuste, cependant il n'a pas eu de
maladies
graves, quelques an- gines, une uréthrite; pas
longtemps qu'il se sent malade sans pouvoir préciser le début de la
maladie
actuelle. Les douleurs du bras droit ont com- m
un processus de ce genre, surtout en se rappelant la marche de la
maladie
dans le cas précédent, où le symptôme sus-indiq
vée ici; mais il n'existe aucun symptôme caractéristique de cette
maladie
, à l'exception des douleurs ; la ther- manesthé
matose ; d'autres symptômes complètent le tableau clinique de cette
maladie
, et aucun n'est en contradiction avec elle. (
GIQUE DE L'AXE C);RL.I3R0-SPINAL. Par JULES GLOVER. L'étude des
maladies
du système nerveux nécessite pour pouvoir aisém
en anatomie pathologique macros- copique et microscopique dans les
maladies
du cerveau, du bulbe et de la moelle. Pour bi
s termes, l'étude anatomo- clinique 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des
maladies
du cerveau et de la moelle ' ; 2° Y expérimenta-
é d'accouchements, t. 1, 285 et suiv. 1882. Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. Il, lec. XII, 23gaz. Gra
tres. Rev. mens., nov. 1878, fév. 1879. . Ferrier. Localisation des
maladies
cérébrales, p. 136, 137, in loc. cit, d'après B
s dans quelques cas ne sont pas la caractéristique anatomique de la
maladie
et tout repose sur des données hypothétiques d'
pparition, leur succes- sion et l'évolution même des périodes de la
maladie
. Il nous semble superflu de développer ici ce p
exceptions particu- lières, ne peut guère servir à différencier les
maladies
en médecine générale, elle est absolument insuf
particulière dans tel cas donné au point de vue de l'origine de la
maladie
, de la forme particulière qu'elle pourra revêti
à caractériser le terrain particulier sur lequel - se développe la
maladie
, c'est la dégénérescence en général et l'hystér
ait aussi intéressant de rechercher l'hystérie dans ces cas où la
maladie
débute brusquement par la stupeur après un trau-
... Elle se croit persé- cutée par une autre malade; elle a pris la
maladie
d'une autre et cela lui a immobilisé la jambe g
REVUE CRITIQUE. 9 Juillet. -- Mobilité extrême des symptômes de la
maladie
, ce- pendant elle n'est plus maniaque comme à l
rs, elle demande sa famille, s'inquiète de ce qu'elle deviendra; sa
maladie
pourra lui faire du tort dans l'ave- nir ou la
qui nous ont semblé découler de l'examen des descriptions de cette
maladie
et des observations données à l'appui. La tenta
des phénomènes dits catatoniques, devenant la caractéristique de la
maladie
. Que l'on discute l'entité de la stupeur, cela
le de stupeur. Parmi ces derniers, les uns la considèrent comme une
maladie
distincte, les autres, plus nombreux, la rattac
rattachent à la mélancolie. Mais parce que dans ce dernier cas, la
maladie
a pu suivre la marche indiquée par Kalhbaum, c'
lètement rejetée, sous ce prétexte qu'elle n'est qu'une phase de la
maladie
considérée dans son ensemble. Cela nous parait
REVUE CRITIQUE. LA CATATONIE. circonstances la période d'état de la
maladie
, les autres phases n'étant que des stades prémo
e dernière peut se présenter pour ainsi dire d'emblée. Parce qu'une
maladie
peut ne pas se constituer de suite de toutes pi
utôt fait l'histoire d'un symptôme ou mieux d'un syndrome que d'une
maladie
véritable. Considérant d'ailleurs qu'au point d
ion. P. KLRIVAL. IL DES rapports DE la poliomyélencéphalite avec la
maladie
DE IIASEDOW; par E. JENDRASSIK. (Arch. f. Psych
ie, le goitre, la tachycardie permettant d'établir le diagnostic de
maladie
de Basedow. Conclusion : La maladie de Basedow
tant d'établir le diagnostic de maladie de Basedow. Conclusion : La
maladie
de Basedow est une affection centrale, siégeant
e, immédiatement en avant du sillon de Rolando. G. D. VII. Sur la
maladie
DES tics CONVULSIFS; par G. GUINON. (Rev. de mé
de ce recueil (1885, n° 28), M. Gilles de la Tourette a décrit une
maladie
qu'il nomme « affection nerveuse caractérisée p
effet on n'observe une véritable incoordination motrice dans cette
maladie
. Les mouvements involontaires qu'exécutent les
un mot employé de longue date dans ce sens ; c'est le nom de tics.
Maladie
des tics convulsifs, telle est la nouvelle déno
le dénomination proposée par M. Guinon. Dans sa forme bénigne cette
maladie
n'est caractérisée que par des tics proprement
'un quelconque 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de ses signes, la
maladie
des tics convulsifs est toujours l'ex- pression
démontre en terminant que tous les phénomènes qui caractérisent la
maladie
et qui, au premier abord, paraissent si différe
cystite ; érysipèle. Mort vingt-quatre jours après le début de la
maladie
. On trouve à l'autopsie un grand nombre de foyers
amélioration), congédiés, deux au bout d'un an étaient repris de la
maladie
et en mouraient ; deux succombaient, l'un à une
tiques géné- raux ont eu la syphilis 4 0, 20 ans, et plus, avant la
maladie
actuelle ce qui empêche d'admettre aucune relat
'individu malade (Cas. I, II), ou bien acquis soit à la suite d'une
maladie
ayant affaibli le sujet (OBs. IV), soit à la su
le, bien que les sentiments moraux puissent y être exempts de toute
maladie
. 2° Il existe plusieurs variétés de cette forme
'étudier l'individu , son caractère normal, son organisation et ses
maladies
antérieures. R. M. C. VIII. Coup D'OEIL sur la
ent à des arguments de théologiens. Comment différeiicie-t-on une
maladie
en pathologie générale ? On s'adresse aux lésions
minaison d'une ma- ladie ? On ne peut édifier la construction d'une
maladie
nouvelle sur un terrain qui demande la vie d'un
de délire chronique chez une femme qu'il a observée à Villejuif. La
maladie
a débuté en 1870 et présente une période d'incu
plus en plus se complique en 1878 d'idées de persécution. En 186 la
maladie
commence à évoluer vers les idées ambitieuses q
cas de dystro- phie juvénile (type de Erb) à genre scapuio-huméral.
Maladie
exis- tant depuis quelques mois : hypertrophie
Struempell croit' que paralysie générale et tabes dorsal sont deux
maladies
produites par des poisons chimiques qui se déve
et mélancoliques, dans l'insommie nerveuse, et dans quelques cas de
maladies
infectieuses. Doses : 1 à 5 grammes. Le sommeil
(Archiv. f. Psych., XIX, 1.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE MERLIN Séance du 12 décetitbi-c
ésidence DE M. Westphal. M. Opfenueim présente un malade atteint de
maladie
d'Addisoil et de maladie de Busedoto. C'est un
M. Opfenueim présente un malade atteint de maladie d'Addisoil et de
maladie
de Busedoto. C'est un ouvrier en orfèvrerie d'arg
aires. Douleurs dans la région des reins. Cette combinaison de deux
maladies
a de l'im- portance au point de vue de la théor
ut au moins le soigner ou le garder, et prévenir les dangers que sa
maladie
fait courir aux autres ou à lui-même. Le prem
e sacrée car les anciens, qui s'y connaissaient, appelaient cela la
maladie
sacrée vous créez une sorte de publicité là où
de et le médecin seul a compétence pour étudier et diagnostiquer la
maladie
. Il est vrai, pour le dire en passant, qu'il n'
ent médecins à leur heure. Chacun dit son mot, à l'occasion, sur la
maladie
et pi us d'un se flatte souvent d'avoir opéré q
e incontestable du médecin, c'est de rechercher les symptômes de la
maladie
et d'en discerner la nature. Dès lors, il sem
seul de se prononcer sur l'existence et la réalité de cette ttiste
maladie
que le vulgaire appelle, d'un nom général, la fol
port du médecin qui soigne le malade ou d'un médecin qui connaît la
maladie
. A son arrivée dans l'établissement, le nouveau
nseille d'employer le braidisme dans beaucoup de cas, même dans les
maladies
organiques, et professe un scepticisme légèreme
s civilisés est, par son exercice même, prédisposé à contracter des
maladies
, d'autant plus,si lasommed'aliments réparateurs
et pour les autres affections générales de : 0,91 p. 100. Parmi les
maladies
chroniques constitutionnelles, la chlorose et l
s dans cette étude n'ont peut-être pas influé sur la production des
maladies
men- tales, et qu'elles sont, pour ainsi dire,
-là vraiment actives. A. RAOULT. VIII. Contribution à l'étude de la
maladie
cdel3asedow; par M. Sainte-Marie. Th. Paris, 18
Paris, 1880. M. Sainte-Marie a observé deux malades atteintes de la
maladie
de Basedow, dont l'une était en même temps affe
laire. Sont-ce, comme il le prétend, des symptômes possibles de la
maladie
? Il est permis d'en douter et de ne voir là qu'u
s envisagée comme symptôme; par F. Bourrelly. Th. Paris, 1887. La
maladie
de Raynaud ne serait pas une affection spéciale,
e l'asphyxie locale des extrémités pendant la durée de l'une de ces
maladies
. Sans vouloir ici discuter ces conclusions, il no
thologie, c'est à coup sûr celle des rapports que peuvent avoir les
maladies
du système nerveux avec le traumatisme. Les réc
de chercher à déterminer le rôle du traumatisme dans la genèse des
maladies
nerveuses; toutefois, l'auteur étudie aussi l'i
d'hommes âgés de quarante à cinquante ans, de plus la marche de la
maladie
a affecté son allure habituelle, en sorte qu'il
ion nerveuse, alors qu'actuellement, la nature infectieuse de cette
maladie
est de plus en plus démon- trée. Lors d'aliénat
ses autres ques- tions, en voici les conclusions : il n'y a que les
maladies
ner- veuses capables de provoquer des troubles
de la névropathie. La doctrine, suivant la- quelle l'étiologie des
maladies
nerveuses est dominée par les lois de l'hérédit
à une date assez éloignée. P. S. XIII. Contribution à l'étude de la
maladie
de Parkinson. (De quelques formes anormales); p
. M. Charcot a fait connaître l'existence de quelques variétés de
maladie
de Parkinson s'écartant du type classique; c'est
outre une étude assez intéressante du masque park-i71son211cit. La
maladie
de Parkinson adopte fréquemment le mode hémiplé
agnostic différentiel sont tirées dans ces cas de l'évolution de la
maladie
et de l'absence de paralysie. Une forme très pa
nce de paralysie. Une forme très particulière est constituée par la
maladie
de Par- kinson sans tremblement, dont l'auteur
aris, 1888. Librairie 0. Doin. CIIARCOT (J ? 11.). Leçons sur les
maladies
du système nerveux, pro- fessées à la Salpêtriè
prix, 2 fr. 75. Ik Il BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. l'icuov (G.). Les
maladies
de l'esprit; délire des persécutions, délire de
ravail est consacré à l'étude des dangers des fortes pressions. Les
maladies
des plongeurs sont divisées par lui en deux cat
traire, sont dues à l'action directe de l'air comprimé. Parmi les
maladies
à début brusque, l'auteur cite comme accidents
Enfin, une série de neuf observations termine la description de ces
maladies
à début brusque : de ces observations, malheure
i ont guéri ou presque guéri. M. Gai passe ensuite à l'étude de ces
maladies
à début insi- dieux qu'il attribue à l'action m
taillée et précise de l'appareil immersif, ces auteurs décrivent la
maladie
des plongeurs, qui se présente, suivant eux, so
a (Grèce) au point de vue médical, et particulièrement du Tzanaki,
maladie
spéciale de l'enfance et des maladies des plongeu
t particulièrement du Tzanaki, maladie spéciale de l'enfance et des
maladies
des plongeurs. Paris. - DES ACCIDENTS PAR L'E
i- niques spéciaux. Aucune de ces formes ne peut rentrer dans une
maladie
quelconque connue de la moelle épinière, chacun
ditaires. Bonne santé antérieure; pas de syphilis, ni paludisme, ni
maladies
fébriles. 11 a commencé à travailler dans l'air
aguaphas, âgé de trente ans, pas d'antécédents héréditaires, pas de
maladies
antérieures. 11 faut noter que cet homme commet
moments étiologiques, qu'on pourrait relier au développement de la
maladie
actuelle. Symptômes De tout le tableau de lasym
une période plus tardive. Non seulement ils ne caractérisent pas la
maladie
, mais obscurcissent le tableau caractéristique;
Distribution de la thermanesthésie. Dans le pre- mier temps de la
maladie
, l'anesthésie thermique peut être limitée à un
exemple (OBS. VI). D'un autre côté, à une certaine période de la
maladie
, la surface totale du corps peut 200 PATHOLOGIE
rieur par exemple, mais aussi dans le courant ultérieur de cette
maladie
, lorsque, peut-être, la plus grande partie de l
sa partie inférieure, Job (OBs. Il) et à une certaine période de la
maladie
111me L. (OBs. XVI ! ) avait une zone thermanes
horizontales. Chez M. B. (Cas. III), à une certaine période de la
maladie
, la région anesthésiée se dessinait du côté dro
très probable que dans l'OBSERVATION IV, la marche ultérieure de la
maladie
présentera ce tableau. En général, nous n'avons
anesthésiées, nous supposons, bien entendu, un moment donné de la
maladie
. Elle peut s'arrêter pour un temps plus ou moin
et peuvent probablement exister simultané- ment dès le début de la
maladie
(OBs. IV). Enfin, dans .la troisième série d'ob
scurcir ou détruire complète- ment le tableau caractéristique de la
maladie
. Schup- pel a décrit un cas d'anesthésie généra
ons posté- rieurs complètement détruits, tandis qu'au début de la
maladie
existaient des troubles partiels de sensibi- li
- sibilité étaient atteintes. Dans les périodes ultérieures de la
maladie
, lorsque le tableau fondamental se complique ou
mène ininterrompu, mais pa- raissent toujours dans le courant de la
maladie
, pour un temps plus ou moins long. Plus souve
ier cas une manifestation de la méningite chronique, compliquant la
maladie
, si l'hyperplasie gliomateuse atteint les envel
surtout, se rencontrent relativement souvent dans le courant de la
maladie
. En vue de re- lation indubitable de ces proces
ans DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 213 les premières périodes de la
maladie
et contribuent d'une manière considérable à la
avec un caractère typique remarquable. Ces troubles sont liés à la
maladie
d'abord parce qu'elle ne permet pas de s'aperce
czéma impétigineux siégeant dans la sphère de l'analgésie mais la
maladie
existait à un léger degré sur la tota- lité du
its des conditions locales plus favorables au déve- loppement de la
maladie
. L'atrophie musculaire nous présente cet intérê
présente cet intérêt, .qu'elle constitue un symptôme précoce de la
maladie
. Dans nos six observations', elle était localis
loppe la scoliose musculaire dans les premières pé- riodes de la
maladie
. (OBs. I, II.) En fait d'autres altérations de
tendus se rapportent à cette sorte de symptômes accidentels de la
maladie
, qui peuvent paraître dans des combi- naisons l
nt observés parfois dans les périodes relativement précoces de la
maladie
. A l'extension du processus à la moelle allongé
rès sa marche à la méningite chronique, qui est venue compliquer la
maladie
fondamentale; la possibilité d'une complication
e ne se rapportant pas au nombre des symp- tômes fondamentaux de la
maladie
. Pour conclure, il convient de citer la préoccu
ymptômes décrits peuvent se rencontrer à une certaine période de la
maladie
sous des combi- naisons diverses et se développ
r par l'imagination. * Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encé- phale basé sur l'etudc des localisat
s est-elle p2,i- naitive ? Elle donne naissance, si la marche de la
maladie
est aiguë, au type paralysie spinale atrophique
iguë de l'adulte (poliomyélite antérieure aiguë des adidtes)2, même
maladie
d'appellation différente par l'âge seul du suje
'appellation différente par l'âge seul du sujet; si la marche de la
maladie
est chronique, le type atrophie musculaire prog
harcot. Leçons, t. II, 1883. Leçon IX. Grasset. Traité pratique des
maladies
du système nerveux. Paris, 1886, p. 429. A. d'Esp
eux. Paris, 1886, p. 429. A. d'Espine et Picot. Manuel pratique des
maladies
de l'enfance. Paris, 1884, p. 365. s Charcot. L
r lésion et la succession presque régulière de leur atteinte par la
maladie
, un système médullaire sensitif dans le dépar-
tif dans l'ataxie. » Cette lésion existe à toutes les époques de la
maladie
. Elle peut se trouver accom- pagnée dans la sui
nes postérieures. Enfin, rien ne change dans l'aspect général de la
maladie
quand la sclérose envahit les cordons de Goll.
istence de processus ana- logues mais d'un autre genre. Durée de la
maladie
: 12 à 20 jours. Symptômes simultanés psychopat
ions de malades. M. Bux présente deux paralytiques généraux dont la
maladie
reconnaîtrait comme causes : pour le premier, l
le second, une section accidentelle du nerf cubital. Une troisième
maladie
présentée par AI. Bail est une femme d'une tren
délirants chroniques ont dès leur enfance les germes de leur future
maladie
. Ils sont méfiants et orgueilleux. Il est de rè
a Société de mettre en discussion le projet de clas- sification des
maladies
mentales. M. PALRET fait remarquer que son père
ique hallucinatoire aiguë, par exmple une nouvelle poussée de cette
maladie
chez les convales- cents. Une faudrait donc pas
ent certains accidents ncuropathiquos, jamais elles ne guériront la
maladie
fondamentale. Discussion : 11. Preyer. Faisons
s indications suivantes : il faut qu'il ait pleine conscience de sa
maladie
passée, qu'il se sente en possession naturelle
brégerons la séquestration dans l'asile à une certaine époque de la
maladie
. Quels sont les états morbides, quelles sont le
n réflexe. Du reste, quand l'érythème noueux coïncide avec d'autres
maladies
, on peut admettre qu'il est, non le symptôme d
autres maladies , on peut admettre qu'il est, non le symptôme de la
maladie
principale, mais bien une affection autonome pr
es nerfs vasculaires périphéri- ques ou dans leur organe central la
maladie
précédente. C'est ainsi qu'à la suite d'une ang
oins de cas médico- légaux ; vous nuiriez au malade en ébruitant sa
maladie
et d'ail- leurs en quoi cela gênerait-il l'indi
icat, le docteur de l'asile, les assistants ne reconnaissent pas la
maladie
? Et contre cette majorité de médecins le rappo
us êtes certains que le tribunal sera éclairé sur la question de la
maladie
; il ne l'est que par les dispositions que vous
éjà, en parlant de l'aliénation men- tale : « Non, ce n'est pas une
maladie
divine plus que les autres, c'est une maladie c
Non, ce n'est pas une maladie divine plus que les autres, c'est une
maladie
comme les autres.» Il a fallu que les médecins
et : est-ce qu'on va aller chercher le tribunal pour décider que la
maladie
est le choléra ou une ma- ladie contagieuse que
upable : mais alors le magistrat le poursuivra. Le dia- gnostic des
maladies
est le propre des médecins ; le diagnolic des c
oncours ins- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des
maladies
mentales organisée à l'asile Sainte-Anne; lorsq
but. Faculté DE médecine DE Paris. Concours pour le clinicat des
maladies
mentales. M. Rouillaiuj vient d'être nommé chef d
nous recevrons deux exemplaires. CIIARCOT (J.-M.). Leçoiis sur les
maladies
du système nerveux, pro- fessées à la Salpêtriè
ment inutile d'encombrer la nomenclature déjà si"compli- quée des
maladies
mentales, et d'attribuer à une seule espèce mor
là Tourette. Archives de Neurologie, 188f-988. - Guinon (G.) Sur la
maladie
des Tics co7autilsifs (Rév. de méd., 1886 et 1887
le on tombe fatalement, quand on n'est pas initié à l'évolution des
maladies
de l'es- prit. L'homme, malade suit dès le débu
a six ans, son père meurt aussi de mort violente. Après une longue
maladie
, on le trouve un beau jour pendu au-dessus de s
es tiennent le premier rang parmi les phénomènes mor- bides de la
maladie
. Chez le débile qui copie le délire chronique,
c le même caractère, puisque c'est grâce à cette persistance que la
maladie
prend un cachet si net de systématisation. Il n
ilepsie spinale fasse son apparition. Ce malade dans le cours de sa
maladie
n'a jamais eu ni contractures ni démarche spasm
ut aux excès alcooliques qui enrayent la marche rétrogressive de la
maladie
, cette rétrogression dans la généralité des cas
oins complète au moment de l'invasion et aux premiers temps de la
maladie
, deviennent moins constants à une étape ulté- r
pas non plus exception à la marche éminemment rétrogressive de la
maladie
; ils diminuent, s'atténuent et finalement DES A
démontre une fois de plus la marche éminemment rétrogressive de la
maladie
. 0 f). Symptômes ? a ? y.Les troubles des org
cachet clinique tout à fait spécial qui ne se rencontre dans aucune
maladie
con- nue du système nerveux central. 13. Form
emarquable à signaler. Pas de syphilis, pas d'impalu- disme, pas de
maladies
antérieures. Il avait commencé à travailler cla
ersonnels, pas d'impaludisme, pas d'accidents syphilitiques, pas de
maladies
antérieures. Il a com- mencé à travailler dans
de 28 ans, n'ayant eu ni accidents syphilitiques, ni paludéens, ni
maladies
antérieures et sans antécédents héréditaires, a
épinière, tantôt celui de syringo- myélie. Les observations de ces
maladies
avaient été examinées par nous au point de vue
ur les particularités pathogéniques et les tableaux cliniques de la
maladie
; il faut seulement ne pas ou- blier la remarque
sthésie générale de la moitié externe de la main. La marche de la
maladie
est généralement lente, mais souvent irrégulièr
tion des symptômes ou un arrêt du développement ulté- rieur de la
maladie
durant tout le temps, pendant lequel nous avons
maladie durant tout le temps, pendant lequel nous avons observé les
maladies
, c'est-à-dire de quelques mois à deux ans. D'au
quelques, années (Morvan, Fûrstner et Zacher). Terminaison de la
maladie
. Dans notre ancien cas 20, ne correspondant pas
premiers symp- tômes. Mais généralement la mort par progrès de la
maladie
arrive plus rarement que par des complica- tion
caractère putride; l'amputation dans ce cas ne sauva pas la vie du
maladie
.. La guérison de la maladie est-elle possible ?
on dans ce cas ne sauva pas la vie du maladie.. La guérison de la
maladie
est-elle possible ? Nous avons vu que de nombre
e tout cela nous pouvons admettre la possibilité de l'ar- rêt de la
maladie
et de son amélioration considérable et peut-êtr
plus haut. Il n'est pas aussi fatal que dans beaucoup d'au- tres
maladies
de la moelle épinière, ne portant pas le nom te
e onze ans. Et dans les observations des auteurs, où le début de la
maladie
est signalé - il se rapporte presque exclusivem
nfluences nocives, ayant procédé aux premières manifestations de la
maladie
aperçues par les malades, Mais il n'est pas rar
de trouver dans les antécédents du patient, que des symptômes de la
maladie
avaient précédé, les causes, auxquelles avait é
yringomyélie on peut considérer comme démontrée la dépendance de la
maladie
des déviations morphologiques dans le développe
asient dans la commissure et les cornes postérieures. Mais comme la
maladie
se déclare dans le jeune âge, comme aussi par s
ts de la neuroglie, tendant à s'hyperplasier. La supposition que la
maladie
soit d'origine parasitaire n'a pas de données'.
u que le symptôme le plus caractéristique et le plus constant de la
maladie
est l'anesthésie partielle du sens de la tempér
t quand même possible; il ne faut pas oublier que dans aucune autre
maladie
les symptômes de lésions en foyer de la moelle
oposition exprimée plus haut. Mais dans ces cas-là, la marche de la
maladie
, l'exis- tence des symptômes indubitables de ta
de muscles de la main avait été observé à un certain degré de la
maladie
chez une de nos malades, chez laquelle nous avo
e, ou de l'anesthésie tactile est assez souvent observée dans cette
maladie
; quant à la thermanesthésie partielle, elle pré
ndant l'a- nesthésie elle-même peut présenter dans cette dernière
maladie
quelques caractères distinctifs. Elle ne s'arrête
comme cela peut en avoir l'air à priori. Nous pouvons agir sur la
maladie
ou en augmentant la résistance, en amélio- rant
bles (comme le phlegmon, la pyémie) menaçant la vie du malade. La
maladie
, à l'étude clinique de laquelle j'ai con- sacré
d'être dit, il est parti- culièrement important de diagnostiquer la
maladie
dans ses premières périodes et d'examiner avec
). Pas de renseignements sur les causes et le dévelop- pement de la
maladie
. Les accès étaient relativement peu fréquents (
récises sur les caractères des accès aux différentes périodes de la
maladie
. En ce qui concerne l'anatomie pathologique, le
valle des accès de locomotion d'autres symptômes en rapport avec la
maladie
encéphalique. » (Jaccoud. Leçons de clinique médi
e d'hystérie). (Rilliet et Barthez. Traité pratique et clinique des
maladies
des enfants ; 2° édition, t. 1(, p. 578, Pans,
Paris, 1865, p. 616. Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encc- phale baie sur l'étude des localisat
rent la caractéristique des crises, s'éloi- gnèrent à mesure que la
maladie
fit des progrès ; la déglutition devint diffici
é. Elle n'a pas eu de convulsions et on ne sait à quoi attribuer la
maladie
. Sa taille n'est que de 89 centimètres. Cheveux
té. R. )I. C. XXVI. Des affections du système nerveux A LA suite de
maladies
infectieuses aiguës; par M. LUNZ. (A7'CIt. f. P
iologie de l'anémie ou toute autre influence affaiblissante dans la
maladie
qui nous occupe. P. Kerwal XXIX. Du Myoclonus
DE la \IYOCCOwE; par Th. Ziehen. (-1·c7a. f. Psych., XIX, 2.) Les
maladies
convulsives des muscles semblables au paramyoclo-
ue, les lèvres, la respiration. Mort trois ans après le début de la
maladie
par suub- cation. Lésion des cornes antérieures
tion religieuse, ce qui est fréquent ; à la fin ou dans le cours de
maladies
aiguës, non pas quand la fièvre est à son summu
Délire ambitieux dans l'alcoolisme chronique. * Classification des
maladies
mentales. - La Société de médecine mentale belg
ndé à la Société médico-psychologique un plan de classification des
maladies
mentales, en vue d'une statistique internationa
tagmus fréquent. Conservation de la santé physique et de l'ouïe. La
maladie
a atteint sa période d'acmée en quatre à six se
ligé de prendre des mesures de sécurité à raison de la nature de la
maladie
(méthode particulière de traitement), l'Etat a
tence ; la compétence n'appartient qu'aux médecins; il s'agit.d'une
maladie
et, en conséquence, la chambre du conseil n'app
saires pour améliorer son état. Mais si cet état se prolonge, si la
maladie
se caractérise et s'il est démontré qu'il y a l
détaillé qui lui aura été fait sur le caractère et les phases de la
maladie
de l'individu dont il s'agit, se contentera d'o
, à un moment où ils ne le pouvaient réellement pas, au début de la
maladie
; car, remarquez-le bien, c'est au début de la m
u début de la maladie; car, remarquez-le bien, c'est au début de la
maladie
que vous voulez appliquer ce système monstrueux
lications de ces phénomènes à la thérapeutique. Trois catégories de
maladies
seraient justiciables de la ni étal 1 otliérapi
ni étal 1 otliérapie les affections ner- veuses, le diabète, et les
maladies
parasitaires, épidémiques ou contagieuses. 11 e
e y sont envisagées et forment une transition à l'hérédité dans les
maladies
. Vient ensuite une revue des lésions causées pa
états, montre que l'alcoolisme diminue le degré de résistance à la
maladie
, scro- fule chez les enfants d'alcooliques, sté
t preuve d'un très réel talent littéraire. VARIA Thèses sur les
maladies
nerveuses 1888. (Paris.) ravreau : Du secret pr
oncours ins- titué par le présent arrêté le chef de la clinique des
maladies
mentales organisée à l'asile Sainte-Anne, lorsq
faveur à celles dont on a déjà comblé le professeur de clinique des
maladies
mentales de la Faculté de médecine de Paris. Pe
de Neurologie, prix : 10 francs. Ciiarcot (J.-11.). Leçons sur les
maladies
du système nerveux, pro- fessées à la Salpêtriè
S. - Tipogialia Calderini e Figlio. 1 Z (11). Traité clinique des
maladies
mentales. 3e édition tra- duite par les docteur
patholo- gique de l'axc), par Glover,39, 2Éfl. Classification des
maladies
mentales, 448. Cocainisation, par Hoetcrmanii
rs (des médecins adjoints des asiles), 31 r,'tS7;-(du chnicat des
maladies
mentales), 320. Congrès des neurologues de l'Al
e dn), par Rendu, 68. Poliomyélencéphahte (rapports de la avec la
maladie
de Bascolow" par Jotidrassik, 66. Poliomyélit
, par Goldscheider, t36. Thèses de Paris, 186. Tics convulsifs (
maladie
des), par Guinon, 6J. Traitements corporels (
Dr SEMELA1GNE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT
US I.A DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de Pans.
le clinique (Sle-Aune). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
ur le tue- rait et priait le magistrat instructeur, en raison de sa
maladie
dont les symptômes lui revenaient, de vouloir b
traitant le déclarait atteint d'hystérie et l'avoir traité de cette
maladie
contractée en Algérie (le direc- teur de l'hosp
malades. Je vis un hysté- rique que j'étudiai voulant simuler cette
maladie
. « Bref, M. G... m'interrogea, je lui dis que j
reuses (rictus, sic), de faire ressortir qu'il avait été atteint de
maladies
vénériennes, de dire que les soeurs le persécut
ite anti-épi- leptique de Liège) qui donnait certains symptômes des
maladies
nerveuses, notamment de l'épilepsie et de l'hys
épilepsie et de l'hystérie. Je m'inculquai bien le contenu de cette
maladie
qui était celui-ci : L'hystérie, maladie presqu
bien le contenu de cette maladie qui était celui-ci : L'hystérie,
maladie
presque exclusive au sexe féminin, tirée du mot u
ns la matrice ou ovaire, que certaines personnes atteintes de cette
maladie
n'avaient pas cette boule qui part de l'estomac
fixer nulle part, enfin gagna Alger où il excipa d'un retour de sa
maladie
pour se faire hospitaliser et ensuite rapatrier
t àB... et lorsqu'il fut prévenu de vol, il joua de nouveau de la
maladie
dont de faux certificats attestaient d'ailleurs l
lésion des voies de con- duction centripète. C'est l'étude de cetle
maladie
qui a permis de localiser ces voies centripètes
les classes inférieures, puis, maintenant, les classes moyennes.
Maladie
d'abord aristocratique chez l'homme, elle devient
DE PATHOLOGIE MENTALE. ' généralement guéri après quelques mois de
maladie
. Pas de phé- nomènes d'excitation motrice ; pup
lus marquée à la vie sociale commune expliquent l'essor pris par la
maladie
. 8° Comment expliquer la modification de la for
: doit-on s'en tenir à l'ancienne idée que la manie simple est une
maladie
du cerveau normal accidentellement affaibli ou
qu'il en soit, il parait certain que la manie simple aiguë est une
maladie
rare. (The alimist and neurologist, janvier 189
The alimist and neurologist, janvier 1899.) E. B. X. Que sont les
maladies
mentales; par le professeur Arndt. De l'ensembl
t, dans un cas donné, la santé mentale ou la maladie mentale. Les
maladies
mentales ne sont pas seulement des maladies du
la maladie mentale. Les maladies mentales ne sont pas seulement des
maladies
du cerveau mais bien plutôt des maladies de l'i
ne sont pas seulement des maladies du cerveau mais bien plutôt des
maladies
de l'individualité tout en- tière. Le moi peut
étaient auparavant, pathologiquement modifiées elles- mêmes par la
maladie
, ce qui conduit à cette idée, confirmée par l'o
i conduit à cette idée, confirmée par l'observation, que toutes les
maladies
du corps peuvent être une cause de maladie ment
i restant conscient de lui-même, comme cela se présente dans chaque
maladie
, jusqu'aux degrés les plus intenses qu'on pourr
r le DrBoURDIN. (Annales rnédiCO-PSYCIL010g., août 1899.) Parmi les
maladies
qui simulent le mieux, sinon le plus sou- vent,
coolisme, la syphilis peuvent produire aussi bien l'une que l'autre
maladie
; l'hérédité elle-même jouera parfois un rôle adju
Après sa guérison, survenue trois mois environ après le début de la
maladie
, elle a pu faire connaître le motif de son refu
s les derniers travaux sur ce sujet il n'y a pas plus de chances de
maladie
ou d'état anormal pour les enfants issus de par
rohibition des mariages consanguins n'a pas été de constater que la
maladie
et les difformités sont plus fréquentes chez le
s mêmes travaux, les mêmes distractions, tend à engendrer les mêmes
maladies
, les mêmes dégénérations, indépendamment de tou
re' élevé à la hauteur d'un stig- mate est suffisante à dénoncer la
maladie
. C'est la « marque de fabrique », c'est le sign
ique général peuvent donner lieu à une expertise : 1 dans l'état de
maladie
, 2° pendant les périodes de lucidité et 3° aprè
dant les périodes de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'état de
maladie
il faut distinguer la période prodromique, la p
ques dans leurs intervalles lucides ou pendant les rémissions de la
maladie
. - Quant à l'appréciation rétrospective d'actes
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1. Iodisme constitutionnel, thyroïdisme et
maladie
de Basedow; par le Dr ,TAUN1N. (Rcu, méd. de la
açon absolue la question encore controversée de la pathogénie de la
maladie
de Basedow, l'auteur, s'appuyant sur les relati
escents ou des adultes ; ils étaients atteints, pour la plupart, de
maladies
chroniques et avaient été soumis sans succès, a
douleurs indéter- minées, etc., de troubles fonctionnels dus à des
maladies
internes ou externes, de la chlorose et des tro
M. Liébault, les agents médicamenteux n'arriveront, dans certaines
maladies
, à la hauteur des résultats que donne la sugges
ar une émotion. 0 A. FENAYROU. VIII. A propos du traitement de la
maladie
des tics; par E. Speul. (Journ. de Neurologie,
subordonnée à la rapidité d'évolution des lésions anatomiques de la
maladie
. A. Fenayrou. X. Le rôle de l'émotion dans la p
au bout de trois semaines les phénomènes les plus apparents de la
maladie
s'atténuent ou disparaissent. Le myxoedème facial
ce dans les cas où l'organisme est depuis des années assommé par la
maladie
et dans ceux où il vient seulement d'être attei
rare que le médecin sera plus habile à découvrir de bonne heure la
maladie
: elle comprend les crétins appartenant à la se
ons sur le rôle et la valeur de l'hypnotisme dans le traitement des
maladies
; part. P. (Tite iYe ? D-Yoî-1; iliedi- cal Jou
dmettre que l'hypnose est un état normal, qu'elle n'implique aucune
maladie
du corps ou de l'esprit, qu'elle n'indique pas
, ni de sa personnalité. Cela posé, il faut rechercher dans quelles
maladies
l'hypnotisme se montrera particulièrement utile
nie, mais il en a constaté les avantages dans le traitement de ces
maladies
à la condition d'y avoir recours pour remédier au
alysie agitante, avec quelques remarques sur le traitement de cette
maladie
; par Joseph COLLINS et L. J. J. llusmvs. (The
rtout de nature dépressive, l'hérédité directe ou indirecte, et les
maladies
infecteuses. Le traumatisme ne paraît jouer qu'
a pression du liquide spinal dans l'état de santé et dans l'état de
maladie
: à l'état normal en se servant d'un manomètre
ologie, tout cela a révolutionné la conception et le traitement des
maladies
du système nerveux, et surtout de l'ataxie loco
du système nerveux, et surtout de l'ataxie locomotrice, type des
maladies
systématiques de dégénérescence. Les modification
ivie de sclérose. Dans ces conditions, et la première période de la
maladie
consis- tant en de simples altérations nutritiv
ue dans la syphilis tertiaire, tout comme aux autres périodes de la
maladie
, il faut un traitement énergique et régulier. P
s quels cas l'intervention chirurgicale est-elle justifiée dans les
maladies
cérébrales ; par Edward D. Fisiier. ( The neuf
à ces deux cas : 1" l'absence de réflexes rotuliens au début de la
maladie
; 2° l'ataxie frontale; 3° l'étiologie. DU 11uSG
ales, a été jus- qu'alors surtout employée dans le traitement de la
maladie
d'Adi- son. Son action a été particulièrement e
comme une coïncidence le tabes paraît accélérer les accidents de la
maladie
de Basedow. Syringomyélie et hydrocéphalie. - l
, sans cellules géantes, mais à bacille de Koch. - Cliniquement, la
maladie
a évolué en trois semaines. - Le deuxième cas,
ppliciés fut trouvé rem- pli de matières sucrees. Celui de morts de
maladie
se montre au contraire privé totalement de gluc
contraire privé totalement de glucose et de glycogène. Toutes les
maladies
, entraînant la mort par agonie, entraînent- ell
ans qu'aucun médecin les ait examinés, étaient morts cependant de
maladie
, et non par suite d'un crime, comme on l'avait'so
ruction demandait si la mort était le fait de l'hémorragie ou de la
maladie
survenue consécutivement L'examen du foie prouv
de glucose. La mort était donc le fait de l'hémorragie et non de la
maladie
encore à son début. Gaz Les- crimes contre la r
es » ; les antres avec Lannois, .\Ioebius et Wollenberg en font une
maladie
spéciale, distincte, nette- ment caractérisée,
ons en conséquence qu'il faut se restreindre aux cas typiques de la
maladie
, et n'accepler qu'avec une grande réserve les n
18 vil-), et qui présentent les trois carac- tères suivants : 1° La
maladie
est héréditaire. Il ya des familles entières de
e. Elle atteint également les deux sexes. Huntington croyait que la
maladie
était particulière à Long-Island (Etals-Unis) o
, à la nature du trouble mental et à l'époque de l'apparition de la
maladie
. Mais les traits fondamentaux posés par Hunting
st à l'âge de trente-cinq ans, en effet, que remonte Je début de sa
maladie
, qui se fit d'une façon insidieuse et sans caus
grand'mère paternelle est morte choréique, après bien des années de
maladie
. Il y avait plusieurs cas d'épilepsie dans sa f
u sujet de l'importance de l'hérédité directe, similaire dans cette
maladie
, par opposition à l'hérédité psy- chopathique e
calculer et n'aimait point la lecture. On ne signale pas de graves
maladies
infectieuses pendant son enfance. En particulie
is il n'eut de période de tristesse ni de mélancolie au début de sa
maladie
. Il était d'un caractère plutôt gai, jovial, mais
s. Elle en avait peur. Il l'a souvent menacée avec un couteau. Sa
maladie
débuta trois ans environ après son mariage, sans
est manifestée surtout depuis l'âge de trente-huit ans; dès lors la
maladie
a suivi une marche progressive, mais elle s'est
glutition s'aggravèrent beaucoup pen- dant les derniers jours de sa
maladie
, quand la paralysie des musclcs du pharynx vint
qu'il fût loin de se résigner et d'accepter philoso- phiquement sa
maladie
. Tout au contraire il s'en exaspérait et ne tro
aix; elle se consacra dès lors entièrement aux soins qu'exigeait la
maladie
de son mari. Pendant les dernières semaines, le
carac- térisent une forme déterminée de psychose spéciale à cette
maladie
. Les premiers auteurs qui étudièrent les troubl
naire. Il ne manque peut-être jamais à une certaine période de la
maladie
, à moins d'une déchéance précoce profonde des f
de chorée héréditaire. C'est lui qui marque souvent le début de la
maladie
et qui domine ensuite le tableau symp- tomalolo
que les troubles psychiques sont en général légers ( ? ) dans cette
maladie
, mais qu'ils peuvent s'aggraver jusqu'à la méla
vent, pour des ivrognes. Les autres, éclairés sur leur sort, par la
maladie
qu'ils ont vue développée chez leurs as- cendan
e soixante-deux ans, atteint de chorée dégé- nérative, déplorait sa
maladie
et souhaitait souvent la mort. t. En résumé,
tion dans l'accès de mélancolie qui serait de règle au début de la
maladie
, lorsque le malheureux prédestiné à l'affection
citer se sont produits presque tous longtemps après le début de la
maladie
, le plus souvent lorsque le malade était à un â
es accessoires, accidentels qui ne relèvent pas directement de la
maladie
et n'appartiennent pas à sa symplomatologie habi-
t, comme plusieurs auteurs l'ont fait remarquer, le tableau dé la
maladie
devient alors fréquemment absolument semblable
la paralysie générale. Il existe peut-être même des cas où les deux
maladies
ont évolué ensemble sur le même individu. Cepen
soigneux à faire le diagnostic différentiel et à attribuer à chaque
maladie
les symptômes qui en dépendent. Je sais bien qu
i un rapprochement entre les lésions anatomo-pathologiques des deux
maladies
qui relèveraient toutes deux d'une méningo-encé
drai tout à l'heure sur l'anatomie pathologique macroscopique de la
maladie
de Huntington et je vous donnerai un résumé som
intellectuels dans la chorée de Huntington, propose d'appeler cette
maladie
Bementia c/w1'eica, comme on dit Dernentia para
tent entre la paralysie générale et la chorée héréditaire. Les deux
maladies
débu- tent dans l'âge mûr, de trente-cinq là ci
soumis à une analyse psychologique spéciale et, en tout cas, leur
maladie
n'a pas été suivie assez longtemps pour qu'on pui
l'auteur apporte contre la proposition de Ilallock d'appeler cette
maladie
« Démence cho- réique ». Le malade de Loewenfel
tôt à un autre groupe patholo- gique qu'à celui des chorées, car sa
maladie
datait de l'en- fance et les mouvements involon
Loewenfeld pense qu'il représente une forme de transition entre la
maladie
des tics de Gilles de la Tourette et la chorée
e serait-il plus rationnel de la faire rentrer complètement dans la
maladie
des tics ? On sait en effet que beaucoup de cas
p de cas de chorée récidivante de l'en- fance appartiennent à cette
maladie
, et Gilles de la Tourette vient de publier une
rée hystérique, soit aux tics convulsifs, soit peut-être aussi à la
maladie
de Huntington. Avant donc d'admettre avec Loewe
gressive à terminaison démente, une autre forme plus légère de la
maladie
, sans troubles intellectuels. il faut attendre de
tion basée sur la différence fondamentale qui existe entre les deux
maladies
au point de vue étiolo- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE
on hérédité qui ne forment qu'une prédisposition et ne sont pas une
maladie
. Tandis qu'au contraire la chorée de Huntington
uteurs ont donné des détails sur la mor- phologie cérébrale dans la
maladie
de Huntington. Kronlhal et Kalischer, en 1895,
ctère essentiellement familial, héréditaire et dégénératif de cette
maladie
. [L'explication des Plancues sera donnée à la f
ée, comme on le fait généralement à tort, parmi les folies. Cette
maladie
n'est pas une folie, non seulement parce que ses
l'avait déjà pensé M. Dou- trebente ; enfin parce qu'à l'instar des
maladies
cérébrales, elle naît des maladies cérébrales e
; enfin parce qu'à l'instar des maladies cérébrales, elle naît des
maladies
cérébrales et engendre des maladies cérébrales.
adies cérébrales, elle naît des maladies cérébrales et engendre des
maladies
cérébrales. Les paralytiques généraux appartien
aux et que si les enfants de ces malades sont voués à une classe de
maladies
spéciales en raison de la paralysie générale de
Sur 1565 individus, \111. Ball et Régis trouvent qu'en dehors des
maladies
rangées sous la rubrique vieillesse, affections c
lesse, affections chirurgi- cales, débilitation générale, etc., les
maladies
les plus communes dans les familles des paralyt
toire n'y sont représentées que par le chiffre de 105 et les autres
maladies
par des chiffres bien plus bas encore, 43, 2 :
aladies par des chiffres bien plus bas encore, 43, 2 : i, 22. Les
maladies
les moins fréquentes sont les névroses et la foli
otre statistique est toute différente. Sur 714 individus, après les
maladies
rangées sous la rubrique vieillesse, etc., et q
llesse, etc., et qui y figurent pour le chiffre de 81, viennent les
maladies
de l'appareil respiratoire avec '7C, ensuite les
nnent les maladies de l'appareil respiratoire avec '7C, ensuite les
maladies
cérébrales avec 40, les névroses et la folie av
maladies cérébrales avec 40, les névroses et la folie avec 35, les
maladies
de l'appareil digestil'avec 34, les affections
causes de mort sont presque égales pour les différents groupes de
maladies
: celles de l'appareil respiratoire tenant la pre
e place à cause du nombre considérable de vieillards mourant de ces
maladies
et les névroses avec la folie se trou- vant pla
artenant aux familles normales il s'en trouve 17 morts de ces mêmes
maladies
, c'est-à-dire une proportion plus élevée. MM.
généraux ; 4° la morbi- dité c'est-à-dire la fréquence des diverses
maladies
dans les familles de paralytiques généraux prés
Non, l'énormité naturelle de la population russe, et la nature des
maladies
mentales s'y opposerait. Ne sont- ce point des
ale, et parfaite, il y aura toujours un cer- tain accroissement des
maladies
mentales. Mais on a, par contre, le droit de co
du plexus lombaire, une névrite. Refroidissement général ou local,
maladie
infectieuse antécédente, longue station debout,
s théories. L'une d'elles, très répandue, très acceptée veut que la
maladie
soit organique et dépende d'une prolifération d
ence indiscutable d'un grand nombre de guérisons. La marche de la
maladie
serait la suivante : l'intoxication primitive aig
rveau. R. DE Musgrave-Clay. XXVIII. L'influence du climat sur les
maladies
nerveuses ; par Sanger 13non. (I'Ite.7Vciv-l"oi
et d'une alti- tude qui ne dépasse pas mille mètres. La plupart des
maladies
qui bénéficient d'un climat en bénéficient par
r la faculté de récupération orga- nique compromise par l'âge ou la
maladie
, il faut n'envoyer qu'avec prudence le malade d
urs si les renseignements fournis par le sujet au moment même de sa
maladie
au point de vue de l'infection primi- tive étai
s. La Société décide que la question restera à l'ordre du jour. .
Maladies
mentales familiales. M. TRÉ1VEL. L'étude de l'h
des combinaisons de troubles mentaux (démence en particulier) et de
maladies
nerveuses familiales. Il y aurait un certain in
. ARNAUD, la Société décide de mettre à l'ordre du jour l'étude des
maladies
mentales familiales. M. B. Séance du 11 décembr
la classification des cavités intra-médullaires. Commençant par la
maladie
à cavités, de beaucoup la plus fréquente, la sy
t, avec des symptômes envahis- sants : c'est la forme maligne de la
maladie
. M. Philippe continue immédiatement par sa seco
cins ou magistrats, qui voudraient connaître la médecine légale des
maladies
mentales, de recourir à des traités plus com- p
e impérieu- sement, d'hospitaliser les aliénés dès le début de leur
maladie
. FAITS DIVERS. Asile d'aliénés. Nominations
cellente. Durant son enfance, pendant l'adolescence, il échappa aux
maladies
communes à cha- cun de ces âges. En particulier
ur aux colonies, il n'a jamais été malade, il a partout échappé aux
maladies
de ces pays. En mars 1893, il revenait de Saï
e affection de son canal de l'urèthre, et se rend à la clinique des
maladies
des voies urinaires. Le passage de sondes amène
e du système uro-génital : il est adressé alors à la cli- nique des
maladies
du système nerveux. Enfin M... n'a jamais con-
garnis qu'il habite. Il n'est pas abattu cependant moralement et sa
maladie
ne lui suggère aucune idée noire. Il a des inso
é ni polyphagie, ni polydipsie à aucun moment depuis le début de sa
maladie
. Le foie a un volume normal : ses fonctions son
. (Presse Médi- cale, avril 1897, p. 165 ; ou bien : Leçons sur les
maladies
nerveuses. Deuxième série. p. 505.) POLYURIE
angoissante. Ces deux termes se rencontrent dans un grand nombre de
maladies
, l'un le besoin fréquent, avec une inten- sité
médicament, nous le savons, a été préconisé tour à tour pour chaque
maladie
: il n'a jamais fait ses preuves pour aucune et
itres en vingt-quatre heures et l'autre s'intéresse vive- ment à la
maladie
de son voisin. M. Ilirtz, frappé de ce voisinag
3 de cinquante ans, prouve qu'on ne doit jamais désespérer de cette
maladie
et qu'on ne doit pas hésiter à pratiquer la crâ
- lysie irrémédiable et laisser une cicatrice aussi nocive que la
maladie
première, au point de vue des accès convulsifs. D
l'asc. I-lI, 1899.) Le délire sensoriel aigu comprend un groupe de
maladies
infec- tieuses et toxiques représentées par des
lui ont confirmé l'existence de la manie et de la mélancolie, comme
maladies
différentes, indépendantes, telles qu'on les a co
uis longtemps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinité du sang dans quelques
maladies
mentales ; par Lambranzi. (Riv. di pat. neru. e
le et l'épilepsie, sont en rapport direct avec la nature même de la
maladie
, et peu- vent être permanentes dans l'une, épis
Ils pensent, qu'en s'en tenant au critérium clinique qui classe les
maladies
mentales suivant l'ensemble de leur évolution et
niques qui ne peuvent rentrer logiquement dans les descriptions des
maladies
communes, et que l'unique forme décrite jusqu'à
une forme morbide déter- minée, mais se présentent dans différentes
maladies
, en se super- 236 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
qui présen- tent les mêmes caractères cliniques fondamentaux que la
maladie
décrite par Hecker. J. SÉGLAs. XXI. Deux cas
(extra-rolandiques etrolandiques) représentent les résidus d'une
maladie
accidentelle. J. S1 : GL.4S. XXV. Les songes
a fréquence et la variété des stigmates que l'on rencontre dans une
maladie
peuvent donner la mesure de son degré de dé- gé
à la puberté et à la ménopause. Elle rentre dans la catégorie des
maladies
par dégénérescence, et les stigmates de cet état
ostic différentiel avec certaines formes d'idiotie et avec d'autres
maladies
; par Henry IOPLIA. (The New York Médical Journ
it indiquer que l'anémie du crétinisme se développe à mesure que la
maladie
progresse, et n'existe pas encore à la période
peau ; l'auteur rapporte ici deux obser- vations résumées de cette
maladie
. R. DE Musgrave-Clay. 246 REVUE DE PATHOLOGIE M
que la folie est le symptôme d'une véritable lésion du cerveau, une
maladie
comme toutes les autres, accessible au traiteme
manifestations cliniques et des altérations pathologiques dans les
maladies
du poumon chez les aliénés; par-H.-A. TOMLINSON
pour Tune d'elles, représentée surtout par Hirschl ee Vlobius cette
maladie
n'est qu'une forme tardive de la syphilis; pour
différences de climat. La grande variété de formes sous laquelle la
maladie
peut se présenter, ressort suffisamment de la s
souvent inaperçues en raison de l'état mental du malade. Lorsque la
maladie
débute par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 231
pilepsie : l'âge du malade y aidera beaucoup, l'épilepsie étant une
maladie
à début jeune. En résumé le diagnostic de la dé-
classique de la démence paralytique représente la plus grave de ces
maladies
et se termine fatalement dans au moins 95 cas s
ues rémissions et même de la guérison complète. Il se peut que la
maladie
se soit modifiée; mais il est probable que notr
is. - La survie actuellement plus longue à partir du moment où la
maladie
est constatée est peut-être due à ce que le malad
paralysie générale n'implique pas nécessairement l'existence d'une
maladie
mortelle, et que par conséquent il con- vient d
traitement raisonné et assidu, tel qu'on le dirigerait contre une
maladie
réputée curable. R. DE MUSGRAVE-CLAY. SOCIÉTÉS
aison pour supposer qu'on ait affaire ici à une association de deux
maladies
différentes, si, d'autre part, conformément il l'
'il faut faire jouer à la tuberculose comme facteur étiologique des
maladies
du système nerveux. Un cas de surdité et de c
u malade est mort de tuber- culose. La mère est atteinte de la même
maladie
. Le malade, le plus âgé de huit enfants ,est né
s danses et à un formidable tapage pour chasser le démon auteur des
maladies
, poursuit ainsi : VARIA. 269 « A ma première
i est épileptique, est morte au cours d'une crise de cette terrible
maladie
. (Le lion- homme Normand, 14 décembre 1899.)
ellules nerveuses de l'écorce cérébrale qui a été constaté dans des
maladies
psychiques accompagnées de démence, donna lieu
glade dit qu'il a observé l'état perlé des dendrites dans certaines
maladies
psychiques, parmi lesquelles il nomme, par exem
s- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des
maladies
mentales sont pour le moment peu nombreux et ne
malade. Cette dernière, bien que délicate de santé, n'a fait aucune
maladie
sérieuse, à part, dans son enfance, la fièvre i
sa gorge a été bouchée par des bouchons de liège ; croit avoir une
maladie
qui lui a été donnée par un sort. Traits tirés,
ois qu'elle présente des troubles mentaux graves. L'étiologie de la
maladie
actuelle est assez obscure : elle avait eu de g
es convulsifs. X..., célibataire, trente-sept ans. Histoire de la
maladie
. Les crises du début étaient courtes, sans cri
mydriase, inégalité, troubles des réflexes) sont fréquents dans les
maladies
communes; les variations que peuvent subir, dan
ies communes; les variations que peuvent subir, dans le cours de la
maladie
, le diamètre pupillaire et les réflexes est sou
tuberculeux, plus communs dans les anémies, très fréquents dans les
maladies
des voies digestives. Dans l'hys- térie et la n
est rare chez les gens bien portants ou chez ceux qui n'ont qu'une
maladie
fonctionnelle du système nerveux. La convergenc
onie ; par le Dr WoRCESTER. - Kahlbaum définit la catatonie : une
maladie
du cerveau à évo- lution cyclique dans laquelle
fois certains caractères du myxoedème et certains caractères de la
maladie
de Graves. p. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 343
cas. Dans un nombre important de cas on ne retrouve aucune trace de
maladies
vénériennes, et il semble que la syphilis ne so
me cause déterminante une infection chez un prédisposé. Un cas de
maladie
de Basedow héréditaire avec oedème des pau- piè
des troubles névropathiques prodromiques fut prise en 1899 de la
maladie
de Basedow classique, à laquelle vient s'ajouter
nfluence des grandes commotions politiques sur le développement des
maladies
mentales : le premier lu à l'Académie de médeci
, leur montrant combien notre Association était utile à ceux que la
maladie
atteignait, ainsi qu'aux familles laissées dans
unes filles hésiteraient à se donner la mort, ou échapperaient à la
maladie
, si elles trouvaient un appui durant les jours
ore plein d'une activité qui ne s'est lassée qu'au jour fatal où la
maladie
l'a terrassé. Adieu, cher Maître ! vous n'empor
le présent arrêté le chef de clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale de la faculté de médecine de l'uni
. Un alcoolique persécuté trouve , Magnan. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, 1S97, p. 207. . Mierzejewski. Contrib
- Père mort, d'hémorrhagie cérébrale, très buveur. Mère morte d'une
maladie
de poitrine ' ? Une soeur bien portante. Anté
trine ' ? Une soeur bien portante. Antécédents personnels. Pas de
maladies
graves dans sa jeu- nesse. Assez intelligent, B
ère de Jésus, son heure est proche et qu'il sera crucifié, mais les
MALADIES
NERVEUSES A L'HOPITAL MILITAIRE DE KIEF. 399 ha
(.1 suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes cliniques de la section des
maladies
nerveuses à l'hôpital militaire de Kief ; Par
int-Pétersbourg, puis il l'hôpital militaire de Kief. De toutes les
maladies
organiques du système nerveux central, qu'il m'
rmi Messieurs les officiers, la plupart des cas se rapportaient aux
maladies
du système nerveux central post- syphilitique.
définitivement convaincu que l'in- iection de la syphilis comme une
maladie
constitutionnelle ne peut jamais être complètem
ement guérie. Il arrive qu'au bout de vingt ou trente années, cette
maladie
n'étant pas assez traitée mène à l'affection su
ètement guéri, mais au contraire : il faut lui expliquer, que cette
maladie
, par sa nature, est toujours incurable; que, so
roits du Nouveau Monde et de l'Ancien, consiste en frictions mer-
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 401 l
- vidu. Mais il n'y a rien à dire non plus contre l'ancienne pré-
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 403 pa
tissu conjonctif dans les divers organes devinrent beaucoup plus
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 405 fr
200 et plus, et le malade non seulement n'était pas guéri, mais la
maladie
récidivait toujours ou menaçait la vie du malad
sous-cutanées dans le but du traitement des formes premières de la
maladie
, ainsi que des maladies post-syphilitiques, d'a
t du traitement des formes premières de la maladie, ainsi que des
maladies
post-syphilitiques, d'autant plus qu'on n'a pu éc
t mène même à l'engraissement. Je n'oublierai jamais un aide-ehi-
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 407 ru
s, sans aucun antécédent nerveux et déjà atteints de celte horrible
maladie
. Pendant tout ce temps, parmi les officiers, je
nnes qui sont coutumières au service militaire, gagne sitôt quelque
maladie
dans le genre du tabès dorsalis atactica, etc.
cer- taine lenteur de l'évacuation de l'urine, exigeant certains
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 409 ef
ito- vésical je dirai seulement, que l'une des électrodes avec la
MALADIES
NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 411 'l
au pour un certain temps, quoique tous les autres symp- tômes de la
maladie
soient considérablement améliorés. Quant aux ré
ommentaires, publiés par Van Swieten. 3 marche. Traité pratique des
maladies
mentales. Paris, t8j8, p. 317. 414 PHYSIOLOGIE
troubles de la digestion ne se déclarent que pendant le cours de la
maladie
et dans ce dernier cas leur apparition est souv
art. 7 ? )ema< ! : e, p. 516, année 1876. 2 Bail. Leçons sur les
maladies
mentales (2* édition), p. 230 et 2G0. 3 Comptes
15 Dans un travail d'ensemble sur les auto-intoxications dans les
maladies
mentales MM. Régis et Chevalier Lavaure met- te
out de la présence des phénomènes de l'ordre somatique dans cette
maladie
. La tendance actuelle qui s'accuse tous les jours
ours de plus en plus c'est de considérer la mélancolie comme une'
maladie
d'origine infectieuse ou tout au moins d'attribue
ue en somme un nouveau point d'analogie entre cette psychose et les
maladies
infectieuses, un argument de plus en faveur de
délire est accompagné d'idées obscènes. Parmi les causes de cette
maladie
, il faut citer en première ligne la dégénéresce
els que les chagrins. On peut encore citer comme facteur de cette
maladie
le souvenir de faits passés, qui provoque parfois
, est commun, et que l'on perd le plus souvent entre le début de la
maladie
et le début des troubles mentaux un temps qui s
ion de l'épilepsie, il proposerait celle-ci : « L'épilepsie est une
maladie
caractérisée par un état périodi- « quement dés
e très près parce qu'elle est la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437
maladie
qui comporte à la fois des phénomènes somatiques
smales et il ne lui viendra pas à l'esprit qu'il souffre de la même
maladie
que son conjoint atteint d'atrophie papillaire
ions où la sensibilité générale est intacte. Dans toutes les autres
maladies
qui s'accompagnent de troubles de la sensibilité,
s par rapport au degré et à l'étendue des lésions. De même dans les
maladies
de la moelle épinière avec troubles de la sensi
ois mois, offrait dans ses grandes lignes, la symptomatologie de la
maladie
de Par- kinson, en particulier, le tremblement
demander si, malgré la symptomatologie du début, il s'agit bien de
maladie
de Parkinson ou d'une affection qui la simule.
emps. Tout le monde, sauf quelques intimes, ignorait le genre de sa
maladie
. (Petit Var, 4 février.) La folie. Une femme de
contracte point de fièvres. Il y but beaucoup d'ab- sinthe. Pas de
maladies
vénériennes. A trente-huit ans, se montrèrent c
t. Sorti le 27 juin. . Antécédents héréditaires. Mère morte d'une
maladie
de coeur. Père, jardinier, buveur. Deux frères
ons, vignerons, buveurs de vin. Père, marchand de vin, mort d'une
maladie
de foie. Mère morte d'une attaque de paralysie. U
ier. Il a eu trois blennorrhagies, pas de syphilis, et aucune autre
maladie
. M... Alphonse est habituellement triste ; il s
ure à contribuer à la connais- sance de l'anatomie pathologique des
maladies
nerveuses chroniques de l'enfance. Sommaire.
e paternel, qui faisait la vie et buvait beaucoup, a succombé à une
maladie
de foie. Une tante paternelle, atteinte d'une g
x morts le premier à vingt-huit mois de convulsions ; l'autre d'une
maladie
à la jambe ( ? ). - Deux autres SOEW'S sont bien
une méningite. Ces acci- dents durèrent trois semaines. Après cette
maladie
, l'enfant resta trois mois sans avoir d'accès.
fois par jour. L'état intellectuel n'aurait pas été modifié par la
maladie
qualifiée de méningite. Nous manquons de rensei
die qualifiée de méningite. Nous manquons de renseignements sur les
maladies
infectieuses, les manifestations scrofuleuses,
(The journal of zzeruous and mental diseuse, janvier 1899.) Cette
maladie
a des caractères à la fois cliniques et anatomiqu
sur l'analyse soigneuse de 17 cas suivis d'autopsie, il donne à la
maladie
les caractères suivants : . Etiologie : L'anémi
es. Les anesthésies ne surviennent qu'à une période avancée de la
maladie
et il peut y avoir dissociation des sensibilités
use typique. Marche : rapide; dans l'espace de six mois à un an, la
maladie
a atteint son summum. La mort survient de six m
n des réflexes au début, par les progrès constants et rapides de la
maladie
. La névrite multiple s'exclut par le début lent
aralysie et la marche rapide, pathognomonique. Pathogénie : Cette
maladie
est une affection toxique ; mais il est diffici
t nécessaire de compléter et de préciser le diagnostic. Parmi les
maladies
dont l'existence pouvait être soupçonnée, se prés
ésignées sous le nom de diplégie cérébrale spasmodique infantile ou
maladie
de Little. Le diagnostic de la sclérose en plaq
si on n'a pas été en présence de cas d'hystérie ou de neurasthénie,
maladies
capables de simuler la sclérose en plaques avec
r l'historique de la question, sur le diagnostic différentiel de la
maladie
et sur le trai- tement. lI. 111. C. LU. Cécit
issent brusquement au moment de la période fébrile d'invasion de la
maladie
; ils suivent la même évolution que la paralysie
dans le même cadre morbide l'acromégalie et le gigan- tisme. ' ,
Maladie
de Morvan. M. LESAGE montre des photographies et
mutilation de phalanges, le diagnostic avait hésité entre lèpre et
maladie
de Morvan. L'anesthésie s'arrêtait nettement en b
lutte pour la vie, à suivre des règles d'économie pour prévenir la
maladie
ou le chômage. Cette méthode de redressement co
tises médico-légales et les listes d'experts, par Toulouse, 166.
Maladie
DE BASEDOW. Iodisme cons- titutionnel, thyruïdi
avec oedème des paupières et crises de sommeil, par Meige, 346.
Maladies
cérébrales. Intervention chirurgicale dans les
rébrales. Intervention chirurgicale dans les -, par Fisher, 78.
Maladies
mentales. Que sont les ? par Arndt, 52. - famil
es , par Lambranzi, 234. .Maladie de Morvan, par Lesage, 533.
Maladies
nerveuse. L'influence du climat sur les -, par
par Marie, 441. 1. TxYR01D1S\IE. lodisme constitution- nel. - et
maladie
de Basedow, par Jaunin, 60. Tic. Guérison d'u
n d'un. - sans an- goisse, par Bartenberg, 61. Trai- tement de la
maladie
des -, par Spehl, 65. - d'élévation des deux
ŒUVRES COMPLÈTES DE J.M. GH ARGOT LEÇONS sur les
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES pa
let 1892. PREMIÈRE PARTIE Des troubles trophiques consécutifs aux
maladies
du cerveau et de la moelle épinière. PREMIÈRE L
des conférences de cette année : elles seront consacrées à celles des
maladies
du système nerveux et, en particulier, de la moel
t dans des conditions particulièrement favorables aux recherches, les
maladies
des systèmes nerveux et locomoteur, si communes e
teur, si communes et par conséquent si intéressantes pour le médecin,
maladies
dont la pathologie commence seulement depuis une
ais douté que l'hospice de la Salpètrière ne dût devenir, et pour les
maladies
des vieil-lards, et pour beaucoup de maladies chr
ût devenir, et pour les maladies des vieil-lards, et pour beaucoup de
maladies
chroniques, un foyer d'in-struction incomparable.
Je me propose de vous entretenir surtout, cette année, de celles des
maladies
du système nerveux et, en particulier de la moell
t de la vessie qui se produisent avec tant de rapidité dans certaines
maladies
aiguës ou dans les exacerbations de quelques mala
dans certaines maladies aiguës ou dans les exacerbations de quelques
maladies
chro-niques de la moelle épinière sont souvent la
ues consécutives donnent le change au clinicien qui les prend pour la
maladie
tout entière. Telles sontcertaines formes de X at
genre recueilli par M. Onimus (2), huit jours après l'invasion de la
maladie
, des courants induits appliqués sur les muscles p
ilité électrique ayant été explorée le 24 mars d'abord (2e jour de la
maladie
), puis le 3 avril (12e jour), à l'aide de la fara
aiblement aux excitations. La mort sur-vient le 2 mai (40e jour de la
maladie
). Autopsie: Le tronc du nerf facial con-fine à un
alysie.Ce symptôme,manifeste déjà quelques jours après le début de la
maladie
, est suivi bientôt d'une atro-phie plus ou moinsp
rouvent condamnés. A ce point de vue, ily a lieu d'établir, parmi les
maladies
spinales irritatives, deux groupes bien distincts
ment des symptômes qui se produit toujours aune certaine époque de la
maladie
, mais d'autres ont été plus gravement compromises
s plus profondément atteintes, jusque vers les périodes ultimes de la
maladie
. Le développement des lésions musculaires répond
expérimentale; ses procédés, inférieurs sous ce rapport à ceux de la
maladie
, ne sont pas assez délicats pour permettre d'atte
uleurs. Eschares à développement rapide (Decubitus acutus) dans les
maladies
du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'évo
n importance au point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les
maladies
de la moelle épinière : il siège en général à la
rd'hui atteinte d'ataxie locomotrice bien caractérisée. Chez elle, la
maladie
a évolué d'une, manière très rapide, car les prem
rès de quinze ans, à l'époque de la terminaison fatale causée par une
maladie
accidentelle. Jamais il ne s'était présenté aucun
nt un rôle très important dans l'histoire clinique d'un bon nombre de
maladies
du cer-veau et de la moelle épinière. L'affecti
ont: en premier lieu, l'apparition, peu de temps après le début de la
maladie
primitive ou à la suite d'une brusque exacerbatio
e la nécrose dermique, se produisantlong-temps après l'invasion de la
maladie
qui en a été l'occasion. Nous vous proposons d'ac
car j'ai pu constater, d'un autre côté, que le décubitus aigu lié aux
maladies
du cerveau ne diffère pas essentiellement de celu
— Velpcau.— Analom. chirurgicale. — Ollivier (d'Angers).— Traité des
maladies
de la moelle épinière, t. 1er, p. 314, 324, 3° éd
core, qui terminent rapidement la vie, dans un grand nombre de cas de
maladie
de la moelle épinière. Nous devons, actuellemen
ure, nuit et jour, à l'aide de la sonde, pen-dant tout le temps de la
maladie
, de manière à éviter, autant que possible, l'irri
e la mortification rapide du derme de la région sacrée, même dans les
maladies
spinales à évolu-tion lente, lorsqu'une cause nou
tent ces affections articulaires, suivant la nature des 1. Rayer. —
Maladies
de la peau, t. I, p. 333. 2. Un jeune garde mob
oui d'une santé parfaite et n'avait jamais souffert d'aucune forme de
maladie
arthritique, fut atteinte tout à coup d'hémiplégi
ert. Voir Bourne-ville. — Études cliniques et thermométriques sur les
maladies
du système ner-veux, p. 58). — On doit à M. Bro
Consulter: —11. Daim, The Lancel, t. Il, p.235,1831 — Durand-Fardel,
Maladies
des vieillards, p. 131. Paris, 1854. Observation
tisme, de lagoutte,par exem-ple, pouvant expliquer l'apparition de la
maladie
articulaire dans les cas que j'ai observés. M. R.
es, enfin son apparition aune époque pour ainsi dire déterminée de la
maladie
spinale à la-quelle elle se rattache, consfituent
ivioi' (d'Angers), loc. cit., t. II, p. 177. 7. Rayer. — Traité des
maladies
des reins, t. I, p. 530 et suiv. « D'après mes ob
, p. 530 et suiv. « D'après mes observations », dit Rayer, « dans les
maladies
de la moelle épinière, lorsque l'urine contenue d
siques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est une
maladie
de la seconde période de la vie. — Ses symptôme
utrition. — Affai-blissement de l'intelligence. — Eschares sacrées. —
Maladies
terminales ; elles diffèrent de celles de la sclé
ituer le symptôme prédominant ou tout au moins le plus saillant de la
maladie
dont elles sont atteintes. Cette réunion de malad
vous est, à mon avis, delà plus haute importance dans l'histoire des
maladies
chroniques du système nerveux qui s'accompa-gnent
r M. G. Sée, dans son mémoire sur la chorée, où elle figure parmi les
maladies
qui peuvent être confondues avec la danse de Sain
rière. Voulant nous éclairer sur la nature et les caractères de cette
maladie
, que nous étions 1. Gazette hebdomadaire, 1861,
te, pour l'épo-que, de la paralysie agitante. A partir de là, cette
maladie
acquiert droit de domicile dans les ouvrages clas
e et la sclérose en pla-ques . La ligne de démarcation entre ces deux
maladies
a été indiquée par moi, si je ne me trompe, pour
e 16 ans. Quoi qu'il en soit, elle trouve sa place naturelle dans les
maladies
de la seconde période de la vie. Mais ce serait a
a vie. Mais ce serait aller trop loin que de la consi-dérer comme une
maladie
sénile. Souvent les causes restent inconnues. C
ation, quelquefois d'assez bonne heure, d'habitude à une époque de la
maladie
asez éloignée du début, c'est la perte de la facu
t en-core être signalés parmi les symptômes les plus importants de la
maladie
. La marche de la paralysie agitante est lente,
sme, le confinement au lit, etc. Dans le premier cas, il s'agit d'une
maladie
aiguë, d'une pneumonie, par exemple : dans le sec
ent ils naissent, s'accroissent et s'enchaînent aux divers âges de la
maladie
. A cet effet, et pour mettre plus de clarté dans
ébut lent. Dans l'immense majoritédes cas, le début est insidieux, la
maladie
s'annonce comme légère et bénigne. Le tremblement
s rapides sur l'avant-bras, celui-ci sur le bras. A ce moment de la
maladie
, le tremblement peut n'être que passager, transit
ément les secousses convulsives. C'est surtout à cette époque de la
maladie
que les caractères particuliers du tremblement ap
attaché en qua-lité d'interne à la Salpêtrière, avait pu y étudier la
maladie
sur un grand nombre de malades. Fig. 1. La tô
ons parler de la rigidité que subis-sent, à une certaine époque de la
maladie
, les muscles des membres, du tronc, et le plus so
quels la rigidité musculaire est un symptôme des premiers temps de la
maladie
, et réellement prédominant. J'ai observérécemment
u'on a affaire,ici à la paralysie agitante. Cependant, el bien que la
maladie
remonte à quatre années, le tremblement est à peu
a quelque temps (1872). Cet homme, âgé de 50 ans, a été atteint de la
maladie
de Parkinson exceptionnels. Le plus communément
us sera maintes fois loisible de vous assurer que, dans les cas où la
maladie
n'est pas parvenue aux dernières limites, la forc
ême, ils font défaut et figurent dans le tableau symptomatologique de
maladies
autres que la paralysie agi-tante, dans certaines
fixer votre attention. La paralysie agitante n'est pas seulement une
maladie
des plus tristes en ce qu'elle prive le malade de
toutefois être alitée. On retrouve chez elle tous les symptômes de la
maladie
; mais, nous relèverons, dans son histoire, simple
t, tel n'est pas peut-être le genre de mort le plus habituel de cette
maladie
. En effet, la terminaison finale arrive fréquemme
En effet, la terminaison finale arrive fréquemment par le fait d'une
maladie
intercurrente. Trois fois, Trousseau a vu la mort
ntes de paralysie agitante interrogées par nous, beaucoup ont vu leur
maladie
prendre naissance au milieu des commotions politi
lle-ci, qu'on le sache encore, n'impose aucun carac-tère spécial à la
maladie
. Notons en second lieu, l'action du froid humid
ire aigu ou chronique se montrent rarement soit avantl'éclosion de la
maladie
, soitpen-dant son cours. Tout au plus remarque-t-
,con- p. 278, etc.), M. 0. Kohts relate un certain nombre de cas de
maladies
ner-veuses, observées à Strasbourg-, et que les m
rquer que la paralysie agitante n'estpas, ainsi qu'on l'a avancé, une
maladie
de la vieillesse. Elle débute, à la vérité, après
, cette règle n'estpas absolue : on pourrait citer quelques cas où la
maladie
s'est montrée de bonne heure, à 20 ans, par exemp
ertaines circonstances, et de l'atrophie mus-culaire progressive, une
maladie
de famille. Les observations qui ont pu faire cro
(Angleterre, Amérique du nord) est préférablement affectée de cette
maladie
. Les récits que j'ai entendu faire aux médecins d
ire en moyenne par an (14 hommes, 8 femmes). Disons, enfin, que cette
maladie
figure au cinquième rang, à côté de l'ataxie loco
but par la nature. On a tout ou à peu près tout essayé contre cette
maladie
. Parmi les médicaments qui ont été préconisés, et
es-uns des caractères qui per-mettent de distinguer aujourd'hui cette
maladie
d'une autre affection jusqu'alors confondue avec
ondre des désordres fonctionnels bien différents. C'est à cela que la
maladie
doit en grande partie son caractère protéiforme.
ur lui faire honneur, mon collègue présenta à ce médecin un cas de la
maladie
nouvelle ; c'était un fort beau spécimen de la fo
er que sa dissertation marque un progrès sérieux dans la clinique des
maladies
chroniques du système nerveux. Dans ces dernier
les surmonter. Selon lui,il n'y aurait aucuneanalogie entre les deux
maladies
. M. Baerwinkel aura sans doute oublié que dans le
e desquels on peut séparer la sclérose en plaques cérébro-spinale des
maladies
qui s'en rapprochent àdes degrés variables. II.
existé, à un degré plus ou moins prononcé,à une certaine époque de la
maladie
,et avoir disparu dans le temps où le sujet se pré
s membres sont immobilisés, à une époque plus ou moins avan-cée de la
maladie
, par la contracture permanente. S'il est vrai que
sque habituel, que le trem-blement ne dure pas aussi longtemps que la
maladie
elle-même ; il s'amoindrit à mesure que les sujet
embarras delà parole s'aggrave progressivement pendant le cours de la
maladie
jusqu'à ren-dre parfois le discours à peu près in
t s'adjoindre successivement, surtout dans les périodesavancées de la
maladie
, certains troubles de la déglutition, de la circu
, d'accès de rire qu'elle ne saurait maîtriser. Sujette déjà avant sa
maladie
à des mouve-ments de colère, elle a remarqué avec
em-ment : elle est, en effet, un symptôme des périodes avancées de la
maladie
. Toujours, dans l'évolution du processus morbide,
motrices des membres qui se manifeste fréquemment dès le début de la
maladie
, et auquel il ne s'adjoint, le plus ordinairement
qu'elle ne se retrouve certainement pas au même degré dans les autres
maladies
chroniques de la moelle épinière. Je dois reven
oin d'élaguer parce qu'ils n'appartiennent pas au type régulier de la
maladie
. Il importe de vous taire connaître maintenant, e
pas là, suivantmoi, d'une combinaison des formes élémentaires de deux
maladies
— l'ataxie locomotrice progressive et la sclérose
est que dans des cas rares, et seulement aux phases ultérieures de la
maladie
, que la flexion de la cuisse et de la jambe prédo
ui seprésen-fenf quelquefois à plusieurs reprises dans le cours de la
maladie
et qui, parfois, terminent la scène. Ces attaques
ans la paralysie générale progressive. C'est même dans cette dernière
maladie
que les attaques congestives— ce nom sert à la dé
ction permettront un jour de compléter le tableau. Parmi les autres
maladies
organiques des centres nerveux dans lesquelles on
ttaques, quelle que soit d'ailleurs la forme qu'elles affectent et la
maladie
à laquelle elles se rattachent, En ce qui conce
ieurs fois, en général à de longs intervalles, pendant le cours de la
maladie
. En ce qui a trait à la sclérose en plaques, elle
x une aggrava-tion notable et persistante de tous les symptômes de la
maladie
primitive. 1. Bourneville et Guérard, Luc. cit
nt ces éléments aux diverses phases et dans les diverses formes de la
maladie
. Celle-ci, en effet, ne se présente pas, tant s'e
. 293). — Bon rue ville : Études cliniques et thermométriques sur les
maladies
du système nerveux. Paris, 1870-73. Charcot. Œu
bleau symptomatologique reste incomplet. Or, c'est surtout lorsque la
maladie
en est encore à une époque voisine de son début o
IV.) J'ai proposé d'établir, dans le développement progressif de la
maladie
, trois périodes : la première s'étend de l'instan
n, commence au moment où, en même temps que tous les symptômes cle la
maladie
s'aggravent simultané-mentales fonctions de nutri
dans l'ordre ordinaire des choses, marquent les derniers temps de la
maladie
et précipitent la terminaison fatale. 1. Prem
on? alternatives. Nous allons les indiquer brièvement. Alors que la
maladie
était encore récente, on vil survenir, à la suite
i, le plus souvent, est considérée comme accidentelle, étrangère à la
maladie
principale, bien qu'en réalité elle s'y rattache,
s et s'entremêler avec ces symptômes pendant les premiers temps de la
maladie
. Dans ce genre, une observation publiée par M. Li
e titubation les yeux étant fermés, les seuls symptômes actuels de la
maladie
en question, dont le véritable caractère est alor
omotrice. Paris, 1868. Des crises gastriques, p. 56. — Leçons sur les
maladies
du sys-tème nerveux, t, II, 1873, Leçon II, p. 36
temps se dessine une aggravation de tous les symp-tômes propres à la
maladie
: l'obnubilation de l'intelligence va jusqu'à la d
e plus que par un grognement 1. C'est surtout à cette période de la
maladie
que Ton peut voir survenir des inintelligible.
plus souvent la vie est encore abrégée par l'intervention de quelque
maladie
intermittente : la pneumonie, la phtisie caséeuse
Charcot. Il ressort de la statistique que nous avons dressée que les
maladies
pulmonaires (pneu-monie, pleurésie purulente, tub
incom-plet des centres nerveux parla sclérose, c'est, si Ton veut, la
maladie
arrêtée dans son développement, dans sa progressi
ons obtenu une moyenne de 7 ans et demi. Le minimum de la durée de la
maladie
a été un an cas de M. Mal-herbe. In Journal de mé
inées, avec prédominance des lésions dans les cordons postérieurs, la
maladie
a duré onze, vingt-un et vingt-huit ans. (Bournev
fort peu de chose. 11 paraît établi toutefois, dès à présent, que la
maladie
est beaucoup plus commune chez les femmes que che
lassés, placés en dehors du courant c'est l'influence cle certaines
maladies
aiguës sur le développement de la sclé-rose. \;oi
M. Moxon â Guy's tlospital, où l'on voit notées comme cause : a) une
maladie
fébrile avec diarrhée qui a duré plusieurs semain
nale et que l'on retrouve, pour ainsi dire, à l'origine de toutes les
maladies
chroniques du système nerveux central. C. Le pr
bres. En sera-L-il toujours de même ? On peut espérer que, lorsque la
maladie
sera mieux connue, le médecin apprendra à tirer p
une com-pression lente, de\améningite spinale chronique etde quelques
maladies
du cerveau et delà moelle épinière dont l'histoir
ourraient être demain complètement effacés. 1. Voy : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. II, l''e et 2° parties.
originales, M. Laycock y est revenu dans son livre bien connu sur les
Maladies
nerveuses des femmes (1840). Partout ailleurs, si
rement par la mort. Laissant de côtelés casd'anurie dépendant d'une
maladie
de Rright aiguë ou chronique qui sont trop comple
té. Dans ces conditions, tantôt l'un des reins a été réduit, par une
maladie
antérieure, à une coque fibreuse remplie de kyste
t entrée à la Salpêtrière en 1869; nous suivons donc la marche cle sa
maladie
depuis quatre ans. Quelle est la situation actu
'utérus, dit-il, par exemple, quelque part, on fait de l'hystérie une
maladie
de lu-bricité, une affection honteuse, propres à
an exclusif de la doctrineancienne,qui place le point de départ de la
maladie
hystérique tout entière dans les organes génitaux
médecine, 1864, t. I, p. 385. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 20
maladie
. Son existence bien constatée est donc un indice
que par la mention très brève qui en a été donnée dans le Traité des
maladies
du système nerveux de M. Rosenthal. Depuis lors,
hercher. Voici sur quoi je me fonde. Il existe dans la clinique des
maladies
organiques des centres nerveux un appareil sympto
tion.) — Cette leçon a été insérée dans le tome II des Leçons sur les
maladies
du sys-tème nerveux, p. 358. (Note de la 3e éd.).
posent la division consacrée dans cet hospice aux femmes atteintes de
maladies
convulsives, incu-rables, et réputées exemptes d'
tementreconnueparM. ieD1' Chéreaudans ses excellentes lVw-des sur les
maladies
de l'ovaire (2), lorsqu'il dit que chez les femme
ppris à ce sujet. I^WilliSy-dès le xvn" siècle, dans son Truite des
maladies
con-cùtsfves (1), s'exprimait ainsi qu'il suit: «
le interne. La trépidation en question n'est donc pas l'apanage d'une
maladie
en particulier, A part la différence que nous a
hors de la bouche. Vous savez que ces phénomènes elle se lie à des
maladies
d'origine très diverse, mais auxquelles la scléro
Arch. de Physiologie 1867. p. 632 et suiv. — Charcot. Leçons sur les
Maladies
du Système nerveux, 1« édition, 1872-1873, pp. 21
.-13. Todd. Voir la Leçon X, sur VHémianesthésie. hystériques. La
maladie
a débuté à 34 ans, après une violente secousse mo
contractures qui constitue un des caractères les plus frappants de la
maladie
lorsqu'elle n'est pas parvenue encore aux phases
eux, à titre d'élément accessoire, sans rien changer à la nature delà
maladie
primitive. JJ. Voilà, Messieurs, la thèse à l
diverses manières chez un même sujet. Sur 276 malades, 1. Tissot. —
Maladies
des nerf s, t. IV. p. 75. i. Dunanl. — De Vhysl
p. 75. i. Dunanl. — De Vhysléro-épilepsie, p. 11. 3. Ranciras. —
Maladies
nerveuses, i. I. p. 205. M. Beau, qui a étudié
rs d'établir dans l'espèce deux subdivisions. 1° L'épilepsie est la
maladie
primitive ; sur elle, l'hystérie vient ensuite se
eptique depuis l'enfance, se marie àl'àge de dix-huit ans. Bientôt la
maladie
, qu'elle avait dissimulée, se révèle. De là, des
parti qu'on peut tirer de ce mode d'exploration dans la clinique des
maladies
du système nerveux. Ce n'est pas, Messieurs, qu
342. 2. Bourneville. — Études cliniques et thermo-métriques sur les
maladies
du système nerveux, p. 247: — Bévue phot. des hôp
date du 26 ma;'.s 1872, dans nos Études cliniques et thermom. sur les
maladies
du système nerveux. (Obs. XXXIII, p. 285.) Depuis
fection choréiforme est là, au premier chef, sous la dépendance de la
maladie
antérieure Yhystérie, dont elle représente une de
ui agités des mouvements choréiformes rythmiques. 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 330. Il est au moi
nous en sommes assuré ces jours-ci, par des expé- i. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, l. I, p. 320. riences répét
servir à révéler, par la production de symp-tômes non équivoques, la
maladie
jusque-là restée latente ; chez d'autres, où cell
11 est clair, toutefois, que nous n'aurons par là modifié en rien la
maladie
foncière. Mais je ne veux pas, pour le moment, m'
opulsion ; — Température, pouls, etc. Modifications survenues dans la
maladie
du mois de juillet 1874 au mois de juillet 4877
rt du-rant l'accouchement. Notre malade assure n'avoir jamais eu de
maladie
sérieuse, entres autres ni rhumatismes ni choreé.
eureuse en ménage et n'a jamais souffert de privations. Début de la
maladie
. — C'est en 1868 qu'a débuté sa maladie. Voici da
de privations. Début de la maladie. — C'est en 1868 qu'a débuté sa
maladie
. Voici dans quelles circonstances: son troisième
dans la salle et dans la cour de l'infirmerie. 1877. Juillet. — La
maladie
s'est notabtement aggravée depuis deux ans. — L'a
doux. — Impressionnabilité assez vive. (B.) Du tremblement dans la
maladie
de Parkinson. (Paralysie agitante). M. Charco
is plus particulièrement sur différents points de l'histoire de cette
maladie
. Tout d'abord, M. Charcot s'est attaché à montr
dérations ont amené M. Charcot à proposer d'ap-peler cette affection:
maladie
de Parkinson, du nom du mé-decin anglais qui, le
s'est efforcé de séparer nettement la paralysie agitante d'une autre
maladie
, très intéressante, elle aussi la sclérose en pla
du tremblement de la tête. D'après M. Charcot, le tremblement de la
maladie
de Par-kinson débute le plus souvent par l'un des
nts a pu constater chez plusieurs sujets atteints 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. lie édition, p. 145. de mal
Leçons sur les maladies du système nerveux. lie édition, p. 145. de
maladie
de Parkinson que, quand les malades sont libres,
'est que le tremblement ne constitue pas un symptôme nécessaire de la
maladie
de Parkinson. il est, eneffet, une forme de cette
saire de la maladie de Parkinson. il est, eneffet, une forme de cette
maladie
, forme fruste par excellence, pour employer les e
mi les causes qui, dans son opinion, ont dû contribuera développer la
maladie
dont il souffre, sur les grands tracas qu'il n'a
t jamais été assez intenses, toutefois, pour constituer une véritable
maladie
. C'est peu de temps aprèslacessation de la névr
est peu de temps aprèslacessation de la névralgie frontale (?) que la
maladie
actuelle aurait débuté. Le premier symptôme obser
ucune partie de son corps la moindre trace de tremblement. « Toute ma
maladie
, ajouta-t-il, me paraît con-sister en ce que ma v
e quelques auteurs tendent à considérer comme un trait essentiel à la
maladie
, était pour le moins àpeine accusé puisqu'il avai
t échappé au malade lui-môme. De plus, il était de date récente et la
maladie
existait — avec tous ses autres symptômes, dequis
nt, nous retrouvons chez Mme G... tous les symptômes principaux de la
maladie
de Parkinson. L'aspect général de cette dame, plu
est le cas de relever aussi que les facultés intellectuelles, dans la
maladie
de Parkinson, sont intactes. M. Charcot ne manque
ésence d'un cas de Caractères de l'écriture des malades atteints de
maladie
de Parkinson. maladie de Parkinsonmi début et s
actères de l'écriture des malades atteints de maladie de Parkinson.
maladie
de Parkinsonmi début et sur le diagnostic duquel
nt à l'enva-hissement de la lésion, mêmes aux périodes avancées de la
maladie
, résistance que M. Charcot a cru pouvoir invoquer
tes les autres couleurs, sera incapable de nommer leviolet ; puis, la
maladie
progressant, ce sera le tour du vert, —autre coul
me une règle absolue que 1. Landolt. — Leçons sur le diagnostic des
maladies
des yeux, p. 155 et suivantes. les couleurs cen
ésie cérébrale en général, 1. Leçons sur les Localisations dans les
maladies
du cerveau, p. 119. 2. Leçons sur les Localisat
erdu la vue à peu près complètement dans son enfance à la suite d'une
maladie
des milieux de l'œil. — Quand elle est menacée d'
(1878, n° S.) (B.). 1. On trouvera l'histoire complète de ces six
maladies
dans les trois volumes de VIconogr. photogr. de l
toute confusion,il propose d'appeler hysteria major cette forme de la
maladie
; l'épilepsie ne serait là, d'après lui, que dans
ment qu'on ne saurait sé-parer ces deux affections pour en faire deux
maladies
de nature différente, et que l'hystérie vulgaire
nvulsions si effrayantes et vient affirmer la nature hystérique de la
maladie
. De plus, en regardant d'un peu plus près, on rem
s dequelquesphénomènesépileploïdesqui sont alors comme le sceau de la
maladie
; mais les attitudes passionnelles peuvent aussi
ne leçon faite à la Salpétrière en décembre 1877. 2. Leçons sur les
maladies
des vieillards, p. 125, 227. •3. Ces leçons ont
riée à 20 ans et bientôt mère de 2 enfants, n'avait jamais éprouvé de
maladie
sérieuse jusqu'à l'époque où s'est produit l'acci
on d'une cause mécanique. Le même fait peut se produire dans d'autres
maladies
qui, comme l'hystérie, appartiennent au groupe pr
es névroses. C'est le cas, par exemple, pour la paralysie agitante ou
maladie
deParkinson. M. Charcot a rapporté dans le temp
ard permanent, et s'étendit enfin aux autres membres. (Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1.1. p. 185.) Les principal
um. Elle est,comme on sait absolument et foncièrement distincte de la
maladie
qu'on appelle aujour-d'hui la chorée (chorea mino
des conférences de cette année : elles seront consacrées à celles des
maladies
du système nerveux et, en particulier, de la moel
douleurs. Eschares à développement rapide (Décubitus acutus) dans les
maladies
du cerveau et de la moelle épinière. — Mode d'é
n importance au point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les
maladies
de la moelle épinière : il siège en général à la
siques. Caractères fondamentaux de la paralysie agitante. — C'est une
maladie
delà seconde période de la vie. — Ses symptômes
utrition. — Affai-blissement de l'intelligence. — Eschares sacrées. —
Maladies
terminales ; elles diffèrent de celles de la sclé
tante................................ 409 IL Du tremblement dans la
maladie
de Parkinson.................... 414 III. Carac
......... 414 III. Caractères de l'écriture des malades atteints de
maladie
de Parkin- son.................................
pa-ralysie agitante, 170 ; — dans le rhumatisme, 171. (V. Griffe).
Maladie
de Parkinson,note, 173,414. Méningite ascendant
EUROLOGIE AIICIWVh;S DE ri. NEUROLOGIE tiEVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NEUVEUSES ET MENTALES FONDÉE PAR J.-111. CIIAlt
DIIIECTION DE 1)1. A. JOFFROY I Professeur de clinique z des
maladies
mentales . a là Faculté de médecine de Paris.
urine indis- tinctement, njestpas seulement la-conséquence : d'unel
maladie
des, reins' eux-mêmes;. elle,peutiètrelé7aùsée
E^ FOLIEIURÉMIQUE. 7 ? de l'ouje, Après^avpirjqnguement parte de sa
maladie
, .disant que la.boisson n'y,,était pour,rien, p
s...-milieux,, plus, éveillé, 'maisrn'a qu'un souvenir confus™ desa,
maladie
,etest,dis{)oséj croire^ que loutre,, qu'on ^lui^a
èguer Des accidents cérébraux qui surviennent daas; le,coiers de la
maladie
de Bright (Etudes médicales,at. 11) ? a9A a»5r»TM
'-1 trois i, moisTaprès;7présentaitiJ encore quelques. traces de la^
maladie
;1 unipeuid'hébétude et de tendance aux idéeside
exclu-' é sivèment entendre un retourcompletàl'étatantérieur°àla
maladie
;car : le 'malade me<parait''manifestement dimi
. hystériques, ales épileptiques. les. neurasthéniques,- etc.; les,
maladies
de la, persoii- nalite, etc. (Etudes cliniques
et l'hydropisie que trois religieuses prétendaient avoir été' la
maladie
de Marguerite Jamain, donnèrent aussi matière à
s reli- gieuses se .découvrirent aux exorcistes « de toutes leurs
maladies
plutôt qu'à leurs supérieurs et infirmières D et
étique DES deux hanches ; par M. LoNDE, interne de, la clinique des
maladies
du système ner- veux. (Nouv. Iconogr. de la Sal
' ' '' ' 1' r .. t." « T't Observation détaillée d'un cas de cette
maladie
étrange et assez rare, puisqu'on n'en connaît q
es de la Tourette trait à un homme de 'è quarante-neuf ans, dont la
maladie
remonte à huit ans. Les pre- miers symptômes fu
courbèrent en dedans. On note tous les caractères ordinaires de la
maladie
de Pagel, mais le cas diffère en certains point
. Cette observation est suivie de deux notes relatives aussi à la
maladie
de Paget. La première est de i\l., Albert Robin,
de i\l., Albert Robin, elle est relative à un nouveau cas de cette
maladie
. Il s'agit d'un homme de soixante-quatre ans qu
amoureux dé l'harmonie des formes pour peindre l'expression de la'
maladie
*. Cependant cette règle n'est pas sans exception,
ie, ni de troubles trophiques. 3e cas. Il s'agit d'un cas fruste de
maladie
de Friedreich. Jeune garçon, seize ans, crâne p
furent transitoires. Exagération des réflexes tendineux et mort par
maladie
intercurrente, érysipèle. L'autopsie montre des l
ar la loi, non pas comme le résultat de la conduite, mais comme une
maladie
du cer- veau. C'est au jury.de décider d'après
serait au jury, les deux questions : z ", ? ? 1° L'accusé a-t-il la
maladie
du cerveau qui est la folie ? 4p ? 1 ", 20 Le.c
i est la folie ? 4p ? 1 ", 20 Le.crime est-il le résultat de' cette
maladie
? y; w ,.Les, questions sont simples; les diffi
t. Ilti'y.a, ni actuellement ni antérieurement, dans le cours de ia
maladie
, ni simulation ni exagération. , 1 «n , P. K ? t
e à cause des récentes prescriptions, relatives aux déclarations de
maladies
épi- démiques, obligation nécessitée par l'inté
Etude micrométrique des globules sanguins ci l'état de" santé où de
maladie
.^ " ^v-A 1 'z < ™- * .4,. * ? i L'autre de C
ades à l'entraînement de KNEIPP, on nuit plutôt à l'évolution de la
maladie
.mëulate dont on risque, pour le moins, de prolo
iétés savantes. 59 fonctionnelles, notamment quand l'évolution delà
maladie
prend un caractère traînant; ces procédés sont
ce sont les mélancoliques anxieux et les malades affaiblis'par une
maladie
physique aitérieure2 ,' ? P ,1, '" * ;"»* / ! '
élire sÿsténiâtiqilê'aiâüyôïicôïîstate;`à la pério'de* d'acmé de la
maladie
,' une diminution de, la densité," et''de 'l'hém
Voici, par contraste; une démente de. trente-neuf ans; atteinte de
maladie
de Basedow : le poids spécifique est de 1,031 la;
oepelin). Le délire systématique hallucinatoire (%Vahnsinn) est une
maladie
caractérisée par des hallucinations sensorielles
és et savent ce qu'ils veulent ; parfois ils ont conscience de leur
maladie
et en conservent le souvenir. Le délire systéma
aigus - cessation brusque dès la première semaine conscience de la
maladie
du cinquièmp au douzième jour, guérison absolue
ubles de la mémoire et du jugement, une conscience imparfaite de la
maladie
, une appréciation imparfaite ou exagérée ou égo
ulation. Idées délirantes cristallisées persistant pendant toute la
maladie
. Grande agitation ; çà et là confusion mentale
-t-on lui appliquer une pénalité quelconque dans son état actuel de
maladie
? M. Charpentier. , Dans ma communication de 18
s s'observaient dans toutes les formes. On fait, à tort, entrer ces
maladies
dans le groupe des mélancoliques ; ce sont plut
l'irrigateur. , MARcEL BRIAND. r- BIBLIOGRAPHIE. I. Traité des
maladies
mentales; par le Dr H. DAGONET, avec la collabo
laced'ensemble,laclassification adoptée par l'auteur. Ce Traité des
maladies
mentales comprend d'abord trois parties distinc
fois de jeunes'praticiens n'ayant jamais étu- diés spécialement les
maladies
mentales, on n'a pas à se montrer si sévère. Au
2 pages. Lille, 1894. Imprimerie Le Bigot. DAGONET (H.). Traité des
maladies
mentales, avec la collaboration de DAGONET (J.)
AZOULAY. Travail du laboratoire du Professeur JOFFROY (clinique des
maladies
mentales). La méthode histologique de Golgi, on
ultérieurement sur ces recherches, dans la mélancolie et les autres
maladies
mentales. Ce n'est pas la première fois que la
d'excès de femmes et de boisson. Malade depuis trois ans, pour une
maladie
de la moelle. A pris des douches et du bromure, a
s (à réserver jusqu'aux renseignements de sa femme). Marche de la
maladie
. 23 octobre 1892. Cette nuit le malade a eu une
nte dans la mélan- colie on verra qu'il s'agit, pour cette dernière
maladie
, d'un pro- cessus analogue mais à un moindre de
e, d'altérations permettant de reconnaître histo- logiquement cette
maladie
? et, en second lieu, quel rapport existe entre
rmer ce fait déjà connu que la cellule cérébrale est touchée par la
maladie
qui nous occupe ; mais, de plus, elle nous fait
professeur Joffroy et par d'autres auteurs, à savoir que dans cette
maladie
, c'est d'abord, et avant tout, l'élément cellul
'amoindrit, s'étiole et s'atrophie. Il nous a semblé que dans cette
maladie
, les lésions déli- cates que nous venons de men
structure des éléments nobles de l'écorce et que dans aucune autre
maladie
ces modifications n'appa- raissent plus netteme
e la neurasthénie et sont dus à l'impaludisme larvé. Marche de la
maladie
. L'invasion de la neurasthénie palustre est rar
De l'influence de la congestion chronique du foie sur la genèse des
maladies
», rattache les troubles neurasthéniques au mau
lle n'a jamais souffert d'accès de fièvre. Aucune névrose, ni autre
maladie
dans ses antécédents. Elle me raconte que depuis
gravement malade, après les exorcismes, elles avancèrent que cette
maladie
n'était que la punition de ses fautes. Enfin il
sent été obligés « de ne plus y croire et d'imputer tout à folie, à
maladie
ou méchanceté ». D. N'y a-t-il point de charmes
mars 1894.) A. Marie. IX. Importance DE la SUSPENSION dans QUELQUES
maladies
DE la moelle; par W. DE BECHTERFW. (kete ? -olo
p. 100 chez l'homme. J. SÉGLAS. II. DES auto-intoxications dans LES
maladies
mentales, faits d'ordre chimique et expérimenta
PATHOLOGIE MENTALE. l'épilepsie. Entre les mains de l'auteur, cette
maladie
n'a été modifiée en aucune façon par l'usage de
ens montrant la possibilité de remédier, dans certains cas, à cette
maladie
par les moyens optiques, il convient cependant, e
ent cependant, en présence d'un épileptique dont rien n'explique la
maladie
, de penser à l'état oculaire. E. Régis. V. Ca
que cette vésanie évolue, des d32 . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
maladies
somatiques apparaissent et se succèdent : périost
lement, elle a pour début un grand accès comitial; 2° Au delà, la
maladie
est constituée par un mélange d'accès de grand
t antisyphi- litique. Elle est à la syphilis ce qu'est à cette même
maladie
la syphilide pigmentaire, ce que lui est le tab
n'existe pas de formes différentes dans l'évolution clinique de la
maladie
, dans l'un ou l'autre sexes, et il parait superfl
ections familiales du système nerveux. Dans l'un et l'autre cas, la
maladie
se déclare vers l'âge de six à sept ans. On const
parole lente, mais bien articulée, un air de satisfaction. Puis la
maladie
s'aggrave ; la démence devient complète et la m
es habitudes antérieures, ses relations. Elle parle sans gêne de sa
maladie
. M. Finrelnbourg. Des premiers résultats fourni
ement, toutes les notions qu'ils ont pu acquérir sur la science des
maladies
mentales et qui se sont répandus ensuite en Fra
er désormais, par l'observation clinique, des espèces naturelles de
maladies
men- tales, reposant à la fois sur l'ensemble d
éclat l'École de la Salpêtrière. M. Falret, dans le livre sur les
maladies
mentales et les asiles d'aliénés, publié en 186
use idée de réunir en volumes, sous le. titre de Recherches sur les
maladies
mentales, la plupart de ses travaux ; il les a
ée. Parmi ses travaux, nous noterons : sa thèse de doctorat sur les
Maladies
inci- dentes chez les aliénés, Paris, 1893; une
mier novembre 1879, il était chargé du cours annexe de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Nancy. « P
ne. Le tremblement des membres et du corps dans les diffé- rentes
maladies
nerveuses était jusqu'à ce jour enregistré cli-
mal. ment. A ? in. méd.-psycla., 1874, t. XI, p. 350. ' Ribot. Les
maladies
de la mémoire, 8e édition, 1893, p. 69. ' Rouil
is ni, comme on le verra, de stigmates hystériques, ni de signes de
maladies
organiques de l'encéphale, et qu'en fin de comp
es] la prédisposition est une des conditions .métaphysiques; de, la
maladie
et, on la. suppose volontiers partout. ? ij .ç
plus ou moins nombreux ou plus ou moins carac- téristiques de cette
maladie
., Mais faut-il aller plus'loin et admettre avec
, -,... ? s^i t- Force est donc de ranger ce cas en dehors de cette
maladie
, i en attendant que des études plus complètes s
e possède pas de pavillons d'isolement pour les aliénés atteints de
maladies
contagieuses. liy.10.- Plan de l'Asile. La divi
bien ce travail en plein air est précieux dans le traitement des
maladies
mentales. En les faisant surveiller attentivement
les conclusions sont les suivantes : 1° importance étiologique des
maladies
infectieuses, dans -la genèse de la sclérose en
la sclérose en plaques disséminées; 2° aussi bien que - 'les autres
maladies
infectieuses, l'influenza peut provoquer le déve-
érédo-ataxie cérébelleuse une affection familiale très proche de la
maladie
de Friedreich mais se développant à une époque
'acuité visuelle.. , ". 1, Entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich existent des formes de transition
are rhumatismale acquise. Enfin, fait capital, existence de la même
maladie
chez une soeur cadette. {Revue neurologique, 18
e générale. C'est alors qu'il étudie la goutte,' le rhumatisme, les
maladies
rénales et les processus séniles. Les recherche
s maladies rénales et les processus séniles. Les recherches sur les
maladies
du système nerveux étaient d'abord z plutôt con
cette observation devint point de départ pour la description d'une
maladie
nouvelle : la sclérose latérale aimjolrophique.
aussi présomptueux que de prétendre connaître à fond cette terrible
maladie
sans en avoir étudié les localisations médullaire
mes qui sont l'hystérie. Qui donc a démontré qu'en nombre de cas la
maladie
sacrée, l'épilepsie, n'est qu'une urémie, le cr
ndre par ces deux termes hystérie et folie, l'un s'appliquant à une
maladie
psychique dont il ne me paraît pas impossible d
le paraisse, ne lève pas la difficulté qu'on éprouve a donner de la
maladie
une défini- nition exacte et précise. Ni l'étio
isme cérébral qui parait être la caractéristique palhogënique de la
maladie
. Dans ces dernières années, différents auteurs
relèvent véritablement de cette névrose ou ressortissent à d'autres
maladies
psychiques. `' , ' La raison principale qui exp
i explique la fréquence relative de ces associations, c'est que les
maladies
qui se juxtaposent à l'hystérie ont, comme l'hy
s cela lui fixe une place dans nos classifications nosologiques. La
maladie
de Morvan n'est bien qu'une modalité;de la syring
a syringomyé- lie et cela n'empêche pas que le malade affecté de la
maladie
de Morvan doit être distingué cliniquement du s
bles. M. Gilbert Ballet. M. Joffroy pense que l'hystérie, est une
maladie
de dégénérescence. Il ne voit pas la différence q
est de connais- sance vulgaire aujourd'hui que dans bien des cas de
maladies
240 SOCIÉTÉS SAVANTES. graves, de cachexie d'
e comme l'ivresse, car, aux yeux des médecins, l'ivrognerie est une
maladie
. Législation civile. La déchéance de la puissan
ante. Le tabes, dit M. Déjerine, apparaît de plus en plus comme une
maladie
des' nerfs périphériques, sensitifs, sensoriels
u diphtéritique ne paraissent pas capables de donner naissance à la
maladie
de Duchenne. M. Pierret. Depuis près de vingt-c
s. J'ai montré en premier lieu que le tabes dorsalis vrai était une
maladie
systématisée et j'en ai fourni la preuve en éta
r comme une affection du système nerveux central que d'en faire une
maladie
exclusivement périphérique. ' Mais il y a un se
dans lesquels le même trouble mental s'est observé à la suite d'une
maladie
infectieuse sans coexistence de polynévrite, jo
tré au corps, au mois d'avril 1894, il fut atteint d'une nouvelle
maladie
infectieuse, la rougeole, qui, dès la période d'i
prouve combien sont profonds et durables les retentisse- ments des
maladies
infectieuses sur le système nerveux. Or, ce mal
ves, t. XXVIII. 18 274 CLINIQUE MENTALE. lequel se traduisent les
maladies
de l'intelligence ; elle détache successivement
e ne décrit plus comme espèces distinctes les diverses phases d'une
maladie
; mais elle essaye d'embrasser tout son ensembl
la manie vulgaire, que rien chez elle ne pouvait faire supposer une
maladie
différente : J'ajoutais que très probablement d
, et la spécificité du traitement eût entraîné la spécificité de la
maladie
. C'est encore en exagérant l'influence étiologi
nt l'équilibre mental reste intact jusqu'au jour où se développe la
maladie
, le délire marche sans trêve ni arrêt, suivant
ent les cas hybrides, comme en présente la clinique dans toutes les
maladies
, mais ces faits exceptionnels ne font que confi
chronique exclut par ce fait même la dégénérescence. L'étude des
maladies
de l'esprit n'est pas réduite aux psy- choses ;
ogie mentale. La constitution médicale est ordinairement bonne. Les
maladies
ordinaires intercurrentes sont, en général, peu
chaque année, dans les infirmeries, qu'un nombre très restreint de
maladies
internes ordinaires. Dans la majorité des cas,
a- nique et la paralysie générale, toujours. Les statistiques des
maladies
intercurrentes qu'on établit tous les ans ne di
s peu les unes des autres, et la liste suivante,- qui est celle des
maladies
internes de l'année dernière, suffit pour faire
ée dernière, suffit pour faire connaître la nature et le nombre des
maladies
qu'on observe chaque année dans notre populatio
que les conceptions délirantes des seconds, quelles que soient les
maladies
mentales dans lesquelles elles' , entrent comme
oison ou si on le lui fit avaler, les symptômes observés pendant sa
maladie
, tels que soif inextinguible, vomissements cont
nt d'elles, et que leurs. volontés et leurs imaginations ou quelque
maladie
faict en elle le principe de tout ce que nous y
n de toutes les descriptions érotiques des possédées se fit par une
maladie
appelée furor uterinus dans laquelle » 2 parit
hez plu- sieurs possédées trouvèrent leur interprétation dans une
maladie
se rapprochant de la nymphomanie, tandis que tout
n- sidérable, dans l'explosion et la propagation ultérieure de la
maladie
en question. Ce fait important n'avait pas échapp
il est certain que plu- sieurs religieuses débutèrent déjà dans la
maladie
, par des attaques plus ou moins complètes, s'ac
r, maintenant, de faire surgir tous les symptômes cli- niques de la
maladie
, et c'est en effet ce qui arriva. La soeur de S
e Hansen, d'où leur conclusion que la syringomyélie parait être une
maladie
réellement distincte de la lèpre. E. R. XVII. D
caractère, ces faits se rapprochent de ceux qui appartiennent à la
maladie
de Friedreich et plaident en faveur de la théorie
edreich et plaident en faveur de la théorie céré- belleuse de cette
maladie
émise par Menzel et défendue par Senator. D'aut
'On sait, d'ailleurs, que celui-ci aurait été rencontré dans cette
maladie
, tout à fait excep- tionnellement, il est vrai,
ami M. Falret, ne saurait servir de base à la classifica- tion des
maladies
mentales ; il faut substituer à ce mot, désignant
l'existence de ces lésions serait une preuve de la tendance de ces
maladies
à l'incu- rabilité et à la démence. Au cours
s de même en France, où la plupart des médecins connaissant peu les
maladies
nerveuses chroniques des enfants, ne croient pa
tion. Ce symptôme divise, au point de vue des troubles visuels, les
maladies
du système nerveux en deux grandes catégories :
le avec des symptômes de névroses diverses (hystérie, neurasthénie,
maladie
de Basedow) ; il semble y avoir là plus qu'une
lle; grand-père, Louis de Bourbon. Traitement hydrothérapique DES
maladies
NERVEUSES. Dans le compte rendu de la première
(de Paris) sur les avantages du traitement hydrothérapique dans les
maladies
iici-- veuses. Il a passé en revue toutes les m
elle M. Bourm- ville est revenu dans ses publications relatives aux
maladies
ner- veuses sur l'emploi de l'hydrothérapie, il
6 gravures. Tulle, 1893. BIBLIOGRAPHIE. VII. Traité pratique des
maladies
du système nerveux; par MM. .1 GnnssET et G. Ra
hacune pour leur propre compte, à cette méta- morphose. L'étude des
maladies
infectieuses, éclairée par les dé- couvertes de
nstater ces progrès, de comparer la troisième édition du Traité des
maladies
du système nerveux, publiée en 1885, par M. le
on a été féconde; elle a donné naissance au plus complet traité des
maladies
nerveuses que nous possédons. Tout en conservan
hronique, la porencé- phalie, l'hydrocéphalie, la syringomyélie, la
maladie
de Fried- reich, les névrites périphériques, la
omyélie, la maladie de Fried- reich, les névrites périphériques, la
maladie
des tics. Quant aux autres maladies, déjà étudi
, les névrites périphériques, la maladie des tics. Quant aux autres
maladies
, déjà étudiées dans la dernière édition, les unes
essive, para- BIBLIOGRAPHIE. 349 lysies atrophiques de l'enfance,
maladie
de Basedow, hypnotisme, épilepsie, hystérie.
giques récentes, les auteurs ont explicitement souligné le rôle des
maladies
infectieuses dans l'étiologie des méningites, de
ères parties, qui constituentle premier volume ont trait, l'une aux
maladies
de l'encéphale, l'autre à celles de la moelle.
moelle. Les quatre dernières parties concernent successivement les
maladies
de la moelle allongée, les maladies des méninges,
s concernent successivement les maladies de la moelle allongée, les
maladies
des méninges, les maladies des nerfs et les név
les maladies de la moelle allongée, les maladies des méninges, les
maladies
des nerfs et les névroses, les manifestations ner
aladies des nerfs et les névroses, les manifestations nerveuses des
maladies
générales. Enfin, comme appendices, deux très réc
avoir péché par excès de modestie. En somme, le Traité pratique des
maladies
du système nerveux, de MM. Grasset et Rauzier,
. Pour nos abonnés, 0 fr. 70. Magnan (V.). Leçons cliniques sur les
maladies
mentales faites « l'asile clinique (Sainte-Anne
notre communication. 366 CHIMIE PATHOLOGIQUE. quand il s'agit de
maladies
nerveuses ou mentales, car les modifications de
tte formule servira de préface à l'étude de la nutrition dans cette
maladie
, espérant qu'on pourra peut-être arriver par la
première période sont surtout marquées à la troisième et lorsque la
maladie
est tra- versée par des crises épileptiformes.
lui MM. J. Christian et A. Ritti 6 pensent également que dans cette
maladie
les modifications de la sécrétion uri- naire n'
la présence des peptones chez les aliénés, surtout à l'occasion des
maladies
intercurrentes, et il l'attribua à une maladie
ut à l'occasion des maladies intercurrentes, et il l'attribua à une
maladie
latente ou à une altération de la nutrition rés
é de la peptonurie lui a même paru proportionnelle à l'acuité de la
maladie
et à la rapidité de l'évolution. Aussi se croit
effet dans des indispositions passagères et dans un grand nombre de
maladies
. On l'observe, dans différentes formes d'aliéna
té qu'on pouvait trouver cette substance à l'état de santé comme de
maladie
et qu'elle n'avait aucune valeur chez les alién
tion de l'urine chez un même individu dans une même période de la
maladie
, suivant les phases épisodiques de cette maladie.
même période de la maladie, suivant les phases épisodiques de cette
maladie
. Pour le moment nous nous occuperons seulement
s quelconques sans aucune distinction de forme ou d'évolution de la
maladie
et nous avons toujours basé les données qui von
uvent pourtant au prix de dures privations. Lorsque, frappés par la
maladie
, les mal- heureux possesseurs de ces humbles dé
rent et l'empêchent d'uti- liser le logement vacant par suite de la
maladie
d'un locataire qui ne paie plus et ne paiera pe
utres mesures légales bien connues en matière de défense contre les
maladies
infectieuses, mesures excellentes à la con- dit
es et hardes sans valeur. ' De plus, ces mobiliers, par suite de la
maladie
de leurs pro- priétaires, sont toujours dans un
me n'ait donné congé. Si, au contraire, le méde- cin déclare que la
maladie
sera longue ou qu'elle sera incu- rable, il est
(Revue neurologique, 1893.) E. B. LV. Coïncidence DU tabès ET DE la
maladie
de BASEDOW. Autopsie; par les Drs P. Marie et M
est pas extrêmement rare de voir coïncider chez un même individu la
maladie
de Basedow et le tabes. L'intérêt du cas présen
ment et simplement au tabès ou ont-elles quelques relations avec la
maladie
de Basedow. Bien qu'on puisse conclure 'des div
celle-ci tout rôle dans le mécanisme de certains phénomènes delà
maladie
de Basedow, étant données les connexions anatomiq
bien avec le sympa- thique : la théorie de l'origine bulbaire de la
maladie
de Basedow REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 395
s semblable à celui du Dr Bramwell pré- cité (Dr Coutto); un cas de
maladie
de Raynaud chez un enfant de dix-neuf mois (Dr
ie. Tare héréditaire et lésions traumatiques du dos. Pathogénie. La
maladie
débute par de la lourdeur céphalique, de l'impo
bas, laissant après lui un nuage qui disparait à son tour. Cette
maladie
dont est atteint l'auteur, il a pu en interrompre
scienti- fique et médico-légal. On suivra de la sorte la marche des
maladies
et les migrations des malades : on saura où les
t mélancoliques et déments. Chez eux aussi, durée plus longue de la
maladie
, rareté plus grande des attaques congestives, e
plus grande des attaques congestives, explosion plus précoce de la
maladie
. Leur maladie est due non seulement à l'infection
es attaques congestives, explosion plus précoce de la maladie. Leur
maladie
est due non seulement à l'infection syphili- ti
r la première fois : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 405 Forme de la
maladie
: 406 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. gauche (48
ière il faut placer toutes les causes d'épuisement de l'organisme :
maladies
, excès, vices débilitants, intoxications, et le
alablement les visiteurs sur la nature et les particularités de la-
maladie
en même temps qu'il leur apprendra comment ils do
ntre-indications spéciales des visites dans les diverses formes des
maladies
mentales. Il éta- blit les conclusions suivante
de visites, du moins pendant les périodes d'augment et d'acmé de la
maladie
. L'angoisse avec ou sans obsessions contre-indi
obsessions contre-indique suivant sa violence les visites. Quand la
maladie
décroit on peut les autoriser. Il n'est pas rar
génétique important et c'est un symptôme souvent observé dans cette
maladie
. La terreur a aussi ses attributs physiques. Co
e une série d'états psychopathiques, considérés jusqu'ici comme des
maladies
distinctes, des monomanies (démonopa- thie, dél
), et qui ne sont en réalité que des événements épisodiques d'une
maladie
plus profonde. Type achevé de systématisation vés
connaître à la fois, pour fixer un type morbide, l'évolution de la
maladie
tout entière et l'état mental sur lequel elle e
e moins d'aptitude pour ses travaux accoutumés; à cette phase de la
maladie
il pourrait être pris pour un hypochon- driaque
nt rares en dehors de toute complication (intoxication, névroses,
maladies
organiques); les malades ne voient presque jamais
e rétablit au bout de huit mois, et il ne resta pas de traces de la
maladie
. Mariée à vingt-cinq ans (en 1876) avec un ouvrie
pas moins ce fait clinique absolu qu'à une certaine époque de sa
maladie
, le délirant chronique devient de persécuté, am-
E DE LA POLYURIE HYSTÉRIQUE; Par A. SOUQUES, Chef de clinique des
maladies
nerveuses, à la Salpètrière. Il y a trois ans,
rhagies, la dernière, il y a une dizaine d'années. Le début de la
maladie
actuelle remonterait au 4 novembre 1893. Il ren
ses nerveuses, attri- buées aux émotions, aux refroidissements, aux
maladies
aiguës, relèvent vraisemblablement de l'hystéri
at d'une action directe et encore mal connue du virus syphilitique (
maladies
parasyphilitiques de Fournier). Tout n'a pas ét
TE SYPHILITIQUE. 473 Remarque. Il convient d'ajouter que, parmi les
maladies
infectieuses communes, la tuberculose seule par
pays. I. HISTORIQUE. La Veîi,üe4htlieit d'Hoffmann (1862) est une
maladie
men- tale, prenant naissance à la suite d'hallu
ce cas il existe des troubles moteurs correspondants. Enfin la même
maladie
peut commencer par une brusque poussée d'halluc
ité mentale, que l'on rencontre parfois, entant que caractère de la
maladie
en question, débilité, suivant lui, préalable e
réa- tion des idées délirantes, au moment des exacerbations de la
maladie
, à la période de transition d'une phase à une aut
s, qui ne sont pas plus capables que les étrangers d'y retrouver la
maladie
que cette expression a pré- tendu consacrer. En
ne trouble en rien l'interpré- tation du niotverrücktheit et de la
maladie
qu'il couvre. Qu'il y ait 480 PATHOLOGIE MENTAL
SOCIÉTÉS SAVANTES. 489 fusion mentale (Wille), il faut entendre une
maladie
ayant pour symptôme essentiel les hallucination
es symptômes fondamentaux et permanents pendant tout le cours de la
maladie
qui, en tant que pronostic, parait être la mala
vons, de même que le délire hallucinatoire, à la suite notamment de
maladies
infectieuses, de traumatismes, tient aussi bien
e à la définition les symptômes qui se montrent dans le cours de la
maladie
, en en établissant le genèse, la description, l
que. Il mentionne également l'existence d'une marche aiguë de cette
maladie
, indépendamment de sa genèse aiguë; cette forme
es et présomp- tueux, presque mégalomanes; on peut donc dire que la
maladie
est déjà épanouie à la période de la jeunesse,
été hypo- condriaque, il existe en effet une genèse semblable de la
maladie
qui nous occupe, rare, que, l'on ne voit guère
s occupe, rare, que, l'on ne voit guère dans nos asiles. Dans cette
maladie
, les malades, en pleine lucidité, se plaignent de
leurs pensées, qu'on les leur impose, qu'on` les leur soustrait. La
maladie
peut aussi êtie parcourue par des accès d'agita
lgré l'apparence parfois mélancolique qu'il revêt, qui, soit que la
maladie
ait débuté par de l'agitation véritable, soit qu'
débiles moraux ou intellectuels. A la suite d'une émotion ou d'une
maladie
physique, les voilà inquiets, excités, déprimés,
s venons de le tracer, et si, avant d'admettre l'existence de cette
maladie
, nous en fixons les analogies avec la folie systé
ptomatologie qui doit servir de repère à la carac- téristique de la
maladie
, et à sa dénomination, c'est l'ensemble du tabl
xe,d'unehistoirequi demeure invariable pendant toute la durée de la
maladie
et qui ne fait que se développer sous l'influen
quelles une histoire mythique invariable cons- titue le noyau de la
maladie
autour duquel tourne un monde de visions mobile
une marche suraiguë et favorable, quand elle est consécutive à des
maladies
fébriles aiguës, de sorte que le traitement à l
omes de confusion mentale aiguë, dont la genèse est indépendante de
maladies
fébriles, qui néanmoins se traduisent par les m
é. Mais il est plus fréquent d'observer une plus longue durée de la
maladie
; pendant plusieurs mois le délire sub- · siste
des épisodes de confusion mentale passagers, soit au début de la
maladie
, soit dans son cours; c'est fréquent. Dans la fol
désignent que pour une série de cas l'ensemble symptomatique de la
maladie
. Pour beaucoup d'autres observations, il faut e
e qui est le plus remarquable, ce qui détermine l'évolution de la
maladie
en plein développement, c'est le trouble de l'act
ant de cas observés avec exactitude, du commencement à la fin de la
maladie
. Ceci ne s'applique pas seulement à la paranoïa,
, en se tenant dans la clinique pure, à distinguer et à grouper les
maladies
, itfautparvenir à assembler les cas qui con- co
délirantes déterminées, d'ordinaire, dans le cours ultérieur de la
maladie
, elle revêt l'importance d'un symptôme autonome
mbreuses affec- tions, de l'alcoolisme isolé ou associé à certaines
maladies
géné- rales. Par un procédé didactique contesta
e le plus souvent à l'action de l'alcool s'ajoute celle de quelques
maladies
générales (syphilis, tuberculose, hépatisme, ic
vent être rapprochées de celles observées dans les folies liées aux
maladies
aiguës ; dans le second, en dépit des résultats
il y a aussi dégénérescence (toxique) des cellules en sorte que la
maladie
n'est pas une psychose. Il s'agit là d'inflammati
lynévritique. Ils se rencontrent en tout semblables dans toutes les
maladies
infectieuses et toxiques qui s'accompagnent de
ique n'est pas une entité morbide. Dr DEVAY. Chef de clinique des
maladies
mentales. V. Contribution à l'étude des pseudo-
stance de l'état général et surtout par l'évolution favorable de la
maladie
. E. R. VI. Nature et traitement du goitre exoph
, Renaut (de Lyon) et Chevalier (de Mont- pellier), à savoir que la
maladie
de Basedow se ratache soit à un fonctionnement
t remarquer que dans la grande famille névropathique, on trouve des
maladies
qui ne sont point, à propre- ment parler, des n
nt en faveur de cette théorie, n'existe souvent qu'en apparence, la
maladie
presque sûre- ment existant déjà à l'état laten
. Théories thyroïdienne. M. Joffroy explique les phénomènes de la
maladie
de Basedow, par une altération du sang produite p
fonctionnement vicieux du corps thyroïde altéré. On a affaire à une
maladie
qui prend place à côté de certaines albuminuries
taines albuminuries et de certaines glycosuries, c'est-à-dire à une
maladie
par altéra- tion du sang consécutive au mauvais
mus, plus ou moins prononcée, accompa- gnant comme fait constant la
maladie
de Basedow, donne à son- ger qu'il s'agit là d'
'il s'agit là d'un travail de compensation. La transformation de la
maladie
de Basedow en myxoedème, mais sans la surajouta-
n myxoedème, mais sans la surajouta- tion des symptômes de ces deux
maladies
, prouve également en faveur delà théorie thyroï
e simple est fré- quent.A l'argument de Bruhl qui cite des faits de
maladie
de Basedow évoluant alors que précédemment le c
férents procédés de traitement tant médicaux que chirurgicaux de la
maladie
de Basedow. Tout en constatant les succès fréqu
echte- REFF. Ce livre ne constitue ni un traité, ni un manuel des
maladies
nerveuses.il a simplement la prétention de cont
ves deux formes ou plutôt deux expressions symptomatiques delà même
maladie
. Dans une première partie, il expose l'analogie
a méningo-encéphalite diffuse, la plus grave et la plus commune des
maladies
mentales. Il n'est pas de médecin qui ne puisse
ème volume est presque entièrement consacré au système nerveux; les
maladies
de l'encéphale sont signées G2-ay,Pî-itchaid et
aladies de l'encéphale sont signées G2-ay,Pî-itchaid et Shultz; les
maladies
de la moelle, Obersteiner; les affections des n
L'OPPORTUNITE DE SUBSTITUER au MOT asile LE nom d'hôpitaux POUR LES
maladies
mentales ET NERVEUSES; par William REID. C'est
e des portes ouvertes. Puis il en arriva trente autres, atteints de
maladies
, ne permettant pas la pratique parfaite du syst
son; VARIA. 525 20 Malades dont l'examen permet de reconnaître la
maladie
, mais qui, tout aliénés qu'ils soient, possèden
nsécutif à une folie aiguë. 3 démence sans qu'on puisse préciser la
maladie
du début. 2 après mélancolie. 1 consécutive à
e soit requise que quand l'état physique de l'aliéné, atteint d'une
maladie
de l'âme, exige son intervention. En ce qui con
66; pseudo - anarchiste, par Rist, 268. Auro-IyTOwcnTlov dans les
maladies
mentales, par Régis et Clievalier- Lavaure, 1
rnler, 18, 111, 196, 2;10, Basedow, coïncidence du tahcs et de la
maladie
de -, par P. Marie. et Mannesco, 391. , Buste
par Fuerstner et Fedbausch, 57. Hydrothérapique, traitement - des
maladies
nerveuses, par Verrier, 343. HYPFRTRICHOSE, n
54. Juif errant, le à la Salpêtrière, par Meige, 131. Langage,
maladies
du langage et localisations, par Struthers, 55.
les cérébrales dans la région capsulo-striée, par Pi- tres, il ;
maladies
du langage et -, par Struthers, 55; - en psyc
elle, folie primordiale, par Friedmann, 420. Mentales, traité des
maladies
, par H. Daôonet, avec la collabora- tion de
e, par J.-B. Charcot, 209. Système r,eRVEw, traité pratique des
maladies
du -, par Grasset et Rauzier, 348. Tabès et d
t électri- que du -, par S. Laborde, 270; coïncidence du et de la
maladie
de Basedow, par P. Marie et Mari- nesco, 394.
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
IES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES
MALADIES
MENTALES A. FOURN1ER PROFESSEUR DE CLINIQUE
IDES MALADIES MENTALES A. FOURN1ER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
) 1904 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA. SALPÊTRIÈRE
QUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA. SALPÊTRIÈRE LA
MALADIE
DE PARKINSON (1), PAR le Pr. F. RAYMOND. Me
rler de la paralysie agitante que Charcot a eu raison de dé- nommer
maladie
de Parkinson, terme qui a le double avantage de n
vant de vous exposer ce qu'on sait, touchant la pathogénie de cette
maladie
, je vous présenterai quatre types morbides, qui v
alades vous fera connaître, en outre, la marche et révolution de la
maladie
; vous pourrez,du même coup,juger de sa gravité.E
atomiques, enregis- trées,en France ou à l'étranger, au sujet de la
maladie
de Parkinson ; des recherches minutieuses ont é
matismes, ni douleurs d'aucune sorte ; elle n'a ja- mais eu d'autre
maladie
qu'une scarlatine dans l'enfance et une variole,
u cours d'une de ses grossesses. Vous voyez donc, Messieurs, que la
maladie
de Parkinson peut s'atta- quer à des sujets roh
ernier Congrès de Neurologie, tenu dans cette ville en 1897, que la
maladie
de Parkinson s'attaque, de préférence,à des vic
les où la longévité est tradionnelle. Mais j'ai hâte d'arriver à la
maladie
actuelle; celle-ci a débuté il y a six ans envi
it t uvaLLE ICONOGRAPHIE DE la Salpétrière. *- ' ? T. XVII. PI. I
MALADIE
DE PARKINSON - ? r £ -jiiii"i'if"i"i/i' '" ...
PI. I MALADIE DE PARKINSON - ? r £ -jiiii"i'if"i"i/i' '" ... LA
MALADIE
DE PARKINSON 3 encore localisé au membre supéri
e, on provoquait aisément chez elle de l'antépulsion. Depuis,. la
maladie
a notablement progressé : il y a dix-huit mois, l
ré l'attention sur la fréquence des déviations rachidiennes dans la
maladie
de Parkinson : presque constantes à la pé- riod
vous voyez qu'ici la percussion de tous les tendons détermine de LA
MALADIE
DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires,
ive s'accomplissent encore bien, même à un degré aussi avancé de la
maladie
. Cette femme a un aspect exagérément sénile, en
z une malade ainsi dibilitée (1). Vous venez de voir ce qu'est la
maladie
de Parkinson, parvenue à son stade ultime ; je
itaires. Lui-même était un homme robuste, n'ayant jamais eu d'autre
maladie
que quelques bronchites. Ethylique ancien, il d
sculaires qu'on ob- serve si souvent dès le début et au cours de la
maladie
. Il n'éprouve pas de sensation de chaleur exagé
l l'inquiète, il présente cependant les signes non équivoques de la
maladie
de Parkinson, dont vous pouvez faire le diagnosti
divers mou- NnUVELLEtCONOGKAPmEDELASALP6;Rlf'RE. T. XVII. PI. Il
MALADIE
DE PARKINSON (F. 11\'II/()I/(lJ LA MALADIE DE
'RE. T. XVII. PI. Il MALADIE DE PARKINSON (F. 11\'II/()I/(lJ LA
MALADIE
DE PARKINSON 7 vements, que ceux-ci ont conserv
ir l'importance pa- thogénique qu'on a voulu lui attribuer, dans la
maladie
qui nous occupe. Voici maintenant un exemple de
occupe. Voici maintenant un exemple de la forme hémiplégique de la
maladie
de Parkinson ; c'est un homme de 53 ans, exerça
e fati- Nouvllle Iconographie DE lA SALPETRIj.R6. T. XVII. PI III
MALADIE
DE PARKINSON l1 : '7 ? t"'1l1111 J LA MALADIE
. T. XVII. PI III MALADIE DE PARKINSON l1 : '7 ? t"'1l1111 J LA
MALADIE
DE PARKINSON 9 gue plus vite que la droite ; si
ité de sa physionomie, de l'attitude soudée, caractéristiques de la
maladie
de Parkinson. Mais, regardez-le deplus près : vou
ble. Rappelez-vous les changements de carac- tère, si spéciaux à la
maladie
de Parkinson, et que notre malade a lui- même r
t, je devrais, Messieurs, vous dire un mot des formes frustes de la
maladie
, caractérisées par la présence de l'un des deux s
de la maladie, caractérisées par la présence de l'un des deux sym-
MALADIE
DE PARKINSON (F. 'R1/)'lIIond) ' LA MALADIE D
l'un des deux sym- MALADIE DE PARKINSON (F. 'R1/)'lIIond) ' LA
MALADIE
DE PARKINSON 11 ptômes cardinaux ; raideur, on
apidement les principaux aspects 12 RAYMOND que peut présenter la
maladie
de Parkinson ; vous en avez noté la mar- che, l
vous en connaissez le pro- nostic sévère; la mort n'est, dans cette
maladie
, qu'une question d'années et vous avez vu à que
nfection que provoque l'apparition d'une escharre,oupar toute autre
maladie
intercur- rente, notamment la tuberculose. II
ts, avec des types vivants, la symptomatologie et l'évolution de la
maladie
de Parkinson, je voudrais maintenant vous dire
tement à la sclérose en plaques, qu'on a longtemps confondu avec la
maladie
de Parkinson : les autres sont des faits isolés
lobules paracentraux. Rapprochant cette constatation du fait que la
maladie
peut être hémiplé- gique, qu'elle peut débuter
ité, mais les disent précoces et particulièrement intenses, dans la
maladie
de Parkinson. On a attaché une certaine importa
ris, 1886. (3) BORGHERINI. Rivista sperim. di frenatria, 1889. LA
MALADIE
DE PARKINSON 13 Les premières ont surtout été v
ntrée dans sept cas, et dont il l'ait lesubstratum anatomique de la
maladie
; c'est la sclérose périvascu- laire, qu'il dit
eur valeur : d'autant plus, dit-il, qu'elles existent dans d'autres
maladies
. Caterina () en Italie, puis Dana (6) en Amérique
la graisse. Dana attribue un rôle capital, dans la pathogénie de la
maladie
de Parkinson, aux altérations des dendriles. J'
à faire, de cette lésion musculaire, le substratum anatomique de la
maladie
. Malheureusement, Messieurs, ces lésions, d'ail
DE BUCK et DEMOOII, Annales de la Soc. méd. de Gand, juin 1899. LA
MALADIE
DE PARKINSON 15 son ignorance touchant la pâtho
, et,dans vos livres classiques les plus récents, vous voyez que la
maladie
de Parkinson est encore rangée parmi les névros
de Parkinson est encore rangée parmi les névroses, à côté d'autres
maladies
dont on ignore également l'origine. Messieurs
on a tenté de tirer des conclusions pathogéniques de ce fait que la
maladie
de Parkinson peut être associée à d'autres affect
'on a voulu éta- blir entre les infections, les intoxications et la
maladie
de Parkinson ; la question est encore à l'étude
3, Moebius publiait, dans son Memorabilien, un cas d'association de
maladie
de Parkinson et de maladie de Basedow et se deman
on Memorabilien, un cas d'association de maladie de Parkinson et de
maladie
de Basedow et se demandait si la pa- ralysie ag
sent après un traumatisme, et surtout dans la plupart des cas où la
maladie
a débuté brusquement, c'est à la suite d'une gr
ctuel de nos connaissances, il nous est impossible d'oppo- ser à la
maladie
de Parkinson, une thérapeutique vraiment rationne
sultat d'une dégénérescence tertiaire, favorisée par la durée de la
maladie
. Il intervient ici sans doute encore un autre f
bable que chez mon malade, indépendamment de la courte durée de la
maladie
, la conservation relative de la santé générale, m
e produire aussi rapidement que dans d'autres cas où la durée de la
maladie
n'avait guère été plus longue. On pourrait se d
é en revue 12 moelles de tabétiques morts à diverses périodes de la
maladie
et j'ai pu 48 NAGEOTTE constater qu'en effet
aites dans ce butont porté sur une trentaine de malades atteints de
maladies
diverses du système moteur pyramidal : hémiplég
mato- logie et la physiologie pathologique, principalement dans les
maladies
du système nerveux (2). Les empreintes prises
tlSel1 : «La Vierge aux syphilitiques «reproduite dans le Trailédes
maladies
vénériennes de Ricord, et un « Saint Antoine to
ues antécédents rhumatismaux, et qui est suspect de tuberculose, la
maladie
a évolué en deux temps. Dans une première pério
nt du rachis est probablement en rapport seulement avec l'âge de la
maladie
. Si celle-ci n'est pas traitée convenablement,
Le type Marie-Strumpell se différencie beaucoup plus nettement : la
maladie
débute par les hanches, puis envahit le rachis, e
en rap- port direct avec la durée de l'affection. L'évolution de la
maladie
éclair- cira peut-être ce point obscur de la no
RAPPORT AU CERVELET, PAR Edmond CORNU Interne à la Clinique des
maladies
mentales de la Faculté de Lyon. Le cas dont nou
(3) L'observation régulière et détaillée de la première partie de la
maladie
nous a été gracieusement communiquée par M. le
Asile de Bron où elle est admise dans le service de la Clinique des
Maladies
mentales. Son certificat d'entrée porte : « Par
lules sont mieux conservées et prennent mieux la couleur. En somme,
maladie
ayant évolué cliniquement en un an et demi, ayant
de fibres est derrière la tumeur : le (1) In Rosenthal, Traité des
maladies
du syst. nerveux, p. 185. (2) Progrès médical,
du névraxe subissaient un retentisse- ment dégénératif. UN CAS DE
MALADIE
DE FR] EDREICH AVEC AUTOPSIE (COÏNCIDENCE DE
s hôpitaux de Lyon Interne des hôpitaux de Lyon Les observations de
maladie
de Friedreich sont encore assez rares, pour jus
lle. Scarlatine à 4 ans qui disparut sans laisser de traces.A 9 ans,
maladie
indé- terminée, qui le tient un mois au lit, do
nes pour reparaître ensuite avec les mêmes caractères. Ils durèrent
MALADIE
DE FRIEDREICH 127 depuis 14 ans jusqu'à 20 ans,
que sa vue ait baissé. Mais ce qui marque surtout les progrès de la
maladie
, ce sont les troubles de la voix, qui, actuelleme
sorte qu'on recon- naît difficilement la parole particulière de la
maladie
de Friedreich, qui était plus net il y a 2 ou 3
supérieurs, force musculaire plus diminuée à gauche qu'à droite.
MALADIE
DE FR1EDREICH 129 Hémianesthésie gauche, complè
eau NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE la Salpêtrière. T : XVII. PI XVIII
MALADIE
DE FRIEDREICH (Pic el BOl11lamour) MALADIE DE
T : XVII. PI XVIII MALADIE DE FRIEDREICH (Pic el BOl11lamour)
MALADIE
DE FRIEDREICH 131 cérébelleux latéral, des fibr
escence. Notre observation est, comme on le voit, un cas typique de
maladie
de Friedreich ; par sa marche, par son évolutio
ntéres- santes. Tout d'abord il y manque le caractère familial ; la
maladie
s'est (1) SocA, thèse, Paris, 1888. MALADIE D
ractère familial ; la maladie s'est (1) SocA, thèse, Paris, 1888.
MALADIE
DE FRIEDREICH 133 développée à la suite d'une f
ntes de Petit (1), de Mariol(2), de Philippe et Oberthür (3), où la
maladie
de Friedreich a débuté sous l'influence d'une r
ns ses leçons cliniques du mardi, présente deux malades atteints de
maladie
de Friedriech, où il est impossible de déceler
n, qui, dans une thèse récente de Lille, 1902, à propos d'un cas de
maladie
de Friedreich sans caractère familial (7), a pu
nomènes assez souvent liés l'un à l'autre, et que les cas isolés de
maladie
de Friedreich dépendent d'une influence héré- d
buer. Notre cas n'échappe pas à cette conclusion, et au début de la
maladie
, on relève l'existence d'une affec- tion mai dé
troubles assez accentués de l'audition. On a bien signalé dans la
maladie
de Friedreich des lésions valvulaires d'origine
que, 1901. (4) CIIARCOT, Leçons du mardi, 1887-1888. (5) Raymond,
Maladies
du système nerveux, 1894. (6) LADAME, Rev. méd.
lbaires plus accentuées que l'on n'en trouve généra- lement dans la
maladie
de Friedreich. Ce syndrome bulbaire s'est du re
e donc, dans notre cas, des lésions multiples, très ra- res dans la
maladie
de Friedreich, où l'on ne voit ordinairement que
nglions intracardiaques et du tronc du pneumogastrique, qu'un oubli
MALADIE
DE FRIEDREICH 135 nous a fait omettre, mais qui
sur les lésions de la moelle, qui sont les lésions classiques de la
maladie
de Friedreich : gracilité de la moelle, épaissi
ns quelques observations. En somme, notre cas est un cas typique de
maladie
de Friedreich, avec des particularités rares et
s constantes, la symptomatologie et l'anatomie pa- thologique de la
maladie
de Friedreich varient avec chaque malade. ASILE
mment élucidées par la recher- che clinique, nous observons que les
maladies
mentales présentent dans la majorité des cas le
onservée, et ces organes fonctionnent à la perfection. Toutes les
maladies
soignées dans les autres cliniques sont liées pre
, du coeur, soit du fait des phénomènes directs ou indirects que la
maladie
d'un appareil exerce sur des autres appareils q
raire ou définitive. C'est tout le contraire dans la majorité des
maladies
mentales. Dans celles-ci, quel que soit le déso
omitance morbide, une co-souffrance moins grave que dans les autres
maladies
, pré- cisément parce que nous observons que che
relation, que se fonde une des plus saillantes caractéristiques des
maladies
mentales, et une des plus singulières parti- cu
tardivement tâcher d'appliquer les mêmes méthodes pour combattre la
maladie
qui se fait d'autant plus dangereuse qu'elle trou
simples. Nous disons, pour donner un exemple, que quelqu'un a une «
maladie
du coeur », non parce que le coeur a cessé de fon
servons des phénomènes tout à fait différents. Dans 1'leysté- rie -
maladie
singulière et polymorphe dont nous attendons enco
sations, les convulsions des sujets. L'hys- térie a été nommée « la
maladie
de la volonté ». La volonté, n'est pas en dé- f
exagérées par comparaison avec leurs moments efficients. Dans cette
maladie
, l'intelligence de l'aliéniste possède le maximum
ceux-ci, peut-être parce qu'ils se trouvent dans un état initial de
maladie
, l'ergothérapie est employée et donne d'excelle
genre de travail qu'ils accomplissaient anciennement, parce que la
maladie
n'est pas une démence ; elle ne laisse par cons
On pourrait admettre l'existence autonome d'un hôpi- tal pour- les
maladies
mentales capable de recueillir tous les cas aigus
lles, l'énorme influence que l'ergothérapie exerce sur la vie et la
maladie
de l'aliéné. Avant d'abandonner cette question qu
cliniques, savoir d'intervention médi- camenteuse directe dans les
maladies
mentales, l'ergothérapie et la psy- chothérapie
partie de la mission scientifique et humanitaire des cliniciens des
maladies
men- tales. Girifalco, janvier 1904. Je doi
rait soit à des scènes d'exorcisme, soit à des difformités ou à des
maladies
et après avoir dégagé pour chacune d'elles les
sont le plus souvent de petite taille, (1) BRISSAUD, Leçons sur les
maladies
nerveuses, t. I, p. 605, 1893-1894, t. II, p. 417
xcès décroissance est aussi passager. C'est ainsi qu'à la suite des
maladies
infectieuses, on voit parfois survenir de brusq
to- type du géant acromégalique, chez lequel les déformations de la
maladie
de Pierre Marie font suite à une élévation inso
faire toutes réserves sur ce qu'Ernest raconte de sa vie et de ses
maladies
. Vantard et hâbleur, il amplifie et dramatise v
té fut bonne, mais depuis lors il tire vanité d'avoir eu toutes les
maladies
, et, ajoute-t-il, « toutes ensemble : plusieurs
omégalie. Présen- tera-t-il jamais les déformations décisives de la
maladie
de Pierre Marie ? ' ? Peut-être, les années aid
cales), 1902. - Infantilisme et corps thyroïde, Bévue mensuelle des
maladies
de l'Enfance, mars 1902. - Article Infantilisme d
adies de l'Enfance, mars 1902. - Article Infantilisme du Traité des
maladies
de l'Enfance, 2e édition, 1904. 174 APERT mal
ttement au pli du poignet, nous paraissent analogues à celles de la
maladie
de Dercum (adipose doulou- reuse). Il n'y a du
au- tre cas de ce genre. Autant la glycosurie est fréquente dans la
maladie
de Basedow, et même dans la thyroïdisation thér
roïdisation, et il la considère comme impossible dans le myxoedème,
maladie
hypothyroï- dienne. Hirschl a montré chez les s
? (1) Lorand, Sur les rapports du diabète avec l'acromégalie et la
maladie
de Basedow, Presse médicale, 1903, p. 690, et D
accentués encore, dents usées, cheveux rares, ongles cas- sants. La
maladie
datait de l'âge de deux ans. Les deux enfants f
s une journée de repos, et par conséquent le matin du 3e jour de sa
maladie
, en voulant se lever, elle tombe à terre, sans
gie droite survenue par embolie cérébrale chez un malade atteint de
maladie
/ mitrale. L'asystolie provoqua chez le malade
ui- vante nous parait importante pour éclaircir la pathogénie de la
maladie
. Nous tenons à remercier le Dr Pinçonnat (de Co
s mois. Antécédents héréditaires. Les ascendants n'ont jamais eu de
maladie
semblable, pas plus que les collatéraux. Le pèr
normal. Antécédents personnels. - F... a marché à. un an : la seule
maladie
infec- tieuse qu'il ait eue est une rougeole bé
froids, cyanosés et mouillés de sueur ; cet état existait avant la
maladie
. , L'examen de la sensibilité est négatif. Le
n du rôle d'une intoxication se pose pour expliquer la genèse de la
maladie
. Il est un autre facteur qui nous semble pouvoi
les bras. Toute la nourriture qu'on mange fait mal, vous donne des
maladies
morales, des maladies de vessie, vous force all
urriture qu'on mange fait mal, vous donne des maladies morales, des
maladies
de vessie, vous force aller aux cabinets. Q. Po
t quelques difficultés pour le calcul. 20 RUDLER Histoire DE la
maladie
. A sa naissance, la peau de D... est intacte. Ver
gré très accentué, deux phénomènes de la triade symptomatique de la
maladie
de Recklinghausen : les tumeurs cu- tanées (236
égères, ces lésions peuvent tout aussi bien être en rapport avec la
maladie
ou la cachexie terminale qu'avec le processus tab
fes- seur Dejerine à la Salpêtrière, à l'âge de 45 ans. Début de la
maladie
en 189, par des élancements douloureux dans le
que les éléments normaux. dis. IV (1). Ris..., 74 ans. Début de la
maladie
il y a environ trente ans par des douleurs fulg
oite. Atrophie papillaire. Elle meurt en 1902 après quatorze ans de
maladie
. Examen anatomique. La plupart des ganglions on
à l'âge de 33 ans, à l'infir- merie de la Salpêtrière. Début de la
maladie
en juin 1902 par des étourdisse- ments, des ver
s ganglions normaux. Ce fait est à rapprocher du peu de durée de la
maladie
dont le début remontait à environ dix-huit mois
s n'avons pu avoir de renseigne- ments précis sur l'évolution de la
maladie
. Il s'agit d'un tabes avec atrophie papillaire.
et d'éta- blir d'autre part, si l'on tient compte de la durée de la
maladie
, combien est lente et progressive l'évolution d
Delp... qu'elles étaient moins évidentes ; mais ici le début de la
maladie
ne remontait qu'à 18 mois. En général la cellul
les fibres radiculaires sont plus atrophiées et que la durée de la
maladie
a été plus longue. De même les lésions sont pre
rés de l'atrophie, et qu'elle subisse, à une phase quelconque de la
maladie
, un processus plus ou moins rapide de désintégr
pres- que tous avec des membres estropiés et mutilés ou affectés de
maladies
incurables », témoignage rétrospectif de la con
dit l'abbé Krier, pour trouver un remède effi- cace contre une des
maladies
les plus affreuses : le mal caduc ou épilepsie,
ses oracles au milieu d'agitations convulsives impressionnantes. La
maladie
des troupeaux d'Echternach n'est-elle qu'une coïn
empreintes. ). vit 17 Î 26fi GILLES DI. LA TOURETTE Cinq cas de
maladie
de Friedrich, en collaboration avec Paul Blocq
ent par la suspension de l'alaxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du sys- teme nerveux. Un cas de syringomyélie
S DE LA TOURETTE 3t'7 Notion étiologique de ? e/c/o ? j/n7M dans la
maladie
de Lillle, en collaboration avec A. Fournier.
ordination motrice accompa- gnée d'écholalie et d'échoprolalie », «
maladie
des tics convul- sifs », communément désignée a
s convul- sifs », communément désignée aujourd'hui sous le nom de
Maladie
de Gilles de la Tourette. Cette brève énumérati
idéo). La paralysie myasthénique, désignée aussi sous les noms de «
maladie
de Erb, syndrome bulbaire de Erb-Goldflam, mala
us les noms de « maladie de Erb, syndrome bulbaire de Erb-Goldflam,
maladie
de Hoppe-Gold- flam, paralysie asthénique, myas
pécialistes distingués. Je crois contribuer à faire connaître cette
maladie
et à éviter ces erreurs de diagnostic en décriv
pour que les paupières récupérassent leur mobilité ». Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1901. 5. s., p. 340. (2)
nombre, jusqu'à cinq par jour, quand elle est très attaquée par sa
maladie
habituelle, et semblent tenir à la paralysie ra
est également physiologique. En résumé, notre malade souffre d'une
maladie
qui, précédée et ac- compagnée d'hémicranie, av
t,- l'exercice les aggrave et le repos les améliore toujours. Cette
maladie
rentre évidemment dans le cadre du diagnostic par
e dans la plupart des cas publiés. Un tableau ainsi complet de la
maladie
, observée déjà en son plein n'en développement,
e, et l'amélioration et la répétition des attaques; mais dans cette
maladie
l'hémicrânie est généralement plus tenace et de p
paralyti- que, qui disparut complètement avec l'amélioration de la
maladie
princi- pale : elle ne se prêtait point à l'inf
ment le plus efficace. HOSPICE DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES NERFS CRANIE
ns, sellier, vient consulter, en novem- bre 1903, à la clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière pour une para- lysie
l'apparition lente et progressive de la déviation à la suite d'une
maladie
infectieuse, viendraient encore plaider en faveur
st-à-dire depuis l'année 1893,le nombre des observa- tions de cette
maladie
, suivies d'autopsies, n'a pas considérablement
question sur les relations entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich, question jusqu'à maintenant non
re éthylique. Dysenterie et pneumonie dans la jeunesse, Début de la
maladie
à l'âge de 33 ans, par des troubles de la motilit
elleuse. Paris, 1895. , (3) Etude sur l'anatomie pathologique de la
maladie
de Friedreich. Paris, 1900. (4) Nouvelle Iconog
IOC. cit. Ce cas ayant été publié par M. Vincelet sous le titre de
Maladie
de Friedreich, nous devons faire remarquer que
P. Londe (3). Rien de remarquable dans les antécédents. Début de la
maladie
à l'âge de 26 ou 27 ans par crampes dans les mo
lement spontané. Examen en 1891, environ 3 ans après le début de la
maladie
: Facies immobile, étonné. Les yeux ouverts et
n serait tenté de mettre en rapport avec le début plus récent de la
maladie
chez Luis Hand... que chez son frère François.
ue fois qu'une tare héréditaire se glisse dans une famille...... la
maladie
porte l'empreinte d'une sorte d'individualité, qu
ermédiaire entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse de Pierre Marie et la
maladie
de Friedreich. Le début tellement tardif, la pers
l'abolition des réflexes rotuliens dans les stades terminaux de la
maladie
, la présence de la scoliose et du pied-bot. ainsi
tions pupillaires pas tout à fait abolies rapprochent ces cas de la
maladie
de Friedreich. - -- Nous pensons aussi que le
nstante dans les autopsies de l'hérédo-ataxie cérébelleuse et de la
maladie
de Friedreich fut déjà signalée par plusieurs aut
l'attitude patho- logique du pied sont des symptômes banals dans la
maladie
de Friedreich. (1) Eleredilary alaxie in tleree
me d'une chute des ongles. Des atrophies musculaires au cours de la
maladie
de Friedreich furent constatées par Dejerine (1
constatées par Dejerine (1). Parmi la statistique de 10 cas de la
maladie
de Friedreich établie par Or- merod (2), on en
res. Hunter (3) trou- vant une paralysie d'une jambe au cours de la
maladie
de Friedreich émet l'hypothèse qu'il s'agissait
re. Nous savons le rôle actuel de l'écriture dans le diagnostic des
maladies
mentales. Une écriture bizarre, l'omission de s
de son internement. TRAVAUX MANUELS DES ALIENES 315 Pendant sa
maladie
la patiente s'adonna peu au travail ; elle cousai
embrassait un espace d'un mois. Lorsque les phénomènes aigus de la
maladie
eurent passé, la malade fut affectée d'un certa
évices que leurs ennemis dirigent contre eux. Mais il arrive que la
maladie
reprend ses droits TRAVAUX MANUEL DES ALIÉNÉS 3
dans les hôpitaux modèles de nos jours. Dans les classifications des
maladies
mentales, cette foule hétérogène est unifiée en
eil a enchaîné la force de sa raison, ou bien s'il est égaré par la
maladie
ou par un certain enthousiasme (1). » Ainsi,
n des indi- vidus qui la composent, pris isolément, soit atteint de
maladie
nerveuse ou mentale. De même qu'il existe des l
é parmi les tics, et non les spasmes. xvii 22 338 GAUSSEL r. La
maladie
, pour laquelle il a été mis en observation, avant
lade n'a pas remarqué de modifications depuis le commencement de la
maladie
; les troubles qu'il avait présentés un moment,
ries de ses camarades ou de ses supérieurs. Depuis le début de la
maladie
, tous les antispasmodiques et tous les médi- ca
iens, le peaucier, ces phénomènes spasmodiques constituant toute la
maladie
. Rien ne nous permet de penser à une hystérie m
sseries, les sarcasmes auxquels il fut exposé au commencement de sa
maladie
, dans le milieu spécial où elle se développait, o
otre malade met sur le compte de la vie de caserne l'éclosion de sa
maladie
et se préoccupe d'obtenir, avec sa réforme, une
ut- il voir, dans cet état d'esprit, une cause de persistance de la
maladie
. Il faut tenir compte d'ailleurs de ce fait que
ticipation le plus souvent du tronc et des (1) GIiASSET et RAUZIER,
Maladies
du système nerveux, t. II, p. 554. 342 GAUSSEL
n de sa réforme définitive. Ce jeune homme croit avoir contracté sa
maladie
au service et ne demande qu'à tirer parti de ce
r l'existence successive des deux processus qui caractérisent toute
maladie
chronique : un premier processus d'irritation ave
elle nous obliger à modifier notre conception pathogénique de cette
maladie
? Telles sont les questions qui se posent maint
le canal épendymaire hors de cause, font de la sy- ringomyélie une
maladie
inflammatoire, une myélite préparée par des lésio
dans des cas où l'autopsie a lieu si longtemps après le début de la
maladie
et où l'on se trouve véritablement en présence
de ce Saint, à 23 ans, et le silence de ses hagio- graphes sur une
maladie
qu'ils n'auraient certainement pas plus oubliée
zier (Haute-Marne). 17e ANNÉE N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES {ASILE DE SAIN1E-AN};E) . DES TROUBL
ARALYTIQUES GÉNÉRAUX (1) A. JOFFROY Professeur de la Clinique des
Maladies
Mentales. Messieurs, Il y a plus de dix ans,
combien il serait imprudent de vouloir diagnos- tiquer l'âge de la
maladie
en se basant sur les seuls troubles de la lecture
r ces deux points : l'aphasie s'observe très souvent au début de la
maladie
, et elle constitue presque toujours un symptôme
alytique général' qui en est actuellement à la deuxième année de sa
maladie
, mais il présente déjà un affaiblissement intelle
ci maintenant quelques types d'écriture difl'érentes périodes de la
maladie
d'un autre paralytique général. Les premiers da
général. Les premiers datent d'une époque rapprochée du début de la
maladie
et antérieure à l'internement (fig. 3) ; le mal
crits, l'un datant de six années, peu de temps après le début de la
maladie
. Il témoigne, tant Fig. 3. Fig. 4. Fi £ ".
scrits d'un autre paralytique. Le premier est antérieur à l'état de
maladie
confirmée ; peut-être trahit-il l'excitation in
mple, comme ceux de la parole peuvent apparaître dès le début de la
maladie
, ou au contraire se faire attendre plus ou moin
les. J'ai eu l'occasion de l'affir- mer naguère, et d'opposer cette
maladie
au tabes, affection systématisée par excellence
entre l'intensité des troubles de l'écriture et l'ancienneté de la
maladie
. Voici par exemple une malade âgée de 33 ans et d
us pouvez constater que cette femme qui écrivait très bien avant sa
maladie
(fig. 12) est dans l'impossi- bilité absolue d'
écrit par une malade qui a pré- senté les premiers symptômes de la
maladie
il y a trente-quatre mois et qui alors écrivait
és d'aphasie 'existent, surtout dans les der- nières périodes de la
maladie
, mais elles exigent, pour se manifester, des lé
ge de 7 ans, brusquement, en mangeant, sans aucune manifestation de
maladie
. Antécédents personnels. - Le malade n'a eu auc
ation de maladie. Antécédents personnels. - Le malade n'a eu aucune
maladie
jusqu'à l'âge de 18 ans ; à cette époque il est
core fait trois ans de service. Il n'a jamais présenté aucune autre
maladie
. N'a jamais eu de crises de nerfs. A pris en Al
core grand buveur. Il s'est marié en juillet 1895. Histoire de la
maladie
. Le 5 octobre 1895 il est rentré chez lui éprou
si bien être intitulée l9gopa- thie progressive avec hypertonie que
Maladie
de Thomsen fruste avec atro- phie musculaire. L
Ils servent en effet de lien entre les myopathies primitives et la
maladie
de Thomsen et constituent un bon argument en fa
exuel et il semble bien qu'il ne se soit agi que de papillornes. La
maladie
actuelle remonte à quatre ans : on lui fit remarq
erdent leur raideur. C'est absolument le même phénomène que dans la
maladie
de Thomsen. Il se produit avec la même intensité
Il se produit avec la même intensité aux deux mains. Comme dans la
maladie
de Thomsen, si on fait exercer la pres- sion de
ition de phénomèmes de myotonie absolument comparables à ceux de la
maladie
de Thomsen, mais plus limités. Aggravation lente
tré à la fois aux élèves le malade en question et un cas typique de
maladie
de Thomsen. Il n'y avait absolument aucune diff
rque que c'est une évolution tout à fait inconnue jusqu'ici dans la
maladie
de Thomsen. A la même époque, Pelizieus présent
V111, 1900. (3) 1{01lNIIOLO, Thèse de Paris, 1891. (4) II. Lajiy,
Maladie
de Thomsen, in Traité de Médecine de Brouardel et
atrophie musculaire. Chez un malade de Dana (cité par Kornhold), la
maladie
de Thomsen survint quatre ans après le début de
L'examen du muscle montre l'hyper- trophie des fibres comme dans la
maladie
de Thomsen à côté de fibres très atrophiées et
(4) FnOllMANrî, Deuts. med. Wochensch., 1900. (5) Noeuds et Sirol,
Maladie
de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculair
roxystique). On sait aussi que Môbius avait cherché à rapprocher la
maladie
de Thomsen de la paralysie pseudo-hypertrophiqu
t un bon argument clinique en faveur de la nature myopathique de la
maladie
de Thomsen. L'étude ultérieure des cas de ce ge
lques-uns des points obscurs qui existent encore aussi bien dans la
maladie
de Thomsen que dans les myopathies. TROUBLES
pitaux de Paris, lSi5, t. XVI, 2e série, p. 179, (4) E. Hirtz, La
maladie
angio-spasmodique, Bulletin médical, 25 décembre
les de la dégénérescence chez l'homme sont, les unes pathologiques (
maladies
nerveuses et mentales ; intoxications diverses,
es de l'espèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons cliniques, sur les
maladies
mentales, 1882-1891 ; Magnan et LEGRAIN, Les dé
ologique chez les aliénés et les idiots »i Leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. Salpètr. 4S8 i-94, recueil
rsions de l'appétit (3) sont étudiées par Cadéac comme symptômes de
maladies
de la nutrition et du tube digestif. - D. Respi
olontairement les quelques stigmates psychiques symptoma- tiques de
maladies
aiguës, fort rares d'ailleurs et très peu connus
paraître choquante dans un tableau religieux, et l'on sait que les
maladies
et les difformités ont été représentées par les
'est un dia- logue entre le Docteur et Arlequin, à l'occasion de sa
maladie
. Le voici : LE Docteur. Combien y a-t-il de tem
é d'une foule de'badauds. Il vante un spécifique contre l'asthénie,
maladie
alors fort à la mode. Voici la légende de cette
ues généraux (des troubles de la) (10 fig.), par A. JoFFROY, 409.
Maladie
de Friedreich avec autopsie (1 pl, ), par Pic e
de Friedreich avec autopsie (1 pl, ), par Pic et BoNNAmoua, 126.
Maladie
de Parkinson (4 pl.), par F. RAY- MOND, 1. My
rgothérapie et psy- chothérapie, 136. Bonnamour et Pic. Un cas de
maladie
de Friedreich avec autopsie (1 planche), 186.
iens (3 planches,16 figu- res), 17. Pic et Boarrwoouft. Un cas de
maladie
de Friedreich avec autopsie (1 planche), 126.
maladie de Friedreich avec autopsie (1 planche), 126. RAYMOND. La
maladie
de Parkinson (4 plan- ' ches), 1. RosE. Paral
R et Crouzon), XXIII, XXIV. Hydropiqne(Arlequin)(HssnxMsGS),LXVI.
Maladie
de Friedreich (Pic et BONNAMoun), XVIII. Mala
snxMsGS),LXVI. Maladie de Friedreich (Pic et BONNAMoun), XVIII.
Maladie
de Parkinson (F. BA\r0\D), I, II, III, IV. Ma
ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT LEÇONS sur les
MALADIES
DU FOIE ET DES REINS RECUEILLIES ET PUBLIÉES
UR Nous avons réuni dans ce volume les leçons de M. Charcot sur les
Maladies
du foie, recueillies par nous et ses leçons sur l
sur les Maladies du foie, recueillies par nous et ses leçons sur les
Maladies
des reins, résumées par Sevestre. Les unes et les
), 1 01 R.NEVIU.E. Décembre 1891. PREMIÈRE PARTIE Lie foie. —
Maladies
des voies biliaires. PREMIÈRE LEÇON Notions d
à trouver dans mon enseignement. Charcot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladie
du foie. 1 I. • Conformément à ce que je po
fications ont été imprimées aux conditions normales par le fait de la
maladie
dans les organes, dans les tissus. Il y a lieu de
re nant perpendiculairement les Charcot. Œuvres complètes, t. fï.
Maladies
du fuie. 2 capillaires, les cellules se dessine
ellules (1) Centralblatt, 1869. Charcot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 4 de celle des capillaires. Les vaisse
e à cette disposition. M. Thierfelder (2) a vu, dans plusieurs cas de
maladies
du cœur, les espaces lymphatiques en ques-tion di
s espaces, celles de la mélanémie, cette altération du sang, liée aux
maladies
palustres, dont le point de départ paraît être da
nu sous forme de paillettes bril- Ghargot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 5 lantes, micacées, et, au microscope.
Heilkunde, 1863. (3) Loc. cil. Charcoï. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 6 chaîne sans doute, l'exposé de quelq
ou moins analogue de la bile a été observée: 1° dans quelques autres
maladies
aiguës entre autres la pneumonie et l'hépatite de
e autres la pneumonie et l'hépatite des pays chauds ({) ; 2° dans des
maladies
chroniques, comme la tuberculose, l'al-tération a
se, l'al-tération amyloïde, le cancer du foie (Buddj. (1) Haspel. —
Maladies
de l'Algérie, t. i, p. 262, b) Ceci me conduit
ment de la bile incolore. (1) Fauconneau-Dufresne. — La bile et ses
maladies
. In Mém. de VAcad. de Méd., 1847. (2) Voir entr
qui sont étrangères à sa constitution normale. Les intoxications, les
maladies
dans lesquelles il y a une altération de la crase
déjà reconnu Thénard, Bouisson et le chimiste Lehmann ; — c) Dans la
maladie
de Bright (16 fois sur 37). En revanche, l'albu
videmment d'une importance majeure pour la théorie et la pratique des
maladies
du foie, nous a été révélé tout d'abord par l'obs
del et possédant, par conséquent, Charcot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie 7 en ce qui a trait particulièrement à
ré la persistance de l'élévation du chiffre thermique, dans certaines
maladies
fébriles graves, telles que la variole, la fièvre
typhus fever. Et il attribue l'abaissement du taux de l'urée dans ces
maladies
à l'altération dégénérative diffuse du parenchyme
nution de l'urée est frappante. On sait que la lésion pro-pre à cette
maladie
consiste en une rapide altération destruc-tive de
premier lieu que la fièvre intermit-tente vulgaire est, de toutes les
maladies
fébriles, celle dans laquelle la concordance des
ntiel, dans toute les productions pathologiques qui relèvent de cette
maladie
. En quoi ce grand facteur de la goutte, l'accum
ce là une action prédominante. C'est pour ainsi dire la matière de la
maladie
(materies morbï). De plus, on le retrouve dans to
e (1) Centralblatt, 1866, p. 405. Charcot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 8 externe sont des points où se dépose
s p-irler du (1) Consultez: Scudamore, loc. cit. —Rayer, Traité des
maladies
des reins. Paris, 1839, t. i, p. 93, 197, 198. —
ur pathologie. Heidelberg, 1843, § 1, p. 17. — Rrodie, Leçons sur les
maladies
des organes urinaires, traduites par J. Patron. P
ait bien voulu me confier. Si les variations du glycogène, dans les
maladies
, ne peu-vent pas être constatées post mortem, les
conçoit qu'il y ait là une donnée à utiliser pour le diagnostic. Les
maladies
abdomi-nales qui n'intéressent pas le foie, ou le
n distingue les calculs proprement Charot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 9 dits, ceux dont le volume égale envi
ce existera en plus forte propor- Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 10 tion dans la bile — c'est ce qui pe
s garde-robes. La plupart des auteurs qui ont récemment écrit sur les
maladies
du foie, M. Murchison entre autres, dépo-sent abs
attentif, et prolongé souvent du- Chargot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 11 rant plusieurs jours ou même plusie
et qui se montrent en dehors de la colique hépatique, dans certaines
maladies
des voies bi-liaires, dans les cas, par exemple,
ion du (1) Voyez : Durand-Fardel. — Traité clinique et pratique des
maladies
des vieillards, p. 785 ; — Budd, loc. cit., p. 36
; — Frerichs, loc. cit., p. 827. Ciiaucot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
du foie. 12 canal cholédoque et de la vésicule
khehiten, Leipzig-, 1863, p. 121. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 13 bœuf, il ne s'est produit ni hémorr
ique et les accidents du même genre qui compliquent parfois certaines
maladies
des voies urinaires. Vous n'ignorez pas que, ch
irurgical « Surgical Kidney » et que Rayer considérait (1) Rayer, —
Maladies
des reins, t. i, p. 325, 307, 308, 358. (2) Jac
358. (2) Jacks. — Prag. Vierlel. Bd. 2, 5, 47. (3) Rosenstein. —
Maladies
des reins, p. 291. — Chez les vieilles femmes de
oliqucs sont beaucoup plus rares Ciiarcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 14 que les précédentes, les fistules c
ons que certaines formes de cirrhose se constituent quelquefois comme
maladie
chronique à la suite d'un état aigu. Sans doute,
es centres ner-veux, la néphrite interstitielle (une des formes de la
maladie
de Brigth); enfin, au premier rang, l'hépatite in
rrhose, mais ils sont plus larges et plus compréhensifs : c'est de la
maladie
qu'ils désignent dont nous allons maintenant trac
ieurs, ce mot de cirrhose était naguère considéré comme désignant une
maladie
unitaire, ou n'offrant tout au moins que des vari
entretenus (1), s'est accompli il y a quelques années à propos de la
maladie
de Bright. Je dois vous déclarer que je suis gran
déclarer que je suis grand partisan de ces vues (1) Leçons sut' les
maladies
du rein. — Voir la seconde partie de ce volume.
partie de ce volume. nouvelles aussi bien pour ce qui a trait à la
maladie
de Bright qu'en ce qui concerne Yhépatite interst
très bonne heure cette dernière; 3° enfin, par la longue durée de la
maladie
. La monographie de M. Hanot est fondée à peine
sible, car les poids indiqués plus haut sont relatifs à des cas où la
maladie
avait duré 4 ans, 7 ans même. Il y a cependant, n
-Bartholo?new's Hosp. Rep., 1868. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 15 liales de globules pyroïdes. En tou
sion à rapporter tous les ictères qui surviennent dans le cours d'une
maladie
du foie à une occlusion du canal cholédoque déter
ue de Londres (7 dé-cembre 1875). Charcot. Œuvres complètes, v. vi,
Maladies
du foie. 16 signer la forme d'altération du foi
roit d'un cas de pleurésie avec hémorrhagie, compliqué d'ascite et de
maladie
organique du foie. A l'au-topsie, Laennec écrit q
dans lesquels cet auteur étu-die l'ascite dans ses rapports avec les
maladies
des reins. Ainsi, c'est en France que la cirrho
lle jusqu'à la mort et doit être par conséquent sépa-rée, à l'état de
maladie
autonome, de la cirrhose commune. Mais ce sont le
. La cirrhose hypertrophique, quant à présent, peut passer pour une
maladie
rare ; il est fort probable qu'elle deviendra plu
ous allons nous attacher à décrire maintenant, c'est au contraire une
maladie
des plus vulgaires. D'après Budd, il n'est pas d'
re une maladie des plus vulgaires. D'après Budd, il n'est pas d'autre
maladie
du foie aussi commune en Angleterre. C'est aussi,
1) Article Atrophie, pl. n, fig. 1. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
du foie. 17 ou moins prononcée du courant sangu
du dé-veloppement des hémorroïdes dans la cirrhose, parle fait de la
maladie
. La réalité est que les hémorroïdes ne sont pas c
ogénique et désassimilatrice. — Complication delà cirrhose vulgaire :
maladies
du cœur et des reins. Messieurs, Je me suis a
résent, si les vaisseaux qui forment le Gharcot. CEuv compl, t. vi,
Maladies
du foie et des reins 18 système lacunaire sont
r-rhose vulgaire. Autrefois, on comptait parmi les complica-tions les
maladies
du cœur. Ainsi, dans un mémoire bien connu, Becqu
ire bien connu, Becquerel relevait, sur 42 cas de cirrhose, 21 cas de
maladies
organiques du cœur. C'est que Becquerel avait con
cette complication n'existe plus. Bamberger, sur plus de cent cas de
maladies
du cœur, n'a rencontré que deux cas de cirrhose.
lle l'hypertrophie du cœur et la cir-rhose pourraient coïncider. La
maladie
de Bright, dans sa forme atrophique, est quel-que
lorsque la ponction est pratiquée. DEUXIÈME PARTIE Le Rein. — La
Maladie
de Bright. PREMIÈRE LEÇON Anatomie normale du
intéressante. Les lésions histologiques que subit le rein dans cette
maladie
ont été, en effet, étudiées avec plus de précisio
pas avec des degrés successifs, mais avec des formes distinctes de la
maladie
. Avant d'aborder ce chapitre, je crois nécessaire
m clair. Dans les tubes de 1er ou Chargot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
des reins. 19 1er une cellule de l'épithélium d
es, interstitielles ou parenchy-mateuses, substratum anatomique de la
maladie
de Bright. B. Sur des coupes transversales prat
sous forme d'un dépôt cristallin. Charcot. Œuvres complètes, t. vi.
Maladies
des reins. 20 Il y a tout lieu de croire que le
tus tubulaires du rein. — Cylindres urinaires. — Vue d'ensemble de la
maladie
de Bright. Sommaire. — Infarctus tubulaires cri
ignification clinique des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la
maladie
de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-t
ung. Berlin, 1874. Fig. 29. — Coupe à travers un rein atteint de la
maladie
de Bright. — Les cellules qui tapissent les tubes
de Henle ; 3° On les rencontre surtout dans les diverses formes delà
maladie
de Bright. 4° Dans la stéatose phosphorée, d'aprè
e spécialement étudiés à propos des diverses formes anatomiques de la
maladie
de Bright ; mais il est un point que je veux fair
inifères. Leur présence dans l'urine est un fait banal dans certaines
maladies
aiguës, par exemple dans les fièvres éruptives ;
ang desquels il avait in-jecté des acides biliaires. Dans le cas de
maladie
rénale même, les cylindres hyalins n'ont d'intérê
de la forme, et même dans des cas douteux, le diagnostic absolu de la
maladie
. Les cylindres cireux sont aussi l'indice d'une l
nt la dégé-nérescence amyloïde du rein. 3° Enfin, les lésions de la
maladie
de Bright peuvent exister sans que l'on trouve de
mpte d'une circonstance déjà signalée ; c'est que dans le cours de la
maladie
de Bright, il y a quelquefois suspension temporai
de revenir sur ce sujet à propos de l'étude des diverses formes de la
maladie
de Briglh. III. Je me propose actuellement, M
ns qui sont habituelle-ment englobées sous la dénomination commune de
maladie
de Bright. Vous n'ignorez pas que, pour la plup
e une doctrine que l'on pourrait appeler doc-trine de l'unicité de la
maladie
de Bright. Suivant une autre doclrine qui est c
non pas de la dua-lité, mais plutôt de la multiplicité en matière de
maladie
de Bright, les diverses formes d'altérations réna
pro-pose d'exposer devant vous l'histoire anatomo-pathologique de la
maladie
ou mieux des maladies de Bright (1). Ainsi, dans
evant vous l'histoire anatomo-pathologique de la maladie ou mieux des
maladies
de Bright (1). Ainsi, dans mon opinion, et celle-
le-ci n'est pour ainsi dire que le reflet de la doctrine anglaise, la
maladie
de Bright est un genre com-prenant plusieurs espè
us subaigus ou primitivement chroniques; car j'éloigne du cadre de la
maladie
de Bright les formes aiguës d'affections rénales
aiguës d'affections rénales que l'on rapporte habituellement à cette
maladie
. J'aurai plus tard à justifier cette exclusion.
d à justifier cette exclusion. A. Première forme. — Etiologie. — La
maladie
se voit surfout chez les jeunes sujets, rarement
r, Bartels, Labadie-Lagrave, etc. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
des reins. 21 tion d'albumine; densité rarement
coolisme paraît cependant bien démontrée. Évolution très lente ; la
maladie
, toujours chronique d'em-blée, peut durer plusieu
llement primitive, est la seule qui doive figurer dans la cadre de la
maladie
de Bright : la néphrite interstitielle cal-culeus
me a été, dans tous les écrits récents,, nettement distinguée de la
maladie
de Bright ordinaire. Elle est caractérisée anatom
scription des diver-ses lésions rénales, généralement rattachées à la
maladie
de Bright, je crois devoir vous rappeler le point
ns de l'unicité, représentent le second et le troisième degré de la
maladie
de Bright, correspondent aux altérations que nous
l y a vingt ans à peine qu'est née la doctrine séparatiste en fait de
maladie
de Bright. Dans le travail célèbre qui fait par
fait partie de la collection d'ob-servations médicales relatives aux
maladies
qui se terminent par des hydropisies, Bright lui-
conduit à croire, dit-il quelque part, qu'il y a plusieurs formes de
maladies
subies par le rein dans l'hydropisie rénale » ; m
modifications ou des états plus ou moins avancés d'une seule et même
maladie
. Rayer s'est montré un peu plus explicite ; les
dical Cases, p. 67 et p. 69. London, 187*2. temps, ont écrit sur la
maladie
de Bright, tant en France qu'en Allemagne. Les
un rein contracté échappassent, pendant toute la durée de leur longue
maladie
, à l'hydropisie qui est, pour ainsi dire, la rè-g
uvrage publié à Edimbourg porte ce titre caractéristique : Traité des
maladies
de Bright (1). En Allemagne, M. Traube s'est ef
t le rein amyloïde ; la seconde mériterait seule, pour lui, le nom de
maladie
de Bright. Enfin, M. Bartels, dans une leçon publ
of the Kidneys, 2° édition, Edinburgh, 1871. (2) Ces leçons sur la
maladie
de Bright ont été faites pendant le trimestre d'é
: nous nous bornerons à citer ceux qui suivent: Lécorché, Traité des
maladies
du Rein. — Lancereaux, article Rein, du Dictionna
1876. — Tous ces écrits concluent à. la multiplicité des formes do la
maladie
de Bright. Fig. 33. — Coupe faite sur un rein c
qu'autant qu'el-les sont relatives aux phases les plus avancées de la
maladie
; il s'agirait actuellement de rechercher en quoi
és. Cela se comprend aisément; en effet, la né-phrite interstitielle,
maladie
chronique primitivement, ne détermine, en général
ion jaune grisâtre qu'offre quel-quefois le rein à cette époque de la
maladie
(Rindfleisch). L'anémie ici n'est qu'apparenté ;
i la grande majorité des auteurs qui ont séparé les deux formes de la
maladie
de Bright. Seul, M. G. Jonhson a soutenu de-puis
-pneumonie subaiguë ou chronique. Charcoï. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
des reins. 22 pression exercée sur un point lim
des médicaments. Complications observées dans le rein contracté: —
Maladies
inflammatoires; — coexistence d'inflammations i
ous venons de faire des lésions du rein, dans la première forme de la
maladie
de Bright, peut servir à éclairer le mécanisme de
nutrition se maintient normale pendant de longues années, et comme la
maladie
évolue très lentement, l'hypertrophie du cœur a t
on dans le rein contracté n'est propre qu'aux phases moyennes de la
maladie
. Car à une époque avancée, quand le cœur s'affaib
ente moins de gravité que les autres ; en réalité, il s'agit là d'une
maladie
grave puisque la mort en est lot ou lard la consé
aractère lire du chiffre peu élevé de l'albumine, dans celle forme de
maladie
de Bright, a été remarqué par tous les auteurs qu
tous les auteurs qui ont songé à établir entre les deux formes de la
maladie
de Bright une séparation tranchée, les phénomènes
s marquée des ac-cidents urémiques dans la forme interstitielle de la
maladie
de Briglit. A. — C'est surtout chez les sujets
marquer (1), pour caractériser les troubles de la vision qui, dans la
maladie
de Briglit, ne se révèlent pendant la vie par auc
e : ainsi, suivant de Grael'e, sur trente-deux cas d'amaurose dans la
maladie
de Briglit, 2 fois seulement il s'agissait de l'a
rveux en question sont donc quelquefois la première révé-lation de la
maladie
, et c'est à l'occasion de ces accidents que les u
e altération de la crase de smg qui les expose à contracter certaines
maladies
inflammatoires. La bronchite, puis la pericardite
être de l'avis de quelques personnes qui pensent que, en dehors de la
maladie
de Bright, l'atrophie du rein combinée à l'athéro
ragie cérébrale, 16 fois seulement Ghargot. Œuvres complètes,t. vi,
Maladies
des reins. 23 le rein présentait un certain deg
des artères les lésions de la rétine, fréquentes dans cette forme de
maladie
de Bright et inconnues en quelque sorte dans la n
llées. Il avait déjà été rappé d'hydropisie un an auparavant, mais la
maladie
présente datait de 7 mois ; à cette époque, ce ma
Cases. Pl. m, flg. 1,2, 3. (2) Rayer, —Atlas in-fol. du Traité des
maladies
des reins. Paris, 1837, g-1 2, 5 et 6. Il ne se
ncipaux états anatomiques qui doivent être rattachés à la forme de la
maladie
de Bright (1) Motley and tuberculated Appearanc
les peuvent se présenter, à l'œil nu, les altérations du rein dans la
maladie
de Briglit, sont telle-ment variées qu'elles diff
subsiste sur le terrain de la clinique. À. Le début de la forme de
maladie
de Bright, qui se traduit anatomiquement par les
poque les caractères du gros rein blanc. — Toutes les observations de
maladie
de Bright parenchyma-teuse, à début aigu, paraiss
aucune condition déterminante. On a beaucoup parlé de l'influence de
maladies
autres que la scarlatine, à savoir : la rougeole,
accusée des épithéliums ; mais jamais on n'a établi nettement qu'une
maladie
de Bright permanente ait reconnu une semblable ét
it, que le début ait été lent ou rapide, dans la période d'état de la
maladie
, les symptômes sont tou-jours à peu près les môme
on appréciable. Valbuminurie est très accentuée dans cette forme de
maladie
de Brighl ; certains malades perdent dans les 24
plus saillant ; elle est, pour ainsi dire, constante dans la forme de
maladie
de Brighl que nous étudions, et, déplus, elle amè
résorption du liquide des hydropisies. Il n'est pas douteux que la
maladie
puisse guérir : elle pré-sente quelquefois des am
s en commençant cette série d'études, à savoir que les deux formes de
maladie
de Bright, caractérisées anatomiquement l'une par
carlatineuse et au rein amyloïde. Chargot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
des reins. 24 I. L'histoire de la néphrite sc
oyale de Glasgow, dans les salles de fiévreux du docteur Me Laren. La
maladie
avait commencé cinq jours auparavant, par une per
usées sans vomissements; l'éruption avait débuté le second jour de la
maladie
et couvrait au moment de l'entrée le tronc et les
t le 5 octobre, cinq jours après son admission, le dixième jour de la
maladie
. L'autopsie fut faite 27 heures après la mort.
porté jusqu'ici, traite du groupe hétérogène compris sous le nom de
maladie
de Bright ; c'est que, en effet, la lésion rénale
nome. Toujours, elle est subordonnée à un état constitutionnel, à une
maladie
d'ensemble qui, outre le rein, frappe différents
arquer que, jusqu'ici, l'é-tude du sang chez les sujets atteints de l
maladie
lardacée, n'y a fait trouver absolument rien qui
on prolongée, quelle qu'en soit d'ailleurs la cause (ca-rie, nécrose,
maladies
des os, mal de Pott avec abcès, phthi-sie avec vo
figure parmi les cir-constances qui président au développement de la
maladie
lardacée. Sans entrer dans une critique en règl
ns pathogéniques de l'albuminurie Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
Maladies
des reins PREMIÈRE LEÇON Conditions anatomiqu
ales notions qui se rattachent aux troubles fonctionnels des diverses
maladies
rénales et en particulier à l'albuminurie dont le
de fonctionnelle de ces éléments. Gharcot. Œuvres complètes, t. vr,
Maladies
des reins, 26 Je ne me porte pas garant de cett
de méd. de Bruxelles, 1867, xlix. Charcot. Œuvres complètes, t. vr,
Maladies
des reins. 27 travers les membranes, tout aussi
ent chez lui dans d'autres conditions pathologiques ; ainsi, dans les
maladies
fébriles, graves, accompagnées d'accidents typhoï
ordiale du sang. C'est une opinion très ancienne déjà, que, dans la
maladie
de Bright, en général, et dans la majorité des al
ola (de Naples) que je veux parler : « L'albuminurie, dit-il, dans la
maladie
de Bright, répond à un vice général de la nutriti
ne et celles de l'albumine du sérum, chez les album i nu ri qu es par
maladie
de Bright ; et, puisque ces réactions ne sont pas
e, il est évident que la constitution de l'albumine du sang-, dans la
maladie
de Bright, est plus ou moins profondément modifié
essairement avoir acquis la certitude que l'albumine du sang, dans la
maladie
de Bright, diffère de l'albumine du sang normal.
rait citer encore les urines albuminuriques des sujets atteints d'une
maladie
fébrile de quelque intensité et de quel- que du
e rein en même temps que la pres- Chaucot. Œuvres complètes, t. vr,
Maladies
des reins 28 sion s'exagère. Or, l'albuminurie
lusieurs reprises, parfois pendant une longue période, au cours de la
maladie
. Mais enfin ralbuminurie existe. Eh bien! malgré
anisées des tubuli. » M. Lécorché, dans son très estimable Traité des
maladies
des reins, s'exprime comme il suit : « L'albuminu
ar notre ami M. Gombaui.t. PLANCHES Charcot. (Euvr. compl. t. vi,
Maladies
du foie, et des reins. 29 PLANCHE I. Fie/. 1.
ogénique et désassimilatrice. — Complication delà cirrhose vulgaire :
maladies
du cœur et des reins.............................
.....................,......... 266 DEUXIÈME PARTIE Le Rein. — La
maladie
de Bright. PREMIÈRE LEÇON anatomie normale du
tus TUBULAirtES du rein. — cylindres urina1res — vue D'ENSEMBLE de LA
MALADIE
de bright. Sommaire. — Infarctus tubulaires cri
ignification clinique des cylindres urinaires. Vue d'ensemble de la
maladie
de Bright. — Doctrine de l'unicité et de la mul-t
des médicaments. Complications observées dans le rein contracté: —
Maladies
inflammatoires: — coexistence d'inflammations i
Bilirubine, 71, 80, 140. BlLIvredine. 29, 71, 140, Bright (Voir
Maladie
de Bright). Ñ Calculs biliaires, 64, 125. — E
iqeus du foie, 14, 49. — Du rein, 298. Lymphomes du foie, 53. M
Maladie
de Bright, 223. — Vue d'ensemble de la —, 320 ;—
E E NEUROLOGIE A.RCH1 VS DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE ma
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES F 0 N D 1 : ; PAR H J. -]
OUS LA DIRECTION DR MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine (le V. MA
le clinique (Sle-Aunc). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Facilité (le médecine
que Legendre les range au nombre des symptômes essentiels de la-
maladie
, considéraient que les contractures doivent être
êmes paralytiques géné- raux au nombre de 108 depuis le début de la
maladie
jus- qu'à sa terminaison par la mort, en ayant
vant nos 108 paraly- sies générales du début à la terminaison de la
maladie
, tra- vail que nous avons poursuivi durant six
t Sérieux, sont souvent troublées; on observe au début même de la
maladie
, une impuissance plus ou moins complète; dans le
s, nous apprend M. Schule, sont en général exagérées au début de la
maladie
, à la période d'excitation; la manière inconven
opinion : « L'instinct génital est, dans les premiers stades de la
maladie
ainsi que dans les états d'excitation épi- sodi
ncident quelquefois avec le développement des premiers germes de la
maladie
et quand ils semblent être une cause, souvent i
é sur les modifications du sens génital aux diverses périodes de la
maladie
, la nature des altérations, leurs nuances, leur
n'en est que 42 qui aient parcouru toutes les trois périodes de la
maladie
pour aboutir au marasme paralytique; 32 ont suc
00 seu- lement. Nos échecs ont été d'autant moins nombreux que la
maladie
était plus avancée; ce résultat est facile à com-
ltation génitale esl infiniment plus rare, même dans le début de la
maladie
, que l'affaiblissement et l'impuissance, elle j
x deux dernières périodes; elle est donc de toutes les phases de la
maladie
. Nous aurions donc en conséquence, si nos const
Cachexie tuberculeuse progressive; mort. - Température pendant la
maladie
et après le déeès. Autopsie. Tuberculose pulmon
la tuberculose. Une SOEur est morte à trente-cinq ans de la même
maladie
. Une autre SOEUI', bien portante, a eu un enfant
ni sur sa famille. Mère, soixante-quinze ans se porte bien; aucune
maladie
nerveuse. Grand-père maternel mort vieux, on ne
constipation habituelle, gâtisme. Oxyures vers douze ans. Aucune
maladie
infectieuse, ni accidents scrofuleux, sauf un peu
us intéressants de cette observation, qui sont les suivants : 1e La
maladie
est survenue chez un adolescent du sexe masculi
corce cérébrale. Cette affection se distingue essentiellement comme
maladie
de la para- lysie générale inflammatoire (vraie
cet égard.) M. Wigtesworth a décrit il y a peu de temps deux cas de
maladies
cérébrales à forme de dégénérescence observés c
ort-sur-Main. Cet hôpital très bien situé est destiné à l'étude des
maladies
mentales et à l'enseignement clinique. Il contien
erne permet aux malades de se faire examiner dès le debut de leur
maladie
et d'entrer à l'hôpital dès qu'il est nécessaire.
te période et notamment celles de la grossesse à l'hystérie et à la
maladie
des tics. On doit renoncer à l'avor- tement pro
humatismale ; le rhumatisme dans l'espèce agit simplement comme une
maladie
infectieuse quelconque telle que rougeole ou gr
ne prend aucune part. SOCIÉTÉS SAVANTES. C7 Forme anormale de la
maladie
de Recklinghausen. MM. Renon et UCFOUR. Il s'ag
u'affermir notre volonté de réussir. La faiblesse du vouloir est la
maladie
de l'époque. La thérapeu- tique suggestive, se
ellier, MM. Ricue et Pélissier). M. de Fursac, chef de clinique des
maladies
mentales de la Faculté de médecine de Paris, es
ts, 1900. z : .7 Librairie Carré et Naud. - Raymond. Clinique des
maladies
du système nerveux (hospice de la Salpêtrière,
tion plus ou moins graves, cependant toujours sérieux. Nous CURE DE
MALADIES
DE NERFS. 87 noterons cette particularité que c
mple. Méthode d'exercices et de mouvements proposée comme cure de
maladies
de nerfs ; Par le D' O. TIIILO, de Riga (Russie
pas seulement d'un manque d'usage, mais sera la consé- quence d'une
maladie
affaiblissante; l'essai, par exemple, de guérir
us parait surprenant que la médecine se soit bornée à trai- ter ces
maladies
elles-mêmes et n'ait pas essayé, par un plan d'
un malade quiaurail perdu la possibilité démarcher, par suite d'une
maladie
nerveuse, rhumatismale ou autre ; clans ces der
- prendre d'employer comme remède, dans une large mesure, CURE DE
MALADIES
DE NERFS. 8 : 9 des exercices dans le genre de
idée plus claire de la progression graduelle des forces : CURE DE
MALADIES
DE NERFS. 91 atteignit de juin à fin août 1896
de la main endommagée nous offre le tableau suivant : - 0 CURE DE
MALADIES
DE NERFS. 93 malade ne pouvait pas, en écrivant
les mouvements actifs sont parfois absolument impossibles dans les
maladies
des articulations, dans les rhumatismes muscula
n céda aussitôt. A part ce dernier détail les circons- tances de la
maladie
et les lésions trouvées à l'autopsie rapprochen
ses couches de sa femme. Le malade nie tout excès alcoolique.' La
maladie
actuelle a débuté à l'âge de cinquante-quatre ans
s avec des éruptions pemphigoïdes et un coryza dès la naissance. La
maladie
a débuté en 1898, par une diplopie transitoire,
Syphilis en 1883 avec cortège classique d'accidents secondaires. La
maladie
actuelle a débuté en 1887 par des douleurs lanc
halée intense ayant duré deux mois. Salpingite en 1892. Début de la
maladie
en 1897 par des sensations de froid et de chaud
e ? Un premier problème serait aussi- tôt à résoudre, le nombre des
maladies
au cours desquelles. on peut observer le signe
ier le rôle si important de la syphilis dans l'éclosion de ces deux
maladies
; d'autre part, M. Babinski et son élève, M. Cha
considérés comme des paralytiques généraux de par l'évolution de la
maladie
et de par l'inté- grité absolue de leur intelli
ires et cérébraux, par l'évolution lente et caractéristique de leur
maladie
, aussi peut-on admettre que chez eux la syphili
excès alcooliques (vin blanc et absinthe). Sa mère est morte d'une
maladie
dans le ventre ( ? ) : elle buvait plus que son m
ternel, il était très bien, sobre. Trois frères, l'un souffre d'une
maladie
de coeur, les autres sont très bien portants. U
e sa treizième année, elle aurait eu plusieurs lipothymies. Comme
maladies
infectieuses, nous avons à relever : rougeole à
et note quelques particularités dans le régime des malades avant la
maladie
. C. ScuÉPILOFF. VII. Remarques sur les lésions
ale du Canada, n° 11, 1899.) . Leçon d'ouverture d'un cours sur les
maladies
du système ner- veux et en particulier de la mo
ule sout les mêmes; que le crétinisme et le myxoedème sont une même
maladie
; 6° l'opinion de Virchow que le crétinisme est
atique particulier au-dessous des manifes- tations cérébrales de la
maladie
'. H. de 111USGnAVE-CLaY. XIV. Un cas de porenc
solement et le repos, la suggestion et l'hypnotisme. La durée de la
maladie
dépend beaucoup de l'habileté mise en oeuvre da
sta de lled. y Cir. practicas, n° 592.) F. B. XII. Un cas aigu de
maladie
de Graves et son anatomie patholo- gique ; par
issements incoercibles souvent sans nausées ni efforts; durée de la
maladie
, six mois. Mort dans le marasme cachectique. -
de MM. P. Marie et A. Struempell, mais tout à fait distinctes de la
maladie
qu'il a, lui, Bechterew, désignée sous le nom d
la dénomination de A. Struempell qui semblerait vouloir limiter la
maladie
aux articulations coxofémorales. L'auteur propo
ts ont été atteints non pas seulement de chorée semblable mais de
maladies
nerveuses éaractérisées. L'hérédité chronique rem
Neruenheillr., 1111;1V. l·'. X, 1899.) Critique de la division des
maladies
nerveuses de P. J. Moebius. L'étiologie sert su
l'individu, externes ou internes. Mais c'est un tort de diviser les
maladies
connues en deux classes d'après cette condition
d'après cette condition sine q2cu non. Moebius ajoute : « Dans les
maladies
exogènes les causes sont qualitativement différ
sont qualitativement différentes (alcool, plomb, toxine) ; dans les
maladies
endogènes il n'y a généralement qu'une cause, l
- M. Marchand présente un jeune paralytique gène ! al cbezjequel la
maladie
aui ait débutée vers l'age de dix-sept ans et d
la moitié des cas sans attache héréditaire et semble être alors une
maladie
acquise; 2° l'alcoolisme, les vésanies, etc., s
hez les femmes paralytiques que chez les hommes atleints de la même
maladie
. B. En ce qui concerne l'hérédité similaire :
« De la valeur séméiologique des idées hypochondriaques dans les
maladies
mentales, appuyées sur des observations personnel
raniectomie. Archives. 2 série, t. X. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES.
Maladies
mentales familiales {discussion). - M. ARNAUD dis
aladies mentales familiales {discussion). - M. ARNAUD distingue les
maladies
familiales des maladies héréditaires proprement d
les {discussion). - M. ARNAUD distingue les maladies familiales des
maladies
héréditaires proprement dites, qui se transmett
tement, avec tous leurs caractères, d'une génération à l'autre. Par
maladie
familiale il entend désigner une maladie frappa
génération à l'autre. Par maladie familiale il entend désigner une
maladie
frappant à la fois ou successivement plusieurs me
stater 23 cas d'aliénation mentale susceptibles d'être qualifiés de
maladie
mentale familiale. Peut-on avec un si petit n
si petit nombre de faits conclure avec M. Trénel à l'existence des
maladies
mentales familiales ? M. DouTREBENTE ne croit p
uvent un délire commu- niqué, il ne saurait être envisagé comme une
maladie
familiale. M. GIItAUD trouve trop absolue l'opi
ur en retrouver beaucoup. M. DOUTREBENTE ne nie pas l'existence des
maladies
mentales familiales, mais il n'en a jamais obse
: M. LECnnN voudrait qu'on adoptât un vocable autre que celui de
maladie
familiale, parce que la famille ne comprend pas s
issus est nécessaire pour expliquer la produc- tion de la lésion.
Maladies
mentales familiales. M. BOISSIeR. - M. Trénel n'a
serait l'existence d'un type particulier permettant de faire de la
maladie
mentale familiale un type à part. M. Brunet c
t. M. Brunet croit qu'il faut d'abord définir ce qu'on entend par
maladie
familiale, parce que tous les auteurs n'attachent
même signification. Lande, Pauly, Bonne et Lor- rain attribuent aux
maladies
familiales trois caractères princi- paux : 1° E
n depuis le mois d'avril. La malade appelle elle-même son état « la
maladie
de la faim », elle en est profondément affectée,
r nous en faire la démonstration. BIBLIOGRAPHIE. VI. Clinique des
maladies
du système nerveux (quatrième série) ; par le p
hie de la langue, atrophie musculaire progres- sive, syringomyélie,
maladie
de Friedreich, sclérose en plaques, hystérie. .
e Robinovitch, docteur en médecine à New-York. Sur les rapports des
maladies
men- tales avec la perversion morale, par le Dr
se de Leuret à Heinroth qui considérait la folie, non pas comme une
maladie
du corps, « mais comme une maladie de l'esprit,
rait la folie, non pas comme une maladie du corps, « mais comme une
maladie
de l'esprit, un péché ». «... Dire que l'homm
suicide. (Le Bonhomme Normand du 12 juillet.) Hospice DE Bicètre. -
Maladies
nerveuses des enfants : Ji. BOUR- NEVILLE, le s
questions d'hospitalisation et de traitement des sujets atteints de
maladies
mentales. Comme il arrive toujours en pareille
tement les exigences, trop lentement mé- connues, du traitement des
maladies
mentales. Des réformes décisives ont été réalis
contemporaine, et de permettre d'ap- pliquer aux sujets atteints de
maladies
du cerveau le traitement individuel que celles-
de nos universités provinciales permet d'espérer que la science des
maladies
mentales - science éminemment française sera of
ialement cons- truite-en vue de sa destination : l'enseignement des
maladies
mentales 3., · - : Nous emprunterons les élémen
ation, mais à hospitaliser un certain nombre de sujets atteints de,
maladies
nerveuses. " Chaque division d'hommes et de fem
udiants, et réclame la création d'un examen spécial portant sur les
maladies
mentales. - Population, le l01' janvier 1898 :
particulièrement intéres- sants : 1° âge anormal auquel survint la
maladie
; 2° taudis que la réaction de dégénérescence ex
marche si souvent 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rapide de la
maladie
. Dans des cas plus lents dans leur évolution, l
as qui se terminent rapidement par la mort. 5° Enfin, dire qu'une
maladie
est d'ordinaire fatale, ne sert absolument à ri
ches anatomo-pathologiques n'ont pas réussi davantage à donner à la
maladie
de Landry une place à part dans la noso- 'graph
e ne donne pas plus de lumière. A part la simple affirmation que la
maladie
de Landry est probablement due à quelque toxémi
, notre savoir surl'étiologie n'a pas avancé. L'individualité de la
maladie
est plutôt atténuée qu'établie par une telle af
ns plus complètes avant d'obtenir la dignité d'entités morbides, de
maladies
définies, dans le même sens que la diphtérie, p
représente pas un processus auquel on puisse appliquer le nom de «
maladie
», et, dans ce cas, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
se occasionnelle a déterminé ou tout an moins hâté l'éclosion de la
maladie
. C. D. XXXVI. Des contractions de l'estomac, de
ques, que les vertiges liés à un mauvais état de l'estomac ou à des
maladies
de l'oreille, sont considérés à tort comme des
aits qu'on lui impute '. » A. FENAVROU. XI.1V. Une observation de
maladie
de Basedow mortelle avec coexistence de myxoedè
st amené à considérer comme impossible la coexis- tence de ces deux
maladies
. Cependant, un certain nombre d'ob- servations
trois ans, et pendant la plus grande partie de ce laps de temps, la
maladie
de Basedow a continué de s'affir- mer d'une faç
que, dans ce cas, la naissance du myxoedème et la terminaison de la
maladie
de Basedow ont che- ' Nous avons publié en 1861
que ces deux affections sont la conséquence, non de l'exagération (
maladie
de Basedow) ou de l'abolition (myxoedème) de la
dant la vie ; ce fait semble confirmer la théorie sympathique de la
maladie
de Base- dow, mais, d'après l'auteur, cette thé
ie anatomique et pathogénique qui puisse convenir à tous les cas de
maladie
de Basedow. Le goitre exophtalmique n'est vrais
Basedow. Le goitre exophtalmique n'est vraisemblablement pas une
maladie
, mais un syndrome clinique que des causes, peut-ê
citement contenu dans la déno- mination de névrose, c'est-à-dire de
maladies
sans lésions et sans cause, que l'on donne à la
-à-dire de maladies sans lésions et sans cause, que l'on donne à la
maladie
de Basedow. · A. FENAYROU. XLV. Un cas de tum
ssociative decedernier état. L'individu a une demi-conscience de sa
maladie
. Leur persistance est due à certaines manières
e ne décrit plus comme espèces distinctes les diverses phases d'une
maladie
, mais elle essaye d'embrasser tout son ensemble
la constitution des liquides de l'économie à l'état de santé et de
maladie
, ces travaux ont déjà donné des résultats appré
lisant les observations de psychoses attribuées aux diathèses, aux
maladies
viscérales, aux infections, on est surpris du p
ment à l'infir- merie ou à l'asile quand viennent à se produire des
maladies
inci- dentes ou quelque phase d'excitation. U
d'Iéna, Allemague). En se basant sur à peu près quatre cents cas de
maladies
mentales, dont les premiers symptômes remontent
rtaines modifications spéciales des symptômes et de la marche de la
maladie
. C'est donc par erreur que quelques auteurs ont
intellectuel incomplet de l'individu avec l'hérédité qui donne à la
maladie
son cachet dit hébéphrénique; , 4° Les psycho
se émotive intermittente, à laquelle on pourrait donner le nom de
maladie
de la rougeur ou éreulhopalhie. Au deuxième deg
ique 248 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. et rester à l'état de
maladie
simple de la rougeur chez un sujet normal, tand
raite du malade, au moment même où elle se déchaîne. Il faut que la
maladie
agisse malgré sa crainte. Et c'est chose étonna
ions, beaucoup de paralytiques parcourent toutes les phases de leur
maladie
sans devenir impotents, sans avoir d'eschares,
t la pathologie du système nerveux. A ne considérer que l'étude des
maladies
nerveuses, nous la voyons occuper, au milieu de
es troubles fonctionnels qui figurent dans la symptomatologie des
maladies
du système nerveux. Indépendamment des maladies n
symptomatologie des maladies du système nerveux. Indépendamment des
maladies
ner- veuses proprement dites - et comme telles,
s catégo- rique, dans les classifications adoptées pour l'étude des
maladies
de la moelle. Vers 1830, la conception,. par
abes dorsalis, de l'ataxie locomotrice de Duchenne. Aujourd'hui, la
maladie
de Friedreich est classée dans les scléroses sy
istinguer cette sclérose en plaques de la paralysie agitante, de la
maladie
de Par- kinson, jusque-là confondue avec elle.
nduits, par voie de simple raisonnement, à placer le siège de cette
maladie
dans la moelle. De par les observations de Corn
- ques sur les mêmes bases que celle des syndromes somatiques des
maladies
de l'encéphale. Aux affections, en rapport avec d
e fonder, sur des bases objectives, le diagnostic topographique des
maladies
mentales. Déjà, nous entrevoyons le moment où,
se, un rôle étiologique de premier ordre. Dans le développement des
maladies
mentales et dans le développement des maladies
développement des maladies mentales et dans le développement des
maladies
nerveuses, nous incriminons les mêmes causes pro-
Nous possédons ainsi les éléments d'une prophylaxie rationnelle des
maladies
mentales et des maladies nerveuses. Une connaissa
éléments d'une prophylaxie rationnelle des maladies mentales et des
maladies
nerveuses. Une connaissance 64 CONGRÈS INTERNAT
naître, avec une ri- gueur croissante, le siège et le mécanisme des
maladies
nerveuses ou mentales, de distinguer celles qui
r travailler ensemble au développement de nos connaissances sur les
maladies
du système nerveux. » Sont nommés Présidents d'
de ses parents, à Bruay. (Le Temps, du 12 août 1900.) Hôpital des
maladies
mentales de Pierrefeu. 39° concert offert aux p
itement (repos au lit) dans le traitement<iies formes aiguës des
maladies
mentales et les modi< fications qu'il pourra
jours et cette question fut mise à l'ordre du joùr à la section des
maladies
nerveuses et mentales au Con- grès des Médecins
ttribuant au régime du lit une grande valeur dans le traitemcnt des
maladies
agitées, insistaient sur ce qu'il y aurait de p
un puissant moyen thérapeu- tique qui bien que ne guérissant pas la
maladie
même, en adoucissait énormément les manifestati
onger davantage ce régime chez les malades fébriles ou souffrant de
maladies
somaliques; 2° Le repos au lit avec l'autorisat
illance particulière, les dangereux ainsi que les faibles, avec des
maladies
aiguës et tous ceux qui venaient d'entrer à l'a
e façon d'observer, de guetter les différentes manifestations de la
maladie
, les psychiques entre autres, bien entendu. Je
ême par une sorte d'opposition : le régime au lit serait propre aux
maladies
aiguës, le régime ouvrier aux maladies chroniqu
e au lit serait propre aux maladies aiguës, le régime ouvrier aux
maladies
chroniques. C'est tout à fait inexact. Presque
us les malades, après une certaine période, parfois courte, de leur
maladie
aiguë, ont besoin d'une stimulation intel- lige
on pas d'une dépres- sion de celte énergie. On dit couramment : les
maladies
mentales sont des maladies comme celles du corp
e celte énergie. On dit couramment : les maladies mentales sont des
maladies
comme celles du corps, et si le repos est néces
t si le repos est nécessaire aux dernières, il en est de même aux
maladies
mentales, mais on ne tient pas compte du fait que
mais on ne tient pas compte du fait que même dans le traitement des
maladies
somatiques on s'adresse souvent aux exercices e
ssi impor- DE l'alitement. 285 5 tantes dans la thérapeutique des
maladies
mentales. Nous avons bien depuis quelque temps
ar expérience que l'effet théra- peutique du 'régime au lit sur les
maladies
mentales est incontestable. Certaines formes gr
de formes aiguës des psychoses à leur période initiale. Lorsque la
maladie
passe de la période initiale à la phase station
es sont alités. CONCLUSIONS 1. Dans la question du traitement des
maladies
mentales par le repos au lit il faut distinguer
e et de bien observer les symp- tômes physiques et psychiques de la
maladie
. Le refus de se servir par principe des cellule
tible d'abolir complètement l'emprisonnement dans les cellules. Les
maladies
caractérisées par un état d'agitation ont une m
rait très important d'étudier l'effet que ce régime produit sur les
maladies
psy- chiques chez les sujets jeunes pour que ce
les psychoses à forme aiguë, surtout à la période initiale de la
maladie
. 11 agit surtout favorablement sur la plupart des
tisme articulaire aigu, puis quelques accès de tachycardie avant sa
maladie
actuelle toutes les fois qu'il montait il cheva
egard très notable sans grande exophtalmie. Les autres signes de la
maladie
de Basedow, signes de Graefe et de Moebius, fai
aucune propathie personnelle chez B..., sauf, au point de vue de la
maladie
de Basedow, un certain degré de nervosisme et l
où le fait fut publié, le sujet pré- sentait tous les signes de la
maladie
de Basedow. D'autres infections, également loca
observé un intéressant cas de stru- mite après l'influenza dans la
maladie
de Basedow. G. Singer de Vienne ? a observé dan
uble fonctionnel de la glande thyroïde, car il existe aussi dans la
maladie
de Basedow. Si maintenant nous nous demandons c
u des théories qui, actuel- lement se partagent la pathogénie de la
maladie
de Basedow, il est permis de constater la faveu
nent à la fois l'augmen- ' Garnier. La gla»cle l/¡i/I'oïde dans les
maladies
infectieuses, Thèse de Paris, 5 février 1809.
ier ont montré la fréquence des lésions thyroïdiennes, au cours des
maladies
générales, il ne semble pas inadmissible de sup
ns thyroïdiennes, qui, cliniquement est révélé par les signes de la
maladie
de Basedow. Pour le myxoedème de l'adulte, M. T
un appoint à cette théorie de l'origine infectieuse de certaines
maladies
de Basedow. En tout cas, nous tenons à faire re-
rol dans le chapitre sur l'idiotie et dans son traité classique des
maladies
mentales, note que les circonvolutions cérébrales
'exiguïté anormale de la tête avec une conformation ' Esquirol. Des
maladies
mentales, t. II, p. 343, se réfère à des observ
des méninges et des autres parties du crâne, survenant au cours de
maladies
infectieuses aiguës, telles que la variole, la
hérapeutique directe (soit dès l'abord, soit pendant le cours de la
maladie
). 4° L'alitement n'est pas un traitement spécif
n'est pas un traitement spécifique des psychoses, pas plus que des
maladies
fiévreuses ou amenant la consomption. Il n'est
gir contre des symptômes d'irritation, premièrement dans toutes les
maladies
de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l
me mixte de Toulouse). Il est à remarquer que, dans la majorité des
maladies
mentales juvé- niles, l'alitement ne doit passe
nne, l'alitement, comparé au lever, n'a aucun effet utile ni sur la
maladie
, ni sur le délire, ni sur l'agita- tion ou la d
certains cas, parait utile en ce sens qu'il diminue la durée de la
maladie
. Ce seraient plus particulièrement la manie int
ive rareté du phéno- mène se comprend par l'influence nécessaire de
maladies
très déterminées et par leur action sur le cent
ent pour le langage écrit. ' SECTION DE NEUROLOGIE. 3 : 2t1 de la
maladie
et sa terminaison, enfin par les résultats du tra
culeuse. Au moment de son entrée dans le service de la Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière, cet homme
eur. Les malades racontent qu'ils peuvent faire de l'or, guérir des
maladies
; l'empereur va venir les visiter, etc. Les ha
es circonstances extérieures ont paru favoriser l'éclosion du mal :
maladies
somatiques (influenza, catarrhe de l'estomac),
frayeurs, soucis, chan- gement dans le genre de vie, et surtout la
maladie
et la mort de proches parents. Ainsi délimité
- faiblissement psychique accentué et des signes physiques, si la
maladie
a évolué progressivement et sous la forme d'une d
ver dans la tête. Besnard avait le cerveau dérangé à la suite d'une
maladie
. (Bonhomme Normand, 27 septembre.) Une désespér
obin. F. XIV, p. 209, 1S98. = Cilles de la Tourette. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1898. \'on Leyden et P. Jacob. Berie
ce que dit M. Courtade 3, nous massons l'hémiplé- 1 Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1898. 5 Professeur A. IIof1'a. Techn
égatifs. Chez les enfants et chez les hémiplégiques, au début de la
maladie
, l'électricité est plutôt nuisible, sur- tout l
en Saxe, à Leipzig, qu'a pris naissance l'enseignement clinique des
maladies
mentales en Allemagne. Ileinroth, élève de Pine
rrêté ministériel d'avril 1888, la « Clinique de psychiatrie et des
maladies
ner- veuses » (l'sychiatrische und Nerven-Klini
, on a relevé 562 pa- tients (291 hommes et 271 femmes) atteints de
maladies
mentales proprement dites (psychoses, paralysie
lire alcoolique, et 40 sujets (26 hommes et 14 femmes) non aliénés (
maladies
nerveuses). Les sorties pour cause de guérison
sposa, pendant plusieurs années, pour l'enseignement clinique des
maladies
mentales, que de l'asile provincial de Nietleben,
ulant construire une clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les
maladies
mentales et nerveuses, fit. pour la somme de 15
t connaissance dans ce pavillon avec les formes les plus graves des
maladies
men- tales. Un appareil ingénieux, dit à 11.
la première. En somme il existe à l'état de santé comme à l'état de
maladie
un parallélisme complet entre les phénomènes ga
iagnostic-. Lévi Sirugue a étudié les réactions électriques dans la
maladie
de Utllc et ne les a pas trouvées modifiées; ce
quait dans les huit premiers jours n'a pas tardé à apparaître et la
maladie
a suivi son cours habituel. Benedikt a contin
a réaction lacunaire totale ou partielle dans un certain nombre de,
maladies
nerveuses, soit cérébrales, soit périphériques
trothérapie. L'électrothérapie est toujours en bonne place dans les
maladies
du système nerveux et des acquisitions nouvelle
e cérébrale ou nerveuse. La migraine, le goitre exolihthalmique, la
maladie
de Raynaud et l'asthme spas- modique lui parais
résultats qu'elle a donnés pour l'étude de la bactériologie et des
maladies
infectieuses. II. Que j'ai faites moi-même depu
tion du cinématographe à l'élude des troubles de la marche dans les
maladies
nerveuses; par Marinesco (de l3ucharest). M...
sions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des
maladies
générales. (Laboratoire de M. Gilbert Ballet.)
randes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts de
maladies
générales (pneumonie, 'tuberculose, lésions du
or- ticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la
maladie
. Si donc l'hypothèse, qui impute l'apparition d
taux qui les accompagnent, et qui varient peu malgré la variété des
maladies
qui les engendrent (délire de fièvre typhoïde,
t soit appliqué aussi souvent que possible dans le traitement des
maladies
mentales, » La section aborde ensuite la discus
droit d'en attendre. Ceci est surtout à re- marquer pour certaines
maladies
du système nerveux central et en particulier po
réflexes superficiels et profonds comme aide au diagnostic dans les
maladies
mentales, 189G. 452 li CLINIQUE NERVEUSE. neu
précier avec plus d'exactitude l'état du système nerveux dans cette
maladie
. Pour mieux mettre en relief les caractères du
t parvenue la paralysie générale, d'une part, et la nature de celle
maladie
d'autre part, nous voyons que : 1° a). Il n'e
priori une relation quelconque entre la période d'évolution de la
maladie
et une allure particulière du réflexe cutané pl
arvenus soit à la période d'état, soit à la période de déclin de la
maladie
ont présenté cette modalité ; celle-ci s'est to
n, mais nous estimons que c'est à un médecin versé dans l'étude des
maladies
mentales que doit en appartenir la direction ;
asiles d'aliénés. C'est que l'idiotie rentrant dans le cadre des
maladies
mentales tombe sous le coup de la loi du 30 jui
aordinaires; 0 Privat-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des
maladies
mentales et nerveuses de l'Université de Berlin
psychiatrie. C'est seulement en 1SG3 que renseignement clinique des
maladies
men- tales fut organisé d'une façon régulière à
(jeudi, de 11 à 12 h. 112) avec poli- clinique. La policlinique des
maladies
nerveuses de la Charité est publique; elle a li
es à 1 heure). En dehors des leçons magistrales, l'enseignement des
maladies
nerveuses et mentales est encore assuré à Berli
ofesseur Mendel ; le cours (payant) du professeur Bernhardt sur les
maladies
nerveuses, l'électrodiagnostic et l'électrothér
emak (avec démonstrations) ; -le cours (payant) de dia- gnostic des
maladies
du système nerveux et d'électrothérapie du D' H
rothérapie du D'' Eulenburg ; le cours (payant) de dia- gnostic des
maladies
du système nerveux avec exercices pratiques du
er : -les conférences (payantes) de diagnostic et de traitement des
maladies
du système nerveux, avec considérations sur l'é
rapie, du professeur Oppen- heim; les conférences publiques sur les
maladies
de la moelle par les professeurs Jolly, Oppenhe
eurs Jolly, Oppenheim, Leyden ; les conférences (gratuites) sur les
maladies
du cerveau, du D'' Moëli; -le cours public sur
ies du cerveau, du D'' Moëli; -le cours public sur les rapports des
maladies
du système nerveux avec les autres affections,
le, du Ut' Koppen ; - les conférences de thérapeutique générale des
maladies
nerveuses, du D' Goldscheider. Le non-restreint
ofesseurs extraordinaires; 3 Privat-docenten; 232 étudiants.) Les
maladies
mentales ont été enseignées à l'Université de T
en qui sert à l'enseignement clinique. La création de la chaire des
maladies
mentales à l'Uni- versité d'Erlangen remonte à
281 étudiants.) L'Université de Heidelberg ne possède une chaire de
maladies
mentales que depuis une vingtaine d'années. C'e
Jusqu'alors, on s'était contenté d'utiliser pour l'enseignement des
maladies
mentales les asiles provinciaux voisins des unive
xtraordinaires; 10 Privat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des
maladies
mentales et nerveuses de l'Université de Stiasb
descendants et leurs collatéraux, toutes les formes pos- sibles de
maladies
nerveuses et mentales : en effet, il n'est pas
honoraire des asiles publics d'aliénés. Morel a démontré que les
maladies
mentales allaient en s'aggra- vant d'une généra
, lui convient beaucoup mieux. Quand elle est acquise, par suite de
maladies
accidentelles, ou de mauvaises conditions socia
l'hypothèse qui impute l'apparition des troubles men- taux dans les
maladies
générales (délire fébrile, confusion mentale, h
rvations actuelles, l'abolition des réflexes ten- dineux, en cas de
maladie
du cerveau, est exceptionnelle et peut être cau
e de la moelle. . 7° L'abolition des réflexes tendineux en cas de
maladie
du cer- velet n'est notée que dans un nombre re
y avait de la cécité, c'est-à-dire atrophie papillaire, sans que la
maladie
du reste, avec ses symptômes ordinaires : douleur
ons médullaires ou survient dans un état plus ou moins avancé de la
maladie
, il se produit des tableaux différents ou des m
luence du liaumalismc du crâne sur la production et l'écolulion des
maladies
de l'encéphale; par Ernst Ehrnrooih (d'Elelsinf
ale, tandis que les animaux uniquement infectés sont atteints de la
maladie
en ques- tion dans la proportion de 13,2 p. 1U0
umatisme du crâne agit comme cause prédisposante à l'éclo- sion des
maladies
infectieuses de l'encéphale, même sans l'exis-
DE NEUROLOGIE.. 511 Cette désignation comprend plusieurs groupes de
maladies
, qui tous démontrent une dégénérescence simulta
érose, qui cependant ne se limite pas à des systè- mes définis. Ces
maladies
diffèrent entre elles dans leur cours et dans l
entre elles dans leur cours et dans leur étiologie. Les différentes
maladies
comprises sont pel- lagre, paraplégie ataxique
urs anglais. Il est certain que tous ces titres n'indiquent pas des
maladies
distinctes ; dans la pellagre, la sclérose, d'a
rieures sont normales, de même que les membranes, indiquent que les
maladies
ont une origine vasculaire et qu'elles sont pro
as de fièvre typhoïde. Il est apparu aux différentes périodes de la
maladie
: 9° jour, 21°, 25°, a persisté un temps variab
ours de la fièvre typhoïde ne semble pas augmenter la gravité de la
maladie
. Tous les cas se sont terminés par guérison.
en tout cas, il y a la une notion nouvelle, et la preuve que cette
maladie
atteint plus souvent qu'on ne croit le névraxe.
Toulouse, 493. Alitement dans le traitement des formes aiguës des
maladies
men- tales, par Korsakow, 273; par Neisser, 3
Cellulaires. Lésions - corticales dans les accidents mentaux des
maladies
générales, par Maurice Faure, 4 : 7. Cellules
tude des mouvements, par P. ni- cher et [.onde, 334. Clinique des
maladies
du système, nerveux, par le Pr Ltaymond, 172.
u, 234), 301, 127. Crâne. Influence du traumatisme du -dans les
maladies
mentales, par Ehrnrooth, 08. Chamectojiie pou
Exercices. Méthode d' - et mou- vements, proposée comme cure des
maladies
nerveuses, par Thalo, 87. Faiblesse d'esprit.
87. Faiblesse d'esprit. Remarque sur le terme-, 40. Familiales.
Maladies
mentales -, par Arnaud, Doutrebente, Ta- guet
es des - bulbaires par, van Gehuchten, 132. IIEGhLI\GI1,IUSt : \.
Maladie
de -, par Henoll et Dufour, 67. Réflexe. Exag
à la suite de résultats d'autopsie de 16 cas récents et anciens de
maladies
de cerveau chez l'homme, aux conclusions suivan
lligence - aussi bien aux essais (1) Leçons sur les fondions el les
maladies
du système nerveux. T. 1, p. 201 Paris, 1841.
stiques chez les hémorragies dans les ventricules latéraux. Sur les
maladies
con- cernant : rhypophysis cerebri, le tuber ci
cécité et la Balkellalaxie. Le D' Voegele (6) communique un cas de
maladie
psychique et de fai- blesse physique à la suite
ion, probablement une gomme en état de décom- position. Ainsi les
maladies
de l'hypophysis cerebri n'ont donné, d'après les
servations de ces vingt dernières années,aucun résultat positif; les
maladies
du conarium donnaient comme symptôme permanent
mme symptôme permanent une douleur opi- niâtre dans l'occiput ; les
maladies
du corpus callosum et des régions voi- sines se
dans le corpus callosum. Si nous prenons en considération que les
maladies
du corpus callosum et des parties frontales du
ur delà région frontale du cerveau, se trouvent ces tissus, dont la
maladie
provoque justement des troubles des fonctions p
lli sont par- venus à la suite de la comparaison des cas décrits de
maladie
des lobi frontales ou cerveau frontal, dans les
e fornix avec le 5° ventricule, - à la conclusion que justement les
maladies
de cette partie ont pour conséquence un dérange
ig et de Gianelli, que le dérangement psychique ne dépend pas de la
maladie
du cerveau frontal lui-même, mais de la lésion
s- cience réagit aux irritations de douleur. Avec ceci les cas de
maladie
du conarium, cités ci-dessus et recueillis par
combiné,dans la sclérose latérale amyo- trophique, dans toutes ces
maladies
qui s'accompagnent de contracture, on voit une
doctorat, 1880 (2) CIIARCOT, Leçons sur les loculisaliims dans les
maladies
du cerveau el de la moelle épinière. OEuvres co
doptèrent la théorie de P. Marie. (1) Prenne MAME, Leçons sur les
maladies
de la moelle, 1892, p. 24. 30 NOICA Jusqu'ici
n de la contracture n'apparaît qu'au bout d'une lon- gue période de
maladie
; régulièrement après un repos prolongé et sur-
ismales dans les bras et les jambes et surtout au pied gauche. La
maladie
actuelle remonte au 13 mai 1900. Etant assis dans
ppléance anatomique en même temps que physiologique. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX Hospice de la Salpèthùiië 1
ONNUE. PAR F. RAYMOND et H. GOUGEROT Professeur de Clinique des
maladies
nerveuses Interne de la clinique Charcot. à la
e.Mais l'étiologie devenant t de plus en plus vaste et complexe, la
maladie
de Raynaud devint peu à peu un syndrome cliniqu
n- core compliquer la question et l'on voulut faire rentrer dans la
maladie
de Raynaud tous les cas de gangrène symétrique
commencé à marcher et à parler à l'âge d'un an. Il n'a eu que deux
maladies
infectieuses : la rougeole sans complications,
, ni ergotisme, il nie tout accident syphilitique. Histoire DE la
maladie
. Les premiers accidents ulcéreux apparurent en
ennent de vives douleurs au 5e doigt gauche. ' L'évolution de cette
maladie
a été une succession irrégulière de pério- 'des
° par des oblitérations artérielles transitoires ou permanentes. La
maladie
a successivement GANGRÈNE SYMÉTRIQUE DES EXTRÉM
néité des lésions des nerfs et des vaisseaux a été signalée dans la
maladie
de Raynaud, syndrome proche de celui-ci : Bewoets
y penser, d'autant que la syphilis semble agir dans certains cas de
maladie
de Raynaud par oblitération artérielle (Schuste
deux fois et conduit avec soin est resté ici sans résultat. Aucune
maladie
aiguë n'a précédé cette gangrène et ne peut être
ste des causes disparates invoquées plus ou moins justement dans la
maladie
de Raynaud, on n'en découvre aucune qui puisse
on artérielle sont les éléments essentiels de la dé- finition de la
maladie
de Raynaud. Ce cas n'appartient pas non plus aux
s son excellent article de la Pratique DC1'Jnatologiqnc, des cas de
maladie
de Raynaud où l'accès dure plusieurs mois, mais c
es des troubles vasculaires de l'asphyxie locale ». En dehors de la
maladie
de Raynaud, dont la symptomatologie est mainten
nté d'altératious rhumatismales chroniques des os. Le début de la
maladie
actuelle remonte au 17 septembre 1907, jour où el
a toujours persisté. On ne trouve pas, au cours de sa vie, d'autres
maladies
qu'une section accidentelle de la phalangette d
incipalement sur ces dernières données, je rapporte ce travail. Ces
maladies
sont très fréquentes et présentent avec la plus g
ion entre les ca- ractères que ce symptôme peut présenter, selon la
maladie
qui le provo- que. Je dirai mieux : que le trai
ui le provo- que. Je dirai mieux : que le traitement clinique d'une
maladie
et de l'autre, examine légèrement le susdit sym
n ques- tion est un épiphénomène fortuit, qui, dans une de ces deux
maladies
, a des causes absolument diverses de celles qui
ent au premier; bien examiner, avant de conclure, l'influence de la
maladie
proprement dite en comparaison d'autres éventuali
aux caractères de chaque infirmité. Il faut considérer que dans la
maladie
, il y a une exa- gération ou quelque autre dévi
' sereine. Et au delà, bien avant qu'apparaissent les sphacèles de la
maladie
déclarée, les aptitudes à la production du beau
plus en avant, à Iravers des degrés, le domaine absolu de la pleine
maladie
est établi et-le champ de l'art est abandonné. Le
câtion d'autres encore. Cette fonction également est susceptible de
maladie
, et alors, elle peut être une accentuation de cet
'au point qu'on ne peut définir et qui marque le commencement de la
maladie
. Le si délicat joueur de clavecin du xvii* sièc
sécrétion est très abondante et en même temps insistante, l'élat de
maladie
est déclaré : la quantité de la sécrétion est e
du nombre, de la multiplicité, favorisé caractéristiquement par la
maladie
elle-même qui implique le désordre, le boulever
ce entre l'ornement des accessoires du vêtement et la gravité de la
maladie
: Deny et Camus (1) considèrent les bizarreries d
ments à leurs habits que dans les périodes les moins graves de leur
maladie
. On affirme tout le contraire pour la démence p
t en rapport avec beaucoup de conditions, étrangères en partie à la
maladie
(t) Dent et Camus, loc. cil. (2) G. Deny et P
omme une forme très légère de la démence paranoïde : entre ces deux
maladies
, la limite oscille, varie selon les auteurs. L'ac
it décisif doit toujours être et seu- lement le cadre complet de la
maladie
. Il est vrai que l'ornement de l'habit est touj
ANZI, loc. cit., p. 686. , HABILLEMENT DANS LA DÉMENCE PRÉCOCE 89
maladie
comme dans l'autre ; dans la psychose maniaque-dé
précoces, ils attestent le plus souvent un degré très avancé de la
maladie
. 49° Il y a une différence entre le grotesque d
rs fort, est en pied de marmite,, ce qui arrive quelquefois dans la
maladie
de Pierre Marie ; le menton enfin est suffisam-
culaires assez accentués allant au trou mastoïdien. (2) E. Apbrt,
Maladies
familiales el maladies congénitales, Paris, 1907,
s allant au trou mastoïdien. (2) E. Apbrt, Maladies familiales el
maladies
congénitales, Paris, 1907, p. 120. Cf. aussi No
'àge adulte, d'affections qu'il ignore. - Lui-même n'a eu d'autre
maladie
que la variole, à l'âge de dix ans. Il nie la s
qu'il présentait aux mains relevait de l'alcool. Mais le début de la
maladie
actuelle était antérieur a son alcoolisme ! E
ibuera à éclaircir la pathogénie de ces dernières. Histoire de la
maladie
. Homme de 53 ans. Rien d'important dans les ant
ien d'important dans les antécédents personnels ou héréditaires. La
maladie
actuelle a dé- buté, en septembre 1906, par une
ons qu'on peut cons- tater dans les mêmes nerfs au cours des autres
maladies
infectieuses. En outre ils établirent que les l
n la considéra comme une Lipémaniaque. L'évolution ultérieure de la
maladie
sembla d'ailleurs confir- mer le diagnostic car
principaux caractères qui ont été décrits par Nissl sous le nom de
maladie
chronique des cellules (chronische Zeller- kran
42 G. CATOLA diffusion du processus périphérique dans le sens d'une
maladie
du neurone entier. 1 Astié (1898) ne put rele
d'existence ; la dégénérescence pri- maire,au contraire,serait une
maladie
qui frappe la cellule dans la vitalité de toute
tude des troubles nerveux périphériques survenant dans le cours des
maladies
chroniques. Archives gén. de médecine, p. 150. 18
hrift f. klin. Medizin, XIV. 33. KLIPPEL. Des amyolrophies dans les
maladies
chroniques. Thèse de Paris, 1889. 150 G. CATOLA
. Archives cliniques de Bordeaux, 1896. 49. Rwfoxr'. Clinique des
maladies
du système nerveux, 2° série, p. 126-144, 1897.
Briffaut (M.). Contribution à l'étude des polynévrites tuberculeuses.
Maladie
da Landry, 1906. 89. Gelli. Les troubles nerv
u- reusement trop fondés. Mais, dès cette époque, l'évolution de la
maladie
, doré- navant soumise tout entière à mon observ
ifficultés mécaniques dans leur liberté d'action qu'à une véritable
maladie
de la fibre musculaire elle-même. Les réactions
froide, mais il ne futpas possible de trouver de signes évidents de
maladie
de Raynaud. L'examen du sang ne mon- tra rien d
personnes de 5 gé- nérations. En France cet état morbide est appelé
maladie
de Meige. S'il faut avoir égard à la priorité d
ige. S'il faut avoir égard à la priorité de la description et si la
maladie
doit porter le nom d'une personne, elle doit êt
a maladie doit porter le nom d'une personne, elle doit être appelée
maladie
de Milroy. Si au- cun nom de personne ne doit f
lement considérée comme étant à l'origine de l'affection : C'est la
maladie
de Raynaud, l'urticaire factice, et l'oedème angi
les. Nos observations ont peu de chose qui leur soit commun avec la
maladie
de Raynaud ; c'est-à-dire qu'il serait bien diffi
qu'il serait bien diffi- cile de confondre nos cas avec des cas de
maladie
de Raynaud,quoique, en plus de leur oedème, le
y a nettement des points où l'oedème angioneurotique et nos cas de
maladie
de Milroy viennent au contact ; c'est notamment
s décrits ci- dessus ont été sujets. Il semble vraisemblable que la
maladie
de Raynaud, l'urticaire factice, l'oedème angio
die de Raynaud, l'urticaire factice, l'oedème angioneurotique et la
maladie
de Milroy, sont reliés l'un à l'autre pathologi
ies musculaires. Plusieurs auteurs ont judicieusement comparé cette
maladie
aux dys- trophies musculaires ; ces dernières p
eige, Rolleston, et d'autres observateurs. Le point capital de la
maladie
dont certains membres de la famille ont été att
cause, et en dehors de tout trouble constitutionnel de la santé. La
maladie
a reçu des noms différents parmi lesquels nous
s préférons celui de «oedème héréditaire persistant des jambes», ou
maladie
de Milroy. L'affection frappe aussi bien lessuj
ils en temps et lieu. Cet état diffère objectivement beaucoup de la
maladie
de Raynaud, de l'urticaire factice, et de l'oedém
de croire qu'il existe sous ces trois états morbides et nos cas de
maladie
de Milroy une condition pathologique commune, q
eurs sont vivants et bien portants. Lui même n'a jamais eu au- cune
maladie
infectieuse, n'a jamais eu la syphilis, n'est pas
croissante des troubles qui ne sont plus suffisants pour former une
maladie
, mais constituent seulement les traits d'un tem
mobilité, une instabilité qu'on ne leur connaissait pas avant leur
maladie
; une in- définissable agitation les tourmente
ibles, ingrats et d'une exigence qui ne trouve d'excuse que dans la
maladie
. Nous avons vu une jeune fille, ordinairement d'u
tère doux, devenir emportée, irrespectueuse et presque violente. La
maladie
de Basedow est une colère perpétuelle » (Troussea
fica- tions du caractère et de l'intelligence, si fréquents dans la
maladie
de Ba- sedow, peuvent prendre, dans certains ca
e, la mélancolie ou la manie étant dans ces cas symptomatique de la
maladie
de Basedow,». Jacquin admet aussi que le goitre
on directe et de cause à effet entre le délire de persécution et la
maladie
de Basedow ». Devay estime que le goitre exopht
ance qu'une hostilité réelle. « L'hystérie crée l'hallucination, la
maladie
de Basedow se l'approprie et s'en sert pour réa
es ». Il semble d'ailleurs faire une réserve, quand il admet que la
maladie
de Basedow peut aider à l'éclosion de ces manif
alimentation thyroïdienne. Le thyroïdisme dans ses rapports avec la
maladie
de Basedow et l'hystérie. Soc. méd. des hôp., 1
expérimental par la thyroïdine ; ses rapports avec la genèse de la
maladie
de Basedow. Annali di Neurologia, anno XV, f. 2,
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maladies
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vrier 1893. ' Bauton (Jacobs). Manie rapidement mortelle dans la
maladie
de Graves. American journ. of Insanity, juillet
Des psychoses d'origine thyroïdienne. Th. Lyon, 1904. BLUM. Sur les
maladies
mentales consécutives à des auto-intoxications ex
s thyroïdectomisés. Revue neurol., 1903, p. 282. Boetger. Un cas de
maladie
de Basedow compliqué de folie. Allgemeine Zeitsch
oubles psychiques dans le goitre exophtalmique. Th. 1892. BOINET. -
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istes, Bruxelles, 1903. Briquet (d'Armentières). Rapport entre la
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du sommeil et le myxoedème. Presse méd., 7 sept
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maladies
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184. Dinkler. - Histoire et anatomie pathologique d'un cas grave de
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de Basedow avec hémiplégie, symptômes bulbaires
. 3, 1900, p. 30. DRo311tt) et Levassort. Dégénérescence mentale et
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maladie
de Basedow mortelle avec coexistence de myxoe-
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de Basedow et folie chez une jeune pille de 19 an
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mentale avec goitre exophtalmique. Journ. of ment
éd. TADBM.mx. Les étals psychiques morbides et les vésanies dans la
maladie
de Base- dow. Th. 1903. TAMBROXI et LA3113B,1
s organiques : 1° la démarche pendant l'évolution douloureuse de la
maladie
; le malade cherche alors à réduire sa douleur a
inons de plus près la démarche pendant la période douloureuse de la
maladie
, la seule qui nous intéresse. Voici ce qu'on cons
s de neurologie aucune obser- vation exacte sur la démarche dans la
maladie
de Brodie (1837). Chose étrange ! Brodie, qui a
nature organique. Comme conclusion : tandis que toute une série de
maladies
organiques impriment à la marche de sujets qui
déterminée simulant plus ou moins la démarche caractéristique d'une
maladie
organique. Le malade organique compense d'une man
ociété médicale des hô- pitaux, 1892. Blocs. - La marche dans les
maladies
nerveuses. Archives de Neurologie, 1888. BIIO/H
çons sur les affections nerveuses locales. CIIARGOT. Leçons sur les
maladies
du syslème nerveux. DuPLAY. Clinique chirurgica
tion du cinématographe à l'élude des troubles de la marche dans les
maladies
nerveuses. ROMNICE.1\0 et BOLINT\;\E.\XO. La ma
: 1 m. 63; poids : 54 ki- logrammes. Bonne santé habituelle. Pas de
maladie
antérieure. Il y a trois ans, il vit ses seins
e ; arc sénile assez prononcé, canitie. En résumé l'évolution de la
maladie
chez P... comprend deux phases. La première est
ravail, cet homme ressent quelques symptô- mes avant-coureurs de la
maladie
: léger embarras gastrique, céphalée peu marqué
, à la date du 19 mai, c'est-à-dire 5 semaines après le début de la
maladie
, aucun muscle se présentait de réaction, même p
réflexes rotuliens abolis. S'agit-il d'une polynévrite ? Dans cette
maladie
, la paralysie s'élend plus lentement et débute
, serait souvent malade ( ? ). Mère morte à 37 ans après 8 jours de
maladie
. , Trois enfants : fille de 19 ans bien portant
u bout de deux mois. ' z Aucun antécédent héréditaire connu ; comme
maladie
antérieure, une va- riole légère en 1890, ni sy
de trois observations dans (1) BECIITEREV et RAYMOND, Cliniques des
maladies
du système ne ? veux, 5, série, p. 564. (2) B
s l'éventualité de liens pathogéni- ques qui peuvent le relier à la
maladie
fondamentale. Nous avons prêté toute notre atte
n chaque membre dans le but de dépister les symptômes frustes de la
maladie
familiale. Notre 3e observation a trait à un su
irrégulières ; elles ont cessé depuis deux ans. Elle n'a eu aucune
maladie
importante, mais se plaint d'avoir beaucoup sou
normal pendant la première enfance et ne fut troublé par aucune des
maladies
propres à cet âge. Elle fréquenta l'école jusqu
t, même plus que les pauvres. Si tu avais une soeur malade, d'une
maladie
contagieuse, que ferais-lit ? Je m'en irais de
ssier. Antécédents héréditaires. Son père est mort à la suite d'une
maladie
cardiaque chronique ; il n'était pas alcoolique
Il fut nourri au sein par sa mère et n'eut à souffrir d'aucune des
maladies
de la première enfance. Il parla et mar- cha pr
eu gué- rit rapidement,mais il y a un mois il eut une rechute de la
maladie
et entra à l'hôpital de S. M. Nuova, où je pus
e. L'affectivité est très déve- loppée. Il est très préoccupé de sa
maladie
et très honteux de sa petitesse et de sa faible
t à l'interprétation la plus probable des causes déterminantes delà
maladie
chez les différents sujets. Dans ce but nous ne
ait défaut. C'est pour cela qu'une contribution il l'étude de cette
maladie
ne paraîtra pas superflue ; il s'agit d'ailleurs
ons qui, même de loin, nous repor- tent à une origine commune de la
maladie
. Je tiens seulement à constater que plus j'obse
j'observe de cas (j'en suis au 8e), et plus je vois avancer dans la
maladie
ceux que je suis depuis quelque temps, plus je me
i les trou- bles somatiques ont beaucoup de traits communs avec ces
maladies
. En effet, dans bien des cas j'ai pu observer q
estinaux, la légère hypo- pyrexie, reproduisent des symptômes de la
maladie
de Basedow. Dans presque tous les cas, sinon da
dans tous, il y a la grande asthénie que l'on ne trouve que dans la
maladie
d'Addison, dans celle d'Erb- Goldflam, ou bien
as que j'ai observé; c'est seulement à présent, 15 ans après que la
maladie
a commencé,que viennent d'apparaître les vomisse-
ra-crànienne. Dans un autre cas j'ai pu constater l'évidence que la
maladie
avait commencé par une augmentation de volume d
ent des ré- sultats négatifs. Maintenant, il y a déjà 16 ans que la
maladie
évolue ; la céphalée est devenue plus violente,
à sécrétion interne. L'hérédité se rencontre plus souvent dans les
maladies
nerveuses et men- tales, et particulièrement da
men- tales, et particulièrement dans celles de la moelle épinière (
maladie
de Friedreich, quelques atrophies musculaires,
asedow, dont le père et l'aïeul paternel furent atteints de la même
maladie
. (1) GRocco, Lezioni di Clinica medica. Vol. I.
ine glandulaire (thyroïdique et peut-èlre parathyroïdique) de cette
maladie
. Une autre preuve de l'altération de la thyroïd
ies osseuses partielles congénitales ou acquises. Eh bien, la seule
maladie
où l'on trouve de telles altérations, c'est le my
altérées de ces organes. Par exemple en nous en tenant encore à la
maladie
de Basedow, on ne pourra certainementpas se bor
de, si l'on pense qu'il y a des cas,et ils ne sont pas rares, où la
maladie
persiste sous une forme grave même avec une gland
. Même con- clusion si l'on veut comparer le tableau clinique de la
maladie
de Flajani- Basedow avec les résultats d'une hy
ides qui se placent à un côté du myxoedème et d'autre part quelques
maladies
causées par des arrêts du développement, sont a
pas comme agent primaire ; 2° Qu'une partie des symptômes de cette
maladie
sont conditionnés par la thyroïde. 3° Que les
e de l'intestin. Examen radiographique DE l'acromégalie. Pour une
maladie
comme l'acromégalie, où l'altération des os forme
cas, chez un sujet se maintenant en état satisfaisant malgré que la
maladie
durât depuis dix années, il n'aurait pas trouvé
auche. Il n'est pas besoin d'ajouter que le malade n'a jamais eu de
maladies
ni de fractures de ces parties de corps. Ce que
en (1), où toutes les recherches chimiques et biologiques sur cette
maladie
se trouvent réunies, cette partie n'est traitée
ec suite afin d'en tirer quelque enseignement pour le tableau de la
maladie
. Certes la présence de normoblastes, de leucocy
calcium s'est remarquablement réduite. Dans le second cas, où la
maladie
est depuis longtemps stationnaire et où le pati
tiques dans l'intestin sur la formation del'indican, car dans cette
maladie
les faits cliniques (fréquents dérangements gastr
28 cal. par kg. à un sujet jeune et de plus atteint d'acromégalie,
maladie
dans laquelle en général l'appétit se trouve au
vations des échanges dans le Basedow, il faut admettre que dans ces
maladies
à des périodes de pertes fortes en succèdent d'au
liniques qui, d'imposants et tumul- tueux à la première phase de la
maladie
, devinrent peu à peu station- na ires. Nous v
de semblable sorte s'il avait été fait aux premières périodes de la
maladie
ou pendant la reprise d'aggra- vation des sympt
on des symptômes qui eut lieu plusieurs années après le début de la
maladie
? Certainement non ; et il faut absolument, et da
susdit auteur, les altérations particulières à l'échange dans cette
maladie
s'accompagnent de celles causées parles altératio
chaque malade, les résultats varieront : a) selon la période de la
maladie
; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chro
été fait usage de forceps. L'enfant élevé en nourrice n'eut aucune
maladie
grave pendant cette époque : on ne trouve pas l
ts dont trois sont morts en bas-âge. Pendant son âge adulte, aucune
maladie
grave : il nie la syphilis. Il est entré à Bicê
cause occasionnelle vient favoriser les phénomè- nes : traumatisme,
maladie
infectieuse. Pour B. Davis, Pommerolle, Broca,
22 janvier 1907 fut soignée a Bel-Air, Mme. G...âgée de 41 ans. Sa
maladie
fut d'une richesse peu commune en symptômes. En
robabilité. La somnolence très accusée, la marche par à-coups de la
maladie
, faisaient penser à une tumeur. Le manque de phén
ation crée une habitude et ultérieurement une aptitude, de même les
maladies
organiques qui s'emparent d'un organisme développ
s prenaient naissance dans l'organisme et s'y déployaient, soit par
maladie
, soit par répétition physiologique. Pour distin
t autre. Il n'est donc- plus nécessaire que l'homme soit atteint de
maladies
ou d'affections organiques pour reproduire biol
-dessus les organes atteints pour ne plus voir que la cause de leur
maladie
, on parle de pneumococcie, cte colilacilloae, d
Pour faire oeuvre utile, il faut d'abord connaître la cause de leur
maladie
la nature de leur mal et, celle-ci trouvée, le
diverses localisations et des diver- ses manifestations de la même
maladie
. , UN ACCOUCHEMENT AU COMMENCEMENT DU XVSIÈCLE
métier de cultiva- teur et n'a pas quitté son village. Il nie toute
maladie
antérieure ; pas de ma- ladie vénérienne. A sig
défaut d'articulation. Sa première enfance a été troublée par deux
maladies
infectieuses, la rougeole et la fièvre typhoïde.
relles sur lesquelles nous reviendrons plus tard. Histoire de. la
maladie
. C'est à vingt-deux ans seulement, que sans chu
rque. Tantôt il raconte avec abondance les détails de ses multiples
maladies
; il souffre successive- ment, dit-il, de la têt
ation hallucinatoire et impulsive et de stupidité. Actuellement, la
maladie
est nettement caractérisée. Dans la sphère phys
es, la plupart avec dissection du membre), de Kirmisson (Traité des
maladies
chirurgicales d'origine congénitale), les thèses
ener klinische Rundschau, 1906) dans lequel on eut à la suite d'une
maladie
chronique un rapide et considérable allongement d
nt des présomptions assez fortes nous voulons parler des nombreuses
maladies
vé- nériennes avouées par le père (qui nie cepe
e l'hérédité neuro-patholoâique : il y avait en effet de nombreuses
maladies
mentales et nerveuses chez les ascendants ; l'hér
ous les deux de cette race israélite qui contribue si largement aux
maladies
hérédo-familiales en général. (Chez l'aînée de
aire évident nous manque en effet et en ce sens nous n'avons que la
maladie
cardiaque paternelle. Le manque de cyanose, d'h
néral produit et entretenu pendant la période de croissance par une
maladie
chronique congénitale ou accidentelle. L'évolut
i bien qu'à part la maigreur et la faiblesse qui sont l'effet de la
maladie
, l'infantile de ce genre n'a rien d'un enfant. C'
Mais des faits analogues ont été observés dans le goitre et dans la
maladie
de Basedow, et 3,Ja2,chiafava a observé dans de
ces cas n'était pas se<on- daire, mais en rapport direct avec la
maladie
de l'hypophyse. L'observation de Achard et Déma
e dans les dispositions héréditaires des sujets.et surtout dans les
maladies
constitutionnelles dont ils peuvent être touché
ne, un troisième groupe chez lequel on ne pourrait constater aucune
maladie
organique primitive, mais chez lequel existerai !
tte dans l'infantilisme peuvent être interprétées comme un signe de
maladie
de la moelle osseuse qui pourrait être ou secon
l'âge de 18 ans, un nouveau syn- drome nerveux s'est superposé à la
maladie
fondamentale et l'intérêt de ce nouvel accident
ement par le fait qu'elle aurait pu en même temps nous expliquer la
maladie
fondamentale (infantilisme), mais des examens s
, qui fut évidente chez notre ma- lade depuis le commencement de la
maladie
, est aussi rare que la papillite dans les cas d
parle contre l'hypothèse d'une tumeur est donné par la marche de la
maladie
; après la première poussée d'hyperten- sion end
tant plus fréquente dans l'enfance.1 Comme base anatomique de cette
maladie
on a trouvé dans quelques rares cas une légère
aux causes les plus variées : traumalismes, surmenage intellectuel,
maladies
infectieuses aiguës, tu- berculose, mais surtou
alors le diagnostic se fait a poste- riori d'après la marche de la
maladie
. Plus souvent la maladie passe à un état chroni
t a poste- riori d'après la marche de la maladie. Plus souvent la
maladie
passe à un état chronique et peut présenter alo
action surtout d'un traitement mercuriel. Mais bien plus souvent la
maladie
prend une marche tout à fait chro- nique et abo
baire ne put être pratiquée que 18 mois après le commencement de la
maladie
, c'est-à-dire quand les symptômes d'hypertensio
écifique. Pour ce diagnostic parle enfin la marche rémittente de la
maladie
qui avec le temps ne montre qu'une tendance con
. Traité des mal. de l'enfance. Grancher-Comby. 1904, t. I, p. 993.
Maladies
familiales et maladies congénitales. Baillière, P
enfance. Grancher-Comby. 1904, t. I, p. 993. Maladies familiales et
maladies
congénitales. Baillière, Paris, 1907. Infantili
isme par lésion accidentelle du corps thyroïde. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, 1893, p. 481. CONTRIBUTION A L'ÉT
1898, fasc. II. Meige et FEI.NDEL. - Infantilisme myr.oedémateux el
maladie
de Recklinghausen. Nouv. Icon. de la Salpêtr.,
ntilisme et insuffisance surrénale. Thèse de Paris, 1903. Moussous.
Maladies
congénitales du coeU ? Moussu. Thèse de Paris,
Die Geisteskrankheiten des Kindesalters. Ibid.,1 u. 2. H. ZU73FR. -
Maladies
du corps thyroïde. Syphilis de la glande thyroïde
fection tabes et paralysie générale;d'autre part, l'évolution de la
maladie
. JeanneB... a faituneparalysiegénéralejuvénile
ne l'empêche pas de très bien se nourrir. Pas de psychoses, pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Antécédents personne
s deux dernières plaques. Pour les pre- mières manifestations de la
maladie
(main gauche, pied droit), on peut seulement ob
aus- cultation du coeur chez tous les malades, même sans soupçon de
maladie
locale. Jamais on n'a observé un bruit de souff
avec les plaques de gangrène qui se forment sous la dépendance des
maladies
du système nerveux. Mais je reconnais volon- ti
: a) Démontrer que la lésion de la peau ne dépend d'aucune autre
maladie
. Ce que nous avons déjà fait. b) Démontrer que
ue nous pouvons conclure que le phénomène ne dépend pas d'une autre
maladie
, puisque le phénomène se produit avec une certain
rencontre presque jamais seule, mais toujours associée à une autre
maladie
. Si au contraire, chez un sujet urémique on voi
quence chez les basedowiens d'une façon indépendante de toute autre
maladie
, nous parlons de diarrhée basedowienne » ; et n
gangrène cutanée idiopathique (c'est-à-dire : indépendante de toute
maladie
organique démontrée) a été toujours observée ch
appeler l'extrême fréquence de l'association des phéno- mènes de la
maladie
de Raynaud, une maladie du système vasomoteur,
nce de l'association des phéno- mènes de la maladie de Raynaud, une
maladie
du système vasomoteur, avec les plaques de gang
yélie ? Pour toute la catégorie des phénomènes trophiques, dans les
maladies
organiques comme dans les névroses, nous ne pou
u bras ne sont pas malades, que la circulation se fait bien, que sa
maladie
est la conséquence de l'épuisement nerveux d'un
» Elle répond : « Parce que je ne peux pas ; depuis le début de ma
maladie
, lorsque j'essaye de travailler avec w 1 33 4
arche clinique spéciale, telle qu'on ne l'observe dans aucune autre
maladie
. Nous devons donc admet- tre un lien d'interdép
exclusif de l'hystérie. Il est incontestable que dans aucune autre
maladie
on ne trouve ce phénomène autant développé que
» (Crocq). J'ai observé le phénomène très évidemment, même dans les
maladies
organiques les plus graves. La plus grande part
ra : « La suggestion peut atténuer les phénomènes provoqués par les
maladies
organiques, mais elle ne guérit pas la maladie fo
s provoqués par les maladies organiques, mais elle ne guérit pas la
maladie
fondamen- tale. » Mais est-ce que nous guérisso
en effet, suggestionner chez un neurasthénique l'idée fausse d'une
maladie
gastrique, idée qui peut persister pendant des an
un accès convulsif. Cet accès a été la première manifestation de la
maladie
; personne n'avait visité la malade avant moi.
ères du pithiatisme. J'ai déjà parlé des phénomènes ob- jectifs des
maladies
organiques qui peuvent se modifier sous l'influen
léd. de 13·ouardel-Gtlberl, p. 254. ' Ilucnnan. Traité clinique des
maladies
du coeur, Paris. 111,NT,Nr,ll. Archiv f. Dermat
JOFFROY 1844- 1908. LE PROFESSEUR JOFFROY 511 dans l'étude des
maladies
nerveuses. Sa thèse de doctorat (1873) sur la P
ui ont trait à la névrite parenchymateuse, à la syringomyélie, à la
maladie
de Morvan, à la paralysie infantile, au tabes,
e, à la maladie de Morvan, à la paralysie infantile, au tabes, à la
maladie
de Frie- dreich, à la sclérose latérale amylrop
isager l'importance des troubles psychiques dans ces affections. La
maladie
de Basedow fut pour lui l'occasion de nouvelles
ins états convulsif s. Appelé, en 1893, à la chaire de Clinique des
Maladies
Mentales, le Professeur Joffroy commença à l'as
ulement il s'efforça d'établir les conditions étiologiques de cette
maladie
, mais il précisa ses caractères cliniques et anat
iale apparaît chaque jour davantage. ' Mais, bien que l'étude des
maladies
mentales, qu'il était chargé d'ensei- gner, l'o
UX, IMPRIMERIE CHAULES ARCHIVES DE rut NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES i> il n 1. 1 É t. sons
éalité des faits probants; mais constatons de suite que l'étude des
maladies
de la moelle épinière, si complètement refaite
it dans son Avant-propos 3 : « Tout est extraordinaire dans cette
maladie
: son nom est ridicule, ses symptômes singulier
e), qui, à proprement parler, ne pré- juge guère de la nature de la
maladie
. Mais, depuis 1 De hU, écho, et \où.û, je parle
il ne l'est aujourd'hui. C'est de ce complexus que serait sortie la
maladie
que nous allons étudier. Son histoire est brè
la chorée anor- male. Paris, 1850. * Sandras. Traité pratique des
maladies
nerveuses, t. II, p. 3t. Paris, 1851. DE l'in
ns pour conclure, ont donné des faits, mais n'ont pas constitué une
maladie
. Le premier d'entre eux, Beard (de NewYorlc),pr
cédents auteurs, nous fourniront une base solide pour l'étude d'une
maladie
dont on a pu rapporter des observations, mais q
Il en résulta des contorsions et des grimaces extraordi- naires. La
maladie
fit encore des progrès, et le spasme s'étant pr
près d'un médecin qui s'était spécialement adonné au traitement des
maladies
ner- ce sujet. Dans un récent voyage Londres, M
jamais observé de semblables cas, ni lu une descrip- tion de cette
maladie
. D'autre part, nous a\ons reçu la même réponse de
t par l'heureuse influence du séjour et de la vie des montagnes, la
maladie
se dissipa presque complètement; et quand, au b
a guérison comme on l'avait espéré, reproduisit assez rapidement sa
maladie
. Il est vrai que Mmo de D..., n'ayant point eu
ns digestives n'aient pas notablement souffert. L'influence de la
maladie
sur l'état du moral est encore plus sensiblemen
oins désirables. Celui-ci est normalement conformé et n'a pas eu de
maladies
d'enfance. A dater de l'âge de huit ans, les pa
blement surpris lorsque,dans les périodes les plus accentuées de la
maladie
, au mot de merde s'ajouta celui de couillon. Me
jour) G..., dont l'instruction a été fort négligée, par suite de sa
maladie
, et qui passe son temps à lire des récits de vo
oique assez chétif pendant les premières années, n'a jamais fait de
maladies
sérieuses. De bonne heure on lui fit prendre de
écrit- on, croit se rappeler que, pendant la période aiguë de la
maladie
, les mouvements, s'ils n'ont pas cessé, se sont d
, depuis cinq ans, aurait la même affection que le malade. Pas de
maladies
d'enfance : n'aurait eu que tout jeune un petit
dans l'intervalle de ses accès a des suffocations. L'origine de la
maladie
est attribuée à des chagrins, etc. Les accès ét
s dire me démontrent, que ce remède arrête le développement de la
maladie
dans les cas récents, idiopathiques, concernant
que, dans toutes les formes de l'épilepsie, même dans celles où la
maladie
, déjà ancienne, a amené un affaiblissement nota
hens- chrijt, nos et 9, 9867). 2Rosentlial. - Traité clinique des
maladies
du système nerveux, trad. de Lubanski. Paris, 1
ments, qui tout d'abord ont constitué les premiers phénomènes de la
maladie
et qui aujourd'hui encore marquent le début des
K. IV. De l'hystérie considérée dans ses relations avec quelques
maladies
localisées; par D. F. C.1S1'ELLS. (Gcccetu naecli
but de faire le diagnostic confirmé d'ailleurs par la suite de la
maladie
. Insiste aussi sur les troubles vésicaux qui pe
u sympathique, des masticateurs, de l'excitabilité élec- trique. La
maladie
a cessé de progresser dans les derniers mois :
ature de cette dyspnée et de l'affection qui lui a donné naissance.
Maladie
du poumon, du coeur, du rein ; altération du sang
u coeur, du rein ; altération du sang, sans oublier les différentes
maladies
nerveuses qui s'accompagnent de paraplégie. Peu
de suractivité. En résumé, pour M. Wigtesworth, « la manie est une
maladie
primitive des plexus coordonnateurs les plus él
énomènes observés dans la manie. Cherchant ensuite à localiser la
maladie
, il fait remarquer que puisque, selon toute pro
tièrement indépendantes des hypothèses qu'il propose au siège de la
maladie
, en sorte que celles-ci peuvent être reconnues er
er point; dans sa définition de la manie, il l'a donnée comme une
maladie
fonctionnelle ou organique; il existe en effet de
III. Contribution A la casuistique DES psychoses consécutives aux
maladies
fébriles; par L. Kirn. (Allg. Zeitsch. f. Psych..
ques graves corres- pondraient les psychoses du stade initial de la
maladie
, aux alté- rations anatomiques modérées apparti
aternelle aliénée; un en- faut, âgé de vingt ans; son mari a eu une
maladie
fort longue, qui a sensiblement diminué ses res
isent les modifications post-apoplectiques. R. 1)1. C. VII. SUR LES
maladies
mentales consécutives a une élévation DE la tem
nt de l'hérédité... un seul était buveur. Cinq avaient eu jadis une
maladie
grave. Absence de syphilis. Une affection organ
plus enracinée qu'on ne l'admet géné- ralement. S'il semble que les
maladies
graves ne se transmettent pas aussi communément
nomalies congénitales de I'fril dans leur ! '«/)/)0 ! < t;wc les
maladies
mentales et nerveuses Après une énumération des
d'une malformation vraie, de première date embryogénique, ou d'une
maladie
foetale (exemples : existence de fibles nerveus
é généralede l'oeil; la rétinite pigmeiil-tire n'estsouverit qu'une
maladie
résultant de diverses localisations d'une affecti
uant aux relations que les anomalies en question affectent avec des
maladies
psychiques ou des mala- dies du système nerveux
nisme), les autres dénotent une prédisposition parti- culière à ces
maladies
, une imprégnation morbide héréditaire ou non. I
nt les anomalies devant. suivant eux, être tenues pour signes d'une
maladie
de l'en- cépltale. La pratique personnelle îl
es uns attestant la simulation tandis que M. Zinn affirme l'état de
maladie
: de là désordre dans l'esprit des juges et des
ée à 11. Gock. M. 0. Mùller. Les lieux de station d 'hiver pour les
maladies
zzer- veuses ci la Itiuièru. L'ouverture de la
a est indiqué sont avant tout les affections pulmonaires. Parmi les
maladies
du système nerveux, les médecins de la résion cit
n, on n'a ou à enregistrer aucun symptôme d'épilepsie, alors que la
maladie
da- tait de sept ans, et que les six derniers m
e décision. M. l ? 1'SF : LFIn. De l'ozone et de son action sur les
maladies
nerveuses chroniques. Ce ne sont encore que des
forte proportion d'air ozonisé exerce une action spécifique sur les
maladies
ner- veuses des catégories les plus variées, de
u varier et même survenir périodiquement, constituer le pivot de la
maladie
ou n'être qu'accessoire, enfin, ce qui les dist
'il prend pour des enchanteurs. M. SNELL appelle l'attention sur la
maladie
toute spéciale récem- ment décrite (Virchow's A
tendance au suicide. Maints de ces aliénés ont conscience de leur
maladie
et se soumettent volontiers aux objurgations; d'a
si(Itte,l es dystroplii es chroniques, l'épuisement consécutif auv.
maladies
fébriles, les excès doivent aussi être pris en
aitement se propose un double but : 1 - s'op- poser à la cause delà
maladie
: les prescriptions hygiéniques et morales de t
t être imposée lorsque le malade n'a plus conscience de son état de
maladie
. Les narcotiques doivent, avant tout, entrer en
médine de Valence. » Pour le D'Campa, le siège anatomique de celle
maladie
ou, pour mieux dire, sa lésion anatomique résid
le de la malade, ni les siens propres n'ont aucune relation avec la
maladie
actuelle, car jusqu'à sa dernière couche, qui eut
mois de juin de cette année, elle se vit subitement atteinte d'une
maladie
convulsive caracté- risée par des accès intermi
bsence d'autres anté- cédents qui puissent être en relation avec la
maladie
, nous atten- dîmes le moment, de l'attaque pour
enu d'autres; aussi, considérons-nous cette dame comme guérie de sa
maladie
». (La Cronica Medica, de Valence, août 1881, p
ntation); 3° influence de l'état de l'intelligence (jeunes enfants,
maladies
du cerveau). -D'après les résultats qu'il a ob-
er l'exécution et qui ont pour but de préserver la popula- tion des
maladies
vénériennes. Contrairement aune opinion en- cor
bsolument contre le but qu'elle poursuit. G.1UTIEZ. V. Manuel des
maladies
des nerfs périphériques et du sympathique ; par
ériphérique ainsi que sur l'étiologie générale et la pathogénie des
maladies
nerveuses vient un exposé général de la thérape
n est besoin, un chapitre spécial de traitement pour telle ou telle
maladie
en particulier. 136 BIBLIOGRAPHIE. Puis l'étu
s, en y comprenant même les paralysies toxiques et consécutives aux
maladies
graves ainsi que les paralysies par inauguratio
siégeant dans le domaine des différents nerfs. Enfin viennent les
maladies
du grand sympathique soit cervical (mi- graine,
maladies du grand sympathique soit cervical (mi- graine, céphalée,
maladie
de Hasedow, ftémiatrophie faciafe progres- sive
ce livre. P.M. VI. Contribution ophthalmologique au diagnostic des
maladies
du cerveau; par Hermann Wilbrand (Wiesbaden, 18
re, le Dr Semmola (de Naples) signale un nouveau type clinique de
maladie
du coeur dont il fait la description en quelques
et presque toujours des troubles dyspeptiques. A cette période, la
maladie
convenablement traitée peut rétrocéder et guéri
la digitaline qui sont d'une efficacité surprenante, au début de la
maladie
du moins, car dès l'apparition des symptômes névr
es qui l'ont précédée. A. Fabre voit avant tout dans l'hystérie une
maladie
du système nerveux de la vie végétative. Sur le
et tiré était : Estomac (anatomie et physiologie) ; Délire dans les
maladies
aiguës. Les deux questions restées dans l'urne
FAITS DIVERS. llo,i,icp, de la SvLi'ÈraifeuE. Cours de clinique des
maladies
du ! ! )/s<entC) ! erue ! <j ? AL le profes
t;j ? AL le professeur Cuvrcot a commencé les cours de clinique des
maladies
du système nerveux, le vendredi 14 novembre, à
endredis, leçon à l'amphithéâtre. Asile SA'TE-A\'\E. Clinique des
maladies
mentales. M. le professeur BALL a commencé le c
mentales. M. le professeur BALL a commencé le cours de clinique des
maladies
mentales, le dimanche 9 novembre à dix heures d
ainte-Anne, le dimanche 16 novembre, ses leçons cli- niques sur les
maladies
mentales et nerveuses, et les continue tous les
rs familles, etc., etc. Depuis l'année 1873-1874, où le chiffre des
maladies
mentales s'élevait à 0,39 p. 100 de l'effectif,
trente-quatre ans, àRio-de-Janeiro,le 22 novembre, à la suite d'une
maladie
de coeur. En 1878, il avait été appelé par le g
ant les contractions y étaient encore manifestes. L'évolution de la
maladie
se lit sans douleurs, la sensibilité des muscle
ents de chemins de fer, doi- vent figurer dans l'étiologie de cette
maladie
. Leudet' a réuni sous le titre de congestion de
nlement qu'elle a-subi. Je sais,bieii- qu'en rangeant ces faits 1
Maladies
du syst. nerv., p. 689, 725, 928. 2 Arch. grnér
s ne trouvons point la cause dans l'hérédité directe du sujet. La
maladie
dont il souffre actuellement a débuté à l'âge de
l'observa- tion de deux femmes, et qu'O'Briennous apprenne que la
maladie
sévit aussi sur les Malaises. Néanmoins, les ho
mais la cause véritable, déterminante, là, comme dans toutes les
maladies
nerveuses ', n'est autre que l'hérédité. « Ces
n géo- graphique, nous croyons, vu la diversité des pays où cette
maladie
a été observée, qu'elle se rencontre sous toute
ement guéris : nous en reparle- rons en traitant de la marche de la
maladie
. Toutefois, empiétant sur ce chapitre de notre
es symptômes, nous devons dire que, dans certains cas peut-être, la
maladie
peut rester bornée à cette incoordination, que
s malades vivent pour ainsi dire en bonne intel- .'igence avec leur
maladie
. N'oublions pas toutefois qu'il existe des cont
s le précédent paragraphe peuvent à eux seuls constituer toute la
maladie
, mais, dans la grande majorité des cas, ils ne
dans la grande majorité des cas, et à une époque va- riable de la
maladie
, elle fera presque certainement son apparition.
rvation I, elleapparut plusieurs armées après le commencement de la
maladie
; dans l'observation II, trois ans après; dans l
Quant à l'état physique, moral et mental des malades, lorsque la
maladie
est complètement constituée, nous ne saurions m
alles, jamais la guérison n'est tout à fait complète, radicale : la
maladie
sommeille, elle n'est 186 CLINIQUE NERVEUSE.
e rémissionnelle vient rétablir le calme. Est-ce donc à dire que la
maladie
ne peut s'éteindre graduellement à la suite de
terions peut-être de cet ostracisme que les sujets chez lesquels la
maladie
est encore bornée aux simples tics de la face o
tions, avec ceux que les auteurs étrangers ont attribué à diverses
maladies
connues dans divers pays sous les noms bizarres
4° l'état physique et mental des sujets est en pleine intégrité; la
maladie
semble incurable, elle débute chez les sujets j
ôtres. « Le malade (un pilote) y est-il dit, semblait affecté d'une
maladie
men- tale ou nerveuse qui l'obligeait à imiter
les Sikhs et chez un Nubien de pure race. Quant au myriachit, cette
maladie
est commune en Sibérie, et, « le capitaine d'ét
sur le pronostic ; il ressort de l'exposé que nous avons fait de la
maladie
. L'individu : xcmvta, t. 1\. 13 191 CLINIQUE NE
affecté que d'incoordination motrice, de secousses musculaires ; la
maladie
se consti- tuera probablement dans un laps de t
constituent peut-être une première étape dans l'évolution de notre
maladie
, et que cette étape peut ne pas être franchie,
es adju- vants ; peut-être peuvent-ils retarder l'évolution de la
maladie
, surtout lorsque les malades sont traités de bo
r cette interprétation au livre si intéressant de M. Ribot, sur les
maladies
de la voloiité 1 Th. Ribot. Les maladies de la
ant de M. Ribot, sur les maladies de la voloiité 1 Th. Ribot. Les
maladies
de la volonté. Paris, 1883. Voir plus par- ticu
(céphalalgie fron- tale, vomissements, etc.); elle n'a jamais eu de
maladies
de peau ni fait de maladies graves. [Père, jard
issements, etc.); elle n'a jamais eu de maladies de peau ni fait de
maladies
graves. [Père, jardinier, faisait quelques excès
rdinier, faisait quelques excès de boisson, n'a eu ni migraines, ni
maladies
nerveuses ; mort à la suite d'un coup de pied d
7° fille, morte à dix-huit mois d'une méningite après trois mois de
maladie
; 8° garçon, vingt-trois mois, santé excel- lent
an dernier, il était presque vorace. On ne sait à quoi attribuer sa
maladie
; pas de chutes; pas de vers, pas d'onanisme, pa
de toiles dans le département de Vaucluse et sous l'influence de sa
maladie
il s'est livré à des spéculations malheureuses.
eu impressionnable, a eu beaucoup d'ennuis avec son mari. Jamais de
maladie
de peau.[Pe;'e, mort de vieillesse, à soixante-
t pas d'un côté du corps, et ne furent pas suivies de paralysie; la
maladie
dura un mois ; elle eut pour conséquence de rendr
e, s'il avait vingt ans, il lui ferait tomber la tête. Pas d'autres
maladies
que celles qui ont été notées. État actuel (2 m
mis de distraire du groupe des névroses, c'est-à-dire du groupe des
maladies
nerveuses sine un assez grand nombre de maladie
dire du groupe des maladies nerveuses sine un assez grand nombre de
maladies
, ces recherches sont restées lettre morte dans
omprend combien la physiologie pathologique et le traitement de ces
maladies
doivent se ressentir de cet état de choses, et
nerveux à l'état physiologique. Ce n'est qu'en comparant l'état de
maladie
à l'état dû santé qu'on peut dire que dans tel
malade. Par suite tout travail ayant pour but de rechercher si les
maladies
nerveuses modifient les échanges qui se passent
stance joue un rôle dans la nutrition du système nerveux, et si les
maladies
de ce sys- tème modifient cette nutrition. S'il
cide phosphorique se lie à la nutrition du système nerveux et si la
maladie
modifie cette nu- trition, nous avons entrepris
, abstraction faite des circonstances d'ordre ophthalmologique, une
maladie
de l'encéphale. Le myosis ne s'accompagnant pas
remières années de la vie, le système musculaire devient malade; la
maladie
s'aggrave et progresse à la suite d'une rougeol
VI, p. 83. 3 Voy. Archives de Neurologie (Société de psychiatrie et
maladies
ner- veuses, de Berlin), t. IV, p. 247. 260 R
la connaissance. Ces particularités se rencontrent encore dans les
maladies
nerveuses et cérébrales d'un autre ordre, voire
e troubles mentaux chez lesquels l'étioiogie est déterminée par des
maladies
aigués ou chroniques qui en ont été les causes
ur la possibilité du développement de quelques-unes de ces graves
maladies
. Nous ne ferons au-si que passer légèrement sur
ont liées à un autre élément étiologique : épilepsie, accouchement,
maladie
grave, traumatisme, ou encore à une tare hérédi
l'élat stationnaire, ni disparaître et toujours nous avions eu une
maladie
terminale qui s'expliquait par l'altération gra
e rapide san< améliora- tion notable; terminaison fatale par une
maladie
ultime qui ne s'est révélée que dans les dernie
à laquelle ils ne pouvaient se résigner et tous eussent préféré une
maladie
comme explication de leur état. Ces sujets nous
que l'expression de l'atteinte grave portée à la nutrition par ces
maladies
générales ou locales, engendrées ou non par des
ocales, engendrées ou non par des écarts hygiéniques. Sou- vent ces
maladies
se masquent derrière la sénilité précoce et exi
° Les troubles, mentaux de la sénilité précoce peuvent exister sans
maladies
, et, dans ces cas, si une maladie apparaît, ce n'
ité précoce peuvent exister sans maladies, et, dans ces cas, si une
maladie
apparaît, ce n'est que comme épisode terminal i
es notions de justice. 6° Enfin il existe une sénilité précoce sans
maladies
, sans troubles mentaux. Les hommes qui en sont
tenir. Le besoin respiratoire n'est plus satisfait et en dehors des
maladies
infectieuses et de l'apauvrissement du sang qui
s individus qui y entrent avec un simple rhume peuvent mourir d'une
maladie
contractée à l'hôpi- tal lui-même. C'est pour
n des nerfs a joui d'une grande vogue dans la thérapeu- tique des
maladies
nerveuses. Il faut reconnaître qu'elle n'a pas
heure, qu'on ne les observe que dans les périodes avancées de la
maladie
, lorsque le ramollissement de la moelle est com
d'urines nocturne intermittente.Il n'existe dans sa famille aucune
maladie
du système nerveux. 11 présente les attributs d
foyer, on les aurait certainement retrou- vées, car la durée de la
maladie
nous paraît relative- ment bien courte pour en
en portant, n'est sujet ni aux migraines, ni aux névralgies, ni aux
maladies
de peau. Il ne fume pas, mais il fait des excès
nt nerveux; elle n'a jamais eu de convulsions dans l'enfance, ni de
maladies
de peau. [Père, soixante et onze ans, maçon, bi
gmenté sans toutefois atteindre le chiffre de 1877. Cet arrêt de la
maladie
est plutôt fictif que réel, car il est à noter
STIC D'UN ABAISSEMENT EXTRÊME DE LA TEMPÉRATURE DANS LE COURS DES
MALADIES
MENTALES ; Par N. POPOFF, médecin de l'asile Sa
toutes les particularités que peuvent présenter sous ce rapport les
maladies
mentales, je m'en tiendrai à l'abaissement brus
Allg. zeitschrift f. psychiatrie, 1880.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES
MALADIES
MENTALES. 355 et dernièrement par Beeliterew et
ecVterew. Essai clinique sur la température dans quelques formes de
maladies
mentales. Thèse 1881, en russe. 2 Otto Hebold.
lgie intercostale. En 1877, à la suite de pertes pécuniaires, d'une
maladie
de son frère et d'une grande frayeur causée par
80. Depuis lors, jusqu'en 1884, la malade eut encore deux accès. La
maladie
se développait chaque jour assez lentement et s
(Arch. /u)'M)tMC/ie« ! eeetM, 1867-68.) DE LA TEMPÉRATURE DANS LES
MALADIES
MENTALES. 359 celui que l'on constate dans la s
e considérable de la température peut se produire dans le cours des
maladies
mentales sans entraîner nécessairement un prono
ystème nerveux à l'état pathologique ont porté sur trois groupes de
maladies
fonc- ' ' Magnan. Leçons cliniques sur l'alcool
pilepsie, hys- térie. Nous étudierons successivement chacune de ces
maladies
. ALIENATION MENTALE. Historique. ' - Les re
lie ou non à la nutrition du système nerveux et que telle ou telle
maladie
modifie ou no modifie pas. cette nutrition. Nou
le rendement de cette substance. Nous verrons en effet que si cette
maladie
modifie ce rende- ment, elle ne le modifie pas
axima assez rapprochés l'un de l'autre pour que l'in- fluence de la
maladie
se marque aisément. Mais cette manière de faire
ation dans deux périodes consécutives et de courte durée d'une même
maladie
. Heureusement, on peut arriver à la solution de
hosphorique. La seconde ne l'est pas moins, l'aliéna- tion mentale,
maladie
essentiellement chronique, permet assez souvent
olution. Toutefois, pour qu'on ne puisse attribuer qu'à l'élé- ment
maladie
les modifications dans l'élimination des phos-
limination de l'acide phosphorique à l'état de santé et à l'état de
maladie
. . Interprétation des modifications produites p
t que nous avons pu suivre pendant les diffé- rentes phases de leur
maladie
jusqu'à leur guérison complète. Nous avons cons
870 au 17 du môme mois, pendant un accès d'agitation, alors que la
maladie
était à sa période d'état et l'intelligence du
4. 9° Pendant une période d'agitation, à l'époque du déclin de la
maladie
(juin d880) : Azote, 21,88; acide phosphorique
est variable suivant les périodes. A ce dernier point de vue, cette
maladie
peut être divisée en quatre périodes : agitatio
e sur chacun d'eux suivant les cas. Pendant la période d'état de la
maladie
, alors que les troubles cérébraux sont intenses
100 qu'il est à l'état normal. Pendant les périodes de déclin de la
maladie
, alors que les troubles cérébraux sont peu inte
4° sous l'influence d'un accès d'agitation à la période dite de la
maladie
: Azote, 25,12; acide phosphorique total, 2,27;
ls. Dans le premier cas, qui correspond à la période d'état de la
maladie
, l'agitation produit les modifications suivantes
. Dans le second cas, qui correspond à'ia période de déclin de la
maladie
, l'agitation modifie de la façon suivante l'élimi
de dépression que pendant les périodes d'agitation du déclin de la
maladie
, alors que les troubles cérébraux sont moins ma
nne par vingt-quatre heures pendant la période station- naire de la
maladie
: Azote, t î,32 ; acide phosphorique total, 1,7
tes les modifica- tions qui précèdent se produisent, il faut que la
maladie
ait une certaine intensité, sinon l'acide phosp
aux. En effet, si ces résultats nous portent à penser que, dans ces
maladies
, les échanges qui se passent au sein du système
avec celle de l'azote, .travail con- sacré à des recherches sur les
maladies
du système nerveux, Lépine et Jacquin étudient
entale et l'épilepsie, des expériences à l'effet de savoir si cette
maladie
modifie la nutrition du système nerveux. Ces ex
ment à la nutrition de ce dernier; 3° L'activité cérébrale et les
maladies
fonctionnelles du système nerveux modifient la
fs qui se passent au sein du système nerveux sous l'in- fluence des
maladies
fonctionnelles de ce système, retentisse- ment
e allemande professait, jusque vers 1860, que toutes les formes des
maladies
mentales ne sont que des pé- riodes différentes
chronique prouvent le contraire, Qu'on peut encore, au début de la
maladie
, retrouver les éléments des deux espèces d'idée
nt ne cessent leurs services que pour cause d'infirmités et même de
maladies
graves. M. Magnan, sur l'invitation de M. Falre
t peu élevés; il faut, il est vrai, faire la part de la forme de la
maladie
(aliénés destruc- teurs, par exemple), mais il
avait conservé, par conséquent, le plein discernement de sa propre
maladie
ainsi qu'une force de volonté assez grande pour
Zeitsch. f. Psych., XLI, 3.) P. Kéraval. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN Séance du 10 décembre t88
cée. Les troubles moteurs rapportés disparurent dans le cours de la
maladie
. Chez une démente épileptique, qui n'était pas
thérie neuf semaines avant son admission (6 août) ; évolution de la
maladie
en qua- torze jours ; puis, parole nasonnée, ré
uteur élimine l'idée de la chorée électrique, parce que, dans cette
maladie
, les contractions ont la spontanéité de l'éclai
te cécité. Lesautres éléments pathogénétiques à signaler sont : les
maladies
de l'orbite, l'embolie de l'artère centrale, l'
Quatre-vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la clinique des
maladies
nerveuses de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.).
par lui, 5 allèrent plus tard se faire traiter dans le service des
maladies
nerveuses de la Charité des Berlin, mais aucune
, car ses observations lui ont laissé l'impression, que, dans cette
maladie
, la syphilis joue peut- être un rôle. M. MEND
ate trois espèces d'étalsanatomo-patliologiques. Dans les cas où la
maladie
a suivi une évolution aiguë, c'est une hyperémie
VESTPHAL. Il n'y a pas de raison d'établir une comparaison avec la
maladie
de Thomsen 1. M. REMA&. La raideur congénit
sumer ici les procédés gymnastiques applicables au traitement des
maladies
nerveuses telles que l'idiotie et l'imbécillité,
e pronostic de cette affection. Il existe encore un grand nombre de
maladies
, pour la plupart rebelles au traitement médical
te pour permettre d'établir définitivement leurs rap- ports avec la
maladie
de Bayle. La paralysie générale offre avec l'at
t-il pas sur- prenant de voir signalés dans le cours de la première
maladie
des troubles qui ont été observés dans la secon
physiologique de l'hérédité naturelle dans les états de santé et de
maladie
du système nerveux (2 vol. in-8°, Paris, 1847-1
ns lequel il devait étudier les lois qui président à l'hérédité des
maladies
mentales. « Le Dr Prosper Lucas était le frère
ousé le Dr Allen Sturge, connu par ses intéressants travaux sur les
maladies
nerveuses. L'an dernier, elle a publié un opuscul
l (sa colonie), 407. Graphique (représentation - de la marche des
maladies
mentales), par ltégis, 87. Gymnastique(la), I
s 1'), par SOU2a-Leite, 53 ; - (dans sesre- lations avec quelques
maladies
localisées), par Castels, 61 ; Hystérie convu
r, 81. .'obe temporal (destruction com- lrlète du), 327, 33 ? .
Maladies
mentales ( difficulté de diagnostic), 73; consé
ar Sclultze, 110. Myoelonns multiple, 423. Nerfs périphériques (
maladies
des et du sympathique), par Seelimnller,135;-
ses et mentales. Ophthalmologique (contribution au diagnostic des
maladies
du cer- ' veau), par 1'illraml, 136. Optiques
d'un abais- sement extrême de la tempéra- ture dans le cours des
maladies
mentales), par Popoft, 355. Tendineux (phénom
ndications de l’hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des
maladies
mentales et de l’alcoolisme. Rapporteurs : M. l
preuve du rôle considérable que joue la suggestion dans la genèse des
maladies
mentales, et un encouragement à suivre l’exemple
lin, et dans l'enfance qu'à tout autre âge. Le jeûne, la veille et la
maladie
l'accentuent. Le silence, la solitude et l'admira
r de « l’esprit mortel » ou de le dompter, car c’est lui qui cause la
maladie
et la souffrance par la crainte qu'elles vous ins
sprit. Eddy combat les médecins parce quelle prétend qu’ils créent la
maladie
en croyant à son existence et elle condamne les d
our leur tendance à développer des impressions morbides. Toutes les
maladies
, dit-elle, sont le produit d’une erreur de pensée
Il faut donc, pour que celle-ci parvienne à guérir le moindre cas de
maladie
qu’elle ait assez de force pour contrebalancer le
gie, d’hygiène sont les causes génératrices de la souffrance et de la
maladie
. » (p. 369). a Le diagnostic physique de la mal
france et de la maladie. » (p. 369). a Le diagnostic physique de la
maladie
, tend à produire la maladie, si tant est qu'elle
p. 369). a Le diagnostic physique de la maladie, tend à produire la
maladie
, si tant est qu'elle existe, puisque l'esprit mor
i perdre la vie pour avoir persisté à croire que l'inflammation et la
maladie
n’existaient pas. Il fit une excursion à bicycl
vait aggravée. Il ne recouvra la santé qu’après une longue et pénible
maladie
. Les Scientistes Chrétiens, bien entendu, se fo
r ce diagnostic (I) Présentation de malade faite :i la Clinique des
maladies
du système nerveux, h la Salpûtrièr*'. serait
dans les journaux, que des hommes en pareille situation sont morts de
maladie
ou se sont suicidés. Pendant le repas du soir
aine jactance, s’entêteront à ne pas céder. Pendant tout ce temps, la
maladie
se sera développée et il se sera créé des habitud
pliquer à votre neurasthénique « qu’il peut guérir s'il le veut. » Sa
maladie
consiste précisément pour beaucoup, dans ce fait,
avec eux-mêmes et allèguent continuellement des faits à l'appui de la
maladie
ou des multiples maladies dont ils se croient att
nt continuellement des faits à l'appui de la maladie ou des multiples
maladies
dont ils se croient atteints. » C’est pour cela q
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
Jules Voisin, fait tous les jeudis, à 10 heures, une clinique sur les
maladies
mentales et neigeuses. Société d'études psychiq
cations de l'hypnotisme et de la sug g es lion dans le traitement des
maladies
mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. le
er chez certains sujets en dehors de l'hypnotisme. Si, dans certaines
maladies
nerveuses on lève le bras du sujet, il conserve c
à cette ctude celle de l’hystérique, considérant l'hystérie comme une
maladie
qui rend les sujets plus particulièrement hrpnoti
auquel cas elles ne doivent être utilisées pour le a traitement des
maladies
que par des personnes compétentes..... « Dans l
tifié sa libre pratique. Car en effet, entreprendre la guérison d'une
maladie
, même en n’instituant aucun traitement, est toujo
suite de deux facteurs nouveaux : aj But poursuivi (traitement des
maladies
); b) Habitude, direction suivie dudit traitemen
s, les tarés, tous ceux qui présentent une psychose, une névrose, une
maladie
de la nutrition, etc.; ce traitement ne conviendr
autant d’alcool qu’il le voudra. Néanmoins on lui raconte qu’il a une
maladie
organique, mais dont on le guérira en lui faisant
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
Th. de Paris, 1900. Roumknteau.— Des ecchymoses spontanées dans les
maladies
du système nerveux, Th. do Paris, l'JOü. Bekman
D'Jules Voisin fait chaque année, dans son service, un cours sur les
maladies
mentales et nerveuses. De ses leçons fort appréci
à l’époque de la puberté, affection que déjà l'on appelle couramment
maladie
de Jules Voisin. Les questions relatives à l'hy
il fit des leçons remarquables sur la pathologie interne et, sur les
maladies
du système nerveux. Son ouvrage sur les atrophies
du système nerveux. Son ouvrage sur les atrophies musculaires et les
maladies
amyotrophiques fut couronné par l’institut; on lu
es dyspepsies et en outre, un rapport qu’il écrivit, en 1888, sur les
maladies
du système nerveux en Russie, au retour d'une mis
otisme doit jouer comme spécifique héroïque dans la thérapeutique des
maladies
nerveuses, comme succédané ou comme adjuvant de l
médecins pessimistes qui affirment que l’alcoolisme chronique est une
maladie
inguérissable. J’ai cité plus haut un cas où
es dix dernières années, on m’a demandé de traiter beaucoup de cas de
maladies
mentales par la suggestion hypnotique, et j'ai es
peu de résultat que j’ai eu dans ma clientèle dans le traitement des
maladies
mentales, je m’expose peut-être à être accusé d’a
ux, trois jours, (1) Présentation de malade faite à la Clinique des
maladies
du «ystômo nerveux* la Salpétricrc. puis revi
ancienne remonte à Ilippocrate, montrent que la voix, dans certaines
maladies
du larynx, prend les caractères de la voix de ven
elmann, de Wurlzbourg. M. leDrTESDORFF (Paul), spécialiste pour les
maladies
nerveuses, Munich. Me le Dr Vogt (Cécile), de Ber
re de psychologie à la Salpctrière. M. le Dr Joffroy, professeur de
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris. M.
e des hôpitaux, Paris. M. le Dr Raymond, professeur de clinique des
maladies
nerveuses à la Faculté de Paris. M. le Dr Saint
Athènes. Hollande. M. le Dr de Jong (Arie), spécialiste pour les
maladies
nerveuses, La Haye. M. le Dr Van Renterghem, dire
la faculté de Jassy. M. le Dr Marinesco, professeur de clinique des
maladies
nerveuses à la faculté de Bukarest. M. le DrTho
t un des premiers qui introduisit l’hypnotisme dans le traitement des
maladies
mentales. Je suis sûr. Messieurs ot chers Collè
Médecine de Paris, celui qui est chargé de renseignement officiel des
maladies
du système nerveux. A quelles appréciations désob
es », qui lui avait déjà donné de si beaux résultats dans l’étude des
maladies
du système nerveux. Il a fait rentrer le somnambu
nfluence de l’Ecole de la Salpétrière et do l’Ecole de Nancy, que les
maladies
nerveuses, par conséquent aussi les manifestation
endant si rapprochés dans leur but : la prévention et la guérison des
maladies
physiques et morales! Dr FoVBAU DE COUP.MELLES.
élai, une véritable révolution dans l’art de soigner et de guérir les
maladies
dont souffrent le corps et l’esprit Le deuxième
ndications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des
maladies
mentales et de l’alcoolisme, de môme que les appl
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
nombreuses amitiés parmi les abonnés de la Revue. Depuis un an une
maladie
grave l'avait obligé à se retirer à Montbard (Côt
(15 Août 1887), nous avions fondé une clinique pour le traitement des
maladies
nerveuses par la suggestion hypnotique. A peu prè
la suggestion hypnotique comme arme principale dans le traitement des
maladies
nerveuses et psychiques. M. S. Reeling Brouwer,
orité sur d’autres genres de médication dans ses applications sur les
maladies
nerveuses et psychiques. Ces brillants résultats
atique, faradique et galvanique. Il vient d’ouvrir un sanatorium pour
maladies
nerveuses. Dans cet établissement, comme dans sa
s cas justiciables de cette méthode dans leur service d’aliénés et de
maladies
nerveuses. Ils ajoutent qu'ils appliquent surtout
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
eux il faut surveiller ses paroles. Le moindre mot de doute sur leur
maladie
, et iis croiront leur état extrêmement grave ; il
à cette étude celle de l’hystérique, considérant l'hystérie comme une
maladie
qui rend les sujets plus particulièrement hypnoti
son effet ; puis, une jeune fille, ouvrière d’imprimerie, atteinte de
maladie
de Basedowentraînant une incapacité de travail ab
que contemporaine multiplient leurs soins et apportent au service des
maladies
toutes les ressources d'un art qui fait des merve
de cette nature, c’est-à-dire intellectuelle et morale, tandis que la
maladie
suivrait peut-être son cours avec les symptômes p
nt intenses chez un individu, très généralement il s’agit de malades (
maladies
organiques, hystérie, névropathie héréditaire, et
ns simulatrices, parce qu’il y a peu d'années encore on croyait cette
maladie
spéciale au sexe féminin; il suffisait qu'ii s’ag
maine un certain nombre d’accidents que nous rapportons à cette seule
maladie
. « Si ce sujet était épineux, l'hypnotisme l’ét
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
. Objet du cours : Les doctrines esthétiques de Wagner. Cours des
maladies
nerveuses et mentales M. le Dr Jules Voisin com
erveuses et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des
maladies
nerveuses et mentales à la Salpêtrière, section E
loyé comme méthode d'investigation psychologique ; 2* la clinique des
maladies
nerveuses et mentales : 3° la pédagogie clinique;
s toxiques et infectieux (1) Par le Dr E. Régis Chargé du cours des
maladies
mentales à l'université de Bordoaux Les idées é
délires toxi-infectieux : E. Régis :Des auto-intoxications dans les
maladies
mentales (Rapport au 4“* congrès des aliénistes e
e. (Thèse de Bordeaux, 1899-1900.) D' Desvaulx : Le délire dans les
maladies
infectieuses aiguës. (Thèse de Paris, 1899-1900.)
se manifester. On sait que certains sujets présentent au sortir de
maladies
infectieuses, même sans avoir déliré en apparence
pent l’hystérie chez certains sujets prédisposés (!) ». Certes, une
maladie
infectieuse peut, chez une hystérique, provoquer
par M. Paul Farez en est un exemple typique (*). D’autre part, toute
maladie
infectieuse peut également donner naissance à un
s candidatures sont adoptées à l’unanimité. Guérison miraculeuse de
maladies
d’apparence organique. Rôle du système vaso-moteu
nt niés des uns, acceptés des autres ; ce sont ceux qui ont trait aux
maladies
organiques. En 1893, Charcot, dans un travail q
issue à un pus rougeâtre et fétide. Pendant les douze ans que dura sa
maladie
, il y eut de nombreuses complications : vomisseme
ne femme. Et pourtant il y avait des staphylocoques dans le pus et la
maladie
avait résisté depuis neuf mois à tous les traitem
pourtant le fait môme de la guérison ou au moins de l’amélioration de
maladies
organiques parait certain : les certificats médic
ganiques parait certain : les certificats médicaux en font foi. Ces
maladies
organiques comprennent : 1° Les poitrinaires, c
avaient été qu’améliorés (>). 2° Les cancers : c’est la première
maladie
étudiée à ce point de vue. 3° Les ulcères de l’
la névropathie comme cause possible d’ulcères de l’estomac. A0 Les
maladies
des yeux. Entre autres guérisons il convient de c
al, etc., et aurait subi 17 interventions oculaires. Histoire de la
maladie
. — Le 18 novembre 1898, la malade reçut sur la fa
tion de l’œdème sont en faveur de ce diagnostic. Il existe donc des
maladies
d'origine hystérique qui simulent les maladies or
. Il existe donc des maladies d'origine hystérique qui simulent les
maladies
organiques au point que les médecins s’y trompent
igieuse suffit à guérir. D’autres pourront admettre qu’il s’agit de
maladies
organiques réelles et que la foi les améliore sim
orie de phénomènes nerveux, les troubles vaso-moteurs, rappellent les
maladies
organiques guéries par la foi, et méritent, à ce
sur les mains de saint François d’Assises et de Louise Lateau. Les
maladies
organiques elles-mêmes sont influencées par le ps
guérir par la prière et la volonté : ils s’autosuggestionnent que la
maladie
dont ils soulïrent n’existe pas. Il se produit ai
teurs jouent un rôle capital et encore ignoré dans un grand nombre de
maladies
; soit que les troubles vaso-moteurs créent des ét
états pathologiques à apparence organique, soit qu’ils aggravent des
maladies
réelles. Au contraire, la suggestion hypnotique,
Gli Bouchard, t. V, p. 1123. motrice, peut amener la guérison de
maladies
en apparence ou réellement organiques. Il y a l
notre horizon. Il faut bien dire toutefois que dans les guérisons de
maladies
dites organiques et particulièrement de cancer, i
anifestations somatiques. Dans la plupart des guérisons de prétendues
maladies
organiques, il n'a pas été fait de diagnostic pré
xemples de l'action bienfaisante de la suggestion hypnotique dans les
maladies
organiques. Les trois cas qu’il rapporte datent d
guérie, écrit-on, mais elle se trouve entièrement la même qu’avant sa
maladie
; ses membres sont tout à fait désenflés et elle
ouent les vaso-moteurs dans la production ou l’évolution de certaines
maladies
, je citerai le cas de trois jeunes filles que j’a
ution. Ses antécédents héréditaires sont négatifs II n'a jamais eu de
maladies
graves dans sa jeunesse. Instruit à l’école pri
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
espiration, jetant dans des dangers extrêmes et occasionnant diverses
maladies
» (•). Galenos (131-201 ou 210 ap. J.), tout en
n révélait l’existence de l’hystérie masculine, et écrivait que cette
maladie
provenait « du désordre (1) PlatôN : Le Timée.
tion sur les symptômes psychologiques de l’hystérie. Selon lui, celte
maladie
consistait « dans la perturbation des actes vitau
e tant d’autres singularités, acquièrent également, par le fait de la
maladie
, une sorte de paresse qui les rend moins propres
s qui vient confirmer la manière d’expliquer la guérison de certaines
maladies
par l’influence exercée sur le système vaso-moteu
stème vaso-moteur. Mme D..., demeurant à Montrouge, souffrait d une
maladie
nerveuse aggravée à la suite des crises de son pe
mme clic souffrait antérieurement d'une hyperhidrose des mains, cette
maladie
s'est aggravée considérablement. Ayant observé
cher ses mains; elle ne croyait pas qu’on puisse la délivrer de cette
maladie
, déjà ancienne. Nous lui avons confirmé nos conse
rts. » Observations. Les malades ignorent souvent les sources des
maladies
dont ils sont affligés ; ils ne s’aperçoivent pas
qui fait l’énergie. Nous n’arriverons à expliquer les causes des
maladies
nerveuses, qu’en spécifiant la marche et les symp
s, qu’en spécifiant la marche et les symptômes particuliers de chaque
maladie
. Il est donc convenable d’examiner et de publier
d’examiner et de publier les observations caractéristiques de chaque
maladie
, afin qu'elle reste archivée dans la Revue de VHy
s savants psychologues y trouveront les relations diverses entres les
maladies
. L’intervention de la suggestion sur les neuron
leur et la lumière, de même nous croyons que la nouvelle guérison des
maladies
par la suggestion, donnera au médecin un puissant
DJ Félix REGNAÜLT. Les hommes de génie sont fréquemment atteints de
maladies
nerveuses. Neurasthénie, hypocondrie, hystérie, é
Ces troubles sont-ils altribuables h l'hyperfonclion cérébrale, la
maladie
frappant de préférence un organe surmené ? On peu
s de fièvre typhoïde chez les internes des hôpitaux; chez tous, cette
maladie
prenait une forme nerveuse grave. Un homme de gén
avait un cerveau mal équilibré, sous prétexte qu’il est mort de cette
maladie
. Ou bien ces troubles nerveux sont-ils une cond
us, il a un léger degré de nystagmus. Un médecin qui connaît bien les
maladies
nerveuses a porté le diagnostic de sclérose en pl
e fier au tremblement, quand il est seul, pour faire le diagnostic de
maladie
organique. Ces troubles fonctionnels ne doivent
arrêt de la cour (1) Présentation de malade faite» la clinique dea
maladies
du tyslèioo nerveux à la Salpêtrière. d’Anger
et, le magnétisme, comme l’hypnotisme, appliqué pour le traitement de
maladies
quelconques, constitue un véritable danger quand
end part habituellement ou par une direction suivie au traitement des
maladies
ou des affections chirurgicales », délit que l’ar
e saurait être considéré comme ayant ainsi pris part au traitement de
maladies
et commis par là, faute du titre qui confère ce d
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire :neurologique et pédagogiq
s cliniques de l'hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spécialement les
maladies
de la volonté et les maladies de la personnalité.
e Dr Bérillon étudiera spécialement les maladies de la volonté et les
maladies
de la personnalité. L'Administrateur-Gérant : E
des anesthésiques généraux peut avoir le même résultat et aggraver la
maladie
. Aussi bien comme l’alcool et comme la morphine,
on des neurones de sensation, c'est que l’hystérie est avant tout une
maladie
cérébrale. Mais il est certain que les neurones
très calme du côté des sens, — et pendant les vingt ans qu’a duré la
maladie
de son mari et pendant les vingt années de son .
ique franchement (t) Présentation de malode fniie à la Clinique des
maladies
du système nerveux, h la Salpôtrière. convuls
sations et les réactions nerveuses que nous croyons spéciales à telle
maladie
et qui peuvent se rencontrer dans d’autreâ maladi
spéciales à telle maladie et qui peuvent se rencontrer dans d’autreâ
maladies
. 2* Les résultats du traitement hypnotique dépe
ir écrire la posologie. On peut actuellement dresser un tableau des
maladies
justifiables du traitement hypnotique ot dire ave
s qu’on peut, au début, renvoyer tel malade parce qu’il souffre d’une
maladie
non justifiable de l’hypnotisme ou parce qu’il pr
est seulement un peu plus accusée qu’à l'ordinaire. Le début de la
maladie
remonte à sept semaines. Ni lui ni sa femme n’ont
llaire monoculaire. REVUE DES LIVRES Diagnostic et traitement des
maladies
nerveuses, par le Dr Joanny Roux (do Saint-Etie
égnation, la consanguinité, la dégénérescence, les intoxications, les
maladies
infectieuses, les traumatismes de la mère et du f
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
s cliniques de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spécialement les
maladies
de la volonté et les maladies de la personnalité.
e Dr Bérillon étudiera spécialement les maladies de la volonté et les
maladies
de la personnalité. Programme La méthode hypn
tout en continuant d’exécuter des actes qu’ils ont appris avant leur
maladie
(jouer du piano, monter à bicyclette, etc.), ne p
ause déterminante, la défloration : et cela par définition même de la
maladie
, dont le diagnostic ne peut être révélé qu’à l’oc
e dans laquelle la littérature médicale semble avoir été de cette
maladie
, avant 1834, époque à laquelle Huguier décrivit u
nerveux qui me parait le plus important facteur dans l’ctiologiede la
maladie
. Et, à moins que l’avenir vienne nous démontrer q
reuve de l’importance de l’élément psychique dans la production de la
maladie
. La contracture spasmodique parait être la cara
ie. La contracture spasmodique parait être la caractéristique de la
maladie
. C'est elle qui a attiré l’attention des premiers
corriger dans cette affection, c’est l’état psychique qui engendre la
maladie
, et de réserver les interventions sanglantes pour
act engendrait tous les réflexes pénibles dans lesquels consistait sa
maladie
. Très rapidement, elle subit l’influence de celte
r localement la petite lésion qui devait être la cause première de sa
maladie
. J’avais alors dans ma cliente, une véritable aux
le seulement, cela tient à bien des causes : la rareté relative de la
maladie
d’abord et la possibilité d'une guérison spontané
gie pour la porter sur un terrain exclusivement chirurgical; et si la
maladie
parait devenir plus fréquente de nos jours, c’est
tresse et qu’elle se considérait comme délaissée ; dès le début de la
maladie
simulée, je soupçonnai quelque chose d’analogue e
u monde, l’éminent médecin de Sainte-Anne, professeur de Clinique des
maladies
mentales à la Faculté, donne à qui le voit et l’e
demeurera certainement attaché à l’histoire d’un très grand nombre de
maladies
nerveuses et mentales, de la méningite hypertroph
de premier ordre, comme du reste ceux qu’il a publiés depuis sur les
maladies
mentales, sur la paralysie générale et sur l'into
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
s cliniques de l’hypnotisme. Le Dr Bérillon étudiera spécialement les
maladies
de la volonté et les maladies de la personnalité.
e Dr Bérillon étudiera spécialement les maladies de la volonté et les
maladies
de la personnalité. Programme La méthode hypn
di 20 avril, à dix heures, à l’Hôpital de. la Pitié, un cours sur les
maladies
du système nerveux. Il le continuera les samedis
re lorsqu’elle opère sur les images et les idées recueillies avant la
maladie
. C’est que les neurones de mémoire impressionnés
la maladie. C’est que les neurones de mémoire impressionnés depuis la
maladie
sont moins nombreux, par suite de la rétraction d
n certain nombre d’entre eux, que les neurones impressionnés avant la
maladie
, ou qu’ils ont été moins bien impressionnés par s
luminent dans l'agrégat hypermnésique. Le malade fait (1) Charcot :
Maladies
du système nerveux, III, 337. (2) Co mot est d’
andes choses. Si Ton fait rentrer l’hystérie fruste dans le cadre des
maladies
mentales, il est certain qu'il y a beaucoup de vr
ux travaux de Beard, de Charcot, de Bouveret, de Levillain, etc., une
maladie
bien caractérisée et quia pris rang dans le cadre
des ressources de l’art, du moins et avec trop de raison, commeunedes
maladies
les plus rebelles et les plus longues. Aujourd’
hui, il n’en est plus ainsi, grâce à la psychothérapie, car parmi les
maladies
où éclate sa supériorité sur toutes les médicatio
pnotisme pendant les premières séances, soit par la nature môme de la
maladie
qui les empè.he de pouvoir fixer leur attention e
ont rien n’a pu la débarrasser, avec, dit-elle, un petit retour de la
maladie
tous les ans, qui ne faisait qu’accentuer les sym
uis et pleurs continuels. Grâce ù la diversion causée par la longue
maladie
de son mari, mort phtisique, elle avait été beauc
é très malade de la grippe, craignant d’étre poitrinaire, d’avoir une
maladie
de cœur et se sentant 1res malheureuse, les idées
sus, cl elle y avait encore résisté, quoiqu’ayant toujours peur de la
maladie
.—C’est dans ces conditions, que, après avoir en v
ées tristes et surtout de suicide, de ses phobies, de ses peurs de la
maladie
, de la phtisie surtout ; je lui suggère des idées
’idées tristes et encore moins d'idées de suicide, plus de peur de la
maladie
de poitrine. Chez ses clientes, où, autrefois, el
rmes variées et là, comme ailleurs, on peut dire que ce n'est pas une
maladie
que le médecin a à traiter mais bien des malades.
aucun neurasthénique n'est perse incurable. Cependant, la cure de ces
maladies
par la psychothérapie exige la création de condit
oration passagère? Ne peut-elle môme déterminer une aggravation de la
maladie
en rejetant, elle aussi, les sporozoaires dans le
n personnage vénéré, un parent du prophète ou seyid guérit toutes les
maladies
anémie, ictère... et surtout les fièvres intermit
stantinople).— En Turquie, de nombreux malades se guérissent de leurs
maladies
et principalement de l’impaludisme, en avalant de
quel ils vont en pèlerinage pour se guérir de la lièvre et des autres
maladies
inflammatoires. Les malades s’agenouillent à côté
psychique qui en découlent. Nouvelles voies de la thérapeutique des
maladies
nerveuses et mentales, par M. Haskovec, Klin. th.
thérapeutique incomplète en raison de l’étio-logie peu connue de ces
maladies
, il discute l’importance des autointo-xications e
importance des autointo-xications et des toxines dans l’étiologie des
maladies
nerveuses. Les troubles de la nutrition, les mala
l’étiologie des maladies nerveuses. Les troubles de la nutrition, les
maladies
alimentaires et les affections gastrointestinales
res et les affections gastrointestinales entraînent non seulement des
maladies
nerveuses fonctionnelles, mais encore organiques
n est de même des troubles fonctionnels des organes glandulaires. Les
maladies
toxémiques du système nerveux offrent une relatio
rent une relation étroite avec les anomalies de sécrétion de quelques
maladies
en rapport avec la pathologie des organes glandul
avec la pathologie des organes glandulaires. L'organothérapiedans ces
maladies
est appelée à des applications beaucoup plus larg
mportants travaux de Duménil parus dix ans plus tôt, relevait dans la
maladie
de Landry des lésions denévi*ites périphériques s
médecine en 1886, avec une thèse qui fit époque sur YHérédité des
maladies
du système nerveux. Dans ses travaux, il eut le
tabès et aux névrites périphériques de cette dernière affection, à la
maladie
de Friedreich, aux scléroses combinées, aux myéli
on de l’enfance, p. 379. Folklore p. 376. Guérison miraculeuse de
maladies
d'apparence organique, par Félix Regnault, p. 236
e, p. 50. Léthargie chez les animaux, par Félix Regnault, p. 208.
Maladies
nerveuses (Diagnostic et traitement des), par Rou
(Le) c’est l’homme, p. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des
maladies
nerveuses et mentales, par Haskovec, p. 377. Ob
E E NEUROLOGIE ARCHIVES DB NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT
I.A DIRECTION UR plpl. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
le clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecin*
probable, l'urémie ne figure pas plus souvent dans l'étiologie des
maladies
mentales. « Les aliénés, ajoute-t-il comme expl
le ; 2° Ceux qui sont de même que la lésion rénale, symptômes d'une
maladie
générale ; 3° Les psychoses et les maladies ner
énale, symptômes d'une maladie générale ; 3° Les psychoses et les
maladies
nerveuses provoquant de l'albuminurie. Sans ins
e fut ' Régis et Chevalier Lavaure. Des aulo-inloxicalions dans les
maladies
mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893
les soins des aliénés des deux sexes, ainsi que l'enseignement des
maladies
mentales. L'intérêt de la science et les exigen
e constatant l'identité, les ressources du patient, la nature de la
maladie
men- tale, les motifs de l'internement. On re
on de ce laps de temps. La policlinique. La « policlinique pour les
maladies
ner- veuses psychiques » (Poliklinik sur Psychi
sur la demande de la justice, des sociétés d'assurances contre la
maladie
, la vieillesse, etc.; 4- que le nombre de décès e
ques, neurasthéniques, celui de la para- lysie agitante et d'autres
maladies
nerveuses. Son appareil lui permet, aussi de fa
oivent être jointes les pièces sui- vantes : a. Un rapport sur la
maladie
, rédigé d'après un questionnaire par le médecin
On pourra, en effet, présenter aux étudiants des sujets atteints de
maladies
mentales chroniques et non pas seulement des ca
France nous ne pouvons signaler que la création de la clinique des
maladies
mentales de Paris (1879). RECUEIL DE FAITS. S
santé générale avait été très bonne et aucun accident (traumatisme,
maladies
infectieuses) n'était venu influencer le produi
pas d'accidents, pas de traumatisme; pas d'émotions morales, pas de
maladies
infectieuses. Accouchement 40 THÉRAPEUTIQUE MÉD
sme. - La dentition n'a été complète qu'à trois ans. Pas d'autres
maladies
infectieuses qu'une rougeole à dix-huit mois, q
4). Enfant blond, lymphatique. Pas d'adipose, d'émaciation ; air de
maladie
, crie fréquemment, surtout s'il est seul ; quan
, autant qu'on a pu s'en assurer, elle n'était consécutive à aucune
maladie
sérieuse ayant été remarquée par la famille, et
s cardiaques. 3° Il est très difficile chez les aliénés atteints de
maladies
du coeur de préciser les cas favorables à une i
e du grand sympathique et des nerfs vagues dans la pathogénie de la
maladie
de Basedow l'auteur admet l'existence, d'une lé
semble plaider en faveur de cette étiologie. G. D. IV. Deux cas de
maladie
nerveuse familiale intermédiaire entre l'hérédo
se familiale intermédiaire entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich; par les Drs LENOBLE et AUBINFAU.
3e Par la tendance à revêtir un certain nombre de caractères de la
maladie
de Friedreich. On constate, en effet, chez les
rotuliens, incertitude motrice dans l'obscurité) ; des signes de la
maladie
de Friedreich (conservation de l'intelligence,
ne peuvent jamais faire défaut chez les tiqueurs. Sans eux le tic,
maladie
psychique par excellence, ne saurait exister. (
récents s'accordent à regarder comme le substratum organique delà
maladie
. On peut discuter sur sa signification, croire av
1896 pour une syphilis prise en 1858, soit trente-huit ans après.
Maladie
de Littlesans lésions cérébrales. M. Déjerine,
ie jusque dans la région lom- baire. 11 y aurait donc des cas de la
maladie
dite de Little où la dou- ble lésion cérébrale
ou spondylique. M. Babinski accepte d'ailleurs cette rectification.
Maladie
de Dercum. M. DiDr, , rapporte le cas et montre
l'état des réflexes tendineux et des réactions électriques dans la
maladie
de Parkinson. M. Huet et Alquier. Chez douze ma
M. Huet et Alquier. Chez douze malades, aux différents degrés de la
maladie
on a examiné l'état des réactions électriques : p
t, affaiblis. L'exagé- ration est nette à toutes les périodes de la
maladie
. Toutefois chez certains malades, la percussion
tenir sous sa forme absolue le dogme du secret professionnel. Si la
maladie
ne sociétés savantes. 79 9 touche que le mala
ntamé le secret médical, en prescrivant la déclaration de certaines
maladies
contagieuses ; il n'est pas sûr que la loi ait eu
x REGNAULT, On attache trop d'importance au dogme de l'hérédité des
maladies
, lequel est en train de faire -faillite. Si le
icieuses. Elle trouve donc ses applications dans un grand nombre de
maladies
. Les auteurs l'ont employée avec succès dans to
apidement la thérapeutique et la prophylactique. 111. Hystérie et
maladies
gynécologiques ; par te D'' DUPIN-DULAU. L'hyst
par le De Ducasse. La blennorrhagie que l'on doit étudier comme une
maladie
générale, peut, en outre des accidents polymorp
é est physiologique ou pathologique. Elle intervient dans certaines
maladies
telles que l'angine de poitrine, l'asthme, etc.
que Freud a appelé névrose d'angoisse. Cette névrose représente une
maladie
primitive de l'émotivité,consti- tuant un terra
'Ecole-de-blédecine. Prix : 6 francs. Raymond (F.) Leçons sur les
maladies
du système nerveux (1900- 1901). 1 vol. in-8" d
isme articulaire aigu, subie à l'âge de quatorze ans, fut suivie de
maladie
nnrale. Il a même eu plu- sieurs attaques d'ays
nt plus facile à obtenir que le traitement sera fait au début de la
maladie
, dans la période dite préataxique (Revue neurol
nclut que l'aconitine parait être réellement le spécifique de cette
maladie
, mais que son ac- tion doit être soutenue par l
MM. R. Leroy et Vkslin (tresse médicale, 6 septem- bre 1902). La
maladie
de Basedow est un syndrome, frustre ou complet,
arnation héréditaire, beaucoup moins surnaturelle, des vices ou des
maladies
de leurs ascendants. Leur sort aujour- d'hui es
plus souvent la tendance au vol accompagne la forme expansive de la
maladie
; elle est rare chez les paralytiques mélancoli
ie générale, et à expliquer le contraste de la conduite entre cette
maladie
d'une part et la démence chronique de l'alcooli
dans le grand problème de l'origine des états affectifs dans cette
maladie
. Bien des solutions de ce problème ont été prop
ré qui permette de rattacher les symptômes psychiques actifs de ces
maladies
à des altérations corticales appré- ciables.
ment chez des sujets qui ont dépassé l'âge moyen d'apparition de la
maladie
et qui présentent des signes de sénilité prémat
ématurée, et Cullerre a noté la forme dépressive dans les cas où la
maladie
est associée à des lésions athéromateuses génér
nt fréquente, c'est que la paralysie générale est ordinairement une
maladie
de l'âge moyen, de l'âge de pleine activité vital
ui donne une femme tabe- tiques pour 2,7 hommes atteints de la même
maladie
. Dans les classes aisées on ne compte qu'une ta
21 cas. On y rencontre l'hémi- anesthésie hystérique typique, et la
maladie
de Basedow symp- tomatique, par lésion du faisc
in d'aucuns avalent aussi péniblement les liquides et solides. La
maladie
une fois survenue prend généralement racine; elle
sente une intoxication légère; le mari offre les signes d'une grave
maladie
cérébro-spinale. L'auteur attribue celte différ
t'akiuésie. Or, nous connaissons depuis une vingtaine d'années une
maladie
purement fonctionnelle du système nerveux, dont
les symptômes de la nzyus- ténie d'Erb, mourut après quatre ans de
maladie
, en pleine con- naissance. L'autopsie prouva l'
que celles où dominent les commotions musculaires. Il n'est aucune
maladie
du système nerveux qui réclame une connaissance
zett,ofib-osa)-cot ? z(ttose. Elle offre une grande parenté avec la
maladie
de Heckhnghausen. D'une part, la maladie de Rec
une grande parenté avec la maladie de Heckhnghausen. D'une part, la
maladie
de Recklinghausen peut s'accompagner de locali-
t une neoplasie primitive du tissu conjonctif du système nerveux.
Maladie
de Little. M. BmssuD présente une enfant née av
r cette petite malade dans une catégorie spéciale spasmodique de la
maladie
de Little. M. 13ris- saud ne le pense pas. Malg
avant terme que M. Brissaud a déjà montrée dans l'étiologie de la
maladie
de Little qui pour lui reste autre chose qu'un si
nsiste enfin sur ce faitr que étant seul ici à avoir autopsié trois
maladies
de Little, deux de ces cas étaient dus à des lé
épilepsie survenant seulement cinq ans après la constatation de la
maladie
de Little peut ne pas être due à celle-ci et êt
à celle-ci et être une épilepsie essentielle ou autre ajoutée à la
maladie
de Little. S'il y a une maladie de Utile spinal
e essentielle ou autre ajoutée à la maladie de Little. S'il y a une
maladie
de Utile spinale et une cérébrale, il faut la r
redéciire, La conrénitalilé ne suffit pas en tout cas à établir la
maladie
de LUtte qui pour M. Brissaud reste un type consl
ssance avant terme. Sur les trois cas de M. Déjerine il y avait une
maladie
de Little et deux cas de paralysies spasmodique
re intellectuelle. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons sur les
maladies
du système nerveux; par F. LWYMOonD, membre de
onD, membre de l'Académie do médecine, professeur de clinique des
maladies
nerveuses à la Faculté de médecine de Paris. Sixi
ur. L'année qui a suivi son accession à la chaire de Clinique des
maladies
du système nerveux, à la Salpétrière, le professe
e des malades s'harmonise mal avec les descriptions didactiques des
maladies
, produits d'une synthèse arbitraire ou prématur
e des malades s'harmonise mal avec les descriptions didactiques des
maladies
, produits d'une synthèse arbitraire ou prématur
n un mot, au point de vue de la nosographie générale, il existe une
maladie
de dégénérescence qui e,t T'atrophie musculaire
cours d'une première phase, Duchenne nous révèle l'existence d'une
maladie
nouvelle, caractérisée par une fonte progressive
actérisée par une fonte progressive des muscles, et pour lui, cette
maladie
est une. BIBLIOGRAPHIE. 187 Î Dans la suite d
usculaire progressive du type Aran-Duchenue; une forme myopathique,
maladie
essentiellement familiale, à l'inverse de ce qu
sur six observa- tions inédites. La question des rapports de cette
maladie
avec l'atrophie musculaire progressive de Duche
doctrine de Leyden, contre la doctrine de l'identification des deux
maladies
. Le manque d'espace ne nous permet pas de passe
lles mettent à la portée de tous les praticiens la connaissance des
maladies
du système nerveux, c'est-à-diie d'une branche de
souvent insoucieux de ces questions médicales, les rapports de ces
maladies
de la mémoire avec les troubles de la conscience
présenta rien de particulier jusqu'à la puberté. Elle ne fit aucune
maladie
infectieuse et son intelli- gence était plutôt
ns durant quatre ans et je n'obtins aucun résultat satisfaisant. La
maladie
suivit une marche rémittente, durant les paroxy
une cousine germaine est épilepti- que. Développement normal. Comme
maladies
infectieuses : rou- geole et oreillons. Intelli
idées hypochondriaques, s'exprimant en forme d'une peur d'avoir une
maladie
psychique avec perte de conscience. Dans le c
et d'autre côté son rapport raison- nable et sa compréhension de la
maladie
, lorsqu'elle est libre de ses phobies. Nous avo
e la signification et du rôle du refroidissement dans l'origine des
maladies
de l'organisme humain. Parfois la peur du refro
lyse des urines du 5 décembre donne : RECUEIL DE FAITS. Un cas de
maladie
des tics ; guérison ; P.n COITIi\E'ILI,1 : eT P
OULITtD' L'affection nerveuse désignée par Chariot sous le nom de
maladie
des tics est, en général, considérée comme incu-
ongrès des aliénistes et neurologistes de Gre- noble (août 1903).
MALADIE
DES TICS; GUÉRISON. 209 à seize mois. Début de
ncles et tantes, ses quatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de
maladies
nerveuses ou mentales. [Rien à noter dans le re
érus. Ses grands-parents paternels et maternels sont morts âgés, de
maladie
inconnue. Un oncle maternel est bègue. Une soeu
amusait les autres enfants) ou changer de maîtresses à cause de sa
maladie
, elle rattrapait très vite ses camarades. Elle
ime à faire les ouvrages minutieux, entre autres la broderie. Comme
maladies
infectieuses, elle n'a eu que la rougeole à quatr
e trauma- tisme, ni de sévices. Comme signes avant-coureurs de la
maladie
des tics, nous avons MALADIE DES TICS ; GUÉRISO
s. Comme signes avant-coureurs de la maladie des tics, nous avons
MALADIE
DES TICS ; GUÉRISON. 2111 l à relever un change
'enfant fait des efforts pour se retenir; elle y parvient parfois .
MALADIE
DES TICS ; GUÉRISON. 213 pour la coprolalie, su
tamment, les fesses nues. sur son banc, tout en tirant la langue
MALADIE
DES TICS; GUÉRISON. 215 et en haussant les épau
nouvelle. Les symptômes se rattachent les uns aux autres, et les
maladies
qu'ils mettent en évidence sont conçues d'après l
mbre d'années, et qui a abouti à l'introduction, dans le groupe des
maladies
mentales, d'une nouvelle entité morbide, la dém
seront soigneusement recueillis en même temps que l'évolution de la
maladie
sera fidèlement enregistrée avec toutes ses par
s régulières avec des aliénés traités dans sa section, et en cas de
maladie
, avertit les proches. ' 1 Tous les trois mois,
nd un aliéné pro- pre devient gâteux par l'âge ou les progrès de la
maladie
, le mé- decin de section propose au Comité perm
coup d'aliénistes en sont venus à définir la paralysie générale une
maladie
parasyphililique. Alors, je demanderai à ces aute
ue. Alors, je demanderai à ces auteurs quelle estla nature de cette
maladie
qui est parasyphilitique. S'ils admettent qu'el
yalines des vaisseaux qu'on trouve ici, Manasse les décrit dans les
maladies
générales fébriles; Klebs les note dans la chor
thogènes de la paralysie générale. Pourquoi exigerait-on pour cette
maladie
que l'agent causal se montrât avec une persista
dehors de son système nerveux et cela, pendant tout le cours de sa
maladie
, ce que peut démon- trer soit l'examen bactério
à l'exclusion de toute inflammation mar- quée par la diapédèse. Les
maladies
qui en sont les causes sont les mêmes que celle
ques, l'histologie n'arrive pas à le reconnaître ? D'autre part, la
maladie
ne serait pas mieux définie par les termes de s
uis, si c'était la névroglie qui venait à s'accroître Jsotément, la
maladie
n'apparaitrait-elle pas comme une néoplasie (gl
blème se pose aussitôt et dont l'importance ne saurait échapper. La
maladie
est-elle une lésion primitive des réseaux fibri
ues, que j'ai pratiqué avec M. Lefas aux différentes périodes de la
maladie
, semble confirmer ces vues théoriques. Au début
grande proportion de polynucléaires neutro- philes ; à la fin de la
maladie
, par une prédominance de lympho- cytes, au mome
affinités régionales, on sait que, si la paralysie générale est une
maladie
caractérisée surtout et avant tout par la diffu
général sont multiples. Beaucoup de méde- cins, peu au courant des
maladies
chroniques du système nerveut des enfants, dont
in, les rayons lumineux exercent des actions très diverses dans les
maladies
du système nerveux ; on peut employer utilement,
des ressources d'une utilité in- contestable pour le traitement des
maladies
nerveuses. Les rayons lumineux s'emmagasinent d
s l'influence de la présence d'individualités diverses. Sujet. La
maladie
évolue sur un terrain prédisposé (hystérie, neu
ique des jeunes gens exemptés du service militaire à cause de cette
maladie
. La statistique de M. Chervin embrasse une péri
égaiement suit exactement la même distribution géographique que les
maladies
nerveuses en général. Sur le traitement sérothé
Paris). Depuis que MM. Ballet et Enriquez ont imaginé de traiter la
maladie
de Basedow par des principes em- 2G2 SOCIÉTÉS S
sédé par la crainte des dangers, auxquels l'exposait sa prétendue a
maladie
des lèvres », mais il avait peur de la transiiiet
ituelle des troubles de mentalité qui se pi,o- duisent au cours des
maladies
des cavités ? zaso-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET
és ? zaso-phÉi ? ,Yiîgie2nes. M. ROYET, ancien chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de Lyon. De très nombreus
s nombreuses observations de troubles nerveux, en relation avec'les
maladies
du nez, ont été publiées. Parmi celles-ci un ce
elles-ci un certain nombre ont rapport à de véritables délires. Les
maladies
qui les ont causées, comme aussi la forme du tr
a douleur, de la céphalée en particulier, si fréquente au cours des
maladies
du nez, interprétations erronées de sensations ol
modifications psychiques. La marche des psychoses consécutives aux
maladies
du nez, à moins d'une durée trop longue, est, e
Le diagnostic présente une certaine difficulté liée à ce que les
maladies
du nez sont souvent latentes ou qu'elles ne déter
ut si la psychose qu'on observe revêt le type habituel au cours des
maladies
du ne : . Ce type est caractérisé par : 1° Un
A. 130ROT (de Lyon).- L'association de l'érythro- mélalgie et de la
maladie
de Haynaud est un fait rare en clinique (cas de
anomalies sexuelles, mais ces dernières ne sont pas la cause de la
maladie
en question. Outre les processus psychiques obs
des paralytiques généraux avérés à une période peu avancée de leur
maladie
. Quelle est donc l'origine de cet oedème, les a
l l'a observé très fréquem- ment à des périodes plus avancées de la
maladie
. Marcel BRIAND. SOCIETE D'HYPNOLOOE ET DE PSYCH
La puissance dynamogénique ne doit pas être seulement réservée aux
maladies
nerveuses et mentales; elle a sa place dans le
6" curabilité des accidents par la quinine, au moins au début de la
maladie
. Ces névroses peuvent s'associer entre elles. E
début, dans les hôpitaux, les biessés et les personnes atteintes de
maladies
aiguës. Un asile d'aliénés, ainsi que nous le r
ile de Clermont. Faculté DE médecine DE Paris. Chef de clinique des
maladies
zzervezcses. - 111. Guillain; chef adjoint, M.
ud, 3, rue Racine. Prix : 3 lr. 50. Raymond. (F.). Leçons sur les
maladies
du système nerveux (1900- 1901). 1 vol. in-8- d
n'était guère plus capable de se conduire. D... n'a jamais eu de
maladie
grave soit dans l'enfance, soit dans l'âge mûr.
s les termes suivants : « llta femme « est décédée des suites de sa
maladie
et de chagrin, hier soir, a m'est-il annoncé. V
obtenir de votre bienveillance « un rapport qui laisse croire à une
maladie
passagère. » Et en effet, lors de mes différent
. C. P. Médecin au aWestEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour les
maladies
nerveuses, l'épilepsie et la paralysie. Médec
de « mal sacré » quoiqu'il fût assez éclairé pour savoir que cette
maladie
n'est ni plus divine ni plus sacrée que les aut
causes naturelles dont elle dérive de la même façon que les autres
maladies
. Plus tard, Russell Reynolds, Bourneville, Ilug
ilep- tique, non seulement empêchent sa pensée de se fixer sur sa
maladie
, mais aussi le remplissent d'activité mentale et
ourriture qu'il est dési- rable d'avoir dans le traitement de cette
maladie
. Les résul- tats de l'occupation et du traiteme
il. DoUTREBFNTE Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les
maladies
mentales et nerveuses. (Rapport présenté par M.
ette agitation n'est pas, comme dans la manie, l'essence même de la
maladie
; elle est même très contin- gente, car nous voy
la question du traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les
maladies
mentales et nerveuses, c'est demander presque,
es sur les- quels nos moyens thérapeutiques puissent agir. Pour les
maladies
nerveuses, au contraire, ce n'est qu'un chapitr
de de Maire), en partant de la dose de 2 grammes. Il n'est pas de
maladie
nerveuse ou mentale où les sulfones n'aient été
et peut-être plus rapide, mais l'influence sur le pronos- tic de la
maladie
paraît bien faible au total.-D'autre part, si l'a
question 'de la bainéalion froide complètement abandonnée dans les
maladies
mentales. Elle serait formellement indiquée dan
s existantes ? Eléments du choix : âge, forme délirante, date de la
maladie
, etc. Organisation médicale indispensable pour
pe, au contraire, une place prépondérante dans la pathogénie de ces
maladies
amyotrophiques (de celles au moins qui relèvent
p longues an- nées pour pouvoir entrer dans le cadre habituel de la
maladie
de Charcot; il est vraisemblable de supposer qu
rer les amyotrophies progres- sives syphilitiques des autres cas de
maladie
d'Aran.Duchenne; trois symptômes nous avaient p
ant de très nombreuses années, deux d'entre eux, dès le début de la
maladie
. Troubles de la sensibilité dans la démence 'pr
oubles affectil's et le trouble intellectuel et sur la marche de la
maladie
; il est bon d'être réservé dans son pronostic.
générale de la plupart des psychoses, la coïncidence d'une de ces
maladies
mentales avec l'affection médullaire ne présente
s des hal- lucinations de l'ouïe survinrent, « on lui parlait d'une
maladie
vénérienne qu'il avait contractée et qui devait
ns lequel fut plongé le malade quelque temps après le début de la
maladie
parait intimement lié à l'apparition des symptôme
Archives, 2° série, t. XVI. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. A côté des
maladies
mentales simplement associées à la syrin- gomyé
'état de veille, n'est plus contestée actuelle- ment pour certaines
maladies
. Si quelques médecins refusent ou hésitent enco
t crises de larmes sont les seules manifestations hystériques de la
maladie
; 3° la guérison remontant à six mois, obtenue p
son autorité, qu'il n'y a pas de traitement aussi efficace dans ces
maladies
, opinion conforme à celle de Lloyd Tuckey et du
n passant. La durée du sommeil dépend du genre et de la phase de la
maladie
. Dans les affections chroniques, il n'obtient d
avec l'hyp- notisme expérimental. Il l'emploie quelquefois dans les
maladies
générale, comme moyen d'investigation. Enfin, j
trouvent les détenus criminels, au point de vue de l'éclosion des
maladies
mentales; il fait ressortir, à côté des aspects f
pas seulement une faute thérapeutique, c'est exposer le sujet à une
maladie
qui peut devenir une infirmité incurable et mêm
nc la voie n'est pas encore frayée. Infantilisme myxsedémateux et
maladie
de 7 ? ec/tH ? t(fMsen. M. HENnvMEtGE et E. Fei
brome, on doit songer à la coexistence d'une forme incomplète de la
maladie
de Heckling- hausen avec l'infantilisme du type
sique et psychique sont pat mi les signes les plus importants de la
maladie
d'Addison. 374 SOCIÉTÉS SAVVNTES. Une troisiè
r les cas où, comme dans l'exemple précè- dent, des symptômes de la
maladie
de Recklinghausen viennent s'ajouter au syndrom
de règle qu'elles constituent la toute première manifestation de la
maladie
, comme elles' sont généralement les avertisseur
bre. En pareil cas, les symptômes qui appartiennent en propre à la
maladie
organique perdent de leur individualité. Leur dia
is de septembre 1902, le patient con- sulta un spécialiste pour les
maladies
des yeux; celui-ci déclara qu'il n'avait aucun
naegalie et que l'affaiblissement de la vue était la suite de cette
maladie
. Ils prescrivirent la frankh- nisation de la tê
Diagnostic. Le malade souffrait-il réellement de l'acroméga- lie (
maladie
de Marie) ou bien avons-nous ici affaire à une si
nce de l'acromégalie témoignait l'absence de tout symptôme de cette
maladie
. Le squelette des mains et des pieds était prop
uvent le matin une impossibilité complète «l'uriner). A section des
maladies
nerveuses à l'hôpital militaire de Kief. (2li-cit
out à fait bien, il est de- venu plus fort et tous les symptômes de
maladie
ont disparu. Durant tout le mois de janvier le
u complication, et de protéger en même temps le personnel contre la
maladie
; 3° Traiter les malades. Nous nous sommes in
atteints de tuberculose et nous aurons surtout protégé contre cette
maladie
ceux qui nous arrivent indemnes. Nous ne pouvio
remonter les derniers troubles, qu'il considère comme une nouvelle
maladie
, à une quinzaine de jours seulement, et il les
. Fin mai 1903, c'est-à-dire environ seize mois après le début delà
maladie
, nous observons de temps en temps des rires purem
lus. On la place dans le service en faisant remonter le début de la
maladie
à une quinzaine de jours seulement, à l'époque
frère qu'elle a soi- gné, elle se figure qu'elle a contracté cette
maladie
au chevet de ce frère et qu'elle finira comme l
e trente- cinq ans elle eut, nous dit-elle aujourd'hui, sa première
maladie
, et fit un séjour de quelques semaines à l'hôpi
us été malade ? Non, 11f... - Jamais ? Je n'ai jamais eu de grosses
maladies
. Pourquoi ne pKte-BOMSpas ? Je n'en sais rien.
tonique dégénérative, qui tient compte des principales étapes de la
maladie
. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Fréquence et évolutio
s que les paralytiques ont atteint une période plus avancée de leur
maladie
, c'est ainsi que la plupart d'entre eux, lorsqu'i
myélie. L'augmentation de volume des mains et des pieds, dans cette
maladie
, tient finalement, au moins pour une petite part,
Archives1. La seconde partie est consacrée à l'étude de cette même
maladie
chez l'adulte et l'étude d'ensemble dans le numér
t pas à un état démentiel aussi grave que les autres variétés de la
maladie
. En ce qui concerne la fréquence de la démence
égions voisines. de sorte qu'aucun mouvement n'a lieu comme dans la
maladie
de Thomsen : on a pris cela pour de la mutineri
voir également chaque jour quelques absences inévitables par congé,
maladie
, etc. Défalcation faite du personnel de nuit on
au monde médical l'ataxie, jusqu'alors confondue dans Ig chaos des
maladies
nerveuses, reconnut, à leur démarche, une série
produits, il ne faut pas l'oublier, à une époque où le champ des
maladies
nerveuses s'est trouvé comme fertilisé par les ex
venir demander aux sources le soula- gement ou la guérison de leurs
maladies
. C'est lui, dit-il, qui fit connaître Lamalou à
hospice de la Salpêtrière, fut entraîné vers l'étude d'une série de
maladies
nerveuses, caractérisées par des lésions d'appa
8-il*, en inaugurant un nouveau cycle de conférences libres sur les
maladies
du système nerveux, il faisait remarquer que so
curables. Mais il se hâtait d'ajouter tout aussitôt : « Le terme de
maladies
incu- a râbles, cela va de soi, ne. saurait êtr
certaines affections nerveuses et surtout de l'ataxie locomotrice,
maladie
à l'étude de laquelle il a donné une si féconde
fiant le terrain,le plus souvent artln ilico-nerveux, sur lequel la
maladie
évolue. Au nombre des cliniciens qui ont témoig
te par lui-même de l'in- iluence de ces eaux dans le traitement des
maladies
nerveuses et plus particulièrement de l'ataxie
ses preuves dans le traitement de l'ataxie locomotrice et d'autres
maladies
du système nerveux, tributaires de vos eaux. Me
ombien l'étude de ces perturbations si fréquentes dans les diverses
maladies
mentales est précieuse et combien les renseigne
ndications utiles pour le diagnostic et le pro- nostic des diverses
maladies
mentales. C'est le monologue. Le monologue, en
ouvent chez les matads internés depuis Ionglemps. A mesure que la
maladie
devient plus ancienne le cercle du délire se ré
du pronostic, ils permettent souvent z d'affirmer l'évolution de la
maladie
. Le même exemple peut montrer l'importance du m
bit une évolution lente, progressive, parallèle à l'évolution de la
maladie
elle- même. Le persécuté parle d'abord à voix
tre dans la phase de démence. 500 CLINIQUE MENTALE. Relations des
maladies
unilatérales de l'oreille avec les hallucinatio
. ' Prise en collaboration avec M. Daigrier, interne du sei vice.
MALADIES
UNILATÉRALES DE L'OREILLE. SOI 4 enfants bien p
ons de l'oreille du même côté. Il existe par conséquent entre les
maladies
de l'oreille et les hallucinations de l'ouie, t
ai d'in- diquer comment il est possible de concevoir l'action des
maladies
unilatérales de l'oreille sur le développement de
» Ajoutons enfin ' Séglas, loc. cil. ' Régis. Encéphale, 1881.
MALADIES
UNILATÉRALES DE L'OREILLE. 505 un troisième fac
coup supprimer l'autre. Ainsi comprise la guérison simul- tanée des
maladies
unilatérales de l'oreille et de certaines hallu
même côté. Dès lors en présence d'hallucinations auditives quel-
MALADIES
UNILATÉRALES DE L'OREILLE. 509 conques, survena
iques et les accidents mentaux. En résumé les relations entre les
maladies
unilatérales de l'oreille et les hallucinations
sée. Elle nous explique sa présence dans le diabète, la goutte, les
maladies
du foie, du rein, l'alcoolisme, etc ; elle nous p
rédominent des signes de déchéance, et la forme démen- tielle de la
maladie
sans délire; 8° dans les vingt à vingt-cinq der-
iaques en état de récidive, des fous circulai ! es, des sujets à la
maladie
organique desquels s'ajoutent quelques troubles
airement le service d'infirmière de nuit, mais remplaçant en cas de
maladie
ou de congé la surveillante en chef et 17 infir
risques d'incen- die, d'attaques imprévues, n'apollexies et autres
maladies
soudai- nes, de suicide chez des malades non so
tions nerveuses, aux aliénés guéris et aux aliénés au début de leur
maladie
men- tale, dont l'état permet, ne fût-ce que te
chique qui comprend quelques nevropathies et les formes mixtes de
maladies
mentales et nerveuses telles que : démence organi
ront besoin de savoir plus tard, le diagnostic et le traitement des
maladies
mentales à leur début. Enfin, au point de vue m
ier l'état mental et la responsabilité des in- culpés, suspectés de
maladies
mentales. L'hôpital y trouve aussi son avantage
il envoie à ce pavillon ceux de ses malades qui, au cours d'autres
maladies
sont atteints de psychoses intercurrentes, ce q
ucinations des paralytiques généraux à une certaine période de leur
maladie
. Il faut, conclut- il, être vraiment P. G. pour
u pied. Actuellement tous les phénomènes de névrose ont disparu, la
maladie
a évolué, le clonus du pied reste. Il s'agit bi
du pied n'est donc pas infirmée par ce cas. ' La main bote dans la
maladie
de Friedreich. MM. CESTAN et Sicard décrivent a
aladie de Friedreich. MM. CESTAN et Sicard décrivent au cours de la
maladie
de Friedreich une déformation de la main analog
d bot » des auteurs classiques. Les analgésies viscérales dans la
maladie
de Friedreich . - MM. CESTACI et SICARD ont étu
e de Friedreich . - MM. CESTACI et SICARD ont étudié au cours de la
maladie
de Friedreich les analgésies viscérales non rec
symptôme tardif, dans le tabes ordinaire ; il manque au début de la
maladie
et n'apparait que quand l'incoordination est déjà
f). On sait que les questions de t'hé- rédité pathologique dans les
maladies
mentales et nerveuses sont étudiées le mieux pa
ours, etc. M 'frétât dit que l'hérédité est la cause des causes des
maladies
mentales. Selon M. Déjérine, les affections ner
riages des membres de cette famille entre eux. Esquirol dit que les
maladies
mentales se rencontrent fi0 fois plus souvent d
slurbation, Intelligence bonne. En somme, la chorée mentale est une
maladie
de l'attention, caractérisée par l'inconstance
mues qu il a prononcées mardi à l'amphi- théâtre de la Clinique des
maladies
nerveuses, à la Salpêtrière : Messieurs. Un é
dons postérieurs, la Syringomyétie et les cavités médullaires, la
Maladie
de Friedereich, les Encéphalopullaies infantiles,
e mari est gardien au pénitencier de Belle-Isle-en-Mer, atteinte de
maladie
noire, Ét égorgé sa fillette de trois ans et lu
Dide, )8 AGI] mtos Traitement de l'- et de l'insomnie dans les
maladies
mentales, par Trénel, 313. Acnoscrc. - Elude
pdlciaire, par Maxwell, 489. Analgésies. Les - viscérales dans la
maladie
de Friedreich, par Cestan et Sicarrl, 526. '
tonie. De la - précoce et la cala- tome, par Masoin, ii3 DEMUM.
Maladie
de -,par Dide, 77 Discipline psycho-motrice, pa
ONl : l10y5 mentales. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir
Maladie
nerveuse. Ganglions sympathiques. Voir < ? 0
dité. - influencée, par Po- diapolslcy, 950. tthHtCO-ATAXtE. Voir
Maladie
ner- veuse. Histologie. Voir Paralysie généra
Lucisvtion de la Maison nationale de Charenton, 383. Leçons. Voir
Maladie
nerveuse. LETHARGIE. D'une sorte de des proce
veis, de Laignel-Lavas- une, 381. Lipome. Voir Cerveau. Little.
Maladie
de sans lésions' célébrales, par Déjerme, 76. M
cas de - intermédiaire entre l'héréilo-ataaie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich. par Leno- hle el Aulrineau, 08.
ar Bourncville, 97. Voir Traitement thyroïdien. In- fantiltsme et
maladie
de lteck- hnghausen, par llletge et Feindel,
I'IITII\Lh101.OGIE. \'or 7hennpeu- liqlie. Oreille. Relations des
maladies
(le l'- avec les lial- Inclnatlons de l'ouïe,
tat des ré- flexes tendineux et des réactions électriques dans la
maladie
de Parkinson, par Huet et Alquier,7S. 552 TAB
Réactions Voir Embo- tiques. - Voir l'arkiuson. ItECELISfH\I'SEN.
Maladie
de , Voir 3lVxmzléozaleua·. ItÉPI,Fxes cutané
Examen liibtu- logique, par Itamart. 3bi. Système m-kvëi \. Voir
Maladie
ner- rellse - \oit- Brachybiotie. - Voir liou
la forme la plus habituelle des - qui se produisent au cours des
maladies
des cavités naso-pharyngiennes, par Rovet, 26
ONDÉE par J. M. CHARCOT . F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANEES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
899 NOUVELLE ICONOGRAPHIE'^* DE LA SALPÊTRIÈRE - CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTEME NERVEUX. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE)
RITE ET POLIOMYÉLITE PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Messieurs, Le cas du mala
convulsions. Il a perdu une soeur, morte, à l'âge de 7 ans, d'une
maladie
dont il ignore le nom et la nature. Il lui rest
service militaire, il a eu une lièvre typhoïde. A la suite de cette
maladie
il a présenté, dit-il, du trem- hlement des mai
ommodation. Ch... avait de l'épiphora, mais moins qu'au début de sa
maladie
, à ce qu'il prétendait. Les troubles de la paro
hes du diaphragme. l3ref, le tableau morbide, à cette période de la
maladie
, était dominé par une parésie motrice presque g
ntes reprises déjà. POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 9 Messieurs, la
maladie
dont soull're cet homme a eu un début aigu. En
u'à faire appel au concours d'un orthopédiste ou d'un chirurgien.
MALADIE
DE THOMSEN A» FORME FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCUL
Médecin directeur Médecin adjoint de la Maison de Santé pour les
Maladies
Nerveuses de Toulouse. L'observation suivante
nts personnels. - Né terme, X... n'a jamais eu de convulsions ni de
maladies
de l'enfance. A toujours joui d'une excellente sa
nt, 0,35. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALFLIRtÈRF. T. XII. PI. III
MALADIE
DE THOMSEN Forme fruste, avec atrophie musculai
musculaire. (1 : . Vuu ct J. Sirul) MASSON & Cre, Editeurs.
MALADIE
DE THOMSEN A FORME FRUSTE 17 Jambe droite. Jamb
jour. Il ne ressemble en rien à la paralysie pseudo-hypertrophique,
maladie
héréditaire et familiale qui atteint surtout le
même tellement qu'on a cru devoir les sépa- rer des précédentes.
MALADIE
DE T110MSE\ A FORME FRUSTE 19 Il y a quelques a
égénéres- cence. Au contraire, ces symptômes sont constants dans la
maladie
de Charcot-Marie. Leur absence chez X... doit
p. îOG, 20 E. NOGUÈS ET J. SIROL Nous savons, en effet, que cette
maladie
« procède d'une manière élec- tive, frappant ce
ne réaction particulière des muscles que l'on observe dans certaine
maladie
, et à laquelle ces phénomènes ressemblent beaucou
minuée chez X..., tandis qu'elle est, en général, augmentée dans la
maladie
de Thomsen. Nous ne trouvons enfin qu'une ébauc
but des mouvements voulus et qui est le signe pathognomonique de la
maladie
de Thomsen. Ces accidents ne se produisent pas
ectriques ne se (1 ) Traité de médecine, Myopathies progressives.
MALADIE
DE THOMSEN A FORME FRUSTE 21 rapprochent que pa
e par certains côtés seulement de celles que l'on rencontre dans la
maladie
de Thomsen. Nous n'hésiterons pas cependant à c
tuent un ensem- ble symptomatique que l'on ne rencontre que dans la
maladie
de Thomsen. Et d'ailleurs, les deux affections
soit, nous nous arrêterons, pour ne rien préjuger, au diagnostic de
maladie
de Thomsen à l'orme fruste avec une atrophie mus-
symp- tôme complexe de Marie, au rapport de cette affection avec la
maladie
de Friedreich (dans les cas de combinaison de c
d'Erb, de Seeligmüllerj, au caractère des premiers symptômes de la
maladie
, etc., etc. (1). Ce sont les considérations de
de ces trois malades est mort à l'âge de 64 ans héréditaires. d'une
maladie
du foie (ictère et oedèmes). Etait alcoolique.
ènes nerveux tels que : titubation, tremblements, strabisme. Pas de
maladies
psychiques dans la famille, ni de tuberculose.
ment nor- sa vie supporta une normal. Pas de ma- mal. Comme mala-
maladie
aiguë de ladies à signaler diesde l'enfance eut
Il a rapports sexuels. 6 ans eut des ter- 6 ans eut une af- Pas de
maladies
reurs nocturnes du- fection fébrile qui vénérie
p - » pendant 3 mois dans ports sexuels. Pas un pansement con- de
maladies
véné- tentif. N'a pas eu de riennes. maladies
n pansement con- de maladies véné- tentif. N'a pas eu de riennes.
maladies
infectieu- ses. Début de la 11 y a 7ans,après
es. Début de la 11 y a 7ans,après A l'âge de 18 ans, A de 13 in s
maladie
actuel- avoir été guérie du ;i la suite de la ma-
lles - pratiques de masturbation. ' A l'âge de 18 ans contracta une
maladie
fébrile, à la suite de laquelle . survint une i
uivantes : 1° Les malades appartiennent à la même famille : 2° La
maladie
remonte non à la première enfance, mais à l'âge d
suffisent pour nous permettre de rejeter l'hypotle ede toute autre
maladie
nerveuse, telle que : 1° Alaxie spinale médulla
autre maladie nerveuse, telle que : 1° Alaxie spinale médullaire ou
maladie
de Friedreich, laquelle début('" à l'âge de pre
roisième 7 ans, ce qui est une période relativement courte pour une
maladie
qui évolue ordinairement pendant des dizaines d
roits internes et obliques supérieurs (dans les autres cas de cette
maladie
, on rencontre plus sou- vent l'affection des mu
qui affaiblit l'organisme et contribue à l'avènement précoce d"zne
maladie
à laquelle il existe une prédisposition héréditai
us précis de nos connaissances au sujet de la symptomatologie de la
Maladie
de Marie. xn 3 CLINIQUE DERM0-SYPIIILIGRAPI11
a musculature. A 7 ou 8 ans, rougeole bénigne. r19 ans, il a eu une
maladie
grave (1) Les particularités intéressantes d'or
t le pinceau fut séduit par certain charme inhérent à l'énigmatique
maladie
. A défaut d'historien, celle-ci eut des illustr
emble avoir voulu rivaliser de talent et de finesse pour peindre la
maladie
qui s'attaquait aux jolies filles de Hollande.
, au Rijk Muséum, appa- raît une première victime de la mystérieuse
maladie
des jolies Hollandai- ses (1) (Pl. XII). Une
douillet, abrité par un balda- quin et des rideaux verts.- Etrange
maladie
que cet inexprimable malaise qui s'attaque ains
rité, je vous croyais bien à l'abri de toutes les impertinences de la
maladie
, et j'ai grand peine à m'imaginer que cette ins
les ventricules du coeur, d'où, nécessairement, résulte toute votre
maladie
..... Je n'aurais garde de pousser l'impertinence
s ne nous tromperont point, car nous en savons plus que vous sur la
maladie
de notre maîtresse. Nous n'avons que faire de v
e Jean Steen, où le maître lui-même a écrit de sa main le nom de la
maladie
qu'il a tant de fois pris plaisir à peindre (PI
'est un homme plein de politesse et d'urbanité qui sait parler à la
maladie
comme il convient. Il a surtout certaine façon de
re d'un volume qui vient de paraitre. - E. Brissaud, Leçons sur les
maladies
nerveuses (2° série, hôpital Saint-Antoine), re
ffections périphériques des nerfs se révèlent exclusivement par une
maladie
de la peau ; et, selon le siège, la forme, l'ét
maintenant aux véritables dermatoses. Vous savez que la plupart des
maladies
de la peau a l'exception de quelques affections
qui évolue avec la symétrie et la régularité de développement d'une
maladie
des centres nerveux. 2° La sclérodermie en band
emple de lichen ré- (1) IOHIZ 1W rost, Pathologie el traitement des
maladies
de la peau. Traduction de Ernest Besnier et Doy
est en quelque sorte illimitée. « Relativement a la nature de cette
maladie
, la plupart des auteurs, dit M. Ilallopeau, son
intaine, n'est-on pas admis à opposer une autre thèse : celle d'une
maladie
systématique de tissu ? Ce serait une thèse par
superficiel. 82 2 E. BRISSAUD Voici, par exemple, un beau cas de
maladie
deDuhring observé et coin- menté par mes collèg
ffecte une distribution analo- gue il celle d'un zona bilatéral. La
maladie
en question, désignée encore sous les noms de d
épargnées. Vous vous souviendrez d'ailleurs que les exanthèmes des
maladies
éruptives qui ont leurs lois générales de distr
une influence métamérique spinale. Or il est toute une catégorie de
maladies
de la peau, qui équiva- lent il de véritables m
tion, l'état monstrueux d'une partie n'est pas la conséquence d'une
maladie
subie par cette partie ; cet état monstrueux, c
partie ; cet état monstrueux, ce développement anormal constitue la
maladie
même ; en d'autres termes, chez l'embryon, une ca
es termes, chez l'embryon, une cause pathogène ne détermine pas une
maladie
qui, à son tour, produit une monstruosité; la c
ssi toute dermopathie n'est-elle pas précédée de névropalhie. Les «
maladies
de peau » existent pour elles- mêmes et par ell
ropos des lipomes et des fibromes symétri- ques, je vous parlais de
maladies
qui, bien que survenant chez des adoles- cents
re considérées comme congénitales. Tel est le cas de la plupart des
maladies
familiales. Le « germe du mal » re- monte à la
es membres. Si le système nerveux prend une part quelconque à cette
maladie
, c'est assurément en abdiquant son rôle de régu
mie pigmentaire ne fût pas, quoique postérieure à la naissance, une
maladie
essentiellement cutanée, liée à l'évolution dés
DE la TOUI1ETTE, La notion étiologique de l'hérédo-syphilis dans la
maladie
de Little. Nouv. Icon. de la Salp., no 1, p. 22,
sérieusement. On les a observées, en effet, non seulement dans les
maladies
du sys- tème nerveux central et dans les affect
ui, lui, est bien mauvais, pour désigner la forme ou la phase de la
maladie
, manifes- tée par des symptômes dont l'origine
par son appropriation physiologique, la victime de choix vouée à la
maladie
. Non seulement en effet le tabes et les conditi
facile de remarquer qu'ils sont seulement plus fréquents dans cette
maladie
, mais qu'à part certaines conditions, ils n'en
7, et Thèse de Giraudeau, Accidents verlig. et apopleclif, dans les
maladies
de la moelle épinière, 1882, p. 45. 160 PIERRE
t-ce en haut vers la troisième paire ou en bas vers la sixième ? La
maladie
avait débuté par un violent accès de vertige qu
et l'irritabilité nucléaire si grande à certaines périodes de cette
maladie
,je pense que l'on peut,dans une large mesure, rat
particulière du tabès, des caractères qui le distin- gueront d'une
maladie
labyrinthique simple, et permettront des diagnos-
alors tous les caractères de la crise hystérique. Il ne fil pas de
maladie
pendant sa jeunesse et vivait tranquillement, suj
s augmenté par les mouvements vo- lontaires, analogue à celui de la
maladie
de Parkinson : aussi étant donnés les antécéden
35, p. 312. (2) Genoiun, Traduction du livre d'Abercroznbie sur les
maladies
de l'encéphale et de la moelle épinière, 1S35.
d'une façon bénigne, et le 28 août, c'est-à-dire le 26e jour de la
maladie
, le typhique pouvait être considéré comme conva
de 50 ans, ro- buste et bien musclé. Deux mois après le début de la
maladie
, pendant la convalescence, cet homme fut pris b
Elle établit seulement que l'élément pathogéni- que essentiel de la
maladie
, lequel peut être très variable, a élu domicile
mai-juin 1898. (2) E. Hesnier et A. Doyon, Traduction du Traité des
Maladies
de la peau de Ka- posi, t. II, p. 108. CAS DE
eurs le terme de sclérodactylie ne préjuge rien sur la nature de la
maladie
et sur ses rapports avec les lésions notées dans
s mains » qui porte leur nom, de nombreuses observations de la même
maladie
ont été publiées à l'étran- ger. Elles ne font
ers auteurs. Jusqu'à maintenant, l'étude anatomo-patboiogique de la
maladie
a été très incomplètement faite ; seuls, Hoffmann
il grands traits le tableau clinique et analomo-palbologique de la
maladie
. Ces considérations ne nous parais- sent point
anomalie ni déformation. Mère morte en 1884 à t'age de 62 ans d'une
maladie
de coeur n. Elle, pesait 180 livres et n'était
litique qui s'exerce d'une façon très inégale aux divers âges de la
maladie
comporte un maximum considérable, énorme, qui c
t à sa première année : 3° Au delà des trois premières années de la
maladie
la décroissance de l'influence héréditaire se c
de la syphilis s'appliquent également à la transmissibilité cle la
maladie
. lI<\tons-nous d'ajouter qu'il n'en convient
le même traite- ment, et se garda bien de dire à sa femme de quelle
maladie
tous deux étaient atteints. La grossesse suivit
tait aucune malformation, aucun symptôme d'hydrocéphalie ou d'autre
maladie
nerveuse, avait été. prise subitement de convulsi
ne thérapeutique. Les médecins, dit-il, définissent l'amour « cette
maladie
qui s'insinue entre les jeunes filles et les je
nt, il faut le reconnaître, conformément à la réalité. Or, voici la
maladie
, telle que la dépeint le « médecin de l'amour » :
aire éclore, s'il n'existait antérieurement une prédisposition à la
maladie
. En définitive, aujourd'hui, il n'y a plus de m
II et le XVIIIe siècle, el qu'en ce temps là, « pâles couleurs », «
maladie
virginale » ou « chlorose » semblaient intimement
cins du XVII° siècle, désignaient toute une série de malaises ou de
maladies
« sortes de rêve- ries accompagnées de tristess
ligne s'élevant du sang menstruel corrompu ». « La cause de celle
maladie
, dit Constant de Behecque, est une grande quant
es; la plupart restent déments et amaigris... Tant et de si grandes
maladies
dérivent de l'amour qu'il est étonnant de voir
-même, Jean Varandal, n'avait-il pas écrit en 1615 : « S'il est une
maladie
propre au tempérament féminin, qui est plus hum
'ordinaire de pâles couleurs, d'ictère blanc, de fièvre d'amour, de
maladie
virginale ; nous l'appellerons chlorose d'après
ose sont unis il ce point qu'ils se confondent en une seule et même
maladie
. C'est ce qu'il nous importait de relever. Et v
clères cliniques de la chlorose. Et nous entendons par chlorose, la
maladie
définie par Varandal, dé- crite ensuite par Riv
au- vages des malades d'amour : « Elles sont tourmentées de mille
maladies
, l'anxiété, la tristesse, la pâleur. » Et citan
tives, car elle sait bien que sa languissante maîtresse n'a d'autre
maladie
qu'un très grand mal d'amour : « La meilleure m
istes ont consacré leurs efforts et leur talent à la peinture d'une
maladie
. Quelque passionnés qu'on les suppose pour la v
its médicaux, le mal d'amour était considéré contre une vérita- ble
maladie
, c'est que les descriptions qu'en ont laissé les
soutenable qu'elle tienne à une plus grande fréquence locale de la
maladie
. On admet bien, sans d'ailleurs s'appuyer sur d
pas de même en d'autres pays ? Varandal affirme qu'en son temps la
maladie
sévissait à Montpellier « d'une manière presque e
la plaisanterie. Ne se faisant aucune illusion sur la gravité de la
maladie
, sans vergogne, il ne se cache môme pas pour en r
aune coiffée de noir, lui dévoile en confidence le mystère de cette
maladie
: « C'est un tel ! ..... » - ,« J'entends bien,
de cristal sur un plateau et une cuiller : attirail ordinaire de la
maladie
. Sur le sol carrelé, l'inoubliable réchaud. Pas
e clairement que l'appétit ne va pas trop mal. . Grave ou non, la
maladie
cependant existe. Une mouche appliquée sur la t
ment cou- rante qu'il est impossible de préjuger de la nature de la
maladie
par la simple constatation de l'emploi d'un rem
es. Il est arrivé souvent que des amoureux ont été guéris après des
maladies
aiguës dans lesquelles ils ont été saignés et p
pect plus sévère. La note humoristique disparaît complètement : la
maladie
semble plus grave. A la tristesse de la patient
s, et les peintres nous renseignent amplement sur la nature de leur
maladie
. A défaut de symboles ou de lé- gendes, les sti
les rideaux. C'est une maison tenue avec le plus grand soin, et la
maladie
peut y pénétrer sans déranger la régularité du
r sa noirceur sur le blanc mal de la figure, stigmate certain de la
maladie
. Et voici un nouvel indice : La main droite app
dème des adultes : « Le diagnotic est très ardu, dit-il, lorsque la
maladie
est im- parfaitement développée ou lorsqu'elle
ndri du corps thyroïde, ce n'est plus du myxoedème fruste, c'est la
maladie
fran- che et bien confirmée. Chez les enfants
a pas été étudié méthodiquement. On s'est contenté de soupçonner la
maladie
. On n'a jamais attaqué le problème par les moyens
ement héréditaire que le myxoedème. On m'objectera peut-être que la
maladie
n'est pas fatalement un héri- tage et que l'adu
s mon dernier mémoire à l'Académie (1), je disais que de toutes les
maladies
, le myxoedème franc est la plus suggestive et cel
dérouter l'oeil le plus exercé. Une fois guérie, on peut refaire la
maladie
. Le malade, naturellement insou- ciant, se négl
thy- roïdie bénigne d'abord et retourne à la cachexie primitive. La
maladie
se présente sous ses aspects les plus variés, s
étude très documentée qu'il inti- tule : Les métrorrhagies dans les
maladies
du foie. « Avons-nous, dit-il, le droit de risq
rprétation de physiologie pathologique pour expli- quer comment les
maladies
du foie retentissent ainsi (par des ménorrhagies)
est la consé- quence et la continuation de celle de l'enfant. La
maladie
existe chez l'homme, mais elle est incontestablem
filles. Nous nous réservons de revenir dans un autre travail sur la
maladie
chez les adultes mâles. Nous dirons seulement,
fait partie de sa constitution. Il se résigne à souffrir. Comme la
maladie
DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 283 est
ntilisme plus ou moins pros' noncé. La goutte, l'albuminurie, les
maladies
du foie (congestion calculeuse), la gravelle ré
pour base de leur médication et la considèrent comme la cause de la
maladie
. Or la chlorose rentre de plus en plus dans le
ent thyroïdien. Le traitement le confirme. Le sommeil. Lorsque la
maladie
est nettement établie, les patientes sont somno
oï- die bénigne chronique existe sans ces symptômes. MARCHE DE LA
MALADIE
. L'hypothyroïdie chez les enfants tend manifest
e, mais enfin, dans de bon- nes conditions d'hygiène, et lorsque la
maladie
n'est pas trop avancée, le sujet finit par arri
eurol., 1898, 2e série, t. V, p. 32). (3) IhGNAi : D, Deux cas de
maladie
ou de coloration bronzée dans le cours de la para
ente à titre réflexe dans des affections très diverses d'ailleurs :
maladies
organiques de l'uté- rus, irrégularités de la m
premier à Virchow, les deux autres à Friedreich pour considérer la
maladie
comme due à une altération des nerfs périphériq
s que l'on soit autorisé à les considérer comme des cas types de la
maladie
qui nous occupe. Les trois premiers ont été publi
on puisse le faire entrer en toute assurance dans le cadre de cette
maladie
. Les seules observations sur lesquelles il est
ossible de s'appuyer pour la description analomo-pathologique de la
maladie
sont : l'observation publiée par Marinesco dans
t impossible d'admettre l'opinion émise par Hoffmann, attribuant la
maladie
à une altération des nerfs périphériques. Ber
l'avaient soupçonné dans le mémoire dans le- quel ils ont décrit la
maladie
, il s'agit bien là d'une affection d'origine sp
ente à l'esprit la description fondamentale des deux parrains de la
maladie
, ont publié sous ce nom des observations qui s'
rminer ces considérations, d'exposer les principaux symptômes de la
maladie
, en insistant sur ceux qui lui sont particulier
is après cet âge. Les chiffres extrê- mes sont 2 ans et 40 ans ; la
maladie
n'apparaît jamais immédiatement (1) Bernhardt,
un véritable arrêt du développement intellectuel. La marche de la
maladie
est lente : c'est un de ses caractères principaux
d'un malade âgé de 81 ans, qui pouvait encore marcher alors que la
maladie
avait débuté dans l'adolescence. HOSPICE DE L
adolescence. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES TROUBLES OBJ
encore très mal fixé sur le point de savoir à quelle période de la
maladie
ces troubles se montrent, sur les sièges d'électi
RICHE ET DE GOTIIARD Antécédents. Le père est mort à 57 ans, d'une
maladie
de coeur, la mère est morte à 30 ans de suite d
a cinq ans, elle a perdu les cheveux en peu de temps. Début de la
maladie
. Elle s'est manifestée par des douleurs en ceintu
lis et on ne relève pas de traces de cette infection. Début de la
maladie
. - Il y a quatre ans, en avril 1895. La malade vo
il reste deux frères et une soeur bien portants, Il n'y a pas de
maladies
nerveuses dans la famille. La malade est l'aînée
couche de trois mois. 336 ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD Début de la
maladie
. - Celle-ci a commencé par des modifications de l
un frère bien portant, un autre est mort à 28 mois. Il n'y a pas de
maladie
nerveuse dans la famille. ' Réglée à 14 ans, el
fils qui est en bonne santé, et une fillette qui est atteinte de la
maladie
de Basedow. Au dire de la malade, elle n'aurait
a- tifs on ne relève aucune trace de cette infection. Début de la
maladie
. Il y a 8 ans, en 1891, elle ressent des douleurs
chez cette dernière, comme l'artiste a su rendre les méfaits de la
maladie
: la faiblesse de ce petit corps, ses membres a
evoir la Faculté en maîtresse de maison qui connaît ses devoirs. La
maladie
n'a-t-elle pas, elle aussi, son protocole ? Or,
ices de sa présence ; encore ne font-ils qu'ajouter aux appas de la
maladie
. Mais que penser du médecin ? Cet élégant aux
rrémédiables pour laisser échapper les occasions de plaisanter, les
maladies
qui n'en sont pas. Aujourd'hui le cas est de ce
ici une manière d'l101nunculus qui doit être le germe même de cette
maladie
... mua belle enfant, votre mal n'est pas grave.
e grandes chances pour qu'il ne soit pas étranger à la genèse de la
maladie
, et c'est bien ce qui le préoccupe : il voit qu
nie de l'existence bourgeoise, les jours de fête comme les jours de
maladie
étaient t des événements mémorables. Ils créaie
cule, l'arliste se livre à une étude non moins consciencieuse de la
maladie
. Il en note les moindres détails, les altératio
s physiologiques de l'amour. Ici, il n'est nullement question de la
maladie
de Varandal ; c'est tout crû- ment le prologue
turale. Telle jeune personne, à qui nous avons décerné un brevet de
maladie
virginale sur la candeur de son visage et la rete
applicable à cette étude. Le plus souvent le mal d'amour est celle
maladie
virginale, qui a droit (le cité dans la nosogra
uchez. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊT1UÈRE
DEUX TICS DU PIED PAR F. RAYMOND. Professeur de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. ET PIERRE JANET. Dire
37 ans, vient se plaindre de ne plus pouvoir marcher à cause d'une
maladie
de son pied gauche. En effet, ce pied, comme le
. remarque elle-même que la nuit tout va mieux ; pendant une petite
maladie
, elle est restée couchée sans pouvoir se lever
ns, manoeuvre (Pl. LXI, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de
maladie
nerveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père m
fig. E). Antécédents héréditaires. Mère morte à 57 ans après une
maladie
qui aurait duré 7 ans ; elle était sans force d
ort à 66 ans, de pneumonie; dans les ascendants collatéraux, pas de
maladies
nerveuses connues. A l'âge de 14 ans, demeurant
personnels. Rhumatisme articulaire il y a 7 ans n'a pas eu d'autres
maladies
; est marié (femme bien portante), a trois enfant
est marié (femme bien portante), a trois enfants bien por- tants.
Maladie
ACTUELLE. - Il ? j a 18 mois environ, le malade a
isme, pas d'intoxication par le mercure ou le plomb. Débuts DE la
maladie
actuelle. En 1879, cet homme s'aperçut qu'il avai
omyélie se posait ; mais tous les signes d'ordre sensitifs de cette
maladie
faisaient défaut; aussi n'avons-nous pas hésité
squels par conséquent se retrouvent les éléments constitutifs d'une
maladie
bien in- dépendante, bien caractérisée, l'atrop
progressive d'origine myélopathique, poliomyélitique. Mais cette
maladie
n'est pas isolée dans la pathologie ; assez fréqu
nd aux cellules des noyaux antérieurs et inférieurs du bulbe, et la
maladie
de Duchenne-Aran se complique du syndrome labio-
ocessus ; mais au point de vue général, ils constituent t une seule
maladie
. ni 26 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVE
énéral, ils constituent t une seule maladie. ni 26 CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
omme venait à la Salpêtrière, n'ayant pas en- core consulté pour sa
maladie
, n'ayant fait aucun traitement. Les antécédents
rait mort en 1870 de la variole. Sa mère serait morte en 1882 d'une
maladie
qu'il ne peut spécifier. Il n'a eu ni frères, n
ères cliniques (1) VALTAT, De l'atrophie musculaire consécutive aux
maladies
des articulations. Th. Paris, 1877. (2) Sabou
capulo- humérales, qui le plus souvent ne sont qu'une des phases de
maladies
progressives et graves. ACROMÉGALIE ET DÉGÉNÉ
caractère se retrouve d'ailleurs chez la soeur du malade. Aucune
maladie
infectieuse, ni dans l'enfance, ni depuis. Le mal
tial, est une condition au moins favorable au déve- loppement de la
maladie
de Marie ; c'est ce qui nous parait ressortir de
d'acromégaliques, une tendance au suicide, de la dipso- manie, des
maladies
cérébrales ». Ajoutons que l'hérédité similaire a
« on ne peut obtenir aucun renseignement précis sur le début de la
maladie
, par suite de l'infériorité de l'état intellect
mates physiques et psychiques, une myoclo- nie intermittente, et la
maladie
de Recklinghausen. En résumé, et pour faire la
faits que nous venons d'exposer succinctement, nous voyons que les
maladies
nerveuses et men- tales sont fréquentes dans le
ble quelle que soit la théorie pathogénique que l'on adopte pour la
maladie
de Marie, et de dire, par exemple, que « l'hérédi
1897. (9) Gordinier, Medical News, 1895. (10) Grasset, Traité des
maladies
nerveuses, t. II, p. 231 (11) GUI : 010N, Nouve
ecine, 1889. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES TROUBLES OBJ
he à 3 ans 1/2 ; on ne relève aucun signe syphilitique. Début de la
maladie
. - Il Y a quatre ans, en 1895, elle éprouve des d
. Elle aurait eu des crises laryngées. Depuis le commencement de la
maladie
, elle dit voir trouble et elle a eu de la diplo
ire ; les trois qui vivent ont une bonne santé. On ne relève pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Rien à signaler dans
is, et on ne relève pas de traces de cette infection. Débul de la
maladie
. - Celle-ci s'est manifestée, il y a 8 ans, par d
cinq frères et deux soeurs, tous bien portants. On ne relève pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Rien à signaler dans
atifs on ne trouve aucune trace de cette infec- tion. Début de la
maladie
. - Il y a quatre ans, la malade, âgée de 43 ans,
autre a été enlevée à la suite d'une fausse couche. Il n'y a pas de
maladies
nerveuses dans la famille. La malade est née à
e a deux enfants, et n'a pas fait de fausses couches. Début de la
maladie
. - Il y a trois ans, elle a ressenti des douleurs
à diagnosti- quer l'hydropisie. Leur science embrassait toutes les
maladies
, et ils se faisaient forts de les reconnaitre,
par Schalken. L'amour doit 'être entré pour une grosse part dans la
maladie
de la pau- vrette, et il ne lui reste plus qu'à
rme à ce que l'on sait des accidents syncopaux fréquents dans cette
maladie
. ' Pour celles dont le mal n'est autre qu'une t
soucis. Premièrement, il s'agit de savoir quelle est la cause de la
maladie
. On avisera par la suite à combattre ses effets..
oindres morceaux de cetle intéressante pein- ture. Réalisme dans la
maladie
et réalisme chez le médecin, l'un et l'au- tre
e qu'on voudrait lui faire dire. Ne cherchons donc pas le nom de la
maladie
; mais admirons l'art vrai- ment supérieur avec
-môme et l'incertitude où l'artiste nous laisse sur la nature de la
maladie
ne fait qu'ajouter il l'émotion ressentie. (1
inaux. A 14 ans, une fièvre typhoïde très bénigne, mais nulle autre
maladie
depuis lors, ni rhumatisme, ni érysipèle. A s
te qui se renouvellent assez fré- quemment. Ici, cependant, cette
maladie
oedémateuse, - mieux vaudrait dire cette infirm
ullement de faire son rude métier de ménagère. C'est bien la même
maladie
, bilatérale, mais arrêtée aux deux genoux. Ici.
organes abdo- minaux ou pelviens sont parfaitement sains. Et, comme
maladies
infec- tieuses, il n'y aurait à rappeler qu'une
aucune opération ; leurs gan- glions ne sont pas volumineux. Une
maladie
à laquelle on ne pouvait s'empêcher de songer par
indispensable de préciser sa signification. Or, si l'on envisage la
maladie
des pays chauds causée par la filariose, il ne sa
d'élé- phantiasis nostras, on admet que le syndrome clinique de la
maladie
peut être réalisé par un autre agent infectieux
eût-il été positif, n'eût pas suffi à expli- quer l'hérédité de la
maladie
. (1) Riedel, OEdème persistant et éléphantiasis
s, et tous ceux qui apparaissent comme épiphénomènes au cours d'une
maladie
définie du système nerveux (hémiplégie, paralys
vés par lui chez 7 sujets du sexe masculin, âgés de 25 à 60 ans. La
maladie
consistait en une en- flure oedémateuse considé
HRONIQUE HÉRÉDITAIRE 465 Des oedèmes ont aussi été observés dans la
maladie
de Basedow (1). Mais la face y participe presqu
né de résultats appréciables. En 1897, Vidal (de Lyon) a décrit une
maladie
hypertrophiante singu- lière, caractérisée par
edema. Br. med. Journ., 12 juin 1891. (1) Mackenzie, OEdème dans la
maladie
de Graves, The Edinburgh med. Journal, avril 18
ant l'aspect de l'éléphantiasis, survenu chez une femme atteinte de
maladie
de Basedow et ayant présenté également des symp
la conservation de la santé générale, l'in- dolence complète de la
maladie
, toutes ces données concordent avec celles que
mination d'oedème segmentaire qui ne préjuge rien de la cause de la
maladie
pourrait conservée. Tout récemment, Duckworth p
milial de l'affection, celle-ci ne saurait être con- fondue avec la
maladie
oedémateuse apyrétique, chronique et progressive
possi- ble qu'une altération du système nerveux soit la cause de la
maladie
. On peut ajouter cependant que la lésion, si lé
e sur un ou plusieurs étages ' (1) Voy. E. BnissAuD, Leçons sur les
maladies
nerveuses, t. I, p. 203 et seq., t. Il, leçons
culaire aigu, son étiologie peut être comparable à celle des autres
maladies
infectieuses. Dans les observations de tropllaedé
d'hystérie. Dans ses antécédents personnels nous ne relevons aucune
maladie
grave : vers l'âge de huit ans, elle aurait eu
Médecin directeur Médecin adjoint de la maison de santé pour les
maladies
nerveuses de Toulouse. Depuis que le professeur
liers. D'après M. Brissaud, c'est par une sorte d'habi- tude que la
maladie
s'installe. C'est à la suite de la répétition trè
en plutôt comme « soutien moral » que (1) Brissaud, Leçottç sur les
maladies
du système nerveux, 18J3-t894. (2) Biiissvui),
aralysie progressive des membres supérieurs. On ne connaît pas de
maladie
semblable dans sa famille. Le père a suc- combé
à peindre simultanément les ridicules de la médecine et ceux de la
maladie
. Ici, comme ailleurs, Jean Steen se montre un o
ersuader aux autres et à lui-même qu'il est le réceptacle des pires
maladies
et que son (1) ? 899 du catal. Somoff, p. 356.
pied (noie sur deux cas), par Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (
Maladie
de) (forme fruste avec atrophie musculaire), 15
t Sirol. Torticolis mental (4 phot.), 183. NouuÈs E. et J. SIROL.
Maladie
de Thomsen à forme fruste avec atrophie muscula
e monstrueuse (Dartigues et Bonneau), XXXI, XXXII, XXX111, XXXIV.
Maladie
de Thomsen (E. Noguès et J. Sirol), III. Mal
Noguès. Torticolis mental (4 phot.), 483. SIROL J, et E. Noguès.
Maladie
de Thom- sen à forme fruste avec atrophie muscu
RIE DE CHARLES HEUISSEY ARCHIVES DE 1r NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION
Du mutisme hystérique d'après les leçons de M. Charcot. Loc. cit.
maladie
DES TICS ET tremblement. ' 27 -j rappelle par s
asmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE
MALADIE
DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE
rogatoires au cours de la visite. Ils cessent pendant le sommeil.
maladie
DES tics et tremblement. 29 Durant les périodes
En un mot, notre malade n'est pas atteinte de chorée de Sydenham.
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 31 L Nous trouvons ens
lue : « Dans le paramyoclonus (p. 136) le spasme est rapide, ins-
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 33 tantané; il ne se d
tement établie, il est juste d'ajouter que le paramyoclonus est la
maladie
dont se rapproche le plus l'état de notre jeune
tôt qu'elle offre un cas bien caractérisé de ce que l'on appelle la
maladie
des tics ou névrose tiqueuse. C'est là une ma
'on appelle la maladie des tics ou névrose tiqueuse. C'est là une
maladie
de description récente, dont il me paraît intér
ans ces dernières années seulement, on a donné la description d'une
maladie
spéciale, d'une névrose à part, dont la caracté
s la Revue de médecine de 1886 et a intitulé son mémoire : « Sur la
maladie
des tics convulsifs. p M. Charcot enfin, pour
ontient le résumé de 45 observations, recueillies à la Salpêtrière.
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 33 Mais il ne suffit p
vulgaire du mot, mais qu'il s'agit bien de la névrose tiqueuse, la
maladie
des tics convul- sifs. Pour cela, il faut repre
ignés et rapprochés de ce qu'on a écrit ces derniers temps sur la
maladie
tiqueuse. Au début de sa maladie, étant encore
écrit ces derniers temps sur la maladie tiqueuse. Au début de sa
maladie
, étant encore enfant, la malade a présenté des
sous la dépendance et constituer la pre- mière manifestation d'une
maladie
des plus rebelles, la né- vrose tiqueuse. - M
station d'une maladie des plus rebelles, la né- vrose tiqueuse. -
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 37 Voilà donc un premi
it jours après, tout symptôme parétique avait disparu. Dans la même
maladie
des tics, un événement de cet ordre constitue u
de Gilles de la Tourette le nom de coprolalie (de ZÓ7tp ? sale ?
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 39 Vous m'excuserez si
ivre. L'obsession est un phénomène aujourd'hui décrit et analysé;
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 41 ses rapports dans c
'il ait été souillé par le contact d'un individu sale ou atteint de
maladies
contagieuses. » J'ai donné mes soins autrefois
ré- sentait cette manie bizarre de ne jamais s'adosser à un siège
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 43 quelconque, chaise,
es anormaux qui, au dire des auteurs, caractérisent et affirment la
maladie
comme les stig- mates de l'hystérie affirment l
ou les salutations, des symptômes souvent notés mais contingents.
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 4S D'autres stigmates
doit en tirer, comme Charcot, cette conclusion impor- tante que la
maladie
des tics est nosologiquement distincte de l'hys
r sa nature, elle s'en distingue aussi par son pronostic ; les deux
maladies
sont foncièrement différentes au point de vue d
le, tandis que le traitement a sur elle une prise incontestable, la
maladie
des tics est abso- lument tenace, à peu près im
point t de vue pratique, à la connaissance et au diagnostic de la
maladie
, et enlève, par contre, presque tout intérêt au c
e 13 du mois de mars, soit vingt-trois jours après le début de la
maladie
. La moelle épinière est enlevée avec ses membra
. Quand il s'agit de la coexistence de l'épilepsieet de certaines
maladies
intercurrentes, on se borne à rappeler cette donn
dinairement plus ou moins pendant la période aiguë et fébrile de la
maladie
intercurrente. Mais, quand au lieu que ce soit
e soit une fièvre typhoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est une
maladie
nerveuse à forme convulsive qui se déclare chez
e à quatre-vingts ans. Ils n'étaient ni l'un ni l'autre atteints de
maladie
nerveuse. - Il a eu sept enfants dont deux sont
d'hui, que l'on sait d'une façon certaine que le tétanos est une
maladie
inoculable. - Les adversaires les plus convaincus
ari à la femme par contiguïté, sans que les symptômes moteurs de la
maladie
se développassent. La première observation pour
; 6° les dangers auxquels les épileptiques sont exposés de par leur
maladie
sont assez sen- siblement les mêmes dans un asi
et de deux sujets absolument bien portants. P. K. XXII. UN cas DE
maladie
DE 'I·H031SEN ; par G. Fischer (Neurol. Central
se propose de décrire ici l'évo- lution ultérieure qu'a revêtue la
maladie
dans le cas de Friedreich, et l'autopsie qu'il
u'un ins- tant l'auteur crut à une simulation, mais la marche de la
maladie
, et de nouvelles séances démontrèrent qu'il y a
le congénitale héréditaire d'idiosyncrasie musculaire parente de la
maladie
de Thomsen. La famille l'ap- pelle elle-même sa
ine DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET D'AUTRES
MALADIES
MEN- TALES ; par ZACHER. (Arch. f. Psych. XVIII
ésions parentes, puisqu'on la rencontre dans une catégorie d'autres
maladies
n'ayant rien de commun avec la paralysie généra
, fréquent. petit et filant, comme dans le coma ou le collapsus des
maladies
aiguës. 5° Dans la paralysie générale, le pouls
Dans la paralysie générale, le pouls varie suivant les phases de la
maladie
: a) dans la première période, la systole est éne
énomènes d'inconscience; coma; mort seize mois après le début de la
maladie
. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des
alysie générale vraie. D'autre part, le caractère prédominant de la
maladie
, au point de vue mental, était un af- faiblisse
sychoses de dégénérescence. - 2° Que dans un grand nombre de cas la
maladie
se limite à la neurasthénie; mais que, chez que
r d'abord qu'il est quelquefois fort difficile de diagnostiqueur la
maladie
chez les aliénés, qui le plus souvent ne se pla
de la fièvre, et la manie n'a pas reparu. Dans un cas, la fin de la
maladie
a été marquée par de la dé- pression momentanée
ésistance obstinée à tout traite- ment pendant toute la durée de la
maladie
: il n'y eut d'ailleurs chez lui aucune amélior
fièvre' typhoïde, dit l'auteur en terminant, est actuelle- ment une
maladie
trop dangereuse pour qu'on puisse la provo- que
peler que la syphilis est un facteur troublant dans l'étiologie des
maladies
du cerveau et de l'entendement; il faut toujour
chiut., VII, 1-2.) La clinique enseigne qu'il arrive souvent qu'une
maladie
men- tale soit guérie à l'occasion d'une maladi
ive souvent qu'une maladie men- tale soit guérie à l'occasion d'une
maladie
fébrile intercurrente. Mais quelles sont les co
serait autorisé à pro- voquer un des cas nettement déterminés, des
maladies
fébriles artificielles. Après avoir fait l'hist
a fièvre typhoïde, que, lorsqu'il s'agit de paralysie générale, les
maladies
suppura- tives sont celles qui exercent l'actio
de laquelle on est toujours maître, ou mieux, celui de l'érysipèle,
maladie
plus bénigne, plus facile à cultiver sans dange
aliénés sont des héréditaires. Il en est cependant qui doivent leur
maladie
à une modification de leur économie par des exc
t en rapport non pas avec la nature anatomique et nosologique de la
maladie
qui les provoque, mais avec lesiège des alléial
eur ail une certaine tendance à faire rentrer dans-le même cadre la
maladie
de Morvan. L'ana- lyse des symptômes est complé
it l'impor- tance des désordres trophiques dans la première de ces
maladies
, et surtout grâce à l'état de la sensibilité au
ièrement : 1° un travail du D'' 1'eber- ghien sur le traitement des
maladies
de la moelle épinière par la suspension ; 2° un
ndant la grossesse, sous l'influence des fièvres érup- tives ou des
maladies
toxiques, en se basant sur ce que, malgré les d
encore ce qu'il y a à faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les
maladies
nerveuses et mentales; par le Dr Jules Falret,
s, panaris analgésiques ou douloureux que l'interne distingue de la
maladie
de Morvan, des phlegmons, des abcès de la paume
ériens, vessie, anus, très importants s'ils existent au début de la
maladie
; - 5° des troubles oculo-pupillaires : rétrac-
ngue. A propos du dia- gnostic, l'auteur insiste sur l'hystérie, la
maladie
de Morvan, la lèpre systématisée de Leloir et l
t faite aujourd'hui et qu'après tout ce qui a été écrit sur cette
maladie
si simple, il ne reste plus grand'chose à en di
ible au chatouillement. Douleurs dans le pied depuis le début de la
maladie
, continues, sourdes, entrecoupées par des élanc
chements antérieurs normaux et sans accidents con- sécutifs. Pas de
maladies
antérieures, sauf une variole grave. Dernier ac
personnels sont également à peu près négatifs en ce qui concerne la
maladie
actuelle. Rougeole dans l'enfance ; pas de conv
remière atteinte à aucune fatigue, ni au froid, ni à l'humidité. La
maladie
dura un mois environ. La douleur était localisé
Pendant deux ans et neuf mois le malade souffre des retours de sa
maladie
et pendant tout ce temps il en présente les sym
é externe en ce qui touche l'anesthésie. Quant à' l'étiologie de la
maladie
, elle nous échappe, mais du moins on ne peut in
tante. Pas de coqueluche, pas de chorée, pas de convulsions. Pas de
maladies
infectieuses, sauf la rougeole. Elle est réglée d
u à la fesse. Elle a fait un long séjour à l'hôpital au début de la
maladie
et depuis se soignait seule chez elle. Etat a
s hystérogènes : iliaque, testicule gauche. Depuis le début de sa
maladie
. M... est d'un caractère triste. Il a mangé tou
e la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été décrits dans cette
maladie
. La raison est bien simple. On pourrait penser
générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE
MALADIE
DES TICS ET UN CAS DE TREMBLEMENT SINGULIER DE
facilement irritable. Il est mort, il y a environ seize ans, d'une
maladie
survenue à la suite d'un violent accès de colèr
sentent encore de temps en temps. Voici maintenant l'histoire de sa
maladie
actuelle qui semble avoir coïncidé avec la mort
nt pas de m'étendre. Il y a seize ans que Marie R... est malade. La
maladie
a débuté en même temps que l'instauration menst
côté, la vue s'est progressivement affaiblie, en sorte que la jeune
MALADIE
DES TICS ET' TREMBLEMENT. '189 fille n'a pu bie
éméiologique importante, au cours de la discussion qui va suivre.
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 191 Telle est l'histoi
dre degré, dans les membres supérieurs et inférieurs. La première
maladie
à laquelle on songe, en présence de cette insta
ant depuis des an- nées, est la chorée chronique de l'adulte. Cette
maladie
, inté- ressante et curieuse, a été bien étudiée
se d'exister ; l'affection ne se reproduit pas, comme pour d'autres
maladies
héréditaires chez la troisième géné- ration.
graduellement à la mort. On n'a pas observé de guérison. « 3. - La
maladie
ne débute jamais dans la jeunesse, mais ha- bit
192 CLINIQUE NERVEUSE. On a beaucoup discuté sur la nature de cette
maladie
, et en particulier sur ses rapports avec la cho
ns ce cas, la chorée chronique revêt à un haut degré l'aspect d'une
maladie
héréditaire et fami- liale. Mais elle peut exis
a chorée héréditaire ou cho- rée de Huntington, etc., n'est pas une
maladie
à part, autonome, mais une variété de la chorée
1ro-splIJale; nous sommes portés à penser que le siège des lésions
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 193 anatomiques doit ê
et offrirait quelques caractères spéciaux. Mais, au fond, les deux
maladies
seraient identiques et l'on pourrait définir la
, les deux maladies seraient identiques et l'on pourrait définir la
maladie
de Huntington : une forme chronique, développée
d'accidents paralytiques signalés par la jeune fille au début de sa
maladie
; .- enfin, les tremblements toxiques, dont les tr
rargyrique constituent les prince paux types, etc. -, La première
maladie
dont il faille discuter un peu sérieu- sement l
phénomènes'permet d'écarter ce diagnostic. ' Le tremblement de la
maladie
de Parkinson porte ordinai- 1 rement, au début,
-ci s'accomplit normalement, au moins dans les premiers temps de la
maladie
. Charcot insiste avec raison sur ce caractère,
e avec raison sur ce caractère, qui fait complètement défaut dans
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 195 notre cas. Bien au
à la malade de porter un verre à sa bouche. Les autres signes de la
maladie
de Parkinson, la sensation de chaleur, l'attitu
alysie agitante ou à celui de la sclérose en plaques. Ici, les deux
maladies
doivent être mises hors de question. A quel t
u un mou- vement quelconque, ou bien qu'elle se produise indépen-
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 197 damment de tout dé
ade cherche à faire un effort. Plus l'effort est considérable, plus
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. '199 les oscillations
artiennent les trou- bles présentés par la jeune fille n'est pas la
maladie
de Par- kinson, mais bien l'hystérie; qu'il s'a
con- centrique du champ visuel ni anesthésie cutanée. - L'anes..
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 201 thésie pharyngée,
'accuser les personnes qui ne lui témoignent pas, à l'endroit de sa
maladie
, des in- quiétudes vives et l'expression d'une
icable à tous les cas..11. ressemble tan- rôt au tremblement' de la
maladie
de Graves, tantôt à celui de la ''maladie de Pa
i- , culte distinguer les deux ordres de trépidation. Enfin, tout
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 203 dernièrement ï11 ?
olique, la trépidation hydrargyrique, les mouvements rythmés de la-
maladie
de Basedow et de la paralysie agitante. La deux
t sénile, celui de la sclérose en plaques et les oscillations de la
maladie
de'Parkinson. Or, notre malade présente évidemm
notre malade est atteinte d'un tremblement hystérique, à forme de
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. O tremblement sénile,
er ici, incidemment, cette grosse question de la nutrition dans les
maladies
du système nerveux en géné- ral et chez les hys
phosphorique avec diminution du phosphore incomplètement oxydé. La,
maladie
de Basedow, qui se caractérise, elle aussi, par
on a trouvé, pour 1 gr., 80 d'acide phosphorique total, 1 gr., 20
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. r. 207 d'acide phospho
, et elle continue à trembler. 1. , f. ,. Certes l'hystérie est une
maladie
longue, et rebelle ? si, l'on. considère le fon
) : « La question des rapports qui existent entre l'hystérie et les
maladies
organiques du système nerveux est une des plus
s d'hystériques qu'on ne croit généralement; d'après lui, bien [des
maladies
considérées comme la conséquence de lésions org
hysté- rique au même titre que chez lepremiervenu, et inversement
MALADIE
DES TICS ET TREMBLEMENT. 209 il n'est pas dérai
, pour mettre le comble à l'incertitude, il se peut que l'hystérie,
maladie
primitivement et essentiellement fonction- nell
de l'hystérie, peuvent rentrer dans le cadre symptomatique de cette
maladie
. On peut aussi rapprocher le tableau de notre m
pJé31e suivies de mort où se révèle bien l'origine cen- trale de la
maladie
(Bourdon, Lancereaux), il ne semble pas possibl
Avant son enlrée à l'asile, elle travaillait aux champs. Jamais de
maladies
antérieures ni rien qui puisse faire soupçonner
de Boulogne). P. K. XL. DE l'insuffisance DE la CONVERGENCE dans la
maladie
DE Base- Dow; parP.-J. IIID1US. (Centralb. f. N
) L'auteur affirme que dans ces dernières années il n'a pas vu de
maladie
de Basedow sans exophtalmie d'aucun degré; et qu'
mie d'aucun degré; et qu'il n'a pas vu de faits d'exophtalmie, sans
maladie
de Basedow, excepté le cas de tumeur orbitaire
avec la maladiede Basedow. Mais il est aussi à supposer que dans la
maladie
de Basedow l'insuffisance en question n'est pas
rive dans le cas d'épuisement nerveux généralisé. Eh bien ! dans la
maladie
de Basedow, il y a simultanément épuisement ner-
ntôt impossibilité de mouvoir la tête, elle étouffe, elle meurt. La
maladie
a duré 3 jours. On trouve un cysticerque unique
fonctionnelle. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE. , 251 LXIV.
Maladie
DE BASEDOW. ET maladie BRONZÉE, par H. KURELLA.
REVUE DE pathologie NERVEUSE. , 251 LXIV. Maladie DE BASEDOW. ET
maladie
BRONZÉE, par H. KURELLA. (Centralbl. f. Nervenh
partiennent plus à la mimique et sont d'autant plus marquées que la
maladie
progresse (démence, paralysie géné- rale). C'es
Moyenne de leurs âges, relevé des diverses causes attribuées à la
maladie
. D'après l'auteur, la paralysie générale résulter
cès sexuels, l'abus du tabac influent seulement sur la marche de la
maladie
. Comme dans la syphilis cérébrale à lésion diff
ma- nifeste, sans ictus, immédiatement à la fin de cette dernière
maladie
, une hémiplégie atteignant graduellement et succe
sychiat., XLIV, 1.) Trois observations ayant ceci de commun, que la
maladie
a débuté par de l'épilepsie jacksonnienne sans
qu'un accident absolument indépendant du tabes mais surajouté à la
maladie
de la moelle. Le tabes ne change pas, tandis qu'i
individus, sont comparables entre elles ; les individus atteints de
maladie
de Base- dow présentent-ils quelque propriété à
ance relative sont bien infé- rieurs chez les individus affectés de
maladie
de Basedowà ce qu'ils sont chez d'autres malade
contestable dans ledévelop- sociétés savantes. ! 27t pement de la
maladie
, elle ne suffit pas cependant à elle seule et i
que l'état puerpéral n'a été que l'occasion du développement de la
maladie
sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie
s de la sensibilité, boule, attaques convulsives avant et depuis la
maladie
). La couleur des idées délirantes est due à l'i
sujets jeunes, régulièrement développés et n'ayant présenté aucune
maladie
autre que celle qui a précédé ou accompagné la
ains dégénérés; 6° les démences de la puberté ; 7° les démences des
maladies
aiguës, fièvre typhoïde et états puerpéraux aux
jusqu'à présent révélé aucune particularité qui soit propre à cette
maladie
. Discussion. M. SANDER. On a publié les cas [d'
s à l'influenza ne se distinguent en rien de celles qui suivent les
maladies
infec- tieuses aiguës. Il semble cependant que
s aiguës. Il semble cependant que l'influenza, plus que toute autre
maladie
infectieuse, agisse sur le système nerveux.' Ains
asse celle des acci- dents neuropsychiques qui succèdent aux autres
maladies
infec- tieuses. Il est en outre très fréquent d
l'influenza au point de vue psychopalho- génétique comme des autres
maladies
infectieuses aiguës à période fébrile égale. Le
aine d'en- fants idiots ou épileptiques atteints d'influenza. Cette
maladie
ne nous a point paru avoir d'action sur l'état
dans les états anémiques, congéni- tale dans les autres groupes de
maladies
), d'où il résulterait l'inap- titude de ce tiss
savantes. De la résistance électrique de la mélancolie : Un cas de
maladie
de Basedow et de mélancolie délirante. - M. SÉG
ation d'une malade atteinte à la fois de mélancolie délirante et de
maladie
de Basedow. Chez elle, les troubles mentaux étaie
héréditaires chargés, une attaque de nerfs antérieurs : début de la
maladie
pendant un allaitement à l'occasion de terreurs
compte de la vésanie et faire hésiter dans la cons- tatation de la
maladie
de Basedow. Sous l'influence de leurs crain- te
ndant appris que les yeux étaient devenus saillants un peu avant la
maladie
et que, à cette époque, la malade déjà se plai-
à cette époque, la malade déjà se plai- gnait de palpitations. La
maladie
de Basedow semblait donc très probable : mais d
la diminution de la résistance électrique dont l'importance dans la
maladie
de Basedow a été mise en lumière par M. Vigouro
tic d'une affection coexistante, telle que les formes frustes de la
maladie
de Basedow. M. Charpentier ne s'explique pas l'
ne ressemblent en rien aux leçons magistrales de M. Charcot sur les
maladies
du système nerveux. Mais aussi ils comblent une
bles viscéraux, urémie, troubles nerveux de la deuxième phase de la
maladie
. Ces troubles nerveux peuvent porter sur la moe
ou- vrage d'Eichhorst : Manuel des méthodes d'examen physique des
maladies
internes. Il est bien plus conforme en effet à ce
RLIN. Le professeur JOLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des
maladies
mentales et nerveuses de l'Uni- versité de Berl
SAINT-PÉTERSBOURG. - M. le Dr ANFInIOFF est nommé privat-docent des
maladies
mentales et nerveuses. Enfants homicides. - U
zevedo parait accepter l'opinion d'après laquelle on attribue cette
maladie
à l'usage du riz aux Indes, au Japon et aussi p
ors texte. - Prix : 5 fr. Pour nos abonnés 4 fr. BuTLm (H.-P.). -
Maladies
de la langue. Traduit de l'anglais par le D' Do
ymptômes et syndromes qui sont communs à l'hystérie et à d'autres
maladies
. Cette distinction des troubles hystériques en
sent toutefois jouer là un rôle plus important que dans les autres
maladies
. 4° Les résultats obtenus par le traitement peu
elopper par la suggestion des symp- tômes dûs par exemple à quelque
maladie
organique du système nerveux, on obtient souven
a rien à signaler à cet égard. ' Antécédents personnels. Plusieurs
maladies
dans l'enfance, mais aucune manifestation névro
ue temps après elle contracta la scarlatine, et à la suite de cette
maladie
elle resta sourde pendant six mois. La menstrua
n des crises ; une peur, une émo- tion, le fait seul de penser à sa
maladie
suffisent parfois à les faire naître, et invers
a perceptibilité différen- tielle varie ou non dans les différentes
maladies
du système nerveux. Nos recherches ont porté
ans entrer dans les détails concernant les au- tres symptômes de la
maladie
, ceux-ci, n'ayant que peu d'importance pour le
es psycho-physiques et les symptômes cliniques dans les différentes
maladies
des centres nerveux, nous reprendrons l'histoir
perceptibilité différentielle paraît ne pas être at- teinte par la
maladie
. Bien entendu, nous n'avons pas à parler ici de
sie agitante, goitre exoph- talmique, et nous ne citons ici que les
maladies
que nous avons eu l'occasion d'étudier on point
s dans les mêmes conditions. Nous avons étudié dans les différentes
maladies
du système nerveux les modifications que subit
cliniques montrent que la percepti- bilité différentielle dans les
maladies
étudiées par nous peut subir tous les degrés po
symptôme divise la série toute entière de troubles visuels dans les
maladies
du système ner- veux en deux grandes catégories
au diagnostic différentiel des troubles occulaires dans ces deux
maladies
. - 38 Ik PHYSIOLOGIE. De la perceptibilité di
le père s'est suicidé. Il avait le cancer des fumeurs et une autre
maladie
passée à l'état chronique. Il avait déjà fait ant
dela théorie des réincarnations, et c'est ainsi qu'il attribue la
maladie
actuelle de sa femme à des esprits pbsesseurs. Il
able qu'a pu avoir sur elle un pareil entourage. Les débuts de la
maladie
actuelle sont assez difficiles à préciser, mais
tl fallait qu'il en soit ainsi. Je ne pourrai pas survivre à cette
maladie
. Au moment d'être heureuse il faut que je te qu
it rentrer. Eu même temps (et cela existait déjà dès le début de la
maladie
), elle se reportait très loin en ar- rière : el
. - Arcliives de physiologie, 1887, et Minet, lieu. phil. 1889. '
Maladies
de la Mémoire, 1887. 3 Pierre Janet. Automatism
le que les souvenirs les plus vivaces de l'époque anté- rieure à la
maladie
sont liés à des impressions visuelles, et que l
elle fréquentait jadis lorsque son fils était en pension. Depuis sa
maladie
, ses souvenirs les plus nets sont liés à des im
à signaler autant pour la constatation exacte de la nature de la
maladie
que pour le traitement à suivre. Mais avant d'en
ologique, basé sur ce que nous avons exposé sur la pathogénie de la
maladie
. Il a consisté surtout, soit pour réveiller les
la remarque faite par Hughiinges Jackson que la lésion due il une
maladie
est souvent giossiere, mal définie, étendue, la d
a probablement pas une uni- formité constante entre le sièpe de la
maladie
et les symptômes observés. La difficulté de dis
LE XXXIX. ETUDE SUR'LES rapports DE l'aliénation mentale avec LES
maladies
DES yeux ; par M. HOYET. L'aliénation mentale e
n mentale est dans beaucoup de cas (56 p. 100) en relation avec des
maladies
de l'oeil. Le délire en général et l'hallucinat
méd. de Toulouse, 1889,) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 437 Î XLIV.
Maladies
mentales DES vieillards ET LEUR influence sur l
AVAL. 440 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. LUI. La classification DES
maladies
mentales DE KAHLBAUM par CL. NEISSER. (Juhrbicc
e Kahlbaum prend pour pointé de repère, tantôt la nature même de la
maladie
, tan- tôt l'étiologie, tantôt d'autres éléments
ordre dans les idées qui diminue à son tour dès que la marche de la
maladie
se ralentit Ceci prouve que, si périphérique qu
de son sujet (qui n'a jamais étudié la médecine) de reconnaître les
maladies
, soit sur les patients eux-mêmes, soit en palpa
nique ; les diagnostics posés par Vandevoir furent emphysème et'
maladie
de l'irlette (sic). Ses prescriptions, avant l'ar
1200 malades y étaient enfermés, représentant tous les types des
maladies
mentales, maniaques, monomaniaques, idiots et épi
. Prix : 5 fr. - Pour nos abonnés .......... 4 fr. BUTIN (H.-P.).
Maladies
de la langue. Traduit de l'anglais par le Dr Do
fr. Pour nos abonnés 6 fr. BAILLAIIGER (1.) - Recherches sur les
maladies
mentales. Deux volumes in-8° formant ensemble l
ar Zenker, Menendorff, Wendt, Loehr, 115 ; rapports de l ? et des
maladies
des yeux, par ltoyet, 135 ; - des vieillards, p
e, par Bourguet, 21. Bain électrique, par Gaertner, 260. Basedow (
maladie
de), de l'insuiii- sance de la convergence dans
121; paralysie de la chorée, par Roudot, 121; anesthésie dans la
maladie
de Morvan, par Morvan, 121 ; - auto- matisme
d'anthropométrie, par Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les
maladies
nerveuses et mentales, et les aliénés et les as
- vertige cardio- vasculaire, par Grasset, 264 ; séméhïologie des
maladies
du sys- tème nerveux, par Bianchi, 295; aphas
ar Freund, 4tU. Méningite cérébrale, par Scltulz, 80. Mentales (
maladies
), classification des -, par Kahlbaum, 440. Mi
e, 248. Tétanos, chez un épileptique, par Camuset, 57. Thomsen (
maladie
de), par Fischer, 77. Thrombose, de la caroti
77. Thrombose, de la carotide gauche, par Proskauer, 77. Tics,
maladie
des et tremblement de la tête et des membres ga
ion physiolo-gique, trouvent leur confirmation dans la pathologie. La
maladie
, en effet, mieux encore que ne peut le faire le p
manente qui s'y surajoute et qui constitue aussi un des symptômes des
maladies
scléreuses des cordons blancs antéro-laté-raux pa
e vous l'avais fait pressentir, le caractère clinique prédominant des
maladies
qui com-posent le groupe nosographique que nous n
et d'entrer dans l'analyse des faits. Nous choisirons comme étalon la
maladie
singulière qu'on désigne vulgairement sous le nom
, dans l'espèce, la paralysie infantile peut être présentée comme une
maladie
d'étude; car si nous réus-sissons à bien faire re
, je pense, rendue facile. Nous n'ignorez pas qu'il s'agit là d'une
maladie
propre jusqu'à un certain point à l'enfance. En e
la paralysie infantile est, vous le savez, des plus remarquables. La
maladie
a un début brusque, soudain, annoncé le plus souv
eul à sa place de marchand sur le pont), n'avait pas fait, dit-il. de
maladies
graves depuis celle de sa première en-fance, que
rbe abondante grison-nante; cheveux noirs; les yeux ont des traces de
maladies
antérieures: Leucome à gauche; à droite synéchie
adies antérieures: Leucome à gauche; à droite synéchie antérieure. La
maladie
de l'œil gauche date de dix ans, celle de l'œil d
ois gouttes. 11 y eut rapidement un amende-ment très-notable; mais la
maladie
se reproduisit ensuite et dura assez longtemps, m
, il eut une scarlatine, et pendant qu'il était convalescent de cette
maladie
, il lui survint une paraplégie partielle. Il y av
orte bien. Quant à elle, jusqu'à l'âge de dix ans, elle n'a eu aucune
maladie
sérieuse : à cette époque, à la suite d'une émoti
de mettre sous les yeux du praticien le tableau sym-ptomatique d'une
maladie
non encore classée dans le cadre nosolo-gique. —
inférieurs. — Examen du sang. — Amélioration. — Une jeune dame, sans
maladie
antérieure, d'un tempérament nerveux, accoucha d'
eurs se dissipèrent spontanément, et vers le milieu du mois d'août la
maladie
parut entrer dans une phase plus favorable. — La
érieur, à celui des globules discoïdes. Pendant tout le temps de la
maladie
, il n'y eut aucune réaction fébrile; la malade al
qui, du reste, n'ont été obser-vés que dans les premiers temps de la
maladie
. L'urine doit ordi-nairement, dans la cirrhose, s
els le sang a été soumis, aussi bien à l'état de santé qu'à l'état de
maladie
. Ces caractères sont : la sphéricité parfaite, la
s pro-fesseurs de l'Université de Liège. G. P. REVUE ANALYTIQUE
MALADIES
DES ENFANTS i. remarques sur le traitement de 2
cosités étaient expulsées par un vomitif, la marche ulté-rieure de la
maladie
était modérée et l'issue favorable. Laissait-on,
f, dans de sem-blables conditions et n'importe à quelle période de la
maladie
, avait une véritable efficacité ; la stase veineu
ement des seins. bourneville. BIBLIOGRAPHIE Traité clinique des
maladies
aiguës des organes respiratoires, par E. J. Woi
stantiel, se divise en deux grandes parties; la première comprend les
maladies
aiguës spontanées, et se subdi-vise en cinq chapi
lmonaire; 2°la bronchite ; 3° la pneumonie ; 4° la pleurésie ; 5° les
maladies
hi-brides ou de transition (bronchopneumonie, etc
à plusieurs de ces types à la fois. La seconde partie comprend les
maladies
aiguës accidentelles des organes respiratoires et
intéressants ; la première partie au con- 1 Traité élémentaire des
maladies
de l'enfance, trad. de L. Gulmann et Ch. Sengel,
élèves : je veux parler de la congestion pulmonaire considérée comme
maladie
idio-pathique et des applications du cyrtomètre o
re avec son simple ruban. D'abord il a pu décrire ma-gistralement une
maladie
naguère obscurément indiquée, la con-gestion pulm
notre auteur caractérise la congestion pulmo-naire simple : c'est une
maladie
à évolution rapide et qui cède au traitement avec
t qui se reconnaît par la rétrocession qu'on observe pendant que la
maladie
est en voie de décroissance. Outre cette hyperé
mportants quand il se montre comme accident secondaire, soit dans les
maladies
générales (fièvre typhoïde, etc.), soit dans les
les maladies générales (fièvre typhoïde, etc.), soit dans les autres
maladies
des organes thoraciques ; par exemple, dans la br
ite simple, elle joue un rôle tellement important que, de tou-tes les
maladies
aiguës, c'est la bronchite qui présente, après la
ques dites bronchites capillaires, catarrhe suffocant; il désigne ces
maladies
sous le nom d''hémobronchites et les divise en bé
o-naire ; nous la retrouvons, non-seulement comme premier degré de la
maladie
dans les points qui doivent arriver à l'hôpatisat
ne sont pas de date récente : elles appartiennent à une époque où les
maladies
du fond de l'œil étaient à peine ébauchées, celle
où sa mère, par peur de la contagion, l'avait envoyée. A la fin de sa
maladie
, il s'est formé un abcès qui paraît avoir eu pour
a paralysie infantile et elle semble s'accuser •plus vite, dans cette
maladie
, que dans les cas de lésions des nerfs mixtes où
sont devenues définitives dans certains muscles, on peut dire que la
maladie
est arrêtée. Une s'agit plus dès lors que d'une i
nce de plus de soixante ans, les vestiges très-caractéristiques de la
maladie
qui l'a frappée à l'âge de cinq ans. Tels sont
eine, loc. cit., pages 14, 15, 20. dans l'évolution naturelle de la
maladie
des irrégularités qui, elles aussi, ont droit à n
r un trait d'union entre la paralysie infantile spinale et les autres
maladies
du groupe. § III. Je vais essayer actuellemen
emière période. C'est surtout relativement aux premières phases de la
maladie
que les données positives concernant l'altéra-tio
Boulogne), les aurait constatées, trois semaines après le début de la
maladie
sur un fragment de muscle obtenu à l'aide de l'em
olk-mann et Steudener portent à le penser, aux premières phases de la
maladie
. Mais, c'estlàun point qui réclame denouvelles re
rties périphériques, muscles ou nerfs ; d'autres ont voulu y voir une
maladie
essentielle — ce qui, dans l'espèce surtout, ne v
de la Société de Biologie, 1804, p. 187. 2 Idem, 1866, p. 215. la
maladie
a éclaté, la brusquerie de l'invasion des acciden
ie infantile spinale et d'où dérivent les princi-paux symptômes de la
maladie
, en particulier la paralysie ainsi que l'atrophie
tion de MM. Parrol et Joffroy, où il s'agit d'un enfant sur lequel la
maladie
remontait à peine à une année1 ; dans un fait rec
e pouvant favoriser la sécré-tion des muscosités bronchiques dans les
maladies
du poumon (Waring Curran). Action sur l'œil. —
ît être le résultat de l'absence d'alimentation. REVUE ANALYTIQUE
MALADIES
DE LA PEAU I. Ulcérations de la peau consécutiv
t se brisaient en grand nombre. Le cuir chevelu paraissait sain.*. La
maladie
semblait résider exclusivement dans les che-veux.
ent dans son épais-seur d'un tissu morbide, peut-être parasitaire. La
maladie
, après avoir atteint les cheveux de la partie sup
e, sans démangeaisons, tels étaient en résumé les caractères de cette
maladie
. 2° M. Devergie, dans une pratique de 30 années
intent une liqueur gluante d'une odeur fétide. » Quel nom donner à la
maladie
?... Dans mon insuffisance, dit M. Devergie, j'ai
ate. C'est à l'âge de deux ans, paraît-il, que remonte le début de sa
maladie
. Il est aujourd'hui dans sa trente et unième anné
système nerveux? c'est le plus souvent chez les enfants, pendant une
maladie
accompagnée de convulsions, la méningite, par exe
cacité du Hachisch, que la guérison eut lieu clans la période où la
maladie
a l'habitude de se terminer parla mort (Journalde
battre cette redoutable complication des plaies. REVUE ANALYTIQUE
MALADIES
MENTALES I. G. Griesinger, par Brierre de Boism
a plus grande peut-être de cette apprécia-tion, celle qui a trait aux
maladies
infectieuses de Griesinger, soit l'œuvre de M. La
. Lasègue ; il peut dire à sa décharge, qu'en analysant le Traité des
maladies
infectieuses de Griesinger, il pensait bien plus
llé; c'est un complément nécessaire à tous les ou-vrages traitant des
maladies
des voies urinaires, et à ce titre, il doit occup
, la troisième partie n'étant pas encore livrée à la publicité. Les
maladies
du globe oculaire sont exposées dans les 288 pre-
les 288 pre-mières pages qui représentent la substance du Traite' des
maladies
des yeux de l'auteur. Il est difficile de mieux c
hirurgicale: nous voyons avec plaisir que, sans omettre lhisloire des
maladies
purement mé-dicales du globe de l'œil, le DrFanoa
plus spéciale-ment au domaine de la chirurgie. Viennent ensuite les
maladies
du nez, des fosses nasales, des sinus frontaux, d
che et des appareils de sécrétion qui sont annexés aceite région; les
maladies
du cou. L'auteur expose ensuite les maladies chir
nexés aceite région; les maladies du cou. L'auteur expose ensuite les
maladies
chirurgicales de la poitrine, et parmi ses descri
ies chirurgicales de la poitrine, et parmi ses descriptions celle des
maladies
du sein nous a particulièrement intéressé. La d
. La dernière section de ce volume inachevé comprend l'histoire des
maladies
de l'abdomen. Celte partie, une des plus importan
pina bifida occipital et spina bifida cervical antérieur réunis, dans
Maladies
du système nerveux. 5 Riche t. Anat. médico-chi
aissances chimiques et pharmacologiques nécessaires au traitement des
maladies
, par le docteur Deelon, ex-interne des hôpitaux d
servir à interpréter l'action des médicaments pour le traitement des
maladies
. Nous n'en sommes plus à la doctrine de nos pères
a doctrine de nos pères qui, dans l'art de guérir, avaient cru que la
maladie
constituait une manière d'être spéciale, dans laq
faut rien négliger de ce qui peut nous renseigner sur la nature de la
maladie
et l'état du malade. Aucun système exclusif ne do
intermittent ou de l'élément pneumonique, on remarque, dis-je, que la
maladie
cède soit au traitement antipériodique, soit au t
e débutant avec les allures de la pneumonie franche et constituant la
maladie
prin-cipale se complique d'accidents intermittent
trument peut rendre les meilleurs services aux praticiens ; certaines
maladies
, comme la fièvre typhoïde, ne sauraient être trai
obligé de gagner sa vie chaque jour par son travail. La marche de la
maladie
est lente; de plus, elle récidive fréquemment si
ait désirer mieux des bains électriques dans le traite» ment de cette
maladie
. Mais disons d'abord rapidement en quoi consiste
vier 1870. Antécédents. Cet homme, d'une constitution robuste, sans
maladie
anté-rieure, est à Paris depuis cinq ans seulemen
on rapide, un résultat excellent. Toutefois l'on pourrait dire que la
maladie
était peu ancienne, peu invétérée, sans grandes r
ns la pra-tique hospitalière. (A suivre.) PATHOLOGIE COMPARÉE Des
maladies
de la rate chez les animaux. — Les affections de
souvent, le siège d'altérations es-sentielles dans un grand nombre de
maladies
générales, princi-palement, comme nous le verrons
que se traduit, par l'état général du sujet, l'atteinte portée par la
maladie
à l'intégrité de son fonctionnement. Quelques m
eux comprendre les varia-tions rencontrées dans les lésions, dans les
maladies
, suivant les espèces que l'on envisage. En pren
ouleur verdâtre, et se déchire avec la plus grande facilité. Dans les
maladies
, ses altérations ont quelque chose de spécial.
maladies, ses altérations ont quelque chose de spécial. Principales
maladies
générales dans lesquelles les altérations de la r
que nous tâcherons d'indiquer en ressortent clairement. Il est une
maladie
du cheval, fréquente, bien observée, et qui a don
discussions sans nom-bre. Diathèse typhoïde pour les uns, affection,
maladie
typhoïde pour les autres, analogue absolument à l
es autres, analogue absolument à la fièvre typhoïde de l'homme, cette
maladie
sévit plus particulièrement sur les jeunes chevau
Nous pourrions, poursuivant cette analyse, prendre encore plu-sieurs
maladies
générales, dans lesquelles l'altération du sang e
es-mêmes pour qu'il nous soit permis de conclure que, dans toutes les
maladies
générales caractérisées par une modification prof
minerons successivement les allérationstraumatiques de la rate et ses
maladies
spéciales ; nous terminerons par l'étude des tume
le que joue la lym-phangite dans les complications puerpérales et les
maladies
utérines, par le docteur Jusl Lucas Championniè
séjour dans les maternités, a été conduit à étudier spé-cialement les
maladies
puerpérales, et les recherches microscopi-ques au
e compression lente, de la méningite spinale chronique et de quelques
maladies
du cerveau et de la moelle épinière dont l'histoi
rigi-nales, M. Laycock y est revenu dans son livre bien connu sur les
Maladies
nerveuses des femmes (1840). Partout ailleurs, si
ment par la mort. Laissant de côté les cas d'anurie dépendant d'une
maladie
de Bright aiguë ou chronique, qui sont trop compl
té. Bans ces conditions : tantôt l'un des reins a été réduit, par une
maladie
anté-rieure, à une coque fibreuse remplie de kyst
t entrée à la Salpêtrière en 1869 ; nous suivons donc la marche de sa
maladie
depuis quatre ans. Quelle est sa situation actu
on rencontre quelquefois dans l'anurie qui vient compliquer certaines
maladies
, le choléra, par exemple. J'avais pensé dès l'o
assez cu-rieuses pour que nous reproduisions ce document : « Cette
maladie
est, comme on vient de le voir, un renversement t
ue voisine de son accou-chement que la malade rapporte le début de sa
maladie
, sans qu'elle puisse bien préciser, n'ayant jamai
constamment, sinon toujours, couronnée de succès? II. Grossesse et
maladies
du cœur, par Peter. (Union médi-cale, 1872. ) — P
e lui-même l'est davantage ; les accidents de la deuxième période des
maladies
du cœur sont préci-pités (troubles de l'hématose)
es à M. Guéniot, et il a montré quelle pouvait être l'action de cette
maladie
: A, sur la conception; B, sur la grossesse; C, s
cutée et clairement exposée. P. BlJDIN. PATHOLOGIE COMPARÉE Des
maladies
de la rate chez les animaux. (Suite et pin.) — II
nimale, est encore à démontrer. Dans la morve, dans le farcin, deux
maladies
de même nature, puisque l'une peut reproduire l'a
crudité. » (Cornil et Trasbot, de la Mélanose, 1868.) F. Raymond,
MALADIES
DE LA PEAU1 VI. Pemphigus déterminé par l'iodur
. Les principaux moyens cbirurgicaux à opposer au développement de la
maladie
sont : la compression digitale, les injections co
uquel il ressort clairement que la congestion pulmonaire existe comme
maladie
particulière. Enfin il y insiste de nouveau dans
ladie particulière. Enfin il y insiste de nouveau dans son Traité des
maladies
aiguës des organes respiratoires, dont M. Malherb
né-cropsie. Mais ce n'est pas une raison pour nier l'existence de la
maladie
, il y a seulement lieu d'affirmer son peu de grav
L'auteur part de là pour prétendre que la pleurodynie simple est une
maladie
très-rare et qu'elle a fait méconnaître beau-coup
étude du diagnostic différentiel de la congestion pulmonaire et des
maladies
avec les-quelles on peut la confondre. Il ne peut
colonne de mercure se fait en sens directement inverse dans les deux
maladies
. On verra, en effet, par les détails de notre o
'un foyer purulent secon-daire, localisation, facile à prévoir, d'une
maladie
générale dont la tendance à produire du pus n'est
de l'érysipèle est la partie la moins avancée de l'histoire de cette
maladie
. Quelques auteurs ont assi-milé l'érysipèle à une
re de cette maladie. Quelques auteurs ont assi-milé l'érysipèle à une
maladie
exanthématique et en ont fait une affection spont
u-cite, deux affections qui sont, pour M. Verneuil, une seule et même
maladie
. La discussion s'est ouverte sur la communicati
èche par MM. Chassaignac et Blot. Pour M. Trélat, l'éry-sipèle estime
maladie
infectieuse dont l'angioleucite est un élément; c
res éruptives, c'est que ces dernières sont, dès leur apparition, des
maladies
générales, tandis que l'éry- sipèle reste toujo
nglions ? ou l'érysipèle n'est-il, comme le prétend M. Trélat, qu'une
maladie
dont l'angioleucite est un élément? Disons d'aill
M. Villard n'a trouvé trace de cette question que dans le Traité des
maladies
des vieillards de Durand-Fardel et dans le Dictio
nt se rompre et donner lieu à une hépalite in-terstitielle. » Cette
maladie
, qui s'observe surtout chez des vieillards et plu
ômes ne sont pas assez nets pour permettre de préciser le siège de la
maladie
. Plus tard, ils ont sou-vent pris un tel développ
s l'auteur entre dans quelques détails. Comme la terminaison de cette
maladie
est constamment fatale, on comprendra que le trai
ns le numéro de février de la Revue, analysant divers travaux sur les
maladies
de la peau, nous avons résumé plusieurs faits com
très-intéressant de molluscum. 1 Pans les Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des enfants, de M. Giraldès (p. 200
ans, détaille moyenne, d'une bonne constitution, n'ayant jamais eu de
maladie
avant celle qui le décide à venir à l'hôpital. Le
les renseignements qu'il nous donne sur les débuts etda marche de la
maladie
. Rien dans sa famille qui puisse faire suppo-ser
thites assez fréquentes et les herpès qu'il signale. Le début de la
maladie
remonte à trois ans; il fut caractérisé par une p
ibreuse développée dans la paroi postérieure de l'utérus donnait à la
maladie
un caractère beaucoup plus grave que s'il se fût
consacrés à l'historique, la division, les formes, les variétés de la
maladie
, chapitres dans lesquels nous accuserons l'auteur
émises par M. Mauriac dans ses annotations des Leçons de West sur les
maladies
des femmes. « En résumé, dit M. Visca, toute cond
des hôpitaux, 1871.) III. Le permanganate de potasse dans quelques
maladies
des femmes. —Le Dr Williams, de Sprinborg, a reti
ux, à titre d'élément accessoire, sans rien changer à la nature de la
maladie
primitive. II. Voilà, messieurs, la thèse à laq
A. Dans un premier groupe, les attaques hystériques et les accès 1
Maladies
des nerfs, t. V, p. 75; - Voy. Dunant, de l'Bys
, p. 75; - Voy. Dunant, de l'Bystéro-épilépsie, p. 11. 3 Sandras,
Maladies
nerveuses, 1.1, p. 205i d'épilepsie restent dis
s d'établir dans l'es-pèce deux subdivisions. Io L'épilepsie est la
maladie
primitive ; sur elle, l'hystérie vient ensuite se
épileptique depuis l'enfance, se ma-rie à l'âge de 18 ans. Bientôt sa
maladie
, qu'elle avait dissimulée, se révèle. De là des c
parti qu'on peut tirer de ce mode d'exploration dans la clinique des
maladies
du système nerveux. Ce n'est pas, messieurs, qu
u galvano-musculaire, augmentait. Ce fait à lui seul indiquait que la
maladie
faisait des progrès ; si au contraire l'affection
essus de la moyenne, d'une constitution robuste, n'ayant jamais eu de
maladie
antérieure, entrele 8 février 1872 à l'hôpital La
geur. L'état de santé du sujet, la marche lente et le caractère de la
maladie
indiquaient clairement la nature bénigne du mal e
e. que vous que vous m'avez fait, ainsi car il faut ainsi (barré) une
maladie
sans secousse sans secousse (ces deux derniers mo
ons du savant physiologiste ne laisse rien à désirer. F. Raymond.
MALADIES
MENTALES1 V. La liberté humaine, par M. Ch. Loo
pas D... au point de l'empêcher de travailler, mais depuis un mois la
maladie
augmente sensiblement, et il ne peut plus se serv
la rate ; Hypérémie et inflammation de la rate; Ruptures de la rate;
Maladies
de la rate chez, les animaux. Après avoir indiq
ymphomes, psammomes, gliomes; eues sont rares ; kystes (Revue). VI.
Maladies
des vaisseaux de la rate : lu maladies de l'artèr
rares ; kystes (Revue). VI. Maladies des vaisseaux de la rate : lu
maladies
de l'artère splé-nique : lésions traumatiques, sp
traumatiques, spontanées (ulcérations, anévrysmes, oblitération) ; 2°
maladies
des veines de la rate. VII. Lésions traumatique
e la rate. VIII. Des opérations qui se pratiquent sur la rate : Les
maladies
qui réclament l'intervention chirurgicale sont su
s ; pour toutes deux la para-lysie est à droite. Chez la première, la
maladie
date de deux ans et demi, et ce n'est qu'au bout
en électrisant le ganglion cervical supérieur. Dans d'autres cas, la
maladie
sans s'améliorer a été enrayée et n'a plus fait l
typhoïde suivie d'acci-dents divers et d'une longue convalescence. La
maladie
aiguë date de cinq ans, et la malade est à la Sal
l'éminence thénar. Depuis qu'elle est en traitement non-seulement la
maladie
n'a plus fait de progrès, mais elle peu t faire q
n peu!, avec raison, considérer comme un fait très-heureux de voir la
maladie
s'arrêter, et se féliciter de l'amélioration, si
ard, mais qui sou-vent aussi peut être nuisible. REVUE ANALYTIQUE
MALADIES
DES FEMMES 1 VI. Péritonite mortelle a la suite
t-elle des thèses positives ? 2° Comment il convient d'envisa-ger les
maladies
; 3° De la médecine morale; 4°Exisle-l-il vraimen
r les maladies ; 3° De la médecine morale; 4°Exisle-l-il vraiment des
maladies
nerveuses ? 5° De l'origine de l'art de guérir ;
et morts; 4 vivent et sont bien portants, 1 est mort à 7 semaines de
maladie
aiguë. La grossesse relative à notre malade n'a
tracté dans le département de l'Aisne, où elle avait été emmenée, une
maladie
intestinale qui a été grave. A partir de ce momen
ans doute, il est fréquent d'observer la parotidite dans le cours des
maladies
graves, des cachexies, et il n'est pas rare non p
janvier, dans le ser-vice de M. Demàrquay, pour y être soignée d'une
maladie
de l'utérus, — Cette jeune femme a été bien porta
ans le mal vertébral, la lésion osseuse est le point de dé-part de la
maladie
, c'e^t la lésion nerveuse qui en constitue le tab
malades qui ont guéri par ce procédé. Gombadlt . Thérapeutique des
maladies
de l'appareil urinaire, par le docteur F. Mallez
ous les médicaments qu'on a em-ployés ou qu'on peut employer dans les
maladies
des voies uri-naires. Ce livre est écrit dans les
ils énu-mèrent toute espèce de narcotiques qui sont employés dans les
maladies
des voies urinaires exactement comme dans les aut
ans les maladies des voies urinaires exactement comme dans les autres
maladies
, on trouve à peine une discussion sur l'emploi du
leaux synop tiques indiquant le traitement à opposer à la plupart des
maladies
des voies urinaires. Ces tableaux et un petit for
s que le livre tout entier. A. Malherbe. De la malignité dans les
maladies
, par J. V. Laborde, br. in-8 de 104 pages. Germer
de 104 pages. Germer-Baillière, lib. édit. De la malignité dans les
maladies
!! exisle-t-il donc vraiment dans le domaine des m
ité dans les maladies!! exisle-t-il donc vraiment dans le domaine des
maladies
quelque chose d'occulte, un esprit malin, qui, in
prit malin, qui, intervenant on ne sait pourquoi dans le cours de ces
maladies
, leur donne un caractère particulièrement dangere
de cette situation de grands chagrins, mais ne fut atteinte d'aucune
maladie
. Elle accoucha le 10 février 1872. Bien que nous
hement spontané, il peut arriver aussi que, sous l'influence de celte
maladie
, le bassin soit agrandi dans ses diamètres, bien
centim., mais c'est plutôt par l'ensemble que l'on juge du degré delà
maladie
. Ainsi, nous fûmes frappé de sa démarche, de sa t
es et très-longues ne présentaient aucune des traces ordinaires de la
maladie
; la face était vullueuse, violacée même, la respi
e. A 6 ans, elle fit une chute dans une mare. Un an après commença la
maladie
qui a donné lieu aux défor-mations des os. Victoi
orps. Pas d'albumine dans l'urine, malgré l'infiltration. Depuis la
maladie
dont nous avons parlé, maladie qui fut le point d
ne, malgré l'infiltration. Depuis la maladie dont nous avons parlé,
maladie
qui fut le point de départ des difformités actuel
eaux de Salies de Béarn. Les bienfaits qu'elles procurent dans cette
maladie
sont le résultat de l'absorption des bromures et
ec succès par les eaux de Salies de Réarn; sur ce nombre, il y a deux
maladies
d'Addison : l'une a guéri par-faitement; chez l'a
puis cette époque que s'obser-vent les plus fortes épidémies de cette
maladie
, qui exerce ses ravages en Allemagne, en Angleter
cord avec M. Sée, vante l'emploi de l'ergotine dans le traitement des
maladies
de cœur, alors que l'on veut obtenir une sédation
ine, 84. — Répression de Y—, par G. Bergeron, 514. Aliénation [voy.
Maladies
mentales). Anatômie (Revue d'), par F. Raymond,
mal de Pott, par Michaud (Anal. Gombault), 576. — Thérapeu-tique des
maladies
de l'appareil uri-naire, par Mallez et Delpech (A
Mallez et Delpech (Anal. A. Malherbe), 581.—De la malignité dans les
maladies
, par Laborde (Anal. G. Peltier), 583. — Essai sur
térieure du fémur, par L. Labbé etUrdy, 129. CilORÉE, 12, Cœur (
Maladies
du) et grossesse, 195. Col de l'utérus (voy. Ut
n du nerf cubital, par Duret, 71, 146. G ripât, 586. Grossesse et
maladies
du cœur, par Pe-ter (Anal. P. Budin), 195. — (voy
z, 260. m Macroglos^ie, par C. Arnstein (Au. L, E. Pupuy), 343.
Maladies
mentales (Revue des) , par E. Teinturier, 82, 312
. Pathologie comparée (Revue de), par F. Raymond, 152, 19U. Peau (
Maladies
de la), revue par Bour-neville, 57. 201. Peltie
vaginal, par Yer-neuil, 541. Permanganate de potasse dans quelques
maladies
des femmes, par Williams, 209. Petit (Ch.-H.),
éra-ture dans les cas qui guérissent, par Bourneville, 297. r Rate (
Maladie
de la) chez les animaux, revue par F. Raymond, 15
NEUROLOGIE ARCHIVES DE 1 NEUROLOGIE HEVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NEHVEUSES ET MENTALES F 0 N D I" par J.-M. C Il
I.A DIIIEC'IION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine tle Paris.
; , . 1 . , ' l'AR ¡ . A. JOFFROY, Professeur de clinique des
maladies
mentales. ET T Et. RAISAUD, ¡ Chef du lab
Chef du laboratoire d'analomic \ ' pathologique à la clinique des
maladies
* mentales. La question des rapports de la pa
istence, et s'était surtout efforcé de faire de l'une et de l'autre
maladies
une entité morbide ' Congrès des aliénistes. To
n. Il avait, pensait-il, réuni cinq exemples d'association des deux
maladies
, association qui ne lui paraissait pas très rar
iennent compliquer l'ataxie locomotrice, éclatent au début de cette
maladie
et qu'ils font pour ainsi dire partie de la pér
s circonspect pour résoudre la question de l'influence que les deux
maladies
ont sur la marche l'une de l'autre, il ne croit
ait beaucoup à l'ataxie locomotrice ». Dans d'autres cas les deux
maladies
suivraient leur marche parallèlement. Quoi qu'i
lysie générale, il n'hésite pas à conclure à l'association des deux
maladies
. t Baillarger. De la paralysie générale dans se
chez un malade atteint d'une affection locale du cerveau, ou d'une
maladie
de la moelle, qu'il faut être plus réservé pour
c. Je me bornerai à rappeler ici, pour ce qui a trait seulement aux
maladies
de la moelle, l'observation si curieuse publiée
d'une autre interprétation que celle de l'associa- tion de ces deux
maladies
. Certes, il ne'faudrait pas nier cette associat
clriïrtnie. juin 1S9S. 6 ' CLINIQUE MENTALE. Evolution de la
maladie
. Le 24 octobre 1894, on nous amène ce jeune hom
e s'imposer lorsqu'une aggravation très rapide de la marche de la
maladie
nous permit de trouver à l'autopsie sa confirmati
e locomotrice progressive. Du reste, à aucune autre période de la
maladie
, les troubles paraplégiques n'ont permis de s'ar-
persistaient. Pour aller jusqu'au bout, nous pourrions dire que la
maladie
d'un neurone n'est 20 CLINIQUE MENTALE. pas
: « une de ses voisines est malade, c'est elle qui est cause de sa
maladie
. 'Elle demande ce qui va en advenir puisque cet
rtains faits qui s'étaient passés pendant la période J'acuité de la
maladie
. Mais elle est déprimée encore, a des idées d'i
ond convenablement aux questions posées sur son âge, sa famille, sa
maladie
, etc... On note de nouveau les jours suivants (
ir le téta- NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 35 nos ; c'est une
maladie
où la transpiration ne se fait plus, les os se
le maire prévienne leurs parents et les enterre. Pourtant c'est une
maladie
dont on ne peut pas mourir, mais dont on ne peu
s. En dernier lieu il faut remarquer le mode de terminaison de la
maladie
; le revirement subit des idées de la malade, en
il convient d'attribuer un idle important l'hérédité, la base de la
maladie
étant une dégénérescence, qui à vrai dire peut
op d'importance, mais ne pas perdre de vue la nature endogène de la
maladie
. Il faut cependant admettre que le surmenage qu
yaux du moteur oculaire commun ». R. C. XIII. Goitre exophtalmique.
Maladie
DE 13 : 1SEDGN; par M..le profes- seur Potain.
rtout jouerait un rôle important dans lagenèse de ces cas subits de
maladie
de Base- dow. L'attitude, la physionomie, la ma
s animaux, de laquelle il résulte que les lésions centrales dans la
maladie
de Basedow doivent porter sur le centre bulbair
une cause morale. La tuméfaction thyroïdienne, conséquence de la
maladie
de Basedow, peut aussi la provoquer. Certains fai
it pouvait avoir provo- qué l'apparition des autres symptômes. La
maladie
ne doit pas être attribuée aux accidents cardiaqu
été peu appelée sur les hémor- rhagies survenant au cours de cette
maladie
. Les observations ap- portées par l'auteur se r
cirrhose hypertrophique graisseuse et ayant présenté à la fin de sa
maladie
une névrite des membres inférieurs et supérieur
ombaire; deux ans plus tard, apparition des premiers troubles de la
maladie
, qui se déroulent pendant trente ans et se term
e fréquence ont une réelle valeur thérapeutique, notamment dans les
maladies
de la peau et les maladies par ralentissement d
valeur thérapeutique, notamment dans les maladies de la peau et les
maladies
par ralentissement de la nutrition, de nouvelle
tes pour en fixer défini- tivement les applications. G. D. II. La
maladie
DE TjIOMSEN ET son traitement; par BETCBEREW (T
TCBEREW (Térup. Wochens., nOs 21-22, 1897, Wien.) La myolonie, ou
maladie
de Thomsen, a toujours été considérée comme éch
tion double du SY1P.IllIQLE cervical pour un cas de forme fruste DE
maladie
de 13ASEIJOW; par MM. CERKEZ et E. Ju- VARA. (P
'une jeuue fille de vingt et un ans, atteinte d'une forme fruste de
maladie
de Basedow, caractérisée par un goitre très gro
ont été améliorés suivant la presque totalité des symptômes de leur
maladie
; 15 ont été améliorés d'une facon partielle; 10
succès chez les deux autres ma- lades indisciplinés. il. C. XVIII
Maladie
DE Basedow datant de huit MOIS, traitée par L.1 T
nes paraissent en réalité être la conséquence et non la cause de la
maladie
de Basedow. (Revue neurologique, novembre 1897.
n faveur de l'une ou l'autre. Il pense que le début habituel de la.
maladie
par des troubles psychiques, est de nature à fa
assant ensuite de cette cause au mécanisme par lequel elles fait la
maladie
, ils pénétrent pour chaque cas sa pathogénie; p
la cérébralité, elles ne constituent pas des causes de fonds de la
maladie
, mais elles localisent, du côté du cer- veau, l
e dégénération cellulaire, et, par suite, le tableau clinique de la
maladie
reste le même dans son fond.» S'il s'agit des c
énérales. Le premier groupe est constitué parla paralysie générale,
maladie
locale, les trois autres groupes sont des malad
ralysie générale, maladie locale, les trois autres groupes sont des
maladies
localisées et comprennent la paralysie générale
n postérieur à des' degrés divers, selon la forme et la durée de la
maladie
. L'un et l'autre de ces cordons sont atteints s
toujours et à un degré d'autant plus accusé que l'évo- lution de la
maladie
a été plus longue. Hâtons-nous d'ajouter que le
bstance blanche se retrouvent dans les scléroses combinées, dans la
maladie
de Friedreich, dans le tabès, sans compter cert
nées, en Italie, des lésions médullaires qui s'observent dans cette
maladie
. Belmondo2, qui en a étudié 20 cas, au point de
ne se rencontrent pas seulement dans les intoxications et quelques
maladies
connues de la moelle. Nous les avons retrouvées
n d'agents toxiques ? La question des auto-intoxications dans les
maladies
mentales n'est point assez avancée pour nous pe
la paralysie générale soient banales, communes à un grand nombre de
maladies
bien différentes, et que la clinique ne saurait
aissance ? Nullement. Si elles ne sont pas carac- téristiques de la
maladie
, pas plus que les autres lésions ~~ anatomiques
, et, dans le même cas, à différentes périodes de l'évolution de la
maladie
. Le réflexe rotulien est tantôt exagéré, tantôt
sibilité chez un paralytique général. A une période avancée de la
maladie
, cette recherche est, pour ainsi dire, impos- s
vritiques seront intéressants à observer. C'est à cette phase de la
maladie
qu'ils pourront l'être le plus efficacement. Il
certain que les paralyti- ques, peu de temps après le début de leur
maladie
, présentent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE
la paralysie générale ne sont pas absolument caractéristiques de la
maladie
; elles méritent cependant de prendre rang à côt
endre rang à côté des meilleurs signes ana- tomopathologiques de la
maladie
. De leur connaissance, la clinique peut tirer q
de bien observer. Ils aideront à faire un diagnostic précoce de la
maladie
. Et qui sait si, de ce diagnostic précoce, ne p
ux cas de manie qui paraissent avoir été nettement améliorés par la
maladie
intercurrente. Plusieurs aliénistes ont observé
nte. Plusieurs aliénistes ont observé à la fois et la fréquence des
maladies
incidentes dans la manie et l'amélioration cons
de fièvre typhoïde. La malade continue à rire à propos de tout. La
maladie
inci- dente guérit, Mye B... se lève au mois d'
leurs important de connaître le lieu de causalité grâce auquel la
maladie
somatique modifie la maladie mentale. Enfin il ne
pondant. Elle est absolument indépendante de l'état de santé ou de
maladie
de toutes les parties de l'appareil nervo-muscula
ère du malade et enfin à l'hypnotisme. G. D. XXXIV. UN cas ISOLÉ DE
maladie
de Friedreich ; par le Dr BERDEZ. (Itev. méd. d
d'un enfant de quatorze ans qui présentait tous les symptômes de la
maladie
de Friedreich (ataxie des membres infé- rieurs
auteur fait remarquer à ce propos que sur près de deux cents cas de
maladie
de Friedrich qui ont été observés et publiés, il
tant, ne serait donc pas nécessaire pour affirmer l'existence de la
maladie
. G. D. XXXV. PATHOGÉNIE ET prophylaxie DE l'atr
ent en revue les diverses théo- ries émises sur la pathogénie de la
maladie
de Graves : le coeur, le nerf sympathique, la m
nsidère pas la lésion de la glande thyroïde comme primitive dans la
maladie
de Graves. La théorie attribuant les symptômes
rmale, malheureusement son action normale n'est pas connue. Cette
maladie
doit avoir une origine partie nerveuse, partie
AM- soN. (Brit. med.Jollrn"nov. 1896.) L'étude du pronostic de la
maladie
de Grave est de la plus haute importance, au mo
mie, ligature des artères thyroï- diennes, etc.). La marche de la
maladie
est mal connue, les malades restant peu de temp
eure, indépen- damment de toute action toxique, n'ayant subi aucune
maladie
cérébrospinale, présente du trouble de la démar
es de la première, il y avait REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 133
maladie
d'Addison. On trouva une dégénérescence des racin
iques tient plus vraisemblablement à une régénération des nerfs (la
maladie
date d'un an et demi). Absence de tout trouble de
malades. Chez six d'entre eux, atteints de sciatique opiniâtre, la
maladie
avait résisté aux moyens réputés les plus actif
ssin. S'il y a, en sus, tuberculose ou syphilis, il faut traiter la
maladie
sous-jacente. Les maladies constitutionnelles,
berculose ou syphilis, il faut traiter la maladie sous-jacente. Les
maladies
constitutionnelles, les névroses graves ou l'hé
s de guérison étaient les plus grandes; ensuite, l'assimilation des
maladies
mentales aux autres maladies et leur traitement
s grandes; ensuite, l'assimilation des maladies mentales aux autres
maladies
et leur traitement dans le même établissement c
clinique externe est des plus grandes : là, en effet, il verra des
maladies
au début souvent difficiles il diagnos- tiquer
la pratique générale, tandis que dans les asiles il ne voit que des
maladies
bien caractérisées arrivées à leur période d'ét
sympathique cervical, une fois coupé, va se souder et reproduire la
maladie
de Basedow. , Les procédés de destruction du sy
à l'âge de quarante-six ans, à la suite d'une longue et douloureuse
maladie
. C'était un médecin distingué qui, par son caract
jections lumineuses; par le U'' Brissaud, de Paris. Forme fruste de
maladie
de Parkinson; par le Dr LafforLie, médecin aide-
S EXCAVATIONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. (Clinique des
maladies
nerveuses ci la faculté de Moscou.) Il est indi
extrême rareté. P... (Anne), quatorze ans, entrée à la clinique des
maladies
ner- veuses le 18 janvier 1896. Pas de tare h
Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162 CLINIQUE NERVEUSE. qu'à la
maladie
actuelle, elle a joui d'une santé parfaite. Elle
ent. Le 18 de ce mois, la malade est transférée à la clinique des
maladies
nerveuses. Etat du 18 janvier 189G. Fillette de
s les deux premiers le tableau clinique était 1 olivier, Traité des
maladies
de la moelle épinière. Paris, lS3î, v. II, p. 4
légie supérieure et bientôt après une inférieure; l'évolution de la
maladie
était analogue dans notre observation, seulemen
tés presque in- surmontables dans notre observation. Au début de la
maladie
on supposa une spondylite, mais un examen minut
exercice, qui déjà trouvent, auprès du professeur de cli- nique des
maladies
mentales, un enseignement qui jadis nous manqua
'hérédité comme cause prédisposante, que le motif déterminant de la
maladie
est l'opé- ration chirurgicale agissant par l'a
s chez les hommes se sont déclarés chez des alcooliques. Toutes les
maladies
d'ordre toxique affectent le système nerveux, c
de la paralysie générale. A l'autopsie, lésions classiques de cette
maladie
. M. Joffroy se demande quelle est ici la cause
deur sont alors considérés, à tort comme relevant directement de la
maladie
nouvelle, alors qu'ils lui préexistaient. En te
écorce. Dès lors, la sclérose latérale amyo- trophique devenait une
maladie
systématique cérébro-spinale, et l'on ne tarda
lésion en foyer, etc., ou des nerfs); 8° troubles mentaux dans les
maladies
autres que celles du sys- tème nerveux; 9° trou
langue, de nature à faire penser à une intoxication alcoolique, une
maladie
des centres nerveux ou des nerfs, d'autres mala
alcoolique, une maladie des centres nerveux ou des nerfs, d'autres
maladies
, telles que la syphilis, etc. ; en un mot, reco
Ebing, à côté de la folie transitoire causée par une névrose ou une
maladie
céré- brale, décrit une manie ou un délire tran
ditaire de l'épilepsie, des intoxications et de tout traumatisme ou
maladie
appréciable; - - 3° Les délires transitoires,
influence exercée sur l'homme par l'hérédité, le milieu social, les
maladies
, etc., ils sont naturellement enclins à plaider
nu tardivement, à la place du rapport désigné à Toulouse. Parmi les
maladies
infectieuses qui déterminent des lésions arté-
m vasculaire et la mince couche sous-endothéliale. D'ailleurs ces
maladies
infectieuses sont aussi capables de se localiser
llulaires dans les tuniques artérielles. On peut en dire autant des
maladies
infectieuses qui agissent à distance par leur t
ssent à distance par leur toxine sur le système nerveux. Dans les
maladies
propres au système nerveux, dans lesquelles les
s de cellules vis-à-vis de la cause pathogène ; la durée même de la
maladie
aceentue ces différences, si bien que les proce
sions simultanées du téléneurone et de l'archi-neu- rone sensibles (
maladie
de Friedreich, tabes endogène). Les dégé- néres
rattaché aux lésions cardiaques, cause de l'angor pectoris, ou à la
maladie
de Parkinson, affection pseudo-1>ulbaire d'a
ntré, de régression de la personnalité jusqu'à l'âge du début de la
maladie
. Au bout de cinq mois, la malade était en état
es accidents n'ont pas reparu. En dehors de la longue durée de la
maladie
, cette observation est intéressante en ce qu'el
e, ne cesse de demander qu'on donne plus d'importance à l'étude des
maladies
mentales. Dans la même séance, M. IVIEIGE a fai
decin de lui avoir mis des vipères dans le ventre, etc. Un cas de
maladie
de Liltlc. M. Poix (du Mans) rapporte l'observa
ne saillie de la région occipitale. Cette observation montre que la
maladie
de Little peut être due seulement à un accouche-
tion mentale aug- mente ; qu'au bout de quelques années, lorsque la
maladie
ne présente plus de chances de guérison, elles
Panama) D'après Zambaco Pacha, la syringomyélie et sa variété la
maladie
de Morvan ne constitueraient pas une entité morbi
jour en neuropathologie ; et il la combat en éta- blissant que les
maladies
infectieuses ne dégénèrent pas et que l'on ne c
ladies infectieuses ne dégénèrent pas et que l'on ne connaît aucune
maladie
qui, dans le cours des siècles, ait perdu sa sp
de la ma- ladie, il y aurait en Norvège la lèpre fruste, car cette
maladie
est aussi ancienne ici qu'autre part, parce qu'
dans sa dévastation les lésions qui caractérisent aujourd'hui cette
maladie
. Atrophie. Celle-ci ayant commencé par le membr
le diagnostic différentiel ne sera discuté qu'entre cette dernière
maladie
, la pachyméningite cervicale hyper- trophique e
s cas entreraient dans le cadre de la syringomyélie, Leçons sur les
maladies
nerveuses. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINI
a sensibilité ne constitue pas un symptôme pathognomonique de cette
maladie
. Quant à la lèpre anesthésique, il y a trois po
jusqu'à présent aucune mani- festation cutanée dans le cours de la
maladie
. Etant donné ce manque d'éruption et vu l'absen
tons succinctement. Femme âgée de cinquante-huit ans. Multipare. La
maladie
a commencé il y a trente-huit ans, deux mois ap
esia) ». 284 CLINIQUE NERVEUSE. du complexe symptomatique de la
maladie
; lorsque ces dé- viations existent d'une façon
de la syringomyélie. Il est connu que cette cause, de même que les
maladies
infec- tieuses, peut déterminer chez les enfant
es occasion- nelles qu'on invoque souvent dans l'étiologie de cette
maladie
, il est naturel de supposer que l'asphyxie a dû
le de reproduire ici, se comprend mieux si on se rappelle que cette
maladie
apparaît presque toujours dans la jeunesse, et
e fa- milial et d'hérédité homologue qu'affecte quelquefois cette
maladie
'. ' Ferranini. \'eteleo nosologico délia sirin
e diverses personnes au sujet de la nature et du pronostic de cette
maladie
; les renseignements qu'elle obtient l'impressi
oie d'évolution. La cause de laquelle relève la production de cette
maladie
, à l'âoe adulte, chez cette femme, n'a pu être
plir régulière- ment ; à aucun moment on n'a constaté de fièvre. La
maladie
a évolué en inât jours environ. A l'autopsie,
nique de celte affection a été, d'une façon géné- rale, celui de la
maladie
de Landry; cependant il a présenté quel- ques p
. G. D. 294 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -LXI. UN cas DE
maladie
DE CHAMOT ; par les D" DE Buck et L. DE- moon.
oint devue anatomo-palhologique, on est en droit de con- sidérer la
maladie
de Duchenne et celle de Charcot comme de simple
héréditaire de l'affection. A. Marie. LXVI. Notes cliniques SUR la
maladie
D'rDDISON; par B. BrAU- WELL. (British médical
formes d'imbécillité qu'on observe chez les enfants. Parfois une
maladie
organique quelconque est capable par la dé- bil
zons, mais n'a encore rien fondé qui permette le diagnostic sûr des
maladies
nerveuses. P. KEKAVAL. XIV. La théorie DE RONCO
n a pu croire que les troubles mentaux sont plus fréquents dans les
maladies
chirurgicales des organes génitaux, c'est moins
qui en dérive a les caractères des psycho- ses traumatiques ou des
maladies
mentales produites par l'épui- sement ; 2° en p
ourraient être constatés de deux à six ans avant l'apparition de la
maladie
. Dans tous les cas où l'on trouve ces symptômes
ue, un de ces accès de palpitations cardiaques si fréquents dans la
maladie
de Beard. Ces désordres cardio-vascu- laires re
paralysie générale. M. Péon. - Il existe fréquemment entre ces deux
maladies
des rapports incontestables qui se montrent pen
ents survenus dans le cours de l'épilepsie. c) Parfois encore cette
maladie
s'ac- compagne d'inégalité pupillaire et souven
ent les symptômes psychiques ordi- naires à la première de ces deux
maladies
. Aussi avons-nous été longtemps dans l'incertit
ouvrier en cuivre, marié, âgé de trente-sept ans, doué ' Calmeil. -
Maladies
inflammatoires du cerveau. , Parchappe. Traité
em- blance plus ou moins accusée des lésions anatomiques des deux
maladies
, dans l'encéphale et ses membranes. Nous laissero
, 11 et 12). b) Toutes les formes délirantes et la démence de cette
maladie
. C'est ainsi que nous trouvons : L'excitation
des facteurs accidentels capables d'activer le développement de la
maladie
. Discussion.- MM. 111OORATOw et KojEWKiKow pens
t du plus haut intérêt. Lorsque fut créée la chaire de Clinique des
maladies
du système nerveux en 1882, Richer était tout d
ommés par acclamation : 111111. Pierret, professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de Lyon, médecin en chef
isien du 30 août. C'est ce qu'on aurait dû faire dès le début de la
maladie
..., ce que ne consentent pus il faire les préfets
on. I. Le rôle de l'insuffisance hépatique dans l'étiologie des
maladies
mentales n'a jamais été entièrement méconnu, mais
ôle de l'auto-intoxication d'origine hépatique dans l'étiologie des
maladies
mentales en géné- ral et de la folie des alcool
isance hépatique une influence réelle dans la genèse de cer- taines
maladies
mentales 1. Toutefois, dans beaucoup de cas, no
on hépatique 2 ». ' Klippel. - De l'insuffisance hépatique dans les
maladies
mentales. De la folie hépatique (Archives gén.
térioration du foie est l'alcool ; aussi est-ce dans les ' Charrin.
Maladies
du foie et folie (Société de biologie, 30 juil-
ingt- six ans. Pas d'aliénés dans la famille. Il n'a jamais fait de
maladie
sérieuse, n'a subi aucun traumatisme crânien et
nolence qu'il a accusé avec persistance pendant tout le cours de sa
maladie
. Un des phénomènes nerveux les plus fréquents p
au lieu de la tenir pour un progrès réel dans la séméiologie des
maladies
mentales ? ' ? Le rêve à demi-conscient du buve
délire qui survient après abstinence chez un alcoolique en état de
maladie
aiguë diffère du véri- table délire alcoolique
SME ET PSYCHOSES. 369 , droit de songer à l'intervention de cette
maladie
. Les crises à forme léthargique, en particulier
ancien, mais d'aspect florissant et n'ayant jamais fait de graves
maladies
. Son père a été aliéné, mais a guéri ; cependant
n'a pas la tête solide. Un oncle paternel ivrogne. Le début de la
maladie
actuelle remonte à 1877 et paraît avoir coïncid
logique, aux lésions et aux troubles fonctionnels du- foie dans les
maladies
mentales. Dans la majorité des cas, le trouble
a rien de spécifique et se confond avec les délires consécutifs aux
maladies
infectieuses et aux auto-intoxications. L'int
. Cette méthode consiste à dresser un tableau symptomatique de la
maladie
et à avoir la patience et la constance de recherc
lytiques, suivis de cette façon, depuis la première période de la
maladie
jusqu'à la troisième, jusqu'à la mort par marasme
ur établir qu'à cette phase prodromique, tout à fait au début de la
maladie
, existait une anesthésie presque complète qui d
eux malheu- reusement apporter sur ce point aucune donnée, car la
maladie
est toujours à une phase avancée quand les malade
sure de fournir que des renseignements sur les trois périodes de la
maladie
confirmée. M. Auguste Voisin, avons-nous dit, e
de M. Dagonet dans la nouvelle et récente édition de son Traité des
maladies
mentales ? A cette ques- tion il répond que ces
aussi celle de Linas qui trouve digne de remarquer que dans cette
maladie
, laquelle atteint si gravement les fonctions musc
ace cutanée, mais la sensibilité tactile pour lui s'émousse avec la
maladie
confirmée et devient nulle ou presque nulle à l
e en Angleterre. - « La sensibilité, lisons-nous dans le Traité des
maladies
mentales de Schule, est toujours atteinte. Elle
ique mais les troubles de la sensibilité augmentent à mesure que la
maladie
se développe. Quelquefois on voit apparaître de
biltié jouent un rôle insignifiant. Dans les stades avan- cés de la
maladie
la sensibilité est diminuée ; cependant un exam
ivie sur un grand nombre de malades du début à la terminaison de la
maladie
. Les troubles du tact semblent avoir été observ
le période, tantôt- sur un autre à telle ou telle autre phase de la
maladie
. Les auteurs que nous avons cités et dont les t
; enfin, si les altérations du tact varient avec l'étiologie de la
maladie
, tous détails intéressants que fournit seule la
actile poursuivie chez les mêmes malades durant tout le cours de la
maladie
. Parmi les auteurs que nous avons cités plusieu
ques il n'en est que 42 qui aient par- couru les trois phases de la
maladie
, les autres ayant succombé au nombre de 30 à la
t : LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 387 progrès de la
maladie
. De rares à la première période, une fois moins
é des constatations à la phase extrême. Nous ajouterons que plus la
maladie
progresse, plus les recherches deviennent diffi
ies également chez les mêmes sujets durant les trois périodes de la
maladie
, cette assertion de M. Briand que les altératio
oissantes : amé- lioration progressive. " R. C. LXXX1X. UN cas DE
maladie
DE FRIEDRE1CH .1 début tardif : autopsie; par L
lerait bien infirmer l'hypothèse de Hammond Sénator qui attribue la
maladie
de F..., à l'atrophie primitive du cervelet et
de cette affection, l'auteur publie un cas de chorée électrique ou
maladie
de Dubini, avec autopsie et recher- ches bactér
1898.) E. B. ACII. Lésions DES CELLULES DE la moelle dans UN cas DE
maladie
DE Parkinson ; par les Drs Ballet et FAURE. O
gnore encore le siège et la nature des lésions qui déter- minent la
maladie
de Parkinson. Les auteurs ont trouvé dans les c
ideur et de l'exagération du tonus musculaire qu'on observe dans la
maladie
de Parkinson. (Revue neurologique, février 1898
il le pensait, et comme on le croit trop généralement encore, une
maladie
: l'atrophie musculaire progressive de l'adulte.
ndrome se rencontre avec une fréquence relativement grande dans les
maladies
nerveuses héréditaires ou familiales et dans la
nde majorité des cas unis à des manifestations morbides autres. Les
maladies
nerveuses héréditaires ou fami- liales se rappr
i- liales se rapprochent plus ou moins des tableaux cliniques des
maladies
nerveuses communes, mais sont beaucoup plus compl
ons, des intoxications, des apoplexies, des myélites, du tabes, des
maladies
infectieuses. P. Keraval. XXXVIII. Douze cas
ues semaines; dans deux cas seulement les malades, effrayés par une
maladie
intercurrente ef craignant son passage à l'état
e doivent tirer leur indication d'opportunité que de la gravité des
maladies
des organes sexuels à enlever, indé- pendamment
générale, les lésions de la thyroïde dans un grand nombre de cas de
maladies
mentales ne peuvent pas être considé- rées comm
e guérison réelle. Dans cas de morphinomanie non héréditaire, si la
maladie
qui a provoqué l'emploi de la morphine est guér
ais la durée du traitement doit être au moins de six mois. Quand la
maladie
est arrivée à affaiblir l'intelligence, le seul
sera donné qu'en cas de légère anxiété. Si, traitée de la sorte, la
maladie
parait tourner à l'état chronique, alors s'impo
nnaissances qui ne doivent pas lui servir seulement à soi- gner les
maladies
intercurrentes chez ses malades, mais encore à
maladies intercurrentes chez ses malades, mais encore à étudier les
maladies
au point de vue de leurs rapports avec la folie,
doit être un bon hygiéniste et surtout avoir grande expérience des
maladies
nerveuses et mentales. Dans beaucoup de prisons
pratique générale de la médecine, et dans des services spéciaux de
maladies
nerveuses et d'aliénation mentale. Le médecin d
ourrait agir comme moyen préventif pour empêcher l'éclo- sion de la
maladie
. Les sociétés de patronage interviendront auprè
, après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les
maladies
mentales : un seul malade. -IL sera accordé vin
pour l'épreuve elini- 4W BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. que sur les
maladies
mentales, à un seul malade, 20 points ; pour la
lieu médecin en chef de l'asile d'aliénés de Bordeaux, lorsque la,
maladie
délire de persécution le força de quitter le se
mie et l'histologie pathologiques du cas. L'histoire clinique de la
maladie
en rapport avec la topographie des lésions cons
ce qu'on a appelé l'encéphalite parenchymateuse observée après les
maladies
infectieuses. Gluge parlait déjà d'altérations
ons de la substance chroma- tophile des cellules nerveuses dans les
maladies
infectieuses et les'intoxications. Mais le phén
important à signaler, c'est l'étiologie, l'histoire clinique de ces
maladies
qui fait l'objet presque constant des discussions
obel tson (l'rovizzce médicale, mai 1898). Brissaud (Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1895) avant nous avait déjà placé dans
et des erreurs. Ce n'est que depuis trente-cinq ans que l'étude des
maladies
appelées psychiques entra dans une voie positiv
bien d'accord avec les effets observés chez des malades atteints de
maladie
de ces mêmes régions. Une aulre preuve du chang
de chaque cas de la même façon que le médecin d'hô- pital suit les
maladies
ordinaires. Le psychiatre ne se contente plus d
, en s'en rapportant aux paroles du clairvoyant Griesinger, que les
maladies
du système nerveux forment un tout inséparable
nt un tout inséparable dont les affections désignées sous le nom de
maladies
mentales ne forment seulement qu'une bien minim
traiterait bientôt la folie comme il soigne chaque jour les autres
maladies
et nous pouvons alors prévoir sans crainte de n
, dans l'immense majorité des cas, de facteurs provocateurs de la
maladie
produite par la prédisposition pathologique; il y
oient pas aussi marqués que dans l'enfance et la jeu- nesse ; Ho la
maladie
se complique fréquemment d'insomnie, de sensati
té du système nerveux ; 12° la marche et le mode d'apparition de la
maladie
ne se distinguent en rien de l'épilepsie idiopa
nque, toujours existante et souvent combinée à d'autres, pioduit la
maladie
. Les émotions morales semblent être les causes
talepsie, ce qui ne se présenta pas la seconde. La première fois la
maladie
dura considérablement plus longtemps et fut bie
ique microscopique, l'auteur estime que dans les cas concernant des
maladies
infectieuses la méthode formol-méthylène, qu'il
rrénales, particulièrement dans ses rapports avec l'étiologie de la
maladie
. d'Addison, la ques- tion est loin d'être résol
litative du sang. Faut-il, pour ce qui regarde l'étiologie de la
maladie
d' ldrlison, proclamer, sur la foi des résultat
héorie nerveuse; la première plaçant à la base de l'étiologie de la
maladie
la lésion capsulaire, cause immédiate de l'auto-i
ar 0. Kaiser. (Il7ettt·olog. Centralbl., XVI, 1897.) La myotonie ou
maladie
de Thomsen (phénomène d'arrêt du mouvement avec
.) J.-B. Baillère et F., Paris, 1898. La neurasthénie n'est pas une
maladie
, mais le nom donné à une réunion d'états qu'il
de l'hémiplégie par l'électricité », « Contribution à l'étude de la
maladie
de Thomsen », a Contribution à l'étude des réfiex
e ses empoisonneurs. B. Action de l'alcoolisme SUR H PRODUCTION DES
maladies
nerveuses. , 1.773 enfants idiots, épileptiques
, a voulu moins créer un journal ou une revue spéciale traitant des
maladies
ner- veuses et mentales qu'offrir dans ses colo
e de la -, par Pribytkoll'etlvanoff, 342. Goitre exophtalmique.
Maladie
de Basedow, par Potam, 48. Patho- génie du -,
-, par Londe, 405. i·In.ame D'elLmssov : , par Bramwell, 298.
Maladie
de Basedow, traitée par la thyroidectomie parti
dow, traitée par la thyroidectomie partielle, par Sou- paît.64.
Maladie
de C,11%ECOT, par de BllCk et de Moor, 294. M
paît.64. Maladie de C,11%ECOT, par de BllCk et de Moor, 294.
Maladie
DE Fmenrssrcn. Un cas de- par Berdez, 121. à dé
ar Bonnus, 402. MAL1DIC DE Lill LE. Un cas de -, par Poix, 259.
maladie
de Pyrkinson. Lésions des cellules de la moelle
ympathique. Extirpation double du cervical pour un cas funeste de
maladie
de liasedow, par Cercliez 1 et Juvara, 37. Hist
E NEUROLOGIE AHCH1VËS DE NEUROLOGIE KEVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondéiî PAR J.-îll. CHAtt
I.A D111KC11ON ne niat. A. JOFFROY Fiofes·eur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de Paris.
le clinique (Sle-anuc). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux a l.i Faculté de médecine
ne plus être en état de faire quoi que ce soit. Le début de cette
maladie
, et surtout la ;mélancolie simple, s'observent pl
, viscérales, organiques qui prédominent ; les malades ont peur des
maladies
: exemples, syphiliophobie, phobie, des intoxic
rce, étant donné que cette phase déli- rante peut se modifier et la
maladie
changer favorablement son caractère et la guéri
oelle cervicale. L'examen bactériologique a permis d'établir que la
maladie
avait été produite par le pneumo- coque. Cette
rd'hui, mais non encore définitivement établie, d'après laquelle la
maladie
de Landry serait une poliomyélite suraiguë que
l'auteur, dans un cas qu'il rapporte, de prévoir l'évolution de la
maladie
. Il s'agis- sait d'un homme atteint de paralysi
méningite cérébro-spinale observés au cours d'une même épidémie. La
maladie
a revêtu, tantôt la forme comateuse, tantôt la
tion au membre sain ou malade. A. Fenayrou. VII. Rapports entre la
maladie
du sommeil et le myxoedème ; par M. Briquet (d'
res). {Presse médicale, 7 septembre 1898.) La symptomatologie de la
maladie
du sommeil et celle du myxoedème présentent de
muns à ces deux affections. L'assoupisse- ment existe aussi dans la
maladie
du sommeil comme dans le myxoedeme;itest, seule
ées dans certains cas ; un auteur anglais, Ciark, donne même à la
maladie
du sommeil le nom de a sleeping dropsy», hydropis
lution lente avec possibilité de rémis- sions. On a prétendu que la
maladie
du sommeil est héréditaire ; cela a été signalé
ue lorsqu'on aura élucidé la pathogénie, encore très obscure, de la
maladie
du sommeil. L'auteur estime que, alors même que
e que de nouvelles recherches permettraient d'affirmer que les deux
maladies
sont absolument distinctes et que la suppressio
ose, on est en droit d'espérer qu'on retirera grand profit, dans la
maladie
du sommeil, du traitement thyroïdien, grâce à s
er apport de l'Italie au bilan clinique de plus en plus riche de la
maladie
. · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 11 s'ag
e simple démence, croissant progressivement du début à la fin de la
maladie
, sans délire, ou au moins avec pâles concep- ti
te pas moins démontré par l'ensemble des symptômes, la marche de la
maladie
et la des- cription anatomo-pathologique. {Anna
Alors que le myxoedème était considéré, jusqu'à présent comme une
maladie
inconnue dans la race nègre, l'auteur a pu recuei
cette rudesse qui est une des principales caracté- ristiques de la
maladie
. Les plis de la peau avaient disparu au ni- vea
e cas confirme les idées de limiter sur la lèpre à savoir que cette
maladie
est purement locale, non héréditaire, à proprem
au mollet, apparaît parfois aussi dès les premières périodes de la
maladie
, alors que la sensibilité musculaire proprement d
décubitus dorsal. Cette influence de la vue ne s'exerce pas dans la
maladie
de Friedreich et dans les affections cérébelleuse
son mari peu de temps après son mariage, et encore la nature de la
maladie
ne fut-elle pas reconnue immédiatement ; le tabès
hondrie, neurasthénie ; il en rapproche l'éphidrose unilatérale par
maladie
infectieuse sans autres symp- tômes du côté du
ublé par une infection de la plaie. Vu le commencement lent de la
maladie
, sa progression conti- nuelle presque égale des
s le premier cas. Le fait que les malades étaient jumeaux et que la
maladie
avait commencé simultanément et de la même mani
amais pratiquer chez eux que la chirurgie d'urgence. En effet, leur
maladie
d'abord, leur opération ensuite, deviennent un
son autre frère, le commandant Charcot, étant empêché par une grave
maladie
, enfin par Jean Charcot et M. A. Edwards. La do
collaborateur, M. le Dr Gombault. BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des
maladies
du système nerveux ; par le professeur Raymond
sement sont encore bien indécises et soumises à la discussion. La
maladie
de Friedreich est une maladie essentiellement fam
ses et soumises à la discussion. La maladie de Friedreich est une
maladie
essentiellement fami- liale. Le professeur Raym
fection. Quatre autres malades présentent une forme fruste de cette
maladie
où l'incoordination motrice constitue le seul s
établit en tableaux parallèles. Quelles sont les relations de la
maladie
de Friedreich avec le tabès de Duchenne ? Que f
hybride qui emprunte ses traits à la fois au tabès vulgaire et à la
maladie
de Friedreich. S'agit-il ici d'un tabès infantile
et présenter une cinquième observation. Suivent deux leçons sur la
maladie
de Little, et deux leçons consacrées à la sclér
ue de la sensibilité en avril 1895 et vit se développer ensuite une
maladie
de Thomsen. La syphilis n'a pas agi comme cause
diculaire, avec un éry- thème polymorphe. A une seconde étape de la
maladie
, la para- lysie envahit le membre inférieur gau
le est rare. M. Raymond a pu en présenter à ses élèves un cas où la
maladie
a évolué en deux temps. D'origine périphérique,
essante en outre par sa marche extensive qui la rappro- chait de la
maladie
de Landry, syndrome clinique plutôt qu'entité m
dans le cadre des affections névrotrophiques. L'association avec la
maladie
de Basedow pourrait faire soupçonner un rôle path
Salpêtrière. Miraillé. II. Leçons de clinique thérapeutique sur les
maladies
du système nerveux; par Gilles DE la Tourette.
ectique sous la dépendance d'un simple trouble fonctionnel ou d'une
maladie
générale, intoxication ou autre dont la localisa-
phol. des hôp., 1871, notre mémoire sur les riotlerop. conséc. aux
maladies
du cerveau et de la moelle. (B.) Archives, 2* s
logie parmi lssquelles l'hérédité, les accouchements laborieux, les
maladies
infectieuses de l'enfance; dans l'évolution il ex
oyen thérapeutique qui unisse efficacement contre celte douloureuse
maladie
, c'est celui préconisé par Trousseau et adopté
tre d'intervention que s'il s'agit d'un bouchon du cérumen ou d'une
maladie
aiguë de la caisse, l'iuterveu- tion locale qu'
gare et ils sont parfaitement, en règle. Croisy avait une terrible
maladie
qui l'affectait beaucoup : il était épileptique.
. Gilles de la Tourette^ Leçons de clinique thérapeutique sur les
maladies
du système nerveux. Volume in-a", de 482 pages. P
s. Tome II : Frag- ments des leçons cliniques sur les névroses, les
maladies
produites par les émotions, les idées obsédante
ris, librairie F. Alcan. Raymond (le professeur F.). Leçons sur les
maladies
du système nerveux faites à la Salpêtrière pend
r. Prix : 18 francs. Paris, On. Doin, éditeur. Revue clinique des
maladies
nerveuses, à l'usage des praticiens, paraissant
eau. Dundee, 1898. - Royal lunatic Asylum. TATS (Th.) et jAcnoïK.
Maladie
du jeune chien, 7'a)Y ? t'e infan- tile et chor
t paralysie géné- rale se propose de rechercher dans cette dernière
maladie
le symptôme de l'analgésie du cubital. - " Il
c n'était pas douteux ressor- tissaient aux différents stades de la
maladie
. ,Iliieizelteiiei- medizinische Wochensclirifl,
nous divisons ces paralytiques généraux d'après la période de leur
maladie
, les résultats sont les suivants : 102 CLINIQ
sensibilité et l'analgésie, se ren- contrent de préférence dans les
maladies
mentales à type dépressif, et principalement da
lancolique, qu'il a une soeur aliénée, un père mort d'apoplexie. Sa
maladie
date depuis huit mois, quand il a eu le malheur
up ses enfants, mais dernièrement elle est devenue indifférente. La
maladie
lui est venue graduellement, mais le 10 février
donner des indications depuis quand elle est malade et comment la
maladie
lui est venue. Elle demande avec insistance à par
près ce que dit l'acte médico-légal d'une morsure. Histoire de la
maladie
. La malade âgée de quarante-cinq ans, mariée de
iage sont nés cinq enfants, dont trois gar- çons et deux filles. Sa
maladie
date de l'automne 1896, quand elle sentit une p
inuellement elle tâche de nous persuader qu'elle est atteinte d'une
maladie
con- tagieuse, qu'elle doit être désinfectée, q
qu'elle, est ici dans un autre hôpital, où on soigne de toutes les
maladies
et qu'elle est aussi dans un asile d'aliénés, e
folle maintenant; 124 PATHOLOGIE MENTALE. mais peut-être que la
maladie
qu'ella a, lui a troublé le cerveau et comment
ers que de ce côté il y a quelque chose à faire. L'enseignement des
maladies
mentales est plus avancé en Ecosse que chez nou
gu et dans un cas de delirium tremens ; par le D'' A. Ilocri. Les
maladies
somatiques peuvent produire des modifications dan
e ce travail, l'autopsie complète démontra l'absence d'aucune autre
maladie
, d'aucune autre lésion organique en sorte que l
s ? Nullement puisque ces alté- rations se retrouvent dans d'autres
maladies
somatiques. Ce qu'on peut dire, d'une façon gén
s la mélancolie : elle augmente quand survient l'amélioration de la
maladie
; 2° sa den- sité est normale; 3° l'urée et. l'a
t n'a de rapport plus ou moins constant qu'avec l'exis- tence d'une
maladie
organique. (American Journal of insanity, oc- t
les malades atteints, il fut impossible de découvrir aucun signe de
maladie
organique du système central ou périphérique. I
que : 1° chez certaines femmes atteintes d'une affection nasale, la
maladie
est aggravée au moment des règles ou pendant l'
nasale ou l'aggraver lorsqu'elle existe ; 3° la coexis- tence d'une
maladie
utérine ou ovarienne exerce parfois une influen
e de la fonction de la glande thyroïde et de la thérapeutique de la
maladie
de Base- dow ; par C.-F. de TRACZENSKI. (Neurol
de tout trouble ; ces animaux sont toujours rachitiques. Dans la
maladie
de Basedow, la femme éprouve une grande améliorat
son surplus de suc thyroïdien, ce qui l'améliore. Généralement la
maladie
de Basedow est hystérique (Charcot), c'est pour
ant agi sur le système nerveux (intoxi- cation nerveuse), issues de
maladies
infectieuses ; elle est alors aussi purement fo
nt a très bien réussi à Berne ; Meebius, dans sa monographie sur la
maladie
de Basedow, vient d'en confirmer l'efficacité.
an au moins); 10° on peut hypnotiser à n'importe quel moment de la
maladie
, mais il est préférable de le faire lorsque le
ition aussi absolue ne saurait s'appuyer sur la pathogénie de cette
maladie
; celle-ci, en effet, est encore loin d'être fi
e goitre exophthalmique comme une entité morbide ;' il y a, non une
maladie
de Basedow, mais des Base- dowiens, susceptible
dement amélioré. M. Odilon Mar- tin pense que, dans tous les cas de
maladie
de Basedow, on est en droit de tenter pendant q
rine en comprimés. Au bout de ce laps de temps, les symptômes de la
maladie
de Basedow avaient diminué à tel point que l'on
porté par M. l3riand, dix-huit mois avant qu'il se soit placé. Sa
maladie
a évolué sans rémission, non pas parce que le suj
e. Il est bien entendu que j'excepte les. enfants conçus pendant la
maladie
. Si j'avais un lils à marier je n'hésiterais pa
is j'ai observé des faits qui prouvent que des enfants nés avant la
maladie
des parents ont eu des tares intellectuelles. M
de l'absence de fonctionnement du corps thyroïde. Ce n'est pas une
maladie
à proprement dire, c'est l'aboutissant de malfo
ent dire, c'est l'aboutissant de malformations, de traumatismes, de
maladies
diverses. Après un tableau clinique, tracé de m
les mêmes malades en assez grand nombre à toutes les périodes de la
maladie
, on arrive aux constatations rapportées plus ha
urs habits; il n'y en a guère qui à un moment ou à un autre de leur
maladie
on ne soit obligé de rhabiller plusieurs fois p
ugmentation progressive de ces troubles avec le développement de la
maladie
. Mais aux deux premières périodes de la paralys
premières périodes le paral- lélisme constaté dans l'ensemble de la
maladie
. Les deux tableaux qui suivent répondent à cett
u- bles du sens tactile croissent parallèlement aux progrès de la
maladie
. Si ces deux éléments écologiques étaient tout,
ait à la première période et le minimum à la phase dernière de la
maladie
; il est certain que le paralytique général est be
ime en conséquence qu'il y a pour ce motif une part à accorder à la
maladie
. Notre tableau établit en troisième lieu que da
rations du tact peuvent être de quelque utilité pour reconnaître la
maladie
et en prévoir l'évolution, de quelque secours e
enons d'étudier n'apportent pas grande aide, car ce sont ceux de la
maladie
confirmée. Il est une seule altération du tact
ont nous avons parlé plus haut et qui permettrait de reconnaître la
maladie
avant l'apparition des troubles moteurs. Mes
tact, n'auront ni une marche aiguë ni une longue évolution de leur
maladie
; il semble que ces troubles seront l'apanage de
aladie; il semble que ces troubles seront l'apanage de ceux dont la
maladie
est destinée à évoluer dans les limites habitue
z qui le tact fut successivement diminué et exagéré, la durée de la
maladie
a été de deux ans et demi. Quant aux six restan
tations effectuées chez les mêmes malades à toutes les phases de la
maladie
. Nous les résumerons dans les conclusions suiva
l'état du tact. Nos échecs ovni, été d'autant plus nombreux que la
maladie
était à une phase plus avancée : 3 p. 100 à la
ression croissante de l'état anormal du tact avec les progrès de la
maladie
; rares à la première période, une fois moins ra
re période, deviennent de plus en plus rares avec les progrès de la
maladie
pour disparaître complètement à la troisième pé
. Les altérations du sens tactile aux deux premières périodes de la
maladie
ont été constatées de beaucoup le plus souvent
, le tact a été trouvé normal, quelles que fussent les causes de la
maladie
; toutefois les altérations de ce sens n'ont ja
eptiques. 4° La morbidité, c'est-à-dire la fréquence des diverses
maladies
dans les familles d'épileptiques présente des car
amilles d'épileptiques présente des carac- tères bien spéciaux. Les
maladies
pulmonaires, la phtisie en particulier, sont tr
agitation maniaque survenant pour la première fois peut devenir une
maladie
périodique ; cette possibilité s'accentue lorsq
ologist., oct. 1898.) E. B. XIII. Manie rapidement mortelle dans la
maladie
de Graves; par le De Bauton JACUBS. Dans les
ladie de Graves; par le De Bauton JACUBS. Dans les cas mortels de
maladie
de Graves, la mort peut sur- venir : 1° soit, c
s intéressantes d'excitation maniaque rapidement mor- telle dans la
maladie
de Graves et résume ensuite huit cas sembla- bl
mouvements ou des actes violents et rapides, ou bien à ceux que la
maladie
rend loquaces. Après avoir fait une étude d'ens
t y avoir une mélancolie de la lèpre. Du reste, si la lèpre est une
maladie
micro- bienne, ses lésions et ses symptômes pri
ournal, juillet 1898.) Le début de la folie est la période où cette
maladie
est le plus curable. Souvent par préjugé que la
ans ce cas, a duré plu- sieurs mois, n'a eu aucune influence sur la
maladie
; 3° quand la section du nerf accessoire n'a pas
és par lui chez des auteurs étrangers semblent se rapporter à cette
maladie
; un squelette du musée Uupuytren présente des
mbre de cas observés ne perm -t pas encore de fixer la marche de la
maladie
. Jusqu'ici aucune autopsie n'a pu être faite.
oint de vue étiologique toute cause infectieuse et à faire de celle
maladie
une affection par trouble de nutrition. Spill
onner tout récemment l'observation d'un nouveau cas. Le début de la
maladie
remonte- rait à l'âge de 4 ans ; le sujet qui a
rque le début de l'accès a apparu. G. D. XXXII. Rapports entre la
maladie
du sommeil et le myxoedème; par MM. E. Régis et
de l'article de M. Briquet (d'Armentières) sur les rap- ports de la
maladie
du sommeil et du myxoedème, paru dans le numéro
s réalise cli- niquement, de la façon la plus nette, le tableau des
maladies
toxi-infectieuses graves terminées par méningo-
méningo-encéphatite et en conclut qu'il y a lieu de supposer que la
maladie
du sommeil n'est qu'une toxi-iufection. Selon l
'hypertrophie de tout le système ganglionnaire parait être, dans la
maladie
du sommeil, secondaire et non primitive, consé-
nuls; car souvent l'amélioration est tardive. A. Fenayrou. XXXIV.
Maladie
du sommeil et myxoedème ; par M. Ch. )10NGOUR.
use connue, un laisser aller au sommeil consti- tuant une véritable
maladie
. L'existence de cet homme, depuis l'apparition
r lutter contre l'obésité. Celle-ci résista au traitement ; mais la
maladie
du sommeil fut rapide- ment améliorée et même g
se médicale, 7 septembre 1898), d'après laquelle le myxoedème et la
maladie
du sommeil relèvent peut être d'une même cause
neuf ans, à la suite d'une chute d'une hau- teur de huit mètres. La
maladie
a présenté les particularités suivantes : contr
mois environ après une atteinte de rhumatisme articulaire aigu. La
maladie
a présenté, dans sa symptomatologie, un certain
traitement par le salicylate de soude, autorisent à supposer que la
maladie
était due au germe du rhu- matisme articulaire
laires, l'atrophie tabétique, etc., et insiste sur la fréquence des
maladies
cardiaques ou artérielles dans le tabes. Pour lui
Quant à l'opinion que l'hystérie chez les enfants, ainsi que les
maladies
nerveuses en général, est une résultante de l'exc
s sous des noms multiples doivent trouver place dans les traités de
maladies
ner- veuses et mentales; c'est dans ce cadre qu
er temps, il s'adonnait à la masturbation. A l'âge de dix-huit ans,
maladie
fébrile de deux mois de durée, à la suite de la
ar d'autres affec- tions : traumatisme du genou (chez la malade 1);
maladie
fébrile (chez la II) ; masturbation prolongée (
); de la ressemblance des cas précédents d'épilepsie avec certaines
maladies
associées à une hyperplasie thymique, par le mê
nt de vue pathologique que patrony- mique 2 ' P. Bail. Traité des
maladies
mentales, p. 492. Edition 1887. ' La Roche-Gand
agnan. Leçons cliniques. (l'ro. Dléd., 1887, p. 182.) 5 Griesinger.
Maladie
mentale, 65. Trad. Daumie et drch. of I'sych.,
'éréthisme sensoriel pousse le malade à attribuer More). Traité des
maladies
mentales, p. 703, 1860. MYSTICISME ET FOLIE.
ue les névroses (épilepsie et surtout hystérie). 1 Morel. Traité de
maladies
mentales, 1860. P. ! Moreau de Tours. Psychologie
Psychologie morbide, p. 227. 3 J. Fabret. Etudes cliniques sur les
maladies
mentales, P., 1889. 4 Calmeil. De la folie, p.
e sans cesse, ne connaît ni le repos ni la fatigue, il y a là une
maladie
de la volonté aussi bien que dans l'aboulie : c'e
het. L'homme el l'intelligence, p. 500. 4 B.-A. More). Traité des
maladies
mentales, p. 701. 272 CLINIQUE MENTALE. que
ONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES'; Par le D' E. RÉGIS, Chargé du Cours des
maladies
mentales à l'Université de Bordeaux. Arrivé au
pas douteux que la doctrine des auto-intoxications trouve dans les
maladies
mentales une de ses plus impor- tantes applicat
c plus piquantes de l'histoire des auto-intoxications dans les
maladies
mentales que la concordance absolue de toutes les
que, épileptique, comateux, et survenir à toutes les périodes de la
maladie
. Nous avons noté, on l'a vu, dans une de nos ob
ristiques de cette obnubiiation ' Régis et Gaide. Rapports entre la
maladie
du sommeil et le 2 ? zyxoe- dème. (La Presse mé
moindre symptôme d'hystérie, presque jusqu'aux phases ultimes de sa
maladie
; et alors que déjà il ne répondait plus, dans
ressaisir un à un tous ses souvenirs à mesure qu'il s'éloigne de sa
maladie
. « Rien de plus net que la manière dont quelque
se. On doit s'attacher à leur faire comprendre qu'ils sortent d'une
maladie
grave : on les voit presque toujours être dans
ement, ne pas se rendre compte des diverses circonstances de leur
maladie
, ni du changement qui s'est opéré en eux, comme
'on observe chez certains sujets névrosés ou épuisés par une longue
maladie
du type de l' « amentia transitoire » de 1. 3.
Il est bon, d'ailleurs, de remarquer que même dans certains cas de
maladie
de Landry avec lésions, il n'y a pas de parallé
1898.) E. B. XXXII. Modifications des cellules nerveuses dans les
maladies
somatiques ; par le D1' Ilocii. En étudiant l
uence des modifications des cellules nerveuses de l'écorce dans les
maladies
les plus variées : les modifications possibles de
ées : les modifications possibles de ces cellules dans les diverses
maladies
somatiques sont impor- tantes à connaître, en r
veux et sur l'élément vasculaire. Enfin les progrès de l'âge et les
maladies
qui accroissent le tissu conjonctif soutenant l
e d'atrophie et de contractions fibrillaires. Depuis le début de la
maladie
, qui remonte à près d'un an, il n'y a pas eu d'
le résultat d'une interprétation non scientifique, ignorante, de la
maladie
: c'est ce que l'école de Charcot a établi d'une
émontrer que l'hystérie n'est pas plus déshonorante que toute autre
maladie
; et si, comme l'ont montré les recherches récen
corrélation intime de ces analyses avec les signes physiques de la
maladie
, établis par Charcot d'une façon magistrale. (T
tien de « myosite ossifiante progressive » et laisse son nom à la
maladie
. Les auteurs passent en revue toutes les modali
s auteurs passent en revue toutes les modalités de cette curieuse «
maladie
de Munchmeyer », ses variétés cliniques et les
ant constitue un trouble trophique particulier; 7° Le début de la
maladie
se présente sous deux formes dis- tinctes ; il
est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblée; 8° la
maladie
débute en général par la nuque ou la partie sup
te analgésie s'observe également dans un certain nombre de cas de
maladies
organiques du système nerveux, notamment dans la
brale est complètement immobile et courbée en avant. Au cours de la
maladie
, le pouce se prend également, il devient doulou
s'il n'avait été décrit, à l'étranger, une forme spéciale de cette
maladie
, la Manie hallucinatoire (Mendcl), dans le cadr
a Démence aiguë. Le tableau clinique que trace Krcepe- lin de cette
maladie
correspond assez bien, en effet, à notre cas, s
lansizia hallucinatoire) et sous cette dénomination il comprend les
maladies
corres- pondant en grande partie à celles que d
on). PourKraft- Ebing, c'est-là une entité morbide primitive, « une
maladie
parasitaire et accidentellement acquise, chez u
t les fonctions cérébrales étaient jusque-là normales, et dont la
maladie
n'était pas à prévoir, maladie due à une prédispo
aient jusque-là normales, et dont la maladie n'était pas à prévoir,
maladie
due à une prédispo- sition temporaire (par exem
c/;M ! < ? e. Leipzig, 1886. * Magna.n. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales. Paris, 1897. 346 CLINIQUE MENTALE.
des dégénérés. {Revue Neurologique, 4891.) Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, 1893, 1897. 2 Magnan. De l'alcoolisme
1893, 1897. 2 Magnan. De l'alcoolisme. Paris, 1871. Leçons sur les
maladies
men taies. Paris, 1893, 1897. 348 CLINIQUE
une soeur présen- tant l'ensemble symptomatique (lui caractérise la
maladie
de Marie et d'en faire une analyse clinique min
t mis en relief, ont permis aux auteurs d'affirmer le diagnostic de
maladie
de Thomsen. R. Ciiaron. 362 REVUE DE THÉRAPEU
uisse romande, 1898, n° 11.) Le développement du myxoedème après la
maladie
de Basedow a été observé plusieurs fois dans ce
des symptômes myxoedémateux, quelques mois après la guérison d'une
maladie
de Basedow, parait avoir coïncidé avec une atro
ouvelles et précieuses formules destinées à combattre, à vaincre la
maladie
. Vous, messieurs les médecins neurologistes vou
s, messieurs les médecins neurologistes vous étudiez et soignez les
maladies
nerveuses qui n'altèrent pas, du moins en appar
t maîtres, pénétrer les secrets restés si longtemps insondables des
maladies
du cerveau et de la moelle. Il n'est pas un sym
es approprié bien promptement, pour les appliquer à la guérison des
maladies
, toutes les découvertes de la physiologie. Et,
lus, si le fonctionnement normal du cerveau et de la moelle, si les
maladies
de ces organes recèlent encore quelques problèm
homme doit subir encore, sans défense utile, certains assauts de la
maladie
, l'union des médecins neurologistes et aliénistes
ée rend quelquefois la raison, merci plus encore pour ceux que la
maladie
, la maladie implacable a frappés pour jamais, dev
elquefois la raison, merci plus encore pour ceux que la maladie, la
maladie
implacable a frappés pour jamais, devenus objet
création ou la réorganisation. Initié par Ferrus à la pratique des
maladies
mentales, Aubanel fut,en 1840 nommé médecin adj
nce en faveur des médecins éprouvés par des revers de fortune ou la
maladie
. Pour cette oeuvre Aubanel se dépensa largement
, au Canet, la première maison de santé consacrée au traitement des
maladies
mentales et nerveuses; son initiative et ses ef
e sont, en somme, à leur place ni dans l'une ni dans l'autre de ces
maladies
mentales. En fait, ce sont des délires mixtes p
ar l'appoint'paranoïen. Les mêmes considérations s'ap- pliquent aux
maladies
viscérales, aux diathèses, etc. A'. MARIE. M. V
maniaques. Il a signalé et décrit sommairement dans son Traité des
maladies
mentales (2° édi- tion, 1892), l'es délires sys
nce et qui a permis de réaliser tant de progrès dans le domaine des
maladies
du système nerveux. M. le D'' Lalanne (de Borde
ions ont une grande importance au point de vue de la conception des
maladies
mentales. Peul-être arrivera-t-on par la connai
nde des lésions histologiques des cellules cérébrales à diviser ces
maladies
en deux grandes caté- gories : 4°les psychoses
M. Joly (de Berlin) a proposé d'appeler la psychose polynévritique,
maladie
de Korsakoli'. Cette dénomination n'est peut-êt
SOCIÉTÉS SAVANTES. 393 Telle est donc l'histoire résumée de la
maladie
qui a frappé notre cliente. Avions-nous affaire
la griffe Aran-Duchenne, etc. Mais rien n'était en faveur de cette
maladie
, qui d'ailleurs. une durée beaucoup plus longue
ieure aiguë ? Cette affection se développe souvent à la suite d'une
maladie
infectieuse ; mais le mode de début de cette po
i attribuer les accidents psychiques que nous avons signalés. Les
maladies
infectieuses produisent souvent des phénomènes
on ou d'une auto-intoxication. Nous croyons que c'est encore ici la
maladie
primitive qui est la cause de tous les accident
se de tous les accidents. Nous nous sommes trouvé en présence d'une
maladie
infectieuse SOCIÉTÉS SAVANTES. 395 qui a at
hez une femme de quarante ans atteinte de sclérose en plaques. La
maladie
a débuté, il y a deux ou trois ans, par des verti
éserver aux abords de la ville une clinique pour l'enseignement des
maladies
mentales. Le premier des pro- jets dont nous av
duction des mouvements cho- réiques et des troubles mentaux dans la
maladie
d'Huntington. Interventions chirurgicales chez
contractants d'autant plus que, 3° il est difficile de préciser les
maladies
qui excluent toute aptitude à une cohabitation
et que, 4° ifest facile de commettre des erreurs en décla- rant une
maladie
incurable. Mais à cela il y a lieu d'objecter les
ins, La demande en divorce ne pourra être soulevée que lorsque la
maladie
aura existé pendant cinq ans au moins, cependant
au moins, cependant pour les cas d'évidence extrême la durée de la
maladie
pourra être réduite à trois ans. Discussion.
re réduit à deux lorsque leurs avis sont identiques. La durée de la
maladie
au lieu de cinq ans devrait être réduite à un an
entre les atrophies musculaires et le myxoedeme, l'ostéomalacie, la
maladie
de Basedow, etc. Peut-être les dystro- phies mu
duit à l'impotence absolue. Le malade a supporté dans l'enfance une
maladie
infectieuse. Depuis deux ans a commencé à perdre
ngt dernières années de son existence. Depuis le commencement de la
maladie
l'état psychique n'a pas changé. Observation 11
truation, la grossesse, la ménopause, consécu- tivement à certaines
maladies
infectieuses, à l'intoxication alcoo- lique, to
chiatrie. Kraepelin. Compendium de psychiatrie. Schuele. Traité des
maladies
mentales. Marandon de Montyel. Aîin. médico- ps
é de médecine Charcol- l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, et communications au Con
e du mélancolique puise dans l'un des élé- ments fondamentaux de la
maladie
, la douleur morale. Ici la perturbation affecti
sécutif à la mélancolie, puisqu'à aucun moment, même au début de la
maladie
, il n'y a eu de symptômes d'un état mélancoliqu
habitudes d'intempérance, il est mort à soixante-dix-neuf ans d'une
maladie
de vessie. Sa mère, après avoir joui toute sa v
ant l'enfance, P... n'a été atteint ni de convulsions ni d'au- cune
maladie
grave, il s'est seulement fait en tombant au gymn
e d'avoir recours à un examen médical ou n'ayant pas soupçonné leur
maladie
; les autres ont subi un examen médico-légal, q
s préventifs consistent dans le développement de l'enseignement des
maladies
mentales permettant aux médecins de remplir aup
ssent selon que l'on note des améliorations ou des rechutes dans la
maladie
. Les tableaux que nous joignons à ce travail le
hilitique, non alcoolique, qui n'a eu ni refroidissement récent, ni
maladie
infectieuse. 11 est pris sans prodromes, sans cau
fait affirmer l'intégrité des nerfs et surtout delà moelle dans la
maladie
de Landry. Elle est parfois d'origine infectieu
, pour éviter les confusions, il conviendrait de réserver le nom de
maladie
de Litile aux états paréto-spasmodiques survena
'est à tort, selon eux, qu'on leur a attribué un rôle dans quelques
maladies
, notamment dans la chorée chronique. Plus spéci
rs 1878 il succombait, emporté à l'âge de soixante-neuf ans par une
maladie
qui le minait depuis un certain temps. Le monum
ues causes déterminantes et le pronostic de l'épilepsie », laquelle
maladie
est dans l'état actuel de nos connaissances, sy
un médicament d'une utilité incontes- table dans un grand nombre de
maladies
du syslème nerveux, à la condition qu'on le pre
créer, par bturgis, 152. CELLULES nerveuses. Modifications z les
maladies
soma- tiques, par Hocb, 314. Des altéra- tion
e de la théorie de la fonction de la et de la thérapeutique de la
maladie
de par Tiaciewsky, 160. Traitement de la , pa
Manie rapide- ment mortelle dans la , par Bat ton Jacobs, 219.
Maladie
DE BA&EDOW. Contribution ? t l'étti(le de la
nre, par Berkley, 63. Le -, par Tbibierge, 170. Rapports entre la
maladie
du sommeil et le -, par Briquet, 62. Du - et de
troubles qni s'y rattachent, par \\ ? Ord, 225. Rapports entre la
maladie
du sommeil et le par Régis et Gaide, 230. Mal
pports entre la maladie du sommeil et le par Régis et Gaide, 230.
Maladie
du sommeil et , par Mongour, 231. Symp- tômes
ogie, 215, 334. d'llypnolo- rie, ilti. Sommeil. Rapports entre la
maladie
(lu - et le m\'xoede[ne, par Cri- quet, 62, p
es du -, par Raymond, 16 Leçons de clinique thérapeutique sur les
maladies
du -, par Gilles de la Tonrette, 79. L'élément
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL
MALADIES
MENTALES & NERVEUSES Rédacteur en Chef Doct
cteurs Bozzolo et Silva ont signalé l'aggravation de toutes sortes de
maladies
nerveuses, chez des sujets qui avaient été soumis
abilité, — d'être la cause occasionnelle, la cause déterminante d'une
maladie
aussi déplorable que l'hystérie. Ce n'est pas t
coup son pays; c'est bien lui qui est chargé de la responsabilité des
maladies
dont il a été l'agent provocateur. Je n'insiste p
ne très haute gravité; on ne peut même la comparer qu'à cette funeste
maladie
qui est l'aliénation mentale. Nous ne pouvons que
e, âgée de vingt ans, fut prise, après avoir passé ses examens, d'une
maladie
nerveuse. En mai 1886, elle eut un premier accès,
l'intérêt, c'est a la simulation d'un malaise quelconque, voire d'une
maladie
qualifiée, que l'écolier a recours. Ceci est un f
ni de tant d'autres qui. tout en abordant le chapitre si curieux des
maladies
simulées, n'ont pas porté leur attention sur la s
ladies simulées, n'ont pas porté leur attention sur la simulation des
maladies
de la part de l'enfant; en ne faisant mention que
mémoire des études de Ch. West, des Leçons cliniques d'Henoch sur les
maladies
de l'enfance, ainsi que des leçons professées au
de l'enfance, ainsi que des leçons professées au Val-de-Grâce sur les
maladies
simulées, par Boisseau (écrits où il est a peine
terrain. Tout récemment enfin. Dufesiel (7) vient de publier sur les
maladies
simulées chez les enfants, un mémoire plein d'int
es qui n'ont jamais été (1) J. Simon, Conférences cliniques sur les
maladies
des enfants. (2) Bourdin, Les Enfants menteurs.
rbuch fur Kinderheilkunde, xxi. p.- 373(1884). . (7) Dufestel., Des
maladies
simulées chez les enfants- Th. inaug. 1888, Paris
ploi des procédés magnétiques pour le diagnostic et le traitement des
maladies
; » Attendu que, au point de vue de l'applicati
suader l'existence d'un pouvoir imaginaire (celui de guérir certaines
maladies
) et à faire naître l'espérance d'un succès chimér
e naître l'espérance d'un succès chimérique (la guérison de ces mêmes
maladies
); « Attendu, en fait, que la femme Quentin, non
David ; que ce dernier, ainsi endormi, dévoile à la femme Quentin la
maladie
dont le client est atteint et indique le traiteme
ait de recourir au magnétisme pour la découverte ou le traitement des
maladies
constitue, à n'en pas douter, la contravention d'
mon. NOUVELLES Hospice de la Salpêtrière. — Court de clinique des
maladies
du système nerveux : M. le professeur Charcot. Le
sl Si j'endure une souffrance ou même un: simple gêne par suite d'une
maladie
. Benoist la perçoit également; ce phénomène cesse
r modifier l'état de son organisme, mais il ressent les symptômes des
maladies
et des infirmités. C'est ainsi qu'il a éprouvé la
ite chronique. J'ai essayé plusieurs fois de lui faire ressentir la
maladie
d'une personne absente, en lui faisant toucher un
à peu pour accomplir certains mouvements. Joseph perçoit aussi les
maladies
des personnes avec lesquelles on le met en rappor
s nullement et il a, parait-il, exactement décrit les symptômes de la
maladie
de cette femme; il est bon d'ajouter que la perso
ent les piqûres faites sur le magnétiseur, mais il ne perçoit pas les
maladies
. Clotilde, 20 ans, gantière. — Mme veuve D...,
ts. RECUEILS DE FAITS APPLICATION DE L'HYPNOTISME AU TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES M. le docteur G. Burckhardt, directeur
'une phlébite accompagnée de fièvre sont les causes principales de la
maladie
. — Après les premiers quinze jours, pendant lesqu
rticulier, un état mental qui, plaçant le sujet sur les limites de la
maladie
et de la santé, a été, à juste titre, désigné sou
(.4 suivre.) (0 JWn Smoi*, Conférences cliniq. et thirap. sur les
maladies
des enfants. T. I, p. i85. Paris. (i) Cm. Wih,
adies des enfants. T. I, p. i85. Paris. (i) Cm. Wih, Leçons sur les
maladies
des enfants. — Traduction d'A;¦ iiumbaolt Paris.
on. ORIGINE DES EFFETS CURATIFS INSTANTANÉS DE L'HYPNOTISME SUR LES
MALADIES
CHRONIQUES Par M. J. DELBŒIF paoï-Bssr.i'ft i l
tes guérisons subites, et par conséquent d'apparence miraculeuse, fe
maladies
invétérées. Au commence me m du mois d'août d
oses très lortes de morphine. J'oublie de dire qu'on avait donné à sa
maladie
dix ou douze noms différents. Je l'adressai à u
gnétisé voit avec certitude le mal présent et le germe de toute autre
maladie
qui peut exister, soit chez lui, soit chez les pe
n rapport. Il annonce l'époque du développement et les périodes de la
maladie
en indiquant les remèdes avec la plus grande préc
apporte qu'il arrivait souvent aux convulsion-naires ¦ de prendre les
maladies
sans savoir si les personnes sont malades, ni la
ition maladive, on inocule à ces somnambules impressionnables la même
maladie
. > Ce dernier fait avait déjà été affirmé pa
es malades en crises magnétiques de gagner avec promptitude certaines
maladies
, a été plusieurs fois démontrée. Le danger que co
doit cependant pas effrayer au point de ne plus les consulter sur les
maladies
des autres, mais ¡1 faut le faire avec précaution
une somnambule qu'on m'avait dit avoir la faculté de reconnaître les
maladies
... Je ne me contentai pourtant pas de ce qu'on m'
fférentes modifications qu'il présente. — Paris, :8a3, p. »39. ma
maladie
serait bien heureux, car la nature lui révélerait
mmission n'en trouva qu'une seule qui ait indiqué les symptômes de la
maladie
de trois personnes avec lesquelles on l'avait mis
e il donnait des soins depuis fort peu de temps. • La sensation des
maladies
d'une personne, par le simple contact du sujet ma
uvent, dans certains états de l'hypnose, éprouver les symptômes de la
maladie
de la personne avec laquelle ils sont mis en rapp
nséquent, cette Symptomatologie serait plutôt artribuable à l'état de
maladie
provoquée du sujet en expérience, qu'à l'action r
système locomoteur pouvant se rattacher aux névroses convulsives, aux
maladies
à type cho-réique, ou à une paralysie quelle qu'e
tum à la fourberie et à l'instinct d'imitation. La simulation des
maladies
à type choréique n'est pas moins fréquente que ce
Annales médico-psychol. T. IX, p. 3o3, 1882. Paris, (a) Mauistek, Les
maladies
simulées. — Annales d'Iiygitn:, serie. T. IV, p.
jeune soldat de lui demander la cause, l'origine, le siège de mainte
maladie
, les moyens de la guérir. On voudrait, par son in
émet l'avis que la svmptomatologie est plutôt attribuable à l'état de
maladie
provoquée du sujet en expérience qu"à l'action ré
gues auparavant inconnues de l'hypnotisée, la découverte de causes de
maladies
internes, de leur durée, des remèdes propres à le
dus. « Très utile, écrit le docteur Barth, dans certaines formes de
maladies
nerveuses où l'on peut, grâce a ce puissant moyen
tes. Il n'est pas, si étrange que puisse sembler le fait, jusqu'aux
maladies
de la peau : chromhydrose, zona, pemphigus, etc..
intéressant et mystifier son entourage. (i) Galézowski, Traité des
maladies
des yeux, p. 927. — Simplement nerveux, il y
cette distinction. Ajoutons, avec Dufestel (i). que la feinte d'une
maladie
persistant des mois et des années a bien des chan
r (i) [¦..-..:. loco citato, p. 133. (a) Ci ... .. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. T. III. p. ajô, 1S87. Parti.
Alors on lui jette à la tête cette vérité, c'est qu'à contrefaire une
maladie
, on s'expose à la contracter; et elle peut être i
3, p. 209-281. Firenze. 1888. (La suggestion dans la santé et dans la
maladie
.) dauchez : Du rôle de l'imagination en médecine.
e, t. IV, p. 201-217. 1882. ducloux: La médecine d'imagination, les
maladies
imaginaires et la thérapeutique suggestive. Montp
1 cette époque du nystagmus, une notable blésité. niais avant cette-1
maladie
et dès l'âge de 6 à 7 ans, son caractère le renda
. Voici, du reste, la relation des incidents: F... n'a jamais eu de
maladie
grave dans son enfance. Pas de maladies nerveuses
dents: F... n'a jamais eu de maladie grave dans son enfance. Pas de
maladies
nerveuses ou mentales dans sa famille. Un jour de
eil de révision, il n'avait pas de crises et ne se prévalut pas de sa
maladie
pour se faire dispenser du service militaire. Q
nces in:crnatioiuIei. 1870, Paris.) 3) Ceris». Des Fonctions et des
Maladies
nerveuses, pp. îy4 et sy»; 1S4;, Paris. a fai
ts. L'envie de dormir après les séances ces>a également. /*~ Les
maladies
suivantes furent traitées à l'aide de l'hypnotism
s, neurasthénie, anémie, rhumatisme, hémorragies, phtisie pulmonaire,
maladies
de cœur, affections d'estomac, diarrhée, maladie
phtisie pulmonaire, maladies de cœur, affections d'estomac, diarrhée,
maladie
de Bright, incontinence d'urine, névralgie du col
e, maladie de Bright, incontinence d'urine, névralgie du col vésical.
maladies
des enfants, anomalie des menstrues, psychoses, h
V. Nussmcm, Xeue Heitmittel/ar Nerten Krankkettea, Rrcslau. i«*t
maladie
». Cependant l'expérience de M. Wetterstrand et d'
seulement de l'hystérie proprement dite fut traité par lui. Dans les
maladies
organiques, au contraire, il remarqua une influen
dire que ceci est assez important, vu la difficulté de traiter cette
maladie
d'une autre manière. Dans le cas d'alcoolisme,
notre clinique, une grande partie des malades sont atteints de cette
maladie
, et il est très rare que nous ayons complètement
cette Revue, les résultats que nous avons obtenus dans les cas de ces
maladies
. m M. Wetterstrand nous donne peu d'aperçus thé
ous venez d'être présenté : et aussitôt la conversation s'engage; des
maladies
régnantes, vous passez à la rage ou au choléra, s
ix volumes de matière médicale pure, et de 182S à l83o ion iraitJ des
maladies
chroniques. Après avoir vécu pendant la plus gran
pathic les plus vives critiques etsa fortune. Pour Hanehmann. toute
maladie
se résout en ses symptômes. Inutile J'en chercher
nd médecin pour comprendre combien est étroite cette conception'de la
maladie
et combien peu elle réjond a la réalité. L'orga
ion vu l'affaissement du système nerveux, s'observent dans toutes les
maladies
, et cha-pm de ces symptômes n'a pas de valeur pro
ent enveloppe. Et cependant c'est sur cette conception fausse de lu
maladie
que repose toute la thérapeutique d'Hanehmann
ue repose toute la thérapeutique d'Hanehmann. Au lieu de viser la
maladie
, cl'c s'adresse aux symptômes, et comme souvent i
ènes saillants sera combattu par un agent spécial, et. de même que la
maladie
est constituée par l'ensemble des symptômes, le t
s combattre. L'unité n'existe pas plus dans la médication que dans la
maladie
. Cet exposé est très incomplet et cependant je
re sur l'homme sain un ensemble de troubles auquel il donne le nom de
maladie
artificielle. C'e*t un principe que les faits c
doivent combattre, en déduisit la loi Je similitude. D'après lui, la
maladie
artificielle se substituerait a la maladie nature
imilitude. D'après lui, la maladie artificielle se substituerait a la
maladie
naturelle, pour disparaître ensuite i son tour.
e û résoudre par le thérapeute est donc le suivant : Etant donnée une
maladie
, déterminer le ou les médicaments capables de pro
tes ces distinctions et, chose bizarre ! elle qui a individualisé les
maladies
au point de les nier et de n'admettre que des gro
es ¡1 consacre un chapitre tout'entier, ? m chapitre encore sur les
maladies
des buveurs avec un tableau synoptique de la path
ux auditoire d'étudiants et de médecins, ses leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux. Conformément à sa méthode d
e Paris. — M.le professeur Charcot a commencé le cours de clnique des
maladies
mentales le mardi 23 octobre à l'hospice de la Sa
me heure, M. le professeur Ball commencera le cours de clinique des
maladies
mentales, le dimanche 11 novembre 1888, à dix h
l'hypnotisme,et M. Auguste Voisin a lu un sur la classification des
maladies
mentales. M. Marsudon de Montyel a ensuite donné
in-18 de 3o8 pages. O. Doin. Paris (3 fr. 5o). Klein. — Microbes et
maladies
. In-12. 290 pages. Tignot, Paris. Coats. - L In
normal, mais santé toujours faible; apprenait bien à l'école; pas de
maladies
nerveuses de l"enf3nce ; aurait eu deux fièvres t
duisirent comme devant, constituant désormais le point saillant de la
maladie
. Toutes les attaques sont précédées d'une aura:
est malade depuis loge de 20 ans. 11 n'existe dans sa famille aucune
maladie
nerveuse. Habituée aux travaux de la campagne,
pnotisme employé comme moyen thérapeutique dans le traitement des
maladies
nerveuses. C En anesthésie, il est encore un pu
ne névropathe, jjuc M. le docteur Bax a déjà soignée pour différentes
maladies
et qui est atteinte aujourd'hui d'une atlection u
sommeillante ' Je ne crois pas que l'é;ar hypnotique constitue une
maladie
, dans le sens qui s'attache d'ordinaire à ce mot,
l'on suscite parfois chez eux peuvent être nuisibles dans les cas de
maladies
du cceur ou des gros vaisseaux. Il est donc dém
rie de l'Hypno-tisme pour intervenir utilement dans le traitement des
maladies
, pas plus qu'il 'De suffit d'être physicien pour
t-quel en est le fondement? Ainsi que nous 1 avons vu plus haut, la
maladie
ne dépend pas d'une lésion d'organe:.-, eue dépen
st un simple trouble dynamique. Le médicament, pour être adéquat à la
maladie
, devru.lui .aussi. avoir une action purement dyna
ndance naturelle vers la gué-rison est encore plus prononcée dans les
maladies
aiguës: angines, phlegmasics diverses, fièvres.
lgré la médication. C'est là ce qui explique pourquoi guérissent, des
maladies
les plus graves, tant de malheureux qui man-quent
rtains phénomènes douloureux ou gênants. Mais, dira-t-on, il est des.
maladies
particulièrement graves dont la terminaison natur
fficacité des médicaments homéopathiques, les nombreuses guérisons de
maladies
aigués qu'ils invoquent. M n'est pas plus légit
ils invoquent. M n'est pas plus légitime d'invoquer la guérison des
maladies
chroniques. Celles-là guérissent, non à cause des
, a laquelle ils se soumettent. — Les guérisons de cette catégorie de
maladies
doivent toutes être attribuées au régime, à l'hyg
ime, à l'hygiène et non aux médicaments. Reste la grande classe des
maladies
nerveuses, dont les limites sont encore indétermi
'esprit, et. par son intermédiaire, ils peuvent guérir ou amender des
maladies
, même graves. « Mais, dira-ton. si les granules h
re. — Il traitera du rôle de l'inhibition dans les fonctions et les
maladies
des centres nerveux. L'abondance des matières n
des savants. On ne parlait de rien moins alors que de la guérison des
maladies
au moyen de pratiques bizarres, de la possibilité
médecin qui s'est trouvé aux prises avec ces longues et interminables
maladies
du système nerveux, où l'on épuise trop souvent s
e cicatrice due à l'ouverture d'un abcès par Verneuil. Début de /lï
maladie
. — La malade, avons-nous dit, était très nerveuse
NOUVELLES M. Mairet, agrégé, est nommé professeur de clinique des
maladie
» mentale* ci nerveuses à la Faculté de médecine d
la cécité unilatérale est un des symptômes qui se rencontrent dans sa
maladie
. Elle ne sait pas qu'elle en est affectée. C'est
usqu'à l'évidence, l'influence de la thérapeutique suggestive sur des
maladies
accompagnées de lésions matérielles bien authenti
ésions dans les cordons antéro-latéraux est on fait habituel de cette
maladie
. La hauteur de la plaque de sclérose cervicale, q
rtant, qu'il existe des paralysies partielles, sine materia, dans une
maladie
manifestement matérielle. Ces paralysies semble
ne triomphe de la nature qu'en se conformant à ses lois. ÉTUDE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX EN RUSSIE Par M. le D' RAYMO
paris J'envisagerai surtout dans cette éiudc ce qui est spécial aux
maladies
nerveuses, but officiel de ma mission, tout en te
ondantes, sont exclus de l'Université, sauf toutefois dans les cas de
maladie
, et ne peuvent plus être admis dans aucune Facult
et particulièrement h Paris, où il existe une chaire de clinique des
maladies
nerveuses et une chaire de clinique des maladies
aire de clinique des maladies nerveuses et une chaire de clinique des
maladies
mentales, en Russie l'enseignement des maladies n
haire de clinique des maladies mentales, en Russie l'enseignement des
maladies
nerveuses et des maladies mentales est concentré
dies mentales, en Russie l'enseignement des maladies nerveuses et des
maladies
mentales est concentré entre les mains d'un seul
e russe. Mais, pendant le professorat de Balinski, l'enseignement des
maladies
nerveuses fut négligé, ou, du moins, il fut purem
il fut purement théorique, ce professeur s'occupant exclusivement des
maladies
mentales. M. Mierjiewsky, nommé titulaire de cett
wsky, nommé titulaire de cette chaire en 1877, enseigne à la fois les
maladies
nerveuses elles maladies mentales; l'enseignement
cette chaire en 1877, enseigne à la fois les maladies nerveuses elles
maladies
mentales; l'enseignement pratique de la neurologi
pratique de la neurologie date de cette époque. L'enseignement des
maladies
nerveuses est une chose si nouvelle en Russie, qu
mencera que l'année prochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des
maladies
mentales et nerveuses se trouve dans une maison d
ncore de service de clinique à l'Université. La nouvelle clinique des
maladies
mentales et nerveuses à Moscou vient d'être Insta
d'un acte inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Clinique de»
maladies
nerveuses. M. le docteur Bérillon, directeur de
mencera le jeudi 21 février, à dix heures du matin, à la Clinique des
maladies
nerveuses, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une séri
atoire da M." Proust, les mercredi et vendredi de chaque semaine.
Maladies
du sritême nerveux et maladie»-mentales. M. Gilbe
credi et vendredi de chaque semaine. Maladies du sritême nerveux et
maladie
»-mentales. M. Gilber. Billet ; — phas>-macolog
acologic. M. Vinejean ; — :naiadie» du tube digestif, M. Mat bien ; —
maladies
dat larynx, M. Lubet-Barbon La première confé
ion, qui avait pour but l'étude des diverses phases successives de sa
maladie
hypnotique, rapprochées de l'examen de l'état act
le ù vaincre, que j'étais plus convaincu de sa puissance. ÉTUDE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX EN RUSSIE Par M. le Dr RAYMO
ruits sous la direction de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des
maladies
mentales et nerveuses a Moscou. Ces constructions
contient cinquante lits, ce qui est suttsant pour l'enseignement des
maladies
nerveuses. Une autre clinique, encore en constr
e de construire à Varsovie un hôpital-clinique pour renseignement des
maladies
nerveuses. On vient de terminer à Kazan la constr
veuses. On vient de terminer à Kazan la construction de l'hôpital des
maladies
mentales et nerveuses ; cet hôpital contient troi
rent les études et les recherches que réclame la connaissance ce leur
maladie
; puis, lorsqu'ils ne sont plus d'aucune utilité p
des cliniques pendant l'été. Pour les cliniques autres que celles des
maladies
du système nerveux, cette fermeture annuelle peut
e peut ne pas offrir les mêmes inconvénients: mais quand il s'agit de
maladies
nerveuses, c'est-à-dire de maladies le plus souve
vénients: mais quand il s'agit de maladies nerveuses, c'est-à-dire de
maladies
le plus souvent a évolution lente, l'étude de cel
rs, un progrès a cet égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des
maladies
mentales et nerveuses est restée ouverte pendant
clinique la plus importante, en Russie, en matière d'enseignement des
maladies
mentales et nerveuses, et en même temps la plus a
M. le professeur Mierjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur les
maladies
mentales et nerveuses, avec présentation de malad
t de cinquième année. Trois docents sont attachés â !a clinique des
maladies
mentales et ncr- veuses, ils som les aides du
a donc, chaque semaine, seize heures consacrées a l'enseignement des
maladies
mentales et nerveuses. A cetic liste des membres
des pertes de temps considérables. Les professeurs de clinique des
maladies
mentales et nerveuses dans les Facultés de médeci
e professeur agrégé Je la Faculté de Saint-Pétersbourg, un service de
maladies
nerveuses très bien compris, auquel est annexé un
sité nouvelle de Tomsk, en Sibérie, n'a pas encore de chaire pour les
maladies
nerveuses. Ce qui est surtout remarquable dans
qui est surtout remarquable dans l'organisation de l'enseignement des
maladies
nerveuses, en Russie, ce sont les laboratoires an
laboratoires annexés aux services des cliniques. Chaque clinique des
maladies
mentales et nerveuses possède un vaste laboratoir
autres journaux qui donnent ose large pbce aux travaux concernant les
maladies
mentales et nerveuses. Les principaux sont : i"
wskv. Les Matériaux servant à Tétude de l'anatomie pathologique des
maladies
mentales, par Sokoloff ; publié, en iSSS, dans le
mai, a dix heures, le docteur Be'rillon a inauguré à la clinique des
maladies
nerveuses, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série
dications de la suggestion hypnotique dans le traitement de certaines
maladies
nerveuses, que le l>" Bérillon a cru devoir fo
de M. le Dr Lagoguey, l'idée de l'assurance entre médecins en cas de
maladie
est définitivement et pratiquement réalisée. La p
oux, Barazer et Tar-gowla. Hospice de h Salpétrikre. — Clinique des
maladies
nerivuscs. — m. le professeur Charcot fait les ma
r Charcot fait les mardis, a 9 heures 1/2, une leçon clinique sur les
maladies
du système nerveux. Les vendredis, à g heures 1/3
g heures 1/3, examen des malades. Asile Sainte-Aune. — Clinique des
maladies
mentales. — m. le professeur Balen fait, les dima
Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les
maladies
mentales. Hôpital de la Charité.— m. le d* Luys
iniques sur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. — Clinique des
maladies
nerveuses. 55, rue Saint-Andrc-des-Arts.— M. le D
sa vue; et comme M. le prolesscur Hirchmann lui avait déclaré que sa
maladie
était une névrose, le malade s'est adressé à moi
depuis deux ans. L'examen ophtalmoscopique des yeux ne décèle pas de
maladies
organiques ; elle Ht péniblement à la distance de
se avant de me l'adresser. Quand je le reçus, le 5 janvier 1880, la
maladie
se caractérisait d'une faooa des plus typiques co
peine, puisque nous sommes désarmes, ou â peu près, en face de cette
maladie
. M. Lurs. — Je crois, comme M. Gaucher, que le
ésence d'un nombreux auditoire, une série de leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. Dans la première leçon,
des applications de l'hypnc-tisme au traitement de quelques-unes des
maladies
mentales. 11 a pu montrer successivement a ses au
s'agissait d'un malade qui se mourait de consomption à h suite d'une
maladie
de la moelle. D;jà la connaissance était perdue,
out point. » NOUVELLES Hospice: de la Salpêtrière. — Clinique des
maladies
neveuses. — M. le professeur Charcot fait les ven
arcot fait les vendredis, à 9. heures 1/2, une leçon clinique sur les
maladies
du système nerveux. Asile Sainte-Anne. — Cliniq
les maladies du système nerveux. Asile Sainte-Anne. — Clinique des
maladies
mentales. — Clinique des maladies mentales. — M.
Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies mentales. — Clinique des
maladies
mentales. — M. le professeur Balen fait, les dima
Balen fait, les dimanches et les jeudis, des leçons cliniques sur les
maladies
mentales. Hopital de la Charité. — m. le Dr Luy
cliniques sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Clinique des
maladies
nerveuses, 55. rue Saint-André-des-Arts.— M. le D
, le dimanche, à 9 h. 1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. Congrès international de
le disais plus haut, que ces divers états nerveux ne sont pas des
maladies
distinctes et peuvent constituer des termes de pa
la moindre contrariété l'agitait beaucoup. Son mari, souffrant d'une
maladie
d'estomac, tomba malade: elle fut très affectée e
fit l'aveu que sa tante était atteinte de diabète sucré et que cette
maladie
était mortelle. ? cette nouvelle imprévue, elle r
'urine, déclara qu'une telle diminution en huit jours prouvait que la
maladie
n'était pas grave. Kn effet, après quinze jours,
t entrer dans l'une des catégories que comporte la classification des
maladies
mentales : nous l'appellerons la jalousie morbide
ail. Marie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la Clinique des
maladies
mentales le 3o janvier dernier. Certificat d'en
accidentellement, pour ainsi dire, dans le cours d'un grand nombre de
maladies
mentales de forme et d'origine essentiellement di
nnent une telle prépondérance qu'elles constituent le fond même de la
maladie
. Doit-on dire des individus atteints de jalousi
arbitrairement la limite précise qui sépare la raison de la folie, la
maladie
de la santé, le froid du chaud. Cela n'empêche pa
êche pas cependant que le froid ne soit le contraire du chaud, que la
maladie
ne soit différeniede la santé, la folie de la rai
ntermédiaire entre l'exacte pondération de toutes les facultés et les
maladies
mentales véritables, en d'autres termes qu'il y a
ions et les contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des
maladies
nerveuses et dans ses applications à la pédiatrie
dans l'amphithéâtre du premier étage. Ce cours aura pour objet les
maladies
du système nerveux et les applications thérapeuti
e la valériane, des pointes de (eu, du bromure, de l'opium, etc. La
maladie
a résisté dans toutes ses manifestations. Elle m'
faire disparaître tous les phénomènes morbides en trois séances : une
maladie
qui datait de 18 ans a donc été guérie en 6 jours
e le sujet qui était ambidextre, et qui dans les premiers temps de la
maladie
s'exprimait déjà en écrivant de la main droite, a
nant, il jouit d'une santé admirable depuis dir-huit mois. Dans les
maladies
à lésions anatomiques. l'hvpnotisme ne peut donne
magnétiseurs, 63. Charité et dégradation sociale. 93. Clinique des
maladies
nerveuses. 454. Colère (pression artérielle dans
Etats profonds de l'hypnose (les), par de Rochas, 41, 76. Etude des
maladies
du système nerveux en Russie, par Raymond. 240,
'), par de Rochas. 41, 76. Hypnotisme application au traitement des
maladies
mentales), par Burckhardt. 56. Hypnotisme par s
a-scientifique, 63. Hypnotisme (effets curatifs instantanés sur les
maladies
chroniques), par Del- bœuf. 66. Hypnotisme (dis
isme devant les tribunaux (le), 28. Magnétiseurs et brigands, 63.
Maladies
mentales (application de l'hypnotisme au traiteme
20. Origine des effets curatifs instantanés de l'hypnotisme sur les
maladies
chroniques, par Delbceuf, 66. Ouvrages de Reich
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DR E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX 4740. - Imprimeries réunies,
ecteurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
CINE 1890 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN Les deux malades dont nous donnons ic
M. Morvan (de Lannilis). Mais chez cet homme, comme on le verra, la
maladie
n'est pas isolée ; elle se complique d'une autr
ée ; elle se complique d'une autre affection nerveuse à laquelle la
maladie
de Morvan a servi en quelque sorte d'agent prov
fièvre typhoïde. Ce qui est par- faitement sûr, c'est qu'il fit une
maladie
grave, fébrile, puisqu'il se souvient d'avoir é
tout le temps avec des cataplasmes de farine de lin. Le DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. 3 malade prenait en outre des bains
1888 sont consignés dans la thèse de M. d'Oger de Spé- villc sur la
maladie
de Morvan. Ils sont identiques à ceux que nous
ême en ce qui concerne la peau pour le doigt annulaire. DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. ô Pour celui-ci la rétraction du ten
s d'oreilles, puis de ses panaris et de son impo- 1) Il' t') CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. i tence dubras gauche. Autrefois il
y a d'eux états morbides à considérer chez ce malade. D'une part la
maladie
de Morvan, affection distincte, on peut déjà le
éformations de ces régions, la sclérodermie, la lèpre mutilante, la
maladie
de Maurice Raynaud par exemple. Ces déformation
nt-bras, souvent le bras tout entier. Mais à cette anesthésie de la
maladie
de Morvan se superpose chez notre homme une aut
loppée sous l'influence de deux agents provocateurs : d'une part la
maladie
de Morvan, d'autre part le chagrin, la dépression
plus bas est beaucoup moins caractéristique en ce qui, concerne la
maladie
de Morvan. Il s'agit là véritablement d'un cas
UVELLE ICONOGRAPHIE T. III PL I. ASPECT DES DOIGTS DANS UN CAS DE
MALADIE
DE MORVAN LECROSNIER ET BASÉ, ÉDITEUHS NOUVEL
SENTÉE DANS LA PLANCHE I LFOHOSNfEH ET BABÉ, ÉDITEURS DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. 9 lorsqu'il fut victime à l'âge de v
E. T. 111. PL III FACE DORSALE DES MAINS D'UN MALADE ATTEINT DE
MALADIE
DE MORVAN FRUSTE (LE COTÉ GAUCHE EST SAIN) NO
tif A. LONDB. PHOTOCOLLOGRAPRIE 133RTHAUD SCOLIOSE DANS UN CAS DE
MALADIE
DE MORVAN FRUSTE . DEUX CAS DE MALADIE DE MORVA
UD SCOLIOSE DANS UN CAS DE MALADIE DE MORVAN FRUSTE . DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. Il Les ulcérations les plus profonde
LMAIRE MONTRANT L'ATROPHIE MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN. 13 Les muscles de l'avant-bras, du b
éressant les sens supérieurs (vison, odorat, le goût, ' DEUX CAS DE
MALADIE
DE MORVAN ? ? - 15 Fouie) et portant sur les di
ez l'autre. Le premier doit être, de toute évidence, classé dans la
maladie
de Morvan. En est-il de même du second ? Cela par
tre. GEORGES Guinon, A. Dutil, Chef de-Cliiiiqlie des .. Ancien
maladies
du système nerveux. interne do la Clinique. RHU
s points les plus importants. 1° L'âge de la malade au, début de la
maladie
. - Inutile d'insister sur la rareté du rhumatis
crofule et influence prolongée du froid humide. 4° Le début de la
maladie
par poussées aiguës du côté des grandes f joint
troubles visuels, aucun autre symptôme qui puisse faire croire à la
maladie
de Basedow (le fond de l'oeil n'a pas été examiné
la pommette. PAUL RICfIER Chef du laboratoire de la Clinique des
maladies
du système nerveux. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLIN
en nous aidant de ses conseils dans ce travail fait à la Clinique des
maladies
du système nerveux. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ement dits à oscillations rapides de la paralysie générale et de la
maladie
de Basedow. Il ne s'exagère pas sous l'influenc
et thérapeutique de l'hystérie, p. 478. 2. Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1887, t. 111, p. 272. 30 NO
teints de paralysie agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre
maladie
à tremblement. Ce fait que les tremblements hysté
mblement à oscillations rapides est le seul symptôme apparent de la
maladie
de Basedow. La légitimité de cette comparaison
ie. -Contribution à l'élude et au diagnostic des formes frustes de la
maladie
de Basedow. : ! f; NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
asie choréiforme) et très souvent aussi chez les sujets atteints de
maladie
de Basedow où il peut se montrer associé au tre
indiquions au début de ce cha- pitre entre les malades atteints de
maladie
de Basedow avec trem- blement, mais sans exopht
n petit tremblement des membres tout à fait semblable à celui de la
maladie
de Basedow. Si on lui demande depuis quand elle a
ue, celui de la paralysie générale, et surtout le tremblement de la
maladie
de Basedow. Tous ces tremblements sont, en effe
essant travail, a cherché par quels caractères le tremblement de la
maladie
de Basedow se distinguait des tremblements de l'a
trait de dissemblance qu'il ait pu relever est celui-ci : « Dans la
maladie
de Basedow, dit-il, les doigts ne sont pour ain
es autres segments du membre supérieur, tandis que, dans les autres
maladies
(alcoolisme et paralysie générale), les muscles
mmuniquant avec le tambour enregistreur. Tandis que, dans le cas de
maladie
de Basedow, on n'obtient avec cet instrument qu
mblement hystérique à'forme vibratoire des tremblements, soit de la
maladie
de Basedow, soit de l'alcoolisme ou de la paral
peut-être un instant permise en présence d'un de ces cas frustes de
maladie
de Basedow où le goitre et l'exphothalmie font
llations rapides est en somme un symptôme à peu près constant de la
maladie
de Basedow et relativement rare dans l'hystérie
e l'hystérie s'associe fréquemment chez un même individu, soit à la
maladie
de Basedow, soit à l'alcoolisme, il pourra se p
rement à l'âge de quarante-cinq ans. Sa mère n'a jamais souffert de
maladies
nerveuses, elle est âgée de soixante- quatre an
fille du malade, actuellement âgée de six ans, est at- teinte de la
maladie
des tics. Antécédents personnels. - Lui-même n'
embres. A. DUTIL, (A suivre.) Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. LA QUEUE DES SATYRES ET
XIII, p. 7.), en français, travail de la Salpêtrière). 2. Cas de
maladies
rares observés par le Dr Magnus llüss. Archives I
, particulièrement dans le troi- sième volume de ses Leçons sur les
maladies
du système nerveux, et dans ces archives cliniq
». Elle « s'accole » très volontiers avec un grand nombre d'autres
maladies
nerveuses, mais sans se fusionner jamais avec ell
s nerveuses, mais sans se fusionner jamais avec elles. L'ataxie, la
maladie
de Friedreich, la sclérose en plaques, le goitre
us ces cas, l'isolement est le souverain baume de 1. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, p. 4 il. I. 2. Leço
dans sa jeunesse, par un maladroit, que les femmes atteintes de sa
maladie
mouraient à la ménopause. Vingt ans plus tard,
térie je l'entends dire : « On ne me guérira pas : ce n'est pas une
maladie
que j'ai, je suis ensorcelée par ce vieux sorci
la Salpêtrière, on plaça à côté d'elle une femme atteinte de cette
maladie
des tics convulsifs dont le premier, sous l'ins
rès, elle se présentait a nous avec la copie la plus parfaite de la
maladie
des tics convulsifs qu'il soit possible d'imagi
, car je savais que vous vouliez me faire enfermer, j'ai cru que ma
maladie
n'était pas sérieuse et, comme j'avais horreur
s hystériques. Gilles DE la TOURETTE, Anrien Chef de clinique des
maladies
du système nerveux. UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBR
e saillant bien accentué, mais est comme 1. Charroi. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. t. 74 NOUVELLE ICONOGRAP
ère, est entrée à la Salpêtrière dans le service de la clinique des
maladies
du système nerveux, le 1 février 1890. Antécéde
ntécédents personnels. - La malade ne se rappelle pas avoir fait de
maladies
pendant son enfance. Elle a eu une fièvre typhoïd
s'il en pouvait exister. GEORGES CUINON, Chef de clitii,itte des
maladies
du s ? lèlllc nerveux. lit. 0 HÉMIPLÉGIE SPAS
ontinuait à faire son service, mais à grand'peine. Il attribuait sa
maladie
à la trépidation de la machine, aux secousses des
« depuis huit mois ». A. Dutil, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système norvew. (A suivre.) UN DESSIN INÉD
et de Munich. GILLES DE la TOURNETTE, Ancien Chef de clinique des
maladies
du système nerveux. Le gérant : Emile LECIt05\I
entrée le 7 août 1888, à la Sapêtrière, service de la Clinique des
maladies
du système nerveux. Antécédents héréditaires.
âgée actuellement de vingt- quatre ans, a eu, à dix-huit ans, « une
maladie
de nerfs » caractérisée par un hoquet persistan
dents héréditaires. ° Côté paternel. - Son père est atteint t d'une
maladie
de coeur. Il est sujet à de violentes colères. So
roprement dit. GILLES DE la TOURETTE, 11UET, GUINON, Clinique des
maladies
du système nerveux. UN CAS DE M T L A N (; 0 L
our la plupart, depuis cette époque, une place dans les traités des
maladies
mentales, on ne la connaît guère en France que
sans avoir présenté, ni dans le cours de leur existence, ni dans la
maladie
terminale, aucun accident nerveux. Il en est de
euse. Deux soeurs sont mortes en bas âge, mais on ne sait de quelle
maladie
. 1. Nouvelle, Iconographie t. II, p. 65, 1889.
euf ans, se présente à la con- sultation externe de la Clinique des
maladies
du système nerveux, avril 1890. Antécédents h
apathique, inintelligent. Antécédents personnels. Histoire de la
maladie
. -La malade a été réglée avant douze ans, assez
puis quelque temps elle perd beaucoup plus. Elle n'a jamais eu de
maladies
antérieures, notamment jamais de danse de Saint-G
nte ans, employée, se présente à la consultation de la Clinique des
maladies
du système nerveux, au mois de mai 1890. Anté
humatisant. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune
maladie
nerveuse ou mentale. Il était parfaitement sobr
, A. SOUQUES, Interna ah) Satpctriere. Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. MODIFICATIONS APPORTÉES A
- DANS LE TRAITEMENT DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE ET DE QUELQUES AUTRES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX ' Depuis que M. le profess
hes sur le traitement de l'ataxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du système nerveux par la suspension', de nombreu
un très grand nombre de malades se sont présentés à la Clinique des
maladies
du système nerveux pour être traités, par la su
, surtout lorsqu'ils se présen- taient à la période moyenne de leur
maladie
, ont retiré des bénéfices de la méthode, portan
20 à 25 sont améliorés suivant la totalité des symptômes de leur
maladie
, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'inc
suspension de l'ataxio locomotrice progressive et de quelques autres
maladies
du système nerveux, 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
éjà formulées. GILLES DE la TOURETTE, Ancien chef de Clinique des
maladies
du système nerveux. DEUX BAS-RELIEFS DE NICOLAS
uvent que confirmer cette manière de voir. Dans cette hypothèse, la
maladie
de ce dernier est bien de la matière dont on fait
a poliomyélite antérieure « comme on oppose les unes aux autres les
maladies
qui n'ont de commun qu'une grande analogie dans
à la Société de Biologie (Séance du 5 juillet 1890). 2. Raymond,
Maladies
du système nerveux, Paris, 1889, p. 375 et suivan
mé. Femme de vingt et un ans, morte huit jours après le début de la
maladie
. A la suite d'un accouchement, elle est prise d
opsie survenue chez un malade trente-trois ans après le début de la
maladie
, une description des stades initiaux de l'évolu
description des stades initiaux de l'évolution anatomique de cette
maladie
, qui soit confirmée ultérieu- rement. » 142 N
ce dernier examen a eu lieu deux ans seulement après le début de la
maladie
. OBs. III (Oppenheim) i. Résumé. - Il s'agit d'
ogénique qui, somme toute, est la caractéristique essentielle de la
maladie
de Marie se manifestant chez un sujet dont le s
que nous allons énumérer, elle passe pour pathognomonique de cette
maladie
. La rétraction de la paupière supérieure peut e
tout cas que le syndrôme palpébral peut être le premier signe de la
maladie
de Graves. Sur deux autres épileptiques, j'ai r
nous allons rapporter ici nous semble intéressant en ce sens que la
maladie
est encore presque à son début. De là sans dout
t seule- ment qu'il était israélite. Sa mère était atteinte d'une
maladie
de foie avec crampes d'estomac. Elle prenait de
uinze jours, quelquefois toutes les trois se- maines. Début de la
maladie
actuelle. Ce n'est qu'il y a deux ans z1888) que
a fait voir d'autre part qu'il n'existait point de signe positif de
maladie
de Basedow à laquelle on aurait pu penser en ra
-dessus de la moyenne. On ne trouve d'ailleurs aucun autre signe de
maladie
de Basedow, ni goitre, ni tachycardie, ni tremb
ent à celles que l'on constate ici. Mais s'agit-il en réalité de la
maladie
de P. Marie ? Le peu de défor- mation des mains
ébuté il y a deux ans, à l'âge de vingt-neuf ans, sans raison, sans
maladie
fébrile ou infectieuse à l'origine, en un mot spo
rapport de cause à effet. - GEORGES Guinon, Chef de clinique des
maladies
du système nerveux. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE QU
ction de ces dix cas, j'ai un total de 300 fumeurs exempts de toute
maladie
antérieure. Description de l'appareil. - Avant
tés dans des circonstances semblables, car on sait fort bien que la
maladie
en elle-même n'a rien qui soit contagieux. On
rtaines affections pulmonaires, soit en facilitant l'éclosion d'une
maladie
sur un terrain qu'il prépare d'avance, soit en
al et de l'hypoglosse faisait partie du tableau symptomatique de la
maladie
de Basedow; les deux autres observations sont c
\ve; elle est d'autant plus intéressante que la malade, atteinte de
maladie
de Graves avec hémianesthésie droite sensitivo-
te, ainsi que l'a fait remarquer notre maître, avec le masque de la
maladie
de Parkinson, qui en raison de la fixité du regar
m. -Depuis cet examen, deux ans et demi se sont écoulés sans que la
maladie
ait fait de progrès sensible. Pas de symptômes
juin. - Les règles réapparaissent pour' la première fois depuis la
maladie
. Septembre, -Muscles de l'épaule, du bras et de
e l'épaule, du bras et de l'avant-bras aussi volumineux qu'avant la
maladie
. La malade est très forte aujourd'hui et s'util
e bonne santé. Ses deux soeurs sont bien portantes. Il n'y a pas de
maladie
nerveuse à signaler parmi les différents membre
s vouloir la résoudre. Er. PAUMENTIER, Interne de la Clinique des
maladies
du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE
illes par les Allemands en 1871. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de
maladies
nerveuses. Une soeur de la malade est morte de
ns; pas de coqueluche. Rougeole en 1871. Elle n'a fait aucune autre
maladie
jusqu'en 1875, à l'âge de Dans où elle ftittt L
uinon, Chef du service ophlhallllologilllte Chef de Clillit1110 des
maladies
nerveuses, de la clinique des maladies nerveuse
llte Chef de Clillit1110 des maladies nerveuses, de la clinique des
maladies
nerveuses. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE
agie ni de rhumatisme articulaire. Pas de traumatisme. Les seules
maladies
qu'il ait eues sont une rougeole dans sa pre- m
n, vers la fin d'avril z1887, près de deux ans après le début de la
maladie
; il pouvait reprendre ses occupations. La guér
gré de la déformation. A. SOUQUES, lu6°rn° (le la ClillifIIiC dos
maladie
» du ? tèlUC lIüI'VOIt ? PHOTOTYPE NLGATIT X PHO
et une faiblesse intenses, a été noté lors des deux poussées de la
maladie
, qui, quelle qu'elle soit, a laissé à sa suite l'
par d'autres auteurs, en particulier par Korsakoff, à propos de la
maladie
qu'il décrit sous le nom de psychose polynévrit
t auteur dans le journal de Mierjewski (vol. IV, fasc. II). Cette
maladie
serait caractérisée anatomiquemcnt par une poly-
égique, ou des quatre extrémités. L'auteur pense qu'il s'agit d'une
maladie
générale selocalisant soit également sur l'encéph
sur ces deux ordres d'éléments. Quelle serait la nature de cette
maladie
? On ne saurait tenir grand compte des allégati
s'il ne s'est pas agi d'une alcoolique qui, sous l'influence d'une
maladie
générale grave, aurait réalisé des paralysies t
es morbides dont l'expression clinique corres- pond exactement à la
maladie
décrite par Duchenne sous le nom de paralysie s
E LA JAMBE On a cru pendant longtemps que l'éléphantiasis était une
maladie
propre aux pays tropicaux. On sait aujourd'hui
elle y a vécu jusqu'à l'âge de quatorze ans, sans avoir eu d'autre
maladie
que la rougeole. Réglée à onze ans, ses règles
ent justifié pour cette observation d'éléphantiasis l'expression de
maladie
« locale et localisée »', que lui donne M. Besn
re- ment circonscrite est du reste la règle dans l'éléphantiasis, «
maladie
locale et localisée, le plus ordinairement limi
11-(1 bes (j(iiii bes), Gui lotit, 1S73. 2. Kaposi, Leçons sur les
maladies
de la peau (Tr.id. et annotées par MM. Résilier e
usion. . A. Souques, Interne (médaille d'or) de la Clinique des
maladies
du système nerveux. 1. Résilier, loc. cil., p.
C'est ainsi qu'Alfred von Graefe rapporte dans son Compendium des
maladies
des yeux l'exemple d'un malade, atteint depuis qu
e sans songer à la rattacher à une lésion centrale. La marche de la
maladie
nous aurait peut-être égaré davantage, puisque
vent erratique des divers noyaux et sur la lenteur avec laquelle la
maladie
évolue. Ils montrent avec quelle circonspection
s deux yeux sont immobiles. A partir de 1879 (quatrième année de la
maladie
), gêne croissante de la parole et bientôt dysph
er 1880. On ne put faire l'autopsie. ' Pendant toute la durée de la
maladie
l'iris et le sphincter pupillaire con- servèren
es mouvements. L'accommodation demeura normale. Dresgen rapporte la
maladie
à une lésion des noyaux bulbaires et rapproche
ses paupières tombèrent. L'examen, pratiqué le treizième jour de la
maladie
, démontra une para- lysie presque complète des
presque complètement. En somme, sept semaines après le déhut de la
maladie
l'acuité visuelle, qui était déjà augmentée de mo
e calme, n'a jamais eu d'accidents nerveux avant l'apparition de la
maladie
actuelle. Il nie toute infection syphilitique.
e progressive. D'autre part, Rosenthal rapporte dans son Traité des
maladies
du système nerveux que Hérard a vu deux fois un
me d'une trentaine d'années (Hérard'). Chez cette jeune femme, la
maladie
a commencé insensiblement vers le mois de mai 1
et un ans, d'origine anglaise, née d'un père ataxique. Début de la
maladie
il y trois ans par l'apparition lente et progress
et du pneumogastrique prouve qu'ici encore on a affaire il une même
maladie
systématisée (Charcot) et non à deux maladies i
a affaire il une même maladie systématisée (Charcot) et non à deux
maladies
indépendantes fortuitement réunies comme le croya
e de la Salpêtrière quelques types de chacun des grands groupes des
maladies
de l'axe spinal : les myélites systématiques, les
omo-pathologiquea Chef du Service photographique de la Clinique des
maladies
du système nerveux. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
ique de la -), par P. Blocq et A. Londe, 309. Morvan (Deux cas de
maladie
de -), par G. Guinon et A. Dutil, 1. Moteur o
dans le traitement de l'ataxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du système nerveux), par Gilles de la Tourelle,
e dans la -),20. Morvan (Aspect des doigts et des mains dans la
maladie
de -), 1, 2, 5; fruste, 3; sco- liose, 4. Myé
OEUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT
MALADIES
DES POUMONS ET DU SYSTÈME VASCULAIRE TOME V
d les leçons, les mémoires et les ob-servations de M. Charcot sur les
maladies
des poumons, du sang, do cœur et des vaisseaux. L
es grouper suivant la nature des questions. C'est ainsi, que pour les
maladies
des poumons, nous avons été amené à intercaler, e
ault de son bienveillant concours. BOURNEVILLE. PREMIERE PARTIE
Maladies
des Poumons. LEÇONS o DU COURS D'ANATOMIE
s ne l'ignorez pas, peut prêter son con-coursà l'anatomie normale: la
maladie
, en effet, fait souvent ressortir, en les exagéra
cellules épithéliales qui a lieu en pareil cas l. 4 Leçons sur les
maladies
du foie, 1877, p. 164, 169, 229. SIXIÈME LEGON
roncho-pneumonie aiguë ou subai-guë et examinons d'abord le cas où la
maladie
est provoquée expérimentalement chez les animaux,
loc. cit., fig. 268, p. 710). Sous le nom de carnisation, Legendre (
Maladies
de l'en-fance, 1846, p. 223) a parfaitement décri
ection rénale, appartenant, elle aussi, à 1 Voir les Leçons sur les
maladies
du foie, des voies biliaires et des reins, faites
2 Voir Gharcot, loc. cit., pp. 297 et suiv. l'ancien cadre de la
maladie
de Bright, forme dans laquelle l'or-gane est égal
istologie, leçon xiu, p. 2. Paris, 1877.) 1 Voir les Leçons sur les
maladies
du foie, p. 42, 43. Fig. 27. — (D'après M. Fara
que cliniques qui séparent les unes des autres les diverses formes de
maladies
rénales, naguère encore en-globées sous la dénomi
es rénales, naguère encore en-globées sous la dénomination commune de
maladie
de Bright chronique. Il est à espérer, Messieur
pneumonie lobaire des vieillards, nous avons à faire ressortir que la
maladie
a, ici encore, revêtu des caractères paradoxaux q
sson, l'ab-sence fréquente du râle crépitant, même dans les cas où la
maladie
n'était pas latente, l'absence de crachats spécia
ann et Dechambre. — Recherches cliniques pour servir à l'histoire des
maladies
des vieillards (Arch. de Médecine, t. X, p. 263,
enfant de trois ou quatre ans qui a succombé au quinzième jour de la
maladie
. Nous voyons les lésions disposées sur les bords
ris 1840. * Legendre et Bailly. — Nouvelles recherches sur quelques
maladies
du pou-mon chez les enfants (Arch. gén. de méd.,
r déjà des difficultés du su-jet. Il s'agit, en effet, de décrire une
maladie
rare, et dont Laennec avait pu même contester l'e
esseur Grisolle n'avait pu suivre qu'une seule fois l'évolution de la
maladie
au moment (THÈSE D'AGRÉGATION, 1860). INTRODU
reconnaître que, pour la plupart, ils ne sont point relatifs à cette
maladie
. Le plus souvent, en effet, il s'agit de cas où u
e la plus grande confusion dans l'his-toire déjà si difGcile de cette
maladie
. Ayant à traiter un sujet encore à l'étude, nou
nombre de types fondamentaux. Étudions-les d'abord dans les cas où la
maladie
, ayant eu une issue relativement prompte; elles s
aiguë devront se retrouver dans les formes lentes et chroniques de la
maladie
; mais c'est Jà un point de vue que nous nous born
ulations sont d'autant moins mar-quées, d'autant plus effacées que la
maladie
est plus ancienne. En effet, nous verrons plus lo
rait pris, en certains points, une coloration jaunâtre 1 Traité des
maladies
des enfants nouveau-nés. Paris, 1813, p. 316. 2
gmentation de volume du poumon parmi les caractères anatomiques de la
maladie
1 ; ce caractère nous 1 Traité de pathologie in
ons. 9 semble devoir appartenir seulement aux premiers degrés de la
maladie
, car dans la plupart des observations accompagnée
nce de dilatations bronchiques au niveau des parties lésées, même 1
Maladies
des vieillards, p. G02. dans les cas où la mala
ésées, même 1 Maladies des vieillards, p. G02. dans les cas où la
maladie
, remontant à une époque éloignée, ja métamorphose
de poitrine qui nécessita son séjour à l'hôpital pendant un mois. La
maladie
en question a été désignée, à ce qu'il paraît, so
s mains à un froid très vif. C'est à cette cause qu'elle attri-bue sa
maladie
actuelle et surtout l'oppression et la toux. Elle
que c'est pour la première fois qu'elle s'enrhume ou du moins que la
maladie
dure aussi longtemps. Jamais elle n'a eu d'hémopt
a maladie dure aussi longtemps. Jamais elle n'a eu d'hémoptysie ni de
maladie
qu'on puisse rapporter aux organes 1 Loc. cit.
i résultent de la dilatation d'un rameau bronchique. L'histoire de la
maladie
, dans les observations I et II, tend à prouver en
gner sous le nom de pneumonie chronique ulcéreuse 2 cette forme de la
maladie
dans laquelle la fonte ichoreuse s'empare du poum
Œuvres complètes, t. y,Poumons. 10 II. Évolution. — Formes de la
maladie
. — Symptômes géné-raux. — La pneumonie chronique
at chronique : « On voit d'abord, dit M. le professeur Grisolle *, la
maladie
s'amender, en apparence du moins ; la fièvre dimi
hez la femme qui fait l'objet de celte observation, l'évolution de la
maladie
a été re-lativement rapide ; la peau était consta
s de son évolution. Mais, dans d'autres circonstances, la durée de la
maladie
est beaucoup plus longue et paraît pou-voir dépas
éreuse paraît être plus rapidement fatale que les autres formes de la
maladie
. L'observation suivante, recueillie par nous à
on droit dans toute son éten-due. On peut y étudier l'évolution de la
maladie
, du moins dans les premières phases de son dévelo
eurs côtes, abcès ossifluents.— Mort quatre mois après le début de la
maladie
. —Autopsie. — Induration grise dans toute tétendu
arasme. Voici d'une manière sommaire le traitement suivi pendant la
maladie
. Pendant la période d'acuité, c'est-à-dire du 30
fois un des phénomènes prédominants, dans le cas principalement où la
maladie
affecte les allures de la phtisie galopante (obs.
itrine ne fournis-sent aucun signe qui soit véritablement propre à la
maladie
. La matité est absolue, comme dans l'épanchement
tic. — A moins qu'on n'ait assisté aux premiers dé-veloppements de la
maladie
, et qu'on n'ait pu recueillir à cet égard des ren
— La considération des symptômes géné-raux, du mode d'évolution de la
maladie
, ne semble pas pou-voir fournir, quant à présent,
monie chronique ulcéreuse. On a noté dans certains cas de la dernière
maladie
l'absence de sueurs nocturnes (Grisolle, et obs.
rneux. Les crachats peuvent alors être rendus fétides 1 Legendre. —
Maladies
de l'enfance, p. 233. par l'existence d'une gan
fesseur Grisolle. L'existence d'un état cachectique, déterminé pardes
maladies
antérieures ou même en pleine activité, paraît av
itement spécifique. On trouve encore, dans la2e édition du Traité des
maladies
vénériennes deYidal, l'observation d'une personne
On a invoqué encore, mais sans preuves suffisantes, l'in-fluence des
maladies
organiques du cœur, principalement 1 Rayer.— Tr
es maladies organiques du cœur, principalement 1 Rayer.— Traité des
maladies
des rems, t. II, p. 291, 293. M. Rayer dit n'avoi
n, et non pas d'une pneumonie chronique vraie. Quant à présent, cette
maladie
a été observée surtout chez l'adulte ; elle paraî
eu qu'elle eût une cer-taine étendue. On peut espérer que, lorsque la
maladie
aura été plus étudiée, et qu'on sera parvenu à la
la poitrine, ou en-core d'un large selon.— L'état des forces dans une
maladie
de ce genre devrait nécessairement être pris en
niques, les corroborants pourraient trouver leur application. — Si la
maladie
paraissait liée à la syphilis, un traitement spéc
as de pneumonie chronique observés par M. Bennet chez des enfants; la
maladie
avait si-mulé la phtisie ; l'huile de foie de mor
nséquent, nous borner à méditer sur un petit nombre d'histoires de la
maladie
. Ainsi nous ne pouvions saisir que les traits for
rses opinions qui ont été émises concernant 1 Barthez et Rilliet. —
Maladies
des enfants, t. I, p. 433. la nature de celte l
able n'a lieu dans les cas de pneumonie gra-nuleuse ou vésiculaire. 1
Maladies
de l'enfance, 1846, p. 223. gan — Lorsque la di
ement pour causé l'accumulation même de la matière charbonneuse. La
maladie
des aiguiseurs nous offre une autre forme de l'in
iques, etc., etc. ; elles ne jouent d'ailleurs, dans l'histoire de la
maladie
qu'elles compliquent, qu'un rôle acces-soire, ne
Barthez ont rencontré 19 fois les lésions de la pneumonie chronique (
Maladies
des enfants, t. III, p. 711). 5 Laënnec. -- Tra
expectoration, et, comme les parois alvéolaires n'ont subi pendant la
maladie
aucune mo- dification appréciable de structure,
s qu'il y ait d'interruption bien marquée entre les deux phases de la
maladie
. Une autre forme de pneumonie chroni-que se ratta
pouvait être opposée à celle de l'hôpital, ou encore si l'étude de la
maladie
était faite dans un hospice comme la Salpêtrière,
les cas à issue relativement prompte après un mois ou six semaines de
maladie
. Dans quelques cas rares, au bout 4 Clinique mé
Une première phase s'é-tablit après deux ou trois mois de durée de la
maladie
totale. Le poumon est plus ferme, sa coupe plus s
onstituent un des genres les plus im-portants de la grande classe des
maladies
professionnelles, et, à ce titre, elles intéresse
été attirée sur la possibilité du fait. On avait pensé que certaines
maladies
du poumon pouvaient être déterminées dans l'exerc
à par l'auteur du premier traité dogmatique qui ait été écrit sur les
maladies
des artisans, Ramazzini1. Dans le chapitre con-sa
de pierre, statuaires, etc., il dit que ces ouvriers sont affectés de
maladies
particulières, qui résultent de ce qu'ils s'incor
ici surtout produite par l'introduction de particules charbonneu-ses (
maladie
des mineurs, miners lunqs, maladie des fondeurs e
tion de particules charbonneu-ses (maladie des mineurs, miners lunqs,
maladie
des fondeurs en bronze, en cuivre, etc.). 2° Pn
le poumon, à l'occasion des altérations que subit cet organe dans les
maladies
organiques du cœur. Le parenchyme pul-monaire, lo
c l'âge. (Kussmaul, 1866; Riegel, 1873). — Ghalicose pa-thologique. —
Maladies
des tailleurs de meules (Peacock, 1860). — Phthi-
cavernes. — Caractères chimi-ques; emploi de l'acide fluorhydrique. —
Maladie
des potiers et des cô-ranciers ou peigneurs de li
présenta de vérifier le fait chez un polis-seur de glaces, mort d'une
maladie
étrangère à la sidérose, et le poumon présentait
cas rassemblés par M. Merkel *, et dans deux de ces cas seulement la
maladie
a déterminé la mort. Mais elle offre un intérêt t
a été depuis longtemps remarquée, comme l'indique le nom populaire de
maladie
Saint-Roch qui servait à la dési-gner. Parmi ceux
e de maladie Saint-Roch qui servait à la dési-gner. Parmi ceux-ci, la
maladie
des tailleurs de meules mérite une mention spécia
en déterminent la dissolu-tion. On peut rattacher à la chalicose la
maladie
des potiers, étudiée par M. Greenhow1, et dans la
émanent des granu-lations grises qui propagent plus ou moins loin la
maladie
(processus de propagation). Tels sont les chapi
une bron-cho-pneumonie grave pseudo-lobaire ; dans le second cas, une
maladie
à forme typhoïde avec prédominance des accidents
a phtisie pulmonaire, sont revenus à la santé et succombent à quelque
maladie
intercurrente. C'est l'appa-rence de l'agglomérat
deux jeunes filles qui avaient succombé, vers le quinzième jour d'une
maladie
pendant laquelle les signes stéthoscopiques avaie
concrets pour servir de base à sa description. Dans un de ces cas, la
maladie
a évolué et s'est terminée par la mort en 15 jour
emple se rapporte au type phtisie galopante; l'évolution totale de la
maladie
n'a pas dépassé 3 mois. Voici, d'ailleurs, l'in
l'apparence du chocolat. La température, pendant les 14 jours que la
maladie
a duré, a été, en moyenne, de 38°,5 le matin etde
cle purpura dans la deuxième édition de l'ouvrage de M. Rayer sur les
Maladies
de la Peau (t. III, p. 539) pourrait encore être
es sujets qui succombent à la tuberculisation aiguë, surtout quand la
maladie
a revêtu la forme typhoïde, le sang se présente h
es tendant à démontrer que le purpura hémor-ragique existe à titre de
maladie
primitive et indépendante, sont peu communs, et i
ang une influence si grande; ou bien encore, elle dérive d'une de ces
maladies
qui, engendrées par un poison morbide, frappent l
e produire dans la erase du sang une modification profonde. Parmi les
maladies
de ce dernier groupe, on peut citer, au pre-mier
ien dans les cas où une opération a été pratiquée que dans ceux où la
maladie
a été abandonnée à elle-même. Trois fois, il a
s concrétions san-guines veineuses, chez les sujets affaiblis par une
maladie
de longue durée. TROISIÈME PARTIE Altérations
sante en ce qu'elle fait bien connaître les phénomènes du début de la
maladie
. Nous noterons, en outre, qu'il n'existait pas
jamais il n'a été retenu au lit, même pendant quelques jours, par une
maladie
ou par une simple indisposition. Il y a un an, en
Ces lésions et ces symptômes ne paraissent pas devoir constituer une
maladie
primitive et ayant une existence réellement à par
delà mélanémie etil a reconnu la relation qui existe entreelle et les
maladies
paludéennes. — 1 Bailly. — Traité (tes fièvres
s observa-tions suivies d'autopsie. Malheureusement, l'histoire de la
maladie
y est toujours indiquée d'une manière très incomp
ccordé quelques développements dans un article consacré à l'étude des
maladies
paludéennes. — C'est évidemment au même ordre de
petite même qu'à l'état normal, et d'une consistance très dure, si la
maladie
a été de longue durée. Sa couleur est d'un rouge-
ont la signification et dont la portée étaient » Voir dans Ilaspel (
Maladies
de l'Algérie, p. 335) un cas qui se rapporte très
exister à titre d'affection primitive et in-dépendante de toute autre
maladie
; de nouvelles recherches sont également nécessai
tierce, rarement quarte ; l'apyrexie était souvent imparfaite, et la
maladie
avait une tendance mani-feste à prendre le type r
rébraux étaient des plus fréquents. — On ignore à quelle époque de la
maladie
la mélanémie prend naissance, mais il est certain
temps guérie. Dans tous ces cas, la mort était survenue par suite des
maladies
les plus diverses, et dans lesquelles la mélanémi
de faire ressortir, se manifester aux époques les plus diverses de la
maladie
pri-mitive, à laquelle ils se surajoutent : tantô
comateuses, etc., obs. III, p. 15, 1849, et Gazette médicale; Haspel,
Maladies
de l'Algérie, obs IV, V, p. 26S, 270. Paris, 1850
s, dans ces derniers temps, comme constituant un des caractères de la
maladie
de Bright ; seulement, dans les cas qui nous occu
ins présentèrent d'une manière non équivoque l'altération propre à la
maladie
de Bright4. Il semble établi, d'après cela, que l
ature and cure of dropsies. London, 1818, p. 42 et suiv. s Traité des
maladies
des reins, t. II, p. 469. 3 Clinique médicale, t.
de M. le docteur Vulpian, la coloration bron-zée de la peau, dans la
maladie
d'Addison, serait due à un dépôt de ma-tière pigm
r en quoi celte teinte bistrée diffère de la coloration bronzée de la
maladie
oV Addison: celle-ci serait-elle, comme celle-là
répandue sur toute l'étendue du tégument externe; tandis que, dans la
maladie
d'Addison, elle est disposée, sous forme de tache
t mentionnée d'une manière tout à fait exceptionnelle dans les cas de
maladie
d'Addison. Pour le dire en passant, les observati
aissance de la symptomatologie et de l'anatomie pathologique de cette
maladie
, l'une des plus intéressantes du cadre nosologiqu
nt le lien qui le rattache, à quelque autre point de l'histoire de la
maladie
. Bans la conviction où nous sommes que les faits
lequel nous n'avons pu avoir aucun renseignement sur l'histoire de la
maladie
. La nécropsie et l'examen microscopique nous ont
e, ceux qui ont été vus dans le sang d'un autre sujet mort de la même
maladie
par l'un de nous et par M. Ch. Robin (Société de
ce aux premiers rangs parmi les altérations caractéristiques de cette
maladie
, car ils seront l'indice inconnu jusqu'ici, et le
xtrait de la Gazette hebdomadaire, 1860, p. 755. QUATRIÈME PARTIE
Maladies
du système vasculaire. — Embolies artérielles et
ineuses. —Thromboses. — Endocardite. — Paralysies ischémiques, etc.
MALADIES
DU SYSTEME VASCULAIRE Gas de tumeurs fibrineuse
, mais je n'en trouve d'observations ni dans le tome II du Traité des
maladies
du cœur, ni dans le Mémoire sur les concrétions p
iquide contenu est, en effet, du pus; on les rencontre dans di-verses
maladies
: la phlébite, la pneumonie au troisième degré, e
and respira-tion. Svjaine's Trans. London, 1846. Forget. — Précis des
maladies
du cœur. Strasbourg, 1849. 3 Laënnec. — Traité
tte deuxième variété paraît correspondre à un degré plus avancé de la
maladie
: il est probable que la tumeur, d'abord solide d
chien de garde, matin, d'assez forte taille, et qui avait éprouvé la
maladie
dans les premières semaines de sa vie, s'était en
très prompte. Il était alors âgé de douze ans moins quelques mois. Sa
maladie
fut attribuée à ce qu'il avait mangé avec avidité
un cheval. Quoi qu'il en soit, ce fut quelques se-maines après que la
maladie
éclats.Dès le début, outre l'amaigris-sement et l
, 0» Beckmann 6 ; tout récemment dans deux traités classiques sur les
maladies
du cœur, MM. Bamberger 7 et Friedreich 8 se sont
spondre à Yendocardite gangreneuse de M. Bouil-laud. (Voir Traité des
maladies
du cœur, t. II, p. 29-87). 3 Virchow. — Ueber C
iverses parties du corps des taches ecchymotiques et des sudamina. La
maladie
présente une marche continue et reproduit, souven
e, p. 363). État typhoïde. — Mort treize jours après le début de la
maladie
. — Abcès multiples des poumons l. Le nommé V. A
ssez vigoureuse, cet homme assure n'avoir jamais été atteint d'aucune
maladie
, et avoir joui constamment d'une santé parfaite j
ée; celle du côté droit présente une atrésie ancienne provenant d'une
maladie
impossible à déterminer d'après les ren-seignemen
tuelle 1 et qui, à la suile de fatigues excessives, pendant une grave
maladie
de sa femme (fièvre typhoïde) est pris de frisson
nse. On le voit pour la première fois cinq jours après le début de sa
maladie
: la prostration, la cé-phalalgie, le météorisme
use de l'endocarde à forme typhoïde. Pendant les derniers jours de la
maladie
, l'affaiblis-sement fait des progrès, il y a de l
nstipation opiniâtre, et une aggravation ra-pide et progressive de la
maladie
, sans que l'intensité des phé-nomènes adynamiques
ements du cœur ayant été très fréquents, pendant toute la durée de la
maladie
, on conçoit combien il est facile de se tromper s
typhoïde s'est manifesté trois ou quatre jours après le début de la
maladie
. Il est probable qu'il s'était fait déjà pen-dant
par des concrétions iibrineuses et leurs parois épaissies (Traité des
maladies
des reins, vol. 111, p. 330 et suiv.). Voyez sur
neuse du ligament large, être prise, tout à coup, à un moment où la
maladie
paraissait en voie de guérison, sans l'interven-t
élée par des symptômes particuliers. Les auteurs qui ont traité des
maladies
puerpérales parais-sent avoir négligé, pour la pl
e à la pression, réaction fébrile intense. Au bout de trois jours, la
maladie
locale paraît rétrograder, mais le pouls reste tr
1 Extrait de la Gazette hebdomadaire, 1858, p. 755, 784,838. VI
Maladies
de l'aorte. On peut rencontrer, sur le trajet,
des fonctions qui lui sont dévolues, impri-ment un cachet spécial aux
maladies
dont il peut devenir le siège. Il est, partant, d
M. Louis en ont démontré l'existence dans la fièvre ty-phoïde et les
maladies
qui s'accompagnent d'une altération profonde du s
rite, suivant que la membrane externe ou moyenne est le siège de la
maladie
. Il réserve le nom d1endartérite aux altérations
croyons toutefois pouvoir élever des doutes sur la fréquence de cette
maladie
, et après en avoir rigoureuse-ment discuté les ca
ont été nettement consta-tées à l'ouverture du corps, la marche de la
maladie
et les symptômes ne ressemblaient guère à ce qui
a présence du pus ne pouvait laisser au-cun doute sur la nature de la
maladie
. On ne saurait donc at-tribuer une grande valeur
nte, surve-nant brusquement après les deux premières périodes de la
maladie
, sont, en réalité, les seuls indices qui permettr
rmanents du vaisseau. Étiologie. —Dans les cas bien avérés de celte
maladie
, les conditions suivantes paraissent avoir présid
ecine et de chinirgie pratiques, art. Aortite, et Traité c/inique des
maladies
du cœur. Paris, 1841. — Bizot. Recherches sur le
pour reconnaître, avec un bonheur qui nous étonne, l'existence de la
maladie
. D'ailleurs les conditions anatomiques qui présid
foration consécutive. Quandl'aorte, à son origine, est le siège de la
maladie
, la veine cave su-périeure, l'artère pulmonaire e
mais seule-ment une modification dans la nature etles symptômes de la
maladie
. Mais ce qui paraît plus extraordinaire, c'est qu
ndante. La dyspnée, l'un des phénomènes les plus constants de cette
maladie
, se présente dans les deux tiers des cas, selon L
és doit également se ranger parmi les conséquences possibles de cette
maladie
. Des embolies partant du sac anévrismal peuvent a
évrismes de l'aorte ont aussi leur cachexie, qui diffère de celle des
maladies
du cœur, en ce qu'elle est plus tardive à se mani
premiers accidents et la mort. Dans 30 cas rassemblés par Lebert, la
maladie
se termina : 1 fois dans l'espace de 6 mois 1
, elle peut résulter d'une syn-cope, d'un accès de suffocation, d'une
maladie
intercurrente, enfin du marasme, de la cachexie o
res symptômes ration-nels sont quelquefois communs à l'une et l'autre
maladie
. Quand les signes physiques fournis par l'explora
poumon. 7° Stridor et maLité dans la partie supérieure du poumon.
Maladies
chroniques du larynx. 1° L'altération de la voi
des ulcérations, des nécroses, seront, au contraire, attribuées à une
maladie
purement locale. 11 ne faut pas ou-blier, d'aille
leux. Les signes stéthoscopiques ne sont pas les mêmes au début de la
maladie
; d'ailleurs, la marche des accidents diffère com
troubles digestifs prononcés, pourront, dans les premiers temps de la
maladie
, être pris pour des cancers de l'estomac. Mais, d
as toujours la cause directe de la mort. Un accès de suffocation, une
maladie
intercurrente, peuvent emporter le malade, qui su
qui succombe quelquefois au marasme occasionné par les progrès de la
maladie
. Quant à la gravité relative des divers anévris
s phénomènes de com-pression seront pénibles, et plus la marche de la
maladie
sera rapide. Traitement. — Nous venons de voir
x pour combattre isolément les symptômes les plus incommodes de cette
maladie
. 1° Moyens curatifs. — A. Méthode débilitante.
tant, lorsqu'ils ne sont pas employés contre l'un des symptômes de la
maladie
. G. Régime. — En dehors de la méthode de Valsal
l'un des traits les plus caractéristiques et les plus constants de la
maladie
, et qui peuvent amener brusquement une termi-nais
cas exceptionnels. 9 Bibliographie. — Consultez : Les Traités des
maladies
du cœur, de Krey-sig, Burns, Corvisart, Hope, Wil
1788. — Scarpa. Sull'aneurysma. Pavia, 1804. — Hodgson. Traité des
maladies
des artères et des veines. Trad. Breschet. Paris,
ck en 1849 ; plus tard, Rokitansky a exposé, dans son Mémoire sur les
maladies
des artères, le résultat de ses recherches ultéri
sur l'ané-vrisme et la ligature des artères Genève, 1802.,— Hodgson.
Maladies
des artè-res et des veines. Trad. Breschet, 1819.
er, et l'on ne pourra s'appuyer alors que sur l'invasion subite de la
maladie
. Vemphyseme soudain, par perforation pulmonaire
ont été quelquefois observés. Enfin, à une période plus avancée de la
maladie
, on voit survenir de l'œdème et des épanchements
période moins éloignée, et se rat-tacherait aux symptômes de quelque
maladie
antérieure: d'ail-leurs, la paralysie des membres
tère axillaire (Bamberger) pourrait, à quelques égards, simuler cette
maladie
; mais l'exploration du pouls radial et crural ne
évident que la gêne de la circulation n'est qu'un épiphéno-mène de la
maladie
, dont la marche dépend essentiellement de la natu
itaux. Bibliographie. — Velpeau. Exposition d'un cas remarquable de
maladie
cancéi eti.se avec oblitération de l'aorte. Paris
uae. In Aet. phy. med. nat. Cur., t. I, p. 519. — Chabert. Traité des
maladies
vermijieuses dans les animaux. Paris, 1782, p. 19
comparée, n° 1. Paris, 1842. — Davaine. Trente des entozoaires et des
maladies
vermineuses de l'homme et des animaux domestiques
ncyclop. des sciences méd., p. 136), nous terminerons ici Y étude des
maladies
de laorte \ ' Ce travail fait en commun avec M.
le et attentive, on a vraiment peine à le recon-naître ». Une fois la
maladie
constituée, ces accès de paralysie douloureuse, s
mptemenl sacrifiés. On a pu ce-pendant suivre, dans plusieurs cas, la
maladie
jusque dans se; phases les plus avancées ; on a r
mbre de cas, parmi les symptômes observés à une certaine époque de la
maladie
. Nous avons entrepris ce travail et nous devons
nt M. Barlh a fait l'objet d'un travail important, nous voyons que la
maladie
, au début de l'affection qui devait aboutir à une
la jambe. — Guérison. — Comment ce fait se rattache à la clinique des
maladies
nerveuses. Claudication intermittente par oblit
-t-il votre enseignement, particulièrement consacré à la Clinique des
maladies
du sys-tème nerveux? Eh bien, Messieurs, le mal,
actères que nous avons relevés plus haut. Messieurs, une fois cette
maladie
constituée, elle persiste telle qu'elle, constitu
membre. (Pour plus de détails voir : J.-M. Charcot. — Leçons sur Les
maladies
du système ner-veux, 1887, t. III, p. 403.) M. Lé
lésion vascu-laire. Le traitement employé pendant cette période de la
maladie
a consisté en l'administration, chaque jour, de d
paralysé du sentiment et du mouvement. Pendant celte période de la
maladie
, l'adynamie va croissant; le coma se prononce de
t le souffle bronchique qui a été observé à une certaine époque de la
maladie
. Abdomen. — Le foie a son volume et sa colorati
-cères rappellent par leur aspect ceux qu'on rencontre dans certaines
maladies
générales, en particulier dans la morve, la syphi
telligence ne peut nous donner aucun renseignement sur le début de sa
maladie
actuelle. Dès son entrée à l'infirmerie, elle se
i succombent à la morve aiguë, à l'infection purulente, et à d'autres
maladies
dites générales. Les obser-vations qui ont quelqu
e cette manière de voir, rap-pelons que, dans des circonstances où la
maladie
affecte une marche très aiguë, l'apparition de la
ptoïques, et qui survient habi-tuellement dans les phases ultimes des
maladies
organiques du cœur, principalement lorsqu'il s'ag
II. Des pneumonies lobaires abortives. Dans le compte rendu des
maladies
régnantes du mois de mars 1865, fait à la Société
r de la commission d'attirer votre attention. Il a remarqué que cette
maladie
épargne les infirmes, qui sont forcément confinés
ennent. Et il pense qu'un grand nombre de ces derniers contractent la
maladie
dans les lieux d'aisances insuffisamment clos, et
nt à la collection de l'auteur TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE
Maladies
des Poumons PREMIÈRE LEÇON les instituts path
ec l'âge (Kussmaul, 1S66; Riegel, 1875). — Chalicose pa-thologique. —
Maladie
des tailleurs de meules (Peacock, 1860). — Phti-s
cavernes. — Caractères chimi-ques; emploi de l'acide fluorhydrique. —
Maladie
des potiers et des cé-ranciers ou peigneurs de li
bservés sur le même sujet................... 348 QUATRIEME PARTIE
Maladies
du système vasculaire. — Embolies artérielles et
phlébite oblitérante en général............................ 421 VI.
Maladies
de l'aorte.......................................
la jambe. — Guérison. — Comment ce fait se rattache à la clinique des
maladies
nerveuses. Claudication intermittente par oblit
bulettes, S0. Lymphangites tuberculeuses des chylifères, 260. M
Maladies
des aiguiseurs, 171; — des mouleurs en cuivre,
la médecine ont valu un plein succès à la clinique photographique des
maladies
de la peau,par MM. A. Hardy et A. de Montméja. No
ons recueillies jusqu'à ce jour, à « l'exception d'une, l'issue de la
maladie
a été funeste et la « mort est arrivée fparfois a
, il faut le dire, qu'un seul signe certain de « l'existence de cette
maladie
; c'est l'expulsion de quelques par- celles du po
a surtout « déterminé à pratiquer l'opération. « La marche de cette
maladie
est donc des plus insidieuses» « puisque d'une ap
rte que nous pouvons aujourd'hui diagnostiquer, traiter et guérir les
maladies
chirurgicales et médicales du larynx. Ces maladie
iter et guérir les maladies chirurgicales et médicales du larynx. Ces
maladies
sont variées à l'infini, et la lecture du chapitr
es parus en Allemagne, en Russie, en Angleterre, en Amérique, sur ces
maladies
pour être convaincu que nous ne savions rien, abs
et qui ont, tous les deux, repris leurs occupations comme avant leur
maladie
. Ch. Fauvel. Régénération de la cornée, après
occupe du goitre depuis quelque temps. Dans la Haute-Savoie, où cette
maladie
était autrefois endémique, les plus grandes améli
s nouveaux ateliers, on a déjà obtenu deux à trois cents spécimens de
maladies
de la peau, dont les modèles sont déjà copiés par
des ouvrages les plus recherchés et les plus importants relatifs aux
maladies
de la peau. Tous les médecins des hôpitaux pourro
le linge ; 4° Ce symptôme n'existe qu'au début du mal ; 5° Cette
maladie
, dont la marche naturelle est très rapide, se ter
river à un degré moyen, du troisième au cinquième jour, après quoi la
maladie
garde un statu quo plus ou moins long, puis dispa
op profondément placée, est difficilement appréciable, et aussi cette
maladie
est-elle le plus souvent prise pour une sciatique
yant pas encore été enlevés. Voici l'observation de la première des
maladies
dont je viens de parler : Par une incision qui
gauche a diminué de près d'un tiers, résultat très satisfaisant. La
maladie
dont nous venons de publier l'observation et une
azin et celle de M. Hardy sur ce sujet particulier. Pour M. Bazin, la
maladie
dont il s'agit appartient à un genre spécial d'af
D'un autre côté, M. Hardy ne voit pas dans le mycosis de M. Bazin une
maladie
particulière, une espèce nosologique spéciale ; i
E le nom de lichen hypertrophique qu'il a proposé de donner à cette
maladie
. L'observation que nous avons citée semble appu
trée à l'hôpital, il présentait les caractères bien tranchés de cette
maladie
à la partie supérieure des jambes, et, par l'effe
de ces manières de voir sur la nature du lichen hypertrophique, cette
maladie
est grave, très souvent elle résiste à tous les m
me confirmation pratique des opinions de M. Hardy sur la nature de la
maladie
, nous ajouterons que le malade a été traité par l
e malade a été traité par les moyens employés habituellement dans les
maladies
dartreuses, par les bains, par les applications é
qu'elle fut décrite pour la première fois, était considérée comme une
maladie
exclusive à l'âge adulte. M. Duchenne de Boulogne
éunir une quinzaine d'observations» et la fréquence relative de cette
maladie
prouve, aujourd'hui, la nécessité de la diagnosti
essive de l'enfance, car nous l'avions toujours rencontrée dans cette
maladie
. Voici, d'après le récit de la mère, comment s'
tint d'abord que personne, dans sa famille, n'avait été atteint d'une
maladie
semblable. Cependant elle déclare qu'à l'âge de t
eux garçons ont une autre sœur âgée de vingt ans qui a échappé à leur
maladie
. Sa mère dit qu'elle est grande et forte, comme s
muscles. Trois membres de sa famille avaient été atteints de la même
maladie
dans l'enfance : sa mère, son oncle maternel et s
donner nous paraissent présenter un tableau suffisamment exact de la
maladie
pour en bien résumer la description d'après lui.
rachis. L'altération anatomique de la fibre musculaire dans les deux
maladies
est différente ; dans l'atrophie musculaire de l'
issante, il avait pris de bonne Heure un embonpoint notable qu'aucune
maladie
n'est venue contrarier. Jamais il n'eut d'acciden
d'infirmier. — Aucun des membres de sa famille n'a été atteint d'une
maladie
semblable à la sienne. L..., jusqu'au début des t
ANCHE XII MOLLUSCUM PENDULUM Le malade affirme n'avoir jamais eu de
maladies
cutanées. Ses ongles ont toujours été très sains.
um que l'on range, de nos jours, dans la classe des fibromes, est une
maladie
de la peau caractérisée par des tubercules répand
dont un bel exemple se trouve représenté dans l'iconographie sur les
maladies
de la peau, par MM. Hardy et de Montméja. Quelque
des régions localisées du corps, rentre tout à fait dans le cadre des
maladies
de la peau. La seconde variété, au contraire, le
ion dans la ville de Paris, dans ses rapports avec la propagation des
maladies
vénériennes. Sous ce titre, les journaux spécia
it à une fiche sur laquelle étaient relatées les particularités de la
maladie
et du traitement; il était ainsi facile, lorsque
ile, lorsque le malade se représentait, de continuer l'histoire de la
maladie
; c'est sur 4,987 de ces observations qu'est basé
iculier sur la prostitution dans ses rapports avec la propagation des
maladies
vénériennes. L'auteur montre d'abord combien de
ses d'erreurs subsistent quand on cherche à savoir à quelle source la
maladie
a été puisée; le malade a eu des rapports à des i
» L'auteur recherche quelle part ont prises dans la propagation des
maladies
observées chez ses malades : in la femme légitime
illes de maisons de tolérance. Si l'on étudie pour chaque classe de
maladies
vénériennes la part de catégories, on voit que la
hancres mous, 171 chancres suivis de syphilis, en totalité 829 cas de
maladie
vénérienne. Dans 616 cas, la profession de la fem
(64). Autant qu'on peut s'en rapporter au dire du malade, 44 fois la
maladie
aurait été contractée dans des relations adultère
dées comme exerçant la prostitution clandestine. Le nombre des cas de
maladie
prise à cette source est de 541 : l'auteur les a
tinement la prostitution sur la voie pub lique ont donné 1,761 cas de
maladie
vénérienne. Si l'on classe les femmes suivant le
ion clandestine est plus dangereuse, puisqu'elle a donné 2,3o2 cas de
maladie
sur 4,070 malades de l'hôpital du Midi. Des docum
tées pour fait de prostitution clandestine, ont présenté 3,725 cas de
maladies
vénériennes; sur 2,3o3 arrêtées et visitées annue
à Saint-Lazare, tandis que les prostituées clandestines, atteintes de
maladies
vénériennes, continuent à les communiquer, puisqu
res plus fréquentes, peuvent diminuer notablement le nombre deseas de
maladies
contractées dans les maisons de tolérance ; mais
e loi promulguée le i3 septembre 1866, sous le titre de : Loi sur les
maladies
contagieuses, l'Angleterre donne aux tribunaux, a
e seule année, et pour Plymouth par exemple, la proportion des cas de
maladies
vénériennes dans la marine royale est descendue d
inement le plus efficace. Lorsqu'il n'atténue pas considérablement la
maladie
, il abat du moins les secousses, le:; soubresauts
surtout insisté Alard et M. Cazenave, se tire du début fréquent de la
maladie
par de véritables poussées inflammatoires, d'appa
de conformation. Pendant sa dernière grossesse, cette femme n'a eu ni
maladie
, ni aucune émotion, aucun trouble qui puisse expl
e ou paraît constituer l'expression unique par laquelle se traduit la
maladie
. Puis, au-delà de ce temps, se fait une explosion
virus a pénétré, d'une lésion qui constitue l'expression unique de la
maladie
. Deuxième entr'acte.—Aucun autre phénomène ne s
ces apoplexies rétiniennes. Nous n'avons trouvé aucun symptôme d'une
maladie
de cœur ou de quelque autre organe. Dans cet ét
traire sur ce point à celle de Van-Beneden, Chez le porc, il cause la
maladie
connue sous le nom de ladrerie, maladie observée
en, Chez le porc, il cause la maladie connue sous le nom de ladrerie,
maladie
observée sans doute dès les temps les plus reculé
m d'Elephantiasis des Grecs, Elephantiasis tuberculeux, etc., est une
maladie
chronique, constitutionnelle, héréditaire, caract
us ce nom les différentes manifestations de la Syphilis et les autres
maladies
cutanées , REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX
er rend ladre.) On a voulu distinguer plusieurs périodes dans cette
maladie
, mais en réalité elles ne sont pas aussi distinct
ur les bras du malade dont on voit ci-contre la photographie. Cette
maladie
débute dans certains cas par des accès de fièvre
u cercle sénile des vieillards, l'ouïe seule résiste au progrès de la
maladie
. Les tubercules dont la durée est plus ou moins
ns. La durée est ordinairement longue et varie suivant la forme de la
maladie
dont on a cependant cité quelques exemples de gué
changement de climat réussit ordinairement à entraver la marche de la
maladie
. On a recommandé les bains, les soins de propreté
nvestigations faites de tous côtés, dans le but de triompher de cette
maladie
, on en est encore en Amérique, dans le nord de l'
t ne s'est jamais alité jusqu'en 1855. Les premiers symptômes de la
maladie
pour laquelle il vint réclamer les soins des méde
l'auteur paraît avoir eu quelque velléité de désigner cette nouvelle
maladie
du nom de teigne linguale ; celle-ci se présentai
à neuf la chambre dans laquelle il a passé la dernière période de la
maladie
. » BIBLIOGRAPHIE Traité du diagnostic des mal
e période de la maladie. » BIBLIOGRAPHIE Traité du diagnostic des
maladies
chirurgicales, par Fou-cher et Després, professeu
nt et le zèle qu'il a mis à la remplir. Le Traité du diagnostic des
maladies
chirurgicales est rédigé suivant l'ordre topograp
re topographique qui permet de grouper clans une même description les
maladies
qui peuvent se développer dans une région, et les
tout entière et une longue pratique ; elles précèdent l'histoire des
maladies
chirurgicales envisagées en elles-mêmes, qui fait
iagnostic des ulcères et des fistules, des vices de conformation, des
maladies
des yeux, des oreilles, du larynx, des organes gé
c, permet au lecteur de ne jamais perdre de vue le type classique des
maladies
: les traités de pathologie chirurgicale fourniss
eurs, de M. A. Després, qui forme la seconde partie du diagnostic des
maladies
chirurgicales, se divise lui-même en deux section
remière partie de l'ouvrage. En résumé, le Traité du diagnostic des
maladies
chirurgicales s'offre au public médical comme un
t des cas de morts éloignées, qui peuvent être expliqués ou par des
maladies
étrangères à l'opération (Erckmann, Boeckel), ou
athologie externe qui résument d'une façon complète l'histoire de ces
maladies
, nous bornant à donner ici la photographie d'un e
dans les hôpitaux, spécialement dans le domaine de la chirurgie, des
maladies
ou des affections intercur- REVUE PHOTOGRAPHIQU
et on disserte encore sur le caractère essentiel de plusieurs de ces
maladies
, et l'on s'est mis à la recherche des moyens prop
n rechercher dans les installations propres aux individus atteints de
maladies
infectieuses? Est-ce l'isolement? Dans ce cas, le
affection du cuir chevelu dont l'aspect n'est pas celui d'un type des
maladies
de cette région. Certains eczémas de la tête peuv
bien à la présence des parasites végétaux qu'à l'envahissement d'une
maladie
dartreuse qu'il faut avoir recours à l'emploi du
her la difficulté. Nous empruntons à la Clinique photographique des
maladies
de la peau (i), deux planches qui en disent plus
e ; leur nombre est plus considérable que dans n'importe quelle autre
maladie
parasitaire : les tubes, au contraire, formés par
, dont trois de la même portée, qui n'ont présenté aucun indice de la
maladie
. Il est à remarquer que les manifestations du c
ue, on l'observe aussi dans Yhémorrhagie cérébrale ; mais, dans cette
maladie
, l'ascension thermométrique est précédée d'un aba
rés au-dessous de la température normale, tandis que dans la première
maladie
, la courbe part de la température naturelle. Qu
qui ne se manifestent guère que clans un stade bien plus reculé de la
maladie
. Les nodosités qui constituent la lésion représ
onserver aujourd'hui une pareille opinion, et l'on sait que plusieurs
maladies
, autres que le rachitis, peuvent produire des cou
nte des saillies en forme de choufleur, comme dans le cas présent. La
maladie
peut se localiser dans une portion quelconque d'u
a marche de l'éléphantiasis l'envahissement du tissu osseux par cette
maladie
; les os, en effet, ne sont atteints qu'en dernie
te constitution. Avant d'être enceinte, elle n'a eu ni rhumatisme, ni
maladie
grave. Sa grossesse a été naturelle, sans acciden
à la suite des phlyctènes. BIBLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des enfants, par M. J. Giraldès,
ldès, car à une vaste érudition il joint une pratique déjà longue des
maladies
chirurgicales des enfants, ayant, durant plusieur
es la plupart des leçons de M. Giraldès sur les malformations ou les ^
maladies
congénitales. Nous citerons l'hydrocéphalie, le s
déjà indiquées, le troisième fascicule en contient une série sur les
maladies
des yeux. Elles sont précédées d'une étude de la
Dans le quatrième fascicule, nous trouvons des leçons : i° Sur les
maladies
des organes génito-urinaires (hydrocèle de la tun
lecteur puisera d'utiles conseils sur les symptômes, la marche de la
maladie
, et sur les appareils les plus avantageux. Les
oneuse diffuse et le tétanos. En résumé, les Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des enfants sont appelées à rendre
chez les enfants........... i3 Emploi de la fumée d'opium dans les
maladies
des voies respiratoires .........................
icité d'une tumeur fibreuse........... 125 Traité du diagnostic des
maladies
chirurgicales par Foucher et Desprès...........
le typhoïde....................»...... 180 Leçons cliniques sur les
maladies
chirurgicales des enfants... 184 Éléments de ph
NEUROLOGIE ARCHIVES DE r, NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NEHVEUSES ET MENTALES] 1. 5 r. 1 o N n n. P m
A. JOFFROY Pt-uresseut'dechtnque 1 Professeur de clinique des
maladies
mentales à I, Faculté de médecine de Paris. 1
clinique (SIe-Ali lie). F. RAYMOND Piofasseur de cliniyue des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
anastomotiques de Duval et Laborde 6) 5 1 Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1893, 189t, IX, XI, XII, Paris, Mass
l'arachzzilis chronique, etc. (Thèse de Paris, 1822), et Traité des
maladies
du cerveau et des membranes, 1825. 22 CLINIQUE
tro- phiques ont pris de l'importance et ont été étudiés dans les
maladies
de l'axe cérébro-spinal, quoiqu'il ait été reconn
des paralytiques ne se manifestent qu'à la dernière période de la
maladie
. Il oublie également de noter s'ils sont oui ou
de médecine mentale, 1885, p. 318. Il. Schule. Traité clinique des
maladies
mentales, 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pr
maladies mentales, 1888,p. 342. 3 A. Cullerre. Traité pratique des
maladies
mentales, 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur
ue des maladies mentales, 1890, p. 363. y ` B. Bail. Leçons sur les
maladies
mentales, 2° édit., 1890, p. 861. 5 Traité de m
oubles trophiques n'aient pas davantage attiré l'attention dans une
maladie
du système nerveux qui s'étend aux méninges, ce
logique, afin de prouver que la méningo-encéphalite diffuse est une
maladie
de tout le système nerveux. Dans la paralysie g
865 3 d'abord, puis dans sa thèse inaugu- 1 Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1876. 2 Bulletin de l'Acad.
la paralysie générale, au point de vue de la marche clinique de la
maladie
, insiste sur 'les paralysies vasculaires consta
de Paris, 1867). 2 Artiozon. - Lésions trophiques consécutives aux
maladies
du syst. nerveux (Thèse d'agrégation, 1880, p.
erveux (Thèse d'agrégation, 1880, p. 81). 3 Brocq. - Traitement des
maladies
de la peau, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30
à créer un terrain, c'est-à-dire à favoriser le développement d'une
maladie
connue sous le nom d'ostéo-périostite alvéolo-
wski. Sur les altérations de la pupille el du nerf optique dans les
maladies
cérébrales (Union août 1866). ' Magnan. Signes
as avant la paralysie générale. Elles sont survenues au cours de la
maladie
et ne peuvent être que le résultat des troubles
ne fille bien portante. Pas de fausse couche. Le commencement de la
maladie
remonte à l'été de 1895. L... Elisa est de ta
cle Trophonévrose in Dict. Jaccoud. 2 Duhring. Traité pratique' des
maladies
de la peau. Trad. fran- çaise, 1883. 3 Kaposi
peau. Trad. fran- çaise, 1883. 3 Kaposi (Moritz). leçons sur les
maladies
de la peau. Trad. fran- çaise 1881. » * Charc
s de la peau. Trad. fran- çaise 1881. » * Charcot. Leçons sur les
maladies
du syst. nerveux faites à la Salpêtrière, t. I,
ie générale (Thèse de Paris, 1884). 9 Schiile. Traité 'clinique des
maladies
mentales, 3° édit., 1886. Trad. française Duham
tion par intervalles. Hésitation de la parole. » N'a jamais eu de
maladie
vénérienne. Pas d'enfant, pas de fausse couche.
ariée à 35 ans, n'a jamais eu d'enfant ni de fausse couche. Pas 'de
maladie
vénérienne. En 1887, elle buvait beaucoup de vuln
n 1887, elle buvait beaucoup de vulnéraire et liqueurs. Début de la
maladie
en 1889. Il y eut à cette époque hallucinations
liens conservés intactes. Idées hypocon- driaques prononcées. A une
maladie
dans le ventre, dans l'esto- mac, etc. ; elle s
lopécie disséminée sur Lotit le cuir chevelu, depuis le début de la
maladie
actuelle. Eschares sur les malléoles des deux p
ile est maigre, gâteux, inconscient, 11 était énorme au début de sa
maladie
, pesait 92 kilogrammes. 11 maigri^ beaucoup dep
abitudes alcooliques. 11 y est resté dix-huit mois. Syphilis ? La
maladie
actuelle date de 1895. Le malade fut pris de très
is que l'hypotonie a l'air de croître avec le déve- loppement de la
maladie
, on s'explique ainsi que les observations dans
ntral, car, d'ordinaire, on n'observe pas ces phénomènes dans les
maladies
fonctionnelles. P. KERA V AL. VI. Contribution
s cas examiner beaucoup de moelles d'individus n'ayant jamais eu de
maladie
du système nerveux. De nombreux examens cliniqu
e numérique, localisée ou généralisée ne s'observe qu'à la suite de
maladies
locales (traumatismes, brûlures, arthrites, etc.)
ages, qui permettent .entre antres de soigner « le malade et non la
maladie
». Malgré sa vénération pour Esquirol, il trouv
nsidérer comme fausse la théorie qui place le point de départ de la
maladie
de Basedow dans l'hyper- trophie du corps thyro
i président aux phénomènes d'où dérivent les divers symptômes de la
maladie
. D'après cette théorie, on est amené à penser q
penser que la section du sympathique doit modifier favorablement la
maladie
. C'est ce qui a lieu en. effet. Tous les cas de
lement cataloguées ; qu'il cesse d'être seulement un guérisseur des
maladies
de certains organes; qu'il soit, en plus du guéri
sure. (Annales médico psychologiques, février 1897.) E. BLIN. VI.
Maladie
E1' THÉOrsIES biologiques sur la genèse du délit
par l'embonpoint, elle mange avec voracité. M. Sollier attribue la
maladie
à la syphilis avouée de son père et aussi à l'h
piqûres elle les prend pour du feu. Dans le cours plus avancé de la
maladie
, sa définition des objets par l'ouïe et le touc
e même en prenant en consi- dération les principaux symptômes de la
maladie
et son cours avec oscillations continuelles; l'
tifique de ce cas, l'auteur juge utile d'in- diquer la marche de la
maladie
. Après avoir quitté laclinique enété 1896, la m
en diminuant graduellement; reste aussi le principal symptôme de la
maladie
, à savoir : l'épuisement excessif, qui surtout
é ,de rapporter la paralysie asthénique bulbaire à la catégorie des
maladies
à altérations ana- tomiques perceptibles. II.
Ces dernières modifications se rencontrent souvent dans différentes
maladies
infectieuses (myélite et encéphalite infectieus
une tare nerveuse dans sa famille. Antécédents personnels. Aucune
maladie
sérieuse avant l'affec- tion actuelle. Pas de n
ien portants. Il ne parait avoir dans la famille ni tuberculose, ni
maladie
nerveuse. Antécédents personnels. Scarlatine à
rain préparé, un organe plus spéciale- ment fragile par hérédité ou
maladie
foetale ou par conhtitu- tion acquise défectueu
lle pas qu'il ne serait pas plus logique de la considérer comme une
maladie
qu'il ne serait logique de considérer l'anasarq
mènes patholo- giques antérieurs, presque rien de l'étiologie de la
maladie
dont elle ne représente qu'une période, de même
enage intellectuel CONSIDÉRÉS COMME FACTEURS DANS LA PRODUCTION DES
MALADIES
NERVEUSES ET LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA RACE; par
la défec- tuosité mentale J. Un important agent de production des
maladies
mentales et nerveuses est le surmenage intellec
avation des caractères ou prédispositions à des formes spéciales de
maladies
inhérentes aux deux parties. (The alienist and
les suivantes : 1" Parmi les con- ditions liées à la pathogénie des
maladies
mentales chez le= émi- grés, il faut tenir comp
lytiques généi aux, il y en a 90 qui ont eu la rougeole; donc cette
maladie
infectieuse doit jouer un rôle dansl'étiotogie
car ces mêmes pourcentages on les trouvera pour une foule d'autres
maladies
, pour la rougeole, la fièvre typhoide, la scarl
qui établissent l'intérêt de ce symptôme dans quelques formes do
maladies
mentales. Parmi ces dernières, c'est dans la pa
Bien souvent l'ablation des ovaires calme les symptômes aigus de la
maladie
et provoque un état de stupeur tendant à la dém
endre le but et les conséquences de cette opération. Pour lui les
maladies
organiques ont une grande influence sur l'état
présentant des symptômes vraiment identiques. Dans tous les cas, la
maladie
débute brusquement sous l'influence de causes ord
e à croire que ces deux groupes ne constituent qu'une seule et même
maladie
. Certains cas de la forme imitative ressemblera
exécutée qu'à contre- coeur, bien qu'elle soit irrésistible. Cette
maladie
se rencontre prin- cipalement mais non exclusiv
Les réflexes restent normaux. Assez rare chez les jeunes femmes, la
maladie
devient fréquente chez celles qui ont atteint l
ce sujet, c'est de ' '' voir que chez des femmes d'un âge avancé la
maladie
se manifeste dans un sens qui parait absolument
ues malades par- venaient dans une certaine mesure à maîtriser leur
maladie
; mais il demeure assez sceptique à l'égard de c
médecin qui l'avait signé ne relevait aucun des symptômes de cette
maladie
à l'appui de son opinion : ce diagnostic d'aill
ralysie générale. R. DE Musgrave-Clay. XXIII. L'hérédité dans les
MALADIES
MENTALES; par J.-F. BRiscoE. (The Journal of Me
la paralysie générale sont l'alcoolisme, les excès vénériens et les
maladies
vénériennes. Les causes qui se rattachent à la
issante à la dégénérescence rapide et prématurée de la race. 10° La
maladie
se terminant invariablement par la mort, et ses
° Des symptômes inventés; le malade a des illusions, il a aussi des
maladies
qu'il n'a pas ou du moins qui échappent à toute
psychiques de dégénérescence, l'asfociation possible avec certaines
maladies
organiques du système nerveux (sclérose en plaq
taines maladies organiques du système nerveux (sclérose en plaques,
maladie
de Basedow) sont les principaux caractères de l
la confusion mentale n'est qu'un symptôme ou un épisode de diverses
maladies
, l'auteur étudie la con- fusion mentale primiti
usion mentale apparaît très fréquemment dans la convales- cence des
maladies
infectieuses, et son tableau clinique ressemble
. L'origine infectieuse de ces accidents ne semble pas douteuse; la
maladie
apparaît comme la manifestation d'un processus
malies somatiques, aussi peu délimité du type normal que l'état de
maladie
est séparé de l'état de santé. Il ajoute que parm
), tandis que leur action est nulle ou meurtrière dans les vraies
maladies
de Basedow (Moebius). « 2° Des opérations prati
nente du sympathique cervical, cause des principaux symptômes de la
maladie
; la paralysie du muscle lisse orbitaire intern
reparu- rentquelques jours après la cessation de ce traitement; la
maladie
il est vrai, s'était sensiblement modifiée ; le
accompagnent le texte. A. V. XIV. DISCUSSION SUR LE traitement DES
maladies
NERVEUSES ET mes- tales par les extraits organi
alysie générale, les soins hygiéniques ET ùLLDICUx A DONNER A CETTE
MALADIE
DANS LES ASILES. BT2E. med. joui-n., 26 septemb
a période initiale REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 163 d'excitation de sa
maladie
, comment éviter les accidents et les fractures
eilleurs sédatifs permettant de le diriger pen- dant le cours de la
maladie
? 5° doit-on se servir de l'isolement ? 6° comm
8 janvier 1896, époque de la rentrée de la malade à la clinique des
maladies
nerveuses, on a constaté : paraplégie inférieur
ation; la moitié supérieure du corps est normale. Evolution de la
maladie
. La maladie progresse lentement, mais continuel
moitié supérieure du corps est normale. Evolution de la maladie. La
maladie
progresse lentement, mais continuellement. L'an
s et adjoints des asiles de la Seine, du professeur de clinique des
maladies
mentales et de MM. Terrier et '1^G 6 BULLETIN B
14 décembre, l'Académie a décerné les prix suivants, concernant les
maladies
nerveuses et mentales : Prix Civrieux. 1.000
e. - * Il existe, dit Brocq3, chez certains indi- vidus atteints de
maladies
du système nerveux central ou périphérique, un
Voir Archives de Neurologie, n° 25. ' ' ' ' , 2 Lenoir. Journal.des
maladies
cutanées et syphilitiques, 1.1", n° 6. 1890, p.
tisfaction. Hési- tation de la parole. Inégalité pupillaire. » La
maladie
remonte à janvier 1894. On a remarqué dans l'en-
i, génér., 1878. ' Arnozan. Des lésions trophiques consécutives aux
maladies
du £ syst. 7 : eeM ? (Th. d'agrégation, 1888.)
trophies diffuses qui se montrent dans les dernières périodes de la
maladie
et qui sont dues aux névrites périphériques. Ho
conclut que l'amyotrophie peut revêtir deux formes principales : la
maladie
d'Arau- Duchenne (atrophie musculaire progressi
alité pupillaire. Habitudes alcooliques anciennes. » Le début de la
maladie
remonte à la fin de 1895. A cette époque, on a
s doute, pour donner la statistique des trou- bles trophiques d'une
maladie
, il faut la prendre au début et la suivre. Nous
lui aussi un enfant bien portant. Antécédents personnels. Pas de
maladie
générale antérieure grave. J... s'est marié apr
onfirme l'opinion que la paralysie générale est essentiellement une
maladie
, très diffuse, des petits vaisseaux et vient, p
anatomique, relative A UN cas DE diplégie, spasmodique congénitale (
maladie
de Liille) ; par GUISEPPE Maya et GuisEPPE LEVI
ns de la vue et de l'ouïe. Dans d'autres cas (forme convulsive), la
maladie
s'est traduite par des crises épileptiformes. L
hotographies accompagnent cet exposé. A. V. IX. Réflexions sur la
maladie
de Friedreich avec TROIS observa- T10N3; par He
7.) La conclusion importante de ces trois observations est que la
maladie
de Friedreich est une entité clinique très distin
c l'ataxie locomotrice qu'elle a le plus d'ana- logie dans les deux
maladies
, en effet, les cordons, postérieurs de la moell
er : 1, Les caractères généraux des symptômes et l'histoire de la
maladie
sont différents. 2° L'anatomie pathologique mon
itée aux cordons postérieurs et aux racines pos- térieures. Dans la
maladie
de Friedreich la moelle est invariable- ment pl
pourrait le faire croire l'apparition des premiers symplômes de la
maladie
telle la déformation du pied qui est sous la dé
acte n'a pu être déterminée, a démontré l'origine infectieuse de la
maladie
. On peut supposer que le curettage utérin, qui
r que le curettage utérin, qui a précédé d'un mois l'éclosion de la
maladie
a créé une porte d'entrée au germe mor- bide. A
paralysie bulbaire asthénique et polioencéphalomyélite sont deux
maladies
différentes résultant de lésions distinctes des m
spinales. Du reste, conclut l'auteur, puisqu'il n'y a pas une seule
maladie
qui, à un moment donné, ne soit un appel à l'hy
à l'hystérie, pourquoi nier l'existence d'une polyurie essentielle,
maladie
autonome aussi capable que tout autre de faire
précédemment par la date de son apparition et par son évolution. La
maladie
s'est déclarée à un âge avancé (soixante ans) e
ter le diagnostic de migraine oplitalmoplégique ; d'une part, si la
maladie
peut se développer à trente ans (cas de Charcot
qui a été atteinte, quatre mois après, d'une fièvre typhoïde. Cette
maladie
a retenti sur son état mental et provoqué la tran
ésie continue. Conservation de la mémoire des faits antérieurs à la
maladie
actuelle, perle presque totale du souvenir des
nsciente ; elle ne se développait plus complètement, au début de la
maladie
, que pendant les instants de sommeil et' amenai
paralysé. Aucun accident bulbaire ne s'est produit au cours de la
maladie
. Mais des troubles trophiques n'ont pas tardé à a
hulbe. Les racines rachidiennes paraissaient intactes. En somme, la
maladie
a présenté les particularités suivantes : début
dérables sans névrite périphérique appréciable. A. FENAYROU. XXV.
Maladie
familiale A symptômes CÉRÉBRO-3fÉDULLAIRES; parPA
O-3fÉDULLAIRES; parPAULY et Bonne. (Revue de médecine, mars 1897)
Maladie
survenue chez trois frères à antécédents et héréd
, toutefois plus prononcée chez le plus jeune, rappelant un peu une
maladie
de Littte. Chez les deux autres, la démarche es
st plutôt titubante. Ces cas correspondent assez bien au type de la
maladie
familiale : similitude des symptômes chez plusi
L'intérêt de ce cas consiste dans la rapidité de l'évolution de la
maladie
et dans l'apparition tardive des lésions médullai
s. Tous ces troubles de la mémoire surviennent dès le début de la
maladie
, et en général leur accentuation est un indice d'
eur rapporte ici le cas d'un paralytique général qui au cours de sa
maladie
était atteint d'une cécité psychique particuliè
. L'eau d'ailleurs n'est pas toujours potable, c'est un véhicule de
maladies
. La science prémunit contre les dangers de l'ea
ui était devenue tout à fait anormale ; mais en cas d'absence par
maladie
ou par vacances d'un ou de plusieurs médecins, ce
u) ; par Ed. Martaud. Intéressante étude de la forme légère de la
maladie
des tics convulsifs, dont elle se dislingue par
. L'émotion les exagère, le sommeil, l'attention, la volonté, les
maladies
fébriles, les manoeuvres hypnotiques les diminuen
pronostic sérail, bénin, n'était la prédisposition des malades aux
maladies
mentales ou nerveuses. Les traitements sont le pl
que de l'épilepsie. Mais cela ne veut pas dire qu'il s'agisse d'une
maladie
sine materia. Les symp- tômes de l'épilepsie pr
era décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des
maladies
mentales et sur l'organisation des asiles publi
ode où ils ont eu leurs enfants, le père et la mère n'ont eu aucune
maladie
infectieuse reconnue, ni aucune intoxica- tion
nq ans, paraissant plus jeune que son âge, sobre, n'ayant eu aucune
maladie
depuis son mariage. ' Annales de l'iiiiisexiial
s été parfaite, elle n'est pas nerveuse. Elle n'a jamais eu d'autre
maladie
qu'une légère blépharite ciliaire dans son enfa
t été, malgré cela, d'une grande sobriété. Il n'a jamais eu d'autre
maladie
que'son affection ultime qui a duré cinq mois.
à entrer au couvent. Elle revint sur cette résolution à cause d'une
maladie
d'yeux ( ? ). Grand-père paternel, cultivateur,
ous répète-t-on, elle paraissait abso- lument normale. Pas d'autres
maladies
, ni d'accidents cons- tatés. Etat actuel (déc
à développer un mal terrible. Enfin, la suppression du vin dans les
maladies
et L'ALCOOLISME AU CONGRÈS DE BRUXELLES 301 l
ystème nerveux SUR LES processus NUTRITIFS, A l'état DE santé ET DE
maladie
; par le Dr BEVERLEY, 0. ICI\- NEAR. Considér
e la circulation sanguine à travers le corps résulte la santé et la
maladie
survient quand l'équilibre soit local, soit génér
oit local, soit général, est détruit. Aussi toutes les formes de la
maladie
se caractérisent à leur début par un excès ou u
s'est écoulé plus de temps entre l'infection et l'apparition de la
maladie
cérébrale. C'est le traitement mixte qu'il faud
érales d'auto-infection; par le Dr CL.nKG. La base auto-toxique des
maladies
nerveuses est de toute évi- dence en mainte cir
ou- vements a toujours été considérée comme caractéristique de la
maladie
, si bien qu'on a attribué à ces mouvements le qua
VI. Neurasthénie; par le D1' Hersman. La neurasthénie n'est pas une
maladie
, mais une condition : elle n'est pas localisée
rare de la voir exister seule que de la trouver associée à d'autres
maladies
fonctionnelles. Toutefois, tant au point de vue
er une entité bien déterminée. Les divers symptômes primaires de la
maladie
seront tous, quelle que soit la fonction consid
E PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXIX. A propos D'UN cas très intéressant DE
maladie
D'.\DDISON. Cancer associé A la TUBERCULOSE DES
ar le Dr BONARDI. Cliniquement le malade présentait des signes de
maladie
d'Addi- sou, associés à quelques symptômes tabé
is à la période ataxique ne forment pas une com- plication de cette
maladie
. Ils ne sont qu'une manifestation parti- culièr
? ), convulsions épileptiformes à trois ans ; premiers signes de la
maladie
actuelle remarqués à seize ans. Marche toujours
Norme con- sidèrent leurs cas comme des arrêts de développement. La
maladie
de Friedreich et l'ataxie cérébelleuse peuvent
taxie cérébelleuse peuvent être des formes dif- férentes de la même
maladie
; il y a des cas où les deux syndromes sont simu
leurs et hyperesthésies superficielles éloignées quiaccompagnentles
maladies
viscérales, l'auteurcherche à déterminer ici le
précieux, car ils ne se produisent plus à une période avancée de la
maladie
et ne se manifestent qu'en présence d'un coeur
upuleuse les douleurs et hyperesthésies à distance accompagnant les
maladies
de la plèvre et du poumon. Ici encore elles son
90.) La malade, âgée de trente-cinq ans, mourut après huit ans de
maladie
avec pieds, mains et tête déformés de façon carac
inaccoutumés dans un cas de paralysie bulbaire incontestable. La
maladie
a débuté à l'âge de treize ans par l'affaiblissem
325 labilité relative que l'auteur appelle « névrose », et non une
maladie
déterminée; c'est elle qui est le résultat natu
e. Il y a l'hé- rédité d'une plus grande réceptivité pour certaines
maladies
conta- gieuses ; propension de tous les membres
que dans certaines lignées elle ouvre la porte de préférence à des
maladies
physiques déterminées (cancer, tuberculose, gou
enfin n'est pas un symptôme de l'hystérie, mais celle-ci est une
maladie
du moi subliminal, un désordre du substratum hypn
t le même et les grands traits caractéristiques et essentiels de la
maladie
, déterminés par Lassè,,ne se retrouvent dans to
ttirer tout particulièrement l'attention de ceux qui s'occupent des
maladies
mentales, ce sont les relations de la folie ave
les relations de la folie avec l'organisme entier, avec les autres
maladies
du système ner- veux aiguës et chroniques, et p
eux plus modernes de délire aigu, de manie grave, de typhomanie, de
maladie
de Bell, de manie délirante aigué, et de délire
une place définie comme entité clinique, dans la classification des
maladies
mentales. L'auteur cite une liste de 15 cas d
ontribution à l'étude des rapports de l'aliénation mentale avec les
maladies
viscérales. Il s'agit d'un malade admis à l'asi
seur de clinique psychiatrique, M. Francotte propose de grouper les
maladies
mentales dans l'ordre suivant : 1° les psychose
pitaux publics pour les aliénés, il existe un assez grand nombre de
maladies
générales pour en former un service spécial dan
prendre aussi bien les soins à donner au corps que ceux à donneraux
maladies
du cerveau. Le nombre des gardiens devrait être
dominal existe à peu près constamment chez l'homme sain. Dans les
maladies
autres que celles du système nerveux, il n'a pas
certaine importance au point de vue diagnostique. Dans les autres
maladies
du système nerveux, paralysie générale, paralysie
le à marche rapide. Il ne s'occupe pas de la paralysie générale des
maladies
aiguës. 19. Contribution à l'étude des rapports
ro-paralytique 2" le diagnostic différentiel de la névrose et de la
maladie
orga- nique. Dans l'association hystéro-paral
ques gêné- 346 BIBLIOGRAPHIE.^ raux et lorsque le fait existe, la
maladie
organique, comme l'avait signalé M. Régis en 18
'après les caractères des troubles intellectuels et la marche de la
maladie
que l'on pourra établir le diagnostic. 20. De l
ur a réuni un ensemble de documents intéres- sant le traitement des
maladies
nerveuses et en particulier la plu- bibliograph
aux deux grands groupes de la neuropathologie : les névroses et les
maladies
organiques. Dans les quatre premiers chapitres so
. Dans le dernier, l'auteur relate différents cas de névroses ou de
maladies
organiques diverses, qu'il lui a été donné d'ob
la morphinomanie, la migraine, la crampe des écrivains et, pour les
maladies
organiques, à la sclérose en plaque, au tabès,
a appelé, méthode qui repose sur un prin- cipe ainsi formulé : « La
maladie
est la saleté du corps et l'eau est ce qui nett
océdés hydrothérapiques dans 3SO bibliographie. le traitement des
maladies
nerveuses et des moyens qui en sont les auxilia
rtient surtout aux aliénés atteints de mélancolie, chez lesquels la
maladie
se manifeste par des sensations incommo- de-, p
amais retrouver leurs facultés perdues. Se croyant atteints d'une
maladie
incurable, contre laquelle on ne peut rien, ils r
i même pour leurs enfants'. » Dépossédés de leur organisme par la
maladie
, ils ne peu- vent plus percevoir comme avant ;
ogique, 1866. - Esquirol, OEuvres complètes, p. 414. 3 Traité des
maladies
nerveuses, Paris, f 81G. 360 PATHOLOGIE MENTALE
d. De l'hypochondrie. ! Névrose cérébro-carcliaque, p. 75. ' Ribot.
Maladies
de la personnalité, p. 63. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQ
que, t. 1, p. 289. L'Intelligence, 4' éd., t. Il, App. ; Ribot. Des
maladies
de la personnalité, p. 105. ' 2 Cotarr], p. 325
Fragm. psych., 183, p. 433. * Luys. Traité clinique et pratique des
maladies
mentales, 1881, p. 239. ' Séglas. Loc. cit.
giques sur la folie. . ' Dagonet. Observations, p. 238. (Traité des
maladies
menta- les, 1876.) , 366 PATHOLOGIE MENTALE.
acquises et du sens dans lequel son éduca- ' Cotard. Eludes sur les
maladies
mentales, p. 426. Griesinger. Traité des maladi
d. Eludes sur les maladies mentales, p. 426. Griesinger. Traité des
maladies
mentales, trait. Doumic, 1865. 368 PATHOLOGIE M
re qu'un avec le diable. Gt,iesitiger. - Loc. cil, 1). 55. ! Ribot.
Maladies
de la personnalité. costard. Le délire d'énormi
'en esquisser à soi-même les mouvements *. ' Esquirol. Traité des
maladies
mentales, Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére.
maladies mentales, Paris, 1838, t. I, p. 517. * Fodére. Traité des
maladies
mentales, Paris. ' Guislain. Traité sur l'alién
catégorie. Si j'ai tenu à insister sur les signes cliniques de la
maladie
, c'est que le diagnostic lui-même permet de rap
ales de l'organisme et de compenser de cette façon les effets de la
maladie
. Il est plus que probable que si tous les syphi
tion devient plus pressante encore dans la période alaxi- que de la
maladie
et il s'y ajoute deux autres indications bien p
rale, ne sont que des lésions d'encéphalite simple. Il n'y a pas de
maladie
chronique du cerveau qui n'ait pu, à un mo- men
ire de cette rareté un argument contre l'origine syphilitique de la
maladie
. On pourrait répondre que si personne ne prend
se de la paralysie générale. S'il n'y avait là qu'une seule et même
maladie
on ne verrait pas guérir par le traitement spéc
dant le mercure et l'iodure sont sans influence sur la marche de la
maladie
. M. A. Voisin répond qu'il a voulu surtout conf
scientes, refus d'aliments; vers la moitié du mois de dé- cembre la
maladie
entre dans sa phase adynamique avec troubles tr
actéristiques de la paralysie générale. Passant à l'évolution de la
maladie
, les auteurs admettent des cas de délire aigu à
omiques bien manifestes, par suite de l'évolution trop rapide de la
maladie
. En comparant les résultats de leurs recherches
Une femme, âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la clinique des
maladies
nerveuses, le 24 novembre 1895, avec des phénomèn
eux cas de compression de la moelle épi- nière. Observation I. La
maladie
a duré deux mois et demi et s'est terminée par
de un demi -centimètre (virgule de Schultze). OBSERVATION Il.- La
maladie
a duré trois ans et demi, ayant débuté apparemm
ette hypothèse simple qui répond le mieux au tableau objectif de la
maladie
. L'excitation centrale du sympathique présente
ens. Durant le même temps, il s'adonna activement à la pratique des
maladies
nerveuses, fut nommé membre de plusieurs Sociét
e, à la Neurologie et à la Psychiatrie. Depuis plusieurs années, sa
maladie
l'avait éloigné de l'enseignement, de la client
)'<Mce ! «',del'/) ! C ! 'se : ft'; l'histoire de cette terrible
maladie
qui va peut-être devenir une rareté, mais qui,
son tra- vail.(Petit Parisien, 10 avril 1898). ' Enseignement des
maladies
MENTaLES.- M. le D1' Chénieux, direc- teur de l
ysies légères. Depuis, il n'a jamais toussé. Il n'a eu aucune autre
maladie
infectieuse. Il me éner- giquement la syphilis,
u début, devient, à une période plus avancée, et sur- tout quand la
maladie
passe à l'état chronique, à la fois moral et ph
ux influences exté- rieures des souffrances qu'ils éprouvent et des
maladies
dont ils sont atteints. L'anxieux, lui, trouve
utre partie qu'il attribue à une personne étrangère. ' Griesiner.
Maladies
mentales, traduction Doumie, p. 285. a Théorie
mné, qu'il demande à être rebaptisé, et marmotte cons- ' Esqtjirol.
Maladies
mentales : De la démonomanie, t. I, p. 509-511.
tales : De la démonomanie, t. I, p. 509-511. 1. Marcé. Traité des
maladies
mentales, p. 12. Fei,telii, Opéra. Gêneuse, 1.
n'a pas apprises et qu'il ne comprenait pas avant l'invasion de sa
maladie
, etc. Si maintenant nous passons aux faits clin
on agit pour elle et par elle. Elle se croit la cause de toutes les
maladies
qu'elle voit autour d'elle. La certitude où ell
.) A cette période la démonopathie affecte une forme 1 tiriesinger.
Maladies
mentales, p. 2SG-`357. 2 Jlichehs. l'aeunzalolo
niaques, ces luttes douloureuses, où le naturel, perverti par une
maladie
méconnue, l'emportait souvent sur le naturel hon-
étude a pour but d'isoler en une entité clinique comparable à la
maladie
de Lasègue, ainsi qu'avait commencé à le faire
roduirait de la glycosurie et d'autres effets moins habituels de la
maladie
de Basedow. ' ' On peut donc concevoir le goi
aques motrices terminales dans certaines auto-intoxications dans la
maladie
bronzée d'Addison ou dans le diabète, par exemple
ement du faisceau pyramidal, trouble évolutif caractéristique de la
maladie
de Little. A. FENAYROU. LXXXII. La non-équivale
elles, qui indiqueraient, outre la décharge des centres irrités, la
maladie
de ces centres. C'est ainsi qu'il existe des ép
ravail se termine par des conclusions suivantes : l'étiologie d'une
maladie
doit expliquer toutes les formes de cette affecti
IVAY. XVJ. Thèses de la Faculté de médecine de Paris, relatives aux
maladies
mentales et nerveuses durant l'année scolaire 1
e puerpérale. Haidar (Hussein). Le rôle de la crois- sance dans les
maladies
.- Hazemauu (Hobert). Leshomicides chez les absi
Contribution à l'étude de la neuras- thénie. Kornhold (Adolphe). La
maladie
de Thomsen. Kuss (Charles). Une nouvelle théori
e Little. Levis (Georges). Des troubles de la menstruation dans les
maladies
du système nerveux. Lévy (Edmond). Des accidents
ndry). Etude lilsto- rique et critique. (Travail de la clinique des
maladies
du système nerveux). Marty (Albert). Du traitem
paralysie générale. Kieonoff (Serge). Contribution à l'élude de la
maladie
de Thomsen. O*Followel (Ludovic). L'anesthésie
itique. Sellerier (Edouard). Considérations sur la pathogénie de la
maladie
de Basedow. Sergent (Ernest). De l'hydrocéphali
taient placés des tuberculeux, par exemple, pourrait transmettre la
maladie
. Cette objection est plutôt théorique ; toutefo
plusieurs sorcières qui passaient pour avoir des remèdes contre les
maladies
, les sortilèges et les maléfices. Consultées parl
Rapport des névroses avec la grossesse et l' -, par Tarnier, 232.
Maladies
nerveuses de l'enfant et - difficile et pré-
ADDISON. Cas très intéressant de malade d' -, par Bonardi, 315.
Maladie
d'-etcapsules surrénales, par Auld, 320. Agra
CuoRKE. Tremblement dans la -, par llUem, 312. Classification des
maladies
men- tales, par Francotte, 339. Colorai ion.
e, par Régnier, 346. Extrvits organiques dans le traite- ment des
maladies
nemeuses, par Itobortson, 161 . Facial Allure
ez un - moral , par Causer et Angtolella, 143. * l'iliEDREICli.
Maladie
de -, par . il. L3ramwell, 227. Gaucher. Phén
ivalence ries - cérébraux, par lilippel, 482. ! ! EKi'.DnË dans les
maladies
men- tales, par Briscoe, 1 18. Récents travau
es uervew du -, 221. Evolution riu , par Il. Marie, 184. Latui.
Maladie
mentale des Malais, 145. Luire aiuhiue. Exist
. Existence du , par. - Paihtas,2H. - , 536 TABLE DES MATIÈRES.
Maladie
familiale à symptômes cérébraux bulbaires, par
près ablation des capsules surrénales, par Douetti, 409. Tabès.
Maladie
mentale associée au autre que la paralysie géné
x analysées par Régis et liobert, 260. -de l'ai is, relatives aux
maladies
nerveuses et mentales en 1896 et 1897, 509. T
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE ? LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX z ? -Imprimeries réunies, B,
ecteurs. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
TRIBUTION A L'ETUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES
MALADIES
ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 1 (Sclérose en
té et d'expérience, il se trompera aisé- « ment et attribuera à une
maladie
essentielle et propre à tel organe, « les sympt
iné une malade et que je ne trouve rien en elle qui se rapporte aux
maladies
connues, je regarde l'affec- tion dont elle est
ections des systèmes respira- toire, digestif, etc., comme diverses
maladies
du système nerveux. Pour ce qui concerne la pat
un côté peu exploré jusqu'ici : à la simulation par l'hystérie des
maladies
organiques de la moelle épinière. Nous avons, d
e sujet, en étudiant non pas la simulation hystérique de toutes les
maladies
de la moelle le pro- gramme serait trop vaste e
us de nos forces mais uni- quement la simulation par l'hystérie des
maladies
organiques spinales et en particulier du tabès,
e, les traits 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1LI'$TItI$IiE. d'une
maladie
organique de la moelle. Et comme corollaire oblig
tion d'une chose par une autre, c'est- à-dire, dans l'espèce, d'une
maladie
organique spinale par l'hystérie. Pour quelles
e par l'hystérie. Pour quelles raisons la névrose simule-t-elle les
maladies
organiques de la moelle ? Question délicate s'i
fficile de donner une réponse absolument satisfaisante. Quoique les
maladies
du système nerveux forment des espèces morbides
même des névroses, etdel'hystéric surtout, de revêtir le masque des
maladies
organiques en leur emprun- tant leurs symptômes
jours, et soit- vent très étroitement, de celle qui se rattache aux
maladies
à lésions matérielles. Et la ressemblance est p
, cette propriété qu'ont les affections sine materia de simuler les
maladies
organiques... Cette ressemblance, qui désespère
ation entre l'hystérie et les affections 1. Charcot, Leçons sur les
maladies
du syst. nerv., t. III, p. 1G. G NOUVELLE ICONO
erçu qu'on rencontre dans l'hystérie les élé- ments primordiaux des
maladies
de la moelle. Que, chez certains hystériques, c
ifficultés. L'hystérie ne donne pas un brevet d'immunité contre les
maladies
organiques de la moelle, bien au contraire; pou
hèse qui voudrait attribuer toutes les manifes- tations à une seule
maladie
, à l'hystérie ou à la myélopathie, reposerait s
seul grand diagnostic à faire : celui de l'hystérie. En effet, les
maladies
de la moelle nous sont aujourd'hui trop fami- l
r assombrir, d'une manière indirecte, il est vrai, le pronostic des
maladies
de la moelle. Règle générale, les myélopathies
sque qui nous est encore peu connu, et de prédire la guérison d'une
maladie
qu'une méprise faisait consi- dérer comme incur
arfait des névroses ; la sclérose en plaques représente le type des
maladies
organiques. Ce sont pourtant là les deux affect
un homme de soixante-dix-neuf ans, sobre, qui n'a jamais eu d'autre
maladie
qu'une fluxion de poitrine. Sa mère est morte à c
nfance, D... a toujours été faible et délicat, sans faire jamais de
maladie
. A l'âge de douze ans, il a appris le métier de
l ct cinq ans, notre malade a perdu sa femme après dix-huit mois de
maladie
. Il a eu pendant tout ce temps beaucoup de chagri
ri- vations de toute espèce. C'est au milieu de ces malheurs que sa
maladie
a débuté par une céphalalgie très vive et par d
rique. Ses antécédents héréditaires névropathiques, l'absence d'nne
maladie
infectieuse qui, d'après MM. Charcot et Marie, es
la rougeole. Il a aussi pissé au lit jusqu'à dix ans. l'as d'autres
maladies
. Pas de syphilis, pas s d'acoolisme. En 1870 (à
bles tro- phiques. Le malade dit avoir maigri depuis le début de sa
maladie
. C'est néanmoins un homme robuste et vigoureux.
t à fait sèche. Le carac- tère de ce malade s'est modifié depuis sa
maladie
: il est triste, déprimé; il a perdu beaucoup l
Si on ne tenait compte chez ce malade que du mode de début de la
maladie
actuelle : vertiges, attaque épileptiforme suivie
0 à l'hôpital Necker. Antécédents. Le malade n'a jamais eu d'autres
maladies
que les fièvres paludéennes en 1869. Il y a tro
a malade a eu du méloena à diverses reprises. Depuis le début de sa
maladie
elle a de l'amnésie portant sur des faits récents
. 32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA AL p : £ T 1\ l ÈRE. Début de la
maladie
actuelle. Il y a un an, il a eu de la céphalalgie
ment articulée ; le nystagmus et la diplopie manquent; enfin, toute
maladie
infectieuse fait défaut dans les anté- cédents,
spéciales, distinctes de l'hystérie et susceptibles de simuler les
maladies
organiques de la moelle C'est Westphal qui, en
de névrose ophthalmoplégique vu déjà par F. Warner. Il s'agit d'une
maladie
de Graves suivie d'ophthalmo- plégie externe. H
térique, l'ophthalmoplégie externe semble plutôt en rapport avec la
maladie
de Basedow. Tel est à peu près le bilan des pseud
. Très vraisemblablement, l'époque n'est pas éloignée où toutes les
maladies
organiques spinales seront doublées d'une névro
qui attribuait à l'hystérie tout ce qui ne se rapportait pas à une
maladie
connue. Nous ne voulons et ne devons, dans cette
onger à la neu- rasthénie, à l'alcoolisme, au saturnisme, etc., aux
maladies
infectieuses. Ces éliminations faites, on serai
'application de pointes de feu le long de la colonne vertébrale. La
maladie
dont il s'agit rentre certainement, par son aspec
t des mains et de la langue. L'évolution seule juge la nature de la
maladie
. Il s'agit ici tout sim- plement d'un syndrome
ystérie, d'un de ces syndromes que nous étudions. L'évolution de la
maladie
,la guérison des accidents sans l'intervention de
it. L'opinion, qu'on avait déjà émise, était qu'il s'agissait d'une
maladie
fonctionnelle. Le D' Playfair m'écrivait en novem
anomale. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des
maladies
dusystemcnervou'c. (A suivre.) 1. Vulpian, Ma
Antécédents personnels. Le malade ne se rappelle avoir fait aucune
maladie
étant enfant. De quatorze il dix-huit ans il eu
avoir fait la campagne de 1870 à 1871, pendant laquelle il n'eut ni
maladies
ni blessures, il acheva son service dans les co
ette époque (1870) jusqu'en 1888, le malade n'eut absolument aucune
maladie
. Histoire de la maladie actuelle. - Elle débuta
'en 1888, le malade n'eut absolument aucune maladie. Histoire de la
maladie
actuelle. - Elle débuta dans le courant de l'anné
ment. Il avoue avoir fait quelques excès alcooliques au début de sa
maladie
, lorsque, accablé d'une lassitude perpétuelle, il
DE L'O1'IITiIALIIIOPL$GIE EXTERNE. 59 bien qu'après quatre mois de
maladie
, Peyn ? complètement infirme, demandait à entre
de y remédiait en partie en contractant son frontal. Aujourd'hui la
maladie
est en voie d'amélioration : la chute de la pau
yxie locale, permanente, portée à un degré rarement atteint dans la
maladie
de Raynaud. » Mais, le malade ayant quitté l'hô
était déjà hors de notre portée. Nous n'avons sur cet épisode de sa
maladie
que les renseignements suivants : entré dans le s
tudié ce malade avant nous. Mais depuis cette première atteinte, la
maladie
a affirmé plus nettement sa nature par l'appari
e goût du sulfate de qui- nine pour qui en a déjà pris et l'idée de
maladie
et de fièvre; l'odeur d'un parfum et l'idée de
GEORGES GUI\0\, SOI'IIIE WoLTKE (D'ODESSA), Chef de clinique des
maladies
nerveuses. Docteur en médecine. Le Gérant : Emi
à l'idiotie; mais nous ignorons absolument dans quelles limites ces
maladies
sont curables ou susceptibles d'un traitement que
de paralysie générale ou bien du tremblement symptomatique de la
maladie
de Basedow. Ce tremblement hystérique vibratoir
mble- ments alcoolique, de la paralysie générale progressive, de la
maladie
de Basedow), nous a paru devoir être distrait d
. Il est marié et père d'un enfant âgé de six ans. Histoire de là
maladie
. Un jour du mois de septembre 1887, le malade v
: celle-ci franchement hystérique. Antécédents personnels. Pas de
maladies
de l'enfance; a fait son ser- vice militaire sa
thèse de notre ami Souques sur les syndromes hystériques simu- des
maladies
de la moelle. Ons. IX (de M. Pitres, in Progrès
tribution à l'étude des Syndromes hysté- riques « simulateurs » des
maladies
organiques de la moelle épinière (Nouv. 7eoMo ?
peu près seule à accaparer le rôle de grande simulatrice des autres
maladies
organiques et inorganiques du système nerveux. Si
sclérose en plaques. A.DUTIL, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux. (A suivre.) CONTRIBUTION
TRIBUTION A L'ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES
MALADIES
ORGANIQUES DE LA MOELLE KPIMHRn (Sclérose en pl
ou- vait dans la même salle qu'une autre jeune fille affligée de la
maladie
des tics convulsifs. Un matin, en entrant dan
ions suivantes : « J'ai vu, dit-il, l'hystérie se combiner avec des
maladies
organiques très diverses du système nerveux centr
t et G. Guinon ont dé- montré qu'elle est souvent provoquée par les
maladies
organiques spinales : tabes, sclérose en plaque
aniques spinales : tabes, sclérose en plaques, atrophie musculaire,
maladie
de Friedreich, mal de Pott, etc. La fréquence d
les antécédents, par l'étiologie, par l'âge, par l'évolution de la
maladie
. Il nous semble inutile d'insister sur ce point
L'apparition des accidents à un âge avancé, indépendamment de toute
maladie
infectieuse, plaidera plutôt pour l'hystérie. Enf
égie est celle qui ressemble le plus aux paralysies causées par les
maladies
organiques de la moelle ». « J'ai vu, dit I-Iammo
riques, Thèse de Paris, 1852, p. 34. 3. Leyden, Traité clinique des
maladies
de la moelle épinière. Traduction par MM. Richa
on par MM. Richard et Viry, 1879, p. 361. 4. llammond, Traité des
maladies
du système nerveux. Trad. par Labadic-Lagrave,
d. par Labadic-Lagrave, 1879, p. 8118, 5. Charcot, Leçons sur les
maladies
du système nerneux, t. III, et Leçons du mardi,
le malade a dans sa jeu- nesse élé al lein d'épilepsie( ? ). Celle
maladie
aurai 1 cessé complètement depuis trente ans. I
igraines. En 1889 il eut un catarrhe de la vessie. Histoire de la
maladie
actuelle. Eu janvier 1890 le malade fui atteint,/
huit. Tout cela resta sans influence bien nette sur l'évolution de la
maladie
, qui était d'ailleurs sujette, presque d'un jou
on. Il est possible qu'on ne doive pas l'attribuer au progrès de la
maladie
elle- même. En effet le malade était médecin, s
C'est aussi par les phénomènes oculaires, ptosis, diplopie, que la
maladie
a débuté dans le cas de Sachs, et ce n'est qu'au
ssa de paralysie à la suite. Jusqu'à vingt ans il n'eut pas d'autre
maladie
. Dans un voyage au Pérou, il fit une chute de c
artisan de Nudcrsthof, près Wit- tenberg, entrée à la Clinique des
maladies
nerveuses le 16 janvier 1889. Elle souffre depu
aiblesse et de pesanteur dans les quatre membres et dans le cou. La
maladie
a commencé après une peur violente (on avait fr
telles, si grandes et apertes que vous garissez d'une très horrible
maladie
qui s'appelle les 1. Laïque. 2. Abbé Oroux, H
re maitre, M. le professeur Charcot, une jeune fille atteinte d'une
maladie
inso- lite, exceptionnelle, qui ne semble pas a
tard, d'avoir une idée exacte et des débuts et de l'évolution de la
maladie
. Voici d'abord l'observation que notre maître M.
auf quelques ganglions au cou. ' , L'enfant ne se rappelle pas de
maladies
graves dans sa première enfance. Les seuls rens
sa fille. Nous l'avons interrogée sur sa santé, sur le début de la
maladie
de sa fille, et sa mémoire et ses réponses sont p
. Dans sa première enfance, elle n'aeu ni fièvre éruptive,ni autres
maladies
des enfants. A partir de l'âge de cinq ans jusq
de l'âge de cinq ans jusqu'à onze ans, époque à laquelle a débuté sa
maladie
, elle a élé en classe et s'y est montrée très i
i l'affection- nait beaucoup, étant un jour venue la voir, après sa
maladie
, ne l'aurait point reconnue et aurait poussé un
lendemain elle retournait en classe comme d'habitude. Début de la
maladie
actuelle.-En décembre 1880, Armandineest tombée
le lendemain auraitdéclaré qu'il s'était mépris sur la nature de la
maladie
, mais n'aurait pas formulé de diagnostic. Le 11,
plutôt triste et timide. Elle se figure parfois qu'elle a plusieurs
maladies
, elle s'attriste de son état qu'elle croit incu
imitent à peu près exactement le trem- blement symptomatique de la
maladie
de Parkinson. Ce n'est pas tout. Ces trembleurs
rès bel exemple de cette simulation hystérique du tremblement de la
maladie
de Parkinson est une des observations qui figuren
aibli. » A. Souques et J.-B. Charcot, internes de la clinique des
maladies
du système nerveux. 1. Charcot, Leçons clinique
s maladies du système nerveux. 1. Charcot, Leçons cliniques sur les
maladies
des vieillards, 2' édit. Paris, 1874, p. 7. 7.
rappelle très bien. » Cependant il nous a raconté l'histoire de sa
maladie
à plusieurs reprises, sans trop hésiter et sans
ue. Nous croyons aussi que parmi les tremblements consécutifs aux
maladies
aiguës, telles que la variole, la fièvre typhoïde
le qui est migraineux, c'est tout. Une cousine germaine avait « une
maladie
noire ». Elle était triste, fuyait toute compag
e vulgaire tous les deux ou quatre mois. Rien autre. Histoire de la
maladie
. C'est il y a quatre ans qu'elle est devenue ma-
es tremblements également rapides de la paralysie géné- rale, de la
maladie
de Basedow et de l'intoxication alcoolique. Nous
dix heures par jour dans un atelier de couture. ' Histoire de la
maladie
. Il y a six mois, en novembre 1888, en traver-
étant hypnotisable. A. DUTIL, Ancien interne de la Clinique des
maladies
du svalème nerveux. DE L'EXAMEN MORPHOLOGIQUE
er les seules modifications de la forme du corps en rapport avec la
maladie
existante. Chez les aliénés, au contraire, ce
dans leur lieu d'élection et ne peuvent que favoriser l'éclosion de
maladies
cérébrales (l'épilepsie par exemple) chez des per
21'J intellectuelles, faiblesse progressive des extrémités. Pas de
maladie
nerveuse dans la famille. Aucune cause apparent
s de maladie nerveuse dans la famille. Aucune cause apparente de la
maladie
. La malade présente actuellement une paralysie
ut, la gêne des mouvements des doigts et de la main, au début de la
maladie
. Bientôt, il est vrai, l'atrophie frappe en mas
eyn..., à son entrée à l'hôpital, cinq mois après le dé1lli.Lde..la
maladie
. La rapidité, on pour- rait presque dire la sim
laisait à espérer qu'elle ne viendrait pas et que peut-être même la
maladie
rétrocéderait; l'avenir lui a donné raison. Peu d
re confondue avec un certain nombre d'autres affec- tions, avec les
maladies
amyotrophiques en particulier. Pour la distin-
ans le segment supérieur de leur corps. On les trouve aussi dans la
maladie
de Duchenne-Aran, dans laquelle les localisatio
t de polioencépha- lite. Point de facies spécial, en effet, dans la
maladie
de Duchenne- Aran, pas de chute des paupières,
eul, en dehors de toute amyotrophie du côté des membres, lorsque la
maladie
débute par le bulbe. Mais en n'envisageant que
. Mais en n'envisageant que les cas complets, nous trouvons dans la
maladie
de Charcot très fréquemment le même port de tête
bitus extérieur est très frappant chez les sujets atteints de cette
maladie
. En ce qui concerne les épaules et le segment sup
, et qui permettent presque de faire à distance le diagnostic de la
maladie
myopathique. On peut en dire autant du facies s
es. Ce n'est pas une raison pour douter de l'origine centrale de la
maladie
. Pour ne parler que des réactions électriques,
nt communiquées par ? 3U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
maladie
, démontrée, ainsi que nous l'avons constaté chemi
ne polynévrite. De plus notre malade n'était plus, à l'époque où sa
maladie
a débuté, sous l'influence du poison plombique
ns ce cas d'un malade, dont l'âge n'est pas connu, mais chez qui la
maladie
semble, en raison des renseignements fournis dans
e Dr Vigouroux, chef du service cloctrotliérapiquc de la clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière. 1. Déjeriue-Klump
sinon complètement, du moins en grande partie. Existe-t-il d'autres
maladies
amyotrophiques avec lesquelles on pourrait conf
parti- culiers et qu'on ne rencontre ainsi réunis dans aucune autre
maladie
: faciès d'Hutchinson et amyotrophies. On sai
qu'on assiste comme chez Peyn... à la rétrocession partielle de la
maladie
: nous n'osons croire a une guérison complète.
its. Est-ce effet du traite- ment ? est-ce tendance naturelle de la
maladie
? Mais l'amélioration est très notable chez l'u
c de demander aux cas d'ophthalmoplégie externe combinée à d'autres
maladies
du système nerveux, la démonstration anatomique
s, des signes d'ataxie et de la paresthésie. Mort après sept ans de
maladie
. A l'examen du cerveau, nerfs olfactifs normaux
ubite. Au bout de quelques instants la crise cessa; mais bientôt la
maladie
fit des progrès; des râles emplirent la poitrine;
'Homme de trente-cinq ans ayant eu la syphilis.en 1870. Début de la
maladie
en 1881, par des crises de douleurs gastriques ac
s altérations suivantes comme appartenant à la phase de début de la
maladie
, il savoir : l'hyperhémie colossale du noyau oc
convulsions généralisées. C'est alors qu'il entra à la clinique des
maladies
nerveuses où l'on constata ce qui suit. Ptosis
rque, également intéressante, consiste dans ce fait que, dans cette
maladie
, les mouvements sont gênés non seulement par la
années, des discussions se sont élevées à propos des rapports de la
maladie
de Morvan et de la syringomyélie. Fallait-il vo
ptoire, en prouvant par deux autopsies que la symptomatologie de la
maladie
de Morvan pouvait relever tout entière des lési
querelle me paraît être désormais vidée, dit-il; il n'y a pas deux
maladies
distinctes, il n'y en a qu'une, et la maladie de
l; il n'y a pas deux maladies distinctes, il n'y en a qu'une, et la
maladie
de Mor- van, comme je le disais tout à l'heure,
nale qu'elle puisse paraître cliniquement, une forme atypique de la
maladie
syringomyélique... Le cas que je me propose d'étu
ce genre. Il établit en quelque sorte la transition entre les deux
maladies
qu'on dit distinctes. Parmi les partisans de la
es de la syringomyélie, les autres que les traits distinctifs de la
maladie
de Morvan y sont très accentués. Pour nous, il s'
la clinique comme de par l'anatomie pathologique, syringomyélie et
maladie
de' Morvan ne font qu'un. Toutefois, en raison
ère plus âgé et une soeur plus jeune que lui qui n'ont jamais eu de
maladies
nerveuses. Antécédents personnels. -- Pierre II
édents personnels. -- Pierre II... est né à Reims; il n'a eu aucune
maladie
de l'enfance ; de six à treize ans, il a été en c
ent sous les drapeaux l'exempte du service militaire. Début de la
maladie
actuelle. C'est en 1887, à vingt-deux ans, que
orvan 2. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des
maladies
du système nervoux. 1. FonrniCI', la Syphilis h
is héréditaire tardive. Paris, I 86, 2. A propos des rapports de la
maladie
de Morvan et de la syringomyélie, consulter une
'une bonne santé ; du moins il ne semble pas qu'il ait jamais eu de
maladie
sérieuse; il n'a jamais été atteint de syphilis
e l'estomac et une faiblesse générale. On peut fixer le début de la
maladie
actuelle au 16 février; à cette époque il comme
çon) sont bien portants, travaillent la terre et n'ont jamais eu de
maladie
. Le quatrième, c'est le petit idiot, qui est ma
xer l'attention, car il met souvent sur la voie du diagnostic d'une
maladie
qui se rencontre assez souvent chez nos malades,
es à des trau- matismes, ou à des affections chirurgicales ou à des
maladies
antérieures ou coexistantes (paralysie infantil
étude de la peau. Outre sa couleur variable suivant la nature de la
maladie
(manie, mélancolie, stupeur) et sur laquelle no
; la forme de la cal- vitie (syphilitique, arthritique ou due à des
maladies
locales du cuir chevelu); l'implantation des ch
ent (asymétries diver- ses, plagiocéphalie); 2° les stigmates d'une
maladie
constitutionnelle (rachitisme, syphilis congéni
IBUTION A L'ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » . DES
MALADIES
ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en p
n sujet prédisposé, un agent provocateur quelconque : intoxication,
maladie
infectieuse, affection locale ou générale, peut
huit mois. Antécédents personnels. -Dans son enfance, pas d'autre
maladie
qu'une affection nen euse ( ? ) à l'âge de deux
l'autre est nerveux, sans attaques. Antécédents personnels. Pas de
maladies
dans l'enfance. Elle a été 301 NOUVELLE ICONOGR
ns l'abdomen au niveau de la région ovarienne droite. Début de la
maladie
actHëe. Vers la fin d'août, elle eut des crampes
ysie des sphincters. Mlle M... a dix-neuf ans. Elle n'a eu d'autres
maladies
qu'une pleurésie à ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQ
écédents personnels. Dans son enfance, la malade n'a jamais fait de
maladies
, mais elle était toujours chétive, frêle, sujette
art des renseignements concernant les antécédents et le début de la
maladie
nous ont été obligeamment confirmés par M. le D
ses soins au malade. Dans sa première enfance, Denis n'a eu d'autre
maladie
que la rougeole et une fracture du radius. Il y
suivre.) A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des
maladies
du système nerveux. NOUVELLE Iconographie DE la
- sait à première vue les signes caractéristiques de cette terrible
maladie
. Sur la figure du malheureux s'étalaient les no
petite voiture, n'est autre qu'un de ces malheureux qu'une horrible
maladie
, la lèpre, mettait au ban de la société. Comme
voir un nouveau cas de cette malformation chez un sujet atteint de
maladie
d'Addison dans le service de M. Raymond. Il s'a
in- toxications des ascendants; puis en seconde ligne viennent les
maladies
342 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
s'est révélé que plus tard, ils paraissent dus à l'influence d'une
maladie
à localisation cérébrale ayant retenli sur le d
onnoir, Ebstein. Epilepsie survenue à sept ans consécutivement aune
maladie
infectieuse et suivie elle-même de déformation
rison. Son augmentation d'intensité constitue une aggravation de la
maladie
. Elle prépare le terrain à la contracture spont
e l'hystérie. PAUL Richer, Chef du laboratoire de la Clinique des
maladies
du système nerveux. NOTE SUR L'ASPHYXIE LOCAL
el les Épileptiques, 1890, p. 587. 2. Grasset, Traité pratique des
maladies
du système nerveux, 3e éd. 1886, p. 761. Iuvell
s; toutefois il affirme qu'il n'existe dans sa famille aucun cas de
maladie
nerveuse ou mentale. Il affirme aussi que lui-m
. XXXVII). C'est à l'âge de deux ans que remonterait le début de la
maladie
actuelle*. 11 fut opéré alors d'un phimosis don
rabisme double couver- t gent. Ce strabisme n'existait pas avant la
maladie
actuelle, ainsi que le I prouve une ancienne ph
motetl1' externe. " 1. Nuthnagel, Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encéphale. Traduction française par M. Kér
A. SOUQUES, Interne (médaille d'or) du service de la Clinique des
maladies
du système nCl'\Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Gui
ONTRIBUTION A L'ETUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS DES
MALADIES
ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en p
e que l'individu étant hystérique et syphilitique, l'une et l'autre
maladies
eussent contribué à la production de la paraplégi
bides qui peuvent offrir un tableau clinique analogue à celui de la
maladie
de Duchenne. C'est pour ces manifestations, mul
tre avis, l'inconvénient de faire naître dans l'esprit l'idée d'une
maladie
qui n'existe pas en réalité, et surtout d'avoir é
861. . 5. Topinard, De l'ataxie locomotrice et en particulier de la
maladie
appelée ataxie loco- motrice progressive, Paris
ice progressive, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Traité clinique des
maladies
de la moelle. Traduct. française, 1879, p. 85.
culose pulmonaire, un autre de péritonite, les autres à la suite de
maladies
inconnues de la malade. Il lui reste un frère et
un complexus symptoma- tique qui ressemble davantage à celui de la
maladie
de Duchenne : d'abord, parésie avec incoordinat
386 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. donc en faveur de la
maladie
de Duchenne que les douleurs. Mais celles-ci ex
ice, plus de symptômes en un mot qu'il n'en faut pour constituer la
maladie
de Duchenne. Mais, d'autre part, cet homme est
froy et G. Ballet3 ont récemment men- tionnée. Or, l'hystérie et la
maladie
de Basedow suffisent amplement à expliquer tous
'il s'agit, chez cet homme, d'un syndrome hysté- rique associé à la
maladie
de Basedow et que tous les symptômes relè- vent
taxie locomotrice progres- sive doit plutôt être regardée comme une
maladie
diffuse cérébro- spinale pouvant entraîner des
lement que la névrose hystérique. OBS. LXIII (résumée) (Vulpian, in
Maladies
du système ne°uezcr, p. 431). Il y a deux chose
lui de Siemerling, il nous suffira de rappeler l'exemple typique de
maladie
de Friedreich et d'hystérie rapporté, il y a de
passage suivant : « L'hystérie peut affecter les sujets atteints de
maladie
de Friedreich au même titre, du reste, qu'elle
her étroitement, comme dans quelques faits de pseudo-sclérose, a la
maladie
elle-même. Aussi l'auteur discute-t-il la possi
rois hystériques 1. Gilles de la Tourette, Blocq, Huct, Cinq Cas de
maladie
de Friedreich (Nouvelle Iconographie, 1888, p.
Zeilsclir. sur Psych., Bd XLII, p. 96). 2. Vulpian, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, p. 216. 3. Charcot, Leçons
ère qu'on ne peut refuser au tabes un rôle qu'on accorde à d'autres
maladies
et que la sclérose des cordons postérieurs peut
isir, à l'état naissant, les premières manifestations de la seconde
maladie
. On risquera fort de les attribuer à l'affectio
une affection préexistante s'atténuer, s'effacer lorsqu'une seconde
maladie
fait son apparition. Cet te dernière peut, en e
e des deux facteurs qui appartien- nent : l'un, il la catégorie des
maladies
organiques, l'autre, à celle des affections dit
, il est donc tou- jours possible de saisir les différences de deux
maladies
analogues. Nous devons toutefois faire remarque
TRIBUTION A L'ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES
MALADIES
ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en p
te d'une diprlrllaérie (Soc. urérl. Il octobre 1889). 8. Raymond,
Maladies
du sys/. nerveux. Paris, 1889, p. 416. 9. Thiba
Ernestine B... a toujours été assez chétive mais n'a jamais fait de
maladie
sérieuse. A quinze ans et demi, première appari
père est bien portant, il n'est pas alcoolique et n'a jamais eu de
maladies
nerveuses ou mentales. Sa mère est asthmatique. E
ite cicatrice. A quatre ans, elle a eu des convulsions. Pas d'autre
maladie
infantile. A dix ans, fièvres intermittentes ( ?
professeur Charcot en cite cependant un cas dans ses Leçons sur les
maladies
du système ner- veux, t. Il, p. 366; mais l'hém
puisqu'il a été créé par Ollivier d'Angers en 1837 ; non pas que la
maladie
soit nouvelle, puisqu'il est facile d'en retrou
s au diagnostic différentiel de la syringomyélie, et, il propos des
maladies
organiques spinales qui par plusieurs traits lu
stérique, cette grande simulatrice, comme je l'ai dit ailleurs, des
maladies
orga- niques des centres nerveux. » Cette sim
de Roth, qui, malgré l'anesthésie tactile, rejette le diagnostic de
maladie
de Morvan pour for- muler franchement celui de
nt de vue auquel on se place, on peut voir là un cas d'hystérie, de
maladie
de Morvan ou de gliomatose médullaire » ; et il c
pas de publier, dans le Progrès médical une magistrale leçon sur la
maladie
de Morvan associée à l'hystérie ? Or, les liens
adie de Morvan associée à l'hystérie ? Or, les liens qui relient la
maladie
de Morvan à la syringomyélie sont si étroits qu
890 (Leçon recueillie par M. 1890). G. Guinon et Dutil, Deux Cas de
maladie
de Morvan (Nouvelle /co)t0f/r., 1890). 2. Oppen
névitable. A. Souques, Interne (Médaille d'or) de la Clinique des
maladies
du système nerveux. 9 : Fabre, Nouveaux 1%ral/n
répond à ce que j'ai décrit sous le nom d'apathie épileptique i. La
maladie
était restée stationnaire malgré des essais théra
e de ce muscle à droite. CONSIDÉRATIONS S SUR LE TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PAR LA MÉTHODE DU DOCTEUR MO
TSCIIOUTKOVSKY I L'application de la suspension au traitement des
maladies
du système nerveux a été proposée pour la premi
par la suspension une action favorable sur l'évolution de certaines
maladies
de la moelle épinière ? Ayant acquis la convict
ent dès le début pour des raisons extra-médicales. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 465 Ces résultats obtenus p
ourquoi les publications concernant le traitement de cette dernière
maladie
sont particulièrement intéressantes. Dans le ta
us nous résumons les observations de 3G au- teurs. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTEME NERVEUX. 4G7 prenons pour témoignage
on a constaté une méningite cérdliro-sninalc aigur. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 4M certain temps les ataxiq
l se développpe de la rigidité qui disparaît d'ailleurs bientôt. La
maladie
de Friedreich s'améliore également sous l'influen
et Adam n'ont jamais pu constater d'amélioration. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 471 II Quoi qu'on dise de
é et la quittent même complètement par intervalles ; TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 473 elle se tient mieux sur
s pas arrivé à découvrir la cause do cet insuccès. TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 477 une certaine quantité d
t alors elle devait agir sur les vaisseaux et amener TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 479 leur dilatation. Mais c
uille accepter tous mes remerciements. i r / TRAITEMENT DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. 481 De ces recherches micro
179. (Contribution à l'étude des syndromes -, -, simulateurs des
maladies
de la moelle épinière), par Souques, 1, 130, 30
e de la poitrine -), par Ramadier et Sérieux, 329. Traitement des
maladies
du système ner- veux (Considérations sur le -),
S DE NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .T.-eL. CI l l
LA i)inr.CTION DE lli. A. JOFFRUY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris.
e clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND l'rof ? cur de clinique des
maladies
du système ner%eux à la Faculté de médecine
, 1',t il en est du morphinisme comme il semble en être , de toute
maladie
contagieuse : le génie épidémique ne frappe poi
e ci t0.r a ya i.s noté seulement le fait, indiqué l'histoire de la
maladie
, mais dans un autre ouvrage de 1900 dans la Rev
otf. à Saint-1't ? tersbourg, le C janvier 190, dans la section des
maladies
nerveuses et. de ly-clviWnic ('). En général, a
ugeole, et ce mal lui accompagné (l'un étal fébrile. Point d'autre»
maladies
somali- ques il ¡'Ù ! ! I' suivant : dl' l'âge
ar la (lit développement de la phobie de rougir. Le- accès de celle
maladie
se développaient et devenaient ? radIlPl- 1t'lI
s satisfaisantes et ne donnaient aucunes causes prédisposantes à la
maladie
citée. Le malade lui-même, parlant de son étal
ladif, dit ceci : « Physiquement je me sens tout à fait normal, nia
maladie
e,1 basée sur la crainte de me montrer tel que
si quelqu'un m'adressait par hasard la parole; mais l'ébauche de la
maladie
existait en muil»enavanl : avec le temps cet ét
rs des gens avec une expression de plus en plus sombre. « Mais la
maladie
ne s'arrêta pas à ce point, elle subil encore une
ncure plus rechercher la solitude ; en outre, ces derniers temps ma
maladie
augmenta à un tel point, que les hommes, autour
colie, et ceci dans le meilleur cas. lime semble que la cause de ma
maladie
réside dans l'éducation solitaire et relâchée,
e peu. tout en regardant de cote. Le malade lui-même caractérise sa
maladie
ainsi : « La pho- bie du regard d'autrui n'appa
t l du malade rt··la can. changement. Pendant la durée de lf)03. la
maladie
marcha uniformément, le malade continua il évit
le 11 avril, on n'a pas conslate d'amélioration essentielle île la
maladie
, mais pourtant le malade pouvait supporter mieu
a phobie de rougir se développait successivement ; puis, il cette
maladie
, s'ajouta la phobie du regard d'autrui ; celle-ci
jusqu'à un âge avancé. Maintenant son organisme est ébranlé par une
maladie
de poi- trine. J'ai 5 frères el 3 sieurs. L'un
tuberculose, mais il est guéri après un certain temps ; après celle
maladie
il a été neurasthénique. Les autres frères et sie
tes. « .le ne peux pas déterminer exactement lecommencement de ma
maladie
; je peux seulement indiquer le fait suivant : lo
résente dans la phobie du regard. Quant au développement de cette
maladie
, on peut dire qu'elle survint à l'âge de 13-1 a
que la masturba- tion ; on peut même dire que ['intensité de cette
maladie
était en rapport direct avec la masturbation ;
avec l'onanisme : « plus la masturbation était fréquente plus la
maladie
était forte et vice versa »), Le malade explique,
lus nets que les précédents, plus caractéristiques pour ce genre de
maladie
. La mère de la malade et les deux frères de son
ter ces peines et. si je ne me rétablis pas, je devrai mourir. La
maladie
a commencé l'été passé ; mais au commencement e
on seulement ne pouvaient me guérir, mais qui ont encore aggravé ma
maladie
. En même temps jedevrais dire que je suis incap
me suis adressée pour la première fois aux méde- cins à cause de ma
maladie
, ils m'avaient t'ait me coucher et m'ont examin
s dormir cela signifierait qu'on a affaire à la base physique de la
maladie
; mais rien de tout cela ne m'arrivait, jamais,
remarquer dans ce cas, ceci, que malgré que les commencements de la
maladie
existaient bien avant, il est' certain que ce d
gique. Physiquement, je suis tout fait bien; je n'avais jamais de
maladies
sérieuses J'étais toujours une fillette gaie, mai
ses permet de faire rentrer leur élude dans celle de l'ensemble des
maladies
du névraxe ou névraxopathologie et de réunir l'
es), par Jules Voisin, Roger Voisin et NORERO. (Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance; juin 1905, p. 252-2G8.) Les aut
ul-de-sac méningé péri-radiculaire enflammé. *' Scopolamine dans la
maladie
de Parkinson. M. Roussy a obtenu une diminution
table avec la cure d'une sup- puration développée à une phase de la
maladie
offrant toutes les apparences d'une cachexie fi
comme un hôpital, et l'aliénation mentale pour ce qu'elle est, une
maladie
traitable et guérissable comme toutes les malad
qu'elle est, une maladie traitable et guérissable comme toutes les
maladies
organiques et dépourvues de tout caractère de f
les méthodes de pin'énopédie, la nécessité du traitement hâtif des
maladies
cérébrales, l'amélioration des moyens de traite
calendrier, mais des noms de maî- tres vénérés dans la science des
maladies
mentales ; n'est-il pas au moins étrange que,po
atrophie des mem- bres inférieurs sans en chercher la cause dans la
maladie
des racines, on ne fait pas d'examens précis de
une soeur morte en couches. Antécédents personnels. Pas d'autres
maladies
qu'une rougeole et une variole dans l'enfance e
venus plus mar- qués, plus nets, et,par l'évolution prolongée de la
maladie
serait peut-être ressortie plus évidente et plu
le cerveau et les autres organes. (1) Marcé. Traité pratique des
maladies
mentales, Paris, 1802. Archives, 2° série 1905,
suffit pas néanmoins pour donner une explication étiologique de la
maladie
. - Ayant accepté cliniquement que la mélancolie
ques de nature mélancolique. (Thèse de Lyon, 1889.) (4) Ciiahrin.
Maladie
du foie et folie. (Société de Biologie, 30 juil
juillet 1892.) (5) 111.IPYEL.- De l'insuffisance hépatique dans les
maladies
men- tales. De la folie hépatique.(A ¡'cl1. gén
u début, relevés par tous les auteurs. (1) Giuesingeu - Tmilé des
maladies
mentales. Trad. Doumic, 18fi3. 102 CLINIQUE M
naire qu'à un moment donné, sous l'effet d'une cause occasionnelle (
maladie
in- fectieuse, misère physiologique, puberté, g
rale, et la paralysie géné- rale (4 cas, 8 ponctions), ou entre une
maladie
organique et une affection fonctionnelle (3 cas
lation entre leur nombre et la durée, l'évolution, la gravité de la
maladie
. On ne saurait souscrire d'emblée à une connexi
éclairer le- diagnostic. entre la paralysie gé- nérale et une autre
maladie
. Le liquide cérébro-spinal peut contenir toutes
ques des orteils. 11 est permis de comparer ces sy mptûmes av ec la
maladie
de Quincke, qui a une origine né- vrotoxi([ue.C
ections inflammatoires pures ; elle se montre au contraire dans les
maladies
indemnes de toute toxine telles qu'anévrysme de
affections de la moelle, dans la compression, les blessures et les
maladies
des nerfs périphé- riques. 2. La theimo-analgés
de toxicité du sérum en question ne dépend pas de la gravité de la
maladie
de l'épileptique qui le reçoit. Tous les épilep
hypertoxique à un épileptique pendant la phase d'aggravation de sa
maladie
(état de mal) on n'obtient pas de phénomènes d'
éder de quelques jours l'explo- sion des phases d'aggravation de sa
maladie
; elle est donc en rapport avec la cause de cet
18. Ce phénomène tient aux troubles physiques qui ont déterminé la
maladie
men- tale, il n'a donc rien de pathognomonique.
NIWHULUGIE Séance du 6 juillet 1905. - Présidence de l. Brissaud
Maladie
de Pariiigison. M. HA YMOND présente deux parki
seudo-bulbaires. SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 M. f3RrssauD considère la
maladie
de Parkinson comme une i affection pseudo-bulba
es hémiparéliques douloureux confirment la - nature organique de la
maladie
. Obsédé ayant l'apparence d'un extatique. MM.
SAVANTES. / Atrophie musculaire avec réactions électriques de la
maladie
de Thomsen. MM. Lortat-Jacob et l ? l'unoN pr
t préciser sa nature, révéla les réac- tions caractéristiques de la
maladie
de Thomsen. En possession de cette indication p
er vivement la main, de se lever et marcher). S il s'agit ici d'une
maladie
de Thomsen, c'est là une forme exception- nelle
états pathologiques, donneraient une sorte de courbe fidèle de la
maladie
(1). , L'hypnotisme et le prétendu magnétisme h
880.It1U1) et dans nos Etudes cliniques et thermométriques dans les
maladies
nerveuses, lb72-1873, clc. - 13. SOCIÉTÉS SAV
de certaines agences qui les instruisent dans l'art de simuler des
maladies
qu'ils n'ont pas. L'étude de la simulation est de
ns de cette force, déviations constantes et spécia- les pour chaque
maladie
du système nerveux. Ainsi, les neuras- thénique
ence beau- coup plus considérable entre les deux chiffres. Chaque
maladie
nerveuse présente ainsi sa formule spéciale et,
démontre bien que ces modifications sont sous la dépen- dance de la
maladie
, c'est que la formule inscrite par le sthéno- m
dernière, chez laquelle bibliographie. 143 le développement de la
maladie
a été plus précoce, présentait une hérédité ner
nt imputables à la tuberculose. « Je n'ai pas désarmé, contre cette
maladie
, écrit JI. Dericcl, et je m'efforce toujours d'
de ceux qui souffrent et le leur propre qui est enjeu. Parmi les
maladies
incidentes, signalons (rois cas d'othémato- me
contre l'amnésie et même l'aboulie motrice, si fréquentes dans ces
maladies
. Passant à la rééducation dans le traitement de
ns à administrer durant la nuit à des heures fixes, des faibles par
maladie
incidente qu'il faut aider à se lever pour sati
sorties réglementaires, des congés annuels bien mérités, des cas de
maladie
, etc. Nous comp- tons beaucoup sur vous, mon ch
les aliénés restent seuls ! ! ! - Enfin, par suite de congé* ou de
maladie
, le nombre déjà par trop réduit du personnel su
isième rapport : Assistance. Balnéa- tion et hydrothérapie dans les
maladies
mentales; rapporteur M. le D''Parias, d'Albi.
. D'habitude, des possédés ont i été un jour ou l'autre, avant leur
maladie
, témoins des accès d'autres possédés el ce souv
souvenir plus ou moins net apporte sa contribution à la genèse delà
maladie
. L'examen des malheureuses révèle un assez gran
e matière est bien connue, recherche les causes de la fréquence des
maladies
mentales dans l'armée et signale l'absence d'ex
une monomanie triste, d'une cérébropathie ? ou bien s'agit-il d'une
maladie
des organes situés dans leshypochondres L'hypoc
ollemberg, de période neurasthénique . En effet, l'avè- nement delà
maladie
de Beard constitue un événement capi- tal dans
il les rend durables par l'attention qu'il leur prête et l'idée de
maladie
devient chez lui l'idée fixe. - . Le meilleur
nt les affections viscérales. A l'hôpital de Victoria Park pour les
maladies
de la poitrine (coeur et poumon),IIeads, ayant
aliénation mentale ne seraient que des manifestations psychiques de
maladies
organiques viscérales. Telles sont les deux thé
u- rantes, viscéralgies, etc. Les lésions du sympathique dans les
maladies
mentales sont attestées par les analgésies visc
er dans les affections les plus variées : dans presque toutes les
maladies
mentales, leur coexistence peut provoquer l'ap-
les préoccupations morbides. ' Ayant passé en revue les diverses
maladies
dont la spécifi- cité est actuellement reconnue
ir pris sa virilité, de l'avoir pourri, de lui avoir communiqué une
maladie
vénérienne, etc. Dans tous ces cas, on se souvi
nos élèves con- naissent bien aujourd'hui, c'est que dans certaines
maladies
, comme le varicocèle et l'appendicite, il convi
es affections du coeur et des pou- mons par M. J. Ch. Roux pour les
maladies
do l'estomac ; par il. Dupuy-Dulemps pour les a
ique. L'hypocondriaque n'a pas seulement la crainte, la peur delà
maladie
; il croit, il affirme qu'il est malade et cela p
qu'il se sent malade. Cette sensation ou représentation fausse de
maladie
qui constitue l'élément fondamental de l'hypoco
mplètement indépendante de tout état pathologique. Prévention des
maladies
nerveuses ou mentales dans l'armée. D' GR : 1
D' GR : 1NJUX.- Le nombre des réformes prononcées chaque année pour
maladies
nerveuses ou mentales montre l'insuffi- sance d
es montre l'insuffi- sance des mesures prises en vue d'empêcher ces
maladies
de s'introduire dans l'armée.C'est ainsi que,an
euses,soit mentales, soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES
MALADIES
MENTALES OU NERVEUSES. 189 conseil de revision,
on, signalés au médecin du corps.et s'ils sont reconnus atteints de
maladies
nerveuses ou mentales, réformés dans les mêmes
nt un signe caractéris- tique de la phase radiculo-médullaire de la
maladie
. M. 13a1ssAO. Je suis convaincu que MM. Sicard
t de vue de la loi de 18'JS sur les accidents du travail. Voilà une
maladie
qui aboutit générale- ment, soit au suicide, so
signe de Kernig avec évidence, 8 étaient à la période finale de la
maladie
et 2 étaient à la phase d'état. Enfin sur nos 4
paralysie générale, on le trouve souvent à la phase fi- nale de la
maladie
lorsque le processus morbide envahit la moelle.
paralysie générale, indique, pour nous, une évolution rapide de la
maladie
et l'apparition prochaine de troubles médullair
n, qui se produisent. On peut ainsi, dans la zneuras- thénie et les
maladies
mentales, calmer ou exciter volonté. Aux expéri
ction mentale et, parfois, on néglige de signaler et d'observer les
maladies
de l'enfance ou du premier âge avec les altérat
céphalo-rachidien pathologique progressait en raison directe de la
maladie
et s'il y avait variation dans cette proportion
thérapeuti- ques, etc.) Ils ont ponctionné tout au début de leur
maladie
des mala- des dont le diagnostic même était enc
fermes sur la pathogénie et le lieu des hallucinations. Une seule
maladie
infectieuse, la rage, par sa localisation primi
2Û3 Séance du 4 août (soir). Balnéation et hydrothérapie dans les
maladies
mentales. M. leDr B. PIIr.HAS (d'Albi), rappo
orteur. La question de la balnéation et de l'hydrothérapie dans les
maladies
mentales remonte; pour le moins, à Hippocrate.-
hygiénique, l'hy- drothérapie directement applicable à la cure des
maladies
mentales semble pouvoir être envisagée au point
s à l'épilepsie, à l'hystérie, à la neurasthénie, à la chorée, à la
maladie
de Basedow, etc. Nulle part le sujet et l'affecti
ue Morel ne s'est préoccupé de la prophylaxie hydrothéra- pique des
maladies
mentales, s'efforçant de les prévenir, soit à l
es procédés hydrothérapiques peuvent concourir à la prophylaxie des
maladies
mentales. C'est vers l'eau froide que, plus ou
jour du Congrès de Rennes la ques- tion de Y Hydrothérapie dans les
maladies
nerveuses et mentales. BALNÉATION ET HYDROTHÉRA
les troubles mentaux le plus habituelle- ment observés au cours des
maladies
du cerveau et du nez : une grande difficulté à
oit pouvoir, suivant nous, se faire aux différentes périodes de ces
maladies
. Nous avons classé en trois groupes principaux
on constante chez ces mêmes malades, au moins à une période de leur
maladie
. Enfin l'évolution même de ces deux psychoses n
tionner leurs réac- tions motrices. - Essai de classification des
maladies
mentales. Dr Maurice DIDE. Dans mon cours, j'ai
. Dans mon cours, j'ai été amené à adop- ter une classification des
maladies
mentales que je soumets à l'appréciation de mes
jusqu'aujourd'hui, en ce sens que, tenant compte de l'évolution des
maladies
, elle vise surtout à être pathogénique. Ma conc
, mettent la discorde entre l'âme et le corps. Il en résulte : la
maladie
, la mort ou la folie. Ce désaccord suspend les fo
seille de traiter les passions.par la douceur et la persuasion, les
maladies
des centres nerveux par l'har- monie et la musi
l est indispensable de connaître en matière d'alimentation dans les
maladies
et leur convalescence. L'auteur, dans son intro
Pailiias (B.). - Balnéation et hydrothérapie dans le traitement des
maladies
mentales. 1 vol. In-8° de 141 pages Simon. Imp. R
t d'anxiété a été, il est -vrai, pendant toute la phase aiguë do la
maladie
, un obstacle à l'alimentation ; son poids pendant
notre corps, les unes par rapport (1) .1. COTARD. - Etudes sur les
maladies
cérébrales et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS.
érébrales et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les
maladies
mentales et nerveuses, 6S]. juin (3) 1903. L'
rincipales de ces infections. § I. Généralités. Les psychoses des
maladies
infec- tieuses aiguës offrent ceci de particuli
foie et des reins. Au point de vue pathogénique, les psychoses des
maladies
infectieuses aiguës sont le résultat, ainsi que
ent passer en revue, dans des articles distincts, les psychoses des
maladies
infectieuses aiguës suivantes : fièvre typhoïde
1° Psychoses de la période aigué. La grippe, de même que les autres
maladies
infectieuses aiguës, débute parfois par une cri
ses de la grippe ont la même origine que toutes les psy- choses des
maladies
infectieuses aiguës : elles sont dues soit à l'
ues présentent une aptitude spéciale à délirer sous l'influence des
maladies
qui les atteignent, pour la bonne raison qu'ils
, tombe dans le coma. La gravité de cette' forme est excessive ; la
maladie
dure peu, deux ou trois jours et se termine ord
désagrégation de la conscience ; au point de vue anatomique, cette
maladie
est caractérisée par une atrophie généralisée d
conscience élément. taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR. -
Maladies
nerveuses, chroniques des enfants : Dr Bournevi
s malades ou en congé. (2) Pourquoi exclure le chef de clinique des
Maladies
nerveuses '' Celle-ci et les Maladies mentales
clure le chef de clinique des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les
Maladies
mentales n'ont-elles pas des liens inlimes ' ?
ction muscu- laire) absolument comparable à celle congénitale de la
maladie
de Thomsen. Réaction électrique myotonique. A l
un bon argument clinique en faveur de la na- ture myopathique de la
maladie
de 'l'homsen. F. T. Il. Troubles vasomoteurs ch
ture seraient causésparun spasme vasculaire prolongé. F. T. 111.
Maladie
de Friedreich et hérédo-ataxie cérébel- leuse ;
en particulier nos conceptions actuelles dans la classification des
maladies
nerveuses, conceptions qu'autorisent d'ailleurs d
ec examen histologique, véritables formes intermédiaires entre la
maladie
de Friedreih et la maladie de Marie, formes hybri
éritables formes intermédiaires entre la maladie de Friedreih et la
maladie
de Marie, formes hybrides dont la fréquence a é
rvelet s'associe à des lésions médullaires analogues à celles de la
maladie
de Friedreich ; dans d'autres, classés comme héré
ne même observation est publiée par deux auteurs différents comme
maladie
de Marie et comme maladie de Friedreich ; enfin i
publiée par deux auteurs différents comme maladie de Marie et comme
maladie
de Friedreich ; enfin il faut constater l'impor
r ces faits) deslésions cét'ébelleuses,drins des cas indéniables de
maladie
de Friedreich. D'où il ressortqueles deux formes
comme deux espèces morbides dis- tintes. 11 faut voir dans ces deux
maladies
et dans les formes de transition qui les relien
y a lieu de prévoir que l'oeuvre de synthèse en- treprise pour les
maladies
nerveuses familiales augmentera à mesure que la
diaire entre 1'liéi-édo-ala ? ie cérébelleuse de Pierre Marie et la
maladie
de Frie- ili-eicli, des symptômes et des lésion
e constate ni phénomè- nes pulmonaires, ni épistaxis (Landouzy). La
maladie
évolue en 12 semaines, exceptionnellement davan
les qui tendent à considérer l'épilepsie dite essentielle comme une
maladie
par auto-intoxication. -. Le premier chapitre e
rbide, ne faisant donc pas nécessaire- ment partie intégrante de la
maladie
;et par conséquent, la théo- rie de l'auto-into
t neurasthénique. L'élément étiolo- gique indique comme cause de la
maladie
un traumatisme, c'est- à-dire une blessure, une
traumatisme n'est donc nullement nécessaire à la constitution delà
maladie
. L'auteur cite plusieurs observations où la ble
peut-être lieu de modifier notre con- ception pathogéniquede cette
maladie
' ? De la discussion des di- verses théories ém
vec juste raison la construction d'un pavillon d'isolement pour les
maladies
contagieuses. C'est là une réforme qui devrait
incts. Rougeole à 5 ans, scarlatine à 5 ans et demi; pas d'autres
maladies
infectieuses. Pas d'accidents scrofuleux, sauf
pique (ascite). Père mort cardiaque il 59 ans. Fille unique. Pas de
maladie
. A été très scrupuleuse, douteuse, n'ayant pas
enfants el deuv fausses couches (pas de s phi lis chez elle.) La
maladie
actuelle remonte il un mois. Il \ a un mois 1 ? ?
Cholémie 1 HéslIlIlée). .Maria D..., ménagère. Père mort d'une
maladie
de foie (non alcoolique). In frère atteint d'af
tre, sa mélrile n'est pas guérie et se transfor- mera en « une sale
maladie
. » Elle a eu jadis une arthrite béni- gne au ge
t la paralysie, de nature dyspeptique ( ? ). Chez Louise S., aucune
maladie
..Nature triste, misanthrope. Le début de sa mal
uise S., aucune maladie..Nature triste, misanthrope. Le début de sa
maladie
remonte à une quinzaine de jours. Mariée il y
oins tout le délire se concentre sur son mari. « Il lui a passé des
maladies
honteuses avant de partir, pour avoir le pré- t
éticuleuse, peu causeuse, un peu triste de nature. Le début de la
maladie
actuelle paraît dater de G mois. Il s'est manif
est né à terme. Assez intelligent, il apprenait facilemenl. Aucune
maladie
dans l'enfance. Pendant son service militaire,
tante, qui nous fournit ces renseigne- ments, ne lui a connu aucune
maladie
dans l'enfance. Elle était timide, très peureus
session,de concert avocat. X. Francotte, professeur de clinique des
maladies
mentales a l'Université de Liège, ont été accla
ébranlement des mêmes centres. Le travail dans la thérapeutique des
maladies
mentales. Tel était le litre de la (Itiebtioiic
ussi est-il tout à fait exceptionnel, d'après M. Cuy- litz, que les
maladies
mentales soient heureusement influen- cées parl
fluence du travail, physique ou intellectuel dans le traitement des
maladies
mentales, jusques et y compris celui des démen-
et qui.s'ils n'établissent pas l'action curative du travail sur les
maladies
mentales, semblent du moins prouver qu'il n'y a
econd, un adolescent de 10 ans, présente la forme juvénile de celte
maladie
. Discutant le diagnostic, le Professeur Raymond
parmi les autres hôpitaux du même genre. - 2" La progression de la
maladie
est continue et irrésis- tible, chez l'homme co
culteurs et les bourgeois constituent le principal terrain de la
maladie
; les femmes, parmi les pav sans, ont fourni le p
énéralement pas d'autres sv Diplômes moteurs. 11" L'évolution de la
maladie
a notablement changé dans ces der- niers temps;
HOLOGIE MENTALE. 387 Quanta voir, comme le veut W toss, tlans cette
maladie
, un pro- cessus constitué par la disjonction de
De quel- ques lacunes et difficultés relatives au groupement des
maladies
mentales; lan\ISSI.. (('wxtoaLLl.j'. \'w'ccnlz'il
as, sinon fous, se son ! rencontrés dans des familles juives. Colle
maladie
a généralement des suites fatales chez les enfa
'âge de aiis, comme ce ru le cas ici..le suis convaincu que celle
maladie
n'a pas une origine syphilitique, mais qu'elle do
lus a ajouter à la liste très restreinte des cas de celle incurable
maladie
. ' Voici à titre de renseignement quelques indi
ile aurait suspendu la circulation...) ? T. XXII L. Sclérodermie et
maladie
de Raynaud. Examen radiographique ; par JL\1. X
, ! 7 janvier 1 ! .JOj.) Observation d'un malade avanl présenté une
maladie
de ! ! d\- naud et une sclérodermie. La maladie
avanl présenté une maladie de ! ! d\- naud et une sclérodermie. La
maladie
de Ba) naud est affirmée par les poussées répét
tains auteurs, comme Gaucher et Barbe, Thibierge, séparent les deux
maladies
ef en font le diagnostic différentiel. D'autres
1l'tlL hulhaire précoce sont des caractères pathoynomoniques île la
maladie
de Gharcol. l;el1\ahi ? enll'nt hulhail'c e;,L ('
énéraliser plus ou moins ; les malades prennent alors l'aspect delà
maladie
de Thomsen. Ces cas sont intéressants, car il
téressants, car ils établissent un lien enlre les myopathies ,,1 la
maladie
de Thomsen et sont un argument cli- nique en fa
lite. F. T. XXXI. - Déformations séniles du squelette simulant la
maladie
de Paget ; par '\locQuoT et Montier. (1\'OIlV. Ic
ns du squelette dont l'ensemble constitue un syndrome analogue a la
maladie
dePaget, mais distinct tou- lnclnvES, 2° série,
rent, en plus de leur taille élevée, les stigmates classiques de la
maladie
de Marie à un degré plus ou moins avancé. Le v
tomatologique il expose enfin les manifestations psy- chiques de la
maladie
, faisant remarquer d'abord que, comme la polyné
tinales. Quelquefois le stade initial déli- rant constitue toute la
maladie
; le plus souvent elle traîne, pas- sant par de
cinq minutes de 1'('. Il e,\ ion ; 3° une épreuve clinique sur les
maladies
mentales : un seul malade. Il sera accordé ving
euve clinique commune : 20 points ; pour l'épreuve clinique sur les
maladies
mentales, à un seul malade : 20 points ; pour l
mbreux, on en possède très peu où cet effet ait été produit par une
maladie
des méninges seules ; d'abord.] ne sache pas qu
e d'une façon (1) 01lIVIEII. traite de la moelle épinière et de ses
maladies
Paris 1827. (2) Louis.- Mémoire sur l'étal de
verté- bral. Thèse deParis 18;1. (5) (at.RCO'r. - Leçons sur les
maladies
dit système nerreux, 18 ? I. II, p. 180, Galett
(4) émet une théorie mixte, mécanique et inflam- * (1) Vuï.pivx.
Maladies
de la moelle, 1879. · . (2) Lcyiien. lilirrtl :
rotocole d'autopsie. ' 4 PREMIER cas. .\I. IL ? 2j ans. Début de la
maladie
en jan- ,iel'l ! Iü : 3, par des douleurs verté
culeux ; jamais d'enfants ni de fausses couches : syphilis niée. La
maladie
actuelle aurait commencé en décembre 11.104 par
ien loin d'être complète. Troisième cas. M. L., 77 ans. Déhul de la
maladie
, paraît-il, il 1'11ge de 70 ans, par des douleu
le dorsale inférieure. Quatrième cas. A. l"" jt) uns. Début de la
maladie
en jan- vier 1 ! )03 par des douleurs dans les
part du temps défectueux. Ils meurent d'habitude de bonne heure, de
maladies
intercur- rentes ; rarement ils dépassent 25 an
gleterre et aux Etats-Unis. Voici la liste de nos travaux sur cette
maladie
: Courneville. Art. dans Traité de médecine de
s. Mais le pro- blème de savoir si cette affection se rapporte à la
maladie
de la thyroïde reste insoluble. Dans le crétini
yroïde existe déjà chez le foetus,tan¡lis que dans le crétinisme la
maladie
de la glande se présente le plus souvent dans l
e. Le ])1' Bayon fait celle remarque importante que presque foute
maladie
infectieuse qui attaque la constitution de l'homm
ritonéale et pulmonaire qui présenta, dans la période ulti- me delà
maladie
, de l'épilepsie localisée, avec embarras de la pa
nière dont travaillent les aliénés dans les différentes formes de
maladies
mentales et aux diverses époques d'une même affec
lusieurs points de ressemblance : pas de tares héréditaires, pas de
maladie
du jeune âge chez les deux malades ; début de l
! 301SSIER. BIBLIOGRAPHIE 11 ? Les écrits et les dessins dans les
maladies
nerveuses et F mentales ; par le D''RûGUES nE 1
03). Cette thèse fut couronnée par la Faculté. Chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de Pa- ris de 1903 à 1905
dical le compte rendu qu'il y fit du Congrès de Ren- nes. Mais la
maladie
finit par avoir raison de cet être d'élite, à l
NEMENT de la NEUROLOGIE et de la psychiatrie. Cours de CLINIQUE des
maladies
DU système nerveux. M. le ! )''UAYMONn a commen
ème nerveux. M. le ! )''UAYMONn a commencé le cour» de clinique des
maladies
du sli'I11e llL'r'\L'U'i : , le mardi 14 novemb
eures de ces conférences complémentaires. 500 varia. Clinique des
maladies
DU système nerveux, (il. le Prof. 1 ? IIAYMOVD.
érébral. Tumeurs cérébrales. Aphasies. Encéphalopathies infantiles (
maladie
de Little, hémiplégie in- fantile). Méningites,
, hémorrhagies méningées, ponction lombaire Syndrome cérébelleux ;.\
maladie
de Friedreich. Svndromes bulbs- protubérantiels
a(iclue, etc : l' I : pilelmies. Hystérie. Neurasthénie. Psychoses.
Maladie
de Parkinson ; Chorée ; Tics; Tremblements. Exa
ardis, jeudis, same- dis, de midi 3 heures. COURS DE clinique des
maladies
mentales et des maladies de l'encéphale. il. le
s, de midi 3 heures. COURS DE clinique des maladies mentales et des
maladies
de l'encéphale. il. le Pr JnpFROY a commencé le
encé le cours de n¡ 1 s nlvr. as. : )01 , .... . t clinique des
maladies
mentale^ le samedi 18 novembre 1 ! 10, à 10 heu
PAILHAS (B.). Balnéation et hydrothérapie dans le traite- ment des
maladies
mentales. Rapport présenté au Congrès des médec
. B.OEISKI. Voir Sclérose. Balnéation et hydrothérapie dans les
maladies
mentales, par Pailhas, p. 209. - et gâtisme v
(flP ? sie. ' ' Déformations séniles du sque- lette simulant la
maladie
de Paget, par Mocquot et Mon- tier, p. 401.
s superfi- cielles svmetriques, par Dide, p. 112. Dessins. Voir
Maladies
nel- veuses. Distinctions honorifiques, p.
X. ECTOPIE cérébelleuse, par "\ 1- quier, p. ,192, ECRITS. Voir
Maladies
11fr- reuses.. z Ecriture. Voir Troubles. E
qUI \'eul 01 1'11 11gll'l' {JIlIIlIt'I'liI'. p.3U). ' Friedreich.
Maladie
de et ]iérédo-ataxic cérébelleuse, par Raymon
;en à Honn et du Dr Ehrenwald à Ahrweiler, par Maere, p. 487.
Maladies
. Prévention des nerveuses ou mentales dans l'
urologie. Enseignement de la - et de la psychiatrie. Clinique des
maladies
du système nerveux par Ray- mond, p. 499. <
par Dupré et Le- n7aire, p. 132. ' Parkinson. Voir Scopolamine.
Maladie
,le ? par Ray- mond, p. 130. Parole. Voir l't
gn- lie et le gigantisme, par P. Marie, p. 464. Sclérodermie et
maladie
de lexiiiiien radiogl'a- .phique, par Nicolas
ëlebetteux de Babinski, par Sclieib, p. 397. Scop()LAMl\E dans la
maladie
dc Pnrlcin,on, 1>ur Roussç, p. 55. Sens
384. VERTIGE. Observation de -, par Régis, p. 234. ZIEOEV. Voir
Maladies
? l1Pl1trr- les. TABLE DES AUTEURS ET DES COL
DE CHARLES HÉRISSE Y ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE ruz, DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
vant : TABLEAU XXI Antécédents personnels. Lem... n'a fait aucune
maladie
dans son enfance. A quinze ans, il a appris le
ue), le sucre ayant notablement diminué, il sortait. Depuis lors sa
maladie
ne l'a pas autrement incommodé; il n'est resté
bservation clinique que les juifs sont particulièrement atteints de
maladies
arthri- tiques et névropathiques. K... a épro
les troubles vésicaux, qui ne peuvent être mis sur le compte de la
maladie
diabétique. Nous nous sommes déjà expliqués sur
tique sont restées infructueuses. Jamais D... n'a entendu parler de
maladie
dans sa famille. Tous les mem- bres qu'il conna
ant quinze ans. C'est à ce surmenage intellectuel qu'il attribue sa
maladie
. A dix-sept ans, en 18S, après être resté trois
u système nerveux, l'atté- nuation, l'arrêt ou la disparition de la
maladie
la première en date, lorsque survient la second
us strabiques, porteurs de pieds bots, affligés de telles ou telles
maladies
organiques du système nerveux (ramollissement c
du tabes vrai avec le diabète, chez un même sujet. Mais les deux
maladies
se sont succédées au lieu de coexister. Ou, du
diabète. Malheureusement je n'ai pu ni suivre l'évolu- tion de la
maladie
, ni faire l'autopsie. Cependant, quoique le dia
HYSTÉRIQUES, LES CHORÉIQUES, LES TIQUEUX ET DANS QUELQUES AUTRES
MALADIES
DES CENTRES NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasa
bruyants, qui paraît quel- quefois constituer à elle seule toute la
maladie
. 1. J'appelle ces bruits « laryngés » parce que
culier dans la chorée de Sydenham, le paramyoclonus multiplex, la
maladie
des tics, etc., il y aura lieu d'insister sur les
c les phénomènes correspondants qui s'observent quelquefois dans la
maladie
des tics. Et ici, remarquez-le bien, le diagnos
iagnostic est d'un grand intérêt pratique, car, les accidents de la
maladie
des tics, bien qu'ils paraissent subir des amen
as de stigmates sensitivo-sensoriels, pas d'attaques. C'est de la
maladie
des tics qu'il s'agit chez cette petite malade,
stérie et qui au contraire, se montrent assez fréquemment dans la
maladie
des tics. Je veux parler des exclamations dites
ès de lui : «Jette- le, » disait Beard à un sujet atteint de -cette
maladie
qui tenait un couteau à la main « Jette-le, » r
lles prononcer hautement en public des paroles du même genre.' La
maladie
chez elle a duré plus de soixante ans. Quelques
encombrer un domaine nosographique déjà si chargé. L'hystérie et la
maladie
des tics, peuvent coexister, mais celle-ci ne d
scuité, les bruits laryngés soit hystériques, soit appartenant à la
maladie
des tics figurent au prie- mier rang parmi ceux
ques des cheveux et des dents (à cause de la période initiale de la
maladie
). Infiltration sous-cutanée, mais sans sécheresse
sée par l'explosion sourde de l'af- fection. Il est probable que la
maladie
existait à l'état latent jus- qu'au jour où un
émiplégie permanente. P. KERAVAL. XXVI. DE L'ASTASIE-ABASIE dans la
maladie
DE BASEDOW; par A. Eulenbourg. (Neurol. Central
fut que temporaire ; en tout cas, l'avortement ne fit pas cesser la
maladie
. De plus, la même malade devient grosse pour la
e, la sensibilité est diminuée dans tous ses modes. La marche de la
maladie
et l'ensemble clinique militent en faveur d'une
roubles qui, quelle que soit la progression dans l'en- semble de la
maladie
, disparaissent à leur tour et ne reviennent plu
ociation des idées. P. K. XXXIII. NOTE sur les paralysies dans la
maladie
de Parkinson; par le Dr Moucorgé (du Mont-Dore)
es paralysies avec ou sans atrophie à la période préterminale de la
maladie
de Par- kinson; 2° des paralysies compliquées o
cidents parétiques, paralytiques et atrophiques au génie même de la
maladie
de Parkinson, et non à des complications étran-
° sans pouvoir actuellement se prononcer sur la nature intime de la
maladie
(névrites, myopathies, dystro- phies musculaire
myélilique de Teissier), on doit tendre dé plus en plus à rayer la
maladie
de Parkinson du cadre des névroses. ' G. DENY.
donc être rangée au nombre des REVUE DE pathologie NERVEUSE. 109
maladies
infectieuses (variole, fièvre typhoïde, dipthérie
s deviennent fréquemment aliénés, et inversement, dans les diverses
maladies
mentales apparaissent souvent des tendances crimi
e la répétition abrégée de la forme chronique et dans lesquelles la
maladie
débute par le délire typique de persé- cution,
nte sous l'aspect suivant : hérédité dans tous les cas, sauf un. La
maladie
a été pré- cédée de secousses morales, de surac
ant la fureur. La marche est rémittante et même intermittente et la
maladie
se compose pour ainsi dire de paroxysmes réitér
a fixation ou à la systématisation. ' Dans la plupart des cas, la
maladie
dure des semaines et des mois. On voit par ce
on mentale. Con- formément à cette idée, étant donné ce fait que la
maladie
se pré- sente le plus souvent chez des gens qui
action de troubles moraux, de surexcitavité intellectuelle ou d'une
maladie
générale, il y aurait lieu de considérer cette
ntes, n'ayant rien de systé- matisé. Si cet épisode arrive quand la
maladie
est bien développée, le délire partiel qui exis
u contraire, la paranoïa a débuté de la sorte, le caractère de la
maladie
ne se découvre que quand l'impétueux accès des id
ctueux qui a donné l'éveil de la psychopathie. P. KERAVAL. V. Des
MALADIES
mentales dans les U USONS de correction; par A.
ans lequel, par l'étude de la suggestibilité spéciale à ce genre de
maladies
, l'auteur donne la clef de la plupart des phéno
e syndrome peut s'observer dans les affections cérébrales, dans les
maladies
de la moelle, dans les névrites périphériques,
is les lauréats du concours, MM. Mabille et Lal- lemant. En fait de
maladie
diathésique, il ne nous reste guère que l'arthr
st-il une manifesta- tion diathésique ? Ne serait-ce pas plutôt une
maladie
infectieuse ? Sans rejeter absolument cette opi
e ces enfants est indispensable et cela par la nature même de leurs
maladies
et de leurs infirmités qui, pour être convenabl
édecins qu'il était venu consulter à Paris lui ayant déclaré que la
maladie
dont il était atteint ne pouvait être guérie, i
.-M. CHARCOT et A. DUTIL. La paralysie générale progressive est une
maladie
de l'âge mûr. Tous les auteurs qui depuis Bayle
duire après soixante ans. Exceptionnels égale- ment sont ceux où la
maladie
fait son apparition avant la trentième année ;
avons récemment observé et chez lequel les pre-. miers signes de la
maladie
se sont manifestés, il y a au moins deux années
filles. Sur ces dix-huit en- fants, quinze sont morts en bas âge de
maladies
indéterminées. Tous sont nés à terme. Trois son
eu une rougeole bénigne qui guérit sans complications. Pas d'autre
maladie
antérieure à l'affection actuelle. Il n'a pas e
ersistèrent. Mais depuis trois mois les parents ont remarqué que la
maladie
fait de rapides progrès, que l'intelligence s'a
e. Si on la compare à l'écriture du sujet antérieure au début de sa
maladie
, on voit que le malade trace actuellement des c
e dans ce pas- sage que nous empruntons à son Traité pratique des
maladies
mentales : « En marchant ils écartent les jambe
, que ni la syphilis, soit hérédi- taire soit acquise, ni une autre
maladie
infectieuse ne 152 CLINIQUE NERVEUSE. sauraie
ns le cas particulier pour expliquer l'éclosion si prématurée d'une
maladie
qui jusqu'à ces derniers temps semblait apparte
tre douze et seize ans qu'appa- raissent les premiers indices de la
maladie
. Jusque-là aucun trouble nerveux, aucun inciden
la croissance, le déve- loppement physique des jeunes sujets que la
maladie
saisitàl'époquede la puberté. Il en été ainsi c
x restèrent à l'état rudimentaire. Dans la période d'état, quand la
maladie
est bien confirmée les symp- tômes physiques l'
vénile, la seule particularité qu'on puisse relever. La durée de la
maladie
varie de deux à cinq ans. Quatre fois au moins
e des adolescents non plus que celle des adultes n'est jamais une
maladie
syphilitique. Par contre, l'hérédité névropathi
que cette opinion de Marcé est bien 1 Marcé. - Traité pratique des
maladies
mentales, 1862, p. 469. 156 CLINIQUE NERVEUSE.
s temps une anomalie à peu près in- connue dans l'histoire de cette
maladie
. Depuis que l'attention des cliniciens s'est fi
qui font ainsi, depuis quelques années, éclore si prématurément une
maladie
jusqu'a- lors réservée à l'âge adulte, à l'âge
ntes. Beaucoup de persécutés ont immolé, sous l'influence de leur
maladie
, des personnages en vue et ils ont ainsi acquis
au sien ? ' Nous venons de passer eii revue un certain nombre de
maladies
mentales qui présentent, comme symp- tôme plus
es'cas, l'homicide est une'complication plutôt qu'un symptôme de la
maladie
.' Les aliénés' peuvent se diviser en deux grand
arité et l'imprévu sont les' caractéristiques 'de 'la plupart des
maladies
mentales dont ils' sont atteints.* ' ' Il - r '
tabes. Sans doute, ces divers signes offrent bien, dans les deux
maladies
, quelques traits différentiels, mais ce sont le
fortes probabilités pour l'exis- tence d'un vrai tabes associé à la
maladie
diabétique. Si par contre l'amendement portait
. A côté de cette première catégorie de signes com- muns aux deux
maladies
diabète et tabès, il en est une seconde où les
rinaud),de l'atrophie nacrée du tabès. M. Galezowsky 2 ' Althaus.
Maladies
de la moelle épinière. Traduction française de
e. Traduction française de J. Morin, 1885. Galezowsky. Traité des
maladies
des yeux, 1875. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. décl
n ophthal- moscopique... Mais on n'oubliera pas qu'au début de la
maladie
le disque optique n'offre pas la moindre altéra
ins l'atrophie optique du tabes de l'amblyopie de ces deux dernière
maladies
, en ce que l'atrophie commence toujours dans un
mmence toujours dans un seul oeil, et dans le cours ultérieur de la
maladie
, un oeil est toujours plus affecté, excepté lor
n sur une famille dont presque tous les membres étaient atteints de
maladie
de Friedreich. L'un d'eux était diabé- tique. M
et qui n'est pas moins intéressant. Observation DE la famille A... (
Maladie
de Friedreich.) (Dr Latil, d'Aix.) La famille
gérés. Examinons maintenant comment s'est faite l'évolution de la
maladie
dans la famille A.... L'aïeul, ataxique depuis pl
montrent la parenté, au point de vue héréditaire, du diabète et des
maladies
du système nerveux ; d'autre part ceux qui ont
Une soeur morte d'apoplexie à soixante-dix ans. Un frère mort d'une
maladie
cérébrale; cela lui était venu quatre ans après u
ologie préten- tieuse. Elle aspire à l'idéal. Elle a, dit-elle, une
maladie
de l'âme. -(Elle distingue l'âme et le coeur).
t entrée dans le service de M. Falret, le 23 août 1890. Début. La
maladie
semble avoir débuté il y a deux mois. Mélanie B
Antécédents personnels. Elle n'a pas eu dans sa jeunesse d'autre
maladie
qu'une fièvre typhoïde à l'âge de dix-sept ans.
s accentué avec idées' bypochondriaques spéciales. : Le début de la
maladie
actuelle remonte à deux ans et demi.j i Elle se
par jalousie. » 214 - RECUEIL DE FAITS. ' Vers 1875, on note une
maladie
d'épuisement, après avoir soigné un ami. Elle
ntécédents héréditaires. Son père était maniaque. Sa mère avait une
maladie
de cour. Elle fut élevée chez sa grand'mère. Un
de leur état de rêve, les visions qu'ils avaient eues pendant leur
maladie
. Or, chez notre malade rien de semblable. Ses c
scurs, il y a probabilité de para- lysie générale. Il y a une autre
maladie
à la vérité dont le début ou l'imminence peuven
ce sont assez communément associées. R. M. C. X. Une observation DE
maladie
DE RAYNAUD, consécutive A la manie aiguë; recue
EVUE DE pathologie mentale. leurs lombaires conduit à penser que la
maladie
reconnaissait pour cause une lésion nerveuse ce
SUR un cas DE manie -AIGUE avec gangrène SYMÉTRIQUE DES - ORTEILS (
maladie
de Raynaud) ; par J. M.1CPHERSON. (The Journal
que la douleur, qui est un des symptômes à peu près constants de la
maladie
, a fait totalement défaut. Les modifications de l
l'insurfisance de son alimentation. R. M. C. XXVI. Quelques cas DE
maladies
du cerveau CHEZ LES imbéciles; par Fletciier Ge
ARCmvES, t. XXIII. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cipales
maladies
mentales qui y sont traitées et les divers person
gie régressive des fonctions du cerveau. Dans le cas rapporté, la
maladie
avait pris naissance à l'occasion d'une grosses
nsi que le fait justement remarquer l'auteur, ce ne sont pas là des
maladies
spéciales, mais de simples variétés de folie du d
r les relations exactes de l'analgésie avec chacune des variétés de
maladies
mentales : tout au moins peut-on dire qu'on la
le bien-être physique du malade, chez lequel elle peut masquer des
maladies
organiques graves. De plus, s'il est prouvé qu'
LUSIONS subjectives ou signification DE certains symptômes dans LES
maladies
mentales; par J. Draper. (Amel'ican jou1'11al o
viennent les causes extérieures, les influences occultes, etc. Les
maladies
des organes spéciaux, qui amènent la déplétion du
t pas voir dans l'entraînement physique une panacée pour toutes les
maladies
du corps, de l'esprit et du moral. Le point sur
de Neurologie, Xi Congrès, t. XXI, p. 132. sociétés savantes. 239
maladies
n'ayant rien de commun avec le traumatisme, par
troubles nerveux très variés. La névrose traumatique n'est pas une
maladie
autonome. Il ne la faut regarder que comme un s
le intensité; un traitement convenable améliore une seconde fois la
maladie
. Enfin, à la suite d'une scène de famille, et aux
manifestent aujourd'hui. M. JOLLY. Des troubles trophiques dans les
maladies
de la moelle. - Voici un jeune hemme qui, à l'â
avoir syringomyélie ou gliomatose de la moelle; en un mot c'est une
maladie
de Morvan, car les distinctions établies entre
e les processus de destruction périphériques qui caractéri- sent la
maladie
de Morvan dépendent-ils de la localisation spécia
n clinique, d'une gra- vité exceptionnelle, permettait de ranger la
maladie
sous l'étiquette de : foyers d'encéphalite ou d
osseux, ou tout au moins de : complexus symptomatique analogue à la
maladie
de Ménière. Eu effet, chez des individus encore j
ait, les symptômes sus-mentionnés. M..J{AHLDEN (de Fribourg). De la
maladie
d'Addison. Deux questions nous intéressent au p
ions nous intéressent au point de vue anatomo-pathologique, dans la
maladie
d'Addison. Ce sont : 1° celle de la genèse et de
ymptômes avec l'altération si fréquente des capsules surrénales. La
maladie
dépend-elle directement de cette altération, ou
psules surrénales qu'il a examinés, il a enre- gistré deux faits de
maladie
d'Addison typique. Dans ces deux faits, il n'y
quelques-uns des cas de caséification des capsules surrénales, sans
maladie
.d'Addison, il existait des altérations marquées d
marquées des gan- glions. L'orateur ne peut donc conclure que la
maladie
d'Addison soit produite par des altérations des
nfluencé par ces altérations. On a récemment essayé de rattacher la
maladie
d'Addison à des altérations de la moelle. On se
ntes de la moelle; il - n'a pu en faire un élément spécifique de la
maladie
d'Addison, il les a plus volontiers rapprochées
plexus symptomatique (hyperesthésie-douleur) remonte au début de la
maladie
et que, par suite, il n'a rien à voir avec les
, deux autres malades également atteints de tétanie; au début de la
maladie
, on constatait l'abolition des réflexes patella
, prouverait l'influence du genius épidémicus sur la genèse de la
maladie
. M. le Dr Minor, dans sa communication sur la s
r des cas d'affec- tions de la cauda equina, au début desquelles la
maladie
ne se manifeste que par une sciatique unilatéra
tique est, plus souvent qu'on ne le suppose, soit le symptôme d'une
maladie
constitutionnelle générale, soit celui d'affectio
s KOJEVNIKOFF' et Minor sont d'avis que la marche progressive de la
maladie
ne peut être déterminée qu'en continuant à obse
myotrophique. Cependant, l'anamnèse et la marche ulté- rieure de la
maladie
ont mis hors de doute l'exactitude du diagnostic
OGRAPHIE IV. Etude sur les syndromes hystériques «.simulateurs» des
maladies
organiques de la moelle épinière (sclérose en p
es : 1° Il existe des syndromes hystériques qui peuvent simuler les
maladies
organiques de la moelle ; 2° ces syndromes simu
des d'existence qui ont été par- fois la cause déterminante de leur
maladie
, et se trouvent, d'autre part, dans l'impossibi
ger la société contre l'invasion - des causes qui peuvent amener la
maladie
, d'en arrêter les progrès ; ' il y a pour lui o
peuvent s'en enorgueillir Citons : deux pavillons d'isolement pour
maladies
contagieuses, les ateliers d'hommes et de femme
Je ne savais qu'une chose, c'est qu'elle l'avait fait enfermer pour
maladie
. D. Etiez-vous allé voir votre cousine à l'asil
r qui aurait réa- lisé un progrès capital dans la thérapeutique des
maladies
des cen- 286 FAITS DIVERS. tres nerveux, tell
. CHARCOT. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BLOCQ (P.) et ONANOFF (J.). -
Maladies
nerveuses (séméiologie et dia- ,qnostic). Volum
tions à la religieuse de la salle, femme intelligente, habituée aux
maladies
nerveuses que j'avais toujours en assez grand n
net, de la contredire si elle lui par- lait de la singularité de sa
maladie
; de lui répondre si elle lui 302 CLINIQUE MENTA
rayonne sur toutes les formes vésaniques : qui dit. psychoses, dit
maladies
éminem- ment héréditaires, mais cependant l'hér
quilibration de l'héréditaire. Donc il suffit de l'apparition d'une
maladie
aiguë et notamment d'une fièvre typhoïde, d'une
les HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307 troubles nerveux consécutifs aux
maladies
aiguës. Fritz, Roger et Damaschino, Wesphal, Vu
t l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE. Clinique DES
Maladies
DU système NERVEUX. M. CHARCOT. L'ANESTHÉSIE HY
iques et qu'il est rare de rencontrer les autres symptômes de cette
maladie
sans qu'il y ait trace de celui-là. M. Pitres, da
surtout vous montrer des phénomènes produits naturellement par la
maladie
. Cette anesthésie systématisée se rencontre aussi
thérapeutique de l'hysté- l'ie, 18 ! H, p. 183. 3 Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1887, t. III, p. 3411, . L'
je crois, pour tous les sens, même pour le sens visuel. Il est une
maladie
bien connue des oculistes, la rétinite pigmenta
3 Cf. Thèse d'agrégation de M. Grenier : Des localisations dans les
maladies
nerveuses, 1886; M. Parinaud : Anesthésie de la r
ve, plus résistant que ces habitudes morales, il y a une foule de
maladies
qui ne sont que des tics psychologiques. Un bea
ivre de Mil. P. Blocq et J. OnanolT, 5'èmeiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses, 1892, p. 199. l'anesthésie hystériqu
e quel droit vous séparez ces malades des autres et vous créez deux
maladies
dans l'hystérie. Vous pou- vez aussi supposer q
des anesthésies localisées, l'indifférence des malades, puisque la
maladie
ne trouble que la perception consciente et lais
ons donc conclure : l'anesthésie hystérique n'est pas pour nous une
maladie
organique, c'est une maladie men- tale, une mal
sie hystérique n'est pas pour nous une maladie organique, c'est une
maladie
men- tale, une maladiepsychologique. Elle exist
s la désagrégation psychologique. L'anes- thésie hystérique est une
maladie
de la personnalité. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE,
poser que s'il a bien, comme il le dit, été atteint autrefois d'une
maladie
des organes génitaux, il s'agissait seulement d'u
d'une maladie des organes génitaux, il s'agissait seulement d'une
maladie
vénérienne peu grave. Quoi qu'il en soit, on doit
re ou acquise. A cette époque de son existence, il tombe malade. Sa
maladie
est caractérisée par de violentes douleurs de t
MICIDE. 379 Il est important de rechercher quelle peut être cette
maladie
qui va sans cesse en s'aggravant. Il est certai
qui va sans cesse en s'aggravant. Il est certain qu'il s'agit d'une
maladie
du système nerveux qui intéresse spécialement l
assé : A... atteint de dégénérescence intellectuelle, suite d'une
maladie
des parties antérieures du cerveau, a tout à co
mérer les caractères distinctifs qui existent entre ces différentes
maladies
mentales et l'accès de délire mélancolique dont
trefois à A... d'aller consulter un empirique qui gué- rissait les
maladies
inconnues et qui enlevait les sorts. Ce simple
ssociation; il sent que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les
maladies
cérébrales et mentales, p. 425. 392 RECUEIL DE
ble, véri- tables phénomènes d'automatisme psychologique dans une
maladie
comme la mélancolie où l'on trouve aussi accentué
des petits vaisseaux, même chez les individus morts au début de la
maladie
, alors que la substance cérébrale ne pré- sente
le texte de la nouvelle loi définisse les aliénés dangereux et les
maladies
mentales ou à défaut de définition continue une
craindre de voir les sept péchés capitaux transformés en autant de
maladies
mentales. En un mot, pour M. Charpentier, les s
typhoïde qui croient ainsi servir d'habitacle au rusé compagnon. La
maladie
n'est pas mortelle et les patients arrivent ass
eints dans la première ou dans les premières années de la vie d'une
maladie
fébrile à la suite de laquelle se seraient inst
ale peut demeurer latente et ne se manifester qu'à l'occasion d'une
maladie
fébrile telle que scarlatine ou toute autre mal
'occasion d'une maladie fébrile telle que scarlatine ou toute autre
maladie
infectieuse, et que, par suite, c'est la syphil
9. En 1881 il prend un chancre induré. A la fin de l'année 1889, la
maladie
spinale progresse très rapidement, en février 1
idents durent huit jours, puis graduellement, ils disparaissent. La
maladie
ne dépasse pas deux mois. M. HAHN présente au
s et nonchalants. M. Kurella. Un cas de psychopathie relevant de la
maladie
de Basedow. C'est un fait de médecine légale qu
sirs, sans amitiés, que sa soeur semble également être affectée de
maladie
de Basedow. En conséquence, M. Kurella conclut
les premières dix à douze semaines, depuis le com- mencement de la
maladie
, envahit lous les muscles de l'extrémité attein
en exprimer le suc. P. Keraval. VIII. Séméiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses; par le D'' Paul BLOCQ et J. ONANOFF,
2. Cet ouvrage comble une lacune que l'extension qu'ont prise les
maladies
nerveuses depuis un certain nombre d'années renda
M. Charcot et aux chefs de services auxiliaires de la clinique des
maladies
nerveuses (électrothérapie, ophtalmologie, otol
logique', de la Salpêtrière, où s'entassent en couches pressées les
maladies
chroniques incurables, les affections nerveuses
vez fondé à la Salpêtrière une école incomparable de cli- nique des
maladies
nerveuses, comme il n'en existe nulle part ail-
Une méthode d'investigation des malades étant donnée, une série de
maladies
nouvelles seront déterminées; mais là, le plus
ue. C'est ce que vous avez réussi à faire pour un grand nombre de
maladies
du système nerveux inconnues jusqu'a vous ou peu
e former, est-elle l'Ecole clinique par VARIA. 447 excellence des
maladies
nerveuses, aussi connue, aussi estimée dans tou
points de notre territoire, des hôpitaux sont ouverts aux diverses
maladies
qui affligent l'humanité, la plus cruelle de tout
était presque continuelle- ment ivre. Torturé enfin par la terrible
maladie
qui le minait lente- ment et par toutes sortes
asse. (Arrêté du 24 février.) Le Dr PACTET, chef de la clinique des
maladies
mentales à l'asile Sainte-Anne (1er novembre 18
Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpétrière. Leçons du
l'acromégalie et en particulier d'une forme amyotrophique de cette
maladie
. Volume in-8° de 208 pages, avec figures. Prix :
ère et fils. VOULGRE (A.). De l'élimination des phosphates dans les
maladies
du système nerveux et de l'inversion de leur fo
m : 20 fr. Paris, 1892. Librairie ¡ ? Alcan, Grasset. - Un cas de
maladie
de Moruan. Leçons recueillies par GUIBERT (H.).
Le rédacteur-gérant, Bourneville. TABLE DES MATIÈRES. AnnISON (
maladie
d'), par Kahlden, 249. Affaire DOURCHES, 278.
aker, 234. Banquet à M. le professeur Charcot, 411. 1. BASEDOw (
maladie
de), psychopa- thie dans la , par Kurella, 439.
iques, par Maxille, 126 ; syndromes hys- tériques simulateurs des
maladies
organiques de la moelle, par Souques, 258 ; p
t l'idiotie, par Bourneville, 441 ; séméiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses, par P. Blocq et Onanoff, 443. BULL
Geigel, 97. Illusions subjectives, par Draper, 232. Imbéciles,
maladies
du cerveau chez les-; par Fletcher Beach, 225.
e la -, par Bernhardt, 100. - Larynx, nerf du -, par Kagan,440.
Maladies
mentales, dans les maisons de correction, par K
Mérycisme, par Roller, 433. Moelle, troubles trophiques dans les
maladies
de la -, par Jolly, 240. Monoplégie hystériqu
d'un fou atteint de , par Feist, 396; Kalhbaum, 434. Pabkinson (
maladie
de), paralysie dans la - par Noncorgé, 108. P
ides, chez l'homme et les ani- maux, par Bechterew, 397. RAYNAUD (
maladies
de), par Raw, 219; Macpherson, 222 Réflexes,
IMERIE DE CHARLES HËRISSEY ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE sous LA DllIgCT¡O
produite par la commotion». Mathey (Noucellesl'eelter- ches sur les
maladies
de l'esprit, Paris et Genève, 1816), avait été
is, quant à l'influence de ces trau- matismes sur la production des
maladies
mentales, nous devons reconnaître qu'elle ne pa
ses de l'épilepsie, et rencontrant un certain nombre de cas où la
maladie
paraissait due à des coups sur la tête, ajoute
s échappé aux auteurs qui s'étaient plus spécialement occupés des
maladies
inflammatoires du cerveau, et en parti- culier
es congestions sanguines dans les vaisseaux de la pie-mère, etc. » (
Maladies
du cerveau et de ses mem- branes, Paris, 1826,
s dites morales une trop grande prédominance dans la pathogénie des
maladies
men- tales ». (Morel, Traité des maladies menta
ce dans la pathogénie des maladies men- tales ». (Morel, Traité des
maladies
mentales, p. 144.) Griesinger est un de ceux qu
49 cas (42 hommes, 7 femmes) de folie traumatique. Dans 19 cas, la
maladie
mentale éclata moins de 1 an après l'accident;
bien loin d'être la cause, ne sont au contraire que l'effet d'une
maladie
cérébrale déjà existante. DES TRAUMATISMES DU C
ut à fait extraordinaire se trouve dans Ferrier (Loca- lisation des
maladies
cérébrales, trad. Varigny, Paris, 1879, p. 15) :
vue clinique, les Leçons de Charcot sur les localisations dans les
maladies
du " cerveau (1875), les articles de Charcot et
surtout aux périodes avancées LES FONCTIONS DU CERVEAU. 53 de la
maladie
, ne permet guère de renseigner exacte- ment le
e l'Université de 'Charcot. - Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau, p. 119. . Tous les faits connus e
r pathogénie. En général, il n'y a pas, dans la noso- graphie, de
maladies
dont la pathogénie soit mieux connue, mieux écl
cas, avoir une in- fluence sensible même sur l'état de santé ou de
maladie
de l'homme. Lorsque l'air ambiant, par exemple,
atine, avec otite consécutive; - à huit ans, rougeole. Pas d'autres
maladies
, sauf quelquefois des croûtes dans les cheveux
le. - Antécédents personnels : rougeole à quatre ans ; pas d'autres
maladies
, pas de syphilis. Marié, une fille de seize ans
Marié, une fille de seize ans bien portante. En 1873, début de la
maladie
par des douleurs fulgurantes dans les membres i
ntécédents personnels nuls, pas de syphilis. En 1879, début de la
maladie
par des faiblesses dans les mem- bres inférieur
s ces crises furent à peu près le seul symptôme appré- ciable de sa
maladie
. En 1884, douleurs fulgurantes dans les membres
RITIQUE TRAITEMENT DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE, ET DE QUELQUES AUTRES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX PAR LA SUS- PENSION ; , Pa
188l1, p. 629. 140 REVUE CRITIQUE. II. De la suspension dans les
maladies
nerveuses autres que le tabes. Dans ses expérie
iquée à 8 sujets atteints de paralysie spasmodique, à 3 affectés de
maladie
de Friedreich, et à 4 cas de paralysie agitante
e en plaques sont sur- venus des accidents. Les malades atteints de
maladie
de Freidreich n'ont tiré aucun bénéfice appréci
ralysie agitante, de myélite transverse, d'hémiplégie cérébrale, de
maladie
de Freidreich, a été aussi notée par le Dl' Dan
les DES sensualités générale et spéciales dans CERTAINES FORMES DES
MALADIES
MENTALES, par M. fI`7FELSTEI\. , (W1'atsch, 188
éance du 27 mai 1889. - Présidence de M. Falret. Classification des
maladies
mentales (suile de la discussion). - M. RALL es
larct'll3l\IAND. 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 11 juin 1888'.
n de confiseur (séjour dans les eaux) qu'il convient d'attribuer sa
maladie
. Il accuse actuellement (après avoir vu double
ents provocateurs de l'hystérie : émotions morales scliock nerveux,
maladies
générales et infectueuses, états pathologiques
r un affaiblissement général, intoxications chro- niques et aiguës,
maladies
de l'appareil génital, constituent autant de ch
ateur pour reparaître à son occasion. Elles prouvent aussi que la
maladie
provoquée par ces agents est bien l'hystérie et
t sulfure de carbone; -, la grossesse et l'accouchement : enfin les
maladies
de la moelle telles que sclérose en plaques, ta
in les maladies de la moelle telles que sclérose en plaques, tabes,
maladie
de Friedreich, la myopathie progressive, la com
affiches l'hypnotisme comme une méthode naturelle de guéri- son des
maladies
. La police de Genève a pris enfin une mesure an
depuis peu à la Faculté do médecine, le premier dans la chaire des
maladies
du Système nerveux, le second dans celle des ma
la chaire des maladies du Système nerveux, le second dans celle des
maladies
mentales. La LOI sur les aliénés en ITALIR. M.
chi, rapporteur); 4° Application de la thérapeutique suggestive aux
maladies
mentales et plus parlicu- lièrement : Peut-on i
ement : Peut-on instituer une thérapeutique suggestive sérieuse des
maladies
mentales ? Peut-elle être mise en oeuvre seulemen
hensch1'i(t, » la relation d'un cas parfai- tement typique de cette
maladie
. L'observation du malade est accompagnée de fig
ningite cérébro-spinale sévit en ce moment dans le Sud du Texas. La
maladie
est très grave et se manifeste souvent par une
ropriétaire de l'asile d'aliénés de Boreatton-Park et piofesseur de
maladies
mentales à l'Universily *y Collège de Londres -
de w.vu-80 pages. (Tome IX de ta Collection.) DUTLIN (Il.-T.). -
Maladies
de la langue. Traduit de l'anglais par le D' Do
pages. Prix : 8 fr. Pour nos abonnés : (i fr. Charcot (.1.-)1.).
Maladies
des vieillards, goutte et rhumatisme. Un beau v
mplètes). Prix : 12 fr. Pour nos abonnés : 8 fr. Cuancor(.1.-lL).
Maladies
infectieuses, affections de la peau, kystes hyd
nsidérations sur les causes de l'imnzrtrzilé rre- qlâlie contre les
maladies
infectieuses. - Paris, 1889. -Imprimerie A. Uei !
ait à la paralysie générale pro- gressive qui nous ont servi, cette
maladie
étant ac- tuellement la mieux étudiée au point
mieux étudiée au point de vue anatomo- pathologique, de toutes les
maladies
de l'encéphale. Il ne nous reste plus maintenan
es. Et c'est ainsi que l'on peut voir survenir l'une ou l'autre des
maladies
mentales : manie, délire de persécutions, folie
que sur les antécédents du malade, et sur le mode d'évolution de la
maladie
. De tout ce qui précède, ressort, dans chaque c
air comprimé et quel est son mode d'action. Main- ' Les causes des
maladies
mentales sont toujours complexes et mul- tiples
CACHEXIE PACHYDEXMtQUE (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI Professeur de
maladies
mentales et nerveuses a l'inisersité de KharcofT'
tales et nerveuses a l'inisersité de KharcofT'. L'histoire de cette
maladie
n'est pas bien ancienne. Son étude ne compte qu
ais fut quand même assez profonde pour la poser non seulement comme
maladie
indépendante, mais encore pour occasionner un c
ccasionner un changement en fait de point de vue à l'égard d'autres
maladies
. La base de cette doctrine fut donnée par les s
ions furent faites en trois directions différentes. La clinique des
maladies
internes, traitant le myxoedème même, donnale f
son extirpation. I. La première description des symptômes de cette
maladie
fut faite, à ce qu'il parait, par William Gull'
vant la Société clinique de Londres l'histoire de cinq cas de cette
maladie
observés par lui; maladie qu'il ne trouva décri
e Londres l'histoire de cinq cas de cette maladie observés par lui;
maladie
qu'il ne trouva décrite nulle part et qui s'exp
ut à l'âge mur. C'est pourquoi l'auteur proposa de bap- tiser cette
maladie
du nom d'état crétinoïde. En outre l'auteur fit
un autre médecin anglais, Ord 1, publia deux nouveaux cas de cette
maladie
, dont l'un fut suivi de mort et d'autopsie. L'a
s de ces dernières. Bientôt après, le D'' Olive * déclara que cette
maladie
était connue bien avant du professeur Lasègue,
la région psychique. Cet auteur suppose le point de départ de cette
maladie
dans une lésion du système nerveux central. G
me temps apparut le travail de Hadden 1 qui nous démontre que cette
maladie
fut étudiée, à la même époque que l'étudia Ord,
fesseur Charcot, qui avait déjà étudié une quantité de cas de cette
maladie
, qu'il se proposait de publier sous le nom de c
evancé par celui d'Ord. D'après Hadden, l'altération mentale de ces
maladies
dépendait des troubles du système sympathique a
ion cutanée et sous-cutanée et une altération mentale. Il traite la
maladie
de souffrance constitutionnelle présentant un g
hronique des reins; il admet en général une relation entre ces deux
maladies
. Il expliquelaprésencede la m-ucine par l'analo
la période de la puberté; la gravidité paraît ne pas influencer la
maladie
, mais en revanche le myx- oedème empêche la con
ction chronique des reins et s'il trouve un point commun à ces deux
maladies
ce n'est que la sclérose artério-eapillaire, qu
ue entièrement vers l'âge de vingt-sept ans; mais à cette époque la
maladie
se répéta avec association des symptômes suivan
tané, diminution de la glande thyroïde. L'auteur voit la base de la
maladie
dans l'angio- spasme. Il explique la présence d
nes, les che- veux et la barbe du malade, entièrement gris avant la
maladie
, furent entresemés de cheveux noirs, et devinre
- teurs allemands. Riess 4 après un aperçu de l'histoire de cette
maladie
donne la description d'un cas observé par lui-mêm
ons de l'appareil sexuel des femmes. Outre cela l'histoire de cette
maladie
possède des travaux physiolo- giques, expérimen
d'une manière inattendue dans l'étude et l'éclaircissement de cette
maladie
. J. Reverdin ', en octobre 1882, fit connaître
aircissement des phénomènes du myxoedème et de la relation de cette
maladie
avec les change- ments de la glande thyroïde. C
a glande thyroïde précède l'extirpation faite par le chirurgien. La
maladie
de cette glande l'extirpe de l'éco- nomie de la
on de la glande thyroïde provoquait chez ces animaux primates une
maladie
qu'on pourrait diviser en trois états successifs
et mort. Dans ses recherches suivantes, Horsley réunit les trois
maladies
: crétinisme, cachexie strumiprive et le myxoedèm
d'étudier plus profondément le côté anatomique et chimique de cette
maladie
. Le résultat de ces autopsies fut de démontrer
dangereux à cet égard que dans le premier semestre ; les chances de
maladie
, minimes dès le second semestre, deviennent trè
s obsessions sont toutes accompagnées de la conscience de l'état de
maladie
; elles sont héréditaires, rémittentes, pério- d
jamais d'hallucinations ; elles ne se transforment pas en d'autres
maladies
mentales et n'aboutissent jamais à la démence ; e
ne mentale de Belgique, un projet de statistique internationale DES
maladies
MENTALES : 1° manie (délire aigu) ; 2° mélancolie
que. Mais ainsi que le fait remarquer M. Ballet, beaucoup parmi les
maladies
mentales ne s'accompagnent pas de lésions matér
manie n'est pas soudain, mais succède au délire ha- bituel de cette
maladie
, surtout celui de culpabilité imaginaire, et s'
se DE la paralysie générale. Le rapport intime qui existe entre les
maladies
nerveuses et l'arthritisme, déjà depuis longtem
iner même des malades, quitte à noter en regard de l'observation la
maladie
dont ils sont atteints, Ces deux propositions s
tions DE L'HYPNO- T1S31E ET DE la suggestion dans LE traitement DES
maladies
MEN- tales. Dans 10 p. 100 des cas environ, il
ons parler de l'INFLUENCE DES TRAUMATISMES SUR LE DÉVELOPPEMENT DES
MALADIES
NERVEUSES. 1\l. VIrrERT, dans un travail sur
naison de ces deux élats, déduction faite, bien entendu, des autres
maladies
dans lesquelles le traumatisme peut jouer aussi
lesquelles le traumatisme peut jouer aussi un rôle étiolo- logtque (
maladies
mentales, paralysie agitante, etc.). Dans les c
. nI. Gilles DE la TouRETTE répond qu'il ne nie nullement que des
maladies
mentales et d'autres puissent être provoquées par
v. f. Psychiat., XX, 2.) P. Iien ? ·aL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 14 mai 1888. -
1880 à 1886 est par rapport à celui des hommes admis pour la même
maladie
pendant le même laps de temps comme 1 est à 3,3.
evoir de 1877 à 1881. Ce sont les femmes mariées qui paient à cette
maladie
le plus lourd tribut. Parmi les femmes célibata
es du phénomène du genou constituent les symptômes précoces de la
maladie
suffisant, en l'absence de troubles de la parole
ncerne le séjour à l'asile, deux ans et demi en ce qui a Irait à la
maladie
tout entière. Discussion : M. JENSEN. A Allen
t relativement jeune. M. 1lILt est surpris de la courte durée de la
maladie
indiquée par M. Siemerting. M. Mendel s'étonn
reil état de choses. La méningite cérébro-spinale a BERLIN.-Celle
maladie
qui existe à Berlin d'une façon épidémiqne est
sile d'aliénés de Saint-Nicolas et médecin enchef à la clinique des
maladies
mentales. 0. WELLER" directeur de l'asile d'alién
n-8 de xLviii-80 pages (t. IX de la collection). CHARCOT (J.-M.).
Maladies
des vieillards, goutte et rhumatisme. Un beau v
ètes). Prix : 12 fr. Pour nos abonnes : 8 fr. Cnaacor (J.-i\L). -
Maladies
infectieuses, affections de la peau, kystes hyd
BLOCQ, Chef des travam anatomo-palholo¡{iques de la Clinique des
maladies
du svstemc uerveuc. Constituée par des douleurs
ine Archives, t. XVIII. 21 322 PATHOLOGIE NERVEUSE. ophtalmique
maladie
, il y avait place pour la migraine ophtalmique
s dans lesquelsla migraine ophtalmique n'a plus les allures d'une
maladie
isolée, « per se », elle figure alors, soit un
e même appareil clinique soit susceptible de se montrer au cours de
maladies
différentes, mais toutes capables de réaliser l
des accès congestifs par- lesquels s'était manifesté le début de la
maladie
,, avaient été précédés des symptômes de la migr
oeil droit; mais il est probable qu'il 1 M. Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. 1ï1, p. 78.. 326 PATHOLO
n portée pendant son enfance. Elle a été réglée il onze ans. Aucune
maladie
dans l'adolescence. Pas d'alcoolisme; ni de syphi
, et existe-t-il des liens anatomiques pour relier le syndrome à la
maladie
. Ainsi que déjà nous l'avons fait pressentir, i
Cruveilhier disait, il y a déjà bien des années : « De toutes les
maladies
dites mentales, il n'en est aucune sur laquelle
veau dans l'idiotie. Soc. biologie 1851. Griésinger. = Traité des
maladies
mentales, édition française, p. 449, 1865. Ma
s. Congrès international des sciences médi- cales, 1878. Hammond.
Maladies
du système nerveux, p. 822, 1879. Leyden. - Mal
78. Hammond. Maladies du système nerveux, p. 822, 1879. Leyden. -
Maladies
de la moelle, p. 56, 1879. Magnan. Idiotie, mut
1880. - et Brissaud. Archives de Neurologie, p, 391, 1880. (Bail.
Maladies
mentales, p. 823, 1880-83. Cornil et Banvier. -
es médico-psychologiques, mai 1883. Déjerine. - lIé¡'édité dans les
maladies
nerveuses, Thèse agrég., 1886. Adamkiewicz. -
que Nothnagel en 1879, dans son livre sur le Diagnostic topique des
maladies
du cerveau, et, plus tard encore, Charcot, pouv
andagiste, assez fort, marié à vingt-quatre arc, n'a jamais fait de
maladies
depuis, n'a que des « douleurs névralgiques dans
trois mois. Assez nerveux ; bon caractère... Enfant naturel. Pas de
maladie
de peau, pas de trace de syphilis ; pas d'attaq
CHEXIE PACHYDERMIQUE' (Charcot); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de
maladies
mentales et nerveuses à l'Université de Kharcoff.
oir personnellement, nous pou- vons donner comme symptômes de cette
maladie
les suivants : les pieds et la face, surtout le
peau pend en gros plis. Mais un développe- ment aussi intense de la
maladie
est bien rare, habituellement la maladie est lo
ment aussi intense de la maladie est bien rare, habituellement la
maladie
est localisée dans quelques parties du corps. Ave
uvons une augmentation d'urate dans l'urine. Le développement de la
maladie
est accompagné par la chute complète des cheveu
érer même avec des chiffres simples. Dans la période suivante de la
maladie
, on voit apparaître les symptômes de démence, e
e la maladie, on voit apparaître les symptômes de démence, et si la
maladie
se développe en bas âge, les sujets présentent
la perte du désir de se mouvoir. En plein développe- ment de cette
maladie
, la parole des malades présente parfois des syl
on observe l'ab- sence de la glande thyroïde ou son altération. La
maladie
est surtout propre aux femmes e semble plutôt s
taient pas de déviations particulières du cours habituel de cette
maladie
, c'est pourquoi je ne donnerai pas l'histoire de
tte maladie, c'est pourquoi je ne donnerai pas l'histoire de leur
maladie
; le cinquième cas me parait être assez intéressan
s se remirent à force de régime et de traitement neuro- tonique. La
maladie
dans ces deux cas fut arrêtée à son début. Chez
s ces deux cas fut arrêtée à son début. Chez la troisième femme, la
maladie
se développa à l'âge de trente-cinq ans et s'ac
de de l'économie de l'organisme humain. Nous connaissons encore une
maladie
présentant une altération de la glande thyroïde
e maladie présentant une altération de la glande thyroïde. C'est la
maladie
de Basedow. La présence de la struma dans cette
e. C'est la maladie de Basedow. La présence de la struma dans cette
maladie
forme l'un de ses symptômes coordinaux. Il est
forme l'un de ses symptômes coordinaux. Il est vrai que des cas de
maladie
de Basedow sans struma existent, mais ces cas s
es sans augmentation du volume de la rate. Il est clair que dans la
maladie
de Basedow autant la structure que la fonction
a jamais observé des phénomènes myxoedémateux. L'union de ces deux
maladies
est tellement peu ordinaire, qu'un savant aussi
eu ordinaire, qu'un savant aussi respectable que Virchow détache la
maladie
de Basedow de la catégorie des maladies myxoedé
ble que Virchow détache la maladie de Basedow de la catégorie des
maladies
myxoedémateuses et la déclare sui generis, car
des maladies myxoedémateuses et la déclare sui generis, car dans la
maladie
de Basedow non seulement la glande thyroïde exi
volume exagéré. Ce n'est qu'ainsi que je puis m'expliquer le cas de
maladie
de Basedow combiné de myxoedème que j'ai observé.
rritabilité qui durait de deux à trois jours. C'est le cours que la
maladie
suivit jusqu'à quarante ans. Les chocs mo- raux
nts; tantôt il s'améliorait, tantôt il empi- rait. Mais la nouvelle
maladie
n'arrêta pas les attaques de fureur épileptique
je remarquai que du- rant l'attaque de fureur, les phénomènes de la
maladie
de Basedow 428 8 REVUE CRITIQUE. s'accentuaie
toute expression et était tout a fait stupide. Les phénomènes de la
maladie
de Basedow restaient les mêmes. Mais sous l'inf
raconta alors que cinq ou six mois avant le dernier paroxysme de sa
maladie
, elle commença à se sentir si faible, si brisée
ait pas continuel. Du- rant le second et le troisième mois de cette
maladie
, elle perdit huit dents, sans aucune raison. Pe
et la struma ne subirent pas de changements. La malade attribua sa
maladie
à un refroidissement; elle fut trempée pendant
de ce cas consiste en ce que le myxoedème se déve- loppa lorsque la
maladie
de Basedow était déjà présente. Non seulement l
xoedème dis- parut et la malade ne conserva que les symptômes de la
maladie
de Basedow. Pendant tout l'état myxoedémateux
lume ordinaire lorsque la fureur passa. Quant au rapport entre la
maladie
de Basedow et le myxoe- dème, en analysant les
le myxoe- dème, en analysant les symptômes cliniques do ces deux
maladies
, nous ne saurions les éloigner l'une de l'autre.
saurions les éloigner l'une de l'autre. Le myxoedème, autant que la
maladie
de Basedow, se développe très souvent sur une b
coup d'autres neuroses et psychoses. Le myxoedème, de môme que la
maladie
de Basedow, altère très souvent la région psy-
e très souvent la région psy- chique ; Eulenburâ 1, en décrivant la
maladie
de Basedow, dit que les malades se plaignent de
nt s'accentuer ou s'atténuer conformé- ment aux modifications de la
maladie
. De même la maladie de Basedow est souvent acco
atténuer conformé- ment aux modifications de la maladie. De même la
maladie
de Basedow est souvent accompagnée d'altération
fièvre ortiée et d'autres éruptions. Tout ceci démontre que dans la
maladie
de Basedow la peau est aussi soumise à des chan
ermet d'admettre que la glande thyroïde n'atteint non plus, dans la
maladie
de Basedow, le degré d'altération qu'elle attei
t pourquoi nous ne saurions nous décider à rejeter tout à fait la
maladie
de Basedowdu groupe myxoedémateux, du moins d'au-
de Basedowdu groupe myxoedémateux, du moins d'au- tant que dans la
maladie
de Basedowil se passe une altération de la glan
en se rapprochant toutefois da- vantage de la première de ces deux
maladies
. Il. M. C. IV. Deux cas de thrombose DES sinus
s régions protubérantielles sont cer- tainement intéressées dans la
maladie
de Parkinson (Vulpian), M. J. Teissier pense qu
. J. Teissier pense qu'un certain nombre des grands symptômes de la
maladie
, le tremblement et les troubles vaso-moteurs en
ns certaines conditions donner lieu au tableau systéma- tique de la
maladie
de Parkinson. G. D. XII. Vaste ramollissement c
le était purement toxique, en un mot symp- tomatique. G. D. XVII.
Maladie
DE DUPUYTREN. - Paralysie générale, arthritisme^
squ'à la fusion entre les manifestations goutteuses et celles de la
maladie
cérébrale. Il semble donc légitime de conclure
UEL moment EST-IL INDIQUÉ DE commencer LE traitement électrique DES
maladies
inflammatoires aiguës DU système NUIT- veux ? p
smc. M. 111,Niti lit une note sur le cocaïnisme. Classification des
maladies
mentales. Votes. - Les conclusions du rapport d
ience, toute tentative à l'effet d'établir une classi- fication des
maladies
mentales ne saurait s'appuyer que sur des donné
s vaisseaux rétiniens, nous permet donc de poser le dia- gnostic de
maladies
des vaisseaux de l'économie etnolamment des d'a
eule observation permet-elle des conclusions générales ? Les autres
maladies
syphilitiques du système nerveux, sans admettre
veux est le plus souvent atteint (44 p. 100) puis, la fréquence des
maladies
nerveuses syphilitiques diminue d'année en anné
année. A partir de la onzième année consécutive à l'infection, ces
maladies
sont très rares; el les sont extraordi nairemen
it propor- tionnel au laps de temps écoulé entre l'apparition de la
maladie
nerveuse et l'infection syphilitique. Le pronos
é entre le début du trai- tement syphilitique et l'apparition de la
maladie
nerveuse. Le pronostic est plus favorable quand
-ci subisse de cette expectation un fâcheux effet. - La forme de la
maladie
doit être prise en considération dans le pronos
ne diffèrent que par le volume du muscle, d'âge auquel apparait la
maladie
ou l'invasion préférée de la moitié supérieure
s ces cas, l'aliénation mentale ne se montre que longtemps après la
maladie
des reins ; elle se traduit 1 Nous renvoyons t'
olution fournit la réaction de Biuret au froid. Dans le cours de la
maladie
, on trouve tantôt du propeptone seul, tantôt d'
et ayant dans cet art reçu une parfaite instruction, qui, de par la
maladie
, ont perdu la faculté de rendre leurs conceptio
Du bon chanteur, de l'excellent instrumentiste qu'il était avant sa
maladie
, il ne restait rien. Il avait parfaitement consci
code pénal allemand; si le texte ne spécifie pas la quantité de la
maladie
, et en cela il a raison, il en prévoit le degré e
on relative au mariage. D après le § 1440, le divorce pour cause de
maladie
, même pour cause de maladie mentale, n'est pas ad
, effectue son examen avec le plus grand soin; s'il a affaire à une
maladie
qui dure depuis plusieurs années, depuis cinq ans
ersonnalité, sans espoir de rétablis- sement, à la condition que la
maladie
dure depuis cinq ans et que les aliénistes en d
miplégie vulgaire, l'auleur éludie l'hémiplégie dans quatre grandes
maladies
: l'alaxie loco- motrice progressive, la scléro
ressive, la sclérose en plaques, l'hystérie, la paralysie agitante;
maladies
auxquelles on doit toujours penser quand il 1 F
alcoolisme, l'hystéro-saturnisme et l'hystéro-hydron- gyrisme. La
maladie
de Parkinson unilatérale peut simuler l'hémiplégi
nt de la Société mé- dico-psychologique. Il est mort d'une terrible
maladie
, le croup, qu'il avait contractée au chevet de
par Pelman, 458. Lvpérmanie hypochondriaque, par "Régis, 276.
Maladies
mentales (classification des), par Bail, 151; -
l, 151; - statl>tique internationale des -, par llurel, 274.
Maladies
nerveuses (influence du traumatisme sur les), p
lan- der,4K); - pronostic des - syphilitiques, par Nannyn, iî5.
Maladie
de Dupuvtren et paralysie OEénerale, par Régis,
ar Gley, 285. Sensibilité (troubles de dans cer- taines formes de
maladies
men- tales), par Furkestein, li6. - Simulatio
, parGascard, 289 ; (indica- tions de la - dans le traitement des
maladies
mentales), par A. Voisin, 289; (application de
26 ; (ti alte- ment de l'ataxie locomotrice et de quelques autres
maladies
nerveu- ses par la), par Raoult, 129. Syphili
'exagération d'un processus normal, l'acromégalie est une véritable
maladie
. » Pour accentuer ces divergences, la congénita
paternel. - Le père, cultivateur, est mort à t'age de 59 ans d'une
maladie
indéterminée. Vivant dans une région marécageus
rappe plus ou moins la population entière, il paya son tribut il la
maladie
du pays ; mais, malgré cela, sa santé était ass
e une variole assez discrète et très bénigne à l'âge de 5 ans ; une
maladie
fébrile (rougeole ? ) de très courte durée à l'
accusés, pour caractériser l'acromégalie. Le diagnostic de cette
maladie
se résume,en définitif.dans une question anthro
tive. , . Et je peux encore y ajouter, comme appartenant aussi à la
maladie
de Pierre Marie, l'augmentation du diamètre ant
s est acroméga- lique. Mais à quel âge les premiers symptômes de la
maladie
de Pierre Marie ont-ils fait leur apparition ch
tenir debout. Mais il se contente de faire remonter le début de la
maladie
« à une époque très rapprochée de ia naissance »,
. Et M. Pierre Marie est si convaincu de la non-congénitalité de sa
maladie
, qu'il fait rentrer cette notion dans la défini
que, d'une hypertrophie congénitale de l'hypophyse. Et puisque la
maladie
et la lésion forment un tout, il est très vraisem
uvent dans ce cas. Et les causes accidentelles de toute nature, les
maladies
infectieuses entre autres ? Quelle est leur inf
on observe parfois de brusques poussées de-croissance à la suite de
maladies
infectieuses, de la lièvre typhoïde en particul
on de tout le monde. On peut donc, à la rigueur, admettre que cette
maladie
s'est associée à la prédisposition congénitale
ngénitale pour lui donner un coup de fouet. Mais la variole est une
maladie
si fréquente et le gigantisme une anomalie si rar
xagération d'un pro- cessus normal, l'acromégalie est une véritable
maladie
» (G. Guinon). A rencontre de cette théorie dua
considèrent le gigantisme et l'acromégalie comme une seule et même
maladie
dont le développement à la période de croissanc
eau n'existait pas dans l'intervalle des accès. Dans le cours de la
maladie
il s'est produit aussi une cyphoscoliose, Elle a
aignent que les dents ont commencé à souffrir depuis le début de la
maladie
. Dans la discussion Goldscheider dit que dans u
férent). Hoenicke arrive à la conclusion que l'ostéomalacie est une
maladie
du corps thyroïde. Révilliod (34), Girard par
t à isoler un diplocoque dont les cultures inoculées rendi- rent la
maladie
à des rats blancs et non pas aux lapins. cobayes,
me qui produit l'ostéomalacie ? Les troubles glandulaires comme les
maladies
infectieuses peuvent agir par des mécanismes di
Il lleft, 1, p. t. 13. Louis DUDnEulI.-CU \ II8AnOEL. - Un cas de
maladie
de Basedow héréditaire accom- pagnée de scolios
és d'après les résultats de l'analyse urinaire. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, mai 1902. 59. et Papixian. Nota r
dirigé par SI. le docteur l3snro.oTr. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
MALADIE
DE MADELUNG (SUBLUXATION SPONTANÉE DU POIGNET)
vaient pas donner une lumière suffisante sur l'origine exacte de la
maladie
en question. Actuellement, si pour l'histoire d
e de la maladie en question. Actuellement, si pour l'histoire de la
maladie
de Madelung l'on cite les noms de Dupuytren,de
st pourtant certain que pour avoir une connaissance exacte de cette
maladie
il faut remonter à la description première que Ma
e de subluxation spontanée du poi- gnet, les observations sur cette
maladie
se multiplièrent si bien que par les données re
ération de forme du radius qu'on peut très souvent observer dans la
maladie
en question que beaucoup d'auteurs, el Siegrist
e et parfois parfaitement symétrique. Selon Siegrist, sur 50 cas de
maladie
de Madelung, on note cas avec des lésions unila
CONTRIBUTION A L'ETUDE DE LA MALADIE DE MADELUNG 73 parition de la
maladie
est très variable dans les diverses observations
us amplement informé. Jacoulet de même relaie une observation de la
maladie
de Dupuytren- Madelung, comme il l'appelle, hér
plus accentuée au poignet gauche. Mac Léman aussi affirme que la
maladie
de Madelung peut être congé- nitale et associée
émont. Rien dans ses antécédents, soit comme difformité, soit comme
maladies
nerveuses. Pas de maladies graves. Il ne fit pa
dents, soit comme difformité, soit comme maladies nerveuses. Pas de
maladies
graves. Il ne fit pas de service militaire. Le
dre douleur au niveau de ses poignets. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
MALADIE
DE MADELUNG 75 Pour mieux éclairer les altérati
ques plus communes mises en cause pour expliquer l'apparition de la
maladie
de Madelung (mais de cela nous reparlerons plus
ait probablement par lui seul à expli- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA
MALADIE
DE MADELUNG 77 quer toute la difformité de la m
porte à discuter brièvement sur la pathogénie et l'étiologie de la
maladie
de Madelung. Avant tout il n'y a aucun doute que
e faisant partie de ce complexus symptomatique connu sous le nom de
maladie
de Madelung, que je me suis efforcé d'ébau- che
radius curvus » ; la plupart des auteurs allemands parlent de cette
maladie
sous le nom de « difformité du poignet de Madel
jet, pro- 78 QUADRONR bablement pour la raison très simple que la
maladie
de Madelung ne reconnaît pas une cause unique,
d'inlluences mé- caniques. 13arlhés au contraire décrit deux cas de
maladie
de Madelung ë' chez des sujets âgés, consécutif
que d'une certaine importance. J'ai déjà parlé plus haut des cas de
maladie
de Madelung d'origine foetale et j'ai aussi mon
alies de développement des extrémités COYrfiIBUTION A l'étude de la
maladie
DE madelung 79 foetales, contractions utérines,
schr ift f. Chirurgie, 1908, S. 156. Il. GAGELE. Existe-l-il une
maladie
de Madulung à proprement parler. Zeitschrift f.
eüe chirurgie, Bol. XXIV, lien, 3 und 4. 12. Levy. Traitement de la
maladie
de Madelung, Berlin. klinische Woch., 1908, no
rlin. klinische Woch., 1908, no 50. 13. J.\COI : LET. - Un cas de
maladie
de Dupuytl en Madelung, Revue d'orthopédie, n"
des Hôpi- taux, 9 fév. 1909. 13. PUTTI. - Etude anatomique de la
maladie
de Madelung. Revue d'orthopédie, 1" mars 1903.
05, n" 5. Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE, T, XXIV. PL IX
MALADIE
DE MADELUNG (F. Cotnutirri). Masson & Cio
est morte d'une infection puerpé- rale. Il n'y a dans la famille ni
maladies
nerveuses ou mentales, ni alcoolisme, ni diffor
quement, à la psychose polynévritique. « La presbyophrénie est la
maladie
spécifique de la sél11lilé,dlns le sens, et ave
que nous admettons, en général, dans une division étiolo- gique des
maladies
mentales : c'est-à-dire que, contrairement à la p
une femme âgée de 76 ans, jus- que-là très active, chez laquelle la
maladie
se termina si favorablement qu'elle put encore,
« Dans bien des cas, par contre, il existe un sentiment exact de la
maladie
: « Quand on est si vieux, la mémoire est mauva
r, courent autour de - leur lit. « La presbyophrénie est-elle une
maladie
particulière, ou seulement ? file forme ? ` ?
aginatifs peuvent masquer la faiblesse psychique sous- (1) B-1130T,
Maladies
de la mémoire. AMNÉSIE ET FABULATION 115 5 ja
las ELDAROFF, Interne de l'hôpital. En un temps déjà éloigné, les
maladies
et les affections des articula- tions de toute
xclusivement sur des symptômes cliniques et sur l'évolu- tion de la
maladie
, M. P. Marie se déclara pour la spécificité patho
on auraitpu croire qu'il s'agis- sait d'une nouvelle épidémie. La
maladie
elle-même n'est pas mortelle et les malades meure
mortelle et les malades meurent de causes accidentelles ou d'autres
maladies
; c'est pourquoi, dans la période de douze ans q
ne confusion dans la compréhension des traits essen- tiels de cette
maladie
et beaucoup d'auteurs, sous le nom de spondylose
années, à l'Hôpital Staro-Ekaterininhky, à Moscou (Service pour les
maladies
ner- veuses du Or Préobrajensky) 13 cas, et 3 c
Jean R..., 30 ans, ouvrier verrier, admis dans le service pour les
maladies
nerveuses à l'hôpital Staro-Ekaterininsky, le 1
ions de la colonne ver- tébrale. Deux semaines après le début de la
maladie
, des douleurs et une pro- pagation très lente d
l'articulation des épaules; un an et dix mois après le début de la
maladie
, des douleurs irradiées appa- rurent dans l'art
ie. A 14 ans, ayant pris froid, il fit une fièvre et, pendant cette
maladie
, il eut des convulsions dans le bras gauche et
ans toute la jambe droite. Durant les deux pre- mières années de la
maladie
se manifesta une lente propagation ascendante d
ale. Le malade, dans soo enfance, était ché- tif, mais n'eut aucune
maladie
. A 22 ans, pour la première fois, il eut une go-
ois, il eut une go- norrhée aiguë ; ce moment marque le début de la
maladie
actuelle : le 10" jour des écoulements accentué
n an et demi après, c'est-à-dire 8 ans et demi après le début de la
maladie
, des douleurs et une propagation lente de l'ank
Le malade dit n'avoir eu ni la syphilis ni l'urétrorrllée. Avant la
maladie
actuelle, il était toujours bien portant. Il y a
dents familiaux n'apprennent rien. Dans le passé du patient, aucune
maladie
. La maladie actuelle fut chronique dès le début.
aux n'apprennent rien. Dans le passé du patient, aucune maladie. La
maladie
actuelle fut chronique dès le début. Dès l'âge
'hôpital (Spond, rhizom. Type de P. Marie). Anamnèse - Enfance sans
maladies
; à 17 ans, gonorrhée qui guérit sans laisser d
linique : tabes dorsalis, spondylose rhizomélique. L'histoire de la
maladie
signale que les viscères sont intacts, la colonne
tébrale. Il séjourna à l'hôpital pendant 7 semaiues. Le début de la
maladie
remonte à 5 ans (Spond. rhizom. P. Marie). -
comme portefaix. Il eut, il y a trois ans, une grippe et durant la
maladie
il ressentit des rétré- cissements et une immob
alement sur le diagnostic différentiel. Symptomatologie. 1° Cette
maladie
se rencontre presque exclusivement dans le sexe
sance, qu'un cas chez la femme (le cas de Gasne). 2° Le début de la
maladie
se fail à un âge peu avancé : 20 il 40 ans (9 m
4 malades de 30 à 40 ans, 1 malade de 19 ans). 3° La durée de la
maladie
est de dix ans et davantage. 4° La profession d
oque de ces deux symptômes constitue tout le tableau clinique de la
maladie
. 7° Le début de la maladie peut être : a) aigu
constitue tout le tableau clinique de la maladie. 7° Le début de la
maladie
peut être : a) aigu ou subaigu et b), plus fré-
et a un cours chronique. Dans les formes aiguës (5 fois sur 14) la
maladie
commence immédiate- ment ou bien une ou quelque
losées. C'est de cette manière qu'apparaît le second symptôme de la
maladie
: l'ankylose. Dans les formes subaiguës, le déb
la maladie : l'ankylose. Dans les formes subaiguës, le début de la
maladie
est le même, seule- ment les douleurs sont moin
aiguës, les douleurs s'apai- sent et dans le cours ultérieur de la
maladie
elles n'apparaissent que de temps en temps, com
n temps, comme des crises isolées. Au premier plan du tableau de la
maladie
ressort le second et le principal symptôme de la
sont, pour la spondylose rhizomélique, les douleurs. Au début de la
maladie
, les douleurs aiguës annoncent l'immobilité et
lonne vertébrale qui ne sont pas encore ossifiées. Au cours de la
maladie
, il n'existe pas de douleurs spontanées ; les dou
ns articulaires et os- seuses et si elles sont toujours liées à une
maladie
de la moelle. Depuis les travaux de Charcot, on
a syphilis. Vu cette réaction positive et le manque de signes d'une
maladie
quel- conque de la moelle épinière, nous avons
uisque le malade n'a pas eu de signes de tabes évidents, ni d'autre
maladie
de la moelle. La paralysie du nerf péronier peul
térieurs de la moelle. ÉTUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE - D'UN CAS DE
MALADIE
DE DERCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE par L
rcum sons le nom d'adipose dou- loureuse, est encore peu connue. La
maladie
débute le plus souvent après la ménopause. Guil
., 1903. (6) HALLOPBAU et BOUDFT, Sur une variété lipomaleuse de la
maladie
de Dercum. Soc. française de dermat. et de syph
m. Soc. française de dermat. et de syphiligraphie, décembre 1906.
MALADIE
DE DlcRCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 145 La
elles on note une lésion de la glande thyroïde. Pour Ghelphi (2) la
maladie
de Dercum est sous la dépendance d'une dysthy,'
wiens. Bull, delle cliniche Milan, septembre 1904. (3) G. Fratti,
Maladie
de Dercum. Gazz. degli Ospedali et delle Cliuiche
d. journ , février 1906. ? (10) Le Meignen et Levesque, On cas de
maladie
de Dercum à rémissions passagères^, chez un hom
lement des symptômes de névrite alcoolique chez un sujet atteint de
maladie
de Dercum. Dans l'observation suivante, concern
) Pnomen, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, mars-avril 1907.
MALADIE
DE DERCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 147 Les
lhreux. - \'é- V sicule normale contenant de la matière colloïde.
MALADIE
DE DERCUM CHEZ UNE IMBÉCILE ÉPILEPTIQUE 149 gla
'épi- lepsie, se développent, à Cage de 49 ans, les symptômes de la
maladie
de Dercum. La malade meurt à l'âge de 58 ans. A
s plus pénibles. -J. est très déprimé; il s'accuse d'onanisme et sa
maladie
actuelle est la punition méritée de ce vice. Son
anique, inflammatoire, infec- tieux, tonique ou nerveux, myxoedème,
maladie
de Dercum, etc. A côté de ces cas, où l'infiltr
nant le mode d'administration du mercure aux hémiplégiques, dont la
maladie
a souvent pour cause la syphilis, il ne nous se
mort et poyson serpentine.. et qui en boit est pris d'une horrible
maladie
. Le Triumphe proprement dit se compose d'une sé
ndait au début de la pandé- mie ; ces pèlerins loin de cacher leur [
maladie
la signalaient à tous par deux grandes mains d'
t et Marche une sorte de illésolici-ie, très horrible et abominable
maladie
, nommée grosse Pocques grosses véroles, grosse
nouveau : « A causes davoir à pansser et à curer les malades de la
maladie
que l'on dit la gorre. » Les dictionnaires de G
temps leur enseigneroit quelque jour, comme (1) AsTnuc, Traité des
maladies
vénériennes. Edition de Louis, liv. Il, ch. VIII,
lle s'accompagne en chantant ses chansons qui guérissent toutes les
maladies
. (2) Rabelais emploic, ai ec un jeu de mot plai
non plus que la Chronique médicale {passim). -'188 M.TRÉEL de la
maladie
, suivant la division historique qu'en a donnée As
nd de 152G à 1540 et est marquée par un certain adoucissement de la
maladie
n. On a eu très grand peur, mais maintenant on
par Fracastor n'était pas une illusion comme l'écrit t Chéreau, La
maladie
a suivi la loi générale de tou- tes les maladie
écrit t Chéreau, La maladie a suivi la loi générale de tou- tes les
maladies
infectieuses, quille à présenter des recrudescenc
des parties génitales. 31 Période, 1b26-1540 : Adoucissement de la
maladie
, chute des poils, bubon. 4' Période, 1540-1550
omme Bélhencourt, Vigo avaient reconnu que la blennorragie soit une
maladie
sui generis, la plu- part à la suite de Bernard
utopsie, pratiquée par nous-mêmes, donna les résultats suivants : 4
Maladie
mitrale, coeur chiffon, foie muscade de 1230 gram
vie. Chef de Clinique On sait que la syringomyélie est, parmi les
maladies
du système ner- veux, celle qui donne lieu le p
gus droit. Bronchite à 16 ans et pneumonie à 36 ans. 208 BOVERI
Maladie
actuelle. Les premiers symptômes de la maladie ac
36 ans. 208 BOVERI Maladie actuelle. Les premiers symptômes de la
maladie
actuelle se ma- nifestèrent dans le mois de nov
muscles du premier espace métacarpien. Dans les premiers mois de la
maladie
(janvier 1908) le thorax commença à se déformer
e. Le malade s'aperçut de cette deforma- tion au commencement de la
maladie
(janvier 1908). Par conséquence de cette déform
est surtout manifeste, et le sujet s'en aperçut dès le début de sa
maladie
. 212 Z BOVERI Aucun autre trouble trophique c
ce propos, dit avoir constaté que z les pores de la peau depuis sa
maladie
sont devenus plus distants entre eux du côté mala
agnent à l'atrophie musculaire et qui sont consécutives à certaines
maladies
nerveuses, notamment aux névrites (Glossy-Skin,
le rôle de cause occasionnelle ou favorisant le développement de la
maladie
sur un terrain prédisposé ? Rien n'empêche d'
point elle est exacte. BIBLIOGRAPHIE. 1. Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 2e série, Paris, Masson et Cie, 1899.
sa mère avait été bonne. Dans l'enfance pas de convulsions, pas de
maladies
nerveuses, pas d'ona- nisme. Pas d'obsessions a
mère venait ici ayant des rendez-vous avec M. J... (au début de la
maladie
, voulait à toute force coucher avec elle ? ) Len-
a présence. Il lui a dit que ces gestes étranges étaient dus à la «
maladie
enfantine ». 1 or avril. G. dit spontanément à
diagnostic si l'on ne connaissait pas l'évolution antérieure de la
maladie
. G., en effet, s'il se présente aujourd'hui ave
ncipaux du tableau clinique, se retrouvaient, depuis le début de la
maladie
, dans toutes les poussées successives. 1 Enfin,
vaux récents, comme ceux de Urstein (2), de (1) Morel, 1', aité des
maladies
mentales (p. 473 et suiv.). (2) Urstein, Die De
exie,et non comme le foyer de l'affection, qui a un rapport avec la
maladie
de la spondylose rhizomélique. DIAGNOSTIC DIF
uberculeuse, sont rarement atteintes. Dans le cours ultérieur de la
maladie
se développent des phénomènes de compression de l
tion des méninges et de la compression des racines postérieures; la
maladie
se localise dans la partie cervicale du rachis,
es accès de douleurs névralgiques intermittentes; l'évolution de la
maladie
la fait reconnaître. La goutte n'aboutit jamais à
amais à l'ankylose de la colonne vertébrale. 8° Dans le cours des
maladies
infectieuses aiguës (fièvre typhoïde, spon- (1%
dylose rhizomélique. II. A une période avancée de l'évolution de la
maladie
, la spondylose rhizomélique doit être distingué
tor). Rigidité de la colonne vertébrale d'origine myopathique. 8.
Maladie
f;)t/.y/osa)t<e;))'o9)'ess ! Me<c/;)'ottit;
ire, des soubresauts et convulsions des extrémités). La cause de la
maladie
dans tous les cas est l'hérédité et le traumati
peut se demander s'il ne s'agit pas simplement dans certains cas de
maladie
de Bekhtcreff, de pachyméningile spinale hypertro
trition générale très affaiblie, d'où la seconde dénomination de la
maladie
: « Arthrite des pauvres ». Les trois formes si
es malades (22-23 ans), l'évolution très lente et sans fièvre de la
maladie
, l'anky- lose symétrique progressive, presque s
pport évident entre une cause nocive quel- conque et le début de la
maladie
: la maladie commence alors peu à peu sans aucu
entre une cause nocive quel- conque et le début de la maladie : la
maladie
commence alors peu à peu sans aucune cause appa
s toxines (Marie, Léri). Dans une de nos observations (Obs. 10), la
maladie
commença par les genoux, le 10° jour de l'écoul
nnent le droit de cou- sidérer la spondylose rhizomélique comme une
maladie
indépendante, comme une entité morbide spéciale
ondylose rhizomélique (1). La lésion primitive et essentielle de la
maladie
est l'ostéoporose du corps des vertèbres qui pr
e de cette ostéoporose, autre- ment dit, la vraie cause de toute la
maladie
. Il s'agit évidemment ou de (1) Voir Medizinsko
généraux portent surtout sur le système osseux. PRONOSTIC 1. La
maladie
qui se développe très lentement et qui n'attaque
ague). Ensuite il y a des glandes de sujets n'ayant présenté aucune
maladie
du système cérébrospinal. Aux malades de l'Hospic
xaminé, s'il existait une relation entre l'état delà a glande et la
maladie
qu'avaient eue les sujets ; sauf que nous avons t
lation.Nous avons trouvé aussi chez des malades qui n'ont eu aucune
maladie
cérébrale les mêmes processus que chez les suje
ale les mêmes processus que chez les sujets atteints de différentes
maladies
mentales. Si l'on s'attend à trouver une foncti
les différentes parties dn névraxe à la suite des intoxications et
maladies
infectieuses les plus diverses. Ce qui nous fai
anglions est en tous (1) Sur un cas parisien de Poliomyélite nigné (
Maladie
de Ileine-Medin) transmis de l'infection au sin
celles qu'on observe dans la rage. De plus même dans cette dernière
maladie
, le nodule n'a pas une valeur pathognogmonique
e l'acromégalie, le gigantisme et l'infantilisme, l'autonomie de la
maladie
de Pierre Marie demeure in- contestée et incont
s, il semble que à côté du type pur, classique; de l'acromégalie, «
maladie
non congénitale» (P. Marie), apparaissant vers l'
seuses qui montrent les épiphyses définitivement soudées. Parmi les
maladies
de l'enfance, nous relevons une coqueluche à 4 an
r en exerçant une pression sur le nerf trijumeau. La marche de la
maladie
, son début à l'âge de l'adolescence avec l'affai-
ait d'une acromégalie au début, tandis que nous avons affaire à une
maladie
durant déjà depuis 8 ans au moins Nous constatons
es organes génitaux, du corps thyroïde et du thymus. Malgré cela la
maladie
porte le caractère d'une maladie à marche lente
roïde et du thymus. Malgré cela la maladie porte le caractère d'une
maladie
à marche lente. Il faut noter également que not
it l'action déprimante des douleurs qui accompagnent toujours cette
maladie
. Il est bien plus rare d'observer une maladie m
de la non-existence d'une classifica- tion généralement admise des
maladies
mentales, d'autre ! part à : cause de la descri
e de la description souvent insuffisante de la forme clinique de la
maladie
. C'est la psychose maniaque dépressive qui acco
Barros, 2 fois en tout (Lynn-Thomas, Haskovec). La fréquence des
maladies
mentales au cours de l'acromégalie nous amène à
l'acromégalie nous amène à conclure que la coexistence de ces deux
maladies
n'est pas acci- dentelle ; nous remarquons que
s, 1908. 10. GRAGE. Münch. Med. Woch., 1905. '1 ri CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES DE ROMPE Directeur : Professeur G. Mi
A Assistant. t. Dans la salle de visite annexée à la clinique des
maladies
nerveuses dont le directeur est le professeur M
. Il a son père et trois soeurs ; sa mère et un frère sont morts de
maladies
qu'il n'est pas facile de préciser. Le sujet es
L'hémorragie a duré deux à trois jours et a disparu. HISTOIRE DE la
maladie
. Le début aurait été brusque et serait en rappo
-même, sans aucun traitement ni pendant, ni après. Histoire de sa
maladie
actuelle. - Il prétend qu'il est malade seulement
statique et cinétique. Et si nous ajoutons que par le progrès de la
maladie
l'état général s'affaiblit, et que même les mus
mettre que le tonus musculaire doit considérablement souffrir d'une
maladie
des racines postérieures. Je crois qu'il faut y r
Boudet,est la même que celle soutenue par Lochart Clarl;e (Hammond,
Maladies
du système nerveux, édition française, p 705) a
corser- vation de la force musculaire, (A suivre), CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU Professeur
vation pendant de longues années dans le service de la Clinique des
maladies
nerveuses de l'Université de Moscou. Il s'agiss
stion « atrophie ». Les renseignements concernant l'évolution de la
maladie
et l'examen anatomo-histo ! ogique seront rédui
remiers indices d'un symptôme qui devait dès lors donner à toute la
maladie
une physionomie particulière ; c'est d'une atro
le microscope ultérieurement confirma. L'évolution compliquée de la
maladie
se poursuivit malgré la mise en oeuvre d'un tra
ise que dans les cas où il peut s'agir d'une atrophie systématique (
maladie
de Friedreich, atrophie olivo-ponto-cérébellense,
guéri, ayant respecté les différents appareils. Combien souvent les
maladies
de l'enfance, ayant abouti à une, infirmité, n'on
siologique. Lorsqu'il y a sclérose, on est en droit de penser à une
maladie
infectieuse ou toxiqne ayant retenti sur les ca
de même de sa mère. Ni l'un ni l'autre ne semblent avoir présenté de
maladies
sérieuses, ni d'alcoolisme, ni de syphilis. Tou
s du monde, mais aussi aux médecins qui n'ont pas l'expérience [des
maladies
men- tales ». Un premier argument à faire val
icaux à une malformation physique. C'est le cas par exemple pour la
maladie
de Parkinson. Ici le problème se pose presque de
graphie de la Salpêtrière, 1910, p. 611. (2) Grasset et RAU7.lEII,
Maladie
de Parkinson, in Traité de médecine et de thérape
. 388 EUZIÈRE ET DELMAS ' condamnés » (Dutil) (1). Voilà donc une
maladie
pour laquelle il n'a pas paru étrange d'expliqu
lus contestable, Lauze qui a (1) DUTIL, Troubles psgehiques dans la
maladie
de Parkinson, in Gilbert Ballet, Traité de path
ote parmi les troubles observés chez les idiots. Dans le traité des
maladies
mentales de Gilbert Ballet, on trouve la photog
a syphilis. Malade depuis deux ans. Trois mois avant le début de sa
maladie
, il a subi une agression et des coups qui l'ont
une année à l'hospice Socola de Jassy, il eut une rémission puis la
maladie
re- prit son cours. A son entrée daus le serv
ral. - . v Les auteurs qui considèrent la démence précoce comme une
maladie
constitutionnelle pouvaient voir dans la présen
tyle. Bull, el mém, de la Soc. allaI, de Pans, iio 4, avril 1911.
MALADIE
DE RAYNAUD A LOCALISATIONS NASALE ET AURICULAIR
rs années, nous suivons un enfant atteint d'érythromé- lalgie et de
maladie
de Raynaud à localisations nasale et auriculaire
. NOUVELLE ICONOGRAPIiIE DE LA SALPf : TRI1RE. T. XXIV. PI. LXV
MALADIE
DE RAYNAUD à localisation nasale et auriculaire
ythromélalgie. (P. Aka et Ch. Lafon), Masson & 0\ Editeurs.
MALADIE
DE RAYNAUD A LOCALISATION NASALE ET AURICULAIRE 3
ion du doigt laisse une tache blanche nuancée de mauve, qui met une
MALADIE
DE RAYNAUD A LOCALISATION NASALt ! leT AURICULAIR
nt les premiers symptômes. Dans quelques autres, il s'est agi d'une
maladie
générale, d'une ty- phoïde ayant déterminé l'at
ines ? Pourquoi alors ne pas refuser l'autonomie au myxoedème, à la
maladie
d'Addison, puisqu'il est excep- tionnel de ne p
syndrome de Mickulicz. Il tend de même à indi- vidualiser un cas de
maladie
de Dercum avec insuffisance thyroïdo-testi- cul
nément, comme le pensent Claude et Gougerot, sous l'influence d'une
maladie
infectieuse. Il est impossible en tout cas de s
delà disparition presque totale des testicules, sans nulle cause de
maladie
vénérienne. Surpris de ce phénomène, dont je n'
recherches pour connaître la cause et la marche de cette singulière
maladie
: je vais en présen- ter les symptômes tels que
s le cas de l'invalidité absolue. « J'attribue principalement cette
maladie
aux fortes chaleurs du climat égyp- tien, qui,
en France, nous avons eu l'occasion d'observer et de traiter cette
maladie
chez plusieurs militaires de la garde impériale
des femmps et l'abus des liqueurs fortes. «Chez l'un d'eux, cette
maladie
est parvenue en peu de temps au dernier degré,
s dont l'un meurt à 2 ans de méningite tubercu- leuse ; début de la
maladie
actuelle à 42 ans ; habitudes alcooliques. A 42 a
portants ainsi que deux soeurs et un frère. Lui-même n'a eu aucune
maladie
dans son enfance. Il est parti à 10 ans comme m
e grave qui fut soignée à Marseille : l'entourage nous a dit que la
maladie
avait été grave, suivie d'une pleurésie et d'une
nts (histoire, vie politique). b) L'indillérence anormale pour sa
maladie
est frappante; la fonte de ses testicules, la d
avait des troubles visuels remontant environ au huitième mois de la
maladie
, assez accentués pour l'empêcher de lire et presq
ents et sou frère sont bien portants; dans son enfance, pas d'autre
maladie
infectieuse qu'une rougeole bénigne ; à 16 ans,
lande à sécrétion interne déterminée : myxoedème par hypothyroïdie,
maladie
d'Addison par hypoépinéphrie chronique avec att
quement institués avaient été impuissants à arrêter la marche de la
maladie
. Gi..., S2 ans, porteur aux Halles, entre le 30
envoie, croyant qu'il exagère son état de faiblesse. Histoire de la
maladie
. C'était autrefois un homme fort et vigoureux p
; les douleurs abdominales s'accompagnaient de vomissements ; cette
maladie
sem- ble avoir été grave ; car il dit ne pas s'
il a entendu dire qu'il n'avait pas d'albumine. On ne sait si cette
maladie
aiguë s'est localisée sur la thyroïde, ou sur les
vinrent de plus en plus rares et cessèrent complètement.. Depuis sa
maladie
de 1904, il n'a eu aucun rapport sexuel. Peu
gi- dité, chute de poils, modification du teint ne datent que de la
maladie
de 1904. Ces troubles ne font que s'accentuer d
ent constitués, ils ne semblent pas avoir aggravé la mar- che de la
maladie
. Etat en mai 1908 (1). - C'est un homme voûté,
nature était celte infection qui précéda les premiers signes de la
maladie
? La bacillose associée à cette infection aiguë
typique, bien que nous ayons à rappe- ler que certains cas de celle
maladie
ont été décrits qui ne présentaient pas la malf
apporté un cas d'achondroplasie dans lequel l'unique symptôme de la
maladie
était l'état des mains. Si de tels faits doiven
a pas un seul symptôme ni caractère qui soit pathognomonique de la
maladie
; nous sommes par conséquent d'avis que rien ne sa
s sans autres accidents consé- cutifs. 492 NOICA Histoire de sa
maladie
. Sa maladie a commencé il y a huit ans, par des
s accidents consé- cutifs. 492 NOICA Histoire de sa maladie. Sa
maladie
a commencé il y a huit ans, par des douleurs fu
as fait de fausses couches. Il ne reconnaît pas avoir fait d'autres
maladies
. Histoire de sa maladie actuelle. Son tabès a d
s. Il ne reconnaît pas avoir fait d'autres maladies. Histoire de sa
maladie
actuelle. Son tabès a débuté probablement il y a
ns trouvés chez nos malades décrits dans la première partie, car la
maladie
évoluaut,ces troubles ont augmenté d'intensité. E
tion d' -. Peul on de la forme des troubles psychiques dans celte
maladie
tirer quelques éclaircissements sur son origine
comélie unilatérale (2 pl,), par FI;- )[11OLI, 329. Epitep/iglta (
Maladie
de Dercum chez- une imbécile -), ), par Marchan
une imbécile -), ), par Marchand et Nouet, 1f'z. Erylhromélalgie (
Maladie
de Raynaud à 10. z calisation nasale el auricul
bulation. Elude du syndrome par Devaux et Logre, 90. ' Raynaud (
Maladie
de - à localisations na- sale et auriculaire e
pi.), par Weber, 150. TABLE DES AUTEURS elxA (P.) et Lafon Cu.).
Maladie
de Ra- naud à localisation nasale et auriculair
droplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette
maladie
, tirer quelque éclaircissement sur son origine
droplasie. Peut-on de la forme des troubles psychiques dans cette
maladie
, tirer quelque éclaircissement sur son origine
iide pinéale chez l'homme (1 pl.), 257. Lvfon (Cu.) et AK 1 (P.).
Maladie
de Ray- naud à localisations nasale et auricula
111wcuwu (L.) et NOUET Etude ana- tomo-patliologiquc d'un cas de
maladie
de Dercum chez une imbécile épilepti- que, 14
T (Il.) et )laucuwu (L.). Elude ana- tomo-palhologiclue d'un cas de
maladie
de Dercum chez une imbécile éplieliti- que, 1
ines (4 pi.), 33. l,u,unoac (Carlo). Contribution à l'étude de la
maladie
de Madelung (1 pi.), 71. lteu,twu (J ). Un uowe
n peau de lézard dans la syringo- myélie (Bo\EnI), XXXI et XXXII.
Maladie
de Madelung (Quadrone). IX. Micromélie humérale
tylie chez les aliénés (Parhon et Urechie'), LXI à LXIV. Raynaud (
Maladie
de - 1 localisations na- sale et auriculaire et
duite dans nos établissements de bains publics ; son utilité dans les
maladies
chroniques ne peut faire l’objet d’un doute; il e
es frictions dans le but d’ouvrir les pores. L’hydropisie est une des
maladies
dans lesquelles il pratiquait ce remède ; mais l’
nt fréquemment à différents modes de frictions dans le traitement des
maladies
. Les habitants du Malabar, qui s’adonnaient à la
alabar, qui s’adonnaient à la pratique de la médecine, divisaient les
maladies
en huit catégories, qui réclamaient chacune une m
que la médecine relirait des frictions dans le plus grand nombre des
maladies
. Il nous enseigne (3) que de douces frictions sur
a secte des méthodistes , variait les frictions d’après la nature des
maladies
; il prescrivait les frictions générales dans la m
ême il faisait tenir l’extrémité des pieds et des mains (2). Dans les
maladies
d’estomac, Cælius faisait usage d’une douce frict
darum passionum libri Yj 4529, p. 9, 25, 31. (3) Ibid, p. 74. des
maladies
susceptibles 1« céder à l’emploi dos frictions ,
nt l’occasion de constater l’influence des frictions dans la cure des
maladies
. Les guérisseurs par secret, fort nombreux dans s
examen terminé, je m’en éloignais. J’entrepris la cure de quelques
maladies
. Un soulagement marqué fut la suite de mes premie
ins havanais, dans un journal du lieu, relativement au diagnostic des
maladies
par le somnambulisme (1). Il paraît qu’il avait p
par un docteur, auquel Hoohenez, toujours endormi, révèle lui-même sa
maladie
. -Le docteur endort le valet, qui avoue tout, et
e de médecine. Il s’est même fait traiter par ce moyen à la fin de la
maladie
qui le tenait depuis longues années impotent. Il
le Prophète irlandais, elle curé Gassner envisagèrent la plupart des
maladies
comme de véritables obsessions, el leurs traiteme
eur de médecine à Copenhague (2), nous font l’exposé historique d’une
maladie
épileptique qui se dissipa sous l’empire d'insuff
il existe dans l’Inde une secte de médecins qui guérissent toutes les
maladies
(1) Tyrrhccus. De Demoniacis, pars 11, cap. 26.
salutaires de l'insufflation, mais qu’elle pouvait aussi produire des
maladies
. Il soutient (3), d’après Remigius, que l’on peut
Voire femme annonçait qu’elle expliquait le* songes et guérissait les
maladies
incurables. Un sieur Creuillot est allé la consul
nombre de personnes malades, a indiqué seulement les symptômes de la
maladie
de trois de ces personnes. Que fait, au contraire
« soit pour la conservation de la santé, soit pour « la guérison des
maladies
, était les frictious de la « peau (i). » « L’im
la longue que des effets funestes, et d’ailleurs le « traitement des
maladies
ne peut fournir que des « résultats toujours ince
ter; puis c’é- taient des faits de catalepsie , des observations de
maladies
où ces phénomènes s’étaient montrés sans ma* gnét
re à la magnétisation directe, qu’on devrait recourir dans les cas de
maladie
, au lieu d’aller consulter des somnambules; car l
n amant infidèle; une autre demande une longue vie, la guérison d’une
maladie
, la réussite d’une affaire. Telle autre veut se v
blique et l’avénement de Louis-Napoléon Bonaparte, consultations pour
maladies
, garantit la guérison des humeurs froides, etc. ;
aut contre Joussin ; disjoint en ce qui concerne Jouy, dont l’état de
maladie
est dûment constaté, et renvoie à huitaine pour c
, donl ta lucidité extrême a fait un des premiers sujets en ce genre.
Maladies
invétérées, recherches, prévisions, renseignement
s, de 10 heures du malin à 9 heures du soir. T A V A¥ A SOMNAMBULE.
Maladies
, recherches. JUA V U 1 .oLi’l 11^5 Consultation
e lucidité re-¡5 UMi\ AillD U LLi marquable, s’occupe avec succès des
maladies
des femmes. Prévisions, recherches, etc. Consulta
à 7 heures du soir. CAUTIV i MIÎTTT 17 naturelle extra-lucide, nour
maladies
e-OVJiilii AlTlDU Li IJ recherches, etc., rue du
ents est non moins changeante : tantôt elles font leur spécialité des
maladies
de la peau, des femmes, des enfants, des organes
ent à la physiologie et à l’hygiène, ainsiqu’aux moyens de guérir les
maladies
. Ce livre pourrait s’intituler : Système de théra
nguement, ensuite, sur les conditions de la santé et les causes de la
maladie
, et montre les rapports mutuels de l’esprit et de
re à jamais dans un séjour céleste et beau. « Etant affaibli par la
maladie
depuis plusieurs semaines, il était facile de sui
d'ouvrir les yeux, afin de voir encore mes amis et leur raconter les
maladies
de mon âme. Je supposais que je ne mourrais pas e
’avais seulement passé par une métamorphose de la souffrance et de la
maladie
à une phase nouvelle de ma vie, qui me gratifiait
la demande* de plusieurs personnes qu’elle avail autrefois guéries de
maladies
graves, à l'aide de sa lucidité somnambulique; el
e tout ce que j’avais éprouvé, et mc dit, entre autres choses, que ma
maladie
avait pour cause un ramollissement du cerveau. El
oire.) 3° m“' lesac.e-paris déclare que Mme Rose l’a guérie de deux
maladies
très-graves, où sa vie était en danger. 4° u. p
pellier, boulanger à Nogent. Je souffrais depuis très-longtemps d’une
maladie
qui m’ôtait presque l’usage des organes dans tout
ur où je me présentai. Elle ne me fit aucune question, me décrivit ma
maladie
, en indiqua la cause, qui était un éboulement dan
rien. (Rires.) 8° Mmc aubert, de Nocé. Mon miri était atteint d’une
maladie
qui ne nous laissait presque pas d’espoir. J’ai p
e Charbonnières. Je suis venue à Nogent, avec mon fils, atteint d’une
maladie
de poitrine. Nous avons passé le jour même où nou
d, de Nogent. A la fin de 1849, j’ai consulté Mme Rose pour une grave
maladie
. Elle m’a dit qu’elle ne pourrait s’occuper de so
dési- rais la présence; éveillée, elle ne pouvait rien dire sur les
maladies
. l5° m. rosel-sortais, de Nogent. Ma femme étai
ulais consulter Mrac Rose pour une affaire personnelle, étrangère aux
maladies
. Elle lut ma pensée, me reprocha cette préoccupat
ettre que Dieu ait donné à quelques hommes le pouvoir de guérir les
maladies
; il aurait été plus simple qu’il ne créât pas les
guérir les maladies; il aurait été plus simple qu’il ne créât pas les
maladies
. — llose n’est, pas somnambule, elle fait de la m
ités qu’elle s’attribue, si l’emploi de sa lucidité au traitement des
maladies
a produit les plus heureux résultats et a sauvé d
avec un as«ez grand nombre de malades, a indiqué les symptômes de la
maladie
de trois de ces personnes. Dans un procès récent,
ions, i° que dans l’état de somnambulisme, M11' Coeline a indiqué les
maladies
de trois personnes avec lesquelles on l’a mise en
sait que sa clairvoyance a été mise à profit pour traiter ses propres
maladies
, que MM. les D,s Combault et Morel l’ont employée
érir les malades, car il ei'il été plus simple qu’il ne créât pas les
maladies
. L’idée peut être ingénieuse, mais Dieu n’a pas j
es médecins; et il faudrait dire alors qu’au lieu de nous envoyer les
maladies
, puis les médecins qui sont censés les guérir, il
som-nambulique de précieuses indications sur les caractères de leurs
maladies
et sur les remèdes à y apporter. Le corps médical
elle pas patente ? Dans une infinité de cas, et spécialement dans les
maladies
les plus graves, telles que la goutte , l’épileps
ondant au siège du mal, décrivait, non-seulement les caractères de la
maladie
, mais tout ce que le malade avait éprouvé. M. lîi
étails. M. Pellier nous dit que M"“' Rose lui expliqua la cause de sa
maladie
, venant d’un accident fort ancien. Pour Mra Rosel
décrivit très-exactement son élat, mais elle assigna pour cause de sa
maladie
un ramollissement du cerveau ; or, il se trouve q
M. Siebel, le savant dont toute la vie a été consacrée à l’étude des
maladies
d’yeux, après un long entretien avec la malade, u
n nous demande ce que deviendra le somnambule s’il éprouve toutes les
maladies
de ceux qui le consultent ? Personne ne prélend q
ce du consultant : seulement il éprouve quelques-uns des effets de la
maladie
de celui-ci. Nous avons aggloméré un faisceau d
ve M"« Rose, de palper quelque temps les malades pour connatlre leurs
maladies
, ce qui, dit-on, n’aurait pas lieu si elle était
le se garde bien d’en prescrire aucun aux personnes affaiblies par la
maladie
et dont l’état exige des moyens curatifs d’un aut
acies. Beaucoup de médecins d’un grand mérite ont attribué toutes les
maladies
à une cause unique, Gallien au vice des humeurs,
sa consultation. M. Anctin a visité le jeune Guérin pendant toute sa
maladie
; il a fait de même à l’égard de M. Gassclin, qu’
ou, si l’on veut, pour la coopération de tous deux au traitement des
maladies
. Dans une seule circonstance, il est vrai, M1"* l
Me Morin lit une liste où sont énumérés les noms des personnes, les
maladies
dont elles ont été guéries, et les circonstances
ar on ne va pas la consulter pour de petites indispositions, pour des
maladies
légères; ceux qui vont la trouver, ee sont les in
ple, M“* Edme Thibault qui, pendant plus de cinq ans, souffrait d’une
maladie
indéfinissable, sans qu'aucun médecin ait pu la s
vée, sont très-précieuses, peuvent faire connaître et la nature de la
maladie
et les remèdes les plus propres à la combattre. O
u'il a autant de chances pour se tromper que pour prendre justa votre
maladie
. Que vous ayez à faire faire un calcul, un arpent
séances trop réitérées épuisent les forces et occasionnent de graves
maladies
. La plupart des travailleurs ne donnent que leur
t le tribunal ; elle attesta que M"" Rose l’avait guérie d’une grande
maladie
, et que non-seulement elle n’avait demandé aucun
it M. Mialle (2), qui ont la faculté non seulement de reconnaître les
maladies
, mais encore d’en percevoir le remède; ils sont c
airement un malade jusqu’à ce qu'ils reconnaissent le caractère de la
maladie
par l’impression qu’ils ressentent. Ce sont tantô
le vétérinaire. « Un chirurgien magnétiseur demanda un cheval dont la
maladie
ne laissait aucun espoir de guérison ; il le magn
gnétiques. Nous avons vu qu’aux yeux de Mesmer (aphor. 205-206) une
maladie
n’était que Yaberration de Y harmonie dans nos or
, la fluidité et le mouvement (aphor. 209). Mesmer estimait qu’aucune
maladie
n’était susceptible d’amendement sans un symptôme
développées jusqu’au point de lui permettre désormais d'examiner les
maladies
et de donner des consultations médicales. Ce fu
tra chez M. Levingston pour se livrer exclusivement au traitement des
maladies
; emploi dans lequel il obtint, dit-on, des succès
la série des fébrifuges; quelques prises de quinquina réduisirent la
maladie
à une durée moyenne de trente jours. « La décou
licitement user, soit pour le diagnostic, soit pour le traitement des
maladies
. Le tribunal de Nogenl-le-Rotrou a jugé le contra
, par la qualité de leur fluide, sont plus propres à guérir certaines
maladies
. » On a avancé que la constitution physique du
e la médecine ordinaire ne peut être contestée dans le traitement des
maladies
aiguës ; mais elle nous paraît être entièrement p
mais elle nous paraît être entièrement problématique dans la cure des
maladies
chroniques, et principalement dans les affections
udent On a avancé qu’elle deviendrait plus nuisible qu'utile dans les
maladies
qui réclament un traitement débilitant. Ces effet
s et les digitaux. Les courants conviennent particulièrement dans les
maladies
dont le siège est circonscrit, ou dans les douleu
s sont toujours inoffensives et conviennent particulièrement dans les
maladies
qui ne sont pas localisées. « Si l’on doule du si
squ’il aura donné ses soins à des personnes malsaines ou atteintes de
maladies
contagieuses. « Si vous traitez une maladie conta
alsaines ou atteintes de maladies contagieuses. « Si vous traitez une
maladie
contagieuse, avance Deleuze, émettez constamment
laré que la prétention, en état de somnambulisme, de caractériser les
maladies
, de prescrire les traitements, était fausse et co
r savoir, les lueurs de leur merveilleuse lucidité, au traitement des
maladies
, aux recherches les plus secrètes de la médecine
vues les plus sages sur l’application du magnétisme au traitement des
maladies
. M. Koreff avait dû nécessairement s’inspirer aux
e-I’rincc. Il a succombé en quelques jours à une grave et douloureuse
maladie
. DU POTET. Chronique. — L’hôpital magnétique
semaine auraient précédemment duré jusqu’à trente-trois jours. Cette
maladie
présente la plus grande analogie avec celle d’Ann
hymne patriotique. Vous n’ignorez pas non plus qu'il est certaines
maladies
, notamment les affections morales, que l’emploi d
einte de magné-tomanie, et la basse littérature dramatique aidant, la
maladie
s’empare évidemment des classes populaires. Si le
parcourt l’esprit humain dans la recherche des agents curatifs de ses
maladies
sociales ou de ses maladies corporelles. L’homœop
s la recherche des agents curatifs de ses maladies sociales ou de ses
maladies
corporelles. L’homœopalhie est contemporaine du f
r lous les moyens qu’il juge les plus convenables pour déterminer les
maladies
et découvrir les remedes : en adoptant les répo
ans quelques jours, de treize centimètres. La troi- sième avait une
maladie
de femme, suppression, elc. Ayant été prévenu par
; il guérit l’épilepsie, l’hydropisie, la paralysie, el lanl d’autres
maladies
que la médecine ordinaire déclare incurables. L
malades gémissent en ce moment, parce que la loi défend de guérir les
maladies
par le magnétisme, unique méthode qui rétablit l’
meil factice, peut servir quelquefois de guide dans le traitement des
maladies
intérieures, et devenir un puissant auxiliaire de
homéopathique (1), en excitant des symptômes semblables à ceux de la
maladie
, but auquel on parvient à l'aide d’une seule pass
ngereux, au moyen duquel on a plus d’une fois osé tenté de guérir des
maladies
chroniques. » Que messieurs les magnétiseurs du
c’est-à-dire en produisant des affections artificielles analogues aux
maladies
qu’il combat; mais les faits de tous les jours, b
elquefois chez un sujet malade disparaissent avec les symptômes de la
maladie
que le magnétisme est appelé à guérir. Ces crises
fortes doses de médicaments sonl indispensables pour la curation des
maladies
. Vous savez par quel endroit ils pèchent ; vous s
es choisirai point au hasard, parce que la nature et la gravité de la
maladie
ne font rien ici, et je ne nommerai pas tout à fa
plus, elle nous dil qu’elle n’avait pas élé bien trailée; que pour sa
maladie
il ne fallait pas de drogues, mais seulement le m
anière homéopathique en excitant des symptômes analogues à ceux de la
maladie
. Nous avons osé le définir une transfusion de la
j’ai senli une vertu gui sortait de moi. » Et la femme n’eut plus de
maladie
..... Quelle simple, quelle sublime leçon de posol
dynamisme vital; entière, parce qu’elle s’applique à tous les cas de
maladie
possibles ; complète, puisqu’elle relie, qu’elle
s, les spécifiques, pour élément pathologique la nature dynamique des
maladies
, et pour base de matière médicale l’action dynami
l’homme dont le simple contact de la robe avait suffi pour guérir une
maladie
..... Nous n’ajouterons rien, parce que l’encadrem
t saisi par la fièvre. Au médecin qui l’interrogea sur la cause de sa
maladie
, il raconta la vision dont il était obsédé , et d
sa des questions sur l’origine de son mal. Le charron répondit que sa
maladie
provenait du manque de sommeil, et il ajouta qu’i
prise d’une fièvre continue, qui fut pour ainsi dire le prélude d’une
maladie
qui fait le sujet de cette observation. C’est, en
gea l’avis de M. Fleuret sur la nature essentiellement nerveuse de la
maladie
et sur les conditions favorables où elle se trouv
au traitement des affections nerveuses, c’est que Mlle B*'*, dont la
maladie
, au moment où le Dr Fleuret en traçait l’histoire
le de Chambènj.) Tel qu’il est, ce rapport suffit à montrer que les
maladies
de la moelle , sur le traitement desquelles les m
et, selon son degré d’affectibilité, et de là résulte la guérison des
maladies
mentales aussi bien que des maladies du corps. Si
et de là résulte la guérison des maladies mentales aussi bien que des
maladies
du corps. Si la cause de ces étonnants effets res
galement l’application de ce puissant agent médical à la guérison des
maladies
. Le prix du cours est de dix dollars, et chaque é
e influence des impressions morales sur l'invasion et la guérison des
maladies
physiques; cette lecture sera l'explication conti
es; cette lecture sera l'explication continuée du moyen de guérir les
maladies
sans médecines. Après la lecture, M. Fiske fera
; il avance que sa découverte poul servir ù la guérison de toutes les
maladies
qui n'ont pas une cause organique, et ¡1 cilc des
ec succès, et pour faire l'application de cet agent à la guérison des
maladies
. Dans la soirée, M. Fiske terminera l'exposition
de connaître la manière d'en faire hq> plication à la guérison des
maladies
. LEÇON DU PROFESSEUR SIIAW. — M. Sliaw donnera
sera traité de l'application de cet agent puissant à la guérison des
maladies
. — Les malades seront traités chaque jour, à neuf
rofuleuses, dans la danse de Saint-Vite, les affections spinales, les
maladies
nerveuses de toute espèce, le choléra au degré le
lus, à faire avec succès l’application de cet agent à la guérison des
maladies
. Il me semble que lorsqu’un remède aussi sûr, et
rsqu’un remède aussi sûr, et tellement efficace qu’il peut guérir des
maladies
qui ont défié de tout temps le talent des médecin
musement en société, ou pour en faire l'application à la guérison des
maladies
; mais de les mettre à même de se perfeciion-tion
ar, qu’y a-t-il de plus propre à guérir un mal de tête obstiné ou une
maladie
du cerveau, qu’une lecture sur la bumpo-biologic.
de si près à la santé. afin de ne pas être pris au dépourvu par la
maladie
. Nous en voyons fort souvent déplorer leur solte
magnétisme, ont besoin, pour remédier aux troubles dynamiques (aux
maladies
) que la force vitale peuteprouver, d’auM modifica
rice toujours active qui suffirait à la guérison dans bien des cas de
maladie
, sans êlre aidée, sj^n la laissait agir seule, au
lluves entre deux individus, dont l’un est sain et l’autre malade, la
maladie
pourrait devenir contagieuse, aussi bien que la s
e et sage a mis partout le bien à côlé du mal, le remède à côté de la
maladie
, le médecin à côlé du malade. Celui qui se porte
, puisque le magnétisme n’est pas un poison; mais si on attend que la
maladie
soit cractérisée, le magnétisme pourra se montrer
it encore ce que certains esprits appellent des miracles , combien de
maladies
ne préviendrait-il pas si on se hâtait de l’emplo
? Rappelez-le : éphémère ou peu durable dans le plus grand nombre des
maladies
chroniques; incertain, douteux dans beaucoup d’af
ur les troubles dynamiques que notre force vitale a éprouvés dans les
maladies
, des modifications virtuelles, animiques, expansi
la compréhension du déploiement, de la marche, de la terminaison des
maladies
, science que l’on acquiert par une longue observa
des médecins admettaient déjà qu’il était un remède utile dans les «
maladies
nerveuses, » qui sont à la fois celles que la méd
z la question pratique et vous prononcez , sans hésitation, un mot de
maladies
qui ne dit rien, qui n’exprime rien de précis..
.......Que vous fait à vous, vous n’êtes pas médecin..... le mot de
maladies
nerveuses ?..... Et où sont les maladies qui ne
pas médecin..... le mot de maladies nerveuses ?..... Et où sont les
maladies
qui ne sont pas nerveuses ? Jamais dénomination n
chant les difficultés insurmontables que créent à l’art de guérir les
maladies
appelées, pour la première fois par notre maître,
que les bons médecins admettent l’utilité du magnétisme contre les «
maladies
nerveuses », et ce cadre n’est pas aussi restrein
lées: gastralgie, gastrite, gastro-entérile, et toute la kyrielle des
maladies
aux mille noms; dans les rhumes, causes premières
, pour êlre bref, disons qu’il esl utile dans la presque totalité des
maladies
. Nous ne voulons point dire par là qu’il faille
vous, amis du malade, que nous nous adressons: magnétisez dès que la
maladie
commence; si vous n’avez pu le faire au début, fa
armée nous demanda d’essayer aussi sur la jeune fille, atteinte d’une
maladie
de poitrine qui n’avait sans doute été reconnue q
sans doute le bon esprit de réserver pour un autre temps. Dans les
maladies
telles que le choléra, si promptes, et contre les
tre soir, durant quatre heures , seul, et sans y être invité; mais la
maladie
était à son dernier période, et les modifications
r dans une erreur grave..... Oh ! vous y tenez définitivement à vos
maladies
nerveuses ; eh bien! soit; nous vous écoutons : «
cerveau (nous avions donc raison de vous demander quelles étaient les
maladies
qui n’étaient pas nerveuses); nous n’avons de sen
surtout lorsqu’il y a analogie entre leurs symptômes et ceux de la
maladie
. Seul, l’opium n’a le pouvoir de guérir d’une man
. Seul, l’opium n’a le pouvoir de guérir d’une manière durable aucune
maladie
quelconque, parce que, loin d’en susciter durant
sme ne les rencontre, nous en convenons. Mais les guérissez-vous, ces
maladies
aux symptômes de sensation si prononcés ? Les dés
mptômes de sensation si prononcés ? Les désordres dynamiques, appelés
maladies
, résident-ils seulement dans l’exaltation de la s
llopathes le font avec leurs doses massives, si vous ne créez pas des
maladies
7nagnètiques comme eux en engendrent si souvent d
exactement comme eux, vous, vous palliez seulement cette kyrielle de
maladies
aux mille noms. Ainsi, les rhumes, causes premièr
x honorables médecins viennent d’en acquérir la preuve dans un cas de
maladie
fort ancienne , où la magnétisation a produit un
Non, Monsieur J. B., le magnétisme n’est pas utile dans toutes les
maladies
; et il ne les guérirait pas toutes si on l’emplo
elques-uns ont cherché à en tirer parti pour la guérison de certaines
maladies
, sans pourtant parvenir à des résultats positifs.
1851. 11 paraît, j’en suis même certain, que plus de la moitié des
maladies
auxquelles la nature humaine est sujette, peut se
et les rhumatismes, j’ai toujours réussi ; pour les maux de tête, les
maladies
serofuleuses, nerveuses, inflammatoires,j’ai rare
ai toujours donné du soulagement, quand je n’ai pas guéri. Les seules
maladies
pour lesquelles je n’ai obtenu aucun résultat, so
ules maladies pour lesquelles je n’ai obtenu aucun résultat, sont les
maladies
de poitrine ou celles dont le siège m’était incon
normal. Ce qui confirmerait cette supposition, c’est que ce sont les
maladies
les plus aiguës qui sont les plus faciles à guéri
e contribué à donner une valeur pratique. G. JOLY. P. S. Dans les
maladies
graves, le mal revient quelquefois ; alors il fau
au moyen de guérir par le contact des mains, et sur quelques-unes des
maladies
qui pouvaient se guérir ainsi. Votre publicatio
re. Je confirme, ce que je disais, dans ma lettre du 5 mai, sur les
maladies
qui sont susceptibles de guérison par les moyens
llre que j’ai citée, que je n’avais pu obtenir aucun résultat sur les
maladies
de poitrine. J’ai trouvé depuis que beaucoup de m
ltat sur les maladies de poitrine. J’ai trouvé depuis que beaucoup de
maladies
, dont le siège esl intérieur, peuvent également s
lques malades, el la clairvoyance de votre somnambule a découvert les
maladies
des personnes que vous avez soumises à son examen
rganisme ou dans le moral du sujet. Ainsi je vous parlerai d’une même
maladie
, existant chez le frère et chez la sœur, et pour
gt jours, j’ai étudié sur moi-même les singuliers phénomènes de cette
maladie
et constaté do nouveau la puissance du magnétis
umble disciple, vous communiquer les péripéties qui ont accompagné ma
maladie
. Je fus surpris un matin par une douleur sus-or
large application de sangsues à l’anus. Enfin, elle m’annonça que ma
maladie
allait entrer dans sa période décroissante, et qu
irent à son appréciation, soit pour leurs caractères, soit pour leurs
maladies
, et toutes furent émerveillées de la lucidité de
« Bon espoir, me dit-elle, vous touchez à la fin de vos maux. Votre
maladie
a eu pour cause prédisposante votre grand travail
esmeric infirmay) est institué pour le soulagement et la guérison des
maladies
, la prévention et la diminution de la douleur au
res vingt-neuf, dont dix- neuf hommes et dix femmes. La plupart des
maladies
traitées ont été la paralysie , la névralgie, le
stance que les magnétiseurs ont observée souvent dans toute espèce de
maladie
. « Un second cas, également satisfaisant, de gu
nvaincu de l’efficacité du mesmérisme, non seulement dans le genre de
maladies
qu’on a traitées ici jusqu’à présent, mais dans t
nre de maladies qu’on a traitées ici jusqu’à présent, mais dans toute
maladie
, quelle qu’elle soit; guérissant par lui-même dan
si tout est fluide dans la vie, tout aussi doit être lluide dans les
maladies
, partant, toutes les fois que l’organisme se trou
n des malades, et nous avons dit qu’il est utile dans tous les cas de
maladie
. Nous ajoutons qu’il faut surtout magnétiser les
s ajoutons qu’il faut surtout magnétiser les enfants, parce que leurs
maladies
sont obscures, cl que, par une heureuse compensat
i doit le satisfaire, et que les animaux se guérissent ainsi de leurs
maladies
, il ne serait pas raisonnable de penser que l’hom
culté, comme on le voit dans le somnambulisme naturel, dans certaines
maladies
, à l’agonie, etc. ; mais nous ne la considérons i
bien que chez des malades, et qu’elle s'étend jusqu’il soigner les
maladies
d’aulrui ; mais 011 remarque qii’ellc s’émousse b
probable qu’on l’eût obtenu bien plus promptement au début même de la
maladie
?... Lorsque le malade ne d •vient pas somnambul
ncore, puisque le magnétisme n’est pas seulement destiné à guérir les
maladies
du corps, mais qu’il tend aussi à redresser les d
habitant la Suisse, et qui, il y a quelque temps, fut atteinte d’une
maladie
d’yeux contre laquelle furent impuissants tous le
e la magnétisation directe, dont on faisait usage pour la plupart des
maladies
(i). Nous accorderons aussi dans ces effets une j
lé d’esprits, les uns bons, les autres mauvais, et l’on regardait les
maladies
dont la cause échappait aux investigations des ho
int Thomas d’Aquin (5), l’eau bénite avait le privilège de guérir les
maladies
que l’on attribuait alors aux obsessions du démon
joui pendant longtemps d’une grande réputation dans le traitement des
maladies
. Aristote (1) regardait la salive comme le meille
elle nous paraît exercer de puissantes déterminations sur la cure des
maladies
. Les anciens, qui en ont toujours signalé les bie
apport de Plutarque (4), se préservèrent des ravages de ces affreuses
maladies
par le même moyen. « Chez les Grecs, Timothée, l’
Démocrite, dans son Traité de la Peste, affirme qu’il y a plusieurs
maladies
qui ne résistent pas aux effets de la symphonie.
es bien incertains de l’influence de la musique sur le traitement des
maladies
, ce n’est guère qu’au milieu du seizième siècle q
liv. VIII, ch. 2. (6) De Valetudinc tuendû, lib. I, c. 8. (7) Des
Maladies
chroniques, liv. V, c. 1. (8) De la Subtilité,
umeurs, et puis à la longue les dilate et les divertis! et allège les
maladies
. » Ce 11e fut que vers la fin du dix-septième s
allemand entre dans de longues considérations sur le traitement de la
maladie
causée par la piqûre de la tarentule , et cite de
comme il en est de tout remède pharmaceutique, dans le traitement des
maladies
ordinaires; demander si elle est utile aux indivi
Traitement moral de la Folie, par F. Lcurct, p. 298. (2) Traité des
Maladies
mentales, t. II, p. 580. (S) Rapport au roi.
ation acoustique comme une ressource très-importante dans la cure des
maladies
. Cette influence offre vraisemblablement beaucoup
transmets ci-après l’extrait démon journal. Origine el cours de la
maladie
. Eugénie Morel, fdle de l’instituteur de la com
u bout de huit jours. C’est de cette époque que date l’invasion de la
maladie
actuelle. Eugénie a été traitée pendant dix-hui
maladie actuelle. Eugénie a été traitée pendant dix-huit mois pour
maladie
de poitrine, ensuite pour maladie du cœur pendant
traitée pendant dix-huit mois pour maladie de poitrine, ensuite pour
maladie
du cœur pendant plusieurs années, enfin pour mala
ne, ensuite pour maladie du cœur pendant plusieurs années, enfin pour
maladie
de la moelle épinière. Les saignées mensuelles
région lombaire ont été le siège des mêmes douleurs qu’au début de la
maladie
. Ne pourrait-on pas comparer le magnétisme à un e
’il prouve qu’on ne doit pas désespérer de réussir, alors même que la
maladie
est ancienne et remonte à plusieurs années. Je
la disparition des désordres nerveux permettaient le traitement de la
maladie
épinière par l’emploi des cautères; annonçant qu’
u fera bien de tenter l’influence du magnétisme; car le fond de cette
maladie
est un état d’irritation opiniâtre, fixé dans la
Dieu m’éclaire ! » Puis elle finit par me dire : « La personne a une
maladie
. » J’allais lui demander quelle maladie et les re
me dire : « La personne a une maladie. » J’allais lui demander quelle
maladie
et les remèdes à y apporter, mais le magnétiseur
présenté comme un célèbre médecin spécialiste, guérissant toutes les
maladies
et traitant spécialement les maladies invétérées
cialiste, guérissant toutes les maladies et traitant spécialement les
maladies
invétérées considérées comme incurables; vous vou
gresse, boucher à Douai, qui aurait consulté le sieur Lolmède sur une
maladie
grave, M. le substitut donne ensuite lecture de l
’aucun régime, dit Mme Otom, ce remède enlèvera le venin qui cause la
maladie
, et la maladie ira tous les jours mieux. Je vois
dit Mme Otom, ce remède enlèvera le venin qui cause la maladie, et la
maladie
ira tous les jours mieux. Je vois même, dit la so
science me révèle qu’il vous faut avant tonl combattre une terrible
maladie
qui peut vous faire périr en peu de temps. Déjà v
t-Léger et Ameuble, elle ne tarda pas à recouvrer la santé, après une
maladie
de quelques jours. Interrogée, elle fit connaître
compliquée d’une inflammation intestinale. C’est à la suite de cette
maladie
qu’elle a senti se révéler en elle cette faculté,
ériodiques, 668. Glandes, 475. Hypocondrie, 668. Hystérie, 464.
Maladie
de poitrine, 601. Névralgies, 462, 651. Odontal
ins, insufflations. Recherches sur leur emploi dans le traitement des
maladies
, les exorcismes, etc., chez les anciens et les mo
appliquer systématiquement la suggestion hypnotique au traitement des
maladies
nerveuses de l'en-fant. Mais ayant eu dans un c
ce traitement sur d'autres manifestations survenant dans le cours des
maladies
aiguës, nous avons acquis la conviction que la su
catégories : 1° Les troubles psychiques survenant dans le cours de
maladies
aiguës, en particulier l'insomnie, l'agitation et
ne prédisposition inverse fait que d'autres « gobent » toutes les
maladies
de passage, successivement, sans en « rater » une
ut un ictère simple; on ne relève pas, dans ses antécédents, d'autres
maladies
. En 1887, il perdit l'appétit et sembla souffrant
ts : Bonne santé du père et de la mère. Un frère bien portant. Pas de
maladies
dans la première enfance ni au moment de la forma
fille a été traitée par tous les moyens connus depuis le début de sa
maladie
et même un grand nombre de fois par la suggestion
lle se réveille sans ce toucher suggéré. Pas de modifications dans la
maladie
. Le lendemain, même hypnose, même réveil sans m
ntaires des personnes soignées par eux dans le cours de leur dernière
maladie
. Il résulte, en effet, des enquêtes que les expér
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
trière. — M. le Dr Auguste Voisin a commencé son cours annuel sur les
maladies
mentales et nerveuses le jeudi 13 juin, à 10 heur
s sont consacrées aux applications de l'hypnotisme, au traitement des
maladies
mentales. Cours sur l'hypnotisme a Lille. — Le
sin, au commencement de septembre , quinze jours après le début de sa
maladie
. Depuis ce début, il n'avait pas eu de selles et
a pas dormi ces trois dernières nuits. Ajoutons qu'il n'accuse-pas de
maladies
antérieures, pas d'antécédents héréditaires, ni n
.. En améliorant le terrain organique, on arrive souvent à enrayer la
maladie
. Vous voyez souvent, dans notre service, des mala
avec quelques antiseptiques, en quelques jours la fièvre tombe, et la
maladie
est enrayée. Elle reste enrayée si une bonne hygi
cataleptisées comme la veille. Alors je lui dis : Dormez! pour que la
maladie
reste guérie définitivement. Je veux vous enlever
is de l'endormir pendant quelques minutes dans son lit pour guérir sa
maladie
de poitrine, et, lui tenant ses yeux clos pendant
s longtemps possible. « En suggérant la négation des caractères de la
maladie
, dit-il, il est bon de joindre le geste à la voix
oyons que cette pratique peut être généralisée à un certain nombre de
maladies
et rendre des services réels. Ainsi, lorsqu'on
ion. Ils prétendent faire ainsi partir le mauvais esprit, cause de la
maladie
; c'est une pratique d'exorcisme pour laquelle on
angine diphtéritique en soignant un de ses neveux atteint de la même
maladie
. Un traitement très actif lui fut appliqué, elle
. Il conseilla l'usage du bromure de potassium. Cela ne fit rien à la
maladie
, et la malade, après neuf mois d'essais thérapeut
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
des albuminuries. Applications de la sérothérapie au traitement des
maladies
. Congrès des médecins aliénistes et neurologist
douleur à la région lombaire. Il n'a pu dormir depuis le début de la
maladie
. Comme antécédents morbides, il accuse une pleuré
nconsciemment, il ne se la laisse pas déraciner. Est-ce l'effet de la
maladie
qui crée cet état psychique particulier qui le re
t toutes seules. Il faudra, sans doute, un peu de temps pour cela. La
maladie
suit son cours, mais elle guérira certainement, g
le, sans en avoir l'air, affirmant que tout cela doit disparaître, la
maladie
suivant son cours et devant aboutir toute seule à
que dans leur quart inférieur. Je dis que cette douleur est liée à la
maladie
et qu'elle disparaîtra comme celles de la tête et
s qui ne sont pas inquiétantes et se dissiperont spontanément, que la
maladie
tire à sa fin. 28. Hier, le malade accusait de
ien. Je dis que, malgré ses douleurs, il peut se lever, s'il veut; la
maladie
va se terminer. Le 29, il va un peu mieux d'u
it pas guéri spontanément, par le fait de l'évolution naturelle de la
maladie
: mais j'ai vu si souvent les symptômes, douleur,
, de façon à bien lui démontrer qu'on n'attache pas d'importance à sa
maladie
, c'est encore une façon de faire la suggestion, o
très pâle, maigre, il parait détérioré par les excès plus que par les
maladies
. A son entrée, le 17 au soir, la température étai
la part de Jacob, d'avoir hautement émis la prétention de guérir les
maladies
au moyen d'un fluide qui lui serait propre et tra
orsqu'il parle des « pratiques » ayant pour résultat de provoquer des
maladies
. De o pratiques », je n'en emploie aucune : je ne
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
s nerveux sont justiciables de la suggestion. Ce sont là, dit-on, des
maladies
sans lésions, des perturbations purement fonction
efficacement ce qui est du domaine de l'imagination, c'est-à-dire les
maladies
qui n'en sont pas, les maladies purement imaginai
ne de l'imagination, c'est-à-dire les maladies qui n'en sont pas, les
maladies
purement imaginaires. Cette appréciation a prio
ne suffît pas à les créer. La névropathie non plus n'est pas une pure
maladie
imaginaire. Souvent elle est greffée sur une lési
lésion n'existe pas. Le microscope a transformé bien des névroses en
maladies
organiques. Et encore ne nous montre-t-il que le
maladies organiques. Et encore ne nous montre-t-il que le cadavre des
maladies
! Connaissons-nous la différence entre un nerf qu
te d'inhibi tion ou de dynamogénie nécessaire à la guérison; c'est un
maladie
de l'imagination, maladie réelle, peut-être organ
amogénie nécessaire à la guérison; c'est un maladie de l'imagination,
maladie
réelle, peut-être organique ce n'est pas une mala
e l'imagination, maladie réelle, peut-être organique ce n'est pas une
maladie
imaginaire. Le cerveau malade cré des désordres d
ffecté mais dans le cerveau lui-même qui agit par voie centrifuge Les
maladies
dites imaginaires, ou plutôt les maladies de l'im
git par voie centrifuge Les maladies dites imaginaires, ou plutôt les
maladies
de l'ima gination sont réfractaires à la suggesti
ladies de l'ima gination sont réfractaires à la suggestion. Aussi les
maladie
: mentales, la mélancolie, le délire de persécutio
étaient suggestibles, ils ne serait pas aliénés. L'hypochondrie, la
maladie
dite imaginaire par excellence n'est pas suscepti
un retentissement nerveux qui peut compliquer, aggraver entretenir la
maladie
. Cet élément nerveux, qui n'est qu'ur réflexe, un
et en attaquant cet élément, on réagit utilemen sur l'évolution de la
maladie
organique fondamentale. Auss l'on peut dire que l
eut dire que la psychothérapie trouve ses indicationt dans toutes les
maladies
. Je vous présente aujourd'hui deux maladies org
cationt dans toutes les maladies. Je vous présente aujourd'hui deux
maladies
organiques. La première est une tuberculose p
se, il a fait 5 ans de service militaire, en Algérie, sans un jour de
maladie
. Ayant quitté le service, il y a 4 ans, et reve
nique. Quelle est la nature des douleurs des membres greffés sur la
maladie
? Sont-elles rhumatismales ? Les articulations ne
a réceptivité ; je l'ai mis dans de meilleures conditions pour que la
maladie
puisse être enrayée. Car souffrir et ne pas dor
olution anatomique de la tuberculose, et la marche plus rapide que la
maladie
a prise dans ces derniers temps peut être attribu
t dont je n'avais guère eu le temps de m'occuper; il s'agissait d'une
maladie
incurable et stationnaire. Le 20 novembre, elle
e trachéo-bronchite sans avoir des quintes de toux interminables. Une
maladie
fréquente, l'angine granuleuse, montre bien combi
périphérie; elle est purement dynamique. Dans l'asthme essentiel, la
maladie
est sans doute dans le nerf lui-même: ce n'est pa
erf lui-même: ce n'est pas une influence transmise au nerf, c'est une
maladie
du nerf; quand l'accès a lieu, il y a peut-être d
d. C'était un homme de 30 ans, nommé Robiny, n'ayant jamais fait de
maladie
auparavant. Les parents étaient vigoureux et sain
s jours entre l'Ascension et la Pentecôte, on était préservé de toute
maladie
de peau, gale, teigne, etc. BULLETIN BIBLIOGRAP
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogiqu
une fois la petite, qui venait d'entrer en convalescence d'une grave
maladie
, marcher avec difficulté, il s'écrie imprudemment
ychique ne va pas plus loin que l'imitation plus ou moins adroite des
maladies
, infirmités, ou même conséquences d'accidents abs
rté-s.-Jouarre. Elle a 12 ans. Son grand-père maternel est mort de la
maladie
de Parkinson, et une grand' tante paternelle est
s son cabriolet, et fait la tournée de malades avec elle. Les noms de
maladies
, à force de les entendre, cessent d'être pour ell
endent un certain groupe de symptômes toujours les mêmes dans la même
maladie
. On la dit paralysée ; elle inhibe sommairement s
son hypochondre gauche, deux médecins concluent à une dilatation, une
maladie
de l'estomac ; résultat : vomissements, hématémès
ensuite, pour forcer le spasme de l'œsophage. En dehors de quelques
maladies
insignifiantes en bas âge, son enfance se passe s
nt attribue l'impotence à l'abasie. L'anorexie, dit-il, est due à une
maladie
, une dilatation de l'estomac. Là, vient se placer
pas faute cependant d'avoir cherché à la combattre. Quelles nouvelles
maladies
se suggèrera-t-elle, l'avenir seul nous l'apprend
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
cours pratique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et à la pédagogie. Il se continuera l
'éducation intégrale du cerveau. Faculté de Médecine : Clinique des
maladies
du système nerveux,— M. le professeur Raymond a c
erveux,— M. le professeur Raymond a commencé le cours de clinique des
maladies
du système nerveux le vendredi 15 novembre 1895,
era les vendredis et mardis suivants, à la même heure. Clinique des
maladies
mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le
is suivants, à la même heure. Clinique des maladies mentales et des
maladies
de l'encéphale. — M. le professeur Joffroy a comm
phale. — M. le professeur Joffroy a commencé le cours de clinique des
maladies
mentales le samedi 9 novembre 1895, à 9 heures et
t donnée — qu'on appelle cette perversion ou lésion psychique vice ou
maladie
— le moyen le plus légitime de la combattre est c
ci la question — encore ouverte, — de la distinction du vice et de la
maladie
ou de la difformité mentales, ainsi que des compé
icale, qui dans ma pensée devait agir plus efficacement encore sur la
maladie
de la nutrition, cause principale des phobies, en
et réparent lentement, que le fond de leur affection réside dans une
maladie
de la nutrition générale, qu'on peut avoir affair
'auto-intoxication d'autant plus rapide qu'il a souvent affaire à des
maladies
de la nutrition générale. 5° Tout arrêt dans la
mois (1) In Epistola ad Hippocratem missa. après le début de la
maladie
, elle tombe en léthargie, pendant dix-huit jours.
es exceptions, et des exceptions assez rares. Mais l'hystérie est une
maladie
tellement fréquente, elle vient si souvent dérout
mètres de la ville, fatigué, épuisé par le manque de nourriture et la
maladie
aidant, il s'étendit dans un fossé plein de neige
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
cours pratique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et a la pédagogie. Il se continuera l
ur : l'œil névropathique. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des
maladies
du système nerveux. — M. Raymond. Les mardis et v
ardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les
maladies
nerveuses tous les jeudis à S b. (salle de la con
Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les
maladies
nerveuses, le dimanche à 10 heures. M. Albert
pages. Paris, 1895. Astère Denis. Dr Vande Lanoittb. — Hypnotisme,
maladies
, guérison. Brochure in-8, 43 pages. — Auguste Nic
ait être guérie que par des prières. « Je prierai le bon Dieu et la
maladie
disparaîtra. » Le malade consentit à se soumett
z vous, mais revenez ici le soir, je ferai de nouveau la prière et la
maladie
disparaîtra avec l'aide de Dieu. » Le même jour
cas semblables, pour la guérison de l'affection, la disparition de la
maladie
causale, c'est-à-dire du trouble nerveux, estindi
plus éminent de la Russie. On lui doit la création de la clinique des
maladies
nerveuses et mentales, d'un musée neurologique, a
du professeur Kogevnikoff lui ont dédié un recueil de travaux sur les
maladies
du système nerveux et les maladies mentales. En 1
édié un recueil de travaux sur les maladies du système nerveux et les
maladies
mentales. En 1894, au 15me anniversaire de sa car
ent de dépister ces facteurs dans certains actes des hystériques.
Maladies
par imitation chez les enfants Coloman Szego de
r prises. D'ailleurs, toutes les élèves ne furent pas atteintes de la
maladie
, ce qui indique qu'il faut un terrain propice et
oir donné des aperçus rai-sonnés sur le siège probable de ce genre de
maladie
, il tient à faire remarquer, en s'appuyant sur se
ection de M. W. Bechterew, professeur et directeur de la Clinique des
maladies
mentales et nerveuses à Saint-Pétersbourg. Elle
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
cours pratique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et à la pédagogie. Il le continuera les
: L'œil nèvropathique. _ Hospice de la SalpÈtrière. — Clinique des
maladies
du système nerveux. — M. Raymond. Les mardis et v
ardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les
maladies
nerveuses tous les jeudis à 5 h. (salle de la con
on externe) à partir du 5 décembre. M. Jules Voisin. Leçons sur les
maladies
mentales, les jeudis, à dix heures du matin. Hô
Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les
maladies
nerveuses, le dimanche, à 10 heures. M. Richer,
à 10 heures. M. Richer, ancien chef du laboratoire de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine de Pa
pages. Paris, 1895. Astère Denis. Dr Vande Lanoitte. — Hypnotisme,
maladies
, guéri' son. Brochure in-8, 43 pages. — Auguste N
ue Chéravoie, 17, était atteint, depuis la fin de l'année 1862, d'une
maladie
qui amena bientôt la paralysie de la sensibilité
gmates de Louise Lateau? Il ne s'agit pas ici de la disparition d'une
maladie
de la peau n'ayant rien de congénital, mais de l'
dus; chez d'autres, il survient pathologiquement, sous l'influence de
maladies
diverses, ou psychologiquement, sous l'influence
car, avant mon mariage, j'avais des jours bien noirs où, pensant à ma
maladie
, j'étais attristé et profondément mélancolique, m
était suivi.d'une crise. C'est sans doute ce qui a fait attribuer ma
maladie
nerveuse à de la dyspepsie. D'autres médecins n'o
oisin conclut avec raison de ce fait que l'hypnotisme, dans certaines
maladies
nerveuses, a une action curativc bienfaisante que
ns de la dyspepsie, il exprimait ainsi son opinion personnelle : La
maladie
ne varie pas comme les doctrines; voilà pourquoi
faut opposer l'organicisme fonctionnel. 11 faut savoir que nombre de
maladies
débutent par un trouble fonctionnel, quelquefois
n trouble fonctionnel, quelquefois général, souvent localisé; que ces
maladies
restent fonctionnelles pendant un temps plus ou m
e vitallste que soutenir l'origine fonctionnelle d'un grand nombre de
maladies
, croire aux actions et réactions cellulaires, êtr
mènes nerveux : cris, agitation, etc., qui ne s'observent pas dans la
maladie
de Rougnon-Heberden, mais surtout par l'influence
de Nancy. Un cas d'aphonie hystérique. Mandelstamm. (Annales des
maladies
de Voreille, du nez et du larynx, août 1895, n° 8
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
urs pratique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et à la pédagogie. Il le continuera les
sur : Vœil névropathique. Hospice de la Salpètriére. — Clinique des
maladies
du système nerveux. M. Raymond. Les mardis et ven
ardis et vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les
maladies
nerveuses tous les jeudis à 5 h. (salle de la con
n externe} à partir du 5 décembre. M.Jules Voisin. Leçons sur les
maladies
mentales, les Jeudis, à dix heures du matin. Hô
heures du matin. Hôpital de la Pitié. — M. Babinski. Leçons sur les
maladies
nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de
ésultent de cause pathogène ayant produit les altérations nerveuses :
maladies
générales, maladies infectieuses, intoxications;
thogène ayant produit les altérations nerveuses : maladies générales,
maladies
infectieuses, intoxications; mais ce sont là des
r où cette force modératrice pouvait s'exercer. Et en effet, dans ces
maladies
, c'est la méningite, la tumeur qui comprime les c
hinal, inconscient. Une douleur résultant d'un traumatisme ou d'une
maladie
reste plus ou moins ancrée dans le système nerveu
d'où l'idée fixe ou souvent réveillée d'une douleur. En réalité, les
maladies
qu'on appelle imaginaires pourraient ainsi fo
rs pas spéciales à la paralysie générale ; on les retrouve dans toute
maladie
qui intéresse l'intelligence ; M. Azoulay les sig
MM. Golgi et Cajal, touchant les mouvements automatiques de certaines
maladies
, les troubles nerveux qu'entraîne la vieillesse,
ite d'une frayeur par exemple, si la vitalité a été amoindrie par une
maladie
anémiante, ou par une intoxication nerveuse, tell
athe, avait contracté l'influenza pendant l'hiver de 1890 à 1891 ; la
maladie
proprement dite avait duré trois semaines; mais c
d'un centre d'arrêt ou d'inhibition créé de la même façon ; dans ces
maladies
, les résultats que l'on obtient par l'hypnotisme
stion dans beaucoup de circonstances: le trouble fonctionnel dans les
maladies
des centres nerveux dépasse souvent le^champ de l
ont atteints sont encore plus à plaindre que ceux qui souffrent d'une
maladie
ou d'une infirmité matérielle. Ces pauvres gens s
très sage appréciation du rôle de la suggestion dans la guérison des
maladies
et il faut rendre honneur à maître Ferrier, médec
nos lois civiles et canoniques, dit cet arrêt, la forme de guérir les
maladies
avec charme est réprouvée, parce qu'aucuns ont op
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
l'âme. L'un, quiest appelé par la foule méchanceté, est évidemment la
maladie
de l'âme. L'autre est ce qu'on appelle ignorance.
, se fait jour une théorie ancêtre de la théorie Iombrosienne : ß Les
maladies
de l'âme naissent de l'état du corps ». Platon ad
sges ; Coutaud, docteur en droit. De l'élément psychique dans les
maladies
''). Analyse critique par M. le D' P. Valestis.
e D' P. Hartenberg. Sous ce titre : De l'élément psychique dans les
maladies
, notre nouveau collège analyse avec méthode les m
d'une idée morbide, que ces troubles accompagnent et compliquent une
maladie
organique, ou qu'ils existent seuls et constituen
ent une maladie organique, ou qu'ils existent seuls et constituent la
maladie
tout entière. Le sujet était immense, et il fau
introduction où il établit ß qu'en théorie chaque trouble organique —
maladie
locale ou générale — doit toujours s'accompagner
uisement nerveux réel, acquis ou héréditaire; et enfin VépUepsie, les
maladies
infectieuses, les intoxications, toutes les malad
n VépUepsie, les maladies infectieuses, les intoxications, toutes les
maladies
locales ou générales qui, troublant la nutrition
fait le plus grand honneur à la 11) De Vêlement psychique dans les
maladies
, p. 02. jeune Ecole psychique française. Comm
transitoire sont très fréquents. Ce sont des épisodes de l'acmé de la
maladie
neurasthénique dont la durée varie entre quelques
ans des douleurs dans la région mammaire gauche, qu'elle attribueàune
maladie
du cœur. Commel'auscultation montreque celui-ci e
estion peut faire un rôle important dans la marche de l'évolution des
maladies
. . Action de la volonté sur la circulation Le
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
OMANIE ET HYPNOTHÉRAPIE i1) Par le D' E. Réois, Chargé du Cours des
maladies
mentales à la Faculté de Médecine. Le sujet que
influence à l'état normal, ils en ont une plus grande encore dans les
maladies
, en particulier dans les maladies mentales et ner
ont une plus grande encore dans les maladies, en particulier dans les
maladies
mentales et nerveuses. Pour ce qui est de l'hysté
u dans son ensemble la délicate question de l'hypno-thérapie dans les
maladies
mentales. Je ne puis cependant m'empêcherde rappe
annexes ne présentent rien d'anormal. Il n'y a pas trace d'anciennes
maladies
de ces organes. Aucune paralysie des paupières
ciaux à donner, dans les prisons de la Seine, aux détenus atteints de
maladies
des yeux. Le 26 septembre, le pourvoi ayant été
d'important à signaler. La mère est morte de phthisic pulmonaire ; sa
maladie
a duré fort longtemps et un frère a été atteint d
déliré pendant plus d'un mois. Les règles reparaissent pendant cette
maladie
. La convalescence terminée, la malade constata qu
urs. Matité du sommet droit. Souffle. Râles sous-crépi tants. Cette
maladie
a duré trois semaines. Amélioration de l'état men
is semaines. Amélioration de l'état mental pendant la fièvre, mais la
maladie
a laissé un très grand affaiblissement physique e
Régis. La kleptomanie est un symptôme qui s'observe dans une foule de
maladies
mentales, mais dans chacune le vol présente des c
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
V... accomplit le geste en son entier (*). Cette dernière phase de la
maladie
dura quelques jours; lorsqu'un jour, à Braine-le-
ée de l'homme aux animaux, le Dr Féré insiste sur ce point que si les
maladies
mentales sont moins fréquentes chez les animaux,
ou dans les cabarets de l'endroit. Cet homme mourut après une courte
maladie
. A partir de ce moment, le chien se montra très t
ses antécédents, nous apprenons que sa première enfance se passa sans
maladie
importante, et, chez ses parents, il ne parait y
tous les curés et gens aisés des villages. 11 a débuté par guérir des
maladies
des yeux; il ordonnait un collyre astringent et l
éfiniment la consultation en obligeant chaque visiteur à expliquer sa
maladie
particulière. Vignes a pris un moyen plus expédit
introducteur des malades les présente en bloc en énumérant toutes les
maladies
dont ils sont atteints. Vignes alors, d'un air
ereux de dormir sur le dos ; que c'est de là que viennent souvent les
maladies
de la moelle épinière : Je crois que le plus sage
e et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
titue une médecine préventive de la plus grande efficacité contre les
maladies
de l'esprit, et est appelé à devenir un moyen trè
pages. Paris, 1895. AsTÉitEDenis. Dr Vande Lanoitte. — Hypnotisme,
maladies
, guéri-son. Brochure in-8, 43 pages. — Auguste Ni
ar suggestion (l'). par Crocq fils, 121. Elément psychique dans les
maladies
(de l'), par Valentin, 306. Enfants (maladies p
nt psychique dans les maladies (de l'), par Valentin, 306. Enfants (
maladies
par imitation chez les), 214. Enseignement de l
santé, et il semble que ce soit un accident qui ait amené chez lui la
maladie
dont il souffre. Il y a quatre ans, le mal débu
nirez-vous? » C'est un homme voulant absolument être débarrassé de sa
maladie
. Il s'agit de savoir au juste l'affection dont
a première chose à déterminer est celle-ci : avons-nous affaire à une
maladie
de l'articulation scapulo-humérale ou à une malad
ous affaire à une maladie de l'articulation scapulo-humérale ou à une
maladie
de l'humérus seul, c'est-à-dire une ostéite? Je
tteint de carie ou de nécrose, par la raison que voici : c'est que la
maladie
, au début, s'est annoncée par un gonflement consi
é distendue par le liquide à une époque, nous avons une preuve que la
maladie
est articulaire : ce sont les fusées, les fistule
lévation du bras. Ainsi, la première fusée ne prouverait pas que la
maladie
fût ar¬ticulaire, parce que le pus a fusé en suiv
r moi, il n'est pas douteux que la synoviale ait été aussi malade. La
maladie
est dans Los, mais, à une certaine époque, les ti
l y a quelque chose de plus net. C'est dans la tête de l'os qu'est la
maladie
principale, et il s'agit de rechercher ce genre d
qu'est la maladie principale, et il s'agit de rechercher ce genre de
maladie
. Pour moi, tout ce qui s'est passé démontre qu'il
m fusionnée avec la tête de l'os. Ici, au contraire, j'établis que la
maladie
est dans la tête de l'os, mais que dans l'articul
ermettra de détacher la tête de l'os et d'emporter avec elle toute la
maladie
. Il faut établir qu'il n'ya pas d'autre os mala
e crois même pas que la cavité glénoïde soit malade ; je pense que la
maladie
est, concentrée dans la tète hu-mérale et qu'il n
udié le diagnostic, il faut savoir si, aban¬ donnée à elle-même, la
maladie
pourrait guérir. Il ne suffit pas que le malade r
ite ou de l'infection putride. Le malade porte en germes une foule de
maladies
qui peuvent l'atteindre d'autant plus facilement
mineuses. F.a Rédaction. BIBLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les
maladies
des vieillards et les maladies chroniques, par
BLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les maladies des vieillards et les
maladies
chroniques, par J.-M. Charcot, recueillies et p
Delahaye. En 1866, M. Charcot a inauguré, à la Salpêtrière, sur les
maladies
des vieillards et les maladies chroniques, un cou
a inauguré, à la Salpêtrière, sur les maladies des vieillards et les
maladies
chroniques, un cours qu'il a continué en 1867, 18
éliminaires étaient indispensables avant d'examiner spécia¬lement les
maladies
qui sévissent dans la vieillesse. Mais quelle éta
dies qui sévissent dans la vieillesse. Mais quelle était celle de ces
maladies
qui devait venir en premier lieu? M. Charcot a ch
t la pathogénie de la goutte. Cette énumération montre déjà que cette
maladie
a été considérée par le professeur sous toutes se
t laisser la goutte de côté eût été un tort puisque la goutte est une
maladie
chronique que l'on a souvent occasion de voir dan
s. M. Charcot ne voit là que les formes variables d'une seule et même
maladie
. Puis il décrit les lésions anatomiques de l'arth
articulaire aigu et chro¬nique, la symptomatologie de cette dernière
maladie
, l'étiologie du rhumatisme; enfin, il expose, dan
¬dite puerpérale, Paris, 1809 ; 2° Notes sur une cause peu connue des
maladies
or¬ganiques du cœur, etc., par A. Ollivicr. {Mémo
oût, 42 jours après l'entrée du malade, 57 jours après le début de la
maladie
. Voici la note inscrite ce jour-là sur la feuil
aux anévrysmes miliaires. BIBLIOGRAPHIE Leçons cliniques sur les
maladies
du cœur, par M. Bucquoy, agrégé de la Faculté de
e réunir en brochure les Le¬çons cliniques qu'il a professées sur les
maladies
du cœur lorsqu'il suppléait M. leprofesseur Griso
tentive et raisonnée des symptômes et des caraclères propres à chaque
maladie
cardiaque, suivant qu'elle se développe dans tell
résidé à l'œuvre. Dans ces leçons, l'auteur a élucidé les principales
maladies
du cœur, et, par maladie du cœur, il entend seule
leçons, l'auteur a élucidé les principales maladies du cœur, et, par
maladie
du cœur, il entend seulement la maladie avec lési
les maladies du cœur, et, par maladie du cœur, il entend seulement la
maladie
avec lésion organique, celle dans laquelle le tis
e et dernière Leçon, celle où l'auteur établit un parallèle entre les
maladies
des divers orifices du cœur. Reprenant, en effet,
dire que la distinction capitale est celle qui résulte du siège de la
maladie
, suivant qu'elle occupe le cœur droit ou le cœur
air dans le cours de ses Leçons et qu'il a épuisé, à propos de chaque
maladie
, la question du diagnostic. Nous ne pouvons que l
mière comprend la Pathologie générale chirurgicale ; la deuxième, les
Maladies
des tissus et des organes ; la troisième traite d
ème, les Maladies des tissus et des organes ; la troisième traite des
Maladies
des régions. De ces trois parties, les deux pre
, et une de celles qui ont acquis les plus légitimes suffrages. Les
maladies
des yeux sont traitées clairement et avec cette c
eurs et opposer la vraie science au verbiage. — Nous le répétons, les
maladies
des yeux sont clairement exposées dans le livre d
ses, nous sommes amenés à signaler la partie du volume qui traite des
maladies
des yeux comme une difficulté heureusement vaincu
icale ; elles groupent'autour d'un organe toutes les puissances de la
maladie
et les ressources dont l'art dis¬pose pour les co
us l'impression la plus favorable sont le chapitre des Hernies et des
Maladies
abdominales, la Pathologie génito-urinaire et les
attend dix-huit mois sans se soumettre à aucun traitement. Alors, la
maladie
était représentée par une masse de la grosseur d'
e manœuvre, soit qu'il existât chez cet individu une disposition à la
maladie
dont il s'agit, huit jours après cette petite opé
e générale, et le travail de M. Ollivicr sur une cause peu connue des
maladies
organiques du cœur et. sur la pathogénie de l'hém
NITALES PAR A. DE MONTMÉJA Dans les auteurs qui ont écrit sur les
maladies
de la peau, on trouve la description de trois lés
tion et sous une même description trois symptômes d'une seule et même
maladie
. Nous allons appuyer notre assertion en exposant
à laquelle nous étions attaché en qualité d'externe, à un service de
maladies
de la peau, les choses marchèrent de pis en pis.
observé et dans lequel on a pu voir la succession des symptômes de la
maladie
: érythèmes, vésicules, croûtes et squames, liche
n'était pas régulier et s'écartait plus ou moins des descriptions des
maladies
auxquelles on inclinait à les rattacher. Les ac
. Davaine, dans son beau livre intitulé Traité des entozoaires et des
maladies
vcrmincuses (1859), en a réuni un cer¬tain nombre
scrofuleuse ou rhumatis¬male, pas de syphilis. 11 n'a jamais fait de
maladie
, sauf une blen-norrhagie qui dura environ deux mo
OVIALES DE LA MAIN INJECTÉES doigts ne participaient en rien à la
maladie
. En terminant sa clinique, M. Tillaux fait rema
avec l'ophthalmoscope simple, suffit pour établir le diagnostic d'une
maladie
du fond de l'œil, mais s'agit-il de donner une gr
ours de son ouvrage, à plusieurs questions importantes concernant les
maladies
des os et discute plusieurs points concernant l'h
e santé jusqu'au moment où elle éprouva les premiers symp¬tômes de la
maladie
qui la conduisit à l'hôpital ; elle ne présentait
, pour le médecin, l'étude attentive des variations du pouls dans les
maladies
; chaque pays, chaque siècle a fait un effort pou
ts que nous, et prononcent sur le diagnostic et le pronostic de toute
maladie
, au seul toucher du pouls. Ils distinguent 7 poul
de la première. C'est cette seconde pulsation, qui, dans certaines
maladies
, deve¬nant plus prononcée, a fait donner au pouls
roux. — La suite au prochain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Traité des
maladies
de l'estomac, de W. Brinton, traduit par Riant, p
icien à même d'interpré¬ter plus tard leurs rapports avec chacune des
maladies
de l'organe, nous voulons parler de la douleur, d
urs plus ou moins grossières, et de faire véritablement la part de la
maladie
. Or, ne l'oublions pas, pour l'estomac, les lésio
en pourrons tirer aucune lumière pour la nature et le traite¬ment des
maladies
. Signalons seulement la gastrite, l'ulcère et l
ologiques qu'il a observés, résume les principaux traits de plusieurs
maladies
de l'estomac. C'est ainsi qu'il nous décrit Y inf
ation cirrhotique ou linitis plastique de l'estomac. Selon lui, cette
maladie
, non étudiée sépa¬rément par les auteurs français
r la syphilis et en particu¬lier sur le traitement préventif de cette
maladie
par la syphilisation. 11 est mort le 28 mai, âgé
excès de boisson. Sa mère est morte " de la poitrine » à 31 ans ; sa
maladie
serait survenue à la suite d'une couche ; elle to
lésions anciennes et des lésions récentes. Peu après le début de la
maladie
des yeux, les oreilles sont deve¬nues le siège d'
fule osseuse, la nécrose et l'expulsion des phalanges. Aujourd'hui la
maladie
semble enrayée; les trajets fistuleux se ferment
TRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES PAR BOURNEVILLE Durant les six de
anche montrant le malade guéri. BIBLIOGRAPHIE Traité pratique des
maladies
de l'oreille, par A, de Trœltsch, professeur à l'
édecine profitaient largement des données anatomo pathologi¬ques, les
maladies
de l'oreille, en France du moins, restaient étran
r consacré à la pathologie, car chacune des parties qui le composent (
maladies
de l'oreille externe, maladies de l'oreille moyen
chacune des parties qui le composent (maladies de l'oreille externe,
maladies
de l'oreille moyenne, mala¬dies de l'oreille inte
un soin particulier. Avec la quatrième leçon, commence l'étude des
maladies
de l'o¬reille externe. Sans nous arrêter aux mala
nce l'étude des maladies de l'o¬reille externe. Sans nous arrêter aux
maladies
du pavillon, arrivons à l'examen du conduit audit
mbrane du tympan, et arri¬vons à la partie capitale de l'ouvrage, aux
maladies
de l'oreille moyenne. Si bien faite que soit la d
ee, appelé otoscope ; c'est encore l'emploi du ma- 1 Leçons sur les
maladies
chirurgicales des enfants, recueillies par Bourne
ns nous en plaindre. Jusque dans ces der¬niers temps, en effet, cette
maladie
, mal étudiée, était mal traitée. Ce n'est pas à d
ent les médecins ont à enregistrer des cas de mort produits par cette
maladie
qui, quoique fréquente, est loin d'être encore bi
ie, s'occupe-t-il de la contagion, de l'infection, de l'épidémie, des
maladies
et prin¬ cipes contagieux, des maladies et agen
fection, de l'épidémie, des maladies et prin¬ cipes contagieux, des
maladies
et agents infectieux. Qu'est-ce donc ([ue la cont
incipe contagieux; 2° attouchement d'un individu frappé ou mort d'une
maladie
conta¬gieuse; 3° attouchement des objets apparten
des objets appartenant ou ayant appartenu à une personne atteinte de
maladie
contagieuse ou ayant succombé à une maladie conta
une personne atteinte de maladie contagieuse ou ayant succombé à une
maladie
contagieuse. L'infection est l'action qu'exerce,
omposition des corps organisés. Pour M. Moura, les angines sont des
maladies
infectieuses et non contagieuses; elles sont esse
iphthéiïtique; jamais avec elle, on n'a pu produire une angine ou une
maladie
diphthéritiques. Pourquoi dire, avec MM. IL Roger
nt le pouvoir d'aug¬menter pendant un temps variable la gravité de la
maladie
, qui cède toujours à un traitement local bien dir
péri-utérine, et c'est environ quinze mois après la guérison decette
maladie
qu'eut lieu brusquement la cessation de la menstr
bles au développement de la scrofule. Dans le tissu cellulaire, la
maladie
s'accuse par des engorgements, des étals phlegmon
TRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES par bourneville I. de la températ
au prochain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Leçons sur le traitement des
maladies
chroniques en général et des affections de la pea
ubliées par ses internes. Elles forment une sorte de vaste traité des
maladies
, ou, pour parler le langage du professeur, des
fend de nouveau ses idées sur l'arlhritis et rappelle sa division des
maladies
chro¬niques en constitutionnelles, cachexies, dia
quatre classes, mais surtout dans la première que se ren¬contrent les
maladies
cutanées réclamant l'emploi d'une médication inte
r insiste dans sa préface sur la division des affec¬tions cutanées en
maladies
de cause interne et de. cause externe ou parasita
ales. M. Bazin fait rentrer les affections cutanées se rattachant aux
maladies
constitutionnelles dans quatre grandes unités pat
atoses, voici les conclusions de M. Bazin. Traitement préventif des
maladies
: — hydrothérapie ; — traitement des maladies et
raitement préventif des maladies : — hydrothérapie ; — traitement des
maladies
et de leurs affections : hydrologie ; — traitemen
sification rie manque pas de simplifier l'é¬tude et le traitement des
maladies
de la peau, mais elle n'est pas acceptée par tous
deux dernières catégories concernent les troubles trophiques dus aux
maladies
de la moelle épinière et du cerveau : a. affectio
pêtrière, et chez laquelle nous avons suivi nous-même la marche de la
maladie
. Observation I. — Ataxie locomotrice. — Pertes
869. ce moment, était excellente. Elle fait remonter le début de sa
maladie
à 39 ans environ. Elle éprouvait alors, de temps
es, appa¬raissant au moment des règles, Mén... n'avait jamais fait de
maladies
, lorsqu'en 1862 elle eut une première perte utéri
vons revu plusieurs fois cette femme, et il ne reste plus trace de la
maladie
dont nous venons de retracer l'histoire. Le fai
qui irrite continuellement les yeux et finit par les enflammer. " La
maladie
, dit-il, règne épidé-miquement toute l'année, mai
ortantur. » Prosper Alpin, après avoir ainsi indiqué les causes de la
maladie
, donne ensuite d'excellents moyens prophy¬lactiqu
clarté, qu'on peut regarder ici comme les principales causes de cette
maladie
.»—Savaresi, médecin de l'armée d'Orient, range, p
il est vrai, concourir dans une certaine mesure à la production de la
maladie
, mais elles ne suffisent pas pour en expliquer la
par le sable soulevé par les vents ; mais, s'il en était ainsi, si la
maladie
était uniquement le résultat de l'action trop viv
TRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES PAR BOURNEVILLE f. I)E LA TEMPÉRA
doit ranger les métrorrhagies qui surviennent dans les pyrexies, les
maladies
géné¬rales (scorbut, purpura, ictère grave,variol
ce point de départ est essentiellement variable ; tantôt ce sera une
maladie
de l'ovaire, du vagin ; tantôt une excitation par
ont se fait cette contagion. Lawrence demande si la propagation de la
maladie
, principalement parmi les soldats, est due à l'ap
ur Eble, tout en reconnaissant la possibilité de la propagation de la
maladie
par contact, pense qu'elle se répand beaucoup plu
purulente provenant delà conjonctive. » Ainsi, Mackensie croit que la
maladie
se propage par infection, ou, en d'autres termes,
e important que jouent ces insectes dans la propa¬gation de certaines
maladies
, le charbon, la pustule maligne : ce rôle a été t
ême, présentant la plupart le triste spectacle d'individus frappés de
maladie
et de misère et repoussants de malpropreté. Leurs
TRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES
MALADIES
PUERPÉRALES par bourneville II. exemples de pér
teurs, et tout récemment M. Hervieux (Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales suites de couches, Pa¬ris, 1870), dis
e pouls, " la température s'élève, écrit M. Thierry, à me¬sure que la
maladie
progresse et peut-être même plus régulièrement. F
ou constata, outre une péritonite généralisée, une pleuro-pneumonie,
maladie
qui a modifié sans doute la température'l. M. H
ux cas, les rémissions du matin et les exacerbations du soir; 1 Des
maladies
puerpérales observées à l'hôpital Saint-Louis en
hralgie, 29. Arthropathies (Étude sur les) consécu¬tives à quelques
maladies
de la moelle et du cerveau, par Bourneville, 193,
compliqué, par Duplay, 169. Bibliographie. Leçons cliniques sur les
maladies
des vieillards, etc., par J.-M. Charcot, 20. — Le
s vieillards, etc., par J.-M. Charcot, 20. — Leçons cliniques sur les
maladies
du cœur, par Buc¬quoy (anal. G. Peltier), 44. — T
res, par Bérenger-Féraud (anal. G. Bouteil-lier), 118. — Traité des
maladies
de l'estomac, par Brinton (anal. G. Pel-tier), 14
'estomac, par Brinton (anal. G. Pel-tier), 142. — Traité pratique des
maladies
de l'oreille, par A. de Traeltsch (anal. G. Pelti
UROLOGIE Archives NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE MiS
MALADIES
NrnvrUSia ET MENTALES . Fondue pAn J.-M. CHARCO
US I.A ootFCnon urs MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales 3 la [''acuité de médecine ie l',u m
le clinique (Ste-Annc). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Farulté de médecine
hernie étranglée; pas de rhumatismes, pas de convulsions, pas de
maladies
vénériennes, ni de lièvre typhoïde. Il buvait bea
es a notés dés l'entrée. Pas d'atteinte de l'intel- ligence. Aucune
maladie
infectieuse, ni accidents scrofuleux; plu- sieu
s demandant un rendez-vous afin d'avoir des renseignements sur la
maladie
de Rachel. Le signataire ne serait autre qu'un pr
.) - 1 ? Conception, rien d'anormal. Grossesse tourmentée par une
maladie
de son mari. Accouchement un peu long. Cyanose à
ments sur sa famille, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de
maladie
nerveuse. Mère, trente-huit ans, migraines fréq
ments sont souvent soumis aux caprices de la fortune. C'est que les
maladies
ne se présentent pas toujours sous les mêmes fo
THOLOGIQUES. avait cependant contre elle la durée déjà longue de la
maladie
. Terminaison par mort subite. A l'autopsie, on
plus faible, on peut établir une courbe qui a son intérêt dans des
maladies
à marche lente comme le tabes.. * ' Cet appar
ciété humaine une place à ceux qui l'avaient perdue par suite d'une
maladie
. ' III. Diagnostic des maladies de la moelle. S
i l'avaient perdue par suite d'une maladie. ' III. Diagnostic des
maladies
de la moelle. Siège des lésions ; par le Profes
lière, éditeur.) Etant donné un malade chez lequel on a reconnu une
maladie
' de la moelle, comment peut-on cliniquement dé
ssion de la 110 question du programme : Des états anxieux' dans les
maladies
mentales. Rapporteur : M. LALANNE, deiBor-1 4 d
ensait du concours le chef de clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale à la Faculté de médecine de l'Un
ospitalisé « depuis plusieurs années », c'est-à-dire au début de sa
maladie
. On s'y, décide parce qu'il a voulu attenter à
nnes. Nécrologie. M. le Dr Meredith Clymer, ancien professeur des
maladies
nerveuses à l'Albany Médical Collège. Nous avons
(P.). De l'extension et de son application dans le trai- tement des
maladies
nerveuses. In-S° de r4 4 pages. Prix : 1 fr. 50 a
hysiopathologie. Observation. T..., cinquante-sept ans. Début de la
maladie
en novembre 1900, par céphalées. Bientôt paraly
paire droite s'est fortement exagérée dans les derniers jours de la
maladie
mais n'a jamais été CAS DE PAPILLOME ÉPITHPLI01
alade est soumis sans succès à un traitement mercuriel intensif. La
maladie
progresse. La parole devient de plus en plus di
oplasme primitif. Le malade est mort cinq mois après le début de la
maladie
; le cancer secondaire du pédoncule aurait donc
res sujets présentant du tremblement des yeux sympto- matique d'une
maladie
du système nerveux ou d'une alté- ration de l'a
s'exagérant jusqu'à se présenter à trois reprises le même jour. La
maladie
terminale n'a duré que quatre à cinq jours pendan
Les trois quarts des cas se présentent de quatre à douze mois. La
maladie
est plus fréquente chez les filles et l'hérédité
ipal est le mauvais éclairage de la pièce où habite l'enfant, et la
maladie
serait due aux efforts continus que fait le pet
e même famille. Nous retrouvons là un élément commun aux diverses
maladies
familiales, respectant certaines personnes, en fr
s la famille dont les yeux bougent. Lui-même n'a jamais eu d'autres
maladies
qu'une bronchite, il y a un an. L'examen des ap
8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE tions V et VI. Il n'a jamais eu que des
maladies
insignifiantes. Il a eu deux frères et deux soe
de tenter de rattacher ces mani- festations aux divers groupes des
maladies
familiales actuellement admises dans la science
effet présenter les premiers chaînons de cette nombreuses série de
maladies
congénitales dont ,1e cadre nosologique s'enric
liaux qui rattacheraient en affections congénitales à certaines des
maladies
familiales systéma- tisées. Par quelques-uns de
nouveaux d'une affection nerveuse nettement caractérisée comme la
maladie
de Friedreich pour les formes isolées, comme l'hé
à la névrose trémulante, les autres aux- formes plus complexes des
maladies
héréditaires. Il est de - fait qu'à mesure que
né aux Nystagmus et aux Tremble- ments essentiels dans le cadre des
maladies
nerveuses sera sans doute l'objet de remaniemen
ystériques méconnus. Ce sont les découvertes des symptômes de cette
maladie
, découvertes qui datent d'un demi-siècle à pein
tômes plus ou L HYSTERIE DE SAINTE THERESE 127 moins graves de la
maladie
, elle le nomme états plus ou moins grands de la
plus tard. Mais dans l'état de trouble et 'd'angoisse morale où la
maladie
la plongeait, Thérèse ne trouvait pas toujours
us célèbres directeurs- de conscience de l'Espagne. LES années DE
maladie
. Pendant vingt-cinq années, soeur Thérèse fut e
degrés de sa sainteté et pour les médecins toutes les étapes de sa
maladie
. SES CRUVRES LITTÉRAIRES. Les ouvrages de saint
ennuyeux s'étalent des formes agréables. SES LIVRES preuves DE sa
MALADIE
. -C'est pourtant dans ces livres que nous avons
VIEILLESSE. Puis la vieillesse vient, amenant l'apai- sement de la
maladie
; dans le prologue du Château inté- rieur, une
pour des affaires pressées ; elle lut- tait péniblement contre des
maladies
incessantes, et elle était sans force pour vaqu
corps débile et dans cette intelligence supérieure. Causes DE la
maladie
. Je lis quelque part, dans sa vie, que Thérèse
s; il est possible que cette fièvre soit la cause intoxicante de la
maladie
dans ce corps débi- lité au dernier point. En e
ui devait être grande, lorsqu'éclata la crise première, début de la
maladie
. DE la PÉRIODE aiguë. L'hystérie, avant de deve
t été plus instruits des choses de l'hystérie. Le plus souvent la
maladie
est moins grave : ce ne sont alors que des symp
le. PÉRIODE aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette période de
maladie
: elle garda le lit durant trois années. L'affe
e restai longtemps impotente, et ce ne fut qu'après trois années de
maladie
, que je fus à peu près guérie ». Sommeil hypnot
'intoxication qui peuvent agir sur les centres nerveux (toxines des
maladies
infec- tieuses, de la goutte, de l'influenza, p
tés électives pour des systèmes déterminés de neurones. Dans les
maladies
cérébrales d'ailleurs comme dans les autres états
.. , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Contribution à l'étude de la
maladie
de Korsakoff. Un cas de psychose polynévritique
uer que malgré la diversité des causes qui peuvent la provoquer, la
maladie
de Korsakoff n'en constitue pas moins une vérit
ts infec- tieux ou toxiques que l'on rencontre à l'origine de cette
maladie
. ne la provoquent pas directement, mais par l'i
défectuosités mentales mais beaucoup de sujets porteurs de cette
maladie
ont une vigueur mentale intacte. Dans certaines a
te maladie ont une vigueur mentale intacte. Dans certaines autres
maladies
du cerveau, s'accompagnant d'altérations incontes
de M. Beagles, qu'il se préoccupe depuis longtemps de l'étude des
maladies
nerveuses chez les juifs. C'est un fait incontest
r, même dans ces dernières années ; on se demandera pourquoi .cette
maladie
n'est pas devenue plus fré- quente et héréditai
auteur base son diagnostic sur la marche lente et progressive de la
maladie
, sur la symétrie par- faite des altérations fon
lité au froid dans l'hystérie ; mais on l'a observée dans certaines
maladies
organiques des centres nerveux. et Déjérine et
l a montré une dégé- nérescence du trijumeau. Moebius regarde cette
maladie
comme une atrophie primitive de la peau, causée
s névroses, l'hygiène pénitentiaire, des études historiques sur les
maladies
de la sensi- bilité et de l'intelligence, l'adm
e s'être précisée. Le problème de l'influence de l'hérédité sur les
maladies
mentales et nerveuses fut abordé des 1867. mais
it par M. Garnier, porta surtout sur les deux derniers stades de la
maladie
isolée par XI. Magnan : celui où commencent à a
nner l'opinion de la Société sur les bases d'une classification des
maladies
mentales, un débat s'engagea, et dès le commenc
en garde contre les erreurs pos- sibles dues à la coexistence d'une
maladie
du système nerveux. Il cite un fait où un myosi
Falret, décédé à Vanves, le 28 mai dernier, après quelques jours de
maladie
. Né à Vanves, le 18 avril 1824, dans la Maison
es (1860), sur les Principes à suivre dans la c/tts- sification des
maladies
mentales (1800), sur l'Et(it iiei2l(tl des épilep
réunis en deux volumes, sous le titre de : Etudes cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, et les Aliénés et les as
tes de l'appareil nerveux central du langage, etc. M. B. VII. Des
maladies
mentales, introduction à l'étude de la folie, par
ne oit le Dictionnaire médical conte- nant l'histoire de toutes les
maladies
et leurs icmèdes choisis dans les observations,
an, éditeur, 108, boulevard Samt-Germatn, Paris (6°). Vires (J.). -
Maladies
nerveuses. Dt ? o<<c. Traitement. In-8° de
ade avait la réputation d'une fille d'esprit jus- qu'au début de sa
maladie
. En été de 1899 la malade faisait encore bien t
paralytiques et les 91 femmes paralytiques d'après les histoires de
maladie
, où a été inscrite leur position de famille, pe
, doit être envisagé, comme tout aussi grave, que dans d'au- tres
maladies
mentales. Passons à présent à l'examen de la fr
me- naçants. La pupille est très fréquemment dilatée ; lorsque la
maladie
est avancée, la dilatation diminue et l'oeil repr
chez les collatéraux. 1 Antécédents personnels et historique de la
maladie
. Les antécé- dents personnels de notre malade n
t rien de particulier. On ne note ni convulsions dans l'enfance, ni
maladie
infectieuse grave. Au contraire, a toujours jou
s hallucinations éprouvées nous donneront une preuve nouvelle de sa
maladie
. Hallucinations psychiques. Mais avant de racon
r, aucun dessin ; tout à coup dans mon cerveau, par le fait de la
maladie
, 3° se forme l'image d'un diable ; 20 cette image
riel et moral. i A notre époque de vie intense et de surmenage, les
maladies
mentales font des progrès inquiétants. Si de vo
de ses compatriotes, qui m'entendent : « La présomption est notre
maladie
naturelle et originelle.... « c'est par vanité
iscussion du rapport de M. Lalanne sur les « états anxieux dans les
maladies
men- tales » : DES ÉTATS ANXIEUX DANS LES MAL
xieux dans les maladies men- tales » : DES ÉTATS ANXIEUX DANS LES
MALADIES
MENTALES M. Gaston Lalanne, médecin-directeur d
a psychologie à la clinique. La question des états anxieux dans les
maladies
mentales vient donc bien à son heure, car l'anx
x malgré lui. Les états anxieux furent longtemps confondus dans les
maladies
de l'émotivité et du sens émotif dont on ne tar
itution des états anxieux. La question des états anxieux dans les
maladies
mentales se réduit donc en quelque sorte à la s
ide distincte, mais un syndrome d'angoisse qui s'associe à diverses
maladies
, en particulier à la neurasthénie et à la mélanco
é. Bien que le délire des négations comporte un pronostic grave, la
maladie
n'est cependant pas incurable. Psychoses d'ob
nt capables de vouloir, mais ce sont des abouliques. Le tic est une
maladie
de l'habitude dont la répétition se fait hors d
es tics de la parole se manifestent dans la forme la plus grave, la
maladie
de Gilles de la Tourette. par l'écholalie et la
rasthénique, mais qu'il peut coexister avec la grande névrose et la
maladie
de Béard. SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 .VIII. Diagn
st psychique (polygone et 0). Au contraire, me rappelant les mots «
maladies
mentales, aliéna- tion mentale », j'appelle men
s : tout ce qui est psychique n'est pas nécessairement mental ; une
maladie
psychique n'est pas nécessairement une maladie me
irement mental ; une maladie psychique n'est pas nécessairement une
maladie
men- tale : si elle reste polygonale, elle n'es
mique de la folie, surviennent des tics douloureux passagers, si la
maladie
évolue et remplacés par d'autres symptômes plus
s moments, de bons et de mauvais jours. Le chaud et le froid, les
maladies
intercurrentes, les états émo- tifs actuels, on
ère d'opinion avec lui que sur le nom qu'il convient de donner à la
maladie
qu'il a si heureusement et si bril- lamment con
m de tic mental me parait mauvais, parce que je ne crois pas que la
maladie
décrite par M. Brissaud soit un tic, et parce q
on tendait à n'admettre qu'une seule catégorie de tiqueurs, dont la
maladie
, provenant de la dégénérescence, serait une sor
a entendu M. Pitres dire qu'il avait observé un tiqueur chez qui la
maladie
avait débuté à soixante-dix ans. Dans cet ordre
des opérateurs. - , M. Bouhneville rapporte une observation type de
maladie
des lies que nous publierons prochainement. Ell
présentés : 1° Traitement de l'agitation et de l'insomnie dans les
maladies
mentales. Rapporteur : " M. Trenel ; 2° Histolo
ques de l'hystérie et de considérer cette dernière tantôt comme une
maladie
nerveuse, tantôt comme une maladie mentale. C'e
e une maladie nerveuse, tantôt comme une maladie mentale. C'est une
maladie
psychique, ainsi que le montrent l'analyse clin
somatiques pour lesquels se manifeste cette dernière. Le médecin de
maladies
nerveuses ne peut plus se dispenser d'être psyc
902. M. le De Mignot, chef de clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encé- phale à la Faculté de médecine de Pa
s cas -où il n'existe aucun lien de parenté, par exemple lorsque la
maladie
se produit entre le mari et la femme. 7° L'indi
ico-psychologique, 30 juin et 28 juillet 1873 et Recherches sur les
maladies
mentales, t. I, p. 557. Quelques exemples de fo
e n'a jamais eu d'enfants. Né à terme, G... n'aurait jamais fait de
maladie
. Pas de syphilis connue. Il vient à Paris à dix
n, auraient pu trouver des documents complets pour l'étude de cette
maladie
, et qu'aujourd'hui même, pour L'HYSTÉRIE DE SAI
e sainteté. Dans les deux premières oraisons, il n'y a pas encore
maladie
, il y a seulement entraînement à la maladie ; pou
ns, il n'y a pas encore maladie, il y a seulement entraînement à la
maladie
; pour me servir d'une comparaison de la soeur,
e les mystiques seuls peuvent se donner ou subir cet état, phase de
maladie
ou oraison d'union, non, d'autres peuvent l'épr
atons divers faits qui éclairent singulièrement le diagnostic de la
maladie
: au sujet de la crise convulsive, que lisons-n
n, plus je les crois ». Cela veut dire que les manifestations de sa
maladie
et ses hallucinations en particulier, bien qu'e
u terme de leur grossesse, les indigents des deux sexes atteints de
maladies
vénériennes et cutanées reconnues susceptibles de
énérale, tantôt celui d'alcoolisme, et l'évolution ultérieure de la
maladie
leur a toujours donné raison. Or, avant l'emploi
tes à six mois de distance dans le cours de la septième année de la
maladie
n'ont pas révélé d'éléments. 11 ne faudrait pas
antécédents vésa- niques héréditaires des deux paralytiques dont la
maladie
dure depuis cinq et onze ans. M. Joffroy. L'u
et en psychiatrie. On a tenté la ponction lombaire dans toutes les
maladies
susceptibles d'irriter les méninges et par suite
t, si le nombre des lymphocytes progressait en raison directe de la
maladie
1 ; s'il y avait variation dans la for- mule cy
psychiques. Nous avons ponctionné des malades tout au début de leur
maladie
, dont le diagnostic même était encore très hési
e le médecin sache que dans la mélancolie sans délire, alors que la
maladie
est beaucoup plus morale qu'intellec- tuelle, i
llectuelles et en particulier celles que l'on réunit sous le nom de
maladies
du doute. La maladie du doute elle-même mériterai
iculier celles que l'on réunit sous le nom de maladies du doute. La
maladie
du doute elle-même mériterait peut-être déjà un
aggrave leur état mental et les rend plus aptes à contracter des
maladies
intercurrentes, d'où une morbidité et une mortali
ous avons dit maintes fois Beaucoup de médecins, peu au courant des
maladies
nerveuses chroniques des enfants, sont fort emb
système nerveux central et périphérique à la façon d'une véritable
maladie
néoplasique. Dans ce groupe, très important en
verrons plus loin, il existe quelques points de contact entre la
maladie
de Rechlinghausen ou neuro-fibromatose et ces sar
ériphérique, et leur évolution fibreuse, et leurs relations avec la
maladie
de lleclilingliausen. Histologiquement, il exis
arcomateux. Pour terminer, nous voulons appeler l'at- tention de la
maladie
de Reclitingliauseti ou neurofibromatose mul- t
dans le service du professeur Raymond, tendent à démontrer que la
maladie
de Reclclingliausen, elle aussi, est capable d'en
édité, soumis a des influences dissemblables, sont morts de la même
maladie
; que dans la même famille, se trouvent des man
sés, un délire faiblement expansif, l'évolution plus longue de la
maladie
, donnent un aspect spécial à la paralysie général
tumières. Je veux parler des paralytiques généraux au début de leur
maladie
. Il arrive souvent aux juridictions répressives
'écriture et de la parole. Cure de désintoxication. M. Bonnet. La
maladie
de la fonction précède celle de l'or- gane ; d'
ogique a montré les lésions cérébrales. ' hépatiques, rénales de la
maladie
. L'anamnèse a permis d'établir, en outre, que l
us après l'internement du malade (7 fois par cachexie et 5 fois par
maladies
intercurrentes). Après avoir établi les difficu
e les phénomènes moteurs. Ces phénomènes constituent, non pas une
maladie
, pas même un syndrome,; mais seulement un symptôm
évolue sur un terrain congénitablement sté- iiie. L'évolution de la
maladie
semble plus longue que chez les hommes normaux
ations secondaires. Elles sont la signa- ture d'accidents toxiques (
maladies
infectieuses, cachexie, troubles digestifs, int
usculaire Charcot-Marie (6 cas), de la syringomyélie (8 cas), de la
maladie
de Friedreich (to cas), de diverses vésanies au
tiplex comme une manifestation purement hystérique. La marche de la
maladie
, le tempérament des malades, la guérison brusqu
ans, dont le mari est ouvrier briquetier à Lille, était atteinte de
maladie
noire. L'autre jour, elle sortit avec ses quatr
e qui persiste ensuite : voilà ' 1 S11Gus. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, 4S95, p. 301. .. i - , PATHOGÉNIE DES
suis pas peu surpris, étant donnés son âge et le peu de durée de la
maladie
, de la trouver sous l'in- fluence d'idées de né
te une reprise du délire. Dans ce cas, la rémission serait due à la
maladie
de l'une d'entre elles, au deuil, au besoin de
lyse psychologique. Les observations emprun- tent à la nature de'la
maladie
un aspect tout particulier et ressemblent plus
ue des poils de la moustache, qui repoussèrent plus tard ; ; pas de
maladie
nerveuse, ne boit pas, ne fume pas ; migraines, i
alpêtrière, n° 5, 1899). Le tableau classique de cette affection (
maladie
de Duchenne- Aran) est caractérisé par : a. son
processus, mais, au point de vue général, ils constituent une seule
maladie
. » XXIII. Amyotrophie double du type scapulo-hu
PATHOLOGIE NERVEUSE. 431 1 XX VI. Le diagnostic différentiel de la
maladie
des tics et de la chorée de Sydenham ; par M. C
«.<t/(;, 30 sep- tembre 1899). L'exaspération habituelle de la
maladie
des tics à l'àge de prédi- lection de la chorée
, car ils empruntent leurs caractères à la fois à la chorée et à la
maladie
des tics : ce sont ces faits que M. Biissaud a
certitude ; parmi les divers microbes auxquels on a attribué cette
maladie
, il faut t mentionner spécialement, en outre, d
emploi de l'extrait de capsules surrénales dans le traite- ment des
maladies
mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Journal of Men
nce que l'alitement exerce sur chaque malade et sur chaque forme de
maladies
mentales ; 3° c'est cette étude qui importe ; 4
lade, au fond de sa conscience repose tou- jours le sentiment d'une
maladie
grave, le sentiment d'impuissance et du besoin
ations faites d'autre part par l'auteur dans le délire au cours des
maladies
aiguës, tendent à faire considérer ces lésions
les accidents cliniques qui consti- tuent le tableau du délire des
maladies
aiguës et la confusion mentale. Considérant q
aris, à l'âge de quatre-vingts ans, après une longue et douloureuse
maladie
, entouré de l'affec- tion des siens et de la vé
voir soutenu une thèse sur La respira- lion et l' hématose dans les
maladies
. Il entra en fonctions par arrêté du 15 janvier
liquide céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, chef de clinique des
maladies
nerveuses à la Salpêtrière; I vol. del'Ency- cl
ervention ; tous points qui ont trait à la pratique journalière des
maladies
nerveuses. Une deuxième partie précise les indi
n méde- cine mentale, de pouvoir traiter les aliénés au début de la
maladie
: le meilleur traitement, c'est l'isolement de
force. M. le Dr Belletand, directeur de l'hôpital départemental des
maladies
mentales de Pierrefeu (Var), a, dès longtemps, tr
état, et un effort de sa volonté pouvait encore le soustraire à une
maladie
qui n'arrivait pas jusqu'à l'angoisse. Le jou
lus ou moins durable de-celte1 angoisse qui constitue le fond de la
maladie
. C'est le mécanisme de l'obsession. L'anxiété
reud). M. Régis les divise en : 1° Phobies des lieux, éléments et
maladies
(agoraphobie, claustrophobie, astrophobie, bacill
révolte, réaction contre l'obsession, l'a fait considérer comme une
maladie
de la volonté. Et les obsédés sont susceptibles
ranger dans l'oreille, des microbes, du contact des médecins, d'une
maladie
du coeur, de la blennorragie, de la rage, du ve
art, les incidents pathologi- ques qui sont survenus au cours de la
maladie
, pendant la présence du sujet à l'asile public
du coeur, qui devieut;progressi- vement' croissant, à mesure que la
maladie
évolue; en même temps, le rythme en devient irr
e matin du 16. L'état général, déjà peu satisfaisant au début de la
maladie
, empire rapidement : Le 14, adynamie, refroidis
arqué en effet que, quand une péricardite sur- vient au cours d'une
maladie
primitive, il arrive parfois que la température
ntée dans le tissu hépatique et dirigée de haut en j V. op. cit. V,
Maladies
du Coeur, par , : \1.. A ! 1Jré Petit. , ALIÉ
bles périphériques de fibres centripètes allant au cer- velet. La
maladie
de Friedreich n'est pas une affection combinée de
et du faisceau intermédiaire du cordon latéral des pyramides. La
maladie
de Friedreich compliquée est une affection systém
belleuse, que nous ne pouvons encore sur le vivant distinguer de la
maladie
de Friedreich, est une modalité cérébelleuse da
s centripètes de la moelle. - L'ataxie donc, qu'il s'agisse de la
maladie
de Friedreich ou du tabès est cérébelleuse. Ell
elet n'y sont pas atteintes, elles le sont systématiquement dans la
maladie
de Friedreich. Il existe - parfois dans le tabè
sement des réflexes tendineux et de sa valeur diagnostique dans les
maladies
nerveuses; par W.-M. Becutehew (06ozrcsnié psic
te région et y demeurent limitées ; 3° également par les effets des
maladies
inflammatoires limitées à cette région ; 4° cela
e tout autre trouble émotif de nature déprimante, ou enfin dans les
maladies
mentales qui s'annoncent par une crise de mélan
trophique qui accom- pagne l'état de mélancolie du malade ; 6° les
maladies
du crâne qui intéressent cette région du cervea
méthodes actuelles d'investiga- tion appliquées à la pathologie des
maladies
mentales, avec quelques suggestions en vue de r
catégorie. 11 est curieux de voir combien les livres consacrés aux
maladies
mentales accordent peu d'attention aux états ps
ttention, mais par l'absence ou l'état maladif de la volonté. Les
maladies
de la volonté peuvent se classer comme il suit :
cutive à l'influenza peut survenir à n'importe quel moment après la
maladie
; elle se manifeste ordinairement chez des sujet
Cette période a été courte parce que l'on s'est vite aperçu que ces
maladies
diverses étaient justiciables du mercure et de l'
'une façon très forte à établir l'étiologie syphili- tique de cette
maladie
. On a montré que la syphilis se rencontre plus
ts, si bien qu'avec Stery et Fink on peut considérer le début de la
maladie
comme vérita- blement proléiforme. En outre K
l'un des caractères les plus constants et les plus importants de la
maladie
, à savoir les impulsions soudaines, symptôme qu
Telles sont les manifestations constantes et caractéristiques de la
maladie
dont l'auteur donne la monographie, dans une long
as sans cette autre inconnue, qui est la prédisposition. Quand la
maladie
est à la période d'état, le seul élément de dia
dé de cette hypothèse, l'auteur se borne à affimer qu'il existe une
maladie
, à tort ou à raison, désignée sous le nom de ca
une maladie, à tort ou à raison, désignée sous le nom de catatonie,
maladie
qui a une symptomatologieetune évolution déterm
n'est anormale. L'altération qui persiste d'un bout à l'autre de la
maladie
est toujours un affaiblissement ou une abolitio
rents accidents ne peuventêtre attribués, d'après l'auteur, qu'à la
maladie
de Kirsakow et en raison de l'âge avancé de la
pas toujours donnée comme cause de mort, le malade succombant à une
maladie
inter- currente et la phtisie n'étant constatée
beaucoup plus logique de considérer le pourcentage du décès par une
maladie
donnée dans ses rapports avec la mortalité par
tuberculose en Irlande, AI. Grimshaw dit qu'elle est de toutes les
maladies
qui régnent en Irlande la plus destructive, et
t que les ravages dépassent la somme de ceux que causent les autres
maladies
infectieuses réunies. 11 reste donc à recherche
il n'y a plus à désespé- rer de voir diminuer les ravages de cette
maladie
. L'hygiène et la prophylaxie suffiront à cette
'un an pour rétablir sa santé et passa l'hiver à Sorrente ; mais sa
maladie
le suivait partout, et en 1879 il dut renoncer à
e souffrait de migraines sévères : il n'y a là ordinairement qu'une
maladie
fonctionnelle, sans grande tendance à se transf
dans la maison de santé du Dr Beriswan- ger, à Iéna. On désigna sa
maladie
sous le nom de cl paralysie à forme atypique ».
'hommes, et seulement les meil- leurs, sont rendus meilleurs par la
maladie
... « Son état était celui qu'on décrit sous le
jà signalés, l'auteur établit des conclu- sions sur la nature de la
maladie
décrite par Freud : Doit-on, comme le veut ce d
ont le terme est trop vaste, un syndrome morbide qui repose sur une
maladie
primitive de l'émotivité et dont le mécanisme p
és chez 108 sujets paraly- tiques aux deux premières périodes de la
maladie
. De ces divers cas, l'auteur pense devoir dégag
si le paralytique est à la pre- mière ou à la seconde période de la
maladie
. A la seconde période, la fréquence des trouble
uelques autres (Babinski), que le tremblement qu'on observe dans la
maladie
de Basedow est fonction de la tachycardie et no
s la maladie de Basedow est fonction de la tachycardie et non de la
maladie
elle-même, qu'on peut le rencontrer chez les ta
or, on peut affirmer que cette tachycardie n'a rien à faire avec la
maladie
de Basedow ; il n'y a trace ni d'exophtalmie, ni
e, pour qu'il s'y associe, que celle-ci soit la manifestation de la
maladie
de Basedow, M. Marie n'admet pas que le tremble
s semaines, de mois ou d'années. Chez le malade que je'présente, la
maladie
a été en quelque sorte schématisée. Un premier
ins, M. Faucher recommande le placement précoce : « Dans 24 cas, la
maladie
remontait à au moins six mois; c'est une condit
e seront à peu près certainement incurables. Enfin, dans 11 cas, la
maladie
datait déjà de six mois à deux ans L'internemen
des guérisons, en un mot en font des asiles unoam.aui. Parmi les
maladies
incidentes, nous voyons 5 cas de tuberculose pu
ue, constitue l'un des meil- leurs agents thérapeutiques contre les
maladies
nerveuses et men- tales. (Voir nos Comptes rend
omme une entité spéciale, et d'autre part qu'au premier stade de la
maladie
, les états émotionnels pathologiques et les for
r plan, si bien que ce n'est que plus tard, au stade d'état, que la
maladie
se caractérise par des symptômes précis. Util
légères et les plus graves, n'existent que des degrés d'une même
maladie
. 11 fusionne l'hébéphrénie et la catatonie avec l
rrénales. Sur l'emploi de l'extrait de - dans le traite- ment des
maladies
mentales, par i Ddwson, 440. Caractère. Le -,
, 530. En. Syndrome d' -, par de Buck, 160. Etats anxieux. Voir
Maladies
? 7 : en- tales. Exicitation électrique. Voir
s, par Benedik, 154. Korsakoff (de). Contribution à l'élude de la
maladie
de -. Un cas de psychose polynévritique post-
rite optique, 60. - Main de prédicateur. Voir Syringo- nzyélie.
Maladies
mentales, introduction à l'étude de la folie, p
des sur les de la Salette. par Rouby, 380. Moelle. Diagnostic des
maladies
de la -, siège des lésions, par Gras- set, 68
d , par liaunond et Janet, 428. Ledtagnostic difiéren- tiel de la
maladie
des et de la maladie des - et de la chorée. d
anet, 428. Ledtagnostic difiéren- tiel de la maladie des et de la
maladie
des - et de la chorée. de Sydenham. par Oddo, '
E E NEUROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT
OUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de Paris. '
le clinique (Sle-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
l au phénomène si curieux du dédoublement de la personnalité ; la
maladie
évolue trop rapidement, les facultés mentales son
ittérature médicale, en . raison : de leur rareté au cours de cette
maladie
, de l'ab- sence de recherche systématique de ce
nations motrices de la para- lysie générale, c'est la période de la
maladie
à laquelle on les observe. Il semble qu'on assi
ctionnelle qui résulte du phénomène normal se répare dans l'état de
maladie
, l'altération morbide des neuro- nes centraux l
oduré. Les signes somatiques restent les mêmes et l'évolution de la
maladie
paraît devoir garder une marche assez lente.
s fait un certain nombre de para- lytiques généraux durant toute la
maladie
pour s'assurer qu'il n'existe aucun rapport ent
ssez considérable de paraly- tiques du début à la terminaison de la
maladie
, ils auraient constaté l'indépendance absolue d
toutes ses forces et qu'il s'avouera au contraire bon à rien si la
maladie
revêt chez lui la forme dépressive. Il n'y a pa
bservation est frappé d'impuissance du début à la terminaison de la
maladie
et il a durant deux mois, sans qu'aucun changem
t donnée l'extrême fréquence de l'impuissance à cette période de la
maladie
. Un dernier rapport est à rechercher. Il convie
leurs caractères particuliers ne permettent souvent de prévoir la
maladie
longtemps avant son éclosion. Les troubles sont
le paralytique général perdant toute retenue avec les progrès de la
maladie
. II. D'une manière générale nous avons trouvé l
nous n'avons trouvé de perversion génitale provenant du fait de la
maladie
. IV. Les troubles fondamentaux observés furent
X. D'après nos constatations on aurait : 1° Aux trois périodes delà
maladie
: l'exagération, l'éjaculation' retardée et l'im-
-1 les deux autres diminuant de fréquence avec les progrès de la
maladie
. , XII. Nous avons relevé durant les rémissions
y- tiques généraux. "' : XVIII. Aux deux premières périodes de la
maladie
, nous avons trouvé le sens génital d'autant plu
opathie syringomyélique, puisque dans l'étiologie de cette dernière
maladie
, la syphilis ne joue aucun rôle. On a dit que
sposantes très importantes mais dont aucune ne suffit à produire la
maladie
. Le tabes héréditaire ne fait jamais défaut; il
lysie générale post-tabétique est la forme maniaque. La durée de la
maladie
dans son ensemble, depuis le début du tabes, es
némie, les états dyscra- siques, les cachexies, la convalescence de
maladies
débilitantes. Elle reconnaîtrait pour cause la
de la fièvre n'ont aucune influence sur la marche et l'issue de la
maladie
. En effet, celui des cinq enfants qui guérit pres
ologique, un état anti- social, naturel ou acquis, mais non pas une
maladie
1. R. de M.-C. II. Etat névropathique héréditai
1. R. de M.-C. II. Etat névropathique héréditaire et instabilité et
maladie
acquises associées au crime, avec une observati
n'est pas autre chose qu'un hôpital spécial pour le traitement des
maladies
du cerveau. H. de Musgrave-Clay. VII. L'évolu
énés réfléchissent les manières de voir des contemporains sur les
maladies
mentales : on y saisit aussi le degré de leur con
t LAUBRY présentent une malade de soixante-huit ans, atteinte de la
maladie
de Dercum, les pieds et les mains sont indemnes
ges à l'étranger dans le but de se perfection- ner dans l'étude des
maladies
nerveuses et mentales; 5° d'appeler désormais l
x survenant comme symptômes ou épiphénomènes BIBLIOGRAPHIE. 69 de
maladies
infectieuses ou diathésiques où ces états ne joue
es circonstances individuelles (tempé- rament, état de l'organisme,
maladies
aiguës), il est indispen- sable d'accorder dans
se pose la question des rapports entre l'aliénation mentale et une
maladie
infectieuse. Voici la réfutation de ces objection
admettant que la folie puisse se développer sous l'influence d'une
maladie
infectieuse, cela n'arrivera qu'autant que le s
serait peut-être utile et certaine- ment courageux de poursuivre la
maladie
, quelle que soit sa gra- vité et le lieu où ell
e de la coïncidence accidentelle des deux objec- tions. On dit : la
maladie
infectieuse n'est qu'un épisode, un acci- dent
ïncidence. La tuberculose crée des formes spéciales et favorites de
maladies
mentales. Cette proposition est appuyée sur un
uellement dans l'impossibilité de recon- naître le plus souvent les
maladies
dont peuvent être atteintes les aliénées au poi
té apparaît un peu émoussée. H... a une conscience imparfaite de sa
maladie
, il ne se rendra pas, les premiers jours du moi
s ou héréditaires ne permet de soupçonner la névrose : pour toute
maladie
, il a fait une fièvre typhoïde étant jeune, ses p
e toute attache d'hystérie, d'alcoolisme ou de traumatisme dans les
maladies
infectieuses fébriles, KorsalcolT rappelle des
cence de la confusion mentale primitive ou comme prolongement de la
maladie
, tout en la rattachant au méca- nisme de M. Jan
ateurs. L'érythromélalgie serait donc la contre-partie exacte de la
maladie
de Haynaud, Travail intéressant dont les conclu
plusieurs jours. L'auteur a obtenu cette réaction dans trois cas de
maladie
d'Erb- Goldflamm ; dans la sclérose en plaques
ue. L'auteur conclut que cette réaction n'est pas particulière à la
maladie
d'l : rb-CoIdPamm. Si on peut la trouver dans l
u phénomène des orteils en même temps que l'état stationnaire de la
maladie
depuis un an lui ont paru des raisons suffisant
usqu'au 15 mars 1896, mais sur les quelques mois qui ont précédé la
maladie
; elle commence à octobre 1894, juste au mo- me
maladie mentale qui n'est pas rare chez les femmes. 2° Pendant sa
maladie
on a vu apparaître chez elle d'abord de l'épileps
ve surprendre. 4° Le fait de l'apparition 1 successive de ces trois
maladies
dans un court espace de temps chez le même suje
le même sujet-est en faveur de l'opinion suivant laquelle ces trois
maladies
auraient un siège commun, à savoirles plans supé-
ie avec délu- sions que l'on rencontre à la période tertiaire de la
maladie
et dans laquelle les délusions sont si variable
suggérait naturellement l'idée d'alcoolisme. ' IL de M. X. Sur les
maladies
corporelles considérées comme cause et . comme
of Mental Science, avril 1900.) L'auteur étudie successivement les
maladies
de l'appareil vas- culaire, de l'appareil respi
l montre l'importance des influences modificatrices réciproques des
maladies
organiques et des mala- dies mentales. Il mon
laquelle les symptômes mentaux chez un sujet donné dépendent d'une
maladie
organique, mais il est probable que celle-ci n'
a colonne a été dans les deux cas un guide de valeur. Il y a peu de
maladies
spinales chroniques qui suivent la marche lente
mps invitent à quelques remarques sur les caractères cliniques delà
maladie
. Les lésions pathologiques montrent une connect
érieure habituelle est tout à fait différente; commençant, comme la
maladie
de Landry peut elle-même le faire, par des sign
affections -nous ne notons la marche nettement progres- sive de la
maladie
de Landry, partant des pieds et remontant jusqu
Disease, novembre 1900.) Ces études ont porté sur 114 cas variés de
maladies
nerveuses dont le plus grand nombre étaient des
s, dont le travail exige une attitude analogue à celle qu'impose la
maladie
. Il existe chez le malade des signes d'irritati
evenue indolore lors de l'apparition d'arthrites. Deux autopsies de
maladie
de Friedreich. MM. CL. PUILIPPE et J. Obertiicr
J. Obertiicr apportent l'examen histolo- gique de deux autopsies de
maladie
de Friedreich, dont l'une 158 SOCIÉTÉS SAVANTES
considérable des phénomènes spasmodiques constatés en clinique. La
maladie
de Friedreich est bien une affection médu ! - l
n de la tuberculose dans ses recherches sur la propagation de cette
maladie
dans les asiles d'aliénés et sur les moyens de s'
rant des garanties de sécurité. Les médecins qui, par ignorance des
maladies
mentales, consen- tent à soigner de. tels malad
ctions. Jamais de convulsions ou de crises de nerfs. histoire de la
maladie
. - Elle fait sa première communion le 17 mai 19
Walton, Rosenthal, Collet et l'un 1 Les troubles auditifs dans les
maladies
nerveuses. Gneycl. Léauté, p. 140-41. . « Il
cas de surdité hystérique. (.1fédec. moderne, 1893.) " Annales des
maladies
de l'oreille et du larynx, juin 1894. 15 Loc. c
I, p. 337. ' t3 Ncw YoOc policl, 1S ! J ? p. 299. ' Loc. cil. "
Maladies
de l'appareil visuel, t. II, 472, 1897. ' 10 7'
vision binoculaire n'existât pas ou existât imparfaitement avant la
maladie
». Mais nous ne croyons pas que ces raisons pui
la sorte apporter une cer- taine contribution à la pathogénie de la
maladie
, ou plutôt du trouble morbide, dans le cadre du
e et uniforme pour chaque individu dans les diverses phases de sa
maladie
, tandis qu'elle serait en rapport direct avec l'â
Dana tire une opinion pathogénique sur la paralysie agitante. Cette
maladie
résulterait d'une altération fonctionnelle des
euse, affection qui porte encore le nom de l'auteur de cet article,
maladie
de Dercum, fut déjà décrite cliniquement un cer
est donc la première fois qu'une étude anatomique complète de cette
maladie
a été faite. . Voici les principales constata
e présentées par notre malade et également observées dans une autre
maladie
de la glande thyroïde, le myxoedème. Il est é
iplégiques et diplégiques et avec la même proportion dans le cas de
maladies
intéressant le faisceau pyramidal ,dans la moel
s observations nous conduisent- à douter de son- existence dans les
maladies
nerveuses fonctionnelles ou organiques ou autres
dale; 5° Ce réflexe^ est souvent le premier à apparaître dans les
maladies
du faisceau pyramidal; par exemple, au début d'un
naître. Dans beaucoup de cas, on connaît aujourd'hui la cause de la
maladie
. C'est le surmenage, c'est l'abus de la vie fac
se. Quand les notions étaient vagues et imprécises, le chapitre des
maladies
nerveuses était court et leur thérapeutique som
et de beauté. » C'est aussi mon humble avis. L'alcool et certaines
maladies
spécifiques, le surmenage dans la lutte pour la
à la fois des vices de doctrine. Est-il, surprenant que l'étude des
maladies
de « l'esprit » se soit ressentie des idées qu'
elligence était autre chose qu'une fonction organique vulgaire, ses
maladies
ne pouvaient être des maladies comme les autres.
une fonction organique vulgaire, ses maladies ne pouvaient être des
maladies
comme les autres. On sait à quelles pratiques c
nitive des études qui concernent « l'esprit », ses fonctions et ses
maladies
. Elles n'ont plus rien de commun avec la métaphys
confirmée. Krafft- 1'îbing, en 1888, place le délire aigu dans les
maladies
avec lé-ions * à côté des intoxications. Kraepe
tème nerveux a été affaibli soit héréditairement, soit par suite de
maladies
antérieures. Période prodromique. - Cette pério
ofondes du pneumogastrique et des centres bulbaires. Comme dans lés
maladies
infectieuses, il y a des modifications de la pr
' toujours mortelle. D'après l'aspect elimquele"délire-aigu est une
maladie
générale, dans laquelle le délire, s'il en est
st le symptôme le plus bruyant, n'est cependant pas celui auquel la
maladie
doive parti- culièrement sa gravité. 1 Séméio
es systématiques. Le délire aigu, dit Cristiani, apparait comme une
maladie
géné- rale du système nerveux. Les méthodes de
syndrome, dit M. Carrier, mais dans lesquelles nous comprenons les
maladies
infectieuses antérieures, aussi bien que la pré
to-intoxications secondaires qui constituent toute la gravité de la
maladie
; 3° des recherches nouvelles sont à poursuivre
délire aigu. Si l'on tient un compte rigoureux, Ne la marche de la
maladie
et de son aspect cliniqne, on s'expose à consid
ace que doit occuper le- délire aigu dans le cadre neurologique des
maladies
mentales, trois courants se partagent l'opinion
nettement définies, pour les autres, il n'est que le syndrome d'une
maladie
inflammatoire du cerveau, pour d'autres enfin,
différentes suivant les cas. En outre, les délires décrits dans les
maladies
toxi-infectieuses, dans la pneumonie, dans les fi
d'un malade mort à la suite d'un délire apparu dans le cours d'une
maladie
aiguë toxi-infectieuse et celle du système nerv
IOGRAPHIE. IX. Thèses DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les
maladies
mentales ET nerveuses (1899-1900) ; par le Dr L
int de vue plus utilitaire, en aidant à diriger le traitement de la
maladie
par une thérapeu- tique appropriée, ou en indiq
ne thérapeu- tique appropriée, ou en indiquant la prophylaxie de la
maladie
initiale. De l'avis de tous les auteurs, la s
e, car elle tend à être considérée comme le facteur essentiel de la
maladie
. Afin d'éclairer cette étiologie, l'auteur a ét
ou, la paralysie générale sans délire constitue la forme type de la
maladie
. Quant à la démence elle existe toujours à un d
blit, les rend incapables de résister efficacement aux atteintes de
maladies
légè- res. L'alcool est la cause directe d'un g
plégie spasmodique et ayant présenté à plusieurs reprises durant sa
maladie
de l'incontinence fécale. Érections. Dix-sept f
faisceau compact. Deux des observations permettent de penser à une
maladie
infectieuse. P. Keraval. XXVIII. De l'aphasie s
jectifs. Elle dure un temps variable en rapport avec le degré de la
maladie
, l'hygiène et la thérapeutique. Puis l'atrophie
les cliniques ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniques de
maladies
nerveuses. Pendant une longue période, en dépit
quefois prendre une place importante dans le tableau clinique de la
maladie
, tandis que les manifestations moins importante
ité temporaire périodique,, survenant dans premières périodes de la
maladie
.Ces attaques de cécité sont secondaires, et dur
lx. (The New York Médical Journal, 4 août 1900.) L'hystérie est une
maladie
sans définition, que l'on classe ordi- REVUE DE
tériques, c'est leur multiplicité et leur variabilité : bien que la
maladie
, d'ailleurs très variable dans son intensité, s
es n'exercent aucune action spéciale différente de celle des autres
maladies
. Les erreurs d'éducation. de discipline familia
fisant, ou même absolument sans motif, la simula- tion d'un état de
maladie
, la recherche excessive de la sympathie des aut
31 mars 1900.) Jeune fille de v ingt-deux ans, faisant remonter sa
maladie
à une attaque de grippe, survenue il y a quatre
éhension des modificat'ons du tonus musculaire dans les différentes
maladies
que l'auteur Fif ! . 3. 318 / SOCIÉTÉS SAVANT
opathies, polynévrites, poliomyélites, tabes, hémiplégie organique,
maladie
de Freidreich, hérédo-ataxie céré- belleuse, ta
ndéniable, il examine enfin les modifications des réflexes dans les
maladies
des névrosés et il s'efforce de les expliquer par
porteur passe ensuite en revue, comme précédemment, les différentes
maladies
des névrosés, et il s'efforce d'expliquer la pr
onique, se trouve réalisée notam- ment chez les malades atteints de
maladie
de Parkinson. L'autre, à laquelle je donne le n
es : elle réside dans ce fait que souvent dans la convalescence des
maladies
infectieuses et en par- liculier de la lièvre t
et positive à l'état normal. J'ai étudié les réflexes cutanés des
maladies
nerveuses diverses : d'une manière générale, il
associé à la trépidation spinale; il est constant en effet dans la
maladie
de Friedreich, et d'autre part, je l'ai constat
es muscles conservés que l'on puisse comparer à l'hypertonicité des
maladies
spasmodiques. Quant à la contracture hystérique
noté de basses températures : athrepsie, sclérème des nouveau-nés,
maladie
bleue, urémie, intoxication alcoolique, attaque
oolisme et de quelques professions insalubres sur la production des
maladies
chroniques du système nerveux chez les enfants
, nous prenons toujours grand soin de relever toutes les causes des
maladies
nerveuses et chroniques de l'enfance qui produi
Syphilis héréditaire. Sur 2.702 observations de garçons atteints de
maladies
chroniques du système nerveux, nous n'avons rel
quement la queslion de syphilis. Sur 482 filles atteintes des mêmes
maladies
, nous n'avons que deux cas de syphilis hérédita
ices spé- ciaux que si, à la suite de convulsions, de méningite, de
maladies
infectieuses, ils sont atteints d'idiotie, d'im
us ont engagé à faire un relevé aussi exact que possible des cas de
maladies
nerveuses de l'enfance que nous venons d'énumér
ition et le rappel des accès. Mais l'ob- session est avant tout une
maladie
de la volonté. li. Régis. - Quel est, dans l'ob
l, puisqu'il fait de l'obsession, avec Billod et tant d'autres, une
maladie
de la volonté. Sans nier l'altération de la vol
sse dans l'obsession. · ' 3° Il est des cas enfin où l'on voit la
maladie
partir de l'angoisse pure et ne s'accompagner q
sions cellulaires corticales accompagnant les accidents mentaux des
maladies
géné- rales (Laboratoire de M. le Professeur ag
randes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts de
maladies
générales (pneumonie, tuberculose, lésions du foi
corticales, des troubles mentaux et des accidents généraux de la
maladie
. Si donc l'hypothèse qui impute l'apparition de
l'hypothèse qui impute l'apparition des troubles men- taux dans les
maladies
générales (délire fébrile, confusion men- iale,
taux qui les accompagnent, et qui varient peu malgré la variété des
maladies
qui les engendrent (délire de fièvr z typhoïde,
Gazette des hôpitaux du 8 octobre 1898. Lésions cellulaires dans la
maladie
de Païkinson (en collaboration avec 111. le pro
-infectieux. Revue neurologique, décembre 1899.- Le délire dans les
maladies
aiguës (en collaboration avec G. DES%'AULX). Mé
portance des lésions hépatiques dans les cas de délire au cours des
maladies
infectieuses (Communications au Congrès de 1900,
ue, beaucoup de médecins n'ont qu'une con- naissance imparfaite des
maladies
chroniques du système nerveux chez les enfants.
motif fondé. Cet âge arrive aussi, mais l'état s'est aggravé : à la
maladie
nerveuse et mentale se sont ajoutées des habitu
ble : Question de pathologie mentale : Des états anxieux dans les
maladies
mentales, M. le Dr Lalanne, rapporteur. Questio
motions morales vives, traumatismes, électricité (foudre et plots),
maladies
générales, castration, réprimandes vigoureuses,
t suggestive; elles sont appliquées, sans lieu d'élection, pour les
maladies
les plus diverses. Un médecin des hôpitaux de C
onné quelques résultats comme anesthétique chirurgical, et dans les
maladies
organiques comme calmant de la douleur ; mais i
à trois mois) et se terminent généralement par la guérison, si la
maladie
infectieuse n'a pas été d'une gravité suffisante
s aliénés ou anormaux, le travail se termine par l'étude légale des
maladies
mentales provoquées par des tiers, A noter la p
e livre constitue un excellent manuel de thérapeutique pratique des
maladies
vénériennes et cutanées. - BIBLIOGRAPHIE. 363
ge commence par un important article, consacré à la prophylaxie des
maladies
vénériennes. Considérant le danger social de la
ostitution clandestine. L'Etat a le devoir de prendre à l'égard des
maladies
vénériennes les mêmes mesures préventives lu'à
hysiologique spéciale. Toujours est-il que l'auteur voit dans cette
maladie
une affection générale ayant sa source dans les
djoindre aux bromures dont les doses seront graduées au cours de la
maladie
selon les circonstances; l'adjuvant le plus fré
1900. Imprimerie Gillet. CATALA. Essai d'un nouveau traitement des
maladies
mentales el de l'épilepsie. In-8° de 92 pages.
680 pages, avec 250 ligures. Leipzig, 1901. Roux. Diagnostic des
maladies
nerveuses. In-16 de xvt 560 pages. J.-B. Bailli
ce de l'état maladif. Troubles de la motilité à droite. Durée de la
maladie
dix ans ; Par le Dr DAKIEL BRUNET. Le nommé B
la est si fréquent dans les in- flammations des autres séreuses. La
maladie
a débuté à la suite d'une violente émotion par
e prédisposante très grave. Il n'a présenté, à aucun moment de la
maladie
, aucune idée délirante expansive ou dépressive,
tif de la glycosurie, suivant les races, nous montre qu'elle est la
maladie
des gens très nerveux et très émotifs, et la pr
TALE. 409 nion dogmatique sur l'étiologie de la paralysie générale,
maladie
encore si peu connue ; mais il semble raisonnab
l'une ou l'autre de ces causes sur la détermination du début de la
maladie
, à l'exception de ce qui concerne une seule de
à savoir, la paralysie générale associée au tabes vrai. Dans cette
maladie
, qui, d'après notre expérience personnelle, est
pilepsie peut quelquefois au contraire être un « tournant » dans la
maladie
, qui marche dès lors vers la guérison. On conna
es modifications de couleur, de souplesse de la peau dans certaines
maladies
mentales : l'auteur se propose dans ce travail
, la pseudo-pellagre, l'herpès, le pemphigus, l'adénome sébacé, les
maladies
simulées : il entre à propos de ces diverses af
r les rapports des affections de la peau avec les modifications des
maladies
mentales et leur pronostic ; ces conclu- sions
c ; ces conclu- sions se résument ainsi : on voit assez souvent les
maladies
men- tales alterner avec les affections cutanée
d'éruptions : il n'est pas rare de voir des fous curables avoir des
maladies
cutanées curables, et des fous incurables avoir
fait de la manie, 8; décès survenus pendant l'accès par le fait de
maladies
intercurrentes, 3 ; malades améliorés et confié
insuffisant, si l'on tient compte surtout des absences, des cas de
maladie
, des vacances, etc. Il propose la rédaction ado
Mais la promiscuité des sujets séjournant au lit, les uns pour des
maladies
incidentes, les autres pour la cure des psychos
aux gra- tuits et de faciliter l'internement des sujets atteints de
maladies
mentales en temps opportun, dès le début de l'a
frais de séjour; 3° De répandre des idées justes sur la nature des
maladies
432 asiles d'aliénés. mentales et sur les mes
port de l'hospitalisation rapide, immédiate, des sujets atteints de
maladies
mentales, ces avantages ont rappelé l'attention
ns les pays ruraux se compose : pour 1/4 d'alcooliques; pour 1/4 de
maladies
mentales organiques (para- lysie générale, déme
, qui peuvent réunir les conditions nécessaires au traitement des
maladies
mentales. Il montre comment doit être assuré le s
recours quand le terrain est insuffisant. Une policlinique pour les
maladies
mentales et nerveuses doit être annexée à l'hôpit
itaux ou posté- rieurs il la naissance, imbécillité, épilepsie. Les
maladies
mentales acquises sont dans la proportion de 6
ologie, 1901.) BUVAT. Des sérums artificiels dans le traitement des
maladies
men- tales. In-S^ de 150 pages. Boyer, imprimeu
: 1 fr. 50. Librairie J.-B. l3aillière. Baymond (F.). Clinique des
maladies
du système nerveux, hospice de la Salpêtrière,
utopsie, l'urémie s'est révélée dans les trois derniers jours de la
maladie
, par des symptômes trop éloquents pour être rév
r leur valeur, 0. Doin. Paris, 1892, 144" p. - ' Scinde. Traité des
Maladies
mentales, traduit par J. Dagonet et Duhamel, Pa
n, t. XX. Berlin, 1889, p. 628-644. " lIIorsel11. Séméiologie des
Maladies
mentales, vol. II, p. 826. " vit. Brugia et S.
s qu'en réalité, elles se produisent assez tard dans le cours de la
maladie
. Ce fait s'explique assez facile- ment. Au débu
er dans les stéréotypies. - Il n'en est plus de même à la fin de la
maladie
. Là on peut rencontrer de vraies stéréotypies.
on. (Il Manicomio mode1'llo. Année XVI, n°3). ' Morel. Traité des
Maladies
mentales, p. 360. 496 PATHOLOGIE NERVEUSE And
n'entrait pas, et il souffrait de ne pas savoir ». Histoire de la
maladie
actuelle. La maladie actuelle semble remonter d
l souffrait de ne pas savoir ». Histoire de la maladie actuelle. La
maladie
actuelle semble remonter déjà à quelque temps,
re 1900. ' Knecht, cité par Binder. 1 E. Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses, faites à la Salpê- trière, 1893-94.
ON A L'ÉTUDE DES STERÉOTYPIES. 499 cas soit assez rare), lorsque la
maladie
dure déjà depuis longtemps. Cette stéréotypie,
ste àparler des tics dits mentaux. « Le tic, a dit Charcot, est une
maladie
psychique. Il y a des tics de la pensée qui se
re aussi parce qu'on les observe à une période trop tardive de la
maladie
, pour pouvoir préciser leur origine. CLINIQUE N
grande névrose dans la suite des temps. Grâce à ces travaux, les
maladies
invraisemblables, les épidémies d'hystéro-démo-
ut-Puissant au sujet du corps de l'homme ; car s'il est sujet à des
maladies
nom- breuses et chroniques, Dieu sait les guéri
sa voix revint forte et vigoureuse et telle qu'elle était avant la
maladie
; plus d'oppression ni de diffi- culté d'agir e
mât qu'il fallait que cette opinion disparût et que dans toutes les
maladies
men- tales on devait nécessairement constater d
et des localisations en rapport avec la durée de l'évolution de la
maladie
, avec les accidents aigus intercurrents et la pré
tentée dans ces derniers temps comme traitement du glaucome, de la
maladie
de Basedow, de l'épilepsie, et tout à fait derniè
to- miques sur lesquelles il appuie cette opinion. Dans 32 cas de
maladie
de Basedow traités par l'excision il a eu : guéri
itue dans le cas de glaucome, d'atrophie simple du nerf optique, de
maladie
de Basedow, et peut-être après tout d'épilepsie
décès et deux résultats douteux ? - - A. M. VI. Traitement de la
maladie
de Little. Observations cliniques ; par D : 1N1
ruxelles, décembre 1900.) VII. De l'emploi de la lécithine dans les
maladies
nerveuses ; par \V.Danr.n ? wsY (06ooéiié psich
ndant des missions étran- gères, un seul petit soigne à Téhéran les
maladies
aiguës. Les idiots restent chez eux avec le res
° L'extrait thyroïde est-il employé par vous ? Si oui, dans quelles
maladies
est-il essayé ? 2° L'avez-vous employé dans les
THÉRAPEUTIQUE. .XVI. La valeur pratique de la prophylaxie dans les
maladies
mentales; par A.-B. RICHARDSON. (Amenean Journa
rter des charges et à faire effort ; 2° Reconnaître que beaucoup de
maladies
mentales ont leur origine dans le surmenage, c'es
vention de la folie en limitant les recherches aux phénomènes de la
maladie
déclarée ou en mul- tipliant les traitements ;
e instruction plus soigneuse du médecin en tout ce qui concerne les
maladies
mentales et leur développement et une meil- leu
ns névrogliques chez les paralytiques généraux morts au début de la
maladie
. D'une façon générale, M. Marchand pense que, p
en le diagnostic de paralysie géné- rale est difficile, quand cette
maladie
se présente chez un adoles- , cent et que- les
BIBLIOGRAPHIE. XVII. La suspension comme méthode de traitement des
maladies
nerveuses ; par le Dr OSTANKOFF. (Recueil des t
es ; par le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la cli- nique des
maladies
nerveuses et mentale du professeur 13FCIiTCnEV,
' série, t. XII. 35 546 avis A NOS abonnés. COURS DE CLINIQUE DES
maladies
mentales ET DES maladies DE l'encéphale, asile
avis A NOS abonnés. COURS DE CLINIQUE DES maladies mentales ET DES
maladies
DE l'encéphale, asile clinique. M. le Pr JoFFRO
sile clinique. M. le Pr JoFFROY a commencé le cours de Clinique des
maladies
mentales le lundi 18 novembre 1901, à deux heur
mie normale ou pathologique du cer- veau, ou sur la Séméiologie des
maladies
mentales, les lundis et vendredis, à deux heure
- et de quelques pro- fessions insalubres sur la produc- tion des
maladies
chroniques du système nerveux chez les enfants,
Cellulaires. Lésions corticales dans les accidente mentaux des
maladies
générales, par Faure, . 340. Cellules radicul
thérapeutique du système nerveux, par Hartenberg; 268, - dans les
maladies
ner- veuses, par Damliewsky, 532. LEPT03fÉNIN
nden- thai, 110. Etude du céphalo- rachidien, par Joffroy, 539.
Maladie
DE FRIEDREICH. Deux autop- sies de , par Philip
EDREICH. Deux autop- sies de , par Philippe et Ober- thur, 157.
Maladie
de LITTLE. Traitement de la - , pal Daniel, 532
l'alcoolisme et de , quelques -insalubres sur la pro- dnction des
maladies
chroniques du système nerveux chez les en- fa
eux chez les en- fants, par Bournemlle, 331. Prophylaxie dans les
maladies
mentales, par Richardson, 554 Psychologie. An
boul, 280. - d'enfants, 367. Suspension. La -comme traitement des
maladies
nerveuses, parOstan- koff, 543. Swcnrworsc. H
DE NEUROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT
OUS LA DIRECTION DE MM. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Pans.
clinique (Ste- : lune). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
1 du système nerveux à la Faculté de médecine
est tel que cette infirmité revêt les caractères d'une véritable
maladie
familiale. Parmi les observations de M. J. Janet,
ute après une grande frayeur, une émotion vive, un traumatisme, une
maladie
aiguë, ou la misère physiologique. En résumé,
réditaires graves, devenue incontinente à sept ans à la suite d'une
maladie
aiguë, et réagissant capri- cieusement sous l'i
bique : d'une bonne santé habituelle; n'ayant eu ni convulsions, ni
maladies
graves, il pisse au lit depuis sa naissance.
enfant a été pris de péritonite tuberculeuse et a succombé à cette
maladie
. Observation IV. te. V..., garçon de quatorze a
. Enfant assez fort d'apparence, un peu pâle; n'ayant fait aucune
maladie
grave. Sommeil agité; il rêve beaucoup. Il pisse
assez intelligent. Elle n'a pas eu de convulsions, n'a fait aucune
maladie
. Elle pisse au lit depuis sa naissance, et toutes
. Encore un cas où une légère rechute se produit à la suite d'une
maladie
aiguë. - Observation VIII. S. N..., garçon de t
t ces indispositions, sa santé est bonne et elle n'a jamais fait de
maladies
graves. 27 juillet 1893. - Endormie par le proc
Enfant assez développé, mais pâle et d'aspect fatigué. Jamais de
maladies
graves. Intelligent, il a déjà son certificat d'é
âge. Enfant assez grande mais fluette et pâle; non réglée. Pas de
maladies
graves. Elle pisse au lit toutes les nuits depuis
bien portants. Garçon robuste, bien développé, n'ayant fait aucune
maladie
grave. A huit ans il a eu la rougeole et depuis
rence ordinaire, d'une bonne santé habituelle, exempte jusqu'ici de
maladies
graves. Fréquentes poussées congestives vers la t
pparence normale; il a marché à quatorze mois et n'a jamais fait de
maladie
. Le jour, il éprouve très fré- quemment le beso
; quelquefois ça lui estdéjà arrivé à dix heures du soir. Jamais de
maladies
graves; dans sa première enfance, bronchites do
eints de la même parenté, elle revêt les caractères d'une véritable
maladie
fami- liale. L'incontinence est l'effet d'un
E DU cône terminal; par M. F. RAYMOND, profes- seur de clinique des
maladies
du système nerveux. Leçon faite il la Salpêtriè
RTANTS ; par M. Paul Richer, chef du laboratoire de la clinique des
maladies
du système nerveux, à la Salpêtrière. (Nouv. ic
médicament dont l'efficacité, incontestable dans un grand nombre de
maladies
, principalement celles du système nerveux, est
t remarqué en effet qu'il obtenait de bons résultats dans certaines
maladies
chroniques, la pananoïa par exemple, en cessant
t. 1895.) E. B. V. EMPLOI DE l'électricité dans LE traitement DES
maladies
mentales ; par le Dr Irwin NEFF. Certaines fo
jour. G. D. VU. Revue DE thérapeutique appliquée au traitement DES
maladies
mentales ; par M. LAILLER. Résumé aussi docum
tiques, au cours de ces dernières années, dans la thérapeutique des
maladies
nerveuses : le chloralose, le sul- t'onal, la p
ns survenues dans les affections mentales chroniques au cours d'une
maladie
aigueë, il se produit la plupart du temps des r
nt à ce qui a été dit (Gelineau), n'est qu'un symptôme et non une
maladie
spéciale. Il insiste sur l'importance de ces cas
le l'éducation ou le traitement médico-pédagogique, sans laisser la
maladie
s'aggraver et devenir plus difficilement guéris
vaises habitudes contre lesquelles il faudra lutter, en outre de la
maladie
ou de l'infirmité primitive. Les auteurs ont ét
I;, Ancien iritei ne des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈ\lE NERVEUX. Laboratoire de )1. le prof
0 ? 04 de largeur dans son milieu. La description clinique de la
maladie
, son évolution', la nature histologique 8 de la
e qu'elle est com- posée de fibres endogènes. Pour lui la pellagre,
maladie
d'ori- gine endogène détermine des lésions au n
III. Archiv. {il 1 , Psychiatrie. 1880. J Marie. - Leçons sur les
maladies
de la moelle, 1892. Semaine médi- cale, 1891. G
es hôpitaux, 1894. Semaine médicale, 189. 30. Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, 1892. 31. Viarinesco. Société de
rise. «. Il nous semble impossible, dit Rostan, de distinguer cette
maladie
du ramollissement; même marche graduelle, ident
mollissement du cerveau. Pari ? 1823. 1 Gendrin. - Traduction des
maladies
de V encéphale cl'fl6ercnonzGie. Paris, 1895.
ion cérébrale dont je n'ai pu établir la nalure. S... n'a pas eu de
maladies
graves autres que les fièvres éruplives commune
se d'ailleurs permet d'affirmer avec certi- tude l'absence de cette
maladie
. Victor. S... a toujours élé d'un caractère plu
rale ; pas de granulations du calamus, lésion si précoce dans cette
maladie
; pas d'adhérences leptoméningées ; pas de dégén
YVON, Chef du laboratoire de tlidi-apetilicltie de la Clinique des
maladies
nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Parmi Pes questi
i bien que le peu de gravité de la provocation. De quelle espèce de
maladie
men- tale V... etait-il 1 donc atteint ce momen
ment. IV. Achromatopsie. Alors que Noyes, dans son traité sur les
maladies
des yeux, trouve 5 cas pour 100 d'achromatopsie c
s crachats, du linge, des meubles, des locaux ; examen soigneux des
maladies
; instructions spéciales données au personnel.
ns les asiles qui ne possèdent pas de pavillon d'isolement pour les
maladies
contagieuses on sera contraint de faire aménager
ychiatrie; et pour cela il faudrait que l'enseignement clinique des
maladies
mentales devint obligatoire et que la psychiatrie
ublic et lui donner, en toute occasion, des notions exactes sur les
maladies
mentales et leur traitement. Le président propo
gramme des examens, et un stage d'un semestre dans une clinique des
maladies
mentales doit être exigé des candidats (Comptes
logique, et conserver leur activité malgré la longue durée de la
maladie
. Au point de vue étiologique certains cas doivent
folie traumatique. Mais en raison des classifications diverses des
maladies
mentales on pourra toujours employer le mot de
ssances si étendues des questions de droit qu'on a attribuées à ces
maladies
se réduisent à une connaissance superficielle d
r n'admet pas, comme on l'a affirmé, qu'il y ait tou- jours dans la
maladie
en question des conceptions délirantes pro- pre
iétés savantes. 14-1 I mations). L'affirmation de Siemerling que la
maladie
en question ne survient que chez des débiles me
pas de « querulantenwahnsinn ». Sil'on veut exprimer par là que la
maladie
peut avoir des facteurs étiologiques différents
liniques. Si, en outre, on invoque cet argument qu'il y a nombre de
maladies
mentales dans lesquelles on constate le fait de
r la folie des persécuteurs, comme pour les autres dénominations de
maladies
mentales, un ensemble de symptômes typiques, do
re processif ne constitue qu'une phase dans toute l'évolution de la
maladie
, et dans lesquels les idées délirantes passent
ès divergentes des auteurs en ce qui concerne la classification des
maladies
mentales. C'est aller trop loin que de dire qu'il
vue légal ne peuvent être considérés comme aliénés. La preuve de la
maladie
il faut la tirer de la présence d'autres troubl
plus souvent. MARCEL 13RIAND. BIBLIOGRAPHIE. III. Clinique des
Maladies
du Système nerveux ; par le professeur Raymond.
ans ses discussions les plus actuelles, l'état de la science sur la
maladie
observée. C'est ainsi qu'il passe en revue la p
e droite avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. La
maladie
de Charcot fait l'objet de deux intéressantes leç
places occu- pées. La santé des enfants est excellente et aucune
maladie
incidente digne d'être notée ne s'est montrée p
clierches bibliographiques, statistiques et cliniques 1 sti ? 'lês'
maladies
: mentales d'origine traumatique. - Volume in-8°
aucune discussion. L'idée dominante que le tabes dorsalis est une
maladie
fatalement progressive et irrémédiable dans toute
l'année '1890, le Dr Frenkel nous fit part dans son sanatorium des
maladies
nerveuses, à cette époque à Horn (Suisse), -de
lui faisant espérer l'amélioration du symptôme le plus gênant de sa
maladie
, on triomphe rapide- ment des troubles neurasth
qui ne sont cependant pas ataxiques; et les malades atteints de la
maladie
de Friedreich, c'est-à-dire, des ataxiques sans
bilité mus- culo-articulaire,'surtout dans la période avancée de la
maladie
. - A notre avis l'argument le plus sérieux cont
rganes des sens ont leur part dans la coordination. Si par suite de
maladie
le concours d'un des organes fait défaut, les a
n'institue pas le traitement en plein développe- ment rapide de la
maladie
, on verra que dans les cas de tabes aigu, et da
cessus pathologique, ou que ce processus soit très lent, ou que la
maladie
s'arrête définitivement, le malade s'adaptera plu
ion très prononcée. Tout dépendra dans ces cas de l'évolution de la
maladie
. Si la maladie évolue rapidement le résultat de
cée. Tout dépendra dans ces cas de l'évolution de la maladie. Si la
maladie
évolue rapidement le résultat de notre traiteme
lonté, qui sont d'humeur triste ou affaiblis et cachectisés par la
maladie
. Le traitement par la rééducation des mouvement
tabétiques-ataxiques avec un mauvais état général ou atteints de
maladies
organiques graves ne pourront pas profiter de ce
mieux d'attendre. On ne devra commencer les exercices que quand la
maladie
sera arrivée à la période d'état ou de progrès
te-trois ans, négociant. Le père est mort à soixante-cinq ans d'une
maladie
de coeur, la mère est morte à l'âge de cinquant
alade était toujours d'une excel- lente santé et n'a jamais fait de
maladie
grave. A l'âge de dix- huit ans, il a eu un bou
'a jamais eu de diplopie, ni de blépharoptose. A aucun moment de sa
maladie
, il n'a eu aucun trouble du côté de la vessie,
aille longue et per- sévérante nous ménage des victoires et que les
maladies
mentales et nerveuses bénéficieront à leur tour
tente, les liens qui doivent unir l'enseignement et la pratique des
maladies
nerveuses et mentales. Si ce voeu se réalise,
qui n'est pas étrangère au culte passionné que provoque l'étude des
maladies
nerveuses ; elle a vu éclore ici, sous la poussée
édecins qui étudient l'une ou l'autre des deux grandes sections des
maladies
du système nerveux. Nous nous 202 SOCIÉTÉS SAVA
lus particulièrement de l'é-. tude si complète et si attachante des
maladies
du système ner-1 veux. Ceux-ci ont saisi avec e
stingués qui se sont acquis une juste notoriété dans la science des
maladies
men- tales et de la médecine légale des aliénés
si elle était rigoureusement main- tenue, de fréquenter l'étude des
maladies
qui sont unes et ne peu- vent être bien connues
entière de' leur évolution. Remarquez, en effet, que la plupart des
maladies
mentales ne sont, représentées dans les asiles
ystérie, la neurasthénie, la chorée, etc., si on ne connaissait ces
maladies
que par les cas qu'on peut observer dans les ma
erver dans les maisons spécialement con- sacrées, au traitement des
maladies
mentales. Inversement, il y aune foule de malad
u traitement des maladies mentales. Inversement, il y aune foule de
maladies
, de syndromes ou d'épi- sodes morbides qui, par
ons psy- chiques conscientes, etc. Enfin, il y a un bon nombre de
maladies
mixtes, qui s'accompa- gnent parfois mais non p
grand philosophe, Morel, étudiant les conditions de production des
maladies
mentales, com- prit le rôle capital que joue da
rédité dégénératrice. Cette notion, tirée uniquement de l'étude des
maladies
mentales et appliquée uniquement par Morel à J'
s nevroses, gagna bien vite du terrain. Elle s'étendit à toutes les
maladies
nerveuses et les neuro- logistcs en firent l'ap
ues et boule- verser toutes nos connaissances sur la pathogénie des
maladies
infectieuses. , On ne pensait pas tout d'abor
it pas tout d'abord que la révolution dût se propa- ger au delà des
maladies
générales, fébriles, épidémiques. Mais bientôt
a syphilis et que loin d'être, comme on le pensait communément, une
maladie
constitutionnelle dérivant de l'hérédité arthri
rès lesquelles l'hystérie, l'épilepsie, la neurasthénie étaient des
maladies
héré- ditaires, ils établirent que dans certain
s nouvelles qui jetaient un jour si im- prévu sur la pathogénie des
maladies
nerveuses et à en appliquer les principes à l'é
euses et à en appliquer les principes à l'étude, de l'étiologie des
maladies
mentales. Leurs travaux se succédèrent alors ra
question limitée, mais extrêmement impor- tante de l'étiologie des
maladies
mentales et nerveuses, les alié- nistes et les
impose avec une persistance obsédants ! . Cet état est voisin de la
maladie
, mais n'est pas encore l'état pathologique. Jus
e d'halluci- nations unilatérales chez les individus atteints d'une
maladie
de l'oreille du côté correspondant. Mais, si on
s prétendues hallucinations unilatérales d'origine périphérique. La
maladie
auriculaire donne lieu à une sensation subjecti
nom d'acrocyanose, il est nécessaire de dire quelques mots sur deux
maladies
qui ont avec elle certaines ressemblances; nous
ui ont avec elle certaines ressemblances; nous voulons parler de la
maladie
de Raynaud et de l'oedème bleu de Charcot. Rayn
extrémités. Ces phénomènes que l'on désigne souvent sous le nom de
maladie
de Raynaud, se présentent sous deux formes diff
effilent, s'indurent, les ongles sedéforment. D'après Raynaud cette
maladie
comprend trois périodes : la période d'invasion
rres durant de vingt jours à dix mois. C'est la forme aiguë de la
maladie
; dans la forme chronique, les accès sont interm
intermittents, moins graves et ne se reproduisent que rarement. La
maladie
de Raynaud est une affection du sexe féminin; e
Le traitement de cette affection doit s'adresser à l'hystérie. La
maladie
à laquelle nous donnons le nom d'acl'ocyailosP
maladie à laquelle nous donnons le nom d'acl'ocyailosP n'est ni la
maladie
de Raynaud, ni l'oedème bleu de Charcot, quoiqu
d'une abondante transpiration. La pression détermine, comme dans la
maladie
de Raynaud et comme dans l'oedème bleu, une tac
e guérir et ne constitue pas un phénomène grave. Elle diffère de la
maladie
de Raynaud par son carac- tère permanent, par l
ose : c'est une cyanose des extrémi- tés, ressemblant à celle de la
maladie
de Raynaud et à celle de l'oedème bleu de Charc
, sans paralysie, sans parésie, sans dou- leurs bien intenses. La
maladie
de Raynaud,-comme l'oedème bleu de Charcot et c
s. A côté de ces cas il en est d'autres plus rares dans lesquels la
maladie
, sans s'amender, à proprement parler, s'arrête
qu'il y a de trop, au bout de six semaines, après l'évolution de la
maladie
infectieuse qui sem- ble être la cause de la ch
ns les secousses d'im- patience de certaines personnes. A l'état de
maladie
, s'il n'est pas ancien, incrusté dans les centr
emblement inten- tionnel ; ce symptôme n'est donc pas inhérent à la
maladie
orga- nique : il peut être déterminé dynamiquem
ment à la suggestion : il est lié aux lésions organiques. Dans la
maladie
de Basedow, on ne supprime pas davantage le tre
volonté sans aucune réserve quant à la période et aux phases de la
maladie
et sans fixation aucune de jour et d'heure, com
SOCIÉTÉS SAVANTES. , ments d'assistance aux aliénés en hôpitaux de
maladies
aiguës et asiles de maladies chroniques. Il n
'assistance aux aliénés en hôpitaux de maladies aiguës et asiles de
maladies
chroniques. Il ne se dissimule pas les difficul
nomie politique; l'autre est un pro- blème législatif. L'hôpital de
maladies
aiguës ne peut rendre de services qu'à la condi
OUTREBENTE. Rapport entre la guérison de la folie et la durée de la
maladie
avant l'admission. - Les malades soumis aux soi
que le résul- tat de ses recherches statistiques. La moyenne de la
maladie
avant l'admission pour les malades entrés à l'a
que l'assistance des aliénés et leur traitement après onze mois de
maladie
est unleurre, un trompe l'oeil, une mesure soci
de combinaison des deux. A l'appui de la distinction nécessaire des
maladies
en aiguës et chroniques avec établissements d'a
momentanément son séjour dans un asile jus- qu'à sa guérison d'une
maladie
physique transmissible ou en raison d'un état p
du début de la folie, car, pour elle, comme pour toutes les autres
maladies
, les chances de guérison sont, on ne saurait tr
t des violons, est fait pour aggraver la folie et pour propager les
maladies
contagieuses. Aussi devrait-on réclamer au poin
sur la promiscuité (deux par cellules), ni sur la transmission des
maladies
infectieuses. Nous y reviendrons. B. SOCIÉTÉS S
tanément son séjour dans un asile d'aliénés, jusqu'à guérison d'une
maladie
physique transmissible ou en raison d'un état p
Taty est disposé à penser qu'il y a utilité à faire la scission en
maladies
chroniques et aiguës. Mais la différence n'est qu
rale et de la neurasthénie peut se faire à toutes les époques de la
maladie
. Il y a plus qu'on ne le croit générale- ment d
tats dans la paralysie générale ou même donne un coup de fouet à la
maladie
. M. Pierre PARISOT. De quelques troubles psychi
eu de con- vulsions dans l'enfance et il aurait été épargné par les
maladies
260 CLINIQUE mentale. infectieuses habituelle
tant aux phases d'agitation musculaire, on songe naturellement à la
maladie
des tics convulsifs telle que l'ont décrite MM.
sur la forme des acci- dents convulsifs les secousses sont dans la
maladie
des tics plus brusques, plus rapides, elles ont
selon certains avis (Paul Blocq) que des modalités diverses de la
maladie
de Friedreich, un aspect extérieur présentant une
négligeaient forcément la thé- rapeutique. Mais, la folie étant une
maladie
souvent curable, la commission conseille d'anne
t des malades. 23. Fait-on à l'hôpital des leçons cliniques sur les
maladies
men- tales à des étudiants en médecine et autre
mo- ment du mariage ? Avaient-ils ou venaient-ils d'avoir quelque
maladie
sérieuse à l'époque de la conception ? Ont-il
ge a-t-il percé des dents ? commencé à marcher ? à parler ? Quelles
maladies
de l'enfance a-t-il eues ? Comment progressait-
leurs causes ? '1 Leurs résultats ? Lésions des organes génitaux ?
Maladies
des organes génitaux ? Historique du désordre
cas DE ces affections; par nI. RAYfoND, professeur de clinique des
maladies
du système nerveux. (Nouvelle iconographie de la
ellement mouillée et faisant un tra- vail très pénible. Début de la
maladie
il y a deux ans environ par des douleurs vagues
se borne pas toujours à la durée des paroxys- mes, quand surtout la
maladie
est ancienne, elle est permanente alors mais el
hystérique est à noter. CanrUSET. XXXI. ETUDE morphologique sur la
maladie
DE Parkinson : par MM. Paul Richer et Henry Mei
. iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 6.) Les grands signes de la
maladie
de Parkinson sont tellement caractéristiques, q
rvation DES RÉFLEXES; par M. E. LENOBLE, interne de la clinique des
maladies
nerveuses. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1
) C. XXXVII. Tremblement hystérique simulant LE tremblement DE la
maladie
DE Parkinson; par le professeur DE RENzI, de l'Un
que de la paralysie agitante. Ya-t-il donc, chez cette jeune fille,
maladie
de Parkinson et hystérie à la fois ? Le profess
a belladone, qui améliore toujours, paraît-il, le tremblement de la
maladie
de Parkinson, tous ces phénomènes cliniques ne
on. L'auteur fait d'abord remarquer que la polioencéphalomyélite,
maladie
peu fréquente, peut être envisagée comme une comb
l'âge de dix-huit ans. Bonne santé habituelle jusqu'au début de la
maladie
actuelle, qui remonte à trois ans et qui fut marq
ns les reins, or ces viscères sont absolument sains. La suite de la
maladie
prouva, du reste, que le diagnostic était exact
3 entre vingt et trente, et un seul entre quarante et cinquante. La
maladie
n'a jamais débuté avant le septième jour et jam
M : Lührmauu pré- sentait lui aussi, dans la seconde période de sa
maladie
, une forme d'excitation maniaque avec tendances
L'auteur a déjà émis l'hypothèse que les altérations osseuses de la
maladie
de Paget étaient des troubles trophiques dépendan
DE fragilité des os ; par le 1)" Gvv vN. On a déjà signalé dans les
maladies
chroniques du système ner- veux central, et par
é étranger. M. B. BIBLIOGRAPHIE. III. Manuel de séméiologie des
maladies
[mentales à l'usage des méde- cins, des médecin
à permettre d'établir en quoi consistent les effets produits par la
maladie
ou l'anomalie mentale dans l'ensemble des éléme
nt des vues originales de l'auteur sur la nature de la folie, comme
maladie
ou anomalie de la personnalité humaine en tant
rveuses (polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales, épilepsie,
maladie
de Friedreich, etc.). Sous le nom de tremble- m
nuit. La malade n'a jamais eu de crises du nerfs. ' - Début de la
maladie
. - Quelques mois avant de tomber malade, étant
ne pouvait ni éctire, ni coudre. Pendant la première année de sa
maladie
; elle avait des douleurs en ceinture et la sensat
bable. La malade n'a jamais fait d'excès d'aucun genre. Début de la
maladie
. -En 1889, quelques mois avant.la mort de son m
ion du goût. po G CLINIQUE NERVEUSE. Depuis le commencement de la
maladie
il lui semble que tout ce qu'elle mange ou boit
), suit pendant trois mois un traite- ment mercuriel. Début de la
maladie
. En août et septembre 1892 douleurs ful- gurant
alade souffre d'une amblyopie légère qui date depuis le début de sa
maladie
, mais ne l'a jamais gênée pour sa vision rapproch
. Observation VI. Tabes dorsalis. Développement très rapide de la
maladie
et surtout de l'incoordination motrice. Améliorat
était nerveuse, elle est morte à l'âge de quarante- neuf ans d'une
maladie
de coeur. Une soeur du malade était atteinte 35
eunesse le malade souffrait de diarrhée, mais il n'a jamais fait de
maladie
grave. Il n'a pas abusé d'alcool, et n'a pas en
CLINIQUE NERVEUSE. d'une santé délicate, mais il n'a jamais fait de
maladie
grave. Il s'est beaucoup surmené dans sa vie. e
est atteint de crises nocturnes d'hystéro-épilepsie. Début de la
maladie
. En 1887 douleurs fulgurantes aux pieds, princi
ses envies d'uriner. Consti- pation opiniâtre depuis le début de la
maladie
. Depuis septembre 1893 chute de la paupière gau
uro ou psychopathique. Antécédents personnels. - N'a jamais fait de
maladie
grave. Pen- dant une dizaine d'années, excès al
'appuie au bras de la personne qui l'accompagne. Dès le début de la
maladie
, c'était toujours la jambe gauche qui était la pl
ats. 11. On n'isolerait pas convenablement les sujets atteints de
maladies
infectieuses, négligence qui aurait entraîné au m
ons et aux mauvais traitements. En outre, ils sont victimes d'une
maladie
qui, à l'inverse des autres, exige en règle génér
aucoup d'entre eux ont été des contribuables jusqu'au début de leur
maladie
. Le terme de pauvre ne peut donc convenir qu'à
année signale le danger des maisons consacrées au traitement des
maladies
nerveuses qui échappent à la surveillance de la c
s faits anciens peuvent rester tout à fait vivaces. En un mot, la
maladie
de Korsakoff, consiste principalement, au point
effet, le trouble de la mémoire qui constitue presque en entier la
maladie
de Korsakoff a été dénommé : amnésie antérograde
à tort que l'on a consi- déré la psychose polynévritique comme une
maladie
per se. (The alienist and neurologist. Janvier
démentielle, arrêt de développement consécutif à l'explosion de la
maladie
. Tare héréditaire, et peut-être syphilis hérédi
1° L..., vingt-trois ans, une soeur grabataire par le fait d'une
maladie
nerveuse ancienne. Lorsqu'il habitait avec sa fam
très accentuée dès le début. A. M. XXX. DE l'état mental dans L4
maladie
DE BSEDOW; par A. 1\ ! .IUDE. (British médical
élancolique, si bien que, sous l'état de dépression présenté par la
maladie
il son arrivée, on put constater un délire mégalo
énérales on peut constater des aphasies vraies, si une lésion de la
maladie
existe au niveau du centre du langage. L'hystér
pierres dans la tête et la cervelle des gens atteints]de certaines
maladies
, lesquelles gens guérissaient dès qu'on était p
e retira dans sa cellule, où il éprouva tout à coup une crise de la
maladie
que les médecins appellent épilepsie, d'un mot gr
lui qui un instant auparavant était étendu sous les étreintes de la
maladie
et dans les angoisses de la mort, paraissait da
41 2 VARIA. Il s'agit là, non pas d'un malade atteint d'idiotie,
maladie
congénitale ou de l'enfance, mais d'un malade d
s, et les épileptiques qui n'ont que des accès nocturnes, dont la
maladie
est pour ainsi dire ignorée du public, la loi est
répondant au type que nous décrivons. 3 Marcé. Traité pratique des
maladies
mentales. Paris, 1862, p. 366. Archives, 2e sér
poitrine, parlent dans leur estomac, etc. Il. Dagonet. Traité des
maladies
mentales, 1896, p. 237. DES PSYCHOSES RELIGIEUS
ent, représenté par 1 Un malade que nous observons (voir Traité des
maladies
mentales, P. Ball, éd. 1891) offre un exemple t
ccès pour lesquels il a été conduit à Bicêtre, éprouve pendant sa
maladie
les visions les plus compliquées, il voit les gén
e, et un aperçu historique sur la connaissance et l'évo- lution des
maladies
mentales, depuis les temps les plus recu- lés j
ut pas prononcer le terrible mot de folie ou aliénation et parle de
maladie
incurable; c'est un garçon de Paris, sourd-muet
aidant, on croyait encore (certains y croient toujours) que leur
maladie
était due à leurs fautes passées ou originelles,
es causes les plus fatales et les plus contraires au traitement des
maladies
mentales. Que de gens ignorent ou font semblant
antisolnnambulique. C. LI. Dissertation sur un cas peu commun DE
maladie
nerveuse; par le Dr L. AB13 MONDI, médecin chef
)' BRIS5,1UD. Tous les médecins qui s'occupent plus spécialement de
maladies
nerveuses ont vu quelques types de ces chorées
cas, bifide dans 2 cas, double dans 1. Chez 57 malades atteints de
maladies
nerveuses, la luette était 3 fois bifide, 13 fo
ïde. P. Keiiwal. 474' li REVUE DE MÉDECINE LEGALE. LXVII. DE la
maladie
L'AMOK des Malus ; par Chr. R : 15ClI. (Neurolo
euroloy. CentralGl., XIV, 1895.) y La fréquence relative de celle
maladie
limitée à la race malaise et son caractère endé
. Sommer. Même dans la tuberculose la contagion n'est pas tout : la
maladie
frappe de préférence les enfants dont l'organisme
réserver des lits pour les aliénés entrants. Les sujets atteints de
maladies
inciden- tes sont traités dans le quartier des
des ré- sultats satisfaisants. 2. Les sujets agités et atteints de
maladies
incidentes doivent être traités dans des sectio
5 th St., à New-York. Asile clinique (3ainte-Atiiie. - Clinique des
maladies
mentales : le professeur A. JOPRROY. Mercredi e
edi et samedi, à 0 Ji. 1/2. Hospice DE la Salpêtrière. Clinique des
maladies
du Système nerveux. M. le professeur R.YMoND; l
rdi et le vendredi à4 h. 1/2 ; - Lundi à 10 h. 1/2, séméiologie des
maladies
du système nerveux. D''J. B. Charcot et Souques
ES DE J.-M. CHARCOT. Comprenant 13 volumes, qui contiennent : f Les
maladies
du système l1erveux (3 volumes). - 2° Les local
l1erveux (3 volumes). - 2° Les localisations cérébrales. - 31 Les
maladies
des poumons et du système vasculaire. - Il Maladi
rales. - 31 Les maladies des poumons et du système vasculaire. - Il
Maladies
du foie, des voies biliaires et des reins. - 5°
aire. - Il Maladies du foie, des voies biliaires et des reins. - 5°
Maladies
des vieillards, goutte et rhumatisme. - 6" Mala
des reins. - 5° Maladies des vieillards, goutte et rhumatisme. - 6"
Maladies
infectieuses, maladies de la peau ; k,/sles hyd
s des vieillards, goutte et rhumatisme. - 6" Maladies infectieuses,
maladies
de la peau ; k,/sles hydatiques, </tf't'apeu
morragies cérébrales', hypnotisme, No ? & ? e ? 81 Clinique des
maladies
du système nerveux (2 volumes). 9° Les leçons d
esthésie de la peau, par StoukovcnlolT, 'i3. Electricité dans les
maladies
men- tales, par Nell. 63. 11,toiioN,s. Influe
18. Infectieuses. Influence des troubles de l'innervation sur les
maladies
- , par Traiiibasti et Combes, iGO. brlR1lIER
dans la folie du doute, par Sollier, 65. Mentales. Traitement des
maladies
- , par Lailler, 63. Manuel de sé- meiotogie
RIE DE CHARLES UËRISSKY ARCHIVES DE ri NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NlliVl;lISI : S ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIH
886. Antécédents héréditaires. Mère rhumatisante. Père mort d'une
maladie
d'estomac. Frère atteint de lithiase biliaire. De
dépit des néologismes que nous employons, il ne s'agit pas d'une
maladie
nouvelle à proprement parler, car déjà, en 1883
lgiques. Elle n'a eu aucune affection nerveuse avant le début de la
maladie
actuelle. 1 Début et marche. Le 2 janvier 1883,
i à la famille l'espoir que la guérisdn viendrait bientôt et que la
maladie
disparaîtrait définitivement sans laisser aucun
s irritable, emportée, mais jus- qu'au moment de l'apparition de la
maladie
actuelle, elle n'a pas eu d'affection nerveuse.
6). Ses parents sont morts à un âge avancé : elle ne connaît pas de
maladies
nerveuses dans sa fa- mille. Elle-même n'a ja
aladies nerveuses dans sa fa- mille. Elle-même n'a jamais fait de
maladies
, sinon qu'elle a eu la rougeole étant enfant. E
es hypéridroses; les sueurs que l'on observe à la suite de quelques
maladies
de la face, comme cela a été signalé dans l'éry
ocursifs ne sont pas liés à la ' Déjérine. - De l'hérédité dans les
maladies
du système nerveux. RAPPORT SUR MISTRAL. 81 n
de la Légion d'honneur; PIERRrT (A.), professeur de clinique des
maladies
mentales à la faculté de médecine de Lyon, médeci
37 l'état mental de Mistral était déjà tel que l'incurabilité de la
maladie
devenait évidente. Mistral était alors un démen
SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde clinique des
maladies
du S&tèIllL nerveux. I. « Un grand anatom
jetant le corps dans des dangers extrêmes, et occasionnant diverses
maladies
. » Ces idées, le chirurgien français les tradui
eau des Sorciers qu'une femme s'alla dé- ' Etudes cliniques sur les
maladies
des femmes, 1817, 1). 197. 7'a&/eaMde< ?
ir H l'histoire de la léthargie. Paris, 1833, sil 309. Traité des
maladies
nerveuses ou vapeurs et particulièrement de l'hys
fréquentes aux premières périodes de la description raisonnée d'une
maladie
. Et pourtant, Briquet emploieunesynonimie assez
bien que délicate pendant son enfance, n'avait jamais fait de grave
maladie
. Tou- tefois elle fut toujours nerveuse et, à l
pensée. Un médecin est t 11 p- ' Voy. Déjerine. L'hérédité dans les
maladies
du système nerveux. Th. agrég., Paris, 1886.
ence paralytique graduelle, marasme, mort après deux ans et demi de
maladie
. On cons- tate, de concert avec les altérations
gt-cinq ans; il avait été bien portant jusqu'alors. Les accès de la
maladie
sur- venaient irrégulièrement et duraient parfo
ersécutions survenant pendant et SOCIÉTÉS savantes. 113 après les
maladies
aiguës. Troisième groupe : Idées de persé- cuti
souvent quand éclatent les symptômes cérébraux qui caractérisent la
maladie
confirmée. D'une façon générale, ils ressemblen
s; tel est le but et le devoir principal de la pédagogie ; - 1° les
maladies
consti- tutionnelles associées à l'idiotie (scr
a pédagogie que lorsqu'on l'a améliorée ou supprimée; - 8" dans les
maladies
intercurrentes intervient le médecin seul; il n
billlé mécanique; intégrité des muscles eux-mêmes ; pas de trace de
maladie
de Thomsen; nulle trace de myotonie congénitale.
ostérieures jusque dons la moelle cervicale. A aucune période de la
maladie
il ne s'était produit d'accidents spasmodiques,
K (de Fribourg). Contribution à la thérapeu- tique opératoire de la
maladie
de l3asedow. - Il s'agit d'une femme présentant
thologique de la paralysie infantile cérébrale. On ne connaît cette
maladie
que depuis vingt ans; les nécropsies. assez rares
ues alléguées par le maître, blâmer Pasteur de s'être adressé à des
maladies
infectieuses quelconques, de les avoir manipulé
hommes jusque-là bien portants, ce qui permet de la rattacher à une
maladie
du cerveau, d'autant plus que, soit de concert
onditions d'admission dans les maisons de santé dites ouvertes pour
maladies
nerveuses. Le nombre des maisons de santé ouver
maison de santé ouverte : 1° ceux qui ont pleine conscience de leur
maladie
, plein discernement de leur SOCIÉTES SAVANTES.
e d'aliénés déguisé et mal outillé, de voir si, dans le cours de la
maladie
, l'une des cinq con- ditions précédentes ne se
it les bains d'étuve à intervalles réguliers suivant le degré de la
maladie
et la résistance du malade. (Anch. f. Psych. u.
i, s'etant distingués par leur enseignement ou leurs écrits sur les
maladies
mentales, elaient l'objet d'une présentation du
faculté de médecine de Paris chargé de l'enseignement clinique des
maladies
mentales; un directeur du ministère de la justi
médecins, mandés vers lui, apportèrent un soulagement passager à sa
maladie
; mais il retomba presque aussitôt dans le même
légale et d'un traitement dans un asile à une époque précoce où la
maladie
est encore curable, sont, par raison d'économie
oncerne les points suivants : sélection des cas; observations de la
maladie
et de la mort des aliénés; logement, propreté,
ombattre l'ivrognerie (lSî2);-Nonzeazclulatre et classification des
maladies
mcntales (1872); - Historique du délire des gra
accidents tertiaires. A l'âge de quarante-cinq ans, chancre mou. La
maladie
actuelle, à l'avis du malade, commença depuis l
le ventre : le malade est obsédé par la crainte de toutes sortes de
maladies
qu'il découvre en lui, comme du cancer, de la p
e des troubles existants chez ce malade dans le premier stade de la
maladie
, faisait supposer l'existence d'un foyer (d'ori
débuta aussi en même temps que survint la douleur. La cause de la
maladie
nous est inconnue. La malade habite la campagne
mort il y a trois ans. Son père est mort quatre ans plus tôt d'une
maladie
aiguë. Sa mère vit encore et donna le jour à qu
vre intermittente. Pas d'excès alcooliques ni vénériens. En fait de
maladies
antérieures, Mathieu ne se souvient que d'une h
s de la grosseur d'un oeuf de poule. Il fut ouvert à l'hôpital ; la
maladie
se termina au bout de trois semaines. Le gonfle
la paume de la main jusqu'au niveau des têtes métacarpiennes. La
maladie
dura près de cinq semaines environ. L'enflure de
du vue symp- tomatique), ne s'est compliqué que vers la fin de la
maladie
d'une altération des autres espèces de sensi- D
mouvements spasmodiques des muscles sont très typiques et quant aux
maladies
chirurgicales du tissu cellulaire, aussi bizarr
e premier abord, leur liaison avec les symptômes fondamentaux de la
maladie
, contribue au tableau clinique de notre observa
rantes, troubles vésicaux, etc., tout à fait spéciaux. Lors de la
maladie
de Friedreich, l'incoordination se manifeste ég
'embarras de la parole, la perte des réflexes, la marche même de la
maladie
ne permettront pas de douter longtemps. Le tr
ccomplit sous une direction compétente et éclairée 1 Th. Ribot, Les
Maladies
de la mémoire.. Paris, 1881, p. 9. 200 patholog
dre dans le cas même où l'influence émotive paraît 1 Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. 111, p. 453, sur les Pa-
ui viennent compliquer la marche et obscurcir le diagnostic de la
maladie
. J'ai pu m'assurer de ces lésions plusieurs foi
r. Paris, 1883, p. 485. ' DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 229 9 que la
maladie
. Une interprétation tout aussi erronée peut rés
Pas d'onanisme. Pas de traumatisme. On ne sait à quoi attribuer sa
maladie
. Trai- tement : Bromure de potassium ; iodure d
OURNl : 1'ILLC), 1 C'est 1;1 une des causes les plus fréquentes des
maladies
de l'encé- phale qui produisent l'idiotie, et s
nnes qui l'environnent : « ilion Dieu, que c'est bête d'avoir cette
maladie
! où suis-je ? » » Il se remet ensuite paisible
67. Observ. 1, p. 24. 2S2 CLINIQUE NERVEUSE. été atteint d'aucune
maladie
en dehors de l'épilepsie. La tète, par rapport
ait. Il expliquait d'une voix criarde et en gesticulant vivement sa
maladie
au médecin, demandait à ne plus suivre de trait
i tente, dans une importante monographie, de délimiter une forme de
maladie
dans laquelle certains symptômes somatiques et
mme dans la paralysie générale, et aussi fréquemment que dans cette
maladie
, certains phéno- mènes psychiques et jouent un
e la mélancolie attonita que l'on considère ordinairement comme une
maladie
distincte; mais si l'on exa- mine soigneusement
itat), on découvrira, d'après Kahlbaum, très souvent au début de la
maladie
des attaques épileptiformes ou d'autres manifes
e teinte hypocondriaque : c'est un stade ma- niaque qui commence la
maladie
. Dans la majorité des cas, c'est la stupeur qui
(Ideenflucht) avec la Confabulation1 . i Cependant, au cours de la
maladie
, la verbigération peut se transformer en l'une
bien rarement à incriminer; le sexe serait in- » différent, mais la
maladie
surviendrait surtout dans la jeunesse et l'âge
emble aussi que l'imitation jouerait un rôle dans l'étiologie de la
maladie
au (\. point de vue de Kahlbaum, car il range d
comparaison avec la paralysie générale. Il y aurait au début de la
maladie
une stase dans ! tous les vaisseaux cérébraux,
e développement des granulations de Pacchioni. Pour Kahlbaum, les
maladies
mentales en général sont causées par des troubl
s à une gymnastique insuffisante. En résumé, la Catatonie est une
maladie
cérébrale à marche 1 changeant d'une façon cycl
ctère général de la crampe. Cette forme v' LA CATATONIE. 261 t de
maladie
ainsi caractérisée se rapproche par sa significat
contraire le caractère de paralysies. ' Près de ces deux formes de
maladies
si distinctes vient s'en ranger une troisième d
manifestations ' psychiques. Elle ne se développe pas à la suite de
maladies
physiques, mais plutôt sur un terrain prédispos
tômes d'excitation n'apparaissent pas dans la première moitié de la
maladie
, mais dans la suite, et le plus souvent sous fo
s forme de rémissions et d'intermittences. Le diagnostic de cette
maladie
serait en somme facile, et voici ce qu'en dit K
ts infantiles et les aliénations passagères survenues à la suite de
maladies
physiques. Mais le diagnostic n'est vraiment di
ile que dans deux cas : d'abord c'est dans la première moitié de la
maladie
, quand le mutisme n'est pas continu et que les
la facilité de la simulation àcause des symptômespeu réguliers delà
maladie
. Il s'étend très au long sur l'anatomie patholo
de Meynert d'après les cas de Kahlbaum z le portent à penser que la
maladie
a été précédée par un pro- cessus méningitique
ort avec les périodes biolo- giques. Elle figure dans la classe des
maladies
sans lésions démontrables du cerveau, parmi cel
avec réminiscences catatoniques par in- 'tervalles. La marche de la
maladie
est cyclique et s'accom- pagne d'une participat
récent de Clemens Neisser vient encore - soutenir l'existence de la
maladie
qui nous occupe. Neisser s Schule. - Klinische
MMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURETTE Chef de clinique des
maladies
du sleIl1C : fier% eux. III. Il nous faut dés
la température 1 Bourneville. - Etudes Ihel'/llOmell'iqltes sur les
maladies
du système nerveux, p. 117. ' Leçons sur les
tes sur les maladies du système nerveux, p. 117. ' Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 3e et)., p. 376. Pari
lée à quatorze ans, d'une santé parfaite, n'avait jamais éprouvé de
maladies
graves; son père et ses trois enfants n'avaient
ladies graves; son père et ses trois enfants n'avaient jamais eu de
maladies
ner- veuses. La malade était forte, bien faite,
oir et qu'après l'emploi inutile'de tous les médicaments usités, la
maladie
, dont le siège était reconnu dans la moelle épi
ion, d'un syndrome bizarre, encore mal classé, appelé tour à tour
maladie
du sommeil, narcolepsie et bien étudiée par Gelin
robustes qui, après cette infâme punition, succombentsouvent à des
maladies
de poitrine. Pour se soustraire à cette correct
çait des aiguilles sous les ongles. On soupçonna que le siège de la
maladie
était dans le crâne, le malade ayant déclaré au
ne manière presque inappréciable lorsqu'on lui ratissa le crâne. La
maladie
étant déclarée incurable, le ma- lade reçut son
psie ; surtout si l'on pense avec M. Magnan que l'épilepsie est une
maladie
essentiellement héré- ditaire, tandis que le dé
tout l'hémisphère, aucun résidu de globules sanguins, alors que la
maladie
existait depuis peu de temps relativement. Et pou
olie constatées personnellement par le signataire; les phases de la
maladies
ainsi que les motifs d'où résulte la nécessité
e, c'est qu'il n'y a pas de garantie meilleure, au point de vue des
maladies
mentales, dans les asiles publics que dans les as
Vous trouverez dans les livres quel est le carac- tère général des
maladies
mentales; le caractère, on ne peut pas le défin
rs d'aussi bons que celui-là. Et puis, il y a tant de catégories de
maladies
mentales : il y a le délire de la persécution,
nution de cette sensibilité n'a aucun rapport avec celle des autres
maladies
de la sensibilité. Quant aux zones hystérogènes
est occupée a la garde de l'établissement. Les manifestations de la
maladie
ne se peuvent conformpt aux règles de l'hospice
aux de la Revue de l'hypnotisme. Charcot (J.-11.). - Leçons sur les
maladies
du système 7te''t) ? M, pro- fessées à la Salpê
ont, disait-il, les caractères fondamentaux mais incomplets de la
maladie
que je me propose de décrire. Ses symptômes et
adis que l'ataxie locomotrice progressive était essentiellement une
maladie
sine materiâ, une névrose; qu'elle n'avait pas
cette région que coexistent les symptômes caractéristiques de la
maladie
. Les altérations systématiques des cor- dons de
Sénégal où il est resté deux ans et demi, sans avoir aucune des'
maladies
endémiques si fréquentes dans ce pays. Il n'a eu,
gnalent quelques modifications importantes dans les symptômes de la
maladie
. J'y trouve consignées les particularités suiva
très catégorique- ment qu'elle n'existait pas avant le début de sa
maladie
. 11 n'a eu, du reste, ni orchite, ni variole, n
nir des confidences qui éclairent d'un jour nouveau l'origine de la
maladie
. Le dossier des antécédents de chaque sujet se
parfaite connexion avec le passé du sujet et intime- ment lié aux
maladies
de ses ascendants et de ses collatéraux. Tell
aternel mort aliéné, deux scezcrs de la malade mortes à la suite de
maladies
ner- veuses ( ? ). Antécédents personnels : C
Antécédents de famille : Père mort depuis dix ans à la suite d'une
maladie
nerveuse ( ? ). Su mère, qui souffrait habituelle
Père mort, il y a dix ans, à l'âge de soixante ans à la suite d'une
maladie
de coeur. Mère épileptique morte il y a neuf an
utre frère est épileptique. B... a une soeur qui est atteinte d'une
maladie
nerveuse ( ? ), d'une maladie noire, nous dit-ell
.. a une soeur qui est atteinte d'une maladie nerveuse ( ? ), d'une
maladie
noire, nous dit-elle. Antécédents personnels :
técédents héréditaires : Père mort il y a cinq ans à la suite d'une
maladie
du cerveau ( ? ). La malade ne peut préciser dava
LA PARALYSIE FACIALE. 363 qui occupent la première place parmi les
maladies
des ascendants et des collatéraux. Il en est en
Cet homme, ainsi prédisposé, devient ataxique, et au cours de la
maladie
, il prend une paralysie faciale. Il est à peine
thristisme, la goutte et le diabète coïncident fréquemment avec les
maladies
du système nerveux et 368 CLINIQUE NERVEUSE.
ne apparente de l'hémiplégie échappe au malade et au médecin, et la
maladie
semble alors être née de toutes pièces ; ces ag
nt ils entrent en jeu, ne peut être que minime dans la genèse de la
maladie
. Seule la prédisposition nerveuse se retrouve d
s qui se sont offerts à notre observation tendrait à prouver que la
maladie
est plus fréquente chez la femme que chez l'hom
res représentent exac- tement les proportions d'après lesquelles la
maladie
se répartit entre les deux sexes. Les hommes ét
t, elle vien- drait plaider en faveur de l'essence nerveuse de la
maladie
. Il est incontestable, en effet, que la femme e
FACIALE. 373 entachée de nervosisme que l'homme et que certaines
maladies
nerveuses, les névroses en particulier, trou- v
et de leurs collatéraux, le caractère d'affection familiale que la
maladie
peut revêtir dans certains cas, la possibilité
itisme, se rattachant par de nom- breux traits d'union à toutes les
maladies
nerveuses, la paralysie faciale est parente à u
ts consignés dans ce travail : on est frappé de voir que, parmi les
maladies
relevées chez les ascen- dants ou chez les coll
oit les vésanies, soit enfin la paralysie générale progressive. Les
maladies
de la moelle épi- nière n'y figurent que très r
? l'exception n'est donc qu'apparente. Si après avoir considéré les
maladies
des ascendants , nous regardons du côté des suj
l'anode). Là le pronostic est encore rela- tivement favorable et la
maladie
guérit dans l'espace de un à deux mois. Dans le
ne s'accordaient en aucune façon avec l'intensité et la durée de la
maladie
; et nous avons vu des paralysies faciales ne s'
érédité la part prépondérante qui lui revient dans la genèse de ces
maladies
? Assu- rément non. Les objections de M. Edinge
nt appelée a frigore, vient ainsi se modeler sur celle des autres
maladies
du système nerveux et l'étude des conditions ét
remarquer que Duch... a eu pendant les deux premières années de sa
maladie
des vertiges sans phénomènes procursifs; la pro-
sont les plus prédisposés et sous quels symptômes se manifeste la
maladie
? C'est ce que nous allons étudier. I. Vertige
ent sur des points de détail, mais sur la façon même d'envisager la
maladie
dans son ensemble, l'opinion de Schüle notammen
le passé, à rapporter ces faits comme des variétés de différentes
maladies
. - M. Cullerre 2 publié une observation de cata
3 Lagardelle. -Ann. med. psych. 1871, p. 38. . Dagonet. Traité des
maladies
mentales, 187G. " Kroepelin. - Camp, der Psych,
l'entêtement souvent systématique et enfin la marche cyclique de la
maladie
sur laquelle cependant quelques auteurs (Neisse
ystérique. Ibid., t. Il, p. 85 et suiv. 5 Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, p. 357. 6 A. Binet
t. 2 p. 178. 2 Guislain. -Loc. cit. 3 Morel. Traité clinique des
maladies
mentales, 1860, p. 191. 4.\lichéa. - Dict. de J
c Arndt" que la folie de tension (spannungs-irresein) n'est pas une
maladie
, mais peut se développer sur les terrains les p
t les rencontrer à toutes les périodes, dans toute la durée de la
maladie
, ou à une seule période : ils peuvent dominer la
un signe diagnostique important, Kalhbaum ajoute qu'au cours de la
maladie
elle peut se transformer en l'une quelconque de
moindre phénomène catatonique. C. - La marche dite cyclique de la
maladie
ne présente non plus rien de caractéristique :
d comme des mélancoliques déprimés. D'un autre côté, le cycle de la
maladie
n'a rien de véritable- ment régulier. On remarq
lain, Zeller, Griesinger. Ajoutons que Kalhbaum reconnaît « que les
maladies
men- tales en général, ainsi que la catatonie,
slain, Griesinger3, Dagonet4). Si bien que «pour la même attaque de
maladie
il y a -quatre phases constitu- tives. 11 s'ens
ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la marche de la
maladie
dans nos deux observations. 1° Les phénomènes
- ment cultivées dans une mesure qui varie avec l'intensité de la
maladie
, c'est-à-dire le degré d'imbécillité ou d'idiotie
on susceptible d'être modifiée très avantageusement, mais non d'une
maladie
qui suit une marche progressivement ascendante
uit une marche progressivement ascendante du début à la mort. Les
maladies
qui paraissent se rapprocher le plus de l'athé-
dans l'athétose double. Les ver- tiges, fréquents dans la dernière
maladie
, sont absents dans la seconde. Les troubles psy
titué à une époque plus rapprochée de la période d'invasion de la
maladie
. Passons maintenant à la comparaison de l'athétos
mpliquent si souvent l'ataxie locomotrice. Enfin la marche des deux
maladies
ne présente aucune analogie. Dans l'ataxie héré
ux maladies ne présente aucune analogie. Dans l'ataxie héréditaire,
maladie
de la puberté et non de la première enfance, le
ve ' . ' Consulter sur ce sujet, Brousse : De l'ataxie héréditaire (
maladie
de I'rleireicll), 1882. CII, Féré : Progrès méd
ne coexiste pas avec l'imbécillité ou l'idiotie. La marche des deux
maladies
n'est pas non plus compa- rable. Le tremblement
ronique, atrophie de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 220, et t. III, p.
V. LE cardiopatie NEI PAZZI; par le D1' Salemi-Pace. (Palerme.) Les
maladies
du coeur chez les aliénés seraient beaucoup plus
souvent de corps dans l'intervalle des accès; la périodicité de la
maladie
, et sa transmission héréditaire fatale en confi
Contribution A la question DE l'influence favorable exercée PAR LES
MALADIES
AIGUËS SUR L'ÉVOLUTION DES TROUBLES PSYCHIQUES ;
les plaques d'atrophie pigmentaire apparurent en même temps qu'une
maladie
de graves avec aphasie tempo- raire. Le Dr Kern
montrer, dit l'auteur, que cela s'applique aux symptômes mentaux de
maladies
sérieuses. Tous les états morbides mentaux sont
de cette théorie, l'auteur demande une étude comparée de toutes ces
maladies
du système nerveux. il. S. SOCIÉTÉS SAVANTES
s. aux affections développées pendant la vie foetale, et même aux
maladies
du jeune âge. D'autre part, il n'est pas rare d
, a m bilieuse depuis deux an s. Les symptômes et l'évolution de la
maladie
, dit M. Séglas, nous paraissent ressembler assez
vis du moins, au point de vue des symptômes et de l'évolution de la
maladie
, le type le plus parfait du délire chronique te
res du huitième cas pour en venir immédiatement à l'évolution de la
maladie
qui est l'objet principal de la critique de AI.
e qu'il ne vient pas à l'esprit de vous tous que c'est là une grave
maladie
, un délire vigoureux dont les racines sont déjà
tieux se développer cinq ans et non deux ans après le début de la
maladie
. ' Plus loin, M. Séglas, fouillant dans l'excel
s'en est tenu à la période d'état, négligeant ainsi la marche de la
maladie
. Il a indiqué, toutefois, la période prodromiqu
, et s'il eût continué à suivre l'évolution et la terminaison de la
maladie
, il serait arrivé à ce résultat inévitable que
du détire, mais aussi les antécédents du malade et la marche de la
maladie
. Voyons à présent ce que pensait More] des déli
e pensait More] des délirants persécutés. Morel en 1860 (Traité des
maladies
mentales, p. -103 et suivantes) à propos du dél
lire, mais aussi au point de vue du début et de l'évo- lution de la
maladie
. Foville étage la mégalomanie sur douze observa
t c'est un simple délire surajouté qui ne change rien au fond de la
maladie
. Dans une discussion clinique, je ne puis assur
ant au délire ambitieux, il ne peut rien changer au fond même de la
maladie
. Comme le délire de persécution, il se dé- velo
ent. Le délire ambitieux ne change pas assurément la nature de la
maladie
; le délire de persécution persiste, mais les idée
dents héréditaires et personnels et ensuite d'après la marche de la
maladie
. Si la famille sociétés savantes. 471 me raco
er, c'est qu'il existe. MARCEL L3RIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN Séance du 11 janvier 1886
loppement. Il rédige un rapport médico-légal qui fait remon- ter la
maladie
au 18 mars. On constate, en effet, de la fatigue,
x côtés. Contraction paradoxale du pied gauche. Pas de syphilis. La
maladie
a débuté, à la fin de 1877, par des douleurs da
rébral qu'ils ont déterminé soit à la naissance le seul reste de la
maladie
in- flammatoire. M. H. Wirchow parle encore d
multipolaires, ici presque totale, qui est le point de départ de la
maladie
. Dégénérescence modérée des ra- cines antérieur
rapport circonstancié devra in- diquer notamment « les phases de la
maladie
». Ces expressions supposent que l'état du mala
trouverait-elle pas bon de remplacer ces mots : « les phases de la
maladie
» par une expression générale : « la marche de
ses de la maladie » par une expression générale : « la marche de la
maladie
» ? Ce serait, je pense, plus correct au point
t. Mais il est certain que l'observation de M. Paris est juste. Une
maladie
, à son début, a des phases qu'il n'est pas possib
ns. M. PAYE. La marche suppose des phases ! M. LE Rapporteur. Une
maladie
marche toujours. Pour qu'il y ait des phases, i
t sain; ils sont surtout excellents pour les malheureux atteints de
maladies
mentales. Et vous empêchez ces voyages... A gau
. Parmi ces hôpitaux, beaucoup furent convertis en asile pour les
maladies
du système nerveux, surtout à cause du manque d'e
e, d'autres ont caché leur spécialité sous le nom d'asiles pour les
maladies
nerveuses. Il n'y a pas moins de deux mille i
quarantaine dans un hôpital spécial, comme s'il était atteint d'une
maladie
infectieuse. ROBEllT Soal ? FAITS DIVERS As
ant et le corps humain. Base scientifique de l'électricité dans les
maladies
rhu- matismales, nerveuses, mentales, etc. Volu
zétallnthérapie et de metalloseopie, appli- quées au traitement des
maladies
nerveuses, au diabète et aux maladies épidémiqu
ppli- quées au traitement des maladies nerveuses, au diabète et aux
maladies
épidémiques. Burquisme et magnétisme animal (gr
s, 1888. Librairie 0. Berthier. SCIIULI (H.). - Traité clinique des
maladies
mentales, 3e éclitioll (1886). Traduite par les
TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. Psychiques (trouhles - et
maladies
aiguës), par Lehmann, 415. Psychoses (des sym
erche que pour toutes choses du domaine terrestre et pour la cure des
maladies
. Étudiez toutes ces facultés déjà si merveilleuse
Je vais vous faire, le plus succinctement possible, lenUméralion des
maladies
que j’ai eu le bonheur de combattre victorieuseme
presque subitement le bras d’un de mes amis atteint de cette affreuse
maladie
; mais, pour les autres membres, malgré l’emploi c
isites assidues; cependant, appelé dans la même maison pour une autre
maladie
, comme on lui demandait ce qu il pensait du cha
avons ici quelques médecins qui avouent cependant que, dans certaines
maladies
nerveuses , le magnétisme peut être efficace ; ma
à comprendre qu’ils ne peuvent rester étrangers à l’art de guérir les
maladies
magnétiquement. C’est sournoisement, il est vrai,
Bernard, femme Bertain, âgée de vingt-cinq ans, était atteinte d’une
maladie
survenue à la suite d’une couche laborieuse. Depu
étant le seul moyen qu’elle ait d’y échapper. Depuis l’origine de sa
maladie
elle a constamment éprouvé une crépitation articu
sation journalière d’une heure. Mm” Goodall a tenu un journal de sa
maladie
, mais il est trop long et trop monotone pour le r
a police et la loi, qui leur donnent le monopole de la santé et de la
maladie
nationales. « Le fameux général S....... est mo
cette jeune fille, elle révélera elle-même la cause de sa singulière
maladie
. 11 est déplorable de voir la médecine volontai
le courroux d'une puissance inconnue. Attribuant la cause de leurs
maladies
à la colère des dieux, les peuples primitifs invo
aient une médication suivant les symptômes de l’alfeclion. Lorsque la
maladie
résistait à tous ces moyens, on avait alors recou
rt de la médecine. >» Jamblique (2), après avoir attesté que les
maladies
cédaient aux prescriptions que l’on recevait pend
affections aiguës, avoue l’insuffisance de son moyen curatif dans les
maladies
chroniques. Cependant il faut croire qu’Hippocrat
recourait fréquemment à des frictions particulières dans la cure des
maladies
anciennes. « Un médecin, dit-il, a besoin de sa
user à l'imagination un rôle excessivement important dans la cure des
maladies
et dans le développement de quelques phénomènes s
ransplantation une méthode curative qui consistait à faire passer une
maladie
d’un homme dans un autre , ou dans un animal, que
ce système, qu’il regardait comme infaillible dans un grand nombre de
maladies
. Maxwel, R. Flud, Bartholin, Wirdrg, Burgrave, Ya
humain. Nous ne nous occuperons pas ici de la transplan* talion des
maladies
dans les végétaux : ce n’est qu’un tissu d’idées
ervations fort curieuses sur la manière de transmettre la santé et la
maladie
. Le médecin faisait coucher certains animaux aupr
ensait que l'on pouvait, par un contact prolongé, leur communiquer la
maladie
et en délivrer ces derniers. Van Helmont, grand p
at. R. Flud (5) , médecin anglais, rapporte de nombreux exemples de
maladies
qui cédèrent à la médecine transplantatoire ; il
e corpusculaire, des nodo.«ités1aux pattes de ces animaux, lorsque la
maladie
avait cessé. Nous lisons dans le Journal de Par
Philos, nat. longtemps prolongée de la main d’une personne morte de
maladie
lente, pour la cure des engorgements chroniques;
iétés qu’on lui attribuait. La transplantation de la santé ou de la
maladie
d’homme à homme, sans influence apparente de la p
omme célèbre, Maxwel attribuait aux émanations lointaines beaucoup de
maladies
dont on ignorait la cause (2). Roger Bacon (3),
tes. (2) Bacon, Sylvæ tylvanm, seu I/ist. natter. la santé ou des
maladies
. L’ignorance profonde des anciens sur la physique
rs cette importante question de salubrité publique : la contagion des
maladies
. Nous pourrons traiter un jour in extenso ce suje
u malsain détermine généralement chez l’individu bien portant soit la
maladie
régnante, soit un état de malaise qui peut dégéné
elconque, suivant l’idiosyncrasie du sujet, soit enfin le germe d’une
maladie
chronique qui se développera tôt ou lard. Parmi
e d’une maladie chronique qui se développera tôt ou lard. Parmi les
maladies
qui nous ont offert un caractère de contagion bie
à reposer auprès de leur femme pendant les ravages de cette affreuse
maladie
; ils n’ont pas tardé à ressentir eux-mêmes tous
cet égard. Nous ne parlerons pas de la propagation de ces hideuses
maladies
d’une génération à l’autre par le rapprochement d
conserve de faire coucher les enfants avec de vieux parents dont les
maladies
ou les infirmités peuvent imprimer une fâcheuse r
la cause leur échappera comme celle du choléra et de plusieurs autres
maladies
. Pourquoi donc en est-il ainsi? C’est que tout vi
os grands docteurs, puisque vous aurez pouvoir sur presque toutes les
maladies
, sans que, comme eux, vous y perdiez votre latin.
el. » VARIÉTÉS. Catalepsie. — Voici d’intéressants détails sur la
maladie
de la jeune personne dont il est mention dans not
s. Et d’abord cette fille est-elle bien atteinte de catalepsie? Cette
maladie
se développe subitement, et le plus ordinairement
de force , elles ont fait un effort puissant qui leur fait croire la
maladie
domptée, la mort éloignée. En présence de si doul
ux médecins. Je leur dirai : Vous usez vos forces à lutter contre une
maladie
qui vous résiste toujours; tel remède que vous em
ni les plus grandes ressources pour rendre service et guérir : pas de
maladie
qui ait résisté à ses remèdes, pas de malades qui
e me dit : « Quelques cas isolés et rares peuvent apparaître, mais la
maladie
ne commencera réellement à sévir que vers le 10 a
ois que nous avons atteint le moment de la période décroissante de la
maladie
, malgré qu’elle ne le prévoie pas avant le mois d
e c’était une attaque du choléra, et me donna, sur la nature de cette
maladie
, des détails si utilement intéressants, que je co
qu’a faites et que peut faire le choléra. Le choléra n’est pas une
maladie
d’apparition nouvelle, sa cause est la même que c
rédisposés plus que les autres à être atteints par le mal. Mais si la
maladie
atteint une constitution robuste et vigoureuse, e
préparation du pain dans les grandes villes, est une cause active de
maladie
. Le choléra sévit contre l’individu en viciant
re, et le malade meurt au bout de quelques heures. D’autres fois la
maladie
marche plus lentement; elle est d’abord annoncée
t quelque part, elle donne quelques-uns de ses symptômes à toutes les
maladies
qui existent en ce moment, n’importe d’ailleurs q
rines sont entièrement supprimées, elles ne reprennent que lorsque la
maladie
est domptée. Les matières provenant des vomisseme
à d’au-treé èorps. Le traitement doit être basé sur la nature de la
maladie
, sur ses différents symptômes : la nature, de la
nature de la maladie, sur ses différents symptômes : la nature, de la
maladie
est d’attaquer, de désorganiser tous les fluides,
nt, surtout si les urines, qui par leur retour annoncent la fin de la
maladie
, étaient décolorées, blanchâtres et sans odeur. A
la diarrhée, ils concentrent dans le corps les principes mêmes de la
maladie
, ou que, trop énergiques, trop irritants, ils s’a
employés dans différentes circonstances, lorsque les symptômes de la
maladie
, comme une somnolence trop prolongée et un engour
spéciales, soit à cause de l’effet moral que produit la crainte de la
maladie
, soit à cause de son influence directe. Voilà l
e. L’avenir!... c’est pour les uns l’infamie, le bagne, l’hôpital; la
maladie
longue et cruelle attend presque chacun de nous,
e. Bientôt la dormeuse eût parlé d’elle-même, révélé les causes de sa
maladie
, et indiqué les remèdes auxiliaires, si le magnét
sme , où, après avoir mentionné le récit du National de [Ouest sur la
maladie
d’Anne Chai-gneau , vous exhortez les magnétiseur
re appel nous est parvenu, il avait déjà commencé le traitement de la
maladie
en question. Mais, au lieu d’une cataleptique i
és, religieuse, en est également atteinte. Pendant le cours de leur
maladie
, plusiéUirB médecins ont employé successivement
ent d’Anne Chaigneau, de manière à ce que l’histoire entière de cette
maladie
soit acquise aux annales de la science magnétique
des résultats qu’ils ont obtenus dans le traitement de cette cruelle
maladie
. Nous publierons tout ce qui est de nature à jete
il sortirait de ces expériences, si elles se confirmaient, que celte
maladie
serait une névrose du système nerveux gangliona
que, elle a bien du mal à reprendre ses forces, etles symptômes de sa
maladie
ressemblent beaucoup à ceux du typhus nerveux.
mpire des procédés ordinaires. Continuant à parcourir le cercle des
maladies
qui affligent l’humanité, M. de la Salzède signal
de se soustraire à tout principe contagieux. En ce qui concerne les
maladies
nerveuses, pour le traitement desquelles la médec
nt thérapeutique, nous voyons que le traitement curatif de toutes les
maladies
affectant l’organisme, peut s’exprimer par cette
ne répond pas toujours au zèle du magnétiseur, dans le traitement des
maladies
. Dieu seul est tout-puissant, nous le savons, et
tant acquise, il n’y a nul inconvénient à le consulter sur les cas de
maladie
où la science est impuissante ô se prononcer sans
auteur regarde l’intervention des somnambules, dans le traitement des
maladies
, plutôt comme un expé- (lient que comme un moye
ée de l’électricité et du magnétisme animal au traitement de diverses
maladies
, telles que les paralysies persistantes, les amau
’il fait à présent ; mais il soigne des affections de poitrine et des
maladies
de femmes, rebelles jusque-là aux moyens méthodiq
ment bien depuis près de deux mois, et n’a plus que le souvenir de sa
maladie
. Dans sa lettre du 3i mars 1848, M. Jobard vous
nser, dans l’intérêt de l’humanité, de rendre publics quelques cas de
maladies
graves guéries par l’action de cette médication p
ence combien les meilleurs traitements ont échoué dans cette terrible
maladie
, le ciel, je le crois ainsi, m’inspira l’heureuse
rendre, plus facile et plus utile le traitement de presque toutes les
maladies
internes; car je sais par une expérience de dix-s
e-Artbur Giblat, âgé de cinq ans, natif de Paris, a éprouvé l’état de
maladie
suivanl: Le ier août 1847, un mal de tête effra
ets alleslc avoir vu l'enfant ilonl il est question, dans son iMal de
maladie
, et l’avoir revu depuis en étal de guérison. CA
que j'ai vu l'enfant dont il est question ci-dessus, dans son élat de
maladie
, et que je l'ai revu depuis en état de guérison.
ortent dans les lieux les plus inaccessibles, révèlent les causes des
maladies
les plus bizarres, font deviner les remèdes les p
an-tome vin. —RI" 96.-25 juin 1840. 12 tiasis à la jambe droite. Sa
maladie
a commencé par une lièvre décadiennc. 11 doit ê
nne Chaigneau vous soit envoyée, afin que l’histoire entière de cette
maladie
soit acquise aux annales de la science magnétique
ionnel ; car si l’électricité se trouve en moins dans certains cas de
maladie
, elle peut bien se trouver en plus dans d’autres
agnétisme ne convient qu’aux affections nerveuses, car il a guéri des
maladies
de toutes les dénominations, même des lésions org
c’est qu’il ne l’a pas pu. Kinésithérapie signifie : traitement des
maladies
par le mouvement; c’est-à-dire, gymnastique médic
ngt et unième observation. Susteedoss, âgé de trente-cinq ans, a la
maladie
commune depuis six ans. Endormi dès la première
qu’un hôpital avait clé établi à Calcutta, pour la guérison do cette
maladie
. « Lorsqu'une personne y va, disait ce journal,
x deux jambes, et d’une tumeur scrotale, depuis dix ans. Cette double
maladie
avait été précédée d’une fièvre venant deux fois
UE MAGNÉTIQUE. M"e Angélique B***, atteinte, depuis huit ans, d’une
maladie
fort cruelle, se soumit, à différentes époques, a
etc. L’écoulement des règles, fort imparfait depuis 1 invasion de la
maladie
, avait cessé entièrement; la peau était jaune et
ferai observer que sa lucidité ne piit l’éclairer sur la nature de sa
maladie
; tous les remèdes appropriés à son état se prése
érison était à peu près complète au mois de décembre i843, lorsqu’une
maladie
assez grave m’empêcha de terminer ce traitement.
us obligé de recourir plusieurs fois pendant le cours de cette longue
maladie
, ne lui permirent pas de me remplacer. J’appris a
ion publique a pris soin de m'apprendre qu’elle n’a conservé de cette
maladie
qu’un sentiment de répulsion pour ses magnétiseur
voquer ou accélérer sans péril (5). « 11 n’y a qu’une santé, « qu’une
maladie
, qu’un remède (4). » « Quant aux procédés magné
des empires : à une action analogue Mesmer attachait la guérison des
maladies
. « Ensemble ils proclamaient, en se partageant
pendant, et les magnétiseurs n’en seront pas surpris, que pendant une
maladie
fort grave, qui dura plusieurs mois, toute lucidi
s la société, consistait principalement dans son droit de soigner les
maladies
des femmes, dans sa faculté el ses talents comme
LADOE8 par le Magnétisme et le Somnambulisme. Guérison radicale des
maladies
et ulcérations de l’utérus, sans repos ni régime,
de Paris, Somnambule, ci-devant rue Cadet, 20. — Traitement de toutes
maladies
, et notamment de celles articulaires, rhumatismal
qui ait fait jouer un rôle important à l’imagination dans la cure des
maladies
. « Il n’est pas douteux, dit-il (2), qu'une fer
sont si efficaces qu’elles ont le pouvoir de produire la santé ou la
maladie
. Celui qui croit dans la Providence est récompens
nts désirs. « 11 n’est pas surprenant, ajoute-t-il (2), de voir les
maladies
du corps et de l’esprit se dissiper ou se communi
ienus (5) prétend que la puissance imaginative peut causer toutes les
maladies
. « On a vu, dit-il, des personnes gagner la pes
sion du choléra ne détermine-t-elle pas les accidents propres à cette
maladie
. On a même vu des personnes mourir à la suite d
es déterminations. L’exaltation morale peut certainement produire des
maladies
ou des guérisons. Nous comprenons l'influence q
ous les temps, des hommes ou des femmes qui passaient pour guérir les
maladies
par les attouchements, l’imposition des mains ou
France, s’honora le premier de ce privilège. On donnait alors à cette
maladie
le nom de mal de roi. Philippe passa pour avoir p
es aussi Icing devil (mal de roi.) Les rois ont cessé de guérir ces
maladies
lorsque la confiance et la foi ont abandonné leur
re, avait la réputation de calmer toute espèce de douleurs, coliques,
maladies
de la rate, etc. (2). 11 faisait coucher les mala
Agrippa , etc., avaient, dit Delancre (3), le don de guérir plusieurs
maladies
; l’empereur Adrien dissipait l’hy-dropisie par le
ient pas seulement , à l’imitation des rois de France , de guérir les
maladies
par le toucher, l’imposition des mains ou la priè
aux pierres précieuses et à certains minéraux dans le traitement des
maladies
; l’émeraude passait pour guérir de l’épilep-sie;
ppée des dangers qui sont ordinairement le résultat de cette affreuse
maladie
, suffit quelquefois pour développer l’hydrophobie
er au souffle des ouragans, sans prévoir leur venue? Sujets à tant de
maladies
, continuerons-nous de laisser faire le mal sans p
es, la poudre sympathique , etc. , étaient susceptibles de guérir des
maladies
souvent incurables, par une puissante réaction su
é curative : saint Marcou guérissait des écrouelles ; saint Clair des
maladies
des yeux ; saint Fiacre des hémorrhoïdes; saint O
s saints avaient reçu le don de chasser les démons et de dissiper les
maladies
. Théodoret dit (4) que saint Barsès, évêque d’E
d’une ville de l’Hellespont, commandait aux démons, et dissipait les
maladies
. (t) Apollonius de Tyanes, Simon le magicien, A
re les membres disloqués; que le moine Benjamin détournait toutes les
maladies
par le seul contact de sa main. Protogène, prêtre
hysionomie d’un certain nombre de spectateurs ? On a souvent vu les
maladies
nerveuses devenir contagieuses dans les hôpitaux,
Bodiu, p. 305. accompagnés de convulsions et de tremblements. Cette
maladie
s’étendit avec une grande rapidité , particulière
smond (2), qui a publié récemment un ouvrage fort remarquable sur ces
maladies
, rapporte une épidémie extatique qui eut lieu de
ic. and Physic. Journal, 1814. (2) Des Hallucinations, p. 249. La
maladie
attaquait communément des jeunes gens de seize à
pas ignorées des religieuses. Tous ceux qui ont fait quelqu’étude des
maladies
hystériformes n’ignorent pas qu’elles sont souven
d’une application rationnelle de l’agent mesmérien au traitement des
maladies
, y sont exposées de manière à rendre le succès pr
que d’avouer une supercherie dont ils n’étaient pas coupables. Les
maladies
démoniaques ont une origine fort (1) Voyez la D
ons remplacèrent les dieux du paganisme. Si la possession était une
maladie
imaginaire, elle devait nécessairement s’amender
iété de chasser le diable. Nous lisons dans la Bible que toutes les
maladies
qui présentaient quelques symptômes surnaturels é
smes si puissants, qu’il chassait les démons, et guérissait ainsi les
maladies
les plus opiniâtres. Cet écrivain ajoute que l’ex
nd éloge des effets merveilleux de l’exorcisme dans le traitement des
maladies
diaboliques dont les symptômes concordaient parfa
iers (i), que l’usage des exorcismes et des oraisons pour chasser les
maladies
des hommes ne soit aussi ancien que l’Église. Le
ité papale (3). Les exorciseurs n’étaient pas toujours à l’abri des
maladies
dont ils entreprenaient la cure. « Nous lisons,
on s’en est toujours servi dans le traitement des possessions et des
maladies
les plus graves, surtout aux approches de la mort
sonnes de faire à l’avenir l’office de ceux que l’on croit guérir les
maladies
par paroles et par bénédictions, et de réciter pu
servatifs, tels qu’amulettes, ligatures, etc., dans le traitement des
maladies
, parce que, dit-il, ce sont les enseignes de la m
qui eut lieu en i665. Plus tard il traita indistinctement toutes les
maladies
, et sa renommée lui attira de la part du clergé l
nté. Convaincu de l’existence de ce principe morbide dans beaucoup de
maladies
, il fit lui-même usage des exorcismes pour d’autr
n, les incurables aflluaient de tous côtés. Gassner distinguait les
maladies
en deux grandes catégories : les maladies naturel
. Gassner distinguait les maladies en deux grandes catégories : les
maladies
naturelles et les maladies démoniaques. Ces derni
maladies en deux grandes catégories : les maladies naturelles et les
maladies
démoniaques. Ces dernières étaient, suivant lui,
e, en général toutes les affections nerveuses. 11 admettait aussi des
maladies
mixtes occasionnées en partie par la nature, en p
e, en 1820, avec un exorciste nommé Michel Martin, qui guérissait les
maladies
en invoquant le nom de Dieu. Il le vit opérer, la
ien certainement que le résultat de ces réactions dont l’histoire des
maladies
nerveuses nous offre tant d’exemples. Chaque obse
Somnambulisme, p. 384. (2) Natural, des Convuls., p. 58. « Cette
maladie
, dit le savant Cullen (i), était épidémique dans
t invoquer l’intercession de quelque saint, pour la guérison de cette
maladie
; comme on l’a vu à Ulm (dans la Souabe), dans le
des jeunes gens des deux sexes. » Les personnes atteintes de cette
maladie
entraient dans de violents tremblements convulsif
té couler leur sang abondamment. Cette relation bien incomplète des
maladies
et des cures qui appartiennent au vaste domaine d
ient la lumière; là des paralytiques abandonnant leurs béquilles; des
maladies
plus cruelles, ces tumeurs dégoûtantes que les sc
eptembre 1849. M....... « Hier comme aujourd’hui, la guérison des
maladies
internes est toujours conjecturale ; ici, c’est l
Potel; comme eux j’emploie avec bonheur le fluide magnétique dans les
maladies
les plus graves, et dans celles qui, de tout temp
et dans peu de temps guérie, qu’elle-même elle avait été guérie d’une
maladie
qu’on disait incurable, n’ayant fait usage que du
détail circonstancié des causes qui ont ou doivent avoir déterminé ma
maladie
, et des effets que j’ai ressentis depuis que vous
ées j’ai grandi de 3o à 35 centimètres, ce qui m’occasionna plusieurs
maladies
auxquelles les médecins ont donné le nom de fièvr
, le fait est que je ressentis, pen- dant plus d’une année après ma
maladie
, des douleurs lancinantes aux principaux viscère
aux viscères de la poitrine. Au mois de janvier i8/|5, toute cause de
maladie
ayant disparu, je me croyais radicalement guéri,
que je boiterais toute ma vie; l’autre, au contraire, soutint que la
maladie
provenant, sans aucun doute, d’une trop grande cr
cté ; il déclara en outre, et avec une conviction profonde, que cette
maladie
ne pouvait me rendre boiteux. Il appuya son opini
algré leur diversité d’opi- nion, le seul spécifique à opposer à la
maladie
. Ces moyens, comme ceux que j’ai détaillés dans m
Les premières atteintes s’en firent sentir en 1852, pendant une grave
maladie
. 12° Amélioration marquée. Ce symptôme doit dur
tats. — Cette action amène difficilement le sommeil. L’inlensité delà
maladie
, portée au comble par celte influence, s’amende p
kilomètres sans éprouver de fatigue. Veuillez vous rappeler que ma
maladie
, passée à l’état chronique depuis plus de trois a
onnaître cc digne homme. M. Thessier, médecin , voyant l’état de ma
maladie
, me dit que je ne pourrais jamais guérir à Troyes
tes recherches ! Sans doute tous ces hommes ont trouvé le remède aux
maladies
nées de leurs passions et de leur ignorance; ils
es assertions de nos grands hommes. C’est un nouvel art de guérir les
maladies
; une nouvelle philosophie; la mort certaine de
anières. D’abord, par le fait naturel de l’usure des organes, par les
maladies
, par une vive secousse, par une joie excessive, p
somnambules trouvent d’inspiration les remèdes infaillibles contre la
maladie
, et aujourd’hui, comme je le disais, dans le somn
nt les parties malades qu’il signale, les causes physiologiques de la
maladie
, ce n’est pas une raison pour que cette lucidité
ambule qui vient de donner les renseignements les plus exacts sur une
maladie
, et pourtant, il faut qu’on le sa- che, il n’y
Depuis plus d’un an, une demoiselle d’environ a5 ans, éprouvait une
maladie
singulière. C’étaient des enflures de grosseur d’
ns les autres fonctions. Plusieurs médecins avaient considéré cette
maladie
comme scorbutique, et, pendant une année, avaient
Depuis cette époque, bien des années se sont passées, et jamais celte
maladie
n’a reparu. 11 est donc évident que dans ce cas
er; la malade, au contraire, perdait ses forces et son courage, et la
maladie
augmentait d’intensité. La malade voulut consul
s, et je lus la lettre, qui ne donnait assurément aucun indice sur la
maladie
. La consultation fut un mélange de vérités et d
sultation fut un mélange de vérités et d’as' sériions erronées sur la
maladie
et sur la malade. Néanmoins, des aperçus d’une ju
valeur du magnétisme et du somnambulisme, appliqués au traitement des
maladies
. 1)' CHAKl’IGNON. A Monsieur du Polet de Senn
ature de moyens inconnus jusqu’alors de guérir et de se préserver des
maladies
. L’esprit de nouveauté l’a fait un instant accuei
s principes. J’y développerai les méthodes de traiter toute espèce de
maladies
in- ternes et externes. J'ose avancer sans prét
les comprendre. Le médecin admettra bien la curabilité de certaines
maladies
par des applications magnétiques ; mais il n’ajou
mbre, grande édition , analysant l’ouvrage du docteur Mathieu sur les
maladies
des femmes, cite de cet auteur un passage favorab
riétés, soit pour obtenir les états magnétiques, soit pour guérir les
maladies
? Que les opérations fussent mentales ou manuelle
tats heureux que j’avais obtenu dans la guérison d’un grand nombre de
maladies
de langueur, de l’épilepsie; dans les maladies hy
n d’un grand nombre de maladies de langueur, de l’épilepsie; dans les
maladies
hystériques, les pâles couleurs, les affections h
ux comme mes enfants d’adoption, est devenue, après sa guérison d’une
maladie
réputée généralement incurable , par le magnétism
ue St.-Vivien, dépose : J’ai une fille qui a, depuis trois ans, une
maladie
de ventre. Comme elle était abandonnée des médeci
t espérer que la dame Marthe pourrait ainsi découvrir quelle était sa
maladie
. La somnam- bulc déclara à nia fille qu’elle ét
. Evette, 449. — De la valeur du somnambulisme dans le traitement des
maladies
, par le Dr Charpignon, 638. Insensibilité des
t.-Médard, 555. — Danse de St.-Guy, 557. Médecine transplantatoire.
Maladies
passant du corps d’un homme dans un autre, ou dan
Didier l’oracle, 159. Kinésithérapie, ou Traitement gymnastique des
maladies
, par le Dr Georgii. — Reflexions par M. Hébert (d
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
DIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
comprises représen- tent un certain nombre de types* tranchés ; la
maladie
décrite par M. Ray- naud, l'ostéoarthropathie h
tel ou tel cadre défini. C'est ainsi par exemple qu'à côté de la
maladie
de Raynaud bien carac- térisée que constitue la
érents cas. Et, dans un chapitre annexé à celui qu'il consacre à la
maladie
de Raynaud, il établit que, à côté du syndrome, i
e l'hypertrophie,au contraire. En sorte que l'on peut, à côté de la
maladie
de Raynaud, distinguer trois grandes classes d'
travail tout récent d'Herscheimer et Hartmann (4) qui appellent la
maladie
: acrodermatite chronique atro- phiante. Quelqu
ssitôt que la pression cesse, au contraire de ce qu'on voit dans la
maladie
de Raynaud. Jamais celle teinte n'a été précédé
r exactement ce cas. Il lui semble qu'il appartient à la fois, à la
maladie
de Raynaud, à t'erythrométatgie, la maladie de
artient à la fois, à la maladie de Raynaud, à t'erythrométatgie, la
maladie
de Morvan, au myxoedëme, à l'hystérie. Il est bie
ion sous l'étiquette d'acromégalie com- pliquée de phénomènes de la
maladie
de Raynaud. Pourtant, comme le remarque M. Cass
rer, rien ne permet d'affirmer l'existence de l'acromé- galie et la
maladie
de Raynaud n'est nullement caractéristique car le
me des téguments et sans attaque locale qui pût la rapprocher de la
maladie
de Raynaud. Cette maladie d'allure spéciale don
ttaque locale qui pût la rapprocher de la maladie de Raynaud. Cette
maladie
d'allure spéciale donne lieu, d'après l'auteur,
e à un litre et demi de vin blanc, quelquefois davantage. Jamais de
maladie
vénérienne, pas de syphilis. Il n'a jamais quit
e même sont le siège de sensations pénibles ; depuis le début de la
maladie
, il en est ainsi. La force musculaire ne revien
oloration cyanique n'atteint un de- gré bien accentué et surtout la
maladie
se présente sous forme de crises nocturnes, qui
change avec l'affection par nous observée. C'est surtout avec la
maladie
de Raynaud qu'une différenciation est né- cessa
ette conception que les causes en sont multiples et que différentes
maladies
aigués ou chroniques peuvent être incri- minées
nente. Et cependant certaines observations produites sous le nom de
maladie
de Raynaud paraissent reproduire le tableau de
ct de l'air froid ou de l'eau, suffit à écarter cette hypothèse. La
maladie
de Raynaud est intermittente : l'acrocyanose ch
atégories, qui à un examen superficiel, peuvent en imposer pour une
maladie
similaire. Tout récem- ment en effet M.Hirchsfe
n marquée du volume des pieds et des mains, avec de la (1) Souques,
Maladie
de Raynaud de nature hystérique guérie par sugges
'on puisse faire état des (1) HUTCfi1N90 : V, De l'acropalkologie :
Maladie
de Raynaud et états similaires (Sem. méd., 1893
ypertrophiante le tableau symptomatique que voici. En général, la
maladie
frappe des sujets relativement jeunes : l'dge m
C'était auparavant une sensation désagréable. C'est maintenant une
maladie
: l'acrocyanose chronique hypertrophiante est c
mènes ne sont pas symétriques comme on a coutume de le voir dans la
maladie
de Raynaud. Dans deux observations publiées par
émité des doigts et des orteils. Ces sensations sont,au début de la
maladie
, généralement intenses pendant 22 FÉRU l'hive
acune qu'il importerait de combler à l'avenir. L'évolution de cette
maladie
est lentement progressive, et dans la règle, au
sulfate de quinine à forte dose. (1 gr. 50 par jour) comme dans la
maladie
de Raynaud, le salicylate de soude, le bleu de
complètement relaté : c'est que les sujets étaient at- teints d'une
maladie
des voies respiratoires : tuberculose probable da
de la face atteint, elle rentre bien dans le cadre classique de la
maladie
de Rom- berg. Le début de l'affection remonte
it être transportée de la périphérie dans les centres. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
nique et qui sont sous la dépen- dance directe des cachexies ou des
maladies
du coeur, des reins, il reste une série confuse
stérique (type Charcot). III. OEdèmes chroniques. A. Au cours des
maladies
du coeur, des vaisseaux, des reins,r : tll cours
s vaisseaux, des reins,r : tll cours des cachexies, et de certaines
maladies
chroniques du système nerveux. B. OEdème chroni
ou subaigu. L'élément étiologique serait ici moins incertain : les
maladies
infectieuses, le traumatisme interviendraient e
Calvé, OEdème aigu toxinévropathique de la peau et des muqueuses. -
Maladie
de QuincLe. 1901, Paris, Ed. Boyer, et la mono-
qui parait être l'origine des phénomènes actuels. Histoire de la
maladie
. - En février 1900, Lucie J... patinait à Saint-
endue dans les pages 33 à 35 de l'Orien- tation ? 7 (2) GItA55$T,
Maladies
de l'orientation et de l'équilibre, 1901, p. 54,
arce qu'avec le goût je discerne mieux la cause et les suites de la
maladie
... (1). Molière, ajoute M. Charles Nicolle, ne
ue quant à la personne dont elle sortait, elle devait avoir plus de
maladies
qu'elles ne s'en doutait (2). Les Urologues d'a
point, aussi qui ne se cognoissenl point par l'urine, car plusieurs
maladies
adviennent au corps des- quelles les urines ne
au côté droit, pour ne cesser que dans les dernières périodes de la
maladie
. En même temps se fit jour, sous la peau cicatris
flexes s'installa peu après. Pendant les deux dernières années de la
maladie
, la déchéance des facultés intellectuelles s'ac
s. Le malade mourut trois ans et demi après le début clinique de la
maladie
(juillet 1901). Autopsie. - Symphyse pleurale c
ète pour toutes les images visuelles acquises antérieure- ment à la
maladie
. Ce point particulier nous permet de comprendre l
de se représenter mentalement les chemins qu'il parcourait avant sa
maladie
. Le même fait se retrouve dans une observation
e el objective : douleurs lancinantes au cours de l'évolution de la
maladie
et hypoesthésie cutanée très nette. Si l'on rap
n. R... Philippe, 38 ans, entre à l'hôpital St-Potliin, service des
maladies
ner- veuses, le 17 mai 1902. Antécédents héré
nts héréditaires. Père âgé de 70 ans vivant et bien portant. Pas de
maladies
antérieures. Pas d'alcoolisme. Pas d'accidents ne
'alcoolisme. Quelques habi- tudes de masturbation. Histoire de la
maladie
. Le malade, une fois la marche établie (à 4 ans)
ataxiques ne sont pas des symptômes de premier plan. Par contre la
maladie
de Friedreich se manifeste toujours d'emblée pa
es, ni chute spontanée des ongles ; il déclare n'avoir jamais eu de
maladies
vénériennes, ni blennorrhagie, ni chancre, ni a
. 3° L'abolition des réflexes rotuliens. Cet homme n'a pas eu de
maladies
vénériennes. Mais il porte des stig- mates indé
nvocation de Sainte Anne, Saint Jacques, et Saint Roch con- tre les
maladies
, au musée de Bâle, j'ai signalé un malade demi-nu
urprenant d'ailleurs à ce que les artistes qui ont voulu peindre la
maladie
aient choisi les gonflements oedémateux et les ul
être subordonnée à divers facteurs, traumatismes, grandes fatigues,
maladie
infectieuse intercurrente, etc. Au début de leur
sation de la lésion il la moelle elle-même et la longue durée de la
maladie
: dans (1 Philippe et OnrimiuK. Coke. à l'élude
maire. 4° L'envahissement des méninges et la marche rapide de la
maladie
nous font ranger ce cas dans la catégorie des s
es, l'une nerveuse, l'autre respiratoire ont partagé le cours de la
maladie
. Dans la première, les symptômes nerL'eUX consl i
atrophie musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses. Paris, 189.'i. 160 SPILLMANN ET RIOC
l avait grandi rapidement à la fin de l'adolescence, sans qu'aucune
maladie
in- fectieuse eût influencé sa croissance. Plus
firmer, chez un géant infantile, le grand Charles, l'évidence de la
maladie
de Pierre Marie, et cela, avanl même l'appariti
mille, ni du côté de son père, ni de celui de sa mère il n'y eut de
maladies
mentales ni de maladies nerveuses ; aucun parent
père, ni de celui de sa mère il n'y eut de maladies mentales ni de
maladies
nerveuses ; aucun parent ne pré- senta une tail
fection que le médecin traitant considérait comme une méningite. La
maladie
commença par de la fièvre et des maux de tète;
année il eut la rougeole et six mois après la jaunisse. Toutes ces
maladies
furent bien supportées. La croissance datant de l
érature, considérer notre sujet comme le plus jeune des géants. Les
maladies
accompagnées de fièvre (méningite ? ), les maladi
des géants. Les maladies accompagnées de fièvre (méningite ? ), les
maladies
infectieuses, éventuellement avec écoulement pa
et les oreilles, jouent un grand rôle dans l'étiologie de bien des
maladies
, ainsi que dans le cas présent Etat des organ
s'était déjà installée, elle cesse de se manifester au cours de la
maladie
, et cette disparition des fonctions sexuelles n
ophie de l'hypophyse comme la base pathologique commune de ces deux
maladies
. Il s'est basé sur les résultats constatés chez
crâne, l'hypertrophie de l'hypophyse. M. Babinski est d'avis que la
maladie
de l'hypophyse produit tantôt le gigantisme, ta
d plutôt l'opinion d'après laquelle l'infantilisme dépendrait de la
maladie
de la glande thyroïde. D'après lui il y a des géa
accouchement simiesque. 17° Année N° 4 Juillet-Août CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE)
Pour éclaircir ces difficultés, il faut reprendre l'histoire de la
maladie
. Nous ne savons pas grand'chose sur les antécéd
caractère si spécial, qu'au premier abord, on pourrait penser à la
maladie
de Parkinson ; cependant un examen un peu attenti
. Alquier, interne du service, qui fait sa thèse sur cette curieuse
maladie
nous a communiqué des remarques intéressantes F
in, dans ce sens. On ne peut s'arrêter non plus à l'hypothèse d'une
maladie
or- ganique à tremblement. En effet, il n'y a a
t désorienté, lout isolé après sa mort. A ce moment, commencent des
maladies
physi- ques, douleurs de ventre et d'estomac, t
s des autres. Un symptôme isolé ne suffit pas pour caractériser une
maladie
; sui- vant son évolution, suivant les autres p
orcées que présentent si sou- vent les psychasthéniques. Dans cette
maladie
qui porte principalement sur les fonctions supé
s on ne peut rele- ver dans ses antécédents personnels aucune autre
maladie
infectieuse, pas de fièvre typhoïde, ni diphtér
emportés. Mère bien portante, ne serait pas nerveuse, n'a pas eu de
maladies
pendant la grossesse ; aucune tare nerveuse dans
tare nerveuse dans la fa- mille du côté maternel. Histoire de la
maladie
. - L... se présente à notre observation pour une
allons discuter au préalable. Malgré l'apparition insidieuse de la
maladie
, à l'âge de la puberté, on ne peut songera la m
en cause dans cette observation dans le chapitre, ainsi intitulé, des
maladies
des muscles et des nerfs en particulier, de M.
à invoquer de tuberculose ou syphilis, héréditaires ou acquises, de
maladies
infec- tieuses ou de refroidissement ; de quell
e la sensibilité et des réflexes, enfin" l'évolution générale de la
maladie
, justifient pleinement cette hypothèse qu'une atr
es. - Il en est de même du som- meil ; jamais, à aucun moment de la
maladie
, les phénomènes moteurs n'ont apparu la nuit.
es moteurs n'ont apparu la nuit. Enfin l'évolution générale de la
maladie
est bien celle des tics. Voilà une affection qu
aggrave. - Survienne au contraire, par la connaissance exacte de la
maladie
et par l'indication d'un traitement ra- tionnel
une bonne condition de succès. INFANTILISME MYXOEDÉMATEUX ET
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN, PAR R HENRY MEIGE ET E. FE
tes régions du corps la double pig- mentation caractéristique de la
maladie
de Recklinghausen : 1° Le lentigo épargnant la
tte malade de la double pigmentation cutanée, caractéristique de la
maladie
de Recklinghausen, ainsi que la présence d'un g
n tend actuellement, Thibierge » en particulier, à diagnostiquer la
maladie
de Recklinghausen en se basant principalement s
eim (4), que la présence des deux signes physiques cardinaux. de la
maladie
de Recklinghausen et notamment des deux pigment
sé, une apathie physique invincible et (1) BRiSSAUD, Leçons sur les
maladies
nerveuses, t. I, 30° leçon et t. II, 22°-25e le-
ement ; et l'on peut les rattacher avec d'aussi bonnes raisons à la
maladie
de Recklinghausen. D'ailleurs, neurofibromatose
que et psychique, sont des symptômes de première importance dans la
maladie
d'Addison. De là cette hypothèse que, chez notr
glandes thyroïde, pituitaire, surrénales, sexuelles ? 1 Ou bien la
maladie
de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystro
bre inférieur ; absence du péroné et du cinquième orteil (Revue des
maladies
de l'enfance, 1898). Elle englobe le péroné et le
une affection grave du système nerveux foetal, il n'y avait aucune
maladie
, ni aucune variation des membres. Ce qui se dég
ation de la substance grise consécutivement à une anomalie ou à une
maladie
des organes locomo- teurs. D'ailleurs, et san
s et travailleurs. Il n'a jamais souffert, antérieurement, d'aucune
maladie
par- ticulière : il n'a jamais été exposé à des
'autres encore où ils sont rem- placés, comme au commencement de la
maladie
en 1900 et 1901, par des équivalents psychiques
ale et ne présenta ensuite, au cours de son dévelop- pement, aucune
maladie
de l'organe susdit. Le malade, du reste, depuis
sauf l'interprétation de la « qualité de la dame» ; mais de quelle
maladie
celle-ci peut-elle être atteinte ? Mariani n'ém
ce que la vie légère que l'on devine ait conime conséquence quelque
maladie
qui vienne assaillir la mignonne enfant et rend
la médecine, n'a pas consacré une seule ligne à l'iconographie des
maladies
vénériennes. Aux deux documents signalés par Ch
270 BLANCUARD lors, avaient même fait croire qu'il s'agissait d'une
maladie
nouvelle, ve- nue des Indes occidentales (Améri
soutenir que tabes et paralysie progressive sont une seule et même
maladie
dominée par la syphilis ; les autres, avec Jof-
ules ont été trouvées al- térées indépendamment de n'importe quelle
maladie
nerveuse (Klippel). Existe-t-il une pseudo-para
t Topinard croit que l'on peut séparer une forme cérébrale de cette
maladie
, distincte de la démence paralytique. Si l'opin
M. Bris- saud, à l'Eltel-Dieu, le 3 février 1903. Histoire de la
maladie
. Son mari mourut il y a trois ans, d'une affect
nes et un idiot à l'âge de 21 ans. La malade n'a jamais souffert de
maladie
aiguë ; les antécédents spécifiques n'ont pu êt
mes tabéti- ques ont précédé, comme nous l'apprend l'histoire de la
maladie
, de trois années environ les symptômes paralyti
Jamais elle n'aurait éte atteinte de rhumatisme, ni d'aucune autre
maladie
infec- tieuse. Pas de syphilis. Tels sont ses a
Deux autres arguments peuvent encore être invoqués en faveur de la
maladie
de Dercum : d'abord l'époque, voisine de la ménop
de Neurologie de Paris (séance du 4 juin 1903), sous le titre de «
Maladie
de Dercum chez une démente catatonique agitée».
particulier à l'alcoolisme chronique. 286 DENY ET LE FLLY Pour la
maladie
de Dercum en particulier, à laquelle semble bien
re mourut de la tuberculose. Parmi les consanguins, il n'y a pas de
maladies
nerveuses et mentales. r Le malade jouissait to
utique du syndrome cité sont le pronostic de la thérapeutique de la
maladie
fondamentale. - . MM. Raymond et Janet,en attir
rant l'attention sur la richesse du matériel en ce qui concerne les
maladies
nerveuses dans la Salpêtrière, mentionnent t me
- lysie systématique, il faut ajouter d'autres faits qui rendent la
maladie
de Rul... beaucoup plus complexe et qui vont pe
tion assise. Femme nerveuse, émotive, inquiète dans sa jeunesse. Sa
maladie
n'a commencé qu'à l'âge de 20 ans, quand elle a
hisie sera différente. On pourra certainement l'obser- ver dans les
maladies
diverses et dans les états divers, mais toujours
i- sant observer le caractère d'ordre-fonctionnel et cortical de la
maladie
même. Le second de mes cas s'approche déjà pl
'à 120 ans. D'après ces mêmes auteurs, et d'après les légendes, les
maladies
étaient peu nom- breuses chez eux, et ceux qui
r du sujet ; d'autres renseignent sur le début et l'évolution de la
maladie
, sur l'état des malades à leur arrivée à Gheel, u
dans le Liber innocentium, quelques détails sur les symptômes de la
maladie
, renseignements d'ailleurs assez vagues. En voici
les de la peste, s'en tourmenta si fort, qu'il tomba dans une grave
maladie
dont il demeura avec une im- potence des jambes
nerfs (Arch. ital. de . Biol., 1898). Marie (P.). Leçons sur les
maladies
de la moelle. Paris, 1892. Neumann. Ueb. Degen.
Myxoedème. On sail que W. Gull signalait en 1873 l'existence d'une
maladie
caractérisée par un gonflement de la peau et un é
rvenant chez les femmes à l'étal adulte. Or, en 1879, on dénomma la
maladie
« myxoedème ». Morvan, en 1875 (lettre à Charcot)
e avec fruit et s'il est manifeste que la neuro-fibromatose est une
maladie
bien autonome, il existe peut- être entre les a
hie DE la Salpêtrière. T. XVI. Pl. LXVIII 1. Trophoedlllc, 2-3.
Maladie
de Dercum. (M. Dide.) LE PSEUDO-OEDÈME CATATO
ckerhoff(l) et les études de Kleinpaul sur le lie du lèchement" Otl
maladie
du lécher des bovidés (2) étant muets sur ce su
les mouvements analogues, mais volontaires, dusujet au début de sa
maladie
. Mais s'il ne correspond pas exactement au tic pa
s ressemblent à ceux du delirium tremens ; dans cette période de la
maladie
, il est très difficile de poser un diagnostic e
s envisage ordinairement comme un phéno- mène non normal, comme une
maladie
; mais très souvent il tend à penser et même il
invisibles, gâtent l'air par de mauvaises odeurs. Le cours de la
maladie
dans le délire alcoolique continu se caractérise
es cas légers, où il y a com- parativement peu d'hallucinations, la
maladie
dure assez longtemps et les voix continuent à s
avantage le malade ; cette exa- cerbation peut dépendre de quelques
maladies
occasionnelles somatiques, et aussi, peut-être,
des centres auditifs du cerveau. Concernant la terminaison de cette
maladie
, comme nous l'avons déjà dit plus haut, le déli
état de confusion, le malade parfois a l'air d'un homme atteint de
maladie
psychique ; il parle quelquefois avec lui-même, p
ait des coups. Nous rapportons ce cas au nombre des plus graves; la
maladie
durant ici déjà depuis dix ans. Mais bien des m
ans leur conduite. Une circonstance favorisant l'amélioration de la
maladie
est ce fait que la plupart des malades cessent
uer ce fait par cela que le malade, effrayé par la continuité de sa
maladie
, commence à craindre de perdre tout à fait l'es
, souffrant de délire alcoolique continu, ne cesse pas de boire, la
maladie
peut prendre un caractère pro- gressif très mar
irium tre- mens, alors il est bien entendu qu'au commencement de la
maladie
le diagnostic est difficile et ne peut pas être
nable que le second. Ensuite, dans le délire alcoolique continu, la
maladie
ne lend pas à un développement ultérieur; au co
a alcoolique chronique on observe un développement progressif de la
maladie
, l'état du malade empire, le délire se développ
vent, le malade lui-même les envisage comme une manifestation de la
maladie
; au contraire, dans la mélancolie alcoolique, l
ucinations auditives. La conduite des malades dans l'une et l'autre
maladie
est différente : celui qui est at- teint de dél
ble et un grand pécheur; il est timide et n'aime pas à parler de sa
maladie
. Rapports du délire alcoolique continu avec les
des raisons pour présumer que le délire alcoolique continu est une
maladie
tout à fait indépendante du delirium tremens. A
ution de cette question il faut avoir en vue ce qui suit : bien des
maladies
mentales, d'origine alcoolique, qui sont provoqué
isemblance assez grand et même avec une assurance complète, que ces
maladies
ne se développent pas sur le delirium tremens, ma
delirium tremens est dans ces cas une complication accessoire de la
maladie
fondamentale. Ce même point de vue peut s'appliqu
ssons cette question pendante. Maintenant quel est le rapport de la
maladie
en question avec la para- noïa alcoolique chron
'il y a des raisons de réunir 398 SOUKHANOFF ET WEDENSKY ces deux
maladies
en une seule, il y en a au moins autant pour la s
ations auditives ; elles constituent, dans le cours ultérieur de la
maladie
, le symptôme essentiel, et dans bien des cas, l
le symptôme essentiel, et dans bien des cas, l'unique contenu de la
maladie
». S. S. Korsakoff note que cette maladie se dév
as, l'unique contenu de la maladie». S. S. Korsakoff note que cette
maladie
se développe ordinairement chez des individus qui
qui ont déjà supporté plusieurs atteintes de delirium tremens ; la
maladie
dure ordinairement quelques mois ou quelques an
ire alcoolique continu de la paranoïa alcoolique et décrit ces deux
maladies
sous la dénomination de « délire continu des buve
lcoolique ». A.-F. Erlitzky (3) dans ses « Leçons cliniques sur les
maladies
mentales », sans examiner le délire alcoolique co
ations stables, principalement auditives, comme seul reliquat de la
maladie
. Le trouble mental, décrit il y a peu de temps
II, Moscou (en russe). (3) A.-F. ERLITZKY, Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, Saint-Pétersbourg, 1896 (en russe).
élire alcoolique continu, vu la diffé- rence dans l'étiologie de la
maladie
susnommée (lésion de l'appareil auditif) et dan
orrespondent pas au délire alcoolique con- tinu ; le rapport de ces
maladies
avec le delirium tremens, d'un côté, et à la pa
de « délire de persécution des alcooliques ». D'après -Nasse, cette
maladie
est une psychose développée d'une manière aiguë
fin par Bonhoeffer (2), comme « Acute Hallucinose der Trinker ». La
maladie
se caractérise par des hallucinations auditives
ordinairement le délire de persécution, absurde et fantastique; la
maladie
dure quelques jours ou quelques semaines, rarem
t elle dure des mois. Cette circonstance que, d'après Kroepelin, la
maladie
peut débuter par des phénomènes, rap- pelant le
hoeffel' ne considère pas comme absolument indispensable pour cette
maladie
la systématisation du délire, et il propose de
ns systématisées, l'évolution rapide et le cours non prolongé de la
maladie
avec termi- naison ordinaire par la guérison. I
ns, l'agitation motrice et l'insomnie manquent ordinairement, et la
maladie
ou finit par la guérison, ou, par suite de la c
fluence de quelques causes d'épuisement (la tuberculose, etc.) ; la
maladie
finit par la guérison, si le malade ne succombe p
la maladie finit par la guérison, si le malade ne succombe pas à la
maladie
somatique. Il nous semble que, ni le « délire a
Magnan, L'alcoolisme, 1874. (2) CLOUSTON, Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, Traduction russe. Saint- Pétersbourg,
de lous les cas de trouble mental ; c'esl donc comparativement une
maladie
rare. Si nous prenons les hommes (3110) et les
il y a l'alcoolisme des parents, principalement du père, dans 3 des
maladies
nerveuses et men- tales chez des proches parent
d'après l'âge, nous obtenons les données suivantes : dans 1 cas la
maladie
s'est manifestée à l'âge de 21-25 ans, dans 9 cas
es 3 cas de délire alcoolique continu chez les femmes dans 2 cas la
maladie
s'est manifestée à 52-53 ans et dans 1 cas à 36
a signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les
maladies
mentales, notent que dans lous les cas de délire
a signification clinique de la contraction idio-musculaire dans les
maladies
mentales, Journal (russe) clinique, 1901, no 5.
ures ou de sculptures inspi- rées par la vue des difformités ou des
maladies
: Les infirmes, les para- lytiques, les aveugle
es de la Tourelle, Brissaud, Pierre Marie ; celles du Dr Thibierge (
maladies
cutanées et syphilitiques), du Dr Blanchard (pa
tal Saint-Louis, une exposition des images anciennes, relatives aux
maladies
cutanées et syphilitiques. Les documents figuré
emps dernier, dans la 420 L'OEUVRE MÈDIC0-AI1TIST1QUE section des
Maladies
populaires, la collection des documents figurés r
le théâtre japonais, p. 359-376 (4 fig.). ( ? 1 : . 1\lAm.svc. - La
Maladie
, tableau de Jules Romain, p. 468-470 (1 phot.).
Histoire de la médecine et la représentation des difformités ou des
maladies
, un certain nombre de travaux de Henry MEME com
logr.), par KLIPPEL et RABAUD, 238 . Infantilisme myxmdémaleux et
maladie
de Recklinghausen (1 pl. en photocollogr.), p
coll.), 321. Feindel et H. MEIGE, Infantilisme myxoe- démateux et
maladie
de Recklinghau- sen (1 pl. en photocoll., 1 fig
9-410. MEIGE (Henry) et E. FEINDEL, Infantilisme myxoedemateux et
maladie
de Reckling- hausen (1 pl. en photocoll., 1 fig
calaire (Klippel et Rabaud), L bis. Infantilisme myxoedémateux et
maladie
de Recklinghausen (Henry Meige et Fein- DEL.)
S Dr. NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT
SOUS LA DIRECTION DE MM. A.JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté Je médecine de Paris.
OLLAOaA7EUR5 PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système neneux la Faculté de médecine de
faisse- ment et la période d'excitation de Informe circulaire des
maladies
mentales cette forme consiste, non comme on l'a
en particulier l'incurabilité,il ne l'a véritablement décrite comme
maladie
distincte qu'après la lecture faite par Baillar
il- larger et P. Faire ! ont décrit presque simultanément la même
maladie
, sous deux noms différents. Ajoutons toutefois
voir, et comme la suite le démontrera plus encore, que d'une seule
maladie
pouvant revêtir deux modalités différentes. M
u'une brève mention à la folie à double forme dans son Traité des
maladies
mentales, sans lui donner davantage droit de ci
de Ritti sur la folie à double forme. (1)nI0lt>rr.. Traité des
maladies
mentales, 1868, p. 477. S CLINIQUE MENTALE.
mélancolie en manie, et le retour de celle-ci à la mélancolie. « La
maladie
, dans. sa totalité, représente alors, dit cet a
tion de son Traité de Psychiatrie, pa- rue en 1893, classe dans les
maladies
constitutionnel- les incurables marche chroniqu
ion de son Traité de Psychiatrie, une nouvelle classification des
maladies
mentales, complètement différente de celle qui
ous ces états comme les manifestations, les équivalents d'une seule
maladie
fondamentale, à laquelle il donna le nom de fol
l'aire et par Morel, devait être définitivement exclue du cadre des
maladies
mentales, comme forme clinique indépendante, et
mais néanmoins secondaires et limités à une phase épisodique de la
maladie
(1) ». Aussi cetauteur proposa-l-il de conserve
trop le louer, de mettre en valeur la nouvelle classifi- cation des
maladies
mentales du professeur de Munich, mais jusqu'à
aient apporté quelque chan- gement à la physionomie clinique de la
maladie
». Gilbert Ballet, dans le Xc volume du Traité
use physique ou morale facilement appréciable (chagrins, surmenage,
maladies
infectieu- ses, etc). Les accès de manie et d
MANIAQUE-DEPRESSIVE. 17 11 suffit, du reste, de se rappeler que la
maladie
ne crée rien, qu'ellc ne fait qu'exagérer des d
re considérés désormais commodes manifestations d'une seule et même
maladie
fondamen- tale, la folie maniaque-dépressive, q
entendu que ce traitement ne dispense pas de celui des causes de la
maladie
, el que les syphilitiques par exemple restent j
des lésions cellulaires profondes, et qu'aueou- traire, une longue
maladie
, avec troubles mentaux plus effacés, peut about
staté l'hypertrophie ou la congestion de l'hypophyse par exemple la
maladie
du sommeil (Manson), l'Influenza, etc ; 5° dans
s malins métastatiques, dans les abcès de l'hypophyse. - z^ Dans la
maladie
de Casedow, clui très vraisemblablement doit *-
explique les troubles qui se vérifient pendant le sommeil dans les
maladies
des glandes à 'sécrétion interne, glandes liées
que ou intellectuel, d'une infection ou d'une intoxication, d'une
maladie
de llanti, d'une lésion des organes génitaux, d'u
es génitaux, d'une gros- sesse ou delà puerpéralité ou encore d'une
maladie
de l1asedu\r plus ou moius fruste (Brissaud et
er si cet ensemble clinique n'est pas un simple syndrome et non une
maladie
définie. Les muscles sont parfois altérés. On y
ordinaire des neurones des sujets tarés chez qui on rencontre colle
maladie
. Cette variété de para- lysie bulbaire est pour
enaud. (L'Encéphale, 19011, n° 2.) La confusion aiguë n'est pas une
maladie
, c'est un symptôme qui est l'expression d'une i
forme distincte qu'on rencon- re avec, prédilection il la suite des
maladies
infectieuses. sem- ble rationnel de lui rapport
différente. La paralysie générale n'est pas l'aboutissant de toute
maladie
mentale, comme le voulait Esquirol; elle n'est
e OIONTYEL. (Rev. de )1t<'(<., janvier \ ! 10G.) Dans toute
maladie
, il est doux éléments primordiaux, on les désig
ouer à cette infection un rôle trop considérable dans la genèse des
maladies
mentales ; mais même réduit le plus possible, l
une cause de paralysie générale, mais en toutcas celte cause de la
maladie
do 11av1ecsLexceptionnelle. L'impaludisme n'occas
points de pathologie géné- ralequi montrent l'étroite relation des
maladies
mentales avecles autres affections de l'organis
celle du pouls. Celle-ci, en effet, pendant la période d'état delà
maladie
a montré le tracé d'une véritable tachycardie l
- tions, conjonctive, myxomateuse, graisseuse, etc. Fréquence des
maladies
nerveuses chez les Arabes. M. Dumollard rapport
abes. M. Dumollard rapporte des statistiques pour prouver que les
maladies
nerveuses, sauf peut-être la P. G., sont aussi fr
e prononcer avec exactitude sur le dia- gnostic etle traitement des
maladies
, elle devraitbien aussi, sans avoirétudié le co
causes mo- rales, des causes pathologiques (infections, ménopause,
maladies
58 VARIA. du foie). De sorte que la concept
t;iO)M ? /a) ! < le but d'établir el de combattre les causes des
maladies
mentales. Le progrès considérable qui s'est v
extrêmement avantageux à la connaissance des tableaux cliniques des
maladies
mentales et des méthodes pour les soigner ; mai
mportantes qui se rapportent à la diagnostique et à la thérapie des
maladies
mentales peut être analysée et développée grâce
té scientiliqueà il l'égard de la prophylaxie et de l'étiologie des
maladies
mentales ne peut naître, au contraire, que delà
ntageusement consacrées à la recherche des véritables causes de ces
maladies
. Des catastrophes comme celle deCourrières, des
accoutume trop fa- cilement à l'inexprimable misère produite parles
maladies
men- tales ; et l'on paye sans hésiter et sans
ies de la recherche scien- silique sont ouvertes pour combattre les
maladies
en question, et les efforts de tant de chercheu
'un Institut International pour établir et combattre les causes des
maladies
mentales, - se propose d'indiquer l'ordre des t
supplémentaires dirigées contre les autres causes de tout genre de
maladies
mentales. Le Congrès nommera un Comité internat
ME 1. Généralités. lu Recherches sur la progression numérique des
maladies
mentales, et aussi de certaines formes spéciales
out le maté- riel existant ayant trait aux questions d'hérédité des
maladies
mentales ou nerveuses : ce matériel sera ensuit
les animaux. z 2. lt) Prédisposition aux ma- ladies, et surtout aux
maladies
mentales et à l'imbécillité, chez les individus
ues chez les peuples civilises et non civilisés et l'apparition des
maladies
en général et en particu- lier, différence entr
en général et en particu- lier, différence entre les formes de ces
maladies
chez les gens qui boivent et chez les gens qui
hologique, et révèle l'existence dutrouble oculaire essentiel de la
maladie
: fo2latalnzo- plégie interne à. développement
. complet des yeux du paralytique général aux divers stades de sa
maladie
. Cette revue d'ensemble des troubles oculo-pupi
re de ma- lades, pris à un moment quelconque de l'évolution de la
maladie
, mais de paralytiques généraux suivis de- puis
acilement examiner. 3° En effet, à la période la plus avancée de la
maladie
, alors que les lésions sont très apparentes, ce
longtemps les médecins, raisonnant comme le public, ont séparé les
maladies
de l'esprit et les maladies du corps et parqué
sonnant comme le public, ont séparé les maladies de l'esprit et les
maladies
du corps et parqué les aliénistes et les neurol
onde sait que les aliénistes, comme les neurologistes, étudient les
maladies
du corps. Quelleque soit leur opinion personnel
affection. Puis M. Dide aborde l'étude bactériologique : Dans les
maladies
mentales toxi-infectieuses, l'hémoculture est s
ent ; il suffit de multiplier et de coordon- ner les résultats. Les
maladies
du foetus fourniront d'impor- tants documents a
nerveux eux-mêmes, dans environ 100cas oùlamortavaitétédue à des
maladies
infectieuses variées accompagnées d'accidents men
ième série de 46 cas d'examens de sang de malades, présen- tant des
maladies
aiguës diverses avec délire, une seule fois on
luence heureuse de certaines infections sur l'évolution de quelques
maladies
mentales. Dans ces derniers temps, des CONGRÈ
m'a semblé, en regar- dant de nombreuses préparations provenant de
maladies
cérébrales très différentes, que l'on pouvait c
,,toujours prêtes à se combattre à la première occasion morbide. La
maladie
diminue la résistance de la cellule nerveuse, e
appliquer à l'un les règles qui seront de mise pour l'autre. Si la
maladie
est légère, ce n'est pas sa consta- tation qui
NS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. sonnels, niveau mental, degré de la
maladie
) afin d'éclairer le tribunal. Si celui-ci croit
s, il le fera sans que le médecin intervienne. L'appréciation de la
maladie
seule est d'ordre médical. Il me faut dire, mai
surajoutée. Cette notion a plus d'importance que la gra- vité de la
maladie
elle-même. CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET
pottr le diagnostic, Le pronostic et le traitement de cer<a'ne
maladies
du système nerveux. 11, P. Joire, professeur à
e mesurer les troubles du système nerveux dans un certain nombre de
maladies
, Quand on approche la main de l'appareil,on voi
ace d'une quantité qui varie chez l'homme sain et dans les diverses
maladies
du système nerveux. M. Joire a démontré que ni
riques, à des épileptiques, des choréiques, etc. ' Chacune de ces
maladies
s'inscrit au moyen du sthénomè- tre par une for
r le diagnostic, le pronostic et le traitement d'un grand nombre de
maladies
du système ner- veux. Les ictus dans la démen
e, ces ictus par leur précoce apparition annoncent le début de la
maladie
, au même titre que les ictus de la période initia
s encore être d'un grand secours dans l'anato- mie pathologique des
maladies
nerveuses et mentales. J. Séglas. - Atrophie
ne présente plus rien d'anormal dans les périodes avancées de cette
maladie
, .t. Séglas. XIX. L'association médiate dans la
nosologique les manifestations caractéristiques exté- rieuresdfretf
maladie
. Plus lard, les travaux (le Heehlinghau- REVU
ence sur les manifestations fondamentales et caractéristiques de la
maladie
. Pour lui, on doit penser que la plus grande pa
t la nécesilé d' ! lm,pilaliser les aliénés dès le tlé- but de leur
maladie
. Quadruple noyade Ii Kpitial. Dans un accès de
n adjoint de 111. le Professeur 1), Mal'ineseo, Chef du service des
maladies
nerveuses de Bucarest. L'étude des compressions
tout un chapitre riche de détails, concernant plus de la moitié des
maladies
ou des troubles psychiques que nous observons,
1901, Antoine C ? se présente à la consultation de la Clinique des
maladies
mentales de Toulouse, se plaignant de délire et
1. XXII 12 178 CLINIQUE MENTALE. 1 ]'hie ; il nous donne sur sa
maladie
un ensemble de détails qui font naître en nous
ngtemps après qu'elle eut été achevée, c'est-à-dire, au début de la
maladie
, lorsque, afin de se rendre compte de la signif
me trouve avoir reconquis une santé relative après trois ans d'une
maladie
hien accusée. « Vous me demandez encore : « Ête
stance n'implique pas, au cas d'adultération, l'application d'une
maladie
toujours identique, de même, en matière de psy-
été délicate, fut soignée e pour de l'anémie, mais n'a jamais eu de
maladie
grave. Le père est un solide gaillard, qui nie
contracté la sy- philis, et il ne présente aucun stigmate de cette
maladie
. Il ne s'adonne pas à l'alcool. D'après eux, le
ge de trois ans, l'enfant fut atteinte pendant trois semaines d'une
maladie
que l'on étiqueta méningite et sur laquelle on ne
e aucun vertige. Les poumons sont congestionnés, ce qui est dû à la
maladie
intercurrente. Le coeur est normalement dé- vel
ISTES ET NEUROLOGISTES. 203 lomenl la cause effective, unique de la
maladie
, a-t-il créé de toutes pièces la paralysie géné
traumatisme, s'il était pour quelque chose dans l'apparition de la
maladie
, n'avait pu jouer que le rôle de cause occasion
t-il considérer la paralysie gé- nérale ? Est-ce un syndrome ou une
maladie
spécifique ? ' ! Toute la question est là, et.s
0 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES, quer toutes les
maladies
de l'enfant. Cela viendra peut-être un jour ! 1
Dans le premier cas, la période fébrile a duré environ un mois. La
maladie
s'est montrée chez une prédisposée à ca- ractèr
a 7e paire. Sur la présence de la choline dans le sang au cours des
maladies
du système nerveux. M. Clause. - Des recherch
uisque les manifestations viscérales ou ar- ticulaires de ces mêmes
maladies
ont été peu influencées par ce mode de traiteme
être dirigé principalement contre l'anémie, cause principale de la
maladie
; on trouve en outre souvent l'indication d'ass
nts moyens, les ferrugineux et les toniques. » Dans le Traité des
maladies
nerveuses de Kraft-Ebing, je lis : « Vu que nou
ématique des courbes de fatigue comme pureté de diagnostic dans les
maladies
nerveu- ses ; par Mlle YOTEYKO. (Jou1'n, de Neu
ments incoercibles à l'éclampsie et se demande quel est, dans cette
maladie
, le rôle de l'insuflisance thyroïdienne. La thé
, leoib. de la Salpêtrière, 1905, ne /1.) 11 n'existe pas entre les
maladies
nerveuses familiales des li- mites bien tranché
que d'une affection familiale spasmodique qui tient à la fois de la
maladie
de frite. dreich, de la sclérose en plaques, de
ment inaccoutumé des phéno- mènes bulbo-protubérantiels. En failles
maladies
familiales sem- blent être des entités morbides
blent être des entités morbides beaucoup moins délimitées que les
maladies
non familiales, et dans la plupart la symptomatol
les. Aussi, au lieu de multiplier les types dans la description des
maladies
familiales, il vaudrait peut- être mieux y dist
culier des plus fertiles, tels sont les principaux caractères de la
maladie
exostosique. Celle-ci est fréquemment héréditai
à propos desquelles l'auteur éta- blit la nature héréditaire de la
maladie
exostosique et passant en revue les diverses th
es complexes avec des complications de tou- tes sortes; souvent, la
maladie
est familiale. C'est une myoclonie caries secou
cine de l'Etat, t, ou, à défaut, désagrégés ou chargés de cours des
maladies
menta- les en exercice dans les mêmes facultés
érole; qu'il n'est point épileptique ; qu'il n'est affecté d'aucune
maladie
contagieuse ou de scrofules au 2e degré ; qu'il
G'MELLHIŒ. 2,15 suite de cette négligence de l'étude des
maladies
mentales familiales, nombreux sont encore les a
onséquence, parmi les observations qu'il cite, il y a des cas où la
maladie
du second jumeau n'a pas com- mencé en même tem
e caractérisse, entr'autres, par un développe- ment simultané de la
maladie
chez les deux jumeaux. Il trouve que c'est asse
rouve que c'est assez pour cela de la ressemblance du tableau de la
maladie
et du développement indépendant de cette derniè
rganisation et malgré une prédisposition morbide identique, la même
maladie
peut se développer chez les deux soeurs, mais d
que les deux jumeaux portent en eux une tendance ex- cessive à la
maladie
. En second lieu, cette prédisposition incontest
e héréditaire. Il dit que si l'existence en général de celle-ci aux
maladies
mentales dans une famille donnée fait faire dan
hysionomie et de l'expression du visage, soit au point de vue de la
maladie
et de la santé, une res- semblance tellement pa
Il rappelle qu'on voit parfois, en effet, chez les jumeaux la même
maladie
éclater avec les mêmes ca- ractères, presque au
même où l'Académie de médecine entendait Villemin la démon- trer
maladie
infectieuse, transmissilJle et inoculable. (1\
monaires et les troubles mentaux. Esquirol (1) et (1) Esquirol. Des
maladies
mentales, vol. II. Archives, 2° série, 1906, t.
t commune ; en 1899, sur une proportion de 10.000 décès pour toutes
maladies
, il en compte 728 par tuberculose en Angleterre
ppés d'aliénation mentale et le rapport qui existe entre ces deux
maladies
. Pour ce pays, nous avons une statistique génér
nage doit s'exercer en faveur de l'aliéné déj au commencement de sa
maladie
, et pendant son traitement et sa convalescence,
si possible, d'une façon préventive aux personnes prédisposées aux
maladies
menlales ; et, comme surveillance et comme assi
us large (à cause de la valeur que le Patronage a pour prévenir les
maladies
, pour éviter les rechutes, et pour hâter les gu
n que le nombre de connaissances assu- rées à propos des causes des
maladies
nerveuses et mentales et en général de la dégén
r par tous les moyens que l'on croit opportuns à la prophylaxie des
maladies
ner- veuses et mentales ; le Congrès approuve l
tional pour l'élude étiologique et pour l'action prophylactique des
maladies
nommées et de la dégénération en général et ins
iatrique et les soins spéciaux que réclament les sujets atteints de
maladies
men- tales. Elles ont enfin l'avantage d'assure
pour déclarer l'incurabilité absolue des malades aliénés. Parmi les
maladie
» incidentes, relevons 19 cas de tuberculose pul
es quittent l'asile pendant la 1 Il année de leur séjour. Parmi les
maladies
incidentes, rele- vons la tuberculose (S IL, 2
erculose dans le» asiles ; il montrera l'extrême fréquence de celle
maladie
infectieuse chez des malades qui ont présenté d
qui a la valeur d'un axiome en pathologie mentale, est que,plus la
maladie
est récente, plus elle a de chances de guérir;
e, paiera les frais d'hospitalisation sans connaître la nature delà
maladie
. De plus les hôpitaux spéciaux sont supprimés.» n
urologistes. dont nous étions, ont t toujours pensé que l'étude des
maladies
du système nerveux élait du ressort des uns et
ico-J,edagogiques, gratuites pour les enfants indigents atteints de
maladies
du système le jeudi à 9 h. 112. - On peul se re
s-parents sont morts à un âge avancé, ils n'étaient pas atteints de
maladies
nerveuses. Son père est mort à 77 ans ; alcooli
ait un an de service (soutien de famille), s'y conduit bien. Pas de
maladies
vénériennes. D ? nous déclare du reste qu'il n'
Il est triste, verse des larmes, soupire : « je voudrais savoir la
maladie
que j'ai, je me dis que je suis abandonné, que je
es sont augmentés chez les phtisiques à toutes les périodes de la
maladie
; cette aptitude à fixer trop d'oxygène et à fab
ciété, aussi bien que les médecins, considéraient l'évolution de la
maladie
comme inévitablement fatale. Sans remonter à Hi
surtout au début. Grancher la considère comme « la plus curable des
maladies
chroniques, car au lieu « d'être un néoplasme m
de la Commission de la tuber- culose « sur la propagation de cette
maladie
dans les « asiles d'aliénés et sur les moyens d
Adoption de mesures très fermes pour empêcher la propagation de la
maladie
par les produits d'expec- toration. 9° Survei
normalement. Celte structure ne se rencontre pa dans la plupaL'ldes
maladies
morales et générales. On la trouve parfois cepe
is bien un indice des altérations profondes qui existent dans cette
maladie
..1. S. XXXVII. Sclérose en plaques expérimental
ggio Emilia. Vol. XXXI. l'nsc. II. La chorée de Iluntinglon e·L une
maladie
sui ge1 ! eris, au ca- REVUE D'ANATOMIE ET DE
logiques rencontrées expliquent la démence progressive propre de la
maladie
; mais elles ne suffisent pas à expliquer complè
emiers troncs des prolongements proloplasniiques. ,I. S. XXII. La
maladie
des scaphandriers ; par BOI,,ET (de \larseille)
la décompres- sion, dit Boinet, est la base de la prophylaxie de la
maladie
de l'air comprimé. (Acad. de mèd, séance du 26
n propre sérum hypertoxique pendant la phase de recrudescence de la
maladie
, on n'observe aucun phénomène d'intoxication im
aulre et chez un môme individu pendant les diverses périodes de la
maladie
, 2° si l'on fait chez des épileptiques des inje
dans d'autres mala- dies héréditaires systématiques du név t'axe (,
maladie
de Frie- drich, idiotie de Sachs, etc.) CH. Bon
é la défense du Coran, ne semble pas étranger au développement delà
maladie
; il en est de même du haschis. La pellagre donn
aise. C'e-t donc un appoint de plus à la théorie syphilitique de la
maladie
de Dayle (Acad, de mèd, 29 mai 1900.)L. WAHL.
paralysie générale sans exception, à un moment ou à un autre de la
maladie
quand elle suit tout son cours. Dans la presque
s nous recevons un grand nombre de nos entrants déjà épuisés par la
maladie
, pour s'expliquer la cause de la mortalité énor
des administra- tives s'oppose trop souvent au traitement hâtif des
maladies
cé- rébrales et compromette gravement la raison
et assurera dans des con- ditions satisfaisantes le traitement des
maladies
incidentes, des psychoses aiguës, et l'hospital
4 (937 IL,47 le.). - «La paralysie générale, comme toujours, est la
maladie
la plus fréquemment constatée (88 malades en 19
chaque année nous livrer à des études diverses ayant pour objet les
maladies
mentales et les lésions qui les déterminent.Les
qui surviennent de la paralysie générale, celle de l'influence des
maladies
intercurrentes sur l'évolution de l'épi- lepsie
e Vibraye, qui purgea la blessée et lui ordonna une potion. Mais la
maladie
empira et la femme Chény rendit le dernier soup
tique des courbes de fatigue comme procédé de diagnostic dans les
maladies
nerveuses ; Par Mlle le D' I. IOTEYKO Chef de
hiques n'a révélé,jusqu à présent, rien de bien particulier sur les
maladies
nerveu- ses et mentales, à part quelques caract
lles peuvent être les applications de cette étude au diagnostic des
maladies
. Cette communi- cation n'est que préliminaire,
e comparé au côté malade) permettra de diagnostiquer le siège de la
maladie
. Lier- - godiagnostic pourra être appliqué au m
i (') nous avons encore signalé quelques différences entre les deux
maladies
et pour parfaire notre oeuvre, nous allons vous
tué dans un accident de chemin de fer. On ne relève aucune trace de
maladie
dans son enfance, ni dans l'adolescence ; pas d
n porté. Sa mère est morte lorsqu'il avait 7, ans, après une courte
maladie
. Aucun renseignement sur les grands-parents, le
te aucune anomalie congénitale physique, intel- lectuelle et pas de
maladies
nerveuses]. J. Pas de consanguinité. Inégalité
des oreilles bien mise en relief parla description détaillée de la
maladie
, par lesfigu2-es qui accompagnent l'observation
ption cutanéo de la so- lutin. Cil, Bonne. XXXI, Le coeur dans la
maladie
de Friedreich ; par Launois et hOROT. (Revue de
ne, nov. 1905. Observation d'une jeune malade de 15 ans atteinte de
maladie
de Friedreich, morte de congestion pulmonaire e
n.osconnaissances, quelle place doit- on donner en nosographie à la
maladie
d'Erh-Goldllam ? par LECLERC et AR1'ONAT. (Reur
tonus musculaire se rencontre chez les vertigineux et dans diverses
maladies
de l'oreille. L'asthénie digestive sous la dépe
ulaires se rencontre souvent dans les états vertigineux et dans les
maladies
du cavum. C La céphalée neurasthénique est l'im
rique. G. C. LI. Rapports du rhumatisme chronique avec quel- ques
maladies
de la moelle; par M. Jean LAPINE. (Lyon mé- dic
re que les rhumati- sants chroniques peuvent réaliser de véritables
maladies
de la moelle. Dans une précédente communicati
ime. C'est à cet évènement qu'ils rat- tachent l'apparition de leur
maladie
. Dans ces conditions, l'hys- térie etla neurast
est capable d'apporter d'importantes contributions à l'étu- de des
maladies
nerveuses. La timidité en Orient. M. ])AMOGLO
r désignation sur un médecin aliéniste, spécialisé dans l'étude des
maladies
mentales et offrant ainsi une compétence de nat
elles viennent au premier plan sous l'action perturbatrice d'une
maladie
qui annihile les fonctions supérieures et leur rô
ional pour l'étude etiologique, et pour l'action prophylactique des
maladies
nerveuses et menlales. avait été adoptée par le
Objet du cours : 10 Psychothérapie générale : La thérapeutique des
maladies
de la volonté et l'éducation du caractère. Les lu
médico-légal; par Pierre Marie et Crouzon, p. 230. Arabes. Voir
Maladies
nerveuses. ARaN-DUCHESNE. Voir A myotro- phie
- matique des - de fatigue comme procédé de diagnostic dans les
maladies
nerveuses, par Mlle Ioteyko, p. 417. Crampe d
501 L nal ayant le but d'établir et de combattre les causes des
maladies
mentales, par Franck, P. ;9. i Instructions c
oix des - à pla- cer dans les colonies, par Pee- ters, P. 31 5.
Maladies
nerveuses. Fréquence des nerveuses chez les A
s connaissances, quelle place doit-on donner, en nosographie à la
maladie
d'Erb-Golclflaut ? par Leclerc et Sarvonat, p.
sérum du des épileptiques, par Cent, P. 389. Scaphandriers. La
maladie
des - ,par Boinet, p. 388. Scarlatine. Voir C
) PAR L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la Clinique des
Maladies
Nerveuses. Au cours du mal de Pott ci les troub
nfin, à propos d'un cas que nous résu- (1) Brissaud, Leçons sur les
maladies
du système nerveux. Paris, 1893=i$94. (2) Touch
n raison de la variabi- lité des lésions, suivant les progrès de la
maladie
, il faudrait des examens cliniques aussi rappro
cit., p. 272. 6 nr.QUre malade ayant eu à cette époque plusieurs
maladies
infectieuses consécuti- ves, apparurent une lég
omatique, sans pou- voir encore toutefois, préciser la nature de la
maladie
primitive. Ensuite survint la paraplégie, qui é
mitivement (Fickler) (2) ; qu'il évolue, le plus souvent, comme une
maladie
locale (Phelps) (3). (1) LANNOis, Lyon médical,
t., 190. xix ' 3 34 MARIE ET Llhn distinguer cliniquement de la
maladie
décrite par P. Marie que par le défaut de l'ank
qu'au traumatisme portant sur la colonne vertébrale qui, dans cette
maladie
infectieuse comme dans toute autre, ne puisse j
culations rachi- diennes et rhizoméliques ne constitue pas toute la
maladie
; il y a dans le spondylose rhizomélique une ra
infectieuse systématisée, surtout localisée aux épiphyses, comme la
maladie
de Pagel par exemple est surtout localisée aux di
c la rigidité de la colonne vertébrale de Bech- '" terew et avec la
maladie
dite « de Kümmel ». Cette pièce avait été som-
et qui ne se propage d'ailleurs pas au loin ; la spondylose est une
maladie
primitivementgéné- rale. Les caractères de débu
fférencie hautement, de par l'anatomie et la pathogénie, des autres
maladies
an- kylosantes de la colonne vertébrale : la sp
ée doit être écarté de l'infantilisme. (1) BRISSAUD, Leçons sur les
maladies
nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899,
attributs morphologiques de l'enfance (1) Brissaud, Leçons sur les
maladies
nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899,
en propre), la porencéphalie, la chorée variable des dégénérés, la
maladie
de Friedreich, l'hystérie, l'épilepsie, et encore
éréditaire de nature nerveuse, c'est-à-dire, ayant pour origine les
maladies
nerveuses des parents. C'est sur cette associatio
èse de ces cas. Observation. Antécédents héréditaires. Nombreuses
maladies
mentales et nerveuses chez les ascendants, ains
d'anormal jusqu'à 9 ans, mais après elle a été affectée d'une grave
maladie
: la marche devint progressivement difficile, e
8 ans. Il eut la grippe au mois d'août 1891. Les symptômes de cette
maladie
s'a- mendèrent au bout d'une quinzaine de jours
roles de soulagement qu'on lui adressait. La période aiguë de la
maladie
s'étant dissipée, disparut aussi avec elle la p
ISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 57 C'était le dernier résidu de la
maladie
qui se dissipa tout à fait au bout de quelques
ls tiennent de la même cause initiale. Ce sont, je le répète, les
maladies
mentales et nerveuses successivement accumulées
nfantilisme « authen- tique », ayant tous les deux pour origine les
maladies
mentales et nerveu- ses des ascendants, peuvent
ue les jointures n'étaient ni enflées ni douloureuses. Depuis cette
maladie
fiévreuse les dimensions des extrémités ont énorm
voir avec lui, sans qu'aucun pût exactement se rendre compte de la
maladie
dont le pauvre garçon'était atteint. La plupart l
pauvre garçon'était atteint. La plupart le croyait souffrant d'une
maladie
de coeur congénitale, dont on ne pouvait pas fair
s, de tuberculose, le grand-père paternel est mort des suites d'une
maladie
de coeur, la grand'mère d'une apoplexie. Le gra
u reste on ne trouve dans cette famille ni des cas de syphilis ni des
maladies
nerveuses ou mentales, ni la consanguinité. Jam
ni la consanguinité. Jamais il ne s'est montré dans la famille une
maladie
pareille à celle dont notre malade est atteint. L
- quelles vous retrouverez facilement les symptômes cardinaux de la
maladie
. De plus d'importance encore sont les radiogram
i, l'asthénie de la musculature, vous rappellent im- médiatement la
maladie
que Pierre Marie (1) a décrite avec une précision
rtrophiés correspon- dent parfaitement au tableau clinique de cette
maladie
remarquable. Le peau des jambes mince, lisse, l
de F... vous rappellera celle des malades de la paralysis agitans -
maladie
de Parkinson. La fente oculaire large, l'action
e nous avons rencontré si souvent chez nos malades, souffrant de la
maladie
, de Basedow. Les réflexes vasculaires pathologi
'on a rencontrée en étudiant l'hystérie, la syringomyélie et d'autres
maladies
nerveuses. C'est le clinicien anglais sir Wil
u corps, et que la dermographie est un symptôme fréquent dans cette
maladie
, dont on cherche volontiers la cause dans une p
u'en tout cas le système nerveux parti- cipe pour beaucoup il cette
maladie
très remarquable. Toutefois en étudiant la mala
eaucoup il cette maladie très remarquable. Toutefois en étudiant la
maladie
sous d'autres aspects, vous verrez bientôt qu'i
our l'acromé- galie manquent complètement. Pierre Marie a décrit la
maladie
sous le titre de : Hypertrophie singulière non
droit de poser la question, si nous n'avons pas affaire à une autre
maladie
, décrite par Pierre Marie (1), dans laquelle le
erre Marie ne se trouvent pas toujours chez les malades atteints de
maladies
pulmonaires chroniques. Le très habile observat
hez les malades atteints de pleurésie chronique, de tuberculose, de
maladies
de coeur, et de bronchiectasie. Il y a 30 ans d
tant de différences essentielles, qu'on considère à présent les deux
maladies
comme étant à peine apparentées. Pour le moment
. En faisant abstraction des différences extérieures entre les deux
maladies
, on admet actuellement de plus en plus l'opinio
x troubles du côté du système nerveux, je ne pourrais que ranger la
maladie
de notre F... dans la groupe des acromégalies, lo
s frappantes du procès morbide manque, quand on pense combien cette
maladie
est compliquée, que plusieurs appareils glandu-
que dans un cas spécial un symptôme principal puisse manquer. La
maladie
de Basedow, le myxoedème et la maladie d'Addison
incipal puisse manquer. La maladie de Basedow, le myxoedème et la
maladie
d'Addison ne nous apprennent-ils pas la même ch
qué par d'autres symptômes, probablement en relation directe avec la
maladie
causale. On a même observé des combinaisons trà
tence d'acromégalie avec le diabète, la glycosurie, le myoedbme, la
maladie
de Basedow, la sclérodermie, le gigantisme, le na
e crâne et la figure normaux, l'absence de tout ce qui rappelle une
maladie
cérébrale, l'hy- pertrophie osseuse non limitée
ces locales, on trouve la croissance excessive : 1° Dans quelques
maladies
nerveuses (névrite, syringomyélie, tabès, sclé-
, syringomyélie, tabès, sclé- rose en plaques) ; cependant dans ces
maladies
on ne trouve que quelques symptômes rappelant l
'il présente quelques symptômes, qu'on rencontre souvent dans cette
maladie
. Je ne veux pas nier qu'il n'y ait des changeme
que son type de fonction inverse est lié des plus étroitement à la
maladie
de Basedow,mais que l'infantilisme même peut être
d'une fonction glandulaire in- suffisante ou pervertie. Et dans les
maladies
nerveuses il n'en est pas autre- ment (tabès, n
gomyélie, sclérose en plaques), car en somme la cause de toutes ces
maladies
est un empoisonnement. Depuis les expériences b
dans la pathologie. Myxoedème, la suite d'une fonction incom- plète,
maladie
de Basedow d'une fonction trop abondante et perve
yroïde, acromégalie d'un trouble fonctionnel de la glande pituitaire,
maladie
d'Addison d'une fonction anormale des capsules
tation de volume de la glande thyroïde comme premier symptôme de la
maladie
, de sorte qu'on pourrait demander, si celle-ci
'acromégalie et du diabète ou de la glycosurie, du myxoedème, de la
maladie
Basedow ou de l'infantilisme n'est pas tout à f
ible. , Enfin l'expérience clinique nous apprend que l'acromégalie,
maladie
de Ba- sedow et le diabète ont plusieurs points
t plusieurs points de contact.Je vous rappelle leur début après des
maladies
infectieuses aiguës, après des traumatismes physi
pi- tuitaire. Vous vous rappelez, qu'il n'y a aucun symptôme d'une
maladie
céré- brale et vous trouverez par conséquent ce
ainsi qu'on le suppose aussi dans les broncho- ectasies et d'autres
maladies
de poitrine chroniques ? Or est-ce que la prédis-
cerbation des symptômes acromégaliques chez notre malade, après une
maladie
aiguë infectieuse, probablement febris typhoïdea.
ongtemps, de quelle croissance rapide du corps peut être suivie une
maladie
aiguë. " D'une part, on peut attribuer cette fo
né plusieurs glan- des thyroïdes de personnes, ayant succombé à une
maladie
infectieuse aiguë. Ils trouvèrent une grande qu
onostic n'est pas favorable, comme c'est le cas en général avec ces
maladies
rares et intéressantes. Nous tâcherons de soula
et que sa mère est décédée le 24 mars 1883 à l'hôpital de la Pitié de
maladie
inconnue. Voici le certificat remis au moment
pôle temporal. (1) CHÀFtCOT,'Leporss sur les localisations dans le*
maladies
du cerveau . Paris, 1816. (2) Ballet, Recherche
ri- que intitulée « Secreta-vera ad oculos », des recettes pour les
maladies
des yeux. Les notices biographiques nous appr
ibles ; mais d'après la description on peut encore diagnostiquer la
maladie
. Dans ce Code (Cod. Vatic. 3211), se trouvent des
Ange, contenant des recettes et des formules de collyres contre les
maladies
des yeux. On ne peut les parcourir sans émotion e
eteuse, elle travaillait avec peu de facilité, mais n'a fait aucune
maladie
grave jusqu'à l'âge de 12 ans. À cette époque, la
enue peu de temps avant la puberté ; elle n'a été précédée d'aucune
maladie
grave, d'aucun traumatisme. Parmi les ascendant
técé- dent on note que son père est mort tuberculeux, sa mère d'une
maladie
de coeur avec hémiplégie. Ils ne présentaient a
uit après la naissance d'une façon d'autant plus remarquable que la
maladie
causale a été plus précoce. L'examen de notre
le se trouvait mal, se débattait. Père vivant, 59 ans, atteint de
maladie
du coeur, très sobre. Frère, 26 ans, a eu quelq
(1) FANEAU DE Lacoun, Thèse Paris, 1S71 ; Brissaud, Leçons sur les
maladies
ner- veuses, 2- série, iS9 ; Variot, Soc. méd.
ons de même aucun arrêt, aucune amélioration dans l'évolution de la
maladie
, l'absence de toute douleur sur le trajet des n
re, présente les tumeurs cutanées et la pigmentation spéciale de la
maladie
de Recklinghausen. Antécédents héréditaires. -
continence d'urine, pas de crises d'épilepsie dans l'enfance. Pas de
maladies
infectieuses. Pas de goitre. XIX il 162 HUD
néral satisfaisant. L'observation deR... constitue le second cas de
maladie
de Recklinghausen observé par nous dans l'armée,
, cette chienne a été abandonnée à l'Ecole d'Alfort en raison de la
maladie
incurable dont elle était frappée. Au premier c
t, Société centrale de méd. vét., 28 décembre 1889. 166 RUDLER la
maladie
fût relativement ancienne, le sang n'avait subi a
adiot ajoute qu'aucun sympôme n'a été relevé pendant le cours de la
maladie
chez les deux animaux. Anatomiquement, ces lési
Sans vouloir établir une comparaison qui serait prématurée entre la
maladie
décrite chez l'homme par Recklinghausen et des ca
trouve ainsi attirée, sont capables d'éclairer la pathogénie de la
maladie
de Reck- linghausen. - Nous remercions nos am
nes chiens tués au début de l'état morbide désigné sous le nom de «
maladie
des jeunes chiens » ; M. Cajal, qui avait d'abo
phénomènes de régé- nération que nous venons d'observer au cours de
maladies
définies du sys- tème nerveux ne sont que l'exa
système nerveux. D'ailleurs la limite précise entre la santé et la
maladie
n'a jamais pu être tracée et il est pro- bable
jal en a observé dans l'écorce du cervelet de chiens atteints de la
maladie
des jeunes chiens ; il ne s'agit donc pas d'un
en de particulier. Tuberculose pulmo- naire avancée. Marche de la
maladie
. Etal psychique. - La torpeur intellectuelle s'ac
clérose médullaire polyfasciculaire. A une certaine période de la
maladie
dont le développement est, ainsi que nous le ve
ussi importants à relever : pas de modifications (1) DURAND-FARDEL,
Maladies
des vieillards. (2) Démange, Traité de la vieil
nge, Traité de la vieillesse, 1886. (3) Charcot, OEuvres complètes,
Maladies
des vieillards. PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ
et éliminer les cas où la terminaison fatale fut provoquée par une
maladie
chronique et cachec- tisante ; les altérations
en dé- celer qui explique un pareil état. Quant l'évolution de la
maladie
, elle esl d'une durée qui se juge par années ;
joute l'auteur, si l'affai- blissement des vieillards n'est pas une
maladie
cela tient à ce que « la vieillesse se caractér
près ces quelques lignes, on se rend compte qu'il s'agit bien d'une
maladie
très spéciale déterminant une atrophie musculai
lus âgée par conséquent que les paraplégiques myélopathi- ques ; la
maladie
débute chez elle à la suite d'une fracture du col
iblit et la malade succombe à une crise d'asystolie. La durée de la
maladie
fut de (1) Jaccoud, Clinique de la Charité. P
abitus floride, cela tient à ce fait qu'on observe des sujets dont la
maladie
est à des périodes évolutives différentes. La c
Étude clinique (Pl. XLI). C'est à un âge très avancé que débute la
maladie
, les sujets que nous avons pu observer étaient
aiblis comme chez les vieillards en général. En deux à trois ans la
maladie
fait des progrès sensibles. La rétraction est a
lètement est au prorata' de l'amyotro- phie. Avec les progrès de la
maladie
celle-ci s'étend et gagne les muscles de la cei
penheim ou de Mendel. Par suite de son évolution progressive, la
maladie
ne tarde pas à attein- dre toutes les masses mu
le premier jour où nous l'avons examinée. La phase initiale de la
maladie
se caractérise par une paraparésie dou- loureus
PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CHEZ LES VIEILLARDS 261 irréductible. La
maladie
semble alors ralentir son allure et bien des ma-
ue nous avons dit au sujet des distinc- tions nécessaires parmi les
maladies
myopathiques du vieillard. C'est en réalité seu
es membres inférieurs analogues peuveut tromper sur la nature de la
maladie
; mais si on peut voir parfois la paraplégie par
stique bien différente par conséquent de celles qui accompagnent la
maladie
que nous étudions. L'examen électrique pourra d
facile de retrouver un passé rhumatismal évident ; la marche de la
maladie
se fait par poussées irrégulières se li- mitant
phy- siologique et ne peuvent être considérées somme la cause de la
maladie
. Les nerfs périphériques sont indemnes d'altéra
ayer d'en dégager les caractères princi- paux, ceux qui en font une
maladie
bien à part et nous efforcer de montrer comment
rations musculaires, on doit faire le départ de ce qui revient à la
maladie
propre et de ce qui est surajouté, contingent.
part qui revient aux altérations des vaisseaux dans la genèse de la
maladie
. Certes, dans tous les cas les altérations des
te,concerne un individu atteint de paralysie générale, mais dont la
maladie
primordiale fut certai- nement un tabes caracté
hropalhies tabétiques et troubles de la sensibilité. Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1895, p. 313. (3) Joffroy, Journal d
ÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 7 DÉCEMBRE 1905). UN CAS DU
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN AVEC DYSTROPIIIES MULTIPLES ·
e casque nous allons rapporter et qui concerne un malade atteint de
maladie
de Recklinghausen d'une forme spéciale, malade qu
ne large tache nccvique. Antécédents personnels. N'a pas eu d'autre
maladie
qu'une attaque de rhumatisme articulaire aigu,
et sur NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. Pl. XL1V
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN AVEC DYSTROPHIES MULTIPLES A
LTIPLES A PRÉDOMINANCE UNILATÉRALE KLIPPEL ET MAILLARD. UN CAS DE
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN 283 lesquelles nous reviendro
st un peu plus vo- (1) SARAZANAS, Thèse de Paris, 1904. UN CAS DE
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN 285 lumineux que celui du côt
ites tumeurs dont l'ensem- ble est tout à fait caractéristique delà
maladie
de Recklinliausen'etd'an- tres dystrophies sur
tres dystrophies sur lesquelles nous allons maintenant insister. La
maladie
de Recklinghausen5 est généralement] considérée c
eprésentent les photographies. 11 y a donc lieu de distinguer de la
maladie
de Reckl inghausen une mala- die plus complexe
ement dans ce cas transmission héréditaire et il semble même que la
maladie
ait pris le carac- tère familial ; certaines de
janvier 1903. (2) Buisson, Thèse de Paris, année 1904. UN CAS DE
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN 287 taient d'une façon isolée
s des membres de sa famille : la dystrophie d'origine ectodermique (
maladie
de Recklinghausen) et la dystrophie d'origine més
(séance DU 5 AVRIL 1906). ICONOGRAPHIE DE L'ÉVOLUTION D'UN CAS DE
MALADIE
DES TICS PAR J. ROUBINOVITCH, Médecin adjoi
ait jouir d'une santé robuste. Mère nerveuse, impressionnable, sans
maladies
antérieures, nettement caractérisées. Pendant
E F G H EVOLUTION D'UN CAS DE MALADIE DES TICS UN CAS DE
MALADIE
DES TICS 291 laisse tomber des objets qu'il tie
es et créent à leur tour dans l'esprit de L... des craintes sur des
maladies
qui pourraient se déclarer chez lui si les tics
e, de neuras- thénie ou d'alcoolisme. Le cas est bien celui d'une
maladie
des tics quoique différant par plu- sieurs part
e et une tendance à la nosophobie. Le cas diffère cependant de la
maladie
des tics telle qu'elle a été décrite par Gilles
gant docteur en bonnet de fourrure, qui pré- tend diagnostiquer les
maladies
de l'àme d'après la couleur des urines ? C'est
m- ment par Brissaud et de Massary (2), qui placent à la base de la
maladie
la dé- générescence du protoneurone sensitif da
83, p.72. (2) Thomas et HAusEn, loc. cil. (3) DEJERINE et Thomas,
Maladies
de la moelle in Traité Brouardel-Gilbert, t. IX.
section a été faite dans des conditions d'asepsie minutieuse. Dans la
maladie
, si nous acceptons momentanément la manière de
es. Soc. Neur. Paris, 15 jan- vier 1903. (6) Omm¡ ? ¡¡ et Thomas,
Maladies
de la moelle, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES R
l'étiologie de la sclérose en plaques est celle qui reconnaît à la
maladie
une origine infectieuse (P. Marie). Les infecti
le à l'infection syphilitique. Oppen- heim, dans son Traité sur les
maladies
du système nerveux, dit que la sclérose en plaq
auteur pose la question un peu différemment dans son Traité sur les
maladies
de la moelle épinière lorsqu'il écrit : « Je ne s
ue pour elle comme pour la sclérose en plaques proprement dite, les
maladies
infectieuses jouent un rôle important, je suis
alisation médullo-encé- phalique de la détermination vasculaire des
maladies
qui semblent être constamment de nature infecti
, on comprend aisément qu'ils excluent la syphilis des causes de la
maladie
, et même qu'ils en excluent les autres maladies
lis des causes de la maladie, et même qu'ils en excluent les autres
maladies
infectieuses. La question a été encore derniè-
écifiques, entrerait ainsi en ligne de compte dans l'étiologie delà
maladie
au même titre que toute au- tre infection. Ce
ie de la sclérose en plaques. Déjerine et Thomas dans le Traité des
maladies
de la moelle épinière au chapitre du traitement t
maladies de la moelle épinière au chapitre du traitement t de cette
maladie
, conseillent de mettre à l'essai l'iodurede potas
d'une telle hypothèse. En effet dans certains cas elle est la seule
maladie
qui semble avoir joué un rôle dans l'apparition
es n'ont pas dit leur dernier mot. Wernicke dans son Traité sur les
maladies
du cerveau admet qu'une petite partie des cas d
it que la sy- philis héréditaire ne doit pas être oubliée parmi les
maladies
générales de nature infectieuse auxquelles il y
it d'un individu de 43 ans, syphilitique depuis l'âge de 19 ans. La
maladie
débuta avec de la faiblesse aux membres inférieur
s ainsi nous venons de le dire et quela théorie vasculaire de cette
maladie
est la plus vraisemblable, on conçoit aisément
t il guérit sans avoir présenté de compli- cations. Dès lors aucune
maladie
éruptive ou infectieuse n'est venue troubler so
, douleurs qui depuis ont reparu de temps à autre. L'histoire de sa
maladie
actuelle paraît remonter à 1891. A cette époque
raitement n'eut pas une in- fluence notable sur les symptômes de la
maladie
. Il resta à l'hôpital 16 mois ; puis il rentra
on exagéré, mais il fait défaut à droite. EN résumé : Début de la
maladie
en 1895 par des douleurs dans le dos. Para- plé
. , ' , 1 La ponction lombaire pratiquée pendant le dernier mois de
maladie
donna une lymphocytose discrète. Autopsie. -
dante due à l'es- chare du sacrum qui dans les derniers jours de la
maladie
s'était mise à suppu- rer abondamment. Tous le
ut pas préciser. Il est né à terme d'une couche normale. En fait de
maladies
infectieuses il a eu la rougeole à l'âge de 3 a
lée maintes fois. Infection syphilitique à 31 ans. L'histoire de la
maladie
actuelle remonte au mois d'octobre 1873. Un soir
a laque hématoxylinique. En résumé : syphilis à 31 ans. Début de la
maladie
à 34 ans d'une façon brusque sans perte de conn
ues disséminée. Gaz. des hôpitaux, 1868. , 18. IBID. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 1892. 19. CHARCOT et
e. Revue de médecine, 1884. 22. Dejerine et A. Thomas. - Traité des
maladies
de la moelle épinière, 1902. 23. DIIESHFELD. -
37. GowEns. - Syphilis and nervous sys/ent, 1893. 38. Traité des
maladies
nerveuses, 1892. , 39. Greiff. Ueber diffuse un
ivat-docent. Genève, 1899. 65. Marie (P.). - Sclérose en plaques et
maladies
infectieuses . Progrès médical, 1884. 360 GIUNI
lit. Ursprungs. Wratsch., 1889. 70 . Monc.orwo. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, t. V, 1887. 71. - De l'influence
is sur la sclérose en plaques chez les enfants. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance. 1895. 72. Muller (eu Die multiple
comprend pas le chant. Mais le cas n'est (1) BLocQ, Eludes sur les
maladies
nerveuses, ch. xvi, Paris, 1894. INGEGNIEROS. -
ift sur Diüsik- wissenschaft, fas. I, 1891. (4) BLOCQ et ONANOFF,
Maladies
nerveuses, séméiologie et diagnostic. Paris, 1892
pu être observés cliniquement dans presque toutes leurs formes ; la
maladie
ne nous montre pas seulement le langage musi- c
telles élévations thermiques se rencon- trer un peu dans toutes les
maladies
cérébrales (1), il est vrai, mais spécia- lemen
T ' G. ETIENNE Professeur à la Faculté de Chargé de la Clinique des
maladies
médecine de Nancy. des vieillards. Nous avons
s en effet chez lui la plupart des symptômes caractéristiques de la
maladie
. Du côté des extrémités tout d'abord l'hypertroph
de l'hypertrophie et de la soudure des côtes » (P. Marie). Cette
maladie
osseuse de Paget se distingue facilement de l'acr
savait qu'une armée en campagne avait en moyenne de 4 à 10 morts de
maladies
pour 1 tué. Les médecins japonaise et aussi l'a
43.349 tués et 112.542 blessés pour un peu plus de 10.000 morts de
maladies
, soit 1 mort pour 4, 3 tués. C'est un record 1
Médecine Professeur du Laboratoire de- de Bucarest. la Clinique des
maladies
nerveuses. La question de la régénérescence de
rères et soeurs, quatre aînés, morts pendant leur 2e ou 3e année de
maladies
infectieuses diverses, avaient présenté des tro
semaines de la vie et parais- sent au contraire se rapprocher de la
maladie
de Hoffmann. L'étude anatomique que nous avons
professeur Grasset, à t'hô- pital suburbain lelermai 1906 pour une
maladie
, remontant déjà à huit ans, et qui se caractéri
l'eau bouillante sur cette jambe n'a pas souffert de la brûlure. La
maladie
progressait très len- tement, depuis un an seul
en griffe des deux mains trahit seule, au premier examen, l'état de
maladie
. Etudions en détail les accidents nerveux et le
e ne s'accompagne point de mutilations malgré la longue durée de la
maladie
, caractèresqui sont plutôt en faveur de la syri
e et épilepsie. Congrès de Limoges, 1901. (2) RAYMOND, Clinique des
maladies
du système nerveux, 1897-1898, ; 3' série. Doin,é
er dans ses antécédents héréditaires. Son père et sa mère, morts de
maladies
acciden- telles, étaient bien constitués. Elle
de convulsions dans l'enfance, et n'a jamais été atteinte d'aucune
maladie
. Le défaut de développement sur lequel nous att
n. Sa mère l'a amenée consul- ter le 5 juin 1906, à la clinique des
maladies
nerveuses, à la Salpêtrière, pour des manifesta
e, aucun membre n'est petit ou mal- formé ; personne ne présente de
maladies
nerveuses. Le père, bien por- tant, n'est pas b
mière dent apparut à 8 mois. Elle ne fit dans son enfance aucune
maladie
grave, aucune fièvre érup- tive. Elle ne présen
s malformations faciales, thoraciques, (1) Brissaud, Leçons sur les
maladies
nerveuses, 9895 ; Meige, Gazette des hôpitaux,
r an se soumettre à notre examen à l'hospice de la Salpêtrière ; la
maladie
ne se modifia guère, mais sa santé s'altéra pro
istence autonome et ont .voulu n'y voir qu'une variante d'une autre
maladie
également familiale, l'Atrophie musculaire type
iste dans ces cas ni oscillations latérales des mains comme dans la
maladie
de Friedreich, ni tremblement. Ajoutons enfin q
ssante, et qui ne se rencontre pas dans le tabes classique, dans la
maladie
de Duchenne (de Boulogne), les sphinc- ters son
ions des nerfs sont au contraire très particulières et donnent à la
maladie
un cachet très spécial. Elles sont de deux ordr
lent pas conformes à la réalité et ici comme dans beaucoup d'autres
maladies
du reste, il serait exagéré de vouloir à tout p
nce, Revue de Médecine, novembre 1896. (3) F. Raymond, Clinique des
maladies
du système nerveux, t. 6, p. 184. M. Piehhe Mar
appartenant à une famille de sept enfants, tous atteints de la même
maladie
, qu'il décrit comme une « orme spéciale de névrit
s rangeons dans le même groupe pourvu que les signes capitaux de la
maladie
soient nettement constatés ! (1) Maiunesco, C
hypertrophie des nerfs et cela quelle que soit l'an- cienneté de la
maladie
. D'un autre côté chez le sujet de l'observation I
bres supérieurs, qui s'écartent du tableau clinique ordinaire à la
maladie
. C'est cependant en s'appuyant sur ces observat
qui au point de vue clinique rentre tout à fait dans le cadre de la
maladie
, diffère beaucoup des observations précédentes,
e femme qui mourut à l'âge de cinquante ans, après trente années de
maladie
, les troncs nerveux étaient d'un volume au- des
affection et cette hypertrophie serait d'autant plus accusée que la
maladie
serait de date plus ancienne. Cet argument a ét
épartition des lésions n'est pas abso- lument la même dans les deux
maladies
: dans l'atrophie type Charcot- Marie, l'atroph
antérieures et c'est là encore une grande différence entre les deux
maladies
; enfin il existe une oppo- sition notable entr
ment altérés. La névrite interstitielle hypertrophique est donc une
maladie
autonome, distincte du tabes et de l'atrophie m
cot-Marie, elle doit occuper une place à part dans la nosologie des
maladies
familiales du système nerveux. 1 Avant de ter
in que sur quatre enfants, deux seulement furent atteints de. cette
maladie
(obs. I, II), les deux autres et les parents étai
AR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la Clinique des
Maladies
nerveuses. Pour expliquer les accidents nerveux
les observées dans le mal de Pott simple ; ' il semble que les deux
maladies
aient évolué parallèlement sans influer beaucou
siégeant en divers points du système cérébelleux. . (1) Loc. cit.
MALADIE
D DUPUYTREN ET ARTÉRIOSCLÉROSE MÉDULLAIRE P
logiste de l'Institut des Rachitiques de Milan. La pathogénie de la
maladie
de Dupuytren est aujourd'hui ainsi définie. Dan
, une de Perrero) appartiennent à la syringomiélie, de sorte que la
maladie
de Dupuytren, d'après ces faits, peut être consid
mis, pourtant, de croire que ce très petit nombre de faits JARD1NI.
MALADIE
DE DUPUYTREN ET ARTERIOSCLEROSE MÉDULLAIRE 553
es constatations sont très rares parce que la syringomiélie est une
maladie
peu fréquente.' ' Enfin, doit-on conclure, à ca
parce que, dans les lésions mé- dullaires qui peuvent provoquer la
maladie
de Dupuytren, peut interve- nir un autre proces
'a établi les relations casuistiques entre l'artério-sclérose et la
maladie
de Dupuytren. Pic et Bonnamour qui, ré- cemment
avec ce syndrome. Celte nouvelle interprétation pathogénique de la
maladie
de Dupuytren, en nous permettant d'appliquer la
aussi certaines particularités clini- ques qui se rapportent à leur
maladie
, par exemple son développement plus fréquent ch
lules rénales. A la main gauche il a les difformités typiques de la
maladie
de Dupuytren : à la main droite il n'a rien d'ano
oite (VII* cerv.). Les groupes cellulaires sont moins atteints.
MALADIE
DE DUPUYTREN ET ARTÉRIOSCLÉROSE MÉDULLAIRE (Jar
MALADIE DE DUPUYTREN ET ARTÉRIOSCLÉROSE MÉDULLAIRE (Jardilli.)
MALADIE
DE DUPUYTREN ET ARTÉRIOSCLÉROSE MÉDULLAIRE 555
syndrome que le patient nous a présenté est-il vraiment celui de la
maladie
de Dupuylren ? La présence des atrophies muscul
dans ce cas, comme dans les autres cas déjà décrits, sous le nom de
maladies
de Dupuytren d'origine nerveuse ; en effet, la
tres, des échanges, défectueux ont pris part à la production de la
maladie
; mais l'unilatéralité du processus qui, dans l
cale en foyer nous donne l'explication de l'apparition rapide de la
maladie
(caractère important des lésions vasculaires),
aractère important des lésions vasculaires), et de sa limitation.
MALADIE
DE DUPUYTREN ET ARTERIOSCLEROSE MEDULLAIRE 557 Ï
duire des lésions destructives ? et pourquoi ne pas supposer que la
maladie
de Dupuytren n'est, dans bien des cas, que la s
- namique des centres nerveux ? Le mécanisme de production, de la
maladie
de Dupuytren serait donc unique : une altératio
démonstratifs. La théorie de l'origine nerveuse périphérique de la
maladie
de Dupuy- tren est soutenue seulement par quelq
ander, dans mon cas, à propos de la pathogénie des atrophies, si la
maladie
de Dupuytren n'a pu avoir quelque influence pour
e, on ne pourraitplus comprendre la rareté des amyotrophies dans la
maladie
de Dupuytren ; et encore s'il est vrai que l'ex
voudrais noter comme caractère des amyotrophies d'origine artério-
MALADIE
DE DUPUYTREN ET ARTÉRIOSCLÉROSE MÉDULLAIRE 559
veux résumer mon étude, sont : 1° L'artério-sclérose peut causer la
maladie
de Dupuytren quand elle se localise dans la sub
se dans la substance grise centrale de la moelle. 2° La plupart des
maladies
de Dupuytren dépendantes de l'arthritisme, de l
sclérose. 3° Il est probable que l'artério-sclérose peut causer la
maladie
de Du- puytren, non seulement par les lésions o
00. NEUTIt.1 : Wiener klin. Vochen., 1901. Oppenheim : Traité des
maladies
nerveuses. Perrero : Ace. Med. Turin, juillet 1
u Sacro Monte. D'autres statues intéressantes au point de vue des
maladies
et des ano- malies humaines qu'elles représente
es tissus (1 pl., 4 dess.), 136. ' KLIPPEL et Maillard. Un cas de
maladie
de Recklinghausen avec dystrophies multi- ple
chez les vieillards (2 pi.), 255. Maillard et ILIPPEL. Un cas de
maladie
de Recklinghausen avec dystrophies multi- ple
pl.), 120. HOUDINOVITCII. Iconographie de l'évolution d'un cas de
maladie
des tics (2 pl.), 289. Roux et Heitz. De l'infl
Poil chez l'adulte (quinze autopsies), par Alquier (4 pl.), 510.
Maladie
de Dupuytren et artériosclérose médullaire, par
Dupuytren et artériosclérose médullaire, par J.nnINI (1 PI.),552.
Maladie
de Recklinghausen avec dyslro- phies multiples
par NncEOTTe, 217. Tics (iconographie de l'évolution d'un cas de
maladie
des) (2 pl.), par ROUBINOVITC11t 289. Trichot
t dégénéres- cence psychique (MAGALHAES LExos), XII, XIII, XIV.
Maladie
de Dupuytren et artério-sclérose médullaire (JA
III, IV. Mal de Pott (Alquier), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXIX.
Maladie
de Recklinghausen avec dystro- pilles multiples
Tapisserie de la cathédrale de Toulouse (Jean HEITZ), LXX. Tics (
maladie
des) (.T. Roubinovitch), XLV, XLVI. Trichotil
rt t, ," ? . ? N E U R 0 L OG-;I' : E H I VUE ". < ? } , DUS
MALADIES
NEHVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA D 1 II E
'attention de ses auditeurs sur un symptôme assez fréquent de cette
maladie
, consistant dans une déviation avec inclinaison
s qu'on a pris l'habitude de rechercher le signe du tendon dans les
maladies
nerveuses, c'est à peine si une dizaine d'obser
e ou non à persister, n'est jamais aussi prononcée au début de la
maladie
qu'à son déclin. Nous dirons enfin que dans les
chose que ce qui s'observe dans toutes les variétés possibles de
maladies
douloureuses des membres pelviens, c'est à dire
es de maladies douloureuses des membres pelviens, c'est à dire de
maladies
capables de produire une boiterie. Quand le suj
le. La semelle épaisse qu'on emploie dans ce but ne guérit pas la
maladie
; peut-être même a-t-elle l'in- convénient de co
précis sur . ses antécédents héréditaires. Son père est mort d'une
maladie
qu'il ignore. Sa mère est morte phtisique à qua
ues. Voici ce qu'il raconte sur les événements qui ont précédé la
maladie
. D'abord il insiste sur ce fait qu'il a été élevé
mençait une coxalgie. La sciatique n'est pas rare au début de cette
maladie
et deux autres signes encore plaidaient en fave
é, ce qui frappait tout d'abord et ce qui faisait bienle fond de la
maladie
, c'était une sciatique, mais une sciatique acco
gique simple, non spasmodique, est un phénomène commun à toutes les
maladies
doulou- reuses du membre inférieur, comme à tou
rons que quelques mots à la description ci-dessus. Le tableau de la
maladie
nous paraît suffi- samment clair pour qu'il n'y
gnent les lésions cérébrales ou spinales. En outre, la marche de la
maladie
, ainsi que les accidents étranges que nous avon
n wagon de marchandises. On conçoit sans peine " à quel point une
maladie
organique des centres ner- veux eût été aggravé
s. Notre cas prouve une fois de plus que l'abasie n'est point une
maladie
distincte, sui generis, mais bien un syndrome d
x mois et demi après l'accident, ils amènent la mort. Au coursde la
maladie
, lasensibililé des membres inférieurs était déc
yden : Dans le premier cas, il s'agit d'un jeune homme mort d'une
maladie
du coeur, chez lequel Morgagni a montré un ramo
grises postérieures. D'où également, à une phase plus avancée de la
maladie
, la prééminence de la dégéné- rescence des fais
ce DES TISSUS DE L'ÉCONOMIE A la conductibilité galvanique, dans la
maladie
de BASEDOW ; par A. EULENBURG. De LA DIMINUTION
NUTION DE LA RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE DES TISSUS DE L'ÉCONOMIE DANS LA
MALADIE
DE BASEDOW; par P. Vl- REVUE D'ANATOMIE ET DE P
ologie (Analyses, 1 ev lie bibliogr. Sociétés et dans le Traité des
maladies
de l'encéphale de Wolmagel. Trad. Keraval, Paris,
alysie générale. M. Moeli a, comme il le dit, suivi la marche de la
maladie
chez des patients ne présentant dès l'abord que
nue. R. M. C. VII. Observations POUR SERVIR A l'étude DE QUELQUES
maladies
mentales; par le D PERCY SnttTa. (The Journal o
trop engraisser, ce qui favoriserait dans la dernière période de la
maladie
la for- mation des eschares. Il faut noter l'ex
rands bouleversements se sont produits dans la clas- sification des
maladies
mentales. On peut dire qu'il ne reste guère plu
suggérées par deux malades dont il rapporte les observations. La
maladie
se caractérise par la fréquence des rechutes, le
iblissement intellectuel, à la paralysie géné- rale. Cette dernière
maladie
notamment peut se traduire par une verbigératio
de régula- tion psychique. Dans ces conditions, si, au moment où la
maladie
dure depuis quatre à. sept mois, on se met à ad
e manie puerpérale qui guérit après la suspension du médicament; la
maladie
dura eu toute une année. D'ailleurs, la guériso
faits de même ordre et de s'être rendu compte de l'évolution de la
maladie
sous l'influence et en l'absence de l'action de
prochaine séance. BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, par le Dr Jules FALRET.
oin de la distinguer des paralysies géné- rales de causes diverses (
maladies
de la muëlle, du cerveau, atrophies musculaires
ité dissemblable et à ce propos, M. Sollier étudie quelles sont les
maladies
des ascendants qui prédisposaient le plus les d
ues eux-mêmes sont la plupart du temps des gens atteints de quelque
maladie
nerveuse ou mentale. A ce pro- pos, l'auteur fa
re alcoolique. Mais, ce n'est pas tout : comme a presque toutes les
maladies
dans lesquelles l'hérédité pour le rôle de caus
les. Il mérite d'être lu de tous ceux qui s'occupent de l'étude des
maladies
nerveuses ou mentales. Introduction à l'étude d
1° classe, au poste de chef-adjoint du laboratoire de clinique des
maladies
cutanées et syphilitiques à la Faculté de médec
e DE Montpellier. - M. le Dr LAFON est nom- mé chef de clinique des
maladies
mentales (emploi nouveau). Faculté DE médecine
l'année scolaire 1889-90, d'un cours complémentaire de clinique des
maladies
mentales. La vente DE la morphine par les drogu
lications du magnétisme humain, au soulagement et à la guérison des
maladies
, a eu lieu à Paris du 21 au 27 octo- bre 1889.
reaux du Progrès médical, rue des Carmes. Paris. . CHARCOT (J.-M.).
Maladies
des vieillards, goutte et rhumatisme. Un beau v
. Aux bureaux de l'Encéphale. CULLERIIE (A.). Traité pratique des
maladies
mentales. Volume in-18 de 618 pages. - Prix : 6
- Bureaux du Progrès médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages
x bureaux de l'Encéphale. 0 SCHI ! LE (H.). - Traité clinique des
maladies
mentales. - 3° édition traduite par les D DAGO
Librairie Lecrosnier et Babé. SocA (F.-V.). - Etude clinique sur la
maladie
de Fi-ied7,eich. Vo- lume in-8° de 198 pages. P
s en faveur du droit `. Chez les individus sains d'esprit, morts de
maladies
diverses, C. Galio et . di Matte ont, sur 55 ce
t trois filles).] Mire, morte en 1877, à quarante-quatre ans, d'une
maladie
d'in- testins, journalière à la campagne, sobre
x ou trois mois ; 2° Fille morte à dix ans, aptes quinze jours de
maladie
consé- cutive à une peur occasionnée par la vue
vante. Mais elle possède une efficacité réelle dans cet ensemble de
maladies
des femmes qu'on désigne, faute de mieux, sous
upart des pathologistes de nos jours croient proba- blement que les
maladies
connues sous le nom de myxoedème, crélinisme, c
nsplantation du tissu thryoïde dans le malade. En premier lieu, ces
maladies
n'ont pas chance d'être guéries par les remèdes
croissance de la glande greffée et arrêter ainsi les progrès de la
maladie
en raison de la restitution, du rétablissement
organiques : la paralysie générale n'est remplacée par aucune autre
maladie
, mais l'excitation maniaque peut être remplacée
ur aborde ensuite l'étude de l'alternance entre les névroses et les
maladies
qui ne relèvent pas, ou tout au moins, ne parai
qui remplace la névrose. Le rhumatisme articulaire aigu est une des
maladies
qui paraissent tendre à s'associer avec la foli
amais modifier les symptômes de la paralysie générale. - Il y a des
maladies
qui paraissent plus aptes que d'autres à modifi
s étudiées) les auteurs recherchent l'influence exacte des diverses
maladies
géné- rales sur l'ensemble de l'organisme et en
uteuse se présente à son moindre degré d'intensité, dans les cas de
maladie
générale de l'économie (infection, intoxication,
ement détruits mérite d'être relevée. Peut-être s'agissait-il d'une
maladie
de Friedreich. P. K. VIII. Un CAS DE paralysi
servation ; nous les résumons ici d'après lui. 1° Le début de la
maladie
a été marqué par un abaissement simultané des f
it défaut; la névrite optique à manqué pendant-toute la durée de la
maladie
. La paralysie, en outre, n'a jamais revêtu les
umeur du sein, la diminution des troubles mentaux vers la fin de la
maladie
(diminution si marquée que le jour de sa mort l
eau. 3° L'absence de névrite optique pendant toute la durée de la
maladie
est un fait anormal; les yeux de la malade furent
ent une exception à la mélancolie typique. Le point de départ de la
maladie
parait avoir résidé dans une émotion vive resse
t voir dans ce malade un persécuté simple ; la forme anormale de la
maladie
tient au jeune àge du sujet et aux périodes de
belles jusqu'alors a d'autres médicaments, mais il ne guérit pas la
maladie
sous-ja- cenle. La physiologie est muette sur l
hysiologiques. En conséquence, l'indication, en ce qui concerne les
maladies
mentales que l'on pourrait soumettre à ce mode
e bien certainement dans la proposition suivante. Puisque de graves
maladies
fébriles intercurrentes guérissent souvent des ps
en les limitant au siège et aux extrémités inférieures. Toutes les
maladies
mentales survenant chez des neurasthéniques et
ions musculaires dans les psychoses simples. - On sait que dans les
maladies
infectieuses et dans les maladies chroniques on
s simples. - On sait que dans les maladies infectieuses et dans les
maladies
chroniques on rencontre des altérations du musc
r, des altérations musculaires chez les paralytiques. Quand cette
maladie
se complique de lésion des cordons latéraux, on
rdination. M. J. HOFFMANN (de Heidelberg) complète l'histoire de la
maladie
à laquelle il a assigné le nom d'atrophie muscu
que et en ce qui concerne l'anatomie pathologique, de distinguer la
maladie
qui nous occupe des autres affections du systèm
Le Congrès se sépare après avoir visité le nouveau sanatorium pour
maladies
nerveuses, construit par M. Schneider (de Ba.de-l
c'est la question du terrain mental qui représente la nature de la
maladie
. L'obsession est le stigmate intellectuel de la
son ne s'en produit pas moins, mais à la longue, après une année de
maladie
au moins. Les récidives parais- sent rares. On
ndant de demander que tous les praticiens soient interrogés sur les
maladies
mentales. Les formalités visées par le décret m
888. l'1\l : : SIDENCI Db I. Hertz. M. Nasse étant empêché par la
maladie
, M. Hertz rappelle qu'il y a aujourd'hui vingt-
(délire général, hallucinatoire, avec désordre dans les idées); la
maladie
, qui ne. datait que de quelques jours, aurait g
tuelle. La troisième observation est remarquable par le fait que la
maladie
en question comptait bien des années d'existenc
es du stade prodromique, il y a actuellement dix-neuf années que la
maladie
a débuté; il y a treize ans que la rémission de
sympathie a une action, universelle sur les êtres et sur toutes les
maladies
qu'il peut guérir. D'où nécessité de créer pour
s des hôpitaux y auront l'avantage d'avoir un élève qui guérira les
maladies
physiques par le massage et les maladies morale
r un élève qui guérira les maladies physiques par le massage et les
maladies
morales par le magnétisme. D'autres discours ég
t contre-poids à la volonté souveraine se fait davantage sentir, la
maladie
évolue d'ailleurs, et les conceptions délirante
is- sement encore plus grand de ses facultés mentales; , 3° Cette
maladie
a pour but d'exclure complètement le libre exer
erne des hôpitaux, est nommé chef du laboratoire de la clinique des
maladies
mentales, en remplacement de M. Bellangé, démis-
sain d'esprit pair plusieurs médecins de Bonn. L'Enseignement DES
maladies
mentales en ROUMANIE. En k° an- née, il existe
on. Nécrologies M. le Dr ROSENTHAL, professeur extraordinaire des
maladies
nerveuses à la Faculté de médecine de Vienne, mor
57 ans. On lui doit un traité ,de clinique des faits divers. 301
maladies
du système neroeux et un Manuel l'Eléctl'uthémpie
rlin (service de la variole), il fut nommé, en 1858, au service des
maladies
mentales, où il eut pour maîtres Ideler, von Horn
e (1868). Professeur, extraordinaire en il Il fit des cours sur les
maladies
nerveuses et cérébrales; en 1874, il fut nommé
nnés : 0 fr. 50. - Bureaux du Progrès Médical. CHARCOT (.r ? 1.).
Maladies
des vieillards, goutte et rhumatisme. Un beau v
5 Bureaux du Progrès médical. CULLERRE (A.).- Traité pratique des
maladies
mentales. Volume iu-18 de 618 pages. Prix : 6 f
5. Bureaux du Progrès médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. Volume in-8 de 623 pages
Grasset (J.). - Leçons sur deux cas d'hilsiérie provoquée par une
maladie
aigué (Fièvre typhoïde et grippe). Recueillies et
ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du diabète vrai, du diabète
maladie
constitutionnelle, par SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE
et la névralgie symétrique apparaissait en pleine évolution de la
maladie
. L'observation de M. Worms ` a été maintes fois
e ou encore y être représenté par un taux peu élevé et cependant la
maladie
s'ac- compagne de symptômes graves. Peut-être,
ertaine analogie avec le tabes et une confusion possible avec cette
maladie
à sa période préataxique. Mais quelques auteu
. Il n'y aurait plus pour faire le diagnostic de l'ataxie liée à la
maladie
sucrée que l'ab- sence des troubles oculaires t
es grands-parents. Antécédents personnels. Il ne se rappelle aucune
maladie
pendant l'enfance. A partir de vingt-neuf ans,
f insatiable, ni sur le mode de début et l'évolution ultérieuredela
maladie
dont il est atteint. Mais je veux relever dans
emble à la paraplégie alcoolique. Après ce parallèle entre les deux
maladies
, qui peut être suivi à peu près dans tous les t
cond. Dans celui-ci il s'agit encore du tabes vrai; mais avec cette
maladie
coexiste le diabète vrai, qui la suit ou la pré
chez le même sujet sans qu'il y ait combinaison véritable. Les deux
maladies
restent dis- tinctes, autonomes, chez cet indiv
intéressant pour vous de cons- tater. Parlons tout d'abord de la
maladie
constitutionnelle cause de tous les accidents,
que divers traitements médicamenteux ont été employés contre cette
maladie
et qu'aucun n'a donné de résultats appréciables
hénomènes observés chez les alcoo- liques paralytiques et que notre
maladie
a présentés à un haut degré. Je veux parler d'a
séquence. ANATOMIE PATHOLOGIQUE SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MALADIE
DE FRIEDRE1GH'; PAR PAUL BLOCQ, et Georges
ail du Laboratoire de M. le professeur Charcot.) I. L'étude de la
maladie
appelée par FriedreichAtaxie héréditaire mais q
le (7 mars). ' Gilles de la Tourette, P. Blocq, Huet. - Cinq cas de
maladie
de Friedreich. {Nouvelle Iconographie delà Salp
Friedreich. {Nouvelle Iconographie delà Salpêtrière, 1888.) DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 333 De plus, la malade, dont il
sur le dia- gnostic anatomique du tabes vrai ou combiné et de la
maladie
de Friedreich que sur la nature même de cette d
la maladie de Friedreich que sur la nature même de cette dernière
maladie
. · II. Nous faisons précéder la relation de n
bien portant; une soeur est morte jeune, nous ne savons de quelle
maladie
. La mère est nerveuse, impressionnable; elle a
our à Buenos-Ayres, qu'on s'est aperçu des premiers symptômes de la
maladie
. Elle a été prise peu à peu et sans cause appré
s après son retour en France, environ deux ans après le début de la
maladie
, elle a eu la' rougeole; à ce moment, le trembl
s et exécuter des mouvements de précision; ainsi elle ne peut DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 335 travailler à l'aiguille. Ell
émisphères figurés par une coupe trans- versale du névraxe. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 337 Il ne peut entrer dans le ca
ordon externe, situé à la partie périphérique du précédent. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 339 La zone marginale postérieur
ation n'est pas cependant aussi complète que dans le tabes. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 341 On observe enfin la disparit
des cornes antérieures et postérieures (zone limitante). - La DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 343 partie la plus altérée est l
-dessus des olives une cavité (apparente à l'oeil nu) divisée DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 345 par des tractus grêles en pl
l'épilhélium des tubes contournés. 111 Toutes les autopsies de
maladie
de Friedreich pu- bliées jusque' présent ont ét
tre les foyers de dégénérescence des curJOJ1S latéraux et les DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 341, Î cordons postérieur ? , il
lonnes postérieures pomme dans l'ataxie locomotrice classique. - La
maladie
semble pluLôt démontrer un vice de développemen
Autopsie IX (Rütimeyer). Le cerveau n'offre rien de parlicu- DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 349 lier, soit dans sou aspect e
plusieurs lésions s'observent pour ainsi dire constam- ment dans la
maladie
de Friedreich, et lui constituent comme un subs
tesse relative de l'axe spinal. Il est vrai que la rétrac- . DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 351 tion du tissu, qui est sous
scléroses posté- Fig. 27. ]o',g, 8, Fig. 29. Fiv. 30. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 353 rieures (fi ? 7, 8, 29). Dan
ux pyramidaux présentent une altération Fig. 36. Fig. 37. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 35H uniforme, tout à fait sembla
atteint alors un volume double ou triple de l'état normal. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 357 Nulle part on n'observe de m
eu occasion de confirmer par nos propres recherches. Il1.7 DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 359 La participation ou non de l
a- dame, un caractère différentiel suffisant entre le tabès et la
maladie
de Friedreich. 3. La question qui a le plus pré
celle de savoir s'il est pos- sible de distinguer la sclérose de la
maladie
de Fried- reich des autres scléroses combinées,
onstatation extrêmement impor- tante à cet égard, c'est que dans la
maladie
de Fried- reich, il existe dans les parties non
e de distinguer ces cas, de la sclérose vraiment systématique de la
maladie
de Friedreich. En effet, si on examine dans ces
er ses préparations, ce dont nous le remercions infiniment. DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 361 régions de la moelle, on ne
asciculaire, n'est pas composée de tissus fibrillaire comme dans la
maladie
de Friedreich, mais bien de faisceaux de tissu
son développement les tubes nerveux. Il s'agit en réalité dans la
maladie
de Friedreich d'une affection d'origine hérédit
circulation sont déviées. 4. Mais cette question de la nature de la
maladie
de Friedreich mérite peut-être de nous arrêter
éfaut de nutrition. On sait la relation qui existe, en ana- DE LA
MALADIE
DE FRIEDREICH. 363 tomie générale, entre la nut
dérant. Ainsi se trouveraient expliquées les particularités de la
maladie
de Friedreich grâce à son origine hérédi- taire
rs et nous pensons que notre examen confirme cette opinion que la
maladie
de Friedreich est une ma- ladie d'évolution car
'qui en étaient atteints, comme simulateurs. Dans la clinique des
maladies
nerveuses de notre excellent maître Charcot, no
t que ces troubles ne caractérisent que l'état psychique dans cette
maladie
. Celle opinion est sortie du laboratoire de sug
s qui ve- naient chercher le secours de l'art pour une tout autre
maladie
, ne se doutant pas qu'ils étaient porteurs des
e deux sources, de la suggestion ou de l'autosuggestion, et de la
maladie
elle-même, comme signes inhérents à elle. L'étu
laquelle s'est incontestablement développée l'année suivante; 9° la
maladie
s'est manifestée à moins d'un au d'inter- valle
genre de vie ; 10° au point de vue des symptômes et de la durée, la
maladie
a eu une évolution normale. II. Observation d
tion du docteur Savage. Il s'agit du frère, du malade précédent; la
maladie
s'est manifestée à l'âge de trente-sept ans; le
mais il est difficile aujourd'hui de retrouver les symptômes de la
maladie
de Basedow qui existaient à une certaine époque
evues analytiques). SOCIÉTÉS savantes. 407 lapériode d'acmé de la
maladie
des tableaux symptomatiques qui se ressemblent
embre 1890, la Société émette le voeu qu'on réserve une colonne aux
maladies
mentales et qu'on y ajoute les mentions : congé
re chronique; 5" Paranoïa secondaire, celle qui succède à une autre
maladie
mentale ou qui constitue une stade de transitio
ns homologues de l'hémisphère sain. Paul BLOCO. V. L'acromégalie (
maladie
de Marie) ; par Souza-LEITE. (Thèse de doctorat
par Souza-LEITE. (Thèse de doctorat, Paris, 14 mars 1890.) Cette
maladie
a été décrite et isolée par M. ¡Pierre Marie entr
éléphanliasis des Arabes. Ni la patllo- génie, ni l'étiologie de la
maladie
ne sont précises. On ne connaît guère que la sy
s et secon- daires ; ces dernières se développant dans le cours des
maladies
infectieuses peuvent être dues à un micro-organ
limitées au tissu mental (mind tissue) et constituent en l'ait une
maladie
unique dans sa nature, sans aucune analogie pat
y). plan ET description d'un hôpital DÉTACHÉ POUR LE TRAITEMENT DES
MALADIES
INFECTIEUSES; par M. D. MACLEOD. (The Journal o
ologie de la folie, dans les cas où celle-ci est la conséquence des
maladies
de l'organisme, ou, en d'autres termes, l'express
Godding, directeur de l'asile de Washing- ton. ' Enseignement des
maladies
mentales. - Le Loiicloit Country Coiisial a déc
sation des aliénés, mais pour le traitement des 432 FAITS DIVERS.
maladies
psychiques et Y instruction des spécialistes. Il
re l'importance que l'on accorde en Angleterre à l'enseignement des
maladies
mentales et témoigne des efforls faits pour avo
ine. Cette jeune fille, atteinte de fièvre cérébrale, à la suite de
maladie
noire, s'est précipitée hier matin, vers six he
'Hospice de Bicêtre actuel (1890;. Prix : 15 fr. BUTLI ? (H.-P.).
Maladies
de la langue. Traduit de l'anglais par le D' Do
otique, par Hoffmann, 260. Basedow (résistance électrique dans la
maladie
de), par Vigouroux, 110; par Eulenburg, 110.
110; par Eulenburg, 110. Bibliographie : Etudes cliniques sur les
maladies
mentales et ner- veuses, par Falret, 146; rôle
se, 433. Lymphangiôme de la pie-mère spi- nale, par Taube, 112.
Maladies
(observations de - men- tales), par Percy Smith
E NEUROLOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fond 13 FAR J.-M. CHAKCOT
DIIiRC'l'ION 11F : mn. A. JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales a la Faculté de médecine de P.l1 ¡s.
le clinique (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système lier* eux a lu faculté de médecine
le but de cette étude.' L'importance des premières descriptions des
maladies
men- tales faites par les maîtres français, en
nie avoir une prédisposition héréditaire, avoir eu autrefois des
maladies
; il affirme formellement ne s'être jamais alcooli
e, le 20 août guéri, sauf quelques malaises neurasthéniques. ' b)
Maladies
générales. C'est encore le mécanisme de l'épuis
n, ainsi qu'on le verra plus loin, est emprunté à l'évolution de la
maladie
même dont M. H... est atteint. . L'IDEE fixe. 3
sent et passent au premier plan, sous l'action dévastatrice d'une
maladie
qui inhibe, les fonctions supérieures modératrice
enfaiteurs de l'humanité par la dynamite. 4 F. Voisin. Causes des
maladies
mentales, p. 41. 2 Histoire des anabaptistes, 1
nt le mauvais pronostic et les crises douloureuses de cette funeste
maladie
. Ces lésions compensatrices peuvent selon M. Pa-
xcite moins les nerfs du coeur. Si l'organisme se défend contre une
maladie
en se créant d'au- tres portes, il faut que le
ndes doses d'iodure ; on a abusé des combinaisons iodées dans cette
maladie
. Le camphre, caféine, digitale et une nourritur
te, groupe auquel on peut conserver le nom, d'ailleurs impropre, de
maladie
de Landry (secondaire). IL Syndrome manifestant
ne mèche de cheveux imaginaire); c'était presque à s'y méprendre la
maladie
des tics. Les tics disparurent ensuite et furen
si peu prononcées que l'examen clinique n'avait pu les révéler. La
maladie
avait débuté par des attaques épilepti- formes
toute idée préconçue sur les rapports qui peuvent exister entre les
maladies
mentales et les lésions de l'appareil génital de
rs 1878 il succombait, emporté à l'âge de soixante-neuf ans par une
maladie
qui le minait depuis un certain temps. Le monum
tée par ce fait « que l'étude à laquelle nous sommes accoutumés des
maladies
systématiques de la moelle a créé une certaine
16,8 p. 100 étaient des héréditaires et en 20,3 p. 100 des cas les
maladies
infectieuses chroniques et les intoxications (alc
oniques et les intoxications (alcooliques) étaient les causes de la
maladie
. Dans un autre chapitre (p. 92), l'auteur a déc
merie Mar- ques et Cio, - NoouÈs (E.) et Sirol (.1.). - Un cas de
maladie
d'AlYtn-Duchenne il. marche anormale. Brochure
99. Imprimerie 1< : l ! , Privât. , Nocuia (E.) et SIHOL (J.).
Maladie
de Thomsen il. forme fruste avec atrophie muscu
a au plus haut point atteinte, puisque la mélancolie même en est la
maladie
. Observation IV. Idée fixe dans la mélrl11colie
fuse de retourner chez lui, parce que, dit-il, il est atteint d'une
maladie
sexuelle incurable. Il tient absolument à cette
ger vers l'Autriche, Vienne. Arrivant de là. j'ai attrapé une grave
maladie
. Si, après la victoire, je n'ai pas démenti (i
de l'art de guérir et connaissait beau- coup de recettes contre les
maladies
. La mère, cinquante-huit ans, très émotive, gra
rs loin- tains qu'elle précisa le fait que voici : Histoire de la
maladie
. Etant à Nice, en voyage de noces, son mari la
te, mais certainement aussi fatigante; celle de trouver remède à sa
maladie
. Aussi cherche-t-elle de tous côtés un moyen de
de notable dans l'hérédité. Comme antécé- dents personnels : aucune
maladie
grave; pas d'excès alcooliques. Mais les signes
r ses tendances délirantes de plus en plus accusées. Histoire de la
maladie
. C'est vers 1895 que le délire fit sa pre- mièr
roit incurable. M. Wernicke la voit, trois ans après le début de sa
maladie
, dans une famille amie dont elle était l'hôtess
s égaux jusqu'à l'âge de dix-huit mois. A cette époque, il a eu une
maladie
grave, des convulsions qui ont laissé après ell
nomalie, aucune douleur, dans le membre supérieur gauche jusqu'à la
maladie
convulsive indiquée par Chen... Ces convulsions r
d'une manière très catégorique, que son infirmité lui venait d'une
maladie
et non d'un accident ; il n'y avait donc pas à
érale des altérations, c'est une hypothèse peu acceptable. Les deux
maladies
susceptibles d'expliquer le fait actuel sont :
notre enquête sur l'action thérapeutique de la trépanation dans les
maladies
nerveuses, nous demandons à nos collègues des a
arbonate de chaux à haute dose. A. FENAYROU. IV. Traitement de la
maladie
de Basedow par l'ovarine; par M. DELAUNAY (de P
ans le traitement de l'hystérie et bien moins encore dans celui des
maladies
mentales que la thérapeutique suggestive exerce
facteur suggestif qui, selon les cas, s'ajoute aux symptômes d'une
maladie
ou aux éléments d'une guérison, ou se soustrait
drocéphalies aiguës, apoplexie, épilepsie, hémicranif, convulsions,
maladies
de la moelle, mélancolie, manie, démence. Ces d
être admise comme cause étiologique de l'aliénation ; 5° en fait de
maladies
mentales chez les lépreux, on a observé la méla
ia de Meynert. A en juger d'après l'analogie de l'action des autres
maladies
infectieuses sur la sphère mentale, il paraîtra
t que la lèpre pourrait plutôt faire naître l'amentia, que d'autres
maladies
mentales. (Revue neurologique, mars 1899.) E. 1
u pincement chez 108 parai} tiques géné- raux depuis le début de la
maladie
jusqu'à sa terminaison. Dans 65 p. 100 des cas
THOLOGIE MENTALE. 143 surtout au début et à la période ultime de la
maladie
. Elles n'ont du reste aucune valeur diagnostiqu
Notes sur l'urobilinurie et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les
maladies
nerveuses; par le D1' IlAsco\ EC. L'urobilinuri
obilinurie et l'hématoporphyrinurie ont été observées dans quelques
maladies
nerveuses et souvent après l'empoisonnement par
erme ; myoclonie épisodique (paramyoclonus multiplex dans un cas de
maladie
de Recklinghausen) ; par MM. FEINDEL et Froussa
des tumeurs cutanées et des noevi pigmentaires qui caractérisent la
maladie
de Uecklinghausen. Dégénérescence, stigmates co
a maladie de Uecklinghausen. Dégénérescence, stigmates congénitaux,
maladie
de Uecktinghausen, sont chez le même sujet conf
eul a eu son évolution troublée ; de là les signes extérieurs de la
maladie
de Reckhnghausen ; mais la partie de l'ectoderm
rgument en faveur de cette opinion que : les signes physiques de la
maladie
de Recklinghausen sont des stigmates de la dégé
ie de Recklinghausen sont des stigmates de la dégénérescence, cette
maladie
représentant une 144 SOCIÉTÉS SAVANTES. forme
pour stigmates de sa dégénéres- cence les symptômes physiques de la
maladie
de Recklinghausen et la myoclonie dont il est a
tritifs ou intellectuels plus ou moins profonds et donnant lieu aux
maladies
diathésiques. A ce titre, les ascendants, comme l
e genre de recherches. S. NALBAKDOFF. Un cas de myotonie familiale (
maladie
de 7'/tCH : sM), compliquée de tabès. N... pr
sM), compliquée de tabès. N... présente deux frères, affectés de la
maladie
de Thomsen, chez lesquels la maladie est pronon
te deux frères, affectés de la maladie de Thomsen, chez lesquels la
maladie
est prononcée d'une façon très faible, de sorte
sensibilité (hypo- esthésie). En outre, symptômes manifestes de la
maladie
de Thomsen,dont le début se rapporte évidemment
coeur, comme chez l'un des deux myotolliques. L'auteur pense que la
maladie
de Thomsen est une affection congénitale. Sec
ns de leurs élèves et de tous ceux qui s'intéressent il l'étude des
maladies
du système nerveux. Surdité vc bale pure, de na
RAPHIE. 167 dominants sont l'hérédité et la consanguinité. Dans les
maladies
dues à la consanguinité nous relevons : 1° la s
abstinence forcée, qui comprend, en dehors de l'abstinence dans les
maladies
(pyrexies, aliénation mentale, hystérie), les j
ant à l'ensemble de l'oeuvre sa véritable portée. II s'agit ici des
maladies
produites par les émotions, des idées obsédante
que le lien très général créé par la dégénérescence. En matière de
maladie
infectieuse, il' ne saurait s'agir, en effet, d
tion de Thomas Watson : « Le coma n'est pas le premier symptôme. La
maladie
commence ordi- nairement par une douleur de tèt
i que ce coma primitif disparaît rapidement pour laisser ensuite la
maladie
évoluer comme dans les cas les plus typiques. C
cédée de phénomènes convul- sifs. Ainsi dans notre observation I la
maladie
présente, après du malaise et des vomissements,
ion n'est pas d'ailleurs directement en rapport avec la durée de la
maladie
. Nous avons vu, en effet, qu'il peut exister de
un ictus rapide reprend connais- sance et à partir de ce moment la
maladie
évolue comme une apoplexie progressive type jus
eut jouer un certain rôle dans les altérations qui accompagnent les
maladies
fébriles. L'étude attentive des lésions produit
; par ADLEU, (Centralbl. f. 6e ? : /te ? XXII, N. F. X, 1899.) Ces
maladies
, de même que les affections des nerfs, des vais-
spécial. P. KERAVAL. XV. Le traitement orthopédio-chirurgical de la
maladie
de Little; par Vinceslas SAPINSKI. (Gazeta Leka
Little; par Vinceslas SAPINSKI. (Gazeta Lekarsl,a, mars 1899.) La
maladie
de Little est causée par les perturbations pendan
naissances avant terme semblent être la cause prédominante de cette
maladie
. Chez les enfants nés avant terme, le cerveau n
ans les membres inférieurs. Frend explique ainsi le phénomène de la
maladie
: deux neu- rones entrent en jeu dans la voie m
ire dépend du central et de son action sur le périphérique. Dans la
maladie
de Little l'action du neurone central est affai
de symptômes ou de phénomènes accessoires dans un certain nombre de
maladies
mentales, notamment dans l'exci- tation maniaqu
de la jalousie-passion de la jalousie-maladie ; 2° dans la jalousie
maladie
, la distinction des délires idiopathiques et des
t lorsqu'il s'agit de distinguer la pas- sion à son paroxysme de la
maladie
, et dans celle-ci l'obsession consciente et l'i
et d'éveil sexuel, chez une petite fille observée à la clinique des
maladies
mentales de la Faculté. 17. Moyens de défense
de critique des interventions sur le sympa- thique cervical dans la
maladie
de Bccsedotc. Bounus (Gaston). Contribution à l
maladie de Bccsedotc. Bounus (Gaston). Contribution à l'étude de la
maladie
de Friectreich à début tardif. Bouchard (August
tés par la trépanation. Racca (Bernardin). Du méningisme dans les
maladies
infectieuses. ltodiet (Antony). L'alcoolisme chez
symptômes qu'il présenta, mais ne purent porter le diagnostic de sa
maladie
, parce qu'à l'époque où ils écrivaient le syndr
réunir, en assemblées périodiques, les médecins qui s'occupent des
maladies
du système nerveux. Elle se compose de membres
elques excès génésiques; mais il affirme qu'il n'a pas contracté de
maladie
vénérienne. Pendant quinze ans, C... a été empl
mentale. Ces constata- tions, faites pendant la période aiguë de la
maladie
, ont été con- firmées par les explications four
e raisonnablement; il fait beaucoup de jeux de mots, comme avant sa
maladie
. Toute trace de délire s'est évanouie; aucun sy
at d'esprit dans lequel il a conscience de s'être trouvé pendant sa
maladie
. C... se souvient d'une façon très exacte des c
personne qu'il ait toujours reconnue pendant la période aiguë de sa
maladie
. A l'asile, « il a été comme dans un rêve, dit-
a considérer comme le seul facteur important dans l'étiologie de la
maladie
. L'action de l'inTection a- été manifestement s
t-opératoire ayant été la cause occasionnelle et déterminante de la
maladie
, et celle-ci ayant revêtu le type habituel des
ères typiques de la confusion mentale. Pendant toute la durée de la
maladie
, le symptôme fondamental de l'état psychique du
les sujets prédis- posés, la frayeur ou les chagrins produisant une
maladie
mentale, peuvent faire penser à une influence p
s génitales (cryptorchidie, hypospadias) sur le déve- loppement des
maladies
mentales; Raffegeau, dans sa thèse, étudie auss
moi, et ce grain de science me vient de France ». R. CnAMN. XVII.
Maladies
du sympathique; par B. ROBERT, (revissa de 111e
nce du rôle qu'il joue dans la migraine, l'hémiatrophie faciale, la
maladie
de Basedow, la pseudo-hypertrophie musculaire,
eudo-hypertrophie musculaire, l'asphyxie locale. Pour bien d'autres
maladies
des perturbations viscérales instables et non r
mentionne spécialement la cir- rhose alcoolique. Le fait que cette
maladie
existait longtemps avant REVUE DE PATHOLOGIE NE
tion basée sur une croyance populaire : syphilis légère ; jamais de
maladies
antérieures ni de blessures. Quelque peu alcool
faciale confère-t-elle l'im- munité ? La récidive si fréquente des
maladies
infectieuses de la gorge et en particulier des
n. Dans les cas légers on ne peut produire de contractions quand la
maladie
dans son ensemble a une durée de six semaines.
a atrophie du nerf optique. L'ataxie et la simultanéité de la même
maladie
320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. chez les de
. Marie. Il ne se croit pas encoie en mesure de décider si, dans la
maladie
de Friedreich, il y a, et à quel degré, des arrêt
e l'observation Il bien que particulière, n'exclut pas l'idée d'une
maladie
de Frie- dreich ; c'est une maladie de Friedrei
ière, n'exclut pas l'idée d'une maladie de Frie- dreich ; c'est une
maladie
de Friedreich avec atrophie du nerf optique, vo
avec atrophie du nerf optique, voilà tout. C'est vraiment ici une
maladie
familiale puisqu'elle atteint deux membres d'un
deux membres d'une même famille et tout jeunes (on sait que cette
maladie
est rarement directement transmise); le père étai
s l'espèce). Les deux enfants ont été atteints de scarlatine; cette
maladie
a pu exagérer la pré- disposition à l'ataxie hé
IE MENTALE. XIII. Recherches sur la glycosurie alimentaire dans les
maladies
mentales au point de vue des rapports entre la
igneusement .menées con- duisent aux conclusions suivantes : 1° Les
maladies
mentales, par elles-mêmes, ne sont pas capables
el ; en effet dans la paranoïa développée, le point de départ de la
maladie
est une association pathologique des idées. Les
-heure et grande faiblesse générale consécutive pendant un mois. La
maladie
actuelle débuta au com- mencement de décembre 1
t à la discussion. D,PopoFF.-Coiiii-ibiiiio71k la casuistique de la
maladie
de Duseclo2v. P... relate deux observations de
tre exophtalmique avec hémorragies de divers organes au cours de la
maladie
. La première malade, âgée de trente-huit ans, a
ragies ont cessé. La deuxième malade présente la forme fruste de la
maladie
de Basedow, masquée par de multiples et fréquen
« hémorragies », qui passe pour un symptôme relativement rare de la
maladie
de Basedow, a pu servir de point de départ pour
iistein. Contribution à la symptomatologie des signes physiques des
maladies
mentales. (Communication préalable.) Quand on p
uppreclt, Naef, Pierre-Marie, Brissaud, van Gehuchten) y voient une
maladie
véritable, autonome, indépen- dante des autres
ain de l'observation clinique, l'étiologie et les symp- tômes de la
maladie
de Little n'ont aucune spécificité. Accouche- m
à autant de causes étio- logiques qui se rencontrent au début de la
maladie
de Little, comme au début des diplégies cérébra
a paralysie avec idiotie totale. Il n'est pas possible d'isoler une
maladie
qui serait caractérisée uniquement par la rigidit
faisceau pyramidal se trouve atteint de façon très variable dans la
maladie
de Little. De plus, il existe toujours une lési
e qui est facile à comprendre eu égard à la nature des causes de la
maladie
des ascendants : -. syphilis, alcoolisme et sur
ie infantile, affections convulsives), et à toutes les variétés des
maladies
men- tales parmi lesquelles l'hérédité similair
ore pour eux la plus rare. Enfin, chez les descendants de P. G. les
maladies
men- tales les plus communes sont la dégénéresc
n à l'hérédité vésanique, ces sujets sont sous le coup de toutes es
maladies
avec ou sans lésions du système nerveux. P. 130
uos-Aires, 1899. Imprenta de J. Peuser. Grasset. - Diagnostic des
maladies
de la moelle (Siège des lésions). Volume in-1G
t, d'une voie faible et voilée. Il peut cepen- dant raconter que sa
maladie
a commencé le i avril, brusquement, par des tro
excellente santé et auquel on ne con- naissait point de tare ni de
maladie
antérieure. A son entrée. - Homme d'aspect robu
reptocoque et nous croyons que tel est bien l'agent pathogène de la
maladie
, étant donné sa présence exclusive dans le.liquid
able que l'état du système nerveux central ou périphérique dans les
maladies
donnant lieu au syndrome « paralysie ascendante
s les maladies donnant lieu au syndrome « paralysie ascendante » ou
maladie
de Landry. Ce dernier auteur n'ayant pas donné
méthode anatomo- pathologique ont permis de décrire sous le nom de
maladie
de Landry ou de paralysie ascendante tous les c
, croyons-nous, où les lésions des éléments 1 Raymond. Clinique des
maladies
du système nerveux, 1896. , Giraudeau et Levi.
rses théories virent successivement le jour sur la pathogénie de la
maladie
de Landry. Pour les uns elle ne serait jamais l
rès quatre observations cliniques et anatomo-pathologiques que la
maladie
de Landry « n'est autre chose que le deuxième e
des lésions spinales quelconques*. » D'ailleurs attacher le nom de
maladie
de Landry à la forme médullaire pure de paralys
ment moteurs. ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clinique des
maladies
du système nerveux, 1896. HALLUCINATIONS PSYC
1S40. Physiologie des hallucina- tions dans ses recherches sur les
maladies
mentales. 374 CLINIQUE MENTALE. sous. le n4)m
s (Arch. de neurologie, 1896). * Magnan. Leçons cliniques sur les
maladies
mentales, 1897, p. 17. 3 maison. Contribution à
able- ment tuberculeuse. Quant à notre malade, elle n'a eu aucune
maladie
grave dans son enfance. A été réglée à quinze a
nts. Une soeur morte tuberculeuse. Antécédents personnels. Aucune
maladie
grave, mais chétif : a toujours été un peu biza
t de notre malade. T... est venu au monde à terme. Il n'a pas eu de
maladie
grave étant enfant. A été à l'école pendant sep
d'aliénés en pro- vince. Une soeur morte, nous ne savons de quelle
maladie
. Antécédents personnels. B... Pierre, a été à l
a été d'abord scieur de bois, puis agriculteur. B... n'a eu aucune
maladie
dans l'enfance ni la jeunesse. Il s'est marié a
'a jamais pu s'accorder avec sa femme. Mort à trente-huit ans d'une
maladie
de poitrine causée, dit-on, par l'alcoolisme. Dan
e la gymnastique médicale et du massage dans le traitement de cette
maladie
chez un médecin de quarante-six ans en même tem
ra, méta ou post-syphili- tiques, qui sont à la syphilis ce que les[
maladies
nerveuses épiphé- noménales sont aux maladies i
a syphilis ce que les[maladies nerveuses épiphé- noménales sont aux
maladies
infectieuses aiguës, exemples : les paralysies
d'autres nerfs périphériques. Et la diplégie à frigorie ? c'est une
maladie
très,rare à Kasan ; depuis cinq ans, l'auteur n
vent être présents à l'esprit lorsqu'on étudie l'épilepsie et les
maladies
épileptoïdes. Emploi alternatif des bromures co
logie secondaires qui englobent souvent plus que le cerveau dans la
maladie
. (Tlee alienist and neurologist, janvier 1899.) E
es reins, 4 sur les pieds, 5 sur le tronc, 1 sur la nuque, etc. Les
maladies
qu'ils avaient eu pour but de guérir étaient la m
daus 60 cas; les lésions des os et des join- tures dans 29 cas; des
maladies
d'estomac dans 4 cas; des mala- dies de la peau
nes des asiles de la Seine, ont été nommés chefs de la clinique des
maladies
mentales, à la suite du dernier concours. Le
ectuel souvent pro- gressif et Krafft-Ebing s'exprime ainsi : « Les
maladies
céré- brales en foyer, si elles n'affectent pas
pré- coce constitue un des plus forts appoints du traitement des
maladies
mentales, il ne faut point en prêcher la souverai
es est entamé et le temps approche, sans doute, où les victimes des
maladies
psychiques seront assis- tées et traitées comme
mie. THERAPEUTIQUE. TRAVAIL ET ALITEMENT DANS LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. (notice historique) ; p A H P. SÉ
x affections mentales : aussi la croyance à l'incu- rabililé de ces
maladies
, bien que démentie chaque jour par LE TRAITEMEN
e ces maladies, bien que démentie chaque jour par LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 443 3 l'expérience, est-elle très rép
l'aliénation mentale, 2' édi- tion. Paris, 18U9. . Esquirol. Des
maladies
mentales. Paris, 1838, t. Il, p. 5'3. 3 Lefebvr
port présenté au Conseil général de l'Eure, 1839. LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 445 lisan du travail, c'est la visite
t neurologistes de langue française. Nancy, 189G. LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 447 une source de bénéfices. Les insp
l'histoire du travail considéré comme agent thérapeutique dans les
maladies
mentales, en disant que cette méthode a été un
al proprement dit; elle a renforcé le préjugé de l'incurabilité des
maladies
mentales; elle a fait perdre de vue la catégori
d'aliénés devait être avant tout un hôpital pour le traitement des
maladies
du cerveau. La conception de l'asile considéré
thode nouvelle comme un progrès considérable dans le traitement des
maladies
mentales. Certes, le repos au lit n'est pas une
an- gers, que le repos au lit doit être la base du traitement des
maladies
aiguës du cerveau, comme il l'est pour les maladi
traitement des maladies aiguës du cerveau, comme il l'est pour les
maladies
de n'importe quel autre organe. Chez les mala
post- infectieuses, toxiques, puerpérales, etc. LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 449 Quant aux indications du repos ps
e à n'en pas douter l'intensité des symptômes les plus pénibles des
maladies
mentales aiguës et écarte les redoutables compl
fet, que le dogme de la nécessité du travail dans le traitement des
maladies
mentales, et aussi certaines conceptions erroné
quel- conque, et de traiter par le repos complet de l'organe les
maladies
aiguës du cerveau. Deux mots encore avant d'abo
utique, l'alitement vient combler une lacune dans le traitement des
maladies
mentales, puisqu'il est appliqué précisément ch
au lil. (Semaine médicale, 11 oct. 1899, p. 331.) LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 451 (colonisation agricole) est pour
en 18¡), introduit le procédé en question dans la thérapeutique des
maladies
mentales. « Presque tous nos mélancoliques, écr
s orales sur les phrénopulhies, ou traité théorique el pratique des
maladies
mentales, t. 111, 'p. 2. Gand, 1852. irez THÉRA
la suralimentation et l'électrothérapie 3. ' Griesinger. Traité des
maladies
mentales, p. 518-5G5. (Traduction française.) P
5G5. (Traduction française.) Paris, ISfi5. - 3 J.-P. Falret,. Des
maladies
mentales el des asiles d'aliénés. Paris, 181 t. 1
n rest in lltc lrealrnenl of nervous diseuses, in LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 433 Dans ces divers états d'épuisemen
se. (Annales médico-psychologirues, 188S.) 1 Bail. Leçons sur les
maladies
mentales. ? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro.
mentales. ? e édition. Paris, 1890. 0 Cullerro. Traité pratique des
maladies
mentales, 1890. II e7-ri THÉRAPEUTIQUE. Régis
nsiste sur la nécessité de l'alitement ' Régis. Manuel pratique des
maladies
mentales, 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité de
tique des maladies mentales, 1893. ° Dagonet et Duhamel. Traité des
maladies
mentales, 1891. 3 Chaslin. La confusion mentale
ch. f. l'syclrial., t. 1\\lll, p. 803, 18'i'i.) LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 455 chez les mélancoliques- et va mém
ersxverlh, 1883, p. 3.\, et ï : i, ' Scliùle. Traité clinique des
maladies
mentales, 18li. (l'raLlllct. fran- çaise de Duh
nés (en russe). (Obozr. psikhialr., 189G, p. 5.) LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 457 A la clinique de l'Académie milit
ce mode de traitement ne diminue pas sensiblement la durée de la
maladie
; qu'il a l'inconvénient de déterminer (W 1- con
e MM. Magnanà l'admission de Sainte-Anne, Joilroy à la clinique des
maladies
mentales, Briand et Toulouse à l'asile de Ville
Rapport sur le service des aliénés du département LE TRAITEMENT DES
MALADIES
MENTALES. 459 Bien qu'à l'heure actuelle l'alit
x, que les conditions trop longtemps défavorables du traitement des
maladies
men- tales ont seules jusqu'ici condamnés à l'i
et de richesse, excitation généralisée^ dans ces derniers jours de
maladie
, a fait des excès 0 cénitaex-ét' alcooliques. »
mentation de ce liquide, rappelant des troubles semblables dans les
maladies
fébriles, les affections des reins, les maladie
emblables dans les maladies fébriles, les affections des reins, les
maladies
du coeur, ou autres affections organiques, mais e
ux, du même genre ou d'une nuance différente, de la chlorose, de la
maladie
de Basedow, de l'arthritisme, de l'uricémie, de
pour 10. Après la sixième injection, le vingt-quatrième jour de la
maladie
, le malade voit la bougie qui brûle sur la tabl
perçoive bien distincte- ment. Six mois après le commencement de la
maladie
, hyper- métropie des deux yeux (1/2 D), acuité
optique dans la sclérose en plaques ; 9° La névrite optique dans la
maladie
de Guerher (vertige paralysant) et le koubisagu
ment KBr et les bains améliorent l'émotivité, et, avec le temps, la
maladie
disparait (de Bechterew). M. de Bechterew croit
ritique de l'emploi de la notion trauma- tique dans l'étiologie des
maladies
nerveuses ; par R. Gauppe. (Cenlralbl. f. t1'en
abusé du qualificatif traumatique dans la question de la genèse des
maladies
nerveuses. Les inconvénients en sont évidents,
du système nerveux ultérieurement lésées puisque l'hystérie est une
maladie
de l'encéphale et non de la moelle. Impossible
à plusieurs mois, à plusieurs an- nées de distance et provoquer une
maladie
organique' ? On le dit aujourd'hui, même quand,
anique' ? On le dit aujourd'hui, même quand, entre l'accident et la
maladie
, il s'est écoulé un laps de temps de parfaite s
. On prétend vaguement que le traumatisme a préparé le terrain à la
maladie
. C'est pos- sible mais nous ne le savons pas. S
u nasales) expliquant l'oedème, la non-existence de traumatisme, de
maladies
infec- tieuses aiguës, l'apyrexie, l'exclusion
atrophie bilatérale des papilles à une période plus avancée de la
maladie
.^ Atteinte ultérieure des deux oculomoteurs commu
les divers nerfs de l'oeil. Ici, quelques mois après le début de la
maladie
, les mou- vements des yeux étaient conservés; l
ide. Il travaille ainsi chaussé de cuir léger ou de pantouffles. La
maladie
a débuté avec ce travail pénible, debout, exige
é que par les autres méthodes, du moins diminue-t-on la durée de la
maladie
et place-t-on le malade dans les meilleures con
s nous avouent que ce traitement ne modifie pas la longueur de la
maladie
. Alors à quoi bon changer de thérapeutique ? Lo
épileptiformes ou apoplectiformes, assez fréquentes au cours de la
maladie
; elle constitue un argument de plus en faveur
Charcot, en 1892, il faudrait rechercher les formes mentales de la
maladie
et ses symptômes psychiques, encore si mal cara
malheureux, atteints de crétinisme, étaient affligés en outre d'une
maladie
de peau et vêtus de haillons. Chez eux, ils cou-
. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux. Asile clinique. Clinique. des
maladies
mentales : M. le pro- fesseur Joffroy, mercredi
lit des malades. Hospice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours de clinique des
maladies
du système nerveux (Professeur M. BAYUOND). M.
me heure. Programme d'enseignement supplémentaire : Séméiologie des
maladies
du sys- tème nerveux. M. le Dr Cestan. Ilistolo
Meyer, 322. Glycosurie. Recherches sur la - alimentaire dans les
maladies
mentales au point de vue ries rapports entre
II5'RIfvUIIIE. Noies sur l'urobilinurie et l' - toxiques dans les
maladies
nerveuses, par Ifascovec, 113. IIÉ111CIioIiEE
ique nerveuse, par Grignan, 238, par Regnault et Bérillon, 239.
Maladie
DE BASEDOW. Voir Goitre exophtalmique Maladie
Bérillon, 239. Maladie DE BASEDOW. Voir Goitre exophtalmique
Maladie
DE LI1TLE. Le traitement orthopédio-chirurgical
Le traitement orthopédio-chirurgical de la , par Lapmski, 231.
Maladies
mentales. Contribution à la symptologie des sig
ar Feindel et Froussard, 143. )IYOTONIE. Un cas de - familiale (
maladie
de Thomsen) compliquée de tabes, par Nalbaiirio
ucinations psycho-motiices chez un , pai Leioy, 469. Pascal. La
maladie
de Blaise -, par Binet-Sanglé. 252. Pathologi
ar les opél a- tions pratiquées sur le grand -, par 13riand, 16b.
Maladies
du -, par Robent, 306. Syndrome de LARDR)' pa
LLABORATEURS. 539 Traumatique. Notion - dans l'etio- logie ries
maladies
nerveuses, par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrale
inurie. Notes sur l' - et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les
maladies
nerveuses, par Ilascovec, l 13. Visuel. Struc
SSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DES .MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET
IQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES .MALADIES MENTALES DES
MALADIES
CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX SYPHILITIQUES
ÉMIOPIE PERMANENTE PAR A. JOFFROY Professeur de la Clinique des
Maladies
Mentales. Leçon recueillie par MM. Roonmomrcu e
Maintenant que nous avons énuméré les symptômes que présente celle
maladie
, nous allons chercher à déterminer les lésions qu
elle série d'observations faites dans le service de la Clinique des
maladies
du système nerveux la Salpêtrière du 15 juil- l
doit être refusée aux tabétiques cachectiques comme à ceux dont la
maladie
revêt une très lente évolution ; dans les cas d
ilepsie, qui depuis longtemps fut considérée comme le prototype des
maladies
essentielles, comme une nécrose autonome, ne co
très général pour affirmer avec Gowers que l'épi- lepsie est une «
maladie
» de la substance grise de l'encéphale ; il n'est
s. Pas de syphilis. Il n'a jamais eu de convulsions, ni fait aucune
maladie
. Etat actuel. - Le malade est entré dans mon se
serve « 99 fois sur 100 » (1). Mais les (t) Bmssaon, Leçons sur les
maladies
nerveuses, p. 545. 26 MAGALHAÈS LEMOS attaque
ux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encéphale, p. 404- 434. DE L'ÉPILEPSIE S
ns qui constatent des altérations cir- (1) Brissaud, Leçons sur les
maladies
nerveuses, p. 5.i2, (2) Nothnagel, Traité clini
erveuses, p. 5.i2, (2) Nothnagel, Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encéphale, p. 438. DE L'ÉPILEPSIE SYMPTOMA
et cela se conçoit, les anomalies digitales ne constituant pas une
maladie
capable de conduire à l'amphithéâtre ceux qui e
ontal passant par ses yeux, ceux-ci res- tent immobiles. < Une
maladie
inflammatoire antérieure explique l'inégalité pup
trois cas absolument semblables et dus à la même cause, la variole,
maladie
dont la fréquence dans ce pays était si grande av
sycho- physiologie de la marche. Il nous suffit de rappeler que les
maladies
du système nerveux interviennent dans les troub
t considérable, non moins grande que celle qu'on peut attribuer aux
maladies
primitives des os, des articulations et des muscl
e préataxique. Déjà Erb (1) en signalait un cas dans son Traité des
maladies
dit système nerveux. L'abolition des réflexes,
antécédents héréditaires sont peu importants. - On ne relève pas de
maladie
dans son enfance. Il fut soldat, fit un long sé-
Il est le siège d'une insuffisance aortique par lésion de l'aorte (
maladie
de lIogdson). L'aorte est très athéromateuse sur
Dans le tabes dorsalis. Son existence est la règle. Et, dans cette
maladie
, les lésions des nerfs périphériques et de leur
ation des réflexes ne sont pas exceptionnels. Mais il mesure que la
maladie
progresse, les réflexes dispa- raissent. Chez n
bes était assez ancien, cependant la mort est survenue avant que la
maladie
eût achevé son évolution complète. Il est certa
dermatologique du Pr Stoukovensloff (Kiew). L'étude des causes des
maladies
cutanées est un des chapitres les moins connus
ux posi- tifs qui puissent servir de fondement à l'étiologie de ces
maladies
. D'au- tre part, les faits positifs qu'on possè
les exigences. Dans l'énorme majorité des cas, les observations des
maladies
n'ont pas été faites dans toutes les directions,
é l'attention presque exclusivement sur le côté morphologique de la
maladie
: les signes extérieurs étaient étudiés avec le
dont on puisse faire des déductions sur l'étiologie des différentes
maladies
de la peau, qu'on a commencé à donner plus d'at
ées dans toutes les directions sur de nombreux malades souffrant de
maladies
de la peau, un matériel qui puisse servir à gén
aladies de la peau, un matériel qui puisse servir à généraliser les
maladies
et à résoudre quel- ques problèmes concernant p
e quel- ques problèmes concernant principalement l'étiologie de ces
maladies
. Les Etudes dermatologiques de M. le professeur
RUBER 95 L'étiologie du lichen ruber est très peu connue. C'est une
maladie
qu'on rencontre assez rarement, bien plus rarem
us rarement que la psoriasis. Le lichen ruber est justement une des
maladies
cutanées qu'on a étudiée en consacrant trop d'a
rd été décrit par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a décrit une
maladie
de la peau sous le nom de lichen planus qui, ap
u lichen ruber nous aurons en vue seulement ces deux for- mes de la
maladie
et leurs modifications, qui ont été solidement ét
tablies par ces observations cliniques. Dans tous les traités des
maladies
de la peau les plus connus, on ne fait presque
dit catégoriquement que malgré qu'il ait vu près de 50 cas de cette
maladie
il ne peut presque rien dire de son étiologie ;
as de lichen ruber, ne dit rien de positif sur l'étiologie de cette
maladie
et se contente de démontrer que la haute températ
assar, sont disposés à reconnaître l'étiologie microbienne de cette
maladie
; Lassar décrit des bacilles très menus dans les
lichen ruber pour une trophonévrose en se basant sur le fait que la
maladie
est toujours accompagnée de démangeai- sons et
pagnée de démangeai- sons et que dans les dernières phases de celle
maladie
on observe l'atrophie de la couche papillaire d
du système nerveux. M. le professeur Polotebnoff conclut que cette
maladie
apparaît seulement comme un symp- tôme constant
lesquelles les auteurs tâchaient de reconnaître un lien entre cetle
maladie
et lesaffections du système nerveux central. Ains
s dans 52 cas de lichen ruber, compte celte ma- ladie au nombre des
maladies
nerveuses, en faveur de quoi, selon lui, parle
l'auteur l'occasion de se déclarer pour l'étiologie nerveuse de la
maladie
. Jacquet cite toute une série de cas de lichen
qui est instructif en ce que le lien entre la lésion cutanée et la
maladie
du système ner- veux central était très en reli
Fagge est plein d'intérêt; il nous raconte l'histoire de sa propre
maladie
. Le malade, qui souffrait du lichen ruber, était
tement des indications précises sur le lien très intime entre celle
maladie
et l'état du système nerveux des malades. En fave
autres, nous persuade également de l'étiologie ner- veuse de cette
maladie
; ce dernier fait est d'autan( plus clair dans le
tribution de l'éruption est partout excessivement symé- trique : la
maladie
a commencé vers les 12 ans. Le père du malade est
IV. - Lichen ruber acuminé chez un homme de 75 ans, allemand. La
maladie
a commencé, il y a 10 ans, sur les membres inféri
les régions surales. L'éruption est distri- buée symétriquement. La
maladie
a commencé il y a 17 ans, et simultané- ment se
trophiés en comparaison des muscles du corps. Le commencement de la
maladie
est en rapport avec une forte secousse nerveuse
ire second cas. Dans le troisième cas nous pouvons constater que la
maladie
s'est dé- veloppée chez un sujet dont la prédis
t dé- veloppée chez un sujet dont la prédisposition héréditaire aux
maladies
nerveuses était distinctement exprimée. Dans le
qui s'est développé chez un sujet hé- réditairement prédisposé aux
maladies
du système nerveux, ayant des signes marqués de
ce malade nous montre claire- ment, que nous avons devant nous une
maladie
nerveuse centrale, qui se localise dans la moel
elle épinière. , VIII.-Un homme de 20 ans, paysan petit-russien. La
maladie
date de l'enfance ; l'éruption se limite exclus
au qui doivent être considérées comme les plus primitifs dans cette
maladie
. Malheureusement nous n'avons pas jusqu'à aujou
liquer beaucoup de phénomènes qu'on observe dans tout, un groupe de
maladies
nerveuses de la peau au nombre desquelles il faut
topatische Derntatoseu, 1883. HARDY, Traité pratique descriptif des
maladies
de la peau. Paris, 1881. HILLAHET, Traité théor
de la peau. Paris, 1881. HILLAHET, Traité théorique et pratique des
maladies
de la peau. Paris, 1881, VIDAL, Annales de derm
hiv. f. dermat. u. syphil., Bd XXXVIII, H. 1897. DIETz, Journal des
maladies
cutanées et syphilitiques, 1896, 12. Gaule, Ber
(2) Brissaud, Myxoedème, crélinisme et infantilisme. Leçons sur les
maladies
ner- veuses. Salpêtrière (1893-94), p. 625 et s
ur trouver les premières observations publiées sur cette singulière
maladie
. Elles sont toutes de souche anglaise, écourtée
d'Hawkins, le 2e où le microscope soit intervenu dans l'étude de la
maladie
qui nous occupe. Deux ans après, Zollinger sout
tion congénitale, il n'y aurait pas plutôt lieu de considérer cette
maladie
comme le résultat d'une lésion primitive de la mo
e chirurgie allemand de 1896, le squelette d'un sujet atteint de la
maladie
de Munchmeyer. Dans le cas de Bruck il y avait
qui, pour lui, jouerait un rôle prépondérant dans l'éclosion de la
maladie
. On décrit depuis Munchmeyer trois périodes dan
d'abord par Munchmeyer en s'appuyant sur la marche cli- nique de la
maladie
et sur quelques rares autopsies incomplètes, fute
, il représente lui-même un étal transitoire dans l'évolution de la
maladie
, il constitue comme le premier degré des modi-
ées à la reproduction des anomalies morphologiques réalisées par la
maladie
. Une première fois, il s'agissait du masque de
tuette synthétisant les formes extérieures et les attitudes dans la
Maladie
de Parkinson (1). Le double mérite, à la fois s
., ne 6, 1894. II. Meige et Paul Richer, Etude morphologique sur la
Maladie
de Parkinson. IbiLl., ne 9, 1895. STATUETTE R
iety, Annales de Dermatologie, février 1898. (3) Kaposi, Traité des
maladies
de peau, Traduction de MM. Besnier et Doyon, p. 1
1. (4) M. COINGT, Conlrib. à l'él. des symptômes oculaires dans les
maladies
du système nerveux central, th. 18îS, p. 131, 1
.. 1879, p. 266). (6) LEGENDHr, Rech. anal, et clin, sur quelques
maladies
de l'enfance, 1846, pp. 58, 72, 78. (1) L. Re
as une si grande ex- tension. Un des caractères de celle singulière
maladie
, c'est d'étendre pé- riodiquement son domaine p
on du coeur (11(i à la minute ; il ne croit pas à l'existence de la
maladie
de Basedow malgré l'existence d'une exophthalmi
nce, aux deux premières années de la vie. Sur ce nombre, 12 fois la
maladie
s'est attaquée à des nourrissons de moins d'un
puisqu'il est basé sur des faits qui ne ressortissent pas tous à la
maladie
qui nous occupe. Pincus, sur 38 cas, trouve 29
iate pour faire éclater les premiers symptômes. » Pour Pinter notre
maladie
est constitutionnelle : 1° Parce que dans certa
encé de très bonne heure; 3° Parce que, dans quelques faits où la
maladie
a débuté un peu plus tardivement, on a remarqué
idèrent l'affection de nature rhu- 1/ Ut lis male. Le début de la
maladie
après le froid, après le séjour, dans une cave
ire, mais malgré ces analogies il est impossible de ranger les deux
maladies
dans le même cadre nosolo- gique. Volkmann, a
tribuer les ossifications il un trouble trophique. Le début de la
maladie
se localisant fréquemment aux mêmes points; sa
e qu'une partie des symptômes; mieux vaut, croyons- nous, l'appeler
maladie
de Muncll1neyel' : c'est rendre hommage à celui
La durée de la myosite ossifiante progressive est très variable. La
maladie
peut aller parfois avec une étonnante rapidité, e
du larynx. , Elle détermine en général la mort par l'aggravation de
maladies
chro- niques et d'affections intercurrentes don
culaire, les articles eux- mêmes restant indemnes ; la marche de la
maladie
envahissant par étapes successives tous les seg
indiqué un procédé pour établir le diagnostic de la pé- riode de la
maladie
: Les sels qui entrent dans la composition des os
ne cervicale a été précédé en général d'autres manifestations de la
maladie
, dans d'autres régions de l'économie; il s'ins-
ostéogénidues, qui permettent de les différencier facilement de la
maladie
de Munchmeyer, où le début est en général beauc
écrit par le J)r DiamanLberger, se dis- lingue à première vue de la
maladie
qui nous occupe. Dans la première les lésions s
ium, et il croit avoir tiré quelque profit de cette médication ; la
maladie
lui a semblé même conjurée par le lil. Celle ju
haux. Hawkins a le premier employé le traitement chirugical dans la
maladie
qui nous occupe. L'intervention n'est justifi
tumeur n'est encore admissible que dans les phases d'accalmie de la
maladie
, car les raideurs que l'on observe à la période
7 ans, il eut un enfant, aujourd'hui bien portant. , Le début de la
maladie
remonte à -12 ans. Au mois d'avril 1884, subiteme
Sensibilité et organes des sens normaux. (A suivre.) UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF. AUTOPSIE PAR R
es hôpitaux. L'époque de l'apparition des premiers phénomènes de la
Maladie
de Friedreich est sujette à de grandes variatio
lologique, quand il a pu être pratiqué, a confirmé le diagnostic de
Maladie
de Friedreich. Le fait que nous allons rapporte
e 30 ans et de 25 ans, sont bien portantes. Le frère est atteint de
maladie
de Friedreich. Dans les antécédents personnels,
e rhumatisme articulaire aigu. Pas d'éthylisme. Pas de syphilis. La
maladie
semble avoir débuté en 1883 ; il y a donc 13 ans.
us tard qu'on lui dit qu'il marche comme un homme ivre. UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF 179 Il a aussi sou
s, pas de pied-bot. Légère scoliose. Diagnostic porté par Charcot :
Maladie
de Friedreich. Agénésie complète depuis deux an
au bout de 13 jours, le 25 février. L'examen du malade, en tant que
Maladie
de Friedreich, a été fait aussi complètement qu
ck. ' NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XI, PL. XXI A B
MALADIE
DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF IL. Boiiiiiis)
V. ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T. XI, PL. XXII C E D F
MALADIE
DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF (L. Bonnus) C.
eau de la IIIe sacrée. F. Coupe du nerf musculo-cutané. UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICn A DÉBUT TARDIF 181 A la région do
vicale, atteint-elle le faisceau de Gowers ? " ! C'est là un cas de
Maladie
de Friedreich, dont quelques points, outre l'âg
douleurs fulgurantes un symptôme différentiel entre le tabes et la
Maladie
de Friedreich, mais celte opinion est trop excl
antes se rencontrant aussi, mais beaucoup moins fréquemment dans la
maladie
de Friedreich ; elles sont, en effet, signalées
raient depuis onze ans. (1) DÉJERINE, Sur une forme particulière de
maladie
de Friedreich avec atrophie musculaire et troub
roubles de la sensibilité. Soc. de biologie, 1890, p. 43. UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH A DÉBUT TAIDIF 183 Ces douleurs s
s musculaires. Il en vient la conclusion que, dans ce cas actuel de
Maladie
de Fried- (1) Guizetti, Le alterazioni dei nerv
ient pas confirmer l'hypothèse de IIammond, Senator ; attribuant la
Maladie
de Friedreich à l'atrophie primitive du cervelet;
; il vient au contraire à l'appui de l'opinion qui fait dépendre la
Maladie
de Fried- . reich d'une sclérose systématisée c
soutenue par presque tous les auteurs. Il existe d'autres cas de
Maladie
de Friedreich à début tardif. Le frère de ce ma
eints. Si la débilité est grande, on verra se développer des cas de
Maladie
de Friedreich à début précoce ; si, au contraire,
re, la débilité est peu accentuée, on assistera à l'évolution d'une
maladie
de Friedreich à début tardif. (1) Bowos, Cont
riedreich à début tardif. (1) Bowos, Contribution u l'étude de la
maladie
de Friedreich à début tardif. Th. de Paris, 189
Th. de Paris, 1898. (2) Id. (3) BE7.oLD, Elude clinique sur la
Maladie
de Friedreich. Th. Elangen, 1894. (4) .'1. Cahr
p. 93. (i) Brousse, Th. Montpellier, 1882. (8) Auscher, Un cas de
maladie
de Friedreich suivi d'autopsie. Bulletin de la So
llule pyramidale de l'é- (1) Van GEIIUCIITEY, Faisceau pyramidal et
maladie
de Little. Journal ne Neurologie etd'fIypnologi
izier (Haute-Maine) il° Année N° 4 Juillet-Août 1898 CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX, (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE)
TUMEUR DU CERVELET PAR R F. RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Messieurs, Je vais consac
dans le IIIe vo- lume, actuellement sous presse, des Cliniques des
maladies
du système nerveux du Pr RAMOxn. Paris, Doin,éd
le diagnostic de méningite, toutes les fois qu'il s'applique à une
maladie
lerminée par guérison. Aussi bien, nous pouvons
es ont toujours été très irrégulières. J'en arrive au début de la
maladie
actuelle. Il y a deux ans et demi, X... qui est
U CERVELET (F. Raymond.) l3Wr,ut du IIl° volume des Cliniques des
Maladies
du Système nerveux. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CER
demie. Nous avons à tenir compte du terrain sur lequel a évolué la
maladie
, et qui est entaché par la prédisposition morbide
s des trijumeaux.- 10, faisceaux pyramidaux (Raymond, Cliniques des
maladies
du système nerveux, t. 111) - 224 F. RAYMOND
nous donne aucun résultai durable. Après une accalmie passagère, la
maladie
a poursuivi sa marche relativement lente, mais
étendu sur les opérations palliatives (I) F. Raymond, Clinique des
maladies
du système nerveux. Deuxième série, p. 709 et s
- (1) Patliol. Society of London, 20 janvier 1889. (2) Traité des
maladies
des nouveau-nés, 1813. (3) Manuel pratique des
Traité des maladies des nouveau-nés, 1813. (3) Manuel pratique des
maladies
de l'enfance, 1880. (i) Recherches cliniques su
e des maladies de l'enfance, 1880. (i) Recherches cliniques sur les
maladies
de l'enfance, 1883, t. II, p. 63. 250 EDMOND FO
l'attachée à la syphilis comme un effet à sa cause. (1) Traité des
maladies
des enfants, 1889 et 1892 (traduction française s
;'att : 6 ? : Ke d'origine syphilitique) publiée dans les Annales*des
maladies
de l'o- reille et du larynx, 18 ? Prof. A. Four
M. X... a contracté la syphilis dans les derniers mois de 1869. Sa
maladie
, à l'origine, a été méconnue et non traitée penda
peut-être même plus fréquemment là que dans n'importe quelle autre
maladie
(ce qui reste à déterminer d'une façon plus préci
héréditaires. - Sa mère est morte de suites de couches. Son père de
maladie
inconnue. Sur 9 enfants qu'ils ont eus, six sont
la suite, l'articulation resta ankylosée. Consécutivement il cette
maladie
articulaire, il se produisit progressivement un
e rougeole bénigne contractée il t'age de 13 ans, il n'eut point de
maladie
infectieuse. Au mois de décembre 1896, il fut m
cutifs. Arch. de pUys , 1895, p. lk61. (3) l3mssAUn, Leçons sur les
maladies
nerveuses, p. 315. (1) A la théorie réflexe, Du
andi, <3E'Mu;'M anatomiques et chi¡'U7'gicafes, Turin, 4787, t. V,
Maladies
des os, p. 301. Clarch., homme pauvre, a comm
ndon du grand pectoral ; exostose sur une côte de chaque côté. La
maladie
est d'origine rhumatismale et constitutionnelle.
et allant jusqu'à 0,40, trois fois par jour, avec légère diète; la
maladie
semble être con- jurée. Plus tard de lasalspare
semble être con- jurée. Plus tard de lasalspareille et II; mais la
maladie
réapparut malgré ce trai- tement. Le 25 octobre
ons domestiques. Peu après impossibilité de plier les coudes, et la
maladie
s'aggrava. A 19 ans, catarrhe qui passe à l'éta
K..., 22 ans. Père, soeur et mère morts de tuberculose. Début de la
maladie
à 4, 5 ans. Chute sur le dos alors, plaie qui don
timement aux muscles ossifiés. Etat général bon dans le cours de la
maladie
. OBs. XV. FLORSCHUETZ, Allgemeine Medicin. Cent
, Pinter ne croit 314 A. WEILL ET J. NISSIM pas l'existence de la
maladie
de Basedow malgré l'exophlal mie unilatérale. La
st t pas alcoolique ni syphilitique. Jusqu'en 1894 il n'a eu aucune
maladie
sérieuse. Début. A cette époque, après la pério
s il n'existe pas d'autres troubles de la sensibilité. Marche de la
maladie
. - L'affection a eu trois étapes douloureuses. D'
des mouvements du maxillaire in- férieur. Enfin, la marche de la
maladie
n'a pas été continuellement progressive. Les do
1873, il avait 25 ans. Il me dit avoir fait, à l'âge de 17 ans, une
maladie
qui se termina par l'ankylose des deux hanches
es à un degré variable. Il est à remarquer que la progression de la
maladie
n'est pas régulière ; ,l'ankylose se fait par é
. Le cas de Baumler fait un peu exception à cette règle. Enfin la
maladie
est susceptibled'amélioration (cas deBeer) ; et,
oudure, et les symptômes de compression radiculaire. Nature de la
maladie
. Si la cause intime de ce double processus ossi
spon- dylose rhizomélique avec le rhumatisme chronique et d'autres
maladies
ossifiantes. Or, tandis que la spondylose rhi
andis que la spondylose rhizomélique semble être assez éloignée des
maladies
articulaires en général y compris les différentes
uatre autres, venus tous au monde sans malformations, sont morts de
maladies
infantiles. La jeune malade, réglée régulièreme
hydrocéphale était inintelligent. Dans deux cas (Boeck, Kiwull) la
maladie
était manifestement progres- sire. La plupart
est faite à terme sans le secours des fers. A deux ans, il a eu une
maladie
qualifiée du nom de « lièvre céré- brale ». Dan
céré- brale ». Dans ses antécédents il n'est pas question d'autres
maladies
graves, pas plus que de traumatisme ou de névra
cherons surtout ici à signaler leurs ca- ractères distinctifs. La
maladie
survient après un traumatisme (Stilling), une név
la vie de l'un d'eux a même duré un mois et vingt jours, et si une
maladie
accidentelle n'avait pas causé sa mort, il aurait
i est-il difficile de savoir si la syphilis joue un rôle dans cette
maladie
. On peut seulement noter que, ni du vivant de ces
à 4 ans, le malade reçut plusieurs trauma nu dos et aux épaules. La
maladie
fut remarquée également à cette époque. Au début,
s jambes. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 391 Histoire de la
maladie
. - Antécédents personnels. Rien jusqu'à 2 ans. A
nt. Coqueluche à un an. Malgré l'huile de foie de morue, KI,Hg la
maladie
a progressé. Antécédents héréditaires. - Pas de
nér. de ttécl., 1891, p. 627. Enfant de 19 mois. D'après la mère la
maladie
aurait débuté à 7 mois par une tuméfaction dure
; un an après, on ne constatait aucun changement. Depuis 1884, la
maladie
n'a pas fait de progrès. uns. XLI. - GIIINEY, B
sseur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux à la Salpèlrière, M. le profes
é par les oeuvres des peintres italiens et espagnols l'histoire des
maladies
qui passaient sous ses yeux, il les a retrouvée
t de malheureuses victimes, il contribua puissamment il dégager les
maladies
nerveuses de l'obs- curité profonde qui les env
instruire. La culture scientifique peut seule guérir de cette étrange
maladie
qui, la honte de la civilisation, sévit encore
sseur RAYMOND, successeur de Charcot dans la chaire de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux, el la Salpêtrière. Monsie
essources de la médecine proprement dite, avec des « remèdes », les
maladies
organiques qui ont leur siège dans le crâne. Ma
montrent isolément ou en tant que ma- nifestations partielles d'une
maladie
nerveuse, peuvent exister indépendamment de tou
névroses ; mais nous ignorions que tous les symptômes et toutes les
maladies
, dont nous localisons le siège dans le système ne
nom, peut se présenter sous les dehors des manifesta- tions et des
maladies
les plus diverses. En outre, plus que tout autre,
en de dévoi- ler l'hystérie, là où elle simule les symptômes et les
maladies
que nous nous étions habitués a mettre sur le c
a- misme à l'organicisme, c'est-à-dire nous révélant que toutes les
maladies
du système nerveux, qui sont la conséquence d'u
time de ces manifestations, en nous dévoilant, dans l'hystérie, une
maladie
psychique, une maladie de la personnalité. Je
ons, en nous dévoilant, dans l'hystérie, une maladie psychique, une
maladie
de la personnalité. Je vous l'ai montré, précis
sidérable, effrayant, que l'hérédité joue dans le développement des
maladies
du système nerveux et principalement des névros
ur activité régulière ; on peut dire que pour ce qui con- cerne les
maladies
du système nerveux, il a préparé les voies à une
gable ardeur qu'il mit à créer et à développer l'enseigne- ment des
maladies
du système nerveux. Le succès de cet enseigneme
t mû par la passion obstinée et ardente de débrouiller ce chaos des
maladies
chroniques et des maladies nerveuses, qui font, d
e et ardente de débrouiller ce chaos des maladies chroniques et des
maladies
nerveuses, qui font, de certai- nes malades de
essieurs quelle avait été l'oeuvre considérable de Charcot dans les
maladies
du cerveau, de la moelle et des nerfs ; je voud
comparées et superposées pour expliquer les signes et la marche des
maladies
. Conçues dans cet esprit, les leçons que Charco
péribronchite fibrineuse et établi les rapports anatomiques de cette
maladie
avec la pneumonie aiguë lobaire. Les pneumonies
82, le Gouvernement et les Chambres créaient pour lui la chaire des
maladies
nerveuses, sanctionnant ainsi son succès de clini
cédents héréditaires. Rien dans ses antécédents personnels : pas de
maladies
vénériennes, pas d'éthylisme. Il a appris son m
e le 14 juin 1898 à l'Antiquaille, salle Ste- Clotilde, service des
maladies
nerveuses. Père vivant et en bonne santé ; mais
n bonne santé ; mais il est alcoolique. Mère morte après 8 jours de
maladie
d'une congestion cérébrale. Pas de consanguinité
à la race nègre. Elle est âgée de 27 ans et veuve d'un mari sur la
maladie
et la mort duquel elle ne fournit que de va- gu
térale. Personnellement aucune tare sérieuse; elle n'a fait d'autre
maladie
que l'influenza; il y a quelques années, à part l
is xi 31 466 J. SOCA on retrouve encore quelques vestiges de la
maladie
récente. Les douleurs dia- phragmatiques sont n
ne de jours après complètement guérie sauf de légers vestiges de sa
maladie
pleuro-pulmonaire. Tel est le cas. Pour classer
urement pulmonaire (sans intervention de toute autre cause, com- me
maladie
nerveuse normale, etc.) fût-elle très grave. Il n
pourrait s'agir que des cas très spéciaux (tuberculose suffocante,
maladies
centrales, bronco- plégie) auxquels est certain
rtainement étranger le nôtre comme le prouve bien l'évolution de la
maladie
. Nous ne prétendons pas d'ailleurs tirer du con-
tre malade. Mais la fréquence respiratoire n'atteint pas dans cette
maladie
le chiffre 468 J. SOCA de noire malade. J'ai
aux vestiges qui restent toujours plus ou moins longtemps après une
maladie
pleuro-pulmouaire. Eh bien ! malgré l'atténuati
diagnostic en des cas où la dyspnée était la seule expression de la
maladie
(hystérie monosymptomatique). Et maintenant q
esse respiratoire à la base droite pour toute trace de son ancienne
maladie
pleuro-pulmonaire. Elle a bien eu quelques atta
oborer l'idée que celle-là est liée, dans une certaine mesure, à la
maladie
pleuro-pulmonaire. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PRO
os orteil des deux côtés. Pas de traumatisme avant le début de la
maladie
actuelle. Celle-ci débuta par un gonflement der
inférieure de la colonne vertébrale se montra au commencement de la
maladie
. La mère affirme d'une façon certaine que l'oss
e grand dorsal (quoique cela ne soit pas tout à fait cer- tain). La
maladie
dans le grand dorsal gauche est plus apparente au
s résultat. Etat actuel (189). - Le malade a eu la scarlatine. La
maladie
a très peu progressé. Les deux cordons latéraux o
se 32 kilogr. seu- lement. L'ostéomalacie a été sans doute ici la
maladie
primitive, plus tard il s'y.est joint le proces
r macération. Le malade est mort à l'âge de 16 ans ; le début de la
maladie
remonte à 4, 5 ans. En examinant le malade, penda
s ; '.488 ' A. \VI',lL E'r J. NISSIlIi , , - 2° Anatomiquement,la
maladie
de Munchmeyer offre trois stades : stade d'infi
constitue un trouble trophique par- ticulier ; 7° Le début de la
maladie
se présente sous deux formes distinctes, il -1
st aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblée; " 8° La
maladie
débute en général par la nuque ou la partie supér
s déterminent parfois la localisation des premiers phénomènes de la
maladie
; DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 489 13
de son habituelle réserve, pour donner lui-même le spectacle de la
maladie
. Ceux qui l'ont vu alors se souviennent de ces
cret, les liens de parenté et. les caractères dif1'p- rcntietsdes
maladies
systématiques, toutes ces relations devenaient
souvent une découverte précieuse, parfois même la révélation (l'une
maladie
in- connue jusqu'ici. ' L'artiste, qui, chez
LP1 : 7RI1.ItI : . T. XI. 1'1. ¡XIII UN JUIF DE TÉTOUAN, ATTEINT DE
MALADIE
DE PARKINSON Croquis fait par Charcot, au cou
ar- lisle : mais. du même coup cl'mil, le clinicien diagnostiqua la
maladie
. Et l'on ne sait ce qu'il faut louer davantage,
(Contribution à l'élude de l'éliologie du), par A. Lindetrem, 94.
Maladie
de Friedreich (Un cas de) à début tardif, par L
e spasmodique et épilepsie (1 phot.), 446. Bossus (L.). Un cas de
maladie
de Fried- reich à début tardif (6 fig.), 178.
ntres de la médecine. Une opération sur l'oeil (Henry Meige), IX.
Maladie
de Friedreich à début tardif (L. Bonnus), XXI,
OF. CHARLES HÉRISSE". ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE 1 DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
tit et le sommeil ont toujours été bons, si ce n'est au début de la
maladie
, comme nous l'avons dit. ' Le traitement fut
re une cure hydrothérapique. Cet enfant n'avait jamais eu d'autre
maladie
que des fièvres intermittentes, qu'il avait contr
maux de tête extrêmement violents pen- dant tout le temps de cette
maladie
, qui dura près de trois mois. Ces douleurs ress
z Cerise. - 1" Lettres à M. le Dr LOI/flet; 2° Des fonctions et des
maladies
nerveuses dans leurs rapports avec l'éducation so
ique. ' More). - Etudes cliniques. Traité théorique et pratique des
maladies
mentales, IIIe partie.. Paris et Nancy, 1852-18
d'. UlI ? tl le ? JI.ilf1¡J ? ,l'r ? ¡'HHI 'c/)')fJrrl ' Esquirol ?
Maladies
mentales, t. If,.p. 12 à,16. Paris, 1838. ) ? (M-
I, j, fr, " J Ln 1 a i 1 · - J" i i'·J I, ,1, .\Iorel. - Traité des
maladies
mentales, p. 265 et suiv., li 19 et suiv., 714
- sonnes mentalement saines, mais habituées à souffrir de quelque
maladie
chronique). une exagération de la persunnalité,
c'est qu'au début, comme au cours de l'évolution vésa- nique, la
maladie
vraie, le fond morbide, c'est la peur- Al\CIl1v
squ'à l'époque de son mariage. Elle avait alors trente-deux ans, la
maladie
reparut de nouveau, pour re- vètir le type inte
ade'elle-'Mèine se sait folie' Mme,VuiL ? sans avoir jamais fait de
maladie
grave;- ne joûitpasd'ime bonne santé'plîN,si4ue
ister'à une rechute.- Poch... reconnut^une invasion prochaine de la
maladie
à des maux de tête et à une insomnie qui en éta
-mémoire n'a conservé aucune ! trace[des faits accomplis durant la ;
maladie
. ,Distinguer,f.c.OIpn1P on de'fit alors/ et com
vec}' cO/1science.' L'impulsion;esb »1-' élément fonda mental- deda
maladie
,' quand'les patients y cèdent, 43.; , ·r ·f1 mf
uit ; ! le ,' quatrième à trente-cinq ;, le cinquième à quarante.La
maladie
j ,1 éclate toujours à la suite de contrariétés
er; jamais^ Ij d'hallucinations.' Quand, pour la 'première fois, là
maladie
éclata" àî seize ans ? la1 jeune -fille' tenta'
chuta, guérit de nouveau,' et;rechuta) en; core. Enfin, en 1881, la
maladie
avait revêtu la forme.rémit- tente. Malgré cett
' était, ! la preuveh d'uri9 désordre mental;) mais;) pour elle; sa
maladie
était d'ordre surnaturel; et se distinguait des
onudeula cousciencerun des caractères les plus¡saillants.de. cette;
maladie
., youoroc ¡fI AY ! l1.tdquitfer,CétiÇJlogie,je
e,Wémotivité. : Onl a1lcru trouver, dans des foliesnimpulsiveslune «
maladie
'delà' volonté, mais la volonté est[ une' résul
Ducattc pense que, «(1 chez IIs.,microcéphales,. il y a lou- DE LA
MALADIE
DBI BASBDO\V. 79 J jours,' avec ou sans atrophi
^..f ,l, ? I..ll,| -XC>" ri ' 1...'1 "IU ,J. 1.' t' '' ' 1 'La
maladie
de Basedôw a passé : par des fortunes bien. di-
us arrivera forcément, dans l'interprétation ^des^symptômes de- la,
maladie
de' Basedow, J : l)tp9yr,.fp.u,te,d.mellx, lojr
o- fesseur Charcot, lious nous sommes efforcé de démontrer que la
maladie
de Basedow était due, non pas a, l'altération plu
s troubles dépendant du système nerveux central dans lé cours de la
maladie
de Ba- sedow, et dont le titre seul indique ass
e. Contribution à l'élude et au diagnostic des formes frustes de la
maladie
de Basedow. Thèse de Paris, 1883. . Gillert Dal
ealmiqice. {lie- vue de, médecine, avril, 1883.) , - · ' . DE LA ^
MALADIE
DE BASEDOW. 8t I observations; 'dans lesquelles
nmèÍië 1 If 1 si de D ailleurs, 11 est un autre phénomène propre la
maladie
de ? ? f...TT In ? ...l'. - ,ff ll r ? Basedow,
d exposer : c est le trem- blement. Dans aucun.des quinze cas, de,,
maladie
, de Basedow, .type ou.fruste, qu'il nous, a.été
s .conclusions, pouvoir, le, considérer, comme : constant dans la
maladie
de Basedow, 'et nous sommes-nous efforcé 'de' déc
lations par seconde est de huit et demi, tandis que, dans 'les deux
maladies
ci-'dessus'désignées,'il n'est que de cinq ou s
Il 1 1 . ( ? , 111 Du reste, l'existence du tremblement dans,[ la,
maladie
, de Basedow n'avait pas échappé à un certain no
à la présence d'altérations des centres nerveux indépendantes de la
maladie
DE LA MALADIE DE '/BASEDOW. 83 de Basedow. Pa
d'altérations des centres nerveux indépendantes de la maladie DE LA
MALADIE
DE '/BASEDOW. 83 de Basedow. Parmi les médecins
. Parmi les médecins qui avaient déjà remarqué le tremblement de la
maladie
de Basedow, il en est un; M.Gué- neau de Mussy,
lement. Il, se demande, si le. développement, des symptômes de -la,
maladie
, de- asedow ! n : est pas, jusqu'àl un certain
les ganglions tuméfiés situés au;voisinage de ce nerf. Peut-être la
maladie
de Basedov, serait-elle d'ori- gine périphériqu
en der physik. nied. Societdl zu Erlangen, 14 juillet -1870). DE LA
MALADIE
DE·BASEDOw. 85 parvint; dàns'un* cas -chez le '
la ? m'aladie ? dd'B'a's'e " Nous "' le ' ' ' "s rimentalement.la
maladie
, de Basedow ? Nous ne , le .croyons pas, -du mo
mie;' 011' aura produit ainsi un goitre exophthalmique, mais non la
maladie
de Base- 'déw ? denric ? melquer'laepiqître du
'bénüaliestbésié;7mais'nonr l'Ilystérie. Nous l'avons 'déjà dit; la
maladie
do'Basedow ne dépend pas ^uniquement de 'la tri
re l'exis- lence' `dzstiacte rd'zcn goitre exophthalmique et' de la
maladie
de `'l3asedocv : Dans' la première classe; on'
le le goitre exophthalmique chirur- ? aicàl; la" seconde 'classe ? la
maladie
de Basedow proprement '"dite" savait' constitué
uable, chez plusieurs Centre, eux, quand ils étaient affectés d'une
maladie
quelconque, ce phénomène cessait de se produire
érycisme chez- des individus bien portants, sa, suspension par ^les^
maladies
, intercurrentes fré-j p,Ç>rtf ! Ats, sa, u3'
: S DE , LEUR, DIAGNOSTIC ; par 1 ? JI j( .H ? U o'lr, S2lGLll; des
maladies
de l'enfance'' février -1883.·<"1 ? 14L J : l'
de < nous II, » ,ii*i ? i ? i ? ? U ? guider dans l'étude des
maladies
, et si l'on veut utiliser , les. expe- riencësl
attaques êorivulsi'Í'èsi et' quatre ? ans'après le début b de 'la'
maladie
par la céphalée teniporale ? v',0 ! 'fI'" ! (,
ns morales., Un beau jour, 'accès épileptiforme ; l'évolution,de la
maladie
ressemble,, dès lors à celle d'une paralysie gé
surviennent spontanément et tout aussi brusquement du fait de leur
maladie
: on en voit, par exemple, rester contracturées
et énergiquement voulus ; 1 Billod. ,1nn, méd. psych., 1S47, et Des
Maladies
mentales et ner- veuses, 1882, t. le»-, p. 144.
Maladies mentales et ner- veuses, 1882, t. le»-, p. 144. 2 Ribot.
Maladies
de la volonté, 1883. t34 SOCIÉTÉS SAVANTES. e
s communs d'intermittence, de convutsibilité, de vertige. C'est une
maladie
chronique qui souvent dure toute la vie et dont
llemand comprend 67,500 épileptiques sur 45,000,000 d'habitants. La
maladie
porte chez 70 p. 400 des sujets sur les âges au
enfin au même moment étaient depuis longtemps en puissance de la
maladie
, mais elle n'était pas développée. Tous ces inval
leur libre arbitre. Comme c'est la guerre qui est la cause de leur
maladie
, c'est à l'État qu'incombe le devoir de les ass
chondrie. considérée comme perturbation psychique, n'est pas une
maladie
autonome, c'est un symptôme partiel de mélancolie
t défectueux ; c'est donc bien une affection symptomatique d'autres
maladies
. M. Holloender fait remarquer que si, dans tous
folie systématique, les affaiblissements psychiques qui suivent les
maladies
graves. Séance du 29 mars 1882. Sur la propos
estion,, demande à M. Pohl si, pour lui, la folie impulsive est une
maladie
autonome,' ou si elle ne constitue que l'élémen
passe aux commu- nications suivantes : ' 10 Rippiug. Rapports des
maladies
de femmes avec les troubles psy. chiques de ces
t et (respectivement parlant.- SI.; Hertz, les a"rencontrés dans la
maladie
en question-' tous deux rétrécis et dans»des cond
SI. , Hertz à la lumière de ses observations, se résume ainsi : La
maladie
comprend deux formes dont l'évolution est \jndr
fin à une méningite. L'époque des règles favorise l'explosion de la
maladie
. ' - , 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. La fièvre ne sa
ont elles constituent parfois le stade initial imprimant alors à là
maladie
un caractère dégénéra- tif. Pronostic favorable
s troubles psy- chiques à caractère dépressif qui succèdent, à des,
maladies
soma- tiques fébriles aiguës graves. (Allg. Zei
s et. les, vomissements se rencontrent très fréquem- ment dans les,
maladies
de l'utérus; ces .troubles sont souvent liés su
'.J ? I.lu .JJJJ 1 lJo -'tt' - ? f,( 290tI8,12CIL2r.°h·'tt Il IL
Maladies
de la moelle épinière; par Bvno-BnnrNra.r,,ltradu
aris, Lauwereyns; édit ? 1 l 883. . ' ' 11L If 1.'1 1 L'étude des
maladies
de la moelle ne, date pas.de si longtemps déjà,
. Thèse de Paris, )883. ,, . ? Il ..1 Antécédents et causes dans la
maladie
d6.Pa)'/tM ! SOH;par LmnoNDEL. Thèse de Paris,
mier numéro de la première revue russe consacrée spécialement aux
maladies
nerveuses et mentales. Cette revue, publiée sous
nt intellectuel plus ou moins profond. Sous toutes ces variétés, la
maladie
primordiale , essen- tielle, c'est la perversio
malades, des espèces morbides nouvelles. N'y a-t-il pas, dans toute
maladie
, des variétés à évolution incomplète ? Citons,
variétés à évolution incomplète ? Citons, par exemple, certaines
maladies
nerveuses, l'hystéro-épilepsie, la maladie de P
ar exemple, certaines maladies nerveuses, l'hystéro-épilepsie, la
maladie
de Parkinson ou paralysie agitante, l'ataxie lo
démontré l'individualité, et qu'ils ont si nettement décrites; ces
maladies
ne se présentent-elles pas parfois sous des asp
Le caractère de parité que nous avons constaté pour la marche de la
maladie
, nous le constaterons de même 'v. o· " ic, 1,.
ent, l'observation plus rigoureuse des symptômes et la marche de la
maladie
suffiront pour les dissiper. Nous avons en so
ique était indéniable. Eux-mêmes ont présenté dans le cours de leur
maladie
ou auparavant des manifestations rhumatismales.
omme l'ont établi tous les médecins ' qui se sont surtout voués aux
maladies
de l'enfance, il existe dans l'organisation une
a, à savoir, la déséquilibration qui peut se ma- 1 Voir Ducamp. Des
maladies
de croissance, 1823. Régnier. Maladies de la cr
se ma- 1 Voir Ducamp. Des maladies de croissance, 1823. Régnier.
Maladies
de la croissance. Thèse de Paris, 1860. Richard
la croissance. Thèse de Paris, 1860. Richard (de Nancy). Traite des
maladies
de l'enfance. Jules Simon. Conférences thérapeu
clin. Clinique chirurgicale de la Charité, t. le. 3 Bouchard. - Des
maladies
par ralentissenzent de la nutrition, p. 37. 208
rait cependant pas conclure que celle-ci ne joue aucun rôle dans la
maladie
. Nous nous rappelons, en effet, que, chez la pl
minel, chez eux, la mémoire, qui reste, en général, bonne malgré la
maladie
. D'ailleurs, aussitôt rétablis, 'En témoignage
emarqué qu'une seule de nos observations con- cernait une fille. La
maladie
paraît, en effet, n'atteindre que rarement ce s
ssujetti, il -n'est pas encore débarrassé de ses douleurs. Que la
maladie
puisse d'ailleurs guérir ou non par le seul pro
ait plus particulièrement sujet à la céphalalgie. La marche de la
maladie
a été la même dans presque tous les cas. Nos je
et les caractères qu'elle devait con- server pendant le reste de la
maladie
. Chez le second, les symptômes ont disparu au b
bout de peu de jours; ce n'est que plusieurs mois plus tard que la
maladie
s'est de nouveau manifestée; mais, cette fois,
OME CLINIQUE; par M. S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clinique des
maladies
du système nerveux de M. CHARCOT.) Nous nous
tions anatomo-pathologiques de 1872, de 1 Chnrcot. - Leçons sur tes
maladies
du système nerveux, 1880. °- UeGer palltologisc
délirant, mais n'aurait pas eu de convulsions. Dans le cours de la
maladie
, le bras gauche perdit la sensibilité et le mouve
le mouvement; le médecin n'aurait pas exploré la jambe. Après cette
maladie
, B... marcha difficilement et eut tout le côté
e servir de sou bras gauche. La parole était plus lente qu'avant la
maladie
; il ne bégayait pas. Dellx moisaprès laconval
int ruminant pour avoir vécu avec des bestiaux et qui communiqua sa
maladie
à sa femme ( ? ). D'après cette dernière observ
ans.- Son fils, à l'âge de vingt-quatre ans, fut atteint de la même
maladie
, mais la pudeur la lui fit surmonter, du moins en
sme héréditaire. - Apparition dès l'en- fance. - Suspension par les
maladies
intercurrentes. (Froriep's No- tizen, t. XLV, p
ent dans l'estomac sans don- ner lieu à de nouveaux phénomènes. Les
maladies
intercurrentes interrompaient la rumination.
complète. - Santé générale bonne.- Suspension du phénomène par les
maladies
intercurrentes. (Froriep's s - Notizen, t. XLV,
iel et involontaire; 3° qu'il était suspendu sous l'influence des
maladies
intercurrentes ; 4° que la santé générale fut tou
té, car les premiers phénomènes se manifestèrent à la suite d'une
maladie
aiguë, une variole. Affection bizarre sur laquell
aladie aiguë, une variole. Affection bizarre sur laquelle les mêmes
maladies
peuvent avoir des causes absolument oppo- sées
s maladies peuvent avoir des causes absolument oppo- sées : ici une
maladie
intercurrente provoque l'éclosion du mérycisme,
parmi lesquels nous en avons déjà cité quelques-uns au passage, les
maladies
intel'- currentes ont amené la disparition, au
les aliments qu'il n'a pu ruminer. Ce jeune homme, réformé pour sa
maladie
, se marie. Le lende- main même de ses noces (et
bute à sept ans, dans la suivante à six ans et, la suite de la même
maladie
, il disparait de la même façon au bout de huit
et homme un acte naturel. Il disparut cependant dans le cours de la
maladie
dont il mourut (cancer du pylore). A l'autops
déjà signalé (OBS. IX; XIII, XV), ainsi que la suspension par les
maladies
intercurrentes (Cas. VI, VII, XV), le mérycisme
la rumination sur la nutrition, prouve bien que ce n'est pas là une
maladie
, comme nous l'avons dit plus haut, mais une sor
sme.) ' Nous avons vu aussi le mérycisme apparaître à la suite de
maladies
aiguës (Cas. XIII et XIV), d'un voyage en mer (Ob
is, soient, en moyenne, incurables au bout de quatre ou cinq ans de
maladie
, REVUE DE pathologie mentale. 263 ou, pour ac
arfaitement nette et certaine. Que, par hasard, il guérisse, que la
maladie
interrompe son cours ou que, lassée, elle lui l
l'autre de ses devoirs. Il était réservé à M. Luys d'y ajouter la
maladie
; il serait difficile de s'arrêter sur cette pent
ais le sanctionner. Or, une loi admettant la folie, c'est-à-dire la
maladie
, comme cause de divorce, réduisant le mariage à
é de gens valétudinaires tant qu'ils n'ont pas fait les frais d'une
maladie
fébrile; on ne peut savoir exactement si la pertu
l'état pathologique et non une différenciation dans la nature de la
maladie
. La stupeur au surplus n'est, ajoute M. Schüle, q
lle, hypno- tisme) ; - une stupeur directement organique (suite des
maladies
fébriles graves, puerpéralité, folie épileptiqu
ppelle que dans certains cas d'épilepsie héréditaire indéniable, la
maladie
était restée à l'état latent chez le procréa- t
(B.) . SOCiI : I'1 : S SAVANTES. ',275 SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE 131;RLlu 1 Séance du 9 janvier 1
ormes tout spéciaux,, survenus prématurément ou dans le cours de la
maladie
, accompagnés ou non de phénomènes paralytiques,
il l'appui). L'ora- teur fait remarquer : 1° la longue durée de la
maladie
; 2° la para- lysie prématurée de l'oculo-moleu
simple, rqp'l1bl\ln¡;e, d1L,ca. qui. se) pose devant lui avec telle
maladie
dont ses observations antérieures lui ont révél
ènes hypnotiques. '«'Après avoir ainsi déterminé la nature de cette
maladie
, dont les manifestations sont parfois si singul
de la sainte. Au point de vue plysique, elle éluiL''uftligée d'une
maladie
épilcptiformo, dans'l,tquelle nous avons reconnu
isto- rique (très curieux chapitre sur les mentions faites de cette
maladie
dans l'ancienne littérature japonaise), qu'au p
oit emprun- tées à d'autres auteurs. La fréquence de la kak-kè (-
maladies
des jambes -, béribéri) serait considérable, pu
ommes sont beaucoup plus souvent atteints que les femmes. C'est une
maladie
surtout de l'adolescence (maximum de fréquence,
BIBLIOGRAPHIE. 289 'En somme,1 les symptômes principaux de celte
maladie
sont, d'après Sçheube : 1°[ une pamlysie motnce
très' développée ; même dans les périodes pou- 'avancées' de' la''
maladie
? il''y a' diminution''de l'excitabilité ,. , '
u'à présent inconnue, mais il est probable que l'on a affaire à une
maladie
de nature infectieuse. P. Marie. VI. Note sur
Considérations sur les troubles trophiques des ongles dans quelques
maladies
des centres nerveux; par MiLircHEViTcn. Thèse de
forme ; par le D MORDRE. Thèse de Paris, 1883, in-8o. Manuel des
maladies
mentales; par BRA. Paris, 4 883. Des nouvelles
ecine de Paris. - Le concours pour la place de chef de clinique des
maladies
du système nerveux vient de se ter- miner par l
x. Par décision ministérielle, des consultations gratuites pour les
maladies
mentales et nerveuses auront lieu, à l'asile de
ix : G fr.; pour nos abonnés, prix : 4 1f. Bna (M.). - Manuel des
maladies
mentales. Un volume in-tS de 282 pages. Prix :
1883. Typografia di Stefano Calderini e Figlio. BYROJI-RR.\MWELL.
Maladies
de la moell'l épinière. Ouvrage traduit de l'an
fert d'autres troubles névropathiques que ceux qui constituent la
maladie
actuelle. A toujours été bien portante dans sa je
après, sans qu'il soit possible aujourd'hui de déterminer à quelle
maladie
il succomba. L'année suivante elle eut une nouv
s ambi- tieuses, celles qui marquent une étape plus avancée de la
maladie
étaient-elles prédominantes à droite ? Est-ce q
illarger. Des Hallucinations ; des causes qui les produisent et des
maladies
qu'elles caractérisent, 1813. 1 Fi-ilseli et Il
rier. Des fonctions du cerveau, Paris, 1878; De la localisation des
maladies
cérébrales, Paris, 1880 ; ouvrages traduits par I
e et la malade entend également bien des deux côtés. Au début de la
maladie
les hallu- cinations de l'ouïe étaient bilatéra
JEWNIKOFF (de Moscou). Le 7 septembre 1880, entra à la clinique des
maladies
ner- veuses Wassily Mennschof, cordonnier, âgé'
amnèse. - Le malade ne paraît présenter aucune prédis- position aux
maladies
nerveuses; mais, dès son enfance, il s'est trou
ux relations, par trop fréquentes, avec les femmes. De toutes les
maladies
ayant quelque rapport avec son état actuel, nou
mentionner une uréthrite qu'il a eue à l'âge de dix-neuf ans; cette
maladie
dura presque une année et fut accompagée d'une
u moisde mai 1881, il eut le typhus, ce qui aggrava sensiblement la
maladie
de poitrine ; à la mi-juin se produisait une no
t obligé, le 22 septembre 1881, d'entrer derechef à la clinique des
maladies
nerveuses. Etal actuel (22 septembre 1881). -
a encore beaucoup maigri ; ce changement est dû principalement à la
maladie
de poitrine; il tousse beaucoup et expectore d'
re sujet et ne furent jamais très prononcées ; pendant longtemps la
maladie
ne se manifesta que par des symptômes de dérang
mènes spasmodiques ; les symptômes bulbaires, si communs dans cette
maladie
n'existaient même pas. Cette dernière circonsta
ments du bulbe ne s'observent que pendant la dernière période de la
maladie
, c'est-à-dire long- temps après les désordres d
st impossible de déterminer dans quelle partie de ce long trajet la
maladie
s'est déclarée : a-t-elle commencé dans la moel
tionné, d'un tempérament lymphatico-sanguin, amaigri par une longue
maladie
. Il porte sur sa figure un cachet d'imbé- cilli
s, marié à vingt-cinq ans et demi, sobre, calme, n'a jamais fait de
maladies
; pas de migraines, taille petite. [ Père, mort
t pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs, ni de
maladies
graves. [Père, mort par accident, buvait beaucoup
fut soigné par M. Triboulet; il n'avait pas eu la scarlatine. Cette
maladie
dura trois mois et demi, plus deux mois et demi
mois et demi, plus deux mois et demi de convalescence. Avant cette
maladie
, il était gai, caressant, intelligent : après,
e, soixante-dix- huit ans, receveur -d'octroi, bien portant. Pas de
maladies
ner- veuses, excès de boisson. Mère, morte subi
es. [Père, mort d'une inflammation d'intestin : aucun excès, pas de
maladies
nerveuses. Mère, bien portante, intelli- gente,
de maladies nerveuses. Mère, bien portante, intelli- gente, pas de
maladies
nerveuses. Trois soeurs bien portantes ont des
I). P. K. XVI. SUR L'ÉTAT DE LA TEMPÉRATURE DANS QUELQUES FORMES DE
MALADIES
mentales (rapproché du centre régulateur de la
elle du soir (type inverse) mais ceci ne se remarque que lorsque la
maladie
est à sa phase de parfait développement ou bien
chaleur siégeant dans l'écorce. P. K. XVII. DE la CONSCIENCE DE la
maladie
dans LES affections mentales; par Arnold Pics.
e leurs anomalies psychiques, M. Pick admet que la conscience de la
maladie
se décompose en sentiment de l'état morbide, et
ocrité intellectuelle. La plus grande partie de la conscience de la
maladie
revient encore au discernement dans la folie sy
autrement pour la folie impulsive. D'ailleurs, le sentiment de la
maladie
conduit fréquemment au discernement de l'élat de
l simplement signifier que, dans ces dernières, la conscience de la
maladie
est un des phénomènes les plus sail- lants et l
s membres et s'accompagnent, à une époque bien plus avancée de la
maladie
, de convulsions cloniques des muscles de la face.
altérations vasculaires ne constituent pas le stade pre- mier de la
maladie
et que les lésions les plus intenses occupent le
nnes qui tra- vaillent beaucoup intellectuellement. La marche de la
maladie
est la suivante : Trois ans après la syphilis
est giletière, mariée, séparée de son mari; pas d'aliénation ni do
maladies
nerveuses dans sa famille ; un écoulement vaginal
s dans sa famille ; un écoulement vaginal après son mariage, pas de
maladies
depuis; maux de gorge fréquents; chute de cheve
, à côté l'un de l'autre, cinq ou six paralytiques atteints, par la
maladie
, à des degrés pro- pressivement plus intenses.
ctif provoquent des accidents qui viennent troubler la marche de la
maladie
principale. M. Garnier. Il y a peut être aussi
nier. Il y a peut être aussi chez cette malade les éléments de deux
maladies
différentes : syphilis et paralysie générale. Un
es symptômes dissemblables, qu'on ne peut détacher de la principale
maladie
pour créer une maladie nouvelle, la pseudo-para
s, qu'on ne peut détacher de la principale maladie pour créer une
maladie
nouvelle, la pseudo-paralysie. M. Voisin a obse
et, frappé des dissemblances qui séparent la paralysie générale des
maladies
qu'on désigne du nom de pseudo-paralysie généra
es pensions à attribuer aux em- ployés en question, atteints par la
maladie
et la vieillesse. De là à étendre les mêmes mes
mêmes malades . Elles peuvent se manifester à plusieurs âges de la
maladie
. La chule spontanée des ongles peut avoir lieu
aladie. La chule spontanée des ongles peut avoir lieu dans d'autres
maladies
que l'ataxie locomotrice, et parti- culièrement
ntre la glycosurie, qui est un symptôme, et le diabète, qui est une
maladie
, M. Dreyfous est for- cé de rappeler qnelques n
omme M. Baumel, forcentlanote au point de faire de tout diabète une
maladie
du pancréas ? Ainsi se trouvent justifiées les
fonctionnement anormal de ces différents organes par le fait de la
maladie
primitive. De même que, dans les maladies du sa
organes par le fait de la maladie primitive. De même que, dans les
maladies
du sang il existe une altération primitive ou s
r, quoiqu'on pense du diabète, c'est d'emblée ou secondairement une
maladie
générale qui doit, comme telle, agir sur tous l
pugne d'attribuer le diabète à la lésion d'un organe unique; il une
maladie
générale, il faut une cause générale. » Telles
. Les variétés tiendraient donc au terrain et non à la nature de la
maladie
qui resterait unique au milieu de ses variétés.
lconque du diabète; ils n'ont pas d'époque fixe : alors même que la
maladie
est connue, rien ne peut faire prévoir s'il se
RAPHIE. voir qu'un fait de notion constante en neurologie; dans les
maladies
de la moelle, la lésion d'une région limitée pe
es sont initiales, c'est-à-dire apparaissant au début reconnu de la
maladie
, incomplètes, associées et rarement isolées, en
en dehors Paris. Nécrologie. M. PARROT, professeur de clinique des
maladies
des enfants, est décédé le ;¡ août. Outre de no
ie et de neurologie. [.Psychiatrie. - 1. Aperçu statistique sur les
maladies
mentales et les institutions psychiatriques des
t des aliénés ; i. La valeur des exercices dans le traite- ment des
maladies
mentales ; 5. Le rôle des écoles pour la pro- d
maladies mentales ; 5. Le rôle des écoles pour la pro- duction des
maladies
mentales ; 6. La température du corps pendant l
tales ; 6. La température du corps pendant les stades primaires.des
maladies
mentales; -7. L'aliéna- tion mentale dans l'enf
lis; - 446 faits DIVERS. ,11. La paralysie de Landry est-elle une
maladie
particulière ou seulement un symptôme qui peut
Basedow (sur la nature et sur quel- ques-uns des phénomènes de la
maladie
de), par Marie, 79. Béribéri, 288. Blepitaros
s aliénistes de l'Allemagne du sud-ouest, Il-)3. Conscience de la
maladie
dans les maladies mentales, 40 ? Couleurs (pe
llemagne du sud-ouest, Il-)3. Conscience de la maladie dans les
maladies
mentales, 40 ? Couleurs (perception des), 99.
ment du) chez les enfants, par Sikorsky, 319. Loi de 1838, 121.
Maladies
mentales ( température dans quelques formes de)
t). 81 ; - (structure de la), 97 ; - (syphilis de la), 105; - z (
maladies
de la), par Byrom- Bram 11'1311, 155. Moral i
UE Paraissant tous mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docte
administrée, peut rondre d'importants services dans le traitement des
maladies
mentales et de Taxe cérébro-spinale. Comme l'opiu
urs, section Bambuteau. à la Salpétrière, une série de leçons sur les
maladies
mentales et nerveuses. Dans la seconde leçon. M
: Pathologie et traitement de l'eczéma; m. Jener : Rapport entre les
maladies
des yeux et des dents; M. Donath : De l'hypnotism
l'ensemble constitue l'intelligence, aurait été réalisée, non ; .r la
maladie
ni par des sections, des destructions, des dégéné
à son domicile un certain nombre de personnes souffirant de diverses
maladies
qu'il a traitées par de* procédés analogues a ceu
ant chaque personne, la regardait fixement, lui demandait le genre de
maladie
dont elle souffrait, puis ajoutait : « cela ira m
ical d'un beau livre, de plus de 300 pages, dans lequel il étudie les
maladies
psychiques de la vie sexuelle et leur traitement
du sens génésique au lieu de les traiter dans leur ensemble, avec les
maladies
constitutionnelles et la débilité du cerveau dont
usqu'ici. Aussi, la psychothérapie trouve-t-elle dans cette classe de
maladie
» une application plus large. Nonobstant, les diff
'a remise le 27 mai 1892 : « J'étais atteinte depuis deux ans d'une
maladie
noire qui, surtout depuis six mois, avait pris un
end à s'introduire de plus en plus dans la thérapeutique spéciale des
maladies
nerveuses. Les résultats obtenus sont si satisfai
ndant des heures. A dix-sept ans, « épuisée, elle fait une terrible
maladie
et reste quatre mois au lit, avec congestion, dit
erte de l'appétit. Je restai plus faible et plus nerveuse qu'avant la
maladie
, en proie à des crises effrayantes. « Désespéré
sensibilité fournies par la moitié opposée des nerfs. Il s'agit d'une
maladie
psychique, d'une maladie de la conscience. ***
la moitié opposée des nerfs. Il s'agit d'une maladie psychique, d'une
maladie
de la conscience. *** Monomanie du suicide gu
de contractée. Étude sur quelques ??s d'amnésie antérograde dans la
maladie
de la désagrégation psychologique, par M Pierre
encore. L'observation la plus nette et la plus remarquable de cette
maladie
a été recueillie dans le service de M. Charcot.
jeune femme de trente-quatre ans, d'un tempérament nerveux, mais tans
maladie
caractérisée, a été exposée. le 28 août 1891, à u
certain nombre de membres du Congrès à visiter l'hôpital consacré aux
maladies
du système nerveux, qu'il dirige avec tant d'acti
me rappelle au souvenir du médecin l'élément psychique dans certaines
maladies
, ainsi que la possibilité d'une psychothérapie, q
ire la pan, dorénavant, de l'élément psychique dans le traitement des
maladies
, toit qu'on se serve de l'aide de l'hypnotisme, o
ar lui obtenus. fait l'éloge de la méthode suggestive dans des cas de
maladie
appropriés et insiste sur les avantages récit et
te méthode curative qui se sert d'agents psychiques pour combattre la
maladie
par intervention des fonctions psychiques. 2° D
e de somnambulisme nocturne ? Cependant, les symptômes divers de la
maladie
nous obligent souvent à contraindre le dormeur à
'antres états morbides, dans la plupart des névroses et même dans les
maladies
organiques. En agissant de cette manière, en fa
A un point de vue théorique, il n'est pas osé de dire que lorsqu'une
maladie
chronique guérit ainsi, elle offre le minimum de
. Et on peut même poser comme principe qu'il faut compter dans chaque
maladie
avec ce facteur psychique comme on compte avec un
ure les physiologues. Mais il n'existe pas le moindre doute que des
maladies
organiques (e) telles que le tabès dorsal, l'arth
suis convaincu que l'application de remèdes hypnotiques (h) dans les
maladies
chroniques est innécessaire et nuisible. On réu
ire des guérisons complètes et durables. Les guérisons de ces mêmes
maladies
obtenues par le médecin ordinaire sont-elles donc
Je renvoie le reproche. Je dis qu'une personne prétendue guérie d'une
maladie
chronique par des agents chimiques, n'est pas gué
surtout la médecine proprement dite et spécialement le traitement des
maladies
chroniques. Les médicaments qu'on prescrit sont
Il est raisonnable et rationnel d'agir ainsi dans le traitement des
maladies
aiguës, dans des moments de danger immédiat. Mais
nger immédiat. Mais d'agir ainsi toujours et continuellement dans les
maladies
chroniques, doit conduire à l'affaiblissement de
la déchéance de l'espèce. C'est précisément dans cette catégorie de
maladies
que les charlatans et les rebouteurs ont beau jeu
de gens. Hack Tuke ne traite pas de ridicule l'idée d'échapper aux
maladies
épidémiques à force de volonté. Et mon collègue,
urs limites. Il se tait souvent qu'on n'arrive pas à guérir certaines
maladies
, qu'on estimait du reste parfaitement guérissable
on estimait du reste parfaitement guérissables. (e) Amélioration de
maladies
. — Le Dr Lloyd-Tuckey a publié, dans la dernièr
u malade reste stationnaire. Que peut-on désirer de plus dans celte
maladie
? A quelque temps de là, un collègue qui était
et vitaliste. De la part de la médecine morale dans le traitement des
maladies
nerveusee, 1882) Liébeaolt a parié de : Vitalismu
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerreuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
eut observer, dans toute sa netteté, le côté psychique et moral de la
maladie
, et constater l'apparition de singuliers phénomèn
imitivement une intoxication, secondairement il devient une véritable
maladie
do l'esprit, dont les effets se manifestent surto
oyen de traitement, mais qu'elle peut encore servir au diagnostic des
maladies
. Le premier concerne une fillette de quatorze a
roprement parler, ne devrait s'appliquer, d'une façon absolue, qu'aux
maladies
infectieuses, dont la transmission s'effectue par
ite. ¿1 la simulation a pour objet une crise ou les symptômes d'une
maladie
, il s'y mélange des circonstances, plus ou moins
et la mise eu scène produisirent la contre-suggestion efficace, et la
maladie
ne reparut plus. L'on sait que dans la trop cél
savons, peut, dans ses formes multiples et variées, imiter toutes les
maladies
, mais elle imite surtout de préférence les affect
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée a l'Institut psycho-physiol
emie, un cours sur les Applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et à la pédagogie. Il le continuera l
s anciens et modernes. Faculté de Médecine de Paris. Clinique des
maladies
du système nerveux. — M. le professeur Charcot, l
hement hystériques des malheureuses qui ne présentent encore de cette
maladie
que les troubles mentaux. D'un autre (1) Huchar
gérée i la diathèse rhumatismale dans l'étiologie de la chorée. Celte
maladie
, dans la très grande majorité des cas, est une né
étruire radicalement, effacer pour toujours, la cause de cette longue
maladie
. Le succès de la suggestion fut complet, quoiqu
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
emie, un cours sur les Applications de l'hypnotisme au traitement des
maladies
nerveuses et à ta pédagogie. Il le continuera l
vantage dons la thérapeutique, spécialement dans la thérapeutique des
maladies
nerreuses. On eu a obtenu des résultats si satisf
e, à avertir les malades de son diocèse dans le commencement de leurs
maladies
de penser à leur conscience, et de ne pas différe
econd jour qu'ils visiteront des malades attaqués de fièvres ou autre
maladie
qui, par sa nature, peut avoir trait à la mort, d
edits lieux d'avertir les malades. me«me avant le second Jour de leur
maladie
, de se confesser lorsque la qualité de mal l'exig
est-il pas convaincu qu'il suffit à Jésus de dire un mot, pour que la
maladie
disparaisse; comme il lui suffit, à lui, centurio
VUE Callerre. — La thérapeutique suggestive et tes applications aux
maladies
nerveuses et mentales, à la chirurgie, à l'obstét
aisons observer toutefois que les bienfaits de l'hypnotisme, dans les
maladies
mentales, sont dus à une action de l'esprit, non
a moindre émotion. « Je ne sais a quelles causes attribuer la grave
maladie
qu'elle a eu à supporter, mais je suppose que c'e
û à une longue suite d'inquiétudes que lui ont données les nombreuses
maladies
de deux de nos enfants, ainsi que toutes celles q
jours ; elle avait la tangue très chargée; elle a été traitée sur une
maladie
d'estomac. Après ce laps de temps, le docteur l'a
e remède indiqué, convaincu que le régime et le repos auraient sur la
maladie
des résultats favorables. Toutefois, comme je m'é
ts favorables. Toutefois, comme je m'étais déjà occupé avec succès de
maladies
mentales, je voulais bien entreprendre cette nouv
aisi- mit un pouvoir qu'elle n'aurait jamais perdu sans les fatales
maladies
qui l'avaient affaiblie; et que, en constatant qu
. Quand je suis en présence d'nn malade, je ressens assez vivement sa
maladie
: s'il souffre, je partage sa souffrance; s'il ple
re du moral. Rupture du périnée complète datant de quelques années.
Maladie
organique du cœur défendant l'emploi du chlorolor
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
BIBLIOGRAPHIQUE La thérapeutique suggestive et ses applications aux
maladies
nerveuses et mentales, a la chirurgie, à l'obstét
térie, dans les névropathies dans les alfocllons organiques, dans les
maladies
mentales. Un chapître est consacré à l'action ane
fonctions. Je n'ai laissé persister à dessein comme stigmate de la
maladie
, que l'analgésie de la nuque; le malade la présen
perceptions de la sensibilité. C'est une illusion négative. C'est une
maladie
des cellules conscientes aesthésodiques de l'hémi
ans avant ta suppression de la morphine, et plusieurs fois depuis, la
maladie
présenta des symptômes d'angine de poitrine, prob
té de la loi nouvelle à l'emploi du magnétisme pour le traitement des
maladies
. Quant au ministère public qui siégeait dans l'
liqueraient que leurs pratiques ou leurs procédés au traitement des
maladies
. Ils retomberaient sous le coup de la loi le jo
la part de Jacob, d'avoir hautement émis la prétention de guérir les
maladies
au moyen d'un fluide qui lui serait propre et tra
uses qui les entravent; elle scrute la vie et la mort, la santé et la
maladie
, la physiologie et la pathologie. Et voilà pourqu
liminées ou transformées ; leur accumulation dans le corps produit la
maladie
et la mort. Il s'y passe des phénomènes physiqu
s empoisonnent par les toxines ou poisons qu'ils sécrètent; de là les
maladies
. L'organisme n'est pas désarmé contre ses ennem
r la force musculaire, régulariser des fonctions diverses, guérir des
maladies
! Sunt verba et voces quibus hunc lenire dolore
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladie
* nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physio
froy et Jules Voisin ont commencé à la Salpêtrière leur cours sur les
maladies
nerveuses et mentales, le 21 Janvier, et le conti
e Dr Raymond a repris jeudi dernier ses conférences c iniques sur les
maladies
du système nerveux, et les continuera tous les je
estion» suivantes : 1° Pathologie : Des auto-intoxications dans les
maladies
mentales. — Rapporteurs : MM. Régis et Chevalier-
L'Otite grippale, observée à Paris en 189l, extrait des Annales des
Maladies
de l'oreille et du larynx, novembre 1891. (Une br
a donc rien d'étonnant de voir chez les animaux les anomalies et les
maladies
intellectuelles qui s'observent chez l'homme. L
e puerpérale se manifester deux jours après la délivrance (4). Si les
maladies
mentales sont moins fréquentes chez les animaux,
m'intéresser à son griffon écossais qu'elle prétendait affecté de sa
maladie
, par contagion. J'ai accueilli avec négligence se
e six semaines. Sous l'influence de l'affaiblisse-ment produit par la
maladie
aiguë, son émotivité morbide s'accrut considérabl
use de sa naissance prématurée. Elle n'a pas eu de convulsions ni les
maladies
infantiles habituelles, et a présenté dans les pr
aible, accusant une amnésie complète de ce qui s'est passé pendant la
maladie
. Le 2G août, après une nouvelle irritation psyc
) produite par les passes. Suggestion : « Vous serez exempte de votre
maladie
pour aujourd'hui, demain et après-demain; vous n'
s dix minutes, et à cinq heures précises vous aurez un accès de votre
maladie
: cette crise sera très légère, et je réussirai à
s passes et du sommeil hypnotique. Cet accès sera le dernier de votre
maladie
. A partir de ce moment là, vous n'aurez plus jama
uis sa sortie de la clinique elle n'a jamais souffert de son ancienne
maladie
. D'après un examen le plus sérieux, on peut affir
pouvant rien obtenir, et désireux de connaître les antécédents de la
maladie
avant de poursuivie mon examen, je priai les pare
issait pas. Mais là, l'électricité, qui dans beaucoup de cas de eetie
maladie
m'a rendu des service» excellents, ne produisit a
t pas disposé à la recevoir par les moyens de suggestion habituels.
Maladie
de Basedow traitée avec succès par la suggestion
a jamais eu d'enfants. Son père est mort d'un accident, sa mère d'une
maladie
de cœur. Elle ne porte aucune autre tare hérédita
une autre tare héréditaire. Depuis sa naissance jusqu'au moment où la
maladie
présente a commencé, cette femme n'a eu aucune ma
u moment où la maladie présente a commencé, cette femme n'a eu aucune
maladie
grave. La menstruation seule a toujours été irrég
ie du côté gauche. La malade avait le caractère égal et doux avant la
maladie
, mais pendant sa durée est devenu emportée. Elle
assez ferme. Elle a des idées noires et elle craint de mourir d'une
maladie
du cœur comme sa mère. Sueurs pendant la nuit. Le
t chaque jour plus complètement dans notre main et que, par suite, la
maladie
nous trouve plus fortement armés contre elle. L
vaient été atteints pendant presque toute la durée de leur vie de ces
maladies
qu'ils guérissaient si rapidement chez les autres
minuée de longueur. Le 9 août 1731, quinze ans après le début de la
maladie
, Mlle Coirin chargea une vieille femme de Nanterr
l'influence de l'esprit sur le corps est a»sez forte pour guérir des
maladies
que le défaut de connaissance» a fait jusqu'à ce
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuse- est annexée à l'Institut psycho-physiol
p d'application pour l'hypnotisme. « M. de Dekterew ne parle pas de
maladies
nerveuses d'enfants proprement dits : les ouvrage
classique, paru il J a trois ans du professeur Emminghausen, sur les
maladies
psychiques de l'enfance (professeur à Dorpat, en
ournal la Revue de l'hypnotisme, disent assez la fréquence des cas de
maladies
nerveuses chez les enfants. Mais quant aux habitu
est mort, le jeudi 23 février, des suites de la longue et douloureuse
maladie
qui le tenait éloigné de son enseignement depuis
s avoir fait, pendant deux ans ( 1875-76), le cours complémentaire de
maladies
mentales, il fut nommé, le 18 avril 1877, à la ch
fut nommé, le 18 avril 1877, à la chaire de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale, qui venait d'être créée 4 la Facu
ors. M- le professeur Bail s'est consacré exclusivement à l'élude des
maladies
mentales. 11 a publié de nonbreux travaux de path
tre dans noire service à l'Hôpital de la marine, à Brest (service des
maladies
nerveuses et mentales) en juillet 1892, avec la n
mais pour établir un diagnostic ferme, il fallait éliminer certaines
maladies
; je n'insisterai à ce point de vue que sur la co
ion de la hanche; à l'examen, l'articulation fut (1) Dufestel : Des
maladie
simulée chez les enfants. . Thèse. Paris. 5 janv.
on, car à l'heure actuelle (février 1893), il y a plus d'un an que la
maladie
a commencé, et en supposant que la contracture ai
Gazette médicale de Strasbourg. 1870. (2) Charcot : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. 3, p. 477. — Babinsk) : Ar
'hystérie (hystérie normale), p. 240. 1891. (4) Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, septembre 1891, p. (5) P. Richer
e le pense pas. En général. la coxalgie n'entre pas dans le cadre des
maladies
simulées chez l'enfant. Dufestel (2). qui rapport
tel (2). qui rapporte dans sa thèse soixante-dix-neuf observations de
maladies
simulées chez les enfants, ne cite qu'un cas de c
édecine infantile, on est frappé du nombre d'enfants qui simulent des
maladies
dans l'unique but de se rendre intéressants. Je n
tablir deux grandes catégories d'enfants menteurs: les simulateurs de
maladies
et les menteurs en général. Les simulateurs de
ulateurs de maladies et les menteurs en général. Les simulateurs de
maladies
sont très longuement étudiés dans la thèse de Duf
avoue qu'elle a simplement voulu (1) De l'hystérie simulatrice des
maladies
organiques de l'encéphale chez les enfant, par A.
idi Médical, 3 et 10 décembre 1892. (5) Loc. cit. mais cachant sa
maladie
au lieu de )a simuler; en voici l'observation r
dans mon service le 11 août 1687. Pas d'hérédité morbide. Pas de
maladie
avant l'âge de onze ans. A cet âge, elle a eu une
oment de la dentition. Elle a été réglée à treize ans et demi. Pas de
maladie
pendant ce temps, ni ensuite. Depuis huit mois,
La moindre indisposition d'un membre de sa famille est à ses yeux une
maladie
mortelle. L'un des sujets les plus constants de s
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladie
» nerveuses est annexée à l'Institat psycho-physio
— M. le Dr Déjerinc, professeur agrégé, a a repris son cours sur les
maladies
nerveuses, les jeudis, à cinq heures. Associati
Revue de l'Hypnotisme, el M. Henri Fournier, directeur du Journal des
Maladies
cutanées et syphilitiques, ont été admis comme me
n sont résultées n'ont pas été sans influence sur l'aggravation de la
maladie
dont il était atteint depuis longtemps. On peut d
decin de la famille Bona-piue, est mort le 12 avril, après une courte
maladie
. Reçu en 1857, M. Danet était médecin du palais d
st hystérique, l'autre migraineuse. Joséphine n'a jamais eu d'autre
maladie
que celle pour laquelle elle est entrée à l'hôpit
is a Marcoberke et elle n'y a eu qu'un accès, mais à son retour, la
maladie
a de nouveau augmenté, et, à son entrée à l'hôpit
la sachant ai impressionnable et la voyant si affectée par la cruelle
maladie
de sa mère, l'a éloignée de Paris pour vivre à la
a mère, elle cherchait à reconstituer dans son esprit la marche de sa
maladie
, persuadée qu'elle était d'avoir le plus d'affini
ux. Du reste, vous ne pouvez ne pas guérir, parce que ce n'est pas la
maladie
de voire mère que vous avet, qui était paralysée,
que nous avions affaire. C'est, en effet, frappée par la marche de la
maladie
de sa mère que la fille l'a imitée 4 sa façon. El
onnée. Du jour où j'ai pu lui faire comprendre la différence entre sa
maladie
et celle de sa mère et lui persuader que la paral
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
ations pratiques d'électro-physiologie. Salpetrière, — Clinique des
maladies
nerveuses. M. le D' Charcot : leçons le mardi à 9
s maladies nerveuses. M. le D' Charcot : leçons le mardi à 9 h. 1/2
Maladies
nerveuses et mentales. MM. Joffroy et Jules Voisi
et Jules Voisin : le jeudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45.
Maladies
mentales. M. Auguste Voisin, le dimanche, à dix h
it-on pas accepté avec éloges ses travaux sur l'alimentation dans les
maladies
fébriles; n'avait-on pas applaudi au rapport magi
e l'hystérie comme on simule l'épilepsie. comme on simule toute autre
maladie
, dans un intérêt déterminé. La simulation, dans c
enir un avantage auquel peut donner droit, d'une façon quelconque, la
maladie
simulée, ou d'éviter par son moyen un assujettiss
érie, à cause précisément de la variété infinie des formes de cette
maladie
; mais il faut ajouter que, plus que tous autres,
ateur peut tout simuler, même les affections les plus étrangères à sa
maladie
propre. 11 y a pourtant une fréquence plus gran
en aucune façon, passer inaperçu au milieu des caractères vrais de la
maladie
que peut présenter le sujet. La surdité, le mutis
nt sous leur dépendance. Enfin, après ces symptômes habituels de la
maladie
, viennent une foule de simulations diverses, s'él
ue nous voyons défiler la longue série de la simulation de toutes les
maladies
imaginables les plus hétérogènes, mais parmi lesq
n qu'elle est hystérique. C'est dans l'état mental, qui résulte de sa
maladie
et qui eu est une des caractéristiques principale
ous ne trouvons rien de spécial. La malade elle-même n'a jamais eu de
maladie
sérieuse avant celle qui a amené les phénomènes q
tion a toujours été régulière, mais c'est de celte époque que date la
maladie
qui l'amène aujourd'hui à 1 hôpital. Elle eut d
ait bien un symptôme simulé. L'hypnotisa lion et la terminaison de la
maladie
ont complété cette démonstration. Nous taisons
uira et dégager des symptômes réels faisant foncièrement partie de la
maladie
les symplômes simulés que l'artifice des malades
es autres. Sa résistance peut être attribuée à la nature même de la
maladie
. Un neurasthénique ne peut pas fixer son attentio
causé beaucoup de chagrin ; à l'occasion de cette dernière perle sa
maladie
s'est aggravée. Dès l'âge de dix ans il avait déj
la table il sentait naître une anxiété. C'est ainsi qu'.à debuté: sa
maladie
. Peu à peu s peur- ont augmenté et bientôt après
arrive même souvent en rêvant ». Le malade n'a pas peur du public. Sa
maladie
présente une particularité assez importante. Il n
bavarde presque continuellement, mais il s'occupe aussi souvent de sa
maladie
. Il raisonne assez bien et souvent il se met enco
eut-il pas prouver que son amélioration n'est pas une rémission de sa
maladie
, mais qu'au contraire nous assistons à un des eff
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
ations pratiques d'électro-physiologie. Salpêtriêre. — Clinique des
maladies
nerveuses. M. le Dr Charcot : leçons le mardi, à
maladies nerveuses. M. le Dr Charcot : leçons le mardi, à 9 h. 1/2.
Maladies
nerveuses et mentales- MM. Joffroy et Jules Voisi
et Jules Voisin : le joudi et samedi de chaque semaine, à 9 h. 45.
Maladies
mentales. M. Auguste Voisin, le dimanche, à 10 he
te Voisin, le dimanche, à 10 heures du matin. Hospice de Bicètre. —
Maladies
des vieillards et maladies chroniques du système
0 heures du matin. Hospice de Bicètre. — Maladies des vieillards et
maladies
chroniques du système nerveux. M. Dejerine, le me
roniques du système nerveux. M. Dejerine, le mercredi, à 10 heures.
Maladies
mentales. M. Charpentier, le mercredi, à 8 h. 1/2
ures. Maladies mentales. M. Charpentier, le mercredi, à 8 h. 1/2.
Maladies
nerveuses des enfants. M. Bourneville, le samedi,
à la fin de la présente année scolaire, d'un cours complémentaire des
maladies
mentales. Faculté de médecine de Paris. — La ch
decine de Paris. — La chaire de clinique de pathologie mentale et des
maladies
de l'encéphale, à la Faculté de médecine de Paris
re psychique de l'), par Bernheim, 225. Amnésie antérograde dans la
maladie
de la désagrégation psychologique, par Pierre Jan
de la médecine l'emploi du), 59. Malade trop curieuse (une], 191.
Maladie
de Baseiow traitée par la suggestion, par Mavrouk
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
DIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL RICHER
ain 1897 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU srSTtMEEREU. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE).
OME DE BROWN-SÉQUARD) par F. RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux à la Salpêtrière (1). . ME
ou soeurs, tous bien portants. Il ne se rappelle pas avoir fait une
maladie
dans son enfance et durant son adolescence. Il n'
ces derniers s'exécutent avec vigueur. - Arrivons au début de la
maladie
actuelle. X..., au sortir d'un hal, en Auvergne
PAUL RICHER Directeur honoraire du Laboratoire de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux, à la Salpêtrière. La statio
UN FILS DE SYPHILITIQUE par G. GASNE Interne de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux, . il la Salpêtrière. On d
ifiques. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX X UN CAS D'HÉMIMÉLIE CHEZ
BERT LONDE Directeur du service photographique de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux, à la Salpêtrière ET HENRY
e des pieds, ou traité de la guéri- son des cors, verrues et autres
maladies
de la peau, par le D ROUSSELOT, chirurgien ' de
obuste de 28 ans, exerçant facilement son métier d'ajusteur. Aucune
maladie
ne l'avait encore forcé de prendre du repos, lo
t fallu s'attaquer. La chirurgie exploratrice ne convient guère aux
maladies
de l'encé- phale. La crâniectomie bilatérale, e
est-à-dire lorsqu'elle ne constitue pas à elle toute seule toute la
maladie
. D'autre part, la 82 E. BRISSAUD ET E. DE lItAS
luisante. Plus récemment encore Louazell (3) dans une thèse sur la
maladie
deMor- van a consigné une observation due au do
syphilitiques ou vénériennes, pas d'alcoolisme. Les symptômes de la
maladie
actuelle ont débuté d'une façon insidieuse. Il
e Lancet, 1893, 12 août. (3) Louazell, Contribution à l'étude de la
maladie
de Morvan. Thèse de Paris, 1890. DE LA MAIN SUC
les anté- cédents personnels ; pas de syphilis, ni d'alcoolisme. La
maladie
actuelle a dé- buté il y a 23 ans par la main d
dent morbide qui puisse avoir de l'intérêt pour son état actuel. La
maladie
actuelle a débuté il y a environ trois ans par
te. C'est une particularité qui existe depuis le commencement de la
maladie
, comme cela se voit chez Corr... doit[ la malad
ommencement de la maladie, comme cela se voit chez Corr... doit[ la
maladie
a débuté il y a ` ? ans. , La face dorsale de l
23 ans, il n'en est pas de môme du 4 sujet, âgé de 25 ans, dont la
maladie
a eu son début il y a 3 ans ; comme on le voit
de vue pathogénique, il faut voir, dans les trou- hles osseux de la
maladie
de Morvan et de la chiromégalie par exemple, de
ns de la température du 'milieu ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO
l intéressant. Cet homme n'a jamais été malade. Il n'a jamais eu de
maladies
vénériennes. 11 est relativement sobre. Il y
¡'; DES MUSCLES DU TRONC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANT
use. Antécédents personnels. - La santé a été très bonne jusqu'à la
maladie
actuelle. Elle n'a point eu d'enfant, n'a pas f
produit un arrachement de la malléole externe gauche). Début de la
maladie
. - Le premier symptôme de la maladie actuelle rem
e externe gauche). Début de la maladie. - Le premier symptôme de la
maladie
actuelle remonte (1) Gilles liE la Touhette ET
eut-être, disent ces auteurs, d'établir des rapprochements entre la
maladie
de Paget et certaines affections spina- les à d
servées. Il est dit : « Les lésions semblent bien apparte- nir à la
maladie
osseuse de Paget. » Entrons dans les détails des
règle en effet (comme d'ailleurs dans l'acromégalie) au cours de la
maladie
de Paget. Reste à remarquer l'absence de symptô
illesse. Paris, 1886. (2) LÉOPOLD Lévi, Déformations osseuses de la
maladie
de Paget. Bull. de la Soc. anat., juin 1896, p.
orgie, l'escarcelle vide, les créanciers rapa- ces, les fuites, les
maladies
, la prison, l'hôpital enfin, où il devait finir
it : 20 à 25 sont améliorés suivant la totalité des symptômes de la
maladie
, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'inc
on dans le traitement de l'alaxie locomotrice et de quelques autres
maladies
du système nerveux. Leç. recueillie par Gilles de
raitement de l'alaxie locomotrice progressive et de quelques autres
maladies
du système nerveux. Progrès médical, 23 février
on dans le traitement de l'ataxie locomotrice el de quelques autres
maladies
dît système nerveux. Nouv. Iconographie de la S
t été améliorés sui- vant la presque totalité des symptômes de leur
maladie
. Cette amélioration a porté, en premier lieu et
ur du 25 février au 16 mars, a présentéles premiers symptômes de la
maladie
le 22 mai (spasmes, hydrophobie, etc.). Il a succ
ut Pasteur, 1892. (2) D. S. Ramon y Cajal. Loc. cit. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE)
lus marquée dans le tiers cubital de la paume, de même que, dans la
maladie
de Dupuytren, c'est ordinairement en ce point q
en pas douter, ni de l'une, ni de l'autre. Elle n'affecte avec la
maladie
de Dupuytren qu'une ressemblance gros- sière. Q
permette d'invoquer la description de Dupuytren lui- même : « La
maladie
commence ordinairement par le doigt annulaire ; e
, proportionnées aux efforts tentés pour redresser le doigt. « La
maladie
commence, se développe et atteint son plus haut d
nous venons de parler n'en causent presque aucune; il semble que la
maladie
dépende d'un obstacle tout à fait mécanique, et q
Dupuytren non plus que les auteurs qui, après lui, ont étudié cette
maladie
ne fait aucune allusion, il n'y a ici ni saillie
e pouce était parfaitement libre. « Ce jeune homme attribuait celte
maladie
à l'oubli que sa nourrice avait commis de ne pa
acté comme les autres. Cette absurde opinion prouve au moins que la
maladie
était très ancienne : ne pouvait-elle pas être
puytren relative à la rétraction de l'aponévrose plantaire : « La
maladie
qui vient d'être décrite ne s'observe pas seuleme
que la contracture des mains s'est produite sous l'influence d'une
maladie
convulsive intra-utérine analogue à celle que Del
re enjeu, plus faciles il fatiguer. Nous ne savons pas ce qu'est la
maladie
de Parkinson. Mais, toute cons- tatation anatom
stigmates tératologiques. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES
MALADIES
1 DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈ
des Hôpitaux Directeur du service photographique de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. A propos d'un cas de mala
la Clinique des Maladies du Système Nerveux. A propos d'un cas de
maladie
de Paget publié par l'un de nous (1), nous avon
iquée par sa face antérieure ou postérieure. Les os provenant de la
maladie
de Paget ont également montré des détails analogu
radiographies négatives. La planche qui représente les fémurs de la
maladie
de Paget'représente également des radiographies n
aphies négatives. III. Reste à étudier les altérations des os de la
maladie
de Paget. Cha- que os pathologique ayant son sy
périeurs ou fera complètement défaut. Si dans la plupart des cas de
maladie
de Mor- van, l'atrophie musculaire est très att
s explique pourquoi dans un grand nombre de cas de syringomyélie la
maladie
débute par la thermoanesthésie et l'analgésie.
sthésie et l'analgésie. Le même fait nous explique pourquoi dans la
maladie
de Morvan, il y a surtout des troubles trophiques
cale, nos 3 et 5, p. 88 et 139, 1893. (3) BIIISSAUO. Leçons sur les
maladies
nerveuses, Paris, 1895, p. 201. : 206 G. MARINE
ngomyélieestapplicable également à l'atrophie musculaire dans cette
maladie
. On sait combien est étroite la relation entre
e de neurones moteurs et sensitifs qui (1) Brissaud. Leçons sur les
maladies
nerveuses. Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ba
passages principaux. Il s'agit d'une femme âgée de n8 ans, dont la
maladie
a débuté en 1879 par une sensation de courbature
vement inté- (1) J. M. CIIAIiCOT. OEuvres complètes. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, 1889, p. 147. 212- : - -
,limitée aux muscles delà main, on la rencontre quelquefois dans la
maladie
de Morvan. Il va encore une autre raison qui me
RADIOGRAPHIES NÉGATIVES DES EXTRÉMITÉS INFÉRIEURES DE DEUX FÉMURS.
Maladie
de Paget. Squelette normal. N. n. Cette planche
cou de Féré. Nous aurons à étu- dier ses rapports avec le tic et la
maladie
des tics de Gilles de la Tourette, avee.le para
1 (1) Planche XXIX du 2e vol. de la 4" édit. de notre Traité des
maladies
du syst. ner- veux (en collaboration avec R.uru
lonie, tic, a été donné à la fois à un symptôme, commun il bien des
maladies
, et à une maladie spéciale du système nerveux.
onné à la fois à un symptôme, commun il bien des maladies, et à une
maladie
spéciale du système nerveux. Ainsi il y a les cho
lonies et le paramyoclo- nus multiple de Friedreich, les tics et la
maladie
des tics de Gilles de la Tourette. Cette obse
z facile d'établir que notre sujet n'appartient il aucune des trois
maladies
que je viens de nom- mer : il n'est atteint ni
teint ni de chorée de Sydenham, ni de paramyoclonus multiple, ni de
maladie
des tics. D'abord il n'a pas une chorée de Syde
A-t-il un paramyoclonus multiplex' ! Je vous ai déjà parlé de cette
maladie
à diverses reprises (1). Je vous ai cité notamm
e phrase de Homen (2) qui résume bien la caractéristi- que de cette
maladie
décrite par Friedreich (3) en 1881 : « secousses
al. du syst. nerv., Paris, 1896, p. 556. 222 GRASSET A-t-il cette
maladie
bizarre que Gilles de la Tourelle (1) en 1885 et
n (2) en 1886 ont décrite dans le service de Charcot sous le nom do
maladie
des tics ou de névrose tiqueuse ? Nous en avons
un tic; mais il ne suffit pas d'avoir un tic pour être atteint de «
maladie
des tics ». - Le mémoire de Gilles de la Tour
motrice accompagnée d'écholalie et de coprolalie. C'est dire que la
maladie
nécessite pour être caractérisée la présence d'
d'autre chose que d'un simple tic. Comme le dit Raymond (4), cette
maladie
est caractérisée dans sa forme bénigne par des ti
int ni de chorée de Sydenham, ni depara- myoclonus multiplex, ni de
maladie
des tics. Cela ne veut pas dire qu'il ne présen
jet peut très bien présen- ter un des trois symptômes sans avoir la
maladie
correspondante. On peut 1 présenter des mouveme
nies sans avoir le para-myoclonus multiplex, des tics sans avoir la
maladie
des tics. Donc, il n'est pas oiseux de se poser
, 1886 et art. du Dict. encycl. des sc. médic., 1887. (3) Un cas de
maladie
des tics et un cas de tremblement singulier de la
it Charcot. Donc, sans être atteint ni de chorée de Sydenham, ni de
maladie
des tics, notre homme présente cette variété de
(1) Brissaud. Loc. cit., p. 512. 226 GRASSET d'autres termes, la
maladie
est-elle périphérique ou centrale ? Malgré les
d cite ensuite ce remarquable passage de Charcot : « Le tic est une
maladie
psychique ; il y a des tics de la pensée qui se t
avez-vous au juste de boutons à votre gilet ? Ma foi, (1) Un cas de
maladie
des lies et un cas de tremblement singulier de la
e distinction, que je me refuse à classer dé- finitivement dans les
maladies
mentales les maladies comme l'hystérie dont bea
me refuse à classer dé- finitivement dans les maladies mentales les
maladies
comme l'hystérie dont beaucoup de manifestation
tes au torticolis mental : « Jamais, dit-il, elà aucun moment de sa
maladie
, un seul de nos patients n'a présenté de symptôme
s phénomènes de psychisme inférieur, que l'hystérie est souvent une
maladie
polygonale, non mentale. Vous voyez aujourd'hui
éJ'o-tl'a/l1nalisme, p. 101 ; deux cas d'hystérie provoquée par une
maladie
aiguë (fièvre typhoïde et grippe), p. 436. (2)
896 : L'automatisme psychologique, p. 137. x 17 234 GRASSET une
maladie
de l'esprit. J'essaie de montrer que c'est bien u
que les Allemands l'appellent aussi d'un mot « pas mal choisi » une
maladie
de l'habitude (Gewolm- heitskrankheit). ' Com
t s'il n'accuse que la diph- térie à l'âge de trois ans comme seule
maladie
infectieuse, il avoue l'al- coolisme et des exc
s de l'écorce cérébrale qui ne peuvent être rangés danslaclasse des
maladies
mentales ? » Il écarte donc le mot mental, mais
t de dystrophies générales et d'autres où il a été consécutif à des
maladies
con- génitales ou acquises. Ces derniers faits
éma leux. Tout reste enfant à un degré qui correspond à l'âge où la
maladie
a com- mencé. On peut même dire que, lorsqu'il
u pubis. Le corps thyroïde était à peine perceptible. La dale de la
maladie
paraissait même assez précise : le père raconta
nnées à l'importance de la lésion thyroïdienne et à l'âge auquel la
maladie
débute. J'ai eu la grande satisfaction de con
IDIERGE, Gazette des hôpitaux, 31 janvier 1891. (2) Revue mens. des
maladies
de l'enfance, 1893, p. 481. 252 ? , E. BRISSAUD
êt de la croissance. La suppression du corps thyroïde détermine une
maladie
du cartilage épi- physaire aux dépens duquel se
saire aux dépens duquel se fait l'accroissement des os longs. Cette
maladie
consiste en une diminution de la prolifération ce
En résumé, l'infantilisme vrai n'est à mon sens autre chose que la
maladie
décrite par Bourneville sous le nom d'idiotie m
cardiaque ou vasculaire et, d'autre part, il n'est guère de cas de
maladie
, bleue où l'on n'ait relevé un ou plusieurs car
anière d'être se rapprochant d'une monstruosité bien plus que d'une
maladie
. Et cela nous explique comme quoi, dans l'infan
erritoires d'innervation cutanée, et serait dû pro- bablement à une
maladie
des ganglions spinaux. Il s'appuie surtout sur
te névrite foelale,hypothétique mais pos- sible, nous savons qu'une
maladie
infectieuse maternelle peut soit infecter soit
s téguments des animaux. Journ. de Robin, 1876. Rayer. - Traité des
maladies
de la peau. Recklinghausen. - Multiple Fibrome
le but de ces exhibitions morbides, - car devant la pitié toutes les
maladies
devraient être égales. Or, dans cette catégorie
es faveurs que tant d'autres anomalies corporelles produites par la
maladie
. Les figurations de goitreux sont donc d'autant p
visage, leur forme et leur répartition, nous ont fait songer à une
maladie
entrée depuis peu dans les cadres nosographique
ne manque pour- tant pas d'individus qui, sans être atteints de la
maladie
de Basedow, présentent une saillie exagérée des
ns de ce genre pouvaient avoir été inspirées par la vue d'un cas de
maladie
de Basedow ; hypothèse qui, jusqu'à plus ample
parences de goitre. D'ailleurs, en l'absence de tout symptôme de la
maladie
de Basedow, il n'est pas rare d'observer chez l
(Haute-Marne). 10e Année N° 5 SEPTEMBRE-OCTOBRE 1897 CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE)
(Suite et fin.) (i) PAR F.RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux ? - -- III Messieurs, , II
Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1895, p. 17. (7) REGARD, Deux cas de
maladie
ou de coloration bronzée dans le cours île la pa-
de séméiologique et pathogénique, th. 1897 . - (9) Martineau, De la
maladie
d'Addison, th. 1863, p. 132. 334. Cil. FÉIÜ c
ladie d'Addison, th. 1863, p. 132. 334. Cil. FÉIÜ changement. Les
maladies
générales et les infections (1), la carcinose, la
lorations de l'épiderme, th. 1864, p. 43. ·(19) Cité par BALL, kvi.
Maladie
bronzée. Dict. encycl. des se. méd.,1870, t. XI,
teints de phthiriase et ne présentant pas les signes généraux de la
maladie
d'Addison. C. R. et mém. de la soc. méd. des h8p.
Mélanodermie par privation, th. 1869. (3) J. Grszsec, Essai sur la
maladie
des vagabonds, sa confusion possible avec la ma-
raste, de Celse, de Galien et de Pline l'Ancien, - la phthiriase ou
maladie
pédicufaire n'étant pas considérée comme un eff
e admirable profusion « d'humeurs crasses » causant une infinité de
maladies
, on ne se montrait pas autrement surpris de voi
nt tenté de reproduire. Au surplus, la phthiriase est une véritable
maladie
, et son histoire iconographique ne doit pas être
ne). Fin. 5. 100 Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897 CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE (f) F. RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. PAR ET PIERRE JANET.
des car elles ne sont pas probablement sans rapports avec la grande
maladie
qu'elle présente : l'épilepsie. Ce qui frappe a
tisme et l'acromégalie sont deux manifestations d'une seule et même
maladie
survenant à deux périodes différentes de l'évolut
te. Et puis, on a contesté au gigantisme le droit d'être appelé une
maladie
. Il existe en effet des géants qui ne sont null
nt du gigantisme et de l'acromégalie deux manifestations d'une même
maladie
, survenant l'un pendant la période de cromance,
laisément qu'ils n'aient pas été la conséquence d'une seule et même
maladie
. ' Et, si celle-ci continue son oeuvre de défor
humatoïde Il PAR R PAUL LONDE Ancien Interne de la Clinique des
Maladies
Nerveuses. Quand Charcot démontra que des lésio
rticulaires survenaient dans le tabes sous la seule influence de la
maladie
nerveuse et avec un cortège de symptômes tout n
ques ou hé- miplégiques : aussi donna-t-on à son syndrome le nom de
maladie
de Charcot (1). Une observation personnelle r
t leurs conséquences, traduit par D.\STaE, 1874. (8) Leçons sur les
maladies
nerveuses recueillies et publiées par H. MEME, 18
res essentiels de l'arthro- pathie nerveuse, type commun à ces deux
maladies
. Il y a fréquemment des prodromes sous forme de
ui a pu attiré l'attention des auteurs, n'a rien (1) Leçons sur les
maladies
nerveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique de
s sur les maladies nerveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des
maladies
du système nerveux (trad. de LuBAisKI), 1878, 20
arrêt de développement et atrophie musculaire, les pieds-bots de la
maladie
de rriedreicla, de la myopathie : il n'y a pas
e, où la contraction musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
DEX DE LA MAIN GAUCHE PAR R. CESTAN. Interne de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Le développement des extrém
Mardi. L... Octave est âgé de 24 ans. Son père serait mort « d'une
maladie
de nerfs » dont il nous a été impossible de dét
ÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL PAR E. FEINDEL. Parmi les tics, ces
maladies
d'habitude, il est une forme remarquable par la
icolis mental a été considéré comme assez sombre ; et, en effet une
maladie
d'habitude n'a guère de tendance à rétrocéder.
chirurgie pratiques, 25 janvier 1894. E. Brissaud, Leçons sur les
maladies
nerveuses recueillies et publiées par H. Meige
térieur et des moyens de défense qu'il in- venta lui-même contre la
maladie
, notre malade mérite certainement l'at- tention
e atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Nous voyons, en effet, la
maladie
s'établir à 30 ans, insidieusement, sans douleur,
S L'ART PAR . HENRY MEIGE ... 1 . , La Lèpre est peut-être la
maladie
dont l'origine remonte aux âges les plus lointa
puis longtemps déjà, la Lèpre est-elle souvent considérée comme une
maladie
d'un autre âge dont les effets redoutables, perdu
sparaîtra tout à fait de la sur- face de la terre (1). , De cette
maladie
éteinte, il semble qu'il ne restera guère que des
, l'isolement est le meilleur moyen d'empêcher la propagation de la
maladie
; 2° La déclaration obligatoire, la surveillanc
t pour leur permettre d'observer à loisir tous les caractères de la
maladie
. On peut même dire qu'ils n'avaient que l'embar
figurés contiennent-ils presque toutes les variétés possibles de la
maladie
, chaque artiste ayant cherché à reproduire les si
oublier, en outre, que la Lèpre fut longtemps considérée comme une
maladie
d'origine surnaturelle, incurable par les soins m
ru nécessaire de résumer brièvement les principaux caractères de la
maladie
. La comparaison de la description clinique au-
arient considérablement, d'où le nom de Morphée, donné parfois à la
maladie
. Parfois, ce sont des plaques blan- ches d'un c
éformations qui en sont la consé- quence. Elle débute comme dans la
maladie
d'Aran-Duchenne par les muscles des éminences t
Lépreux sur une figuration artistique. (1) La Syringomyélie et la
Maladie
de Morvan où l'on observe des accidents analo-
cicatrices, celle's-ci pouvant être la consé- quence de toute autre
maladie
, d'un traumatisme, d'une brûlure. Les tubercule
r temps. Plus significatifs encore sont les documents figurés où la
maladie
revêt la forme sclérodermique, réduisant les pa
l y a tout lieu de penser que ses mutila- tions relèvent de la même
maladie
. Nous n'insisterons pas davantage sur ces notio
anto de Pise, est riche en détails naturalistes. Les horreurs de la
maladie
y sont figurées avec une franchise cruelle, mai
remarquer que Zambaco a rencontré des Lépreux que les progrès de la
maladie
avaient rendus culs de jatte. (2) Loc. cit., p.
érable, envahissant aussi le pied. Il est malaisé de reconnaître la
maladie
que le peintre a voulu représenter; peut-être l
, pas d'atrophie musculaire, pas dégriffés, pas de mutilations ; la
maladie
se traduit seulement, par ses manifestations cu
mbes aux boiteux, la santé aux Lépreux, et aux infirmes de diverses
maladies
, et la vie aux morts ». z 1 Le tableau du'musée
Le second infirme est en apparence moins sévèrement frappé par la
maladie
, car il lui reste une jambe à peu près entière ;
les figurations de Lépreux dont les membres ont été mutilés par la
maladie
. Il est vu de dos et se tient sur les genoux ;
e norvégienne chez plusieurs centaines de malades, l'identité de la
maladie
ne m'a laissé aucun doute. » Virchow a aussi di
rt. « C'est bel et bien un lépreux, atteint d'une forme mixte de la
maladie
. Sur la face, principalement aux lèvres, on rec
ophie musculaire progressive. « Il a défini et classé cette étrange
maladie
, dans laquelle les muscles s'atrophient progres
ne attitude en rapport avec les muscles disparus, jusqu'à ce que la
maladie
, parvenue à son dernier degré, ait rendu tout d
, le long supinateur, est justement un des derniers atteints par la
maladie
. Depuis la déformation de la main jusqu'au mouv
au nombre des manifestations de certaines formes de cette terrible
maladie
. » On peut se rendre compte, d'après ce que nou
. Qui pourrait se tromper à l'aspect de ces lésions et quelle autre
maladie
pourrait les produire, si ce n'est la syphilis ?
Voy. Difformes et Mal. dans l'Art, p. 79 et seq. 456 HENRY MEIGE
maladie
. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le bras d
end en les voyant le nom de grosse vérole que l'on avait donné à la
maladie
. « Enfin tous les caractères de la syphilis ne
oeuvre de date ancienne. ' i', Le Dr Keller demandait quelle autre
maladie
pourrait produire ces lé- sions, sinon la syphi
n exemple remarquablement exact des mutilations produites par cette
maladie
. « La main gauche est réduite à un moignon bour
s croyons qu'il y a lieu de modifier l'interprétation de l'affreuse
maladie
représentée par Mathias Grünewald. L'hypothèse
t en quelque sorte l'apogée des souffrances humaines causées par la
maladie
(2). (t) Les pieds de ce personnage, un peu per
, un peintre ne pouvait manquer de lui donner la préférence sur une
maladie
d'importation récente dont les méfaits étaient en
nte Sainte Anne, Saint Jacques et Saint Rocla in- voqués contre les
maladies
(1). Le haut de la composition est occupé par l
sifs attribués à la Lèpre a pu guider Grünewald dans le choix de la
maladie
qu'il désirait mettre en rapport avec le sujet
t ne nous a pas per- mis de préciser davantage les caractères de sa
maladie
(1). Écoles Flamande et Hollandaise. BERNARD
les yeux ; la bouche est ouverte exagérément. De quelle singulière
maladie
van Orley s'est-il inspiré pour peindre un si p
ment, mais le nom d'un être allégorique symbolisant la misère et la
maladie
dans la parabole des Evangiles (Saint Luc, XV)
homme de 44 ans très bien portant, mécanicien, qui n'a jamais eu de
maladies
infectieuses, ni vénériennes, n'est pas buveur, f
nseignements des parents que, à l'âge de six mois, le petit fit une
maladie
fébrile assez sérieuse, un médecin de la ville (D
nvoyée à l'école à l'âge de six ans. De six à huit ans elle fit les
maladies
de l'enfance (rougeole, coqueluche, etc.), cepend
ortants ; il a été militaire, mais il nie la syphilis ou tout autre
maladie
vénérienne. Pas alcoolique, pas fnmeur. L'enf
E RECKLINGHAUSEN . (-41ojso de Castro) SUR LA COEXISTENCE DE LA
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN AVEC L'ACROMÉGALIE, PAR A
liniques que nous venons d'exposer nous ontconduit au diagnostic de
maladie
de Recklinghausen avec acromégalie. Le syndrome
nerveuses. Mais l'examen complet des nerfs SUR LA COEXISTENCE DE LA
MALADIE
DE RECKLINGHAUSEN 43 périphériques seul permett
ésions sque- lelliques au thorax-et à la colonne vertébrale dans la
maladie
de Reck- linghausen, comme l'ont démontré MATI.
urie et, sans doute, les phénomènes oculaires. Cette observation de
maladie
de Recklinghausen rentre donc au nom- bre de ce
stituer une éventualité clini- que impossible, la coexistence de la
maladie
de Recklinghausen et de l'acromégalie est parfa
, acromégalie possible (Pa1'OfIlyoclonus multi- plex dans un cas de
maladie
dé Recklinghausen). Revue Neurol., 1899 p. 46.
ce militaire sans être jamais arrêté. A vingt-cinq ans, apparut une
maladie
qualifiée par lui de rhumatisme. Il éprouva de
ous fournissait les pièces d'une tuberculose banale. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOP1TAL PANTELIMON (BUC
l'un et du cervelet chez l'autre. Pour le premier, la marche de la
maladie
, chez le second l'examen microscopique du liquide
calisés fréquemment à la moitié gauche du crâne. Historique de la
maladie
. Quelques jours avant de tomber malade il a eu
ital. Le malade accepte d'entrer dans le service de la clinique des
maladies
nerveuses de l'hôpital Pantélimon, seulement po
es idées et ces sensations lui doivent être venues à la suite de sa
maladie
cérébrale. Il n'a plus de la céphalée, il s'oppos
ndant plusieurs années de fièvres palustres. Il n'a pas eu d'autres
maladies
. Il est né et s'est développé norma- lement, il
ns la dernière classe, il obtint même une prime. Historique de la
maladie
actuelle. - Sa maladie date du mois de mai 1910,
, il obtint même une prime. Historique de la maladie actuelle. - Sa
maladie
date du mois de mai 1910, elle a eu un début br
aver, son père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de clinique des
maladies
nerveuses, le 2 octobre 1910. Etat présent. - A
séreuses. D'ailleurs Oppenheim, dans son traité bien connu sur les
maladies
nerveuses, men- tionne que les formes aiguës de
é en ce qui concerne les causes qui ont provoqué l'apparition de la
maladie
dans nos deux cas. Le début brusque, sans aucun
tion de la maladie dans nos deux cas. Le début brusque, sans aucune
maladie
infectieuse précursoire, n'est pas du tout un f
que le choc moral souffert quelques jours avant l'apparition de la
maladie
. Chez notre se- cond malade nous ne trouvons qu
vateurs qui affirment que le plus souvent leméningisme de certaines
maladies
microbiennes est le résultat de la participation
e chronique hyperplaslique ». Fr. Schultze dans son livre sur les
maladies
des méninges et sur l'hy- drocéphalie, dans le
thol. Anatomie des Nervensy stems, p. 449. (2) Baginsky, Traité des
maladies
de l'enfance. (3) A. VicouRoux..E'coM<en)eK&
ainsi que dans l'inté- ressante thèse de Mme Long-Landry (1) sur la
maladie
de Little, on trouve deux observations sur quat
ns personnelles, soutient que dans la mé- (il, Mine Long-Landry, La
maladie
de Lcllle, Etude analomique et pathologique, thès
t deux mois, hydrocéphale depuis l'âge de deux ans à la suite d'une
maladie
infec- tieuse avec des symptômes méningitiques
ler (2) a publié l'observation d'un homme de 48 ans, chez lequel la
maladie
a duré quatre années pendant lesquelles il fut in
mes. Cependant, au milieu des nombreuses observations relatées de
maladie
de Friedreich et d'hérédo-ataxie cérébelleuse a
maternelle morte subi- tement a 78 ans ; grand père mort à 74 sans
maladie
. Père mort il 67 ans d'usure physiologique; une
ttré, « il a toujours été drôle, irritable », il n'aurait pas eu de
maladies
graves de l'enfance ni de traumatisme crânien.
manque le nystagmus et surtout le trem- blement intentionnel. De la
maladie
de Friedreich on relrouve ici : * le début dans
qui concerne ce dernier signe, on sait qu'il est inconstant dans la
maladie
de Frime.. reich (Ribel, Gianelli et Lévi), et
é d'amyatrophie appartiennent sans doute à la période tardive de la
maladie
où l'observation a été prise. Autopsie. Le cerv
e. Le plus souvent en effet on rencontre des formes hybrides de ces
maladies
nerveuses dites héréditaires et fami- liales. S
oderberg en a signalé récemment un cas qui réunissait des signes de
maladie
de Friedreich, d'hérédo-ataxie cérébelleuse et de
se, à l'occasion de cas analogues déve- loppèrent l'opinion que ces
maladies
ne comportent pas de limites bien tranchées, qu
, le frère était atteint d'hérédo-ataxie cérébelleuseet la soeur de
maladie
de Friedreich, les deux syndromes étant d'aille
onc- lionnclle des éléments hislologiques sont les deux fadeurs des
maladies
familiales du système nerveux. L'organisation a
alaient l'état des réflexes tendineux chez l'homme sain et dans les
maladies
de la moelle. Ce fut Westphal qui étu- dia plus
a raison pour laquelle l'abolition du réflexe patellaire dans cette
maladie
porta ensuite le nom de signe de Westphal plutô
le diagnostic vers une syphilis méconnue, vers un tabès commençant,
maladies
qu'un inter- rogatoire serré de très près, plus
es fonctions génitales, de l'incoordination motrice; le début de la
maladie
remontait à 5 ans au moins ; au point de vue de
eine ce nom cliniquement tant ils présentent peu de signes de celte
maladie
ait moment où on les observe, puisque souvent l
er derrière ce syn- drome la lésion nerveuse qui fait le fond de la
maladie
; et nous prenons le terme de'lésion nerveuse d
mender progressivement depuis lors. Durant la seconde semaine de la
maladie
, l'écoulement de substance céré- brale et de li
es lobes temporal et occipital. Tant par l'évolution clinique de la
maladie
que par la détermination approximative du traje
entre à l'Hôpital de Musta- pha (service d'observation spécial aux
maladies
mentales), le 22 novembre 1911. Elle avait quit
roplasie et la dysostose cléido- cranienne. « Ce ne sont pas là des
maladies
, dit M. Apert, mais des varia- tions du type hu
ndroplasie ; peut-on de la forme des troubles psychiques dans celle
maladie
, tirer quelque éclaircissement sur son origine
té est émoussée. Interrogé sur la date approximative du début de la
maladie
, le malade hésite. 148 ANGLADA Quand il fit s
nelles, les cirrhoses pigmentaires, diabète bronzé et autres, elles
maladies
s'accompagnant de troubles généralement plus di
tées dans les traités sur la lèpre à envisager l'hypothèse de cette
maladie
. Bien que l'intensité de )'hyperpigmentation et
on de ce vitiligo gravior que l'on retrouve mentionné jadis dans la
maladie
de Hansen. Notre malade rappelle très étroitement
e d'un noir de Congo » (2). (1) WURTZ et Tninoux, Séméiologie des
maladies
tropicales. (2) Zambaco-Pacha, Les lépreux de C
ns isolées ou associées ne se retrouvent pas invariablement dans la
maladie
qui peut évoluer avec une symptoma- lologie plu
lles constituent un signe de grande valeur dans le diagnostic de la
maladie
de Hansen. Notons encore en faveur de notre hyp
èpre. Publication du Progrès médical, 1896. (2) Rayer, Traité des
maladies
de la peau. Paris, 1831, 152 ANGLADA pas pu ê
tal présentaient donc une abolition du réflexe achilléen liée à une
maladie
dont l'intéressé ne se plaignait pas. La propor
(1) L'adjectif monosymplomatique, couramment appliqué aux noms des
maladies
peut être appliqué aussi, et plus rationnelleme
ussement l'absence du réflexe dans l'appareil symp- tomatique de la
maladie
actuelle : en tant que praticien, il est exposé à
it que l'état monosymptomatique actuel représente le reliquat d'une
maladie
ancienne plus complexe, soit qu'il précède un d
te les mêmes caractères statistiques que l'irréfleclivité due à une
maladie
, et ces caractères .s'e,rpli quent aisément par
ain, vol. XyVlll, p. 08, 1905. 166 DUPUY pendant le sommeil ou la
maladie
. Les éléments solides en suspension dans le liq
chez 9 d'entre eux les réflexes rotuliens nuls sans autre signe de
maladie
nerveuse. Les auteurs trouvent ces ré- flexes a
eloppement causés par un trouble de la nutrition, conséquence d'une
maladie
locale ou générale; KOLLIhEa, Embryologie, édit
cas de dysostose cléirlo-crrlrrienne héréditaire. 34. APERT. Les
maladies
congénitales. 35. Porak. et Durant. - Les micro
toute la valeur de celte méthode dans l'étude et l'enseignement des
maladies
nerveuses. En ayant eu occasion d'employer la m
considérations sur l'utilité de la cinématographie dans l'élude des
maladies
du système nerveux (Encéphale, 1909, p. 410). N
à ce moment inter- viewée par de nombreux journalistes, mais ni la
maladie
elle-même, ni les circonstances dans lesquelles
ervations cliniques manquent complètement pour toute la durée de la
maladie
, et que, par cette raison, la description de l'ét
l de dents sans pourtant tout d'abord accuser d'autres symptômes de
maladie
, du moins au su de son père et de ses frères ;
cause plausible de son état n'a pu être découverte; apparemment, sa
maladie
fut provoquée par un accès de mal de dents ou, pe
ychi- que de Caroline ; à la question de savoir si l'éclosion de la
maladie
avait coïncidé avec l'apparition des fonctions
personnes, est morte. Aucun médecin ne fut consulté au sujet de la
maladie
de Caroline, mais au bout d'un certain temps, o
ouvernante, Caroline était, durant les trois dernières années de la
maladie
(1905-1908), restée couchée immobile, sans s'occu
nce, mais ne se souvenait de rien de ce qui s'était passé durant sa
maladie
. Au bout de quinze jours, elle se leva et comme
it jamais de questions directes au sujet du passé, ni concernant sa
maladie
ou les affaires de la maison, ni concer- nant l
stion qu'elle n'avait pas encore en ses premières règles lorsque la
maladie
éclata. Un jour d'hiver - elle ne saurait préci
en des changements qui étaient survenus dans leur maison pendant sa
maladie
; aussi n'avait-elle pas très bien reconnu son e
ntéressant du fait de la guérison com- plète de la malade après une
maladie
ayant duré plus de 32 ans ; main- tenant, elle
tte situation s'était produite durant une phase moins avancée de la
maladie
. Toutefois, cette supposition restera forcément à
ètement amnésique pour tout ce qui a trait au temps passé durant sa
maladie
et qu'ainsi trente années de sa vie n'auraient
essé, sciemment nier ou taire des faits réels. L'historique de la
maladie
de Caroline concorde sur divers points avec un
dénommer d'autres objets que ceux qui l'avaient t entouré durant la
maladie
; soumis à un enseignement approprié, il récu-
rester sceptique du diagnostic catatonie dans les cas où, après une
maladie
particulièrement longue, on esl surpris par une
des phénomènes psychiques primaires et subconscients donnent il la
maladie
son caractère typique; qu'on trouve des deux côté
te la période d'activité sexuelle de la vie ; au commencement de la
maladie
, elle avait 14 ans, et elle guérit à l'âge de 4
e n'exclut point la possibilité que les symptômes et le cours de la
maladie
aient été influencés par des circonstances exté
és par des circonstances extérieures qui ont donné au tableau de la
maladie
leur caractère psychologique particulier. (Trad
sont morts de fluxion de poitrine, un par accident, le quatrième de
maladie
indéterminée. Antécédents personnels. - Pas de
ombé à une affection pulmonaire qui a duré 6 mois. Histoire de la
maladie
. En 1898, à l'âge de 53 ans, il a commencé à se
ores. Cette dernière observation est importante pour le début de la
maladie
par les membres supérieurs, et pour la névrite
observation des cas de Hoffmann à cause du caractère familial de la
maladie
). , Observation DE Dejerine et Arsiand-Delille
rogressive dans les membres inférieurs et supérieurs,puis arrêt de la
maladie
. Réflexes tendineux faibles ; contractions fibr
, du bras et de l'épaule gauche. Sept à huit ans après le début de la
maladie
, atrophie progressive des muscles de la main dr
des muscles du bras et de l'épaule droits. Arrêt de la marche de la
maladie
après une douzaine d'années d'évolution. Intégrit
rophie musculaire neuro- tique. Mais on cherchait alors à créer une
maladie
nettement définie par une symptomatologie et un
sance des multiples formes de transi- tion qui s'observent dans les
maladies
relevant de processus dégénéra tifs lents des c
tifs lents des centres nerveux, des nerfs ou des muscles. Dans ces
maladies
dites héréditaires (1), ou familiales ou encore
. Dans ces maladies dites héréditaires (1), ou familiales ou encore
maladies
d'évolution, les divers types décrits les premi
e par sa structure et sa répartition de celle que l'on voit dans la
maladie
de Friedreich. Mais là ne se bornent pas les dé
s formes morbides telles que la paraplégie pasmodique familiale, la
maladie
de Friedreich, l'hérédo-ataxie cérébelleuse, da
nombre d'observations ou pendant une partie de l'évolu- tion de la
maladie
, et sont toujours d'intensité variable. Si donc,
ontractions fibrillaires des muscles. Elles ont eu pendant toute la
maladie
, à l'exception de la période cachectique termin
re d'hôtel, âgé de 51 ans, entre dans le service de la Clinique des
maladies
nerveuses le 21 juillet 1911 pour une paralysie
à-dire il y a 13 ans, qu'il constate les premiers symp- tômes de la
maladie
actuelle ; à partir de cette époque il s'aperçoit
pu malheureusement examiner le patient qu'à la dernière étape de sa
maladie
, mais les notes que nous avons retrouvées nous ré
e clinique, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de clinique des
maladies
nerveuses à l'Université de Rome. Malgré tout l
asion d'étudier longuement le cas d'un jeune homme atteint de cette
maladie
, qui s'est manifestée chez lui sous la forme faci
avait 38 ans et sa mère 28. Il est né à terme, et, en dehors de la
maladie
qu'il a actuellement, il n'en a pas eu d'autres q
ans environ, a commencé, peu après un traumatisme, à présenter une
maladie
à cours lent mais progressif,et exclusivement à
d'une polynévrite. De même, il suffit de se rappeler le cours de la
maladie
, la façon dont elle a pris de l'extension, et s
pas supposer que le jeune homme ait été affecté d'autres formes de
maladies
avec lesquelles on pourrait confondre celle don
ui seraient, par exemple, la polymyélite antérieure subaiguë, ou la
maladie
de Heine-Medin, ou un processus destructeur (sy
a face (et du corps), puisque les différences cliniques entre cette
maladie
et celle de notre sujet sont assez claires et nom
et, la diminution de l'excitabilité faradique et galvanique dans la
maladie
en question, n'est pas tant caractérisée par l'
humérale de la dystrophie mus- culaire. La lenteur du cours de la
maladie
et le temps assez considérable qui s'est écoulé
stem. London Churchill, 1899, V. I, 3' éd., p. 590. (2) Mamnesco,
Maladies
des muscles. Traité de médec.Brouardel-Gilbcrt t.
duisaient normalement. Or Landouzy et Dejerine trouvè- rent dans la
maladie
en question, que deux fois sur cinq le réflexe ro
ques-unes des théories émises pour expliquer la pathoge- nèse de la
maladie
. Modifiant la théorie dite de la phagocytose, due
atéral. A ce point de vue, il ne manque pas d'exemples analogues de
maladies
du même genre que celle-ci. Ainsi, il y a peu d
eronzi (4) a (1) Marinesco, loc. cit. (2) Raymond, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, Paris, Doin 1900, IV° s., p
i amène à penser que la dystrophie musculaire pro- gressive est une
maladie
du téléneurone de la voie pyramidale. TRAUMATIS
pensé qu'il s'agissait d'une ostéopathie traumatique « simulant la
maladie
de Pige[. Nous devions publier l'observation da
pour savoir si l'affection s'étendrait ou nonets'onenteraitvers la
maladie
de Paget ; or c'est bien vers la maladie de Paget
u nonets'onenteraitvers la maladie de Paget ; or c'est bien vers la
maladie
de Paget que l'affection semble aujourd'hui évo
en dehors de l'extrémité supérieure du fémur caractéristique de la
maladie
de Paget. nlhp rlrnît-O ? IJ 0'1. : I,,pM t&
E Iconographie DE la Salpêtre rt. T. xxv. p).*x[x' TRAUMATISME ET
MALADIE
DE PAGET (A. Léri et G. Legros). A. Jimbe du
manifeste de la lésion osseuse. C. J.tmbe d'une malade atteinte de
maladie
de Paget typique : augmentation de la totalité de
t que nous avions décrit dans les os pagétiques typiques. Dans la
maladie
de Paget, la radiographie présente en effet un as
LLE Iconographie de>l$35alpêtrilrSi T. XXV. Pl. TRAUMATISME ET
MALADIE
DE PAGET (A. Léri et G. Regros). Radiographie
ET (A. Léri et G. Regros). Radiographies de la jambe : A) dans la
maladie
de Paget typique (jambe B de 1.1 planche précéd
extrémité inférieure indemne du tibia du malade H... TRAUMATISME ET
MALADIE
DE PAGET (A. Léi-i et G. Legros). Radiographi
GET (A. Léi-i et G. Legros). Radiographies du genou : A) dans une
maladie
de Paget typique, B) chez le malade H... (191 1).
T 337 ment celles de la couche sous-périostée, qui caractérisent la
maladie
de Paget. 1 Lors de la première radiographie
téopathie n'était peut-être pas absolument semblable à celles de la
maladie
de Paget. Au lieu de l'aspect ouateux léger des o
ue. La localisation des lésions n'exclut pas non plus le diagnostic
maladie
de Paget : l'extrémité inférieure du tibia rest
ne semble pas que cette localisation soit exclusive de l'idée d'une
maladie
de Paâet,et nous avons trouvé, dans les auteurs
pas incurvé dans son ensemble, comme il l'est généralement dans la
maladie
de Paget, et sa face postérieure reste presquep
es auxquelles nous venons de faire allusion. S'agit-il donc d'une
maladie
de Paget limitée à la jambe droite ? s'agit- il
e traumatique ayant même aspect clinique et radiogra- phique qu'une
maladie
de Paget localisée ? Pour répondre à cette questi
r répondre à cette question il faudrait savoir d'abord ce qu'est la
maladie
de Paget et à quoi elle est due; or nous savons
que- c'est à la syphilis que Fournier et Lannelongue rapportent la
maladie
. Devant la multiplicité croissante des faits co
a peu de temps encore, un rôle si capital dans la détermination des
maladies
les plus diverses que, par une réac- tion assez
sante et de l'ostéite raréfiante tout à fait analogue à celle de la
maladie
de Paget. Quoique ce malade de Moizard et Bourg
ément il un âge tardif que survient presque toujours le début de la
maladie
de Paget, et, quand ce début est plus précoce, il
Wolff toutes les déforma- tions osseuses qui se produisent dans la
maladie
de Paget et qui ne seraient que le résultat du
ier, il n'y a pas lieu de se poser la question : « s'agit- il d'une
maladie
de Paget ou d'une ostéopathie traumatique » ; il
affection locale quand elle est nettement localisée : or les cas de
maladies
de Paget limitées à un seul os ou à un très petit
ce Publique, nous est présenté le 22 juillet 1911. Histoire de la
maladie
.- Le jeune Ernest, à la suite de conversations av
l'atrophie musculaire qui porte son nom, il la considéra comme une
maladie
autonome et spécifique dé- terminée par des lés
et qu'il répartit en 3 classes. Première catégorie comprenant des
maladies
syphilitiques. Il suppose qu'il s'agit de radic
type auquel elles se rapportent. (A (A suivre.)- ). CIVIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPÈ1HIÈRE.
cavités médullaires, qui ne préjuge pas de l'origine univoque de la
maladie
et qui laisse sous-entendre que dans la moelle,
ammatoire, mésodermique ou conjonctive, on ne connaît pas parmi les
maladies
fran- chement inflammatoires du système nerveux
hlesinger) pour faire remontera la vie embryonnaire l'origine de la
maladie
. C'est précisément parce que les végétations co
EPILEPS1E '1ARD1VE ET 'I'liOUBL à ÀLEI-4 TârtiUf -- 335 sions, ni
maladie
grave. D'une intelligence moyenne, il travaillait
2 cas après 13 ans. (1) FMKH, Arch. f. Psych., 1903. SERVICE DES
MALADIES
SERVEUSES DU D' FLATAU A L'1101'ITAG ISRAÉLITE
taines conditions il peut être très difficile de dia- gnostiquer la
maladie
de Pott avec symptômes nerveux à un âge avancé et
'est à peine s'il se rappelle quel- ques détails sur le cours de sa
maladie
. Cinq mois avant son entrée à l'hôpital, il a c
s ont commencé à maigrir ; surtout la paume gauche. Il croit que la
maladie
progresse rapidement II n'a jamais eu de maladi
e. Il croit que la maladie progresse rapidement II n'a jamais eu de
maladie
grave. Ses enfants sont bien portants ; sa femm
Voilà en termes généraux les oscillations et le développement de la
maladie
pendant un séjour de 5 mois à l'hôpital. L'anamnè
yélique de la sensibilité n'est pas le pro- pre uniquement de celte
maladie
, comme l'ont pensé Kahler et Schultze et que le
mes comme des douleurs (souvent très vives même à l'o- rigine de la
maladie
), des troubles sphinctériens, des contractions sp
scendante ainsi que les oscillations fréquentes dans le cours de la
maladie
, tout cela ferait supposer qu'il s'agit plutôt d'
, nous arriverons facilement à expliquer tous les symp- tômes de la
maladie
. Les altérations de dégénérescence et d'atrophie
de mentionner spécialement l'apparition à une période avancée de la
maladie
d'un abcès froid au côté gauche du cou, ce qui re
uche du cou, ce qui resta cepen- dant sans effet sur le cours de la
maladie
et sur les phénomènes de com- pression. Si nous
e cas présent l'absence des douleurs dans la première période de la
maladie
, ce qui ne permettait pas de croire au développ
és et d'as- pects les plus divers ont été le premier symptôme de la
maladie
. Dans son travail sur les principales formes du
ement le rôle important des douleurs dans la première période de la
maladie
pour arriver à la diagnostiquer ; elles peuvent p
es sensitives. L'absence de douleurs dans la première période de la
maladie
conjointe- ment avec l'absence continue de gibb
de l'affection, impossible à poser. Dans le cours subséquent de la
maladie
, alors que le tableau clinique pouvait suggérer
2 garçons et 3 filles sont vivants et bien portants. Histoire de la
maladie
. Il y a environ un ans il était tourmenté la nuit
alade que nous avons observé, nous ne répéterons pas l'histoire des
maladies
chroniques delà colonne vertébrale. Les travaux d
e les plus nombreux, existent ceux qui réunissent encore toutes les
maladies
chroniques verté- brales sous les termes vagues
Icon., 1906, n° 1 ; A. Léri, Diagnostic clinique et anatomique des
maladies
tcn7tlosanEes de la colonne vertébrale, Iteview
t des pieds. Pour la même raison, il n'appartient pas non plus à la
maladie
anl,ylo- sante progressive et chronique de Raym
es aïeuls ; ses parents sont- morts à un âge avancé, son père d'une
maladie
du coeur à 62 ans, et sa mère à 54 ans d'une pn
ention. La malade a eu trois frères : un d'eux est mort jeune d'une
maladie
aiguë, et les autres sont encore vivants (un fr
ses souffrances; elle avait à ce mo- ment 38 ans d'âge et 23 ans de
maladie
. Des cuisses au sommet de la tête; elle est com
, ce qui constitue une rareté clinique. II. La longue durée de la
maladie
, qui a embrassé plus d'un demi- siècle, depuis
ans, employé de commerce. Il est venu à la consultation externe des
maladies
nerveuses de Santa Mar- tha le 28 février 1912.
ai observé il y a neuf mois dans mon cabinet de consultation sur la
maladie
de laquelle il se plaint et qui a commencé par
te, de laquelle il est entière- ment sourd. Au commencement de sa
maladie
il a souffert des fourmillements et picote- men
de 38 ans, couturière. Elle est venue à la consultation externe des
maladies
nerveuses de l'Hôpital Santa Martha le 29 mai 1
iverses lésions. Ceci comporte une double question. Quelle est la
maladie
causale ? ' ? Quelle esl la lésion anatomique d
Quelle esl la lésion anatomique déterminante. Pour ce qui est de la
maladie
causale, il faut avant tout mettre hors de pair
rès internatiunal des sciences médicales, Moscou, 1807. Section des
maladies
nerveuses et mentales, p. 159. `VALLEC7WEaf·It.
ons que l'urémie, qui est souvent un des modes de terminaison de la
maladie
, constitue plus qu'un modus moriendi ainsi que
l'acromégalie et en particulier d'une forme amyotrophique de celle
maladie
, Thèse de Lyon, t891-,892, NOUVFLLE Iconographi
ts : Elle se portait bien jusqu'à cette année, n'ayant jamais eu de
maladie
grave, elle s'était mariée, avait eu plusieurs
hef de l'Hospice Marcoutza. C. PARHON, Professeur de Clinique des
Maladies
Nerveuses et Mentales à la Faculté de Médecine
e et à ce point de vue nous rappellerons que Kraepelin considère la
maladie
de Bayle comme un trouble général de la nutriti
duction de ce trouble trophique général et le lien qui l'unit à la
maladie
dont nous parlons. Nous donnons d'abord les o
aravant. A fait usage d'alcool . Sa femme n'eut pas d'enfants. La
maladie
se manifesta d'une façon nette en 1909. Le malade
corps du malade. Ce cas montre que la surcharge adipeuse dans la
maladie
del3aylepeut se montrer non seulement sous la f
de prolifération lipoma- teuse. On comprend que le pronostic de la
maladie
en soit aggravé d'au- tant, les cas n'étant pas
ce naturelle ordinaire. Puis il est aussi nécessaire de prévenir la
maladie
par les médicaments soulageants. Et quand les méd
re déjà aux parois de la cavité et où elle est viciée à cause de la
maladie
. C'est toujours une grande chose que ]'électrisat
s médicaments n'ont aucune effica- cité, comme par exemple dans les
maladies
nerveuses, dans la goutte, dans les maladies de
e par exemple dans les maladies nerveuses, dans la goutte, dans les
maladies
des yeux où l'on peut en toute conscience prescri
s animaux. Dans le If chapitre, 4e', l'auteur traite la théorie des
maladies
dans lesquelles il faut employer l'électricité
1Julgatissima. TABLE DES MATIÈRES Acromégalie {Coexistence de la
maladie
de Recklinghausen avec l' -) (1 pl.), par DE
et l'adénoïdisme) (8 pl.), par BEHTOLOT1'I, 1. Paget (Traumatisme
maladie
de -) (4 pl.), par LÉRI et LECrsos, 334. Para
re) (1 pl., 9 fig. ), par Muue et Fon, 353 et 427. Traumatisme et
maladie
de Paget (4 pl.), par LÉ ! ! 1 et LFcitos, 334.
mpagne (1 pl.), 101. Cistro (Aloyso de). Sur la coexistence de la
maladie
de Reckhnghamen avec l'acro- mégalie (1 pl.), 4
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docte
l restera toujours ce grand groupe de la pathologie qui constitue les
maladies
proprement dites : les pneumonies, la fièvre typh
dans les asiles; beaucoup de malades, du reste, aiment a taire leur
maladie
, de sorte qu'on peut établir comme règle que les
établir comme règle que les patients de cette espèce voient dans leur
maladie
un état exceptionnel, puisque jamais ils n'ont en
Toient dans la suggestion hypnotique un contre-poison spécial de leur
maladie
— et il faut avouer qu'ils n'ont pas tout a fait
, et l'on ne saurait faire de chacun de ces états psychopathiques une
maladie
distincte. Ce sont des variétés d'une maladie ou
ats psychopathiques une maladie distincte. Ce sont des variétés d'une
maladie
ou d'un phénomène pathologique. Parmi toutes ce
s qui se répètent assez régulièrement et qu'on peut décrire comme une
maladie
spéciale idiopathique. C'est la c folie du doute
malades aux savants qui continuent à discuter si la conception de la
maladie
, comme se l'est faite Legrand du Saulle, est just
rome si uni- forme que j'ose plaider l'existence indépendante de la
maladie
de Legrand du Saulle. Je me permettrai de donne
nte ans, dont un homme et trois femmes. Dans la majorité des cas la
maladie
a débuté ou du moins s'est aggravée à 1 "âge du d
Dans deux cas il y avait à noter une cause occasionnelle décidée. La
maladie
d'une des femmes faisant l'objet de mes observati
rappelle pas avoir vu un second cas présentant les symptômes de cette
maladie
d'une manière aussi prononcée. Scholz à tort de
ophobe n'a pas été tourmenté de doute dans les premières années de sa
maladie
. Il se gardait seulement de toucher toute personn
tre un tourment continuel et une souffrance inouïe. Dans l'acmé de sa
maladie
le malade restait couché sans boire ni manger des
eux. Déjà dans sa première jeunesse elle présentait des indices de sa
maladie
, celle-ci s'aggrava après son accouchement, penda
z elle aussi le doute s'était présenté dans une période avancée de sa
maladie
. Elle se lavait les mains à chaque instant, mais
nt sans manger plutôt que de lui donner sa nourriture elle-même. La
maladie
des deux autres dames n'était pas aussi grave. Ch
me malade, une tonte jeune personne, j'ai pu étudier les débuts de la
maladie
. Après avoir soigné quelque temps une personne af
ouveau une fois cette maison, il m'arrivera malheur, j'attraperai une
maladie
, je ferai de mauvaises affaires ». Parcourant la
teur Babinski, invité par M. le professeur Charcot, à la clinique des
maladies
nerveuses, à exposer les doctrines professées à l
e le dimanche, à neuf heures et demie, ses leçons cliniques sur les
Maladies
mentales. M. Voisin fait, pendant le cours, un
trations pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales. cours. — M. le Dr Léglas a commencé u
ales. cours. — M. le Dr Léglas a commencé un cours clinique sur les
Maladies
mentales. Ce cours a lieu tous les vendredis, à l
on du progmmmo des séances. On ne peut qu'approuver cette mesure.
Maladie
du sommeil. M. Mauthner a soutenu une théorie s
e du sommeil. M. Mauthner a soutenu une théorie suivant laquelle la
maladie
du sommeil observée chez les nègres d'Afrique ser
eu eu particulier ce ptosls special qui est le premier symptôme de la
maladie
et qui, pour les médecins qui out exercé eu Afriq
ou de magnétisme, serait considéré comme un délit. « Myriachit » et
maladie
des tics convulsifs. Il parati que le vrai nom
t » et maladie des tics convulsifs. Il parati que le vrai nom de la
maladie
n'est pas comme on le prononce en France et en Am
e cas en Sibérie. On uil que le symptôme fondamental du cette étrange
maladie
consi»le dans le fait que les sujets qui en sont
il s'agissait donc seulement d'une variété bâtarde de myriachit. La
maladie
affecic principalement les habitants autochtones
ci lui répondaient par les mômes invectives et les mômes menaces. Les
maladies
décrites sous les noms de latah, sakitlakar, jump
teur, en revanche, conteste l'identité de ces formes morbides avec la
maladie
des tics convulsifs, étudiée par Charcot et Guino
uent spécialement aux personnes prédisposées et à celles atteintes de
maladies
nerveuses. M. Levillain expose d'abord l'hygiène
nerveux en sens contraire de ces phénomènes, un très grand nombre de
maladies
qui sont le triste apanage de l'espèce humaine.
oujours par suite de l'ignorance ou de l'étourderie de l'opérateur.
Maladies
et médicaments à la mode, par le Dr Degoix (1).
(1) J.-B. Baillière, Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de
maladies
mentales et nerveuses vient d'être inaugurée à Ba
OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Ball (Le professeur B-). — Leçons sur les
maladies
mintales, deuxième édition, in-8e, 1042 pages. —
c. 1890). Prrt*. — In* rAts de rémotion morale dans la pathogénie des
maladies
du système nerveux. (Union méd., Paris. Î4 janv
a souffert de diabètes melUtus; une sœur de sa mère a succombé à une
maladie
psychique. Deux de ses frères sont morts de phtis
physique sont dans un état parfait. D'après Block, le principe de la
maladie
provient de ce que les malades oublient les mouve
une altération psychique, mais cela subsidiairement. En France, cette
maladie
est nommée « abasie-astasie ». Presque toujours
e, cette maladie est nommée « abasie-astasie ». Presque toujours la
maladie
apparaît brusquement et surtout chez des hystér
r lentement et chez des non hystériques, par exemple après de longues
maladies
aiguës et chroniques comme dans le cas dont je va
'un cas d'abasie-astasie qui s'était développée au cours d'une longue
maladie
; en d'autres termes, par suite du non-usage prol
uffire à l'établir. S. Vandevoir n'était capable, ni de découvrir les
maladies
, ni, à plus forte raison, de prescrire des remède
pnose, dans ces conditions, serait comme l'hystérie, une névrose, une
maladie
véritable. Les malades mis par nous en état d'hyp
que c'est à ces symptômes que la thérapeutique s'adresse. Beaucoup de
maladies
organiques ont un retentissement nerveux ; le cha
La. dyspepsie, le rhumatisme articulaire, la tuberculose, toutes les
maladies
peuvent donner lieu à des troubles dynamiques du
e met la table, quand elle change un objet de place. Cette singulière
maladie
daie de la mort de son mari, survenue il y a dix
agents thérapeutiques connus), ne peuvent avoir d'action que sur les
maladies
susceptibles de guérison, el il ne faul pas songe
e où l'application de l'hypnotisme est surtout indiquée est celui des
maladies
fonctionnelles du système nerveux, c'est-à-dire c
. 10. — L'hypnotisme donne encore des résultats favorables dans les
maladies
où des lésions locales sont provoquées par des tr
tiennent à la lésion elle-même. 13. — Ceci explique la guérison des
maladies
déterminées eu apparence par des lésions matériel
ns ses manifestations. C'est san* contredit le meilleur traité sur la
maladie
de Beard que nous possédons à l'heure actuelle. C
complet et J'ajouterai le plus su'jgettif que nou* possédions sur la
maladie
de Bcard. Aussi Je ne puis que recommander sa lec
déjà exécutée est un facteur puissant pour engendrer et propager les
maladies
qui en résultent ; - L'Association décide: •
psychothérapie, Par M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les
maladies
mentales et nerveuses, à la Haye (Hollande).
cès que j'ai obtenus. Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les
maladies
mentales et nerveuses, il n'est pas besoin de dir
e de surdité et de bourdonnements d'oreilles. Un spécialiste pour les
maladies
do l'oreille ne trouva aucun dérangement visible;
commencement de la mélancolie, mais aussi au plus haut degré de cette
maladie
compliquée même par des idées fausses et des hall
ances, la sciatique avait disparu sans laisser la moiudre trace de la
maladie
. Sa convalescence est restée durable, ce fait dat
éprouvé aucune douleur. * La malade descendait d'une famille où les
maladies
nerveuses ou mentales étaient absolument inconnue
e grands services aux malades. Encore dans un grand nombre d'autres
maladies
, la psychothérapie me donna l'occasion de faire b
aisant part de mes résultats dans le traitement psychique de quelques
maladies
trophîques, et d'un grand nombre de perturbations
que. Une de ses sœurs mourut en I88U, à l'âge de onze ans, de la même
maladie
. Une sœur et un frère, encore vivants, souffraien
isse rom., join.) Guard. — Pollakurie psychopatique. (Annales des
maladies
des organes génitaux-uri-rairei, avril 1?1.) Ho
te pas. Prétendra-t-on, par exemple, que l'onomalomanie n'est pas une
maladie
, parce qu'il arrive à tout homme normal de poursu
n, j'ai soin de surveiller toutes les circonstances accessoires de la
maladie
et de combattre toutes les causes qui peuvent pro
core les objections que j'ai déjà faites. Il n'y a peut-être aucune
maladie
dont la marche soit a»*-; incertaine que celle de
erve, lorsqu'il s'agit d'être au-si absolu. Je reconnais que dans les
maladies
qui ont une évolution aussi irrégulière que celle
inution notable des crises chex les sujets restant en puissance de la
maladie
, que ce serait encore là un beau résultat. M. A
l'hiver. La courbe du suicide a presque la régularité de celle d'une
maladie
saisonnière. Le rôle de la chaleur n'est pas moin
somnambulisme sont assez fréquents et bien connus. Et dans le cas de
maladie
hypnotique (morbo ipnolico) décrite par Vizioli,
nombrables manifestations, ou bien d'autres neuro-paihies ou d'autres
maladies
, ou, enfin, d'individus sains et robustes. Dans c
notique. Dans les autres cas, à mesure que l'on remonte l'échelle des
maladies
et que l'on va des formes les plus légères aux fo
service après la guerre de 1870, s'est voué depuis au traitement des
maladies
nerveuses. Il a, depuis quelques années, élu rési
de son expérience personnelle dans le traitement d'un grand nombre de
maladies
nerveuses. C'est à lui que le professeur Dr Alber
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée â l'Institut psycho-physiol
e sera jamais de dénoncer des coupables. Sa mission est de déceler la
maladie
et l'on ne peut guère lui faire un grief d'étendr
n alcoolique et le fait délictueux, car alors, bien qu'il n'y ait pas
maladie
dans l'acception rigoureuse du mot. il y a (1)
e patient offre les symptômes plus ou moins prononcés d'une véritable
maladie
cérébrale et mentale; ici l'intervention de l'exp
rs soins et leur talent à des malades artisans incontestables de leur
maladie
, et auxquels il faudrait marchander le ' dévoueme
En 1884, il a eu une fièvre typhoïde pour laquelle (I) Clinique des
maladies
nerveuses, 49, rue Saint-André-des-Arts. il est
re enfants, deux garçons et deux filles, n'a eu antérieurement aucune
maladie
. Aucun rétrécissement du champ visuel, pas d'anes
vue : D'abord, il est remarquable de voir avec quelle facilité une
maladie
de date si ancienne a cédé à la deuxième suggesti
dire que nous employons l'hypnotisme sans distinction pour toutes les
maladies
et toutes lesconditions. Certainement, le Dr Pitr
nt dans les cas où ils le jugent utile. Une série de cas d'une même
maladie
traités par un seul remède me semble donner one p
er seulement il y a écoulement de sperme. L'enfant n'a jamais eu de
maladie
autre que la rougeole et des angines. Depuis l'âg
i l'a forcée d'apprendre un état manuel pour vivre, et on attribue sa
maladie
à ceue cause. Analgésie du côté gauche, coxalgie
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
e Sainte-Anne. — M. le professeur Bail fait son cours de clinique des
maladies
mentales,à l'asile Sainte-Anne, les dimanches et
nhattan Eye and Ear « Hospital ». bile fut admise dans le service des
maladies
du nez et dû larynx du Dr Johnson, qui mourut for
di dernier, cette malade de fâcheux augure revint dans le service des
maladies
do nez et de la gorge qui, depuis, avait été conf
e l'estomac n'avaient pas donné de bon résultat. 11 n'existait pas de
maladie
organique d'aucune sorte, et les seuls signes pré
Librairie Baillière et fils, Paris, 1892.) Max-Simon (D' P.). — Les
maladies
de Ces prit. (Un volume in-12 de S20 pages. — L
gart.) Delstanche. — « Une observation d'audition colorée (Ann. des
maladies
de roreitle, etc., 6.) Ferroud. — - Note sur un
les guérir en dehors de ces maisons? Assurément non! Du fait qu'une
maladie
non psychopathique ne puisse guérir en dehors de
la même contrée et à laquelle il ne s'allie que très rarement. Les
Maladies
de l'esprit (2), par m. le Dr P. Max-Simon, médec
ns la Bibliothèque scientifique contemporaine, sous le titre de : Les
Maladies
de l'esprit, résume l'état actuel de la scienee s
stion si troublante des altérations de l'être psychique frappé par la
maladie
. L'auteur a mis à profit, dans ce livre, ses tr
es altérations que l'on constate dans l'être" psychique frappé par la
maladie
. Les causes des aliénations ont été longuement ex
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
iatrie et à la pédagogie. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des
maladies
du système nerveux. — M. le professeur Charcot a
le commencement des conférences do vendredi. Hospice db Bicêtre. —
Maladies
des vieillards et maladies chroniques du système
ences do vendredi. Hospice db Bicêtre. — Maladies des vieillards et
maladies
chroniques du système nerveux .- M. Déjerine, mer
hroniques du système nerveux .- M. Déjerine, mercredi, à 10 heares. —
Maladies
mentales : M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1
es. — Maladies mentales : M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. —
Maladies
nerveuses des enfants -M. Bourneville, samedi, à
u; ce nom justifîe-t-il l'honneur qu'on veut donner à Beard d'appeler
maladie
de Beard, l'ensemble de symptOmes qu'il a bien dé
tat nerveux, sont des mots qui désignent plutôt un tempérament qu'une
maladie
. On peut être nerveux sans être névropathe, comme
préexistante, La névropathie est-elle, comme beaucoup le disent, une
maladie
de notre époque, une maladie fin desicele? Est-el
est-elle, comme beaucoup le disent, une maladie de notre époque, une
maladie
fin desicele? Est-elle plus spécialement dévolue
combien les complications de cette nature viennent se greffer sur les
maladies
organiques diverses dont elles obscurcissent le d
ue, ni excès de tension intellectuelle, ni émotions morales vives. La
maladie
pour laquelle il est venu, le 28 octobre 1891, se
ires après les repas; le lait même tournait et était vomi. Mais cette
maladie
guérit, et depuis la digestion était parfaite. Il
uoi cette douleur ingnino-scrotale constituant la seconde phase de la
maladie
? Cela peut se concevoir par les caprices d'une im
térieure de la cuisse droite. Le tremblement est léger comme avant sa
maladie
; la jambe droite soulevée ne décrit plus de grand
otiseurs >. Je dis: ¦ Ne négligez pas l'élément psychique dans les
maladies
. Apprenez à manier la suggestion et vous serez me
mel. Ce ne fut que lorsqu'il devint évident pour tout le monde que la
maladie
résistait à toute espèce de médication el que la
en vague, puisqu'il veut simplement dire a souffrance nerveuse » ou «
maladie
nerveuse ». Gardons-le donc pour les maladies du
uffrance nerveuse » ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour les
maladies
du système nerveux qu'on ne peut encore classifie
heim, est décédé a l'âge de trente ans, à Pari», après trois jours de
maladie
, des suite» do la diphtérie contractée dans le» h
térie contractée dans le» hôpitaux en se livrant à dos étude» sur les
maladies
du larynx. Les obsèques de notre regretté collègu
ait atteinte de sitiophobie et qni avait refusé (1) Charcot, *ur Ut
Maladie
» du tytlème nerveux. Paris, 1837, t. III. p. 243.
de l'hôpital lorsque le hasard nous permit de découvrir chez elle une
maladie
beaucoup plus intéressante que la première. • • D
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveu*** est annexée a l'Institut psycho physiol
Joffroy et Jules Voisin font, à la Salpétrière, des leçons sur les
maladies
mentales et nerveuses, le jeudi à neuf heures et
1891.) Blocq (Paul) et Onanoff (J.). — Seméiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses. (Un ia-18 de 530 pages, avec 83 figu
rne, bien connu des cliniques spéciales soit de dermatologie, soit de
maladies
nerveuses, et dont l'étude avait été mise à l'ord
n an, à la Société Clinique de Paris, trois (1) Abrégé pratique des
maladie
» de ta peau, de Willan, par Baieman, 1620, p. 131
, p. 131. (2) Alph. Cazenave et H.-E. Schedel : Abrégé pratique de»
maladies
de la peau. f édit., 1833, p. 56. (3) Rater : T
» maladies de la peau. f édit., 1833, p. 56. (3) Rater : Traité des
maladies
de la peau, t. 1, 1835, p. 248. (4) William Gcu
1880 et non de Willaa, comme l'indiquent les traducteurs?. Traité des
maladies
de la peau. Trad. de G. et E. Darin, I880, p. 162
et Adolphe Colson : In Notes de la Traduction du Traité pratique des
Maladies
de la peau de L.-A. Duhring, I8SÏ, p. 693. obse
observer que le mot psychiatrie n'implique pas seulement l'étude des
maladies
mentales. Si l'on s'en rapporte à son étymo-logie
n; mais de même qu'on voit Hippocraie et Gallien, en désaccord sur la
maladie
, se mettre d'accord sur le remède, on voit MM. Le
i l'avait tenue si longtemps possédée. Une telle interprétation des
maladies
mentales, encore très répandue de nos jours dans
l'intervention miraculeuse, directe des dieux, était admise dans les
maladies
du corps et de l'esprit aussi naturellement que d
La folie, dit-il, est un état de souffrance de l'organisme, c'est une
maladie
. » Mais on n'en continua pas moins à croire gén
herché les causes mystérieuses des manifestations extraordinaires des
maladies
mentales et nerveuses qui se propageaient surtout
e autre de ne pas vivre comme lout le monde, le pouvoir de donner des
maladies
et en particulier d'envoyer des démons dans le co
papet ». Dès qu'elle en eut mangé - incontinent se trouva affligée de
maladie
incogneue et demeurait parfois morte ». La pauvre
ompagnait le plus souventd'une impression morale. Les symptômes de la
maladie
nerveuse en étaient modifiés en conséquence. On
mère (c'est ainsi qu'on désignait et qu'on designo souvent encore la
maladie
nommée aujourd'hui l'hystérie), ladite femme mala
lâcheuse infirmité. Il souffrait d'une incontinence d'urine. Celle
maladie
, que n'ignoraient pas ses supérieurs, aurait du l
rne. « Ces persécutions, jointes à la tristes* e que lui causait sa
maladie
, auraient poussé Gullleron au suicide. « Eh bie
que puisse obtenir ici la place qu'elle mérite pour le traitement des
maladies
soit morales, soit physiques. J'ai cependant l'
rquèrent que la surdité qu'ils avaient constatée chez elle pendant sa
maladie
persistait. Comme ils étaient très pauvres, ils n
sieurs confrères avec les moyens ordinaires, mais sans résultat. La
maladie
empirait; il commençait i donner des signes de fo
s du cou et des tempes. Il ne se souvient pas comment a commencé la
maladie
et dit qu'il n'a rien et qu'il se trouve bien.
es trois paysans prétendaient reconnaître et traiter efficacement les
maladies
, grâce à une clairvoyance spéciale obtenue par l'
concerne la « signification des termes techniques, le diagnostic des
maladies
, les pres- ¦ criptions pharmaceutiques et les c
la colère, le chagrin, etc., comme on l'observe de nos jours dans les
maladies
mcntalos, où les aliénés font rarement intervenir
t aux étudiant* un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveu*e» est annexée à l'Institut psjebo physiol
seur agrégé, fait, tous les samedis, à neuf heures, ane leçon sur les
maladies
nerveuses. M. Charles Henry, maître de conféren
A REVUE Blocq (P.) et Onanoff (J.). — Séméiologie et diagnostic des
maladies
nerveuses. (Un volume in-12 de 530 pages, avec 88
Masson, à Paris et A. Storck, a Lyon.) Grasset (ProP). — Un cas de
maladie
de morvan. Leçons recueillies par le D' 11. Gui-b
t pas venue selon sa promesse, et cela, je le repele, au moment où la
maladie
locale avait presque totalement disparu. On avait
très piteux estai. » Le cas suivant est un exemple de ceUe étrange
maladie
de nature hystérique, nommée mal det abois, très
censée inconnue au démoniaque. Le phénomène s'observe dans plusieurs
maladies
menules, dan* l'hystérie, dans le délire de la fi
TÔMES 8t SES WANIVBSI Al IONS La possession te comportait comme une
maladie
contagieuse. Ouand on signalait quelque part un d
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveuses esi annexée a l'Institut psycho physiol
athologiques. commenceront à la Salpetrière un cours clinique sur tes
maladies
du système nerveux, a partir du 2 mai. Le cours
maillot mouillé, etc., à l'aide desquels il prétend guérir toutes les
maladies
guérissables. Cité deux fois à comparaître devant
. L'urine a sur l'urèthre malade une action irritante qui prolonge la
maladie
. Pour obvier a cet inconvénient, M. Giurkovechky
c une soude enduite de baarae de copahu. La période terminale de la
maladie
aérait abrégée par ce traitement facile à «apport
s. — Contribution 4 l'étude des syndromes hystériques simulateur» des
maladies
organiques de la moelle épinière ». (Nouv. Incon.
et dangereuses pour la société. Si l'on prend des mesures contre les
maladies
contagieuses par infection, il importe autant et
émoniaque chez elle en pension • afin qu'elle se peuu reprendre d'une
maladie
incogneue qu'elle avoit... Icelle Marie ayant dem
érie, comme on en constate dans presque tous les ras de cette étrange
maladie
, qu'on a nommée avec raison hyslêro~démoi\opaM\\e
ssée à la déposante avec des devises lamilllères sur le subjoct de la
maladie
de sa mère, et comme si elle l'eust voulu console
n deux mois que sa tille, âgée de sept ans, étant tombée malade d'une
maladie
alors incogneue (les maladies inconnues de l'époq
e de sept ans, étant tombée malade d'une maladie alors incogneue (les
maladies
inconnues de l'époque, c'était surtout les maladi
rs incogneue (les maladies inconnues de l'époque, c'était surtout les
maladies
nerveuses, qui ne lardaient pas à s'annoncer comm
rudement ladite patiente... Bien eslrc vray qu'au commencement de sa
maladie
ledit sieur Scanavin l'ayant interrogée comme sus
'homme sans défense, a remplacé dans l'étiologie d'un grand nombre de
maladies
le diable et les sorciers incriminés par nos ancê
fréquenté la maison dudit greffier, elle tomba malade d'une estrange
maladie
, dont elle languit l'espace de trois ans et devin
e ans. Int. Si elle cognoist la Mantilliotte ? R. Qu'ouy. /. Quelle
maladie
elle a? A. Ne scavoir, sinon qu'on dit qu'elle a
s avons déjà cité un cas, est bien connu dans l'histoire clinique des
maladies
nerveuses; on l'appelle coprotafie). Le même jo
Jeanne, fille de Pierre, aagèe de treize à quatorse ans. I. Quelle
maladie
elle a? R Avoir les démons. Comme elle le scait?
réquent chez les aliénés, et qui s'observe dans différentes formes de
maladies
mentales, a été appelé le langage intérieur, les
blié celte année même et approuvé par plusieurs évêques (1) : « Les
maladies
les plus étranges, avec des retours subits à la s
nt de les étrangler ou de les éloufTer, sans compter que souvent leur
maladie
les conduisait à la torture et au bûcher. Puissen
t aux étudiants un enseignement pratique permanent. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho physiol
urs, section Bambuteau, à la Salpétrière, une série de leçons sur les
maladies
mentales et nerveuses. Plusieurs leçons seront
e Sénat belge, 224. Magnétiseurs a Braine-le-Château, 18, 40. 69.
Maladie
des tics convulsifs, 28. Maladie du sommeil. 27
a Braine-le-Château, 18, 40. 69. Maladie des tics convulsifs, 28.
Maladie
du sommeil. 27. Maladies de l'esprit (les), par
0. 69. Maladie des tics convulsifs, 28. Maladie du sommeil. 27.
Maladies
de l'esprit (les), par Max Simon, 242. Maladies
e du sommeil. 27. Maladies de l'esprit (les), par Max Simon, 242.
Maladies
et médicaments à la mode, 30. Manie de la super
clinique (Sle-Allllc). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
revêt la forme médianimique, il constitue sous cette forme toute la
maladie
dont les éléments symptomatiques sont représent
térique et qu'on ne la soignait pas, qu'elle avait peur d'avoir une
maladie
de la matrice. » Elle dut s'aliter encore, on
clinique, la place en histologie pathologique et la parenté avec la
maladie
de Recklinghausen de cette variété de néoplasie.
x-sept ans. A pro- pos de ce cas, l'auteur fait un historique de la
maladie
et expose les théories actuellement en présence
essive. Tuberculose pulmonaire. Mort trois ans après le début de la
maladie
. L'autopsie montre une malformation de l'hémisp
on publiée par l'auteur. G. C. \\VIII. Des formes anormales de la
maladie
de Parkinson; par M. Collet (Lyon médical, 1er
février 1903, n° 5. Sans étudier toutes les formes anormales de la
maladie
de Parkinson, M. Collet envisage celles qui se
ment. C'est ainsi que l'auteur distingue les foi mes suivantes : 1°
Maladie
de Parkinson sans tremblement, forme la plus co
nt, forme la plus connue de toutes, où les syptômes cardinaux de la
maladie
existent bien caractérisés, et où le tremblemen
ent bien caractérisés, et où le tremblement seul fait défaut. ` ? °
Maladie
de Parkinson à 17-einble ? ? îe ? 2t anormalement
rairement à ce que prétendent la plupart des auteurs classiques. 3°
Maladie
de Parkinson a tremblement unilatéral; dans cette
latérales à généralisation tardive sont relativement fréquentes. 4°
Maladie
de Parkinson à tremblement secondaire unilaléru
HOLOGIE NERVEUSE. tardive du tremblement dans la plupart des cas de
maladie
de Parkinson à tremblement hémiplégique; 3 la d
sans présenter les symp- tômes ordinaires et caractéristiques de la
maladie
; 2° La sepsie ne donne pas toujours lieu à des
eaucoup diminué. Les urines étaient moins riches eii phosphates, la
maladie
touchant à sa fin. La recherche de l'acide nitr
us on demeure convaincu qu'elle occupe une place à part parmi les
maladies
nerveuses, et que ses facteurs principaux ne lui
varie jamais dans l'épilepsie vraie, c'est la soudaineté; d'autres
maladies
peuvent avoir un début rapide : seule l'épileps
onner de l'épilepsie la définition suivante : L'épilepsie est une
maladie
caractérisée par un trouble brusque de l'inhibi
excellence, c'est la vie au grand air. L'épilepsie est toujours une
maladie
grave; mais après trente ans d'expérience, .l'a
KoasAorF; ayant basé leurs conclusions sur 200 cas à peu près de la
maladie
en question, décrits par différents auteurs, le
nt d'origine alcoolique. Dans les trois quart de tous les cas de la
maladie
de KORSAKOFF, c'est l'alcool qui doit être envisa
ue, sera quatre foiset demie plus grand que le nombre de cette même
maladie
d'une autre origine ; outre l'alcoolisme, la ps
malades, qui concernent principalement la mémoire. Souvent dans la
maladie
de KORSAKOFF on constate la tuberculose, qui mène
thème essentiel la définition des symptômes différentiels de cette
maladie
, puisque des troubles de mémoire analogues peuv
nt trouvés de vastes foyers apoplec- tiques. BECHTEREFF. Le terme
maladie
de Eoi,s«koff doit être appliqué, vu la premièr
est observé dans les lésions organiques du cerveau et 3° lorsque la
maladie
de Korsakoff typique est compliquée par des lés
au diagnostic de la psychose de Ionsaaorr. M. SEHBSKY envisage la
maladie
de KOHSAKOFF comme une telle forme qui, comme,
e endroit de la plus grande concentra- tion de la lésion dans cette
maladie
apparaissent les nerfs péri- phériques, mais ce
ours, lui-même, et attirait l'attention des autres, en examinant la
maladie
donnée, non seulement surles modifications dans
et à la méningite et à la myélite, mais pas à la poliomyélite comme
maladie
particulière, comme nous nous la représentons.
de pituitaire font plus probable la théorie qui soutient que cette,
maladie
est due à une exagération de la fonction de cet
N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES
MALADIES
NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE Deux cas de l
ance conduit nombre de nos compatriotes à vivre dans les pays où la
maladie
est demeurée endémique, tend à devenir de plus
s qu'il serait possible de la confondre, au premier abord, avec des
maladies
communes du système nerveux telles que nous en
e connaître les aspects principaux sous lesquels-peut se montrer la
maladie
. Je vais donc tout d'abord vous dire comment ce
re. En février 1903 s'est produite une seconde localisation de la
maladie
qui désormais intéresse la face : de violentes do
est mariée à l'âge de vingt ans, sans avoir jusqu'alors fait aucune
maladie
, elle se fixa alors à Ilanoï. En 1891, survient
superposés à l'atrophie musculaire, ce n'est plus en présence de la
maladie
type de Duchenne, que vous 120 CLINIQUE NERVEUS
ngomyélie. Vous n'ignorez pas, Messieurs, de combien d'études cette
maladie
a fait l'objet dans ces dernières années et com
l nous reste encore à compter avec les formes anormales; cette même
maladie
et ceci m'amène à vous parler de affection qui
affection qui a donné lieu à de longues discussions, je va dire la
maladie
de Morvan. Jen'insisterai pas sur la descriptio
de cette leçon et nous pourrions par conséquent prononcer le nom de
maladie
de Morvan; mais la question se complique si l'o
membres supérieurs un tableau clinique rappelant de tous points la
maladie
de Morvan, aussi quelques auteurs, notamment MM
ard ont-ils voulu identifier les deux affections, et ratta- cher la
maladie
de Morvan à la syringomyélie, on a même décrit
syringomyélie, on a même décrit un type de syringomyélie à forme de
maladie
de Mor- van. D'autre part, un médecin fort dist
loin encore, contestant l'existence de la syringomyélie en tant que
maladie
autonome et voulant ne voir dans les cas de cav
lyse de nombreuses observations est qu'il convient de considérer la
maladie
de Morvan comme un syndrome pouvant ressortir à
ypho-scoliose extrêmement accusée, de plus, cette affection est une
maladie
familiale : voilà donc autant de raisons d'élim
ximum de développement. A cette époque l'idée de contagiosité de la
maladie
était déjà admise sans conteste et maints édits
ors et grâce sans doute à ce sévère isole- ment, la fréquence de la
maladie
décrut de façon manifeste, et dans les siècles
les ans quelques cas dans les hôpitaux spéciaux Aussi l'étude de la
maladie
a-t-elle été reprise simultanément par les méde
urd'hui bien démontré que la lèpre doit être con- sidérée comme une
maladie
à évolution lente mais paroxys- tique, causée p
s des lépreux, parlois ils sont dus à une con- tagion directe de la
maladie
contractée plus ou moins long- temps après la n
ntenant se fait l'apport du bacille chez les sujets qui prennent la
maladie
? Tout fait penser que les bacilles sont répand
est grave le pronostic de la lèpre. Malgré la lente évolution de la
maladie
, bien que celle-ci puisse présenter entre les p
la forme nerveuse peut durer vingt, trente et même quarante ans la
maladie
aboutit alors à la cachexie et à la mort. Heu
us grands services : nous pouvons espérer enrayer l'évolution de la
maladie
chez cet homme et limiter beaucoup le reliquat
ophylaxie sévère nous pouvons prétendre empêcher la diffusion d'une
maladie
contagieuse et par conséquent évitable. CLINI
des épileptiques. De ces recherches, M. ALTER déduit que certaines
maladies
du système nerveux central, au premier rang la
ion paradoxale à l'accommodation n'a jusqu'ici été vue que dans les
maladies
fonc- tionnelles du système nerveux central ; l
oux ; s'il a publié autrefois que les escarres ne tiennent pas à la
maladie
mais aux soins que l'on donne, il s'est aperçu
EIÆKTORSKY, - Le malade, de quinze ans, s'adressa à la Clinique des
maladies
nerveuses le 11 janvier 1903, se plaignant sur
le sommeil, les mouve- ments ne cessent point. Le début aigu de la
maladie
, son évolution, l'état du malade, tout cela ne
c'est une polioence phalo- myélite aiguë. Pourtant, vu cela que la
maladie
progresse, quoique lentement, on peut présuppos
rovoquée par l'alcool ; mais dans ces cas la période initiale de la
maladie
n'est pas si accentuée que dans les cas où la psy
'ictère, la fièvre typhoïde, la pyohé- mie, etc., et au début de la
maladie
on observe un état de con- fusion mentale. Un é
un caractère fantastique.' La restitutio ad integrum, dans cette
maladie
, si même elle est possible, est très rare. La psy
un, ce qui donne tou- jours un seul et même tableau fondamental de,
maladie
. Il faut différer la perte de mémoire alcooliqu
le peut aussi être observé un tableau, ressemblant au tableau de la
maladie
donnée, mais le diagnostic différentiel est com
ces cas. Il existe des troubles psychiques, où il n'y a point de
maladie
de KoRsAKoFF, mais où il y a des modifications da
ectique, sans névrites, répétant du côté psychique le tableau de la
maladie
de KoRSAKOFF. L'un des phénomènes de cette form
s psychoses polynévri- tiques. M. MouRATOFF est porté à limiter les
maladies
de KopSAMFF ' > seulement par le cas typique
anisme est sain ou malade et, dans ce der- nier cas, suivant que la
maladie
est à son début, à son apogée ou à son déclin.
u'il résulte de plusieurs observations rap- portées par l'auteur.
Maladie
du demi-sommeil. M. LE Menant des CHESNAIS Une
nt 182 asiles- d'aliénés. des lumières sur la marche de certaines
maladies
.cérébrales. Déjà vérifiée par la phonendoscopi
8ÍO, 2 P. Broca : Traité des Tumeurs, t. II, p. 207. 3 Hébra : ?
Maladies
de la Peau, t. II. `.Traité de Chirurgie, de Le
is que leur développement était observé d'autant plus rapide que la
maladie
du foie progressait plus vite. Nous n'avons pas
es noevi fut plus rapide, ni leur nombre aug- menté dans les cas de
maladie
du foie. CLINIQUE MENTALE, La phobie du regar
neurologistes, M. le Professeur Francotte (de Liège), retenu par la
maladie
d'un des siens. En terminant, M. Brissaud fait
aurait pas lieu, au contraire, de rayer définitivement du cadre des
maladies
mentales l'ancien groupe disparate et hétérogène
néanmoins certains caractères particuliers. A sa période d'état, la
maladie
s'affirme par un affaiblissement caractéristique
r un observateur attentif, toutes les autres manifesta- tions de la
maladie
. En second lieu, cet affaiblissement est global,
roprement dites, pour devenir total, lorsque, par les progrès de la
maladie
, toutes les facultés sont anéanties. Cette ac
es de l'activité motrice et volontaire qui rendent le tableau de la
maladie
encore plus saisissant. Naturellement, c'est pa
titue, ainsi que nous l'avons déjà signalé, le fondement même de la
maladie
, ce qui veut dire qu'il en est à lui seul la co
sion, on se trouve en présence d'une forme atténuée ou fruste de la
maladie
(forme simple de M. Sérieux, hébéphrénie miti-
de M. Christian). Les autres variétés aujourd'hui classiques de la
maladie
, l'hébéph¡'él11e, la catatonie et la démence para
l sur lequel ils reposent : fond commun à toutes les variétés de la
maladie
et caractérisé surtout par la passivité de l'espr
point de vue sympto- matique, se refusent à la considérer comme une
maladie
autonome et tendent à la faire rentrer dans le
, à la vérité, n'a pu être encore précisé, mais que l'âge auquel la
maladie
se développe le plus souvent permet de rattache
e sorte de consentement de l'organisme est néces- saire pour qu'une
maladie
s'installe et persiste. On peut donc considérer
lysie générale, a déclaré M. Magnan, est la . plus individuelle des
maladies
mentales. Nous avons dit, d'autre part, que, de
ercher la cause dans la brusque interruption de l'affection par une
maladie
intercurrente, ainsi que le fait s'est produit
es dégénéra- tives et de les rattacher avec Kroepeliu au groupe des
maladies
mentales dues à une auto-intoxication. Après
démence précoce. A con- sidérer seulement la lente évolution de la
maladie
, qui n'aboutit xà la perte complète des faculté
dissement, de torpeur, d'onirisme et de puérilisme qui donnent à la
maladie
un cachet si spécial. Mais comme il n'y a là, e
même titre et dans la même mesure que cette dernière affection, une
maladie
fortuite et accidentelle . Après l'exposé qui v
tisé chronique, etc., bien qu'elles puissent marquer le début de la
maladie
et lui imprimer des allu- res spéciales, ne ser
tenir que les manifestations délirantes qui marquent le début de la
maladie
et occupent le premier plan de la scène mor- bi
rices (excitation), les autres psycho-inhibitrices (dépression). La
maladie
évolue rapidement vers un affaiblissement intel
périodes de l'affection. Nous avons pu constater, au début de la
maladie
, une très légère anémie. En outre, dans la majori
précoce. C'est une femme qui, à vingt ans, est atteinte de la même
maladie
après une existence invrai- semblablement orage
ments. Les états de confusion que l'on voit survenir au cours de la
maladie
sont épi- sodiques ; l'affaiblissement psychiqu
érieures de divers auteurs, qui tendent à faire de la paralysie une
maladie
des peuples civilisés, Statistique des paralysi
es causes étant seulement occasionnelles. - Réflexions. Un cas de
maladie
de Raynaud, suivi de mort, chez une jeune fille
es avec prédomir nance au voisinage 'de l'aqueduc, plutôt que d'une
maladie
réelle- ment systématisée..... - i, 1 : : 244
agit en somme, dans ces cas divers, mais analogues, d'une véritable
maladie
de Dupuytren dont la cause,au lieu d'être la co
dans les accidents nerveux qui peuvent survenir au début de cette
maladie
. D'autre part cette influence sédative facilite d
s points conforme à la loi générale de biologie, qui n'accorde à la
maladie
que le pouvoir de perturber le dynamisme des ph
ion. L'7 ? t<Mca<t'( ? t physique appliquée au traitement des
maladies
mentales. Le Dr PHILIPPE Tissié. - Après avoi
ne pourrait pas rendre des services dans le traitement de quelques
maladies
mentales surtout chez les adolescents. M. Tis
r le plexus solaire et en particulier les organes génitaux, car une
maladie
d'un territoire quelconque du solaire (métrite,
st-opératoires fébriles, l'état infectieux grave constitue la vraie
maladie
; le délire n'est qu'un élément secondaire et s
si bien être intitulée Dlyo- pathie progressive avec hypertonie que
Maladie
de Thomsen ruste avec atrophie musculaire. Il
réflexes rotuliens et une série de phénomènes qui font penser à une
maladie
de Thomsen limitée. S'il serre la main, il ne p
rcequ'ils établissent un lien entre les myopathies primitives et la
maladie
de Thomsen et constituent un bon argument en fa
as de paralysie infan- tile, quatre-vingts ans après le début de la
maladie
. Tous les muscles de la jambe et du pied ainsi
e part, dans plusieurs cas, j'ai rencontré une association de cette
maladie
particulière à d'autres affections du système n
s mois après le début des accidents. Durant touté l'évolution de sa
maladie
, le sujet, homme d'ailleurs cultivé et assez in
ndantes. Rapporteur : Sicard (de Paris) ; La úalnéothémpie dans les
maladies
mentales. Rapporteur : Paiuias (d'Albi). , BI
équence, il ne croit pas qu'il y ait lieu de faire jouer dans cette
maladie
, un rôle spécial aux phénomènes sexuels qui n'a
u de nombreux obsédés qui, à aucun moment, ni avant, ni durant leur
maladie
, n'avaient souffert d'une accumulation incomplè
it, hérédité maternelle. Développement normal, rougeole comme seule
maladie
infectieuse ; de brillantes facultés intellectu
était très timide et très superstitieux; puis hyant ouï parler des
maladies
vénériennes, il en eut une vraie phobie. Celle-
cystite du col. Il en fut très affecté, et repris de sa phobie des
maladies
véné- riennes. Il resta près d'un an avant de t
toutefois incontinence noc- turne d'urine jusqu'à treize ans. Comme
maladies
infectieuses, la rougeole, les oreillons et la
rveux. Il fut plus enclin à se croire sous le coup de quelque grave
maladie
; sa sen- siblerie déjà grande s'accrut encore
l refusa, me disant que bien que peu versé dans la connaissance des
maladies
mentales et nerveuses, qu'il ne pratiquait pas,
psychose, où les états psychiques obsédants font l'essentiel de la
maladie
, où ils sont prédominants et où on ne peut parl
citer ici un cas s'y rapportant, où encore avant l'apparition de la
maladie
on observait chez le malade un caractère scrupu
n de tout cela en réalité et que tout cela lui parait à cause de sa
maladie
. Parfois il voyait d'une manière obsédante l'ac
d'un contenu désagréable; pourtant, bientôt après le début de cette
maladie
appa- rurent chez ce malade des idées d'un cont
leur diagnostique des irrégularités des bords des pupilles dans les
maladies
nerveuses dites organiques ; par J. Pilez (Neur
rébrospinale. - ici. Elles se montrent aussi dans le cours d'autres
maladies
mentales et nerveuses; on ne les observe qu'exc
tic. P. Kerival. II. Contribution à l'anatomie pathologique de la
maladie
de Ba- sedow : par L. KEDZioR et J. ZANIETOWSKI
montre une atrophie très accusée du corps restiforme gauche dans la
maladie
de Basedow. Les coupes faites au micro- tome à
r). Myoclonie, chorée, athétose peuvent donc coin, pliquer d'autres
maladies
. Anatomie pathologique et pathogénie. - Friedre
me d'affections constitutionnelles, de troubles de la nutrition, de
maladies
nerveuses. 4. La photothérapie est à l'étranger
tai un malade qui souffrait de ce que je croyais être jusqu'ici une
maladie
non décrite, que j'ai dénommée infalll- lisme p
le. Ces capsules furent données à deux malades qui n'avaient aucune
maladie
gastrique ou intestinale; dans les deux cas, on
crois que cet état est une entité clinique distincte, une nouvelle
maladie
qui n'a pas été jusqu'ici reconnue ; et, ce qui
résultats du traitement semblent montrer la manière par laquelle la
maladie
devrait être traitée et par laquelle elle peut
r- nière et surtout le pseudo-suicide à une période avancée de la
maladie
: le malade se tuant sans le vouloir, par mégalom
'auto-intoxication (Bouchard), - de la neurasthénie envisagée comme
maladie
des échanges (Axenfeld et Huchard), théorie de
es éléments cellulaires nerveux qu'il faut chercher l'origine de la
maladie
. Il insiste sur le régime psychique et somatiqu
i ne sait pas, en tant que guide facile et clair pour l'étude de la
maladie
la plus répandue de toutes les affections du syst
iques ou hygiéniques à choisir. Avant de parler du traitement d'une
maladie
, il faut s'occuper d'abord de pré- venir cette
tement d'une maladie, il faut s'occuper d'abord de pré- venir cette
maladie
; nous commencerons donc par une étude de la pr
en connaissait l'origine, s'il se considérait comme un candidat' la
maladie
ou comme un malade ordinaire. ' Caractère qu'
is même d'une façon absolument surprenante, on oublie que certaines
maladies
infectieuses, dans lesquelles prédo- minent des
nalysant ' Cité par Nothnagel, in Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encéphale, traduit par Keraval. p. 226.
. Mais on est moins avancé touchant la différenciation des diverses
maladies
qui déterminent les états d'idiotie. On conna
linique, le crétinisme et l'idiotie myxoedémateuse qui relèvent des
maladies
de la nutrition, par suppression des fonctions
a microgyrie, la porencéphalie et l'hydro- céphalie ne sont pas des
maladies
spéciales, mais le résultat de di- vers process
laboratoires ne permettent de faire le diagnostic post mortem de la
maladie
; 4° que l'anatomie pathologique de la rage due
s psychiatres ; l'auteur a eu l'idée de l'étudier dans les diverses
maladies
. L'angoisse s'observe : dans les diverses affec
ème nerveux ; dans les affections des voies respiratoires; dans les
maladies
du coeur, les affection' ! abdominales, les int
! abdominales, les intoxications et auto-intoxications. Dans les
maladies
du système nerveux, l'angoisse a été observée :
Ménière, névrose d'angoisse, goitre exophtalmique, etc. Pour les
maladies
de l'appareil i-espiratoit e, l'angoisse a été no
'a qu'une valeur relative; toutefois on peut dire qu'en général les
maladies
organiques mortelles qui donnent de l'angoisse
érale, évolue un tabes légitime. Dans le premier cas, c'est la même
maladie
qui envahit l'ensemble de l'axe cérébro-spinal;
e est utile encore pour distinguer la syphilis cérébrale des autres
maladies
du cerveau et de la moelle (à l'exception du ta
ro- fonde est peu fréquente, de même que la démence complète. Une
maladie
spéciale, le Laffa est caractérisée par des mouve
r ces 40 malades, G étaient atteints de formes plutôt légères de la
maladie
et n'of- fraient aucun trouble de l'état émotio
que les formes légères ou graves ne sont que des degrés d'une même
maladie
. Outre l'apparition rapide et constante d'un af
malades présentant entre eux de nombreuses analogies : chez tous la
maladie
a débuté par un délire mystique avec agitation mo
semblerait, a priori, dit l'auteur, prouver l'autonomie même de la
maladie
et les défenseurs de cette théorie ne manque- r
. Considérations sur l'ampliation des ventricules latéraux dans les
maladies
mentales ; par le Dr Marchand (Journ. de Neu- r
900. Ne1l1'olog. Centralbl. 1902, p. 615. Société de psychiatrie et
maladies
nerveuses de Berlin. 9 juin 1902). A rapprocher
vol. 83, décembre 1883, p. 1082, 1 lig.) Dans le tic convulsif ou
maladie
de Gilles de la Tourette, on observe des impuls
s les lagophtalmies dues à une autre cause : exopthalmies diverses,
maladie
de Basedow, rétractions cicatricielles des paup
qui l'accompagnaient et qui rappe- laient la symptomatologie de la
maladie
de Menière. D'après l'auteur la lésion qui avai
chasser, la formation du toxique l'emportant sur son excrétion, la
maladie
empire. B. Chez les aliénés, les bains d'air
uels cette substance a été la cause déterminante et directe de la
maladie
. - Parmi les sujets du premier groupe, on trouv
ns 34, hallucinoses il, délires atypiques G, délires atypiques avec
maladies
graves concomi- tantes 12 ; 2 Etats démentiels
malheureux. - , Les miracles. Voici une pauvre femme. Toutes les
maladies
se sont abattues sur elle. Les médecins la décl
nt incurable. Or, conformément au dogme, nous devons croire que les
maladies
dont elle a été ac- cablée furent l'effet de la
4 à l'âge de vingt-sept ans, à la suite d'une longue et douloureuse
maladie
. Noire jeune confrère qui se destinait à la car
e. Côté maternel Grand-père maternel mort à cinquante-huit ans de
maladie
de vessie, sobre. Grand'mère maternelle : s'est s
. L'enfant contracta la rougeole à cinq ans et n'eut pas d'autres
maladies
infantiles. Sa santé physique n'a jamais rien l
ou définitivement de la relégation pour cause d'infir- mités ou de
maladies
. L'aliénation est une de ces maladies; aliénés
ur cause d'infir- mités ou de maladies. L'aliénation est une de ces
maladies
; aliénés criminels ET asiles spéciaux. 459 au
nts bien portants. Deux oncles et une tante ma- lernels, décédés/de
maladie
inconnue, n'auraient pas eu d'attaques. Deux fr
ni traumatismes, ni ennuis, ni troubles morbides d'aucune sorte, ni
maladies
infectieuses. Parez miers mouvements du foetus
vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la marche de la
maladie
. Il semble cependant qu'avec l'âge les accès soie
médicaments délivrés. Aucun traitement depuis trois ans. Une seule
maladie
infectieuse, la coqueluche à quatre ans. Pas d'ac
ations de l'intelli- gence et du caractère qui peuvent résulter des
maladies
du nez et du cerveau; par M. Noyer (Société d'a
Des troubles psychiques se présentent assez souvent au cours des
maladies
du nez ; ils peuvent avoir des formes variées, ma
itement rééducateur. . R. C. 1,XiX. Infantilisme myxoedémateux et
maladie
de Recklinghausen ; par Meige et FEINDEL. (Nouv
UE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. Section du sympathique cervical pour une
maladie
de Basedow; par M. JAUOULAY. (Société natianltl
il a pratiqué la section du sympathique cervicale en 1898, pour une
maladie
de Basedow. L'observation a été publiée en déta
03.) Le tabes et la paralysie générale sont-ils une seule et même
maladie
dominée par la syphilis, ou bien y a-t-il lieu de
de la dégénérescence nerveusé dans la paralysie générale et autres
maladies
mentales; par Isador Il. ComnL, Journal of Insa
de fibres venant d'un seul hémisphère que les membres supérieurs.
Maladie
bleue et cyanose rétinienne. M. Babinski présen
cyanose rétinienne. M. Babinski présente un petit garçon atteint de
maladie
bleue et montre des aquarelles reproduisant les
'a toujours rencontré dans la chorée, tandis qu'il manquait dans la
maladie
des tics. Il croit, à l'encontre de certains au
main, 431. Basedow. Contribution à l'anatomie pathologique de la
maladie
de - -1 par Kedzior, 351. Section du sympathi
- -1 par Kedzior, 351. Section du sympathique cervical pour une
maladie
de -, par Jaboulay, 499. Bielscuowsivy. Voir Di
aractère. Une ob- servation d'abcès du , par Gordinier, 4S9. Voir
Maladie
. CERVELET. Atrophie du et sclérose en plaques
afchi, 181. Education physique. L ? appli- quée au traitement des
maladies
mentales, par Tissié, 263. Electricité statiq
, résultat du traitement, par Bram- well, 356. myxoedémateux et
maladie
de Recklinghausen, par Meige et Feindel, 497. I
par Apert. 497 MAL de mer. Le et la suggestion, par Bonnet, 82.
Maladie
du demi-sommeil, par Le Menant des Cliesnais, 1
d'aliénés et le -, 524. PARld1\S01\. Des formes anormales 'de la
maladie
de , par Collet, t, 59. PAU. Voir Nerveux P
valeur diagnos- tique des irrégularités des bords des - dans les
maladies
ner- veuses dites organiques, par Piltz, 348.
ile départemental de Dijon, par Garmer, 525 · ! R,\Y1'AD. Un cas de
maladie
de- suivi de mort chez une jeune fille hystér
géné- rale, par Toulouse et Vurpas, 417. RC1,Llr,L.IIAUSEN. Voir
Maladie
de -. ]\ÜLECTI\ 1111. Voir Phénomène plan- la
ricules L1'rÉRALX. Considéra- tions sur l'ampllatiou des dans les
maladies
mentales, par Marchand, 421. Vermont. Phases
RIMERIE DE CHARLES lien ARCHIVES DE Ex NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIBF. 30119 LA DIItIW1
ONS [Contribution ci l'étude des troubles nerveux consé- cutifs aux
maladies
aiguës) ; Par les D9 M. LANNOIS et G. LEMOINE
utenue aujourd'hui : pour la grande majorité des pathologistes la
maladie
ourlienne est une maladie générale, vrai- sembl
r la grande majorité des pathologistes la maladie ourlienne est une
maladie
générale, vrai- semblablement de nature infecti
s lesplus variées : à la parotidite, manifestation habituelle de la
maladie
et qui lui a donné son nom, on voit succéder l'
tre parmi les premières à frapper les observateurs; car, dans cette
maladie
si bénigne, elles sont presque les seules qui a
r le lecteur et qu'on pourrait facile- ment allonger encore, que la
maladie
ourlienne peut s'accompagner de symptômes ménin
plus haut intérêt s'attachait à ce fait que, à aucune période de la
maladie
, les phénomènes paralytiques et logoplégiques n
ours sans connaissance. On ne sait rien relativementàl'existence de
maladies
nerveuses d'un ordre quelconque ou de diallièse
e : cet épisode aigu, qui tranche surles allures tranquilles que la
maladie
a présentées jusqu'alors traduit l'obturation d
ES CÉRÉBRALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au microscope si la
maladie
première est récente. Cliniquement, la lésion d
ions morbides qui apparaissent comme autant de syndromes d'une même
maladie
. Ces syndromes, constituant, pour certains aute
symptôme. . En dehors de ces symptômes purement psychiques de la
maladie
, il est souvent donné d'observer des signes phy
échéance mentale qui se transmet, à l'égal des diathèses. C'est une
maladie
bien nette, bien caractérisée, présentant comme
les renseignements, rien ne pouvait faire prévoir l'invasion de la
maladie
. Pas de vertiges, pas de pâ- leurs subites, pas
rhuma- tisme cérébral, dans le mal de Bright, dans bien d'autres
maladies
à manifestations cérébrales ; ils sont les effets
que. Sans doute il est possible que le diabète se com- plique d'une
maladie
de Bright et que le malade meure' avec l'ensemb
ènes d'intoxication générale qui sur-, viennent dans le cours de la
maladie
des reins. Ce qui revient' à dire que c'est le
pas d'autopsie. Sans altération de la santé générale, sans aucune
maladie
antérieure, en un mois et demi à deux mois, sur-
sous le nom d'atrophie musculaire progressive de l'enfance"est une
maladie
spéciale qui n'est pas de même nature que l'atr
logie, ses symptômes, son évolution. J. SÉGLAS. V. Deux cas DE la
maladie
des jointures DE CHARCOT; par Cit. A1'HIN. (Méd
lure à posteriori rela- tivement au caractère ni au pronostic de la
maladie
fondamentale. Ces conclusions résument la teneu
oncentrique du champ visuel très prononcé à la période d'acmé de la
maladie
.- C. Hémicrdnie, tic douloureux, névralgies simpl
aliénés reçus en 1881 (51 h. 13 f.), on connaissait la cause de la
maladie
chez 64 individus (34 h. 10 f.) : 13 hommes étaie
as réside surtout dans l'âge de la malade ; bien que le début de la
maladie
soit ici fixé à quinze ans, il est probable qu'
très accusés ; 3° que dans deux au moins de ces cas, la durée de la
maladie
a été d'une longueur exceptionnelle. R. M. C.
t des développements plus opportuns ailleurs. Sui- les rapports des
maladies
des organes sexuels de la femme aveu les troubl
de l'affection sexuelle. Fréquemment celle-ci est consécutive à la
maladie
psychique, à raison de troubles nutritifs et d'
istance des patientes. Une psychose peut prendre sa source dans une
maladie
génitale par l'intermédiaire de l'hyperesthésie
thénie, hystérie, hypochondrie, états d'excitation ou de faiblesse,
maladies
de coeur, affections chroniques des poumons) au
de Rechercher les bases d'une bonne statistique internationale des
maladies
mentales; de l'autre d'examiner les Relations q
oujours difficiles à combattre, qui accompagnent un grand nombre de
maladies
du système nerveux. M. Benedikt a rapporté, en
fois les symptômes évidents d'hystérie. La coïncidence de ces deux
maladies
ne serait donc pas exceptionnelle, comme quelques
oser même qu'elles se soient toutes montrées dans le cours de cette
maladie
, il y aurait encore lieu do faire la part du tr
pour titre : « Des bases d'une bonne statistique internationale des
maladies
mentales ». 11 est évident que, pour élucider l
est évident que, pour élucider le problème si ardu de la genèse des
maladies
mentales et celui encore controversés, des rapp
pour adopter un certain nombre de types morbides, comprenant les
maladies
mentales qu'on rencontre le plus communément da
tion en général et, autant que possible des espèces, la durée de la
maladie
, sa terminaison et sa létlaalité. La discussion
compris dans les statistiques et ensuite quels étaient les types de
maladies
mentales assez uni- versellement reconnus pour
frappa à différents points de vue : par la modalité revêtue par la
maladie
, qui avait débuté avec l'aspect de la paralysie
lait qu'un temps suffisant se fût écoulé depuis la guérison de la
maladie
: cet élément, nous le possédons actuel- lement
is quatre ou cinq jours, B... gardait le lit ou la chambre pour une
maladie
fébrile, sans détermination locale. Cette mala-
as eu de convulsionsétantjeune, étonne trouve ànoter chez lui comme
maladie
qu'une diarrhée qu'il a contractée au service,
ours et a été sans aucune suite. Il n'a jamais eu ni rhumatisme, ni
maladie
diathésique. C'est un homme forte- ment charpen
RÉDITÉ. - Côté paternel. Grand-père mort à soixante- cinq ans d'une
maladie
inconnue, mais ne se rattachant pas au système
as au système nerveux ; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une
maladie
inconnue, était nerveuse; -père, soixante ans,
e et grand'mère morts, l'un à soixante-cinq ans, après trois ans de
maladie
, l'autre à cin- quante-cinq ans. Les maladies a
ns, après trois ans de maladie, l'autre à cin- quante-cinq ans. Les
maladies
auxquelles ils ont succombé n'ont rien de commu
re place à un nouvel accès d'agitation, le caractère maniaque de la
maladie
s'affirme, l'intelligence reste cependant plus
tte douleur existe depuis 13t. PATHOLOGIE MENTALE. le début de sa
maladie
; il entend toujours ces battements au niveau de
manie, la folie revêt assez bien la physionomie de cette dernière
maladie
, conservant toutefois un cachet par- ticulier q
ccord avec la grande majorité des médecins habitués à l'étude des
maladies
mentales, en admettant que certaines condi- tio
nécessaires pour que ces causes aboutissent à la réalisation de la
maladie
. Elles sont rarement suffisantes pour produire
s trouvent un terrain cérébral tout préparé pour l'éclosion de la
maladie
, et cela, soit par une hérédité puissante, soit
une femme en couches, ou encore pendant le cours ou à la fin d'une
maladie
aiguë, comme la fièvre typhoïde, le rhumatisme,
de B..., la cause morale à la suite de laquelle s'est développée la
maladie
a été passagère, et de peu d'importance, une si
tte fièvre et la réalisation de l'aliénation. mentale. Si certaines
maladies
aiguës, le rhumatisme, la pneumonie, la fièvre
réalisant ainsi une méningo-encéphatite. Mais la marche de cette
maladie
nous montre que cette méningo-encé- phalite n'a
ubles cérébraux. Les troubles somatiques disparaissent en effet, la
maladie
revêt le caractère maniaque, et seul un état d'
iphérique au niveau duquel semble se condenser l'inflammation; la
maladie
revêt alors le caractère maniaque et à ce momen
is les travaux de M. Bail- larger ', il ne suffit plus, pour qu'une
maladie
cérébrale puisse être rattachée à une méningo-e
phatite. Et cependant, par l'évolution qu'a suivie dans ce cas la
maladie
, nous n'aurions pas dû avoir d'hésitation, si n
ingo-encéphalite et nous montre que la terminai- son heureuse d'une
maladie
qui a présenté les signes de la paralysie génér
l'étude, assez obscure encore, des rapports qui existent entre les
maladies
de l'oreille et la folie. Tous les auteurs en e
que le D' Ormerod' étudie l'épi- lepsie dans ses rapports avec les
maladies
de l'oreille. Or, l'observation deB..., en nous
e pa- thogénie. Si depuis quelque temps, on fait jouer à quelques
maladies
aiguës un rôle important dans l'étiologie de ce
présence d'une véritable aliénation mentale. Ainsi 1 Esquiroi. Des
Maladies
mentales, t. Il, 1838, p. 146. DE 1,'ALIÉNATION
édire une fièvre intermittente. Tels furent les commencements de la
maladie
. La malade allait et venait, mais avec peine.
ité de mes affaires. Mais je me souviens parfaitement, parce que la
maladie
eut une terminaison fâcheuse, en ce que je ne p
plus seulement la fièvre saisonnière comme cause de folie, mais les
maladies
aiguës en général, on ne tarde pas à voir que n
fièvre intermittente, la pneumonie, etc., etc., sont tout autant de
maladies
aiguës dont l'influence étiolo- gique en aliéna
admise. Et si pour expliquer le mode d'action pathogénique de ces
maladies
, on doit, dans certains cas, invoquer leur natu
r leur nature, dans beaucoup d'autres, il n'en est pas ainsi. Ces
maladies
aiguës de nature si différente peu- vent en eff
trouble de la nutrition. Ainsi encore, peu importe la nature de la
maladie
qui en est la cause, les troubles psychiques co
aladie qui en est la cause, les troubles psychiques consécutifs aux
maladies
aiguës revêtent un ensemble de caractères qui p
utres termes, ce n'est pas seulement par leur nature même que les
maladies
aiguës donnent lieu à l'aliénation mentale, mai
.. ; et si, d'autre part, on se souvient que pendant le cours d'une
maladie
aiguë, pendant le cours d'un rhumatisme, par ex
Dans l'étude analytique que l'école contemporaine a inaugurée des
maladies
du système nerveux, il fal- lait commencer par
rose postérolatérale de la moelle épinière. Les exemples de cette
maladie
sont déjà assez nom- breux ; nous avons pu en r
arrêtée encore sur une conception définitive et classique de cette
maladie
complexe. 158 PATHOLOGIE NERVEUSE. Nous ser
logie pathologiques, le pronostic et le traite- ment de la nouvelle
maladie
, que nous voudrions voir figurer désormais dans
rions voir figurer désormais dans la classification ordinaire des
maladies
de la moelle. DU TABES COMBINÉ. 159 I. HISTOR
s faits (nous 3, 4 et 5 des tableaux), qui appartiennent aussi à la
maladie
que nous étudions. Puis vient l'observation de
vessie. Il admet qu'il y a là une combinaison des deux formes de la
maladie
, coexis- tence de lésions ordinairement séparée
jà connus, etc. C'est là un travail capital dans l'his- toire de la
maladie
que nous étudions. L'observation de Kahler et P
10) est de la même époque. Ces auteurs étudient, à ce sujet, les
maladies
systématisées combinées de la moelle, qu'ils dé
adies systématisées combinées de la moelle, qu'ils définissent : la
maladie
, simultanée et produite par une cause commune,
commune, de plusieurs systèmes. Il faut la dis- tinguer des autres
maladies
multiples de la moelle par complication ou par
amyotrophique). Ils considèrent la forme de Friedreich comme une
maladie
systématisée combinée héréditaire 1 Westphal. V
ans une importante thèse de Montpellier consacrée à l'élude de la
maladie
de Friedreich. Dans ce dernier travail,' l'aute
it connaître un autre (il' 29). 1 Brousse. De l'ataxie héréditaire (
Maladie
de Friedreich), thèse de Montpellier. 1S8 ! , n
e du tabes ordinaire, on peut presque dire l'étiologie générale des
maladies
chro- niques du système nerveux. 1 Arch. de p
ich, on altache une importance majeure. Comme la plupart des cas de
maladie
de Friedreich appartiennent au tabes combiné, i
ériser une forme spéciale de tabès, ni même une forme quelconque de
maladie
nerveuse. L'hérédité domine la neuropathologi
ns les stades successifs de l'évo- lution héréditaire, les diverses
maladies
du système nerveux se remplacer mutuellement. F
sorte d'op- position, entre les partisans des deux doctrines. Une
maladie
du système nerveux (et on pourrait appliquer ce
e du système nerveux (et on pourrait appliquer ce même principe aux
maladies
des autres appareils) est en général la résulta
airement dans chaque cas : les causes de la DU TABES COMBINÉ. 169
maladie
elle-même et les causes de sa localisation sur
que toujours ces deux éléments représentés . dans l'étiologie de la
maladie
. Ils peuvent du reste venir du sujet lui-même l
impossibles. Ce que nous venons de dire s'applique à toutes les
maladies
du système nerveux, par suite à tous les tabes,
é- 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. ditaire » une caractéristique pour la
maladie
de Frie- dreich. L'étiologie du tabes combiné
e d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant, est mort subitement (
maladie
du coeur ? ) ; frère névralgique. Lui-même fort
'on ne peut rien dire actuellement touchant l'hémianopsie due à une
maladie
de ces parties. Après cette courte introducti
e irriguant la face postéro-interne du lobe occipital droit. . La
maladie
de M. D... dura, avec des rémissions extraordinai
7 mai 1885, jour de sa mort. Les faits principaux de cette longue
maladie
peuvent être résu- més ainsi qu'il suit : En
Par SOUZA LEITE, externe à la Salhêtrière '. Un certain nombre de
maladies
de la nutrition et les mala- dies nerveuses peu
es; alors nous avons souvent pensé au livre de M. Charcot sur les «
Maladies
des vieillards », qui nous a appris à connaître
ment que quand l'épilepsie convulsive se disssimule, que les deux
maladies
se font des concessions réciproques; elles, une
du rhumatisme articulaire ; quant à sa famille nous. résumerons ses
maladies
dans un tableau rappelant celui qu'on voit dans
ques se trouvent également chez les épileptiques et dans d'autres
maladies
nerveuses. 226 RECUEIL DE FAITS. DE L'ÉPILEPS
e la journée, elle commence à accu- ser les premiers troubles d'une
maladie
sérieuse qui va évoluer et dont la première loc
st sensiblement diminué qu'aux premiers jours d'avril. Pendant sa
maladie
, MUe Witt... a été soumise au salicylaté de sou
gine articulaire) », a dit M. le professeur Charcot en analysant la
maladie
de Porcen...', cas riche d'enseignement; nous p
qu'elles étaient avant l'apparition de rhumatisme'; alors les deux
maladies
« peuvent marcher de pair sans s'influencer l'u
malade. Dans certains états mentaux que l'on pourrait désigner de «
maladies
de la volonté », nous avons obtenu de très joli
ce fait, que la tendance à la flexion se remarque dans beaucoup de
maladies
. Un phénomène qui se constate très facilement p
488.) Le bromure de camphre a été employé dans un grand nombre de
maladies
et surtout dans les maladies nerveuses. En ce qui
a été employé dans un grand nombre de maladies et surtout dans les
maladies
nerveuses. En ce qui concerne la chorée, M. le
rée, M. le Dl Pathault ' a rassemblé quatre obser- vations de cette
maladie
guérie par ce médicament, et dues à MM. Lorain,
idents. Son écriture a repris les caractères qu'elle avait avant sa
maladie
(fig. 10). Cette observation s'ajoute à celles
ontraction locale, cinq ou six heures après. Leurs allures dans les
maladies
du système moteur. Io Il n'y a alors que peu de
J. Donath (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la clinique des
maladies
nerveuses de la Charité de Berlin. L'auteur s'e
tanée ont peu porté jusqu'alors sur les caractères particuliers des
maladies
transmises par hérédité ; 8° le groupe des folies
outes nuances. Le cas de Lévy rappelle non un délire aigu, mais une
maladie
infectieuse. 11. lIasmt : S.w.vhr (de Tûl : iû,
des de géographie médicale, ait fourni quelques docu- ments sur les
maladies
mentales au Japon. Sakahy lui-même ne peut rien
lz; il s'agissait, dans ces deux cas, d'un stade assez avancé de la
maladie
. L'idiotie est assez fréquente ; la plupart du
psychopathiques les plus diverses, dans la plupart des phases de la
maladie
ou pour chacune de ces phases, quand l'état cli
teur d'après laquelle, quand il y a eu syphilis, la marche de la
maladie
est très rapide. M. ZEKKER rappelle un mémoire
'importance des colonies de travail agricole pour le traitement des
maladies
mentales. (En allemand.)- Le système de ces col
agricoles. E. KIFLLBERG. Du rôle des écoles dans la production des
maladies
mentales. (En français.) F. Eulenburg. La cur
e des guérisons complètes (dans le sens clinique du mot) de cette
maladie
; mais on ne saurait en admettre la réalité que qu
de la psychose décrite. Il n'y a à cela rien d'étonnant, puisqu'aux
maladies
des organes respiratoires se raltache étiologiq
s degrés d'une unité nosoiogique. M. Eiiii (d'Heidelberg). Sur la
maladie
de Thomsen. Publié in extenso dans le Ncunol. C
la suite d'un projet de traitement au fer rouge. L'apparition de la
maladie
à une époque si précoce de la giossesse et la p
t en bien des points dans la couche externe. On distinguera cette
maladie
de la sclérose multiloculaire par la prédominan
de l'écorce du cerveau dans la para- lysie progressive et d'autres
maladies
chroniques du cerveau. Sera publié in-extenso 3
l est constante, elle n'est point un signe pathognomonique de cette
maladie
. La confirmation de même désordre en d'autres f
R, a vu se produire des accès de manie transitoire dans le cours de
maladies
aiguës (fièvre typhoide, scarlatine, 312 SOCIET
eux sont des processus autonomes qui ne sont les symptômes d'aucune
maladie
. tFo'mf ? J)e<.<fpo<t<H ! 'm ! 0.On
énéralcnieut que de forts excès ont précédé de peu l'invasion de la
maladie
. Mais entre les excès et le délire, il s'écoule
ge YVI11 dR t : t traduction Kcraval du traité de Nolhnagel, surlcs
Maladies
de l'Encéphale, basé sur l'élude des localisa-
ire tremblant proprement dit, et le rapprochent momenta- nément des
maladies
mentales alcooliques véritables. La plupart des
duction d'aliments dans les voies respiratoires. Durée totale de la
maladie
: neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésio
on ne saurait inter- préter ciiniquement que comme le tableau d'une
maladie
spino- bulbaire. Sur ce, les travaux du congr
truction d'un bâtiment d'isolement, nécessaire dans le cas où une
maladie
infectieuse se déclarerait; on a pris ses mesures
du prix pour l'année 1887 est : Influence de l'alcoolisme siii les
maladies
aiguës. Société d'anthropologie. Prix l3cr(illo
as servir à démontrer péremptoirement l'existence positive de cette
maladie
. Sans contrôle nécropsique, on ne peut pas, en
combiné » ; c'est l'élément « tabes ordinaire » qui différencie la
maladie
que nous étudions du tabes dorsal spasmodique.
iennent à la sclérose latérale, et qui, par suite, différencient la
maladie
que nous étudions du tabes ataxique ordinaire.
nières années de la vie et ne remontent que rarement au début de la
maladie
(du moins avec une précision suffisante pour in
parus après cette époque. Dès lors, il est probable que quand, la
maladie
étant mieux connue et acceptée, on acceptera le
aussi profonde. Archives, t. XI. 26 402 MÉDECINE LÉGALE. z' Sa
maladie
en empêchant sa mère de se livrer à sa profession
s instinctives qui ne trouvent pas, dans un espritdébi- lité par la
maladie
, le contre-poids de délibération et de résistance
. L'ensemble des symptômes présenté par la malade fait croire à une
maladie
de Ménière. Le sulfate et le bromhydrate de qui
par L. Bouveret et M. EPARVIER (Lyoiz inéd., 1884, t. XLVII.) Cette
maladie
a duré deux mois et son évolution comprend quat
homme de trente-huit ans, chez lequel, pendant toute la durée de sa
maladie
, on n'avait constaté d'autres symp- tOmes que c
ncontestablement, dans un grand nombre de « cas, intimement lié aux
maladies
mentales. « 2° Le sang, chez les déments des as
e à la période active « et à la période de paralysie complète de la
maladie
que durant « les périodes intermédiaires d'inac
tion mentale pour la première fois, et chez lesquels le début de la
maladie
ne remonte pas à plus de trois mois ; 2° des ma
un ou plusieurs accès d'aliénation et chez lesquels le début de la
maladie
remonte à plus d'un an. ' 3° Les guérisons po
de la folie avec hallucinations. R. M. C. XXV. Note SUR UN cas DE
maladie
D'ADMSON associée A la FOLIE; par S. RUTHERFORD
des trouble^ cérébraux, les signes parfaitement caractérisés de la
maladie
d'Addison. Le malade a succombé et son autopsie
est d'avis qu'il ne faut voir chez cet homme, entre la folie et la
maladie
d'Addison, d'autre relation qu'un rapport de co
on de l'électricité au traitement des 444 REVUE DE thérapeutique.
maladies
mentales. 11 passe d'abord en revue l'appareil in
la stimulation. Les applications de l'électricité au traitement des
maladies
mentales ont été jusqu'ici trop peu nombreuses
re de M. Luys qui, depuis plusieurs années, a cherché à traiter les
maladies
mentales par l'hypnotisme, mais sans résultat;
ttrait dans les conditions de transmissions ordi- naires des autres
maladies
et peut s'accroître ou disparaître sui- vant le
udo-sclérosé en plaques. CH. F. VII. Contribution à l'étude de la
maladie
de 31eniére et de son traitement; par LEL.1RGE.
31eniére et de son traitement; par LEL.1RGE. (Thèse, 1885.) « La
maladie
de llienière, conclut l'auteur, n'étant le plus s
ença ses études médicales. Dès le début, il s'attacha à l'étude des
maladies
mentales et fut successivement interne des asil
sycholo- giques sur le traitement de la folie (thèse, <846); Des
maladies
de la volonté ou étude des lésions de cette fac
LE DES MATIÈRES Acétonurie des aliénés, par Lcebr 277. Addison (
maladie
d'- et folie), 435. Alcool dans le traitement d
, psychoses et névroses, par Mueler, 292. et iiévroses, Ecoles et
maladies
mentales, 289. Ecriture d'un chroréique, 250.
du avec épilepsie), par terrain, 42; par Savage, 427. Sexuels, (
maladies
des organes - chez la femme, et troubles psychi
ophiques de la peau chez les), par Rossoiym- ino, 256. Thomsen (
maladie
de), 303. Visuel (examen électro-diagnostic d
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vve Lourdot, 33, rue de
SSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
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MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NE
NIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES
MALADIES
CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX . SYPHILITIQUES
n existence. Exclusivement consa- crée aux mémoires inédits sur les
Maladies
du Système Nerveux dans lesquels les documents
eprésentant plus autorisé que le nouveau professeur de clinique des
Maladies
du Système NCl'Oell.1 ! . L'Ic01tO- graphie con
même École,, M. A. Joffroy, titulaire de la chaire de clinique des
Maladies
Mentales à laquelle l'ont porté les remarquable
sollicitations, M. le professeur Fournier qui, dans le domaine des
maladies
cutanées et syphilitiques, a élevé à la neuropa
publication est largement ouverte à toux ceux qui s'intéressent aux
maladies
du système nerveux, aux maladies mentales, aux
à toux ceux qui s'intéressent aux maladies du système nerveux, aux
maladies
mentales, aux rapports de ces affections avec l
est atteint. Quant à lui, pas de goutte, rhumatisme, hémorrhoïdes,
maladies
cutanées ou autres éléments de diathèse arthrit
s, des migraines opb- llialmiques symptomaliques en quelque sorte :
maladie
proto-palhiqiie. Cela parait être le cas, dans
migraine olllltlmlmiclne sous forme d'accès, dans le cours de cette
maladie
redoutable, si iaiésionditecongestiveportosuria r
e. Dans l'immense majorité des cas la migraine ophlhalmique est une
maladie
ou mieux un syndrome qu'on peut abandonner à lui-
UX NERFS CIRCONFLEXES par F. RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. 1 Leçon faite à la Salpêtri
lade. Il affirme très catégoriquement qu'il n'a jamais contracté de
maladie
vénérienne et qu'il n'a jamais fait d'excès alcoo
r 1895. LA NOTION ÉTIOLOGIQUE DE L'HIJRIJDO-S1'PIIILIS DANS LA.
MALADIE
DE LITTLE PAR A. FOURNIER et GILLES DE LA TOU
LITTLE PAR A. FOURNIER et GILLES DE LA TOURETTE Professeur des
maladies
cutanées Médecin des Hôpitaux et syphilitiques
ns l'étiologie jusqu'ici obscure du tabès congénital spasmodique ou
maladie
de Little. Ces deux faits présentent en outre q
e 1893, accompagné de sa mère, à la consultation de la Clinique des
maladies
cutanées et syphilitiques, hôpital Saint-Louis,
t régulier. Pupilles normales. Louis X... a fait quelques légères
maladies
; une fois, sa mère l'a conduit il l'hôpital de
icate, anémique et névropathe, dont le père avait été atteint d'une
maladie
de la moelle ( ? ) qui aurait guéri. Une tante au
" .... NOUV. ICONOGR. DE LA SALY6fHILHF T VIII PL I, Il & III
MALADIE
DE LITTLE A et 13. Avant la double résection de
u'on était en présence d'un tabes dorsal spasmodique con- génial ou
maladie
de Little. Comme la symptomatologie de cette af
préjuger la nature intime, la lésion cérébrale ou médullaire de la
maladie
de Little, nous en venons à la notion étiologique
lle a fait une fausse couche de 5 mois 1/2. L'enfant, atteint de la
maladie
de Little, présente les stigmates indéniables d
arasyphilitiques, Paris, 1894, p. 336, vient de publier : « Un cas de
maladie
de Little » (Gaz. des hdp., 25 déc. 1891, p. 14
ME TABÉTIQUE '> PAR - A. JOFFROY, PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES. L'étude des relations du tabes et de
ise des cordons postérieurs et latéraux, et les rattache, non à une
maladie
spinale indépendante, mais à une lésion propre
cette époque le labes dorsal était encore enfoui dans le chaos des
maladies
spinales et n'existait pas à l'étal d'entité morb
sagés nettement. En 1862, Baillarger montra que les symptômes de la
maladie
de Du- chenne et de la paralysie générale pouva
e thème, que « la paralysie générale et le tabes dorsalis sont deux
maladies
qui s'associent fréquemment » et il n'a pas hés
n qui fait du tabes et de la paralysie générale « une seule et môme
maladie
», opinion déve- loppée dans la thèse de son él
même sujet soit successivement, soit d'em- blée, pense que les deux
maladies
n'en font qu'une, capable seulement de se local
he paraissent plus abondants. Dans celle observation nous voyons la
maladie
débuter par des phéno- mènes nettement tabétiqu
rmes dispa- raissent ou du moins s'atténuent avec les progrès de la
maladie
pour faire place aux symptômes encéphaliques ha
TÉ DE LA PEAU A LA DOULEUR. par A. MOCZVTKOWSKI, Professeur des
maladies
du système nerveux à l'Institut clinique de St-Pé
Londres, le 30 novembre 1891, le Dr Thomas D. Savill a décrit « une
maladie
de peau épidémique, res- semblant il certains é
stituerait une véritable entité morbide. On peut la définir : « Une
maladie
contagieuse dans laquelle la lésion princi- pal
époque, de nouveaux cas ont été publiés en Angleterre, et le nom de
Maladie
de Savill a été proposé et adopté pour désigner [
uses (cette des- quamation épidermique est un fait constant dans la
maladie
: elle se fait- couche par couche, et sur les m
la par la suite et devint sèche. - ,ter septembre ( ! 0° jour de la
maladie
). Bras, face et jambe gauches très tuméfiés. Ta
le malade s'affaiblit graduellement). 11 septembre (4.6e jour de la
maladie
). Faiblesse extrême. Le malade ne peut avaler à
ès le début de l'affec- tion. La fin ne peut être attribuée qu'à la
maladie
de peau, à la gastro- entérite et à la diarrhée
température a été prise régulièrement depuis le commencement de la
maladie
. Pendant les trois premières semaines elle est re
.. DE LA SaLPÊTRI1vRE T. VIII PL. V a, VI COUPES DE LA PEAU DANS LA
MALADIE
DE SAVILL (EPidl'mie Ski/J diseuse). L. BATTA
les qui constitue le symptôme inva- riable et pathognomonique de la
maladie
, se voit aussi sur la figure A. Je ferai remarq
d nombre de grosses cellules mal colorées. Il semble que dans cette
maladie
, la lésion progresse toujours de l'exté- rieur
Dr Echeverria et que celui-ci regarde comme caractéristiques de la
maladie
. La partie centrale du noyau fixe forte- ment l
remarquablement grave. J'ai étudié aussi trois autres cas de cette
maladie
, et j'ai trouvé que les lésions variaient propo
91, sur un autre malade pen- dant la vie à une époque avancée de la
maladie
, le Dr Russell (1) a trouvé une bactérie. Mais
a mort (2). Elles ont été inoculées par moi à un lapin, chez qui la
maladie
s'est dévelop- pée, et dans le sang duquel le D
NFLEXES. - PAR A. SOUQUES et J.-B. CHARCOT Chef de Clinique des
maladies
Interne de la Clinique des maladies du système
B. CHARCOT Chef de Clinique des maladies Interne de la Clinique des
maladies
du système nerveux du système nerveux M. le p
dat et n'a fait qu'un an, comme étant l'aîné de 9 enfants. Pas de
maladies
vénériennes. Pas d'alcoolisme. Le 26 août 1894,
pénible mais il n'en a jamais éprouvé d'inconvénients. Début DE la
maladie
actuelle. Le samedi soir, 13 octobre 1894, son se
S DE CES AFFECTIONS . PAR F. RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Leçons faites à la Salpêtri
, elle ne se rappelle pas d'avoir eu aucune lièvre éruptive, aucune
maladie
générale. Les premières règles sont apparues à
cette femme, et nous' serons en état d'établir le diagnostic de la
maladie
, diagnostic qui va nous fixer sur le pronostic
rnit m'apprirent qu'il en était ainsi presque depuis le début de sa
maladie
. Elle avait déplus, de temps il autre, de l'inc
so-lombaire et le lumbago d'origine musculaire. Or, il s'agit là de
maladies
aiguës, fébriles, se traduisant par des douleur
ainsi que Clarcot l'a démontré (1). - (1) CIIARCOT, Clinique des
maladies
du système nerveux, t. I, p. 179. SUR LES AFFEC
l ne saurait être question pour un médecin instruit de confondre la
maladie
dont elle est atteinte avec une affection de la
a queue de cheval serai inexcusable, car dans le cas de la première
maladie
, même au début, nous constatons, indépendamment
re distribution. 1 - Vous le voyez, Messieurs, qu'on envisage des
maladies
caractérisées seulement par des manifestations
QUEUE DE CHEVAL 79 ques traités didactiques consacrés à l'étude des
maladies
du système ner- veux : d'autres l'ont passé com
as d'une affection traumatique de la queue de cheval. Une fois la
maladie
constituée ad integrum, les douleurs passent habi
prendre au malade du sublimé à l'intérieur. Cela n'a pas empêché la
maladie
de s'aggraver progressivement. A l'autopsie du
e l'existence d'une tumeur de la région, à cause de la marche de la
maladie
, à cause surtout de l'amélioration très évident
ard. Th. Paris, 181. (5) Id. LE SEIN HYSTÉRIQUE 109 gauche à la
maladie
désignée par A. Cooper, sous le nom de « tumeur
orité des chirurgiens modernes qui se sont spécialement occupés des
maladies
du sein. « Quelques jeunes femmes, dit-il (1),
et deFéré (7). En 1890, Fowler (8) rapporte sept observations d'une
maladie
qu'il dit lui être inconnue. Il s'agit là des t
ir à l'opération, celle-ci ne devant être que palliative puisque la
maladie
cancéreuse avait été déclarée incurable. « Puis
YÉLIE DU CONE TERMINAL par F.RAYMOND Professeur de Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Leçon faite à la Salpêtrièr
, au- topsié par cet auteur, la lésion intéressait, la moelle et la
maladie
dura cependant sept années consécutives sans su
UL RICHER ....... > ? JGfitrf'cTe Laboratoire du la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux, à la Salpèlrière. L'on sa
ublin, Med. Journ. 1918. Nolhnagel, Traité clinique de diagnostic des
maladies
de l'r.rzcr'phale. Traduit par I\él'a\'al, 18S3
a lan- gue n'a guère été observée que dans l'hémi-alrophie faciale (
maladie
de Iloulller), dans le tabes et dans les lésion
té. Aussi, lorsqu'ils ont entrepris de peindre les difformités, les
maladies
ou la mort, leurs oeuvres, indépendamment des r
a- bleaux des personnages accessoires, infirmes ou défigurés par la
maladie
; LES PEINTRES DE LA MÉDECINE 193 souvent même
ns instruments, souvent môme sans interrogatoire, diagnostiquait la
maladie
avec autorité et instituait d'em- blée son trai
le geste trop significatif rensei- gne amplement sur la cause de la
maladie
. Le médecin lui-même a grand peine à garder son
uisque c'est le mal d'amour. « Mal d'amour », « fièvre d'amour », «
maladie
virginale », « ictère blanc », « fièvre blanche
Montpellier, a proposé le premier, en 1G15, le nom de « chlorose »,
maladie
qui se dé- veloppe, dit-il, « chez les jeunes f
les médecins de Jan Steen, et il y a chance qu'il ne devine pas la
maladie
». Assurément, le praticien de Van IIoogstraale
een, dans plusieurs de ses tableaux, laisse aisément deviner que la
maladie
suit un cours tout naturel. Schalken, 13raclcenbu
u l'occasion de faire deux autopsies d'une affection assez rare, la
Maladie
osseuse de Paget, et deux fois nous avons rencont
ns droits étaient beaucoup plus vo- lumineux qu'à l'état normal. La
maladie
avait donc eu une certaine ten- dance à évoluer
qu'elles permettent peut-être d'établir des rapprochements enlre la
maladie
de Page ! et certaines affections spi- nales il
euxième autopsie. Il s'agissait d'un homme de 59 ans chez lequel la
maladie
était cliniquement aussi caracté- risée que pos
notées dans deux cas consécutifs semblent donc bien appartenir à la
maladie
osseuse de Paget. Ceci admis, si nous essayons
lations qui pourraient exister entre les altérations osseuses de la
maladie
de Paget et les lésions du système nerveux que
. Rev. de médecine, 10 juillet 1893. (8) BRISSAUD. Leçons sur les
maladies
nerveuses (Salpêtrière, 1893-94), recueillies et
eloppement survient après la naissance, par accident, mutilation ou
maladie
. Comme corollaire de l'atrophie génitale appara
lle qui aurait dû la rendre femme. (1) BIIISSAUIJ, Leçons sur les
maladies
nerveuses, Salpêtrière (1893-94). Paris, Masson-
n- ture malencontreuse. De ce nombre étaient les accidents ou les
maladies
qui, troublant mo- mentanément le cours de la v
s figurés qui touchent de près ou de loin à la repré- sentation des
maladies
. Le champ d'études qu'ils, ont si brillamment ina
r dans une scène quelconque des personnages secondaires atteints de
maladies
ou de difformités. 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
fficile d'établir une classification basée sur la nature même de la
maladie
. Les éléments du diagnostic ex pictura sont tou
suivant les différents chapitres de la pathologie interne. " Les
maladies
de peau, la syphilis, la lèpre, les maladies épid
hologie interne. " Les maladies de peau, la syphilis, la lèpre, les
maladies
épidémiques, la peste en particulier rentrent d
ore d'après Paul d'Egine, l'incision des artères temporales dans la
maladie
nommée scotomise ou vertigo (2). « La maladie n
es temporales dans la maladie nommée scotomise ou vertigo (2). « La
maladie
nommée 1'el'/igo est un subit esblouïssement et o
, ch. 2) estiment que ce dit remède est particulièrement propre aux
maladies
froidesel humides du cerveau, telles que sont la
et visqueuses » apparaissent toujours comme la source de toute les
maladies
cérébrales. C'était la croyance du temps, « le
loc. cil., ch. I. 2't0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE de
maladies
, parmi lesquelles les céphalées, les migraines, l
re et la nature des instruments ne la contredisent nullement et les
maladies
désignées alors sous les noms d' « assoupissement
paralysies, perles de connaissance, etc.), ou enfin il la cure des
maladies
mentales. Dans les oeuvres d'art dont nous avon
oupes, ou l'incision des vaisseaux san- guins préconisée contre les
maladies
nerveuses et mentales. Abandonnons pour un inst
ès de sang et pour le défaut de sang. On saignait t pour chasser la
maladie
, et les gens bien portants se faisaient saigner p
rance et l'espoir de guérir peut conduire à toutes les folies. La
maladie
des pierres de tête et son traitement chirurgical
externe bilatérale et d'hémiplégie droite, survenues au cours d'une
maladie
infectieuse : la rougeole. Avant de discuter la
ieurs problèmes neuropalhologiques. La rougeole, Messieurs, est une
maladie
infectieuse au premier chef. Il est donc probab
ux que provoquait Trousseau et qu'il croyait spéciaux à la tétanie,
maladie
particulière, indé- pendante, suivant lui, de l
eloppement de la tétanie, que nous ne considère- rons pas comme une
maladie
sui generis, mais comme un simple syn- drome. »
rses : intoxi- cation par l'absorption de farine de seigle ergoté ;
maladies
du système nerveux central ; extirpation du cor
e a 2 ans 1/2. Rougeole à 3 ans. Fièvre typhoïde à 5 ans. Après ces
maladies
, elle s'est assez bien portée et avait acquis un
complètent réciproquement. Ils montrent la vogue insensée qu'eut la
maladie
des pierres de tête, et l'adresse avec laquelle
alors saphènes en dedans, ou sciatiques en dehors, pour guérir les
maladies
des reins, des organes génitaux, et surtout les
l'adresse de l'homme de impuissant il deviner la vraie cause de la
maladie
. Tels sont Le Médecin de la Pinacothèque de Mun
lade s'est toujours bien portée jusqu'en 1883; elle n'a fait aucune
maladie
grave et n'a jamais présenté d'acci- dents nerv
trine et quelques accidents culanés syphilitiques au bras gauche.
Maladie
actuelle. Le 26 octobre 1892 la malade ressentit
res-axes dans le foyer de myélite, d'autre part à la brièveté de la
maladie
. Néanmoins on voit sur la figure 5 une légère d
l'évolution des accidents et leur durée ont été très analogues ; la
maladie
a duré environ 5 semaines dans un cas et (i dan
aires ait beaucoup plus d'importance, pour juger de la nature de la
maladie
, que l'étude des réactions amenées dans les tissu
e n'est ni syphilitique, ni alcoolique, il n'avait jamais eu aucune
maladie
quand il entre à la Charité en 1891, il y a trois
is environ, elles se déforment peu à peu et depuis quelque temps la
maladie
semble avoir une allure plus ra- pide. Notre
s déformées des doigts et des orteils. ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA
MALADIE
DE PARKINSON PAR PAUL RICHER et HENRY MEIGE.
PAUL RICHER et HENRY MEIGE. L'habitus extérieur du corps dans la
Maladie
de Parkinson est tellement caractéristique qu'i
tracer un tableau quasi-schématique des signes extérieurs de cette
maladie
, et l'on peut l'appliquer à presque tous les ca
que tous les cas cliniques. Dans l'ensemble, les sujets atteints de
maladie
de Parkinson parais- sent soudés, figés. Ils
extérieur du Parkinsonien et on est en demeure de diagnostiquer la
maladie
à l'occasion. Ces signes physiques si caractéri
à fond l'analyse des modifications morphologiques apportées par la
maladie
de Parkinson à la forme extérieure du corps hum
lles une moi- tié du corps seulement offre l'attitude classique, la
maladie
unilatérale d'a- (1) P. RICHE". Habitude extéri
Bechet, Th. Paris, 1892, Obs, X et XII, ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA
MALADIE
DE PARKINSON 3U3 bord, tendant presque toujours
e, nous a paru représenter le schéma clinique presque parfait de la
maladie
de Parkinson. Dans la série des représentations
père elsa mère sont morts de vieillesse. Elle-même n'a jamais eu de
maladies
; elle était seulement sujette aux migraines. El
e. Elle est restée dans cet état pendant trois jours. Début de la
maladie
actuelle. Deux ans après cette grande émotion,
LVI A lviii PHOTOTYPE NLG A. LONDE. ATTITUDE ET FACIES Dans la
maladie
do Parkinson. Statuette de M. le U I'.tul IRcit
pêtrière. L. HA1 ? AILLE ET C" - 5-- ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA
MALADIE
DE PARKINSON 365 Les réflexes sont conservés.
de Parkinson parfaitement conforme aux descriptions classiques. La
maladie
a débuté brusquement, à la suite d'une émotion vi
impose, et cette observation ajoutée il celles, déjà nombreuses, de
maladie
de Parkinson typique, n'aurait qu'un intérêt li
es que des hypo- thèses que l'on peut faire sur la palhogénie de la
maladie
de Parkinson. L'étude de « nu » que nous avons
antes. D'abord, en ce qui concerne le mécanisme de la station, la
maladie
de Parkinson présente des ano- malies intéressa
et symétrique, on s'aperçoit t que la soudure caractéristique de la
maladie
cle Parkinson entraine des modifications très n
e, Paris, Doin, 1895, p. 180. Fic. 69. ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA
MALADIE
DE PARKINSON 367 en bas en arrière ; l'axe dû t
aut pas oublier cependant que dans certai- nes formes cliniques des
maladies
de Parkinson, le tronc et la tête peuvent être
LONDE £ PHOTOCOLL. B1 : RTHAUD. L ATTITUDE ET FACIES . r Dans la
maladie
de Parkinson. D'après un malade de la Salpêtriè
e de la Salpêtrière. L BATTAILLE ET C" ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA
MALADIE
DE PARKINSON 369 qu'ils éprouvent à conserver c
e station où l'équilibre est plus difficile à conserver. Quand la
maladie
n'a pas atteint son stade ultime où un certain de
ent applicables à la malade que nous avons choisie comme type de la
maladie
de Parkinson. Nous avons eu l'occasion de les f
es, ceux qui dépendent de la vieillesse et ceux qui dépendent de la
maladie
. Parmi les premiers on doit ranger l'émaciation
jusque dans leurs moindres détails, les modifications qu'imprime la
maladie
au système musculaire tout entier. Tous les mus
ntrac- tion musculaire physiologique. ' ÉTUDE MORPHOLOGIQUE DE LA
MALADIE
DE PARKINSON 371 Les membres inférieurs ne sont
er l'o- pinion émise par Vulpian et qui attribue la raideur dans la
maladie
de Par- kinson à un léger degré de contracture,
thésie de la peau, par Stoukovenkoff, 164. Epidémie Skindisease (
maladie
de Savill), par T. D. SAvu.L, 48. Forme du co
antilisme et féminisme chez un épilep- tique, par VAN BRERO, 223.
Maladie
de Little (La notion étiologique de l'hérédo-sy
l'hérédo-syphilis), par A. Fournier et GILLES DE la TOURETTE, 23.
Maladie
de Parkinson (Etude morpho- logique), par PAUL
E la TOURETTE. La notion étiologique de l'hérédo-syphilis dans la
maladie
de Little, 23. FouRNIER (Edmond). Zona générali
et A. Fournier. Notion étiologique de l'hérédo-syphilis s dans la
maladie
de Little, 23. GILLES DE la TOURETTE, KOHNE et
229, 291. MEME (Henry) et Paul Richer. Etude morphologique sur la
maladie
de Par- kinson, 362 1VIOCZUTIio\VSIiI. Un alg
XXVIII. Infantilisme et féminisme chez un épi- leptique, XXXIX.
Maladie
de Parkinson (Etude morpholo- gique), LVI à LX.
XXXIX. Maladie de Parkinson (Etude morpholo- gique), LVI à LX.
Maladie
de Little, I, JI et Ill. Myopathie progressive
protubérance, 48, 'r9, 50, 51. Hermaphrodisme antique, 3, 4, 5.
Maladie
de Parkinson (Etude morpholo- gique), ti9, 70,
E NEUROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT
OUS LA DIRECTION DE Vlf. A.JOFFROY Professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté* de médecine de Paris.
LLABORATEURS PRINCIPAUX : F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
çon, 21 ans, soldat, pas de convulsions; 5° garçon, 19 ans, pas de
maladie
nerveuse, intelligent; 6° fille, 15 ans, bien p
d assez bien. 4 CLINIQUE NERVEUSE. La malade n'a jamais fait de
maladie
grave; clic n'a pas eu de convulsions. Elle a e
e, l'enfant, jusqu'à 12 ans, aurait été peu près normale. III. La
maladie
aurait débuté à 12 ans : marche trébuchante, ét
vivant; pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde, nul indice de
maladies
vénériennes. Ne buvait pas. N'était pas tubercu-
use du caractère de son mari, pas de tentative d'avortement, pas de
maladie
infectieuse, ni d'into- xication dans le cours
intellectuellement, aux enfants normaux de son âge. Il n'eut comme
maladie
infectieuse que la rougeole à l'âge de 3 ans :
uleuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence mentale et
maladie
de Basedow ; Par les J)" (i. DHOMAHU et J. Lr
une véritable psychose d'auto-intoxication. Pour les au- tres, la
maladie
de Basedow ne peut créer de toute pièce un état
llans la genèse du syndrome basedowien. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET
MALADIE
DE 13ASI ! DO'% ? 27 Or ce principe, en admetta
palpilalions. Le soir, elle ne pouvait DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET
MALADIE
DE BASEDOW. 29 s'endormir, inquiétée par le bat
mes causes, ictus émotionnels, troubles DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET
MALADIE
DE BASEDOW. 31 de la ménopause, etc., autant de
onclure que la topographie des paralysies et des atrophies dans les
maladies
de la moelle est beaucoup plus souvent spinale
é sans fièvre, avec un amaigrissement progressif. L'évolution de la
maladie
a REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 45 été inte
ish médical Journal, page 62, juillet 1 ! J05.) Les progrès de la
maladie
sont ordinairement (comme 4G REVUE DE PATHOLO
n du travail mental et de toute excitation. A. ;\1. IV. Un cas de
maladie
de Thomsen ; par le Dr Meus. (Journ. de Neurolo
eurologie, 1905, ne14.) Relation exclusivement clinique d'un cas de
maladie
de Thomsen chez un jeune homme de 19 ans. Les p
symphyses salpingo-pharyn- il peut y avoir action favorisante d'une
maladie
sur l'autre, en raison de leur tendance commune
spécifique énergique dans le but d'empêcher le développement de la
maladie
de Bayle. Fournier préconise la méthode qu'il a
dents, des paralytiques généraux jusqu'à 96 0/0; la rareté de cette
maladie
dans les milieux où la syphilis est rare : chez
aux a changé d'opinion, car rien dans l'anatomie pathologique de la
maladie
de Baillarger ne rappelle les modalités connues
ie générale d'autre part, et il admet comme cause de cette dernière
maladie
: les émotions, le surmenage, l'alcoolisme, l'h
tabes qui est toujours syphi- litique est fréquemment associé à la
maladie
de Bayle et partage avec elle, son étiologie. L
ns qui ne rappellent en rien les mani- festations spécifiques de la
maladie
, en effet, rien ne distin- gue la sclérose du t
éraux ne sauraient rien prouver, car on a vu des sujets atteints de
maladie
de Bayle, devenir syphi- litiques. Quant à la r
compagne ordi- nairement de petits symptômes de l'une et de l'autre
maladie
, et qui plus tard, pourront l'une ou l'autre, o
E DE THÉRAPEUTIQUE. 55 tème nerveux, mais une forme particulière de
maladie
ner. veuse. G. D. IX. - Evolution des états h
à la base de ces délires. Quant un examen attentif ne révèle pas de
maladie
proprement dite, tuber- culose, etc., on doit p
odifications chroniques* de dégénérescence par conséquent, dans les
maladies
chroniques du système nerveux sera interdit. Ex
rapeutique suggestive n'est efficace que contre le symp- tôme de la
maladie
et elle n'a aucune prise sur le fond et l'essen
die et elle n'a aucune prise sur le fond et l'essence même de cette
maladie
. La psychothérapie inférieure ou la thérapeutiq
M. VALENTINO. - Pour l'Hindou, tout se ramène à la religion : les
maladies
sont envoyées par les dieux ; les livres de méd
dence à la doctrine. Or, la doctrine est immuable et sacrée ; les
maladies
sont d'essence divine et relèvent de dieux partic
nt par- ler, non pas une troisième édition du Manuel pratique des
maladies
mentales paru pour la première fois en 1884, ma
bides psychiques qui constituent bibliographie. 69 les diverses
maladies
mentales. Signalons entre autres les troubles d
sification. Il distingue deux grands groupes de psychopathies : les
maladies
psychiques et les infirmités psychiques. Les ps
considérable çle ces facteurs en psychiatrie, ensuite parce que ces
maladies
représentent la presque totalité des innombrabl
française. P. Sérieux. 11. -- Des accidents psychiques liés an.).'
maladies
de l'oreille et de ses annexes, par F. Jacques.
es qui 72 bibliographie. démontrent l'influence exercée par les
maladies
de l'oreille sur l'éclosion des hallucinations
ilatérales quand les deux oreilles sont malades. Dans les cas où la
maladie
causale a été traitée et guérie, les hallucinat
inations auditives ont dis- paru ; elles se sont atténuées quand la
maladie
a diminué d'intensité ; elles sont passées à l'
de facultés de mé- decine, ou, des agrégés on chargés de cours des
maladies
menta- les, en exercice dans les facultés de l'
lus accentué. Ces accès convulsifs d'abord fréquents au début de la
maladie
et atteignant alors le nombre de 5 à 6 par jour
I. Jas eu l'occasion d'examiner récemment un malade atteint de la
maladie
de Thomsen : comme cette affection est assez ra
enne ; pas de signes notables de dégénérescence. N'a jamais fait de
maladie
sérieuse ; célibataire, menuisier de profession
on terminale, on a vu les maux perforants se rallumer tout comme la
maladie
; les ulcérations se sont creusées à nouveau et
oit près de Sainte-Anne, une maison où on soigne toutes sortes de
maladies
. Pas d'idées délirantes de grandeur bien nettes :
t, l'existence du mal perforant favoriserait les ré- missions de la
maladie
. , Outre l'action de l'affection elle-même, le
latérales ; auraient-elles aussi une action sur la marche c de la
maladie
, et leur évolution serait-elle en rapport parfo
gonnet croit qu'elle ne se montre qu'à une période avan- cée de la
maladie
. Pour lui, dans les premières pério- des de la
- vées tiennent-elles, indépendamment de la période la- quelle la
maladie
est arrivée, à la participation plus ou moins g
Lews C. Bruce, à appliquer les abcès de fixation au traitement des
maladies
mentales. Si les suppurations provoquées semble
tain. Il ressort de tout ceci que sur les processus intimes de la
maladie
en général et sur l'influence et le méca- nisme
oi, mais enfin quelque chose qui est en un rapport étroit avec la
maladie
. Dans les suppurations provoquées ar- tificiell
res, l'auteur présente onze observa- lions-de paralysie faciale, de
maladie
de Thomsen, d'atrophie avancée du l'éminence th
d'assez forts courants, etla télanisation coutumière du début de la
maladie
fait défaut même sous l'inlluence de courants i
fois, il raison d'une rigi- dité musculaire typique relevant de la
maladie
de Parkinson. On constate maintenant : I. des d
: on constate du rire et surtout du pleurer spas- modique, mais la
maladie
procède par accès, suivie d'améliora- tions par
l'autre. Ce réflexe est aussi plus ou moins augmenté dans quelques
maladies
fonctionnelles, notam- ment dans l'hystérie.
es ou neurasthéniques tantôt au début ou dans le cours de certaines
maladies
aiguës ou chroni- quels : lahi.s, paralysie gén
isation et la galvanisa- lion amenèrent un excellent résultat et la
maladie
rétrocéda peu àpeu.'Etait-on en présence : 1° d
mais il n'a pas de signe d'hys- Lérie : cet état ne rappelle ni la
maladie
de Thomsen, ni l'astasie- almsio de Bloccl; il
iste une respiration costale impercep- tible. On observe souvent la
maladie
chez plusieurs enfants de la même famille et el
es s'annonçantsouvent longtemps avant le développement complet delà
maladie
, par des attaques d'am- blyopie voire d'amauros
ERAVAL. XII. Quelques considérations sur certains symptômes de la
maladie
deParkinson; par Catola.(Rcu. de Médecine, ne d
in 1905.) Il s'agit de la sialorrhée qui a été remarquée dans cette
maladie
par divers auteurs. Pour les uns, cette particu
e l'écoule- mcnlde la salive vers les parties les plus déclives. La
maladie
de Parkinson serait due 2 fois à des émotions o
uel de la science l'opinion des auteurs qui ne veulent voir dans la
maladie
de Parkinson qu'un syndrome, cette manière de voi
MENT ou compensation et des rapports (le cette affection avec les
maladies
organiques du cerveau et de la moelle. P. KERAVAL
cas avec coma complet et ceux avec conservation de la conscience.
Maladie
été Dercum sans troubles psydtiques. M. LE l'LA
M. LE l'LAV,à propos d'un cas survenu àla ménopause, rappro- che la
maladie
de Dercum des adiposes consécutives à l'ucario-
oses consécutives à l'ucario- tomie. M. Ballet a vu quatre cas de
maladie
de Dercum sans trou- bles psychiques. Syringo
cité de la sclérodacty lie rendit le diagnostic difficile au début.
Maladie
de 7cc ? NMM)t. avec dystrophies . MM. Klippel
névrite ancienne avec gaines vides. Ces cas se diuerencient, du la
maladie
de Duchenne par la paralysie du facial supérieu
raitiste, pour façonner, avec tout son relief, la description d'une
maladie
. 11 n'était pas seu- lement un peintre délicat,
av ail v ient d'être fait dans le numéro de février de la Revue des
maladies
de l'enfance ( ll.)06, p. 70), par 11. P. Savorna
2 au 7 avril 190G, à l'Université de Giesseii,dans la clinique des
maladies
mentales et nerveuses, sous la direction du D''
s ; trois soeurs en bonne santé. Pas d'all'ections nerveuses, ni de
maladies
mentales déclarées dans la famille; nous n'avon
onnels,on ne relève qu'une rougeole à l'âge de six ans, pas d'autre
maladie
jusqu'à douze ans. Pendant sa jeunesse, cauchem
T1 : CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 183 à la faveur de la longue durée de la
maladie
. Les mouve- ments conjugués des globes oculaire
t admettre ici que la cliorée résulte d'une toxi-infection : aucune
maladie
infectieuse n'a été relevée chez notre malade a
ile ou retardé, puisque les acquisitions psychiques, au début de la
maladie
, étaient restées très restreintes. Deux modes d
esants pour leurs forces, n-'ont pu résis- ter et ont versé dans la
maladie
. En ce qui concerne ces cas spéciaux, ce sont a
uilaires ; il est probable que ces faits n'ont rien il voir avec la
maladie
de Marie qui comporte par définition l'byperbypop
e pathologique (par biopsie) sur la fibre musculaire striée dans la
maladie
de Parkinson; par SONNA SALARIS. (Rivista di pa
us évoluer et où les symptô- mes délirants ont paru imprimer il. la
maladie
une allure parti- culière, au point de justifie
lucinatoire très marqué. Evolution lente d'abord, puis rapide de la
maladie
. Lésions très accentuées de la pie-mère cérébra
chir la litL·m- 212 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ture de cette
maladie
, dont l'origine thyroïdienne paraît admise aujo
deux premiers soient intimement liés et résultent en général d'une
maladie
infectieuse qui, en lésant la thyroïde, amènera
une indiscutable et rapide améliora- lion..1. S;GI.AS. XXI. - La
maladie
de Westphall-Strümpell, à type West- phall, c'e
r sans l'affirmer l'origine rhumatismale de la téta- nie. G. C. -
Maladie
d'Addison avec troubles sympathiques ; par M. C
s deux symptômes à des troubles du sympathique. C. C. - Un cas de
maladie
d'Addison avec troubles sym- pathiques ; par II
lléd. des Hôn. de Lyon, 11 avril 1905.) Sujet de 25 ans, atteint de
maladie
d'Addison, avec pigmen- tation un peu spéciale
squels les manifestations hystériques sontsur- venuesau cours de la
maladie
du roelll'. sans qu'il soit possible d'incrimin
frère el de la soeur al- teints de symptômes tenant à la fois de la
maladie
de Friedreich et de l'hél'édo-ataxie cérébelleu
antiles post-infectieuses, lesquelles peuvent succéder à toutes les
maladies
de l'enfance, mais qui, du préférence, se'ren-
l décédé le 22 février 1900, âgé de 55 ans, à la suite d'une courte
maladie
(grippe avec complications cardiaques et, pulmo
on dévouement, ayant certainement contracté dans ses infirmeries la
maladie
qui l'a si promptement terrassé. Il est mort au
l est une série de cas où il semble que le traumatisme imprime à la
maladie
men- tale un cachet spécial C'est « quand il a
ntérieure du malade, hormis ce qu'il lui en a dit. Le début de la
maladie
paraît remonter à quatre ans : à la suite d'enn
lt;03, mai 1905, n° 2.4J7. Assimilation aux accidents du travail de
maladies
causées par le plomb, le mercure, l'arsenic, le
canique des muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les
maladies
ner- veuses. (Id., Ibid). t. - L'insensibilit
hérapie, de la rééducation et de l'hydrothérapie. F. T. XXXVII. -
Maladie
osseuse de Paget, trois cas observés dans une m
e acide dans celle du rachitisme infantile. F. Tissot. XXXVI IL -
Maladie
de Thomsen et sarcoplasma ; par Léopold Lévi.
oplasma ; par Léopold Lévi. M. Lévi, étudiant la pathogénie de la
maladie
de Thomsen, montreque, s'il existe des différen
oit d'hypergénèse sarcoplasinique ; il en est ainsi pour les cas de
maladie
de Thom- sen congénitale avec lésions musculair
cérébelleux en fait partie. On voit, par l'étude pathogénique de la
maladie
de Thomsen, comment la physiologie se rattache
de Tiegel, la myotonie intermit- tente de \lartius et Hansemann, la
maladie
de Thomsen, Le bien commun à tous ces cas, est
u point de vue de 334 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'âge, la
maladie
est survenue de 45 60 ans avec une proportion d
mptomatologique on peut décrire quatre formes bien distinctes de la
maladie
de Charcot : 1° type ordi- naire médullaire (tr
ltanées de tabès jeune et de paralysie générale jeune réalisant une
maladie
unique de tout le névraxe (conception de Ilayno
Salpêtrière, 1905, n° 3.) Observation d'un chien qui ayant eu la «
maladie
du jeune âge » présenta dans la suite le tablea
n chez un ani- mal d'une méningo-encéphalite, consécutivement à une
maladie
infectieuse. F. .'l'ISSOT. ŸLL\ ? C
rôle dans la pathogénie des neurasthénies, 11syc ! ¿onè')J'oses et
maladies
orpa- niques du système nerveux, particulièreme
tion de l'épaule ; 2° Varioloïde (causes, signes et marche de la
maladie
) - Signes et diagnostic de la hernie étranglée.
era décerné à l'auteur du meilleur travail sur la thérapeutique des
maladies
mentales et sur l'organisation des asiles publi
lleur ouvrage ou obtenu les meilleurs résultats de guérison sur les
maladies
mentales en en arrêtant, ou en en atténuant la
sera décerné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les
maladies
nerveuses. , Prix Gelièure. -1.S00 francs. - Qu
ncs. Ce prix sera décerné il à l'auteur du meilleur travail sur les
maladies
mentales. Nota. Les concours de l'Académie sont
cadémie de Médecine, consacré plus de quarante années à l'étude des
maladies
mentales el, à l'amélioration du sort des alién
l'AimAS (B). Ballléatioli et hydrothérapie dans le traitement des
maladies
nre·ztales.ItaltporL présenté au Congrès des méde
e. Actes inconscients Gâtisme. Incapacité absolue de se diriger. La
maladie
est attri- buée à un traumatisme remontant à de
dico-pédagogiques, gratuites pour les enfants indigents atteints de
maladies
du système nerveux, le jeudi à 9 h. 1/2. RE
édition) : 1° La migraine et l'épilepsie sont toutes les deux des
maladies
héréditaires, les parents des migraineux et des
nt l'apparition tient souvent à quelque hasard imprévu. 5° Ces deux
maladies
sont également précédées de signes précurseurs
une lassitude profonde consécutifs sont également propres aux deux
maladies
dont il est question. 7° Différentes autointoxi
a diathèse urémique surtout sont souvent conco- mitantes à ces deux
maladies
. 8° Comme conséquence d'un excès d'épuisement,
es (monoplégies, oph- talmoplégies dans la migraine). - 90 Les deux
maladies
ont été considérées comme incurables. -10° Dans
ossibilité de guérir un groupe assez con- sidérable de cas de cette
maladie
. Malgré le court espace de temps qui nous sépar
ie. C'est ainsi que Rochford (1) dé- montre que la migraine est une
maladie
toxique, à action réflexe et excitante sur les
la dégénérescence, mais que leur rap- port est tel que l'une de ces
maladies
se joint à l'autre. La syphilis, l'alcoolisme e
vient après la migraine. La migraine semble être le symptôme de la
maladie
fondamentale de l'épi- lepsie. (1) Iintc. - G
ique. De même les hallucinations auditives sont communes aux deux
maladies
, fait indiqué par Robiolis (migraine auditive),
s, etc. En faisant l'examen des principaux phénomènes de ces deux
maladies
à crises, Cornu dit que le « symptôme principal
mi- nutes, elle soupira profondément et se mit à nous exposer sa
maladie
. Un examen scrupuleux nous donna les résultats
tration des épileptiques, non seulement pour les délivrer de lcur
maladie
, mais encore dans le hut de délivrer la société
e les syndromes du même ordre qu'on rencontre au cours de certaines
maladies
générales, rhumatisme chronique, diabète ou mêm
aines maladies générales, rhumatisme chronique, diabète ou même des
maladies
du système nerveux comme la syringo- myélie. M.
oujours été suivies de rechute et finalement le dernier cycle de la
maladie
accomplitson évolutioncomme dans les cas ordinair
ésenter ces rémissions, que la méningite tuberculeuse n'est pas une
maladie
nécessairement mortelle. Il peut y avoit- des l
d'un traumatisme. 11. Il. LU, - L'hypophyse et la pathogénie de la
maladie
de Ba- sedow ; par SALMON. (Revue de médecine,
N. (Revue de médecine, mars 1905.) L'auteur émet l'hypothèse que la
maladie
de Basedow parait devoir son origine à une into
ant, pendant ou peu après l'inoculation du bacille de Nicolaïer, la
maladie
apparaîtra plus facilement que chez un témoin i
422 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'injection du bacille, l'apparition de la
maladie
peut ett'eretantëe de beaucoup. Est-ce à quelqu
a pas pu découvrir le parasite de Schaudinn dans les lésions de ces
maladies
qui seraient dues à l'action des toxines et non
'hôpital Cochin, où le docteur Richelot diagnosti- qua aisément une
maladie
nerveuse. 11 fit mine de croire,lui aussi, à l'
Nord). FAITS DIVERS Hôpital de la Pitié. Leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux. - M, le Dr Babinski reprend
tème nerveux. - M, le Dr Babinski reprendra ses conférences sur les
maladies
du système nerveux le samedi 5 mai 1906. Hospic
de la SALPÊTRIÈRE. - Le D1- DENY : conférences clini- ques sur les
maladies
mentales, le dimanche à 10 heures, section Ramb
dieo-pedagogiques, gratuites pour les enfants indigents atteints de
maladies
du système nerveux, le jeudi à 9 h. 1/2. . Co
iénés de la Roche sur-l'on. L'existence de troubles mentaux dans la
maladie
de Charcot n'est pas admise sans conteste. Dans
e Charcot n'est pas admise sans conteste. Dans ses leçons sur les
maladies
de la moelle (1892), M. P. Marie les si- gnale
retraite. C'est à ces ennuis que sa soeur attribue l'éclosion de la
maladie
actuelle qui a toujours été en progressant depu
s crus célèbres et promettait vingt mille francs à qui guérirait sa
maladie
. Octobre 1903. - Le malade est tout à fait impo
t pro- duits plus ou moins fréquemment durant tout le cours de la
maladie
. Il faut enregistrer encore des hallucinations
ur. Un frère, idiot, mort dans un asile. La malade n'a jamais eu de
maladies
graves, elle n'a jamais fait d'excès alcoolique
faire de bles- sure apparente. C'est à peu près à ce moment que sa
maladie
se serait développée. n'a pas connaissance du c
traumatisme cranien que le malade a dit avoir subi un an avant sa
maladie
,il paraît avoir été bien léger etdetrop peu d'im-
p peu d'im- portance pour avoir joué un rôle dans la genèse de la
maladie
. J'ai vu dans mon cabinet, en mai 1905, un mala
rement paralysée. Une soeur bien portante. Il n'aurait jamais eu de
maladies
graves et a fait son service mili- taire à La R
mili- taire à La Roche ; pas d'excès alcooliques. Le début de la
maladie
actuelle remonte à un an environ et s'est fait
ars 1906, deux ans après son entrée, trois ans après le début de la
maladie
. Dans cette observation, nous voyons évoluer à
hie primitive pseudo-hypertrophique à une période avancée de leur
maladie
, ainsi que j'en ai observé tout récemment un cas
des de la dégénérescence voi- sins, qui rentrent dans le groupe des
maladies
d'origine conceptionnelle ou héréditaire décrit
son service militaire dans la flotte ; il n'aurait pas contracté de
maladie
vénérienne. Il s'est ensuite fixé aux Sables en
signes bulbo -médullaires, qui sont ceux, presque au complet, de la
maladie
de Charcot. Si donc nous devons malgré tout por
la Archives, 2. série, 1906, t. XXI. 31 450 CLINIQUE MENTALE.
maladie
de Charcot, se poursuit au-delà de la capsule in.
eurolo- gistes, les affections du système nerveux ne sont pas des
maladies
; si ce ne sont que des syndromes, des associa-
, bul- baires et cérébro-psychiques. (1) F. Raymond. Clinique des
maladies
du système nerveux, pre. mière série, Paris, 18
u mois de septembre 1901 (la même année de son entrée), quand une
maladie
lui survint, maladie qui nécessita un long séjour
1901 (la même année de son entrée), quand une maladie lui survint,
maladie
qui nécessita un long séjour à l'infirmerie. Ce
t l'anencéphalie sont le résultat, à des de grès divers, d'une même
maladie
inflammatoire destructrice de l'axe cérébro-spi
s. L. WAHL. LXXV. - Des altérations cytologiques du sang dans les
maladies
mentales ; par Klippel et LEF : 1S. (L'Encéphale,
u sang sont en rapport avec la marche et le caractère spécial de la
maladie
causale. Il y a prédominance des polynucléaires
la maladie causale. Il y a prédominance des polynucléaires dans les
maladies
infectieuses et toxiques ai- guës, des mononucl
ec ces données il est souvent possible de confirmer la nature d'une
maladie
, soupçonnée pour d'autres raisons comme étant à
soûl le résultat direct non pas de l'alcool lui-même, mais d'une
maladie
surajoutée aux lésions préalablement provoquées p
votre ordre, un rapport indiquant l'état du malade, la nature de sa
maladie
, les résultats du traitement; en suite de quoi, v
tal de la personne à placer et indiquant les particularités de la
maladie
et la nécessité de faire traiter la personne dési
quemment dans la paralysie générale, à toutes les périodes de la
maladie
, dans les formes soit démentielle, soit délirante
nales, par Gilbert Ballet et Laignel-Lavas- line, 198. Addison.
Maladie
d'- avec trou- bles sympathiques, par Chavi-
'- avec trou- bles sympathiques, par Chavi- gny, 215. - Un cas de
maladie
d'- avec troubles sympnthi- ques, par Courmon
, par Féré, 141. Basedow. L'hypophyse et la pa- tliogénie de la
maladie
de -, par Salmon, 418. Voir Dégé- nérescence
n cas de pré- coce, par Doutrebente et Mar- chand, 497. Dercum.
Maladie
de - sans trou- bles psychiques, par Le Play,
que des muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les
maladies
nerveuses, par Bcchte- rew, 3.10. Excitations
ôle dans la pa- thogénie dles neurasthénies; psy- cho-nëvroses et
maladies
orga- niques du système nerveux, par- ticuliè
ues, par Bonnier, u22. Oreille. Des accidents psychiques liés aux
maladies
de 1' et de ses annexes, par Jacques, 71. Orn
Pachyméningite interne post-trau- malique. par Rose, 81. Paget.
Maladie
osseuse de , trois cas observés dans une même
thologique (par biopsie) sur la fibre muscu- laire striée dans la
maladie
de , par Sanna Salaris, 208. Paysanne. La -,
rome - d'origine névritique, par Comte, 155. Pseudosclérose. La
maladie
de Westphall -Strumpell, à type Westphall, c'
chemitch, 144. Rectum. Voir Localisation spinale. ReckIingausen.@
Maladie
de. - avec dystrophies, par Klippel et Mailla
Deschamps, 73. Sang. Des altérations ytoiogi- ques du - dans les
maladies
mentales, pnr Klippel et Lefas, 501. L Sarc
, par Kelsch, 421. Tête. Voir Yeux, Déviation. Thomsen. Un cas de
maladie
de , par Meeus, 4G. Maladie de - et Sarcoplas
r Yeux, Déviation. Thomsen. Un cas de maladie de , par Meeus, 4G.
Maladie
de - et Sarcoplasma, par l.e,i. Thyroïdo-érét
i, mettre à la portée de tous un moyen simple et facile de guérir les
maladies
, tel est le but que nous nous proposons d’attein
les mains de tous un instrument précieux comme moyen rie traitée les
maladies
; d'une application facile, elle offre sous ce ra
es dü magnétisme, afin d’en faciliter l’application au traitement des
maladies
; et c’est en prouvant tout le bien que le magnéti
jusqu’à présent comme inexplicables (comme, par exemple, différentes
maladies
), mais plus encore par rapport à la sphère intéri
FORCE EST SUSCEPTIBLE D’UNE APPLICATION RIGOUREUSE AU TRAITEMENT DES
MALADIES
. Sans rechercher quel est celui qui a découvert
d’eux en particulier, ce que nous avons observé enfin dans les cas de
maladies
que nous avons eu à traiter. Mous croyons que c’e
la porter sur le système nerveux, ou bien encore lorsqu’on traite une
maladie
très-aiguë ou une affection chronique très-ancien
us seconder, il se lie avec vous, devient votre auxiliaire, et, si la
maladie
est curable, il prend alors la direction des trav
malade comme type, car il n’est pas encore question du traitement des
maladies
ni de l’action thérapeutique du magnétisme, mais
l faut ici, plus qu’ailleurs, savoir bien distinguer le produit de la
maladie
et du travail naturel qui se fait dans l’organisa
s. Aussi, pour plus de clarté et de certitude, nous allons laisser la
maladie
se caractériser et la prendre ensuite lorsqu’elle
d’ailleurs que le magnétisme a été bien rarement employé au début des
maladies
graves; ce n’est jusqu’ici qu’à la fin et lorsqu’
pu précéder tout médecin. FIÈVRE ATAXIQl'E. Dans un cas où cette
maladie
avait parcouru ses périodes, je magnétisai pour m
res étaient d’une roideur extrême (il était au quatorzième jour de sa
maladie
). Ces symptômes alarmants étaient survenus a la s
l’a placé au milieu des aliments pour le nourrir. De même, comme la
maladie
considérée dans sa première cause n’est qu’//z?,
alité de l’existance et l’utilité de ce moyen dans tous les genres de
maladies
paroît être suffisamment constaté depuis plusieur
une institution la plus précieuse de se guérir et de se préserver des
maladies
. Les médecins, qui spécialement voudront se vou
suivie dans mes principes, et la méthode de traiter toutes espèces de
maladies
tant internes qu’externes, et qui pourra servir d
pour y être traités et guéris, dans l’espace de quelques heures , de
maladies
noissantes, et pour prévenir ainsi les maladies à
quelques heures , de maladies noissantes, et pour prévenir ainsi les
maladies
à se former. Par cette mesure, on pourra empêch
médecine; b de l’instruction dans l’art de guérir et de préserver des
maladies
, faisant partie de l’instruction publique; c il s
le culte national certains procédés qu’on indiquera pour prévenir les
maladies
, pour guérir celles qui sont à leur noissance et
i sont en effet réels et des développements critiques des certaines
maladies
, par leur apparence merveilleuse et inexplicable
i quelques-uns de ces essais les plus remarquables par la gravité des
maladies
. Vous y verrez se développer celte Imine qui m’a
uccès des autres moyens ne laissaient aucun doute sur la nature de la
maladie
. Le magnétisme, essayé plusieurs fois, se montra
« Miss *** de cette ville (Providence) , atteinte de cette cruelle
maladie
, a été traitée avec succès par le docteur Brownel
ions elle a eu le bonheur d’indiquer les causes et l’état de bien des
maladies
. L’exactitude de ses observations a inspiré tant
constances hésiteraient de s’y lier dans des cas de dislocation ou de
maladies
qui affectent les os, etc. Ce n’est pas une som
fois que cet organe ne sera affecté que sympathiquement, soit par une
maladie
du cerveau , de l’utérus ou des reins, vous ferez
ténesmes et les coliques, et pourront empêcher le développement d’une
maladie
qui mène souvent et rapidement à la mort. MEMBR
nerfs qui sont affectés ou sur l’articulation qui est le siège de la
maladie
, et vous descendez vos mains lentement comme si v
ensuite une magnétisation générale pour revenir encore au siège de la
maladie
. Et surtout ne craignez nullement, je vous le rép
e, les douleurs que vous aurez ainsi fait naître. On peut, dans ccs
maladies
, constater les phénomènes physiques les plus curi
xécutai quelques passes, et immédiatement le hoquet se dissipa. Cette
maladie
, qui avait fait craindre pendant deux jours les s
convalescence.» Bien qu’on se vante d’avoir, dans tous les cas de
maladies
, obtenu des guérisons surprenantes, ce qui est vr
e action. AFFECTIONS NERVEUSES EN GÉNÉRAL. Vous pourrez, dans ces
maladies
, reconnaître encore l’efficacité du magnétisme. E
F hypocondrie, et enfin de toutes les affections spasmodic/ues. Ces
maladies
ont de tout temps été traitées par le magnétisme;
étisme renferment un nombre prodigieux de guérisons obtenues dans ces
maladies
; je ne vous en offre pas le tableau pour ne point
, dit M. Rostan (1), la puissancedu magnétisme sera-t-elle bornée aux
maladies
du système nerveux? Nous savons que le cerveau ét
rde, mais pourtant très-commun. Revenons aux maux incurables. Les
maladies
ont, en général, un commencement obscur. Ce sont
oit replacé dans l’état aigu , c’est-à-dire dans la disposition où la
maladie
, montrant toute sa gravité, appelait les secours
hragme et l’extrémité du péricarde). — Est-ce toute la cause de votre
maladie
? — Non; mon ventro est aussi bien mal, mais je n’
teur Besuchet sur la gastrite. Cet habile praticien a fait dans cette
maladie
d’heureuses applications du magnétisme. Ecouton
le corps animal, peut devenir un mojen de guérir et de préseiver des
maladies
. Voilà en substance les principales découvertes
je voulus convaincre. Les premières guérisons obtenues sur quelques
maladies
regardées comme incurables enfantèrent l’envie et
ue de la puissance thérapeutique du magnétisme dans le traitement des
maladies
où je pense qu’il est de la plus grande utilité.
e pense qu’il est de la plus grande utilité. Je vais citer quelques
maladies
où j’ai réussi, et faire connaître quelques effet
n qui n’est pas à dédaigner. Comme il est probable que la plupart des
maladies
fatales commencent souvent par une simple irritat
igne de remarque: c’est que les patients que j'ai magnétisés pour les
maladies
ci-dessus désignées se servaient du même langage
nne de cette ville, fut atteinte, il y a environ dix huit mois, d’une
maladie
de peau invétérée, accompagnée d’une intolérable
EUX. Appelé auprès de miss E. M... de celte cité, je trouvai que la
maladie
avait son siège dans le côté droit de la face; la
t son traitement, cette demoiselle devint somnambule lucide, mais, la
maladie
guérie, je vis disparaître la lucidité et même to
gauche et ;;:s intestins, accompagnée du cortège ordinaire de .¡jette
maladie
, c’est-à-dire de fréquents accès de vomissements
atisfaisant en luttant avec avantage contre une telle complication de
maladies
que plusieurs juges expérimentés avaient jugées i
Je 1830, M""' F..., jeune femme de vingt-quatre ans, fut prise d’une
maladie
inflammatoire des plus intenses. Tous les viscère
ue la médecine la plus active fut employée par moi dés le début de la
maladie
, mais malheureusement sans aucun succès; les saig
fut inutile, ou du moins né parvint point à entraver la marche de la
maladie
. M. le professeur Fou-quinr, appelé en consultati
ne pour trouver les moyens de lever les obstacles que la nature et la
maladie
opposent à nos efforts. Il faut quelquefois force
qui président au développement des êtres, de la marche ordinaire des
maladies
, et enfin des propriétés nouvelles dont peut se r
es par excellence, pouvant, par conséquent, guérir un grand nombre de
maladies
sans que celui qui l’applique ait besoin de sorti
e nous tenons de l'observation. RÈGLES GÉNÉRALK8. Dans toutes les
maladies
accompagnées de crises ou de redoublement, et ell
ne foi, croyaient bien faire, mais agissaient trop. Dans toutes les
maladies
passées à l'état chronique, une heure de magnétis
tabli l’état naturel par celle seule pratique. Dans tons les cas de
maladies
que vous aurez à traiter chez les femmes, le flux
des organes, qu’exislc la première eause de toutes les aberrations ou
maladies
, et que conséquemment le remède, également commu
its les symptômes symptomatiques, et forment ce qu’on doit appeler la
maladie
(l). ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU. T
gue se contracte, comme un muscle, et ceci est bien précieux dans les
maladies
de cet organe, d’ailleurs si indolent. On niera c
eusement qu’il peut jouir de quelque puissance dans le traitement des
maladies
? Il n’est pas une de nos molécules qui ne soit
qui les ont ou peuvent les acquérir. Il ne s’agit plus d'un genre de
maladies
spéciales pouvant être influencées heureusement p
trois jours par le magnétisme. Des guérisons aussi promptes dans ces
maladies
, ordinairement si rebelles, sont chose fort surpr
sseurs qui font disparaître en quelques joursdes dartres, différentes
maladies
de la peau, et môme certaines affections scrofule
urs, pensent que certains magnétiseurs ont le pouvoir de guérir telle
maladie
de préférenceà telle autre, et expliquent les gué
servation, savoir: que les magnétiseurs les plus connus ont guéri des
maladies
diamétralement opposées, parlant que la puissance
nt que la puissance magnétique de chaque homme n’est pas bornée à une
maladie
spéciale. Ce qui est l’expression des faits. •
ne lucidité qui leur donne des idées positives sur la nature de leurs
maladies
, sur la nature des affections des personnes avec
s absurdités, et magnétiser, avec obstination, des personnes dont les
maladies
ne pouvaient en rien être modifiées par le magnét
ui il no se produit que par une déviation des forces vives, certaines
maladies
et l’emploi du magnétisme. Sa durée est limitée.
itecture s’introduisit dans mes songes. Dans les derniers temps de ma
maladie
surlout, je voyais des cités, des palais que l’œi
ait de longs tourments, et ne me quitta , en effet, qu’à la fin de ma
maladie
. Jusqu’alors la face humaine s’était mêlée à mes
luide ne/veux, cause des modiGcalions que l’on peut apporter dans les
maladies
et princpale-nient dans celles du système nerveux
doit à celte médecine de la nature la guérison d’une complication de
maladies
qui aurait déjoué le talent de beaucoup de célébr
personnelle. Une jeune Anglaise, nommée Lucie Clark, affectée d’une
maladie
épileptique, me fut amenée pendant que j’étais à
et Stir-ton, de lilairgowrie. Le jeune homme, soigné pendant toute sa
maladie
avec une extrême bonté et générosité par le docte
prolongé; peut-être aussi était-il trop tard; car, dans ces affreuses
maladies
, le sang est souvent corrompu, et alors l’opérati
de la sensibilité, ajoute : « On ne saurait nier «pic, dans certaines
maladies
, il ne se développe une surexcitation do la sensi
ois nécessaire, dit Cabanis (1), de rappeler ici particulièrement ces
maladies
aiguës singulières, dans lesquelles on voit naîtr
n’avaient point existé jusqu’alors... L’on voit aussi, duns quelques
maladies
extatiques et convulsives, les organes des sens d
autres qui voient assez (1) Cabanis, T mémoire : de l'influence des
maladies
sur la formation des idées et des affections mora
e personnes sont mortes à la vue d’un cadavre ensanglanté. Ce que les
maladies
et les tortures les plus cruelles lie peuvent fai
ôpitaux pour y essayer l’application de ma doctrine au traitementd es
maladies
. Que pouvais-je désirer de plus ? Historien de
ux que noire art peut soulager ou guérir. Le cas le plus curieux de
maladie
s’offre à mon observation; après avoir justifié d
Il paraîtrait donc résulter de ce qui précède que dans son étal de
maladie
cet enfant aurait évidemment éprouvé les bons e
s h la société tout entière et à M. Simon en particulier. Son état de
maladie
a été consulté par le docteur Penoyée, membre de
, comme Jacquart, faire un nœud sur une corde tendue, mais guérir des
maladies
rebelles à la médecine, sans employer aucun remèd
gt ans. J’abrége cette description. Voilà pour le magnétiseur une
maladie
propre à exercer son savoir et sa patience; car,
ordres. A une autre époque 011 exorcisa des malheureuses affectées de
maladies
en tout semblables à celles dont je viens de vous
pour le succès du magnétisme. Qu’ai-je donc à opposera une cause de
maladie
inconnue dans sa nature:' Je n’ai qu'uneforce au
nseignés par mes devanciers, je n’ai en rien changé les symptômes des
maladies
. Il m’a fallu provoquer, dans les moments de calm
nt ne cédit que, le. dernier jour du traitement. baris leur état de
maladie
, rapprochées ou éloignées, elles s’accusaient mut
; mais, outre qu’ils ne s’adressaient qu’à des malades affectés de
maladies
nerveuses, et par conséquent impressionnables, il
ce qui est le produit de vos efforts ou de la marche naturelle d’une
maladie
dont la gravité se manifeste de plus en plus. Ici
d’une grande étendue, et qui durait depuis quatre uns et demi. Cette
maladie
est la suite d’une inflammation de la membrane sy
illeure; à tel point que, si je n’eusse pas connu l’histoire de cette
maladie
, beaucoup de doute eût dû naître en mon esprit su
age «l’une mélluule présentée comme un nouveau moyen de combattre les
maladies
. » Il esi vrai que Ferdinand VII, influencé par
cueillir de la bouche de ces braves gens les particularités «le leurs
maladies
el de leur traitement. Nous publierons le résulta
ui se fait en nous. Cependant il est de tous les instants. Il esl des
maladies
qui procèdent comme la vie, à petit bruit, et qui
espère, bien pénétré de cette vérité par l'exemple de quelques cas de
maladies
que je vais citer tout à l’heure. Ceci dit, je re
re, surtout pour les observateurs peu exercés, dans le traitement des
maladies
. Le magnétiseur, dans ce cas, a donc tout à faire
t les muscles se dessinent davantage. J’ai ainsi vu se terminer une
maladie
scrofuleuse au bout de cinq mois de magnétisation
travers d’un linge plié on quatre et appliqué sur la tumeur. § II. —
MALADIE
AUX MILLE NOMS. Je me sers de cette définit ion
n, dure depuis plus de dix ans : hystérie, hypocondrie , mélancolie ,
maladie
imaginaire , humorale , rhumatismale , affection
ratique du magnétisme. Sans ma persévérance aurais-je pu guérir celte
maladie
rebelle à tous les genres de traitements? Et si j
eux qui habitaient cette maison : l’insomnie, à la longue, amenait la
maladie
, el la maladie, en redoublant la frayeur, était s
ent cette maison : l’insomnie, à la longue, amenait la maladie, el la
maladie
, en redoublant la frayeur, était suivie de la mor
vous oublier? vous avez souffert cruellement delà perte d’un fds. La
maladie
, profitant de l’épuisement causé par la douleur,
in- tenant les opérations les plus graves sc font sans douleur, les
maladies
rebelles â la médecine sont guéries par le magnét
et je tâcherai d’établir les lois qui président à la santé comme à la
maladie
. Il est temps cette nuit de cesser tout travail.
est ici le lieu do vous entretenir de la contagion ou inoculation des
maladies
. Le sujet est grave cl mérite une sérieuse attent
tir les maux d’autrui, ils sont exposés h prendre et à s'inoculer les
maladies
des personnes avec lesquelles on les met en rappo
« J’ni consulté un jour mon somnambule Vielet sur « les espèces de
maladies
qui pouvaient le plus aisé-« mont se communiquer
ée. Faisant unjour des expériences sur un jeune homme affecté d’une
maladie
syphilitique dont j’ignorais l’existence, «es gen
de votre corps; cela se trouva vrai chaque fois. N’ayant jamais eu de
maladie
, n’ayant jamais souffert, lorsque je sens quelque
nerveuses épilepti-l'ormes, ma/a 1rs (/re j'ai guéries, quoique leur
maladie
fût grave cl de'’à ancienne, eh Lien, quoiqu’elle
’est pas elle qui décide, pas plus que la raison. C’est une espèce de
maladie
qui vous prend, vous domine, et n’a souvent pour
a suite d'un traitement magnétique qui lui avait été ordonné pour une
maladie
qui n’avait point son siège dans l’abdomen. Deu
Jamais ces qualités ne changeront, pénétrez-vous-en bien. Toutes les
maladies
par lui peuvent être influen- cées, modifiées;
? Traitant sous les yeux d’un médecin un jeune enfant affecté d’une
maladie
nerveuse, mon traitement était agréé par le médec
ue le magnelisme peut être un grand auxiliaire pour le traitement des
maladies
. Ce qui nous fera toujours insister sur ce point,
disposition, trouverait de l’aide dans bien des cas, surtout pour les
maladies
intérieures et dont l’indication n’est pas toujou
érence à donner aux procédés conseillés pour combattre celle affreuse
maladie
. Plusieurs membres opinent pour une magnétisation
ion que la plupart des folies ne sont « que des crises imparfaites de
maladies
), il ne le guérira « qu’en lui occasionnant des a
ons du tissu cellulaire des jambes, adections qu il croit liées à une
maladie
du cœur. D’aulres membres préconisent l'emploi
; avec son secours aussi, j’ai obtenu un grand nombre de guérisons de
maladies
déclarées incurables par des médecins qui jouisse
résent à la consultation, qui connaisse les symptômes apparents de la
maladie
, pour reconnaître si elle ne se trompe pas de mal
eur siège et leurs fonctions. Après cela, elle remonte aux causes des
maladies
, les désigne avec les circonstances, et ordonne l
ait sortie dans le môme étal qu’elle y était entrée : on déclarait sa
maladie
incurable. La somnambule magnétisée simule les at
é mal soi-« gnée ; on lui a fait des saignées qui lui ont aggravé «sa
maladie
. Nimportc, clic sera bientôt guérie si « on la ma
laisser, chaque fois, une heure dans le sommeil. « La cause de celte
maladie
est une frayeur. » Au bout de quinze jours la m
ui d’une bonne santé. Cependant plusieurs médecins avaient déclaré la
maladie
incurable. CANCER CARDIAQUE. Au mois de mars
de l’œsophage, la mahde éprouve une forte douleur. Depuis six mois la
maladie
s’aggrave chaque jour; la voix est presque éteint
ins et subi di\ers traitements sans pouvoir arrêter les progrès de la
maladie
. La somnambule, après avoir examiné la malade s
aisir de vous donner un abrégé des principales circonstances de leurs
maladies
, et de ce qui s’est passé dans lo cours des séanc
tut. Elle étaitalors séparée de sa mère, atteinte, en province, d’une
maladie
assez grave. Une nuit, cette jeune personne ré va
s malheurs de celle vie que pour nous faire connaître le bonheur : la
maladie
l'ail chérir la santé el la possession n’a de pri
affectée de pneumonie. Remarquant dans la période décroissante de sa
maladie
une grande tendance à l'hystérie, je résolus de l
mis en rapport avec un jeune enfanl dont la mère ne veut pas dire la
maladie
, est immédiatement pris d’accès épileptique. Cet
rétablit le rapport pour savoir quel serait le remède à opposer à une
maladie
dont la nature s’est révélée spontanément â l’esp
rent le malade, ce travail n’est autre chose qu’une aggravation de la
maladie
. Vos raisons seront sans puissance sur des gens p
es discerner, distinguer du travail destructeur qui a lieu dans toute
maladie
grave. Prononcez-vous alors, annoncez le succès s
cez le succès si vous y croyez, et, dans le cas contraire, montrez la
maladie
, plus forte que vous, amenant à grands pas la fin
insomnie faisaient dire à la malade, déjà atteinte deux fois do cette
maladie
, (pic cet. état durerait six semaines. Après une
s logis au 2“' régiment de cuirassiers, nommé Roy, affecté de la même
maladie
, mais moins intense, en est guéri en deux magnéti
ux. 477 Menstruation. 437 Méthode magnétique de M. Du Potet. 33
Maladie
aux mille noms. 360 Névralgie frontale. 555 —
RIE DE CHAULES HÉRISSEY. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRKCTION
ls se trouvent sous l'influence du sommeil. Il peut se faire que la
maladie
rende la cellule nerveuse plus impressionnable
tte courte digression ne sera pas inutile, quelques-uns niant cette
maladie
comme forme mor- bide spéciale, et la rattachan
me, constitue la manifestation essentielle, carac- téristique de la
maladie
. Je sais qu'une telle forme morbide a été niée;
quoi ? La raison, je le crois, en est surtout dans l'imitation. Les
maladies
mentales ne sont pas à ce point des espèces dét
l suffit de se rappeler comment nous avons défini et limité cette
maladie
. On verra alors qu'ils doivent le plus souvent
e dans nos Observations III et VI, ou l'existence anté- rieure de
maladies
fébriles, qui jetteront du jour sur la vie céré
, qui jetteront du jour sur la vie cérébrale de l'accusé. Parmi ces
maladies
fébriles, la fièvre typhoïde semble mériter une
tat des organes génitaux, d'autant plus que chez la femme, quand la
maladie
éclate durant les années d'activité génésique,
e soigna a déposé que déjà peu intelligent, il était sorti de cette
maladie
plus affaibli encore au point de vue intellectu
pyromanie les crimes dont il avait été accusé, qu'un retour de la
maladie
était sans doute à craindre pour l'avenir, mais
CINE LÉGALE. intellectuelle des impulsifs au feu chez lesquels la
maladie
est indépendante de toute autre. Vuel... a. fin
ient. II. Dans un très grand nombre de cas le diagnostic de cette
maladie
est impossible par l'examen direct, soit à caus
l'enfance; développement et troubles de l'intelligence ; névroses ;
maladies
fébriles; 5° hé- rédité nerveuse; 6° puberté, m
e et qui aurait pu se prolonger vraisemblablement longtemps sans la
maladie
accidentelle qui l'a emporté, me semble encore
systématisée (p. 382) (Die Ve7@ûcktheil) et la considère comme une
maladie
toujours secondaire et consécutive à la mélanco
Lehrbucie der St6rt : ngen des Seelenlebens, 1818. 2 Esquirol. Des
maladies
mentales... T. II, 1838. a Griesinger. Traité d
rol. Des maladies mentales... T. II, 1838. a Griesinger. Traité des
maladies
mentales. Traduction française de Doumic, 1865.
ques en idées de persécution, puis de grandeur. Dans soc Traité des
maladies
mentales (1860), il adopte le mot de folie syst
liniques 1852, t. 1, p. 163 à 106 et 363 à 367. à Morel. Traité des
maladies
mentales, I S60 . Archives, t. XIII. 5 66 REV
ls, il faut la chercher le plus souvent dans l'hérédité et dans les
maladies
nerveuses et céré- brales de l'enfance entravan
rrifiantes, s'accompa- gnant d'idées de persécution. A l'acmé de la
maladie
, l'inco- hérence est telle qu'on croirait à un
mitifs non seulement des états psycho- neurotiques, mais encore des
maladies
infantiles, des trauma- tismes, qui ne sont sou
cessus de réflexion ayant pu donner lieu' aux 'idées délirantes; la
maladie
a un caractère stable, profondément constitutio
signer ;au début une date précise'. Le symptôme dominant dans cette
maladie
est le subjectivisme morbide déjà signalé par S
déjà faite par Samt, et distingue deux. formes principales de la
maladie
, eu éqard à la pathogénie : 1° la forme originair
ux entrent ensuite dans le domaine de la conscience, ainsi dans les
maladies
qui nous occupent, les représentations mentales
) décrit des cas de folie systématisée, déve- loppés à la suite de
maladies
fébriles, de l'état puerpéral, d'a- bus alcooli
nale. Tuczek 2, étudiant l'hypochondrie, dit que ce n'est pas une
maladie
autonome, mais un symptôme de mélancolie ou de
certaines formes du délire chronique dans le cadre nosologique des
maladies
mentales ; aussi était-il tout d'abord nécessai
. En clinique mentale, comme en pathologie ordinaire, il existe des
maladies
à invasion brus- que et inopinée, à marche esse
leurs manifestations, que par surprise, par heurts et par à-coups,
maladies
soustraites à toute loi évolutive et échappant
ition congénitale. Ce qui est non moins vrai, c'est que beaucoup de
maladies
aiguës de l'enfance n'ont un si grave retentiss
en pathologie, de ne pas mesurer seulement les conséquences d'une
maladie
quelconque à son intensité intrinsèque, mais enco
plus qu'un pâle reflet d'un passé déjà lointain. A cette date de sa
maladie
, l'individu se présente sous les dehors de la f
tibles, puisque ce ne sont là que des aspects différents d'une même
maladie
dont ils traduisent seulement une saillie sympt
des paralysés généraux parvenus aux stades les plus avancés de leur
maladie
. Ils ont en réalité presque tous besoin de soins
ode anatomo-clinique. (Voy. Localisations cérébrales de M. Charcot.
Maladies
de l'encéphale et localisations de M. Nothnagel
er spreche) ; Charcot et Marie (Revue de médecine 1883); Notimagel (
Maladies
de l' encéphale, p. 466, note 4). Archives, t.
ar série de poussées. Enfin les psychoses sont analogues aux autres
maladies
cérébrales. De même qu'au milieu de convulsions
croissant qui représente l'es- 116 s BIBLIOGRAPHIE. sentiel de la
maladie
, et sur lequel les délires et les troubles de la
uelque autre vice a été la cause occasionnelle de l'explosion de la
maladie
. En d'autres cas, la folie systématique peut pers
ontribution à l'étude des albuminuries transitoires dans quel- ques
maladies
du système nerveux; par H. Michel. (J.-B. Bail-
lement à un trouble de la nutrition organique dû lui-même soit à la
maladie
nerveuse primitive, soit à des doubles vasomote
complètement l'hystérie de l'enfance. (Progrès médical, 1882-1885.
Maladies
du 118 ô BIBLIOGRAPHIE. système nerveux, t. I
roubles des facultés affectives sont un des premiers symptômes delà
maladie
. La symptomatologie est la même, à peu de chose
L'isolement est le mode de traitement le plus actif à opposer à la
maladie
. L'hystérie infantile revêt quelquefois le cara
r, le plus promptement pos- sible, le corps de la jeune fille et la
maladie
dont elle se disait atteinte, et à faire une sé
revit plus. Les muscles de son visage étaient assez gonflés par la
maladie
; mais, cependant, ils n'é- taient ni tuméfiés n
t remar- quer, sur le rapport des mêmes personnes, que dans cette
maladie
si singulière, la jeune fille ne commença pas bru
élas 1 pourquoi êtes-vous si curieux de rechercher les causes de ma
maladie
? Ah ! je vous en conjure, suspendez un peu vos
oitait habituellement des deux jambes, ce qui ne provenait d'aucune
maladie
, mais venait de naissance. La mère ayant été in
fance et l'adolescence, la jeune fille ne souffrit rien, à part les
maladies
habituelles, la dentition, de légers malaises e
Et voilà pourquoi comme rien au monde ne peutêtre tenté contre une
maladie
si terrible, et contre les perpétuelles défaill
un des juges de son pays, vint me trouver pour me consulter sur une
maladie
qu'il avait depuis quelque temps. Lui ayant dem
c., se retrouvent dans la plu- part des cas de ce genre. A quelle
maladie
rattacher les phénomènes observés chez Appollon
que la question des aliénés n'a en réalité qu'une base solide : la
maladie
qu'il faut reconnaître, le malade qu'il faut so
1838 exigeait bien pour tout placement volontaire un certificat de
maladie
signé par un médecin; mais ce document pouvait
'histoire. Tenez ! on vous dit tous les jours que le traitement des
maladies
mentales par certains moyens empiriques très in
rpe ». De ce jour-là, sans parler des précédents, le traitement des
maladies
mentales se trouvait, en définitive, éclairé pa
souvent pas rompus aux difficultés de cette science si délicate des
maladies
mentales et étaient tout à fait insuffisants. J
êté du 18 octobre 1886 : M. le Dr Pichon, chef de la cli- nique des
maladies
mentales de la Faculté de Paris, est nommé méde
e de l'asile de Bron, est nommé pour deux ans, chef de clinique des
maladies
mentales à la Faculté mixte de médecine et de p
ctobre 1886, à l'âge de cinquante-sept ans, à la suite d'une longue
maladie
. Le D George C. CATLETT, directeur de l'asile d
i en 1877, le Dl Catlett fut nommé professeur de physiologie et des
maladies
nerveuses et mentales. Le Dr Catlett était très
s'appliqua spécialement à l'étude des manifestations nerveuses, des
maladies
d'assimilation et spécialement à l'application de
tilité dup/tyc" ! 0f/ ? '<tp/te en médecine »; « du Coma dans la
maladie
de Bright chronique » ; « du diagnostic précoce
Bright chronique » ; « du diagnostic précoce de la chronicité de la
maladie
de Bright ». Il a également publié un certain n
eux ». La plupart de ses études furent publiées dans le Journal des
maladies
nerveuses et mentales de New-York. (The Journal
Fernand Roux (de Paris), pour son Traité pratique des pags chauds (
maladies
in- fectieuses).' Prix Portai. G00 fr. Le goi
, un plus grand nombre seraient mis en mesure de bien connaître les
maladies
mentales; 3° il y aurait moins de dépenses pour
176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. CiiAncoT (J.-11.). - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, pro- fessées à la Salpêtriè
de), célibataire, est entré le 18 novembre 1886 dans le service de=
maladies
nerveuses delà clinique de l'Université à Helsing
Université à Helsing- fors. Son père, mort à soixante-dix ans d'une
maladie
de poi- trine ( ? ). était un buveur invétéré ;
as eu d'autres enfant ? . Le malade ne pense pas qu'il y ait eu des
maladies
nerveuses dans sa famille. Il dit avoir toujour
886, nez 16, où Sclitiltze jelate la continuation de l'histoire de la
maladie
du cas de Friedreich, néphrite, qui s'est ajout
anche, comme une diffé- rence certaine entre le paramyoclonus et la
maladie
des tics convulsifs (Charcot), le fait que dans
Quant à la chorée électrique, au moins une partie des cas de cette,
maladie
mentionnés par Henoch doivent probablement, ' L
de Friedreich, l'affection a été un peu douloureuse. L'âge où la
maladie
s'est montrée diffère beaucoup. Le ma- lade de
thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques
maladies
de l'en- céphale. Paris, 1870. Etudes clin, et
l'en- céphale. Paris, 1870. Etudes clin, et thermométrique sur les
maladies
du système nerveux, 1872-1873. Recherches clin.
déclin, méd., 1879 p 63. -Axenfeld et Huchaid. Traité pratique des
maladies
du système nerveux, 2' édit. Paris, 1883, p. 78
t. Paris, 1883, p. 782. -- Gowers (W.-R.). De L'épilepsie et autres
maladies
convulsives chron., trad. Carrier. Paris, 1883
hron., trad. Carrier. Paris, 1883 p. 168. Grasset. Traité prat. des
maladies
du syst. nerv., 3' éditzoz,. Ioutpellier et Par
e : 216 CLINIQUE NERVEUSE.TEMPERATURE DANS L'ÉPILEPSIE. UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. 217 Î rature a fourni des résult
5 à 6 dixièmes de degré. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH ; Par Peul BLOCQ, interne des hôp
ilité et de l'indemnité de la sensibilité. En raison du début de la
maladie
dans l'adolescence, il pense qu'il s'agit d'un
endre que des auteurs comme Bourneville aient voulu voir dans cette
maladie
une forme fruste de la sclérose en plaques ». D
usqu'à présent en France, aucune n'est aussi conforme au type de la
maladie
de Friedreich que la suivante : Paul Par...,
ement bien portants. Il est fils unique, et n'a lui-même eu d'autre
maladie
antérieure que la rougeole à l'âge de cinq ans,
e cinq ans, et quelques manifestations strumeubos. Le début de la
maladie
actuelle remonte à dix ans. Il se plai- gnait à
coordination motrice crut graduellement jusqu'au point où UN CAS DE
MALADIE
DE FRIEDREICH. -219 elle en est actuellement. L
ait pas appuyée. La parole a été embarrassée presque au début de la
maladie
. Un an après le commencement de son affection,
ena aucune amélioration. Aussi, malgré les progrès croissants de la
maladie
, est-il resté depuis chez lui sans suivre aucun
observe rien d'anormal au repos, mais si l'on 220 RECUEIL DE FAITS.
MALADIE
DE FRIEDREICH. ordonne au malade de porter son
usqu'à prétendre que l'auteur allemand s'égare pour différencier la
maladie
qu'il décrit du tabes vrai. Nous avons égalemen
forme guérit ou passe à l'état chronique. Elle peut succéder à des
maladies
aiguës, à l'état puerpéral, à des accès hystéri
lecture de ce travail présenté à la Société de psychia- trie et de
maladies
nerveuses de Merlin (avril 1883), une discussion
ue; mais il a vu des fous systématiques à une période avancée de la
maladie
(démence), avoir des conceptions mélancoliques
tement développé), mais dans le second groupe (cérébro-psychoses ou
maladies
du cerveau invalide) que se trouve la Wahnsinn.
: a, la Wahnsinn hallucinatoire suraiguë et aiguë avec exaltation (
maladies
menstruelles) ; -b, le délire des grandeurs man
que déjà développée. Alors interviennent des causes occasionnelles (
maladies
aiguës, ménopause, traumatismes). Cependant, mê
montrant que le délire n'est qu'une phase, le point culminant de la
maladie
. Le déve- loppement, les caractères, la marche,
ans ces cas d'un élément constitutionnel pou- vant faire prévoir la
maladie
: aucun symptôme habituel de neuropathie. 3°
ins d'hérédité que dans la manie ou la mélancolie. 5° La période de
maladie
des formes aiguës et le début de celle des form
és. Troubles du sommeil. Phénomènes d'an- goisse. Vers la fin de la
maladie
, l'intelligence est émoussée. Impossibilité d'é
e n'était l'habitude des termes médicaux, on pourrait appeler cette
maladie
blépharospasme hystérique. Ce n'est pas une aff
nent du nom de délirants chroniques une catégorie d'aliénés dont la
maladie
suit toujours une même évolution, évolution fatal
; ils ne sont l'un et l'autre que les aspects différents d'une même
maladie
dont ils traduisent seulement une saillie sympt
type nosologique et une véritable entité morbide dans le cadre des
maladies
mentales. La description et l'évolution en sont
s caractères bien tranchés, pour les confondre en une seule et même
maladie
à la- quelle on donnerait une dénomination qui
nque de clarté et qui rendrait, à mon avis, plus obscur l'étude des
maladies
men- tales. -' M. A. Voisin rapporte qu'il a
mentale et 53 fois seulement, il a trouvé l'aliénation mentale sans
maladies
constitutionnelles. M. Charpentier est loin cep
et, c'est là un accident dont il faut se méfier chez cette sorte de
maladie
, même en n'employant que l'excitation par la lu
ition établissant que ces asiles « sont exclusivement consacrés aux
maladies
mentales ». Pourquoi, messieurs, le projet du G
les établissements spéciaux seront consacrés « exclusive- ment aux
maladies
mentales », le Gouvernement s'était servi d'un
ence, et le Gouvernement l'a admis, de substituer à l'expression de
maladies
mentales l'expression plus précise d'alié- nati
es condamnés deve- nus aliénés. Lorsqu'on sait, messieurs, qu'une
maladie
qui se propage sur- tout par l'hérédité, qui to
es actuels, il y a un grand nombre d'individus qui sont affectés de
maladies
mentales qui ne sont pas l'aliénation, d'infirm
rement'd'accord avec-la commission. Mais où pourra-t-on traiter ces
maladies
spéciales, si dignes d'intérêt ? Dans lae asiles
publics et privés soient exclusivement consacrés à la guérison des
maladies
mentales, vous arrivez à une impossibilité ; vo
s asiles existants et ceux qui peuvent se fonder, au traitement des
maladies
mentales seules. 11 faut laisser la porte de la
où l'on se trouve en présence d'un conseil de famille prévenu de la
maladie
et autorisant le traitement à domicile. Du rest
dans lesquelles il peut y avoir des malades. On cache avec soin les
maladies
de ces personnes... ... Vous allez les obliger
préconise le même traitement surtout dans les formes torpides de la
maladie
et lorsque le salicylate de soude est contre-in
Ville-Evrard et Villejuif. 304 BIBLIOGRAPHIE. XIV. Leçons sur les
maladies
du système nerveux faites ci la Salpé- trière ;
s questions relatives à l'alié- nation mentale, aux névroses et aux
maladies
simulées qui se trouvent soumises au contrôle m
t rencontrer un historien plus compétent et plus exact. XVII. Les
Maladies
épidémiques de l'esprit. - Sorcellerie, magné-
4 vol. gr. in-8" de 430 pages, illustré de 120 gravures. il y a des
maladies
épidémiques sur l'esprit comme il y en a sur le
e en Europe on jette les yeux vers l'Orient, on trouve là une autre
maladie
de l'esprit, celle des fumeurs d'opium, qui s'e
adé que les sociétés, comme les individus, peuvent être frappées de
maladie
, on reconnaîtra sans peine que le mal de notre
un discours « sur les conditions favorables au (lévelop- pement des
maladies
nerveuses et mentales en Russie et des mesures
ours sont les suivantes : l'augmentation rapide' et continuelle des
maladies
nerveuses et mentales en Russie tient principale-
déterminent les bons établissemenfs d'aliénés sur la diminution des
maladies
nerveuses et mentales. A la séance suivante (
pereur Alexandre III, méd.-dir. : M. Niki- foroff ; 5° Clinique des
maladies
mentales de l'Académie médico-chirurgicale mili
'y a pas même une chambre spéciale pour isoler un malade atteint de
maladie
con- tagieuse. 11. Alors que presque partout
on a constaté une augmentation assez considérable des guérisons des
maladies
qui jusqu'alors passaient pour incurables. Actu
nclusion : Il n'y a pas lieu d'arrêter que, d'une façon absolue les
maladies
mentales seront un motif de divorce, mais bien
l'après-midi, la,Faculté de droit de Paris, un cours libre sur les
maladies
mentales au point de vue de la responsabilité e
an. 320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. CHARCOT (J.-M.). répons sur les
maladies
du systènze fte''t)6Mj;, pro- fessées à la Salp
ns par r éhilehsie procursive de donner quelques' exemples de cette
maladie
. Le premier concerne un malade atteint déjà dep
rison de Poissy d'abord, sur celle de Gaillon ensuite à cause de sa
maladie
; que la condamnation n'en a pas moins été maint
ans et demi, enfant naturel, peintre en bâtiments, n'a fait aucune
maladie
depuis son mariage, à l'âge de vingt-cinq ans ;
iné, a eu la rougeole à l'âge de deux ans, mais n'a eu aucune autre
maladie
éruptive ou infectieuse, ni otite, ni ophthalmi
es objets qui l'en- touraient et qui avaient été posés là depuis sa
maladie
: 36'(- CLINIQUE MENTALE. L'amélioration ment
t l'interprétation n'a pas été bien définie. Le mode du début de la
maladie
est très intéressant aussi à signaler. Nous voy
a se voit dans la plupart des cas de mélan- colie avec stupeur, la.
maladie
débuter par une exci- tation maniaque violente.
res lésions ont dû jouer un certain rôle dans la forme mentale dela
maladie
decet individu maisrious ne pouvons encore, vu
en rapport avec les hallucinations et l'agitation du début de la
maladie
? C'est possible, mais nous ne pouvons l'affirm
icité de cas semblables. ' Luys. - ri-aile clinique et pratique des
maladies
illeilltiles, 1881. 366 PATHOLOGIE NERVEUSE A
ulaire. Athérome artériel très prononcé. Le malade n'a jamais eu de
maladie
apparente de l'oreille, pas d'écoulement ; les
uel il restait peu de chose à ajouter, mais encore assignèrent à la
maladie
sa véritable caractéristique anatomo-pathotogiq
moindres détails, la description du médecin amé- ricain. Sur une
maladie
particulière résultant de l'usage des spiritueux
au New England Journal of Médecine and 6'M< ? )822.) Parmi les
maladies
nées de l'usage des spiritueux, il en est une p
être envahies en premier lieu dans quelques cas ; mais, lorsque la
maladie
est déjà ancienne, la douleur est plus intense
uciante, mais elle varie d'intensité aux différentes périodes de la"
maladie
. Lorsqu'il y a quelque temps que la maladie s'e
rentes périodes de la"maladie. Lorsqu'il y a quelque temps que la
maladie
s'est établie, il survient dés contractures des
us puissants que les exten- seurs, comme cela se voit dans d'autres
maladies
. Le corps tout entier, sauf l'abdomen, diminue
la face n'offre pas l'apparence de maigreur commune à beaucoup de
maladies
viscérales. Cette diminution de volume s'observe
s décolorée. 11 n'y a aucun épanchement sous la la peau dans cette,
maladie
, et son caractère spécial nait de quelque chang
semblable dans quelques cas de paralysie. Peut-être, dans les deux
maladies
, les causes sont-elles sem- blables, car il y a
paralysie ordinaire. Les symptômes les plus caractéristiques de la
maladie
siègent dans les membres; mais la douleur ne s'
u a parfaitement conscience des horribles douleurs cau- sées par sa
maladie
. La douleur empêche le sommeil que procure seul
eil que procure seulement l'opium. Dans le cours progressif de la
maladie
il peut souvent sur- venir des affections spasm
Salpêtrière (service de M. Charcot). Père, mort à la guerre, pas de
maladies
nerveuses. Mère, encore vivante, pas de maladie
la guerre, pas de maladies nerveuses. Mère, encore vivante, pas de
maladies
nerveuses. Frères et soeurs, bien portants, pas
pas de maladies nerveuses. Frères et soeurs, bien portants, pas de
maladies
nerveuses. Oncles et tantes, de même. Lui-mêm
aranoïa avait une base dégénérative soit par hérédité (77) soit par
maladies
de l'enfance compro- mettant le développement d
endant elle est tout, constituant quelquefois à elle seule toute la
maladie
(P. indifférente), se retrouvant dans les prodr
s par l'exposé de la place qu'occupent dans sa classifica- tion des
maladies
mentales les différentes formes de Paranoïa3. A
ables altérations vasculaires ; mais impossible de déterminer si la
maladie
a commencé par une congestion active avec épais
c'est là une vérité frappante, qu'il y a des degrés dans toutes les
maladies
. On est atteint d'une maladie, mais on ne peut
qu'il y a des degrés dans toutes les maladies. On est atteint d'une
maladie
, mais on ne peut pas savoir, à son début, quell
ors qu'on ne sait en aucune manière quelles seront les suites de sa
maladie
, vous allez mettre la maison de ce tiers, de ce
Ah ! je comprends que vous interveniez efficacement lorsque cette
maladie
s'est traduite par des faits qui ne laissent aucu
ait n'est pas apparu, tant qu'on n'est pas certain du progrès de la
maladie
, je dis que l'administration ne peut pas interv
ami une per- sonne que l'on croit malade, mais sur la gravité de la
maladie
de laquelle on n'est pas édifié. Voici, en ef
Voici, en effet, ce que je lis dans ce rapport : « En matière de
maladies
, il est permis de se dire, pour se justifier, qu'
oisses pour l'avenir d'un être chéri dominent même le chagrin de la
maladie
présente; la maladie, on va la soigner, on la g
un être chéri dominent même le chagrin de la maladie présente; la
maladie
, on va la soigner, on la guérira, qui en pourrait
ainsi que les choses ont lieu maintenant. » Je disque tant que la
maladie
ne s'est pas traduite par un fait extérieur qu'
'abri de toute surveillance étrangère, un de ses membres atteint de
maladie
, est une incon- testable vérité pour toutes les
atteint de maladie, est une incon- testable vérité pour toutes les
maladies
, pour tous les cas, un seul excepté, celui de l
berdts, 302 ; Alala- dies du système nerveux, par Charcot, 304 ;-
Maladies
épi- démiques de l'esprit, par Re- gnard, 307
; hypnotisme. sommeil provoqué, somnambulisme, suggestion névroses,
maladies
mentales et nerveuses, médecine légale, pédagogie
t relatant de nombreux succès dsns ses applications au traitement des
maladies
. Tout d'abord Braid se montre préoccupé de donn
nel est mort à Bicotre. mais nous ne sommes pas arrivé à connaître sa
maladie
. De neuf enfants, notre malade seul et une lillc
il n'avait aucune pour de l'espace, mais une fois rentre en ville sa
maladie
redevenait tyrannique. Ceci rentre duns ce que no
il ne fait que pleurer. Ajoutons que pendant les six ans qu'a duré sa
maladie
il a eu recours à toutes sortes de médicaments; i
s recherches cliniques ont prouvé depuis longtemps que la plupart des
maladies
infectieuses sont capables de provoquer comme com
ormuler le diagnostic suivant:Psychonévrose survenue ù la suite d'une
maladie
infectieuse sur un terrain hystérique cl entreten
i et surtout par votre ccour. ¦ • · Pour ce qui est du rôle des
maladies
infectieuses dans le développement de ces psycho-
lu vie pénitente l'avaient tellement afTaihli, qu'il en cutunc grande
maladie
. » Il couchaitsur uno paillasse posée sur un lit
malades s'adressent à elle ; qu'elle leur prend la main, énonce leur
maladie
et dicte l'ordonnance au D' Gibert ; que, même en
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
ndications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des
maladies
mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. l
é appelé par un commissaire de police à fin de s'assurer s'il y avait
maladie
ou simulation chez une jeune fille de vingt ou vi
rs pratiques sont complétées par des prières destinées à conjurer les
maladies
ou â compléter l'action exercée par les toucheurs
oduire qui puisse légitimer leur action. Le choc moral, créé par la
maladie
, peut certainement établir une tendance à accepte
10° Les ébranlements du système nerveux consécutifs aux crises des
maladies
convulsives, (hystérie, épilepsie). Les agents
'a jamais eu aucun trouble relatif à celte fonction. Le début de la
maladie
remonte à décembre 1895, c'est-à-dire à Irois ans
omure, le massage, l'électricité, mais rien ne put empêcher que celte
maladie
ne devint stable et durable. Les jours se passa
e cas rentre done, par ses caractères, dans la première variété de la
maladie
des tics. Nous n'avons pas les anomalies du langa
,' Técholalie, la coprolalie qui constitue une deuxième période de la
maladie
des tics, ni l'imitation des gestes (échokinésie)
le ftc convulsif selon la division que Grasset fait de cette bizarre
maladie
des tics, qualifié encore Névrose tiqueuse ou Mal
e cette bizarre maladie des tics, qualifié encore Névrose tiqueuse ou
Maladie
de Gilles de la Tourelle. Est-ce à dire que le te
urelle. Est-ce à dire que le terrain n'était pas prédisposé et que la
maladie
n'a pas eu une tendance à progresser? C'est possi
ent survenus. Traitement. — Jl est aisé de comprendre que, dans une
maladie
où la cause la moins discutable est l'hérédité ne
urs partagent cette opinion en ce qui concerne la thérapeutique de la
maladie
des tics. (1) G. ÂNDttu : Les nouvelles maladie
thérapeutique de la maladie des tics. (1) G. ÂNDttu : Les nouvelles
maladies
nerveuses, 1892, p. 18*2./page> page n="77"&
erai de citer ici l'opinion de M. Grasset (i) : a Le traitement de la
maladie
des tics, dit-il, est le paragraphe le plus ingra
. Grasset pense que « cet agent ne saurait avoir aucune action sur la
maladie
des tics proprement dite, et qu'il n'a de chance
se tiqucuse. » Malgré l'opinion générale, les cas de guérison de la
maladie
des tics par l'hypnotisme sont déjà très démonstr
ique associée à l'action psycho-mécanique. (1) GkaïSEt : Traité des
maladies
nerveuses, tome II, p: 592. (i) ? chût : Congrè
e de Dieu qu'il no pouvoil sjuffrir qu'elle fûl violée.» Pendant la
maladie
qui l'emporta il recevait, entre autres visites,
humble, il est soumis comme un enfant » U prononça au cours do celte
maladie
, ces fameuses paroles plus profondément vraies qu
e, ces fameuses paroles plus profondément vraies qu'on ne croit, « La
maladie
est l'état/page> page n="79"> naturel d
-huit ans. Ses deux frères, Biaise, et Louis, qui fit de fréquentes
maladies
dans son enfance, avaient été élevés comme lui da
iter Clermont avec sa mère et Marguerite. Continuellement accablée de
maladies
, elle mourut le 9 avril 1695, après uno vie malhe
et que Biaise Pascal tout au moins était né avec les principes d'une
maladie
de l'activité. Pourtant ils furent moins victim
savoir, d'après le caractère intrinsèque de ses crises, rattacher la
maladie
ù sa cause véritable, soit à l'hystérie, soit à ï
ien-tifiques leur donnant toute compétence pour traiter eux-mêmes les
maladies
et faire concurrence aux médecins ». Le jugemen
, 97. 2, 261.)/page> page n="94"> habituellement toutes les
maladies
pourvu que leur traitement ne consiste pas à admi
teur ait voulu laisser les simples magnétiseurs libres de traiter les
maladies
au moyen de procédés qu'ils emploient; qu'en effe
/page> page n="95"> l'hypnotisme appliqué au traitement des
maladies
à l'exercice de la médecine; qu'ainsi, il n'y a p
cientifiques leur donnant toute compétence pour traiter eux-mêmes les
maladies
et faire ainsi concurrence aux médecins ; Atten
nsives et ne devraient dès lors être utilisées pour le traitement des
maladies
que par des personnes compétentes, qu'ainsi, dans
l'une ou l'autre hypothèse, la prétention des prévenus de traiter les
maladies
peut compromettre la sante et la vie des citoyens
ce du hameau retiré où il cultive lui-môme son lopin de terre. Pas de
maladie
antérieure autre que les habituelles pyrexies de
inue la fréquence ou la violence/page> page n="102"> de ces
maladies
. Par exemple elle modérera la toux d'un tubercule
ical contemporain, si remarquable par ses résultats, vers l'étude des
maladies
nerveuses ; et aussi tout le mouvement contempora
unité indépendante, vis-à-vis des éléments étrangers et des causes de
maladie
. En fondant ce large vitalisme que nous verrons r
me temps, il fonde l'élude clinique des/page> page n="106">
maladies
du cœur que, la veille encore, Portai déclarait i
« physiologique » était simplement un anatomisme outré, supprimant la
maladie
qui devenait un être imaginaire, admis exclusivem
bral, pendant quOllivier d'Angers résume les données acquises sur les
maladies
de la moelle. Enfin Duchenne de Boulogne, Broca
nscience, la personnalité n'ayant pas subi l'effritement d'une longue
maladie
. » o Ainsi cette sorte de rupture se fait de de
nt uuc ad ion microbicide. Elle devient ainsi notre alliée contre les
maladies
. Mais que sait-ou is. cet égard de la lumière éle
grande simplification. Le principe ùe la doctrine est idéaliste : les
maladies
existent principalement par la représentation que
is. Mais je suis un guérisseur envoyé par Dieu. -le guéris toutes les
maladies
avec son aide et un onguent qui est merveilleux e
pie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
le jeudi 2? Octobre courant, u 10 heures et demie, à la clinique des
maladies
nerveuse», 49, rue Saint-André-des-Arts. 11 le co
-4° Rôles des intoxications et des infections dans la pathogénie des
maladies
mentales et nerveuses, rapporteurs : Pr D'Abundo
hôpitaux de Paris. Le célèbre praticien renommé comme spécialiste des
maladies
de l'enfance est décédé à GO ans, dans sa belle p
issait !a valeur du l'action psychothérapique dans, le traitement des
maladies
de l'enfonce et nous considérons comme un devoir
traits qui feront mieux comprendre l'état d'àme de notre héros : « La
maladie
dont notre époque souffre le plus, c'est la lâche
1882, — Recueil de lettres parisiennes, 1884. — Paradoxes, 1885.— Les
maladies
du Siècle, 1889. Les derniers travaux publiés c
eutlerencontreral'Institut hypnotique du Dr Bérillon où il étudie les
maladies
nerveuses (') et il écrit parfois en excellent fr
poir des malades et aussi de l'entourage, de se trouver en face d'une
maladie
inguérissable. Les malades sont presque toujours
teur et aux profanes des discours scientifiques sur la nature de leur
maladie
, s'ordonnant à eux-mêmes les cures les plus insen
Après un examen minutieux, on fait part au malade du diagnostic de sa
maladie
et, avant tout, du pronostic qui n'est toujours p
ument de sa volonté. Son ancienne manière de voir sur la nature de la
maladie
lui sera mise sous les yeux comme tout à fait fau
qu'il contribuera à répandre une plus grande clarté sur cette sombre
maladie
et aidera à préserver les malheureux malades des
nt prises comme remèdes parce qu'elles ont une vague analogie avec la
maladie
qu'elles doivent guérir. Nos paysans mangent de
qu'elles doivent guérir. Nos paysans mangent des carottes dans les
maladies
du foie parce qu'un aliment jaune doit être souve
elle serait citée dans les ouvrages de Pline. Pour se préserver des
maladies
, les sauvages portent comme fétiche une image gro
i. — Amulette» des Giliaks contre FIg. 3 et 3. — Fétiches contre les
maladies
du ner les maladies de poitrine. et contre celles
Giliaks contre FIg. 3 et 3. — Fétiches contre les maladies du ner les
maladies
de poitrine. et contre celles du co*ur. à vertu
és guérir, un animal sacré. Voici une amulette des Giliaks contre les
maladies
de la poitrine et de l'abdomen ; un crapaud est p
ssinent sur ses lombes un oiseau volant: précieux talisman contre les
maladies
de rein. Allons plus loin dans cette thérapeuti
plus loin dans cette thérapeutique des semblables. Pour guérir d'une
maladie
, il suffit de porter un fétiche représentant l'or
is taillé en forme de cœur et suspendu au cou forme le traitement des
maladies
cardiaques (Goldes). un nez grossièrement représe
mbes,les reins, etc., sont mobiles. Les Goldes ont, pour guérir les
maladies
de consomption, la phtisie, des poupées en bois l
le masque, et sa figure n'est plus la sienne propre maïs celle de la
maladie
dont le patient souffre et qu'il prétend guérir a
rir ainsi. Certains masques sacrés de Ccylan représentent ainsi des
maladies
. Ce sont principalement la contracture faciale et
rnée pendant la période d'hypnotisation, — et je lui affirmais que la
maladie
guérissait sous l'influence des attouchements non
ordre nettement défini et n'est pas plus déshonorante que Îouto autre
maladie
./page> page n="159"> CHRONIQUE ET CORRE
représenter comme un de ces hommes à système, qui traitent toutes les
maladies
par le même moyen et qui après tout n'ont pas tor
ou tel organe ou de telle affection, aient subi un commencement de la
maladie
vers laquelle s'étaient portées leurs études. C
ient à deux fois avant de se spécialiser, surtout quand il s'agit des
maladies
les plus douloureuses ou les plus désagréables.
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
le jeudi 26 Octobre L-ourant, à 10 heures et demie, à la clinique des
maladies
nerveuses, 49, rue Saint-André-des-Arts. Il le co
la suite d'une douleur morale, Charles Akakia du Mont,atteint d'une «
maladie
de langueur et de défaillance » (3); le norvosism
éris miraculeusement, c'est-à-dire par suggestion, le premier d'une «
maladie
longue et fâcheuse » (1), la seconde d'une hydrop
ux congestions cérébrales Fiançoise de Sainte-Marthe fut frappée dune
maladie
qui - se porta tout à coup à la tête » (5), lui e
e comme «néïresoz/^f malsain, maladif, prédisposé aux troubles et aux
maladies
du système nerveux, surémotif, et triste, humble,
t fut surtout un exemple de plus à joindre au livre de M. Ribot : Les
Maladies
de la volonté. La psychologie expérimentale dev
dénommer l'hystérie, puisque cette dernière consiste surtout dans une
maladie
de la volonté (pathos, thélésis). Il rapporte à c
ie et un laboratoire de psychologie ¦expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
le jeudi 14 Décembre courant, à 10 heures et demie, à la clinique des
maladies
nerveuses, 49, rue Saint-André-dcs-Arts. Il le co
les trauniatismes cérébraux ;— Le Caractère dans la Santé et dans la
Maladie
. Ces travaux ont été groupés depuis sous les ti
, Baillière, in-i2, 283 pages;— Le Caractère dans la Santé et dans la
Maladie
, Paris, Alcan, 18S7,, 227 pages ; — Hypnotisme et
on qu'elle est hystérique. C'est dans l'état mental qui résulte de sa
maladie
et qui en est une des caractéristiques principale
de 22 ans, M. D... C'est il y a 7 ans. à la suite d'une peur, que la
maladie
commença. Nous n'avons pas de renseignements préc
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensairo neurologique etpêr dngogiq
étaire général, le Dr Tïérilîon. Nous voici donc .n présence d'une-
maladie
psychique, véritable disharmonie fonctionnel!?; c
es néoplasies tuberculeuses qui ont envahi les méninges. Ce groupe de
maladies
a été bien étudié et est bien connu aujourd'hui.
n fait d'observation courante que le tuberculeux, au début même de la
maladie
, ou au cours de sa longue agonie, présente des va
l. Il est vrai que s'ils rapportent des changements de caractère à la
maladie
elle-même, ils en entrevoient fort mal l'origine
, qui constate sans expliquer, a cependant raison quand il dit : « La
maladie
aigrit et change le caractère du patient, ? Dans
volution des troubles cérébraux amena îo mutisme, la (t) Traité des
maladies
mentales. (2) Clinical lectures en .'Jental di
ou déments ou neuropathes sans rapporter ces troubles morbides à une
maladie
générale dont ils ne sont rouvent que les épisode
alingre et débile, que son enfance n'avait été qu'une longue suite de
maladies
, qu'il était sans doute tuberculeux, sa mère et s
re examiner maintenant. Si, dans la défense de l'organisme contre les
maladies
, les phagocytes ¦Jouent un râle très important,
uble: 1° il a une aciici ïe défense ;ïans la genèse do la plupart des
maladies
infectieuses; i-ecipruqwiiiiicni les agents infec
L'importance étiologiquc de In phtisie puimoraue dans l'origine des
maladies
mentales me semble à piéscnt ressortir nettement
athies coexcilant avec une/page> page n="251"> tuberculose,
maladie
infectieuse également, et enfin, des preuves expé
est néanmoins exacte dans les grandes lignes. D'après cet auteur, la
maladie
débute par une altération graduelle du caractère,
tégrité de l'état mental. L'état mental dit hystérique est bien une
maladie
à part. Ceux chez lesquels l'hystérie se manifest
pie et un laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispeiisaire neurologique- et pédagogi
ne âge. Les adjuvants de second plan sont : le jeûne, la veille, la
maladie
, la tristesse et l'humilité. Les adjuvants acce
Biaise Pascal, dans sa Prière pour demander à Dieu le bon usage des
maladies
, s'écrie : « Je crois que je ne puis aimer le mon
e la retraite. Dans sa Prière pour demander à Dieu le bon usage des
maladies
. Biaise Pascal écrivait : « Faites que je me cons
ndications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des
maladies
mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. l
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
tonnèrent les compagnons de l'un et les compagnes des autres. 2. La
maladie
. — Beaucoup de mes dévots étaient, on l'a vu, leu
le mise à part, des maladifs ou des malades. Or la maladiveté et la
maladie
sont de puissants adj uvants de la suggestion rel
ise Pascal écrivit une prière pour demander à Dieu « le bon usage des
maladies
. » Jacqueline Pascal priait aussi pour que sa s
que sa sœur Gilberte, dangereusement malade, fit « un bon usage de sa
maladie
» ('). D'autre part la dévotion de Biaise Pasca
exemples nous permettent dé concevoir les divers modes d'action de la
maladie
. Elle agit : 1° En déterminant des troubles psy
ernement. » Je demande alors d'amples détails sur l'évolution de la
maladie
et je fais insister tout particulièrement sur les
e menu ce qu'elle éprouve et ce qui s'est passé depuis le début de sa
maladie
. A l'aide des témoignages qui m'ont déjà été fo
teux, Mme B... jouit la nuit d'un sommeil calme, comme jadis avant sa
maladie
. Non seulement elle n'est plus la proie de cauche
thérapeutique qui convient dans les états mentaux en rapport avec les
maladies
infectieuses, les endo-ou exo-intoxicalions, les
fut atteinte d'une diphtérie des plus graves. Dans le cours de cette
maladie
, pour remédier à des troubles cardiaques, le méde
s 200 cas, la chorée est survenue ?? fois pendant la convalescence de
maladies
infectieuses. Cette constatation s'ajoute â celle
les reliquats nerveux ou mentaux que laissent souvent après elles les
maladies
infectieuses et que nous savons être justiciables
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
logie. 4 Avril. — Troubles des diverses facultés, et en particulier
maladies
de la volonté. Des moyens d'y remédier. il Avri
ière. — M. le professeur Raymond reprendra ses leçons de clinique des
maladies
du système nerveux le mardi 20 mars 1000, à dix h
n'ai pu retrouver le nom, a désigné par le terme do microsthésie une
maladie
du toucher, caractérisée par une altération spéci
il y ? trois mois, dans ses grandes lignes, la symptomatologie de la
maladie
de Parkinson, en particulier le tremblement tout
e d'hébétude, de tristesse, de passivité, si caractéristiques dans la
maladie
de Parkinson confirmée. Après avoir été trois foi
se demander si, malgré la symptomatologie du début, i! s'agit bien de
maladie
de Parkinson ou d'une affection qui la simule.
é une amélioration très appréciable. Luys a publié une observation de
maladie
de Parkinson, dans laquelle l'emploi de miroirs r
s avait amené la guérison. Charcot, d'ailleurs, ne considérait pas la
maladie
de Parkinson comme fatalement incurable./page>
idée obsédante. (1) Présentation de malades faite à la Clinique des
maladies
du système nerveux, à lo Salpetrière./page>
eurs. Survient une deuxième grossesse, qui évolue jusqu'à terme. La
maladie
s'aggrave encore, au point que la malade est obli
orizontal. En somme, il y avait dans ce cas une association de deux
maladies
: l'hystérie, la première en date, et la sclérose
bien à genoux. On guérira l'hystérie par la suggestion, et l'autre
maladie
suivra probablement son cours. 2e observation.
ves n'en finirait pas si nous n'y mettions un terme. Histoire de la
maladie
. — Dix jours avant son entrée à Phôpiial, elle eu
iendra donc d'appeler la démence épileptique-paralytique-spasmodique,
maladie
de Jules Voisin. Cette affection est une démenc
'intelligence et non la perte de cette dernière à un moment donné. La
maladie
de Little ne s'accompagne pas d'épilepsie; elle a
nu confirmer les données de la clinique et c'est â juste titre que la
maladie
de Jules Voisin doit être individualisée comme un
indications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitemen des
maladies
mentales et de l'alcoolisme. Rapporteurs : M. l
bulbaire d'origine cérébrale. .Vu point de vue de la nutrition et des
maladies
des reins, nous citerons, outre sa traduction et
sut* l'urémie et les néphrites et sur la perméabilité rénale. Mais la
maladie
qu'il a le plus spécialement étudiée et pour laqu
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique etpé-dagogiqu
Les névroses par épuisement nerveux. — La neurasthénie anxieuse. —Les
maladies
des sentiments et l'émotivité morbide. — Les phob
es.—Action spécifique de la musique chez les sujets hypnotisés. — Les
maladies
de la volonté. — Les aboulies. — Les impulsions i
à l'hôpital de la Pitié, reprendra ses conférences cliniques sur les
maladies
du système nerveux, samedi 28 avril, à dix heures
, ne devait pas avoir eu connaissance du tableau sympto-matique de la
maladie
, et que, par suite, il n'avait pû s'autosuggeetio
fîmes, d'autre part, remarquer qu'il n'était nullement établi que la
maladie
fut transmissible d'homme à homme par morsure ou/
gageront (et il y a déjà un commencement), à voir éclore une nouvelle
maladie
pour la famille ? » Le mieux, à son avis, était d
qu'il continuera chaque jeudi, à la même heure. Ce cours a trait aux
maladies
nerveuses et mentales. Dans sa leçon d'ouvertur
Gros, p. 65. Max Nordau, p. 129. Amulettes des Giliaks, contre les
maladies
de poitrine, p. 142. Fétiches contre les maladi
liaks, contre les maladies de poitrine, p. 142. Fétiches contre les
maladies
du nez et contre celles des oreilles, p. 142. A
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES - Rédacteur en chef: Do
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rédacteru en chef: Docteu
loyé comme méthode d'investigation psychologique ; 2° la clinique des
maladies
nerveuses et mentales ; 3° la pédagogie clinique;
hologiques et complètement épuisée enfin par l'invasion successive de
maladies
infectieuses redoutables : pelvi-péritonite blenn
ue, variole, influenza. C'est en 1892, à la suite de celte dernière
maladie
, que s'aggravèrent tous les symptômes d'une hysté
idée de la douleur et l'habitude de cette idée constituaient toute la
maladie
et que, si elle consentait à accepter le traiteme
odérer l'irritabilité du système nerveux. Chez les convalescents de
maladies
graves, l'action du sommeil provoque est égal
tre rendu plus pratiquement utile au soulagement ou à la guérison des
maladies
; et je n'hésite pas à dire que, dans les mains d'
t, le 25 mars 1800, d'une apoplexie, suivant certains rapports, d'une
maladie
de cœur, suivant d'autres ; il laissait une femme
ation pratique au soulagement et à la guérison de certaines formes de
maladies
; et j'y ajouterai un grand nombre d'exemples int
omaine de cette science, et il sera en outre augmenté d'un aperçu des
maladies
dans lesquelles le traitement hypnotique peut êtr
rennent part habituellement ou par direction suivie au traitement des
maladies
ou affections chirurgicales... en exceptant les c
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
ofit. La fillette paraissait bien portante, malgré ses trois .mois de
maladie
. Un examen rapide me montra que tout le membre in
à des mains prudentes. Est-ce là sa seule indication et, contre les
maladies
infectieuses, les traumatismes ou les troubles or
n'est plus rationnel. A quoi se borne l'action thérapeutique dans les
maladies
contre lesquelles nous ne possédons pas un traite
accidents nerveux; mais aussi comme mode de traitement de toutes les
maladies
: il peut être tour à tour ou simultanément, pour
nouvelles de sa santé, il partait aussitôt dans une description de sa
maladie
, me contant son histoire et les symptômes éprouvé
nnalité était une habitude professionnelle. Lorsqu'il me racontait sa
maladie
, il se dédoublait évidemment en deux personnages
de conduite : « Puisque cet homme, me dis-je, se joue une comédie de
maladie
, il faut, pour le guérir, lui faire jouer une com
cutifs observés, et rentrent du fait même dans un chapitre spécial de
maladies
fluidiques et et vitales, sine rnateria organique
ion de Chareot, mentionnent les phobies à titre de complication de la
maladie
de Bcard. Dans son livre sur la neurasthénie, M
qui a exercé un traitement médical sur un malade pendant sa dernière
maladie
? — Oui. Un tribunal peut-il trancher la questio
santé et les pharmaciens, qui auront traité une personne pendant « la
maladie
dont elle meurt, ne pourront profiter des disposi
res qu'elle aurait faites en leur faveur, pendant le « cours de cette
maladie
... » Art. 911. — « Toula disposition au profit
rie ; 3° Qu'ils aient traité la veuve Guindraud pendant la dornière
maladie
dont elle est morte ; Que le testament, qui l
tituait légataires universels, ait été fait pendant le cours de cette
maladie
. Disons de suite que le tribunal de Lyon, d'abo
aura exercé un traitement médical sur « un malade pendant sa dernière
maladie
; qu'elle s'applique notam-« ment aux empiriques,
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dûpemaire neurologique et pédagogique)
l ayant pour titre : De l'application de Vhypnntwne au traitement des
maladies
mentales, et M. le Dr Bérillon fit deux communica
es à la psychothérapie ont été également faites, à la section des
maladies
mentales et nerveuses : par M. A. de Joug (de La
Ce résultat est dû au libéralisme des organisateurs de la section des
maladies
nerveuses et mentales, MM. les professeurs Kojéni
valeur lorsqu'il s'agit de la suggestion hypnotique au traitement des
maladies
infantiles. La sugges-tibilitédea enfants est tel
niloquie, etc. 4° Les troubles psychiques survenant dans le cours des
maladies
aiguës, en particulier l'insomnie, l'agitation et
nce héréditaire. De l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales ('). Par A. A. Tokaksky, privat-doceot
. 13) L'application de l'hypnotisme chez des personnes atteintes de
maladies
mentales n'a qu'une importance secondaire. 14)
, et si on peut dire que, par l'hypnotisme, ont été guéries certaines
maladies
mentales, telles que des impulsions et des obsess
ut* pas en conclure que de l'application de l'hypnotisme dans les
maladies
en question, on pourrait toujours obtenir des rés
on peut tirer les conclusions suivantes. 15) Ce n'est que dans les
maladies
mentales, qui se caractérisent par l'excitation g
pétence, etc. 18) A l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales, il ne faut pas perdre de vue qu'au débu
t des maladies mentales, il ne faut pas perdre de vue qu'au début des
maladies
mentales aiguës la succeptibilité à l'hypnotisati
nuent, et même des personnes qui étaient très susceptibles avant leur
maladie
deviennent complètement réfractaires. La suscepti
s résultats par l'application de l'hypnotisme dans les périodes où la
maladie
commence à devenir stationnaire. 19) En ce qui
mence à devenir stationnaire. 19) En ce qui concerne les formes des
maladies
mentales, l'hypnotisme peut donner des résultats
ions hypnotiques proprement dites. 25) Ainsi dans le traitement des
maladies
mentales on ne peut pas mettre l'hypnotisme au de
es plus efficaces, restent très souvent sans aucune influence sur les
maladies
mentales, et il y a beaucoup de malades qui ne pe
ne peuvent être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des
maladies
nerveuses, l'hypnotisme et la suggestion doivent
sur sa propre chaise et écrire sur une feuille de papier pour chaque
maladie
sans exception, le nom de la drogue quelconque qu
octeur Wilks objecte contre la tentative qui est faite de traiter les
maladies
sur principes lorsque nous ne possédons aucuns pr
rapport aux changements qu'éprouvent les opinions pathologiques d'une
maladie
quelconque, il ajoute : « La méthode entière de s
ù il avait été reçu au doctorat avec une thèse très remarquée sur les
Maladies
héréditaires (¡837), les étapes parcourues par le
donné le nom de corpus Luysii. Son Traité clinique et pratique des
maladies
mentales (1881) avait été couronné par l'Institut
: Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal, sa structure, ses
maladies
(1865, in-8°); Iconographie photographique des ce
pl.); Des aciions réflexes cérébrales (1874, in-8°) ; Leçons sur les
maladies
du système nerveux (1875, in-S*} ; Des conditions
logistes russes et français. M. Raymond, professeur de clinique des
maladies
nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, a re
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
8 jours. Les autres vivent; ils sont bien portants et aucun n'a eu de
maladie
nerveuse ou mentale. La malade a eu la fièvre typ
lution -de se faire soigner. Il vient, dans ce but, à la Clinique des
maladies
nerveuses, qui est annexée à l'Institut psycho-ph
rès bien portant pendant son enfance; il n'a fait, prétend-il, aucune
maladie
, ni manifesté aucun accident nerveux. Bien qu'i
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
pitaux spéciaux et on publiait des résultats favorables dans diverses
maladies
. On mesmé-risait pour obtenir l'anesthésie chirur
60 Braid, employa l'hypnotisme avec le plus brillant succès, dans des
maladies
fort diverses. Après sa mort,- ces pratiques ne f
uelle varie beaucoup. Parmi mes premiers malades, j'eus peu de cas de
maladies
nerveuses graves ; et je réussis dans ma première
d'hypnotiser et do guérir augmente avec la gravité et la durée de la
maladie
, et avec l'instabilité. Cependant la durée de la
durée de la maladie, et avec l'instabilité. Cependant la durée de la
maladie
n'empêche pas toujours d'obtenir un résultat rapi
s marché 100 mètres. Insomnie, constipation, dépression mentale. La
maladie
avait résiste à la médication interne et externe
J'ai eu de bons résultats dans de nombreux cas, entre autres dans les
maladies
suivantes : Insanité morale, mélancolie, alcoolis
tous les cas; je me bornerai à indiquer les trois grandes classes do
maladies
où l'hypnotisme est surtout eilicace. J'ai guér
est morte en 1.888 d*un cancer du sein ; il commença à craindre cette
maladie
et arriva à s'en croire atteint au sein gauche. I
nt l'agité maniaque et le déprimé mélancolique sont, au début de leur
maladie
, d'ordinaire privés de sommeil. Le retour du somm
ne, et des troubles mentaux divers non systématisés. Le début de la
maladie
remontait au mois de septembre 1896. A cette époq
l'intelligence, t-1, p. 94, Note 1. Paris, 1883, in-16. (3) Ribot:
Maladie
de la personnalité, p. 132. Paris, 1S85, in-16.
rtenant en propre ù l'hystérie ou une prédisposition formelle à celte
maladie
. Ia L'étiologic de l'incontinence d'urine ne di
uent que le rôle d'agents provocateurs (émotions vives, traumatismes,
maladies
infectieuses). Enfin, les époques où le développe
cours d'une méningite, en l'année 1875. Parfaitement rétabli de cette
maladie
, il a joui d'une excellente santé depuis ce temps
1895, d'une lymphadénite cervicale très grave. Convalescent de cette
maladie
, il se sentit incommodé, vers le commencement de
namisme psychique. Trois variétés: 1'celles qui sont consécutives aux
maladies
graves; 2* celles qui sont dues à une diminution
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
lysie générale, constitue un important jalon pour l'histoire de cette
maladie
; elle rappelle l'hémianesthésie totale, y compri
elle des organes, sur leurs besoins, leur état de santé, leur état de
maladie
. Il est probable que c'est par cette voie que nor
sensations anormales qui rentreront dans l'histoire des symptômes des
maladies
du foie, de la respiration, de l'estomac, du cœur
i jour, ni nuit. » C'est tout ce qu'on peut tirer de l'histoire de sa
maladie
. Il a été six semaines, dit-il, à ne boire que
e guérir si je veux bien m'en occuper. Quoique très affaibli par la
maladie
, il a les apparences de la santé. Rien de notable
ue ledit tout justement M. de Jong(de la Haye), le fond môme de cette
maladie
. Il n'est pas probable, en effet, que les cause
et hystérique. « Ce n'est, dit M. Tokarsky (de Moscou) que dans les
maladies
qui se caractérisent par l'excitation générale du
uvent être rendus par ce moyen, non pas seulement dans le domaine des
maladies
nerveuses et mentales, mais dans celui de la rnéd
e description microscopique des lésions do la moelle épinièro dans la
maladie
de Duchenne. Les enseignements de la Salpùtrièrc
x cérébro-spinal, dont-il décrivit la structure, les fonctions et les
maladies
. Bientôt cette œuvre importante était suivie de
ecueillir les observations qui lui permirent de rédiger son livre des
maladies
mentales. Je ne saurais oublier de rappeler que
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
de présentations d'appareils. Faculté de Médecine. — Cliniques des
maladies
nerveuses: M. le professeur Raymond, les mardis e
nd, les mardis et vendredis, à 9 h. 1/2 (Salpétrière). Clinique des
maladies
mentales : M. le professeur Joffroy, les mercredi
C'est qu'ils redoutent cet hypnotisme, qui, leur a-t-on dit, est une
maladie
, une pratique dangereuse, et à la faveur duquel o
ons qui sont souvent employées dans les Vosges pour conjurer diverses
maladies
: Conjurations contre les coliques. — « Tranché
la Légion d'honneur, a succombé le 13 janvier 1898 aux progrès d'une
maladie
de eccur qui, depuis deux ans, avait suspendu son
était interne de Briquet; c'est là qu'il prit le goût de.l'étude des
maladies
nerveuses: il recueillit dans ce service les maté
decin des hôpitaux, Mesnet s'occupa avec une prédilection marquée des
maladies
du cerveau et du système nerveux. En 1856, il pub
a nécessité absolue de lutter contre les éléments psychiques dans les
maladies
parle moyen de la suggestion hypnotique, et vu, d
l'attention de l'assemblée si éminente, qui constitue la section des
maladies
nerveuses et mentales, sur les mesures de restric
ltats brillants et permanents et dont un médecin spécialiste pour les
maladies
nerveuses ou mentales ne peut pas et ne doit plus
connaître que la pratique de l'hypnotisme appliquée au traitement des
maladies
ne comporte aucun danger pour les malades, j'esti
ersey, sont depuis quelque temps atteints d'une manie singulière : la
maladie
de l'hypnotisme. On peut même dire que c'est une
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pé- da
DE LA SUGGESTION PENDANT LE SOMMElL NATUREL dans le traitement des
maladies
mentales. Par M. le Dr Paul Farez. Justificat
la suggestion hypnotique n'est d'aucun secours dans le traitement des
maladies
mentales et que même tous les aliénés sont réfrac
de l'hypnotisme et de la suggestion hypnotique dans le traitement des
maladies
mentales et des étals connexes. » (IV, 149.) — Qu
à l'avenir, une large place dans le traitement et la prophylaxie des
maladies
mentales, comme un auxiliaire d'autant plus préci
icultés surgissent. Tel aliéné, par exemple, n'a pas conscience de sa
maladie
; il affirme qu'il est en parfaite santé, il repo
mérite, à mon sens, d'occuper une large place dans le trailement des
maladies
mentales. Ainsi, lorsque l'aliéné n'est pas acces
ue de la suggestion pendant le sommeil naturel dans le traitement des
maladies
mentales n'a certes rien d'illégitime ou d'irrati
a libre direction de nos pensées (*). Chez les personnes affectées de
maladie
(Il Cette théorie est, dans ses grandes lignes,
é collègue et ami le Dr Mesnet a succombé le 13 janvier dernier à une
maladie
qui depuis deux grandes années le tenait éloigné
sagace qui, un des premiers, se livra avec grand succès à l'étude des
maladies
nerveuses qui font le sujet principal des travaux
omie avait été agitée afin de reconnaître s'il n'existait pas quelque
maladie
des ovaires. — Toutefois, un accoucheur de Paris
temps, déclarent trouver dans la volonté de l'homme l'origine de ses
maladies
et de ses cures, et recommandent àcette volonté,
é, redonnent du courage, de l'énergie, chassent les obsessions et les
maladies
, augmentent la tension vitale chez les hommes et
pie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladies
nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogiqu
stérie. 25 mai : La thérapeutique hypnotique et suggestive dans les
maladies
générales et organiques; dans les troubles d'orig
fièvres, la dyspepsie. Il arrivait même à améliorer les symptômes des
maladies
organiques telles que l'incoordination de l'ataxi
DE LA SUGGESTION PENDANT LE SOMEIL NATUREL dans le traitement des
maladies
mentales. Par M. le D' Paul Farez. (suite) I I
plus ou moins les séances, suivant la gravité ou la complexité de la
maladie
, suivant aussi le degré de l'amélioration obtenue
malade, je n'ai pas pu cette fois m'opposer au retour offensif de la
maladie
. Toutefois, cette rechute n'a rien qui doive éton
, de circulation, sur la marche et le dénouement d'un grand nombre de
maladies
('). En Histoire, la doctrine de la suggeslion,
douier de l'utilité de mes efforts, je fus édifié sur les causes delà
maladie
de l'enfant par une lettre anonyme dont voici les
ée que son enfant, car elle est extrêmement malheureuse à cause de sa
maladie
. Vous pourrez en savoir plus long en la questionn
DE LA SUGGESTION PENDANT LE SOMMEIL NATUREL dans le traitement des
maladies
mentales- (1) Par M. le D' Paul Farez. (Suite et
ignorent de parti-pris ou les nient délibérément. — Toutefois, à une
maladie
psychique, c'est bien, semble-t-il, un traitement
traitement psychique qui convient?... Il n'y a pas, répondent-ils, de
maladie
psychique: tout est organique, tout est somatique
omacs ; mais on gagne du temps, les semaines se passent et parfois la
maladie
se passe, elle aussi, a la longue—, à moins qu'el
ce principe, non énoncé mais facile à formuler, à savoir que dans les
maladies
mentales il y a toujours une lésion organique, qu
de même nature, c'est-à-dire-intellectuelle et morale, tandis que la
maladie
suivrait peut-être son cours avec les symptômes p
l'on observe et jouent le principal rôle dans l'interprétation de la
maladie
. Il est d'ailleurs facile, si l'on ne craint pas
ur paraphraser le similia similibus curantur, nous dirons donc qu'une
maladie
psychique réclame un médecin psychique. Mais, e
lèves do Juste Lipse à l'Université do Louvain. Jansen, atteint d'une
maladie
grave, était allé respirer l'air de France, et s'
t particulier le jeune Biaise Pascal 3. » « II y a, dit Ribot*. des
maladies
graves qui, en changeant la constitution, transfo
titution, transforment le caractère. » La neurasthénie est une de ces
maladies
-là. Biaise était atteint d'une neurasthénie grave
RÉTROSPECTIVE L'emploi de la psychothérapie dans le traitement des
maladies
de l'esprit n'est pas a..ssi nouveau qu'il paraît
it du malade : il convient de l'habileté du devin qui lui a prédit sa
maladie
; mais ce n'est encore qu'un élève dans l'art de
er, et aussitôt elle se réveille. . Toutes les fois qu'au début de sa
maladie
celte femme s'était efforcée de s'endormir nature
ogique. Trentième anniversaire de la fondation de la clinique des
maladies
mentales à Saint-Pétersbourg. A cet e occasion,
rétend que lu jeune fille en question est à l'abri de toute espèce de
maladie
et pourra vivre jusqu'à un âgo très avancé, la se
pie el un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de
maladie
» nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiq
bale ; et dès lors, nous le voyons traiter de cette manière les mêmes
maladies
dont s'occupent les hypnotiseurs d'aujourd'hui. J
l'hypnotisme et l'on doit à ce dernier des guérisons authentiques de
maladies
mentales (Aug; Voisin, Tokarsky). Toutefois, dans
sommeil naturel n droit à une tres large place dans le traitement des
maladies
mentales; elle trouve aussi se indications dans l
ations de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traite- ment des
maladies
mentales et de l'alcoolisme ; 6. Les applicatio
mes que soulèvent le diagnostic, le pronostic et la thérapeutique des
maladies
nerveuses;:., il peut se flatter d'y avoir réussi
. ne : « Par la pensée nous portons dans notre cerveau la santé et la
maladie
, la faiblesse et la force, nous créons en nous le
, — morphinisme, chlora-lisme et nicotinisme, — anémie et chlorose, —
maladies
rhumatismales, — hémorrhagies, — phtisie, — ast
matismales, — hémorrhagies, — phtisie, — asthme et toux nerveuse, —
maladies
, de cœur, — congestions locales, — maladies d'est
sthme et toux nerveuse, — maladies, de cœur, — congestions locales, —
maladies
d'estomac, diarrhées, — mal de Lïright, — inconti
Lïright, — incontinence d'urine, — névralgie du col de la vessie, —
maladies
des enfants, — troubles menstruels, — maladies ex
col de la vessie, — maladies des enfants, — troubles menstruels, —
maladies
externes ; — enfin la thérapeutique suggestive a
ournaux anglais par le Df Petersen, alors que ce dernier étudiait les
maladies
nerveuses et mentales à Paris, à Nancy, â Zurich
, comme on sait, a le premier appliqué l'hyno-tisme au traitement des
maladies
mentales ('). UN APPAREIL NOUVEAU POUR L'ÉTUDE
n seulement d'éclairer le diagnostic et de préciser l'évolution de la
maladie
, mais encore de suivre les diverses étapes du tra
ie et un laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique rie
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
ologique (1'), 341. Anniversaire de la fondation de la clinique des
maladies
mentales à Saint Pétersbourg, 349. Application
int Pétersbourg, 349. Application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales (de l'), par par M. Tokarsky, 73. Appl
tiseurs, 57. Magnétiseurs et l'exercice de la médecine (les), 31.
Maladies
mentales (de l'application de l'hypnotisme au tra
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX IX ¡"'p. G. Saint-Aubin et
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
DIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
MENTALES A. FOURNIES PROFESSEUR DE CLINIQUE
DES MALADIES MENTALES A. FOURNIES PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANÉES ET SYPHILITIQUES . PAR PAUL RICHER
vous relater l'histoire très intéressante et très instructive de la
maladie
de cette femme. Puis je vous promènerai en quel-
elles marquent, à n'en pas douter, la première manifestation de la
maladie
actuelle. A vrai dire l'in- téressée, pour sa p
téressée, pour sa part, est convaincue que le début véritable de sa
maladie
ne remonte qu'au mois de septembre 1894 ; il ce
cet amphithéâtre, des syringomyélies, des scléroses en plaques, des
maladies
de Friederich, dont les symptômes étaient com-
le compte de cette affection, nous sommes autorisés à éliminer les
maladies
suivan- tes qui ne comptent pas l'anesthésie pa
niques que nous relevons chez cette femme et.avec l'évolution de la
maladie
. Une seule particularité est de nature à faire
91, t. 47, fasc. 5 et ti, p. 603. (4) JoiFioy et Aciiaud, Un cas de
maladie
de llorvan avec autopsie. Archives de mé- decin
ves de mé- decine expérimentale, 1890, n° 4. - Nouvelle autopsie de
maladie
de Morvan, Eodem loco, 1891, n° 5, p. 677. (5
E myélite aiguë de la substance grise, survenue dans le cours d'une
maladie
infectieuse. Elle a été considérée et citée com
ATION DES RÉFLEXES. PAR E. LENOBLE , Interne de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Observation. La nommée V...
as été connus par V... et sont morts en bas âge. Il n'existe pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Antécédents personne
urtout elle n'a jamais eu de vo- missements. A aucune période de sa
maladie
elle n'aurait présenté d'hy- peresthésie cutané
se pour ne pas craindre d'être affirmatif. 1 Longtemps avant que la
maladie
de Duchenne n'évolue avec ses symp- tômes primo
ans son évolution, « cris- tallisé » pour ainsi dire. Ici encore la
maladie
obéit à la loi formulée de- puis longtemps par
myotonique.du m. gastro-cnémien après 'une contraction volontaire (
Maladie
de TlioLtiseù).- '. Fis. 7. Hémichorée hystériq
tives, ne se prêtant guère par conséquent à la représentation de la
maladie
. Les recherches que le médecin peut faire clans
t de son mal. Il Son père et sa mère sont morts à un âge avancé, de
maladies
inconnues; il a eu trois frères et trois soeurs
s et de ses mani- festations cliniques classe généralement dans les
maladies
de la moelle. Dans un premier mémoire, publié e
otam- ment de l'influence de l'hérédo-syphilis. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, 1887, p. 720. LA SYPHILIS HÉRÉD
sur la sclérose en pla- ques chez les enfants. Revue mensuelle des
maladies
de l'enfance, septembre 1S95. (2) II. JACKSON.
étiologique de la syphilis héréditaire dans le développement de la
maladie
de Little. Qu'est celte maladie congénitale à l
ditaire dans le développement de la maladie de Little. Qu'est celte
maladie
congénitale à laquelle l'auteur anglaisa attaché
de la Tourette. La notion étiologique de l'hérédo-syphilis dans la
maladie
de Little. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière,
éro-latéraux delà moelle. Th. Paris, 1889. (3), Breton. Un cas de
maladie
de Little. Gaz. des hôpitaux, 89,p. 1416. LA SY
et aphasique. Mère bien portante. ' - Un frère mort il 25 ans d'une
maladie
indéterminée ; marié depuis peu de temps, pas d
puis peu de temps, pas d'enfants. Une soeur morte il 26 ans d'une
maladie
indéterminée ; elle avait eu 2 enfants qui mour
a 6 enfants bien portants et n'en a pas perdu; serait atteint d'uue
maladie
de la moelle épinière analogue il celle du malade
icularité connue; bien portante, a marché dit-elle à 9 mois. Pas de
maladies
d'enfance ; toutefois porte sur les fesses des
veux. , Depuis le début de sa paralysie, elle n'a fait qu'une seule
maladie
, la rougeole. Jamais d'abcès par congestion.
ions nerveuses syphilitiques. Paris, 1862, p. 210. (2) BARTELS. Les
maladies
des reins, trad. Edelmann. Paris, 1884, p. 323.
uptions cutanées ; ni affections auriculaires ou oculaires ; pas de
maladie
vénérienne acquise. Le malade n'a eu qu'un seul
ortement la tête sur la poitrine. D'ailleurs, depuis le début de sa
maladie
jusqu'à ce jour (janvier 1896) il a toujours re
20 ans. Quinze autres frères et soeurs succombèrent en bas-âge à des
maladies
cérébrales, méningite, etc. La malade fut éle
d'une femme de 20 ans, n'ayant jamais souffert antérieure- ment'de
maladies
nerveuses, qui fut atteinte d'une paralysie flasq
qu'elle était, elle peut actuellement vaquer, presque comme avantsa
maladie
, à toutes ses occupa- tions : Un interrogatoi
iquer les lésions, on ne peut invoquer l'existence chez Mme X... de
maladies
graves ou convulsives de l'enfance, nous penson
tous les deux d'affection cardiaque ; de plus sa mère aurait eu une
maladie
de foie. De ses 4 frères et soeurs, 2 sont mort
our de la chloro-anémie et des douleurs dites rhumatoïdes ( ? ). La
maladie
actuelle semble avoir débuté en 1882, il de 19 an
'est là son grand intérêt, dans plusieurs autres observations de la
maladie
de Duchenne développée chez des hérédo-syphilit
vrai que dans une autre observation de son mémoire (obs. II), où la
maladie
avait commencé à 12 ans, il sembla bien, malgré
t très gravement atteint ; il eut, lui ont raconté ses parents, une
maladie
de foie, des ulcères un peu partout et on lui f
etit malade présenté à la consul- tation externe de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Notre maître, M. le Profess
e renseignements à recueillir sur les antécédents, l'histoire de la
maladie
, les troubles subjectifs et les désordres fonctio
tres, se compliquent en outre des malformations pro- duites par des
maladies
accidentelles surajoutées. 164 NOUVELLE ICONOGR
sont pas rares dans les contrées où sévissent ces deux affligeantes
maladies
. Deux nains qui, vers le milieu de ce siècle, f
(1). Les répugnants avortons de Bicêtre représentent l'apogée de la
maladie
et auraient difficilement séduit les grands perso
il l'épousa et eut d'elle un enfant. (1) E. l3na.ou, Leçons sur les
maladies
nerveuses, XXX6 leçon, p. 606. (2) Ili-, ,ç i ,
et comme la formule antique de la grande loi de l'hérédité dans les
maladies
constitutionnelles » (1). Le nain de Philippe I
e du système pileux, fait défaut chez les sujets atteints par cette
maladie
. Ainsi, en s'en tenant à l'examen des formes ex
nt aussi pour une assez large part chez des indivi- dus atteints de
maladies
nerveuses. llallion en a fait une revision comp
vropailtiqites (1). La syringomyélie lui a fourni plusieurs cas. La
maladie
de Friedreich, la paralysie infantile, le tabès
e IIeiden (Suisse). et MAURICE FAURE Interne de la Clinique des
Maladies
du Système Nerveux. Nous nous proposons de mo
ces malades, sans tenir compte du degré, ni de l'ancien- neté de la
maladie
, et nous avons obtenu, dès la première tentative,
les sujets qui ont une incoordina- tion très prononcée, et dont la
maladie
dure depuis longtemps ; mais nous avons rencont
rtaine et indirecte de l'altération des voies sensitives dans cette
maladie
. excitations centripètes ne manquent donc point
e il a bien voulu se charger de la préparation des phototypes. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES D'après JEAN-FRA
trente ans, était depuis plusieurs années afiligée d'une singulière
maladie
. A tous les derniers quartiers de la lune, lui
en possession d'un bel exemplaire du livre publié par Morand sur La
maladie
de la Fille de St-Géosmes, petit volume in-12, re
te pauvre fille si cruellement maltraitée par le sort. Bientôt sa
maladie
empira. Ce furent d'abord d'atroces douleurs dans
n est dans le nombre qui vont jusqu'à douter de la réalité de cette
maladie
; on ne peut pourtant pas nier l'évi- dence : M
voilà bien de nos docteurs ! Ils sont toujours prêts à traiter - LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 225 . d'imposture
es jambes si faibles, qu'il fallut abandonner ce projet. , Or, la
maladie
de la Fille de St-Géosmes mettait en révolution t
racontars. Il pensa que « la médecine jouissait en cette affaire LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 227 de la prérogat
lumes, qui témoignait hautement de sa compétence en la matière. Les
maladies
, les cas inédits et curieux l'intéressaient viv
compatissants et de questions intempestives. Les uns, regardant sa
maladie
comme une affection mystérieuse, échappant aux
omènes de cette espèce, in Acad. des sciences, 1748, Histoire d'une
maladie
lrès singulière arrivée à deux bouchers de l'lô-
ille d'un agent de change. Il mourut à Paris, le 13 août 1784. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 229 diplomate, com
et les personnes notables de la ville qui avaient suivi de près la
maladie
de la Fille de St-Géosmes. - Tranquillement, il
à celles qu'on trouve dans le sol des alentours. « J'ajoute que la
maladie
de la Fille de St-Géosmes n'a aucun rapport ave
ugement de la Faculté de Paris eut un effet plutôt salutaire sur sa
maladie
. (1) « II est très possible que cette fille ait
de la considération, ou des aumônes ». (Extrait du Jugement.) LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 231 Elle cessa, dè
née qui suivit celle de sa visite à Geneviève, Morand publia sur la
maladie
de la Fille de St-Géosmes un premier opuscule int
mes un premier opuscule inti tulé : Eclaircis- sement abrégé sur la
maladie
d'une Fille de St-Géosmes (Paris, 1754, in-4°).
r titre : RECUEIL pour SERVIR d'éclaircissement détaillé sur la
maladie
de la Fille d'un tireur de Pierres du Village d
é à désiller les- yeux à toute une province étonnée d'une prétendue
maladie
extraordinaire. Son recueil ne peut donc qu'êtr
es membres, et autres symptômes qui paraissaient épileptiques. . LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 233 Ces nouveaux a
ILLE DE SAINT-GÉOSMES 233 Ces nouveaux accidents qui aggravaient la
maladie
, forcèrent Geneviève à différentes fois, de sor
sicatoires. 234 ' , NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cette
maladie
cutanée occupait particulièrement les hypocondres
s urines prenaient leurs Cours naturel, surtout si ce rêve était LA
MALADIE
DE LA FILLE DE. SAINT-GÉOSMES 235 accompagné de
l'évêque de Langres fut instruit de l'histoire de cette singulière
maladie
; ce digne prélat occupé du bien et du soulagem
et elle en fut couverte, comme dans la plus grande fureur de cette
maladie
; il n'y eut que les épaules et les reins, qui en
moment, elle n'a plus voulu être opérée par ce chirurgien, et le LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAiNT-GÉOSMES 237 soir qu'il se
de fromage, de laitage froid ou chaud; on a remarqué qu'il passe LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 239 ' mieux lorsqu
tai de revenir à plusieurs reprises, jusqu'à dix heures du soir. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAIVT-GÉ0311ES 241 1 Je la trouv
cette discussion, d'une logique limpide et documentée, il accu- LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOS)IES 243 mule les argu
othèse d'une affec- tion calculeuse des reins ou de la vessie. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSI)IES 245 C'est alors
IES 245 C'est alors que Morand formule son diagnostic sur l'étrange
maladie
de la Fille de St-Géosmes. On reste surpris d
u et affirmé la nature de ces accidents, en un temps où l'étude des
maladies
nerveuses était encore pleine de contradictions
és dans la Fille de St-Géosmes, ne porte pas exclusion d'un état de
maladie
. Quiconque voudra se donner la peine d'examiner
hystérique, et que les coliques qui paraissent aujourd'hui sa seule
maladie
, sont hystériques] et nullement néphrétiques ,
antes. La nature des accidents hystériques qui constituent toute la
maladie
de la Fille de St-Géosmes est en effet trop évi
nifestations viscérales de l'hys- térie que Geneviève a inauguré sa
maladie
. v A Page de seize ans, elle « jeta beaucoup de
, et, pen- dant une année, les vomissements de sang cessèrent. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE S\r : "<T-GÉOSIF.S 247 Us rep
'hystérie, t. II, p. 399 et suiv. (3) Loc. cit., p. 406. / . LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 249 A cet égard, G
par Sydenham, que Mo- rand cite fort à propos : « Non seulement là
maladie
hystérique cause une douleur très vive quand el
l'opi- nion de Sydenham (1). « Les praticiens conviennent que les
maladies
hystériques affectent quel- quefois les reins,
ses », principalement la région (1) LOUYEII- VILLE1UIAY, Traité des
maladies
nerveuses ou vapeurs, Paris, 181G, t. I, p. III
de la Tourette, Loc. cit., p. 407. ' (2) Loc. cit., p. 397. ` LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 251 lombaire. Il e
; du temps de Gallien même, il se trouvait des gens qui avaient des
maladies
fausses. « Et soit qu'il y ait simplement de la
cas de la Fille de St-Géosmes et de faire plus large la part de la
maladie
dans des accidents qu'on est trop généralement
decine, chirurgie, chimie, minéralogie, histoire (1) Histoire de la
maladie
singulière et de l'examen d'une femme devenue en
faite par un amollissement général des os. Paris, 1 î;i2, in-12. LA
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSnILS . 253 naturelle,
t myxoe- cléaate2cx (2). - . A ne considérer que l'histoire de la
maladie
de la Fille de St-Géosmes,' il nous semble qu'u
de la parité trouveront de la satisfaction à lire l'histoire de la
maladie
(1). La Fille de Crémone, on le voit, surpassa'
um et 1'eve1'endissÍmum D. D. Lilla. Episcoparunz Cremonx, etc. LA.
MALADIE
DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 255 tant qu'on lui
nsentit alors, dans l'idée qu'on était persuadé de la réalité de sa
maladie
. Non seulement on ne reconnut avec la sonde auc
ité. « Un homme d'un âge mûr, et d'une fortune honnête, imagina une
maladie
extraordinaire et entreprit d'en jouer divers s
n lui ordonna, sur.la fausse ex- position qu'il fit de sa prétendue
maladie
: il disait avoir senti quelques mou- vements d
soupçonner l'homme de super- cherie, et que dans le grand nombre de
maladies
auxquelles'Ia nature humaine est sujette, on tr
nt essentiel, et parla de trouver une analogie raisonnable avec une
maladie
réelle ». 256 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
médecin du siècle passé. N'oublions pas que cette explication de la
maladie
de Geneviève, accep- tée il y a cent cinquante
n des moindres enseignementsqu'on puisse tirerde la lec- ture de la
Maladie
de la Fille de St-Géosmes. Enfin, il est de tou
inique de pathologie ordinaire corres- pond un type congénital : la
maladie
de Little est le type systématique congénital q
terme : quatre vivent et se portent bien ; les autres sont morts de
maladies
diverses : variole, cholérine, convulsions... en
e vue même, la règle n'est pas absolue : Brissaud a z réagi pour la
maladie
de Litlle, Fournier lui-même range plutôt ces cas
ange plutôt ces cas ; dans la parnsypllilis,'c'est-à,-dire dans les
maladies
qui comme le tabès, la [-paralysie générale pro
l et n'a jamais fait de fausse couche. Les premiers symptômes de la
maladie
actuelle, c'est-à-dire du tabes, remontent à qu
légie ni des paralysies oculaires au cours du tabès. (2) Raymond,
Maladies
du système nerveux, scléroses systématiques de la
e locomotrice d'origine syphilitique, 18S2.. (2) Mahie, Traite\ des
maladies
de la moelle. (3) De Massary, Tabès dorsalis, D
mouvements sur le langage, nous avons examiné 3 sujets atteints de
maladie
de Friedreich où la voix a un carac- tère si pa
marquable. Bref, on se trouve en présence d'une luxation tabétique (
maladie
de Charcot) avec usure des extrémités osseuses
ni pus, ni sang, ni flocons albumineux. » - (1) Marie, Traité des
maladies
de la moelle. (2) Barré, Cotitribulion à l'élud
dans son mémoire sur les lésions osseuses et articulaires liées aux
maladies
du système nerveux remarque incidemment que dans
. (3) Picquk elll ! .\t : f : L.\IB, Thérapeutique chirurgicale des
maladies
des articulations. HEMARTHROSE TABETIQUE G. M
SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE. Interne de la clinique des
maladies
du système nerveux. M. Gilles de la Tourette'a
Dermat. unV Syphiligraphie. Vienne, 1881, p. 621. (3) Baivtels, Les
maladies
des reins, trad. Edelmann. Paris, 1884, p. 323.
s congénitale 300 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE est une
maladie
de l'organisme tout entier, nous ne relevons ici
us avons adopté une méthode de groupement basée sur la natnre de la
maladie
ou du traitement, et nous avons divisé les scènes
s traits et des attitudes se trouvent réalisées dans la nature par la
Maladie
de P. Marie. Leur rencontre fortuite peut laiss
t en 1678. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LI
1896, no 241 p. 56, et no 26, p. 93. (3) F. Raymond, Clinique des
maladies
du système nerveux, ire série, Paris, 1896, p.
on. Il s'agit du cas de cette jeune femme de vingt-six ans, dont la
maladie
avait débuté par de violents vomissements et pa
angeaisons et de sensations de brû- lure. Dès le dixième jour de sa
maladie
, cette jeune femme éprouvait des sensations biz
hez notre ma- lade. ' Une autre fois c'est un sujet atteint de la
maladie
d'Hodgin, de l'adénie, qui, à la suite d'un tra
à doses éle- vées, dans un but curatif. Sans doute, il est d'autres
maladies
, telle la chlorose, la-malaria, qui passent pou
pour être justiciables de la médication arsenicale ; mais dans ces
maladies
-là, les doses d'arsenic doivent être maintenues
onique. Dès 18841 Base- dow, le même dont le nom a été adjoint à la
maladie
connue encore sous celui de goitre exophtalmiqu
SYPHILIS HÉRÉDITAIRE PAR G. GASNE, Interne de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux. (Suite et fin.) Observati
IULl<1 T. 1 ? PI.. xlix TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES Dans la
maladie
de R.V'll.tLlc. MASSON & Clu, Editeurs. L
24 TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES AU COURS DE L'HYSTÉRIE ET DE LA
MALADIE
DE RAYNAUD PAR GABRIEL DELAMARE Externe de
ADIE DE RAYNAUD PAR GABRIEL DELAMARE Externe de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux. Il a paru intéressant de ré
gles au cours d'affec- tions diverses du système nerveux (hystérie,
maladie
de Raynaud), parce qu'elles montrent ou paraiss
(H ! Jstél'igue ? ). * Marie B..., 18 ans, vient à la clinique des
maladies
du système nerveux pour des lésions unguéales l
e de l'ongle. TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES 373 Observation III (
maladie
de Raynaud). Z..., service du professeur Raymon
ritent d'être rapprochées; elle s'observe chez ce .sujet atteint de
maladie
de Raynaud, au seul doigt qui ait présenté une
l a, et très marqués, les troubles subjectifs et vaso-moteurs de la
maladie
de Ray- naud. Observation IV (maladie de Rayn
ctifs et vaso-moteurs de la maladie de Ray- naud. Observation IV (
maladie
de Raynaud). Caroline D..., 48 ans, service du
, comme toujours. Cette femme, frappée depuis longtemps déjà par la
maladie
de Raynaud, avait de nombreuses plaques de gang
PAR Le Dr A. SOUQUES. 1 Chef de laboratoire de la Clinique des
Maladies
du Système nerveux, à la Salpêtrière. « Nous
après le Vocabulaire napolitain, (1) Souza-Leite, De l'Acromégalie,
Maladie
de P. Marie, Thèse de Paris, 1890, p. 49. - (
sur l'épaule. Il serait aussi hasardeux de préciser la nature de la
maladie
que celle de l'intervention ; cependant le siège
Maccus, Polichinelle et l'Acromégalie, par A. Souques, 375. La
Maladie
de laFille de Saint-Geosmes, par Henry MEIGE, 2
7. Troubles trophiques des ongles au cours de l'hystérie et de la
maladie
de Ray- naud, par GABRIEL DELA : MARE, 370. T
). Troubles trophiques des ongles au cours de l'hystérie et de la
maladie
de Raynaud, 370. DELBET (Pierre). Applications
DE (A.). Application de la méthode de Roentgen, 1. MEIGE (Henry).
Maladie
de la fille de Saint- Geosmes, 223. Mette (He
Elle a renvoyé de sa maison les parents qui, pendant le cours de sa
maladie
, avaient agi sur elle pour la faire tester en l
crises gastriques, soit tabétiques, soit symptomatiques d'une autre
maladie
organique du système nerveux central.-Très souv
l qu'il existe pour cette forme ne se rencontre dans aucune autre
maladie
connue du système nerveux central. C. FORME CEN
e. Le nommé Miche) Sgourdas, âgé de vingt-huit ans. Mère morte de
maladie
cardiaque ; pas d'autres antécédents héréditaires
i ait une relation quelconque, soit directe, soit indirecte avec la
maladie
en question. Il a commencé à travailler dans l'
spéciale qu'on ne saurait, sans la dénaturer, faire entrer dans une
maladie
spi- nale quelconque. ' variété extra-spinale
héréditaires. Pas d'acci- dents syphilitiques ou paludéens, pas de
maladies
antérieures. Il a commencé le travail dans l'ai
périeur droit. 84 CLINIQUE NERVEUSE. A une étape ultérieure de la
maladie
, il arrive un fait très important, c'est la loc
a dysenterie. Antécédents personnels. Notre idiote n'a jamais eu de
maladie
sérieuse. A sa naissance elle n'offrait rien d'
rfs vaso-moteurs; par IIELWEG. (Arch. f. Psch., XIX, 1.) Dans les
maladies
mentales, il existe invariablement des troubles
confabulans. Inté- grité de l'intelligence; il faut rayer de cette
maladie
l'expression de désordre dans les idées avec in
le Dr Savage et le Dr Kelp. R. M. C. IV. CONTRIBUTION A l'étude DES
maladies
DE l'appareil CIR- CULATOIRE chez LES aliénés,
e, si on prend une vue d'ensemble de la qites- lion ; en effet, les
maladies
du coeur donnent une mortalité de 8,72 p. 100 c
ndante de l'âge et parait être influencée plutôt par la durée de la
maladie
que par l'âge du malade. 11° Chez les sujets sa
pas aussi rares qu'on le pense. Rapport sur la clussificatiorz des
maladies
mentales, M. Garnier, se tenant le plus possibl
1.aAnoov de lllOirTYEL pense qu'une classification écolo- gique des
maladies
mentales est non seulement possible, mais est l
Luys, le seul auteur qui ait osé baser sur elle une description des
maladies
mentales, a pris une... hypothèse pour point de
ttaques et on peut la considérer comme guérie. Classification des
maladies
mentales. (Suite de la discussion.) M. DAGOpOE'
, parce que d'abord, il est impossible de prévoir l'évolution d'une
maladie
, en l'observant à son début et ensuite, parce q
parce que le plus souvent ces lésions n'existenl pas. La cause des
maladies
men- tales presque toujours insaississable, il
2leS ORte7t2lS p«r' la crcarziométrie et l« céphaloscopie clmas les
maladies
mentales et cérébrales. · Le D'' Hack-Tuke adme
é séquestré dans un délai déterminé à la suite de l'explosion de la
maladie
. Ce sont là des exceptions fâcheuses, illégitimes
méde- cin seul, selon sa manière de voir chacun des moments de la
maladie
. C'est ce qu'il importe de publier à son de tromp
nnées 1869 et 1873 n'ont pas été marquées par l'apparition de cette
maladie
. Pendant les dix-huit premières années, ce fure
e assez fréquent chez les typhiques sains d'esprit. Influence de la
maladie
sur- l'aliénation mentale. On en relève 13 obse
cinq demeurèrent améliorées longtemps encore après le décours de la
maladie
infectieuse, soit 6 à 18 mois. Il est cinq alié
ière forme (elles sont simplement rares et fugitives au début de la
maladie
), accompagnent constamment la seconde forme. Co
trop peu nombreuses et de trop courte durée. M. JOLLY. Alcool et
maladies
de l'appareil sexuel ne condui- sent pas forcém
l y a encore quelques états convulsifs par lesquels peut débuter la
maladie
, qui paraissent de nature hystérique, et, par sui
ur l'état de chaque personne qui y est retenue, sur la nature de sa
maladie
et les résultats du traitement. Le préfet, sur l'
t-docent bien connu de Leipzig a écrit un Manuel de séméiologie des
Maladies
du système nerveux sans y comprendre les affect
istibles, etc., etc.; et faut-il rattacher ces manifestations à une
maladie
générale (intoxication, auto- intoxication, aff
BIBLIOGRAPHIE. 155 certaines des relations qui existent entre la
maladie
et le crime : la criminalité est une forme de d
si celle d'éloigner plutôt les jeunes médecins de la spécialité des
maladies
mentales. Mais cette oligarchie médicale existe d
, déclare qu'on pourrait peut-être, dans l'in- térêt de l'étude des
maladies
mentales dans les Facultés de pro- vince, organ
rés titulaires : MAI. les Drs Pierret, professeur de cli- nique des
maladies
mentales à Lyon, médecin en chef de l'asile de
É1ÉS. - Nominations : M. le Dl ROUILL.In1), chef de la clinique des
maladies
mentales à l'asile clinique (SaitiLe-Aiine), est
un rapport de ce dernier relatif à la genèse et à l'évolution de la
maladie
; ce rapport aura été présenté au Kreis- physib
NTPELLIER. M. Mairet, vient d'être nommé professeur de clinique des
maladies
mentales et nerveuses. Médecins aliénistes séna
i sont relativement faciles à établir grâce à la fréquence de cette
maladie
. Parmi les statistiques de cette espèce, M. Moe
Je ferai remarquer un fait intéressant survenu dansle cours de la
maladie
: c'est une amélioration considérable dans les do
mais été atteinte de quelque affection nerveuse ou de quelque autre
maladie
grave. Il y a dix ans, elle eut des ulcères aux
tation dans la matrice ». Une année plus tard, renouvellement de la
maladie
(éruptions sur tout le corps) : elle rentra à l
e fut couverte de croû- tes. Quatre ans après l'apparition de cette
maladie
, S... rcssen- ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 18
cédents. -La malade est mariée. Sept ans avant l'appari- tion de la
maladie
, le mari attrapa la syphilis avec une autre fem
« rhumatismales » dans les jambes. Bientôt après l'apparition de la
maladie
, l'absence du réflexe rotu- lien fut constatée
ellente- santé et en a eu de robus- tes enfants. Douze ans avant la
maladie
actuelle, le mari de la ma- lade reçut la syphi
nt, de diplopie et de ptosis passagère dans un oeil. Il transmit la
maladie
à sa femme, ce qu'il me déclara lui-même. Bientôt
fit, semble-t-il, deux fausses couches. Depuis ce moment jusqu'à la
maladie
actuelle, rien de particulier. Observation VI
é, d'une affection pulmonaire ; sa mère, d'une hy- dropisie. Pas de
maladie
nerveuse dans la famille. La malade s'est toujo
, couronne de Vé- nus au visage, etc. Grâce à l'opiniâtreté de la
maladie
, un traitement très éner- gique fut suivi penda
: il suffit de rappeler que, d'après les résumés des histoires des
maladies
, il AticiiivLs, 1. XVII. ' 13 19 lé PATHOLOGI
es; on compare la fréquence de la syphilis dans l'anamnèse d'autres
maladies
, dans la phthisie, par exemple; on prend en con
rieure, comme, par exemple, la syphilis, sur cent Juifs atteints de
maladies
ner- veuses et ayant eu auparavant la syphilis,
né 3,400 cas de syphilis; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de
maladies
nerveuses et parmi ces derniers 40 cas de tabes,
is dans l'état actuel et que nous avons relevé l'existence de cette
maladie
dans les antécédents des malades. En admettan
l'hémiplégie, nous devons admettre que sur cent Juifs atteints de
maladies
nerveuses et ayant eu auparavant la syphilis, i
elle était assez probable; dans dix-huit cas, l'existence de cette
maladie
était niée; dans neuf de ces cas, il y avait ur
paralysie). 2). La syphilis se retrouve dans l'anamnèse des deux
maladies
dans une proportion égale en tout d'ac- cord av
e, dans le service de M. le professeur llayem. Elle n'a fait aucune
maladie
antérieure, elle n'a jamais été réglée; elle es
RBALE. 21 S auditif, l'adressa à Bernhardt, comme souffrant d'une
maladie
du cerveau'. Baillar,,er2 et Wernicke" ont tous
de était atteint d'hémianopsie bilatérale homo- nyme'. 1 Charcot.
Maladies
du syslème uercetta·, 1. 111., p. 15. 218 PATHO
e rigoureusement applicables à l'homme. ' Charcot. Levons sur les
Maladies
dtt systéme nerveux, t. III, 1). 1 il. l. SURDI
é de trente ans. Sa mère est morte d'un cancer à la matrice; pas de
maladies
nerveuses dans sa famille, pas d'antécédents pe
nistre de l'instruction publique, le 1" nov. 1888 sur l'EtieÉle des
maladies
du système nerveux en Russie. 0 REVUE DE PATHOL
périphériques. Puis, dans deux chapitres à part, je classe : 1° les
maladies
du système nerveux d'origine toxique; 2° les né
s comme des modes de différenciation des éléments anatomiques : les
maladies
systématiques en sont la preuve. Or, l'exemen a
hes de Béliakoff suggère cette idée, que -la démence sénile est une
maladie
systéma- tique à cause de la différenciation de
exemple de la systématisation du processus patho- logique, dans les
maladies
du système nerveux, nous citerons les faits sui
à présent, est due à une lésion de la commissure posté- rieure. .
Maladies
à sylémalisation discutable. Parmi ces maladies,
posté- rieure. . Maladies à sylémalisation discutable. Parmi ces
maladies
, se trouve l'ophtaliiioplégie externe. M. Korni
xterne. M. Kornilofr a publié une étude très intéressante sur cette
maladie
, relativement né- gligée en France. Le cas sur
ines plus tard celle des yeux. Guérison complète après deux mois de
maladie
. M. Korniloff a éliminé plusieurs diagnostics,
encùphalile subaiguë localisée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 277
Maladies
diffuses. Angio-sarcome diffus de la pie-mère c
une, et pourtant, ses éléments histologiques étaient peu altérés.
Maladies
congénitales. Tantôt ces malformations amènent
ulaire, mais non sur la pupille. De l'inégalité pupillaire dans les
maladies
du poumon. ' M. Paternatsk-v a constaté l'inéga
courants galva- niques minuscules (une observation), même dans ces
maladies
à lésions. P. K. IV. Contribution a la questi
t aux affections de ses méninges. P. K. Vill. DE la 1.11'LI1L de la
maladie
de B.4,EL)OV, par 1'. J. Moebius, (CcnlralGl. f
x et du myxeedème, du crétinisme et : du goitre exophthalmique, de la
maladie
de Basedow et du myxoe- dème. Dans le myxoedème
le myxoedème, la glande thyroïde a cessé de fonction- ner ; dans la
maladie
de Basedow, elle est eu état d'activité patho-
ues du cerveau. P. Kerwal. XIV. Contribution IL la pathologie DE la
maladie
DE TH01tSFa;, par M. 13ERVHaRDT (Centrulbl. t.
ce du 21 décembre 1888. Présidence DE M. COTARD. Classification des
Maladies
mentales. (Suite de la discussion.) M. Lo5-s cr
d'un cerveau en souffrance comme la dyspnée, est le symptôme d'une
maladie
de poumon. On, personne n'a jamais eu l'idée de
0 SOCIÉTÉS SAVANTES. fection de la peau, à laquelle doit son nom la
maladie
, n'a rien de pathognomonique en faveur de l'ent
Discussion : M. l,ippm.%NN. Est-ce que la pellagre n'est pas une
maladie
microbienne, est-ce qu'on n'y rencontre pas des m
organismes, notamment dans les centres nerveux ? Est-ce que cette'
maladie
, qui vient d'apparaître en Calabre, n'étend pas s
1'ttp ? ,osei,ie, psychose produite par des troubles nasaux. Cette
maladie
consiste en l'impossibilité de diriger son atte
rès la communication même de 11. Guye, n'est pas toujours lié à des
maladies
du nez. M. Arndt. Rappelons les manifestations
ale da- tant de la puberté. M. Tuczek. Les malaises émanant de la
maladie
du nez agissent comme excitant psychique à la m
ychoses.- Les premiers troubles de la santé mentale qui suivent les
maladies
épuisantes, les efforts intellectuels, les chag
ion. Les paralytiques généraux, relèvent dès le premier début de la
maladie
, d'un asile d'aliénés. M. KLENCKE. Si l'on ordo
éditaire. Sans doute il oxisle des prédispositions à contracter une
maladie
, mais de là à la contracter réellement, il y a
e la mémoire, relatif aux événements antérieurs à l'explosion de la
maladie
aussi bien que pour les faits postérieurs à l'i
ono- psychique.) . ii. NFissER (de Leubas). La classification des
maladies
mentales proposée par E«/t<6(tMme' : 1863. L
ystématique, a fait connaître les évolutions inter- mittentes de la
maladie
, procédant par poussées avec intervalles indemn
smutation des aspects des formes psychopathiques, la folie étant la
maladie
d'un système nerveux fatigué, en état de faible
une maison d'aliénés parce qu'il serait réellement atteint de cette
maladie
? Cela n'est pas possible, et cette contradicti
ces individus qui, par là même, offrent une résistance moindre aux
maladies
intercurrentes et fonctionnelles, enfin leur st
sont : tantôt la puberté, la puerpéralité, la ménopause, tantôt des
maladies
organiques locales ou générales; l'alcoolisme d
ctions nerveuses, soit des névroses (hystérie, épilepsie), soit des
maladies
nerveuses organiques, et surtout la paralysie g
aliénés de la Seine. - M. le Dr RoUILL.%RD. elief de cli- nique des
maladies
mentales, est nommé médecin-adjoint de l'asile
recueillis par les couvents, assurent les Archives ita- liennes des
maladies
nerveuses (n° 5 et 6, 1888). Nous apprenons, di
cali- sations cérébrales. ' Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cewoeau et de la moelle épinière, recueillie
e l'écorce, si les lésions irritatives du cerveau réalisées par les
maladies
peuvent fournir des indications d'une grande va
si que les lé- 3 li. liez PHYSIOLOGIE. , sions destructives de la
maladie
, ont seules la valeur nécessaire et suffisante
re exactement, dans chaque cas parti- culier, le cours entier de la
maladie
, et de savoir si celle-ci a été d'assez longue
chez les animaux, les lésions de l'écorce cérébrale. En outre, les
maladies
du cer- veau sont souvent des merveilles d'anal
se rapporte au troisième point, c'est- à-dire à la fréquence de ces
maladies
chez les Juifs, il semble à première vue que la
f n'a pas eu un seul de ces tabes sur plus de 300 Juifs atteints de
maladies
nerveuses; quanta la paralysie, nous jugeons d'
t d'assurer que dans le nombre considé- rable. de Juifs atteints de
maladies
mentales, les para- lytiques ne sont qu'une rar
e tabes soignés par moi à l'hôpital (Compte rendu de la section des
maladies
nerveuses, hôpital de la Yansa, pour 1887). I
e plus fréquemment par le désir que le patient éprouve de cacher sa
maladie
. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesqu
epuis quelques semaines et qu'il craignait que sa femme n'apprît sa
maladie
par d'autres malades. , , Ainsi l'opinion qui
ds, dans la statistique du tabes chez la race la plus sujette aux
maladies
nerveuses, mais par contre, la moins sujette à
a syphilis n'est pas relevée ou même est formel- lement niée, cette
maladie
a cependant existé, mais qu'elle a passé inaper
utrement dit, une para- lysie saturnine. Il fut traité pour cette
maladie
à l'hôpital Pierre et Paul, à Moscou, et se rét
hôpital où, à ce qu'il dit, les mé- decins constatèrent en lui deux
maladies
, du rhumatisme et une intoxication saturnine. L
u'il entra le 20 octobre 1886, à l'hôpital de la Jansa, section des
maladies
nerveuses, à Moscou ; il s'y trouve encore actu
s. L'irritabilité mécanique des muscles est intacte. Marche de la
maladie
. Les symptômes relevés chez le malade pendant l
agmus. Enfin, dans ce cas, il y avait début aigu (deux jours) et la
maladie
se termina en dix jours environ avec la réappar
à se remettre d'un accès, qu'une autre crise se produisait. A cette
maladie
, comme en étant la continuation immédiate, s'aj
ne intoxication' 1 Comme cela ee voit du reste par l'histoire de la
maladie
, les accès fébriles ont sans aucun doute contri
e ne l'est maintenant. Si même on veut dire que la mar- che de la
maladie
a été rapide, il est aisé d'énumérer toute une
ie de cas indubitables de tabes dans lesquels le commencement de la
maladie
a été très aigu et dont la marche a été assez r
t notre diagnostic, non pas ' Real-Encyclopedic, t. XIII, p. 385. :
Maladies
du système nerveux, 1879, t. 1, p. 232 cl 233.
mier plan, le plomb, le sulfure de carbone, etc.) ou ayant eu une
maladie
infectieuse (la diphtérie, par exemple), cas do
cas, nous avons justement fait remarquer que le développement de la
maladie
était assez typique ; 3) « la terminaison est f
a terminaison est favorable » et « dans le tabes on a affaire à une
maladie
où la mort est à peu près certaine; dans l'autr
r le tabes ordinaire, avec la syphilis dans l'anamnèse, comme une
maladie
toxique. Sous ce rapport, l'intoxication saturn
digne à noter. Pas d'accidents syphili- tiques ou paludéens, pas de
maladies
antérieures. Il a commencé sa profession de plo
pique. En ce qui concerne la seconde, ou a la symptomatologie de la
maladie
de Ménière à son complet développement. Les cri
son état. La guérison a été complète, absolue et sans surdité. La
maladie
de Ménière d'autre origine, si elle n'est pas A
et fin à l'état effrayant des sujets en proie depuis longtemps à la
maladie
de Ménière. 7. FORME DE PERTE DE CONNAISSANCE.
y a quelques années ; pas d'accidents syphilitiques ; pas d'autres
maladies
antérieures ; pas d'excès, enfin, rien de digne
décrites. C'est d'ailleurs la manière de procéder pour toutes les
maladies
surtout du système nerveux. Nous tâ- chons avan
ciale. REVUE STATISTIQUE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME "NERVEUX Professeur : CHARCOT Comp
des hommes tient à ce que beau- coup d'hystériques femmes, dont la
maladie
était très carac- térisée, n'ont pas été envoyé
re de 30 hysté- riques mâles atteste la fréquence relative de cette
maladie
chez 1'.homme. Dans 9 cas, l'hystérie était ass
les ayant appartenu à des individus qui n'avaient succombé ni à une
maladie
du sys- tème nerveux, ni à une intoxication. Ma
s éléments nerveux. Altérations du système nerveux central dans les
maladies
infectieuses. Ces modifications sont comparable
issu nerveux lui-même. il. Rosenthal a montré que dans la série des
maladies
in- fectieuses, l'endothélium des capillaires e
e vers la profondeur. Les cellules ner- veuses se divisent dans les
maladies
infectieuses : on observe souvent deux ou trois
es mêmes. M. Rosenthal n'a pas trouvé de lésions analogues dans les
maladies
autres que celles causées par l'in- fection. Le
les causées par l'in- fection. Les lésions observées dans certaines
maladies
du coeur étaient moins prononcées et dépendaien
ndineux abolis; acuité visuelle diminuée. Mort au bout d'un mois de
maladie
. Pas d'autopsie. S'il s'agissait comme semble l
parenchymateuse. Altérations, des ganglions du nerf vague dans les
maladies
infectieuses. Suivant 11. Levine, les ganglions
glions du nerf vague sont des lieux d'élection des lésions dans les
maladies
infec- tieuses. Dans la fièvre typhoïde, ils pa
sympathique, ne diffèrent pas de ceux des autres sujets atteints de
maladies
mentales; ils ne sont plus fréquents dans la pa
grégé à Saint-Pé- tersbourg, des préparations provenant d'un cas de
maladie
de 't'eat. Outre la dégénérescence des cordons
cours du tabès spasmodique; les symptômes avaient été ceux de cette
maladie
, sans complication. La seule lésion consistait
er ; 2° en outre, ils viennent tous à l'appui de cette idée que les
maladies
nerveuses sont les mêmes dans tous les pays. Le
certains savants étrangers qui nient l'existence de telle ou telle
maladie
dans leur racé. U hystérie féminine et mâle est
ifficulté ; elle écrivait couramment. Je citerai encore : un cas de
maladie
de Friedreich et un autre de gliome de la moell
sky, à Saint-Pétersbourg, le D'' Blumenau nous a présenté un cas de
Maladie
de Tliomsez *, et nous a communiqué ses recherc
ommuniqué ses recherches sur la contraction mus- culaire dans cette
maladie
. A Moscou, M. Minor nous a présenté un enfant d
A l'hôpital municipal d'Odessa, nous avons visité la section des
maladies
nerveuses, placée sous la direction de M. Moc-
nsion comme procédé thérapeutique dans le trai- tement de certaines
maladies
de la moelle épinière. Saint-Pétersbourg, 1883.
cin, n°39, 1886. Pasternatsky. De l'inégalité pupillaire dans les
maladies
iulerl nés. Le Médecin, n° 40, 1886, Pcrkowsk
7. Rosenthal. Des altérations du système nerveux central dans les
maladies
infectieuses. Thèse inaugurale, Varsovie, 1886.
ance du 25 mars 1889. - Présidence de M. FALRET. Classification des
maladies
mentales. (Suite de la discussion.)- M. Paul Ga
ettre en lumière, par la terminologie, la relation directe entre la
maladie
et son agent causal et ce desideratum n'a pas r
brale. M. le Dr ROBERT T. EDES (de Washington). Rapport entre les
maladies
des reins et celles du système nerveux. (Urémie.)
ses et son traitement; traduit par P.-J. Kovalevsky, professeur des
maladies
mentales et nerveuses à l'Université de Kharkof
auteur, idées que nous nous bornons à exposer. L'ivrognerie est une
maladie
et une maladie guérissable, tel est le sujet de
nous nous bornons à exposer. L'ivrognerie est une maladie et une
maladie
guérissable, tel est le sujet de l'avant-propos.
itre : symptômes de l'ivrognerie, l'auteur dis- tingue l'ivrognerie
maladie
de l'ivrognerie vice, nous donne les symptômes
nous apprend quedéjà, en 1617, Wircungavaittraité del'ivro- gnerie,
maladie
terrible qu'il décrivait immédiatement après la
d'éviter d'administrer des alcools aux neurasthé- niques dans leurs
maladies
, quelle que soit la neurasthénie. La deuxième p
que donnerait de 30 à 40 p. 100 de guérison. Charpentier. XI. Les
maladies
de la volonté; par Th. RuoT (Paris, Alcan). La
ot, pas d'existence ' réelle, comment peut-elle être susceptible de
maladies
? Nous savons bien que l'on parle couramment de
eptible de maladies ? Nous savons bien que l'on parle couramment de
maladies
de la vue, du mouvement ; encore ces expression
n du Progrès médical, décédé à la suite d'une longue et douloureuse
maladie
le 8 avril dernier. Né le lor août 1848, Bricon
ologique. Vice-président : M. BaLL (B.), professeur de clinique des
maladies
mentales à la Faculté de médecine de Paris, mem
176. Athétose bilatérale, par Kurella,291. Basedow (nature de la
maladie
de), par llabius, 290. Bibliographie (sémeiol
suggestion, par Liégeois, 156; ivrognerie, par Kovalewsky, 492 ;
maladies
de la volonté, par ltibot, 491; - der Verlauf
. Chorée et aliénation mentale, par Koeppen. 132. Circulatoire (
maladies
de l'appareil), par Greeneles, 113. Cocaïnism
ill, 112. Infectieuses (altérations du système nerveux dans les
maladies
), 464 ; altérations du neri vague dans les ma
veux dans les maladies), 464 ; altérations du neri vague dans les
maladies
- , 467. Interdiction (procédure pour l'), par
, par Jastrowitz, 313. Jalousie (délire de), par Nadler, 129.
Maladies
mentales (classification des), par Garnier, 115
tion du phé- nomène du genou dans le-, par Minor, 295. Thomsen (
maladie
de), par Ber- nhardt, 292. ' Thyroïde (altéra
SSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET
IQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES
MALADIES
MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NE
NIQUE PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DES MALADIES MENTALES DES
MALADIES
CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX SYPHILITIQUES
accompagnés d'accès répétés d'an- gine de poitrine. Il n'y a aucune
maladie
nerveuse ni mentale dans sa famille. Ses parent
s personnels du ma- - lade nous relevons qu'il n'a pas eu de graves
maladies
, mais qu'il a été infecté de syphilis à l'âge d
irradiantes partant de la région précordiale. On le soigna pour une
maladie
de coeur et il prit surtout de la digitale. Nou
ésie fut moins prononcée pendant les trois dernières semaines de la
maladie
, sans tou- tefois disparaître jamais complèteme
plètement des urines. On constata dès lors la marche suivante de la
maladie
jusqu'au jour de la mort qui arriva six semaine
olongées. Dès le moment de l'attaque et pendant tout le cours de la
maladie
on cons- tata une incontinence plus ou moins co
constater, en ce qui concerne la marche et le déve- loppement de la
maladie
, à quel point sont restées latentes les graves lé
malade ne fut réellement troublée que peu de mois avant sa mort. La
maladie
proprement dite commença seulement au moment d'
anvier 1894, p. 50. (2) Jeanselme, Etude histologique sur un cas de
maladie
de Recklinghausen. Société de dermatologie el d
ulaires de Potain et de Vel'l1enii.. z Pour nous, il s'agit d'une
maladie
primitive des glandes et des vais- seaux lympha
cial que pré- sentent les leucémiques à une période avancée de leur
maladie
. Il y a là un état qui est peut-èlre comparable
onser- vent leur volume dans l'amaigrissement, dans l'inanition des
maladies
cachectisantes comme la tuberculose, le cancer,
e Strasbourg, 1878, obs. 9, p. 20. Homme de 33 ans. Père mort d'une
maladie
de poitrine ( ? ). Mère, frères et soeurs bien
du sang et de l'urine ne révèle rien de particulier. Le début de la
maladie
remonterait à 12 ans. OBs. VII (l'1. VIII, 1 et
dents. Pas de convulsions. Elle fut toujours chétive, sans avoir de
maladie
et vé- géta jusqu'à 4 ans, on dut alors la renv
ait passé plusieurs nuits près de sa mère atteinte de pleurésie, la
maladie
élait assez grave et surtout la mère retrouvant s
ur, j'ai tout dévoilé, car je vous dirai que je ne sais si c'est la
maladie
ou le cerveau qui était malade, butté je ne sais
ains vices et je demande pardon à tous, car je vois que c'était une
maladie
que j'a- vais et cette maladie tout simplement
à tous, car je vois que c'était une maladie que j'a- vais et cette
maladie
tout simplement une maladie imaginaire. » ' L'i
tait une maladie que j'a- vais et cette maladie tout simplement une
maladie
imaginaire. » ' L'imagination fut plus forte qu
l'autre est toujours malade. Depuis dix ans, on le soigne pour une
maladie
du ventre : il est allé il Vichy, à Chatel-Guyon.
régiment et depuis. Quand il était écolier, on l'a soigné pour une
maladie
très dangereuse que le médecin appelait « coliq
est malingre et nerveux à l'excès. Antécédents personnels. Pas de
maladies
infantiles. La santé de S... aurait été bonne j
est tailleur, n'a pas interrompu son travail à ce moment, aussi sa
maladie
s'est prolongée et sa santé générale s'est prof
pays, un-village de l'Allier, où il continue le traitement de cette
maladie
, dite alors « cystite tuberculeuse », il y emploi
'infirmerie. Comme il ne donne aucune preuve de bonne volonté ni de
maladie
, on finit par le renvoyer à l'hô- pital. 1..
ion, sa curiosité, actuellement paresseuses, étaient vives avant sa
maladie
. Il avait de la volonté, de l'énergie, travaillai
il est difficile d'en préciser l'origine. Il se sait atteint d'une
maladie
incu- UN CAS DE TYMPANISME ABDOMINAL D'ORIGINE
técédents du sujet. Il a eu un oncle qu'on traitait à Vichy pourune
maladie
abdominale, un frère atteint d'iléus, et il a p
des hystériques. Thèse de Bruxelles, 1896. 6. PAUL HEGXAH)). Les
maladies
épidémiques de l'esprit : Sorcellerie, magnétisme
utique de l'hystérie, III, p. 344. 14. ANDHÉ. Précis clinique des
maladies
du système nerveux, 1895, p. 65. 15. CIIEIiCnEW
ne : Puisque le tabac, dit-il, a la propriété de chasser toutes les
maladies
, n'est-il pas surprenant que mon caillou reste
dix-neuf ans, était attaquée depuis environ deux ans et demi d'une
maladie
assez singulière, qui la faisait tomber de tems
la parité trouveront de la satisfaction à lire l'histoire de cette
maladie
» (1). Qu'était ce nouveau genre de tumeur inte
taires sont à peu près inconnus. - Elle ne paraît avoir fait aucune
maladie
avant celle qui l'amène à l'hôpital. D'après les
Pas de syphilis, pas d'alcoolisme. - Voici comment aurait débuté sa
maladie
. Vingt jours ou un mois avant son entrée à l'hô
e personne normale. Interrogée alors, elle raconte l'histoire de sa
maladie
d'une manière suffisamment conforme à tout ce q
rs caractères le som- meil les a gardés pendant tout le temps de la
maladie
sans aucune modification d'aucune sorte. Quan
radation des facultés intellectuelles. La mémoire à ce moment de la
maladie
est à peu près perdue. On se souvient qu'elle n
réveiller le malade. Dans les sommeils divers je comprends aussi la
maladie
des noirs, ma- ladie du sommeil dont la nature
die des noirs, ma- ladie du sommeil dont la nature est inconnue. La
maladie
de Gerlier et surtout ce que l'on a appelé la m
inconnue. La maladie de Gerlier et surtout ce que l'on a appelé la
maladie
de Galet ou de Wernicke, état patho- logique de
our ne pas discuter l'hystérie. La coïncidence de la névrose et des
maladies
or- ganiques est aujourd'hui bien connue. Et de
cles ont toujours été un relâ- chement malgré la longue durée de la
maladie
,ce qui serai extraordinaire pour un sommeil hys
ai qu'elle est abrutie, qu'elle l'était sur- tout vers la fin de la
maladie
. Mais on dort ou l'on est éveillé avec l'es- pr
l'on est éveillé avec l'es- prit que l'on a ou que nous a laissé la
maladie
. Un idiot se réveille idiot. On dira pour cela
ement les mêmes caractères, du premier au dernier jour de sa longue
maladie
. Et cette immobilité du sommeil dans ses caractèr
long sans passer du 1er au 2-- ou au 3e degré, alors surtout que la
maladie
s'aggrave constamment. Mais c'est plus que tout
le ou certaine. Ainsi sommes-nous conduits à le mettre à côté de la
maladie
de Gayet ; le sommeil des nègres devra être exc
aladie de Gayet ; le sommeil des nègres devra être exclu. Dans la
maladie
de Gavet ou Veruicke nous voyons en effet un somm
ous pourrons peut-être faire mieux que de rapprocher deux ordres de
maladies
somme toute très différentes. Le sommeil n'a pas
. Cependant on en a vu un certain nom- bre dans le cours même de la
maladie
.Dans ce cas le coma a disparu spon- tanément ou
DANT SEPT MOIS 111 i divers. Souvent elle a marqué une époque de la
maladie
pour disparaître plus tard, quitte à reparaître
e plus souvent elle s'est pré- sentée dans les derniers temps de la
maladie
précédant le coma final d'un temps souvent long
leur ensemble montrent bien les allures du symptôme sommeil dans la
maladie
qui nous occupe. Observation (résumée). - DEVIC
es. Par la suite plusieurs attaques d'au- tomatisme. Etat actuel.
Maladie
organique du coeur. La malade est triste, indiffé
très longue. - Le sommeil n'a marqué, du reste, qu'une époque de la
maladie
après laquelle, il a disparu pour ne plus revenir
e UN CAS DE SOMMEIL PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 113 passager de la
maladie
; il poursuit la malade pendant les 3 ou 4 derniè
pide, répond par monosyl- labes, renseigne mal sur les débuts de sa
maladie
. Se plaint de céphalalgie. Ne peut se tenir deb
alades dormiraient ainsi dès le commencement jusqu'à la fin de leur
maladie
.Je n'ai pas encore retrouvé ces observations il m
lera en effet que seule l'histoire des six dernières semaines de la
maladie
est connue. li4 F. SOCA On voit ainsi que le
tabes de déviations analogues à celles de la syringomyélie et de la
maladie
de Friedreich. Il cite un dessin de P. Richer qui
un dessin de P. Richer qui figure dans le musée de la clinique des
maladies
nerveuses, représentant une tabétique, vue de d
pliquant la gibbosité conslalée pendant (t) Vllpiax, Leçons sur les
maladies
du s;/lème nerveux. t.I, Paris, 1879, X\la leçon,
rger et n'est entaché ni d'alcoolisme, ni de tabagisme, ni d'aucune
maladie
vénérienne. Histoire de la maladie. - En 1896,
, ni de tabagisme, ni d'aucune maladie vénérienne. Histoire de la
maladie
. - En 1896, il ressent les premières douleurs ful
ns la bouche. Lo premier phénomène en date, dans l'histoire de sa
maladie
, est une diplo- pie, qui dura un mois et dispar
coolisme, pas d'aliénation mentale. Elle-même n'a jamais eu d'autre
maladie
Nouv. Iconographie DE la Salpétricrt T. XIII. P
tièrement négative en ce qui concerne la syphilis. L'histoire de sa
maladie
est bien intéressante à connaître. A 28 ans, c'es
té. xut 10 150 GIBERT Personnellement, il n'a jamais eu d'autre
maladie
qu'un mal perforant plan- taire à droite, appar
ous affirme, avec beaucoup de sincérité, qu'il n'a jamais eu aucune
maladie
de femme. Il nous raconte que, sans aucune rais
n territoire médullaire voisin de l'appareil sensitif. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE.
A POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE, PAR R. CESTAN, Chef de Clinique des
maladies
du Système Nerveux. A l'heure actuelle, nous av
écédents héréditaires nerveux. Père et mère morts à 58 et 56 ans de
maladie
aiguë. 5 frères et soeurs vivants et sans malad
à 58 et 56 ans de maladie aiguë. 5 frères et soeurs vivants et sans
maladie
nerveuse. Pas d'antécédents personnels. Pas d'a
is qu'il n'a jamais quitté. A toujours fait le métier de paveur. La
maladie
actuelle est la première maladie. Le 1. cr mai
jours fait le métier de paveur. La maladie actuelle est la première
maladie
. Le 1. cr mai 1899, trois semaines après un coï
ercuriel donne de mauvais résultats. Amélioration progressive de la
maladie
. Electrothérapie. Disparition de l'atrophie mus
t en décembre 1899 le malade que nous suivons depuis le début de sa
maladie
, présente encore du steppage. OUS. IX. - Gilles
itiques. Baillière, 1899. Bl..... 20 ans. Parents nerveux. Pas de
maladie
antérieure. Très nerveuse. Mariée le 16 septemb
orme subaiguë représentée par le malade de Midleton, chez lequel la
maladie
a évolué sous le type du pseudo-tabes avec paré
ion des réflexes tendineux et une atro- phie musculaire avec DR. La
maladie
a cédé au traitement iodo-mercu- riel. Ainsi
(G. Gasne et G. GioV/ntH M : ¡S50n A CI Fditll\l" CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE
ouffrant par intermittences. Durant son existence elle eut diverses
maladies
qui n'influencèrent pas Nouv. Iconographie DE L
cette symptomatologie locale, il n'existe chez notre malade aucune
maladie
organique. Tous ses viscères, tous ses organes
se généralisée. Cette ectasie vasculaire est congénitale. De quelle
maladie
peut-il s'agir chez cette femme ? Il est éviden
que sur la même bande pelliculaire nous avons la marche pendant sa
maladie
, puis la malade sous l'empire de l'hypnotisme et
es erreurs de diagnostic ont été commises, c'est que jus- qu'ici la
maladie
a été peu étudiée et surtout n'a pas été nettemen
rature médicale plus de 80 cas d'adé- no-lipomatose symétrique : la
maladie
n'est donc pas aussi rare qu'on pourrait le sup
tration graisseuse péri- ganglionnaire mais une entité morbide, une
maladie
générale à caractères constants s'accompagnant
à ne préjuger en rien, écrit-il, de la nature encore obscure de la
maladie
. (1) Depuis notre première communication, nous
rtignolles, Boucher, von Waal, Langer, etc.). Mais, dans ce cas, la
maladie
diffère le plus souvent du type classique, c'est-
nt l'avoir ob- servée chez une femme d'une trentaine d'années. La
maladie
débute toujours après vingt ans, c'est-à-dire à u
ré- braux et l'absence de corps thyroïde (Curling), ou même avec la
maladie
de Basedow. Dans l'observation de Bourneville e
pparence myxomateuse. Hutchinson, qui considère l'exophtalmie de la
maladie
de Basedow comme étant le plussouvent due une a
l'orbite, avait de son côté émis une opinion analogue. Pour lui, la
maladie
serait à rapprocher du goitre exophtalmique.
es hommes, et ceux-ci semblent moins prédisposés que les femmes aux
maladies
du corps thyroïde. Enfin l'affection, au dire des
endre le mode de formation des masses graisseuses observées dans la
maladie
qui nous occupe. D'ailleurs, même supposée suff
Une telle constatation suffit pour faire rejeter l'hypothèse d'une
maladie
d'origine alcoolique. D'ailleurs, chez un malad
boisson alcoolique ne fut suivie d'aucun arrêt dans la marche de la
maladie
. La théorie la plus généralement admise, tout a
plique néanmoins comment nombre d'auteurs tendent à consi- dérer la
maladie
comme une véritable tropho-névrose et peut-être m
ur expliquer la répartition des tumeurs dans la neurofibromatose ou
maladie
de Heckling- hausen. Mais, comme on ne consta
hèse consiste à considérer l'affection comme ayant pour origine une
maladie
des glandes et des vaisseaux lymphatiques. Baker
'il s'agit primitivement, ainsi que le supposait le Pe Hayem, d'une
maladie
du système lymphatique (gan- glious et vaisseau
tions et a perdu le désir génital. Pas d'alcoolisme. Le début de la
maladie
remonte à 8 ans. On administre de la liqueur de
ar hérédité et ayant eu du rhumatisme articulaire aigu. Début de la
maladie
il y a 26 ans par une grosseur lombaire. Tumeur
ne quitte pour ainsi dire pas le sol. 3° Enfin ici la marche de la
maladie
a, été la marche classique de l'hémiplé- gie or
de 78 ans, bien portante, a perdu un frère à l'âge de 98 ans d'une
maladie
inconnue. A encore quatre frères et soeurs en bon
en- sitifs ou moteurs dans les membres. Mais il est attristé par sa
maladie
qui le rend l'objet de la curiosité des passant
utres frères ou soeurs. Antécédents personnels. On ne relève aucune
maladie
de l'enfance : ni rou- geole, ni scarlatine, ni
sur l'état des deiix foetus. Le malade n'avait et n'a jamais eu de
maladies
de la peau et des muqueuses (du moins à sa conn
trente-cinq ans, boulanger. Pas d'antécédents héréditaires. Pas de
maladie
notable dans sa jeunesse. Jamais de traumatisme v
le père, le malade ne sait de quoi, la mère, d'hydro- pisie. Pas de
maladie
nerveuse dans la famille. Le malade dit n'avoir
ment malade dans sa jeu- nesse et n'avoir même jamais eu aucune des
maladies
fréquentes dans l'en- fance. De 1855 il 1858,
outes ses obligations. Sa taille en ce moment était de 1 m. 705. La
maladie
actuelle date de 1865. A cette époque, douleurs f
est à la suite de ces chagrins multiples que paraît avoir débuté la
maladie
de Marie M... En 1886, elle avait alors trente-
' v i ? t ? 1 1t- 1 : \ ? . ? 1, 1't ," . LA MARCHE DANS LES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX (A propos d'un article de ll
la suite d'une série d'articles de l'auteur sur la marche dans les
maladies
du système nerveux, dont j'aurai bientôt à parl
ces. J'ai consacré deux ans à des recherches sur la marche dans les
maladies
du système nerveux en m'aidant de la méthode des
que j'avais faites à ce dernier point de vue. . marche dans les
maladies
du système nerveux étudiée par la méthode des emp
ographie. Semaine médicale, p. 225, n° 29, 1899. LA MARCHE DANS LES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX 295 Dans une seconde, tenant
bservé au point de vue physiologique, j'étudiais la marche dans les
maladies
du système nerveux où ces recherches me semblai
écrit en français, il connaît mes recherches sur la marche dans les
maladies
du système nerveux longtemps prolongées, faites a
éthode que celle-ci n'a plus contribué à restreindre le domaine des
maladies
sine materia qui envahissaient naguère la patholo
e se souvient pas que, dans sa famille, quelqu'un fût atteint d'une
maladie
semblable à la sienne. Mariée, elle eut huit en
est âgé au- jourd'hui de 30 ans ; les autres sont morts jeunes, de
maladies
sur lesquelles elle ne peut donner aucun détail
ort à 64 ans ; mais elle ne peut préciser davantage la nature de sa
maladie
. Elle eut son retour d'âge en 1894, par conséqu
est calme et silencieuse et se tourmente constamment au sujet de sa
maladie
. La mémoire est intacte et la vue n'a pas baiss
faibles doses ; l'examen des viscères n'a révélé d'ailleurs aucune
maladie
orga- nique. Depuis son entrée à l'hôpital, l
héréditaires : son père est mort à 46 ans, mais il ignore de quelle
maladie
; sa mère serait morte à 70 ans subitement d'une
l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 343 che ; il nie avoir eu des
maladies
vénériennes : syphilis ou blennorrhagie. Il a m
oir jamais fait d'excès d'alcool. Il fait remonter le début de la
maladie
pour laquelle il est venu consulter, à 4 ans. A
me appartenant au même type anatomo-clinique : dans les deux cas la
maladie
a eu un début tardif, chez des individus ne com
ne troisième soeur, de constitution faible, n'est atteinte d'aucune
maladie
nerveuse. La mère, bien portante dans sa jeunes
observation tout,'t la fois à l'hérédo-atasie cérébelleuse et à la
maladie
de Friedreich. Lorsque le mémoire de Marie a pa
est dans ces deux cas très nettement d'origine scléreuse ; comme la
maladie
présente le carac- tère familial et bien que l'
mais l'infection parait avoir joué un rôle dans l'apparition de la
maladie
et pour Spiller il s'agirait d'une prédispositi
rédisposition familiale, mise en activité dans les deux cas par une
maladie
infectieuse qui serait ou la diphtérie ou la sc
ma- lade est atteint de la même affection ; ses deux soeurs ont des
maladies
d'yeux. Dans les antécédents personnels du mala
. Le frère du malade présente à peu près les mêmes symptômes, et la
maladie
a débuté chez lui à de 33 ans. Son histoire et
ésions histologiques dans les deux cas, le caractère familial de la
maladie
et ses manifestations net- tement cérébelleuses
éditaire; n'existe-t-il donc pas des cas isolés de myopathie ou' de
maladie
de Friedreich ; l'âge avancé auquel s'est déve-
e maladie de Friedreich ; l'âge avancé auquel s'est déve- loppée la
maladie
est par contre peu favorable à l'hypothèse d'une
loppée la maladie est par contre peu favorable à l'hypothèse d'une
maladie
familiale ou héréditaire. Enfin dans notre obse
eux. Si on se rallie à celle dernière opinion, on peut envisager la
maladie
de Friedreich comme une hérédo-ataxie cérébelle
ch comme une hérédo-ataxie cérébelleuse. L'origine vasculaire de la
maladie
, la nature inflammatoire et scléreuse de l'atro
judicieusement soupçon- nées si les accidents surviennent après une
maladie
infectieuse ; mais ce ne sera lit qu'un élément
s telles que l'atrophie des cellules des cornes antérieures dans la
maladie
de Duchenne-Aran. En l'absence d'autopsie et ap
cérébelleuses et de l'ataxie locomotrice : bien que cette dernière
maladie
se traduise cliniquement par un ensemble de symp-
nsisterait sim- plement à énumérer les symptômes fondamentaux de la
maladie
de Duchenne, signe de Westphal, signe d'Argyll
scansion de la parole, le nystagmus sont des symptômes communs à la
maladie
de Friedreich et à l'atrophie cérébelleuse. La
communs à la maladie de Friedreich et à l'atrophie cérébelleuse. La
maladie
de Friedreich a un début plus précoce, vers l'â
le signe d'Argyll Robertson, symptômes d'une grande rareté dans la
maladie
de Friedreich, inconstant dans l'hé- rédo-ataxi
maladie de Friedreich, inconstant dans l'hé- rédo-ataxie. Dans la
maladie
de Friedreich les réflexes sont abolis ; ils ont
e, il y a des cas où le tableau clinique réduit de part et d'autre (
maladie
de Friedreich et hérédo-ataxie cérébelleuse) à
s bien authentiques, avec confirmation anatomique, le diagnostic de
maladie
de Friedreich avait été fait. l. l'atrophie O
l. l'atrophie OLIVO-PON'1'0-CÉItÉBELLEUSE : ! 6o 5 L'ataxie de la
maladie
de Friedreich ressemble davantage à l'ataxie cé-
mble davantage à l'ataxie cé- rébelleuse que celle du tabès dans la
maladie
de Friedreich, en effet, les cordons postérieur
es sur la physiologie pathologique de l'ataxie cérébelleuse dans la
maladie
de Friedreich ou dans l'anémie per- nicieuse, l
pas été suffisamment attirée du côté du cer- velet ; dans le cas de
maladie
de Friedreich qu'il a publié, Auscher l'a trouv
e est associée à des lésions médullaires de même topographie que la
maladie
de Friedreich, Londe entrevoit une certaine par
evoit une certaine parenté entre l'hérédo-ataxie cérébelleuse et la
maladie
de Friedreich, qu'il compare tant au point de v
ômes, le nystagmus et les troubles de la parole sont plus rares; la
maladie
est plus accessible à la suggestion, elle paraî
C. Wernicke présenta à la polyclinique royale de Breslau, pour les
maladies
nerveuses, l'observation suivante : Observation
76 ; puis, d'après son dire, en 2 ans, sans cause appréciable, sans
maladie
aiguë, sa taille s'éleva de 0 m. 20. Au conseil
sont habituelles. Sa'soeura 1 m.80 ; son père, mort à 65 ans d'une
maladie
indéterminée, avait 1 m. 95; un de ses oncles p
ur considère l'acromégalie et le gigantisme comme une seule et même
maladie
dont le développement à la période de croissance
iener klin. Wochenschrift, 2nov. 1899, n 441, p. 1086. CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIERE
e que je l'ai recueillie à son entrée au service de la clinique des
maladies
nerveuses, l'histoire de ce singulier ma- lade.
ans 1/2. Il n'a, dit-il, sûrement pas eu de convul- sions ni aucune
maladie
infectieuse et en somme a joui de la santé la plu
onflement de la main ; et nous le répétons c'est en dehors de toute
maladie
infectieuse, de tout mouvement fébrile, de tout
rophiques osseux ont commencé plus tôt. Pendant tout le temps de sa
maladie
le malade a eu le bras en écharpe, 406 GASNE '
te hypothèse sur les causes, la nature ou la pathogénie d'une telle
maladie
serait purement gratuite puisqu'aucun trouble con
are organique ou mentale permet- tent difficilement de penser à une
maladie
familiale, nous croyons qu'il faut faire toutes
. Observation. C... Louis, âgé de Il ans, entre à la clinique des
maladies
des enfants dans le service de M. le professeur
uinze jours de lit, il semble y avoir une aggravation notable de la
maladie
actuelle. Histoire de la maladie acluelle. C'es
ir une aggravation notable de la maladie actuelle. Histoire de la
maladie
acluelle. C'est vers deux ans et huit mois que
er. Il n'y a pas eu de douleurs accusées durant tout le cours de la
maladie
. Etat actuel. Aspect extérieur. Le crâne prés
s. Il rapproche ces déviations de celles que l'on rencontre dans la
maladie
de Friedreich ou chez les syringomyéliques. Mai
onologique. Si quelques tabétiques accusent dans l'histoire de leur
maladie
l'apparition brusque d'une gibbosité, si, après
t, sans nouvelle manifestation éclatante. La cachexie finale ou une
maladie
intermittente mortelle vien- dront enfin termin
citent des exemples el l'attribuent à la goutte sereine. 0 terrible
maladie
, bien à tort nommée sereine ! Bartltolin, Isttmul
pren- dre du tabac : ' « Va-t-en au diable, Puisque dans cette
maladie
, lu m'es insecourahle. , Tu me mèneras au trépa
malades essaient toutes sortes de médicaments, ce qui est aussi une
maladie
d'après Celse; 4° Sécheresse continuelle du cer
turales des déformations du facies ou de 1'lial)itti, humain que la
maladie
réalise sur le vivant. Plus d'un artiste sou pu
lus d'une vivante réplique parmi les sujets qui sont atteints de la
maladie
de P. Marie. La ligure est moins caractéristiqu
RE CHRONO Par R Charles HUDOVERNIG, Assistant à la clinique des
maladies
du système nerveux de Budapest. J'ai eu l'occ
lysie bulbaire supérieure chronique sans complication avec d'autres
maladies
; son développement extraordi- nairement lent e
jus- tifier la publication. On trouve bien souvent des cas de cette
maladie
dans la littérature médicale, mais je n'ai pas
, servante, avait toujours été bien por- tante jusqu'au début de la
maladie
actuelle. Dans son passé rien d'extraordi- nair
en d'extraordi- naire, ni syphilis, ni alcoolisme, en un mot aucune
maladie
. Ses parents vivent encore; ils souffrent parfo
chements ont toujours été réguliers. En- fin dans la famille aucune
maladie
nerveuse, ni tuberculose. A l'âge de onze ans,
sonnels ; elle jouissait de la meilleure santé jusqu'au début de la
maladie
actuelle, qui date de six ans. Cette maladie co
é jusqu'au début de la maladie actuelle, qui date de six ans. Cette
maladie
commença par une paralysie du moteur oculaire c
quand la malade la relève activement. Tels sont les symptômes de la
maladie
actuelle; aucun trouble de la part des autres n
nerfs crâniens, ni des nerfs spinaux. Cette fille n'a jamais eu de
maladie
antérieure. Elle ne souffre pas de la tête. Elle
mais eu de tuberculose dans la famille. De quelle 476 IIUDOVERNIG
maladie
peut donc être atteinte cette fille ? Où peut-on
niens après une durée de six ans et de caractère progres- sif de la
maladie
, nous permet d'exclure ce diagnostic. Ce n'est pa
e des para- lysies et la longue durée sans complication d'une autre
maladie
. Quant l'apparition unilatérale, c'est peut-êtr
unilatérales des nerfs du bulbe supérieur, mais les symptômes de la
maladie
compliquée (atrophies) se manifestent des deux cô
gue et non compliquée qui ajoute un intérêt spécial à notre cas. La
maladie
débuta, il y a déjà six ans, par la paraly- sie
; or elle reste invariable depuis deux ans. Pendant ces six ans, la
maladie
n'a fait, sauf la parésie du nerf facial gau- c
ieure n'est pas stationnaire, et dans notre cas elle ne l'est pas, la
maladie
fait d'habitude des progrès beaucoup plus rapid
musculaire, tan- dis que dans le cas indiqué, tout le progrès de la
maladie
se manifeste dans une parésie probablement réce
malade observa chez lui une inégalité des pupilles, qui pendant la
maladie
devint stationnaire. Avec le temps ensemble avec
ui se trouve en correspondance avec cela que dans le cas premier la
maladie
a duré plus longtemps et le malade succomba aya
un grand épui- sement et de faiblesse, 5-6 ans après le début de la
maladie
, et dans le cas second l'issue fatale arriva in
accès épileptoïde, à peu près deux ans après le commencement de la
maladie
. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus pro
; mais il n'en trouva pas dans cinq cas avec phéno- mènes d'autres
maladies
mentales. N. Vyrouboff (2) dans sa monographie
l, influent deux moments : premièrement, la rapidité du cours de la
maladie
et, seconde- ment, l'exacerbation du procès par
e l'issue fatale. Ainsi, donc, dans les cas avec un cours rapide de
maladie
ou avec exacerbation, on peut trouver une plus
t alcoolique. Elle a toujours été chétive, mais on ne relève pas de
maladies
graves dans son enfance, ni d'accidents nerveux
part plusieurs blennorrhagies contractées entre 20 et 25 ans pas de
maladies
sérieuses à signaler. Pas d'alcoolisme. Il est im
ibreu- se, et à évolution lente. - (1) E. Bwssnou. Leçons sur les
maladies
nerveuses (Salpêtrière), recueillies par Il. Me
fférentiel doit 1 être établi pour chacune des trois périodes de la
maladie
. Dans la première, il existe une ou plusieurs d
ale du rhumatisme chronique ankylosant, la cyphose supérieure de la
maladie
de Paget, la cy- phose dorsale inférieure de l'
pas permise. Elle est plus facile à faire,dans les scolioses de la
maladie
de Friedreich, aussi faut-il dans ce cas éviter
s été malade. En particulier il n'a jamais eu la syphilis ni aucune
maladie
nerveuse, il ne boit pas. Le 26 mai 1896, il ét
être observé, afin de pouvoir fournir au juge un certificat sur sa
maladie
cérébrale. Il racontait qu'il avait été blessé,
e et une morte à 33 ans. Antécédents personnels. - 43 ans, aucune
maladie
antérieure, sauf une blen- norrhagie. A 18 an
ns (aux Petits Ménages), Antécédents personnels. N'aurait eu aucune
maladie
sauf une fièvre de na- ture indéterminée à l'âg
processus inflammatoire est dû à la déterminationmé- dullaire d'une
maladie
générale, ou encore à l'extension dans la moelle
ur von Leyden, dès l'année 1875, dans son li- vre classique sur les
maladies
de la moelle épinière, décrit admirablement l'a
signa- laient la fréquence de la sclérose en plaques à la suite des
maladies
aiguës et lui attribuaient pour cause l'action
ris, 2-9 aoùt 1900). xm 37 502 MAKIKESCO soutenir qu'à part les
maladies
familiales et la sclérose latérale amyotro- phi
eim comme pour P. Marie, comme pour Bruns, la myélite aiguë est une
maladie
rare, tandis que Leyden et Gowers avaient admis
miner quelques moelles des chiens qui ont succombé à la suite de la
maladie
du jeune âge. La myélite ou plutôt la méningo-m
finir encore mieux les caractères du substratum anatomique de cette
maladie
. Tout d'abord, dans les premières phases delà m
e d'un chien mort avec troubles ner- veux paralytiques, suite de la
maladie
du jeune âge. Foyers d'inflammation sui- vant l
ite, l'agent infectieux. L'étude des microbes, comme cause de cette
maladie
chez l'homme, est relativement de date récente,
s myélites et que P. Marie ait généralisé cette formule à plusieurs
maladies
de la moelle; cependant démonstration de la nat
n'est pas un argument décisif contre la nature infectieuse de cette
maladie
. Le point de départ des agents infectieux qui v
qui constituent un reliquat de la myélite aiguë par le fait que la
maladie
, après avoir réalisé le tableau clinique de la
mus- cles oculaires d'un de ses malades, que la pathogénie de cette
maladie
tient dans tous les cas à une anomalie dans le
est pâle, anémique, elle est un- peu chétive. Elle n'a jamais eu de
maladie
et elle ne tousse pas. La mère de cet enfant et
lade. Il n'est ni alcoolique, ni syphilitique, ni nerveux. La seule
maladie
sérieuse qu'il ait eue date d'il y a 6 ans : à la
sa vue est très bonne ; que sa mère est nerveuse et se plaint d'une
maladie
de coeur. Mais il affirme n'avoir jamais connu da
affection est héréditaire et familiale ; très exceptionnellement la
maladie
est familiale sans être héréditaire. Toujours con
. (Virginie), femme B..., âgée de 38 ans, entre dans le service des
maladies
nerveuses le 6 août 1897. Son père fréquente de
de la famille ; elle est née à terme. Elle a eu toutes les petites
maladies
de l'enfance, sans gravité. A 10 ans, elle aurait
s avons essayé de démontrer, M. Pa- viot et moi (2), pour une autre
maladie
familiale, la chorée héréditaire. On voit que l
eu une enfance normale, a marché à 16 mois, n'a jamais eu de grave
maladie
, s'est toujours bien porté ; il n'était pas ner
t, à l'école, considéré comme intelligent. Début et évolution de la
maladie
. Jusqu'en août 1896, c'est-à-dire jus- qu'à l'â
l n'y eut de douleurs ou de troubles intellectuels ; au début de la
maladie
, il y eut pendant quelques mois de la difficult
e, mais pourtant caractéris- tiques, les altérations cutanées de la
maladie
deRecklinghausen : à ce moment le cas de notre
fs rachidiens. Ces lésions de la peau suffisent au diagnostic de la
maladie
de Recklin- ghausen. Le début parait remonter à
ue et mentale, terrain commun sur lequel se développe si souvent la
maladie
de Recl;linghausen.. La prédominance des accide
graphies, nous songeâmes tout d'abord, avant que la signature de la
maladie
nous fût donnée par la fibromatose cutanée, à u
faite, pas plus qu'elle ne l'est sur l'étrange affection qu'est la
maladie
de Recklinghausen. D'ailleurs le fait que nous
des physionomies sous laquelle peut se manifester et se dérober la
maladie
. (t) Société méd. des hôpitaux, 1" déc. 1899.
e peut encore être provoquée par les agents'toxiques (2) et par les
maladies
infectieuses (3). Chaque jour apporte de nouvea
LIÉE SOUS LA DIRECTION DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE
IES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES
MALADIES
MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE
IDES MALADIES MENTALES A. FOURNIER PROFESSEUR DE CLINIQUE DES
MALADIES
CUTANÉES ET SYPHILITIQUES PAR PAUL'RICHER
ude caractéristique qui s'ensuit sont excessivement t rares dans-la
maladie
qui nous occupe. Nous ne l'avons pas observée une
erses parties du triceps brachial ; dix mois après l'invasion de la
maladie
ces divers muscles sont assez bien ré- parés et
Leçons de clinique médicale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur les
maladies
nerveuses, 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894).
iagnostic de chorée molle, diagnostic que, dans l'état actuel de la
maladie
, nous n'aurons d'ailleurs pas à discuter. Voi
à discuter. Voici en quelques mots l'histoire de cet enfant : La
maladie
a débuté en décembre 1900, il y a donc un an, par
t avait marché et s'était développé nor- malement, n'ayant eu comme
maladie
qu'une rougeole peu grave à l'âge de 6 ans. Sa
présenté de mouvements invo- lontaires ; le premier symptôme de sa
maladie
a été l'incertitude de la marche, la jambe droi
tion de dégénérescence. L'important est de suivre l'évolution de la
maladie
et de noter à des intervalles assez rapprochés
t les travaux (1) : à savoir que le caractère le plus important des
maladies
dites familiales ou mala- dies héréditaires ou
des maladies dites familiales ou mala- dies héréditaires ou encore
maladies
d'évolution, ce n'est pas tant le fait qu'elles
ents et reconnaître au contraire comme démontrée la variabilité des
maladies
d'évolution. (1) E. Loitij, Revue générale. Les
lité des maladies d'évolution. (1) E. Loitij, Revue générale. Les
maladies
nerveuses familiales (maladie d'vo¡u' lion), Re
. (1) E. Loitij, Revue générale. Les maladies nerveuses familiales (
maladie
d'vo¡u' lion), Revue méd. de la Suisse romande,
autres n'ont pas de tare spéciale. Antécédents personnels. - Pas de
maladies
d'enfance, mais aspect toujours un peu chétif ;
s règles à 13 ans 1/2 ; époques toujours régulières. Histoire de la
maladie
. - Il est difficile d'en préciser le début ; il e
compte des douleurs res- senties pendant les premières années de la
maladie
et qui étaient du reste ma- nifestement le résu
equel il est nécessaire de revenir ; parmi les muscles du tronc, la
maladie
d'évolution dans ce cas n'a pas frappé seu- lem
'on en fasse des types spéciaux. Si les caractères géné- raux de la
maladie
permettent de diagnostiquer la nature de l'atroph
i que l'a fait remarquer Jendrassik dans un de ses articles sur les
maladies
transmises par hérédité, « on serait amené à dé
mises par hérédité, « on serait amené à décrire autant de formes de
maladies
qu'il y a de familles attein- tes ». UNE MYOP
du myo- pathique. On en trouvera un bel exemple dans le traité des
maladies
ner- veuses du professeur Grasset. Les deux cas
llente santé. La mère, cartonnière, ne présente pas de symptômes de
maladie
nerveuse. Elle a eu 7 enfants : 1° un garçon âg
de la grossesse une intoxication des parents. Il n'a jamais eu une
maladie
fébrile. Il a marché à 1 an 1/2 et parlé à 14 m
servation dans ses leçons cliniques. D'ailleurs, l'histoire de sa
maladie
nous prouve à quel point a été pour lui utile l
c'est ici un fait très remarquable, trois de ses frères ont la même
maladie
que lui ; le début a été le même dans les quatr
uirent quatre enfants qui sont tous vivants et bien portants. Sauf la
maladie
actuelle, elle-même s'est toujours très bien po
elle n'a jamais bu. Son père était rhumatisant et a succombé à une
maladie
du coeur a 72 ans. Sa mère vit encore et souffr
est vivant et a 48 ans ; il est ma- lade depuis la ou 20 ans, et sa
maladie
est caractérisée par faiblesse et amai- grissem
lui permet- tent de marcher tant bien que mal ; actuellement cette
maladie
parait station- naire, immobilisée ; l'affaibli
s assez long, par des douleurs assez vives. D'après Célédonia, la
maladie
de son frère serait tout à fait pareille à la s
n oncle buveur, au reste aucun autre membre de sa famille n'a eu de
maladie
qui puisse nous intéresser. La maladie actuelle
re de sa famille n'a eu de maladie qui puisse nous intéresser. La
maladie
actuelle a débuté il y a environ 26 ans par des d
ubles s'accentuèrent très lentement jusqu'à la phase actuelle où la
maladie
semble rester stationnaire. Etal actuel. - La m
conservée dans les membres supérieurs, 26 ans après le début de la
maladie
, quelle qu'elle soit. Les muscles du tronc sont
tout au moins très singulière. Il ne s'agit pas non plus, de cette
maladie
décrite par MM. Déjerine et Sottas, sous le nom
tégrité absolue des membres supérieurs, 26 ans après le début de la
maladie
. L'envahissement des membres supé- rieurs à une
res supé- rieurs à une époque plus ou moins éloignée du début de la
maladie
, paraît jusqu'à présent, être une loi du dévelo
use sur le type CharcotNlarie, si bien qu'il rejette du cadre de la
maladie
tous les cas où les membres supérieurs restent
iagnostic est irrécusable, et cependant 26 ans après le début de la
maladie
les membres supérieurs sont encore indemnes. Es
avec intégrité défi- nitive des membres supérieurs, car en effet la
maladie
paraît immobili- sée dans les membres inférieur
ont absolument les mêmes depuis un grand nom- bre d'années ; que la
maladie
n'a pas bougé du tout (ce sont ses propres paro
elconque ; il refusa toujours de donner « des renseignements sur sa
maladie
. Sch... avait un caractère particu- « liérement
G. ROSSOLIMO, Professeur agrégé à l'Université de Moscou. Pour la
maladie
de Thomsen, comme pour beaucoup d'autres maladies
de Moscou. Pour la maladie de Thomsen, comme pour beaucoup d'autres
maladies
du système nerveux qui attendent une explicatio
ravaux font ressortir une des très importantes particularités de la
maladie
de Thomsen, la tendance à être accompagnée dans q
ude de la myotonie. Outre cela, de pareilles formes atypiques de la
maladie
de Thomsen peuvent rendre grand service à l'étude
inférieurs, les membres supérieurs devenaient (1) KOII ! OEOLD, La
maladie
de Thomsen. Thèse de Paris, 1897 (voir l'article
sauf la seule possible, à savoir que l'atrophie muscu- laire de la
maladie
de Thomsen n'en est pas une complication occasion
grou- pes musculaires classiques pour le résultat nécessaire de la
maladie
de Thomsen en général. Non ! Nous comptons la c
é et tâ- chons de montrer sous quel rapport nous la mettons avec la
maladie
de Thomsen. La myotonie congénitale, apparten
ie de Thomsen. La myotonie congénitale, appartenant au groupe des
maladies
qui se manifestent par des troubles anatomiques
eux, on a noté dans la même famille la dystrophie musculaire et des
maladies
graves du système ner- veux (dans une observati
apparaît la né- cessité d'une pathogénie plus exacte. Quant à la
maladie
de Thomsen, par défaut d'une théorie satisfaisant
s larges et protégées par elle,et alors elle n'existera que pour la
maladie
de Thomsen. Une théorie qui attribue la cause d
ire, l'atro- phie myotonique est en même temps le lien qui relie la
maladie
de Thom- sen avec l'atrophie musculaire progres
chement a aussi une certaine importance pour l'autre question de la
maladie
qui nous occupe, c'est-à-dire, pour les proprié
2 soeurs de Pelizns). Si on a décrit des cas de l'apparition de la
maladie
après l'une ou l'autre cause évidemment provoqu
génitales, comme des poussées occasionnelles à l'appa- rition de la
maladie
, préparée avant. Je tiens à ajouter une considé
qui de son côté peut jeter quelque lumière sur le fond spinal de la
maladie
de Thomsen. Il est connu que le tabes s'accompa
z un de mes malades, âgé de 45 ans, souffrant dès son enfance de la
maladie
de Thomsen, apparurent il y a 10 ans, des symptôm
5e Année N° 2. Mars-Avril HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX sun LES AFFECTIONS DE LA Q
ur ses antécédents familiaux n'offrent aucun intérêt, eu égard à sa
maladie
actuelle. Ses antécédents pathologiques personn
s les parois artérielles : (1) Ilucii,&Ri), Traité clinique des
maladies
du coeue, et des vaisseaux. LACUNES DE DÉSINTÉG
écessaire car on a remar- qué la fréquence des hémiplégies dans les
maladies
infectieuses comme par exemple la pneumonie, et
u'il 2 ans 1/2. On relève, dans les antécédents, toute une série de
maladies
: coqueluche, scarlatine, une affection cutanée
rices,pro- bablement de l'impétigo; enfin, vers l'âge de 5 ans, une
maladie
fébrile, d'une durée de un mois, qualifiée par
uoique très retardé, s'effectuait assez bien jusqu'à cette dernière
maladie
; l'enfant avait commencé à apprendre à lire,mais
'affection connue jusque dans ces der- niers temps sous le nom de «
Maladie
de Little » est un ensemble de symp- tômes dive
ontrer la multiplicité des affections réunies sous le même nom de «
Maladie
de Little ». Andry,professeurde médecine au Col
issance avant terme n'est pas une des conditions essentielles de la
maladie
et la lésion des faisceaux pyramidaux peut prov
verses provoquer des symptômes identiques. Les formes variées de la
maladie
sont souvent des distinctions pure- ment théori
fût d'accord sur les états pathologi- ques à ranger sous le nom de
maladie
de Little qu'il définit ainsi : « nais- sance a
it ce que leur réunion semblait avoir de pondéré pour qualifier une
maladie
nette et déterminée : 1° La naissance avant ter
ive. - S'i I est vrai que dans certains cas, les plus fréquents, la
maladie
suit une marche progres- sive en diminuant, il
incoordination des mouvements. Il n'existe pas de cas d'autopsie de
maladie
de Little ayant démontré un manque de développe
s yeux et du larynx (nystagmus, parole saccadée et spasmodique). La
maladie
est apparue lorsque l'enfant marchait et, avant l
1897. 7. Gaston Daniel. - Orthopédie mentale. Bruxelles, 1898. 8.
Maladie
de Little. Bruxelles, 1900. 9. Traitement de la
1898. 8. Maladie de Little. Bruxelles, 1900. 9. Traitement de la
maladie
de Little. Bruxelles, 1900. NOUVELLE Iconograph
ME DE LITTLE 145 10. Charcot. Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau et de la moelle. Paris, 1878-1880 p.
ehr. - Thèse de Bâle. Bâte, 1895. 13. D'Espine et Picot. Manuel des
maladies
de l'Enfance. Paris, 1890. 14. Osier. The céréb
bilité cutanée, se précise par l'exercice et disparaît dans certaines
maladies
cérébrales, bien que la sensibilité brute soit
re prise aux spé- culations corticales, plus nous verrons, dans les
maladies
cérébrales, des systé- matisations psychiques a
r de tous renseignements capables de les éclairer sur la nature des
maladies
qu'ils sont appelés à combattre. On comprend tout
l'urine et puis va dire : Vostre femme est fort aggravée de chaulde
maladie
et en dangier de mort, s'elle n'est prestement se
mesme. Elle est suivie de ces qua- tre vers : Tu cognois bien la
maladie
Pour le patient secourir Et si ne sais teste
malade, cherchant, dans l'inspection de l'urinai, les causes de la
maladie
en même temps que le secret de la guérison. 11
bien de se résigner à son malheureux sort ; elle est atteinte d'une
maladie
purement physiologique et qui se terminera na-
dont les soucis lui au- raient aigri le caractère. histoire de la
maladie
(d'après le récit de sa femme). Six mois environ
Les urines ne contiennent ni sucre, ni albumine. Evolution de la
maladie
. 21 octobre. Les facultés intellectuelles du ma
dents personnels. - Jusqu'à l'âge de 10 ans, C... n'avait eu aucune
maladie
sérieuse, mais à cette époque se sont montrées de
ulose pulmonaire. Antécédents personnels. - Le malade n'a eu aucune
maladie
importante dans son enfance ni son adolescence.
ie importante dans son enfance ni son adolescence. Histoire de la
maladie
. Au commencement de mars 1899, C... reçut un vi
us sont donnés, voici ce que nous con- naissons de révolution de sa
maladie
depuis le moment où il a quitté l'hôpi- tal (du
sage-femme de la commune de X... amenait à Nancy à la clinique des
maladies
des enfants une petite fille « monstre » née 45 j
(Raymond et Pierre Janet). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX LE SYNDROME PSYCHASTHÉNIQUE
Prague, faisait connaître à la Société de Neurologie deux cas d'une
maladie
nerveuse bizarre qu'il baptisait du nom de l'al
paralysie systématique il faut ajouter d'autres faits qui rendent la
maladie
de Rul... beaucoup plus complexe et qui vont pe
mations qui nous ont été données par l'interprète il n'avoue aucune
maladie
; on ne peut rien déceler d'anormal ni de particu
qui aboutira plus tard à l'atrophie cellulaire. Or dans le tabes,
maladie
à évolution chronique et lente, il ne peut être
oit : normal. Obseuvation V. Four..., âgée de 36 ans. Début de la
maladie
il y a cinq ans par des 316 THOMAS ET IIAUSER
altérations. Observation VII. Delavacq..., 53 ans. Le début de la
maladie
semble remonter à 9 ans. A partir de cette époq
Observation VIII. 1 Blancs..., 43 ans. Tabes classique. Début de la
maladie
à l'âge de 37anspar des troubles de la marche :
i à droite. Atrophie papillaire. Elle meurt en 1902 après 14 ans de
maladie
. Examen anatomique. L'examen a porté sur 5 gang
rveux et conjonctifs. Observation XI. Riv..., 74 ans. Début de la
maladie
il y a environ 30 ans par des dou- leurs fulgur
ciales. Dans le stade suivant, stade catatonique proprement dit, la
maladie
revêt toutes les apparences de la stupidité. C'
citation ou de stupidité avec leurs symptômes décrits ci-dessus. La
maladie
peut guérir, ce qui est le cas le plus fréquent ;
. Cet auteur (S) s'est attaché en effet à établir que l'issue de la
maladie
est souvent une forme plus ou moins grave de dé
s le détail de celle de Kahlbaum, en ce qu'il ne consi- dère pas la
maladie
comme évoluant par périodes régulières, cycliques
tatoniques, de pronostic variable, dans des formes très diverses de
maladies
mentales. En revanche, Aschaffenburg, accentuan
béphrénie et la catatonie ne sont même pas deux variétés d'une même
maladie
, mais constituent un processus morbide unique a
uquel on peut appliquer le nom de démence précoce, c'est-à-dire une
maladie
qui se développe le plus souvent dans l'âge juvén
me catatonique se manifeste plus ou moins prononcé dans beaucoup de
maladies
mentales; 2° il ne constitue jamais à lui seul un
nstitue jamais à lui seul un cadre clinique ; il n'est pas toute la
maladie
et occupe seulement certaines périodes du proce
en pareil cas, le syndrome ca- tatonique ne constitue pas toute la
maladie
. Il n'occupe qu'une place plus ou moins prépond
de ses amis qu'il accusa de lui avoir fait contracter exprès cette
maladie
par jalousie. A son retour du régiment ces idée
lontiers des renseignements sur ses antécédents, sur le début de sa
maladie
, sur les persécutions dont il redoutait d'être l'
ont indifférentes, mais il ne répond pas, lorsqu'elles ont trait sa
maladie
. La résis- tance musculaire persiste, mais cons
tivisme, de ses stéréotypies. « Il ne sait pas, dit-il ; c'est la
maladie
; c'est absurde, il y est forcé et ne peut fair
r Tous ce que je puis vous dire la femme qui m'a commu- niqué cette
maladie
à Montmartre n'avait qu'un sein et était Vérolé.
ralysie générale, etc.). Le caractère différentiel est que dans ces
maladies
ils ne s'associent pas avec l'empêchement (into
L..., ou ils disent comme P..., qu'ils ne savent pas, que c'est la
maladie
, que c'est absurde, mais qu'ils y sont forcés,
es mais néanmoins fort intéressants. Les caractères objectifs de la
maladie
exostosique commencent à se pré- ciser avec ass
le guère avoir été à un moment donné exposé à la contagion de cette
maladie
. On n'a pas non plus jusqu'à pré- sent signalé
s l'hypothèse que la tuberculose était susceptible de déterminer la
maladie
exostosique. Onpeut, il est vrai, objecter tout
rant : P. Bouchez. 160 Année N° 5. SEPTEMBRE-OCTOBRE CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX £ HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
LA SALPÊTRIÈRE LES DÉVIATIONS DE LA COLONNE VERTEBRALE DANS LA
MALADIE
DE PARKINSON ra Il J. A. SIGARD Chef de Cli
r, a la Clinique cle la oalpetnere, un-- - certain nombre de cas de
maladie
de Parkinson, nous avons été frappés de la fréq
ntérêt que présente l'étude des déviations, du rachis, au cours des
maladies
nerveuses. M. Hall ion (3) avait même, dans sa th
te liste déjà longue, on peut, d'après nos observations, ajouter la
maladie
de Parkinson. Sur 17 parkinsoniens dont nous av
et Henry Meige (2) publient, dans une « Etude morphologique sur la
maladie
de Parkinson», des photogra- phies vues de face
colonne vertébrale, qui ou bien, ont apparu depuis le début de leur
maladie
(obs. 2, 3, 4, 5, 6, 9, 10, 11, 12), ou bien, se
ans tous les cas, s'il n'existait pas quelque cause, étrangère à la
maladie
de Parkinson, et qui puisse expliquer ces dévia
e ces déviations. Il nous semble donc logique de les rattacher à la
maladie
de Parkinson, mais à quel mécanisme attri- buer
rces; plusieurs exercent encore leur profession. L'ancienneté de la
maladie
n'est pas davantage une cause ; la malade de PR
PÊTRIÈRE. T. XV. Pli. LI DÉVIATION DE LA COLONNE VERTÉBRALE DANS LA
MALADIE
DE PARKINSON (Sicnrd et ,9lguier). DEUXIÈME T
e d'un côté du corps. Nous conclurons donc en disant que, dans la
maladie
de Parkinson, on observe le plus souvent des dé
ce. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE SPASMES FONCTIONNELS ET
MALADIES
HÉRÉDITAIRES ET FAMILIALES DTI SYSTEME NERVEUx.
1), deux malades atteints d'une même affection qui se rapproche des
maladies
héréditaires par son début dans la seconde enfa
ion donnant l'impression d'une seconde édition amplifiée de la même
maladie
, et non pas seulement d'une analogie superficiell
s traits, d'une part, la paraplégie spasmodi- que, d'autre part, la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie cérébelleuse.
nes, en rappelant que les mouvements athétosiques font partie de la
maladie
de Friedreich, et que l'hyperextension permanen
ons nerveuses, et ne présentant aucun stigmate d'hystérie (2). La
maladie
débute, vers 8 ou 9 ans, par une gêne dans les mo
t pas sans analogie avec la re- marque qui a déjà été faite dans la
maladie
de Friedreich et l'hérédo- ataxie (2), où les t
appuyée. Dans certains cas, en général à une période avancée de la
maladie
, le spasme persiste même quand le sujet est cou
Si nous récapitulons les phénomènes qui rapprochent notre cas de la
maladie
de Friedreich et de l'hérédo-ataxie, nous trouvon
s, parait-il, con- sidéré aujourd'hui comme absolument spécial à la
maladie
de ce nom. On l'aurait rencontré dans une autre
pécial à la maladie de ce nom. On l'aurait rencontré dans une autre
maladie
héréditaire et familiale, dans la paraplégie sp
ond nous offre des points de contact beaucoup plus nombreux avec la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie. (1) CESTAN
canique et électri- que qui rappellent la réaction myotonique de la
maladie
deThomsen. Observation. - Vig.. Eugène, 29 ans,
rs pu courir comme ses camarades, sans chutes fréquentes. Jamais de
maladies
graves à garder le lit. - Pas d'alcoolisme, ni
ci- dent. Il n'y a point d'incoordination comme dans le tabes ou la
maladie
de Friedreich. L'étendue, la direction, la vite
être rap- proché de ce fait que, à une période moins avancée de la
maladie
, la course LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQU
unissent nos deux malades à un groupe d'affections « hérédo-ataxie,
maladie
de Friedreich héréditaire» (1), dans lequel, pr
rs le moment où les types cliniques, déjà isolés dans la classe des
maladies
héréditaires et familiales, seront reliés par de
onds et vice-versa. - Cet antagonisme parait être la règle dans les
maladies
organiques du système nerveux, et il est signal
'appui. C'est l'ataxie statique deFriedreich, phénomène propre à sa
maladie
. Les mouvements involontaires de la face chez V
ESTARAC · générale, ces diverses manifestations s'observent dans la
maladie
de Frie- dreich typique. » Il est difficile d
aucun résultat. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 405 avec la
maladie
de Thomsen. Nous avons noté que la marche est plu
s. A rapprocher encore de cet ordre de faits, que. à l'époque où la
maladie
était moins accentuée, Vig. courait plus facile
as d'atrophie musculaire appréciable, (1) Il en est de même dans la
maladie
de Thomsen. La raideur spasmodique entrave plus
nes antérieures. Quant aux relations possibles de notre cas avec la
maladie
de Thomsen, rien, a priori, n'empêcherait de le
ferts par nos malades, avec ceux décrits dans l'hérédo-ataxie et la
maladie
de Friedreich. Si bien que ce dernier diagnosti
elle VI. Brissaud (1) caractérise le trouble des mouvements dans la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie : « chez ces m
de la moelle, mais il faut admettre pour le développement de cette
maladie
une prédisposition particulière ; en effet, une f
on particulière, dont parle Duchenne, qui permet l'é- closion de la
maladie
chez tel sujot et pas chez d'autres,soumis cepend
p à quelles lésions correspondent les mouvements de la tête dans la
maladie
de Friedreich, doit-on en faire un phénomène psy-
oir essayé de démontrer la parenté symptomatique de nos cas avec la
maladie
de Friedreich et l'hérédo-ataxie,il nous resterai
t le syndrome cérébelleux qui domine dans 1'liéi-édo-;i taxie et la
maladie
deFriedreicb, et c'est le cervelet qui, directeme
ourraient être soutenues ; c'est la moelle qui est atteinte dans la
maladie
de Friedreich, et c'est le cervelet dans l'hérédo
inévrite fait souvent défaut,même à une période assez avancée de la
maladie
(Obs. Il. VI, VIII). Lorsqu'elle exisle, son in
rks hinters- tl'allge, Jena, 1897. (3) J. DEJEIII1m et A. Thomas.
Maladies
de la moelle épinière. Traité de médecine de Br
un processus qui nous paraît être beaucoup plus fréquent, dans les
maladies
du système nerveux qu'on ne le croit généraleme
, ce mode de dégénérescence peut s'observer aussi bien au cours des
maladies
primitives de la cellule ou de la fibre nerveus
la cel- lule (2), et sans admettre avec Stroebe qu'il s'agit d'une
maladie
partielle de la cellule, on peut concevoir que
jections dont la principale est que, mal- gré la longue durée de la
maladie
, la partie la plus noble du neurone, la cellule
hie rétrograde, ce qui paraît très in- vraisemblable : en effet des
maladies
telles que la syringomyélie qui dé- truisent so
s sa forme schématique le type primitif, tel que les parrains de la
maladie
l'avaient conçu. A cette époque, en effet, nomb
MARIE 467 Je n'ai point nié qu'il y eût des formes péronières de la
maladie
; si l'on se reporte à la page 210 de ma thèse,
r conséquent la marche n'est point celle que suit habituellement la
maladie
. De même dans les observations de Jacoby, de Bu
la confirmation de l'autopsie ; mais les caractères cliniques de la
maladie
sont assez nets, pour que l'on puisse trancher la
que l'on puisse trancher la question, sans crainte d'erreur. « LA
MALADIE
» Tableau de Jules Romain. (1533-1534). l'A
upés harmonieusement ensemble pour donner un éloquent symbole de la
Maladie
. L'auteur du tableau, dont je présente aux lect
omano (1533-1534) (C.-E. Manant.) 21[ASSON ET Ci-, Éditeurs. LA
MALADIE
469 ques et tableaux, vrai cycle hautement déco
douleurs de la vie, et porte précisément le titre significatif : La
maladie
. Il a été peint en 1533-1534, dans une chambre
izier (lïie-Mrne). 16" Année N° 6. Novembre-Décembre CLINIQUE DES
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE
mécanicienne de son état. De souche saine, F..., n'a pas fait de
maladie
grave durant son enfance. Depuis l'âge de 14 an
riée. Elle n'a jamais eu d'enfants : jamais non plus elle n'a eu de
maladies
vénériennes. Elle affirme avoir toujours été d'un
iennes. Elle affirme avoir toujours été d'une grande sobriété. Sa
maladie
actuelle a débuté au mois de novembre 1898, à la
u gros intestin. Le réflexe anal est aboli. Depuis le début de sa
maladie
, R... n'a plus eu d'érections. Le réflexe créma
d'une fistule à l'anus, qui s'est ouverte, la veille du début de sa
maladie
actuelle. B... exerçait la profession de garçon
ais à titre excep- tionnel. D'autre part, chez B..., le début de la
maladie
n'a pas été que brusque; il a été marqué par un
..., 49 ans, est amenée pour la première fois à la consultation des
maladies
nerveuses le 13 octobre 1898. Son père est mort
fut toujours bien portant ; il ne fut pas épargné cependant par les
maladies
contagieuses et eut successivement la rougeole,
En fait, cet affaiblissement sexuel.est un Irait si frappant de la
maladie
qu'une des plus récentes théories palhogéniques e
nant comme un effet et un symptôme plutôt que comme une cause de la
maladie
(1). » Enfin llinsdale (2), dans sa monographie
cours d'une forte quinte de toux. Elle souffrit très peu durant sa
maladie
, mais sa faiblesse musculaire était si grande que
es ; ils sont morts. Un frère et une soeur sont morts en bas âge de
maladies
indéterminées. Un frère, âgé de 25 ans, domesti
e moyenne. Il eut une enfance chétive, mais ne fut atteint d'aucune
maladie
; et à 17 ans il était développé comme un homme
avec intelligence aux questions qu'on lui adresse, s'intéresse aux
maladies
de ceux qui l'entourent, s'occupe et noue volon
centimètres. Bourses non épaissies. Testicules petits. Marche de la
maladie
. - Le malade resta à la clinique du 24 mai 1894 a
présentait pas déjà quelques-uns des traits caractéristiques de la
maladie
de Pierre Marie. Actuellement, en ne se basant
tocollogr.), par LANNOIS et P.wuor, 512. Colonne vertébrale dans la
maladie
de Parkinson (Les déviations de la) 4 pl. ,en
Ana- Lomie des) (2 pl. en photocollogr.), par Jeaa FcnnwD, 101.
Maladie
(La). Tableau de Jules Romain (1 pl. en photogr
Alquier et SICwRn. Les déviations de la colonne vertébrale dans la
maladie
de Parkinson (4 pi. en photocollogr.), 37. BA
ne de myopathie atrophique progressive (1 pl.), 32. MARIANI. La
maladie
. Tableau de Jules Romain (1 pl. en photogr.), 4
Sic.vno et Alquier. Les déviations de la colonne vertébrale dans la
maladie
de Parkinson (4 pi. en photocollogr.), 377. S
Lacunes de désintégration cérébrale (FER- rand), XII, XIII. La
maladie
, tableau de Jules Romain ( : 111ARlAl'(I), LIV.
III. La maladie, tableau de Jules Romain ( : 111ARlAl'(I), LIV.
Maladie
de Parkinson (Déviations de la colonne vertébra
hypnotisme, sommeil movoQUS, somnambulisme, sitconon NÉTKOSES.
maladie
» mentales et xeiiveuse-s, medecine léo a lu, péda
Vichy-Côlestlns (Goutt*, Grovello. Diabète). Tribromure de Glgon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie), Lecithine Rogl
ydrothé repique du Vésinet (S.-ei*0.). D' Pottior. 10, rue Ptcput (
Maladies
mentales et nerveuses). D" Signes (Pavillon Cba
de la mort du D' Gilles de la Tourette, prématurément enlevé par une
maladie
redoutable, un article dont nous extrayons les pr
l'esprit d'illogisme au point de reprocher à un de leurs confrères la
maladie
dont il a été victime. Souhaitons que le vieil
es déséquilibrés du système nerveux, chez lesquels, par le fait de la
maladie
ou de l'éducation, la volonté se trouve affaiblie
rable, elle a toujours été souffrante, mais n'a jamais fait de grande
maladie
. o Je n'en avais pas le temps me disait-elle en
I. - JUILLET 1904. Bien spécifier la source Vichy CÉLESt INS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
est très lourde (I) Présentation de malade faite a la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpetriêre. et elle
ste de grande valeur. L'agonie de Molière, terminaison d'une longue
maladie
, a donné matière à de nombreux travaux de médecin
HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES,
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOG
Vichy-Céleatlna (Goutte. Gravelle, Diabète). Tri bromure de Qigon (
Maladies
nerveuses. Epilepsie, Hystérie), Leoithine Rogl
•. Rll'll U YXtUhll ill SeWIKl, 13 S*ft JMI. lit. Neurat&énle,
Maladies
nerveuses, tic-Dragées de 4 a 8 par jour . . Le f
ychologie do Paris. Une nouvelle conception de la thérapeutique des
maladies
nerveuses et psychiques, semble devoir s'imposer
l était un moyen de traitement généralement employé dans une foule de
maladies
. Aspasic raconte a Périclès les péripéties d'un v
de Pavie, a signalé les bons résultats obtenus pour le traitement des
maladies
nerveuses par l'hypnose sans suggestion. Rappel
lade, on la transporta à l'hôpital de Dresde, le 1? décembre 1731. La
maladie
lui fit négliger ses préoccupations de (1) Marc
triste, il a dos idées de suicide et diverses phobies : phobie de sa
maladie
, phobio de devenir fou, phobie de la mort. Son im
donne de l'espoir en lui affirmant qu'il n'a rien à craindre, que sa
maladie
est bien justiciable de la psycho-thérapie, qu'il
rogrès à la marche. Cette amélioration prouve très bien que, dans une
maladie
organique, comme celle-ci, la paralysie et impote
OTISME. — n- 2. — AOUT 1904. Bien spécifier la source CÊLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gradelle — Dia
Pharmaci'e GORY, \ïï, rue Oberkampf. — Pau du flacos' : 3 iram-;
maladie
organique, s'estajouté un trouble fonctionnel sym
il se présente à ma consultation. L'cxamon du eccur ne révèle aucune
maladie
organique et tous les organes paraissent sains. J
voyelle. Elle sait à peine écrire et ne s'exprime que par signes. Sa
maladie
est un cas de mutisme hystérique survenu, il y a
sonne tout ce qu'il y a de plus étonnant dans l'une et l'autre de ces
maladies
, j'ai cru devoir en constater la vérité, et en do
ou quatre heures entières. Les mois d'avril et de mai suivants cette
maladie
fut compliquée d'une autre maladie singulière, pa
s d'avril et de mai suivants cette maladie fut compliquée d'une autre
maladie
singulière, pareillo à celle des somnambules, laq
à conserver les attitudes. Jusqu'Ici cette fillo nous fait voir une
maladie
qui, quoique rare, n'est pas sans exemple, mais e
e la même année 1737, elle eut plus de cinquante attaques d'uno autre
maladie
, dans lesquelles on distin-guoll trois temps; le
t quelquefois un jour entier ou du matin au soir, étoit rempli par la
maladie
que les filles de la maison appelloicnt l'acciden
stion, de la simulation, constituant des caractères indélébiles de la
maladie
, seraient précieux pour le diagnostic et comparab
rexique, elle se (1J Présentation de malade faite à la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpétriére. met a
ir. le calme et les pratiques d'Hytrotbéraple et d'Electrolbéraple.
Maladies
nerveuses et rhumatismales. Anémie, Diabète, Obés
Paraissant lorn I'" moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Riiittcur ti (M: Docteur
UVPNOTISMB, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES,
MALADIES
MENTALES et NERVEUSES. MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE
). Vichy-célesii as (Uoutl-, Gravclle. Diabète). Trlbromure de Glgoa (
Maladies
nerveuses. Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogler
tut hydrothéraplque du Véslnei (S.-ei-O.J-LV Pottier, 10. tue PIcpus (
Maladies
mentales et nerveuses). D' Sigoez ^Pavillon Charc
Crocqfde Bruxelles). L'éducation physique appliquée au traitement des
maladies
mentales, par M. le Dr i i (de Pau). Traumatisme
E. — N* 3. — SEPTEMBRE 1904. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gradelle — Dia
.se soit surtout efforcé de la trompera son réveil sur la durée de la
maladie
et sur la qualité des personnes do son entourage.
ge conservé le souvenir des incidents qui se sont produits pendant sa
maladie
, puisqu'elle est très surprise de constater une p
autre habitant de Thenelles, elle s'est trouvée en contact pendant sa
maladie
avec une foule de personnes au langage correct, o
qui prétend avoir le pouvoir d'enlever ou de donner toutes sortes de
maladies
. Notre jeune fille connaissait cet homme et son p
i importante qu'elle augmente notablement son infirmité en créant une
maladie
véritable de la volonté, une sorte d'impossibilit
mais ils ne s'occupent du traitement des malades. Généralement toutes
maladies
sont de deux sortes : refroidissement et scrofule
air. lo calme et les pratiques d'Hy irothérapie et d'Hl-orothémpte.
Maladie
* not-Touses et rhumatismales, Anémie, Diabète, Ob
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rfliftar m (M: docteur Ed
HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES,
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE
). Vichy-Celestina (Goutte. Cravclle, Diabète). Trlbromure- de Otgon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie). Lecltbinc Rogler
ut hydrothérapique du Vésinet (S.-et-O-;. D' Portier, 10, rue Picput (
Maladies
mentales et nerveuses). D" Signez (Pavillon Charc
ux LV-xtui-ftidu (* l'itilfalr in yi-- 1.13 SfiL lui. Saura ¦¦¦ r .
Maladies
nerveuses, etc-Drsgées de * â S par jour . . Le f
- 4. — OCTOBRE 1904. Bien spécifier la source Vichy CÉLEST1NS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
ologique et pédagogique; h' le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogiqu
tons, en passant, que déjà avant Charcot, Briquet avait entrevu cette
maladie
. Il y a de quoi s'étonner, dit-il, de voir des ma
mouvements ataxiques. Charcot a observé cette dernière forme de la
maladie
le plus souvent parmi les garçons âgés de 8 à 11
e à peu près exclusive chez les jeunes filles et lus femmes après des
maladies
aiguCs et chroniques. Ma malade d'aujourd'hui h
is elle ne se fait aucune contusion visible. Il y a 4 ans, elle a une
maladie
aiguë* bannie qui dure 8 jours. Quand elle commen
is après, elle est atteinte de rougeole; à la suite de cette dernière
maladie
, elle ne peut plus faire un pas toute seule;
r comme une personne tout à fait bien portante. En quoi consiste la
maladie
présentée par notre sujet ? Comme vous le savez
ent à réveiller l'aptitudo fonctionnelle. Biswanger considère cette
maladie
comme la conséquence du trouble des fonctlonsdes
le des fonctlonsdes centres associés. Quant à Zfehen, Il ramène cette
maladie
à des idées obsédantes. Comment expliquer l'influ
ste, cette question est de peu d'importance, le cours ultérieur de la
maladie
présente plus d'intérêt. Je laisse partir ma ma
e d'une angine et garde la chambre jusqu'au 4 septembre. Durant cette
maladie
, elle a peur d'étouffer et elle a une nouvelle at
lle n'est plus attentive à ses sensations, qu'elle ne pense plus à sa
maladie
, qu'elle l'a totalement oubliée, etc. Voici les r
ne semaine l'angoisse est passée et la jeune fille ne pense plus a sa
maladie
. Le 5 décembre, à 11 heures du matin, une nouve
nes qui auraient pu résister aux causes physiques ut mécaniques de la
maladie
, succombent à la prédisposition qu'elles ont acqu
UE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES resultarli (iti: Docteur
hypnotisme, sommeil provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses,
maladies
mentales et nerveuses, médecine legale, pédagogie
it, par M. le D' Paul Kahez, secrétaire général adjoint, p. 146. 4.
Maladie
du demi-sommeil, ]¦¦¦¦¦ M. le Dr Ln Menant des
Vlohy-Céleslins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (
Maladies
nerveuses, Epllepsie, Hystérie). Leclthine Rogl
livdrotliéraplrjue du Vésfnet (S.-et-O.). D* Pottler, 10, me Plcpus (
Maladies
mentales et nerveuses], Dr Signez (Pavillon Charc
les détails complets dans le livre de Holmes sur la Thérapeutique des
maladies
chirurgicales des enfants, qui fut traduit et pub
5. — NOVEMBRE 1904. Bien spécifier la source V iehy CÉLEST1NS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — GraveUe — Diab
ologique et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
(Ces conclusions, mises aux voix, sont adoptées à l'unanimité.)
Maladie
du demi-sommeil, par M. le D' Le Menant des Che
très intéressant. Peut-être en donnant à ma communication le titre de
maladie
du demi-sommeil, est-ce beaucoup prétendre, puisq
upture fonctionnelle du système nerveux, et ne saurait constituer une
maladie
véritable comme celle du sommeil dont il a été to
une véritable infirmité psychique peu curable, et non un symptôme de
maladie
. Chez ma malade, il n'y avait ni somnolence, ni
; par là, je le (1) Présentation de malades faite a la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpétrière. répète,
UN ¦!:¦'.:;:. SOMMEIL PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES.
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES. MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB
Vichy-Cèles tins (Goutte. Cravcllc, Diabète). Tribromure de Gigon (
Maladies
nerveuses, Epllepsie. Hystérie). Lécithine Rogi
bydrotliéraplque du Vésinet (S.-ct-O.). D' l'oiti. r 10. rue Plcput (
Maladies
mentales et nerveuses). D' Signe* (Pavillon Charc
d'une manière continue, à des courants étrangers, contracte une vraie
maladie
morale qui se traduit par la manifestation sangui
ME. — N' 6. — DÉCEMBRE 1904. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
ologique et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
que personne songe à s'occuper de leur santé. Mais, par contre, leurs
maladies
et leurs infirmités sont bien vite connues et sig
e véritable-mont exceptionnelle, sans jamais avoir eu un seul jour de
maladie
. (I) Mlcbcl-Ange, nommé, à 7? ans. architecte d
95. prouvant une fols de que, chez certains grands esprits, l'état de
maladie
peut ne pas entraver la puissance intellectuelle.
la folie, de source absolument anatomique ; elles sont le résultat de
maladies
de la couche superficielle, de ce que nous appelo
se montre certainement plus fréquente dans les familles sujettes aux
maladies
du système nerveux ; mais la déviation qui en rés
seulement peuvent ongendrer la paralysie générale, l'étiologie de la
maladie
ne se cantonne pas étroitement dans cet ordre de
érale sont essentiellement des lésions d'une usure particulière et la
maladie
peut fort bien être regardée comme la maladie des
sure particulière et la maladie peut fort bien être regardée comme la
maladie
des intellectuels finis. C'est du surmenage céréb
gâtisme et à la mort. D'une prédisposi-[iori originelle on a fait une
maladie
abominable, et ce que nous disons de la paralysie
recommander à votre bienveillante attention : « Les Frontières de la
Maladie
», de notre très-distingué confrère, M. le LV J.
us disons des formes exceptionnelles, graves ou nerveuses, d'une même
maladie
: ils sont latents chez certaines personnes et se
ir, le calme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'EleclrothérapIe.
Maladies
nerveuses et rhumatismales, Anémlo, Diabète, Obés
hypnotisme. sommeil provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES.
maladies
mentales et nerveuses. médecine légale. PÉDAG001S
Vichy- Célestlna (Goutte, Gravelle, Diabete). Tri bromure de Glgon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie). Léoithino Rogi
ut hydrothéraplque du Vésine; (S.-et-O.). D* Pottier. 10. rue Plcpus (
Maladies
mentales et nerveuses). D[ Signex(PavIIlon Charco
Citti'jirmfii U VXiiihi in Sùaia, tl Saft. 1901. tU. \rj:j'.::.-i.i-.
Maladies
aerreuaea, etc. Dragées de 1 à 8 par jour . . Le
time, n- de décembre 190t. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
ologique et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pé-dagogiq
vent, toute exposée dans les nombreuses monographies ayant trait à la
Maladie
de Beard. La statistique démontre que, dans plus
ameux maréchal de Moltke. On raconte que le pianiste Chopin fil une
maladie
de saisissement pour avoir inopinément aperçu un
ificatifs symptômes correspondants ou communs dans les deux genres de
maladies
: anesthésies plus ou moins nettes etdistractions
in, médecin de la Salpétrière, reprendra ses leçons cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, le jeudi 12 janvier 1905 à
Hôpital de la Pitié. — M. le d' Babinski, leçons cliniques sur les
maladies
nerveuses, les mercredis à dix heures. Ouvrages
u Bulletin de la Société d'histoire de la médecine. Blanchard : Les
maladies
ténércennes dans Varl. Broch. Id. Iïoyet (de Ly
Iïoyet (de Lyon] : Modifications de l'intelligence qui résultent des
maladies
du nez. Broch, extraite des Archives de Laryngolo
ir, le calme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'Eleetrothérapfe.
Maladies
nerveuses et rhumatismales, Anémie, Diabète, Obés
HYPNOTISME, S0HUB1L PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES,
MALADIES
U ENTA LES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOG
Vichy-Célestini (Goutte, Gravelle. Diabète). Tnbromuru do Gigon (
Maladies
.nerveuses, Epilepste, Hystérie). Lôeithine Rogi
ut hydrothéraplque du Vésiaet (S.-et-O.). D* Pottier, 10, rue Plcpus (
Maladies
mentales et nerveuses). D* Signai (Pavillon Charc
Ctaitarniii it l'Auiiaie tu Sfiaeti, II UfL ISM. ifa. Ncaraaüteale,
Maladies
nerveuses, elc Dragées de * à S par jour . . Le f
e apparaissait alors comme le primummoceits d'un très grand nombre de
maladies
. Au boutde quelques années cependant, on comprit
ie, Charcot ne fut pas long à se convainore que cette névrose est une
maladie
essentiellement psychique. La psychologie lui app
chothérapie méthodique le remède aux défaillances du caractère et aux
maladies
de la volonté, sont encore mieux placés que les a
* 8. — FÉVRIER 1905. Bien spécifier la source Vichy CÊLEST1NS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
ologique et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
vants : Chez les sujets dont le système nerveux est déprimé par une
maladie
générale ou infectieuse, la force extériorisée, c
ff, Ekaterinoslav, Astra- trouble de l'équilibre nerveux dans cette
maladie
, et du bien fondé de la théorie que nous avons ém
istant. De sorte que l'on peut suivre très exactement la marche de la
maladie
et 5a tendance vers la guérison au moyen des cons
orco nerveuse extériorisée sont donc multiples dans le traitement des
maladies
du système nerveux. Les conclusions de ces expé
rveux. Cette force se trouve modifiée et troublée dans les diverses
maladies
du système nerveux ; et la constatation de ces tr
sthénomètre offre un grand intérêt pratique dans le traitement de ces
maladies
. Le sthénomètre est construit et mis en vente p
ir, le calme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'KIectrothérapie.
Maladies
Derveuses et rhumatismales, Anémie, Diabète, Obés
UE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES MMar m i(!: DocTEOR Edgar
HYPNOTISME, SOM MEI I. PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES,
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE
e Donnay a la Renaissance, p. 282. IV. — COURS ET CONFÉRENCES. — 1.
Maladie
du scrupule et anorexie pseudo-hystérique. — 2.
Vichy-Géleatins (Goutte, Gravelie, Diabète). Tribromure de Glgon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie. Hystérie). LOcithino Rogi
ut hydrothérapique du Vésiaet (S.-et-O.). D* Potiler, 10. rue Picpus (
Maladies
mentales et nerveuses;. Dr Signez (Pavillon Gharc
taild-rtMoi «t l'»-.in Au kïata, U >r,:. IS01. tb. N'euruUieale,
Maladies
nerveuses, etc. Dragées de 4 à H par jour . . Le
sans en avoir les inconvénients. On l'emploie avec succès dans les
maladies
de la peau, les tuberculoses pulmonaires ou viscé
nte et pendant six ans elle resta 1res souffrante des suites de cette
maladie
, ne pouvant reprendre ses occupations. Ce fut p
OTISME. — N- 9. — MARS 1905. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
ologique et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogiqu
n dont l'esprit sinon la lettre est le suivant : L'hystérie est une
maladie
qui s'échafaude par auto-suggestion et qui est su
, soulever la même poids avec le même doigt. COURS ET CONFÉRENCES
Maladie
du scrupule et anorexie pseudo-hystérique {') Par
e je vous présente nous offre, dans son évolution complète, un cas de
maladie
du scrupule. L'ayant vue dans un petit village de
avec ses doigts. (1) Présentation de malade faite a la Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpètrière. Notre m
u véritable fanatisme. Ce cas, vous le voyez, dépasse la clinique des
maladies
nerveuses. L'histoire des puritains et des sectai
de diagnostiquer ici l'anorexie hystérique. Il s'agit, en réalité, de
maladie
du scrupule chez une psy-chaslhénique, laquelle a
mardis de chaque (1) Présentation de malade faite a la Clioiquo des
maladies
du système nerveux de la Salpetrière. mois, à
lèves qui n'ont pas la moyenne nécessaire de sommeil, ont un quart de
maladies
en plus que les autres. Cette moyenne nécessair
ir, le calme et les pratiques d'Hydrothérapie et d Electrothérapie.
Maladies
nerveuse* ot rhumatismales. Anémie, Disbèto, Obés
Vichy-Célcstins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie). Léoithlne Rogl
ut hydrothéraplque du Vésînet (S.-et-O.). LV Portier, 10, rue Picput (
Maladies
mentales et nerveuses). D' Signez (Pavillon Cbarc
ser que parmi les causes de son dérangement mental peuvent figurer la
maladie
et la mort de son mari, survenues pendant la gros
e qui présentât une anomalie physique ou une tare mentale. Jusqu'à sa
maladie
, elle s'était montrée d'un caractère gai. Lors de
, il avait eu de la rétention d'urine. Puis, tous les symptômes de la
maladie
ayant disparu, la rétention avait persiste. II n'
x du sphincter de la vessie avaient été détruits pour toujours par la
maladie
. Toutefois, 11 était peu probable que ce seul sym
tout en faveur de l'origine fonctionnelle du symptôme, c'était que la
maladie
offrait maintenant l'aspect marqué d'une hypochon
a communication parue dans le numéro précédent : a L'hystérie est une
maladie
qui, d'après M. Babinski, s'échafaude par auto-su
ociété qu'il vient d'élrc nommé, après concours, chef de Clinique des
maladies
mentales et nerveusos à la Faculté de Médecinede
autre de M. le D'Babinski, intitulée Introduction a fa sémiologie des
maladies
du système nerveux : des symptômes objectifs que
SME. — N- 10. — AVRIL 1905. Bien spécifier la source CÈLES TINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gradelle — Dia
ologique et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogiqu
une fois, elle n'a aussi bien dormi depuis le commencement de sa
maladie
. Le lendemain, nouvelle sœmnoformisation, et la m
aralysée du côté gauche ; (1) Présentation de malade laite a la dos
maladies
du système nerveux de la Salpelrière. mais,
E OOCUniENTAIRE ILLUSTRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES fWutliLt ti tit\: Docteur
HYPNOTISME, SOMMEIL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES,
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB
Vichy-Cclesiins {Ooutte. Gravelle, Diabète). Tribromure de Gigon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie). Lecithine Rogl
tut bydrotaérapique du Véainei (S.-el-O.). D* Ponter, 10. rue Picpus (
Maladies
mentales et nerveuses). D* Signez (Pavillon Cborc
OTISME. — N' 1!. — MAI 1905. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gromlle — Diab
ologique et pédagogique; 4" le musée de psychologie. La clinique de
maladies
nerveuses (dispensaire neurologique ef pé-dagogiq
ir, le calme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'ElectrolhérapIe.
Maladies
nerveuses et rhumatismal M, Anémie, Diabète, Obés
UE DOCUMENTAIRE ILLUSTRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale
maladies
mentales et nerveuses RUirbir ei ùtl: Docteur E
hypnotisme, sommeil provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S,
maladies
mentales et nerveuses, médecine légale, pedagogie
Vlchy-Célestins (Goutta, Gravelle. Diabète). Tribromure do Gigon (
Maladies
nerveuses, Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogi
ut hydrothérapie;ue du Véslnet (S.-ct-O.). D* PotUer. 10, rue Piepus (
Maladies
mentales et nerveuses). D' Signez (Pavillon Chàrc
TISME. — N" 12. — JUIN 1905. Bien spécifier la source CÉLESTINS
Maladies
de la vessie et des reins Goutte — Gravelle — Dia
et de son petit neveu qu'elle faisait jouer... Depuis le début de sa
maladie
, son caractère s'est complètement modifié : elle
qui, comme je l'ai déjà dit, était pour elle le point essentiel de la
maladie
, je me résolus à agir plus promptement en employa
n'a pas l'habitude de ces malades, on diagnostique Inévitablement une
maladie
d'estomac. Ces malades, en effet, se plaignent de
ypogastrique ; leur suralimentation incessante leur donne bientôt une
maladie
d'estomac ; ils unissent même, de ce fait, par ne
is ; elle éprou- (I) Présentation de malade laite à la Clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. vait le
ar la suggestion hypnotique, par de Majewaka. p. 178. Demi-sommeil (
Maladie
du), par Le Menant des Chesnais, p. 149. Distin
gne du), par Bloch, p. 313. Samuel (Le Prophète), p. 152. Scrupule (
Maladie
du), par Raymond, p. 283. Séance annuelle de
DE CHARLES IIF : 111SSE1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION
établit pas. Mort seize mois vingt et un jours après le début de la
maladie
. Cerveau ferme. A la partie moyenne et postérie
la parole est à peu près revenue. Mort le 22 avril par suite de la
maladie
du rein. Deux foyers transformés en kystes, con
nérale, il n'y a point folie sans prédis- position vésanique. Cette
maladie
ne frappe ni à l'im- proviste ni au hasard. Le
in- criminer ? Pour M. Luys, dans l'immense majorité des cas, les
maladies
mentales, une fois déclarées, consti- tuent dan
Salpêtrière. Oui, dans l'immense majorité des cas, l'évolution des
maladies
mentales est fatale, surtout quand l'hérédité e
es anatomiques de M. Duret, admises par M. Luys dans son Traité des
maladies
men- tales, établissent une remarquable indépen
e, l'attention luiront et s'éclipseront alternativement, mais si la
maladie
est à évolution con- tinue, je ne connais aucun
à l'abri de toute erreur. Se trou- veraient-ils dans la durée de la
maladie
, c'est le der- nier point qui me reste à résoud
usseau, porté à déclarer les aliénés incura- bles après sept ans de
maladie
, avoue lui-même que cette règle n'est pas absol
ns la folie, des guérisons tardives, tout comme dans les au- tres
maladies
chroniques. Y aurait-t-il une durée après laque
e M. Rousseau, il a spécifié quatre ans et cinq ans révolus, non de
maladie
, comme tous avaient com- pris, mais de démence
intellectuel appréciable pour ceux qui, les ayant connus avant leur
maladie
, sont à même de les comparer à eux-mêmes. Si la
'excitation et de longue dépression, avec incohérence des actes. La
maladie
évoluait donc selon le type continu avec formes
arante ans, célibataire, tonnelier, entré le le, septembre 1867. La
maladie
remontait àtroismois.Habi- tuellement gai et lo
lle amélioration notable qui se maintient jusqu'au 1er mai 1868. La
maladie
évo- lua ensuite avec des alternatives de rémis
, quarante-trois ans, veuve, domestique, entrée le 19 août 1873. La
maladie
date de deux mois et demi. Dup... est atteinte
longtemps au lit et qui faillit l'empor- ter. Il se releva de cette
maladie
phthisique, mais guéri menta- lement ou à peu p
ous efforcé de les trouver soit dans les auteurs qui ont traité des
maladies
nerveuses, soit dans nos observations personnel
heverria2, etc.). Gowers, fait re- marquer que la scarlatine est la
maladie
aiguë à la suite de laquelle on voit le plus so
n., 1876, t. II, p. 6. 3 Hervietix. Traité clinique et pratique des
maladies
puerpérales; suites de couches. 1870, p. 1036.
p. 306. 3 Bourneville. Éludes cliniques et thermométriques sur les
maladies
du système nerveux. 1873, 2e fasc., 171-239. -
48 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'ajamais eu de troubles nerveux ni d'autre
maladie
, jusqu'à l'âge de vingt-six ans. A cette époq
ée jusqu'à la dose de huit grammes par jour, sans modification delà
maladie
. Août 1878. Sous l'influence du polybromure d'Y
nerveuse quelconque. Avant son mariage, elle n'avait pas éprouvé de
maladie
, jusqu'à l'époque où ont commencé les accidents
it à cheval la nuit). M-0 P... a un frère aîné qui n'a jamais eu de
maladies
qu'une rougeole; il est marié depuisdeux ans, n
ntse développer chez des sujets 1 Iloseiitlitl. Traité clinique des
maladies
du système nerveux. Édit. Ir0.nÇ., 1878. p. 551
se, la cause des malheurs du monde. Si, par hasard, elle apprend la
maladie
ou la mort d'une personne, elle s'accuse d'en ê
ne sont celles que l'on observe chez les délirants chroniques. La
maladie
débute ici par un accès de mélancolie avec dépres
u'à moins d'admettre une transformation complète de la nature de la
maladie
, fait très rare (au moins chez une malade simpl
ste état. Et tous ces symptômes durent depuis le premier jour de la
maladie
. Si l'on voit par hasard, chez certains per- sé
mais quoi d'étonnant à cela en considérant la longue durée de la
maladie
? 2 D'un autre côté, les troubles de la sensibi
sie, ces phénomènes n'offrent jamais, au moins toute la durée de la
maladie
, le caractère de prédominance que nous leur voy
le dit, des négateurs. Qui nous porte maintenant à considérer cette
maladie
comme une forme particulière de mélancolie anxi
les énoncées ci-dessus; puis, à cause de la marche différente de la
maladie
et de son mode de début chez des aliénés ayant
dinaire. Cet état spécial serait alors une sorte ^aggravation de la
maladie
. Quoiqu'il en soit, une fois l'affection consti
point de vue du pronostic. La longue durée presque certaine de la
maladie
quand apparaissent les idées hypochondriaques et
ntatives de-suicide, tout cela assombrit le pronostic et fait de la
maladie
actuelle une maladie incu- rable. En résumé l
tout cela assombrit le pronostic et fait de la maladie actuelle une
maladie
incu- rable. En résumé les points principaux
ieu auquel appartient notre malade. Doit-on faire de cette sorte de
maladie
une nouvelle forme de folie religieuse se dével
entive, unie à la connaissance des symptômes et del'évolution de la
maladie
, fera vite distinguer. REVUE CRITIQUE JUMPING
4 REVUE CRITIQUE. « Le capitaine d'état-major nous assura que cette
maladie
était commune en Sibérie, et qu'il avait vu bea
utsk, durant les hivers extrême- ment froids qu'on y observe. Cette
maladie
est connue en Russie sous le nom de « miryachit
e nom de « miryachit. » Suivant le Dr Hammond, il existe encore une
maladie
de même nature qui a été décrite en Allemagne s
pliquer les différences dans les anamnestiques et l'explosion de la
maladie
tabétique. En tout ca les résultats du traiteme
ouble trophique ; cette particularité s'explique par ce fait que la
maladie
ne commença dans l'espèce qu'à l'Age de 28 ans, c
dans tous les cas, l'influence de la vérole sur l'origine de cette
maladie
; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 89 2° L'ataxie
DE PATHOLOGIE MENTALE. 91 Le caractère essentiel et primitif de la
maladie
serait surtout la dé- chéance des fibres à myél
n est par elle-même topique. P. K. IX. CONTlt]13UTION A l'étude des
maladies
intercurrentes chez les EP1LEPTIQUF.S Rn0)IURES
de reprendre le bromure, lorsqu'il a été suspendu par le fait d'une
maladie
aiguë, parce que les attaques reparaissent avec
le de Sarreguemines mettent en évidence que, dans la genèse de la
maladie
, il faut attribuer une grande valeur aux causes p
ces cas. il s'agissait de femmes), les chagrins préalables (amour,
maladie
du mari, position com- promise), l'hérédité név
ation rapide de la contractilité des muscles superficiels, quand la
maladie
ne présente pas d'indica- tions spéciales, rela
ont en définitive le résultat ultime du traitement. La nature de la
maladie
, la constitution des malades, le mode de l'électr
appareils, d'où le parfait état de santé physique et mental. Les
maladies
auxquelles convient la faradisation générale sont
Les maladies auxquelles convient la faradisation générale sont des
maladies
générales constitutionnelles; ou plutôt il faut
u contraire l'analogie de certains de ses symptômes avec ceux d'une
maladie
infectieuse très com- mune, la fièvre typhoïde,
le tableau change, la fièvre s'allume, la température s'élève et la
maladie
s'affirme par des caractères très nettement inf
-t-il des signes ou desindices qui permettent de reconnaître qu'une
maladie
mentale est héréditaire, en l'absence de notion
P. Kéraval. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE 1. Leçons cliniques sur les
maladies
du système nerveux; par Thomas l3zzann. Londres
le titre, n'est pas à proprement par- ler un traité didactique des
maladies
du système nerveux, c'est plutôt une série d'ét
érie d'études sur quelques points spéciaux de telle ou telle de ces
maladies
. L'auteur n'a pas cependant laissé tout à fait
pose la facilité avec laquelle, au contraire, se produit dans cette
maladie
la contraction idiomusculaire parla percussion du
ntéressantes publications qu'il a faites antérieu- rement sur cette
maladie
. Pour faire le diagnostic de tabes, il n'est pa
bétiques, quarante-cinq fois seulement l'existence antérieure de
maladies
vénériennes a été constatée, et encore la nature
ertaine; aussi, sans nier la fréquence de l'association de ces deux
maladies
, faut-il avouer que nous ne sommes pas actuelle
semblance de quelques-unes de ses manifestations avec diffé- rentes
maladies
organiques du système nerveux (teruous mimicry
que, en 1881. nous trouvons une observation très in- téressante de
maladie
bleue avec autopsie minutieusement décrite à la
sements qui leur sont consacrés. Organisation de l'enseignement des
maladies
mentales et ner- veii%es; par BILLOD, médecin e
à l'effet d'étudier en Italie l'organisation de l'enseignement des
maladies
mentales et nerveuses, M. Billod reproduit, sou
ueil précieux de renseignements sur l'historique, le personnel, les
maladies
, les usages des établissements. Nous cite- rons
s (54) de méningites tuberculeuses anomales de l'a- dulte. Quand la
maladie
frappe des sujets déjà tuberculeux par le poumo
uelles que soient les anomalies de la nouvelle locali- sation de la
maladie
, l'auscultation lève tous les doutes. Au point
- Enfin, le 28 octobre, c'est-à-dire le vingt-sixième 0 ti r de a
maladie
, les attaques, qui s'étaient élevées,. a"l,351 la
onnu de la femme Co..., que cite M. Charcot dans ses leçons sur les
maladies
du système nerveux '. Charcot. Leçons sur les m
çons sur les maladies du système nerveux '. Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, p. 375 et suiv. Paris
ur, qui sont très nerveux. Antécédents personnels et Histoire DE la
maladie
. Vers l'âge de cinq ans, la malade aurait été l
e qu'ils ont considéré comme les syndromes épisodiques d'une même
maladie
, comme les aspects différents d'un processus qu
rnière, de la démence. C'est ainsi qu'à la période d'inquiétude, la
maladie
est curable, qu'elle l'est moins à la période d
es prédisposés certains troubles spéciaux qui feront reconnaître la
maladie
; il y a des pertes de mémoire, des lacunes inte
iées permettant jusqu'à un certain point d'entraver la marche de la
maladie
; mais à la période de persécution et surtout d
ots stéréotypés, caractéristiques, aideront encore à reconnaître la
maladie
. La période expansive ne sera pas confondue ave
. Voici maintenant un casj se rattachant à la troisième phase de la
maladie
. ? i Observation III. La nommée (Françoise), âg
hallucinations spéciales, le tremblement modifiant l'ensemble de la
maladie
, qui'resto'Ia même.' On peut en dire autant de
;* ! Ida 9'U il « tiio.»--5 1 Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau (Paris, 1878). - n;c llinivindungen
que l'hyperplasie du tissu connectif est l'élément primi- tif de la
maladie
, et que les cellules nerveuses ne sont atteintes
m, a fourni à M. Campbell l'occasion d'étudier l'influence de cette
maladie
sur lamarche de l'aliénation mentale. Lebâtimen
chez les deux malades atteints, aucune influence défavorable, de la
maladie
intercurrente; 2° Dans un cas où il n'y avait
très défavorable, l'état mental n'a été aucunement influencé par la
maladie
intercurrente. Deux cas sont particulièrement r
e influence. , R. M. C. XXI. DE l'occupation dans le traitement des
maladies
mentales dans les classes supérieures ; par Dav
eren une définition précise. Ce n'est pas, à proprement parler, une
maladie
, bien qu'une maladie puisse en être la cause; c
récise. Ce n'est pas, à proprement parler, une maladie, bien qu'une
maladie
puisse en être la cause; c'est le plus souvent
générale, a étudié avec soin l'état du réflexe du genou dans cette
maladie
; il constate d'abord que ce réflexe peut être n
xe peut varier chez le même individu à diffé- rentes périodes de la
maladie
; il s'en faut aussi qu'il soit toujours égal au
xtrêmes,' et'qui présentait Jtoïïs les symptôni'es'péniblbsI'de'lla
maladie
.de' Gravbs/s'estramé- 1 i ôréc^au" point que ia
uberculeuse. [Renseignements très incerta.>ns]surjla duree^de la :
maladie
antérieurement ai son entrée, à, l'asile., Son, p
ir,,çlfc;'clu (avec lésion osseuse ? ) il y a sept ans. Début de la
maladie
, il y a 'quatrp'mbis. Pupilles égales.1 Parole
soit, réellement - ! W , ' L 'i 1 1 I J JJTI . i J ? ...r ? une.
maladie
, mentale; qui sera charge, de- faire la déclarati
e la Société veuille bien se joindre à'ia Société de psychiatrie et
maladies
nerveuses de Berlin pour,faire les démarches né
onomie convenable presque 'jusque dans les stades terminaux de leur
maladie
(fous systématiques; folie circulaire). Mais, e
reste, com- ment 1lI. IialiILaum comprend la Pédagogie médicale des
maladies
nerveuses et mentales des jeunes gens. Une prem
. Jrn,i ? . uyrrtyrr,1 t - ', ')i OCl);Tl ? D1 ? PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES - a,nrmnrtt rrr".rr,7 , ,'DE BERLIN'
mes manifestations se mon- trent aussi, comme l'on sait, dans celte
maladie
, sans qu'il existé d'affection en foy er. , i.
eur qui distingua une forme primitive et une forme secondaire de la
maladie
(issue par exemple de la mélancolie), Criesinge
, mais il a vu des fous systématiques, aune période avancée de leur
maladie
(démence), être tourmentés par des conceptions
xus symptontatiduc presque identique. M. \\'ES-IPIIr, pense que les
maladies
mentales les pliisanciennes peuvent effectiveme
hez les femmes sont très fré- quentes, il y trois degrés dans cette
maladie
; le deuxième est si- gnalé' par l'invasion des
. ([''adret) ». L'auteur n'admet pas une forme paralytique de cette
maladie
, mais reconnaît qu'elle peut compliquer la para
par la théorie de l'anémie et de 1'li,péi-émie cérébrale. C'est une
maladie
rare, puisque dans son service, M. Mordret n'en
e de Paris, 188..) Etudes z t< ! ) : 6' la méningite et dans les
maladies
céréLro-spitt2Les; par IL 130UCIIUT. (Thèse de
y, après cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve clinique sur les
maladies
mentales : un seul malade. Il sera accordé ving
preuve clinique commune, 20 points. Pour l'épreuve clinique sur les
maladies
mentales, à un seul malade, 20 points. Pour la
tion de volume des muscles a été notée dans quelques-uns des cas de
maladie
de Thomsen déjà publiés', tandis que, dans quel
tait à la fois, de la façon la plus évidente, les symp- tômes de la
maladie
de Thomsen et ceux de la para- lysie pseudo-hyp
ombre relativement petit d'éléments, 90 à 12 Léclanché. La résis-
MALADIE
DE THOMSEN. 275 tance électrique du malade est
i donne de l'irascibilité et un faciès vul- tueux. Le début de la
maladie
ne peut être précisé ; il remonte en tout cas f
une affection analogue. Dans le cas qui vient d'être rapporté, la
maladie
de Thomsen et la paralysie pseudo-hypertrophiqu
des différents. Parmi les symptômes que nous avons rattachés à la
maladie
de Thomsen, nous appellerons l'attention sur l'
i mérite d'être signalé. Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. La malade raconte que c'est à l'âge de dix-neu
tendance à la trépidation spinale. Elle dit n'avoir éprouvé aucune
maladie
; elle n'a eu, en tout cas jamais de rhumatisme
ère; il fume peu ; marié à vingt- un ans, il n'avait jamais fait de
maladie
grave jusqu'à ces derniers temps; mais depuis q
xcès de boisson, ni eu de rapports sexuels; de- puis le début de sa
maladie
, il ne se livrerait plus à l'onanisme. Il n'éta
, Sur vingt cadavres d'individus ayant succombé à toute espèce de
maladies
laissant la moelle indemne, l'auteur enlève l'org
des formes galopante, circulaire, hypochondriaque, démente de la
maladie
. Quelles que fussent la brièveté et la modalité d
le vague des accidents symptomatiques.C'estau der- nier jour de la
maladie
, alors que le patient est plongé dans un proton
rvation détaillée du malade présenté à la Société de psychiatrie et
maladies
nerveuses de Berlin (décembre 1882) Nous rappel
Voy. poar l'explication des signes allemands la leçon de M. Charcot
Maladies
du système nerveux, t. 111, fascia. i, p. 135, et
on des ré- 1 Voy. Archives de Neurologie. Société de psychiatrie et
maladies
ner- veuses ueBer[iii, avril 1883, t. Viii, p.
les altérations propres à la sclérose miliaire soient le fait d'un
maladie
; 2" l'examen microscopique du tissu cérébral, l
ale. 11 est probable que dans la ma- jorité des cas de ce genre, la
maladie
est due au concours de plusieurs influences d'o
dans une autre ville, devait souffrir à ce même moment delà même
maladie
, ce qui fut reconnu exact. Un autre pointa signal
ves de Neurologie, t. VII, p. 366. 2 Voy. Société de psychiatrie et
maladies
nerveuses, de Berlin (juillet 1883); Archives d
ie que les allures de cet homme ne sauraient être produites par une
maladie
mentale. Le 26 du môme mois, on le réintègre à
Sarreguemines. M. Schultze (d'Heidelberg) prend la parole sur la
maladie
de Friedreich. Il s'agit, comme on sait, de l'a
e vue clinique qu'au point de vue anatomique, que la désignation de
maladie
de Fried- reich vaut mieux que celle d'ataxie h
indication, car il ne se souvient pas du début; pour lui, c'est une
maladie
congénitale. Sa jambe gauche n'a jamais cessé d
la moelle ou plutôt, si l'on constatait réellement, comme dans les
maladies
précédentes, une atrophie des cellules de ces c
montre des photographies d'une ma- lade de sa clinique atteinte de
maladie
de Basedow qui présentait, au maximum de nettet
tablissement de la sueur des pieds qui avait disparu au début de la
maladie
. Intégrité de l'encéphale, des nerfs crâniens,
r le traitement de la sciatique au moyen du massage. Les manuels de
maladies
nerveuses les plus usités ne parlent pas plus q
s'il y a lieu. 3S. ! sociétés savantes. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLli\'' Séance du S juillet 18
ons du noyau de ce nerf étaient atteintes, peut-être la durée de la
maladie
a-t-elle été trop courte pour qu'il se soit ' V
tel âge de l'individu malade, c'est-à- dire à tel ou tel âge de la
maladie
des tractus nerveux, sous la forme aujourd'hui
âi, 1853,1854, 48'i5, ;180); - Considérations sur le traitement des
maladies
mentales (Annales médico-psychologiques, 1844);
, 1862, t. XXVII, p. 700 et suivantes) ; - Etudes pratiques sur les
maladies
ner- veuses et mentales accompagnées de tableau
ments qui leur sont consacrés; organisation de l'enseignement des
maladies
mentales et ner- veuses, par Billod (An. Charpe
ara- lysés, 9. Bains faradiques et galvaniques, 34u. Basedow (
maladie
de), 37 ? , Bégaiement, 338. Bromure, 99. B
, guérison, 91. Epileptiques bromures (contribution à l'étude des
maladies
intercur- rentes chez les), 94. Epileptique (
mbres non paralysés dans l'hémiplégie cérébrale, 344. Friedreich (
maladie
de), 365. Galvano-faradisation, 99, 343. Galv
de 1838 (quelques modifications a apporter à la), par Voisin,91.
Maladies
intercurrentes chez les épi- leptiques bromures
par Kesteven, 206. Occupation (de l'), dans le traite- ment des
maladies
mentales dans les classes supérieures, par Bo-
n cas de), par Schuitze, 84. Paralysie pseudo-hypertrophique et
maladie
de Thomsen, par Vi- gouroux, 273. Paralysie d
u foyer), 948. Tétanos (substratum anatomique du), 84. Thomsen (
maladie
de) et paralysie pseudo-hypertrophique, par Vi-
Paraissant tous les mois PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef: Docteu
t d'une bonne constitution, d'un tempérament lymphatico-nerveux, sans
maladies
antérieures. Réglée à 12 ans. régul lièrement. ma
e la seconde année, c'est à dire 10 mois environ après le début de la
maladie
, cette jeune femme devint de nouveau enceinte. Pe
médecins qui la soignent. Pendant les trois années qu'a duré cette
maladie
, tous les traitements internes, tous les antispas
vigoureuse, professeur de gymnastique, cheveux châtain-clair. Pas de
maladies
graves dans l'enfance, pas de convulsions, dentit
que. Paris 1890. iublioc.raphie 3" pays considéraient déjà la
maladie
comme fort ancienne. P. Dabry, dans son livre sur
tiques ont pris soins de nous renseigner sur ce qu'ils appelaient les
maladies
honteuses. Qui connaît la fameuse épigramme de Ma
Le docteur Augnite VoUin reprendra ses conférence* clinique», »ur les
maladie
» mentale» et nerveuse», le dimanche 19 juin, à 10
Ici samedis, de 10 heur» à 11 heure» i,ï do matin, à la clinique de»
maladie
» nerveuse». 55. rue Seint-André-de*-Art*, une leç
e la Revue Internationnale de Bibliographie. Dr J. E. Vivant. — Les
Maladies
épidimiques dans la Midi : In-8°, 120 pages, 18
e de ces monomanics. comme on les (1) Leçon faite à la clinique des
maladies
neveuse ,rue Saint-André-des-Arts,55. appelai
ses de la folie, l'accroissement successif et les formes diverses des
maladies
mentales. Le succès de cet ouvrage est dû au tale
epuis longtemps, nous étaient suggérées par l'augmentation des cas de
maladies
cérébrales, de folie héréditaire, de délire alcoo
sent être les deux influences pathogénîques de la paralysie générale,
maladie
nommée avec raison la maladie du siècle. (1) 1
pathogénîques de la paralysie générale, maladie nommée avec raison la
maladie
du siècle. (1) 1 vol. in-8°, 445 p., chez Baill
N.... je déclare devant Dieu tout puissant que dans le traitement des
maladies
, je m'ingénierai de toutes mes forces à appliquer
iencieusement mon avis sur la nature du mal ; au quatrième jour d'une
maladie
aiguë, j'avertirai le malade afin qu'il puisse en
dit politique dit division — et il est l'homme de tout le monde: les
maladies
ne sont d'aucun parti ni d'aucun culte. Sans dout
ur asrégè, a terminé 11 juillet dernier les 1 savantes leçons sur les
maladies
du système nerveux qu'il a laites pendant le seme
et inédit de cette brillante leçon a été la suegestion de différentes
maladies
convutsives que le sujet avait eu occasion de" vo
chroniques. La myopie, si fréquente chez eux qu'elle mérite le nom de
maladie
des écoliers, augmente sans cesse de fréquence d'
ons ont de la céphalagie habituelle; près de 13 0/0 chlorotiques. Les
maladies
sont surtout nombreuses dans les classes inférieu
inférieures et supérieures, plus rares dans les moyennes. Entête des
maladies
organiques se trouvent les affections pulmonaires
à 3garçons sur cent. Dans les classes supérieures on constate que les
maladies
du Cœur, de l'estomac et de l'intestin tendent à
in tendent à augmenter de fréquence. Si l'on considère l'ensemble des
maladies
, on trouve qu'à Stokholm, à la fin de la première
m, à la fin de la première année d'études, il y a 17 0 o des entants,
maladies
, maladifs ou souffrants ; pour la deuxième année,
total, 61 0/0 étaient malades ou présentaient les premiers signes de
maladies
chroniques, 36 0/0 étaient chlorotiques ; la
s digne de remarque, que l'expérience n'a pas suppriméé les causes de
maladie
autre que le travail. Pour les deux classes infér
L'alcool crée la tendance dipsoma- 1. Leçon faite à la clinique des
maladies
, nerveuses, rue Saint-André des Ars, 55. niaq
l'éclampsie de la grossesse, les convulsions des fièvres graves, des
maladies
infectieuses et de certaines intoxications. Pui
. » Dr Levillain LEÇONS SUR DEUX CAS D'HYSTÉRIE PROVOQUÉS PAR UNE
MALADIE
AIGUË Par le Professeur J. GRASSET L'année de
ier par le professeur Grasset (2) sur la part qui peut incomber à une
maladie
aiguë dans la production d'accidents de même natu
is. 2 J. Grasset.:Leçons sur deux cas d'hustérie provoquée pari une
maladie
aiguë, recuillies et publiées par le Dr Rauzier.
posé aux contractures, il éprouve brusquement le troisième jour de sa
maladie
de violentes coliques, est pris de crampes doulou
intérêt de premier ordre. Ce groupe d'hystéries consécutives à une
maladie
infectieuse se rapproche naturellement, comme le
rrain, Elles ne sauraient suffire, à elles seules, à faire éclater la
maladie
: mais â leur suite, une cause des plus futiles e
ur degré d'intensité elles provo- quent simplement l'apparition d'une
maladie
déjà toute préparée et latente, ou bien elles la
états léthargique, cataleptique et somnambulique. et s'il guérit une
maladie
, il la remplace par une autre ; 5° Si quelques do
ques et sur les modifications qui se produisent avec le progrès de la
maladie
. Ainsi envisagée, la folie intermittente, tout
e reste intacte, du moins au début, et pendant une longue phase de là
maladie
. Après avoir passé en revue l'invasion. la marche
formation du délire, le persécuté devenant ambitieux. La marche de la
maladie
est progressive, sa durée longue, son pronostic f
des entités mor- bides, ne sont que les étapes successives d'une même
maladie
: le délire chronique. Facile à distinguer du dél
art, et ce poison a une influence écologique très appréciable sur les
maladies
du système nerveux. L'action toxique de la ni
ertains dégénérés: 6° les démences de la puberté ;7° les démences des
maladies
aiguèes, fièvre typhoïde et états puerpé raux aux
chez les deux conjoints, pourquoi elle y développe seulement la même
maladie
, etc., ec.. De l'aveu des auteurs, en effet, le
is sont relativement rares, comparées aux autres manifestations de la
maladie
. Bien plus, on ne peut même pas dire que la lésio
ir que l'état puerpéral n'a été que l'occasion de développement de la
maladie
sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie.
s disparu. Les paysans leur attribuent le pouvoir de guérir certaines
maladies
, et aussi celui de les produire et même de faire
l'administration des médicaments dans le traitement symptomatique des
maladies
les plus diverses n'ont pas toutes été couronnées
sur des observations personnelles recueillies dans notre Clinique des
maladies
nerveuses uniquement consacrée â la psychiatrie e
ement par la sugges-tion a été appliqué : 1. Les névroses. 2. Les
maladies
organiques du système nerveux. 3. La neurasthén
u système nerveux. 3. La neurasthénie et les névropathies. 4. Les
maladies
mentales. 5. Les affections nerveuses des enfan
gent-sur-Marne, et le docteur Pietre, de la Varenne. avaient suivi la
maladie
et c'est sur leur conseil que la suggestion a été
on aura eu au contraire pour principal effet d'abréger la durée de la
maladie
, d'empêcher le passage à l'état chronique, de dim
dans un sens favorable l'état du choréique. Paralysie agitante. — (
Maladie
de Parkinson). Nous n'avons eu l'occasion d'obser
lysie agitante. Tous étaient déjà arrivés à une période avancée de la
maladie
. L'atro- phic musculaire était déjà profonde.
re guéris physiologiquement. De plus, le trouble fonctionnel dans les
maladies
du centre nerveux dépasse souvent le champ de la
icaments dits antinévralgiques pour justifier cette indication. IV.
MALADIES
MENTALES. On a prétendu que la suggestion ne po
dans le traitement des formes curables de l'aliénation mentale. V.
MALADIES
NERVEUSES DES ENFANTS Depuis quelques années, n
dans notre service. 1 Cette leçon fait partie d'un ouvrage sur les
maladies
du système nerveux qui doit paraître pro- chain
ogie théorique et pratique dans ses rapports avec la psychologie, les
maladies
mentales et nerveuses. » Nous ne pensons pas qu
beaucoup de névroses et de psychoses doivent être ' considérés comme
maladies
contagieuses. Le professeur Delbœuf, de Liège,
ccasion d'applique» l'hypnotisme au traitement d'un certain nombre de
maladies
nerveuses et mentales et je n'ai pas obtenu les r
uront complètement cesse. On sait eu effet que les tremblements de la
maladie
de Parkinson s'arrêtent ordinairement pendant le
ordinairement pendant le sommeil. Nous avons constaté que dans cette
maladie
, de même que dans la chorée, l'hypnose avait pour
ues formulées contre l'application de la suggestion au traitement des
maladies
mentales ne s'adressent pas uniquement a nous. El
asile spécial pour es aliénés criminels. » NOUVELLES CLINIQUE DES
MALADIES
NERVEUSES, 55. Rue Saint André dis Arts. -- M. !e
) BRugia : Psi co-fisiologia dell ipnotismo. (Archivio ital. per le
maladie
nervose. F IV, l888 Milan. BLOCQ(P.) : Des so
e sont trouvés les savants pour lui fixer une place dans le cadre des
maladies
mentales, que pour les symptômes étranges qui la
tellungun, Wien klinische Woternesechrift, 3 mai 1838. N°5 p.119. (2)
maladies
mentales, tome II, p. 63 et suivantes, 1838. (3
irol en a cité un exemple remarquable dans son livre... En général la
maladie
consiste dans la crainte du contact des objets ex
ue mon père a donne le nom de folie du doute... » Constatons que la
maladie
appelée ainsi par Falret père répondait au délire
tre autres, les observaions II, XXVII, XXVII. 3Archivacliniques des
maladies
mentales et nerveuses, 1866 p140. 5 Séance du 2
ceux qu'il décrivait. Personne n'avait encore signalé le fait que la
maladie
toute entière pouvait consister en questions inso
t en indiquant que ses cas présentaient une certaine analogie avec la
maladie
du doute de Falret. a-t-pris pour son mémoire un
du Saulle marque néanmoins une date importante dans l'étude de cette
maladie
et a exercé une influence considérable sur les tr
part, et d'autre part entre les prédispositions psychopatiques et les
maladies
mentales dé-chrées. Selon Wille les obsédés sont
ans lequel il a détaillé toute l'histoire dî ses inquiétudes et de sa
maladie
. Il a beaucoup lu de livres de médecine, s'est in
oup lu de livres de médecine, s'est instruit sur 1' hypnotisme et les
maladies
mentales. H a consulté une légion de médecins et
a souvent un sentiment d'ivresse, sans avoir bu une goutte de vin.—La
maladie
se caractérise par des remissions et des exacerba
r des remissions et des exacerbations. Le père dit qu'il n'y a pas de
maladies
nerveuses dans la famille. Il offre lui-même le t
ne, sans aucun signe physique de dégénérescence, n'a jamais '.'.il de
maladies
, a été réglée à 13 ans et dès lors très régulière
mptômes de neurasthésie chez les personnes prédisposées à la suite de
maladies
aiguës, d'hémorragies ou d'autres causes débitant
our depuis plus de trois ans (il en avait pris l'habitude pendant une
maladie
au Ci ire), fut débarrassé de son habitude en qui
evait subir une opération à la fin du même moi8, empira de nouveau sa
maladie
, et elle recommença l'usage de la morphine au com
r X. appelé, dit que mes larmes m'ont probablement sauvée d'une grave
maladie
cérébrale. • A cette époque, elle lit un voyage e
ère depuis. Toutes les douleurs, toutes les crampes, tout symptôme de
maladie
ont disparu et la morphine n'existe plus pour ell
Turin a. celle de Gènes, et qui occupe les chaires de clinique des
maladies
mentales et d'anthropologie, accueillant l'invi-t
oujours instructifs à rappeler. 1 NOUVELLES Cours — CLINIQUES DES
MALADIES
DU SYSTÉME NERVEUX. —M. le professeur Vendredi,
oT i sut — M. fl docteur Bùiuo*. - 1« aamedi ¦ io bearci (Cl.mqce de»
maladie
» ceneuie». * ~' AaaVé: on A-t». ïj Ecnt-tn* ne»
rôle le système nerveux et l'élément psychique jouent dans toutes les
maladies
. Le trouble fonctionnel peut dépasser le champ de
pas de révéler les stigmates et de provoquer une manifestation de la
maladie
: c'est augmenter le contingent de l'hystérie ; q
estinés chez qui, plus tard, peut éclater le germe natif et latent de
maladies
cérébro-spinales ou de l'aliénation mentale. Attr
les autres au déterminisme (l) Leçons professées à la clinique des
maladies
nerveuses, 55, rue Saint-André-des Arts. (2)PEGAL
es suivantes : « Depuis que ma méthode de traiter et d'observer les
maladies
a été mise en pratique dans les différentes parti
erverse ou malicieuse de l'esprit et qu'elle n'a rien â faire avec la
maladie
. On va voir. par Li suite, que la simulation, don
3. Elle 46 ans, est veuve ct n'a pas eu d'enfants. Sans avoir fait de
maladies
sérieuses, elle prétend avoir toujours été chétiv
onne une élude complète de l'état-actuel de nos connaissances sur une
maladie
connue surtout par les travaux des palhologistcs
e, causés par l'ischémie cérébrale, par des irritations reilexes. des
maladies
constitutionnelles ct des poisons HfeMnrae La bel
s héréditaire se montre dans quatres cas sur cent, l'épilepsic et les
maladies
mentales en dix cas sur cent. Les prostituées p
re compte rendu. Je n'ai jamais pensé que ces psychoses étaient des *
maladies
distinctes », comme votre correspondant me le fai
M. le Dr L. Minor : Sur les progrès réalisés dans le traitement des
maladies
nerveuses; 3° M. 1e Dr G. Rossolimo : De l'hypnot
n. médecins de la Salpêtriêre, commmenceront des confé rences sur les
maladie
nerveuses et mentales, le jeudi 4 décembre 1890,
l'hypnotisme. docteur BÉRILLON. — Le samedi à 10 heures (clinique des
maladies
nerveuses, 55 rue st André des Arts. — M. Alpy.
» OUVRAGES REÇUS A LA REVUE -- Dr Baillrger. — Recherches tur les
maladies
mentales. : vol. in 8,750 pages chaque, G. Masson
états alternants qui se succédaient chez elle par le seul fait de sa
maladie
. Xous pouvons ajouter que M. Ladame a profité de
différences secondaires, des degrés plus ou moins profonds d'une même
maladie
. Il est même très probable qu'il en est ainsi; ma
onnête maîtresse ; mais si l'avocat Bernays avait été emporté par une
maladie
naturelle, les Peltzer n'eussent pas été des assa
ique peut produire les plus merveilleux, effets parce que, dans toute
maladie
, il y a toujours une part plus ou moins grande do
n'est pas commun ni facile à acquérir— et surtout, s'il s'agit d'une
maladie
organique, il est désirable qu'il soit médecin ou
stinés chez qui. plus lard, peut éclater le germe natif et latent des
maladies
cérébro-spinales ou de l'aliénation mentale. Attr
tisme. — M. le Dr Bérillon. — Le samedi, à dix heures (Clinique des
maladies
nerveuses, 55, rue Saint-André-des-Arts). — Not
rouver que l'hypnotisme est souvent applicable dans le traitement des
maladies
chroniques, qu'il n'offre aucun danger lorsqu'il
dix-huit mois. Il est encore en traitement, et. malgré mes soins, sa
maladie
, le tabès dorsalis. s'aggrave. Maintenant, il est
sque déjà ses traditions, qu'elle s'efforce d'appliquer à l'étude des
maladies
nerveuses, si mal connues avant l'intervention de
vec la rigueur scientifique qui l'a conduit dans l'interprétation des
maladies
organiques du système nerveux à tant de mémorable
tablit à Tournut. puis a Lyon, publia dans celte ville le Journal dot
Maladies
régnantes, fut agrège au Collège des Médecins, pr
éclarait, dans une pièce en vers, avoir trouvé le remède à toutes les
maladies
. Il racontait qu'appelé par un malade à Trévoux e
tion contre le Dr Carlier. BIBLIOGRAPHIE Études cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses. — Les Aliénés et les Asile
qu'il a publiés au cours de sa longue el laborieuse carrière, sur les
maladies
nerveuses et mentales, sur l'assistance, la légis
les articles suivants : Principes à suivre dans la classification des
maladies
mentales. — Séméiologie des affections cérébrales
ctives qui livrent l'homme, (1) Leçons professées a la Clinique des
maladies
nerveuses, 55, rue Saim-André-dcs-Aru. (2) De C
n qu'on fait à Nancy de la thérapeutique suggestive à la guérison des
maladies
organiques, mais il nous choque de voir M. Bernhe
s cet état, il se croit le pouvoir de diagnostiquer et de traiter les
maladies
. Quand je lui ai dit, en état hypnotique, de reno
st inutile d'ajouter qu'il n'a aucune vision claire sur la nature des
maladies
, il ne voit que par l' auto-suggestion d'une imag
a suite des couches bonne. revue bibliographique La Neurasthémie (
maladie
de Beard), par le D' F. Levillain, ancien élève d
uivie d'une notice thérapeutique par le DT Vigocroux (lj. Voici une
maladie
qui, pour être venue tard, n'en pas moins fait so
ion, c'est une étude tout à la fois pratique et scientifique de cette
maladie
nerveuse, aujourd'hui si fréquente, et qui passe
ur a d'abord fait acte de justice scientifique en proposant le nom de
maladie
de Beard pour cette affection, que l'habile clini
te du livre de Beard (1880). Rien d'étonnant d'ailleurs à ce que la
maladie
de Béard n'ait été précisée que dans les derniers
temps ; c'est bien, si l'on peut transporter le mol en médecine, une
maladie
fin de siècle par excellence. Ses causes, sur les
ans doute son rôle ordinaire comme dans toute la neuropathologie; les
maladies
avec affaiblissement général de l'organisme, et e
s'est élevé et qu'il a essayé de détruire. • C'est au contraire une
maladie
précise à type bien défini, constituée toujours p
urasthéniques à tous ceux qui forment en quelque sorte le fonds de la
maladie
de Beard; ce sont les symptômes essentiels les pl
décrites autrefois sous le nom de névropathie cérébro-cardiaque et de
maladie
cérébro-gastrique. Les variétés étiologiques so
ations de l'hypnotisme et de la psychothérapie dans le traitement des
maladies
mentales et nerveuses. Hospice de la Salpètrièr
guey. Depuis sa fondation, l'Association a payé, pour indemnités do
maladie
: en 1887, 0 fr. pour 67 membres; en 1SSS, 3,290
8°, 30 pages. — Moscou, 1891. Tokarsky (Dr A.-A.). — Myriachit et
Maladie
des Tics convulsifs(en russe), in-8°,99pages. —
mes équivalents. L'hypnose est une névrose; l'état hypnotique est une
maladie
artificielle. On supprime peut-être quelques trou
emière insinuation, je continue à l'examiner doucement, expliquant sa
maladie
aux élèves, leur montrant, de façon à être compri
if curaof s'applique principalement, je ûe dis pas exclusivement, aux
maladies
nerveuses, il faut bien le savoir, ce traitement
ment peut rendre des services comme palliatif dans presque toutes les
maladies
. Il n'y a pas de jour où je n'enlève une douleur
'est-il pas dans des conditions meilleures pour que l'évolution de la
maladie
se ralentisse ou s'arrête? Le ténesme vesical et
ous beaucoup de médicaments spécifiques qui guérissent directement la
maladie
, qui aient la propriété de restaurer par leur ver
ussirent pas cette fois à le guérir. De plus, depuis le début de sa
maladie
, depuis trois ans, l'enfant accuse une céphalalgi
rangé. Un oncle paternel était « rfn peu braque • ; il est mort d'une
maladie
qui s'est accompagnée de délire. La fille d'un au
st accompagnée de délire. La fille d'un autre oncle est morte d'une «
maladie
nerveuse ». Une tante paternelle était contrefait
ns son récit, ses lèvres se mettent à trembler et elle pleure. Pas de
maladies
graves dans l'enfance. Déjà, à cette époque, elle
nd dire : « Voilà la grande! » elle en est bouleversée et en fait une
maladie
. Une autre fois, ayant failli casser un verre, su
on lui demande de jouer une (1) Leçon» professée* à la Clinique de»
maladies
nerveascs, 55. rue Saint-André-de»-Arts. — V. Rev
imanche 24 mai, à 9 heures 1/2, une série de leçons clinique* sur les
Maladies
mentales. — 11 continuera son cours les dimanches
trations pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales. Clinique de psyco-THerapeutihique sug
prime, un certificat du médecin ayant soigné l'assuré au cours de «a
maladie
. Ce certificat doit nettement «péciîler la nature
mandé un certificat au docteur qui a soigné son mari dans sa dernière
maladie
; c Que celui-ci a opposé un refus absolu motivé
c, 250 pages, avec illustrations. — Athènes, 1891. Ribot (Th.). — Les
Maladies
de la personnalité, troisième édition, in-12, 172
diteur, 108, boulevard Saint-Germain, Paris, 1889. Ribot (Th.). — Les
Maladies
de la volonté, septième édition, in-12, 180 pages
diteur, 108, boulevard Saint-Germain, Paris, 1891. Ribot (Th.). — Les
Maladies
de la mémoire, septième édition, in-12, 170 pages
médicale entière. En formulant ce principe, il nous apprend que les
maladies
de l'homme peuvent être combattues par l'âme, par
ens et remèdes pour les guérir, ainsi que des renseignements sur leur
maladie
. D'après les renseignements fournis par son mar
e tuberculeuse des poumons. Explications: « Je ne lui trouve pas de
maladie
interne, je la trouve fatiguée physiquement et mo
r le projectile et l'autre fondu). Explic. : « N'est pas atteint de
maladie
interne ». 3° Un gardien atteint au plus haut d
sprit et tout à lait bien portante; ce sommeil nerveux est un état de
maladie
et n'a jamais fait qu'être nuisible à son esprit
x, une mère très impressionnable. Elle n'a d'ailleurs eu aucune autre
maladie
antérieure. Sa constitution est délicate et déb
perversions sexuelles, ne constituent pas des formes particulières de
maladies
mentales. Loin de voir en elles des entités morbi
nières d'être du dégénéré, et que derrière le symptôme on trouvera la
maladie
. Remarquons, en terminant, l'intérêt que présen
31 mai, à neuf heures et demie, une série de leçons cliniques sur les
Maladies
mentales. — Il continuera son cours les dimanches
trations pratiques de l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
mentales. Clinique db psycho-thbbapectiqub sugg
. Dysménorrhée, traitée par suggestion, par Journée, 18. Enfants (
maladies
nerveuses des), 109. Enseignement de l'hypnotisme
diction et lucidité, par A. Forel, 359. Études cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses, 254. Excitabilité de- ne
tisme et suggestion, par Déjé-rine, 225. Hystérie provoquée par une
maladie
aiguë [leçons sur deux cas d'), par J. Grasset, 8
Biologie (un), 188. Magnétisation-coutume. 4. Magnétisation-mode, 4.
Maladies
mentales, traitées par sugges- tion, 109. Marty
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE E DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIIIKCTIO
ont bien portants. Ménopause à l'âge de quarante-cinq ans. Aucune
maladie
antérieure; elle a, jusqu'il y a huit mois, tou
aisait encore son ménage (moins faci- lement d'ailleurs qu'avant sa
maladie
), se sentait plus faible, marchait encore très
nous demandons ce que ce mode de traitement doit produire dans une
maladie
qui porte elle-même son action sur les cordons
dans le tabes, on en compte un grand nombre où les symptômes de la
maladie
s'aggravèrent après l'opération, d'autres où le
, Professeur agrégé de la Faculté d'Athènes, chargé du cours des
maladies
du système nerveux. Si on jette un coup d'oeil
or- tance, c'est-à-dire qu'il n'y a pas un seul symptôme de cette
maladie
qui ne puisse disparaître après avoir existé plus
nu- tile de répéter la même chose pour les autres symptômes de la
maladie
. De là la grande variabilité de la marche et la m
ROSE EN PLAQUES. 69 se rendra compte aussitôt pourquoi, à une telle
maladie
, tant soient légers les symptômes qui restent d
e un certain temps même après la disparition de tout symptôme de la
maladie
, pour s'assurer si la guérison a été non seulem
is malheureusement, je ne pouvais pas par- tager cette joie, car la
maladie
continuait, comme l'indiquaient parfaitement, l
de ce syndrome, nous étions certains que nous avions à faire à une
maladie
organique cérébro-spinale et que, vu l'âge du s
psychiques, et enfin la marche rémissionnelle et si originale de la
maladie
, nous avions posé le diagnostic de la sclérose en
s'est engraissé, continue ses études; il est même mieux qu'avant sa
maladie
, car aujourd'hui il n'a plus son caractère habitu
er, au point de vue physiologico- pathologique, la curabilité de la
maladie
? La question des améliorations notables et de
t facile à comprendre et peut bien expliquer la curabilité de cette
maladie
. On peut encore trouver une preuve négative de
pelle que nous sommes intervenus active- ment au dixième mois de la
maladie
. M. Wilson est intervenu aussi à temps. Nous
e faut pas ignorer que la sclérose en plaques n'est pas du tout une
maladie
rare, au contraire, son champ s'élargit de jour
distingué chef de clinique Marie, ont donné au diagnostic de cette
maladie
, et spécialement de ses formes atténuées. Nous
ques, qui fournissént des signes si précieux au diagnostic de cette
maladie
, surtout de ses formes frustes. Notre observati
de ce travail nous dirons : 1" Que la sclérose en plaques est une
maladie
curable ; 2° La guérison peut être expliquée pa
UE CRITIQUE. ration des nerfs et, par conséquent, la guérison de la
maladie
, il faut peut-être compter l'âge et l'intervent
ompter l'âge et l'intervention de la théra- peutique au début de la
maladie
. P. S. Si la guérison de notre malade se dément
ns faites sur la lypé- manie. Tandis que, sous l'influence de cette
maladie
, le rap- port entre l'acide phosphorique uni au
elle ne sont trouvées malades ; en second lieu, presque toujours la
maladie
en question commence par des troubles de la sen
nales ou névritiques ; l'unité résulte simplement de ce fait que la
maladie
se porte de préférence sur des segments du syst
les accès d'angoisse d'ordre affectif (trau- matismes céphaliques,
maladie
de Basedow, agoraphobie), pendant le stade méla
e, scléreuse, suppurative; dans celles qui sont en rapport avec une
maladie
ordinaire, infectieuse, cardiaque, toxique, ave
tion purement auto- matique) autonome. Dans le délire sensoriel des
maladies
aiguës (surtout dans la folie systématique aigu
st incapable d'engendrer le développement de l'autre forme de cette
maladie
, et vice verso. En connaissant l'étiologie, nou
te électrothérapique à suivre.-14^ Ainsi, il se présente des cas de
maladies
nerveuses qui, sans se différencier d'autres cas
7 tané avec ses appareils terminaux périphériques. 16e Les cas de
maladies
nerveuses périphériques curables par l'électrothé
chez les diabétiques. ' MARCEL BRIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET
MALADIES
NERVEUSES DE BERLIN Séance du 14 juillet 1884
fluence de laca- vilisution et du paupérisme sur la progression des
maladies
men- tales. Il passe ensuite à l'examen des cau
fications cliniques ou physiques de la cir- culation cérébrale, les
maladies
qui retentissent par voie réflexe sur les centr
observés pendant la vie. Néanmoins, personne ne doute plus que les
maladies
mentales ne soient le résultat d'une lésion pri
le livre qui nous occupe est fort recommandable. 11 débute par les
maladies
des nerfs périphé- riques, sensitifs ou moteurs
pages consa- crées aux névroses vaso-motrices et trophiques. Les
maladies
de la moelle sont aussi judicieusement traitées.
méningite cérébro-spinale épidémique, qui rentre dans le cadre des
maladies
infectieuses, et renvoie, en ce qui concerne le
itre intéressant est consacré à l'ataxie locomotrice hérédi- taire (
maladie
de Friedreich). Enfin, l'étude des lésions hémi-
naire qui enlève aux tableaux morbides leur ingrate sécheresse. Les
maladies
du cerveau bénéficient, elles aussi, de cet ava
e pathologique, le domaine de nos connaissances sur ce point. Les
maladies
à substratum anatomique une fois décrites, nous
thétose; 5° la tétanie; 6 le tétanos; 7° la myotonie congénitale ou
maladie
de Thomsen; 8° la cata- lepsie ; 9° l'hystérie;
ement de cancer. Toutefois, il n'a plus été question de cette grave
maladie
une fois la névralgie guérie. Peu de temps aprè
l belge, raconte sontétat de la-'manière suivante, : ,«, J'ai une
maladie
qui consiste dans l'obsession des. noms propres.
de M. Déjérine sont purement et simple- 1 Charcot. - Leçons sur les
maladies
dn système nerveux, 3" rase., 2e édit., p. 240.
arcot. La sclérose latérale amyotrophique est, d'après Charcot, une
maladie
à début successif, continuelle- ment progressiv
angent rien d'essentiel au tableau qui vient d'être tracé. Ainsi la
maladie
dans certains cas débute par les membres inféri
n différente de la dégénération descen- . ' Charcot. Leçons sur les
maladies
du système nerveux. - Sclérose latérale amotoph
UIPPOCUTB, De Morbo sacro, cap. m.) La transmission héréditaire des
maladies
n'est plus un fait discuté maintenant et l'on s
luence de l'hérédité est surtout manifeste dans la pro- duction des
maladies
nerveuses et mentales; elle est le plus souvent
on Trélat, la cause pri- mordiale, la cause des causes, qui fixe la
maladie
dans les familles et la rend transmissible de g
mier a été publié par l'un de nous '. 4 Bourneville. Archives des
maladies
mentales et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLIN
que trois; les autres sont morts tantôt de convul- sions, tantôt de
maladies
; on ne peut donner à ce sujet de rensei- gneme
ccès ou reste hébété; pas d'hallucinations. Aucun traitement. Comme
maladies
antérieures, l'enfant n'a eu qu'une fièvre mu-
bété. Pas d'hallucinations ni de délire. Aucun traitement. Pas de
maladies
antérieures, sauf une diarrhée sanguinolente à
bservations se rapportant au sujet qui nous occupe actuellement :
MALADIE
DE THOMSEN. 201 ( les sujets atteints d'affecti
férents degrés. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS UNE OBSERVATION DE
MALADIE
DE 'fLIO\ISI;i; Par MM. A. PITRES et L. DALLIDE
it d'une'santé plus délicate, sans avoir jamais eu cependant aucune
maladie
grave. On remarque chez elle une certaine pâleu
1 'csl'll1oills'gûn<dans,ses mouvements., D'un autre côté 1'liy-
MALADIE
DE THOMSEN. : W3 pertrophie de différents group
est ordinairement à demi fermée. Quoique plus âgé que son frère, la
maladie
aurait évolué chez lui plus lentement et se- ra
.t .t...th, TI' -11,' ? JI h 1 Jill" i ,II . ? 1 vingt-deux ans, la
maladie
a progresse avec une extrême tes- l ? r ? nr" l
la tête. La mensuration des membres donne les chiffres suivants :
MALADIE
DU THOMSEN. 205 Lorsque les muscles sont au rep
s éléments de Gaill'e.) A. Bobine il gros fil : Résistance = 0 99
MALADIE
DE THOMSEN. extensibles, qu'ils tirent en sens
Thomsen, lorsque l'excitation a été portée sur le muscle reposé.
MALADIE
DE THOMSEN. 209 Les mouvements de la tête et du
e, ses AncHiVKS, t. X. Il 4 Fig. 4. A, Tétanos musculaire dans la
maladie
de Thômsen, lorsque le muscle a été préalableme
s. La sensibilité est intacte dans tous ses modes. Le contact, la
MALADIE
DE THOMSEN. - 211 i piqûre sont partout perçus
la lec- ture et fuit les plaisirs plutôt qu'il ne les recherche. Sa
maladie
e préoccupe beaucoup : il cherche à la cacher à
ez un jeune /tysté- rique. 2 Th. Ribot. P. 82 et suivantes, 1885,
Maladies
de la personnalité. : ) Azam Revue scientifique,
e horriblement et il se metà maudire la femme qui lui a donné cette
maladie
. Tout.l'arsenal ordinaire des suggestions et de
b- sence de fièvre- et d'amaigrissement, et enfin la marche de la
maladie
sont des contre-indications de la tuberculose. Au
as et conservait ses joues. Cette irrégularité dans la marche de la
maladie
est peut être le fait des productions tubercule
ent quelquefois chez les tabétiques soit tout à fait au début de la
maladie
, soit dans le cours de la première période du t
den), ayant pour synonymes : hypertrophie musculaire spasmodique et
maladie
de Thomsen. Se différencie des autres faits de
le évident à M. Schultze que la pseudo-hyper- trophie n'est pas une
maladie
du système nerveux, l'atrophie musculaire héréd
se demande si dans certains cas l'atrophie musculaire n'est pas une
maladie
surajoutée plutôt qu'une propagation des lésion
ment ce sont Voy. Archives de Neurologie, Société de psychiatrie et
maladies
ner- veuses de Berlin. Déc. 1884. 234 ! REVUE
t à l'appui de ce fait, que la grossesse noircit le pronostic d'une
maladie
mentale existant avant elle. A cela rien d'éton
son complète malgré les hallucinations, au bout de dix-huit mois de
maladie
). La folie épileptique a été obser- vée chez 92
Religion... ' " 8° Etat social ou profession ? ... 9° Durée de la
maladie
avant l'admission...,i-i ' , ¡ . oJ 10° A. Y av
u. L'autre partie est autorisée'à Pl;op'oscr'lïô\ ! alidatioI1si la
maladie
ne lui avait pas été notifiée auparavant.1» ! 1
. ? t t è ? j,. par trois' spécialistes et d écarter la durée de la
maladie
comme 1 ... ' ! -Il ? n't Jf' un '<)/ caus
s, considérant que; d'après la loi relative à l'assurance en cas de
maladie
, il n'est plus fait d'exception de principe à l
s magiciens infâmes; le troisième, des sorcières; le quatrième, des
maladies
de possession; le cinquième, des moyens mis en
nombre d'observations intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de
maladies
nerveuses et mentales. Cil. F. V. Zur physiolog
merveilleux effets, la bienfaisance qui soulage la souffrance de la
maladie
et de la misère, font des miracles lorsqu'elles u
loge de « Pinel, le vice, le crime, le malheur, les infirmités, les
maladies
« les plus dégoûtantes et les plus disparates,
ières que les travaux de ce siècle ont projetées sur cette terrible
maladie
qui laisse le mieux voira à la fuis la grandeur
e sont accomplis, de nos jours, tant de progrès et où l'étude des
maladies
mentales compte tant d'éminenls représentants.
ntelligence et qu'il a presque créé de toutes pièces la science des
maladies
mentales ? Une commission fut nommée et le rapp
és à Bicêtre ; « qu'il est le véritable fondateur de la science des
maladies
men- « taies; qu'il a fondé, par son enseigneme
s'est appliqué à grouper, dans sa Nosographie philo- sophique, les
maladies
, à la manière des naturalistes, par classes, or
la crainte; il a fait plus encore : il a prouvé que la folie, cette
maladie
répu- tée incurable, pouvait être vaincue par u
pour les souffrances de ceux que la misère et la plus terrible des
maladies
viennent atteindre. Les souffrances les plus di
es. La mortalité n'atteint plus que 2,68 p. 100. Rareté extrême des
maladies
intercurrentes et notam- ment de la phthisie pu
de la Salpétriére. M. le Dr BABINSEY est nommé chef de clinique des
maladies
nerveuses. Société DE médecine et chirurgie de
, Pàr- sons and G°. N'OTUNAGEL. Traité clinique du diagnostic des
maladies
de l'encéphale, basé sur l'étude des localisati
é toutes les observations existant dans la littérature des cas de
maladies
systématiques compliquées des cor- dons latérau
nace, rétention de l'urine et huit mois après le commencement de la
maladie
, 0... fut forcée d'entrer à l'hôpital, oùl'on e
Nicolas, où, à la fin de 1881, elle fut placée dans la section des
maladies
nerveuses du professeur agrégé Tschetschoff. L'
es des tendons, en un mot, tous les traits caractéristiques de la
maladie
de la moelle épinière, connue sous le nom de tabe
que. Une supposition pareille s'affirme par la marche lente de la
maladie
, par son cours de bas en haut, par l'absence de
u'à ce diagnostic on pour- rait opposer le commencement subit de la
maladie
, accom- DES FAUSSES SCLEROSES DE LA MOELLE ÉPIN
mais M. Charcot ainsi que M. Erb admettent la possibilité que cette
maladie
soit accompagnée de pareils symptômes, mais ceu
tout ce qui précède, on voit que quoique le tableau clinique de la
maladie
d'Anna 0... réponde à celui. qui est décrit sou
t dans la science. M. Erb ' en décrivant la symptomatologie de la
maladie
émet la supposition comme bien vraisem- blable
uckenmarlcs, 1877. 2 Charcot. Leçons sur les localisations dans les
maladies
du cerveau et de la moelle épinière, 2e fascicu
ableau clinique, qui malheureusement est court et peu clair, que la
maladie
commença le lendemain d'un refroidissement par
rès notre opinion, pour expliquer le substratum anatomique de cette
maladie
. Rangeant ces cas d'après des catégories, il fa
MM. Ballet et Minor rangent tous les cas jusqu'à présent connus de
maladies
primaires systé- matiques compliquées de là moe
e tableau clinique du tabes dorsal spasmodique dans les différentes
maladies
de la moelle épinière; 3) La première place par
affections appar- ' tient à la sclérose diffuse. , 1 Traité des
maladies
de la moelle épinière, 1837, t. II. Anciliviis.
ue ces infortunés luttent longtemps et ne cèdent que vaincus par la
maladie
. Ils ne sauraient donc tendre qu'à la satisfact
ladie. Ils ne sauraient donc tendre qu'à la satisfaction de cette
maladie
elle-même, d'autant plus que le besoin qui les
ait frères DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILES. 325 dans la
maladie
, et c'est ce qui explique la con- fusion faite
Dagonet, ne peut certainement pas être le caractère unique de la
maladie
, elle en est seulement le symptôme le plus appa
et aux jours mêmes des sinistres qui ne militent en faveur de la
maladie
; entre dix heures et minuit, les dimanches et j
oir plein son saôul. Tous les buveurs en sont là. Ce n'était pas la
maladie
qui l'aiguillonnait, car il n'était certes pas
bon ouvrier et vivait tranquillemennt avec sa femme. Pas d'autres
maladies
que sa bronchite'. [Père, cantinier, mort à soixa
er, mort à soixante- dix-sept ans d'un asthme, n'avait jamais eu de
maladies
ner- veuses, n'a fait d'excès d'aucune sorte. -
par sa mère à l'âge de deux ans et demi, il n'avait pas eu d'autres
maladies
que le ventre ballonné et de la constipation. J
hmatique et cette affection, qui a des rapports si intimes avec les
maladies
du système nerveux, est une cause d'hérédité qu
Ballet ' et Marie 2 le montrent fréquemment uni par l'hérédité aux
maladies
nerveuses et surtout aux maladies mentales. Gui
réquemment uni par l'hérédité aux maladies nerveuses et surtout aux
maladies
mentales. Guislain s, d'un* autre côté, a fait
sommeil. Aucun accident cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire; pas de
maladies
graves. [Père mort d'un astfime à soixante ans,
llectuelle : idiotie com- plète, épilepsie, paralysie, tuberculose,
maladie
dont la rela- tion avec les maladies du système
lepsie, paralysie, tuberculose, maladie dont la rela- tion avec les
maladies
du système nerveux, signalée par Esquirol, bien
t, dans certaines affections d'origine purement psychique, dans les
maladies
dites imaginaires ou mieux par imagination, on
ennent que, dans ces cas, c'est par suggestion que l'on agit sur la
maladie
, et cela même à l'état de veille et sans qu'il
l'hypnotisme et les suggestions peuvent modifier avantageusement la
maladie
. Cela peut se déduire d'une façon rationnelle,
à mes suggestions et n'ont disparu d'elles- mêmes qu'à la fin de la
maladie
. A notre avis, ce fait doit tenir au mode de la
er jour par jour le lecteur à toutes les petites oscillations de la
maladie
. Nous n'insisterons que sur les poinLs particulie
s, fait de la musique... Certains faits de mémoire, antérieurs à la
maladie
, ont été oubliés, l'année, son domicile, son âg
ont rc- venus. Elle s'occupe de son avenir, de la position que sa
maladie
peut lui avoir faite dans le monde où elle ne veu
suite d'affaires de famille existant réellement, juge frès bien sa
maladie
passée et la situation qui en résulte pour elle
ais lorsque ces moyens sont restés inefficaces, lors- qu'on voit la
maladie
durer un temps très long malgré tous 394 RECUEI
agie et du ramollissement, ne se rattachent qu'indirectement à la
maladie
générale par l'intermédiaire des altérations du s
aux graves complications qu'elles sont susceptibles de provoquer (
maladie
de Corrigan, déchirure valvulaire, etc.). L'aut
nts faibles. Il prend un adolescent d'origine bavaroise, atteint de
maladie
de Basedow (hypertrophie du coeur très prononcé
lations fréquentes dans la pression intra-céré- brale du fait de la
maladie
elle-même. P. K. XXII. CONTRIBUTION A L'HISTOLO
s non aliénés; c'est ainsi que chez ces deux malades la durée de la
maladie
a été exceptionnellement z32 REVUE DE pathologi
le donne lecture d'un travail de M. Parant, sur la simu- lation des
maladies
mentales. Des signes physiques intellectuels et
ux points principaux : Quelle est l'empreinte de l'hérédité dansles
maladies
mentales ? Y a-t-il des formes mentales caracté
paralysie générale. La paralysie générale a été étu- diée comme une
maladie
individuelle et diverses natures étiolo- giques
indiquée dans Esquirol, a été mise en relief par Lasègue. C'est une
maladie
fréquente, caractérisée au début par de simples
la folie, sur toutes les formes vésaniques; qui dit psychoses, dit
maladies
éminemment héréditaires, mais l'influence de l'
ilibration de l'héréditaire. Donc, il a suffi de l'apparition d'une
maladie
aiguë et notamment d'une fièvre typhoïde, d'une
uis une vingtaine d'années sur les troubles nerveux consécutifs aux
maladies
aiguës. Thore ', M. Christian 2 et plus récemme
, 1850,1e série, 7e année. i Christian. De la folie consécutive aux
maladies
aiguës, (arch. gén. de med., septembre et octob
nt successivement poursuivies sur les paralysies consé- cutives aux
maladies
aiguës. M. Landouzy 9 qui, dans son impor- tant
ues... Progrès médical, 1884. » Landouzy. - Des paralysies dans les
maladies
aiguës, 1880, p. 312. SOCIÉTÉS SAVANTES. 437
e la vie, où cette intégrité n'avait pas encore été atteinte par la
maladie
. Une série d'expériences analogues nous a fait
e sa vie, de sa naissance, à l'accident de la vipère qui a causé sa
maladie
, tout ce qui a suivi l'attaque et le changement
es de personnalité qui appa- raissent spontanément au caprice de la
maladie
, comme dans le cas de Félida (M. Azam), ou dans
aussi des paralytiques généraux atteints de fièvre typhoïde dont la
maladie
présenta une évolution plus favorable. Presque
fièvre typhoïde. Nasse, lui, considère la fièvre typhoïde comme la
maladie
intercurrente qui exerce l'influence la plus fa
s. 11 est à remarquer que la fièvre typhoïde guérira aussi bien les
maladies
mentales entées sur de l'anémie que celles gref
mécanisme de ces trans- formations git dans les changements que la
maladie
aiguë im- prime à la nutritiun ; il ne s'agit p
ion sur les méthodes et les éludes envisagées ici; il croit que les
maladies
de la volonté ne sont assujetties à aucune règl
lytiques généraux, on a déjà eu à déplorer des atteintes de cette
maladie
. Il y a longtemps, Hoffmann avait fait cette enqu
e générale typique.. ' M. SCHUCHARDT. Quelques observations sur les
maladies
intercur- , rentes chez les aliénés. Parmi les
hives, t. X. 29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. atteints (22 f ? 14 h.) de
maladies
intercurrentes, se décompo- sant en : , 1 1 S
. Sur ce que l'on entend par troubles de la connais- sance dans les
maladies
psychiques. Imprimé à part'. M. ROLLER. Sur, le
qu'on gnore la nature du poison ictérogène et le mécanisme de la
maladie
dans l'espèce ? . M. PELMAN. Contribution casui
a démence paralytique, se base sur six faits; dans tous ces cas. la
maladie
a duré longtemps ; dans cinq d'entre eux, il ex
t, sur les faits de dédoublement des opérations cérébrales dans les
maladies
mentales. Depuis lors, de nombreux travaux ont
ré- disposition joue un rôle capital dans le développement de ces
maladies
; mais un autre problème se pose : les névropathie
nés dangereux, 4869; Projet de statistique applicable à l'étude des
maladies
mentales, 1869; - De l'augmentation progressive
grandes commotions politiques et sociales sur le développement des
maladies
mentales., 1874; - Rôle des boissons alcooliques
Contribution à l'étude des albuminuries transitoires dans quelques
maladies
du. système nerveux. Brochure in-8° de U4 pages.
vue méclico-lénal, par llfaramlou de lontyel, 32. Intercurrentes (
maladies
chez les aliénés), 449. Interdiction, 236.
NEUROLOGIE*^ ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE 1 ? , DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA A D t RE
uelque tumeur, on s'empresse d'incriminer le froid, de rattacher la
maladie
à un refroidissement. Il est d'ailleurs inconte
la colère, la frayeur, etc.; Bellingeri cite un cas dans lequel la
maladie
survint après une frayeur causée par la vue d'u
re, et qui se manifeste soit par des névroses variées, soit par des
maladies
à lésions bien déterminées de l'axe cérébro-spi
tachée, de par 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'étiologie au faisceau des
maladies
du système ner- veux, à la grande famille névro
Antécédents personnels : M. N... a toujours été très nerveux; comme
maladies
d'enfance, il a eu des con- vulsions et la coqu
astoïde. Réactions électriques normales pendant tout le cours de la
maladie
; guérison com- plète au bout d'un mois. Obse
- Antécédents personnels : M. X... n'a eu dans son enfance d'autre
maladie
que la rougeole ; il nous dit qu'il est très ne
ressortir les liens étroits qui unissent cette paralysie aux autres
maladies
du système nerveux et, en particulier aux névro
ivement rayée du cadre, de plus en plus restreint d'ailleurs, des
maladies
a frigore pour prendre dans la grande fa- mille
tre protestait contre l'opinion qui voulait faire de l'hystérie une
maladie
propre à la femme. Il affirmait qu'elle existai
cations que les lois psychophysiques subissent sous l'influence des
maladies
du système nerveux'. Nous avons commencé nos re
sens de la vue chez l'homme sain et malade, en particulier dans les
maladies
du système nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERV
tmuller. Pratique de médecine spéciale de Michel Etmiillel' sur les
maladies
propres des hommes, des femmes et des petits enfa
nt. Il m'apprit qu'il n'avait éprouvé la première invasion de cette
maladie
, sur un grand chemin, que quelque temps après a
ssaillements dans le bras droit et dans le côté gauche du corps. La
maladie
s'exacerba ainsi de jour en jour, jusqu'à ce qu
rs dans les membres cessèrent, et il se crut parfaitement guéri. La
maladie
avait en effet disparu, mais pour revenir huit
eune homme. Le rhumatisme supprimé fut regardé comme la cause de la
maladie
. On administra l'extrait d'aconit et de gayac c
ulsions. Le cadavre ne fut point ouvert. Serres parle, à propos des
maladies
de la protubé- rance, de deux hommes observés l
lepsie. » ' Bérard aîné, citation d'Olivier d'Angers, Traité des
maladies
de la moelle épinière, t. II, p. 143. Paris, 18
nts choréiques qui constituent aujourd'hui l'élément dominant de la
maladie
, ses accès se montrent tous les jours ou même p
tate une différence entre les accidents des deux côtés du corps. La
maladie
a fait de rapides progrès ; tous les membres so
rsive.-Le cas suivant a été publié par Romberg' dans son Traité des
maladies
nerveuses. Observation XV. Homme de soixante-
r, fut frappée des accidents propres à la chorée. A neuf ans, cette
maladie
n'avait point cessé. Elle n'avait été suspen- d
uteur que sa malade était atteinte de chorée. La longue durée de la
maladie
, les accès pro- cursifs fréquents, les accident
ition, 1873, t. Il, épilepsie, p. 112. ' Hammond. -- « Traité des
maladies
nerveuses; traduction française, 1876, p. 785.
épileptique ordinaire. (Sandras et Bourguignon. Traité pratique des
maladies
nerveuses, 2° édit., t. 1, p. 278, 18G0.-Ghe- n
t., t. 1, p. 278, 18G0.-Ghe- neau. Recherche* sur le traitement des
maladies
nerveuses, ,1811, p. 32.) RECUEIL DE FAITS PA
Chaque poussée congestive, et souvent immense, se résoud, dans la
maladie
qui nous préoccupe, par une dénutrition de plus e
au dernier marasme; il succombe, pièce par pièce, de son être. La
maladie
vaso-motrice est telle que, depuis longtemps, j'a
ntraction de nos muscles. Cette faculté est perdue dans certaines
maladies
, et son absence donne lieu à des mouvements dés
rs. De plus, rien dans les antécédents n'autorise l'hypothèse d'une
maladie
des nerfs périphériques; d'autant plus que dans
ie, la disparition de la sensibilité dans 1 Charcot. Leçon* sur les
maladies
du système nerveux, t. III. Pig. I. REVUE DE
de névrite à Paris en 1828. La névrite multiple, ordinaire, est une
maladie
due à quelque agent toxique ou à quelque miasme
EVNIKOFF aborde l'intéressante question d'enseignement clinique des
maladies
mentales. Sa communication est intitulée ainsi
l'introduction d'une tutelle préliminaire désignée aussitôt que la
maladie
sera cons- tatée par le médecin. XIII. M. Gre
ice, il est nécessaire d'avoir des connaissances approfon- dies des
maladies
mentales et une expérience pratique qu'on ac- q
ise dans l'Art, alors qu'ils étaient considérés non point comme une
maladie
, bibliographie. 127 mais comme une perversi
ù le malade est traité dans des conditions ordinaires pour cause de
maladie
. Mais vous m'accorderez bien que. si on le trai
té, il est très possible, il peut même être très fréquent, avec une
maladie
telle que l'aliénation mentale, que celui qui s
inement, quoiqu'en ait dit M. le rapporteur tout à l'heure, à cette
maladie
redoutable de l'aliénation mentale, à toutes se
s données précises. Lorsque les aliénés sont traités au début de la
maladie
, environ 80 p. 400 sont guéris. Quand le traiteme
ur le sort de sa fille, et dans l'espoir de trou- ver guérison à sa
maladie
, recourut aux consultations des médecins. Une v
ur ces deux versions. En premier lieu, l'humeur qui par suite de la
maladie
a séjourné longtemps dans le corps, n'aurait-el
e, c'est qu'ils ne se voient jamais forcés de subir eux-mêmes cette
maladie
, même quel- ques jours, et amenés de la sorte,
os lois et notre système d'asiles tend directement à la culture des
maladies
mentales dans leurs formes chroniques. Les obs-
sions du cerveau, aussi bien que les lésions de l'écorce, comme une
maladie
ordinaire. C'est la sépa- tion entrc les maladi
'écorce, comme une maladie ordinaire. C'est la sépa- tion entrc les
maladies
physiques avec symptômes mentaux elles 176 BULL
siques avec symptômes mentaux elles 176 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
maladies
physiques sans ces phénomènes nommés arbitraire-
fut professeur d'anatomie, et, depuis 1872, il occupa la chaire des
maladies
mentales et ner- veuses. En 1874, il fonda le J
maladies mentales et ner- veuses. En 1874, il fonda le Journal des
maladies
mentales et ner- veuses, dont la prospérité ain
démontrer. Personnellement, cette jeune fille n'a jamais eu d'autre
maladie
qu'une grave atteinte de choléra, en 1884. Un 1
t actuel. Fille robuste, nullement nerveuse, n'ayant jamais fait de
maladies
sérieuses, ne paraissant point émotive, répondant
he, qui ne soit encore une preuve confirmative de la nature de la
maladie
. Nous savons qu'un certain degré d'atrophie muscu
Au nom de la physiologie doctrinale, il édifie de toutes pièces une
maladie
nouvelle, caractérisée par une lésion pri- miti
érieures spinales et des ganglions ner- veux intervertébraux. Cette
maladie
, dont le substratum ana- tomique est encore à d
icile, c'est que, dans la paralysie générale comme dans toute autre
maladie
'mentale, on se trouve en présence, non pas d'u
us aurions chance de trouver une étio- logie nette et précise de la
maladie
. Mais tout au contraire : les causes que nous v
t arrivé à la paralysie générale ce qui s'est produit pour d'autres
maladies
(la fièvre typhoïde DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 2
iguë, etc., y trouverait-on, non pas une description complète de la
maladie
, mais du moins celle de l'accès d'agitation man
et plus pratique, c'est de savoir si, depuis qu'elle est connue, la
maladie
a augmenté de fréquence. Calmeil le croit. Aprè
e par ces chiffres, il semble que rien n'autorise à admettre que la
maladie
se ré- pande de plus en plus, car le milieu dan
les observateurs; il reste établi que la paralysie générale est une
maladie
de l'âge mûr; elle frappe de 30 à 50 ans. Toute
libataires; 17 veufs; Chez 4 l'état civil est resté inconnu. La
maladie
frapperait donc de préférence les hommes mariés
iers forment la grande majorité : 69 sur 90 : il semble donc que la
maladie
frappe davantage les officiers. Mais il convien
là para- lysie générale ne diffère pas essentiellement des autres
maladies
mentales, et qu'il n'y a pas lieu d'ima- giner
; mais c'est alors un fait purement accidentel, symptomatique de la
maladie
. Il est vrai aussi, et Magnan a insisté sur ce
t de l'accès, avec ceux qui auraient pu réellement pro- voquer la
maladie
. En écoutant les confidences des familles, j'ai
nésique, portée au plus haut degré, ' A noter aussi la rareté de la
maladie
en Suède et en Irlancle, où cependant l'alcooli
si le tabac exerce une influence réelle, comment expliquer que la
maladie
soit presque inconnue dans des pays où l'on fum
s réellement vénériens, mais res- tent sans influence aucune sur la
maladie
principale. C'est donc chez moi une conviction
ans après, ces douleurs cessèrent, et il commença à dé- lirer.
Maladies
antérieures. Une influence étiologique qu'il n'
é une altération permanente, une épine, dans l'organe cérébral. Des
maladies
graves ont été signalées dans les antécédents d
au-dessous de la réalité. ' Mais il faut se demander aussi si les
maladies
dont je viens de parler, ou d'autres du même ge
endant que la paralysie générale survienne peu de temps après une
maladie
fébrile grave, et dans ce cas il peut bien y av
en Russie, où l'appelaient ses affaires, quand il fut atteint d'une
maladie
fébrile extrêmement grave (fièvre typhoïde ? ),
t l'on n'apprendrait pas grand' chose sur la genèse véritable de la
maladie
, si l'on se bornait à cette énumération. Dire
se demander s'il n'y a pas, dans tous les cas, et à l'origine de la
maladie
, une influence étiologique toujours la même.
ques généraux au point de vue de leur état cérébral, antérieur à la
maladie
, on cons- tate (c'est du moins le résultat de m
t d'arriver par induction à dé- terminer la lésion originelle de la
maladie
. Car si l'on examine de près toutes les causes
Mère, morte à soixante-dix ans, sans qu'on puisse dire de quelle
maladie
. - Pas de renseignements sur les grands-parenls,
A huit ans, opltthalmie grave (taie sur l'oeil droit), pas d'autres
maladies
, sauf des furoncles. Il a fréquenté l'école de
Père, cinquante- trois ans, joaillier, bien portant, n'a eu aucune
maladie
ner- veuse, ni cutanée, il a perdu par des atta
tait ce qu'il avait en- tendu. Il n'ajamais eu de gourme, ni aucune
maladie
, si ce n'est une carie vertébrale pour laquelle
t; il paraissait très intelligent jusqu'à trois ans. On attribue la
maladie
aux ennuis et aux chagrins de la grossesse. L'e
, l'auteur fait diminuer le temps des séances de piano, soigner les
maladies
constitutionnelles. L'arsenic à l'intérieur, le
de son accident, ni des événements accomplis pendant la durée de la
maladie
. Du dédoublement de la personnalité chez un hys
s à la règle sont très fréquentes et propose ensuite de donner à la
maladie
le nom de délire des persécutions de Lasègue en
iale étaient commandées par les circonstances, par la gravité de sa
maladie
mentale, il est heureux, ajoute-t-il d'avoir re
s'abandonnait, tout récemment encore, il convient, confesse que sa
maladie
a fait de lui, pendant ces dernières semaines un
nne à l'observation un relief particulier, ce sont les symptômes de
maladie
de Basedow (légère exophtalmie, fréquence du po
de maints paralytiques généraux arrivés au dernier stade de leur
maladie
. Le mutisme du mélancolique relève du grand domai
ceux des gens qui viennent de se suicider et de personnes mortes de
maladies
ne peuvent êlre tenus pour normaux. L'ora- teur
nir pour un aliéné placé dans une maison desanté particulière si sa
maladie
prend une marche défavorable d'où il pourrait r
est intéressante par l'étiologie du développe- ment progressif des
maladies
mentales dans ce pays. Pour l'au- teur de ce tr
on de la coercition sous toutes ses formes dans le traite- ment des
maladies
mentales et est allé même jusqu'au « open door
t donner le contingent le plus grand des personnes prédisposées aux
maladies
nerveuses et men- tales, et cependant, dans auc
stion de la prostitution et de son .importance dans l'étiologie des
maladies
nerveuses et mentales. La proposition est appro
on. XXIV. Ensuite M. KANDtNSKY communique « la classification des
maladies
mentales » élaborée par la Société des psychiatre
- raison des photographies d'une personne à l'état de santé et de
maladie
peut donner des indications positives relativemen
ndications positives relativement à la nature et à la période de la
maladie
. On peut tirer de cette étude comparative des s
IV. Coiitribution à l'étude de la sclérose latérale amyotrophique [
Maladie
de Charcot); par M. Elouand. (Th., Paris, 4887.),
re aussi une étude fort intéressante des types moins complets de la
maladie
, des cas frustes en un mot. L'auteur a passé en
lbaire' une entité morbide distincte mais seulement une forme de la
maladie
de Charcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes
e conduisirent bientôt à enseigner que l'aliénation mentale est une
maladie
dégénératrice, et réclame un régime abondant de
s de la folie avec la médecine, il soutint que l'aliénation est une
maladie
physique et qu'elle ne doit pas être seulement tr
oulon méd. Journal, 17 mars 1887, p. 2G7. VARIA. 317 î pend d'une
maladie
physique ; en 1873, Pathologie de la folie; en
ite d'un mal de Bright le 29 novembre 1886. SoLLIEn. Luther ET la
maladie
DE Ménière. Luther, à vingt-sept ans, souffrait
pas pu regarder une lettre. J'ai eu une autre visite du diable. Ma
maladie
est le résultat de la faiblesse ordinaire de la
ès nerveuse, elle est restée quatorze ans malade et est morte d'une
maladie
de poitrine à l'âge de quarante et un ans. Son
eil provoqué n'est plus livrée à la sug- gestion, elle dépend de la
maladie
antérieure et il y a des caractères somatiques
un objet donné. Ole Bull a a étudié le sens des cou- leurs dans les
maladies
de l'oeil. Jeannik Bjerrum s, dans ses recherch
donnerons le résultat de nos recherches dans l'ordre des formes de
maladies
(types pathologiques), en ayant soin de choisir
abisme, et si l'on avait dit que ces malades souffraient de la même
maladie
le tabes dorsualis, alors, les médecins de ladi
nt traités que pour ces phé- nomènes (c'est un fait) comme pour des
maladies
bien définies; et pourtant il peut arriver, que
omique. Erb ne leur a consacré que quelques pages de son manuel des
maladies
de la moelle épinière, sous le titre Barra et C
u mouve- ment et de la sensibilité, et la marché ultérieure de la
maladie
, permirent à Kahler de définir d'une manière pl
eul processus connu, qui par sa localisation et par la marche de la
maladie
, correspondait aux symp- tômes cliniques de son
ans l'atrophie musculaire « typique », ad- met qu'un cas de cette ~
maladie
rapporté par lui, pouvait appartenir à la syrin
suffisent pas encore bien entendu, à témoigner la fréquence de la
maladie
, sur laquelle je voudrais attirer votre atten-
ncomplet de nos connaissances actuel- les du tableau clinique de la
maladie
. D'un autre côté, parmi des cas peu nombreux an
il sera facile de com- prendre que toute une série de cas de cette
maladie
passe inaperçue. Mais il suffit à quelqu'un des
voisines, ayant une population de 50,000 habi- tants, 15 cas de la
maladie
qu'il a décrit sous le nom de parésie analgésiq
symptômes cités par l'auteur. Il faut rapporter sans doute à cette
maladie
, sinon toutes les observations de Morvan, au mo
liot 19 (panaris anesthétique) n'appartient peut être pas à notre
maladie
; le deuxième, celui de Broca '' a été décrit s
pendant la vie dans quelques cas peu nombreux, où le tableau de la
maladie
a été très nette- ment dessiné, cela venait de
saient inaperçus, jusqu'à ce qu'une complication accidentelle d'une
maladie
chirurgicale (panaris, frac- ture de l'os), à m
à DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 379 faciliter le diagnostic de la
maladie
, dans les premières périodes de son développeme
), sous une forme clinique type, le plus grand nombre des cas de la
maladie
, ce qui est important, tant pour son étude ulté
ostiquer l'affection, dans d'autres cas où le développement de la
maladie
est moins avancé. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Ob
nourri par la mère; il a toujours joui d'une bonne santé jusqu'à la
maladie
actuelle; il s'est marié à dix-neuf ans, n'a pa
en quantité modérée. 11 n'a pas été atteint de la sy- philis. La
maladie
actuelle s'est déclarée il y a à peu près trois a
horax, empêchant de le fléchir à droite. Un an après le début de la
maladie
se lit remarquer une faiblesse de la jambe droi
a campagne après la sortie de l'hô- pital ne fut d'aucun profit. La
maladie
se mit à progresser de nouveau, les troubles de
ions sur lesquelles nous allons appeler l'attention ont trait à une
maladie
nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnos
pas d'excès de boisson. Quelques douleurs rhumatis- males ; pas de
maladies
de peau, pas de migraines. [Père, maître d'écol
ixante ans, journalière, faisait des ménages; asthma- tique, pas de
maladies
de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, auc
l ait eu d'otites ni d'ophlhalmies, ni 'de fièvres éruptives, ou de
maladies
d'enfant, du moins chez ses parents. - On attri
u de maladies d'enfant, du moins chez ses parents. - On attribue sa
maladie
à l'émotion et au tremblement survenus à la fin
» Douleurs de tête consécutives aux excès; pas de migraines; pas de
maladies
de la peau; on ne sait s'il a eu la syphilis; p
nes, d'ulcérations, etc.; il fumait très peu. Il n'a pas eu d'autre
maladie
durant son mariage qu'une affection osseuse, co
eux. Il disait que son enfant (notre malade), lui avait emporté "sa
maladie
et qu'il était moins nerveux. [Père, garde champê
soldat, d'un refroidissement, l'autre serait mort des suites d'une
maladie
vénérienne. Une soeur, fille publique, alcooliq
demi. Depuis son entrée à Bicêtre, il n'aurait pas fait de grandes
maladies
. Il a toujours été sujet aux engelures et en a
ressortir l'analogie du début, des symptômes et de la marche de la
maladie
chez les deux sujets qui font l'objet des obser
différences qui séparent l'affec- tion dont ils sont atteints, des
maladies
qui paraissent s'en rapprocher le plus : la cho
dans la tumeur. G. D. XIV. Essai SUR l'hémichorée symptomatique DES
maladies
DE l'encéphale ; par H. BIDON. (Rev. de Oléd.,
ement du pouls, etc.), sans élévation notable de la température. La
maladie
se termina par la guérison et l'auteur pense qu
s). Il en est de même pour la paralysie générale. De plus, ces deux
maladies
peuvent se transformer l'une dans l'autre alter
ne série de coxalgiques sur le siège de leur douleur au début de la
maladie
, et il a constaté que chez tous les malades ré-
èce d'une application particulière de la loi de l'hérédité dans les
maladies
du système nerveux formulée par M. Charcot. L'a
comme but d'étude la description d'un des symptômes cardinaux de la
maladie
. Il éta- blit que parmi les variétés de maux de
utes les observations de neurasthénie recueillies à la clinique des
maladies
nerveuses pendant l'année 1886. Ces observations
n ne sache pas que tel de leurs membres a été touché par une de ces
maladies
ter- ribles. Eh bien, alors que la loi de 1838
sur les soins à donner aux aliénés et aux personnes atteintes de
maladies
nerveuses. Les infirmiers et les infirmières des
seignement spécial, car les aliénés, par suite de la nature de leur
maladie
, exigent des soins particuliers. Le rôle de l'inf
tes, 1887, imprimerie lI1elhnrt. CHARCOT (J.-51.). - Leçons sur les
maladies
du système nerveux, pro- fessées à la Salpêtriè
s), par Konrad, 271. Hémichorée (essai sur 1' sympto- matique des
maladies
de l'encé- phale), par Bidon, 407. Hvdrocépha
l, 116. , Prostitution professionnelle dans ses rapports avec les
maladies
men- tales et nerveuses, par n1 ? Tar noskaia
ŒUVRES COMPLÈTES DE J. M. CHARCOT LEÇONS sur les
MALADIES
DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES pa
eçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de clinique des
maladies
du système nerveux. — Moyens d'étude : hospice-hô
ecine française se sont illustrés, deviendrait quelque jour, pour les
maladies
du système nerveux, un centre régulièrement organ
i, non sans une réelle émotion, je l'avoue, la chaire de clinique des
maladies
du système nerveux, mes premières paroles seront
titre d'incurables, admises à vie, des sujets de tout âge affectés de
maladies
chroniques de tout genre, de celles en particulie
lier de moulage et de photographie; un 1. Limité à la réception des
maladies
du système nerveux. laboratoire danaiomie et de
t; or, cela ne pouvait se faire qu'en créant, pour l'enseignement des
maladies
du système nerveux, une chaire magistrale. Car, s
'abord le problème médical tel qu'il est donné par Vobservation de la
maladie
, puis chercher à fournir ïexplication physiologiq
ement ce serait s'exposer à perdre le malade de vue et à défigurer la
maladie
. » Yoilà, à mon avis, des paroles excellentes. J'
alade ne serait qu'un vain mot. S'il fallait, dans la catégorie des
maladies
du système nerveux, montrer toute la puissance de
rement se restreindre à l'observation des phénomènes extérieurs de la
maladie
; elle peut, sans changer de caractère, s'appliqu
vont de pair. Cela s'est montré vrai, surtout en ce qui concerne les
maladies
du système nerveux. Un^exemple suffira pour montr
ffira pour montrer que lavdécouyerle d'une lésion constante, dans les
maladies
de ce genre, est un résultat d'une portée décisiv
he toujours et souvent très étroitement de celles qui se rattache aux
maladies
à lésions matérielles. Et la ressemblance est par
ie, cette propriété qu'ont les affections sine materia de simuler les
maladies
organiques. Entre l'hémianeslhésie vulgaire des h
ention. Il s'agit de la simulation, non plus de cette imitation d'une
maladie
par une autre, dont nous parlions tout à l'heure,
ger au besoin, des symptômes réels faisant foncièrement partie de [la
maladie
, les symptômes si Fig. S. — Schéma des tracés o
. Petit, 1877. — E. Valtat, De Vatrophie musculaire consécutive aux
maladies
articulaires (étude clinique et expérimentale), T
sait depuis longtemps que certaines affections, subor données à une
maladie
diathésique, se développent quelquefois à l'occas
ion de ce mot : cela veut dire que cette fille est atteinte de deux
maladies
, dont les accès se présentent séparément; tantôt
as dans lesquels l'hystérie seule existe, mais dans lesquels aussi la
maladie
est caractérisée, dans le? attaques régulières, p
ahies d'une façon presque fatale. Pendant toute la longue durée de la
maladie
, le patient a souvent à supporter des douleurs vi
2° Rhumatisme articulaire chronique primitif, fixe ou partiel. — La
maladie
, qui présente les mêmes caractères de chronicité
méta- 1. Charcot. — Traité de la goutte de Garrod, noie, p. 602. —
Maladies
des vieillards, 2« éd. 1874, p. 197 et s. carpo
temps, d'avoir déterminé l'affection actuelle de la hanche droite. La
maladie
a débuté, il y a un an, par une certaine gêne dan
à fait caractéristique : c'est une femme de 49 ans, chez laquelle la
maladie
a débuté à 20 ans, après trois ans de séjour dans
'extension (Fig. 8). On peut faire la même remarque, à propos de la
maladie
de Parkinson. J'ai relevé depuis longtemps ces dé
hypochondriaques ; crainte de mourir, ils s'imaginent qu'ils ont des
maladies
qui n'existent pas, en réalité, disent qu'ils ne
e dans ces formes plus graves, la migraine peut s'établir à l'état de
maladie
, ou mieux d'indisposition habituelle, et même ave
eu d'importance. Sous des dehors bénins peut se cacher le début d'une
maladie
grave ; il ne faut pas s'y laisser prendre \ 1.
ceci me conduira à vous montrer brièvement comment se présente cette
maladie
, quand elle se développe chez l'homme, et plus sp
crois que le fait mérite confirmation ; suivant mes observations, la
maladie
serait, chez les jeunesjgarçons, plus commune qu'
en raison des circonstances au milieu desquelles s'est développée la
maladie
. C'est un jeune Israélite de 13 ans, originaire
toujours les plusi'aciles à mener. Quelques faits antérieurs" à Ta
maladie
actuelle méritent d'être signalés. Elle est maint
a succombé à l'asile d'aliénés d'Orléans, où il a vécu trois ans ; la
maladie
qui a motivé son admission dans cet asile paraît
que, aucune émotion morale qui puisse être invoquée comme cause de la
maladie
actuelle, rien, si ce n'est une influence traumat
e tiens à établir tout d'abord que, dans son histoire antérieure à la
maladie
actuelle, il ne s'est produit aucune circonstance
ne, 1880, T. II, p. 655. à la sciatique vulgaire, Yischias nervosa,
maladie
de Cotugno. — Cela ressortira de l'exposé qui va
hériques (sections, lésions traumatiques, etc.) ; mais aussi dans les
maladies
spinales, lorsque la lésion est localisée de tell
er les principaux épisodes. Disons tout de suite qu'il s'agit d'une
maladie
accidentelle, pour ainsi dire, qui paraît reconna
e souvent pour cause l'influence du froid humide ; ce n'est point une
maladie
de famille ou d'hérédité, comme l'ataxie, et il n
roisième période. Quelquefois, les choses en restent là, et tantôt la
maladie
se termine par la guérison complète, tantôt il re
; son père est encore vivant et bien portant, sa mère est morte d'une
maladie
de cœur ou de poitrine. Les antécédents personn
ts pathologiques. En somme, rien à noter qui puisse se rapporter à la
maladie
précédente, si ce n'est, peut-être, la migraine;
rticulièrement dans la suite. Passons maintenant à l'histoire de la
maladie
actuelle. Le 9 octobre dernier, étant à la chas
Messieurs, Dans l'ouvrage important qu'il a consacré à l'étude des
Maladies
de la mémoire 2, M. ^h. Ribot; a parfaitement fai
ent de la prédominance 1. Leçon recueillie par M. Bernard. 2. Les
maladies
de la mémoire. Paris, 1881, p. 111, 112. 3. Fon
ar la vision intérieure la physionomie de ce parent, les phases de la
maladie
qu'il a traversée, et surtout si je pouvais voir
spinales, qu'il est généralement facile en clinique de rattacher aux
maladies
dont elles dépendent. En second lieu, viennent le
s antérieures, dont la participation est un fait nécessaire. Quand la
maladie
est constituée dans son entier, nous avons l'aspe
centres nerveux ou des nerfs périphériques. 11 s'agit donc ici d'une
maladie
protopathique du muscle, d'une myopathie primitiv
milées cliniquement. Ainsi la paralysie pseudo-hypertrophique est une
maladie
de l'enfance. Après 20 ans, on ne la rencontre pl
hies spinales. En outre, particularité qui ne se retrouve pas dans la
maladie
de Duchenne-Aran, l'hérédité joue un grand rôle d
moins, n'avaien^ pas été auparavant convenablement mis en valeur. Le
maladie
présente de grandes ¦analogies avec la paralysie
lume des muscles pourrait conduire à confondre la forme d'Erb avec la
maladie
d'Aran-Duchenne, et de fait, si l'on examine les
musculaire, qui faisaient autrefois partie du cadre trop large de la
maladie
de Duchenne-Aran et que nous pouvons en faire sor
dité, bien que la malade n'ait ni frères ni sœurs atteints de la même
maladie
, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme décri
de plusieurs malades atteints de cette affection. Ici, le début de la
maladie
se fait, suivant la description de Duchenne, par
ressants qu'elle présente et l'a reçue dans le service. Chez elle, la
maladie
a débuté dans la plus tendre enfance, par une imm
— Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale, de la
maladie
de Basedow. Ghorée : Caractères des mouvements
inaire ou des gestes professionnels (ch. saltatoire, malléatoire). La
maladie
est généralement liée à l'hystérie. — Pronostic v
oulu opposer ce tremblement à d'autres tremblements appartenant à des
maladies
bien différentes, bien que plusieurs aient été co
gitante.? Comme celui de la sclérose en plaques, le tremblement de la
maladie
de Parkinson se compose" d'oscillations rhythmées
ments communiqués. Les tremblements de la^clérose en plaques, de la
maladie
de^arkinson sont h. oscillations lentes) quatre à
blement: chez l'une, la nommée La..., âgée actuellement de 73 ans, la
maladie
a débuté à l'âge de 60 ans par l'index de la main
ion. Chez ces femmes, les mains et les doigts tremblent comme dans la
maladie
de Parkinson, individuellement. La tête participe
t mercuriel; 3° Celui de la paralysie générale ; 4° Enfin celui de la
maladie
de Basedow. Et une distinction peut être encore f
tracé est fortement ondulé, tandis que dans le cas contraire, dans la
maladie
de Basedow, par exemple, il est réduit à une lign
entée comme atteinte de chorée vulgaire. Chez cette jeune fille, la
maladie
est en décroissance, et les intervalles de repos
ature ; la seule différence essentielle réside dans la pathogénie, la
maladie
étant en pareil cas liée à des lésions cérébrales
s mouvements sont moins brusques, plus lents, que dans cette dernière
maladie
— on dirait l'agitation des tenta cules d'un po
les qu'on a rarement la chance de trouver réunis, car il s'agit d'une
maladie
, en somme, assez rare. Dans la chorée rythmée,"
on plus ou moins fidèle d'actes voulus, logiques, intentionnels. La
maladie
en question semble le plus souvent liée à l'hysté
ée Deb..., que la chorée dure depuis plus de trente ans. Seulement la
maladie
s'est un peu améliorée, dans ces derniers temps,
e de ces attaques, je veux vous rappeler sommairement l'histoire delà
maladie
. Le début remonte à l'âge de 36 ans. A cette époq
encore plus nettement accusée que chez les deux premières malades. La
maladie
rhythmée ne s'est pas détachée, en quelque sorte,
structive. Elle vous fait assister à la genèse et à l'évolution de la
maladie
dans une famille de nerveux et à'arthritiques, tr
e permettait de réaliser : Véloignement des malades du lieu où leur
maladie
s'était déclarée ; Vabsence du père et de la mè
— car je savais que vous vouliez me faire enfermer, —j'ai cru que ma
maladie
n'était pas sérieuse, et, comme j'avais horreur d
avorable de l'isolement bien entendu, dans le traitement de certaines
maladies
ner veuses non qualifiées comme aliénation ment
s, au mot d'hystérie. La connaissance approfondie non seulement de la
maladie
, mais encore des conditions dans lesquelles elle
e la névrose hystérique, jusque-là un peu négligée. A mesure que la
maladie
a été ainsi mieux étudiée et mieux connue, comme
, sans doute, contribue beaucoup à mettre obstacle à la diffusion des
maladies
relatives à l'hystérie chez l'homme : c'est l'idé
u clinique de cette névrose chez la femme. Chez le mâle, en effet, la
maladie
se présente souvent comme une affection remarquab
ence capitale entre les deux sexes, pour qui ne connaît pas à fond la
maladie
chez la femme, -— ce que l'on croit être le trait
ous l'ai montré par de nombreux exemples, un caractère univoque de la
maladie
hystérique, même chez la femme. Oui, même chez
ont dans l'esprit, de l'hystérie, ils penseront qu'il s'agit là d'une
maladie
spéciale, non encore décrite, et qui mérite une p
que nous reconnaissons chaque jour dans la forme correspondante de la
maladie
chez la femme. Enfin, je compte vous présenter, e
le qu'on leur prête et dont on prétend faire la caractéristique de la
maladie
. Je ne vous parlerai pas des six ou huit grandes
néralité, qu'on se fait en général de l'évolution des symptômes de la
maladie
. J'en viens maintenant à l'étude de nos hystéri
ptiques. Rig..., a eu sept frères et sœurs qui ne présentaient pas de
maladies
nerveuses. Quatre sont morts; parmi les trois res
utrement dit à oscillations rapides de la paralysie générale et de la
maladie
de Basedow. Il ne s'exagère pas sous l'influence
illie par M. Georges Guinon, interne du service. Mais, chez lui, la
maladie
paraît douée, vous allez le voir, de ce caractère
eut une fluxion de poitrine et l'affaiblissement que produisit cette
maladie
ne fut certainement pas sans influence sur le dév
: il occupe la région iliaque gauche. Aujourd'hui encore, bien que la
maladie
ait débuté il y a deux ans, les attaques survienn
habituellement, chez les jeunes garçons, particulièrement lorsque la
maladie
s'est développée chez eux, avant l'âge de la pube
urvenue chez cet homme, à la suite de l'affaiblissement causé par une
maladie
grave, en conséquence d'une grande frayeur, et ch
uet, un quart environ des hystériques femmes n'ont pas d'attaques. La
maladie
, en pareille occurrence, sans rien perdre cependa
rsqu'il s'est présenté à nous, offrait un bel exemple de ce genre. La
maladie
s'est, en quelque sorte, complétée depuis, car ac
gnorez pas qu'elle n'est nullement nécessaire à la constitution de la
maladie
et cette circonstance ne devait pas nous arrêter.
en particulier. En tout cas, on pouvait prévoir que, tôt ou tard, la
maladie
guérirait. Un événement ultérieur devait bientôt
égie qui, en somme, ne constitue qu'un épisode, dans l'histoire de la
maladie
, je me bornerai à relever, en terminant, une fois
même l'hystérie grave, n'est pas, du moins chez nous, en France, une
maladie
rare ; qu'elle peut, par conséquent, se présenter
mots des antécédents de ce malade. Sa mère est morte à 59 ans d'une
maladie
du foie ; elle était fort nerveuse ; P... se souv
date, je le répète, de plus de 10 ans, elle n'a aucun rapport avec la
maladie
actuelle. Cette légère infirmité et son apparen
l'existence d'une lésion grave du plexus brachial, étant donné que la
maladie
dure déjà depuis plus de quatre mois ; et l'on pe
moi-même *, par Weir Mitchell enfin, dans son excellent livre sur les
maladies
nerveuses des femmes 4 ; pour mon compte, je n'ai
ol., etc. II. Auflage. — Erlangen, 1869. 3. Charcot, Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, lre édit.., 4e édit., p
pas d'altératiorTdes réactions électriques, bien que le début de la
maladie
remontât alors à près de 10 mois. L'anesthésie cu
ont, pour mon compte, j'ai été témoin plus d'une fois [Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. I, 3e édit., p. 33G et s.
n, — relève de l'hystérie, et que, par conséquent, il s'agit là d'une
maladie
sine matériel, pouvant guérir, et non d'une malad
l s'agit là d'une maladie sine matériel, pouvant guérir, et non d'une
maladie
organique grave de la jointure entraînant après e
ier cas est cependant suffisamment démontrée : 1° par la marche de la
maladie
, qui se termine par une guérison complète et souv
a, comme vous voudrez l'appeler. Or, toute dynamique qu'elle soit, la
maladie
est parfaitement légitime, parfaitement réelle et
des médecins antérieurement consultés, de la marche singulière de la
maladie
et en particulier des rémissions, suivies de réap
rvenir des monoplégïes, des paraplégies, des hémiplégies simulant des
maladies
organiques, bien qu'elles ne soient autres que de
a pas à disparaître, il deviendra plus facile de lui persuader que sa
maladie
n'est pas incurable, qu'elle peut et doit guérir,
et a abandonné tout traitement; nous l'avons revu six mois après : la
maladie
ne s'était pas sensiblement modifiée. VINGT-CIN
le développement des phénomènes d'hystérie locale, in Leçons sur les
Maladies
du système nerveux, t. I, p. 449. Appendice, et,
ploi du chloroforme2. 1. Charcot, Œuvres complètes : Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, 1er fascicule, p. 123
ivant, exactement comme ils le faisaient avant le développement de la
maladie
, c'est-à-dire dans un style et avec une orthograp
e ; il se rencontre quelquefois parfaitement isolé, seul témoin de la
maladie
, et c'est là justement ce qui se voit chez le mal
ie du Gaz. L'hérédité nerveuse ne semble pas exister chez lui. Pas de
maladies
antérieures dignes d'être notées; toutefois, j'in
iens à notre second malade. Je laisse de côté l'âge de 72 ans, car la
maladie
bulbaire eût pu se développer vingt ans plus tôt,
d'une manière éclatante l'opinion formulée concernant la nature delà
maladie
. Le malade cependant, plus d'un an après l'accide
e paraît pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pas qu'aucune
maladie
nerveuse ait existé dans la famille. Mouil... é
ndre. » Les quatre sœurs sont vivantes; deux sont souffreteuses, sans
maladie
définie. Une de ces dernières a un fils rachifiqu
ce maladive; à 12 ans, il fut cloué au lit pendant 5 à 6 mois par une
maladie
de langueur. Le médecin le traitait pour de l'ané
nerf jouit du triste privilège d'être facilement influencé par cette
maladie
, de sorte que, lorsque dans un cas de mutisme, le
ions des adducteurs et abducteurs, indique l'origine hystérique de la
maladie
, c'est souvent exact, bien qu'on puisse trouver à
des variétés dans les troubles laryngés survenant dans le cours de la
maladie
, sans aucune modification du mutisme. L'aphonie
en des feuillets de son livre de dépenses, antérieur à l'époque de sa
maladie
. On sait de plus d'une façon formelle que, depuis
86) en contiennent la substance. — Voir aussi Charcot: Leçons sur les
maladies
du système nerveux, t. III, p. 154. 2. Une autr
eçon d'ouverture. Sommaire. — Création de la chaire de clinique des
maladies
du système nerveux. — Moyens d'étude : hospice-hô
— Tremblements alcoolique, mercuriel, de la paralysie générale, de la
maladie
de Basedow. (Ihorée : Caractères des mouvements
inaire ou des gestes professionnels (ch. saltatoire, malléatoire). La
maladie
est généralement liée à l'hystérie. — Pronostic v
nt une paralysie faciale, 414. Spécialisation de l'enseignement des
maladies
nerveuses (Légitimité de la —), 7. Spinale (Exe
93, 402. Système nerveux (Organisation de la chaire de clinique des
maladies
du), i. T Tic non douloureux de la face, 47.
lique, 213 ; mercuriel, 413; — de la paralysie générale, 413; — de la
maladie
de Basedow, 413. Zones hystérogènes, .85 ; — ch
le plus grand nombre des cas, le plus efficace pour aider la nature (
maladies
aiguës), ou pour la réveiller (maladies chronique
fficace pour aider la nature (maladies aiguës), ou pour la réveiller (
maladies
chroniques), ce serait une faute grave de se priv
iner, autant que possible, les causes, la nature, les symptômes de la
maladie
, et faire connaître avec détail les procédés mag
ment gratuit. On n'a donc guère que des gens affaiblis par de longues
maladies
, des traitements nombreux et des privations. Quel
ance, ainsi que M. Hébert (de4Gar-nay), la liste de quelques-unes des
maladies
que j’ai traitées et guéries tant à Londres qu’à
x. I. — Relevé de quelques unes des Cures opérées à Londres NOMS.
MALADIES
. Séances. Sommeil. 1. Catherine Brown. — Crises
.2 Pas. Tome XIV. — N> *©4. _ 95 janvier lât>5. 2 2f! NOMS.
MALADIES
. Sfanc ps. Sommeil, l’as. 21. id. 2*2. id.
cas suivants ont exigé un traitement de trois à dix semaines. NOMS.
MALADIES
. 28. Susanne Smylh. —Ver solitaire.............
ne Smylh. —Ver solitaire..............Sommeil. 9. Elisabeth Brown. —
Maladie
fonctionnelle du coeur. ... id. 30. Georges Arn
sommeil n’est pas indis-pensablement nécessaire pour la guérison des
maladies
. En se reportant à la liste ci-dessus, on verra q
s s’étaient repliées sur mon corps. Je fus traitée et guérie de cette
maladie
, mais il m’en resta toujours une grande dispositi
nt salutaire, si on essayait de l’employer au début de cette terrible
maladie
; mais les préjugés contre l’emploi de ce moyen cu
serait-elle en permanence dans ses tissus; aurait-il enfin toutes les
maladies
, le médecin n’a pas besoin de la santé pour exerc
principe nouveau. Le magnétisme guérit, sans remèdes, beau- coup de
maladies
; il soulage les maux que la nature refuse do gué
énétrant, est parfois en état d’annoncer les progrès et l’issue d’une
maladie
et de prédire rigoureusement l’heure de la mort.
y a des crisiaques qui ne sont lucides que sous l’empire de certaines
maladies
; de là l’idée si répandue chez les anciens, que
y a des crisiaques qui ne sont lucides que sous l’empire de certaines
maladies
; de là l’idée si répandue chez les anciens, que
organisme obéira à ces arrêts terribles, et si on leur a prédit telle
maladie
ou même la mort pour une époque déterminée, la ma
a prédit telle maladie ou même la mort pour une époque déterminée, la
maladie
ou la mort viendra à point nommé ; car le devin n
n aventure à mon épouse, qui, depuis bien des années, souffrait d’une
maladie
que l’on ne pouvait combattre et la tenait dans u
mes à Paris. La réponse ne se fit pas attendre, et les détails sur sa
maladie
étaient si frappants que ma femme, craignant une
rs maladif, qui serait peut-être bien aise de connaître le fond de sa
maladie
. On m’invita à faire venir de ses cheveux , que j
tée à, Paris av ec sa fdle âgée de quatorze ans. Elle n’avait d’autre
maladie
qu’un commencement de grossesse à l’âge de quaran
air de s’amincir que de s’arrondir, elle craignait une autre cause de
maladie
. Elle m’envoyait donc, dans une lettre, une mèche
au contraire les instants qui nous sont laissés à des traitements de
maladies
dites incurables, et rendons à la santé ceux que
incurable ! Paralysée des membres inférieurs, à la suite d’une longue
maladie
, je pourrais dire d’une longue agonie, cette pers
était sans espoir, la mort était prochaine ; en effet, quinze mois de
maladie
, six mois d’un délire continuel accompagné de vom
Je vous ai dit : «Dans sept jours vous marcherez comme avant votre
maladie
. » Et, doutant de ines paroles, vous souriiez d
mmander le 6ilence. Laissez l’incrédulité avoir sou cours, c’est la
maladie
de l’ignorance. N’ai-je pas vu moi-même rejeter l
Et vous, M"10 Piat, puisque vous voulez qu’on vous nomme (1), votre
maladie
était incurable ; vous le deviniez, on l’avait di
ous donc en vous qui pût motiver un semblable jugement? Hélas ! votre
maladie
était visible ; vous ne pouviez la cacher : une t
bes séreuses sont venues vous débarrasser heureusement d’une affreuse
maladie
. (1) Mnl° Piat est la femme de l’ancien notaire
oduire? « Mon frère aîné, dans ses travaux sur la goutte et sur les
maladies
goutteuses, a donné la solution de cet important
jeté de vives lumières sur 1 apoplexie, la goutte, la folie et les
maladies
de la poitrine. A son aide on arrivera, je n’en d
ujours comme cause au développement et à la durée de cette redoutable
maladie
. « Très-souvent l’accès épileptique commence pa
est celle de la peau ; aussi Tissot dit-il, dans son traité sur cette
maladie
: « Ce sentiment de « froid aux extrémités est as
diminution d’action de la peau ; enfin Tissot a reconnu que, dans les
maladies
nerveuses et surtout dans l’épilepsie, les extrém
on soupçonnerait les viscères qu’elles recouvrent d’être causes de la
maladie
. Ces aiguilles n’agiraient qu’en soutirant l’élec
euse. » Le dégagement par les extrémités, dans le traitement de ces
maladies
, est, comme on le voit, le même que celui de l’ac
drement aimée, qu’elle avait soignée affectueusement dans sa dernière
maladie
, et qui était morte un mois auparavant d’une cong
Mais lui-mème commençait à peine à sortir d’une longue et douloureuse
maladie
qui avait épuisé ses forces, et il en était rédui
connaître avec détail, soit la nature, les causes, les symptômes des
maladies
, et surtout bien faire connaître les procédés mag
plus souverain bien, tout doit être employé pour éloigner de nous la
maladie
lorsqu’elle s’introduit en nous. 11 faut la chass
victimes, celui qui laisse agir la nature et qui n’étrangle point ta
maladie
par des saignées coup sur coup (j’emploie le term
gnétiseur ! Citons un autre exemple. Voici un homme affecté d’une
maladie
nerveuse ; il est fou ou comme fou. Son état est
nombre, on choisit les plus illustres, on suit leurs ordonnances. La
maladie
empire; les crises, qui n’arrivaient que de temps
s en quête d’un médecin sauveur, elle‘a trouvé des médicaments, et sa
maladie
a toujours augmenté. Je fais pénétrer le feu magn
st un résultat forcé de l’application du magnétisme au traitement des
maladies
, et c’est pour qu’il en soit ainsi que l’on m’ent
se que les symptômes nerveux ordinaires qui s’observent dans d’autres
maladies
nerveuses, tout est croyable ; mais, dès qu’ils s
erveux ; et l'affection survint dans le cours d’une longue et pénible
maladie
durant laquelle toutes les formes de l’hystérie,
Elle lui avait été très-at-tachée et l’avait soigné dans sa dernière
maladie
. Elle parlait constamment de lui, retraçait toute
parlait constamment de lui, retraçait toutes les circonstances de sa
maladie
, et ne percevait rien de ce qui lui était dit san
istances, il indique « des remèdes propres à soulager ou à guérir les
maladies
; « il paraît même savoir des choses qu’il ne s
a soulager, et les avis même ne purent s’accorder sur la nature de la
maladie
. A la fin, une personne de l’endroit qui avait as
de guérir : Traitement homéopathique et hydrothérapiqne ; dans les
maladies
de nature inflammatoire et toutes celles dont le
e nerveux. Lucidité somnambulique ; pour reconnaître le siège de la
maladie
et choisir les médicaments. Cette opinion, que
s paralysait complètement le traitement que j’avais entrepris pour la
maladie
de poitrine, laquelle, ayant eu pour cause premiè
t répondant aux questions que lui adressait le docteur; parlant de sa
maladie
, précisant les époques des crises à venir, indiqu
un immense avantage de la clairvoyance dans le traitement spécial des
maladies
mentales. De nombreuses guérisons ont été déjà ob
expliquer la cause; bien plus, alors que le malade ne croit pas à sa
maladie
et se considère comme parfaitement sain de corps
rurantur, et qu’elle déclara le seul moyen de guérison applicable. La
maladie
étant de nature mélancolique et ayant pour cause
empérament, quelquefois insensible par abrutissement ou inanimé parla
maladie
même, qu’on nous dise où est l’action psychologiq
é de l’expérience ; et le rideau dont s’enveloppe le traitement d’une
maladie
, par une déduction logique analogue, frappe virtu
répéter. Mais cette circonstance, en augmentant les difficultés de la
maladie
à combattre, ne me semble pas un argument heureus
e dénote tout au plus une analogie. En effet, dans un grand nombre de
maladies
pour la guérison desquelles l’électricité se trou
dit-il, sont d’autant plus lucides qu’ils sont plus souffrants de la
maladie
organique à laquelle est due leur lucidité. Si el
gnétiseurs. Quant à la lucidité proportionnelle à l’intensité de la
maladie
, et qui est une proposition passée généralement à
t prise de vertiges et tomba dans l’eau; cet accident fut suivi d’une
maladie
de trois mois et d’une aménorrhée de six mois env
vel accès. Magnétisme suivi de lucidité. « Où est le siège de votre
maladie
? — J’ai dans la tête un ver qui va du milieu d
essieurs sont réunis et discutent le magnétisme; que l’histoire de sa
maladie
et de son opération est la principale matière de
mère. » Quand la mère fut sortie, elle reprit en allemand : « Ma
maladie
prend une mauvaise tournure; je sèche. Les maux d
serai toujours plus faible. — Combien de jours durera encore votre
maladie
après les six jours?» La malade répond d’un ton
— Et après? — Je ne vois plus rien. — Quelle sera la marche de la
maladie
? — Je deviendrai toujours plus faible jusqu’au
us avez dit que vos règles viendront le 12 février? — Oui, si cette
maladie
n’était pas survenue. — Quelle maladie avez-vou
2 février? — Oui, si cette maladie n’était pas survenue. — Quelle
maladie
avez-vous? — Une inflammation de la substance c
de l’état du cerveau, que le magnétisme calme la céphalalgie , que la
maladie
augmentera encore pendant deux jours, qu’elle ne
int à la médecine et abandonne, par conscience, le soin de guérir les
maladies
à l’agent inconnu caché sous l’enveloppe humaine;
rent l’usage de leurs membres depuis longtemps frappés d’inertie; des
maladies
de toute espèce se dissipent comme par enchanteme
ier soutient que le fait par M"* Mongruel de définir les causes de la
maladie
, de décrire les symptômes morbides des consultant
n’a pour ainsi dire point de limites, puisqu’elle embrasse toutes les
maladies
de l’humanité. Mais si je n’ai point d’autre méri
teté de principes. J’ai dit que cette matière comprenait toutes les
maladies
; et, en effet, le principe que je pose est que t
donner une valeur positive et pratique. Ainsi je dis d'abord que la
maladie
doit être prise à temps, c’est-à-dire avant qu’il
omnambulique comme moyen médiat. Ces conditions satisfaites, aucune
maladie
, suivant moi, ne résistera à la puissance curativ
smer, ne l’oublions pas, a dit que le magnétisme prévenait toutes les
maladies
; et, peut-être, pour me conformer à cet aphorism
ait voulu dire que le magnétisme empêchait qu’on ne contractât aucune
maladie
? S’imagine-t-on qu’il ait cul’intention de prescr
ler une indisposition ; or, qu’est-ce qu’une indisposition, sinon une
maladie
qui commence? Donc, en détruisant l’indisposition
i commence? Donc, en détruisant l’indisposition, vous préservez de la
maladie
, vous la guérissez avant qu’elle ne soit devenue
en avez détruit le germe, vous avez en même temps prévenu et guéri la
maladie
en la prenant à temps ; c’est ce que je voulais v
camps bien distincts : la secte des orga-nicistes, qui n’admet pas de
maladie
sans lésion matérielle, et la secte des vitaliste
sion matérielle, et la secte des vitalistes, qui pense que toutes les
maladies
tiennent aux aberrations de la force vitale. En
s, les affections virulentes, et celles par cause chimique toutes les
maladies
commencent par une lésion de fonction ou de facul
erdy se trouve sur ce point d’accord avec nous ; il professe que, les
maladies
que nous venons de citer exceptées, toutes les au
aits journaliers justifient ces principes. Qui ne sait que toutes les
maladies
naissent avec le même cortège de symptômes, et qu
sidère tel ou tel symptôme. On conçoit, dès lors, que si le début des
maladies
est pareil, le traitement doit l'être aussi; c’es
, quel est l’agent thérapeutique applicable généralement à toutes les
maladies
, si ce n’est le magnétisme? Ne remplit-il pas cet
l est éminemment polychreste, le magnétisme n’est spécifique d’aucune
maladie
, il s’applique à toutes. Et n’est-ce pas, je vo
dée? ;i savoir que : le magnétisme appliqué à temps guérit toutes les
maladies
. Ce point capital prouvé, je ne m’étendrai pas su
pour la médecine et obtenues depuis si longtemps dans la guérison des
maladies
par le concours du somnambulisme lucide, je ne vo
Fu-gère, magnétiseur, se faisait fort de guérir, par son système, les
maladies
les plus invétérées et les plus rebelles. C’était
uxquels on faisait dire ensuite les moyens propres ii la guérison des
maladies
. Je le pris pour un charlatan et un faiseur de
e plaie très-grave au côté ; enfin elle me détailla minutieusement ma
maladie
, et m’indiqua le traitement qu’elle lui croyait a
e ans de cela, je n’ai plus rien ressenti de cette longue et affreuse
maladie
. J’avais oublié de vous dire qu’avant de recour
ien de très-merveilleux. Je lui envoyai le détail circonstancié de ma
maladie
en lui demandant s’il voulait en entreprendre la
de la poitrine, un cas de ver solitaire, une arthrite chronique, des
maladies
ressortissant de l’art vétérinaire guéris encore.
s conseils des somnambules qu’il a dirigés. Quelle immense variété de
maladies
; quel chiffre énorme de cures de toute nature ne
pas môme formuler ne vous présenteraient pas la réunion de toutes les
maladies
de l’espèce humaine sous quelque forme variée qu’
jugerez maintenant, et si le principe de la curabilité de toutes les
maladies
par le magnétisme, que je me suis efforcé de déve
soins ont été donnés à une série de malades dont l’âge et le genre de
maladie
nous faisaient prévoir un rude travail. Ces indiv
un journal. Je vous ferai savoir pour le moment qu’entre toutes les
maladies
qui sont en cours de traitement, les rhumatismes,
cation du Somnambulisme magnétique au diagnostic et au traitement des
maladies
; sa nature, ses différences avec le sommeil et le
nt appris que M. du Potet avait eu beaucop de succès dans ce genre de
maladie
, je lui demandai conseil sur le mode opératoire.
alement cet enfant. 11 n’est pas besoin de faire observer que cette
maladie
n’est susceptible de guérison par le magnétisme,
n passage qui vient à l’appui de cette manière de procéder dans cette
maladie
. Comme Ribault, valet de chambre de de Puységur
a besoin de dormir. Tous les autres sont des signes ou des effets de
maladies
que les médecins observent depuis trente siècles,
s, sur la formation des astres, la création des animaux, la santé, la
maladie
? Il faudrait recommencer ici les réfutations entr
sait le diriger, un moyen thérapeutique propre à combattre certaines
maladies
? 7° Inconsidérément ou trop longtemps employé,
est-il susceptible d’amener lui-mêine le développement de quelques
maladies
? C’est dire que l’élude du magnétisme doit Cire c
ment des fonctions cérébrales et pour la théorie d’un grand nombre de
maladies
du cerveau. En un mot, les personnes les moins fa
r régent de la Faculté de médecine de Paris, l’indication de quelques
maladies
contre lesquelles le magnétisme fait merveille :
aleur supérieure au sien ; et puisqu’il aime la citation de listes de
maladies
guéries par le magnétisme, nous lui offrirons pré
nd nombre d’observations dans lesquelles il y avait eu aggravation do
maladie
et surtout beaucoup de cas d’aliénation mentale d
ue l’on guérit avec le fluide magnétique comme Pyrrhus guérissait les
maladies
de la rate par des frictions opérées avec l’ortei
rit sur le magnétisme, ont parlé de son application au traitement des
maladies
; et, bien que le sujet soit loin d’être épuisé, n
rs attachent d’importance aux procédés, — soit pour le traitement des
maladies
, soit pour l’obtention du somnambulisme ou de tou
si à ceux môme qui regardent le magnétisme appliqué à la guérison des
maladies
comme un art, nous demandons de reconnaître que l
t avoir réellement alors des facultés curatives contre cette affreuse
maladie
. Nous avons eu connaissance de pratiques secrèt
les moyens usités en pareil cas pour arriver à la connaissance de la
maladie
. Je vais décrire cette observation sans comment
point de vue le rôle important que peut jouer le magnétisme dans les
maladies
de cette nature, ainsi que dans un grand nombre d
rveux, très-impressionnable, a été sujette, depuis son mariage, à des
maladies
diverses pour lesquelles elle avait été déjà magn
mmeil, je l’engageai de bien s’assurer de la véritable cause de cette
maladie
, afin que je fusse suffisamment éclairé par le di
êtres catholiques d’objets destinés aux malades — lorsqu’il s’agit de
maladies
. Il nous semble hors de doute, à la suite d’obs
ieuse de Chartres, très-dévot lui-même, était en proie à l’une de ces
maladies
rebelles à tous les secours de l’art. Depuis deux
de la phthisie pulmonaire avancée, d’une gastrite chronique et d’une
maladie
du cœur. Tous les organes paraissaient attaqués à
donner une sorte d’espoir, puis à la reprise prompte et fatale de la
maladie
. Le mal, au contraire, continua d’empirer lente
, — soit par la parole, et son application spéciale à la guérison des
maladies
. Les tribunaux civils n’ont pointqualité pour d
rescrivent lé traitement à suivre en pareil cas; mais généralement la
maladie
résiste opiniàtré-ment à tous les moyens thérapeu
uges que l’application de la lucidité somnambulique au traitement des
maladies
. La plupart la résolvent dans le sens de la fraud
e déclarer le plus grand des fléaux, de même qu’un malade proclame sa
maladie
actuelle la plus terrible de toutes les maladies.
un malade proclame sa maladie actuelle la plus terrible de toutes les
maladies
. N’importe ; cet ouragan doit être bien et dûment
ligieuses chez lesquelles la claustration suffisait pour produire une
maladie
hystérique, des extases, des hallucinations et le
t-elle entachée du vice congénital; du reste, on ne peut rattacher la
maladie
actuelle à aucune affection nouvellement ressenti
é. Du reste, jamais on n’a observé sur lui, dans le cours de diverses
maladies
, aucun phénomène cérébral ni ni aucun accident co
ladies, aucun phénomène cérébral ni ni aucun accident convulsif. La
maladie
actuelle s’est déclarée pour la première fois le
dérouler sous mes yeux le tableau des accidents qui caractérisent la
maladie
dont tous les symptômes furent exclusivement born
ns l’eau. Après une amélioration passagère, il revient à Paris, et la
maladie
reprend une nouvelle intensité. « La catalepsie
hystérique s’ajoute la catalepsie). «Dans une troisième phase de la
maladie
, qui en marque l’intensité plus grande, 011 voit
sme. « .le ne restai pas inactif pendant les premiers mois de cette
maladie
; elle fut combattue, comme elle devait l’être, p
édecine savante en sera réduite à faire de belles dissertationssurles
maladies
; nous, au contraire , sans écrire et sans faire a
ulisme et le parti qu’on petit en tirer pour apprécier et traiter les
maladies
. C’est certainement une des plus utiles découvert
urs centaines de lieues, lira votre pensée, appréciera exactement vos
maladies
, et le lendemain il commettra les bévues les plus
inappréciables; elle peut non seulement contribuer à la guérison des
maladies
, mais encore trouver des sources, aider utilement
nd succès de la lucidité d’une excellente somnambule pour traiter les
maladies
; il rend compte des cures qu’il a obtenues par s
’en haut qui lui permette de voir, d’analyser, pendant le cours de sa
maladie
, le jeu de ces organes qui, sous son scalpel impu
magnétisme et dans des cas où la médecine est impuissante. Parmi les
maladies
dont la guérison a eu lieu, nous distinguons les
l’ail, chlorose, aménorrhée, lèpre, paralysie, hydropisie, l’affreuse
maladie
de peau appelée lupus, etc. Forcé, par le manqu
ppait de son corps une émanation balsamique « et salutaire. Plusieurs
maladies
ne cédaient qu’à des atei touchements réitérés ;
étisme animal ont souvent des résultats incontestables dans certaines
maladies
, et il sera très-utile d’en étudier 1’elïet parto
ifs, et tout ce qui se rattache à son application aux traitements des
maladies
, nous enregistrons ce qui se produit maintenant e
d’entreprise (1). La jambe gauche se gonfle quelquefois. — Une telle
maladie
, arrivée à ce degré de durée et de désordres, ne
d’une malheureuse enfant se tordant sous les étreintes d’une cruelle
maladie
, en lui faisant part de mes observations et de l
art de mes observations et de leurs résultats. Pendant huit mois de
maladie
, et principalement dans les derniers temps, cette
Sevaistre, deux fois veuf, est père de trois enfants en bas âge) ; la
maladie
alors, pour ainsi dire abandonnée à elle-même et
uquel je m’incline, n’a trouvé dans les faits rien autre chose qu’une
maladie
qu’il appartenait au médecin de chercher à guérir
u’il y a des hommes dotés par la nature de la puissance de guérir des
maladies
par une émanation que la force de leur imaginatio
des frictions réitérées qu’elles descendaient par les extrémités. Les
maladies
que Greatrakes a traitées sont en très-grand nomb
ons depuis quinze ans quand le bruit sc répandit qu’il guérissait des
maladies
par la simple imposition des mains. Il avait môme
es moyens de guérison que l’art n’avait point trouvés. Selon lui, les
maladies
pouvaient être rangées sous trois espèces : les m
lon lui, les maladies pouvaient être rangées sous trois espèces : les
maladies
naturelles, dont la médecine donne le remède ; le
ces : les maladies naturelles, dont la médecine donne le remède ; les
maladies
diaboliques, qui ne pouvaient être guéries que pa
ne pouvaient être guéries que par un exorcisme fait avec loi, et les
maladies
par ârconcemon, où l'invasion diabolique est comp
é à croire qu’il faut considérer comme de nature diabolique certaines
maladies
guéries par Gassner au moyen de l’exorcisme. Ce d
crivait avec tant de hardiesse, Driesken Nypers guérit réellement des
maladies
, soulage instantanément des douleurs, pourquoi se
e la manière la plus claire et la plus méthodique, les caractères des
maladies
, les effets qui se sont manifestés pendant le tra
ndément pénétré de l’utilité du magnétisme appliqué au traitement des
maladies
, et particulièrement des maladies nerveuses, a vo
gnétisme appliqué au traitement des maladies, et particulièrement des
maladies
nerveuses, a voulu organiser d’une manière réguli
nt autre chose que le mesmérisme, principalement pour la guérison des
maladies
. Il en cite quelques exemples qui méritent d’être
ments, faire descendre la lune sur la terre, frapper leurs ennemis de
maladies
de toute espèce, leur inspirer des passions indom
amps aient été ravagés par la grêle, qu’un fermier soit atteint d’une
maladie
que les médecins ne peuvent guérir.....ce doit êt
lle peut offrir quelque intérêt pour celui qui se livre à l’étude des
maladies
morales, mais au point de vue du magnétisme ou de
Ainsi qu’un paysan dépérisse : mille causes diverses ont pu amener sa
maladie
sans qu’on soit obligé, pour l’expliquer, de reco
-maréchal prince Paskiéwitch ne laisse plus aucun espoir. La terrible
maladie
(un cancer de l’estomac) contre laquelle luttent
l’emploi des forces morales et sur leur application au traitement des
maladies
de l’âme et du corps ; nous n’avons que des éloge
r le jury magnétique, 255 à 273. Infirmnerie magnétique de Londres.
Maladies
traitées dans cet établissement, 29, 533. — Rappo
OGRAPHIE. Application du somnambulisme magnétique au diagnostic des
maladies
; par le Dr I.ouis de Séré. — Extraits et appréci
urces. Renseignements par M. Wilkinson, 489. Curabilité (de la) des
maladies
par le magnétisme. Thèse par M. Sal lard, 281.
. Sal lard, 281. Epilepsie. Considérations physiologiques sur cette
maladie
, 73. Esprits. Forme physique des esprits qui vi
De l’application du somnambulisme au dia gnostic et au traitement des
maladies
, par M. le Dr de Séré ; avec réflexions, par M. A
TAIRE ILLUSTRÉE 914 9 8 PSTCHOLOG1E — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE
MALADIES
MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en chef : Docte
sifs ou mal élevés. II appartenait au professeur de la clinique des
maladies
nerveuses de la Faculté de Médecine de maintenir
surexcitation. Antécédents personnels.— A l'âge de treize mois, une
maladie
qui fut diagnostiquée : fausse méningite. A 8 ans
ut remédier. Le plus souvent, nous avons affaire dans ces cas à des
maladies
du système nerveux, la neurasthénie, l'hystérie,
ppliquer aussitôt que possible le véritable traitement spécifique des
maladies
nerveuses, le traitement hypnotique. Nous arrivon
e. De plus, toujours, nous verrons que ces sujets sont atteints d'une
maladie
de la volonté : ce sont des abouliques au premier
ntre les deux organes. Mais on a observé de plus que dans certaines
maladies
du corps thyroïde on constate la perte de l'appét
état psychique. Dans ces cas, c'est évidemment au traitement de la
maladie
générale qu'il faut nous adresser. En guérissant
ment curable. C'est que trop souvent on ne la considère pas comme une
maladie
et l'on n'en recherche même pas la cause. La fe
is aussi parce que cet état devient lui-même la cause d'une véritable
maladie
psychique. En effet, la femme stérile sent qu'ell
isme hystérique. (1) Présentation de malade faite à la Clinique des
maladies
du système nerveux à la Salpêtrière ; Spencer
choses. Il existe aussi des charlatans qui vous disent : « Pour telle
maladie
, il faut employer tel remède magique ». Tout cela
les tombent-ils sur quelqu'un, ils provoquent chez cette personne une
maladie
si grave que son corps en est tout brisé. La Pe
directeur une .salle vide. Qui siffleraitdans sa loge attirerait une
maladie
à son voisin. Enfin, une superstition très répa
itement et la nécessité de le compléter en exposant aux malades leurs
maladies
, en visant à la rééducation de leurs fonctions vi
aire une idée juste de l'état de leurs organes. Le diagnostic de la
maladie
posé, j'étudie le moral du malade et le milieu da
tionnels et que la lésion organique réclame un traitement spécial. La
maladie
est-elle incurable, je fais ce que je puis pour s
rt au malade, ni lui enlever l'espoir de la guérison. Si je juge la
maladie
guérissable, mais qu'elle demandera beaucoup de t
commence notre entretien par lui résumer les traits principaux de sa
maladie
, que j'analyse avec lui, s'il est du moins dans u
hérapie dans un cas donné ne remplit pas toutes les indications de la
maladie
, je fais appel aux autres formes de la thérapeuti
cin doublé d'un psychologue, il est apte à étudier et le malade et la
maladie
. Il sait choisir le meilleur-procédé et est capab
t * saines, les rêves offrent souvent des formes spéciales suivant la
maladie
dont elles sont atteintes. Les gastrites, pour co
un bon pronostic, quand elles surviennent pendant la convalescence de
maladies
aigufis, comme la fièvre typhoïde, mais qu'elles
signification moins heureuse lorsqu'elles surviennent au début de la
maladie
; dans le premier cas, en effet, elles traduisent
t à l'excitation morbide des organes digestifs sous l'influence de la
maladie
. De même que les dyspepsies, la grossesse s'accom
la comprend et la pratique, est « une branche de l'art de guérir les
maladies
, destinée à révolutionner « dans l'avenir toute l
e grotesques, ils furent reconnus pour des représentations exactes de
maladies
par Charcot et Richer dans leur beau livre : Les
ce jour, plus de deux cents sont des représentations très exactes de
maladies
. Un plus grand nombre encore sont interprélées au
le cachet, le sceau imprimé sur le sujet, mais ce n'est pas toute la
maladie
. Il n'est même pas nécessaire pour que la maladie
n'est pas toute la maladie. Il n'est même pas nécessaire pour que la
maladie
soit. De ces accidents, quelle est la genèse? I
aire naître que l'accident; elle n'est pas capable de faire naitre la
maladie
, elle crée l'accident chez un individu déjà hysté
n hystérie subisse une certaine préparation et que le potentiel de la
maladie
, pour me servir d'une image, soit accru. Ce qui
r au dehors. II — Genèse des accidents hystériques. 1° Lorsque la
maladie
sous-jacente subit une certaine culture et que so
de l'œsophage. C'était (1) Présentation de malade à la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpêtrière. la prés
cherché à réglementer et régulariser leurs fonctions génésiques. La
maladie
de cette femme a succédé à la peur d'étouffer en
nc de certains arbres, croyant ainsi se débarrasser de telle ou telle
maladie
, en la communiquant à l'arbre », exactement comme
euplades sauvages du centre africain. Elles consistent à combattre la
maladie
en exécutant autour de l'arbre-médecine des danse
rairie universelle, Paris. Prix 3 fr. 50. Dr DcFOun-Séméiologie des
maladies
du système nerveux. 534 pages, in-12. O. Doin, Pa
rtants, combien échapperaient à cette répartition ! C'est qu'entre la
maladie
et la santé il y a une infinité de degrés, — tout
ncomplets, intermédiaires... » Ce sont, précisément, les degrés de la
maladie
ou de l'anormalité qui conditionnent les degrés d
le mieux qu'il peut, les degrés de la tare, de l'anormalité ou de la
maladie
, c'est-à-dire ce par quoi l'on apprécie les attén
d'une esquinancie telle que la décrivait les anciens ; pour eux celte
maladie
amenait l'asphyxie par gonflement des voies respi
te représentant un dégénéré obèse. Grecs ont souvent représenté les
maladies
, nous ne nions pas pour cela qu'ils en aient auss
Professeur adjoint à l'Université de Bordeaux, chargé du cours des
maladies
mentales. Les enfants mentalement anormaux ou a
tout en étant également éducables, ont besoin, en raison de certaines
maladies
ou infirmités, du régime et des soins hospitalier
direction psychiatrique confiée au Dr de Sanctis, chargé du cours des
maladies
mentales à l'Université. Dans nombre de grandes
(de Saratof, Russie) : De l'application hypnotique au traitement des
maladies
organiques. Epilepsie ou hystérie ? — L'hypnoti
20 ans, intelligente, se présente avec le diagnostic d'épilepsie. La
maladie
dure depuis quatre ans. Les phénomènes sont : per
s. Ces derniers furent des suicides. Le suicide est pratiqué quand la
maladie
et les douleurs de viennent intolérables, et il n
nt à une pensée pieuse, le Dr Jean Charcot a offert à la clinique des
maladies
nerveuses de la Faculté l'importante collection q
n connaît l'achondroplasie, on retrouve plusieurs caractères de cette
maladie
. Nam-Hotep a un corps vigoureux, des bras petit
. droplase. Le fait est piquant si on songe que l'hérédité de cette
maladie
est encore mise en doute par certains auteurs.
s qu'il faut en faire remonter l'origine. En effet, dans toutes les
maladies
de l'enfance, parallèlement à la ¦symptomatologie
préoccupe fort légitimement de sauvegarder d'abord l'existence. Si la
maladie
ne met pas la vie de l'enfant en danger, il insti
ire, convaincu que les mauvaises dispositions de l'esprit, nées de la
maladie
, disparaîtront avec lescauses qui leur ont -donne
onne naissance. Malheureusement, c'est le contraire qui arrive. Une
maladie
, surtout si elle se prolonge quelque peu, laisse
ment la personnalité psychologique. C'est surtout dans le cours des
maladies
capables d'inspirer quelque inquiétude à la famil
sin). Le sujet de son enseignement porte d'une façon générale sur les
maladies
mentales et nerveuses, mais une partie importante
ale de New-York. Le pouvoir de la suggestion dans le traitement des
maladies
ne fait plus de doute pour les médecins, les phil
5. De l'application de la suggestion hypnotique au traitement des
maladies
oragnlques : Guérison d'une incontinence des mati
ratiquer l'auto-suggestion méthodique vers l'âge de 30 ans (1885). La
maladie
qui me forçait alors à rester couché toute la jou
sfait, entraine des désordres cérébraux qui constituent une véritable
maladie
de l'individu. C'est l'amour cérébral ou amour
prendront à soigner leur santé... ce qui vaut mieux que soigner leurs
maladies
. (1) Paris, \I\lo's :., idlteur, 1907. Les Sain
jeudi 9 janvier 1908, à 10 heures, ses conférences cliniques sur les
maladies
mentales et nerveuses spécialement chez les enfan
l cérébral facile car la déperdition d'éléments occasionnée par cette
maladie
opère le même résultat que le jeûne chez l'homme
able. Le médecin apporte sa science spéciale qui est de connaître des
maladies
; il la communique au juge, qui accomplit cet act
peine ou accorder des circonstances atténuantes eu égard à l'état de
maladie
du sujet. En cas d'irresponsabilité, nous risquon
D'ailleurs, les Hébreux, qui étaient très croyants, considéraient la
maladie
comme une manifestation de la justice divine. Il
nature des désordres de l'entendement, mais sur les caractères que la
maladie
imprime aux actions. D'après le Talmud, qui est
ne autre manie, fréquente en ce temps-là, c'était la démonopathie. La
maladie
était très souvent occasionnée par un démon, cont
éraient aussi comme les instruments de la colère divine ; pour eux la
maladie
n'était qu'un châtiment divin ; et la foule, qui
s que dans les mauvais. L'onychophagie serait-elle due à une simple
maladie
de la volonté ? Si vous jugez que la question p
on s'en rapporte au texte d'Hérodote, Cambyse avait été affecté de la
maladie
que quelques-uns appellent le mal sacré. Il n'est
tte « force silencieuse », a Stille kracht » comme on l'a appelée. La
maladie
des indigènes « latah » témoigne d'une suggestïbi
au l'incendie, apporte de la peine, expose les habitants à toutes les
maladies
. On commencera à bâtir le vendredi, mais un bon
tent des « djimats » ou amulettes, préservatifs et remèdes contre les
maladies
, pour domptîr les chevaux, pour faire peur aux cr
elet que les enfants portent, pour être préservés de toutes sortes de
maladies
ou de con-¦ vulsions ; le cordon est censé posséd
inture par tes femmes enceintes. Elle est également portée contre les
maladies
et les convulsions. Ce djimat ressemble aux pil
uge est considéré à Java (comme aussi en Hollande), comme un signe de
maladie
lorsque les grains sont pâles, et de bonne santé
e, une pierre arabe de couleur brune, sertie dans une bague, tient la
maladie
à distance. La première dent qu'un cheval a perdu
ont plutôt utiles, si elles peuvent suggérer la guérison de certaines
maladies
. D'ailleurs, nous avons beau nous plaindre de l
soin, s'il a commis le crime dans un de ces moments-là, auquel cas la
maladie
ne peut être invoquée comme excuse (2) ; nous ver
tte de l'aliénation mentale. Ils la considéraient comme une véritable
maladie
, et ils en avaient parfaitement observé certains
a podagre, au mal comitial, ne peuvent pas, même dans les jours où la
maladie
est absente, être regardés comme sains. »(*) Ce q
est utile de procéder au môme examen chez les personnes atteintes de
maladies
nerveuses ou mentales. Le médecin, je le répète
individu qu'on soumet à son examenestmalade, dans quelle mesure cette
maladie
a pu influer sur l'acte qu'on lui reproche, en so
'analyse des courbes de fatigue comme procédés de diagnostic dans les
maladies
nerveuses ; Les substances algogènes ; Un cas de
nnaire médical d'un nouveau mot et de doter l'humanité d'une nouvelle
maladie
: la « sinistrese » ; que le professeur Brissaud
rvé par nous, il y a deux jours, concerne une jeune fille atteinte de
maladie
de Basedow. Il y a lieu de soupçonner chez elle l
-, 600 p. — Alcan, Paris, 10 francs. D' Grasset : Thérapeutique des
maladies
du système nerveux. — In-12 relié, 600 p. — Doi
de l'Ecole de psychologie. Maloine, Paris 1908, 4 francs. D* Oddo :
Maladies
de la moelle et du bulbe. — In-12, 37ô p. — Doin,
é de cette belle carrière consacrée à l'étude et à l'enseignement des
maladies
mentales, lui ont offert une plaquette, œuvre du
te a été troublée par la fâcheuse nouvelle survenue inopinément de la
maladie
grave du docteur Mierzejewski, de Saint-Pétersbou
ès grande exagération ; il est certain toutefois qu'à la clinique des
maladies
nerveuses, on observe actuellement bien moins de
ue appliquer à l'hystérie, envisagée dans son ensemble et en tant que
maladie
psychique, une comparaison faite par M. Richer, d
d'un phénomène moral » (P. Janet). L'hystérie devient un ensemble de
maladie
par représentation. Ce fut là un véritable prog
stérie est une maladie mentale appartenant au groupe considérable des
maladies
par faiblesse, par épuisement cérébral ; elle n'a
caractère psychologique de chaque symptôme et surtout comparer cette
maladie
avec les autres maladies mentales connues ; et de
de chaque symptôme et surtout comparer cette maladie avec les autres
maladies
mentales connues ; et des arguments qu'il présent
re les limites très nettes qui séparent l'hystérie non compliquée des
maladies
mentale, tout au moins si Ton conserve au mot men
s à considérer comme une maladie mentale ; ne méritent ce nom que les
maladies
du psychisme supérieur, or l'hystérie est le plus
aladies du psychisme supérieur, or l'hystérie est le plus souvent une
maladie
du psychisme inférieur, polygonal, et des communi
n du centre psychique supérieur et c'est alors une complication de la
maladie
. La conception de M. Grasset est certes très sédu
onséquence. Charcot a dit très justement que l'hystérie est moins une
maladie
au sens vrai du mot qu'une façon spéciale de réag
lation lesquels, chez l'un d'eux, se rattachent à une forme fruste de
maladie
de Basedow. Cette dernière circonstance peut être
ets sous l'influence d'une frayeur subite, d'un, chagrin, d'une grave
maladie
, etc. Donatus est peut-être le premier qui parle
tre dont les cheveux blancs sont tous tombés six mois après une grave
maladie
et repoussèrent complètement noirs. Ces exemple
nre de o blanchiment de la peau ». Nous avons en vue le o .vitiligo »
maladie
très connue et bien inoffensive, qui se manifeste
n, à laquelle vint bientôt s'ajouter la crainte de contracter la même
maladie
. Cette crainte ne le quitta pas tout le long de s
er cette expérience, parce que, chez les hommes à peau blanche, cette
maladie
est peu apparente, est considérée comme très anod
ait pas rester dans sa patrie où il était menacé d'exil pour cause de
maladie
considérée par les indigènes comme c déshonorante
u front, près des cheveux, alors que le malade était encore jeune, La
maladie
progressait lentement et put rester très longtemp
s M. Boukéikbanov de Omsk, on connaitdans la steppe des Kirguises une
maladie
de peau du même genre. Elle n'amène pas un isolem
a figure était couverte des taches de alû>piès$. Il a contracté la
maladie
il y a plusieurs années déjà. Au début 11 inspira
ers. Quand il est seul (t) Présentation de malade à la clinique des
maladies
du système nerveux de la Salpétrière. ou en p
ulte que la folie n'était pas considérée, chez les Hébreux, comme une
maladie
, mais comme l'état de l'homme possédé par une div
iologique » — « L'hystérien'est pas une entité morbide, n'est pas une
maladie
... n'est pas Une névrose primitive... C'est un ré
en de spécial et les symptômes psychiques s'ils existent sont dus aux
maladies
psychiques sur lesquelles la crise est greffée. L
tion que l'auto-suggestion peut jouer un rôle important dans d'autres
maladies
psychiques que la névrose, qu'elle ne saurait don
t examen. Il alla jusqu'à soigner des malades qui étaient affligés de
maladies
extraordinaires. Il étudia la philosophie des éco
s aussi au point de vue des méthodes en usage alors et de l'étude des
maladies
qu'on soumettait à ce traitement avec succès. L'h
la Bible n'avait pas en vue cette dernière, quelle est précisément la
maladie
dont elle parle ? Pour moi toutes ces questions
mbres, des déformations du corps sont les symptômes de cette terrible
maladie
. La désignation de ces symptômes manque dans la d
ega » de l'hébreu signifie la marque ou le stigmate du zaraath, d'une
maladie
de peau spéciale, qui ne correspond nullement à l
e une ancienne cicatrice. La Bible décrit : 1° les phénomènes de la
maladie
sur la peau saine (Lev. XIII, 2-17) ; 2° le zaraa
sct (18-28) ('). ; 30lezaraaf/i des parties chevelues de la tête, (la
maladie
nethek : 28-37), et enfin 4* le zaraath de la cal
instar corlicis aiu).. (2) Les versets 38 et 39 se rapportent à une
maladie
« pure » le botak et non au zaraath ; les versets
général du corps. 5« Quelques éclaircissements à propos de la dite
maladie
: Ainsi, il ne faut porter le diagnostic de vér
). Le zaraath invétéré (9-11) présente une phase plus avancée de la
maladie
lorsque, sur les taches blanches, apparaît ce que
tion d'un cheveu blanc dans une plaie ! (3-10). Dans le cours de la
maladie
, lorsque les taches blanches, en se réunissant, o
t blanc, ce sont les bassar-cfiaj 19-11). Dans sa période dernière la
maladie
envahit tout le corps, la peau de l'individu blan
ut-être s'agissait-il en provoquant un choc, d'activer le cours de la
maladie
, de la faire aboutir en une complète blancheur du
mme moyen thérapeutique contre le vitiligo dans les contrées où cette
maladie
est très répandue, au Turkestan par exemple, où e
qu'il résolut dorénavant de se donner exclusivement au traitement des
maladies
nerveuses par l'hypnotisme thérapeutique. Une p
yen de développer la puissance de la volonté et comme remède dans les
maladies
du sens moral. . Durant la période de sept ans
cations de la suggestion comme agent thérapeutique principal dans les
maladies
fonctionnelles du système nerveux et comme pallia
onnelles du système nerveux et comme palliatif dans le traitement des
maladies
organiques. Il rappelle que dans touttraitcment c
e l'emploi de la suggestion dans le traitement de certaines formes de
maladies
mentales au début de leur évolution. Elle fait me
nt de la puberté ; d'amnésie aiguë consécutive au choc ou suite d'une
maladie
grave ; de folie morale, etc. Sous le chef de fol
ue comme partout ailleurs. L'auteur a traité près de 200 cas de cette
maladie
et prône l'excellence de la suggestion à l'état d
un défaut d'adaptation à celles-ci. L'hystérie est -avant tout « une
maladie
d'évolution de l'esprit humain ». L'étude socio
e, elle semble plus âgée qu'elle ne l'est réellement. Et, de fait, la
maladie
actuelle est la seule de toute son histoire. Le
ans un état parfaitement normal. Pendant cette première phase de la
maladie
, la menstruation s'était accomplie régulièrement.
articulier, qui les prédispose à s'occuper et à s'inquiéter de ¦ leur
maladie
. En clinique on a le plus souvent affaire à des
e ou utilisant le sommeil naturel. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Les
Maladies
de l'Energie, par le Docteur Albert Deschamps. Pr
la tête, par Eulen-burg, p. 31. Magnan (Le jubilé du Dr), p. 289.
Maladies
de l'énergie (Les), par Deschamps, p. 375. Méta
tement des fièvres intermittentes, dans le midi de la France où cette
maladie
règne endémiquement. --- VARIÉTÉS. ii HOSPI
iche a cru bon d’établir les règles d’exercice légal dans la cure des
maladies
, surtout si je considère de ne pas la voir mentio
e quelconque médecin à faire usage de cette méthode curative dans les
maladies
. J ai été choisi du gouvernement de Milan et je l
, le docteur Maurice Pocti, dans lequel il parle de quelques-unes des
maladies
que j’ai traitées et guéries parle mesmérisme. Ce
i a été convaincu de la puissance de ce simple moyen dans la cure des
maladies
. Cette année il a été fait à Crémone, avec le p
ature un fluide ou moyen simple de guérir et préserver les hommes des
maladies
; et que quand l'art manque, la nature reste. En v
ec M. Hébert, notre digne président. Ils reconnurent la gravité de la
maladie
et, loin d’en désespérer, ils encouragèrent M"'*
i palpa le vêtement, indiqna l’âge de l’enfant et les symptômes de sa
maladie
. Tout à coup elle s’écrie : Otez, ôtez-lui vite c
ajouta que cette dame était malade et nous dépeignit parfaitement sa
maladie
. » Plus tard, je lui remis une enveloppe conten
e Cheyroux. On vint la consulter pour une jeune fille, atteinte d’une
maladie
nerveuse. La somnambule s’écria : Je vois une gra
nigne ; un enfant est sous les pieds des chevaux. Effectivement, la
maladie
nerveuse de la jeune fille s’était déclarée, il y
elle était de mon fils, qu'il avait 25 ans, qu’il était atteint d’une
maladie
que la science ne pouvait guérir, que seulement i
t qu’il était sourd-muet, qu’il ne 1 avait pas toujours été; que sa
maladie
était le résultat d un accident, et que son état
ste champ pour l’exposition de son utilité est dans le traitement des
maladies
médicales où il nous vient souvent en aide quand
justifier les heureux résultats de son application au traitement des
maladies
. Les académies ont nié l’existence du principe
nterprètent les songes, guérissent par des re- mèdes spirituels les
maladies
de l'âme el du corps. Ces remèdes consistent en p
l qui pût contenir vingt lits et par conséquent vingt malades dont la
maladie
serait constatée à leur entrée et vérifiée à leur
, qui presque tous viennent du Maroc. Lorsque les Arabes sont pris de
maladies
qui échappent à leurs connaissances médicales, il
la santé du corps : à d’autres temps, ou plutôt à d'autres soins, les
maladies
de l’âme. Nos séances hebdomadaires ont réguliè
lade vint de la campagne à Paris pour me demander des conseils sur sa
maladie
; aprésavoir causé avec elle quelques instants, je
mbulisme se déclara presque aussitôt. Mais au lieu de me parler de sa
maladie
, et de chercher les moyens de la combattre, elle
rend que ces remèdes, d’une efficacité souveraine contre une foule de
maladies
, se trouvent au domicile du ou de la lucide pour
es animaux; c’est-à-dire en augmenter la vitalité et en combattre les
maladies
. Les faits que la science possède sont encore peu
ne du magnétisme, portoit l’enthousiasme à un tel point que, dans une
maladie
qu’elle éprouva, elle ne voulut aucun remède. »
ouverture la vérité des causes que j’aurais assignées aux différentes
maladies
, nous ferons ensuite un pareil nombre d’expérienc
ne fluxion de poitrine ; il reconnut parfaitement les symptômes de sa
maladie
et eu indiqua la marche avec précision ; quant au
issement de la température indiqué comme condition de succès; 2° La
maladie
mortelle qui suit cette opération. Ce sont là d
maintenant? F. Oui. P. Comment pensez-vous que doive finir votre
maladie
actuelle? V. (Après une longue hésitation et pa
i dire) devient de plus en plus difficile dans lesdi- vers étals de
maladie
. Si la vie animale esl soumise à l’action de la v
d’infirmités, que je faisais cesser à volonté, je me demandais si les
maladies
véritables, dont j’avais sous les yeux les analog
ous le dites avec raison, il faut que le magnétisme soit appliqué aux
maladies
; c’est là son utilité principale. — Voilà une do
e m’en suis jamais occupé pour autre chose que pour le traitement des
maladies
. 11 m’a toujours répugné de le faire pour produir
ce qu’elle est chez la race actuelle. » Je ne dis pas réduction des
maladies
, qui serait un effet différent ; je veux dire que
s maladies, qui serait un effet différent ; je veux dire que dans une
maladie
quelconque, soit une fracture et amputation de me
ce qu elle est aujourd’hui en pareille opération, et ainsi dans toute
maladie
. » Nous sommes sujets, en pleine santé, à un ef
isés, et il est à propos de dire ici un mot de son influence dans les
maladies
, dont un grand nombre excitent considérablement l
bray, où j’avais obtenu la guérison d’une jeune fille, atteinte d’une
maladie
qui avait beaucoup de rapport r.vec celle de la p
nt une amélioration qui naissait, pour ainsi dire, sous ma main. 2°
Maladie
nervoso-menfale. Le 13 juin 1848, un jeune homm
vouloir bien entreprendre celle qui rendrait mon oncle à la santé. Sa
maladie
, je ne dois pas vous le taire, est fort extraordi
dit-il, vous m’avez rendu la vie, vous venez de prendre le sort ou la
maladie
, comme avec la main, et m’en avez debarrassé. A
l état de choses, rien n’étant plus dlfcourageant, à mes yeux, qu’une
maladie
stationnaire; je recommençai donc les séances a
tat normal. A partir de ce moment, je fus complètement maitre de la
maladie
qui, an moyen des séances et des treilles magnéti
endre? Pourquoi ne pas laisser dans l’obscurité qu’elle cherche cette
maladie
intellectuelle, née au dernier siècle et enterrée
ives des opérations, empêche toute résorbtion purulente, localiie les
maladies
, fait cesser tous symptômes secondaires. Mais v
ssairement porter au dehors et expulser le principe «lu mal : mais la
maladie
est trop ancienne et trop invétérée, pour que cel
s a constamment fait éprouver les grands inconvénients qui, comme des
maladies
, s’attachent à toutes les opérations de finances
ouvent la capacité de son impres-sionnabilité, car il n’aurait pas de
maladies
! ! La santé n’est-elle pas le levier sur leque
nciers qui constituent l’homme (1) et les agents extérieurs. Or, la
maladie
est nécessairement la rupture plus ou moins profo
ipe, la médecine, quand, vaincue dnns la lutte qu’elle engage avec la
maladie
, elle laisse la vie s’éteindre dans un corps qui
départ un des trois termes élémentaires dont le rapport constitue la
maladie
. Ces trois termes dont le rapport seul, et non pa
le rapport seul, et non pas un d’eux à l’exclusion des autres fait la
maladie
, sont : la cause morbigéne, l’organisme el la rés
vitale. L’uniléisme systématique qui considère exclusivement dans une
maladie
, soit l’organisme ou une de ses parties, soit la
une doctrine vraie de l’explication des phénomènes de la vie eide la
maladie
, ils prétendirent remplacer toute doctrine par l’
e seule. Pour eux la meilleure des méthodes est d’observer les cas de
maladie
et les effets des traitements ; et de se conduire
nt pour bases l’état des parties constituantes de l’organisme dans la
maladie
. Comme chefs de cotte doctrine, décomposée en s
e comme base, on peut citer : Cclse (54 ans avant J.-C.), pour qui la
maladie
avait son principe dans le resserrement ou le rel
relâchement des solides ; Hoffmann(1718)etCullen(1761), qui voient la
maladie
une altération, un affaiblissement ou une excitat
bilité dont le caractère entraîne la théorie de la localisation de la
maladie
dans les tissus, et enfante la thérapeutique unit
nnant une trop grande influence à l’anatomie pathologique, ne voit de
maladie
que dans une lésion anatomique. Oubliant les syne
icale, apparaissent les vitalistcs, qui considèrent seulement dans la
maladie
la lésion des forces vitales. Dans cette école, a
l’action du principe subtil dont ils animent l’organisme, et appeler
maladie
les désordres causés par l’altération essentielle
Quelqu’un qui verrait dans les symptômes qui ac- comparent toute
maladie
, l’expression de la lutte et de la résistance de
sance du principe vital qu’ils supposaient, à priori, alFecté dans la
maladie
, et l’aphorisme vomitus vomitu curatur, contenait
éterait pas pour d'autres substances capables aussi de développer des
maladies
. Hahnemann se livra, pour résoudre le problème
ine médicale se révéla à Ilahnemann, et, pour lui, le traitement d’un
maladie
se formula ainsi : Administrer le médicament qu
et à éteindre tout symptôme de perturbation que l’on observe dans les
maladies
. Une diarrhée, une dysenterie surviennent; et, sa
d’une fièvre typhoïde, de la variole, de la scarlatine, d’une de ces
maladies
enfin, dont le fond est miasmatique ou tient à un
t l’indice de la réaction de l’organisme entier contre la cause de la
maladie
. L’oppression, les douleurs sont déterminées par
a réaction générale d’un degré d’intensité, favorisera la marche delà
maladie
et empêchera le tissu pulmonaire de s’altérer sou
r un médicament semblable par ses propriétés intimes à la forme de la
maladie
. Telle est cependant l’opinion de Hahncmann, et
s propriétés sont en rapport direct avec les symptômes morbides de la
maladie
que l’on veut guérir, c'est ajouter, comme on vie
rti de l’université, je connaissais plus de vingt remèdes pour chaque
maladie
, et maintenant que j’ai vécu, il y a plus de ving
our chaque maladie, et maintenant que j’ai vécu, il y a plus de vingt
maladies
pour lesquelles je ne connais pas un remède. To
ette confusion luxueuse d’un savoir pédantesque qui vient classer les
maladies
de l’homme comme Linné ou Jussieuont faitpour les
hémorrhagies, presque toujours nasales, pertes de sang qui jugent la
maladie
. Le médecin qui est attentif et assez clairvoyant
me sont insuffisantes pour amener ou achever la crise qui jugerait la
maladie
: vous la voulez comme le médecin vitallste, cett
marche et rendait plus longue, incurable ou mortelle quelquefois une
maladie
qui, abandonnée à elle-même, aurait guéri. 11 ne
nser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-vous si mal conduit cette
maladie
, que vous avez fait passer à l’état chronique, so
emble? C’est vous, disciple indigne d’Hippoerate, qui avez fait cette
maladie
rebelle, c’est vous qui avez préparé la gloire de
. Oui, jesuisconvaincu par l’observation attentive, que beaucoup de
maladies
qui ont résisté à des médications nombreuses et v
parler. Ce point de doctrine consiste à prétendre que la cause des
maladies
chroniques est la gale, la syphilis et la sy-cose
s ils n’admettront jamais que ces virus soient la cause de toutes les
maladies
chroniques, delà plupart, si vous voulez même, po
n aigué, mai traitée, ne se résout qu’imparfaitement et détermine une
maladie
chronique! Un rhume tout simple, négligé, peut se
désordres qui sont longs à se manifester et qui laissent souvent des
maladies
chroniques ! Des maladiesdu cœur, du foie, des hy
vous faire! Pour vous, l'acarus est le produit et non la cause de la
maladie
; mais qui vous l’a dit?Certes, le nombre des indi
leur guérison on n'a rien vu qui ressemblât à une répercussion. Leurs
maladies
chroniques viennent de là , selon vous ; mais b
elon vous ; mais beaucoup vivent longtemps bien portants el meurentde
maladies
aiguës : où trouver le virus que vous nous accuse
établis par Hahnemann, savoir : les infinitésimaux et la théorie des
maladies
chroniques. Quoi qu’il en soit de mon opinion à
ut être une doctrine dont l’application satisferait à tous les cas de
maladies
. Le philosophe qui comprend que la matière est
rangés sous la bannière du vitalisme, le problème de la curalion des
maladies
paraissait simple, et consistait à trouver le moy
éléments qui composent l’homme, et une fausse idée de la nature de la
maladie
. Mesmer, dominé par les idées d’une physiologie
l’eau et l’huile magnétisées. Je viens d’obtenir la guérison d’une
maladie
du foie bien compliquée; l’école de Toulouse n’a
au traitement de deux cas remarquables de névropathie. t vol. in-8.
maladies
. Peu à pou la médecine magnétique a pris faveur p
nétique applicable à tous les tempéraments, tous les âges, toutes les
maladies
. Sans blâmer sa méthode qui obtint de grands succ
magnétisables, et le somnambulisme ne cesse-t-il pas souvent avec la
maladie
? Maiscc n’est pas tout; cette Explication pourrai
r découvert le véritable moyen de rétablir l’harmonie détruite par la
maladie
et pouvoir même conjurer tout état anormal du cor
ne seule chose, la modification du système nerveux et la guérison des
maladies
; rien, en effet, ne prouvait que la cause de ces
nce du magnétisme sur l’homme est-elle de nature à pouvoir guérir scs
maladies
et à permettre de voir dans le magnétisme une doc
sauraitconsti-tuerune doctrine médicale, et convenir dans toutes les
maladies
. Voici pourquoi : Un grand nombre d’organisatio
er, qui indiquent les remèdes convenables pour obtenir la guérison de
maladies
qui ont été traitées infructueusement par la méde
anges phénomènes. Or, si la lucidité désirable pour le traitement des
maladies
est si peu commune, comment oser établir comme un
les forces du malade. Les moyens hydrothérapiques s’appliquent aux
maladies
aiguës comme aux maladies chroniques, et le nombr
es moyens hydrothérapiques s’appliquent aux maladies aiguës comme aux
maladies
chroniques, et le nombre des guérisons, d'après d
nie d’apprécier les rapports de la constitution de son malade avec la
maladie
et un moyen thérapeutique aussi dangereux. Syst
ent la médecine expérimentale et d’observation enseigne que certaines
maladies
sont engendrées par l’action d’helminthes et d’au
t de vue, des virus de l’homoeopathie qui sont la cause de toutes les
maladies
chroniques. Malgré le peu de fondement de sa do
es modifie les constitutions physiques et morales, les eau- ses des
maladies
e( la résistance vitale de l’organisation ainsi q
des pauvres parmi vous! avec et sans 1? pauvreté, les douleurs et les
maladies
, avec ces fléaux de la vie terrestre une médecine
ant les tempéraments individuels, suivant les causes qui ont amené la
maladie
, suivant les milieux dans lesquels le malade est
de moyens qui, appliqués avec discernement sur un individu pour telle
maladie
, guériront mieux l’un que l’autre. Mais reçus par
a triomphé seul, et dans des cas nombreux déjà, des obstacles nés des
maladies
et des innombrables remèdes inventés pour les gué
existait dans la nature un agent d’une vertu telle que la plupart des
maladies
en fussent influencées favorablement; s’il réunis
ue, et le principal moyen employé par les hommes pour combattre leurs
maladies
. Si outre ces vertus, cet agent développait en no
ne guérira jamais tous les malades, mais il guérit toute espèce de
maladies
. Qui ne sait d’ailleurs que beaucoup d’ètres appo
fait d'hallucinés, qui se croyaient pourtant des gens fort sages? Les
maladies
n’agissent pas moins sur les facul-XUJ1K VII. — X
jusqu’au moment où j’ai éprouvé ces ac- cidents, de la cause de ma
maladie
; mais ces voix qui venaient retentir à mes oreill
il serait superflu de le suivre dans son excursion ; la preuve qu’une
maladie
cause cette hallucination se trouve indiquée par
at de coupables machinations. Qui ne sait aujourd’hui que beaucoup de
maladies
mentales se développent sous l’empire de moins de
que les principaux symptômes de la catalepsie, de 1 epilepsie et des
maladies
hystériques, le tout mêlé d’une très-forte dose d
s ou ces passes guérissent assez constamment une classe déterminée de
maladies
. » M. Renouard établit ailleurs que ni l’axiome
ar Hippo-crate, qui dit, dans le traité de XAncienne médecine : u Les
maladies
guérissent tantôt par des contraires, tantôt par
ule sur tous vos nerfs. Est-ce que vous auriez été en proie à quelque
maladie
.....? Sur la réponse négative du consultant, et a
trois enseignements capitaux, c’est que : i° Ni durant ni depuis sa
maladie
, cette enfant, aujourd’hui nubile, n’a accusé la
vie instinctive, pour nous faire découvrir les ressorts cachés de nos
maladies
. Cette opinion est généralement admise chez tous
nir, mais encore nous avons conscience de tout ce qui se rapporte aux
maladies
et à leur guérison. 11 y a parmi nous une sœur qu
orps les plus éloignés. Elle peut, selon lui, produire la santé ou la
maladie
, l’attraction ou la répulsion. «Lame, dit Hippo
4e trim., p. 187.) Aristide nous apprend aussi qu’à la suite d’une
maladie
qui datait de dix années, il vit un spectre penda
endant l’exaltation du système nerveux. Bordeu ( Recherches sur les
Maladies
chroniques) cite plusieurs faits de lucidité médi
t. Il en a vu d’autres prévoir les crises et la terminaison de leur
maladie
sans jamais se tromper. Le docteur Petétin; pro
nte sur le magnétisme, réclama les soins d’une somnambule pendant une
maladie
fort grave. «Cette femme, qui me voyait pour la p
t j’apprécie chaque jour l’influence salutaire dans le traitement des
maladies
les plus invétérées. «Gardez-vous bien, disait
propre à remplir un double but. Si le trouble existant résulte d’une
maladie
propre du cerveau, le magnétisme peut la combattr
lTet, d’admettre qu’un sujet clairvoyant distingue nos organes ou nos
maladies
, comme nous distinguons les caractères dimpies-si
est une impression instinctive qui les dirige dans l’appréciation des
maladies
. La sensation réciproque de nos infirmités doit
fréquent : c’est la faculté qu’ont certains somnambules de voir leurs
maladies
ou celles de leurs semblables. Je rappellerai seu
rgane ne leur permet pas toujours d’embrasser tous les ressorts d’une
maladie
compliquée. C’est alors que le magnétiseur doit s
eur. § iv. L’instinct médical est la connaissance irréfléchie des
maladies
et des médicaments qui leur sont propres; il se d
l’instinct dans l’extase et l’illu-minisme, et même dans beaucoup de
maladies
susceptibles d’exalter le système nerveux; il fau
L’instinct médical d’une de mes somnambules s’obscurcit pendant une
maladie
ou à la suite d’émotions violentes. La santé ou l
t entièrement sa lucidité après de violents efforts pour découvrir la
maladie
d’une personne qu’elle aimait beaucoup. Sa consti
’ont offert pour dédommagement de mes fatigues qu’égoïsme pendant une
maladie
que je fis, et ingratitude révoltante lorsqu’elle
é diminue presque toujours ou disparait entièrement pendant l’état de
maladie
; la lucidité qui commence dans l’état de maladie
t pendant l’état de maladie ; la lucidité qui commence dans l’état de
maladie
disparaît, au contraire, quand la santé se rétabl
mes soins à plusieurs somnambules dont l’intuition commençait avec la
maladie
et cessait au retour de la santé. M. Alph. Lecave
des malades, qui devient plus imparfait chaque jour, à mesure que la
maladie
diminue.» (Tardy de Montravel, Théorie du Magnét.
selle Béna, dont l’intuition médicale continua non seulement après la
maladie
, mais acquit encore beaucoup de développement. Ne
ignages pendant leur lucidité : il n’v a, suivant eux, que de longues
maladies
ou des chagrins durables qui pourraient la faire
ande lucidité instinctive qui prescrivît la même médication dans deux
maladies
identiques chez deux malades différents. C’est un
ecine systématique. Tous nos médecins qui s’évertuent à rattacher nos
maladies
à la même cause, croiraient manquer à leurs princ
cipes s’ils modifiaient leur traitement lorsqu’ils ont à soigner deux
maladies
offrant quelques points d’analogie entre elles.
teur Ho-re(F ( Lettre à Dcliuse ), dix personnes affectées de la même
maladie
, avec des circonstances semblables en apparence,
’exposer un somnambule au contact de certains malades. • Toutes les
maladies
qui peuvent être contagieuses, dit M. A. Gauthier
, dit M. A. Gauthier (ouv. cité, p. 655 ), la petite vérole, diverses
maladies
de la peau, l’épi— lepsic, les maux vénériens, la
rvations , que la disposition des somnambules à recevoir le germe des
maladies
varie suivant leur organisation. J’ai vu des suje
ci le somnambulisme est étudié dans son application au traitement des
maladies
. M. Charpignon examine l’origine et la nature de
ations, l’avantage de la magnétisation dans un grand nombre de cas de
maladies
chirurgicales, font le sujet d’un chapitre entier
que, selon lui, le principal usage de cet agent doit être la cure des
maladies
. On peut aussi l’employer à la production d’une i
sé à l’extrême. Cette séparation peut aussi être opérée par certaines
maladies
, et quelques drogues ou plutôt plantes vénéneuses
leurs portes doivent être encombrées; si leur doctrine est vraie, les
maladies
doivent bientôt disparaître, et les miracles cess
orps est insensible aux blessures, c’est qu’il est malade. Il y a une
maladie
, bien connue des médecins , l’anesthésie, dans la
tisme animal est depuis longtemps connu et appliqué à la guérison des
maladies
. « M. Mott remarque que, comme toutes les quest
vant cet argument sans réplique : que le magnétisme animal guérit des
maladies
de long cours contre lesquelles échouent tous les
us, se sont donné l’agréable passe-temps de feindre si longtemps leur
maladie
, afin d’avoir la satisfaction d’être guéris par n
’est qu’un moyen de plus, pour le médecin , de triompher de certaines
maladies
particulières contre lesquelles échouent les autr
mps. Le troisième chapitre est consacré à l’examen de l’essence des
maladies
; l’auteur pense qu’elles consistent dans un premi
lucidité, des propriétés curatives du magnétisme dans une foule de
maladies
. C'est un résumé à peu près complet de tout ce qu
decin n’aurait pu la guérir par une autre méthode; qu’elle avait cinq
maladies
réunies : l’épilepsie, le sang au sein , un dépôt
ux s’abstenir de magnétiser. a0 Cet agent est impuissant contre les
maladies
ayant pour cause des miasmes chroniques tels qu
je regarde comme préférable, pour obtenir la guérison de beaucoup de
maladies
chroniques, d’employi'r les remèdes reconnus capa
ique. » Par contre, l’auteurériumcre, dans le chapitre suivant, les
maladies
que l’agent mesmérien semble guérir mieux que tou
t, que je suis obligé de la différer. Vous lui direz seulement que la
maladie
de l’individu en question est entrée dans une nou
anté, mais le voir remué, tourmenté par les passions, ou en proie aux
maladies
qui affectent les principaux organes de la sensib
occupée par les notions justes que nous avions des choses? C’est une
maladie
, dira-t-on. Sans doute, c’est une faiblesse de ce
l spécialement aux opérations chirurgicales à faire sans douleur, des
maladies
internes y ont été traitées magnétiquement. Grâce
portera à la fois sur 1 applicabilité du mesmérisme au traitement des
maladies
, et à la prévention des douleurs traumatiques.
NEUROLOGIE ARCHIVES DE 7 1 · NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES
MALADIES
NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIAIICO
clinique · (Ste-Anne). F. RAYMOND Professeur de clinique des
maladies
du système nerveux à la Faculté de médecine
ntrer l'influence de cette infection sur le développement de deux
maladies
bien autrement fréquentes de l'axe médullo-cérébr
de rapporter à la syphilis les processus histologiques de ces deux
maladies
a été un des principaux arguments que -les aute
rien présenter d'intéressant. Dans sa jeunesse elle a eu plusieurs
maladies
sur lesquelles elle s'explique fort mal ; plus
peine à la comprendre. Il raconte qu'il vient de se guérir, que sa
maladie
lui est remontée dans le cerveau, ' qu'elle lui
NOSOGRAHIQUE; , Par Paul SOLLIER, - Clief de clinique adjoint des
maladies
mentales à la l'acuité. . i Tous les auteurs qu
lectuelle est un symptôme qu'on' eu lé tort de regarder comme une
maladie
. Tout* au i plus 'serait-ce un symptôme caractéri
Mais ce n'est pas même autant. En fait l'idiotie n'est pas plus une
maladie
que 'la "démence ? Il fut'aussi une époque où o
est qu'un symp- tôme secondaire, comme la démence chez l'adulte. La
maladie
véritable 'c'est' l'hémorrhagie ou le ramolliss
nditibns dans desquelles la démence est apparue; { chez l'enfant la
maladie
est,souvent d'origine intra-utérine 1, pu j ts'
ssant" l'ordre des choses ! en'faisante d'un'symptôme secondaire la
maladie
fondamentale, et'en reléguant au second , plan
t'39n.t °i miiioiu1 1 fàxm , 1 , , 1 t L idiotie n est donc pas une
maladie
,.mais un symptôme... i L'imbécillité'*es't ? el
it primitive, soit survenue à'titre'de'complication au' cours d'une
maladie
quelconque. .Si - faibl6 qe,,soit'l'in suffi sa
FS' considérés spécialement dans LEURS RAPPORTS AVEC LA DOULEUR DES
MALADIES
VISCERALES; par HENRY HEAD. (Brain,' 1-Il ? 189
clavicules, laissant pour un mémoire, ultérieur leur étude dans les
maladies
du cou et de la tête. De nombreuses observation
es dans, les affections viscérales et même dans, un grand nombre de
maladies
générales, .correspondent pour certaines aux mê
tement-physique'estnéessaire`à'èausé9désr'carâe- tères de véritable
maladie
que revêt la confusion mentale primitive, il ne
la désorientation, la confusio^-m'en-' taie qui font le fonds de la
maladie
. (Annales médico-p sy 1 t 1893.) ? R) .,r ? t43
' autres causes nocives, telles que, les blessures céphaliques, les
maladies
aiguës, etc., occupent, un "rang*, .inférieur,
ervation, rapportée tout^au, long' par les ( auteurs, a trait à une
maladie
atteinte ? de' aijxleuse, mais ! ° chez ( qui (le
, i qui ne s'est' ainsi 'révélé qu'aune période déjà avancée de la'
maladie
; à l'heure actuelle, la malade en est à formule
a fallu recourir pour expliquer le mécanisme du développement de la
maladie
. De plus, dans 26 p. 100 des cas, on a constaté
que dans beaucoup de cas, lorsque la femme est affectée de quelque
maladie
septique puerpé- rale, les fortes émotions ment
91 41 91 tifit..1.1., rrr", n (M1«K On rencontre souvent dans les,
maladies
mentales des altérations des mouvements respira
spé- cial, peut-être dans chaque 'cas et dès le commencement delà
maladie
, un tremblement caractéristique, sur la valeur di
'I"o-i définit ta folie « une manière de se conduire ? et non'* une
maladie
du corps ou de l'esprit x. La loi punit les act
r la loi, non pas comme le résultat de la' conduite,'mais comme une
maladie
du cer- veau. C'est au jury de décider d'après'
VUE DE MÉDECINE LEGALE. . ; 2° Le crime est-il le résultat de cette
maladie
? c - Ces questions sont simples; les difficult
e des signés de l'intoxication : ils sont le cachet d'origine de la
maladie
, mais n'en font pas partie intégrante ; les aut
saturnisme et à la méningo-encéphalite ; elle ne constitue pas une
maladie
méritant une dénommination particulière, et le no
médecine mentale DE BELGIQUE. Première question. Etude clinique des
maladies
mentales transitoires ou permanentes, consécuti
des maladies mentales transitoires ou permanentes, consécutives aux
maladies
infec- tieuses et aux délabrements organiques,
s dans le même but. ' FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne).
Maladies
nerveuses ci mentales. M. AlAGNAN : Amphithéâtr
s systématisés dans les diverses psychoses. Cours de clinique des
maladies
mentales et des maladies de l'en- céphale. M. l
diverses psychoses. Cours de clinique des maladies mentales et des
maladies
de l'en- céphale. M. le professeur JoFFROY. Amp
Volume in-8° de 240 pages. Prix : 5 fr. LEFERT (P). La pratique des
maladies
du système nerveux dans les hôpitaux de Paris.
on volume. En d'autres termes, le, 1 Joffroy et Achard. - Un cas de
maladie
de Morvan avec autopsie. (,Archives de médec. e
onnels. Dur... a toujours été fort bien portant, à part les petites
maladies
de l'enfance, jusqu'en 1885; à cette époque il
t il conserve un tremblement manifeste des doigts. Histoire de la
maladie
. - En 1887; deux ans seulement après son chancr
. Rien n'est yariable'co'mme les lésions rem- \ contrées dans cette
maladie
, suivant les 'cas. 'Ainsi que je l'ai déjà rapp
tion diffuse de la moelle l'a favorisée ; d'ailleurs la durée de la
maladie
a été très longue. Il ne 'faut pas confondre ce
rable ; si le malade entre à l'asile six. mois après le début de la
maladie
, il est tout à fait héréditaire. La tare défavo
enre sont-elles plus fréquentes que celles qui succèdent à d'autres
maladies
graves ? Oui, notablement, et,'à ce point de vu
de la psychose ? Nous sommes autorisé à rattacher une psychose à la
maladie
infec- tieuse, quand la psychose apparaît penda
l'influenza, une folie grippale ne se mon- trant pas après d'autres
maladies
? Ici se place une étude nosogra- phique très i
inconnue ? , ? -n, . w |. Parmi les 101 malades dont la cause de la
maladie
a pu être recherchée, le groupe des hérédités p
agit défavorablement sur l'état des malades et sur la marche de la
maladie
. C'est à cela que sont dus, l'agitation générale
ite (quatre observation»), qui le plus souvent ont été surmenés. La
maladie
«REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 143 débute brus
répond par l'affirmative si, par mala- die mentale on entend toute
maladie
dans laquelle les phéno- mènes psychologiques c
té, c'est un mental, il est devenu fou. Donc l'hystérie - n'est une
maladie
de la personnalité que si on comprend sous ce n
subconsciente, on ne doit pas dire que l'hystérie ordinaire est une
maladie
de cette personnalité consciente. Pour nous, l'
en voulant le suivre ? DUCAMP. Il[. Contribution A l'étude DE la
maladie
DE Basedow ; par le D1' ANGIOLELL.1. (Il Manico
mio, fasc. 1-2, 1893.) La paraplégie, qui est parfois associée à la
maladie
de Basedow, 'est l'effet d'une myélite lombaire
venir à l'appui de l'hypothèse attribuant tous les symptômes de la
maladie
de Basedow à cette intoxication, sans exclure t
dication intermittente, l'autre le genou à ressort, la troisième la
maladie
- de Basedow. J. S. , REVUE DE PATHOLOGIE NER
nal central de la moelle. P. K. XII. DES troubles mentaux dans la
maladie
DE Basedow ; par Hirschl. (Jahi,büclL. f. Psych
alcoolique avec mélancolie (1); folie neurasthé- sique (1). , La
maladie
de Basedow tient à une paralysie du centre vascu-
on dépendant aussi des localisations, etc. La marche est rapide, la
maladie
dure en moyenne de vingt heures à quatre jours, o
'en vertu même du discrédit fatal qui plane sur ces affections (les
maladies
Archives, t. XXVII. il 1G2 CLINIQUE MENTALE.
ce sont ses habitudes solitaires, à son avis, qui auraient causé sa
maladie
actuelle. Il n'a, en effet, jamais cessé, depuis
ersion et nonpeîve2,sité; c'est un malade, non un criminel 2, et sa
maladie
s'est révélée dès l'âge le plus t Se reporter,
es, il demande quelquefois à révéler en grand secret la cause de sa
maladie
, et lorsqu'on se trouve seul avec lui, il ne fa
ortantes ; elles auront pour résultat de me révéler la nature de ma
maladie
. Ces revues ont été faites à cause de moi ; je
enir^ I.t /i n ir · et ,. ? As i; \ k "tli 0 ) t . ' ' Ribot. Les
maladies
de la volonté, Paris, 1885. NOTE SUR UN ALIÉNÉ
ôme banal qu'on rencontre indifféremment dans toutes les espèces de
maladies
mentales, j'avais recherché quelles sont les co
attentif. n.Dans'les premiers, six.mois qui suivent le début de la.
maladie
les ,,troublèswaso-moteurs se manifestent.par.l
can9v je fnsr / - *m.-y XXIV.)PATHOL3GIE MODERNE ET pathologie des^
maladies
nerveuses ; ,1'AVEC QUELQUES[DÉDUCTIONS thérape
nelle, telles que lai(paralysie agitante,a'chorée,3l'épilepsieethla
maladie
de Basedowi il y, a, un facteur, toxique -1 d'a
btqo-11,8 » ? -, ) 5° L'origine toxique; a été' démontrée dans les
maladies
nerveuse pour- le myxoedème, elle est fort prob
111f(TSl(friP7'I .97a.CI911(79'1 i,(. ' M. Thomsen, qui,a décrit la
maladie
jiont il; est atteint, a actuel- lement soixant
é une* appréhension bien naturelle. "^ ' ' ™,1 . i Enfin, c'est une
maladie
qui fait des' sauts ^très curieux quant t à la
u'ou. croit avoir,affairèt.àulïë,nïalâdie indépendante telle.que la
maladie
de Morvan, =la maladie de Reynaud l'acro- mégal
rèt.àulïë,nïalâdie indépendante telle.que la maladie de Morvan, =la
maladie
de Reynaud l'acro- mégalie de P.' Marie ? ,1'qs
et 4nlnma' w .· . ,- II. LE sens quantitatif DES COULEURS dans LES
MALADIES
NERVEUSES produites par LES accidents; par,`VOL
t 189 1.) C'est surtout parce qu'il s agit d un aliéné, et parce la
maladie
a évolué entre' l'âge de', 61* ans et celui de
t;'eKcepAa ! <c... Ti@aduictioii Kei,aval. '.Voyez , Traité, des
maladies
», den l'encéphale ? Traduction Keraval. Paris 1
sensibilité musculaire avec INCOORDINA- TION motrice A la SUITE de
maladies
infectieuses' chez différents INDIVIDUS de la m
I. DE l'action hypnotique ET thérapeutique DU CHLORALOSE dans LES j
maladies
mentales; p.r le,D Rossi. (Riv. sp. di f2,en ; 11
petite, dose., Il n a pas d influence, sur la marche générale de la
maladie
, mentale : .à doses petites, et fractionnées, il
l r REVUE1DE'-THSRAPEUTIQUE. 227 f thyroïdiennes ? dé traitement'
maladie
? pour aborder ensuite le traitement^ du'myxoe'
de si l'état des réflexes a été examiné dans les trois phases de la
maladie
. * . - " M. SoLLiEa : .ü'J'avaisàjma dispositio
it trouver des résultats contradictoires suivant les périodes de la
maladie
auxquelles les examens sont faits. M. MAHANDO
e l'enfant' était né lorsqu'elle s'est pro- dûité. C'èstilné süü le
maladie
des vaisseaux ? ' ' t , · , .... o oo. ? u ? ti
el des moyens pratiqués d'ex- plôrâtiôn'désimâlade"s'attelnts''de :
maladies
nerveuses., Aussi ce livré s'âdres`sé-t-lsûrtoû
aborder avec plus de fruit la. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés
maladies
nerveuses : ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJM
de polynévrite sensitive ou pseudo-tabes. Quant à l'origine de la
maladie
; elle est'rapportée,'idans*ceicas,0à"laiblennorrh
, Ji3rendur de - . , . 1" de.de,a nature et même du traitement des.
maladies
,, mentales. "(Amc·icnn Journal of insanity, 489
t sur la psycbiatrie : ê3$1 jsR.-M.iC1 '' Le traitement externe des,
maladies
mentales fonctionne déjà >-. - . -»« .>t.
e'et l'auteur louesans réserves cette organisation. Les différentes
maladies
mentales ont été divisées en trois grandes clas
ient enfin d'être déclarée vacante. : '' .. .. 1 ? Clinique des
maladies
mentales (Asile clinique). Le personnel auxilia
e clinique). Le personnel auxiliaire du laboratoire de clinique des
maladies
mentales de- la Faculté de médecine de Paris, e
ndant, il faut . , I- toi 11 . H ' " , imi . i 1 , ". ' Esquirol.
Maladies
mentales, I, p. 80. ' 11 i *" , ' ,l , nl , z 2
s hallucinations de la vue sont symptomatiques d'un grand nombre de
maladies
mentales et nerveuses. Mais on' peut les observ
nt dans d'autres cas, par exemple dans' la' période' fébrile 'des
maladies
aiguës. Il est permis de se demander, si, dans to
près'" des jeûnes /prolongés ? à 'la période1* de convalescence des
maladies
âtguës; leùr,appârition ést detrèâle; et cela est
fi`.tcr.oa t9 t/t-md iiiici ,4bn«. ,i , ? 11,3 * K-r.* Début de la
maladie
actuelle it-y a^dix .mois, , par, une céphalée
.nie t. L'i 'nt611tionl deP l'àütéurë'stt`de râver9dé°la' liste des
maladies
inflaiiffiiatoiresrdes, méninges^ cérébrales,9
e ' fait'qûe'les hématomes d6'la- avec des preuves évidentes' de1
maladie
'des- vaisseaux. ? . ? fl'7 nul 'fc-' De mêmè1P
4 .'L , ,- xhement, 48 guérirent. soitv75 p 1100· ? la düréé dé la,
maladie
6 avâit été de cinq moi u &'tîvlilo 13J;m,s
diffé- tentes variétés de folies lucides;) ? »- - 7 a'3k . Les !
maladies
mentales) formeraient ainsi'trois grands groupes
rait'1'apâpa.ë dés indi- vidus dont les parents étaient atteints de
maladies
' mentales ou nerveuses. Tous les cas.de neuras
It 'fil -f' r ' si .La neurasthénie peut guérir ou dégénérer en-une
maladie
men- tale ou nerveuse. Parmi les maladies menta
guérir ou dégénérer en-une maladie men- tale ou nerveuse. Parmi les
maladies
mentales/c'est le plus souvent la folie' systém
ne-de ces 1 malades, avait., douze,,aiis, et ie,pius aee seize : la
maladie
.parait avoireu une durée assez (de trois à six a
catioiis dans 1 l'â--e- dès ilialades"àlteints;'dans'la'durée de la
maladie
et dans sa'répartition par sexes; 19 't'- ·'vuotl
firmative : mais on pourrait presque dire que l'intluenza a été;une
maladie
pandé- mique plulbt\qu'épidémique ? le cHifïres
orbidité. n'a pas pu être, relevé avec.autant, de soin que pourries
maladies
simplement endémiques ou accidentellement épidé
it venu révélerla, présence;Cette,lésiou est très, postérieure à la
maladie
pentale,dont,clle"nalété.,qu'un; épiphénomène p
? »"" < <'-»i -rr.ri -.>-*". . BLocQ (P.). - 6ûdes sur les
maladies
neigeuses. Volume in-8. relié de, 390 pages ? P
s de vomissements. Pas de fièvre typhoïde, pas d'alcoolisme, pas de
maladies
cutanées. Notons seulement l'existence, il y a
fois sombre et pleurait au cours d'accès de colère.' Histoire de la
maladie
. Le début remonterait à deux ans; on remarqua d
igts et , de la ^langue, exagération des réflexes); la marche de la
maladie
, avec une période, de rémission xçaracté- risée
du côté gauche, du nasonnement `observé dansées derniers mois de la
maladie
, m 1 4j) - , T t » .,Il; est d'autres·particula
iété d'as- pect des -accès délirants survenus' ;>au^ cours de la
maladie
(accès maniaques, mélancoliques, délire"'de gra
? Baillarjer. Physiologie des hallucinations; in Recherches sur les
maladies
me2lalCS,1890.,if ? ,.) ? i ? n. -f ? f... ? \'.
ment, grincement des' dents), la chose est plus rare ? au`débntrde la
maladie
et au cours des rémissions. Quant à la persista
folie épileplique. lliasson, 1890, p. 67.IV ? ,' llayle. Traité des
maladies
du cerveau et; doses membranes, ,1826, ? >'" J
s paralys. des muscles de la mastication et du tris- , mus dans les
maladies
cérébrales en foyer. Wien. med. Wochensch. ,.1886
par Boix). ' . ? - " " lep .. z ' Ferrier. - De la localisation des
maladies
cérébrales,; p. 136 ? . z 4'Lépine. - euMeme)MM
n dia- bolique, tous les faits imputables en majeure partie à une
maladie
dont plus d'un médecin contemporain des événe-
é à l'éloigne- ment de Nouvelet.0 Au -surplus,'1 pendant sa courte'
maladie
, on' : l'avait) positivement obligé à' une réco
stitnéntvién`deait' à · élre' foiictiôâüellëment anéantie par une '
maladie
ou une lésion'directe.La décussation nerveuse est
nt article, extrait du chapitre Paraiysiegené- raie ».du Traité des
Maladies
mentales (sous presse) du Dr Dagonet, 1 auteur
pas .de dénomination anatomo- pathologique satisfaisante pour celte
maladie
et qu'il est préférable de, lui, laisseï- encor
ons`passà,èrés;"2parçel,qu'elle-sé,présente dans un grand nombre de
maladies
, léspblermasiesenparticulier; 3° parce qu'on la
formes de l'aliénation mentale, soit que sa presm nce déendeydé la
maladie
, mentale elle- m'êmeftoil qu'ellé dépendë dcs p
fréquente dans.la paralysie âénéiale,que dans les autres formes de
maladies
, mentales, elle fait généralement défaut au'déb
es dont)'on ai demandé la- circulation'n'étaient'porteurs" d'aucune
maladie
soulevant des préventions; hygiéniques D : 'n lt
AtiA;tl lu '14 -En voici les conclusions : 1. 777- La folie est une
maladie
.du cerveau y et du système. nerveux, l'aliéné e
mes; il fait apparaître les cinq théories qui on eu cours sur cette
maladie
: : la théorie ^nerveuse, faisant siéger, la^ rag
es étudiants et il attribue cette indifférence à ce que l'étude des
maladies
' mentales ne fait pas partie du pro- gramme de
Deny'.1' - ? ff j A part quelques rares pays, l'enseignement des
maladies
mentales laisse beaucoup à désirer. Il serait n
le, avant la thèse, l'assiduité duement constatée à la clinique des
maladies
mentales, durant au moins un mois. Les jeunes m
la Faculté de médecine a présenté, pour la chaire de clinique des
maladies
nerveuses laissée ivacante par la mort de M.' Cha
une nouvelle doctrine a vu le jour, qui tend à considérer les deux
maladies
comme une seule et même entité morbide2. Tel es
·y^·7q a ? 8a9't8< ? qc Antécédents personnels et histoire de la
maladie
. - Enfance, stru-,1* meuse, caractère timide, p
, p~ 207. jl 12 i ui ? ...iaSr ; iitt,i~.o ; , o 3C ' ' Vulpian ?
Maladies
du système nerveux, p. 322. · -· Pitres. - Jour
, point ? .-'«' r|>i«'j ., ). ' , ? z 1 P. Marie. Leçons sur les
maladies
de la moelle, 1892, p. 211. 414 7 ? q b 1 u E ;
ié générale ? Elle. est t"5 souvent une manifestation précoce;de.la
maladie
. -Alors mèmelfù qu'elle, paraît de nature, syph
les premiers cas qui'ont servi de paradygme à z la description des
maladies
, la systématisation était' utile, 4 indispensab
vé des lésions de circonvolutions' cérébrales ? bien que pendant la
maladie
on n'eût constaté au- cun des* : signës°'de ,1a
ement caractérisés. Or,,dans ces cas-là, au lieu de con- clure deux
maladies
distinctes ? ou d'avancer que le, tabès. et la
ueuses. Donc la syphilis paraît très plausible. ' In Leçons sur les
maladies
de la moelle, par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1
les centres nerveux/ alors que l'on accorde 'ce pouvoir aux autres
maladies
infectieuses. Il 'en est - de même des cas où l
e secours de l'hérédité, est impuissante le plus souvent à créer la
maladie
. Comme preuve à l'appui, et en manière d'épilog
' . eh n wSc "W ,tty r tW ·· 9 yxtm .. galeuses aucune apparence de
maladie
, et convinrent ensemble 1 , ? ., - - Nt ,' "Ç
iologie - et d'électrothérapie relatifs au système nerveux et à ses
maladies
'en les, groupant non par ordre de dates d'appa
' ' ÉLECTRO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES
MALADIES
NERVEUSES. Dans la séance du 6 février delà Soc
résultats de ses recherches sur les réactions, électriques dans les
maladies
à lésions,, spinales; polyo- myélite antérieure
'd'Arsoiival,- les '* auteurs ont surtout appliqué leur procédé aux
maladies
générales ° ou à des affections , émanant de tr
itisme et des scrofules, car dans la ville où j'ai étudié, ces deux
maladies
sont plutôt fréquentes, et j'ai voulu voir dans
trent plus fréquentes chez les non-syphilitiques (56 50 p. 100). La
maladie
parait durer un peu plus longtemps chez les syp
e même fâniille-dans laquelle depuis'six générations survient cette
maladie
/ Déjà en 1885, Peretti lui avait'empranté'deux fa
oique moins'intense, des bras, delà face;`des muscles'de l'oeil. La
maladie
à débuté'à l'âge de trente-trois et trente-quatre
t intitulé : De l'emploi du séton et de la pommade stibiée dans les
maladies
cérébrales. ? M. ScHROETER.En plusieurs cas d'é
, la mens- truation s'opère régulièrement pendant-' la durée de' la
maladie
. 'Dans'la dépression' mélancolique 'simple' la'
tive, curable, la menstruation a disparu au moment où débu- tait la
maladie
; chez dix d'entre elles on-a vu reparaître la men
ique et le stade initial; il cesse à une période plus avancée de la
maladie
.^ ., DiscussioN : M : Cramer ? J'ai fait' des r
lancoliques qui ne sont plus' réglées à la pé- riode d'acmé de leur
maladie
imposent un pronostic défavorable. M. Zinn aîné
ulats de notre pratique, personnelle.. Sur2,200 malades atteints de
maladies
nerveuses ou mentales, nous avons trente-deux f
? o il , 1) 9"·3,a; 'r VIII. Étude sur l'emploi du massage dans les
maladies
nerveuses; 4 " ' S-F" ''par le Dr Massy.' G. Ma
que, dans une deuxième l'action thérapeutique du mas- sage dans les
maladies
du système nerveux. z .jjyvV"- ; Première parti
? La deuxième partie traite des effets utiles du massage dans les
maladies
suivantes : 1°, névroses (hystérie, neurasthénie,
nie, chorée, paralysie .agitante, crampes professionnelles); 2° les
maladies
de la moelle (ataxie locomotrice, paralysie inf
luque, atrophie musculaire progressive, paralysies consécutives aux
maladies
aiguës ou infectieuses); 3° maladies de l'encép
e, paralysies consécutives aux maladies aiguës ou infectieuses); 3°
maladies
de l'encéphale (commotion céré- BIBLIOGRAPHIE.
eudo-lipomes, arthropathies, nerveuses). A propos de chacune de ces
maladies
, l'auteur examine le procédé qu'il faut préfére
n état mental, physique et moral, conséquence, non- pas d'une seule
maladie
, mais d'un grand nombre de mala- dies d'origine
e mot idiotie, on le voit, résume en, quelque sorte la "plupart des
maladies
congénitales et chroniques du système nerveux c
ure, le mode d'évolution, des désordres cérébraux, car il s'agit de
maladies
médico-fégaies tant elles sont la source de pro
! les symptômes sont nombreux et accentués; quant à la nature de la
maladie
, à défaut d'autopsie, ^on ne peut arriver à pro
s en présence des questions financières que suscitent de'tell es 1-
maladies
, et de la subjectivité des, symptômes, et des e
ter la France, pour aller occuper la chaire de phy- siologie et des
maladies
du système nerveux à, Harvard Uni- versity. Nou
ecins, allemands comme la seule en rapport avec la nature même* des
maladies
mentales en question ainsi qu'on peut le voir e
s'en, convaincre4en1lisan.tls.es écrits, son langage a pro- pos des
maladies
mentales'mérité parfaitement' lé'nom de Lhéo- r
rie »3- du' reste' dans le journal d'Elberfeld il prétend que les
maladies
mentales ont poui\siège,'n6nI]cerveau'Rt le systè
e avec « «os qualités morales'subsiste' telle quéllejdahs l'état de
maladie
p,ychiqùé ? qüé"3üns les actes de l'aliéné t'es
t « ,ou"r et que ce a ne peu provenir qu défauts et des'défaii- «
maladie
de la volonté,, de maladie morale , qu'avec l'aid
peu provenir qu défauts et des'défaii- « maladie de la volonté,, de
maladie
morale , qu'avec l'aide dé la « propre voignt6,
' ." Asiles destinés aguérir l'ivrognerie, - par Tilkowski,v 71 ;
maladies
ex- ternes, dans les -, par Bullen, . 23b;, a
r Samuel Garnier, 352, 418. Baseuow, contribution à l'étude de la
maladie
de -, par Angio- lella, 146; troubles mentaux d
la maladie de -, par Angio- lella, 146; troubles mentaux dans la
maladie
de -, par Hirschl, 149. BLEN\oRItHAGIE, contr
nationale de , - 314. i - , . t 4 ? l 10 CHLORALOSE, le dans les
maladies
mentales,par Hossi,226.f ? CHRISTINE, de-Suèd
r Il. Iloppe, 136. 1 , Couleurs, le sens quantitatif des dans les
maladies
nerveuses, par Wolfberô, 197... ? ,. , . Cram
réaction nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions - dans les
maladies
nerveuses,' par Dana, 449. TABLE DES matières
.jr.,ar,>Ea . ! rT..t' "3 s ? K",v 4yi ? i il, ,-» ? '"q» ? fi'.
Maladies
mentales , classification-,^ des'^', par lirnbi
peutiqtie clinique 'dans les - , par Augrisani,, 225 ? , ? yrr,t·
Maladies
NERNEUSES, manuel d'ea-,h4f "'rrien méthodique
4v.~m>f -' . 1 Massage, étude, sur. l'emploi', du ? 0 ? dans les
maladies
nerveuses, par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO
e la sen- sibilité musculaire avec incoor- dination à la suite de
maladies
infectieuses, par Vanni, 217 ? " Mutisme vésa
ey, 150. '-9 1- - ? \Ivo'rows, remarques sur la con- génitale ou'
maladie
de Thomsen, par Thomsen. 189.. ? ? " 1 ? . My
rescences des -, par Beer; 222 : ' ? '' Nerveuses, pathologie des
maladies
, parDana,"184 : ' 0 ? t'- '- NÉvnosF traumat
: ,c· tr. ·· s, ? ·. ? -,r SENSiTiF.s,sur les troubles- dans les
maladies
viscérales, par H. Head, 4O. w 1^ ? 1. rf·rnglf
sion -, par Sullivan, 303. SÉTON,' de l'emploi du -.rdans les 'l'
maladies
." cérébrales, par Erlen- mayer, 452. , Sociét
Tout le monde sait le rôle important attribué, dans la production des
maladies
, à l'ingestion de microbes pathogènes. Les remarq
se à l'âge de trois ans et demi. C'est à partir de cet aase. après la
maladie
, qu il a à commencé à se ronger les ongles. I.a c
vers points de vue : 1. De la santé générale 'absences motivées par
maladie
......----------.....- 2. De lu force physique (
rables que ceux des médicaments : les généralités écologiques sur les
maladies
qui nous apparaissent, d'ordinaire, comme autant
l'hvpno-tisme el de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
eurs a dressé la liste de présentation pour la chaire de clinique des
maladies
mentales, vacante par suite du décès de M. le pro
du matin, salle haute de la Bourse. Des aulo-iiitoxicatioiis dans les
maladies
mentales. — Séance de 2 h. à 6 h. du soir. Des au
les. — Séance de 2 h. à 6 h. du soir. Des auto-intoxications dans les
maladies
mentales. A 6 h., visile des tours de La Roehelle
re, (ln-12. 18 pages. Norsledt et Soner. Stockholm 1803). Gelineau. —
Maladies
et hygiène des gens aerteiu? (un volume in-12» 41
ation de l'esprit sur cette idée. Parmi les pathologiques.ou range la
maladie
dusomuieil. la peur, la colere, les accidents ner
eéile à l'incitation cérébrals', Psychiquement, nous assistons u une
maladie
, à un truiible de la volonté, puisque le patient
solue, sans toutefois fixer une date même approximative, dire ipie la
maladie
ne peu! guérir que graduellement, de façon à ce q
ts. Depuis plus de dix mois, Mme D... n'a eu rien qui lui rappelle sa
maladie
. Je crois être autorisé à considérer ma malade co
urmenage physique ou inoral pourrait encore une fois faire éclater la
maladie
sur son terrain de dégénérescence, héréditaire.
11 mais 1891. Pas d'hérédité. Pas de convulsions dans l'enfance. La
maladie
a commencé il y a 2 mois par une névralgie facial
violence 16 avril. En présence de cet insuccès de l'aggravation de la
maladie
, je proposai à la famille d'employer le traitemen
l'hypno tisme et de la psveliologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psvcho-physiol
ère. C'est de cette epoque que datent ses iniportantes études sur les
maladies
du système nerveux. Membre de l'Aeadémie de mède,
ives tir neurologie, publication la plus importante en France sur les
maladies
du système nerveux. Eu 1883. il était élu membre
Charcitl laisse un hiurd bagage seieutifique. Outre ses Cliniques des
maladies
du système nerveux, ses travaux publiés dans la r
saisit pas dans son développement et qui est à la base de beaucoup de
maladies
par cause morale, telles que: l'hypocondrie, cert
ée, quoiqu'il fût débauché et prodigue. Elle l'avait soigné durant la
maladie
qui l'avait emporté, deux ans avant de venir nie
nnable et névropathe il un haut degré, mais elle n'avait jamais eu de
maladie
grave et elle était d'une force et d'une vigueur
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-phvsiol
un certain nombre ont commis l'acte punissable sous l'influence de la
maladie
; comme conséquence qu'ils doivent n'étant pas res
ans son enfance, ni dans sa jeunesse ; il n'avait même éprouvé aucune
maladie
générale grave. A cette époque survint dans sa fa
le moindre aeeideut. il serait au désespoir si elle était prise d'une
maladie
, mais il veut la tuer. 11 travaille encore pour l
heureusement au moment du crime, rien ne pouvait faire reconnaître la
maladie
; tout le monde se trompe ; si l'erreur est excus
aphysiques. A la fin de ses éludes se produit un premier symptôme île
maladie
: il est un des plus forts de sa classe, il a tou
terner et le médecin de la famille qui a suivi le développement de la
maladie
signe un certificat qui conclut ainsi : « le sous
à la sortiedéfînitive : mais j'avertis la famille que cette forme de
maladie
ne se guérit jamais bien et que le jeune homme pe
mps des fourmillements dans les mains; il ne pouvait pas écrire. La
maladie
infectieuse dont il venait d'être atteint, tel fo
aitement ; pour mol c est une hystérique. En recherchant comment la
maladie
s'était déclarée, voici ce que nous apprîmes :
de quinine, le sali-cylate de soude, etc.. je réussis à guérir cette
maladie
par la suggestion faite en état d'hypnose. Ce q
uer l'hypnotisme. c'est-à-dire son application à la thérapeutique des
maladies
; 2° Il serait utile de savoir, et de faire savo
s, une discussion sur l'application de l'hypnotisme au traitement des
maladies
. A la suite du vole de l'Académie, une loi n'a-
édecine de pratiquer l'hypnotisme et de l'appliquer au traitement des
maladies
, cela équivaut à une autorisation d'exercer le ch
autorisations semblables à des gens qui. sous prétexte de guérir les
maladies
des veux, éborgnent ceux a qui ils sont parvenus
rvoyance «le son sujet, au point de vue de In découverte de certaines
maladies
, je ne l'ai pas constatée, et je n'y crois pas.
ettre ! M. Thiry. — Je crois bien qu'il ne peut pas reconnaître les
maladies
! M. Crocq. — Il se vante eepeudant de les devi
e l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-phvsiol
r bien connu, descend d'une famille dont aucun membre n'a soufiert de
maladie
nerveuse ni mentale. Il jouît dune santé parfaite
s bons soins que vous lui avez donnés et qui ont si vivement guéri sa
maladie
tant au moral qu'au physique. « Je me porte trè
ausse couche accompagnée d'une forte hémorragie. Depuis ce temps la
maladie
s'est aggravée; elle avait des crises tous les de
ace juive. Qu'il s'agisse d'hystérie, d'épilepsie, de neurasthenie.de
maladies
mentales ou de diabète, la proportion d'israélite
ett toujours plus considérable. Les causes occasionnelles de cette
maladie
du vovage sont sensiblement les mêmes que les cau
jà vu quelques-uns de ces malades. A peine pourrait-on confondre leur
maladie
avec certaines autres affrétions. Le mal décrit
l peut sur-venir des améliorations, mais elles sont passagères, et la
maladie
suit son cours pendant de longues années. Le trai
ris, bénédictin anglais qui vivait au temps de Henri Ili. il fait une
maladie
qu'on croirait incurable. Il est comme ravi en ex
frappe en lut. c'est précisément le cachet spécial que lui imprime sa
maladie
et qu'on retrouve dans toutes ses apparitions. »
n projet de créer ici une institution où seraient traitées toutes les
maladies
où la suggestion pouvait être indiquée. Comme je
ant l'année 1802-93. de la suppléance et de la chaire de clinique des
maladies
nerveuses. M. le Dr Wogislaw Soubotisch. membre
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiol
ur Burq. recommencera ses conférences cliniques sur le traitement des
maladies
nerveuses et du diabète par la métallo-thérapie,
de sa cuisine et l'un avait eu de la peine . la réchauffer. Mais sa
maladie
fut sans gravité. Au bout de huit à dix jours, el
xamen minutieux fait par notre collègue M. le Dr Saint-llilaire. Sa
maladie
consiste en un bégaiement d'origine nerveuse. Dep
quelquefois cette dame, sa voix était forte et claire comme avant sa
maladie
. 2° Mlle J... (de Hamm). 20 ans, envoyée aussi
s signalant un peu partout des réapparitions soudaines de la terrible
maladie
. Mon appréhension s'est heureusement trouvée sans
ue chose d'abéo-lamctil génial. Sa couceplîon et sa description des -
maladies
avaient un vernis artistique: son stvle avait que
« mes nerfs » comme une jolie mondaine. C'est sans doute ma sale
maladie
qui m'a valu lotit eela. D'autant, je vous l'avou
s le commencement. — Quand un enfant est aflligé d'une aussi terrible
maladie
. tous les efforts devraient tendre à faire de lui
gence toujours alerte et en éveil, s'ils veulent être certains que la
maladie
ne finira pas par anéantir plusieurs de» plus bel
ervation à cette sorte de fatal regard intérieur sî fréquent dans les
maladies
nerveuses. — Après le « Kindergarten », après l'â
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée s l'Institut psveho-pfiysio
r E. Regis et A. ChevalieR-LaVaure. — Des Auto-intoxieations dan» les
maladies
mentales (Session de la Rochelle. 1993). — Us rol
Saint-Germain. Paris. 1893). Dr E. Momx. — Hygiène et traitement des
maladies
de ta peau (Un vol in-8s, 100 pages. Société d'
t la force de l'ordre le plus élevé que la nature (1) Th Ribot. Les
maladies
de ta volonté (Conclusions grui-ralcs. p. 175).
l'essentiel, dans les réalités physiologiques. L'éminent auteur des
Maladies
île la volonté, ne méconnaît nullement d'ailleurs
de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée â l'Institut psveho-physiol
ns pratiques d'électro-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). —
Maladies
nerveuses et mentales. — M. Magnan : Amphithéâtre
dans Us diverses psychoses. Asili clinique. — Cours de cliniqur des
maladies
mentales et des maladies de l'encéphale. — M. le
s. Asili clinique. — Cours de cliniqur des maladies mentales et des
maladies
de l'encéphale. — M. le professeur Uomor. Amphith
ordeaux. — M. le D' Ricis est chargé, pour l'nonée 1891. du cours des
maladies
mentales près la Faculté de Bordeaux. OUVRAGE
de faiblesse des centres nerveux. Ainsi peuvent être inleprétécs ces
maladies
de la volonté fort bien analvsées par M. Ifibot.
stanline. faisait son droit à Paris. Rappelé en Algérie par une grave
maladie
de sa mère, il fit la connaissance de Mme G... fe
evoir être étendues à la neurasthénie. En effet, la neurasthénie ou
maladie
de lîeard, dont les monographies de Bouveret et d
de 56 ans. Comme le faisait remarquer le Dr Lévy, la neurasthénie. «
maladie
d'otlicier plutôt que île soldat, affecte de la p
i l'obligeait à aller à la garde-robe de 10 à 13 foi» par jour. Cette
maladie
le gênait beaucoup et lui faisait appréhender les
remarqua, non sans ennui, qu'il avait conservé les inquiétudes que la
maladie
avait fait uailre. Aiusi. à l'idée de l'embarras
rtiment de chemin de fer ou un omnibus. Dans les premiers temps de sa
maladie
, quand il voyageait encore, nul ne saurait dépein
a vivacité de l'intelligence, il a tenujroniple de l'influence que sa
maladie
exerçait : sur ses aptitudes professionnelles. Il
nts : 25 ans : premières règles. 18 ans ; enceinte de 4 mois ; pas de
maladies
antérieures. Elle eontmença t vomir dès le débu
onde extérieur, mais à moins d'avoir une connaissance approfondie des
maladies
mentales nul ne peut être sûr quis dans le récit
de méditer. Dr DUMONTPALLIEr, Membre de l'Académie de médecine.
Maladies
et hygiène des gens nerveux. Par le Dr GELINEAU
e collaborateur, le Dr Gélineau. où il passe en revue les principales
maladies
nerveuses qui sont, pour ainsi dire, la caractéri
out le monde. Prise entre les habitudes qui la rendent inutile rl le»
maladie
» qui la mutilent on la détruisent, la volonté est
vulgaire et les vieux praticiens savent bien qu'un bon moral dans une
maladie
est un facteur important de guérison. Quant aux
de Witkowski. Scorbut. — Lînd, qui a écrit un gros volume sur cette
maladie
— dont il ne faudrait pas juger la fréquence d ap
lousain. • Je ne pousserai pas plus loin. Messieurs, l'examen des
maladies
curables par le rire et la bonne humeur, niais vo
rs! Ce sont de rudes soldats, constituant un corps d'élite, auquel la
maladie
n'ose guère se frotter. Les joyeux guérissent t
sait : « La joie est le soutien de la santé et le contre-poison de la
maladie
. » C'en est assez, je suppose, pour justifier m
er la douleur, pour procurer hs sommeil, et pour soulager beaucoup de
maladies
fonctionnelles. — En ce qui concerne son effi
e l' hypnotisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psycho- ph
ndications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des
maladies
nerveuses et mentales. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE IN
que chez tous. Elle n'influence pas les microbes, agents toxiques des
maladies
infectieuses, elle ne modilic pas directement le
éré, etc. Et cette hallucinabililé extrême une lois produite, celte
maladie
nerveuse une fois créée n'est pas toujours facile
suggeslibililé, du mode de la suggestion. Si la douleur est due à une
maladie
organique, un cancer, par exemple, qui l'entretie
elle renaîtra sans cesse, jusqu'à ce que l'évolution anatomique de la
maladie
soit terminée. Si cette douleur est purement fonc
de douleurs ou autres symptômes purement nerveux, se greffent sur les
maladies
organiques les plus diverses et que la suggestion
agion. Th. Gallard a dit 1 ci I,a contagion rat l'acte par lequrl une
maladie
déterminée se communique d'uu individu qui en est
une nuire, affectée d'une névrose quelconque, peu! contracter la même
maladie
, et il ajoute ; ce n'est pas là une contagion. D'
s sommes absolument d'accord avec tous les raient-biologistes, qu'une
maladie
ne peut-être contractée que lorsque ces deux cond
tels malades, n'étaient-elles pas des manifestations bénignes de ces
maladies
, qui n'ont pas pris un plus grand développement,
dire que nous n'avons pas la prétention de ranger le crime parmi les
maladies
infectieuses et de chercher le microbe, ni même d
vue pratique, il est plus important de connaître de quelle façon les
maladies
passent d'un organisme à un autre, que de savoir
bles, quoi qu'il arrive, d'augmenter ou de diminuer sa puissance. Les
maladies
nous intéressent davantage et si nous connaissons
sychose de it n est contingente de la psychose de A qu'au début de la
maladie
; plus tard elle poursuit une évolution indépendan
quitter la France, pour aller occuper la chaire de physiologie et des
maladies
du système uerveux â Harvard L'uiversily. Nous le
i appliqué à établir la plus grande analogie entre la contagion d'nue
maladie
virulente et la transmission de Certaines idee* d
taire. Parlant du fanatisme religieux il «exprime ainsi : ¦ C'en! une
maladie
de I esprit qui »¦ gagne comme la petite vérole.
de l hypnotisme el de In psychologie physìologiquc. une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à I Institut psvchos physio
seur Morselli s'est chargé de la direction de lu consultation des
maladies
nerveuses. L'installation de sa clinique est très
dications de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement tics
maladies
nerveuses et mentales. Facclte de .medecine de
Itayiunnd vient d'être nommé professeur à. la chaire de Clinique des
maladies
du système nerveux en remplacement de M. professe
sur les modifications de la mémoire suivant l'état de guérison ou de
maladie
, sur le parallélisme des troubles de la sensibili
e la suggestion hypnotique est appelée à rendre dans le traitement de
maladies
nerveuses et mentales. M. Bcncdickt, do Vienne, d
det qui est l'objet do notre observation. M. X... n'a eu aucune des
maladies
habituelles de l'enfance et après avoir pansé san
e ta cure! C'est vrai, mais qu'importe? Quand il s'agit de guérir une
maladie
rebelle, peu nous chaut le moyen, pourvu que le s
blic le rapport étroit qu'il y a entre cet état d'esprit et certaines
maladies
mentales. Il est possible qu'après cette enquête
cartonné à l'anglaise, i fr. — Félix Alcan éditeur). L'hérédité des
maladies
nerveuses et leur parenté avec les maladies diath
diteur). L'hérédité des maladies nerveuses et leur parenté avec les
maladies
diathésiques est udmise depuis longtemps, mais il
de l'hypnotisme et do la psychologie physiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée â l'Institut psychologique.
e Docteur Auguste Voisin, reprendra ses conférences cliniques sur les
maladies
et les affections nerveuses, le jeudi 31 niai 180
périmentale, In-8°, 116 pages. Alcaii, Paris, 1891. df aubel. — Les
maladies
par réactions nerveuses et tes eaux de Neris, in-
urasthénie imaginative a l'excès. Elle est sans cesse a l'affût d'une
maladie
ou d'un événement susceptible d'ébranler -on syst
e nocturne d'urine n'est ni un symptôme, ni, à plus forte raison, une
maladie
; elle serait souvent le résultat d'une éducation
s formes est la nosophobie ou pathophobic, c'est-à-dire la peur de la
maladie
. Cette idée fixe ou plutôt celte obsession est pl
ondrie c'est, parmi les autres signes le caractère paroxystique de la
maladie
, caractère qui ne fait presque jamais défaut. Je
faut. Je n'ai pas l'intention de faire la description détaillée de la
maladie
. Je veux seulement signaler diverses remarques qu
ion est arrivee à un tel degré qu'elle a provoqué les symptômes de la
maladie
qu'ils craignaient. Les deux malades, aussitôt qu
parcouru les traités de médecine et, en étudiant les symptômes do la
maladie
qu'ils craignaient, sont arrivés au point d'avoir
l'empire de cette auto-suggestion, le malade croit qu'il a attrapé la
maladie
qu'il cruint et, surtout après l'avoir étudiée da
des souffrances au nosophobe. comme s'il était vraiment atteint de la
maladie
dont il a peur. Mais, aussitôt que le malade ou e
ant. J'ai remarqué que la plupart des nosophobes craignent soit une
maladie
de poitrine, de la mœllc épinière ou du cerveau.
poxpadyas. Le calcul mental est impossible. Il n'a jamais subi aucune
maladie
, et à part quelques originalités il n'a jamai
'étant pas satisfait, il cherche des livres médicaux concernant cette
maladie
, il étudie à fond les symptômes, depuis au lieu d
suite de laquelle il a gardé le lit pendant un mois. Au momcnl de sa
maladie
il a confié sa maison de commerce â son premier e
sa canne sans s'en apercevoir, en pensant à tout autre chose qu'à sa
maladie
sans éprouver aucune difficulté. Voyant, me disai
ce dont il peut vous donner une description parfaite. Ayant étudie la
maladie
il a subi une auto-suggestion, s'examinant lui-mê
é générale même avec les yeux fermés, le caractère paroxystique de la
maladie
avec l'anxiété et l'angoisse, et en plus le fait
uelques séances il a attrapé la fièvre typhoïde avec du délire. Cette
maladie
, d'une durée de deux mois environ, a aggravé un p
elle, qu'elle peut amener l'apparition de symptômes simulateurs de la
maladie
redoutée. Le rôle de l'auto-suggestion étant ai
de l'hypnotisme et do la psychologie psysiologique. Une clinique de
maladies
nerveuses est annexée à l'Institut psychologique.
e docteur Auguste Voisin a repris ses conférences cliniques sur les
maladies
et les affections nerveuses , le jeudi 31 mai 189
ue, 150. Loi sur l'hypnotisme devant l'académie de Belgique, 120.
Maladies
et hygiène des gens nerveux, par Gélineau, 256.
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