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1 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
out dans les cas où l'intervention du médecin a été trop tardive ou mal dirigée. Non seulement la polyné- vrite aiguë c
eu. Trois ans plus tard, c'est-à-dire vers l'âge de 28 ans, il prit mal : ') une noce. Il fut très long à se remettre e
ormalement. Dé- 24 G. ROSSOLI110 Olga S. Michel S. Nicolas S. mal . Le 3° jour de développement fut veloppement nor-
ppement fut veloppement nor- sa vie supporta une normal. Pas de ma- mal . Comme mala- maladie aiguë de ladies à signaler
a- maladie aiguë de ladies à signaler diesde l'enfance eut nature mal déter- dans le bas âge. A la rougeole et une mi
colas S. rentes, la ligne est malade écrivait tou- oblique. jours mal , mais le dernier temps écrit encore plus mal.
ou- oblique. jours mal, mais le dernier temps écrit encore plus mal . Sensibilité La sensibilité est Idem. Idem, (
à gauche : 44 ; ments sont nor- malies visibles de celle des jambes maux et ne présen- conformation. Le adroite : 3 ? te
u à terme; la première ne criait pas, ne remuait presque pas, était mal et mourut le 15e' jour par débilité; trois jours
. En un mot, tableau habituel de l'hydrocéphalie. L'enfant tétait mal , ne dormait presque pas. Les extrémités inférieur
nt seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, mais mal développé, et le faisceau de Goll et de Burdach
l'hydrocéphalie. Les fibres arciformes internes sont marquées très mal et seulement dans la partie supérieure ; les li
ongitudinal postérieur; en dessous la formation réticu- laire, mais mal développée dans sa partie basale, en dehors nous
térieur, les fibres arciformes internes de la formation réticulaire mal développées, la couche latérale des fibres sens
-dessous de l'ouverture de la colonne vertébrale la moelle est nor- male , excepté un très grand développement des vaisseau
est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0); les cordons postérieurs sont mal formés. La formation, située en arrière, est se
elle se redresse dans la cavité buccale. La parole est traînante, mal articulée mais non scandée; la physiono- mie es
e. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE LE MAL D'AMOUR PAU HENRY MEIGE. Vers le milieu du
épidémie insolite fit son apparition dans les Pays-Bas. Singulier mal ! ... Seules, les femmes en étaient frappées, et
allait en maître. On en souffrait de cruelle manière ; pourtant, ce mal n'était pas sans attraits. Au surplus, l'on n'e
urine, drogua, purgea, saigna, puis, finale- ment,... se retira. Le mal n'était pas de sa compétence. Sur cette mystéri
ui seul nous devons, pour le moins, huit peintures inspirées par un mal , qui, semble-t-il, faisait rage parmi les jeunes
st-ce pas ainsi que procèdent les meilleurs moralistes ? Le gro- LE MAL D'AMOUR 59 tesque de Panurge n'empêche pas que
-accords de sa guitare égayaient toute la maison. Aujourd'hui, le mal vient de la frapper : (1) A'8TEl\IJAM, Kijk Mus
RE. T, XII. PL, XII Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule La Mal
, eu Rijks-Museum d'Amsterdam. )¡I.\SSO 1 : 1' CI", Editeurs. LE MAL D'AMOUR 61 Elle a perdu ses roses couleurs ; el
ndaise ! Hélas ! elle est sans forces et sans courage : tout lui fait mal , tout lui est indifférent, tout l'ennuie. Sa pa
enfouit son petit minois dans un gros oreiller. Quel peut être son mal ? ... Une grande pesanteur de la tète ? ... Il se
de la Faculté dissertent encore pour savoir s'il faut attribuer ce mal à quelque vapeur subtile engendrée par quelque
qui se passe autour d'elle. Cependant, il n'est pas douteux que le mal l'il[ brisée au point de l'obligera garder le ]
T. XII. PL. XIII. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Un méd
ue malade au Musée royal de la Haye. Maison et C-1, Éditeurs LE MAL D'AMOUR 63 le préparer. Opulente personne, dont
evine toute l'angoisse d'un remède qui, peut-être, sera pire que le mal , et l'on prévoit que, si elle osait, la jeune a
. Au demeurant, celle scène intime n'éclaire guère sur la nature du mal . L'ensemble en est séduisant. La figure de la m
ar la propriétaire de céans ne semble pas à même de l'apprécier. Le mal l'a brisée; tout ce qui l'en- toure demeure ign
T. XII. PL. XIV. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstacngl. MAL D'AMOUR Tableau de Jan Steen, intitulé Un méd
fille au Musée royal de la Haye. 11 ssoa et CI( ! , Éditeurs LE MAL D'AMOUR 65 ses gants, les larges bords de son c
te à ses méchantes atteintes..... Souffrez donc que je connaisse le mal qui vous importune et daignez me permettre de con
savoir davantage et je me tiens pour complètement édifié sur votre mal . Nous en aurons raison de par la médecine, et v
pour ins- pirer confiance ? ... Mais qu'importe 9 Certainement, le mal n'est pas grave. Jean Steen nous le fait entend
faire de vos médecines, et je sais quelqu'un qui ferait déguerpir le mal en moins de temps qu'il ne vous en faut pour lu
ailleurs un peu. Mais il ne nous fait pas connaître la nature de ce mal dont la patiente pleure et dont la suivante se ri
r de la jolie malade... Là est la blessure dont elle souffre, et ce mal mystérieux qui la fait tant languir, mal dont l
e dont elle souffre, et ce mal mystérieux qui la fait tant languir, mal dont le médecin cherche en vain la cause, et dont
vain la cause, et dont la camériste sourit à bon escient, c'est un mal qui souvent s'attaque au coeur des jeunes femme
en sont les tourments ; mais aussi le remède en est doux C'est le Mal d'amour ! .... Veut-on, dès à présent, avoir co
T. XII. PL. XV. Cliché Hansstaengl. Photograuire Hansstaengl. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule Un méd
à l'ancienne Pinacothèque de Munich. Masson et Ciao, Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 67 le pouls du bout des doigts en faisa
vie dégoûter, à présent me répugne Tout m'indiffère, tout me fait t mal ... Ne m'ordonnez aucune médecine. C'est bien fini
maîtresse : « Eh quoi, Madame, sied-il de vous tant désoler ? Votre mal n'est pas sans remède. Voici monsieur le docteu
tions du monde. Car la belle Hollandaise est encore une victime du Mal d'amour. Et ce mal a ses médecins qui ne porten
r la belle Hollandaise est encore une victime du Mal d'amour. Et ce mal a ses médecins qui ne portent bonnets ni rabats,
nt bel is miune pn. » Ici, la médecine ne peut rien, Car c'est le mal d'amour. 68 HENRY MEIGE Mal d'amour ! .... Te
médecine ne peut rien, Car c'est le mal d'amour. 68 HENRY MEIGE Mal d'amour ! .... Tel est donc ce mal mystérieux qui
le mal d'amour. 68 HENRY MEIGE Mal d'amour ! .... Tel est donc ce mal mystérieux qui, s'il faut en croire Jan Steen,
La peinture semblerait le démontrer. Faut-il la croire ? Certes, le Mal d'amour existe. Mais il est de tous les temps et
a déconcerté les médecins et s'est gaussé de leurs médecines. Le Mal d'amour n'est pas spécial à la Hollande. Nulle pa
grâces langoureuses que font éclore les penchants contrariés. Leur mal est à la fois physique et psychique. Le médecin n
e qui semble dépaysé dans le langage médical. Qu'est-ce donc que le Mal il 'amour ? . (A suivre.) Le gérant P. Bouche
gne de démarcation entre les tissus malades et les tissus sains est mal déterminée ; et il serait abusif de considérer
Tel est le cas de la plupart des maladies familiales. Le « germe du mal » re- monte à la période blastodermique, mais r
quatre enfants dans laquelle les trois ainés sont affligés du même mal . Ainsi la dystrophie est familiale : indice qu'
ui rappelle celui d'un humérus normal. Cette reprise de volume nor- mal porte aussi sur l'extrémité inférieure de cet os
avant-bras et le lui soutenir. N'est-ce pas là le cri qui indique son mal ? Nous pensons que les phénomènes de compressio
amas cellulaires dont est semé le nerf à cet endroit a l'état nor- mal avait presque totalement disparu. Ces cas sont
s. On le confond communément, en clinique, avec le problématique et mal défini sens musculaire. On dit par exemple que
l'activité de ses muscles, ce n'est même pas parce qu'il coordonne mal ses efforts mus- culaires,c'est simplement parc
al ses efforts mus- culaires,c'est simplement parce qu'il approprie mal ses efforts. Et s'il appro- prie mal c'est parc
mplement parce qu'il approprie mal ses efforts. Et s'il appro- prie mal c'est parce qu'il ne se représente plus l'attitud
, et le mouvement absurde de l'ataxique coordonne bien et approprie mal , parce qu'il est troublé dans la représentation d
'un grossissement énorme de tout le champ vi- suel qu'on s'explique mal . L'obnubilation visuelle qui accompagne l'irrit
près que la roue eût achevé son demi-tour : il se releva sans aucun mal , mais très effrayé par cet accident il se mit à
SON A Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 181 male sans déformation appréciable, dételle façon que l
ntale. Il conti- nue son travail durant quatre jours, tant bien que mal , et cesse alors en constatant lui-même dans la
'enfant avait dormi sur la terre humide deux mois avant le début du mal , et c'était là la cause unique qu'on pût retrou
inal, il est tantôt rapproché du rachis, tantôt il la distance nor- male . D'autre pari, il est quelquefois écarté du thora
ant de brides amniotiques : l'hypothèse de ces cicatrices cadrerait mal avec l'étendue de la lésion et son aspect rétic
ions d'une pièce de 20 cen- times. Depuis quelque temps, souffre de maux d'estomac et est essoufflée quand elle court.
nt les cellules semblent aug- mentées de volume ; elles se colorent mal par les réactifs, soit picro-carmin, soit coule
d'un tissu scléreux très ancien; ces ilots musculaires se colorent mal par le picro-carmin. Au milieu du tissu con- jo
il tous les syphilitiques, quelle que soit l'intensité apparente du mal , et que peut-être les cas malheureux que nous ven
tout à l'éruption ac- tuelle. Les cheveux tombèrent, la malade eut mal à la gorge, et le mari, qui lui aussi avait des
et recommandais il la malade de prendre cette médication, fùt-elle mal tolérée, pendant 6 semaines. Loca- lement, aux
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LE MAL D'AMOUR (Suite). PAR HENRY MEIGE. II «
médecins les plus distingués du siècle précédent. Pour connaître le Mal d'Amour, on ne saurait mieux faire que de s'adr
médecin. Précurseur des psychologues modernes dans sa conception du mal d'ai- mer, Sauvages y reconnaît déjà un trouble
n l'envisageant comme une forme psychopathique spéciale (2). Le « mal d'amour » se manifeste donc par des signes psychi
scription l'on ne peut guère se méprendre, et au XVIIIe siè- cle ce mal portait déjà un nom dont le parrain, Jean Varanda
r, Bibl. de philosophie contemporaine, 1894, cité par Grasset. LE MAL D'AMOUR 229 « ...Anémie de la puberté, spontané
t la taille des globules normaux (1). » Telle est la chlorose. Le mal d'amour aurait-il été aussi tout cela ? Peut-être
soloistes ont laissé tomber dans le discré- dit à la fois le nom de mal d'amour et l'idée qui s'y rattache. Les termes
sition à la maladie. En définitive, aujourd'hui, il n'y a plus de mal d'amour. Ce qui 'existe, ce qui est digne de fi
iens de parenté qui unissent la chlorose contemporaine au ci-devant mal d'amour du XVIIIe siècle. ' * .. < La
» dont il parle dans sa thèse. C'est la chlorose et c'est aussi le mal d'amour. (1) LIZET, La chlorose, Bibl. Charcot-
l existait aussi une mélancolie d'amour, provenant d'une passion LE MAL D'AMOUR 231 immodérée pour l'objet aimable, laq
d ». Aussi ne doit-on pas être surpris de lire dans Sauvages : « Le mal d'amour expose à de graves complications : la m
. Ainsi, dans les idées comme dans le langage médical de l'époque, mal d'amour et chlorose sont unis il ce point qu'il
iment faire injure à ces gracieuses enamourées que de désigner leur mal par ces termes rébarbatifs de « dyscrasie », de «
as ne pas être frappés de la véracité avec laquelle les peintres du mal d'amour ont mis en évidence certains caraclères
En tout cas, c'est, au premier chef, le signe pathogno- monique du mal d'amour. Sauvages le proclame, s'en référant lui-
qui aime pâlit ù l'aspect de ce qu'elle aime. » Telle était une LE MAL D'AMOUR 233 A vrai dire, dans les peintures de
inquiéter outre mesure sur la gravité de la situation. Pour lui, le mal est éphémère : il se dissipera au premier billet
are qu'on observe chez elles une sorte d'embonpoint de cause encore mal définie : turgor vitrtlis ou 1 ! 11111)ha- ticu
t d cette invincible lassitude qui semble paralyser les victimes du mal d'aimer. N'est-ce pas justement l'état moral de
eur procure un repos introuvable, insensibles aux propos joyeux, LE MAL D'AMOUR 235 aux paroles réconfortantes, incapab
moisons qui semblent bien se rattacher aux funestes conséquences du mal 1 d'amour. Dans l'histoire clinique de la chl
ts : il s'accélère et devient bondissant. Il en est de môme dans le mal d'amour. « L'amour, dit Sauvages, est facilemen
nfin de migraine, il est constant que les chloroliques souffrent de maux de tète. Les malades d'amour témoignent surabon
urabondamment par leurs attitudes qu'elles sont atteintes des mêmes maux . Tantôt, accoudées contre un meu- ble, on les v
emède obligatoire contre toutes* douleurs ou névralgies. Au moindre mal de tête, on posait loco dolenli un emplâtre de gr
la racine debrione cuite sous les cendres chaudes (1 ) ». Contre le mal de dent, on conseillait les emplâtres de mastic.
illait les emplâtres de mastic. « Vous portez une mouche, avez-vous mal aux dents ? » lit-on dans une satire de Courval
cution proverbiale, encore usitée de nos jours, dit explicitement : « Mal de dent, mal d'amour. » D'où vient ce rapproche
ale, encore usitée de nos jours, dit explicitement : « Mal de dent, mal d'amour. » D'où vient ce rapprochement ? De la si
ochement ? De la similitude du remède peut-être, de la mouche. LE MAL D'AMOUR . 237 Ces emplâtres recouverts de taffe
admettait d'intimes relations entre les désordres menstruels et le mal 1 d'aimer. Faut-il s'attendre à ce que la peint
prétation aussi risquée. Ce n'est pas tout. La thérapeutique du mal d'amour, telle qu'on la comprenait alors, vient
ion de citer son poète favori, fait remarquer avec Ovide que, si le mal n'est pas incurable, les malades cependant répu
d'air, les divertissements, les exercices violents, etc... » ' LE MAL D'AMOUR 239 A ces prescriptions qu'aucun médeci
cer une influence heureuse sur cer- taines formes de chlorose. Le mal d'amour était justiciable du même traitement. L
que sa languissante maîtresse n'a d'autre maladie qu'un très grand mal d'amour : « La meilleure médeçaine que l'an pou
ibarbe et de séné, et qu'un mari est un emplâtre qui gârit tous les maux des filles (2) ». Tel était aussi, à n'en pas d
n'en pas douter, l'avis de maître Jan Steen sur la thérapeutique du mal d'amour. - * . .. * De tout ceci faudra-t-j
dans le langage populaire, mais encore dans les écrits médicaux, le mal d'amour était considéré contre une vérita- ble
enfin et surtout, que des artistes contemporains voulant peindre le mal d'amour, ont doté leurs malades d'un certain nom-
olées. Bien mieux que par ces conditions étiologiques douteuses, le mal d'amour devait frapper les artistes par la caus
ncolie que rien n'arrive à vaincre, et tant d'autres indices où les maux de l';ime semblent à ceux du corps intimement m
tile de chercher ailleurs la raison d'être de leur prédilection. LE MAL D'AMOUR 241 Enfin, on sait combien sont fréquen
ine de tableaux de l'école hol- landaise que l'on peut rattacher au mal d'amour. Et cette liste n'est peut- être pas cl
Dow, d'autre part, semblent avoir été les premiers illustrateurs du mal d'amour. Frans van Mieris, Vletzu,'lerborch, Ne
Frans Hais et Rembrandt, n'ont, ni l'un ni l'autre, repré- senté le mal d'amour. Ce n'est donc pas dans l'oeuvre de Rembr
nt. Par terre, le réchaud, le panier d'osier à mettre t'urinai, et, mal dissimulé sous la table, le vase i-ntimè que Ja
f ahandon de tout son être, quelle lamentable désespérance ! . .Le. mal d'amour l'a prise et l'a frappée 'de cruelle mani
d'amour l'a prise et l'a frappée 'de cruelle manière. Vraiment, ce mal .est. sans pitié. - Celle- belle enfant qui ne d
provocatrices, qui semblent exposer plus grièvement aux blessures du mal d'amour. Ainsi l'avait remarqué Varandal. Ain
hwerin. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XXXV. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Mal
Braun, Clément et Cil'. Photogravure Rougeron, Yignel'ol, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de JnN STSCN, intitulé La Vis
usée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. Masson ET Ci», Editeurs LE MAL D'AMOUR 243 Par habitude, il a pris l'urinai ;
de la malade et qui suffit à dissiper toute impression pénible. Un mal que le médecin se permet de rallier ainsi sous
Médecine, tu n'es bonne à rien céans. . Ne vois-tu pas que c'est le mal d'amour ? Plus de doute sur le diagnostic. Et p
u, qui, nonchalamment .s'abandonne. - « J'entends, c'est ici que le mal la lient », - et de sa main le médecin montre s
- ajoute-t-il, je regrette fort de n'être pas moi-même la cause de ce mal là, car je l'aurais guéri de merveilleuse maniè
ideaux rouges. C'est lui peut-être qui représente ici la « cause du mal » en personne, un Cu'pidon de chair et d'os. l'
en personne, un Cu'pidon de chair et d'os. l'« agent provocateur du mal d'amour.. » (1). Nous signalerons encore ici, b
, p. HO- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XII. PL. LXXVII MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Le Cou
buvant. au Rijk Museum d'Amsterdam. MASSOX et Cie, Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 245 d'abord séduite dans l'atelier de m
a main gauche placée sur sa poitrine, semble indi- qner le siège du mal ». Voilà qui ressemble singulièrement au mal d'
di- qner le siège du mal ». Voilà qui ressemble singulièrement au mal d'amour. Et en vérité, il est très possible que
noire au niveau de la tempe : indice d'un emplâtre ré- vélateur du mal d'aimer. On pourrait s'étonner que pour prendre
cher ce tableau il la série que le maître hollandais a consacrée au mal d'amour. Mais voici maintenant que maître Steen
s victimes d'une chaste passion contrariée, souf- frant de tous les maux de la fièvre amoureuse. La Visite à la malade d
este. C'est cependant une scène médicale et il n'est pas dit que le mal d'amour ne l'ait pas inspirée (Pl. XXXVIII).
s, dans la plus complète insouciance de son audacieux négligé. Le mal qui l'a, frappée est-il grave à ce point qu'elle
de vin d'Italie. C'est dire clairement que l'appétit ne va pas trop mal . . Grave ou non, la maladie cependant existe. U
lié Dcwald (La Haye). Photogravure Ilougeron, Y'gnerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitulé La Vis
u Baron Steengracht, à La Haye. l\IA8o : \ 1;1' Cic, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 247 le chapeau sur l'oreille, la coller
se sous une ombre de moustache tortillée : « Peste, dit-il, le beau mal à iiié(liciiiienier Ah ! que n'ai-je le moyen d
Un surtout ! .... Mais je n'en ai pas qualité Car, évi- demment, le mal est là ! », - et ce disant, notre homme met la ma
e. Mais le clystère faisait-il partie de l'arsenal thérapeutique du mal d'amour ? S'il est vrai que mal d'amour et ch
tie de l'arsenal thérapeutique du mal d'amour ? S'il est vrai que mal d'amour et chlorose ont d'étroites affinités, c'e
thérapeutiques, fai- sait partie' des médications usitées contre le mal d'amour. ' Etait-il « discussif ou 'carminatif,
T XII, PL. XXXIX. Cliche Loewy (\"JeuHe\. Photogravure Loewy. MAL D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Vis
in. Collection Nostitz, à Prague. .\IASSON et CI', Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 249 La malade elle-même dissimule mal s
t CI', Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 249 La malade elle-même dissimule mal son sourire. Quant au médecin, nous l'avons vu,
ni grave ni dou- loureuse. Et sans préciser autrement la nature du mal ni celle de l'opéra- tion, simple clystère évac
quelque désordre génital, l'un ou l'autre d'ailleurs applicables au mal d'amour, - rendons encore une fois hommage au m
e me suis demandé si maître Steen n'avait pas voulu nous montrer un mal d'amour d'une nature toute par- ticulière. La d
offe ne dissimulent qu'à demi la rotondité suspecte. Après tout, le mal en question n'est peut-être encore qu'une consé
leau de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître une forme du mal d'amour qui n'a rien de commun avec les précédent
sa gorge rebondie. L'ensemble repré- sente assez bien une femme en mal de grossesse, souffrant de pesanteurs, de const
e famille. Nous dirons donc qu'il s'agit encore ici d'un épisode du mal d'amour, mais du mal qui provient de l'amour co
s donc qu'il s'agit encore ici d'un épisode du mal d'amour, mais du mal qui provient de l'amour consommé. Un dernier dé
é sur sa tempe droite l'emplâtre traditionnel destiné à adoucir ses maux . Enfin n'oublions pas la servante qui arrive pa
s de Jan Steen qui nous ont paru se rattacher de près ou de loin au Mal d'Amour. Neuf tableaux, - sans compter ceux qui
ne l'indication de plusieurs oeuvres de Jan Steen qui appartien- LE MAL D'AMOUR 251 Et si Boissier de Sauvages, au XVII
de l'amour, sans contredit il mérite bien le surnom de « peintre du mal d'amour ». Il est impossible de séparer de l'oe
on hésite NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XL, MAL D'AMOUR Tableau de R. Brackenburgh, intitulé
UR Tableau de R. Brackenburgh, intitulé Il n'y a pas de remède au Mal d'Amour. Musée Boijmans, à Rotterdam. lassoa
Amour. Musée Boijmans, à Rotterdam. lassoa rr C °, Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 253 souvent clans leur attribution. L'i
696. 11 s'agit d'un peinture intitulée : il n'y a pas de remèdes au mal d'a- mour (1) (PI. XL) au musée Boijmans, à Rot
e de douleurs abdominales ? ... Et quelles douleurs ? ... Est-ce un mal ovarien que pourrait soulager la compression, que
Et c'est justement là ce qui semble mettre en gaîté l'assistance. Le mal pour lequel on amande le médecin n'est pas préc
e bonne sage-femme ferait sans doute bien mieux l'affaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au mal d'enfant. A ce ma
oute bien mieux l'affaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au mal d'enfant. A ce mal en effet, comme le dit la lé
ffaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au mal d'enfant. A ce mal en effet, comme le dit la légende, on ne connaî
T. XII. PL. XLI. Choho liaiiistaeiigl. l'hotogravurellaasstacng MAL D'AMOUR Tableau de S.1MUEL VAN HooGSTRAATEN, au
RAATEN, au Rijk Muséum d'Amsterdam. IASSO\ LT C ? l : diL2UCS. LE MAL D'AMOUR 255 VI . Sous l'influence de l'école
MAL D'AMOUR 255 VI . Sous l'influence de l'école de Rembrandt, le mal d'amour revêt un as- pect plus sévère. La not
rées prend un nouvel attrait, plein de charme et de séduction. Le mal physique demeure cependant visible, mais on devin
il en connaît la cause; il veut nous associer sa compassion pour le mal charmant qui s'attaque à de si jolies malades.
, toute équivoque disparaît; toute plaisanterie serait déplacée. Le mal d'amour est un mal dont on pleure : sur ce mal il
isparaît; toute plaisanterie serait déplacée. Le mal d'amour est un mal dont on pleure : sur ce mal il faut nous apitoyer
serait déplacée. Le mal d'amour est un mal dont on pleure : sur ce mal il faut nous apitoyer. Aussi, plus de médecins
de symboles ou de lé- gendes, les stigmates physiques suffisent. Le mal d'amour frappe plus haut, mais il frappe toujou
v. Il. - Vendu en 1833 850 florins. Collection van der Hoop. - LE MAL D'AMOUR 2S'7 jeune femme, - la malade - et un h
plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du mal . C'est le Mal d'Amour ! Samuel van Iloogstralen
mes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du mal. C'est le Mal d'Amour ! Samuel van Iloogstralen a rendu tous
T. XII, PL. XLII. Cliché IIansstaeng l'hotograwro nansslacngl. MAL D'AMOUR Tableau de GLRARD Dow, à Buckingham Pal
r G. NETSC11ER, au Musée de Dresde. Masson et CU ! , Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 259 C'est peut-être la plus belle produ
regard tous les dé- tails de l'examen. Nul doute sur la nature du mal qui l'afflige. C'est le Mal d'amour. Voyez son
de l'examen. Nul doute sur la nature du mal qui l'afflige. C'est le Mal d'amour. Voyez son teint d'albâtre, ses lèvres
une large mouche, bien en vue, tranche par sa noirceur sur le blanc mal de la figure, stigmate certain de la maladie. E
ain droite appuyée contre la poitrine montre clairement le siège du mal : c'est le coeur, dont les battements tu- multu
ie, il oublie les attraits de sa jolie cliente pour ne songer qu'au mal qu'il veut dépister. Et, détournant ses regards
pédantes- ques. , Voilà bien la tenue qui convient au médecin du mal d'amour. Et, s'il manque à ce jeune docteur l'e
-il mieux en mesure qu'un confrère au chef blanchi de comprendre le mal dont souffre la belle clame. Mais qu'il se garde
dont souffre la belle clame. Mais qu'il se garde de la contagion ! Le Mal d'Amour guette parfois les hommes : il n'est pa
a une variété d'infantilisme qui se traduit par une fragilité anor- male et, si je puis m'exprimer ainsi, par une sénilité
. 1 A. On n'insiste pas assez sur les antécédents héréditaires d'un mal aussi essentiellement héréditaire que le myxoed
is il y a récidive. Quand elle laisse le médi- cament, le retour du mal s'annonce en premier lieu par de la pesanteur de
e beaucoup de douleurs musculaires des membres et attribue tous ses maux au rhumatisme. La constipation est opiniâtre. Au-
recours, les DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 285 progrès du mal . Dans classe pauvre, où l'on se fait arracher les
la vue et de l'ouïe (1). Les patients voient des ohjets à contours mal définis, ressemblant à des chats, des rats ou des
onique bénigne. L'appauvrissement thyroï- dien se manifeste par des maux de tète qui ont été longtemps attribués à l'ané
eusement affectés. Invaria- blement, les patientes attribuent leurs maux au rhumatisme. Cette expli- cation rencontre d'
l'immense majorité des cas, dans l'insuffisance bé- nigne. C'est un mal de toute la vie. Elle existe dès l'enfance, trave
ut encore être invoqué. Les hypothyroïdiens attribuent tous leurs maux céphalée, rachial- gie, névralgies, douleurs de
enlever pour faire place aux dents définitives. Celles-ci viennent mal . irrégulièrement. Les incisives supérieures lat
era le sujet de l'observation suivante ; la cin- quième fille s'est mal développée, contrefaite, pâle et oppressée. Les a
rès rapidement au point d'empêcher tout travail. La malade supporte mal le froid. La consti- pation est opiniâtre, Les
ses dans les cuisses diminuent. Le 18 août 1898, la malade n'a plus mal ni il la tête, ni dans le dos, ni dans le ventre
disparu, et au toucher l'utérus indolore a repris sa position nor- male . DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 303 Or;
oppression. La migraine est surtout matutinale : elle se lève ayant mal de tête. Elle a souffert beaucoup aussi de névr
tion. Les gencives sont enflammées, bordées de tartre. Elle supporte mal le froid et tout aussi mal les chaleurs, se fat
ammées, bordées de tartre. Elle supporte mal le froid et tout aussi mal les chaleurs, se fatigue facilement et a une tend
blement amendées. Le poids monte à 48 kil. 700. Le 30 septembre, le mal de tête a beaucoup diminué; la constipation tend
l. 100. Le 6 octobre, la constipation est définitivement levée ; le mal de tête a presque cessé. Poids : 49 kil. 500. Le
s et font t saigner. Le 8 octobre, la constipation est levée et les maux de têle deviennent moins fréquents. Elle ressen
res ; la malade aperçoit des étoiles brillantes, elle voit des objets mal définis raser le sol et traverser rapidement l'
e la peau (3),t'ichthyose(4). L'érylbromélalgie, les escha- res, le mal perforant peuvent être rattachés aux troubles tro
de 1 m. 60, envergure 1 m. 61, poids 59 kg. 500. Ses oreilles sont mal ourlées et l'hélix présente des nodosilés. Il y a
on et ses perversions sont très fréquents : mais on est encore très mal fixé sur le point de savoir à quelle période de
eux commencèrent à se produire, la malade s'aperçut qu'elle sentait mal le sol sous ses pieds, il lui semblait marcher su
mars 1898. On la soumet pendant trois mois à l'élongation, qui a été mal tolérée. Étal actuel. La malade présente un c
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE. MAL D'AMOUR (Suite). . ' ' PAR , HENRY MEIGE.
e Braun, Clément et CiC. Photogravure Rougcron, Vignerut, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de GABRIEL Metzu, intitulé '
usée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. \fy550 Lt C ? Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 341 angoisse elle serre le bras amaigri
Elle suffit néanmoins à nous tirer d'inquiétude. Consolons-nous, le mal est plus apparent que réel. N'est-ce pas le pro
ous, le mal est plus apparent que réel. N'est-ce pas le propre du mal d'amour ? Si vraiment. Et nous en trou- vons la
r. Nous savons qu'il équivaut à un diagnostic. C'est bien encore le Mal d'Amour. Metzu a peint une autre scène médicale
, XII. PL, LIX. Photographie Loewy (Vienne). Photogra\ ure Loewy. MAL D'AMOUR Tableau de G. METZU, de la.collection G
ction G. Edlen von Preyer Vienne. - Masson et Cic, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 343 le bras d'un agréable dessin, le po
acht, si peu soucieuse de la liberté de son ajustement. Jamais le mal d'amour n'a revêtu un aspect plus séduisant. La l
aspect d'un guérisseur ? Et n'est-il pas plutôt le propagateur d'un mal dont il pourrait être aussi le remède ? Vraim
c'est peut-être la meilleure façon qu'il connaisse de soulager les maux de sa cliente. Ce type de docteur frisé, musqué
ienne, il ne semble pas que le docteur ait été lui-môme la cause du mal . Le coupable est non moins jeune et non moins b
nous a rendu familier et qui nous permet d'affirmer qu'il s'agit du Mal d'Amour. Si la malade n'estpas des plus dangere
grande promptitude.... ». C'est ainsi qu'on expliquait la genèse du mal d'amour. Au nombre des élèves de Gérard Dow, ce
XII. PL. LX. Photographie l.oe\\y (Vienne). Phutugmure LlC\\). MAL D'AMOUR Tableau de FRANS VAN Maris le Vieux L
La Consultation Musée de Vienne. Masson et Cie, Éditeurs. . LE MAL D'AMOUR 345 par de pieuses lectures. « Ah ! doc
es noires qu'engendre souvent l'anémie et que l'on retrouve dans le mal d'amour. L'homme de l'art qu'elle consulte en c
tte malignité qui fume vers la région du cer- veau... ». Voilà le mal . C'est celui de l'héroïne de l'Amour médecin ; on
elui de l'héroïne de l'Amour médecin ; on ne niera pas que c'est le mal d'amour. Ce médecin de van Mieris est vraiment
s rencontrons pour la première fois dans l'arsenal thérapeutique du mal d'amour. A cela, rien de surprenant. Le 346 HEN
, c'était ne pas soigner. Pourquoi faire une exception en faveur du Mal d'Amour ? . * .. Il est intéressant de rapp
galerie de Mannheim (1), une scène médicale, nouvelle répétition du Mal d'Amour (PI.LXII). Cette peinture de valeur sec
aphie C. Ruf (Mannheim). Photogravure Rougeron, Vignerot, Dumoulin. MAL D'AMOUR Tableau de P. van Slingelant, intitulé
Dame malade . Galerie de Mannheim. Massok ET Ci-, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 347' ridicule; c'est au point qu'on se
s contredit du dernier galant. Et c'est bien encore un épisode du mal d'amour que Slingelant a voulu représenter. La
cela Jan Steen etBrac- kenburgh, semble avoir voulu représenter le mal qui résulte de l'amour consommé. La Consultat
29. , NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T, XII. PL. LXIII. MAL D'AMOUR Gravure d'après un tableau de GODFRIED
tation indiscrète Musée de la Haye. Massos et C'c, Éditeurs. LE MAL d'amour 349 l'oeil vif et le sourire facile. Il
t le sourire facile. Il doit trop bien connaître les tristesses des maux irrémédiables pour laisser échapper les occasions
doit être le germe même de cette maladie... mua belle enfant, votre mal n'est pas grave. Car c'est le mal qui en- gendr
aladie... mua belle enfant, votre mal n'est pas grave. Car c'est le mal qui en- gendre la vie. Vous savez mieux que moi
t pas le don de consoler la jolie pécheresse ; elle redoute fort ce mal que l'amour a causé. Car il n'y a plus à se leurr
en l'amour encore qui vient de l'aire une nouvelle victime. Mais ce mal d'amour n'a rien de pathologique : il appartient
la proéminence de son ventre ne laisse aucun doute sur la nature du mal dont elle est affligée : c'est, à une période p
es scènes médicales que les.ar- tistes hollandais ont consacrées au Mal d'Amour (1). Comme dans tous les tableaux de ge
té les unit les unes aux autres. La conception qu'on avait alors du mal d'amour, aussi bien dans le monde médical que d
en, on peut soutenir avec vraisemblance que l'on est en présence du mal d'amour médicalement décrit par Varandal et Sau
ureuse, des jeunes filles » qui ressortit à la pathologie virginale ; mal bien réel, du corps et de l'esprit. Nous avons
ion de la maladie de Varandal ; c'est tout crû- ment le prologue du mal d'enfant. Cependant, nous n'avons pas cru devoi
e dans les accessoires. En outre, parce que la distinction entre le mal d'amour, avant ou après la faute, reste forcément
urs tableaux, est donc applicable à cette étude. Le plus souvent le mal d'amour est celle maladie virginale, qui a droit
artient en effet à un groupe de cas encore peu connus et sans doute mal interprétés. Un trau- matisme parfois léger et
par contre pas de déformations thoraciques, et le sternum est nor- mal . La verge est un peu hypertrophiée, surtout au
ur mieux dire que l'hérédité névropathique, condition nécessaire du mal comitial, est une condition au moins favorable au
abisme. Il n'y a pas de dyschromatopsie, l'acuité visuelle esl nor- male . Il y a de l'inégalité pupillaire, la pupille dro
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE MAL D'AMOUR (Suite et fin) PAR HENRY MEIGE X
pendant, il en est qui méritent au moins une ci- tation à propos du Mal d'amour. Ce sont, bien entendu, des consultations
l d'amour. Ce sont, bien entendu, des consultations féminines. Le mal d'amour en est-il la raison ? Peut-être ? Mais il
ableau de Thomas (Gérard). Musée de Dijon. ET Cil, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 421 il est en droit de se demander si s
e principale rappelle encore les consultations de Sciai- ken sur le mal d'amour. ' ' Dans une vaste officine, où gisent
livrance aura lieu. ' On reconnaît. là la variété physiologique du mal d'amour que nous ayons déjà signalée^ Elle est
femme âgée. Il ne semble alors guère possible de mettre en cause le mal d'amour. Peut-être, faut-il le soupçonner dans
(1612-1661). Galerie de Mannheim. lIlAs"ox et C", Éditeurs. LE MAL d'amour 423 Là, il est vrai, la cliente est plu
celle, et que trop tard elle s'en repent ? ... Ne serait-ce pas le mal d'amour, dans ce qu'il a de moins éthéré, es- q
nte ne peut même être soupçonnée d'avoir eu maille à partir avec le mal d'amour. Tel, le Médecin attribué à DAVID TENIE
femme, debout, derrière lui, vient de lui apporter (1). A propos du mal d'amour, ces oeuvres d'art méritaient simplement
tes hollandais ont consacrées aux Evanouissements. Assurément, le mal d'amour n'en a pas été l'inspirateur nécessaire.
nts syncopaux fréquents dans cette maladie. ' Pour celles dont le mal n'est autre qu'une très physiologique grossesse,
odromiques de la gesta- tion ? ... (lot. II. 0,33. L. O ? i, LE MAL d'amour 425 Le mal d'amour, sous quelque forme
a- tion ? ... (lot. II. 0,33. L. O ? i, LE MAL d'amour 425 Le mal d'amour, sous quelque forme qu'on l'envisage, peu
e bien ap- partenir ci la série des pâmoisons que peut engendrer le mal d'amour. On voit, au musée de Rennes, un dessin
ce d'autres détails, on ne peut songer avoir en elle une victime du mal d'amour (2). Frans Mieris le Vieux est magistra
u d'une société élégante, pendant un repas, une jeune femme se trouve mal . Une des convives, plus âgée, la soutient et lu
ieux. A la Pinacothèque de Munich. Masson i : r C, Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 427 paupières, tout est vrai, tout a ét
, l'un et l'au- tre sont de première marque. Quant à la nature du mal qui cause cet évanouissement, rien ne permet de
cause cet évanouissement, rien ne permet de la préciser. Est-ce le mal d'amour ? Est-ce le mal d'enfant ? Est-ce toute
t, rien ne permet de la préciser. Est-ce le mal d'amour ? Est-ce le mal d'enfant ? Est-ce toute autre affection capable
ée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. Masson ET Cil', Editeurs. LE MAL d'amour 429 On l'intitule : Suite d'une nouvell
li poignet de sa cliente. Son regard compatissant n'aperçoit que le mal à guérir, et, volontairement, dédaigne de voir
l'on peut avec vraisemblance reconnaître un épisode inspiré par le Mal d'Amour. Elégant parmi les plus élégants des pe
derié. Cependant, cette belle et riche personne vient de se trouver mal . Mais, comme il fallait s'y attendre, cet incid
iteurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALFBTrUÈRE T. XII. Fi, LXXV. LE MAL D'AMOUR 431 ouvragés ; dans le fond une imposan
scènes mé- dicales que nous venons de décrire.' Et qui sait si le mal d'amour n'est pas la cause inconnue qui fait per-
me ? Plus qu'aucune autre elle semble faite pour contracter le joli mal qui s'abattait alors sur les filles de Hollande
on. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être confondus avec les scènes du mal d'amour. * * La. Femme hydropique de Gérard
oeuvre admirable n'a rien de commun avec les peintures relatives au mal d'amour (1). La Consultation de BREKELENKAM, da
ien d'autres ont stigmatisé tant de fâcheux représentants. Quant au mal qu'il est appelé à guérir, impossible aujourd'hui
? Réponse. Tout, tout (elle montre sa tête). Question. Avez-vous mal à la tête ? Réponse. Tout (elle montre son fron
-vous bien dormi ? Réponse. Oui très bien, je vais seulement un peu mal là (Quelques tra- ces de prurigo). Question.
es définit ou indique leur nature ; ses phrases sont in- complètes, mal construites (antonomase, agmmmatisme). - Pas de c
s ma soupe. - Répétez : Il fait beau temps aujourd'hui. - Oui pas mal (d'un ton de moquerie, car il fait en réalité un
ns, vite, vite, il va me prendre ; mais va-t-en ; il va me faire du mal . Quitte-moi. J'ai mal à la tête... Viens mon vi
me prendre ; mais va-t-en ; il va me faire du mal. Quitte-moi. J'ai mal à la tête... Viens mon vieux (en parlant à la s
jamais de douleurs sur les trajets vasculaires ou nerveux. Tout le mal se réduit- à cette vaste enflure blanche, dure et
remarquer la mère, que celle-ci ne grossira pas à son tour, car ce mal semble être un héritage ancestral auquel il sembl
les), OEdème angio-neurotique chez un enfant de trois ans, Rev. des mal . de l'enfance, 1895. - Histoire d'une fillette de
inaire de la peau, légèrement rosée. OEdème dur, élastique, gardant mal l'empreinte du doigt. - F. Wiual, Ulcérations b
de résultats plus engageants. Le trophoedème chronique est donc un mal incurable. En prenant des .précautions pour évi
ège de durillons et de cors. Pas de kératose plantaire. Ja- mais de mal perforant ni de bulles pempliigoïdes. La sensibil
omme d'ivoire dont Toinette connait bien les inutiles menaces... Le mal est-il au foie, à la rate ou au poumon ? ' ? Il
Pour le moment on peut soupçonner quelque crise de goutte à ce pied mal chaussé qui repose sur une chauffe- rette. Pa
ice, pour se fixer, avec une insistance troublante, sur les charmes mal dissimulés de l'avenante enfant assise à ses côté
vieil admirateur un objet dont le spectateur définira tant bien que mal la nature et la si- gnification : apparemment,
la si- gnification : apparemment, ce sont des os. Derrière ce duo mal assorti, une servante vêtue de brun et coiffée de
yndrome de) et syphilis hérédi- taire, par Tommasi de Amicis, 34. Mal d'amour (Les peintres de la méde- cine, école f
peintres de la méde- cine (Ecoles flatiiande et hollandaise). Le Mal d'Amour (24 phot.), 51, 227, 340, 420. Meige
XXX111, XXXIV. Maladie de Thomsen (E. Noguès et J. Sirol), III. Mal d'Amour (Henry 111E1GE),XII, XIII, XIV, , xv, x
2 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
particuliers qui seront à notre disposition. ARTICLE PREMIER. DU MAL VERTÉBRAL DE POTT. La colonne vertébrale, ce ce
principale maladie chronique du rachis est celle qui a reçu le nom de mal vertébral ; c'est comme si l'on disait l'affectio
ai cette dénomination vague; on en verra bientôt la raison. Le nom de mal de Pott consacre une injustice ; on serait tout a
al de Pott consacre une injustice ; on serait tout aussi fondé à dire mal de Camper, de Hu-naud, de Séverin, et de tant d'a
n anglais. Définition et nature de la maladie. — On peut définir le mal vertébral : une affection des ligaments intervert
st pas d'accord sur la nature de la lésion primitive qui constitue le mal vertébral et qui amène la destruction des disques
ection tuberculeuse. C'est là effectivement une forme très-commune du mal vertébral, surtout à l'hôpital des Enfants. Cepen
ion de ces ligaments, la lésion des vertèbres et toutes les suites du mal vertébral ; mais on ne peut évidemment généralise
anato-mie pathologique, du diagnostic, du pronostic, du traitement du mal vertébral, je manquerais l'objet de nos réunions,
de pièces pathologiques qui vous représenteront toutes les phases du mal vertébral sur le cadavre ; puis je vous ferai voi
issement, diminution de la taille. (1) J'ai décrit deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion, d'altération des tis
s d'autres auteurs moins excusables que le chirurgien anglais, que le mal vertébral est une affection ordinairement mortell
perficielles étendues, espèce distincte que Boyer a séparée à tort du mal vertébral, auquel elle appartient évidemment? I
mpagnes m'ont fait part de ce qui lui était arrivé. Elle fut prise de mal vertébral à 8 ans ; elle eut une paraplégie et re
e passe aux lésions existant dans un point autre que le siège même du mal . Ce qui doit m'arrêter d'abord, c'est la déform
ne gêne à laquelle se rattache l'oppression presque constante dans le mal de Pott. Les viscères abdominaux présentent bie
équivoques; ils se rencontrent dans des états morbides autres que le mal de Polt. Les abcès, la paralysie ont plus de vale
ic. Avec de l'attention , on distingue une déformation dépendant du mal vertébral d'un simple défaut naturel de cambrure
ité, que j'ai déjà signalées dans l'anatomie pathologique. Voici un mal cervical; on en distingue deux espèces : Io le ma
ogique. Voici un mal cervical; on en distingue deux espèces : Io le mal qui frappe les cinq dernières vertèbres du cou, e
s vertèbres et de l'occipital ou le spondylarthrocace, qui diffère du mal vertébral proprement dit, dont nous nous occupons
t, dont nous nous occupons en ce moment. Cette enfant est atteinte du mal vertébral ordinaire. Nous constatons le redressem
voisines, ce signe est pathognomonique ; on ne l'observe que dans le mal vertébral. Nous avons distingué deux formes de
sité, et, d'une autre part, des courbures latérales se voient dans le mal de Pott ; l'erreur est alors possible ; j'en ai v
urée ; mais tant qu'elle persiste, il y a matière à erreur. Dans le mal de Pott, on observe aussi des courbures latérales
mples; l'un d'eux offre le plus beau cas de courbure latérale dans le mal de Pott. Ces courbures latérales diminuent ou dis
disparaissent à la mort ; elles résultent de la douleur, du siège du mal , d'une complication, d'un abcès placé dans un côt
i-fluente; c'est le fait du premier sujet. Chez le second, atteint du mal de Pott, existait un énorme abcès par congestion.
ression, douleur épigastri-que, paralysie, etc., qui différencient le mal de Pott de la déviation essentielle du rachis.
edressement, par l'état général du sujet, etc., qu'il s'agissait d'un mal vertébral. 2° Rachitisme. — Le rachitisme n'est
nique des plus intéressants. Supposez un enfant de cet âge atteint du mal de Pott ; avec une gibbosité semblable, vous auri
sme. Il y a deux cas de courbure rachitique postérieure simulant un mal de Pott : a. La courbure postérieure est produi
ont j'ignore le nom les avait appliqués. Il n'y avait aucune trace de mal vertébral ; il n'y avait pas non plus de courbure
de dire, au premier abord, si l'on a affaire à un rachitisme ou à un mal de Pott. La courbure pourtant est, en général, mo
ns régulière. Les extré mités de l'arc sont plus saillantes dans le mal vertébral ; elles se continuent, au contraire, sa
binées ; on aurait alors comme moyen de les reconnaître la douleur du mal vertébral, qui manque dans le rachitisme simple,
e. Voici une pièce qui semble, au premier coup d'œil, se rattacher au mal vertébral. La colonne décrit un angle droit ; l
de cette pièce avec cette autre qui offre des traces non douteuses de mal vertébral. Ce sont les symptômes concomitants, l'
autres affections qui offrent quelques traits de ressemblance avec le mal de Pott dans l'état latent : le lumbago, les mala
. Boyer va plus loin : quand il existe des abcès sans déformation, le mal est, suivant lui, une carie superficielle ; qua
production de tubercules. Il faut également reconnaître les cas de mal double, triple ; je veux parler des foyers pathol
'arthrite, la carie, en produisent également. On a pourtant décrit un mal vertébral sec. Tant que le tubercule est à l'état
état de crudité, on n'observe pas d'abcès, et alors, si l'on veut, le mal sera sec; mais je ne sache pas qu'il présente cet
ollections se forment spécialement dans quelques circonstances encore mal connues. On trouve à ce sujet des distinctions pe
oyen a été présenté par M. Piorry comme propre à faire reconnaître le mal vertébral et les abcès qui en dépendent. Ce profe
ment et l'épaisbissement des parties molles correspondant au foyer du mal . Relativement aux abcès, c'est surtout au nivea
s de parler. Diagnostic différentiel. — Les abcès symptomatiques du mal vertébral peuvent être confondus avec quatre espè
masse gangrenée. J'ai été consulté pour un jeune homme qui avait un mal de Pott de la région dorsale. Après avoir été tra
bcès dépendant d'une coxalgie. Celte maladie complique quelquefois le mal de Pott, et, lorsqu'il existe un abcès dans ce ca
graves. On observe deux sortes de lésions de l'innervation dans le mal de Pott : tantôt il y a excitation, tantôt affaib
es au point de la moelle lésé ; elle varie donc suivant la hauteur du mal vertébral. Lorsque ce point réside dans la région
la motricité directe involontaire ; c'est ce que l'on observe dans le mal vertébral, lorsque l'action de la moelle n'est tr
sensibilité est conservée, quoiqu'un peu altérée ; le malade apprécie mal le lieu et le mode des sensations qu'on lui fait
on pourrait établir en principe que, dans la paralysie dépendante du mal vertébral, le mouvement réflexe est en raison dir
. — On peut distinguer trois degrés dans la paralysie produite par le mal vertébral. Dans le premier, les malades marchent
ernière réunion, les différents degrés de paralysie déterminés par le mal vertébral. Vous avez vu que le troisième degré of
lorée avec soin par M. Monneret; il n'existait point de gibbosité. Le mal avait son siège vers le milieu de la région dorsa
ère saillie des apophyses lombaires : eh bien, ce n'est pas un cas de mal vertébral. Cet enfant est ra-chitique. Quant à la
on plus confondre la paralysie avec la difficulté de marcher, dans le mal de Pott, tenant à la douleur ou à une faiblesse g
itera cette méprise. On peut aussi confondre la paralysie tenant au mal vertébral avec les paraplégies dépendant d'une au
e grandes difficultés à distinguer la compression de la moelle par le mal vertébral des autres compressions, de celles qui
éphalocystes développés dans le canal rachidien. § V. Traitement du mal vertébral. Vers la fin du siècle dernier, dans
s la même année, en 1779 , parurent deux opuscules, qui traitaient du mal vertébral. Les auteurs de ces dissertations s'ign
e le moins de temps possible à indiquer les moyens de secours pour un mal qui a résisté à tous les remèdes avant que celu
raitement banal, disait Auguste Bérard dans une leçon clinique sur le mal vertébral, un traitement banal est en usage ae-pu
e ses meilleures inspirations. Nous distinguerons trois cas dans le mal vertébral, au point de vue du traitement. Dans le
'existence presque constante des foyers cachés. Les trois formes de mal vertébral que je viens d'indiquer sont regardées
ir. Il faut bien remarquer que plusieurs causes de mort sont liées au mal vertébral, mais ne lui sont pourtant pas inhérent
ir par épuisement ; la terminaison funeste est bien causée ici par le mal vertébral, mais c'est un peu la faute de la const
fébriles, pneumonie, rougeole, variole, survenant dans le cours d'un mal vertébral, enlèvent plus facilement les malades,
iste, ostéite, carie, nécrose, tubercules, et empêcher l'extension du mal . Il n'existe pas de spécifiques qui permettent d'
faut pas attribuer exclusivement à la thérapeutique la limitation du mal , puisque nous la voyons survenir naturellement.
oigné, et a été atteint, il y a huit ans, des premiers symptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une latte dans la régi
icacité de ces agents. Un Anglais, Jarrold, a aussi vanté contre le mal vertébral l'extrait de jusquiame, et il a cité de
e une question délicate. Faut-il faire marcher les sujets atteints de mal vertébral? Le repos a été regardé, à une époque,
é du repos dans les maladies chirurgicales, et en particulier dans le mal vertébral. D'autres sont venus depuis qui ont fai
en 1772, rapporte les observations les plus curieuses de guérisons du mal vertébral obtenues par la position horizontale et
ècle dernier, on a cherché à redresser les courbures produites par le mal vertébral. Pour juger de la valeur de ces tentati
l s'est bien trouvé de l'application de l'orthopédie au traitement du mal vertébral. D'un autre côté, David plaça chez un j
mécaniques dans la position horizontale , chez les sujets atteints du mal vertébral. Si ces moyens sont employés dans les p
vertébral. Si ces moyens sont employés dans les premières périodes du mal , ils peuvent causer des distensions fâcheuses, et
ar les malades. (1) Nous avons supposé trois cas différents dans le mal de Pott, au point de vue du traitement : dans le
n qui règne encore de nos jours sur l'efficacité des cautères dans le mal vertébral de Pott; ils ne mettent pas à l'abri de
un des motifs qu'on fait valoir pour prouver leur efficacité dans le mal de Pott. Ce fait n'a pas la valeur qu'on lui prêt
pidement, et qu'il est plus facile de limiter son action. IIe CAS : MAL VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE. — Quelle est la march
E. — Quelle est la marche spontanée de la paralysie produite par le mal vertébral? Abandonnée à elle-même, elle peut guér
s moyens révulsifs d'une énergie moindre. La paralysie dépendant du mal vertébral présente, dans sa marche, des irrégular
servation et atteint pour la troisième fois de paralysie dépendant de mal vertébral, tous les moyens avaient échoué, lorsqu
je place sous vos yeux un enfant de huit ans, nommé Morin, atteint de mal vertébral siégeant au bas de la région cervicale,
teinture d'iode. Deux autres malades de la même salle, affectées de mal vertébral dorsal et de paraplégie, sont traitées
es; les mouvements commencent à reparaître chez l'autre. IIIe CAS : MAL VERTÉBRAL AVEC ABCÈS PAR CONGESTION. — NOUS avo
cette affection elle-même, en parlant du premier cas, c'est-à-dire du mal vertébral non compliqué d'abcès ni de paralysie.
cautères dans les différentes espèces et dans toutes les périodes du mal vertébral, sur le témoignage d'un compatriote de
. Paterson, déjà employée avec succès par M. Trousseau dans un cas de mal vertébral accompagné de paraplégie. B. Méthode
s irritantes, etc. Je termine ici ce que j'avais à vous dire sur le mal vertébral ; mon intention n'a pas été de vous don
. Relativement aux médicaments internes qu'on peut employer dans le mal vertébral, j'ai fait une omission que je veux rép
ondeur, est plus dense qu'il ne l'est dans l'ostéite. ARTICLE II. MAL VERTÉBRAL SUPÉRIEUR OU SOUS-OCCIPITAL. Nous avo
uits en totalité ou en partie. On les a vus être le siège exclusif du mal . Les nerfs sont plus ou moins compromis. Comprimé
se. — Les lésions primitives qui lui donnent lieu sont, comme dans le mal vertébral, de différente nature. C'est souvent d'
s destructions déterminent des effets analogues à ceux que produit le mal des autres régions, des affaissements, qui se dis
truction osseuse. Ce qui différencie l'affection sous-occipitale du mal vertébral proprement dit, c'est surtout la facili
uisse regarder comme bien établie cette fréquence relative. Dans !e mal des deux premières vertèbres, on observe, comme d
le malade guérir ou mourir sans abcès, comme la chose a lieu dans le mal des autres régions. Les abcès peuvent également s
et apparaître au dehors; ceux-ci semblent moins fréquents que dans le mal vertébral proprement dit. La collection, quand
re-mère, Là moelle épinière souffre nécessairement, et plus dans ce mal vertébral que dans l'autre, des changements qui s
tre lésées, ou bien l'on voit seulement de la paralysie comme dans le mal vertébral ordinaire. La compression de la moell
La compression de la moelle est possible dans tous les sens dans le mal sous-occipital, tandis que, dans l'affection des
sthésie se montre plus souvent dans le spon-dylarthrocace que dans le mal de Pott du reste de l'épine. Si les idées récemme
sensibilité, étant plus souvent observée dans cette seconde espèce du mal vertébral. La moelle peut éprouver d'autres lés
sont résorbés. L'affection osseuse sous-occipitale guérit, comme le mal vertébral des autres régions, par le rapprochemen
suivants : I. Douleur. — Elle se rencontre dans les deux formes du mal . Elle commence ordinairement d'une manière sourde
là la forme névralgique que présente généralement la douleur dans le mal des premières vertèbres. Ollivier, en 1826, avait
e eut lieu au mois d'août dernier; elle n'a duré que quinze jours. Le mal était de l'espèce la moins grave; il a cédé à l'a
te à la partie inférieure du cou : c'est une gibbosité dépendant d'un mal vertébral ordinaire. Cette lésion suffirait seule
La paralysie affecte plus souvent les membres supérieurs que dans le mal vertébral des autres régions; quelquefois elle le
comprenez qu'on puisse être dans le doute sur la véritable nature du mal . C'est surtout en ayant égard à la marche des deu
oblème. La contracture revient par accès ; il n'en est pas de même du mal sous-occipital. On peut bien voir plusieurs attaq
ment tordu, que je crus voir un cas clinique des plus intéressants de mal sous-occipital ; la rotation était portée au plus
issance : le fœtus peut être atteint d'une affection musculaire, d'un mal sous-occipital; il peut naître avec les suites d'
s prononcée. D'autres affections pourraient être confondues avec le mal vertébral sous-occipital. Je dois au moins vous l
euse sous-occipitale? Recourir aux mêmes moyens révulsifs que dans le mal des autres régions : vésicatoires, applications d
Lorsqu'il existe un abcès, les indications sont les mêmes que dans le mal des corps vertébraux. Les abcès symptomatiques ou
u corps. Nous avons abordé un autre ordre de faits. En décrivant le mal vertébral supérieur, je vous ai parlé des luxatio
et la période indolente. C'est ce qu'on a déjà vu dans l'histoire du mal vertébral, et c'est ce qu'on retrouve dans la cox
yeux plusieurs enfants atteints de paralysie incomplète, provenant du mal vertébral ou d'autres lésions , et qui offrent di
oici deux enfants de la salle Saint-Louis, paraplégiques par suite du mal vertébral ; sur les deux, vous voyez un commencem
plat est évidemment l'effet d'une paraplégie incomplète dépendant du mal vertébral ; le long péronier étant un des muscles
pour eux qu'un pilon qu'ils meuvent tout d'une pièce; la démarche est mal assurée, souvent douloureuse, quand la peau, expo
4) Bulletin de l'Académie de médecine. Paris, 1838, t. III, p. 231. mal . Le corps ne peut être soulevé sur la pointe du p
tesse de la base de sustentation gêne beaucoup la locomotion, qui est mal assurée. b. Talus pied creux. — Le talus pied c
qu'on distinguera leur effet local du vrai pied bot. Même quand le mal est borné au pied, et que l'enfant l'apporte en n
remplit passablement ses fonctions; les progrès de 1 âge aggravent le mal ; il peut même survenir des ulcères , des caries.
y a pas plus de cent cinquante ans, déclarait que « quand le pied est mal fabriqué dès la première conformation , on emploi
grandes résistances, mais ils ont des inconvénients d'un autre genre. Mal appliqués, ils produisent des paralysies, des gan
passage du traité des Articulations qui se rapporte manifestement au mal de Polt. Mais l'ancienneté du rachitisme n'en e
Glisson. Il n'était pas besoin de la réunion de tous les symptômes du mal pour prouver qu'il avait existé, alors qu'on trou
indre ramollissement des os, même antérieur à la déformation. Dans le mal vertébral, la déformation du thorax est un effet
divers degrés qui forment autant de périodes successives, lorsque le mal ne s'arrête pas à son début, et qui, dans le cas
rtébrale que j'ai recueillie, en 1827, dans cet hôpital. On crut à un mal vertébral, et on appliqua des cautères. Vous voye
continue. J'ai hésité entre celte explication et la supposition d'un mal de Pott, d'une affection tuberculeuse ou d'une ca
ion. Deux circonstances semblent décider, en général, du lieu où le mal sévit avec le plus d'intensité ; ce sont : 1° l'é
vait un rachitisme scrofuleux; mais il a eu le tort d'y comprendre le mal vertébral de Pott. Lugol a été plus loin; il rang
une modification spéciale de la composition du sang ; l'animal a été mal nourri, voilà tout. La pathologie comparée nous
iques suffisent, dans plusieurs de ces cas, pour établir la nature du mal . Quand l'hydrocéphalie n'est pas considérable,
iques du rachis. J'ai parlé en 1855 des courbures symptomatiques du mal vertébral. Ce n'est pas de celles-là qu'il s'agit
sque toujours symptomatique du rachitisme quand elle ne dépend pas du mal vertébral. J'ai parlé de ces courbures, et j'en
arlé de la cyphose rachitique, en la comparant à celle que produit le mal vertébral. J'ajouterai donc ici peu de chose à ce
ite nécessaire de l'affaiblissement du système musculaire. Le rachis, mal soutenu par ses extenseurs, retombe en avant comm
e heure. Chez les femmes, l'usage des corsets , dont on a dit tant de mal , contribue certainement à conserver longtemps la
due de la courbure. Je fais abstraction de la cyphose produite par le mal vertébral, que j'ai examinée à part. La cyphose
dans la cyphose, ni affecter, comme dans celle-ci, sans érosion, sans mal vertébral, une forme presque anguleuse. (1) A.
mbes. Je ne fais que rappeler la lordose cervicale, produite par le mal sous-occipital. J'en ai parlé dans mes leçons de
cervicale , cette lordose symptomatique est ordinairement l'effet du mal vertébral des premières vertèbres dorsales. Hip
l'équilibration du corps, que la lordose cervicale se produit dans le mal vertébral avec cyphose du haut de la région dorsa
ne, janvier 1857, BOUVIER. 23 VIe cas. — Chez cet autre enfin, le mal vertébral occupe un siège très-élevé, les premièr
n apparente des lombes. Si ce sont les muscles sacro-spinaux que le mal a envahis , on observe un singulier phénomène déc
de la pleurésie, — je reviendrai sur cette dernière espèce, — dans le mal vertébral, abstraction faite des inclinaisons due
s avons étudiées jusqu'à présent, — j'excepte celles qui dépendent du mal vertébral, — commencent toujours par une flexion
n ce que la scoliose forme presque un angle aigu comme la courbure du mal vertébral (1). Ces trois autres pièces sont des g
al. Le canal vertébral n'est pas symétrique comme dans l'état nor mal ; nous avons vu que les trous des vertèbres qui le
ar M. Cruveilhier, qui toutefois ne dit pas si le sujet était bien ou mal conformé (1). f. Foie. — Le foie, la rate, les
courent, sont souvent hors de proportion avec la bénignité réelle du mal . La compression des poumons et la gêne de leurs f
ceux qui vieillissent le doivent à leur nature forte, à la douceur du mal et au régime de vie qu'ils observent (3). Les m
re. Cette jeune fille, qui n'est pas encore menstruée, se plaint de maux d'estomac, de palpitations, d'oppression et d'aut
iagnostic. C'est une jeune fille affectée à la fois de scoliose et de mal de Pott ; c'est là un fait très-rare. La scoliose
t parvenue au second degré, est un type de ce genre de difformité. Le mal de Pott s'écarte un peu de sa forme habituelle :
'une seule apophyse épineuse ne laisse aucun doute sur l'existence du mal vertébral. (1) VIIIe cas. — Je vous ai parlé de
ontaire des muscles causée par la douleur, celles qui accompagnent le mal vertébral. Le diagnostic est alors fondé sur les
e ne m'étends pas sur le diagnostic différentiel de la scoliose et du mal vertébral de Pott; j'en ai traité avec détail à l
t du mal vertébral de Pott; j'en ai traité avec détail à l'article du mal vertébral (1). Il ne présente d'ailleurs de diffi
op sédentaire, des études trop assidues, favorisent l'augmentation du mal , qui peut ne s'accroître que très-lentement ou mê
confiance dans le temps et la nature, qui les a livrés aux ravages du mal . Je diviserai le traitement de la scoliose en :
courbures. L'instinct révèle cette propriété aux enfants atteints de mal vertébral, qui manquent rarement, à une certaine
ne, ou par les hanches et les membres inférieurs, suivant le siège du mal , et on le précipitait du haut d'un toit ou d'un m
, et proportionner les moyens au danger, à l'imminence des progrès du mal . Telle déviation est facilement arrêtée à sa prem
t appliquer le précepte : Venitntvoccurrite morbo, allez au-devant du mal qui menace (1). (1) Je n'ai rien dit ici d'un m
a se réduit à un traitement prophylactique, très-simple à ce degré du mal . J'ai supposé dans tout ceci que l'inclinaison
E. 1855. Généralités............................ 1 Art. Ier. — Du mal vertébral de Pott................ 6 Définition
3° Déformation de la moelle................ § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17 Première période...
différentiel de la paralysie.............. 42 § V. — Traitement du mal vertébral............... 43 Ier cas. Absence de
as. Absence de paralysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas. Mal vertébral avec paralysie.............. * 3 IIIe
IIe cas. Mal vertébral avec paralysie.............. * 3 IIIe cas. Mal vertébral avec abcès par congestion........ 56
... **9 ¦ B. Méthode d'évacuation.................. 60 Art. II. — Mal vertébral supérieur ou sous-occipital......... 69
3 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
lade : Je ne sais pas, je n'y comprends rien ; j'ai probablement très mal dormi cette nuit. M. Charcot : Elle pourrait ai
t, même en pleine rue, des mots orduriers : « M..de, cochon, m..de. » Mal lui en prit un jour que regardant des gamins joue
temps aux circonstances qui peuvent avoir contribué à faire naître le mal . V... des est sorti du régiment (il était dans
oitant. De temps en temps, il s'est produit quelques exacerbations du mal qui, cependant, n'ont pas nécessité un nouveau sé
névrite sciatique, il travaillait encore clopin-clopant tant bien que mal de son métier de terrassier; assez pour gagner sa
ent dite, ne sont pas des agents nécessaires pour faire apparaître le mal , bien qu'ils puissent contribuer à lui imprimer u
ro-épilepsie à crises mixtes d'un côté, hysteria major, et épilepsie, mal comitial, de l'autre, coexistant chez un même suj
e et s'est fait derrière la tête une blessure superficielle qui a pas mal saigné ; elle n'a pas perdu connaissance, mais pe
rononcée, car toujours P...011 a pu continuer à marcher tant bien que mal . Ce fut alors que notre malade se présenta à la
uivalent d'une série d'attaques convulsives hystériques, d'un état de mal hystérique en un mot, comment expliquer que l'att
ries d'attaques hystéro-épileptiques, vous reconnaîtrez que l'état de mal dans les cas de ce genre, peut se prolonger penda
usieurs semaines, de telle sorte qu'en somme, entre ces cas d'état de mal hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas
sujet vous consulterez peut-être avec intérêtune leçon sur Y Etat de mal hystérique épilepti-forme que j'ai donnée le 9 ja
ill... •est sujette à entrer de temps à autre dans ce genre d'état de mal . En décembre 1885 (Voy. Bl. Edwards, loc. cit.) e
ncore un rapprochement à faire entre rattaque de sommeil et l'état de mal hystérique, car dans celle-là comme dans celle-ci
e permanence, sans qu'il y ait de réveil, tandis que dans l'état de mal hystéro-épileptique, il y a de temps à autre des
i par la malade. Ainsi l'alimentation se fait chez elle tant bien que mal . Je dis tant bien que mal, parce que évidemment e
limentation se fait chez elle tant bien que mal. Je dis tant bien que mal , parce que évidemment en temps ordinaire, cette a
iens en faisant bien connaître ces cas restés jusqu'à eux méconnus ou mal connus, dans lesquels l'attaque d'hémiplégie hyst
'absence, reconnue ces jours-ci mais aussi dans les premiers temps du mal , de la réaction de dégénération et enfin l'exagér
ffection articulaire qui, chez notre homme, a été la cause de tout le mal , est fort intéressante en ce sens qu'elle montre
uche ? Le malaDe : Oui, quand j'ai le vertige, cela me prend par un mal de cœur et par un bourdonnement dans les oreilles
alors quelquefois? Le malade : Non, je ne vomis pas, mais j'ai bien mal au cœur. M. Charcot : A quoi ressemble le bruit
était déjà manifeste en 1882. Pendant toute la période d'activité du mal , un certain nombre de symptômes caractéristiques
he et avec laquelle il s'est grisé plusieurs fois : « Il n'y a pas de mal , dit-il, à boire en famille. » Rien d'étonnant
trentaine d'années qui, il y a huit jours a souffert d'un coryza avec mal de tête et en même temps de douleurs derrière l'o
pidement, bien que l'alimentation ait pu être continuée tant bien que mal ; la langue est sèche, le ventre creusé en bateau
iquées de lésions viscérales, évoluent le plus souvent sans tourner à mal . Dans l'impossibilité où je suis de vous dire que
ui arrive chez les épileptiques dans les conditions dites de Yétat de mal ; ici les accès convulsifs deviennent nombreux et
. 11 y a certainement de l'analogie entre ces cas relatifs à Yétat de mal épileptique et ceux qu'on pourrait grouper peut-ê
ptique et ceux qu'on pourrait grouper peut-être sous le nom d'état de mal choréique; et cette analogie-là, j'ai tenu à la f
s névroses à peu près sans exception ; ainsi dans l'hystérie, dans le mal comitial, dans la paralysie agitante, dans la mal
qui se jeta sur elle en grondant sans toutefois lui faire le moindre mal . C'est peu de temps après cet événement que serai
dance marquée à se répéter environ tous les huit jours. C'est bien du mal comitial qu'il s'agit dans ce cas. En effet souve
ance, ce qui les distingue de la plupart des formes diverses du petit mal . Je suis étonné que M. Reynolds considère les s
ettre alors, on le comprend, de prévoir à longue échéance la venue du mal et aussi de prendre des mesures en conséquence.
tent d'être gnalés. Il faut dire que la ligne maternelle lui est fort mal connue et pour ce qui est des antécédents personn
rd, le rapprochement que nous avons proposé d'établir entre l'état de mal épileptique et l'état de mal choréi-que se trouve
avons proposé d'établir entre l'état de mal épileptique et l'état de mal choréi-que se trouve justifié. 1er Malade Je
s des efforts d'intelligence ou des chagrins qui ont été en j eu ; le mal s'est produit en conséquence d'un shock nerveux,
thérapie. 11 a obtenu sans doute un peu d'amélioration, il dort moins mal , mange avec plus d'appétit; mais tous les symptôm
en suivre alors les progrès jour par jour. Dès les premiers jours le mal est fait: bientôt survient une période de réparat
Quoi qu'il en soit, voilà ce qui s'est passé : Le 16 août, l'enfant a mal à la tête, il a de l'inappétence ; il souffre un
ti; le 18, continuation du mieux ; il a pu aller communier. Le 19, le mal de tête reparaît vers le soir ; l'enfant a des co
je crois ? La malade : Oui monsieur ; c'est le commencement de mon mal ; j'ai eu alors d'atroces douleurs dans le dos ;
frotter mon dos sur le lit ou le heurter. Quelques jours après, le mal a un peu changé ; il me semblait que j'avais une
VIÈME LEÇON 1er Malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par mal de Pott ; la guérison date de vingt ans. — A l'ép
a ménopause apparition d'accidents hystériques, simulant un retour du mal vertébral et de la paraplegic 2e Malade. — Simu
Dp0 en effet, qUe j'ai donné des soins, pour la première fois à cette mal ?fte. dans cet hospice même, dont, depuis lors, el
é admise à la Salpêtrière comme atteinte de paraplégie consécutive au mal de Pott et son cas avait été considéré comme incu
op sévère. Elle a guéri en effet dumal de Pott, comme on guérit de ce mal , c'est-à-dire conservant pour toujours la gibbosi
écédents d'abord, puis dans le temps où elle a commencé à souffrir du mal de Pott,enfin en 1869,époque à laquelle elle a ét
. , ^ C'est en 1866 que se sont montrés les premiers symp. umes au mal de FotL Douleurs vives dans le dos, dans les rein
résenter B...otà la leçon clinique comme un exemple de paraplégie par mal de Pott suivi de guérison. Point de raideur, appr
parais sent bien complètement guéries de la compression spinale par mal de Pott. Cette paraplégie latente, si l'on peut a
e récemment; lesquels accidents ont pu faire craindre une récidive du mal vertébral et consécutivement, un retour de la com
ympto-matologie de la compression lente de la moelle épinière dans le mal de Pott. Chose remarquable, bien que ce soit là u
tendre sur le mécanisme suivant lequel la moelle est aifectée dans le mal de Pott. On sait comment dans une dissertation in
la courbure persiste au même degré. En second lieu, le paraplégie par mal de Pott s'observe parfois sans qu'il y ait la moi
bservé parfois qu'après l'ouverture d'un abcès par congestion dans le mal de Pott, la paralysie des membres inférieurs qui
e de la face antérieure. Fig. 39. — Pachyméningite caséeuse dans le mal de Pott. — a face externe de la dure-mère b la du
, pensons-nous, le mode le plus commun de compression spinale dans le mal de Pott (2). Que devient, en pareil cas, le tissu
esquelles, après avoir duré une ou plusieurs années, la paralysie par mal de Pott a guéri cependant sans laisser d'autres t
avait succombé aux suites d'une coxalgie, alors que la paraplégie par mal de Pott était guérie depuis plus de deux ans, la
les lésions de la moelle dans la paraplégie par compression, suite de mal de Pott, resteraient pendant longtemps passives ;
, qu'à relever dans la symptomatologie régulière de la paraplégie par mal de Pott, quelques-uns des principaux troubles fon
ait d'une coïncidence assez singulière, nous avons encore à parler du mal de Pott à propos de notre second malade. J'aurai
ppeler combien il est difficile parfois de reconnaître l'existence du mal vertébral tuberculeux dans les premières périodes
l y a trois ans, il a souffert d'une grande maladie dont le nom sonne mal à l'oreille ; c'était paraît-il une pleurésie dou
ion, étaient tels qu'on avait émis l'opinion qu'il était atteint d'un mal de Pott ; et cette opinion, qui fut du reste bien
à certes, des circonstances qui ne contredisent nullement à l'idée du mal de Pott. Mais c'est surtout, sans doute, un cer
rtes un ensemble de faits qui sont bien dénature à éveiller l'idée du mal de Pott ; d'autant mieux que la démarche traînant
est bien à juste titre, les difficultés que présente le diagnostic du mal vertébral, à son origine, avant l'apparition de l
ité, constitue suivant les auteurs (2) un des caractères cliniques du mal de Pott. D'après la description donnée par le m
autre chose qu'il s'agit, et nous voici amenés bien loin de l'idée du mal de Pott ; tout ce qu'il nous reste à relever, mai
sujet offre un assez bel exemple de ces « simulations hystériques du mal de Pott, » sur lesquelles Brodie, Skey, Paget et
s attaques qui devaient dévoiler immédiatement la véritable nature du mal . Ces attaques, pendant le séjour à Saint-Antoin
ous avons décrites à propos de la rachialgie simulant les douleurs du mal de Pott. D'autres plaques de même caractère se vo
je vous l'ai dit, sont devenues plus rares ; il marche un peu moins mal qu'autrefois, ce qui semble indiquer que les doul
uleurs en ceinture qui avaient fait croire également à la présence du mal de Pott. Cependant, dans ce cas, le schock nerveu
ncore des atermoiements, des temps d'arrêt dans l'évolution fatale du mal ; à la vérité ces temps d'arrêt lorsqu'ils se pro
t. Difficulté de la miction ; un peu d'incontinence de temps à autre. Mal perforant du pied. Signe d'Argyll Robertson. Dé
e tous ces malades étaient des tabétiques avérés,déjà avancés dans le mal , et chez lesquels,par conséquent, le diagnostic a
es mains, des poignets, des coudes sont devenus plus tard le siège du mal . Le malade insiste sur ce fait, que les douleurs,
. Autant il est aisé, en général, pourrait-on dire, de triompher du mal dans les cas du dernier genre, autant cela est di
e Basedow, s'établir même pendant de longues périodes sans conduire à mal et nous voilà quelque peu rassuré sur l'avenir de
d'être rapprochés de ces faits de chorée et d'épilepsie avec état de mal rapidement terminés par la mort, dont je vous ai
pas applicables au cas présent ; nous espérons qu'ici l'évolution du mal pourra être entravée grâce au concours des divers
ystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 ans ; mais le mal sommeillait depuis dix-huit ans, remarquez-le bie
es provinciales du même genre. Jusque-là, il n'y a pas encore grand mal sans doute ; mais voici le côté fâcheux. Le jeune
es chats furieux qui font mine de vouloir le mordre; des échafaudages mal ajustés sur lesquels il monte et qui menacent de
il coach ». Elle est tombée à terre sur le gazon, sans se faire grand mal : elle n'a pas perdu connaissance un seul instant
urésie gauche qui nécessita trois ponctions, Il est sorti de là pas mal affaibli ; cependant il avait pu depuis plusieurs
au premier chef, comme pouvant aggraver la situation et prolonger le mal indéfiniment ; c'est encore que, autant les contr
tômes se sont amendés, et bien qu'actuellement encore il paraisse pas mal abruti, on ne retrouve plus chez lui cette appare
ndre fatigue. Il continue néanmoins son métier de maçon tant bien que mal , jusque vers le milieu de décembre, époque à laqu
de se réveille alors tout ému, respirant difficilement et ayant grand mal à avaler sa salive. Nous avons depuis bien longte
vite la société qu'il fréquentait dans le temps avec plaisir. Il dort mal ou quand ildort,son sommeil est agité par des rêv
conter mon affaire et de me mettre sous sa protection. M. Charcot : Mal lui en prit, messieurs, vous allez le voir. Que l
urée : 14 heures. 42 heures. 53 heures. 3 heures. 3 heures. Accès Mal de avorté. tête de3 h. de durée. Accès avorté
récédé par aucun des phénomènes qui signalent habituellement le petit mal soit vertigineux, soit convulsif, soit encore les
partie du mois d'octobre se passent sans nouvelles manifestations du mal . Le 18 de ce dernier mois, éclate un petit accès
s conscience ; ces accès, qu'il ne faut pas confondre avec « le petit mal » spontanément développé, eussent pris, très vrai
e quatorze mois n'est plus représentée désormais que par une crise de mal de tête semblable à celui qu'il a ressenti plusie
le à celui qu'il a ressenti plusieurs fois au début de ces accès ; ce mal de tête a siégé,cette fois comme les autres, au n
u traitement, il prit sur lui d'en suspendre complètement l'emploi. Mal lui en prit, vous allez le voir. A la vérité, les
cesse d'administrer le bromure et voilà qu'au bout de trois mois, le mal reparaît sous la forme d'un accès exceptionnellem
tiques suffisent je crois, en grande partie pour révéler la nature du mal . C'est dans l'épilepsie seule, tant convulsive qu
s mois suivants. Nous espérons pouvoir ainsi, à la longue, vaincre le mal ou pour le moins en atténuer considérablement les
'étais parfaitement bien portant et, cette fois, je n'ai pas senti de mal de ii Je pourrais en rester là et passer outr
autour d'elle d'un air ahuri, ne comprend pas où elle est, reconnaît mal les assistants qu'elle connaît presque tous de lo
ation, se rencontre, pour ainsi dire, à chaque pas dans l'histoire du mal comitial\ mais le plus souvent, on le sait, et ce
, mais non exclusivement, tant s'en faut, quand il s'est agi du petit mal . la scène est moins bruyante, plus calme; mais le
souvent depuis quelques années, et qui est sujetà des accès de petit mal à la suite desquels, souvent, comme le malade de
Page 431. C'est ainsi que, caractérisée déjà, comme appartenant au mal comitial, par les résultats si nets de l'emploi d
e rond. Ce diagnostic était erroné cependant : la véritable nature du mal s'est révélée, vers la fin de la troisième année,
'attention du médecin et lui faire méconnaître la véritable nature du mal ; je m'y suis laissé prendre aussi plusieurs fois
ecine, 1887, n3 5, p. 433. sorte, pas de transition; délivré de son mal le sujet qui, il n'y a quun instant, ne pouvait s
é malade auparavant. Cependant, depuis cinq ou six mois, avant que le mal ait éclaté,mes digestions étaient pénibles. Le mo
de 1883. M. Charcot : Vous le voyez, tout cela date de l'origine du mal . Je vous dirai immédiatement que l'examen fait ce
crises gastriques, eussent suffi pour révéler la véritable nature du mal , et pour empêcher, en ce qui concerne ces dernièr
intérêt. Il est relatif à un syndrome rare, encore peu connu, et qui. mal interprété, pourrait devenir l'occasion d'erreurs
s, le rôle d'une cause occasionnelle, en provoquant l'apparition d'un mal auquel le sujet était antérieurement disposé. C'e
es vers latins. Au sortir de la cérémonie, il se coucha avec un grand mal de tête et éprouvant un grand affaiblissement dan
ui causa cet abandon qui le conduisit au suicide. Le malade connaît mal ses parents du côté paternel ; sur leur compte il
uertoutefois que lorsqu'il semetàmarcher, il y a au départ encore pas mal d'hésitation et que lorsqu'il veut tourner sur lu
es muscles extenseurs est généralement très faible et le sujetrésiste mal quand on veut malgré lui produirela flexion plant
ont la conséquence de lapachyméningite cervicale hypertrophique ou du mal vertébral de Pott. On peut les voir aussi surveni
par rénumération des moyens mis en œuvre pour arrêter les progrès du mal : ils sont hélas ! tous restés sans effet. 3° e
dit entre nous, je les crois bien peu responsables l'un et l'autre du mal qu'ils ont pu faire, ou qu'ils pourraient faire.
atre ou cinq heures du soir. Il y a une aura : le malade se plaint de mal de tête, de confusion dans l'esprit, de tristesse
eût-on pu tenter d'opposer une digue aux envahissements successifs du mal ; mais, aujourd'hui que les destinées sont accompl
u il me tromperait fort. Les choses ont été pour lui, tant bien que mal , jusqu'à il y a deux mois. A cette époque il a co
s, il a toujours pu marcher depuis l'âge de 3 ou 4 ans, tant bien que mal , et, plus tard, il a pu travailler habilement de
cupe les cuisses. Telle a été, d'une façon sommaire, l'évolution du mal dont nous pouvons actuellement étudier les effets
elle la tephro-myélite aiguë de l'enfance, représentaient des foyers mal éteints, pouvant se rallumer sous de certaines in
ce de souvenir, il se mordait la langue et urinait au lit. C'était le mal comitial dans toute sa pureté terrible. Les accès
e, j'ai de la pression dans l'estomac, je ne puis plus respirer, j'ai mal à la tête, cela me serre le front; j'ai des bruit
es de jour, qui sont des attaques de grande hystérie, l'épilepsie, le mal comitial, ne prend aucune part; et inversement, l
rs minuit, il prend 20 gouttes de laudanum pour passer, tant bien que mal , le reste de la nuit. Je dis tant bien que mal pa
passer, tant bien que mal, le reste de la nuit. Je dis tant bien que mal parce que, pour peu qu'il dorme, surviennent bien
et, cependant, il continuait, malgré tout, à se livrer tant bien que mal , à ses occupations, très fatigué toutefois et sur
en de « visible » et j'ai repris un peu confiance, mais j'ai eu grand mal à me mettre sur mes jambes ; elles me semblaient
ère est que, dès le début de ces paralysies, on peut le dire, tout le mal est fait ; elles ne s'aggravent pas dans la suite
peuvent alors se présenter: tantôtlemalade peut encore, tant bien que mal , se tenir debout et marcher tout en titubant comm
peut juger d'après la clinique qui fait constater dans l'évolution du mal des hauts et des bas, elles procèdent par poussée
t à faire relativement à ce chapitre de l'étiologie. L'évolution du mal est remarquablement lente, il peut arriver qu'une
éclairé parles travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur les mal . du syst. nerveux, t. Il, p. 275, 276, 1886. 69
s, dans la dernière semaine de septembre, il commença à éprouver un mal de tête consistant en une sensation continuelle d
os sur la ligne médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui faisait mal lorsqu'il passait de la station assise à la stati
s la seconde semaine après la collision. Dès qu'il se met à lire, son mal de tête s'accroît. Il a souvent des vertiges. L'a
gite hypertrophique, je puis le répéter à propos de la paraplégie par mal de Pott. Vous savez que souvent, cette paraplégie
(Champ visuel) . . . 168 Fig. 39. — Pachyméningite caéseuse dans le mal de Pott . . . 181 Fig. 40,41. — Mal de Pott et
Pachyméningite caéseuse dans le mal de Pott . . . 181 Fig. 40,41. — Mal de Pott et hystérie (Sensibilité) . ,..... 185
2 — — (Champ visuel) ..... 187 Fig. 43. 4L—Simulation hystérique du mal de Pott (Sensibilité) 193 Fig. 45 — * — — (Cham
VIÈME LEÇON l01'malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par mal de Pott ; la guérison date de vingt ans. A l'époq
la ménopause,apparition d'accidents hystériques,simulant un retour du mal vertébral et de paraplégie...... 175 2e malade.
al et de paraplégie...... 175 2e malade. — Simulation hystérique du mal de Pott chez un garçon âgé de 24 ans...........
ladie de). — Crises diar-rhéiques, 233, 236, 240, 241, 335. — Etat de mal , 239. — Emotions morales, 234, 236, 239. — et hys
rticulaire, 104, 113, 114,130. — et Tic convulsif, 14, 464. — Etat de mal , 113, 239. — (Etat mental dans la), 105, 114, 1
— Complications dans la),108.—Etat mental dans la, 111. — et Etat de mal épileptique, 113. — Fièvre dans la, 106, sq. —Hér
lement dans 1'), 5. — (Champ visuel dans 1'), 31, 119, 423. — Etat de mal , 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l'
anie, 420, sq. — Par cellaire, 118. — Petit automatisme; 321. — Petit mal 314. — Secousses interparoxysmales, 117. — (Secou
toire. — et traumatisme,323.— Délire post convulsif, 320. — Etat de mal , 113, 239. — Vertige, 34. Epileptiques. — (Accè
ces morbides (Association des), 152. — (Fixité des), 151. Etat de mal . — choréique, 113, 239. —de la maladie de Basedow
mal. — choréique, 113, 239. —de la maladie de Basedow, 239. Etat de mal epileptique,113,239.— (Mort dans F), 113. — et ch
tique,113,239.— (Mort dans F), 113. — et chorée grave, 113. Etat de mal hystérique, 68. Etat mental. {Voy. Mental (Etat
aire, 490. Gnauck, 164, 166. Goitre Exophthalmique. — Voy. Basedow ( Mal . de). Gombault, 498. Goutte. — Douleurs, 224.
— et épi lepsie (Influence du bromure de Pot.), 322. Hystérie et mal de Pott, 186, 189, sq., 194. —Douleurs lombaires,
lais à la pression, 192. — Stigmates, 186, sq., 192. Hystérie. — et mal . de Basedow, 240.— et saturnisme, 121, sq.,— et s
— Variétés des formes, 470, 471. — Vomissements 272, 273. Hystérie male , 36, 48,100, 419 sq. 458, 459, 522, 533. — Attaqu
i Bâillement). — Contracture, 349, 540 sq. — Dyspnée, 11, — Etat de mal , 68, — Hémiplégie, 262. — Mutisme, 247, 248. —
e, 230. Luys, 89. M Magnan, 16, 95, 96. Mairet, 94, 421, 428. Mal gomitial (Voy. Epilepsie). Manie hypnotisante a
horée, 103, 108.— Dans la chorée grave, 109, 112,127.— Dans l'état de mal épileptique, 113. Morvan, 498. Morvan (Maladi
. — Traitement des rétractions tendineuses, 538# Pachyméningite par Mal de Pott (lésions), 182. Page, 30, 288. Paget,
(lésions), 182. Page, 30, 288. Paget, 194. Panaris analgésique ( Mal . de Morvan), 498. Papille tabétique, 164. Par
e alcoolique.) — Dans la maladie de Basedow, 235, 239, 240, 242. — du Mal de Pott. (Voy. Pott.) Paraplégie spasmodique. —
ériode préataxique du tabes, 333. Personnalité (double), 327. Petit mal épileptique, 314. Physiologie pathologique, 359.
omyeltques (Symptômes), 495. Polyopie monoculaire, 32, 166. Pott ( Mal de). — (antécédents dans le), 190. — Compressio
le, 179, 182. — Difficulté du diagnostic au début, 189,191. Pott ( Mal de) et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. — Sen
é du rachis à la pression, 192.— Stig-. mates, 186, sq., 192. Pott ( Mal de). — Rétractions tendineuses, 539. — (Lésions d
— Rétractions tendineuses, 539. — (Lésions de la pa-chyméningite par mal de), 182. — Myélite transverse du, 182. Pott. —
mal de), 182. — Myélite transverse du, 182. Pott. — (Paraplégie par mal de), 175,176.— Guérison,177.— Réflexes, 178. — Tr
n spinale, 178. — Pathogénie de), 179. — (Symptômes de), 183. Pott ( Mal de). — Simulation hystérique 189 sq., 194. — Symp
lique, 495, 496. Thermomètre à surface, 507. Thermophobie dans la Mal . de Basedow, 235. Thomas, 417. Thomsen, 119,
(Examen des). — dans l'attaque de sommeil hystérique, 273. — dans la mal . de Basedow, 238. — dans l'épilepsie, 421. Utér
4 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
SEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ ' (SÉMÉIOLOGIE ET DIAGNO
avaux anatomiques à la Clinique des Maladies Nerveuses. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépendant des racines ner
a gibbosité et d'importance secondaire (1) V. Mena un, Etude sur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DE
hidienne. « Ollivier d'Angers attirait l'at- tention sur des cas de mal de Pott qu'on avait complètement méconnus avant
e (1). On connaît, à l'heure actuelle, d'assez nombreux exemples de mal de Pott ayant évolué d'un bout à l'autre, sans
tant sur la difficulté du diagnostic en pareil cas. Sur 20 cas de mal de Pott chez l'adulte, dont 10 suivis d'autopsie,
ement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, afin.de mieux souligner
rant la vie, paroles symptômes propres » et, plus loin, à propos du mal de Pott cervical : «Il peut arriver et il arrive
eut arriver et il arrive assez fré- quemment, dans cette variété de Mal de Poil, que les nerfs des extrémités supérieur
ues sur l'origine radiculaire ou médullaire des troubles nerveux du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôpitaux,
e mieux, nous nous contenterons de diviser les accidents nerveux du mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3
rs examens du rachis aient permis de découvrir aucun autre signe de mal de Pott. Après une accalmie complète de 4 mois,
sion des premières vertèbres lombaires, permettant le diagnostic de mal de Pott. D'ordinaire, aux douleurs en ceinture
e « il avait éprouvé une certaine difficulté à mar- cher, il tenait mal ses jambes et ne pouvait courir. Cela dura plusie
es, mais l'absence de gibbosité rend le diagnostic hésitant entre : mal de Pott, anévrysme aortique, cancer. Un mois seul
u foyer tuberculeux à la moitié antérieure de l'espace épidural. Le mal de Pott avait - évolué d'un bout l'autre, sans
fin, à titre de curiosité, le cas curieux de Wert (3), dans lequel le mal de Pott se révéla par l'ouverture d'un abcès fr
7 janvier 1900. (3) WERT, Cleveland Journ. of med., 1901. A B MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L...Alquier.) Masson
uée à une péritonite tuberculeuse. 10 . ALQUIER 3 ans après, le mal de Pott débutait par des douleurs lombaires provo
ieuse. Or, à l'autopsie, faite 6 semai- nes plus tard, on trouva un mal de Pott ancien, siégeant dans le corps de la 5e
NOUVELLE Iconographie DE la SALt'1 ! nUt T. XIX. Pl. Il c D MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRI
t, qu'un petit nom- bre de faits, car les troubles nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans signes rachidiens nets
ographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. III Radiographie Infroit. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRI
eurs, MM. Raymond et Huet ne présentent ce cas que sous le titre de mal de Pott probable, « à cause de la difficulté du
ue surtout sensitive. Tourmenté par d'atroces douleurs, que calmait mal la morphine, le malade se cachectisa et succomb
as avec compression de la moelle et des racines cervicales. Dans le mal sous-occipital, on observe un mélange de troubles
u clonus et le signe de Babinski à gauche. L'auteur diagnostique un mal sous-occipital avec luxation du crâne en arrière
iété de Neurologie (1) un homme de 43 ans qui, à 4 ans, avait eu un mal sous-occipital post- traumatique. De 8 à 12 ans,
alcoolique, l'auteur croit pouvoir rapporter tous ces accidents au mal sous-occipital, éliminant la forme spasmodique de
ès l'application d'une minerve, ce qui fait porter le diagnostic de mal de Pott latent. Dans sa « Leçon sur le mal de P
porter le diagnostic de mal de Pott latent. Dans sa « Leçon sur le mal de Pott », M. Brissaud résume deux autres cas :
o-trismus par paralysie des muscles abaisseurs de la mâchoire. B, Mal de Pott avec compression cervicale inférieure. -
RAYHI6 DE LA SALPETRfÈRE. T. XIX. PI. IV 1 Photographies Introït. MAL DE POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES
l'autopsie, intégrité de la partie postérieure des arcs vertébraux : mal de Pott cervical avec destruction complète du c
e la dure-mère et les méninges molles (PI. IV). Ainsi donc, dans le mal de Pott cervical, comme dans la tuberculose des
20 ALQUIER esquisse M. le professeur Raymond à propos d'un cas de mal de Pott cer- vical probable, dans les lignes su
autopsie pratiquée ultérieurement montra qu'il s'agissait, non d'un mal de Pott, mais d'un sarcome des méninges cer- vi
sont les principaux aspects cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott; ils peuvent, on le voit, réaliser toutes
iste exercé, lorsque viennent à' manquer les signes de certitude de mal de Pott, c'est-à-dire les signes rachidiens, ou b
e liquide céphalo-rachidien, d'éléments figurés divers. Or. dans le mal de Poil, la ponction lombaire donne habituelle-
ans certains cas, aider au diagnostic. Les douleurs radiculaires du mal de Pott ont, d'ailleurs, un caractère dont l'im
as anormaux que nous avons résumés, contribué à faire rechercher le mal de Pott (exemples : cas de Raymond, Huet et de Br
u du tronc, et dont la cause n'est pas évidente, toujours penser au mal de Pott, quel que soit l'âge du sujet. La douleur
observer, d'ailleurs, que, si la douleur est un excellent signe de mal de Pott, son siège est loin de correspondre toujo
ue à la compression osseuse des racines ou des nerfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NE
LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le mal de Pott lombo-sacré. On l'observe encore dans le
à-dire dans le mal de Pott lombo-sacré. On l'observe encore dans le mal de Pott dorso-lombaire, alors que la compression
oureuse et ne détermine pas de troubles vésicaux contraire- ment au mal de Pott. b) En cas de spasmodicité des membres
e syphilitique ? Celle-ci est, en général, moins douloureuse que le mal de Pott ; la cons- tatation du signe d'Argyll R
ard et Cestan). Dans les cas où on a quelque raison de suspecter le mal de Pott, il ne faut,bien entendu, tenter l'épreuv
s dans la littérature, il est dit expressément que les accidents du mal de Pott se sont notablement aggravés à la suite d
, au contraire, semblé aggraver la situation. On eût pu penser à un mal de Pott, l'autopsie démontra l'intégrité complète
, dont la compression' entraînerait la 4e variété. Or, même dans le mal de Pott sous-occipital, c'est cette der- nière
ctères des douleurs radiculaires, telles qu'on les observe dans les mal de Pott ; l'attitude de la tête, la déformation d
rencontre le diagnostic des troubles nerveux survenant au cours du mal de Pott, sans gibbosité. Quel que soit le siège
un traumatisme vertébral marquer le début des accidents nerveux du mal de Pott;-or, nous avons autopsié, il y a quelqu
ssivement des accidents analogues à ceux qu'aurait pu déterminer un mal de Pott; l'autopsie et l'examen histologique mo
pressions de la moelle et des racines dues à d'autres causes que le mal .de Pott, par exemple à un anévrysme aortique, o
Raymond), enfin, la méningo-myélite tuberculeuse indépen- dante du mal de Pott, dont le diagnostic offre les plus grande
ement les aspects les plus caractéristiques des troubles nerveux du mal de Pott, qui peuvent varier à l'infini, suivant
diagnostic positif. Les signes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott les troubles nerveux constatés, sont de
de compression nerveuse sans cause bien évidente, on doit penser au mal de Pott et en rechercher les signes ; d'autre p
lose ver- tébrale latente. Or, plusieurs auteurs affirment que : le mal de Pott se développe, d'ordinaire primitivement
berculose pleuro-péritonéale an- cienne, certainement antérieure au mal de Pott ; dans les 4 autres cas, la tuberculose
tuberculine. b) L'étude des signes rachidiens annonçant le début du mal de Pott a été faite bien des fois ; nous ne sau
, les souffrances, tels sont les symptômes qui donnent, au début du mal de Pott, une physionomie assez spéciale. La r
usieurs vertèbres dorsales supérieures, avaient permis de penser au mal de Pott; or, le malade étant mort il y a quelques
e plusieurs apophyses épineuses, alors que tout rendait probable un mal de Pott, qu'il était, cependant, im- possible d
une analyse clinique minutieuse permet d'arriver à diagnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLE
e diagnostiquer les méningo-myélites tuberculeuses indépendantes du mal de Pott, dont on connaît, à l'heure actuelle, d
érir dans bien des cas, en instituant à temps le seul traitement du mal de Pott dont l'efficacité soit aujourd'hui bien
ans certaines affections locales de la colonne vertébrale, comme le mal de Pott ou le cancer vertébral, ou encore la cyph
lètement verticale, rectiligne, avec disparition des courbures nor- males , une consolidation en masse des corps vertébraux
lisme n'est pas encore complète. Malgré les travaux récents, il est mal connu à tous les points de vue : dans ses symp-
il se présente, au contraire, « sous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits ». Nou
ous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits ». Nous n'apercevons pas encore nette-
ilisme » (1), le masculisme dont l'expression elle-même est ' assez mal déterminée (Féré), et encore certaines « variétés
e étude, décrit et oppose ces cas spéciaux, jusqu'alors méconnus ou mal différenciés, à tous les autres du groupe, qui,
sa santé et prenaittoujours des médicaments. Le grand-père était mal équilibré, excessivement jaloux, et « il avait be
ruit, qui est arrivé à une haute situation politique, mais il était mal équilibré, impulsif, dissipateur et débauché. I
ore vivante, souffre beaucoup de rhumatisme. Oncle : Excentrique et mal équilibré. Antécédents personnels. Pas de fauss
d'au- cune cause provocatrice apparente, le malade s'exalta, dormit mal , devint re- muant et bavard, commença à fréquen
vé dans un état d'excitation physique et psychique modérée. Dormait mal et parlait beaucoup ; exposait ses projets avec
dont les sujets sont fréquemment atteints. » (1) Revue mens. des mal . de l'enfance, 1893, p. 481. 64 MAGALHAES LEMOS
) Brissaud, Loc. cil., p. 29. (2) Cité par Brissaud, Leçons sur les mal . nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris 1899,
sique défectueuse; et, engendrant ainsi « des êtres nouveaux, anor- maux , à mécanisme cérébral faussé ». Il me semble, e
, excepté des troubles digestifs ( l'âge de 18 mois) avec fièvre et maux de ventre, mais qui disparurent bientôt. Du res
re de la capsule interne (qu'il recouvre en dehors) ce faisceau est mal délimité et ses fibres s'enchevêtrent avec les fi
erveuses 'et' pratiqué des coupes dans tous les sens de pièces nor- males et des coupes frontales d'un cas de ramollissemen
abstraction ici des nouures imprécises, de l'impotence passagère et mal définie de la main droite, nous voyons qu'en no
dès la naissance on s'est aperçu que ses mains et ses pieds étaient mal conformés. Vers l'âge de quatre ans seulement,
e, les réflexes, la contractilité électrique n'offrent rien d'anor- mal . Ce qui doit être encore souligné, mais à un au
pendant sa vie, eut des crises de durée diverse où elle se trouvait mal , se débattait. Père vivant, 59 ans, atteint de
ans. A chaque contrariété, chaque orage elle se trouvait subitement mal , perdait connaissance quelques instants, puis r
, entendant les autres, mais ne pouvant parler, les comprenant très mal et assistant impas- sible à tout ce qu'on lui d
nduisait à l'école la gourmandait sans cesse parce qu'elle marchait mal (déformation) et lentement. Règles pour la prem
s sifflements fréquents. L'ouïe est gênée, la malade entend souvent mal et son oreille coule par moments une humeur jau
. L'examen du sang sur lames montre l'absence de tout élément anor- mal aussi bien rouge que blanc. , Il n'existe pas d
signe de Babinski est en flexion et les réflexes cutanés sont nor- maux . Il n'y a aucun trouble du côté des organes des s
es mains études doigts, de la verge et du scrotum sont restées nor- males . FiG. 10 et 11. 17 mai 1905. Topographie des tr
t de la verge est un peu hypothermique (la peau du scrotum est nor- male ). La peau de l'abdomen est normale et limitée e
ouche sagittale externe, étant privée des fibres qni, à l'état nor- mal , ne font que la traverser (et n'en font nullement
cessivement difficile en avant, même impossible sur des coupes nor- males , mais que la dégénérescence, secondaire nous perm
: cette racine a conservé son volume habituel et sa coloration nor- male . Nous verrons néanmoins que la méthode de Cajal m
s le ganglion, pas plus de massues d'accroissement qu'à l'état nor- mal . Ce cas est un bel exemple de névrite radiculaire
èrement qu'il ne l'a pas retrouvée chez des chiens entièrement nor- maux ; il conclut de ce fait que les boules observées
abétiques (obs. I, II et IV), existent en réalité chez l'homme nor- mal ou tout au moins dans des cas où elles paraissent
t en particulier au cours de la. sénilité,- qui est un état subnor- mal , il apparaît des prolongements dendritiques sur l
demain une légère impotence du membre supérieur droit et un violent mal de tête. 6 septembre. Nouvel ictus plus grave,
un petit dia- phragme, et qu'on pourrait prendre pour des éléments mal colorés, représen- tent un degré plus avancé de
pensé par la surface plus grande qu'il couvre. Cela supposerait pas mal d'élasticité des fibres nerveuses et n'explique
t, puis oublie de la rentrer. Réllexes patellaires d'intensité nor- male . Pouls accéléré, environ 100 par minute. Températ
4) : une centrale (démarquée par une ligne pointillée) se colorant mal au Weigert-Pal. Elle est occupée par des fibres n
est ce qui lui vaut d'être conservé par son patron dont il supporte mal l'autorité. Au milieu d'une conversation, il chan
te et des bras, mais il est variable et non continuel. Les dents sont mal plantées et irrégulières. Eclat diastolique à
mens, à propos des Arracheurs de pierres de tête, des Pédicures, du Mal d'Amour, des Dentistes, etc. (1). Le tableau de M
puise à l'occasion : pots de pharmacie en faïence de Delft, flacons mal bouchés, un plat à barbe de réserve et un petit c
trouva dans les nerfs périphériques quelques faisceaux étroits, et mal colorés. Quatre mois après la section simultanée
. Les nerfs de la queue et de la plante du côté opéré, étaient nor- maux , de même que les nerfs symétriques. Chez ces deux
laire. A droite de la figure, on aperçoit la racine antérieure nor- male . Les cellules ganglionnaires sont normales de nom
e d'expériences qu'après section de la racine postérieure, les ani- maux étant abattus au bout de 8, 12, 30 et 40 jours, o
me année, Koster (6) reprenait ces expériences sur un nombre d'ani- maux beaucoup plus considérable. Sa technique histolog
e postérieure, dans laquelle il n'existait que de rares fibres nor- males . Elles s'avançaient d'autre part dans le gangliou
description de Koster nous montre, au Marchi, des fibres étroites, mal colorées, avec çà et là disparition de la myéli
férent aux diverses époques où nous l'avons examiné. Chez deux ani- maux (X et XI) n'ayant survécu que quinze jours après
I), les fibres à myéline, examinées sur coupe, étaient amincies, et mal colorées. Chez le chat IV et le chat V (aux 338e
re ? C'est ce qu'il nous paraît difficile d'admettre. On comprendrait mal , en effet, pourquoi ces dégénérescences apparai
jour) ;au 3e et 48 mois ces fibres étaient encore tout à fait nor- males (chats VII et IX). Pendant que se développait cet
nte (bout ganglionnaire) montrent les gaînes de myéline amincies et mal colorées, les fibres efférentes sont normales au
dernière racine sectionnée : le cordon droit avait son aspect nor- mal et comprenait (après numération à l'oculaire-quad
périphériques cutanés, sur dissociations, étaient tout à fait nor- maux du côté droit, sauf qu'une des préparations montr
e faisceau pyramidal contient peu de fibres à gaîne myélinique nor- male qui est ou disparue ou atrophiée. La moitié droit
: on trouve des altérations rénales qui confirment le diagnostic de mal de Bright et d'urémie et des lésions pleuro-pul
de batailles », c'est-à-dire que c'est son jeu qui fait le plus de mal à l'adversaire et comme corol- laire, c'est ell
t en chercher la raison dans le fait qu'elles ont une tendance nor- male ci la production de collatérales. Aussi, après la
me moyen revenant sur eux-mêmes. Dans le bout supérieur on voit pas mal de fibres nerveuses, iso- lées ou réunies en fa
sont très diminuées de volume, comme étranglées, elles se colorent mal et d'une manière diffuse, le noyau et le nucléole
st trouble, poussiéreux, le nucléole est excentré et se colore fort mal ou à peine dans de nombreuses cellules. Certaines
récit fait par le malade du mode de début et de l'évolution de son mal . 11 s'est aperçu un jour par hasard, il y a 8 ans
échardes de bois pouvaient en- trer dans sa peau sans-lui faire de mal . A la même époque, il s'est brûlé à l'avant-bra
idiopathique, jusqu'au jour où l'autopsie vient montrer la cause du mal comitial. L'un de nous a publié un cas semblable
nce ; tout autour de la tumeur, les fibres à myéline sont également mal colorées par la laque hématoxylinique et dégé-
es, ont ici conservé une apparence qu'on peut considérer comme nor- male chez quelques-unes d'entre elles. Les fibres à my
la Salpêtrière, 1901. (2) LA11DOUZY. (3) Brissaud, Leçons sur les mal . nerveuses, 1895-1898, Iconographie delà Salpê-
anterie, comme une chose toute naturelle. Aucune notion du bien et du mal . Enfin, symptôme important que nous avons été a
s du double du volume normal. Comparées aux racines d'un sujet nor- mal ,les racines dorsales et cervicales sont également
- pées par de nombreux noyaux, quelquefois volumineux, mais souvent mal colorés par l'hématoxyline, par des débris ou d
VAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVE
que des Maladies nerveuses. Pour expliquer les accidents nerveux du mal de Pott,on invoque actuel- lement plusieurs fac
les principales lésions de la moelle épinière décrites au cours du mal de Pott, en dehors bien entendu du mal sous-occ
épinière décrites au cours du mal de Pott, en dehors bien entendu du mal sous-occipital, généralement considéré comme un
ntré Eicheverria, Charcot et Michaud, ALQUIEIi. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE SU la compression est pro
rouvée plus volumineuse qu'à l'élat normal, aux QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 513 endroits où le micros
cas en 3 groupes, suivant le siège, dor- sal, lombaire, cervical du mal de Pott, mettant à part quatre faits com- plexe
mal de Pott, mettant à part quatre faits com- plexes (trois cas de mal de Pott chez des syphilitiques, un cas de mal de
plexes (trois cas de mal de Pott chez des syphilitiques, un cas de mal de Pott terminé par méningite). I. - Mal de P
syphilitiques, un cas de mal de Pott terminé par méningite). I. - Mal de Pott dorsal. Cas. I (cas 880 du Laboratoire)
êtrière. T. XIX. PI. LXXV ! Fig. 1 Fig. 3 . Fig.2 '2 Fig. 4 MAL DE POTT 'r"hJ¡,¡,1't&;1 : ¡ ,;a : fjJ ? (L.
¡,1't&;1 : ¡ ,;a : fjJ ? (L. A/ouïe¡-) '- " QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 515 5 très sclérosées, av
es sont en chromatolyse légère, avec pigmentation. Cas. II (nu801). Mal de Fott ayant débuté cliniquement à 70 ans. Mor
paraissent dues à la néphrite et à l'artério-sclérose plutôt qu'au mal de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dors
l'artério-sclérose plutôt qu'au mal de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dorsal. Mort 16 mois après les premiers
sement, de déchirure dans la région lombaire. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT Chez L'ADULTE' 517 Neuf mois après, s'y
rallèle à celle des lésions des méninges molles. OBs. V (n° 814). Mal de Pott ayant cliniquement évolué en 6 semaines,
rement aplatie d'avant en arrière. Les méninges QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 519 molles, libres partou
s veines plutôt dilatées, sont pleines de sang. OBs. VI (no 755). Mal de Pott sans gibbosité, ayant évolué cliniquement
antes gauches. Cervelet, pas de lésions. De ces 6 observations de mal de Pott dorsal, les deux premières sont des exe
conographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXVII Fig. 1 Zig. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). QUINZE AUTOPSIES DE MAL
Fig. 1 Zig. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 52 ! ' Dans le second cas
condaire, et les caractères spéciaux (diffusion, tubercules jeunes, mal formés) du foyer épidural, on est en droit de s
as dans les autres cas où man- que cette infection adjuvante. II. Mal de Pott lombaire. Nous serons extrêmement bref
ublié in extenso (1), le 886 le sera bientôt). Ces. VII (n° 681). Mal de Pott sacré sans signes rachidiens. - Englo-
(1) Roussi, Arch. de neurologie, août 1905 , QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE z3 peine. Réflexes : rotu
nt grenue se co- lorant en rose par l'éosine. Ors. VIII (n° 886). Mal de Pott lombaire sans signes rachidiens ; syn-
autre travail fai tavec Lhermi tte (4 ). (t) ALQUfEIi ét Lheruitte, Mal de Poil, syri71gomyélie.ï{eva.e neurol,30 décembr
syri71gomyélie.ï{eva.e neurol,30 décembre 1906. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 525 illi. - Mal de Pott c
e 1906. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 525 illi. - Mal de Pott cervical et cervico dorsal. OBs. IX (nO
entre dans le service de M. le professeur Raymond où on constate : Mal de Pott avec gibbosité cervico- dorsale doulour
conographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXXVIII Fig. 1 Fis. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). Masson & Cie, Edite
& Cie, Editeurs Ph"...t ? u..rw ? a o.... QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 527 la hauteur de la moel
a- raissent sains à l'oeil nu et au microscope. Ons. XI (n° 890). Mal de Polt sans gibbosité, détruisant complètement l
ent la moelle, dans les observations IX et X. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 529 Les racines sont engl
difficile de distinguer chez eux les symp- tômes et les lésions du mal de Poil et de la syphilis ; dans la 4e, une ménin
es, les vaisseaux sont dilatés, pleins de sang. Ces. XIII (n° 798). Mal de Poil dorsal chez une syphilitique probable,
la région lombo-sacrée. Femme présentant depuis t'age de 30 ans un mal de Pott dorsal avec gibbo- sité. A 50 ans, doul
ng 21t ! r. zut . mi Fig. 2 Fig. 3 QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 531 férieurs complète à d
essière, fièvre, mort. Autopsie. - Tuberculose pulmonaire ancienne. Mal de Pott avec destruc- tion du 4e corps dorsal,
ultanée d'un tabès incipiens bien probable ana- tomiquement et d'un mal de Pott ;.dans l'observation XII nous voyons, au
r épidural ne diffèrent pas notablement de celles observées dans le mal de Pott simple ; ' il semble que les deux malad
ciproques. Cas avec méningite, probablement tuberculeuse. Uns XV. Mal de Pott dorsal. Guérison apparente après 8 mois d
e de 18 ans. A 16 ans, à la suite d'une chute sur le dos, fréquents maux de reins, déviation vertébrale : 18 mois plus tar
ois plus tard, après une chute sans cause (paraplégie brusque) pour mal de Pott par l'immobilisation complète; QUINZE A
pour mal de Pott par l'immobilisation complète; QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 533 8 mois après guérison
à partir de quel degré les lésions périradicu- QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 535 laires pouvent agir s
génératives. Ces lésions sont nettes dans les observations I et II ( Mal de Pott dorsal avec compression osseuse), elles
ec compression osseuse), elles apparaissent surtout dans les cas de mal de Pott lombaire ou cervical. ' Il nous est d
es à d'autres causes qu'à la tuberculose rachi- Quinze autopsies DE MAL DE POTT CHEZ l'adulte 531 dienne. Ceci concorde
oces. Leur constatation prend une importance particulière lorsqu'au mal de Pott s'ajoutent ceux d'une autre affection n
n'avait occasionné aucune douleur rachidienne ; après sa guérison, le mal Pott était apparu, annoncé, dès son début, par
mptômes radiculaires objectifs particulièrement importants quand le mal de Pott est lombaire ou cervical, ont assurément
ire ne peut être précisée exactement. Dans nos deux premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer, parmi les
musculo-tendi- neuses,qu'on n'observe pas, d'habitude, au cours du mal de PoU; ces carac- tères seraient à rechercher
-Sé- quard. On sait combien le pronostic des accidents nerveux du mal de Pott pré- sente de difficultés ; on ne sait
ont, que l'on a proposées comme moyens de diagnostic dans le cas de mal de Pott, sans signes rachidiens. Enfin, la ra
pariétal dont les fibres se disposent plutôt en une seule cou- che mal différenciée. Cette explication nous a paru néc
si compliquée de la dégénérescence rétrograde. Ce phénomène encore mal compris dans les autres régions, devient presqu
RS ALQUIER. Les principales formes des trou- bles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2. Alquier. Q
l de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2. Alquier. Quinze autopsies de mal de Pott chez l'adulte (4 pl.), 510. Armand-De
ose corticale. syndrome méningé (3 fig., 4 pl.), 239. Eccr : n ( maux ) et Français (IL). Agénésie to- tale du système
à la psychophysiologie de l'usage des) (2 fig.), par Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes
die de Dupuytren et artério-sclérose médullaire (JAaurnu), LXXXI. Mal de Pott sans gibbosité (ALQUIER), I, II, III, I
), LXXXI. Mal de Pott sans gibbosité (ALQUIER), I, II, III, IV. Mal de Pott (Alquier), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXI
5 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
r en face, afin d'en modilicr la nature et de faire sortir le bien du mal , etnon,éoininc on l’a fait toujours, le mal du bi
e faire sortir le bien du mal, etnon,éoininc on l’a fait toujours, le mal du bien. Il y a plusieurs siècles que ce travail
remplir la mission sublime d’alléger les souffrances et de guérir les maux . Le magnétisme agit non-seulement physiquement,
ibre ou de l’ordre élan t une exception de la règle de l’ordre, ou un mal physique, le rétablissement de l’équilibre ne peu
r que par une autre exception de la règle , c’est-à-dire par un autre mal . Il se fait donc nécessairement un retour du mal
-à-dire par un autre mal. Il se fait donc nécessairement un retour du mal sur la cause, pour l’altérer ou pour la détruire,
a, par une sorte de retour plus ou moins immédiat, la punition par un mal physique appelé maladie ou crise, qui n’est autre
’il a troublé l’ordre de la nature, reviendra sur son auteur comme un mal nécessaire pour rectifier le désordre, soit, par
à cet anachorète, dont jadis on aurait fait un saint, et ont vu leurs maux guéris ou adoucis par des pratiques simples et to
e l’esprit dans une situation favorable à ces opérations, il y aurait mal à la détruire si on ne pouvait donner une convict
rétendu barbare encourager, solder même les hommes qui guérissent les maux en se servant de facultés naturelles et humaines,
ien, nous pousse et conduit dans cette voie; l’autre qui, principe du mal , nous incite sans cesse à des actes coupables. Le
es étaient haletantes, et lorsqu’il fléchit pour saisir le symbole du mal , des bras se sont levés, des bouches ouvertes, co
ssière mystification ; aussi trouve-t-il que les auteurs ont été fort mal inspirés dans le choix du sujet. — M. Mageudie,
ie et le magnétisme, puisqu’il faut les nommer, prétendent guérir lps maux avec peu ou point de remèdes. Le congrès s'est
règles pratiques cl recommandé la prudence, puisque le bien comme le mal peut résulter de votre conduite. Déliez-vous de
qu'ils ne peuvent vivre qu’avec des erreurs, ou plutôt le principe du mal , les flattant, leur plaît par cela seul plus que
principes: ce n’est que confusion autour de nous. D’où vient donc ce mal ? Assez de vérités sont pourtant découvertes, et D
fait un devoir; il s’y courbe du reste avec plaisir, sans songer aux maux qui l’attendent, sans se soucier de cet avenir où
e que je suivais les progressions de la malade sans qu’elle me dit le mal qu’elle éprouvait. Les misérables avaient dos yeu
r, par scs grands talents, nous garantira-t-il à l’avenir de tous les maux qui pèsent sur nos tètes, des inondations, des te
s; et aussitôt dit, aussitôt fait. Les fondateurs de l'Union ont fort mal raisonné. Les vieux médecins antimagnétistes, enn
e des actions est l’intérêt personnel, mais que cet intérêt peut être mal entendu lorsque la représentation en est confuse
confondus ni ignorés. La société, pour cet effet, affecte certains maux ou peines aux actions qu’elle veut empêcher , et
elle veut empêcher , et les règles d'après lesquelles elle inlligeces maux sont les lois criminelles. Les lois criminelles
lles doivent avoir deux objets : remédier et préserver. Remédier au mal , c’est le faire cesser, soit dans sa cause, soit
criminelles sont donc: 1° De renforcer les motifs en attachant des maux à ces actions défendues -, 2°En prouvant que ce
attachant des maux à ces actions défendues -, 2°En prouvant que ces maux sont des effets certains et inévitables de ces mê
es mêmes actions. La justice n’ayant le droit naturel d’infliger un mal que pour en éviter un plus grand, la mesure de ce
mesure de ce droit sera dans tous les cas la stricte nécessité. Ce mal étant une exception particulière de la règle géné
procédure doit donc être publique, soit pour prouver la nécessité du mal , soit pour démontrer que çe mal attaché par les l
ue, soit pour prouver la nécessité du mal, soit pour démontrer que çe mal attaché par les lois à l’action prohibée est cert
angements ou les effets de l’action ; 3° Le degré du désordre ou du mal qui en est résulté dans la société. L'énormité
dans la société. L'énormité du crime est en raison composée 1° Du mal résultant de l’action; 2° De la difficulté de l
é l’action a dépendu de la liberté, et par conséquent à quel point le mal peut être imputé à son auteur. Le remède, ayant
toyen qui a commis le crime. L’abus de la liberté étant la cause du mal , pour la faire cesser, le plus naturel et le plus
’homme, que l’on se permet de calomnier comme dépravée et disposée au mal ; mais qu’elle est plutôt le résultat dè l’éducati
Enfin un somnambulisme calme succéda à ces crises; elle put voir son mal , dont la cause était, selon elle, une grande quan
ouvons entrer maintenant. Comme toutes les questions obscures, peu ou mal étudiées, celle-ci donne lieu à une controverse;
ans lesquelles il mettait les malades résultaient d’une magnétisation mal dirigée, car il sera possible désormais de produi
es que pèche la relation des traitements magnétiques; mais, pour être mal narrées, ces guérisons n’en existent pas moins. L
monsieur qui, la semaine dernière, a été opéré par M. Travers pour un mal de pied, a également succombé vingt-quatre heures
sphère, et le paganisme, en résumé, n’est autre chose que la croyance mal entendue de cette idée primitive : « Dieu dans to
nt point de tentatives hasardées, de pertes de temps, qui ajoutent au mal : « aux grands maux les grands remèdes ; >>
ves hasardées, de pertes de temps, qui ajoutent au mal : « aux grands maux les grands remèdes ; >> il faut un secours
cines. Beaucoup de ces malheureux y trouvèrent la curation de leurs maux ; mais il nevinl à la pensée de personne que si le
ie, et sous ce nom nous comprenons des faits d’une occulte puissance, mal connus, mal définis et dont la source est en nous
ce nom nous comprenons des faits d’une occulte puissance, mal connus, mal définis et dont la source est en nous-mêmes, exis
té, comme nous le démontrerons. En effet, l’ignorance fut toujours un mal ; c’est par elle que les malheurs de l’homme se
es imposteurs qui se gardent bien de les éclairer. Eh bien, tout ce mal peut diminuer et l’humanité changer de face si la
ne put s’accoutumer à ce régime; elle se fit magnétiser, et tous scs maux parurent se dissiper. Veuve et jeune, elle se r
rbée sur elle-même, nulle autre position ne lui était permise par son mal , qui, bien qu’angmentant à chaque instant, n’ôtai
exécuter; mais, peu de temps après, cette princesse fut attaquée d’un mal si violent, qu’il l’emporta à la fleur de son âge
secours de la médecine, rien ne put arrêter les rapides progrès d’un mal de poitrine qui au bout de peu de temps la condui
s de Pâques 1846 que leur fille commença à ressentir les atteintes du mal qui allait l’emporter ; mais à cet âge il y a tan
l’emporter ; mais à cet âge il y a tant d’espoir dans la jeunesse, ce mal lui-même est si mystérieux, que tout contribuait
le de Dieu, ce qui avait fait désigner cette maladie,sous le nom de : mal de prédication. Des médecins témoins de ces parox
paraissent leur être les plus inaccessibles, ceux où le christianisme mal entendu domine. — Le Mauricien, journal de l’îl
itôt le malade vomit une abondante quantité de bile, mêlée d’aliments mal digérés. Cette magnétisation, quelque temps soute
ux heures après, et un nouveau vomissement de bile pure eut lieu ; le mal fut dès-lors enrayé. Le malade s’endormit, et le
umaines, il est probable qu'il est appelé à faire plus de bien que de mal , parce que nous pensofls, et l’expérience nous le
n, elle l’a perdue ; mais je la vois qui me tire les yeux, ça me fait mal , ça brille trop. (Elle se cache les yeux.) — Ma
essaya; mais comme le style était en vieux français et les caractères mal formés, elle resta quelques instants à parcourir
liquide et ne portent jamais de fruits. » Le physicien, «contre les maux indignes et lâchement traîtreux qui resserrent le
ne et de sels mercuriels. Serait-il juste à Dieu d’avoir opposé à nos maux des remèdes qu’on fût quatre mille ans à inventer
spécifiques. Puis en masse les médecins firent peser les causes du mal dans notre organisation, sur le froid ou le chaud
le et les assistants, qui savaient qu’éveillée elle se serait trouvée mal à la vue de l’instrument tant redouté. Je regre
parla, TOME IV.—KO 4«.— 25 MAI 1847. 10 dit qu'elle voyait son mal dont elle guérirait, mais qu’il faudrait en venir
lle avaiL faites, et reconnut, ainsi qu’elle l’avait annoncé, que son mal pouvait provenir d’une dent gâtée, et reconnut ég
us troubler, vous demander d’ouvrir vos portes. Vous croyiez faire du mal au magnétisme et déconsidérer ceux qui avaient or
audissent entre eux de leurs persécutions, et pensent que le génie du mal , dont ils sont les ministres, remportera sur le g
Mais à peine de l’éther Eut-il senti la puissance Qu'il fut pris du mal de mer. Non, l’éther, etc, L’autre soir, dans u
cidents reparaissent. « Un Breton, vieux militaire, éprouve le même mal à un tel point qu’il est obligé de quitter toute
mes connaissances thérapeutiques ont échoué. Des femmes affectées de maux de reins, de douleurs lancinantes à l’hypo-gastre
on que plusieurs d’iceux, pour la grande humidité, étoient sujets aux maux de nerf ou de gorge, ce qui n’est du tout hors de
s’était déjà écoulé depuis sa sortie de l’hôpital-, et cependant son mal allait toujours en empirant, abandonnée de tout l
un long article plus nuisible que favorable au magnétisme, tant sont mal choisies les preuves. L’auteur a eu une bonne int
gré au Charivari du service qu’il a voulu leur rendre, et si quelque mal résulte pour la cause mcsmérienne, il en aura été
o M"" Piron, par sa lettre du 28 décembre 1845, m’annonçait que le mal du nombril élait évacué. Le lendemain, j’interrog
é. Le lendemain, j’interrogeai mon fils à ce sujet; il me dit que son mal existait encore, et pour m’en donner la preuve il
au moins et ne rien faire pour favoriser l’évacuation du principe du mal , ni calmer son agitation... Les jours suivants il
nt il se plaint de malaise, dit qu’il est faible, qu’il a beaucoup de mal au nombril, que la douleur n’est pas ordinaire, q
’il prononça avec l’accent de la conviction : a O mon Dieu, comme mon mal est blanc! » Il était, à ma grande surprise, tomb
se, tombé seul en somnambulisme. Je l'interrogeai ; il me dit que son mal allait s’évanouir comme il l’avait prédit ; qu’il
sommeil magnétique élait nécessaire pour favoriser l’expulsion de son mal ; que s’il ne s’était pas endormi, il aurait peine
, lorsque, à la suite d’une contrariété très-forte, elle fut prise de maux de ventre affreux, avec sensation d'une boule qui
ns cours à l'indignation que nous éprouvons; car nous avous souci des maux d'autrui, et notre douleur augmente en voyant pro
n et de myo-lilité, dont le premier degré se traduit par : se trouver mal ; la cime, par convulsion. Considéré d’une manièr
ans ses manières d'être. Une fois attaqué, c’est un foyer qui sème le mal par toute l’organisation, et ce mal, quand il est
taqué, c’est un foyer qui sème le mal par toute l’organisation, et ce mal , quand il est en dehors de la lancette et du spéc
Ce que je comprends mieux, c’est, que cette maladie est généralement mal traitée, par la raison toute simple qu’on prend s
es secondes vous verrez huit 011 dix personnes « s’enfuir, l’une pour mal de tête, l’autre pour attaque « de nerfs, etc.
sée fortuitement, devient soudain somnambule, décrit sans hésiter son mal , qui est un cancer utérin, et indique les médicam
s il ce moyen. Lui, qui n’avait jamais ouï parler du magnétisme qu’en mal , rit beaucoup de la crédulité de son ami; mais, v
bandage, ce qui fut fait. Mais quelquefois le remède est pire que le mal , et la pression du ressort donnait de telles déma
vé, qu’il soit reconnu tel qu’il est, comme le vrai remède à tous les maux . » INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. SOCIÉTÉ DU MESMÉ
tes, tous, croient avoir raison? lorsque, par un effet d’amour-propre mal placé, et, cc qui est pire, par des intérêts priv
rédiction se vérifia. Mais il fallait découvrir la véritable cause du mal , la tendance de la nature et la seconder; c’est c
nostic est obscur, où l’art est impuissant pour découvrir la cause du mal , la tendance de la nature qu’il faut seconder. Eà
ie? R. — La maladie a été parfaitement décrite; mais l’intensité du mal , suivant elle, n’était pas aussi alarmante que no
_On sait que nous sommes loin d’approuver ces exhibitions, toujours mal interprétées par la masse des spectateurs, qui n’
ai de nouveau les médecins, dont les efforts furent sans résultat: le mal allait toujours empirant, le bras droit était par
Descaves. Auxerrc, 20 mai 1847. N° 139. En 1823, atteinte de maux d’estomac, toux, douleurs de poitrine, je fus tra
econnaissance à la vérité. Depuis deux ans mon épouse éprouvait des maux de cœur et des coliques affreuses, occasionnées p
lète guérison. Autorisée par mon mari, femme Guillau. Auxtrre, 21 mal 1847. INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. SOCIÉTÉ DU SI
ie universel, toujours excellent et toujours triomphateur du génie du mal , compense de loin en loin, par de nouveaux bienfa
urieuse histoire que je donnerai, en parlant du somnambulisme, que le mal comme le bien du magnétisme est connu, et que des
a créature. Or, l’objet de la vie humaine étant de séparer le bien du mal , d’éprouver toutes choses pour s'approprier celle
nt que l'homme en santé devienne le médecin de l’homme malade; que le mal cl le remède, le malade et le médecin soient touj
rence de guérison. lin effet, depuis bientôt trois ans, ni crises, ni maux do léte, rien n’a reparu. Madame I). L***, ainsi
D*", homme instruit et magnétiseur, dit-on, ne comprenant rien à ses maux , la faisait se préparer à retourner en France pou
magnétisme n’est pas la médecine, tant s’en faut! c’est mie«® ou plus mal , comme on voudra, mais c’est autre chose. Par con
abus, étrange perversion : l’élément du bien devenir l’instrument du mal ! Rien n’est sacré pour l'homme dont on a laissé p
r avec la main par derrière pour le faire avancer. Après quelques pas mal assurés, il devint soudainement roide de la tête
je fus convaincu de l’égalité de sa puissance pour le bien et pour le mal , et je n’en ai poussé si loin la démonstration qu
aine permanente.) 5. Marthe Lassalle, épouse Laucué, de Bizanos. ( Mal de gorge violent, ayant perdu la parole, insomnie
igraine permanente, insomnie, douleur au foie et palpitation de cœur, mal d'oreilles, etc,) 13. Marie Minvielle, épouse B
rine, point de côté, toux, insomnie, palpitation de cœur, migraine et mal d'oreilles, etc.) 20. Thérèse, fille Roc, de Po
ouches.) 29. Jacques Labobde, de Lescar. (¡Migraine permanente et mal d'oreilles.) 30. Marie Cuiboune, épouse Andîeu,
au bas-ventre, lait répandu, maladie d’yeux, d'oreilles, migraine cl mal de gorge.) 37. Epouse Ramon, de Bizanos. (Aff
4. Mademoiselle Barrère, de Pau. (Vomissement périodique, migraine, mal d’oreilles et palpitation de cœur.) 55. Jeanne
e cœur.) 55. Jeanne Ci.arens, épouse Lacroi x, de Pau. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, insomnie, palpitation de cœur
(Fièvre tierce.) 57. Laurent Monda, de Vic-Bigorre. (Migraine, mal d'oreilles, d’yeux, palpitation de cœur cl maladi
u, de Pau. (Oppression de p.iitrine, douleurs de matrice, migraine, mal d'yeux, d’oreilles el des nerfs, vents.) 50. Th
ie, épouse Cazarré, de Meillou. (Fièvre lente, obstruction du foie, mal dégorgé, migraine permanente, palpitation decœur,
anches cl rouges permanentes, faiblesse générale, insomnie, migraine, mal d'oreilles, du cœur, maladie do matrice très-comp
palpitation de cœur.) 77. Jeanne, fille Fitter, de Vic-Bigorre. ( Mal de gorge très-violent, ne pouvaut rien avaler.)
t sa plaie, madame W‘** venant à entrer, fut frappée, de l’aspect «lu mal et de la tristesse du malade, encore sous l'impre
de ma bouche m’empêchaient de parler; en vain je voulus combattre le mal et me livrer à mes occupations journalières, je n
ant deux ans, eL me renvoya en me disant qu’il fallait vivre avec mon mal , plus grand encore, malgré un régime sévère et un
tés les déterminaient subitement. J’étais également incommodé par des maux de tôle, contre lesquels ne purent jamais agir ef
vins à Paris, où, comme vous le savez, je retombai en deux mois aussi mal que précédemment. Ce fut alors qu’un de mes bons
it donc le moment de s’assurer do l'efficacité du magnétisme pour mon mal ; un homme aussi aimable qu’intelligent, toujours
survenu depuis le commencement de mon traitement ; je n’avais plus de maux de lête, comme les années précédentes; je pouvais
e vous m’avez fait? Mon avenir était brisé, ma vie n'était plus qu’un mal qu’il fallait prendre en patience; je n’envisagea
le goûter avec la pensée que mes enfants dussent hériter peut-être du mal de leur père? Du reste, quels projets pouvais-je
bres, lorsque je le soumis à un courant magnétique. De ce moment le mal a disparu comme par enchantement; cinq magnétisat
de charité agissante que celui de soulager ses semblables dans leurs maux et dans leurs souffrances? Jésus-Christ même nous
té mesmérienne grande et belle; il la üt monstrueuse et produisant le mal . Ainsi envisagée, la science nouvelle fut comprom
u. (Fièvre nt-rveuse et convulsions nerveuses, surdité, migraine et mal d’orcdlcs.) 77. Pauline Taton, fille, de Pau.
èvre# continue».) 91. Pierre Lacrouts, dernier né, «le Burdères. ( Mal dans le nez et au gosier.) 02. Jeanne CousrÉ-La
ièvre lierce.) 98. Goyhenrk, chef de bataillon, de Pau. (Rhume et mal de g: rgc violent.) 99. Pierre***, de Meillou.
vent de ce moyen énergique, mais naturel, qui ne peut jamais faire du mal , quand du moins on en étudie les procédés? Pourqu
t été employée en dernier lieu, non sans quelque soulagement, mais le mal reparaissait bientôt. « Le 28 mars dernier, le
avants n’auront aucun préservatif, et nous les verrons envahis par le mal , sc laisser mourir comme le simple vulgaire. 0
t il court comme un papillon sur les plus belles lleurs. Il ne dit de mal de personne, mais redresse tout le monde. Marcill
ieu, agir surl’homme, soit moralement en le tentant et l’induisant au mal , soit physiquement en tourmentant son corps. Mo
.. oh! bien bonne en effet, ma seconde mère, qui m’a sauvé de mille maux dans mon enfance, et de mille sottises dans ma je
trouvait bien et dit qu’il sentait une légère chaleur au siège de son mal , ce qui le fit y porter la main el savoir que l’o
ule : Associez-vous, la terre sera votre conquête, et vos plus grands maux cesseront (t’exister; fou encore. Enfin Mesmer a
onner à chacun la part qui lui revient dans la guérison parfaite d’un mal que la science humaine avait jugé incurable; c’ét
c présentent pour pratiquer une seconde opération, que les progrès du mal rendaient indispensable. Il ne devait y avoir à
ux premiers cris elle était accourue). Je souffrirai non à cause du mal lui-même, je ne le sens pas ni les instruments, m
, je ne le sens pas ni les instruments, mais à cause de la crainte du mal . J’ai une espèce de cauchemar. En effet, troi
el a été radicalement el promptement guérie sans crainte du relour du mal . Elle n’a été instruite, chose aussi étonnante
rent senlir plus de quatre heures. Un tremblement convulsif, une voix mal assurée, une faiblesse extrême, qu’il me fut impo
et c'est à cette science qu'il demande des notions sur la nature des maux qui affligent l’humanité, et sur les moyens curat
roir, connaissent les remèdes que l’on doit appliquer à leurs propres maux et à ceux des autres, prévoient enfin les choses
malades ou à d’autres personnes des remèdes plus convenables à leurs maux , et l’on exerce ainsi avec sûreté l’art de guérir
plusieurs milles de distance, de lire dans l’intérieur des autres les maux dont ils sont affligés, de leur suggérer des remè
influer grandement sur la constitution de l’individu et être cause de maux graves. Le cas suivant le prouve à l’évidence.
étre approfondi par les personnes de l’arl. » Mais il ne serait pas mal qu’on abandonnât tout à fait la croyance à l’exis
me rappelle plus laquelle), par suite d’un abcès au cou qui avait élé mal soigné el dont enfin elle avait guéri; mais la pl
elle daine éprouvait depuis une douzaine d’années environ do violenls maux de tôle qui 11e la quittaient qu’à de rares inter
rs qui suivirent le commencement du troisième mois de traitement, les maux de tète disparurent peu à peu, et enfin complètem
ni profonds, et qu’ils s’effacent bientôt pour laisser reparaître le mal qui n'avait été qu’atténué. Les devoirs de tous
magnétique. „ Depuis plus de quatre ans des malaises continuels, des maux de tôle, incessants pendant l’été, m’ôtaient tout
je dis la vue, car l’œil droit s’était pris par sympathie ; enfin le mal devint tel que je me résignai à la cécité. Au bou
lle de chou rouge chauffée sur une pelle. Le loie allait mieux ; le mal élail principalement porté sur la rate qui se cou
ut les empêcher de conclure avec justesse sur les relations d’organes mal connus à des facultés mal définie. L’inspection
e avec justesse sur les relations d’organes mal connus à des facultés mal définie. L’inspection des entrailles des victim
enfant qu’il allait dévorer, le lui laissa sans lui faire le moindre mal ; on pourrait croire que les mouvements de la pen
6 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
verner par lui-même. Obéissant aux suggestions de quelques courtisans mal inspirés,il déclara la guerre aux princes chrétie
la douleur. Or ce cas se pré- (lj Voir revue de l'Hypnotisme n" de mal et de juin 1900. seule très souvent dans la p
t huit jours je mis tout en œuvre pour lui démontrer la nature de son mal et lui affirmer qu'il devait guérir. Au bout de c
core plus déprimé qu'auparavant, se sentait plus faible, dormait plus mal , mangeait moins et il me déclara qu'il voulait re
rendre ses affaires, s'occuper de fa:re cesser la cause intime de son mal , y parvint et resta guéri. L'humanité et la chari
nsuffisante : « Ainsi, dit-il, quand mes malades se plaignent d'avoir mal dormi pàrcé'qu'ÎIs ont eu des rêves angoissants,
(comme tous les médicaments qui sont des poisons et peuvent faire du mal ) ne doit être employé que médicalement par un méd
on qui nous occupe il ne s'agit pas de savoir si l'on peut employer à mal l'hypnotisme, mais si son emploi médical est inof
extérieur, le fameux isolement qui réussit si bien à M. Dubois et si mal à tant-^'autres. Nous pouvons ajouter donc une
nd l'hyp-notisation n'est pas possible. J'ai observé trois fois des maux de tète après la première séance; dans deux cas,
lade interrompit le traitement parce qu'elle avait souffert encore de mal de tête après la seconde séance malgré mes précau
Quand j'étais lycéen, en 5e classique (vieux style), je mordais fort mal à la géométrie. Je ne me suis jamais expliqué pou
ces interrogations. A l'approche d'une nouvelle composition, il dort mal , en proie à son appréhension. Au moment de faire
ace ! » Obsédé par ces préoccupations, désemparé, désorienté, il fait mal sa composition et, naturellement, les places devi
1900 ; je n'ai pas eu d'appétit ; j'ai eu des douleurs de tête et du mal de ventre. Les douleurs augmentaient les jours su
souvent irréparable. Et que dire des cas où le remède est pire que le mal ? Aussi l'auteur ne saurait mieux conclure que pa
ministre de l'Instruction publique, sur la proposition de conseillers mal inspirés, vient de créer un nouveau diplôme de mé
s et qu'on ignore sa propre influence ? c'est une vérité exacte, mais mal observée par les physiologistes et les philosophe
ons en passant que la mère n'accuse pas M"' X..., de l'aggravation du mal de sa fille. Un mari a sa femme atteinte d'une
ns déjà inscrites : Dr Félix Regnault: Le traitement psychologique du mal de mer (Suitî de la discussion). Dr Van Renterg
erghem (d'Amsterdam) : L'action préventive de la suggestion contre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
ntre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au sujet du mal de mer. D'Bérillon : Technique du traitement pr
et du mal de mer. D'Bérillon : Technique du traitement préventif du mal de mer. D' Damoglou. du Caire: La timidité en O
s nouveaux cas de trac chez des exécutants. D' Félix Regnault. — Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire. Discussi
chez des exécutants. D' Félix Regnault. — Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire. Discussion : D'' Bérillon, Pau
épinay, Pottier et Félix Regnault. La suite de la discussion sur le mal de mer est renvoyée à la séance de novembre. M,
l'intelligence ; leur intelligence est normale ; s'ils se conduisent mal , s'ils sont paresseux, etc., c'est uniquement par
rares, la démence survient chez des épilepti-ques, après des états de mal fréquents ou des séries d'accès ; sa marche p
que leur enfant commet des excentricités, des bizarreries, se conduit mal en un mot, ils doivent, avant de sévir, se rensei
portun. Cette absence de vie de famille est encore une cause d'autres maux . Les générateurs s'intoxiquent, soit par l'air vi
r qu'il n'a pas été assez applaudi à son gré, il s'est presque trouvé mal en sortant de la salle; de dépit, il a versé d'ab
déjà inscrites : D' Félix Regnault: Le traitement psychologique du mal de mer (Suite de la discussion). D' Van Renterg
erghem (d'Amsterdam) : L'action préventive de la suggestion contre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
ntre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au sujet du mal de mer. D' Bérillon : Technique du traitement p
t du mal de mer. D' Bérillon : Technique du traitement préventif du mal de mer. Df Bonjour (de Lausanne) : Le mal de me
u traitement préventif du mal de mer. Df Bonjour (de Lausanne) : Le mal de mer et l'expérimentation psychologique. D' D
ercent aussi leurs ravages parmi les animaux. Surra, Nagana, Dourine, Mal de Caderas, Soumaya, Mbori, ne sont que des varié
du mardi 16 octobre 1906. — Présidence de M. le D' Jules Voisin. Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire par M.
06. — Présidence de M. le D' Jules Voisin. Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire par M. le Dr Félix Regnault,
rofesseur à l'Ecole de psychologie. Désireux d'étudier, de près, le mal de mer, je me suis embarqué pendant toute la duré
s embarqué pendant toute la durée des vacances. Souvent j'ai guéri le mal de mer, non par suggestion directe, mais par sugg
une médicalion psychique, aucune spécialité répulée ne peut guérir le mal de mer qui survient par les gros temps. J'en suis
ent par les gros temps. J'en suis arrivé à distinguer, d'une part, le mal de mer vrai, contre lequel rien n'agit (à moins q
ins qu'on n'ait affaire aune personne hystérique), et d'autre pari le mal de mer imaginaire (produit par l'auto-suggestion,
nombreux succès en négligeant de traiter par suggestion indirecte des maux de mer imaginaires, dont j'estime la proportion à
que l'auto-suggestion joue un rôle considérable dans la production du mal de mer. Dans une traversée de la Manche, je faisa
enance ; des amis se mirent à raconter auprès de moi des histoires de mal de mer. Je sentais que j'allais en être atteint s
évois un gros temps, voici le procédé par lequel j'arrive à éviter le mal de mer. Je me couche et m'applique à m'endormir.
chothérapie. Indépendamment de ces réactions personnelles contre le mal de mer, il ne faut pas oublier qu'il y a une méth
de l'hétéro-suggestion dans l'éliologie d'un certain nombre de cas de mal de mer. Il faut cependant tenir compte de certain
Regnault a émis l'avis que la suggestion est sans influence contre un mal de mer vrai, provoqué par le gros temps. Cependan
. Cependant, la mer étant très mauvaise et tout le monde souffrant du mal de mer, survient un danger d'incendie, d'échoueme
cendie, d'échouement, de voie d'eau : l'émotion est si intense que le mal de mer est supprimé chez tous. On ne saurait sout
soutenir que tous étaient des hystériques ou que tous n'avaient qu'un mal de mer imaginaire. Celte dérivation de l'attentio
Celte dérivation de l'attention a donc suspendu un certain nombre de maux de mer vrais, la suggestion est donc légitime, mê
e contre ces derniers. Dr Bérillon. — Je pense que le traitement du mal de mer doit ôtre préventif.'Quand il est comp
ressage psychologique qui permettra, dans la suite, de neutraliser le mal de mer. J'ai déjà exposé à la Société la techniqu
le plus complet, alors même qu'on a des symptômes assez accentués du mal de mer. Ce n'est pas parce que des nausées ou des
D' Binet-Sanglê. — D'après M. Regnault, si la suggestion guérit le mal do mer, c'est qu'il est imaginaire, si elle ne le
aitement ne nous apporte pas un élément précis de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire ; je dési
te pas un élément précis de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire ; je désirerais savoir en quoi
se distinguent l'un de l'autre. M. Le Menant des Chesnais. — Si le mal de mer imaginaire est seul justiciable de la sugg
ce à elle, vous faites un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire, elle m'e
un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire, elle m'est apparue comme une v
différents au péril dont ils étaient menacés. Dr Boxy. — Lorsque le mal de mer atteint une certaine intensité, l'instinct
voir les malades. D' R. Pamart. — Il est des personnes atteintes de mal de mer à un Ici degré qu'on ne sait à quel traite
ombent pendant la traversée sans qu'on puisse préciser la part que le mal de mer a pu avoir dans leur mort. Les efforts
araît certain que les personnes de caractère faible souffrent plus du mal de mer que les autres et le redoutent davantage.
-vétérinaire. — Les animaux se montrent particulièrement sensibles au mal de mer. Un certain nombre succombent dans les tra
nt qu'ils subissent l'influence de l'imitation : chez les moutons, le mal de mer semble gagner de proche en proche quand qu
ministère de l'Instruction publique. Suite de la Discussion sur le mal do mer et son traitement psychologique. Après un
t levée à 6 h. 45. L'action préventive de la suggestion contre le mal de mer, par M. le Dr Van Rentergheu (d'Amsterda
encé à employer avec succès la suggestion hypnotique pour prévenir le mal de mer. J'en ai relaté des observations très conc
illes au Transvaal, elle me prie de lui suggérer l'immunité contre le mal de mer. Dans une séance de somnambulisme profon
ois semaines consécutives en bateau à vapeur sans le moindre signe du mal . II. — M"' B..., bachelier ès-lcttres, neurasth
traitée par moi avec succès par la suggestion pour de l'insomnie, des maux de tète, de l'inaptitude à concentrer son attenti
céan. Sur mon affirmation répétée qu'elle ne sera pas incommodée du mal do mer, elle se résout à accepter la position qu'
vant de partir, il me prie de le prémunir par la suggestion contre le mal de mer. Il n'avait jamais voyagé sur mer. Je me r
mpt de la maladie, mais j'ai réussi à guérir une dame en puissance du mal de mer, qui n'avait pu quitter sa cabine depuis l
ges sur mer dans nos colonies. Toujours elle a été très incommodée du mal de mer; jamais elle n'osait prendre ses repas dan
re idée de la valeur thérapeutique de l'hypnotisme. Elle se nourrit mal , n'a pas d'appétit, est anémique. J'invite la d
avait pu paraître aux repas, n'avait pas vomi, mais avait souffert du mal de tôte et du dos. Une lettre de Batavia, écrit
ir que sa fillette de S ans, qui n'avait jusque-là jamais soutTert du mal de mer, en avait été cette fois-ci très incommodé
tTert du mal de mer, en avait été cette fois-ci très incommodée. Le mal de mer, la suggestion hypnotique et l'expérimenta
sanne). J'ai eu occasionnellement deux fois à suggérer l'absence du mal de mer, une fois indirectement, l'autre directeme
r an, je conseillai à mon confrère, de lui suggérer la disparition du mal de mer. Le résultat fut complet. Obs. IL — Cett
a guérison est obtenue en trois semaines. Elle a souffert beaucoup du mal de mer et craint de refaire la traversée en autom
refaire la traversée en automne. Je lui suggère, en mai, l'absence du mal de mer et l'engage à revenir une fois avant son d
aite sans une seconde de malaise. Toutes les théories faites sur le mal de mer sont détruites par l'expérience psychologi
sur le mal de mer sont détruites par l'expérience psychologique. Le mal de mer est un phénomène d'auto ou d'hétéro-sugges
par des émotionnables. On pourrait supposer une humanité ignorant lo mal de mer, comme tous les autres vertiges de la loco
ai, regardant la mer modérément agitée et me demandant si j'aurais le mal de mer. J'étais convaincu que c'était un mal in
mandant si j'aurais le mal de mer. J'étais convaincu que c'était un mal inévitable. J'avais subi l'influence de la foule
. La traversée fut excellente et je suis resté suggestionné contre le mal de mer. Je ne l'ai jamais. Je répète que la trave
un couvercle autour de sa charnière. Ma conclusion est que, dans le mal de mer, il s'agit de réflexes psychiques ; le réf
nte le trouble, mais je crois qu'il est insuffisant à provoquer et le mal de mer et les vomissements. Tous ceux qui souffre
sans paraître avoir conscience de leur acte et du reste sans faire de mal , on pourrait voir, disons-nous, un tic semblable
, pour nos prêtres, dour nos démons et pour nos dieux ! Du moins le mal qu'ont fait les religions nous donne le droit d'é
dresse tient lieu de vigueur. Du reste M. Edmond Stapfer a été bien mal inspiré en appelant ainsi Biaise Pascal à la resc
admirait qu'elle ne se trompât jamais. Elle éprouvait quelques légers maux de tète, disait-elle, des démangeaisons vers la r
ins grave qu'il apparaît au premier aspect. Il s'agit là d'une enfant mal élevée, chez laquelle les pouvoirs d'arrêt n'ont
quoi bon s'échauffer dans une entreprise qui n'est que temporaire et mal rétribuée, et sans concurrence qui stimule ? On y
nt pas tardé à reconnaître avec moi que si la timidité n'est pas « le mal du siècle », elle est un mal plus fréquent que ne
ec moi que si la timidité n'est pas « le mal du siècle », elle est un mal plus fréquent que ne le pensent ceux qui se désin
st comme cela ». « Chez les patrons, les apprentis sont encore plus mal traités. ¦ En somme, la familiarité, la bonté e
x-là que nous voulons essayer de guérir. Existe-t-il un remède à ce mal ? Evidemment, car le timide est impressionnable, d
ibre de la santé. Là, comme ailleurs, l'excès de bien peut devenir un mal et, si on s'applique trop à combattre la sensatio
ait être utilisé comme une sorte d'entrée en matière, chez les sujets mal doués au point de vue de l'esprit. Chez les enfan
st ainsi sauvegardé ». Plus loin, il dit qu'on été les troupes furent mal habillées d'uniformes composés un peu au hasard d
i objecteront que ce furent nos sans-culottes, nos bandes de citoyens mal instruits, en guenilles, en savates et en sabots
timidité et son désir d'être sincère, il va trop loin, et on le juge mal . Une ancienne élève de Sèvres, six ou sept fois
culpa.. Que notre psychologie mieux avertie s'applique à remédier au mal causé par nous : redoublons de patience et d'atte
ces. Elle crée la timidité ou l'exagère par la crainte perpétuelle de mal faire, ou de faire moins bien que les autres ; ou
n autorité à l'appui, qu'il va guérir, que son tempérament vaincra le mal , que les remèdes qui lui ont été prescrits auront
ême remède, prescrit à doux incontinents atteints de la même forme de mal , la forme spasmodique, par exemple, à un degr
à la médecine des agents physiques ? Non, certes, ce serait être bien mal avisé. Ce serait se priver, dans le traitement
influence dépressive que cause chez un malade la préoccupation de son mal et de ses conséquences; positivement actif, il re
ir dans une sécurité trompeuse. Un jour viendra où quelque agrégé, en mal de professorat, sollicitera la création d'une cha
nous fait connaître que le roi Lear fut toujours un homme anormal et mal équilibré. Voilà en quoi consiste la licence psyc
effet continu, de marche lente, maladies toujours frustes, innommées, mal appréciables, indéfinissables pour le malade et p
onies religieuses. Qu'entendons-nous par ce mot d'extase si souvent mal employé ? C'est une certaine surexcitation nerv
mme une hérésie, elle fit endosser à l'ange Gabriel ses éjacu-lations mal versifiées. Celui-ci ne me semble pas moins de la
e partie du corps. Celui qui le soignait ne sut point reconnaître son mal ... M. Pétiet ne trouve rien à reprendre dans le
par exaltation nerveuse, des capacités psychiques extraordinaires et mal définies encore se manifestent. Je ne parle poi
de), par Binet-Sanglé, p. 220. Kleptomanie, par Bérillon, p. 168. Mal de mer vrai et mal de mer imaginaire, par Regnaul
lé, p. 220. Kleptomanie, par Bérillon, p. 168. Mal de mer vrai et mal de mer imaginaire, par Regnault, p. 200. Mal de
. Mal de mer vrai et mal de mer imaginaire, par Regnault, p. 200. Mal de mer (action préventive de la suggestion contre
réventive de la suggestion contre le), par Van Ren-terghem, p. 204. Mal de mer, suggestion hypnotique et expérimentation
7 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
et nous déplorons qu'il se soit trouvé des journaux de médecine assez mal inspirés pour accueillir des commérages indignes
quel grand rôle joue l'hypnotisme, en Russie, dans la lutte contre ce mal public qu'on nomme l'alcoolisme? Observation
que je voyageais en chemin de fer, j'étais prise im-c médiatement de maux de tétc, suivis do vertiges et de nausées qui « a
ssements. Il me semblait que tout dansait « autour de moi. J'avais le mal de mer et, cependant, j'ai voyagé bien des fo
ans avoir de vertiges. J'ai bien mangé, j'ai bu ¦ et je n'ai pas eu mal au cœur. J'ai même lu cl causé avec des personnes
les péripéties d'un voyage qu'elle fit pour trouver la guérison d'un mal qui la torturait et comment elle fut guérie penda
soigner! » De suite; je sentis qu'il y avait une cause morale à ce mal ; mes instincts de psychothérapeute s'éveillèrent
sais déjà — tu ne m'effraies pas, et je ne t'en veux pas ; où est ton mal ? « Je voulus m'approcher : « N'approche pas, sale
ements physiologiques ; c'était là qu'il fallait chercher la cause du mal et aussi le mode de traitement. Je dis donc à l'e
n énorgique, l'affirmation d'une chose vraie. Dire à cet enfant son mal , lui montrer que je savais ce dont il souffrait,
'était lui donner confiance en moi, en lui, lui montrer la fin de ses maux , le guérir. Cet enfant buvait littéralement mes
tte vérité, et, en ce cas particulier, c'était la connaissance de son mal , le fait qu'il pouvait guérir, en un mot, la guér
bains froids que les auteurs proposent comme un grand secours dans ce mal , ne faisoient rien dans ce cas, et n'opéroient pa
attaque. Au reste cette fille s'est aujourd'hui aguerrie contre ce mal , et ne se fait pas une peine d'en parler; Jamais
pas une peine d'en parler; Jamais elle n'en a été alarmée comme d'un mal dangereux, elle en étoit seulement honteuse. Elle
un mouvement de défense très marqué lorsque j'arrivais à la source du mal avec l'extrémité du stylet. Cette manifestation
e peut cependant se mouvoir et se soulever sur son lit. Le lundi 2h mal , les mouvements convutsifs ne se renouvellent pas
ent énergique de protestation. — n Cependant je ne vous ai pas fait mal hier? — Si vous m'avez fait mal. » Elle me la
n Cependant je ne vous ai pas fait mal hier? — Si vous m'avez fait mal . » Elle me laisse néanmoins faire la piqûre; et
à, pendant que le prêtre invoque ce saint, ils sont soulagés de leurs maux . Profitant de l'occasion, je vous parlerai d'un
algie guéris par la suggestion hypnotique. M. Bonnet {d'Oran}. — Le mal de mer et la suggestion. — Discussion : M. Paul P
endant quelques minutes, en lui suggérant à plusieurs reprises que le mal disparait complètement et qu'auréveil, latétesera
ypnotique, par M. le D* Joseph Viasemsky, de Saralow, p. 115. 5. Le mal de mer et la suggestion, par M. le D' Bonnet, d
s avait une apparence de gorille. > Darwin, parait-il, avait été mal documenté. Comme le fait de super relation dentai
suture) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du mardi 11 mal 1904. — Présidence de M. Voisin. TJn sommeil de
sommeil pathologique; en proie à cette préoccupation, elle dort très mal et pendant trois heures seulement; il en est de m
est un peu modifié. Durant une minute la malade souffre d'un violent mal de tète dans la région frontale; si elle en a lo
ade s'est sentie courageuse cl gaie. Mais le soir, la tristesse et le mal de tète sont revenus. Cependant, la malade passe
met immédiatement au lit, mais aussitôt reviennent la tristesse et le mal de tête, bientôt suivis d'une attaque qui dure vi
stes de chez elle: revenue à la maison, elle se sent fatiguée, elle a mal a la téte et elle se couche; une légère attaque s
ion. La tristesse n'a plus paru pendant tout ce temps en dépit de son mal de gorge; elle se sent mieux; l'appétit et le som
gorge; elle se sent mieux; l'appétit et le sommeil sont normaux; les maux de tète sont plus rares et moins intenses. Je lui
à fait bien. Elle a bien dormi, elle n'éprouve plus d'angoisse, ni de mal de téte. Elle reste à Saratow deux semaines, dura
core mais rarement cl sont de courte durée. Le sommeil est calme, les maux de téte ont aussi disparu. Elle s'intéresse à ce
e est encore sujette à l'irritation, mais moins que par le passé. Les maux de téte ont cessé. Je l'endors de nouveau et lui
nquillité lui est revenue aussitôt. Je ne revois ma malade que le 3 mal , c'est-à-dire environ sept mois après. Durant tou
'a même pas pleuré une seule fois. L'angoisse a disparu ainsi que les maux de téte ; elle est toujours de bonne humeur. S'il
Les attaques ne sont point précédées d'aura; elles sont suivies de mal de tète et de douleurs dans tout le corps. Cette
attaque est précédée d'une forte douleur dans l'cpaulc droite, ce mal d'épaule est permanent mais à l'approche de l'att
La malade a peur de ses attaques, elle surveille continuellement son mal d'épaule et ne fait que pensera ses attaques. Une
es attaques. Une fois constatée l'association entre l'exacerbation du mal d'épaule et l'approche de l'attaque, une suggesti
d'épaule et l'approche de l'attaque, une suggestion dirigée contre le mal d'épaule pouvait faciliter la complète disparitio
à fait dans la suite. Le 19 octobre, je suggère à ma malade que ses maux d'épaule ont complètement disparu, qu'elle n'est
goisse apparaît encore aux moments où la malade se ressouvient de son mal . Au bout d'une semaine l'angoisse est passée et l
décembre, à 11 heures du matin, une nouvelle attaque a lieu; un léger mal d'épaule l'avait précédée. La malade a encore mal
ue a lieu; un léger mal d'épaule l'avait précédée. La malade a encore mal à la tête, une fois l'attaque terminée, mais moin
d'angoisse du tout, la mémoire s'est améliorée, l'épaule ne fait plus mal . Je recommande à la malade de revenir au bout d
une importance de tout à fait premier ordre en hypnolhérapie. Le mal de mer et la suggestion, par IL te LV Bonnet (d
Le mal de mer et la suggestion, par IL te LV Bonnet (d'Oran). Le mal de mer consiste en un dérangement fonctionnel du
trouve, quelquefois, complètement aboli. Les causes principales du mal de mer sont le tangage et le roulis; il faut y aj
teindre une intensité effrayante. Telle est la genèse principale du mal de mer et on conçoit qu'il est très difficile, po
e température peut devenir une cause déterminante ou prédisposante du mal de mer. 11 est, en effet, d'observation constante
sont plus malades que ceux que l'on tient renfermés. L'air leur fait mal , disent les matelots ; et ils doivent s'y connaît
esque impossible de l'éviter. ??? causes physiques et mécaniques du mal de mer viennent, le plus souvent, s'ajouter des i
prise de vertiges, de nausées et de vomissements ; elle avait déjà le mal de mer rien qu'en y songeant ; elle insista pour
ysiques est plus ou moins diminuée et affaiblie, la prédisposition au mal de mer s'établit. Alors intervient un nouvel él
tif se produit sur les passagers voisins, et, de proche en proche, le mal s'étend et se propage. Vous avez, probablement,
itation suggestive inconsciente. C'est sur ces derniers éléments du mal de mer, de cause purement psychique, que la sugge
, une dame, me pria alors de lui suggérer qu'elle n'aurait pas le mal de mer; elle voulut bien se soumettre a mon influ
s peu. Seuls, J... et M..., qui n'avaient pas été endormis, ont eu le mal de mer; et il reste, par conséquent, bien entendu
ionnées, même dans un état hypnotique très-léger, ont été indemnes du mal de mer; celles qui en ont souffert n'en ont resse
age certain. La conclusion s'impose : il est possible d'atténuer le mal de mer par la suggestion et d'en préserver tout à
t de juguler, séance tenante, par l'hypnotisme les accidents aigus du mal de mer, le professeur Thwing, membre de l'académi
ents. De même, des causes morales peuvent supprimer, d'emblée, le mal de mer en plein paroxysme et, cela, non seulement
ue j'ai rapportés dans mon travail sur le Traitement psyohologique du mal de mer et des vertiges de la locomotion. (Paris,
es, l'enthousiasme, etc. (cas de Coromilas) empêchent l'apparition du mal de mer. Ces états forts accaparent toute la consc
firmer à nouveau ce dernier point. Un Anglais souffre violemment du mal de mer, toutes les fois qu'il traverse la Manche.
oduisent, à terre, chez certaines personnes, un état identique au mal de mer, à l'intensité près. Ce vertige de la loco
itué à Paris pour se livrer à l'étude de ce groupe de sciences, assez mal défini d'ailleurs, que l'on désigne sous le nom d
r une chaise sur laquelle est étendue la capote de drap que l'hôpital mal à la disposition des pensionnaires (Fig. 26). On
lie. SOCIÉTÉ O'HYPNÛLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance ilu mardi il mal 190t. — Présidence de M. Voisix. Le bégaiement
donc en détail sur son état psychique. Elle me dit qu'en outre d'un mal de tête léger, mais constant, elle avait la sensa
e sauf les jours où à l'atelier elle avait un surcroît de fatigue ses maux de tète avaient disparu et ses pensées avaient re
hui, vous avez repoussé votre Elohim qui vous avait sauvé de tous vos maux et de vos angoisses, et vous lui avez dit : a Eta
as écouté cette voix, t'es-tu emparé des dépouilles, et as-tu fait le mal aux yeux d'Iahvé?.... « Ecouter vaut mieux que
s troublée. Elle est malade depuis six mois. A cette époque, elle a mal au cœur et envie do vomir, rien de plus ; aussitô
lit sur son visage que vous voyez rouge et couvert de sueur. Il dort mal , mais mange bien. La première question qui se p
attente se transforme en attente anxieuse, on pense déjà moins à .son mal , on attend le guérisseur comme un sauveur. Mais l
ictions, un peu de massage, assure qu'on est guéri et c'est tout. f.e mal , qui était peu de chose, disparaît dans les jours
de leur esprit? La neurasthénie et les vésanies de ceux qui tournent mal sont imputables à leurs excès et à leurs dérèglem
rs cl Savants). breuses sont les névroses incomplètes, atténuées, mal caractérisées, que nous rencontrons chez les simp
ession d'ancêtres nerveux, surmenés, intoxiqués, aliénés ou géniaux — mal d'extrême civilisation — a diminué la vigueur phy
gent malheureusement pas beaucoup les trois quarts de nos dirigeants, mal préparés pour leur état et insuffisants dans leur
ême toute seule, car, si l'on ne peut pas dire que le soldai est plus mal nourri, plus mal logé que ne le sont, d'habitude,
car, si l'on ne peut pas dire que le soldai est plus mal nourri, plus mal logé que ne le sont, d'habitude, les gens de la c
sie si on a le temps de réparer ses forces par une nourriture souvent mal préparée. Il parait que l'on s'habitue à cette vi
nerveux, épileptlques, neurasthéniques, hystériques, se plaignent de mal dormir; ils comptent l'insomnie au tout premier r
suffisant des tissus nerveux. On peut dire que si les nerveux dorment mal , c'est parce que leurs nerfs et leur cerveau ne s
dans un omnibus. Il avait tenté de résister à cette Impression, mais mal lui en avait pris : le malaise, s'accentuant, ava
dans la rue qu'ils auraient tout le temps de traverser. Un hop ! bien mal à propos lancé par le cocher les arrêtent court.
cible est une torture sans nom ; nous en avons vu qui s'y trouvaient mal . Il en est chez lesquels ni la persuasion, ni les
x conseils, & l'exemple et à la suggestion et que l'on a eu grand mal à conquérir à l'internat du collège. A ces caus
rage matériel, c'est le courage civil, auquel leur éducation les a si mal préparés. L'Eglise, l'Etat, l'école, la famille,
, sont encore mieux placés que les autres pour apprécier l'étendue du mal moral qui nous envahit. Presque tous les malades
efforçait de le rassurer. Il lui répondit : « Vous me connaissez fort mal . Apprenez que si ma chair savait jusqu'où mon cou
ille dans ces deux vers du Cid : « Un prince dans un livre, apprend mal son devoir Les exemples vivants sont d'un autre p
ille du Burgos qu'au moment décisif, un capitaine d'artillerie, ayant mal compris la manœuvre Indiquée, conduisit sa batter
le. En perfectionnant sans cesse tes méthodes capables de sauver du mal , du vice et de la peur le plus grand nombre possi
la joie, le plaisir et lasouffrance, le sentiment même du bien et du mal n'ontd'aulre support que laconscience humaine. Le
yenne et dune bonne santé générale. Ses antécédents héréditaires sont mal connus. Il a commencé à boire vers dix-sept ans,
ique des passions, pense avoir trouvé un remède infaillible contre le mal d'amour. Il reçoit un Jour dans son laboratoire d
D" Voisin, Behillon, M. Lionel Dauruc, p. 301. 4. Le traitement du mal de mer par la suggestion hyp- notique, par M. l
illerée à soupe au moment des crises Envol gratuit d'échantillons à Mal . les docteun DÉPÔT : Pharrnacie CARON 6s, rue d
ussi, quand il lui plaît de revêtir le costume féminin, elle y parait mal à son aise et donne nettement l'impression d'un h
ns suivantes : M. Hamilton Osqood (de Boston]. — « Le traitement du mal de mer par la suggestion hypnotique d.— Discu
tées à l'unanimité. La séance est levée à 6 h. 45. Le traitement du mal de mer par la suggestion hypnotique, par M. le
Hypnotisme d'octobre 1904, M. le D' Bonnet a publié un article sur le mal de mer et la suggestion, dans lequel il dit que,
oit pas que la suggestion puisse réussir quand on est déjà atteint du mal de mer. Voulez-vous me permettre de vous racont
ngleterre en Amérique, j'eus à soigner uno dame en proie à un violent mal de mer. La première séance de suggestion ne parut
rriva qu'un autre passager, sur le môme steamer, était victime non du mal de mer, mais d'une intense frayeur toutes les nui
t ravi du changement que J'avais produit en lui. Le deuxième cas de mal de mer que j'eus à traiter fut durant une mauvais
entes, celte dame vint me retrouver pour élro suggestionnée contre le mal de mer avant d'entreprendre un voyage sur mer. Ch
ur la première fois, sa mère l'accompagnait et souffrait également du mal de mer. Elle fut soulagée de la même manière. U
hypnotique, non seulement fournit un excellent moyen pour prévenir le mal de mer. mais que ce traitement peut être appliqué
it de nombreux voyages sur mer, j'ai été témoin de beaucoup de cas de mal de mer, et mon opinion est que c'est une affectio
tement à la condition normale. Une préoccupation différente bannit le mal de mer. Discussion M. Bérillow — C'est évidem
rtune d'avoir a bord un médecin qui sache par l'hypnotisme inhiber le mal de mer; cela se rencontre très rarement; aussi le
nom de vertige de la locomotion l'ensemble des malaises identiques au mal de mer, à l'intensité près, et dont souffrent cer
n petit bateau, j'ai pu, par simple affirmation, arrêter chez elle le mal de mer. dès le début des nausées. _ Vomissement
première grossesse, la malade s'était cependant nourrie tant bien que mal , en dépit des vomissements; de temps à autre, en
nt écoulées depuis l'apparition des vomissements. Bile se plaint d'un mal de cœur constant qui la tourmente nuit et jour, e
l'estomac et, enfin, d'une absence totale de sommeil produite par le mal de cœur. Elle est très anémiée et ne peut faire a
alalepsie suggérée et mouvements automatiques. Je lui suggère que son mal de cœur ainsi que ses vomissements ont complèteme
. Le jour suivant, elle se laisse endormir très vite ; néanmoins, son mal de cœur continue durant toute la séance. La sugge
et, à plusieurs reprises, je lui répète que dans un quart d'heure le mal aura disparu complètement et que, pendant vingt-q
ce à tomber ; il en conclut quo la réverbération de la route lui fait mal ; cette chute de la paupière reparaît au bout de
une demi-heure. Pour mieux voir, il porte un lorgnon. Or, ce lorgnon, mal supporté, amène des crispations du nez et des fro
le plus souvent inégale, incomplète, les poils en sont rudes, réches, mal répartis. C'est ce que nous avons pu constater, p
nfirment tout-à-fait l'opinion du professeur Tokarsky qui pronostique mal du sujet continuant de boire après trois séances
dans un mauvais état. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent mal à leur aise. Une sensation de tristesse les accab
ent mal à leur aise. Une sensation de tristesse les accable ; ils ont mal à la tète ; les mains tremblent ; parfois ils épr
scrupuleusement l'état psychique de chaque patient pour combattre ce mal avec succès. Comme l'origine de l'alcoolisme est
mille redoutait la mort de la malade dans une crise. Revue à la ûn de mal , six mois après la fin du traitement, cette femme
t elle se mettait à pleurer, éprouvait de l'angoisse, un sentiment de mal être qu'elle ne pouvait définir et expliquer ; el
Lombroso sur l'affaire Murri-Bonmar-tini (L'opinion de), p. 287. Mal de mer et suggestion, par Bonnet, p. 121. Mal d
pinion de), p. 287. Mal de mer et suggestion, par Bonnet, p. 121. Mal de mer et suggestion, par Osgood, p. 303. Main
8 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
la moelle, à laquelle se rattachent les symp- sale, par le fait du mal de Pott, n'a pas pour effet, à moins le circonsta
e, il ne faut pas l'oublier, l'œil nu et même un examen microscopique mal conduit seraient souvent impuissants à découvrir
artielle de la moelle dorsale (myélite partielle primitive ou liée au mal de Pott, tumeurs comprimant la moelle dorsale), l
iode prodromique. Pour-quoi prodromique ? L'appellation est peut-être mal choisie, car, déjà, lorsque les premiers symptôme
mpara-bles à celles de l'ataxie, dans la myélite partielle et dans le mal de Pott. Dans plusieurs de ces cas, j'ai reconnu
ctal furent maintes fois pratiqués sans qu'on soupçonnât la nature du mal . Ce n'est que beaucoup plus tard, que l'apparitio
attention du médecin, et lui faire méconnaître la véritable nature du mal ; je m'y suis laissé prendre aussi plusieurs fois
phtalmoscopiques, font jusqu'à un certain point préjuger la nature du mal . Charcot. Œuvres complètes, t. ii. 4 Je signa
lement manifestes déjà au simple éclairage. Les con-tours, d'ailleurs mal accusés, sont effacés pour ainsi dire par un exsu
lque sorte élargie, se montre avec des contours frangés, irréguliers, mal délimités. On la dirait entourée par une espèce d
sur l'autre, le membre n'ayant pas cessé de fonctionner tant bien que mal , ce sont les caractères de l'arthrite sèche qu'on
ux. On observe surtout ces arthropathies : 1° dans la paraplégie du mal de Pott ; 2° dans la myélite aiguë ; 3° dans cert
Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques, arthrite sèche. — Mal de Pott: mécanisme de la compression delà moelle.
rite sèche. — Mal de Pott: mécanisme de la compression delà moelle. — Mal vertébral cancé-reux. — Paraplégie douloureuse de
les caractères qui nous permettront de remonter jusqu'à la source du mal . Ce préambule me dispense, Messieurs, d'insiste
ent, au premier rang dans la clinique usuelle. La carie vertébrale ou mal de Pott, le cancer vertébral, les tumeurs intra-r
e dans mon service. 3° Mais je m'arrêterai tout particulièrement au mal de Pott (carie vertébrale) et au cancer vertébral
ces lésions ont le pouvoir de déterminer. A. Je commencerai par le mal de Pott. Chose remarquable ! bien que ce soit là
encore sur le mécanisme suivant lequel la moelle est affectée dans le mal de Pott. Ce desideratum a été comblé dans ces der
la courbure persiste au même degré. En second lieu, la paraplégie par mal de Pott s'observe sans qu'il y ail la moindre tra
re — que le pus 1 Michaud. — Sur la méningite et la myélite dans le mal vertébral, 1871. 2 Cas de M. Liouville. de pr
c'est là une notion que nous utiliserons par la suite. B. A côté du mal vertébral de Pott, je placerai le mal verté-bral
ns par la suite. B. A côté du mal vertébral de Pott, je placerai le mal verté-bral cancéreux. Plus rare que le mal de Pot
al de Pott, je placerai le mal verté-bral cancéreux. Plus rare que le mal de Pott, le cancer verté-bral se présente cependa
que une courbure arrondie, à grand rayon, bien différente de celle du mal de Pott. L'infiltration cancéreuse ne se borne
un haut degré dans le cancer vertébral. Elles existent aussi dans le mal de Pott, mais moins accusées, plus circon-scrites
es. — Des pseudo-névral-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal vertébral cancéreux. Par
-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal vertébral cancéreux. Paralysie douloureuse des
niqué par M. Brown-Séquard, concerne un individu qui était atteint de mal de Pott et chez lequel se manifestèrent tout à co
nt des deux dernières années et relatives soit à des tumeurs, soit au mal de Pott, nous ont toujours montré, même à une épo
it la moelle au niveau du point com-primé, chez une femme atteinte de mal de Pott; cette femme a succombé par le fait d'une
essaires de la compression lenle de la moelle, soit qu'il s'agisse du mal de Pott, du cancer, de tumeurs de tout genre, ou
e normale ? Il n'est pas douteux que cela puisse avoir lieu pour le mal de Pott et très vraisemblablement il en serait de
de la nature de celles-ci de ne point rétrograder. La curabilité du mal de Pott, bien établie en particulier par MM. Bouv
s classiques semblent croire qu'une fois déclarée, la paraplégie, par mal de Pott, ne rétro-grade guère ; ils signalent seu
ent, Messieurs, une très fausse idée de l'avenir de la paraplégie par mal de Pott. Il est notoire, dans cet hospice, que la
mal de Pott. Il est notoire, dans cet hospice, que la paraplégie par mal de Pott guérit souvent, le plus souvent peut-être
e la plus évidente et datent déjà de loin. Je ne saurais dire si le mal de Pott, qui guérit en pareil cas, appartient plu
du 1 Leudet. — Curabilité des accidents paralytiques consécutifs au mal ver-tébral de Pott. (Soc. de biolog., 1862-63, t.
mal ver-tébral de Pott. (Soc. de biolog., 1862-63, t. IV, p. 101.) mal , et dont la santé générale est satisfaisante. Ce
au niveau du point où avait eu lieu la compression, en conséquence du mal de Pott, n'é-tait pas plus grosse que le tuyau d'
tant avec des caractères variés suivant qu'il s'agit, par exemple, du mal de Pott ou du cancer vertébral ; 3° sans néglig
ieurs fois nette-ment constatée, entre autres par M. Bouvier, dans le mal de Pott, et par moi-même dans le mal vertébral ca
e autres par M. Bouvier, dans le mal de Pott, et par moi-même dans le mal vertébral cancéreux. VII. Mais, laissons, Mes
groupes principaux qui suivent : 1° Tumeurs intra-rachidiennes ; — 2° mal de Pott ; — trajet intra-rachidien et d'en déte
'une affection spi-nale primitive. B. Des pseudo-névralgies dans le mal de Pott. — Nous ne ferons qu'effleurer la descrip
s ne ferons qu'effleurer la description des pseudo-névralgies dans le mal de Pott, non pas qu'elles ne méritent point notre
e plusieurs auteurs l'avancent, que les trous de conju-gaison dans le mal de Pott ne s'affaissent jamais assez pour comprim
nt. Qu'il me suffise, Mes-sieurs, de vous dire que, selon le siège du mal vertébral, la douleur en ceinture ou l'apparence
ais c'est principalement sur l'étude des pseudo-névral-gies, liées au mal vertébral cancéreux, que je veux concentrer toute
emier lieu, c'est là un ordre de faits peu connus encore, ou au moins mal connus, mal interprétés, en dépit des travaux nom
c'est là un ordre de faits peu connus encore, ou au moins mal connus, mal interprétés, en dépit des travaux nombreux qui on
essieurs, peuvent être, pendant de longs mois, la seule révélation du mal vertébral cancéreux; mais les symptômes de la par
tre côté, il ne faudrait pas aller jusqu'à croire que les douleurs du mal vertébral cancéreux, alors même qu'elles se prése
ons à l'obligeance de M. le Dr Liouville. Dans la paraplégie par le mal de Pott, vous disais-je, la dé-formation du rachi
, M. Lion ville a observé récemment un autre cas de paraplégie par le mal de Pott, également sans déformation de la colonne
exemple, dans un cas que j'ai observé de paraplégie consécutive à un mal de Pott, l'ouverture subite d'un abcès dans le ca
1 n'est pas très rare de rencontrer cette forme de paraly-sie dans le mal de Pott cervical. a) Il peut arriver, et il arr
iver, et il arrive, en effet, assez fréquemment dans cette variété du mal de Pott, que les nerfs des extrémités supérieures
ou moins accen-tuée de la contractilité faradique par les progrès du mal , l'iiyperesthésie ferait place aune anesthésie so
I, p. 316; — J.-A Michaud. Sur la méningite et sur la myélite dans le mal vertébral. Paris, 1871, p. 56. Pour se rendre c
é-rieures de la moelle. M. Ogle les a signalées dans plusieurs cas de mal de Pott cervical. Dans un cas du même genre, publ
s qui suivirent l'accident, ce gentle-man put se livrer tant bien que mal à la plupart de ses occu-pations favorites. Ce n'
mémoire l'accident ter-rible qui se produit assez fréquemment dans le mal de Pott cervical : je veux parler de la.rupture d
ellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège pri-mitif du mal . Le plus souvent, sans aucun doute, le travail d'
e symptomatique, les cas de ce genre ont été maintes fois méconnus ou mal interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la
et le malade commença en outre à pouvoir se maintenir, tant bien que mal , assis sur son séant. Je fus appelé à voir M. X
égeant {fig. 9). Ce sont là, pour ainsi dire, les foyers primitifs du mal , car, si la lésion s'étend au delà, elle paraît r
uez bien ce fait que nous aurons à utiliser bientôt, — que lorsque le mal est parvenu à ses dernières limites. Je vous ai m
irconstance que les éléments ganglionnaires sont le siège primitif du mal *. D'après la considération des caractères anat
e tous les trois. Il n'est pas inutile de remarquer que, lorsque le mal est très avancé, l'émaciation peut être portée à
osso-la-ryngée. Nous ne ferons que signaler en passant cette phase du mal , car c'est là un sujet sur lequel nous devrons re
cou qui est immobilisé, de manière à rappe-ler ce qu'on voit dans le mal de Pott sous-occipital \. Elles sont à peu près p
Archives de Physiologie (1874). une amyotrophie généralisée, assez mal caractérisée d'ailleurs cliniquement, semblait de
moelle épinière. Pour ce qui est de la substance grise, on connaît mal les effets d'une lésion isolée des commissures, e
plus en plus à mesure que, par suite de l'aggravation progressive du mal , elle s'ac-centue plus fortement et tend à deveni
ont plusieurs peuvent encore se tenir debout et marcher tant bien que mal , ses premiers débuts remontent à 8, 10, 13 ans. I
degré de gêne de la res-piration. Cependant, malgré les progrès du mal , la santé générale reste indéfiniment inébranlée.
ernier point, les tentatives que j'ai faites, même dans des cas où le mal n'avait pas atteint son plus haut degré artific
: il a vu survenir une fois la guérison dans un cas à la vérité où le mal était de date récente et, dans d'autres cas, par
u connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vertige gastrique. — Relation ent
que la congestion cérébrale apoplectiforme ou coup de sang, le pelit mal épileptique, ou encore et surtout, le vertige gas
'une canne, le tour de l'en-ceinte intérieure de ce vaste hospice. Le mal depuis cette épo-que n'a fait aucun retour agress
u terme de ces six mois, R... a pu com-mencer à marcher tant bien que mal . Mais, alors qu'elle récu-pérait peu à peu et pro
te. Elle peut survenir aussi par le fait de ces lésions, encore assez mal connues dans les premières phases de leur dével
puis 1869, elle est devenue sujette à des crises épileptiformes assez mal déterminées, et, vers la même époque, un tremblem
s points semblables à la première, de manière à constituer un état de mal dont la durée a été de trois heures environ. Les
é tourmenté, pendant toute la durée du repas, par l'exaspération d'un mal de tête dont il souffrait à un degré modéré, depu
nt une longue période de quatre mois, des pratiques hy-drothérapiques mal réglées, des doses insignifiantes de bro-mure de
ure de potassium avaient été les seuls moyens opposés aux pro-grès du mal . Aussi la situation allait-elle empirant chaque j
Au bout de huit jours seulement, il était devenu évi-dent déjà que le mal n'était pas au-dessus des ressources de l'art ; u
epartielle où, malgré l'assistance d'un zèle éclairé, les cho-ses ont mal tourné. Je ne puis m'empêcher de croire, cepen-da
ements éner-giques ; mais ces mouvements étaient devenus désordonnés, mal coordonnés, rappelant ceux des jambes d'un polich
e a été successivement traité comme atteint d'une affection cérébrale mal déterminée, d'épilepsie, de vertige stoma-cal, et
t le genre de « vertige qui nous occupe, des diverses formes du petit mal épileptiquè avec lequel il a d'ailleurs, on a pu
, même sur des points relativement très éloignés du siège primitif du mal . Le dernier fait, c'est-à-dire la propaga-tion au
ent, dans ce cas, l'élément gan-glionnaire a été le siège primitif du mal . Cette lésion de l'élément nerveux serait de na
venir très embarrassée. La malade se rend alors à pied, tant bien que mal , à l'hôpital Saint-Antoine. Renvoyée faute de pla
naires ont été, dans le bulbe et dans la moelle, le siège primitif du mal et que les nerfs périphériques n'ont été affectés
i'.LaoKerbauer Ulli. Ghabcot. Œuvres complètes, t. ii. PLANCHE II mal de pott; paraplégie Pig. 1. — Substance blanche
v: t. II . Oeuvres complètes . ñ i 7 ? p . ñ) . Î PLANCHE III MAL DE POTT; TAIUPLÉGIE Fig. 1. — Examen de la moel
Fig. 1. — Examen de la moelle par coupes successives dans un cas de mal de Pott dorsal. Dégénérations secondaires. — d, P
de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surto
Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques ; arthrite sèche. — Mal de Pott : mécanisme de la compression de la moell
te sèche. — Mal de Pott : mécanisme de la compression de la moelle. — Mal vertébral cancé-reux. ?— Paraplégie douloureuse d
ies. — Des pseudo-névralgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal verté-bral cancéreux. Pa
lgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le mal verté-bral cancéreux. Paraplégie douloureuse de
u connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vertige gastrique. — Relation ent
par compression, 131.— Dans les paraplégies urinaires, 328. Etat de mal épileptique, 375. f Frustes (Cas) d'ataxie loco
e, 288,233.—Luxuriante, 233, 291, 484. Luxations (V. Ataxie.) m Mal vertébral cancéreux, 94. (V. Pseudo^névralgie ) M
V. Ataxie.) m Mal vertébral cancéreux, 94. (V. Pseudo^névralgie ) Mal de Pott. douleurs fulgurantes, 34; — Causes de la
oses secondaires , 101. — Lésions de la—, dans les cas de guérison du mal de Pott, 103. — Régénération des tubes nerveux, 1
9 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
qui correspond à leur récréation, les enfants étaient plus ou moins mal surveillés par des garçons de dor- toir. Nous a
du Musée de Bicêtrea une petite collection de minéraux et d'ani- maux . Peu après, nous avons reçu 29 spécimens de min
nous rendre à son invitation. Nous avons désigné, parmi les ani- maux réformés, ceux qui nous paraissaient les plus u
tés, tient à faire remarquer que les hôpitaux d'en- fants sont plus mal partagés que le service de Bicêtre, et que leur
exception, unique dans le code de la charité publique, est un grand mal , source de beaucoup d'autres maux. Loin de réag
la charité publique, est un grand mal, source de beaucoup d'autres maux . Loin de réagir favorablement sur les moeurs pu
tin venu, les plus âgés et les plus valides se lèvent tant bien que mal , faute de lavabos, et achè- vent de s'habiller
nnes, « il a la peau aussi 4 DEUX nouvelles observations d'hystérie MALE . blanche que la neige ». Caractère violent, mai
endant pour satisfaire ses 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . goûts. Sommeil bon, prolongé, de 9 heures du s
ant uue minute, une minute 8 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . et demie. Puis il a des battements violents de
, le malade a des secousses, DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 9 s'agite dans son lit, se couche tantôt d'un
he tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade se plaint d'avoir mal aux reins et même partout. Les secousses sont t
à peu près, il n'est pas allé à l'école et il entraine les autres à mal faire. Le malade Th... pré- tend que Ca... l'a
fort secoue tous les mem- 10 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'tiISTRIE MALE . bres. 11 y a de l'écume à la bouche ; les yeux
eu trois attaques le matin. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 11 1 2 juin. Nous constatons et le malade lui-
extension, puis présentent 1 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . des secousses tétaniformes de plus en plus rap
roite.» Envoyé en cellule. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 13 10 août. Tranquille depuis sa réintégration
37°,8. 4. Il a eu onze attaques depuis hier. Il est abruti; répond mal aux questions, mais entend bien et a la parole
toutes les cou- leurs. 14 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 9 décembre. - Sous prétexte qu'il « s'embêtait
veloppée sur un terrain pré- DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 1 i disposé : retard dans la marche et la paro
sans jamais atteindre le chiffre élevé qu'on observe dans l'état de mal épileptique. V. Relevons enfin l'atrophie muscu
la rattacher. L'hystérie 16 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . en tout cas n'a joué aucun rôle dans sa produc
a été éclaboussé parle sang et la cervelle. Il ne s'est pas trouvé mal , mais il est rentré à la maison tout effrayé, b
neville, Bicêtre, 1891. 2 18 DEUX NOUVELLE* OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . son père, effrayé et disant qu'il y avait des
les, il s'est cassé deux DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS DeHYSTÉeP.IE-. MALE . 19 dents, s'est abîmé la mâchoire et le menton
. Fig. i . fit. 2. 2. 20 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . En 1887, après une rémission d'un mois, il fut
sis et Fig. 3. 1 Fig. 4. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 21 1 aussitôt endormi sans rien dire. Son père
Une femme qui passait, croyant qu'il était écrasé, s'était trouvée mal et avait été conduite dans une pharmacie. Il assu
ui le rendit très malade. '2 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRiE MALE . Pas d'autres fièvres. Pas de diphthérie; pas d
rcilières. Sourcils marqués. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 23 Oreilles petites, bien ourlées. La montre p
retenait pas. Il dit que 24 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . ... f'. 't . pendant son attaque il lui semb
. Au bout de trois Fig. 5. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'üYSTÉRIE MALE . 25 minutes secousses dans tout le corps, puis
vant lui et est bientôt 26 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . repris de nouvelles convulsions cloniques qui
à droite et à F'ig. 8. 28 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . gauche, puis retombe. Les yeux sont refermés :
qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . 29 dans laquelle il s'est mordu la langue. Il
genoux jusqu'au maître de 30 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . musique. Il bat la mesure de la tête, et reste
e tristesse, idées vagues 32 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE . de suicide, instabilité mentale, hallucination
ature s'élève progressivement. Alors, on a. affaire ai un état.de mal de l'épilepsie vulgaire. Au moment ,où;. çhr : z
(Ü1 : malade, les accès tendaient à prendre l'allure de l'état de mal , M. Duflocq a noté ,38°,4 -(1) ; mais bientôt, .l
ie. dans les accès sériels et dans les accès subintrants (état de mal ). En ce qui concerne les accès isolés, nous avo
ériels, dont nous venons de citer quel- ques exemples, et l'étal de mal , il y a naturellement des cas intermédiaires. L
aux plus graves, on est sur les Fig. 7. Température dans un état de mal limité à la période convulsive Le signe corresp
4'4 Température dans l'épilepsie. frontières du véritable état de mal . C'est ce qui s'est pro- duit chez les malades
plus tard, T.R 370,8, etc. Fig. 8. - Température dans un état de mal terminé par la mort à la période méningitique.
re qui s'accusait, pouvaient faire craindre l'éclosion d'un état de mal . C. De la' température dans l'état de 12al éZil
. De la' température dans l'état de 12al éZiletiqzce. - « L'état de mal épileptique, répéterons-nous, est caracté- risé
ous n'avons pas à refaire' ici la description clinique de l'état de mal ; nous devons nous borner a'l'examen de la marc
larté, nous rappellerons que nous avons distingué dans l'état- de : mal épileptique complet- deux périodes : une périod
vulsive et une période méningitique. Dans certains cas; l'état de mal est constitué exclusive- ment par la prcm'jre p
mort (rig. 8) ou par la guérison (.c. 9). Dans ce der- 46 - Etat dé mal épileptique.' z nier cas, tous les symptômes di
convalescence marche promp- tement(1).. - .,... : ? ," L'état de mal ne s'établit pas toujours d'emblée ; on note de
nt de constituer en quelqu sorte une ébauche du véritable état de mal . Mais, bientôt, les rémissions plus ou moins (I
. - Fig. 9. - Tracé de la température rectale dans un cas d'état de mal type terminé par la guérison. Le signe correspo
pérature^ 47' courtes qu'on avait notées disparaissent et l'état de mal classique se développe. C'est souvent sous ce
mètre de haut et G millimètres d'épaisseur. Corps pituilaire nor- mal (du volume d'un pois). Liquide céhhalo ? achiclie
Accidents méningiti- ques consécutifs a des séuiesOtllil72 état de mal ; déchéance. Gâtisme. Périodes mélancoliques. (7
t de mal; déchéance. Gâtisme. Périodes mélancoliques. (7S5. Etat de mal ; broncho-pneumonie gangreneuse ; mort. Autops
t une fille qui, après avoir été mordue par un chien, tomba du haut mal .] Mère, 47 ans, blanchisseuse, présente un ench
rphine ; il se calme et s'endort. 5 juin. Agitation continuelle ; a mal à la gorge à force d'avoir crié. § juillet. U
vorisée par la parésie bulbaire que présentait le malade en état de mal . On trouve la, réalisés cliniquement, les phéno
d'ailleurs pas rare chez les épilepti- ques qui meurent en état de mal , mais nous ne croyons pas lui avoir vu revêtir
retrouve à peine quelqu'une de loin en loin, mais se colorant très mal par les réactifs. Nulle part il n'y a de la dég
chez une cousine germaine du même coté ; des acci- dents cérébraux mal déterminés chez des neveux ou nièces de l'enfan
ête ; - périodes d'excitation maniaque; accès sériels ou états de mal avec élévation considérable de la température c
rié- tale et du pli courbe. Face interne. Le lobe paracentral est mal délimité; il se continue très nettement par deu
lesquels il est impossible de reconnaître aucun des sillons nor- maux . Cette circonvolution de 2 el- environ d'épaisseu
urs lieu dans ces cir- constances. Grossesse pénible, compliquée de maux de ventre; souvent elle a été obligée de fuir s
me du côté du squelette. Rien d'anor- Coqueluche; glycosurie. 117 mal du côté des viscères. Rien d'anormal non plus du
rticulier. Premières convulsions à 17 mois. En 4 jours, sixétats de mal de : 2 à 6 Jz. de durée : Paré- sie consécutive
ant et arrondi. Pas d'asymétrie de la face, - Oreilles détachées, mal ourlées, lobules distincts. Cou allongé; cicatr
l'anus. Pas d'hémorrhoides. 1887. -L'enfant prononce toujours très mal , il connaît ses lettres, les chiffres, les obje
à six reprises différentes, laissant après elles une para- ly.sie mal déterminée. . III. De 18 mois à 7 ans, Gem... n
10 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
A l'entrée, l'enfant était grand gâteux, ne parlait pas, marchait mal et ne savait rien faire. Aujourd'hui, la parole
des médecins, mais de la part de quelques conseillers, sans doute mal renseignes, qui ont manifesté une certaine host
ents (2), surtout les poly-bromures et le bromure de camphre (grand mal et vertiges ou vertiges seuls). Les bains, les
d'accidents cérébraux. Traitement de l'épilepsie. L\'rI formes du mal caduc et ses complications. Joints aussi aux pu
es yeux. plus élevé. Il faut tenir compte, dans la propagation du mal , de la malpropreté des enfants gâteux qui dissé
ois infirmières, atteintes de cette conjonctivite, se sont donné le mal . Les infirmières chargées de faire la toilette
rchant à s'étrangler avec le cordon de sa chemise. Elle procédait mal à ses soins de toilette, s'habillait et se désh
u rectum ;4 pour diarrhée ; 10 pour migraines ; 1 pour une éruption mal caractérisée ; 1 pour jaunisse. Pour compléte
ui ne parlent pas. nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent mal . Idiots qui ne parlent pas. - Les idiots qui ne
mois de l'idiot. L'essentiel c'est de s'assurer si tel mot bien ou mal prononcé corres- pond exactement il l'idée que
, la transition entre ceux qui, ne parlent pas, et ceux qui parlent mal . Edmond B... appartient il cette catégorie. Il
gage primitif, et nos ancêtres désignaient-ils autrement les ani- maux dont ils voulaient parler ? A mesure que les prog
faisons même semblant de ne pas le comprendre s'il persiste il les mal donner, et nous arriverons, en peu de temps, à
s, en peu de temps, à de grands change- ments. Idiots qui parlent mal . - Les idiots, dont nous allons maintenant nous
assez attentif, assez imitateur, s'il prononce quelques mots, mais mal , l'habituer à soute- nir un son le plus longtem
aboutissent à une veine bleue transversale. L'ombilic présente une mal forma lion curieuse. Il n'est si- tué qu'à quat
mort-née. Aucun de ces en- fants n'a eu de convulsions. XnTiii : mal .miiï. Conception, on ne sait si elle s'est faite
rmales. Examen fonctionnel. Réflexes pateliaire, olécranien, nor- maux . Mouvements volontaires et provoqués : rien à sig
,oblique en bas et à gauche ; longueur 4 cent. Les deux lèvres sont mal dessinées, épaisses. - La lèvre supérieure est
sible. Membres supérieurs : de forme, d'attitude, de volume nor- maux . Jointures, mains et doigts, rien ¡'¡ noter. Pas
Arti- culations, orteils, voûte plantaire, normaux et marche nor- male . Thorax : volumineux, large, bombé en avant ; n
tants et normaux. Le troisième est mort à un mois d'une affection mal déterminée. Le cinquième est mort en bas-âge de m
ent. A la naissance, l'enfant est bien constitué et de poids nor- mal . Il n'est pas asphyxié. Elevé au biberon. 11C den
nvulsions. Durant toute sa première enfance, le sujet est chétif et mal portant. Son intelligence reste obtuse. Ses ins
ue de 31 k. 200 (c'est-à-dire 18 k. 500 gr. au-dessous de la nor- male ). ). L'enfant présente de nombreux stigmates de
uchement, normaux, Convulsions à 1'(î,le de deux ans. Deux étals de mal convulsifs à 2 ans et et demi. - lIetanl dans l
Première dent à 7 ou 8 mois, dentition complète à une époque nor- male : la mère affirme seulement que la dentition de l
sion desobjets et des couleurs sont naturelles. Champ visuel nor- mal . Nez camus, sans déviation, aplati à sa racine,
nt bien dessinés, non bifides, narines assez grandes. Odorat nor- mal . Pommettes saillantes, symétriques, joues volumin
ence. Membres supérieurs. Leur attitude, leur mobilité, sont nor- males . Ils sont très courts et très gros, recouverts d'
arti- culations de ces membres, la station et la marche sont nor- males . Plante du pied et orteils normaux. Les mouveme
enfant était petite, chétive (non pesée) ; pas d'asphyxie. - Elle a mal pris le sein, a été mise au bibe- ron (lait de
ron (lait de vache), jusqu'à l'âge de huit ou neuf mois; elle s'est mal développée. - A deux mois, convulsions : .- L'e
l'asile d'aliénés de Villejuif. Là, elle semble avoir eu un étal de mal . Pendant plusieurs jours, elle serait restée sans
nformés. Luette régulière, amygdales un peu grosses. Pharynx nor- mal , pas de tumeurs adénoïdes. Réflexe pharyngien phy
oid, au chaud et il la douleur est assez obtuse. L'enfant manifeste mal ses sensations. Les me)nh)'GS inférieurs sont c
l'inférieure surtout qui est en léger ectropion. La supérieure est mal dessinée et présente un léger duvet. Cou gros,
au du cartilage thy- roïde 30 centimètres de circonférence, on sent mal le corps thyroïde. Thorax normal, mais recouver
es convul- sions, 23 ans, mariée, bien portante, a un garçon nor- mal et une fille qui a eu des accidents convulsifs.;
au de l'ongle. Ce doigt bifide est séparé du deuxième orteil nor- mal par une fente inter-digitale qui remonte plus hau
4 cm. Les membres supérieurs et inférieurs n'offrent rien d'anor- mal dans leur conformation, leur motilité, leur sensi
ires absents congénitalement. Fentes palpébrales très petites. Cils mal implantés. Se : droit, étroit il sa racine, peu
se, en léger ectropion. - Dentition complète. Dents de forme nor- male . Les deux premières molaires supérieures sont hor
de l'idiotie vers 18 mois. Abcès cervical. - Notions du bien et du mal . Puérilisme, - Végétations adénoïdes. 1903. -
nte, il n'y a que 2 ans qu'elle a fait des propres; elle a toujours mal prononcé, et sa voix est enrouée.- Sa tête étai
lutôt peur du feu. Pas d'onanisme. «Elle sait, bien quand elle fait mal . - Elle s'amuse le plus souvent, comme un tout
et de la hlcpharite : depuis l'âge de 2 ans 912, elle a eu souvent mal aux yeux, ses yeux sont presque toujours rouges
xtré- mités ont un aspect rouge et rugueux. Réflexe rotulien nor- mal . L'enfant marche bien, mais lentement. Elle ne co
eint 38° et une fois 38°, 5 ; elle se plaignait à ce moment d'avoir mal à la tête. Ni diarrhée, ni vomissements, ni des
sont t pour la plupart de ces éléments, très voisines de la nor- male ; pas d hyperchromie, ni d'état chromophile. Très
ig.60. - Idiots diplégiques. 182 De quelques formes de nanisme. mal pour le même laps de temps n'est que de 23 millim
glisse pas. Les cheveux sont châtain foncé, raides ; le tourbillon, mal formé, semble constitué de 188 De quelques form
à 9 mois. Propreté à d5 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de mal convulsif à 6 mois. Convulsions localisées au c
nt tous les 6 mois, toujours localisées à droite. Après cet état de mal , l'intelligence était moins vive et l'enfant re
près la mère, la paralysie, qui a débuté après le pre- mier état de mal , se serait aggravée après chaques série con- vu
ne présente pas de cicatrices. Les arcades sourcilières sont nor- males . Les sourcils sont châtain clair, de même que les
ngien. Le menton est rond, très régulier, dans une situation nor- male par rapport au maxillaire supérieur.- Les oreille
en que l'enfant soit hémiplégique. Poids des organes 246 -Etat de mal co"n;¡'SIF, 1 'Epilepsie hémiplégique, déchéanc
rome : Imbécillité, hémiplégie, épilepsie, succé- dant à un état de mal convulsif de la première enfance, moins souvent
3). Epilepsie hémiplégique méningitique. nI guérison de l'état de mal convulsif ou môme s'amé- liurer notablement sou
par des se présentant sous forme de séries, quelquefois d'état de mal , mais si le malade ne succombe pas dans cette c
tiges nombreux, la physionomie s'altère, l'attitude se modifie en mal , le corps s'affaisse, s'incline du côté paralys
ée 1883. VI. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal ; mort; atrophie très considérable de l'hémis- p
ut de la marche, de la parole, de la propreté à dix mois. - Etat de mal convulsif à onze mois, pendant trois jours : -
égie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etat de mal , élévation progressive de la température ; mort
; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de nerfs mal déterminées, dans lesquelles elle ne perdait pa
Antécédents personnels. 251 vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la marche de la maladie. Il semble cep
auchemars ni hallucinations. Lors de ses accès, il dit avoir un peu mal à la tète, mais seulement s'il est interrogé, c
egimbeau, phrases de lecture courante, bonne articulation. Ecriture mal assurée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait
aucun malaise apparent, mais l'en- fant, interrogé, accuse un léger mal de tête. A plusieurs reprises, lotions vinaigré
heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un état de mal : 7 accès se succè- dent, à intervalle de dix m
a va me reprendre, dit-il, les 256 Imbécillité, hémiplégie, état DE MAL ÉPILEPTIQUE. ' doigts me piquent », et aussitôt
demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étouffe et j'ai mal à la tête. » Lors de l'approche d'un accès, il
été absolument normal jusqu'à onze mois. Alors apparaît un état de mal convulsif qui aurait duré trois jours sans reto
163) ; - Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de mal épileptique, mort ; foyer ancien intéressant les
ltés intellectuelles dans les limites où les a laissées l'état de mal con- vulsif initial et telles que le traiteme
tiques hé- miplégiques, comme Ham... sont sujets à des états de mal épileptique, de même que les épileptiques ordi-
certain âge, vingt-cinq, trente ans s'ils ont survécu aux états de mal , on voit les accès s'éloi- gner et enfin dispar
avons pu les faire Fig. 69.- Tracé de la température de l'état de mal de H... 266 Etat DE MAL ÉPILEPTIQUE. passer
s les divisions de l'hospice comme infirmes incurables. L'état de mal épileptique n'a offert, ici, que la première pé
rophié et la partie correspondante de la calotte Fig, 71. - Etat de mal guéri. 268 État DE MAL épileptique. crânienne
ébelleux ou des deux, croisée ou non. XIV. Epilepsie. ; État de mal ; Température. Par BOUItNL'ILLI : et L. IZOU.
vuls(ons vers 8 -71oix, répétées - Début des accès à 8 ans. Etat de mal en 100J : marche de la température. Parotidite
par sa famille à 4 ans : on constate qu'il est arriéré, qu'il parle mal et est peu développé pour son âge. Il n'a pas d
. - Deux accès dans la journée très-forts. - Dans la nuit l'état de mal se déclare. On note 22 accès se succéckmt sans
cune tache couleur chair de saumon, lésion fréquente dans l'état de mal . Le ventricule latéral, la couche optique., le
le Fig. 72. - Petit]... État de mut, température. AI10 .-État de MAL : 'TEM1'ÉRATURÈ.. montre le tableau (p. 306) et
s. En 1903, quantité considé- rable d'accès et de vertiges. Etat de mal avec élévation de la T. : 1° période convulsive
oite assez, bien conformée, a un lobule épais. L'oreille gauche est mal ourlée surtout dans sa partie supérieure où ell
s mais le lobule paracen- tral, l'avant -coin et le coin sont assez mal séparés et la scissure perpendiculaire externe
o, la scissure perpendiculaire externe occupent leurs places nor- males toutes les parties constituantes du lobe frontal
(Archives de neurologie, 1880, p. 213). LEROY (A.). - De l'état de mal épileptique. Thèse de Paris. SÉGLAS (J.). - De
res. ,345 VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal , mort, atrophie considéra- ble de l'hémisphère
aux et cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV. Épilepsie; état de mal ; température; par BOURNEVILLE et IZOU..........
11 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
it de celle aventure, line sœur del’hôpilal S’effraya d’un si grand mal ; Puis, allongeant sa figure, l’il ce terrible ser
ions. — Lorsque l’ignorance ou la passion mous ont conduit à faire le mal , ce que nous devons désirer le plus, après le par
eut être ainsi. Que l’on n’en accuse ni nous ni la nature. Il est des maux incurables, mais ce que nous pouvons produire sur
alheureux où celui qui souffre n’est point l'auteur volontaire de son mal , et qui inspire par cela plus de pitié. Au milieu
e- cine prodigua ses soins ù celle pauvre fille; ce qui n'était que maux de nerjs devint une véritable épi— Jepsie. On eût
cles qui servent à la locomotion, insensibilité, spasmes, (I) Voir: Maux incurables, dans mou Huai mr Centtiguemtnl phüoio
élation d’idées, d’espérance et o de désir. Si le magnétiseur veut lo mal , ou agit « seulement à la légère, le magnétisé vo
veut lo mal, ou agit « seulement à la légère, le magnétisé voudra le mal « ou pensera à la légère. Si le magnétiseur est m
stion, ni au foie pour lasécré-« tion de la bile. Cette maladie a été mal combattue * dans son principe. Les saignées loc
rai.) La « rate ne fait pas ses fonctions, le foie fournit une « bile mal préparée. Cet état dure depuis quinze mois. « T
ne fait aucunes fonc- «lions; le foie fournit une abondance de bile mal « préparée; c’est ce qui fait que la langue est t
athique. La maladie a été produite « par un chaud et froid et a été mal combattue. » — La malade dit : « Tout est exact.
r; j’ai consulté deux médecins, et leur « traitement m’a fait plus de mal que de bien ^ « Traitement. Vésicaloire à l’hyp
e s’est affaibli ainsi que la rate. Labile que sé-« créte le foie est mal préparée, sa mauvaise qualité « irrite la membran
gens. Vrai philanlhrope, utile ami des hommes, Il sait guérir des maux désespérés; Vrai philosophe, il voit ce que nou
se montrent si peu soucieux de s’éclairer sur des phénomènes rares ou mal observés. Cependant l’enfant fut conduite chez
toujours ainsi ? Les premiers qui virent tomber des aérolithes furent mal accueillis, bafoués même, et il en fallut, dit-on
s, vous vous rappellerez avec bonheur que vous avez rendu en Btëri le mal que l'on vous a fait. L’ingratitude vous attendra
mbre. (Vrai.) Cette dame a en outre une pleuré-« sie. La cause de son mal est une extravasation lai-« teuse et plus tard un
Saon se présente pour consulter. La somnambule ne reconnaît d’autre mal qu’un engorgement des nerfs optiques. En effet, c
condre « droit; il a la diarrhée depuis longtemps. La cause * de ce mal est un eifort et un épuisement. Je vois une hépat
n litre et demi. 24 Novembre, le ma-« lade va très-bien; néanmoins le mal n’est que paljié; « il faut encore la tisane de r
re somnambule, sans m’avoir jamais • vu, a pu si bien connaître mon mal et me guérir. Je « suis venu exprès pour vous tém
il faudrait employer et les précautions à prendre pour qu’elle ne fit mal ni à elle ni aux autres. Je m’adressai au docte
rai sur le dos dans l’escalier, dans laquelle je me ferai beaucoup de mal ; mais je n’en mourrai pas. Je ne saurais dire ce
n cinq magnétisations, de sept ou huit minutes chacune, à extirper le mal dans sa racine. J'eus ainsi l’inapréciable bonheu
un charlatan. D’abord, c’est une odieuse calomnie; mais ensuite il va mal à on homme qui profite des découvertes de Mesmer,
en en souffrir auparavant, elle ne me paraissait pas alors sentir son mal . J’examinai de quelle manière et de quel instrume
e voyait un soulagement à sa position. «Aucun, me répondit-elle; le mal va toujours « croissant, et dans huit jours elle
cins au chevet des agoni&ants, aussi impuissants à soulager leurs maux qu’à prolonger leur vie. Mais occupons-nous, trav
pas, et nous sauverons des mains de la justice des êtres qui font le mal , sans doute, mais qui peuvent être ramenés au bie
matériels qui lisent dans l’avenir, est souvent avertie du bien ou du mal qui nous est réservé. Nous en avons cité de nombr
de la volonté et de la puissance divines, ajoute : Et fecerunt etiam male /eci per incan-laliones Ægyptiacas et arcana quœda
eut exception en faveur de l’inventeur, car il conserva fort bien le mal , dont je le débarrassai en huit magnétisations. L
ement fut le résultat do ma première magnétisation ; le 18, plus de mal de léte, battements de cœur moins douloureux. .
mère: « Oh ! mon Dieu, je marche, « mais je ne sens plus rien de mon mal ... je marche... « Voyez, mère, je marche; mes jam
enter contrairement à notre opinion de son état d’insensibilité aux maux physiques que les expérimentateurs n’épargent ni
l a ressenti, dit-il, les premières atteintes de ce qu’il appelle son mal . Ses camarades l’avaient surnommé la Torpille. No
plus ardent désir, parce que ce qui peut faire du bien peut faire du mal , et que la magnétisation ne peut avoir que de bie
fâcheux résultats si elle est dirigée sans discernement ou appliquée mal à propos. « Que l’homme qui a étudié l’organisa
re hommage à la mémoire de ceux qui avaient travaillé ài diminuer les maux de 1 humanité, de ceux qui s’étaient illustrés pa
nt que l’odieux fanalisme et l’ignorance offraient encore au génie du mal . « Qu’il est doux pour moi ce moment, Messieurs
es malheureux ne me doivent-ils pas la vie ou le soulagement de leurs maux ? n’ai-je pas affronté les ennemis de tous progrè
, entraînés dans le tourbillon des passions déchaînées, se trouvaient mal placés pour parler de mesmérisme; quelques-uns se
! dont la mission est sacrée, vous qui apportez un adoucissement aux maux physiques; vous qui pénétrez au sein des familles
vez, hélas! combien leur science est impuissante pour guérif même les maux que leur incurie perpétue. Vous les avez vus déto
arrivait alors ce qui se passe aujourd’hui à l’égard des somnambules mal dirigés, c’est-à-dire que les oracles étaient d'a
ient point raisonnées? Il y a donc deux êtres en nous : le génie du mal et le génie du bien; pour que celui-ci se montre
us appelons à grands cris un moment de repos; lorsque, torturé par le mal , la soif, l’insomnie, nos amis alarmés cherchent
s mains sur tes membres roidis, sur ton abdomen gonflé, irrité par le mal et un feu intérieur; qu il te fasse de douces f
ession de la découverte de Mesmer. Qu'ils se rappellent qu’ils furent mal accueillis autrefois, et.que par des mandements,
c lui-même, deviennent, autant que l'ignorance, la source de tous les maux moraux. On commet le mal, ou parce qu’on se mépre
tant que l'ignorance, la source de tous les maux moraux. On commet le mal , ou parce qu’on se méprend, ou parce qu’on ne s’e
action produit, et leurs rapports, nous donnent l’idée du bien et du mal moral. Les diverses relations des hommes en soc
avons..... des poisons. LE MALADE. Faut-il encore ajouter à leurs maux ? Pourquoi brûler leur chair? êtes-vous donc les v
ttable, nous croyons enfin l’avoir trouvée dans l’emploi de deux mots mal compris-. expérience et observation, sur lesquels
iel. Il prédisait ponctuellement ce qui devait arriver, en bien ou en mal , à de grands personnages; par exemple, au célèbre
ions et d’erreurs vous trouverez à chaque page des symptômes morbides mal définis, et toujours applicables à quelque irrégu
er à tout ce qui lui est contraire, d’où résulte l’idée du bien et du mal . Le bien physique ou naturel de chaque être est
de chaque être est tout ce qui tend et contribue à le conserver. Le mal physique, au contraire, est tout ce qui tend à le
tion ou la sensation du bien physique est le plaisir. La sensation du mal physique est la douleur. Le bien et le mal phys
plaisir. La sensation du mal physique est la douleur. Le bien et le mal physique pesés et comparés relativement à l’indiv
réaliser cet effet. Le motif étant la représentation du bien ou du mal résultant du changement, que l’action produit, il
la disposition du sujet qu’il meut. La représentation du bien et du mal peut être plus ou moins parfaite, plus ou moins d
nnel. La sensation du bien physique étant le plaisir, et celle du mal physique la douleur, l'intérêt individuel a deux
echercher le bien physique comme la source du plaisir: 2° Eviter le mal physique comme la cause de la douleur. II faut
objets. L’indépendance étant la mesure de la liberté, il celle du mal physique la douleur, l'intérêt individuel a deux
echercher le bien physique comme la source du plaisir: 2° Eviter le mal physique comme la cause de la douleur. II faut
jour. La moindre marche, la moindre fatigue, augmentaient encore son mal , qui résistait à toute espèce demédi-camentation
ns humaines, fondées sur l’intérêt personnel. Cet intérêt peut être mal entendu lorsque la représentation en est confuse
ntérêts dans la société pour les opposer aux passions et aux intérêts mal entendus des particuliers. Les lois qui ont pou
rés aux bétes, ou célébrant leurs mystères divins dans des catacombes mal éclairées, sur les cadavres mêmes de leurs frères
es de la ville, qui venaient à lui processionnellement se plaindre de maux de nerfs. Silva ne répondit rien et ne prescrivit
de s’expliquer, il dit enfin d’un ton d’oracle : « Ce ne sont pas des maux de nerfs, c’est le mal caduc! » Le lendemain, il
nfin d’un ton d’oracle : « Ce ne sont pas des maux de nerfs, c’est le mal caduc! » Le lendemain, il n’v eut plus dans Borde
» Le lendemain, il n’v eut plus dans Bordeaux une seule femme qui eût mal aux nerfs (1). » . Une épidémie de suicide po
plus depuis, li,3 du moins à ma connaissance, aucune atteinte du mal dont il s’était lui-même débarrassé. Cette obse
e cours, et j’acquis la conviction que le magnétisme humain avait été mal jugé par moi, et présentait* l’observation du phy
ces opposées justement équilibrées. 2mc Observation. — Supposons un mal local, par exemple une brûlure : un membre est en
a lieu presque immédiatement ou en peu de temps, selon la gravité du mal . Je doute fort que, dans un accident de ce genr
asser chez moi, . Où se trouvait la fièvre, accompagnée Du tous les maux qu’elle entraîne après soi. J’ét.iis dans un gr
par les prières de la Bueaille; la seconde, qu’elle a été guérie d'un mal d’yeux par la même voie, avec cette circonstance
circonstance que la Bueaille, pour la guérir, s’était chargée de son mal . « Nicolas Lecourt dépose que, voulant savoir s
no allopathique , sans jamais avoir éprouvé aucun soulagement à ses maux , se décidait à suivre un traitement magnétique.
de 30 ans, me dépeignit ainsi son état : Tous les jours migraine ou mal de tôle. Menstrues ne paraissant que 2 ou 3 foi
un lavement. Moi, je remarque les ravages extérieurs qu’a faits le mal , le teint jaune-verdâtre de la malade, et un inst
ne magnétise les yeux que secondairement ; car je pressens que là le mal n’est qu’une ramification de celui qui existe au
dans les reins. Elle ordonne un lavement de 2 têtes do poireau, J’ai mal entendu, et le lendemain je fais prendre 2 pavots
chacun en particulier, une mission à accomplir; l’oublier, ce serait mal répondre à ce que notre honorable convive est en
ps bien long, hélas! soutien dti magnétisme, on et compatissant aux maux du genre humain, su calmer, guérir;en imposant la
uibulique. — » Vous voyez, ma-« demoiselle, que je ne vous veux aucun mal , lui dis-«je, puisque je ne demande pas mieux que
naissance. — Tout cela « n’empèche pas, répondit-elle, que c’est fort mal à « vous d'abuser de ce pouvoir que vous avez pou
re partager ma sécurité à des gens fort peu éclairés et manifestement mal disposés envers moi, était chose impossible. Auss
puisque le père y consentait ; mais j’avais manqué de patience, et le mal était irréparable. J’appris depuis indirectement
n delà toute-puissance; c’est le ciel qui vous vient en aide pour les maux que vous souffrez; il vent avant de vous appeler
vous voyez tout ce qui s’y passe; alors vous devenez insensibles aux maux physiques et vous n’êtes plus qu’un esprit. On
ur tout nouveau les vérités métaphysiques, devinées peut-être, mais mal expliquées, mal commentées par la philosophie, qu
les vérités métaphysiques, devinées peut-être, mais mal expliquées, mal commentées par la philosophie, qu’arrête l’insuff
croyez au magnétisme et qui le regardez comme un moyen de guérir les maux et de moraliser les peuples; venez inscrire votre
qui lo mettront à l’abri de l’égarement des passions ou de l’intérêt mal entendu, il sera en étal de juger dans tous les c
ix à celle de beaucoup de par-tisants du magnétisme, qui gémissent du mal qui se fait ainsi, et qui, honteux de l’abaisseme
gnéti-« que n’existe pas; d’ailleurs il peut faire beaucoup de > mal ! » « Remarquez, Messieurs, que presque tous le
môme nommé à une de ses places de membre correspondant ! « Mais le mal est bien plus grand qu’on ne pense. On ne peut pa
ta harangue. ♦ Ilélas ! réprimande inutile, peine superflue : le mal était fait, et Frapart lui-même, oubliant les con
rogueshomœopatiques, et diminue tant celui des poisons et médicaments mal ordonnés; comment, au contraire, l’action prolong
evrait les frapper; car leur ignorance et leur orgueil perpétuent des maux que nous avons le pouvoir de détruire. « Il est
nce, sans éludes médicales, produisent, au su de tous, la guérison de maux incurables pour eux. « Voilà la vérité découver
mais nous ne répondons pas des épidémies qui peuvent l’atteindre, des maux qui peuvent fondre sur elle; notre habileté ne va
es juges montreraient que la loi n’est point établie pour protéger le mal et empêcher le bien. Ils renverraient bientôt les
ries de ces magnétiseurs inexpérimentés. Ont-ils au moins réparé le mal qu’ils ont fait à la science ? La science ! qu’y
s vivants de leurs défaites. Croyez-vous qu’ils soient aux regrets du mal qu’ils ont fait, qu’ils cherchent à servir notre
us pouvons nous tromper dans nos appréciations; car si nous jugeons mal ce qui est grossier, ce qui frappe nos sens habit
par conséquent, de grandes différences dans les résultats. Sentir les maux est la plus commune faculté. Autre chose est voir
vérité du magnétisme, et qui, par leur croyance, ont fait beaucoup de mal , et ouvert la carrière à la coupable industrie du
ami, dii l’autre, je sais la meilleure recette du monde con- * tre ce mal -là, et la lui dit. Concile cscrit son nom sur ses
é de gens (comme il éloit connu de tous) qui, après avoir entendu son mal , lui donnèrent recettes à forces, lesquelles chac
«Eh! qu’as-tu, Gonelle?» Il répond tout piteusement en marmiteux : « Mal de dents le plus cruel qui fut jamais. » A donc S
reindre le chiffre de nos vagues enthousiasmes, ce ne serait point un mal . Même en magnétisme, il n’y a pas de petites écon
ion artérielle indique d’ordinaire que la somnambule s’est inoculé le mal sur lequel on la consulte; aussi la vit-on tout à
indiquer le sexe de l’enfant. Elle accepta en disant qu’au moins «on mal à elle ne se communiquerait pas. Je le pensais au
e faute d'initiés pour l’entretenir. 11 fallait un prompt remède à ce mal ; Dieu y pourvut en envoyant seul au milieu des mé
12 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
e, qu'en revient la plus large part. , BOURNEVILLE. De l'état- de mal épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il
rt. , BOURNEVILLE. De l'état- de mal épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il @' L'état de mal épileptique es
e mal épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il @' L'état de mal épileptique est connu de longue date dans les s
n dans les ouvrages ou les articles de dictionnaire qui traitent du mal caduc. Aussi, et bien que, dans un mémoire auqu
faire ressortir briè- vement les caractères principaux de l'état de mal épilep- tique. Toutefois, dès maintenant et afi
nous rappellerons la définition que nous avons don- née : L'état de mal épileptique, avons-nous dit, est caracté- risé
ur les maladies du$ystme ne-¡'fJ811a : . BOURNEVILLE. 1 2 ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE : , qui persiste dans les intervall
t par le sulfate de cuivre; doses ; accidents ; insuccès. Etat de mal : description d'un accès ; - 9 90 accès (dont 168
que à4 ans 1r2, Lamb... a été sujette à des crises nerveuses, assez mal caractéri- sées. A l'origine, elle était prise
le, dont la taille est assez exiguë, n'offre rien de par- 4 ÉTAT DE mal 1;PILEPTIQUIs'. ticulier; nous n'avons donc à i
te malade a été mise eu traitement par lo sulfate de cuivre ÉTAT DE MAL LPII,>rP1'InLW , 5 Etat DE MAL (8 juin). Hie
ux accès; le pouls était à 128, la température à 3ne, 3 : l'état de mal était constitué. Description d'un accès. a) D
t -de l'épilepsie par le sulfate de cuivre ^pages z18). 6 ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE. ' effacé. Simultanément, secousses
h9 Insane (Journal of Mentat Science, vol. XIV, p. 34). - ÉTAT DE MAL ËPILEPTIQUË. 7 moniaque. Sous l'influence de ce
ux radiales ; R. moins bruyante, à 60 ; T. V. 0°,G..... 8 ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE. Examen op7cthczlnaoscopirtce prati
troubles de la vision dans l'hystérie, etc., p. 2S, - .. - ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE, 9 blement déformé. Les circonvolut
(fit. f, A). Mais, il est à remarquer que cette atrophie 10 ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE. est uniforme, porte sur l'ensemble
e, reins, vessie, pas d'ecchymo- ses, etc. Dans ce cas, l'état de mal épileptique n'a pas été su- bit, ainsi que cela
dité effrayante. Alors, comme nous l'avons dit plus haut, l'état de mal était constitué et, de même (yie dans la ÉTAT D
aut, l'état de mal était constitué et, de même (yie dans la ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. Il 1 majorité des cas, nous avons
e la mort. -f- Température' une heure après la mort. 12 2 ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE, tation n'est que passagère et bien
ns signalées au dé- but chez notre malade. Eh bien ! dans l'état de mal épilep- tique, au lieu de redescendre au chiffr
z cède. Parfois, à ce moment, les malades succombent et l'état de mal est composé d'une seule période ; d'autres fois,
a température n'est pas unique- ment due aux convulsions. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. - 13 Dans d'autres cas, la rémissi
anté ou tout au moins reviennent à leur état antérieur. L'état de mal , dans ce cas, a duré trente heures environ; sa
lésions récentes qui, seules, peuvent' être rattachées à l'état de mal . Elles consistaient en plaques ecchymotiques de
(camphre, asa foetida, atropine, etc.) que nous avons j ¿. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE.;> vu prescrire ou que nous avon
'espérons, pour montrer l'in- térêt clinique que présente l'état de mal épileptique. II Recherches thérapeutiques. ,
a pris régulièrement ses six pilules. Ce jour-là débute un état de mal auquel elle suc- combe le lendemain. 2t RECHE
appeler que chez celle de nos malades qui a succombé à un état de mal épileptique (OBs. iv) pendant qu'elle était en tr
eil sur nos deux au- topsies nous voyons que ni dans l'une (Etat de mal , p. 2), ni dans l'autre (Observation II, ci-des
comme si elle ne voyait plus clair. -- Pas d'autres maladies que le mal caduc; intelligence médiocrement développée. Pa
malades qu'autrefois, et les accidents graves, tels que l'état de mal , sont devenus plus rares. Mais, à côté de ces c
ver davan- tage, prétextant que leurs chèvres tomberaient du « haut mal .» C'est alors qu'on se décida à la faire rentre
ête sous le couteau.... Si j'étais seule, je crois que je me ferais mal . » 13 avril : 3 pilules de 0 gr. 02.... 16 mai
- tion est très-difficile, sinon impossible, chez les autres ani- maux . Selon Me Bride (2), la congestion superficielle,
S THÉRAPEUTIQUES. tifs à l'épilepsie; 2° faits relatifs à l'état de mal épilep- tique; 3° faits relatifs à l' hystéro-é
t- chell a employé le nitrite d'amyle pour combattre les accès de mal caduc. Dès l'origine, il se rendit parfaitement c
a portée des ob- servations de M. Philip, c'est que, dans l'état de mal épi- leptique, ainsi que nous allons le voir, l
e com- plication de l'épilepsie. . B. Faits relatifs ci l'état de mal épileptique, L'observation détaillée qui figure
dans des explications sur les symptômes qui caractérisent l'Etal de mal épileptique, Les réflexions sur le traitement,
ux accès; le 7, trois; le 8, quinze. A partir de ce jour, l'état de mal fut franchement établi; la connaissance ne reparû
ement recouvrée et en quelques jours toutes les traces de l'état de mal s'éva- nouirent. Observation XIX. Epilepsie;
'éva- nouirent. Observation XIX. Epilepsie; excitation. - Etat de mal : aucune lueur de connaissance en1re les accès
ns sont conti- nuées toutes les trois heures. Guérison de l'état de mal . Observation XX. Epilepsie; accès fréquents, su
ation XX. Epilepsie; accès fréquents, suivis de dé- lire. - Etat de mal épileptique : coma, élévation de la tempé- ratu
e toutes les heures et rien n'entrava plus la guérison de l'état de mal . L'intérêt que présentent ces observations n'éc
'échappera à personne. Dans toutes, il s'agissait bien de l'état de mal épileptique avec tous ses caractères, et en par
es observations deux autres de M. Me Bride relatives à des états de mal moins intenses il est vrai, et qui ont eu égale
sont loin d'être aussi en- courageants. Observation XXI. Etat de mal épileptique; élévation de la température; nitri
2,nous trouvons la malade en plein nitrite d'amyle. 93 ri état de mal épileptique. A peine un accès est-il fini qu'un a
vélé la cause de la terminaison fatale. Observation XXII. Etat de mal épileptiqu(3)' Nombre des accès ; - Elévation c
épileptique depuis l'âge de quatorze années, fut prise d'un état de mal , le 10 décembre 1875 à 4 heures du soir. - Aprè
ttes de nitrite d'amyle : les pupilles, de dimension presque nor- males auparavant, se dilatent très-largement; la malade
3/10 de degré. ' NITRITE D'AMYLE. P7 Observation YYIII. - Etat de mal épileptique. Fréquence des accès. - Nitrite d'a
accès. - 2 février. 16 accès. Cette malade a guéri de son état de mal qui a offert des caractères tout particuliers s
ous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les observations d'état de mal épileptique que nous avons analysées, nous rele
es pleurs redoublent (elle s'imagine voir une femme qui lui veut du mal ). Il s'agit là, sans doute, d'une réminiscence d'
ont enfin cesse. D.. a éprouve, durant quelque C -' lJ-' temps, un mal de tète lus intense que de cou.tumeaLla5(.e ' l
urs, 1) s'imaginait voir le chien courant après elle et se trouvait mal . A partir de celte première peur, elle fut suje
létion des capillaires; les gros vaisseaux sont parfaitement nor- maux . Cette altération, ainsi que les troubles fonctio
16 6 octobre. La malade urine spontanément. Elle meut tant bien que mal le bras droit. M. Charcot lui fait faire l'exerci
ade parvient, avec difficulté, à faire entendre quelques sons assez mal articulés. - Elle a pu avaler un peu de bouilli
e- ments sont les mêmes; la sécrétion urinaire est toujours anor- male . Etch.... n'a eu que deux selles depuis le 7 déce
13 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
n Emile. Les natures innocentes, les âmes pures qui ne pensent pas au mal , qui n’ont dans l'esprit rien de déshonnête, ne v
tête la première, sans qu’il s’ensuivit aucune lésion ni aucun autre mal qu’un léger étourdissement (1). Ajoutez à celala
thurin Picard, directeur spirituel du couvent, qui l’avait induite au mal , en lui arrachant son consentement par ruse; que
it ainsi accrochée, puis retomba de l’autre costé sans se faire aucun mal , et rentra aussitost dedans leur chapelle dansant
tait de se coucher sur des brasiers ardents, sans éprouver le moindre mal , ce qu’en effet plusieurs personnes l’ont vu fair
, à leur idiome, qu’il fut pris de hoquets violents et se plaignit du mal de mer, ce qui le fit revenir aussitôt et lui pro
oin ; il n’en fut nullement incommodé. Etant éveillé, il est sujet au mal de mer quand il se trouve à bord d’un navire, mai
, le soleil me gêne, la réverbération de la lumière sur l’eau me fait mal aux yeux. — Approchez et montez à bord, à l’arr
lle qui trouve le remède. Ainsi, on peut bien révéler à un malade son mal sans pour cela qu’il soit prouvé que les remèdes
sultés n’ont pu ni apporter aucun soulagement, ni indiquer la eau: du mal . « Une réunion spiritualiste ayant eu lieu dans
omme. Œil-de-Pigeon déclara qu’il avait des accès, et que la cause du mal venait d’un ver (le texte dit même snakt serpent)
ue instantanément. Je cessai d’être boiteux, et je fus délivré de mon mal pour toujours. Je dois ajouter que j’avais précéd
i une nouvelle médication ne vient sur l'heure enrayer les progrès du mal . Le magnétisme est appliqué sans retard ; un qu
Gasparin, je regarde comi ■> probable que ses expériences ont été mal faites, et ce sera, je crois, la conclusion à laq
se laisser épouvanter et même pour que nous ne lui fassions pas grand mal . La pratique delà magie était chez Grandier, no
oulés, que le nouveau directeur ressentit à son tour les atteintes du mal dont cette supérieure était obsédée. Surin fut ra
u de me « procurer quelque soulagement, n’ont fait qu’augmenter mon « mal , ma faiblesse et cette langueur générale qui meco
goût extrême a démon régime ordinaire. Je ne m’étais jamais trouvé si mal . « Vous dire ce que j’ai enduré de peines et d’ag
s. Aussi ne me suis-je laissé a aller, quelquefois clans les moindres maux , à des impatien-oces et à des sensibilités vraiem
pouvait être assez sensitif pour reconnaître par lui-même le siège du mal . Enfin, en admettant que ce siège lui ait été ind
ls pourraient* sur ces hommes, amener des modifications en bien et eu mal , des changements et des guérisons par une action
ogrès, et puissent nos appels rapprocher le temps béni où beaucoup de maux , terribles aujourd’hui, s’évanouiront comme de va
secours de la médecine et de la pharmacie : le magnétisme dissipe ce mal instantanément. 2° Madame Stella, me Chauveau-L
ie, étant assise près de la cheminée, a été saisie tout à coup de son mal et est tombée dans le feu. Au bruit de sa chute,
était tourmentée d’une toux aiguë bronchiale. Pour combattre tant de maux , elle n’avait suivi aucun traitement régulier, et
déclara qu’elle réussirait, sinon à faire complètement disparaître le mal (car elle était, disait-elle, très-malade et fort
un mieux relatif, et elle indiquait les poumons comme le siège de son mal . Son état s’étant aggravé à l’arrivée de la mau
m’obligera de garder le lit pendant un mois, et je serai guérie de ce mal particulier au moyen de sangsues et d’autres médi
fin de l’année, je ne vois pas que je doive être tourmentée d’autres maux ; au bout du temps prescrit, j’achèverai le trait
andant de lui adminis- • trer tout ce qu’elle se prescrirait pour les maux , et de ne tenir aucun compte de ses caprices et d
de épouvante qui durera une heure, après quoi elle sera guérie de son mal ; mais alors je devrai la magnétiser une demi-heu
f mois qu’elle avait été saisie de cette épouvante qui causa tous ses maux , et que tout serait enlevé par la magnétisation q
ents à celte pensée? R. Je le pense destiné à guérir la plupart des maux de l'humanité; mais comme l’homme est un être bor
rds-muets , moi, j’ai ainsi apaisé de violentes coliques, de violents maux de tète , des douleurs aiguës rhumatismales ou au
onneront pins de forces. — Le cantonnier près de nous avait tellement mal à la jambe, que le médecin , après lui avoir lait
quillement en bonne harmonie ; d'autres fois, il s’y mêle des esprits mal disposés et méchants qui tâchent de posséder les1
èrent entre elles. Puis il semble se confirmer de plus en plus que le mal règne chez eux ou chez une partie (Tentre eux com
s, ne veut plus rien opposer à Fenvahissement sans cesse croissant du mal affreux qui le dévore. L’existence lui est devenu
certaines circonstances et par l’effet de médications énergiques, le mal semblait s’améliorer, mais c’était de courte duré
laquelle il n’a été employé jusqu'à ce jour que des traitements fort mal appropriés. Le tempérament du malade étant contin
terminé cette dartre teigneuse telle qu’elle existe aujourd’hui. Le mal n’est pas incurable, deux mois suffiront pour le
yez rien encore, attendez un peu , il vous sera donné d’apercevoir le mal chassant devant lui le bien et établissant sa dom
ntinuateur des apôtres , faites tant que vous le voudrez connaître le mal , votre parole sera sans elFet, on ira vous entend
endre, puis on retournera tranquillement se désaltérer à la source du mal . C’est bien inutilement que j’écris ces choses, l
er devoir envers une société que je vais bientôt quitter (je suis pas mal vieux), je dois, dis-je, pour satisfaire à cette
u n’est pas. Les résultats satisferont tous ceux qui sympathisent aux maux de l’humanité et démontrent qu’il y a là quelque
sensations. Les remèdes sont inefficaces; il n’en est point pour les maux de l’esprit. On a vu parfois ces monomanes, ces h
dévoiler ce mécanisme mystérieux dont le dérangement fait naître ces maux que l’on ne sait guérir. Baron nu Potet. BI
é de l’agent mesmérien : il faut encore connaître en quoi consiste le mal et quels sont les meilleurs, moyens de le combatt
la science officielle dédaigne, faites-en l'instrument ctu bien ou du mal , ceci ne nous regarde point, et c’est ainsi que n
Sans doute , les mauvaises passions de quelques hommes, turbuleuts et mal élevés, furent combattues ; mais il fallut pour l
e quelque chose de providentiel veille sur l’humanité, et qu’à un mal passager succède toujours une somme de bien. Que
sser son excès de vitalité dans un organisme affaibli et dissiper des maux qui auraient résisté aux efforts de toute la Facu
xactement que Iss autres ; ces hommes, égarés par un zèle excessif et mal entendu, ont fait un tort grave la cause qu’ils s
s, faiblement inspirés, Contre la noire calomnie Lancent des traits mal acérés. Bravons avec persévérance La fâcheuse i
je la méprise, Car la calomnie est un fait, Qu'elle soit bien ou mal assise, On n’en peut éviter l'effet. Jobard.
elle! C’est le principe du bien qui est en guerre avec le principe du mal , et celui-ci sans cesse renaissant doit toujours
ondaines, se traduit, dans sa rénovation présente, par des diversités mal appréciées, et par des apparences d’oppositions q
indre, n La cause... en ta nature... engendre ses effets ; « lit le mal , pour chacun, naît des maux qu’il a faits. » C’
nature... engendre ses effets ; « lit le mal, pour chacun, naît des maux qu’il a faits. » C’est l’explicatif de ln maxim
abstenus de jeter inconsidérément devant la foule, les théories qui, mal comprises, auraient pu troubler quelques esprits
uple, ont causé une grande agitation et ont produit peut-être plus de mal que de bien. Les spiritualistes n’ont donc été au
somnambule , pour leur indiquer le point précis de leur corps que le mal menace ou attaque, et leur suggérer par une rapid
ais il n’admet ni la transposition des sens, ni la faculté de voir le mal d’autrui et les remèdes, ni la prévision. 11 ne c
rre philosophale. N’a-t-on pas vu le sage Lanouo ranger au nombre des maux qui désolent la France les progrès de la sorcelle
er le bien, pourquoi les mauvais ne chercheraient-ils pas à opérer le mal ? L’imitation , le prosélytisme pourrait bien êtr
nt de progrès, un instrument de miracles, comme un moyen d’arriver au mal , selon qu’il sera lui-même bon ou mauvais, qu’il
impression sur leur esprit pour les paralyser à moitié de leur œuvre. Mal leur en prit; car l’obsession n’en devint que plu
connu le sabbat, et il en donne pour raison que le démon, l’esprit du mal , cause première du sabbat, était, dans ces religi
et j’ai vaincu d’abord l’incrédulité de la famille, et je vaincrai le mal si l’on veut suivre, non pas mes prescriptions, m
soit pas nerveuse? car enfin, sans les nerfs, je ne sentirais aucun mal , et ne vous ferais pas appeler. Voici comment j
oigts. —Vous m’entendez? — Fort bien.—Occupez-vous de découvrir votre mal et son remède, vous le pouvez et je vous l’ordonn
a pas de remède ! — Vous qui savez que Dieu a mis le remède à côté du mal et qui ne doutez pas de sa puissance, c’est blasp
tout pur, ce que j’ai fait, mais les amateurs ne le trouvent pas trop mal . Je vous mettrai à même d’en juger par un petit e
d’un esprit, qui s’appelle docteur Chopin, si la bière me faisait du mal ; aussitôt madame X.... fut poussée à écrire ces m
ée de celle de Moïse. Ils nous prouvent que nous progressons ; que le mal qui est dans ce monde est nécessaire pour nous fa
commis ou contre nous ou contre nos frères, et que si nous faisons du mal à notre prochain, c’est notre prochain qui doit n
s en Amérique. C’est étonnant combien de personnes ont été guéries de maux , abandonnées comme incurables par la médecine.
uses des épidémies, mais les moyens propres à prévenir ou à guérir le mal . C’est aux magnétiseurs habiles diriger vers
esponsable des écarts de quelques-uns de ses adeptes; des prétentions mal fondées à l’égard de certains faits n’enlèvent ri
s choses, vous en troublerez tout l'ordre... « maintenant vous placez mal les paroles : alors vous pla-« cerez mal les chos
... « maintenant vous placez mal les paroles : alors vous pla-« cerez mal les choses... » Le mot circulation fait suppose
tion non encore prouvée, le magnétisme est avoué, mais comme agent de mal . On remonte pour cela au rapport de Husson, dont
Quelle pitié de voir nos autorités médicales si peu instruites, si mal renseignées sur le magnétisme ! et pourtant leur
il ne s’agit que de détruire par leurs racines. Pour celui-ci, tout mal est vivant et est une invasion d'ennemis visibles
donne des doses titaniques et des remèdes héroïques pour combattre un mal souvent pygmée ; là, 011 assure par contre guérir
Cet autre ne demande que l’extrait de pavots pour endormir tous les maux , sans songer aux suites funestes de ce poison dés
sorganisateur. Ici, tout est nerveux, et la douleur, et le siège du mal , et la cause de la maladie ; et le remède est pou
Grèce, veut-on rétablir la gymnastique curative, pour guérir tous les maux par la danse et le pugilat. Plus loin, on ne vo
nt de resserrer ou de dilater pour les mettre en harmonie. Là, tout mal ne vient que de l’estomac qui, malhabile fourniss
aladie. Celui-ci s’arme seulement d’une simple brosse pour enlever le mal comme une poussière incommode. Mais que dire de
e Broussais n’avaient qu’à consulter le pouls, déterminer le siège du mal , et puis agir contre l’inflammation générale par
lammation artificielle qui devait nécessairement déplacer le siège du mal , qu’on n’avait plus à traiter que par de simples
eux, etc.... Tu ne sauras point si c’est toi qui leur communiques tes maux , ou si tu en reçois l’inoculation par lour voisin
s cesse pour aller au loin exercer leurs ravages. Une partie de ces maux est engendrée par la malpropreté, par les vices e
où sont la paresse et l’oisiveté. L’activité humaine diminue tous ces maux , elle empêche du moins une plus grande corruption
e et sera le premier remède aux maladies. Est-ce un bien, est-ce un mal de conserver les êtres ? la nature veut-elle une
ouvements convulsifs; et si le fluide électrique est trop abondant ou mal administré, il peut y avoir une véritable commoti
humain, signalent celles qui sont attaquées, le siège et la cause du mal , les progrès et la complication de la maladie, qu
qu’ils ressentent eux-mêmes momentanément tous les symptômes de leur mal . Ce n’est qu’alors que le somnambule est en état
le aux remarques suivantes, sans lesquelles nos observations seraient mal comprises et peut-être dénaturées. a) Inutile d
nous les regardons, en général, comme indifférents pour le bien et le mal ; s’ils peuvent donc soulagerou guérir, ils peuven
blanches ; il parla d’une voix rude : « Il parait que je t'avais mal jugé ; il parait que ton cœur, comme celui des au
, comme en médecine , comme en physique, comme partout, le bien ou le mal moral dépend de l’usage qu’on fait de ces faculté
es, sédatives, anti-névralgiques, et des bains tièdes que la malade a mal supportés, les souffrances étant toujours aussi f
e rendant pas compte du désordre d’idées où me jetait la crainte d’un mal peut-être irréparable ou du moins très-grave, je
auve, et son salut lui venait de la puissance même d’où était venu le mal . Depuis le moment où j’avais commencé à la magnét
elle souffrait toujours de l’estomac, et elle avait en outre son même mal de tête, pareil à celui des jours précédents. Ell
ces bornées que nous possédons aujourd’hui). La maladie étant souvent mal connue, et le moyen de la combattre ne l’étant gu
evrait être un instrument de salut, ne fasse qu'introduire un nouveau mal . i Je ne cesserai donc d’inviter les médecins à
alheureuse puissance. 11 est encore des gens qui vous entraînent au mal comme au bien; avec eux vous ne raisonnez point,
omaine des épidémies de maladies, dans ces transmissions occultes des maux ! L’ignorance des savants, ainsi que celle des mé
ent, conclut à ce quelle s’abstint de toute médication quelconque, le mal étant incurable, mais le retour de l’âge pouvant
« 11 y a quelques jours, madame Park fut atteinte tout à coup d’un mal subit que les médecins déclarèrent dès l’abord ne
pée d’une manière si subite, résistait énergiquement aux atteintes du mal . Ma femme, au milieu de ses sanglots, s’écria : «
t subitement d’une bronchite aiguë et d'un engorgement du poumon ; le mal fit des progrès, et l’on conçut de graves inquiét
somnambules en général ont un éloignement invincible pour ce qui est mal ; ont horreur de l'égoïsme et de la cupidité ; qu
ue ces personnes; il est resté plusieurs jours malade et souffrant du mal gifîl avaitainsi,prii. Les remèdes qtie le médeci
vous serez ainsi délivré de tout ce que vous auriez pu prendre de mon mal : seulement il faut avoir la foi et la confiance
rayons de lumière magnétique dans l’opinion publique ont été toujours mal venns et qu’on a su un très-mauvais gré aux auteu
uis leur naissance ont été guéris instantanément. En un mot, tous les maux cèdent aux passes et aux prières de cet homme de
on aise intriguer tout le monde. Avoir de bons yeux pour bien voir le mal , puis les fermer pour le dire du fond d’un songe
est un pouvoir réel que l’on peut employer pour le bien comme pour le mal , et dont l’avenir nous dévoilera les mystères et
rdonner la quinine (la science allait combattre le symptôme et non le mal ). La somnambule répondit que si on donnait ce méd
ambule, qui dit simplement : « Celui-là en sait plus que l’autre ; le mal est arrêté, mais la convalescence sera longue. »
inement toutes vos ressources (trop souvent, hélas! pour aggx'aver le mal ) ; tout cela ne vous dit-il point qu’au-dessus de
ter ces deux agents, qui ont sans doute guéri et préservé de bien des maux . *Eh bien ! •faites-en autant du magnétisme et du
ous ne doutons pas que si, maintenant, vous vous donnez énormément de mal pour faire un peu de bien, vous n’arriviez un jou
t son oncle entourés de plusieurs paysans qui voulaient leur faire du mal . « D’abord, la mère ne tint aucun compte de scs
oint. J’allai m’asseoir sur un banc, dans un coin d’un prétendu salon mal meublé et mal éclairé. Une dizaine de personnes é
m’asseoir sur un banc, dans un coin d’un prétendu salon mal meublé et mal éclairé. Une dizaine de personnes étaient là réun
ne trouvant rien de toutes ces infernales inventions dues au génie du mal , obligés d’aller les chercher au loin dans un lac
nue Thiébault, à se prévenir contre ceux que ses chiens accueillaient mal : il imaginait, dit-on, que l'odorat et l'instinc
ans trois jours. A. l’approche du terme fatal, il se trouva tellement mal qu’on appela un médecin. Celui-ci le saigna, lui
es vésicatoires , mais ces moyens n'amenèrent aucune amélioration. Le mal s’aggrava, et le médecin commençait à désespérer
enant, dit-elle, que je suis en bonne santé, il ne me fait ni bien ni mal , niais lorsque je serai poitrinaire, c’est alors
agnétisme, qui, en produisant les mêmes eil'ets, ne peut causer aucun mal ? Pourquoi les princes de la science aiment-ils. u
et nomination des dignitaires, 335. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Affection de la moelle épin
— pulmonaire, 119, 258. Lumbago, 86. Maladie de foie, 538, 605- Maux de tête, migraines, 132, 175, 343. Névralgies
14 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ait de tant de moyens autorise cet affligeant pronostic ; car si leur mal eût été de ceux dont l’art triomphe, ils auraient
s qui sont venus nous demander le soulagement ou la guérison de leurs maux étaient dans ce* conditions malheureuses. Plusieu
parce qu’elle regardait constamment ce membre à travers les paupières mal fermées, je demandai au magnétiseur si cette exte
l’épée et les armes que portait M. Stein, c’est du courage placé bien mal à propos dans une circonstance où ces messieurs e
. Ne se prête-t-elle point à toutes les combinaisons ! Perpétuant les maux , elle nécessite les remèdes, et chacun s’en trouv
ient insupportables, se laisser écorcher, croyant ainsi adoucir leurs maux . D’autres malheureux, pour apaiser des douleurs d
it place à un sage examen, l'humanité respirera, car la moitié de ses maux disparaîtra comme par enchantement. Quand nos sav
masses. Agissez, guérissez, montrez comment on guérit ou soulage les maux , publiez bien haut vos faits, rendez tous les hom
bon.; « Je certifie que monsieur Capern m’a geries d’un très-grands maux de dens que j'ai eut pendant quatre jours et par
que l’on voit les malades aller souvent demander la guérison de leurs maux aux hommes qui ne savent point se débarrasser des
tisme guérit, sans remèdes, beau- coup de maladies ; il soulage les maux que la nature refuse do guérir. Tous les hommes p
ergie, toute activité, toute spontanéité ; au Heu de lutter contre le mal , ils se résigneront à le subir comme une loi souv
s. Ce serait en vain aujourd’hui que l’on chercherait une trace de ce mal . — Les intestins avaient, ainsi que la vessie, ét
ués sans succès, et déjà votre jambe amaigrie attestait la gravité du mal qui existait dans l’articulation de la cuisse ; l
aux extrémités est assez commun à toutes les personnes « sujettes aux maux de nerfs ; je l’ai surtout remarqué très-« souven
ent signalés par les auteurs comme le lieu où se préparait l’accès du mal dont nous nous occupons; les ouvrages de Bonnet,
rol le guérit par des affusions d’eau froide sur la tête. La cause du mal , la nature du remède et sou heureux effet prouven
quilibre entre elles, on ne fait que grossir l’orage, qu’ajouter au mal au lieu de le guérir, aussi voyons-nous les épile
nciens. Beaucoup d’asthmatiques lui devront de longs relâches à leurs maux . Les personnes qui ont une grande tendance à l’ap
ent l’existence d’une force nouvelle ! Venez apprendre à soulager les maux en tirant de votre sein le feu que Dieu, dans sa
les-ci un ensemble de perfection. La nature n’est point marâtre. Le mal que nous signalons, s’il vient un peu de nos vice
rance des gens chargés de veiller sur la santé publique. Il vient, ce mal , de l’abus des remèdes empoisonnés, de ces prépar
éparations où les métaux les plus dangereux entrent en profusion ; le mal enfin vient de l’abus de la saignée. 11 faut donc
sujet, que tout cet échafaudage d’objections ne repose que sur un mot mal employé. En effet, si l’on substitue, pour peindr
sique, en chimie, en médecine, comme partout en un mot, le bien ou le mal moral dépend de l’usage que l’on fait de ces facu
quelques jours de là un de ses amis le rencontre et lui demande si le mal de dents n’est pas revenu. « Oh, bien sûr que n
confiance dont il tirerait ensuite parti pour séduire et entraîner au mal , etc. On voit que M. Almignana, raisonnant au p
servi d’instrument à la puissance d’en haut pour sauver M“' V.... du mal si dangereux qui avait ir.enacé ses jours. » J’
partie de votre corps malade ? « — Non !.... Mais je n’ai point de mal !... » Tout étonné moi-même d’un résultat aussi
ais non, à moins que ce ne soit de prétendre que vous n’avez point de mal . « — Mais effectivement, reprit-elle, je me sen
NIMAL, article de M. Am. Jacques, publié par la Revue nouvelle du l6r mal 1847. Il y aurait un livie curieux à écrire : c
algré les moyens le plus judicieusement combinés, elle allait de plus mal en plus mal. Ce fut alors que les parents, désolé
yens le plus judicieusement combinés, elle allait de plus mal en plus mal . Ce fut alors que les parents, désolés de voir le
ions bizarres, etc. Que ce qu’on m’a rapporté soit exact 011 non , le mal empirait ; un œdème général s’était manifesté; la
e, le galvanisme et le massage ; et, bien que ces noms résonnent fort mal à ses oreilles, ils réussissent tous les jours au
érieuse, étant surtout forcé, par les progrès qu’avait déjà fait le mal , de la répéter. Mais cette circonstance, en augme
es polémiques inutiles, lesquelles ne reposent souvent que sur un mot mal défini el que chacun interprète à sa façon. Nou
du cuir chevelu et de la face, et se plaignit presque constamment de maux de tôte. En 1S/i7, étant en condition à Strasbo
econd accès combattu par le magnétisme. Le 31, la malade accuse des maux de dents violents qui s’irradient sur tout le côt
tisation ; après quoi, elle se lève et vaque à ses occupations. — Les maux de dents persistent toute la journée. Le 2 nove
re d’eau et quelques passes sur la tête, parce que l’insecte lui fait mal . M. Gros essaie de la démagnétiser; la malade par
ous point frappé la tète ? — Parce que l’insecte ne me fait plus de mal . — Pourquoi vous frappiez-vous la tête dan s vo
aussi sans accès. Quand il y avait eu un accès, la malade se sentait mal à son aise. Le 18. Depuis deux jours, je remarq
e menstruelle. — Votre santé se rétablira-t-elle ? — Non; cela va mal . Le 10 janvier, à trois heures et demie du soir,
huit il dix selles avec des coliques, et n’a pas rendu d’urines. Les maux de tète et le sommeil comateux persistent, le pou
selles, la malade a uriné. Elle accuse encore des coliques, un peu de mal de gorge, des points de côté voyageant de gauche
liers qui m’influence au plus haut degré. Erreur. Ou M. Ogier observe mal , ou il a peu de mémoire. 2° Que Javary se disai
té affirmé par quelqu’un qui n’est plus. M. Roustan trouve que j’ai mal observé. 11 ne peut en être juge, car il est trop
reux. Par elle la justice a été laissée dans l’ignorance; que tout le mal retombe donc sur ces esprits rebelles ; qu’ils po
d’ailleurs, doit avoir un terme, je m’arrête ; mais c’est (juand les maux sont arrivés au pis que l’on en trouve parfois le
! « Ne vous y trompez point, messieurs, c’était d’abord l’esprit du mal , l’athéisme, qui, troublé dans son repaire, jetai
a censure est d'une toléranceI... Tremblons! l’ordre odieux d'où le mal va sortir, Le voici tout entier : « Il faut ANÉ
n l'artifice infernal, Disciples de Mesmer ; car Mesmer... C’EST LE MAL ! Oui, Mesmer c'est le mal ; car, ne vous en dépla
isciples de Mesmer ; car Mesmer... C’EST LE MAL! Oui, Mesmer c'est le mal ; car, ne vous en déplaise, C’est lui qui prépara
de à sa fille majeure (2). 11 est bien démontré que Mesmer c'est le mal , Puisque mal sous-entend magnétisme animal :
ajeure (2). 11 est bien démontré que Mesmer c'est le mal, Puisque mal sous-entend magnétisme animal : Or le mal c'est
r c'est le mal, Puisque mal sous-entend magnétisme animal : Or le mal c'est Satan ; donc Mesmer c’est le diable. Qui
ce beau jour, nous vous ferons la guerre Kn vous attribuant tous les maux de la terre. Circonvenus partout, vilipendés to
Ce sera sur vos chefs que porteront nos coups; Ils ont soufflé le mal : qu’ils répondent pour vous. Autrefois, nous d
ndort dans sa vervo, Le roi dans le repos s'énerve, Le bœuf trace mal son sillon, S'ils no sentent pas l’aiguillon.
érissez avant qu’elle ne soit devenue inguérissable ; en attaquant le mal au moment opportun, vous en avez détruit le germe
temps de guérir ? Les adjuvants ne lui sont nécessaires que quand le mal , de fonctionnel, est devenu organique; appliqué à
en me disant : Voilà l’abcès interne qui était la cause de tout votre mal ; le voilà maintenant attiré en dehors. Vous êtes
s eaux de Vichy, et les siennes surtout, ne pouvaient que me faire du mal . 11 n’avait malheureusement que trop raison cla
yai sur l’usage des deux cataplasmes. Un moment après Maria se trouva mal ; nous la fîmes soigner par sa compagne, celle qu
. J’eus beau jeter le maudit cataplasme qui m’avait été défendu, le mal était fait, et il était réellement si affreux, qu
e part, nous avons à lutter contre la jalousie de certaines personnes mal intentionnées, et ce qui est plus affligeant pour
généralement que le sommeil est indispensable au soulagement de leurs maux . En second lieu, il est une autre crainte d’un ri
-ins ji.BJixo.i ouuop SV2J oq — •*in»uuof sop omou ■S313iyVA d’un mal de genou par des magnétisations d’un de nos confr
But auquel elle veut tendre savoir : le soulagement des peines et des maux de L’humanité, la Société du Magnétisme se mette
nstrues depuis dix-huit mois : 15 magnétisations et eau magnétisée. Maux de tète, depuis huit mois, deux et trois fois par
près > magnétisations : eau magnétisée comme boisson cl lotions. Maux d’estomac, palpitation de cœur, faiblesse général
le quatrième, elle aura vécu ; mais le médecin a reconnu la nature du mal qui la menace, il administre le quinquina... la s
produit par une imprudente révélation a-t-il suffi pour développer un mal qui, sans lui, ne serait pas né? L’imagination se
l’interprétation en est fausse, du moins le fait auquel on l'applique mal propos soit exact et réel. Or, c’est ce que n’a
ser un fait sous prétexte qu’il est embarrassant et qu’il s’accommode mal avec une doctrine préconçue. Les faits merveilleu
t .son bien sans que rien y fit, et qui, au contraire, s’en allait de mal en pis, 27. « Ayant entendu parler de Jésus, s’
de l’importance aux procédés n’objectent pas que l’action magnétique mal dirigée peut augmenter le mal. Sans vouloir entre
n’objectent pas que l’action magnétique mal dirigée peut augmenter le mal . Sans vouloir entrer dans la discussion (I) Bea
ossier bon sens pour comprendre que, si l’action excitante aggrave le mal , il faut employer l’action directement contraire.
ide, qui rend le langage plus clair : — si en chargeant on aggrave le mal . il est évident qu’il faut soutirer, et réciproqu
ique aussi bien à l'éducation morale et physique, qu’à la guérison du mal physique ou moral. VIII. — Exemples de magnétis
onvénient pour eux. — Jamais celui qui aura la migraine ne guérira un mal de tôle. — Ils doivent aussi s’assurer qu’ils son
elque famille en possession de secrets pour la guérison de tel ou tel mal , soit des hommes, soit du bétail.—Nous sommes con
ujours le bon saint un Ici qui est chargé plus spécialement, soit des maux d’yeux, soit des maux de jambes, etc., et aux cha
Ici qui est chargé plus spécialement, soit des maux d’yeux, soit des maux de jambes, etc., et aux chapelles de qui se donne
e.... Portez votre attention sur votre personnalité et surtout sur le mal dont vous êtes affectée!..... — Faites un acte d’
qui Clait avec les moissonneurs, ÿ la. « Il lui dit : La tèto me fait mal , la tète me fait mal. Son père dit à un de scs se
issonneurs, ÿ la. « Il lui dit : La tèto me fait mal, la tète me fait mal . Son père dit à un de scs serviteurs : Prenez cet
n dont j'ai parlé et qui avait fuit croire à uuc guérison absolue, le mal avait reparu. 11 m’a semblé qu’elle excluait le
secours de l’art. Depuis deux ans, il offrait à la fois les symptômes mal définis de la phthisie pulmonaire avancée, d’une
rte d’espoir, puis à la reprise prompte et fatale de la maladie. Le mal , au contraire, continua d’empirer lentement penda
t dans un état pitoyable. Pendant les neuf jours de la neuvaine, le mal diminua graduellement, et lorsque la neuvaine fut
rie absurde de ceux qui se compromettaient eux-mêmes en amplifiant le mal qu’ils avaient fait ou qu’ils avaient voulu faire
aboli les lois qui reconnaissaient à la volonté humaine le pouvoir de mal faire et en punissaient l’exercice, et, par une s
— bien que nous l’employions pour nous conformer à l’usage, — mot mal défini d’ailleurs par ceux qui s’occupent de la c
récision, dont le succès gisait presque toujours dans un mot vague et mal défini ou détourné de son sens naturel. La magie,
la discussion soit claire. Quels sont les faits que vous m’imputez à mal ? « Est-ce d’avoir dirigé mes mains vers autrui
agnétisme animal, et le premier essai donnerait lieu de penser que le mal finirait par céder complètement sous l’influence
xpliquer, dans le passé, une foule de faits qui jusque-là avaient été mal appréciés ou étaient restés comme des énigmes ind
ambule lit votre pensée, voit l’intérieur du corps et le remède à vos maux , voit à travers les corps opaques et à des distan
it, au contraire, que tout être borné offre iun mélange de bien et de mal , où les dons peuvent varier d.ans des proportions
ais ne peut.jamais être ni le bien absolu qui n’est qu’en Dieu, ni le mal absolu qui n’est qu’une abstraction métaphysiqu
à l’institut magnétique qu’il conduit. Ferdinand SIt.AS. ARRÊT DU MAL DE MER. I.’Indépendance belge du 3 juillet rapp
eillé. Son bras, avec un« plus faible dose de fluide, ressentait le mal que l’on faisait à celui de M. Lecomte qui était
our qu’on puisse saisir plus facilement la nature et les symptômes du mal , qu’il appartient plutôt à la catalepsie qu’à tou
it à des conjectures, est obligé de s’incliner devant la puissance du mal auquel il ne peut opposer que des palliatifs inef
à exécuter des prescriptions insignifiantes, il peut arriver (pie le mal s’aggrave et devienne incurable, tandis qu’il aur
ibles ne lui faut-il pas pour arriver à préciser i'i demi la cause du mal , son véritable siège! Au bout d'un temps, toujour
humain ait jamais trop de sang, et ils disent que si le sang circule mal et détermine par lit des congestions variables de
.. ,. Je puis affirmer, dit Rust, qu’il a guéri des vertiges, des « maux d’yeux et des maux d’oreilles très-graves ; des é
irmer, dit Rust, qu’il a guéri des vertiges, des « maux d’yeux et des maux d’oreilles très-graves ; des épice lepsies, des u
tant de systèmes se sont établis, tantôt pour le bien, tantôt pour le mal des nations. La philosophie, la science, la méd
vous cartes sur table, et je vous préviens que je vous ferai tout le mal possible. Je vous tromperai, quoi que vous fassie
canif fut jeté à la tête d’une personne, sans toutefois lui faire de mal ; les tapis furent dispersés, et les spectateurs
anormal, présentant une série de phénomènes physiologiques jusqu’ici mal appréciés; phénomènes ordinairement déterminés ch
re n’est pas petit, mais encore aux imprudents, aux gens sans aveu ou mal intentionnés, dans ce cas le danger est à redoute
sœur, la comtesse de Convvay, souffrait depuis plusieurs années, d’un mal de tête invétéré ; il la confia aux soins de Grea
ut des cures nombreuses. Il racontait que, tourmenté longtemps d’un mal de tête intolérable que les médecins d’Insprucket
es fois qu’on enterre ainsi le magnétisme qui ne s’en trouve pas plus mal . Que M. Peano se console, il ne tardera pas à pre
qui, en pareil cas, viennent demander au magnétisme de les guérir du mal attribué à cet agent. Dans l’intérêt de la scie
ux de sorciers. On les consulte, on recourt à eux, soit pour faire du mal à un ennemi, soit pour se délivrer du mal eausé p
t à eux, soit pour faire du mal à un ennemi, soit pour se délivrer du mal eausé par un autre sorcier. Ces malheureux exploi
à mort. Si l’on ne la trouve pas, 011 en est quitte pour dire qu’on a mal cherché, et eu attendant le pauvre diable est c
celui qui s’en servait, pouvait être employé à faire ou le bien ou le mal . De là la supposition d’un moyen de nuire qui ava
ns secours ces infortunés : bien que l’imagination soit cause de leur mal , leurs souffrances n’en sont pas moins réelles ;
ur fournir une preuve. Si même il croit de bonne foi avoir produit le mal qu’il désirait, il ne s’ensuivra pas encore qu’il
faible, à l’imagination impressionnable : il a pour ennemi un berger mal famé et très-redouté qui a lancé sur lui des rega
errible conjurateur ; il sera dès lors frappé précisément du genre de mal qu’il redoutait. Dans ce cas, où nous faisons une
pratiques. Le patient a tout fait et a été lui-même l’auteur de son mal , de même que, par la crainte du choléra, tel autr
t une haine féroce contre le propriétaire des bestiaux ; lui faire du mal était la pensée constante qui ne le quittait ni j
reproduiront avec la même force chaque fois qu’il s’agira de faire du mal , j’en conclus que ce pouvoir de maléficier, en su
e preuves. Et comme les faits par eux allégués sont ou cou-trouvés ou mal observés, et que ceux d’entre eux qui sont le mie
olonté est incertaine et chancelante, soit dans le bien, soit dans le mal ; celui que la logique effraie, que la vérité nue
t le dogme, on ne conçoit pas que les anciens se soient donné tant de mal pour le voiler sous des formules compliquées, sou
hes hérissés de lettres hébraïques, etc.? Ces énigmes valent-elles le mal qu’on se donne à les déchiiTrer ? Dans plusieur
169. Ouverture d'un abcès au sein, 352. $ II. — Cas de mêdecine. Maux guéris ou soulagés. Affection dartreuse, 135. A
08, 565, 569. Eau magnétisée employée avec suc- cès contre divers maux , par M. Clapier, 156. Ecriture tracée par des e
15 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
al au coeur ni aux poumons. La température et le pouls étaient nor- maux . Le réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie d
réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie de la peau. Urine nor- male il tous les points de vue. « L'examen des yeux
ans la maison, un de ses enfants en mourut. La malade elle-même eut mal à la gorge et de l'oedème des pieds, mais pas d
qu'elle ne voyait presque .pas. 1 Il n'y a aucun commémoratif de mal de tête du côté droit. M. Nettleship fit l'exam
, mais semble d'ail- leurs, à part cela, présenter un aspect nor- mal , sauf que les plis de la peau et les bulbes pil
les parties périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait nor- males ; les jambes présentent une augmentation de volum
ter avec lui les malades qui venaient réclamer un soulagement à des maux souvent imaginaires. Ce fut la belle période, c
use de la nature appellera quelqu'un à son refus; et il ré- pond du mal qu'il n'aura pas commis mais qu'il aura fait comm
spasmodique et convulsive qui peut devenirla source des plus grands maux . » En même temps, on faisait venir de Vienne un
e complète et persistante; la sensibilité cutanée et muqueuse, nor- male au contactet au froid, semble diminuée à la doule
température n'a atteint que trois fois 37°. Son intestin fonctionne mal ; on a dû faire une fois le curage du rec- z tum
archant lourdement, dont la tête était extraordinairement grande et mal conformée; son chapeau, qui semblait tout d'abo
De sorte que de vive et active qu'elle était autrefois, elle devint mal il l'aise et chagrine, et la déformation de son c
était devenu riche. Gilles de la TOURETTE, Chef de clinirluc (le mal .ultCs du sjstùinc ri,iveii\. Le gérant : ';\111
1" juillet 1887, à la suite d'un refroidissement, elle fut prise d'un mal de gorge et commença à ressentir de la raideur
alors à l'hôpital Beaujon. Au bout de huit jours, elle n'avait plus mal à-la gorge, mais l'aphonie persistait. Elle comme
ept à huit minutes, et le malade se relève ; il accuse un vio- lent mal de tête pendant toute la journée et ses idées res
. Dans le ventre rien à part l'hypertrophie du foie... Le crâne est mal con- formé, acuminé, mais de dimensions ordinai
vre; mais elle sou- rit, et si elle ne raille, la jolie malade, son mal ne doit pas être bien sérieux. Dans un autre
la main gauche placée sur sa poitrine, semble indiquer le siège du mal . Fic,. 52. - 1.\ fE\n1E 'IAI.\I1E, I\It 1\\ ste
naire encyclo- pédique, en rapprochent le pemphigus, le purpura, le mal perforant du pied observé pour la première fois
t parvenir à détacher, en partie, et qui présente les caractères du mal perforant plantaire au début (pl. XXVII). Rien
la même indifférence pour ses affaires qui allaient de plus en plus mal . C'est seulement au mois de juin 1886 que B...
es d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888 débute un état de mal hystérique pré- sentant ceci de particulier que
esthésie scnsitivo-sensorielle. Pendant toute la durée de l'état de mal , le côté droit n'avait pas semblé paralysé, les
e-t-il, je ne puis la mouvoir comme je veux, c'est cela qui me fait mal parler. » Pourtant la parole semble normale- me
ne violence excessive. Tout cela dura plus d'un an durant lequel le mal s'augmentait. Il tomba dans une telle extrémité
rop ardue. Mais on n'oubliera pas qu'il s'agit d'une maladie encore mal connue sous beaucoup de rapports, pour laquelle
aignée, l'émétique et deux autres médecines la soulagent un peu. Le mal ne dominoit pas encore; l'art et la nature trav
pied, et à plusieurs autres remèdes qui adoucissent la violence du mal sans le guérir. Tous ces secours ne peuvent empêc
uche de son corps : elle ne peut plus former que quelques demi-mois mal articulés qui, joints à ses gestes et au mouvemen
211 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et ce peu de syllabes mal prononcées lui coûte encore des efforts si extr
anter les louanges du saint qui l'a miraculeusement délivrée de ses maux . « Des accidents de plusieurs mois, d'une année
c'était une paralysie par compression... sur il ne m'a pas fait de mal , il ne m'a rien prescrit du tout. « Et le plus
/ CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTION ? \ dans l'état de mal de sommeil hystérique depuis le 31 mais'1883 ^S^
en tenant exclusivement à ce qui regarde l'attaque et les états de mal . Nos malades, hommes et femmes à l'encontre de
ents, présentent la série des accidents variés : attaques, états de mal , vomissements, etc., constituant la pathologie
elle qui crée la polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des états de mal hystérique à forme épileptoïde, à forme d'épile
délirante, nous a démontré, qu'au point de vue chimique, l'état de mal hystérique n'était autre chose qu'une attaque d
de de la courbe des excréta urinaires pendant là durée de l'état de mal montre qu'au début il y a chute des éléments ur
plateau; et relèvement quelques jours avant la sortie de l'état de mal . Le relèvement des éléments constitutifs, lequel
mentation, celle-ci ayant été négative dans la plupart des états de mal que nous avons étudiés. Ce sont donc bien là de
. L'étude de la courbe permet donc de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l'état normal. Quel
et de prédire le retour à l'état normal. Quel que soit l'état de mal observé, le poids des sujets diminue journellem
ournellement d'une quantité variable, suivant la durée de l'état de mal . Le retour à l'embonpoint est très rapide après l
e après le réveil. Nous voulons démontrer aujourd'hui que l'état de mal léthargique ne diffère pas des autres états de
ui que l'état de mal léthargique ne diffère pas des autres états de mal hystérique et que la courbe des excréta nous pe
éta nous permettra encore une fois de prévoir la durée de l'état de mal et de prédire le retour à l'état normal; ce qui e
stance d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l'état de mal à forme épileptoïde, par exemple, la fréquence de
ormal; de même a-t-on des indications assez précises dans l'état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'état de
ans l'état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'état de mal de sommeil au contraire, rien qui indique le ré
r. » (Empereur.) III Nos expériences, en ce qui regarde l'état de mal léthargique ou attaque de sommeil, ont porté su
de sommeil, ont porté sur G malades donnant un total de 11 états de mal pour lesquels il a été fait 91 analyses des 2-1.
eures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L'état de mal le plus court que nous ayons observé a été d'un
ne faut pas oublier en effet, comme nons l'avons dit, que l'état de mal de sommeil peut se prolonger pendant beaucoup plu
us a paru intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un état de mal , d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé l
ns le troisième cas (Mono. femme, 19 ans, 51 kilogrammes) l'état de mal dure 3 jours et se rapproche à un tel point du pr
nsi qu'il arrive quelquefois, il y a incontinence pendant l'état de mal . Nous ne voulons en retenir que ceci : c'est qu
ent rien, pesait 57 kilogrammes le 29 juin 1888, début de l'état de mal , et 52 kilogrammes le 3 juillet, jour du réveil
. On voit combien peut être grande la dénutrition pendant l'état de mal léthargique lorsque les malades n'absorbent rie
e 23 janvier 1889, ses vomissements sont entrecoupés par un état de mal de sommeil qui dure 3 jours, les 23, 24 et 25 d
ce taux inférieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son état de mal par une attaque convulsive, a maigri de 810 gra
e 36 kil. 950 au lieu des 37 kil. 760 du jour du début de l'état de mal léthargique, soit 270 grammes par jour. Pendant
ons urinaires. Le lendemain, il y a; comme pour les autres états de mal , oscillation autour de la normale. L'urée se re
le 7 et les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE MAL DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Biz... 17 ans... Salle Du
partir de cette date, jusqu'en avril 1888, Biz... a eu cinq états de mal léthargique, pour lesquels M. Charcot l'a prése
ifi- cielle fut variable suivant les attaques; dans un même état de mal il existait des séries de deux ou trois jours p
rammes de lait avec 2 ou 3 oeufs battus. Pendant le dernier état de mal , du 23 mars au 1 ? avril 1888, l'alimentation fut
ent du volume de l'urine, du taux I.'IG. 79. - Biz. 17 ans. Etat de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indi
s considérations qui se rapportent indifféremment aux cinq états de mal , l'étude des deux derniers états - pour ne prendr
e les figures 79 et 80, on note en effet, dès le début de l'état de mal , la chute du volume de l'urine et de l'urée (et a
ui n'y ont pas été marqués); puis · Flc. 80. - Biz. 17 ans. Etat de mal de sommeil hystérique (Les traits pointillés indi
ons que suivent d'ordinaire le réveil. On peut donc, dans l'état de mal léthargique, comme dans les autres états de mal
onc, dans l'état de mal léthargique, comme dans les autres états de mal , en se fondant sur le tracé fourni par le volume
rédire le retour à l'état normal. Plus que dans les autres états de mal hystérique cette action a une importance capita
tion a une importance capitale dans la circonstance. Dans l'état de mal épileptoïde, par exemple, on peut voir quelquefoi
est proche. Il n'en est pas de même, on le comprend, dans l'état de mal léthargique; le réveil est forcément brusque, le
éveillé. Cette courbe particulière des excrétions pendant l'état de mal léthar- gique et pendant tous les autres états,
ue nous observons et qui nous permet de prédire la fin de l'état de mal ne se montre pas dans l'espèce sous l'influence d
avons noté avec insistance que, pendant tout la durée de l'état de mal jusqu'au moment précis du réveil, l'alimentatio
bler ou d'en tripler, les deux ou trois derniers jours de l'état de mal , le volume et les matériaux solides, si ce n'es
e, par exemple. Résumant nos recherches sur les différents états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure : L'ét
s états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure : L'état de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est
avec inversion de la formule de ces derniers ; Pendant l'état de mal , les excrétions suivent une marche dont la cour
dont la courbe permet à elle seule de prévoir la durée de l'état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendant l'éta
e l'état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendant l'état de mal , l'amaigrissement quotidien est constant. Il va
varie de 200 à 300 grammes par jour suivant la durée de l'état de mal et la quantité des aliments absorbés lorsque l'an
sur le pied deux anciens placards d'eczéma. Le borax est souvent mal toléré par l'estomac; et il est probable que le
oujours plusieurs parties... Un fait que nous nous expliquons assez mal et qui appelle évidemment d'autres recherches,
x. Pupilles rétrécies sous l'influence de la morphine et réagissant mal à la lumière. Pouls plein, tendu, régu- lier, 9
aque. - Toute la face interne et la fosse iliaque externe sont nor- males . Les parties spongieuses sont au contraire épaiss
16 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plégies spasmodiques avec troubles sensitifs (myélite syphilique et mal de Pott) forment selon nous le groupe le plus i
uses, tout au moins dans la syphilis spinale compressive et dans le mal de Pott. D'autre part la myélite chronique (par
s- modique avec anesthésie des membres inférieurs, p. 305. Londe. Mal de Pott, paraplégie spasmodique avec anesthésie d
aire est excessivement fréquent. Il caractérise presque toujours le mal de Pott à son début. » Sur le fait que ce type
et avec tout le monde. Mais qu'il caractérise presque toujours le mal de Pott à son début, c'est une tout autre chose,
n début, c'est une tout autre chose, car il y a des paraplégies par mal de Pott qui sont spasmodiques du premier au der
éprouve pour marcher : douleurs et troubles moteurs sont liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 5 La gibbosi
sieurs victimes parmi les cachectiques de la salle. En résumé, un mal de Pott dorsal inférieur a donné lieu, chez le
naissabte ; on trouve cependant de rares cellules, mais atrophiées, mal colorées, avec un noyau effacé. Le canal centra
s paraplégies spasmodiques par compression. Dans une leçon sur un mal de Pott dorso-lombaire où la-paralysie vésico-rec
ymptôme qui ne fait presque jamais défaut dans les paraplégies du mal de Pott, au moins pendant les premiers temps : la
s mou, non scléreux. Beins petits, pâles, bigarrés; se décortiquant mal , surface chagrinée et irrégulière sans kyste. A l
de l'hémorrhagie extra-dure-mérienne, mais que l'alcoolisme et le mal de Bright ont certainement joué le rôle de causes
pedius et la corde du tympan et qu'elle était d'origine rhumatis- male . G. D. IX. Un cas de cécité verbale pure ; par
radictoires (réflexe' paradoxal). Quelquefois ils peuvent être nor- maux ou exagérés ; le cas le plus fréquent est la supp
monographies de Lieving etMobius : période prodro- mique; malaise, mal de tête unilatéral; hyperesthésie optique et ac
es change- ments de la parole et de l'écriture. Nous pensons que le mal va rapi- dement évoluer. Mais voilà au contrair
s, et le mot progressif, présumé caractéristique de la maladie, est mal placé. 11 note aussi l'apparition de la maladie
térieure chronique trauma- tique de Erb, car s'il--doit y avoir pas mal de territoires gris dépour- vus d'hémorrhagie,
pleine conscience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un mal de tête occipital. Il perd alors le souvenir de
t chez une jeune fille de cinq ans à la suite d'une maladie fébrile mal définie et caractérisé par la difficulté de la dé
condamné sous prétexte qu'il avait conservé la notion du bien et du mal . Le juge s'est fondé sur la distinction d'une f
n de ses actes. L'auteur fait remarquer que la notion du bien et du mal ne dis- paraît qu'à un stade très avancée de la
n degré. Des juges ont dit : un homme qui a la notion du bien et du mal a aussi le pouvoir de choisir le bien plutôt qu
bien et du mal a aussi le pouvoir de choisir le bien plutôt que le mal ; il est responsable. La même opinion a été affir-
cet acte. Quelque chose de plus que la con- naissance du bien et du mal est nécessaire à la responsabilité. Un jugement
'ordinaire pouvoir de volition qui fait choisir entre le bien et le mal . » L'opinion médicale est que la folie est touj
es désordres mentaux étaient de la notion de la perte du bien et du mal , comme cela arrive dans les cas extrêmes de manie
s de ces formes de folie ont parfaitement la notion du bien et du mal . Leurs motifs sont souvent ceux qui dirigent les
e de leurs personnes et de leurs biens... Ces motifs sont seulement mal fondés en réa- lité. Mais cela suffit pour que
-il un pouvoir de volition suffisant pour opter entre le bien et le mal ; 2° s'il a perdu ce pou- voir, était-ce par une
pas ce qu'il fait, quand il n'a plus la connaissance du bien et du mal , quand, malgré cette 80 REVUE DE MÉDECINE LÉGAL
té pour le pronostic. Quinze nouveaux cas d'élongation trophique ( mal perforant, ulcère variqueux). 1 ' M. CHIPAU
téressante. Sur ces quinzes observations, onze sont relatives à des maux perforants, deux à des ulcères variqueux, une à
pu, une icthyose SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 de la jambe, associée à un mal perforant, guérit ainsi que celui-ci, à la suit
me la plupart des gens de sa profession, il est obligé de boire pas mal d'alcool pour se soutenir, et très régulièremen
d'une épingle. L'excitabilité musculaire à la percussion est noi- male . La percussion des tendons palmaires et des bor
urant toute son existence, malgré un travail pénible, il a été fort mal nourri. Histoire de la maladie. Dans le courant
ynski. Amélioration du pied tabétique : Revillot. Amélioration du mal plantaire : Teissier. Amélioration des vertiges
thé- nique depuis huit ans et traitée pour les douleurs ihumatis- males par tous les moyens possibles. Nous lui avons fai
osse, et, à chaque grossesse, elle a été affectée de ptyalisme avec maux de coeur : lors de la dernière grossesse, le pt
1 FAITS DIVERS. ' 173 plaisantant comme s'il n'avait rien fait de mal . La foule a failli l'écharper, lorsque les gend
omoteur de la société, M. Stubbings, qui est affligé lui-même de ce mal , auquel les milliers de dollars qu'il a dépensés
. Darwin. L'expression des émotions chez l'homme et chez les ani- maux . (Trad. l'ozzi et Benoit, 1877.) , ° l3urâess.
un convalescent qui subit des rechutes, mais Unit par triompher du mal et poursuit sa marche progressive vers la bonne
Réalité, c'est le l'obsession DE la ROUGEUR OU EREUTHOPHOBIE. z1 mal , c'est la souffrance. Je m'enferme dans ma chambr
se tous les sujets, le simple affaiblissement de la réaction nor- male , néanmoins elle est inférieure à la dermographie
de la réaction de la peau croissent parallèlement à l'évolution du mal . 200 CLINIQUE MENTALE. par rapport à l'interm
z l'os de la cuisse : il est collé, dans l'articulation. Il me fait mal . Il est libre. Sentez les membres inférieurs :
elques secondes + Mon estomac est plein -E- C'est là qu'est tout le mal + Louis lait des mouvements de projection en ha
e déblo- quer -Où êtes-vous ? Je ne sais pas + La tête me fait bien mal - Crise de contracture et soubresaut : je suis
ais plus la terre ? Huit jours .après, au jour de l'an, il m'a pris mal - Je ne sais pas ce dne j'ai eu - Où êtes-vous
isait faire l'exercice des jambes et des bras et le côté me faisait mal z- On me crie de loin -E- Il y a encore quelque c
le flanc gauche et gestes pour éloigner le chien z La tête me fait mal Je percute la zone hyperesthésiée (bord postéri
! adieu, nous allons en France Le bateau balance + Tout le monde a mal au coeur et moi non - (-Grand soubresaut + Ça a
à-bas + Soubresaut -j- Le chien est parti z Le côté ne me fait plus mal + Maintenant que je suis guéri, je vais rester à
e maison-)- Crise, sou- bresaut-Je demande à Louis ce qu'il a. J'ai mal à la tête + Vous êtes M. l'instituteur. Je réve
n, vous demanderez à mon père, en ce moment à la maison. J'ai eu le mal de mer. Je ne connais pas celle'demoiselle, (sa
0 RECUEIL DE FAITS. gression jusqu'à aujourd'hui + + Le cou me fait mal . -Eh ! bien, ne le remuez pas. - Mais il bouge
ubresauts.- Il est mort ! -Crise. - Soubresaut. Tu ne t'es pas fait mal ? Non. -Louis se met à bégayer. J'ai frappé for
-Louis se met à bégayer. J'ai frappé fort de l'échine, elle me fait mal . - Mouvements de réveil, d'étirement, en arc de
s des articulations du membre inférieur - -f- Toute la tête me fait mal -j- Si vous saviezlestortures qu'il y a là-dedans
à-dedans ! -(-Crise + J'ai vingt-sept ans et demi + La tête me fait mal toute+ Grands soubresauts ? Vous n'avez pas ent
p de fusil, il m'a partagé la tête qui, maintenant, ne me fait plus mal +En dedans, il y a quelque chose qui me pique l
e chose qui s'est cassé là-dedans (nuque), les yeux ne me font plus mal + Crise z Louis ne m'entend plus, parle des mou
fait chaud, vous savez; il me semble que je viens de rêver; j'étais mal . Il' Unit enfin par se réveiller spontanément..
, quand le temps changeait, qu'il faisait froid, ce coup me faisait mal . Je marchais courbé à cause de la douleur ; mai
sous mes yeux. Vers le 20 janvier, Louis s'est plaint de violents maux de dents. Lorsque je suis arrivé à la resensibili
nt de départ du réflexe, qui détermine plutôt des attaques de petit mal que de grandes crises et comme phénomènes psychiq
ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal , de la maladie et de la mort.» Il y a de même d
a semble normal; quant au péroné il semble très impar- fait et très mal developpé. Les auteurs joignent à l'observation,
peut fort bien ne déterminer qu'une anxiété légère. Cela s'accorde mal avec l'hypothèse' qui attribue à l'idée le rôle
banales de troubles mentaux, de découvrir l'origine, le principe du mal dans l'entourage des malades, il est infiniment
tira de sa poche un cahier manuscrit qu'il me remit, disant que son mal étant beaucoup trop étendu pour me le faire con
tre avait encore sur moi une telle action que j'y abandonnais mon mal . Après la mort de mes parents (1829), je revins
solant pour moi, cependant parfois elles exaltaient encore plus mon mal du pays et l'heure la meilleure et la plus dési
u chemin de la morale, à cette époque je n'avais même pas l'idée du mal . Dans le premier semestre, je fus extraordinair
idée était absurde et de me sermonner. Cela m'aida à supporter mon mal pour quelque temps, mais pas pour longtemps. Je
e l'âme peut éprouver de pire et je ne voyais qn'une solution à mon mal , que Dieu me prit la vie. En même temps que je
ment à en perdre haleine. Je luttais de toutes mes forces contre ce mal nouveau, mais il était trop obstiné. Je m'irrit
ou de picotement sur tout le visage. J'avais toujours considéré mon mal comme physique et guérissable, et s'il m'arriva
se, coupe-le, et si ton oeil te scandalise, arrache-le » et pour un mal si profon- dément enraciné, je ne vois pas d'au
sse attendre du mieux, je considère comme un devoir, pour éviter le mal , de recourir ce singulier moyen. Ma situation
onservation est plutôt exagéré chez lui. A... a peur de se faire du mal , au moindre malaise il se croit perdu. Il aime
is le bégaiement ne se manifeste plus. Il a la notion du bien et du mal , en ce sens qu'il cherche il simuler le bien po
he il simuler le bien pour s'attirer les bonnes grâces, et cache le mal sachant qu'il perdra la confiance de ceux qui v
ontre l'épilepsie noc- turne, bromure et chloral ; contre l'état de mal , chloroforme, injections hypodermiques de morph
vulsives, essaya les injections de toxines micro- biennes contre le mal comitial. Il a laissé volontairement de côté le
description appuyée de figures donne l'image de ces oreilles anor- males , adhérentes par en haut, libres par en bas. 'P. I
oeil qui est d'ordinaire annulée par le jeu de l'accommodation nor- male . L'excitation du sympathique est prouvée par la s
valeur qu'on lui a attribuée. On la rencontre chez des sujets nor- maux , sans raison appréciable, dans des névroses fonct
dû à la peti- - tesse de la phalange et de la phalangette de doigts mal formés. Dans les trois cas il a été impossible
l n'a pas non plus recherché le dermographisme eliezles gens nor- maux . M. TOULOUSE a constaté que dans l'agonie, le d
ntile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie, morte en état de mal . Il y a agénésie complète de l'hé- misphère dro
ment le réflexe patellaire faible; le quatrième, enfin, présente un mal perforant plantaire bilatéial, des troubles troph
peut permettre dans les cas d'inégalité pupillaire à réflexes nor- maux de discerner quelle est, des deux pupilles inégal
ont normaux. Quan- tité de cicatrices. Traces d'anciennes brûlures. Mal perforant du z pied. La maladie date de deux an
s plus avancé, à propos de l'arthrite déformante muscu- laire ou du mal sénile. Au cours de la discussion des remarques
lle tenait à la main. Aujourd'hui (11 janvier), la malade se sent mal à son aise; elle se plaint de vertiges et d'une
. Petite ecchymose à la jambe droite. - - 30. La malade, se sentant mal à son aise, ce soir, s'est cou- chée ; elle se
ne révèle rien d'anormal. Peu après cet examen, la malade se sent mal à son aise; elle se couche et, à peine au lit, el
se classique : en un mot, il n'y a là rien de ce qui caractérise le mal comitial. Le 5 janvier, nous avons, il est vrai
vec d'autant plus de facilité sur le terrain déjà affaibli par le mal comitial. C'est sans doute ce qui aura eu lieu au
quentes ; elles s'observent régulièrement aussi bien dans l'état de mal que, à un moindre degré, dans les attaques isol
me d'habitude, et lui raconte son accident : le dos lui fait un peu mal , elle éprouve quelque céphalalgie, pas davantag
s c'est tout : depuis sa chute, elle ne se souvient de rien. Elle a mal à la tête, par tout le crâne, et une légère env
ne se produit presque jamais au cours d'un seul et même morceau. Le mal est aggravé par les émotions, la présence d'audit
cobaye, la même, est constante; du moins elle l'a été chez 40 ani- maux . Conclusion. - Dans des conditions convenables,
tudes, de palpitations cardiaques chez des sujets nerveux ou nor- maux , palpitations qui sont évidemment dues à la dimin
ystériques, pour des raisons similaires se trouvent ordi- nairement mal des grandes altitudes, qui augmentent communé-
peut devenir nuisible, par son excès même, chez un neurasthénique mal préparé à l'intensité d'un pareil effort. , Il.
tion les centres nerveux de nombreux épileptiques dans des cas de mal comkial essentiel aussi bien que dans des états l
cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts en état de mal . La névroglie au contraire n'est jamais normale
G BIBLIOGRAPHIE. « l'auteur a cherché à éclaircir certains points mal connus des frac- tures de la base du crâne, en
à gauche, dans la moitié nasale; Des attaques de grand et de petit mal ; De l'affaiblissement intellectuel. C'est une
mercuriel inten- sif n'empêcha pas le retour des attaques du grand mal , au nombre de trois, en l'espace d'une l'année.
jour. Apparemment l'hémianopsie temporale et les attaques de petit mal datent de la même époque, car, Charcot, que la
alles de plusieurs mois. Plus fréquentes sont les attaques de petit mal ; au cours d'une conversa- tion, la malade se t
estations de la syphilis des centres nerveux, des attaques de grand mal , caractérisées par des convulsions généralisées
reconnu aussi qu'en pareilles circonstances , des attaques de petit mal alternent volontiers avec les grandes attaques
pathologiques présentées par d'A... - attaques de grand et de petit mal , diminution de l'intel- ligence et de la mémoir
ques de rhu- matisme articulaire aigu, de véritables accès de petit mal ont fait leur apparition, il y a environ six mo
m- prend bien certains mots considérés isolément ; mais il saisit mal la plupart des phrases qu'on prononce devant lui.
re beaucoup moins des phrases. Il copie l'écriture, mais d'une main mal assurée. Il copie l'im- primé comme un dessin,
son caractère. Actuel- lement L... est tourmentée par la pensée de mal agir depuis long- temps. La plupart des actes o
elle. Elle s'ima- ginait que toutes les personnes dont elle pensait mal , connais- saient toutes ses pensées, que tout l
Elle dit qu'elle entend « en elle » les personnes, dont elle pense mal , qui lui disent des sottises, elle fait la dema
elle le devait en ces diverses circons- tances. Le soupçon d'avoir mal agi ou mal pensé, cette condition primordiale d
vait en ces diverses circons- tances. Le soupçon d'avoir mal agi ou mal pensé, cette condition primordiale d'une condui
LLUCINATIONS. 49 9 Elle veut faire des excuses à ceux de qui elle a mal pensé. Ces pensées qui lui viennent à l'esprit
, d'une analyse mentale qui échappe souvent au sujet qui interprète mal et trouve en lui-même quelques fan- tômes, pour
ut de quelque temps à provoquer par cette analyse minutieuse mais mal dirigée, la conviction de plus en plus inébranlab
te avec peine sa faiblesse musculaire, il se lève et se trouve plus mal . Ce n'est en réalité que lorsqu'il regagne la sal
s, la bonne rentre, il se lève, mais doit s'asseoir terrassé par un mal de tête violent, de la somno- lence, des nausée
fin on y note bien souvent les caractères de la démence sénile. Pas mal d'auteurs la considèrent comme une sénescence p
observations du présent mémoire. Le malade décrit en personne ' son mal . « Devant le monde, la rougeur me monte à la fa
r en France, il fait de ce syndrôme une névrose spéciale qui semble mal individualisée. Freud et Fournier lui attribuen
mentales de l'alcoolisme, qui permettent de comprendre pourquoi ce mal existe et pourquoi il a existé, mais d'une faço
immeuble, \lme Dulac, accourut et voulut parlementer avec la folle. Mal lui en prit. Celle-ci abandonna son rôle de vierg
17 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
on diagnostiqua une mé-ningo-myélite par tuberculose miliaire. Or, le mal n'était point là, mais dans l'encéphale, sur la r
égion paracentrale, et se rapprochant de façon à déterminer l'état de mal . Par ce fait, le malade est en danger de mort et
d'une humeur telle qu'une hydatide ou un psammome. Rassurez-vous, le mal ne sera peut-être pas grand et nous avons quelque
taté chez elle en diverses circonstances. Revenue à elle, elle répond mal aux questions que nous lui adressons, paraissant
gère grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal h la tête. Alors prenant le devant de sa robe ent
e pour ce qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le mal de tête, puis ainsi de suite. Le sulfure de car
e dans l'aisselle. Elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter ses
e sens tout de même. Où sommes-nous donc? (Nausées.) Ah ! j'ai un peu mal au cœur. C'est mon déjeuner qui ne digère pas. »
formes simples, les moins rares, sont celles qui ressortent du petit mal ; c'est le petit automatisme de M. Charcot. Tantô
r, si les attaques deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de mal épileptique (état de mal hystérique épileptiforme
nent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de mal épileptique (état de mal hystérique épileptiforme de Charcot) (3). On peut
lli par un gros chien de Terre-Neuve, qui ne lui fit d'ailleurs aucun mal , mais lui arracha l'écharpe blanche qu'il porta
emblait avoir pris en aversion ce Guiard, dont il ne disait jamais de mal quand il était lucide. Mais, à (1) Ces faits m'
u au hasard de ses conceptions délirantes, se vérifie tant bien que mal . C'est tantôt un peu plus, tantôt un peu moins. C
au. Je neveux pas que tu montes comme cela sur mon épaule. Tu me fais mal avec ton gros bec. Tu me piques les yeux. Oh ! là
tête, il me ronge le cerveau, il mange mon cerveau. Ah! qu'il me fait mal , mon Dieu! mon Dieu ! (elle secoue la tête et se
coule. Dépêche-toi. Cours. Tout mon sang s'en va. Je vais me trouver mal ! Ah! je suis épuisée (elle reste pendant un momen
hein! Et c'est un diamant. Voyez donc comme il brille. Oh! il me fait mal aux yeux ; je vais le cacher, car les hommes roug
me noyer. J'ai de l'eau jusqu'à la taille....., je vais attraper du mal . Au secours! au secours! Tiens, les hommes roug
ue je vous dise, mon amour? Eh!, mon vieux, relève-toi donc, où as-tu mal ? Tu souffres, dis, mon cher Paul. Mais ce n'est
me font peur ; mais pas du tout ; je ne veux pas que vous me fassiez mal . Sont-ils drôles? tous ces hommes-là. Oh ! que je
l. Sont-ils drôles? tous ces hommes-là. Oh ! que je suis malade, j'ai mal à la tête..... » Le jeudi 21 juin, dans l'après
... Où sommes-nous donc ? » Elle est prise de nausées : « J'ai un peu mal au cœur... C'est mon déjeuner qui ne digère pas.
de sang, il n'avait plus de point de côté, mais il respirait toujours mal . Il resta encore cinq jours à Lariboisière. Penda
avec une patte cassée, t'en aurais pitié. Vlà une femme qui se trouve mal , t'es là à l'embêter!... Eh bien! madame, ça va m
la reprend!... Mettez-y un matelas sous la tête, elle va se faire du mal ... Va en acheter (en même temps il fait le geste
e épileptoïde, on peut voir celle-ci, dans ce qu'on appelle l'état de mal hystérique épileptiforme, s'individualiser et s'a
rise complète, pas plus que des anomalies rares, telles que l'état de mal hystérique épileptiforme ou les attaques de somna
journaliste, un « gendelettres », sans fortune, vivant tant bien que mal de sa plume. Il ne parle que de reportage, de thé
tomba dans un état très particulier, qu'à cette époque j'avais, sinon mal observé, du moins mal i nterprété. Voici, en effe
s particulier, qu'à cette époque j'avais, sinon mal observé, du moins mal i nterprété. Voici, en effet, dans quels termes j
ù elle est restée depuis. En 1884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet état de mal, que vous connaisse
884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet état de mal , que vous connaissez, est comparable à l'état de
e, — cet état de mal, que vous connaissez, est comparable à l'état de mal épileptique, avec cette différence qu'il ne s'acc
effet, entrée dans le service une quinzaine de jours avant l'état de mal qui a changé la personnalité d'Hab... : « C'est u
ement prépondérant, ainsi que cela se voit par exemple dans l'état de mal hystérique épileptiforme, où la phase épileptoïde
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle chante, elle joue du piano, elle
à dire. Il y a là une sorte de zone de transition occupée par des cas mal délimités. En tous cas, ce ne sont pas ceux-là qu
oire du passé. Il ne sait plus lire, ni écrire, ni compter ; il cause mal et a totalement oublié tout ce qu'on lui a enseig
donnerait en échange des robes, des bijoux à foison. On les soignait mal à la Salpêtrière, on les plongeait de plus en plu
pileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous forme d'états de mal pendant cette période. (1) Voir plus haut, n° X
Du vigilam-bulisme hystérique. Je passe rapidement sur ces états de mal successifs dont a souffert Marie H... à cette épo
ment hystérique. De plus, à l'inverse de ce qui arrive dans l'état de mal comitial vrai, il n'y a point d'élévation de la t
à-dire sans retour à la connaissance. Guérie de ces grands états de mal , Marie H... reste dans le service. A cette époque
ète, permanente, et, chez elle, les attaques (1) Charcot. — Etat de mal hystérique épileptiforme. Leçon recueillie par B
culier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle période d'état de mal hystérique épileptiforme, identique aux périodes
ouvenir de tout ce qui s'est passé antérieurement à une période assez mal délimitée qui paraît comprendre la seconde moitié
illations entre les deux états qui ont probablement rempli la période mal délimitée de 1884 à 1885. Elle ne sait point où
ravail déjà cité de MM. Marie et Souza-Leite, à propos de son état de mal hystéro-épileptique de 1884. Elle est née en 18
l'établissement de l'état second s'est fait à l'occasion des états de mal successifs auxquels la malade a été en proie pend
el depuis 1885. X. Phase de transition, période des grands états de mal hystériques de 1884-85. Quant au passage de l'é
En 1884-85 se place une phase de transition, marquée par les états de mal hystériques épileptiformes, à la faveur desquels
gente dans la condition seconde; celle de Ladame, au contraire, était mal élevée et donnait, en état second, des gifles à s
te attaque de nerfs qu'il compare, dans une certaine mesure, au petit mal comitial. L'attaque marque également le début des
'est la nuit profonde. Elle ignore aussi l'événement cause de tout le mal , je veux dire la nouvelle de la mort de son mari
ion que je chercherai à faire prévaloir— la crise, origine de tout le mal , a été une attaque de grande hystérie. Nous avo
te-aiguille de la machine et je me fis là une petite plaie qui me fit mal pendant (1) La malade, qui avait été prise à l'
est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques : maux perforants (Kir-misson), chute des dents et des o
qu'il sait que son côté gauche est plus faible et qu'il craint d'être mal soutenu de ce côté. Hémiplégie gauche sans part
o-hypertrophique : à savoir des muscles gros et durs qui fonctionnent mal ou même point du tout. Mais il y a plus, et ce
st couché sur le dos. En ce qui concerne les membres inférieurs, le mal a fait d'assez grands progrès, car, tandis qu'en
et, au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le mal était, depuis 1889, en pleine évolution, il s'e
volume du muscle n'est rien, son impotence fonctionnelle est tout. Le mal évolue soit du côté de l'hypertrophie, soit du cô
le diagnostic devient beaucoup plus difficile entre l'hystérie et le mal comitial. Mais chez tous les malades de cette cat
nt l'accès. Délire post-épileptique à chaque accès. Récemment état de mal d'une nuit et un jour; 73 accès pendant la journé
icile et violent. Début, à l'âge de 11 ans, par une sorte d'état de mal vertigineux qui dura près d'un an et la maintint
ou à la tête et fait place à une sensation de froid. Observation XL Mal ... Caroline, 25 ans. Début dans la première enf
intervalle d'un an ; surtout aux périodes menstruelles. Pas de petit mal . Accès typiques, caractérisés, outre les phénom
. Père alcoolique, mort de delirium tremens. Sœur atteinte de petit mal comitial. Début, à l'âge de 5 ans, par des accè
petit mal comitial. Début, à l'âge de 5 ans, par des accès de petit mal , mensuels ou bimensuels, qui ont persisté seuls j
migraine ophthalmique très violente et très intense. Elle souffre du mal de tête, souvent localisé au-dessus du sourcil ga
blable d'admettre qu'il s'agissait là de deux affections séparées : mal comitial et migraine ophthalmique, à moins de sup
t pas inutile de faire remarquer qu'il a disparu avec tout le reste : mal comitial et migraine. Quant à la durée et au ca
r n» XXVIII, p. 117 et suivantes. souvent nocturnes. Accès de petit mal de fréquence irrégulière, mais assez considérable
caractère particulier des actes accomplis pendant les accès de petit mal . Quelquefois, mais rarement en proportion, la mal
e ou une ou deux fois par mois), diurnes et nocturnes. Accès de petit mal très fréquents. Aura : Sentiment subit et irrai
ccès très fréquents, de un à dix par semaine. Quelques accès de petit mal . Aura précédant régulièrement tous les accès di
ons le nom à'hystéroïde, n'a pas été signalée comme fréquente dans le mal comitial. On la trouve cependant citée par quelqu
n lui, au degré le plus simple, le malade se plaint seulement d'avoir mal à l'estomac d'une façon soit intermittente, soit
térogènes, que se basera le diagnostic positif entre l'hystérie et le mal comitial, diagnostic quelquefois difficile néanmo
it mois, par séries donnant lieu à de véritables périodes d'état de mal d'une durée de douze à quinze heures. La malade
uivis de délire. L'aura précède particulièrement les accès de petit mal , mais non d'une façon constante. C'est une sensat
ions dans l'enfance. Début à l'âge de 7 ans, par des accès de petit mal , précédés de l'aura hystéroïde. Les grands accès
ertir à temps et lui permettre d'éviter la chute. Observation XXIX. Mal ... Maria, 45 ans, chapelière. Début à l'âge de
n'a jamais été réduite depuis. Puis, pendant dix ans, accès de petit mal seulement. A 14 ans, avec les premières règles, r
par l'incendie d'une maison voisine de la sienne. Tout d'abord petit mal , puis, au bout d'un an, grands accès, au début tr
. Convulsions dans l'enfance. Début à 11 ans par des accès de petit mal accompagnés de quelques mouvements convulsifs et
Aura très manifeste, précédant régulièrement chaque accès de petit mal . Sensation de boule qui remonte de l'estomac à la
l'enfance. Accès très fréquents (plusieurs fois par semaine) de grand mal et de petit mal. Aura très courte, ne prévenant
très fréquents (plusieurs fois par semaine) de grand mal et de petit mal . Aura très courte, ne prévenant pas la malade a
t sur elle); enfin cris et convulsions des bras. Le3 accès de petit mal sont précédés seulement d'une aura auditive : bou
nds accès diurnes, différente de celle qui précède les accès de petit mal . Dans le cas suivant, nous constaterons l'associa
n'étaient précédés d'aucune aura. Il existe aussi des crises de petit mal et des accès avortés où la perte de conscience n'
ter encore de petits accès de délire et de nombreuses crises de petit mal , revêtant quelquefois l'aspect de l'automatisme a
., Gabrielle. . 34. Lir,, Léonie.. . . 43. Lois., Céline. . . 11. Mal ., Caroline . . 29. Malz., Maria . . . 64. Mas
causes non déterminées. 5 Maladies des méninges spinales..... 13 Mal de Pott............... 12 Pachyméningite cervic
érapique de l'hospice, où ils trouvent un certain soulagement à leurs maux . Le chiffre très élevé des névroses (806) est d
e parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du mal . Je dois dire cependant que, d'après mon expérien
mois, elle eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés, mal embouchés, des désagréments qui se re
eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés, mal embouchés, des désagréments qui se reproduisirent
2e Cas. — Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, joufflu et pas mal empâté pour le moment. On ne relève chez lui ni a
s sûr moyen qui, en pareil cas, devra être opposé à la propagation du mal ; c'est d'ailleurs là un point sur lequel tous le
adie par des purgatifs qu'il s'administrait de son chef. Cependant le mal ne fit qu'empirer, et il lui fallut se rendre à l
'—, 76, 77. Epilepsie : accès d'automatisme ambulatoire, 61 ; Petit mal , petit automatisme, 61 ; Grand automatisme, 62; A
18 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
s que lui fait mademoiselle B..., elle répond : « Je n'ai pas fait de mal , pourquoi m'avez-vous envoyée? » On veut lui me
elle-même la camisole, qu'elle conserve parfaitement tant que dure le mal . lançant les chaises par les fenêtres, bouscula
e par des voix qui lui commandent « toutes sortes de choses ». Elle a mal à la tête et se sent horriblement fatiguée. Ver
d'une voix forte : « Oh! terreur! terreur!! il vient pour me faire du mal , celui-là! » Puis la respiration pressée s'arrête
c la main gauche elle atteint jusqu'à vingt et une. La démarche est mal assurée, les malades ne sont pas « solides sur le
rd par une irritabilité extrême, des besoins de remuer, des envies de mal faire, des idées de suicide, et par des hallucina
dispa-raître, momentanément toutefois, dans des circonstances encore mal définies — une émotion vive par exemple, — et don
es moyennes prises sur diverses malades et pendant plusieurs états de mal , alors que les attaques se répètent un grand nomb
des coups... pardon, laissez-moi! De grâce, mon-sieur. Vous me faites mal ... Oh! maman!... sale c... tu m'atta-cheras les b
pas venir me dire la moindre des choses... Ernest! tu fais donc du mal comme les autres. » Il lui arrive quelquefois d
ne donc un coup de poing..... Oh! qu'ils sont mauvais! ils lui font mal ! » Elle pleure en se cachant le visage de ses m
» Elle revient un peu à elle : « Ah ! mon Dieu, mon Dieu, que j'ai mal à la tête, j'ai mal au cœur. Otez-moi donc cela q
peu à elle : « Ah ! mon Dieu, mon Dieu, que j'ai mal à la tête, j'ai mal au cœur. Otez-moi donc cela qui me gêne... Ah! ce
,ça remue!... regarde plutôt... Ah! j'étais enfant! je riais; c'était mal vraiment. Éclat de rire.)... Ah! maman, maman, j'
e dans les accès d'épilepsie vraie, à la suite des" vertiges du petit mal . §2. — HALLUCINATIONS, ZOO.PSIE. Le délire es
y lâche (10 h. 13)! On m'a rentrée dans l'auberge, je me suis trouvée mal ...Es-tu là, ma fille? (Elle s'adresse à la survei
ppelle..., je veux f. mon camp... Entends-tu les bourdons... J'ai t'y mal à la tête... Ça m'étonne que je ne voie pas le di
cherche à se déchirer la figure. « Arrête-moi donc ces bêtes-là. J'ai mal au dos et dans le cou. » Les plaintes se prolonge
, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES ATTAQUES. — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaques. Dur
tes seule-ment, ou se prolonger beaucoup plus longtemps. B. Etat de mal hystéro-épileptique. — L'attaque d'hystéro-épilep
appelle des séries d'attaques, parfois fort longues. C'est l'état de mal hystéro-épileptique. Dans les séries, les attaq
dans ses Leçons sur les maladies du système nerveux, sé-pare Vétat de mal hystéro-épileptique de l'état de mal épilep-tique
ystème nerveux, sé-pare Vétat de mal hystéro-épileptique de l'état de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de mal épileptiq
téro-épileptique de l'état de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de mal épileptique à grandes séries, la tem-pérature s'é
ue la situation devient des plus graves, au contraire, dans l'état de mal hystéro-épileptique à longue série, la températur
se succèdent sans interruption pour constituer une série, ou état de mal hystéro-épileptique. Jusqu'à 10 heures 20, moment
les déranger. » Elle rit. « Tiens! du brouillard! ça cache tout! J'ai mal à la gorge... je n'aime pas les temps de brouilla
val, il faut le retirer... Ces bonnes sœurs qui les ramassent... Il a mal à son bras, celui-là. Il faut lui bander le bras.
de la tête et des mains. « Y en a-t-il, des paillettes d'or! Ça fait mal à la tête... Comme elles dansent bien!... Oh! ce
fière de toi, quand tu seras officier... Après tout je m'en moque pas mal , va. (Elle paraît redoubler d'attention.) Les che
: « Va-t'en... ne reste pas devant mes yeux!... Ah!... ça se passera mal ... » — Attitude extatique, l'œil fixe en haut, le
région précordiale et dans la tête. La malade, sentant l'invasion du mal , essaye de lutter, disant : « Non, je ne veux pas
— La voix est entrecoupée de sanglots. « Aie! — vous me fai...tes du mal . — Laissez-moi... m'en aller... je veux mourir, e
ntions : « Je ne suis pas mé...chante... je ne veux pas vous faire du mal ... Vous êtes des bourreaux... ; Tout à coup survi
se succèdent et se renouvellent parfois de façon à amener un état de mal hys-térique. Dans ce cas, elles laissent après el
la première et bientôt suivie d'une autre. Elle est alors en état de mal hystéro-épileptique. VINGTIÈME OBSERVATION. H
ales de leur propre pays, viennent à Paris chercher un remède à leurs maux . Les uns arrivent de la province : de Bretagne (o
L'écoulement mentruel parut à cette époque, accompagné de beaucoup de maux d'estOxnac; il fut régulier pendant quinze mois,
iration haute et labo-rieuse, avec beaucoup d'écume à la bouche. Le mal de tête, des étourdissements, une lassitude succè
e avec ceux de cette jeune demoiselle; sa sœur a été atteinte du même mal pendant deux ans; elle a une cousine qui offre de
e qui lui était arrivé. Cette crise, qu'on aurait pu appeler le petit mal , se prolongeait environ trois à quatre heures ave
es contre les médecins qui Vavaient soignée, leur attribuant tous ses maux , et elle terminait ses imprécations par les mêmes
de l'épilepsie précédée d'angine de poitrine; une seconde, un état de mal épileptique (obs. L); une troisième, une attaque
aucun souvenir de ce qui ve-nait de se passer, mais ayant un violent mal de tête et une grande courba-ture. Je me retirai
sant au sujet aucun instant de répit, comme cela a lieu dans Vétat de mal épileptiqiie. Par analogie la variété d'attaque h
'attaque hystéro-épileptique, ainsi produite, mérite le nom (ïétat fk mal épileptoïde, qu'il ne faut pas confondre avec ce
'il ne faut pas confondre avec ce que nous avons déjà Sippelé état de mal hystéro-épileptigve. Celle dernière dénomination
es. Entre ces deux extrêmes, l'attaque épileptoïde isolée et Tétat de mal épileptoïde, il existe des degrés intermé-diaires
infini. Nous nous contenterons d'étudier les suivantes : a. État de mal épileptoïde ; b. Accès épileptoïdes incomplets
eptoïde avec contracture généralisée et perma-nente. § 1. — ÉTAT DE MAL ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l'attaque
début d'un nouvel accès. On se trouve alors en présence d'un état de mal parfaitement semblable, du moins en apparence, à
tat de mal parfaitement semblable, du moins en apparence, à l'état de mal épileptique, et que nous avons désigné déjà sous
mal épileptique, et que nous avons désigné déjà sous le nom d'état de mal épileptoïde. Les accès se suivent sans interrupti
nstant, ne révé-laient leur nature éminemment hystérique. L'état de mal épileptoïde peut se prolonger pendant fort long-t
e considérable de crises. M. Gharcot parle d'une malade dont Vétat de mal a persisté pendant plus de deux mois, et, par mom
voir rencontré un cas aussi accentué, nous avons vu souvent l'état de mal épileptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et les sé
un tel état est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l'état de mal épileptique, un des contrastes les plus h-appants
es intervalles aussi, d'ailleurs très courts, la nature hystérique du mal , surtout dans les premières semaines, reparaissai
et l'excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l'état de mal épileptoïde, les propriétés d'arrêt dont nous avo
l'art. Malheureusement rien de semblable ne se produit dans l'état de mal véritablement épileptique. Sans avoir recours à
succès ^ Mais le signe diagnostic le plus important entre l'état de mal épileptoïde et l'état de mal épileptique, réside
nostic le plus important entre l'état de mal épileptoïde et l'état de mal épileptique, réside dans la marche de la températ
e la température. Nous en avons déjà dit un mot au sujet de l'état de mal hystéro-épileptique. Il résulte des recherches de
dominent la scène. Les attaques dont la réunion constitue l'état de mal épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aulres var
stcro-épileptique du service de M. Delasiauvc, au milieu d'un état de mal épilep-toïde. Les aUaques se succèdent sans inter
es du système nerveux^, ont également trait à la variété de l'état de mal épileptoïde par prédominance du tétanisme. « Qu
ral et son retour fréquent peu-vent donner lieu à une sorte d'état de mal épileptoïde, fort grave en apparence, comme j'ai
pendant la phase de résolution, ne se rencontre guère dans l'état de mal de l'épilepsie vraie. Dans l'observation qui su
es mouvements ne se font que d'un côte, l'autre semblant paralysé. Le mal cède graduellement, elle tombe affaiblie, mais ne
jette pas l'enfant par la fenêtre... Adolphe... il m'a fait bien c'u mal ... » Et de sa main elle montre le creux de l'esto
né l'exemple... Je ne comprends pas que tu dises que je tombe du haut mal ... Je suis contente de te voir, pour avoir des no
sychiques. Il ressemblait en tout aux hystériques femmes en état de mal : délire in-terrompu par des crises. La remarque
t, et dangereux par la prédominance des idées fixes avec impulsion au mal . Mais la confusion deviendra impossible, si l'on
quelle, à la suite de vives con-trariétés, elle retomba malade. Assez mal réglée depuis l'âge de quinze ans, elle a passé p
bien portants. Dans ses premières années, S... « se trouvait souvent mal ; couchée sur un lit ou même par terre elle s'agit
intéresser. Il en résulterait très probablement un bien au lieu d'un mal , car le fait important, une fois mis en évidence,
nt, c'est faire acte d'habileté que d'être sincère et impartial. Quel mal y a-t-il à ce que la science fausse soit dépouill
vin exquis. Nous l'exhortons à boire encore : « J'ai peur de me faire mal » dit-elle. Nous la rassurons et les rasades se s
ble de provoquer alors de véritables nausées, en lui disant qu'elle a mal au cœur et qu'elle vomit. Elle paraît même tellem
plu-sieurs accès de catalepsie; lorsque je lavis, elle se plaignit de maux d'esto-mac, de douleurs vagues dans le bas-ventre
. » (Georget, Dict. de Méd.) M. Espanet ajoute que la ténacité du mal , de un à huit ans, se voit chez les femmes seules
eureuse, les remèdes qui rétablirent sa sœur ne firent qu'irriter son mal . Après dix ou douze accès, qui ne furent qu'hysté
, telle que celle du castoréum ou de la rue, réveillaient ce genre de mal , et même en accéléraient le paroxysme. Après to
ns cette demi-catalepsie, qui était plus ou moins parfaite: enfin, ce mal , qui change de face comme un Prêtée, prit une nou
Suppression des règles en novembre 1708. A la suite, douleur de tète, mal de gorge, et fluxion de poitrine quelque temps ap
faire aucune résistance ; mais, et c'était cela qui caractérisait son mal , ils n'étaient que trop obéissants, ils ne sortai
de juger que, non seulement l'envie de connaître et d'approfondir le mal , mais encore une certaine curiosité pour un parei
le lui demande de la laisser se coucher, et lui reproche de lui faire mal . La malade rêvait. Pendant cette scène, les membr
réveille, recouvre complètement connaissance, se plaint d'un violent mal de tête et demande à boire. Au bout da-20 minutes
également à ce que nous l'endor-mions, en déclarant que cela lui fait mal à la tête et lui donne des crampes d'estomac. Ell
epuis le 19 mars. La santé générale n'a changé ni en mieux ni en plus mal . La malade compte bien aller passer quelque temps
ême effet. (Voy. p. 360 et suiv.) malade au lit; la faiblesse et le mal de tête l'y retenaient; l'attaque de cata-lepsie
i parlant vivement, on parvient à fixer son attention : il a, dit-il, mal à la tète, des picotements sur toute la peau, des
dure à peine depuis trois mois que Cl..., adéjà perdu l'appétit, dort mal , devient irritable. « Il se lance alors dans l'ab
rait ma porte, quoique j'en eusse pris la clef sur moi, me faisait un mal affreux. Alors je voyais entrer le môme cadavre q
dame B***, pour délivrer la femelle d'un de ces insectes qui était en mal d'enfant et avait choisi pour lit de douleur le t
ont les diverses pratiques ne sauraient que tendre à l'aggravation du mal , en sollicitant, par des excitations multiples et
out genre, les sections de nerfs et détendons, exaspèrent toujours le mal et sont quelque-fois suivis des plus fâcheux effe
n vu qui s'en rapproche. b) Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-épilept
he de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-épileptique. — Ce point, d'une impor-tanc
que les températures élevées (40° et plus) appartiennent à l'état de mal épileptique seul, et que, dans l'état de mal hyst
ppartiennent à l'état de mal épileptique seul, et que, dans l'état de mal hystéro-épileptique, quelles que soient la fréque
stam-ment et plus vite chez les malades affectés de vertige, ou petit mal , que chez ceux qui n'ont que des convulsions viol
mal, que chez ceux qui n'ont que des convulsions violentes, ou grand mal . Morel partage la môme opinion. Reynolds dit qu
Morel partage la môme opinion. Reynolds dit que lorsqu'il y a petit mal , l'esprit est plus fréquemment affecté et altéré
st plus fréquemment affecté et altéré grave-ment que lorsque le petit mal fait défaut. Comment se fait-il, dit Esquirol,
il en modifie les accès et devient un palliatif utile dans l'état de mal hystéro-épileptique. Mais voici une manière d'a
as l'attaque, mais elle en atténue la violence, et pendant un étal de mal éloigne le retour des accès. Les pôles sont app
cet instant, tantôt la ma-lade gémit et pleure, criant qu'on lui fait mal , — tel est le cas de Marc... —, tantôt, au contra
la compression prolongée continuerait d'être efficace; h si l'état de mal hystéro-épileptique céderait devant cette compres
rs heures, a suffi pour produire la cessation momentanée de l'état de mal , sans qu'on ait été obligé de recourir à un agent
malade, pendant 12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un état de mal . Jamais les attaques ne se sont présentées pendan
deux, puis l'enlevait elle-même quand elle sentait que les menaces de mal étaient dissipées. Chez elle aussi, la compressio
nd par Teinturier.in le Mouvement medical. 1872. 4. In Leç. sur les mal . du sgst. nerv. nant alors que l'excitation rel
evenaient à eux-mêmes et se trouvaient momentanément délivrés de leur mal . C'était dans le but d'agir contre la tympanite q
t accompagner par des surveillants qui les empêchaient de se faire du mal à eux-mêmes ou d'en faire aux autres. » Partout
roposait en faisant de la musique, était aussi de rompre la racine du mal lui-même par la violence des accès. » En dehors
furieuse et montra à chacun des horribles et étranges spectacles. Ce mal se glissa comme une peste en plusieurs autresnon-
uelque malheu-reuse réputée sorcière, la responsabilité de tous leurs maux *. Les troubles psychiques que présentaient les
he une puante haleine qui continuait parfois quelques heures. En leur mal , aucunes ne laissaient d'avoir l'entendement sain
i venait chaque nuit les visiter en leur couvent et les solliciter au mal . Le curé demanda â la sœur Claire comment elle le
des dites possédées ; 2° faire connaître le sorcier auteur de tout le mal (ou sait quel sort l'attendait); 3° faire dé-couv
s, afin de connaître s'il y a cause naturelle ou surnaturelle en leur mal ; ce qu'ils ont promis faire et remis à recevoir l
vulsions, a dit qu'oui, et que ledit Barré lui avait fait beaucoup de mal . La minute originale est signée : De Cerisay, C
t saisie d'une grande tristesse, par la crainte qu'elle avait d'avoir mal fait. Toute la nuit ensuite elle fut beaucoup tou
ucoup tourmentée par des visions dés-honnêtes qui la sollicitaient au mal avec des formes humaines impudiques. Elle dit le
prenait la forme de quelques religieuses qui disaient à sœur Anne du mal du père confesseur et de ses supérieures, avec de
car je pensais que c'était un méchant homme qui me voulait induire au mal , â cause cle ce qui s'était passé touchant l'appa
âleur, d'exténuation, de faiblesse et d'autres semblables etfets d'un mal violent comme le sien, car au même instant ou peu
te cassée, mais il se trouva puis après qu'elle ne s'était fait aucun mal . » Sœur Marie du Saint-Esprit fit aussi quantit
r au physique comme au moral. Ils sont tous pauvres et se nourrissent mal . La constitution prédominante est lymphatico-nerv
T... étant allée garder les chèvres avec elle, cefle-ci tomba de son mal ordinaire. Marie tomba dans le même état. On les
urent encore prises du même accident. A f«artir de cette époque, le mal les prit toutes deux cinq à six fois par jour, ma
ès violente et continua d'en avoir presque tous les jours; elle avait mal à l'estomac, et disait qu'elle sentait quelque ch
le plus grand nombre, éprouvèrent des malaises prodromiques, tels que maux d'es-tomac, inappétence, surtout pour leurs alime
, c'était un ou plusieurs diables. En général, toutes attribuent le mal à un maléfice de tel ou tel individu qu'elles acc
mac, qui lui crie que Champlanaz (un prétendu sorcier) lui a donné le mal , et qui dit : « La fille ne mangera pas, ne prier
lation elle-même, comme étant les seuls remèdes capables d'arrêter le mal . 11 faut rendre ici justice à l'autorité ecclésia
la maladie. L'exaspéra-tion contre les prétendus sorciers, auteurs du mal , croissait dans la même proportion. L'un d'eux po
faire quelques mouvements, ou bien sont d'une agitation excessive et mal réglées. Les autres, au contraire, ont toutes l
b... d'incrédule, que nous sommes des folles, que nous n'avons qu'un mal d'imagination! Nous sommes des damnées, s... n...
un verre de vin (u'elle a'\m en compagnie d'un de ceux qui donnent le mal . Pendant et hors des rises, elle a de fréquents v
il leur fit développer le poison renfermé dans la bulle, déplorer les maux de l'Église,annoncer que sa jeunesse serait bient
si affreux que plusieurs personnes disaient qu'elle tombait du haut mal et d'autres qu'elle était possédée..... à la véri
ments si violents que les assistants crurent que je tombais du haut mal ..... (Elle est tombée, dit un des assistants, e
'hui d'établir un diagnostic rétro-spectif exact. Les descriptions du mal sont complétées par un dessin qui en dit plus que
qui marquent le début des accidents, et par la longueur de l'état de mal , qui ne dura pas moins de quatre jours. Le 20 d
se peu si ce sont des hommes qui lui font faire cette opéra-tion fort mal séante par elle-même. Enfin, elle dit hautement,
ein.... Quelques-uns s'enfoncent des épingles dans la tête sans aucun mal , et paraissent avoir le dessein de se précipiter
r avec action, on m'a dit qu'elle déclamait en langage figuré sur les maux dont l'Église est affligée et sur les disposition
ient les attaques de secousses, se trouvaient souvent saisies du même mal , et de retour chez elles, elles le communiquaient
t les signes précur-seurs; mais la majeure partie ne ressentait aucun mal pendant les accès; ils sem-blaient au contraire n
issance, ou, selon un témoin oculaire, presque comme s'ils avaient le mal caduc, et restent plus ou moins de temps dans un
lesquelles le médecin suédois semble porté à cher- cher la cause du mal sont: l'iguorance du peuple et l'influence qu'exe
corde accueillaient les pauvres, et servaient les malades et les gens mal aisés, en leur hôtel, et leur administi'aient de
ume, par amour de Dieu, de tenir en son hôtel, et les malades, et les mal aisés qu'il trouvait par les rues et les routes,
es fois et lui faisait savoir par ses lettres que Dieu se tenait pour mal payé de lui, qu'il était appareillé aucunes fois
l n'en fût mé-connaissant, et si cela arrivait, en tout lui prendrait mal , et il perdrait gravement; qu'elle le lui faisait
........... 141 Chap. VI. — Marche. — Durée des attaques. — État de mal hys^éro- épileptique...........................
nes............... 583 b) . Marche de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-épilept
he de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de mal hystéro-épileptique..............................
19 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t de la conscience, sans crises convul- sives. Tels sont : le petit mal comitial, les colères, les accès de mauvaise hu
nsion d'une pièce de 2 francs et affectant fous les caractères d'un mal perforant plan- taire. Au ni\eaude la région
med. surg. journ., 15 juin 1905.) Les auteurs ont soigné l'état de mal par des injections hypoder- miquescl'une soluti
ont peu ou pas de .spasmodicité, 4 ont la marche absolument nor- male , 4 ont renoncé au traitement, Il est bien entendu
oduits nor- 32 REVUE D'ANA10MIE ET de PHYSIOLOGIE pathologiques maux qui devraient être éliminés ou transformés par de
ts (rein, foie etc.). D'autres en- core résultent d'empoisonnements mal connus, produits par l'al- tération des fonctio
orme morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d'états organiques mal connus pour lesquels le terme « mélancolie » n'
e d'un test (reproduction d'une phrase lue); la synthèse s'effectue mal ,mais elle est possible lorsque le malade est ca
mment d'un côté ou de l'autre. Mort le 2 septembre 1905, en état de mal . 11 z-asanas dire qu'aucune des .multiples lési
yen du lobe. La circonvolution de l'hippocampe esta peu près nor- male (lig. 13), mais saface supérieure, recouverte d'u
paraly- sie générale survienne chez un albuminurique, soit que le mal deBright évolue chez un paralytique général. D'
contre l'envahissement progressif par les systèmes nerveux anor- maux , guérir ou tout au moins soulager le plus possibl
en ce sens qu'ils ne sont pas naturellement nocifs pour les ani- maux , et qu'ils ne se manilestent par aucun symptôme c
nent de ce qu'il a ensemencé à une époque où la technique ' était mal réglée; il s'est servi de tubes et, actuellement,
eur pourtour, mais à distance, dans les parties sans doute les plus mal irriguées ; 2. des hémor- rhagies miliaires qui
ni dangereuse, ce n'est pas davantage, comme on l'a dit, une cote mal taillée, une lâcheté ou une erreur ; c'est une vé
é excessive de leur esprit, de leur passage facile de l'état nor- mal dans, les états seconds ; enfin de leur extrême s
u'il y a été introduit par l'infiltration pharyngée dans une glotte mal fermée, soit parce qu'il y aboutit, venant de l
ée, ou ralentie, le réflexe qui en résulte sur- vient en retard, ou mal à propos, ou avec trop de violence,ou avec trop
essaires à la toux, se ferme comme dans l'effort, ou ne s'ouvre que mal à propos, et le malade, n'inspirant pas, ne fai
er l'ensemble des phénomènes de la crise laryngée, est certainement mal choisi. Rien n'est plus éloigné de la séméiolog
x bandés. La femme Faron a laissé deux lettres, pour sa mère et son mal i demandant pardon, disant qu'elle ne pouvait p
qu'on peut contrôler leur diète. Ponction lombaire dans l'état DE MAL . Cette ponction diminue la gravité de l'état,s'
n, hypertension qui s installe aussitôt après le début de l'état de mal . 1 au : ur : L. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE DES I
n plus difficile ; d'autres, enfin, de nature épileptique, états de mal , dont la symptomatologie avait été modifiée par
A ce propos, nous insisterons sur ce dernier diagnostic d'état de mal , appliqué à des accidents caractérisés par la per
? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc mentaux et état de mal épileptique au cours de la dcehtoruration avec
s en décembre. Cette fois encore, une malade fut atteinte d'état de mal , trois jours après cessation du régime, et y su
i lui dit que « les francs-maçons et les rouges » lui feraient du mal . Cette remarque ne lui fit à l'époque aucune impr
éfenseurs, avocats de leur délire, dontle seul défaut est de s'être mal renseignés; et si, d'autre part,le milieu renfe
ntum considérable de choses qu'il ne comprend pas ou qu'il comprend mal . RECUEIL DE FAITS Athétose double. Mort au co
te jusqu'alors. Un jour,après avoir déjeuné, elle com- menra à être mal disposée et à sentir son estomac lourd, ses mem
lique se distingue par l'état mental parli- culier : douleur morale mal justifiée par l'asystématisalion des conception
ue les épileptiques meurent le plus souvent au cours d un état de mal et que les diagnostics n'indiquent pas si les suj
se du cartilage de conjugaison ; l'ossification périostale est nor- male . La dysplasie périostale intéresse surtout les
s et des surfaces articulaires, mains en trident, dimensions nor- males du tronc et de la colonne, ensellure lomhaire, dé
uestion si com- plexe des crises épileptiformes, delà palhogénie du mal comitial et des affections qui le simulent. D'a
dernier cas, les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l'état de mal les réflexes sont souvent très actifs. Dans le po
nous a été donné de recueillir d'épileptiques succombant en état de mal peu de temps après leur lièvre typhoïde, alors
ntrer dans le monde et reprendre la lutte pour la vie. En outre, le mal est appelé précoce. il l'est tant, en effet, qu
es trois condi- tions formulées par Bail : l'éclosion simultanée du mal et surtout l'identité absolue non seulement des
folie gémellaire est d'une rareté excessive, ou nous avons été bien mal favorisé. Quoi qu'il en soit, nous devons , cro
chiffres de ces épreuves mêmes peuvent être considérés comme nor- maux . D'autant plus qu'on y constate une très petite
s gros dans les épreuves avec du brome que dans les épreuves nor- males . Dans les premiers il est de 11, dans les dernier
être établie d'une manière très sûre. Dans la Il, recherche nor- male , l'opération augmente rapidement et atteint son
diffé- rent-elles du temps initial, qu'on appelle le « temps nor- mal n. Les épreuves normales en général montrent un
ble mais insignifiante. Mais la forte surestimation du temps nor- mal après la prise du médicament est à peine attribua
avec choix. On a réalisé D épreuves d'après cette méthode, i nor- males et 5 avec du brome, les dernières avec une dose
y- lactique ; nous les exposerons quand, après avoir indi- qué le mal , nous étudierons ses causes et nous cherche- ro
dit y. eux les abus ont précipité tout au moins l'apparition de la mal ,- die mentale. L'alcobla joué le rôle d'appoint
cérébro-spinale diplo- pneumococcique de l'enfance. Rev. mens. des mal . de l'enf., Par., 1904, v. ',1-2, p. 20-30. B
, cric après ses enfants et leur dit : «Je deviens tout drôle, j'ai mal à la tête. Puis il se met à dire des bêtises, f
chez lui les jours suivants. Il nous fait encore comprendre qu'il a mal à la tête, et il désigne de la main la région r
n au niveau de la région temporo-pariétale gauche : « J'ai toujours mal là ». 342 CLINIQUE MENTALE. D. Depuis quand
où les troubles débu- tèrent : il disait à ses enfants qu'il avait mal à la tête, il voulait les conduire au cimetière
mai. Les noms propres sont parmi ceux qui lui don- nent le plus de mal . Nous lui disons notre nom et lui deman- dons d
vais commis un crime, on dirait qu'il va m'arriver toutes sortes,de maux . je ne suis bien nulle part, il faut que je soi
out le monde, pour le travail, pour tout, et alors j'ai beaucoup de mal dans la tête. Quand je ne regarde pas les lèvre
s parlent entre elles à côté de moi. je crois toujours qu'on dit du mal ; je me dis bien que ça n'est pas vrai, mais il
D ? nous fait com- prendre = il présentait alors du mutisme qu'il a mal à la tête, et il désigne avec la main la région
que j'ai reçu un coup de marteau sur la tête et que je conserve le mal ». A noter que la région superficielle correspo
« breuse. » Mais dans la majorité des cas l'organisme se suffit mal à lui-même pour la lutte et il faut lui venir en
tion qui s'observe entre un asile et un autre, quant à l'étendue du mal et au nombre de ses victimes. Alors que dans un
tuber- culose dans leurs asiles et les remèdes opposés par eux au mal . » En Allemagne, nous avons été devancés par un
ent à bas prix des appareils de rebut qu'ils réparent tant bien que mal . La lenteur de la décompres- sion, dit Boinet,
l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un état de mal grave. 6° Les principes toxiques épileptogène
menté sur le lapin, et Cellie, ayant déclaré que l'espèce avait été mal choisie, ,\1. et 1 ? refirent leurs expériences s
ègles, turbulents, inattcntifs, qui troublent laclasse eldcnnenl du mal leur professeur Ce sont de faux anor- maux. Les
t laclasse eldcnnenl du mal leur professeur Ce sont de faux anor- maux . Les vrais anormaux ont Lous des Lares : 1° pal'
ussi. M. Bérillon. -Dans les classes, l'existence d'un seul anor- mal suffit parfois pourépuiser la bonne volonté et l'
ycho-somatique permet des succès rapides, faciles et durables. Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire. M. Fél
des succès rapides, faciles et durables. Le mal de mer vrai et le mal de mer imaginaire. M. Félix 11EGNAULT. -Désirew
mer imaginaire. M. Félix 11EGNAULT. -Désirew d'étudier, de près, le mal de nos SOCIÉTÉS SAVANTES. mer je me suis em
qué pendant toute la durée des vacances. Très souvent j'ai guéri le mal de mer, non par suggestion directe, mais par su
n médicament psychique, aucune spécialité réputée ne peut guérir le mal de mer qui sur- vient par les gros temps, .l'en
par les gros temps, .l'en suis arrivé à distinguer, d'une part, le mal de mer vrai, contre lequel rien ne fait,(iL moins
e l'on ait affaire à une personne hystérique), et d'autre pari le mal de mer imaginaire (produit par l'auto-suggestion,
mbreux succès en négligeant de traiter par suggestion indirecte des maux de mer imaginaires, dont j'estime la proportion
doute l'auto-suggestion occupe une large place dans l'étiologie du mal de mer; aussi bien d'ail- leurs que la contagio
n. Un jour des passagers racontaient auprès de moi des histoires de mal de mer ; je sentais que j'allais en 41re attein
tion dans l'étiologie elle traitement d'un certain nombre de cas de mal de mer. M. Paul Farez. i\I.IlegnauIt dit que la
aul Farez. i\I.IlegnauIt dit que la suggestion ne saurait guérir un mal de mer vrai que chez les hystériques.Cependant,pr
le cas suivant : la mer est très mauvaise, tout le monde souffre du mal de mer; survient le danger d'incendie, d'échoue
ndie, d'échouement, de voie d'eau : l'émotion est si intense que le mal de mer est supprimé chez tous. On ne saurait so
utenir que tous étaient des hystériques ou que tous n'avaient qu'un mal de mer imaginaire. Cette dérivation de l'attent
ette dérivation de l'attention a donc suspendu un certain nombre de maux de mer vrais; la suggestion est donc lé- gitime
M. 13ÉRILI-ON. - M. Paul Farez et moi-même avons immunisé contre le mal de mer des gens qui n'étaient pas le moins du mon
fendre de l'auto-suggestion. La suggestion thérapeutique guérit le mal de mer non seulement d'origine psychique, mais au
M. LINET-SANGL74. D'après M. Itegnault, si la suggestion guérit le mal de mer,c'est qu'il est imaginaire ; si elle ne le
. En effet, on ne nous apporte aucun élément de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer ima- ginaire ; on
apporte aucun élément de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer ima- ginaire ; on devrait nous dire en q
distinguent l'un de l'autre. M. Le Menant des C.HESNA15. - Si le mal de mer imaginaire est seul justiciable de la su
à elle, vous faites un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai elle mal de mer imaginaire, elle m'es
un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai elle mal de mer imaginaire, elle m'est apparue comme une
tion, ni l'approche d'un danger n'ont mo- difié l'intensité de leur mal de mer. MM. LEPIN.1Y ET POTTIER expose les moda
de leur mal de mer. MM. LEPIN.1Y ET POTTIER expose les modalités du mal de mer chez les animaux, lesquels subissent aus
il nous a paru indiqué de renoncer à la douche froide généralement mal acceptée, et de lui substituer la douche tiède
ent constant dn nom- bre des laibles d'esprit et l'hérédité de leur mal , a émis hier un voeu en faveur d'une interventi
s et soeurs,elle aime à être caressée. Elle n'aime pas à faire du mal . Instincts non pervertis ; pas d'onanisme ; aur
ns toute l'étendue de la poitrine, l'enfant respire d'ailleurs très mal . Son teint est de plus en plus pâle ; les lèvre
é- sentée par des faisceaux de tissu conjonctif adulte, soit nor- maux , soit avec tendance à la prolifération évoluant v
nomènes et sur les rapports clini- ques et pathogéniques du « petit mal moteur » avec les tics) certaine- ! myoclonies.
sé par un incident de ta- chycardie paroxystique. G. C. XLVIII. - Mal perforant buccal; par M. PALLIASSE. (Lyon médic
dents de la mâchoire supérieure, résorption du re- bord alvéolaire, mal perforant buccal. Les perforations sont pla-' c
identique. La thèse de Ilenry reproduit toutes les observations du mal perforant buccal, ce qui porte actuellement à d
nsonge, à la ruse et à l'hypocrisie. Le traitement psychologique du mal de mer. MM. Félix REGNAULT, Paul Farez, Pamart,
, Magnin, Demonchy échangent des vues au sujet de la distinction du mal 476 LÉGISLATION ET ASSISTANCE. de mer vrai
inction du mal 476 LÉGISLATION ET ASSISTANCE. de mer vrai et du mal de mer imaginaire, ainsi que sur l'effica- cité
que sur l'effica- cité de la suggestion contre certaines formes du mal de mer. - Cette discussion ne peut être épuisée
n- tassés : par contre, les infirmiers et gardiens sont, en genéral, mal rétribués et en nombre insuffisant, et bien que
p;-consc ! 'ent.(ia(rne être sent qu'il a en lui un être inconnu ou mal connu avec lequel il voisine. Ainsi s'expliquen
me et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anor- maux : Retardataires, instables, timides, indociles pe
lames, par Mme Déjerine. p. 48. Loi. La sur les aliénés, p. 329. Mal de mer. Le vrai et le - - - imaginaire, par Ré-
La en médecine mentale, par Derou- baix, p. 23. dans l'état de mal , par Friedel. p. 158. Les - - en série au cours
20 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
ième siècle, un homme appelé Didier, qui passait pour guérir tous les maux . Il traitait les paralytiques en les faisant couc
quelles la main avait été maintenue, un saisissement qui dissipait le mal : « On n’ignore pas, ajoute cet académicien, que p
e cet académicien, que plusieurs charlatans calment et suspendent les maux de (1) Œuvres médic. d’Ambr. Paré, t vol. in-fo
placé dans un des paniers que portait cet âne. Mais le fond avait été mal assuré, les clavicules qui servaient à l’assujéti
fond avait été mal assuré, les clavicules qui servaient à l’assujétir mal mises; bref, je tombai sur la route avec les orei
châtié chaque fois que je rentrais, on mettait sur mon compte tout le mal arrivé à la maison, mal qui s’était fait en mon a
e rentrais, on mettait sur mon compte tout le mal arrivé à la maison, mal qui s’était fait en mon absence. Des objets étaie
nsurable? Comment agit-elle sur nous, et comment peut-elle guérir Ips maux ? Ma joie était troublée par le besoin de connaîtr
ire avec toutes leurs drogues et tous leurs agents. Vous guérirez des maux désespérés. — Vous vous expliquerez alors celte l
Alsie (c’est le nom de la vache), s’est trouvée subitement prise d’un mal si violent, que ^vétérinaire appelé, après l’avoi
dernières causes, et très-probablement par l’effet du magnétisme ani-• mal . « La Cour n’oubliera pas ce très-probablement
ement, sont les « seules vraies causes attribuées au magnétisme ani-« mal , par conséquent tout traitement public où les « m
prends à regarder comme un bien ce que je considérais alors comme un mal ; je ne changerais point ma vie pour celle du plu
c’est désobéirau dieu lui-même, et partant s’exposer aux plus grands mal » heurs, aux plus sévères châtiments. C’est donc c
nant 011 nous demande s’il est vrai que ces hommes ont, pour faire le mal , la puissance qu’011 4eur attribue, si, en un mol
rires.) etienne vermot. Il a recours à la femme Desaillous pour un mal d’yeux dont il était affecté ; la femme Desaillou
elle a dit qu’il avait l’air d’y pas toucher, mais qu’il me ferait du mal s’il pouvait. D. Est-ce que vous n’avez pas eu
ions chroniques, qui guérit les désordres organiques, qui les simples maux de nerf; d’autres enfin ne traitent que les incur
é à les guider au milieu de ces ténèbres. Est -ce un bien ? Est-ce un mal ? je ne le sais ; mais si jamais ils parviennent à
vation, je gravais sur une table d’airain un des premiers remèdes aux maux désespérés. Comme un invisible messager, j’envo
te-dix ans que les magnétistes réparent, autant qu’il est en eux, les maux causés par la médecine dite savante, et l’Académi
pouse de M. le principal du collège. Je souffrais depuis longtemps de maux d’yeux et de maux de tête qui parfois m’ôtaient l
ait ma guérison, c’élail l'excessive préoccupation que me causait mon mal . « Vous y pensez sans cesse, me dit-elle, cl souv
rties où je souffrais, et je répondais par oui; elle trouvait bien le mal sans qu’on le lui indiquât. M. Anctin s’est beauc
J’ai consulté la somnambule : elle m’a pris la main, m’a indiqué mon mal et m’a ordonné un traitement qui m’a parfaitement
ite, avant la consultation. M“c Rose a palpé mon fils et a indiqué le mal ; les remèdes ont été pris à Nogent. A la seconde
apelière à Nogent. J’ai consulté Mme Rose pour mon fils qui avait des maux d’yeux. Elle le palpa, puis nous dit que la cause
i avait des maux d’yeux. Elle le palpa, puis nous dit que la cause du mal était dans le cerveau. Elle prescrivit des remède
n fut arrivé, je pris une consultation. M"“ Rose me palpa, me dit mon mal ; elle m’a bien guérie. Les médecins n’avaient pu
s maladies. l5° m. rosel-sortais, de Nogent. Ma femme était au plus mal , et notre médecin avait déclaré qu’elle était per
les efl'orts des médecins, et que sa femme a été guérie par elle d’un mal de sein qu’il croit avoir été un cancer. 180 m“
gémir profondément sur un ordre de choses qui obligerait à rendre le mal pour le bien, et à frapper comme un vil malfaiteu
aiteur une personne dont l’existence est consacrée au soulagement des maux de ses semblables. Mais heureusement, et nous esp
ropbobie , etc. , le médecin, pour tout soulagement, nous nomme notre mal en grec ou en latin, et nous débile de fort bel
alement une de ses mains sur la partie du corps répondant au siège du mal , décrivait, non-seulement les caractères de la ma
r eu recours à aucune question, elle affirme positivement la cause du mal , qui se trouve être précisément celle que le doct
e l’éloge en disant que s’ils ne font pas de bien, ils ne font pas de mal . Peut-être alors, si elle n’eût été animée que de
ue pour la combattre. De lit les panacées qui doivent guérir tous les maux . Sans parler du D1 Sangrado, qui traitait tous se
mais on persuadera difficilement à ceux qui ont été délivrés de leurs maux , qu’ils sont coupables de révolte contre llippoc
ivit, et dit qu’il était assis dans une partie du vaisseau : il avait mal à l’une de ses jambes, qui était nue et décolorée
le magnélisa quelque temps avec l’intention de s’assurer du siège du mal , par la sensation qu'il éprouverait. Le résultat
toucher un malade avec le déiir de le soulager et de le guérir de ses maux . Commencez d’abord par poser une main, ou toutes
liques, dans des chambres séparées, au local social ; 4° 1ue quand le mal l'exige, les magnétiseurs se transportent au domi
es appartenant à des langues étrangères, quelquefois, il lus prononce mal ; mais pas de manière , cependant, à obscurcir son
la bouche de Solon. « La mort, dit-il, est pour certains hommes un mal qui les frappe d’une profonde terreur. C’esl de l
uscultation est une magnifique invention, mais Laennec a fait plus de mal aux médecins que Montaigne, Molière et Rousseau.
sous pour le purgatif agréable. « Et le chloroforme, a-t-il fait du mal aux chirurgiens ! Si bien qu’il en est aujourd’hu
et parut très-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus éprouver aucun mal . » La lettre suivante nous a été dernièrement a
sation la plus forte s’affaissant plus rapidement sous l’empreinte du mal que l’organisation la plus chétive, pourquoi sera
nts digitaux en dirigeant les doigts réunis en pointe sur le siège du mal . « Le fluide sort alors avec plus d’abondance de
avez, Messieurs, c’est avec cet agent que nous guérissons souvent des maux désespérés. « Ce tableau, loin d’étre exagéré,
fable de son cru, dite avec une bonhomie si malicieuse que les rires mal contenus l’interrompaient sans cesse. Voici cet
eu a mise en chacun de nous, tenteront de porter des soulagements aux maux de leurs semblables. A côté de magistrats voyan
Une longue expérience prouve cependant que la justice a toujours été mal venue à prononcer des arrêts, quand comparaissait
’en fera justice !..... « Songe que l’homme est pétri de bien et de mal , en tant qu’esprit et matière : l’homme est tigre
ectifiant mutuellement, ils nous dispensent d’insister sur les points mal rendus. C’est la Presse qui a pris l’initiative
de la vue à distance, comme une sibylle moderne , elle aurait eu des maux de nerfs, — que dis-je? elle aurait jeté des cris
e , en disponibilité el au traitement de réforme ; ennemi de tous les maux qui affligent le genre humain» Habitant Pau. (Bas
, était malclassée, pour que les convulsionnaircs ne se fissent aucun mal , cl dans les séances de propagation magnétique, o
journellement, et il semble quelquefois que leurs mains absorbent le mal ; mais cela 11e suffit que rarement, et nous ne co
m-nambuliseurs qui, dédaignant les livres de nos maîtres, exploitent, mal ou bien, une machine bonne ou mauvaise. Puységur
ulisme imparfait, quelques endormeurs immoraux ont essayé de faire le mal ; mais nous délions qu’on puisse nous citer un seu
ions qu’on puisse nous citer un seul exemple où il soit résulté aucun mal de la magnétisation directe, quelque longue, quel
irecte, quelque longue, quelque fortement concentrée qu’elle ait été. Mal administrée, la magnétisation ne peut jamais deve
es personnes, dans la crainte qu’il ne s’en trouvât d’un esprit assez mal fait pour s’en fâcher; mais si M. le Dr Taxil veu
nétisa dix ou douze jours, environ une demi-heure chaque fois, et le. mal disparut. Mrac L,..., rue Claiborne : névralgie
ffet, 011 évite de parler du fond delà question, pour nous attribuer, mal à propos, l’intention de recommander les doses tr
ever quelques-unes de ses propres inexactitudes?... Que j’aie bien ou mal compris une de ses phrases, el que, pour rétablir
lesquelles le dialogue suivant s'établit : «Est-ce qu'on vous fait mal ? — Personne ne me touche. » Puis elle s’entre
z le paysan malade, et lui adressa des questions sur l’origine de son mal . Le charron répondit que sa maladie provenait du
un ami précieux ou à rendre la santé à celui qui est tourmenté par un mal douloureux, serait le récompenser au centuple de
érison clos malades avec un succès remarquable. Des maux de tête, des maux de dents, des douleurs névralgiques et rhumatisma
ec la nouvelle science; car, qu’y a-t-il de plus propre à guérir un mal de tête obstiné ou une maladie du cerveau, qu’une
mploie sur les malades atteints de rage, de folie furieuse ou attires maux analogues, il se pourrait qu’il en résultât du bi
geant qu’une petite expérience sur cet homme ne pourrait pas faire de mal dans ce cas désespéré où la morl était si prochai
le juge Poley refusa d’admettre l'accusation, comme étant frivole et mal fondée, sinon malicieuse. M. Fiske avait été in
age par instinct, à son insu, et qu’il fait quelquefois du bien ou du mal , sans le savoir, sans le vouloir. Qu’il s’étudie,
fois électricité cl magnétisme n’ont-ils qu’amendé palliativement les maux que banalement on leur a opposés! Il faut que le
rt de magnétiser consiste à faire du bien aux autres sans se faire de mal à soi-même, et on l'apprend en lisant les Manuels
les; car la nature prévoyante et sage a mis partout le bien à côlé du mal , le remède à côté de la maladie, le médecin à côl
sez par la puissance magnétique, c’est qu’elle était homéopathique au mal que vous combattiez. iN’esl-cc pas là toute l’his
ne faudra-t-il pas se hâter de l’accuser, car il aura peul-êlre deux maux au lieu d’un à combattre, et le pire des deux ser
une première idée (i)....................... Les maux de tête, les maux de dents, le tic douloureux, les rhumatismes et l
on soutenue; mais l’effet n’en est pas toujours prompt, surtout si le mal est ancien ou s’il a été aggravé par des remèdes
s jours, par d’autres mains que les nôtres, alléger momentanément des maux de dents,etc. etc., comme insuffisant, puisque ni
maladies aux mille noms; dans les rhumes, causes premières de tant de maux , souvent d’affections de poitrine appréciables se
e beaucoup le magnétiseur qui donne de sa vie au risque de prendre le mal des autres, et qu’011 ne paie guère ce que valent
Remercions d’abord M. J. B. de nous faire remarquer que nous l’avons mal compris; c’est un tort que nous sommes disposé à
ladies aux mille noms. Ainsi, les rhumes, causes premières de tant de maux , qui ne sont qu’un trouble vital de la muqueuse p
palement parce qu’on n’y a recours que lorsque la vie est usée par le mal ou par les remèdes, et pourtant dans ces cas enco
isme échoue , ce n’est pas seulement parce que la vie est usée par le mal ou par les remèdes, condition si commune aux main
. Même chose pour le petit D., âgé de quatre ans : vous palliez son mal , vous le quittez à cause de votre impuissance d’a
s’est revélée à moi ; et cependant un sentiment me dit que je fais le mal en louchant à ces choses ; je ne sais d’où il vie
prouvent des tiraillements, des picotements, des fourmillements ou un mal de tète subit. Les femmes ne sont pas seules acce
E X. — K" H3G. — NO\EMl)URE 1831. 11 pendant environ une minute, le mal doit avoir disparu. Sur plus de cent expérience
rois personnes sur quatre auraient le même succès que moi. Pour les maux de dents et les rhumatismes, j’ai toujours réussi
ité en contact avec la sienne; en portant ensuite l’autre main sur le mal , vous établissez un vrai courant, vous enlevez l’
une valeur pratique. G. JOLY. P. S. Dans les maladies graves, le mal revient quelquefois ; alors il faut plusieurs app
u’il fallait quelquefois bien plus d’une minute pour guérir. Quand le mal est grave el chronique, il faut persister. Si vou
mites, et je ne les connais point. Voici comment j’opère lorsque le mal est intérieur, l'on verra que ce remède est aussi
l faut appeler science, art, philosophie, magie, recèle le bien et le mal , c’est tout et ce n’est rien. Vous y trouverez le
phale, fut respecté, car je souffrais avec toute la conscience de mon mal et je suivais mon ennemi dans toutes ses attaques
e maudite névrose, tantôt un peu mieux, le plus souvent beaucoup plus mal , lorsqu’un de mes amis, magnétiseur et homéopathe
montra la lucidité la plus étonnante. Elle m’expliqua la cause de mon mal (une ascension de neuf heures de marche au sommet
les mains : « Bon espoir, me dit-elle, vous touchez à la fin de vos maux . Votre maladie a eu pour cause prédisposante votr
e magnétique de M. Capern pour soulager les souffrances et guérir les maux , son dévouement au mesmérisme, son activité, son
a névralgie, le rhumatisme, l’épilcpsie, la danse de Saint-Guy et les maux de nerfs caractérisés. Presque toutes ces affecti
a l n cnfanl ayant une jambe plus courte que l’autre, par suite d’un mal à la hanche, fut reçu à la fin de novembre, et le
ici de quelle manière il rend compte de son état aujour. d’hui. « Les maux accumulés dont j elais accablés « sont affaiblis
erie des prétendus magnétiseurs, exploitant à l’aide du somnambulisme mal développé, la crédulité des personnes trop empres
la persévérance nécessaire; car sans cela on ne ferait que pallier le mal : il faut aider la nature aussi longtemps qu’elle
les est à peu près aussi certain que s’il s’agissait de leurs propres maux ; les liens d’affection semblent y être pour quelq
eau magnétisée, ajoute-t-il, a cet avantage, qu’elle ne peut faire de mal , qu’elle passe facilement, et que les malades la
écouvrit à Salomon plusieurs sortes de mélodies, suivant la nature du mal que l’on voulait dissiper. Elien (6) nous apprend
inutilement, par tous les moyens connus, de calmer ou de déplacer le mal . Au mois d’août 1848 , la paralysie envahit le
cin- quante dans les vingt-quatre heures. Les médecins regardant le mal comme incurable, se bornent à l'emploi des calman
é aux lieux dont elle fut bannie, remonterait avec elle le courant du mal et lui ferais toucher successivement tous les riv
la tirer du lit et l’asseoir sur un fauteuil; mais elle, se trouvera mal les premières fois. Elle marchera, le icr avril,
pour que cette voie de compensation d’un peu de bien pour beaucoup de maux me fût ouverte, que la justice des hommes sortît
la cause : hier, à huit heures du soir, Eugénie s’était trouvée fort mal à son aise; on s’aperçut bientôt qu’il n’y avait
magnétisât pas sa malade, « parce qu’on pouvait lui faire beaucoup de mal . » Rien pouvait beaucoup !.... On la magnétisa, c
yennant une somme de 5o francs, voulut bien se charger de détruire le mal . Remettant à la jeune fille une petite fiole plei
st un esprit que ma science somnambulique enverra pour arracher votre mal , etc. » Adélaïde suivit les prescriptions de la
cusatrices que quelques mouchoirs, dont elle expliquait tant bien que mal la possession. Cette femme fut laissée en liberté
hement, 485. Extraction de glandes, 518. § II. Cas de médecine. — Maux et affections guéris ou soulagés par le magnétism
712, — par l'eau, 714, — par la salive, 719, — par la musique, 720. Maux communiqués sympathiquement du malade au somnambu
, 210, 250, 446, 613, 654, 747, 758. — Communication sympathique de maux . 219. — Erreurs dessom-nambules, 452. — Extase, 2
21 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ait été tout à rebours, et avec une rare inintelligence, ce qui cadre mal avec ce que M. le professeur Liégeois nous appren
ossible de fournir un travail continu, aussi ses études ont-elles été mal faites. En 1883, il eut un ictère simple; on ne r
ut sonore. Cela posé, je découvre l'abdomen et je lui demande où il a mal . Il me signale la région qui est à droite de l'om
ropager quelquefois vers Thypogastre, et quand vous urinez, vous avez mal . L'enfant répond enfin que la douleur s'étend que
derrière toi. et tu iras au tableau noir où tu écriras : Je n'ai plus mal au ventre, ni à la poitrine. Cela dit, je vais le
e que son organisation native lui donnant la conscience du bien et du mal , lui suggère une répugnance instinctive pour le m
nce du bien et du mal, lui suggère une répugnance instinctive pour le mal ! Mais il est des sujets qui sont nés sans consci
ce, ou qui n'ont pas reçu les bienfaits d'une éducation coercitive du mal ! Ceux-ci résisteront-ils aux suggestions d'actes
e, au début de sa carrière, je ne dis pas d'hypnotiseur, le mot sonne mal , mais de psychothérapeute, on se laisse facilemen
Bornéo, masse son client durant de longues heures, jusqu'à ce que le mal se décide à partir. Quelle suggestion pour l'opér
de lui ouvrir la bouche. Il lui jeta alors dans la gorge une liqueur mal odorante, lui injecta de l'eau-de-vie dans les na
i courent les hôpitaux de ville en ville pour se faire débarrasser de maux imaginaires. La quatrième variété comprend des
ue n'a jamais été observé. Il est très difficile, dans l'hypothèse de mal comitial larvé, d'admettre cette conscience si lu
de toute sa vie, il ne ressentit plus aucune atteinte de ce terrible mal . » C'est une de ces guérisons d'attaque hystéri
de s'être refroidi, depuis deux ou trois jours, il aurait eu déjà un mal de tête frontal et à la nuque persistant encore a
ventre, surtout à l'aine droite et dans la région rénale. De plus, le mal de tête a reparu hier soir. Il résiste aux tentat
s les membres inférieurs. Hier et avant-hier, il a eu constamment son mal de tête frontal et occipital ; il a essayé de se
tive, plus il démontre et affirme d'un ton tranchant qu'il a toujours mal . Devant cette fin de non recevoir, devant ce pa
donnons dans ses propres idées. Le lendemain, 17, il trouve que le mal de tête n'a pas diminué, mais il a moins de verti
ur en urinant. Le 18, il dit qu'il a pu dormir la nuit, il n'a plus mal en urinant, le mal de tête est moins violent. Il
18, il dit qu'il a pu dormir la nuit, il n'a plus mal en urinant, le mal de tête est moins violent. Il a eu hier dans l'ap
ve, hier, pendant le sommeil, Ta piqué avec une épingle et lui a fait mal . Je n'insiste pas, et je dis : a C'est inutile. J
cer la chose. Le 20, même état. Il me raconte qu'il y a deux ans un mal de tête analogue a disparu, après qu'il eut pris
tes. J'évite d'ailleurs de les réveiller par la pression. Le 22, le mal de tête disparait un peu; la douleur de ventre a
st plus sensible à la pression. Continuation des pilules. Le 23, le mal de tête est un peu passé, ainsi que le mal de ven
n des pilules. Le 23, le mal de tête est un peu passé, ainsi que le mal de ventre. Mais il accuse, depuis le 2i, une doul
ême état les jours suivants. Le 26, il dit que depuis avant-hier le mal de tête est revenu malgré les pilules. De plus, i
vant-hier le mal de tête est revenu malgré les pilules. De plus, il a mal au larynx quand il respire. Les douleurs dans les
maladie tire à sa fin. 28. Hier, le malade accusait de nouveau son mal de tête et ses douleurs de mollet. Aujourd'hui, p
é nerveuse de certains malades, à la faveur aussi d'une thérapeutique mal appropriée à l'état psychique, que je ne puis m'e
contracte ses traits. Au réveil, son premier mot est qu'il a toujours mal ; il semble irrité de ce que j'ai l'air de su
ns leregard un fluide magnétique capable de soulager presque tous les maux ; qu'il se borne à pratiquer, en s'entourant d'un
lui ar rivent spontanément ; l'instrument faussé reste muet 01 répond mal . Il y a d'ailleurs des transitions de tous degréi
ormis de nouveau en sommeil profond et lui suggérai la disparition du mal de tête, de l'oppression, des quintes de toux, le
toux, le sommeil toute la nuit. Au réveil, elle n'avait plus son mal de tête et se sentait comme desserrée. La nuit su
s, intermédiaires aux trois états classiques et qui ont été longtemps mal définis et entourés d'une grande obscurité? Ces
e contient une part de suggestion ; de nombreux auteurs, interprétant mal l'opinion du savant nancéen. crurent qu'il contes
omme nuisible et de mauvais exemple. Elle déchire et casse tout, fait mal tout ce qu'elle fait : « C'est plus fort qu'elle
pas et qu'elle en a le dégoût, qu'elle ne peut plus faire ce qui est mal et qu'elle ne le veut pas, qu'elle veut-être une
mieux en mieux, qu'elle ne pourra ni ne voudra plus faire ce qui est mal ; je répète, en quelque sorte, mes suggestion à l'
e son misérable état; elle dit que « c'est plus fort qu'elle de faire mal . » — L'impulsion est évidente. — Maltraitée plus
qu'il faut distinguer de la nausée et qui peut être la seule forme du mal de mer ; l'angoisse laryngée, gutturale, celle de
t disparait, mais le vertige ne cesse guère. Par moment la marche est mal assurée, déviée, les promenades à cheval sont aba
. « La loi s'y trouve complètement exposée, ainsi que le bien et le mal des actions, et les immémoriales coutumes des qua
ité de l'Ecole dentaire montre qu'en dehors de l'ingérence si souvent mal comprise de l'Etat, l'initiative privée peut souv
fisants contre la permanence de la cause physique d'où venait tout le mal . Ma conclusion de ce qui précède, c'est que, un
'ai pu le faire, elle m'a dit : « Je ne sais pas ce qui me pousse à « mal faire, c'est une volonté plus forte que la mienne
i je recommence « et pourtant je ne voudrais pas, je sais que je fais mal et je le « fais quand même ; je me sens énervée,
facilité, par la suggestion hypnotique. Si telle est l'origine du mal de notre intéressante dipsomane, ou plus exacteme
a course, il plut beaucoup, X... se mit souvent à la fenêtre etdormit mal . Il se leva le matin vers six heures et voyant qu
ressent des troubles gastriques qui provoquent un état d'hypocondrie mal défini. Quelques phobies apparaissent, se renforç
phobies est quelque peu complexe. Le traitement pharmaceutique a été mal supporté, la suggestion directe ne peut lutter, d
umatismes psychiques qui ébranlent et qui sont plus à redouter que le mal lui-même, car ils le renforcent bien souvent. M
peut avoir affaire à des auto-intoxications qu'un travail musculaire mal réglé augmente. Si un exercice modéré tonifie, un
t deux années environ. Au bout de ce temps, vaincue par la force d'un mal qui allait croissant et qui menaçait de détruire
aussi qu'en rentrant chez lui, il fut pris avant d'arriver d'un fort mal de tête, il vit passer un brouillard devant ses y
que. Mais si l'on veut tenir compte qu'au moment de l'apparition du mal comitial, cette fille n'avait pas moins de dix à
le feu et avait eu la figure elles mains horriblement brûlées, que ce mal fut combattu avec succès par le bromure à hautes
soir ; puis, apercevant son frère, se jette sur lui pour lui faire du mal . Quand j'arrive, la crise dure depuis 3 ou 4 he
de Dumas cette individualité, cette personnalité, qu'on aura bien du mal a remplacer... (Chronique médicale) CHRONIQUE
isité M. Hanquet ; j'avais cru, comme beaucoup d'autres médecins, son mal incurable, et, en novembre 1866, je lui délivrai
t les Chambres législatives belgés, p. 69. Paris, Félix Alcan. le mal s'étalait aux yeux, on ne peut admettre que les h
re par écrit. Je copie sa réponse: « J'étais atteint d'un violent mal de tête et dérangé de l'estomac. Je ne ressentais
mbes. Ceci avait commencé le 12 août 1880. Le 15, dans la matinée, le mal de tête allait mieux. Vers il heures du matin, je
tique vraie. La troisième s'est suggérée qu'elle devait avoir le même mal au même âge que sa sœur, et le second frère, par
a figure et les arrêtait ainsi. Quand, à 17 ans, il comprit que son mal dépendait de celle coutume fâcheuse, il s'abstint
e, il jeta le cri initial, mais, à ce moment, le désir de dominer son mal le lui fit réprimer, étouffer, ne voulant pas rév
désespérer, soit parce qu'il ne leur avait pas exactement défini son mal , ne combattirent que mollement son projet. Ce f
défini son mal, ne combattirent que mollement son projet. Ce fut un mal , car avec les plaisirs du mariage, goûtés sans di
qui restait des anciennes crises. Bientôt les derniers vestiges d'ua mal si ancien et bien réel (X... avait été réformé au
excitations amoureuses se modérèrent. Il eut, avec la disparition du mal , plus d'entrain, plus de confiance en lui-même. E
ne des causes pour laquelle l'onanisme est fréquemment atteint par le mal sacré, c'est la facilité extrême avec laquelle il
clatera rapide comme l'éclair. Au résumé, l'étude de cette cause du mal comitial ne présente rien d'extraordinaire et je
décharger. Les premières paralysent les secondes, elles triomphent du mal et le refoulent encore une fois ! Et ce qui dém
, alors que le plus souvent elle ne fait que soulager, que masquer le mal . D'où vient cette différence? On n'en sait rien,
é raide, douloureux et sans force ; cet ouvrier avait beaucoup de mal pour mettre sa main sur la tête ; il ressentait a
malades de ces avantages. Ces cas sont surtout ceux dans lesquels le mal semble plutôt moral que physique, et cependant je
temps, abandonnés à leur malheureux sort et, dans ces conditions, le mal ne fait qu'augmenter et s'aggraver de jour en jou
les autres, il accuse les circonstances, il s'accuse lui-même de son mal ; mais il ne pense pas qu'il lui soit possible de
ades prennent un plaisir étrange à entretenir en eux la cause de leur mal , et font d'une façon plus ou moins consciente, to
comme des malades, mais on les accuse d'être elles-mêmes la cause des maux dont elles souffrent, et au lieu de les plaindre,
qu'elle n'accuse jamais M. X., elle invoque une cause étrangère à ses maux , elle cherche, au contraire, toujours à l'excuser
e. Il y avait donc urgence à la traiter immédiatement et à arrêter le mal avant qu'il ait pu faire des progrès plus considé
st méchant volontairement, enseigne la doctrine socratique ; faire le Mal c'est ignorer le Bien; pour tendre au Bien il fau
njustice est involontaire. Dans le Sophiste : « Il y a deux sortes de maux de l'âme. L'un, quiest appelé par la foule méchan
e, mais tout en connaissant le bien et en le voulant on peut faire le mal : « Celui dans la moelle « duquel s'engendre un s
une âme malade et insensée par la faute du corps, il c est considéré mal à propos comme un homme volontairement « mauvais.
vec le moyen âge la théologie remplace la philosophie : le bien et le mal deviennent l'œuvre de Dieu et du démon avec l'hom
ès par la suggestion hypnotique Par le D' Auguste Voisin. Etat de mal hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations
s ans, par des ctourdissements suivis dc perte dc connaissance et des maux de tète. Du côté des parents, aucune tare. Ce
nts névropathiques, agit sur son moral, détourne son attention de son mal en la reportant sur une affection fictive de l'ut
é, à la prison, à la flétrissure, il pourra peut-être, comme un arbre mal venu, être redressé et devenir ce qu'on appelle u
22 ans, atteinte de troubles moraux et d'impulsions irrésistibles au mal . Celte malade, , qui s'était jusqu'alors montrée
n mari qu'elle épousa en octobre 1883. Le ménage ne marchait pas trop mal , sauf quelques ennuis jusqu'en 1887, année où son
eut ses premières hallucinations ; elle entendait les voisins dire du mal d'elle; elle se disait persécutée. En 1890 et 189
j'ai déjà eu maintes fois l'occasion d'appliquer, c'est-à-dire : « Le mal produit par la suggestion maladroitement ou crimi
té que son fils était toujours accompagné, à Oran, par un jeune homme mal famé, un certain B— Celui-ci avait un empire imme
ue B... était son ami, qu'il ne souffrirait pas d'en entendre dire du mal , etc. Tout cela, combiné avec les précédents de
de Tantipyrine, par exemple, empêcher à tout jamais le retour de leur mal . SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
22 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
rf médian (?). « On dirait qu'on me coupe le bras ou bien que j'ai un mal qui va aboutir. » Cette douleur, lorsqu'elle est
postérieure de la tète, puis descendant le long du cou : « Ça me fait mal comme des bourdonnements dans la tête, » Grâce à
série d'accidents : 1° Convulsions affectant les allures d'un état de mal ; — 2° Hémiplégie consécutive compliquée générale
nce. Ces accès, par leur continuité, constituent un véritable état de mal , accompagné d'une élévation souvent considérable
e remarque rien autre chose que les symptômes ordinaires de l'état de mal épileptique, avec limitation toutefois des convul
se plaint de douleurs assez profondes dans le bras paralysé, à trajet mal défini; — le pouce n'est plus fléchi comme autref
sivement. A l'âge de 25 mois, Per... est prise d'un premier état de mal convulsif; les convulsions qui ont duré neuf heur
aurait commencer à se montrer. A quatre ans et demi, nouvel état de mal convulsif pendant 4 ou 5 heures ; limitation des
e temps du retour de la roideur. Enfin, à cinq ans, troisième état de mal qui dure douze heures et dans lequel les convulsi
néral au membre supérieur, de même que les commuions durant l'état de mal . Parmi les autres phénomènes qui se surajoutent
ré cela, elle a marché à 16 mois. Les convulsions, durant cet état de mal , ensuite pendant les accès, ont toujours occupé l
nous avons dit qu'on l'avait observée 15 ou 20 jours après l'état de mal ; à cet égard nul doute : la mère assure que « l'
veiller, il peut arriver qu'elle tombe de son lit et qu'elle se fasse mal . è) Elle a ensuite des battements de cœur, et c)
e nous avons relevés dans les autres observations, à savoir : Etat de mal con-vulsif primitif, hémiplégie consécutive, épil
tose ? Dans ce cas, elle s'est montrée 15 ou 20 jours après l'état de mal convulsif. On l'a notée quand les mouvements ont
s du côté sain. Nous avons, jusqu'ici, passé en revue : 1° YEtat de mal convulsif; 2° Y Hémiplégie consécutive et Y Athét
ques jours, quelques semaines ou au plus quelques mois après Fétat de mal convulsif qui a produit la paralysie. Des sympt
, par accident exceptionnel, les accès prennent l'allure d'un état de mal , comme nous l'avons vu chez Pet... Marie (Obs. in
sie ordinaire, peuvent être isolés, sériels, ou constituer un état de mal . — Toutefois, nous devons faire une remarque très
souvent dans cette dernière, à savoir l'existence simultanée du grand mal (accès) et du petit mal (vertiges), clans Yépilep
ère, à savoir l'existence simultanée du grand mal (accès) et du petit mal (vertiges), clans Yépilepsie hémiplégique, les ve
ait de souffrir au creux de l'estomac, elle disait : « Maman, j'ai du mal ! » La face devenait très-pale, la connaissance d
. T... appellerait Finir* mière, dirait : Marie ! Marie ! je suis mal ... Je suis mal... ! Et il s'écoulerait un temps a
ait Finir* mière, dirait : Marie ! Marie ! je suis mal... Je suis mal ... ! Et il s'écoulerait un temps assez long pour
role est embarrassée, peu développée: il est des mots que T. prononce mal ; d'autres qu'elle est impuissante à dire. Elle pa
15 ou 20 ans. La lésion primitive, qui s'est traduite par un état de mal convulsif, une hémiplégie, etc., a déterminé un a
qu'avec moins de rapidité que ceux qui sont sujets, de plus, au petit mal . Ces malades ont un caractère moins désagréable
aucune souvenance de ce qui s'est passé. Elle se plaint d'avoir plus mal à la tête que ce matin. Disons à ce propos, que,
t un temps plus ou moins long. Du 15 au 26 septembre, petit état de mal hystérique. — 15 et 16 septembre, secousses. 2
les accès se multiplient, au point de constituer un véritable état de mal . Alors, la température ne dépasse guère 38°,5 ; l
en qu'hébétée, ne tombe pas dans le coma ; tandis que, dans l'état de mal épileptique classique, la température s'élève rap
vessie et de Vurèthre). On retire environ deux litres d'urine. V... a mal dormi, souffrait du ventre ; il en est souvent ai
attaques se montrent généralement par séries, constituant un état de mal hystéro-épileptique. Nous avons vu que V... avait
ugmentation des mouvements choréiques. Plusieurs fois, ces états de mal hystéro-épilep tiques ont laissé après eux des tr
donnant lieu, à son tour, à une rétention d'urine. Le dernier état de mal a laissé une paraplégie incomplète avec incontine
nte quelquefois à l'approche des attaques et surtout après un état de mal hystéro-épileptique ; d'autres fois, au contraire
.., auquel ceile-ci l'avait en quelque sorte livrée.Lepèrede L... est mal avec sa femme, ne veut pas qu'on lui parle de sou
dans le côté gauche. 6 juin.— L... a eu plusieurs fois des états de mal hystéro-épileptique. Ce matin, elle a été prise à
chon!... Je le dirai à papa... Cochon! que tu es lourd!... Tu me fais mal .» En même temps, elle a quelques petits mouvement
né l'exemple... Je ne comprends pas que tu dises que je tombe du haut mal ... Je suis contente de te voir, pour avoir des no
ds ! » L... a peur ; elle pleure ; demande qu'on retire ces ani maux , se débat. Nous comprimons la région ovarienne dr
ses dans les membres du côté droit. En voulant boire, elle s'est fait mal aux dents ; en descendant les escaliers, elle est
. Je ne le peux pas... G est impossible. . . Et puis, non ; je ferais mal et papa me gronderait. .. Ensuite, j'ai M. C...;
qu'il me tuerait... Je vous dis que c'est lui qui veut... 11 me fait mal ... Il dit que plus tard ça me fera du bien. . . P
ne boirai pas 1 (Elle serre les dents). Oh ! vous m'avez fait trop de mal ... non, vous n'y arriverez pas. » (Elle croise én
ons que les attaques se montrent par séries, constituant des états de mal hystéro-épileptiques et que la malade a été, à ce
borne même à cette seule variété d'attaques, constituant des états de mal hystéro-épùeptiques. Aussi, des personnes, peu au
us les yeux de véritables accès d'é-pilepsie, ou un véritable état de mal épileptique. Or, il n'en est rien, et parmi les s
e reste à 38° ou 38°,5, tandis que si l'on avait à faire à un état de mal épileptique elle atteindrait 40°, 41° et môme 49°
X..., sous une forme comparable jusqu'à un certain point à l'état de mal . On se rappelle que celui ci se compose, à son pl
ïes. — Début des grandes attaques (16 ans). — Alastody-nie. — Etat de mal hystéro-épileptique. — Hémianesthésie droite.— Ré
llait que sa mère se levât pour la rassurer. Souvent,elle se trouvait mal pendant 3 ou 4 minutes (attaques syncopa-les). En
nt le jour ; elle vaguait avec les autres enfants du voisinage, était mal soignée, nourrie irrégulièrement et ne fréquentai
pas... J'irai le sauver... (Effroi). Il vient encore pour me faire du mal , celui-là... tout uniment pour ça... » A... crie,
n'a pas été complète et que la malade est encore sous le coup de son mal . Les attaques se présentent par séries, durant
us pratiquons la compression : G... se réveille. — « Vous me faites mal , dit-elle. » — Qu'avez-vous ? — « Je ne puis le d
toute meurtrie et » livide ; toute noire et plombée ; toute gâtée et mal » accommodée, sans sçavoir d'où pouvoient venir m
76, 78, 82, 86; — Contracture, 75, 77; — Convulsions, 69; — Etat de mal , 84, 88; — Pronostic, 68. — Température, 74, 84,
ant les accès, 32. Erotisme, 79, 162, 164, 210, 219, etc. Etat de mal hystérique, 78, 80 ; — Température, 78; — épilept
23 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
un certain nombre de scolioses qui n'ont pas d'autre origine. Si le mal est observé à son début, une talonnette qui exh
t à des « mamelles », avec mamelon saillant ; organes génitaux nor- maux ; intelligence moyenne. (Fig. 1.) 5. OTTO, 1841
he totalement absent; membre inférieur droit représenté par un pied mal conformé, directement articulé avec le pelvis.
sa mère, âgée de 30 ans, avait eu une grossesse et des couches nor- males . L'enfant pesait 2250 grammes et paraissait en
palpation de l'avant-bras montre que le squelette du coude est nor- mal , on sent très bien l'olécrane et la tête radiale
à sang froid, or qui ne sait que la propriété de repousser est nor- male chez le salamandre par exemple, ou encore dans le
droite, la forme de la phalangine se rapproche davantage de la nor- male ; elle est plus longue que la symétrique, et légè
ils regardaient comme avilissant. Cependant, pour ne parler que des maux les moins graves, mais non pas des moins doulou
s guérisseurs des pauvres diables en quête d'un soulagement à leurs maux . Leur chirurgie rudimentaire était quelquefois
s, au temps d'Adriaen Brouwer et de David Teniers. Dans une chambre mal éclairée, aux murs enfumés et décrépits, sous un
x de trouver, pour une maigre obole, quelques soins grossiers à des maux exaspérants. Ils entrent en clopinant, appuyé
ed dou- loureux et se penche pour regarder de plus près le siège du mal . ' Alors, selon qu'il s'agit d'une excoriation,
touri ou scalpel, méthode palliative qui n'atteint pas la racine du mal et ne met pas à l'abri des récidives. Puis l'
vieilles et nouvelles, ulcères, écrouelle, cancer, noli me langere, maux des mamelles, chancre, -morsures de chiens enra
implicité, s'ins- pire aussi bien des chagrins que des liesses. Les maux du corps ne les laissent pas indifférents. Pl
sans souci de la taloche que lui vaudra tout à l'heure cet onguent mal fondu. Les accessoires restent conformes à la t
le remède n'est pas plus dou- loureux ni même plus dangereux que le mal ! Ne cherchons pas à connaître le caustique emp
rsale du pied. Jeune, le nez crochu, les lèvres minces, les cheveux mal frisés, il'est t coiffé de l'inévitable bonnet
loupes, servaient à concentrer les rayons lumineux sur le siège du mal . Nous les retrouverons dans presque tous les tabl
bitude sans acci- dent aucun. Dans la nuit du 13 au 14 juillet le mal reparut : sept attaques consécu- tives. Cette f
fait est affirmé par plusieurs personnes qui ont vu M... en état de mal ). Enfin, ce joui--là, M... se mordit t plusieur
bintrantes; le malade tomha du premier coup en un véritable état de mal permanent. C'étaient de grands accès épileptiqu
èrent de nouveau, M... reprit connaissance et sortit de son état de mal , brisé, abattu; mais cette fois encore guéri, e
CÉRÉBRALE 79 une violence inouïe, et le malade succomba en état de mal dans le courant de la nuit, sans avoir recouvré
n ait quelque chance de rencontrer cette lésion à la surface. Si le mal est profond, la crâniectomie est inutile et les
pour faire disparaître les douleurs comme pour prévenir un état de mal d'où peut résulter la mort. Cette conclusion -
bles sensoriels d'aucune sorte. La vue, l'ouïe et le goût sont nor- maux ; les pupilles réagissent bien à la lumière et l'
de l'index, ce qui permet d'imprimer au doigt des mouvements anor- maux . Atrophie considérable des émiuences thénar et hy
st pris d'angoisse. « Si vous continuez, dit-il, je vais me trouver mal . » Et effectivement il s'agit là d'une véritable
mmes. Leur volume est sensiblement normal. La capsule se décortique mal . Par places, existent des kystes. La substance co
érations diffuses des cellules des tubes contournés qui se colorent mal en général. Les glomérules sont peu atteints. L
eurs au niveau du foyer, par progression du foyer tuber- culeux, le mal de Pott est encore susceptible de provoquer une s
, m'est amenée de temps en temps, depuis environ une année, pour un mal de Pott dorsal moyen en voie d'ankylose. Ce m
ne année, pour un mal de Pott dorsal moyen en voie d'ankylose. Ce mal de Pott a débuté à l'âge de 7 ans 1/2. Il parait
us dorsal nécessité par son affection. OBs. II. -Le second cas de mal de Pott dans lequel j'ai constaté l'exis- tence
eune femme, de vingt-cinq ans environ, hystéri- que, et atteinte de mal de Pott dorsal moyen avec gibbosité et crises d
ose osseuse ou articulaire. Lorsqu'elle survient dans le cours d'un mal de Pott, elle peut exercer une influence fâcheu
on pied droit sur un escabeau, se penche en avant pour regarder son mal et soutient sa jambe sur ses mains croisées.
lies de quelque liquide bienfaisant. Sur l'une d'elle se lit, assez mal d'ailleurs, le mot Rose ou Rosat. Nous n'insiston
ins croisées (Fig. 3). Les accessoires n'ont guère varié : fauteuil mal équarri auquel est ac- croché le chapeau du mal
ppuyé sur un bàlon. De piètre mine, misérablement vêtu, coiffé plus mal encore d'un feutre gris déformé, ce n'est pas pou
attendant son tour, ému à la pensée qu'il souffrira bientôt le même mal , sa vilaine moue exprime bien la répugnance aux
nche fait le tour de son cou. Mais la face est vulgaire et la barbe mal soignée. (1) N° 141 du Catal., B. H., 38, L. 27
e de bésicles énormes, la poitrine ornée de colliers de molai- res, mal éclairée par une petite lampe fumeuse, applique s
ans les rues, disoit sans cesse : « Je tire les cors des pieds sans mal ni douleur. » Je ne sçais s'il exécutoit sa prome
'il exécutoit sa promesse ; mais s'il le faisoit, on le payoit fort mal , car il étoit très mal vêtu et pa- roissoit for
se ; mais s'il le faisoit, on le payoit fort mal, car il étoit très mal vêtu et pa- roissoit fort gueux. S'il avait eu
sement mettre il profil la crédulité populaire, en prônant, pour des maux souvent intolérables, un remède facile et à bon
ETTE ET A. CHIPAULT tique efficace contre ses accidents trophiques ( maux perforants, etc.), ainsi que l'un de nous l'a r
établissement hydrothéra- (1) A. CIIIP.1ULT. De la cure radicale du mal perforant par l'élongation des nerfs plantaires
iquée. Restent les ataxiques parvenus à la deuxième période de leur mal , en voie d'incoordination, chez lesquels l'affect
atalement voués à une évolution progressive et assez rapide de leur mal : chez ces ataxiques, de tous les plus nombreux
BOIX mité au pied droit. Chez la première de ces dames, le siège du mal est à' l'indicateur. La conformation angulaire
p. 421, citât. Raymond). (4) RAYMOND. Des myoclonies in Clin, des mal . du syst. nerv., Paris, 1896, p. 556. 222 GRASS
l'habitude » et que les Allemands l'appellent aussi d'un mot « pas mal choisi » une maladie de l'habitude (Gewolm- hei
l'infantilisme se présente à nous sous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits. Le
ous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits. Le problème est actuellement beaucoup
par Brouardel et par les élèves de ces deux maîtres sont des êtres mal venus, retardataires à tous égards, de petit es
ignorons si le corps thyroïde avait conservé des proportions nor- males ; mais tout fait croire qu'il était atrophié co
rgnait aucune génération, on voyait beaucoup de ces êtres rabougris, mal venus et à courte vie,que le dialecte local désig
e, ce qui est le cas pour les malades des hôpitaux, qui, indigents, mal soignés chez eux, nous arrivent pour être placé
egretté maître M. Charcot, Arch. de physiol., 1868, et Leç. sur les mal . du syst. nerveux, t. I). Ces arthropathies sont
ces concernant la structure fine de la cellule nerveuse l'état nor- mal ou pathologique. Le succès du développement de ce
x membres inférieurs et à la tête; en même temps sa démarche devint mal assurée. : En dernier lieu,sa mémoire s'est beauc
up affaiblie ; en outre le malade se plaignait souvent qu'il voyait mal . Il avait aussi des hallucinations telles qu'en
nt tenté de se sous- traire à la mort et qu'ils avaient déblayé pas mal de terre (Pl. XXXVIII). Non loin de cette cave,
de l'infortuné Job et que leurs cuisantes morsures s'ajoutèrent aux maux de toutes sortes dont le malheureux'fut accablé.
pattes est assez fantaisiste, mais leur forme générale n'est pas trop mal indiquée. L'image avait en effet une portée sci
re plus asymétrique et en même temps elle est gravement atteinte du mal comitial. Nous ne vous dirions rien de ses accè
K. Mitchell relate deux cas d'arthropathies spi- nales au cours du mal de Pott ; dans l'un d'eux (mal de Pott lombaire)
arthropathies spi- nales au cours du mal de Pott ; dans l'un d'eux ( mal de Pott lombaire) le genou d'un côté, le cou-de
r d'une hanche, du genou et du cou-de-pied opposés ; dans l'autre, ( mal de Pott cervical), ce fut le poignet qui fut atte
la lésion spi- nale amenèrent la résolution. Dans le cas de Bail ( mal de Pott également) on vit à plusieurs reprises
mort. Tel peut être le cas de Vincent, myélite aiguë au cours d'un mal de Pott (cité par M. Talamon) : hydarthrose des
e (caverne a u sommet droit, ramollissement du sommet gauche) et de mal de Pott dorsal, paraplé- (1) Union médicale, 18
sie en notre ab- sence ; nous apprîmes seulement la confirmation du mal de Pott. Conclusions : Il ne s'agissait pas d'a
fils : Arthro- pathie du genou droit, aiguë au début, au cours d'un mal de Pott. (2) Thèse agrégation médecine, 11. 3
ste un noevus vasculaire sous le sein gauche, que les oreilles sont mal ourlées à lobule adhérent et que le tourbillon
ccomplit seul, elles furent régulièrement escamotées, tantôt par un mal de tête opportun, tantôt par une visite à recev
obtenues. Le malade nous disait que depuis long- temps il se tenait mal , que son métier de typographe en était cause. Quo
du début sont en partie répétés à chaque séance, et tout mouvement mal fait est recommencé et travaillé à nouveau dans
ire les séan- ces prescrites ; le lendemain il s'en est un peu plus mal trouvé : et cette ex- périence qu'il a faite à
de lointains méfaits, on oublie- rait volontiers de se garder d'un mal qui paraît aujourd'hui fatalement condamné à s'
ardée comme l'affection la plus re- doutable pour l'homme, comme le mal devant qui les plus pitoyables hési- taient à s
r leur passage, à la porte du Temple, la créature qui, frappée d'un mal irrémédiable, n'attend plus de secours que de la
t de malades implorant un miracle pour obtenir la guérison de leurs maux . On y voit un aveugle, - un infirme appuyé sur
le nez, les yeux, les lèvres ont presque disparu, dé- vorés par le mal rongeur, et qui tend en avant les moignons nus de
irs sanguinolentes par de grossiers pansements ; chez le second, le mal est de date plus ancienne et des cicatrices bien
s mois plus tard la main tout entière, et qui, par les progrès d'un mal en- core incurable, savaient leur corps fatalem
e d'un linge, son nez et ses lèvres semblent à demi rongés par un mal qui nous paraît bien être la Lèpre. L'oeil lui-
ir les contours, la peinture étant détériorée à cette place et fort mal éclairée. On devine cependant à leur position
neu- sement fait, mais qui, malheureusemenl, dissimule la nature du mal , ulcère ou plaie, qui n'est pas nécessairement
barbe clair- semée. En outre, il louche horriblement. Tant bien que mal , ce loque- teux se tient debout à l'aide d'une
t les images pieuses fixées sur son bonnet. 442 HENRY MEIGE Son mal , s'il n'est pas imputable à la Lèpre, est cependa
antes et de tubercules saillants ; son nez est à demi dévoré par le mal , et ses lèvres rongées ne parviennent plus à cach
e pied gauche, tuméfié, informe, a cependant gardé sa position nor- male ; mais le droit, à la suite de je ne sais quelle
, mettait au ban de la société. Comme le lépreux d'Albert Durer, le mal est reconnaissable à deux signes caractéristiques
cement du XVI, siècle). MATTHIAS GRUNENALI), dont la vie est encore mal connue, a laissé des oeuvres en nombre importan
figuré dans l'angle inférieur gauche du ta- bleau, et dévoré par un mal horrible, ne serait autre qu'un syphilitique (F
fet de reconnaître un syphilitique dans ce malheureux... L'horrible mal est gravé sur tout son corps d'une façon in- dé
os jours dans les formes un peu sévères de la (1) Voy. Difformes et Mal . dans l'Art, p. 79 et seq. 456 HENRY MEIGE ma
r une maladie d'importation récente dont les méfaits étaient encore mal connus. Une autre remarque permet très bien de
ste dont il fut frappé. Un petit ange mon- tre du doigt le siège du mal (2). Au-dessus, Dieu dans une gloire. Dans la
radition qui représente, conformément à la réalité pathologique, le mal de Saint Roch, siégeant à la partie supéro-intern
de petits cercles teintés de noir. Les altérations de la face sont mal indiquées. Mais les membres sont amaigris et dé
ar leur bruit, les passants de la présence d'un individu atteint du mal contagieux. LÈPRE dans L'ART 465 ' Auprès 'de
Mais l'anatomie de ce personnage étant, d'une façon générale, assez mal traitée,on ne peut que signaler,sans y insister
le Saint donne son manteau, est peut-être aussi une victime du même mal . Son pied mutilé, la déformation de son nez et
peut-être le seul refuge permis aux malheureux qu'avait frappés le mal justement redoutable. Dans ce cruel exil, sans
24 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
s lorsqu'il survient des modifications im- portantes, en bien ou en mal . Quand le malade meurt, ses photographies sont
chette et du couteau; l'appétit est bon, les digestions sont nor- males , les selles régulières; il n'y a pas de vomisseme
st à 80; la respiration à 24. La sensibilité générale parait 1101 male sous toutes ses formes.- L'ouie parait plus dév
ai ; on recommence à le faire marcher. 1or juin. - Hier, il était mal en train ; il semble que la peau du côté droit
ituellement en partie hors de cette cavité. Les dents sont petites, mal confor- mées, il en manque plusieurs et la plup
t aucuns antécédents héréditaires de maladies, tels que syphilis ou mal de Bright, aucun antécé- dent d'alcoolisme, ni
ant sa maladie, elle le mit chez une garde qui l'aurait maltraité., mal soigné, et même fait jeûner. Quand, au bout de
loppés, contrairement à ceux du mollet. Le fond de l'oeil est nor- mal . Mentalement, c'était une enfant lourde, ne prêta
Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde paraissait nor- mal . - Dans l'autopsie du cas de Ord, faite par Green
à manger sa soupe il se mit dans une telle colère qu'il se trouva mal et qu'on dut aller chercher un médecin ; 2° fau
aquelle les accidents reprirent plus forts que jamais. Il se tenait mal sur ses jambes, se cognait à droite et à gauche
isme in- terne très accusé de l'oeil gauche. - L'ouïe semble nor- male ; en effet, l'enfant tourne la tête quand on l'ap
lutition toujours impossible. 30 juin. L'enfant va de. plus en plus mal . Il ne bouge pas, n'avale pas, grimace quand on
lui sont com- muns avec la circonvolution du corps calleux qui est mal LÉSIONS DE LA PROTUBÉRANCE. 117 délimitée.
xamen ophthalmoscopique montre le fond de l'oeil pâle et la papille mal dessinée à droite. La cornée est insensible de ce
e antérieure. FAITS CLINIQUES. 125 10r mai. La préhension se fait mal de la main gauche. La marche s'accompagne de ti
mati- ques de méningite tuberculeuse ; Tuber- culose généralisée; Mal de Pott; Par BOURNEVILLE et PILI.IET. L'obser
tions miliaires dans les poumons, le foie, le péritoine et la rate. Mal 1 de Pott dorsal au début. Sema..., Charles-A
e par des enge- lures. A ce moment, il était sale, gâtait, digérait mal et vomissait. Quelques jours avant son départ
il a eu la gourme ; mais ni ophthalmie ni otite (sa soeur a souvent mal aux yeux). Il ne toussait pas; n'était pas suje
1 grammes. Le coeur (80 grammes) est sans lésions ; orifices nor- maux . Péricarde sain. Abdomen.- Sur le péritoine, pe
ons, on s'est aperçu que l'intelligence était atteinte : il parlait mal , ne pouvait fixer son attention, n'écoutait pas
ompagnaient de tremblement; il pouvait parler, mais la parole était mal articulée; souvent, on ne le comprenait pas; il
he du corps et cette prédominance se remarqua durant les états de mal convulsifs qui survinrent à des intervalles plus
du troisième jour de la naissance, à trois ou quatre mois, il eut mal aux yeux et, à partir de deux mois, de l'eczéma
TIQUES. le volume d'une petite olive ; léger phimosis ; méat nor- mal . Nombreux ganglions des deux côtés du cou, surt
les contractures paraissent avoir augmenté, les pupilles réagissent mal à la lumière. 19 février. Après une nuit calme,
oncée de la face interne. La base du crâne est symétrique et nor- male . La quantité de liquide céphalo-rachiclien est lé
de grandes cellules, relativement très peu abondantes, se colorant mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore
a été hantée par l'idée que l'enfant qu'elle portait pourrait être mal conformé et ce fut la première chose qu'elle de
e scrotum inhabité, petit et allongé, a pu être pris pour une verge mal confor- mée. Ces différents aspects ne pouvaien
Mén... se levant avec son appareil. (jour : Battements sourds et mal frappés; pouls, 112 par minute. - Sensibilité g
urs, mais peu épais, sont symétriques. Le trou vertébral est nor- mal . Dure-mère et liquide céphalo-rachidien, rien de
ons les singulières assertions de l'auteur relativement à l'état de mal épi- leptique et nous ferons voir qu'il s'est d
nette, en ce qui con- cerne les petites séries d'accès et l'état de mal épilep- tique. Conclusions. 1° Les accès isol
partial que, sur ce second point, comme sur le premier, il n'a pas mal placé sa confiance en acceptant comme l'express
'épilepsie et l'hystérie, pages 1 à 9h. Paris. 1876. - De l'état de mal épileptique, thèse de A. Leroy ; Paris, 1880, p
bsence d'hyperthermie, à distinguer les séries d'accès de l'état de mal épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉR
épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL . III. DE LA TEMPÉRATURE DANS L'ETAT DE MAL ÉPI-
'il pré- tend ajouter à nos connaissances actuelles sur l'état de mal épileptique. « D'ordinaire, écrit M. Witkowski,
jours. (1) Ceci est vrai pour quelques cas, mais souvent l'état de mal débute brusquement. OPINION DE M. WITKOWSKI.
rile la plus connue des épileptiques, à ce qu'on a appelé l'état de mal épileptique, une invasion invariablement etploi
opinions de M. Witkowski, et, en comparant son tableau do l'état de mal épileptique à la description que nous avons tra
ous répétons, en fournira une première démonstration. « L'état de mal épileptique, avons-nous dit, est ca- ractérisé
t, les notes des pages 2 ? 6 et 232. 236 TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL . - ration.; 5° et surtout par une élévation con
ême quand ils ont cessé. » . Nous avons distingué, dans l'état de mal épileptique, deux périodes, comme le fait, un p
s, Flg. 23. - Tracé de la température rectale dans un cas d'état de mal type, terminé par la guérison. -, T. prise 2 he
s rigoureuses. Nous avons insisté sur la TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL . 237 marche, la durée, le traitement et l'ana
la durée, le traitement et l'anatomie pathol9,. gique de l'état de mal . De même que M. Witkowski, mais encore avant lu
ue M. Witkowski, mais encore avant lui, nous avons vu que l'état de mal pouvait être constitué uniquement par la périod
quement par la période con- Fi r. 35.-Tampératnre dans un état de mal limité à la péiiode convulsive. - , T. aussitôt
+ T. 8 heures après la mort. Fig. 25.-Tempéralure dans un état de mal terminé par la mort à la période méningiti- q
a mort survenait enfin que dans '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE MAL . d'autres circonstances l'état de mal se termin
8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l'état de mal se terminait par .la guérison. Nous avons rap
n 1870, l'observation d'une malade, Chevall..., qui a eu un état de mal épileptique dans son type le plus parfait. La f
. Quelque temps après, cette malade a été prise d'un nouvel état de mal , limité à la période convulsive et auquel elle
centrale, celle de la période convulsive. Un exemple de l'état de mal terminé par la mort du- rant la période méningi
arla mort. (fin. 25). L'observation suivante, relative à un état de mal qui, comme le second état de mal de Chevall...,
on suivante, relative à un état de mal qui, comme le second état de mal de Chevall..., a eu une issue fatale, permettra
riode convulsive. (1) Le nombre des accès qui constituent l'état do mal est très variable; il peut être inférieur à 10,
ie légère à la naissance.-Premières convulsions à six mois (état de mal ).- De six mois à onze ans, fréquents retours de
nt de souffrir du ventre, principalement autour du nombril : « j'ai mal au ventre, dit-il. » Lo regard est brillant ; l
a tête est assez régulièrement ovoïde. 242 OBSERVATION. ' ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. 243 Traitement : Ecole, gymnastiqu
, la gauche un peu plus que la Fig. 26. Température dans un état de mal terminé par la mort. , T. 1/4 d'heme ,il). la mor
ance du début de sa courbe ; cetto scis- TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL . 249 sure est de nouveau coupée par un pli de p
rale a été prise à des intervalles rapprochés dans ce cas d'état de mal , dont la marche a un peu différé des cas ordina
dans Bourneville, 188G. 1 ? -1 250 .TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL . son ensemble nous présente une élévation rapid
la fig. 27 ; il montre la marche de la température dans un état de mal qui s'est terminé en trente heures. La malade,
écédé la mort. L'abaissement Fig. 27. - Température dans un état do mal épileptique limité la période convulsive et ter
a marche de la température dans les principales formes de l'état de mal épileptique (2). (1) Voir : Bourneville. - Rech
25 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
us ces iniquités. Joignez-vous à nous, qui voulons séparer le bien du mal , et nous aurons une tribune du haut de laquelle l
toute démarche; mais dans ce monde rien ne se perd : le bien comme le mal se découvre. Un de nos amis, M. Logcroite, qui pa
donner en spectacle dans des conversations, et ils font du bien et du mal : du bien, quand les expériences de clairvoyance
les expériences de clairvoyance surpassent l’attente des présents; du mal , quand elles échouent. Mais il y a aussi parmi eu
trât dans le sein de chaque famille, car alors nous aurions à côté du mal le bien, du malade le médecin, comme l’a très-bie
nouvelle science qui va prendre naissance? Est-ce le bien, est-ce le mal qui doit en résulter? Si j’y réfléchis, je trouve
éprouvé des crises de nerfs, d’autres de grands soulagements à leurs maux . » Aujourd’hui que le magnétisme a suivi la pro
on lui adresse sur toutes choses; il découvre dans le corps humain le mal comme s’il le voyait à travers une gaze, et il in
n’ai pas laissé passer un jour sans opérer le bien, etc. » Faire le mal , dans notre pays, est chose facile; mais l'homme
, passementier. — Il y a cinq ans que je suis atteint à la jambe d’un mal qui a résisté aux soins des médecins. J’ai vainem
ns les éclairer. Ne m’en veuillez donc point si de ce côté je vous ai mal jugé. Après cette réparation, je vous dois un a
ions magnétiques. Voici donc un moyen prodigieux pour le bien ou le mal , selon qu’il en sera fait usage ou abus; car si l
e ce changement de direction amena un déluge d’expériences la plupart mal faites et point du tout expliquées. Maintenant ce
our de la piscine de Pau où ils cherchaient du soulagement dans leurs maux et dans leurs souffrances, avec menace d’être emp
vont pour obtenir du soulagement dans leurs infirmités et dans leurs maux ? Quant à moi, j’avoue que tout cela m’est surp
soulager librement el à volonté les êtres malheureux qui, dans leurs maux eldans leurs souffrances, avaient recours à eux,
ienfaisante d’un respectable vieillard quelque soulagement dans leurs maux et dans leurs souffrances. Voilà ce qu’à la pla
ion du chloroforme on craignait la congestion cérébrale ou tout autre mal , une application extérieure de cet onguent pourra
es secours de la médecine sans avoir pu arrêter la progression de son mal . Tous les 5 ou G jours paraissait une crise qui d
la remarque que je lui lis que dans ce cas cela ne lui ferait pas de mal , « C’est vrai, dit-elle, » et aussitôt ses craint
Mais aussitôt qu’il interrompait son traitement les symptômes de son mal reparaissaient; enfin après l’avoir repris et sui
suffoquées et s’enfuient; la troisième, la plus jeune sœur, se trouve mal , mais bientôt remise à l’aide de quelques passes
en peu de temps, et comme elle souffre sans connaître la cause de son mal , elle veut se confier à mes soins. Depuis six sem
puis six semaines elle a une fièvre de cent pulsations par minute, un mal de tète continuel, privée de sommeil, sans appéti
us profond que la malade ne le suppose, car elle ne croit avoir qu’un mal de tête. J’apprends qu’à tous ces symptômes vient
s yeux ou les oreilles, touchent la partie souffrante, en chassent le mal par des gestes et récitent des prières en arabe (
ter sur eux en amulette. De là les talismans el préservatifs pour les maux à venir : la peste, l’incendie, le tonnerre et le
uchent et que les articulations aient craqué. Alors il caractérise le mal , indique le remède, prononce une prière, et l’opé
tipathie pour une » personne qui ne nous a rien fait ni en bien ni en mal ; » c’est là encore le fait de ces singuliers invi
r depuis deux jours, trois Séances, — guérison... Garçon de 19 ans, mal d’oreille, côté droit, à la suite de fièvres d’ac
tout de suite, mais ce n’est qu’au bout de dix jours qu’elle vit son mal , et toute sa gravité. Le 5 janvier dernier, elle
aincus, après que je leur ai indiqué le siège et fait l’historique du mal souvent secret qui les inquiète; en cela, je ne p
s inquiète; en cela, je ne puis me tromper, parce que je ressens leur mal dès qu’ils m’approchent. En voici assez pour le
seulement avant mon départ, et elle n’a plus été atleinte du moindre mal . Elle était au parfait bonheur, et je vous avoue
feuille de papier blanc, lui envoye le remède invisible pour tous les maux . » Je dois charitablement apprendre à ceux qui
tre a-t-elle porté ma lettre sur son cœur, parce qu’ayant soulagé les maux de madame sa mère, je lui en parlois avec un véri
heté et déposé. Les malades, de leur côté, feront l’exposé de leurs maux , de leurs souffrances; le signeront, le cachetter
es de grossières erreurs, des prophéties démenties, des circonstances mal décrites, des dates inexactes; mais ceci n’impliq
est grand. Les biens sont faits, les saints vont souffrir. L’homme du mal arrive de deux sangs, prend naissance. La fleur b
t six fois vingt lunes, puis disparait pour ne plus parailre. Moult mal , guère de bien en ce temps-là : moult villes péri
bre non plein de lunes, Dieu combat par ses deux justes et l’homme du mal a le dessus. Mais c’est fait, le haut Dieu met un
e : il n’a pas été saigné, n’a plus eu d’éblouissements, rarement des maux de tète, que, depuis lors, il s’enlève lui-même a
ation de la Providence avait été mieux appréciée, le remède à tant de maux se fût trouvé dans la main de chacun ; et c’est s
Bor...l. Londres. — M. M...e. — Il y a eu croisement de lettres par mal entendu. -Rien de fâcheux. — Envoyé deux fois le
mie, était depuis trois semaines enfermé dans une chambre obscure. Le mal ne diminuant point, malgré les soins du médecin q
ême genre, mais avec complication de douleurs d’oreille du même côté, mal du sommet de la tête (celui-ci ancien"), et fièvr
vant les cas. Je ne vous dirai pas un mot des migraines guéries, des maux de dents calmés, etc.: cela devient trop vulgaire
on des obstacles. Lever ces obstacles, ce serait trouver le remède au mal . Mais le moyen de les lever? Voilà maintenant la
surtout par ce prétendu ridicule que quelques gens malintentionnés ou mal instruits s’efforcent de jeter sur la pratique du
. On me rapporta que cette femme était affligée d’une complication de maux qui la faisaient cruellement souffrir et auxquels
nt qu’elle essaye de faire, et comme complément d’une accumulation de maux aussi grande qu’il s’en peut trouver réunis à la
ume d’un œuf de poule ordinaire. Interrogée sur l'origine de tous ces maux , elle me dit qu’ils étaient venus à la suite d’un
qui se maintiendrait au siège de la douleur pendant toute la durée du mal . Combien nos goutteux désireraient cette paralysi
tait que depuis quelques mois qu’Eslher était ainsi ; qu’avant que le mal l’eût si cruellement frappée, elle s’exprimait bi
na. Pendant sept jours il n’avait rien ressenti, mais le huitième, le mal avait reparu; Suire était d'abord devenu fort tri
me étendu, amaigri et à la mine sinistre, qui chantait, tant bien que mal , des chants religieux. » C’est Suire, disait-on,
tais à la femme Suire, et qui avait grand soin de me les demander; le mal diminua d’intensité avec une rapidité qui, d’un i
doivent, nécessairement porter au dehors et expulser le principe «lu mal : mais la maladie est trop ancienne et trop invét
des productions vagues de la fantaisie; on se rappellera ici tous les maux que des projets hazardés en finances ont produits
arties, soit la cause dynamique de la vie, soit l’agent producteur du mal , n’est qu’une prétention illusoire et complètemen
articulière. Je n’en finirais pas si je voulais montrer ici tout le mal que peut faire, et que fait !>ien souvent la t
itement une altération organique bien souvent où elle n’est pas. Le mal que font les médecins est donc bien grand, quand,
tables disciples d'Esculape, depuis le commencement de l’art, avec le mal qu’a causé au genre humain le nombre immense des
de médecins dans le monde. » Mais de ce que des théories fausses ou mal comprises font naître des erreurs déplorables et
ui dépasserait la limite de la réaction nécessaire, et aggraverait le mal , en changeant ainsi sa nature. Ilahnemann compr
promet toujours, épuisés par les souffrances et par la durée de leur mal , ils n’hésitent pas à renoncer aux médecins, puis
’on ne croit le penser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-vous si mal conduit cette maladie, que vous avez fait passer
rès vous, fait table rase de toute votre pharmacie, de votre régime mal combiné, et qui, remettant l'organisme dans des c
porteur d’une affection, ne peut guérir le sujet qui souffre du même mal , et que celui dont la tête est saine ne réussira
ence et à laisser entre les mains de tous une puissance de bien et de mal . Je ne m’étendrai pas davantage sur le magnétis
ne la reconnaîtra plus. Il restera seulement aux hommes la mémoire du mal qu’elle leur a fait et la honte de s être soumis
ute sur une vérité si patente ? Et, si j’ai pu soulager et guérir des maux désespérés par des procédés simples comme la natu
nfluence des lieux, des habitudes pernicieuses, et tout ce cortège de maux nés des professions et des métiers nécessaires po
ra rétablir la médecine des écoles; car les médecins ont fait plus de mal aux hommes que toutes les guerres ensemble. En
’intelligence peuvent saisir l’homme plein de raison; un mot, un fait mal compris, la lecture d’un livre écrit avec passion
ns noire cœur la connaissance de la véritable cause de la plupart des maux qui affligent les hommes. On accuse la nature et
au premier souffle. Et c'est ainsi que la nature nous châtie par des maux qui tendent sans cesse à nous avertir des vices q
quelques hommes timides et peureux toujours disposés à s’exagérer le mal et par cela même enclins à rejeter les vérités. R
voulant connaître s'il parviendrait à faire cesser ou à détourner le mal qui me tourmentait si violemment. Je ne pus décou
voulus obéir à cet aréopage pour faire cesser le plus (ôt possible le mal qui me tourmenlait. Sur ses ordres je me rendis,
s. J’ai accédé à cette proposition, croyant trouver le bien à côté du mal , comme cela arrive souvent; mais au bout de quelq
pourtant, il croit, il est entièrement convaincu, il allirme que ces maux ont une origine différente, qu’ils ont le résulta
ance de bons ou de mau-» vais génies, scion qu'ils font le bien ou le mal . » » Il est plus que probable que l’émir avait
ourraient égarer une foule d’esprits faibles. Indiquer la cause des maux moraux, c’est préparer leur guérison. Après ce lo
eux; une barbe de chèvre; la forme du col et » tout le reste du corps mal taillé, le corps en partie >i en forme de bouc
e occulte, ce serait l’excuser en partie, mais le plaisir de faire le mal . Oui, c’est à cette passion indigne qu’il a tout
é sans pareille pour pousser à cc point la satisfaction de faire le mal . A cela je répondrai que s’il ne s’imposait pas c
je ne saurais établir une semblable supposition. Quant à se faire du mal autant qu’à moi, il faut bien remarquer cependant
je n’ai plus d’espoir que dans le magnétisme, il est la cause de mes maux , mais tout me présage qu’il doit aussi en être le
stantanées, comparables aux miracles. Qui n’a vu, en magnétisant, des maux , même graves, cesser comme par enchantement, des
puisque c’est d’elle que dépend la vie dans les cas où le progrès du mal est plus rapide que l’action des remèdes, où l’im
s songes, et indique à ceux qui souffrent des remèdes propres à leurs maux . L’observation fidèle de ses avis a sauvé des mal
e pendant un songe ; il en reçut l’ordre de se rendre à Esape, où son mal avait commencé, d’y prendre des bains et des vo
r, J’ai lu avec le plus vif intérêt les détails circonstanciés d’un mal grave, détails qui respirent d’un bout à l’autre
ri longtemps une haine secrète, en le regardant comme l’auteur de ses maux . Aujourd’hui notre obsédé, après avoir tout ten
), la petite vérole, diverses maladies de la peau, l’épi— lepsic, les maux vénériens, la dyssenlerie, la diarrhée, la catale
eure de magnétisation. Alors la vie sembla renaître; quelques paroles mal articulées me firent diriger des insufflations ch
es d'un Somnambule. 1" L’extase. 2° Dieu. 3“ Le Monde. •i" Le Mal . ri- Le Bien. fi" Marche vers le bien. 7" L
ou quatre minutes de repos, le docteur lui demande : — Où est votre mal ? — A l’estomac. — Qu’y a-Hl à l’estomac? —
a-t-il à la place où était le sang? — C’est tout ulcéré, et me fait mal . — Quel remède y porter? — Un purgatif. — L
détail jusqu’au 3i octobre, jour indiqué par elle pour la fin de scs maux . Cette dernière fois elle dit qu’aucun médecin n’
s constitutionnelle, elle se plaignit, trente-six heures après , d’un mal de gorge qui devint bientôt tel, que c’était la c
donnance dos remèdes convenables, etc. Le 6 août, elle se plaignit de mal de tête, mais disant que le ventre était libre ;
jours qu’elle indiquerait. A la vingt-troisième séance, elle vit son mal , qui était un commencement d’anévrisme, radicalem
dique les remèdes propres à la guérir, et annonce la cessation de ses maux , le tout avec des détails longs et précis. Elle t
gale ou psore, la syphilis, ies dartres, etc. j° Il peut apaiser le mal , pallier l’intensité des symptômes, mais non détr
avez tort de répudier trop catégoriquement, au nom du magnétisme, le mal qu’il pourrait faire, c’est donner gain de cause
toute force peut être employée dans deux sens opposés, en bien ou en mal , cola dépend de la manière de s’en servir. 11 n’y
le, ne suffisent pas pour le rendre malheureux au milieu de ses biens mal acquis ? Comparez le calme d’un homme de bien,
lui qu’il croyait son persécuteur, et qui certes ne lui voulait aucun mal . Notre ami, dont la conscience est sans reproche
est sans reproche , fut cruellement alfecté de cette accusation d’un mal dont il ignorait la cause, mais que l’on faisait
raitée autrefois par le magnétisme, s’imagine, lorsqu’elle souffre de maux accidentels, que la pensée de son magnétiseur se
i, du moins, s’imagine le bien ; c’est la seule qui ne croit point au mal . Cette différence est bonne à constater. Septiè
straire une parcelle? La religion, faite pour donner la paix à l’âme, mal comprise ou exagérée, trouble aussi la raison. L’
26 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
ux, iront plus loin : que Dieu leur soit en aide, et leur épargne les maux et les dangers de l’initiation. Je laisse toute
de cas; et de temps en temps il me vient des malheureux abandonnés ou mal traités par la médecine classique. Je vais vous f
culaire aigu, guéri en cinq ou six magnétisations. A chaque séance le mal disparaissait comme par enchantement, en faisant
l est probable que l’emploi prolongé du magnétisme aurait triomphé du mal . « 8° J’ai guéri en outre une infinité de maux
. « 8° J’ai guéri en outre une infinité de maux de tête, migraines, maux de dents, d’estomac, de suppressions menstruelles
ois, deux fois par jour, je n’ai obtenu que de légers déplacements du mal . « io° Depuis un mois je magnétise une jeune de
ite d’une hydropisie de poitrine, et d’une hydarthrose du poignet. Le mal durait depuis treize mois, et toutes les ressourc
tous les autres magnétiseurs sont vertement tancés. Mais s’il dit du mal des magnétiseurs, il n’en est pas de même du magn
es forces, que, si je n’avais la crainte que vous interpré- tassiez mal mon silence, je ne l’entreprendrais pas. Ce franc
assez sobre de mots mystiques et sacramentels , dont la signification mal assise emporte pour beaucoup plus de gens l’idée
s deux mois elle suivait les conseils d’un médecin qui pensait que le mal de celte femme venait d’un amas de sang fixé au c
e à Plancy-sur-Aube. « Joséphine Joigny, femme Levêque, atteinte de maux d’estomac depuis plus de huit ans, a été guérie e
séances magnétiques, et par l’eau magnétisée. On a constaté que ces maux d’estomac étaient causés par des vers; vingt et u
d’une bonne santé et demeure à Saron. « M11' Lorcet, affectée d’un mal de dents continuel, avec redoublement aux époques
omba en somnambulisme et fut immédiatement soulagée. Elle dit que son mal venait du sang, et-qu’il fallait neuf magnétisati
enti à recevoir mes soins. Je iis donc semblant de sonder où était le mal en appliquant ma main tantôt sur l’estomac et la
bien, il me répondit : oui. Enfin je continuai à l’interroger sur son mal : il m’assura qu’il serait guéri en le magnétisan
Je vous enlrotiendrais bien d’autres guérison?, telles que coliques, maux de dents el de tète, mais l’on connaît bien ces r
ne sentait de douleur nulle part. Prié de se lever et de montrer son mal , il fut très-surpris de voir le lit mouillé et sa
ambe et le bras du côté gauche ont pris un volume considérable, et le mal est renfermé dans ce même côté du scrotum, de tel
ussi une petite excroissance dans l’intérieur de l’oreille droite. Le mal est venu de ce qu’on lui perça les oreilles pour
la masse de chair, qu’il reconnut; il dit que de la voir lui faisait mal . Une heure après, il n’éprouva plus aucune douleu
ur la première fois en dix minutes, dans l’espoir de la soulager d’un mal de tête nerveux et persistant. Je l’éveillai avec
n hôpital, dix jours après, il me demanda la permission de toucher le mal avec l’acide, pendant que la femme était dans son
ne se rappelle point que les glandes se soient enflammées sans que le mal d’oreille ait suivi. Cette inflammation semestr
une interruption ou un changement dans l’enchaînement de l’action du mal chez elle. Les voici : « Du 28. Venue encore au
t ce qu’on pouvait espérer d’une constitution aussi délabrée, et d’un mal pareillement invétéré. Cela montre assez, je pens
e couverte de toile) ouvert, ¿‘tant exposé à l’air froid. Il s’en est mal trouvé : sa voix s’est voilée; il sent le côté ma
uit sur les membres paralysés, et combien 011 diminue la douleur d’un mal violent en appliquant dessus des animaux vivants,
e sou haleine et de scs autres émanations, tombe, victime d’une union mal assortie, dans la plus visible faiblesse. » .No
ffrent et sont prédisposés plus que les autres à être atteints par le mal . Mais si la maladie atteint une constitution robu
tempes, des douleurs dans les membres; puis arrivent la diarrhée, les maux de cœur, les vomissements, les crampes, l’aspect
dressent à des constitutions faibles, détério-réçs par les ravages du mal . Les sinapismes, les bains sinapisés, peuvent êtr
A ceux qui devaient être les guides du troupeau, la responsabilité du mal ; car leur égoïsme leur a fait méconnaître la voi
son , il sortit enfin sans avoir éprouvé de soulagement notable à son mal . Quelques jours après , je fus appelé. La doule
, sur la même route d’Aifrcfeuille, est en ce moment atteinte du même mal , après être tombée dans ce cruel état à la suite
ge impur qui ne se laisse épurer que par les esprits d’élite. Bien et mal , mal et bien , on tire au hasard l’un ou l’autre
pur qui ne se laisse épurer que par les esprits d’élite. Bien et mal, mal et bien , on tire au hasard l’un ou l’autre ; car
vette, les cadavres s’agitent sous ses yeux, et, bientôt, se trouvant mal , nous l’emportons sans qu’elle ait la conscience
p grande dépense qu’elle a faite de fluide magnétique, elle a bien du mal à reprendre ses forces, etles symptômes de sa mal
s basses, la fascination, la domination despotique, l'entraînement au mal , etc.; 6" Que du courant qui s’établit invincible
tion est capable de déplacer la douleur. 11 arrive quelquefois que le mal passe du magnétisé au magnétiseur : ce fait rentr
ffets, mais dont la pratique ne“va pas jusqu’à distinguer toujours un mal symptomatique d’un mal essentiel. Oui, que les mé
tique ne“va pas jusqu’à distinguer toujours un mal symptomatique d’un mal essentiel. Oui, que les médecins méditent sur la
and M. de la Salzède ajoute que le magnétisme augmente quelquefois le mal du magnétisé (abstraction faite, bien entendu, de
en, le magnétisme pratiqué par _des mains incapables peut produire le mal , mais un mal relatif, passager, qu’une influence
isme pratiqué par _des mains incapables peut produire le mal, mais un mal relatif, passager, qu’une influence capable arrêt
de ne produire que le bien, et si, quand ils ont causé ou aggravé le mal , il leur reste toujours la possibilité do le ré
l’erreur, l’ignorance, le mensonge, funestes présents de l’esprit du mal , aient aveuglé les hommes au point de leur faire
nt rien , nous dit-elle. Enfin la malade aussi est guérie de tous ses maux , dont elle serait morte en août prochain, s’il fa
ntester l’opportunité. Si encore on pouvait coudre ce qui a été coupé mal à propos!... Il ne suffirait pas ici de couper le
ez-vous ? » Le plus souvent il me répond : « A rien. — Pensez à votre mal , lui dis-je; ou bien, pensez à telle personne » (
de Paris, a éprouvé l’état de maladie suivanl: Le ier août 1847, un mal de tête effrayant se déclara, je conduisis l’enfa
isis l’enfant au Parvis Noire-Dame. Consultation du médecin. — « Ce mal n’est rien. » Le lendemain le corps se couvrit
il ; la tête penchée sur l’épaule gauche, par suite de la violence du mal ; le corps renversé en arrière par les douleurs d
is quarts d'heure après, il se plaignit d’une cuisson au siège de son mal , et d’une certaine faiblesse. Du reste, ignorant
par sa pensée. — Y a-t-il une « punition future pour ceux qui font le mal ? — « Sans doute; une grande. — En quoi consiste-«
moment de recueillir les fruits d’une longue persévérance, un remède mal choisi ou ordonné au hasard vient enlever tout es
n est bien assuré d’avance que l’action magnétique n’aggrave point le mal , et qu’elle ne contrarie en rien celle des remède
ous déplorons ces retards, qui ressemblent à un oubli; mai« ce serait mal juger des intentions du Jury que de les lui attri
s les plus énergiques de la médecine classique. Tôt nomina census. Le mal fit des progrès rapides, et elle se vit bientôt a
les crises se dissipaient enfin, et elles emportaient, disait-on , le mal avec elles (i). « L’homme qui semblait ainsi co
nombreux malades y ont trouvé la guérison ou le soulagement de leurs maux , sans qu’aucun accident soit venu ternir l’éclat
s la pensée de la soumettre à un traitement magnétique qui dissipa ce mal au bout de deux séances. Le père Kircher, dit,
ction d’un vomitif. A l’âge de douze ans, la dentition s’était fort mal développée chez lui. Sa famille lui fit extraire
, et né en mars ou avril, pour produire ces cures. Les loucheurs du mal caduc prétendaient descendre en ligne directe de
e premier de ce privilège. On donnait alors à cette maladie le nom de mal de roi. Philippe passa pour avoir perdu celle fac
tation dans le traitement des écrouelles, appelées aussi Icing devil ( mal de roi.) Les rois ont cessé de guérir ces malad
aux doigts , préservaient de beaucoup d’affections, et dissipaient le mal caduc. L’anneau d’Edouard guérissait les membres
p. 148. (2) Odyssée, liv. xix. (3) Géorgiques, liv. 15. (4) De Mal /net. euIner. curatio. core bien des contradicti
prit de la Divinité, dirigé par leur intermédiaire vers le bien ou le mal . Van Helmond lui-méme , un des plus chauds partis
ce savant médecin avait le privilège de toute la famille, et, bon an mal an, en recelait une somme assez ronde. Depuis l’e
nue? Sujets à tant de maladies, continuerons-nous de laisser faire le mal sans pouvoir y mettre une digue ? « Jouets des
ausses doctrines? La perversité est-elle inhérente à notre nature; le mal , enfin, doit-il pérdo-miner sur le sentiment du b
er cette eau à une jeune fille qui se trouvait aussi possédée , et le mal se dissipa. L’histoire de l’Église est remplie
afin que celui qui souffre et languit sache le moyen de soulager ses maux ; 2° Grouper tous les phénomènes nouveaux, de m
ez les Égyptiens; Oromase et Arimane, chez les Perses; le principe du mal était appelé Satan par les Arabes, et Job paraît
D et LOYSEL. Faire que l’art du chirurgien s’exerce sans ajouter au mal qu’il doit détruire, la douleur des opérations ,
étique en semblable occurence. Déjà on avait tenté et réussi pour des maux de moindre importance. Mais il y avait loin de là
s devant tous, car je n’aime point les mystères; sans jamais faire de mal , je me servirai de la force inconnue, pour montre
elle me pria un jour de régler avec son médecin et le pharmacien. Son mal empirait journellement; j’étais très inquiet, lor
triques, et dont je me crus guéri. Cependant, soit que le principe du mal ne fût pas détruit, soit que les remèdes qui me f
urent immédiatement appelés ; l’un d’eux soutint que les symptômes du mal annonçaient d’une manière certaine que l’affectio
t. Plusieurs d’entre nous pourront attester qu’il se charge- de nos maux en y participant, pour maîtriser la désorganisati
5° Soif intense, dite d'hydropique. 6° Douleurs rhumatismales. 7° Mal de tête continuel , plus ou moins violent, durant
ssivement guéris par un homme de I.igny, habitué au traitement de ces maux , et, pourcela, poursuivi par les médecins. 14°
ison s’annonce par la disparition graduelle et successive de tous les maux ci-dessus énoncés. En i836, j’ai été traitée po
ans sourire ; c’est celui d’un bon gendarme gravement hypothéqué d’un mal qui lui garottait les jambes; pas moyen de monter
goutteux, notre paralytique de la veille, qui s’élait déchargé de son mal aux dépens du guérisseur, et s’amusait à faire ca
ide de Dieu, qui connaît tout le bien qu’il a fait dans sa vie, et le mal qu’il a enduré des antagnonisles du système de l’
encore si j’en avais éprouvé du soulagement. Je lui répondis que mon mal avait été toujours en augmentant. 11 me dit : Yen
s : Est-il possible qu’avec un moyen aussi simple on puisse guérir un mal comme celui dont je suis atteint? Petit à petit l
qui veut le triomphe de la vérité sur l'erreur, celui du bien sur le mal . Ne comptez point les années écoulées déjà, cel
d'invincibles antipathies chez un grand nombre d’étres. La Li~ bertè mal entendue n’est plus qu’un vain mot, propre à sédu
laquelle un somnambule peut indiquer à des malades la nature de leur mal , et les remèdes convenables, est assez rare; elle
lui appartient, et elle restitue au magnétisme ce qu’un enthousiasme mal éclairé lui avait ravi, Deleme, qui devrait ser
Très-souvent, les somnambules assez lucides pour sentir et voir le mal dans sa nature et dans scs effets, ne sont plus q
ui précèdent; une pareille prétention serait le fait d’une prévention mal fondée contre le somnambulisme, et de l’ignorance
permis de faire du bien sans un diplôme qui vous autorise à faire du mal à vos semblables. Voilà pourquoi je ne magnétise
in, des médicaments fort inolfensifs, qui ne leur ont fait ni bien ni mal . Les témoignages concernant la prévention spéci
stium, 356. Tumeurs cartilagineuses, 82. § II. Cas de médecine. — Maux et affections guéris ou soulagés ¡par le magnétis
27 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on : quelques caries dentaires; nanisme des incisives, articulation mal établie; gingivite tartrique ; maxillaires suff
casion d'une peur. D'abord la malade devint sujette à un énervement mal délini. Elle avait comme le sentiment d'un état
légère saillie latérale droite détruisantia symétrie des formesnor- males . A la palpation, la glande thyroïde paraît beauco
a cellule, G. D"rY. 111. - Clonus du droit abdominal dans un cas de mal de Pott ; par PARHON et P.1YINIAN. (Journ. de N
e déve- loppa vers l'âge de 4 ans à la suite d'un traumatisme, un mal de Pott lombaire suivi quelque temps après de par
intense, accompagnée de vomissements et de stase de la papille, le mal ayant évolué sans fièvre, avec un amaigrissemen
toxines sera découverte et les antitoxines obtenues, les effets du mal pourront être prévenus. Notre espoir ne dispara
, puisque nous ne possédons au- cun moyen d'influencer la marche du mal à travers la moelle épinière. Il en Va de même
, avait lait un long séjour dans ce mêmehos- pice, en cabanon, fort mal installé, alors que ses vociférations ne laissa
, qui est élargie transversalement du double de son diamètre nor- mal et renferme une cavité centrale irrégulière. Le f
on lombaire pendant la vie.- Quanta la pie-mère, elle e>t nor- male et ne présente aucune trace d'inflammation. La
que plus de fibres nerveuses ; et celles qui subsistent se colorent mal . La trame névroglique n'est pas épaissie. Au-
ningite,soit simple, soit tuberculeuse. L'origine trauma- tique du mal de Pott a été très discutée et Renard, dans son
de l'estomac et remontait ensuite vers la gorge. Elle soutirait de maux de tète dans l'occiput, d'insomnie, d'une ano-
ion, mène une vie régulière el active, et ne fait aucun excès. Le mal dont il souffre est congénital : le malade affirm
test aussi bonne que celle de ses compagnons, hienqu'au travail son mal peut lui jouer des vilains Lnurs.lluand il veut
ue nous avions fait enle- ver pour l'examen, il a d'abord paru très mal habile et les doigts étaient raides ; après que
ce n'est pas un ouvrier ordinaire. Il paraît timide ; n'a jamais de maux de fête ; ne se plaint de rien. N'a aucune phob
'a pas même le temps d'y songer. Au surplus, lu malade vit avez »on mal , ne s'en soucie guère, et si ce n'était le désir,
extérité nécessaires. Dans les exercices d'ensemble, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE
, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE Mal perforant et paralysie générale : Parle Dr MARI
ques généraux qui présentaient, au niveau de la plante du pied, des maux perforants symétriques. « Obs. I. Le premier
irantes de richesse. Inéga- lité pupillaire. Troubles de la parole. Mal perforant du pied gauche. » C'est un malade d
.Verrenkrankheiten. l3urlin, 1902. Verlag- S. Karger, p. ? d0.) MAL Perforant Et paralysie générale. 113 frère deva
r, c'est que, en même temps que s'opérait la rémission mentale, les maux perforants s'amélioraient aussi ; la suppuratio
ait au niveau de la plante du pied, à droite et à gauche, plusieurs maux per- forants. Avec la rémission psychique, les
lorsqu'est survenue la période d'excitation terminale, on a vu les maux perforants se rallumer tout comme la maladie ;
u- veur. Traité par 11-et Ki à Broca, 18 mois avant l'entrée. Les maux perforants avaient débuté 3 ans avant l'interneme
marche peu nette comme tabès ; ne fauche pas. Signe de Romberg. Les maux plantaires perforants et symétriques sont actue
albuminurie passagère. Les premiers auteurs qui se sont occupés du mal per- forant (Leplat, 1855) lui atlribuaient une
dû à la pression du pied sur le sol, ainsi qu'au port de chaussures mal laites. Comme preuve, ils alléguaient que le ma
port de chaussures mal laites. Comme preuve, ils alléguaient que le mal per- forant était plus rare chez la femme ainsi
e mécanique parune théo - rie vasculaire. On avait remarqué que les maux perfo- rants sont rares dans la jeunesse et que
cause, attendu que nombre d'ar- tério-scléreux ne présentent pas de maux perforants. C'est à Duplay et More que nous dev
« Le quart des parisiens m'est passé aittsi par les mains. » , MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle d
mains. » , MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la théorie nerveuse, d'après laquel
ésions du système nerveux central. Bali et Thibierge ont signalé le mal perforant dans l'e tabès ; parfois il précède l
- tamment dans le spina bifida latens. Dans nos observations, les maux perforants ont pré- cédé la paralysie générale
oul, la proportion des diverses affections nerveuses compliquées de mal per- forant : Nombre des cas observés : 91 ; at
surtout.) C'est M. Christian (1) qui l'un des premiers a signalé le mal perforant dans , la paralysie générale. Marando
se complique d'alcoolisme. D'après lui égale- ment, l'existence du mal perforant favoriserait les ré- missions de la m
e l'affection elle-même, le rôle des indications dans la genèse des maux perforants chez les paralytiques généraux sembl
mé par l'observation de notre malade Bau ? Chez lui, en effet, le mal perforant serait survenu à la suite d'une intox
our certains auteurs, d'ailleurs, il ne fau- (1) Ciiristiax. - « Le mal perforant uans la paralysie générale ». {Union
UE MENTALE. drait pas adopter, en ce qui concerne l'étiologie des maux perforants, la théorie nerveuse d'une façon trop
observe, en eifet, que presque toujours (quoi- qu'on ait signalé un mal perforant palmaire) le mal perforant siège à la
que toujours (quoi- qu'on ait signalé un mal perforant palmaire) le mal perforant siège à la plante du pied et précisém
. Au reste, il est logique, à ce point de vue, de rap- procher du mal perforant les eschares du coude ou des talons e
a théorie mixte, mécanique et nerveuse qui semble devoir fournir au mal perforant l'explication la plus satisfaisante.
us comprimés) ; les eschares talonnières ou plantaires, compris les maux perforants qui nous occupent, seraient de même
rapport parfois avec les phases critiques prémonitoires des ré- MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ?
hologi- ques variées invoquées par les auteurs pour expliquer les maux perforants et les eschares en général de la dém
sures (Deoorce), , Nous avons vu également que l'amélioration des maux perforants apparus chez nos malades a coexisté
e de suppurations prolongées, dues à des causes diverses,telles que maux perforants, eschares, pleurésies purulentes, ph
t Viollet. Suppuration et rémission dans il paralysie générale. MAL PERFORANT ET PARALYSIE GENERALE. 119 lions sp
voir que la cure de certaines suppurations'en général, et celle des maux perforants en particulier, peuvent coïncider av
us ostéohypertrophique ci disparition radiculaire, et un moulage de mal perforant coceggien. M. Déjerine et LEI : NH1RD
ts dans la dé- mence catatonique. La démence précoce est, en effet, mal 1 connue ; il faut donc savoir se limiter, et s
lle mange de moins en moins, de même qu'elle réagit de plus en plus mal à toute sollici- tation extérieure ; elle met d
Pas d'asymétrie osseuse de la face. Voûte du palais ogivale, dents mal implantées, adhérence du lobule de l'oreille. P
s qu'au travail intellectuel. A 31 ans, il se marie avec, une femme mal équilibrée, dépensière et qui ne lui porté que
tique. Mais en voulant rester neutre, il se trouva que : 11 ? avait mal calculé et qu'au lieu de se faire des amis, il
partagez les opinions de votre beau- père qui nous fait beaucoup de mal . puis vous avez un employé qui est radical et f
les griefs que l'on croit avoir contre eux, car ce serait faire du mal à la religion. L'époque de Rodez lui-même se dé
es professionnelles spéciales, la surveillance ne pourra être que mal faite et surtout mal comprise et quel ne sera pas
spéciales, la surveillance ne pourra être que mal faite et surtout mal comprise et quel ne sera pas le découragement d
ellule embryonnaire, est fondée sur des observations incomplètes et mal interprétées. J. S. XL1V. Recherches histologi
ent et non dans toute la libre, mais les lésions sont partielles et mal définies. La btriatidn longitudinale présente d
llette de 7 ans, sans lare héréditaire, née ¡'¡ terme, se développe mal et finalement s'arrête dans sa crois- sance. De
tieuses, causes probables des I roubles d'après un processus encore mal défini. Lu traitement sera celui de toute conva
0. Ai.orir.n. Lus principales formes «les I roubles nerveux dans le mal de l'oit sans gibbusilê (4 pland,l ? ! ln[ ? \I;U
est resté stationnaire II ne veut plus absolument écrire. Il tient mal son crayon dans la main, sourit, comme s'il dis
ce qui se passe autour de lui, est devenu cares- sant et gai. IV. Mal ? (Henri). Entré le 2 décembre 1887 à l'âge de
enfant peut aujourd'hui discerner ce qui est bien d'avec ce qui est mal . Il commence à s'habiller et à se désha- biller
en, et cherche à faire ce qu'il voit faire aux autres aussi bien en mal qu'en bien. Il devient affectueux. A la classe,
s'est beaucoup développé au prix de grands efforts, car il est très mal doué. Avec difficulté il est parvenu à tracer tou
xcitation nerveuse, comme au début. Elle ne cherche plus à faire du mal à ses TRAITEMENT \l1 : 1)ICO-I'l : U.GOGIQUG
n âge. Elle s'habillait avec peu de goût, procédait tant bien que mal à ses ablutions; les soins du ménage, de même que
é sans pareilles. Elle était méchante et cruelle, aimait à faire du mal à ses compagnes. Pour se rendre un compte exact
éfense, elle donne un coup de pied à une idiote, pousse une petite, mal équilibrée sur ses jambes; en gifle une autre s
ère. L'érection, au paroxysme, s'accompagnait d'une sorte d'état de mal avec impulsion au coït pour ainsi dire inconsci
it peu compatible avec la conservation unilatérale d'un état nor- mal des réflexes, Voici l'interprétation qu'il propos
pathoiréncse de la paralysie générale, l'apparition chez un ani- mal d'une méningo-encéphalite, consécutivement à une
t mémoires de Béguin sur l'éducation des enfants normaux et anor- maux , comprenait son rapport sur l'éducation, à l'Expo
pellier. Contribution à l'étude pathogénique de la paraplégie du mal de Pott. Prix Civrietcx. 800 francs. Question :
, à la thérapeutique, à la pédagogie des enfants vicieux ou anor- maux . La leçon d'ouverture aura lieu sous la présidenc
e blessé paraîtra revenu et définitivement revenu à son état nor- mal . Pourra-t-on affirmer que tout se bornera aux tro
e certains troubles des facultés. Une demande d'indemnité ayant été mal accueillie, cet ouvrier fut placé volontairemen
ca. (Riforma medica 1900). l'épilepsie ET la migraine. 307 le mal éclatait à des époques déterminées. Depuis 27 ans
épileptiques ; dans le second cas,des attaques d'épilepsie petit mal sont venues remplacer des accès de mi- graine q
manifestations de l'épilepsie, sa forme latente ou l'équivalent du mal comitial. La communauté des phénomènes propres
e. Sa vie est d'une grande moralité, mais il a souffert de violents maux de (été, de douleurs, des blessures aux jambes
e recherchait l'intimité de personne, vivait isolée, souffrait d'un mal du pays des plus intenses et pleurait souvent. El
mandaient de châtrer les épileptiques, afin de les délivrer de leur mal , attendu que celui-ci serait dû à une rétention
ut de délivrer la société d'une postérité ayant hérité cet horrible mal . Aretheus (3), Asclepiadus et Scribonius Largus
herchant à s'étrangler avec le cordon de sa chemise. Elle procédait mal à ses soins de toilette, s'habillait et se désh
ents sur ses antécédents héréditaires. Malade depuis quatre ans. Le mal aurait débuté par des névral- gies tenaces dans
ann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 couches : La couche interne, mal différenciée de la cavité de l'ab- cès, est con
utour des vaisseaux. La zone externe, zone d'irritation,large, mais mal délimitée. est parsemée de nombreuses cellules
és dans la paroi de l'abcès. 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Prenant mal les colorants, ils contiennent à peine de-ci de
ques amorphes, plus volumineux que les lymphocy- tes, à protoplasma mal coloré ; souvent il n'y a pas de noyau, parfois
plasma mal coloré ; souvent il n'y a pas de noyau, parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellules nerveuses en nécro
aissables, mais prenant moins bien les colorants qu'à l'état nor- mal ; à leur périphérie elles sont attaquées par les
ivant les points, mais toujours bien nette et facile à retrouver, mal limitée sur sa face interne, mais différenciée su
faire quelques pas. Au réfectoire, l'enfant se tenait affreusement mal , aimait à se salir et à se barbouiller avec les
application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait mal au début, était maussade, restait inerte; aujou
igence. C ? lisait par syl- labes, son écriture était lisible, mais mal formée; elle ne fai- sait que des copies, conna
doute, les appréhensions de l'opinion publique sont le plus souvent mal fondées et, si de telles séquestrations se sont
ement des aliénés, 504. Clonus du droit abdominal dans 'un cas de mal de Pott. par Portion et Papininn, 2. du pied,
D1' -, 317. Main bote. De la congéni- tale, par Grandjean, 231. Mal perforant et paralysie géné- rale, par Marie et
ent de l'Orne, par Cpulanjou, 50. - - générale. Voir Cécité, - -, mal perforant. - - fa- ciale et hémiatrophie lingua
nne, 154. Polymyosite. Etude de la -. par Margoulès. 142. Pott ( Mal de -). Voir 'Clénus. Processus. Des - compensat
- que, par Rossi et Roussy, 423. - latérale amyotrophique anor- male , par Lejonne et 1-hermitte, - - latérale. Voir
28 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
t des mêmes moyens, de guérir et d’apporter remède à toutes sortes de maux . D’un autre côté, l’extase, la catalepsie, le s
on vint me prier d'aller voir M. Gilquin, en m’annonçant le terrible mal dont il était affligé. Confiant dans la force don
l lui donnait un peu de soulagement, mais dès qu elle était levée, le mal recommençait. Je pensai que le magnétisme pourrai
, le doute s’empare de leur esprit; la certitude s’évanouit, et si le mal est trouvé, la cause échappe , le médicament est
ques minutes se passent, et il me dit de cesser : « Vous me faites du mal , » vous avez une grande force magnétique ( ignota
lux de sang au cerveau déjà surchargé, et l’on aggravera forcément le mal que l’on voulait combattre. « Dans les sciences
les battements du cœur, persuadés que ce serait agir dans le sens du mal . Ils emploient la saignée, les sangsues à, la bas
c le flambeau qui nous servira à découvrir les moyens de soulager les maux de l’humanité? Ce sera l’instinct, guide des anim
nambulisme peut faire beaucoup de bien ; mais il ferait énormément de mal si on se livrait à lui sans réserve, sans discern
a lune, cela pourra tendre à annihiler un bien annoncé ou exagérer un mal . Dieu a accordé la prescience à l’homme, mais seu
une sorte de fatalisme comme les Orientaux et accepter le bien et le mal , comme venant non de nous-mêmes, mais découlant d
, par l’énergie de sa volonté et la puissance de l’amour, soulage ses maux , est aussi un magnétiseur sans le savoir. Leur i
les perfectionnant, on parvient à diminuer progressivement la part du mal et à faire prédominer celle du bien. C’est ce qui
période , un soir que je visitais la jeune fille, je la trouvai plus mal que les jours précédents, le pouls variait de
es crises d’où dépendent la vie ou la mort. J’essayai de combattre le mal ; je dégageai l'épine dorsale par des frictions.
son par l’ingestion ou l’application d’un autre poison , de guérir un mal par l’introduction d’un autre mal, cet art existe
on d’un autre poison , de guérir un mal par l’introduction d’un autre mal , cet art existe plutôt dans l’application de remè
eur tâche plus facile. Le cœur se dilate au bien, il se resserre au mal . Le prêtre devrait toujours avoir un grand cœur,
campagnes, où l’ignorance ne demande qu’à comprendre, où le génie du mal est si facile à chasser, où la science fausse n’a
s’oppose au bien que je désirerais vous faire, et devienne cause d’un mal dont je ne saurais mesurer la portée, et auquel j
me T.... Cette dernière va très- bien ; elle ne sent plus rien du mal «qui l’a si longtemps affligée. Elle se croit ence
radis. Rappelons-nous que toujours la science fut considérée comme un mal par les hommes chargés de nous enseigner la moral
loyé les moyens les plus usités, nous n’avons rien obtenu de bien. Le mal augmentait toujours, le pouls devenait mauvais, l
passes sur la partie malade, avec la ferme volonté de faire sortir le mal par derrière. J’étais heureusement bien tombé, ca
c ce mystère, les hommes bons et généreux pourront guérir beaucoup de maux et faire du bien. G. COPEAUX. Etrépilly, près
vons plus peur du diable et que nous n’y pensons plus. Voilà le grand mal de l’époque. A qui s’adresse le sermon de l’Unive
nest vint à moi. Je lui demandai comment allait son frère. — Pas plus mal qu’hier, me répondit-elle. — Je respirai. Elle aj
éversé sur autrui. Qui n’a rien ne peut rien donner, et le pauvre est mal venu lorsqu'il adresse sa prière à l'homme dont l
dium, pendant nos séances. Un malade a été guéri d'un cancer ; le mal a disparu , presque sans douleur. Des personnes o
. » Je lui dis de ne rien craindre, et qu’on ne lui ferait pas de mal . Alors les esprits la levèrent de son lit, la por
en un mot, elle présidait les manœuvres opératoires. Tout occupé du mal de notre chère malade et ne songeant qu’à la déba
ne vous touche point encore. — Oh ! j’ai peur, vous allez me faire mal !... — Mais non, puisque vous êtes en sommeil.
us saviez ne pas sentir. — C’est vrai ; mais quand je regardais mon mal et quand je voyais l'opération à côté, le frisson
rlait par cris d’indiens farouches, avec des variations de hoquets en mal de mer; et, d’instant en instant, l’esprit divin
battait à temps réguliers et calmes. « — Vous n'éprouvez donc aucun mal à faire ces exercices? « — Vous voyez ! « — C
ux que nous. Nous vous dirons seulement que le cactus ne fait pas mal ; que , dans certaines conditions très-connues de
bien étudié, peut nous mettre sur la voie de quelque loi inconnue ou mal définie. Nous remarquons que, d’après la répons
u tombés dans l’oubli, le médecin cherche toujours à diagnostiquer le mal , c’est-à-dire à remonter de l’effet à la cause, a
re le patient ni le praticien. — Exemples : — Vous vous plaignez d’un mal de tête. — Après quelques questions et de mûres r
vous êtes atteint d'une céphalalgie (c’est-à-dire, en français, d’un mal de tête). — Vous souffrez d’une articulation
iatifs. On croirait peut-être que pour les cas chirurgicaux, oîi le mal est externe ou peu profond, toute difficulté disp
un membre de la Société ayant demandé pourquoi, le siège principal du mal étant à l’épaule, l’opérateur, au lieu de diriger
eux des efforts qui eussent sufû à franchir la pente du terrain. Le mal de l’épaule était évidemment l’obstacle principal
de ce lieu, et le provoquer à une sorte de combat. Il faut,bon gré ou mal gré, qu’il vienne, qu’il apparaisse sur la brèche
instant de surprise, dire : c’est le démon , c’est Satan, l’esprit du mal qui vient nous perdre. Ce serait accuser Dieu d’i
d’impuissance, en faire le vassal d’un être au-dessous de lui, car le mal serait au-dessus du bien. Mais l’argument mis en
ls se sont laissé égarer par un enthousiasme irréfléchi et qu’ils ont mal observé. Avant de publier une conquête du magnéti
ation , j’entends le patient dire en souriant : Mais vous m’ôte z mon mal avec la main. Un quart d’heure après, il pouvait
chemins de fer n’étaient pas inventés et que les routes étaient fort mal tenues par les hauts barons qui avaient bien autr
ns de toutes nos forces à dissiper les maladies, à sou- lager les maux de toute nature. C’est dans ces œuvres de bienfai
ps où il se réconcilierait avec Ormuzd. Ces temps s’accomplissent. Le mal n’est que l’ombre du bien. Plus la lumière se rép
s ténèbres et en réduit l’étendue. Chaque progrès entame la sphère du mal , la rétrécit et tend à la faire disparaître. Le m
tame la sphère du mal, la rétrécit et tend à la faire disparaître. Le mal se change on bien , et Héelzébub régénéré rep
essentiel des magnétiseurs. La cécité est une maladie. Combattons le mal sans trêve, sans relâche; mais que cela n«dim
de nous voudrait le déserter? Le devoir est de faire le bien pour le mal ; qui de nous reculerait devant cette condition ?
Le fruit apporte sa moisson (1). Dieu seul est maître, etc. Le mal est fils de l'ignorance; Il peuple aux ombres d
Rien qui n'ait son rayonnement, Le bien au bien prête la vie ; Le mal au mal, fatalement. (2) La soperstitioB et l'in
i n'ait son rayonnement, Le bien au bien prête la vie ; Le mal au mal , fatalement. (2) La soperstitioB et l'incroyanc
’a-t-on dit, pour se diriger dans le traitement. Aussi les ravages du mal avaient-ils diminué d’étendue et d’intensité. Néa
mps la main. Je m’aperçus que , lorsqu’il cessait de la lui tenir, le mal augmentait; je pensai alors que l’action du paren
en apparence décident souvent d’une série incalculable de biens ou de maux . » ( Haute Magie, tom. 1", p. 86.) Quand on ser
but. « Et cette phrase puissante : Délivrez-nous, pbéseuvez-socs du mal I Hommes, comprenez bien !... cl vous aimerez int
en sommeil, elle m’interpelle vivement : C'est votre cœur qui me fait mal , monsieur !... Il est là... dans ma poitrine. Il
tourmentée. — Madame P..., demandai-je, qu’avez-vous V — Je suis mal il l’aise : emparez-vous de moi davantage. Nous
onté , dès que l’on en fait usage, est un abri protecteur. Toujours l« mal est soumis au bien, quand on l«veut. J’en ai cité
25 juillet dernier,p. 590, faut convenir que ce secret a été bien mal gardé. Le Spiritual Telegraph dit que les.journau
é. Il n’a pas disputé, il n’a pas répondu , mais il semblait inquiet, mal son aise, et il est sorti. Il est toujours ains
des expériences. En entrant dans le salon, Home se sentit tout à coup mal à son aise ; il essaya de surmonter cet état de g
jeune homme, un joueur malheureux s’est brûlé la cervelle; il s’était mal tué, et il est mort en se débattant contre d’horr
cidents qui pourraient m’arriver en route à mon état naturel, même le mal de mer, ce qui a eu lieu une fois, il y a quelque
e magnétisme, le magnétisme n existe pas. A nos yeux, le plus grand mal qui puisse exister pour une nation, c’est d’avoir
gnétiser soi-même, et, par ce moyen , de dissiper très-facilement les maux légers, d’adoucir les graves souffrances et même
aux hanches. A partir de ce moment, il fut tout à fait délivré de son mal . Par la suite, il se débarrassa de la bande qu’il
de petites douleurs nerveuses qui prenaient fin en même temps que le mal qu’il combattait ; à la suite de quoi le sommeil
ndit : « Gardez-vous bien de lui faire prendre un bain froid ; car le mal se fixerait sur la poitrine. Ne l’endormez pas av
ien. » En rentrant chez lui, M. O. trouva sa femme qui se plaignit de maux de reins et annonça que ses règles étaient venues
qu’elle s’était trompée, et que ce médicament lui ferait plus de mal que de bien. Ainsi, elle s’était encore trompée s
is pendant la traversée, j’eus peur, et, de plus, je fus si malade du mal de mer, que je ne fus pas plus loin et que je rev
cafetier, par le bossu, l’enfant et par les assassins ; si j'ai eu le mal de mer ; comme tu as pu t’assurer de la réalité d
e. Non seulement ce traitement lut impuissant, mais encore 011 vit le mal empirer au point que le docteur sensé annonça aux
s déclare. qu’il monte à bord d’un bâtiment, puis il dit avoir le mal de mer; si par quelques précautions 011 11'abrége
11 11'abrégeait pas la traversée, il éprouverait des vomissements. Le mal est donc bien réel. Qui est-ce donc qui est allé
ni sécrétion bilieuse ; une âme sans corps 11e pourrait donc avoir le mal de mer. En tout cas, ce serait son affaire ; puis
, est ici sous 110s yeux, éprouve véritablement tous les symptômes du mal de mer ; c’est bien son vrai corps qui est agité
uand j’étais enfant, je ne pouvais voyager en diligence sans avoir le mal de mer : le souvenir qui m’en restait était si ré
uvais une salivation fétide, des nausées, en un mot, les prodromes du mal en question ; j’avais hâte de m’éloigner pour éch
uent meut ses organes. Que ce soit Y esprit (et non 1 âme) qui ait le mal de mer ou qui s’enrhume à l’humidité, que ce soit
s l’eau , accroché dans des herbes. — Oh ! est-il vilain t ça me fait mal de le voir. Réveillez-moi. D. Dites où il s’est
issait son enfant, était affectée depuis trois semaines, d’un violent mal de tête qui présentait souvent des redoublements
se sentit alors la tête très-légère et entièrement débarrassée de son mal . Elle demanda son enfant qu’on avait éloigné pour
onfler. Deux jours après, je vis la jeune femme et j’appris que son mal de tête n’avait pas reparu , qu'elle avait sué ab
sme : nous ne demandions pas autre chose. Au reste, peut-être ai-je mal interprété, — et je le crois, — le sens attac
tés savantes, aux pouvoirs qui gouvernent, qu'il fuit renvoyer le mal qui s'est fait et celui qui se fera longtemps enc
, et quand ils n’y réussissent pas, du moins ils n’aggravent pas leur mal , et que dans ces opérations il n’y a ni somnambul
uses que l’auteur défend avec tant de chaleur, on devrait, d’après le mal qu’elles ont fait, les déclarer infernales. Pour
ernales. Pour apprécier une découverte, il faut mesurer le bien et le mal qu’elle peut produire, et si la part du bien l’em
ous ceux qu’il accuse d’être sciemment les instruments de l’esprit du mal . Heureusement cette ridicule imputation ne peut ê
ut être prise au sérieux. Le bon sens public n’admettra jamais que le mal puisse être l’auteur du bien. Les hommes dévoués
TISME ARTICULAIRE CHRONIQUE ET GOU TTE, ULCÉRATIONS DE L’OESOPHAGE ET MAL DE FOIE, CHOLÉRA ÉPIDÉMIQUE, NÉVRALGIE 0CCIP1T0-F
est très-alarmant, me dit-elle ; d est temps de porter remède au mal affreux qui me dévore. Depuis un an que je n’ai p
vomissements, les palpitations et les symptômes avaient disparu ; le mal seul au foie se traduisait encore par une assez v
emps de recourir à la médecine; que le magnétisme n’avait fait que du mal à sa fille, et que ses époques étant arrêtées, ce
liter dans l’estime des parents, et pour avoir dénaturé le mot arnica mal écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fa
rimitivement les causes qui produisent le choléra, après la nature du mal , enfin je dirai la manière de le curer. Je vois
ion spasmodique du plexus solaire. Quand l’individu est pris par le mal , prenez une cuvette d’eau, frictionnez avec les m
bien-être délicieux, et, à leur réveil, se sentent soulagés de leurs maux . M. Gaspa-rini prétend avoir trouvé par là un moy
imant passivité de son rôle. Il se toutefois sans me l’aire aucun mal . I.es lumières reparurent, et je lus impatient (l
O! John , 01 you hurtme, », ce qui veut dire Oh! Jeun, vous me faites mal . Mon voisin m’apprend que ce Jean est l’esprit ta
us pas magnétisé madame P... de la rue Saint-Honoré? j’avais un grand mal de tête et froid aux pieds, instantanément mon ma
? j’avais un grand mal de tête et froid aux pieds, instantanément mon mal de tète s’est passé et mes pieds se sont réchauff
ires, une affluence considérable de personnes s’est portée chez elle. Mal lui en a pris. Elle fut dénoncée comme sorcière,
e prodigieuses influences exercées h distance , soit en bien, soit en mal , et comparables à celles qu’on attribue à la sorc
« Depuis, il y a quinze mois, Louna n’a pas cessé de se plaindre d’un mal erratique qui lui prend tous les muscles, mais qu
puisqu’elle dit elle-même que c’est l’âme d’un mort qui l’obsède. Son mal donc ne saurait être qu’une hallucination. Mais q
e considérable de Philadelphie, Market-Street, et qui est sujet à des maux d’estomac, n’a trouvé rien de mieux pour les apai
etc., montre certainement beaucoup plus de perversité et fait plus de mal à la société, que le joueur déloyal qui cherche à
r les sorciers ou magnétiseurs, et qui ne sont que des suspensions du mal combinées d’accord avec le démon qui possède le m
9. | Ablation de la table maxillaire, 239. § II. — CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Abcès dans la région du cœu
. Insomnie, 540. Maladie lymphatique, 180. — de foie, 515, 599. Maux de tète, 562. Névralgie occipito-frontale, 605.
29 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
dont lès systèmes pratiques se contredisent formellement — « Tout le mal vient des humeurs,» — «purgeons les humeurs.» —
à un homme bien portent, sa santé n'en souffrira pas; mais qu'il ait mal à la gorge, et vous verrez ! Allop. — Voulez-vo
ur que la fièvre intermittente donnait beaucoup, et qu’il y avait pas mal de rates à plessimétriser et replessimétriser, —
du bien que vous lui avez fait est de beaucoup supérieure à celle du mal dont vous avez été la cause. Explique qui voudra
er voir que la réalité. Qu’on ne s’y trompe donc point, plus ou moins mal dit, ce que j’écris n’est pas le fruit d’un rêve.
: c’est un crime à nos yeux de ne pas utiliser le magnétisme dans les maux qu’il pourrait guérir, et son rejet par les médec
ouer pour le faire revenir à lui ; enfin , me rappelant tant bien que mal les passes contraires que j’avais vu faire il y a
létement fini avec le réveil; M. M... eut toute la soirée de violents maux de tète, des douleurs dans les membres et des mou
dus à terre : il les enjamba avec précaution sans se faire le moindre mal , et il évita avec le môme soin les chevaux et les
levé, puis sur un autre encore plus haut, sans se faire e moindre mal ; il se promenait h travers diverses rues, et ret
rdinaires qu’elle procède avec des données certaines sur la nature du mal , au lieu de se hasarder comme eux à des hypothèse
vois dans le corps de ma bonne-maman les organes qui souffrent et le mal qui la dévore ! » La-dessus on appelle le médecin
appelle le médecin, qui prescrit les remèdes exigés par la nature du mal , et la grand’mère ressuscite. « Depuis ce jour,
’elle avait donnés à son lils. « Voilà, monsieur le baron, le fait ( mal exposé, mais vrai), que j’ai été bien aise de vou
ti, grâce au signe avant-coureur, et j’eus le bonheur de triompher du mal avant même qu’il eût eu le temps d’éclater. « U
ra défini.... Pour M. Lélut, du moins, cet état, qu’il soit bien ou mal défini, existe , peut être provoqué par un agent
l’idéal, cette soif inextinguible d’amour ne sont que des aspirations mal définies à la vie spirituelle. Nous pourrions,
une pensée divine : la belle chose que Dieu dit, nous l’écrivons bien mal : notre réalité ne s’adapte pas bien à notre beau
en fais la description fidèle, et le docteur, certain de la nature du mal , prescrit avec certitude des médicaments efficace
la poussière, et il est tellement sous le joug de la puissance du mal , qu'il ne peut se maîtriser tant que dure l'accès
s de foi, les prétentions qu’il affiche, les problèmes qu’il pose, le mal qu’il peut faire aux âmes, voilà sans doute assez
ule persista dans son affirmation. Je me retirai persuadé qu’il avait mal vu. .Mais à trois mois de là, cet ami que j’avais
ris ; tout d’abord son mari la traita par le système Raspail, mais le mal s’aggravait tons les jours. Me trouvant en bonneë
bien-être général. Novembre 1855. M. Th. Koltswart, h Francfort. Mal de dents, fluxion. Guérison instantanée. Mars 1
l’on ne pourrait pas lui donner un remède pour la soulager d’atroces maux de dents dont elle souffrait depuis plusieurs jou
gal succès. Mai 1856. Madame Eberl, à Francfort. Céphalalgie avec maux de dents et insomnie. Guérison opérée à l’aide de
u bout d'une couple de semaines j’aurais pu triompher complètement du mal . L inconséquence des parents, qui voulaient soume
rovenir d’un défaut de circulation du sang. La malade soufflait de ce mal depuis une année. Quelques passes magnéti-i ques
agnétiques , amènent au bout de huit jours la complète disparition du mal . Déc. 185(1-février 1851. M. Kup, prop. de mine
uscles de la poitrine et des reins. Les premiers symptômes sérieux du mal remontaient à plus de six ans, et, en dernier lie
dans son travail de restauration. La convalescence fut longue, carie mal avait laissé des traces profondes. Sa maigreur ét
sie et de boulimie. Huit ouidix jours suffisent pour triompher de ces maux ., Juillet 1858. Madame Laubivytr. Douleurs sour
estive dé ventouses. La première magnétisation diminue la violencé du mal ; la secondé s’én rend maître entièrement. De se
ctobre 1858, à la suite d’un grand chagrin, je fus prise d’un violent mal de tète, d’atroces coliques, de nausées et de vom
sporter à mon domicile. Madame Ogier vint en effet et reconnut que le mal était très-grave, et jugea qu’elle, pourrait me s
assai six ou sept heures sans souffrances, mais le soir, je me-sentis mal au foie et le mal devint intolérable. Le médecin
heures sans souffrances, mais le soir, je me-sentis mal au foie et le mal devint intolérable. Le médecin jugeait une applic
, malgré toutes les peines que je me donnai, reconnaître la nature du mal que j’avais encore à combattre. J’avais beau repa
oûts et les déceptions, quelque nouveau moyen dè réduire la somme des maux 5 et, au pis-aller, ce sera une0 noble tâche que
scepticisme, en dépit aussi de la science, qui explique tant bien que mal ce merveilleux phénomène, elle se ressouvint de s
rt de vérité, à priver les pauvres malades des moyens d’alléger leurs maux ou même de leur rendre la santé. Le Journal de
étaire-gérant. 125' ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE ME^Ü* «:* Mal 185». 14' célébration, sous la présidence de M.
t dans un état de bonheur ou de souffrance proportionné au bien ou au mal qu’ils ont fait pen-dantla vie : ce n’est pas tou
té est incertaine , les mauvais Esprits peuvent lui faire beaucoup de mal . «Les mauvais Esprits peuvent même s’emparer de
toftne contre l'ignorance qui, selon lui, est la cause de tous les maux de l’espèce humaine (découverte qui vaut son pesa
près un examen attentif, leurs prétentions à cet égard fussent jugées mal fondées, il s’ensuivrait seulement qu’il y aurait
lucidité , et peuvent ainsi découvrir les causes et la nature du mal et les moyens d'y remédier. Mais si l’on demande
ssuresjYeverraient leur patrie. Le magnétisme, en effet, localise les maux , empêche toute résorption purulente , tout dével
Par le vouloir, peut jaillir de nos mains. Ce flux puissant sur le mal homicide Lance sa foudre et le force à fléchir ;
u bien, du vrai, du beau, du juste, est tenue en échec par l’armée du mal , du faux , du laid , commandée par le prince
te, pour la faire retomber clans le chaos primordial où le bien et le mal , la raison et la folie, la force et l’inertie fer
lux, et se poursuit sans relâche en gagnant du terrain sur l'armée du mal , destinée à être un jour vaincue ; mais qui conti
du déicule terrestre qui peut également paralyser les hominicules du mal passés dans les rangs ennemis. Ceci nous donne
sence d’un ôtre malade, n’a qu’à so faire ce simple raisonnement : le mal n'est point une chimère, il a une cause; rien ne
ui, car tel est presque toujours le cas. Vite à l'œuvre, touchez le mal et commencez la chasse, dispersez cette fourmiliè
Cela fait, appliquez la main guérissante, tnanus sanation sur le mal et cataleplisez les traînards qui ne résisteront
mûrit en son temps. Imitez Dieu, persévérez et vous triompherez du mal , et la mort reculera devant vous. M. Jobard ava
: « Le malade qui attira le plus mon attention fut une dame dont le mal consistait en un fongus hematode (comme l’appelai
rait violemment, par suite d’une inflammation des reins. J’enlevai le mal en posant mes mains des deux côtés du corps penda
posant mes mains des deux côtés du corps pendant une demi-heure ; le mal n'a pas reparu. — Un maréchefl avait au poignet u
G... avait la goutte à la jambe ; le membre était rouge et enflé ; le mal durait depuis plusieurs semaines, et le malade ne
s mains pendant une demi-heure ; l’enflure disparut graduellement, le mal se dissipa, et le malade put marcher avec facilit
cas, il m’arriva, par la seule imposition des mains de guérir divers maux , tels que crampes, maux de tête, maux de dents, n
tion des mains de guérir divers maux, tels que crampes, maux de tête, maux de dents, névralgies, etc. : le temps que j'y emp
s plus probants que ceux qu’il a présentés à. la commission, il a été mal inspiré en en offrant la répétition aux membres d
produit souvent l’orgueil, et l'orgueil, qui est toujours principe du mal , ferme nécessairement les yeux à la lumière supér
ne sais si elle dormait ou non. Ses remèdes ne m’ont fait ni bien ni mal . n M. Adolphe Marix, négociant, rue Saint-Côme.
és d’abandonner la partie et de se retirer vaincus par la ténacité du mal . — Mais c’est impossible, vous ne pouvez abando
dis-je, la voilà en somnambulisme, nous allons savoir et la cause du mal et le remède. — Deinandez-lui si elle a été bie
alade: — Madame! ne savez-vous pas que Dieu a mis le remède à côté du mal et que c’est à vous à le chercher? Faites un effo
d’esprit que vous ne voulez pas vous conserver à votre famille, c’est mal ! Soutenue par la fermeté de ma volonté, la sie
ièrent de lui adresser encore quelques questions sur l’origine de son mal ; mais j’eus beau crier à son oreille, l’ouïe éta
on doigt sur l’épigastre, et lairalade répondit immédiatement que son mal avait commencé entre les deux épaules. — Ce n’est
pent du corps de vos malades. Voilà donc la cause toute naturelle des maux dont vous vous plaignez, monsieur le docteur, et
e va laisser mourir, parce qu’elle n’a pas su remonter à la source du mal , et, par conséquent, en connaître la cause-, il e
que vous avez laborieusement mis au monde, est la cause efficiente du mal qui l’a sourdement rongé par une cause accidentel
aussi heureux dans son diagnostic, s’il a 9i bien reconnu la cause du mal , le traitement qu’il prescrira sera rationnel, so
x abandonnés, il faut que je m’arrange pour y passer la nuit le moins mal possible. En me disant cela, je traversai plusi
trompés sur sa maladie. M“* Dorman, entrancée, dit à la dame que son mal provenait de calculs biliaires ; que les concréti
voir jamais luire le jour de l’harmonie : ils prennent tant bien que mal leur parti d’une contradiction dont ils se consol
pas par triompher, et, si elle fait peu de progrès, c’est qu’elle est mal défendue. Certes, nous sommes loin de méconnaître
un motif, et cependant un profond chagrin nous dévore..., cela finira mal .— Deux mois après j’étais veuf; —que de pressenti
ardon du mot (on me sert de l'andouille dont les parties intégrantes, mal lavées, ont le goût d’excréments). 2° Des chang
it le voisin, et réciproquement (place d'armes), puis dans une maison mal famée, maudite. Un suicide s'accomplit dans cette
encespour savoir dans laquelle des deux têtes se trouvait le siège du mal , ou plutôt la perception directe. 2. — Ayant re
érai attentivement mes enfants; l’aîné me parut souffrant. « Où as-tu mal ? Au ventre? Y sens-tu de la chaleur ou du froid?
z lui était conforme à ce que j’éprouvais. Je fis passer aussitôt son mal et le mien en un quart d’heure. 3. — Madame Cla
sée avec un prêtre et madame Cl..., au bout d’une heure, je me trouve mal à mon aise, gêné de l’estomac, je suffoquais...,j
uve le même malaise, et je dis à M. de Murât, employé : Je ressens un mal qui ne vient pas de mon être, il ne m’appartient
e donne un bonnet de nuit... «Tuas mis ce bonnet pendant que tu avais mal à la tète? » 11 réfléchit,... c'est juste, dit-il
is mal à la tète? » 11 réfléchit,... c'est juste, dit-il. Il avait eu mal de téte le matin. J'ôte le bonnet, et mon mal se
te, dit-il. Il avait eu mal de téte le matin. J'ôte le bonnet, et mon mal se passe. 6. — J’ai donné ici encore quelques l
— Je ne sais ; mais la vue de cet homme qui vient de passer m’a fait mal . Le connaissez-vous? « — Si je le connais? mais
s de la hiérarchie lamaïque. Ce sont ordinairement de simples lamas , mal famés et peu estimés de leurs confrères. Les lama
btenues ne peuvent pas faire de bien, elles ne peuvent guère faire de mal . La plupart sont ainsi conçues : « Trois fumigati
BULIS&IE. Le magnétisme est l’arbre de la science du bien et du mal ; il ne faut pas y toucher, disent certaines pers
bules, et il était bien rare qu’elles se trompassent sur la nature du mal et par conséquent sur celle des remèdes à employe
me n’existe pas; or ce qui n’existe pas ne peut certainement faire de mal , et le prévenu étant auteur de rien, ce rien ne p
r des incendies. Cet expert aurait ajouté que le magnétisme répare le mal qu'il peut causer : il y a tout lieu de croire qu
étisme, quand on avait là, devant soi, un pauvre enfant, atteint d’un mal sérieux, et qui n’était peut-être pas réveillé de
nous étions injustes; aujourd’hui nos académies sont responsables du mal qui se fait ou peut se faire, on doit les maudire
as laissée dormir? » Elle se plaignit aussi que la bouche lui faisait mal : c’est qu’on la lui avait frottée avec du vinaig
hes, comme le prouve ce poids sur le cœur dont elle se plaignait. Son mal était nerveux, comme le démontre l’insomnie conti
llement si ce trésor de science , fruit de si longues études,.vaut.le mal qu’il coûte, si cette sublime magie , hérissée de
t se fait-il qu’on néglige un aussi puissant moyen de guérir tous les maux ? Comme l’auteur ne cite aucune expérience person
médecine, mais sans assurer qu’ils eussent le don de guérir tous les maux , et nos ancêtres les Gaulois n’étaient pas plus q
le ; les questions se précipitent: « Qu’avez-vous ? vous trouvez-vous mal ? » Nulle réponse ! « On s’approche d’elle pour
, qu’elle n’avait jamais rien vu de pareil ni entendu parler d'un tel mal . Alors, elle décrivit l’état du malade d’une mani
je l'eus constatée, je partis par le premier train. Elle a décrit le mal aussi sûrement que j’eusse pu le faire en ayant l
encore une expression d’idiotisme. « Vers l'automne de 1851, les maux de tète et les aooês augmentèrent tellement, que
ombattu de nouveau par le magnétisme. « Le 31. La malade accuse des maux de dents violents qui s’irradient sur tout le côt
nétisation ; après quoi; elle se lève et vaque à ses occupations. Les maux de doits persistent toute la journée. «Le 2 nov
re d’eau et quelques passes sur la tête, parce que l’insecte lui fait mal . — M. Gros essaye de la démagnétiser; la malade p
s frappé la tête ? « Réponse. — Parce que l’insecte ne me fait plus mal . n Quatrième question. — Pourquoi vous frappiez
aussi sans accè-. Quand il y avait eu un accès, la malade se sentait mal à son aise. « Le 18. Depuis deux jours je remar
tion. — Votre santé se rétablira-t-elle ? « Réponse. — Non, cela va mal . Le 10 janvier à 3 heures et demie du soir, j’aur
u & ou 10 selles avec des coliques et n’a pas.rendu d'urines. Les maux de tète et le sommeil comateux persistent ; le po
es. La malade a uriné. « Elle accuse encore des coliques, un peu de mal de gorge, des points de côté voyageant de gauche
e vanter d’être utile aux hommes : jusqu’ici elle leur a fait plus de mal que de bien. Baron du potet. CONTROVERSE. C
oin : c’est une illusion provenant de ce que généralement ou apprécie mal les lois de (i) Rochesler Knockirigs! Iliscover
d’un chasseur fourvoyé, battant la campagne et très en colère d’avoir mal ajusté sa proie. Tâchez donc un peu d'y trouver q
et observations, par M. Morin, 554. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Aménorrhée, 230. Boulimie
veau, 225. — des reins, 299. Laryngite pseudo-membraneuse, 226. Maux de dents, 225. Mutisme accidentel, 141. Névra
3, 309, 357, 453, 580, 636. Sympathie, nerveuse, ou ressentiment du mal d'autrui à distance, 443. Thérapeutique magnéti
, 340, 449, 618; — spiritualité, 297, 411, 592. — (Pour le détail des maux soulagés ou guéris, voy. Clinique.) Transmissio
30 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
es passions basses. Prenez l'être le plus vicieux, le plus enclin à mal faire, parvenez à le somnambuliser, et vous le tr
oute chose, c’est la continuation de la lutte éternelle du bien et du mal , d’Oromaze et d’Arimane; il faut savoir séparer l
démons, qui ne se manifestent que pour nous perdre et nous pousser au mal , et qu’on ne peut sans impiété s’adresser à eux.
manité sont comme nous imparfaits, faillibles, mélangés de bien et de mal . Si nous pouvions nous communiquer à des êtres su
beneficicndo. Comment une telle œuvre peut-elle émaner de l’esprit du mal ? Le diable, en vieillissant, serait-il devenu ass
mutation du principal agent matériel qu’il doit de pouvoir guérir les maux , de rétablir l’équilibre dans des corps délabrés,
ne faisait-il pas plus de bien, mais il faisait certainement moins de mal . « Cette existence des créations magnétiques et
ne intention, en priant, et avec un cœur pur. On gué-« rira ainsi les maux les plus incurables. » Je doute qu’on puisse mi
ssures étant juge exercé, elle espère le sauver. n Elle voit que le mal vient de la fatigue et des humeurs trop abondamme
comte d’Ourches, qui a fait ses preuves en fait de magnétisme ani- mal , qui n’est pas nouveau-venu ilans le monde somato
d’autres, a évidemment agi comme auteur du délit; i Que c’est donc mal à propos que le jugement de première instance l’a
t élément. n Le second degré peut être appelé élément moteur uni-i, mal . C'est encore un degré supérieur, ou forme perfec
xistence ; seulement celle-ci se trouve alors dégagée des milliers de maux auxquels notre vie matérielle est sujette.... I
voir de plus grand motif d’incitation au bien et de répulsion pour le mal , que la conviction bien acquise de la réalité de
mné à un long sommeil sans rêves ; mais que, passant à un état où les maux de la vie matérielle n’existent plus, il est mieu
« —Telle infirmité. « — Croyez-vous que Dieu, qui nous envoie le mal , puisse l’Oter? « — Oui. «— Vous savez qu’il
ement physiques et du but d’une utilité médicale, me font beaucoup de mal . » Pour notre compte, nous avons vu des symptôm
e de nos destinées et celles de nos semblables, les biens couinic les maux , la vie et la mort, dans le temps et dans 1 étern
. Notre lettre n’est pas destinée à être lue du haut de la chaire. Le mal que nous signalons n’est pas connu du peuple de n
d'intelligence pour diriger seul ma conduite et discerner le bien du mal , assez de force morale pour oser sonder quelques
des molifs du jugement dont est appel, « Dit qu’il a élé bien jugé, mal appelé ; maintient les dispositions dudit jugemen
rveux. Cette enfant était alitée depuis quatre jours, pour un violent mal de tête, qui s’était accru beaucoup la nuit précé
e, probablement, je ne sortirais pas de chez eux sans avoir enlevé le mal de tête à leur fille, ce qui parut les surprendre
faction mêlée de surprise, leur enfant déclarer qu’elle 11’avait plus mal à la tête. Un fait digne de remarque dans cette
e père de la malade était aussi sensible au magnétisme, avait souvent mal à la tête, et présentait, comme sa lille, un doui
sfaction, celle de soulager presque toujours et de guérir souvent les maux de leurs semblables. Depuis que je m’occupe de
e organisation, il prouve, par déduction, qu'il peut aussi chasser le mal qui le ronge; car il n'est pas plus étonnant d'en
s moyens que la Providence a mis à notre disposition pour adoucir les maux qui accablent l’espèce humaine. Est-il un homme q
finirent par produire le résultat désiré. Mais, soit que le sujet fût mal disposé, soit que le fluide eût été administré à
ve. La magnétisée, rappelée à la vie, en a été quitte pour un violent mal de tête, et le magnétiseur pour une salutaire fra
M. Aubin Gauthier vient de succomber à la suite d’une maladie aiguë mal définie à son début, et qui, aussitôt connue, ne
ant ou s’abaissant dans l’échelle des êtres suivant qu’elle a bien ou mal usé de son libre arbitre; sa déchéance, toutefois
fourni des armes au faussaire, à l’incendiaire, ;ï l’empoisonneur. Le mal marche toujours à la suite du bien, comme son omb
le s’est ranimée et a cherché à manger. Dès que je cessais d’agir, le mal revenait. J'ai dû continuer une partie de la nuit
eine, marche, s’asseoit encore, parle de choses diverses qu'on entend mal , dit des sentences tenant de la prédiction. 11 éc
us l’avons été tous, de ces crises affreuses connues sous les noms de mal caduc, haut mal, épilepsie, M. Blesson ne se born
ous, de ces crises affreuses connues sous les noms de mal caduc, haut mal , épilepsie, M. Blesson ne se bornait point à s'ap
fet d'une forte magnétisation ordi- uairc, et guérissait souvent un mal contre lequel la quinine avait lutté en vain pend
is encore les corridors, les chambres, les cénacles. Déjà des paroles mal sonnantes pour la justice se faisaient entendre d
érité révélée par Mesmer; mais il en est résulté plutôt un bien qu’un mal , puisque pendant ce temps d’arrêt la sphère du ma
au moins une partie des voiles dont la vérité magnétique s’accommode mal . Sinon, nous serons en droit de dire ou que cette
egarder comme magiques. S’il en était ainsi, le titre nous paraîtrait mal choisi, et l’auteur se servirait de termes improp
ée dans la même langue et publiée à Milan ; dans ce cas, ce serait un mal , car les forces divisées se perdent. HÉBERT (de
onnant ce sens: « Les pyroscaphes sont impossibles avec des cylindres mal « alésés, qui laisseraient fuir la vapeur » ; E
tion de rembourrer son pavé pour les assommer sans trop leur faire de mal ? J’en étais là de mes doutes, lorsque je me su
e, répondis-je au curieux, est la cause inconnue des phénomènes assez mal connus présentés par le règne organique. La con
ces mouvements sont inconscients. Qu’on ait, au contraire, le moindre mal de gorge, et la douleur causée par l’angine à cha
ononcés de l'état crisiaque. Le somnambulisme naturel ot la chorée ( mal caduc) en sont les modes le plus complet, d une p
la même façon un groupe, il faut qu’il y ait une cause réelle bien ou mal appréciée. Alors il n’y a pas hallucination, il
ouveau, mais elles enseigneront de saines pratiques pour soulager les maux . ■ Mais, Messieurs, le temps du repos n’est poi
ute, Messieurs, nous n’éteindrons pas entièrement ce qu’on appelle le mal , car il a sa source dans un principe de destructi
couronne. Sans doute, il ne peut parvenir à supprimer complètement le mal physique, attribut inévitable de tout être fini ;
pé par la cupidité et le charlatanisme. d Ce n'est pas seulement au mal physique que s’applique l'action curative du magn
pour faire le bien, ne soit employée avec la même énergie à faire le mal , ne soit mise au service des plus mauvaises passi
et étend ses facultés accroît sa capacité pour le bien comme pour le mal , suivant l’usage bon ou mauvais qu’il croit devoi
« L’esprit des temps modernes écartera de l’Amérique et de nous le mal devant lequel est tombée la civilisation antique.
p ardent avait énervé sa riche nature par des efl'orts surhumains. Le mal allait prendre sa revanche; tant de fois vaincu p
e lugubre tableau. Mais quelle clarté soudaine illumine sa pensée? Ce mal , inconnu jusque-là, sous lequel succombe celui qu
e.... Et ce forfait... Dieu l'a soufforti I ! O honte! origine du mal Qui brandit le tison des guerres I De ses mains l
ttaquer sans merci les corps savants, car ils nous firent beaucoup de mal en repoussant toujours la vérité. Aujourd’hui mêm
ent point qu’on puisse guérir sans la matière, et qu’ils sont dans le mal . Ceux, au contraire, qui sont dans l'amour de Die
es autorités d’Allemagne, avaient successivement essayé d’éloigner ce mal , mais ce fut sans succès. Le hasard m’apprit les
t marcher, et bien que le cours du traitement ait démontré combien le mal était profondément enraciné, et qu’il avait atta-
ication de sangsues aux cuisses ; mais ce moyen, loin de diminuer son mal , ne fit que l’augmenter, et produisit une gêne ex
voit son cerveau; elle le dit être très-rouge, un jour qu’elle avait mal à la tète, et beaucoup moins un autre jour qu’ell
xempts de cette maladie. Aucun traitement n’a été employé contre ce mal , bien qu’il dure depuis plus de douze ans et qu’i
à que Gemma, qui était simplement tombée sur ses pieds, sans se faire mal , arrive juste à propos pour se mettre à la place
es analogies physiques du mesmérisme ne sont pas mieux constatées, le mal vient de la divergence des expérimentateurs : par
, elle est trop serrée...,. C’est une tumeur dans les os qui lui fait mal . — A quoi servirait votre électricité, dès lors
A rien; c’est vrai.... Je ne voyais que l’effet, et non la nature du mal . >■ La conseillère des peaux de mouton fut é
médication. La paraplégie était donc incurable ? Non ; la nature du mal était'syphilitique, les mercuriaux et l’iodure de
de lac et de baignoires à torpilles. Eh! ma foi, ce n’est pas déjà si mal imaginé. Quoi qu'il en soit, ces poissons élect
ble au mesmériste de dire ce qu’il va développer dans l’organisme, le mal ou le bien, la paix ou la tourmente, la douleur o
ête dans mes mains, en portant l’action de ma volonté sur le siège du mal ; je descends ensuite la main le long du corps ju
e de deux ou trois années seulement, autant pour combattre ces divers maux que pour prévenir les complications, les médicame
es s’étant irrités, 011 eut recours à l’opium et à ses succédanés. Le mal parut céder un instant sous l’empire de cette méd
en était le siège, semblait déjà frappé de cécité, et l’ancienneté du mal me faisait craindre que peut-être mes soins serai
eur étendue. Je n’ai vu dans cette affection qu’une complication de maux occasionnée par des traitements d’une barbarie ré
som-nambuliques, me facilitèrent les moyens de la débarrasser de ce mal beaucoup plus tôt que je n’osais l’espérer. Je te
subir, et ce fut dans un de ces moments qu’elle trouva le principe du mal qui persistait : « Les frictions mercurielles q
sourcilière gauche, détermina, au bout d’un quart d’heure, un violent mal de tète, avec surexcitation des nerfs ; et, malgr
a faire deux fluides contraires. La somnambule répond quelle lui fait mal , sans doute ; que cela cependant est nécessaire.
i qui m’attire et qui a voulu que je me lève; mais cela m’a fail bien mal (1) ! d Elle ajoute : « — Ah! le voilà qui s’
ent immédiat des atroces souffrances des navigateurs : la guérison du mal de mer par le magnétisme. Une très-heureuse expér
e expérience m’a démontré l’influence de l’agent magnétique contre un mal réputé jusqu’à ce jour sans remède, malgré que l’
int notamment d’une maladie grave. Elle déclara qu’il s’agissait d’un mal intérieur, que les médecins 11e soupçonnaient pas
onnaissance étant revenue et la malade disant que rien ne lui faisait mal , je prescrivis la potion suivante : Eau distill
il n’est pas étonnant qu’ils résistent : étudiant à peine, ils savent mal et concluent faussement. — Sous le titre de : H
Quant aux conséquences pratiques, que M. de Morogues les ait bien ou mal expliquées (ce que nous ne pouvons savoir), elles
dernière circonstance réitérée fut sans doute la principale cause du mal qui devait se montrer. En effet, le lendemain à m
me magnétiser sans retard, car je sentais mes forces s’anéantir et le mal empirer. — Elle m’administra une bonne magnétisat
inuer quelque temps encore après moi, afin d’éloigner indéfiniment le mal et éviter par ce moyen une nouvelle rechute. De
s, loin d’amener uu soulagement, ne servirent qu’à faire redoubler le mal d’intensité. C’e-.i, alors qu’elle fut conduite à
tent du magnétisme ; nous allons parler des esprits. — Loin d’être un mal , ce serait un bien si toutes les choses que nous
ps ronds dont il est parlé se manifestent au Üeu d’un, et qu alors le mal est incurable. « La veille du jour oii j’écris
du reste, ils cachent avec grand soin. « Ils expliquent la cause du mal par l’existence de petits vers qui s’attachent au
isme, ils restent froids et insensibles en présence du plus grand des maux , et le choléra dût-il revenir encore nous visiter
ons pourtant sceller les bienfaits du magnétisme dans les plus grands maux , comme dans les plus petits, et voir sans frémir
reçu environ mille magnétisations. Parmi les guérisons, on cite des maux de dents et d’oreilles, des douleurs de tète, des
matismes, des surdités, des cécités, des cancers, des névralgies, des maux de hanche, des maux d’yeux, des entorses, des cas
és, des cécités, des cancers, des névralgies, des maux de hanche, des maux d’yeux, des entorses, des cas de paralysie, d’épi
médecine, elles n’ont point fait un pas en avant, et la même somme de maux physiques et moraux existe sur le globe. La guerr
s profondeurs du sommeil, on surprend même la perversité, le génie du mal combat à armes égales celui du bien; moi-même je
s souvent que par les pensées et les volontés d'autrui. Pour tous ces maux , prêtres, médecins ou philosophes y perdent leur
ivait autant, disait-on, à quiconque lui faisait un procès, disait du mal de lui, ou simplement lui déplaisait. On compre
oins que la franchise et la confiance entière. Avec nous, il n’arrive mal qu’à celui qui use de détours. Tu es, je le vois,
es expériences que lit sur elle la médecine, elle 11e fit qu’aller de mal en pis jusqu’à ce que des passes magnétiques, des
seront donnés plus loin. Une espèce de sorcier lui fit beaucoup de mal au moyen d’une poudre qui l’exalta et d’une amule
en rapport avec elle toutes leurs indispositions. Elle expliquait les maux de nerfs par des nœuds qui se forment à l’épine d
l’âme et sans aucun pouvoir sur elle à la voir souffrir, si elle l’a mal dirigée; 2° que l’âme ne sent et n’agit dans l’au
sujet d’expérience un genou malade depuis environ dix ans, et dont le mal avait résisté à la science des meilleurs médecins
la guérison do maux de tête nerveux, de névralgies, d'érésipèles, de maux d’yeux, d’oreilles, de poitrine, de poumons, de c
et leur ferous cortège ! Ah ! combien s’abusent ceux qui se croient mal placés au second rang. La renommée oblige, elle d
que des poisons administrés à des somnambules ne leur ont causé aucun mal ; il apporte son témoignage, il croit parce qu'il
du tronc rendaient excessives. M. Nélaton ayant reconnu la nature du mal , procéda sans délai au massage des parties endolo
indiquer ici. Tous les magnétiseurs ont eu occasion de guérir de ces maux de reins; il en est de même du torticolis, des do
é d’une grande foi, et l’on dit qu’il a le pouvoir de guérir tous les maux . M. Nathan Opton, medium guérisseur, deColombus
lités les chimères de leurs cerveaux malades. Nombre de faits ont été mal observés, la constatation n’en a point été faite
est vrai, comme un homme atteint par la vieillesse, et si des enfants mal appris me jettent quelques cailloux, je ne les po
er les lois de son empire, encourager les vivants à persister dans le mal ; car si le mal n’était plus, les pasteurs cesser
on empire, encourager les vivants à persister dans le mal ; car si le mal n’était plus, les pasteurs cesseraient d’être néc
les à l’action magnétique, des agacements de nerfs, des malaises, des maux de cœur, des crises nerveuses, des syncopes ; le
ent aucun compte de nos efforts n’ont qu’un tort à nos yeux, celui de mal voir. Je n’en ai pas fini avec mes causeries, j
cirur de leurs tours d'adresse, sans considérer qu’ils perpétuent le mal et empêchent le bien. Combien de fois ai-je enten
, afin d’arriver par moi à Son Altesse Impériale. Le plan n’était pas mal conçu, mais il échoua devant ma volonté; je ne di
Puységur en « la chargeant de fluide. ii — Oh ! que vous me faites mal ! vous me brisez la tète et « le cœur. « — Lise
Puységur en était contrarié; il craignait beaucoup qu’on l’accusât de mal user du magnétisme, qui devrait servirsurtont à l
is-je, il ne s’en relèvera pas! _ a Le même soir, il se trouva plus mal ; trois jours après il était mort............_ .
ente. Épilepsie. — Miss Toy, de Birmingham, avait des accès de haut mal tous les jours. Elle fut radicalement guérie, d’a
cet égard dans Y Art (le magnétiser. « La musique gaie leur faisait mal et leur donnait des convulsions. Cependant Louise
un filon insuffisamment exploité des richesses souterraines et assez mal cataloguées de la science mesmé-rienne. C'est à
ant intentionnellement sur mon adversaire. Mais cette observation est mal faite, le contraire s’est présenté plusieurs fois
bien et fait le plus souvent défaut lorsqu’on veut le faire servir au mal ; puisqu’enfm 011 ajoute sensiblement à son actio
Direction el travaux, 228, 455, 764. CLINIQUE. Cas de médecine. — Maux guéris ou soulagés. Abcès de la cornée, 486.
thiasie des paupières, 486. Lumbago, 657. Maladie mentale, 615. Maux de tête, migraine, 133, 549 Néphrite, 546. Névr
31 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
e grande puissance; il est & la portée de teus et peut guérir des maux désespérés. En vain avons-nous, par des appela su
a voie d’un meilleur avenir. Cette consolante pensée que le remède au mal qui nous dévore est trouvé nous a soutenus dans n
on en contestera môme quelques-uns.... Mais pourquoi prévoir ainsi le mal ? Nos adversaires, devenus plus justes et plus rai
tion soit pratiquée. Quelquefois l’action du magnétisme augmente le mal et replace l’individu qui y est soumis dans l’éta
à le repousser comme il l’a fait pour l’agent contraire qu’un médecin mal inspiré a pu introduire dans la circulation. Mais
nt à l’infini et cela dépend : du genre d’affection, de la gravité du mal , des remèdes déjà pris et du moment que vous avez
remèdes déjà pris et du moment que vous avez choisi pour agir; car le mal change souvent dans cette tourmente du corps, où
s ou moins , bien que, dans certains cas, on ne soit atteint que d’un mal local. Ce que je regarde comme un des plus gran
mploi du magnétisme. Soyez certain que, quelle que soit la gravité du mal , si une crise est possible elle aura lieu , et, s
uits ou altérés profondément dans les tissus qui les constituent : le mal ainsi fait est irréparable. (La suite au procha
magnétiser pendant son extase. J’y consentis, sachant que je faisais mal , car il m’avait repoussé; il était homme et libre
ier cas que j’ai cité; toutes crieront que ces messieurs étaient bien mal infor- niés quand ils ont dit que celle opérati
lle est complètement guérie et qu’elle n’aura plus aucun retour de ce mal cruel. » On doit remarquer ici que cette guéris
ation, d'engorgement", queces fluides apportent, et qui augmentent le mal local, parce que l'effet augmente la cause, ne ce
? Ne s’opposera-t-on pas, de celte manière, aux progrès ultérieurs du mal , et ne favorisera-t-on pas sa résolution? Nous su
i-même, ce qui est absurde, mais pourtant très-commun. Revenons aux maux incurables. Les maladies ont, en général, un co
ions chroniques qu’on a le bonheur de guérir, la marche rétrograde du mal suit exactement le chemin qu’il avait pris pour a
de procédé; vous dirigez de préférence lo magnétisme sur le siège du mal , s’il est bien connu ; dans le cas contraire, sur
emps que vous soutiendrez les efforts qui sont faits au siège même du mal . Soyez assuré que l’émonctoire qui doit servir
» Elle prend ma main et la pose sous le cœur... « C’est donc là votre mal ? Qu’y a-t-il donc ? — Du sang... il y en a bien t
-ce toute la cause de votre maladie? — Non; mon ventro est aussi bien mal , mais je n’y vois pas. » « Après une dizaine de
les piiviléges de votre position, Monsieur le Ministre, d’empêcher le mal en favorisant le bien. Ouvrez-nous un lieu où nou
Après quelques minutes je me retrouvai avec tout mon sang-froid, sans mal de tête, sans aucun des symptômes qui accompagnen
out instant qu’elle allait périr. Un soir qu’elle était extrêmement mal , je voulus la voir une dernière fois avant de ren
es écrits et à chercher des vérités d’un ordre moral qui seraient ici mal placées. Seulement, pour satisfaire le lecteur
retardez l’invasion. Ce premier pas fait, vous ôtes bientôt maître du mal . Dans toutes les affections où, par des causes
r le mois suivant. Combien de fois n'ai-je pas ainsi rélabli la mensl mal ion après que tous les remèdes avaient échoué ! D
certain temps, s’il est conduit avec sagesse; il s’égare, s’il est mal dirigé. Lorsqu’il rentre dans l'état naturel, il
s indiscrétions de la somnambule! on tremble qu’elle ne s’inocule les maux des personnes qui demandent à être mises en rappo
uvrait ma porte, quoique j’en eusse pris laclefsur moi, me faisait un mal horrible. Alors je voyaisen trer le même cadavre
uelques êtres, leurs victimes? Gloire à vous, Seigneur, même pour les maux que j’ai soufferts ! Pardonnez-moi si parfois je
du malade, le moindre mouvement; seulement il dit : « Vous me faites mal . » Chaque lambeau fut incisé, et à chaque incisio
lambeau fut incisé, et à chaque incision il répéta : « Vous me fuites mal ; » mais la tête resta immobile. Chaque lambeau f
nq minutes l’enfant remua le bras en disant qu’il ne lui faisait plus mal . Le docteur Clavery cite une guérison de douleu
crut pas d'abord, mais, voyant son fichu ensanglanté, elle se trouva mal . Le chirurgien incrédule avait alors un visage où
Les gens éclairés qui nous disent : N’allez point do ce côté, jugent mal des choses ; la suite le démontrera. La tristes
sont-elles jumelles ou sœurs pour être frappées en môme temps du môme mal ? Non, l’une est Allemande, l'autre Russe; elles n
l’organisation. Quelquefois le magnétisme aggrave les symptômes du mal ; le magnétisé et le magnétiseur s’effraient; il n
t malgré cette amélioration de^*«a santé en général, je jugeai que le mal avait fait trop de ravages pour espérer une guéri
étique, pourvu que je fusse assuré qu’il ne pouvait lui arriver aucun mal , et que je le visse auparavant dans cet état. «
ilité à la douleur. Je vis, je fus convaincu que mon opposition était mal fondée, et le premier résultat de cette convictio
nés, venant aussi lui demander le soulagement ou la guérison de leurs maux ; el le bruit s’en répandant, on vint bientôt des
hommes que le magnétisme soit un agent curatif? Ils s’en moquent pas mal tant qu'ils se portent bien. Beaucoup ne voudraie
ans cette assemblée, et l’interprétation des gens du monde traduirait mal les émotions qui naissent d’un premier regard jet
le malade reconnaisse pour vraie la description des symptômes de son mal . Chez les somnambules parfaits on doit entendre e
ur bouche les mois mêmes dont se sert le malade pour caractériser son mal . Le rapport intime doit faire éprouver et surgi
rdinaires, qui ont un choix de remèdes qu'ils ordonnent tant bien que mal dans différentes affections. Je ne veux pas ici
i? Vit-on jamais une science se former avec des matériaux incomplets, mal recueillis, souvent tronqués, et des livres bien
it très-haut et d'un ton très-brusque : Eh! je ne vom trouve point de mal ; au même instant il ouvre les yeux, et de l’air l
d’avis, à ceux qui magnétisent : La nature souvent .'puisée par le mal et les remèdes n’a plus la môme activité,; les sy
les yeux , tous les médecins appelés, et il y en eut beaucoup, car le mal est ancien, dure depuis plus de dix ans : hystéri
aginaire , humorale , rhumatismale , affection de ta moelle épinière, mal à lu matrice , ver solitaire. Cette nomenclature
stème « des influences en général que ladite propriété du corps ani-. mal , ainsi que le remède et la méthode de guérir. » P
U MAGNÉTISME. VOYAGE A SAINT-PÉTERSBOURG. (Fin.) « J'ai vu le mal , mais n’aime que le bien. ■ Maintenant le magné
a sensibilité dont les somnambules ont souvent besoin pour sentir les maux d’autrui, ils sont exposés h prendre et à s'inocu
ne de mes somnambules ; celle-ci, après avoir parfaitement bien vu le mal et indiqué les eaux thermales qui devaient le gué
chez la malade. Je ne fis pas beaucoup d’attention, car pour d’autres maux il en avait été de môme, et aucune suite fâcheuse
e ne pouvait ouvrir la bouche. J’essayai vainement de faire cesser ce mal , que je croyais passager. Après plusieurs heures,
tes cuillerées, sa bouebe étant fermée aux trois quarts. Peu à peu le mal la quitta. Une autre somnambule, après avoir to
ion est singulière, mais efficace. Endormis, ils n’onl aucune peur du mal qui leur arrive dans cet état; réveillés, ils ont
arrive dans cet état; réveillés, ils ont les mômes craintes que si le mal devait ôtre durable. Voici à ce sujet ce que di
er à quitter leur « place, en disant que leurs voisins leur faisaient mal ; « d’autres s’en éloigner d’eux-mêmes avec précip
sciatique, la catalepsie, la gaie, les humeurs froides, « et tous les maux vénériens. 11 ne convient, ujoutait-« t-il, qu’au
ent, ujoutait-« t-il, qu’aux magnétiseurs de traiter ces espèces do « maux , parce que leur volonté el leur action en repous-
nt et « reçoivent lafluidité, la transpiration, et que, l’action « du mal arrivant chez elles en môme temps que la « sensat
a m’était personnel, je n’y fis d’abord pas beaucoup d’attention ; lo mal se passa promptement, mais le jour suivant il en
ue depuis un instant il n’y souffrait plus, mois qu’habituellement le mal qu’il y sentait était intolérable. Je cessai mes
veloppement et devait faire craindre une décomposition totale, que ce mal m’arriva. J’éprouvais en sortant de chez cette ma
omme un Dieu ne peut être que juste, le bien doit être récompensé, le mal puni : ceci est hors de tout doute. L'idée géné
a 11 y a un Monsieur au n° 2 qui se couche en se plaignant d'un grand mal de tôle. » Ce second fait également vérifié se tr
gnétisme, les supprime. Elle retient ainsi, sans augmenter en rien le mal qui existe, des forces nécessaires. Vous ne devez
magnétiseurs. Il y aura lutte, guerre sourde ou apparente. Ce serait mal connaître l’humanité que d’en juger autrement. Sa
musement, de l’autre, des malades abandonnés cherchant remède à leurs maux , ne pourrait-on pas se demander comment il a fait
ance naturelle, jointe â une grande facilité de percevoir le siège du mal , qu'ont les somnambules magnétisés à se porter au
vérité que nous enseignons ne soit jamais possédée par ces génies du mal revêtus de la robe de docteurs. Grand Dieu ! que
voir magnétique! Qu’ils restent dans l’aveuglement, car s’ils font le mal en parole ils pourraient le faire en action. Nous
'amputation de la jambe était inévitable. Mais, malgré les progrès du mal , cette jeune lilie n'avait jamais voulu consentir
et autres propriétaires à Frontignan, et dit : « Cette malade :i été mal soi-« gnée ; on lui a fait des saignées qui lui o
vai un engourdissement aux doigts, et je conçus alors que le siège du mal était tout à la fois depuis le soin jusqu’à l'est
mu-luelleuienl, ils sont la base de nos connaissances, le bien el le mal , le vrai el le faux, la lumière el les'ombres, le
monstrueuses erreurs et ses nombreuses contradictions. Nous dirons le mal qu’ellea fail, le bien qu’elle pourrait faire, el
és vous serez médiocre magnétiseur, et vous ne réussirez que dans des maux légers et de peu de durée ordinairement. Plus j
s. Un instinct vous arrête lorsque vous êtes sur le point de faire le mal ; si vous n’obéissez pas au frein qu’il vous oppo
que toutes cèdent très-promptement à l’action magnétique. L’acuité du mal et sa prolongation, quand on emploie les moyens c
férence! s’élever et grandir ce qui doil les détruire ou diminuer les maux sur lesquels ils spéculent? Ne vous étonnez point
32 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
aux murs du temple des tablettes explicatives sur la nature de leurs maux et des remèdes dont ils avaient fait usage. C’est
comme les apôtres, opérer des œuvres de miséricorde, on nous rend le mal poulie bien. J’en ai fait l’épreuve depuis peu da
érit que par des crises, c’est-à-dire, par un combat entre elle et le mal qu’elle veut détruire, combat qu’il importe d’aut
airvoyance en souffraient au point qu’ils ne distinguaient plus leurs maux . Nous pourrions nous-même ajouter bien des faits
récieuses entraînent presque toujours des abus à leur suite; c’est un mal qu’il faut supporter comme les autres plaies soci
nuel, dix à douze syncopes par matinée, avec raideur cataleptique. Le mal empire jusqu’à la fin de juillet. On était généra
heure, m’ont un peu soulagée. Ce soir ma tête me fait de nouveau bien mal . » La douleur du dos persiste toujours ; les ja
arcourir le champ du merveilleux, nos premiers pas seront incertains, mal assurés, et cependant nous sommes sans crainte; c
sommeil fut agité, et elle fit entendre quelques mots interrompus et mal articulés, qui bientôt après devinrent plus disti
it ordonné. L’enfant commanda 19 coups, il en fut frappé 20. « (.'est mal , dit-elle, il y en a 20. » Et immédiatement après
maintenant 110 ! » On ne put encore compter plus loin que 50. « C’est mal , il n’y avait que 10(5 coups, » dit-elle, lorsque
la moins instruite de l’école, ses études ayant été retardées par des maux d’yeux. Son discours roula surtout sur la vie de
ésigner nominativement ; car les faits de ce genre sont en général si mal accueillis, que l’on aime mieux les taire que de
que leur vigoureuse organisation recèle le remède le plus certain aux maux de leurs enfants, il les mettra en garde contre l
e, c’est-à-dire , qu’il avait fait trop de bien pour n’en dire que du mal , et trop de mal pour n’en dire que du bien.... Je
, qu’il avait fait trop de bien pour n’en dire que du mal, et trop de mal pour n’en dire que du bien.... Je connais depuis
les poisons, et si, d’un autre côté, le magnétisme animal guérit des maux que la médecine ordinaire ne guérit pas, je le de
ancés aux jambes, et la boule à raccommoder les bas lui fait toujours mal . A chaque instant on l’entend s’écrier : » Jésus
sommeil un oiseau dont elle eut peur, croyant qu’il allait lui faire mal ; elle appela à son secours, disant à son père de
t admirable; mais elle peut faire ou beaucoup de bien, ou beaucoup de mal , selon que le magnétisme se trouve bien ou mal ap
e bien, ou beaucoup de mal, selon que le magnétisme se trouve bien ou mal appliqué. La seule question qui semble agiter mai
où nous vivons, pas plus que dans les temps anciens. Mais comme d’un mal il résulte toujours un bien, dans les vues si sag
t naturel et puissant, qui peut faire beaucoup de bien ou beaucoup de mal , selon qu’il est bien ou mal appliqué ; 3° 11 n
ut faire beaucoup de bien ou beaucoup de mal, selon qu’il est bien ou mal appliqué ; 3° 11 n’est point surnaturel, malgré
e. Je sais qu’il est parfaitement reconnu que le magnétisme combat ie mal partout où il le trouve; ainsi, que les vernies s
l’aide du magnétisme, un malhonnête homme pourrait faire beaucoup de mal . Je doute qu’à l’aide du magnétisme un honnête ho
malheureux millionnaire l’engagent à restituer une partie de ce bien mal acquis, pour racheter sa tranquillité ; mais une
s dû changer par le fait seul de sa désobéissance, qui 11’était qu’un mal moral. Seulement, ayant mérité une punition, Dieu
de l’homme, et qui ne passent pour surnaturels que parce qu’on les a mal examinés ou qu’on ne l’a fait qu’incomplètement,
x, si utiles pour la santé, pour la guérison ou le soulagement de ses maux ... et même pour le prémunir contre certains actes
’avoir fait du bien. Premier fait. Un ouvrier cordonnier avait un mal d’aventure au doigt annulaire de la main droite.
boutons pleins d’inflammation s’étaient formés à la partie opposée du mal ; nous reconnûmes que c’était, deux petites esqui
rité de la religion, en l’affranchissant des préjugés et des craintes mal fondées qu’on a allégués contre le magnétisme ani
s de la môme manière, comme le font les phénomènes magnétiques, si un mal se manifeste sous des influences précises, connue
moi comme sur le saint homme Job, chercherait bien plus à me faire du mal que du bien. Quant à un miracle, ma raison et la
e, fait du bien quand il est bien et sagement dirigé, et s’il fait du mal quand il est confié à des mains imprudentes ; tou
veulent pas non plus entendre parler de diable, enfer, perpétuité de mal , et autres idées en vogue parmi nous, déclarant q
oigts de la moitié «les expérimentateurs ; des dames se sont trouvées mal ; «Vautres ont eu des attaques de nerfs ; et on ma
ais ils n’auront plus la ressource de répondre comme aujourd’hui : Ce mal est nerveux, nous n'y pouvons rien. «Le mesméri
t achevée, elle va consister à empêcher l’erreur de se produire et le mal de se répandre. Baron DU POTET. VARIÉTÉS. F
s de bureau, les chefs de division , les directeurs généraux seraient mal venus à gronder, car ils ne sont pas les moins em
traces (peu agréables peut-être pour M'n0 du Potet), sur l’acajou pas mal égratigné de ce géant vaincu par un pygmée. C’éta
tique d’une nature très-impressionnable, M'"° L... faillit se trouver mal , elle avait des nausées et le système nerveux dan
stant s’accrochaient, tandis que nous étions à retirer, tant bien que mal , et à jeter de côté le malencontreux tapis. Une f
. Fiers ennemis de l'ignorance. Salut à vos efforts divins, Des maux qui rongent les humains C'est le grand mal, le ma
vos efforts divins, Des maux qui rongent les humains C'est le grand mal , le mal immense..:.. Salut, Newton. Franklin, D
rts divins, Des maux qui rongent les humains C'est le grand mal, le mal immense..:.. Salut, Newton. Franklin, De Caus,
nces, ô banquistes maladroits, et il eût pu en résulter un très-grand mal pour la société. Mais, à présent que le phénomène
rotte a eu peur d’être au-dessous de sa tâche, et cette crainte, bien mal fondée sans doute, lui enleva le point d’appui qu
conscience, ni libre arbitre. Enlevez à l’homme le droit de faire le mal , vous lui ôtez le mérite du bien, vous supprimez
l’avouons, le magnétisme, comme toutes choses, renferme le bien et le mal , il est comme le fleuve qui féconde et ruine, com
ole à vous dire, car vous n’aurez pas de cœur! Oh! non, tu n’es ni un mal ni un vain mot, fluide qui donnes la vie, éther i
t mets le paradis dans les yeux de la femme; oh ! non, tu n’es pas un mal , tu es le plus grand des biens, tu es la santé, l
ouvantera les criminels, et les natures les plus perverses, voyant le mal puni dès ce monde, rentreront, poussées par le re
ur et réclame un état civil dans le livre de la science du bien et du mal : l’Académie est sommée de le lui acccrder. « C
t qu’il avait fait tout ce qui était humainement possible, et que, le mal étant arrivé au plus haut degré, il engageait la
lés par le I)r Jouënne, son médecin, avaient paru plutôt augmenter le mal que le diminuer. Deux sœurs de charité étaient
ant que le magnétisme, qui peut, en quelques minutes, faire cesser le mal , ce qui est un immense avantage, car il est rare
imbibé d’eau de Cologne fut prescrit par la même personne, contre des maux d’estomac qui venaient à des époques irrégulières
re dans de l’eau magnétisée, et le magnétisai lui-même une minute. Le mal d’estomac cessa; mais la malade se plaignit que l
ies ont disparu par l'apposition d’un linge magnétisé sur le siège du mal . Chez le typhoïque cité plus haut, une serviette
on, la puissance de l’esprit sur la matière, c'est un fléau, c’est le mal . Tant que les opérations magnétiques ne seront pa
e ont quelques pages consacrées au magnétisme, soit en bien, .soit en mal , soit avec indifférence. Les auteurs qui ont tr
catrices et sur les moyens de les employer à guérir ou à soulager les maux de nos semblables, en dirigeant sur eux, par notr
t dans les ressources de notre propre nature les moyens de guérir les maux qui frappent l’humanité. Employons-le délicatemen
oyance générale et constante chez tous les peuples, que les génies du mal apportent une prodigieuse intervention dans les é
ilanthropie, il est sans doute appelé à la soulager ou à la guérir de maux qu’on a crus incurables, à resserrer ses liens so
tuelles. 11 faudra pourtant bien qu’elle accepte les faits : bon gré, mal gré, elle sera forcée de les accepter tous. n N
jeune dame, qui faisait partie de la chaîne, se plaignit d’un violent mal à la tôte après quelques mouvements très-rapides
u par l’un : « L'homme propose et Dieu dispose, » et « Honni soit qui mal y pense, » par l’autre. (Les deux dernières rép
s quel but et dans quel intérêt l’ennemi du genre humain, l’auteur du mal , viendrait nous guérir de nos maux... Beaucoup de
ennemi du genre humain, l’auteur du mal, viendrait nous guérir de nos maux ... Beaucoup de faits magnétiques, sans présenter
s êtres surhumains, peut, en vertu de son libre arbitre, user bien ou mal de son pouvoir ainsi que de tous les dons de Dieu
ps avant le sinistre de Monville, un berger se soit vanté de mettre à mal quelques manufacturiers, et que par une coïnciden
dangereux, pouvant donner lieu à des équivoques et à des imputations mal fondées ; néanmoins il l’a maintenu comme étant c
ble à tous égards, je crus tout expliquer en admettant qu’ils avaient mal vu et mal observé par conséquent. Le malade eut
égards, je crus tout expliquer en admettant qu’ils avaient mal vu et mal observé par conséquent. Le malade eut plusieurs
t il s’appelle. « Enfin, il fait embarquer un homme et lui donne le mal de mer à un tel degré que ce malheureux, perlant
métamorphose , il a accepte le bras d’un galant chapelier, l'homme au mal de mer, et grâce au progrès fascinateur de M. Phi
ont vu cette pièce sont tous d’avis quelle fera plus de bien que de mal à la cause magnétique. Revue de» Journaux. —M.
us êtes serviteurs du démon, et il se sert de vous pour perpétuer les maux ; vous êtes ses agents, nulle puissance humaine n’
et que sous certaines conditions l’emploi de leur moyen de guérir les maux ; à Rome, nul n’oserait parler ouvertement du magn
rien sentir sans le bouillonnement de mon sang; jusque-là je vois le mal avec indifférence; mais aussitôt qu’une chaleur v
eux puissances gouvernent les mondes, et que pour échapper à celle du mal il faut connaître ses artifices et son pouvoir ?
ses œuvres, à ses pompes, et moi je dis qu’il faut étudier l’agent du mal pour apprécier et connaître ce qui est bien. Ba
cherché pour une ordonnance, bonne en elle-même, consciencieuse, mais mal composée et exécutée sans prudence ni intelligenc
udiés. En dédaignant une telle étude, un corps savant n’empêche aucun mal , et il se prive gratuitement du mérite de faire u
lamme électrique sur son chien qui se sauvait, et qui n’a point eu de mal ; mais en même temps sa fille asphyxiée tombait à
à la fortune, s’ils n’eussent évoqué, appelé à leur aide l’esprit du mal , afin d’en être inspirés et de pouvoir ainsi, par
s plus que la nature. 11 existe un principe de bien et un principe de mal . Ces deux agents, ces deux forces se font équilib
Y harmonie suffisent à l’âme pour lui faire aimer le bien et haïr le mal . « La volonté qui produit le magnétisme procède
révélations qai feraient supposer une âme à l’objet magnétisé. C’est mal poser la question. Les partisans des communicatio
ieux ne serait pas de longue durée, car la cause qui avait produit le mal existait encore; que le moyen le plus sûr de l'em
t-elle, est étrangère aux cris que vous venez d'entendre : la peur du mal en est la seule cause. » Cette explication était
eut quatre évacuations de matières séreuses; à la quatrième, tout le mal avait disparu ; le cinquième jour, les parents vi
élivrer d’une maladie par ma seule volonté ; elle suit le parcours du mal s’éloignant. 11 faudrait un volume pour donner
ent dit d’abord, et déclarer qu’elles étaient animées par l'esprit du mal , et que celui-ci ne cherchait qu’à nous tromper e
tupéfaits. — Non. — Qui es-tu donc alors? — Je suis l’esprit du mal . — Quel a été le but de l’indigne comédie que t
perdait son temps, il nous a de nouveau avoué qu’il était l’esprit du mal , qu’il avait espéré reprendre notre confiance, ma
. le baron de Chabert, pour s’assurer si l’on a affaire à l’esprit du mal , peuvent ne pas réussir immédiatement (soit par l
t par se démasquer et par convenir formellement qu’il est Y esprit du mal , et qu’il ne cherche qu’à nous égarer et à nous t
ransformations superficielles pourraient avoir lieu, mais la somme du mal serait toujours la même (page 80). Ce serait donc
e redoutable, je sens en moi quelque chose qui s? révolte à la vue du mal . Ce sentiment vient d’un Dieu bon et juste , en l
yer du docteur... il voulait me faire du bien, et il m’aurait fait du mal .... Tenez, je la tiens la feuille qu’il me faut..
s médecins dont la capacité ne saurait être vérifiée et peut faire du mal . « Mais la prohibition cesse avec le danger, pa
impérial) s’occupent directement ou indirectement du soulagement des maux de l'humanité, et par quelque mode que ce soit?
de le traite avec considération : le pauvre, car il peut lui faire du mal en le calomniant et le dénonçant; le propriétaire
usieurs occasions j’ai remarqué que lorsque l’un des porteurs remplit mal sa tâche, en respirant mal à propos, la partie du
rqué que lorsque l’un des porteurs remplit mal sa tâche, en respirant mal à propos, la partie du corps qu’il tend à souleve
inée par mon habile médecin qui, pour me soustraire au retour du même mal , me magnétisa pendant quinze autres jours consécu
e voiture. Le narrateur de ce fait termine ainsi son récit : a Le mal durait depuis dix mois, et Mme P..., perdant chaq
seconde, pour ce que la présomption est en soi la marque d’un esprit mal fait et d’un homme de peu de sens. « Nous devon
nts, 561. | Hernie crurale étranglée, 385. § II. Cas de médecine. — Maux guéris ou soulagés. Affaiblissement nerveux, 86
icardite, 33. Hydropéritonite, 276. Hystérie, 33, 60, 283, 465. Maux d'estomac, 289. Migraine, 388. Névralgie fron
33 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
icultés considérables, tant j'avais de voix incomplètes, fausses et mal timbrées. Mais, à force d'insistance, en établi
ui ignorent l'existence des établissements où on les reçoil et qui, mal renseignées, ne croient pas à la pos- sibilité
ques pour les instituteurs et les institutrices des enfants anor- maux . e) Nos auteurs insistent sur la supériorité de
ète à 3 ans. M... a commencé à marcher à 18 mois, mais il se tenait mal . Ses parents l'ont repris à 2 ans. 15 jours apr
Il se sert un peu de la cuiller et de la fourcliette, se lave très mal , ne sait ni mettre, ni ôter ses vêtements. L'in
ui le gardent. - A plusieurs reprises, on lui a demandé où il avait mal : il a indiqué sa tête. Ce matin, la prostratio
sutures pariéto-occipilales. Méninges. - Liquide en quantité nor- male . Adhérences par paquets des deux feuillets de l'a
he, 110 gr. Abdomen. - Tube digestif. - OEsophage, eslomac nor- maux ainsi que le duodénum. Sur le reste de l'intestin
s vinaigrées, à 9 heures du matin, l'enfant respire de plus en plus mal , se cyanose de plus en plus, le visage devient
e d'ulcération. - Foie (1150 gr.) stéatosé. - Rate (150 gr.) nor- male . - Reins très congestionnés se décortiquant facil
l nu, de foyer de sclérose. V. Épilepsie idiopathique ; État de mal ; Mort ; Lésions méningitiques; Par nOURXE\'I
Marche croissante des accès. - Déchéance intellectuelle. - Etat de mal ; mort. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère 1
ont en aug- mentant. En février 1895, elle est prise d'un étal de mal et succombe en trois jours. III. L'autopsie a f
Hémiplégie gauche ; - Épilep- sie partielle ; Déchéance; - État de mal ; Par BOURNEVILLE et COMTE. SOMMAIRE. - Père
rition des vertiges : déchéance progressive. - Mort dans un état de mal . Autopsie. - Asymetrie crânienne très prononcée
pas cessé d'avoir une marche croissante et ont abouti à un état de mal , absolument comme chez les épileptiques ordinai
as atteint le degré élevé que l'on note d'habitude dans l'état de mal qui complique l'épilepsie ordinaire. Etat de MA
rvation à la Société de biologie en 187G. Il est survenu un état de mal pareil à celui que nous venons de relater et la
hémiplégique et atteinte d'épilepsie. Elle a eu un premier état de mal , offrant également les mêmes caractères, dans l
er dans les commentaires de cette observation, un véritable état de mal . C'est ce qui est arrivé chez cette dernière ma
A peine quelques semaines s'étaicnt-elles écoulées après l'état de mal d'épilepsie partielle, qu'un seconcl état de ma
es après l'état de mal d'épilepsie partielle, qu'un seconcl état de mal se développa : les accès différaient notablemen
isolés, mais aussi des accès qui avaient composé le premier état de mal . En moins de 40 heures, M... eut plus de 300 ac
. ( ? ) Hémiplégie in ? rnlilesniuircl'tpilrtpsie7arlielln; étal de mal épileptique; rrwrl.. loy·r arrcinn intéressant
elle a uriné au lit jusqu'à 1G ans ; éprouve de rares maux de tête mal carac- térisés. - [Père, mortalG9 ans de i cong
z droite dans le chariot. Elle ne sait pas manger seule, se tient mal à table ; elle prend plaisir à plonger les mains
Son père, nerveux, violent alcoolique, de tempérament arthritique ( maux d'estomac, migraines, ulcères variqueux) est mo
ndre plusieurs métiers : tentatives inutiles, l'enfant maladroit et mal disposé cassait tout et ne faisait aucun progrè
iques. IX. Épilepsie. - Atrophie cérébrale localisée. - État de mal . - Influence des injections de Brown-Séquard; P
s accès sous l'influence des injections de Brown-Séquard. - État de mal . Mort. AUTOPSIE. - Atrophie cérébrale localisée
erfs. Toujours un peu anémique. Coliques néphrétiques il y a 2 ans. Maux de tête passagers. Caractère très doux mais imp
rmaux ; Peau blanche. Cicatrice de la trachéotomie. Viscères nor- maux . - Rate volumineuse. La parole est lente. L'éta
ux gris des deux côtés n'ont aucune lésion macroscopique. État de mal ; température. 97 Les véritables accès ont paru
ndant les séries d'accès (élévation modérée) et pendant l'état de mal (élévation rapide et considérable). VI. Au poin
ou deux mois après, sa femme a remarqué une éruption à la peau, des maux de gorge, etc. Il a dû suivre de nouveau un tra
is- te, hantée par de vagues idées de suicide. Elle se « trouvait mal » après chaque repas. Cet état, qui persista pend
e. La parole était limitée aux mots : papa, maman, qu'il prononçait mal avant l'opération, dit la mère, et sans applica
gauche (145 gr.); congestionnés à la base. - Coeur (122 gr.) nor- mal . Abdomen. - Foie (495 gr.) ; Rate (45 gr.) ; -
nt d'idiotie à un degré pro- noncé : parole bornée à deux mots même mal appli- qués, gâtisme, marche tardive, affaiblis
. - Habileté manuelle extraordinaire. - Clas- tomanie. - Passion du mal . 1880-1881. - Ecrthyma. - Tentatives multiples
ement à la selle. Il ne sait ni cracher, ni se moucher. Il se tient mal à table, se sert assez maladroitement de la cui
tion par M. le Dr CRUET. - Mâchoire supérieure : Douze dents saines mal rangées, mâchoire laté- ralement déprimée et pr
ilité cutanée normaux. Le malade parle dilficilement; les mots sont mal articulés Description du malade. 137 on a bea
tout et cherche à saisir au passage les enfants pour leur faire du mal . - Cette année (1893), l'un de nous, dans un tr
il laquelle il a été soumis (16 ans) que quelques douleurs de tête mal définies, de rares accès épilepti- f ormes, de
lui est plus surprenant, c'est qu'il n'emploie son adresse qu'au mal , et non au mal fait inconsciemment. Quand il ma
surprenant, c'est qu'il n'emploie son adresse qu'au mal, et non au mal fait inconsciemment. Quand il manigance et exéc
point ; les stigmates psychiques abondent et outre la passion du mal qui domine toute son histoire, nous ob- servons
et de la propreté à un an ; - de la ma1'- che à 18 mois. - État de mal convulsif un an ; durée 24 heures. - Aucun acci
front, de chaque côté de la ligne médiane. - Crâne de volume nor- mal , symétrique, nettement dolichocéphale ; fontanell
jours ; elle prétend avoir été très effrayée, ne pas s'être trouvée mal , mais avoir été prise d'un fort tremblement qui
a condition d'être toujours tenue par la main ; le pas est encore mal assuré. Elle a une assez grande répugnance pour l
revenir à son degré antérieur, c'est-à-dire au-dessous de la nor- male , pendant les suspensions du traitement. Le poids
éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs : les cheveux mal plantés, grossiers, de diverses nuances, lais-
t qu'en parole ; très affectueuse ; n'a pas la notion du bien et du mal . Volonté active, veut toujours produire quelque
rant de la conversation le mot de Cambronne. Elle sait qu'elle fait mal en disant des paroles grossières ; quand elle a
891, Kl..., alors qu'il allait notablement mieux au point de vue du mal caduc, a été atteint de diarrhée, s'est affaibl
34 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
halie, de l'asymétrie faciale, du strabisme conver- gent, des dents mal implantées, une voûte du palais ogivale. «'Quan
oncerait et que l'on nomme le clou hystérique; que le sujet sent le mal venir avant que de tomber, qu'il peut tomber à
tôt la justesse de mon observation, mais répondit qu'il avait alors mal calculé sa chute et que ce fut bien involontair
fous dans ses ascendants ou ses collatéraux, ou bien des individus mal équilibrés, épilep- tiques, hystériques ou suic
ant toute sa satisfaction dans les souffrances d'autrui, ne fait le mal que pour le mal, tandis que Cing... n'était men
isfaction dans les souffrances d'autrui, ne fait le mal que pour le mal , tandis que Cing... n'était menteur que pour pa
i souvent tirent leur orgueil de leurs méfaits et qui font alors le mal pour le mal, on ne dit plus que ce sont des fou
rent leur orgueil de leurs méfaits et qui font alors le mal pour le mal , on ne dit plus que ce sont des fous moraux, ma
é. Tout cela, comme le fait remarquer Claparède, est encore assez mal étudié. Toutefois nous ne croyons pas comme lui q
s altérations (exagération, affaiblissement, abolition) au début du mal , pour faire le diagnostic, dans les cas douteux
utilité de la peine, comme moyen d'intimidation des gens disposés à mal faire, est aussi manifeste. Peut-être, cepen-'
aitement susceptible d'être utilisée à son profit et de remédier au mal qui a été fait. « Il n'y a qu'un moyen, pour la
lpé a agi . et dans quelle mesure il peut se corriger et réparer le mal qu'il a causé à la société. A. LB\A71toU. IX.
ns; père criminel, mère douce et intelligente. Notion du bien et du mal très émoussée : cet enfant est sujet à des viol
e même quelquefois à se demander si le remède n'est pas pire que le mal . Une opinion généralement admise veut qu'on ne
es cas où la suppression radicale du médicament produit l'état du mal ou augmente le nombre des crises sont réels, mais
ent thérapeutique sont nuls en fait, que le sentiment de bien et de mal n'est pas affaibli dans l'état hypnotique (il s
donner de fortes doses de mercure, car môme les doses faibles sont mal tolérées;. il est même sage d'examiner l'urine
de con- naissance ; avant l'attaque il avait souffert de fréquents maux de tête avec nausées ; cette céphalalgie était
en trois semaines. - Le deuxième cas, plus classique, représente un mal de Pott vertébral avec pachyméningite caséeuse
lle de l'aïeule, concurremment avec la chorée dégénérative, le haut mal , l'épilepsie, dont plusieurs auteurs, Hoffmann,
ales, des ennuis. Le malade s'énervait facilement, il recevait très mal les clients. Il dut cesser complètement de coiffe
les familles de paralytiques généraux que dans les familles nor- males . Celte moyenne étant de quatre naissances et demi
n constate partout ; à raison de ce que pense le peuple même de ses maux et du soulagement qu'ils nécessitent partout, d
al qui se trouve en ville et dont l'organisation a déjà absorbé pas mal de ressources. Si, en effet il ne remplit pas mai
servation de tumeur cérébrale s'étant traduite par les symptômes du mal sous-occipital et par de l'hémiatrophie de la l
be des ulcérations superficielles assez étendues dont la nature est mal déterminée. Les dermatologistes les ont consi-
théologique du moyen âge touchant la responsabilité : le bien et le mal sont l'oeuvre de Dieu ou du démon et l'agent du
les autres sont plus ou moins cariées. La voûte palatine est nor- male . Le réflexe pharyngien est très affaibli. Les m
uoi que ce soit de ses troubles unitaires. Il n'est pas sujet aux maux de tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. F
t l'affection considérée. Peu marqué dans le diabète sucré, dans le mal de Bright, il est surtout manifeste dans les in
des noeuds dans la cheville ça craque + La cheville ne me fait plus mal , elle est plus petite, je la sens bien. - Sente
ntez-vous votre pied ? Oui. Vous appartient-il ? Ça ne me fait plus mal , mais je ne puis dire si c'est à moi. 11 me sem
ite + Les mouvements sont très peu accen- tués + ça ne me fait plus mal . Sentez l'os de la jambe : Ça me fait mal, on m
tués + ça ne me fait plus mal. Sentez l'os de la jambe : Ça me fait mal , on me le broie + c'est très douloureux z- on m
e ronge l'os, tout autour + çà diminue un peu + La cheville me fait mal z- Elle va craquer + Elle cra- que + Je me sens
z depuis le genou non compris jusqu'aux orteils : Le mollet me fait mal + On me ronge l'os de la jambe + Çà craque à la
+ Çà craque à la cheville + Je sens ma jambe + Elle ne me fait plus mal . Réveil. Séance de une heure et demie. 25. Sent
de une heure et demie. 25. Sentez votre genou : La cheville me fait mal . Sentez votre genou : Il brûle + 11 est gros +
fait mal. Sentez votre genou : Il brûle + 11 est gros + Il me fait mal en dedans - Elle fait des mouvements de flexion
boules + ça craque fort -f- mon genou diminue + Il me fait toujours mal en dedans. Séance de près d'une heure. zig. L
l en dedans. Séance de près d'une heure. zig. La cheville me fait mal + On me ronge l'os de la jambe. Sentez votre ge
enou : Ça craque + Il devient plus petit + Le genou ne me fait plus mal + On ne me ronge plus l'os de la jambe + La che
+ On ne me ronge plus l'os de la jambe + La cheville me fait encore mal , là, en arrière au ten- don d'Achille. z Ça ne
ore mal, là, en arrière au ten- don d'Achille. z Ça ne me fait plus mal . - Réveil au bout d'une heure. La sensibilité s
sent complètement son membre inférieur- droit qui ne lui fait plus mal du tout. Ajoutons que dans toutes les séances q
quoi de ces mouvements, elle nous a répondu que la tête lui faisait mal , précisément dans la région rolandique gauche.
et à ma grande surprise, elle me répond : Monsieur, vous me faites mal , vous me frappez dans l'estomac. Je ne me suis
espire mieux, l'étouffe- ment disparaît, la poitrine lui fait moins mal . J'ai renouvelé plu- sieurs fois cette expérien
les tiraille. Les yeux sursautent dans les paupières. - Ça me fait mal à la tête (région occipitale d'abord, puis temp
m'a piqué dans le dos + Ça m'a passé + Le sommet de la tête me fait mal - - - Elle s'étire Quel âge ? Je ne sais pas z
ncette dans le cerveau -f- J'ai un gros poids sur la tête + Ça fait mal sur le front+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la
ai un gros poids sur la tête + Ça fait mal sur le front+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la tête lourde -f- Elle me fa
t+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la tête lourde -f- Elle me fait mal tout autour + Elle s'étire + ça me fait mal là
lourde -f- Elle me fait mal tout autour + Elle s'étire + ça me fait mal là en arrière (protubérance occipitale) + On me l
'ai, je crois, vingt-un ans, sans en être sûre + Les tempes me font mal ? On dirait qu'on me serre la tête + on dirait
le ébauche quelques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait mal là (point cérébral de la poitrine). Je per- cut
: J'ai vingt à vingt-un ans, ma tête est lourde + Le front me fait mal + La tête me fait mal tout autour + La poitrine
un ans, ma tête est lourde + Le front me fait mal + La tête me fait mal tout autour + La poitrine me fait mal -f- J'ai la
me fait mal + La tête me fait mal tout autour + La poitrine me fait mal -f- J'ai la tête lourde + Elle est grosse derri
e me fait rien. Réveil à 8 heures. 11. Je languis ? La tête me fait mal + Je ne sais pas où je suis z il est lundi + La
it mal + Je ne sais pas où je suis z il est lundi + La tête me fait mal + On dirait qu'on m'y lance des coups, je suis
rcredi + Je cher- che, je ne sais pas où je suis + Le front me fait mal + J'ai des noeuds dans la tête + Je suis en 189
e sais pas + Je suis couchée, je ne sais où + Toute la tête me fait mal + Il y a quinze à dix-huit jours que j'ai faill
THÉRAPEUTIQUE. me voir ? Avril, mai, etc. ? novembre, j'ai de gros maux d'esto- mac, j'étouffe - Janvier 1898 ? J'ai ma
bre, j'ai de gros maux d'esto- mac, j'étouffe - Janvier 1898 ? J'ai mal à l'estomac + Je m'en- nuie. 13. - -f- févrie
m'en- nuie. 13. - -f- février 1898 z- mars -f- L'estomac me fait mal , j'ai des vomissements -)- C'est le 1G mars -+-
(-C'est le 5 septembre z Je travaille + Octobre - L'estomac me fait mal , j'ai envie de rendre + novembre + décembre + J
donne une nou- velle potion + 16 mars, c'est 8 heures du soir, j'ai mal au côté, je suis couchée + Il vient le D'' Vial
en ville + Je com- mence à sentir mon estomac z La poitrine me fait mal z Je sens un peu la tête + Oh ! c'est le 14 mai
ée+ Je sens ma tête ? Il est 8 heures -La poitrine me fait toujours mal . A ce moment, il est 8 heures et quart. J'ordon
ps correspondantes; et, lorsque la sensibilité était devenue nor- male , les zones disparaissaient. Est-on en droit de
bien conservée, et la résistance aux mouvements passifs est nor- male . Cependant le bras droit semble un peu moins fort
ment à d'autres parties du corps. La température rectale est nor- male , et l'intelligence de ces malades est ordinaireme
est irritable (il ne l'était pas) et oublieux; pour la moelle, il a mal au dos, il boite; il y a de la paralysie des ja
d'ailleurs, peuvent être influencés par beaucoup de facteurs assez mal dégagés jusqu'ici, et parmi lesquels il faut me
fibrillaires. Les formules hématologiques et urinaires sont nor- males . Sur un cas a" hémispasme. J. 13AUmsm. - Voici
droite la forme du pied et le réflexe cutané plantaire sont nor- maux , à gauche le gros orteil est étendu sur le métata
courant des dernières quatre années s'ajoutèrent des accès de petit mal , avec obnubilation de la conscience, symp- tôme
ès d'épilepsie psychique. Psychose épileptique. Mort dans l'état de mal épilep- tique. A l'autopsie, on constate, en de
, qu'on observe dans l'écorce cérébrale des .animaux adultes nor- maux très rarement, dans les cas pathologiques se renf
années. Celle sorte de neutralisation manichéenne du principe du mal par celui du bien est d'ailleurs fréquent, dans u
d'aliénation mentale. Ils ont eu cinq enfants : trois garçons nor- maux , une fille exaltée, hystérique à grand fracas, do
Il s'imagine avoir des bouchons plein la gorge et fait remonter le mal à une époque (il y a précisé- ment deux ans) où
du liège mâché. Il a quatre jours, dans la nuit, il se plaint du mal de gorge et demande à boire. Sa mère lui offre
ylore largement dilaté existe sur la paroi duodénale une ulcération mal délimitée dont le fond est ouvert. mais où l'on
es : i° Les convulsions exclusivement toniques des accès de petit mal épileptique ne sont pas identiques aux accès téta
de cette observation se plaignait d'une céphalalgie insupportable, mal localisée, presque constante, puis bientôt aprè
ormale. Etat psychique sain. Muscles ciliaires intacts, vision nor- male . Pas d'écoulement de salive. ' Apparition de fa
mie, par- fois un peu brusque mais cette brusquerie qui dissimule mal un grand fond de bienveillance le servait beaucou
souvent les femmes les ignorent. » Après avoir fait connaître le mal , M. Bouchereau proposait le remède. 376 NÉCRO
de douleur très nette, et le malade s'écrie : « Mais vous me faites mal , lais- sez-moi. » Le pincement n'amène pas une
bouche les oreilles tellement le bruit est fort, disant qu'il en a mal à la tête. Goût. Si l'on touche légèrement la l
ie au point de vue médico- légal. R. DE IUSGR.1VE CLAY. XLVII. Le mal de tête dans l'épilepsie; par L. Pierce CLARS.
ns l'excès d'activité mentale. Il est intéressant de noter que le mal de tête est beaucoup plus intense chez les mala
ueuses et le défaut d'assimilation sont certainement à la racine du mal . Il est remarquable de voir de quelle manière u
cation devient radicalement insuf- fisante quand il s'agit du petit mal , et dans certaines crises psy- chiques totaleme
soigneusement le mécanisme du retour à l'état de conscience nor- male . 11 y a'encore un sujet d'étude très important :
. M. Déjerine a rarement vu à l'hôpital le tabes conjugal; on est mal placé pour l'étudier dans le milieu hospitalier.
ans. Neuf mois avant son entrée à l'hôpital commença à souffrir de maux de tète et tout de suite après apparurent des a
t. Conclusions : 1) La gaine de myéline d'une fibre nerveuse nor- male est d'une formation chimique complexe : on y reco
s de l'élongation des nerfs : étude expérimentale et thérapeutique ( mal perforant plantaire, 456 VARIA. ulcères variq
apeutique (mal perforant plantaire, 456 VARIA. ulcères variqueux, mal perforant buccal, pied tabétique, etc.) ; A. Fo
sciculaire du sciatique (avec figures) ; M. Bardesco. Sur un cas de mal perforant et sur deux cas d'ulcères variqueux t
eux traités par élonga- tion des nerfs ; J. Crocq. Le traitement du mal perforant plan- taire.par la faradisation du ne
- logie externe : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Pott. - Signes et diagnostic de la cuoealgie.
, sans cauchemar, et il nous dit que depuis un mois il dormait très mal , avait des cauchemars terrifiants, des insomnie
ont symétriques, peu écartées du crâne, bien ourlées; le lobule est mal dessiné, adhérent. Au niveau du tragus, on note
s leur développement mais ont leur forme et leur consistance nor- males . (PA, P', moitié supérieure de LQ, extrémité du l
le ne fut pas excitable, mais il s'agissait, sans exception, d'ani- maux âgés de moins de neuf jours. Cette inexcitabilité
- thie de Leyden ils étaient accrus en nombre et d'apparence nor- male quant à leur structure. - Normaux aussi dans un c
faiblesse, mala- dresse et très légère anasthésie. Dans un cas, le mal a débuté. par 'r les bras. Les nerfs craniens s
quelques jours, délire doux, légère fièvre (101° ou 102° F) ; léger mal de tête, peu de vomissements ; pas de convul- s
ns faiblesse et sans récrimination, car toujours il sut regarder le mal en face et se résigner. Le 14 novembre 1898, de
une complète guérison; son ambition se borne souvent à atténuer le mal , à l'enrayer, et, dans les cas les plus graves,
leur état psychique et moral, plutôt un déve- loppement désordonné, mal équilibré, qu'un arrêt de développe- ment. En o
des jeunes dévoyés. Une première mesure à prendre, pour enrayer le mal , serait de rendre réelle l'obligation scolaire
s Il , par Har- ter, 425.' Attaques frustes d' , par Fé : é, 429. Mal de tête dans l ? par L. P. Clark, 433. - et d
35 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
a le voir sans indignation, elle songera qu'il lui a fait beaucoup de mal , que peut-être il lui en fera davantage encore :
t ? — J'ai pris une pièce de cinq francs. — Savez-vous que c'est très mal ? c'est un vol ; comment avez-vous été amené à le
ue c'est très grave ? il vaudrait mieux dire qui vous a » poussé au mal ... — Personne. — On ne vous punirait pas, dans »
e. Elle lui peut réussir; on ne se méfie pas. Si elle lui réussit, le mal est fait. Il a trouvé son arme. Précieusement il
par leur instinct, soit par leur éducation première. Ces enfants sont mal équilibrés au point de vue mental. On constate le
sa vraie nature: pour MM. Binet et Féré, qui trouvent singulièrement mal choisie l'expression d'hallucination négative que
s mains l'une autour de l'autre, elle les tourne. Je lui suggère un mal de dents, et elle a mal aux dents; un éter-nuemen
l'autre, elle les tourne. Je lui suggère un mal de dents, et elle a mal aux dents; un éter-nuement, et elle éternue; je d
appelle les démons. Ces démons, purs esprits, seraient les auteurs du mal , les inspirateurs du mensonge et c'est à ce titre
tout temps objecté à l'Eglise que croire aux démons comme auteurs du mal , c'était encourir le reproche de contradiction, p
Dieu. Soit ! a-t-on riposté. Mais alors votre Dieu est l'auteur du mal ; ¡1 n'est pas l'être infiniment bon que vous nou
bablement l'Eglise. Dieu est le seul auteur des êtres qui ont créé le mal , mais il n'est pas l'auteur du mal. Il a créé ces
l auteur des êtres qui ont créé le mal, mais il n'est pas l'auteur du mal . Il a créé ces êtres libres et il fallait qu'il l
dignité en dépendait. C'est par le mauvais usage de la liberté que le mal s'est trouvé créé. Les esprits indépendants n
avoue qu'au spectacle de l'univers se débattant sous les étreintes du mal que j'aurais ainsi déchaîné sur lui, il ne me vie
atures du Dieu catholique, qui leur laisse la liberté de commettre le mal . Il les oblige même à le commettre; car, en raiso
la concilier avec la Bible. De pareilles contradictions font plus de mal à une doctrine religieuse, dite infaillible, que
elle est persuadée quelle ne se remettra plus, elle est beaucoup plus mal que les précédentes fois. — Troubles de la digest
laquelle se contraignent, ou dans laquelle se complaisent les esprits mal équilibrés. Quelles formes précises revêt la si
hypnotise le malade en ce sens qu'elle le fait penser au siège de son mal , et, par là. entretient ou agrandit la plaie. C'e
gastrique n'est point complète, le malade ne voit que confusément son mal , et les re.r.èdes qu'il s'ordonne ne peuvent être
rticuliers, les voici : i" degré. Le molade roit parfaitement son mal présent et peut indiquer les remèdes qui lui «ont
«ont nécessaire», sans cependant prévoir le développement d'un autre mal dont la cause existe déjà et lui échappe. Il peut
happe. Il peut encore annoncer avec précision l'époque de guérîson du mal qui l'occupe. 2* 4egrè. Ix magnétisé peut entre
l qui l'occupe. 2* 4egrè. Ix magnétisé peut entrevoir, de plus, les maux des personnes sur lesquelles le magnétiseur a tix
emèdes qu'il ordonne. S* degré. Le magnétisé voit avec certitude le mal présent et le germe de toute autre maladie qui pe
ement de Valogncs, sur le motif qu'elle ressentait sympathiquemcnt le mal des autres, ce qui ne pouvait se faire que par ar
dies sans savoir si les personnes sont malades, ni la nature de leurs maux . Ils en sont instruits par le sentiment «le doule
nt, les mêmes souffrances que le malade, et indique ainsi le siège du mal et toutes les sympathies... • La plupart des so
forts inutiles pour soulever son bras à elle, en v ressentant le même mal . (?., p. 23a.) Cette même personne, mise en rap
e dit que le sang se portait à la tête: qu'actuellement M. Marc avait mal dans le côté gauche de cette cavité ; qu'il avait
le; que souvent il avait de la toux et qu'avant l'expérience il avait mal dans le côté gauche de la tête, maïs qu'il ne res
il maintient les faits, les expériences de la deuxième séance ont été mal faites. Il a obtenu le contraire dans son laborat
rfaitement les gestes et mouvements des personnes qui tombent du haut mal , qu'il n'y avait personne a l'hôpital général de
es phénomènes de l'ordre naturel; que le déterminisme positiviste est mal fondé a renier la possibilité du miracle, mais se
n comme insoluble à son point de vue, ou à en rejeter les faits comme mal observés; • D'autre part. a Regrettant la fac
adies nerveuses où l'on peut, grâce a ce puissant moyen, soulager des maux rebelles a toute médication, inoffensif lorsqu'il
oindre intensité. Quoique les élancements soient aussi fréquents, son mal est, dit-il, plus supportable. A partir de ce mom
, c'est-à-dire un individu encore en santé, mais nerveux à l'excès et mal équilibré? Dans la manière de se conduire à son é
* souhaiter que les mères et les jeunes filles puissent confier leurs maux à des personnes de leur sexe, plutôt que de deman
ps ou les consolations de l'âme. Ajoutons enfin que la Faculté serait mal venue à chasser de son sein les femmes courageuse
re sans pudeur dans l'appartement de sa mère. Il se flatte d'aimer le mal et il dit qu'il ne se rend pas eomote qu'il lait
latte d'aimer le mal et il dit qu'il ne se rend pas eomote qu'il lait mal . Ses parents ont consulté un certain nombre d ins
illet, le jeune homme était absolument transformé. L'idée de faire le mal avait disparu et était remplacée par la volonté d
caractère et de volonté : sans doute, il mettait entre le bien et le mal une certaine différence, mais incapable de se ret
ions d'ordre exclusivement clinique; le diagnostic posé, l'origine du mal spécifiée, plus ou moins aisément, les accidents
senter les choses sous le jourlel plus fantastique, qu'on se donne un mal inouï pour lui en cacher Uj nature ci les véritab
sauraient plus être qu'artnciels. La distinction entre le bien et le mal ne saurait plus devenir que pure convention. A ce
éapparaît avec le plus de ténacité. Parmi les causes déterminantes du mal caduc, 36 fois sur 8ô par Maisonneuvc. 27 fois su
trop le répéter, la crainte est un moyen de direction détestable; Le mal qu'elle cause est grand ; plus grand parfois qu
ncs de l'école qu'au premier chef il importe de les tenir écartés. Le mal qu'ils y causent est infini. REVUE CRITIQUE D
t dans un somnambulisme profond, n'ont pu être guéris par moi de leur mal . Il est très probable que les meilleurs résultats
sagère des* phénomènes douloureux. L'épilepsic sous la forme de p;:i: mal et le» psychoses légères sont traitées à l'aide d
s des arguments que je trouvais faux et des faits qui me paraissaient mal interprétés. Aujourd'hui je vais prendre mu r
fait de l'homéopathie et depuis i! est guéri. — Mme R... souffrait de maux de tète affreux contre lesquels elle avait en vai
i a conseillé de voir l'homceopathe ; d'abord elle a résisté puis lai mal est devenu si intolérable qu'elle s'est rendue. E
n, il est utile, il est nécessaire que l'on connaisse U profondeur du mal et quels sont les ravages que luit chaque jour, d
aux crampes d'estomac, des l'âge de 7 ans ; parfois elle se trouvait mal et tombait comme en défaillance ; deux crises de
domination du magnétiseur. Elle travaillait encore un peu. mais très mal ; elle n'avait plus de goût à rien, elle ne vivai
ù la suite de manœuvres d'hypnotisation trop fréquemment répétées ou mal conduites. Aussi n'est-il pas. d'une manière abso
s mains des homœopathes. Ainsi, on ne peut nier qu'ils guérissent les maux de gorge, et particu-lièrement le croup et les an
e, il verra les objets plus ou moins f.dèlement. Il se donne alors un mal incroyable pour deviner, c après certains indices
Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne s'agirait-îl pas la de l'état de mal cpileptique où l'on vibre aussi, où l'on n'a pas
symptômes que je viens d'indiquer manquent absolument dans l'état de mal . l.'état de mal est un état très grave, qui souve
e viens d'indiquer manquent absolument dans l'état de mal. l.'état de mal est un état très grave, qui souvent se termine pa
t, dans les termesoù elle est donnée par le professeur de Liège, être mal saisie par le lecteur et lui suggérer une pensée
ments et des sifflements d'oreilles, une otorrhéc du coté gauche, des maux de dents très aigus, principalement dans le* mola
sonnifier l'incurabilité. Pour l'instant, il ne suit plus, depuis pas mal de temps déjà, de traitement : « Demi-quart comme
sse à la force, h que d'abord subie avec une impatience plus ou moins mal déguisée, prise en haine ensuite, l'autorité du m
la rigueur,. Puis, quand le moment pénible est venu ; quand, bon gré. mal gré, il faut aborder les sujets auxquels l'élève
des zagaies : celui que le coup atteint est reconnu pour l'auteur du mal . Dans l'Inde, pour voir en songe le sorcier don
ûre de ne pas se tromper et que la poitrine lui faisait encore no peu mal ». Les phénomènes hallucinatoires consécutifs s
isait repéter, « il se sentait vivement impressionné et s'en trouvait mal . > Je passe maintenant au troisième groupe c
terre inconnue, mystique et... négligeable. Or. le fait qu'on connaît mal un organe ne donne nullement le droit de négliger
science, et les annales de la médecine mentale attestent partout quel mal immense l'abus du mot simulation a produit. Le pu
es autres cas. Lorsqu'une violente émotion subite fait disparaître un mal de tête ou un mal de dent, il ne s'agit pas non p
squ'une violente émotion subite fait disparaître un mal de tête ou un mal de dent, il ne s'agit pas non plus de complaisant
un autre dynamisme plus conscient, mais modifié, ne voit pas ou voit mal . Le premier moi évite les objets qu'il voit, le s
s s'accomplissent lentement, mais elles sont normales. Le malade voit mal , surtout de l'œil gauche ; il ne peut pas reconna
tisme c'est l'hypnotisme de Nancy), comprend une série d'états encore mal définis et mal classés : on pourrait même se dema
ypnotisme de Nancy), comprend une série d'états encore mal définis et mal classés : on pourrait même se demander si quelque
aragraphe : « Nous n'irons pas plus loin dans l'étude de ces états si mal définis et si mal classés, vu l'absence des carac
n'irons pas plus loin dans l'étude de ces états si mal définis et si mal classés, vu l'absence des caractères somatîques i
'occuper dans la série. » Je dois vous paraître, ce moment-ci. bien mal défendre la thèse qui vous a été annoncée. Je vou
dit Babinski. il fallait un certain courage pour relever une question mal famée et marcher a rencontre des préjugés enracin
ena avec l'espoir que je pourrais peut-cire enrayer définitivement le mal . Elle me fut confiée de nouveau pendant un mois
proposition, et pour un peu nous dirions même que la jalousie est un mal nécessaire à la condition qu'elle soit bénigne ;
e goûtenietnelaissent goûteraucune tranquillité, interprètent tout en mal , dénaturent les faits, accusent les intentions, c
tait ruinée, et où il n'y avait que les gros murs et quelques poutres mal assurées. Il montait au plus haut de cette maison
al dc la Chakitk. — M. le docteur Luys reprendra son cours le jeudi 9 mal à 10 heures, dans l'amphithéâtre du premier étage
lorsqu'on peut prévoir une décharge, et en particulier dans l'état de mal . Les rapports qui existent entre les paroxysmes
36 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ation de la papille et de la rétine, la papille floue, gris sombre, mal limitée, nuageuse, de la névro-rétinite. L'am
'image droite, mais à limites nettes ; les vaisseaux étaient nor- maux . Cet état indicateur d'une affection scléreuse et
s périodes d'amélioration et d'aggravation, un an avant l'entrée le mal fit des progrès et V... devint complètement ave
empiéter les unes sur les autres et déterminer un véritable état de mal obsédant dont la durée peut se prolonger des se
en moi une seconde pensée qui me contredit toujourset me pousse au mal quand j'ai l'idée du bien », finit par se croir
oubles qu'elle combat, de' la connaissance de la physiologie nor- male et pathologique et du mode d'action des mouvement
n établies. Etant donné que tous les mouvements coordonnés nor- ' maux n'ont été obtenus chez l'enfant ou l'adulte que p
eur faut demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor- mal de la contraction volontaire et de la coordinatio
her a appelé type de contraction balistique pour les muscles nor- maux , remarquons seulement qu'ils sont peut-être plus
nduit ces expériences, nous sommes portés à croire qu'on interprète mal les lois de l'hérédité, si lois il y a. Or, il
chidien. Le diagnostic étiologique de la lésion est orienté vers le mal de Pott par l'existence d'une cyphoscoliose dor
son testament, partageait à dessein sa fortune entre des gens tous mal portants, pour jouer une niche à ceux de ses hé
t chirurgie) ; 20 Insuffisance hépatique (symptômes et diagnostic). Mal perforant plantaire. Deuxième séance. Questio
l'enfant suppliait : « Maman, petite mère chérie, ne me fais pas de mal , dis ! » On mit fin à cette scène en désarmant la
des crises terribles d'épilepsie. Hier matin même, terrassé par son mal , Louis Gasse était tombé sur la chaussée, rue d
tobre 1897). Meyer. Contribution M l'étude de la folie communiquée ( mal . de Kor- sakofT). (Allg. Zeilsch. f. Psychiatri
isé surtout par un défaut de mémoire assez prononcé. Elle con- naît mal son âge et l'année; elle calcule très difficileme
jet tel qu'un état d'émotivité, et qu'enfin en outre le taux nor- mal de la volonté se trouve surpassé, l'obsession pre
! non... je ne guérirai pas... mon Dieu... je ne veux pas faire du mal >, finalement, elle tomba dans un sommeil,ca
lui reste que quelques troubles somatiques (douleurs abdominales et mal de tête). DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 16S
c des idées de persécu- tion ; il disait qu'on voulait lui faire du mal et lui prendre son poste; à cause de ses idées,
gitées de visions nocturnes, elle s'imagine qu'on veut lui faire du mal , à la suite d'une entero- clysme, elle accuse d
ale ; le malade craint la lumière; voit bien les objets éloignés et mal les objets rapprochés. Il s'agit, en somme, de
délire, ce qui nécessite son internement. Il meurt enfin en état de mal sans avoir jamais pré- senté de phénomènes méni
nts : Le père de la malade, de constitution délicate, supporte très mal la boisson et s'enivre assez souvent ; il vit e
Les idées de persécution sont plus nettes ; elle accuse de tous ses maux une certaine Lina; alors elle cesse de pleurer, s
s'excite, se met en colère. Mais toutes ces idées délirantes sont mal coordonnées, mal systématisées comme s'il y ava
t en colère. Mais toutes ces idées délirantes sont mal coordonnées, mal systématisées comme s'il y avait de l'affaiblis
e sa faiblesse. Elle souffrait en outre de la constipation, dormait mal et son caractère était devenu méfiant et irrita
'avait plus retrouvé, depuis lors, de bandage convenable, la hernie mal conte- nue avait augmenté de volume et était de
me plus voir maintenant. « Ca ne va pas, répétait-il, j'ai toujours mal dans le ventre. Ce qu'ils m'ont fait, ou rien, c'
ulôt en empirant d'une façon continue. Tout le monde lui faisait du mal . On voulait l'empoisonner, le couper en morceau
refusait de voir qui que ce soit dans la crainte qu'on lui fasse du mal . Cependant l'attitude n'était pas celle d'un pe
, au contraire, dit la femme, il avait toujours peur de se faire du mal . Etat du malade à son entrée (14 mars 1898). Ma
cablement, air effrayé. Peur de mourir. Angoisse. « Je n'ai fait de mal il personne... je ne sais pas... je ne sais pas
- geait plus, était très amaigrie, se préoccupait beaucoup de son mal ; des voisins lui avaient dit que l'on n'en récha
t garder le lit pendant dix jours. Depuis elle ne ressentit rien de mal jusqu'au mois d'octobre quand elle fut prise de
s. Plus tard, l'état changea ; tantôt, elle se portait bien, tantôt mal . Pourtant, elle était très faible et très nerve
ction. Mais si l'épiphora est fonction de l'hypersécrétion lacry- male , il peut tenir aussi à l'oblitération des conduit
y- male, il peut tenir aussi à l'oblitération des conduits lacry- maux sous l'influence du spasme qui alors n'est qu'une
tait une névralgie à type grave générali- sée, ce qui cadrait assez mal avec la névralgie faciale palu- dique, qui, on
ation avec le tabes. L'avul- sion dentaire, l'ablation d'un dentier mal fait, l'extraction d'un corps étranger, le trai
ation et de madé- faction, il forme une masse compacte qui se prête mal à la conformation du visage. On aura soin de ne
- bonique causée par des polypes du nez, l'absence de motifs nor- maux , mais, à raison de la conservation de la réminisc
i, 25 novembre 1901). M. Pauly présente un jeune homme atteint de mal de Pott sous- occipital et porteur d'une minerv
si l'attention sur la rareté de la paralysie de l'hypoglosse dansle mal de Pott sous-occipital. G. C. XXIII. A quelle p
spinale à streptocoque et à staphylocoques chez un sujet atteint du mal de Pott fistu- leux ; par GUI13.L. {Presse médi
Observation d'un enfant de cinq ans, atteint depuis deux ans d'un mal de Pott fistuleux et qui a succombé à une méningi
273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort des sujets atteints de mal de Pott listuleux. A. Fenayrou. XXVIII. Les c
instable et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l'état nor- mal . Paralysie double du pneumogastrique pulmonaire
e comme signe de lésion organique. Atrophie des membres de nature mal déterminée. M. Marie montre un jeune homme qui
avec finesse et perçoit les nuances; il ne s'indigne pas contre le mal mais lutte contre lui avec ténacité. M. BillILL
VANTES. timents d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le mal et sur ses conséquences. Mais, quand il s'agit
rement. Il écrit bien lui-même et sous la dictée, mais il déchiffre mal les mots écrits (même par lui-même). Le malade
chiffre mal les mots écrits (même par lui-même). Le malade comprend mal les dessins et les tableaux. En suivant la main
s atteint le développement psychique indispensable à l'homme nor- mal . Il faut donc que les autorités veillent sur ces
i. « J'étois sujette, éci it-elle, à de grandes migraine ? et à des maux d'estomac et de rein qui avoieut beaucoup augme
étoit si grand que je vo- missois tout ce que je prenoiS2 ». « Les maux de cceur qu'elle avoit presque toujours, dit de
étoient causées par ces abcès. Au commencement de l'année 1662, mon mal s'augmentoit de jour en jour 1 ». Le médecin lui
pensée, dit-elle, de la prier de m'obtenir du soulagement dans mes maux , seulement pour trois mois, et que ce me seroit u
ractures en flexion des bras qui, rapprochés des migraines et des « maux d'estomac et de rein » de notre religieuse, nou
e neuvaine, au cours de laquelle elle demande le soulagement de ses maux pen- dant trois mois. 5° L'hépatite suppurée
u la nuit »°. Enfin, s'étant convaincue que la signa- ture était un mal , elle s'accusa de sa faute « dans les termes le
té. Elle disait à propos de la rémission pseudo- miraculeuse de son mal : « Je n'ai pas seulement reçu cette grâce par
n ans), jour de son enlèvement de Port-Royal, elle se trouva « fort mal ». La même année, ayant appris que plusieurs-re
que cette maladie le conduiroit en peu de jours à l'éternité... Son mal redoubla la nuit du 24 au 25... Elle fut un peu m
Elle fut un peu mieux le 26, mais, sur le soir, elle se trouva plus mal ... Vers les onze heures elle perdit connoissanc
emi de traite- ment prophylactique. Juin'1901 : Les chaleurs sont mal supportées; deux crises dou- loureuses de cinq
à 20 milliampères pendant vingt minutes, mais la malade s'en trouve mal et accuse une recrudescence des douleurs. Elle
que ne pouvant prendre aucun repos et ne voyant aucune issue à ses maux , il pense au suicide. En 1887, sur sa demande,
araissent engourdis, et la douleur ressemble maintenant plutôt à un mal de dents qu'à une névralgie faciale vraie. »
ui, après des essais de coït non suivis de succès, l'impulsion nor- male pour le sexe féminin se transforma en une impulsi
r- male pour le sexe féminin se transforma en une impulsion anor- male de forme rare. Il remarqua un jour que cela lui
s victimes de la société et de sa prétendue civilisation; là est le mal , là aussi seulement est le remède. Ce qui fait
sparaître en peu de temps. Dans les cas d'albuminurie chronique, de mal de Bright, les résultats que l'on peut obtenir pa
uës, le pied n'a que trois doigts ; le membre inférieur gauche plus mal conformé montre à la place de la cuisse et du gen
30 septembre la température s'éleva jusqu'à 39,5, ayant été nor- male le matin. Le cours ultérieur de la maladie se f
iforme et générale de neurasthénie la plupart des désordres nerveux mal définis et non classés qui n'appartenaient pas
mort de son mari, elle se sent prise des premières atteintes de son mal . Inquiétude vague et sans motifs, oppression, a
ar ce spectacle, éprouve due anxiété terrible, a peur de se trouver mal , mais parvient à se maîtriser jusqu'à la chute
i-même. La plupart des auteurs qui ont reconnu sa réalité clinique, MAL Pitres et Régis, Ballet, Lalanne, etc., se refu
t2 ». Ces eaux ne lui procurèrent qu'un soulagement passager. « Son mal empira toujours' ». En septembre 1665, ce voyan
vant, il alla consulter les plus habiles médecins de Rouen, pour ce mal qui ne lui « don- noit point de relâche, car, d
difficile, avec quelques autres accidens qui en dépendent' ». « Mon mal étoit d'abord fort peu de chose. Je fus bien de
es entre- faites, « je me blessai à l'os de la jambe, et quoique ce mal ne parut rien d'abord, il s'aigrit et je ne lai
de deux mois sans pouvoir marcher. Pendant ce tems-là, mon autre mal augmenta beaucoup, en sorte que je commençai à av
DES RELIGIEUSES. 427 de l'eau de bétoine distiléel, me fit tant de mal , que j'eus bien regret de l'avoir pris. » Puis
lusieurs autres remèdes que chacun disoit être le spécifique de mon mal . Mais, bien loin de m'en sentir soulagé, ma par
e maladie intercurrente survint. « Je fus pris d'une lièvre et d'un mal de côté, et en deux jours de tems je me trouvai e
oyois fort souvent ne pouvoir pas résister deux jours de suite à un mal qui me donnoit aucun repos ni jour ni nuit. Je
Bourbon, « j'eus le courage, dit-il, d'aller, quoique je fusse très mal , le jour de la Pentecôte, entendre la messe que j
voit été pensionnaire à Port-Royal, et ce fut là que com- mença son mal . qui fut d'abord une fluxion qui se jetta sur ses
carié. Elle souffrit des douleurs presque incroyables, tant de son mal que des opérations faites par les chirurgiens qui
ma peu à peu ses douleurs et la mit en état de pouvoir guérir de ce mal si furieux. Mais quoique sa plaie se fut referm
est assurément la nature dégénérative des présentations < ! Mûr- males qui est l'élément le plus original; c'est aussi c
masculin sur la répétition par l'hérédité des présentations anor- males . » Non, les auteurs prétendent seulement qu'il es
ire qu'on retrouve ici la même alternance des présentations anor- males que dans les couches de sa mère. Observation 11
H. Larger des documents fort curieux sur les présentations anor- males et autres anomalies obstétricales de quelques per
Il est vrai que, sur les 340 observations de présentations anor- males des auteurs, et bien que dans toutes, sans except
ire. Il s'agit de femmes qui, après une ou plusieurs couches nor- males , contractent des crises d'épilepsie, d'hystérie,
etc. Des femmes enfin, qui ont tour à tour des présentations nor- males avec un mari normal et des présentations anormale
ar- dés comme des pécheurs abandonnés de Dieu, de véritables ani- maux ; on les exècre, on les évite, on les condamne au
bserve partout une légère rigidité. La sensibilité cutanée est nor- male , mais le sens musculaire dans les extrémités infé
it les caressés des chiens sachant qu'elle faisait quelque chose de mal et qu'il fallait se cacher. Elle les attirait d
sa fille d'une négligence d'éducation : c'est d'elle que tout le mal vient. Ce fait est remarquable par plusieurs ci
Conduction ralentie et épuisement rapide sont les propriétés, nor- males du nerf sans myéline ut de la libre de Rémak (lib
qu'elle naviguait et éprouvait un violent 554 SOCIÉTÉS SAVANTES. mal de mer, puisqu'elle abordait à une côte au moment
86 cas. Parmi les 30 cas de paraplégie organique, nous trouvons le mal de Pott (la cas), la syphilis médullaire (4 cas),
s encore humanisé d'avan- tage sa thèse en indiquant les remèdes au mal qu'il signale. Mais il se déduisent de l'énumér
e physiologique. Cet aperçu m'a laissé rêveur, je crains de l'avoir mal compris. Une notice mobile était jointe à l'ouv
'intervention de la foule est impul- sive et ne fait qu'aggraver le mal . Le Christ au poste. « Je suis Celui qui suis.
lessé à l'abdomen. Navel se pré- cipita au secours de son camarade. Mal lui en prit, car Berger, tournant sa fureur con
ale à streptocoque et à sta- phylocoques chez un sujet atteint du mal de Polt fistuleux, par Gui- bal, 272. Deux cas
37 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
itique des théories et des doctrines du système nerveux » des têtes mal conformées chez lesquelles il faut considérer la
et tordue. Vous trouverez que ces individus ont continuellement des maux de tête et des fluxions d'oreille. ' - Il est
e l'amygdale pharyngienne. Le palais est eu ogive, les dents sont mal implantées et crénelées. L'enfant présente un f
e palais est en dôme, les dents très irrégulières sont divergentes et mal im- plantées. Conformation du squelette. La c
formation du squelette. La conformation du squelette est très anor- male . Joseph ressemble à un singe : il a des bras très
Si nous comparons la radiographie (latérale gauche) d'un crâne nor- mal à celle d'un crâne oxycéphale, on saisit tout de
que nous avons faites nous n'avons trouvé que deux observations de mal de Recklinglausen avec acromégalie. La nôtre es
symptôme rattaclable à son affection. Il était d'intelligence nor- male , d'humeur paisible, sans trace de rien d'insolite
aitement bromure anti-épiteptique. Le malade reste au lit, il a des maux de tète très intenses et des vertiges. La cépha
commence. 9. Le malade se plaint de vertige et de temps en temps de maux de tète assez intenses. Il peut faire quelques
st qu'il avait honte de raconter à des personnes étrangères tout le mal qu'il supporte de la part de ses parents qu'il
ents sont conlie lui et il ne sait pas pourquoi, car il n'a fait de mal à personne d'etitr'eux. Il n'accuse plus de mau
s une injection d'éther, en disant la voix éteinte : oh, comme j'ai mal à la tète 1 On lui fait une ponction lombaire et
t. Depuis ce soir-là il est tombé de nouveau malade au lit avec des maux de tète intenses, se joignant il des accès de h
ents athétoïdes. Pas de signes de Romberg. La parole est chuchotée, mal articulée, explosive. Le pied est dans une atti
gaz Régions dorsale moyenne, supérieure, cervicale. Elles sont nor- males . - 11 ' En somme, la lésion est strictement
e malade, mais aussi à diriger une thérapeutique contre la cause du mal , qu'il faut pour cela 'connaître. Sans doute on
scérales et, en particulier, gastriques, des tabès nous sont encore mal connus. En ne considérant d'abord que les lésio
la suite de la lésion cérébrale, et qui, par un méca- nisme encore mal discuté, mettrait en tension le neurone moteur.
es aux crises et au tabes, et leur étant liées d'une manière encore mal connue. On ne connaît pas de lésions gastriques
t une pulsation cérébrale sans cependant constater de saillie anor- male . Il y a environ 11 centimètres entre les bords an
sens des couleurs est en général diminué chez B..., mais reste nor- mal au point de vue qualificatif; il arrive à assorti
mémoire. Souvent il trahit aussi cette défectuosité en interprétant mal une quantité de mots et en leur subs- tituant d
un arbre, incapable de produire autre chose qu'une ligne courbe et mal venue. Même son « bonhomme » est un personnage de
e faire à la vie commune des hommes, d'autant plus que « ça me fait mal el que je sens le tout opposé du sens. Lorsqu'un
. Lorsqu'un homme « me fixe, j'ai la sensation que l'on va me faire mal . Quand il me regarde « en souriant, j'ai de la
« sance, j'ai été élevé comme une fille ; à la pension, on avait du mal à me « faire jouer avec les garçons. Plus tard,
is « pas. Chaque fois que je vois un regard de mon père, ça me fait mal , quand « il est un peu sévère avec moi. J'ai ma
ça à parler, et encore, disent les parents, ce fut avec beaucoup de mal . A deux ans, il subit un traumatisme crânien à
En même temps son développement physigue se montre nettement anor- mal . A huit ans, il lui faut les habits d'un enfant
, je ne sais pas ce que j'éprouve ; va-t-en ! va-l-eaz ! tu me fais mal ! on m'en- fonce un clou dans la tête. » Ses am
aboutir la nais- sance de notre sujet, qui }iif3 ? lll eA1mailloté, mal soigné ( ? ) l\.l1erouta ne marcna quia trols-a
berculeux, mais en petit nombre (Color. Ziehl-Niellsen), et gardant mal la coloration au procédé de Baumgarten. Nous av
poussées plus loin, comme des bacilles de Hansen probables (quoique mal colorés au procédé deBaumgarten). Si notre mala
rotulien chez des sujets indemnes de tout autre trouble nerveux est mal connue. Les sta- tistiques publiées à ce sujet
e cette absence, je voudrais montrer que les faits observés cadrent mal avec des interprétations trop souvent admises;
s au sujet de l'épiphyse une hypothèse célè- bre et d'ailleurs fort mal connue bien qu'elle soit souvent rappelée. En e
ner sa pensée, en confrontant ce brouillonavec le texte tant il est mal dessiné. » Fia. 1. 174 ' SAINTON ET DAGNAN-BO
contre parfois lors- qu'on recherche cette glande, sur des cerveaux mal conservés. « Je ne trouverois pas estrange que
ait cela que par jeu et qu'il se gardera " bien de nous faire aucun mal , nous avons toutefois de la peine à nous em- pê
e de l'épiphyse. « A 3 ans, il commence à grandir d'une façon anor- male , de sorte qu'à cinq ans, il en paraissait sept. D
en deux quelconques de ces points, ont la même composition centési- male . L'examen optique d'une solution colloïdale nou
a cellule nerveuse en expérience, de l'âge et de l'espèce de l'ani- mal . Aussi, faut-il se mettre rigoureusement dans les
vertébrale s'est tassée à sa partie supérieure, comme dans certains maux de Pott sous-occipitaux. Mais, chez notre malad
disposition, pas de douleur le long de la colonne vertébrale, pas de mal de Pott, pas de traumatisme antérieur. D'aill
aît de ce fait plus grand que celui du côté gauche. On repère assez mal les apophyses épineuses, les espaces inter-épineu
cipital, disposition que l'on rencontre chez certaines espèces ani- males (oiseaux). Cette surface articulaire est assez
ais c'est là une disposition qu'on retrouve sur des squelettes nor- maux ; et comme elle est munie de côtes, nous la consi
ltiples : la tuberculose, l'alcoolisme, la syphilis, la variole, le mal de Bright, les cardiopathies, la folie. Ferré (
uestions. Il est un peu peureux. Il a peur que nous lui fassions du mal quand nous l'examinons. Il connaît le jour de l
cage thoracique aplatie (Schentheuer), le sternum aplati, les pieds mal faits (Dowse),grande dépression du sternum, pie
ire que les dents poussenttard, elles sont irrégulières, crénelées, mal implantées. Il semble que chez notre malade c'e
om- pagnie de ses frères. Un jour, en rentrant, elle se plaignit de maux de dents et de malaise; pendant que les frères
nte. La mère fit coucher Caroline qui continua à se plaindre de son mal de dents sans pourtant tout d'abord accuser d'a
e découverte; apparemment, sa maladie fut provoquée par un accès de mal de dents ou, peut-être, par un rhume insignifia
er la date - comme elle s'en retournait sur la glace, elle avait eu mal aux dents et s'était sentie légère- ment souffr
légère- ment souffrante; chemin faisant, elle ne s'était fait aucun mal et il ni vu ni entendu rien d'extraordinaire. L
e peuvent pas être écartés en éventail. Le triceps brachial résiste mal aux mouvements passifs. Le mouvement de flexion
alibre dont le cylindraxe est encore entouré d'une gaine de myéline mal colorée par 1'liématoxyline, tantôt des éléments
n des fibres nerveuses qui parfois atteignaient une épaisseur anor- male au milieu d'une gangue conjonctive riche en noyau
E TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices raréfiées, petites, avec un noyau mal coloré, et des prolongements moins visibles ; r
électriques allant jusqu'à la RD. Examen histologique : Moelle nor- male . Dans les ganglions spinaux, les racines antérieu
s ne sont pas particulièrement saillantes. La jambe gauche est nor- male , mais, pour élargir sa base de sustentation, le m
irrégulièrement plaqué de taches sombres et claires ; aspect flou, mal limité, d'un rebord à double contour. Ces carac
reté ? - R. Oh ! non. Quand j'étais sur la terre, je n'avais pas de mal ». Ensuite il nous raconte des hallucinations q
e de couvreur : quelqu'un lui a demandé si c'était pour se faire du mal . Il a répondu négativement. D. Avez-vous touj
s'énerve : « Il fera ça, s'il le fait pas tombera.... ne fait « pas mal ... mais c'est prêt à faire... » Il sort en chanta
l pleure toujours : « C'est pénible... c'est affreux... «Il me fait mal avec des fourches ! ô perdu.... Qui t'a donné la
ez le corps, « mais l'âme ! l'âme 1... Mais on ne peut pas faire de mal à Dieu ! » Quelqu'un dit : Vous avez peur que l
avez peur que le Diable vous emporte ? R. J'ai peur qu'il me fasse mal , j'ai peur de mourir ! D. On le chassera ! R. A
es habillés, prêts à me saisir avec des faulx.... « cela me faisait mal et je criais.Je ne voyais pas qu'un Diable... Il
on caractère était très doux. Parfois vif, mais incapable de faire du mal . Confiant, bon coeur, « on abusait de sa bonté
sommes en présence d'un sujet prédisposé, à lourde hérédité, assez mal développé physiquement, chétif, qui fait de lég
éressante, mais nous insisterons sur la lésion très particulière et mal connue que présente la moelle cervicale de trois
, au-dessus et au-dessous, l'aspect de la coupe est absolument nor- mal . Ajoutons pour être complet qu'il s'agissait de
émarcation entre le gliome et les zones de dégénérescence est assez mal établie ; dans ces régions les fibrilles névrogli
souvent incohérents, des idées délirantes absurdes, polymorphes et mal systématisés de grandeur, de persécution et de
FLATAU A L'1101'ITAG ISRAÉLITE DE VARSOVIE. CARIE DES VERTÈBRES MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ A UN AGE AV\l'\CÉ par
A UN AGE AV\l'\CÉ par J. ROTSTADT. Lorsqu'il est question de mal de Pott, on pense généralement à une déformatio
été dit, dans t'age adulte. Jouche cite dans son travail 20 cas du mal de Pott dont 9 sans 392 ROTSTADT gibbosité. A
9 sans 392 ROTSTADT gibbosité. Alquier, clans son travail sur le mal de Polt sans gibbosité, cite les cas de Lionvil
es racines médullaires. . Fidder; parlant de la compression dans le mal de Pott, prétend que celle affection peut surgi
r, dans son travail Principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusi
la maladie, ce qui ne permettait pas de croire au développement du mal de Pott. Ce n'est que six semaines après l'entrée
persister en augmentant toujours jusqu'à la mort. Pourtant dans le mal de Pott, les douleurs doivent être considérées co
uparavant par Fickler et citée par lui dans sa mono- graphie sur le mal de Pott : dans 14 cas, les douleurs d'intensités
ptôme de la maladie. Dans son travail sur les principales formes du mal de Pott sans gibbosité, Alquier souligne justem
s les processus de compréssion de la moelle est surtout au cours du mal de Pott ; ce sont surtout les auteurs français
lité présenta la dissociation typique ; à l'autopsie on constata le mal de Pott avec carie des 6" et 7° vertèbres cervi
us haut, nous devons conclure que 404 4 ROTSTADT le diagnostic du mal de Pott sans gibbosité chez un vieillard était da
gomyélie. Rev. Neur., 1906, tio 24, 2. ALQon.K. Quinze autopsies de mal de Poil chez l'adulte. Nouv. Icon., 1906, t. XI
XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité. Nouv. Icon., t. XIX.
é. Nouv. Icon., t. XIX. 4. Ascenzi. - Compression médullaire par le mal de Pott. L'Encéphale, 1910, na 11. 5. FicKrR. -
de déviation pour aucun des côtés. Pas de Romberg. Elle s'équilibre mal sur la jambe gauche et pis encore sur la droite.
and il habitait la petite ville de Mertola. Observation actuelle. Mal cite. Il sent une déviation à droite. Parfois i
delà main se font sans force, l'opposition du pouce surtout est très mal exécu- tée. Il en est de même des autres mouvem
cal et du 1" segment dorsal. Les cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées. La substance blanche est indemne
Les mouvements des interos- seux sont très gênés, le malade écarte mal les doigts à droite et à gauche, l'ex- tension
e sans grande force,l'adduction et sur- tout l'opposition sont très mal exécutées. Celle-ci est remplacée par un mouve-
avant-bras gauche est un peu plus mince que le droit, le reste nor- mal . La force est normale à droite pour tous les mo
e céphalo-rachidien, chiffres qui ne sont guère éloignés de la nor- male ; en constatant d'autre part la très faible quant
e. Les fesses, les cuisses et les jambes ont un développement anor- mal . La peau y est épaisse, parsemée de vergetures
dilatation pupillaire est anormale. Le sommet du poumon droit sonne mal , on y constate une obscurité mar- quée sans bru
s'agirait d'ailleurs que d'une exagération dans la répartition nor- male du tissu cellulo-graisseux sous-cutané, dont on c
meurs de l'angle ), 1, par Moxiz, 417. Poil (Carie des vertèbres. Mal de - sans ,gibbosité),par ROTSTADT, 391. adic
oyen de l'-) (4 pl.), par MAIUNESCO, 193. Vertèbres (Carie des -. Mal de Poil sans gibbosité), par ROTST.1DT, p. 391.
aumatisme crânien (1 pl.), 384. ROTSTADT (J.). Carie des vertèbres. Mal de Polt sans gibbosité (4 fig.), 391. TissoT
38 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
op affligé, plus que je ne mérite, parce que je n'ai jamais fait de mal à personne. » Il séjourne un mois à l'hôpital o
sens dans une pharmacie voisine. Les assistants parlaient de « haut mal ». Il n'avait . pas uriné sous lui, ne s'était
put se remettre au lit et se rendormir. A son réveil, se sen- tant mal à la tête, il se leva et sortit se promener. La m
s que nous avons signalés ne sauraient aucunement être rattachés au mal comitial. 1. Charcot et 'rlpiau, Soc. méil. des
eurs. Encore aujourd'hui, sa vue n'est pas parfaite, et il apprécie mal le violet. Il a eu en outre de petites attaques
opie du même côté, une diminution de l'acuité visuelle. Il apprécie mal le violet. L'ouïe du côté gauche est diminuée.
faire des réserves. En effet, à cette époque, l'hystérie mâle était mal connue, et il suffisait même dans certains pays
etage des blessés. Mais deux heures après, il est pris d'un violent mal de tête avec douleur lombaire, vertige et tendanc
Clinique des maladies dusystemcnervou'c. (A suivre.) 1. Vulpian, Mal . du système nerveux, t. IL DE L'OPIITHALMOPLËGI
dans le reste de la journée le malade était abattu, fatigué, avait mal il la tête. La crise n'était annoncée par aucun p
Le malade n'a jamais éprouvé de diplopie. Le champ visuel est nor- mal , ainsi que le fond de l'oeil : Les mouvements de
abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme nor- male , ainsi que les jambes. La résistance à tous les m
Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de mal en pis, si DE L'O1'IITiIALIIIOPL$GIE EXTERNE. 5
très peu prononcés. Sensibilité du larynx diminuée. Epiglolte nor- male . Cordes vocales normales, fonctionnant régulièrem
frontale bilatérale avec 'nausées. Le bruit et là lumière lui font mal . Il cessent autour de l'orbite du côté gauche de
u. Il n'est pas douteux que jusqu'à la disparition spontanée de son mal , il ne pérégrine à travers les services hospita
té chez elle en diverses circonstances. Revenue à elle, elle répond mal aux questions que nous lui adressons, paraissan
re grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la tête. Alors prenant le devant de sa robe e
pour ce qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le mal de tête, puis ainsi de suite. , Le sulfure de
dans l'aisselle. Elle porté sa main à son front comme si elle avait mal à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter s
l des altérations très incomplètement étudiées' et en tout cas fort mal définies. Ce sont certaines inflammations de la s
rmal et l'état d'immobilisation volontaire du thorax. A l'état nor- mal (fig. 22) la respiration ne présente rien de part
ion. Le surlen- demain du jour où il pénétra dans cet atelier ainsi mal famé, il fut brusquement pris de tremblement, c
lle expliquait cela en disant que le parquet de sa chambre était si mal joint, que les vapeurs mercurielles devaient év
n 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique, morte en état de mal , a l'âge de trente-six ans. Père mort de pneumo
-devant du cheval et put l'arrêter à temps. Son enfant n'eut pas de mal ; mais le malade éprouva une émotion violente; il
sentit près de défail- lir. Pendant la nuit suivante il dormit fort mal , dès qu'il était endormi il revoyait en rêve la
e réveillait en sursaut. Le lendemain, il se plaignait d'un violent mal de tète. Cette céphalalgie 118 NOUVELLE ICONOGR
faire la veille. Il continuait cependant à travailler tant bien que mal , régulièrement. Ces divers troubles persistaien
res supérieurs. A son grand ennui, il écrivait avec peine et tenait mal les objets avec les mains. Ce tremblement devint
ent pour lui. D'une intelligence assez bornée, il s'imagina que son mal était grave, incurable; il n'osait pas consulter
s, sclérose en plaques, atrophie musculaire, maladie de Friedreich, mal de Pott, etc. La fréquence de ces associations s'
ations aux paraplégies par compres- sion lente de la moelle dans le mal de Pott et les tumeurs médullaires. En France,
et ami Chipault' a essayé le trépan dans deux cas de paraplégie par mal de Pott. Dans ces conditions, la trépanation du
1. Chipault, Deux Cas de trépanation rachidienne pour paraplégie par mal de Poil (Rulletins de la Société analomique, 18
, et là on l'examine ; le chirurgien l'interroge et diagnostique un mal de Pott. Il avait jadis craché le sang, se plai
hétif, et on pouvait supposer que le trau- matisme avait exagéré le mal de Pott et déterminé une compression de la moel
ant s'il n'y a pas autre chose, si en même temps il n'existe pas un mal de Pott. C'est dans cette incertitude que ce ma
. D'autre part, il n'y a pas de déformation. « Il n'y a donc pas de mal de Pott. et toutes les apparences de cette affe
ypothèse inutile puisqu'on comprend tout sans cela. » S'il n'a pas de mal de Pott, il n'a pas non plus de myélite. Les ca
harcot montre sans peine que les nerfs périphériques, la moelle, le mal de Pott ne pourraient expliquer ces accidents.
omplètement paralysés, le tronc et les membres supérieurs sont nor- maux . Absence des réflexes tendineux et crémastérien.
rester debout. Mais il marchait bien et sans fatigue. Bientôt le mal s'aggrava et on vit apparaître une parésie des ex
nt bilieux, avait des vomissements de temps à autre et souffrait du mal de tête; quant au reste, il était d'une bonne san
C'est un grand fumeur de cigarettes. Il ne souffre pas, n'a pas de mal de tête. Robuste, bien bâti, il ne présente auc
u que ce n'étaitlàq4'up'eupé'rst,iion5 : }) ? ? '- -' Cet affreux mal ; : «" dont le-germe est û'ne- caêo'cllÍmie, l'app
; c'est pourquoi je conseille à tous ceux qui sont affligés de ces maux de tenter un moyen spirituel si doux pour obtenir
tout par courrier spécial au ministre La Vrillière. Mais celui-ci, mal disposé pour d'Argenson, se borna à répondre « qu
privée d'autrefois que les saints guérissaient le plus souvent les maux dont ils avaient eu à se plaindre pendant leur
malade, prises a l'âge de onze ans, quelques mois après le début du mal . Ces documents qui présentent un intérêt de pre
tact. Les autres sens spéciaux, l'odorat, l'ouïe, le goût sont nor- maux . Du côté des yeux, il n'y a ni achromatopsie ni r
seconde semaine après la col- lision. Dès qu'il se met à lire, son mal de tête s'accroît. Il souvent des vertiges. L'a
ais dans la dernière semaine de septembre il commença à éprouver un mal de tête consistant en une sensa- tion continuel
sur la région médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui faisait mal lorsqu'il passait de la station assise à la sta
amenée. Elle couchait dans une mansarde dont la fenêtre fermait fort mal . La pièce élail très humide, avec des moisissur
(on était en septembre) soufflait sur son lit à travers la fenêtre mal jointe; c'est dans cette chambre qu'une nuit (la
par les roues de la voiture. Elle se releva aussitôt, n'ayant aucun mal , et elle put sans dif'fi- culté aucune terminer
ts, le triceps, le grand pectoral, ont conservé leur puissance nor- male . Les muscles sont pris isolément et non par group
lement pleurard. Si on le fait parler, on s'aperçoit qu'il articule mal les mots et nasonne considérablement. D'ailleur
s droit, en effet, mais c'est pour découvrir l'aisselle où siège le mal tant re- douté, la tumeur pestilentielle. Et le
général en chef, veut lui faire voir le signe caracté- ristique du mal , le bubon. Sur son ordre, le pestiféré se dépouil
vec une grande prudence, les muscles retrouveront leur vigueur nor- male . Grâce à l'obligeance de M. le professeur Charc
n'y a là qu'une différence relativement minime, et, du reste, assez mal appréciable. Ajoutons que l'application du cour
(1) Tonnini, Deettera ? ione et primilivila (.\ l'cI/. ilal per le mal . nen-), janvier et mars 1890. 286 NOUVELLE IC
me molaire. Ou bien, et c'est le cas le plus fré- quent, elles sont mal rangées soit en avant, soit en arrière près des
té d'autant plus con- testable qu'elle est devenue aujourd'hui plus mal définie et plus que. jamais sujette à une foule
is, sans cause connue, d'une céphalalgie violente et prolongée. Ces maux de tète siégeaient surtout du côté droit du crâne
iminuée; il résiste assez bien aux mou- vements passifs de flexion, mal à ceux d'extension. Les mouvements des orteils,
vers le com- mencement de septembre, les choses allaient plutôt de mal en pis. Il lui était impossible de se tenir deb
altérée sans être cependant intacte. Sur le tronc, elle semble nor- male . Le sommeil est régulier, de longue durée, tranqu
(inédite). Paraplégie hystérique simulatrice d'une para- plégie par mal de Pott.-Julia B..., seize ans, repasseuse, entre
ses antécédents héréditaires, étant donné le diagnostic supposé de mal de Pott, à une ménin- gite tuberculeuse. L'appa
songé, à cause de la paraplégie douloureuse, de la gibbosité, à un mal de Pott que les antécédents paternels ren- daie
perdu le souvenir sur le compte de l'hystérie venant compliquer le mal de Pott. Aujourd'hui, tout nous semble parfaite
rtaines para- plégies par tuberculose vertébrale. La gibbosité du mal de Pott n'est pas constante; les abcès froids p
e avait eu toute sa vie des crises de nerfs, « elle tombait du haut mal », dit la malade. Antécédents personnels. Dan
a mère au médecin, en rentrant de l'école, il se plaignit d'un fort mal de tête; je le mis au lit croyant que c'était u
au lit croyant que c'était une indisposition; mais pas du tout, le mal 's'ensuivit et de jour en jour il s'accroissait
but pro- gressif, on était parfaitement autorisé à songer soit à un mal de Pott sans déviation, soit à un tubercule de
et confirmer les soup- ` çons. Aussi l'existence problématique d'un mal de Pott, d'une myélite ne nous parait pas admis
ant, que tout le corps portait; les stigmates. d'une autre forme du mal , la lèpre atrophiques. « Cette. représentation
tait au ban de la société. Comme pour le lépreux d'Albert Durer, le mal est reconnais- sable à deux signes caractéristi
ade lui-même. Ajoutons enfin que cette anomalie a pu également être mal interprétée et attribuée à tort, selon nous, au r
nférieures qui sont petites, érodées, écartées les unes des autres, mal implantées. Pas de lésions rachitiques. Pas de
s vertical, très asymétrique ainsi que la face, strabisme, oreilles mal ourlées, lobules sessiles, atrésie des fosses nas
individus porteurs de la poitrine en en- tonnoir sont souvent aussi mal conformés au point de vue cérébral qu'au point
ar ses gestes et par l'expression de son visage. Depuis le début du mal , depuis deux nus par conséquent, la situation é
du cou. Au-dessous de lui se trouve le bourrelet dorsal supérieur, mal délimité inférieurement, se continuant souvent
es Enfants- Malades une fillette de neuf ans, traitée en ville pour mal de Pol t cervico-dorsal, par les applications l
e tenir debout. A partir de la vingt-deuxième séance, elle commença à mal supporter ce traitement; à peine est-elle soule
encore amendés un peu; elle souffre toujours de vomissements et de maux de tète. - '1" février 1890. La 'malade passe com
ctt- leuse et on lui met un vésicatoire à la nuque. Elle était très mal et on l'a crue mourante. Cet état a duré jusqu'
ne femme de quarante-sept ans ayant eu autrefois une paraplégie par mal de Pott. Elle était guérie de sa paraplégie dep
nopause, apparurent des accidents hystériques simulant un retour du mal vertébral et de la paraplégie par compression.
s celle d'nne paraplégie hystérique, et qu'on songe fatalement à un mal de Pott, à la tuber- culose, à la syphilis médu
e valeur diagnostique, car les paraplégies par compression, dans le mal de Pott par exemple, peuvent guérir. Mais en réal
latente, l'exaltation des réflexes en traduit souvent et les restes mal éteints et la menace d'une récidive. 4.° Les
ile à pratiquer. Les deux pupilles, de moyenne grandeur, réagissent mal à la lumière etàl'accom- modation. Pas de lésio
leur, l'articulation carpo-métacarpienne du pouce droit lui faisait mal . Actuellement cette articulation est à demi ankyl
ssous parle d'autre manière : « Tes pieds t'ont porté pouf faire le mal , dit-elle, qu'ils apprennent main- tenant à sou
re à l'adresse de cette dernière, elle console le malheureux de son mal en lui en montrant un pire : « Ton corps est co
e : elle accostait les passants pour leur demander des cou- ronnes. Mal lui en prit, car elle fut mise au Dépôt et de là
le triceps ne réagit plus; le deltoïde et les pectoraux réagissent mal (10 et 5 1/2). b. Membre inférieur gauche. Dans
ondition qu'il ait déterminé chez des sujets sains les limites nor- males du champ visuel, et qu'il ait ensuite exploré dan
ères spéciaux. Les limites supérieures de cette anesthésie seraient mal tranchées et se continueraient graduellement av
nviron. Le champ visuel est légèrement rétréci. Le malade distingue mal les nuances du violet du même côté. Résultats dou
la mort, la température monte à 41,8. Depuis le début de l'état de mal , il avait eu 108 accès,- et depuis le 24 au mat
39 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ecevoir les affirmations qui ont pour but de les débarrasser de leurs maux . Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
ant toute la durée de cette dernière, elle est nerveuse, agitée, dort mal , 60 réveille souvent... et, pas une fois, elle n'
malades qui, rebelles a l'idée de se faire hypnotiser, s'y prêtaient mal et je n'obtenais pas d'hypnotisme, leur éducation
iner constamment sur la nourriture est l'indice d'un esprit étroit et mal équilibré. La suggestion hypnotique, en renforçan
suggestion, ou mieux cette hantise, de la compensation du bien et du mal , ce principe trouvé au berceau de toutes les reli
principe trouvé au berceau de toutes les religions et qui veut que le mal subi, accepté ou recherché sur terre soit payé, a
e prit naissance il Pérouse dont les habitants, pour faire cesser les maux de l'Italie, commencèrent, dans les rues de leur
un malade selon les jours et les heures. Ce syndrome ressemble pas mal au syndrome de la névrose hystérique avec laquell
ou autoritaires d'un autre ». a été étendu à une foule d'attributions mal définies ou contradictoires. Depuis une quinzaine
vateurs avait apporté tant de clarté ne provient que d'une définition mal conçue et dépourvue de toute signification qui, à
il pas observer que : « les larmes que nous versons sur nos « propres maux sont, au sentiment d'Homère, une espèce de volupt
s lueurs sont te reflet De l'enfer on mon cœur se plaît! Lu Fuch do Mal : (Horreur sympathique.) Pendant que des mort
ervile. Ma Douleur, donne-moi la main, riens par ici. Les Fleurs du mal : (Recueillement.) Enfin, nous avons, pour noye
ons la lampe, afin De nous cacher dans les ténèbres ! Les Fleurs du Mal : (L'Examen de Minuit.) Albert Samais : DOULE
aisent plus qu 'aux beautés des naufrages. Les Stances. I. 2. Les maux les plus ingrats me sont présents des dieux, Je t
puis m'envelopper de l'éclair de ces nuits ? Serais-je satisfait des maux qui me ravagent, Parce qu'ils font goûter les att
ie), mais leur moralité est bien fragile et leur notion du bien et du mal bien incomplète. Ils sont, plus que les autres, p
se trouve en présence d'êtres auxquels une éducation insuffisante ou mal comprise n'a pu conférer ces dons, la possibilité
ller encore plus loin et de les doter de freins contre l'impulsion au mal , de qualités morales supérieures, de sentiments e
politiques et les religions. C'est par les disciples présomptueux ou mal intentionnée que se désagrègent les doctrines sci
te sottise devient raison. » Si un simple praticien avait été assez mal avisé pour baser une-thérapeutique sur « l'acte d
rmacien ? De même que celui-ci oubliait ses étiquettes ou les plaçait mal . reux-là ne définissent point ou définissent mal
ettes ou les plaçait mal. reux-là ne définissent point ou définissent mal leurs expressions. « Or, quel moyen de raisonne
s grande analogie entre la tête d'un de ces philosophes et l'officine mal tenue d'un pharmacien. Il importe ensuite de fa
'espérance au fond de la boîte de Pandore, comme nn remède à tous les maux que cette fatale boite avait répandu sur le monde
er une conception originale, c'est en synthétisant les travaux encore mal coordonnés'de ses ancêtres et de ses contemporain
e l'Ecole de Psychologie. D'autre part. Binet-Sanglé me paraît bien mal connaître la clientèle-civile, ainsi, d'ailleurs,
'introduction de la psychologie dans la médecine que provient toot le mal . Il résulte, au contraire, de l'ignorance profond
ive : je l'ai signalé expressément et j'ai souligné qu'il s'accordait mal avec d'autres passages où (1) de Hérédia. Les t
16, 48 et 58. délivrées par on ne sait quels médicastres, souvent mal rédigées exprès, de peur de se compromettre lorsq
Mais pas de douches ni de bains froids, auxquels l'enfant réagit fort mal . Au début de la cure, le moins possible d'exe
cours à lui, il ferait œuvre de prophylaxie, il enseignerait à ne pas mal faire, il apprendrait les moyens de ne pas deveni
. Aujourd'hui les bourdonnements, les peurs, les étourdissements. les maux de gorge ont cessé et mon goitre a bien diminué.
910 ;'?• assék! ??? cm» et tea cimfëitncts de ????? dr ??-jclioto'jic mal /iiibtics» Hypnotisme thérapeutique. — Psychoth
jouant un rôle dans l'extension de l'industrie paraîtra, a plus d'un, mal choisi. A ce compte, 11 faudrait aussi décerner u
personnalité subeonscleute, Revue de l'hypn., juin 1905. p. 367 ; Cf. mal 1905, p. S46. 5. Fkcili-ade (de Lyon). Revue de
suggestion pendant le sommeil naturel, Revue de l'hypn., mars, avril, mal et Juin 1898 : brochure Malolne. 46 p. — Incontin
le, domestique chez un de mes amis. Il m'est arrivé de la guérir d'un mal de dents par la suggestion hypnotique. Elle aussi
au visage. En 190S, elle a souffert, pendant 4 semaines, d'un violent mal de tête, accompagné de douleurs dans les bras et
ivre et plate;je dis à l'expérimentée qu'elle souffrira juste le même mal qu'elle a déjà ressenti au moment de sa brûlure o
titre de simple appendice, le récit des hypnotismes de second ordre, mal distincts, (1) Un cas d'hypnotisme fortnit. (Re
t presque des demi-dieux. Le Galvanisme, comme on disait jadis, fut mal accueilli par les savants, et Volta dut subir mil
ntre minuit et deux heures, soit par une douleur, soit par un malaise mal défini, qu'ils qualifient d'oppression, de pesant
e continuité dans l'exercice de l'attention volontaire. Une curiosité mal coordonnée dispersant sans cesse l'attention sur
aison qu'ils ne se servent de leur intelligence que pour concevoir le mal . Tandis que l'instabilité mentale et la folie m
éhension et à la réflexion. Cependant on ne fait rien pour enrayer le mal qui menace d'éteindre, dans notre race, les quali
e par lui est si neuve que les lecteurs ont peine à le suivre, encore mal initiés à l'étude de ces problèmes. Le livre n'
vie pour la patrie. Pour nous, médecins, la douleur est toujours un mal , lorsque nous ne pouvons guérir, nous cherchons à
oin de faits nouveaux, dit Henri Coulou, pour être innocent. On a été mal défenda ; c'est un fait ancien plus intéressant q
, c'est un fait ancien qui vaut un fait nouveau. Un fait ancien a été mal interprété lors des débats, n'est-ce pas un fait
ouverte des délinquants et des criminels constitue un encouragement à mal faire et un péril social. Chaque jour la Seine
terait une condamnation imméritée à ceux qu'un esprit de conservation mal comprise pousse à sacrifier un innocent, pour sau
allures hyperchlorliydriques, beaucoup d'autres ressentent un malaise mal défini, qu'ils ne peuvent caractériser et qui con
tout antrement. surtout pour les enfants. Pour savoir d'abord de quel mal souffre le petit malade, les parente consultent,
denx jours après qne le petit était atteint de trois maladies : « Le mal de saint Ollle, le mal de saint Mamert et celui d
e petit était atteint de trois maladies : « Le mal de saint Ollle, le mal de saint Mamert et celui de saint Christophe. • L
saint Christophe. — Allaitement au bilteron. Varennes: saint Clair. — Mal ??? yeux. (Premier dimanche de septembre. Trè
se, la mélancolie de nature bénigne et enfin ces divers états nerveux mal définis, caractérisés par des stigmates spéciaux
nombreuses lettres qu'il m'a écrites dans les diverses phases de son mal . de constater les signes graphologiques qui peuve
est grêle, inconsistante et parfois lourde ou empâtée ; les mots sont mal formés, les lettres offrent un lamentable aspect
ns contrôle à l'influence des suggestions pernicieuses d'un entourage mal renseigné ou mal intentionné. * Dans certains
nfluence des suggestions pernicieuses d'un entourage mal renseigné ou mal intentionné. * Dans certains milieux spéciaux
s les personnes qui les ont éprouvés comme lui, sont fort sujettes au maux de tète, tandis qu'on ne les observe jamais chez
ire. Elle sent bien que le docteur ne sait pratiquement rien de son mal et qu'il ne peut, par conséquent, la soulager. El
tombe entre les mains de charlatans sans vergogne et va rapidement de mal en pis. Il est utile que les hommes de science
s, sauf ce qu'elles peuvent glaner dans la fréquentation de compagnes mal élevées. Ce qu'elles apprennentalorsest extrêmeme
mois, en leur faisant espérer la guérison ou le soulagement de leurs maux : qu'il les invitait à lui apporter de l'eau ou d
ait que le neurasthénique a pour celui qui veut le débarrasser de son mal une touchante docilité et lui accorde une confian
flore graphique dans laquelle les fleurs sont remplacées par des mots mal accouplés qui manquent de tenue, d'élégance et d'
ons, des angoisses et par des craintes ou des phobies le plus souvent mal fondées. Les malades atteints de cette affection
défaillances nerveuses de ses premières années et ne conserver de son mal que ces idées mystiques qui. ainsi que je vous l'
o-psychoses, à vous dire quelques mots de ces états pathologiques mal définis qui représentent certaines formes de la d
leurs défaillances. Presque tous ces malades ont un système nerveux mal équilibré. Leurs facultés psychiques sont tantôt
et ses phobies disparaissent d'elles-mêmes. Ainsi, un homme qui parle mal une langue étrangère, cesse d'en user aussitôt qu
ans, veuve, vient se plaindre à moi que. depuis deux mois, elle dort mal , se sent déprimée,et est toujours poursuivie par
aire en manœuvrant la canule à injec- lion. Elle n'y voyait aucun mal . TJn jour il lui tombe dans les mains un livre su
ux. Et cela suffit pour la guérir puisqu'elle connait la cause de son mal . Toute la série de ses raisonnements était juste,
suggestive devient efficace lorsque Ton a ainsi remonté à la cause du mal . » On voit par ce qui précède combien les idées
ois d'un traitement calmant et reconstituant mirent fin tant bien que mal à cette première crise ; mais, depuis lors, chaqu
La prochaine séance de la Société d'hypnologie aura lieu le mardi 17 mal à 4 heures el demie, sous lu présidence de II. le
oir mystérieux capable de guérir les maladies et de conjurer tous les maux . Aussi on en abuse, et par tous tes temps, même p
é ou souffrant que l'on calme par une chanson : d'abord il oublie son mal pour écouter cette voix qui le charme ; aux sensa
ont déclaré, à la fin de la séance, être tout à fait débarrassés d'un mal de tête souvent intense et dont la ténacité les a
acité d'impression. Parfois un repos suffit pour que le même diapason mal entendu tout d'abord s'entende plus distinctement
ci lui faisait avoir avec elle des relations. L'enfant s'en défendait mal , car il en éprouvait une sensation agréable, et c
trent pas plus d'intelligence, c'est peut-être parce que nous faisons mal leur éducation et que nous ne savons pas les mani
'actualité. de ses entraves. Contre leurs insistances, elle s'est mal défendue, donnant ainsi la preuve d'être une abou
882. d'Anaximènes et de Thaïes, aussi bien qu'avec les intuitions mal assurées de Schelling, de Gœthe et de Hegel. Et c
, aussi bien que dans les vantardises de l'hystérie. Contre la loi du mal universel, disait Vigny, le juste n'a qu'une arme
ngeant, mais surtout exagéré en toute chose. Comme tous les individus mal équilibrés et mobiles il se laissera parfois émou
40 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
us les cas, féliciter M. Garofalo d'avoir eu le courage de signalerun mal . Médecine rétrospective. La commission des ma
'est traduite par la disparition complète et pres-qu'instantanée d'un mal déclaré incurable partous les médecins, n'en est
certainement, on n'a pas assez souvent recours pour le traitement des maux qui affectent le moral comme le physique de l'hom
ère, c'est-à-dire son grand-père à elle, obligé de reprendre sa ferme mal gérée par son gendre. Quelques jours après, elle
l'amour du travail et le désir de bien faire, l'horreur de ce qui est mal , le dégoût des ongles, l'indifférence pour les ga
r d'une certaine liberté d'allures et d'expressions qui auraient fait mal accueillir ce troupier fini dans un salon ou aupr
ns et les illusions sont des troubles précoces. Le sens du bien et du mal n:est pas aboli, mais le sens moral est annihilé
ouvelle alors l'expérience en ajoutant que la personne visée a dit du mal de lui, en maintes circonstances. La résistance à
des ciseaux, etc., elle en avait rempli une armoire au grenier. Ce mal sévit partout dans la plupart des grandes villes.
its sérieux, fatigués de se trouver à chaque instant devant des faits mal observés, d'une authenticité très contestable, il
le resle anéantie et ne peut rien faire. Les attaques débutent par un mal de cœur, des étoufîements. Elle ne se débat pas.
. — La douleur est moins vive. Nouvelle suggestion. La malade dormait mal parce qu'elle cessait d'entendre dès qu'elle entr
et d'avoir la physionomie gaie. 9 décembre. — La malade n'a pas eu mal à la tète et a la physionomie souriante. Il est
ntale ; sa physionomie devient gaie. 0 janvier 1896. — Se plaint du mal de tète. Hypnose. Suggestion de n'avoir plus de d
n chercher la cause dans ce fait, que le rôle du médecin expert a été mal compris, et qu'il a été rempli par des magistrats
a suggestion et que la suggestion hypnotique la guérirait de tous ses maux , comme avait été guérie son amie paraplégique. Je
utes et qu'à son réveil elle pourrait marcher avec assurance, que ses maux d'estomac, ses palpitations, ses angoisses, ne se
n'ont plus la confiance et la volonté nécessaires pour triompher d'un mal qui le plus souvent est de nature psychique. Ils
t à chercher dans une mort librement acceptée ou voulue, un terme aux maux dont ils souffrent depuis si longtemps. - C'est
mieux conduites ; c'est elle qui entretient, multiplie et exagère le mal , par une représentation mentale obsédante, pouvan
le cas échéant, de redemander au sommeil provoque la guérison de ses maux . Observation II Neurasthénie de la ménopause —
s hypochondriaques. Il verse des larmes en me faisant le récit de ses maux , récit interminable, où les détails les plus futi
rmiques de sérum et le massage lombo-abdominal, je lui prouve que son mal ne peut résister aux puissantes modifications que
itution mentale comporle d'attention, de jugement et de volonté. Le mal de mer et le moyen de le prévenir par la suggesti
r par la suggestion hypnotique. Par le docteur Gorodichze. « Le mal de mer est dû au vertige que la mobilité des obje
apporter avec une non moins grande précision. Incontestablement, le mal de mer débute toujours par une sensation vertigin
igny (14 ans aux Iles Sandwich, Paris, 1874) raconte avoir éprouvé le mal de mer le plus violent pendant les secousses du t
rviennent dans la production qu'en tant que causes occasionnelles. Le mal de mer finalement n'est autre chose qu'un acte ré
deux hommes et deux femmes, tous les quatre extrêmement sensibles au mal de mer avant le traitement, et qui après quelques
littéralement en furie. Il fut le seul passager à bord qui échappa au mal de mer. Observation III. — Le cas de M. M..., 4
encourageant. Tout, jusqu'à présent, peut-on dire, a échoué contre le mal de mer, en dehors du moyen infaillible donné par
'avortement ou l'accouchement prématuré. Le traitement préventif du mal de mer évite ainsi à une catégorie de malades des
ngue et des mains. II présente divers signes de dégénérescence: crâne mal formé, oreilles asymétriques, incomplètement ourl
it à nos suggestions une résistance inspirée par diverses inquiétudes mal justifiées. A la quatrième séance, l'ayant complè
il sortit à six heures et demie du soir dudict iour sans faire autre mal (Dieu mercy) que la totale ruyne de ladite Pyrami
, n° 4. suggestion1. Là, l'idée de la souffrance avait produit le mal ici, l'absence de souffrance l'empêchait de se pr
ugmente le désordre organique dont la douleur est le signe; l'idée du mal y entretient et y développe le mal. Au contraire,
la douleur est le signe; l'idée du mal y entretient et y développe le mal . Au contraire, supprimez la douleur, et vous supp
, ces causes d'aggravation. Si le sujet blessé oublie sa blessure, le mal s'arrête et disparait peu à peu. Cette conclusi
logues à ceux que l'on a constatés à Liège, que de faire oublier leur mal aux malades ? N'a-t-il pas ainsi, nombre de fois,
ment que Delboeuf, de la meilleure foi du monde, cela va sans dire, a mal interprété les faits expérimentaux sur lesquels j
i se fait un malin plaisir de confondre les contraires, le bien et le mal , le vice et la vertu. A certaines heures de la jo
iété doit-elle alors laisser la suggestion s'exercer en bien comme en mal , profitant du bon et remettant au temps ef à la m
le mauvais ? Ou doit-elle empêcher la suggestion de s'exercer dans le mal ou ce qu'elle considère comme tel ? La première
il toujours s'effacer et ne doit-il pas, en certains cas, prévenir un mal qui menace son existence même ? La connaissance
faire, laissez passer », disent les spencériens, le remède viendra du mal lui-même. Croient-ils que, par sélection, la ra
in du cabaret, honteuse, reste lettre morte. Sans doute, l'excès du mal provoque déjà une réaction. Des associations se f
c'est faciliter l'évolution pacifique. Mais on ne peut imaginer le mal que font les feuilles pornographiques, qu'achèten
s documents curieux. Ce serait parfait si, après nous avoir montré le mal , elle nous indiquait le moyen de lutter contre le
pre volonté qui devient notre médecin, nous guérissant de beaucoup de maux pénibles, provenant pour la plupart de notre mora
n. Or, il faut vous persuader à vous-même que vous êtes guéri; que le mal ne peut plus entrer en vous; que vous êtes votre
ssions, etc. ; et Rhéurr qui signifie l'influence mauvaise, en vue du mal que l'on désire attirer sur une personne, sur un
'hésiterai pas à déclarer de premier ordre dans le bien comme dans le mal . « C'est dans cette pensée que j'ai l'honneur d
it de faire un mauvais rêve, qu'on ne lui avait en réalité fait aucun mal , qu'il aurait tout oublié au réveil, et qu'il sor
ignant à n'être que les horlogers d'un organisme dont ils connaissent mal les rouages et dont ils ignoraient le fonctionnem
rosée, d'une véritable hystérique dont l'instabilité mentale se prête mal à l'influence suggestive. L'état de grande hystér
isante. Que !e malade soit guéri à Lourdes, qu'il soit délivré de son mal en Norwège par un pasteur inspiré, ou que, plus m
ssants. Agée de 13 ans, elle avait vu une petite fille tomber du haut mal ; immédiatement, elle fut prise d'une attaque qui
m, je mécontentai de dire à la malade : « Mon enfant, jusqu'ici, on a mal soigné tes yeux, si tu veux croire en moi, je te
apte à tout travail. Les renseignements concernant la marche de son mal ne peuvent être obtenus qu'avec la plus extrême d
atement, le nombre et l'intensité des attaques diminua, ainsi que les maux de tète, et, à partir du troisième jour, on ne co
à cet argument. En effet, le malade a, depuis cinq ans que dure son mal , fait de nombreux et longs séjours dans divers hô
n'eût un ou plusieurs accès d'épilepsie. L'amendement définitif du mal doit donc être attribué exclusivement à la sugges
la véritable raison pour laquelle certains passagers sont atteints du mal de mer tandis que les autres en sont exempts »,
t les points sur les i, suivaient l'alignement, effaçaient une lettre mal employée pour la remettre à la place exacte, et q
l'est pas. La bêtise est le plus grand malheur personnel et un grand mal social. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotism
mme telle, à peu près supprimée depuis que la nature névropathique du mal a été reconnue et la médication modifiée. Au poin
en relations avec moi. Je ne lui cachai pas l'incurabilité absolue du mal dont était atteint son mari, mal qui durerait peu
cachai pas l'incurabilité absolue du mal dont était atteint son mari, mal qui durerait peut-être encore plus de deux ans. J
? de retarder de quelques jours la confidence à la mère. Où était le mal ? cela ne valait-il pas mille fois mieux que d'ag
es génitales vraiment extraordinaires ; la seconde avait toujours été mal réglée. Je crois que c'est encore là une conditio
fs contenus dans le nid étaient trop nombreux, l'Incubation se ferait mal par manque "de chaleur. La substitution une fois
passé. Enfin, si les accès étaient en série, si un véritable état de mal se produisait, il faudrait avoir recours à une mé
'une attaque de rhumatisme articulaire aigu, un rétrécissement mitral mal compensé. Son jeune frère a toujours été soigné p
en travaillait pas moins, depuis l'âge de treize ans, dans un atelier mal aéré, où elle passait de douze à quinze heures pa
vet en 1796. Ils étaient regardés comme ayant le pouvoir d'attirer le mal à eux et ils devaient guérir par le seul fait de
organique, et par le seul fait d'une idée dominante ayant paralysé ou mal dirigé sa volonté, le patient peut demeurer, pend
, 1897). - H. Aimé. Les rapports du physique et du moral, jusqu'ici mal résolus, peuvent être envisagés nouvellement, si
strueux en vertu et en vice ; un autre, insignifiant en bien comme en mal ; l'un met de grandes forces, l'autre de faibles
s des mots un sens métaphorique pour les rendre propres tant bien que mal à désigner de nouveaux états de conscience, est u
ns sujet qu'un autre. On prétend que cet enfant n'est ni chétif, ni mal portant, ni maladif, mais on convient qu'il n'est
e dernier système d'intervention, on devra au moins lui savoir gré du mal qu'il n'aura pas fait. * * * APPENDICE Co
heim. 91. Maîtres de l'hypnotisme et de la médecine (les), 1, 65. Mal de mer et le moyen de le prévenir par la suggesti
41 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
ériques, chez les intoxiqués, ainsi que chez les enfants impulsifs ou mal élevés. II appartenait au professeur de la clin
A douze ans, plus de migraines, mais apparition de symptômes de petit mal ; mictions nocturnes inconscientes, constatation
re est-il ? » Après la crise, pendant une heure environ, j'éprouve un mal de tête qui n'est pas de la migraine, et qui est
mpagnés. D'une façon générale, on peut dire que les épileptiques sont mal soignés, et les solutions bromurées dont ils sont
e heurter la nuque contre une pierre. Perte de connaissance, violents maux de tète, somnolence, puis, après trois jours, le
a vue, se jette à ses genoux, et implore en gémissant un remède à son mal , conjurant l'empereur de daigner lui humecter les
voir, par le traitement hypnotique qui s'adressera à la cause même du mal , on pourra les guérir et leur rendre le bonheur.
it d'une femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes en - mal d'enfant et cause la mort des nouveaux-nés. (4)
femmes en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans une maison une femme en mal d'enfant, a-t-on coutume de suspendre à la porte
A l'ouverture du Prince of Wales, beaucoup de personnes se trouvèrent mal . Pourquoi ? Parce que les tapissiers avaient reco
isé par l'Esprit du Seigneur. Ce baptême amena aussi la guérison d'un mal corporel dont je souffrais depuis 12 ans ». Le
insolite, m'intrigua beaucoup. Mais, peut-être s'agissait-il d'un cas mal interprété, amplifié, déformé ; peut-être la nouv
é, amplifié, déformé ; peut-être la nouvelle transmise avait-elle été mal traduite et avait-on lu trente ans, au lieu de tr
staller. Elle consulte un rebouleur qui lui annonce les plus grands maux . En effet, les douleurs augmentent ; elle dit à s
ur les échelons inférieurs des débilités mentales, mais d'autant plus mal connues qu'on-se rapproche de l'état normal, et q
a limite de la débilité et de la normale, se trouve, dans sa famille, mal surveillé, abandonné à lui-même, livré au hasard
x-parents (et le fait est fréquent d'après mes observations), apprend mal à l'école, se trouve dans les derniers de sa clas
e, et, pour peu qu'un stigmate de dégénérescence quelconque (oreilles mal implantées, prognatisme, asymétrie crânienne, elc
valeur, tandis que, dans une école, qu'il soit simplement paresseux, mal dirigé, ou qu'il soit réellement arriéré, il s'ha
s d'hygiène physique et morale du travailleur à Paris, et ces débiles mal éduqués, l'Etat se trouve obligé de les prendre à
qui, de par son ignorance, ne correspondent pas à la nature intime du mal , en s'adressant alors à un trouble apparent sans
rir par ce procédé. Il est encore le meilleur traitement des états de mal et de somnambulisme naturels, puisqu'il permet !a
eil. On peut expliquer de la sorte le rêve de malades localisant leur mal avec plus d'exactitude que le médecin. Un malade
n accueil des plus empressés. A vrai dire, rien n'y est mieux ni plus mal qu'en France ; et, comme en France, nous avons en
e résoudre catégoriquement par oui ou par non une question qui semble mal posée. Si les arguments et les vues théoriques de
et 16. — O mon enfant ! Observe la prière, ordonne le bien, défend le mal , et supporte avec patience les maux qui peuvent l
prière, ordonne le bien, défend le mal, et supporte avec patience les maux qui peuvent l'atteindre. C'est la resolulion indi
atiqué. On se débarrasse tout d'abord des faibles, des difformes, des mal venus. Les uns, comme les Lapons, éprouvent la fo
résentait le symbole de la vie heureuse. Ce n'étaient pas les seuls mal venus qu'utilisaient les Egyptiens. Leurs rois et
e, sont prises de claudication et de douleurs à la hanche. La peur du mal avait, par autosuggestion, créé le mal. Je pour
uleurs à la hanche. La peur du mal avait, par autosuggestion, créé le mal . Je pourrais citer, cent, deux cents exemples a
ligents qui présentent ce spasme de l'œsophage. L'un, à la suite d'un mal de gorge, avala de travers ; il eut un spasme qui
aucun des liens fixés à l'arbre, sous peine soi-même de contracter le mal . Pour guérir la hernie, point n'est besoin de r
orce a, selon la croyance populaire, la vertu précieuse de chasser le mal . Aussi, lorsque quelqu'un tombe malade, ne manque
trui. Vous parlez de sens moral, surtout de la « notion du bien et du mal ! » La responsabilité n'impliquait que la thèse d
onsabilité n'impliquait que la thèse du libre arbitre ; le bien et le mal impliquent, eux, une certaine métaphysique et un
n que les droits de la défense sociale. Ce que vous dénoncez comme un mal , d'autres le considèrent comme un grand bien. E
ité non moins que de la légitimité de ses griefs, elle sait qu'il est mal de se venger, elle possède en son entier le faisc
ement. Non ! Ce serait là une mesure trop naive et qui ferait plus de mal que de bien, car un travail physique, joint à un
fait. Parmi ces nains de cour, nous n'en relevons qu'un seul bossu ( mal de Pott cervico-dorsal) qui promène un lévrier (F
ons retrouvé de nos jours ces Akkas. Nous les connaissons encore fort mal , et ne savons décider à quelle race nous avons af
i, ceux qui ont beaucoup pratiqué cette gymnastique sont généralement mal propor- ' tionnés, le développement des jambes n'
. Il faudrait revenir sur ce sujet et ne pas classer des infanticides mal expliqués dans le cas de « disparition de l'insti
t chez les oiseaux mais chez les quadrupèdes. Là c'est un petit serin mal conformé et que la mère ou le père jettent obstin
sais de destruction d'un enfant qui comme on dit vulgairement « vient mal » c'est-à-dire d'un enfant dont la santé est déli
voqué une folie qui a duré cinq ans. Pendant cinq ans j'ai cru que le mal ne pourrait guérir, qu'il durerait toute la vie.
dont on sent les bases se solidifier déjà. Est-ce un bien, est-ce un mal ? Je n'ai pas à en discuter. Je constate un fait.
uge, il en fait un arbitre. Le médecin n'est pas un arbitre. Le grand mal est que précisément il le devienne en fait et s'e
soient adressés à ses représentants pour obtenir la guérison de leurs maux . Aussi, plus tard, les prophètes qui passent pour
rononcé. Si la littérature est opprimée, la science est encore plus mal partagée. Elle est simplement supprimée dans ses
qu'ils font le bien ; ils en seront les ennemis, s'ils commettent le mal . Doué d'un esprit très positif, il s'est montré
e cœur humain. La terre est mon église. Ordonnez le bien, défendez le mal , la justice d'une heure vaut mieux que la dévotio
qu'elle se trouve. Aidez-vous pour le bien, ne vous aidez pas pour le mal . Voyagez, regardez, contemplez les merveilles de
Cambyse avait été affecté de la maladie que quelques-uns appellent le mal sacré. Il n'est point invraisemblable, remarque H
vec sa pénétration habituelle, que, le ¦corps souffrant d'un si grand mal , l'esprit ne fût pas resté sain. Après avoir mo
ec gratitude la direction de notre ancienne civilisation, tandis que, mal instruits, ennemis des Européens, ils seront une
« Ceux qui sont en proie à la fièvre tierce, quarte, à la podagre, au mal comitial, ne peuvent pas, même dans les jours où
s le champ de la conscience, le malade alors comprend la cause de son mal et est guéri. J'avoue que cette prétention d'expl
lui dit ; il n'a pas non plus la faculté de distinguer le bien et le mal , le bon et le mauvais, l'utile et le nuisible. La
vages causés par l'alcool, je lui ai suggéré un dégoût profond de son mal et lui ai affirmé qu'à l'avenir (il y avait encor
nta aux siens sa rencontre et mentionna aussi sa peur d'avoir le môme mal . Il passa une nuit très agitée et ne rêva que des
ultérieures des taches. D'après les dires de Mourade, l'origine du mal peut très vraisemblablement se rattacher à la cra
de la société d'hypnologie et de psychologie aura lieu le mardi 19 mal , à 4 heures et demie, sous la présidence de M.
eux cernés a pour effet de provoquer chez les parents une indignation mal contenue, dont les enfants sont souvent les innoc
as, ce n'est pas l'onanisme qu'il faut incriminer, mais bien le petit mal épi-leptique, se traduisant par des accès légers,
mment une jeune institutrice est venue medcmander de la traiter de ce mal des « yeux cernés ». Il lui suffit d'avoir eu un
eudi 2 juillet. — Les paranormaux. — Les faux anormaux. — Les enfants mal élevés. Jeudi 9 juillet. — La lutte contre la d
oublié de nous dire en quoi il consiste il répond que sa pensée a été mal comprise et qu'il entend par là « un appareil sym
e despote. » Sur le chemin de Donlatabad, il fut affligé d'un violent mal de dents et en perdit une. Il ordonna de l'enterr
céda, prit immédiatement les mesures les plus capables de réparer les maux causés par son prédécesseur. Dans un décret gravé
caractère de Mohammed Toghlah aurait été considéré comme un individu mal équilibré. Ses tendances à la dissipation l'aurai
ient attiré des condamnations. Ses supérieurs et ses chefs l'auraient mal noté et il aurait été privé de tous ses emplois.
e. Mais les désastres qu'ils occasionnent sont peu de chose à côté du mal qu'ils peuvent accomplir lorsqu'ils tiennent dans
: « Est-il permis de faire du bien le jour du sabbat, ou de faire le mal ? de sauver une personne ou de la laisser périr? E
reux asiles de nuit situés dans le Borough of Ma.nfiatta.rn, quartier mal famé de New-York. Ainsi, le Docteur Quackesros a
r, apaiser ses douleurs, abattre son anxiété et l'aguerrir contre les maux à venir. L'auteur a réussi à se former un état-ma
argés de l'exécution de ses ordres. De là sans doute est venu tout le mal . Parmi ces collaborateurs, les courtisans dominen
de son peuple. Comment venir en aide aux nations affligées d'un tel mal . Je crois que le seul moyen efficace, c'est de s'
, Podiapolsky (de Saratow), ainsi que les publications suivantes : Le Mal de mer, essai de pathogénie et de traitement, par
moral, en quelque sorte antagoniste de celui qui avait causé tout le mal , et annihilant ses effets avec la même soudaineté
t consistant à enduire les doigts des enfants de substances amères ou mal odorantes, et à immobiliser les mains ou à protég
ion sur ce sujet, on est d'avis qu'on doit appeler l'attention sur le mal fait au malade par les bruits qu'on pourrait évit
, p. 111. Institut hydrothérapique du Vésinet (Supplément), p. 8. Mal de Pott cervico-dorsal, p. 169. Nains des tombe
42 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
docile, montre beaucoup de bonne volonté, mais comme il est très- mal doué, les progrès sont lents. La parole surtout s
uand la faiblesse humaine rend une alternative inévitable, des deux maux préférons le moindre ; en tout état de cause, i
mbreuses : 9 enfants sont entrés il l'infirmerie atteints d'étal de mal épileplùpie, deux ont succombé : Tholll.. et Ma
dange- reuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
es. L\S7-II compte du nombre et de la situation des enfants anor- maux , il continue ainsi : « En donnant la prééminenc
surveillées soigneusement, d'où il résulte que « très peu tournent mal au de- hors ». «Le 5 mars 1891, le Comité des
école ordinaire à une rivalité sans espoir avec des enfants nor- maux , ou, d'un autre côté, exposé aux influences dépri
d'une façon défectueuse, le pouce ne s'opposant pas ou s'opposant mal aux autres doigts. L'appétit est exagéré ; le s
incts, taquineries incessantes. Son esprit n'est tourné que vers le mal . Avril. - Indiscipline constante; cet enfant fe
rend part à tous les jeux. Il a de la volonté, distingue le bien du mal . Il est toutefois facile il entraîner à mal fai
é, distingue le bien du mal. Il est toutefois facile il entraîner à mal faire, ment quelquefois en classe pour évi- ter
cre- vasses ; il les brûle souvent exprès. « Cela ne me fait aucun mal », dit-il. Souvent il s'amuse il marcher « à qu
après avoir été bleus à la nais- sance. Les pupilles sont nor- males et sensibles à la lu- mière. La racine du nez
ant 'une sorte degrognementins- piratoire. La sonorité est nor- male . - L'auscultation du ccettr décèle un souffle t
il. allonger quand elle est contente. Elle commence à se tenir mais mal sur les jambes la mère essaie de la faire saute
éiltai'o-conjo2cli.i;ile. 1'eu\ : ! lOl'l1l : tllX et motilité nor- male . Iris verts. Pupilles égides et à réactions norma
Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous formé d'état de mal à 5 ans auec prédominance à droite. - H(iiii7 p
s de plus en plus prononcée. - Evolution de la puberté. - État de mal . - Élévation notable de la température. - Mort.
mmes par- venus à communiquer à l'épaule tous ses mouvements nor- maux . On fléchit facilement le coude, mais son extensi
me côte. Les vaisseaux huméraux droits et gauches paraissent nor- maux : même couleur, même calibre, etc., ainsi clueles
s- tionné, ayant un aspect un peu muscade. Vésicule biliaire nor- male . Canalcholédoque pel'll1éable, - Pancréas, rien.
s convul- sions qui se sont présentées sous la forme d'un état de mal . Elles ont duré sept heures sans arrêt et ont p
nt porté uniquement sur le côté droit. Souvent, après cet état de mal , les malades de cette catégorie ont un répit, l
s - encéphalite - qui s'était traduite clinique- ment par l'état de mal convulsif, débuté l'épilepsie. Dans les accès,
ainsi qu'on l'observe communément dans cette forme symptomatiqne du mal comitial. Bien que, en général, il n'y ait pas
t à l'origine, ces malades n'en sont pas moins sujets à l'état de mal épileptique. Doue... nous en fournit un nouvel
rçon de 2 ans, assez bien portant, mais ayant tendance à se trouver mal à la moindre émotion. Notre malade. - Grossesse
assez épais. Paupières bleuâtres, pas de blépharite. - I'e2twor- maux , mobiles, sans strabisme, ni nystagmus, pupilles
ntimètres, lèvres minces. Menton non proéminent. - Oreilles larges, mal our- lées, peu écartées du crâne. Cou et thor
s circonvolutions y sont petites et nombreuses, le pli courbe est mal délimité. PA garde seule son autonomie. Il en est
IV). Le lobe frontal est formé de ses trois circonvolutions nor- males sauf la partie antérieure de FA, atrophiée sur un
rtain degré de myopie. L'ouïe est bonne, l'odorat et le goût nor- maux . Elle n'a jamais eu de rougeole, ni de scarlatine
géré : elle mangeait de tout en excès, mêlait ses aliments, mâchait mal . Jamais cependant DESCRIPTION DE la malade 117
er. - La langue est épaisse et peu large. Les amygdales sont nor- males . Le réflexe pharyngien est conservé. - Le goût es
fonc- tionnel, les mouvements volontaires et provoqués sont nor- maux , ainsi que les mouvements réflexes. Il est à rema
découvrir la glande thyroïde. Des masses pseudo-lipo- matheuses, mal délimitées, parsemées de ganglions légè- rement
, tandis que les autres, au bout de très peu de temps, supportaient mal des doses beaucoup moindres. C'est aux malades
loutonne, ni Antécédents personnels. 147 vorace, mange peu, mâche mal , n'aime guère que le lait. Bave abondante ; poi
arioloïde, de rougeole, ni de scarlatine ; pas de coqueluche ni cle mal de gorge. A 4 mois, elle aurait eu quelques « b
a- latine affaissée, ne présentant pas l'excavation centrale nor- male . Langue très volumineuse, remplissant toute la ca
pas été bien vive, car Kr.. n'a pas pleuré. 29 février. Aline est mal à son aise, de mauvaise humeur, vomit plusieurs
gure, y compris les paupières, est gonflée. Elle montre qu'elle a mal aux dents et au front. Dans l'après-midi, elle es
qu'on lui dit, sait quand Médication thyroïdienne. 171 elle fait mal et pleure dans la crainte qu'on ne la gronde. E
re. - L'enfant est redevenue gâteuse. Elle se rend compte qu'elle a mal fait et essaie de faire disparaitre ses excré-
ever. Masoin a constaté des modifications analogues chez les ani- maux thyroïdectomisés. L'importance de ces conclu- s
du traite- ment. Elle ne tient pas non plus à une surcharge anor- male en hémoglobine, puisque des modifications in- v
être propre à 15 mois, il parler à 18 mois. f Alcoolisme : état de mal convulsif. 209 C'est à i ans, qu'aurait débuté
eu des accès presque tous les jours. En outre, dès le début de son mal , il aurait été sujet à des vertiges et à des se
com- plète. C'est donc Ù l'alcool qu'il faut attribuer l'élut de mal convulsif. II. Les accidents aigus observés che
es convul- sions que se manifeste l'action de l'alcool. L'état de mal convulsif qui a duré (rois jours, dans le cas act
ise nerveuse : l'enfant était en train de déjeuner, il s'est trouvé mal , sans motif, sans contrariété ; il est tombé de
osé, se rend vite familier. - Parait avoir la notion du bien et du mal , il lui arrive de morigéner ses camarades. Volo
Impossibilité de la station debout à 2 ans et demi, attribuée à un mal de Pott, qui n'a jamais existé. Membres inférie
u ». Placé aux Enfants-Malades, il fut considéré comme atteint de mal de Pott ( ? ). Il y resta cinq mois, puis sa mère
habiller, mais est incapable de. boutonner, de lacer, etc.; se lave mal ; mange assez proprement; se sert bien de la fou
aucune déviation, aucune saillie, ce qui écarte l'idée du prétendu mal de Pott que l'enfant aurait eu à trois ans (1).
s, les yeux occupent une situation natu- relle, mais le malade fixe mal les objets qu'on lui présente. Lorsqu'on sollic
43 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
émasquer ton hypocrisie et faire connaître tes projets? Le bien et le mal se répandent, un pouvoir dangereux se révèle au m
guéridon, après avoir fait un mouvement d’étonnement, répond : — Pas mal trouvé ! c’est dommage que cela ne soit pas vrai.
ie m’a confié que tous les individus qui lui ont gratuitement fait du mal finissaient misérablement, comme si le don de les
sciences qui les ont précédées. Elles sont confuses et se définissent mal . Astronomie, chimie, physique, etc., il n’est p
cusable. Je ne pouvais reculer. Par malheur, voilà que tout marche de mal en pire ! Je redouble de zèle et de bon vouloir e
re. La prescription qu ils vous donnent est pour vous seul et pour le mal actuel; ils sentent que ça vous guérira.... et da
s ardue. (1) La division philosophique des facultés de l’âme est si mal faite, et le vocabulaire do la psychologie si inc
ne de celles qui ont été présentées pour voir laquelle cadre le moins mal avec l’ensemble des faits (1). Voilà les règles
urnissant l’occasion d’examiner sous une nouvelle face cet état assez mal connu jusqu’à ce jour, et en les habituant à cons
mnie ses organes. C’est elle qui, par un raisonnement fautif, conclut mal de sensations vraies, mais qu’elle interprète. fa
par des tapis accumulés, un matelas ou tout autre objet transmettant mal les vibrations. Si le bruit se produit réellement
itue le personnel magnétique militant. C’est une année. — Armée assez mal organisée il est vrai, et point du tout disciplin
ont fait immensément pour la propagande. D’ailleurs , ce serait fort mal raisonner que de déduire des principes que nous a
l'application partout où son action bienfaisante pourra soulager les maux de l’humanité. L'auditoire a été électrisé en l’e
e ...’adressa ces reproches très-amèrement: « Docteur'... c'est très’ mal ! je n aurais jamais supposé cela de vous! Ces mes
en n «primant qu’a moitié ma pensée, que, dan. ces circonstanc.,, de, mal .d “ entén ' dent et vo.ent rWem,n( ce que le méde
, ici comme partout, le double écueil de l'incrédulité et de la piété mal éclairée : l une ne voit qu’illusions et qu'impul
r ses soins pour un autre militaire, qui était tombé en proie au même mal . La crise de celui-ci a coimnoncé il y a deux jou
de l’avis d’un vrai penseur (2), n’est-ce point : « Une communication mal comprise, inconsciente, avec l’ordre invisible ?
t prenez en main une de vos plaques de cuivre rouge. » J’obéis et mon mal disparut. M. Hébert croit expliquer cette vertu s
no, d'autres encore ont protesté hautement contre elle : « Montrer le mal où il n'est pas, écrit l'abbé Loubcrl, ce n’est p
La Vérité complète ! La Souveraine Puissance! — L'agent de tous les maux et de toutes les colères où nos détresses, de plu
essive, ¡1 peut, — en lui-même comme autour de lui-même,—repousser le mal , attirer le bien... pour tous!... et nécessaireme
à, lui ayant demandé comment il se trouvait : « Entre le bien et le mal , me répondit-il, et je ne sais encore lequel des
ganes souffrants, comme disait Broussais ; bien mieux, de détruire le mal en détruisant la cause. » Voilà de singulières af
ser les douleurs et môme, en beaucoup de cas, de faire disparaître le mal physique ; mais ils ne sout pas les seuls qui aie
des organes souffrants? M. Latour croit-il impossible de détruire le mal ?... Ce n’est sans doute pas là sa pensée : nous n
n’être pas compris ; de sorte que quand le malade vous a déclaré son mal , vous le lui répétez en vous servant d’un synonym
qui enseignait à guérir les autres, et qui, loin de guérir son propre mal , ne pouvait même en déterminer la cause !... Co
ine année, mon garçon Emile, âgé de sept ans, atteint subitement d’un mal de tète foudroyant, allait indubitablement subir
fais que commencer. En mai 1853, me trouvant moi-même atteint d’un mal de tête continuel, pour lequel j’avais employé le
a prière et dans « toutes mes prescriptions, etc., etc. » Et tous mes maux de tète, ainsi que les étourdissements, avaient d
u immédiatement. Le 11 novembre, mon épouse fut saisie d’un violent mal de tète qui ne discontinuait pas. Le 14 , j’écriv
j’écrivis en conséquence à M. Cheneau, et le 18 à M. Laforgue, car le mal de tête ne cédait pas ; il me répondit le 23, en
avait fait part que, depuis deux ans, il était atteint d’un violent mal de tête continuel, mais dont les crises devenaien
té, tantôt de l’autre. Le h novembre, il m’écrivait de Lorient : « Le mal de tête m’a o repris de plus belle. Le 1" novembr
s parents d’aller le chercher, parce qu’ils’en trouvait beaucoup plus mal . Enfin, accablé de souffrances , mes parents réso
ut dévoués à la science , n’ayant d’autre passion que de soulager les maux de l’humanité : et tout ce qui les préoccupe, c’e
ont les choses, la science et l’industrie se liguant pour prévenir le mal par une foule de règlements sur la salubrité publ
sée bonne ou mauvaise sur une personne, l’impressionner en bien ou en mal ? — Oui, répond la table, si elle est assez fort
étendue sur le sol. — Entre ce jeune homme et mon chapeau ? Tous deux mal formés. Entre ma tabatière et la maîtresse du log
dame reconnut, toujours d’après son rêve. Elle lui fit connaître son mal , il lui prescrivit des médicaments qui la guérire
tes et cuchíes qu’elles soient, peuvent être dévoilées. Voyez-vous le mal moral obligé de s’avouer vaincu, et les hommes mé
les hommes méchants forcés de revenir à la vertu ? « Voyez-vous les maux physiques attaqués dans leurs racines par la vie,
venir M. Quayne, qui, sans se laisser décourager ni par la gravité du mal , ni par l’arrêt du médecin , se mit à magnétiser
vante donc, elle indiqua, toujours sur mes questions, le siège de son mal ; elle se prescrivit un traitement magnétique des
teau à vapeur, et bientôt elle se plaignit du vent du mouvement et du mal de mer. Pendant ce trajet, elle se balançait comm
à marcher ■ se tenir debout, et elle devint même pâle. Je fis passer mal de mer par quelques passes, car je l’avais déjà v
aucoup souffrir de nausées, et sur le point de se trouver tout à fait mal . Enfin elle nous dit qu’elle y était, qu’elle se
i ne serait qu’un effet de la suggestion ou de ce qu’on a nommé, bien mal à propos, la biologie, mais exercée, comme la l
ts, Quoiqu’ maint jaseur en glose. J’guéris de tout, mêm’ du haut mal , Comm’ d'un p'til rhumatisse : Ça s’ noram1 m
omplaisance ; en effet' non seulement ces esprits répondaient bien ou mal à toutes es questions qui leur étaient posées, ma
ement qui n’eût pas été précisé, l'esprit aurait pu faire beaucoup de mal à ces jeunes filles en frappant ainsi leur imagin
ques jours s’écoulèrent pendant lesquels je patientai, croyant que le mal passerait de lui-même. Pas d’amélioration sensibl
ais bonne envie d’en essayer; mais on m'avait inculqué l’idée que mon mal provenait d’une fraîcheur gagnée en restant trave
uis un mois environ, cette fille souffrait excessivement d’un violent mal de tète, pour lequel elle vint me consulter plusi
t accouchée, et qui, depuis plus de dix jours, souffrait d’un violent mal de tête. Aux symptômes qu’elle me décrivit, je re
des tempes à l'épigastre ; puis je la laissai, lui disant que si son mal de tête persistait, elle se fît faire le lendemai
ée. Le 22 , j’allai la voir, et, à peine entré, elle me dit que son mal de tête était parti avec moi le jour précédent, e
et théories spiritua-listes : des personnes incrédules , ou seulement mal assises dans la connaissance si complexe du magné
ux mains dans une des siennes, et les écrasait rudement, s’excusât du mal (1) Les anastomoses, réunions entre les deux sy
s mouvements inconscients en volontaires et involontaires nous semble mal fondée. Il n’y a que l’observation qui nous rende
sif, c’est le nom beaucoup plus convenable qu'il donne à l’état assez mal désigné par les magnétiseurs français sous le nom
émerveillés. Le médecin , convaincu dès lors qu’il avait prise sur le mal , chercha à influer sur le retour des accès, et il
en mer, déposées dans la nacelle, il dirigea sa barque tant bien que mal , et, grâce à l’observation du soleil et des étoil
l obtint d’elle l’indication du traitement à suivre pour combattre le mal . Tout ce qu’elle avait prédit se révéla de point
ues secondes se passent, et enfin elle revient sans avoir senti aucun mal . « La première fois que je vis se passer cette
nd la vie à mademoiselle A... et qui empoisonne le chanvre ; car tout mal qui donne ou peut donner la mort est un poison.
n poison. Ici toute la péripétie d’une agonisante dont on enlève le mal pour le transplanter sur le chanvre. Le pauvre ch
. a aussi magnétisées avec le fluide et la volonté de transplanter le mal . Ma tête se dégage, ma fièvre diminue, mais, en
ut pas seulement queles rois de France qui eurent le don de guérir ce mal incommode. «Saint Erme, successeur de saint Urs
ain. Jeanne Potière, qui passe pour être la cause primi-« tive de ces maux , commença, dès l’àge de 9 ans , à s'a-« muser av
es doigtz sacrés devant la bou-« che, et disoit : Si tu as pouvoir de mal faire ou de mor-« dre ces doigtz sacrés, si d’en
érir, ont recours à elle, et très-souvent elle apporte remède à leurs maux . Il en est de même d’un paysan belge, qui habite
ns trois jours, je serai guérie. — C’est impossible, lui dis-je, le mal est trop sérieux- — Homme de peu de foi, reprit
damique, l’humanité proscrite travaille sans relâche s’affranchir des maux et des erreurs, suite d’une chute, d'une dégradat
été faite de goûter «lu fruit de l’arbre de la science du bien et du mal ; ainsi, bien que la désobéissance fût coupable, d
’est propre qu'à l'embrouiller. M. Auguez professe, sur la cause du mal physique, un système fort étrange : « Nous ne cra
es frères qui, moins parfaits que lui, sont en butte aux atteintes du mal et de la douleur. C’est de cette manière que guér
t la Vierge , parlant en très-bon espagnol, langue qu’il connaît fort mal dans son état ordinaire. Les passants attroupés d
01- ront, saisiront des serpents vénimeux et n’en éprouveront aucun mal (Marc, xvi, 17, 18). Il proposa d'appeler les pré
mes, anciennes ou nouvelles. La mensambulance n’est qu’un phénomène mal observe par les anciens, incompris des modernes,
des tables, comme on fait du daguerréotype, les uns bien , les autres mal ; car il faut, pour réussir, un ensemble de précau
u crucifiant une femme avec l'abbé de La-vauguillon sans lui faire de mal . Enfin Mesmer est venu. Ce phénomène est aussi
né de voir refléter sa figure dans une glace de Saint-Gobin. Les plus mal partagés sont ceux qui croient causer avec le dém
double selon la loi des couples. Le stationnaire ignorant interprète mal les dépêches divines et les rend d’une façon souv
e quelque temps après vers ce gouverneur qui l’accueillit encore fort mal . Mais la jeune fdle lui ayant annoncé qu’en ce mo
re la pureté des mœurs. Aussi, pour réprimer efficacement un si grand mal , souverainement funeste à la religion et à la soc
lui qui, avec l’aide de scs nombreux satellites, s'amuserait — ici le mal est bien à sa place — à offrir aux hommes une réc
iter, à troubler, à ébranler même leur imagination, à les conduire au mal , à les perdre enfin, dernier terme de ses espéran
ce qui re--iil'iu au même, — non, ce qui est pire encore, — vous avez mal vu, vous avez mal expérimenté ; je vous le pardon
au même, — non, ce qui est pire encore, — vous avez mal vu, vous avez mal expérimenté ; je vous le pardonne. Uais il faudra
s malades, ils se gardent bien d’appeler à leur aide celui qui est le mal personnifié. La restriction apportée par l'inquis
time, ne commet aucun acte répréhensible, même quand la confiance est mal placée; sa position est celle de tout homme qui c
aisie de causer à ce sujet, nuig ne voyons pas qu’ils fassent plus de mal que s’ils en parlaient à l'état de veille. 11 y a
nes parties du corps; les autres ont éprouvé des sensations pénibles, mal de tête, oppression , difficulté de respirer, etc
soulagés ou même ont obtenu la cessation au moins temporaire de leurs maux . Quelques-uns ont présenté un larmoiement qui a d
il faut d'abord que le malade explique avec soin en quoi consiste son mal et quelles en ont été les phases, ce qui exige un
nombreuses séances que le magnétiseur parvient à se rendre maître du mal ; il est donc prudent de ne l’attaquer qu’autant
mais mon ami L... a eu beaucoup à faire avec des malades atteints du mal de mer. On a vu un vaisseau en mer, c'était un va
r. « Le capitaine est en bonne santé, quoiqu’il souffre beaucoup du mal de tête. « Pourquoi M. L... ne se sert-il pas d
euse d’où résulte une superstition ridicule, et qui. donne lieu à des maux de tout genre. La lucidité est un éclair fugitif
avaux de la société , 45, 251 , 387. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Affaiblissement de la vue,
44 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
, si l'on s'en tenait à cette définition, le mot s'accorderait bien mal avec la chose. En effet, s'il convient à la raiso
0 globules et 17,360 globules blancs. La bouffissure du visage, les maux de tète fréquents, l'apathie générale ne sont pas
équilibre. Il ne sortde'cet état qu'une fois installé tant bien que mal au réfectoire, en face de ses aliments qu'on est
te.. Non. Raoul et Crici. - On y a fait de la peine, on m'a fait du mal . Le vin, C'est moi qui payais... NoN.. Berthe ell
ivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et cliniques du mal de Pott ; ils mon- traient en détail comment le
nkylose en demi-flexion des hanches lui imprime une direction anor- male ; il en résulte aussi que le thorax, en avant, vi
veau du pancréas, on peut observer que certains lobes se colorent t mal ; les limites des cellules n'apparaissent plus ne
aires contiennent peu d'ovules bien développés (1). La plupart sont mal formés, méconnaissables. Dans l'épaisseur de la s
rées des autres arthrites chroniques relevant du syndrome rhumatis- mal . » Admettons donc qu'il s'agit d'une spondylose
on retrouve des fibres atrophiées représentées par un cylindre-axe mal coloré et une gaine de myéline petite et peu tr
ent traînante et un peu monotone ; lettres et syllabes sont souvent mal prononcées et par moment les syllabes se précip
les autres. Intelligence intacte. Observation II (novembre 1906). - mal ? fondeur en étain, âgéde 74 ans. A toujours eu
du but à atteindre quelques oscilla- tions peu amples, à caractère mal défini, qui semblent toutefois relever plutôt d
inférieures des olives, pèse 120 grammes. Plusieurs cervelets nor- maux dans les mêmes conditions nous ont donné des poid
grains sont bien moins tassés que normalement, ils se colorent plutôt mal avec l'hématéine et le carmin ; dans certains p
assement de celles qui persistent on aurait pu avoir un aspect nor- mal , sans dégénération ni sclérose de la substance mê
ous avons pu constater l'évolution progressive d'une courbure anor- male encore peu accentuée. 2° Le genou présente, com
ivait-il, ont été empruntés à la géométrie. Les os se prêtent assez mal et ce langage sévère. » - Alors, pourquoi l'emp
ogiques et n'avait pas, hésité à prescrire un remède féroce pour un mal ... qui n'existait pas. Quelques notions morph
plastique. On exhibait aux jeunes gens un sque- lette tant bien que mal ajusté, ainsi qu'un légendaire cadavre dont les
ntrer les dents. A vrai dire, elle ne peut siffler, et elle souffle mal une bougie ; on peut dire qu'il y a seulement une
rtie médiale de la corne on observe quelques cellules d'aspect nor- mal . L'asymétrie de la moelle est moins accusée que d
oie pédonculaire semble être aussi bien développée qu'à l'état nor- mal , et aussi bien à gauche qu'à droite. Dans aucun d
es, définitives, y compris la porencéphalie ac- quise, se prêtaient mal à l'étude de la lésion initiale, car il était déj
., 1880, Bd. 26, p. 557. (4) AMHAMBAULT-DAHAScniso, Revue mens. des mal . de l'enfance, 1885. (5) DRUMMOND, Brain, 1885,
RUMMOND, Brain, 1885, VIII, p. 14. (6) Pierre Marie, Leçons sur les mal . de la moelle, Paris, 1892. (7) GOLDSCHEIDER, Z
plusieures perches à l'aide d'une mauvaise serpette, tranchant fort mal ; il déterminait à chaque coup de serpe violemm
peine touché par la cardio-sclérose ; la pointe est à sa place nor- male ; le pouls est régulier, égal, légèrement dur.
énérations n'avait relevé la nature essentielle- ment différente du mal . . La malade de Mabille présentait t'anesthésie
circulation complémentaire nous mon- trent facilement l'origine du mal . L'éléphantiasis causé par les Pilaires se reco
ue du malade peut, dans le cas échéant, faire supposer la nature du mal . L'éléphantiasis nostras présente, à ce qu'il s
si le syndrome de Dercum apparaît chez une comitiale parce que son mal a préparé le terrain, ou si ce sont là deux man
r par des démonstrations sur des statues reproduisant tant bien que mal la musculature humaine. Les écor- chés eurent d
cile de savoir s'il s'agissait ou non d'aphasie vraie ; il avait du mal à prononcer les mots, il ne pouvait lire (peut-êt
féremment ou seulement de la moitié ayant conservé sa fonction nor- male . Le manque de renseignements précis à ce sujet da
missements sans nausées préalables. Ventre en bateau. Pupilles nor- males , céphalée. Traitement. - Purgation et antisepsi
myéline ramassée en boules ou en blocs irréguliers ; elle se colore mal par l'hématoxyline et incomplè- tement vers la
an, mais n'a commencé à marcher qu'à l'âge de 19 mois. Il a toujours mal marché, tombait sans cesse ; le caractère de la
Des deux côtés la main serre sans grande vigueur, le malade résiste mal à la flexion, l'extension, la supination, et la
altérations dentaires : dents irrégulières, petites, cupuliformes, mal implantées ; incisives médianes en retrait sur le
irrégulières, crénelées chez la fille, 9 ans - ; dents supérieures mal implantées, petites, crénelées, cupuliformes, tan
s de la digestion, de la respiration et de la circulation sont nor- maux . La sensibilité est normale ; la force musculai
centrée en haut et en dedans, ce qui peut être considéré comme nor- mal . Elle paraît ne pas réagir à la lumière du jour ;
se une sensa- tion de tension dans son oeil et il prétend voir plus mal qu'auparavant ; il a a maintenant une myopie de
sibilité normale pour les couleurs et avec une acuité visuelle nor- male . Il existe en outre un rétrécissement concentriqu
ant. Les mouvements de la ceinture scapulaire s'accomplissent assez mal tant à droite qu'à gauche ; le malade s'asseoit
et de la nuque ; la sensibilité à la piqûre y est tout à fait nor- male , le tact étant émoussé et l'anesthésie à la tempé
hystérique des muscles du dos. Certaines mé- ningites chroniques du mal de Pott s'accompagnent de paraplégie spasmo- '
syringomyélique (1) et on a parfois pris pour une syringomyélie un " mal de Pott (2). - ' - La maladie de Morvan et surt
bolies à droite). On sait d'ailleurs à quel point nous connaissons mal les voies conductrices des diverses sensibilité
fit des soucis au sujet de son commerce qui cependant n'allait pas mal du tout. Il ne boit pas beaucoup, mais ne support
é et l'examen histologique démontra qu'il s'agissait d'une gomme. Les maux de tête diminuèrent, mais ce fut le seul résult
endre son cheval, etc. Il tient la tête raide et dit qu'elle lui fait mal . Cicatrice semi-circulaire récente dans la régi
gonflées et souvent variqueuses. La coloration Weigert-Pal réussit mal et la coupe est criblée de « soleils » plus gra
donne issue à du liquide cérébrospinal limpide. La nuit suivante le mal de tête s'est beaucoup aggravé, au point que le
e la vue et des symp- tômes cérébelleux. Fin 1902, amanrose totale, maux tête, nausées. Janvier 1904, troubles psychique
gauche n'a que 4 centimètres ; les muscles ont leur insertion nor- male . La cuisse du côté droit n'est représentée que pa
e l'os externe qui remplace le radius. Le court supinateur est nor- mal , les deux radiaux externes s'insèrent au sommet d
le triceps 312 KLIPPEL ET UOUCHET sural est incomplet ou du moins mal formé : le jumeau externe s'insère au condyle e
ie, au scaphoïde, et une autre facette large répondant à l'os anor- mal que nous verrons tout à l'heure. Le pyramidal s
de petits plombs de chasse. La peau est saine et de coloration nor- male . On sent très bien, au palper, deux extrémités os
développement. Du côté du membre supérieur droit, le bras est nor- mal ; l'artère numérale, après avoir fourni l'huméral
fs. Ils présentent dans la moitié supérieure leur distribution nor- male , quoique notablement diminués de volume. Mais le
u- périeures du grand pectoral surmonté en dehors d'un corps charnu mal diffé- rencié, longé à sa partie externe par le
let désespoir et un ralentissement de l'activité intellectuelle. Le mal faisant de rapides progrès avait au bout de quatr
ifice produit par l'entrée et la sortie de la balle. Dans un cas le mal se développa tout de suite après une blessure et
lie raisonnante et i de psy- chose épileptique. Donc dans 17 cas le mal existait certainement avant la guerre, c'est le
hommes les plus doux étaient devenus insupportables, le bien et le mal étaient, pour ainsi dire, émoussés. La plupart
fférente, cela dé- pendait des formes d'aliénation. Tout d'abord le mal de mer fit trois fois plus de victimes parmi le
i le personnel de service. Sur 126 infirmiers, 22 souffrirent de ce mal , ce qui fait 17,45 0/0. Sur A6 malades (nous en
3 0/0. Les aliénés souffrant de mélancolie furent plus expo- sés au mal de mer que les aliénés atteints de manie, de conf
l'une ou l'autre forme de psychose alcoolique. La disposition ! au mal de mer et son intensité dépendaient de la sorte
erver, l'état dépressif y contribuer. Chez les malades souffrant du mal de mer, on remarquait pendant le ballottement u
ique, parfois, presque jusqu'à l'arrêt de l'activité mentale. Plus le mal de mer était violent, plus l'aggravation se fai
Kiff, 1906, p. 144. 352 WLADYCZKO Chez les sujets non exposés au mal de mer en plein océan, on remar- quait l'affaib
Il faut ajouter à tout cela que le roulis provoquait un plus violent mal de mer que le tangage. La traversée du Whampo
ngomyélie, leur cause et leur nature sont encore à l'heure actuelle mal connues. Nous ne connaissons pas, en dehors de
qui sont à la base de la cheiromégalie. Celles-ci sont encore assez mal connues, puis- que, ainsi que nous le disions p
étacarpien existaient des exostoses, les articulations étaient nor- males . La peau présentait des rides, des fentes, des ép
malformation de la bouche ; cependant la parole est dé- fectueuse, mal articulée ; la voix est gutturale, élevée, eunuch
es et ils représentent dans leur configuration l'aspect des os nor- maux , à part les dimensions et quelques détails de for
ment et une perturbation générale des dispositions anatomiques nor- males . Ces anomalies sont encore d'autant plus marqué
eur consistance est plus grande que celle du tissu glandulaire nor- mal ; ils crient sous le bistouri qui les divise, et
re. Du troisième au quatrième jour, elle a eu seule- ment un peu de mal de tête, mais sans toux, ni oppression, ni hémopt
nouveau de la céphalalgie, cette fois avec un peu d'oppression, de mal de coeur, et quelques épistaxis. M. Manec se di
tes, s'accompagnent de céphalée et par instants de véritable état de mal ; le niveau intellectuel est très faible, le ca
ronc n'offre aucune anomalie appréciable. Le développement est nor- mal ; il n'y a aucune courbure anormale de la colonne
ce que la cure anti- luétique, entreprise aux premiers symptômes du mal , n'en a pas empêché l'évolution. On pourrait
membre atteint de trophoedème et surtout avec ceux d'un membre nor- mal d'une malade à développement moyen. SUR UN NOUV
lligent et instruit, a fait lui-même une analyse très exacte de son mal . Et si, en général, il est prudent de n'accepter
s'en inquiète ; il ne cesse d'y penser, s'observe, s'analyse. A ce mal irritant s'ajoute l'obsession de ce mal. Tel
s'observe, s'analyse. A ce mal irritant s'ajoute l'obsession de ce mal . Tel fut le cas pour Taurone. Sa tête tourna da
de se heurter contre les personnes ou les objets, parce qu'il voit mal ceux qui sont à sa droite. Mais aussi, il l'avoue
qu'il ait cherché à s'éclairer sur la na- ture et la gravité de son mal , soit en consultant plusieurs médecins, soit en
al. Il a reconnu dans' les descriptions les'signes physiques de son mal , mais déclare sincè- rement ne pas retrouver ch
bonne humeur, assiduité et intelligence. Cependant, il continue à mal dormir. Couché à 10 heures du soir, il ne s'ass
avec excès sur le malade, et de lui parler le moins possible de son mal . Le distraire sans jamais le fatiguer. Assurer
u mode de résistance (ou de décontraction) avec lequel je suis encore mal familiarisé et que j'ai à apprendre. Je multipl
es, ces efforts fréquents suivis de défaillances ne sont-ils pas un mal ? L'ennui me porte quelquefois à lire un peu (l
et maintes causes d'irritation. En présence de l'aggravation de son mal , l'isolement rigoureux lui fut conseillé : : él
pour les exercices, il y a de très grandes différences en bien ou en mal d'une séance à l'autre. Les repas sont un peu m
ien. En même temps qu'une bonne chose en arrive une mauvaise ; plus mal la veille on est mieux le lendemain ou inversem
s être au courant, ont certainement l'impres- sion que je vais plus mal . Je suis au contraire persuadé que je me trouve e
sité des effets de la rééducation ? Dans l'idée que je me fais de mon mal , c'est l'organisme, qui met en communication av
ndrez compte que je suis loin de bien réussir encore. J'écrivais si mal qu'il n'est pas commode de tracer bien couramment
t actuel et ne m'en préoccupe que comme indices que la cause de mon mal n'a pas entièrement disparu. Tant qu'il en sera
mée sans aucune période de dépression ; les dermers vestiges de mon mal n'ont pas encore complètement disparu, mais ils
e une navette, dit Ch. Bell) pourrait porter vers les points lacry- maux les corps étrangers qui peuvent se trouver dans l
45 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
à retours périodiques, douleur de tète fréquen- te, accès de fièvre mal analysés ; mais, à l'âge de vingt ans il remarque
vient le sommeil et le lendemain malin tout a disparu sauf un léger mal de tête qui se dissipe dans la journée et n'empêc
ent cutané. Les ongles du pied gauche, membre le plus atteint, sont mal nourris, striés transversalement, et se cassent f
constamment; les membres supérieurs étaient maladroits, saisissant mal les objets que la main laissait vite tomber. Le
dans ces derniers temps, en même temps que la marche était devenue mal coordonnée, avaient pris nettement le caractère f
ment le moment, pour traduire la sensation par les mois : « ça fait mal ». Si la piqûre est forte et prolongée, la douleu
dans les couches superficielles le protoplasma très abondant prend mal la couleur, tandis que les noyaux agrandis dans
a couche superficielle contient un grand nombre de grosses cellules mal colorées. Il semble que dans cette maladie, la
petite taille, très musclé, d'as- pect très vigoureux. - Tout le mal siège dans les régions deltoïdiennes et consiste
n avec toutes les données naturelles ». Hermaphrodisme est un terme mal défini lorsqu'il est appliqué à l'es- pèce huma
Éditeurs DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE 61 Cet homme parlait mal le français; était d'une intelligence assez obt
u de taille au-dessus de la moyenne. Il est peu musclé, et se tient mal (Pl. XI et XII). La figure est sans expression
fortement busqué, les oreilles très grandes, effilées par le haut, mal ourlées. Pas un poil de barbe sur le vi- sage.
ivra, est atteinte, selon toute probabilité, d'une affection encore mal connue et dont l'étude est à peine esquissée da
amenèrent un grand état de faiblesse. La malade alla tant bien que mal jusqu'au 1er janvier 1893. Le 31 décembre, elle
ons qui font défaut dans les différentes formes de sciatiqués. Le mal de Pott lombo-sacré s'accompagne assez souvent de
ve à la pression, avec sensa- tion d'aura. Bref, il s'agissait d'un mal de Poil hystérique. En somme, tous les cas que
on d'un symptôme pouvant donner le change à un examen superficiel : mal de Pott sacré, hystérique, sciatique, lumbago ar-
ication d'un linge trempé dans l'eau froide dissipe ordinairement le mal et les alarmes qu'il avait causées ». , Au co
volume. Un médecin timide et sans expérience ne fait qu'aggraver le mal en prescrivant des sangsues et des cataplasmes,
E 115 que la face rougissait, le sein gauche, qui était le siège du mal , se marbra de petites plaques rouges, d'une sor
forme ». De plus, « elle tombe de teins en tems dans des accès d'un mal épilep- tique qui la prive de connoissance pend
s un fait généralement admis, et la contraction musculaire est fort mal définie lorsqu'on dit qu'elle consiste dans le
faut pas oublier que toutes les expériences ont porté sur les ani- maux et sur des muscles n'ayant plus leurs connexions
ension de la main. Les réflexes des membres inférieurs étaient nor- maux . La miction exigeait- un effort notable des muscl
pupille droite était un peu rétrécie. Le fonds de l'oeil était nor- mal ; l'état général était excellent. Le 13, état l
il lui, il se retrouve dans son lit, en proie à de vi- ves douleurs mal localisées. Il apprend alors de son entourage que
L 155 reux, jusque-là en bonne santé. Un pareil mode de début cadre mal avec l'hypothèse d'une tumeur dont l'évolution
rougis témoignent des mauvaises nuits passées sans sommeil. Quel mal mystérieux est venu donner aux joues de cette bel
ts que révèle le conlenu de ces fioles mystérieuses. Nous serions mal en mesure d'en pénétrer le sens, si tous les arti
son Médecin empirique de la Galerie d'Aremberg, à Bruxelles, cache mal un jeune garçon dont le geste trop significatif r
Musée Boijmans, à Rotterdam, laisse facilement deviner la nature du mal dont elle est atteinte. Je ne fais que rappeler
ont considérées comme représentant des jeunes femmes atteintes du « mal d'amour ». Par comparaison avec les oeuvres ana
t het is minne pijn Ici la médecine ne peut rien Puisque c'est le mal d'amour. « Mal d'amour », « fièvre d'amour », «
jn Ici la médecine ne peut rien Puisque c'est le mal d'amour. « Mal d'amour », « fièvre d'amour », « maladie virginal
nale », « ictère blanc », « fièvre blanche », « pâles couleurs », « mal de langueur», « cachexie des jeunes filles », t
plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du mal . Et Samuel van lioostraaten a rendu tous ces déta
la torpeur des idées, et les rêvasseries obsédantes. C'est bien le mal de langueur, dont la cause est souvent toute ps
bien le mal de langueur, dont la cause est souvent toute psychique, mal d'amour contrarié, si l'on veut en croire Hippo
ins peut-on la comparer a d'autres « malades d'amour », chez qui le mal n'est pas souleiiienlpsycliique, mais s'affirme n
e lecture qu'il s'agisse d'une scène de possession. On s'ex- plique mal cependant la nécessité de faire lier les bras et
u riche comme sous la robe du pauvre. Pour symboliser l'esprit du mal , il fallait en figurer une manifestation object
OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 229 On ne lit pas seulement le diagnostic du mal dont le patient est atteint; on comprend ce qu'
e pouvaient manquer d'attirer l'attention des peintres de genre. Le mal de dent, malgré sa douloureuse réalité, n'excite
sa mâchoire à l'habile homme qui se l'ait fort d'extirper la cause du mal sans douleur. Il y a là matière à plus d'une ét
p opératoire un cautère bien chaud, pour « ranimer les esprits ani- maux ». « Les personnages accessoires de ces petites
cles, on disait vulgairement en Hollande en par- lant d'un individu mal équilibré : « Il a une pierre dans la tête o. La
l'esprit faible et crédule, vraiment mala- des peut-être, mais d'un mal invisible dont chacun se gaussait. Le décor et
n délirante d'un symptôme réellement douloureux. Bien souvent les maux de tète sont mis sur le compte d'un corps étran-
lque partie de leur corps, une bête malfaisante cause de tous leurs maux , d'endormir ces malades sous le chloroforme, de
rre qui pèse sur le front ? Eh bien ! Voilà précisément la cause du mal , et c'est le malade lui-même qui vient de la di
une opération du même genre ; il semble s'en être tiré sans trop de mal et se prête d'assez bonne grâce au pansement. De
nt est du dernier grotesque, et il l'opéré qui, pour se guérir d'un mal imaginaire, a sollicité une intervention sanglant
, il relire une pierre du front d'un soldat, dont là mère se trouve mal à la vue de la'blessure ». Celle description so
i représente, d'après le catalogue, « la mère du soldat se trouvant mal à la vue de la blessure ». S'il est douteux que l
quand ils ont dansé ou sauté par-dessus un pont, ils sont guéris du mal de Saint-Jean , (1) Voyez Les Démoniaques dans
n autre le suit en geignant, montrant à deux mains le siège du même mal . Puis un troisième et peut-être d'autres encore
les malades à voir dans un caillou du crâne la source de tous leurs maux et à implorer des spécialistes la bienfaisante
GRAPHIE DE LA SALPLTRIÈI1E est maladroite et faible, qu'elle saisit mal et laisse échapper les objets, qu'elle presse s
ieu de s'amender, s'accentuent. Ainsi l'enfant marche beaucoup plus mal : il tombe fréquemment, il telle enseigne qu'il
ro- phie des hémiplégiques, vous savez comme moi qu'elle est encore mal élu- cidée. D'aucuns ont prétendu qu'elle indiq
it rendre compte de la ré- trocession. D'autre part, l'évolution du mal est parfaitement compatible avec la production
st a partir du mémoire de Dance (2) que la tétanie jusqu'alors fort mal décrite prit véritablement rang dans la noso- l
te'crise : deux ou trois heures avant l'attaque la malade se sentit mal il 'son aise; elle était prise par instant de b
la cuisse gauche est le siège d'un oedème blanc et dur, il limites mal tracées, se fondant graduellement avec les tissus
mps, dut accomplir de hauts faits d'armes. Aujourd'hui, il est bien mal loti : sa jambe droite, repliée et racornie, re
possède un curieux tableau intitulé : « Il n'y a pas de remèdes aux maux de l'amour (2) ». Enfin, un peintre qui devait
e village où de pauvres diables viennent chercher le remède à leurs maux .' Trois personnages forment le groupe principal
une ceinture de cuir, ses petites jambes prises dans des bas blancs mal tirés et les pieds dans de gros souliers pleins d
inges et montre avec sa main droite l'endroit de son front où 1 son mal siégeait. Il tient dans la main gauche un petit
aignée de la veine temporale, opération très recommandée contre les maux d'yeux ou d'oreilles. Cependant la palette fait
celui-ci ; il en a grand besoin el faites en sorte de le guérir du mal d'ivrognerie qui ne le quille guère. Voilà bien
ouri, lui gratte fort désa- gréablement la région parotidienne.' Le mal ne serait pas grand, si, en même temps, l'opéré
nutile. Quand le naïf opéré sera bien convaincu que la cause de son mal n'existe plus, que toutes les pierres de sa têt
patient laisse entendre qu'un grain de folie n'est pas étranger au mal pour lequel on l'opère. La lanterne allumée dan
us des mollets. Elle ressent également par instants des picotements mal loca- lisés en même temps qu'il se produit des
té, dans les faisceaux antéro-latéraux, un ou deux petits triangles mal colorés par le carmin ; ces triangles, dont la
rps en avant. Dans la station debout, ils corrigent tant bien que mal ce défaut de stabilité, par la flexion des ge-
e. Les apparences de la sénilité sont certainement exagérées par le mal lui-môme, car cette malade n'a que 62 ans et on
ession. A ce propos, Bérenger de Carpi insiste sur l'existence nor- male d'un contact intime entre la face interne du crân
atteste Dieu, que lui-même jurait que, même au commencement de son mal , il coïtait avec une servante de la maison, sin
46 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
tions sur le point en question. Il est évident que M. Quentin était mal renseigné. Le Directeur de Bicétre parla de ma
ens que leurs maîtresses les interrogent sur les objets, les ani- maux , les plantes, etc., qui frappent leurs yeux. No
t de malades anciens ayant présenté des modifications en bien ou en mal et de 23 moulages de la tête des malades décédé
êtrière sont aussi intéressantes que les garçons atteints des mêmes maux , étant donné l'état de ce service a la Salpêtri
asses, réfec- toires, offices, bains, lavabos, magasins, etc., sont mal répartis pour les besoins du service ; l'éclair
insuffisant dans la classe et le réfectoire ; enfin, ces localités, mal aérées, sont humi- des, froides et malsaines.
ction de trois étages. Pour des enfants hémiplégiques ou marchant mal , la montée et la descente des escaliers les expos
lpètrièresontaussi intéressantes que les garçons atteints des mêmes maux , étant donné l'état de ce service à la Salpêtri
litre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de mal épileptique; mort; foyer ancien intéressant les c
ges à quatorze ans. - Début des accès à dix-sept ans par un état de mal . - Aura du pouce gauche. Père très nerveux, pAstç
n de l'anus. Bromure de potassium. - Armures magnétiques. - État de mal . Mort. Autopsie : Atrophie de l'hémisphère cé
es parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet état de mal , Grar... aurait été comme fou pendant un mois;
disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l'état de mal , la raison et la marche étaient redevenues ce q
peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l'état de mal : toutefois, il fréquentait l'école du soir, et
availlent » ; je ne puis dormir, et, le matin en me levant, j'ai un mal de tète à ne pas pouvoir la lever, et qui se diss
etit. Bien souvent, quand les nerfs viennent d'être agités j'ai des maux de coeur qui me retirent l'appétit. » 10 EPIL
T. R. 40°;5. 64 accès dans la jour- née ; 137 dans la nuit (Etat de mal ).. H mai. A la visite, on le trouve dans un éta
reprises, des séries d'accès ; il eut de plus, en 1874, un état de mal sur lequel nous manquons de renseignements. Enf
s de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel état de mal auquel le malade a succombé et qui a offert la pl
de a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'état de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de la tem
, mais de tous les auteurs qui ont vanté l'action du curare dans le mal comitial, aucun ne l'a employé, que nous sachio
était que des vertiges, et les autres, en plus grand nombre de haut mal . Observation II. - Epilepsie; début ci neuf ans
at de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le caractère du haut mal , mais seulement nocturnes pendant deux ans. Dep
, précédé (un quart d'heure à une demi-heure) d'un accès de petit mal . Le dernier accès survint quatre jours avant. le
ité comme le précédent et n'eut plus d'accès ni de petit ni de haut mal , et jus- qu'à présent (commencement de juin 186
ble de l'intelligence, le curare peut, dans certains cas, guérir le mal et même rendre un peu de son intégrité à l'espr
lus tard à qua- torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais mal (les autres enfants ont parlé vers dix-huit moi
it très ébranlées; articulation normale, forme des mâchoires nor- male ; voûte palatine peu profonde, parait légèrement
Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un état de mal ; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 vertiges.
s se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable état de mal . Ils ont été plus nombreux en 1883, et les facu
gauche. - De quatre ans et demi ci sept ans, dix il douze états de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles convulsions pre
lose. Modifications de l'intelligence. - A dix nrzs, nouvel état de mal : nouvelle diminution de l'intelli- gence. - Dé
t ans, de la poitrine et de chagrin, dit-on, parce que son fils a « mal tourné» : il buvait, courait les filles, ne tra
ux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d'états de mal convulsif, débutant le matin vers quatre heures,
sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel état de mal plus long que les précédents, dans DANS L'ÉPILE
par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier état de mal sur- venu à dix ans. La situation intellectuell
nvulsions à trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'à deux ans. - Maux de tête cinq à six fois par an de huit à douze
nel alcoolique, mort aliéné. - Premières convulsions à trois ans. - Maux de tête fréquents. - Absences depuis janvier 1882
mois = 33 jours). totaux 78 DU CURARE germain maternel mort du mal de Pott. - Onanisme. - Début à trois ans.- Débi
1882). - Curare; insuccès. - Hydrothérapie (juin à octobre 1883). - Mal de Pott. - Abcès par congestion. -1 ! 'islule ! H
connaissance, n'avait pas encore été utilisé pour com- battre le mal comitial lorsque nous avons commencé nos essais
un léger malaise avec mouvement fébrile assez marqué, en frissons, mal de tête, inappétence, soif vive, agitation ou a
grognon la veille. En ville, une de nos mala- des nous dit avoir eu mal à la tête la veille, mais le soir elle était as
t que nous avons pu le savoir, avaient les caractères ordinaires du mal caduc vulgaire. Très fré- quents, paraît-il, av
ut haut : « Où suis-je ? ». Le matin, à la visite, S... dit qu'il a mal à la tête, et paraît un peu hébété; il prétend
'eut pas d'autres attaques à Sainte-Anne; mais il se plaignait d'un mal de tête continu, localisé à l'occiput; de doule
INCTS. 1 53 douleurs vagues dans l'estomac, la jambe gauche; d'un mal de gorge revenant par accès : « c'est souvent, di
u sinueuse, sur le bord cu- bital de la main gauche. - Ongles assez mal conformés. Verruessur le dosdes mains et les do
cachottier, de mauvais caractère ; il ajoute qu'il se tenait assez mal comme propreté. Quelques jours après le second
il ne fait rien. Pour la première fois, il se présente aujourd'hui mal tenu, sa chemise déboutonnée est sale, sa crava
ans, syncopes. Début des attaques en juillet 1880 (17 ans). État de mal hystérique. - Contusions. - Admission à la Piti
et son corps était couvert de bleus et d'égratignures. Cet élat de mal hystérique ne cessa que sous l'influence d'inha
aptitude infiniment inégale des indi- vidus pour le bien et pour le mal ? Là, Messieurs, là est la circonstance atténua
ie du sieur Loise ? et l'avoir enivré au « Château-Rouge », cabaret mal famé de la rue Galande, se sont jetés sur lui d
47 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anor- maux , mais encore des enfants malades : quand ils on
rcurrentes. 9 enfants sont entrés à l'infirmerie atteints d'état de mal épileptique ; 2 atteints do bi,oncho-p71ditn-im
bre, dangereuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage ; il en
choréiques ; 1 ophtalmie ; 1 pleurésie ; 4 bronchites ; 7 états de mal épilep- lique; 20 engelures; 18 gourmes; - 2 di
eil nu dans les centres nerveux. Tuberculose généralisée. Etat de mal . Calotte peu épaisse et peu dure ; graisseuse ;
e à l'éducation des enfants anormaux. Le premier pas pour guérir un mal , c'est de le bien con- naître. Voilà pourquoi l
des dif- férences individuelles si grandes chez les enfants anor- maux , est la mort des classes spéciales. Les résultats
la plus ancienne est destinée surtout aux enfants vraiment anor- maux , tandis que la plus récente, ouverte en 1897, est
chargée des écoles pour l'instruction spéciale des enfants angor- maux ( sourds et muets, aveugles et faibles d'esprit).
a prendre, coûte que coûte, les mesures nécessaires pour enrayer le mal . Une bonne part de ce mal provient des familles
, les mesures nécessaires pour enrayer le mal. Une bonne part de ce mal provient des familles, de l'hérédité d'abord, d
plus que nous avons pu les comparer à son écriture à l'état nor- mal , laquelle est très correcte. Cette comparaison me
e, originaire de Bretagne, d'une intelligence médiocre, s'exprimant mal . Elle s'est mariée il ,23 ans. - Migraines asse
né une opacité de la cornée du côté gauche qui fait qu'il voit très mal de cet oeil. Enfin il aurait eu la teigne ( ? )
et fournis à la base de. la verge, autour de l'anus qui est nor- mal . - Testicules de la grosseur d'une amande ; pas,d
ueux, profond. - Scissure perpendiculaire externe (Sc,p,e,), nor- male . - Scissure parallèle frontale (5c.lo.f.), profon
la naissance n'ont offert rien d'anormal. III. C'est à un état de mal convulsif, survenu à quatre mois, ayant duré 4
Amyolrophie de la jambe gauche. 1893-97. Alternatives de bien et de mal au point de vue du caractère. - Progrès à l'éco
était raidi, fièvre très forte, vomissements ; il aurait eu aussi « mal au ventre et de la diar- rhée et aurait été san
de progrès. Juin, - Son caractère se porte de plus en plus vers le mal . Il devient menteur et accuse ses camarades inn
t de ma petite chérie de filleule. Vous m'en voudrez pas si j'écris mal et si je fais des fautes, au moment que je vous é
17 mai. - C... s'est affaiblie progressivement ; sa démarche est mal assurée, son poids a diminué de 8 kilog. 300, l'a
c'est- à-dire jusqu'à 1'2 ans, Gel... aurait été tout-à-fait nor- male et .plutôt d'une intelligence au-dessus de la m
décembre 1895, puis en sixième au lycée de Versailles. Il apprenait mal , conduite passable, tenue physi- que défectueus
ue physi- que défectueuse, avait une épaule qui se nourrissait plus mal que l'autre. On le soumet à une gymnastique spé
se troubler, indigestions avec douleurs de tête, se plaint d'avoir mal aux tempes, reste huit jours sans manger ; a de
s. - Les fonctions respiratoires et circulatoires paraissent nor- males ; les fonctions digestives ne sont pas régulières
voir de mé- decins ! ... ce sont des charlatans... ils vous font du mal ... je ne suis pas malade... qui donc a inventé
elouse des jeux. Là, tout en veillant à ce qu'il ne se fasse pas de mal , on le laisse libre de ses mouvements. Il reste
peu dépotage. Se plaint dans la journée que « l'estomac » lui fait mal ; il parait avoir des difficultés pour respirer
et d'un bégaiement très prononcé. De huit à onze ans, il apprenait mal . A partir de janvier 1896, le caractère s'est m
o. idente. La dentition est mauvaise, les dents, irrégulières, sont mal implantées. - Menton rond.- Oreilles bien ourlé
rie le 2fi août, se 104 Épidémie de fièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de mal de gorge. Pas de signes locau
e 104 Épidémie de fièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de mal de gorge. Pas de signes locaux d'angine, pas de
. (Louis), Il ans, entré à l'infirmerie lé 31 août, se plaignant de mal de tête. Toux fréquente, et à l'ausculta- tion
ouvant fournir aucun renseignement sur le siège ou la nature de son mal . Perte de l'appétit, vomissements rares. Toux f
sente il la consultation ; depuis un ou deux jours se plaindrait de maux de tète, inappétence, épistaxis peu abondante.
on- gestion surtout 11 gaucho et en arrière; bruits du coeur nor- maux . l'as d'albuminurie. -.Soir : T. R. 3'.t°. Jusq
< suivis- dë-bécéS ? H 1 Malade' depuis ]a veille, se plaint-dé - mal de tôte et dè'MlP dues. Sôit· : T : R. h0 ? 5 :
R. h0 ? 5 : - " ? ? ' ;. ? - - 6 septembre. Se plaint toujours de. mal : de : tête délire^ peu bruyante insomnie.. - L
e, le sommeil est pro- fond et tranquille. - G.... parle, mais très mal : il prononce à peu près toutes les lettres de
. 21 novembre. Entré an pavillon d'isolement. Le malade accuse du mal de tête. La face est rouge, les conjonctives in
tte première crise a duré cinq minutes au plus et, à la 140 État de mal convulsif ; ÉPILEPSIE consécutive. suite, le ma
tions multiples. Sommaire. - Père alcoolique ; otite entraînant des maux de tête continuels. - Grand' mère paternelle, c
aissie et formant laparoi de la poche purulente. Rein gauche nor- mal , se décortiquant aisément. - Organes génitaux sai
ce totale do renseignements sur le siège, la nature, l'intensité du mal , la plupart des malades présentaient des signes
out ce qu'il ne faudrait pas faire, n'a pas l'eslirit du bien et du mal », travaille 4 jours et part 15 jours, arrière,
é; un troisième mort tuberculeux. Mère, 44 ans, a toujours eu des maux d'estomac et d'in- testins depuis son deuxième
is, histoire de me promener. » Parait avoir la notion du bien et du mal . Idées religieuses assez prononcées. N'est pas mé
le gauche (45 gr.), tous deux un peu décolorés. Capsules -sur1'é- males , 2 et 3 gr. Estomac, pancréas, vessie, rien. 1'in
ervice. (Thèses et mémoires). 1880. Lt.nor (A.). - De l'étal de mal épilepl iclite. Thèse de Paris. SI"GLAS (J.). -
48 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; enfin consécutivementdes thrombose ? , des dilatations anévris- males , des ruptures, etc. Et cependant, malgré la diver
ion. L'examen ophtalmoscopique montre une pupille absolument nor- male . Aucun trouble de l'odorat ni de l'ouïe. C. Int
s vorkommenden, Augensloe¡'ungen. Leipzig, 1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal . du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NE
des cheveux, leur décoloration; dès pigmentations, des bulles, des maux perforants, des lipomes symétriques, des arthro
les troubles trophiques en général douloureux, tels que le zona, le mal perforant, ne provoquent pas souvent de douleur
89t. - De Crozant. Revue médicale, 1846. " Griesinger. Traité des mal . ment., trad. Douncie, 1865, p. 405. 4 Vulpian.
sous lesquelles la surface est rouge, piquée de points violacés. Mal perforant. Le mal perforant n'est pas rare chez l
a surface est rouge, piquée de points violacés. Mal perforant. Le mal perforant n'est pas rare chez les paralytiques
t que dans les autres mala- dies du système nerveux. En général, le mal perforant est indolent, suppure peu, n'attire p
e. Mais c'est M. Christian 2 qui attira l'attention sur deux cas de maux perforants chez des paralytiques généraux. Puis
Le fait connu, M. Barthélemy" en fit le sujet de sa thèse, et le mal perforant fut admis définitivement par les clinic
et examinée par M. le D'' Sérieux, qui a confirmé le diagnostic de mal perforant. En voici l'observation : Observati
ostic de mal perforant. En voici l'observation : Observation X. - Mal perforant. Mme B... Catherine, cinquante-trois
- Trccilé d'anatomie pathologique, 1879, t. II, p. 71. 2 Christian. Mal perforant dans la paralysie générale (Annales m
ale (Annales médico-psych., 1882, p. 230). 3 Marandon de Montyel. Mal perforant et paralysie générale (Encé- phale),
alysie générale (Encé- phale), 1888, p. 257. j z * Barthélémy. Du mal perforant dans la paralysie générale (Thèse de
aie sous l'articulation du gros orteil gauche. L'ulcère, qui est un mal perforant, existait depuis un mois, selon la mala
de, mais comme elle n'en souffrait pas, elle n'en disait rien. Le mal perforant se trouve au-dessous et un peu en dedan
et s'est graduellement resserré, les bords se sont rapprochés et le mal perforant a disparu. Sur le gros orteil du pied
mplotant contre elle (c'est elle qui parle), ne lui ont fait que du mal . Les infirmières ont murmuré quelque chose cont
par l'étude microscopique des pièces. Aussi, chez l'un de ces ani- maux , tué trois semaines après l'opération de la répar
ls individus, bien qu'ils soient capables d'apprécier le bien et le mal , ne sont pas responsables de leurs crimes. Ils
us médecins, classerons-nous, dans un cas donné et après examen, le mal dont souffre celui qui nous demande conseil ? Q
e souvent la phrase suivante : « Je ne sais ce que j'ai, je me sens mal ». A l'examen on constata un affaiblissement de
mal ». A l'examen on constata un affaiblissement de la mémoire, des maux de tête dans les régions frontale, pariétale et
et ne se trompait pas même dans leurs nuances. Il distinguait très mal les physionomies des personnes qui l'entouraien
els (par dilatation des gaines lymplaa- tiques ? ) Pas de gommes. Mal ... Marie-Rose, domestique, âgée de vingt-trois an
qu'on lui en veut, que les soeurs en particulier font à dessein de mal la soigner, de ne pas lui donner ses remèdes, ni
domaine du trijumeau droit n'existe plus. La malade s'alimente très mal , elle se cacbectise rapidement. 31. Hier à deux
tout autour, et formant une seconde cavité à paroi anfract.ueuse et mal limitée. L'abcès put facilement être extrait en e
des fibres nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délimitent mal de la région péripapillaire dans le secteur tempo
musculature oculaire. Un peu d'inégalité pupillaire. Réactions nor- males ; cependant quant on les expose à la lumière, les
son lit, sans' s'occuper à rien, immobile et apathique. Elle répond mal aux questions qu'on lui pose, souvent par un mo
bruit, dort assez bien. Elle a maigri considérablement, s'alimente mal , a pris un aspect cachectique. Sa plaie est en vo
pertises médico- légales, et les fautes que commettent des médecins mal préparés, précipités dans leurs jugements ou qu
ur et ne déterminent pas de gêne pour la marche. Est-ce le début de maux perforants ? nous l'ignorons. Ils existent depn
niveau delà huitième vertèbre dorsale. Il ne s'agis- sait pas d'un mal de Pott, le malade étant d'une constitution vig
une éruption de pemphigus ; 1 fois de l'érythème et enfin 1 fois le mal perforant. TABLE STATISTIQUE DES TROUBLES T
ont bas implantés, bien fournis, mais tout à fait blancs. Les dents mal implantées sont cariées en grand nombre et noir
s'excitait violemment, redoutant, déclarait-il, qu'on lui fasse du mal . Il prenait alors un air menaçant, faisait mine d
systèmes d'association supérieurs, postérieurs et inférieurs nor- maux . 222 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
pe de l'observateur. Puis il y a les modifications bio-chimiques si mal connues. A l'appui l'auteur cite des cas répondan
te uniforme nébuleuse certains noyaux étaient tuméfiés, se colorant mal ou pas du tout; il en était de même du nucléole
cellules ganglionnaires se présentaient avec leurs caractères nor- maux ; mais les altérations vasculaires ne disparaissa
de la création, il croit que l'alcoolisme est, en quelque sorte, un mal nécessaire, parce qu'il est l'agent de la sélec
ont songé à lui tendre la main et à le relever. Nous connaissons mal en France ces admirables sauveteurs qui ont pri
IÈNE SOCIALE. vivant dans un contact incessant avec les victimes du mal et sachant ce qu'il faudrait d'héroïsme pour va
étresse morale était sublime et devait conduire à l'idée, également mal connue en France, de soigner le buveur comme uu
e irritation locale. Au premier abord on peut penser que lorsque le mal est sous la dépendance de causes dites psychiqu
femme, d'autres enfin qui aiment le mâle comme des individus nor- maux aiment la femme. Ce ne sont guère ces sujets que
un coureur de garçons honnêtes, travaillent en somme pour le moins mal . D'ailleurs, il ne faut pas croire que tous les
accomplissement de l'acte sexuel, a été pour cet homme une cause de maux irréparables liés à l'infirmité de ses enfants.
ard on n'a rien trouvé qui indiquât de sa part un sentiment anor- mal . A vingt ans, cette jeune amie fut l'objet d'une
ant qu'elle ne se marierait jamais; mais comme on sup- portait fort mal cette décision, elle donna des prétextes plus ou
on inaptitude génératrice, elle s'accuse d'avoir, malgré ses soins, mal répondu à l'affection de son mari et elle conclut
à l'affection de son mari et elle conclut qu'elle aurait fait moins mal si elle ne s'était pas mariée. Elle affirme qu'
eux frères sont célibataires. Une soeur, vingt- neuf ans, se trouve mal facilement et est sujette aux migraines, elle a
tête de l'enfant diminuait et si son développement devenait nor- mal . A partir de l'époque de cette crise importante
dyspnée et un peu de toux. Bien qu'il n'y ait pas de bruits anor- maux à l'auscultation, la respiration est plus rude à
nce si l'homme de l'art, qui passe sa vie au milieu des victimes du mal , s'affran- chit de l'impérieux devoir social qu
véhicule. Les préparations alcoolisées contribuent à développer un mal terrible. Enfin, la suppression du vin dans les m
avec les hérétiques. Cette féroce intransigeance a fait beaucoup de mal , elle en fera encore. Pourtant une lueur d'espo
encherait la balance, mais j'ai bien peur que ce ne soit du côté du mal . « La presse, disait lumineusement le D1' Belva
t, par cette revendication même, à agir pour le bien et non pour le mal ? C'est vers le progrès social et non vers la dég
at. Deux mots sur chacun de ces deux points : L'alcoolisme est un mal profond qui résiste à toutes les atta- ques jus
ale, il devient logique de traiter la collectivité atteinte du même mal par le même procédé. Ainsi s'explique la tendan
on, mais qui entraîne l'approbation de quiconque sait qu'aux grands maux s'op- posent les grands remèdes. L'abstinence
l'alcoolisme pour voir immédiatement surgir une légion d'hommes en mal d'écrire ou des amateurs de réclame qui noir- c
les hommes de bien qui depuis quelques années, émus des progrès du mal , cherchaient fébrilement quelque chose à faire.
raie, essentielle. La neurasthénie n'est pas une affection vague et mal définie, comme tendrait à le faire croire la desc
nystagmus de lilippel et Durante (saccadé non arythmique). Parole mal articulée presque incompréhensible. Aucun trouble
n peut cependant avancer, en possédant bien l'oeuvre générale- ment mal connue de Braid, que depuis ses derniers travaux
lerinages (Lourdes, etc.). Est-il besoin de relever les cri- tiques mal fondées de Bénédict, qui après avoir discute des
ure. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d'état de mal épilep- tique, trente-six heures après l'absosp
nt de l'alcoolisme aigu. Ces accidents rappellent-ceux de l'état de mal épileptique. P. RELLAY. Nos lecteurs trouveront
rationnellement et rigoureuse- ment scientifiques. On connaît fort mal l'oeuvre de Braid et seule- ment par ses premie
le malade et du malade sur le milieu ambiant. Et dans le cas où le mal est fait, où l'épidémie est déjà déclarée, il i
es perceptions organiques inconscientes n'arrivent plus ou arrivent mal au sensorium, la synthèse mentale habituelle es
i- gieuse. C'est alors que le malade s'accuse par exemple d'avoir mal fait sa première communion. La moindre entorse
nceptions morbides. « Le malade croit qu'il est la cause de tout le mal qui existe dans le monde; il est Satan, il est
s accidents sont toujours survenus à la suite d'une sorte d'état de mal hystéro- épileptique, sans aucune manifestation
e l'anes- thésie généralisée, à la suite de cette sorte « d'état de mal hystéro-épileptique » dont j'ai parlé plus haut
lapins sacrifiés en bonne santé. Aussitôt après la mort, les ani- maux étaient placés dans une étuve à 22°, d'où ils éta
ntral; les cellules épithéliales, noyau et protoplasma, se colorent mal . Dans les terminaisons ner- veuses, on observe
ssi fréquentes, et le malade succomba quatre jours après en état de mal . Autopsie. Congestion des méninges. Atrophie du
e des mesures à prendre, il est à craindre que des résultats hâtifs mal interpértés ne jettent quelque confusion ; auss
igaments intra et péri-articulaires et une démarche très pénible et mal assurée. Si le corset devrait être rayé de la l
si personne ne prend soin du paralytique général au début de son mal , il est voué, par son inconscience et son incurie
festes certaines altérations du protoplasma cellulaire que décèlent mal les autres procédés. Cette méthode permet ainsi
ue l'état démentiel s'améliore. M. G. Ballet. Je me suis sans doute mal exprimé si M. Voisin ne m'a pas compris, quand
domen, les sensations fortes sont légèrement perçues, mais toujours mal localisées et avec un retard assez considérable.
tion de la main, ni de griffes des doigts : main en position nor- male ; phalanges en demi-flexion sur la main et les un
s'étendent : le pouce seul conserve une sensibilité à peu près nor- male . Les eschares se sont creusée', le malade a de la
rme générale est celle d'un fuseau; macroscopiquement, on distingue mal ce qui reste de la moelle au point maximum d'ép
nt aux sensibilités cutanées, leur trajet ultérieur est encore fort mal connu. Après avoir franchi la ligne médiane (comm
- Le : . di. lisiol. sprim., 1873, 196. 5 Salkowsky : Zeit. r. nol. Mal ., XXIX, 18C, 7. * Pour les discussions relative
s le dynamisme inconscient né de ses scrupules et de son horreur du mal contrastera en réalisant les maléfices les plus
ue où la mentalité n'était pas entamée sont encore reconnues nor- males , jusqu'à ce que, à leur tour, elles s'allèrent, c
écouvert rétrospectivement que dès sa naissance elle était vouée au mal , elle a compris qu'elle avait dû être oubliée d
bation céneslliésique primitive. De même que ces malades perçoivent mal les impressions ordinaires, de même leurs hallu
vie. « Deux pensées, dont l'une représente le bien et l'autre le mal , sont en lutte continuelle dans son imagination.
e mal, sont en lutte continuelle dans son imagination. La pensée du mal l'emporte toujours. » La soeur de la malade est
ute élévation de senti- ments, la prière ; la voix veut toujours le mal quand la malade veut le bien. La malade, qui
, sans une faute dans I*ot-dre de leur siieces- sion. Cet « état de mal unilatéral » ne se produit que sous l'in- fluen
ot (Eugène) Contribution à l'étude des troubles nerveux précoces du mal de Pott. Ilaopolf.(firihor). Contribution à l'é
dont la guérison est la règle, doit être rangée parmi les états de mal ou paroxysmes hys- tériques. Comme traitement,
Il y a là nn symp- tôme grave, et d'autant plus intéressant que le mal qu'il dénote pourrait peut-être encore être ent
49 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
reuses : 15 enfants sont entrés à l'infirme- rie atteints d'étal de mal épileptique. - pneumonie, 1 ; - tuberculose pul
bre, dangereuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
sités du traitement l'exigent. Le service mortuaire est tout-à-fait mal placé, très loin de la clinique, c'est-à-dire d
ux sont d'ailleurs, en général, beaucoup trop petits et, en partie, mal cir- conscrits. Nous pourrions relever d'autr
si trop éloigné de l'une des moitiés de la Clinique; les ateliers mal placés, qui devraient être plutôt il la postérieu
« toujours fourré dans la Loire ». Il ne se plaisait qu'à faire le mal . Il battait les enfants plus jeunes que lui et,
ns haute. Det2titiota. -\Iàclioirc supérieure : 13 dents eontiguës, mal rangées, de forme irrégulière. Canine gauche tr
Il fait assez bien des additions et des soustractions simples, mais mal la multiplication. - 11 connaît la divi sion du t
gesse de cette me- sure (conforme aux règlements qui disent que le, mal .,des doivent être accompagnés donateurs sorties
ronne près Vendôme : elle avait déjà eu «quelques atteintes» de son mal avant son mariage. Quatre frères et soeurs : l'
. III. Epilepsie due à l'onanisme ; Démence consécutive État de mal épileptique ; mort ; . Par BOURNEVILLE et WU !
rès une émotion. Description du malade. Diarrhée séreuse. - Etat de mal épileptique; mort. Autopsie. - Asymétrie crânie
e des facultés intellectuelles. Le malade a suc- combé à un état de mal , accompagné de l'élévation habituelle de la tem
re, rien de particulier. Grand-père maternel, accidents ner- veux mal déterminés. - 9rrièe-grand'mére maternelle mort
de la mémoire. Pourtant, il continue son métier, qu'il fait un peu mal , on le garde parce qu'il est un très ancien ouv
it moins depuis, une absinthe par jour et d'ailleurs la tolère très mal ; caractère nerveux, emporté, se déchirant les
- thèse, auraient été tout simplement déviées de leur trajet nor- mal par la présence de la lésion porencéphalique. La
ilatées, démontrent simplement que la circulation en retour s'opère mal . A côté de ce système veineux très- développé,
enfant fut pris de vertiges. Tout d'abord, il sem- blait se trouver mal , s'asseyait, devenait pâle, puis tout cessait.
d ; il était sorti pour donner à manger à ses moutons. Il se trouva mal , et on le porta dans son lit, où il mourut cinq
s difficile par suite de l'indocilité de l'enfant, qui respire très mal , ne permet de reconnaître aucun bruit anormal e
nvulsions qui ont été très fortes et ont revêtu la forme d'états de mal con- v1Ûsif, durant deux à trois heures, et qui
bien rarement, et qui s'est traduite cliniquement par des états de mal successifs, explique l'idiotie profonde dont ét
es. Ces deux frères sont célibataires. Une soeur, 29 ans, se trouve mal faci- lement et est sujette aux migraines ; ell
mbé (Fig. 3). Arcades sourcilières peu saillantes. Paupières nor- males . - Orbites un peu excavés surtout à droite où l'c
symp- tômes les plus manifestes. X. Deux nouveaux cas d'état de mal épileptique ; Par BOURNEVILLE, TISSIER et RELLA
dans nos Comptes-rendus aucune observation nou- velle sur l'état de mal épileptique. Les deux cas qui suivent vont nous
de rappeler les traits principaux de cette complication si grave du mal comi- tial. Observation I. - idiotie complète
mi- tial. Observation I. - idiotie complète et épilepsie. Etat de mal ; élévation considérable de la température. SO
esque complète de développement physique et intellec- tuel. État de mal . - Mort en 11 jours. Autopsie .- Mërutu/o-en.cë
cuil. d'élixir. 5e 2 - 1 6° - suspension du traitement. Etat de mal . Le G novembre, le malade, qui n'avait présenté
ne reprend plus " connaissance entre les accès et tombe en état de mal . A 6 heures du matin, le chiffre des accès atte
onjonctivite, une bronchite, une chute du rectum, Fig. G. - État de mal . 136 Etat de MAL épileptique. une entérite ch
nd traite- ment ne détermina qu'une cessation momentanée du petit mal . VII. L'état de mal, qui a occasionné la mort d
étermina qu'une cessation momentanée du petit mal. VII. L'état de mal , qui a occasionné la mort de l'enfant, s'est bo
ig. 6). Ons. II. - Epilepsie idiopathique; accès sériels; - état de mal ; mort ; élévation considérable de la températur
ère violent. Déchéance. Plusieurs séries d'accès. Mort en état de mal épileptique avec accidents Se2lcL0-111('n tngitt(
ier. Pas d'accès. Abattement de plus en plus mar- Fin. 7. - État de mal de Deb... La dernière notation thermométrique été
4 L,G. - Poids : 29 kg. 800. Tableau des accès durant l'état de- mal . Epilepsie : crâne et cerveau. 115 Autopsie f
sur la Fig. 8. Fia.n. 150 Température ; accès, séries, état DE MAL . température. Dans deux accès la température s'
s des séries d'ac- cès, mais qu'elle monte très haut dans l'état de mal . (1-'ig. 7, T. IL 42°,3 au moment de la mort).
il y a eu un abaissement de la tempéra- ture (38°, 4). L'état de mal a offert également ses autres carac- tères habi
la connaissance, aurait déterminé un affaiblissement prolongé. Le mal ctmÚtial aurait débuté deux mois plus tard et se
que nous allons résumer. 2 juillet. - D... est gâteux. Il se tient mal à table, essaie de se servir de la cuiller, man
ses écarts de conduite. Il a une notion assez exacte du bien et du mal , n'est plus aussi jaloux et affectionne ses cam
rnis, séparés par un intervalle de 15 millimètres. Paupières nor- males , cils longs, nombreux. Iris bleu foncé, pupilles
presque ouverte. Lèvres épaisses, un peu renversées. Langue nor- male . Voûte palatine fortement ogivale. Luette petite.
e service. (Thèses et mémoires). 1880. LEROY (A.). De l'état de mal épileptique. Thèse de Paris. SÉGLAS (J.). De l'
50 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
est guère entre eux et nous qu’une question de plus ou de moins assez mal définie. XII dépend de ceux qui restent chargés
le, ce dont ils semblent peu soucieux. Les philosophes le rejettent mal )(résoji utilité, car le ma-guétisme donne une cle
y certifie que, depuis vingt-neuf mois, il souffrait cruellement d'un mal de genou, causé par une chute, et qui l'obligeait
un peu de sagesse, produit de si éclatantes guérisons ou soulage les maux qu'il est impossible de guérir. Découverte immens
bornes dans son uülité I On fera mieux que guérir, on préviendra les maux ou on les attaquera alors qu'ils commenceront à s
Les passions sont inséparables de rhoiiime et le magnétisme serait un mal s'il les delruisait ; mais il tempérera celles qu
, elles n'auront pour justification qu’une organisation incomplète ou mal faite qui, il faut le dire, résulte trop souvent
nes, il ne peut aller à la garde-robe ; ettouteune multitude d’autres maux que nous ne voulons poiut énumérer. Le nombre des
onté de Dieu n’intervient nulle part pour adoucir ou faire cesser les maux de la condition humaine? Bien de semblable n’exis
porter par les infirmiers; toutefois, épuisé de fatigue, il se trouve mal en arrivant. (( Une heure environ après cette s
des bâtons daos les jambes, voulant absolument nous faire le plus de mal possible. Nous ne dironspasici yaeZiieu TomXlX. —
orteils. Une chose remarquable, c'est que lorsqu’il chassait ainsi le mal et qu’il était obligé de discontinuer, la douleur
gtemps : à savoir, comme dit Socrate, que vous ne savez rien ? Quel mal , à la (in, peuvent vous faire les apôtres de cett
ons voulues. Toutefois, malgré le doute dans lequel je flottais, et mal -gré même une conversation assez animée à laquell
nne n’y a rien compiis. « Comment troûYez-voiis cela 7 Ce n’est pas mal effrayant, au moins pour ceux qui ne connaissent
s. Et cette piotade qui, dans son logia, chante toujours le même air, mal *-heur á son mari, à moins pourtant qu'il ne Bôit
ouver la lucidité d’une somnambule. Consultez pour un homme qui a des maux d'estomac ou une gastrite chronique, et qui vient
lui dites de regarder le malade, elle verra la fracture, écartera les maux internes. D’autres verront la fracture et no reco
aule gauche. Cette malheuse fille a été transportée à l’hospice où, mal * gré les soins qui lui out été prodigués, elle es
terrogeai la malade qui toe donna les renseignements suivante sur son mal . Elle avait dans le corps, me dit-elle, une boule
ait depuis le début de sa maladie. 11 existait en outre aux tempes un mal intérieur qui avait éié traité par les médecins ;
ployés au traitement de cette affection ayant été appliqués à côté du mal , n’auraient rien produit de bon. Sur ces indica
en quatre et le brûla avec de l'eau forte. Malgré cette opération, le mal empirait rapidement et l'enflure atteignait déjà
festés, sans espoir cependant de pouvoir combattre victorieusement un mal si prompt diins ses effets. Je magnétisai environ
haleur et de vives douleurs dans le côté droit, qui était le siège du mal . Ce résultat fut un encouragement pour moi. .le m
taté l’état maladif, est en voie de guérison, malgré l’opiniâtreté dü mal , cbntt« lequel je lutte depuis cinq mois« et cont
r la misère humaine. M. Roger croit sans doute avoir fait beaucoup de mal au magnétisme, il se trompe. On ne tue pas la vér
B — Cousin, dit Maugis, me proraeitez-vous qu’il ne souffrira aucun mal si je vous le fais voir ? 1 — Je vous le jnre.
agnétisme peut parfois aller jusqu’à tuer, son rôle est de guérir nos maux et de détinire dans leur source les fausses croya
e je magnétisais ; si le malade avait des maux de tête, je prenais le mal de tête; si elle avait des douleurs dans un membr
m'étendrai davantage sur ce genre de somnambulisme trop peu connu et mal apprécié. Les observations qui ont été publiées
s de la nature qui les rendit susceptibles de causer d’autant plus de mal qu’elleles fit plus puissantes à produire le bien
puissance nouvelle dans la voie de ses applications légitimes. Quels maux ne faudrait-il pas en attendre, si, méconnue des
omme partout, éviter le double écueil de l’incrédulité et de la piété mal éclairée : l’une ne voit qu’illusion et qu’im-pul
resse de peuple, devineresse, superstitieuse, blaspbémeresse de Dieu, mal créant la ioi de Jésus-Christ, vanteresse, idolât
ligée de porter un panier rempli de linge, la douleur s'aggrava et le mal se fixa entièrement dans ledit bras. Nepouvnnt
ens employés jusqu’à ce jour avaient eu pour résultat d’aggraver (mon mal consistant en une douleur aiguë, et une espèce de
résentant un caractère très-obscur, l'appareil tligestif fonctionnait mal ; cerlains aliments étaient absorbés, d’autres rej
fois le tenir à deux ; mais nous ne l'aurions pu qu’en lui faisant du mal . II nous voit tous, il tu WH journal sam lumière,
ému par cette scène, soit que l’accès fût trop fort, j’ai beaucoup de mal à le calmer; cependant il œe voit, il m’entend; m
à trois heures, il reçoit une lettre d nn individu qui le traite fort mal , relativement & certains bavardages. Toute la
nir, il me pria de lui démagnétiser un peu les yeux qui lui faisaient mal ; dans ce but, j'y souillai légèrement dessus, au
s sur le point du cerveau qui était aliéré, et dont le jeu dérangé et mal régularisé déterminait l'ensemble de cette affect
ra dans l'avenir, chacun ds nos adversaires auri laissé un geime de mal qu’on rlétraira plus tard, comme nous faisons nou
x Defèterleioaiire Au milieu de tous; Rélas! pour sa gloire Si j'ai mal chanté, Au moine je peux boire A Totre luilé.
en tfadlùieltant que 'deux esprits àt^ohts, celui du bien et eélai du mal . Ce fut une erreur fttve, et Sorit les suites ont
géliques : Suivez le chemin de ta vertu, — failfs It bien évitez le mal . — Aimes Dieu et votre pro-chain, ou quelques aut
refuserait plus àla révisiondecertains procès, sousle prétexte que le mal est sans remède et que lajustice doit être sensée
main était devenue insensible. Ce sujet souifrait horriblement d’un mal de dents, et rien ne le pouTait calmer si ce n’es
l'état magnétique, mais la prudence me soufflait que le moment était mal choià à cause de la frayeur que je pourrais cauf^
enable pour sa guérison. R._Le docteur l'a regardé et a dit que mon mal avait un très-mauvais caractère ; U a ordonné l
jeune homme, et le docteur, et toutes les personnes qui avaient vu le mal . Pour le patient, rien ne peut égaler le contente
tement qu'il éprouvait de la disparition en quatre ou cinq jours d’un mal qui, dans une autre circonstance où il ne connais
us haut la voix du bien et de la vérité, il étouffe le vain brait dti mal et de l'erreur t JoSË Serra t Iclesias. rim B
tendant connaître, par le magnétisme et le seul contact du malade, li mal dont celui-ci est atteint, rédige elle-mômc l'ord
ang s’arrêta, el elle sentit en son corps qu'elle était guérie de son mal . 30. Aussitôt Jésus, connaissant en soi-roème l
Pauline s'en prend à la pensée de sa sœur. « Cette pensée m’a fait mal , » me répète plusieurs fois la cataleptique. Sa s
n que je préjugeais du dévouement de milady, ma peine enfin d’ôtre si mal compris dans les efforts de mon zèle et de mes fa
ans passés. Origine présumable : plusieurs urétrites infectieuses, mal soignées. Eugène, jiour cacher son mal au capitai
sieurs urétrites infectieuses, mal soignées. Eugène, jiour cacher son mal au capitaine dont il était le cavalier d'ordonnan
ue un des coins du voile qui cache ses secrets, fera toujours plus de mal à notre cause qu’il ne peut le prévoir. Qu’on étu
la soumission comme les canons du romanisme. Nos paroles peuvent être mal interprétées, mais qu'on ne s’y trompe point : il
s. Dans d’autres, soit mon impéritie, soit dea prédominances morbides mal saisissables, soit la fâcheuse concomitance des m
visiter ce malheureux, qui, privé de repos jour et nuit, déclinait de mal en pire, et désespérait sa femme et leurs parents
par les moyens que vous indiquiez, il se trouverait débarrassé de son mal et... d’autres petites choses. Qu’entendiez-vous
t ce singulier langage : « Votre frère avait souffert du diabète : ce mal est incurable, donc votre frère était toujours di
extraits de l'AsiNUAiRE général DE tA DOCTBICK HAHNEMASNIENNE, par MAL CATELLA^ frèrCS, Paris, 1860, chez J.-Ii. Bailliè
son train de vie habituel. Le troisième’ jour, je le quittai ; de son mal il n'en avait plus que le souvenir . Ce matin, je
le rationalisme n’accepte pas le fluide magnétique, dès lors il sera mal accueilli des Iluidistes d'abord, des spiritualis
er de cet état fâcheux, car il va sans dire qu’après avoir produit le mal , je m'empressais d'y remédier. Que serait-il arri
ience merveilleuse élait nulle ou à pou piès, jo lui faisais plus île mal qu'- ilc bii'ii. Sur ses iiisiaiiccs, j étals pre
s tle croire (|ue sa miHhücle fui vicieuse, je crus soulenniiit avoir mal saisi ses iiisiruciions. Plus éclairé aujourd’liu
t conscience, que les savants d'aujourd’hui préparent aux homn3es des maux incalculables en se refusant à l’étude du magnéti
ure, consiste daus la diminutioD, el, enfin, dans la guéii-son de sou mal . Pour recevoir ce principe, il est parfaitement
nature nous fournit, afin que nous ne soyons pas accablés par tant de maux . a Ah ! s’il n’est pas d'animal plus excellent
inaire s’est laissé induire en erreur, U a été dupe de ses sens, il a mal vu, en un mot. C’est ce que je vaislui prouver
physique qu’il compare à l’effet de l’eau sur l’époDge. L’exemple est mal choisi, car la pression atmosphérique et la poros
écrit contre Ifes prétentions de ceux qui, exagérant et interprétant mal les phénomènes d’un magnétisme transcendant, ont
r une force vive déposée au sein de l’organisme pour lutter contre le mal , et que si cette force vitale fait défaut, nul mé
r (le avec le sulfate de quinine à doses pondé-un accouchcmeût qui va mal , la femme est uleurs expulsives sout nulles : je
l'harmonie, la paix, le Iwnheur : époque primitive où il n'y avait ni mal , ni maladie, ni mort, ni combat des hom- Ne nou
ortel auteur du Sépber. livre profond, si défectueusement traduit, si mal compris encore. — ■ Faut-il, en traduisant Moïse,
'abord un silence de deux ans. «Le bien, disait-il, c’est l'unité; le mal , c’est la division ; la justice, c'est l'égalité.
le miséricordieux Amida peut fléchir en leur faveur Yana, le génie du mal , suprême monarque des enfers. Lorsque ces âmes on
ossèdent la sensibilité nerveuse perçoivent ordinairement le siège du mal , parce que la communication du mal se fait, non p
rçoivent ordinairement le siège du mal, parce que la communication du mal se fait, non par la sympathie (et qui peut nous e
des parties maladives. Nous voyons que la somnambule souffre tout le mal du malade : le magnétiseur sensitif se trouve dan
ne se débarrasse point des molécules qui l’ont envahi. Le principe du mal se communique d'autant plus, que celui qui opère
té rend le magnétiseur lucide, car aloi's, où se trouvera le siège du mal , il ressentira une perturbation ou absence du flu
t rétablis l’équilibre. Je pris alors une jeune dame qui me dit avoir mal à la tête. Ici les effets furent bien différents
e l'avais mise; après que j’eus rompu le charme, elle déclara que son mal de tête avait disparu. A ce moment la princesse,
eptiques ; vous compromettriez en outre la science du magnétisme ani* mal , chose qu’il faut surtout éviter. Les vrais adept
souf-frances ; il lui serait donné de réduire de beaucoup la masse de maux auxquels, journalièreinent, nous sommes exposés.
bien et régulièrement faite, qu’on laisse agir le fluide; si elleaété mal et irrégulièrement faite, on a un avantage immens
e portion du principe universel, le principe seul qui peut guérir les maux , car il a la vie en puissance. Que vos efforts
et que ma faible voix fut en opposition à celle de tous les savants. Mal me prit, sans doute, de ne point être la paille q
isables descriptions viendraient d’elles-mêmes m’aider à signaler les maux infinis enfantés par l’ignorance. Arrêtons-nous
ation de cuisse, 36. i Extraction de dents, 620. CAS DE MÉDECINE. — Maux guiris ou soulagés. Accès convulsifs, 115. An
en traitement, 206 ; — par le toucher d'une mtolie de cheveux, 243. — Maux passant du magnétisé au niagnétràeur, ou du malad
en extase, 26, 97, 181, 144, 150. 436, 608, 622. Ressentiment du mal d'autrui, d'im pressions étrangères, etc., 148. 1
387, 606; — intuition médicale, 145, 343, 436, 622; — ressentiment du mal d'autrui, d'impressions étran gères, etc., 148, 1
51 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
accident spécifique. Jamais elle n'aurait eu d'éruption cutanée, de maux de gorge, de céphalalgie. 11-y a G mois, dit-el
n- clinée sur l'épaule gauche. Ce qui lient ce que le sujet, voyant mal de l'oeil gauche, incline la tète de ce côté po
phiques et vaso-moteurs. Il n'en existe absolument au- cun : pas de mal perforant, pas de desquamation cutanée impropreme
nc admettre une néoplasie diffuse dont la localisation se préciserait mal : l'ophtalmoplégie externe incomplète, si bizar
renseignements suivants sur ses antécédents et sur le début de son mal . Il Son père et sa mère sont morts à un âge ava
e et son tissu néoplasique est peu à peu remplacé par le tissu nor- mal de la corne antérieure. - La description de la
chent également àlanotion des ostéites vertébrales gommeuses. Telle mal de Pott syphilitique de Portal (4). (1) A. Fo
tement spécifique se montra efficace car, après des alternatives de mal et de mieux, vers 7 ans, l'enfant était à peu prè
frac- tures de jambe. Toujours est-il que cette fracture avait été mal réduite et qu'elle s'est terminée par une pseud
s. Les jambes sont raides, en extension forcée, et les pieds, assez mal in-' diqués d'ailleurs, semblent contournés la
nton. De sa bouche ouverte s'échappe un diable ailé ; les yeux sont mal indiqués et les paupières presque closes. Cependa
rtébrale exagèrent. , Les sphincters vésical et anal fonctionnent mal . De temps en temps il sur- 114 NOUVELLE ICONOGR
ale, que le père était mort tuberculeux et qu'on eût pu penser à un mal de Pott cervical. Mais les bras ne furent pas p
ar compres- sion due à une ostéo-cbondrite gommeuse, en un mot à un mal de Pott sy- philitique. Mais il n'existe pas
prolongeant pendant 3 jours, auraient constitué uue sorte d'état de mal qui n'a d'ailleurs rien laissé d'appréciable. P
ite, 1 m. 40. Elle dit n'avoir jamais eu d'éruptions cutanées ni de maux d'yeux ou d'o- reilles. Réglée à 17'ans, toujou
minuée. La malade localise bien ses sensations mais celles-ci .sont mal interprétées au point de vue qualitatif. Transfor
les, la droite étant plus dilatée que la gauche, elles réa- gissent mal à la lumière et assez peu à l'accommodation.. L
doit faire attention pour rester en équilibre car ses pieds sentent mal le sol, il lui est impossible, dit-elle, de faire
re (1 injec- tion par jour pendant 15 jours). Ces injections sont mal tolérées par suite d'une réaction douloureuse loc
bservations personnelles, une étude d'ensemble. t ê , IX - 11 MAL DE POTT AVEC GRANDE DÉFORMATION par 1 BENJAMI
déformation d'une étendue vraiment exceptionnelle consécutive à un mal de Pott. L'observation en elle-même ne comporte
ure. . M. Jules Simon l'examina à nouveau et porta le diagnostic de mal de Pott, on constatait à ce niveau une légère d
elongue consulté, fit coucher l'enfant sur une surface plane et ré- MAL DE POTT AVEC GRANDE DÉFORMATION 159 sistante et
éfécation en rapport sans doute avec la constipation opiniâtre. , MAL DE POTT Avec grandes déformations. LES NAINS
re distingués. Leur bouche toujours ouverte, aux dents généralement mal plantées, à la lèvre. supérieure trop courte et
et despom- mettes saillantes. La largeur de ses chausses dissimule mal l'arc disgra- cieux de ses jambes en parenthèse
ertain sur la cause de sa gibbosité. UN BOSSU DE L'ART ÉGYPTIEN. ( Mal de Pott). Figurine en bronze. (Collection de M.
aille qui lui appartient, y a reconnu l'image d'un sujet atteint de Mal de Pott. Il s'agit d'un petit bronze, haut de 6
Aussi, ces seuls caractères suffisent-ils à rendre le diagnostic de Mal de Pott infiniment vraisemblable. ' . On ne
é des côtes en haut, la conservation des reliefs musculaires nor- maux , sans atrophie ni pseudo-hypertrophie, sur tous
de cet appui artificiel la colonne vertébrale rendue fragile par le mal de Pott, les muscles de la région dorso-lombair
sur le deltoïde. Tous ces signes réunis confirment le diagnostic de Mal de Pott. La statuette égyptienne que nous venon
e décrire montre que les mal- formations corporelles causées par le Mal de Pott ont été observées et exac- tement repro
l'Art anti- que d'une image fidèle des déformations vertébrales du mal de Pott. Un des plus célèbres a été longuement
t Paul Richer ont encore retrouvé les déformations vertébra- les du mal de Pott dans plusieurs autres spécimens de l'art
la gibbosité anguleuse est conforme aux déviations produites par le mal vertébral. Deux Pygmées en bronze, de la collec
s de Bossus dans l'art ne se rapportent pas uniquement à des cas de mal de Pott. Eu égard à leur nombre relativement re
ibilité d'une distension extrême des muscles, et d'une laxité anor- male des ligaments. La figure 1 (Pl. XXVIII) et la f
gnement ; quand on lui demande quelque chose, elle ne répond pas ou mal . Toute la journée elle reste insouciante des ge
amoindries et quelques-unes de ces dernières montrent des contours mal définis. La partie postérieure de l'hémisphère
des fibres etcellules nerveuses; ces derniers éléments se colorent mal , leur structure n'est pas distincte. Il y en a
r - LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 225 . d'imposture les maux qu'ils ne connaissent pas et contre lesquels ils
decins. Plusieurs, invités à aller examiner Geneviève, furent assez mal reçus d'abord; le premier, qui proposa un sonda
tendis s'agiter beaucoup dans son lit, et proférer quelques paroles mal articulées ; m'en étant approché, je la trouvai
t de cris ; j'essayai de lui parler, elle me dit qu'elle sentait du mal à la nuque et au col ; il ne me fut pas possibl
ntenterons de relever les principaux, ceux surtout qui, inconnus ou mal définis au siècle dernier, n'ont pas été suffisam
sol.. 1 C'est déjà plus qu'il n'en faut pour affirmer la nature du mal dont était atteinte la Fille de St-Géosmes. '
ment fin à cette rétentipn passagère. (1) Cn,\l\col. Leçons sur les mal . du sysl. nerf., t. 1, p. 2 il. (2) Gilles IiE
é de progna- thisme. La cavité buccale nous montre des dents très mal plantées ; surtout en avant, au nombre de 29, 1
t, au nombre de 29, 14 en haut, 15 en bas, de forme à peu près nor- male , sans signification particulière, à l'exception d
eau de l'apophyse gau- che. Déplus, les fontanelles nous paraissent mal ossifiées. Les membres supérieurs sont dans leu
parut plus manifeste parce que le développement général se faisait mal ; lentement mais progressivement elle alla s'acce
mémoire. Il s'agit, en résumé d'un tabétique syphilitique à 17 ans mal soigné, qui entre dans le tabes à 23 ans par de
s pas en présence d'un de ces cas tout particulièrement étudiés par Mal Raymond et Nageotte, ni de paralysie générale v
ar un tissu conjonctif riche en vaisseaux, formant des replis anor- maux avec des vaisseaux très dilatés. Sur les coupes
fascicule radiculaire est accompagné de vaisseaux qui à l'étatnor- mal n'ont qu'une paroi très mince, cette paroi peut a
ellules de la moelle, nous ont paru conserver leurs caractères nor- maux , elles forment des travées séparées par les faisc
lanche qui, sur tout le reste de la coupe, présente son aspect nor- mal et est licitement limitée du côté droit par la pi
parsèment le reste de la coupe, mais une substance grenue, prenant mal les couleurs, infiltration gommeuse au stade de r
faveur de l'origine spécifique de ces dilatations vasculaires anor- males , nous devons faire ressortir que dans la plupart
oïde est également épaissie, triple au moins de ses dimensions nor- males ; constituée par des stratifications de tissu fib
ficile de le préciser. C'est sur le moignon de T'épaule que siège le mal , en arrière, au niveau des attaches postérieure
encore, on peul faire toutes sortes de conjectures sur la nature du mal et de l'intervention. Quelle contusion, quel abcè
idité avec laquelle est survenue la guérison. Voilà qui se concilie mal avec l'hypothèse d'une myélite dans le sens propr
récisément quand l'incontinence d'urine et des matières fécales est mal dessinée et de courte durée, quand elle s'accom
forts faits pour ramener les doigts et les orteils en position nor- male étaient il peu près infructueux. J'ajoute que la
la seconde quinzaine, des phénomènes d'intolérance (vomissements et maux d'estomac) étaient apparus. La dose de LX gouttes
ieu, les réflexes tendineux réapparaissent. Le retour à l'état nor- mal peut être complet. Toutefois dans les cas graves,
750 grammes. Moelle extraite du canal rachidien. Aussi les méninges mal conservées ne montrent pas bien leurs lésions.
ystème nerveux sous le nom de corps granuleux. Sur certains espaces mal limités les cellules et les noyaux ont perdu leur
substance grise les cellules se voient avec peine, ou les distingue mal dans leurs contours et dans leur structure infi
mblent avoir perdu leur affinité pour l'hématoxyline qui les colore mal . LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITA
rappelle et par son aspect et par ses dimensions un ongle d'orteil mal soigné, son bord libre, irrégulièrement dentelé,
e de la maladie que celle de l'intervention ; cependant le siège du mal à la par- tie supérieure du dos, près de la bas
. La Maladie de laFille de Saint-Geosmes, par Henry MEIGE, 223. Mal de Pott avec grandes déformations, par Benjamin
. Maccus, Polichinelle et l'Acro- mégalie, 375. 'VEIL (Benjamin). Mal de Pott avec grande déformation, 158. TABLE D
ns contenant des projectiles (photo- graphies Roentgen), XI, XII. Mal de Pott avec grandes déformations, XXII, XXIII.
térie, XLVIII et TLIX. TABLE DES FIGURES Bossu de l'art égyptien ( mal de Pott), 20, 21. Clonographe, 3. Gomme syp
52 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
aux du facial et du narmoteur oculaire externe sont absolument nor- maux des deux côtés. On trouve dans les racines de la
e intégrale. Nous essaierons ensuite de mettre en lumière les faits mal connus ou nouveaux qu'il nous a été donné d'étu
s et les jambes gelés et c'est cette gelure qu'il attribue tous ses maux . On le transporta à l'Hôtel-Dieu dans le service
uefois spontanément et fait quelques pas aidé d'une chaise. Il dort mal . Son appétit est diminué. Ses téguments sont d'
s. Du côté de l'ceil, on trouve du myosis ; les pupilles réagissent mal à la lu- mière ; le champ visuel est rétréci.
e des pieds et des jambes. à laquelle le malade attribuait tous ses maux ; elle aurait joué le même (1) P. Maiiie, Leçon
vaguement fibrillaire assez riche en noyaux. Un autre point assez mal connu de la question est l'existence de tu- meu
. Si leurs reliefs sont bien indiqués, leurs contours sont toujours mal délimités : à la périphérie, en effet, elles se c
u mi- lieu de la masse encore peu développée, l'existence de noyaux mal isolés et résistants, noyés dans une atmosphère
blier des cas d'anorexie hystérique. C'est un syndrome relativement mal connu de la plupart des médecins et M. le Dr Gi
ossibilité de parler. Tout le temps de sa jeunesse elle se trouvait mal à tout instant, elle a longtemps souffert de né
rès bonne, l'accouchement a été facile ; élevée au biberon d'abord et mal nourrie, elle dut à quatre mois être mise au se
mène à la campagne à Epernon ; déjà elle mangeait peu et digé- rait mal , dès que le repas était terminé elle se « tortill
REXIE HYSTÉRIQUE 33 des douches, 15 douches ; ces douches sont très mal supportées, la consti- pation persiste, les tro
se cruelle, qu'il avait perdu deux ans avant sa fille ainée du même mal , il voulait sauver celle-ci ; il exprimait celt
lomac, d'autres douleurs dans les épaules, dort peu, semble digérer mal . On le considère comme un neurasthénique ; car, e
nce actuelle de signes de syphilis, il retourne à son corps. Tant mal que bien il y fait son service jusqu'au milieu de
ment : il est très ennuyé qu'on n'oppose pas une thérapeutique à ce mal , très inquiet si l'on suspend le traitement spé
lyperhroduclion de gaz et non d'un excès de distension des gaz nor- maux , logés trop à leur aise parsuile de la laxité ano
veuse, folie ou épilepsie, on ne sait trop, en tous cas le nom de « mal herculéen » est resté synonyme d'accidents ner-
ontiers les causes de tous les désordres de l'esprit et de tous les maux ayant la tète pour siège. Les charlatans se gar
t avides de merveil- les, et ceux qui souffrent d'incompréhensibles maux . Même de nos jours, l'idée que des corps étrang
citait -les plus graves opérations. La plupart, voyanl bien que le mal était tout psychique, se refusèrent à tenter un
ments jusqu'au jour de la bienfaisante interven- tion. Car tous les maux proviennent de ces néfastes cailloux : céphalalgi
ine ambulante. Car l'opération de la pierre de tête guérit aussi du mal d'ivrognerie. Maître Jan Steen nous l'a déjà donn
cou : impossible de bouger. Aucun ménagement pour ce client dont le mal doit être terrible, quelque fou furieux ou quel
out être vivant renferme quelque part une pierre, cause de tous ses maux . La légende le dit explicitement : 1l keeck i
de tète ou souffrir sous le couteau du chirurgien ; entre ces deux maux également redoutables,que devenir ? ... Assurém
t de le considérer comme un souverain remède contre une infinité de maux . De là, la réflexion du fumeur de notre gravure
tout,répond quelque- fois bien aux questions, mais le plus souvent mal .Elle dit même des bêtises dé- mentielles et sur
a malade s'endort tout à coup en parlant ou en mangeant. Elle tient mal son ménage et devient malpropre, sa mémoire, son
nt alcoolique, malade stupide, répond par monosyl- labes, renseigne mal sur les débuts de sa maladie. Se plaint de céphal
té de chirurgie de Le Deiiil et Delbet, mentionne, au diagnostic du mal de Pott, l'erreur possible avec les fractures spo
multiples de la colonne vertébrale. Exagération des courbures nor- males . Première courbure latérale à concavité droite au
ucun renseignement sur son hérédité. Peu intelligente, elle raconte mal l'histoire de ses antécédents pathologiques. Ma
s,le dernier, mais il a succombé à une éruption généralisée et à du mal dans la bouche. Lo premier phénomène en date,
150 GIBERT Personnellement, il n'a jamais eu d'autre maladie qu'un mal perforant plan- taire à droite, apparu à l'âge
levât de l'action lo- cale du sublimé sur le nerf par une injection mal dirigée. Nous avons vu pratiquer chez nos maîtr
permet d'entendre aucun souffle. Il n'existe aucune vibration anor- male . Les artères du membre ne paraissent avoir subi a
ant-bras. (G. Gasue et G. Guillain) ANGIOME SEGMENTAIRE 171 son mal ; à vingt-cinq ans ce fut la variole, ce fut une
vasculaires rétro-axillaires et latéro-lhoraciques s'expli- querait mal avec un anévrysme artérioso-veineux. Ce n'est p
triques, indolentes, molles, dans lesquelles on retrouve des noyaux mal isolés et indurés ; à la périphérie on constate
secondaire n'est-elle pas très probable dans une peau distendue et mal Irourrie' ? L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 191
OGRAPHIE DES ARRACHEURS DE DENTS PAR HENRY MEIGE Au premier mal de dent remonte sans doute le premier dentiste. I
comme ces derniers étaient souvent d'humeur railleuse, pour eux le mal de dent se prêtait à merveille aux scènes humoris
e prêtait à merveille aux scènes humoristiques. Sans doute,c'est un mal douloureux entre les plus douloureux ; maison sai
des témoins et l'on peut prévoir que les choses ne tarderont pas à mal tourner pour le peu délicat opérateur. Car un h
vivement. Ce. tableau situé dans la première salle du musée et fort mal éclairé d'ailleurs,, loin de la lumière, était
galement à retrouver quelques mots. Elle dit sponta- némerit ; j'ai mal ..... elle répond « à boire » quand on lui demande
as de déviation de la face ni de la langue, la sensibilité est nor- male . J'ai revu le malade en septembre 1887. Il étai
e l'aile du nez on trouvait un 234 RENÉ MARTIAL petit territoire ( mal défini quant à ses contours) où la sensation étai
une cigarette, le tout en s'aidant de la main gauche. Puis il eut mal à la tête. Cette céphalée augmenta rapidement et
porte en outre une ulcération à la face dorsale du pied droit et un mal perforantplantaire avec anesthésie au pied gauche
E BRÈCHE DE COMMUNICATION BUCCO-SINUSIENNE CONSÉCUTIVE, SIMULANT LE MAL PERFORANT BUC- CAL ; FACIES SPÉCIAL (DÉMONIAQUE
- véolaire, la lèvre supérieure et les parties attenantes des joues mal soute- nues sont en retrait dans la cavité bucc
erve chez les tabétiques atteints de résorption des mâchoires et de mal perforant buccal. La phy- sionomie de notre mal
moyenne, non amaigri, solidement bâti. Coloration du visage nor- male . Ataxie des deux jambes. Abolition ries réflexe
ax reposant sur la crête iliaque correspondante. Marche ataxique, mal assurée, impossible sans canne, rappelant de suit
nctionnement des grands appareils splanchniques est à peu près nor- mal . Musculature flasque, couche cellulo-graisseuse
courbures suivantes : la portion cervicale a perdu sa lordose nor- male et la saillie des apophyses épineuses forme une l
examen des organes thoraciques et abdominaux ne révèle rien d'anor- mal . Observation VIII. - (Musée de la Salpêtrière.)
ion de Vacuité visuelle, troubles subjectifs de l'ouie. Deux petits maux perforants symétriques aux talons. A 39 ans, prem
jambes dans son lit. Un jour, par hasard, elle constata deux petits maux perforants systématiques sur l'un et l'autre talo
ongles sont un peu déformés, mais pas dystrophiés. Plus de trace de maux perforants. Sauf les symptômes d'une bronchite
sans chute ni perte de connaissance, mais très pénible, analogue au mal de mer. ' A trente-sept ans, il a plusieurs cri
inq ans, que le malade voit survenir les premières atteintes de son mal : à cette époque, en effet, il fut pris de douleu
sez longue, deux ou trois kilomètres sans trop de fatigue. Il sentait mal néan- moins la résistance du sol ; il lui sembl
entuée existe dans les membres inférieurs. La marche est d'habitude mal assurée, talonnée, elle est impossible dans l'obs
ronc en avant, apparition d'une cyphose dorsale au début. A 51 ans, mal perforant plantaire double : amputation double,
inférieurs et au tronc. Il y a sept ans, le malade fut atteint d'un mal perforant plantaire, localisé au premier orteil
de doigt à gauche, de deux seulement à droite. La palpation se rend mal compte de la série des apophyses épineuses, elles
sur la gauche. Le malade est placé dans le décubitus dorsal, il est mal il son aise ainsi, dit-il, il se couche d'habit
dent leur tour, l'un d'eux indiquant aussi du doigt le siège de son mal . A droite. l'éventaire du' char- latan est dres
Millier. La moelle qui semble aussi plus petite qu'une moelle nor- male est fixée et durcie par le même procédé. Après
es, leurs prolongements peu nets, obscurs, leur noyau irrégulier ou mal coloré. Dans cette région il n'existe ni hyperp
isceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil médian sont nor- maux . l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 341 C.-
rmes qui existent quelquefois, il est vrai, chez des individus nor- maux , mais nous semblent plus prononcée chez notre mal
pos, l'expression du visage était stupide. La parole est explosive, mal articulée et scandée, parfois difficilement com
bres lui apparaissent voilés. La papille est injectée des deux côtés, mal limitée, légèrement voilée. Léger degré de cy
let ne pèse que 80 grammes ; comparées il celles d'un cervelet nor- mal , les fibres de la substance blanche et de ses ram
ce grise sont également moins développées que chez un individu nor- mal , mais elles sont bien proportionnées l'une il l'a
, mais conservant une grande faiblesse et quelques douleurs diffuses, mal limitées dans la tête..... au mois de décembre.
mba sur le pavé se frappant le côté droit de la tête. Elle fut très mal pendant quelques mois,et quand elle se leva, on s
bien que les autres enfants de son âge , Voici donc un cas où un mal est remplacé par un autre et où l'épilepsie jac
noncées avec fistules ; actuellement il est maigre, de petite taille, mal char- penté ; durant toute sa vie il n'a pu boi
l'attitude du malade est telle, sa configuration thoracique est si mal dissimulée sous les vêlements qu'elle fait songer
colonne vertébrale présente soit une exagération des courbures nor- males soit un renversement de ses courbures, soit enfin
entière ou la gib- 'bosité en anse décrite par Lannelongue dans le mal de Pott. A côté des angles saillants on pourra
ce praticien de très pauvre apparence. Une masure enfumée, aux murs mal crépis, ornés d'un grossier por- trait-charge ;
cette poudre si elle voulait éloigner au plus vite la cause de son mal . Mais ce fut en vain. Autre aventure : J'entr
urs médecins, essaya plusieurs traitements, mais ce fut en vain. Le mal fit de rapides progrès et bientôt toute dégluti
églutition de liquide ou de solide devint impos- sible. La cause du mal était la pénétration dans la gorge et t'arrière-g
nt com- plet et mourut. Le cadavre fut ouvert et montra la cause du mal : l'oeso- phage était rétréci dans sa partie su
cette affreuse poudre qui ne peut être pour elles qu'une source de maux . Il se félicite cependant que la mode de fumer
e. J. II. Cohausen interpelle ainsi la tabatière source de tous les maux dont se plaignent les priseurs : Tabatière, c
ille. Mais chez tous l'ouverture du nez montre lacauseprincipale du mal : il s'échappe des cavités mises à découvert un
le ne ressent de douleurs dans aucune partie du corps, pas même des maux de tète. La parésie du nerf facial gauche que n
déjà donnée, les faits suivants : L'acuité visuelle est toute nor- male dans l'oeil droit, mais très faible dans l'oeil g
la pupille gauche est un peu ovale, mais du reste tout à fait nor- male . Diagnostic : Ptosis incomplet gauche, paralysie
et bruyants, période enfin de localisation des lésions. Au début du mal , les déviations simples ne s'installent pas d'e
même de l'affection, qui le laisse dans l'ignorance complète de son mal . D'autre part, toute dévia- tion du rachis, tou
ffection vertébrale comparable à l'ostéo-arthropathie tabétique. Le mal de- Pott dorso-lombaire seul a quelques analogi
pouvaient un instant faire naître le doute, il resterait encore au mal vertébral ses symptômes de suppuration et les p
mais aucun ne se souciait de traiter d'une manière aussi pénible un mal qui ne lui causait ni douleur, ni gêne, ni inqu
s'alcoolisant et faisant divers excès. C'était paraît-il un cerveau mal équilibré, les bizarreries de son caractère éta
ue de lésion cérébrale ou cérébelleuse, se plaignant seulement d'un mal de tête et d'un peu de fièvre. Observation XXVI
ainsi que son extrémité supérieure. Les organes internes sont nor- maux En ce qui concerne le pariétal gauche, on y tro
il n'y a pas d'aphasie, les mots difficiles ou incompris sont seuls mal prononcés. La corde vocale gauche aurait été pa
eurs indiscrets le contenu de ses écrits, il eût été singulièrement mal inspiré en adoptant l'écriture à rebours, dont
E LÉONARD DE VINCI 609 nous qui arrivent à griffonner plus ou moins mal quelques caractères en miroir, à la petite fill
, que l'écriture en miroir et de la main gauche est l'écriture nor- male chez les gauchers. * .Telle que nous venons d
prit : ce sont là défauts ou qualités qui d'ordinaire s'accommodent mal d'une discipline. Au reste cette discipline il
l a eu une fièvre continue qui a duré neuf jours, s'accompagnant de maux de reins sans céphalée ni diarrhée et qui sembl
l'accommodation sonthabituellement conservés ou bien ils répondent mal aux incitations lumineuses (Lawford). Ils se pr
es malades ne peuvent pas fixer du tout ou bien parce qu'ils fixent mal . Il est normal dans deux cas (Lucanus, Gast), rét
rendre que si l'un des articles de la chaîne manque ou se développe mal , il en résultera des troubles plus ou moins profo
he pigmentaire grande com- me une pièce de un franc, peu colorée et mal limitée. Au niveau du pli du coude droit, une m
r un perchoir (4). 1 J'ai déjà eu l'occasion de parler, à propos du Mal d'Amour, d'un tableau de Gérard Thomas (5) (com
pêtrière, Planche LXX, 1899. 660 HENRY MEIGE uroscopiques pour le mal d'amour ; mais, dans le fond de la pièce, un aide
u- rel. ' « La septiesme arrache les dents qui branlent, qui font mal et qui se gastent. » Ainsi, les chirurgiens p
ns le nez jusqu'au gosier, où je n'ay rien senty, qui m'aye fait du mal ... Toute la difficulté est là que la liqueur, tom
ment et sans grande douleur. Le gamin, qui a eu plus de peur que de mal , demeure cependant les yeux pleins de larmes, t
it Jean Goeurot (1), médecin de François le', ne sait-on pas que le mal de dents « entreaultres immortelles passions de
ais, la valeur d'un symbole. « Vous portez une mousche, avez-vous mal aux dents ? » lit-on dans une pièce de vers de
pièce de vers de l'époque. Et le dicton répétait : « Alal de dent, mal d'amour. » La planche LXXXVII reproduit une gra
suffira de rappeler ici cette ancienne légende, d'après laquelle le mal de dent serait causé par un ver logé dans la cavi
53 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
simplement avoir signalé un fait d'observation banale, journalière. Mal m'en a pris. J'avais bel et bien dit une hérési
emme qui a été pendant des années sa compagne. Il suppose qu'il est mal con- formé (en apparence les organes sexuels so
parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du mal . Je dois dire cependant que, d'après mon expéri
ois, elle eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés, mal embouchés, des désa- gréments qui s
t, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés, mal embouchés, des désa- gréments qui se reproduisi
2C Cas. - Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, joufflu et pas mal empâté pour le moment. On ne relève chez lui ni
s. II y a dix semaines environ, sans cause connue, il a été pris de maux de tête, puis d'inappétence et de divers accide
sûr moyen qui, en pareil cas, devra être opposé à la propagation du mal ; c'est d'ailleurs là un point sur lequel tous
evoir régulièrement les impressions du dehors ; le malade s'oriente mal dans ce qui l'entoure et devient confus dans se
les plus sévères répressions. Délits commis dans des buts stupides mal déterminés, souvent sous l'influence de la bière
d'incendie dans les hôpi- taux. A Paris, il est des établissements mal pourvus à cet égard : nous pouvons citer en têt
pture de fiançailles, entre paysans, la fiancée étant atteinte . de mal caduc (17 mars 1533) : . ... Par-devant nous, o
est venu à sa connaissance que ladite, sa fiancée, est atteinte de mal caduc. - L'exposant s'est donc parce motif prés
qu'il fallait le commander à tout propos, qu'enfin il écrivait très mal et ne pouvait pas tenir la comptabilité. Le patro
is et éloi- gnés du corps. Il s'avance dans cette posture, d'un pas mal assuré, les pieds fortement tournés en dehors,
rade l'a heurté en passant, parce' qu'il croit que l'infirmier' l'a mal servi au repas,'ou parce qu'il s'imagine qu'on
souvent, tirent leur orgueil de leurs méfaits et qui alors font le mal pour le mal. Eh bien, de tels individus ne sont
rent leur orgueil de leurs méfaits et qui alors font le mal pour le mal . Eh bien, de tels individus ne sont pas des ali
est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques : maux perforants (Kir- misson), chute des dents et de
ez aimé une femme qui est le diable ; » une autre lui dit qu'elle a mal fait de le dire c Je suis Jésus en vous, » lui di
prétexte pour y -aller. Alors elle pensait à ses enfants. « Quel mal vqis-je leur faire, se disait-elle; il n'y a pa
la peine qu'elle fait à ses enfants en ne pouvant pas surmonter son mal . Il y a trois semaines, elle se DES HALLUCINATI
Etant jeune, elle était très scrupuleuse, avait toujours peur de mal faire. Après s'être confessée, elle avait peur de
travailler chez elle, et à partir de ce moment, elle se porta plus mal . Déjà depuis an an, elle n'allait pas très bien
au contraire travailleuse, active, tout en étant triste. Elle avait mal dans le dos et voulait rester couchée. Il fallait
it à une petite voisine : Sauve-toi, sauve-toi, je vais te faire du mal . » c La peur, dit-elle, est venue après la faib
it de voir des lumières, de voir parler un enfant; tout lui faisait mal , etc. Il y a quinze jours, elle est venue habit
die on ressent tout péniblement. 1 . ' «Quand je suis couchée, j'ai mal partout; c'est comme une pesanteur. J'ai dans l
faux. C'étaient de faux papiers. Mais on ne voulait pas me faire de mal , j'ai été très heureuse. Je crois que ma mère n
e monde, mais il faut croire que ce n'était pas cela. J'ai donc été mal élevée. Je n'étais pas moi- même, il fallait qu
mar- quée qu'elle commença à perdre l'esprit. Elle se nourrissait mal . Elle devint complètement aboulique et indifféren
ceinte et d'un autre que son amant. Des gens voulaient lui faire du mal . Elle croyait que tout le monde parlait d'elle,
d'où, et elle comprend des voix, dit-elle. D'ailleurs, elle saisit mal ce qu'elles disent. Antécédents personnels. «
t laborieuse. Aimait à se disputer. 'Froid aux pieds, maux de tête, mal réglée. Elle était orgueilleuse, aimant la disc
ms. Il y en a bien aussi qui sous prétexte de faire du bien font du mal . Elle est ici prisonnière d'État et de guerre,
une demoiselle. Ne m'appelez pas bonne dame, j'ai toujours fait le mal , je ne vaux sept fois rien. C'est à tort pour-
a perdue si elle crache dans son crachoir. Tout ce qu'elle fait est mal fait. C'est une gémisseuse perpé- tuelle. Ain
9 cience qui caractérisent l'état désigné sous le nom de « petit mal », 'et qui, par suite de leur peu de durée, peuve
aperçu peut être en quelque sorte interprété comme un état de petit mal , une série de petits accès psychiques. Il peut
, après la-convalescence de la fièvre, à des sensations illusoires, mal comprises par le cer- veau. En général, la dépr
ndante; de gauche à droite les caractères étaient tracés d'une main mal assurée et le corps en était anguleux ! C'est d
venue faciliter la tâche. En tous cas, c'est pour avoir méconnu ou mal interprété les stigmates de l'hystérie que des mé
rendre, allons la chercher ! » J'y suis allé. Je ne crois pas avoir mal fait. . Achille -Dourches n'est d'ailleurs inte
qu'on la touche, elle se retire brusquement, disant qu'on lui fait mal . Les paupières sont fermées, et les yeux convul
médecins appelés près d'elle, découragée par l'aggravation de son mal dont elle se rend très bien compte elle veut s'
ant avec énergie : « »Non, je ne veux pas rester ! « Je me trouve mal ici ! « Je ne suis pas à ma place dans cette sa
: la forme de la main rappelle celle que prendrait une main nor- male dont les doigts seraient fortement serrés pour ne
conscience qui nous permet de discerner le vrai du faux, le bien du mal , à ce témoignage intime qui donne l'approbation
par le simple contact et sans miroir, si sa coiffure était bien ou mal disposée, selon ses goûts. Il semble qu'ici la se
On arrêta l'hémor- rhagie et la plaie se cicatrisait tant bien que mal , quand la jeune fille peu de jours après l'acci
étudiée : 1° Après l'attaque convul- sive isolée; 2° Après le petit mal ; 3° Le délire; 4° Pen- dant et à la suite des a
4° Pen- dant et à la suite des accès en série; 5° Dans l'état de mal . ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ LES EPILE
consécutive aux accès en série et à l'albumi- nurie dans l'état de mal . Nous n'y reviendrons donc pas. Les phénomènes
ul accès, est peut-être une véritable complication dans l'état de mal où, nous le verrons plus loin, elle paraît consta
naire meurent plus facilement que les autres épileptiques d'état de mal . 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous n'avons
int' forcément des sérielles. 17.. . . Albuminurie dans l'état DE MAL épileptique. Les états de mal épileptique étant
17.. . . Albuminurie dans l'état DE MAL épileptique. Les états de mal épileptique étant assez rares, même dans un servi
s systématique- ment l'albuminurie chez des épileptiques en état de mal , nous l'avons toujours rencontrée : nous ne pré
ypique : Le 23 juillet 1891, Hemmer..., seize ans, entre en état de mal à 10 heures et demie du matin. Nous assistons a
parce qu'il montre bien l'évolution de l'albuminurie dans l'état de mal . ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEPTIQUE.
37° 8'. Tantôt les malades sont mortes : ' 23 ans, Pet... Etat de mal de trois jours, 135 accès. Albuminurie intense.
s jours, 135 accès. Albuminurie intense. 54 ans, Court... Etat de mal de trois jours, 228 accès. Albuminurie intense.
ne peut pas servir toujours à différencier, à elle seule, l'état de mal épileptique de l'éclampsie. C'est une affinité de
nt ont besoin d'être multipliées et étudiées à nouveau. L'état de mal épileptique paraît toujours être accompagné d'a
souffrances, il croit en trouver l'explication daus ce fait qu'il a mal pris les médica- ments qu'on lui a ordonnés. Al
n, son fusil en mauvais état et que dans sa précipitation il charge mal , lui éclate entre les mains. il se débarrasse d
e toutes sortes, particulièrement par celle qu'on veut lui faire du mal , et aussi par son désir d'en finir, d'être déba
l est de plus en plus préoccupé par la crainte qu'on lui fasse du mal , qu'on l'empoisonne. Il mange à peine. On ne peut
uelles : « Je veux mourir, il faut que je meure. On veutme faire du mal , on veut m'empoisonner ! a Impos- sible de lui
qu'il ne voulait tuer que M..., qu'il ne veut pas qu'on lui fassede mal , ni qu'on l'empoisonne». Il s'apitoie évidemmen
ma faute, puisque j'étais fou. Je vois bien qu'on veut me faire du mal . Je ne veux pas qu'on m'em- poisonne. - Je veux
que légère, trouble dans les idées, préoccupations un peu vagues et mal systé- matisées dans le sens des idées de persé
nnalité caractérisée par la lutte entre l'idée de bien et l'idée de mal . Ici chaque voix a sa localisation. Cela a sans
but. Depuis six mois elle n'est pas réglée, après l'avoir été assez mal plusieurs mois auparavant. Elle se plaint de leuc
dissocie. Il assiste lui- même à cette dissociation; il sent que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies c
un délit. Si leur place n'est pas à la prison, ils sont encore plus mal placés dans les asiles. La légis- lation devrai
ité, et, en particulier, du sens musculaire; les malades localisent mal les sensations, appré- cient moins distinctemen
es. On peut plus ou moins probablement accuser l'excitation anor- male des centres moteurs, dans la manie, la folie syst
On pourrait les appeler paralysies générales à localisation anor- male . M. HAHN présente un cas de folie aiguë chez un
que de méningo-encéphalite. Obs. VI. Idio- tie complète, épilepsie, mal de Pott vertébral. Obs. VII. Cas d'hys- térie c
n aide. Tous ceux surtout qui sont en proie aux premiers accès d'un mal que l'on peut dissiper, doivent être admis à re
en quelques minutes et sans rechute toutes sortes de névralgies et maux de tête par son fluide électrique. Consultation
employés à l'égard des victimes d'accidents, feignit de se trouver mal dans la rue. On le transporte à l'hôpital, où u
ie mentale, par Sarlo, 231. Pyramides, chez l'homme et les ani- maux , par Bechterew, 397. RAYNAUD (maladies de), par
54 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la coque- Ittclic el la rouireole dans sa première enfance; il et[[ mal il l'n- 1 ('ille droite pendant deux semaines a
l'n- 1 ('ille droite pendant deux semaines après la rougeole, et ce mal lui accompagné (l'un étal fébrile. Point d'autr
d'une manière très imlulurmiutc;il se plaignait quelquefois d'avoir mal à la lèle, d'avoir des vertiges et d'être irrité
[ions précises. Tout cela dérangea mon système nerveux ; j'avais mal au dos, à la tête ; des Heurs blanches et des ver
ndant la nuit. Le troisième hiver je me suis sentie de nouveau très mal ; je me fatiguais facilement, j'avais des ecchy
oce des variantes d'une même entité morbide. La démence précoce est mal connue et doit encore être étudiée avant qu'on
our fermer les yeux, ce qui gêne ce dernier mouve- ment. Tabès et maux perforants. M. P. Marie présente un tabëtiquo a
perforants. M. P. Marie présente un tabëtiquo atteint de plusieurs maux perforants palatins déterminés par des points d
observation d'imbécile, avec hémiplégie et épilepsie, et état de mal qui lui sert de contre-partie. Paul Boncour con
tte complication de l'ostéite tuberculeuse font encore (4) CoTA. Du mal de Poil au-dessous de la moelle chez les enfant
ibres nerveuses, nom- breuses fibres grêles, libres qui se colorent mal au Pal, fibresavec la gaine myélinique ii@i,é-u
comme il peut arriver dans les autres racines de la moelle dans le mal de Pott, il est possible que la dure -mère puis
montre que les nerfs périphériques sont sains et qu'il s'agit d'un mal de Pott sacré qui se pro- pagea au tissu épidur
rqué de mélancolie et d'hypocondrie ; la ponction, en guérissant le mal local, fait disparaître* les . troubles mentaux
s décrites chez les épileptiques morts dans le co- ma ou en état de mal . La moelle ne présente rien de particulier, sau
pte quoiqu'un peu lente, et la contraction présente un degré nor- mal . L'immobilité réflexe su peut aussi transformer
teinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les périodes d'état de mal dui,assezsouvent se produisent sans cause et tr
n épileptique pendant la phase d'aggravation de sa maladie (état de mal ) on n'obtient pas de phénomènes d'intoxication
e survenue brusquement avec rétention d'urine diagnostiquè- rent un mal de Pott après ponction lombaire à polynucléaires
hernie scrotale double, ne pouvant avoir de rapports sexuels nor- maux , commettait des attentats à la pudeur sur des fil
que, pour arriver à ses fins, il se donne souvent beaucoup plus de mal que s'il travaillait d'une fa- çon normale. -
préoccupations mentales, il en arrive à jouer, devant un auditoire, mal ou beaucoup moins bien que dans la solitude : t
es dégénérés. 3° Une troisième forme (que les auteurs différencient mal des précédentes et qui en est pourtant bien dis
ontinuent t pas moins d'arriver en foule, et on y trouve encore pas mal de possédées. Le mémoire contient 5 observation
rs travaux, de joindre leurs efforts pour combattre le plus grand mal qui puisse affliger l'humanité : l'affaiblisse-
- ques ne sont que l'interprétation délirante de sensations anor- males réelles : un angineux croit avoir un chat dans la
urtout des persécu- teurs des médecins qu'ils accusent de les avoir mal soignés ou d'être la cause de leur infirmité (a
cours à la con- tracture. D. Au point de vue palhogénique, on est mal renseigné sur ces faits. En particulier, il par
certains paralytiques et sur leurs troubles de nutrition (escarres, maux perforants, etc.) ainsi que sur la catatonie de
Thomsen fait obser- ver que certains sujets nerveux les supportent mal dès qu'ils dépassent la durée d'une demi-heure,
e ces établissements. Eux aussi étaient ignorants, donnaient fort mal les douches : personne ne les avait conseillés. E
connaissent pas les inconvénients et même les dangers d'une douche mal administrée qu'ils ne cherchent pas à se rensei
été possible, par l'intoxication bellado- liée, (le faire naître le mal comitial, qui s'est superposé ou substitué à l'
ri, cesse d'allaiter son enfant, douent apathique, inac- tire, dort mal , se plaint de la tête, se lamente continuellement
et s'agitent, comme en des tableaux cinématographiques, des ani- maux , des personnages grotesques, des fantômes, des
cksonnienne la zone lésée de l'écorce cérébrale, on enlève, avec le mal , l'activité volontaire du membre correspondant.
mouvements passifs et actifs des membres. Le sujet loca- lise très mal . Si, au lieu d'une perte de substance relati- v
Il avait la respiration du type Cheyne-Stokes. Chez l'enfant nor- mal , il en est à peu près de même. x Chez le nouveau-
d'acheter et d'an- nexer à l'asile (1). ' Nous avons émis l'idée, mal acceptée par certains, que les mé-, decins deva
grand nombre de fois (1), - '2° L'ell fant a succombé il un état de mal épileptique et selon la règle que nous avons co
alysés (pas d'fyntériel, et qu'elle perdait ses bs. Elle s'alimente mal (il faut la forcer), parce que son estomac est
son enfant se meurent. A partir de cette époque, il eut de violents maux de tèle et per- dit l'aptitude au travail. Il a
ce les ouvriers sédentaires, travaillant dans des locaux étroits et mal aérés ; et que,par contre,ceux qui sont occupes
ésident au développement des atrophies nerveuses sont encore trop mal déterminées pourcluel'al)sence de ces atrophies,
leptiqucs, etc.. est nulle. ou très faible, du moins pour l'ani- mal . Son élude ne fournil guère de renseignements dir
ets de la soustraction du liquide céphalo-rachidien chez les ani- maux avant d'en préconiser l'emploi chez l'homme C'est
s \ ordinaires, d'où la dénomination d'écoliers mentalement anor- maux , ils forment te degré supérieur de l'imbécillité
, en usant d'une méthode spéciale, on arriverait aies rendre nor- maux . Des écoles seraient à créer pour eux, et dès qu'
endemain jeudi, à 11 heures, par une voi- tun' de l'Asile. Non sans mal ,etgrlce à l'intelligence et au sang- froid du c
])escouleur put être camisole et hissé en voiture. Tant bien «pie mal , il arriva ainsi à l'asile. Le malheureux aliéné
Sur la pathogénie des altérations médullaires survenant au cours du mal de Pott ; l'Ail le D' 1T.\LO HüSS1 (Travail d
que celle de la pathogénie des accidents médullaires au cours du mal de Pott Nombreuses ont été les opinions émi- se
e de l'histoire pathogénique des troubles médullaires au cours du mal de Pott ; il ne nous semble donc pas inutile -
théorie mécanique osseuse des phénomènes nerveux survenant dans lé mal de Pott, insiste sur l'origine osseuse des comp
Pains 1860. (4) Midi \un, - Sur la méningite et la myélite dans le mal verté- bral. Thèse deParis 18;1. (5) (at.RCO'
lente et progressive, comme cela s'observe habituelle- ment dans le mal de Pott, nous affirmons, dit Michaud, que la ca
Ley- den, non seulement la paralysie par compression au cours du mal de l'ott, mais même celle provoquée par des tu-
us qui déterminent l'altéra- tion pathologique de la moelle dans ie mal de Pott sont les suivantes : dans des cas rares
e conception de la pathogénie des altérations mé- dullaires dans le mal de Poil a été admise et confirmée dans ses gran
le. Que cette myélite nettement tuberculeuse propagée au cours du mal de Pott soit extrêmement rare, le fait est prouvé
ion sine qua non de l'admissibilité d'une vraie myélite au cours du mal de,Pott.11 est évident que la question de la sp
la spécificité ana- tomique de la myélite tuberculeuse au cours du mal de Pott ne peut pas être détachée de celle delà
résultats posi- tifs de l'inoculation. .. La possibilité dans le mal de Pott d'une vraie myélite primaire, indépenda
il 1901. 436 - pathologie nerveuse. il s'agissait dans ce 'cas de mal de Pott dorsal. En l'ab- sence de toute pachymé
pliquer des lésions médullaires analogues survenant dans les cas de mal de Pott où il y a une pachyméningite. Cette act
s ont rencontrées dans un cas où il n'y avait pas, il vrai dire, un mal de Pott, mais la constatation très in- téressan
- Il faut toutefois convenir que cette action des toxines, dans lé mal de 1'ott, pour la production des faits dégéné-
terrain de l'anatomie pathologique on rencontre parfois des cas de mal de Pott dans lesquels on ne peut expli- quer le
ue pas également un certain rôle dans la grande majorité des cas de mal de Pott où les troubles circulatoires mécanique
uestion de la pathogénèse des altéra- tions médullaires au cours du mal de Pott. Ceci d'autant plus que, dans la plupar
apporte ici l'étude anatomo-pathologique de la moelle dans 4 cas de mal de Pott. chez des malades ayant présenté des tr
n correspondant du tissu épidural qui l'ail que la convexité nor- male de la moelle est remplacée par une dépression. Au
en outre une abondance de gaines 11l élinique gonflées, se colorant mal au Pal, parfois en voie d'évidente fragmentatio
ntouré d'une gaine m)é)ini- que également gonflée, se colorant très mal au Pal : certaines de ces mailles sont remplies
chare fessière. La malade meurt'le 13 mars, 1 DO ? i , Autopsie : Mal de Pott ancien au niveau de la 4° vertèbre dorsal
ng ! 'os'tui)erculecaseifbrmejn'esentantdes 'masses qui se colorent mal , des points nettement l'1ll.iliéb et quelques c
- tées on retrouve des mailles normales contenant des fibres nor- males . Les mailles plus fortement dilatées sont pour la
aine m\ clinique forlement dilatée, irrégulière, se colo- rant très mal au Pal. Dans les mailles nv rugliclues moins fort
aquelle on pu déjà expliquer des cas analogues, surtout au cours du mal de Pott : très probablement, elle n'existait pa
au niveau de la moelle lombaire. l3.iRTrt.s (11, \, dans un cas de mal de Pott dorsal avec pachyméningite et lésion tr
minution des libres nerveuses, beaucoup de libres qui se colo- rent mal , et, entre elles, quelques-unes dont la gaine myé
de la névroglie moins coiiteiiziiit une gaine mvélinique tuméfiée, mal l'ulol'll- hie, parfois à peine perceptible, av
ions fermes sur la pathogénie des accidents médullaires au cours du mal de Pott en général, il nous semble cependant qu
re,- dans la pathogé- nèse des altérations médullaires au' cours du mal de Pott, leur donner une place exclusive et oub
obine et le nombre des globules rouges était au-dessus de la nor- male , mais la lymphocytose est très marquée et le nom-
être considéré comme étant vraisem- blablement l'agent pathogène du mal comitial. Quel- ques mois après, un article par
men du sang se montre positif; 2° résistance des éléments « anor- maux supposés parasitaires » à la coloration ; 3" diff
e rapproche alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l'état de mal où les périodes s'imbriquent, se confondent que
es circonslances, obtenir des cultures pures provenant de l'étal de mal . recherches M1CROB10LOl>I<,¡CES SUR l'épi
es avec une quantité minime d'une culture peu virulente. Les ani- maux sont morts ayant perdu près de la moitié de leur
t que lorsqu'on aura une idée nette et définie des propor- tions du mal que l'on sera en position de mettre la question d
e et une adolescence normales, son affection débuta par de violents maux de tète et des accès mélancoliques. Le second m
ercostales d'origine périphérique, douleurs intercostales de causes mal dé- terminées, ,Les douleurs centrales sont frè
entes, apparaissent à intervalles irréguliers, ont une localisation mal déterminée, ne s'acompagnent d'aucun trouble de
uivant l'organe atteint. Enfin les douleurs intercostales de causes mal déterminées com- prennent les topoalgies hystér
ations médullaires. Sur la pathogénie des surve- nant au cours du mal de Pott, par Rossi, p. 417. Amaurose tabétiqu
£ iqlle8. - Voir Spasmes. Rôle des spinaux dans la marche nor- male chez 1 homme, par Lamy, p. 396. Mutisme chez
icho- not et Castin, p. 206. La, - , par de Buck. p. 374. POT ? Mal de -. Voir A.lfé1H- tions médullaii es. Prix
gite syphilitique bas]hure, par Souques et Vincent, p. 52. - et maux perforants, par P. Maiie, p, .33. - Voir - Hf
55 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
des dissentiments d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le mal et sur ses conséquences, Mais, quand i! s'agit d'
oit fuir aussi dans le temps, laisser derrière lui, comme une auberge mal tenue, la vie sotte et mesquine, ce que Stéphane
il apprenne le piano. Ses études marchentbien, mais il s'ennuie, dort mal , ne mange plus et devient très triste. Au bout
ns son établissement de province, il a été émotionné, s'est ennuyé, a mal dormi; il a fait de la paralysie intermittente pa
e résultat : l'absence de caractère dans les élites. Pour corriger ce mal , il n'est qu'un remède : bouleversement complet d
n mêle. Et d'abord, les vaisseaux du cerveau s'indurent, l'organe est mal nourri ; d'autre part, les cellules nerveuses, ac
n des liqueurs absorbées à la fin des repas, se faire de plus en plus mal . Ils constatent avec tristesse que les apéritifs
tomac presque vide, s'en vont à leur travail. Ce travail, ils le font mal , sans goût, s'éton-liant de ne plus s'intéresser
sant pour leur compte, vont s'attaquer à des cellules nerveuses, déjà mal irriguées par des artères sans souplesse. L'urémi
et physiques, aux drames qui vont être la suite presque inévitable du mal qu'il a constaté ? Et pourquoi ? Pour assurer la
ration est faite. L'opération a lieu également lorsque l'enfant tette mal . Dans la Bulgarie centrale, d'après l'ethnograp
connu, M. Tsani Guintcheff, l'opération n'alieu que si l'enfant tette mal . On s'abstient alors même qu'il serait kaSSOIEzit
s villages, que les matrones coupent le filet aux enfants qui tettent mal . M. Corrado Avolio, de Xoto (Sicile), m'a envoy
morsures de serpents et d'autres animaux venimeux ne leur font aucun mal , ils peuvent rendre ces animaux inoffensifs, ils
le sorcier, Epine de laurier, Epine très aiguë, Ne me faites pas de mal ni aux autres. On donne en Sicile le nom de sai
né ne parlera pas bien s'il ne la subit pas. Et à quelqu'un qui parle mal on dit qu'il n'a pas eu le frein coupé, de sorte
let. (Dr Gesare Musatti, de Venise.) Avere ? non avere lo bene, ? male sciolto . — Avoir ou ne pas avoir le filet bien o
re lo bene, ? male sciolto . — Avoir ou ne pas avoir le filet bien ou mal coupé. (Dr Gherardo Nurcci, de Moniale, Pistoia
loir produire l'hypnose ; trop concentrés ou trop distraits, ils sont mal ou peu impressionnés par les procédés psychophysi
t ni les explications ni les prescriptions de son médecin et il va de mal en pis. Une seule séance (l'hypernarcose peut suf
malades voudraient bien demander à l'hypnotisme la guerison de leurs maux ; mais ils ne peuvent surmonter les préventions qu
naires. Une personne a été hypnotisée, deux jours plus tard elle a un mal de tête : c'est l'hypnotisme ; quelque temps aprè
rit s'acheminent vers le sanctuaire pour obtenir la guérison de leurs maux . Dès leur arrivée, afin de rendre le Dieu favorab
lui. Sur l'ordre des légats du pape, « Montfort les fit tous périr de male mort ? (1). De plus, il fit démolir les principal
. Vis-à-vis des angineux, une règle s'impose : leur dissimuler leur mal , certifier qu'il consiste non en une angine de po
alysies bizarres, traumatiques ou non, ou de ces attaques convulsives mal définies, trop fréquemment soupçonnées, dès l'abo
et contradictoires; la description n'est guère celle d'une attaque de mal comitial; le sujet, par surcroît, est un soldat m
ue de mal comitial; le sujet, par surcroît, est un soldat médiocre ou mal coté. Grave embarras. La situation existe pourtan
and il y en a si peu de ne mécontenter personne, rien que pour un mot mal à sa place ou supposé tel ! Que de fois les ai-je
e —- justiciable d'une thérapeutique mentale dirigée contre des idées mal formulées, souvent subconscientes. Que devons-nou
émoire, dans les circonstances énoncées, ces malheureux soldats ayant mal commencé, paraissant irrémédiablement voués aux r
r à leurs heures et avoir leur action. Le remède est donc à côté du mal , vous le voyez, Messieurs, et ce n'est plus rien
. Voici deux malades âgées, l'une de 38, l'autre de 22 ans. L'une a mal au nez, l'autre à la langue. On a fait à leur suj
isparu ou appartient à une autre personne, etc. En outre, elle a très mal à la tête ; quand elle se coiffe, elle a l'impres
isations et, après chaque séance, la malade se trouvait beaucoup plus mal . L'autre malade peut encore travailler; celle-ci
a cause de son état. La seconde a un père brutal qui la reçoit très mal et, pour des futilités, la met à la porte de chez
emaines, dit-il, je fut appelé auprès d'une malade qui souffrait d'un mal ulcéreux dans la région du genou. Dans une opérat
uvement choréiforme a disparu à droite. Le tronc est agité et la tête mal contenue bouge encore. Nouveau bonnet plus solide
res carrés. (1) Ferme, métairie. Le doute vient probablement d'un mot mal écrit. 'il::1. Raynicr IV, vivant en 924, m
animaux n'est pas une question nouvelle, et, pendant que des esprits mal inspirés tentaient de le nier chez les humains, o
travaillais à mon bureau et à me mordiller l'oreille sans me faire de mal . Quand je lui parlais sur un ton affectueux ou qu
le cheval. M. Guenon ne s'est pas simplement appliqué à soulager les maux des chevaux de régiment qui lui sont confiés ; il
u ses états analogues, sont déjà venus à l'aide des dresseurs ; mais, mal connus ou non interprétés, ils n'ont pu être util
in gauche un kyste synovial qu'on a essayé d'écraser et on lui a fait mal . Puis on le lui opère à l'hôpital; on ne fait que
conscient à son opération ; il en est vivement impressionné, il dort mal , revoit son opération en rêve et le lendemain les
uivant leur coutume, ont sacrifié le médecin pour apaiser l'esprit du Mal auquel est due la maladie. Ouvrages déposés à,
après avoir été enfermé sans bouger toute la journée dans des classes mal aérées, soit soumis à l'obligation de veiller le
oque. D'ailleurs si les troubles persistaient, vous auriez sans doute mal interprété l'oracle et comme tout passe en ce mon
se hystérique unilatérale s'imposait donc, bien que la pupille réagit mal à la lumière et à l'accommodation et quoique l'ex
fleurie (2J, acquerrait, par ce seul fait, la propriété de guérir les maux d'yeux (Tradition fort ancienne : Médecine préhis
st irritable, taciturne ; il lui semble que son entourage lui veut du mal . Elle craint qu'il n'arrive malheur aux membres d
un garçon et à une fille — « Eh bien, lui-je, quand cela serait, quel mal y aurait-il »? Je prononce ces paroles d'un ton p
intention de ne pas être confondus avec ceux qu'inspire un mysticisme mal dissimulé derrière des phrases d'ap-parence scien
ecine est totalement impuissante à prévenir aussi bien qu'à guérir le mal ; et l'intelligence se révolte à la pensée que cet
Ce traitement sera efficace s'il s'attaque à la véritable cause du mal . Comme facteur étiologique, on a invoqué les écre
ou larvés de crise épileptique, des attaques ébauchées ou avortées du mal comitial. L'identification n'est pas possible : a
ple narcolepsie, nettement distincte des accidents épileptiques. Le mal comitial possède d'ailleurs sa forme spéciale de
ux, il a le regard vague, hébété, il se plaint de lassi- tude, de mal de tête ; il n'a aucun souvenir de ce qui s'est p
ut à cause du grand exemple que vous avez donné. En effet, l'un des maux dont on souffre le plus en France, c'est de tout
ion de la vie ne rentrent pas dans la catégorie de ce qui est bien ou mal ; un grand nombre des émotions qui déterminent la
ne sont pas aptes à les manier, mais on n'accusera pas ces objets du mal qu'ils ont servi à causer ; pourquoi donc reproch
ou à déployer de la grâce, mais à orienter la volupté. On dépeint le mal sous des formes captivantes ; on dissimule ses co
; on cache soigneusement sa laideur ; on fait alors, non seulement du mal , à ceux qui ne sont pas purs de cœur, mais aussi
e Voisin, Dejerinc, Bêrillon. de Paris. Et ce traitement nouveau du mal éternel — étincelle magique d'un foyer toujours p
uve des fourmillements, des douleurs; elle devient préoccupée et dort mal . Petit à petit, en dépit de la planchette, les do
rès l'accident, il survient une période de méditation; la malade dort mal et, consécutivement à l'entorse, certains centres
nt : l'inviolabilité de la personne humaine, Dr Bonnet, d'Oran : Le mal de mer et la suggestion. COURS DE PSYCHOLOGIE à
attrayante. En effet, si quelque objet donne l'impression d'être fort mal adapté à son but, prenons un édifice ou objet ren
ufflement et le point de côté indiquent qu'on a commencé trop vite et mal suivi la progression; il faut ralentir et au beso
progression lente, d'autant plus lente que la respiration s'effectue mal chez le malade, comme il a été indiqué plus haut.
asmes. L'imagerie peut parfois porter à l'hilarité, mais où serait le mal ? Après tout, le rire n'est-il pas hygiénique, et
z, lui dis-je, il ne faut pas redouter une sonde, cela ne fait pas de mal . — Non cela ne fait pas de mal en effet, et je vo
edouter une sonde, cela ne fait pas de mal. — Non cela ne fait pas de mal en effet, et je vous avouerai même que je n'ai pa
it en état de crises subintrantes et présentait un véritable accès de mal hystérique. Ces crises sont, de temps à autre, en
nt : l'inviolabilité de la personne humaine. Dr Bonnet, d'Oran : Le mal de mer et la suggestion. Les séances de la Soci
sil, elle refuse obstinément de se mettre sur le dos; l'orifice étant mal dirigé, les contractions ne portent pas : elles s
ise dans un engrenage; un mois après, elle avait commencé à lui faire mal et à maigrir, les mouvements des doigts devenaien
podophyllin contre la constipation. Je lui suggère qu'elle n'a pas de maux de tète, que l'appétit revient et je vois renaîtr
56 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ient gâteuses : c'était un système déplorable : les malades étaient mal soignées, les locaux mis a leur dis- position,
; et il estime que pour conclure à la duplicité originelle j'ai dû mal interpréter les expériences de Cha- bry. Je ne
tion intra-vasculaire, et que les attaques, qu'il s'agisse du grand mal ou du petit mal, ont pour cause déterminante une
laire, et que les attaques, qu'il s'agisse du grand mal ou du petit mal , ont pour cause déterminante une stase soudaine
emplacent quelquefois les crises convulsives, les attaques du petit mal et les faits que l'on désigne sousletermed' « é
cas, on conçoit que les phénomènes prendront le caractère du petit mal ou se traduiront par des équivalents épileptiqu
lle donnera naissance à une série de crises, voire même à l'état de mal . Sauf dans les cas qui se compliquent de maladi
L'hypoesthésie périphérique, seule étudiée jusqu'ici à l'état nor- mal ou pathologique,serait en quelque sorte provident
aint de céphalée violente. Un rebouteur lui annonce les plus grands maux ; elle cesse de parler, de manger, s'alite, res
s cris, prononce des paroles entrecoupées, et cherche à se faire du mal en se serrant le cou avec un mouchoir. Quand, e
à demi-asphyxiée. Elle dérobe tout ce qui peut servir à se faire du mal , couteau, aiguilles, épingles, et s'intro- duit
guée; j'ai bien peur d'une affaire, «que le remède soit pire que le mal . Je souffre beaucoup. I.'igu- tt re-Loi... (ici
é non moins que de la légitimité de ses griefs, elle sait qu'il est mal de se venger, elle possède en son entier le fai
eau d'idées morales qui sont l'attribut commun des individus nor- maux : elle a aussi pleinement le sentiment de la con-
ssaires pour « ré- sister » aux forces qui le sollicitaient vero le mal ? Voilà une question qu'il faut résoudre pour é
nes. Les peines infligées par les tribunaux aux délinquants anor- maux ne doivent plus être considérées comme des puniti
d'un individu. Tout en étant de très bonne foi, il peut se tromper, mal voir ou mal interpréter. Une telle puissance do
u. Tout en étant de très bonne foi, il peut se tromper, mal voir ou mal interpréter. Une telle puissance doit être part
et Schumann meurt d'une encéphalopathie diffuse chronique de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort de paralysie gé
ions nous concluons : Le nervosisme est souvent en relation avec le mal fonctionne- ment de la glande thyroïde et peut
lui considère les réactions hystériques comme des réactions nor- males exagérées. Mais quelles sont ces réactions ? Quel
états épileptiques et sur les moyens de rappeler à la vie les ani- maux électrocutés. 51. le Dr Long (Genève; fait défi
m- putables à des lésions médullaires ou cérébrales. Quand l'ani- mal succombe, la mort est imputable à des escarres cu
trouvé un cerveau avec sa forme conservée, mais des circonvolutions mal développées par des scissures et des sillons pe
es. C'est ainsi que la couche moléculaire, tapissée à l'état nor- mal par quelques fibrilles à peine visibles, se recou
sme ou de l'hystérie est bien un trouble pro- dromique de l'état de mal . Pour noter les troubles visuels colorés pendan
ntra-utérine ou dans les pre- mières années de la vie. Les éléments mal développés, chétifs, succomberaient rapidement
complet, mal- gré des tentatives d'éducation professionnelle, très mal acceptées d'ailleurs, comme c'est malheureuseme
nséquent de l'ancienne conception de la garde de nuit par un paysan mal dégrossi ou une servante mi- endormie, circulan
baissement de la pression sanguine, qui descend à son niveau nor- mal quand les convulsions cloniques cessent. Pressi
, tuméfaction dure, percée de trois fistules donnant issue à du pus mal lié. L'examen sans anesthésie révéla une lésion
tion erronée d'instructions inspirées par des sentiments d'économie mal placés, par le désir d'assister le moins possib
tait toujours occupée de choses érotiques; ses études allaient très mal . A l'âge de 17 ans, la malade se marie, mais bien
ans ses rêves érotiques, tandis que le coït n'est pour elle qu'un mal inévitable ou un mal difficile à éviter. Pour s
ques, tandis que le coït n'est pour elle qu'un mal inévitable ou un mal difficile à éviter. Pour satisfaire ses désirs
té et impressionnabilité très exagérées, mauvaise humeur, insomnie, mal de tête, impossibilité de tra- vailler etc.), l
mément à l'opinion de Koelliker, et que leurs fonctions sont encore mal con- nues. Ch. B. XX.- Ueber Begriff und Loka
s. M. BERILLON.- On peut aussi provoquer les larmes chez les ani- maux ; pour faire pleurer une vache, il suffit de batt
par des considéra- lions philosophiques sur l'innéité du bien et du mal , sur le rôle de l'éducation dans le développeme
out changé. » Un de ses enfants est mort ; les deux autres tournent mal , trompant ainsi des espérances de près de vingt
sécutions, sans être personnellement méfiante : elle a honte d'être mal jugée, elle est très humble. Dans leur idéation
raison de leur amitié, ou pour toute autre cause ; elle se rappelle mal la date des faits ; en les exposant, elle ne leur
ants, toutes mes intuitions se sont réalisées (ainsi les filles ont mal tourné, etc, Le célèbre avocat Me D. ne m'aurait
leur situation en 1896. De 1896 à 1901, le ménage vit tant bien que mal ; le mari ne travaille pas chaque jour; la mala
, au sujet de sa maison, au sujet de son tra- vail ; on lui veut du mal , on se moque d'elle,on lui fait des misères, el
d'un objet pointu. Sensibilité cutanée et « sens musculaire » nor- maux . Les mouvements du côté gauche pouvaient d'abord
ents devaient être dirigés par plusieurs organes sensoriels étaient mal exécutés par le côté gauche ; à droite, akinési
ysie complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accidents nerveux du mal de Pott chez les adultes ; (Revue générale), pa
attribuée à une méningo-myélite, à une compression médullaire. Le mal de Pott cervical donnera parfois le change avec l
avec la pachy- méningite cervicale hypertrophique. Le pronostic du mal de Pott avec troubles nerveux n'est pas toujour
n; - 3° am- nésies dans les névroses.Le rapport qui existe entre le mal comitial et l'amnésie est tellement étroit et d
cchias, Gassendi. D'autre part, Calmeil a rapporté plusieurs faits, mal interprétés au XVIe siècle, et qu'il place dans
t déterminées par une organisation normale, comme les impulsions au mal le sont par une organisation déviée ou incomplè
sophiques sont relatives : à la question de l'innéité du bien et du mal , et à celle de l'éducation. L'auteur conclut qu
mal, et à celle de l'éducation. L'auteur conclut que le bien et le mal ne sont pas innés, mais seulement les aptitudes
ne sont pas innés, mais seulement les aptitudes ; si le bien et le mal étaient innés,on ne verrait pas des peuplades,
ducation, la 39G BIBLIOGRAPHIE. conséquence est que le bien et le mal .étant ce que l'intelligence montre il la sensib
en plus grande quantité que ses convives. Après le souper, il avait mal au coeur et les nausées l'empêchaient de dor- m
e. Dès ce jour, le malade s'aperçut, que ses extrémités obéissaient mal à sa volonté et qu'il ne pouvait pas faire de mou
ments au niveau de toutes les articulations. Les pupilles sont nor- males . La force musculaire est partout conservée. Sensi
eils est intacte. La sensibilité de la langue et du palais est nor- male . Les grands troncs nerveux et les plexus ne sont
reuse société avait mangé, le soir, des homards sans éprouver aucun mal ; mais le lende- main c'était l'hiver - tous le
porté par Simon (3) sont notés les symptômes suivants : diarrhée, mal de tête, nausées, vomissements, sentiment d'alour
ls peuvent produire des toxines nuisibles malgré l'apparence nor- male des conserves. Il n'est pas rare précisément que
lclo-tabe, f)eufs rncctic.l'ochcnsclu ? 1S91, p.1 007. DE l'état de MAL épileptique. 41U Quant à notre malade, outre
use ait pu provoquer tiès facilement la polynévrite. De l'état de mal épileptique ? Idiotie congénitale aggravée par
sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal . Sclérose atrophique et mé- ningo-encéphalite d
cbL mort d'une fluxion de l, poitrine, en 1902. < DH l'état de MAL épileptique. 421 Pas de consanguinité ; père du
aralysie infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès, ni état de mal jusqu'à son entrée à la Fondation (3 ans). Ca
Pas de faux croup, pas de diphtérie, pas de fièvre typhoïde. Pas de maux d'yeux, mais stra- bisme qui a débuté après les
e reconnaissait à ce moment que son père et sa mère. DE l'état de MAL épileptique. 423 Elle fut alors examinée au p
le glabres. Membres supérieurs et inférieurs glabres. DE. L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUF. 4.2Î I Traitement : Bains salés, s
elle est constamment somnolente, surtout après ses accès. Etat de mal , mort. Le 13 septembre 1906, l'enfant Mar... es
est montée à l'infirmerie à 3 heures de l'après-midi, en étal de mal , la température est de 37°4, mais elle ne larde p
de violentes secousses cloniques et se recroducvil- . de l'état DE MAL l : l'ILI'l'1QUG. 42'.) lent ; les paupières ba
nier soupir, sans râles, ni cris. Pendant la durée de son état de mal , c'est-à-dire en 18 heu- res la malade avait eu
; en arrière les circonvolutions sont plus maigres. de l'état de MAL 1 : 1LG1'rIQIiC. 431 Hémisphère gauche : tout l
1906. V. Au mois de sep- tembre 1JU(i il est survenu un état de mal épileptique qui va nous permetlrc d'entrer da
permetlrc d'entrer dans quelques considérations. VI. L'état de mal épileptiqtte, nous le rappe- lons, est une co
it pas, un second accès apparaît, la température s'élève, l'état de mal est-constitué et la mort peut arriver. (Fig. 1)
de nouveau, ces deux circonstances peuvent se produire : l'état de mal se termine par la mort avec unélévation de la t
abaissée 3 3-1. La mort est survenue après 229 accès. Ici l'état de mal ne s'est com- posé que d'une période convulsive
ration : fuite des idées, logorrhée, stéréotypie chez les individus mal doués, ou verbigéra- tion, salade de mots.A l'i
é, côté de la manie et de la mélancolie, les diverses formes, assez mal différenciées les unes des autres, de ce · GRUN
de centrifugation suffisant). * G. DENY. II 1. - Un cas d'état de mal épileptique traité par la ponction lombaire ; p
tension du liquide céphalo-racliidien étant la règle dans l'état de mal épileptique,les ponctions lombaires répétées et a
L. Waiil. III. - La dénudation de la fémorale dans le traitement du mal perforant plantaire; par M. TI IIEUTER, (Soc. d
s médicales de Lyon, 14 nov. 1906.In Lyon med. 16 décembre 1906.) Mal perforant plantaire d'origine myélitique chez un
tte in- tervention a en trois semaines amélioré considérablement le mal perforant. t. La dénudation de la fémorale se
ssmaul. Il remarque enfin que les formes complexes sont encore très mal con- nues ; que certaines autres,telles que l'i
gement que possible. Malheureusement, les salles de bains sont fort mal installées, glaciales enhiver et impossibles àc))
fI, p, 76, Les afiectifs neutres, par Lionel Dauriac, p. 91. de mal cpileplique. Voir Idiotie. de mal épileptique.
par Lionel Dauriac, p. 91. de mal cpileplique. Voir Idiotie. de mal épileptique. Voir Ponction lombaire. Empoison
- sultats au point de vue social, par M. Royer, p. 238. - anor- maux . Inspection médicale des Ecoles de Bordeaua, p.
ur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal . Sclérose atro- phique et méninge-encéphalite
ude de 1' - , par Perrin, p. 375. Infanticide. L' chez les ani- maux , par Lépinay, p. -170. Infirmières. Le service
praticiens et la nouvelle sur les aliénés, par Granjux, p. 461. Mal de POTT. Les accidents ner- veux du -- chez les
nce de la numération, par Lamelle, p. 454. Un cas <; d'état de mal épileptique, trai- té par la par Pichenot et
57 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
l'entrée ou quand il survient des changements soit en bien soit en mal , les moulages en plâtres faits après décès, l'a
s avons besoin de sentir qu'on ne nous oublie pas, et que, si notre mal nous isole pour un temps de la société, la soci
rs : Bourneville est élu conseiller, il fait connaître l'étendue du mal , il déclare qu'on peut y remédier et le Conseil
de cette jeune fille font remonter ce qu'elles appel- lent le grand mal . L'enfant pousse un cri aigu, perd connais- san
rait eu, de l'âge de treize ou quatorze ans à quarante-six ans, des maux de tête fréquents et violents accompagnés de bo
malade dit que ces diverses cicatrices pro- viendraient <t d'un mal qui lui serait venu » il y a quelques années (f
pins pour fourrures; elle n'est pas migraineuse, mais a parfois des maux de tète; sans être sujette d'ordinaire aux sync
est utilisé au balayage des cours, besogne dont il s'acquitte aussi mal qu'il répond. ? Aura. - Le malade avant les a
10 h. 22, le malade dit : « Il n'y a que de ce côté-là que j'ai le mal que j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence
loniques du côté gauche que le malade accuse être le siège de son mal ; pendant toutela durée de l'accès (12 secondes) i
rveiller. Revenu à lui, il ne se souvenait de rien, se plaignait de mal de tête et restait sombre pendant une heure ou
abiller. Il mange seul, mais ne se sert pas du couteau ; il se lave mal . Pas de trem- blement des lèvres, ni de la lang
lution du corps calleux. Le lobule paracentral, bien développé, est mal délimité en avant et en arrière. -Le lobule qua
u corps calleux. Il existe aussi un pli pariéto-limbique postérieur mal délimité en avant par la scissure sous-pariétal
s lettres, ne savait pas compter spontanément ; il répondaitassez mal aux questions qu'on lui posait, ne disant que oui
ntermittentes. - Attaques éclamptiques à l'âge de six mois. - Petit mal consécutif. - Accès caractérisés par une impuls
. - Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Mort en état de mal . Alép... (Auguste), né le 24 mars 1872, est ent
puisse y adapter chaque cas particulier. Leurs frontières sont fort mal délimitées. N'observe-t-on pas, du reste, fort
- Accès de colère. - Tentative de suicide. - Hypospadias. Etat de mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état
as. Etat de mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1 86). J. Autopsie. - Atrophie et aspect chagr
07 qui, quoique bien développée est par suite très irrégulière et mal délimitée du lobe temporal. Toutes les parties si
corps calleux, le corps strié, la couche optique paraissent nor- maux . Il en est de môme du lobule de l'insula. Hémis
r sur lui l'attention de nos lecteurs : il s'agit des deux états de mal qu'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les deux c
procursive 111 montre la marche de la température dans un état de mal qui se termine par la guérison; le second nous
cond nous donne la marche de la température dans un cas d'état de mal aboutissant à la mort, avec les deux sommets cl
ccès. - Mor.... se frotte la tête et marche en disant : « Oh ! j'ai mal à la tête, je vais tomber. » Observation XL. -
ngt-deux mois, début de l'épilepsie à trois ans. - Au1'a. - Etat de mal . - Déchéance intellectuelle. - Violences. - Dél
- Dilatation pupillaire droite. - Embarras de la parole. - Etat de mal . - Mort. Autopsie. Persistance du thymus-, épip
s pigmenté, les veines sont très dilatées, les pupilles sont nor- males . Le malade eut son premier accès, il y a cinq a
incement de dents. - Gâtisme; affaiblissement progressif; " état de mal . - Pyo-pneumo-thorax consécutif. - Mort. AUTOPS
( ? ) à l'âge de soixante-dix ans environ; elle était sujette à des maux de tôle. - Une soett1', soixante-quatre ans, abcè
d'une intelligence au-dessous de la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 124 DE l'épilepsie PROCURSIVE. p
illet. - Dentition : mâchoire supérieure : douze dents saines, mais mal rangées et atrophiées ; les incisives sont coniqu
e occipitale en relief. - Front large, bombé, saillant. Yeux nor- maux , iris bleu ; nez petit, bouche, 4 centimètres, lè
violent, disputeur. « Il m'a battu bien souvent et m'a fait bien du mal ! » Douleurs de tête consécutives aux excès; pas
par ses gestes et ses cris, attire l'attention quand un enfant fait mal . Il mange seul, mais ne peut se servir que de l
ui ; il sait très bien dilîé- rencier ce qui est bien de ce qui est mal , il a une bonne mémoire, il est affectueux et t
l'hystérie. Paris, 1876, p. 1 il 14 et 91 à 98, etc. - De l'Etat de mal épileptique (thèse Leroy). Paris, 1880. 'berlin
mometry. New-York, 1876, p. 226. Mosen- thal. - Traité cliitiq. des mal . nerveuses, trad. Lubanski. Paris, 1877, p. 533
posée sur l'élévation considérable de la température dans l'état de mal épileptique. Toutefois, avant d'aborder l'expos
la température dans les accès sériels d'épilepsie et dans l'état de mal épileptique. Ils ne feront d'ailleurs que confirm
u de Bicêtre pour 1886, p. 231 à 250.) En ce qui concerne l'état de mal , le lecteur trouvera aux pages 102 et 110 de ce
de rencontrer, soit 55,40 0/0, c'est-à-dire plus de la moitié sont mal conformés. En décomposant ces chiffres, nous ar
it comme une faiblesse subite dans les jambes; elle s'est trouvée mal et a eu des lypothymies plusieurs fois par semain
ent, elle ne se rend pas compto de ce qu'elle lit. Elle écrit, mais mal , ne sait pas faire les additions, et n'a jamais
le par- fois, lorsqu'elle mange avec voracité des pommes de terre mal cuites, elle dit que c'est assez bon pour elle, e
au contraire, à la moindre piqûre, il lui faut mettre un pansement. Maux de tête fréquents. Pas de si- gnes d'hystérie.
e, où il se termino en pointe, ce doigt possède aussi un ongle mais mal conformé. 'l'out ce système a des mouvements de
dus que normalement; l'opposition avec le pouce se fait d'une façon mal habile avec lo doigt externe. Le doigt ex- tern
oite 10, à gauche 42. L'intelligence est faible, la malade comprend mal les ques- tions qu'on lui pose et y répond à pe
comprend mal les ques- tions qu'on lui pose et y répond à peine ou mal ; parfois, elle parle d'un autre sujet. Son lang
portant et une soeur dont on n'a pas de nouvelles; elle se conduit mal et on ne sait si elle vit encore. - Ni aliénés,
ire. Je le fais dans le but unique (soufflé), de ne pas me faire de mal , car je prétends que la morphine est la seule,
le sous-surveillant. Si on le pousse à travailler, il dit qu'il a mal à la tête. Interrogé à ce sujet, il répond qu'i
u'il a mal à la tête. Interrogé à ce sujet, il répond qu'il n'a pas mal iL la tête. Voici les deux lettres qu'il adress
. Alors je préfère aller à la cam- pagne, plutôt que de rester ici, mal nourri, mal vêtu et embêté FOLIE DE L'ADOLESCEN
réfère aller à la cam- pagne, plutôt que de rester ici, mal nourri, mal vêtu et embêté FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 253 pa
emande de monter à l'infirmerie sous prétexte que le gaz lui fait mal , mais c'est plutôt, pense-t-on, pour éviter de re
use d'aller travailler à l'atelier de couture parce que ça lui fait mal aux doigts. Quoiqu'il ne soit pas excité, il di
58 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
avaient été fixées d'un commun accord à Cent enfants au maximum. Le mal s'est empiré durant l'année 1893 dans une propo
l'année. Maladies intercurrentes. Elles ont été rares : états de mal épileptique suivis de décès, 2 ; ménin- gite cé
nt la grossesse. Naissance un peu avant terme. Accidents convulsifs mal caracté- risés du 18" au 3U" jour après la nais
jeune, et maintenant elles coulent encore de temps en temps. Pas de maux d'yeux, pas d'adénites. A la fin du moins de ma
ssine par des stries blanches ; ni calculs ni kystes. Vessie nor- male , pas d'inflammation ni de calculs. Réflexions.
émotions continuelles, la mère alors n'étant pas mariée et étant mal reçue dans sa famille. Accouchement à 7 mois 1/
onnaît ses noms et prénoms, parle avec lenteur, hésitation, exécute mal ce qu'on lui commande. Il sait parler, cause di
rnes à 2 jours. Secondes convulsions vers le 3° mois ( ? ). Etat de mal convulsif à 2 ans. De là il 5 ans convulsions 4
olaires permanentes, le reste dents de lait. L'articulation, encore mal fixée, semble régulière. Menton, oreilles, régu
là les convulsions ont réapparu tous les mois. A huit mois, état de mal convulsif' qui a duré de 8 heures du matin à G
l'une d'elles, il serait « tombé d'un second étage sans se faire de mal . » Caractère gai, sentiments affectueux. On aur
eu de chose près aux autres enfants. III. Alors, il a eu un état de mal convulsif qui a duré deux heures, puis un autre
ensuite, les convulsions ont été men- suelles. A huit mois, état de mal . IV. A l'entrée, l'intelligence était à peu prè
sionomie hébétée. Onanisme. - Parole et sens spéciaux nuls. Etat de mal épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort. -Atyp
uit que le jour. Il ne rend jamais d'écume et ne crie pas. Il mange mal , ne mastique pas, ne bave ni ne suce. Il n'est
ssifiées. Le crâne semble symétrique. Front élevé. 1 ! 68 Etat de mal ÉPILEPTIQUE. lèvres : pas de déviation de la bo
pas d'anomalies dans leur topographie. Leur consistance est nor- male et on ne trouve nulle part de sclérose.- Les vais
ltérieurement à la naissance. III. L'enfant a succombé à un état de mal épilepti- que et, suivant la règle posée par l'
ation I. Hydrocéphalie; épilepsie partielle du. coté DROIT; état DE MAL épileptique; mort. Sommaire. Père rhumatisant,
vation : antécédents héréditaires. 177 Démence progressive. État de mal épileptique; mar- che de la température ; mort.
e ce qu'il fait. Mensurations de la tête. Hydrocéphalie : état DE MAL épileptique. 181 182 .' - Hydrocéphalie. Le m
: Tableau des accès et des vertiges. 190 Hydrocéphalie ; état DE MAL . tique, même à écrire, mais à la fin de 1887 se
en diminuant. Au mois de février 1888, il a été pris d'un état de mal épileptique qui a offert les caractères habituels
ni ne déchire rien. Ni glouton, ni gourmand, ni salace, il mâchait mal ses aliments il cause de sa mauvaise dentition.
ues. Bouche petite, voûte palatine un peu ogivale, dentition nor- male et assez régulière. Menton peu développé. A noter
ieds plats surtout àgauche. .VoZiZi'Zédes membres supérieurs nor- male . Marche défectueuse. L'enfant incline à droite et
varus semblent un peu plats. Les ongles et les orteils sont nor- maux , il n'existe pas de réflexes ( ? ). (fig. 0 et 00
aque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutions mal délimitées et paraissant être-; les restes de l
t, est ramolli et ne peut être enlevé. Le cervelet, d'aspect nor- mal , est un peu plus développé à gauche qu'à droite.
est lisse et distendu. = La face interne se rapproche de la nor- male dans sa partie frontale, mais les deux tiers post
. Les corps striés et les couches optiques n'offrent rien d'anor- mal . Hémisphère droit (795 gr.) ? Les circonvolutio
nfant ne put plus maintenir sa tête droite. A la suite de l'état de mal convulsif l'enfant avait les deux membres infér
convulsions iL un an. Secondes convulsions il. quinze mois (Etalde mal d u7'alzl 8 joul's).-Cécitépassagère, . dispari
se rendormait. Si, - intel'l'ogemt Révil..., on lui demande où il a mal , il porte la main au front et à l'occiput. Dans
est couvert d'acné punctata. - Oreilles accolées au crâne, petites, mal ourlées, à lobule adhérent ? Palais ogival. Hyp
es et contient un peu de liquide. - Powilon droit (380 gr.), nor. mal . Coeur (220 gr.), sain. Abdone2. -Foie (1200 gr
la motilité est imparfaite il faut en accuser le cerveau qui dirige mal les mouve- ments, car l'intégrité des réflexes
Des accès de colère et de pleurs survenaient pour des motifs aussi mal déterminés. On le faisait manger, il digérait b
gts grammes (2180 gr.) de liquide ltidieii. (Le cerveau ayant été mal soigné, est tombé. en putréfaction n'a pu être
tante et un oncle paternels, morts phtisiques. Mère, surmenée et mal nourrie dans sa jeunesse. Grand-père maternel,
grande différence d'Il- ge de son mari afin d'échapper à sa famille mal disposée pour elle. De 14 à 20 ans, elle fut pl
re malade. Cependant nous pouvons ailirmer que l'enfant était assez mal soigné chez lui, car on a constaté qu'à son ent
tir du 6 novembre 1882. 1883. Novembre.-Apparition des symptômes du mal de Pott. 20 décembre. - Ponction d'un abcès par
ussi une excavation caverneuse capable de contenir une noisette. Le mal de Pott... est indiscutablement l'origine de la
en arrière des dents de lait correspon- dantes. L'articulation est mal fixée. Les pointes des dents se touchent bout à
s courts mais normaux. Membres inférieurs symétriques. Pieds nor- maux , légère exagération de la voûte plantaire. - La m
rendre les questions qu'on lui pose. Mouvements de préhension assez mal coor- donnés. Chev... mange mal à table. Instab
ose. Mouvements de préhension assez mal coor- donnés. Chev... mange mal à table. Instabilité très grande, il ne peut pa
s les plus minces sont au niveau des pariétaux. Les sutures coro- male et mtra-partetate sont ossifiées. Le crâne parait
ent, devenaient subintrantes et déterminaient une sorte d'état de mal durant environ 2 heures 1/2. Placé aux Enfants-Ma
s d'onanisme, ni de kleptomanie ; il est très susceptible. Il parle mal et nasonne. 1885. 4 mars. L'enfant est attein
ntes en dehors. Nez moyen, bouche moyenne. Oreilles très grandes et mal ourlées. Lèvres minces. Dentition normale. Ment
bien défini ; que son cerveau fonctionne psychologi- quement assez mal , mais que les lacunes qui carac- térisent ce ma
nt maternel au sein. Noi... fut sevrée il 16 mois, car elle prenait mal le sein et pleurait très fréquemment. Jusqu'à 1
es défauts, bien qu'elle se rende parfaitement compte du bien et du mal . OBSERVATION : ' '. 343 Elle est onychop liag
sif ». Septembre, - Il fait un court séjour à l'infirmerie, ayant mal aux yeux; on constate une kératite interstitielle
d d'une façon arrogante et comme sous l'empire d'une colère sourde, mal dissimulée. Sa mère étant sortie, nous lui repr
2e2- tal de Peti... Ce jeune homme est aigri, de méchante humeur, mal disposé à l'égard de sa famille. Il sem- ble qu
ion. Ni boudeuse, ni capricieuse, elle se rend compte du bien et du mal et pleure lorqu'on lui fait des reproches. Le s
59 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
n'est pas douteux que les processus psychiques de l'organisme ani- mal ont leur substratum anatomique dans le cerveau. L
fit des petits, qu'elle mangea. Au bout de trois mois on tua l'ani- mal (1). De l'autopsie il résulta, comme les cliché
métriques des extrémités on a réuni toute une série de faits encore mal classés et d'étiologie obscure. Raynaud en 1862
centimètres à la cubitale. L'artère radiale qui ne bat plus se sent mal , les troncs nerveux paraissent normaux à la palpa
RES et VAILLARD, Altérations des nerfs périphériques dans deux cas de maux perforants plantaires et dans quelques autres f
r exemple, la seconde figure : on y lit une gravité artificieuse et mal assurée, un besoin intérieur d'éclater, quelque
ividus qui choisissent, par une ostentation' trompeuse d'un sérieux mal entendu, un vêtement som- 86 GAETANO BOSCHI b
que ; et qu'il est possible qu'un sujet qui commence une période de mal avec un peu de gaieté, en voyant une fleur ou u
abits sont bien plus fréquents chez les malades en question dont le mal est plus avancé ; quoiqu'il y ait aussi beaucoup
x du costume se rencontrent chez le mania- que, lorsque l'entité du mal n'est pas très grave ; tandis que chez les déme
e convulsionnaires que dans certaines oeuvres du xive siècle, assez mal figurées d'ailleurs, car on sait que les artistes
t les caractères macroscopiques du sque- lette sont eux-mêmes assez mal connus. Cela provient, en partie, de ce que l'a
ui demande des nouvelles de sa santé ; il répond : « Cela ne va pas mal , je mange bien et je ne me sens pas malade, mais
itablement énorme, si on veut bien le comparer avec le calibre nor- mal d'une branche de la sylvienne. Au point de vue
sylvienne. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS Séance du 5 mars 1908 MAL DE POTT SARCOMATEUX PAR F. RAYMOND et L. ALQU
1908 MAL DE POTT SARCOMATEUX PAR F. RAYMOND et L. ALQUIER Le mal de Pott sarcomateux est bien plus rare que les au
895, le fait actuel est le seul de ce genre. Mal- gré sa rareté, le mal de Pott sarcomateux est d'un grand intérêt pour l
détermine, la comparaison des lésions avec celles observées dans le mal de Pott tuberculeux peut contribuera à éclairci
s signes de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diagnostic de mal de Pott. L'oedème augmenta progressivement, et en
endantes et descen- dantes habituelles (PI. XX). Cliniquement, le mal de Pott sarcomateux est, bien souvent,confondu
ment, le mal de Pott sarcomateux est, bien souvent,confondu avec le mal de Pott tuberculeux ; rien, en effet,ni dans l'év
tion du Nouvellle Iconographie DE la Salpêtriere T. XXI. PL XIX MAL DE POTT SARCOMATEUX. (Raymond et Alquier). De
e la moelle entre les V* et Vl paires. Intégrité de la dure mère. MAL DE POT SARCOMATEUX 115 lui rachis y compris la
nfirmer l'erreur. En effet, on ne sentait qu'une masse douloureuse, mal limitée, ressemblant bien plus aux « gâteaux »
dans les cas où le sarcome vertébral est primitif, le diagnostic du mal de Pott tuberculeux est souvent porté ; témoin, e
et des plexus brachiaux; le diagnostic clinique avait été celui de mal de Pott tuberculeux. Les accidents nerveux dus
nous ne parvenons à découvrir aucune différence entre la myélite du mal de Pott, et celle due à une autre cause de compre
xines du bacille de Kocb, dans la genèse des lésions ner- veuses du mal de Pott tuberculeux n'est pas, à l'heure actuelle
n, 1886. Nouville Iconographie DE la SALPtTRitRB T. XXI. Pl. XX MAL DE POTT SARCOMATEUX. (Raymond et AlquiCl). A
ns dans le cas particulier, une réaction imparfaite par application mal réussie de la méthode d'une réaction imparfaite
4 (1er cahier) : « Ce dessin, écrit NI. X..., est le portrait assez mal réussi de M. A... (autre malade). Derrière lui es
par trop insinuant et que ce malencontreux télescope était diablement mal placé. Tout est bien qui finit bien : Jetons un
n du sexe ; mais ceci est un jeu d'enfant : j'ai en ma jeunesse pas mal fréquenté les acteurs (et même quelque peu aussi
y avoir disposé, au pied et dans les branches, toutes sortes d'ani- maux , de fruits et de victuailles, hétéroclites et mod
iquement guérie de l'attaque aiguë, le pudendum était redevenu nor- mal , la douleur avait disparu et les jambes étaient c
ù sa température s'éleva beaucoup. Sa jambe droite, qui lui faisait mal de- puis 4 heures de l'après-midi, commença à e
ary, fille d'Hannah Wherrell, eut deux enfants, tous deux libres du mal aux jambes. Les enfants de Hunsley Wherrell.
es de l'infirmité familiale. Autant qu'elle peut se le rappeler, le mal fut d'abord remarqué au niveau des genoux, et d
vaquer à ses occupations qùoique elle reste un jour ou deux encore mal en train. Son état est le suivant : Les ortei
ry qui vient après est normale; Edith, la troisième, est aussi nor- male jusqu'à présent. Emily, maintenant âgée de 12 ans
m- bre, au contour arrondi. Le 10 juillet la jambe commença à faire mal dans l'après-midi ; pendant la nuit elle était
tre en tête les syndromes thyroïdiens, car la thyroïde est la moins mal connue de ces glandes. Comme son étude a suscit
érament hyperthyroïdien. Interprétation. Dans des syndromes aussi mal délimités et dont les rapports avec l'hy- perth
Pas de syphilis héréditaire ou acquise.Conformation crânienne nor- male .Pasdegoitre ni d'exophtalmie.Végétations adénoïdi
La circonvolution temporo-occipitale (lobule fusiforme) semble nor- male , ainsi que la circonvolution de l'hippocampe et l
visible, mais -on le voit comme à travers un voile, on le délimite mal ou même on ne 'l'aperçoit plus du tout. Le co
tc.) ou d'af- fection intéressant indirectement le système nerveux ( mal de Pott, etc.). Nous avons remarqué que chez un
t constaté de la rudesse de la respiration qui, d'ailleurs, se fait mal ; et pense que là tuberculose pulmonaire est une
uerite commença à souffrir d'anémie ; elle devint très pâle, digéra mal et souffrit de fréquentes céphalées. Le médecin c
nt à rien. Bonté. Il faut être bon, sans cela les gens nous font du mal . Intelligence. C'est le savoir : qui n'est pas
peur de rester seule, que des hommes me pren- nent et me fassent du mal . J'ai peur de rester seule dans la nuit. Gaîté.
gien est normal. Déglutition et mastification normales. La voix est mal timbrée dissonante ; la parole est toujours promp
dulte d'intelligence très médiocre. La faculté d'attention est nor- male , l'imagination nulle, la mémoire très pauvre. L'a
de la soeur ainée normale de 22 ans, Henriette, paraît in loto nor- male ; seulement si l'on compare l'épaisseur du tissu
Marguerite).- La radiographie du Thorax ne faitrelever rien d'anor- mal au niveau des os courts de la colonne vertébrale
diographique a montré une selle turcique double de la capacité nor- male . Doit-on admettre qu'en ce cas l'hypophyse, alt
s pieds le développement du tissu osseux a paru des deux côtés nor- mal , quoique un peu fort et uniforme, de manière que
que aussi loin que remontent ses souvenirs, il -se rappelle d'avoir mal vu de l'oeil gauche. (1) Communication et pré
chée ; se croit en voiture. Délire, prétend qu'on veut lui faire du mal ; crises d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendin
ent également déjà parésiés. Les nerfs optiques fonctionnaient très mal et il y avait peut-être hémianopsie. - . QUEL
déterminé. Se plaignit une fois de maux de tête, une autre fois de maux de dents. Pouls ralenti, à environ 50. Démarche
truction des fibres nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et mal délimitée du tissu cérébral par des cellules sa
bientôt toute la surface de la coupe. Les faisceaux sagittaux sont mal dessinés. Avec la pointe du N. C. apparaît auss
dant comme le centre de l'univers. S'il était au pouvoir de l'anor- mal d'établir des classifications, il renverserait le
manifestations naturelles et aussi, parfois, leur intensité- anor- male qui leur ont fait attribuer l'épithète de névrosi
conditionne des actes de répétition et d'imitation qualifiés anor- maux par nous, ce ne sont toujours que des ripostes à
l faut d'abord connaître la cause de leur maladie la nature de leur mal et, celle-ci trouvée, le remède, s'il existe, ser
e maire. Docile, il se laisse emmener en disant : « Il n'y a pas de mal ». Le maire le fait relâcher, et conseille à sa f
éréotypie de langage, bien définie. La phrase : « Oh ! ça ne va pas mal ! » répétée toujours avec les mêmes intonations,
uche. D'un côté comme de l'autre les reliefs musculaires se sentent mal , même quand on demande au malade de faire contr
einture thoracique. Les clavicules et les omoplates paraissent nor- males , mais les muscles qui s'y insèrent sont peu dével
et les tissus de soutien (os et cartilages) dérivent chez les ani- maux supérieurs du mésenchyme (Hertwig) : le développe
sson (Hutinel), les affections des reins (Souques et Castaigne), le mal de Pott (P. Marie) ont été tour à tour cités co
s trois sujets en effet on observe partout que les proportions nor- males entre le tissu spongieux et le tissu osseux compa
naissances cliniques et physiologi- ques ; elle est un peu vague et mal définie; mais malheureusement toutes 444 ETTORE
isme psychique et il reconnaît aussi l'existence de cette catégorie mal limitée et mal défi- nissable de leicht abnorme
et il reconnaît aussi l'existence de cette catégorie mal limitée et mal défi- nissable de leicht abnormen Kinder, de We
uissent être doués d'un développement intellectuel tout à fait nor- mal et proportionné à leur âge. Si nous traçons à p
exacts des choses abstraites ou concrètes par leur nature même très mal définies : cette inconscience de certaines diffic
mme tous les symptômes d'hypertension sont atténués ; tout cela est mal con- ciliable avec l'hypothèse d'une tumeur don
Société de Péd. de Paris, 17 avril 1901. Infantilisme. Traité des mal . de l'enfance. Grancher-Comby. 1904, t. I, p. 993
vrai. Nouv. Icon. de la Salp., janv-fév. 1907. Leçons clin. sur les mal . nerveuses, 1899, 2' série, p. 440. BNOUARDEL.
be. Rev. méd. de la Suisse Romande, 1887, 1897. Conray. -Traité des mal . de l'enfance, 3° édit., 1899. Conorrfint. - Se
diseases, nov. 1906, no 11. 1 D'AsTnos. - Hydrocéphalie. Traité des mal . de l'enfance, Comby-Grancher, t. IV, 1905, p.
. und Physiol., 1905, p. 219. HUTOEEL. - L'infantilisme. Rev. des mal . de l'enfance, 1893 ; Gazette hebd. de méd. et
adies du corps thyroïde. Syphilis de la glande thyroïde. Traité des mal . de l'enfance. Grancher-Comby, 1904, tut 111, p.
cette même année. Syphilisée également en 1894, la mère se soigna mal , et en 1900 présenta quelques signes de tabes.
omènes de l'abolition des réflexes tendineux, le signe d'Argyll, un mal perforant plantaire. Le signe de Romberg existe
dement. Si on donne en effet un ordre à Jeanne B..., elle l'exécute mal ; elle oublie une commis- sion qu'on lui dit de
tions cutanées de notre malade. A cetle série appartiennent : a) le mal perforant des tabétiques, des syringomyéliques,
adiodermite. L'influence du système nerveux sur le développement du mal pe2-r- rant n'est pas douteuse non plus. Le mal
le développement du mal pe2-r- rant n'est pas douteuse non plus. Le mal perforant produit une- lésion 488 VALOBRA . q
égoriquement que son siège était fait. M. Valobra est encore plus mal renseigné sur l'opinion de M. Balzer qui m'a au
par simple affirmation verbale; les souvenirs deM. Valobra doivent mal le servir. » J'arrive maintenant à ce qui const
eurs raisons que je vais exposer : 1 1° La malade avait caché son mal aux médecins avec qui elle était en rapport ain
, à la sclérose latérale amylrophirur., à la paralysie agitante, au mal de Pott, aux myélites, etc. Entre temps, il ava
ques, et aussi les infections, la fièvre typhoïde, l'.influenza, le mal de Bright, dont il fil entrevoir les ré- percus
usement, ne tarda pas à se dissiper, je tentai de l'expliquerpar le mal des montagnes.- « Peut-être,répondit-il, mais,
a solitude du lieu, le grand silence nocturne, et aussi l'analogie du mal , rendaient poignante doublement ? ... Les ann
de tous. - Henry MEME. TABLE DES AUTEURS ALQOIER et Raymond. Mal de Pott sarcoma- teux (2 pl ), 113. APERT et
contro- latéral homogène et hétérogène, 210. RAYMOND et ALQUIER. Mal de Pott sarcoma- teux (2 pl.), 113. ' RA1\IOD
pe de - à la suite d'un zona) (2 pl.), par Rose, 64. Sarcomateux ( Mal de Poil-) (2 pl.), par Raymond et ALQUIER, 113.
60 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 ans; mais le mal sommeillait depuis dix-huit ans, remarquez-le bie
es provinciales du même genre. Jusque-là, il n'y a pas encore grand mal sans doute; mais voici le côté fâcheux. Le jeune
ofondément l'état de conscience peuvent, dans certaines circonstances mal étudiées, déterminer une amnésie rétroactive, c'e
ces accidents constatés n'ont jamais dépassé les limites d'un simple mal de tête ou d'un engourdissement passager, suscept
qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux bizarres, k des attaques mal caractérisées avec perte totale ou partielle de c
part les détracteurs de l'hypnotisme s'appuient sur des observations mal laites pour condamner aveuglément son emploi. Dan
ain (3), Fournier (4), Parisot (5), les symptômes caractéristiques du mal comitial se mènent de la partie et l'on se trouve
a l'hystérie proprement dite, ce que l'èpilepsie symptomatique est au mal comitial essentiel? » Ou bien avec Charcot, convi
t par certaines manœuvres dites magnétiques, dont l'action est encore mal déterminée; tantôt par une suggestion : lantôt pa
de nausées, puis des vomissements abondants de matières alimentaires mal dirigées. Le dernier repas avait eu lieu 6 heures
elles-mêmes snr les fonctions de l'organisme ; mais cette action est mal connue, les assertions des auteurs sur la valeur
r cours à ses mauvais instincts : terrain tout préparé, la semence du mal y germera et y poussera vite une moisson abondant
s ; fièvre, insomnie; aucune trace d'hystérie. je fus d'abord assez mal accueilli par la patiente, a qui les soins médica
it voulu, de propos délibéré, commencer la série des attaques du haut mal ou de la grande hystérie ! Mettrez-vous en caus
ces procédés, dont le mécanisme et l'inprétation physiologiques sont mal connus, il faut accorder une grande part à la sug
vis : obéir, travailler, penser au bien ; faire le bien ; délester le mal et vice ; être agréable, se rendre utile, aimer l
rave ou incurable ; il faut, au contraire, affirmer nettement que son mal est léger et qu'il guérira. Il est encore un po
storique et critique. Paris. 11889.. ln-8°, 498 p. mouvet : Etat de mal hystérique à accès subinstrant suggestion hypnoti
la manière de se comporter de plusieurs personnes. 4° N'avoir fias mal à l'estomac. (a) En décembre 1888, me trouvant
88, me trouvant chez moi. et ayant depuis plus d'une heure un violent mal à l'estomac, mal qui m'empêchait de me livrer à t
hez moi. et ayant depuis plus d'une heure un violent mal à l'estomac, mal qui m'empêchait de me livrer à toute occupation i
upation intellectuelle, je pratique l'auto-suggestion de ne pas avoir mal à l'estomac. Au bout de vingt minutes, le résulta
al à l'estomac. Au bout de vingt minutes, le résultat est obtenu ; le mal d'estomac disparaît et ne reparaît plus. Je puis
puis me mettre au travail. (b) Dans les mêmes circonstances, ayant mal à l'estomac et froid aux pieds, je me donne l'aut
mac et froid aux pieds, je me donne l'auto-suggestion de ne pas avoir mal à l'estomac ; pendant ce temps, je pensais que je
uto-suggestion pour le froid aux pieds qui m'incommodait moins que le mal d'estomac. Le simple désir, la pensée de ne plus
on d'avoir chaud aux pieds bien plus souvent que l'autre, n'avoir pas mal à l'estomac, par le fait de l'éducation, c'est el
a première exécutée au bout de dix minutes. La seconde, ne plus avoir mal a l'estomac, a été aussi exécutée, mais au bout d
minutes, et je n'ai pas cherché à reproduire cet état hallucinatoire mal défini, mais qui est très pénible et très ennuyeu
pression qui suit est d'autant plus grande. 10° Chanter Je chante mal et n'ai aucune prétention à exceller dans ce genr
e donne l'auto-suggestion de haïr une personne, D..,, qui m'a fait du mal . Le résultat est positif, je la hais. Cette expér
travail dans l'après-midi, mais le résultat est nul. Je souffre d'un mal de tête intense, atroce, j'ai une calotte de plom
ntense, atroce, j'ai une calotte de plomb qui me serre la tête, et ce mal persiste malgré tout. Je plonge ma tête dans l'ea
é tout. Je plonge ma tête dans l'eau froide sans réussir a modérer ce mal , j'essaie de me reposer, puis me promène au grand
érer ce mal, j'essaie de me reposer, puis me promène au grand air. Le mal de tête continue, et je sens que, s'il dure longt
a salle de jeu, et l'émotion causée par le jeu me fait disparaître ce mal de tête en quelques minutes. L'auto-suggestion
t disparaître ce mal de tête en quelques minutes. L'auto-suggestion mal pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnos
uto-suggestion mal pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnose mal pratiquée. Mais l'auto-suggestion pratiquée ave
la rue et c vadrouiller » (1) le soir. La fille se débauche et tourne mal . Tant pis ! Elle n'en sera pas plus malheureuse p
pas sérieusement, et, réflexion faite, elle se dit que si sa fille a mal tourné, il vaut mieux essayer de tirer partide ce
t au café, et on expose son embarras aux amis. Ceux-ci encouragent au mal , lèvent les derniers scrupules et proposent de te
ondamner aux travaux forcis a perpétuité. Voici donc deux individus mal équilibres, je crois : l'un, un enfant, tombe aux
e. Intelligences débiles qui ne savent pas bien distinguer le bien du mal , volontés sans consistance qui côtoient toujours
ne et que, dans leur conscience contami, née, la notion du bien et du mal , de plut en plus confuse, tende à s'effacer. Déso
ainsi les conclusions : 1° L'épilepsie procursive est une forme du mal comitial, dans laquelle l'accès se manifeste par
ommes s'attirent autant de haines en faisant le bien qu'en faisant le mal .» Ainsi un prince qui désire maintenir son pouvoi
est le souverain Juge de tous, cela ne semble pas l'avoir préservé du mal . Comme Mountstuart Elphinstone l'a observé : (4
cet homme. « Sur le chemin de Donlatabad. il fut affligé d'un violent mal de dents et en perdit une qu'il ordonna d'enterre
es à se débarrasser d'un mauvais roi dans l'Est, qu'il est rare qu'un mal aussi étendu soit accompli par le mauvais gouvern
ualités vicieuses qui n'appartiennent qu'à la veillesse. « Mais ces maux deviennent plus graves et sont encore augmentés p
endues, fatiguées, dissipées, celles des autres actions éprouvent des maux semblables et qu'en conséquence, le corps sans so
vie sédentaire ou de cabinet, si famillière aux gens de lettres. Les maux qui résultent de là, quoique assez graves par eux
de l'embonpoint ; saint Clair, sainte Claire, sainte Luce, contre les maux d'yeux ; saint Cloud, contre les furoncles : sain
des pauves, ou recueil de prières et oraisons présiceuse contre le mal de dents, les coupuees, les rhumatisme, la teigne
fais-tu là? « — Je suis ici pour mon chef, pour mon sang et pour mon mal de dents. » « Apoline, retourne-toi ; si c'est
. S. J. C, le signe de la croix sur la joue avec le doigt, en face du mal que l'on ressent, et en très peu de temps vous se
nt une étude approfondie. Il existait de ces oraisons contre tous les maux , contre toutes les affections ; leur succès éta
occasion, comme pour me démontrer qui si j'avais calmé et endormi le mal , je ne l'avais point déraciné. Certains faits m
s aujourd'hui que votre docteur en théologie est en défaut et qu'il a mal interprété la réponse de ta Sacre-Pénitencerie.
met ! » « Hypnotiser un malade pour le soulager ou le guérir de ses maux ; l'hypnotiser pour empêcher le retour des crises
s l'un de ses professeurs et le frappe de trois coups de couteau qui, mal dirigés, n'atteignent que le matelas. C'était la
N'aimez-vous pas votre enfant? » — «Si! je l'aime! Je sais que c'est mal . Je n'ai aucune raison pour le tuer. C'est plus f
lle tombe souvent sans perdre connaissance, mais ne s'est jamais fait mal . Dès le début, elle entre en contracture, et se p
ion, de la façon suivante. Je lui dis : « Mon enfant, vous avez là un mal qui vous fait bien souffrir; voilà longtemps que
é ; il y a indifférence pour tout ce qui n'est pas en rapport avec le mal dont elle souffre. Dans le second état, le caract
ion. Quand finalement la malheureuse femme découvrit la nature de son mal , l'anxiété fut extrême ; sa tête s'égara ; elle c
ve, peureuse, craintive; elle est morte tuberculeuse. Le père assez mal équilibré, faisait des excès d'absinthe. Il a été
beaucoup plus violente que de coutume. Poussé maigre lui et malgré le mal qu'il savait se faire a lire les jour..aux. il s'
disant qu'il s'acharnerait après lui et qu'il lui ferait toujours du mal . Cet état dura quelques mois; l'anxiété devînt
toutes espèces de craintes, L... ne pouvait plus travailler, dormait mal ; ses nuits étaient troublées par des cauchemars :
persécuteur l'injurier, l'appeler coquin, lui dire qu'il lui fera du mal partout où il ira. Il entend distinctement les pr
se croit pas seul l'objet de tourments; il croit que Pranzini fait du mal a sa sœur, à sa grand'mère. Celle-ci a fait une c
ndonne parce qu'il n'est plus digne de la voir; il interprète tout en mal , voit tout en noir. ¡1 verse d'abondantes larme»
çon d'un mélancolique, c'est-à-dire comme un être passif qui subit un mal et reste sans défense. Il pleure, gémit, s'accuse
e sa toilette au plaisir d'aller jouer avec ses camarades? C'est bien mal connaître le naturel de l'enfant. et je suis en d
e mes commandements l'exécuteur fidèle, Bientôt, j'allégerai de vos maux le tourment ! En attendant, prenez cette somme
illes, et cette surdité, sans écoulement par le conduit auditif, sans mal de gorge, se dissipe après quelques mois. A dou
rmanents, présentent la série des accidents variés: attaques, état de mal , etc. constituant la pathologie de l'hystérie.
ude de la courbe des excréta urinaires, pendant la durée des états de mal . montre qu'au début il y a chute des éléments uri
is plateau, et relèvement quelques jours avant la sortie de l'état du mal . Ce sont là des phénomènes dus a l'hystérie et no
donc de prédire le retour de l'état normal. Quelque soit l'état de mal observé, le poids des sujets diminue journellemen
raie et d'epilepsie partielle symptomatique. de même que les états de mal correspondants, se jugent par une élévation consi
incipes constitutifs de l'urine. L'attaque d'hystérie et les états de mal , quelque forme qu'ils revêtent. se jugent par une
confondre avec ceux que nous avons notés dans l'attaque et l'état de mal hystériques, de même d'ailleurs que, cliniquement
minuer. Nous ne sommes pas les derniers à regretter que des esprits mal pondérés aient contribué par leurs exagérations e
l craint d'avaler des microbes en respirant, de peur de leur faire du mal ; il a des incertitudes fréquentes lorsqu il met u
s de l'écriture remonte a 1884, il a alors trouvé qu'il écrivait plus mal qu'avant. Sous la dictée il écrit sans hésitation
ue les autres : ils amèment un grand excédant de garçons. L'embryon mal nourri tend vers le sexe masculin : son sexe est
ué : la soupe à la tortue impressionnera désagréablement notre palais mal préparé à un tel excès de graines de pipéracées.
ûleras l'avant bras sur la ligne que je viens de tracer. Cela te lera mal . une rougeur paraîtra à ton bras, il y aura du go
ès en produisant le sommeil. Je réussi généralement a lui enlever ses maux de tète, des picotements dans les parties génital
61 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
un chiffre absolument exceptionnel, puisque une selle turcique nor- male , chez un individu de haute taille, ne mesure jama
tre de lui prendre une radiographie de la main, ce qui me coûta pas mal de peine pour le convaincre. Or la ÉTUDE DU GIG
s ne sauraient être confondus si, au lieu de considérer les formes. mal caractérisées, on tient surtout compte des formes
té de Médecine de Jassy (Roumanie). On entend par dystrophies (5ùS) mal , et °pop'h, nourriture) « un trouble de la nutr
ble du côté gauche, il est vif du côté droit. Le plantaire est nor- mal . Les réflexes abdominaux sont faibles. La sensibi
coupait avec un couteau) ». Tout le membre inférieur droit lui fait mal . Les douleurs, nocturnes l'empêchent de dormir,
ssement sur la fice externe du pied droit. A l'examen objectif sent mal les piqûres au bord externe du pied droit. 16
dorsale aussi bonne que la plantaire). Mouvements des orteils nor- maux . Atrophie visible sur la face antérieure de la ja
masses musculaires de la jambe gauche sont atrophiées et réagissent mal au courant électrique. L'hypotonicilé, le réflexe
elle préfère se reposer sur le côté droit. La jambe droite lui fait mal mainte- nant au moindre mouvement. La malade ne
'une hyperesthésie générale de la peau. Le simple toucher leur fait mal . Les douleurs peuvent siéger dans d'autres endr
ui décrivent une forme spéciale de sarcome vertébral sous le nom de mal de Pott sarcomateux (Haymond -Alq uier, cas de Po
u de la partie inférieure des avant-bras, la sensibilité était nor- male . Le malade ne se plaignait d'aucune douleur ; il
arder ' De ses vairs ieux doucement el visage, Bien péusse de mes maux respasser, Mais ne me veut faire tant d'avantag
rononcé (V. PI. XII) ; les pupilles, très dilatées, réagissent très mal à la lumière et à l'ac- commodation. En exami
scles du cou ont présenté des réactions électriques à peu près nor- males . Les altérations sont nettes sur les muscles de
La mère, qui avait suivi avec tout son regret maternel les progrès du mal chez l'aînée, vit donc avec effroi les mêmes al
épaté. Sa lèvre supérieure est aplatie et rehaussée, les dents sont mal implantées et la lèvre inférieure, abaissée et re
. Sa prononciation des mots se fait de la même façon, le r est très mal prononcé et le t est substitué à plusieurs lett
he est très large, la lèvre inférieure est relâchée, les dents sont mal plantées, avec diastase dentaire et les signes
te les mêmes défauts de prononciation que ses soeurs. Le r est très mal prononcé et le t est substitué à beaucoup d'autre
rythmique (70-80 à la minute), la respiration est paisible et nor- male . Examen des réactions électriques. Les muscles
mmédiatement d'une perte de connais- sance d'une durée d'une heure. Maux de tête les jours suivants sans au- tres troubl
La malade se plaint d'une difficulté d'avaler les solides, elle avale mal aussi les liquides. Les mouvements de la tête s
u-dessous de l'apophyse mastoïde, il y a une petite tumeur à contours mal définis, immobile, dure. Dans le pharynx (du cô
ato-pharyngien. La malade se plaint de la difficulté d'avaler et du mal à la gorge, au maxillaire gauche et à l'oreille
dans la corne gauche, tandis qu'à droite elles étaient presque nor- males . Dans la corne gauche les cellules nerveuses lésé
s un grand nombre de corpuscules amyloïdes. Les vaisseaux sont nor- maux ou un peu épaissis. La névroglie est faiblement p
ne materna, on ne tint aucun compte des altérations multiples, mais mal coordonnées, que l'on signalait dans le cerveau d
x, cellules et fibres, dans des coupes provenant de cerveaux d'ani- maux mis en expérience ; Forts de toutes ces preuves
he en avant ne pourra s'opérer tant que le cerveau normal nous sera mal connu, tant que la physiologie de l'écorce cérébr
offre de grandes variations individuelles, enco- re peu connues et mal déterminées ; on pourra peut-être un jour y rap
parfois Ù imiter les tremblements pathologiques, il y réussit fort mal , car cela est très difficile. Il est toujours fac
de re- volver sur le greffier de justice de paix l'accusant d'avoir mal fait J'enquête pour son accident du travail. Il
point de départ halluci- natoire aides idées de persécution, délire mal systématisé, sans doute en raison de l'amnésie
attitude vicieuse chez d'autres sujets : on dit qu'ils se tiennent mal , qu'ils ont les épaules tombantes, etc., mais,
es bien comprendre. La timidité échappe de même à trop de personnes mal renseignées à son égard, quoique expertes dans
ne étude préalable de la théorie, manquent de méthode et apprécient mal les valeurs morale, ou intellectuelle de leurs
qu'elle échappe à l'oeil même malveillant du prochain peu exercé ou mal averti. Bien mieux, elle échappe souvent t'inté
tations voulues de l'activité. Une vigoureuse muscula- ture corrige mal le défaut. Ce n'est pas à la périphérie qu'il est
s centres, voilà ce qui est essentiel. Les centres du timide sont « mal arrangés ». De ce dérangement semble résulter u
ngine. De l'auriculaire gauche l'ongle est petit, mince, écailleux, mal limité d'avec l'épidémie voisin. Le grand-père
t ses voyages, toujours en bonne santé. Une fois seule- ment, ayant mal pris ses mesures pour sauter, il tomba et se cass
ion je puis dire qu'ici il s'agit d'une mentalité parfaitement nor- male et bien équilibrée et d'une intelligence plutôt s
t à sa hauteur, normale quant à son diamètre sagittal et aussi nor- male quant à ses diverses parties. Rien de remarquab
frontaux. A la base du crâne, la selle turcique a été trouvée nor- male dans le premier cas; dans les autres elle était p
urs qualités à leurs descendants, comme font certaines races d'ani- maux , nous nous demandons s'il n'était pas risqué d'af
la reproduction des achondroplasiques, avec certaines races d'ani- maux , n'a pas de valeur. On sait que les races des boe
5 centimètres de la pointe de la rotule : 30 centimètres. Etat nor- mal des mouvements actifs ou passifs. Force musculair
ne retarde les affections métasyphilitiques, que même dans des cas mal soignés, de telles affections se manifestèrent pl
t suivi aucun traitement spéci- fique ou chez qui ce traitement fut mal dirigé. Oppenheimditque.de deux personnes attei
U LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA COMPRESSI
lièrement favorable à l'étude de la cica- trisation osseuse dans le mal de Pott. 1° Quel est le rôle des lésions osseus
aphie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XXXIII LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT , (Alquier et Klmfeld). A. Aspect de
sson & Cie, Editeurs. Phototypie Berthaud LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (Alquier el Klarfeld). Effondrement e
graphie DE la Salpêtrière. T. XXIII. PI. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld). Mal de Pott a
I. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld). Mal de Pott avec coudure rachidienne à angle droit. F
plus loin ostéoporose (en bas, à droite). SUR LA LÉSION OSSEUSE DU MAL DE POTT 311 intervertébraux qui les séparaient
ces « accidents de l'effondrement » et des luxations en arrière du mal sous-occipital, les lésions osseuses nesemblent p
fficile de pré- ciser la nature. (1) ALQUIEa, Quinze autopsies de mal de Polt chez l'adulte. Iconographie de la Salpê
fibres nerveuses, au lieu de présenter leur coupe transversale nor- male , présentent souvent des faisceaux myéliniques à d
ncte parcourue par les fibres nerveuses modifiées avec les contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses.
ec les pieds mouillés. Etat actuel. La malade est de petite taille, mal nourrie. Rien de no- table dans les organes int
es trou- bles trophiques dans l'hystérie a été fondée sur des faits mal observés ou mal interprétés. L'émotion n'a pas
ophiques dans l'hystérie a été fondée sur des faits mal observés ou mal interprétés. L'émotion n'a pas l'action qu'on lui
e présentent pas de lésions. 7°EnacheD... Notes cliniques. - 5 ans, mal de Pott avec paraplégie spasmodique, contractur
J... Notes cliniques. - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un mal de Pott. Atrophie des membres inférieurs. Durée d
... Notes cliniques. 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un* mal de Pott, sans atrophie, ni contracture. Réflexes
evenu flasque. Durée de la maladie : 2 ans. Examen macroscopi- que. Mal de Pott ayant donné lieu à un processus pachyméni
sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lésées, transmet- tront mal à la périphérie l'influx sympathique qu'elle ont
lité, parce que, si, d'une part, un diagnostic différentiel avec le mal de Pott ou avec un processus syphilitique à la ch
hez noire malade sont les suivantes : rachitisme; ostéo-ma- lacie ; mal de Pott; processus syphilitique des vertèbres; dé
es à cet endroit. l. On ne peut non plus soutenir qu'il s'agit de mal de Poil, parce que la malade n'accuse aucune do
'elle est subluxée sur la 4e, venant ainsi perdre ses rapports nor- maux avec la 2" et avec la 4° lombaire. Telles sont
Brachymélie SYMÉTRIQUE IV. Métatarsienne. Infantilisme TUBERCULEUX. MAL DE POTT. TUBERCULOSE PULMONAIRE. L'observation
é mesurée directement : 430 CHEVALLIER sur les suivantes qui sont mal formées ; sur la première phalange du troisième
let costal. Aucun point rachidien n'est douloureux : il s'agit d'un mal de Pott cervical inférieur guéri. Le bassin e
dominer actuellement c'est la cachexie tuberculeuse attestée par le mal de Pott guéri, la tuberculose péritonéale ancienn
e pérttonéaie sclérosante ; ostéite raréfiante récente de la hanche ; mal de Poil cervical guéri avec ankylose ; arrêt du
ade, Emilie Laug., est âgée de dix-huit ans. Le pied droit est nor- mal ; le gauche est au contraire remarquable par la p
ulsions apparaissent pendant quatre jours. Le développement se fait mal : à six ans et demi l'enfant commence à marcher
à fines cellules; les bases paraissent creusées de larges alvéoles mal remplies de trabécules osseux. Les phalanges de
lésées, peut-être même les seules lésées; elles sont très courtes, mal formées et leur tissu osseux n'a donné qu'une omb
ans cer- tains cas de carie vertébrale les malades supportent assez mal l'exten- sion, mais alors on ne voit pas une te
, des troubles sphinctériens et des troubles trophiques de la peau ( mal perforant). TUMEURS DE LA MOELLE I ? f'INIISItE
les cas préci- tés consistaient en formation de foyers irréguliers, mal délimités avec une raréfaction des fibres. Ces
rs. Il convient à ce propos de rappeler ici que mon cas se concilie mal avec la doctrine bien connue de Dejerine, d'après
éfaut. Au niveau du lobe pariétal, le faisceau fronto-occipital est mal délimité du cingulum en dedans ; en dehors, il s'
pour ce qui regarde le développement sexuel qui est absolument nor- mal chez les microsomes. LA MICROSOMIE ESSENTIELLE
s la première ou la seconde enfance chez un enfant tout à fait nor- mal à la naissance parle toujours en faveur du diagno
,dont 8 seulement survécurent. Parmi ceux-ci, furent de taille nor- male (en moyenne de 1.625), et 3 restèrent extrêmement
, à celle d'un enfant de 4 ans. Le scrotum est de proportions mini- males mais normalement conformé; on n'y palpe pas les t
Examens locaux. - Crâne. La tête,vue de face,paraît absolument nor- male ; en la regardant de profil on est au contraire t
i imbibés. La peau n'est point fine, ni trop dense, absolument nor- male . Les globes oculaires ne sont point saillants,
ches myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur paraissent assez mal colorées (méthode de Pal), mais les coupes ne s
athew), scrofule (obs. p. II), bacillose latente probable (obs. I), mal de Pott, carie de la hanche, péritonite chroniq
métacarpien est raccourci du quart ou du tiers de sa longueur nor- male . Il garde sa forme générale. La diaphyse est brèv
s. L'ossification des autres métacarpiens et des phalanges est nor- male , avancée ou parfois retardée (obs. III) comme l'o
architectural et formateur sont consi- dérables ; sa pathologie est mal connue. Le rachis et la base du crâne sont trop
apnbre, art. Doigt, t. 30, p. 225. (3) L. D'ASTIS08, Rev, mens. des mal . de l'enfance, nov. 1901, t. 19, p. 493-506. BR
ur médullaire. liev. neurol..4, 1902, p. 114. ItY31OND et Aeoren. - Mal de l'ott sarcomateux. Nouvelle Iconographie de ta
ire, humaine, de frénésie. Pour les autres, le peintre souffre d'un mal d'origine diabolique et d'étiologie divine : il e
s la lutte entre ses nou- veaux devoirs et le souvenir d'affections mal éteintes, réveillées par ses occu- pations même
sibilité était intacte et les pupilles ne présentaient rien d'anor- mal dans leurs réactions à la lumière et à l'accomoda
hôpital, fut opérée pour des glandes sup- purées au cou, de nature mal déterminée, eut quelques crises épileptiformes.
ntourée d'une couche de fibres assez épaisse, mais qui se colore fort mal et dans laquelle se trouvent enclavés un bon no
sieurs systèmes différents. Un grand nombre d'entre elles se colorent mal , étant plutôt jaunâtres, et se dégagent directe
e, ce tapétum est certainement moins volumineux que le tapétum nor- mal ; ses fibres constituantes sont plus relâchées et
e frontal, un champ de fibres très irrégulier et qui se colore fort mal , se dessine petit à petit et renferme, entre au
pilier antérieur du trigone. Ces deux forma- tions se colorent très mal et sont réunies sur la ligne médiane par un repli
be frontal. Ce sillon semble se prolonger sous la forme d'un septum mal défini qui pénètre dans l'épaisseur de la paroi v
décrit tous les caractères cliniques néga ti fs et posi ti fs (nor- maux et pathologiques) qui nous permettent d'attribuer
rmaux et ne différant en rien par leur psychisme des individus nor- maux du même âge et du même niveau social. Von Hansema
-disant nanisme mitral, l'un par M. Bruneau de Laborie, l'autre par MAL Klippel et Cha- brol. Eh bien ! toutes les ob
ines femmes à faire des amniotites à répétition, ou tout au moins à mal conserver intactes les enveloppes de l'oeuf (1)
et de méd. coloniales, 1904, p. 285. 15. F. RA310tiD et P. JANET. - Mal formations des mains en pince de homard. Nouv.
i), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de la - ; son
ar KOPEZYNSKI et jAnosxYKSKi, 363. Pott (Sur la lésion osseuse du mal de ; son rôle dans la genèse de la compression
90. TABLE DES AUTEURS ALQUIER et Klarfeld. La lésion osseuse du mal de Pott. Son rôle dans la genèse de la compress
u pithiatisme (2 pl.), 363. KLAHFEf.n et Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de la compres
62 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t souvent plusieurs jours de suite à la maison pour se reposer, les maux de tète devenant de plus en plus violents. Enfi
vomissements de glaires qui coïncident avec les paroxysmes de son mal . L'appétit est cependant assez bien conservé. Les
thérapie s'accentuèrent alors rapidement. Au bout de deux mois, les maux de tète avaient presque totalement disparu. Le
artillerie, sans passer un seul jour à l'infirmerie, et sans que le mal ait reparu. Depuis, il s'est bien porté, et il es
Au mois de mai de cette année scolaire, il commença à ressentir des maux de tète qui, d'abord légers, ne tardèrent pas à
qu'un beau matin il accusa, sans cause bien appréciable, un violent mal de tête, accompagné d'étourdissements et de mau
éciable, un violent mal de tête, accompagné d'étourdissements et de maux de coeur. Cet état, qu'on crut d'abord passager
fois, la médication ne parut pas réussir. Au bout de deux mois, le mal avait encore augmenté et l'on dut renoncer à ce
pour la campagne, au mois de juillet, en excellente disposition. Le mal de tête ne le reprenait que quand le travail ét
ne. Il con- tinue régulièrement son traitement hydrothérapique; les maux de tête ont complètement disparu, et, au jour o
d'avoir tou- jours les pieds et les mains glacés, surtout quand le mal de tète est plus fort, et cela même pendant les
le dortoir, il se réveilla le matin avec de la fièvre et un violent mal de tête qu'il compare à celui qu'il a ressenti
trois pre- miers mois, tout alla bien. Mais, après cette époque, le mal de tète reparut, et il s'aggrava bientôt tellem
élèves de sa classe. Depuis environ six mois, l'enfant se plaint de maux do tète qui, assez faibles au début, sont allés
et s'ex- primait très facilement. Depuis un an, il se plaignait de maux de tête siégeant sur le devant du front, et qui
put y travailler durant toute une année. Mais, l'année suivante, le mal de tête reparut avec une telle intensité qu'on
de la glace pouvait seule calmer. En été, cure à Luxeuil ; elle fut mal tolérée. Ensuite saison de trois mois il Divonn
er. Cependant X... nous a dit que, dans les dernières semaines, les maux de tète étaient devenus de nouveau ,tl6 mv A.CL
aujourd'hui de douze ans, m'alété amenée, il y a deux ans, pour des maux de tète, qui, préoccupaient beau- n coupoles pa
par lui.. le Dr Millard.. Sous l'infliience,4 I'Iivdrotliérapié les maux .¡lle ¡tète ont cédé cette fois, rapidement., L
geant au front, et qu'il compare à un sentiment très douloureux. Le mal va en augmentant dans la journée et souvent est
abord, les' sentiments, les idées pénibles sont assez confus, assez mal déterminés dans tel ou tel sens. Cependant, l'a
hez. elle pendant.dit-sept ans : ;Avec Page 116si manifestations du mal se rapprochèrent de plus en plus, et, en 1866, la
jusqu'à ces trois- dernières années, elle appréciait clairement son mal , même au plus fort}des pa- roxysme's.1 OepÚis¡l
CONSC1ENCE. 37 Î les modifications survenues en elle et regrette le mal qu'elle fait : rmais1elle'esif domjll'ée ? ùbju
traitement par le quinquina, le musc , et la digitale enrayèrent le mal . M-0 L ou..... guérit. Ala convalescence lés tr
s' souffrances, mais, sa volonté est impuissante à réagir contre le mal . Pour- tant le sommeil est excellent, l'appétit
MIi\ ,par.lJa),.pç9 ? H 1 qy ,ses <,}Ip'¡ : ,ieurls.Jj lugeaient mal , et ne l'estimaient pas, consciente toutefois des
f 0."1)11 n"n '.1 ,'t/V'" '1' dans son esprit, elle fit part de son mal a ses compagnes. Tout' le'monde' l'entoura' d'a
, Par moments, des impulsions violentes à)'briser, et à faire dût mal la subjuguaient, impulsions qu'elle raisonnait sa
un meuble. A partir de .cette chute,. elle eut des'insomnies et des maux de tète parfois RECHERCHES suri LA ! rrOLIEJA\'
tobre, elle entra comme domestique'dans une,maisomoit.elle fut fort mal nourrie. Les troubles revinrent, avec l'anémie.
' une seconde suffira : 1 Elle se tsentitrtoute. la journée faible, mal ·à à soncaise,- .et en conclut à un empois sonne
onHrès'p'rononcée du fond-de l'oeil.' Peu 'après ? iiouvel état' de mal '(on1 compte jusqu'à qrïarante-sixà cin- quante
VERTIGES ÉPILEPTIQUES. 163 Il a toujours peur qu'on ne lui fasse du mal . Deux de ses camarades placent son lit entre le
1 ! Le 14 mai, Nouaux est un peu larmoyant. A son réveil, il a eu mal à la tête. Son langage est un peu diffus. Aurai
s ambi- tieuses, expansives, on n'en trouvera que d'enfantines et mal cohérentes; et ce qui frappera dès l'abord, ce
mes caractères d'indécision, avec les mêmes conceptions flottantes, mal déterminées, soit dans la démence sénile simple
qui termine parfois ces vies aventureuses de certains héréditaires mal équi- librés. Cette hypochondrie ne fait guèr
opathie de l'articulation métacarpo-phalangienne de l'index droit : maux perforants plantaires, dystrophie des ongles de
pied droit, au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne, un mal perfo- rant qui persista pendant quatre ans et
ans et nécessita, en 1879, l'am- putation du gros orteil droit. Ce mal perforant n'avait été pré- cédé d'aucune douleu
lus mobile queprécédemment. Vers la fin de la même année, un second mal perforant, tout à fait semblable à celui qui s'
sans qu'on puisse dire qu'elle soit véritablement atrophiée. Les maux perforants ont laissé des traces persistantes. A
une cicatrice blanche, froncée, peu épaisse qui occupe la place du mal perforant guéri en 1881. L'ongle du gros orte
étaché, un jour de l'hiver de 1881, pendant que le malade avait son mal perforant. Il est tombé spontanément sans qu'au
complète : 1° au niveau et au pourtour de la cicatrice de l'ancien mal perforant du côté gauche dans un rayon de deux
ement- instructive. Elle nous montre plusieurs troubles trophiques ( maux perforants plantaires, dystrophie des ongles de
iphériques et de troubles trophiques cutanés. Observation VIII. - Mal de Polt. - Abcès par congestion; déviation de l
jours, il n'y a pas eu de garde-robes. Pas d'esclrares. En somme, mal de Pot(ancien ayant donné lieu à une dé- viatio
uses d'herpès (OBs. IV) ou de bulles pemplii- goïdes (OBs. IX), des maux perforants plantaires (OBs. VII), des oedèmes c
eu en pro- portion sont atteints de cette céphalée ! L'origine du mal n'est donc pas là exclusivement. Quand le mal d
alée ! L'origine du mal n'est donc pas là exclusivement. Quand le mal débute, nos jeunes malades sont tous, on le rem
eux plus spécialement. Du reste, nous ne prétendons pas qu'entre le mal de tète et l'application du cerveau il y ait un
été le cas de D... qui, par deux fois, a pu se croire débarrassé du mal et qui en a été repris dans les conditions les
ous essayent de conti- 1 Voici la suite de l'observation de D... Au mal de tète s'ajouta au bout t de peu de jours un é
n apogée, ce n'est pas seulement le labeur scolaire qui exaspère le mal , c'est alors la lecture, même celle dite de dél
ellectuel est donc des plus évidentes : il entretient et aggrave le mal de tête. Il y a là une sorte d'action en retour
t aggrave le mal de tête. Il y a là une sorte d'action en retour du mal sur lui-même. La douleur est, du reste, toujour
dans cette guérison. Il est aussi certainement des cas légers, oùle mal ne fait, pour ainsi dire, qu'eflleu- rer l'adol
il a séjourné dans cette station. Toutefois, il a été repris par le mal aussitôt qu'il en est revenu. Il est, du reste,
'étaient adressés à des établis- sements non médicaux, s'en étaient mal trouvés. On confiera donc ces sortes de traitem
noyau et le nucléole conservaient leur forme et leur position nor- males et ne présentaient pas d'hypertrophie. (PL. III,
démence. Traitement des accès par l'acide sclérotinique. État de mal . -Tempé/'[tt1l1'e élevée.- Amélioration.- Broncho
a pas d'attaques, mais est très nerveuse et se trouve quel- quefois mal , à la suite de contrariétés. [Père, soixante-quat
peu, se plaint sans cesse. Pas d'oppression. - La poitrine résonne mal en arrière et à droite. Respiration rude, mêlée
publié, il y a quelque temps, un très bel exemple '. V. L'état de mal , auquel a succédé la broncho-pneumonie terminal
e dont il s'agit ne songea jamais à entraver cette fonction anor- male . Dans le cas contraire, et les deux observations
ne fièvre typhoïde, est restée pendant vingt et un jours en état de mal épileptique et dont les attaques ont atteint le
lgarisation. L'école de M. Charcot a fait faire il la théorie de ce mal des progrès considérables, et ces nou- \elles o
prit, lequel fait proufiter & aide, & non celuy qui fait le mal & qui aporte nuifance. Toutesfois afin que
la suite de cette couche, on a constaté l'existence d'une éruption mal déter- minée aux organes génitaux, et quelque t
ques. Logé le plus souvent dans des caveaux humides, se nourrissant mal et insuffisamment, il était obligé de travaille
nt jusqu'à ce moment, cause une certaine difficulté d'uriner. Son mal actuel date du printemps de 1878, quand une nuit,
cura un soulagement remar- quable, mais passager. Bientôt après, le mal s'aggrava de nouveau; outre le dérangement dans
; depuis cette époque jusqu'à l'en- trée du malade à l'hôpital, le mal parait avoir été stationnaire. Etat actuel (7 s
A l'oeil nu, les racines des nerfs spinaux paraissaient être nor- males ; il faut excepter les racines antérieures du cou
- taient pas mérycoles. L'autopsie n'a jamais montré rien d'anor- mal dans la conformation de l'estomac des individus a
a augmenté depuis l'usage des vomitifs. Soif modérée; urines nor- males . Rien au coeur; un peu d'emphysème; sensibilité e
sensations que dans un seul cas et d'une seule manière. Lui fait-on mal , soulire-t-i1, il pousse un cri inarticulé, tou
de rachitisme ni de scrofule; orteils courts, voûte plantaire nor- male . Organes génitaux : Verge petite; prépuce très
et devant n'importe qui; il parait cependant comprendre qu'il fait mal , mais éclate de rire lors- qu'on le gronde. I
cinq mois, la mère a eu une peur si violente qu'elle s'est trouvée mal sur le coup etn'a re- pris ses sens qu'au bout
es dont les pupilles réagissent . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 05 mal à la lumière. Elle fail exclusivement défaut chez
; un écoulement vaginal après son mariage, pas de maladies depuis; maux de gorge fréquents; chute de cheveux. A la suit
bservation à l'asile ayant révélé des attaques de grand et de petit mal , M. Froenkel tend à croire aux allégations émis
hique des aliénés n'a jamais été influencé par ce médicament, ni en mal , ni en bien, ajoute M. Richter : enfin, termine
urpris par une hallucination ou une illusion de la vue ou de l'ouïe mal définie : on l'appelle pour lui demander ceci o
tes sortes. Cependant, confor- mément à l'adage : Qui trop embrasse mal étreint : on peut, pour le moment, borner ses d
ueuse, qu'une émotion morale puissent troubler l'équilibre nutritif mal établi. « Ainsi compris, le diabète serait un q
63 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
l'Intimidation joue socialement, de l'aveu de tous, un rôle immense, mal compris parfois, mais nullement exagéré, Le Respe
a Bible témoignent de l'existence de cette madic chez les Hébreux. Le mal de Baal Péor n'était sans doute pas autre chose.
ramme de Martial qu'on ne peut guère traduire en français ? Le mari a mal au... pied ou ailleurs ; sa fcn.me y a mal aussi,
re en français ? Le mari a mal au... pied ou ailleurs ; sa fcn.me y a mal aussi, et son fils ci sa fille; et son gendre, et
et son fermier, et son laboureur, et son journalier, tout le monde a mal au même endroit. Et l'ode fameuse a Priape avec
a vous à prendre soin de lui. Suivez-le afin qu'il ne fasse point de mal . Je priai le lieutenant j Mac de m'accompagner.
ssant en face d'hommes en vue à qui ils ne voulaient en réalité aucun mal , poursui-vatenl uniquement des revendications per
z Baillière et Fils , rue Hautefeuille, 19; Paris,1890. Là est le mal , et pour en arrêter les progrès, il faut en tarir
aire des victimes ; cependant, si nous tentons d'enrayer la marche du mal . nous aurons déjà fait quelque chose d'utile. N
age, suivant mes tor-ces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne
des faits — et donnerai consciencieusement mon avis sur la nature du mal ; au quatrième jour d'une maladie aiguë, j'averti
alin qui s'est livré à cette petite spéculation. « Si le rhume tourne mal . on dira : quelle prévoyance ! et s il guérit: qu
reux — c'est un puits de science ; pour les autres son mutisme masque mal sa nullité. « Docteur Chilosca, si nous mettion
ent le crédit dont le médecin a besoin, et elles n'ont jamais fait de mal à personne. Le Docteur 'Polypharmaque prescrit
on et de li circoliiion din» lìiypnose. Pragrr. mid. Woeb, li aoùt. MAL BER TI : L'hypnotitme et 1« triitcrceat dei foos.
, avec l'épilepsie, prouve bien en faveur de l'origine héréditaire du mal ; néanmoins leur constatation chez certains sujet
. Son langage est correct, mais elle ne sait plus coudre, calcul très mal de tête, quoique caissière. Les auteurs font re
vient la nuit, demande a rester seul avec la malade pour conjurer le mal ; après force pratiques de sorcellerie plus ou mo
ai qu'un conseil à vous donner : faites-vous donc hypnotiser! Les maux dont vous souffrez, en un clin - d'œil vont dispa
atrophier. Faites-vous hypnotiser!... C'est la panache contre tonales maux , la baguette magique qui conjure tous les mauvais
chien; depuis ce moment, il a. pendant le jour, des attaques de petit mal . mais pendant la nuit il a de grandes attaques da
s la grande majorité des cas, impuissant contre les attaques du grand mal épileptique. par contre, il pourra toujours, s'il
re les résistances qu'on oppose à leurs désirs, un besoin de faire le mal , dût-il entraîner après lui la ruine et le déshon
orceau de papier : Maltraitée par mon père ne voulant pas me conduire mal je mets fin à mes jours : , je pardonne à mon pèr
e se précipiter sur elle et de détourner le coup: cilene se fit aucun mal et accoucha d'un enfant vivant le 18 avril. Depui
ts fournissent une preuve convaincante de la réalité pathologique des maux dont elles se plaignent. Et pour revenir à notre
était indispensable, après avoir an préalable déterminé la nature du mal , de mesurer l'etendue. actuelle des altérations.
chien. 11 fait laver ses habits, les vend et se reproche ensuite les maux imaginaires qu'il a pu communiquer ainsi à d'autr
est comme le collégien qui fome son premier cigare ei s'en est très mal trouvé; il n'en a pas moins recommencé le lendema
e même insuccès j'emploie alors le choréop. tismt (1), qui produit le mal de mer et les nausées. la fille Caffo sortait de
ndues par des tribuns populaires : les masses, suggestionnées pour le mal . deviennent féroces; c'est l'anarchie, c'est la v
tions sans suites, de phrases à sens vague, de conceptions délirantes mal reliées entre elles. La faiblesse cérébrale qui
ébilité sont venues se greffer des idées mélancoliques, incohérentes, mal systématisées, peu adhérentes, comme elles le son
ations crâniennes, anormalités de visage, défauts dentaires, oreilles mal conformées ou mal placées. Les prostituées prés
anormalités de visage, défauts dentaires, oreilles mal conformées ou mal placées. Les prostituées présentent aussi un no
ations physiologiques nouvelles dans la crainte d'être dupes de faits mal observés ou falsifiés ? « Nous ne l'avons pas p
vec l'hypnotisme. Dans l'espèce la somnambule en question a agi auusi mal que le ferait un médecin qui a hésiterait pas à r
on met à l'épreuve et le danger qu'il peut y avoir de b part des.gens mal intentionnés, qui peuvent étudier pendant lesdite
OTISME A LA COUR D'ASSISES Un récent procès criminel est venu, fort mal i propos, remettre sur le tapis la question de l'
nette pour que Gabrielle Bompard sache ce qui est bien et ce qui est mal . Lille n'est pas atteinte d'aliénation mentale; r
motifs qui l'ont poussée à tuer une personne qui ne lui voulait aucun mal , et si, par hasard, ce ne serait pas M. Bottey qu
ser d'autre impression qu'une certaine fatigue musculaire et un léger mal de tète. « Quelques jours après, la mère de M.
monde, peut, alternativement, être employée pour raccomplissement du mal ou utilisée pour le bien. (a suivre.) DISCUSS
ts d'un docteur, et souvent dans les remèdes prescrits pour guérir un mal qui n'existait pas. L'hypnotisme supprime facil
arguments soulevés contre l'hypnotisme par les ignorants et les gens mal informés. Dans aucun cas je n'ai vu la pratique d
z ncllo pour que Gabrille Bompard sache ce qui est bien et ce qui est mal . EUe n'est pas atteinte d'aliénation mentale; rie
s, qu'elle s'efforce d'appliquer à l'étude des maladies nerveuses, si mal connues avant l'intervention de son chef. Entre
legmons (3), les bronchites et les hémorrhoïdes (4), l'hydropisie, le mal de Brigh, l'aphasie, l'atrophie du nerf optique (
rés chez 21 malades sur 22! Si nous n'avions auparavant hypnotisé pas mal d'hystériques femmes, quand nous prenions leurs o
que personne ne lai contestera la priorité de l'idée qu'il se fait de Mal second. (1) Gazette des Tribunaux, 20 déc. 1990
. VII, fasc. 3. 1890.) Solder (J.-N-). — Hypnotisme. (Méd. pop., 20 mal 1890, p. 216.} Shoeraker (J.-V-). — Spiritualis
x : 32 à 100. normal. Une troisième malade. Gn____atteinte de grand mal hystéro-comitial, compliqué d'hallucination de
use, elle juge la portée de ses actes, elle a la notion du bien et du mal , elle distingue par l'esprit, sinon par le sentim
e les aveugles moraux connaissent encore la distinction du bien et du mal . Ils savent fort bien qu'il faut faire telle chos
e forte pression dans le ventre, mais cela ne lui faisait presque pas mal . A 7 h. m. elle dit À sa voisine : ¦ Allez cherch
eut lieu la délivrance. Elle m'a raconté après qu'elle a eu très peu mal dans la nuit el pas du tout au moment de l'accouc
Après 5 m. de sommeil, demande que je la réveille, que cela lui fait mal . Jela réveille au bout de 10 m. ; réveil difficil
fre plus, dit qu'elle est très bien : € Cela presse, mais ne fait pas mal ». Mais à chaque contraction, qui sont très forte
t légèrement, mais se tranquillise dès que je lui dis qu'elle n'a pas mal , que j oie les douleurs. Elle se plaint d'avoir m
s qu'elle n'a pas mal, que j oie les douleurs. Elle se plaint d'avoir mal au cœur Je lui suggère que cela est passé, elle r
bout de 3/4 d'h. Elle dit avoir bien dormi et n'avoir presque pas eu mal . Pendant 1/2 h. elle reste tranquille, se plaigna
m. durent 50 s. De temps eu temps elle gémit et dit que cela lui Tait mal . Alors je lui donne une compresse trempée d'eau;
ans d'aulres. 11 ne craint pas de soutenir que le jury a fait plus de mal à la société que la torture elle-même, a L'ignora
tout en affirmant qu'elle ne devait rien sentir, qu'elle n'avait pas mal . A partir de ce moment, la patiente n'agita plus
e n'avait pas souffert, mais qu'elle venait d'être prise d'un violent mal de gorge, qu'elle croyait étouffer et que, depuis
guère avoir d'imporlance pratique en accouchement. Le moment est bien mal choisi, en effet, pour tenlcr l'expérience et la
es causes, souvent la cause principale, et parfois la cause unique du mal organique. Un mot encore ; des expériences, com
suggestion était possible. De plus, le sujet ayant accusé de violents maux de tète, ils avaient trouvé que l'hypnotisme ne p
nditions défavorables, je repris le traitement psycho-thérapique. Les maux de tète furent rapidement combattus par la sugges
ccouchement la femme se sent faible, tousse, gémit, se plaint d'avoir mal à la poitriue, crache de l'écume sanguinolente.
sommeil profond pendant 10 m., à la fin je suggère de ne ne pas avoir mal k la tête à son réveil. Au réveil, la femme dit q
qui, selon M. Levillain, jouent un rôle important dans l'évolution du mal ; Yamyosthénie douloureuse, la rachialgie et l'hyp
C'est qu'en effet le diagnostic est ici l'élément capital : que de maux de tète, de vertiges, de troubles digestifs et ci
ciété de Psychologie physiologique. — On sait que, dans certains cas, mal déterminés encore, il est arrivé qu'on ait cru vo
'on n'a pu hypnotiser cette proportion, on doit se dire qu'on procède mal , qu'on n'a pas l'expérience nécessaire, ou qu'on
on procède mal, qu'on n'a pas l'expérience nécessaire, ou qu'on a été mal dirige1. L'art de suggérer s'apprend, par l'habit
océdés exigent un apprentissage. Au début, on ne réussit pas; on voit mal , on entend mal; on croit qu'on n'arrivera jamais
un apprentissage. Au début, on ne réussit pas; on voit mal, on entend mal ; on croit qu'on n'arrivera jamais à voir et à ent
: elle avait des appréhensions, elle s'imaginait qu'on lui faisait du mal , devenait méfiante, redoutait de se trouver seule
...? C'est vrai! je me souviens ». L'impression existe, mais elle est mal conservée. «Aujourd'hui, près d'un mois s'est é
uelques minutes dans ce semi-état d'engourdissement et se plaignit de maux de tète. Je lui expliquai alors tout doucement qu
de rester auprès d'elle, mais maintenant tu ne peux plus lui faire de mal , mais rien que du bien. Tu ne peux plus lui faire
gestive, ou son état en est amélioré subjectivement, si toutefois son mal est accessible à la suggestion. Ceci explique jus
Il y a un an, elle avait fait un séjour à l'hôpital d'un mois pour un mal de ventre ot des points douloureux disséminés ; s
torchon malpropre sans ressentir une impression désagréable : elle a mal au bout des doigts et ne peut s'en servir. Enfi
64 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
e antérieurement par les mêmes auteurs pour l'attaque et les états de mal hystérique. a Entre l'hypnose provoquée et l'hy
A notre seconde séance, M110 Y. G. me raconte qu'elle a, par moments, mal dans le ventre et qu'elle ne peut se baisser sans
ologique, personnelle, une influence morale et cérébrale; si elle est mal placée, si le maître n'en sait pas tirer parti, l
rs, est resté complètement raide. Ajoutons que notre malade dort très mal la nuit ; il ne cesse de rêver de médecins et il
; il ne cesse de rêver de médecins et il craint qu'on ne lui fasse du mal . Cette jambe gauche présente un raccourcissemen
t aucune amélioration. Le malade est obsédé par la persistance de son mal ; il y pense sans cesse le jour et en rêve la nui
ésiques moraux, des amoraux; ils ne discernent pas ce qui est bien ou mal ; ils y sont complètement indifférents. D'autres
y sont complètement indifférents. D'autres ont la notion qu'ils font mal et ils désirent s'amender; mais ils sont impuissa
resse cocaînique complète. Tous prisent avec fureur de la cocaïne. Le mal est devenu tel que le Conseil municipal a pris un
le traitement de troubles névropathiques divers (trac des chanteurs, mal de mer, agoraphobie, onanisme, timidité.etc...).
tions physiologiques nouvelles, dans la crainte d'être dupes de faits mal observés ou falsifiés ? Nous ne l'avons pas pensé
et $i tendre. » . On pourrait objecter avec raison que le lïernin a mal interprété efe déformé Ick sensations intimes don
à lire des romans et ce divertissement ne; « lui faisait pas tant de mal qu'à moi ; nous oubliions nos autres devoirs « po
, qui pis est, j'y prenais plaisir, ce « qui fut lu cause de tout mon mal ... « Je reçus un grand préjudice d'une do mes p
cation de cette dernière, et qu'en définitive la jeune Thérèse allait mal tourner; il fut alors contraint de prendre ce que
s tJOTiiis-sements nerveux qui persistèrent pendant vingt ans, et les maux de cœur dont la sainte se plaindra à chaque page
e j'en « fusse fort contente : mes défaillances augmentèrent et mes maux de « cœur étaient si grands que se trouvant joint
ux de « cœur étaient si grands que se trouvant joints à tant d'autres maux , on « ne pouvait les voir sans étonnement. Je pas
ait les voir sans étonnement. Je passai ainsi la première année. « Le mal était si grand que je n'avais toujours que fort p
douleurs, « et elles sont quelquefois bien grandes principalement des maux de « cœur, quoique je ne tombe pas souvent dans c
nfluence d'une autosuggestion elle détermina une exacerbât ion de ses maux de cœur: « Il y avait alors une religieuse mala
ventre par lesquels elle rendait la nourriture qu'elle prenait. Ce « mal qui donnait de l'horreur à toutes les sceurs ne p
s grandes.... » Sainte Thérèse avait si bien atteint son but et les maux de cœur augmentaient â tel point, qu'il fallut co
ant les deux pre-« miers mois me mirent presque à l'extrémité : et ce mal de cœur si « extraordinaire, pour lequel on me tr
e je n'avais ni jour ni nuit un seul « instant de repos, et tant de maux joints ensemble me mirent dans « une profonde t
et permettre les violations de domicile. Le remède serait pire que le mal ; 2° Représentations publiques d'hypnotisme. —
fisamment armées pour défendre la société contre les méfaits des gens mal intentionnés. Le sentiment de cette responsabilit
frit de « grandes infirmités » (3), et, tout l'hiver, elle tomba d'un mal dans l'autre. Le 3juin, elle écrivait: « J'ai com
lement pour s'excuser, mais vraiment par la conscience. qu'ils ont de mal faire; et plus d'un exprimait le désir (d'autant
ulant au crime. En prison presque tous déclarent qu'ils se trouvent mal , pas tant par l'alimentation que par l'isolement.
ément très bien; elle est très maigre, mais elle vit ni plus ni moins mal que beaucoup d'autres malades qui mangent à belle
de boule qui remonte, puis du vertige, une tendance à se trouver mal ..., elle se débat et tout se termine par une expl
ort que ce piqueté, semblable à des piqûres de puces était spécial au mal comitial ; chez cette femme il s'agit seulement d
rée à l'identité des symptômes émotionnels, etc., tout cela s'accorde mal avec l'hypothèse qui attribue à l'idée un rôle to
Marguerite d'Angennes naquit en 1643. En nourrice, « il lui vint un mal dont elle ne fut pas bien pensée (sic) ; de quoi
le sang, et quoique cela ne dura guère, elle en demeura beaucoup plus mal que l'autre fois, son poumon paraissant tout à fa
mois environ avant sa mort, c'est-à-dire vers le 30 juillet 1660, le mal s'aggrava. « Elle n'avait plus de repos les nuits
e premier qu'elle prit ne produisit pas cet effet; mais il charma son mal et sa toux, et la laissa dans un fort grand calme
n qui étaient fort grandes »(6j. A cinq heures du soir, elle fut très mal , mais « au bout d'une heure et demie, son oppress
evenues si fâcheuses que, quoiqu'elle ne se plaignit point des autres maux , elle m'exprima la peine qu'elle souffroit de cet
anifeste et les malades n'hésitent pas à reconnaître qu'ils sont très mal doués au point de vue du pouvoir modérateur. En e
A 13 ans, d'autres accidents apparurent qui persistaient à 15 ans : « Maux de tête, colique, débilité générale, extrême diff
ue, débilité générale, extrême difficulté de respirer, c'étoit là ses maux habituels ; mais le pire de tous étoit une enflur
ystérique, amyosthénie hystérique, dyspnée hystérique, c'était là ses maux habituels, mais le pire de tous était une tympani
hystérique qui datait de plusieurs années. » En effet, de tous ses maux et de cette « enflure prodigieuse » Magdelaine-Cl
te Baudrand avoit perdu la voix (aphonie hystérique) ; ayant un grand mal de tête et oppression de poitrine (céphalalgie et
ession de poitrine (céphalalgie et dyspnée hystérique): tous lesquels maux lui avoient continué jusqu'au jour de la Sainte-T
es dans l'aphonie hystérique. Les médecins a résolurent d'ouvrir le mal le lendemain » (*). Ce fut le commencement de la
ns « auroient trouvé icelle Baudrancl parfaitement guérie de tous les maux ci-dessus sans qu'il parut aucune marque ni vesti
'échappe de ses lèvres. Depuis l'avant-veille, elle a encore vomi pss mal de fois, mais elle a pu supporter la boisson que
périeux besoin de manger constitue toute la crise. Il s'agit ici de mal comitia] tardif, lequel débute à vingt, trente, q
n terrain d'hérédité et d'artériosclérose n'a pas pour aboutissant le mal comitial ou même si le paroxysme d'angoisse n'est
ui. Le soir, il se sent étourdi et vcit tout tourner; la nuit il dort mal et rêve beaucoup. Depuis lors il présente, à peu
ge pour a éteindre les flammes de la concupiscence. Il fallait que le mal fut « pressant pour recourir à un remède si viole
'âme sur le corps. Ainsi par la volonté seule peut-on guérir bien des maux physiques... » • a Aujourd'hui le docteur L
s formations de phénomènes psychiques réels, mais ces phénomènes sont mal interprétés et n'ont presque jamais été rapportés
n par l'intermédiaire de l'organisme de la mère ('). Il y a aussi des maux ou des marques dûs à la sympathie qui viennent qu
tiques en leur faisant espérer la guérison ou le soulagement de leurs maux ; « Qu'en agissant ainsi et en répétant, pendan
s, il a montré que le médecin pouvait beaucoup de bien ou beaucoup de mal dans le traitement des maladies ; il a surtout in
ri qui me dit : « Elle ne voulait plus revenir et j'ai eu beaucoup de mal à l'amener. » — Pourquoi donc n'étes-vous pas v
nets et je m'y suis installée. Or, cet endroit était si malpropre, si mal tenu, que j'en ai été dégoûtée, et je suis sortie
f, si avisé, devient indifférent à tout; il travaille sans goût, fait mal sa besogne et reçoit des reproches auxquels il ne
is on l'accuse d'avoir voulu donner la mort à sa femme ; il se défend mal , on l'incarcère, il va passer aux assises. Au bou
me privilège tous les guérisseurs. Cependant, les magnétiseurs sont mal inspirés, lorsqu'ils invoquent la tolérance qui l
rveux touchant l'aliénation mentale, après des pratiques d'hypnotisme mal dirigées ; le massage ne" déterminera plus la mor
n ne verra plus d'albuminuriques victimes de l'hydrothérapie employée mal à propos. Sur la proposition qui en est faite, le
aturel pour la coprophagie. a Elles ne souffrent, dit-il, jamais de maux d'estomac tandis que les hommes sont atteints de
gestion et des exercices de marche, la contracture se reproduit, avec maux de tète atroces. Je suis remercié. Entre parenthè
ste et de bonne santé, prend le lit, atteinte d'une fièvre très vive, mal de tète, envie de vomir, langue sale, étouffement
st marqué au sceau de la dégénérescence. Si on le gâte, si on l'élève mal , si l'on satisfait tous ses caprices, il aura non
cette femme a eu des idées de persécution; tout le monde lui veut du mal . Elle a fait de la folie hystérique. Cette jeun
oir, il est inutile de rien tenter pour te guérir ou pour adoucir tes maux ; prends et fais ce qui te fera plaisir, tu es per
des agglomérations confuses, des assemblées non organisées; c'est un mal inhérent au manque d'organisation ; c'est la mani
condamnés s'inspire uniquement de cette idée que l'homme qui fait le mal est un malade le plus souvent guérissable. En ma
ne voix du ciel, qui lui dit que la prière était le remède à tous les maux . Sachant que la Providence se sert volontiers des
65 (1911) La pratique neurologique
. lettres devraient être lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male . ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l'état nor- mal , sont atteints de cécité pour une, pour plusieurs
e exactement sur l'objet qu'on lui demande de fixer. L'oeil- voyant mal l'objet qu'il fixe .se porte instinctivement de c
l'objet lumi- neux; la flamme de la bougie vue dans sa-forme nor- male par l'oeil- gauche est traversée verticalement
Quant au mécanisme de leur production, il est, pour le moment, fort mal connu; l'explication par réflexe semble bien n'
le malade constate, de lui- même, qu'il voit l'objètdu'il fixe plus mal que ceux du voisinage; enfin, il arrive aussi,
ie; atteint d'hémianopsie droite, par exemple, il se plaint de voir mal les objets situés à sa droite. Souvent, il croi
s hémianopsies par lésion des ganglions centraux sont, à vrai dire, mal connus. Les para- lysies associées, les modific
et la signification précise des inégalités pupillaires sont encore mal connus. Néanmoins, une inégalité pupillaire con
La signification de ce trouble pupillaire très rare est d'ailleurs mal connue. On ne l'a rencontré que dans des maladi
e, leur TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 101 trajet, encore mal connu doit être analogue à celui des autrcs-mouve
iables, mais on ne peut s'empêcher de remarquer combien ils cadrent mal avec les théories logiques de Fleschsig, sur le
déter- mine la lagophtalll11l' : manquant de tonicité, il applique mal les pau- pières sur le globe, d'où le sillon re
maladies graves, aux approches de e l'agonie, le clignement se fait mal , les yeux restent entr'ouverts, d'où la product
se ce uerf avec le rameau lacrymal de l'ophtalmique; I, nerf lacry- mal ; li, glande lacrymale. TROUBLES DE LA 310TLLlT
\AItOETËS 1· : 'l'IOLOl : IlliL. Les causes du nystagmus sont trop mal connues encore pour per- mettre d'établir une b
ineurs et celui des affections de l'oreille dont les causes, encore mal connues, sont, peut-être d'origine nerveuse; à
t très diminués pendant, les périodes de nystagmus. La cause en est mal connue. On l'attribue à la position couchée des
des mineurs et le nystagmus auriculaire dont les causes sont encore mal connues, à part le nystagmus lié à une affection
it l'oblitération des voies d'écoulement des larmes (points lacry- maux oblitérés oit évcrsés, oblitération du canal nasa
on de la cornée, des paupières, de la conjonctive, des voies lacry- males , des fosses nasales. C'est un larmoiement réflexe
assez souvent' l'évolution suivante : après un refroidissement, des maux de tète violents s'installent, tous les signes
n psychique en rap- port avec l'obstruction respiratoire est encore mal connu. Pour Guye, il s'agirait surtout d'un eng
me, c'est à tort que l'on a appelé « vertige epiteptiquc » le petit mal comitial dont le syndrome essentiel est l'affaiss
ire et parallèle; c'est le vertige, de translation. Le vertige du mal de mer, le vertige du mal des montagnes sont, c
vertige, de translation. Le vertige du mal de mer, le vertige du mal des montagnes sont, comme les précédents, dus i
ations directes avec le. liquide labyrinlhique. La résistance auor- male au vertige voltaïque peut ainsi être parfois un s
ns les névroses. Nous avons dit que le petit [A. LÉRI VERTIGES. mal comitial qu'on appelle « vertige épileplique » n'
immobilisation. Ces règles sont notamment applicables au vertige du mal de nier et, du mal des montagnes. Les médicamen
règles sont notamment applicables au vertige du mal de nier et, du mal des montagnes. Les médicaments calmants et anes
recherche de l'aura, des équivalents, permettront de reconnaître le mal sacré. Dans l'ictus laryngé, le malade ressent
morsures, pétéchies cervicales) révéleront d'ordinaire la cause du mal . - Il convient d'ajouter que le diagnostic peut
déter- miner des accès épileptiformes. Certains comas sont encore mal étudiés, tels sont les accidents du coup de fro
les syphi- litiques à la période secondaire dorment peu et dorment mal ; il en est de même encore au cours des affectio
u moins paralysé, le souffle court. La colonne; d'air expiré semble mal utilisée (dyspneumie de Pierre Marie). La bouch
ondre en un inintelligible bredouillement. La voix est, quelquefois mal posée, bitonale, quelquefois aussi extrê- memen
lus compliqués (jusqu'à 5 et 6 chif- fres). Si le malade parle trop mal pour prononcer ces nombres, lui demander de les
quées de répétitions fréquentes de mots ou de groupes de mots, sont mal construites, le verbe y est à l'infinitif, l'ar
, l'article supprimé. La parole de l'interlocuteur est en général mal comprise ; ou si quelques mots sont entendus, u
ait parfaitement ce qu'il doit accomplir, niais ses mouvements sont mal coordonnés, saccadés. Toutefois. l'ataxique vis
es empêche pas. Certains malades entendent des tintements, des sons mal déterminés, c'est l'hallucination auditive élém
ia- (PICS, le délire est ici polymorphe. Elles existent aussi, mais mal coor- données dans le délire alcoolique chroniq
és, les idiots; il tous, le médecin donnera la notion du bien et du mal , fera comprendre l'utilité des principes de la
t de la substance grise de la moelle du côté opposé (origine encore mal connue) et se rendant au cervelet par les pédon
e tou- cher simple comme toucher; lorsque les -malades interprètent mal les impressions venues de la périphérie et qu'i
èves du service de s'être appuyés sur sa jambe et de lui avoir fait mal . alors qu'en réalité, on l'avait tout simple- m
ïe, du goût et de l'odorat avec la couche optique, sont encore fort mal connues. L'hémianesthésie thalamique présente
éninges, de la moelle; par myélite transverse, syphilis médullaire, mal de Pott, etc.). Caractères. Dans la paraplégie
s'installent simul- Fil ! . 10. Paraplégie sensitive dans un cas de mal de Pott. Ancsthésie au tact, à la douleur, moin
syphilitique, compression osseuse ou par lumeur, cancer vertébral, mal de Pott). En général, elles portent en même tem
S4, S5) prises en bloc (leur distribution individuelle étant encore mal connue), on est moins avancé pour les autres raci
on pathogène sur les racines nerveuses; on a pu l'observer clans le mal de Pott et au cours de la méningite tuberculeuse
té, que chez, les malades qui ont été soumis a des examens médicaux mal conduits. D'après Babinski, on ne la trouve jam
ggestible. On ne deman- dera pas, par exemple : « Cela vous fait-il mal ? » en comprimant un nerf en un point donné, ma
ma : irradiation en ceinture le long des nerfs intercostaux dans le mal de Polt; irradiation dans les membres inférieur
névrites, la douleur à la pression des apophyses épineuses dans le mal de Pott, les points de Valleix dans la sciaticpie
ba lions nocturnes qui sont presque pathognomoniques; en effet, les maux de tête des syphilitiques apparaissent le soir,
pille. Douleurs de la nuque, Elles sont dues, le plus souvent, au mal de Pott sous-occipital ou cervical ; aux exsudats
ontrent dans les affections dcs vertèbres et en particulier dans le mal de Poil. Ces douleurs, ordi- nairemcut. localis
1occ1). Les causes patho- géniques des algies centrales sont encore mal connues, elles relèvent du domaine de la psycho
isement de la douleur justifie les opéra- tions tendant à guérir le mal en attaquant directement la cause. Les douleurs
stéites, fractures), les tumeurs du sein, les affections du rachis ( mal de Pott, scolioses), les tumeurs intra-rachi- d
a névralgie sciatique sont très nombreuses : lésions des vertèbres, mal de Pott, lésions méningées et compressions radicu
e crois que la sciatique spasmodique est souvent symptomatique d'un mal de Pott. La sciatique double dépend fréquemment
e de la céphalalgie et de' la rachialgie. - LES CÉPHALALGIES Le mal de tête est un symptôme fréquent et commun à de n
ections para- typhiques, la grippe, etc. Ces céphalées sont souvent mal localisées, n'ont pas une violence extrême, s'a
."> Enfin, nous avons dit que la compression de la moelle par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tum
a trouvé, sur 10 cas, les réflexes du côté paralysé trois fois nor- maux , deux fois affaiblis, cinq fois exagérés. Dans
ioration sont fréquentes ; on peut même observer dans quelques cas ( mal de Pott, par exemple) la succes- sion de phénom
ions incomplètes avec paralysies flasques dont la raison s'explique mal en dehors d'altérations périphériques. On a décri
'une paraplégie spasmodique, le clinicien doit songer avant tout au mal de Pott, à la sclérose en plaques, à la myélite s
lorsque la lésion est une hémato- myélie par décompression brusque ( mal des caissons, maladie des plon- geurs, des scap
tes les compres- sions médullaires intrinsèques ou extrinsèques, le mal de Poil, le cancer vertébral, la s ! J1'il1goll
sur, celle que tient sous sa dépendance la tuberculose vertébrale ou mal de l'oll. Le diagnostic en est parfois très fac
ire n'est pas le seul, ni même le premier il se révéler au cours du mal de Pott. II existe également un syndrome rachi-
de lymphocytose au cours des accidents pottiques. On a décrit un mal de Pott syphilitique; sa rareté nous dispense d
ce degré dans aucune autre affection, si ce n'est peut-être dans le mal de Pott. Elles sont suffisamment intenses, suff
médullaire présente des tableaux cliniques variables. Comme dans le mal de Pott, la moelle peut être atteinte de' façons
eau) ou indirect (fracture, luxation rachidienne) de la moelle, par mal de Pott [vertèbre cariée (voussure subite), rup
nous l'avons déjà dit, est toujours flasque au début (sauf dans le, mal de Pott où les paraplégies, par compression à d
moelle, la sclé- rose musculaire essentielle chez le vieillard,- le mal de Pott, la sclérose en plaques, la myélite syp
é. Si le trapèze, le rhomboïde, l'angulaire de l'omoplate sont nor- maux , la paralysie du grand dentelé n'amène pas de déf
ression des larmes. Le muscle de llorncr dilate les points laC1'\'- maux , les attire en dedans et les fait plonger dans le
sparu. On trouve alors des troubles de sensibilité qu'on s'explique mal si on ignore la topographie radiculaire sensitive
traumatismes, les com- pressions (lésions de la colonne vertébrale, mal de Pott, tumeurs, adéno- pathies), les .névrite
es sans lin et, malgré cela, il est encore bien des points qui sont mal connus et qui donnent lieu à discussion. lous ne
. Toutefois, on s'explique . [LANNOIS.] 646 MALADIES DU LARYNX. mal que ce soient surtout les noyaux des dilatateurs
e chez tous les malades inégales, irrégulières, striées, dentelées, mal implantées, chevauchant l'une sur l'autre : chez
se demander s'il ne s'agit pas d'affections fébriles intercurrentes mal caractérisées qui donneraient un coup de fouet à
ch. f. Nervenheilk, 1 X()¡, p. 410. 4. Stumpf. Centmtlit. iiiiiei-e Mal ., 189Ô. . [A.LÉRL] fi'1'2 12 ATROPHIES MUSCUL
ils sont abolis ou diminués dans la moitié des cas, à peu près nor- maux souvent, exagérés rarement (Sainton); ces modific
t reconnaître une cause commune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les mal . de la moelle, Paris, lu. 2. <CO ! .MX. Th.
t Loustk. Arch. de rnédec., 1905, p. 78. 2. CIIAIICOT. Ler. sur les mal . du sllst. rteru., '1887, p. 27. Leç. du mardi, 1
xtrémité, du membre supérieur, aux doigts. La cicatrisation se fait mal ou incomplètement, la région reste sensible, un
vr. Soc. des Sciences médic. Lyon, 1900. 2. 1l : ouow. Traité des mal . du syst. nerv., traduit par L.-Lagrave, p. 628;
tané : adipose, oedème; dents : irrégulières, striées, dentelées, mal implantées; glandes : lésions diverses (thyroïd
ération, mais elle n'aurait plus rien de fonctionnel. On s'explique mal une hypertrophie musculaire ainsi localisée et
rtrophie musculaire ainsi localisée et isolée, et ces faits, encore mal définis, qui paraissent rentrer dans le domaine
die de Thomsen, nous avons fort tendance à croire que la limite est mal tranchée entre ces cas divers, qu'ils appartien
Les muscles hypertrophiés ont leur puissance volontaire tantôt nor- male , tantôt augmentée, assez souvent diminuée ou très
uement, tombe assis, puis se relève aussitôt lui-même tant bien que mal . On peut se demander quel rôle l'incoordination
frigidité et impuissance, troubles oculaires, atrophie musculaire, maux perforants, chute des ongles et des dents, hype
esthésies, perte du sens musculaire, enfin incoordination, démarche mal assurée et talonnante, signe de Romberg; on n'obs
- rieurs, est avant tout un trouble sensitif : si le malade exécute mal les mouvements les plus simples, c'est surtout
ité profonde, musculaire, articulaire et osseuse; s'il exécute plus mal encore les mouvements plus complexes, c'est ava
es, vertiges, somnolence. On a noté également des attaques de petit mal , de l'asynergie, des ictus successifs. La mort, c
it en travers comme dans les maladies bulbaires classées. La parole mal formée, nasillarde au début, s'étouffe de plus
imentation nous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani- mal la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la rég
rapprochée qu'ils arrivent à constituer ce qu'on a appelé l'élal de mal . Dans les névroses, les attaques peuvent se rep
. Elles sont généralement précédées par les manifestations du petit mal , absences, vertiges, convulsions incomplètes sa
naissance. Il y a pourtant quelques traits qui les différencient du mal comitial, outre la présence de l'albumine dans
même coup sur coup, devenir subin- trantes et constituer Y étal de mal , lequel conduira il la mort par collapsus ou au
iale typique peut alterner avec des attaques anormales, dites petit mal , ou être remplacée par elles : il s'agit alors d'
le, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a décrit un état de mal ? s/en'<7Me. Ce qu'il importe de savoir surt
Croctj de Bruxelles pense que ces tn'lI1h]eurs, en apparence nor- maux , sont des sujets pathologiques, et il pense, que
i se révèle par l'insomnie et qui peut être le prélude de l'état du mal choréique. L'excitabilité mécanique et électriq
un délire hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'état de mal : ces troubles psychiques sont peut-être d'orig
ente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'état de mal choréique; dans certains cas, l'apparition de la
nt par le syndrome auquel nous avons déjà fait allusion : l'état de mal choréique qui s'annonce par des agitations extr
elques mala- dresses : l'enfant laisse tomber un objet, il se tient mal à table ou bien il grimace, les parents s'évert
on- naît deux variétés principales. C'est tout d'abord l'état de. mal choréique qui est semblable à un délire d'intox
ques cas, elle est alors le plus souvent symptomatique d'un état de mal ou d'une complication, mais quelquefois elle pe
ée est caractérisée, comme nous l'avons déjà indiqué, par l'état de mal , par l'élévation dé la température, par l'exist
dans 2 à 2 12 pour 100 des cas. et elle se produit alors par état de mal ou épuisement nerveux, comme dans le cas de Bar
clmrca lactantiurn : quelquefois la mort peut survenir par état de mal choréique comme dans le cas c.lc l3echtorell' (
et par sa déformation progressive qu'il devient tic; la limite est mal tranchée, entre le geste, normal et le tic, il y
cune part au tic; les mouve- ments sont il la fois trop violents et mal dirigés; une analyse plus atten- tive montre qu
sie, constipation, crises diarrbéiques favorisées par l'habitude de mal manger, trop et trop vite; pollakiurie et polyu
mple, de jouer du piano ou du violon, etc. Le mot crampe est très mal choisi ; il implique l'idée d'une douleur qui e
Bonnier a observé un cas de crampe professionnelle symptomatique du mal de Bright et améliorable par le régime lacté, e
des affections cérébelleuses (Dejerine) ; on l'a rencontrée dans le mal cle Pott (Dcjerinc) ; dans la syringomyélie (De j
([seudo-acronOalie), de la sclérodermie, de la sclérodactylie. des maux perforants, des panaris analgésiques, de la gangr
arder sur les troubles tro- phiques viscéraux : ceux-ci sont rares, mal étudiés, et il est difficile de savoir quel est
ngent sous trois chefs fort proches les uns des autres, ce sont les maux perforants, les panaris analgésiques, les escar
ération, se constituent les mutilations des membres. Les ulcères ou maux perforants s'observent en toute région ; on en
s (diabète); névrites traumatiques (blessures du plexus brachial et mal perforant palmaire), mal de Pott et caries vert
umatiques (blessures du plexus brachial et mal perforant palmaire), mal de Pott et caries vertébrales diverses, spina-b
ingomyélie. Mais la lésion banale, classique par excellence, est le mal perforant plantaire tabé- tique. Notons que le
cellence, est le mal perforant plantaire tabé- tique. Notons que le mal perforant diabétique est également com- mun et
tique est également com- mun et que, dans la pratique courante, les maux perforants plantaires ne relèvent guère que de
ue de l'une ou l'autre de ces deux maladies, tabès ou diabète. Le mal perforant tabétique peut, d'une façon générale, s
mité des moignons. A la plante du pied, son lieu d'élection, le mal perforant se rencon- tre au niveau de l'articu-
fistuleux et suintants partent du fond de [F. MOUTIER-1 Fig. 6. - Mal perforant plantaire, attribué il la tuberculose
écidives sont fré- quentes en plein tissu cicatriciel. A la fin, le mal perforant est peu douloureux : une zone anesthé
up plus graves, voire mortels, ostéo- arthrites suppurées. .. Les maux perforants peuvent être multiples ; ils sont fréq
paraître sur le moignon, et cela pour ainsi dire indéfiniment. Le mal perforant peut s'observer éga- lement dans la b
dentier dans la genèse de ce trouble trophique. Fort voisines des maux perforants sont les escarres de decubitus qui p
différent. L'étiologie d'un certain nombre d'hypertrophies est fort mal connue : signalons simplement (en laissant de c
le. La fièvre l'ait partie du cortège symptomatique. dans l'état de mal cho- réique ou dans une complication associée à
se succèdent coup sur coup, il y a constitution alors de l'état de mal opileptique, et un des signes capitaux de cet é
mort et monte même encore après la terminaison fatale. Cet état de mal épiloptique, même quand il se rencontre dans la p
apoplectique sont souvent des prosta- tiques dont la vessie se vide mal depuis longtemps et chez lesquels il suffit d'u
une affection nerveuse bien caractérisée (épilepsie, spina- bifida, mal de Pott, myélites diverses). Les incontinences
première forme, c'est en général après un cathétérisme septique ou mal conduit, avec évacuation trop rapide par exempl
ls cas, et cette chute des dents peut être un accident précoce. . Mal perforant buccal. On peut observer dans la bouche
olaires, perforant parfois, le maxil- laire supérieur. 11 s'agit de maux perforants tabétiques, au niveau des- quels exi
jeune ayant éprouvé une vive émotion ; depuis ce temps elle digère mal , et brusquement, sans cause, elle vomit. Elle a
t durer une ou plusieurs heures; quel- quefois un véritable état de mal embrasse plusieurs journées. Les crises' s'espa
empêcheraient de croire à la névrose. Nous n'insisterons pas sur le mal de mer. Cette affection n'est autre qu'un syndr
PAREIL DIGESTIF. malade sommeille ou délire; ses reins fonctionnent mal , il y a quelque- fois de l'albumine, du sucre d
des traumalismes et compres- sions de la moelle : une fracture, un mal de Pott déterminent ainsi de la constipation qu
général plus ou moins grave, douleur au point de Mac Burney bien ou mal localisée. Puis tout s'efface, c'est réellement
éné deviennent tous les trois des inanitiés parce qu'ils raisonnent mal . ' L'hystérique a une véritable perversion du r
. Quant au neurasthénique, il ne mange pas assez soit parce qu'il a mal compris ou mal appliqué son régime, soit parce
asthénique, il ne mange pas assez soit parce qu'il a mal compris ou mal appliqué son régime, soit parce qu'il éprouve d
iquide incolore et filant. Là -encore l'alimentation répare tout le mal . Il s'agit seulement, en effet, de simple hyper
ehors d'indications précises, ils fout à la longue beaucoup plus de mal que de bien. Enfin, les neurasthéniques et hyst
is ou se venger; nombre d'idiots salissent pour le plaisir de faire mal . Il n'est pas exceptionnel enfin d'avoir affair
chy- méningite cervicale hypel'l1'ophir¡ue, une tumeur méningée, un mal de 1. Nous avons dit il l'article ce Atropines
niveau des mains. [A. LÉRL] 1048 SÉ)11 : 101,OG11 DU PIED. Le mal perforant est plantaire dans la grande majorité d
erfs du pied, une gelure, etc., sont le plus volontiers atteints de maux perforants. ' \ Iii. ATTITUDES VICIEUSES Il
lérose en plaques, par cancer médullaire, méningé ou vertébral, par mal de Poil surtout, on peut observer des pieds-bols
d'être définis. Seul, l'indice, dont le débutant a parfois quelque mal à saisir et le calcul et la valeur, demande une
t un cachecti- que, elle est parfois précédée de crises convulsives mal définies à ce jour. Fig. 3. Une femme acromég
; il convient de noter aussitôt que la tête et le tronc sont nor- maux en hauteur sinon en proportions, et que seule l
st fréquent chez les rachitiques. On se trouve en présence de nains mal conformés, ou plutôt déformés, dont le 'gros ve
es sont courts et boudinés. La face est normale, la voûte crânienne mal ossifiée, hap-recée. Les dia- physes sont fragi
ue asymétrique, énorme, petite. bifide, fissurée, de motilité anor- male . La langue peut parfois se loger presque complète
ux de l'hérédité; elle fixe également ce qui est bien et ce qui est mal chez les conjoints. En résumé, les stigmates de
es de l'enfance, s'il a eu des érosions, des maladies de gorge, des maux d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs
? E-P<7Ûier). Le malade a eu le plus souvent dans l'enfance des maux d'yeux longs et terribles pourtant sans douleur
e éponge chaude. Ce procédé s'utilise souvent dans le diagnostic du mal de Pott. Signalons, au niveau de la base du crâne
ardifs. Le plus important des accidents tardifs est la céphalée; le mal de tête est assez fréquent après la ponction lomb
es pigments et sels biliaires dans le liquide céphalo-rachidien est mal expliqué par ces auteurs. Plus tard, Widal, Sic
présence d'éléments monol1llclél'S, lymphocytes, tandis que dans le mal de Poil, il n'y avait pas de lym- phocytes. C
er une opacité plus ou moins nette, plus ou moins linéaire, bien ou mal limitée, qui permettra le diagnostic : et ce diag
vo- quent au contraire plus fréquemment des transparences anormales mal délimitées (Mills, de Martel, etc.). Les tume
diographie montre une caverne sous forme d'une lacune dans l'os, Le mal de Pott ne se révèle géné- ralement sur la plaq
ait. La constatation de certaines déformations ao1'- tiques dans le mal de Pott sera parfois plus intéressante. Les dét
de Paget, l'os est entièrement " ouateux n, la couche compacte est mal délimitée vers le centre, vers la moelle osseuse,
est mal délimitée vers le centre, vers la moelle osseuse, elle est mal délimitée aussi vers la périphérie parce que la c
l3tu jon n'ont eu que des insuccès. Les compressions médullaires du mal de Poil peuvent être heureuse- ment influencées
1190 RADIOLOGIE. La radiothérapie des maladies nerveuses, encore mal connue et imprécise dans ses indications et la
est une expres- sion vague par laquelle on entend les effets encore mal connus et mal définis produits sur la nutrition
- sion vague par laquelle on entend les effets encore mal connus et mal définis produits sur la nutrition intime des ti
r, surtout lorsque les autres manifestations de la DR restent assez mal caractérisées, aiusi qu'on l'observe parfois, m
chercher; elles permettent parfois, en effet, de reconnaître une DR mal définie par ses autres caractères. Nous devons
SCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. 1259 vrites d'étiologie assez mal déterminée, attribuables souvent à des auto- in
plorer la sensibilité à la douleur et rechercher si elle reste nor- male ou si elle se trouve augmentée ou diminuée. Lorsq
t une intensité voisine de celle qui produit les contractions mini- males des muscles, intensité qui il cette période de la
trisation, ou dans lesquelles le traitement électrique incomplet ou mal dirigea été abandonné depuis longtemps. Un cert
l'observation a montré depuis longtemps qu'un traitement électrique mal dirigé, avec des courants trop intenses, ou tro
pourrions citer comme exemples des polynévrites et certains cas de mal de Pott. Les myopathies sont des affections qui
oxica- tions ; elle peut être symptomatique de lésions vertébrales ( mal de Poil), de lésions des méninges rachidiennes,
traitement déjà indiqué'. Contre certains troubles trophiques, les maux perforants en particu- lier, le traitement élec
icu- lier, le traitement électrique a été encore employé. Contre le mal perfo- rant plantaire, Crocq a conseillé, après
ccidents hystériques disparaître après des applications électriques mal appropriées; on a vu aussi des troubles hystéri
corps produite par le renver- sement; si la nouvelle intensité est mal supportée, on la diminue un peu. et l'on contin
as plus efficace. r L'électrisation statique est généralement assez mal supportée par ce genre de malades, souvent elle
écia- tement à ces malades qui, d'ailleurs, supportent souvent fort mal l'eau froide. Parfois les hains de siège, les d
istologie normale du système nerveux de l'homme et de la série ani- male , mais elles n'ont aujourd'hui qu'une importance s
, et montées dans la glycérine. Les préparations se conservent très mal . Cette méthode a élé surtout employée pour l'ét
éliniqucs sont colorées en noir, mais les fibres fines sont souvent mal colorées et la coupe a fréquemment, une couleur
e dans les états patho- logiques. Conservation des réactions nor- males , 1` ? l0. - Altérations simplement quantitative
de Graefc, de Rosenbach, 107. Modification de la sécrétion lacry- male , paralysies oculaires, troubles de la vue, 108.
Spasmodiques, 1055. acquises, paralytiques ou spasmodiques, 1055. Mal de. zncr, vertige, 159. - vertige, vomissements
musculaire, 724. - Ataxie tabétique, 7a ! ). - Hypotonie, 909. - Mal perforant, 025. Arthropathies, U1)1. - Crises g
4. - physiologiques, 158. Vertige rotatif. - de translation, - du mal de mer, - du mal des mon- tagnes, 159. 1 402
es, 158. Vertige rotatif. - de translation, - du mal de mer, - du mal des mon- tagnes, 159. 1 402 INDEX ALPHABÉTI
66 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ement depuis deux ans perte de connaissance. Vomissements. Troubles mal définis de la marche depuis deux ans. Amaurose
occasion de constater d'ictus. Au mois de mai, la malade s'alimente mal , s'affaiblit progres- sivement, une escarre fes
'inhabileté des organes vocaux et aussi du peu de finesse de l'ouïe mal exercée jusque-là, nous dûmes avoir recours à d
ercie. .1'nisoif. J'ai froid. Permettez-nzoi de sortir, s'il J'ai mal la télé, vous plaît. Ces petites propositions
- gnifiants dans le dessin. 50 A noter encore qu'au début l'ouïe, mal exercée et mal servie par l'intelligence, se bo
ans le dessin. 50 A noter encore qu'au début l'ouïe, mal exercée et mal servie par l'intelligence, se bornait à enregis
importe surtout de savoir dépister la nature des accidents du petit mal . En face de tous les nombreux remèdes préconisé
a pupille. Ceux-ci représentent chez le malade l'association nor- male de l'occlusion palpébrale et de la contraction pu
lot bleu, laissant les jambes et les pieds nus. Sordides, hirsutes, mal nourris, ils se bousculaient le jour, et la nui
t un accès épileptiforme, qui débuta par des tiraille- ments et des maux au membre supérieur gauche. L'accès se répéta e
itions étiologiques de la myopathie primitive progressive sont très mal connues encore aujourd'hui. » Dans le Manuel
laire progressive spinale, p. 683 : « Son étiologie est encore fort mal connue. » Dans le livre de Dieulafoy, t. II, vo
. 1 Al. locom. et lés. caml. Contrib. « l'élude du. 1'etentiss. des mal . dou- lour. sur le coet'. (monts. méd., 1880, X
t-cinq ans. Quatre ans auparavant, ce jeune homme avait été pris de mal de tête et la céphalalgie avait duré plusieurs
es ou aux dominos avec des malades de sa division, mais jouait très mal . L'intelligence était affaiblie, il avait des i
main; elle était rouge, un peu tuméfiée parce que le sang circulait mal . Il boitait assez fortement de la jambe, marchait
es d'excitation réflexe (diète, occupations, médicaments). Le petit mal est rebelle au traitement et exige une surveill
traitement il est décourageant, surtout en ce qui concerne le petit mal . C'est à peine si on obtient 5 p. 100 de guérison
leptiques. Il importe que le public soit instruit de la nature du mal , de la rareté de sa guérison, de sa tendance dest
ença par une grande dépression morale avec l'idée d'avoir commis du mal et des délires homicides et suicides. Ces sympt
lexes nor- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. '147 maux à l'exception de réflexe patellaire qui manque ab
tes les autres régions. 2° Homme, dix-neuf ans, après une influenza mal de tête occipito- frontal persistant intense. H
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. donne comme symptômes : 1° mal à la tête le plus souvent fron- tal et fréquemm
t demi d'écorce. Deux mois après, apparition d'une attaque de petit mal non suivie d'autres crises. Quatorze mois après
ment à l'aide de coupes transversales, qui ne démontrent que peu ou mal la disposition des espaces lympha- .tiques : il
prostituée de bas étage qui ne pourra inspirer au malade déjà bien mal disposé, que dégoût et répulsion. Mais là se renc
es larges et profondes qui proviennent de ce que les malades sont mal tenus ( ? ). Il suffit de donner des lavements ch
activité et de sa science; montrant avec netteté les caractères du mal et les diffi- cultés à vaincre il a déterminé,
ge desboissousspiritueuses s'attache avant tout à la prophylaxie du mal , par l'action et l'exemple individuels, par la
t l'exemple individuels, par la vulgarisation de la connaissance du mal dans l'école et les milieux populaires. « Laiss
dividu, à sa conscience, à sa moralité, essayant de le détourner du mal par un effort volontaire. C'est eu quoi nous av
quels sys- tèmes de fibres se prennent dès la première atteinte du mal ; et les autres, jusqu'où peut aller l'affection
ons aux résultats. Nos cas de tabès initial montrent d'abord que le mal débute au niveau du système radiculaire, à la f
pour nous permettre de recher- cher l'époque précise à laquelle le mal détruit et les autres fibres radiculaires et le
ente un état granuleux spécial ; elle est poussiéreuse et se colore mal , en brun terne ; nous avons rencontré très souv
ert avec le directeur responsable, si le Sénat n'avait pas coupé le mal dans sa racine, du moins il avait apporté un co
ition de vivre avec eux. Le médecin a vite fini de diagnostiquer le mal de son malade et de lui indiquer le remède qui
les pathologiques, ils sont destinés, nous le craignons, à toujours mal fonctionner. Tant que nous l'avons pu. nous avo
e qui vient à l'esprit est celle d'une compression de la moelle par mal de Pott probablement. Mais l'enfant mise debout p
e cas particulier même, il ne faut pas se hâter de conclure, car un mal de Pott pourrait réellement exister concur- rem
it. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières lettres et mal les suivantes, mettra 7 minutes an lieu de 7 se
e introduite par Pinel à Bicêtre et à la Salpêtrière; tels sont les maux que dépeint Esquirol avec une sobriété émouvant
dont nous sommes capables, en nous appliquant à discerner dans ces maux dont souffre notre société, ce qu'il y a de fat
Archives, 2° série, t. IV. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. mais fort mal préparé professionnellement, et pressé par le tem
appropriés auraient eu facilement raison, si la véritable nature du mal avait été reconnue. Les mêmes considérations s'
à l'état de veille. M. Régis pense, comme M. Pitres, que ce serait mal servir la cause de l'hystérie infantile que de
on emploi a donné lieu n'ont jamais dépassé les limites d'un simple mal de tête ou d'une somnolence passagère, suscep-
Avec la ferveur d'un apôtre, il allait de pays en pays signalant le mal , luttant, comme il le disait a contre la puissanc
e jour et je crois encore qu'une maison sans portier est une maison mal tenue, à plus forte raison un établisse- ment p
- nerait le dédoublement; il n'y en aura jamais assez. Entre deux maux il faut choisir le moindre. Le médecin d'un grand
ier. M. Christian prétend qu'une maison sans portier est une maison mal tenue. A ce compte, beaucoup de maisons sont ma
ier est une maison mal tenue. A ce compte, beaucoup de maisons sont mal tenues, car les portiers sont relativement rare
ditaire. Par l'acquis, elle se rattache à la vie physiologique nor- male . Par l'hérédité, elle devient la source de toutes
e- ment par la direction. Comme je ne puis assez exprimer tout le mal que j'en pense, je laisserai la parole à mon véné
vec son énorme popu- lation, n'a qu'un préfet : en marche-t-il plus mal pour cela ? z On nous parle à chaque instant de
é tubercu- leuse. Fallait-il penser à une excitation médullaire par mal . de Pott ? La colonne vertébrale est droite san
la cause occasionnelle qui n'est pas nécessaire pour l'éclosion du mal , elle nous échappe. Si ces doutes avaient pu pe
ambin; celui-ci, dans sa fuite, tombe à terre mais ne se fait aucun mal , Deux jours après, il éprouve une grande faible
us mar- cher. Je vous défends désormais de lui en parler. » Mais le mal était fait, la suggestion avait accompli son oe
e; ce fut suffisant pour ame- ner les premières manifestations d'un mal qui aurait pu éclater plus tard ou peut-être ja
d'être constamment auprès de son lit pour éviter qu'elle se fasse mal . Cris aigus, qu'on peut entendre au loin venant e
moment de la rougeole et notre petit malade ne s'en porte pas plus mal ; il grandit et, à part quelques accidents signa-
faisceaux pyramidaux qui ont existé avec leur développement nor- mal ; aussi cette affection ne montre-t-elle aucune t
rès un modèle; il copie faux, parce qu'il ne peut lire ou qu'il lit mal les lettres, notamment celles qui sont associée
quand il lit bien, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit mal , c'est-à-dire mal ce qu'il lit mal, mais exacte
, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est-à-dire mal ce qu'il lit mal, mais exactement comme il lit.
il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est-à-dire mal ce qu'il lit mal , mais exactement comme il lit. Cet état s'est m
ntale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en état de mal épileplique. A l'autopsie adhérence du cuir che
iguës et subaiguës, et aussi les intoxications chroniques. Les ani- maux de la première catégorie vivaient de trois à ving
ssé vers la périphé- rie ; les prolongements s'ouvrent, se colorent mal parfois et la cellule de même. Les phénomènes,
faisait partie d'un pèlerinage revenant de Lourdes, s'est trouvé mal en gare de Nancy. On lui apporta une tasse de bou
uand je veux faire mouvoir la cuisse, l'enfant crie que je lui fais mal . Jé n'entends pas de cra- HYSTÉRIE INFANTILE EN
appeler parce que les parents s'imaginent qu'elle tombe d'un « haut mal », et qu'elle n'a pas besoin du secours inutile
à l'articulation et un peu de déformation de la hanche. La peur du mal avait créé, chez elles, le mal, et ce mal, créé
déformation de la hanche. La peur du mal avait créé, chez elles, le mal , et ce mal, créé par la peur, n'était évidemmen
e la hanche. La peur du mal avait créé, chez elles, le mal, et ce mal , créé par la peur, n'était évidemment qu'un accid
ez une jeune hystérique, relaté dans l'llsGé7·ie en Vendée ', et ce mal de Pott chez une hystérique, avec hoquet perman
t très défectueux et que je suis, je dois l'avouer, peut-être assez mal placé pour établir une juste appréciation d'apr
leur enfant; elle se charge souvent, cette famille, d'entretenir le mal quand elle n'arrive pas à le créer de toute piè
PHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 393 ' adhérents. Les dents sont mal implantées, barrée^, les inférieures sont usées
. - Jusqu'ici nous n'avons à enregistrer que des phénomènes anor- maux sensitifs la plupart du temps, mais, vers la troi
n voie de guérison quand, tout d'un coup, prise d'un irré- sistible mal du pays, elle quitta l'hôpital. En résumé, nous
tion cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l'état nor- mal ; c) Soulagement corrélatif des altérations du fo
S. dans de l'eau vineuse, du lait ou de la bière. Si l'iodure était mal toléré (hypercrinies des muqueuses oculaire et
anguin, l'alcalinité du sangestdue au phosphate bibasique de soude ( mal ), elle est plus élevée après la digestion qu'à
, à la suite d'une série très nombreuse, B... est tombée en état de mal et est morte dans le coma. OnSFRYATJO : 'I III.
an et demi. » Au mois d'août 1890, le malade éprouve de nouveau des maux d'estomac, un tremblement de' tout le corps, et
ques sont obsédantes : aussi 494 RECUEIL DE FAITS. répond-il fort mal aux questions qu'on lui pose. Une de ses préoc-
les autres phénomènes : goitre, tachy- cardie, tremblement, ont été mal interprétés au premier abord et nous avons appl
rider le nez. Mouvements du voile du palais et de la langue nor- maux ; conservation du goût, de la sensibilité. Pas de
ui succombe à l'epilepsie même, est généralement tué par un état de mal dans lequel on distingue un stade convulsif et
usqu'à quarante-huit heures, et le malade tom- bait dans un état de mal épileptique chaque fois qu'elles arrivaient à c
îl° que s'ils ne guérissent pas, c'est d'abord la faute de l'asile, mal construit et mal agencé, et ensuite celle des m
guérissent pas, c'est d'abord la faute de l'asile, mal construit et mal agencé, et ensuite celle des médecins négligent
exemple ad- venu, comme ils feront quand ils auront quelqu'un aussi mal traité, principalement de rêveries nocturnes, c
que le gentilhomme au char- retier, de l'avoir ainsi guéri d'un tel mal comme celui-là... » 542 ' varia. - Nous croyo
nt l'ona- nisme, si commun parmi les enfants nerveux et arriérés, mal surveillés. ? 6°, 7°, 8° et 9°. Nous considérons
à l'huma- nité. Par respect pour nous-mêmes, qui nous disons nor- maux , nous devons secourir les vieux, soigner les mala
RS. 547 relever dans la mesure du possible, rapprocher de la nor- male , les anormaux. Et c'est là du bon, du vrai social
67 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ainsi démontrer l'appareil compliqué des facultés dites supranor- males de son curieux sujet et en cataloguer les élément
et de sa tendresse. » Elle songea à la religion qu'elle connaissait mal et essaya de prier. Premières hallucinations. A
urelle et en conserve précieusement les manuscrits. C'est un fatras mal compris et mal assemblé, résultat de l'élabora-
nserve précieusement les manuscrits. C'est un fatras mal compris et mal assemblé, résultat de l'élabora- tion sub-consc
dans l'audition. Si à la naissance de certains enfants « entendant mal on débouchait ce trou, ou si on en perçait un «
Si on lui frotte les jambes dans ces circonstances, elle a aussitôt mal aux joues, et d'autant MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. '1
plus fort que la friction des jambes est plus énergique. Elle sent mal ses membres quand elle ne les voit pas. Ils lui f
de mauvaise humeur; à' la suite - d'une visite de son mari, elle a mal dormi, elle est énervée, elle a eu mal aux jamb
visite de son mari, elle a mal dormi, elle est énervée, elle a eu mal aux jambes et de la diarrhée. Toute la matinée, l
senté depuis son enfance des attaques ressemblant à celles du petit mal . Il fut pris subitement de convulsions intermit-
cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme forme anor- male , car parfois le tremblement peut rester unilatéra
sie créé le pouvoir agglutinant et qu'il y a un séro- diagnostic du mal comitial. 0 G2 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
ésion cérébelleuse. Les tumeurs du nerf auditif sont eucore assez mal connues ; leur siège ordinaire est dans la foss
ne sont pas nécessaires. Il ne faut pas non plus parler de « grand mal » ou de « petit mal » non plus que d'attaques l
ires. Il ne faut pas non plus parler de « grand mal » ou de « petit mal » non plus que d'attaques légères ou graves. Da
lever et marcher; après la troisième, la douleur a disparu. - Le mal de mer et la suggestion. M. Bonnet (d'Oran) étu
physiologiques et psychologiques qui produisent ou exaspèrent le mal de mer. S'il est très difficile de s'en préserver
isuelles et olfactives, la position horizontale, etc. La crainte du mal de mer, la conviction qu'on l'aura, l'initiatio
artez. - De nombreuses observations classiques mon- trent que si le mal de mer peut être provoqué par des causes morale
la ferme croyance qu'on est immunisé suffit à rendre réfractaire au mal de mer. Je l'ai expérimenté tout récemment. Il
lui ai réellement fait les suggestions qui doivent le préserver du mal de mer, il fait, sans éprouver aucun malaise, u
res, douleur à la pression de certains troncs céré- braux, démarche mal assurée, amaigrissement des extrémités in- féri
sistance d'une seule des glandules peut assurer la survie de l'ani- mal . Certaines conditions peuvent modifier l'évolut
telle que les nerfs n'ont certainement plus leur sensibilité nor- male . . " Mais il est un autre symptôme essentiel qu
nt pâle, anémique, elle se fatigue très facilement, commence à être mal réglée et à souffrir du bas-ventre, en même tem
erfs périphériques : c'est alors que l'on assiste à l'apparition de maux perforants, de gangrène sèche avec résorption d
en (pie ce morceau ne rende pas comme l'autre une situation anor- male de sa conscience : La prière Prier c'est entr
n introduction dans le sang sont de faible quantité, on a l'état de mal épileptique et les attaques d'épi- lepsie sllbi
enou en maints cas atteint les degrés les plus extrêmes et dure pas mal de minutes ; il apparaît parfois spontanément.
l'état psychique de chaque malade, pour combattre efficacement le mal . Le traitement de l'alcoolisme par la suggestion
NIQUE MENTALE. il concluait que la pathogénie de ces angiomes était mal connue, mais que leur développement était obser
s un salon, il se placera de préférence à contre-jour, dans un coin mal éclairé, à l'abri d'un meuble. Pour cacher son
du corps, à la dysmor- phophobie 1, à l'appréhension d'être trouvés mal faits ou ridicules, qu'on peut attribuer leur p
ns un brillant élève et l'on me remarqua : J'étais petit, malingre, mal habillé, sans argent de poche : je souffrais de c
ntôt on sût dans tout le collège que j'appar- tenais à cette maison mal famée que les Assomptionnistes tenaient en vill
malheureux dans l'intimité. Tandis que la peur du regard, c'est un mal que je porte avec moi, que j'ai tou- jours là,
te les yeux sur un objet voisin. Tout en discourant, je pense à mon mal et perds le fil de mes idées. C'est pis lorsqu'
'avais jamais ressentie. Je continuai mon explication tant bien que mal ; mais dès cet instant, j'étais pris. La fatalité
anxieuse, tout à fait comparable à celle qui saisit un artiste, un mal de « trac » dans la journée qui précède une pre-
baiguës qui attei- gnent les prédisposés sous des influences encore mal connues. , M. Lhermitte (de Paris).- Nous avons
le nombre des racines peut varier de 30 à 37 suivant l'espèce ani- male et, en particulier, chez les divers animaux de la
exes de défense (clignement, larmoiement, etc.). Mais elle apprécie mal les nuances. Sous ce rapport, la conjonctive a
, qu'ils soient dangereux ou non, sont des aliénés tout court. Le mal vient surtout d'un défaut d'organisation des asil
inculpés en observation. - c. Etant donné les imperfections de pas mal d'asiles départe- mentaux, un devoir étroit s'i
C'est la réforme complète de ceux de ces établissements, encombrés, mal distribués qui ressem- blent plutôt à des priso
ù les pratiques signalées par M. Freud comme la cause spécifique du mal ne sauraient être incriminées. D'après M. Pierr
ratiques que j'indique ne sont pas seulement capables d'aggraver le mal existant, mais de faire apparaître, à un âge dé
jeunesse ni à chatouiller les vieux marcheurs. Honni soit donc qui mal y pense. OBSERVATION I. - M. X.... quarante-qua
ès qu'il s'était tué. Voilà donc un cas où, à aucun moment avant le mal , le sujet n'a souffert d'une accumulation incom
, qui malheureusement eut un grand succès, car l'autre le prit très mal . Il fit à Z... des scènes violentes, et sans l'in
ent bien. Ses occupations, la présence des gens, firent trêve à son mal . Mais le soir, quand il fut seul chez lui, l'obse
quatre blennorrhagies seraient bien capables de lui occasionner le mal pour lequel une seule avait suffi, et il en fut
ne pas pou- voir pisser du tout dehors, j'espère m'habituer aussi à mal pisser dedans. Je crus devoir le mettre en gard
ir le mettre en garde contre la possibilité d'un retour offensif du mal , et d'une aggravation s'il continuait le même c
ncomplètement satisfaite de l'excita- tion génésique qui produit le mal . Nos trois observations ASSOCIATIONS PSYCHIQUES
compte, ce sont les mouvements qu'elle fait. « Je suis horriblement mal dans mes rêves et je suis d'autant plus effrayé
« je ne puis pas, j'ai peur, je vais tomber, je m'étouffe, je suis mal » et tous les phénomènes qui caractérisent son
urais ». Demandez lui si elle dort « je suis éveillée, mais je suis mal parce que je n'y vois pas ». Faites-là marcher
t d'une dépression légitime due à la compréhension de la gravité du mal chez les plus cultivés. A l'Asile on peut encore
quand doit se faire l'éducation professionnelle des enfants anor- maux ? 3° Formation du personnel de l'enseignement spé
au choix de la nourrice que s'il s'agissait d'un nourrisson nor- mal , né de parents absolument sains. Il est cependant
carnivores. 1 6° Processus dégénératifs étendus de diverse nature, mal étu- diés encore. Enfin certains cas peuvent, p
minations s'imposent dans l'intérêt de l'immense populalion nor- male des enfants de nos écoles. Mais ce n'est pas en
IQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal mort; atrophie considérable de l'hémisphère cér
but de la marche, de la parole, de la propreté ci dix mois. Etat de mal convulsif à onze mois, pendant trois jours : pr
égie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etal de mal , élévation progressive de la température : mort
; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de nerfs mal déterminées, dans lesquelles elle ne perdait pa
le a quatre enfants bien imbécillité, hémiplégie gauche, épilepsie. MAL mort. 463 portants. Huit neveux et deux nièces
x en 464 RECUEIL DE faits. vingt-quatre heures. Mais le père peut mal préciser la marche de la maladie. Il semble cep
auchemars ni hallucinations. Lors de ses accès, il dit avoir un peu mal à la tête, mais seulement s'il est interrogé, c
egimbeau, phrases de lecture courante, bonne articulation. Ecriture mal assurée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait
aucun malaise apparent, mais l'en- fant, interrogé, accuse un léger mal de tête. A plusieurs reprises, lotions vinaigré
heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un état de mal : 7 accès se succè- dent, à intervalle de dix m
Cela va me reprendre, dit-il, les IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. 469 doigts me piquent », et aussit
demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étouffe et j'ai mal à la tête. » Lors de l'approche d'un accès. il
470 RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges. ÉTAT DE MAL , MORT. 471 I ques dizièmes de degré sous l'infl
63) ; 7ëH ? )e ? e infantile suivie d'épilepsie partielle : étal de mal épileptique, mort : foyer ancien intéressant les
476 RECUEIL DE FAITS. Hémiplégie. - Mens ! l1'((tions. ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE, TEMPÉRATURE. 477 mence épileptique
pileptiques hémiplégiques, comme Ham..., sont sujets à des états de mal épileptique, de même que les épi- septiques ord
ain âge, vingt-cinq, trente ans, s'ils ont survécu aux états de mal , on voit les accès s'éloi- gner et enfin dispar
s divisions de l'hospice comme infir- mes incurables. L'état de mal épileptique n'a offert, ici, que la pre- mièr
disparaissent, Fig. 16. - Tracé de la température - de l'état de mal de Il ... 478 . RECUEIL DE FAITS. la températ
. Le crâne un peu en retrait était enve- loppé dans un cuir chevelu mal ajusté, sur lequel les cheveux noirs et raides
; circonvolutions supérieure et moyenne, normales de position mais mal formées ; circonvolution inférieure très atroph
s guérir l'idiodie, nous pouvons du moins apprendre la leçon de ses maux . Il a été dit avec vérité, quoique « pas » par
ace, étaient des manifestations sur- venant chez des hystériques en mal de contracture, ils les appel- lent hémispasme
Cette tare nerveuse, dit l'auteur, expliquerait la fragilité anor- male , fragilité congénitale probablement, des centres
é- sente comme particularité intéressante, une conformation anor- male de la surface supérieure de la langue, qui est cr
Masselon. Son exemple du paralytique général dément est, en outre, mal choisi, à cause des rémissions de la pa- ralysi
effleurer les pieds ni caresser les visages; accident qui, outre le mal qui aurait pu en résulter, aurait fait courir d
ox, guardaos. (Ho ! ho ! prenez garde.) Qu'on ne vous fqsse pas de mal , messieurs. Pedro, adelante con juicio (Pedro,
urpas, 411. 1.IBÉCILITÉ; hémiplégie gauche : épi- lepsie; état de mal ; mort; atro- phie considérable de l'hémisphère
now, 60. Main. Hypertrophie congénitale d'une -, par Apert. 497 MAL de mer. Le et la suggestion, par Bonnet, 82.
, par Viazemsky, 80. -; voir Abasie. - ; voir Névralgie ; voir Mal de me1'. La impéra- live, par Bérillon, 83. - v
68 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
l satisfaisant, à part bronchite légère. Viscères sains. Coeur nor- mal . Corps thyroïde, organes génitaux : rien de spéci
ent parler se déclarent. La température froide est particulièrement mal supportée. La coloration d'abord intermittente
t quand il se livre à des excès de boisson. L'accouchement fut nor- mal . Nourrit au biberon jusqu'à l'âge de 18 mois. A
ion par la chaleur. Pendant l'été, il ne remarque plus rien d'anor- mal , mais transpire toujours passablement des mains e
r pour les écarter d'ailleurs. Il y a cependant quelques cas, assez mal catégories, qui à un examen superficiel, peuven
acroscopi- quement indemne. L'auteur conclut qu'il s'agit là de cas mal déterminés, voisins de l'ostéoarthropathie hype
iver seulement : l'été tout disparaissait. Mais, avec le progrès du mal , durant toute l'année, il n'y a aucune relâche.
ue durant l'hiver et laissent peu de trêve au patient. Celui-ci est mal habile aux travaux exi- geant quelque minutie :
e complets, terminons en notant que la sécrétion lacrymale est nor- male ainsi que la sécrétion nasale. La muqueuse du nez
uche n'est pas atrophié et que la sécrétion de la muqueuse est nor- male . L'examen du larynx n'a révélé aucune altération
Il ne peut s'agir d'oedème, reliquat, témoin d'une fracture osseuse mal consolidée, d'un cal douloureux. Plus encore qu
isseaux sanguins ou lymphatiques. Les ganglions inguinaux sont nor- maux . L'absence de varices lymphatiques, de séjour d
transmet au centre par la voie centripète. Elle est en- registrée, mal élaborée et parvient ainsi modifiée au système sy
rononcée; il existe des mouvements de latéralité tout à l'ait anor- maux ; on peut amener les extrémités de l'index et du
vue, dit-il, a quelque chose de provi- dentiel, et l'on s'explique mal l'étonnant développement du toucher actif chez
uments complémentaires). PAR HENRY MEIGE. Dans une étude sur le Mal d'amour, parue en 1899 dans ce recueil, j'ai dé
ou plus probablement saint Luc, l'un des quatre (1) Henry Meioe, Le mal d'amour (Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, 18
). xiiie siècle. « Apportez-moi un orinal, Et si verrai dedenz le mal . » (Roman du Renard, vers 19509.) C<M)MKeH
e les gens sont deshaitiés. Et s'il languissent, Il les garist du mal du chief, Des dolereus yeus, Des maus des den
ir si les gens sont malades. Et s'ils languissent, il les guérit du mal de tête, des dou- leurs d'yeux, des maux de den
nguissent, il les guérit du mal de tête, des dou- leurs d'yeux, des maux de dents et des fièvres. » Ces deux passages pr
Editeurs Il... LES UROLOGUES 6R Je crois bien qu'il s'agit du « mal d'amour ». L'attitude pâmée de la femme peut dé
gue de Godfried Schalken, au musée de la Haye, nous a appris que le mal d'amour se révélait souvent de la sorte. Et enten
» des belles chlorotiques de Gérard Dow ou de van IIoostraaten., Ce mal est bien plus prosaïque : la dame est enceinte, n
n... Mais la jolie pécheresse pourra-t-elle toujours dissimuler son mal ? Dans quelques mois, hélas ! il deviendra flag
ent aussi long qu'eux. Leurs oeillades malicieuses dépistaient le « mal d'amour » avec une perspi- cacité au moins égal
amorphes, d'aspect vitreux, montrant à la périphérie quelques noyaux mal colorés, puis le manchon serré des cellules ron
ertes de substance con- tenant quelques boules amorphes se colorant mal et inégalement. L'nn de ces foyers, le plus imp
gulièrement. Le nez est incliné il, droite; les dents sont cariées et mal plantées. Rien d'anormal du côté des oreilles ;
ue l'hypothèse de Wilbrand ne peut être soutenue; ce fait s'accorde mal également avec l'opinion d'Edridge-Green (1) qu
écédents personnels. Venu au monde à terme dans des conditions nor- males . Aurait marché très tard, à 4 ans. Aurait parlé d
lait penser de la fréquence de son absence. Mais un phénomène cadre mal ici avec le reste du tableau : c'est la présenc
troubles génito-urinaires, ni incoordination motrice ; il n'a eu ni maux perforants, ni douleurs fulgurantes dans les ja
des stig- mates indélébiles de syphilis héréditaire, tels que : 1° Mal formations den-. taires caractéristiques ; 2° D
gmates oculaires, dentaires ou palatins. Le système pileux est nor- mal . ' Les membres supérieurs n'offrent rien à sign
ne manifeste pas la même répul- sion que le néophyte. Il regarde le mal et réfléchit à l'intervention pos- sible : cure
ible que possible des plaies humaines, n'a pas voulu représenter ce mal effroyable qui faisait alors, et qui fit encore
cérations des jambes de préférence à d'autres affections. Ce sont maux très fréquents, bien faits pour inspirer la commi
eure des cavités crânienne et rachidienne ; mais les courbures nor- males de cette face sont complètement absentes ; c'est
peau et jusque dans les muscles. Les muscles ont une structure nor- male ; les fibres musculaires ont leur striation trans
son bulbe était peu appréciable ; le nez avait une disposition nor- male . Nous avons déjà signalé l'ophtalmique. Schéma
t nombre). b. Cellules ovalaires, larges, à protoplasma se colorant mal , réticulé, gra- nuleux, à noyau plus ou moins e
réticulé, gra- nuleux, à noyau plus ou moins excentrique, déformé, mal coloré. Ces cellules, nombreuses, représentent
a suite de la présentation d'Achard et Laper. Soc. de neurologie, 3 mal 1903. (2) TAntiFFi. Caso della macrosomia, Anna
it comme une méningite. La maladie commença par de la fièvre et des maux de tète; il ne reconnaissait pas son entourage
èse : « Dieu dit aussi à la femme : je vous affligerai de plusieurs maux pendant votre grossesse ; vous ne mettrez au mond
tre partie du corps ; pas de fourmillements, ni de sensations anor- males ; aucune douleur spontanée, il n'y a de douleur p
à apprendre à écrire de la main gauche. Actuellement elle écrit assez mal de l'une comme de l'autre main ; cependant, l'é
irrégulière, tremblée, souvent illisible. Elle tient en effet fort mal sa plume et l'on constate nettement le tremblemen
u d'un faisceau musculaire se produit à l'état isolé et l'on serait mal venu d'assimiler ces variations par défaut à la
qu'un mot servant à désigner un ensemble hétéroclite de phénomènes mal analysés. L'hérédité, dans ce qu'elle a de positi
. Observation. RÉSUMÉ. Syphilis ancienne. - Il y a dix-huit mois, maux perforants plan- taires gauches ; guérison.- Ma
a dix-huit mois, maux perforants plan- taires gauches ; guérison.- Maux perforants plantaires droits.- Arthro- pallie d
l, aucune crise laryngée. Appareil urinaire. Le besoin d'uriner est mal perçu ; parfois quelques mictions involontaires
ite au moment du [départ du malade nous a donné des contours osseux mal définis, mais cependant suffisamment nets pour êt
cter. Nous voudrions également attirer l'attention sur les nombreux maux perforants qui ont précédé dès longtemps l'appa
LLON se sont quelque peu affermis, et la malade fait mieux ou moins mal , et avec un peu plus de précision les mouvement
e l'apothicaire donne ses soins n'est pas une paysanne souffrant du mal de dents, mais bien une femme galante atteinte
. L'esamina un Perito, e scrive intauto Medica penna la ricetta al male . Voilà donc retracée'par la peinture, le burin
es, que je mentionne brièvement : 1° Prière à Saint Minus contre le mal français. - Gravure sur bois par W. Hamer de Nu
Dresde et de Vienne. La légende parle de gale (scabies) et non de « mal français », appella- tion courtoise et de bon v
après le tirage récent. 3° Prière à Saint Denis pour la guérison du mal français. Image pu- bliée à Regensburg ( ? ) ve
tato, p. 10, fig. 6. - 4° Emploi médical du bois de Gaïac contre le mal français. Gravure sur cuivre par Ph. Gallo, d'a
ux dernières figures avec leur légende. 5° L'Espaigtzol affligé dit mal de Naples. Gravure reproduite sans nom d'auteur
éique, ni un trouble de l'équilibre ataxique, mais quelque chose de mal défini et qui participe de chacun de ces symptôme
e granuleux et dégénéré. Dans certains points les cellules prennent mal la couleur (PI. LIV, A). On trouve une abon- da
ieure des cuisses, etc., forme des masses lipoma- teuses à contours mal limités. La tuméfaction des membres inférieurs
est aussi normale. L'excitabilité électrique des nerfs moteurs nor- male . Tous les mouvements actifs et passifs sont norma
, l'un des spécimens trop rares de la poésie bardique, dont un zèle mal entendu des Irlandais du moyen âge, anéantit, o
ours : « Oh L mon fou ou commensal n'est pas méchant, iT ne fait de mal à personne ; bien plus, c'est le meilleur enfan
fermant, ou de toute autre manière afin qu'ils ne puissent faire de mal à personne, et que les nourriciers payeront tou
es aliénés. En ce qui concerne les soins médicaux, nous sommes fort mal rensei- gnés ; c'est qu'à vrai dire ils étaient
vers eux les âmes compatissantes, et à signaler la présence de leur mal contagieux. On sait, d'autre part,que les ens
ES POSSÉDÉS DE SAINTE-DYMPHNE 317 disait « une cloche bien timbrée, mal timbrée, fêlée » de même on a dit « une tête, u
e, fêlée » de même on a dit « une tête, une cervelle, bien timbrée, mal timbrée, fêlée ». Ces locu- tions se trouvent c
tombait dans le feu ou dans l'eau », n'était pas plutôt atteint de mal comitial. De telles chutes appartiennent surtout
soit à de longues cellules fusiformes imbriquées, se différenciant mal les unes des autres. Avec la safranine, on peut
des troncs autres que le médian. Il est vrai que l'on s'explique mal pourquoi cette sensibilité, d'abord conservée,
La physiologie des organes de la sécrétion interne est encore trop mal connue pour qu'on puisse émettre à présent des
voulu par intérêt pour Alcmène ; ainsi elle se délivre d'un double mal par un seul travail, et elle est garantie du so
Médecine [Écoles flamande et hollandaise) : les Pierres de tête, le Mal d'amour, les Opérations sur la tête, l'épaule, le
On voit reparaître, en particulier, toutes les aimables victimes du Mal d'Amour, les gentilles maladesdevan Miens, Gérard
p. 110-116 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine, Le mal d'Amour, p. 51-68 (4 phot.), p. 226-260 (8 phot
éminisme et les Hermaphrodites antiques (L'anthropologie, 1895). Le Mal de Polt dans l'drt antique (Travaux de neurologie
69 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
trais chez moi. Monsieur m"a donné un coup de canne qui m'a fait très mal . — Etes-vous bien sûr? C'est moi qui vous l'ai fa
devient colère et m'a jeté ses crosses sur le nez. Elle m'a fait très mal . J'ai encore une bosse. — Voyons, sotte, lui dis-
excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement mal disposés pour faire des découvertes, mais ils fon
u disposée à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez mal et me demande ce que je viens faire. — D'un ton t
enfants se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escalier d'un pas mal assuré et faillit tomber à la dernière marche; il
s, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal supportées, M. Lion endor- mit la malade en l
chiré son pantalon en marchant, dit qu'il ne peut plus marcher ; il a mal aux deux jambes (il est a Saint-Urbain en 1877, i
petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travai
eut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est pa
geste de les arracher, s'indigne contre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie
al, un besoin de remuer, d'aller et de venir; par de la tristesse, du mal de tète, de l'anxiété ; par de la chaleur épigast
e, où l'on n'arrive à quelque chose qu'à la condition de se donner du mal . N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder h
auchemars effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour. Maux de tête continuels. Je constate que l'haleine
cette matière, comme en tant d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du mal. D'ailleurs, de mê
d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du mal . D'ailleurs, de même que les savants, en poursu
sives et raideur du tronc. La physionomie du sujet avait l'expression mal caractérisée d'un violent étonnement. Le tube p
marche des choses humaines, si, à côté du bien qui se fait, il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à c
il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à côté du mal qui se développe, il y a souvent des compensation
il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur un sopha, il calculait si mal sa distance qu'il tombait sur le parquet. Son dél
in à travers les âges. Une foule de faits historiques jusque-là assez mal connus et insuffisamment expliqués se trouvent po
son ange qui lui souille le bien, elle a son démon qui lui souffle le mal . Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'homm
t l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre, et, sentant redoubler son mal , il resta à Meulan. On commençait à désespérer de
ses, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de tête, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pa
uche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m'écrit : « Le mal d'estomac n'a pas reparu de toute la journée. Ce
eutique. Un autre sujet présentait les mêmes troubles morbides; son mal était, depuis dix ans, rebelle à tous les médicam
avait nécessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du mal . le professeur prescrivit sur-le-champ une médica
n'apparaissent pas. Les 2 et 3 octobre, elle a de la céphalalgie, des maux de cœur et des envies de vomir, quelques vertiges
x mois, j'observe un cas véritablement typique d'une affection encore mal connue. On ne sait comment la dénommer; M. Charco
de juillet, d'août et de septembre. La malade, qui m'accueillait très mal au début et ne se laissait hypnotiser que par la
itement est une opération très délicate, capable de faire beaucoup de mal entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il fau
claire, et ils s'étonnent qu'une suggestion faire par eux se réalise mal . Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit
t voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses mal ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager
ne à Anatole d'aller au lit. Il obéit aussitôt : mais sa démarche est mal assurée, comme celle d'une personne endormie ; je
onc, il décidait en toute liberté d'esprit, il distinguait le bien du mal , il était par conséquent responsable. Tous le
rer que, dans la plupart des cas. les aliénés comprennent qu'ils font mal , jugent leur conduite blâmable, mais ne peuvent a
-il l'acte odieux qu'il a commis ? Ou bien n'est-il bon qu'à faire du mal ? Mais pourquoi ce titre d'Alphonsine que l'int
ance du public les résultats constatés, en ce cas même, où est le mal ? Les lecteurs sont du moins informés et, partant
rapport avec quelqu'un atteint de la même maladie. Il attribuait son mal à une émotion extrêmement vive éprouvée au cours
uit! » Alors intervient le pharmacien du service qui nous dit: c J'ai mal compris ce qui m'avait été demande; ce flacon con
X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se sentit un peu mal a l'aise, il eut aussi de fréquents bâillements.
térie. En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l'état ostensible, il faut ins
n, au milieu social, au climat, etc., leur influence sur la genèse du mal , dont elles recèlent les origines véritables, est
in, en s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissi
ntie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissiperait et alors elle a continué à
it cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmen
après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, elle s'est sentie
nne de ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fai
ire. On suppose que l'expérience a été, d'une manière ou d'une autre, mal faite, et on attribue au hasard des coïncidences
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle chante, elle joue du piano ; elle
herché si ce n'était pas un simulateur; ils se sont donné beaucoup de mal pour rien. Le cas du dormeur de Londres aurait be
nte-six heures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai mal à la tête, laissez-moi tranquille; » puis elle s'
l est consacrée l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. —
'un regard persistant : son œil avait un reflet métallique qui me mit mal à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant
redevient ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni mal de tête, ni fatigue, mais le plus souvent le regr
me cause occasionnelle une séance d'hypnotisme aussi intempestive que mal combinée ? Mlle Jeanne se trouvait dans cet éta
Ne semble-t-il pas que, dans ces conditions, une séance d'hypnotisme mal dirigée, qui amoindrit la volonté, et surtout une
M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les sujets mal réveillés ou réveilles sous une impression pénibl
r une fois de plus combien sont regrettables ces séances d'hypnotisme mal dirigées, comme les pratiquent, par milliers, à P
artiel. » 5° Les insuccès sont dus, soit à ce que la suggestion est mal ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleu
s riches que Ton choisit, quel que soit leur âge. De là, des mariages mal assortis et des unions malheureuses. M. Magnus, p
ts, les variétés de ce symptôme, parfois très grave, surtout s'il est mal interprété, si sa couse réelle demeure inconnue,
de l'Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinct
ide, qu'elle n'a plus le regard terne, qu'elle n'a plus peur de faire mal . qu'elle est sûre d'elle: qu'elle n'a plus de rag
tion: elle est sûre d'elle-même; elle n'a plus à craindre de faire du mal à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de
e verre et les poisons les plus violents, sans en éprouver le moindre mal . La puissance que Dieu avait destinée aux adeptes
e fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait mal . Enfin il roule à terre en catalepsie, et tandis
ur les spectateurs, car le rire est un excellent remède à beaucoup de maux . Qui ne se rappelle les attitudes bizarres et les
rudents, les hardis, les téméraires, les enfants perdus. Je ne dis de mal de personne, car tout travailleur sincère a droit
réditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal des riches. La pauvreté en serait à l'abri. Et le
ernière extrémité, et non sans répugnance. Ils les regardent comme un mal nécessaire, et, en cela, ils sont dans l'erreur.
'aura pas éveillé en lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du mal même. En un mot, le sens mor
lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du mal même. En un mot, le sens moral n'aura pas été dév
u genre homo. Sur l'homme, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de mal , comme beaucoup de bien. Ceci dépend, par-dessus
t été convenablement élevés ; g fois, ils ne l'avaient été ni bien ni mal , et 26 fois, ils avaient été maltraités habituell
enter les choses sous le jour le plus fantastique ; qu'on se donne un mal inouï pour lui en cacher la nature et les véritab
à l'âge de six à huit ans sont, par excellence, les candidats au mal caduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. D
ersonne qui y aura été soumise ne pourra s'en tirer, étant donnés les maux physiques et moraux qu'elles produisent, au témoi
tes, Ventrières et Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes. Mal des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut,
70 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
trais chez moi. Monsieur m"a donné un coup de canne qui m'a fait très mal . — Etes-vous bien sûr? C'est moi qui vous l'ai fa
devient colère et m'a jeté ses crosses sur le nez. Elle m'a fait très mal . J'ai encore une bosse. — Voyons, sotte, lui dis-
excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement mal disposés pour faire des découvertes, mais ils fon
u disposée à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez mal et me demande ce que je viens faire. — D'un ton t
enfants se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escalier d'un pas mal assuré et faillit tomber à la dernière marche; il
s, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal supportées, M. Lion endor- mit la malade en l
chiré son pantalon en marchant, dit qu'il ne peut plus marcher ; il a mal aux deux jambes (il est a Saint-Urbain en 1877, i
petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travai
eut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est pa
geste de les arracher, s'indigne contre le médecin, M. Lacuire ; il a mal à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie
al, un besoin de remuer, d'aller et de venir; par de la tristesse, du mal de tète, de l'anxiété ; par de la chaleur épigast
e, où l'on n'arrive à quelque chose qu'à la condition de se donner du mal . N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder h
auchemars effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour. Maux de tête continuels. Je constate que l'haleine
cette matière, comme en tant d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du mal. D'ailleurs, de mê
d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du mal . D'ailleurs, de même que les savants, en poursu
sives et raideur du tronc. La physionomie du sujet avait l'expression mal caractérisée d'un violent étonnement. Le tube p
marche des choses humaines, si, à côté du bien qui se fait, il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à c
il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à côté du mal qui se développe, il y a souvent des compensation
il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur un sopha, il calculait si mal sa distance qu'il tombait sur le parquet. Son dél
in à travers les âges. Une foule de faits historiques jusque-là assez mal connus et insuffisamment expliqués se trouvent po
son ange qui lui souille le bien, elle a son démon qui lui souffle le mal . Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'homm
t l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre, et, sentant redoubler son mal , il resta à Meulan. On commençait à désespérer de
ses, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de tête, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pa
uche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m'écrit : « Le mal d'estomac n'a pas reparu de toute la journée. Ce
eutique. Un autre sujet présentait les mêmes troubles morbides; son mal était, depuis dix ans, rebelle à tous les médicam
avait nécessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du mal . le professeur prescrivit sur-le-champ une médica
n'apparaissent pas. Les 2 et 3 octobre, elle a de la céphalalgie, des maux de cœur et des envies de vomir, quelques vertiges
x mois, j'observe un cas véritablement typique d'une affection encore mal connue. On ne sait comment la dénommer; M. Charco
de juillet, d'août et de septembre. La malade, qui m'accueillait très mal au début et ne se laissait hypnotiser que par la
itement est une opération très délicate, capable de faire beaucoup de mal entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il fau
claire, et ils s'étonnent qu'une suggestion faire par eux se réalise mal . Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit
t voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses mal ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager
ne à Anatole d'aller au lit. Il obéit aussitôt : mais sa démarche est mal assurée, comme celle d'une personne endormie ; je
onc, il décidait en toute liberté d'esprit, il distinguait le bien du mal , il était par conséquent responsable. Tous le
rer que, dans la plupart des cas. les aliénés comprennent qu'ils font mal , jugent leur conduite blâmable, mais ne peuvent a
-il l'acte odieux qu'il a commis ? Ou bien n'est-il bon qu'à faire du mal ? Mais pourquoi ce titre d'Alphonsine que l'int
ance du public les résultats constatés, en ce cas même, où est le mal ? Les lecteurs sont du moins informés et, partant
rapport avec quelqu'un atteint de la même maladie. Il attribuait son mal à une émotion extrêmement vive éprouvée au cours
uit! » Alors intervient le pharmacien du service qui nous dit: c J'ai mal compris ce qui m'avait été demande; ce flacon con
X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se sentit un peu mal a l'aise, il eut aussi de fréquents bâillements.
térie. En tête des circonstances propres à déterminer le passage du mal de l'état latent à l'état ostensible, il faut ins
n, au milieu social, au climat, etc., leur influence sur la genèse du mal , dont elles recèlent les origines véritables, est
in, en s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissi
ntie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissiperait et alors elle a continué à
it cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmen
après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmenter, elle s'est sentie
nne de ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fai
ire. On suppose que l'expérience a été, d'une manière ou d'une autre, mal faite, et on attribue au hasard des coïncidences
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de maux d'estomac. Elle chante, elle joue du piano ; elle
herché si ce n'était pas un simulateur; ils se sont donné beaucoup de mal pour rien. Le cas du dormeur de Londres aurait be
nte-six heures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai mal à la tête, laissez-moi tranquille; » puis elle s'
l est consacrée l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. —
'un regard persistant : son œil avait un reflet métallique qui me mit mal à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant
redevient ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni mal de tête, ni fatigue, mais le plus souvent le regr
me cause occasionnelle une séance d'hypnotisme aussi intempestive que mal combinée ? Mlle Jeanne se trouvait dans cet éta
Ne semble-t-il pas que, dans ces conditions, une séance d'hypnotisme mal dirigée, qui amoindrit la volonté, et surtout une
M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les sujets mal réveillés ou réveilles sous une impression pénibl
r une fois de plus combien sont regrettables ces séances d'hypnotisme mal dirigées, comme les pratiquent, par milliers, à P
artiel. » 5° Les insuccès sont dus, soit à ce que la suggestion est mal ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleu
s riches que Ton choisit, quel que soit leur âge. De là, des mariages mal assortis et des unions malheureuses. M. Magnus, p
ts, les variétés de ce symptôme, parfois très grave, surtout s'il est mal interprété, si sa couse réelle demeure inconnue,
de l'Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent mal appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinct
ide, qu'elle n'a plus le regard terne, qu'elle n'a plus peur de faire mal . qu'elle est sûre d'elle: qu'elle n'a plus de rag
tion: elle est sûre d'elle-même; elle n'a plus à craindre de faire du mal à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de
e verre et les poisons les plus violents, sans en éprouver le moindre mal . La puissance que Dieu avait destinée aux adeptes
e fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait mal . Enfin il roule à terre en catalepsie, et tandis
ur les spectateurs, car le rire est un excellent remède à beaucoup de maux . Qui ne se rappelle les attitudes bizarres et les
rudents, les hardis, les téméraires, les enfants perdus. Je ne dis de mal de personne, car tout travailleur sincère a droit
réditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le mal des riches. La pauvreté en serait à l'abri. Et le
ernière extrémité, et non sans répugnance. Ils les regardent comme un mal nécessaire, et, en cela, ils sont dans l'erreur.
'aura pas éveillé en lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du mal même. En un mot, le sens mor
lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du mal même. En un mot, le sens moral n'aura pas été dév
u genre homo. Sur l'homme, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de mal , comme beaucoup de bien. Ceci dépend, par-dessus
t été convenablement élevés ; g fois, ils ne l'avaient été ni bien ni mal , et 26 fois, ils avaient été maltraités habituell
enter les choses sous le jour le plus fantastique ; qu'on se donne un mal inouï pour lui en cacher la nature et les véritab
à l'âge de six à huit ans sont, par excellence, les candidats au mal caduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. D
ersonne qui y aura été soumise ne pourra s'en tirer, étant donnés les maux physiques et moraux qu'elles produisent, au témoi
tes, Ventrières et Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes. Mal des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut,
71 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le, le regard fixe, le visage pâle. Puis elle a dit : Oh ! que j'ai mal au coeurl J'ai mangé trop de poires. On l'a cou
de deux minutes environ elle est revenue à elle : Où suis-je ? J'ai mal au coeur ; j'ai mangé trop de poires, je n'en m
alcooliques ou aqueuses des couleurs d'aniline basiques. Il prend mal le Gram. Pour peu que l'action de l'alcool soit p
cavités gauches avaient une épaisseur double de l'épaisseur; nor- male , celles du coeur droit étaient également épaissie
l tousse et vomit facilement. Jusqu'à l'âge de trois ans il dormait mal . De ses quatre frères et soeurs, un est mort du
suffisamment.vigoureux, à dentition bonne, mais les dents sont très mal entretenues. La langue est bonne, l'appétit est b
estruction. Charcot a comparé cet état à celui des fils électriques mal isolés et a cherché à expliquer le tremblement
es affections .nerveuses sont mieux connues, 'des faits jusqu'alors mal classés, prennent rang / dans les grandes catég
rite de cette mère une constitution délicate et peu résistante au mal . Son enfance romanesque. Dès le plus jeune âge,
es changent souvent de médecins, cherchant partout remède à leurs maux imaginaires, ainsi Thérèse changea souvent de d
s événements de cette période, il faut décrire les symptômes de son mal ; ce sont les paroles mystiques entendues, ce s
t en repos et permettra d'autres préoccupations que celles de son mal . Quelquefois Thérèse comprendra le non réel de
ies ; son sonnet 1 au Christ crucifié est resté célèbre en Espagne; mal traduit en vers français par Sainte- Beuve, Fir
t ils - fourmillent et nous font regarder Thérèse comme atteinte de mal hystérique. Bien que dans ses nar- rations, ell
rdes, de Paray- le-Monial et de la Salette : A certains moments, le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si gr
ur atroce, angoissante, située dans la région précordiale : « Mon mal de coeur était si cruel, nous dit-elle, qu'il sem
Bécèdes, une campagne de son père, pour changer de climat; mais le mal ne faisait qu'empirer; Thérèse avait un grand d
l' et laissa croire à sa mort, sans avoir peut-être conscience du mal qu'elle faisait, ce fut pour tirer une espèce de
petit des trois quarts que le noyau des précédentes, et se colore mal et peu distinctement. Le protoplasma se colore
curielles prescrites; tandis- que souvent l'adulte, honteux de son mal , ne réclame pas les conseils d'un médecin et subi
ophie des muscles de la ceinture scapulaire. Quelque temps après le mal subit une nouvelle recrudescence et d'unilatéra
La sensation tactile et la perception de la chaleur étaient nor- males sur toute la suriace du, corps. La sensibilité à
dans l'angle interne de l'oeil. La destruction, chez tous ces ani- maux , du facial jusqu'au ganglion géniculé, n'entraîne
ez l'aspect d'une mosaïque brisée, dont les mor- ceaux sont parfois mal rejoints., On voit par là qu'il s'est fait tout L
es représentations mentales. En effet, votre observateur s'atralyse mal quand il vous dit : « Je ne vois pas. mais je s
'entre elles à être irrémédiables; et. de fait, les cerveaux d'ani- maux ayant été sacrifiés plus ou moins longtemps après
et amyotrophie, qui reproduisent trait pour trait la paraplégie du mal de Polt ou de la pachymé- ningite tuberculeuse
malades » ; pour ces cas, Jules Falret a créé l'expression de petit mal intellectuel des épilepliques, restée dans le lan
t présent. La face a l'aspect d'un masque. La malade mar- che assez mal ; ses mouvements sont atactiques ; tremblement de
nt étroites; la pupille droite est plus large que la gauche, réagit mal à la lumière. L'écriture est troublée. Le disco
istraite; il lui était difficile de marcher, elle commença à parler mal , se plai- gnait d'un mal de tête et d'un trembl
fficile de marcher, elle commença à parler mal, se plai- gnait d'un mal de tête et d'un tremblement des mains. La malade
ge.. · Etat présent. Sa face a un aspect d'un masque, elle marche mal , en chancelant ; ses mouvements sont maladroits,
ssent à la lumière. 'La parole est paralytique. La malade combine mal , ne sait pas, quand elle est arrivée de la camp
prononce le mot : « assassin » ; se défend de n'avoir rien fait de mal . Son regard est terne, effaré, distrait de ce q
e, t. XI, p. 552). « Etat des yeux. Les yeux révèlent la gravité du mal , et leur aspect suffit seul pour annoncer une a
orte à l'âge de quarante- neuf ans, d'affection indéterminée, était mal portante et est restée malade les sept dernière
u ; appétit presque nul (quelques tasses de lait ou de limonade). Maux de reins, coliques. Le soir, retour des époques.
à 'gauche; la malade perçoit à peine des piqûres légères et réagit mal aux piqûres profondes; hypoes- thésie de la cor
'il y avait des gens qui complo- tassent ensemble pour lui faire du mal . D'autres hallucina- L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈ
itablement étrange pour une nonne. Arnaud d'Audilly et Chanut ont mal traduit le mot castillan Higa : suivant le dictio
ous sommes ici, avant tout, pour étudier en commun quelques-uns des maux qui frappent l'homme dans son système nerveux,
erre aux savants dont l'unique ambition est de réduire la somme des maux qui affligent l'humanité; il boit au succès de
n qu'il est très difficile de se rendre compte delà gravité de leur mal . Et, chose curieuse ! ces mêmes sujets dont les
orie de liqueurs, et qu'il y en avait d'autres, dont l'état, encore mal connu, avait besoin d'être étudié : c'est avec
e que ma malade entre- voyait le suicide-comme le seul remède à son mal . Les tics ne sont pas seulement tributaires de
verrues non seulement chez les humains, mais aussi chez les ani- maux par des prières spéciales, des attouchements, des
peaux de crêpe, déformés, aplatis, pénétrés dépoussière et tenant mal sur des cheveux en désordre. Leurs figures avaien
ui choisit les logements, c'est elle qui choisit les hôtels. Elle a mal choisi, il est vrai, mais elle regrette et ne s
nnée 1899, son amie constate' que G... n'est plus le même ; il dort mal , il a la nuit des hallucinations de la vue. Par
l'hypothèse d'une vengeance possible de son patron; mais il se rend mal compte de sa situation, se croyant en convalesc
en nombre. Le protoplasma des grandes cellules pyrami- dales prend mal l'éosine; le corps cellulaire est peu coloré, les
elle raconte qu'en reprenant ses sens, elle trouvait ses vêtements mal en point. , L HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 321
te Thérèse s'appelle d'un autre nom en aliénation mentale, c'est le mal hystéro-épi- leptique. LE château intérieur.
ne foi de sainte Thérèse ; elle ne se rendait nul- lement compte du mal dont elle était la proie et regardait comme vra
es dans la fausse direction d'un mysticisme maladif, Thérèse fit un mal considérable à l'humanité ; car il ne faut pas
re actuellement en ' traitement; le cinquième a succombé en état de mal . De l'utilité de la ponction lombaire pour le d
d'idiotie pro- fonde avec gâtisme, avait de l'écholalie, prononçait mal quelques mots : du panput pour pain, à barre po
de l'idiotie, au plus tard, à deux nzzs. Plus on temporise, plus le mal s'aggrave, plus la tâche du médecin et du pédag
nnent facilement auto-accusa- teurs ; en tout cas, ils se défendent mal et laisseraient volontiers croire à leur culpab
rice FAUHK et Couhtexsoux. La massothérapie est souvent employée et mal comprise dans le traitement du tabès. A titre d
int chercher à atteindre, car il ne peut que les augmenter s'il est mal compris ou mal pratiqué. La pathogénie de l'épi
atteindre, car il ne peut que les augmenter s'il est mal compris ou mal pratiqué. La pathogénie de l'épilepsie, par Mau
pe de Cl. Bernard. « Aucun composé toxique ne peut, à l'état nor- mal , faire partie de l'organisme »; et cette réponse
le fou bondit sur le secrétaire, qui aurait certainement été mis à mal , si deux'agents n'étaient intervenus. L'étrange
te représailles, de le crucifier, avec des cordes/sans lui faire de mal , sur une croix de pierre, au bord du chemin.. ;
n Dieu ! mon Dieu ! je ne me rappelle pas avoir jamais rien fait de mal , je n'ai jamais tué, ni volé, ni assassiné, com
ts, n'ont jamais commis le moindre crime, n'ont jamais rien fait de mal à leur âge qu'auraient-ils pu faire de mal ? ' ?
'ont jamais rien fait de mal à leur âge qu'auraient-ils pu faire de mal ? ' ? Pourquoi est-on contre nous comme çà ? »
it être coupable, elle cherche à trouver comment elle peut faire le mal . Ses recherches, toujours dans le même cercle,
oins heureux, et la Terre enfin qui est l'enfer à cause de tous les maux que nous souffrons. Telle est l'idée des Planèt
qu'elle ait nommé, elle ne comprend pas qu'on lui ait fait tant de mal , elle qui souhaite le bonheur universel et l'un
onde lui en voulait : on refusait partout ses oeuvres; on disait du mal de lui pour l'empêcher de gagner sa vie et il f
tions qu'elle encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle mal de son père à tout le monde et finit par le dén
nt sa petite chérie. Il me l'enfonçait jusqu'à ce que cela me fasse mal ; il l'avait énorme, alors il se tenait à une cer
eau directeur de l'Assistance publique, M. Napias, qui, sans doute. mal renseigné, a refusé. Il était pourtant tout nat
qui ont suivi l'incident, le maxillaire inférieur ne lui a pas fait mal , mais quelque temps après, des douleurs se sont i
t les soins rapides aux aliénés aussi près que possible du début du mal . VI. Le traitement du goitre exophtalmique, par
ntrée des aliénés dans les hôpitaux dès les premiers symp- tômes du mal , le traitement immédiat étant la plus grande chan
. Maintes fois aussi il avait cherché à voir à travers des planches mal jointes, des femmes dans les cabinets d'aisance
elle se pro- longe outre mesure, en résumé quand ses réactions sont mal adaptées à l'intérêt de l'individu ou de l'espè
plus fréquentes ; vien- nent ensuite celles relatives à la peur de mal faire à tous les points de vue, moral, religieu
es signes stéthoscopiques peu nets, à cause de la localisation du mal au centre du poumon. Quant à la température, nous
tions qu'on lui pose, n'y répondant pas, ou disant n'im- porte quoi mal à propos, ne reconnaissant pas les siens, il acco
ède, suit ou remplace les attaques, se rattache surtout à l'état de mal , et se termine, non soudain, mais graduellement
et hérédité. Le mot dégéné- rescence est fort souvent appliqué très mal à propos, et rien n'est plus aveugle que les so
MENTALE. instinctivement, fatalement, comme les fous moraux vont au mal et au vice. Aussi bien la prostitution n'est pe
est tout à fait exceptionnel de trouver les trois sensibilités nor- males au même moment, tandis qu'on les trouve anormales
sa soeur nous apprend que plusieurs médecins avaient attribué ses maux de tête- sa chasteté. Il ne voulait-ni du mariage
toutes choses avec une perpétuelle nausée, comme un homme qui a le mal de mer consi- dère les aliments. Il jugeait nia
au niveau de leur origine. M.IIUET présente une enfant atteinte de mal de Pott lombaire s iiiiii- lai2l une myopathie.
t cependant paru douteux, la radiographie permit d'établir celui de mal de Pott. Paralysie pseudo-bulbaire chez un jeun
72 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
heures. L'intelligence est intacte, la malade s'est accoutumée à son mal chronique. Les principaux troubles se trouven
uble du côté de l'ouïe. Les réflexes rotuliens et cutanés sont nor- maux , il n'y a pas de trouble de la sensibilité, ni de
joute que ce sont les hommes qui sont employés aux soins des ani- ! maux et dans les mines où l'eau est rare et fréquemmen
sont moins exposés que les aricul-; leurs; les individus pauvres et mal soignés sont plus fréquemment infes- tés. L'éch
ar l'alimentation avec les boissons ou les légumes absorbés crus ou mal cuits; les poussières peuvent enfin en contenir.
prit une place de domes- tique, mais ne la garda point, étant trop mal nourrie. Elle vint alors demeurer 1 chez sa tan
é en prison et pense qu'on veut lui extorquer sa signature. Il dort mal et gâte au lit. Le 12 décembre, l'excitation se
! Pendant que nous sommes là, nous devrions songer au bien, pas au mal . Nous sommes ici avec notre sacré viande pour c
ayé d'étudier l'écriture chez notre malade, mais il se prêtait très mal à l'expérience (par' suite peut-être de ses idé
mble, je ne peux pas ». Après plusieurs tentatives, il écrivit très mal quelques lettres qui semblent vou- loir représe
e, Nouvelle Iconographie de Salpêtrière, 1896 ; Des attitudes anor- males chez les tabétiques. 54 GASNE ET COURTELLEMONT
elle Faure et Frenkel rattachent la possibilité des attitudes anor- males constatées chez les tabétiques) ; mais en supposa
ivantes : exception- nellement application d'un appareil à traction mal placé et tirant sur le tibia; d'ordinaire atrop
animal vivant est puissante pour calmer les douleurs causées par un mal violent, on doit convenir que cette méthode n'e
e son haleine et de ses autres émanations et victime d'une union si mal assortie, tombe bientôt dans la plus visible faib
est assez caractéristique pour qu'il soit facile de reconnaître son mal du premier coup d'oeil, quand même le geste du
ta- blement inférieur. Les figures sont trop petites dans le cadre, mal dis- posées. L'attitude de l'aveugle nous sug
compte des intentions qui ont présidé à leur exécution, et on copie mal . b) Porte de bronze du dôme de Gnesen (Pologne
le Saint Evêque. Rien dans son attitude ne permet de reconnaître le mal dont il est atteint : au- cun geste désordonné,
vre. Sainct Rémy faict que par divins records La rescussite et de mal la délivre. Lascène représente lapucellesur son
secondaires. Les vaisseaux extra-médullaires sont d'apparence nor- male ,et la pie-mère'ne présente il considérer qu'un lé
onne vertébrale. Tableau analogue à celui du cas I. Le cervelet est mal développé dans sa partie médiane ; à sa partie
ant en arrière. Les cordons postérieurs dans leur partie dorsale sont mal développés, pâles et étendus de côté. Le faisce
u tronc ; la colonne vertébrale ne présente pas de déviations anor- males . Les bras, proprement dits, ont il peu de chose p
comme forme et comme volume ; la diaphyse parait sensiblement nor- male aussi jusqu'à l'extrémité inférieure, mais celle-
dian, radial et cubital au point do vue sensitif, mais G... s'étant mal prêté à cet examen les résultats ont été peu nets
es supérieurs absents par l'emploi des membres inférieurs eux-mômes mal conformés. Nous avons vu, il y a une quinzaine
progressive ; sa main gauche, en particulier, est parfaitement nor- male . L'anesthésie n'accompagne pas habituellement l
caractéristique, toujours identique dans toutes les crises du même mal . Il a passé à côté, n'ayant pas une éducation s
age, un jeune étranger se disant expert en l'art de guérir tous les maux . « Qu'il vienne ! dit le père, et s'il sauve ma f
my (9) sur la démographie, la possibilité de son apparition dans le mal comitial. La photographie qu'il publie est précis
boucles d'oreille. A droite le lobule est adhérent. Les dents sont mal plantées ; à la mâchoire inférieure, elles chev
te elle était hantée par la crainte de ne l'avoir pas ou de l'avoir mal affranchie, elle revenait à plusieurs fois pour
nsées.... » III Actuellement L... est tourmentée par la pensée de mal agir depuis longtemps. Divers événements de sa
lui reviennent à la mémoire et elle est hantée par la crainte d'avoir mal agi. 242 ' VASCHIDE ET VURPAS Au moment où l'
n elle. Elle s'imaginait que toutes les personnes dont elle pensait mal , connaissaient ses pensées, que tout le monde s
Elle dit qu'elle entend « en elle » les personnes, dont elle pense mal , qui lui disent des sottises. Elle fait la dema
me elle le devait en ces diverses circonstances. Le soupçon d'avoir mal agi ou mal pensé, cette condi- tion primordiale
devait en ces diverses circonstances. Le soupçon d'avoir mal agi ou mal pensé, cette condi- tion primordiale d'une cond
elle à sa pensée. Elle veut faire des excuses à ceux de qui elle a mal pensé. Ces pensées qui lui viennent à l'esprit
é opposé les pyramides n'existent pas. Les cordons postérieurs sont mal développés, pressés un peu sur uu côté, celui o
re de la moelle épinière, du côté où les cordons pos- térieurs sont mal développés, se trouve une formation ovale, couver
anté- ro-postérieure. Du côté où les cordons postérieurs sont plus mal développés, 'la substance gélatineuse de Roland
est élargi. Les cordons postérieurs dans leur partie dor- sale sont mal développés, pâles et ne contiennent pas de fibres
de la moelle allongée, ces parties, lesquelles dans la moelle nor- male sont couvertes du cervelet, dans tous nos cas son
s, son tube digestif, son système nerveux sont de constitution nor- male . Son intelligence, bien qu'un peu au-dessous de l
droplasique. Ces nains peuvent donner naissance à des enfants nor- maux ; les exemples en sont nombreux ; ce qui arrête c
'une part, leur dissemblance trop considérable avec les sujets nor- maux , les met vis-à-vis de ceux-ci, dans un monde fait
sidérée que comme purement accidentelle. Que l'alimentation ait été mal dirigée pour chaque enfant, aux mêmes causes ré
ement chaque enfant, et tel nourrisson dont l'alimentation aura été mal comprise ne sera pas infailli- blement voué au
flexion de l'index : elle a saigné, et la cicatrisation a été nor- male . La sensibilité est difficile à apprécier, étan
schromatopsie. Acuité visuelle normale. Olfaction et gustation nor- males . Acuité auditive affaiblie, la montre entendue à
ggestion. 1 La pathogénie de ces accidents myocloniques a été assez mal étudiée.On sait le plus important sur leurs cau
ées dans le dernier acte de la désassimilation, par les tissus nor- maux de l'organisme : elle varie donc beaucoup suivant
a le caractère em- porté (25 ans), une autre fille de 37 ans, a des maux d'estomac, de la migraine ; elle est mère de 2
embres inférieurs à partir du genou. Cram- pes. Pupille réagit très mal à l'accommodation et pas du tout à la lumière,
tubercules quadrijumeaux. On y voit des cellules à contours flous, mal délimités, indécis. Elles prennent diver- semen
ment, mais toujours la coloration est uniforme. Le noyau se détache mal sur le fond de la cellule. Sa position n'est parf
ps cellulaire est nettement diminué de volume. Les contours en sont mal délimi- tés. Certaines cellules présentent des
absence de coloration des éléments nerveux qui se détachaient très mal sur le reste de la préparation. Le noyau ne pou
filtre le corps cellulaire et le noyau. Ce dernier se détache alors mal sur le fond cellulaire uniformément co- loré. C
cellulaire uniformément co- loré. Certaines cellules même prennent mal la couleur. En un mot ce que l'on constate ce s
et l'index, avec quelque difficulté le doigt du milieu, et avec pas mal de difficulté et beaucoup de douleur les deux der
zygomatiques étaient certainement le siège d'une hypertrophie anor- male . De même, le maxillaire inférieur, très pointu, a
les radiculaires des cornes antérieures apparaissent en nombre nor- mal , sans qu'aucun des groupements paraisse atrophié.
jonctive et la fibre striée semble avoir conservé sa structure nor- male . · Le tableau clinique que nous avons donné de
Le texte ne dit pas si la malade avait la peau bronzée, mais vu le mal qui avait amené la mort, la coloration ictérique
LA SAIGNÉE EN IMAGES PAR R HENRY MEIGE - (Suite) A propos du Mal d'Amour (1), j'ai eu l'occasion de signaler plusi
istesse et les angoisses de la patiente. Les « pâlies couleurs » du Mal d'Amour n'étaient pas une contre-indica- tion.
, c'était ne pas soigner. Pourquoi faire une exception en faveur du Mal d'Amour ? ? ..... » (1) Nouvelle Iconographie d
Convalescence franche; le bras paraît avoir repris son volume nor- mal . Depuis ces quelques jours de maladie, la santé
. du sysi. nerv., 1886, t. II, p. 295. (3) P. Marie, Leçons sur les mal , de la moelle, 1892. xiv 38 482 E, HAPIN né
en présence de troubles trophiques consécutifs à des lésions encore mal déterminées du département nerveux chargé de di
es fonctionnelles, l'on risquerait (1) Voir Charcot, Leçons sur les mal . dusyst. nerv., isil, t. II, p. 156. (2) Ducuev
in sur lequel il avait à opérer. Ainsi que cela était à prévoir, le mal récidiva : un gros marron squirrheux a poussé dan
cié cette affection, en la sé- parant de plusieurs états oedémateux mal caractérisés : oedèmes nerveux, segmentaires, h
nfondu. Il a par- ticulièrement insisté sur la forme héréditaire du mal . Nous publions aujourd'hui trois cas de trophoe
ed. En même temps paraissaient les taches vineuses. Depuis lors, le mal a progressivement augmenté. Tel était son état
onc une année après, je me mis à la recherche du petit malade. Le mal a empiré. La cuisse mesure maintenant 0 m. 49, au
sieurs jours. Cette issue de sérosité semble arrêter le progrès du mal . 1. Cet enfant a une soeur de quatorze ans qui
xtrémités, ni de gonflement du corps thy- roide. La mère se prête mal à des investigations et répond de mauvaise grâce
e. Le caractère héréditaire n'existe pas dans ce cas. Le début du mal , au dire des parents, est très nettement attribué
R.... vint chez moi en novembre 1896. Vingt et un ans. Taille nor- male . Poids avec vêtements : 60 kilog. xiv 39 498
l'embonpoint est normal. Marie, habituée dès l'enfance, a pris son mal en patience. Elle semble ne pas s'en inquiéter. E
nséquence. Marie a eu la rougeole à l'âge de huit ans. Cependant le mal préexistait. Elle ne présente aucune hyperesthé
ymose très étendue de la région fessière, a coïncidé avec le début du mal . Actuellement, le mollet a 40 centimètres de to
ariablement chez les infantiles. 'A propos de la rougeole, cause du mal , le Dr Marcel Garnier dans un ou- vrage remarqu
ntraînée par le poids du corps. Mais en dehors de leur volume anor- mal , leur aspect extérieur n'est nullement modifié et
e part les mouvements provoqués ne causent aucune sensibilité anor- male , non plus que la pression sur les articulations,
sure reçue à la chasse ou à. la guerre, ou simplement d'un vulgaire mal de dents ? Question diffi- cile ! Mais il faut
et dont nous avons vu plus d'un exemple en pein- ture à propos du « Mal d'amour », - le docteur de P. van Sliegelant tout
73 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
me jour, je recevais le bulletin suivant : « Plus d’éruption, plus de maux de gorge, l’appétit revient. J’étais parti bien é
comme du plomb. Je fis d’abord des passes sur le cerveau, siège du mal , et. puis y imposai les mains; au bout de peu d’i
roduit pas toujours des résultats positifs, elle peut ne pas faire du mal . On ne pourrait, hélas 1 en dire autant de la mét
bandeau qui couvre nos yeux, s’il est vrai que c’est n,ous qui avons mal observé. Cette note est empreinte d’un scepticism
ervé. Cette note est empreinte d’un scepticisme systématique qui sied mal ce nous semble à un partisan sincère de la vérité
mença à ressentir les effets de trop grands efforts pour surmonter le mal rnoral que causent toujours des maux trop réels.
grands efforts pour surmonter le mal rnoral que causent toujours des maux trop réels. Voici les symptômes qui se présentaie
ent en oubli. L’indifférence est grande en ce pays, et j’ai bien du mal à y établir le magnétisme sérieux. Les faiseurs d
. Sachant qu’il était malade, je me décidai un jour à l'aller voir. Mal m’en prit, car je ne fus pas admis près de lui; s
hume de poitrine et de cerveau. Une seule séance le débarrassa de son mal . Émerveillé de cette puissance, il en est devenu
epte, et dès que quelqu’un souffre chez lui, aussitôt il magnétise. MAL DE TÊTE. Madame T... me demanda si je ne pourra
e T... me demanda si je ne pourrais point faire quelque chose pour un mal de tête qui la tracassait et qui, dans le moment
ne paralysie. Là, près du lit de son ami, M. Empis fut frappé du même mal , et pendant plusieurs jours son état a inspiré de
ous : ces travers n’entretiennent que l’ignorance et conséquemment le mal . Plus l'homme s'élève et s'amende, Plus il co
i avec assez de bonheur pour qu’aujourd’hui, aucune, personnalité, ce mal rongeur des unions, ne puisse nous asservir au de
onde nouveau offrait de bien attrayante? merveilles; mais une société mal assurée encore sur ses assises pouvait-elle se pr
in ; A ceux qu’offusque toute gloire, A qui bonheur d'autrui fait mal , Mon toste le plus cordial ! C’est aux malade
Heureux qui leur ressemble ! heureux qui les prend pour ami ! « Le mal physique est souvent une conséquence du mal moral
s prend pour ami ! « Le mal physique est souvent une conséquence du mal moral, le désordre suit nécessairement la déraiso
: Il faut apaiser les dieux offensés, et nous disons encore : le bien mal acquis ne profite pas, il faut res tituer, il fau
ien mal acquis ne profite pas, il faut res tituer, il faut réparer le mal commis, il faut satifaire à la justice, ou la jus
n brave ne doit pas compter les ennemis avant la bataille. Prévoir le mal , c’est le rendre en quelque sorte nécessaire. Il
on état empirera sans que la médecine encore arrête les progrès de ce mal . La jeune impératrice d’Autriche voyage avec se
ode de traitement, dirigé par un praticien habile, n’a jamais fait de mal à personne, mais au contraire qu’il'n’a fait que
r de prendre quelques bains seulement, car alors ils feraient plus de mal que de bien : mais on devra en prendre de trentek
es bains de mer y associent le magnétisme humain et ils verront leurs maux promptement disparaître. S’il y a des hommes qu
in, consola tout le monde et fut. rempli de l’espérance d’échapper au mal . Ce ne fut qu’une lueur. Bientôt la mélancolie re
étisme et des magnétiseurs, et il allait se trouver désarmé contre le mal dans un moment suprême ! Ses confrères aux grande
nt à l’un, s'il est demi-croyant : —Cet agent vous ferait beaucoup de mal , vous attaquerait les nerfs; à la mère désolée de
ble maladie, qui conduisit Coriolan chez les Volsques, avec ce triste mal , que l’on nomme tout simplement la colère. Lame
le médecin somnambule avoue qu’il s’était trompé quant à la nature du mal qu’il avait voulu combattre en traitant cette dam
r l’autre, de sorte que c’est le même fluide bleu magnétique qui fait mal et qui guérit, et c’est le cas de dire ici : « Si
es mystères de la nature ; des malheureux qui verront la fin de leurs maux dans un monde meilleur; des âmes religieuses qui
incontestable, exact, en un mot. • (Journal du Magné-lime, n» 8!, 25 mal 1804-1 Une série de faits et le principe nature
es médicales enseignées par nos Facultés, parce qu’elles font plus de mal aux hommes qu’elles ne leur font de bien; ce que
portons toujours en nous le principe qui relie tOHtes choses ; que le mal tend à soumettre son fauteur aux forces nées du m
s choses ; que le mal tend à soumettre son fauteur aux forces nées du mal , et que plus, au contraire, nous répandons le bie
is Puységur jusqu’à nos jours, le somnambulisme magnétique a été fort mal étudié ; et aujourd’hui, peut-être, plus mal que
me magnétique a été fort mal étudié ; et aujourd’hui, peut-être, plus mal que jamais, à cause de la déconsidération dont no
r et encore plus du consultant ; enfin à ce que, en général, ils sont mal dirigés..... Je ne parle pas ici des endormeurs
imentés, les rêveurs et les charlatans du magnétisme ont fait plus de mal à notre cause que toutes les académies réunies. A
re avait une « douleur au bras, laquelle était la suite d’une saignée mal « faite. Or, la douleur que mon père ressentait é
ière de voir, relativement au somnambulisme. Son sujet avait senti le mal , mais comme il ne voyait plus ou qu’il ne pouvait
e douleur, il a répondu par induction qu’elle était due à une saignée mal faite. Eh bienl j’ai la conviction intime que s
à un magnétiseur peu expert, et qu’il a été vaincu, dompté, endormi, mal réveillé et malade. Plus un mot contre mes conc
il faut que je fasse mes malles. La saison presse, et j’ai encore pas mal de centaines de kilomètres à faire avant de rentr
ts du magnétisme. Nous portons dans la pensée l'arbre du bien et du mal , la source de la vie et de la mort. C'est encore
e la sorte reste calme. € L'affliction est, en ciïet, une partie du mal . » Hebmès. Physique, finxif (de fini, produire,
msay. Avant ce moment-là, toute tentative de fascination tournerait à mal ; elle ne serait qu’une cause certaine d’irritati
revenant à lui qu'il s’apercevait de la blessure et en ressentait le mal . [Cité (le Dieu, liv. xiv, ch. 24.) La pratiq
ez le paysan malade et lui adressa des questions sur l'origine de son mal . Le charron répondit que sa maladie provenait du
ant avec ces messieurs, je leur dis que je croyais à la curabilité du mal ; puis, tout à coup, j'ajoutai que, dans ce moment
rocédai, séance tenante, à la démonstration du fait. Tout marche de mal en pire ! Je redouble de zèle en pure perte : les
g. insc. tsl sériés, pl. 9 et 12. jeune sœur de la Reine, « dont le mal a pénétré la substance, >■ ou suivant une vari
ance, >■ ou suivant une variante, « sur les membres de laquelle le mal s’est étendu. »Sur l’impuissance avouée du docteu
neur ; pour Bint-Reschit, la jeune sœur de la reine Neferou-Ra ; un mal a pénétré 1 dans sa substance; que ta Majesté v
demande ; indiquez-moi parmi vous « un homme au cœur intelligent, un mal /re aux doigts habiles. » « IG. Le basilicogramm
re, à cause de Binat-Rosch, la petite sœur de la Reine Ra-Nefrou ; un mal s’étend (1) dans ses membres. » « Le roi après
cette prière du défunt : « Fermez-moi contre les morts qui font le mal contre moi ! Qu’ils ne fassent pas de mal contre
ontre les morts qui font le mal contre moi ! Qu’ils ne fassent pas de mal contre moi. » « L’adjuration étudiée s’adresse,
était restée inconnue, puisque le messager se contente de dire qu’un mal a raidi ses membres, le grammate égyptien sut ais
s solides et fait tomber les cheveux. Si, par aventure, il attaque le mal , ce n’est que pour en produire un plus grand et d
u premier coup d’œil pour un miroir magique; la forme des caractères ( mal reproduits dans un croquis pris par moi en quelqu
partout en suivant mes membres ; mais lout cela ne me faisait pas de mal , au contraire, j'éprouvais un certain plaisir à c
ureau et liste des dignitaires, 157. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. — Maux guéris ou soulagés. Affection mentale, 169. B
aladie grave de l'utérus, 260. — du foie, 226. — des yeux, 558. Maux de tête, 259. Névralgie faciale, 117. Palpita
mnambuliques, 256, 377, 471, 663. Contagion fluidique et morbide. Maux passant du magnétisé au magnétiseur, 261 ; — d’un
74 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e faciale. Les divers sphincters fonctionnent bien. La marche est mal assurée ; le malade s'en va un peu voûté ; traî
de globulins ou hématoblastes. Chez plusieurs malades en état de mal , nous avons voulu remplir l'indication de la sa
s l'influence de la médication et le remède est bientôt pire que le mal . Aussi ne doit-on pas en faire usage. La bellad
rences dans le nombre des accès et nous ne constatons pas d'état de mal produit par la suppression d'un de ces traiteme
ssi seulement à remplacer l'idee incon- ciliable par une autre idée mal appropriée à s'associer à l'état émotif qui, de
dinairement dans la faculté pour l'individu de discerner le bien du mal , en ce qui concerne un acte donné, et dans l'abse
ude à dis- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 tinpuer le bien et le mal dans l'acte accompli, soit par rapport iL l'aff
impossible de lire de longues séries de nombres. Elle calcule très mal . Au début, l'écri- REVUE DE pathologie NERVEUSE
paires. Etat général mauvais, le malade se tient voûté et il marche mal , sans que, pourtant, les muscles des membres infé
peut plus quitter sa chambre. A signaler, dès le début, de violents maux de tête et d'estomac qui n'ont pas cessé. Act
pouvant se relever. Cuisses maigres, jambes et pieds d'aspect nor- mal , simple diminution quantitative de l'excitabilité
des lésions articulaires qui peuvent.faire partie des symptômes du mal perforant. Les arthrites consécutives aux affec
venant sous forme d'accès, soit simples, soit prolongés ou états de mal . Ces faits consacrent d'une façon irréfragable la
urs du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l'attaque de spasme paraît avoir surtout le p
s'occupe ensuite de quelques variétés de l'attaque et de l'état de mal hystérique revêtant plus particulièrement le type
ne attaque hystérique transformée. Dans l'attaque et dans l'état de mal du sommeil hystérique, il ne s'agit en réalité
assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa forme prolongée ou état du mal . Le second volume de la seconde partie du Trait
à tuer son enfant '. » Il faut convenir que la question est assez mal posée. Qu'est- ce que cette fureur homicide tra
ui ne parlent pas, nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent mal . Idiots qui ne parlent pas. Les idiots qui ne p
mots de l'idiot. L'essentiel c'est de s'assurer si tel mot bien ou mal prononcé correspond exactement à l'idée que nou
ut la transition entre ceux qui ne parlent pas, et ceux qui parlent mal . Edmond B... appartient à cette catégorie. Il d
faisons même semblant de ne pas le com- prendre s'il persiste à les mal donner, et nous arriverons en peu de temps à de
erons en peu de temps à de grands changements. Idiots qui parlent mal . Les idiots, dont nous allons main- tenant nous
accès reviennent plus forts et le malade est enlevé par un état de mal . Le patient, dit Legrand du Saulle, paie son «
Nous n'avons jamais vu sa suppression amener à ce moment un état de mal et la mort du malade. Cet état de torpeur accom
avons essayés dans plusieurs cas et spécialement dans des états de mal ou dans des périodes d'excitation ou de trouble
is chez la première, deux fois chez la seconde, à arrêter l'état de mal . Tous ces moyens d'action sur le tube digestif
bien lorsque les accidents sont déjà com- mencés et dans l'état de mal que cette médication nous paraît devoir être em
ées à plein jet sur la tête '. Chez les malades qui sont en état de mal épileptique avec élévation croissante de la tem
de Lep... que nous avons soumise à ce traitement dans deux états de mal et une période d'excitation, a pu échapper à ce
ieurs malades nous les avons employées avec succès dans l'état de mal , dans les accès sériels et lorsque les symptômes
tué, laver l'estomac plusieurs jours de suite. Enfin dans l'état de mal et dans l'agitation, nous joignons à tous ces m
s accès épileptiques fréquents, souvent suivis de grand et de petit mal intellectuel. Son intelli- gence a baissé beauc
t 1893 elle entre dans une série d'accès, dans un véritable état de mal avec une température élevée, 40°. Hébétude, éta
inaison ; 7° Dans l'épilepsie par intoxication, lorsqu'un état de mal s'accompagne d'hémiplégie corticale, on voit sou-
de l'attaque, constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi : haut mal , 87 fois; forme mixte, 69 fois; petit mal, 34 foi
répartissent ainsi : haut mal, 87 fois; forme mixte, 69 fois; petit mal , 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 157 ha
9 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 157 haut mal avec épilepsie jacksonienne, 14 fois; épilepsie r
évation et voussure anormales de la voûte palatine, dents inégales, mal développées, chevauchant les unes sur les autre
n cas d'épilepsie rotatoire, et un cas d'épilepsie psychique (petit mal ) ; ces quatre cas montrent com- bien divers et
r l'interruption de la transmission héréditaire des caractères nor- maux . Tous les individus, nés de parents malades, prés
coolisme, d'en atténuer les effets, de propager la connaissance du mal dans tous les milieux sociaux, de grouper le plus
s, méningite basilaire; il écrit à ce propos : « Ich habe mehrere Mal eine Miliartuberculose der cerebralen Pia Mater a
itée à la partie inférieure du renflement cervical dans le cours du mal de Pott. Nous regrettons de n'avoir pu prendre
eitrage zur ]{enntnis der Rückenmarkstuberkulose. Tùbingen, 1890. Mal de Pott cervical. Leploméningile chronique. Pouss
s myélites syphilitiques, ainsi que celles qui surviennent après le mal de Pott. Dans les cas suraigus (le cas de Raymond
auche. Au contraire, tout léger attouche- ment est à peine senti et mal localisé surtout à la plante des pieds. Tous ce
ille de Félicité, qui a le courage de dire : « Pourquoi fais- tu du mal it l\1me elle n'est pourtant pas méchante. » Féli
t le médecin de la famille aurait observé les premiers symptômes du mal et qu'il s'empresserait d'apporter aux magistra
très incomplète dans son expression symptomatique. La pneumonie, le mal de Bright, créent aussi le goitre exophtalmique;
t apparu, une modalité nouvelle d'un même trouble pathologique ? Le mal de Graves serait alors une sorte d'hystérie lar
ais malades, dignes d'intérêt, et qui, sotia l'impulsion, répondent mal à leurs chefs, les frappent, déchirent les effe
ne pas subir, à quelque degré, un retentissement psychique de leur mal s'étendant dans la sphère morale. M. Garnier ad
ires à la doctrine classique de l'inconscience et de la fatalité du mal sacré. Il. Laroussime rappelle à son tour les c
ourent les hôpitaux et même les villes pour se faire débarrasser de maux imaginaires. La quatrième variété comprend les
été observé. Il est très difficile d'admettre, dans l'hypothèse de mal comitial, cette conscience si lucide et si rais
e ses besoins. Et de là, de ce défaut d'adapta- tion d'un organisme mal préparé à s'assimiler avec avantage cette surab
servation. On suppose que le feu a pris dans un tuyau de che- minée mal construite. Heureusement le feu fut signalé au mo
une ma- ladie grave; à dix-huit ans, après un coit suspect, il a eu mal à la verge passagèrement. On ne peut lui faire
ceinte. Histoire de lu maladie . Depuis lontemps Wek.. se plaint de maux de tête; aussi bien au physique qu'au moral il
une certaine amélioration attri- buable à la suspension, G voit son mal évoluer rapidement; depuis mai 1891, il présent
s pieds sont tombants, les orteils fléchis en griffe présentent des maux perforants dorsaux qui ouvrent les articulation
est elle-même le fait de dispositions anatomo-physiologiques encore mal connues. III. Le processus présente un aspect t
la langue, sueurs profuses, suffocation, parésie du coeur, état de mal ). Ces accès ne présentent aucun des caractères
s, la région est en outre douloureuse à la pression. Le malade voit mal de l'oeil droit, surtout si les objets qu'il re
i que des aliénés enfermés dans des prisons cherchent à cacher leur mal pour ne pas être placés dans des établissements
cool. Heroguelle. Contribution à l'étude du traitement de l'état de mal épileptique. BÉZIAT. De la sciatique hystérique.
de la plupart des aliénés. De pareils remèdes ne font qu'activer le mal : de tous côtés éclatent de véritables épi- dém
brutalité des gar- diens qui empêchent les autres de s'approcher z maux Andrée, ajoute Esquirol, dit la même chose, en
s dans de vieux cou- vents, dans des châteaux adaptés tant bien que mal à leur ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 363
l'apparition des crises, mais dans la plupart des cas font plus de mal que de bien; 4° En cas d'agitation maniaque, l'
e sédatifs du système nerveux; 5° Le meilleur remède dans l'état de mal épileptique est la sai- gnée. Comme médicament,
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 385 parole nasonnée. En 1894, maux dé tête, grande faiblesse, insomnie. - Février
ur les éléments constitutifs de cette zone. R. M. C. XXXVI. LÉSIONS MAL DÉFINIES DE LA COLONNE VERTÉBRALE, SUIVIES DE P
; par le Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en état de mal , l'auteur trouva une atrophie marquée des circo
combien chez les quérulents symptômes maladifs et réactions nor- males peuvent s'entremêler. Les tendances processive» n
s psychiques, comme il est intelligent et a la notion du bien et du mal , il doit être déclaré responsable. Les Drs Pel-
ve - comme on augmente la fêlure d'un vase, en le sondant du doigt, mal il pro- pos ou maladroitement. Nous réclamons
x devrait avoir le sien; ces aliénés toujours affaiblis se tiennent mal sur les bancs; ils ont besoin d'appuyer leurs b
s et dite section des travailleurs, malheureusement on la mit assez mal à exécution et il est indispensable que sur ce
u éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs; les cheveux mal plantés, grossiers, de diverses nuances, laisse
éit qu'en parole; très allectueusc; n'a pas la notion du bien et du mal . Volonté active, veut toujours produire quelque
rant de la conversation le mot de Cambronne. Elle sait qu'elle fait mal en disant des paroles grossières; quand elle ar
u- velles suggestions en opposition avec elle. J. Ségalas. LVIII. MAL DE BRiGIIT ET folie; par le D'' BO : \DUIIANT.
de quarante-trois ans, buveur. Le début de la maladie est brusque : maux de têle, impossibilité de se tenir debout; puis
assant ensuite à la maigreur qui présage la fin prochaine d'une vie mal dirigée. L'autopsie révèle des faits plus instr
ntre l'utilité d'un examen spécial de psychiatrie. P. Sérieux. LE MAL DU S1'ÉCL1L1S31Ej Par le Dr IIUGIlES. L'auteu
requérir les pompiers de l'avenue Parmentier. Et ce n'est pas sans mal que les braves sapeurs parvinrent à se rendre m
Borborygmes. Note sur une épidémie de , par Féré, 316. Brsu.ur. Mal de - et folie, par Bon- durant, 470. Bulbaire
n des ary- thmiques par Lannois, 318. Colonne vertébrale. Lésions mal définies de la traitées par la suspension et
75 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
hypertrophique : à savoir des muscles gros et durs qui fonctionnent mal ou même point du tout. Mais il y a plus et ce n
st couché sur le dos. En ce qui concerne les membres inférieurs, le mal a fait d'assez grands pro- grès, car, tandis qu
t au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le mal était depuis 1889 en pleine évolution, il s'est
eur primitive. On se croit alors en droit de son- ger à un début de mal de Poil cervical ; mais l'examen du petit malade
convulsives qui allaient jusqu'à déterminer un véri- table état de mal et qu'il était parfaitement raisonnable de rappor
ent fait songer des médecins experts tour à tour à la méningite, au mal comitial et au mal de Pott; tous ces phénomènes
médecins experts tour à tour à la méningite, au mal comitial et au mal de Pott; tous ces phénomènes n'avaient été que pa
cérébrale dans un cas d'Itstéro- épilepsie. Charcot (Leçons sur les mal . du syst. nerv. T. III, p. 90). Observation VI.
ser à une lésion organique de l'encéphale. Charcot (Leçons sur les mal . du syst. nerf. T. III, p. 62). Nous retrouvo
ar séries et constituent alors dans l'hystérie un véritable état de mal épileptiforme. Tantôt l'épilepsie partielle d'o
) G. Ballet, loco citato, no' 23 et 24. , (7) Charcot, Leç. sur les mal . du syst. nerv., t. III, p. 287. 30 NOUVELLE IC
hystérie. Lorsque ces contractures sont (1) Charcot, Leçons sur les mal . du syst. 7zei,v., t. 11, p. 252. (2) P. Rlcucn
ffet se passer de longs commentaires et nos (1) CIIARcor, Clin, des mal . du syst. nerf. Guinon, 1892, p. 28e'l. (2) Bou
médic., 4 février 1888. (2) Voir CIIAftCOT et CARTAZ, Leç. sur les mal . du syst. nerv., t. III, p. 481 et Leç. du mard
er quelques sons articulés ou seulement des monosyllabes qu'il cite mal à propos ; mais il est presque toujours atteint
côté opposé. (Charcot, in op. cit., p. 329). (1) Charcot, Clin. des mal . du syst. nerf. G. Guinon, t. 1, p 308. (2) G.
était en colère » dé- clara-t-il. Cet enfant avait-il fait quelque mal à cette femme, achevai-je ? Non, répondit-il.
ux se mouillèrent de larmes, il la vue de cet enfant délivré de son mal . Telle est l'histoire de cette difficile missio
l'Eglise catholique. Qni n'admirera la sagesse de Dieu qui d'un tel mal a su tirer un si grand bien ! (D) Phénomènes co
3 août 1891, d'après les rapports du père et du fils, tout est nor- mal chez cet enfant. Il visite maintenant avec amour
NERF MÉDIAN 71 ces troubles trophiques par blessure des nerfs et le mal perforant classi- que : chez notre premier mala
r malade, l'aspect des ulcérations rappelait, en petit, l'aspect du mal perforant avec son ulcération centrale, son épais
ues de cause périphérique et traumatique. Ce sont des ampoules, des maux perforants, des ulcérations du derme, voire même
de nécrose, avec un fort grossissement on aperçoit quelques noyaux mal colorés, épars au milieu d'un amas de fines granu
s la substance grise, les cellules des cornes antérieures se colorent mal par le carmin ; elles prennent une teinte jaune
e que dans les territoires décrits précédemment : débris de myéline mal colorés par les réac- tifs, quelques corps amyl
mplètement disparu du côté gauche, quand hier, à la suite de violents maux de tète, le front s'est trouvé plissé à droite
l'attention du côté des viscères et l'appétit est il peu près nor- mal . En présence de ces divers phénomènes qu'on con
es plaques. A 42 ans, développement de troubles trophiques variés : maux perforants plantaires, excoriations des mains,
nes. Concomitamment, pendant l'hiver (le froid aggrave en effet son mal ), une éruption huileuse apparaît brusquement, p
oubles sensitifs (fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité tactile nor- male . La sensibilité à la piqûre est également conserv
lexes rotuliens, pupillaires, testiculaires et abdominaux sont nor- maux . Examen électrique pratiqué à la clinique de M.
au de l'épaule, du dos, du bras, la résistance n'offre rien d'anor- mal et tous les muscles se contractent énergiquement
r- tinique et l'âge relativement avancé auquel s'était développé le mal ; mais c'étaient là plutôt de simples présompti
ué. La lumière vive, le soleil ou le feu, les charbons ardents, est mal supportée par le malade : il est obligé de se ga-
des plus nets, où les éléments en voie de destruction se coloraient mal , en un mot une véritable gomme intrapariétale.
atinées, sans prolongements, chargées de pigment; elles se colorent mal ; un grand nombre d'entre elles sont entièrement
vons rencontrées chez le premier ; mais que la durée plus longue du mal en a modifié l'aspect et la nature. Parmi les c
rescence, comme on pourrait le croire à la lecture des observations mal fondées de Svietline et publiées par lui. Les m
- dantes qu'ils ont méticuleusement analysées et mises en notes : - Maux de tète tenaces, digestions pénibles, insomnies
YÉLITE SYPHILITIQUE 211 les lésions rencontrées plus haut. Elle est mal limitée en dehors, car elle touche en un point
pillaires infiltrées légèrement, le tissu nerveux lui-même est nor- mal . Les coupes du nerf oculo-moteur droit ont montré
phoïde ? ), sa soeur vit encore ; elle est mariée, pas nerveuse, mais mal portante depuis un accouchement difficile. W.
neux presque continuel. En mai 1892, les vomissements cessent : aux maux de tète s'ajoute alors une rachialgie très part
l'accouchement; mais la malade ne remarqua ni éruptions cutanées, ni maux de gorge, ni chute de cheveux. Eu juin 1891 s
ertainement pas une étude du maître; ce « n'est qu'une copie, assez mal habile d'ailleurs, due à une peintre fort peu e
ITE SYPHILITIQUE 257 Père mort tuberculeux. Le malade connaît assez mal sa famille, et ne saurait dire s'il a des antéc
92. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 261 pieds. Sa marche était mal assurée, il titubait. Réformé en mai 1890 pour sa
es supérieurs. Le malade accuse une faiblesse et une légère douleur mal définie dans le membre supérieur droit, surtout l
- fluence du traitement spécifique ait modifié en rien la marche du mal . L'évolution de ces paraplégies graves, comme o
acements perpétuels, « c'était, dit-il, pour trou- ver un remède au mal dont je souffrais depuis l'âge de 25 ans, mal qui
rou- ver un remède au mal dont je souffrais depuis l'âge de 25 ans, mal qui ne me laissait ni trève, ni repos, et pour
ie de foie ( ? ) Mais ne pouvant trouver en Russie de remède il ses maux , il s'adressa à l'Al- lemagne, puis à l'Autrich
'Autriche, quêtant dans chaque université une consultation pour son mal de tète, sa douleur de dos, ses points de côté. C
voit assez bien-, dit-il ; mais sa vue se fatigue vite. Il mange mal , n'a pas d'appétit et se plaint de ses digestions
mange mal, n'a pas d'appétit et se plaint de ses digestions. Il dort mal éga- lement. Quand on l'interroge sur les tra
lançant aussitôt qu'on le lui permettait dans la description de ses maux . Puis il est parti promettant de revenir. On ne
e maladies somatiques aiguës ou chroniques. Ses règles étaient nor- males , quoique toujours très abondantes. Avant sa malad
Etat fébrile. Aucun changement dans l'état psychique. 5-6 février. Mal à la tête, vomissement, langue chargée ; la malad
s et cherche à la frapper. 7-11-12-19. La malade est agitée et dort mal . 25. Elle urine sous elle. Le reste du mois ell
es telles que l'otématome, les décubitus chroniques et aiguës et le mal perforant. La littérature fournil peu d'indicat
il marche. Les changements de temps, les orages surtout exagèrent son mal . Il n'est pas rare qu'il ait une attaque quand
ie sérieuse jusqu'à ces dernières années. Elle souffrait souvent de maux de tète, et de quelques douleurs vagues dans le
- trière : « là, lui disaient-ils, est la seule médecine pour votre mal , et M. Char- cot est le seul médecin qui le con
. Le phénomène sur lequel elle attire d'abord l'attention, c'est le mal de tête qui répond bien au type neurasthénique
t, l'ouïe, normaux. La vue est faible ; la malade est myope et voit mal , surtout de l'oeil gauche. Pas de rétrécissement
oi désormais, et tous ceux de mes compatriotes qui souffriront de mon mal , je les enverrai à la Salpêtrière ». Ayant fa
pauvreté que par sa bizarrerie. a Son habit tout difforme Et très mal arrangé attirait toujours l'attention du public
bornent les analogies, et le diagnostic est aisé à l'aire. Dans le mal comitial ambulatoire, il est presque toujours pos
ent, la courte durée de leurs promenades dont le but reste toujours mal défini, tout cela n'a rien de commun avec la vi
rant de la légende. « Nous pensions être un songe Le récit de vos maux . Nous* traitions de mensonge Tous vos plus gr
76 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
disa- tion provoque des contractions d'une intensité presque nor- male . Les douleurs sont moins vives. Température du ma
ordination motrice était le symptôme prédominant se trouvaient fort mal différenciées les unes des autres, et pour la p
Roth. Histoire de la musculation irrésistible ou de la chorée anor- male . Paris, 1850. * Sandras. Traité pratique des ma
droite il trébuchait et tombait par terre; toutefois sans se faire mal . Vers le mois de mai-juin, S... fit à l'hospice
rents ramenè- rent l'enfant au Havre. Celui-ci paraît ne pas s'être mal trouvé de ce changement d'existence. Lorsque no
, mais de tous les auteurs qui ont vanté l'action du curare dans le mal comitial, aucun ne l'a employé, que nous sachio
était que des vertiges, et les autres, en plus grand nombre de haut mal . - Observation Il. Epilepsie; début à neuf uns
at de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le caractère du haut mal , mais seulement nocturnes i Thiercelin. Académi
, précédé (un quart d'heure à une demi-heure) d'un accès de petit mal . Le dernier accès survint quatre jours avant le d
raité comme le précédent etn'eutplus d'accès ni de petit ni de haut mal , et jus- qu'à présent (commencement de juin 186
ble de l'intelligence, le curare peut, dans certains cas, guérir le mal et même rendre un peu i Beigel. Versuche mit Cu
85.), Quand on veut étudier fructueusement le fonctionnement nor- mal ou anormal d'un organe, il ne faut pas se borner
temps de s'éteindre, l'auteur organisa rapidement, tant bien que mal , une série de leçons. Le nombre decesleçons fut d
prise et un désappointement; tous les candidats répondirent bien ou mal aux questions pratiques : la moitié d'entre eux
re à la sienne propre, plutôt que comme le résultat des excitations mal réglées d'une affection nerveuse. D'auho part,
pétée, ou même parfois à l'aide d'influences mécaniques, uu état de mal épileptique qui, tantôt se calme spontanément,
iiiie de un à deux dixièmes de degré. C. On aurait, dans l'état ^le mal , noté 44o l'; le thermomètre monterait encore pos
on n'entrave ni l'excitabilité corticale, ni la genèse de l'état de mal ; 14" L'anémie n'a d'influence sédative sur les co
ns le sang fait disparaitre les pauses mterconvulsives de l'état de mal ; les pupilles deviennent étroites; 15- La morphin
ans cesse persuadé qu'on s'occupe de lui et qu'on veut lui faire du mal ; avec de telles dispositions d'esprit, D... dev
n cudroit : « ,1'ai twé dessus, dit-il, parce qu'elles me faisaient mal au ventre; je ne les connaissais pas, mais je s
lltizig lit un mémoire sur la température au-dessous de /tt) ! 0 ? male cliez les paralytiques Ce mémoire sera publié in
fférents. Un seulcas, celui de Greitf concernait des accès de petit mal aboutissant à un âge plus avanc"à à une psychos
e à un diagnostic analytique et sûr, c'est son augmentation anor- male ; cette augmentation existe quand les mouvements
les manières de voies erronées, jetteront la lumière sur les points mal compris et feront régner l'unité. SOCIÉTÉS SAVA
la médication la plus simple, en rapport toujours avec la cause du mal , ne trouvant d'autre part, comme influence sus-
e. , Après quelques notions préliminaires sur la physiologie nor- male et pathologique du système nerveux périphérique a
le, mort-née. D... a été élevé en nourrice, où il fut, paraît-il, mal soigné. Il n'a pas eu de convulsions à aucune é
iction qu'il ne tarde pas à tomber à terre, sans toutefois se faire mal . On est obligé d'intervenir pour faire cesser c
cons les périodes de rémission ou d'accalmie. Sous des influences mal connues et qui, tout au moins, sont, autant que
lus tard à qua- torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais mal (les autres enfants ont parlé vers dix-huit moi
tions et accès de manie avant et après les accès. Séries; états de mal . - Affaiblissement intellectuel. Pliimosis. Onani
it très ébranlées; articulation normale, forme des mâchoires nor- male ; voûte palatine peu profonde, parait légèrement
Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un état de mal ; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 vertiges.
s se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable état de mal . Ils ont été plus nombreux en 1883, et les facu
dans le service de M. Kowa- lewsky avec tous les symptômes du haut mal . M. Tarnowsky finit son article par une étude c
de couture, d'ailleurs sa vue baisse; elle se lève plus tard, dort mal . La nuit elle a des peurs vagues, non motivées, e
près d'elle la nuit; elle a peur de manger parce qu'elle a peur de mal digérer, elle apeur de mourir; elle a peur du b
e sont pas les déceptions, ni les peines morales qui font éclore le mal , mais il semble que cette idée qui s'est imposé
eint. En tous cas, ces sujets reconnaissent eux-mêmes l'éclosion du mal , ils le pressentent et, dans leur entourage, ils
ue ceux qui les entourent ne tardent pas à soupçonner l'invasion du mal . Quant à eux, ils persistent dans leurs opinion
pport, semblables aux enfants qui déjà distinguent et apprécient le mal qu'on leur fait, avant de discerner le mal qu'i
inguent et apprécient le mal qu'on leur fait, avant de discerner le mal qu'ils font aux autres ; toujours défen- seurs
e soit apportée de ce côté. L'on a dit avec raison que les hôpitaux mal tenus, mal surveil- lés étaient la pire des cho
rtée de ce côté. L'on a dit avec raison que les hôpitaux mal tenus, mal surveil- lés étaient la pire des choses, les in
à gauche. De quatre ans et demi ci sept ans, dix ci douze états de mal convulsifs. A sept ans, nouvelles convulsions pre
liétose. Modifications de l'intelligence. A dix ans, nouvel état de mal : nouvelle din21 ? zutio ? z de l'intelli- S'en
it ans, de la poitrine et de chagrin, dit-on, parce que son fils a « mal tourné» : il buvait, courait les filles, ne tra
ux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d'états de mal convulsif, débutant le matin vers quatre heures,
sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel état de mal plus long que les précédents, dans lequel les c
par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier état de mal sur- venu à dix ans. La situation intellectuell
onvulsions ci trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'A deux ans. Maux de tête cinq ci six fois par an de huit ci douz
rnel alcoolique, mort aliéné. Premières convulsions cc trois ans. - Maux de tête fréquents. Absences depuis janvier 1882.
TOTAUX DU CURARE DANS 1,'ÉPILEPSIE. le 9 germain maternel mort du mal de Pott. Onanisme. Début ff trois uns.- Débilit
velu (1882). Curare; insuccès. Hydrothérapie (juin à octobre 1883). Mal de Pott. Abcès par congestion. - Fistule ingzzi
été régulière. A vingt et un ans, elle eut des accidents cérébraux mal déter- minés, qui furent suivis d'une convalesc
alade à son arrivée à l'asile. Elle mangeait difficilement, dormait mal , retirait et déchirait ses vêtements. Le 22 mar
au 28 mars, la malade dormit peu et d'un sommeil agité elle mangea mal , ne prit que du lait et du bouillon. Sa surexci-
des attaques, l'influence des attaques, et enfin pendant l'état de mal épileptique. Dans ces divers cas, nos recherche
e phosphorique total est augmenté. B. Sous l'influence de l'état de mal épileptique : 10 L'azote rendu par vingt-quatre
at or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaques et de l'état de mal épileptique, avec les résultats que nous afourn
ications produites par les attaques d'é- Epilepsie et par l'état de mal épileptique sur l'élimination de l'acide phosph
dehors des attaques, sous l'influence des vertiges et de l'état de mal épileptique, c'est ailleurs que dans le système
e qui se passaient au sein de la substance ner- veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous l'influence de l'état de mal
veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous l'influence de l'état de mal épileptique, l'azote, l'acide phosphorique uni au
rique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des attaques et de l'état de mal épileptique, l'élimination de l'azote et de l'a
e par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'état de mal épileptique augmentent l'éli- mination de l'azo
xclut pas l'astuce chez lui; il est soupçonneux-, il a la vanité du mal . C'est un grand enfant, avec le front bas, mal
-, il a la vanité du mal. C'est un grand enfant, avec le front bas, mal conformé, étroit au plus haut degré avec la régio
lement des mains (im- possibilité de tenir sa fourchette); démarche mal assurée, faible réaction et fréquemment inégali
ssion pénible, fâcheuse. Les routes insuffisantes, à peine frayées, mal entretenues, difficilement accessibles, même en
ue, car des frictions à l'onguent napolitain avaient eu raison d'un mal per- forant; le temps écoulé entre l'ulcération
oubles qui ont été observés dans la seconde, nous voulons parler du mal perforant plantaire (Christian), de l'atrophie mu
pleine d'intérêt et de charme. Les livres de ce genre s'accommodent mal d'une analyse métho- dique, toujours en désacco
te, sur les ruines du pays, un règne sans lendemain. « Contre les maux dont ces deux partis menacent la France, dans n
77 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendu
etc. 2 auli. 1861. 7. Briickner. — Deulsch. Klini/i, 1865, n" 30. mal , par la section des troncs nerveux, puisque, dans
ertains groupes de muscles. pression exercée par une tumeur, par le mal vertébral de Pott, etc. Ces diverses affections m
ellules ner-veuses motrices sont bien réellement le siège primitif du mal . Leplussouvent, le travail d'irritation gagne ens
'un muscle ; il en résulte que celui-ci pourra répondre tant bien que mal aux ordres delà volonté et se contracter encore s
ique de la moelle épinière, dans la myélite par compression (tumeurs, mal de Pott), dans la myélite primitive, dans l'hémip
), rattacher les symptômes cérébraux ou cérébro-spinaux graves, assez mal définis encore, qui terminent rapidement la vie,
té rachidienne, du pus provenant d'un abcès, chez un sujet atteint de mal vertébral, ont pu à ma connaissance déterminer la
professeur Mitcliell (1), qui l'a observée dans la paraplégie liée au mal vertébral de Pott, où cependant elle est, je le c
ro-pathie subaigë chez une femme atteinte de paralysie consécutive au mal de Pott. Ce fait a été consigné dans la thèse de
de ses internes, M. Michaud. [Sur la méningite et la myélite dans le mal vertébral. Paris, 1871). 3. P. 92 et 93. 4. G
lement dans de telles conditions, vous ne soupçonneriez certes pas le mal dont elles sont atteintes. Au contraire, dans u
de, tel que celui qu'entraîne l'habitation prolongée dans une chambre mal aérée, dans un rez-de-chaussée bas et obscur, etc
). La tête est toujours à peu près respectée à toutes les époques du mal , même dans les cas les plus intenses, et c'est là
les sont même capables, vous l'avez vérifié, de marcher tant bien que mal , sans aide ni appui. Je vous ai fait remarquer, M
ent. Cer-taines consonnes, les Z, les p, les g, sont particulièrement mal prononcées. Il existe chez Mlle V..., ainsi que
ermet aux malades, pendant longtemps encore, de marcher tant bien que mal et de vaquer à leurs occu-pations ; mais un jour
les malades qui, jusque-là, avaient encore pu marcher, tant bien que mal , se trouvent désormais réduits à l'impuissance à
uvent, on ne trouve mentionnés que des accidents névropathiques assez mal déterminés : la migraine de temps à autre, ou des
véC une autre femme 1. . général, trop facilement impressionnables, mal armés pour soutenir ce qu'on appelle, dans la thé
t pas oublier d'ailleurs que, quant à présent, la véritable notion du mal n'est, en général, reconnue que lorsque déjà les
cet instant, tantôt la malade gémit et pleure, criant qu'on lui fait mal , — tel est le cas de^Marc...^— tantôt, au contrai
'ovaire gauche ; elle y réussit le plus souvent lorsque l'invasion du mal n'a pas été par trop rapide. Dans le cas contrair
ences qu'entraîne la répétition des accès, ou autrement dit Y état de mal hystéro-êpileptique. Je me bornerai, quant à prés
st plus facile que de reconnaître chez Etch..., la véritable cause du mal . Il en sera de même encore dans le fait suivant,
ter un instant devant ces guérisons rapides, inespérées souvent, d'un mal qui, pendant si longtemps, se sera fait remarquer
nt, de plus, des contractions fibrillaires très accusées et répondent mal aux excitations électriques. Je crois, par conséq
tiques fournis par l'examen de la température centrale dans l'état de mal hysléro-épileptiquc et l'état de mal épileptique.
pérature centrale dans l'état de mal hysléro-épileptiquc et l'état de mal épileptique. —Elat de mal hystéro-épileptique : s
tat de mal hysléro-épileptiquc et l'état de mal épileptique. —Elat de mal hystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res c
ystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas ex
secondaire. Ainsi : a) l'hystérie convulsive coexiste avec le petit mal (Beau, Dunant) ; b) l'épilepsie convulsive est su
e- plus significatif. Jamais vous ne voyez apparaître soit le petit mal , soit le vertige épileptiqueàam les descriptions
ligne ponctuée répond au pouls. Il y a d'ailleurs, dans cet état de mal des épileptiques, à dis-tinguer ce qu'on nomme le
ure centrale chez la nommée Chevall.., pend int le cours de Y état de mal épileptique qu'elle vient de subir tout récemment
nt sur l'un dés ovaires ; petits kystes sur l'autre. (B.) l'état de mal épileptique, on l'observe encore, par exemple, da
le d'une hystérique qui avait eu jusqu'à 100 accès par jour. Vétat de mal hystéro-épileptique peut d'ailleurs se prolonger
het épi-leptiforme, si prédominant et si fortement accentué, Vétat de mal a persisté pendant plus de deux mois, et, par mom
ces intervalles aussi, d'ailleurs très brefs, la nature hystérique du mal , surtout dans les premières semaines, repa-raissa
l résulte-rait en somme de tout ce qui précède, que si dans Y état de mal épileptique, à grandes séries, la température s'é
ffira, Messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d'état de mal hystéro-épileptique de quelque intensité, malgré
s mouvements involontaires dont il s'agit reproduisent, tant bien que mal , des actes voulus, intentionnels. Après avoir r
aversés de part en part, à l'aide d une aiguille volumineuse et assez mal appointée, sans que le sujet ait la moindre notio
ns les attaques subintrantes dont l'enchaînement constitue un état de mal , se reproduisent chez G... toujours suivant le mê
t un moyen de diagnostic, un élément propre à éclaircir la théorie du mal ; il y a là, encore, un moyen théra-peutique; mai
efficace pour couper court promptement et définitivement à un état de mal hystéro-épileptique, alors même qu'il se présente
laquelle le tremblement n'avait paru que quatre ans après le début du mal . M. Charcot a rappelé ces faits et, de plus, il e
l'œil du côté où siège l'hémianesthésie : de ce côté, «la malade voit mal , les objets ne dessinent pas nettement leur image
cents et plus. Lamalade peut demeurer alors dans une sorte A'état de mal , analogue à l'état de mal épilepfique, mais qui p
eut demeurer alors dans une sorte A'état de mal, analogue à l'état de mal épilepfique, mais qui peut se prolonger vingt-qua
ique qui ne manquerait pas à se produire s'il s'agissait de l'état de mal épileptique, l'influence de la com-pression des o
s. La phase épileptoïde peut se répéter au point de simuler l'état de mal de l'épilepsie vraie avec toute son apparence de
l'élévation thermique qui accompagne au contraire toujours l'état de mal épileptique (1). 2° Variété. — Forme démoniaque
isproportion apparente avecles effets produits, ceux-ci s ont souvent mal compris, mal interprétés ; on les prend 1. Résu
apparente avecles effets produits, ceux-ci s ont souvent mal compris, mal interprétés ; on les prend 1. Résumé d'une leço
80) tentée à plusieurs reprises, eut plutôt pour effet d'aggraver le mal ... La guérison eut lieu cependant au bout cle deu
, les sections de nerfs et de tendons exas-pèrent presque toujours le mal et sont quelquefois suivis des plus fâcheux effet
dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendu
ique de Ja moelle épinière, dans la myélite par compression (tumeurs, mal de Pott), dans la myélite primitive, dans l'hémip
ques fournis par l'examen de la température centrale dans l'état de mal hystéro-épileptique et l'état de mal épileptique.
pérature centrale dans l'état de mal hystéro-épileptique et l'état de mal épileptique. — Etat de mal hystéro-épileptique ;
at de mal hystéro-épileptique et l'état de mal épileptique. — Etat de mal hystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res c
ystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de mal hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas ex
s, 245, 262. — Ses formes, 267. — Arrêt de 1'—, 338, 375. (V, Etat de mal épileptique). Eruptions eczémateuses, 24 ; lich
3. — sacrée, 96 ; — dans l'ataxie loco-motrice, 77 : — dans l'état de mal épileptique, 378. (V. Décubitus.) Etat de mal é
77 : — dans l'état de mal épileptique, 378. (V. Décubitus.) Etat de mal épileptique, 372. (V. Température.) — hystéro-épi
370. — Nature de 1' —, 373. — Température dans 1' —, 376. — Etat de mal hystéro-épilep-tique, 381. — Cas graves d'—,383.
35. Peau 'Troubles trophiques de la), 22 ; — lisse, 25, 32. Petit mal épileptique, 375. Pharynx (Paralysie du), 346.
254 ; — dans les attaques d'hystéro-épilepsie, 376 ; — dans Y état de mal épileptique, 377, 378 ; — dans M état de mal hy
376 ; — dans Y état de mal épileptique, 377, 378 ; — dans M état de mal hystéro-épi-leptique, 382. Torticolis hystériqu
78 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
central, diffus de la substance blanche du lobe pariétal. Les bords mal limités se continuent sans ligne de démarcation
cédé, la mortification de leurs congénères, de telle sorte que le mal irait en se propageant de proche en proche jusqu'
sans faiblir ces assauts violents et prolongés. Débar- rassé de son mal , l'ex-aliéné n'aura plus la même vi- gueur de l
doute, chez ces malades, la guérison serait un leurre, puisque le mal serait condamné à progresser chaque jour. Mais
osée à croire qu'on se moque d'elle et qu'on cherche à lui faire du mal . Un symptôme alarmant d'affaiblis- sement intel
ui pré- vient le malade. Les grands accès sont précédés de grands maux de tète, surtout autour de l'oeil gauche, qui ser
ction involontaire inconsciente; sommeil profond, suivi de violents maux de tête. Ce qu'il appelle vertige répond plutôt
rche de la température rapproche l'accès d'éclampsie de l'état de mal épileptique. L'urémie s'accompagne toujours d'a
s. Quatre mois après (octobre) apparition des premiers symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des faiblesses nerveu
ieurs de l'ab- domen ; urines rares très chargées d'albumine. Grand mal de tête, suspension du bromure; régime lacté.
peut rester ni assise ni couchée, parce que tous ses nerfs lui font mal . Aussi, change-t-elle continuellement de positi
ose de résoudre, à l'aide de la vivisection, chez le chat. Cet ani- mal , tout en ne le cédant en rien au chien comme inte
ente, se traduisant, aux yeux d'un médecin exercé, par un caractère mal pondéré, bizarre, instable, indifférent à l'excès
.) L'auteur veut prouver avec des expériences faites sur les ani- maux , qu'une dose suffisante de bromure de potassium t
FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle variété d'état de mal i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BALLET, e
uaud l'hystérie revêt la physionomie de l'épilepsie, c'est le grand mal qu'elle simule le plus souvent et elle peut le
ut le simuler dans ses deux modalités : l'accès' isolé et l'état de mal . On sait que la première phase de l'attaque-hys
eur réunion et leur en- chaînement constituent un véritable état de mal , rap- pelant de très près l'état de mal épilept
ituent un véritable état de mal, rap- pelant de très près l'état de mal épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'
at de mal épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'un état de mal épilepti forme, comme l'appelle M. Charcot, qui
r les caractères et la signification nosologique de ce faux état de mal épileptique. L'hystérie s'habille donc souven
at de mal épileptique. L'hystérie s'habille donc souvent en grand mal . Elle peut aussi s'habiller en PETIT mal. Quelq
ille donc souvent en grand mal. Elle peut aussi s'habiller en PETIT mal . Quelques faits observés par l'un de nous', dan
accès se sont montrés par séries consti- tuant un véritable état de mal , analogue à celui qu'on observe chez les indivi
de la sensibilité a été pratiqué à deux reprises, pendant l'état de mal hystérique, et un mois après la fin des crises;
ométrique au dessus du chiffre physiologique est la règle dans le mal comitial, pour peu que les accès se répètent. C
i prédominant et si fortement accentué, dit notre maître, l'état de mal a persisté pendant plus de deux mois, et par mo
laquelle la température s'éleva jus- qu'à 40°, A, durant l'état de mal . Cette différence radicale dans l'influence qu'
u'ont sur la calorification les attaques d'hystérie et les accès de mal comitial est un fait aujourd'hui bien connu. Eh
dénomination vulgaire « d'ori- oinaux», de «maniaques», dissimulent mal la véritable aliéna- tion mentale. Qu'une doule
onde, qu'une perturbation violente surviennent chez ces prédisposés mal équilibrés, et les premiers symptômes du délire
dées tristes ou de persécution ; puis elles feront explosion et, le mal s'accentuant de plus en plus, toute idée de per
18(1 RECUEIL DE FAITS. DU DELIRE CHRONIQUE. ayoirjes attaques du mal comitial qu'à partir de dix-huit ans, tombant b
les régions où ce tissu est particulièrement abondant à l'état nor- mal , c'est-à-dire dans la-première couche corticale,
sonnable, incohérent; il a perdu la mémoire; en dehors de l'état de mal , il est docile, mais très susceptible. 11 a pen
le tissu nerveux de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor- maux ; et l'auteur est amené à conclure que ce n'est p
cas échéant, de faire lejiial sans savoir, que ce. qu'ils font est mal . L'explication que donne M. Kesteven de ces fai
au fond de toute pensée, de toute opération mentale.. Agissent-ils mal , c'est qu'ils n'ont au- REVUE DE PATHOLOGIE MEN
enties, auraient corrigé, ou au moins tenu en échec leur tendance à mal faire». Si cette obtusion atteint surtout la po
n ? revanche, les attaques ,quasi- s3,neopales - ailalogue au petit mal de l'épilepsie vraie ont été 6bserv^s,p £ esqqC
rigorisme dont font foi la plupart des conceptions irrésistibles ( mal du toucher, folie du doute, etc.). ? Quoi qu'il
pas moins touchée que la sensibilité générale. La malade sent très mal les odeurs. L'ouïe est diminuée, surtout à gauc
cependant, lorsqu'on la questionne vivement, Ang... répond : « J'ai mal à la tête ». Dans l'attaque, telle que nous ven
menta- nément, et la malade peut diriger son regard tant bien que mal vers l'objet qu'on lui indique. La tète est enfin
place qu'y occupent d'habitude, les convulsions à forme de grand mal , et si elles étaient d'ordinaire suivies, comme
mment, comme on sait, aux accès d'épilepsie vulgaire (attaques de mal comitial); 2° Quelques cas nous autorisent à pe
çon exceptionnelle, emprunter aussi le masque de l'attaque de petit mal (absences et ver- tiges) ; 3° Il résulte, d'a
quelquefois con- sidérables, constituant alors un véritable état de mal épilepti forme; 7° Il est des signes qui perm
les autres éléments de diagnose utilisés pour distinguer l'accès de mal comitial de la grande attaque d'hystérie (effet
titre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle, état de mal épilep tique ; mort, foyer ancien intéressant les
ges ci quatorze ans. Début des accès et dix-sept ans par un état de mal . Aura du pouce gauche. Père très ne ? t;eM.B, p ?
ion de l'anus. Bromure de potassium. - Armures magnétiques. État de mal . J)f0t'<. Autopsie : Atrophie de l'hémisph
es parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet état de mal , Gra... aurait été comme fou pendant un mois; i
disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l'état de mal , la raison et la marche étaient redevenues ce q
peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l'état de mal ; toutefois, il fréquentait l'école du soir, et
availlent »; je ne puis dormir, et, le matin en vie levant, j'ai un mal de tête à ne pas pouvoir la lever, et qui se diss
etit. Bien b0u\oit, quand les nerfs viennent d'être agités j'ai des maux de coeur qui Ille retirent l'appétit. » 304 R
s reprises, des séries d'accès; il eut de plus, en 1874, un état de mal sur lequel nous manquons de renseignements. Enf
s de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel état de mal auquel le malade a succombé et qui a offert la pl
de a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'état de mal ordinaire, entre autres l'élé- vation de la tem
généraux et celui des mêmes éléments tangentiels d'un cerveau nor- mal , mais il doit y avoir une cause d'eireur (décompo
lle devient bientôt phthisique, a fréquemment des attaques de petit mal , et meurt sept mois après son entrée. A l'autop
attaques, fréquentes et graves, présentent les caractères du grand mal : elle tombe en avant, sans qu'on ait observé d
aison paternelle; se déguisa en homme et cou- rut ainsi les maisons mal famées, puis fut de nouveau enfermée dans un as
pporter de contingent anatomique capable de décider de la nature du mal . Est-ce une myopathie pure, est-ce une tro- pho
e gauche, en arrière de l'amygdale bien développée, un lobe anor- mal , étant donné la place qu'il occupe; on peut croir
M. Manz), une névrite optique double. Puis, à la suite d'un état de mal per- sistant depuis plusieurs semaines, l'urine
rale), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle variété d'état de mal ), 129, 277. Epilepsie (recherches cliniques et
rme d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle variété d'état de mal épileptiforme), par Ballet et Crespin, 429, 277
rveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l'état nor- mal et chez les paralytiques gé- néraux), par Tucze
79 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
la rue expliquera sa conduite en prétextant la crainte de se trouver mal , quoique n'ayant jamais présenté une crise quelco
quelconque, tandis qu'un épi-leptique craint rarement un accès de son mal ou ne le craint qu'incidemment. 3° En troisième
indu ou non motivé, en grande société ou dans un lieu public. L'homme mal équilibré ou à intelligence affaiblie n'y sait pa
d'infidélité, quoiqu'étant parfaitement assuré que sa méfiance était mal fondée et d'ordre pathologique. Le doute ainsi se
égers, de date récente. Dans les autres cas. on réussit à enlever les maux de tôte, l'état nerveux, les palpitations ; surto
la résistance psychique moins sérieuse du malade. Aussi, agirait-on mal de vouloir combattre les idées obsédantes en leur
ement, i I—, des parents conduisaient leur enfant à l'hôpital pour un mal - quelconque à la jambe. Le médecin, jugeant te»
ffer par suite de la violence et de l'etrangeté du remède appliqué au mal . Lisez l'ordonnance de la somnambule : « Cons
progéniture de* conjoints consanguin*, aucun effet, ni en bien, ni en mal . Voici les résultats de l'enquête de Georges Darw
représentation publique d'hypnotisme, par la raison que l'application mal failo de l'hypnotisme est. dans un grand nombre d
de lire le* chapitres suivants : ta Morphinomanie, F Hypocondrie, le Mal de mer, le Délire de la persécution, l'Obésité et
nt, au point de troubler le sommeil. En outre, survinrent de violents maux de tète. A cela s'ajoutèrent encore des douleurs
as devant le tribunal de Nivelle» et condamnés pour escroquerie à pas mal de mois de prison du chef d'exercice illégal et f
nversement la douleur peut être provoquée sans lésion (exemple : on mal de dents). Ensnite, si Vaudevoir savait simuler l
m, qui ont porté te même jugement que moi. De sorte que M. Masoin est mal venu à laisser entendre que Vandevoir aurait bien
. Le Jeune Espagnol voulut prendre des figues à un arbre; il s'y prit mal et tomba d'une hautenr de trois mètres. 11 se rel
intercostale causée probablement par l'infiuenza. Mis eu hypnose, le mal disparut immédiatement sous l'influence de la sug
en hypnose pour la première fois et la suggestion fil disparaître le mal aussitôt. Le jour suivant, quoiqu'elle ne ressent
tude des contractures post-hémiplégiques. (Presse medi* cale belge, mal 1891.) Mouir DC Totu. — Suicides étranges. (Annal
urs nécessaire de les plonger dans le sommeil pour faire cesser leurs maux et leurs douleurs. C'est ainsi que je guéris brus
ers M. D____: € Vous voyez cet homme, monsieur le docteur; tous ses maux vont cesser. » Puis — le récit prend plus de temp
a barbe et la secoue avec violence, en lui disant : « Vous n'avez pas mal , vous n'aurez plus mal! * Il n'avait pas eu mal.
ec violence, en lui disant : « Vous n'avez pas mal, vous n'aurez plus mal ! * Il n'avait pas eu mal. Je lui tirai la moustac
t : « Vous n'avez pas mal, vous n'aurez plus mal! * Il n'avait pas eu mal . Je lui tirai la moustache, les sourcils, je loi
de nouveau à M. D.... : « À votre tour, docteur, essayez de lui faire mal , je ne vous regarde ni l'un ni l'autre. » M. D...
e faisait que se tater le bras, que palper la marque, pour voir si le mal n'apparaîtrait pas à la longue. J'ai raconté dans
abitués à ces sortes d'expériences, à la fatigue, à l'épuisement, aux maux de tète, à des névralgies, etc., comme résultats
, van Renterghem, van Eeden , ayant proposé d'abandonner l'expression mal définie d'hypnotisme et de la remplacer, là où il
inément d'une rétention complète d'urine, coïncidant avec de violents maux de reins, qui dura vingt-quatre heures. Cette rét
nts héréditaires qu'une mère un peu nerveuse et affligée de fréquents maux de tète ; son père n'a jamais été malade. Elle a
s'il le voulait. On la menacé ; on l'a châtié. Celte suggestion était mal faite. L'enfant voulait bien, mais il sentait que
aite à l'état de veille eût pu, avec de la persévérance, triompher du mal . Ceux qui ont une idée fausse de ce qu'est la s
e but : convaincre l'enfant qu'il est capable du bien et incapable du mal , afin de lui donner en fait cette puissance et ce
personnes pour la maintenir dans son lit et l'empêcher de se faire du mal . Elle pousse des aboiements, décrit des mouvement
s d'esprit, ou bien qu'eux surtout, soient hypnotisantes, paraît être mal fondée; 6° L'expérience nous apprend qu'il est
tisme, la dyspepsie, l'insomnie, la névralgie, la bronchite aiguè, le mal de gorge, l'enrouement, la constipation, les hémo
dans les centaines de cas où il a employé lnypnotisme, le plus léger mal résulter de cette méthode; que toutes les objecti
ait d'incontinence d'urine, d'insomnie, de tremblement des lèvres, de mal de tète, de dysménorrhée, de douieur abdominale d
la crainte des examens Revue médicale de la Suisse romande, n" 5, 20 mal 1191.) Chervin. — - A propos du bégaiement hyst
phino-manie une nouvelle appétence morbide qui augmente la gravité du mal . Ces moyens et d'autres, comme sparteine, nylrogl
tout ce qu'il a perdu en extension. Un peut juger de la gravité du mal par la table statistique suivante ; Comme on le
ination, à enlever la tristesse et l'inquiétude qui le suggestionnent mal ; je lui montre qu'il est guéri, qu'il n'a plus de
e à elle portait aussi ce sobriquet. Voilà bien le propre d'un esprit mal pondéré. Un autre exemple : B... s'appelle Vi
i? — Je ne sais pas. Il y a quinze jours, à midi, le déjeuner m'a bit mal à. l'estomac. Alors l'idée m'est venue de ne plus
ercher toujours en dehors de lui les causes de ses malheurs et de ses maux , que d'attribuer à certaines gens, suspects d'uno
eurs, le col luy venant fort gros, et aucuns ayant dit que sesloît du mal de la mère (c'est ainsi qu'on désignait et qu'on
mèro, mais c'est la Fauvaraud qui nous a mis céans et qui Ta donné le mal , ne la laissez point entrer, car elle nous veut c
té, renouveler celte précaution une ou deux fois par an, où serait le mal ? Voilà ce que j'appelle La suggestion atténuée.
u'après chaque consultation, où je la rassurais sur la gravité de son mal , elle en souffrait beaucoup moins, et j'attribuai
u'ayant baillé ladite espoigne à ladite femme elle ne se trouva point mal , sinon quelque temps après que ladite femme tomba
ans disent d'un enfant gâte : • Y é on ehachô ma eu* (e'esi un chàchô mal cuit». • CMèehoier, v. Dorloter, choyer i l'excès
ion qu'elle se portait à merveille et n'avait éprouvé aucun retour du mal . III. — Le lii décembre 1889, M^C... me demanda
s, voulait faire arracher la première molaire, qui était le centre du mal ; très énervée, excitée au plus haut degré, elle
ntenue. Le lb" avril 1891, M1'* L..., dix-sept ans, se plaignait de maux de dénis in loi érables. Je l'endormis profondéme
l'anxiété et l'irritation nerveuse qui, souvent, occasionnent plus de mal que le plombage ou l'extraction d'une dent mauvai
t est un exemple de ceUe étrange maladie de nature hystérique, nommée mal det abois, très fréquente au moyen âge, surtout d
au moyen âge, surtout dans les couvents, où elle était épidémique. Ce mal était considéré comme résultant de la possession
chiens nboyent, et que chascuug soupçonne que ledit F. luy a donné le mal , et avoir ouy dire que ledit F. avoit heu dispu'.
e avec ladite femme, et qua lors qu'on luy demande qui luy a donné le mal , elle dit, en se tourmentant et hurlant : J e le
grande importance et produire de grands effets, soit en bien, soit en mal . Mais lorsqu'un trait de caractère est foncièreme
suite d'un découragement subit et contagieux). Nous serions donc bien mal venus à nier l'effet des milieux en sociologie et
ne peut arriver à enlever. Un jeune homme qui avait eu parfois des maux de tète est atteint d'une pneumonie et souffre de
s des maux de tète est atteint d'une pneumonie et souffre de violents maux de tète. Son médecin, auquel i\ en parle et qui c
cin, auquel i\ en parle et qui connaissait sa famille, lui dit : « Ce mal de tète est héréditaire; vous ne le perdrez jamai
rdrez jamais Dès ce jour, le jeune homme conserve pendant deux ans un mal de tête continu dont je le délivre en deux ou tro
sa fille n'a toujours pas été à la selle, elle ne se trouve pas plus mal , toujours pas de vomissements. L'appétit est dimi
e très étroit, qui est celui de la science, n'en peut produire que du mal . J'avais traduit en ces termes l'interdiction d
s répétées ont, entre autres inconvénients, celui de faire éclater un mal nerveox demeuré latent juique-là, de créer, chez
les reins de la graisse suspecte : « Qu'elle s'est toujours trouvée mal du despuis, et qu'il luy semble qu'elle a dans le
allait traduire en justice celle qu'il accusait de lui avoir donné le mal par sortilège diabolique, lorsqu'il fui guéri d'u
babils de sadite femme, ei que celuy ou celle qui luy avoit baillé le mal tomberoit incontinent ma'ade, snyvant quoy ayant
i elle scait pas que cela ne se fait en nostre religion, et que c'est mal fait d'abuser ainsi du nom de Dieu ? R. Qu'elle e
al fait d'abuser ainsi du nom de Dieu ? R. Qu'elle est marrie d'avoir mal fait, mais que voyant sa fille estre soulagée ell
Que sa mère luy dist avoir signé ladite Mantilliotte, et qu'elle fust mal avisée. Comment sadite mère le scavait? R. Que
prie Dieu tous les jours ? /t. Qu'ouy, et que lors le démon luy fait mal , et qu'elle demeure morte. La dessus a récité l
é, sont fréquentes dans les interventions du démon. Le démon cause le mal , et levant aussitôt ses maléfices, il persuade au
e qui déroute par son excentricité les ressources de l'art. Tantôt le mal est caractérisé, soit sous une forme générale, co
'une fois la malédiction d'un pire ou d'une mère ont eu pour effet le mal terrible de la possession. > L'abbé Moreau d
n. Et ceux ne méritent pas d'estre nommés chrestiens qui imputent les maux avenus, à quelque femme maligne, au diable et non
80 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
er, aussi pro- fitait-il peu des leçons orales, il était d'ailleurs mal doué sous le rapport de la mémoire. L'amélior
des médecins, mais de la part de quelques conseillers, sans doute mal renseignés, qui ont manifesté une certaine host
icaments, surtout les poly-bromurcs et le bromure de camphre (grand mal et vertiges ou vertiges seuls). Les bains, les
lus puissants agents thérapeutiques contre les diverses formes du mal caduc et ses complications. Joints aussi aux pu
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anor- maux , mais encore des enfants malades : quand ils on
nt atteints d'hémimélie; 1 de polydarlylie, 1 de syndaclylie ; 3 do mal formations pathologiques de la main, 1 d'encéph
s. Maladies intercurrentes. 11 enfants ont été atteints d'état de mal épilcptiquc ou de séries d'accès ; aucun cas n'
aire quelques pas. Au réfectoire, l'enfant se tenait affreusement mal , aimait à se salir et à se barbouiller avec les a
méningite ; 10 pour la grippe; 15 pour séries d'accès ou étals de mal ; 11 pour ophtalmie, 9 pour engelures; 2 pour 15
contrariété la met de mauvaise humeur. Elle cherche il se faire du mal à elle-même et aux personnes qui l'entourent. E
ncore existantes sont grêles, assez espa- cées les unes des autres, mal orientées dans leur direction générale, puisque
rt-Pal, ils ne forment plus les bandes foncées qui, à l'état nor- mal , se distinguent aisément d'avec les autres couche
. - Ménin- gite à 6-7 mois. Avant, l'enfant paraissait déjà anor- male . A un an, elle semblait n'avoir que 6 mois. Pre
x, a eu trois légères congestions cérébrales (48 ans), actuellement mal portant; a eu un peu de paralysie après la dern
let à Paris (pas de chute) ; facile, par la tête, avait perdu « pas mal d'eau le matin. » - A la nais- sance, l'enfant
nt aussi restreint. (Voir p. 34). La parole est limitée il des mots mal prononcés, d'une voix d'homme désagréable. Pas
de ce quilui appartient. Propre, coquette, ordonnée. Le bien et le mal se com- fondent avec le permis et le défendu. T
ment normal; il n'avait jamais eu la moindre convulsion ; jamais un mal de tête, jamais un étourdissement. Studieux et
cependant, l'enfant dit à sa mère : "je sens que je vais me trouver mal ". Une autre fois il dit : "cela me chauffe dans
ueux comme par le passé; raisonnant juste, appréciant le bien et le mal , « il avait, dit sa mère, tout son moral, mais
ne présente ni cicatrices, ni malformations. - Les yeux sont nor- maux , les pupilles réagissent à la lumière et à l'acco
à venir, exprimées sur un ton trainant, monotone, avec des syllabes mal arti- culées. Il mange indifférement tous les a
souris.. - Thorax régulier ; respiration abdominale. Coeur nor- mal , ainsi que tous les organes abdominaux. Organes
ieure, I'i, et inférieure, 1'2, sont très incisées et semblent nor- males ainsi que le lobule du pli courbe. Lobe tempora
ladie d'intestins, journalière à la campagne, sobre, sujette il des maux de tète. Elle était d'une taille moyenne, forte,
l'heure, ce que sa soeur attribuait à ce qu'il sait qu'il prononce mal les mots. Il coud avec une certaine habileté. I
- tion s'effectue assez péniblement. Le foie et la rate sont nor- maux . Les selles sont rares et le plus souvent il faut
ans; aupara- vant l'enfant paraissait avoir un développement nor- mal . Peut-être serait-il possible d'en induire que l'
abitude, comme chez tous nos myxoedémateux, au-dessous de la nor- male . Au moment de la mort, presque foudroyante, elle
, tette sa langue, crie par moments, se jette de côté, se ferait du mal si on ne le surveillait. Il ne reconnait passa mè
tres enfants, même sa soeur. - Il ne demande pas à manger, mastique mal , est gâteux. Le développement des jambes ne par
i- neuse, mais non éversée. - Langue grosse, palais et voile nor- maux . Amygdales normales. Le goût semble exister. Il y
mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous forme d'étal de mal (2 heures), qui se F-ig. 26. - Lem.... Georges
ans. Marche à onze mois. Propreté vers un ars. Acci- dents nerveux mal déterminés et rachitisme des membres inférieurs
e, qu'elle frappait. Mais aussitôt, s'apercevant qu'elle avait fait mal , elle demandait pardon, disant : « Je ne l'ai p
iode d'exacerbation tout travail régulier est difficile : elle coud mal , envoie souvent à droite et à gauche l'ouvrage
ite et à gauche l'ouvrage qu'elle tient entre ses mains. Elle écrit mal , fait des taches sur son cahier, ce qui l'impatie
e beaucoup ses Vrrents. Quelquefois alourdissements ( ? ), quelques maux ie tête ; pas de tremblement. Sommeil bot. pas
fant parait normale. 26 mars. L'enfant, qui était bien la veille, a mal dormi cette nuit, et ce matin elle se lève tout
eur ; elle est plutôt exubérante. Elle a eu quatre ou cinq fois des maux , de tête. Le sommeil est bon, un peu lent à ven
r tout. La parole était limitée à quelques sylla- bes plus ou moins mal articulées, les mains étaient déjà maladroites
aladroites (la maladresse paralytique a augmenté après les états de mal ). Les convulsions de 3 ans et demi n'auraient fai
entrou- verte ; lèvre supérieure un peu proéminente. Palais, nor- mal . Amygdales, un peu hypertrophiées. Langue, peu
ré toutes les précautions que l'on prend, il parvient à se faire du mal , il s'est mordu la lèvre inférieure auec tant d
extrême ; alors que précédemment il ne cherchait qu'à se faire du mal à lui-même, il s'en prend maintenant aux per- s
es recrudescences d'agitation et toujours il cherche il se faire du mal , il casse des carreaux avec son manchon, cherch
demi, convulsions qui se sont manifestées sous la forme d'état de mal , et sur lesquelles nous n'avons pu avoir que de
l se tenait à peu près bien. Après la rougeole, il se tenait très mal . Les bras sont devenus contrac- turés vers la
te. L'exa- men du fond de l'oeil n'a pas été pratiqué. . Thorax mal conformé, sans qu,il y ait de saillie, rachit
ion ne peut être constatée. Lé- ger strabisme divergent. Thorax mal conformé : cyphose assez marquée. Déformation
de G` ? mm. sur notre encéphale et de Ci mm. sur le cerveau nor- mal que nous avons pris comme point de comparaison. I
81 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llod n'a pas une valeur absolue. Nous avons vu des individus nor- maux qui pouvaient fermer isolément un oeil et pas l'a
diaque, dont les battements sont aussi ralentis. L'hématose se fait mal , d'où t la fréquence des congestions passives d
congestions passives des poumons. La cir- culation veineuse se fait mal et l'on observe très fréquemment l'a;dème des m
physiologiques ; ils ne respirent plus suffisamment, se nourrissent mal ; l'assimilation ne se fait 38 ' PATHOLOGIE M
ilement à l'examen, ayant peur qu'il ne lui arrive quelque chose de mal . Elle répond très difficilement aux questions,
ofondément comme soulagée et comme si elle avait échappé à un grand mal . Observation V. La nommée Berthe Silherg..., âg
lements fibrillaires de la langue et des lèvres. La parole est nor- male . Il n'y a pas de tremblements aux membres supérie
décembre z. Puis en sixième au lycée de Ver- sailles. Il apprenait mal , conduite passable, tenue physique défec- tueus
ue physique défec- tueuse, avait une épaule qui se nourrissait plus mal que l'autre. On le soumet à une gymnastique spé
se troubler, indigestions avec douleurs de tête, se plaint d'avoir mal aux tempes, reste huit jours sans manger; a des
voir de médecins ! ... ce sont des charlatans... ils vous font du mal ... je ne suis pas malade... qui donc a inventé la
elouse des jeux. Là, tout en veillant à ce qu'il ne se fasse pas de mal , on le laisse libre de ses mouvements. Il reste
peu de potage. Se plaint dans la journée que a l'estomac » lui fait mal ; il parait avoir des difficultés pour res- pir
t d'un bégaie- ment très prononcé. De huit à onze ans, il apprenait mal . A partir de janvier 1896, le caractère s'est m
diagnostic est insuffisant. Le clinicien doit préciser le siège du mal ; alors seulement le chirurgien pourra aller à
syphilis médullaire datent de 1797 avec le mémoire de Portai sur le mal de Pott syphilitique, et il est bon de remarquer
s rotuliens, incoordination motrice; puis les troubles trophiques : mal perforant, arthropathies, atrophie musculaire.
s deux lobes frontaux; l'idiotie hydroccphaiique acquise; l'état de mal épileptique ; l'épilepsie consécutive à la fièvre
ffrance. Bier- nacki a désigné cette troisième réaction sous le nom mal choisi de réflexe. Disons sur le champ qu'on
aille haute, constitution faible, le crâne bien conformé; les dents mal implantées, surtout celles de la mâchoire infér
normale; elle distingue bien les couleurs; le goût et l'odorat nor- maux . Les pupilles réagissent bien directement et par
adhérents. La voûte du palais profondément excavée. Les dents très mal implantées et usées. Les pupilles égales réagis
retardée et bien dimi- nuée sur toute l'étendue du corps, localise mal . Le goût et l'odorat pervertis. La marche lente
tisé, il accuse pourtant un de ses voisins qui voulait lui faire du mal et qui lui chuchotait des menaces, ce qui prouve
sente pas de trépidation épileptoïde. Les bruits du coeur sont nor- maux . le pouls est tout petit; les extrémités froides.
ris. Dieu a parlé avec elle et l'a réprimandée d'avoir fait tant de maux ; 118 PATHOLOGIE MENTALE. même les images sa
. Les pupilles légèrement dilatées, réagissent bien à la lumière, mal à l'accommodation. Il n'y a pas de nystagmus ni d
atique de la physiologie restant entourée d'une grande obscurité et mal comprise en raison des notions absolument pri-
dans l'hérédité duquel je n'avais pu déceler la syphilis ; j'étais mal servi par ma mémoire. Ce jeune homme, en effet,
ette considération, qu'étant d'apparence bénigne, la syphilis a été mal soignée ou peut-être méconnue au début ? M. Bal
bs- tances toxiques, produites journellement dans l'organisme, et mal éliminées-en raison des anomalies des échanges nu
-paroxystique existe dans la moitié des cas, surtout dans l'état de mal . 1 Seyfert. Dublin quarterly Journal, 1854. 8
âtre et se coagule très facilement, surtout à la suite de l'état de mal . Cette particularité avait été remarquée par le
Nous n'avons pas poussé nos expériences jusqu'à la mort de l'ani- mal ; nous voulions simplement savoir si les mêmes qu
levée dans les familles d'épileptiques que dans les familles nor- males . Les épileptiques appartiennent généralement à de
ques sont susceptibles d'engendrer, tout comme les individus nor- maux , cette puissance reproductive tombe à un niveau s
sensi- blement inférieur à celui de la moyenne des familles nor- males . Les épileptiques tendent à la stérilité. 3° La
ire, à ses prodromes, à sa marche, etc. L'anatomie pathologique est mal connue et l'auteur n'a pu faire les autopsies d
aine, d'un entourage sain. Ces conditions, d'après l'auteur, seront mal remplies dans un asile. Le lieu de choix pour le
disparaître progressivement. L'hémianopsie persista accompagnée de maux de tète. Cette observation est précédée d'une é
cas de névralgie du trijumeau d'origine dentaire non accompagnée de mal de dent ; par Waiter M. Tuonx. (Occidental médi
nt d'une certaine liberté, y sont utilement occupés mais ils y sont mal installés, mal surveillés, mal clos. L'action du
ne liberté, y sont utilement occupés mais ils y sont mal installés, mal surveillés, mal clos. L'action du médecin n'y e
nt utilement occupés mais ils y sont mal installés, mal surveillés, mal clos. L'action du médecin n'y est pas permanent
On a vu, dit Calmeil, le délire éclater à la suite de con- fessions mal dirigées, de sermons sur les peines de l'enfer
1 Amadei et Tonuini. La Paranoïa e le sue forme. (Archietal per le mal , nervo, 1883-1884.) 7 Riva et Tanzi. Rev. speri
évotion, ne sont qu'i- mitées ou commandées; comprenant, d'ailleurs mal , ce qu'ils , entendent, ils agissent de travers
née ; en réalité il avait vécu un rêve. Ayant en effet commencé par mal dormir, après un mois ininterrompu de « noces a
GIQUES. 30S XVII. Etude microscopique de la moelle dans deux cas de Mal de Pott ; par William G. SPILLER, professeur de
'auteur présente des préparations de moelle de deux-sujets morts du mal de Pott. Dans le premier cas la moelle a été peu
berculeux intra-duremérien. Des considérations sur le traitement du mal de Pott font suite à l'exposé des lésions, et six
on pendant les mouve- ments. Le réflexe rotulien droit est exagéré. Mal perforant à la base de la troisième phalange du
voulaient-ils comme cela, tous les voisins ? ... » Elle reçoit très mal son mari qui vient la voir, l'accusant d'être la
ar dessous, disant : « Ils sont toujours là qui veulent me faire du mal ... ils me mettent un buse dans la matrice... ils
mnésie. 11 trouve également que la psychose polynévritique est très mal nommée, car il existe des psychoses polynévriti
ouvements devinrent impossibles. Rien ne put arrêter l'évolution du mal et la malade, qui restait sur un fauteuil, fut
traction exercée sur les téguments. La température des objets était mal ressentie ; pas de dissociation de la sensibili
nte aussi des troubles mentaux graves ; presque dès le début de son mal , elle était anxieuse : « J'ai peur, disait- ell
n put établir de lien entre ses phrases; elle ne répondait que très mal aux questions posées. Amnésie, absence absolue
céphalite ; enfin, le tabes a une durée beaucoup plus longue que le mal qui avait frappé notre malade. Pour toutes ces ra
écaniques : AI. le D1' Buisson. Quelques cas d'obsession urinaire ; maux perforants plantaires précurseurs de l'attixie
at du malade, il serait difficile de mesurer exactement le degré du mal , tandis que l'utilité de la séparation est inco
Intelligence et mémoire bien affaiblies; quel- ques consonnes sont mal prononcées. Rougit facilement. Le pli naso-labi
timent avant la crise, l'aura; la crise proprement dite ; l'état de mal ; les crises épileptiques sous forme de psychoses;
aturel, qu'un type social, créé par nos préjugés et par l'éducation mal comprise à laquelle la jeune fille est soumise.
vant : Un jeune homme de l'arrondissement de Bayeux, atteint d'un mal nerveux, a été interné à l'asile du Bon-Sauveur d
énitents ? Ses scrupules sont vrais et justifiés, il ne fait que le mal ; et alors même qu'il semble faire quelque chos
aire quelque chose de bien, cela est faux parce qu'il a toujours le mal en tête depuis son lever jusqu'à son coucher. L
, l'orgueil, l'entêtement. Il est à noter aussi qu'il supporte très mal la contradiction : toute discussion l'impatient
rité. Elle s'en montre très frappée, en parle toute la soirée, dort mal la nuit,et dès le lendemain matin se met à déli
société serait d'autant augmente. RECUEIL DE FAITS. - HYSTÉRIE MALE . MUTISME. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE. ÉTAT SE
aslische Aphonie. (I'he)». Uo7<«/6/tf/<e, 1898 ) HYSTÉRIE MALE . 461 d'aucune sorte. Dans l'âge adulte : existe
e pendant ces deux semaines il avait pratiqué le coit en HYSTÉRIE MALE . 4G3 s moyenne quatre fois par jour et le jou
is nous n'ajoutons pas grande importance à ce fait, nous HYSTÉRIE MALE . 465 croyons que nos questions éveillent en lui
des deux côtés; les autres réflexes, tendineux et cutanés sont nor- maux . Les pupilles sont égales et réagissent bien à la
tigmates d'hystérie et la même lacune dans la mémoire. HYSTÉRIE MALE . 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une lettr
est à remarquer que P... est entré dans l'état second, à HYSTÉRIE MALE . 1169 la faveur d'une crise délirante. Or, dès
médical amélioration puis aggravation progressive, mort en état de mal . Hémisphère gauche pesant 115 grammes de moins
tées facilement. 11 n'en est pas de même lorsqu'il s'agit de formes mal définies et comme M. Giraud, je crois que les e
pas de troubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor- males . La paralysie suit une marche rapidement ascendan
La sen- sibilité est conservée. La démarche est brusque, saccadée, mal assurée; elle n'est possible qu'avec l'appui de
ge considérable et une forte hyperémie. Noyaux gris centraux nor- maux . Liquide abondant dans les ventricules. Petit foy
les mêmes conditions, que dans l'écorce de sujets morts en état de mal épi- leptique. On serait tenté de leur attribue
au soulagement de ses semblables atteints par le plus terrible des maux : la folie. Cette excursion médicale, très inté
i en omnibus, ni en chemin de fer, sans éprouver les symptômes du mal de mer. Je l'avais traitée par la suggestion et r
thyroïde et delà thérapeutique de la -, par Trac- zewshi, 160. Mal de PoTT. Etude microscopique de la moelle dans
ois de cas du triju- meau d'origine dentau'e non ac- compagnée de mal de dents, par Walter il. Tliol-ii, 235. - ova-
modique et épilepsie, 327. Obsession. Quelques cas d' uri naire ; maux perforants plantaires précurseurs de l'ataxie d
82 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
é auditive, des zones d'anesthésie. Beaucoup d'onychophages respirent mal par le nez. donnent la bouche ouverte, ce qui peu
tions. Dans un autre volume sur l'hypnotisme, formé de compilations mal reliées ensemble, el qui n paru Il y n un an envi
ustement attribuer au fait d introduire dans sa bouche ses doigts. — « mal malpropres, un grand nombre tle troubles digestif
rveuses. Siss ilenls sont défectueuses ; ses oreilles sont grandes et mal bordées. .Vu lycée, on se plaint de son travail,
de nombreux stigmates physiques de degenerescence il a les oreilles mal plantées, mal ourlées, le voile du palais In -
igmates physiques de degenerescence il a les oreilles mal plantées, mal ourlées, le voile du palais In - profond cl rét
ce qui suit : Le fameux cousin était dr retour : il avait pris très mal l'accusation porter contre lui, et avec une indig
ii elle qui était ainsi tourmenté, elle dépérit et meurt bientôt d un mal inconnu. Dans l'envoûtement par les images de c
e lillc resta insensible. Alors je lui annonçai qu'elle n'aurait plus mal , qu'elle allait marcher sans douleur, et sans gèn
'il était nécessaire de lui laire une opération, elle n'aurait pas de mal . —Celait la première lois que je risquais une sug
comme elle n'avait cessé de se plaindre, on avait cherché la cause du mal partout où elle en signalait la présence. La vo
btins plus rien. Elle avait dés le premier jour localisé le f,iège du mal dans le genou. Mais ou avait déjà exploré cette r
provoquer de douleur, bien qu'elle prétendit que là était le siège du mal . Enfin, autant pour me contenter que pour en avoi
a rigueur scientifique la plus impeccable, sans relever le bien ou le mal fondé des polémiques engagées entre les partisans
cevoir les affirmations qui ont pour luit de les débarrasser de leurs maux . Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
accumulée au pôle d'inertie, deviennent remarquables en bien comme en mal . soit qu'on leur suggère de la sédalion ou de l'e
: devenus absorbés d'une manière continue par l'idée négative de leur mal qui leur est inculquée, ils n'en fou! plus la dif
. Quatre fois, une sensation de sécheresse à la bouche ou des besoins mal satisfaits ont précédé ou accompagné mes premiers
ia avec tant d'instance de- ne rien lui faire faire qui pût lui faire mal ou la choquer «pie je trouvai difficile d'insiste
tins sociétés modernes oii le désir personnel de jouir a créé tout le mal qui consiste en la richesse des uns et In misère
ne il récite son chapelet pendant la route', mais il n'a rien fait de mal : il a eu raison de vouloir tuer son père, telles
et spécialement celles qui ont rapport à la vision, ont été ternes et mal dessinées. Pires encore ont été les représentatio
ant pas insignifiantes, je ne redoute pas d'en parler. Honni soit qui mal y pense. Dans mou premier sommeil, après m'ètre c
être entraînés vers le bien, mais aussi incapables de se détourner du mal ; ils sont comparables aux projectiles qui. lancés
pour les envoyer au ciel. Certes on peut trouver de la résistance à mal faire, même chez les dormeurs les plus profonds,
onvictions arrêtées, qui Boni indifférents pour le bien comme pour le mal : telle la célèbre Cahricllc Bompard. dont la fro
se reproduisant de quinze il vingt fuis par nuit. I.a longue durée du mal devait faire admettre l'existence de lésions maté
ent à la vue du sang humain et nous avons cîté mon client se trouvant mal en voyant saigner un poulet ou couper le cou d'un
ltats, mais le meilleur traitement sera dans tous les cas. puisque le mal dépend d'une impression-nabilîté excessive de for
t plus méritoire, nous »emble-t-il. que la jalousie, cause de tout ce mal , qui avait mis les jour» de cette femme en danger
rait-on confondre leur maladie avec certaines autres affrétions. Le mal décrit par M. Charcot sous le nom d'automatisme c
uestion une conférence qui renferme quelques vérités aussi justes que mal connues. Il n'est pas possible, dit M. Hart, de
â l'école on le met toujours parmi les derniers élèves malgré tout le mal qu'il se donne pour faire ses devoirs. Il écrit b
ils le disent il est tres sérieux pour son age- et il ne raisonne pas mal . Il a le caractère doux, il est tres obéissan
e. Elle a. depuis sa quatorzième année, un enrouement, peu à peu le mal empira jusqu'il eu que depuis un an déjà elle est
; je ne vais à la selle que tous les deux ou trois jours. « Je dors mal ; j'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent
scurité, embarras, contradiction. On est pris au piège d'une question mal posée. Si l'on accepte au contraire les faits com
c elle. Je fus le 23e médecin consulté pour l'objet, cause de tant de maux depuis 5 ans ! Dans mitre exploration, nous con
réveil, je lui suggérai, en gros et en détail, la guérison de tousses maux . 9 avril. Plus d'attaques: cneore battements et
nsibilité telle que de itochas l'a décrite el que par conséquent il a mal compris mon récent article sur la pseudo-extérior
oeh. in-4». 31 pages, Charles Boehw. Montpellier. 1893). Grasset. — Mal de Polt et paraplégie fiasque aneslhésique (broch
injonctions, il aurait tenté de se tuer lui-même: mais, de deux coups mal dirigés, l'un lui fit seulement une blessure à la
ent en contact et son service militaire s'accomplissait tant bien que mal lorsque la période des exercices de gymnastique a
de la folie, alors qus l'on peut à peine se douter de l'existence du mal et quelques exemples tendent a prouver que. dans
s cela d'avoir une influence prépondérante, on bien encore que l'on a mal raisonné. Le « je veux » n'est que l'expression
rdes. Il s'agit de paraplégies, «le mutité, tremblements, et tous les maux qui peuvent frapper celte catégorie de malades. J
le el qui sert maintenant d'infirmier volontaire. Il a eu en 1880, un mal de Pott avec abcès multiples et paraplégie conséc
rmer le contraire. Comme miracle, il ne s'agit la simplement que d'un mal de Pott amélioré suivant les procédés ordinaires
fut ordonné à Marguerite de Navarre, pour le pansement d'un furoncle mal placé, et que lu bibliothèque de Florence possède
t l'année du roi. fut attaqué de la lièvre, et. sentant redoubler son mal . il resta il Meiilan. On commençait il désespérer
elon le cas, à droite ou à gauche. Céphalalgie. — Le rire guérit le mal «le tète, parce qu'il déblaie les sinus frontaux
ment dans la région frontale: il s'est proniptement débarrassé de son mal en lisant les Anec dotes mèdicales de Witkowski.
a lutte pour la vie: mais il faut cependant mettre en garde contre le mal les gens qui suivent la mode et s'abandonnent à l
nnent peut-être à eux qu'après plusieurs heures ; ils se sentent très mal ù l'aise, se plaignent de maux de tète ; leur phy
plusieurs heures ; ils se sentent très mal ù l'aise, se plaignent de maux de tète ; leur physionomie est hébétée, etc. Ces
l'auteur rherrhe-t-il ensuite à guérir par une nouvelle suggestion le mal produit. A chaque séance d'hypnotisme, la jeune f
mesure que je frictionne, la douleur diminue, vous n'avez plus aussi mal . vous sentez bien que cela diminue. Avez-vous enc
z plus aussi mal. vous sentez bien que cela diminue. Avez-vous encore mal ? » Elle dit : « oui ». Je continue à toucher la
a région. Après 2 minutes, je dis avec conviction. « vous n'avez plus mal du tout. » Elle dit : « Encore un peu ». — « Je v
ndant 2 minutes, puis je dis: « Enfin tout est fini. Vous n'avez plus mal du tout, » La douleur a en effet disparu. Elle av
présentent la naturo telle qu'ils la voient, mais alors ils In voient mal , puisque autrement que M. Xordau; ils sont donc d
rement que M. Xordau; ils sont donc dégénérés. En effet, s'ils voient mal . c'est qu'ils éprouvent des troubles visuels, or
serait assez topique et que pour des dégénérés ce ne serait pas trop mal raisonner. Pour qui donc a-t-il écrit? Four les
ucubratlons. A notre avis sa principale erreur est de croire que le mal qu'il dévoile est special :. notre époque . et dé
chat et conduit à penser que Brooklyn est une ville où l'on dort fort mal . Si les chats et l'insomnie sévissaient avec la
ue dans une pièce surchauffée, dit-elle avec grand sens, des artistes mal disposées ou nerveuses aient accusé des symptômes
r l'offrande d'un ex-voto, sur lequel on gravait souvent le récit des maux endurés et des guérisons obtenues. Dans des fou
te avec un soin méticuleux ce qui s'est passé la nuit, s'il a bien ou mal dormi, le genre de rêves qu'il a eus. puis il se
en tout et partout. ¦ Suivant l'auteur le problème de la vie a été mal pose. Il n'y a pas de différence essentielle
83 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
Voix, N. 2. en affirmant qu'ils étaient engourdis et lui faisaient mal , à ce moment j'ai de nouveau examiné ses mains et
de de traiter ce genre de malades, on finit toujours par triompher du mal . La lecture de ce livre est très attrayante et
au sein droit au commencement d'avril 1890. Pendant l'examen de son mal qui était une tumeur sarcomateuse d'un grand volu
ignit la fois suivante d'avoir eu, dans le courant de la semaine, des maux de tète violents et plusieurs saignements de nez.
lade accusait une douleur sensible, il se plaignait des piqûres et du mal qu'on lui faisait. En outre, à la suite des piq
premier il est en position d'assister aux premières manifestations du mal , et d'informer les familles des conséquences si s
t au cours de quelque expédition amoureuse, le chat fut ramassé assez mal en point, ne pouvant plus agir que des pattes de
us aucun souffle, seulement un froid très peu sensible et des cheveux mal coiffés... En tout cas, je crois que ma première
ystériques ou anxieuses. Ils se produisent, en outre, par un réveil mal fait avec défaut de désuggestion, etc. Ils se p
seur, lorsqu'il ne connaît pas à fond le manuel opératoire. Tout le mal qu'a produit Friedrich par son mode d'hypnotisati
endant l'année 1891, d'accidents nerveux, états de sommeil, vertiges, maux de têtes, convulsions. Ces symptômes se produisir
ns toute l'économie animale, dés que cet organe modérateur fonctionne mal ou est supprimé. Du reste, beaucoup de faits se p
les hypnotiseurs, restés en rapport, obtiennent sur eux en bien ou en mal , par affirmation et avec rappel d'attention accum
emploi de ce moyen et dans sa répétition trop fréquente, dans des cas mal appropriés. Les médecins seuls devraient, d'après
e de médecine ignorait le langage médical. Elle expliqua cependant le mal du frère de M. Neukomm avec une telle précision q
nsable. J'estime donc que le fait tel qu'il est présenté doit être ou mal observé ou mal rapporté ou dénaturé. » A la Sal
e donc que le fait tel qu'il est présenté doit être ou mal observé ou mal rapporté ou dénaturé. » A la Salpétrière, les i
ssez souvent ; ils soulagent presque toujours, mais ne font jamais de mal . Peut-on en dire autant de tous les médicaments e
malade sait très bien que son enfant est vivant, qu'il n'a en aucun mal . Quand elle raconte comment s'est passé l'acciden
épit du témoignage de la conscience qui en comprend et en apprécie le mal fondé. Les choses se passent comme si une image
ssitôt, elle ajoutait : « Ah! le voilà, mon cher petit. Il n'a pas de mal . Quel bonheur! » Quelques jours après, le souveni
céder facilement aux impulsions qu'on leur donne, conjure souvent le mal qui les menace ; elles plient alors et ne se bris
onfirmé dans la véracité de ses dires et de l'existence réelle de son mal , en ce qu'immédiatement, pendant que je lui adres
que momentané. Bientôt l'auto-suggestion reprend tout son empire, le mal reparait dans toute son intensité, les malades et
'au lieu de lui faire du bien, il lui ferait au contraire beaucoup de mal . Le lendemain, à l'état de veille, ignorant compl
onta avoir rêvé que « ce maladroit de M. Escande était venu lui faire mal à son genou. » Mais, lui dit-on, il venait avec d
ns largement réparé cela par la suite. Si un rêve peut ainsi faire du mal , ne peut-il pas faire du bien? S'il est pathogène
lant et se trouvant entièrement rétablie, s'écria : « Je n'ai plus de mal , je suis guérie par la grâce de Dieu ! » Elle dem
u moins les symptômes analogues), l'irritation générale des nerfs, le mal de tête et des yeux, le tremblement du corps enti
mmeil tranquille; après les séances difficiles ou manquées, elle dort mal . Je note encore que dans les expériences de Varso
, couvert de sueur, près de s'évanouir ; il se plaignait d'un violent mal de tête. Avant l'expérience, les assistants miren
iques et pour les jeux nécessitant des efforts soutenus. Ils écrivent mal , présentent une infériorité notable au point de v
venir de la séance. J'ai pourtant observé des cas, où l'hypnotisme, mal conduit ou trop violent, ou fréquemment répété ou
étant né en 1830, dans une petite bourgade, à Soursk, éloigné de pas mal de verstes d'un centre important. Son père appart
rir, coup sur coup, deux de ses filles. Son fils aîné est frappé d'un mal terrible et qui ne pardonne pas. On appelle le Pè
quoi bon s'échauffer dans une entreprise qui n'est que temporaire et mal rétribuée, et sans concurrence qui stimule ? On y
grotte. James Tonbridge, de Paris, souffrait depuis longtemps d'un mal de Pott avec abcès et plaies étendues. La poitrin
onbridge pendant sa maladie, constatèrent la guérison radicale de ses maux . Tl y avait huit ans que Marie Barret (rue de l
e faisant des trous à la tète. a On s'étonne de les voir si durs au mal : l'un s'amputait la jambe tranquillement en la b
t aux maladies. Ils sont particulièrement sujets aux rhumatismes, aux maux de dents, aux ophtalmies occasionnées par la chal
ntervient : « Vous l'avez prise à un compagnon, à un camarade ! C'est mal . — Oui, c'est vrai, mais j'en avais envie. Dites,
le parce qu'elle ne dort pas et qu'elle a toujours peur de se trouver mal . Elle a la sensation d'un casque serrant la tête,
it, ne savez-vous pas cette belle oraison qui guérit de l'ongue, — la mal ongue (cataracte), de la fleur et du bourdon (org
e qui est : Et le, super ante et super ante te. On se préserve du mal de dents en disant cinq pater et cinq aue et en f
eure. » Nous croyons que ce souci exagéré de l'antiseptie dissimule mal une véritable phobie neurasthénique compliquée, v
inopérable ; une autre d'une carie au pied , M1,M X..., Z..., que des maux incurables avaient abattues, déformées, jetées pr
Alger, il s'agissait donc ici d'un aliéné monomaniaque que ses juges, mal éclairés par les médecins-juristes, avaient pris
time des préjugés populaires et, par suite, une victime de la justice mal informée. Plein de cette conviction, M. Durand
onnais pas. » Interrogée par moi pour quelle raison elle faisait le mal , elle se livrait à des violences, à des bris d'ob
it pas pourquoi et qu'elle n'éprouvait aucune satisfaction à faire le mal . Pendant les deux premiers mois de son séjour d
je m'aperçois que mes mains sont dans ma bouche, il est trop tard, le mal est fait. » I! fut convenu de suite que le mala
st normal, à l'exception de son onycho-phagie. 11 sait que c'est fort mal de se ronger les ongles ; mais c'est plus fort qu
rs l'idée première, l'état conscient primitif — il savait que c'était mal — aurait suivi son cours normal et il ne se serai
x états conscients successifs : le premier qui constatait que c'était mal et qui n'était pas suffisant à arrêter l'acte com
elle devint domestique. Elle quitta sa place au bout d'un an avec du mal de gorge. Ses règles apparurent lorsqu'elle eut s
tre considérables. Ce que le manque de volonté causa, c'est-à-dire le mal , et la guérison qu'il empêcha, de fortes impressi
ue bien avant dans la nuit, » II en résulte une propagation rapide du mal , une véritable épidémie d'attaques hystériques qu
s de me placer dans la salle même), j'avais dû me loger tant bien que mal , que je le trouvais au comble de l'énervement. Je
aptes à exécuter, sans qu'ils puissent y résister, les suggestions à mal faire auxquelles on les poussera. Etant, par eux-
être imposée à N... de ne plus se souvenir d'avoir été suggestionné à mal faire après son réveil ; — tous ces vols se manif
re manque absolument chez l'hystérique. Dès le début aussi du grand mal , les pupilles se dilatent et ne se contractent pa
trouve du reste sur les poumons des individus morts en état de grand mal . L'hystérique a bien des convulsions toniques, ma
i avait échappé au service militaire en simulant le grand et le petit mal et qui était interné à l'Asile de Clermont. Ces
orterez une part à un faiseur de thèses. Professions que tiennent pas mal d'internes et même quelques médecins. « La thès
, chacun revenait avec son travail de bibliographie, et tant bien que mal on ordonnançait le tout ; et il s'est trouvé des
cela le malade se remet à boire de l'alcool, il le supporte bien plus mal qu'auparavant. Surdi-mutité hystérique guérie p
s accidents sont rebelles à toute thérapeutique quand on les comprend mal , quand on ne remonte pas à leur origine, autant i
sai, et des suggestions lui furent faites pour soulager les fréquents maux de tète dont elle souffrait. Elle revint quelques
84 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
mère très emportée aussi avait en plus un tic nerveux et souffrait de maux de tète tris fréquemment. Son grand-père paternel
84. Un accouchement laborieux ne peut être attribué qu'aux esprits mal intentionnés s'opposant à la sortie de l'enfant.
it û l'époque où il a été découvert, mais qui semble maintenant assez mal connu généralement, car il a donné lieu â bien de
veut le guérir, il croit que l'application est faite dans ce but, le mal disparaîtra purement et simplement. Mais si c'e
oser qu'au lieu de le guérir on va simplement changer la place de son mal ? Cela est si vrai que, ne connaissant pas que c
la croix et souffle trois fois), cette homme sera guéri. — Pour le mal de gorge. — Mal de gorge et grenuchon (fièvre (
ffle trois fois), cette homme sera guéri. — Pour le mal de gorge. — Mal de gorge et grenuchon (fièvre (1) Thèse récemme
toc. cit./page> page n="57"> scarlatine) et tout espèce de mal de gorge, je vous touche tous à la fois, au nom d
ù son membre. J'ai eu souvent l'os de test servir grandement en haut mal , aux coliques graveleuses et autres douleurs de r
rs de terre était également employée par les médecins pour guérir les maux de gorge des enfants. Nos paysans poitevins emplo
ique, encore quelques conseils. — Pour preserver les jemmes de tout mal au sein, froite^-leur la poitrine avec le cordon
extrémité, alors que souvent il n'y a plus rien à laire. Avez-vous mal aux dents ? Nos guérisseurs ont des spécifiques m
nder une dent. — « Quand on la porte sur soi, dit-elle, ça guérit les maux de dents. » — Comme nous lui montrions le peu de
, autrement vous aurez opéré en pure perte. — Pour se préserver des maux de reins, chauffez-vous le dos au feu de laSaint-
l'on est par-là comme on devrait toujours être dans la souffrance des maux , dans la privation de tous les biens et de tous l
t deux causes de l'automatisme ambulatoire ; ce sont l'hystérie et le mal comitial. Afin de prouver que les accès d'autom
mbulatoire vis-à-vis de l'hystérie. On le place aussi sous celle du mal comitial. Est-ce avec juste raison et ne pourrait
une succède à l'autre. La deuxième preuve, c'est que le traitement du mal comitial agit favorablement sur l'automatisme.
faire soupçonner un étui pathologique, celte personne est atteinte de mal comitial et non pas d'hystérie. L'individu qui ur
uère douteux qu'il faille rattacher l'automatisme de notre cliente au mal comitial. Et la conséquence naturelle de cette
es fractures. Jamais notre inteution n'a été de les viser. C'est donc mal â propos qu'ils ont pris l'alarme ! · Hais atte
as s'abattre et reprendre sa stabilité. Le petit garçon n'eut d'autre mal que de profondes contusions, mais B..., qui avait
sent les matous ! Dans ce infime pays, on recommande contre le même mal , des têtards fricassés, pris à l'intérieur. C'est
ser prendre aucune. Ce n'est pas tout. Si on a éprouvé quelquefois le mal de mer ou le vertige qui suit le balancement de l
's, qui ne veulent demander qu'à la seule prière la guérison de leurs maux , il s'est fondé à Londres une secte nouvelle, éga
l'homme est toujours et fatalement roulé par la femme. Il a écrit Le Mal du Siècle roman où il met en opposition l'esprit
maladie dont notre époque souffre le plus, c'est la lâcheté. (1) Le Mal du Siècle, par Max Xordau, Paris, Louis Westhauss
dieu humain ou animal.Ce fétiche est efficace contre toutes sortes de maux ; niais parfois il n'a d'action que sur certains
efficace contre les blessures de ce membre (t). On emploie contre les maux de dents, un bois taillé en forme de dent et reco
tète ; celle-ci est inclinée sur l'épaule droite. Ce saint guérit des maux de tète, des vertiges, des étourdissements, des
s cette propriété que parce qu'un des leurs aurait été atteint par ce mal ? Saint Eutropo guérissait la migraine parce qu
uggestion hypnotique, et cela sous le prétexte de le débarrasser d'un mal de dents et d'un certain tremblement (probablemen
de la suggestion. Au réveil, il dit se trouver très bien, n'avoir pas mal à la téte. La nuit suivante a été très bonne.
vaient au moins une douzaine d'autres articles, mais elle n'eut aucun mal à choisir ceux que j'avais nommés. — Quand je sui
des méthodes suggestives orientales, que nous connaissons encore bien mal . Il nous est rapporté parle Dr Th. Pascal, qui en
humanité et le souci de la sécurité publique ? Peut-on aggraver son mal en y pensant trop ? De tout temps le populaire
la suite d'une préoccupation constante de l'esprit du malade sur son mal et d'une attention perpétuelle à la partie malade
-midi. Remarque. — Il y a un retard de 1 heure 45 minutes. La durée mal calculée de 8 jours, 5 heures, 30 minutes corresp
al calculée de 8 jours, 5 heures, 30 minutes correspondait à la durée mal calculée de 197 heures 30 minutes du N° 14. Ceile
ont revenir toutes les cinq minutes et qu'elles ne lui feront plus de mal . En effet, après cinq minutes écoulées, une nou
ur propre nature, en regardaient les rouages intimes d'ailleurs assez mal et, do plus, avec un tel éton-nement, qu'ils n'os
, sans les consulter au préalable. Mais ils souffrent, ils se font du mal , ils se combattent. Les deux esprits contemporain
re, les tentatives de suggestion chez les pauvres malades atteints du mal comitial./page> page n="187"> Un cas de
ort, l'idée que nous nous en faisons, qui nous terrorise et nous fait mal — et non la mort elle-même. M. Jean Finot trace d
cela me paraît une fable ; je ne serai pas si naif de me déranger. » Mal lui en prit. Avant un mois, il reçut une lettre é
la, malgré tout, n'est pas impossible, car un criminel ou un individu mal intentionné pourra étudier les phénomènes hypnoti
hatouillé est la minceté de sa peau et que lui seul de tous les ani-« maux rit ; car le chatouillement est un ris par le mou
és d'après une esthétique particulière, il y aurait, convenez-en, pas mal d'hommes â éliminer, soit pour la forme, soit pou
peu, moyennan! une certaine méthode d'entraînement, acquis sur Pàni-N mal une influence psychique. Des magnétiseurs n'ont
trouver-exaltée. Ainsi, l'un des parents de M. Foustanos pariait fort mal le français à l'état de veille, mats, une fois en
nous revint, et nous i'avens eu puur président en 18'G. Enfin, le 29 mal 1885, prônant en quelque sorto aa retraite, 11 so
u'au cours do aa longue et belle vie, de même qu'aux jours affreux du mal qui duvalt lo terrasser, il a goûté en patriarche
mps de s'en aller tandis qu'on croyait que le jeune homme se trouvait mal . D. — Mais vous, vous l'avez vu. Reconnaitriez-
ade ne présente, une fois réveillé, aucun symptôme anormal. U n'a pas mal à la téte, il ne vomit pas et, très rapidement (d
o, le Dr Gibert put, grâce à la suggestion, faire oublier la cause du mal et cette amnésie détermina la guérison de tout un
ès rationnellement ceux qui l'approchent mettent sur le compte de son mal . Il est vrai que s'ils rapportent des changements
ngements de caractère à la maladie elle-même, ils en entrevoient fort mal l'origine et l'explication scientifique. On dit :
par des bizarreries d'actes ou de désirs qu'on rapporte encore à son mal , mais sans comprendre, exactement comme si le mal
grit et change le caractère du patient, ? Dans l'espèce, la nature du mal n'est pas indifférente, et c'est à cette origine
s ses employés s'aperçoivent d'erreurs grossières. De plus, il reçoit mal ses clients les plus importants, les insulte pour
-suggestion naturelle accepte la représentation mentale mauvaise ; le mal s'en suit. Celui qui voit voler peut accepter a
ie intellectuelle, dit Giroust, solitaire de Port-Royal, font plus de mal à la tête que de bien au cœur » ('). De l'aveu
utomobile sous un soleil torride. Elle rentre le soir avec un violent mal de tète et se couche. Mais la nuit, elle est réve
jusqu'à un certain point, obnubilées ou perverties. Elle se rappelle mal les jours et les dates, ou bien, elle les embroui
s distruens. Empêchons donc Mme B... de ¦ ruminer », d'entretenir son mal , el de s'intoxiquer avec ses idées délirantes; pr
le nom de démence épi-leplique-paralytique-spasmodique, une affection mal ou insulfisamment/page> page n="342"> d
, écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ? la suite d'états de mal répétés, d'accès sériels prolongés, nocturnes ou
ée par ?a suggestion hypnotique, par Vlavianos, p. 11. Aggraver son mal en y pensant trop ? (Peut-on), p, 158. Alcoolis
85 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
titubait, avançant à pas inégaux, jambes écartées, ni mieux, ni plus mal à la lumière ou dans l'obscurité. Couchée sur
chir ou d'étendre la jambe sur la cuisse ? Ces mouve- ments se font mal , la jambe étant envoyée brusquement à droite ou à
s ne sont pas dues à des bottines trop étroites, ou trop larges, ou mal faites et en a changé plu- sieurs fois sans rés
ite l'idée d'une tumeur extra- médullaire agissant par compression ( mal vertébral, tuberculose, cancer, pachY1éllingite
marche, se promène volontiers, bien que ses petits pieds paraissent mal proportionnés avec le volume du corps et de l'a
es formes. En 1885, le syndrome du déficit cérébelleux était encore mal connu, et comme la sclérose en plaques lui empr
ée. La parole est scandée, explosive, spasmodique, nasouuante, très mal articulée quant aux consonnes. Si l'on repren
z D... 1° Dans la marche, le tronc, en arrière, ne suit pas ou suit mal les mouve- ments des membres inférieurs. Il fau
stent fixes, rigides et ne fléchissent pas, comme chez l'homme nor- mal , pour rétablir l'équilibre. ' (1) Fouché a rapp
. Les types de démarche, même ne s'écartant pas beaucoup de la nor- male , sont très nombreux ; et il faut tenir compte de
au plus au 1/5 ou au 1jeu interne de la crête iliaque pa- raît bien mal disposé pour élever le bassin de son côté : l'élé
ES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 69 légères qu'elle est mal limitée à sa partie inférieure. Le peu d'aplatiss
S SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 77 d'affections mal précisées encore en certains points, il convient
nt pas faute d'empiéter sur celui des voisins : d'où le proverbe « le mal est que le barbier ne se contente pas du poil »
ison, était une concrétion intestinale recueillie sur divers ani- maux . Les plus estimés étaient ceux de la chèvre sau
troisième génération, d'autant mieux que le malade a conscience du mal dont il est atteint. Les premiers symptômes ne
vue du diagnostic. Le cas d'Henri R... occupe donc une place encore mal déterminée entre la maladie de Friedreich et l'
r, les couches cellulaires sont tassées ; les éléments en sont nor- maux et se colorent bien. Aucune altération vasculaire
uve des modifications. Chacun d'eux est plus petit qu'à l'état nor- mal et chaque amas est composé d'un nombre d'éléments
us tard que cette malade se plaignait depuis longtemps déjà de voir mal et qu'un oculiste aurait constaté une hémianopsie
t prétendu qu'on ne l'avait pas remise dans sa position habituelle. Maux de tête violents par crises. A vomi une seule foi
ière du néoplasme la substance blanche a un aspect tout à fait nor- mal . ' Ecorce. - Elle est très altérée à proximité
abord.Ecrit encore des lettres sensées bien que très simples. Joue mal aux cartes, jeu qui cependant ne lui est pas 13
6 mois encore et ce fut alors qu'il commença à ressentir de violents maux de tête, qui furent bientôt suivis de vomisseme
y a lieu d'éliminer tout de suite une lésion osseuse (ostéomalacie, mal de Pott) dont on ne trouve aucune trace. L'hyst
ient maladroit dans d'autres actes de la vie : il commence à porter mal sa canne, il renverse de temps en temps la cuillè
intense. Au Nissl, les cellules pyramidales apparaissent déformées, mal colorées et les cellules pyramidales sont pour
Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males . Ecorce cérébrale. Les méninges, peu épaissies,
sont conservés. Les réflexes crémastériens et plantaires sont nor- maux . La sensibilité à la douleur est, semble-t-il, un
e marquée. Le tissu nerveux, - cellules et fibres - se. colore très mal . Les racines sont enflammées. Weigert-Pal. On
ée et de l'endartérite très prononcée. Le tissu nerveux se colore mal , seulement au niveau de la substance grise. Il
qués par les lésions partielles des lobes cérébel- leux sont encore mal déterminés. Les expériences des physiologistes so
tous les cas dans lesquels la circulation veineuse du membre se fait mal , faute l'impuissance aux mouvements. Mais ces l
75. P171LIPPSOR. Ricerche sperim, sull'orticaria. Giorn. ital. par le mal . ven. e del. pelle, 1901, p. 908. 76. TonSK.
ue de Neurol., 30 déc. 1904. 87. LounzsLL. - Contr. à l'étude de la Mal . de Morvan, Thèse de Paris, 1899. 88. Schlesing
, p. 654. 106. Millard. Thèse de Paris, 1888. Des oedèmes dans la mal . de Basedow. 107. RAi'tN. De quelques formes ra
(118). 111. ALARD. id. id. 115. Calderoni. Giorr2ale ital. delle mal . ven. e délia pelle, 1903, V. 119. Asxen uND BA
at., art. OEdème. 130. Kaposi (Besnier, Doyon). Path. et trait. des mal . de la peau, Paris, 1891. 131 RicHAnDiERE. Anna
ides très fortes et qui prennent à la gorge. Dans certains ateliers mal aérés les ouvriers vivent ainsi pendant plusieu
ion, est fils d'un alcooli- que mort à la suite d'accidents nerveux mal définis. Lui-même a fait quel- ques excès alcoo
en est aperçue. Les dents sont irrégulières, petites, cupuliformes, mal implantées : les incisives médianes sont en retra
erno-cléido-mastoïdien il existe en dehors du faisceau sternal nor- mal , des faisceaux qui vont se fixer sur les points d
mensions du crâne sont les suivantes : comparées aux diamètres nor- maux chez l'adulte (occipito-frontal : 192 mm. 3. Bipa
re bipariétal, 132 millimètres (149 mm. 3 chez la femme adulte nor- male ). .. Diamètre occipito-frontal, 170 millimètres
tion des muscles de la ceinture scapulaire est le plus souvent nor- male . La plupart des auteurs se sont préocupés de l'ét
ade de cette régression. A un second stade les clavicules sont nor- males ; seules les anomalies crâniennes persistent. Not
). 350 RABAUD D'une façon générale, d'ailleurs, la question était mal posée. Et elle était mal posée, non seulement p
on générale, d'ailleurs, la question était mal posée. Et elle était mal posée, non seulement par Dareste, mais par tous c
que Murait (1) met les hémorragies sur le compte de pressions anor- males exercées durant l'accouchement. Veraguth (2) adme
multiplier, ce qui se traduit par la diminution du nombre des assises mal . pighiennes (1). Celles-ci font bientôt complèt
asmodique, s'accompagnant de tremblement des mains. La parole était mal articulée, lente et monotone. Les aliments lui
ivent sans interruption en donnant lieu ainsi à une sorte d'état de mal qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun troubl
ents volontaires des muscles de la face accentuent ordinairement le mal ; d'autre part une électrisation énergique du ner
e que les muscles en question soient paralysés ; ils se contractent mal à propos en réalité,et de plus ils ne sont plus s
onnels. A l'âge de cinq ans a été malade d'influenza (maux de tête, mal à la gorge, vomissements, etc.). En dehors de cet
enfin une paraplégie incom- plète ressemblant par quelques côtés au mal de Pott. Les contractures hystériques sont aujo
ion avec le résultat produit. La netteté est grande si l'origine du mal est rapportée à une frayeur, une émotion, une col
os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le pied paraît mal supportée. Mais un examen un peu circonstancié
e muscle sterno-mastoïdien. Les mouvements de déglutition sont nor- maux . Aucun phénomène général, température 37° 2, poul
ille dont de Paoli nous a raconté l'histoire : comme elle se tenait mal en classe, accoudée, la tête appuyée entre les
Un médecin consulté sur ces entrefaites avait émis l'hypothèse d'un mal de Pott au début, et avait institué un traiteme
ire. La malade, disons-nous, avait été soignée pendant un mois pour mal de Pott : le mode de début, l'état général de l
on s'opposaient tout à fait à cette manière de voir. La scoliose du mal de Pott n'atteint, on peut dire jamais, une sem-
ure sur laquelle, depuis quatre ans, il était cloué par un prétendu mal de Pott. Mais notre observation prouve que cette
ralgiques. Mais ces dernières ne sont pas régies, com- me celles du mal de Pott, par la distribution anatomique des nerfs
is même dis- paraître. Cette courbure est parfois énorme, souvent mal ou pas compensée, et quelle que soit son ancien
originales, d'où dépend le diagnostic différentiel, tantôt avec un mal de Pott, tantôt avec un « tour de rein », tantôt
n existe, quoique sensiblement diminué, le réflexe cornéen est nor- mal . La sensibilité paraît normale sur la plus grande
bres inférieurs, le droit surtout, elles auraient eu comme cause un mal de Pott lombaire ou dorso-lombaire tout au plus,
e question. Il était donc à peu près certain qu'il n'y avait pas de mal de Pott lom- baire. C'était moins sûr pour la r
ction lombaire prouvant que le liquide céphalo-rachidien était nor- mal nous avions pensé à l'hystérie bien plutôt qu'à u
relater un cas d'hystérie infantile ca- pable d'en imposer pour un mal de Pott, c'est-à-dire pour une lésion d'ordre c
rigés principalement par un vicaire, l'abbé F..., esprit exalté et mal équi- libré, prompt à voir le diable au milieu
er un mauvais tour, car il m'en veut toujours, a pu envoyer tout ce mal sur ma paroisse. » L'abbé C... devient donc le
imes, le parti religieux signala ses ennemis comme les au- teurs du mal et peu s'en fallut que ceux-ci ne payassent de le
. d'incré- dule, que nous sommes des folles, que nous n'avons qu'un mal d'imagina- tion ! nous sommes des damnées, s...
s sur ce sujet, un grand nombre de ces dystrophies nous sont encore mal connues, et des faits disparates sont fréquemme
nous avons l'occasion de publier, sous le titre d'ostéogénèse anor- male , une observation qui, quoique rentrant dans la gr
la luxation congénitale de la hanche dont la pathogénie est encore mal élucidée. On pourrait invoquer cette laxité com
ense sur tous les points. Certaines portions prolifèrent un peu moins mal que les autres, ainsi que le montre l'intensité
ut pas considérer ces faits comme relevant d'une ossification anor- male du périoste. Ils sont bien plutôt, croyons-nous,
s, volumineux chez les enfants de S. Müller et de Grotthof,est nor- mal chez les autres. La Pituitaire était normale da
lité des os, par des fractures multiples et par une voûte crânienne mal développée. Il n'y a pas de synostose prématuré
ion de l'activité cellulaire entravant la différenciation ? loi.- z male et l'évolution régulière vers l'état adulte parfa
et guéri avant la naissance (Soc. de Chir., 1883, et Rev. mens. des mal . de t'enfance, 1884). GuÉRiK. Rech. sur les dif
rence existe, car chez ces derniers il existe une persistance anor- male du cartilage de conjugaison qui continue a produi
que certaines phalanges ne présentent presque plus leur forme nor- male ; mais elles sont aplaties et présentent des trou
extrémité distale) l'union persiste, le procédé de division se fait mal ou bien ne se fait pas. Il suffit de consulter
nt sans cesse. 574 VALOBRA .syndactylie, la théorie atavique a du mal il se soutenir. On ne peut cer- tainement pas i
as de ces deux variétés. Il y existe un os qui occupe la place nor- male du tibia; mais peut-on affirmer que cet os soit l
ut, la présence fréquente des cicatrices sur la peau de ces membres mal formés. Ces cicatrices, selon les recherches ex
w's Archiv. Bd. 100, 1885. 72. Handeck. Cité par KIRnussox. Tr. des mal . chir. d'origine congén. Paris, 1889. 73. IIoRR
ie-mère et les hémisphères cérébraux apparaissent complètement nor- maux . Les deux hémisphères, durcis dans le liquide de
début de la syphilis. Il s'aperçut que le pouce droit fonctionnait mal et était ramené en arrière et en dehors. Il n'y é
es plus loin il avait gardé assez de force pour faire tant bien que mal son métier de jardinier. En 1901 il entra à l'H
te baissée, comme un peu soudée, et qui marche par instant d'un air mal assuré. Il présente aux membres supérieurs une
crate et Galien donnàient, à la vérité, des secrets pour guérir les maux du corps et pour maintenir, durant un peu de temp
e ses serviteurs par sa vertu avaient même le pouvoir de guérir des maux qui mettaient tous les médecins au désespoir, com
« Mort, lèvé-toi au nom de Jésus; et toi, mauvaise bête, reçois le mal que tu as fait. » Au même instant, le mort ress
tion normale du squelette, trouble en rapport avec une cause encore mal déterminée aujourd'hui, mais provenant d'une vi
ut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mourut d'une maladie mal précisée; il semble qu'elle ait traîné un temps
-même les jugea de nature osseuse. Ces tumeurs ne lui firent jamais mal , et il ne fut pas exempté du service militaire,
rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux substances se distinguent mal , mais'la zone corticale n'est nullement atrophi
lus grosse qu'à l'état normal. Toutes les colo- rations réussissent mal . Il s'agit là sans doute d'oedème. Vaisseaux. N
ansversal ; cette déformation jointe au ptosis, à la position anor- male de la tête, contribue à lui donner une allure tou
fille de 11 ans que nous avons vue et qui ne présente rien d'anor- mal du côté des yeux et dont le développement est rég
ue de son apparition, de sa forme même, constituer le reliquat d'un mal de Pott. La colonne vertébrale est ankylosée à
ucune malformation. La musculature est par rapport à la taille nor- male ; les réflexes tendineux ne sont pas exagérés. Le
oisin dans les termes suivants : « Ce n'est pas difficile que tu aies mal aux épaules, tu as l'épaule démolie. » Dans cet
es muscles en particulier, on reconnaît que chez tous elle est nor- male (1). Tous les mouvements du deltoïde sont norma
, S'agit-il de l'une des formes si variées, si complexes et encore mal con- nues des myopathies primitives progressive
me musculaire. Intervenant sur un squelette encore peu résistant et mal consolidé, ces con- tractions déterminent des m
urant, les foetus étudiés par Zingerle possédaient une moelle anor- male , mais se développaient toutefois comme des foetus
-vasculaire faisant hernie au-dessus du crâne ; le cerveau, quoique mal développé, paraissait indemne à l'oeil nu. L'au
. S'il en était ainsi, le foetus en question serait un foetus anor- mal , porteur d'un encéphalocèle de petites dimensions
à la fois la furie des courses de taureaux et le réveil des haines mal assoupies contre les Maures. Ce sont là visions
uillé. Derrière un homme assis se gratte la tête comme quelqu'un de mal éveillé, égouttant de la main droite un corns à
86 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à 9 mois. Propreté à 15 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de mal convulsif à 6 mois. Convulsions localisées au c
te à 15 mois. - il.. ans seulement, elle commence àt \ parler, mais mal . - Marche à 9 mois, propre à 15 mois. J S A 6 m
mbe, à droite, remuaient; ils restèrent paralysés après cet état de mal . A 10 mois, seconde attaque de convulsions, é-
nt tous les 6 mois, toujours localisées à droite. Après cet état de mal , l'intelligence était moins vive et l'enfant re
près la mère, la paralysie, qui a débuté après le pre- mier état de mal , se serait aggravée après choques série con- vu
ne présente pas de cicatrices. Les arcades sourcilières sont nor- males . Les sourcils sont châtain clair, de même que les
ngien. Le menton est rond, très régulier, dans une situation nor- male par rapport au maxillaire supérieur.- Les oreille
ion des accès deux ou trois fois par jour. Après le premier état de mal , comme après tous les autres jusqu'à l'âge de 4
rome : Imbécillité, hémiplégie, épilepsie, succé- dant à un état de mal convulsif de la première enfance, moins souvent
-tam.... (1), reste ce qu'elle était après la guérison de l'état de mal convulsif ou même s'amé- (1) Voir cette observa
s accès se présentant sous forme de séries, quelquefois d'état de mal , mais si le malade ne succombe pas dans cette c
tiges nombreux, la physionomie s'altère, l'attitude se modifie en mal , le corps s'affaisse, s'incline du côté paralys
1\ERA'AL.. XI. Du vomissement de matières fécales dans l'état de mal épileptique ; par Il. Goktze. (Veurolog. l'crttws
o1cn[c qui e li'alll'ol'll1cnl ulL¡"l'il'UI'l'IIII'1l1 l'II état de mal . C'est alors qu'à 5 heures du soir elle vomit plu
es tout cesse. Le 8 septembre 1897, de 6 à 9 heures du soir état de mal suivi du même phénomène. Le 29 août 1899, de 4 il
mardi 29 novembre 1901. Présidence de 31. Voisin-. Le traitement du mal de mer par la suggestion hypnotique. ON ()sG()0
des suggestions faites avant l'embarquement, immuniser cou- tre le mal de mur. Quatre fois pendant un voyage ,rAnglclcl'
76 SOCIÉTÉS SAVANTES. en Amérique, j'ai, par suggestion, arrêté le mal de mer nettement déclaré. Non seulement les vom
'avoir il bord un médecin qui sache par t'hypno- notisme inhiber le mal de mer; cela se rencontre très rarement ; aussi
e vertige de la lo- lomotion, l'ensemble des malaises identiques au mal de mer, il l'intensité près, et dont souffrent
petit bateau, j'ai pu, par simple affirmation, arrêter chez elle le mal de mer dès le début des nausées. Vomissements i
eût fait (elle ou telle chose, ses péchés lui eussent été remis. Le mal qu'il a, lui a été donné pal' des gl'ns qui ont
celles des bacilles de Koch. Le liquide retiré inoculé à des ani- maux donne un résultat positif (Widal el Lesourd) ; 2°
dans ce but une opération chirurgicale ' ! Noire inonde s'accommode mal (Tune telle pratique, d'autant plus (pie l'hél'
e la dil'liwllé ,lJ 1.1 I¡it-III) 1'1 au--¡ au n01l1 d'une économie mal comprise, de les hospitaliser dans les asiles d
pas aux exigences du traitement des aliénés ; les bâti- ments sont mal adaptés à leur destination acluelle. « Avec leurs
ration». Le corps de l'internat est ¡"g : tleIl1l'nL 1111 or¡ ? ane mal adapté à ses fonctions ; les internes sont trop
en vertu desquelles cette dernière ne réagissant plus ou réagissant mal , présente une tendance remarqua- ble il conserv
duite va se traduire par des associations fragmentaires, dépendant mal les unes des autres, par suite de la dispa- rit
e constamment la même phrase : « Est-ce bête, est-ce vilain, est-ce mal ! J'ai passé le grand bon Dieu sous terre ! ».
st-ce qui est bête ? (ti cst- ce qui est vilain ? Qu est-ce qui est mal ? » elle regarde son interlocuteur avec un oeil
douceurs, lui inspi- rent de l'espérance, l'aident à supporter son mal . Le sentiment de la moralité est souvent troubl
foyers, il reste encore des fibres musculaires suffisamment nor- males pour parera la paralysie étendue, absolue, de cer
t normale. Deux autres enfants de la même famille paraissent nor- maux mais ont de l'exagération de divers réflexes : ce
que sur 400.000 enfants en. âge scolaire il y avait 13.150 anor- maux des diverses catégories (font 7067 faibles d'espr
leur attire l'attention sur l'utilité de la création des cours nor- maux pour instituteurs se destinant acet enseignement
VANTES. 249 tl'ilp au début, désordres de la motricité consécutifs, maux de. tête, parestbésies multiples, anesthésie pa
z rarement des décès subits dans les accès isolés, même par état de mal . Les prévisions budgélaircs de l'exercice 1905
el l'on raconte que le professeur Ult cmint ce que l'on appelle le mal de Polt. Ce professeur aurait déclaré, sur les de
xplication du tsar et, de l'impératrice, que l'enfant suttlToc d'un mal constitutionnel. « Ce n'est pas seulement le ts
tionnel. « Ce n'est pas seulement le tsarévitch qui soulllre d'un « mal constitutionnel » ! C'est, en dehors de lui, to
s de lui, toute la Russie. Mais on ne comprend que trop bien que le mal de son (ils empêche l'empereurde s'occuper de c
x qui connaissent l'histoire de la dynastie Ilobtcin- Gottorp. Le « mal de PuLL (lont on parle est, on le sait, une des
on remarqua, dès la jeunesse, les stigmates psychologiques du même mal . - Faut-ilremunll'l' plus loin ? Les trois frèr
stion de l'hygiène sexuelle est des plus délica- tes : les conseils mal adaptés, ou venus mal à propos, éveillent la se
uelle est des plus délica- tes : les conseils mal adaptés, ou venus mal à propos, éveillent la sensualité et peuvent pr
il prit part à un accident de voiture où il eut plus de peur que de mal ; il ne garda aucune trace, mais il est tombé l
t en général de mauvaises odeurs ou de mauvais goûts qu'il spécifie mal ; mais quand il se plaint de mau- vais goût il
s cauchemars affreux, elle voit des ligures grimaçantes, des ani- maux r·(Trayanl..(;r·.IIaIIncinalion·sunL foules rappo
niquement et souffre, au point décrier. La tête lui fait atrocement mal , du côté gauche ; on eût dit qu'on la lui déchi
as cle même pour les enfants idiots, les plus nombreux clos anor- maux . Ayant ou l'occasion de faire appel à nos collè-
nsif agonique muet. Deux périodiques succombèrent <'1 un état de mal éllileplique. Quelle est la proportion des acci
que. Quelle est la proportion des accidents mentaux chez les ani- maux qui, privés de leur corps thyroïde, vivent longte
de la voix s'altérer n'a ni augmenté ni diminué par les progrès du mal , mais les troubles vocaux ont eu une bien moins
VEUSE. gère, devient constante, correspondant ainsi à l'état nor- mal de la vision. ' Une autre fillette, atteinte d'
l'oeil qui, à l'ombre et pendant le déjeuner, ne lui fai- sait plus mal , recommence à lui piquer avec l'air vif et le sol
jusqu'à la fin du séjour à Arcachon. L'enfant se plaint en plus de mal de tête, surtout localisé au niveau de la tempe
u un verre rouge, et avec leurs dimensions et leurs couleurs nor- males . Cette expérience, ici' encore, concordait donc
très simplement' : « Je puis l'aire beaucoup de bien ou heaucoup de mal suivant la direction- qu'on m'imprime » , Aus
pports fort honnêtes, et sur ce point, assure-t-elle « l'auteur est mal informé ». Mais cette Clau- di1l ? c'élaithicn
Mais celle réaction même, de par son caractère pat'oxys- tique et mal combiné tout il la l'ois, s'éloigne singulière-
instruction publique pour en limiter les effets, elles font plus de mal que de bien. Et cependant vous n'entendrez sort
difficilement praticable. Les religieux et les dévots se prêtent mal aux recherches de l'hiéropsychologiste, qu'ils
. térations profondeh et donne naissance aune dilatation anévrys- male qui secondairement peut se rompre et donner lieu
ent impuissants il corriger des actes dont ils reconnais- saient le mal fondé. Par l'éducation du caractère et la therape
i se développe normalement ne ment que lorsqu'il le veut; l'anor- mal reste menteur. Les tout pelitsl'nfantsmentenlle p
Dubuisson, que nous sommes heureux de publier,montre l'intensitédu mal et la nécessité d'une réforme sérieuse. Les Arc
mbre insuffisant pour permettre, surtout aux di- verses périodes du mal ,une statistique de quelque valeur. Afin de comb
térales diminuent en nom- bre et en persistance avec les progrès du mal . En effet, il y en a 15 à la première période,
ition ; bien plus, ils le trouveront également assez souvent nor- mal durant un certain temps et, qui plus est, normal
La nor- malité constante diminue au contraire avec les progrès du mal ; toutefois nous l'avons exceptionnellement cons-
ille. Au musée, existe une collection de cailloux, recueillis par MAL Yigouroux et Charpentier dans 1 intestin d'un m
diots et aux déments épileptiques. Les uns et les autres mastiquent mal et avalent gloutonnement. Parmi les épileptique
l. Accidents syphilitiques pendant le tabès ; pal' Dalous, (Rev. de mal ., janvier 1904.) L'auteur rapporte des observat
urnit le plus gros chiffre. « Mais ici encore, il s'agit d'un terme mal défini, comme celui de cachexie sénile, marasme
mélioration ne progresse que très lentement, malades qui sont aussi mal que possible dans de grands quartiers. « Tous l
coolisme. En atten c le jour où l'on se décidera, pour diminuer le mal quer les moyens prophylactiques que le médecir
asiles publics d'aliénés, 416. ConrLItEncE. Voir Enfants attor- maux . Confusion mentale, par Gilbert Ballet et Ros
choses des chiens privés de la glande thyroïde, par Blum, 293. MAL de MER. Voir Suggestion. M.%11CIIE. Voir Dégéné
ar De- roubaix, 392. Suggestion. hypnotique. Le trai- tement du mal de mer par la - -, par IL Osgood, 73. éthyl-m
es sterco- raux dans l'hystérie, par Breg- man, 59. Voir 'Etat de mal épileptique. incoercibles de la grossesse gué
87 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ainsi suivi une marche graduelle et envahissante et, actuellement, le mal est accompli. Vous voyez que chez cette femme il
eant au niveau des plis naturels de la peau, constituant une sorte de mal perforant palmaire, pouvant se propager aux gaine
donc pas dire légitimement, à un moment quelconque de l'évolution du mal , même en présence de l'extinction, complète en ap
moment de convulsions. Après ces vertiges prend naissance un violent mal de tête consistant en une constriction douloureus
prennent sans raison, en causant, en travaillant, jamais la nuit. Le mal de tête qui les suit peut durer toute une journée
une fois la petite perte de connaissance passée, il se relève avec un mal de tête bien particulier, dans lequel la peau du
nts à signaler. Sa mère était épileptique : elle est morte en état de mal . Il a un frère atteint également de mal comi-tial
e : elle est morte en état de mal. Il a un frère atteint également de mal comi-tial. B... est donc un prédisposé au premier
au-devant du cheval et put l'arrêter à temps. Son enfant n'eut aucun mal , mais B... éprouva une émotion si violente qu'il
e qu'il se sentit près de défaillir. La nuit suivante, il dormit fort mal . Dès qu'il était endormi, il revoyait en rêve la
t se réveillait en sursaut. Le lendemain, il se plaignit d'un violent mal de tête. Cette céphalalgie, qui consistait en des
, jusqu'en février 1889. Le malade était très inquiet, attribuant son mal à la trépidation delà machine et songeait, avec t
nvient-il de tenter chez elle pour essayer de s'opposer au progrès du mal ? Mais avant de parler de thérapeutique, il est
s dans leurs intervalles, du moins à l'origine, enfin l'ancienneté du mal remontant à l'enfance ne permettent guère de l'ad
une fièvre typhoïde à 28 ans. Elle se figurait qu'on lui voulait du mal ....., qu'on la magnétisait, etc.. Côté patern
l y a de cela 5 ans, en février 1885. La malade a souffert alors d'un mal de tête qui se localise du côté droit, occupe d'a
é, semblant, en quelque sorte, vouloir s'établir en permanence. Les maux de tète dans ces petites attaques, comme dans les
acquise ou héréditaire. Rien dans le passé qui la rappelle. Jamais de maux de gorge, pas d'éruptions cutanées, etc., etc. La
e à la gorge, des battements dans les tempes et quelquefois se trouve mal . Le début des accidents actuels a eu lieu en ju
ans, pleurésie gauche suivie d'une « névralgie générale ». Elle avait mal partout. Enfin elle eut une gastrite qui fut qual
actement le contraire que l'on remarque. Parce que cela lui fait trop mal , elle ne pose pas son pied droit sur le sol; elle
- (1) Eichhorst. — Hanêbueh der speciellen Pathologie und Therapie, Mal . du syst, nerv., p. 95. mais elle n'avait été m
diabète; blennorrhagie; compression intra-pelvienne du plexus sacré; mal de Pott; cancer vertébral. — Il peut exister des
ique néphrétique qu'il commença à ressentir les premiers symptômes du mal qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il sortait
ous ne trouvons pas dans une compression du plexus sacré l'origine du mal . Nous devons d'autant plus nous arrêter à cette r
cause à laquelle on devait naturellement penser chez notre malade, au mal de Pott. C'est une affection qui n'est pas rare à
uparavant, pour un testicule tuberculeux. Mais de quelle variété du mal de Pott s'agirait-il donc ici?JDu mal de Pott lom
ux. Mais de quelle variété du mal de Pott s'agirait-il donc ici?JDu mal de Pott lombo-sacré. Les pseudonévralgies, sur le
bbosité : il est inutile, je crois, d'insister là-dessus. « Dans le mal de Pott lombo-sacré, dit M. le professeur Lannelo
ulbe (polio-encéphalite), il convient de placer ceux dans lesquels le mal s'est étendu aux portions similaires de la moelle
dans le reste de la journée le malade était abattu, fatigué, avait mal à la tête. La crise n'était annoncée par aucun ph
, en ce qui concerne l'atrophie musculaire des membres supérieurs. Le mal s'est un peu aggravé au niveau des membres inféri
. Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de mal en pis, si bien qu'après quatre mois de maladie,
gie frontale bilatérale avec nausées. Le bruit et la lumière lui font mal . Il ressent autour de l'orbite du côté gauche de
nt rester debout. Mais il marchait bien et sans fatigue. Bientôt le mal s'aggrava et on vit apparaître une parésiedes ext
ellement pleurard. Si on le fait parler, on s'aperçoit qu'il articule mal les mots et nasonne considérablement. D'ailleurs
la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des régions encore mal connues qui dans la substance grise centrale prés
en temps aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de maux de tète. Rien du côté de l'estomac. Troubles de l
accentué les yeux fermés que les yeux ouverts. Démarche hésitante, mal assurée, cependant pas réellement titubante. Quan
il était lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait mal ses sensations et n'en rendait compte que très im
ommissions en ville, à la suite des libations auxquelles il ne manque mal * heureusement presque jamais de se liver en ces o
mes tonneaux, lorsque tout à coup une pile entière de ces demi-muids, mal calée, s'ébranle; une avalanche de tonneaux se pr
n, chaque jour renforcée par un abus nouveau du poison, entretient le mal et en aggrave les effets. De fait, à chaque nouve
éoplasie tuberculeuse. Mais fallait-il s'arrêter à un diagnostic si mal sonnant et entraînant avec lui un pronostic très
tion de strangulation au cou et alors elle pâlissait et se « trouvait mal », sans convulsions d'aucune sorle. On la mettait
, mais la dysesthésie, symptôme qui est 1 Charcot. — Leçons sur les Mal . du syst. nerveux, t. II, p.. 116 et 292. parti
adies nouvelles. Ce reproche, s'il était formulé sérieusement, serait mal fondé. Sans doute, il n'y a guère de maladies nou
tout que noub comptons pour établir l'origine syphilitique de tout le mal . En effet, vous allez le reconnaître, du reste, c
n de sa profonde amnésie, il ne sait pas, dit-il, s'il a eu autrefois mal à la tête ; sa femme le lui a dit, mais il ne se
he se prendre à leur tour, et enfin le malade perdre connaissance. Le mal datait de trois mois environ, disait-il, et était
antôt jaunâtre, terne, comme voilée par un nuage à contours vagues et mal dessinés. Le contraste entre ces images ophtal-mo
é la première description fondamentale, (1) Charcot. Leçons sur les mal . du syst. nerv., t. II, p. 293. (2) Pitres. Con
e diagnostic. Déjà, mardi dernier, à propos de R...bes, chez qui le mal avait débuté au cours d'une pneumonie, je vous fa
rcée, souvent accompagnée d'un « Ah ! », comme bâillerait un individu mal élevé. Mais cela ne se remarque point touj ours e
bète ; blennorrhagie ; compression intra-pel-vienne du plexus sacré ; mal de Pott; cancer vertébral. — Il peut exister de
208. Protubérance : tumeurs de la —, 427. Pseudo-névralgies dans le mal de Pott, 185. Pseudo-tabes diabétique : mal fon
eudo-névralgies dans le mal de Pott, 185. Pseudo-tabes diabétique : mal fondé de cette expression, 268. Ptosis spasmodi
88 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ette application de la pho- tographie aux changements en bien ou en mal surve- nus chez les malades. (Voir aussi PL. VI
sans droits ni qualité. \ Par ces motifs, déclare les époux Baetge mal fondés en leur ' demande, les en déboute et les
d'hydrothérapie, d'une chaudière et d'une salle de bains; le tout mal éclairé et mal agencé (1) ; b) un grand bâtimen
ie, d'une chaudière et d'une salle de bains; le tout mal éclairé et mal agencé (1) ; b) un grand bâtiment perpendiculai
tie du bâtiment K. Tous les bâti- ments consistent en constructions mal agencées et en général en assez pauvre état. Le
lait de vache ; son ventre était gros, les digestions se faisaient mal . Sa mère le conduisit à la consultation de l'hô
marqua qu'il n'était pas comme les autres enfants, qu'il saisissait mal le biberon.- Il ne se servait pas de ses mains
par la carie ? L'articulation est très défectueuse mais sur- tout mal fixée. Les molaires du fond de la bouche seules s
mment en pareil cas. Il n'y a jamais eu de convulsions ou d'état de mal convulsif, ce qui autorisait à penser qu'il s'a
été élevé au sein par sa mère et s'est développé d'une façon nor- male . Sa santé était bonne. Il n'a jamais eu de convul
développement intellectuel était un peu retardé : à 7 ans il lisait mal et n'écrivait pas du tout. La marche et les mouve
ires de lait. Les 1 ? molaires sont en éruption. L'articulation est mal fixée et irrégulière. Les dents du fond de la b
les idiots. Le plus souvent on note son apparition après un état de mal convulsif ou de simples convulsions internes. D
s n'exis- taient pas encore. VI. Idiotie complète ; Epilepsie ; mal de Pott vertébral ; Par BOURNEVILLE et tSCH WAL
n intellectuelle. Roséolesy- philitique. yidé ? iitesce ? *incaies. Mal de Pott dorsal. - Amaigrissement progressif. -D
gré de compréhension. Ainsi, il sem- blait comprendre qu'il faisait mal quand il se masturbait. Il n'a jamais eu de kle
S derniers mois qu'il a passés chez sa mère. Il marchait alors plus mal et ses pieds s'étaient retournés davantage. 188
se l'abcès, il s'écoule une cuillerée de pus crémeux et verdâtre. MAL DE hOT'1 vertébral. 71 7 jttillet. - Le 5 juill
imées. Oreilles petites, bien ourlées, lobule à peine distinct. 7 MAL DE POTT VERTEBRAL. MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73
bien ourlées, lobule à peine distinct. 7 MAL DE POTT VERTEBRAL. MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73 grande partie de la régio
chis. Le lobe occipital a des sillons et des circonvolutions nor- males , mais dans son ensemble il paraît un peu atrophié
nte du rachis, on trouve un abcès peu volumineux, renfermant un pus mal lié, avec des grumeaux; il siège au niveau des
travaux pratiques de la Faculté. La moelle cervicale, au-dessus du mal de Pott, offre des lésions portant sur les enve
sudat granuleux. Sur une coupe de la moelle dorsale, au niveau du mal de Pott, nous retrouvons successivement les môm
itement, les accès continuent à être moins fréquents. Plus tard, le mal vertébral cle Pott s'ag'ra- vant, la tuberculos
aineux; une soeur sujette à des maux de tête; une autre atteinte de mal de Pott; une autre morte de méningite tubercule
une fille, 20 ans. ma- lade depuis trois ans (hydarthrosc du genou, mal de Pott pro- bable) ; 5° une fille, 13 ans 1/2,
e Pott pro- bable) ; 5° une fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de maux de tête; 6° une fille morte à 3 ans 1/2 d'une m
gilet et sa chemise et se frotte la poitrine comme s'il sentait son mal . On le met à terre, nu depuis les cuisses jusqu
sai, cela dure à peu près 5 minutes : une fois debout tant bien que mal , il se met à marcher, fait une vingtaine de foi
s crises; elles du- raient, dit-il, un quart environ, puis il avait mal à la tète et pleurait abondamment. Une seule fo
: 1LIE. 117 7 causée par la vue d'une folle qui avait des attaques mal définies et que la mère de notre malade a soign
ncle paternel et frère alcooli- ques ; mère, pertes de connaissance mal caractérisées. Pour Edern.. : père, hébétudes p
temps. 1 CI' mais Il connaît maintenant'les noms de tous les ani- maux des tableaux et les usages de quelques-uns. Disti
nt à tirer la langue qui est rouge, et, interrogé, répond qu'il n'a mal nulle part. Son intelligence, en somme, est aussi
saurpourri. Est-ce qu'il va se foutre de ma république. Tiens, il a mal aux cheveux. Tu ne vas pas te taire ! je vais a
'atelier de cordonnerie, il ne fait pas de progrès ; il reçoit très mal les observations, il est insolent et grossier.
ne sait à quel âge il a parlé ; mais à son retour, il parlait très mal , on ne le comprenait pas. Il imitait les animau
es clefs, etc., mais non des gourmandises. Use débarbouille assez mal , se lave les mains, sait s'habiller et se déshabi
aisément à l'exécution des mouvements ; il saute bien. Il se tient mal au réfectoire, et se dérange constamment pour a
Il se sert convena- blement de la cuiller et de la fourchette, mais mal du couteau. Il saisit bien les aliments ; la ma
convolutions ch corps calleux bien développée. -Lobllle paracentral mal limité en avant. Le sillon de Rolando pénè- tre
oir une aura, car Paul s'écriait quelques secondes avant : « Maman, mal , -0 ? l ? Partout ? C'est tout ce qu'on pou- va
térie. 197 1882. 22 février. Paul a èté pris dans la journée d'un mal de gorge assez violent. 23 février. On constate
difforme. Le palais n'offre rien d'anormal et les dents, quoique mal rangées et en mauvais état, sont bien conformées.
s et dorsales su- périeures on trouve une enflure molle, élastique, mal définie, d'environ 15 cent. de diamètre où les
89 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
oit se reposer; « 20 Les esprits envieux, pour qui tout bien est un mal , quand il n’est pas pour eux; « 3° Les esprits
r tonique antiglaireux de Guillié. Les principaux caractères de son mal sont des crises très-douloui euses, qui lui cause
ation lui a-l-elle fait du bien?—Oh! oui, un grand bien. Où est son mal ; le voyez-vous? — Pas de réponse. Un tremblemen
elle ; je lui commande le calme, la presse de me dire si elle voit le mal , elle promet de m’obéir. Il est ici, dit-elle, da
s? — Oui. Auriez vous, dans cet état, la faculté de bien voir votre mal ? — Oui. Et celui de Mm' Sanlafé? — Oui. Et l
ûre? — Très-sûre. Indiquerez-vous des remèdes? — Oui. Quel est le mal de Cecilia ? — Elle mange beaucoup. Que doit on
entendre avec moi pour guérir cette brave dame? — Oui, mais j’ai bien mal à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp
bien mal à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp?-r moi lu mal de tête. J’essaje de dégager la tête, elle dit
deur du citron que j’avais voulu attribuer au mouchoir. — Mais, mon mal de tête ne s’en va pas; ôtez-le-moi. — J’ai fai
ffet tout de même ; et maintenant que vous voilà débarrassée de votre mal à la tête, remontons. — Oui, je n’ai plus rien.
au, dont je fis boire au malade quelques gorgées, qui dissipèrent les maux de cœur. a Voyant le malade revenu à un état me
un médecin le lendemain matin. Celui-ci, trouvant le malade pas trop mal , ordonna, comme par routine, des bouteilles d’eau
nais qüe la médecirie est mensongère, qu’elle fait aux hommes plus de mal qiië dé bien , je rëncdütre-rais les mêmes difîic
onsidérer comme le plus grand bienfait acquis au soulagement de nos maux . Toute vérité nouvelle qui surgit, a de la pein
i faiblit, nous fournira le moyen de lutter victorieusement contre le mal . Eh bien ! l’action magnétique est la transfusion
es jet nous tiendra compte un jour du bien que nous aurons fait et du mal que nous aurous détruit, car là seul est le vérit
ébrouiller un peu. Orna bien essayé déjà; mais je pense qu’on s’y est mal pris, en cherchant àj fai.e lire au loin les somn
erreur de mes somnambules, ou 4es malades en somnambulisme, sur leur mal et le traitement, je perds, et pour chaque exacti
9 sont lésés» qu’en effet, U ne gnérwe pa«, et que i’anwpsw prouvequA^ mal était Won décrit, je gagne deux mises, puisque le
ques mystiques à l’aide desquelles il promettait de guérir tous les maux de l'humanité. Il s’entoure de mystère, commence
ruit dans l’arrondissement que du célèbre médecin qui guérit tous les maux , et que le vulgaire a surnommé Guêril-Tout. On vi
uche. L’enfant paraissait mieux; le lendemain matin , elle était plus mal , et à trois heures de l’après-midi, elle expirait
excité plus d’une fois les rires de l'auditoire. « Je tombe du haut mal , dit-il; ma mère me conduisit consulter Guérit-To
re assise; celle couchée me dit : « Qu’avez-vous? « Je lui contai mon mal ; elle me prescrivit de la soupe à l’oseille penda
’est la somnambule du prévenu. Elle était venue le consulter pour des maux d’estomac. 11 lui a fait manger de l’ail et de l’
eu, elle avait traversé le feu et les flammes j elle avait eu bien du mal cette nuit-la. La femme Pichon nie ces propos.
xactitude de la déposition ; s’il n’a pas interrogé le témoin sur son mal , c’est parce qu’il a une telle expérience des mal
iez de le tirer à quatre bidets, que vous ne lui rendriez pas tout le mal qu’il m’a fait. Il m’a tiré les membres ; il m’a
tés à Riéder, raconte ce qui suit : Gobert, maréchal ferrant, avait mal à la jambe, la somnambule lui ordonna de manger d
ure, mari de l’une des somnambules du prévenu : Ma femme déjà avait mal à un bras; elle a consulté Guérit-Tout; son bras
rapport aux facultés cérébrales et aux propriétés mentales maintenant mal comprises et incomplètement connues; et, enfin, à
ce, de par monsieur Swedenborg ! U paraît, décidément, que c’est un mal contagieux, et que Swedenborg porte réellement ma
isonné éteignit un instant élail le signe précurseur de la fin de nos maux ? Car en anéantissant voire fausse philosophie, en
nées de l'humanité 6e découvraient à la vue ! Yous avez donc créé les maux qui nous affligent et interrompu les temps; mais
a vérité. Oh! Messieurs, si tous les hommes étaient persuadés que nos maux viennent de notre seule ignorance, le sang ne ser
rme vengeresse propre à punir les faux savants, à qui nous devons les maux de notre patrie; propre à détruire les systèmes m
bientôt deux arts, deux sciences; l’un tout mensonger, et qui vit des maux qu'il a faits; l’autre réel, qui laisse à la natu
e à faire autant de bien aux hommes que vos systèmes leur ont fait de mal . « Enfin, Messieurs, « Nous allons honorer, a
la souffrance Au pain de l'espérance, Ixllié vainqueur de tous uos maux ; Au parta qui murmure Contre son frère parjure,
sens de mon cercle magique, Les vertus à ma droite, à ma gauche lo mal , Ici rudes labeurs, là-bas pente déclive, Chœ
, serait-elle, faite trop tôt, la source de confusion, de trouble, de mal dans tous les genres. Et il semble que pour con
res et faire au contraire la lumière ; il semble que pour atténuer le mal produit par cette inertie des hommes d’intelligen
éclairée par les travaux de tant d’intelligences contemporaines ? Le mal ne déborde-t-il pas ? N’est- ce pas le poison q
nt elles être assez sages pour recevoir cette puissance de bien et de mal ? Le mensonge est à côté de la vérité, l’illusion
esta ferme dans son attitude. Opposant le fait au doute, le bien a» mal , il poussa le sacrifice jusqu’à exposer sa vie po
ce que le pistolet n*a pas été trouvé, d'autant qu’il a pcut-Atre été mal cherché dans un lieu mal indiqué, la somnambule a
s été trouvé, d'autant qu’il a pcut-Atre été mal cherché dans un lieu mal indiqué, la somnambule ayant prévenu quelle ne vo
e l’on ne comprend le souverain des cieux. Je soulage ou guéris des maux où l’impuissance De l’art thérapeutique est promp
e des savants protégés par l’État. La clairvoyance répare souvent les maux causés par le savoir officiel, et fait aussi cess
ans aucune se- cousse , le droit au travail ; qui un remède pour un mal d’aventure; qui le moyen de s’assurer la fidélité
cès curieux que celui ofi viendra s’opposer aux tendances du parquet, mal instruit de la question, l’influcnce de milliers
i nient le magnétisme agissent en insensés , ils sont responsables du mal qui s’est fait ou se fera; leur devoir était d’éc
rs, qu’une destinée bien incertaine, et n’a pu faire que quelques pas mal assurés , et toujours vivement contestés. Annoncé
s perceptions; il n’y a rien au-delà; l’erreur tient aux observations mal faites, l’ignorance à celles qu’on ne fait pas ou
s exprimez le plus léger doute, vous les tourmentez, vous leur faites mal , disent-ils. Il est quelquefois dangereux d’insis
ils se trompent quelquefois, souvent même dans quelques circonstances mal déterminées , on ne, les écoutera qu’avec prudenc
nsulter; mon frère lui dit qu’il s’agissait de inoi, et lui conta mon mal . « 11 est bien heureux d’être venu ici, répliqua
e coûte beaucoup d'avoir à reparler de celte affaire, qui m’a fait un mal affreux, qui a rendu malade ma fille, qui n’est p
ponnerie ; voilà tout ce qu’il y a dans cette prétendue science. Le mal ainsi produit est donc incalculable, mais c’est a
ngrenés. II est dans la science et dans la politique ; c’est un grand mal , sans doute, mais c’est une des plaies de l’huma-
lutte; on ne changera point la nature des choses, seulement, quand le mal est trop grand, il se corrige par son propre excè
90 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mouvements un peu rapides; l'animal ne s'en servait que d'une façon mal assurée pour grimper et pour prendre. Monatschr
ats succincts : Coïncidence ou causalité : deux malades, en état de mal , soumises au bain de une heure à 39°, se sont h
avoir eu de myocardite, le tissu cardiaque est de coloration nor- male , ferme et résistant. Nous trouvons dans les oreil
i- tudes qui au point de vue physiologique sont parfaitement nor- males , et qui au point de vue psychologique peuvent par
'expérience d'un spécialiste pour découvrir les premiers indices du mal , et dans le doute, il craint d'engager, en si gra
pour ne plus reparaître. Ce sont surtout des idées systématisées, mal liées, mélangées sans ordre à des hallucination
le que grande crise de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre mal caractérisée et attribuée au palu- disme. Le pa
les et les nerfs du côté gauche sans R. D. Sensibilité : localise mal le tact au-dessous de la ceinture. Sensi- bilit
dilatant et en certains points les gaines de myéline sont diffuses, mal colorées, et les cylindraxes tuméfiés. Un cas
s été heureux et cela se comprend puisque le cerveau de l'idiot est mal formé congénitalement. Au contraire, quand l'id
aso-moteurs que s'explique une telle guérison. On peut aggraver son mal en y pensant, comme on l'a prouvé pour certaine
de la maladie et ter- 'minaison identique; 3° Origine spontanée du mal évoluant sur un même fonds organique. Ces con
et vingt-cinq ans de phtisie pulmonaire. Les 'autres seraient nor- maux . La mère des jumelles G... qui nous fournit ces
u'elles « perdaient les idées ». Célestine, la première, commença à mal travailler, à gâcher l'ouvrage. Elle devint ext
mère, qui, en voulant la marier contre son goût, a été cause de son mal . 1 880. Toujours soumise à des crises fréquente
protoplasma intensivement coloré, et dont le noyau'se distinguait mal : quelques cellules avaient même subi le dernier
as anciens. Aussi incline-t-il à croire que l'infection. origine du mal , est générale, qu'elle n'épargne aucune province
urs, on doit reconnaître que les causes directes et indi- rectes du mal paraissent être des plus nombreuses et sans doute
ne partie circonscrite de la moelle épinière; qu'avec le progrès du mal , toujours de nouveaux segments dégé- - nèrent,
ité, central et entouré d'une zone plus pâle, non striée et à bords mal délimités (noyau). La cellule est très élastique
resque tou- jours central et volumineux, entouré d'une zone pâle et mal limitée '(noyau). - Généralement il y a très
phile présentait la disposition que l'auteur considère comme nor- male . Dans tous les cas, naturellement, il y avait des
l'influence puissante qu'exerce sur leur production une éducation, mal comprise a été également mise en lumière. La th
admirable ». Mais il ne suffit'pas d'améliorer les enfants anor- maux ; il faut encore façonner les enfants normaux et
u quatre ans, ont toutes les cinq des accès sériels et des états de mal . A la suite de ces accès ou de ces étals de mal
els et des états de mal. A la suite de ces accès ou de ces étals de mal elles présentent des troubles moteurs et intellec
complètement démente, emportée par une vaste eschare ou un état de mal . Ces malades ne sont pas des idiots épileptique
eux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu état de mal au cours de leur pyréxie. L'autopsie confirma l
a température aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l'état de mal épileptique. ! Il. lII.\G : '<I.\N craint que
milaires. Trépidation épileptoïde dans la tuberculose pulmonaire. MAL Léopold LÉvi et FOLLET. La trépidation épileptoïd
génie. M. Félix REGNAULT. Sans doute, l'homme de génie est anor- mal , et parce qu'il possède des qualités psychiques s
ont loin d'être probantes; 2° Il ne faut pas confondre l'absence du mal comitial avec Vidée fixe de l'homme de génie. P
IQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveuse familiale, mal définie, à allures de paraplégie spasmodique tr
mêmes conditions de symptômes nerveux transitoires à allures assez mal définies, nous avons cru inté- ressant de les f
out de six semaines, il 'sortit' du service marchant toujours assez mal . Cette gêne dans la marche existait encore au m
ieu à aucun signe appréciable. Cependant quelques symptômes cadrent mal avec cette manière de voir : nos trois malades
aps de. temps qui ne.doit pas être inférieur, à trois mois..La note mal .ajourne.le candidat à six mois. ' .La* commis
de la gorge, un léger trouble de la vue, quelquefois, et un peu de mal de tête. Si on donne le médicament par la bouch
nique, 10 de sciatique, lo de maladies mentales, 7 de goutte, 22 de mal de tête, 10 de dyspepsie, 10 d'ar- thrite rhuma
uée à la pattie inférieure de l'occiput. Elle était de couleur nor- male et la circulation sanguine y paraissait parfaitem
entuée et étendue. La valeur diagnostique de ce symptôme est encore mal déterminée, mais n'est probablemrnt pas-très gran
le cadre des maladies nerveuses. Beau- coup de gens souffrent d'un mal de tête qui reparait à des inter- valles irrégu
'on appelle communément migraine hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux, mal de tête nerveux, névralgie
nt migraine hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux, mal de tête nerveux, névralgie de la tête : pour ne
qui permettent d'éta- blir le diagnostic de cette forme spéciale du mal de tôle et entre dans quelques détails sur le t
898.) Jeune femme de vingt-six ans, enceinte de six ou sept mois, mal traitée et insuffisamment nourrie : pas d'antécéd
ffet des nombreuses causes que passe en revue l'auteur. L'amour, ce mal universel, moteur puissant s'il y en a un, ne p
rdinaire. Spontanément, il remuait très peu ses membres, mais moins mal les bras que les jambes. Il ne pouvait se retourn
raversée de la Nouvelle-Calédonie en France, il a été insensible au mal de mer. Pas de rumination. Constipation habituell
te, survenues au quin- zième jour, se montrant sous forme d'état de mal à partir de ce jour, jusqu'au sixième mois, ont
ligence i est conservée, la parole un peu traînante et les syllabes mal arti- culées...'... ? Le 29 octobre la céphal
e du 4° ventricule, liquide encéphalo-rachidien en quantité anor- male . Au niveau de la moelle allongée, la dure-mère ad
de venir quand même. Souffre-t-elle ? demandai-je. Non, et voilà le mal , elle ne réagit plus : voilà le malheur. Si on
sion de toute autre cause toxique ou infectieuse. La moelle dans le mal de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont trouvé, dans
ns le mal de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont trouvé, dans un cas de mal de Pott, en dehors de toute compression osseuse
M. ACIIAIID a ainsi traité trois sciatiques, dont une causée par un mal de Pott, une sciatique ancienne avec amyotrophie
la mélancolie que l'apparence ; l'asthénie psycho-motrice s'accorde mal avec une telle richesse d'hallucina- nations ou
hologie et surtout l'étiologie de la maladie du sommeil sont encore mal connues et la nature en reste mystérieuse malgr
re avec démangeaison violente, adénite douloureuse, réflexes nor- maux , affaiblissement graduel de l'intelligence; 3° pé
marasme. La filaria nocturna ne parait pas avoir de rapport avec le mal ; au contraire la présence de la filaria perstan
et demi. Un an plus tard, il avait eu une première attaque de petit mal . Peu de temps après survint une attaque d'épile
ns le pied droit. Au sortir de ces accès, elle se plaignait d'avoir mal .à la tête, et elle avait l'esprit un peu troubl
- lant du coma qui suit une ivresse intense, ou d'un sommeil nor- mal , ne peut absolument pas marcher, ou bien il ne pe
01 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion bucco-sinusienne, simulant le mal perforant buccal ; faciès spécial démoniaque. C
es très précoces, depuis la chute prématurée des cheveux jusqu'au mal perforant. Enfin, parmi les phénomènes plus rar
peu d'altérations de la sensibilité, des réactions électriques nor- males , des sphincters intacts, une marche rapide et une
mandant de ne pas le suivre, parce qu'il avait peur de lui faire du mal ; il se rendit alors au bureau de police, où il
n de la nomenclature des impressions olfactives montre le caractère mal défini des odeurs et l'absence des points de co
ures. Bruxelles, 1900. Lnpumerie Sevoreyns. CRocQ (J.). Un cas de mal perforant plantaire périphérique guéri par la f
nce de son premier enfant et celle du second, le malade présenta du mal aux lèvres qu'on supposait avoir été pris avec
2° Victor, le malade ; 3° fille vivante, dix-huit ans, atteinte de mal de Pott avec des plaies de mauvais aspect et fé
docile, il fait ce qu'on lui commande et l'exécute tant bien que mal , comme un enfant. Il ne présente de délire d'aucu
s la maladie de Bayle, alors qu'on y rencontre tous ceux, depuis le mal plan- taire jusqu'aux dystrophies unguéales et
souffert la trépa- nation à l'âge de treize ans, mourut en élat de mal , et dont l'orifice de trépanation était presque
ilepti- ques. Sur cinquante-deux femmes observées tant en état de mal que dans des moments sans crises, une fois seulem
ment il n'y a aucun symptôme prémonitoire, tout au plus un peu de mal de tête ou de légers troubles gastriques; mais le
Il s'agit d'un professeur neurasthénique, qui sourit malgré lui, mal à propos, sans raison, juste au moment où il aura
lles, représentent d'autres exemples de cette légion : les uns sont mal construits de naissance, les autres sont désorg
es, qui, sans être maniaques ni mélancoliques, sont continuellement mal à l'aise (dysesthésie personnelle) : tels les n
Il convient d'appeler sensations obsédantes des sensations anor- males , plus ou moins élémentaires, qui prennent une for
ique., etc., à moins encore que les faits publiés ne soient des cas mal observés pouvant, à la rigueur, être confondus av
eL. Il m'a été impossible de les connaître. Elle avait les oreilles mal ourlées et était sujette dans l'enfance à des cri
bas des globes oculaires est donc possible. Dans une position nor- male au contraire, il ne peut regarder ses pieds par s
e l'idée délirante se trouve toujours dans une sensation intérieure mal définie qui s'accompagne d'une altération de la p
Concussion de itt, par de Forest-Villard et Spiller, 251. dans le mal de Pott, par Thomas et Hauser, 342. Forma- ti
Paraplégie ataxique subaiguë, par Dana, 68. - .Maladie nerveuse mal définie à allures de - sl)as- modique, par Leno
slpow, par Bee))terew,147. Plexus CIIOIt0ÏD1-S. Histologie nor- male et pathologique des Fmdley, 318. 1 Polynévrit
91 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
suite de cet ictus, et pendant un certain temps, la malade comprit mal ce qu'on lui disait, parla mal, en bégayant, eut
un certain temps, la malade comprit mal ce qu'on lui disait, parla mal , en bégayant, eut de la difliculté à se faire c
e du péroné est hypertrophiée à droite (4 cm. 5 de largeur) et nor- male à gauche (2 cm. 8 de largeur). L'examen détaill
nsidérable de la mémoire ; la malade, nous l'avons dit, ren- seigne mal sur le début de son affection, et sa fille nous a
ture de ces régions ne rappelle nullement celle de la thyroïde nor- male . On trouve pourtant aussi des régions dans lesque
e à 17 ans, après deux ans elle accouche d'une façon tout fait nor- male . L'enfant né à terme pesait 5 kilogs, était très
ette irrégularité fonctionnelle, la respiration a toujours été nor- male sans dyspnée, sauf la dyspnée d'effort par insuff
es lésions anatomiques, pour importantes qu'elles soient, ren- dent mal compte du caractère électif si particulier de ces
ffrant de plus en plus de sa douleur rétro-sternale, se mita dormir mal , à digérer difficile- ment, à devenir irritable
à l'athérome, sous forme d'endartérite oblitérante (voir Arche. des mal . du coeU1', mars 1909). Mais nous ferons rema
de l'écriture augmentaient d'in- tensité ; la main devenait bientôt mal habile à tracer les lettres, se raidissait sur
vie courante qui nécessitent la mise en marche des extenseurs sont mal exécutés, ou bien le malade « truque » pour en
it à son bureau dans un état d'inquié- tude disproportionné avec le mal qu'il éprouvait ; il n'était pas au travail dep
hasthéniques; depuis quelque temps aussi son travail lui paraissait mal fait, ridicule, honteux ; quand elle se mettait
il n'a jamais eu de crises nerveuses. Etant enfant il écrivait fort mal , mais surtout quand on l'observait ; il se rappel
s, qui irradient souvent jusqu'à l'épaule. Le malade est d'ailleurs mal à son aise pendant toute ÉTUDE SUR LES CRAMPES
enait 40 mmgr. de sulfate de radium. Bien que l'application ait été mal faite, n'intéressant que la partie tout antérie
veau ou sous la pie-mère cérébrale d'épileptiques mortes en état de Mal , ou après des crises nombreuses, des hémorragie
le nombre sont tels que l'on assiste parfois à un véritable état de mal . Il n'est pas rare alors de voir apparaître des
uche, sa langue est parfaitement mobile. Les voyelles a et e sont mal prononcées ; les voyelles i, o, u sont émises à
et à deux ans il parlait assez correctement; la dentition fut nor- male . Abandonné à deux ans par les siens, il fut éle
e veux cependant donner aucune signification spéciale à cette anor- male richesse des putréfactions intestinales, car je n
années, les meilleurs arguments. Toutefois, ne disons pas trop de mal de la psychologie, car c'est une ten- dance bie
ièrement heureux, car le réflexe n est pas l'invention d'un esprit en mal d'ex- plication, mais un rouage dont l'existenc
énergie peuvent et doivent suffire à expliquer ce phénomène. L'ani- mal inférieur recherche l'action bienfaisante du sole
smodique, et dont voici l'histoire : Observation X (personnelle). M. Mal ..., âgée de 23 ans, employé de bureau, est depuis
sans aucune gêne. Il n'existe aucun signe d'affection périphérique. M. Mal ... a appris à écrire de la main gauche, et il l
ngival de Burton, et une anémie saturnine marquée. L'existence du mal de Bright chez certains malades atteints de cram-
remarque cet auteur, est un symptôme fréquent, parfois initial, du mal de Briht. Chez les bi-igliliqltes on trouve des
alop, une tension artérielle exagérée, et tous les petits signes du mal de Brigue. Sous l'influence du régime lacté, le p
e malade trace avec peine des lettres irrégulières, de plus en plus mal formées, souvent presque illisibles. Si l'on palp
à fait particulier. » D'une façon générale, on retrouve dans le « mal télégraphique », comme disent les employés, les
orts d'accommodation pour lire sa musique tiop éloi- gnée de lui et mal éclairée. Tranjen a décrit la même affection chez
pronostic sera l'ancienneté de la maladie : une névrose négligée ou mal soignée pen- dant de longues années, ancrée pou
e duquel il se trouve. Commence à marcher vers 2 ans et demi, niais mal , dès le début ; depuis, les troubles n'ont fait
e inférieure. Les avant-bras, arrondis, paraissent d'un volume nor- mal ; les mains sont larges, aplaties ; les doigts so
ion, l'extension, les mouvements de latéralité du poignet sont nor- maux , quoique plus lents. Il n'y a pas de maladresses
'ostéite déformante de Paget doit être très rare. Parmi le groupe mal classé dans lequel on avait englobé autrefois les
es, et captés au griffon même; les substances radio-actives, encore mal connues, contenues dans ces vapeurs brûlantes,
nt, une intensité extrême, et l'on peut affirmer que la phobie de « mal écrire », avec toutes les conséquences fâcheuse
t des cas qui se rapprochent du sien : il en découvre même là où le mal n'existe pas. Par exemple, il raconte que son f
lais suffisants pour les copies qu'il a à faire, par crainte d'être mal noté par son nouveau patron. Aussi son écriture s
and, 1880, p. 165. 322 MACÉ DE LÉPINAY Y 35. Charcot. - Clin. des mal . du syst. nerveux, 1892, I, p. 169. 36. CHCRCH.
érieur droit ; crampe des écrivains d'origine artérielle. Arch. des mal . du coeur, mars 1909. 96. l\IASSAUT, - Bull. So
lin. Schmidt's Jahrbuch, 1838, p. 123. 117. ROSENTHAL. - Traité des mal . nerveuses, 1878, traduct. Lubanski, p. 614. 11
Hy- gieia, t. 38, 1816. 224. Hammond (traduct. Labadie-Lagrave). Mal . du syst. nerveux, 1S79, p. 943. 225. HAHTEXBEM
nce des segments périphériques de certains nerfs, comme chez l'ani- mal après section expérimentale d'un nerf, la régénér
nerfs. De môme l'hypothèse d'un trouble dynamique expliquerait fort mal la localisation des lésions aux troncs nerveux,
description, varient d'une coupe à l'autre, ses bords sont sinueux, mal limités, enfin, çà et là, on trouve, en pleine lé
UDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruction', mal de tête et aussi troubles de la conscience ; il a
deux ou trois jours, le patient est tombé malade le 2 novembre avec mal de tête et douleurs dans la région lom- baire,e
laen) de Kronoberg. ' ' Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec mal de tête et une forte fièvre. Elle a eu un vomis
rs 1908. Cette fille est tombée malade soudainement le 10 mars avec mal de tète et des frissons. Elle est restée au lit
u département de Kronoberg. En avril 1905, l'enfant s'est plaint de mal de tète pendant deux jours, mais elle est resté
ans, du département de Kronoberg. Le 24 juillet 1905, la fille a eu mal à la tète et est restée au lit un jour.Depuis e
est sentie bien et a resté debout pendant trois jours ; mais alors le mal de tête et des douleurs dans tout le corps ont
inique le 19 mars 1908. - J La maladie a commencé le 12 mars par un mal de tête et des frissons. De- ) puis ce jour là
partement de .Taenkceping. En août 1905, il est tombé malade avec mal de tête, spécialement dans la nuque. Il y avait
y a maintenant trois ans qu'elle est tombée malade avec de la fièvre, mal de tête (surtout douleurs dans la nuque) et des
elle essaye de les contracter, on cons- tate qu'ils se contractent mal , mais toutefois on peut sentir une certaine con-
parésie des membres inférieurs. Il ne semble pas qu'elle ait eu ni mal de tète, ni raideur de la nuque ni douleurs pro
épartement de Kronoberg. La maladie a commencé en avril 1905 par un mal de tête et de la fièvre. De- puis (les parents
entre la clinique le 22 septembre 1907. Le 11 septembre il avait mal à la tête et fut obligé de quitter l'école. Le
novembre 1907. ' Le 9 novembre il a été malade et s'est plaint d'un mal de tête. Le lendemain il est resté au lit, et l
presse n'importe quel point de la colonne ver- tébrale. Le malade a mal de tête. Ces derniers symptômes ont subsisté pe
. La maladie de la fille a aussi commencé le même jour (le 20) avec mal de tête, frissons et douleurs le long du dos, d
san, 36 ans, de Werum. En octobre 1905,la maladie a commencé par un mal de tête très violent, qui a continué les cinq j
sain. Le 12 octobre 1907, la maladie a commencé par des frissons et mal de tête, surtout dans la nuque; il s'est senti
main il s'est senti plus malade et s'est mis au lit; il avait encore mal à la tête et aussi de la fièvre. Un médecin a c
décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- ment, fièvre, mal de tôle (le phénomène le plus constant), vomissem
Pendant les deux jours qu'elle a passés chez elle, elle n'avait ni mal de tète, ni sympaômes de lièvre,ni douleurs dan
ébut delà poliomyélite aiguë. Ces symptômes n'ont rien de spécial : mal de tête, surtout dans la nuque (qui est probabl
08. Il y a deux semaines, le garçon est tombé malade avec frissons, mal de tête, vomissements et fièvre. Il est resté c
mbé malade presque de la même façon ; puis il est resté au lit avec mal de tète et une ob- struction considérable. Et
rable. Etal le 17 janvier. - La conscience n'est pas troublée, il a mal à la tête et a une raideur de la nuque très pro
emaines, elle a commencé d'être abattue ; en même temps sont venus le mal de tête et des vomissements qui sont revenus pl
s, de Tolfta, entré à la clinique le 11 juin 1908. Après avoir eu mal à la tète et s'être senti indisposé pendant deux
est superficielle,costo-abdominale,plus fréquente qu'à l'état nor- mal : 26 à la minute. CoeU1', - L'ictus de la point
e l'accommodation est nor- 466 ETTURE LEVI ET GIUSEPPE FRANCIllNI mal , symptôme d'Argyll-Robertson L'oeil gauche est am
es font défaut. Il n'y a pas de Babinski. Le réflexe plantaire nor- mal fait aussi défaut. A côté de cela nous devons m
chemin faisant, ils n'arrivaient il s'en défaire que plus ou moins mal , Pour les premiers observateurs, les taches na'
ellement de préférence le siège électif de ces manifestations anor- males (1). » Ainsi donc, dans la classe des naevi-vas
i de l'enclume). Sur la plante du pied il existe des deux côtés, un mal perforant, indolent, avec des bords cutanés tai
constatés antérieurement et déjà minutieusement décrits. Des deux maux perforants qui existaient à l'époque du précédent
er de l'hypertrophie qui tend en général à exagérer les formes nor- males , et qui, avec un processus d'ostéite raréfiante d
bien d'autres ait pu jouer un rôle important dans la production du mal , mais je pense que les cas observés sont en tro
La mère de B... est actuellement décédée, des suites d'uneaffection mal déterminée du foie. Réglée à 12 ans, elle ava
ma- lade, le troisième est mort au bout de six semaines. Il était « mal conformé au point de vue respiratoire ». Nous
e, il a encore travaillé, mais il avait des douleurs dans le dos et mal à la tête. On a observé qu'il avait ce jour-là un
était, le soir, de 38°I. Le malade maintenant ne se plaint plus de mal de tête ni de douleurs dans le dos. La sensibil
ar il ne pouvait plus alors s'asseoir dans le lit. Il est venu un « mal de gorge » pendant le même jour, et il semble que
pour ces cas, c'est que l'action du coeur continue d'une façon nor- male . Cette dissociation remarquable entre la fonction
eurs et que la motilité des membres est depuis devenue presque nor- male .) Mes observations me semblent parler en faveur
s organes les gras se trouvent en proportions supérieures à la nor- male . La signification intime de ce fait nous échappe
e silhouette de disciplinaire sur l'avant-bras. Une figure de femme mal ébauchée occupe le centre de la région abdomina
est d'un carac- tère faible et indécis, très faible à entraîner au mal comme au bien. Il porte sur la région épigastri
de la déviation des fonctions normales par suite d'un genre de vie mal ordonné. Quoi qu'il en soit, il est hors de dou
rne de la couche. Ceux qui persistent sont irréguliers, se colorent mal ou même sont à peine teintés par les matières c
on y retrouve néanmoins un certain nombre de fibres à myéline nor- males . Dégénérations descendantes. Au-dessous de la l
. A cette époque, en pleine santé, étant en route, il est pris d'un mal de tête atroce, de vertiges et de nausées. Ces
assé par des passants qui l'ont conduit en le soutenant ut avec pas mal de difficultés, chez lui. Après quelques jours il
qui s'écoule avec une forte pression. Le lendemain le malade a des maux de tète très violents et des vomissements. Aprè
ême debout. La mobilité des membres supérieurs est tout à fait nor- male . La malade ne se sert pas bien des membres inféri
raisser en même temps que sa maladie fait des progrès. L'affection ( maux de tôle, diminution de la vue, etc.) et l'embon
t un li- quide brun. Deux mois après l'opération elle n'a plus de maux de tète, la vue s'est t améliorée et elle est m
on des coudes est diminuée, mais leur extension est à peu près nor- male . Les mouvements des épaules sont normaux. La ma
tout le reste de son organisation, le sujet paraît absolument nor- mal ; la tête, le cou, le tronc, les membres inférieu
(lig,2), Les os des membres inférieurs sont normaux... bassin nor- mal , tête normale, colonne vertébrale sans déviation.
chimiques de la matière vivante ; on ne les connaît pas et, bon gré mal gré, il faut en subir les effets. Donc,du chef de
u'il existe deux instincts inhérents à l'espèce humaine et aux ani- maux , au moins d'après ce que l'on pouvait juger avec
ui reste indifférent en présence d'une semblable excitation. L'ani- mal ne réagit à la vue du gibier, à l'odeur de la cha
phénomènes réflexes constituent donc des actes de physiologie nor- male ou pathologique, en vertu desquels le courant ner
92 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n allait faire tomber le plafond sur sa tête. » La nuit, il dormait mal et parlait tout haut. Son appétit avait sensibl
oire du fardeau soulevé, regardé comme la cause première de tout le mal . Mais ce diagnostic ne pouvait se soutenir en p
nnent une tournure dubitative et néga- tive ; ces négations vagues, mal dessinées semblent avoir exclusive- ment porté
té aliénées. La mère avait des idées d'imnânite, ci oyait 101l10urs mal faire. La soeur pnrail avoir été comme notre ma
es. Par conséquent tout est mort. Elle même va mou- rir. On fait du mal à son mari : s'il peut se présenter devant elle,
t arriver : On toiture ses véritables enfants et son mari ; tout ce mal ne peut être commis par Dieu ; il n'y a donc pas
ommis par Dieu ; il n'y a donc pas de Dieu, il n'y a qu'un démon du mal . Pour éclairer ses doutes, elle cherche dans le
caché ; il n'y a pas de Dieu, il n'y a qu'un démon, qu'un esprit du mal qui a fait le monde; la religion à laquelle ell
lques-uns. Elle sait ce qui se passe main- tenant, on interprète en mal tout ce qu'elle fait de bien pour faire rire la
aduellement. Les prodromes bénins n'attirent pas l'attention, et le mal ne se manifeste que plus tard par un affaibliss
ne, comme tout le monde l'admet, mais des accès ty- piques de grand mal ; 3° la différence entre l'épilepsie partielle et
grand mal; 3° la différence entre l'épilepsie partielle et le grand mal , bien qu'importante au point dé vue du traitement
ée, obtuse, mais silencieuse et tranquille. Un beau jour elle mange mal , se plaint de douleurs physiques, pâlit, s'affa
Korb, où à l'autopsie les cornes antérieures ont été trouvées nor- males ). Une autre particularité, plus intéressante enco
lait aller la chercher. La concierge alla aussitôt prévenir M. Gri- mal , commissaire de police, qui dut faire enfoncer la
ien moins faciles à interpréter, parce qu'elles sont aussi les plus mal connues. Les cellules de Clarke sont toujours a
u pas atteintes, ne peut être due à la même cause. Nous connaissons mal l'anatomie normale et pathologique des cellules
ur l'étiologie de la paralysie générale. Nos observations sont trop mal documentées à cet égard, parce que bon nombre d
les de la corne postérieure. La dure-mère est habituellement nor- male , la pie-mère souvent atteinte de lepto-méningite
e d'état. La malade est devenue plus calme, mais elle répond encore mal aux questions qu'on lui pose, fait des grimaces
tenus à différentes époques peut renseigner aussi sur la 'marche du mal . Au point de vue thérapeutique, la connaissance d
peut être considéré comme un dégénéré, un épileptique prédisposé au mal par l'hérédité; mais qui pendant son enfance et
et l'autre à l'intoxication résultantde la putréfaction d'aliments mal digérés. Il ne pense pas, comme Voisin, que les
rique ne perd pas complètement connaissance et ne se fail jamais de mal . Au début de la crise épileptique, les pupilles
e des artères thyroï- diennes, etc.). La marche de la maladie est mal connue, les malades restant peu de temps à l'hô
non seulement par les attitudes vicieuses et les mouvements anor- maux qu'on peut imprimer aux doigts, mais aussi par la
uv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.) Deux observations de mal de Pott, compliqué « d'un symptôme peu connu et
t due à la congestion osseuse et capable de compliquer gravement le mal de Pott en débilitant lé malade et en rendant t
danger. Le fils Lu qui était tombé dans une nouvelle attaque de son mal pendant que sa mère et sa saur brûlaient, n'ava
x, Trovato saisit un fusil et fit feu sur le sergent. Mais il avait mal visé et la balle dévia. Alors .dans un véritable
en colorées et parsemées de noyaux; mais on trouve aussi des fibres mal colorées, presque transparentes; par places on
hémorrhagiques. On trouve encore dans ce tissu de nombreux disques, mal colorés, sans structure précise; la plupart de
osé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE. noyau mal coloré, de corps granuleux, de détritus et d'une
e tissu nerveux. Sur les coupes au Weigert la substance blanche a mal pris l'hématoxyline; le nombre des tubes nerveux
il l'humanité dans la spécialité que vous avez choisie. « Parmi les maux qui affligent l'espèce humaine, l'un des plus t
héréditaires, fouillés minutieusement, ne présentaient rien d'anor- mal . En ce qui la concernait, elle n'avait jamais pré
ciété de Chirurgie, il admet le délire post-opéra- toire. Si on l'a mal vu jusqu'à présent, c'est que c'est un délire h
pée de cet examen et de ces remarques, la malade, dès lors, eut des maux de tête persistants. A la fin de la séance M.
les accidents consécutifs, soit à la présence de la tumeur anévris- male , soit à la rupture de cette tumeur que l'on obser
s de l'ancien château et surtout des orangeries. Ils y étaient très mal , l'établissement était certainement au-dessous de
de Toulouse), rap- portent l'observation d'un sujet mort en état de mal épileptique, après avoir présenté toutes les gr
aire de la moelle, les cellules radiculaires ont été reconnues nor- males . De même les cellules des noyaux du bulbe. Dans l
nnel; de même que pour des abus de boisson de la part des malades mal surveillés où même poussés par leurs hôtes mal in
la part des malades mal surveillés où même poussés par leurs hôtes mal inspirés. Malgré le régime presque exclusivemen
précision des mouvements nécessaires au chant, et l'on comprendrait mal que le larynx et le voile du palais, destinés A
pour faire disparaître les douleurs, comme pour prévenir un état de mal d'où peut résulter la mort. > R. C. IX. CE Q
criminer uniquement l'inter- vention, car le sujet était en état de mal et présentait d'ailleurs une grave lésion encép
e, de prendre dans les boues une fille mendiante et tombant du haut mal . Il en fit sa maîtresse ; autre affaire étouffée
intoxication hépatique est trop complexe, sa nature est encore trop mal connue pour qu'on puisse, avec une certitude ab
épa- tisme ; on l'observe dans tous les cas où le foie fonctionne mal , dans les états bilieux, hémorrhoïdaires, dyspept
fs auxquels le foie ne reste pas étranger. L'origine hépatique du mal chez notre malade se révèle néanmoins d'une faç
l'a serrée entre deux objets sans que cela ressemble nullement à un mal de tête. » Elle fut reprise à plusieurs fois de
lade cherche à frapper : elle dit que ça la soulagerait de faire du mal à quelqu'un. Crises de forme léthargique : soud
faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370 CLINIQUE MENTALE. le mal , de se charger des péchés des autres, d'avoir vou
délire : elle attribue ces dernières à des en- nemis qui jettent le mal sur elle ; elle proteste de son innocence, dit
t biliaire. Vomisse- ments, fièvre, soif vive; t. 38° 2. 13. - Le mal fait des progrès rapides ; l'excitation est tombé
nifeste des projets de vengeance contre les auteurs supposés de ses maux . Antécédents alcooliques certains. Mon observat
s les points de vue, du jour de leur entrée, à la phase initiale du mal , jusqu'ci la terminaison fatale. Nous avons eu
rechercher cette anesthésie initiale qui permettrait de dépister le mal dès la première heure et par une thérapeu- tie
t et en dehors, c'est son attitude de repos; c'est la position nor- male , physiologique et anatomique, d'où le regard seul
avril 1898.) E. B. XCIV. DOUBLE syndrome DE BRO\VN-SÉQUARD dans LE mal DE POTT ; par le D' P. LONDE. Si, dans une pa
r. L'observation relatée par l'auteur en est un exemple au cours du mal de Pott ; quoique incomplet, le double syndrome
conscience, à la façon des malades qui succombent dans un état de mal épileptique. Ce cas, qui par sa netteté et sa s
ique. L'épilepsie somatique se divise elle-même en grand et petit mal et l'épilepsie psychique en épilepsie simple et é
rès avoir passé en revue et examiné chacun des symp- tômes du grand mal épileptique, l'auteur conclut que pas un ne peu
er mais sur la combinaison de tous les symptômes présents. Le petit mal épi- leptique, auquel se rattachent les absence
s, les vertiges, l'automa- tisme épileptique, se distingue du grand mal par l'absence de con- mIsions. Une interrupti
riminel du châtiment et quelles sont-elles ? ,¡ Ces conditions sont mal déterminées, et jamais l'opinion géné- rale n'a
s, fait remarquer que les aliénés n'ont que la notion du bien et du mal qu'un aliéné est susceptible d'avoir. Il est pa
sens moral a été développé et qu'ils ont connaissance du bien et du mal . Les idiots, les imbéciles. les sourds-muets, p
ment moral et intellectuel, d'après leur connaissance du bien et du mal . Si les habitudes criminelles ne sont pas établ
e de quelques vaisseaux, nous n'y avons rien trouvé de bien anor- mal . Il nous a semblé, par place, rencontrer moins de
fait Ilayem, sur la multiplicité des noyaux, ni sur des propriétés mal définies du protoplasma cellulaire (Friedmann),
rales, etc. ; 9° l'épilepsie sénile peut affecter la lorme de grand mal ou de petit mal, parfois surviennent des équivale
l'épilepsie sénile peut affecter la lorme de grand mal ou de petit mal , parfois surviennent des équivalents de diverse
es objets, mais ne les reconnaît pas, ne peut les nommer, s'oriente mal dans l'espace car il ne peut plus comparer les
des matières premières gaspillées; de la dépréciation d'un travail mal fait; des affaires négligées, et de cent autres c
nouvelles, que tous les narcotiques qui, à la longue, font plus de mal que de bien. Les malades, heureux d'échapper à
e, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en état de mal , pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidité du cou
par IIlls, 321. .Main succulente. La -, par Jlari- nesco, 125. MAL DE Pots, Double syndrome de Brown-Sequard dans
Makarewicz, 523. 111a11y, 215, 256. Main',297. y Mann, 312. Mal andon de Ilontyel, 376, 475. \larfan, 42. M
93 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ence sur les enfants qui sont incapables de pouvoir lui rendre le mal qu'il leur fait. Elles consistent en égratignures
alade, l'avant-dernier des enfants et une dernière fille, faible et mal portante. Antécédents personnels. - Lors de la
grossesse. - Naissance un peu avant terme. - .Accidents convulsifs mal caracté- risés du 18e au 39c jour après la nais
entrée à l'improviste en jetant un cri : elle a failli se trou- ver mal , a dit que l'enfant remuait violemment dans son
- lement adhérent. Les différentes parties de l'oreille sont nor- males . L'orifice du conduit auditif externe est assez l
octobre. - L'enfant, depuis quelques jours, n'a pas d'appétit, dort mal , crie. Elle tousse un peu. A l'auscultation, 16
maternel et grand'mère maternelle, sobres, morts, l'un avec, « un mal de jambe » ( ? ) l'autre à 69 ans, asthmatique (
t gauche. L'enfant passant par des alternatives de mieux et de plus mal avec une tem- pérature qui oscille de 31o aux e
4 h. 50. A 5 h. il a son 45' accès dans lequel il succombe (État de mal ). La température au moment de la mort est de 39
nts d'hémiplégie infantile spasmodique étaient sujets à l'état de mal comme les épileptiques vulgaires : tel a été le
cas de Le T... ; il a succombé à la période convulsive d'un état de mal en 10 heures, avec éléva- tion de la températur
éléva- tion de la température centrale. Anatomiquement, l'état de mal s'est traduit, selon la règle, par une congesti
- res. Cils longs et bien implantés. Yeux grands, à motilité nor- male , pas d'exophthalmie, de paralysies, ni de nystagm
e succèdent à intervalles plus ou moins rapprochés. Il mange peu et mal et rejette les aliments au sur et à mesure qu'o
bondamment lorsqu'on le change. - Il gâte jour et nuit, dort peu et mal et crie chaque fois qu'il se réveille. Pas d'on
te qui aurait duré un mois. Depuis longtemps elle se plai- gnait de maux de tète. Sa maladie était caractérisée par un d
o- siques des deux mains qui auraient persisté. L'enfant digérait mal , vomissait, avait des périodes de diarrhée, suivi
eption de son pain, l'enfant ne prend aucun aliment seul. Il saisit mal les objets qu'on lui présente. Il ne mastique a
Il pleure et a l'air de se demander ce qu'on lui veut. Il saisit mal les échelons et retire les mains dès qu'on les a
.. L'affection de l'estomac à laquelle a succombé le grand-père est mal définie. Peut-être faudrait-il la mettre sur le
re. La sensibilité au tact, à la piqûre, à la chaleur parait nor- male sur toutes les parties du corps. - Les réflexes p
idente par l'auto- psie. XV. Epilepsie. symptomatique ; état de mal , élévation de la température; mort. Par BOURN
telligence et modification défavorable du caratère en 1892. Etat de mal épileptique : mort. Autopsie : sclérose atrophi
usseau, certifie que le jeune Mardi ? âgé de 10 ans, est atteint de mal épileptique parfaitement caractérisé, que les a
. Dès le 31 octobre, il est admis à l'infirmerie, se plaignant de maux de gorge. Il accuse aussi des douleurs lombaires,
écis. L'état général est bon, et malgré cela, l'enfant se plaint de maux de tète, de douleurs articu- laires, et dans la
noïdes. Menton arrondi. - Oreilles assez grandes, larges en haut, mal attachées, assez écartées du point d'insertion ;
es jambes. Périnée glabre. 192 État DE MAL épileptique. Etat DE mal épileptique. .193 ment la bouche et la tient
e exagération des mouvements toniques du côté gauche. 194 État de mal épileptique. Le membre inférieur gauche a été a
angsues aux apophyses mastoïdes. Marche des accès pendant l'état de mal . 16 décembre. - 3 accès dans la journée.1 H a
EPTIQUE. 195 18 décembre. - 12 accès dans la journée. 196 Etat DE mal épileptique. R. au 6" accès : 380,6. 2, d'heure
ventricule n'offrent rien de spé- cial. 198 RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE mal . Cou. Larynx et trachée normaux. - Persistance
essantaupointdevuesymptomatique. Ils offraient RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE MAL . 199 toutefois un certain degré de gravité puis
l- ter à la Salpêtrière. Jusqu'au moment de l'entrée à Bicêtre le mal caduc n'avait pas retenti défavorable- ment sur
st à la suite de la rémission de deux nuis qu'est survenu l'état de mal auquel March. a succombé. IV. Cet état de mal
t survenu l'état de mal auquel March. a succombé. IV. Cet état de mal a été caractérisé par une période convulsive av
actère. Le malade au sur et à mesure de la 200 RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE MAL . répétition des accès ne répondait plus à aucun
us ce que nous avons dit, à savoir qu'elle s'élève durant l'état de mal épileptique. Chez March. les convulsions ont pr
apporté aucune notion nouvelle sur la nature et la localisation de mal . Peu de. congestion dans la boite osseuse et cl
.. Sommaire. Grand' mère paternelle morte épileptique (en état de mal probablement). - Mère émotive mais sans cri- se
épileptique et parait être morte en état RÉFLEXIONS. 9<5 5 de mal . Chez le père il est impossible de trouver aucun
i,e-4. Pas (le peur, pas d'envie. De temps à autre elle se trouvait mal ni lis revenait vite à elle. - Accouchement il
t faisait cons- tamment sous lui. Il est encore gâteux. Il mastique mal . bave beaucoup mais ne vomit pas. Pas de méryci
r le trajet de la scissure de Sylvius. 230 SCLÉROSE ATROPHIQUE. male dans sa moitié inférieure, est sclérosée et atrop
ement par deux foyers de sclérose atrophique régio- nale. L'état de mal convulsif et l'hémiplégie ont permis de rattach
jusqu'à l'âge de 6 ans. A cette époque, elle fut prise de violents maux de tête, qui lui fai aient pousser des cri., de
la tête (Hydrocéphalie). 25 juin. - L'enfant marche de plus en plus mal . Elle ne peut même plus se tenir debout dans le
ffre un aspect général très anormal. Les sillons sont peu profonds, mal délimités en certains points. La scis- sure de
direction la première partie de la scissure de Sylvius. - FI et F2, mal délimitées à leur partie antérieure où de nombr
tend qu'elle comprend à peu près tout ce qu'on lui dit, mais répond mal , souvent d'une façon incohé- rente ; elle aurai
er à l'eau. Elle ne s'approche jamais du feu assez pour se faire du mal ou pour qu'on puisse craindre qu'elle tombe dan
bien les gens du pays par leur nom qu'elle prononçait toujours très mal ; elle se rappelait quelquefois des événements
'auscul- tation des sommets des poumons, murmure vésiculaire nor- mal . l'ointe du coeur battant dans le 4*' espace, sur
forme de bouillie ver- dâtre. - Poumon gauche (385 gr.). Il crépite mal dans pres- que toute son étendue; à la palpatio
SOMMAIRE. - Grand'mère paternelle, morte épileptique (eu état de mal probablement). - Mère, émotive, mais sans crise
94 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
éants ni de difformes. .4."P. 'Pas de' maladies d'enfance; quelques maux d'yeux sans gour- mes ni abcès ganglionnaires.
ilèges sé- duisants, on en fit autant d'incarnations de l'esprit du mal . Belzebub et Lucifer prirent la place de Dionys
gues sur une épidémie qui sévit en Hollande en 1373, et qu'on nomma mal de St-Jean. « On croit, dit-il, que ce mal se c
en 1373, et qu'on nomma mal de St-Jean. « On croit, dit-il, que ce mal se communiquait à ceux qui regardaient les mala
érison complète. Il confesse d'ailleurs que tous ceux que frappe ce mal étrange n'ont pas été mordus par la tarentule (
osait, en faisant de la musique, était aussi de rompre la racine du mal lui-même par la violence des accès (3) ». Enf
au théâtre. D'une éducation musicale insuffisante, il a beaucoup de mal à apprendre ses rôles, et il a toujours été forte
es privations, d'in- telligence médiocre, et s'étant observée assez mal . Nous n'avons pas trouvé de maladies nerveuses
s vulgaires appellent le ne S. Fiacre, qui est une chose absurde et mal entendue, pour ce qu'il n'y a point de maladies
la station myopathique une véritable caricature de la stalion nor- male . Dans ce cas la longueur II h est augmentée. La
n. 1'1'0[/1'. méd., 1 mars 1885). Voy. aussi : Ibid. Leçons sur les mal . du syst. zzerv" t. III. (2) Pierre Marie et G.
xtrémités résultant de celte maladie des muscles, la position anor- male des omoplates, la lordose lombaire, la faiblesse
éralisée, sans cher- cher à la rattacher à tel ou tel groupe encore mal défini ; et, sans entrer dans la discussion de
nels de la malade) : l'un, faible d'esprit, tombant souvent du haut mal , et l'autre, homme intelligent et travailleur, pè
ille gauche qui n'entend plus depuis ce temps. Elle voit aussi fort mal de l'oeil gauche. Elle a eu 6 enfants et 3 fausse
étant toute pe- tite, et le fait est à noter, elle avait toujours « mal au dos ». Elle souffrait aussi de violents maux
lle avait toujours « mal au dos ». Elle souffrait aussi de violents maux de tète. C'est aussi au début de la maladie qu'
ure. Les paupières s'affrontent complètement dans la fermeture nor- male . Mais l'occlusion forcée se fait faiblement, surt
e. Son père est émotif, asthmatique. Un de ses oncles tombe du haut mal . En remontant plus haut dans son hérédité on tr
availlant sur les marchés de St-Denis, portait des paquets, gagnant mal sa vie, souvent sans ressources, sans nourritur
même il a toujours pu siffler comme aujourd'hui, c'est il-dire fort mal , mais ce fait ne l'a jamais frappé. Durant cett
cutent ; le malade résiste bien à la flexion passive de la tête et mal à son ex- tension. , MEMHHES supérieurs. La m
rtement des bobines de 65mm, bien plus tard que pour un muscle nor- mal ; en même temps des contractions se montrent dans
t forte et dans cette position la résistance semble à peu près nor- male . Jambier antérieur : C. m. à 55 ? ; Jumeau exte
pseudo-hypertrophique, de Duchenne (3). (1) CuAncor. Leçons sur les Mal . du Syst. Nerv., T. II, ISS5, p. 234. (2) Ibid.
OUZY et Déjerine. Rev. de médecine, 1886. (5) CHARCOT. Leç. sur les Mal . du syst. nerv. T. III, 1881, p. 190. NU : 1 ?
Thomas D. SAVILL. (de Londres). (1) Voy. Charcot. Leç. sur les mal . du syst. nerv., t. III, 1886, p. 204 et sq. (2
atin que le malade en constate la gravité apparente et soudaine. Le mal est fait; la lésion est acquise et définitive.
cavait été décol- tee ? L'accident est bien ancien et nous sommes mal informés. Ce qui est certain, c'est que l'a- po
t des excès génésiques, de toute espèce, auxquels elle attribue son mal . Il parait que, dès le premier jour du mariage, s
Kilo a duré cinq il six jours. Pendant de longues années, tout le mal semble s'être borné il ces crises dou- loureuse
es ainsi que sur tout le reste du corps. Sens musculaire Il se rend mal compte delà position de ses doigts, mais re- co
ltation de chaque, semaine, pour se plaindre il nous d'une fouie de maux presque toujours les mêmes. C'est le coeur, c'e
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pressons pas de déclarer que tant de maux accumulés sur la même victime soient purement i
es (Charcot), une forme bé- nigne (1) et une forme maligne avec pas mal d'intermédiaires. Anatomie pathologique et path
ites où l'infection, d'abord articulaire, produit, pour des raisons mal connues, des névritespéri-articutaires à marche a
, fortement dévié en dehors et porteur a l'angle de déviation, d'un mal perforant : l'ulcération, chez ce malade que je
: ainsi chez un tabétique que nous avons observé, et qui portait un mal perforant 301 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
o- phalangiennes ou interphafangiennes caractérise la 3e période du mal per- forant. Très rarement il s'étend au loin,
: en effet, 7 arthropathies métatarso-phalangiennes consécutives au mal perforant nous ont montré dans le liquide séro-pu
s articulaires qui peuvent faire partie du cortège symptomatique du mal perforant en en modifiant parfois le pronostic
thies du métatarse et des or- teils. Les arthropathies fermées du mal perforant peuvent de même se limiter aux articu
on métatarso-p halangi en- ne du gros orteil gauche, il côté d'un mal perforant guéri. 2° Une forme atrophique, qui p
moro-tibiale. Au lieu de rester limitée à l'articulation voisine du mal perfo- rant, comme dans les formes précédentes,
rant, comme dans les formes précédentes, l'arthropathie fermée du mal perforant peut s'étendre, envahir tout le carpe o
tibio-tarsienne. Dans ces deux formes, l'intérêt pronos- tique du mal perforant disparaît devant la gravité des lésio
ces grandes arthro- pathies du pied évoluent sans concomitance d'un mal perforant. On groupait, il y a quel- ques année
abituelle- ment plus grandes pour la lésion articulaire que pour le mal perforant; loi que nous avons autrefois démontr
maître M. Tuilier pour la forme la plus légère des arthropathies du mal perforant, la petite arthropathie fruste, et qu
st vraie pour toutes. Ajoutons que dans toutes ces arthropathies du mal perforant, sauf dans les variétés les plus atté
chez un ma- lade à qui nous vîmes le calcanéum se nécroser après un mal perforant ta- lonnier de nature indéterminée.
, dans l'état de la malade ne permettait de les. expliquer. Dans le mal de Poil, c'est une- forme un peu différente, hy
t s'infecter, et à la suite d'inflammation viscérale, d'eschare, de mal perforant, devenir tropho-suppurées, tropho-nécro
s la continuité du métatarsin, comme chez un de nos malades dont un mal perforant avait ouvert et nécrosé la '1 l'a art
toute sa vie,'il ne ressentit plus au- cune atteinte de ce terrible mal (3) ». Il s'agit ta, à n'en pas douter, d'une d
fait fondamental, puisqu'il nous fait saisir la véritable cause du mal . Il s'ensuit que telle ou telle dénomination anci
de nous adresser une lettre documentée sur son état. « Cependant le mal ne fait qu'empirer, écrit-il ; les douleurs de ha
rois il une péritonite enkystée. Comme la malade va de plus en plus mal , on demande au Dr T... de venirpour ouvrir, s'il
ge très dévot., venait souventvoir la malade depuis le début de son mal . En juin 1892, il lui avait apporté une statuet
ique des maladies du système nerveux. (1) Charcot, Leçons sur les mal . du syst. nerv., t. III. (2) P. Etat mental des
taux de l'orientation et les centres frontaux du langage sont assez mal connus. i) Nous avons étudié ailleurs (Réflexes
u et de l'épaule ont repris leur volume et leur fonctionnement nor- maux . Sans aucun fourmillement, sans fatigue du bras s
et II. Squelette, IV. - Os comparés à ceux d'un squelette nor- mal , V. Pachyméningite cervicale syphilitique, XV
95 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
'opium, c'est une arme a de-x tranchants. Elle peut faire beaucoup de mal et beaucoup de bien; mais, en réalité, son abus,
ussitôt il vient naturellement a l'esprit de l'opérateur qu'il a fait mal an médium en resserrant les bandes, et il s'appli
de « médium » S duper les savants. dont les prétentions critiques si mal à propos menacent de les empêcher de gagner leur
on médical y soit pour quelque chose. Nous concédons cependant que le mal produit, par la lecture d'une pathologie de la vi
tome XXIII.) Lopez de Gomara (Justo S.) — La cienca del bien y del mal . Et hypnotismo y la suggestiion al alcance de tod
ême, d'impressionnabilité excessive lui causant des palpitations, des maux de tète avec fréquentes syncopes. Gastralgie inte
cin. J'avais toujours des selles aussi difficiles et aussi rares, des maux de téte aussi violents, ne pouvant rien prendre e
à la malade et à son mari que, parce que ce moyen précieux avait été mal appliqué, sans aucun doute, ce n'était pas une ra
udier, non plus l'état momentané qui répond à la présence du concept, mal * l'état permanent, les habitudes d'esprit (et leu
t est parfaitement indiquée chez ces malades. La psychothérapie est mal vue de la classe aisée et intelligente. Ce n'est
la faute d'irriter et de vexer leurs malades en leur disant que leurs maux sont Imaginaires et qu'ils n'ont qu'à bien vouloi
es, avant de faire une tenta-tive sérieuse a les débarrasser de leurs maux d'une manière plus normale, moins dangereuse et p
ne ceinture pleine. Mathis était alors aubergiste et l'auberge allait mal . L'échéance approchait; point d'argent, et sur la
signaler comme un véritable danger social. A nos yeux, la gravité du mal résulte moins de son extension rapide à toutes le
de ces malades se décide à demander à la médecine de les guérir d'un mal qu'elle a presque toujours causé. Il reçoit alors
ous consulter, elle a le teint jaunâtre, cachectique. Elle souffre de maux d'estomac; les digestions sont pénibles et elle a
pressions qu'il lui communique. C'est ce qui fait que tant d'orateurs mal aguerris sont arrêtés à leur premier élan, précis
dans mon service, le sujet avait l'attitude d'un individu atteint de mal de Pott cervical. Le repos, l'immobilisation, les
une fille, qui la soignait dans un de ces accès, fut attaquée du même mal ; le lendemain une seconde, le surlendemain une t
la crise dont ¡1 avait été témoin, et les jours suivants il se disait mal a l'aise, se plaignant de douleurs vagues et d'un
crispée à son colé droit, comme pour en écarter l'objet qui lui fait mal . Au bout d'un certain temps, cette même douleur s
d'après mes notes, précisément pour que l'on ne put pas m'accuser de mal interpréter ses paroles. Je regrette que M. Bernh
ofession de saltimbanques ou acteurs en plein vent; les affaires vont mal , les enfants sont contraints par le père à commet
z travailler à ta couture. Vous aurez de l'appétit ; vous n'aurez pas mal à l'estomac ; vous irez à la garde-robe tous les
nscience, et de ne pas différer à leur en parler quand la violence du mal ne leur permet plus d'y mettre ordre avec la libe
le second Jour de leur maladie, de se confesser lorsque la qualité de mal l'exigera; voulons que ceux qui y auront manqué s
amifications du systeme- nerveux et peut ainsi produire le bien ou le mal sur l'organe où elle concentre son action (I).
ar la main qui guidait la sienne, lorsqu'elle se trompait et énonçait mal un mot. Ces crises l'étant répétées assez souve
isonnable, alors. Vous resterez au lit et vous ne vous ferez point de mal . R. — Tu dis qu'il faut que Je sois raisonnable
monde extérieur, mais a pu recevoir les suggestions appropriées a son mal et sortir d'un état dont on a peine a se figurer
ions encore que le fau nous brûle, qu'une piqûre d'aiguille nous fait mal , que les oignons nous font pleurer, que le vin no
médecin, que voilà. Je sais à l'avance que vous ne pouvez rien à mon mal . J'en souffre depuis vingt ans. J'ai toujours été
n'ont réussi qu'à me mettre dans tous mes états et à me donner grand mal de tète. Mon médecin, que voilà, me dit que vous
er ù vos manœuvres, mais c'est surtout pour le con- vaincre que mon mal est bien sans remède. D'ailleurs, je ne crois pas
et, le tirant violemment par la barbe, je lui annonce qu'il n'a plus mal , qu'il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se
nt par la barbe, je lui annonce qu'il n'a plus mal, qu'il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se réalise. Ici. le suje
a eues pendant les douze premières années de notre mariage, a savoir, maux de seins à la suite de couches, mal de gorge diph
nées de notre mariage, a savoir, maux de seins à la suite de couches, mal de gorge diphtérique, nombreux abcès à la gorge,
rrhe d'estomac ; mais un malheureux médicament, dont la formule a été mal comprise par le pharmacien (parait-il), lui a occ
pas le secret de ceux qui s'appliquent avec succès au soulagement des maux de leurs semblables? Dans mon volume sur le Magné
ait de son affection très compliquée que de la faiblesse et un peu de mal de tète au réveil. La guérison se maintint sans
e des sauvages portant des amulettes et adorant des divinités en bois mal sculpté ! L'humanité, du haut eu bas, ne vit que
ois pas déjà et au delà ; de plus près, le livre est gris. Le sujet à mal calculé la distance. Ces expériences contradict
s le regard un fluide magnétique capable de soulager presque tous les maux ; « Qu'il se borne à pratiquer, en s'entourant
ionnement de ses divers organes et déduire de cet examen la nature du mal . provoquer ou activer les réactions nécessaires à
ateur, tandis que l'initiateur évolue suivant la nature de son propre mal . Plus souvent qu'une véritable folie, on voit se
erveux, devint peureuse, impressionnable, émotive, oublieuse, dormait mal , ayant des cauchemars, se réveillant souvent en s
ars, elle rentre un jour de la promenade en se plaignant d'un violent mal de tète qui dure deux ou trois jours, puis survie
rable et une éruption esl apparue sur la joue gauche et sur le front. Maux de tète par accès. Polydurie el pollakiourie aprè
lpitations sont déjà rares et la sensibilité est presque revenue, les maux de tète ont passé, elle dort bien la nuit, sans l
cherait d'enlever au malade son dernier espoir, surtout s'il croît le mal guérissable par la foi, remède qu'il n'a pas osé
re du lycée et le prend en apprentissage. E... éprouve de fréquents maux de téte, survenant surtout quand il est contrarié
ne l'aime plus - pourquoi cela serait-il ? il ne lui a jamais fait de mal — mais bien de savoir si sa belle-mère permettra
je me suis endormi jusqu'au matin. Samedi. — J'ai dormi, mais plus mal que la nuit dernière, car j'ai été éveillé trois
uses; pourtant, je tiens bon. Je ne céderai pas. Aujourd'hui, je suis mal a l'aise. Je crois qu'il ne faudrait pas une gran
gis à blanc. Je recommence à trembler. Dimanche. — J'ai encore plus mal dormi. Toute la nuit n'a été qu'une alternative d
......Et pourtant, tu es honni, bafoué, détesté, redouté a l'égal des maux les plus terrible». a On effraie lus hommes a
neries de leurs femmes, toi, tu endosses la responsabilité de tout le mal que fait la tienne. • Partout où lu te présente
a une sœur également bien portante, elle-même a toujours souffert de maux d'yeux ; actuellement elle est malade depuis cinq
ique à vingt ans. puis tuberculeuse. Comme Mme B... se plaignait de maux de tète persistants, je loi proposai de l'hypnoti
tre maladie que celle pour laquelle elle est entrée à l'hôpital : son mal a débuté il y a quinze mois, brusquement, sans ca
mois, brusquement, sans cause appréciable ; elle fut prise d'un fort mal de tète, puis elle ressentit une boule partir de
plus d'affinités avec la défunte, et d'hériter par conséquent de son mal . En effet, au bout de quelques jours, elle commen
quelconque, couture, broderie, musique, sans immédiatement avoir des maux de tète, des troubles de la vue, l'aihétose des m
sans cause. Mémoire et volonté bonnes. Intelligence assez développée. Maux de tète par accès. Vertiges fréquents, peut-être
tin, se réveilla tres courbaturé, très pâle, et remplit tant bien que mal ses occupations ordinaires, ignorant ce qui s'éta
ur ? » « Celui qui mange du miel et. du ??urr? tait-il réprouver le mal et choisir le bien ? » II. Cadet de Gassicourt,
96 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
st incapable de faire sa toilette et il parait aimer avoir ses lias mal tirés et ses vêtements non boutonnés. Actuell
érés. Les enfants dont nous nous occupons ne parlent pas ou parlent mal ; dès que par une méthode particulière nous avo
ve encore souvent que, par la force de l'habitude, Mugn... prononce mal , mais il suffit, dans ce cas, d'une sim- ple ob
pitalisation et de l'éducation de cette catégorie d'enfants anor- maux et les convaincre de la possibilité de les amélio
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants Axon- maux , mais encore des enfants malades : quand ils on
. Maladies intercurrentes. - 4 enfants ont été atteints d'état de mal 6,I)ilel)ti(lue; G atteints de bron- cho-pneuzo
dangereuse, car le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet mal jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
de syphilis; 3 de congestion pulmonaire ; 4 de cachexie ; 6 pour maux d'yeux, 14 pour gourmes, 23 pour diarrhée, 10 p
4 pour gourmes, 23 pour diarrhée, 10 pour bronchite, 4 pour état de mal épileptique; Notons enfin 3 enfants que nous av
és, malgré leur répugnance, de recourir aux placements d'office. Le mal que nous voulions supprimer, et que; avec l'app
éo- laire des dernières grosses molaires. Urines en quantité nor- male , conservant leur coloration. 9 mai. - Toute tra
mois pendant 12 heures ( ? ). - Heprodllc- lion d'accidents nerveux mal caractérisés une dizaine de fois. - Début proba
Sommaire. - Enfant assisté; aucun renseignement. Mort en état de mal le 43 août 1898. Fer.... (Henri), 19 ans. - Eos
ne- ments un peu détaillés sur l'emploi de cette plante contre le mal caduc. Voici le passage qui nous inté- resse (p
A'nox I. Imbécillité et épilepsie symptomatiques; démence ; état de mal ; mort ; méningo-encéphalite. Boni- : ..., (Vic
eu plus épaisse que la gauche. L'inférieure est charnue, à contours mal dessinés et proéminents, surtout à gauche, et c
ale droite, mais les mouvements sont peu souples. L'enfant se tient mal , le dos voûté, l'épaule gauche plus basse que l
T. R. 38°. Rien à l'auscultation. L'enfant, du reste, respire très mal et il est difficile de l'ausculter. - Régime lact
l'insula. Face interne. - Elle n'est pas morphologiquement nor- male . Une scissure longitudinale dédouble Fi. Le lobe
corde entre ses camarades. Très expansif. A la notion du bien et du mal ; rien d'exa- géré dans ses pratiques religieus
de petits morceaux de récitation. - La marche est maintenant nor- male . On constate la disparition du clou et des zones
'âge de 10 ans. Conception, grossesse, accouchement, rien d'anor- mal . Élevé au biberon avec du lait et du vin. - Habi-
, taquine volontiers ses camarades sans aller jusqu'à leur faire du mal ; n'aime pas rester seul autant parce qu'il a pe
entraîner. Affectueux et non égoïste, il a la notion du bien et du mal ; ne présente aucune exagération dans ses pratiq
propreté à 2 ans. A 3 ans, peur, suivie la jours après d'un état de mal con- vulsir qui dura 13 heures. Consécutivement
ans. Vers cette époque, apparut tout à coup, un matin, un état de mal convulsif. Quinze jours auparavant, B.. avait eu
tête, dont il se plaignait « il chaque changement de saison. » Ces maux do tête duraient deux ou trois jours. A l'âge d
? Le prépuce étrangle un peu la base du gland ; le méat est nor- mal ; les testicules sont du volume d'un gros oeuf de
ncé ce mot. L'affaiblissement intellec- tuel consécutif à l'état de mal , à ses suites, et ulté- rieurement la diminutio
bro-spinale. Avant les convulsions, Bé... était tout-à-fait n01'- mal , suivant les dires réitérés de sa mère. C'est l'é
n01'- mal, suivant les dires réitérés de sa mère. C'est l'état de mal convulsif, grave et prolongé, avec les nom- bre
ont symétriques, peu écartées du crâne, bien ourlées; le lobule est mal dessiné, adhérent. Au niveau du tragus, on note
de particulier jus- qu'à l'âge de 8 mois. Alors survint un état de mal convulsiF qui dura quatre heures, suivi : 1° d'
attaque : « Je n'ai pas perdu con- naissance, mais je me suis senti mal dans le ventre et dans les reins. J'ai tremblé
levé au sein par sa mère jusqu'à 3 mois : « Il venait tant bien que mal , parce que je fatiguais beaucoup et étais mal n
venait tant bien que mal, parce que je fatiguais beaucoup et étais mal nourrie. Il ne différait pas des autres enfants
les bras. Préhension et mastication nulles : la langue se mouvait mal , grincements fréquents des dents, la nuit aussi b
très mauvaise, érosions poussées iL l'extrême, toutes les dents ont mal évolué et sont mal implantées. Ces caractères m
ions poussées iL l'extrême, toutes les dents ont mal évolué et sont mal implantées. Ces caractères marquent une premièr
s odeurs. - Elle ne peut prendre aucun soin de toilette et se prête mal à ceux qu'on lui donne. - Gâtisme complet jour
laire. 219 seaux et les nerfs de la base de l'encéphale sont nor- maux . La pie-mère est notablement congestionnée et p
e connue, il a eu des migraines ( ? ) : dou- leurs de tète, à siège mal défini, puis vomissements bilieux; la vue se br
is semaines. Lui-même ne travaille pas régulièrement à cause de son mal . Il demande des secours pour subvenir aux besoi
n'auraient point été dues à la chute, car il ne s'était pas fait de mal en tombant. Cet accès n'avait pas été plus long
ars. L'enfant, en bon état, apprend très-bien à l'école. 1895. 30 mal . - Intelligent, bonne santé; pas de I roubles n
ous a fourni des ren- seignements intéressants sur la marche de son mal . Le tableau des accès (p. 242 et 243), quoique
97 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
l est de par la pathologie nerveuse un certain nombre de cas encore mal classés dont la description difficile se trouvera
es antécédents héréditaires, si ce n'est une maladie nerveuse assez mal déterminée dont est mort son grand- père patern
ant beaucoup de douleurs lombaires et en ceinture. Le diagnostic de mal de Pott fut porté et on lui appliqua un corset
. 23 Celle-ci, en dehors de l'accident initial qui paraît avoir été mal observé, se manifesta d'abord par des « ulcérat
des phénomènes très intéressants dans l'espèce : ils consistent en maux de tète survenant vers 8 heures du soir et ne d
nt au redressement, sans que pour cela le muscle, cause première du mal , se soit sclérosé. Le temps n'est plus où l'on
ait observé depuis longtemps, à l'occasion d'une malade atteinte de mal de Pott et de paraplégie spasmodique consé- cut
, et il se produi- sait ainsi de temps à autre des sortes de crises mal définies mais avec sensa- tion nette de constri
nte, lente, traînante et nasonnée. Si on le l'ail lire, il articule mal les mots, il semble qu'il n'est pas maître de l'a
rappelle pas être sujette à avoir des rêves. Elle a fréquemment des maux de têtes (céphalalgie frontale). Du côté de la
ent (pl. 10) par une cambrure exagérée du pied, une saillie anor- male , du, tarse en dos d'âne, visible surtout lorsque
le hypertrophique, je puis le répéter à propos de la paraplégie par mal de Pott. Dans la plupart des cas de ce genre qu
èse arthritique et névropathique qu'a démontrée M. Charcot rendrait mal compte de la rareté de la complication. Deux po
t qu'il avait toujours eu une bonne santé, bien qu'il fût sujet aux maux de tête; il est mort à 67 ans; sa mère était ne
Membres égaux, réguliers, sans incurvations ni nouures. Tronc nor- mal . Organes génitaux bien développés. Peau brune, fl
a dure-mère et l'arachnoïde incisées, il s'écoule une quantité nor- male de liquide céphalo-rachidien. 1 L'encéphale est
d'atrophie notable; les autres parties des hémisphères sont nor- males . ' , 6° Les circonvolutions de la face interne
ine de minutes dans un sommeil sterto- reux. Il se réveille avec un mal de tête qui dure le reste de la journée. Il ne
lus superficielle à mesure que l'accès approche (chez B..., état de mal ). Fin. 49. - Tracé du pouls avant le commenceme
- Tracé du pouls avant le commencement d'un accès (chez B..., état de mal ). 122 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
j'ai pris sur un malade de mon service qui a succombé à un état de mal . Ceux de ces tracés qui comprennent toute la du
. 50. - Tracé du pouls au commencement d'un accès (chez B..., état de mal ). FiG. z- Tracé du pouls au commencement d'un a
die ancienne bien que ré- cemment nommée et décrite, a fait tout le mal . Enfin, on peut distinguer dans le haut de la f
d'une certaine quantité reprendre progressivement sa position nor- male . ' '. - ' - Aussi je conseille de ne faire aprè
a eu, dit-il, une sorte de fièvre muqueuse. Pas de ganglions, ni de maux d'yeux, ni d'écoulements purulents. Il s'enrhum
es douches tièdes et des bains russes (ce qui ne lui fit ni bien ni mal ). Quel- ques mois après, sa marche était tellem
, on constate qu'il existe très peu de courbes, que le malade prend mal la plume, qu'il « manque l'encrier », qu'il enf
servation de la nature. Telle déformation des membres qui semble un mal tout local relève souvent d'une affec- tion gén
tout. Elle est, ce me semble, un peu moins exquise qu'à l'état nor- mal . En tout cas, elle est certainement légèrement ém
crétion de l'urine. Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor- males . Un litre d'urine par jour ou peu près. Urines cl
res etleur convexité ont été prises pour une déformation osseuse du mal de Pott; sur les côtés de cette courbure normal
ccusée au point que plusieurs avaient opiné pour une'déformation de mal de Pott ou de polyarthrite vertébrale, cette dé
pointes de feu : on craignit d'être définitivement en présence d'un mal de Pott, et on envoya le malade dans le service
et très prononcée, présentait un aspect anormal pour une saillie du mal de Pott, nous résolûmes de nous livrer à un min
de la gibbosité, contribue encore à nous faire rejeter' l'idée d'un mal de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des
res supérieurs. Depuis quatre ans, sa vue a beaucoup faibli. Il y a mal perforant au pied droit. A sa sortie de l'hôpit
otables déformations. État actuel. La démarche du malade est lente, mal assurée; il ne peut se retourner rapidement san
. De temps z en lemps, oedème du membre inférieur. Il y six mois, mal perforant au niveau de la tête du premier métatar
300 grammes. La synoviale ne présente pas de vascularisation anor- male . Ce premier degré est donc caractérisé par une so
idérer comme guérison n'est bien souvent qu'un étal stationnaire du mal qui, sous l'influence d'une cause quelconque, u
re supérieur droit. Il existait aussi une douleur sourde, continue, mal loca- lisée, dans le membre inférieur du même c
e phé- nomène semble être exclusivement subjectif. Le malade sent mal ses jambes dans son lit. Chatouillement parfait
ous les caractères objectifs du durillon, de la première période du mal perforant. Toutefois, il n'est pas entouré d'un
embres inférieurs ne présentent aucune adipose, les poils sont nor- maux , les ongles ne présentent pas de dystrophie notab
entiellement avoir souffert pendant plus de deux ans de ce terrible mal et me dit, qu'au 'cours de celui-ci, il avait v
n constate au moins 6 ou 7 centimètres de plus que dans l'état nor- mal . Tout le pourtour du maxillaire inférieur, aussi
ître que la face seule est hypertrophiée. Le teint est d'un blanc mal . Fie 86. Obs. X (d'après Ilenrot). 250 NOUV
forme d'une sorte de personnage diabolique on de damné. L'horrible mal est gravé sur tout son corps d'une façon indéniab
98 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la forme d'état de mal asphyxique, survenue et la suite d'une émotion
ment qui disparait lorsque les doigts reprennent leur couleur nor- male . Parfois, l'asphyxie s'établit d'emblée sans être
s mains prennent successivement ;la coloration blanche, puis bleue, mal accentuée, en même temps qu'elles se refroidiss
les. Au bout d'un certain temps s'est installé un véritable état de mal avec dix à douze crises par jour d'une durée de
ée fixe rappelant ses crises, il s'établit un cercle dont l'état de mal est l'expression symptomatiqne. C'est en modi
tendues, l'inquiè- tent et sont une nouvelle cause d'aggravation du mal . La nature psychique apparaît encore quand l'id
uvait dans son ménage; à peine mariée en effet, son mari se conduit mal ; il dissipe son bien dans les plaisirs les plu
ohibitives; Mais, là même où les lois sont les plus ter- ribles, le mal est-il supprimé ? Autrefois l'hypnotisme faisait
aurait lieu de faire savoir à la population que l'industrie prépare mal l'alcool. Les so- ciétés de tempérance ont là u
able épidé- mie d'hystérie chez les élèves de cet établissement. Le mal avait débuté à la suite d'excès et de débauches
Depuis lors je m'enrhume facilement, je prends plus facilement des maux de gorge et de petites angines. Actuellement, j
t des veines. Lorsque je fais de la gymnastique des bras, j'ai vite mal dans le dos. Si cette sorte de fatigue s'accent
d'éclampsie. Ma mère vit encore et se porte très bien, mais a eu un mal de jambes temporaire non sans analogie avec le
asthéniques ; son ventre se ballonne après les repas, il dort assez mal , et au réveil éprouve de la fatigue. 1 Aux me
conscient et qui témoignent nettement de la défiance du sujet et du mal auquel il se croit en butte, en un mot du délir
tête et le bras gauche étaient libres. La sensibilité partout nor- male . Après un traitement, qui a consisté surtout en
archer assez librement sans soutien. L'auteur, après avoir exclu le mal de Pott, à cause de la forme particulière de la
p. 416.) Trois cas de pseudo-tabes suivis de mort, le premier avec mal perforant et coma, les deux autres avec gangrèn
preuves, et jusqu'ici elles ne sont pas favorables. E. B. XXXVI. MAL DE POTT cervical. Leptomyélité chronique. Poussée
terminaison. La malade, tuberculeuse par les poumons, présentait un mal de Pott cervical accompagné de lésions chroniqu
ileptiformes, prenait fréquemment des caractères de tonicité encore mal définis. Il a aussi remarqué que les injections
nt, dans certaines circonstances, les épileptiques vrais en état de mal . Enfin il a, depuis plusieurs années, constalé
nd il a toujours trouvé leurs urines hypotoxiques pendant l'état de mal et hypertoxiques après. Il croit, à une intoxic
e ami Magnan poursuivait alors. Magnan expérimentait sur les ani- maux , M. Motet voyait les malades et, sans s'être ente
temps de son séjour à Mazas, Maumy était un peu pâle, s'alimentait mal , mais il n'a pas tardé à reprendre le dessus; a
ent. L'oreille gauche, de forme triangulaire à base supérieure, est mal ourlée. Rien de semblable à l'oreille droite. L
ns sont applicables à notre cas d'affection de Raynaud. L'état de mal asphyxique en rapport avec une idée fixe sub- 1
s développés, en toute indépendance, par les médecins, sont souvent mal compris par les magistrats qui ont cependant cr
venheilk. 1893). Du quartier de surveillance continue. Rapporteurs. MAL Siolé et Kroepelin. Les deux rapporteurs se son
epuis lors Nissl a trouvé la haryolcinèse dans le cerveau de l'ani- mal adulte comme dans l'écorce des paralytiques génér
grande partie des recettes, de préférence à prévenir les causes du mal . On a souvent considéré le dixième de l'alcool
surprend peut- être. On s'étonne, en effet, que pour un délire, un mal de tête, de asiles d'aliénés. 245 L'insomnie,
ur résul- tat que d'arrêter momentanément la marche envahissante du mal . Dès ce moment, il se savait perdu : défiguré,
SEGUIN (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants MOt'- maux et anormaux, avec une préface par Bourneville. Vo
ite sous diverses dénominations : morbus her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut mal, mal Saint-Je
ses dénominations : morbus her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut mal, mal Saint-Jean, etc., etc.
morbus her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut mal , mal Saint-Jean, etc., etc. Ambroise Paré dans
her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut mal, mal Saint-Jean, etc., etc. Ambroise Paré dans ses oeu
dans les périodes d'agitation prolongées et surtout dans l'état de mal épileptique dont la gravité est bien connue.
2° Elle se rencontre dans tous les modes d'épilepsie ; 3° L'état de mal épileptique parait toujours accompagné d'albumi
cette albuminurie peut, quand elle se manifeste pendant un état de mal épileptique, être la source d'erreurs de diagno
s accès sont nombreux, intenses et subintrants comme dans l'état de mal . Il n'est pas jusqu'au moment de l'évacuation d
ue-nous, avons faite. Comparons-la. à la^terminologie z actuelle du mal de lrillt.rA1'époque où Bright découvritune mal
'une néphrite parenchymateuse ; ceci empêche-t-il l'express sion de mal de Bright d'être correcte en ce sens qu'elle sépa
es autres maladies mentales. S'il est accordé que, de même que le mal de Bright était caractérisé par une série de sy
ence dans les idées), et que, dans la Paranoïa, de même que dans le mal de Bright, il y a des variétés distinctes de pa
autres maladies mentales de môme que la pléiade symptomatique du mal de Bright séparait ce groupe des autres maladies
i dei casi detti deliri primi sistematizz. (Archiv. italiano per le mal . nervosi.) 'FANzi et Riva. La paranoia contribu
. Elle était bien portante; pas d'obtusion in- tellectuelle, pas de mal de tête. Toutefois, la mémoire laisse encore à
s zones radiculaires postérieures, la substance grise. Racines nor- males dans la queue de cheval. Altérations très faibles
miers, tandis que la répétition n'est que de six fois à l'état nor- mal , dans les pires, conditions du travail intellectu
Seguin (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants zzor- maux et anormaux, avec une préface pai Bournevinc. Vol
lle s'apercevait qu'un des côtés, de- côté situé.à sa droite, était mal vu, qu'il disparaissait peu à peu. Au bout de peu
côté gauche, m'appâraîc, bien, clairement( mais, je^côté^ droit est mal vu parce qu'il se dédouble, l'une des ..moitiés d
et, amaigris-^ sèment est des, plus manifestes à la sujtedesétatsde; mal .0n a signaléj aussi la,,présencederstries.surtl
ement ét'surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes séries ou un état de mal ? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ? < rr oq)-.r ? t
se produit généralement pendant une série d'accès, dans un état de mal le plus souvent. Elle a déjà été signalée par l
ter pendant un mois et demi ; il est vrai que dans ce cas l'état de mal a duré lui-même à peu près un mois. D'autres fo
février 1893, elle a 238 accès épileptiques ; elle reste en état de mal avec forte élévation de température pendant tout
vation de température pendant tout ce mois. Au cours de cet état de mal elle devient hémiplégique droite et aphasique.
; elle semble réfléchir longuement avant de répondre; les mots sont mal pro- noncés et parfois employés les uns pour le
dre. La parole est hésitante; les mots sont traînés par syllabes et mal prononcés, puis soudain elle dit deux ou trois
- sité. En 1891 vers le mois de décembre, cette malade en état de mal est frappée d'hémiplégie droite avec aphasie pass
la parole, elle est réduite à son minimum. La malade prononce très mal les quelques mots oui, non, monsieur, qui reste
nfluence de nouveaux accès en séries surtout ou d'un nouvel état de mal , comme d'ailleurs la démence épileptique simple
ozci, non et quelques mots faciles. Encore les prononcent-ils très mal et sur un ton monotone. L'intonation a disparu.
es épileptiques ayant fait une hémiplégie corticale dans un état de mal , et l'hémiplégie semble avoir marqué le début.
e. Nous verrons tout à l'heure dans la patho- , génie que l'état de mal avec son élévation de température et son ensemb
ue que nous voyons chez les malades précédemment cités. L'état de mal agirait donc comme la rougeole, la variole ou tou
Rien de spécial à signaler dans les antécédents héréditaires. Déjà mal en train depuis quel- ques jours, quoique vaqua
ne présente pas de trémulation adynamique. Les pupilles sont nor- males ; même vigueur dans les membres supérieurs droit
des cris de douleur et en perdant beaucoup de sang. Tu m'as fait mal , Baptiste, disait-il, dans des sanglots et des ho
»Gui'-i. (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants nor- maux et anormaux, avec une préface par Bourneville. Vo
u'on don- nerait un léger cachet aux becs d'éclairage, où serait le mal ? La literie mérite une sérieuse attention, ell
e crétinisme qui ne peut plus fournir de descen- dance ; l'excès du mal devenant un remède, en mettant fin à la série d
e forceps, sont considérés comme autant de causes prédisposantes au mal comitial. Diverses conditions défectueuses dans
ompa- gnent-ils pas comme ici de sensations vagues de malaise, de maux de tète, de diminution d'appétit, etc... ? I- D
Bourneville. Rapport et mémoires sur Véducalion des enfants nor- maux et anormaux, par E. Sccum, avec une préface par B
472. Possédés de Brouzat, par P. Iliclier et Meige, 497. Po2°r, mal decervica), par Ray- mond, 133. Procès Feldma
99 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de Villejuif (Seine). Prognatisme, voûte palatine élevée, oreilles mal conformées, regard fixe. Idées délirantes de
htisme. Interprétations pessimistes de modifications cénesthésiques mal déterminées. Crises d'anxiété et de désespoir,
aille au-dessous de la moyenne. microcéphale, prognatisme, oreilles mal conformées, voûte pala- Ons. 23. Fin 9. - O. G.
ile le 31 août 1906. Microcéphalie. Voûte palatine élevée, oreilles mal conformées, yeux petits, regard Ons. 40. Fic..
le 16 août 1904.- Atrophie du massif inférieur de la face, oreilles mal conformées, voûte palatine élevée, tremblement
TRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 15 étroit, oreilles mal conformées, voûte palatine élevée, regard sans
ictus. Nos résultats concordent avec les conclusions du travail de MAL A. Rodiet, Dubos et P. Pansier, en ce qui conce
NTALE, ces différences de calibre pourraient n'avoir rien d'anor- mal . Dans un cas, la papille nous a paru uniformément
écisse- sement très net des artères, des papilles absolument nor- males et une vision parfaite. Ce rétrécissement artér
vulsive, aucun vertige, aucune absence qui puissent faire croire au mal comitial. On est forcé de conclure à une fugue
ENCES. 45 état d'ivresse et complètement oubliés dans l'état nor- mal . On trouvera dans une communication de Dobrot-
il devient irritable, commet des actes extravagants qu'il explique mal , ilest« faillie moialement et physiquement», ilné
les ouvrièrcsqui travaillent en chambre, dans des bureaux fermés, mal ventilés ou insuffisamment aérés, etc., que, par
A noter aussi que dans un de ses états elle était très sujette aux maux de dents et que dans l'état suivant elle n'avai
de ces états ne puisse être considéré comme appartenant au « petit mal » il est important de noter que la malade a eu
journal, 28 juillet 1906.) Dans toutes les contrées civilisées, le mal connu sous le nom de paralysie générale des ali
ytique est fortement en augmentation. Cette recrudes- cence dans un mal irrésistiblement progressif, réfractaire au trai-
hologues. Une masse de documents venant des cliniques concernant ce mal et son jumeau, le tabes dorsalis, a été recueil
base d'hallucina- tion affectaient le type de la persécution, mais mal systématisée. Ces troubles intellectuels débute
r qu'on l'attachât pour qu'il ne courût aucun risque de se faire du mal . La menace d'un sérieux arrosage avec quelques
ognes, mais moins d'alcooliques que dans toute autre région. 4° Les maux sociaux les plus graves que cause l'alcool relè-
discipline psycho-motrice ne pourrait pas être appliqué aux ani- maux . Il serait plus délicat à appliquer lorsqu'il s'a
ui arrivera quelquefois je suppose, ils pourraient se trouver assez mal préparés à leurs nouvelles fonctions. Si mes id
unal. Les attributions de la Commission de surveillance sont bien mal indiquées dans le texte de la loi ; il faut espér
ns traitants. S'il n'y avait que change- . ment de qualificatif, le mal ne serait pas grand ; nos jeu- LA REVISION DE L
néralement d'ac- cord pour déplorer le fait. J'avoue ne pas voir le mal . Je suppose en effet que le médecin aliéniste,
esse de la mémoire : il est forcé de tout écrire : il localise très mal dans le passé les faits de son existence. Il boit
ffisam- ment profondes pour qu'on pensât les premiers jours à des maux perforants. Aucun détail ne put être obtenu de
plus ou moins grand chez les spéculaires et ceux-ci sont des anor- maux au même litre que les sujets qui sont incapables
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. seuso dont la physiologie est encore mal connue et qui parait se rattachera des maladies
. Un autre concerne un homme de39ansqui en tra à l'hôpi tal ayec un mal per- forant plantaire, bilatéral : quinze ans a
ulièrement le plus banal mais non le moins significatif de tous, le mal de tête, les troubles moteurs, la neurasthénie
té actuelle, celle des demi-fous n'est pas préci- sée ; on les juge mal : certains d'entre eu vont une haute valeur soc
squ'à ce que le 160 BIBLIOGRAPHIE. malade cherche la cause de ses maux en dehors de lui (n'est-ce pas un peu tard ? )
lutte contre ce milieu ; identiques enfin les notions de bien et de mal . Donc dans le duplicisme, la conscience, au lie
lle proclame « la liberté, l'universalité des notions de bien et de mal , » et « d'une règle de justice avec res- ponsab
s instincts divers et même opposés, sans quoi « on com- prendrait mal que l'unité absolue d'existence et de fonc- tio
isme a- t-il pu négliger les entrecroisements incomplets des ani- maux à vision stéréoscopique, entrecroisements grâce
uatorial qui séparera l'hémisphère végétatif et l'hémisphère ani- mal i . 108 , PSYCHOLOGIE Chez fous les animaux,d
es ; mais les conditions nouvelles que l'on rencontre chez ces ani- maux mettent encore mieux en évidence la fausseté de l
très loin leur développement. Les cellules du stade 8 (dont 4 ani- males et 4 végétatives) donnent encore, non seulement u
e sûreté uniquement en raison du degré de leur peine. On s'explique mal ce dispositif : si l'in- dividu est reconnu ali
s. Si l'interdit n'était privé que de la gestion de ses biens, le mal ne serait pas trop grand. Encore me semble-t-il
critiques, bien loin de là, et j'aurais à regretter de m'être bien mal fait comprendre si, à la lecture de mon travail,
ifique, et si l'on vient alors à l'introduire dans l'organisme ani- mal , elle peut, tout en restant à l'état de spore, él
hiver à la température ambiante, et en cette saison il se développe mal si on vient à le cultiver à l'étuve, à une temp
rte d'en- sociétés savantes. 259 Lrée en matière, chez les sujets mal doués au point de vue de l'es- prit. Chez les
e sens bien que je ne respire pas comme avant ·. La nuil, elle dort mal « parce qu'elle n'a pas de force dans l'estomac
nquiète de son étal el elle sent « que tous les jours elle est plus mal ». (Iliaque matin à la visite, elle formule les
i mis du ten ps pour m'en apercevoir que j'avais tort..t'avais tout mal compris. Ma \ie est manquée. Le jugement dernie
la doit être une puni lion. le diable me tourmente, cette main lait mal n. 11 refuse de s'alimenter, l', parce qu'il ne
sé l'exaspéra- lion la plus légitime. » Il s'accuse d'avoir fait du mal à ses amis et à sa famille, mais à mesure qu'il
ue fois obligé du répéter ces mots très rapidement ». On me fait du mal ,jour et nuit, minute par minute, je crois pouvo
mécanisme est d'observation couran te dans la vie psychique nor- male : un ébranlement non perçu, à peine senti au cour
es coêtres, si les actes extérieurs, les manifestations de l'ani- mal ou de l'homme, auxquels assistent les deux co-êtr
à Laromiguière, Maine de Biran, Diderot, Ribot, en plusieurs points mal interprétées, sur l'abstrac- lion sensorielle,
pondre à certaines objections, préciser certains points qui ont été mal compris, ou mal interprétés, et dissiper certai
es objections, préciser certains points qui ont été mal compris, ou mal interprétés, et dissiper certains malentendus.
rgu- ment déterministe » (p. 85 à 88) : il l'expose tant bien que mal , et pourtant il néglige ce qui devenait alors le
ée qui est, elle aussi, « le fruit de la coopération de deux ani- maux conjugués ». Le dualisme longitudinal, la duali
r n'ait pas songé à la mesu- rer à sa thèse : mais sa bonne foi fut mal récompensée. Les motifs, se demande-t-il (p. 10
ce purin, on se contentait de fumer la terre,il n'y aurait guère de mal ! mais on arrose avec, les légumes et notamment
es sondes nasopharyngiennes.L'économe s'ac- quitta de ce soin, mais mal . Je lui proposai de m'en occu-^. per. J'essuyai
tions, se rapportant à la signification des mots, sont complexes, mal définies,variables et beaucoup plus accessibles à
ions du type peu uniformes, peut-être parce que l'on s'entend assez mal sur le degré de déviation des autres types d'im
plications de la rougeole et Symptômes, diagnostic el traitement du mal de Pott ; Diagnostic des ictères et fracture du c
ue l'exagéra- tion de ce qui se produit constamment à l'état nor- mal , avec cette différence seulement que l'inertie ou
rre, d'une révolution, etc. ? S'il existe des notions de bien et de mal communes à tous les hommes, est-ce l'observatio
TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquier. (Nouv. Icon
de gibbosité qui, pour des raisons anatomiques, est un apanage du mal de Pott de l'adulte, est une cause de grandes dif
c les affections nerveuses médullaires ou para- médullaires dont le mal de Poil sans gibbosité peut prendre le masque (
sible, en l'absence de déformation rachidienne, de diagnostiquer le mal de Pott. F. TISSOT. XXXVL- Acromégalie partie
et P. Lejonne : Sur une af- fection méningo-encéphalique de nature mal déterminée. M. Souques : Notes complémentaires
éclamant l'intervention de l'hygiéniste. Ils se divisent en : Anor- maux d'école. susceptibles de bénéficier de l'instruct
- vement semble se dessiner, dans notre pays, en faveur des anor- maux d'école. Le projet de loi. proposé par la commiss
récemment déposé par le Ministre : deux classes spéciales d'anor- maux se sont crées à Paris. 1... Le D1' Régis a'prov
ivant : FAITS DIVERS EptLEPSiE.Pourquoi a-t-on appelé l'épilepsie mal de terre' ! La réponse est facile. Terre n'a pa
s habituel et ne vient pas du latin terra, mais de terror, terreur. Mal de terre signifie mal de terreur. On comprend a
pas du latin terra, mais de terror, terreur. Mal de terre signifie mal de terreur. On comprend aisément combien les espr
e impressionnés en présence d'un malade atteint d'une crise de haut mal : les convulsions, l'aspect grimaçant de la fi-
s contrées du Midi, on appel- le encore l'épilepsie ma, de terrour, mal de terreur, l'usage a fait supprimer l'r final
. Enfants. Voir Encéphalite. - Voir Fièvre hystérique. -- anor- maux , p. 271. - arriérés : voir Traitement. Enseig
ydney J. Cole, p. 495. Les principales formes des nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquier, p. 498.
100 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
nt formée. C'est seulement lorsqu'elle est incomplète, irrégulière ou mal répartie, qu'elles se préoccupent de la dissimule
ité : son père, François Soubi-rous. meunier de son état, après avoir mal fait ses affaires, avait dû quitter le moulin qu'
e d'une distraction, d'une émotion ou bien de l'apparition d'un autre mal . Or, d'après ses biographes, les choses se pass
veilles de Lourdes, page 19, 31, 70. physique s'aggrava et que le mal hystérique prit son entier développement. C'est a
pouvaient, à cette époque, savoir, comme aujourd'hui, ce qu'était le mal hystérique et se rendre compte qu'il pouvait expl
iration normale se rétablit et la malade n'accuse aucune sensation de mal être, d'étouffement. Mais dès que l'anesthésie es
nn Laurent, Examinateur à l'Ecole Polytechnique. Un des plus grands maux qui afflige l'humanité est la passion des jeux de
ne sa santé et celle de ses enfants ; l'un perd le sens du bien et du mal sous l'influence de l'alcool, l'autre pressé par
les joueurs sont de véritables aliénés, on peut prévenir chez eux le mal en leur montrant la vérité avant que la passion d
les samourai se transformèrent en une armée de fonctionnaires souvent mal rétribués mais toujours respectés et dévoués corp
uste dont nous donnons cï-joint le dessin, la figure barbue s'accorde mal avec le sein de femme que le statuaire a eu soin
es et les harpies chez les anciens, la personnification du laid et du mal . Il a également pour principal rôle de suggérer l
jusqu'à l'âge de jeune fille. L'enfant né plus tard souffrait du même mal mais à un degré moins prononcé (Lucas). Une fem
uérir à nos yeux une importance psychologique plus grande, puisque le mal qu'elles engendrent retombe non seulement sur nos
contre une influence aussi corruptrice pour ses membres juvéniles et mal protégés. L'alternative est l'asile ou la prison,
, elles étouffaient, sanglottaient, fuyaient au loin ou se trouvaient mal ». Cet état pourrait se définir par un mot : La s
es dégénérés. Un grand nombre d'entre eux sont simplement des enfants mal élevés. Quand ils n'ont pas été pervertis par les
raitement de ces cas est long et difficile. Quand il s'agit d'enfants mal élevés, on observe des transformations d'autant p
e son menton (fig. 94). Les femmes à barbe sont, on le voit, très mal considérées par le clergé, même quand elles sont
e d'un innocent. Aujourd'hui, selon le pays, elle favorise les femmes mal mariées en les faisant veuves, ou elle rend les u
rti, le premier malade qui se plongeait dans l'eau était guéri de son mal quel qu'il fût. L'eau de Betsaïda aujourd'hui e
lavées avant les siennes dans la piscine. Sous prétexte de guérir un mal quelconque, il ne faut pas donner une grave malad
veloppement Dominique Castagna {l'homme-momie) général se faisait mal ; lentement, mais progressivement, elle alla s'ac
déterminent un certain degré de prognathisme. » Les dents sont très mal plantées, surtout en avant ; on en compte 29, 14
e au niveau de l'apophyse gauche. De plus, les fontanelles paraissent mal ossifiés. Les membres supérieurs sont dans leur
tellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'enfant parle, mais parle mal , il faut faire le diagnostic de trouble de la par
c de communion du chœur de l'église dans la nef, sans lui faire aucun mal . On lui lia les mains avec l'étole et on l'entraî
lement, etc., ou bien, cas très fréquent, qu'on essaie d'attribuer un mal déjà existant à l'accident survenu. Par simulat
'est pas constant*. — Il y a des jours où il ¦ entend mieux, ou moins mal ... Tout dépend... C'est selon la tête ». ¦ Selo
ète le tableau. M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de douleurs mal déterminées, mal localisées, de vertiges ; mais t
M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de douleurs mal déterminées, mal localisées, de vertiges ; mais tout cela compte p
remarquables de ces gens qui, de bonne foi, s'imaginent ressentir des maux qu'ils n'ont pas ! Au premier acte du Malade im
ons donc la situation presque identique à ce qu'elle était au mois de mal dernier. Mais un incident survenu au cours de l'e
ves, que pour arrivera ses fins, il se donne souvent beaucoup plus de mal que s'il travaillait d'une façon normale. Une des
s préoccupations mentales, il ën arrive à jouer, devant un auditoire, mal ou beaucoup moins bien que dans la solitude ; tou
les dégénérés. 3BUne troisième forme (que les auteurs différencient mal des précédentes et qui en est p'ourtant bien dist
eur lait, le donnaient volontiers avec une autre personne s'y prenant mal ! N'y aurait-il pas là une question d'ascendant, d
paroles prononcées avec une intonation calme, qu'il ne lui veut aucun mal , lentement il captera sa confiance, il obtiendra
stolique, qui était à l'épreuve des menaces les plus terribles et des maux les plus irrésistibles, le porta à ne vouloir jam
ait de s'aliéner sa clientèle ; les innovations étant en général fort mal accueillies, surtout dans les campagnes. Ce ne
ecevoir les affirmations qui ont pour but de les débarrasser de leurs maux . Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
s formations de phénomènes psychiques réels, mais ces phénomènes sont mal interprétés et n'ont presque jamais été rapportés
les maîtres de l'hypnotisme n'ont aucun lien commun avec les esprits mal inspirés qu'un excès de crédulité, ou un défaut d
r ! * O vous les Exilés des Humaines Délices, Vous que taraude un mal incurable, inconnu, Esclaves de la Peur, des Tare
e, dont nous connaissons peu l'hérédité, a été réglée à 11 ans, assez mal dans le début; petit à petit, l'appétit diminue;
chaleureusement applaudie par un auditoire enthousiaste : « Quand le mal semble défier toutes nos ressources et celles de
trouver auprès du père Jean la guérison et le soulagement de tous les maux . Une grande abnégation et une individualité très
re. Dernièrement arriva à St-Pétersbourg une pauvre femme malade. Son mal se manifestait en ce que, chaque fois qu'elle ent
problème des enfants anormaux. Les anormaux arriérés et les anormaux mal élevés. L'hypnotisme et l'orthopédie morale. La m
n miracle. H a permis qu'un de ces bouts de ruban donnés tant de fois mal à propos, vînt se fixer à la boutonnière d'un che
n fort explicable. La timidité accidentelle témoigne d'un caractère mal exercé, d'un défaut d'expérience, d'une volonté p
quelques preuves caractéristiques pour démontrer que l'hypnotisme est mal connu ou interprété. Le livre de M. Dubois sur le
aissait bien doué sous tous les rapports, il écrit : « Il fut pris de maux de tète, d'insomnies ; le moindre travail amenait
ssion hypocondriaque, le terrain épileptique, une psychose ou môme un mal organique cérébral : il faut rechercher ce qui es
la menstruation régulière. Elle vit dans une petite pièce obscure et mal aérée, qu'elle partage avec son père, sa mère et
oujoui-s à l'occasion d'un reproche. Lorsqu'elle est dans l'état de mal hystérique, le reproche joue le rôle de traumatis
uffit à mettre en branle certaines machines puissantes. Cet état de mal hystérique est signalé par quelques phénomènes pr
de la prendre comme domestique. Louis, Gras et Cauvin qui lui font du mal (comme elle l'écrit en italien) sont des individu
Dr illox, professeur à l'Ecole de psychologie, a commencé le Mardi 8 Mal , à cinq heures (Salle des Conférences de l'Ecole,
Le problème des enfants anormaux. Les anormaux arriérés etlesanormaux mal élevés. L'hypnotisme et l'orthopédie morale. La m
Raies de feu ou méthode pour appliquer les pointes de feu sans -faire mal au malade par M. le D* Coste de Lagrave : La Crim
d'avril suivant, troisième crise de léthargie : elle s'était trouvée mal chez un pharmacien et avait été conduite à l'hôpi
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