out dans les cas où l'intervention du médecin a été trop tardive ou
mal
dirigée. Non seulement la polyné- vrite aiguë c
eu. Trois ans plus tard, c'est-à-dire vers l'âge de 28 ans, il prit
mal
: ') une noce. Il fut très long à se remettre e
ormalement. Dé- 24 G. ROSSOLI110 Olga S. Michel S. Nicolas S.
mal
. Le 3° jour de développement fut veloppement nor-
ppement fut veloppement nor- sa vie supporta une normal. Pas de ma-
mal
. Comme mala- maladie aiguë de ladies à signaler
a- maladie aiguë de ladies à signaler diesde l'enfance eut nature
mal
déter- dans le bas âge. A la rougeole et une mi
colas S. rentes, la ligne est malade écrivait tou- oblique. jours
mal
, mais le dernier temps écrit encore plus mal.
ou- oblique. jours mal, mais le dernier temps écrit encore plus
mal
. Sensibilité La sensibilité est Idem. Idem, (
à gauche : 44 ; ments sont nor- malies visibles de celle des jambes
maux
et ne présen- conformation. Le adroite : 3 ? te
u à terme; la première ne criait pas, ne remuait presque pas, était
mal
et mourut le 15e' jour par débilité; trois jours
. En un mot, tableau habituel de l'hydrocéphalie. L'enfant tétait
mal
, ne dormait presque pas. Les extrémités inférieur
nt seulement le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, mais
mal
développé, et le faisceau de Goll et de Burdach
l'hydrocéphalie. Les fibres arciformes internes sont marquées très
mal
et seulement dans la partie supérieure ; les li
ongitudinal postérieur; en dessous la formation réticu- laire, mais
mal
développée dans sa partie basale, en dehors nous
térieur, les fibres arciformes internes de la formation réticulaire
mal
développées, la couche latérale des fibres sens
-dessous de l'ouverture de la colonne vertébrale la moelle est nor-
male
, excepté un très grand développement des vaisseau
est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0); les cordons postérieurs sont
mal
formés. La formation, située en arrière, est se
elle se redresse dans la cavité buccale. La parole est traînante,
mal
articulée mais non scandée; la physiono- mie es
e. LES PEINTRES DE LA MÉDECINE ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE LE
MAL
D'AMOUR PAU HENRY MEIGE. Vers le milieu du
épidémie insolite fit son apparition dans les Pays-Bas. Singulier
mal
! ... Seules, les femmes en étaient frappées, et
allait en maître. On en souffrait de cruelle manière ; pourtant, ce
mal
n'était pas sans attraits. Au surplus, l'on n'e
urine, drogua, purgea, saigna, puis, finale- ment,... se retira. Le
mal
n'était pas de sa compétence. Sur cette mystéri
ui seul nous devons, pour le moins, huit peintures inspirées par un
mal
, qui, semble-t-il, faisait rage parmi les jeunes
st-ce pas ainsi que procèdent les meilleurs moralistes ? Le gro- LE
MAL
D'AMOUR 59 tesque de Panurge n'empêche pas que
-accords de sa guitare égayaient toute la maison. Aujourd'hui, le
mal
vient de la frapper : (1) A'8TEl\IJAM, Kijk Mus
RE. T, XII. PL, XII Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule La Mal
, eu Rijks-Museum d'Amsterdam. )¡I.\SSO 1 : 1' CI", Editeurs. LE
MAL
D'AMOUR 61 Elle a perdu ses roses couleurs ; el
ndaise ! Hélas ! elle est sans forces et sans courage : tout lui fait
mal
, tout lui est indifférent, tout l'ennuie. Sa pa
enfouit son petit minois dans un gros oreiller. Quel peut être son
mal
? ... Une grande pesanteur de la tète ? ... Il se
de la Faculté dissertent encore pour savoir s'il faut attribuer ce
mal
à quelque vapeur subtile engendrée par quelque
qui se passe autour d'elle. Cependant, il n'est pas douteux que le
mal
l'il[ brisée au point de l'obligera garder le ]
T. XII. PL. XIII. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstaengl.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Un méd
ue malade au Musée royal de la Haye. Maison et C-1, Éditeurs LE
MAL
D'AMOUR 63 le préparer. Opulente personne, dont
evine toute l'angoisse d'un remède qui, peut-être, sera pire que le
mal
, et l'on prévoit que, si elle osait, la jeune a
. Au demeurant, celle scène intime n'éclaire guère sur la nature du
mal
. L'ensemble en est séduisant. La figure de la m
ar la propriétaire de céans ne semble pas à même de l'apprécier. Le
mal
l'a brisée; tout ce qui l'en- toure demeure ign
T. XII. PL. XIV. Cliché Hansstacngl. Photogravure Hansstacngl.
MAL
D'AMOUR Tableau de Jan Steen, intitulé Un méd
fille au Musée royal de la Haye. 11 ssoa et CI( ! , Éditeurs LE
MAL
D'AMOUR 65 ses gants, les larges bords de son c
te à ses méchantes atteintes..... Souffrez donc que je connaisse le
mal
qui vous importune et daignez me permettre de con
savoir davantage et je me tiens pour complètement édifié sur votre
mal
. Nous en aurons raison de par la médecine, et v
pour ins- pirer confiance ? ... Mais qu'importe 9 Certainement, le
mal
n'est pas grave. Jean Steen nous le fait entend
faire de vos médecines, et je sais quelqu'un qui ferait déguerpir le
mal
en moins de temps qu'il ne vous en faut pour lu
ailleurs un peu. Mais il ne nous fait pas connaître la nature de ce
mal
dont la patiente pleure et dont la suivante se ri
r de la jolie malade... Là est la blessure dont elle souffre, et ce
mal
mystérieux qui la fait tant languir, mal dont l
e dont elle souffre, et ce mal mystérieux qui la fait tant languir,
mal
dont le médecin cherche en vain la cause, et dont
vain la cause, et dont la camériste sourit à bon escient, c'est un
mal
qui souvent s'attaque au coeur des jeunes femme
en sont les tourments ; mais aussi le remède en est doux C'est le
Mal
d'amour ! .... Veut-on, dès à présent, avoir co
T. XII. PL. XV. Cliché Hansstaengl. Photograuire Hansstaengl.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitule Un méd
à l'ancienne Pinacothèque de Munich. Masson et Ciao, Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 67 le pouls du bout des doigts en faisa
vie dégoûter, à présent me répugne Tout m'indiffère, tout me fait t
mal
... Ne m'ordonnez aucune médecine. C'est bien fini
maîtresse : « Eh quoi, Madame, sied-il de vous tant désoler ? Votre
mal
n'est pas sans remède. Voici monsieur le docteu
tions du monde. Car la belle Hollandaise est encore une victime du
Mal
d'amour. Et ce mal a ses médecins qui ne porten
r la belle Hollandaise est encore une victime du Mal d'amour. Et ce
mal
a ses médecins qui ne portent bonnets ni rabats,
nt bel is miune pn. » Ici, la médecine ne peut rien, Car c'est le
mal
d'amour. 68 HENRY MEIGE Mal d'amour ! .... Te
médecine ne peut rien, Car c'est le mal d'amour. 68 HENRY MEIGE
Mal
d'amour ! .... Tel est donc ce mal mystérieux qui
le mal d'amour. 68 HENRY MEIGE Mal d'amour ! .... Tel est donc ce
mal
mystérieux qui, s'il faut en croire Jan Steen,
La peinture semblerait le démontrer. Faut-il la croire ? Certes, le
Mal
d'amour existe. Mais il est de tous les temps et
a déconcerté les médecins et s'est gaussé de leurs médecines. Le
Mal
d'amour n'est pas spécial à la Hollande. Nulle pa
grâces langoureuses que font éclore les penchants contrariés. Leur
mal
est à la fois physique et psychique. Le médecin n
e qui semble dépaysé dans le langage médical. Qu'est-ce donc que le
Mal
il 'amour ? . (A suivre.) Le gérant P. Bouche
gne de démarcation entre les tissus malades et les tissus sains est
mal
déterminée ; et il serait abusif de considérer
Tel est le cas de la plupart des maladies familiales. Le « germe du
mal
» re- monte à la période blastodermique, mais r
quatre enfants dans laquelle les trois ainés sont affligés du même
mal
. Ainsi la dystrophie est familiale : indice qu'
ui rappelle celui d'un humérus normal. Cette reprise de volume nor-
mal
porte aussi sur l'extrémité inférieure de cet os
avant-bras et le lui soutenir. N'est-ce pas là le cri qui indique son
mal
? Nous pensons que les phénomènes de compressio
amas cellulaires dont est semé le nerf à cet endroit a l'état nor-
mal
avait presque totalement disparu. Ces cas sont
s. On le confond communément, en clinique, avec le problématique et
mal
défini sens musculaire. On dit par exemple que
l'activité de ses muscles, ce n'est même pas parce qu'il coordonne
mal
ses efforts mus- culaires,c'est simplement parc
al ses efforts mus- culaires,c'est simplement parce qu'il approprie
mal
ses efforts. Et s'il appro- prie mal c'est parc
mplement parce qu'il approprie mal ses efforts. Et s'il appro- prie
mal
c'est parce qu'il ne se représente plus l'attitud
, et le mouvement absurde de l'ataxique coordonne bien et approprie
mal
, parce qu'il est troublé dans la représentation d
'un grossissement énorme de tout le champ vi- suel qu'on s'explique
mal
. L'obnubilation visuelle qui accompagne l'irrit
près que la roue eût achevé son demi-tour : il se releva sans aucun
mal
, mais très effrayé par cet accident il se mit à
SON A Cie, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 181
male
sans déformation appréciable, dételle façon que l
ntale. Il conti- nue son travail durant quatre jours, tant bien que
mal
, et cesse alors en constatant lui-même dans la
'enfant avait dormi sur la terre humide deux mois avant le début du
mal
, et c'était là la cause unique qu'on pût retrou
inal, il est tantôt rapproché du rachis, tantôt il la distance nor-
male
. D'autre pari, il est quelquefois écarté du thora
ant de brides amniotiques : l'hypothèse de ces cicatrices cadrerait
mal
avec l'étendue de la lésion et son aspect rétic
ions d'une pièce de 20 cen- times. Depuis quelque temps, souffre de
maux
d'estomac et est essoufflée quand elle court.
nt les cellules semblent aug- mentées de volume ; elles se colorent
mal
par les réactifs, soit picro-carmin, soit coule
d'un tissu scléreux très ancien; ces ilots musculaires se colorent
mal
par le picro-carmin. Au milieu du tissu con- jo
il tous les syphilitiques, quelle que soit l'intensité apparente du
mal
, et que peut-être les cas malheureux que nous ven
tout à l'éruption ac- tuelle. Les cheveux tombèrent, la malade eut
mal
à la gorge, et le mari, qui lui aussi avait des
et recommandais il la malade de prendre cette médication, fùt-elle
mal
tolérée, pendant 6 semaines. Loca- lement, aux
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLE FLAMANDE ET HOLLANDAISE). LE
MAL
D'AMOUR (Suite). PAR HENRY MEIGE. II «
médecins les plus distingués du siècle précédent. Pour connaître le
Mal
d'Amour, on ne saurait mieux faire que de s'adr
médecin. Précurseur des psychologues modernes dans sa conception du
mal
d'ai- mer, Sauvages y reconnaît déjà un trouble
n l'envisageant comme une forme psychopathique spéciale (2). Le «
mal
d'amour » se manifeste donc par des signes psychi
scription l'on ne peut guère se méprendre, et au XVIIIe siè- cle ce
mal
portait déjà un nom dont le parrain, Jean Varanda
r, Bibl. de philosophie contemporaine, 1894, cité par Grasset. LE
MAL
D'AMOUR 229 « ...Anémie de la puberté, spontané
t la taille des globules normaux (1). » Telle est la chlorose. Le
mal
d'amour aurait-il été aussi tout cela ? Peut-être
soloistes ont laissé tomber dans le discré- dit à la fois le nom de
mal
d'amour et l'idée qui s'y rattache. Les termes
sition à la maladie. En définitive, aujourd'hui, il n'y a plus de
mal
d'amour. Ce qui 'existe, ce qui est digne de fi
iens de parenté qui unissent la chlorose contemporaine au ci-devant
mal
d'amour du XVIIIe siècle. ' * .. < La
» dont il parle dans sa thèse. C'est la chlorose et c'est aussi le
mal
d'amour. (1) LIZET, La chlorose, Bibl. Charcot-
l existait aussi une mélancolie d'amour, provenant d'une passion LE
MAL
D'AMOUR 231 immodérée pour l'objet aimable, laq
d ». Aussi ne doit-on pas être surpris de lire dans Sauvages : « Le
mal
d'amour expose à de graves complications : la m
. Ainsi, dans les idées comme dans le langage médical de l'époque,
mal
d'amour et chlorose sont unis il ce point qu'il
iment faire injure à ces gracieuses enamourées que de désigner leur
mal
par ces termes rébarbatifs de « dyscrasie », de «
as ne pas être frappés de la véracité avec laquelle les peintres du
mal
d'amour ont mis en évidence certains caraclères
En tout cas, c'est, au premier chef, le signe pathogno- monique du
mal
d'amour. Sauvages le proclame, s'en référant lui-
qui aime pâlit ù l'aspect de ce qu'elle aime. » Telle était une LE
MAL
D'AMOUR 233 A vrai dire, dans les peintures de
inquiéter outre mesure sur la gravité de la situation. Pour lui, le
mal
est éphémère : il se dissipera au premier billet
are qu'on observe chez elles une sorte d'embonpoint de cause encore
mal
définie : turgor vitrtlis ou 1 ! 11111)ha- ticu
t d cette invincible lassitude qui semble paralyser les victimes du
mal
d'aimer. N'est-ce pas justement l'état moral de
eur procure un repos introuvable, insensibles aux propos joyeux, LE
MAL
D'AMOUR 235 aux paroles réconfortantes, incapab
moisons qui semblent bien se rattacher aux funestes conséquences du
mal
1 d'amour. Dans l'histoire clinique de la chl
ts : il s'accélère et devient bondissant. Il en est de môme dans le
mal
d'amour. « L'amour, dit Sauvages, est facilemen
nfin de migraine, il est constant que les chloroliques souffrent de
maux
de tète. Les malades d'amour témoignent surabon
urabondamment par leurs attitudes qu'elles sont atteintes des mêmes
maux
. Tantôt, accoudées contre un meu- ble, on les v
emède obligatoire contre toutes* douleurs ou névralgies. Au moindre
mal
de tête, on posait loco dolenli un emplâtre de gr
la racine debrione cuite sous les cendres chaudes (1 ) ». Contre le
mal
de dent, on conseillait les emplâtres de mastic.
illait les emplâtres de mastic. « Vous portez une mouche, avez-vous
mal
aux dents ? » lit-on dans une satire de Courval
cution proverbiale, encore usitée de nos jours, dit explicitement : «
Mal
de dent, mal d'amour. » D'où vient ce rapproche
ale, encore usitée de nos jours, dit explicitement : « Mal de dent,
mal
d'amour. » D'où vient ce rapprochement ? De la si
ochement ? De la similitude du remède peut-être, de la mouche. LE
MAL
D'AMOUR . 237 Ces emplâtres recouverts de taffe
admettait d'intimes relations entre les désordres menstruels et le
mal
1 d'aimer. Faut-il s'attendre à ce que la peint
prétation aussi risquée. Ce n'est pas tout. La thérapeutique du
mal
d'amour, telle qu'on la comprenait alors, vient
ion de citer son poète favori, fait remarquer avec Ovide que, si le
mal
n'est pas incurable, les malades cependant répu
d'air, les divertissements, les exercices violents, etc... » ' LE
MAL
D'AMOUR 239 A ces prescriptions qu'aucun médeci
cer une influence heureuse sur cer- taines formes de chlorose. Le
mal
d'amour était justiciable du même traitement. L
que sa languissante maîtresse n'a d'autre maladie qu'un très grand
mal
d'amour : « La meilleure médeçaine que l'an pou
ibarbe et de séné, et qu'un mari est un emplâtre qui gârit tous les
maux
des filles (2) ». Tel était aussi, à n'en pas d
n'en pas douter, l'avis de maître Jan Steen sur la thérapeutique du
mal
d'amour. - * . .. * De tout ceci faudra-t-j
dans le langage populaire, mais encore dans les écrits médicaux, le
mal
d'amour était considéré contre une vérita- ble
enfin et surtout, que des artistes contemporains voulant peindre le
mal
d'amour, ont doté leurs malades d'un certain nom-
olées. Bien mieux que par ces conditions étiologiques douteuses, le
mal
d'amour devait frapper les artistes par la caus
ncolie que rien n'arrive à vaincre, et tant d'autres indices où les
maux
de l';ime semblent à ceux du corps intimement m
tile de chercher ailleurs la raison d'être de leur prédilection. LE
MAL
D'AMOUR 241 Enfin, on sait combien sont fréquen
ine de tableaux de l'école hol- landaise que l'on peut rattacher au
mal
d'amour. Et cette liste n'est peut- être pas cl
Dow, d'autre part, semblent avoir été les premiers illustrateurs du
mal
d'amour. Frans van Mieris, Vletzu,'lerborch, Ne
Frans Hais et Rembrandt, n'ont, ni l'un ni l'autre, repré- senté le
mal
d'amour. Ce n'est donc pas dans l'oeuvre de Rembr
nt. Par terre, le réchaud, le panier d'osier à mettre t'urinai, et,
mal
dissimulé sous la table, le vase i-ntimè que Ja
f ahandon de tout son être, quelle lamentable désespérance ! . .Le.
mal
d'amour l'a prise et l'a frappée 'de cruelle mani
d'amour l'a prise et l'a frappée 'de cruelle manière. Vraiment, ce
mal
.est. sans pitié. - Celle- belle enfant qui ne d
provocatrices, qui semblent exposer plus grièvement aux blessures du
mal
d'amour. Ainsi l'avait remarqué Varandal. Ain
hwerin. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XXXV.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Mal
Braun, Clément et Cil'. Photogravure Rougeron, Yignel'ol, Dumoulin.
MAL
D'AMOUR Tableau de JnN STSCN, intitulé La Vis
usée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. Masson ET Ci», Editeurs LE
MAL
D'AMOUR 243 Par habitude, il a pris l'urinai ;
de la malade et qui suffit à dissiper toute impression pénible. Un
mal
que le médecin se permet de rallier ainsi sous
Médecine, tu n'es bonne à rien céans. . Ne vois-tu pas que c'est le
mal
d'amour ? Plus de doute sur le diagnostic. Et p
u, qui, nonchalamment .s'abandonne. - « J'entends, c'est ici que le
mal
la lient », - et de sa main le médecin montre s
- ajoute-t-il, je regrette fort de n'être pas moi-même la cause de ce
mal
là, car je l'aurais guéri de merveilleuse maniè
ideaux rouges. C'est lui peut-être qui représente ici la « cause du
mal
» en personne, un Cu'pidon de chair et d'os. l'
en personne, un Cu'pidon de chair et d'os. l'« agent provocateur du
mal
d'amour.. » (1). Nous signalerons encore ici, b
, p. HO- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XII. PL. LXXVII
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé Le Cou
buvant. au Rijk Museum d'Amsterdam. MASSOX et Cie, Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 245 d'abord séduite dans l'atelier de m
a main gauche placée sur sa poitrine, semble indi- qner le siège du
mal
». Voilà qui ressemble singulièrement au mal d'
di- qner le siège du mal ». Voilà qui ressemble singulièrement au
mal
d'amour. Et en vérité, il est très possible que
noire au niveau de la tempe : indice d'un emplâtre ré- vélateur du
mal
d'aimer. On pourrait s'étonner que pour prendre
cher ce tableau il la série que le maître hollandais a consacrée au
mal
d'amour. Mais voici maintenant que maître Steen
s victimes d'une chaste passion contrariée, souf- frant de tous les
maux
de la fièvre amoureuse. La Visite à la malade d
este. C'est cependant une scène médicale et il n'est pas dit que le
mal
d'amour ne l'ait pas inspirée (Pl. XXXVIII).
s, dans la plus complète insouciance de son audacieux négligé. Le
mal
qui l'a, frappée est-il grave à ce point qu'elle
de vin d'Italie. C'est dire clairement que l'appétit ne va pas trop
mal
. . Grave ou non, la maladie cependant existe. U
lié Dcwald (La Haye). Photogravure Ilougeron, Y'gnerot, Dumoulin.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN Steen, intitulé La Vis
u Baron Steengracht, à La Haye. l\IA8o : \ 1;1' Cic, Editeurs. LE
MAL
D'AMOUR 247 le chapeau sur l'oreille, la coller
se sous une ombre de moustache tortillée : « Peste, dit-il, le beau
mal
à iiié(liciiiienier Ah ! que n'ai-je le moyen d
Un surtout ! .... Mais je n'en ai pas qualité Car, évi- demment, le
mal
est là ! », - et ce disant, notre homme met la ma
e. Mais le clystère faisait-il partie de l'arsenal thérapeutique du
mal
d'amour ? S'il est vrai que mal d'amour et ch
tie de l'arsenal thérapeutique du mal d'amour ? S'il est vrai que
mal
d'amour et chlorose ont d'étroites affinités, c'e
thérapeutiques, fai- sait partie' des médications usitées contre le
mal
d'amour. ' Etait-il « discussif ou 'carminatif,
T XII, PL. XXXIX. Cliche Loewy (\"JeuHe\. Photogravure Loewy.
MAL
D'AMOUR Tableau de JAN STEEN, intitulé La Vis
in. Collection Nostitz, à Prague. .\IASSON et CI', Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 249 La malade elle-même dissimule mal s
t CI', Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 249 La malade elle-même dissimule
mal
son sourire. Quant au médecin, nous l'avons vu,
ni grave ni dou- loureuse. Et sans préciser autrement la nature du
mal
ni celle de l'opéra- tion, simple clystère évac
quelque désordre génital, l'un ou l'autre d'ailleurs applicables au
mal
d'amour, - rendons encore une fois hommage au m
e me suis demandé si maître Steen n'avait pas voulu nous montrer un
mal
d'amour d'une nature toute par- ticulière. La d
offe ne dissimulent qu'à demi la rotondité suspecte. Après tout, le
mal
en question n'est peut-être encore qu'une consé
leau de la galerie Nostitz nous ferait ainsi connaître une forme du
mal
d'amour qui n'a rien de commun avec les précédent
sa gorge rebondie. L'ensemble repré- sente assez bien une femme en
mal
de grossesse, souffrant de pesanteurs, de const
e famille. Nous dirons donc qu'il s'agit encore ici d'un épisode du
mal
d'amour, mais du mal qui provient de l'amour co
s donc qu'il s'agit encore ici d'un épisode du mal d'amour, mais du
mal
qui provient de l'amour consommé. Un dernier dé
é sur sa tempe droite l'emplâtre traditionnel destiné à adoucir ses
maux
. Enfin n'oublions pas la servante qui arrive pa
s de Jan Steen qui nous ont paru se rattacher de près ou de loin au
Mal
d'Amour. Neuf tableaux, - sans compter ceux qui
ne l'indication de plusieurs oeuvres de Jan Steen qui appartien- LE
MAL
D'AMOUR 251 Et si Boissier de Sauvages, au XVII
de l'amour, sans contredit il mérite bien le surnom de « peintre du
mal
d'amour ». Il est impossible de séparer de l'oe
on hésite NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. XL,
MAL
D'AMOUR Tableau de R. Brackenburgh, intitulé
UR Tableau de R. Brackenburgh, intitulé Il n'y a pas de remède au
Mal
d'Amour. Musée Boijmans, à Rotterdam. lassoa
Amour. Musée Boijmans, à Rotterdam. lassoa rr C °, Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 253 souvent clans leur attribution. L'i
696. 11 s'agit d'un peinture intitulée : il n'y a pas de remèdes au
mal
d'a- mour (1) (PI. XL) au musée Boijmans, à Rot
e de douleurs abdominales ? ... Et quelles douleurs ? ... Est-ce un
mal
ovarien que pourrait soulager la compression, que
Et c'est justement là ce qui semble mettre en gaîté l'assistance. Le
mal
pour lequel on amande le médecin n'est pas préc
e bonne sage-femme ferait sans doute bien mieux l'affaire, car ici le
mal
d'amour ressemble fort au mal d'enfant. A ce ma
oute bien mieux l'affaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au
mal
d'enfant. A ce mal en effet, comme le dit la lé
ffaire, car ici le mal d'amour ressemble fort au mal d'enfant. A ce
mal
en effet, comme le dit la légende, on ne connaî
T. XII. PL. XLI. Choho liaiiistaeiigl. l'hotogravurellaasstacng
MAL
D'AMOUR Tableau de S.1MUEL VAN HooGSTRAATEN, au
RAATEN, au Rijk Muséum d'Amsterdam. IASSO\ LT C ? l : diL2UCS. LE
MAL
D'AMOUR 255 VI . Sous l'influence de l'école
MAL D'AMOUR 255 VI . Sous l'influence de l'école de Rembrandt, le
mal
d'amour revêt un as- pect plus sévère. La not
rées prend un nouvel attrait, plein de charme et de séduction. Le
mal
physique demeure cependant visible, mais on devin
il en connaît la cause; il veut nous associer sa compassion pour le
mal
charmant qui s'attaque à de si jolies malades.
, toute équivoque disparaît; toute plaisanterie serait déplacée. Le
mal
d'amour est un mal dont on pleure : sur ce mal il
isparaît; toute plaisanterie serait déplacée. Le mal d'amour est un
mal
dont on pleure : sur ce mal il faut nous apitoyer
serait déplacée. Le mal d'amour est un mal dont on pleure : sur ce
mal
il faut nous apitoyer. Aussi, plus de médecins
de symboles ou de lé- gendes, les stigmates physiques suffisent. Le
mal
d'amour frappe plus haut, mais il frappe toujou
v. Il. - Vendu en 1833 850 florins. Collection van der Hoop. - LE
MAL
D'AMOUR 2S'7 jeune femme, - la malade - et un h
plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du
mal
. C'est le Mal d'Amour ! Samuel van Iloogstralen
mes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du mal. C'est le
Mal
d'Amour ! Samuel van Iloogstralen a rendu tous
T. XII, PL. XLII. Cliché IIansstaeng l'hotograwro nansslacngl.
MAL
D'AMOUR Tableau de GLRARD Dow, à Buckingham Pal
r G. NETSC11ER, au Musée de Dresde. Masson et CU ! , Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 259 C'est peut-être la plus belle produ
regard tous les dé- tails de l'examen. Nul doute sur la nature du
mal
qui l'afflige. C'est le Mal d'amour. Voyez son
de l'examen. Nul doute sur la nature du mal qui l'afflige. C'est le
Mal
d'amour. Voyez son teint d'albâtre, ses lèvres
une large mouche, bien en vue, tranche par sa noirceur sur le blanc
mal
de la figure, stigmate certain de la maladie. E
ain droite appuyée contre la poitrine montre clairement le siège du
mal
: c'est le coeur, dont les battements tu- multu
ie, il oublie les attraits de sa jolie cliente pour ne songer qu'au
mal
qu'il veut dépister. Et, détournant ses regards
pédantes- ques. , Voilà bien la tenue qui convient au médecin du
mal
d'amour. Et, s'il manque à ce jeune docteur l'e
-il mieux en mesure qu'un confrère au chef blanchi de comprendre le
mal
dont souffre la belle clame. Mais qu'il se garde
dont souffre la belle clame. Mais qu'il se garde de la contagion ! Le
Mal
d'Amour guette parfois les hommes : il n'est pa
a une variété d'infantilisme qui se traduit par une fragilité anor-
male
et, si je puis m'exprimer ainsi, par une sénilité
. 1 A. On n'insiste pas assez sur les antécédents héréditaires d'un
mal
aussi essentiellement héréditaire que le myxoed
is il y a récidive. Quand elle laisse le médi- cament, le retour du
mal
s'annonce en premier lieu par de la pesanteur de
e beaucoup de douleurs musculaires des membres et attribue tous ses
maux
au rhumatisme. La constipation est opiniâtre. Au-
recours, les DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 285 progrès du
mal
. Dans classe pauvre, où l'on se fait arracher les
la vue et de l'ouïe (1). Les patients voient des ohjets à contours
mal
définis, ressemblant à des chats, des rats ou des
onique bénigne. L'appauvrissement thyroï- dien se manifeste par des
maux
de tète qui ont été longtemps attribués à l'ané
eusement affectés. Invaria- blement, les patientes attribuent leurs
maux
au rhumatisme. Cette expli- cation rencontre d'
l'immense majorité des cas, dans l'insuffisance bé- nigne. C'est un
mal
de toute la vie. Elle existe dès l'enfance, trave
ut encore être invoqué. Les hypothyroïdiens attribuent tous leurs
maux
céphalée, rachial- gie, névralgies, douleurs de
enlever pour faire place aux dents définitives. Celles-ci viennent
mal
. irrégulièrement. Les incisives supérieures lat
era le sujet de l'observation suivante ; la cin- quième fille s'est
mal
développée, contrefaite, pâle et oppressée. Les a
rès rapidement au point d'empêcher tout travail. La malade supporte
mal
le froid. La consti- pation est opiniâtre, Les
ses dans les cuisses diminuent. Le 18 août 1898, la malade n'a plus
mal
ni il la tête, ni dans le dos, ni dans le ventre
disparu, et au toucher l'utérus indolore a repris sa position nor-
male
. DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 303 Or;
oppression. La migraine est surtout matutinale : elle se lève ayant
mal
de tête. Elle a souffert beaucoup aussi de névr
tion. Les gencives sont enflammées, bordées de tartre. Elle supporte
mal
le froid et tout aussi mal les chaleurs, se fat
ammées, bordées de tartre. Elle supporte mal le froid et tout aussi
mal
les chaleurs, se fatigue facilement et a une tend
blement amendées. Le poids monte à 48 kil. 700. Le 30 septembre, le
mal
de tête a beaucoup diminué; la constipation tend
l. 100. Le 6 octobre, la constipation est définitivement levée ; le
mal
de tête a presque cessé. Poids : 49 kil. 500. Le
s et font t saigner. Le 8 octobre, la constipation est levée et les
maux
de têle deviennent moins fréquents. Elle ressen
res ; la malade aperçoit des étoiles brillantes, elle voit des objets
mal
définis raser le sol et traverser rapidement l'
e la peau (3),t'ichthyose(4). L'érylbromélalgie, les escha- res, le
mal
perforant peuvent être rattachés aux troubles tro
de 1 m. 60, envergure 1 m. 61, poids 59 kg. 500. Ses oreilles sont
mal
ourlées et l'hélix présente des nodosilés. Il y a
on et ses perversions sont très fréquents : mais on est encore très
mal
fixé sur le point de savoir à quelle période de
eux commencèrent à se produire, la malade s'aperçut qu'elle sentait
mal
le sol sous ses pieds, il lui semblait marcher su
mars 1898. On la soumet pendant trois mois à l'élongation, qui a été
mal
tolérée. Étal actuel. La malade présente un c
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE.
MAL
D'AMOUR (Suite). . ' ' PAR , HENRY MEIGE.
e Braun, Clément et CiC. Photogravure Rougcron, Vignerut, Dumoulin.
MAL
D'AMOUR Tableau de GABRIEL Metzu, intitulé '
usée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. \fy550 Lt C ? Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 341 angoisse elle serre le bras amaigri
Elle suffit néanmoins à nous tirer d'inquiétude. Consolons-nous, le
mal
est plus apparent que réel. N'est-ce pas le pro
ous, le mal est plus apparent que réel. N'est-ce pas le propre du
mal
d'amour ? Si vraiment. Et nous en trou- vons la
r. Nous savons qu'il équivaut à un diagnostic. C'est bien encore le
Mal
d'Amour. Metzu a peint une autre scène médicale
, XII. PL, LIX. Photographie Loewy (Vienne). Photogra\ ure Loewy.
MAL
D'AMOUR Tableau de G. METZU, de la.collection G
ction G. Edlen von Preyer Vienne. - Masson et Cic, Editeurs. LE
MAL
D'AMOUR 343 le bras d'un agréable dessin, le po
acht, si peu soucieuse de la liberté de son ajustement. Jamais le
mal
d'amour n'a revêtu un aspect plus séduisant. La l
aspect d'un guérisseur ? Et n'est-il pas plutôt le propagateur d'un
mal
dont il pourrait être aussi le remède ? Vraim
c'est peut-être la meilleure façon qu'il connaisse de soulager les
maux
de sa cliente. Ce type de docteur frisé, musqué
ienne, il ne semble pas que le docteur ait été lui-môme la cause du
mal
. Le coupable est non moins jeune et non moins b
nous a rendu familier et qui nous permet d'affirmer qu'il s'agit du
Mal
d'Amour. Si la malade n'estpas des plus dangere
grande promptitude.... ». C'est ainsi qu'on expliquait la genèse du
mal
d'amour. Au nombre des élèves de Gérard Dow, ce
XII. PL. LX. Photographie l.oe\\y (Vienne). Phutugmure LlC\\).
MAL
D'AMOUR Tableau de FRANS VAN Maris le Vieux L
La Consultation Musée de Vienne. Masson et Cie, Éditeurs. . LE
MAL
D'AMOUR 345 par de pieuses lectures. « Ah ! doc
es noires qu'engendre souvent l'anémie et que l'on retrouve dans le
mal
d'amour. L'homme de l'art qu'elle consulte en c
tte malignité qui fume vers la région du cer- veau... ». Voilà le
mal
. C'est celui de l'héroïne de l'Amour médecin ; on
elui de l'héroïne de l'Amour médecin ; on ne niera pas que c'est le
mal
d'amour. Ce médecin de van Mieris est vraiment
s rencontrons pour la première fois dans l'arsenal thérapeutique du
mal
d'amour. A cela, rien de surprenant. Le 346 HEN
, c'était ne pas soigner. Pourquoi faire une exception en faveur du
Mal
d'Amour ? . * .. Il est intéressant de rapp
galerie de Mannheim (1), une scène médicale, nouvelle répétition du
Mal
d'Amour (PI.LXII). Cette peinture de valeur sec
aphie C. Ruf (Mannheim). Photogravure Rougeron, Vignerot, Dumoulin.
MAL
D'AMOUR Tableau de P. van Slingelant, intitulé
Dame malade . Galerie de Mannheim. Massok ET Ci-, Editeurs. LE
MAL
D'AMOUR 347' ridicule; c'est au point qu'on se
s contredit du dernier galant. Et c'est bien encore un épisode du
mal
d'amour que Slingelant a voulu représenter. La
cela Jan Steen etBrac- kenburgh, semble avoir voulu représenter le
mal
qui résulte de l'amour consommé. La Consultat
29. , NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T, XII. PL. LXIII.
MAL
D'AMOUR Gravure d'après un tableau de GODFRIED
tation indiscrète Musée de la Haye. Massos et C'c, Éditeurs. LE
MAL
d'amour 349 l'oeil vif et le sourire facile. Il
t le sourire facile. Il doit trop bien connaître les tristesses des
maux
irrémédiables pour laisser échapper les occasions
doit être le germe même de cette maladie... mua belle enfant, votre
mal
n'est pas grave. Car c'est le mal qui en- gendr
aladie... mua belle enfant, votre mal n'est pas grave. Car c'est le
mal
qui en- gendre la vie. Vous savez mieux que moi
t pas le don de consoler la jolie pécheresse ; elle redoute fort ce
mal
que l'amour a causé. Car il n'y a plus à se leurr
en l'amour encore qui vient de l'aire une nouvelle victime. Mais ce
mal
d'amour n'a rien de pathologique : il appartient
la proéminence de son ventre ne laisse aucun doute sur la nature du
mal
dont elle est affligée : c'est, à une période p
es scènes médicales que les.ar- tistes hollandais ont consacrées au
Mal
d'Amour (1). Comme dans tous les tableaux de ge
té les unit les unes aux autres. La conception qu'on avait alors du
mal
d'amour, aussi bien dans le monde médical que d
en, on peut soutenir avec vraisemblance que l'on est en présence du
mal
d'amour médicalement décrit par Varandal et Sau
ureuse, des jeunes filles » qui ressortit à la pathologie virginale ;
mal
bien réel, du corps et de l'esprit. Nous avons
ion de la maladie de Varandal ; c'est tout crû- ment le prologue du
mal
d'enfant. Cependant, nous n'avons pas cru devoi
e dans les accessoires. En outre, parce que la distinction entre le
mal
d'amour, avant ou après la faute, reste forcément
urs tableaux, est donc applicable à cette étude. Le plus souvent le
mal
d'amour est celle maladie virginale, qui a droit
artient en effet à un groupe de cas encore peu connus et sans doute
mal
interprétés. Un trau- matisme parfois léger et
par contre pas de déformations thoraciques, et le sternum est nor-
mal
. La verge est un peu hypertrophiée, surtout au
ur mieux dire que l'hérédité névropathique, condition nécessaire du
mal
comitial, est une condition au moins favorable au
abisme. Il n'y a pas de dyschromatopsie, l'acuité visuelle esl nor-
male
. Il y a de l'inégalité pupillaire, la pupille dro
LES PEINTRES DE LA MÉDECINE (ÉCOLES FLAMANDE ET HOLLANDAISE) LE
MAL
D'AMOUR (Suite et fin) PAR HENRY MEIGE X
pendant, il en est qui méritent au moins une ci- tation à propos du
Mal
d'amour. Ce sont, bien entendu, des consultations
l d'amour. Ce sont, bien entendu, des consultations féminines. Le
mal
d'amour en est-il la raison ? Peut-être ? Mais il
ableau de Thomas (Gérard). Musée de Dijon. ET Cil, Editeurs. LE
MAL
D'AMOUR 421 il est en droit de se demander si s
e principale rappelle encore les consultations de Sciai- ken sur le
mal
d'amour. ' ' Dans une vaste officine, où gisent
livrance aura lieu. ' On reconnaît. là la variété physiologique du
mal
d'amour que nous ayons déjà signalée^ Elle est
femme âgée. Il ne semble alors guère possible de mettre en cause le
mal
d'amour. Peut-être, faut-il le soupçonner dans
(1612-1661). Galerie de Mannheim. lIlAs"ox et C", Éditeurs. LE
MAL
d'amour 423 Là, il est vrai, la cliente est plu
celle, et que trop tard elle s'en repent ? ... Ne serait-ce pas le
mal
d'amour, dans ce qu'il a de moins éthéré, es- q
nte ne peut même être soupçonnée d'avoir eu maille à partir avec le
mal
d'amour. Tel, le Médecin attribué à DAVID TENIE
femme, debout, derrière lui, vient de lui apporter (1). A propos du
mal
d'amour, ces oeuvres d'art méritaient simplement
tes hollandais ont consacrées aux Evanouissements. Assurément, le
mal
d'amour n'en a pas été l'inspirateur nécessaire.
nts syncopaux fréquents dans cette maladie. ' Pour celles dont le
mal
n'est autre qu'une très physiologique grossesse,
odromiques de la gesta- tion ? ... (lot. II. 0,33. L. O ? i, LE
MAL
d'amour 425 Le mal d'amour, sous quelque forme
a- tion ? ... (lot. II. 0,33. L. O ? i, LE MAL d'amour 425 Le
mal
d'amour, sous quelque forme qu'on l'envisage, peu
e bien ap- partenir ci la série des pâmoisons que peut engendrer le
mal
d'amour. On voit, au musée de Rennes, un dessin
ce d'autres détails, on ne peut songer avoir en elle une victime du
mal
d'amour (2). Frans Mieris le Vieux est magistra
u d'une société élégante, pendant un repas, une jeune femme se trouve
mal
. Une des convives, plus âgée, la soutient et lu
ieux. A la Pinacothèque de Munich. Masson i : r C, Éditeurs. LE
MAL
D'AMOUR 427 paupières, tout est vrai, tout a ét
, l'un et l'au- tre sont de première marque. Quant à la nature du
mal
qui cause cet évanouissement, rien ne permet de
cause cet évanouissement, rien ne permet de la préciser. Est-ce le
mal
d'amour ? Est-ce le mal d'enfant ? Est-ce toute
t, rien ne permet de la préciser. Est-ce le mal d'amour ? Est-ce le
mal
d'enfant ? Est-ce toute autre affection capable
ée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg. Masson ET Cil', Editeurs. LE
MAL
d'amour 429 On l'intitule : Suite d'une nouvell
li poignet de sa cliente. Son regard compatissant n'aperçoit que le
mal
à guérir, et, volontairement, dédaigne de voir
l'on peut avec vraisemblance reconnaître un épisode inspiré par le
Mal
d'Amour. Elégant parmi les plus élégants des pe
derié. Cependant, cette belle et riche personne vient de se trouver
mal
. Mais, comme il fallait s'y attendre, cet incid
iteurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALFBTrUÈRE T. XII. Fi, LXXV. LE
MAL
D'AMOUR 431 ouvragés ; dans le fond une imposan
scènes mé- dicales que nous venons de décrire.' Et qui sait si le
mal
d'amour n'est pas la cause inconnue qui fait per-
me ? Plus qu'aucune autre elle semble faite pour contracter le joli
mal
qui s'abattait alors sur les filles de Hollande
on. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être confondus avec les scènes du
mal
d'amour. * * La. Femme hydropique de Gérard
oeuvre admirable n'a rien de commun avec les peintures relatives au
mal
d'amour (1). La Consultation de BREKELENKAM, da
ien d'autres ont stigmatisé tant de fâcheux représentants. Quant au
mal
qu'il est appelé à guérir, impossible aujourd'hui
? Réponse. Tout, tout (elle montre sa tête). Question. Avez-vous
mal
à la tête ? Réponse. Tout (elle montre son fron
-vous bien dormi ? Réponse. Oui très bien, je vais seulement un peu
mal
là (Quelques tra- ces de prurigo). Question.
es définit ou indique leur nature ; ses phrases sont in- complètes,
mal
construites (antonomase, agmmmatisme). - Pas de c
s ma soupe. - Répétez : Il fait beau temps aujourd'hui. - Oui pas
mal
(d'un ton de moquerie, car il fait en réalité un
ns, vite, vite, il va me prendre ; mais va-t-en ; il va me faire du
mal
. Quitte-moi. J'ai mal à la tête... Viens mon vi
me prendre ; mais va-t-en ; il va me faire du mal. Quitte-moi. J'ai
mal
à la tête... Viens mon vieux (en parlant à la s
jamais de douleurs sur les trajets vasculaires ou nerveux. Tout le
mal
se réduit- à cette vaste enflure blanche, dure et
remarquer la mère, que celle-ci ne grossira pas à son tour, car ce
mal
semble être un héritage ancestral auquel il sembl
les), OEdème angio-neurotique chez un enfant de trois ans, Rev. des
mal
. de l'enfance, 1895. - Histoire d'une fillette de
inaire de la peau, légèrement rosée. OEdème dur, élastique, gardant
mal
l'empreinte du doigt. - F. Wiual, Ulcérations b
de résultats plus engageants. Le trophoedème chronique est donc un
mal
incurable. En prenant des .précautions pour évi
ège de durillons et de cors. Pas de kératose plantaire. Ja- mais de
mal
perforant ni de bulles pempliigoïdes. La sensibil
omme d'ivoire dont Toinette connait bien les inutiles menaces... Le
mal
est-il au foie, à la rate ou au poumon ? ' ? Il
Pour le moment on peut soupçonner quelque crise de goutte à ce pied
mal
chaussé qui repose sur une chauffe- rette. Pa
ice, pour se fixer, avec une insistance troublante, sur les charmes
mal
dissimulés de l'avenante enfant assise à ses côté
vieil admirateur un objet dont le spectateur définira tant bien que
mal
la nature et la si- gnification : apparemment,
la si- gnification : apparemment, ce sont des os. Derrière ce duo
mal
assorti, une servante vêtue de brun et coiffée de
yndrome de) et syphilis hérédi- taire, par Tommasi de Amicis, 34.
Mal
d'amour (Les peintres de la méde- cine, école f
peintres de la méde- cine (Ecoles flatiiande et hollandaise). Le
Mal
d'Amour (24 phot.), 51, 227, 340, 420. Meige
XXX111, XXXIV. Maladie de Thomsen (E. Noguès et J. Sirol), III.
Mal
d'Amour (Henry 111E1GE),XII, XIII, XIV, , xv, x
particuliers qui seront à notre disposition. ARTICLE PREMIER. DU
MAL
VERTÉBRAL DE POTT. La colonne vertébrale, ce ce
principale maladie chronique du rachis est celle qui a reçu le nom de
mal
vertébral ; c'est comme si l'on disait l'affectio
ai cette dénomination vague; on en verra bientôt la raison. Le nom de
mal
de Pott consacre une injustice ; on serait tout a
al de Pott consacre une injustice ; on serait tout aussi fondé à dire
mal
de Camper, de Hu-naud, de Séverin, et de tant d'a
n anglais. Définition et nature de la maladie. — On peut définir le
mal
vertébral : une affection des ligaments intervert
st pas d'accord sur la nature de la lésion primitive qui constitue le
mal
vertébral et qui amène la destruction des disques
ection tuberculeuse. C'est là effectivement une forme très-commune du
mal
vertébral, surtout à l'hôpital des Enfants. Cepen
ion de ces ligaments, la lésion des vertèbres et toutes les suites du
mal
vertébral ; mais on ne peut évidemment généralise
anato-mie pathologique, du diagnostic, du pronostic, du traitement du
mal
vertébral, je manquerais l'objet de nos réunions,
de pièces pathologiques qui vous représenteront toutes les phases du
mal
vertébral sur le cadavre ; puis je vous ferai voi
issement, diminution de la taille. (1) J'ai décrit deux périodes du
mal
vertébral : l'une de lésion, d'altération des tis
s d'autres auteurs moins excusables que le chirurgien anglais, que le
mal
vertébral est une affection ordinairement mortell
perficielles étendues, espèce distincte que Boyer a séparée à tort du
mal
vertébral, auquel elle appartient évidemment? I
mpagnes m'ont fait part de ce qui lui était arrivé. Elle fut prise de
mal
vertébral à 8 ans ; elle eut une paraplégie et re
e passe aux lésions existant dans un point autre que le siège même du
mal
. Ce qui doit m'arrêter d'abord, c'est la déform
ne gêne à laquelle se rattache l'oppression presque constante dans le
mal
de Pott. Les viscères abdominaux présentent bie
équivoques; ils se rencontrent dans des états morbides autres que le
mal
de Polt. Les abcès, la paralysie ont plus de vale
ic. Avec de l'attention , on distingue une déformation dépendant du
mal
vertébral d'un simple défaut naturel de cambrure
ité, que j'ai déjà signalées dans l'anatomie pathologique. Voici un
mal
cervical; on en distingue deux espèces : Io le ma
ogique. Voici un mal cervical; on en distingue deux espèces : Io le
mal
qui frappe les cinq dernières vertèbres du cou, e
s vertèbres et de l'occipital ou le spondylarthrocace, qui diffère du
mal
vertébral proprement dit, dont nous nous occupons
t, dont nous nous occupons en ce moment. Cette enfant est atteinte du
mal
vertébral ordinaire. Nous constatons le redressem
voisines, ce signe est pathognomonique ; on ne l'observe que dans le
mal
vertébral. Nous avons distingué deux formes de
sité, et, d'une autre part, des courbures latérales se voient dans le
mal
de Pott ; l'erreur est alors possible ; j'en ai v
urée ; mais tant qu'elle persiste, il y a matière à erreur. Dans le
mal
de Pott, on observe aussi des courbures latérales
mples; l'un d'eux offre le plus beau cas de courbure latérale dans le
mal
de Pott. Ces courbures latérales diminuent ou dis
disparaissent à la mort ; elles résultent de la douleur, du siège du
mal
, d'une complication, d'un abcès placé dans un côt
i-fluente; c'est le fait du premier sujet. Chez le second, atteint du
mal
de Pott, existait un énorme abcès par congestion.
ression, douleur épigastri-que, paralysie, etc., qui différencient le
mal
de Pott de la déviation essentielle du rachis.
edressement, par l'état général du sujet, etc., qu'il s'agissait d'un
mal
vertébral. 2° Rachitisme. — Le rachitisme n'est
nique des plus intéressants. Supposez un enfant de cet âge atteint du
mal
de Pott ; avec une gibbosité semblable, vous auri
sme. Il y a deux cas de courbure rachitique postérieure simulant un
mal
de Pott : a. La courbure postérieure est produi
ont j'ignore le nom les avait appliqués. Il n'y avait aucune trace de
mal
vertébral ; il n'y avait pas non plus de courbure
de dire, au premier abord, si l'on a affaire à un rachitisme ou à un
mal
de Pott. La courbure pourtant est, en général, mo
ns régulière. Les extré mités de l'arc sont plus saillantes dans le
mal
vertébral ; elles se continuent, au contraire, sa
binées ; on aurait alors comme moyen de les reconnaître la douleur du
mal
vertébral, qui manque dans le rachitisme simple,
e. Voici une pièce qui semble, au premier coup d'œil, se rattacher au
mal
vertébral. La colonne décrit un angle droit ; l
de cette pièce avec cette autre qui offre des traces non douteuses de
mal
vertébral. Ce sont les symptômes concomitants, l'
autres affections qui offrent quelques traits de ressemblance avec le
mal
de Pott dans l'état latent : le lumbago, les mala
. Boyer va plus loin : quand il existe des abcès sans déformation, le
mal
est, suivant lui, une carie superficielle ; qua
production de tubercules. Il faut également reconnaître les cas de
mal
double, triple ; je veux parler des foyers pathol
'arthrite, la carie, en produisent également. On a pourtant décrit un
mal
vertébral sec. Tant que le tubercule est à l'état
état de crudité, on n'observe pas d'abcès, et alors, si l'on veut, le
mal
sera sec; mais je ne sache pas qu'il présente cet
ollections se forment spécialement dans quelques circonstances encore
mal
connues. On trouve à ce sujet des distinctions pe
oyen a été présenté par M. Piorry comme propre à faire reconnaître le
mal
vertébral et les abcès qui en dépendent. Ce profe
ment et l'épaisbissement des parties molles correspondant au foyer du
mal
. Relativement aux abcès, c'est surtout au nivea
s de parler. Diagnostic différentiel. — Les abcès symptomatiques du
mal
vertébral peuvent être confondus avec quatre espè
masse gangrenée. J'ai été consulté pour un jeune homme qui avait un
mal
de Pott de la région dorsale. Après avoir été tra
bcès dépendant d'une coxalgie. Celte maladie complique quelquefois le
mal
de Pott, et, lorsqu'il existe un abcès dans ce ca
graves. On observe deux sortes de lésions de l'innervation dans le
mal
de Pott : tantôt il y a excitation, tantôt affaib
es au point de la moelle lésé ; elle varie donc suivant la hauteur du
mal
vertébral. Lorsque ce point réside dans la région
la motricité directe involontaire ; c'est ce que l'on observe dans le
mal
vertébral, lorsque l'action de la moelle n'est tr
sensibilité est conservée, quoiqu'un peu altérée ; le malade apprécie
mal
le lieu et le mode des sensations qu'on lui fait
on pourrait établir en principe que, dans la paralysie dépendante du
mal
vertébral, le mouvement réflexe est en raison dir
. — On peut distinguer trois degrés dans la paralysie produite par le
mal
vertébral. Dans le premier, les malades marchent
ernière réunion, les différents degrés de paralysie déterminés par le
mal
vertébral. Vous avez vu que le troisième degré of
lorée avec soin par M. Monneret; il n'existait point de gibbosité. Le
mal
avait son siège vers le milieu de la région dorsa
ère saillie des apophyses lombaires : eh bien, ce n'est pas un cas de
mal
vertébral. Cet enfant est ra-chitique. Quant à la
on plus confondre la paralysie avec la difficulté de marcher, dans le
mal
de Pott, tenant à la douleur ou à une faiblesse g
itera cette méprise. On peut aussi confondre la paralysie tenant au
mal
vertébral avec les paraplégies dépendant d'une au
e grandes difficultés à distinguer la compression de la moelle par le
mal
vertébral des autres compressions, de celles qui
éphalocystes développés dans le canal rachidien. § V. Traitement du
mal
vertébral. Vers la fin du siècle dernier, dans
s la même année, en 1779 , parurent deux opuscules, qui traitaient du
mal
vertébral. Les auteurs de ces dissertations s'ign
e le moins de temps possible à indiquer les moyens de secours pour un
mal
qui a résisté à tous les remèdes avant que celu
raitement banal, disait Auguste Bérard dans une leçon clinique sur le
mal
vertébral, un traitement banal est en usage ae-pu
e ses meilleures inspirations. Nous distinguerons trois cas dans le
mal
vertébral, au point de vue du traitement. Dans le
'existence presque constante des foyers cachés. Les trois formes de
mal
vertébral que je viens d'indiquer sont regardées
ir. Il faut bien remarquer que plusieurs causes de mort sont liées au
mal
vertébral, mais ne lui sont pourtant pas inhérent
ir par épuisement ; la terminaison funeste est bien causée ici par le
mal
vertébral, mais c'est un peu la faute de la const
fébriles, pneumonie, rougeole, variole, survenant dans le cours d'un
mal
vertébral, enlèvent plus facilement les malades,
iste, ostéite, carie, nécrose, tubercules, et empêcher l'extension du
mal
. Il n'existe pas de spécifiques qui permettent d'
faut pas attribuer exclusivement à la thérapeutique la limitation du
mal
, puisque nous la voyons survenir naturellement.
oigné, et a été atteint, il y a huit ans, des premiers symptômes d'un
mal
de Pott. On a d'abord fixé une latte dans la régi
icacité de ces agents. Un Anglais, Jarrold, a aussi vanté contre le
mal
vertébral l'extrait de jusquiame, et il a cité de
e une question délicate. Faut-il faire marcher les sujets atteints de
mal
vertébral? Le repos a été regardé, à une époque,
é du repos dans les maladies chirurgicales, et en particulier dans le
mal
vertébral. D'autres sont venus depuis qui ont fai
en 1772, rapporte les observations les plus curieuses de guérisons du
mal
vertébral obtenues par la position horizontale et
ècle dernier, on a cherché à redresser les courbures produites par le
mal
vertébral. Pour juger de la valeur de ces tentati
l s'est bien trouvé de l'application de l'orthopédie au traitement du
mal
vertébral. D'un autre côté, David plaça chez un j
mécaniques dans la position horizontale , chez les sujets atteints du
mal
vertébral. Si ces moyens sont employés dans les p
vertébral. Si ces moyens sont employés dans les premières périodes du
mal
, ils peuvent causer des distensions fâcheuses, et
ar les malades. (1) Nous avons supposé trois cas différents dans le
mal
de Pott, au point de vue du traitement : dans le
n qui règne encore de nos jours sur l'efficacité des cautères dans le
mal
vertébral de Pott; ils ne mettent pas à l'abri de
un des motifs qu'on fait valoir pour prouver leur efficacité dans le
mal
de Pott. Ce fait n'a pas la valeur qu'on lui prêt
pidement, et qu'il est plus facile de limiter son action. IIe CAS :
MAL
VERTÉBRAL AVEC PARALYSIE. — Quelle est la march
E. — Quelle est la marche spontanée de la paralysie produite par le
mal
vertébral? Abandonnée à elle-même, elle peut guér
s moyens révulsifs d'une énergie moindre. La paralysie dépendant du
mal
vertébral présente, dans sa marche, des irrégular
servation et atteint pour la troisième fois de paralysie dépendant de
mal
vertébral, tous les moyens avaient échoué, lorsqu
je place sous vos yeux un enfant de huit ans, nommé Morin, atteint de
mal
vertébral siégeant au bas de la région cervicale,
teinture d'iode. Deux autres malades de la même salle, affectées de
mal
vertébral dorsal et de paraplégie, sont traitées
es; les mouvements commencent à reparaître chez l'autre. IIIe CAS :
MAL
VERTÉBRAL AVEC ABCÈS PAR CONGESTION. — NOUS avo
cette affection elle-même, en parlant du premier cas, c'est-à-dire du
mal
vertébral non compliqué d'abcès ni de paralysie.
cautères dans les différentes espèces et dans toutes les périodes du
mal
vertébral, sur le témoignage d'un compatriote de
. Paterson, déjà employée avec succès par M. Trousseau dans un cas de
mal
vertébral accompagné de paraplégie. B. Méthode
s irritantes, etc. Je termine ici ce que j'avais à vous dire sur le
mal
vertébral ; mon intention n'a pas été de vous don
. Relativement aux médicaments internes qu'on peut employer dans le
mal
vertébral, j'ai fait une omission que je veux rép
ondeur, est plus dense qu'il ne l'est dans l'ostéite. ARTICLE II.
MAL
VERTÉBRAL SUPÉRIEUR OU SOUS-OCCIPITAL. Nous avo
uits en totalité ou en partie. On les a vus être le siège exclusif du
mal
. Les nerfs sont plus ou moins compromis. Comprimé
se. — Les lésions primitives qui lui donnent lieu sont, comme dans le
mal
vertébral, de différente nature. C'est souvent d'
s destructions déterminent des effets analogues à ceux que produit le
mal
des autres régions, des affaissements, qui se dis
truction osseuse. Ce qui différencie l'affection sous-occipitale du
mal
vertébral proprement dit, c'est surtout la facili
uisse regarder comme bien établie cette fréquence relative. Dans !e
mal
des deux premières vertèbres, on observe, comme d
le malade guérir ou mourir sans abcès, comme la chose a lieu dans le
mal
des autres régions. Les abcès peuvent également s
et apparaître au dehors; ceux-ci semblent moins fréquents que dans le
mal
vertébral proprement dit. La collection, quand
re-mère, Là moelle épinière souffre nécessairement, et plus dans ce
mal
vertébral que dans l'autre, des changements qui s
tre lésées, ou bien l'on voit seulement de la paralysie comme dans le
mal
vertébral ordinaire. La compression de la moell
La compression de la moelle est possible dans tous les sens dans le
mal
sous-occipital, tandis que, dans l'affection des
sthésie se montre plus souvent dans le spon-dylarthrocace que dans le
mal
de Pott du reste de l'épine. Si les idées récemme
sensibilité, étant plus souvent observée dans cette seconde espèce du
mal
vertébral. La moelle peut éprouver d'autres lés
sont résorbés. L'affection osseuse sous-occipitale guérit, comme le
mal
vertébral des autres régions, par le rapprochemen
suivants : I. Douleur. — Elle se rencontre dans les deux formes du
mal
. Elle commence ordinairement d'une manière sourde
là la forme névralgique que présente généralement la douleur dans le
mal
des premières vertèbres. Ollivier, en 1826, avait
e eut lieu au mois d'août dernier; elle n'a duré que quinze jours. Le
mal
était de l'espèce la moins grave; il a cédé à l'a
te à la partie inférieure du cou : c'est une gibbosité dépendant d'un
mal
vertébral ordinaire. Cette lésion suffirait seule
La paralysie affecte plus souvent les membres supérieurs que dans le
mal
vertébral des autres régions; quelquefois elle le
comprenez qu'on puisse être dans le doute sur la véritable nature du
mal
. C'est surtout en ayant égard à la marche des deu
oblème. La contracture revient par accès ; il n'en est pas de même du
mal
sous-occipital. On peut bien voir plusieurs attaq
ment tordu, que je crus voir un cas clinique des plus intéressants de
mal
sous-occipital ; la rotation était portée au plus
issance : le fœtus peut être atteint d'une affection musculaire, d'un
mal
sous-occipital; il peut naître avec les suites d'
s prononcée. D'autres affections pourraient être confondues avec le
mal
vertébral sous-occipital. Je dois au moins vous l
euse sous-occipitale? Recourir aux mêmes moyens révulsifs que dans le
mal
des autres régions : vésicatoires, applications d
Lorsqu'il existe un abcès, les indications sont les mêmes que dans le
mal
des corps vertébraux. Les abcès symptomatiques ou
u corps. Nous avons abordé un autre ordre de faits. En décrivant le
mal
vertébral supérieur, je vous ai parlé des luxatio
et la période indolente. C'est ce qu'on a déjà vu dans l'histoire du
mal
vertébral, et c'est ce qu'on retrouve dans la cox
yeux plusieurs enfants atteints de paralysie incomplète, provenant du
mal
vertébral ou d'autres lésions , et qui offrent di
oici deux enfants de la salle Saint-Louis, paraplégiques par suite du
mal
vertébral ; sur les deux, vous voyez un commencem
plat est évidemment l'effet d'une paraplégie incomplète dépendant du
mal
vertébral ; le long péronier étant un des muscles
pour eux qu'un pilon qu'ils meuvent tout d'une pièce; la démarche est
mal
assurée, souvent douloureuse, quand la peau, expo
4) Bulletin de l'Académie de médecine. Paris, 1838, t. III, p. 231.
mal
. Le corps ne peut être soulevé sur la pointe du p
tesse de la base de sustentation gêne beaucoup la locomotion, qui est
mal
assurée. b. Talus pied creux. — Le talus pied c
qu'on distinguera leur effet local du vrai pied bot. Même quand le
mal
est borné au pied, et que l'enfant l'apporte en n
remplit passablement ses fonctions; les progrès de 1 âge aggravent le
mal
; il peut même survenir des ulcères , des caries.
y a pas plus de cent cinquante ans, déclarait que « quand le pied est
mal
fabriqué dès la première conformation , on emploi
grandes résistances, mais ils ont des inconvénients d'un autre genre.
Mal
appliqués, ils produisent des paralysies, des gan
passage du traité des Articulations qui se rapporte manifestement au
mal
de Polt. Mais l'ancienneté du rachitisme n'en e
Glisson. Il n'était pas besoin de la réunion de tous les symptômes du
mal
pour prouver qu'il avait existé, alors qu'on trou
indre ramollissement des os, même antérieur à la déformation. Dans le
mal
vertébral, la déformation du thorax est un effet
divers degrés qui forment autant de périodes successives, lorsque le
mal
ne s'arrête pas à son début, et qui, dans le cas
rtébrale que j'ai recueillie, en 1827, dans cet hôpital. On crut à un
mal
vertébral, et on appliqua des cautères. Vous voye
continue. J'ai hésité entre celte explication et la supposition d'un
mal
de Pott, d'une affection tuberculeuse ou d'une ca
ion. Deux circonstances semblent décider, en général, du lieu où le
mal
sévit avec le plus d'intensité ; ce sont : 1° l'é
vait un rachitisme scrofuleux; mais il a eu le tort d'y comprendre le
mal
vertébral de Pott. Lugol a été plus loin; il rang
une modification spéciale de la composition du sang ; l'animal a été
mal
nourri, voilà tout. La pathologie comparée nous
iques suffisent, dans plusieurs de ces cas, pour établir la nature du
mal
. Quand l'hydrocéphalie n'est pas considérable,
iques du rachis. J'ai parlé en 1855 des courbures symptomatiques du
mal
vertébral. Ce n'est pas de celles-là qu'il s'agit
sque toujours symptomatique du rachitisme quand elle ne dépend pas du
mal
vertébral. J'ai parlé de ces courbures, et j'en
arlé de la cyphose rachitique, en la comparant à celle que produit le
mal
vertébral. J'ajouterai donc ici peu de chose à ce
ite nécessaire de l'affaiblissement du système musculaire. Le rachis,
mal
soutenu par ses extenseurs, retombe en avant comm
e heure. Chez les femmes, l'usage des corsets , dont on a dit tant de
mal
, contribue certainement à conserver longtemps la
due de la courbure. Je fais abstraction de la cyphose produite par le
mal
vertébral, que j'ai examinée à part. La cyphose
dans la cyphose, ni affecter, comme dans celle-ci, sans érosion, sans
mal
vertébral, une forme presque anguleuse. (1) A.
mbes. Je ne fais que rappeler la lordose cervicale, produite par le
mal
sous-occipital. J'en ai parlé dans mes leçons de
cervicale , cette lordose symptomatique est ordinairement l'effet du
mal
vertébral des premières vertèbres dorsales. Hip
l'équilibration du corps, que la lordose cervicale se produit dans le
mal
vertébral avec cyphose du haut de la région dorsa
ne, janvier 1857, BOUVIER. 23 VIe cas. — Chez cet autre enfin, le
mal
vertébral occupe un siège très-élevé, les premièr
n apparente des lombes. Si ce sont les muscles sacro-spinaux que le
mal
a envahis , on observe un singulier phénomène déc
de la pleurésie, — je reviendrai sur cette dernière espèce, — dans le
mal
vertébral, abstraction faite des inclinaisons due
s avons étudiées jusqu'à présent, — j'excepte celles qui dépendent du
mal
vertébral, — commencent toujours par une flexion
n ce que la scoliose forme presque un angle aigu comme la courbure du
mal
vertébral (1). Ces trois autres pièces sont des g
al. Le canal vertébral n'est pas symétrique comme dans l'état nor
mal
; nous avons vu que les trous des vertèbres qui le
ar M. Cruveilhier, qui toutefois ne dit pas si le sujet était bien ou
mal
conformé (1). f. Foie. — Le foie, la rate, les
courent, sont souvent hors de proportion avec la bénignité réelle du
mal
. La compression des poumons et la gêne de leurs f
ceux qui vieillissent le doivent à leur nature forte, à la douceur du
mal
et au régime de vie qu'ils observent (3). Les m
re. Cette jeune fille, qui n'est pas encore menstruée, se plaint de
maux
d'estomac, de palpitations, d'oppression et d'aut
iagnostic. C'est une jeune fille affectée à la fois de scoliose et de
mal
de Pott ; c'est là un fait très-rare. La scoliose
t parvenue au second degré, est un type de ce genre de difformité. Le
mal
de Pott s'écarte un peu de sa forme habituelle :
'une seule apophyse épineuse ne laisse aucun doute sur l'existence du
mal
vertébral. (1) VIIIe cas. — Je vous ai parlé de
ontaire des muscles causée par la douleur, celles qui accompagnent le
mal
vertébral. Le diagnostic est alors fondé sur les
e ne m'étends pas sur le diagnostic différentiel de la scoliose et du
mal
vertébral de Pott; j'en ai traité avec détail à l
t du mal vertébral de Pott; j'en ai traité avec détail à l'article du
mal
vertébral (1). Il ne présente d'ailleurs de diffi
op sédentaire, des études trop assidues, favorisent l'augmentation du
mal
, qui peut ne s'accroître que très-lentement ou mê
confiance dans le temps et la nature, qui les a livrés aux ravages du
mal
. Je diviserai le traitement de la scoliose en :
courbures. L'instinct révèle cette propriété aux enfants atteints de
mal
vertébral, qui manquent rarement, à une certaine
ne, ou par les hanches et les membres inférieurs, suivant le siège du
mal
, et on le précipitait du haut d'un toit ou d'un m
, et proportionner les moyens au danger, à l'imminence des progrès du
mal
. Telle déviation est facilement arrêtée à sa prem
t appliquer le précepte : Venitntvoccurrite morbo, allez au-devant du
mal
qui menace (1). (1) Je n'ai rien dit ici d'un m
a se réduit à un traitement prophylactique, très-simple à ce degré du
mal
. J'ai supposé dans tout ceci que l'inclinaison
E. 1855. Généralités............................ 1 Art. Ier. — Du
mal
vertébral de Pott................ 6 Définition
3° Déformation de la moelle................ § II. — Diagnostic du
mal
vertébral............... 17 Première période...
différentiel de la paralysie.............. 42 § V. — Traitement du
mal
vertébral............... 43 Ier cas. Absence de
as. Absence de paralysie et d'abcès par congestion..... 46 IIe cas.
Mal
vertébral avec paralysie.............. * 3 IIIe
IIe cas. Mal vertébral avec paralysie.............. * 3 IIIe cas.
Mal
vertébral avec abcès par congestion........ 56
... **9 ¦ B. Méthode d'évacuation.................. 60 Art. II. —
Mal
vertébral supérieur ou sous-occipital......... 69
lade : Je ne sais pas, je n'y comprends rien ; j'ai probablement très
mal
dormi cette nuit. M. Charcot : Elle pourrait ai
t, même en pleine rue, des mots orduriers : « M..de, cochon, m..de. »
Mal
lui en prit un jour que regardant des gamins joue
temps aux circonstances qui peuvent avoir contribué à faire naître le
mal
. V... des est sorti du régiment (il était dans
oitant. De temps en temps, il s'est produit quelques exacerbations du
mal
qui, cependant, n'ont pas nécessité un nouveau sé
névrite sciatique, il travaillait encore clopin-clopant tant bien que
mal
de son métier de terrassier; assez pour gagner sa
ent dite, ne sont pas des agents nécessaires pour faire apparaître le
mal
, bien qu'ils puissent contribuer à lui imprimer u
ro-épilepsie à crises mixtes d'un côté, hysteria major, et épilepsie,
mal
comitial, de l'autre, coexistant chez un même suj
e et s'est fait derrière la tête une blessure superficielle qui a pas
mal
saigné ; elle n'a pas perdu connaissance, mais pe
rononcée, car toujours P...011 a pu continuer à marcher tant bien que
mal
. Ce fut alors que notre malade se présenta à la
uivalent d'une série d'attaques convulsives hystériques, d'un état de
mal
hystérique en un mot, comment expliquer que l'att
ries d'attaques hystéro-épileptiques, vous reconnaîtrez que l'état de
mal
dans les cas de ce genre, peut se prolonger penda
usieurs semaines, de telle sorte qu'en somme, entre ces cas d'état de
mal
hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas
sujet vous consulterez peut-être avec intérêtune leçon sur Y Etat de
mal
hystérique épilepti-forme que j'ai donnée le 9 ja
ill... •est sujette à entrer de temps à autre dans ce genre d'état de
mal
. En décembre 1885 (Voy. Bl. Edwards, loc. cit.) e
ncore un rapprochement à faire entre rattaque de sommeil et l'état de
mal
hystérique, car dans celle-là comme dans celle-ci
e permanence, sans qu'il y ait de réveil, tandis que dans l'état de
mal
hystéro-épileptique, il y a de temps à autre des
i par la malade. Ainsi l'alimentation se fait chez elle tant bien que
mal
. Je dis tant bien que mal, parce que évidemment e
limentation se fait chez elle tant bien que mal. Je dis tant bien que
mal
, parce que évidemment en temps ordinaire, cette a
iens en faisant bien connaître ces cas restés jusqu'à eux méconnus ou
mal
connus, dans lesquels l'attaque d'hémiplégie hyst
'absence, reconnue ces jours-ci mais aussi dans les premiers temps du
mal
, de la réaction de dégénération et enfin l'exagér
ffection articulaire qui, chez notre homme, a été la cause de tout le
mal
, est fort intéressante en ce sens qu'elle montre
uche ? Le malaDe : Oui, quand j'ai le vertige, cela me prend par un
mal
de cœur et par un bourdonnement dans les oreilles
alors quelquefois? Le malade : Non, je ne vomis pas, mais j'ai bien
mal
au cœur. M. Charcot : A quoi ressemble le bruit
était déjà manifeste en 1882. Pendant toute la période d'activité du
mal
, un certain nombre de symptômes caractéristiques
he et avec laquelle il s'est grisé plusieurs fois : « Il n'y a pas de
mal
, dit-il, à boire en famille. » Rien d'étonnant
trentaine d'années qui, il y a huit jours a souffert d'un coryza avec
mal
de tête et en même temps de douleurs derrière l'o
pidement, bien que l'alimentation ait pu être continuée tant bien que
mal
; la langue est sèche, le ventre creusé en bateau
iquées de lésions viscérales, évoluent le plus souvent sans tourner à
mal
. Dans l'impossibilité où je suis de vous dire que
ui arrive chez les épileptiques dans les conditions dites de Yétat de
mal
; ici les accès convulsifs deviennent nombreux et
. 11 y a certainement de l'analogie entre ces cas relatifs à Yétat de
mal
épileptique et ceux qu'on pourrait grouper peut-ê
ptique et ceux qu'on pourrait grouper peut-être sous le nom d'état de
mal
choréique; et cette analogie-là, j'ai tenu à la f
s névroses à peu près sans exception ; ainsi dans l'hystérie, dans le
mal
comitial, dans la paralysie agitante, dans la mal
qui se jeta sur elle en grondant sans toutefois lui faire le moindre
mal
. C'est peu de temps après cet événement que serai
dance marquée à se répéter environ tous les huit jours. C'est bien du
mal
comitial qu'il s'agit dans ce cas. En effet souve
ance, ce qui les distingue de la plupart des formes diverses du petit
mal
. Je suis étonné que M. Reynolds considère les s
ettre alors, on le comprend, de prévoir à longue échéance la venue du
mal
et aussi de prendre des mesures en conséquence.
tent d'être gnalés. Il faut dire que la ligne maternelle lui est fort
mal
connue et pour ce qui est des antécédents personn
rd, le rapprochement que nous avons proposé d'établir entre l'état de
mal
épileptique et l'état de mal choréi-que se trouve
avons proposé d'établir entre l'état de mal épileptique et l'état de
mal
choréi-que se trouve justifié. 1er Malade Je
s des efforts d'intelligence ou des chagrins qui ont été en j eu ; le
mal
s'est produit en conséquence d'un shock nerveux,
thérapie. 11 a obtenu sans doute un peu d'amélioration, il dort moins
mal
, mange avec plus d'appétit; mais tous les symptôm
en suivre alors les progrès jour par jour. Dès les premiers jours le
mal
est fait: bientôt survient une période de réparat
Quoi qu'il en soit, voilà ce qui s'est passé : Le 16 août, l'enfant a
mal
à la tête, il a de l'inappétence ; il souffre un
ti; le 18, continuation du mieux ; il a pu aller communier. Le 19, le
mal
de tête reparaît vers le soir ; l'enfant a des co
je crois ? La malade : Oui monsieur ; c'est le commencement de mon
mal
; j'ai eu alors d'atroces douleurs dans le dos ;
frotter mon dos sur le lit ou le heurter. Quelques jours après, le
mal
a un peu changé ; il me semblait que j'avais une
VIÈME LEÇON 1er Malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par
mal
de Pott ; la guérison date de vingt ans. — A l'ép
a ménopause apparition d'accidents hystériques, simulant un retour du
mal
vertébral et de la paraplegic 2e Malade. — Simu
Dp0 en effet, qUe j'ai donné des soins, pour la première fois à cette
mal
?fte. dans cet hospice même, dont, depuis lors, el
é admise à la Salpêtrière comme atteinte de paraplégie consécutive au
mal
de Pott et son cas avait été considéré comme incu
op sévère. Elle a guéri en effet dumal de Pott, comme on guérit de ce
mal
, c'est-à-dire conservant pour toujours la gibbosi
écédents d'abord, puis dans le temps où elle a commencé à souffrir du
mal
de Pott,enfin en 1869,époque à laquelle elle a ét
. , ^ C'est en 1866 que se sont montrés les premiers symp. umes au
mal
de FotL Douleurs vives dans le dos, dans les rein
résenter B...otà la leçon clinique comme un exemple de paraplégie par
mal
de Pott suivi de guérison. Point de raideur, appr
parais sent bien complètement guéries de la compression spinale par
mal
de Pott. Cette paraplégie latente, si l'on peut a
e récemment; lesquels accidents ont pu faire craindre une récidive du
mal
vertébral et consécutivement, un retour de la com
ympto-matologie de la compression lente de la moelle épinière dans le
mal
de Pott. Chose remarquable, bien que ce soit là u
tendre sur le mécanisme suivant lequel la moelle est aifectée dans le
mal
de Pott. On sait comment dans une dissertation in
la courbure persiste au même degré. En second lieu, le paraplégie par
mal
de Pott s'observe parfois sans qu'il y ait la moi
bservé parfois qu'après l'ouverture d'un abcès par congestion dans le
mal
de Pott, la paralysie des membres inférieurs qui
e de la face antérieure. Fig. 39. — Pachyméningite caséeuse dans le
mal
de Pott. — a face externe de la dure-mère b la du
, pensons-nous, le mode le plus commun de compression spinale dans le
mal
de Pott (2). Que devient, en pareil cas, le tissu
esquelles, après avoir duré une ou plusieurs années, la paralysie par
mal
de Pott a guéri cependant sans laisser d'autres t
avait succombé aux suites d'une coxalgie, alors que la paraplégie par
mal
de Pott était guérie depuis plus de deux ans, la
les lésions de la moelle dans la paraplégie par compression, suite de
mal
de Pott, resteraient pendant longtemps passives ;
, qu'à relever dans la symptomatologie régulière de la paraplégie par
mal
de Pott, quelques-uns des principaux troubles fon
ait d'une coïncidence assez singulière, nous avons encore à parler du
mal
de Pott à propos de notre second malade. J'aurai
ppeler combien il est difficile parfois de reconnaître l'existence du
mal
vertébral tuberculeux dans les premières périodes
l y a trois ans, il a souffert d'une grande maladie dont le nom sonne
mal
à l'oreille ; c'était paraît-il une pleurésie dou
ion, étaient tels qu'on avait émis l'opinion qu'il était atteint d'un
mal
de Pott ; et cette opinion, qui fut du reste bien
à certes, des circonstances qui ne contredisent nullement à l'idée du
mal
de Pott. Mais c'est surtout, sans doute, un cer
rtes un ensemble de faits qui sont bien dénature à éveiller l'idée du
mal
de Pott ; d'autant mieux que la démarche traînant
est bien à juste titre, les difficultés que présente le diagnostic du
mal
vertébral, à son origine, avant l'apparition de l
ité, constitue suivant les auteurs (2) un des caractères cliniques du
mal
de Pott. D'après la description donnée par le m
autre chose qu'il s'agit, et nous voici amenés bien loin de l'idée du
mal
de Pott ; tout ce qu'il nous reste à relever, mai
sujet offre un assez bel exemple de ces « simulations hystériques du
mal
de Pott, » sur lesquelles Brodie, Skey, Paget et
s attaques qui devaient dévoiler immédiatement la véritable nature du
mal
. Ces attaques, pendant le séjour à Saint-Antoin
ous avons décrites à propos de la rachialgie simulant les douleurs du
mal
de Pott. D'autres plaques de même caractère se vo
je vous l'ai dit, sont devenues plus rares ; il marche un peu moins
mal
qu'autrefois, ce qui semble indiquer que les doul
uleurs en ceinture qui avaient fait croire également à la présence du
mal
de Pott. Cependant, dans ce cas, le schock nerveu
ncore des atermoiements, des temps d'arrêt dans l'évolution fatale du
mal
; à la vérité ces temps d'arrêt lorsqu'ils se pro
t. Difficulté de la miction ; un peu d'incontinence de temps à autre.
Mal
perforant du pied. Signe d'Argyll Robertson. Dé
e tous ces malades étaient des tabétiques avérés,déjà avancés dans le
mal
, et chez lesquels,par conséquent, le diagnostic a
es mains, des poignets, des coudes sont devenus plus tard le siège du
mal
. Le malade insiste sur ce fait, que les douleurs,
. Autant il est aisé, en général, pourrait-on dire, de triompher du
mal
dans les cas du dernier genre, autant cela est di
e Basedow, s'établir même pendant de longues périodes sans conduire à
mal
et nous voilà quelque peu rassuré sur l'avenir de
d'être rapprochés de ces faits de chorée et d'épilepsie avec état de
mal
rapidement terminés par la mort, dont je vous ai
pas applicables au cas présent ; nous espérons qu'ici l'évolution du
mal
pourra être entravée grâce au concours des divers
ystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 ans ; mais le
mal
sommeillait depuis dix-huit ans, remarquez-le bie
es provinciales du même genre. Jusque-là, il n'y a pas encore grand
mal
sans doute ; mais voici le côté fâcheux. Le jeune
es chats furieux qui font mine de vouloir le mordre; des échafaudages
mal
ajustés sur lesquels il monte et qui menacent de
il coach ». Elle est tombée à terre sur le gazon, sans se faire grand
mal
: elle n'a pas perdu connaissance un seul instant
urésie gauche qui nécessita trois ponctions, Il est sorti de là pas
mal
affaibli ; cependant il avait pu depuis plusieurs
au premier chef, comme pouvant aggraver la situation et prolonger le
mal
indéfiniment ; c'est encore que, autant les contr
tômes se sont amendés, et bien qu'actuellement encore il paraisse pas
mal
abruti, on ne retrouve plus chez lui cette appare
ndre fatigue. Il continue néanmoins son métier de maçon tant bien que
mal
, jusque vers le milieu de décembre, époque à laqu
de se réveille alors tout ému, respirant difficilement et ayant grand
mal
à avaler sa salive. Nous avons depuis bien longte
vite la société qu'il fréquentait dans le temps avec plaisir. Il dort
mal
ou quand ildort,son sommeil est agité par des rêv
conter mon affaire et de me mettre sous sa protection. M. Charcot :
Mal
lui en prit, messieurs, vous allez le voir. Que l
urée : 14 heures. 42 heures. 53 heures. 3 heures. 3 heures. Accès
Mal
de avorté. tête de3 h. de durée. Accès avorté
récédé par aucun des phénomènes qui signalent habituellement le petit
mal
soit vertigineux, soit convulsif, soit encore les
partie du mois d'octobre se passent sans nouvelles manifestations du
mal
. Le 18 de ce dernier mois, éclate un petit accès
s conscience ; ces accès, qu'il ne faut pas confondre avec « le petit
mal
» spontanément développé, eussent pris, très vrai
e quatorze mois n'est plus représentée désormais que par une crise de
mal
de tête semblable à celui qu'il a ressenti plusie
le à celui qu'il a ressenti plusieurs fois au début de ces accès ; ce
mal
de tête a siégé,cette fois comme les autres, au n
u traitement, il prit sur lui d'en suspendre complètement l'emploi.
Mal
lui en prit, vous allez le voir. A la vérité, les
cesse d'administrer le bromure et voilà qu'au bout de trois mois, le
mal
reparaît sous la forme d'un accès exceptionnellem
tiques suffisent je crois, en grande partie pour révéler la nature du
mal
. C'est dans l'épilepsie seule, tant convulsive qu
s mois suivants. Nous espérons pouvoir ainsi, à la longue, vaincre le
mal
ou pour le moins en atténuer considérablement les
'étais parfaitement bien portant et, cette fois, je n'ai pas senti de
mal
de ii Je pourrais en rester là et passer outr
autour d'elle d'un air ahuri, ne comprend pas où elle est, reconnaît
mal
les assistants qu'elle connaît presque tous de lo
ation, se rencontre, pour ainsi dire, à chaque pas dans l'histoire du
mal
comitial\ mais le plus souvent, on le sait, et ce
, mais non exclusivement, tant s'en faut, quand il s'est agi du petit
mal
. la scène est moins bruyante, plus calme; mais le
souvent depuis quelques années, et qui est sujetà des accès de petit
mal
à la suite desquels, souvent, comme le malade de
Page 431. C'est ainsi que, caractérisée déjà, comme appartenant au
mal
comitial, par les résultats si nets de l'emploi d
e rond. Ce diagnostic était erroné cependant : la véritable nature du
mal
s'est révélée, vers la fin de la troisième année,
'attention du médecin et lui faire méconnaître la véritable nature du
mal
; je m'y suis laissé prendre aussi plusieurs fois
ecine, 1887, n3 5, p. 433. sorte, pas de transition; délivré de son
mal
le sujet qui, il n'y a quun instant, ne pouvait s
é malade auparavant. Cependant, depuis cinq ou six mois, avant que le
mal
ait éclaté,mes digestions étaient pénibles. Le mo
de 1883. M. Charcot : Vous le voyez, tout cela date de l'origine du
mal
. Je vous dirai immédiatement que l'examen fait ce
crises gastriques, eussent suffi pour révéler la véritable nature du
mal
, et pour empêcher, en ce qui concerne ces dernièr
intérêt. Il est relatif à un syndrome rare, encore peu connu, et qui.
mal
interprété, pourrait devenir l'occasion d'erreurs
s, le rôle d'une cause occasionnelle, en provoquant l'apparition d'un
mal
auquel le sujet était antérieurement disposé. C'e
es vers latins. Au sortir de la cérémonie, il se coucha avec un grand
mal
de tête et éprouvant un grand affaiblissement dan
ui causa cet abandon qui le conduisit au suicide. Le malade connaît
mal
ses parents du côté paternel ; sur leur compte il
uertoutefois que lorsqu'il semetàmarcher, il y a au départ encore pas
mal
d'hésitation et que lorsqu'il veut tourner sur lu
es muscles extenseurs est généralement très faible et le sujetrésiste
mal
quand on veut malgré lui produirela flexion plant
ont la conséquence de lapachyméningite cervicale hypertrophique ou du
mal
vertébral de Pott. On peut les voir aussi surveni
par rénumération des moyens mis en œuvre pour arrêter les progrès du
mal
: ils sont hélas ! tous restés sans effet. 3° e
dit entre nous, je les crois bien peu responsables l'un et l'autre du
mal
qu'ils ont pu faire, ou qu'ils pourraient faire.
atre ou cinq heures du soir. Il y a une aura : le malade se plaint de
mal
de tête, de confusion dans l'esprit, de tristesse
eût-on pu tenter d'opposer une digue aux envahissements successifs du
mal
; mais, aujourd'hui que les destinées sont accompl
u il me tromperait fort. Les choses ont été pour lui, tant bien que
mal
, jusqu'à il y a deux mois. A cette époque il a co
s, il a toujours pu marcher depuis l'âge de 3 ou 4 ans, tant bien que
mal
, et, plus tard, il a pu travailler habilement de
cupe les cuisses. Telle a été, d'une façon sommaire, l'évolution du
mal
dont nous pouvons actuellement étudier les effets
elle la tephro-myélite aiguë de l'enfance, représentaient des foyers
mal
éteints, pouvant se rallumer sous de certaines in
ce de souvenir, il se mordait la langue et urinait au lit. C'était le
mal
comitial dans toute sa pureté terrible. Les accès
e, j'ai de la pression dans l'estomac, je ne puis plus respirer, j'ai
mal
à la tête, cela me serre le front; j'ai des bruit
es de jour, qui sont des attaques de grande hystérie, l'épilepsie, le
mal
comitial, ne prend aucune part; et inversement, l
rs minuit, il prend 20 gouttes de laudanum pour passer, tant bien que
mal
, le reste de la nuit. Je dis tant bien que mal pa
passer, tant bien que mal, le reste de la nuit. Je dis tant bien que
mal
parce que, pour peu qu'il dorme, surviennent bien
et, cependant, il continuait, malgré tout, à se livrer tant bien que
mal
, à ses occupations, très fatigué toutefois et sur
en de « visible » et j'ai repris un peu confiance, mais j'ai eu grand
mal
à me mettre sur mes jambes ; elles me semblaient
ère est que, dès le début de ces paralysies, on peut le dire, tout le
mal
est fait ; elles ne s'aggravent pas dans la suite
peuvent alors se présenter: tantôtlemalade peut encore, tant bien que
mal
, se tenir debout et marcher tout en titubant comm
peut juger d'après la clinique qui fait constater dans l'évolution du
mal
des hauts et des bas, elles procèdent par poussée
t à faire relativement à ce chapitre de l'étiologie. L'évolution du
mal
est remarquablement lente, il peut arriver qu'une
éclairé parles travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur les
mal
. du syst. nerveux, t. Il, p. 275, 276, 1886. 69
s, dans la dernière semaine de septembre, il commença à éprouver un
mal
de tête consistant en une sensation continuelle d
os sur la ligne médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui faisait
mal
lorsqu'il passait de la station assise à la stati
s la seconde semaine après la collision. Dès qu'il se met à lire, son
mal
de tête s'accroît. Il a souvent des vertiges. L'a
gite hypertrophique, je puis le répéter à propos de la paraplégie par
mal
de Pott. Vous savez que souvent, cette paraplégie
(Champ visuel) . . . 168 Fig. 39. — Pachyméningite caéseuse dans le
mal
de Pott . . . 181 Fig. 40,41. — Mal de Pott et
Pachyméningite caéseuse dans le mal de Pott . . . 181 Fig. 40,41. —
Mal
de Pott et hystérie (Sensibilité) . ,..... 185
2 — — (Champ visuel) ..... 187 Fig. 43. 4L—Simulation hystérique du
mal
de Pott (Sensibilité) 193 Fig. 45 — * — — (Cham
VIÈME LEÇON l01'malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par
mal
de Pott ; la guérison date de vingt ans. A l'époq
la ménopause,apparition d'accidents hystériques,simulant un retour du
mal
vertébral et de paraplégie...... 175 2e malade.
al et de paraplégie...... 175 2e malade. — Simulation hystérique du
mal
de Pott chez un garçon âgé de 24 ans...........
ladie de). — Crises diar-rhéiques, 233, 236, 240, 241, 335. — Etat de
mal
, 239. — Emotions morales, 234, 236, 239. — et hys
rticulaire, 104, 113, 114,130. — et Tic convulsif, 14, 464. — Etat de
mal
, 113, 239. — (Etat mental dans la), 105, 114, 1
— Complications dans la),108.—Etat mental dans la, 111. — et Etat de
mal
épileptique, 113. — Fièvre dans la, 106, sq. —Hér
lement dans 1'), 5. — (Champ visuel dans 1'), 31, 119, 423. — Etat de
mal
, 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l'
anie, 420, sq. — Par cellaire, 118. — Petit automatisme; 321. — Petit
mal
314. — Secousses interparoxysmales, 117. — (Secou
toire. — et traumatisme,323.— Délire post convulsif, 320. — Etat de
mal
, 113, 239. — Vertige, 34. Epileptiques. — (Accè
ces morbides (Association des), 152. — (Fixité des), 151. Etat de
mal
. — choréique, 113, 239. —de la maladie de Basedow
mal. — choréique, 113, 239. —de la maladie de Basedow, 239. Etat de
mal
epileptique,113,239.— (Mort dans F), 113. — et ch
tique,113,239.— (Mort dans F), 113. — et chorée grave, 113. Etat de
mal
hystérique, 68. Etat mental. {Voy. Mental (Etat
aire, 490. Gnauck, 164, 166. Goitre Exophthalmique. — Voy. Basedow (
Mal
. de). Gombault, 498. Goutte. — Douleurs, 224.
— et épi lepsie (Influence du bromure de Pot.), 322. Hystérie et
mal
de Pott, 186, 189, sq., 194. —Douleurs lombaires,
lais à la pression, 192. — Stigmates, 186, sq., 192. Hystérie. — et
mal
. de Basedow, 240.— et saturnisme, 121, sq.,— et s
— Variétés des formes, 470, 471. — Vomissements 272, 273. Hystérie
male
, 36, 48,100, 419 sq. 458, 459, 522, 533. — Attaqu
i Bâillement). — Contracture, 349, 540 sq. — Dyspnée, 11, — Etat de
mal
, 68, — Hémiplégie, 262. — Mutisme, 247, 248. —
e, 230. Luys, 89. M Magnan, 16, 95, 96. Mairet, 94, 421, 428.
Mal
gomitial (Voy. Epilepsie). Manie hypnotisante a
horée, 103, 108.— Dans la chorée grave, 109, 112,127.— Dans l'état de
mal
épileptique, 113. Morvan, 498. Morvan (Maladi
. — Traitement des rétractions tendineuses, 538# Pachyméningite par
Mal
de Pott (lésions), 182. Page, 30, 288. Paget,
(lésions), 182. Page, 30, 288. Paget, 194. Panaris analgésique (
Mal
. de Morvan), 498. Papille tabétique, 164. Par
e alcoolique.) — Dans la maladie de Basedow, 235, 239, 240, 242. — du
Mal
de Pott. (Voy. Pott.) Paraplégie spasmodique. —
ériode préataxique du tabes, 333. Personnalité (double), 327. Petit
mal
épileptique, 314. Physiologie pathologique, 359.
omyeltques (Symptômes), 495. Polyopie monoculaire, 32, 166. Pott (
Mal
de). — (antécédents dans le), 190. — Compressio
le, 179, 182. — Difficulté du diagnostic au début, 189,191. Pott (
Mal
de) et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. — Sen
é du rachis à la pression, 192.— Stig-. mates, 186, sq., 192. Pott (
Mal
de). — Rétractions tendineuses, 539. — (Lésions d
— Rétractions tendineuses, 539. — (Lésions de la pa-chyméningite par
mal
de), 182. — Myélite transverse du, 182. Pott. —
mal de), 182. — Myélite transverse du, 182. Pott. — (Paraplégie par
mal
de), 175,176.— Guérison,177.— Réflexes, 178. — Tr
n spinale, 178. — Pathogénie de), 179. — (Symptômes de), 183. Pott (
Mal
de). — Simulation hystérique 189 sq., 194. — Symp
lique, 495, 496. Thermomètre à surface, 507. Thermophobie dans la
Mal
. de Basedow, 235. Thomas, 417. Thomsen, 119,
(Examen des). — dans l'attaque de sommeil hystérique, 273. — dans la
mal
. de Basedow, 238. — dans l'épilepsie, 421. Utér
SEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITÉ ' (SÉMÉIOLOGIE ET DIAGNO
avaux anatomiques à la Clinique des Maladies Nerveuses. Au cours du
mal
de Pott ci les troubles dépendant des racines ner
a gibbosité et d'importance secondaire (1) V. Mena un, Etude sur le
Mal
de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DE
hidienne. « Ollivier d'Angers attirait l'at- tention sur des cas de
mal
de Pott qu'on avait complètement méconnus avant
e (1). On connaît, à l'heure actuelle, d'assez nombreux exemples de
mal
de Pott ayant évolué d'un bout à l'autre, sans
tant sur la difficulté du diagnostic en pareil cas. Sur 20 cas de
mal
de Pott chez l'adulte, dont 10 suivis d'autopsie,
ement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité, afin.de mieux souligner
rant la vie, paroles symptômes propres » et, plus loin, à propos du
mal
de Pott cervical : «Il peut arriver et il arrive
eut arriver et il arrive assez fré- quemment, dans cette variété de
Mal
de Poil, que les nerfs des extrémités supérieur
ues sur l'origine radiculaire ou médullaire des troubles nerveux du
mal
de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôpitaux,
e mieux, nous nous contenterons de diviser les accidents nerveux du
mal
de Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3
rs examens du rachis aient permis de découvrir aucun autre signe de
mal
de Pott. Après une accalmie complète de 4 mois,
sion des premières vertèbres lombaires, permettant le diagnostic de
mal
de Pott. D'ordinaire, aux douleurs en ceinture
e « il avait éprouvé une certaine difficulté à mar- cher, il tenait
mal
ses jambes et ne pouvait courir. Cela dura plusie
es, mais l'absence de gibbosité rend le diagnostic hésitant entre :
mal
de Pott, anévrysme aortique, cancer. Un mois seul
u foyer tuberculeux à la moitié antérieure de l'espace épidural. Le
mal
de Pott avait - évolué d'un bout l'autre, sans
fin, à titre de curiosité, le cas curieux de Wert (3), dans lequel le
mal
de Pott se révéla par l'ouverture d'un abcès fr
7 janvier 1900. (3) WERT, Cleveland Journ. of med., 1901. A B
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITE (L...Alquier.) Masson
uée à une péritonite tuberculeuse. 10 . ALQUIER 3 ans après, le
mal
de Pott débutait par des douleurs lombaires provo
ieuse. Or, à l'autopsie, faite 6 semai- nes plus tard, on trouva un
mal
de Pott ancien, siégeant dans le corps de la 5e
NOUVELLE Iconographie DE la SALt'1 ! nUt T. XIX. Pl. Il c D
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRI
t, qu'un petit nom- bre de faits, car les troubles nerveux dus à un
mal
de Pott lombo-sacré sans signes rachidiens nets
ographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. III Radiographie Infroit.
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRI
eurs, MM. Raymond et Huet ne présentent ce cas que sous le titre de
mal
de Pott probable, « à cause de la difficulté du
ue surtout sensitive. Tourmenté par d'atroces douleurs, que calmait
mal
la morphine, le malade se cachectisa et succomb
as avec compression de la moelle et des racines cervicales. Dans le
mal
sous-occipital, on observe un mélange de troubles
u clonus et le signe de Babinski à gauche. L'auteur diagnostique un
mal
sous-occipital avec luxation du crâne en arrière
iété de Neurologie (1) un homme de 43 ans qui, à 4 ans, avait eu un
mal
sous-occipital post- traumatique. De 8 à 12 ans,
alcoolique, l'auteur croit pouvoir rapporter tous ces accidents au
mal
sous-occipital, éliminant la forme spasmodique de
ès l'application d'une minerve, ce qui fait porter le diagnostic de
mal
de Pott latent. Dans sa « Leçon sur le mal de P
porter le diagnostic de mal de Pott latent. Dans sa « Leçon sur le
mal
de Pott », M. Brissaud résume deux autres cas :
o-trismus par paralysie des muscles abaisseurs de la mâchoire. B,
Mal
de Pott avec compression cervicale inférieure. -
RAYHI6 DE LA SALPETRfÈRE. T. XIX. PI. IV 1 Photographies Introït.
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES
l'autopsie, intégrité de la partie postérieure des arcs vertébraux :
mal
de Pott cervical avec destruction complète du c
e la dure-mère et les méninges molles (PI. IV). Ainsi donc, dans le
mal
de Pott cervical, comme dans la tuberculose des
20 ALQUIER esquisse M. le professeur Raymond à propos d'un cas de
mal
de Pott cer- vical probable, dans les lignes su
autopsie pratiquée ultérieurement montra qu'il s'agissait, non d'un
mal
de Pott, mais d'un sarcome des méninges cer- vi
sont les principaux aspects cliniques des troubles nerveux dans le
mal
de Pott; ils peuvent, on le voit, réaliser toutes
iste exercé, lorsque viennent à' manquer les signes de certitude de
mal
de Pott, c'est-à-dire les signes rachidiens, ou b
e liquide céphalo-rachidien, d'éléments figurés divers. Or. dans le
mal
de Poil, la ponction lombaire donne habituelle-
ans certains cas, aider au diagnostic. Les douleurs radiculaires du
mal
de Pott ont, d'ailleurs, un caractère dont l'im
as anormaux que nous avons résumés, contribué à faire rechercher le
mal
de Pott (exemples : cas de Raymond, Huet et de Br
u du tronc, et dont la cause n'est pas évidente, toujours penser au
mal
de Pott, quel que soit l'âge du sujet. La douleur
observer, d'ailleurs, que, si la douleur est un excellent signe de
mal
de Pott, son siège est loin de correspondre toujo
ue à la compression osseuse des racines ou des nerfs, comme dans le
mal
de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NE
LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le
mal
de Pott lombo-sacré. On l'observe encore dans le
à-dire dans le mal de Pott lombo-sacré. On l'observe encore dans le
mal
de Pott dorso-lombaire, alors que la compression
oureuse et ne détermine pas de troubles vésicaux contraire- ment au
mal
de Pott. b) En cas de spasmodicité des membres
e syphilitique ? Celle-ci est, en général, moins douloureuse que le
mal
de Pott ; la cons- tatation du signe d'Argyll R
ard et Cestan). Dans les cas où on a quelque raison de suspecter le
mal
de Pott, il ne faut,bien entendu, tenter l'épreuv
s dans la littérature, il est dit expressément que les accidents du
mal
de Pott se sont notablement aggravés à la suite d
, au contraire, semblé aggraver la situation. On eût pu penser à un
mal
de Pott, l'autopsie démontra l'intégrité complète
, dont la compression' entraînerait la 4e variété. Or, même dans le
mal
de Pott sous-occipital, c'est cette der- nière
ctères des douleurs radiculaires, telles qu'on les observe dans les
mal
de Pott ; l'attitude de la tête, la déformation d
rencontre le diagnostic des troubles nerveux survenant au cours du
mal
de Pott, sans gibbosité. Quel que soit le siège
un traumatisme vertébral marquer le début des accidents nerveux du
mal
de Pott;-or, nous avons autopsié, il y a quelqu
ssivement des accidents analogues à ceux qu'aurait pu déterminer un
mal
de Pott; l'autopsie et l'examen histologique mo
pressions de la moelle et des racines dues à d'autres causes que le
mal
.de Pott, par exemple à un anévrysme aortique, o
Raymond), enfin, la méningo-myélite tuberculeuse indépen- dante du
mal
de Pott, dont le diagnostic offre les plus grande
ement les aspects les plus caractéristiques des troubles nerveux du
mal
de Pott, qui peuvent varier à l'infini, suivant
diagnostic positif. Les signes positifs, permettant de rapporter au
mal
de Pott les troubles nerveux constatés, sont de
de compression nerveuse sans cause bien évidente, on doit penser au
mal
de Pott et en rechercher les signes ; d'autre p
lose ver- tébrale latente. Or, plusieurs auteurs affirment que : le
mal
de Pott se développe, d'ordinaire primitivement
berculose pleuro-péritonéale an- cienne, certainement antérieure au
mal
de Pott ; dans les 4 autres cas, la tuberculose
tuberculine. b) L'étude des signes rachidiens annonçant le début du
mal
de Pott a été faite bien des fois ; nous ne sau
, les souffrances, tels sont les symptômes qui donnent, au début du
mal
de Pott, une physionomie assez spéciale. La r
usieurs vertèbres dorsales supérieures, avaient permis de penser au
mal
de Pott; or, le malade étant mort il y a quelques
e plusieurs apophyses épineuses, alors que tout rendait probable un
mal
de Pott, qu'il était, cependant, im- possible d
une analyse clinique minutieuse permet d'arriver à diagnostiquer le
mal
de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLE
e diagnostiquer les méningo-myélites tuberculeuses indépendantes du
mal
de Pott, dont on connaît, à l'heure actuelle, d
érir dans bien des cas, en instituant à temps le seul traitement du
mal
de Pott dont l'efficacité soit aujourd'hui bien
ans certaines affections locales de la colonne vertébrale, comme le
mal
de Pott ou le cancer vertébral, ou encore la cyph
lètement verticale, rectiligne, avec disparition des courbures nor-
males
, une consolidation en masse des corps vertébraux
lisme n'est pas encore complète. Malgré les travaux récents, il est
mal
connu à tous les points de vue : dans ses symp-
il se présente, au contraire, « sous des aspects très variés, assez
mal
dé- finis et le plus souvent mal décrits ». Nou
ous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent
mal
décrits ». Nous n'apercevons pas encore nette-
ilisme » (1), le masculisme dont l'expression elle-même est ' assez
mal
déterminée (Féré), et encore certaines « variétés
e étude, décrit et oppose ces cas spéciaux, jusqu'alors méconnus ou
mal
différenciés, à tous les autres du groupe, qui,
sa santé et prenaittoujours des médicaments. Le grand-père était
mal
équilibré, excessivement jaloux, et « il avait be
ruit, qui est arrivé à une haute situation politique, mais il était
mal
équilibré, impulsif, dissipateur et débauché. I
ore vivante, souffre beaucoup de rhumatisme. Oncle : Excentrique et
mal
équilibré. Antécédents personnels. Pas de fauss
d'au- cune cause provocatrice apparente, le malade s'exalta, dormit
mal
, devint re- muant et bavard, commença à fréquen
vé dans un état d'excitation physique et psychique modérée. Dormait
mal
et parlait beaucoup ; exposait ses projets avec
dont les sujets sont fréquemment atteints. » (1) Revue mens. des
mal
. de l'enfance, 1893, p. 481. 64 MAGALHAES LEMOS
) Brissaud, Loc. cil., p. 29. (2) Cité par Brissaud, Leçons sur les
mal
. nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris 1899,
sique défectueuse; et, engendrant ainsi « des êtres nouveaux, anor-
maux
, à mécanisme cérébral faussé ». Il me semble, e
, excepté des troubles digestifs ( l'âge de 18 mois) avec fièvre et
maux
de ventre, mais qui disparurent bientôt. Du res
re de la capsule interne (qu'il recouvre en dehors) ce faisceau est
mal
délimité et ses fibres s'enchevêtrent avec les fi
erveuses 'et' pratiqué des coupes dans tous les sens de pièces nor-
males
et des coupes frontales d'un cas de ramollissemen
abstraction ici des nouures imprécises, de l'impotence passagère et
mal
définie de la main droite, nous voyons qu'en no
dès la naissance on s'est aperçu que ses mains et ses pieds étaient
mal
conformés. Vers l'âge de quatre ans seulement,
e, les réflexes, la contractilité électrique n'offrent rien d'anor-
mal
. Ce qui doit être encore souligné, mais à un au
pendant sa vie, eut des crises de durée diverse où elle se trouvait
mal
, se débattait. Père vivant, 59 ans, atteint de
ans. A chaque contrariété, chaque orage elle se trouvait subitement
mal
, perdait connaissance quelques instants, puis r
, entendant les autres, mais ne pouvant parler, les comprenant très
mal
et assistant impas- sible à tout ce qu'on lui d
nduisait à l'école la gourmandait sans cesse parce qu'elle marchait
mal
(déformation) et lentement. Règles pour la prem
s sifflements fréquents. L'ouïe est gênée, la malade entend souvent
mal
et son oreille coule par moments une humeur jau
. L'examen du sang sur lames montre l'absence de tout élément anor-
mal
aussi bien rouge que blanc. , Il n'existe pas d
signe de Babinski est en flexion et les réflexes cutanés sont nor-
maux
. Il n'y a aucun trouble du côté des organes des s
es mains études doigts, de la verge et du scrotum sont restées nor-
males
. FiG. 10 et 11. 17 mai 1905. Topographie des tr
t de la verge est un peu hypothermique (la peau du scrotum est nor-
male
). La peau de l'abdomen est normale et limitée e
ouche sagittale externe, étant privée des fibres qni, à l'état nor-
mal
, ne font que la traverser (et n'en font nullement
cessivement difficile en avant, même impossible sur des coupes nor-
males
, mais que la dégénérescence, secondaire nous perm
: cette racine a conservé son volume habituel et sa coloration nor-
male
. Nous verrons néanmoins que la méthode de Cajal m
s le ganglion, pas plus de massues d'accroissement qu'à l'état nor-
mal
. Ce cas est un bel exemple de névrite radiculaire
èrement qu'il ne l'a pas retrouvée chez des chiens entièrement nor-
maux
; il conclut de ce fait que les boules observées
abétiques (obs. I, II et IV), existent en réalité chez l'homme nor-
mal
ou tout au moins dans des cas où elles paraissent
t en particulier au cours de la. sénilité,- qui est un état subnor-
mal
, il apparaît des prolongements dendritiques sur l
demain une légère impotence du membre supérieur droit et un violent
mal
de tête. 6 septembre. Nouvel ictus plus grave,
un petit dia- phragme, et qu'on pourrait prendre pour des éléments
mal
colorés, représen- tent un degré plus avancé de
pensé par la surface plus grande qu'il couvre. Cela supposerait pas
mal
d'élasticité des fibres nerveuses et n'explique
t, puis oublie de la rentrer. Réllexes patellaires d'intensité nor-
male
. Pouls accéléré, environ 100 par minute. Températ
4) : une centrale (démarquée par une ligne pointillée) se colorant
mal
au Weigert-Pal. Elle est occupée par des fibres n
est ce qui lui vaut d'être conservé par son patron dont il supporte
mal
l'autorité. Au milieu d'une conversation, il chan
te et des bras, mais il est variable et non continuel. Les dents sont
mal
plantées et irrégulières. Eclat diastolique à
mens, à propos des Arracheurs de pierres de tête, des Pédicures, du
Mal
d'Amour, des Dentistes, etc. (1). Le tableau de M
puise à l'occasion : pots de pharmacie en faïence de Delft, flacons
mal
bouchés, un plat à barbe de réserve et un petit c
trouva dans les nerfs périphériques quelques faisceaux étroits, et
mal
colorés. Quatre mois après la section simultanée
. Les nerfs de la queue et de la plante du côté opéré, étaient nor-
maux
, de même que les nerfs symétriques. Chez ces deux
laire. A droite de la figure, on aperçoit la racine antérieure nor-
male
. Les cellules ganglionnaires sont normales de nom
e d'expériences qu'après section de la racine postérieure, les ani-
maux
étant abattus au bout de 8, 12, 30 et 40 jours, o
me année, Koster (6) reprenait ces expériences sur un nombre d'ani-
maux
beaucoup plus considérable. Sa technique histolog
e postérieure, dans laquelle il n'existait que de rares fibres nor-
males
. Elles s'avançaient d'autre part dans le gangliou
description de Koster nous montre, au Marchi, des fibres étroites,
mal
colorées, avec çà et là disparition de la myéli
férent aux diverses époques où nous l'avons examiné. Chez deux ani-
maux
(X et XI) n'ayant survécu que quinze jours après
I), les fibres à myéline, examinées sur coupe, étaient amincies, et
mal
colorées. Chez le chat IV et le chat V (aux 338e
re ? C'est ce qu'il nous paraît difficile d'admettre. On comprendrait
mal
, en effet, pourquoi ces dégénérescences apparai
jour) ;au 3e et 48 mois ces fibres étaient encore tout à fait nor-
males
(chats VII et IX). Pendant que se développait cet
nte (bout ganglionnaire) montrent les gaînes de myéline amincies et
mal
colorées, les fibres efférentes sont normales au
dernière racine sectionnée : le cordon droit avait son aspect nor-
mal
et comprenait (après numération à l'oculaire-quad
périphériques cutanés, sur dissociations, étaient tout à fait nor-
maux
du côté droit, sauf qu'une des préparations montr
e faisceau pyramidal contient peu de fibres à gaîne myélinique nor-
male
qui est ou disparue ou atrophiée. La moitié droit
: on trouve des altérations rénales qui confirment le diagnostic de
mal
de Bright et d'urémie et des lésions pleuro-pul
de batailles », c'est-à-dire que c'est son jeu qui fait le plus de
mal
à l'adversaire et comme corol- laire, c'est ell
t en chercher la raison dans le fait qu'elles ont une tendance nor-
male
ci la production de collatérales. Aussi, après la
me moyen revenant sur eux-mêmes. Dans le bout supérieur on voit pas
mal
de fibres nerveuses, iso- lées ou réunies en fa
sont très diminuées de volume, comme étranglées, elles se colorent
mal
et d'une manière diffuse, le noyau et le nucléole
st trouble, poussiéreux, le nucléole est excentré et se colore fort
mal
ou à peine dans de nombreuses cellules. Certaines
récit fait par le malade du mode de début et de l'évolution de son
mal
. 11 s'est aperçu un jour par hasard, il y a 8 ans
échardes de bois pouvaient en- trer dans sa peau sans-lui faire de
mal
. A la même époque, il s'est brûlé à l'avant-bra
idiopathique, jusqu'au jour où l'autopsie vient montrer la cause du
mal
comitial. L'un de nous a publié un cas semblable
nce ; tout autour de la tumeur, les fibres à myéline sont également
mal
colorées par la laque hématoxylinique et dégé-
es, ont ici conservé une apparence qu'on peut considérer comme nor-
male
chez quelques-unes d'entre elles. Les fibres à my
la Salpêtrière, 1901. (2) LA11DOUZY. (3) Brissaud, Leçons sur les
mal
. nerveuses, 1895-1898, Iconographie delà Salpê-
anterie, comme une chose toute naturelle. Aucune notion du bien et du
mal
. Enfin, symptôme important que nous avons été a
s du double du volume normal. Comparées aux racines d'un sujet nor-
mal
,les racines dorsales et cervicales sont également
- pées par de nombreux noyaux, quelquefois volumineux, mais souvent
mal
colorés par l'hématoxyline, par des débris ou d
VAIL DU LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVE
que des Maladies nerveuses. Pour expliquer les accidents nerveux du
mal
de Pott,on invoque actuel- lement plusieurs fac
les principales lésions de la moelle épinière décrites au cours du
mal
de Pott, en dehors bien entendu du mal sous-occ
épinière décrites au cours du mal de Pott, en dehors bien entendu du
mal
sous-occipital, généralement considéré comme un
ntré Eicheverria, Charcot et Michaud, ALQUIEIi. QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE SU la compression est pro
rouvée plus volumineuse qu'à l'élat normal, aux QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 513 endroits où le micros
cas en 3 groupes, suivant le siège, dor- sal, lombaire, cervical du
mal
de Pott, mettant à part quatre faits com- plexe
mal de Pott, mettant à part quatre faits com- plexes (trois cas de
mal
de Pott chez des syphilitiques, un cas de mal de
plexes (trois cas de mal de Pott chez des syphilitiques, un cas de
mal
de Pott terminé par méningite). I. - Mal de P
syphilitiques, un cas de mal de Pott terminé par méningite). I. -
Mal
de Pott dorsal. Cas. I (cas 880 du Laboratoire)
êtrière. T. XIX. PI. LXXV ! Fig. 1 Fig. 3 . Fig.2 '2 Fig. 4
MAL
DE POTT 'r"hJ¡,¡,1't&;1 : ¡ ,;a : fjJ ? (L.
¡,1't&;1 : ¡ ,;a : fjJ ? (L. A/ouïe¡-) '- " QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 515 5 très sclérosées, av
es sont en chromatolyse légère, avec pigmentation. Cas. II (nu801).
Mal
de Fott ayant débuté cliniquement à 70 ans. Mor
paraissent dues à la néphrite et à l'artério-sclérose plutôt qu'au
mal
de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dors
l'artério-sclérose plutôt qu'au mal de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). -
Mal
de Pott dorsal. Mort 16 mois après les premiers
sement, de déchirure dans la région lombaire. QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT Chez L'ADULTE' 517 Neuf mois après, s'y
rallèle à celle des lésions des méninges molles. OBs. V (n° 814).
Mal
de Pott ayant cliniquement évolué en 6 semaines,
rement aplatie d'avant en arrière. Les méninges QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 519 molles, libres partou
s veines plutôt dilatées, sont pleines de sang. OBs. VI (no 755).
Mal
de Pott sans gibbosité, ayant évolué cliniquement
antes gauches. Cervelet, pas de lésions. De ces 6 observations de
mal
de Pott dorsal, les deux premières sont des exe
conographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. LXXVII Fig. 1 Zig. 2
MAL
DE POTT (L. Alquier). QUINZE AUTOPSIES DE MAL
Fig. 1 Zig. 2 MAL DE POTT (L. Alquier). QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 52 ! ' Dans le second cas
condaire, et les caractères spéciaux (diffusion, tubercules jeunes,
mal
formés) du foyer épidural, on est en droit de s
as dans les autres cas où man- que cette infection adjuvante. II.
Mal
de Pott lombaire. Nous serons extrêmement bref
ublié in extenso (1), le 886 le sera bientôt). Ces. VII (n° 681).
Mal
de Pott sacré sans signes rachidiens. - Englo-
(1) Roussi, Arch. de neurologie, août 1905 , QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE z3 peine. Réflexes : rotu
nt grenue se co- lorant en rose par l'éosine. Ors. VIII (n° 886).
Mal
de Pott lombaire sans signes rachidiens ; syn-
autre travail fai tavec Lhermi tte (4 ). (t) ALQUfEIi ét Lheruitte,
Mal
de Poil, syri71gomyélie.ï{eva.e neurol,30 décembr
syri71gomyélie.ï{eva.e neurol,30 décembre 1906. QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 525 illi. - Mal de Pott c
e 1906. QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 525 illi. -
Mal
de Pott cervical et cervico dorsal. OBs. IX (nO
entre dans le service de M. le professeur Raymond où on constate :
Mal
de Pott avec gibbosité cervico- dorsale doulour
conographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. LXXVIII Fig. 1 Fis. 2
MAL
DE POTT (L. Alquier). Masson & Cie, Edite
& Cie, Editeurs Ph"...t ? u..rw ? a o.... QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 527 la hauteur de la moel
a- raissent sains à l'oeil nu et au microscope. Ons. XI (n° 890).
Mal
de Polt sans gibbosité, détruisant complètement l
ent la moelle, dans les observations IX et X. QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 529 Les racines sont engl
difficile de distinguer chez eux les symp- tômes et les lésions du
mal
de Poil et de la syphilis ; dans la 4e, une ménin
es, les vaisseaux sont dilatés, pleins de sang. Ces. XIII (n° 798).
Mal
de Poil dorsal chez une syphilitique probable,
la région lombo-sacrée. Femme présentant depuis t'age de 30 ans un
mal
de Pott dorsal avec gibbo- sité. A 50 ans, doul
ng 21t ! r. zut . mi Fig. 2 Fig. 3 QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 531 férieurs complète à d
essière, fièvre, mort. Autopsie. - Tuberculose pulmonaire ancienne.
Mal
de Pott avec destruc- tion du 4e corps dorsal,
ultanée d'un tabès incipiens bien probable ana- tomiquement et d'un
mal
de Pott ;.dans l'observation XII nous voyons, au
r épidural ne diffèrent pas notablement de celles observées dans le
mal
de Pott simple ; ' il semble que les deux malad
ciproques. Cas avec méningite, probablement tuberculeuse. Uns XV.
Mal
de Pott dorsal. Guérison apparente après 8 mois d
e de 18 ans. A 16 ans, à la suite d'une chute sur le dos, fréquents
maux
de reins, déviation vertébrale : 18 mois plus tar
ois plus tard, après une chute sans cause (paraplégie brusque) pour
mal
de Pott par l'immobilisation complète; QUINZE A
pour mal de Pott par l'immobilisation complète; QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 533 8 mois après guérison
à partir de quel degré les lésions périradicu- QUINZE AUTOPSIES DE
MAL
DE POTT CHEZ L'ADULTE 535 laires pouvent agir s
génératives. Ces lésions sont nettes dans les observations I et II (
Mal
de Pott dorsal avec compression osseuse), elles
ec compression osseuse), elles apparaissent surtout dans les cas de
mal
de Pott lombaire ou cervical. ' Il nous est d
es à d'autres causes qu'à la tuberculose rachi- Quinze autopsies DE
MAL
DE POTT CHEZ l'adulte 531 dienne. Ceci concorde
oces. Leur constatation prend une importance particulière lorsqu'au
mal
de Pott s'ajoutent ceux d'une autre affection n
n'avait occasionné aucune douleur rachidienne ; après sa guérison, le
mal
Pott était apparu, annoncé, dès son début, par
mptômes radiculaires objectifs particulièrement importants quand le
mal
de Pott est lombaire ou cervical, ont assurément
ire ne peut être précisée exactement. Dans nos deux premiers cas de
mal
de Pott cervical, comment distinguer, parmi les
musculo-tendi- neuses,qu'on n'observe pas, d'habitude, au cours du
mal
de PoU; ces carac- tères seraient à rechercher
-Sé- quard. On sait combien le pronostic des accidents nerveux du
mal
de Pott pré- sente de difficultés ; on ne sait
ont, que l'on a proposées comme moyens de diagnostic dans le cas de
mal
de Pott, sans signes rachidiens. Enfin, la ra
pariétal dont les fibres se disposent plutôt en une seule cou- che
mal
différenciée. Cette explication nous a paru néc
si compliquée de la dégénérescence rétrograde. Ce phénomène encore
mal
compris dans les autres régions, devient presqu
RS ALQUIER. Les principales formes des trou- bles nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2. Alquier. Q
l de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2. Alquier. Quinze autopsies de
mal
de Pott chez l'adulte (4 pl.), 510. Armand-De
ose corticale. syndrome méningé (3 fig., 4 pl.), 239. Eccr : n (
maux
) et Français (IL). Agénésie to- tale du système
à la psychophysiologie de l'usage des) (2 fig.), par Féré, 115.
Mal
de Pott sans gibbosité (les principales formes
die de Dupuytren et artério-sclérose médullaire (JAaurnu), LXXXI.
Mal
de Pott sans gibbosité (ALQUIER), I, II, III, I
), LXXXI. Mal de Pott sans gibbosité (ALQUIER), I, II, III, IV.
Mal
de Pott (Alquier), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXI
r en face, afin d'en modilicr la nature et de faire sortir le bien du
mal
, etnon,éoininc on l’a fait toujours, le mal du bi
e faire sortir le bien du mal, etnon,éoininc on l’a fait toujours, le
mal
du bien. Il y a plusieurs siècles que ce travail
remplir la mission sublime d’alléger les souffrances et de guérir les
maux
. Le magnétisme agit non-seulement physiquement,
ibre ou de l’ordre élan t une exception de la règle de l’ordre, ou un
mal
physique, le rétablissement de l’équilibre ne peu
r que par une autre exception de la règle , c’est-à-dire par un autre
mal
. Il se fait donc nécessairement un retour du mal
-à-dire par un autre mal. Il se fait donc nécessairement un retour du
mal
sur la cause, pour l’altérer ou pour la détruire,
a, par une sorte de retour plus ou moins immédiat, la punition par un
mal
physique appelé maladie ou crise, qui n’est autre
’il a troublé l’ordre de la nature, reviendra sur son auteur comme un
mal
nécessaire pour rectifier le désordre, soit, par
à cet anachorète, dont jadis on aurait fait un saint, et ont vu leurs
maux
guéris ou adoucis par des pratiques simples et to
e l’esprit dans une situation favorable à ces opérations, il y aurait
mal
à la détruire si on ne pouvait donner une convict
rétendu barbare encourager, solder même les hommes qui guérissent les
maux
en se servant de facultés naturelles et humaines,
ien, nous pousse et conduit dans cette voie; l’autre qui, principe du
mal
, nous incite sans cesse à des actes coupables. Le
es étaient haletantes, et lorsqu’il fléchit pour saisir le symbole du
mal
, des bras se sont levés, des bouches ouvertes, co
ssière mystification ; aussi trouve-t-il que les auteurs ont été fort
mal
inspirés dans le choix du sujet. — M. Mageudie,
ie et le magnétisme, puisqu’il faut les nommer, prétendent guérir lps
maux
avec peu ou point de remèdes. Le congrès s'est
règles pratiques cl recommandé la prudence, puisque le bien comme le
mal
peut résulter de votre conduite. Déliez-vous de
qu'ils ne peuvent vivre qu’avec des erreurs, ou plutôt le principe du
mal
, les flattant, leur plaît par cela seul plus que
principes: ce n’est que confusion autour de nous. D’où vient donc ce
mal
? Assez de vérités sont pourtant découvertes, et D
fait un devoir; il s’y courbe du reste avec plaisir, sans songer aux
maux
qui l’attendent, sans se soucier de cet avenir où
e que je suivais les progressions de la malade sans qu’elle me dit le
mal
qu’elle éprouvait. Les misérables avaient dos yeu
r, par scs grands talents, nous garantira-t-il à l’avenir de tous les
maux
qui pèsent sur nos tètes, des inondations, des te
s; et aussitôt dit, aussitôt fait. Les fondateurs de l'Union ont fort
mal
raisonné. Les vieux médecins antimagnétistes, enn
e des actions est l’intérêt personnel, mais que cet intérêt peut être
mal
entendu lorsque la représentation en est confuse
confondus ni ignorés. La société, pour cet effet, affecte certains
maux
ou peines aux actions qu’elle veut empêcher , et
elle veut empêcher , et les règles d'après lesquelles elle inlligeces
maux
sont les lois criminelles. Les lois criminelles
lles doivent avoir deux objets : remédier et préserver. Remédier au
mal
, c’est le faire cesser, soit dans sa cause, soit
criminelles sont donc: 1° De renforcer les motifs en attachant des
maux
à ces actions défendues -, 2°En prouvant que ce
attachant des maux à ces actions défendues -, 2°En prouvant que ces
maux
sont des effets certains et inévitables de ces mê
es mêmes actions. La justice n’ayant le droit naturel d’infliger un
mal
que pour en éviter un plus grand, la mesure de ce
mesure de ce droit sera dans tous les cas la stricte nécessité. Ce
mal
étant une exception particulière de la règle géné
procédure doit donc être publique, soit pour prouver la nécessité du
mal
, soit pour démontrer que çe mal attaché par les l
ue, soit pour prouver la nécessité du mal, soit pour démontrer que çe
mal
attaché par les lois à l’action prohibée est cert
angements ou les effets de l’action ; 3° Le degré du désordre ou du
mal
qui en est résulté dans la société. L'énormité
dans la société. L'énormité du crime est en raison composée 1° Du
mal
résultant de l’action; 2° De la difficulté de l
é l’action a dépendu de la liberté, et par conséquent à quel point le
mal
peut être imputé à son auteur. Le remède, ayant
toyen qui a commis le crime. L’abus de la liberté étant la cause du
mal
, pour la faire cesser, le plus naturel et le plus
’homme, que l’on se permet de calomnier comme dépravée et disposée au
mal
; mais qu’elle est plutôt le résultat dè l’éducati
Enfin un somnambulisme calme succéda à ces crises; elle put voir son
mal
, dont la cause était, selon elle, une grande quan
ouvons entrer maintenant. Comme toutes les questions obscures, peu ou
mal
étudiées, celle-ci donne lieu à une controverse;
ans lesquelles il mettait les malades résultaient d’une magnétisation
mal
dirigée, car il sera possible désormais de produi
es que pèche la relation des traitements magnétiques; mais, pour être
mal
narrées, ces guérisons n’en existent pas moins. L
monsieur qui, la semaine dernière, a été opéré par M. Travers pour un
mal
de pied, a également succombé vingt-quatre heures
sphère, et le paganisme, en résumé, n’est autre chose que la croyance
mal
entendue de cette idée primitive : « Dieu dans to
nt point de tentatives hasardées, de pertes de temps, qui ajoutent au
mal
: « aux grands maux les grands remèdes ; >>
ves hasardées, de pertes de temps, qui ajoutent au mal : « aux grands
maux
les grands remèdes ; >> il faut un secours
cines. Beaucoup de ces malheureux y trouvèrent la curation de leurs
maux
; mais il nevinl à la pensée de personne que si le
ie, et sous ce nom nous comprenons des faits d’une occulte puissance,
mal
connus, mal définis et dont la source est en nous
ce nom nous comprenons des faits d’une occulte puissance, mal connus,
mal
définis et dont la source est en nous-mêmes, exis
té, comme nous le démontrerons. En effet, l’ignorance fut toujours un
mal
; c’est par elle que les malheurs de l’homme se
es imposteurs qui se gardent bien de les éclairer. Eh bien, tout ce
mal
peut diminuer et l’humanité changer de face si la
ne put s’accoutumer à ce régime; elle se fit magnétiser, et tous scs
maux
parurent se dissiper. Veuve et jeune, elle se r
rbée sur elle-même, nulle autre position ne lui était permise par son
mal
, qui, bien qu’angmentant à chaque instant, n’ôtai
exécuter; mais, peu de temps après, cette princesse fut attaquée d’un
mal
si violent, qu’il l’emporta à la fleur de son âge
secours de la médecine, rien ne put arrêter les rapides progrès d’un
mal
de poitrine qui au bout de peu de temps la condui
s de Pâques 1846 que leur fille commença à ressentir les atteintes du
mal
qui allait l’emporter ; mais à cet âge il y a tan
l’emporter ; mais à cet âge il y a tant d’espoir dans la jeunesse, ce
mal
lui-même est si mystérieux, que tout contribuait
le de Dieu, ce qui avait fait désigner cette maladie,sous le nom de :
mal
de prédication. Des médecins témoins de ces parox
paraissent leur être les plus inaccessibles, ceux où le christianisme
mal
entendu domine. — Le Mauricien, journal de l’îl
itôt le malade vomit une abondante quantité de bile, mêlée d’aliments
mal
digérés. Cette magnétisation, quelque temps soute
ux heures après, et un nouveau vomissement de bile pure eut lieu ; le
mal
fut dès-lors enrayé. Le malade s’endormit, et le
umaines, il est probable qu'il est appelé à faire plus de bien que de
mal
, parce que nous pensofls, et l’expérience nous le
n, elle l’a perdue ; mais je la vois qui me tire les yeux, ça me fait
mal
, ça brille trop. (Elle se cache les yeux.) — Ma
essaya; mais comme le style était en vieux français et les caractères
mal
formés, elle resta quelques instants à parcourir
liquide et ne portent jamais de fruits. » Le physicien, «contre les
maux
indignes et lâchement traîtreux qui resserrent le
ne et de sels mercuriels. Serait-il juste à Dieu d’avoir opposé à nos
maux
des remèdes qu’on fût quatre mille ans à inventer
spécifiques. Puis en masse les médecins firent peser les causes du
mal
dans notre organisation, sur le froid ou le chaud
le et les assistants, qui savaient qu’éveillée elle se serait trouvée
mal
à la vue de l’instrument tant redouté. Je regre
parla, TOME IV.—KO 4«.— 25 MAI 1847. 10 dit qu'elle voyait son
mal
dont elle guérirait, mais qu’il faudrait en venir
lle avaiL faites, et reconnut, ainsi qu’elle l’avait annoncé, que son
mal
pouvait provenir d’une dent gâtée, et reconnut ég
us troubler, vous demander d’ouvrir vos portes. Vous croyiez faire du
mal
au magnétisme et déconsidérer ceux qui avaient or
audissent entre eux de leurs persécutions, et pensent que le génie du
mal
, dont ils sont les ministres, remportera sur le g
Mais à peine de l’éther Eut-il senti la puissance Qu'il fut pris du
mal
de mer. Non, l’éther, etc, L’autre soir, dans u
cidents reparaissent. « Un Breton, vieux militaire, éprouve le même
mal
à un tel point qu’il est obligé de quitter toute
mes connaissances thérapeutiques ont échoué. Des femmes affectées de
maux
de reins, de douleurs lancinantes à l’hypo-gastre
on que plusieurs d’iceux, pour la grande humidité, étoient sujets aux
maux
de nerf ou de gorge, ce qui n’est du tout hors de
s’était déjà écoulé depuis sa sortie de l’hôpital-, et cependant son
mal
allait toujours en empirant, abandonnée de tout l
un long article plus nuisible que favorable au magnétisme, tant sont
mal
choisies les preuves. L’auteur a eu une bonne int
gré au Charivari du service qu’il a voulu leur rendre, et si quelque
mal
résulte pour la cause mcsmérienne, il en aura été
o M"" Piron, par sa lettre du 28 décembre 1845, m’annonçait que le
mal
du nombril élait évacué. Le lendemain, j’interrog
é. Le lendemain, j’interrogeai mon fils à ce sujet; il me dit que son
mal
existait encore, et pour m’en donner la preuve il
au moins et ne rien faire pour favoriser l’évacuation du principe du
mal
, ni calmer son agitation... Les jours suivants il
nt il se plaint de malaise, dit qu’il est faible, qu’il a beaucoup de
mal
au nombril, que la douleur n’est pas ordinaire, q
’il prononça avec l’accent de la conviction : a O mon Dieu, comme mon
mal
est blanc! » Il était, à ma grande surprise, tomb
se, tombé seul en somnambulisme. Je l'interrogeai ; il me dit que son
mal
allait s’évanouir comme il l’avait prédit ; qu’il
sommeil magnétique élait nécessaire pour favoriser l’expulsion de son
mal
; que s’il ne s’était pas endormi, il aurait peine
, lorsque, à la suite d’une contrariété très-forte, elle fut prise de
maux
de ventre affreux, avec sensation d'une boule qui
ns cours à l'indignation que nous éprouvons; car nous avous souci des
maux
d'autrui, et notre douleur augmente en voyant pro
n et de myo-lilité, dont le premier degré se traduit par : se trouver
mal
; la cime, par convulsion. Considéré d’une manièr
ans ses manières d'être. Une fois attaqué, c’est un foyer qui sème le
mal
par toute l’organisation, et ce mal, quand il est
taqué, c’est un foyer qui sème le mal par toute l’organisation, et ce
mal
, quand il est en dehors de la lancette et du spéc
Ce que je comprends mieux, c’est, que cette maladie est généralement
mal
traitée, par la raison toute simple qu’on prend s
es secondes vous verrez huit 011 dix personnes « s’enfuir, l’une pour
mal
de tête, l’autre pour attaque « de nerfs, etc.
sée fortuitement, devient soudain somnambule, décrit sans hésiter son
mal
, qui est un cancer utérin, et indique les médicam
s il ce moyen. Lui, qui n’avait jamais ouï parler du magnétisme qu’en
mal
, rit beaucoup de la crédulité de son ami; mais, v
bandage, ce qui fut fait. Mais quelquefois le remède est pire que le
mal
, et la pression du ressort donnait de telles déma
vé, qu’il soit reconnu tel qu’il est, comme le vrai remède à tous les
maux
. » INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. SOCIÉTÉ DU MESMÉ
tes, tous, croient avoir raison? lorsque, par un effet d’amour-propre
mal
placé, et, cc qui est pire, par des intérêts priv
rédiction se vérifia. Mais il fallait découvrir la véritable cause du
mal
, la tendance de la nature et la seconder; c’est c
nostic est obscur, où l’art est impuissant pour découvrir la cause du
mal
, la tendance de la nature qu’il faut seconder. Eà
ie? R. — La maladie a été parfaitement décrite; mais l’intensité du
mal
, suivant elle, n’était pas aussi alarmante que no
_On sait que nous sommes loin d’approuver ces exhibitions, toujours
mal
interprétées par la masse des spectateurs, qui n’
ai de nouveau les médecins, dont les efforts furent sans résultat: le
mal
allait toujours empirant, le bras droit était par
Descaves. Auxerrc, 20 mai 1847. N° 139. En 1823, atteinte de
maux
d’estomac, toux, douleurs de poitrine, je fus tra
econnaissance à la vérité. Depuis deux ans mon épouse éprouvait des
maux
de cœur et des coliques affreuses, occasionnées p
lète guérison. Autorisée par mon mari, femme Guillau. Auxtrre, 21
mal
1847. INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. SOCIÉTÉ DU SI
ie universel, toujours excellent et toujours triomphateur du génie du
mal
, compense de loin en loin, par de nouveaux bienfa
urieuse histoire que je donnerai, en parlant du somnambulisme, que le
mal
comme le bien du magnétisme est connu, et que des
a créature. Or, l’objet de la vie humaine étant de séparer le bien du
mal
, d’éprouver toutes choses pour s'approprier celle
nt que l'homme en santé devienne le médecin de l’homme malade; que le
mal
cl le remède, le malade et le médecin soient touj
rence de guérison. lin effet, depuis bientôt trois ans, ni crises, ni
maux
do léte, rien n’a reparu. Madame I). L***, ainsi
D*", homme instruit et magnétiseur, dit-on, ne comprenant rien à ses
maux
, la faisait se préparer à retourner en France pou
magnétisme n’est pas la médecine, tant s’en faut! c’est mie«® ou plus
mal
, comme on voudra, mais c’est autre chose. Par con
abus, étrange perversion : l’élément du bien devenir l’instrument du
mal
! Rien n’est sacré pour l'homme dont on a laissé p
r avec la main par derrière pour le faire avancer. Après quelques pas
mal
assurés, il devint soudainement roide de la tête
je fus convaincu de l’égalité de sa puissance pour le bien et pour le
mal
, et je n’en ai poussé si loin la démonstration qu
aine permanente.) 5. Marthe Lassalle, épouse Laucué, de Bizanos. (
Mal
de gorge violent, ayant perdu la parole, insomnie
igraine permanente, insomnie, douleur au foie et palpitation de cœur,
mal
d'oreilles, etc,) 13. Marie Minvielle, épouse B
rine, point de côté, toux, insomnie, palpitation de cœur, migraine et
mal
d'oreilles, etc.) 20. Thérèse, fille Roc, de Po
ouches.) 29. Jacques Labobde, de Lescar. (¡Migraine permanente et
mal
d'oreilles.) 30. Marie Cuiboune, épouse Andîeu,
au bas-ventre, lait répandu, maladie d’yeux, d'oreilles, migraine cl
mal
de gorge.) 37. Epouse Ramon, de Bizanos. (Aff
4. Mademoiselle Barrère, de Pau. (Vomissement périodique, migraine,
mal
d’oreilles et palpitation de cœur.) 55. Jeanne
e cœur.) 55. Jeanne Ci.arens, épouse Lacroi x, de Pau. (Migraine,
mal
d'oreilles, d’yeux, insomnie, palpitation de cœur
(Fièvre tierce.) 57. Laurent Monda, de Vic-Bigorre. (Migraine,
mal
d'oreilles, d’yeux, palpitation de cœur cl maladi
u, de Pau. (Oppression de p.iitrine, douleurs de matrice, migraine,
mal
d'yeux, d’oreilles el des nerfs, vents.) 50. Th
ie, épouse Cazarré, de Meillou. (Fièvre lente, obstruction du foie,
mal
dégorgé, migraine permanente, palpitation decœur,
anches cl rouges permanentes, faiblesse générale, insomnie, migraine,
mal
d'oreilles, du cœur, maladie do matrice très-comp
palpitation de cœur.) 77. Jeanne, fille Fitter, de Vic-Bigorre. (
Mal
de gorge très-violent, ne pouvaut rien avaler.)
t sa plaie, madame W‘** venant à entrer, fut frappée, de l’aspect «lu
mal
et de la tristesse du malade, encore sous l'impre
de ma bouche m’empêchaient de parler; en vain je voulus combattre le
mal
et me livrer à mes occupations journalières, je n
ant deux ans, eL me renvoya en me disant qu’il fallait vivre avec mon
mal
, plus grand encore, malgré un régime sévère et un
tés les déterminaient subitement. J’étais également incommodé par des
maux
de tôle, contre lesquels ne purent jamais agir ef
vins à Paris, où, comme vous le savez, je retombai en deux mois aussi
mal
que précédemment. Ce fut alors qu’un de mes bons
it donc le moment de s’assurer do l'efficacité du magnétisme pour mon
mal
; un homme aussi aimable qu’intelligent, toujours
survenu depuis le commencement de mon traitement ; je n’avais plus de
maux
de lête, comme les années précédentes; je pouvais
e vous m’avez fait? Mon avenir était brisé, ma vie n'était plus qu’un
mal
qu’il fallait prendre en patience; je n’envisagea
le goûter avec la pensée que mes enfants dussent hériter peut-être du
mal
de leur père? Du reste, quels projets pouvais-je
bres, lorsque je le soumis à un courant magnétique. De ce moment le
mal
a disparu comme par enchantement; cinq magnétisat
de charité agissante que celui de soulager ses semblables dans leurs
maux
et dans leurs souffrances? Jésus-Christ même nous
té mesmérienne grande et belle; il la üt monstrueuse et produisant le
mal
. Ainsi envisagée, la science nouvelle fut comprom
u. (Fièvre nt-rveuse et convulsions nerveuses, surdité, migraine et
mal
d’orcdlcs.) 77. Pauline Taton, fille, de Pau.
èvre# continue».) 91. Pierre Lacrouts, dernier né, «le Burdères. (
Mal
dans le nez et au gosier.) 02. Jeanne CousrÉ-La
ièvre lierce.) 98. Goyhenrk, chef de bataillon, de Pau. (Rhume et
mal
de g: rgc violent.) 99. Pierre***, de Meillou.
vent de ce moyen énergique, mais naturel, qui ne peut jamais faire du
mal
, quand du moins on en étudie les procédés? Pourqu
t été employée en dernier lieu, non sans quelque soulagement, mais le
mal
reparaissait bientôt. « Le 28 mars dernier, le
avants n’auront aucun préservatif, et nous les verrons envahis par le
mal
, sc laisser mourir comme le simple vulgaire. 0
t il court comme un papillon sur les plus belles lleurs. Il ne dit de
mal
de personne, mais redresse tout le monde. Marcill
ieu, agir surl’homme, soit moralement en le tentant et l’induisant au
mal
, soit physiquement en tourmentant son corps. Mo
.. oh! bien bonne en effet, ma seconde mère, qui m’a sauvé de mille
maux
dans mon enfance, et de mille sottises dans ma je
trouvait bien et dit qu’il sentait une légère chaleur au siège de son
mal
, ce qui le fit y porter la main el savoir que l’o
ule : Associez-vous, la terre sera votre conquête, et vos plus grands
maux
cesseront (t’exister; fou encore. Enfin Mesmer a
onner à chacun la part qui lui revient dans la guérison parfaite d’un
mal
que la science humaine avait jugé incurable; c’ét
c présentent pour pratiquer une seconde opération, que les progrès du
mal
rendaient indispensable. Il ne devait y avoir à
ux premiers cris elle était accourue). Je souffrirai non à cause du
mal
lui-même, je ne le sens pas ni les instruments, m
, je ne le sens pas ni les instruments, mais à cause de la crainte du
mal
. J’ai une espèce de cauchemar. En effet, troi
el a été radicalement el promptement guérie sans crainte du relour du
mal
. Elle n’a été instruite, chose aussi étonnante
rent senlir plus de quatre heures. Un tremblement convulsif, une voix
mal
assurée, une faiblesse extrême, qu’il me fut impo
et c'est à cette science qu'il demande des notions sur la nature des
maux
qui affligent l’humanité, et sur les moyens curat
roir, connaissent les remèdes que l’on doit appliquer à leurs propres
maux
et à ceux des autres, prévoient enfin les choses
malades ou à d’autres personnes des remèdes plus convenables à leurs
maux
, et l’on exerce ainsi avec sûreté l’art de guérir
plusieurs milles de distance, de lire dans l’intérieur des autres les
maux
dont ils sont affligés, de leur suggérer des remè
influer grandement sur la constitution de l’individu et être cause de
maux
graves. Le cas suivant le prouve à l’évidence.
étre approfondi par les personnes de l’arl. » Mais il ne serait pas
mal
qu’on abandonnât tout à fait la croyance à l’exis
me rappelle plus laquelle), par suite d’un abcès au cou qui avait élé
mal
soigné el dont enfin elle avait guéri; mais la pl
elle daine éprouvait depuis une douzaine d’années environ do violenls
maux
de tôle qui 11e la quittaient qu’à de rares inter
rs qui suivirent le commencement du troisième mois de traitement, les
maux
de tète disparurent peu à peu, et enfin complètem
ni profonds, et qu’ils s’effacent bientôt pour laisser reparaître le
mal
qui n'avait été qu’atténué. Les devoirs de tous
magnétique. „ Depuis plus de quatre ans des malaises continuels, des
maux
de tôle, incessants pendant l’été, m’ôtaient tout
je dis la vue, car l’œil droit s’était pris par sympathie ; enfin le
mal
devint tel que je me résignai à la cécité. Au bou
lle de chou rouge chauffée sur une pelle. Le loie allait mieux ; le
mal
élail principalement porté sur la rate qui se cou
ut les empêcher de conclure avec justesse sur les relations d’organes
mal
connus à des facultés mal définie. L’inspection
e avec justesse sur les relations d’organes mal connus à des facultés
mal
définie. L’inspection des entrailles des victim
enfant qu’il allait dévorer, le lui laissa sans lui faire le moindre
mal
; on pourrait croire que les mouvements de la pen
verner par lui-même. Obéissant aux suggestions de quelques courtisans
mal
inspirés,il déclara la guerre aux princes chrétie
la douleur. Or ce cas se pré- (lj Voir revue de l'Hypnotisme n" de
mal
et de juin 1900. seule très souvent dans la p
t huit jours je mis tout en œuvre pour lui démontrer la nature de son
mal
et lui affirmer qu'il devait guérir. Au bout de c
core plus déprimé qu'auparavant, se sentait plus faible, dormait plus
mal
, mangeait moins et il me déclara qu'il voulait re
rendre ses affaires, s'occuper de fa:re cesser la cause intime de son
mal
, y parvint et resta guéri. L'humanité et la chari
nsuffisante : « Ainsi, dit-il, quand mes malades se plaignent d'avoir
mal
dormi pàrcé'qu'ÎIs ont eu des rêves angoissants,
(comme tous les médicaments qui sont des poisons et peuvent faire du
mal
) ne doit être employé que médicalement par un méd
on qui nous occupe il ne s'agit pas de savoir si l'on peut employer à
mal
l'hypnotisme, mais si son emploi médical est inof
extérieur, le fameux isolement qui réussit si bien à M. Dubois et si
mal
à tant-^'autres. Nous pouvons ajouter donc une
nd l'hyp-notisation n'est pas possible. J'ai observé trois fois des
maux
de tète après la première séance; dans deux cas,
lade interrompit le traitement parce qu'elle avait souffert encore de
mal
de tête après la seconde séance malgré mes précau
Quand j'étais lycéen, en 5e classique (vieux style), je mordais fort
mal
à la géométrie. Je ne me suis jamais expliqué pou
ces interrogations. A l'approche d'une nouvelle composition, il dort
mal
, en proie à son appréhension. Au moment de faire
ace ! » Obsédé par ces préoccupations, désemparé, désorienté, il fait
mal
sa composition et, naturellement, les places devi
1900 ; je n'ai pas eu d'appétit ; j'ai eu des douleurs de tête et du
mal
de ventre. Les douleurs augmentaient les jours su
souvent irréparable. Et que dire des cas où le remède est pire que le
mal
? Aussi l'auteur ne saurait mieux conclure que pa
ministre de l'Instruction publique, sur la proposition de conseillers
mal
inspirés, vient de créer un nouveau diplôme de mé
s et qu'on ignore sa propre influence ? c'est une vérité exacte, mais
mal
observée par les physiologistes et les philosophe
ons en passant que la mère n'accuse pas M"' X..., de l'aggravation du
mal
de sa fille. Un mari a sa femme atteinte d'une
ns déjà inscrites : Dr Félix Regnault: Le traitement psychologique du
mal
de mer (Suitî de la discussion). Dr Van Renterg
erghem (d'Amsterdam) : L'action préventive de la suggestion contre le
mal
de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
ntre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au sujet du
mal
de mer. D'Bérillon : Technique du traitement pr
et du mal de mer. D'Bérillon : Technique du traitement préventif du
mal
de mer. D' Damoglou. du Caire: La timidité en O
s nouveaux cas de trac chez des exécutants. D' Félix Regnault. — Le
mal
de mer vrai et le mal de mer imaginaire. Discussi
chez des exécutants. D' Félix Regnault. — Le mal de mer vrai et le
mal
de mer imaginaire. Discussion : D'' Bérillon, Pau
épinay, Pottier et Félix Regnault. La suite de la discussion sur le
mal
de mer est renvoyée à la séance de novembre. M,
l'intelligence ; leur intelligence est normale ; s'ils se conduisent
mal
, s'ils sont paresseux, etc., c'est uniquement par
rares, la démence survient chez des épilepti-ques, après des états de
mal
fréquents ou des séries d'accès ; sa marche p
que leur enfant commet des excentricités, des bizarreries, se conduit
mal
en un mot, ils doivent, avant de sévir, se rensei
portun. Cette absence de vie de famille est encore une cause d'autres
maux
. Les générateurs s'intoxiquent, soit par l'air vi
r qu'il n'a pas été assez applaudi à son gré, il s'est presque trouvé
mal
en sortant de la salle; de dépit, il a versé d'ab
déjà inscrites : D' Félix Regnault: Le traitement psychologique du
mal
de mer (Suite de la discussion). D' Van Renterg
erghem (d'Amsterdam) : L'action préventive de la suggestion contre le
mal
de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au
ntre le mal de mer. Dr Paul Farez : Quelques précisions au sujet du
mal
de mer. D' Bérillon : Technique du traitement p
t du mal de mer. D' Bérillon : Technique du traitement préventif du
mal
de mer. Df Bonjour (de Lausanne) : Le mal de me
u traitement préventif du mal de mer. Df Bonjour (de Lausanne) : Le
mal
de mer et l'expérimentation psychologique. D' D
ercent aussi leurs ravages parmi les animaux. Surra, Nagana, Dourine,
Mal
de Caderas, Soumaya, Mbori, ne sont que des varié
du mardi 16 octobre 1906. — Présidence de M. le D' Jules Voisin. Le
mal
de mer vrai et le mal de mer imaginaire par M.
06. — Présidence de M. le D' Jules Voisin. Le mal de mer vrai et le
mal
de mer imaginaire par M. le Dr Félix Regnault,
rofesseur à l'Ecole de psychologie. Désireux d'étudier, de près, le
mal
de mer, je me suis embarqué pendant toute la duré
s embarqué pendant toute la durée des vacances. Souvent j'ai guéri le
mal
de mer, non par suggestion directe, mais par sugg
une médicalion psychique, aucune spécialité répulée ne peut guérir le
mal
de mer qui survient par les gros temps. J'en suis
ent par les gros temps. J'en suis arrivé à distinguer, d'une part, le
mal
de mer vrai, contre lequel rien n'agit (à moins q
ins qu'on n'ait affaire aune personne hystérique), et d'autre pari le
mal
de mer imaginaire (produit par l'auto-suggestion,
nombreux succès en négligeant de traiter par suggestion indirecte des
maux
de mer imaginaires, dont j'estime la proportion à
que l'auto-suggestion joue un rôle considérable dans la production du
mal
de mer. Dans une traversée de la Manche, je faisa
enance ; des amis se mirent à raconter auprès de moi des histoires de
mal
de mer. Je sentais que j'allais en être atteint s
évois un gros temps, voici le procédé par lequel j'arrive à éviter le
mal
de mer. Je me couche et m'applique à m'endormir.
chothérapie. Indépendamment de ces réactions personnelles contre le
mal
de mer, il ne faut pas oublier qu'il y a une méth
de l'hétéro-suggestion dans l'éliologie d'un certain nombre de cas de
mal
de mer. Il faut cependant tenir compte de certain
Regnault a émis l'avis que la suggestion est sans influence contre un
mal
de mer vrai, provoqué par le gros temps. Cependan
. Cependant, la mer étant très mauvaise et tout le monde souffrant du
mal
de mer, survient un danger d'incendie, d'échoueme
cendie, d'échouement, de voie d'eau : l'émotion est si intense que le
mal
de mer est supprimé chez tous. On ne saurait sout
soutenir que tous étaient des hystériques ou que tous n'avaient qu'un
mal
de mer imaginaire. Celte dérivation de l'attentio
Celte dérivation de l'attention a donc suspendu un certain nombre de
maux
de mer vrais, la suggestion est donc légitime, mê
e contre ces derniers. Dr Bérillon. — Je pense que le traitement du
mal
de mer doit ôtre préventif.'Quand il est comp
ressage psychologique qui permettra, dans la suite, de neutraliser le
mal
de mer. J'ai déjà exposé à la Société la techniqu
le plus complet, alors même qu'on a des symptômes assez accentués du
mal
de mer. Ce n'est pas parce que des nausées ou des
D' Binet-Sanglê. — D'après M. Regnault, si la suggestion guérit le
mal
do mer, c'est qu'il est imaginaire, si elle ne le
aitement ne nous apporte pas un élément précis de diagnostic entre le
mal
de mer vrai et le mal de mer imaginaire ; je dési
te pas un élément précis de diagnostic entre le mal de mer vrai et le
mal
de mer imaginaire ; je désirerais savoir en quoi
se distinguent l'un de l'autre. M. Le Menant des Chesnais. — Si le
mal
de mer imaginaire est seul justiciable de la sugg
ce à elle, vous faites un diagnostic. Quant à la distinction entre le
mal
de mer vrai et le mal de mer imaginaire, elle m'e
un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai et le
mal
de mer imaginaire, elle m'est apparue comme une v
différents au péril dont ils étaient menacés. Dr Boxy. — Lorsque le
mal
de mer atteint une certaine intensité, l'instinct
voir les malades. D' R. Pamart. — Il est des personnes atteintes de
mal
de mer à un Ici degré qu'on ne sait à quel traite
ombent pendant la traversée sans qu'on puisse préciser la part que le
mal
de mer a pu avoir dans leur mort. Les efforts
araît certain que les personnes de caractère faible souffrent plus du
mal
de mer que les autres et le redoutent davantage.
-vétérinaire. — Les animaux se montrent particulièrement sensibles au
mal
de mer. Un certain nombre succombent dans les tra
nt qu'ils subissent l'influence de l'imitation : chez les moutons, le
mal
de mer semble gagner de proche en proche quand qu
ministère de l'Instruction publique. Suite de la Discussion sur le
mal
do mer et son traitement psychologique. Après un
t levée à 6 h. 45. L'action préventive de la suggestion contre le
mal
de mer, par M. le Dr Van Rentergheu (d'Amsterda
encé à employer avec succès la suggestion hypnotique pour prévenir le
mal
de mer. J'en ai relaté des observations très conc
illes au Transvaal, elle me prie de lui suggérer l'immunité contre le
mal
de mer. Dans une séance de somnambulisme profon
ois semaines consécutives en bateau à vapeur sans le moindre signe du
mal
. II. — M"' B..., bachelier ès-lcttres, neurasth
traitée par moi avec succès par la suggestion pour de l'insomnie, des
maux
de tète, de l'inaptitude à concentrer son attenti
céan. Sur mon affirmation répétée qu'elle ne sera pas incommodée du
mal
do mer, elle se résout à accepter la position qu'
vant de partir, il me prie de le prémunir par la suggestion contre le
mal
de mer. Il n'avait jamais voyagé sur mer. Je me r
mpt de la maladie, mais j'ai réussi à guérir une dame en puissance du
mal
de mer, qui n'avait pu quitter sa cabine depuis l
ges sur mer dans nos colonies. Toujours elle a été très incommodée du
mal
de mer; jamais elle n'osait prendre ses repas dan
re idée de la valeur thérapeutique de l'hypnotisme. Elle se nourrit
mal
, n'a pas d'appétit, est anémique. J'invite la d
avait pu paraître aux repas, n'avait pas vomi, mais avait souffert du
mal
de tôte et du dos. Une lettre de Batavia, écrit
ir que sa fillette de S ans, qui n'avait jusque-là jamais soutTert du
mal
de mer, en avait été cette fois-ci très incommodé
tTert du mal de mer, en avait été cette fois-ci très incommodée. Le
mal
de mer, la suggestion hypnotique et l'expérimenta
sanne). J'ai eu occasionnellement deux fois à suggérer l'absence du
mal
de mer, une fois indirectement, l'autre directeme
r an, je conseillai à mon confrère, de lui suggérer la disparition du
mal
de mer. Le résultat fut complet. Obs. IL — Cett
a guérison est obtenue en trois semaines. Elle a souffert beaucoup du
mal
de mer et craint de refaire la traversée en autom
refaire la traversée en automne. Je lui suggère, en mai, l'absence du
mal
de mer et l'engage à revenir une fois avant son d
aite sans une seconde de malaise. Toutes les théories faites sur le
mal
de mer sont détruites par l'expérience psychologi
sur le mal de mer sont détruites par l'expérience psychologique. Le
mal
de mer est un phénomène d'auto ou d'hétéro-sugges
par des émotionnables. On pourrait supposer une humanité ignorant lo
mal
de mer, comme tous les autres vertiges de la loco
ai, regardant la mer modérément agitée et me demandant si j'aurais le
mal
de mer. J'étais convaincu que c'était un mal in
mandant si j'aurais le mal de mer. J'étais convaincu que c'était un
mal
inévitable. J'avais subi l'influence de la foule
. La traversée fut excellente et je suis resté suggestionné contre le
mal
de mer. Je ne l'ai jamais. Je répète que la trave
un couvercle autour de sa charnière. Ma conclusion est que, dans le
mal
de mer, il s'agit de réflexes psychiques ; le réf
nte le trouble, mais je crois qu'il est insuffisant à provoquer et le
mal
de mer et les vomissements. Tous ceux qui souffre
sans paraître avoir conscience de leur acte et du reste sans faire de
mal
, on pourrait voir, disons-nous, un tic semblable
, pour nos prêtres, dour nos démons et pour nos dieux ! Du moins le
mal
qu'ont fait les religions nous donne le droit d'é
dresse tient lieu de vigueur. Du reste M. Edmond Stapfer a été bien
mal
inspiré en appelant ainsi Biaise Pascal à la resc
admirait qu'elle ne se trompât jamais. Elle éprouvait quelques légers
maux
de tète, disait-elle, des démangeaisons vers la r
ins grave qu'il apparaît au premier aspect. Il s'agit là d'une enfant
mal
élevée, chez laquelle les pouvoirs d'arrêt n'ont
quoi bon s'échauffer dans une entreprise qui n'est que temporaire et
mal
rétribuée, et sans concurrence qui stimule ? On y
nt pas tardé à reconnaître avec moi que si la timidité n'est pas « le
mal
du siècle », elle est un mal plus fréquent que ne
ec moi que si la timidité n'est pas « le mal du siècle », elle est un
mal
plus fréquent que ne le pensent ceux qui se désin
st comme cela ». « Chez les patrons, les apprentis sont encore plus
mal
traités. ¦ En somme, la familiarité, la bonté e
x-là que nous voulons essayer de guérir. Existe-t-il un remède à ce
mal
? Evidemment, car le timide est impressionnable, d
ibre de la santé. Là, comme ailleurs, l'excès de bien peut devenir un
mal
et, si on s'applique trop à combattre la sensatio
ait être utilisé comme une sorte d'entrée en matière, chez les sujets
mal
doués au point de vue de l'esprit. Chez les enfan
st ainsi sauvegardé ». Plus loin, il dit qu'on été les troupes furent
mal
habillées d'uniformes composés un peu au hasard d
i objecteront que ce furent nos sans-culottes, nos bandes de citoyens
mal
instruits, en guenilles, en savates et en sabots
timidité et son désir d'être sincère, il va trop loin, et on le juge
mal
. Une ancienne élève de Sèvres, six ou sept fois
culpa.. Que notre psychologie mieux avertie s'applique à remédier au
mal
causé par nous : redoublons de patience et d'atte
ces. Elle crée la timidité ou l'exagère par la crainte perpétuelle de
mal
faire, ou de faire moins bien que les autres ; ou
n autorité à l'appui, qu'il va guérir, que son tempérament vaincra le
mal
, que les remèdes qui lui ont été prescrits auront
ême remède, prescrit à doux incontinents atteints de la même forme de
mal
, la forme spasmodique, par exemple, à un degr
à la médecine des agents physiques ? Non, certes, ce serait être bien
mal
avisé. Ce serait se priver, dans le traitement
influence dépressive que cause chez un malade la préoccupation de son
mal
et de ses conséquences; positivement actif, il re
ir dans une sécurité trompeuse. Un jour viendra où quelque agrégé, en
mal
de professorat, sollicitera la création d'une cha
nous fait connaître que le roi Lear fut toujours un homme anormal et
mal
équilibré. Voilà en quoi consiste la licence psyc
effet continu, de marche lente, maladies toujours frustes, innommées,
mal
appréciables, indéfinissables pour le malade et p
onies religieuses. Qu'entendons-nous par ce mot d'extase si souvent
mal
employé ? C'est une certaine surexcitation nerv
mme une hérésie, elle fit endosser à l'ange Gabriel ses éjacu-lations
mal
versifiées. Celui-ci ne me semble pas moins de la
e partie du corps. Celui qui le soignait ne sut point reconnaître son
mal
... M. Pétiet ne trouve rien à reprendre dans le
par exaltation nerveuse, des capacités psychiques extraordinaires et
mal
définies encore se manifestent. Je ne parle poi
de), par Binet-Sanglé, p. 220. Kleptomanie, par Bérillon, p. 168.
Mal
de mer vrai et mal de mer imaginaire, par Regnaul
lé, p. 220. Kleptomanie, par Bérillon, p. 168. Mal de mer vrai et
mal
de mer imaginaire, par Regnault, p. 200. Mal de
. Mal de mer vrai et mal de mer imaginaire, par Regnault, p. 200.
Mal
de mer (action préventive de la suggestion contre
réventive de la suggestion contre le), par Van Ren-terghem, p. 204.
Mal
de mer, suggestion hypnotique et expérimentation
et nous déplorons qu'il se soit trouvé des journaux de médecine assez
mal
inspirés pour accueillir des commérages indignes
quel grand rôle joue l'hypnotisme, en Russie, dans la lutte contre ce
mal
public qu'on nomme l'alcoolisme? Observation
que je voyageais en chemin de fer, j'étais prise im-c médiatement de
maux
de tétc, suivis do vertiges et de nausées qui « a
ssements. Il me semblait que tout dansait « autour de moi. J'avais le
mal
de mer et, cependant, j'ai voyagé bien des fo
ans avoir de vertiges. J'ai bien mangé, j'ai bu ¦ et je n'ai pas eu
mal
au cœur. J'ai même lu cl causé avec des personnes
les péripéties d'un voyage qu'elle fit pour trouver la guérison d'un
mal
qui la torturait et comment elle fut guérie penda
soigner! » De suite; je sentis qu'il y avait une cause morale à ce
mal
; mes instincts de psychothérapeute s'éveillèrent
sais déjà — tu ne m'effraies pas, et je ne t'en veux pas ; où est ton
mal
? « Je voulus m'approcher : « N'approche pas, sale
ements physiologiques ; c'était là qu'il fallait chercher la cause du
mal
et aussi le mode de traitement. Je dis donc à l'e
n énorgique, l'affirmation d'une chose vraie. Dire à cet enfant son
mal
, lui montrer que je savais ce dont il souffrait,
'était lui donner confiance en moi, en lui, lui montrer la fin de ses
maux
, le guérir. Cet enfant buvait littéralement mes
tte vérité, et, en ce cas particulier, c'était la connaissance de son
mal
, le fait qu'il pouvait guérir, en un mot, la guér
bains froids que les auteurs proposent comme un grand secours dans ce
mal
, ne faisoient rien dans ce cas, et n'opéroient pa
attaque. Au reste cette fille s'est aujourd'hui aguerrie contre ce
mal
, et ne se fait pas une peine d'en parler; Jamais
pas une peine d'en parler; Jamais elle n'en a été alarmée comme d'un
mal
dangereux, elle en étoit seulement honteuse. Elle
un mouvement de défense très marqué lorsque j'arrivais à la source du
mal
avec l'extrémité du stylet. Cette manifestation
e peut cependant se mouvoir et se soulever sur son lit. Le lundi 2h
mal
, les mouvements convutsifs ne se renouvellent pas
ent énergique de protestation. — n Cependant je ne vous ai pas fait
mal
hier? — Si vous m'avez fait mal. » Elle me la
n Cependant je ne vous ai pas fait mal hier? — Si vous m'avez fait
mal
. » Elle me laisse néanmoins faire la piqûre; et
à, pendant que le prêtre invoque ce saint, ils sont soulagés de leurs
maux
. Profitant de l'occasion, je vous parlerai d'un
algie guéris par la suggestion hypnotique. M. Bonnet {d'Oran}. — Le
mal
de mer et la suggestion. — Discussion : M. Paul P
endant quelques minutes, en lui suggérant à plusieurs reprises que le
mal
disparait complètement et qu'auréveil, latétesera
ypnotique, par M. le D* Joseph Viasemsky, de Saralow, p. 115. 5. Le
mal
de mer et la suggestion, par M. le D' Bonnet, d
s avait une apparence de gorille. > Darwin, parait-il, avait été
mal
documenté. Comme le fait de super relation dentai
suture) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du mardi 11
mal
1904. — Présidence de M. Voisin. TJn sommeil de
sommeil pathologique; en proie à cette préoccupation, elle dort très
mal
et pendant trois heures seulement; il en est de m
est un peu modifié. Durant une minute la malade souffre d'un violent
mal
de tète dans la région frontale; si elle en a lo
ade s'est sentie courageuse cl gaie. Mais le soir, la tristesse et le
mal
de tète sont revenus. Cependant, la malade passe
met immédiatement au lit, mais aussitôt reviennent la tristesse et le
mal
de tête, bientôt suivis d'une attaque qui dure vi
stes de chez elle: revenue à la maison, elle se sent fatiguée, elle a
mal
a la téte et elle se couche; une légère attaque s
ion. La tristesse n'a plus paru pendant tout ce temps en dépit de son
mal
de gorge; elle se sent mieux; l'appétit et le som
gorge; elle se sent mieux; l'appétit et le sommeil sont normaux; les
maux
de tète sont plus rares et moins intenses. Je lui
à fait bien. Elle a bien dormi, elle n'éprouve plus d'angoisse, ni de
mal
de téte. Elle reste à Saratow deux semaines, dura
core mais rarement cl sont de courte durée. Le sommeil est calme, les
maux
de téte ont aussi disparu. Elle s'intéresse à ce
e est encore sujette à l'irritation, mais moins que par le passé. Les
maux
de téte ont cessé. Je l'endors de nouveau et lui
nquillité lui est revenue aussitôt. Je ne revois ma malade que le 3
mal
, c'est-à-dire environ sept mois après. Durant tou
'a même pas pleuré une seule fois. L'angoisse a disparu ainsi que les
maux
de téte ; elle est toujours de bonne humeur. S'il
Les attaques ne sont point précédées d'aura; elles sont suivies de
mal
de tète et de douleurs dans tout le corps. Cette
attaque est précédée d'une forte douleur dans l'cpaulc droite, ce
mal
d'épaule est permanent mais à l'approche de l'att
La malade a peur de ses attaques, elle surveille continuellement son
mal
d'épaule et ne fait que pensera ses attaques. Une
es attaques. Une fois constatée l'association entre l'exacerbation du
mal
d'épaule et l'approche de l'attaque, une suggesti
d'épaule et l'approche de l'attaque, une suggestion dirigée contre le
mal
d'épaule pouvait faciliter la complète disparitio
à fait dans la suite. Le 19 octobre, je suggère à ma malade que ses
maux
d'épaule ont complètement disparu, qu'elle n'est
goisse apparaît encore aux moments où la malade se ressouvient de son
mal
. Au bout d'une semaine l'angoisse est passée et l
décembre, à 11 heures du matin, une nouvelle attaque a lieu; un léger
mal
d'épaule l'avait précédée. La malade a encore mal
ue a lieu; un léger mal d'épaule l'avait précédée. La malade a encore
mal
à la tête, une fois l'attaque terminée, mais moin
d'angoisse du tout, la mémoire s'est améliorée, l'épaule ne fait plus
mal
. Je recommande à la malade de revenir au bout d
une importance de tout à fait premier ordre en hypnolhérapie. Le
mal
de mer et la suggestion, par IL te LV Bonnet (d
Le mal de mer et la suggestion, par IL te LV Bonnet (d'Oran). Le
mal
de mer consiste en un dérangement fonctionnel du
trouve, quelquefois, complètement aboli. Les causes principales du
mal
de mer sont le tangage et le roulis; il faut y aj
teindre une intensité effrayante. Telle est la genèse principale du
mal
de mer et on conçoit qu'il est très difficile, po
e température peut devenir une cause déterminante ou prédisposante du
mal
de mer. 11 est, en effet, d'observation constante
sont plus malades que ceux que l'on tient renfermés. L'air leur fait
mal
, disent les matelots ; et ils doivent s'y connaît
esque impossible de l'éviter. ??? causes physiques et mécaniques du
mal
de mer viennent, le plus souvent, s'ajouter des i
prise de vertiges, de nausées et de vomissements ; elle avait déjà le
mal
de mer rien qu'en y songeant ; elle insista pour
ysiques est plus ou moins diminuée et affaiblie, la prédisposition au
mal
de mer s'établit. Alors intervient un nouvel él
tif se produit sur les passagers voisins, et, de proche en proche, le
mal
s'étend et se propage. Vous avez, probablement,
itation suggestive inconsciente. C'est sur ces derniers éléments du
mal
de mer, de cause purement psychique, que la sugge
, une dame, me pria alors de lui suggérer qu'elle n'aurait pas le
mal
de mer; elle voulut bien se soumettre a mon influ
s peu. Seuls, J... et M..., qui n'avaient pas été endormis, ont eu le
mal
de mer; et il reste, par conséquent, bien entendu
ionnées, même dans un état hypnotique très-léger, ont été indemnes du
mal
de mer; celles qui en ont souffert n'en ont resse
age certain. La conclusion s'impose : il est possible d'atténuer le
mal
de mer par la suggestion et d'en préserver tout à
t de juguler, séance tenante, par l'hypnotisme les accidents aigus du
mal
de mer, le professeur Thwing, membre de l'académi
ents. De même, des causes morales peuvent supprimer, d'emblée, le
mal
de mer en plein paroxysme et, cela, non seulement
ue j'ai rapportés dans mon travail sur le Traitement psyohologique du
mal
de mer et des vertiges de la locomotion. (Paris,
es, l'enthousiasme, etc. (cas de Coromilas) empêchent l'apparition du
mal
de mer. Ces états forts accaparent toute la consc
firmer à nouveau ce dernier point. Un Anglais souffre violemment du
mal
de mer, toutes les fois qu'il traverse la Manche.
oduisent, à terre, chez certaines personnes, un état identique au
mal
de mer, à l'intensité près. Ce vertige de la loco
itué à Paris pour se livrer à l'étude de ce groupe de sciences, assez
mal
défini d'ailleurs, que l'on désigne sous le nom d
r une chaise sur laquelle est étendue la capote de drap que l'hôpital
mal
à la disposition des pensionnaires (Fig. 26). On
lie. SOCIÉTÉ O'HYPNÛLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance ilu mardi il
mal
190t. — Présidence de M. Voisix. Le bégaiement
donc en détail sur son état psychique. Elle me dit qu'en outre d'un
mal
de tête léger, mais constant, elle avait la sensa
e sauf les jours où à l'atelier elle avait un surcroît de fatigue ses
maux
de tète avaient disparu et ses pensées avaient re
hui, vous avez repoussé votre Elohim qui vous avait sauvé de tous vos
maux
et de vos angoisses, et vous lui avez dit : a Eta
as écouté cette voix, t'es-tu emparé des dépouilles, et as-tu fait le
mal
aux yeux d'Iahvé?.... « Ecouter vaut mieux que
s troublée. Elle est malade depuis six mois. A cette époque, elle a
mal
au cœur et envie do vomir, rien de plus ; aussitô
lit sur son visage que vous voyez rouge et couvert de sueur. Il dort
mal
, mais mange bien. La première question qui se p
attente se transforme en attente anxieuse, on pense déjà moins à .son
mal
, on attend le guérisseur comme un sauveur. Mais l
ictions, un peu de massage, assure qu'on est guéri et c'est tout. f.e
mal
, qui était peu de chose, disparaît dans les jours
de leur esprit? La neurasthénie et les vésanies de ceux qui tournent
mal
sont imputables à leurs excès et à leurs dérèglem
rs cl Savants). breuses sont les névroses incomplètes, atténuées,
mal
caractérisées, que nous rencontrons chez les simp
ession d'ancêtres nerveux, surmenés, intoxiqués, aliénés ou géniaux —
mal
d'extrême civilisation — a diminué la vigueur phy
gent malheureusement pas beaucoup les trois quarts de nos dirigeants,
mal
préparés pour leur état et insuffisants dans leur
ême toute seule, car, si l'on ne peut pas dire que le soldai est plus
mal
nourri, plus mal logé que ne le sont, d'habitude,
car, si l'on ne peut pas dire que le soldai est plus mal nourri, plus
mal
logé que ne le sont, d'habitude, les gens de la c
sie si on a le temps de réparer ses forces par une nourriture souvent
mal
préparée. Il parait que l'on s'habitue à cette vi
nerveux, épileptlques, neurasthéniques, hystériques, se plaignent de
mal
dormir; ils comptent l'insomnie au tout premier r
suffisant des tissus nerveux. On peut dire que si les nerveux dorment
mal
, c'est parce que leurs nerfs et leur cerveau ne s
dans un omnibus. Il avait tenté de résister à cette Impression, mais
mal
lui en avait pris : le malaise, s'accentuant, ava
dans la rue qu'ils auraient tout le temps de traverser. Un hop ! bien
mal
à propos lancé par le cocher les arrêtent court.
cible est une torture sans nom ; nous en avons vu qui s'y trouvaient
mal
. Il en est chez lesquels ni la persuasion, ni les
x conseils, & l'exemple et à la suggestion et que l'on a eu grand
mal
à conquérir à l'internat du collège. A ces caus
rage matériel, c'est le courage civil, auquel leur éducation les a si
mal
préparés. L'Eglise, l'Etat, l'école, la famille,
, sont encore mieux placés que les autres pour apprécier l'étendue du
mal
moral qui nous envahit. Presque tous les malades
efforçait de le rassurer. Il lui répondit : « Vous me connaissez fort
mal
. Apprenez que si ma chair savait jusqu'où mon cou
ille dans ces deux vers du Cid : « Un prince dans un livre, apprend
mal
son devoir Les exemples vivants sont d'un autre p
ille du Burgos qu'au moment décisif, un capitaine d'artillerie, ayant
mal
compris la manœuvre Indiquée, conduisit sa batter
le. En perfectionnant sans cesse tes méthodes capables de sauver du
mal
, du vice et de la peur le plus grand nombre possi
la joie, le plaisir et lasouffrance, le sentiment même du bien et du
mal
n'ontd'aulre support que laconscience humaine. Le
yenne et dune bonne santé générale. Ses antécédents héréditaires sont
mal
connus. Il a commencé à boire vers dix-sept ans,
ique des passions, pense avoir trouvé un remède infaillible contre le
mal
d'amour. Il reçoit un Jour dans son laboratoire d
D" Voisin, Behillon, M. Lionel Dauruc, p. 301. 4. Le traitement du
mal
de mer par la suggestion hyp- notique, par M. l
illerée à soupe au moment des crises Envol gratuit d'échantillons à
Mal
. les docteun DÉPÔT : Pharrnacie CARON 6s, rue d
ussi, quand il lui plaît de revêtir le costume féminin, elle y parait
mal
à son aise et donne nettement l'impression d'un h
ns suivantes : M. Hamilton Osqood (de Boston]. — « Le traitement du
mal
de mer par la suggestion hypnotique d.— Discu
tées à l'unanimité. La séance est levée à 6 h. 45. Le traitement du
mal
de mer par la suggestion hypnotique, par M. le
Hypnotisme d'octobre 1904, M. le D' Bonnet a publié un article sur le
mal
de mer et la suggestion, dans lequel il dit que,
oit pas que la suggestion puisse réussir quand on est déjà atteint du
mal
de mer. Voulez-vous me permettre de vous racont
ngleterre en Amérique, j'eus à soigner uno dame en proie à un violent
mal
de mer. La première séance de suggestion ne parut
rriva qu'un autre passager, sur le môme steamer, était victime non du
mal
de mer, mais d'une intense frayeur toutes les nui
t ravi du changement que J'avais produit en lui. Le deuxième cas de
mal
de mer que j'eus à traiter fut durant une mauvais
entes, celte dame vint me retrouver pour élro suggestionnée contre le
mal
de mer avant d'entreprendre un voyage sur mer. Ch
ur la première fois, sa mère l'accompagnait et souffrait également du
mal
de mer. Elle fut soulagée de la même manière. U
hypnotique, non seulement fournit un excellent moyen pour prévenir le
mal
de mer. mais que ce traitement peut être appliqué
it de nombreux voyages sur mer, j'ai été témoin de beaucoup de cas de
mal
de mer, et mon opinion est que c'est une affectio
tement à la condition normale. Une préoccupation différente bannit le
mal
de mer. Discussion M. Bérillow — C'est évidem
rtune d'avoir a bord un médecin qui sache par l'hypnotisme inhiber le
mal
de mer; cela se rencontre très rarement; aussi le
nom de vertige de la locomotion l'ensemble des malaises identiques au
mal
de mer, à l'intensité près, et dont souffrent cer
n petit bateau, j'ai pu, par simple affirmation, arrêter chez elle le
mal
de mer. dès le début des nausées. _ Vomissement
première grossesse, la malade s'était cependant nourrie tant bien que
mal
, en dépit des vomissements; de temps à autre, en
nt écoulées depuis l'apparition des vomissements. Bile se plaint d'un
mal
de cœur constant qui la tourmente nuit et jour, e
l'estomac et, enfin, d'une absence totale de sommeil produite par le
mal
de cœur. Elle est très anémiée et ne peut faire a
alalepsie suggérée et mouvements automatiques. Je lui suggère que son
mal
de cœur ainsi que ses vomissements ont complèteme
. Le jour suivant, elle se laisse endormir très vite ; néanmoins, son
mal
de cœur continue durant toute la séance. La sugge
et, à plusieurs reprises, je lui répète que dans un quart d'heure le
mal
aura disparu complètement et que, pendant vingt-q
ce à tomber ; il en conclut quo la réverbération de la route lui fait
mal
; cette chute de la paupière reparaît au bout de
une demi-heure. Pour mieux voir, il porte un lorgnon. Or, ce lorgnon,
mal
supporté, amène des crispations du nez et des fro
le plus souvent inégale, incomplète, les poils en sont rudes, réches,
mal
répartis. C'est ce que nous avons pu constater, p
nfirment tout-à-fait l'opinion du professeur Tokarsky qui pronostique
mal
du sujet continuant de boire après trois séances
dans un mauvais état. Ils n'ont pas bu depuis le matin et se sentent
mal
à leur aise. Une sensation de tristesse les accab
ent mal à leur aise. Une sensation de tristesse les accable ; ils ont
mal
à la tète ; les mains tremblent ; parfois ils épr
scrupuleusement l'état psychique de chaque patient pour combattre ce
mal
avec succès. Comme l'origine de l'alcoolisme est
mille redoutait la mort de la malade dans une crise. Revue à la ûn de
mal
, six mois après la fin du traitement, cette femme
t elle se mettait à pleurer, éprouvait de l'angoisse, un sentiment de
mal
être qu'elle ne pouvait définir et expliquer ; el
Lombroso sur l'affaire Murri-Bonmar-tini (L'opinion de), p. 287.
Mal
de mer et suggestion, par Bonnet, p. 121. Mal d
pinion de), p. 287. Mal de mer et suggestion, par Bonnet, p. 121.
Mal
de mer et suggestion, par Osgood, p. 303. Main
la moelle, à laquelle se rattachent les symp- sale, par le fait du
mal
de Pott, n'a pas pour effet, à moins le circonsta
e, il ne faut pas l'oublier, l'œil nu et même un examen microscopique
mal
conduit seraient souvent impuissants à découvrir
artielle de la moelle dorsale (myélite partielle primitive ou liée au
mal
de Pott, tumeurs comprimant la moelle dorsale), l
iode prodromique. Pour-quoi prodromique ? L'appellation est peut-être
mal
choisie, car, déjà, lorsque les premiers symptôme
mpara-bles à celles de l'ataxie, dans la myélite partielle et dans le
mal
de Pott. Dans plusieurs de ces cas, j'ai reconnu
ctal furent maintes fois pratiqués sans qu'on soupçonnât la nature du
mal
. Ce n'est que beaucoup plus tard, que l'apparitio
attention du médecin, et lui faire méconnaître la véritable nature du
mal
; je m'y suis laissé prendre aussi plusieurs fois
phtalmoscopiques, font jusqu'à un certain point préjuger la nature du
mal
. Charcot. Œuvres complètes, t. ii. 4 Je signa
lement manifestes déjà au simple éclairage. Les con-tours, d'ailleurs
mal
accusés, sont effacés pour ainsi dire par un exsu
lque sorte élargie, se montre avec des contours frangés, irréguliers,
mal
délimités. On la dirait entourée par une espèce d
sur l'autre, le membre n'ayant pas cessé de fonctionner tant bien que
mal
, ce sont les caractères de l'arthrite sèche qu'on
ux. On observe surtout ces arthropathies : 1° dans la paraplégie du
mal
de Pott ; 2° dans la myélite aiguë ; 3° dans cert
Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques, arthrite sèche. —
Mal
de Pott: mécanisme de la compression delà moelle.
rite sèche. — Mal de Pott: mécanisme de la compression delà moelle. —
Mal
vertébral cancé-reux. — Paraplégie douloureuse de
les caractères qui nous permettront de remonter jusqu'à la source du
mal
. Ce préambule me dispense, Messieurs, d'insiste
ent, au premier rang dans la clinique usuelle. La carie vertébrale ou
mal
de Pott, le cancer vertébral, les tumeurs intra-r
e dans mon service. 3° Mais je m'arrêterai tout particulièrement au
mal
de Pott (carie vertébrale) et au cancer vertébral
ces lésions ont le pouvoir de déterminer. A. Je commencerai par le
mal
de Pott. Chose remarquable ! bien que ce soit là
encore sur le mécanisme suivant lequel la moelle est affectée dans le
mal
de Pott. Ce desideratum a été comblé dans ces der
la courbure persiste au même degré. En second lieu, la paraplégie par
mal
de Pott s'observe sans qu'il y ail la moindre tra
re — que le pus 1 Michaud. — Sur la méningite et la myélite dans le
mal
vertébral, 1871. 2 Cas de M. Liouville. de pr
c'est là une notion que nous utiliserons par la suite. B. A côté du
mal
vertébral de Pott, je placerai le mal verté-bral
ns par la suite. B. A côté du mal vertébral de Pott, je placerai le
mal
verté-bral cancéreux. Plus rare que le mal de Pot
al de Pott, je placerai le mal verté-bral cancéreux. Plus rare que le
mal
de Pott, le cancer verté-bral se présente cependa
que une courbure arrondie, à grand rayon, bien différente de celle du
mal
de Pott. L'infiltration cancéreuse ne se borne
un haut degré dans le cancer vertébral. Elles existent aussi dans le
mal
de Pott, mais moins accusées, plus circon-scrites
es. — Des pseudo-névral-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de
mal
de Pott et dans le mal vertébral cancéreux. Par
-gies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le
mal
vertébral cancéreux. Paralysie douloureuse des
niqué par M. Brown-Séquard, concerne un individu qui était atteint de
mal
de Pott et chez lequel se manifestèrent tout à co
nt des deux dernières années et relatives soit à des tumeurs, soit au
mal
de Pott, nous ont toujours montré, même à une épo
it la moelle au niveau du point com-primé, chez une femme atteinte de
mal
de Pott; cette femme a succombé par le fait d'une
essaires de la compression lenle de la moelle, soit qu'il s'agisse du
mal
de Pott, du cancer, de tumeurs de tout genre, ou
e normale ? Il n'est pas douteux que cela puisse avoir lieu pour le
mal
de Pott et très vraisemblablement il en serait de
de la nature de celles-ci de ne point rétrograder. La curabilité du
mal
de Pott, bien établie en particulier par MM. Bouv
s classiques semblent croire qu'une fois déclarée, la paraplégie, par
mal
de Pott, ne rétro-grade guère ; ils signalent seu
ent, Messieurs, une très fausse idée de l'avenir de la paraplégie par
mal
de Pott. Il est notoire, dans cet hospice, que la
mal de Pott. Il est notoire, dans cet hospice, que la paraplégie par
mal
de Pott guérit souvent, le plus souvent peut-être
e la plus évidente et datent déjà de loin. Je ne saurais dire si le
mal
de Pott, qui guérit en pareil cas, appartient plu
du 1 Leudet. — Curabilité des accidents paralytiques consécutifs au
mal
ver-tébral de Pott. (Soc. de biolog., 1862-63, t.
mal ver-tébral de Pott. (Soc. de biolog., 1862-63, t. IV, p. 101.)
mal
, et dont la santé générale est satisfaisante. Ce
au niveau du point où avait eu lieu la compression, en conséquence du
mal
de Pott, n'é-tait pas plus grosse que le tuyau d'
tant avec des caractères variés suivant qu'il s'agit, par exemple, du
mal
de Pott ou du cancer vertébral ; 3° sans néglig
ieurs fois nette-ment constatée, entre autres par M. Bouvier, dans le
mal
de Pott, et par moi-même dans le mal vertébral ca
e autres par M. Bouvier, dans le mal de Pott, et par moi-même dans le
mal
vertébral cancéreux. VII. Mais, laissons, Mes
groupes principaux qui suivent : 1° Tumeurs intra-rachidiennes ; — 2°
mal
de Pott ; — trajet intra-rachidien et d'en déte
'une affection spi-nale primitive. B. Des pseudo-névralgies dans le
mal
de Pott. — Nous ne ferons qu'effleurer la descrip
s ne ferons qu'effleurer la description des pseudo-névralgies dans le
mal
de Pott, non pas qu'elles ne méritent point notre
e plusieurs auteurs l'avancent, que les trous de conju-gaison dans le
mal
de Pott ne s'affaissent jamais assez pour comprim
nt. Qu'il me suffise, Mes-sieurs, de vous dire que, selon le siège du
mal
vertébral, la douleur en ceinture ou l'apparence
ais c'est principalement sur l'étude des pseudo-névral-gies, liées au
mal
vertébral cancéreux, que je veux concentrer toute
emier lieu, c'est là un ordre de faits peu connus encore, ou au moins
mal
connus, mal interprétés, en dépit des travaux nom
c'est là un ordre de faits peu connus encore, ou au moins mal connus,
mal
interprétés, en dépit des travaux nombreux qui on
essieurs, peuvent être, pendant de longs mois, la seule révélation du
mal
vertébral cancéreux; mais les symptômes de la par
tre côté, il ne faudrait pas aller jusqu'à croire que les douleurs du
mal
vertébral cancéreux, alors même qu'elles se prése
ons à l'obligeance de M. le Dr Liouville. Dans la paraplégie par le
mal
de Pott, vous disais-je, la dé-formation du rachi
, M. Lion ville a observé récemment un autre cas de paraplégie par le
mal
de Pott, également sans déformation de la colonne
exemple, dans un cas que j'ai observé de paraplégie consécutive à un
mal
de Pott, l'ouverture subite d'un abcès dans le ca
1 n'est pas très rare de rencontrer cette forme de paraly-sie dans le
mal
de Pott cervical. a) Il peut arriver, et il arr
iver, et il arrive, en effet, assez fréquemment dans cette variété du
mal
de Pott, que les nerfs des extrémités supérieures
ou moins accen-tuée de la contractilité faradique par les progrès du
mal
, l'iiyperesthésie ferait place aune anesthésie so
I, p. 316; — J.-A Michaud. Sur la méningite et sur la myélite dans le
mal
vertébral. Paris, 1871, p. 56. Pour se rendre c
é-rieures de la moelle. M. Ogle les a signalées dans plusieurs cas de
mal
de Pott cervical. Dans un cas du même genre, publ
s qui suivirent l'accident, ce gentle-man put se livrer tant bien que
mal
à la plupart de ses occu-pations favorites. Ce n'
mémoire l'accident ter-rible qui se produit assez fréquemment dans le
mal
de Pott cervical : je veux parler de la.rupture d
ellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège pri-mitif du
mal
. Le plus souvent, sans aucun doute, le travail d'
e symptomatique, les cas de ce genre ont été maintes fois méconnus ou
mal
interprétés. Or, d'après ce que j'ai lu ou vu, la
et le malade commença en outre à pouvoir se maintenir, tant bien que
mal
, assis sur son séant. Je fus appelé à voir M. X
égeant {fig. 9). Ce sont là, pour ainsi dire, les foyers primitifs du
mal
, car, si la lésion s'étend au delà, elle paraît r
uez bien ce fait que nous aurons à utiliser bientôt, — que lorsque le
mal
est parvenu à ses dernières limites. Je vous ai m
irconstance que les éléments ganglionnaires sont le siège primitif du
mal
*. D'après la considération des caractères anat
e tous les trois. Il n'est pas inutile de remarquer que, lorsque le
mal
est très avancé, l'émaciation peut être portée à
osso-la-ryngée. Nous ne ferons que signaler en passant cette phase du
mal
, car c'est là un sujet sur lequel nous devrons re
cou qui est immobilisé, de manière à rappe-ler ce qu'on voit dans le
mal
de Pott sous-occipital \. Elles sont à peu près p
Archives de Physiologie (1874). une amyotrophie généralisée, assez
mal
caractérisée d'ailleurs cliniquement, semblait de
moelle épinière. Pour ce qui est de la substance grise, on connaît
mal
les effets d'une lésion isolée des commissures, e
plus en plus à mesure que, par suite de l'aggravation progressive du
mal
, elle s'ac-centue plus fortement et tend à deveni
ont plusieurs peuvent encore se tenir debout et marcher tant bien que
mal
, ses premiers débuts remontent à 8, 10, 13 ans. I
degré de gêne de la res-piration. Cependant, malgré les progrès du
mal
, la santé générale reste indéfiniment inébranlée.
ernier point, les tentatives que j'ai faites, même dans des cas où le
mal
n'avait pas atteint son plus haut degré artific
: il a vu survenir une fois la guérison dans un cas à la vérité où le
mal
était de date récente et, dans d'autres cas, par
u connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit
mal
épileptique ; — vertige gastrique. — Relation ent
que la congestion cérébrale apoplectiforme ou coup de sang, le pelit
mal
épileptique, ou encore et surtout, le vertige gas
'une canne, le tour de l'en-ceinte intérieure de ce vaste hospice. Le
mal
depuis cette épo-que n'a fait aucun retour agress
u terme de ces six mois, R... a pu com-mencer à marcher tant bien que
mal
. Mais, alors qu'elle récu-pérait peu à peu et pro
te. Elle peut survenir aussi par le fait de ces lésions, encore assez
mal
connues dans les premières phases de leur dével
puis 1869, elle est devenue sujette à des crises épileptiformes assez
mal
déterminées, et, vers la même époque, un tremblem
s points semblables à la première, de manière à constituer un état de
mal
dont la durée a été de trois heures environ. Les
é tourmenté, pendant toute la durée du repas, par l'exaspération d'un
mal
de tête dont il souffrait à un degré modéré, depu
nt une longue période de quatre mois, des pratiques hy-drothérapiques
mal
réglées, des doses insignifiantes de bro-mure de
ure de potassium avaient été les seuls moyens opposés aux pro-grès du
mal
. Aussi la situation allait-elle empirant chaque j
Au bout de huit jours seulement, il était devenu évi-dent déjà que le
mal
n'était pas au-dessus des ressources de l'art ; u
epartielle où, malgré l'assistance d'un zèle éclairé, les cho-ses ont
mal
tourné. Je ne puis m'empêcher de croire, cepen-da
ements éner-giques ; mais ces mouvements étaient devenus désordonnés,
mal
coordonnés, rappelant ceux des jambes d'un polich
e a été successivement traité comme atteint d'une affection cérébrale
mal
déterminée, d'épilepsie, de vertige stoma-cal, et
t le genre de « vertige qui nous occupe, des diverses formes du petit
mal
épileptiquè avec lequel il a d'ailleurs, on a pu
, même sur des points relativement très éloignés du siège primitif du
mal
. Le dernier fait, c'est-à-dire la propaga-tion au
ent, dans ce cas, l'élément gan-glionnaire a été le siège primitif du
mal
. Cette lésion de l'élément nerveux serait de na
venir très embarrassée. La malade se rend alors à pied, tant bien que
mal
, à l'hôpital Saint-Antoine. Renvoyée faute de pla
naires ont été, dans le bulbe et dans la moelle, le siège primitif du
mal
et que les nerfs périphériques n'ont été affectés
i'.LaoKerbauer Ulli. Ghabcot. Œuvres complètes, t. ii. PLANCHE II
mal
de pott; paraplégie Pig. 1. — Substance blanche
v: t. II . Oeuvres complètes . ñ i 7 ? p . ñ) . Î PLANCHE III
MAL
DE POTT; TAIUPLÉGIE Fig. 1. — Examen de la moel
Fig. 1. — Examen de la moelle par coupes successives dans un cas de
mal
de Pott dorsal. Dégénérations secondaires. — d, P
de la moelle. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de
mal
de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surto
Lésions vertébrales : hyperostoses syphilitiques ; arthrite sèche. —
Mal
de Pott : mécanisme de la compression de la moell
te sèche. — Mal de Pott : mécanisme de la compression de la moelle. —
Mal
vertébral cancé-reux. ?— Paraplégie douloureuse d
ies. — Des pseudo-névralgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de
mal
de Pott et dans le mal verté-bral cancéreux. Pa
lgies dans les cas de tumeurs rachidiennes, de mal de Pott et dans le
mal
verté-bral cancéreux. Paraplégie douloureuse de
u connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit
mal
épileptique ; — vertige gastrique. — Relation ent
par compression, 131.— Dans les paraplégies urinaires, 328. Etat de
mal
épileptique, 375. f Frustes (Cas) d'ataxie loco
e, 288,233.—Luxuriante, 233, 291, 484. Luxations (V. Ataxie.) m
Mal
vertébral cancéreux, 94. (V. Pseudo^névralgie ) M
V. Ataxie.) m Mal vertébral cancéreux, 94. (V. Pseudo^névralgie )
Mal
de Pott. douleurs fulgurantes, 34; — Causes de la
oses secondaires , 101. — Lésions de la—, dans les cas de guérison du
mal
de Pott, 103. — Régénération des tubes nerveux, 1
qui correspond à leur récréation, les enfants étaient plus ou moins
mal
surveillés par des garçons de dor- toir. Nous a
du Musée de Bicêtrea une petite collection de minéraux et d'ani-
maux
. Peu après, nous avons reçu 29 spécimens de min
nous rendre à son invitation. Nous avons désigné, parmi les ani-
maux
réformés, ceux qui nous paraissaient les plus u
tés, tient à faire remarquer que les hôpitaux d'en- fants sont plus
mal
partagés que le service de Bicêtre, et que leur
exception, unique dans le code de la charité publique, est un grand
mal
, source de beaucoup d'autres maux. Loin de réag
la charité publique, est un grand mal, source de beaucoup d'autres
maux
. Loin de réagir favorablement sur les moeurs pu
tin venu, les plus âgés et les plus valides se lèvent tant bien que
mal
, faute de lavabos, et achè- vent de s'habiller
nnes, « il a la peau aussi 4 DEUX nouvelles observations d'hystérie
MALE
. blanche que la neige ». Caractère violent, mai
endant pour satisfaire ses 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. goûts. Sommeil bon, prolongé, de 9 heures du s
ant uue minute, une minute 8 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. et demie. Puis il a des battements violents de
, le malade a des secousses, DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 9 s'agite dans son lit, se couche tantôt d'un
he tantôt d'un côté, tantôt de l'autre. Le malade se plaint d'avoir
mal
aux reins et même partout. Les secousses sont t
à peu près, il n'est pas allé à l'école et il entraine les autres à
mal
faire. Le malade Th... pré- tend que Ca... l'a
fort secoue tous les mem- 10 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'tiISTRIE
MALE
. bres. 11 y a de l'écume à la bouche ; les yeux
eu trois attaques le matin. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 11 1 2 juin. Nous constatons et le malade lui-
extension, puis présentent 1 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. des secousses tétaniformes de plus en plus rap
roite.» Envoyé en cellule. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 13 10 août. Tranquille depuis sa réintégration
37°,8. 4. Il a eu onze attaques depuis hier. Il est abruti; répond
mal
aux questions, mais entend bien et a la parole
toutes les cou- leurs. 14 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 9 décembre. - Sous prétexte qu'il « s'embêtait
veloppée sur un terrain pré- DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 1 i disposé : retard dans la marche et la paro
sans jamais atteindre le chiffre élevé qu'on observe dans l'état de
mal
épileptique. V. Relevons enfin l'atrophie muscu
la rattacher. L'hystérie 16 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. en tout cas n'a joué aucun rôle dans sa produc
a été éclaboussé parle sang et la cervelle. Il ne s'est pas trouvé
mal
, mais il est rentré à la maison tout effrayé, b
neville, Bicêtre, 1891. 2 18 DEUX NOUVELLE* OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. son père, effrayé et disant qu'il y avait des
les, il s'est cassé deux DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS DeHYSTÉeP.IE-.
MALE
. 19 dents, s'est abîmé la mâchoire et le menton
. Fig. i . fit. 2. 2. 20 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. En 1887, après une rémission d'un mois, il fut
sis et Fig. 3. 1 Fig. 4. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 21 1 aussitôt endormi sans rien dire. Son père
Une femme qui passait, croyant qu'il était écrasé, s'était trouvée
mal
et avait été conduite dans une pharmacie. Il assu
ui le rendit très malade. '2 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRiE
MALE
. Pas d'autres fièvres. Pas de diphthérie; pas d
rcilières. Sourcils marqués. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 23 Oreilles petites, bien ourlées. La montre p
retenait pas. Il dit que 24 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. ... f'. 't . pendant son attaque il lui semb
. Au bout de trois Fig. 5. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'üYSTÉRIE
MALE
. 25 minutes secousses dans tout le corps, puis
vant lui et est bientôt 26 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. repris de nouvelles convulsions cloniques qui
à droite et à F'ig. 8. 28 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. gauche, puis retombe. Les yeux sont refermés :
qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. 29 dans laquelle il s'est mordu la langue. Il
genoux jusqu'au maître de 30 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. musique. Il bat la mesure de la tête, et reste
e tristesse, idées vagues 32 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE
MALE
. de suicide, instabilité mentale, hallucination
ature s'élève progressivement. Alors, on a. affaire ai un état.de
mal
de l'épilepsie vulgaire. Au moment ,où;. çhr : z
(Ü1 : malade, les accès tendaient à prendre l'allure de l'état de
mal
, M. Duflocq a noté ,38°,4 -(1) ; mais bientôt, .l
ie. dans les accès sériels et dans les accès subintrants (état de
mal
). En ce qui concerne les accès isolés, nous avo
ériels, dont nous venons de citer quel- ques exemples, et l'étal de
mal
, il y a naturellement des cas intermédiaires. L
aux plus graves, on est sur les Fig. 7. Température dans un état de
mal
limité à la période convulsive Le signe corresp
4'4 Température dans l'épilepsie. frontières du véritable état de
mal
. C'est ce qui s'est pro- duit chez les malades
plus tard, T.R 370,8, etc. Fig. 8. - Température dans un état de
mal
terminé par la mort à la période méningitique.
re qui s'accusait, pouvaient faire craindre l'éclosion d'un état de
mal
. C. De la' température dans l'état de 12al éZil
. De la' température dans l'état de 12al éZiletiqzce. - « L'état de
mal
épileptique, répéterons-nous, est caracté- risé
ous n'avons pas à refaire' ici la description clinique de l'état de
mal
; nous devons nous borner a'l'examen de la marc
larté, nous rappellerons que nous avons distingué dans l'état- de :
mal
épileptique complet- deux périodes : une périod
vulsive et une période méningitique. Dans certains cas; l'état de
mal
est constitué exclusive- ment par la prcm'jre p
mort (rig. 8) ou par la guérison (.c. 9). Dans ce der- 46 - Etat dé
mal
épileptique.' z nier cas, tous les symptômes di
convalescence marche promp- tement(1).. - .,... : ? ," L'état de
mal
ne s'établit pas toujours d'emblée ; on note de
nt de constituer en quelqu sorte une ébauche du véritable état de
mal
. Mais, bientôt, les rémissions plus ou moins (I
. - Fig. 9. - Tracé de la température rectale dans un cas d'état de
mal
type terminé par la guérison. Le signe correspo
pérature^ 47' courtes qu'on avait notées disparaissent et l'état de
mal
classique se développe. C'est souvent sous ce
mètre de haut et G millimètres d'épaisseur. Corps pituilaire nor-
mal
(du volume d'un pois). Liquide céhhalo ? achiclie
Accidents méningiti- ques consécutifs a des séuiesOtllil72 état de
mal
; déchéance. Gâtisme. Périodes mélancoliques. (7
t de mal; déchéance. Gâtisme. Périodes mélancoliques. (7S5. Etat de
mal
; broncho-pneumonie gangreneuse ; mort. Autops
t une fille qui, après avoir été mordue par un chien, tomba du haut
mal
.] Mère, 47 ans, blanchisseuse, présente un ench
rphine ; il se calme et s'endort. 5 juin. Agitation continuelle ; a
mal
à la gorge à force d'avoir crié. § juillet. U
vorisée par la parésie bulbaire que présentait le malade en état de
mal
. On trouve la, réalisés cliniquement, les phéno
d'ailleurs pas rare chez les épilepti- ques qui meurent en état de
mal
, mais nous ne croyons pas lui avoir vu revêtir
retrouve à peine quelqu'une de loin en loin, mais se colorant très
mal
par les réactifs. Nulle part il n'y a de la dég
chez une cousine germaine du même coté ; des acci- dents cérébraux
mal
déterminés chez des neveux ou nièces de l'enfan
ête ; - périodes d'excitation maniaque; accès sériels ou états de
mal
avec élévation considérable de la température c
rié- tale et du pli courbe. Face interne. Le lobe paracentral est
mal
délimité; il se continue très nettement par deu
lesquels il est impossible de reconnaître aucun des sillons nor-
maux
. Cette circonvolution de 2 el- environ d'épaisseu
urs lieu dans ces cir- constances. Grossesse pénible, compliquée de
maux
de ventre; souvent elle a été obligée de fuir s
me du côté du squelette. Rien d'anor- Coqueluche; glycosurie. 117
mal
du côté des viscères. Rien d'anormal non plus du
rticulier. Premières convulsions à 17 mois. En 4 jours, sixétats de
mal
de : 2 à 6 Jz. de durée : Paré- sie consécutive
ant et arrondi. Pas d'asymétrie de la face, - Oreilles détachées,
mal
ourlées, lobules distincts. Cou allongé; cicatr
l'anus. Pas d'hémorrhoides. 1887. -L'enfant prononce toujours très
mal
, il connaît ses lettres, les chiffres, les obje
à six reprises différentes, laissant après elles une para- ly.sie
mal
déterminée. . III. De 18 mois à 7 ans, Gem... n
A l'entrée, l'enfant était grand gâteux, ne parlait pas, marchait
mal
et ne savait rien faire. Aujourd'hui, la parole
des médecins, mais de la part de quelques conseillers, sans doute
mal
renseignes, qui ont manifesté une certaine host
ents (2), surtout les poly-bromures et le bromure de camphre (grand
mal
et vertiges ou vertiges seuls). Les bains, les
d'accidents cérébraux. Traitement de l'épilepsie. L\'rI formes du
mal
caduc et ses complications. Joints aussi aux pu
es yeux. plus élevé. Il faut tenir compte, dans la propagation du
mal
, de la malpropreté des enfants gâteux qui dissé
ois infirmières, atteintes de cette conjonctivite, se sont donné le
mal
. Les infirmières chargées de faire la toilette
rchant à s'étrangler avec le cordon de sa chemise. Elle procédait
mal
à ses soins de toilette, s'habillait et se désh
u rectum ;4 pour diarrhée ; 10 pour migraines ; 1 pour une éruption
mal
caractérisée ; 1 pour jaunisse. Pour compléte
ui ne parlent pas. nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent
mal
. Idiots qui ne parlent pas. - Les idiots qui ne
mois de l'idiot. L'essentiel c'est de s'assurer si tel mot bien ou
mal
prononcé corres- pond exactement il l'idée que
, la transition entre ceux qui, ne parlent pas, et ceux qui parlent
mal
. Edmond B... appartient il cette catégorie. Il
gage primitif, et nos ancêtres désignaient-ils autrement les ani-
maux
dont ils voulaient parler ? A mesure que les prog
faisons même semblant de ne pas le comprendre s'il persiste il les
mal
donner, et nous arriverons, en peu de temps, à
s, en peu de temps, à de grands change- ments. Idiots qui parlent
mal
. - Les idiots, dont nous allons maintenant nous
assez attentif, assez imitateur, s'il prononce quelques mots, mais
mal
, l'habituer à soute- nir un son le plus longtem
aboutissent à une veine bleue transversale. L'ombilic présente une
mal
forma lion curieuse. Il n'est si- tué qu'à quat
mort-née. Aucun de ces en- fants n'a eu de convulsions. XnTiii :
mal
.miiï. Conception, on ne sait si elle s'est faite
rmales. Examen fonctionnel. Réflexes pateliaire, olécranien, nor-
maux
. Mouvements volontaires et provoqués : rien à sig
,oblique en bas et à gauche ; longueur 4 cent. Les deux lèvres sont
mal
dessinées, épaisses. - La lèvre supérieure est
sible. Membres supérieurs : de forme, d'attitude, de volume nor-
maux
. Jointures, mains et doigts, rien ¡'¡ noter. Pas
Arti- culations, orteils, voûte plantaire, normaux et marche nor-
male
. Thorax : volumineux, large, bombé en avant ; n
tants et normaux. Le troisième est mort à un mois d'une affection
mal
déterminée. Le cinquième est mort en bas-âge de m
ent. A la naissance, l'enfant est bien constitué et de poids nor-
mal
. Il n'est pas asphyxié. Elevé au biberon. 11C den
nvulsions. Durant toute sa première enfance, le sujet est chétif et
mal
portant. Son intelligence reste obtuse. Ses ins
ue de 31 k. 200 (c'est-à-dire 18 k. 500 gr. au-dessous de la nor-
male
). ). L'enfant présente de nombreux stigmates de
uchement, normaux, Convulsions à 1'(î,le de deux ans. Deux étals de
mal
convulsifs à 2 ans et et demi. - lIetanl dans l
Première dent à 7 ou 8 mois, dentition complète à une époque nor-
male
: la mère affirme seulement que la dentition de l
sion desobjets et des couleurs sont naturelles. Champ visuel nor-
mal
. Nez camus, sans déviation, aplati à sa racine,
nt bien dessinés, non bifides, narines assez grandes. Odorat nor-
mal
. Pommettes saillantes, symétriques, joues volumin
ence. Membres supérieurs. Leur attitude, leur mobilité, sont nor-
males
. Ils sont très courts et très gros, recouverts d'
arti- culations de ces membres, la station et la marche sont nor-
males
. Plante du pied et orteils normaux. Les mouveme
enfant était petite, chétive (non pesée) ; pas d'asphyxie. - Elle a
mal
pris le sein, a été mise au bibe- ron (lait de
ron (lait de vache), jusqu'à l'âge de huit ou neuf mois; elle s'est
mal
développée. - A deux mois, convulsions : .- L'e
l'asile d'aliénés de Villejuif. Là, elle semble avoir eu un étal de
mal
. Pendant plusieurs jours, elle serait restée sans
nformés. Luette régulière, amygdales un peu grosses. Pharynx nor-
mal
, pas de tumeurs adénoïdes. Réflexe pharyngien phy
oid, au chaud et il la douleur est assez obtuse. L'enfant manifeste
mal
ses sensations. Les me)nh)'GS inférieurs sont c
l'inférieure surtout qui est en léger ectropion. La supérieure est
mal
dessinée et présente un léger duvet. Cou gros,
au du cartilage thy- roïde 30 centimètres de circonférence, on sent
mal
le corps thyroïde. Thorax normal, mais recouver
es convul- sions, 23 ans, mariée, bien portante, a un garçon nor-
mal
et une fille qui a eu des accidents convulsifs.;
au de l'ongle. Ce doigt bifide est séparé du deuxième orteil nor-
mal
par une fente inter-digitale qui remonte plus hau
4 cm. Les membres supérieurs et inférieurs n'offrent rien d'anor-
mal
dans leur conformation, leur motilité, leur sensi
ires absents congénitalement. Fentes palpébrales très petites. Cils
mal
implantés. Se : droit, étroit il sa racine, peu
se, en léger ectropion. - Dentition complète. Dents de forme nor-
male
. Les deux premières molaires supérieures sont hor
de l'idiotie vers 18 mois. Abcès cervical. - Notions du bien et du
mal
. Puérilisme, - Végétations adénoïdes. 1903. -
nte, il n'y a que 2 ans qu'elle a fait des propres; elle a toujours
mal
prononcé, et sa voix est enrouée.- Sa tête étai
lutôt peur du feu. Pas d'onanisme. «Elle sait, bien quand elle fait
mal
. - Elle s'amuse le plus souvent, comme un tout
et de la hlcpharite : depuis l'âge de 2 ans 912, elle a eu souvent
mal
aux yeux, ses yeux sont presque toujours rouges
xtré- mités ont un aspect rouge et rugueux. Réflexe rotulien nor-
mal
. L'enfant marche bien, mais lentement. Elle ne co
eint 38° et une fois 38°, 5 ; elle se plaignait à ce moment d'avoir
mal
à la tête. Ni diarrhée, ni vomissements, ni des
sont t pour la plupart de ces éléments, très voisines de la nor-
male
; pas d hyperchromie, ni d'état chromophile. Très
ig.60. - Idiots diplégiques. 182 De quelques formes de nanisme.
mal
pour le même laps de temps n'est que de 23 millim
glisse pas. Les cheveux sont châtain foncé, raides ; le tourbillon,
mal
formé, semble constitué de 188 De quelques form
à 9 mois. Propreté à d5 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de
mal
convulsif à 6 mois. Convulsions localisées au c
nt tous les 6 mois, toujours localisées à droite. Après cet état de
mal
, l'intelligence était moins vive et l'enfant re
près la mère, la paralysie, qui a débuté après le pre- mier état de
mal
, se serait aggravée après chaques série con- vu
ne présente pas de cicatrices. Les arcades sourcilières sont nor-
males
. Les sourcils sont châtain clair, de même que les
ngien. Le menton est rond, très régulier, dans une situation nor-
male
par rapport au maxillaire supérieur.- Les oreille
en que l'enfant soit hémiplégique. Poids des organes 246 -Etat de
mal
co"n;¡'SIF, 1 'Epilepsie hémiplégique, déchéanc
rome : Imbécillité, hémiplégie, épilepsie, succé- dant à un état de
mal
convulsif de la première enfance, moins souvent
3). Epilepsie hémiplégique méningitique. nI guérison de l'état de
mal
convulsif ou môme s'amé- liurer notablement sou
par des se présentant sous forme de séries, quelquefois d'état de
mal
, mais si le malade ne succombe pas dans cette c
tiges nombreux, la physionomie s'altère, l'attitude se modifie en
mal
, le corps s'affaisse, s'incline du côté paralys
ée 1883. VI. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de
mal
; mort; atrophie très considérable de l'hémis- p
ut de la marche, de la parole, de la propreté à dix mois. - Etat de
mal
convulsif à onze mois, pendant trois jours : -
égie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etat de
mal
, élévation progressive de la température ; mort
; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de nerfs
mal
déterminées, dans lesquelles elle ne perdait pa
Antécédents personnels. 251 vingt-quatre heures. Mais le père peut
mal
préciser la marche de la maladie. Il semble cep
auchemars ni hallucinations. Lors de ses accès, il dit avoir un peu
mal
à la tète, mais seulement s'il est interrogé, c
egimbeau, phrases de lecture courante, bonne articulation. Ecriture
mal
assurée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait
aucun malaise apparent, mais l'en- fant, interrogé, accuse un léger
mal
de tête. A plusieurs reprises, lotions vinaigré
heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un état de
mal
: 7 accès se succè- dent, à intervalle de dix m
a va me reprendre, dit-il, les 256 Imbécillité, hémiplégie, état DE
MAL
ÉPILEPTIQUE. ' doigts me piquent », et aussitôt
demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étouffe et j'ai
mal
à la tête. » Lors de l'approche d'un accès, il
été absolument normal jusqu'à onze mois. Alors apparaît un état de
mal
convulsif qui aurait duré trois jours sans reto
163) ; - Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de
mal
épileptique, mort ; foyer ancien intéressant les
ltés intellectuelles dans les limites où les a laissées l'état de
mal
con- vulsif initial et telles que le traiteme
tiques hé- miplégiques, comme Ham... sont sujets à des états de
mal
épileptique, de même que les épileptiques ordi-
certain âge, vingt-cinq, trente ans s'ils ont survécu aux états de
mal
, on voit les accès s'éloi- gner et enfin dispar
avons pu les faire Fig. 69.- Tracé de la température de l'état de
mal
de H... 266 Etat DE MAL ÉPILEPTIQUE. passer
s les divisions de l'hospice comme infirmes incurables. L'état de
mal
épileptique n'a offert, ici, que la première pé
rophié et la partie correspondante de la calotte Fig, 71. - Etat de
mal
guéri. 268 État DE MAL épileptique. crânienne
ébelleux ou des deux, croisée ou non. XIV. Epilepsie. ; État de
mal
; Température. Par BOUItNL'ILLI : et L. IZOU.
vuls(ons vers 8 -71oix, répétées - Début des accès à 8 ans. Etat de
mal
en 100J : marche de la température. Parotidite
par sa famille à 4 ans : on constate qu'il est arriéré, qu'il parle
mal
et est peu développé pour son âge. Il n'a pas d
. - Deux accès dans la journée très-forts. - Dans la nuit l'état de
mal
se déclare. On note 22 accès se succéckmt sans
cune tache couleur chair de saumon, lésion fréquente dans l'état de
mal
. Le ventricule latéral, la couche optique., le
le Fig. 72. - Petit]... État de mut, température. AI10 .-État de
MAL
: 'TEM1'ÉRATURÈ.. montre le tableau (p. 306) et
s. En 1903, quantité considé- rable d'accès et de vertiges. Etat de
mal
avec élévation de la T. : 1° période convulsive
oite assez, bien conformée, a un lobule épais. L'oreille gauche est
mal
ourlée surtout dans sa partie supérieure où ell
s mais le lobule paracen- tral, l'avant -coin et le coin sont assez
mal
séparés et la scissure perpendiculaire externe
o, la scissure perpendiculaire externe occupent leurs places nor-
males
toutes les parties constituantes du lobe frontal
(Archives de neurologie, 1880, p. 213). LEROY (A.). - De l'état de
mal
épileptique. Thèse de Paris. SÉGLAS (J.). - De
res. ,345 VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche; épilepsie; état de
mal
, mort, atrophie considéra- ble de l'hémisphère
aux et cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV. Épilepsie; état de
mal
; température; par BOURNEVILLE et IZOU..........
it de celle aventure, line sœur del’hôpilal S’effraya d’un si grand
mal
; Puis, allongeant sa figure, l’il ce terrible ser
ions. — Lorsque l’ignorance ou la passion mous ont conduit à faire le
mal
, ce que nous devons désirer le plus, après le par
eut être ainsi. Que l’on n’en accuse ni nous ni la nature. Il est des
maux
incurables, mais ce que nous pouvons produire sur
alheureux où celui qui souffre n’est point l'auteur volontaire de son
mal
, et qui inspire par cela plus de pitié. Au milieu
e- cine prodigua ses soins ù celle pauvre fille; ce qui n'était que
maux
de nerjs devint une véritable épi— Jepsie. On eût
cles qui servent à la locomotion, insensibilité, spasmes, (I) Voir:
Maux
incurables, dans mou Huai mr Centtiguemtnl phüoio
élation d’idées, d’espérance et o de désir. Si le magnétiseur veut lo
mal
, ou agit « seulement à la légère, le magnétisé vo
veut lo mal, ou agit « seulement à la légère, le magnétisé voudra le
mal
« ou pensera à la légère. Si le magnétiseur est m
stion, ni au foie pour lasécré-« tion de la bile. Cette maladie a été
mal
combattue * dans son principe. Les saignées loc
rai.) La « rate ne fait pas ses fonctions, le foie fournit une « bile
mal
préparée. Cet état dure depuis quinze mois. « T
ne fait aucunes fonc- «lions; le foie fournit une abondance de bile
mal
« préparée; c’est ce qui fait que la langue est t
athique. La maladie a été produite « par un chaud et froid et a été
mal
combattue. » — La malade dit : « Tout est exact.
r; j’ai consulté deux médecins, et leur « traitement m’a fait plus de
mal
que de bien ^ « Traitement. Vésicaloire à l’hyp
e s’est affaibli ainsi que la rate. Labile que sé-« créte le foie est
mal
préparée, sa mauvaise qualité « irrite la membran
gens. Vrai philanlhrope, utile ami des hommes, Il sait guérir des
maux
désespérés; Vrai philosophe, il voit ce que nou
se montrent si peu soucieux de s’éclairer sur des phénomènes rares ou
mal
observés. Cependant l’enfant fut conduite chez
toujours ainsi ? Les premiers qui virent tomber des aérolithes furent
mal
accueillis, bafoués même, et il en fallut, dit-on
s, vous vous rappellerez avec bonheur que vous avez rendu en Btëri le
mal
que l'on vous a fait. L’ingratitude vous attendra
mbre. (Vrai.) Cette dame a en outre une pleuré-« sie. La cause de son
mal
est une extravasation lai-« teuse et plus tard un
Saon se présente pour consulter. La somnambule ne reconnaît d’autre
mal
qu’un engorgement des nerfs optiques. En effet, c
condre « droit; il a la diarrhée depuis longtemps. La cause * de ce
mal
est un eifort et un épuisement. Je vois une hépat
n litre et demi. 24 Novembre, le ma-« lade va très-bien; néanmoins le
mal
n’est que paljié; « il faut encore la tisane de r
re somnambule, sans m’avoir jamais • vu, a pu si bien connaître mon
mal
et me guérir. Je « suis venu exprès pour vous tém
il faudrait employer et les précautions à prendre pour qu’elle ne fit
mal
ni à elle ni aux autres. Je m’adressai au docte
rai sur le dos dans l’escalier, dans laquelle je me ferai beaucoup de
mal
; mais je n’en mourrai pas. Je ne saurais dire ce
n cinq magnétisations, de sept ou huit minutes chacune, à extirper le
mal
dans sa racine. J'eus ainsi l’inapréciable bonheu
un charlatan. D’abord, c’est une odieuse calomnie; mais ensuite il va
mal
à on homme qui profite des découvertes de Mesmer,
en en souffrir auparavant, elle ne me paraissait pas alors sentir son
mal
. J’examinai de quelle manière et de quel instrume
e voyait un soulagement à sa position. «Aucun, me répondit-elle; le
mal
va toujours « croissant, et dans huit jours elle
cins au chevet des agoni&ants, aussi impuissants à soulager leurs
maux
qu’à prolonger leur vie. Mais occupons-nous, trav
pas, et nous sauverons des mains de la justice des êtres qui font le
mal
, sans doute, mais qui peuvent être ramenés au bie
matériels qui lisent dans l’avenir, est souvent avertie du bien ou du
mal
qui nous est réservé. Nous en avons cité de nombr
de la volonté et de la puissance divines, ajoute : Et fecerunt etiam
male
/eci per incan-laliones Ægyptiacas et arcana quœda
eut exception en faveur de l’inventeur, car il conserva fort bien le
mal
, dont je le débarrassai en huit magnétisations. L
ement fut le résultat do ma première magnétisation ; le 18, plus de
mal
de léte, battements de cœur moins douloureux. .
mère: « Oh ! mon Dieu, je marche, « mais je ne sens plus rien de mon
mal
... je marche... « Voyez, mère, je marche; mes jam
enter contrairement à notre opinion de son état d’insensibilité aux
maux
physiques que les expérimentateurs n’épargent ni
l a ressenti, dit-il, les premières atteintes de ce qu’il appelle son
mal
. Ses camarades l’avaient surnommé la Torpille. No
plus ardent désir, parce que ce qui peut faire du bien peut faire du
mal
, et que la magnétisation ne peut avoir que de bie
fâcheux résultats si elle est dirigée sans discernement ou appliquée
mal
à propos. « Que l’homme qui a étudié l’organisa
re hommage à la mémoire de ceux qui avaient travaillé ài diminuer les
maux
de 1 humanité, de ceux qui s’étaient illustrés pa
nt que l’odieux fanalisme et l’ignorance offraient encore au génie du
mal
. « Qu’il est doux pour moi ce moment, Messieurs
es malheureux ne me doivent-ils pas la vie ou le soulagement de leurs
maux
? n’ai-je pas affronté les ennemis de tous progrè
, entraînés dans le tourbillon des passions déchaînées, se trouvaient
mal
placés pour parler de mesmérisme; quelques-uns se
! dont la mission est sacrée, vous qui apportez un adoucissement aux
maux
physiques; vous qui pénétrez au sein des familles
vez, hélas! combien leur science est impuissante pour guérif même les
maux
que leur incurie perpétue. Vous les avez vus déto
arrivait alors ce qui se passe aujourd’hui à l’égard des somnambules
mal
dirigés, c’est-à-dire que les oracles étaient d'a
ient point raisonnées? Il y a donc deux êtres en nous : le génie du
mal
et le génie du bien; pour que celui-ci se montre
us appelons à grands cris un moment de repos; lorsque, torturé par le
mal
, la soif, l’insomnie, nos amis alarmés cherchent
s mains sur tes membres roidis, sur ton abdomen gonflé, irrité par le
mal
et un feu intérieur; qu il te fasse de douces f
ession de la découverte de Mesmer. Qu'ils se rappellent qu’ils furent
mal
accueillis autrefois, et.que par des mandements,
c lui-même, deviennent, autant que l'ignorance, la source de tous les
maux
moraux. On commet le mal, ou parce qu’on se mépre
tant que l'ignorance, la source de tous les maux moraux. On commet le
mal
, ou parce qu’on se méprend, ou parce qu’on ne s’e
action produit, et leurs rapports, nous donnent l’idée du bien et du
mal
moral. Les diverses relations des hommes en soc
avons..... des poisons. LE MALADE. Faut-il encore ajouter à leurs
maux
? Pourquoi brûler leur chair? êtes-vous donc les v
ttable, nous croyons enfin l’avoir trouvée dans l’emploi de deux mots
mal
compris-. expérience et observation, sur lesquels
iel. Il prédisait ponctuellement ce qui devait arriver, en bien ou en
mal
, à de grands personnages; par exemple, au célèbre
ions et d’erreurs vous trouverez à chaque page des symptômes morbides
mal
définis, et toujours applicables à quelque irrégu
er à tout ce qui lui est contraire, d’où résulte l’idée du bien et du
mal
. Le bien physique ou naturel de chaque être est
de chaque être est tout ce qui tend et contribue à le conserver. Le
mal
physique, au contraire, est tout ce qui tend à le
tion ou la sensation du bien physique est le plaisir. La sensation du
mal
physique est la douleur. Le bien et le mal phys
plaisir. La sensation du mal physique est la douleur. Le bien et le
mal
physique pesés et comparés relativement à l’indiv
réaliser cet effet. Le motif étant la représentation du bien ou du
mal
résultant du changement, que l’action produit, il
la disposition du sujet qu’il meut. La représentation du bien et du
mal
peut être plus ou moins parfaite, plus ou moins d
nnel. La sensation du bien physique étant le plaisir, et celle du
mal
physique la douleur, l'intérêt individuel a deux
echercher le bien physique comme la source du plaisir: 2° Eviter le
mal
physique comme la cause de la douleur. II faut
objets. L’indépendance étant la mesure de la liberté, il celle du
mal
physique la douleur, l'intérêt individuel a deux
echercher le bien physique comme la source du plaisir: 2° Eviter le
mal
physique comme la cause de la douleur. II faut
jour. La moindre marche, la moindre fatigue, augmentaient encore son
mal
, qui résistait à toute espèce demédi-camentation
ns humaines, fondées sur l’intérêt personnel. Cet intérêt peut être
mal
entendu lorsque la représentation en est confuse
ntérêts dans la société pour les opposer aux passions et aux intérêts
mal
entendus des particuliers. Les lois qui ont pou
rés aux bétes, ou célébrant leurs mystères divins dans des catacombes
mal
éclairées, sur les cadavres mêmes de leurs frères
es de la ville, qui venaient à lui processionnellement se plaindre de
maux
de nerfs. Silva ne répondit rien et ne prescrivit
de s’expliquer, il dit enfin d’un ton d’oracle : « Ce ne sont pas des
maux
de nerfs, c’est le mal caduc! » Le lendemain, il
nfin d’un ton d’oracle : « Ce ne sont pas des maux de nerfs, c’est le
mal
caduc! » Le lendemain, il n’v eut plus dans Borde
» Le lendemain, il n’v eut plus dans Bordeaux une seule femme qui eût
mal
aux nerfs (1). » . Une épidémie de suicide po
plus depuis, li,3 du moins à ma connaissance, aucune atteinte du
mal
dont il s’était lui-même débarrassé. Cette obse
e cours, et j’acquis la conviction que le magnétisme humain avait été
mal
jugé par moi, et présentait* l’observation du phy
ces opposées justement équilibrées. 2mc Observation. — Supposons un
mal
local, par exemple une brûlure : un membre est en
a lieu presque immédiatement ou en peu de temps, selon la gravité du
mal
. Je doute fort que, dans un accident de ce genr
asser chez moi, . Où se trouvait la fièvre, accompagnée Du tous les
maux
qu’elle entraîne après soi. J’ét.iis dans un gr
par les prières de la Bueaille; la seconde, qu’elle a été guérie d'un
mal
d’yeux par la même voie, avec cette circonstance
circonstance que la Bueaille, pour la guérir, s’était chargée de son
mal
. « Nicolas Lecourt dépose que, voulant savoir s
no allopathique , sans jamais avoir éprouvé aucun soulagement à ses
maux
, se décidait à suivre un traitement magnétique.
de 30 ans, me dépeignit ainsi son état : Tous les jours migraine ou
mal
de tôle. Menstrues ne paraissant que 2 ou 3 foi
un lavement. Moi, je remarque les ravages extérieurs qu’a faits le
mal
, le teint jaune-verdâtre de la malade, et un inst
ne magnétise les yeux que secondairement ; car je pressens que là le
mal
n’est qu’une ramification de celui qui existe au
dans les reins. Elle ordonne un lavement de 2 têtes do poireau, J’ai
mal
entendu, et le lendemain je fais prendre 2 pavots
chacun en particulier, une mission à accomplir; l’oublier, ce serait
mal
répondre à ce que notre honorable convive est en
ps bien long, hélas! soutien dti magnétisme, on et compatissant aux
maux
du genre humain, su calmer, guérir;en imposant la
uibulique. — » Vous voyez, ma-« demoiselle, que je ne vous veux aucun
mal
, lui dis-«je, puisque je ne demande pas mieux que
naissance. — Tout cela « n’empèche pas, répondit-elle, que c’est fort
mal
à « vous d'abuser de ce pouvoir que vous avez pou
re partager ma sécurité à des gens fort peu éclairés et manifestement
mal
disposés envers moi, était chose impossible. Auss
puisque le père y consentait ; mais j’avais manqué de patience, et le
mal
était irréparable. J’appris depuis indirectement
n delà toute-puissance; c’est le ciel qui vous vient en aide pour les
maux
que vous souffrez; il vent avant de vous appeler
vous voyez tout ce qui s’y passe; alors vous devenez insensibles aux
maux
physiques et vous n’êtes plus qu’un esprit. On
ur tout nouveau les vérités métaphysiques, devinées peut-être, mais
mal
expliquées, mal commentées par la philosophie, qu
les vérités métaphysiques, devinées peut-être, mais mal expliquées,
mal
commentées par la philosophie, qu’arrête l’insuff
croyez au magnétisme et qui le regardez comme un moyen de guérir les
maux
et de moraliser les peuples; venez inscrire votre
qui lo mettront à l’abri de l’égarement des passions ou de l’intérêt
mal
entendu, il sera en étal de juger dans tous les c
ix à celle de beaucoup de par-tisants du magnétisme, qui gémissent du
mal
qui se fait ainsi, et qui, honteux de l’abaisseme
gnéti-« que n’existe pas; d’ailleurs il peut faire beaucoup de >
mal
! » « Remarquez, Messieurs, que presque tous le
môme nommé à une de ses places de membre correspondant ! « Mais le
mal
est bien plus grand qu’on ne pense. On ne peut pa
ta harangue. ♦ Ilélas ! réprimande inutile, peine superflue : le
mal
était fait, et Frapart lui-même, oubliant les con
rogueshomœopatiques, et diminue tant celui des poisons et médicaments
mal
ordonnés; comment, au contraire, l’action prolong
evrait les frapper; car leur ignorance et leur orgueil perpétuent des
maux
que nous avons le pouvoir de détruire. « Il est
nce, sans éludes médicales, produisent, au su de tous, la guérison de
maux
incurables pour eux. « Voilà la vérité découver
mais nous ne répondons pas des épidémies qui peuvent l’atteindre, des
maux
qui peuvent fondre sur elle; notre habileté ne va
es juges montreraient que la loi n’est point établie pour protéger le
mal
et empêcher le bien. Ils renverraient bientôt les
ries de ces magnétiseurs inexpérimentés. Ont-ils au moins réparé le
mal
qu’ils ont fait à la science ? La science ! qu’y
s vivants de leurs défaites. Croyez-vous qu’ils soient aux regrets du
mal
qu’ils ont fait, qu’ils cherchent à servir notre
us pouvons nous tromper dans nos appréciations; car si nous jugeons
mal
ce qui est grossier, ce qui frappe nos sens habit
par conséquent, de grandes différences dans les résultats. Sentir les
maux
est la plus commune faculté. Autre chose est voir
vérité du magnétisme, et qui, par leur croyance, ont fait beaucoup de
mal
, et ouvert la carrière à la coupable industrie du
ami, dii l’autre, je sais la meilleure recette du monde con- * tre ce
mal
-là, et la lui dit. Concile cscrit son nom sur ses
é de gens (comme il éloit connu de tous) qui, après avoir entendu son
mal
, lui donnèrent recettes à forces, lesquelles chac
«Eh! qu’as-tu, Gonelle?» Il répond tout piteusement en marmiteux : «
Mal
de dents le plus cruel qui fut jamais. » A donc S
reindre le chiffre de nos vagues enthousiasmes, ce ne serait point un
mal
. Même en magnétisme, il n’y a pas de petites écon
ion artérielle indique d’ordinaire que la somnambule s’est inoculé le
mal
sur lequel on la consulte; aussi la vit-on tout à
indiquer le sexe de l’enfant. Elle accepta en disant qu’au moins «on
mal
à elle ne se communiquerait pas. Je le pensais au
e faute d'initiés pour l’entretenir. 11 fallait un prompt remède à ce
mal
; Dieu y pourvut en envoyant seul au milieu des mé
e, qu'en revient la plus large part. , BOURNEVILLE. De l'état- de
mal
épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il
rt. , BOURNEVILLE. De l'état- de mal épileptique DE L'ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE (il @' L'état de mal épileptique es
e mal épileptique DE L'ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE (il @' L'état de
mal
épileptique est connu de longue date dans les s
n dans les ouvrages ou les articles de dictionnaire qui traitent du
mal
caduc. Aussi, et bien que, dans un mémoire auqu
faire ressortir briè- vement les caractères principaux de l'état de
mal
épilep- tique. Toutefois, dès maintenant et afi
nous rappellerons la définition que nous avons don- née : L'état de
mal
épileptique, avons-nous dit, est caracté- risé
ur les maladies du$ystme ne-¡'fJ811a : . BOURNEVILLE. 1 2 ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE : , qui persiste dans les intervall
t par le sulfate de cuivre; doses ; accidents ; insuccès. Etat de
mal
: description d'un accès ; - 9 90 accès (dont 168
que à4 ans 1r2, Lamb... a été sujette à des crises nerveuses, assez
mal
caractéri- sées. A l'origine, elle était prise
le, dont la taille est assez exiguë, n'offre rien de par- 4 ÉTAT DE
mal
1;PILEPTIQUIs'. ticulier; nous n'avons donc à i
te malade a été mise eu traitement par lo sulfate de cuivre ÉTAT DE
MAL
LPII,>rP1'InLW , 5 Etat DE MAL (8 juin). Hie
ux accès; le pouls était à 128, la température à 3ne, 3 : l'état de
mal
était constitué. Description d'un accès. a) D
t -de l'épilepsie par le sulfate de cuivre ^pages z18). 6 ÉTAT DE
MAL
EPILEPTIQUE. ' effacé. Simultanément, secousses
h9 Insane (Journal of Mentat Science, vol. XIV, p. 34). - ÉTAT DE
MAL
ËPILEPTIQUË. 7 moniaque. Sous l'influence de ce
ux radiales ; R. moins bruyante, à 60 ; T. V. 0°,G..... 8 ÉTAT DE
MAL
EPILEPTIQUE. Examen op7cthczlnaoscopirtce prati
troubles de la vision dans l'hystérie, etc., p. 2S, - .. - ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE, 9 blement déformé. Les circonvolut
(fit. f, A). Mais, il est à remarquer que cette atrophie 10 ÉTAT DE
MAL
EPILEPTIQUE. est uniforme, porte sur l'ensemble
e, reins, vessie, pas d'ecchymo- ses, etc. Dans ce cas, l'état de
mal
épileptique n'a pas été su- bit, ainsi que cela
dité effrayante. Alors, comme nous l'avons dit plus haut, l'état de
mal
était constitué et, de même (yie dans la ÉTAT D
aut, l'état de mal était constitué et, de même (yie dans la ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE. Il 1 majorité des cas, nous avons
e la mort. -f- Température' une heure après la mort. 12 2 ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE, tation n'est que passagère et bien
ns signalées au dé- but chez notre malade. Eh bien ! dans l'état de
mal
épilep- tique, au lieu de redescendre au chiffr
z cède. Parfois, à ce moment, les malades succombent et l'état de
mal
est composé d'une seule période ; d'autres fois,
a température n'est pas unique- ment due aux convulsions. ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE. - 13 Dans d'autres cas, la rémissi
anté ou tout au moins reviennent à leur état antérieur. L'état de
mal
, dans ce cas, a duré trente heures environ; sa
lésions récentes qui, seules, peuvent' être rattachées à l'état de
mal
. Elles consistaient en plaques ecchymotiques de
(camphre, asa foetida, atropine, etc.) que nous avons j ¿. ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE.;> vu prescrire ou que nous avon
'espérons, pour montrer l'in- térêt clinique que présente l'état de
mal
épileptique. II Recherches thérapeutiques. ,
a pris régulièrement ses six pilules. Ce jour-là débute un état de
mal
auquel elle suc- combe le lendemain. 2t RECHE
appeler que chez celle de nos malades qui a succombé à un état de
mal
épileptique (OBs. iv) pendant qu'elle était en tr
eil sur nos deux au- topsies nous voyons que ni dans l'une (Etat de
mal
, p. 2), ni dans l'autre (Observation II, ci-des
comme si elle ne voyait plus clair. -- Pas d'autres maladies que le
mal
caduc; intelligence médiocrement développée. Pa
malades qu'autrefois, et les accidents graves, tels que l'état de
mal
, sont devenus plus rares. Mais, à côté de ces c
ver davan- tage, prétextant que leurs chèvres tomberaient du « haut
mal
.» C'est alors qu'on se décida à la faire rentre
ête sous le couteau.... Si j'étais seule, je crois que je me ferais
mal
. » 13 avril : 3 pilules de 0 gr. 02.... 16 mai
- tion est très-difficile, sinon impossible, chez les autres ani-
maux
. Selon Me Bride (2), la congestion superficielle,
S THÉRAPEUTIQUES. tifs à l'épilepsie; 2° faits relatifs à l'état de
mal
épilep- tique; 3° faits relatifs à l' hystéro-é
t- chell a employé le nitrite d'amyle pour combattre les accès de
mal
caduc. Dès l'origine, il se rendit parfaitement c
a portée des ob- servations de M. Philip, c'est que, dans l'état de
mal
épi- leptique, ainsi que nous allons le voir, l
e com- plication de l'épilepsie. . B. Faits relatifs ci l'état de
mal
épileptique, L'observation détaillée qui figure
dans des explications sur les symptômes qui caractérisent l'Etal de
mal
épileptique, Les réflexions sur le traitement,
ux accès; le 7, trois; le 8, quinze. A partir de ce jour, l'état de
mal
fut franchement établi; la connaissance ne reparû
ement recouvrée et en quelques jours toutes les traces de l'état de
mal
s'éva- nouirent. Observation XIX. Epilepsie;
'éva- nouirent. Observation XIX. Epilepsie; excitation. - Etat de
mal
: aucune lueur de connaissance en1re les accès
ns sont conti- nuées toutes les trois heures. Guérison de l'état de
mal
. Observation XX. Epilepsie; accès fréquents, su
ation XX. Epilepsie; accès fréquents, suivis de dé- lire. - Etat de
mal
épileptique : coma, élévation de la tempé- ratu
e toutes les heures et rien n'entrava plus la guérison de l'état de
mal
. L'intérêt que présentent ces observations n'éc
'échappera à personne. Dans toutes, il s'agissait bien de l'état de
mal
épileptique avec tous ses caractères, et en par
es observations deux autres de M. Me Bride relatives à des états de
mal
moins intenses il est vrai, et qui ont eu égale
sont loin d'être aussi en- courageants. Observation XXI. Etat de
mal
épileptique; élévation de la température; nitri
2,nous trouvons la malade en plein nitrite d'amyle. 93 ri état de
mal
épileptique. A peine un accès est-il fini qu'un a
vélé la cause de la terminaison fatale. Observation XXII. Etat de
mal
épileptiqu(3)' Nombre des accès ; - Elévation c
épileptique depuis l'âge de quatorze années, fut prise d'un état de
mal
, le 10 décembre 1875 à 4 heures du soir. - Aprè
ttes de nitrite d'amyle : les pupilles, de dimension presque nor-
males
auparavant, se dilatent très-largement; la malade
3/10 de degré. ' NITRITE D'AMYLE. P7 Observation YYIII. - Etat de
mal
épileptique. Fréquence des accès. - Nitrite d'a
accès. - 2 février. 16 accès. Cette malade a guéri de son état de
mal
qui a offert des caractères tout particuliers s
ous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les observations d'état de
mal
épileptique que nous avons analysées, nous rele
es pleurs redoublent (elle s'imagine voir une femme qui lui veut du
mal
). Il s'agit là, sans doute, d'une réminiscence d'
ont enfin cesse. D.. a éprouve, durant quelque C -' lJ-' temps, un
mal
de tète lus intense que de cou.tumeaLla5(.e ' l
urs, 1) s'imaginait voir le chien courant après elle et se trouvait
mal
. A partir de celte première peur, elle fut suje
létion des capillaires; les gros vaisseaux sont parfaitement nor-
maux
. Cette altération, ainsi que les troubles fonctio
16 6 octobre. La malade urine spontanément. Elle meut tant bien que
mal
le bras droit. M. Charcot lui fait faire l'exerci
ade parvient, avec difficulté, à faire entendre quelques sons assez
mal
articulés. - Elle a pu avaler un peu de bouilli
e- ments sont les mêmes; la sécrétion urinaire est toujours anor-
male
. Etch.... n'a eu que deux selles depuis le 7 déce
n Emile. Les natures innocentes, les âmes pures qui ne pensent pas au
mal
, qui n’ont dans l'esprit rien de déshonnête, ne v
tête la première, sans qu’il s’ensuivit aucune lésion ni aucun autre
mal
qu’un léger étourdissement (1). Ajoutez à celala
thurin Picard, directeur spirituel du couvent, qui l’avait induite au
mal
, en lui arrachant son consentement par ruse; que
it ainsi accrochée, puis retomba de l’autre costé sans se faire aucun
mal
, et rentra aussitost dedans leur chapelle dansant
tait de se coucher sur des brasiers ardents, sans éprouver le moindre
mal
, ce qu’en effet plusieurs personnes l’ont vu fair
, à leur idiome, qu’il fut pris de hoquets violents et se plaignit du
mal
de mer, ce qui le fit revenir aussitôt et lui pro
oin ; il n’en fut nullement incommodé. Etant éveillé, il est sujet au
mal
de mer quand il se trouve à bord d’un navire, mai
, le soleil me gêne, la réverbération de la lumière sur l’eau me fait
mal
aux yeux. — Approchez et montez à bord, à l’arr
lle qui trouve le remède. Ainsi, on peut bien révéler à un malade son
mal
sans pour cela qu’il soit prouvé que les remèdes
sultés n’ont pu ni apporter aucun soulagement, ni indiquer la eau: du
mal
. « Une réunion spiritualiste ayant eu lieu dans
omme. Œil-de-Pigeon déclara qu’il avait des accès, et que la cause du
mal
venait d’un ver (le texte dit même snakt serpent)
ue instantanément. Je cessai d’être boiteux, et je fus délivré de mon
mal
pour toujours. Je dois ajouter que j’avais précéd
i une nouvelle médication ne vient sur l'heure enrayer les progrès du
mal
. Le magnétisme est appliqué sans retard ; un qu
Gasparin, je regarde comi ■> probable que ses expériences ont été
mal
faites, et ce sera, je crois, la conclusion à laq
se laisser épouvanter et même pour que nous ne lui fassions pas grand
mal
. La pratique delà magie était chez Grandier, no
oulés, que le nouveau directeur ressentit à son tour les atteintes du
mal
dont cette supérieure était obsédée. Surin fut ra
u de me « procurer quelque soulagement, n’ont fait qu’augmenter mon «
mal
, ma faiblesse et cette langueur générale qui meco
goût extrême a démon régime ordinaire. Je ne m’étais jamais trouvé si
mal
. « Vous dire ce que j’ai enduré de peines et d’ag
s. Aussi ne me suis-je laissé a aller, quelquefois clans les moindres
maux
, à des impatien-oces et à des sensibilités vraiem
pouvait être assez sensitif pour reconnaître par lui-même le siège du
mal
. Enfin, en admettant que ce siège lui ait été ind
ls pourraient* sur ces hommes, amener des modifications en bien et eu
mal
, des changements et des guérisons par une action
ogrès, et puissent nos appels rapprocher le temps béni où beaucoup de
maux
, terribles aujourd’hui, s’évanouiront comme de va
secours de la médecine et de la pharmacie : le magnétisme dissipe ce
mal
instantanément. 2° Madame Stella, me Chauveau-L
ie, étant assise près de la cheminée, a été saisie tout à coup de son
mal
et est tombée dans le feu. Au bruit de sa chute,
était tourmentée d’une toux aiguë bronchiale. Pour combattre tant de
maux
, elle n’avait suivi aucun traitement régulier, et
déclara qu’elle réussirait, sinon à faire complètement disparaître le
mal
(car elle était, disait-elle, très-malade et fort
un mieux relatif, et elle indiquait les poumons comme le siège de son
mal
. Son état s’étant aggravé à l’arrivée de la mau
m’obligera de garder le lit pendant un mois, et je serai guérie de ce
mal
particulier au moyen de sangsues et d’autres médi
fin de l’année, je ne vois pas que je doive être tourmentée d’autres
maux
; au bout du temps prescrit, j’achèverai le trait
andant de lui adminis- • trer tout ce qu’elle se prescrirait pour les
maux
, et de ne tenir aucun compte de ses caprices et d
de épouvante qui durera une heure, après quoi elle sera guérie de son
mal
; mais alors je devrai la magnétiser une demi-heu
f mois qu’elle avait été saisie de cette épouvante qui causa tous ses
maux
, et que tout serait enlevé par la magnétisation q
ents à celte pensée? R. Je le pense destiné à guérir la plupart des
maux
de l'humanité; mais comme l’homme est un être bor
rds-muets , moi, j’ai ainsi apaisé de violentes coliques, de violents
maux
de tète , des douleurs aiguës rhumatismales ou au
onneront pins de forces. — Le cantonnier près de nous avait tellement
mal
à la jambe, que le médecin , après lui avoir lait
quillement en bonne harmonie ; d'autres fois, il s’y mêle des esprits
mal
disposés et méchants qui tâchent de posséder les1
èrent entre elles. Puis il semble se confirmer de plus en plus que le
mal
règne chez eux ou chez une partie (Tentre eux com
s, ne veut plus rien opposer à Fenvahissement sans cesse croissant du
mal
affreux qui le dévore. L’existence lui est devenu
certaines circonstances et par l’effet de médications énergiques, le
mal
semblait s’améliorer, mais c’était de courte duré
laquelle il n’a été employé jusqu'à ce jour que des traitements fort
mal
appropriés. Le tempérament du malade étant contin
terminé cette dartre teigneuse telle qu’elle existe aujourd’hui. Le
mal
n’est pas incurable, deux mois suffiront pour le
yez rien encore, attendez un peu , il vous sera donné d’apercevoir le
mal
chassant devant lui le bien et établissant sa dom
ntinuateur des apôtres , faites tant que vous le voudrez connaître le
mal
, votre parole sera sans elFet, on ira vous entend
endre, puis on retournera tranquillement se désaltérer à la source du
mal
. C’est bien inutilement que j’écris ces choses, l
er devoir envers une société que je vais bientôt quitter (je suis pas
mal
vieux), je dois, dis-je, pour satisfaire à cette
u n’est pas. Les résultats satisferont tous ceux qui sympathisent aux
maux
de l’humanité et démontrent qu’il y a là quelque
sensations. Les remèdes sont inefficaces; il n’en est point pour les
maux
de l’esprit. On a vu parfois ces monomanes, ces h
dévoiler ce mécanisme mystérieux dont le dérangement fait naître ces
maux
que l’on ne sait guérir. Baron nu Potet. BI
é de l’agent mesmérien : il faut encore connaître en quoi consiste le
mal
et quels sont les meilleurs, moyens de le combatt
la science officielle dédaigne, faites-en l'instrument ctu bien ou du
mal
, ceci ne nous regarde point, et c’est ainsi que n
Sans doute , les mauvaises passions de quelques hommes, turbuleuts et
mal
élevés, furent combattues ; mais il fallut pour l
e quelque chose de providentiel veille sur l’humanité, et qu’à un
mal
passager succède toujours une somme de bien. Que
sser son excès de vitalité dans un organisme affaibli et dissiper des
maux
qui auraient résisté aux efforts de toute la Facu
xactement que Iss autres ; ces hommes, égarés par un zèle excessif et
mal
entendu, ont fait un tort grave la cause qu’ils s
s, faiblement inspirés, Contre la noire calomnie Lancent des traits
mal
acérés. Bravons avec persévérance La fâcheuse i
je la méprise, Car la calomnie est un fait, Qu'elle soit bien ou
mal
assise, On n’en peut éviter l'effet. Jobard.
elle! C’est le principe du bien qui est en guerre avec le principe du
mal
, et celui-ci sans cesse renaissant doit toujours
ondaines, se traduit, dans sa rénovation présente, par des diversités
mal
appréciées, et par des apparences d’oppositions q
indre, n La cause... en ta nature... engendre ses effets ; « lit le
mal
, pour chacun, naît des maux qu’il a faits. » C’
nature... engendre ses effets ; « lit le mal, pour chacun, naît des
maux
qu’il a faits. » C’est l’explicatif de ln maxim
abstenus de jeter inconsidérément devant la foule, les théories qui,
mal
comprises, auraient pu troubler quelques esprits
uple, ont causé une grande agitation et ont produit peut-être plus de
mal
que de bien. Les spiritualistes n’ont donc été au
somnambule , pour leur indiquer le point précis de leur corps que le
mal
menace ou attaque, et leur suggérer par une rapid
ais il n’admet ni la transposition des sens, ni la faculté de voir le
mal
d’autrui et les remèdes, ni la prévision. 11 ne c
rre philosophale. N’a-t-on pas vu le sage Lanouo ranger au nombre des
maux
qui désolent la France les progrès de la sorcelle
er le bien, pourquoi les mauvais ne chercheraient-ils pas à opérer le
mal
? L’imitation , le prosélytisme pourrait bien êtr
nt de progrès, un instrument de miracles, comme un moyen d’arriver au
mal
, selon qu’il sera lui-même bon ou mauvais, qu’il
impression sur leur esprit pour les paralyser à moitié de leur œuvre.
Mal
leur en prit; car l’obsession n’en devint que plu
connu le sabbat, et il en donne pour raison que le démon, l’esprit du
mal
, cause première du sabbat, était, dans ces religi
et j’ai vaincu d’abord l’incrédulité de la famille, et je vaincrai le
mal
si l’on veut suivre, non pas mes prescriptions, m
soit pas nerveuse? car enfin, sans les nerfs, je ne sentirais aucun
mal
, et ne vous ferais pas appeler. Voici comment j
oigts. —Vous m’entendez? — Fort bien.—Occupez-vous de découvrir votre
mal
et son remède, vous le pouvez et je vous l’ordonn
a pas de remède ! — Vous qui savez que Dieu a mis le remède à côté du
mal
et qui ne doutez pas de sa puissance, c’est blasp
tout pur, ce que j’ai fait, mais les amateurs ne le trouvent pas trop
mal
. Je vous mettrai à même d’en juger par un petit e
d’un esprit, qui s’appelle docteur Chopin, si la bière me faisait du
mal
; aussitôt madame X.... fut poussée à écrire ces m
ée de celle de Moïse. Ils nous prouvent que nous progressons ; que le
mal
qui est dans ce monde est nécessaire pour nous fa
commis ou contre nous ou contre nos frères, et que si nous faisons du
mal
à notre prochain, c’est notre prochain qui doit n
s en Amérique. C’est étonnant combien de personnes ont été guéries de
maux
, abandonnées comme incurables par la médecine.
uses des épidémies, mais les moyens propres à prévenir ou à guérir le
mal
. C’est aux magnétiseurs habiles diriger vers
esponsable des écarts de quelques-uns de ses adeptes; des prétentions
mal
fondées à l’égard de certains faits n’enlèvent ri
s choses, vous en troublerez tout l'ordre... « maintenant vous placez
mal
les paroles : alors vous pla-« cerez mal les chos
... « maintenant vous placez mal les paroles : alors vous pla-« cerez
mal
les choses... » Le mot circulation fait suppose
tion non encore prouvée, le magnétisme est avoué, mais comme agent de
mal
. On remonte pour cela au rapport de Husson, dont
Quelle pitié de voir nos autorités médicales si peu instruites, si
mal
renseignées sur le magnétisme ! et pourtant leur
il ne s’agit que de détruire par leurs racines. Pour celui-ci, tout
mal
est vivant et est une invasion d'ennemis visibles
donne des doses titaniques et des remèdes héroïques pour combattre un
mal
souvent pygmée ; là, 011 assure par contre guérir
Cet autre ne demande que l’extrait de pavots pour endormir tous les
maux
, sans songer aux suites funestes de ce poison dés
sorganisateur. Ici, tout est nerveux, et la douleur, et le siège du
mal
, et la cause de la maladie ; et le remède est pou
Grèce, veut-on rétablir la gymnastique curative, pour guérir tous les
maux
par la danse et le pugilat. Plus loin, on ne vo
nt de resserrer ou de dilater pour les mettre en harmonie. Là, tout
mal
ne vient que de l’estomac qui, malhabile fourniss
aladie. Celui-ci s’arme seulement d’une simple brosse pour enlever le
mal
comme une poussière incommode. Mais que dire de
e Broussais n’avaient qu’à consulter le pouls, déterminer le siège du
mal
, et puis agir contre l’inflammation générale par
lammation artificielle qui devait nécessairement déplacer le siège du
mal
, qu’on n’avait plus à traiter que par de simples
eux, etc.... Tu ne sauras point si c’est toi qui leur communiques tes
maux
, ou si tu en reçois l’inoculation par lour voisin
s cesse pour aller au loin exercer leurs ravages. Une partie de ces
maux
est engendrée par la malpropreté, par les vices e
où sont la paresse et l’oisiveté. L’activité humaine diminue tous ces
maux
, elle empêche du moins une plus grande corruption
e et sera le premier remède aux maladies. Est-ce un bien, est-ce un
mal
de conserver les êtres ? la nature veut-elle une
ouvements convulsifs; et si le fluide électrique est trop abondant ou
mal
administré, il peut y avoir une véritable commoti
humain, signalent celles qui sont attaquées, le siège et la cause du
mal
, les progrès et la complication de la maladie, qu
qu’ils ressentent eux-mêmes momentanément tous les symptômes de leur
mal
. Ce n’est qu’alors que le somnambule est en état
le aux remarques suivantes, sans lesquelles nos observations seraient
mal
comprises et peut-être dénaturées. a) Inutile d
nous les regardons, en général, comme indifférents pour le bien et le
mal
; s’ils peuvent donc soulagerou guérir, ils peuven
blanches ; il parla d’une voix rude : « Il parait que je t'avais
mal
jugé ; il parait que ton cœur, comme celui des au
, comme en médecine , comme en physique, comme partout, le bien ou le
mal
moral dépend de l’usage qu’on fait de ces faculté
es, sédatives, anti-névralgiques, et des bains tièdes que la malade a
mal
supportés, les souffrances étant toujours aussi f
e rendant pas compte du désordre d’idées où me jetait la crainte d’un
mal
peut-être irréparable ou du moins très-grave, je
auve, et son salut lui venait de la puissance même d’où était venu le
mal
. Depuis le moment où j’avais commencé à la magnét
elle souffrait toujours de l’estomac, et elle avait en outre son même
mal
de tête, pareil à celui des jours précédents. Ell
ces bornées que nous possédons aujourd’hui). La maladie étant souvent
mal
connue, et le moyen de la combattre ne l’étant gu
evrait être un instrument de salut, ne fasse qu'introduire un nouveau
mal
. i Je ne cesserai donc d’inviter les médecins à
alheureuse puissance. 11 est encore des gens qui vous entraînent au
mal
comme au bien; avec eux vous ne raisonnez point,
omaine des épidémies de maladies, dans ces transmissions occultes des
maux
! L’ignorance des savants, ainsi que celle des mé
ent, conclut à ce quelle s’abstint de toute médication quelconque, le
mal
étant incurable, mais le retour de l’âge pouvant
« 11 y a quelques jours, madame Park fut atteinte tout à coup d’un
mal
subit que les médecins déclarèrent dès l’abord ne
pée d’une manière si subite, résistait énergiquement aux atteintes du
mal
. Ma femme, au milieu de ses sanglots, s’écria : «
t subitement d’une bronchite aiguë et d'un engorgement du poumon ; le
mal
fit des progrès, et l’on conçut de graves inquiét
somnambules en général ont un éloignement invincible pour ce qui est
mal
; ont horreur de l'égoïsme et de la cupidité ; qu
ue ces personnes; il est resté plusieurs jours malade et souffrant du
mal
gifîl avaitainsi,prii. Les remèdes qtie le médeci
vous serez ainsi délivré de tout ce que vous auriez pu prendre de mon
mal
: seulement il faut avoir la foi et la confiance
rayons de lumière magnétique dans l’opinion publique ont été toujours
mal
venns et qu’on a su un très-mauvais gré aux auteu
uis leur naissance ont été guéris instantanément. En un mot, tous les
maux
cèdent aux passes et aux prières de cet homme de
on aise intriguer tout le monde. Avoir de bons yeux pour bien voir le
mal
, puis les fermer pour le dire du fond d’un songe
est un pouvoir réel que l’on peut employer pour le bien comme pour le
mal
, et dont l’avenir nous dévoilera les mystères et
rdonner la quinine (la science allait combattre le symptôme et non le
mal
). La somnambule répondit que si on donnait ce méd
ambule, qui dit simplement : « Celui-là en sait plus que l’autre ; le
mal
est arrêté, mais la convalescence sera longue. »
inement toutes vos ressources (trop souvent, hélas! pour aggx'aver le
mal
) ; tout cela ne vous dit-il point qu’au-dessus de
ter ces deux agents, qui ont sans doute guéri et préservé de bien des
maux
. *Eh bien ! •faites-en autant du magnétisme et du
ous ne doutons pas que si, maintenant, vous vous donnez énormément de
mal
pour faire un peu de bien, vous n’arriviez un jou
t son oncle entourés de plusieurs paysans qui voulaient leur faire du
mal
. « D’abord, la mère ne tint aucun compte de scs
oint. J’allai m’asseoir sur un banc, dans un coin d’un prétendu salon
mal
meublé et mal éclairé. Une dizaine de personnes é
m’asseoir sur un banc, dans un coin d’un prétendu salon mal meublé et
mal
éclairé. Une dizaine de personnes étaient là réun
ne trouvant rien de toutes ces infernales inventions dues au génie du
mal
, obligés d’aller les chercher au loin dans un lac
nue Thiébault, à se prévenir contre ceux que ses chiens accueillaient
mal
: il imaginait, dit-on, que l'odorat et l'instinc
ans trois jours. A. l’approche du terme fatal, il se trouva tellement
mal
qu’on appela un médecin. Celui-ci le saigna, lui
es vésicatoires , mais ces moyens n'amenèrent aucune amélioration. Le
mal
s’aggrava, et le médecin commençait à désespérer
enant, dit-elle, que je suis en bonne santé, il ne me fait ni bien ni
mal
, niais lorsque je serai poitrinaire, c’est alors
agnétisme, qui, en produisant les mêmes eil'ets, ne peut causer aucun
mal
? Pourquoi les princes de la science aiment-ils. u
et nomination des dignitaires, 335. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guéris ou soulagés. Affection de la moelle épin
— pulmonaire, 119, 258. Lumbago, 86. Maladie de foie, 538, 605-
Maux
de tête, migraines, 132, 175, 343. Névralgies
ait de tant de moyens autorise cet affligeant pronostic ; car si leur
mal
eût été de ceux dont l’art triomphe, ils auraient
s qui sont venus nous demander le soulagement ou la guérison de leurs
maux
étaient dans ce* conditions malheureuses. Plusieu
parce qu’elle regardait constamment ce membre à travers les paupières
mal
fermées, je demandai au magnétiseur si cette exte
l’épée et les armes que portait M. Stein, c’est du courage placé bien
mal
à propos dans une circonstance où ces messieurs e
. Ne se prête-t-elle point à toutes les combinaisons ! Perpétuant les
maux
, elle nécessite les remèdes, et chacun s’en trouv
ient insupportables, se laisser écorcher, croyant ainsi adoucir leurs
maux
. D’autres malheureux, pour apaiser des douleurs d
it place à un sage examen, l'humanité respirera, car la moitié de ses
maux
disparaîtra comme par enchantement. Quand nos sav
masses. Agissez, guérissez, montrez comment on guérit ou soulage les
maux
, publiez bien haut vos faits, rendez tous les hom
bon.; « Je certifie que monsieur Capern m’a geries d’un très-grands
maux
de dens que j'ai eut pendant quatre jours et par
que l’on voit les malades aller souvent demander la guérison de leurs
maux
aux hommes qui ne savent point se débarrasser des
tisme guérit, sans remèdes, beau- coup de maladies ; il soulage les
maux
que la nature refuse do guérir. Tous les hommes p
ergie, toute activité, toute spontanéité ; au Heu de lutter contre le
mal
, ils se résigneront à le subir comme une loi souv
s. Ce serait en vain aujourd’hui que l’on chercherait une trace de ce
mal
. — Les intestins avaient, ainsi que la vessie, ét
ués sans succès, et déjà votre jambe amaigrie attestait la gravité du
mal
qui existait dans l’articulation de la cuisse ; l
aux extrémités est assez commun à toutes les personnes « sujettes aux
maux
de nerfs ; je l’ai surtout remarqué très-« souven
ent signalés par les auteurs comme le lieu où se préparait l’accès du
mal
dont nous nous occupons; les ouvrages de Bonnet,
rol le guérit par des affusions d’eau froide sur la tête. La cause du
mal
, la nature du remède et sou heureux effet prouven
quilibre entre elles, on ne fait que grossir l’orage, qu’ajouter au
mal
au lieu de le guérir, aussi voyons-nous les épile
nciens. Beaucoup d’asthmatiques lui devront de longs relâches à leurs
maux
. Les personnes qui ont une grande tendance à l’ap
ent l’existence d’une force nouvelle ! Venez apprendre à soulager les
maux
en tirant de votre sein le feu que Dieu, dans sa
les-ci un ensemble de perfection. La nature n’est point marâtre. Le
mal
que nous signalons, s’il vient un peu de nos vice
rance des gens chargés de veiller sur la santé publique. Il vient, ce
mal
, de l’abus des remèdes empoisonnés, de ces prépar
éparations où les métaux les plus dangereux entrent en profusion ; le
mal
enfin vient de l’abus de la saignée. 11 faut donc
sujet, que tout cet échafaudage d’objections ne repose que sur un mot
mal
employé. En effet, si l’on substitue, pour peindr
sique, en chimie, en médecine, comme partout en un mot, le bien ou le
mal
moral dépend de l’usage que l’on fait de ces facu
quelques jours de là un de ses amis le rencontre et lui demande si le
mal
de dents n’est pas revenu. « Oh, bien sûr que n
confiance dont il tirerait ensuite parti pour séduire et entraîner au
mal
, etc. On voit que M. Almignana, raisonnant au p
servi d’instrument à la puissance d’en haut pour sauver M“' V.... du
mal
si dangereux qui avait ir.enacé ses jours. » J’
partie de votre corps malade ? « — Non !.... Mais je n’ai point de
mal
!... » Tout étonné moi-même d’un résultat aussi
ais non, à moins que ce ne soit de prétendre que vous n’avez point de
mal
. « — Mais effectivement, reprit-elle, je me sen
NIMAL, article de M. Am. Jacques, publié par la Revue nouvelle du l6r
mal
1847. Il y aurait un livie curieux à écrire : c
algré les moyens le plus judicieusement combinés, elle allait de plus
mal
en plus mal. Ce fut alors que les parents, désolé
yens le plus judicieusement combinés, elle allait de plus mal en plus
mal
. Ce fut alors que les parents, désolés de voir le
ions bizarres, etc. Que ce qu’on m’a rapporté soit exact 011 non , le
mal
empirait ; un œdème général s’était manifesté; la
e, le galvanisme et le massage ; et, bien que ces noms résonnent fort
mal
à ses oreilles, ils réussissent tous les jours au
érieuse, étant surtout forcé, par les progrès qu’avait déjà fait le
mal
, de la répéter. Mais cette circonstance, en augme
es polémiques inutiles, lesquelles ne reposent souvent que sur un mot
mal
défini el que chacun interprète à sa façon. Nou
du cuir chevelu et de la face, et se plaignit presque constamment de
maux
de tôte. En 1S/i7, étant en condition à Strasbo
econd accès combattu par le magnétisme. Le 31, la malade accuse des
maux
de dents violents qui s’irradient sur tout le côt
tisation ; après quoi, elle se lève et vaque à ses occupations. — Les
maux
de dents persistent toute la journée. Le 2 nove
re d’eau et quelques passes sur la tête, parce que l’insecte lui fait
mal
. M. Gros essaie de la démagnétiser; la malade par
ous point frappé la tète ? — Parce que l’insecte ne me fait plus de
mal
. — Pourquoi vous frappiez-vous la tête dan s vo
aussi sans accès. Quand il y avait eu un accès, la malade se sentait
mal
à son aise. Le 18. Depuis deux jours, je remarq
e menstruelle. — Votre santé se rétablira-t-elle ? — Non; cela va
mal
. Le 10 janvier, à trois heures et demie du soir,
huit il dix selles avec des coliques, et n’a pas rendu d’urines. Les
maux
de tète et le sommeil comateux persistent, le pou
selles, la malade a uriné. Elle accuse encore des coliques, un peu de
mal
de gorge, des points de côté voyageant de gauche
liers qui m’influence au plus haut degré. Erreur. Ou M. Ogier observe
mal
, ou il a peu de mémoire. 2° Que Javary se disai
té affirmé par quelqu’un qui n’est plus. M. Roustan trouve que j’ai
mal
observé. 11 ne peut en être juge, car il est trop
reux. Par elle la justice a été laissée dans l’ignorance; que tout le
mal
retombe donc sur ces esprits rebelles ; qu’ils po
d’ailleurs, doit avoir un terme, je m’arrête ; mais c’est (juand les
maux
sont arrivés au pis que l’on en trouve parfois le
! « Ne vous y trompez point, messieurs, c’était d’abord l’esprit du
mal
, l’athéisme, qui, troublé dans son repaire, jetai
a censure est d'une toléranceI... Tremblons! l’ordre odieux d'où le
mal
va sortir, Le voici tout entier : « Il faut ANÉ
n l'artifice infernal, Disciples de Mesmer ; car Mesmer... C’EST LE
MAL
! Oui, Mesmer c'est le mal ; car, ne vous en dépla
isciples de Mesmer ; car Mesmer... C’EST LE MAL! Oui, Mesmer c'est le
mal
; car, ne vous en déplaise, C’est lui qui prépara
de à sa fille majeure (2). 11 est bien démontré que Mesmer c'est le
mal
, Puisque mal sous-entend magnétisme animal :
ajeure (2). 11 est bien démontré que Mesmer c'est le mal, Puisque
mal
sous-entend magnétisme animal : Or le mal c'est
r c'est le mal, Puisque mal sous-entend magnétisme animal : Or le
mal
c'est Satan ; donc Mesmer c’est le diable. Qui
ce beau jour, nous vous ferons la guerre Kn vous attribuant tous les
maux
de la terre. Circonvenus partout, vilipendés to
Ce sera sur vos chefs que porteront nos coups; Ils ont soufflé le
mal
: qu’ils répondent pour vous. Autrefois, nous d
ndort dans sa vervo, Le roi dans le repos s'énerve, Le bœuf trace
mal
son sillon, S'ils no sentent pas l’aiguillon.
érissez avant qu’elle ne soit devenue inguérissable ; en attaquant le
mal
au moment opportun, vous en avez détruit le germe
temps de guérir ? Les adjuvants ne lui sont nécessaires que quand le
mal
, de fonctionnel, est devenu organique; appliqué à
en me disant : Voilà l’abcès interne qui était la cause de tout votre
mal
; le voilà maintenant attiré en dehors. Vous êtes
s eaux de Vichy, et les siennes surtout, ne pouvaient que me faire du
mal
. 11 n’avait malheureusement que trop raison cla
yai sur l’usage des deux cataplasmes. Un moment après Maria se trouva
mal
; nous la fîmes soigner par sa compagne, celle qu
. J’eus beau jeter le maudit cataplasme qui m’avait été défendu, le
mal
était fait, et il était réellement si affreux, qu
e part, nous avons à lutter contre la jalousie de certaines personnes
mal
intentionnées, et ce qui est plus affligeant pour
généralement que le sommeil est indispensable au soulagement de leurs
maux
. En second lieu, il est une autre crainte d’un ri
-ins ji.BJixo.i ouuop SV2J oq — •*in»uuof sop omou ■S313iyVA d’un
mal
de genou par des magnétisations d’un de nos confr
But auquel elle veut tendre savoir : le soulagement des peines et des
maux
de L’humanité, la Société du Magnétisme se mette
nstrues depuis dix-huit mois : 15 magnétisations et eau magnétisée.
Maux
de tète, depuis huit mois, deux et trois fois par
près > magnétisations : eau magnétisée comme boisson cl lotions.
Maux
d’estomac, palpitation de cœur, faiblesse général
le quatrième, elle aura vécu ; mais le médecin a reconnu la nature du
mal
qui la menace, il administre le quinquina... la s
produit par une imprudente révélation a-t-il suffi pour développer un
mal
qui, sans lui, ne serait pas né? L’imagination se
l’interprétation en est fausse, du moins le fait auquel on l'applique
mal
propos soit exact et réel. Or, c’est ce que n’a
ser un fait sous prétexte qu’il est embarrassant et qu’il s’accommode
mal
avec une doctrine préconçue. Les faits merveilleu
t .son bien sans que rien y fit, et qui, au contraire, s’en allait de
mal
en pis, 27. « Ayant entendu parler de Jésus, s’
de l’importance aux procédés n’objectent pas que l’action magnétique
mal
dirigée peut augmenter le mal. Sans vouloir entre
n’objectent pas que l’action magnétique mal dirigée peut augmenter le
mal
. Sans vouloir entrer dans la discussion (I) Bea
ossier bon sens pour comprendre que, si l’action excitante aggrave le
mal
, il faut employer l’action directement contraire.
ide, qui rend le langage plus clair : — si en chargeant on aggrave le
mal
. il est évident qu’il faut soutirer, et réciproqu
ique aussi bien à l'éducation morale et physique, qu’à la guérison du
mal
physique ou moral. VIII. — Exemples de magnétis
onvénient pour eux. — Jamais celui qui aura la migraine ne guérira un
mal
de tôle. — Ils doivent aussi s’assurer qu’ils son
elque famille en possession de secrets pour la guérison de tel ou tel
mal
, soit des hommes, soit du bétail.—Nous sommes con
ujours le bon saint un Ici qui est chargé plus spécialement, soit des
maux
d’yeux, soit des maux de jambes, etc., et aux cha
Ici qui est chargé plus spécialement, soit des maux d’yeux, soit des
maux
de jambes, etc., et aux chapelles de qui se donne
e.... Portez votre attention sur votre personnalité et surtout sur le
mal
dont vous êtes affectée!..... — Faites un acte d’
qui Clait avec les moissonneurs, ÿ la. « Il lui dit : La tèto me fait
mal
, la tète me fait mal. Son père dit à un de scs se
issonneurs, ÿ la. « Il lui dit : La tèto me fait mal, la tète me fait
mal
. Son père dit à un de scs serviteurs : Prenez cet
n dont j'ai parlé et qui avait fuit croire à uuc guérison absolue, le
mal
avait reparu. 11 m’a semblé qu’elle excluait le
secours de l’art. Depuis deux ans, il offrait à la fois les symptômes
mal
définis de la phthisie pulmonaire avancée, d’une
rte d’espoir, puis à la reprise prompte et fatale de la maladie. Le
mal
, au contraire, continua d’empirer lentement penda
t dans un état pitoyable. Pendant les neuf jours de la neuvaine, le
mal
diminua graduellement, et lorsque la neuvaine fut
rie absurde de ceux qui se compromettaient eux-mêmes en amplifiant le
mal
qu’ils avaient fait ou qu’ils avaient voulu faire
aboli les lois qui reconnaissaient à la volonté humaine le pouvoir de
mal
faire et en punissaient l’exercice, et, par une s
— bien que nous l’employions pour nous conformer à l’usage, — mot
mal
défini d’ailleurs par ceux qui s’occupent de la c
récision, dont le succès gisait presque toujours dans un mot vague et
mal
défini ou détourné de son sens naturel. La magie,
la discussion soit claire. Quels sont les faits que vous m’imputez à
mal
? « Est-ce d’avoir dirigé mes mains vers autrui
agnétisme animal, et le premier essai donnerait lieu de penser que le
mal
finirait par céder complètement sous l’influence
xpliquer, dans le passé, une foule de faits qui jusque-là avaient été
mal
appréciés ou étaient restés comme des énigmes ind
ambule lit votre pensée, voit l’intérieur du corps et le remède à vos
maux
, voit à travers les corps opaques et à des distan
it, au contraire, que tout être borné offre iun mélange de bien et de
mal
, où les dons peuvent varier d.ans des proportions
ais ne peut.jamais être ni le bien absolu qui n’est qu’en Dieu, ni le
mal
absolu qui n’est qu’une abstraction métaphysiqu
à l’institut magnétique qu’il conduit. Ferdinand SIt.AS. ARRÊT DU
MAL
DE MER. I.’Indépendance belge du 3 juillet rapp
eillé. Son bras, avec un« plus faible dose de fluide, ressentait le
mal
que l’on faisait à celui de M. Lecomte qui était
our qu’on puisse saisir plus facilement la nature et les symptômes du
mal
, qu’il appartient plutôt à la catalepsie qu’à tou
it à des conjectures, est obligé de s’incliner devant la puissance du
mal
auquel il ne peut opposer que des palliatifs inef
à exécuter des prescriptions insignifiantes, il peut arriver (pie le
mal
s’aggrave et devienne incurable, tandis qu’il aur
ibles ne lui faut-il pas pour arriver à préciser i'i demi la cause du
mal
, son véritable siège! Au bout d'un temps, toujour
humain ait jamais trop de sang, et ils disent que si le sang circule
mal
et détermine par lit des congestions variables de
.. ,. Je puis affirmer, dit Rust, qu’il a guéri des vertiges, des «
maux
d’yeux et des maux d’oreilles très-graves ; des é
irmer, dit Rust, qu’il a guéri des vertiges, des « maux d’yeux et des
maux
d’oreilles très-graves ; des épice lepsies, des u
tant de systèmes se sont établis, tantôt pour le bien, tantôt pour le
mal
des nations. La philosophie, la science, la méd
vous cartes sur table, et je vous préviens que je vous ferai tout le
mal
possible. Je vous tromperai, quoi que vous fassie
canif fut jeté à la tête d’une personne, sans toutefois lui faire de
mal
; les tapis furent dispersés, et les spectateurs
anormal, présentant une série de phénomènes physiologiques jusqu’ici
mal
appréciés; phénomènes ordinairement déterminés ch
re n’est pas petit, mais encore aux imprudents, aux gens sans aveu ou
mal
intentionnés, dans ce cas le danger est à redoute
sœur, la comtesse de Convvay, souffrait depuis plusieurs années, d’un
mal
de tête invétéré ; il la confia aux soins de Grea
ut des cures nombreuses. Il racontait que, tourmenté longtemps d’un
mal
de tête intolérable que les médecins d’Insprucket
es fois qu’on enterre ainsi le magnétisme qui ne s’en trouve pas plus
mal
. Que M. Peano se console, il ne tardera pas à pre
qui, en pareil cas, viennent demander au magnétisme de les guérir du
mal
attribué à cet agent. Dans l’intérêt de la scie
ux de sorciers. On les consulte, on recourt à eux, soit pour faire du
mal
à un ennemi, soit pour se délivrer du mal eausé p
t à eux, soit pour faire du mal à un ennemi, soit pour se délivrer du
mal
eausé par un autre sorcier. Ces malheureux exploi
à mort. Si l’on ne la trouve pas, 011 en est quitte pour dire qu’on a
mal
cherché, et eu attendant le pauvre diable est c
celui qui s’en servait, pouvait être employé à faire ou le bien ou le
mal
. De là la supposition d’un moyen de nuire qui ava
ns secours ces infortunés : bien que l’imagination soit cause de leur
mal
, leurs souffrances n’en sont pas moins réelles ;
ur fournir une preuve. Si même il croit de bonne foi avoir produit le
mal
qu’il désirait, il ne s’ensuivra pas encore qu’il
faible, à l’imagination impressionnable : il a pour ennemi un berger
mal
famé et très-redouté qui a lancé sur lui des rega
errible conjurateur ; il sera dès lors frappé précisément du genre de
mal
qu’il redoutait. Dans ce cas, où nous faisons une
pratiques. Le patient a tout fait et a été lui-même l’auteur de son
mal
, de même que, par la crainte du choléra, tel autr
t une haine féroce contre le propriétaire des bestiaux ; lui faire du
mal
était la pensée constante qui ne le quittait ni j
reproduiront avec la même force chaque fois qu’il s’agira de faire du
mal
, j’en conclus que ce pouvoir de maléficier, en su
e preuves. Et comme les faits par eux allégués sont ou cou-trouvés ou
mal
observés, et que ceux d’entre eux qui sont le mie
olonté est incertaine et chancelante, soit dans le bien, soit dans le
mal
; celui que la logique effraie, que la vérité nue
t le dogme, on ne conçoit pas que les anciens se soient donné tant de
mal
pour le voiler sous des formules compliquées, sou
hes hérissés de lettres hébraïques, etc.? Ces énigmes valent-elles le
mal
qu’on se donne à les déchiiTrer ? Dans plusieur
169. Ouverture d'un abcès au sein, 352. $ II. — Cas de mêdecine.
Maux
guéris ou soulagés. Affection dartreuse, 135. A
08, 565, 569. Eau magnétisée employée avec suc- cès contre divers
maux
, par M. Clapier, 156. Ecriture tracée par des e
al au coeur ni aux poumons. La température et le pouls étaient nor-
maux
. Le réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie d
réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie de la peau. Urine nor-
male
il tous les points de vue. « L'examen des yeux
ans la maison, un de ses enfants en mourut. La malade elle-même eut
mal
à la gorge et de l'oedème des pieds, mais pas d
qu'elle ne voyait presque .pas. 1 Il n'y a aucun commémoratif de
mal
de tête du côté droit. M. Nettleship fit l'exam
, mais semble d'ail- leurs, à part cela, présenter un aspect nor-
mal
, sauf que les plis de la peau et les bulbes pil
les parties périphériques. Les cuisses paraissent tout à fait nor-
males
; les jambes présentent une augmentation de volum
ter avec lui les malades qui venaient réclamer un soulagement à des
maux
souvent imaginaires. Ce fut la belle période, c
use de la nature appellera quelqu'un à son refus; et il ré- pond du
mal
qu'il n'aura pas commis mais qu'il aura fait comm
spasmodique et convulsive qui peut devenirla source des plus grands
maux
. » En même temps, on faisait venir de Vienne un
e complète et persistante; la sensibilité cutanée et muqueuse, nor-
male
au contactet au froid, semble diminuée à la doule
température n'a atteint que trois fois 37°. Son intestin fonctionne
mal
; on a dû faire une fois le curage du rec- z tum
archant lourdement, dont la tête était extraordinairement grande et
mal
conformée; son chapeau, qui semblait tout d'abo
De sorte que de vive et active qu'elle était autrefois, elle devint
mal
il l'aise et chagrine, et la déformation de son c
était devenu riche. Gilles de la TOURETTE, Chef de clinirluc (le
mal
.ultCs du sjstùinc ri,iveii\. Le gérant : ';\111
1" juillet 1887, à la suite d'un refroidissement, elle fut prise d'un
mal
de gorge et commença à ressentir de la raideur
alors à l'hôpital Beaujon. Au bout de huit jours, elle n'avait plus
mal
à-la gorge, mais l'aphonie persistait. Elle comme
ept à huit minutes, et le malade se relève ; il accuse un vio- lent
mal
de tête pendant toute la journée et ses idées res
. Dans le ventre rien à part l'hypertrophie du foie... Le crâne est
mal
con- formé, acuminé, mais de dimensions ordinai
vre; mais elle sou- rit, et si elle ne raille, la jolie malade, son
mal
ne doit pas être bien sérieux. Dans un autre
la main gauche placée sur sa poitrine, semble indiquer le siège du
mal
. Fic,. 52. - 1.\ fE\n1E 'IAI.\I1E, I\It 1\\ ste
naire encyclo- pédique, en rapprochent le pemphigus, le purpura, le
mal
perforant du pied observé pour la première fois
t parvenir à détacher, en partie, et qui présente les caractères du
mal
perforant plantaire au début (pl. XXVII). Rien
la même indifférence pour ses affaires qui allaient de plus en plus
mal
. C'est seulement au mois de juin 1886 que B...
es d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888 débute un état de
mal
hystérique pré- sentant ceci de particulier que
esthésie scnsitivo-sensorielle. Pendant toute la durée de l'état de
mal
, le côté droit n'avait pas semblé paralysé, les
e-t-il, je ne puis la mouvoir comme je veux, c'est cela qui me fait
mal
parler. » Pourtant la parole semble normale- me
ne violence excessive. Tout cela dura plus d'un an durant lequel le
mal
s'augmentait. Il tomba dans une telle extrémité
rop ardue. Mais on n'oubliera pas qu'il s'agit d'une maladie encore
mal
connue sous beaucoup de rapports, pour laquelle
aignée, l'émétique et deux autres médecines la soulagent un peu. Le
mal
ne dominoit pas encore; l'art et la nature trav
pied, et à plusieurs autres remèdes qui adoucissent la violence du
mal
sans le guérir. Tous ces secours ne peuvent empêc
uche de son corps : elle ne peut plus former que quelques demi-mois
mal
articulés qui, joints à ses gestes et au mouvemen
211 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et ce peu de syllabes
mal
prononcées lui coûte encore des efforts si extr
anter les louanges du saint qui l'a miraculeusement délivrée de ses
maux
. « Des accidents de plusieurs mois, d'une année
c'était une paralysie par compression... sur il ne m'a pas fait de
mal
, il ne m'a rien prescrit du tout. « Et le plus
/ CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTION ? \ dans l'état de
mal
de sommeil hystérique depuis le 31 mais'1883 ^S^
en tenant exclusivement à ce qui regarde l'attaque et les états de
mal
. Nos malades, hommes et femmes à l'encontre de
ents, présentent la série des accidents variés : attaques, états de
mal
, vomissements, etc., constituant la pathologie
elle qui crée la polyurie lorsqu'elle existe. L'étude des états de
mal
hystérique à forme épileptoïde, à forme d'épile
délirante, nous a démontré, qu'au point de vue chimique, l'état de
mal
hystérique n'était autre chose qu'une attaque d
de de la courbe des excréta urinaires pendant là durée de l'état de
mal
montre qu'au début il y a chute des éléments ur
plateau; et relèvement quelques jours avant la sortie de l'état de
mal
. Le relèvement des éléments constitutifs, lequel
mentation, celle-ci ayant été négative dans la plupart des états de
mal
que nous avons étudiés. Ce sont donc bien là de
. L'étude de la courbe permet donc de prévoir la durée de l'état de
mal
et de prédire le retour à l'état normal. Quel
et de prédire le retour à l'état normal. Quel que soit l'état de
mal
observé, le poids des sujets diminue journellem
ournellement d'une quantité variable, suivant la durée de l'état de
mal
. Le retour à l'embonpoint est très rapide après l
e après le réveil. Nous voulons démontrer aujourd'hui que l'état de
mal
léthargique ne diffère pas des autres états de
ui que l'état de mal léthargique ne diffère pas des autres états de
mal
hystérique et que la courbe des excréta nous pe
éta nous permettra encore une fois de prévoir la durée de l'état de
mal
et de prédire le retour à l'état normal; ce qui e
stance d'une importance qui n'échappera à personne. Dans l'état de
mal
à forme épileptoïde, par exemple, la fréquence de
ormal; de même a-t-on des indications assez précises dans l'état de
mal
délirant par l'état même du sujet. Dans l'état de
ans l'état de mal délirant par l'état même du sujet. Dans l'état de
mal
de sommeil au contraire, rien qui indique le ré
r. » (Empereur.) III Nos expériences, en ce qui regarde l'état de
mal
léthargique ou attaque de sommeil, ont porté su
de sommeil, ont porté sur G malades donnant un total de 11 états de
mal
pour lesquels il a été fait 91 analyses des 2-1.
eures de sommeil sans compter les périodes d'état normal. L'état de
mal
le plus court que nous ayons observé a été d'un
ne faut pas oublier en effet, comme nons l'avons dit, que l'état de
mal
de sommeil peut se prolonger pendant beaucoup plu
us a paru intéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un état de
mal
, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé l
ns le troisième cas (Mono. femme, 19 ans, 51 kilogrammes) l'état de
mal
dure 3 jours et se rapproche à un tel point du pr
nsi qu'il arrive quelquefois, il y a incontinence pendant l'état de
mal
. Nous ne voulons en retenir que ceci : c'est qu
ent rien, pesait 57 kilogrammes le 29 juin 1888, début de l'état de
mal
, et 52 kilogrammes le 3 juillet, jour du réveil
. On voit combien peut être grande la dénutrition pendant l'état de
mal
léthargique lorsque les malades n'absorbent rie
e 23 janvier 1889, ses vomissements sont entrecoupés par un état de
mal
de sommeil qui dure 3 jours, les 23, 24 et 25 d
ce taux inférieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son état de
mal
par une attaque convulsive, a maigri de 810 gra
e 36 kil. 950 au lieu des 37 kil. 760 du jour du début de l'état de
mal
léthargique, soit 270 grammes par jour. Pendant
ons urinaires. Le lendemain, il y a; comme pour les autres états de
mal
, oscillation autour de la normale. L'urée se re
le 7 et les jours suivants. TABLEAU C. MOYENNES DE CINQ ÉTATS DE
MAL
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Biz... 17 ans... Salle Du
partir de cette date, jusqu'en avril 1888, Biz... a eu cinq états de
mal
léthargique, pour lesquels M. Charcot l'a prése
ifi- cielle fut variable suivant les attaques; dans un même état de
mal
il existait des séries de deux ou trois jours p
rammes de lait avec 2 ou 3 oeufs battus. Pendant le dernier état de
mal
, du 23 mars au 1 ? avril 1888, l'alimentation fut
ent du volume de l'urine, du taux I.'IG. 79. - Biz. 17 ans. Etat de
mal
de sommeil hystérique (Les traits pointillés indi
s considérations qui se rapportent indifféremment aux cinq états de
mal
, l'étude des deux derniers états - pour ne prendr
e les figures 79 et 80, on note en effet, dès le début de l'état de
mal
, la chute du volume de l'urine et de l'urée (et a
ui n'y ont pas été marqués); puis · Flc. 80. - Biz. 17 ans. Etat de
mal
de sommeil hystérique (Les traits pointillés indi
ons que suivent d'ordinaire le réveil. On peut donc, dans l'état de
mal
léthargique, comme dans les autres états de mal
onc, dans l'état de mal léthargique, comme dans les autres états de
mal
, en se fondant sur le tracé fourni par le volume
rédire le retour à l'état normal. Plus que dans les autres états de
mal
hystérique cette action a une importance capita
tion a une importance capitale dans la circonstance. Dans l'état de
mal
épileptoïde, par exemple, on peut voir quelquefoi
est proche. Il n'en est pas de même, on le comprend, dans l'état de
mal
léthargique; le réveil est forcément brusque, le
éveillé. Cette courbe particulière des excrétions pendant l'état de
mal
léthar- gique et pendant tous les autres états,
ue nous observons et qui nous permet de prédire la fin de l'état de
mal
ne se montre pas dans l'espèce sous l'influence d
avons noté avec insistance que, pendant tout la durée de l'état de
mal
jusqu'au moment précis du réveil, l'alimentatio
bler ou d'en tripler, les deux ou trois derniers jours de l'état de
mal
, le volume et les matériaux solides, si ce n'es
e, par exemple. Résumant nos recherches sur les différents états de
mal
hystérique, nous pouvons donc conclure : L'ét
s états de mal hystérique, nous pouvons donc conclure : L'état de
mal
hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est
avec inversion de la formule de ces derniers ; Pendant l'état de
mal
, les excrétions suivent une marche dont la cour
dont la courbe permet à elle seule de prévoir la durée de l'état de
mal
et d'en prédire la terminaison; Pendant l'éta
e l'état de mal et d'en prédire la terminaison; Pendant l'état de
mal
, l'amaigrissement quotidien est constant. Il va
varie de 200 à 300 grammes par jour suivant la durée de l'état de
mal
et la quantité des aliments absorbés lorsque l'an
sur le pied deux anciens placards d'eczéma. Le borax est souvent
mal
toléré par l'estomac; et il est probable que le
oujours plusieurs parties... Un fait que nous nous expliquons assez
mal
et qui appelle évidemment d'autres recherches,
x. Pupilles rétrécies sous l'influence de la morphine et réagissant
mal
à la lumière. Pouls plein, tendu, régu- lier, 9
aque. - Toute la face interne et la fosse iliaque externe sont nor-
males
. Les parties spongieuses sont au contraire épaiss
plégies spasmodiques avec troubles sensitifs (myélite syphilique et
mal
de Pott) forment selon nous le groupe le plus i
uses, tout au moins dans la syphilis spinale compressive et dans le
mal
de Pott. D'autre part la myélite chronique (par
s- modique avec anesthésie des membres inférieurs, p. 305. Londe.
Mal
de Pott, paraplégie spasmodique avec anesthésie d
aire est excessivement fréquent. Il caractérise presque toujours le
mal
de Pott à son début. » Sur le fait que ce type
et avec tout le monde. Mais qu'il caractérise presque toujours le
mal
de Pott à son début, c'est une tout autre chose,
n début, c'est une tout autre chose, car il y a des paraplégies par
mal
de Pott qui sont spasmodiques du premier au der
éprouve pour marcher : douleurs et troubles moteurs sont liés à un
mal
de Pott. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 5 La gibbosi
sieurs victimes parmi les cachectiques de la salle. En résumé, un
mal
de Pott dorsal inférieur a donné lieu, chez le
naissabte ; on trouve cependant de rares cellules, mais atrophiées,
mal
colorées, avec un noyau effacé. Le canal centra
s paraplégies spasmodiques par compression. Dans une leçon sur un
mal
de Pott dorso-lombaire où la-paralysie vésico-rec
ymptôme qui ne fait presque jamais défaut dans les paraplégies du
mal
de Pott, au moins pendant les premiers temps : la
s mou, non scléreux. Beins petits, pâles, bigarrés; se décortiquant
mal
, surface chagrinée et irrégulière sans kyste. A l
de l'hémorrhagie extra-dure-mérienne, mais que l'alcoolisme et le
mal
de Bright ont certainement joué le rôle de causes
pedius et la corde du tympan et qu'elle était d'origine rhumatis-
male
. G. D. IX. Un cas de cécité verbale pure ; par
radictoires (réflexe' paradoxal). Quelquefois ils peuvent être nor-
maux
ou exagérés ; le cas le plus fréquent est la supp
monographies de Lieving etMobius : période prodro- mique; malaise,
mal
de tête unilatéral; hyperesthésie optique et ac
es change- ments de la parole et de l'écriture. Nous pensons que le
mal
va rapi- dement évoluer. Mais voilà au contrair
s, et le mot progressif, présumé caractéristique de la maladie, est
mal
placé. 11 note aussi l'apparition de la maladie
térieure chronique trauma- tique de Erb, car s'il--doit y avoir pas
mal
de territoires gris dépour- vus d'hémorrhagie,
pleine conscience, ne présente aucun signe extérieur, il éprouve un
mal
de tête occipital. Il perd alors le souvenir de
t chez une jeune fille de cinq ans à la suite d'une maladie fébrile
mal
définie et caractérisé par la difficulté de la dé
condamné sous prétexte qu'il avait conservé la notion du bien et du
mal
. Le juge s'est fondé sur la distinction d'une f
n de ses actes. L'auteur fait remarquer que la notion du bien et du
mal
ne dis- paraît qu'à un stade très avancée de la
n degré. Des juges ont dit : un homme qui a la notion du bien et du
mal
a aussi le pouvoir de choisir le bien plutôt qu
bien et du mal a aussi le pouvoir de choisir le bien plutôt que le
mal
; il est responsable. La même opinion a été affir-
cet acte. Quelque chose de plus que la con- naissance du bien et du
mal
est nécessaire à la responsabilité. Un jugement
'ordinaire pouvoir de volition qui fait choisir entre le bien et le
mal
. » L'opinion médicale est que la folie est touj
es désordres mentaux étaient de la notion de la perte du bien et du
mal
, comme cela arrive dans les cas extrêmes de manie
s de ces formes de folie ont parfaitement la notion du bien et du
mal
. Leurs motifs sont souvent ceux qui dirigent les
e de leurs personnes et de leurs biens... Ces motifs sont seulement
mal
fondés en réa- lité. Mais cela suffit pour que
-il un pouvoir de volition suffisant pour opter entre le bien et le
mal
; 2° s'il a perdu ce pou- voir, était-ce par une
pas ce qu'il fait, quand il n'a plus la connaissance du bien et du
mal
, quand, malgré cette 80 REVUE DE MÉDECINE LÉGAL
té pour le pronostic. Quinze nouveaux cas d'élongation trophique (
mal
perforant, ulcère variqueux). 1 ' M. CHIPAU
téressante. Sur ces quinzes observations, onze sont relatives à des
maux
perforants, deux à des ulcères variqueux, une à
pu, une icthyose SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 de la jambe, associée à un
mal
perforant, guérit ainsi que celui-ci, à la suit
me la plupart des gens de sa profession, il est obligé de boire pas
mal
d'alcool pour se soutenir, et très régulièremen
d'une épingle. L'excitabilité musculaire à la percussion est noi-
male
. La percussion des tendons palmaires et des bor
urant toute son existence, malgré un travail pénible, il a été fort
mal
nourri. Histoire de la maladie. Dans le courant
ynski. Amélioration du pied tabétique : Revillot. Amélioration du
mal
plantaire : Teissier. Amélioration des vertiges
thé- nique depuis huit ans et traitée pour les douleurs ihumatis-
males
par tous les moyens possibles. Nous lui avons fai
osse, et, à chaque grossesse, elle a été affectée de ptyalisme avec
maux
de coeur : lors de la dernière grossesse, le pt
1 FAITS DIVERS. ' 173 plaisantant comme s'il n'avait rien fait de
mal
. La foule a failli l'écharper, lorsque les gend
omoteur de la société, M. Stubbings, qui est affligé lui-même de ce
mal
, auquel les milliers de dollars qu'il a dépensés
. Darwin. L'expression des émotions chez l'homme et chez les ani-
maux
. (Trad. l'ozzi et Benoit, 1877.) , ° l3urâess.
un convalescent qui subit des rechutes, mais Unit par triompher du
mal
et poursuit sa marche progressive vers la bonne
Réalité, c'est le l'obsession DE la ROUGEUR OU EREUTHOPHOBIE. z1
mal
, c'est la souffrance. Je m'enferme dans ma chambr
se tous les sujets, le simple affaiblissement de la réaction nor-
male
, néanmoins elle est inférieure à la dermographie
de la réaction de la peau croissent parallèlement à l'évolution du
mal
. 200 CLINIQUE MENTALE. par rapport à l'interm
z l'os de la cuisse : il est collé, dans l'articulation. Il me fait
mal
. Il est libre. Sentez les membres inférieurs :
elques secondes + Mon estomac est plein -E- C'est là qu'est tout le
mal
+ Louis lait des mouvements de projection en ha
e déblo- quer -Où êtes-vous ? Je ne sais pas + La tête me fait bien
mal
- Crise de contracture et soubresaut : je suis
ais plus la terre ? Huit jours .après, au jour de l'an, il m'a pris
mal
- Je ne sais pas ce dne j'ai eu - Où êtes-vous
isait faire l'exercice des jambes et des bras et le côté me faisait
mal
z- On me crie de loin -E- Il y a encore quelque c
le flanc gauche et gestes pour éloigner le chien z La tête me fait
mal
Je percute la zone hyperesthésiée (bord postéri
! adieu, nous allons en France Le bateau balance + Tout le monde a
mal
au coeur et moi non - (-Grand soubresaut + Ça a
à-bas + Soubresaut -j- Le chien est parti z Le côté ne me fait plus
mal
+ Maintenant que je suis guéri, je vais rester à
e maison-)- Crise, sou- bresaut-Je demande à Louis ce qu'il a. J'ai
mal
à la tête + Vous êtes M. l'instituteur. Je réve
n, vous demanderez à mon père, en ce moment à la maison. J'ai eu le
mal
de mer. Je ne connais pas celle'demoiselle, (sa
0 RECUEIL DE FAITS. gression jusqu'à aujourd'hui + + Le cou me fait
mal
. -Eh ! bien, ne le remuez pas. - Mais il bouge
ubresauts.- Il est mort ! -Crise. - Soubresaut. Tu ne t'es pas fait
mal
? Non. -Louis se met à bégayer. J'ai frappé for
-Louis se met à bégayer. J'ai frappé fort de l'échine, elle me fait
mal
. - Mouvements de réveil, d'étirement, en arc de
s des articulations du membre inférieur - -f- Toute la tête me fait
mal
-j- Si vous saviezlestortures qu'il y a là-dedans
à-dedans ! -(-Crise + J'ai vingt-sept ans et demi + La tête me fait
mal
toute+ Grands soubresauts ? Vous n'avez pas ent
p de fusil, il m'a partagé la tête qui, maintenant, ne me fait plus
mal
+En dedans, il y a quelque chose qui me pique l
e chose qui s'est cassé là-dedans (nuque), les yeux ne me font plus
mal
+ Crise z Louis ne m'entend plus, parle des mou
fait chaud, vous savez; il me semble que je viens de rêver; j'étais
mal
. Il' Unit enfin par se réveiller spontanément..
, quand le temps changeait, qu'il faisait froid, ce coup me faisait
mal
. Je marchais courbé à cause de la douleur ; mai
sous mes yeux. Vers le 20 janvier, Louis s'est plaint de violents
maux
de dents. Lorsque je suis arrivé à la resensibili
nt de départ du réflexe, qui détermine plutôt des attaques de petit
mal
que de grandes crises et comme phénomènes psychiq
ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du
mal
, de la maladie et de la mort.» Il y a de même d
a semble normal; quant au péroné il semble très impar- fait et très
mal
developpé. Les auteurs joignent à l'observation,
peut fort bien ne déterminer qu'une anxiété légère. Cela s'accorde
mal
avec l'hypothèse' qui attribue à l'idée le rôle
banales de troubles mentaux, de découvrir l'origine, le principe du
mal
dans l'entourage des malades, il est infiniment
tira de sa poche un cahier manuscrit qu'il me remit, disant que son
mal
étant beaucoup trop étendu pour me le faire con
tre avait encore sur moi une telle action que j'y abandonnais mon
mal
. Après la mort de mes parents (1829), je revins
solant pour moi, cependant parfois elles exaltaient encore plus mon
mal
du pays et l'heure la meilleure et la plus dési
u chemin de la morale, à cette époque je n'avais même pas l'idée du
mal
. Dans le premier semestre, je fus extraordinair
idée était absurde et de me sermonner. Cela m'aida à supporter mon
mal
pour quelque temps, mais pas pour longtemps. Je
e l'âme peut éprouver de pire et je ne voyais qn'une solution à mon
mal
, que Dieu me prit la vie. En même temps que je
ment à en perdre haleine. Je luttais de toutes mes forces contre ce
mal
nouveau, mais il était trop obstiné. Je m'irrit
ou de picotement sur tout le visage. J'avais toujours considéré mon
mal
comme physique et guérissable, et s'il m'arriva
se, coupe-le, et si ton oeil te scandalise, arrache-le » et pour un
mal
si profon- dément enraciné, je ne vois pas d'au
sse attendre du mieux, je considère comme un devoir, pour éviter le
mal
, de recourir ce singulier moyen. Ma situation
onservation est plutôt exagéré chez lui. A... a peur de se faire du
mal
, au moindre malaise il se croit perdu. Il aime
is le bégaiement ne se manifeste plus. Il a la notion du bien et du
mal
, en ce sens qu'il cherche il simuler le bien po
he il simuler le bien pour s'attirer les bonnes grâces, et cache le
mal
sachant qu'il perdra la confiance de ceux qui v
ontre l'épilepsie noc- turne, bromure et chloral ; contre l'état de
mal
, chloroforme, injections hypodermiques de morph
vulsives, essaya les injections de toxines micro- biennes contre le
mal
comitial. Il a laissé volontairement de côté le
description appuyée de figures donne l'image de ces oreilles anor-
males
, adhérentes par en haut, libres par en bas. 'P. I
oeil qui est d'ordinaire annulée par le jeu de l'accommodation nor-
male
. L'excitation du sympathique est prouvée par la s
valeur qu'on lui a attribuée. On la rencontre chez des sujets nor-
maux
, sans raison appréciable, dans des névroses fonct
dû à la peti- - tesse de la phalange et de la phalangette de doigts
mal
formés. Dans les trois cas il a été impossible
l n'a pas non plus recherché le dermographisme eliezles gens nor-
maux
. M. TOULOUSE a constaté que dans l'agonie, le d
ntile avec maximum à gauche, idiotie et épilepsie, morte en état de
mal
. Il y a agénésie complète de l'hé- misphère dro
ment le réflexe patellaire faible; le quatrième, enfin, présente un
mal
perforant plantaire bilatéial, des troubles troph
peut permettre dans les cas d'inégalité pupillaire à réflexes nor-
maux
de discerner quelle est, des deux pupilles inégal
ont normaux. Quan- tité de cicatrices. Traces d'anciennes brûlures.
Mal
perforant du z pied. La maladie date de deux an
s plus avancé, à propos de l'arthrite déformante muscu- laire ou du
mal
sénile. Au cours de la discussion des remarques
lle tenait à la main. Aujourd'hui (11 janvier), la malade se sent
mal
à son aise; elle se plaint de vertiges et d'une
. Petite ecchymose à la jambe droite. - - 30. La malade, se sentant
mal
à son aise, ce soir, s'est cou- chée ; elle se
ne révèle rien d'anormal. Peu après cet examen, la malade se sent
mal
à son aise; elle se couche et, à peine au lit, el
se classique : en un mot, il n'y a là rien de ce qui caractérise le
mal
comitial. Le 5 janvier, nous avons, il est vrai
vec d'autant plus de facilité sur le terrain déjà affaibli par le
mal
comitial. C'est sans doute ce qui aura eu lieu au
quentes ; elles s'observent régulièrement aussi bien dans l'état de
mal
que, à un moindre degré, dans les attaques isol
me d'habitude, et lui raconte son accident : le dos lui fait un peu
mal
, elle éprouve quelque céphalalgie, pas davantag
s c'est tout : depuis sa chute, elle ne se souvient de rien. Elle a
mal
à la tête, par tout le crâne, et une légère env
ne se produit presque jamais au cours d'un seul et même morceau. Le
mal
est aggravé par les émotions, la présence d'audit
cobaye, la même, est constante; du moins elle l'a été chez 40 ani-
maux
. Conclusion. - Dans des conditions convenables,
tudes, de palpitations cardiaques chez des sujets nerveux ou nor-
maux
, palpitations qui sont évidemment dues à la dimin
ystériques, pour des raisons similaires se trouvent ordi- nairement
mal
des grandes altitudes, qui augmentent communé-
peut devenir nuisible, par son excès même, chez un neurasthénique
mal
préparé à l'intensité d'un pareil effort. , Il.
tion les centres nerveux de nombreux épileptiques dans des cas de
mal
comkial essentiel aussi bien que dans des états l
cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts en état de
mal
. La névroglie au contraire n'est jamais normale
G BIBLIOGRAPHIE. « l'auteur a cherché à éclaircir certains points
mal
connus des frac- tures de la base du crâne, en
à gauche, dans la moitié nasale; Des attaques de grand et de petit
mal
; De l'affaiblissement intellectuel. C'est une
mercuriel inten- sif n'empêcha pas le retour des attaques du grand
mal
, au nombre de trois, en l'espace d'une l'année.
jour. Apparemment l'hémianopsie temporale et les attaques de petit
mal
datent de la même époque, car, Charcot, que la
alles de plusieurs mois. Plus fréquentes sont les attaques de petit
mal
; au cours d'une conversa- tion, la malade se t
estations de la syphilis des centres nerveux, des attaques de grand
mal
, caractérisées par des convulsions généralisées
reconnu aussi qu'en pareilles circonstances , des attaques de petit
mal
alternent volontiers avec les grandes attaques
pathologiques présentées par d'A... - attaques de grand et de petit
mal
, diminution de l'intel- ligence et de la mémoir
ques de rhu- matisme articulaire aigu, de véritables accès de petit
mal
ont fait leur apparition, il y a environ six mo
m- prend bien certains mots considérés isolément ; mais il saisit
mal
la plupart des phrases qu'on prononce devant lui.
re beaucoup moins des phrases. Il copie l'écriture, mais d'une main
mal
assurée. Il copie l'im- primé comme un dessin,
son caractère. Actuel- lement L... est tourmentée par la pensée de
mal
agir depuis long- temps. La plupart des actes o
elle. Elle s'ima- ginait que toutes les personnes dont elle pensait
mal
, connais- saient toutes ses pensées, que tout l
Elle dit qu'elle entend « en elle » les personnes, dont elle pense
mal
, qui lui disent des sottises, elle fait la dema
elle le devait en ces diverses circons- tances. Le soupçon d'avoir
mal
agi ou mal pensé, cette condition primordiale d
vait en ces diverses circons- tances. Le soupçon d'avoir mal agi ou
mal
pensé, cette condition primordiale d'une condui
LLUCINATIONS. 49 9 Elle veut faire des excuses à ceux de qui elle a
mal
pensé. Ces pensées qui lui viennent à l'esprit
, d'une analyse mentale qui échappe souvent au sujet qui interprète
mal
et trouve en lui-même quelques fan- tômes, pour
ut de quelque temps à provoquer par cette analyse minutieuse mais
mal
dirigée, la conviction de plus en plus inébranlab
te avec peine sa faiblesse musculaire, il se lève et se trouve plus
mal
. Ce n'est en réalité que lorsqu'il regagne la sal
s, la bonne rentre, il se lève, mais doit s'asseoir terrassé par un
mal
de tête violent, de la somno- lence, des nausée
fin on y note bien souvent les caractères de la démence sénile. Pas
mal
d'auteurs la considèrent comme une sénescence p
observations du présent mémoire. Le malade décrit en personne ' son
mal
. « Devant le monde, la rougeur me monte à la fa
r en France, il fait de ce syndrôme une névrose spéciale qui semble
mal
individualisée. Freud et Fournier lui attribuen
mentales de l'alcoolisme, qui permettent de comprendre pourquoi ce
mal
existe et pourquoi il a existé, mais d'une faço
immeuble, \lme Dulac, accourut et voulut parlementer avec la folle.
Mal
lui en prit. Celle-ci abandonna son rôle de vierg
on diagnostiqua une mé-ningo-myélite par tuberculose miliaire. Or, le
mal
n'était point là, mais dans l'encéphale, sur la r
égion paracentrale, et se rapprochant de façon à déterminer l'état de
mal
. Par ce fait, le malade est en danger de mort et
d'une humeur telle qu'une hydatide ou un psammome. Rassurez-vous, le
mal
ne sera peut-être pas grand et nous avons quelque
taté chez elle en diverses circonstances. Revenue à elle, elle répond
mal
aux questions que nous lui adressons, paraissant
gère grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait
mal
h la tête. Alors prenant le devant de sa robe ent
e pour ce qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le
mal
de tête, puis ainsi de suite. Le sulfure de car
e dans l'aisselle. Elle porte sa main à son front comme si elle avait
mal
à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter ses
e sens tout de même. Où sommes-nous donc? (Nausées.) Ah ! j'ai un peu
mal
au cœur. C'est mon déjeuner qui ne digère pas. »
formes simples, les moins rares, sont celles qui ressortent du petit
mal
; c'est le petit automatisme de M. Charcot. Tantô
r, si les attaques deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de
mal
épileptique (état de mal hystérique épileptiforme
nent subintrantes, jusqu'à simuler l'état de mal épileptique (état de
mal
hystérique épileptiforme de Charcot) (3). On peut
lli par un gros chien de Terre-Neuve, qui ne lui fit d'ailleurs aucun
mal
, mais lui arracha l'écharpe blanche qu'il porta
emblait avoir pris en aversion ce Guiard, dont il ne disait jamais de
mal
quand il était lucide. Mais, à (1) Ces faits m'
u au hasard de ses conceptions délirantes, se vérifie tant bien que
mal
. C'est tantôt un peu plus, tantôt un peu moins. C
au. Je neveux pas que tu montes comme cela sur mon épaule. Tu me fais
mal
avec ton gros bec. Tu me piques les yeux. Oh ! là
tête, il me ronge le cerveau, il mange mon cerveau. Ah! qu'il me fait
mal
, mon Dieu! mon Dieu ! (elle secoue la tête et se
coule. Dépêche-toi. Cours. Tout mon sang s'en va. Je vais me trouver
mal
! Ah! je suis épuisée (elle reste pendant un momen
hein! Et c'est un diamant. Voyez donc comme il brille. Oh! il me fait
mal
aux yeux ; je vais le cacher, car les hommes roug
me noyer. J'ai de l'eau jusqu'à la taille....., je vais attraper du
mal
. Au secours! au secours! Tiens, les hommes roug
ue je vous dise, mon amour? Eh!, mon vieux, relève-toi donc, où as-tu
mal
? Tu souffres, dis, mon cher Paul. Mais ce n'est
me font peur ; mais pas du tout ; je ne veux pas que vous me fassiez
mal
. Sont-ils drôles? tous ces hommes-là. Oh ! que je
l. Sont-ils drôles? tous ces hommes-là. Oh ! que je suis malade, j'ai
mal
à la tête..... » Le jeudi 21 juin, dans l'après
... Où sommes-nous donc ? » Elle est prise de nausées : « J'ai un peu
mal
au cœur... C'est mon déjeuner qui ne digère pas.
de sang, il n'avait plus de point de côté, mais il respirait toujours
mal
. Il resta encore cinq jours à Lariboisière. Penda
avec une patte cassée, t'en aurais pitié. Vlà une femme qui se trouve
mal
, t'es là à l'embêter!... Eh bien! madame, ça va m
la reprend!... Mettez-y un matelas sous la tête, elle va se faire du
mal
... Va en acheter (en même temps il fait le geste
e épileptoïde, on peut voir celle-ci, dans ce qu'on appelle l'état de
mal
hystérique épileptiforme, s'individualiser et s'a
rise complète, pas plus que des anomalies rares, telles que l'état de
mal
hystérique épileptiforme ou les attaques de somna
journaliste, un « gendelettres », sans fortune, vivant tant bien que
mal
de sa plume. Il ne parle que de reportage, de thé
tomba dans un état très particulier, qu'à cette époque j'avais, sinon
mal
observé, du moins mal i nterprété. Voici, en effe
s particulier, qu'à cette époque j'avais, sinon mal observé, du moins
mal
i nterprété. Voici, en effet, dans quels termes j
ù elle est restée depuis. En 1884, après une longue période d'état de
mal
hystérique, — cet état de mal, que vous connaisse
884, après une longue période d'état de mal hystérique, — cet état de
mal
, que vous connaissez, est comparable à l'état de
e, — cet état de mal, que vous connaissez, est comparable à l'état de
mal
épileptique, avec cette différence qu'il ne s'acc
effet, entrée dans le service une quinzaine de jours avant l'état de
mal
qui a changé la personnalité d'Hab... : « C'est u
ement prépondérant, ainsi que cela se voit par exemple dans l'état de
mal
hystérique épileptiforme, où la phase épileptoïde
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de
maux
d'estomac. Elle chante, elle joue du piano, elle
à dire. Il y a là une sorte de zone de transition occupée par des cas
mal
délimités. En tous cas, ce ne sont pas ceux-là qu
oire du passé. Il ne sait plus lire, ni écrire, ni compter ; il cause
mal
et a totalement oublié tout ce qu'on lui a enseig
donnerait en échange des robes, des bijoux à foison. On les soignait
mal
à la Salpêtrière, on les plongeait de plus en plu
pileptiforme qui se reproduisent plusieurs fois sous forme d'états de
mal
pendant cette période. (1) Voir plus haut, n° X
Du vigilam-bulisme hystérique. Je passe rapidement sur ces états de
mal
successifs dont a souffert Marie H... à cette épo
ment hystérique. De plus, à l'inverse de ce qui arrive dans l'état de
mal
comitial vrai, il n'y a point d'élévation de la t
à-dire sans retour à la connaissance. Guérie de ces grands états de
mal
, Marie H... reste dans le service. A cette époque
ète, permanente, et, chez elle, les attaques (1) Charcot. — Etat de
mal
hystérique épileptiforme. Leçon recueillie par B
culier au milieu de 1890, atteinte d'une nou» velle période d'état de
mal
hystérique épileptiforme, identique aux périodes
ouvenir de tout ce qui s'est passé antérieurement à une période assez
mal
délimitée qui paraît comprendre la seconde moitié
illations entre les deux états qui ont probablement rempli la période
mal
délimitée de 1884 à 1885. Elle ne sait point où
ravail déjà cité de MM. Marie et Souza-Leite, à propos de son état de
mal
hystéro-épileptique de 1884. Elle est née en 18
l'établissement de l'état second s'est fait à l'occasion des états de
mal
successifs auxquels la malade a été en proie pend
el depuis 1885. X. Phase de transition, période des grands états de
mal
hystériques de 1884-85. Quant au passage de l'é
En 1884-85 se place une phase de transition, marquée par les états de
mal
hystériques épileptiformes, à la faveur desquels
gente dans la condition seconde; celle de Ladame, au contraire, était
mal
élevée et donnait, en état second, des gifles à s
te attaque de nerfs qu'il compare, dans une certaine mesure, au petit
mal
comitial. L'attaque marque également le début des
'est la nuit profonde. Elle ignore aussi l'événement cause de tout le
mal
, je veux dire la nouvelle de la mort de son mari
ion que je chercherai à faire prévaloir— la crise, origine de tout le
mal
, a été une attaque de grande hystérie. Nous avo
te-aiguille de la machine et je me fis là une petite plaie qui me fit
mal
pendant (1) La malade, qui avait été prise à l'
est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques :
maux
perforants (Kir-misson), chute des dents et des o
qu'il sait que son côté gauche est plus faible et qu'il craint d'être
mal
soutenu de ce côté. Hémiplégie gauche sans part
o-hypertrophique : à savoir des muscles gros et durs qui fonctionnent
mal
ou même point du tout. Mais il y a plus, et ce
st couché sur le dos. En ce qui concerne les membres inférieurs, le
mal
a fait d'assez grands progrès, car, tandis qu'en
et, au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le
mal
était, depuis 1889, en pleine évolution, il s'e
volume du muscle n'est rien, son impotence fonctionnelle est tout. Le
mal
évolue soit du côté de l'hypertrophie, soit du cô
le diagnostic devient beaucoup plus difficile entre l'hystérie et le
mal
comitial. Mais chez tous les malades de cette cat
nt l'accès. Délire post-épileptique à chaque accès. Récemment état de
mal
d'une nuit et un jour; 73 accès pendant la journé
icile et violent. Début, à l'âge de 11 ans, par une sorte d'état de
mal
vertigineux qui dura près d'un an et la maintint
ou à la tête et fait place à une sensation de froid. Observation XL
Mal
... Caroline, 25 ans. Début dans la première enf
intervalle d'un an ; surtout aux périodes menstruelles. Pas de petit
mal
. Accès typiques, caractérisés, outre les phénom
. Père alcoolique, mort de delirium tremens. Sœur atteinte de petit
mal
comitial. Début, à l'âge de 5 ans, par des accè
petit mal comitial. Début, à l'âge de 5 ans, par des accès de petit
mal
, mensuels ou bimensuels, qui ont persisté seuls j
migraine ophthalmique très violente et très intense. Elle souffre du
mal
de tête, souvent localisé au-dessus du sourcil ga
blable d'admettre qu'il s'agissait là de deux affections séparées :
mal
comitial et migraine ophthalmique, à moins de sup
t pas inutile de faire remarquer qu'il a disparu avec tout le reste :
mal
comitial et migraine. Quant à la durée et au ca
r n» XXVIII, p. 117 et suivantes. souvent nocturnes. Accès de petit
mal
de fréquence irrégulière, mais assez considérable
caractère particulier des actes accomplis pendant les accès de petit
mal
. Quelquefois, mais rarement en proportion, la mal
e ou une ou deux fois par mois), diurnes et nocturnes. Accès de petit
mal
très fréquents. Aura : Sentiment subit et irrai
ccès très fréquents, de un à dix par semaine. Quelques accès de petit
mal
. Aura précédant régulièrement tous les accès di
ons le nom à'hystéroïde, n'a pas été signalée comme fréquente dans le
mal
comitial. On la trouve cependant citée par quelqu
n lui, au degré le plus simple, le malade se plaint seulement d'avoir
mal
à l'estomac d'une façon soit intermittente, soit
térogènes, que se basera le diagnostic positif entre l'hystérie et le
mal
comitial, diagnostic quelquefois difficile néanmo
it mois, par séries donnant lieu à de véritables périodes d'état de
mal
d'une durée de douze à quinze heures. La malade
uivis de délire. L'aura précède particulièrement les accès de petit
mal
, mais non d'une façon constante. C'est une sensat
ions dans l'enfance. Début à l'âge de 7 ans, par des accès de petit
mal
, précédés de l'aura hystéroïde. Les grands accès
ertir à temps et lui permettre d'éviter la chute. Observation XXIX.
Mal
... Maria, 45 ans, chapelière. Début à l'âge de
n'a jamais été réduite depuis. Puis, pendant dix ans, accès de petit
mal
seulement. A 14 ans, avec les premières règles, r
par l'incendie d'une maison voisine de la sienne. Tout d'abord petit
mal
, puis, au bout d'un an, grands accès, au début tr
. Convulsions dans l'enfance. Début à 11 ans par des accès de petit
mal
accompagnés de quelques mouvements convulsifs et
Aura très manifeste, précédant régulièrement chaque accès de petit
mal
. Sensation de boule qui remonte de l'estomac à la
l'enfance. Accès très fréquents (plusieurs fois par semaine) de grand
mal
et de petit mal. Aura très courte, ne prévenant
très fréquents (plusieurs fois par semaine) de grand mal et de petit
mal
. Aura très courte, ne prévenant pas la malade a
t sur elle); enfin cris et convulsions des bras. Le3 accès de petit
mal
sont précédés seulement d'une aura auditive : bou
nds accès diurnes, différente de celle qui précède les accès de petit
mal
. Dans le cas suivant, nous constaterons l'associa
n'étaient précédés d'aucune aura. Il existe aussi des crises de petit
mal
et des accès avortés où la perte de conscience n'
ter encore de petits accès de délire et de nombreuses crises de petit
mal
, revêtant quelquefois l'aspect de l'automatisme a
., Gabrielle. . 34. Lir,, Léonie.. . . 43. Lois., Céline. . . 11.
Mal
., Caroline . . 29. Malz., Maria . . . 64. Mas
causes non déterminées. 5 Maladies des méninges spinales..... 13
Mal
de Pott............... 12 Pachyméningite cervic
érapique de l'hospice, où ils trouvent un certain soulagement à leurs
maux
. Le chiffre très élevé des névroses (806) est d
e parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du
mal
. Je dois dire cependant que, d'après mon expérien
mois, elle eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins
mal
élevés, mal embouchés, des désagréments qui se re
eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés,
mal
embouchés, des désagréments qui se reproduisirent
2e Cas. — Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, joufflu et pas
mal
empâté pour le moment. On ne relève chez lui ni a
s sûr moyen qui, en pareil cas, devra être opposé à la propagation du
mal
; c'est d'ailleurs là un point sur lequel tous le
adie par des purgatifs qu'il s'administrait de son chef. Cependant le
mal
ne fit qu'empirer, et il lui fallut se rendre à l
'—, 76, 77. Epilepsie : accès d'automatisme ambulatoire, 61 ; Petit
mal
, petit automatisme, 61 ; Grand automatisme, 62; A
s que lui fait mademoiselle B..., elle répond : « Je n'ai pas fait de
mal
, pourquoi m'avez-vous envoyée? » On veut lui me
elle-même la camisole, qu'elle conserve parfaitement tant que dure le
mal
. lançant les chaises par les fenêtres, bouscula
e par des voix qui lui commandent « toutes sortes de choses ». Elle a
mal
à la tête et se sent horriblement fatiguée. Ver
d'une voix forte : « Oh! terreur! terreur!! il vient pour me faire du
mal
, celui-là! » Puis la respiration pressée s'arrête
c la main gauche elle atteint jusqu'à vingt et une. La démarche est
mal
assurée, les malades ne sont pas « solides sur le
rd par une irritabilité extrême, des besoins de remuer, des envies de
mal
faire, des idées de suicide, et par des hallucina
dispa-raître, momentanément toutefois, dans des circonstances encore
mal
définies — une émotion vive par exemple, — et don
es moyennes prises sur diverses malades et pendant plusieurs états de
mal
, alors que les attaques se répètent un grand nomb
des coups... pardon, laissez-moi! De grâce, mon-sieur. Vous me faites
mal
... Oh! maman!... sale c... tu m'atta-cheras les b
pas venir me dire la moindre des choses... Ernest! tu fais donc du
mal
comme les autres. » Il lui arrive quelquefois d
ne donc un coup de poing..... Oh! qu'ils sont mauvais! ils lui font
mal
! » Elle pleure en se cachant le visage de ses m
» Elle revient un peu à elle : « Ah ! mon Dieu, mon Dieu, que j'ai
mal
à la tête, j'ai mal au cœur. Otez-moi donc cela q
peu à elle : « Ah ! mon Dieu, mon Dieu, que j'ai mal à la tête, j'ai
mal
au cœur. Otez-moi donc cela qui me gêne... Ah! ce
,ça remue!... regarde plutôt... Ah! j'étais enfant! je riais; c'était
mal
vraiment. Éclat de rire.)... Ah! maman, maman, j'
e dans les accès d'épilepsie vraie, à la suite des" vertiges du petit
mal
. §2. — HALLUCINATIONS, ZOO.PSIE. Le délire es
y lâche (10 h. 13)! On m'a rentrée dans l'auberge, je me suis trouvée
mal
...Es-tu là, ma fille? (Elle s'adresse à la survei
ppelle..., je veux f. mon camp... Entends-tu les bourdons... J'ai t'y
mal
à la tête... Ça m'étonne que je ne voie pas le di
cherche à se déchirer la figure. « Arrête-moi donc ces bêtes-là. J'ai
mal
au dos et dans le cou. » Les plaintes se prolonge
, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES ATTAQUES. — ÉTAT DE
MAL
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaques. Dur
tes seule-ment, ou se prolonger beaucoup plus longtemps. B. Etat de
mal
hystéro-épileptique. — L'attaque d'hystéro-épilep
appelle des séries d'attaques, parfois fort longues. C'est l'état de
mal
hystéro-épileptique. Dans les séries, les attaq
dans ses Leçons sur les maladies du système nerveux, sé-pare Vétat de
mal
hystéro-épileptique de l'état de mal épilep-tique
ystème nerveux, sé-pare Vétat de mal hystéro-épileptique de l'état de
mal
épilep-tique : « Si, dans l'état de mal épileptiq
téro-épileptique de l'état de mal épilep-tique : « Si, dans l'état de
mal
épileptique à grandes séries, la tem-pérature s'é
ue la situation devient des plus graves, au contraire, dans l'état de
mal
hystéro-épileptique à longue série, la températur
se succèdent sans interruption pour constituer une série, ou état de
mal
hystéro-épileptique. Jusqu'à 10 heures 20, moment
les déranger. » Elle rit. « Tiens! du brouillard! ça cache tout! J'ai
mal
à la gorge... je n'aime pas les temps de brouilla
val, il faut le retirer... Ces bonnes sœurs qui les ramassent... Il a
mal
à son bras, celui-là. Il faut lui bander le bras.
de la tête et des mains. « Y en a-t-il, des paillettes d'or! Ça fait
mal
à la tête... Comme elles dansent bien!... Oh! ce
fière de toi, quand tu seras officier... Après tout je m'en moque pas
mal
, va. (Elle paraît redoubler d'attention.) Les che
: « Va-t'en... ne reste pas devant mes yeux!... Ah!... ça se passera
mal
... » — Attitude extatique, l'œil fixe en haut, le
région précordiale et dans la tête. La malade, sentant l'invasion du
mal
, essaye de lutter, disant : « Non, je ne veux pas
— La voix est entrecoupée de sanglots. « Aie! — vous me fai...tes du
mal
. — Laissez-moi... m'en aller... je veux mourir, e
ntions : « Je ne suis pas mé...chante... je ne veux pas vous faire du
mal
... Vous êtes des bourreaux... ; Tout à coup survi
se succèdent et se renouvellent parfois de façon à amener un état de
mal
hys-térique. Dans ce cas, elles laissent après el
la première et bientôt suivie d'une autre. Elle est alors en état de
mal
hystéro-épileptique. VINGTIÈME OBSERVATION. H
ales de leur propre pays, viennent à Paris chercher un remède à leurs
maux
. Les uns arrivent de la province : de Bretagne (o
L'écoulement mentruel parut à cette époque, accompagné de beaucoup de
maux
d'estOxnac; il fut régulier pendant quinze mois,
iration haute et labo-rieuse, avec beaucoup d'écume à la bouche. Le
mal
de tête, des étourdissements, une lassitude succè
e avec ceux de cette jeune demoiselle; sa sœur a été atteinte du même
mal
pendant deux ans; elle a une cousine qui offre de
e qui lui était arrivé. Cette crise, qu'on aurait pu appeler le petit
mal
, se prolongeait environ trois à quatre heures ave
es contre les médecins qui Vavaient soignée, leur attribuant tous ses
maux
, et elle terminait ses imprécations par les mêmes
de l'épilepsie précédée d'angine de poitrine; une seconde, un état de
mal
épileptique (obs. L); une troisième, une attaque
aucun souvenir de ce qui ve-nait de se passer, mais ayant un violent
mal
de tête et une grande courba-ture. Je me retirai
sant au sujet aucun instant de répit, comme cela a lieu dans Vétat de
mal
épileptiqiie. Par analogie la variété d'attaque h
'attaque hystéro-épileptique, ainsi produite, mérite le nom (ïétat fk
mal
épileptoïde, qu'il ne faut pas confondre avec ce
'il ne faut pas confondre avec ce que nous avons déjà Sippelé état de
mal
hystéro-épileptigve. Celle dernière dénomination
es. Entre ces deux extrêmes, l'attaque épileptoïde isolée et Tétat de
mal
épileptoïde, il existe des degrés intermé-diaires
infini. Nous nous contenterons d'étudier les suivantes : a. État de
mal
épileptoïde ; b. Accès épileptoïdes incomplets
eptoïde avec contracture généralisée et perma-nente. § 1. — ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l'attaque
début d'un nouvel accès. On se trouve alors en présence d'un état de
mal
parfaitement semblable, du moins en apparence, à
tat de mal parfaitement semblable, du moins en apparence, à l'état de
mal
épileptique, et que nous avons désigné déjà sous
mal épileptique, et que nous avons désigné déjà sous le nom d'état de
mal
épileptoïde. Les accès se suivent sans interrupti
nstant, ne révé-laient leur nature éminemment hystérique. L'état de
mal
épileptoïde peut se prolonger pendant fort long-t
e considérable de crises. M. Gharcot parle d'une malade dont Vétat de
mal
a persisté pendant plus de deux mois, et, par mom
voir rencontré un cas aussi accentué, nous avons vu souvent l'état de
mal
épileptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et les sé
un tel état est, pour qui con-naît la gravité habituelle de l'état de
mal
épileptique, un des contrastes les plus h-appants
es intervalles aussi, d'ailleurs très courts, la nature hystérique du
mal
, surtout dans les premières semaines, reparaissai
et l'excitation des zones hystérogènes conservent, pendant l'état de
mal
épileptoïde, les propriétés d'arrêt dont nous avo
l'art. Malheureusement rien de semblable ne se produit dans l'état de
mal
véritablement épileptique. Sans avoir recours à
succès ^ Mais le signe diagnostic le plus important entre l'état de
mal
épileptoïde et l'état de mal épileptique, réside
nostic le plus important entre l'état de mal épileptoïde et l'état de
mal
épileptique, réside dans la marche de la températ
e la température. Nous en avons déjà dit un mot au sujet de l'état de
mal
hystéro-épileptique. Il résulte des recherches de
dominent la scène. Les attaques dont la réunion constitue l'état de
mal
épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aulres var
stcro-épileptique du service de M. Delasiauvc, au milieu d'un état de
mal
épilep-toïde. Les aUaques se succèdent sans inter
es du système nerveux^, ont également trait à la variété de l'état de
mal
épileptoïde par prédominance du tétanisme. « Qu
ral et son retour fréquent peu-vent donner lieu à une sorte d'état de
mal
épileptoïde, fort grave en apparence, comme j'ai
pendant la phase de résolution, ne se rencontre guère dans l'état de
mal
de l'épilepsie vraie. Dans l'observation qui su
es mouvements ne se font que d'un côte, l'autre semblant paralysé. Le
mal
cède graduellement, elle tombe affaiblie, mais ne
jette pas l'enfant par la fenêtre... Adolphe... il m'a fait bien c'u
mal
... » Et de sa main elle montre le creux de l'esto
né l'exemple... Je ne comprends pas que tu dises que je tombe du haut
mal
... Je suis contente de te voir, pour avoir des no
sychiques. Il ressemblait en tout aux hystériques femmes en état de
mal
: délire in-terrompu par des crises. La remarque
t, et dangereux par la prédominance des idées fixes avec impulsion au
mal
. Mais la confusion deviendra impossible, si l'on
quelle, à la suite de vives con-trariétés, elle retomba malade. Assez
mal
réglée depuis l'âge de quinze ans, elle a passé p
bien portants. Dans ses premières années, S... « se trouvait souvent
mal
; couchée sur un lit ou même par terre elle s'agit
intéresser. Il en résulterait très probablement un bien au lieu d'un
mal
, car le fait important, une fois mis en évidence,
nt, c'est faire acte d'habileté que d'être sincère et impartial. Quel
mal
y a-t-il à ce que la science fausse soit dépouill
vin exquis. Nous l'exhortons à boire encore : « J'ai peur de me faire
mal
» dit-elle. Nous la rassurons et les rasades se s
ble de provoquer alors de véritables nausées, en lui disant qu'elle a
mal
au cœur et qu'elle vomit. Elle paraît même tellem
plu-sieurs accès de catalepsie; lorsque je lavis, elle se plaignit de
maux
d'esto-mac, de douleurs vagues dans le bas-ventre
. » (Georget, Dict. de Méd.) M. Espanet ajoute que la ténacité du
mal
, de un à huit ans, se voit chez les femmes seules
eureuse, les remèdes qui rétablirent sa sœur ne firent qu'irriter son
mal
. Après dix ou douze accès, qui ne furent qu'hysté
, telle que celle du castoréum ou de la rue, réveillaient ce genre de
mal
, et même en accéléraient le paroxysme. Après to
ns cette demi-catalepsie, qui était plus ou moins parfaite: enfin, ce
mal
, qui change de face comme un Prêtée, prit une nou
Suppression des règles en novembre 1708. A la suite, douleur de tète,
mal
de gorge, et fluxion de poitrine quelque temps ap
faire aucune résistance ; mais, et c'était cela qui caractérisait son
mal
, ils n'étaient que trop obéissants, ils ne sortai
de juger que, non seulement l'envie de connaître et d'approfondir le
mal
, mais encore une certaine curiosité pour un parei
le lui demande de la laisser se coucher, et lui reproche de lui faire
mal
. La malade rêvait. Pendant cette scène, les membr
réveille, recouvre complètement connaissance, se plaint d'un violent
mal
de tête et demande à boire. Au bout da-20 minutes
également à ce que nous l'endor-mions, en déclarant que cela lui fait
mal
à la tête et lui donne des crampes d'estomac. Ell
epuis le 19 mars. La santé générale n'a changé ni en mieux ni en plus
mal
. La malade compte bien aller passer quelque temps
ême effet. (Voy. p. 360 et suiv.) malade au lit; la faiblesse et le
mal
de tête l'y retenaient; l'attaque de cata-lepsie
i parlant vivement, on parvient à fixer son attention : il a, dit-il,
mal
à la tète, des picotements sur toute la peau, des
dure à peine depuis trois mois que Cl..., adéjà perdu l'appétit, dort
mal
, devient irritable. « Il se lance alors dans l'ab
rait ma porte, quoique j'en eusse pris la clef sur moi, me faisait un
mal
affreux. Alors je voyais entrer le môme cadavre q
dame B***, pour délivrer la femelle d'un de ces insectes qui était en
mal
d'enfant et avait choisi pour lit de douleur le t
ont les diverses pratiques ne sauraient que tendre à l'aggravation du
mal
, en sollicitant, par des excitations multiples et
out genre, les sections de nerfs et détendons, exaspèrent toujours le
mal
et sont quelque-fois suivis des plus fâcheux effe
n vu qui s'en rapproche. b) Marche de la température dans l'état de
mal
épileptique et dans l'état de mal hystéro-épilept
he de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de
mal
hystéro-épileptique. — Ce point, d'une impor-tanc
que les températures élevées (40° et plus) appartiennent à l'état de
mal
épileptique seul, et que, dans l'état de mal hyst
ppartiennent à l'état de mal épileptique seul, et que, dans l'état de
mal
hystéro-épileptique, quelles que soient la fréque
stam-ment et plus vite chez les malades affectés de vertige, ou petit
mal
, que chez ceux qui n'ont que des convulsions viol
mal, que chez ceux qui n'ont que des convulsions violentes, ou grand
mal
. Morel partage la môme opinion. Reynolds dit qu
Morel partage la môme opinion. Reynolds dit que lorsqu'il y a petit
mal
, l'esprit est plus fréquemment affecté et altéré
st plus fréquemment affecté et altéré grave-ment que lorsque le petit
mal
fait défaut. Comment se fait-il, dit Esquirol,
il en modifie les accès et devient un palliatif utile dans l'état de
mal
hystéro-épileptique. Mais voici une manière d'a
as l'attaque, mais elle en atténue la violence, et pendant un étal de
mal
éloigne le retour des accès. Les pôles sont app
cet instant, tantôt la ma-lade gémit et pleure, criant qu'on lui fait
mal
, — tel est le cas de Marc... —, tantôt, au contra
la compression prolongée continuerait d'être efficace; h si l'état de
mal
hystéro-épileptique céderait devant cette compres
rs heures, a suffi pour produire la cessation momentanée de l'état de
mal
, sans qu'on ait été obligé de recourir à un agent
malade, pendant 12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un état de
mal
. Jamais les attaques ne se sont présentées pendan
deux, puis l'enlevait elle-même quand elle sentait que les menaces de
mal
étaient dissipées. Chez elle aussi, la compressio
nd par Teinturier.in le Mouvement medical. 1872. 4. In Leç. sur les
mal
. du sgst. nerv. nant alors que l'excitation rel
evenaient à eux-mêmes et se trouvaient momentanément délivrés de leur
mal
. C'était dans le but d'agir contre la tympanite q
t accompagner par des surveillants qui les empêchaient de se faire du
mal
à eux-mêmes ou d'en faire aux autres. » Partout
roposait en faisant de la musique, était aussi de rompre la racine du
mal
lui-même par la violence des accès. » En dehors
furieuse et montra à chacun des horribles et étranges spectacles. Ce
mal
se glissa comme une peste en plusieurs autresnon-
uelque malheu-reuse réputée sorcière, la responsabilité de tous leurs
maux
*. Les troubles psychiques que présentaient les
he une puante haleine qui continuait parfois quelques heures. En leur
mal
, aucunes ne laissaient d'avoir l'entendement sain
i venait chaque nuit les visiter en leur couvent et les solliciter au
mal
. Le curé demanda â la sœur Claire comment elle le
des dites possédées ; 2° faire connaître le sorcier auteur de tout le
mal
(ou sait quel sort l'attendait); 3° faire dé-couv
s, afin de connaître s'il y a cause naturelle ou surnaturelle en leur
mal
; ce qu'ils ont promis faire et remis à recevoir l
vulsions, a dit qu'oui, et que ledit Barré lui avait fait beaucoup de
mal
. La minute originale est signée : De Cerisay, C
t saisie d'une grande tristesse, par la crainte qu'elle avait d'avoir
mal
fait. Toute la nuit ensuite elle fut beaucoup tou
ucoup tourmentée par des visions dés-honnêtes qui la sollicitaient au
mal
avec des formes humaines impudiques. Elle dit le
prenait la forme de quelques religieuses qui disaient à sœur Anne du
mal
du père confesseur et de ses supérieures, avec de
car je pensais que c'était un méchant homme qui me voulait induire au
mal
, â cause cle ce qui s'était passé touchant l'appa
âleur, d'exténuation, de faiblesse et d'autres semblables etfets d'un
mal
violent comme le sien, car au même instant ou peu
te cassée, mais il se trouva puis après qu'elle ne s'était fait aucun
mal
. » Sœur Marie du Saint-Esprit fit aussi quantit
r au physique comme au moral. Ils sont tous pauvres et se nourrissent
mal
. La constitution prédominante est lymphatico-nerv
T... étant allée garder les chèvres avec elle, cefle-ci tomba de son
mal
ordinaire. Marie tomba dans le même état. On les
urent encore prises du même accident. A f«artir de cette époque, le
mal
les prit toutes deux cinq à six fois par jour, ma
ès violente et continua d'en avoir presque tous les jours; elle avait
mal
à l'estomac, et disait qu'elle sentait quelque ch
le plus grand nombre, éprouvèrent des malaises prodromiques, tels que
maux
d'es-tomac, inappétence, surtout pour leurs alime
, c'était un ou plusieurs diables. En général, toutes attribuent le
mal
à un maléfice de tel ou tel individu qu'elles acc
mac, qui lui crie que Champlanaz (un prétendu sorcier) lui a donné le
mal
, et qui dit : « La fille ne mangera pas, ne prier
lation elle-même, comme étant les seuls remèdes capables d'arrêter le
mal
. 11 faut rendre ici justice à l'autorité ecclésia
la maladie. L'exaspéra-tion contre les prétendus sorciers, auteurs du
mal
, croissait dans la même proportion. L'un d'eux po
faire quelques mouvements, ou bien sont d'une agitation excessive et
mal
réglées. Les autres, au contraire, ont toutes l
b... d'incrédule, que nous sommes des folles, que nous n'avons qu'un
mal
d'imagination! Nous sommes des damnées, s... n...
un verre de vin (u'elle a'\m en compagnie d'un de ceux qui donnent le
mal
. Pendant et hors des rises, elle a de fréquents v
il leur fit développer le poison renfermé dans la bulle, déplorer les
maux
de l'Église,annoncer que sa jeunesse serait bient
si affreux que plusieurs personnes disaient qu'elle tombait du haut
mal
et d'autres qu'elle était possédée..... à la véri
ments si violents que les assistants crurent que je tombais du haut
mal
..... (Elle est tombée, dit un des assistants, e
'hui d'établir un diagnostic rétro-spectif exact. Les descriptions du
mal
sont complétées par un dessin qui en dit plus que
qui marquent le début des accidents, et par la longueur de l'état de
mal
, qui ne dura pas moins de quatre jours. Le 20 d
se peu si ce sont des hommes qui lui font faire cette opéra-tion fort
mal
séante par elle-même. Enfin, elle dit hautement,
ein.... Quelques-uns s'enfoncent des épingles dans la tête sans aucun
mal
, et paraissent avoir le dessein de se précipiter
r avec action, on m'a dit qu'elle déclamait en langage figuré sur les
maux
dont l'Église est affligée et sur les disposition
ient les attaques de secousses, se trouvaient souvent saisies du même
mal
, et de retour chez elles, elles le communiquaient
t les signes précur-seurs; mais la majeure partie ne ressentait aucun
mal
pendant les accès; ils sem-blaient au contraire n
issance, ou, selon un témoin oculaire, presque comme s'ils avaient le
mal
caduc, et restent plus ou moins de temps dans un
lesquelles le médecin suédois semble porté à cher- cher la cause du
mal
sont: l'iguorance du peuple et l'influence qu'exe
corde accueillaient les pauvres, et servaient les malades et les gens
mal
aisés, en leur hôtel, et leur administi'aient de
ume, par amour de Dieu, de tenir en son hôtel, et les malades, et les
mal
aisés qu'il trouvait par les rues et les routes,
es fois et lui faisait savoir par ses lettres que Dieu se tenait pour
mal
payé de lui, qu'il était appareillé aucunes fois
l n'en fût mé-connaissant, et si cela arrivait, en tout lui prendrait
mal
, et il perdrait gravement; qu'elle le lui faisait
........... 141 Chap. VI. — Marche. — Durée des attaques. — État de
mal
hys^éro- épileptique...........................
nes............... 583 b) . Marche de la température dans l'état de
mal
épileptique et dans l'état de mal hystéro-épilept
he de la température dans l'état de mal épileptique et dans l'état de
mal
hystéro-épileptique..............................
t de la conscience, sans crises convul- sives. Tels sont : le petit
mal
comitial, les colères, les accès de mauvaise hu
nsion d'une pièce de 2 francs et affectant fous les caractères d'un
mal
perforant plan- taire. Au ni\eaude la région
med. surg. journ., 15 juin 1905.) Les auteurs ont soigné l'état de
mal
par des injections hypoder- miquescl'une soluti
ont peu ou pas de .spasmodicité, 4 ont la marche absolument nor-
male
, 4 ont renoncé au traitement, Il est bien entendu
oduits nor- 32 REVUE D'ANA10MIE ET de PHYSIOLOGIE pathologiques
maux
qui devraient être éliminés ou transformés par de
ts (rein, foie etc.). D'autres en- core résultent d'empoisonnements
mal
connus, produits par l'al- tération des fonctio
orme morbide spéciale ou sont-ils symptomatiques d'états organiques
mal
connus pour lesquels le terme « mélancolie » n'
e d'un test (reproduction d'une phrase lue); la synthèse s'effectue
mal
,mais elle est possible lorsque le malade est ca
mment d'un côté ou de l'autre. Mort le 2 septembre 1905, en état de
mal
. 11 z-asanas dire qu'aucune des .multiples lési
yen du lobe. La circonvolution de l'hippocampe esta peu près nor-
male
(lig. 13), mais saface supérieure, recouverte d'u
paraly- sie générale survienne chez un albuminurique, soit que le
mal
deBright évolue chez un paralytique général. D'
contre l'envahissement progressif par les systèmes nerveux anor-
maux
, guérir ou tout au moins soulager le plus possibl
en ce sens qu'ils ne sont pas naturellement nocifs pour les ani-
maux
, et qu'ils ne se manilestent par aucun symptôme c
nent de ce qu'il a ensemencé à une époque où la technique ' était
mal
réglée; il s'est servi de tubes et, actuellement,
eur pourtour, mais à distance, dans les parties sans doute les plus
mal
irriguées ; 2. des hémor- rhagies miliaires qui
ni dangereuse, ce n'est pas davantage, comme on l'a dit, une cote
mal
taillée, une lâcheté ou une erreur ; c'est une vé
é excessive de leur esprit, de leur passage facile de l'état nor-
mal
dans, les états seconds ; enfin de leur extrême s
u'il y a été introduit par l'infiltration pharyngée dans une glotte
mal
fermée, soit parce qu'il y aboutit, venant de l
ée, ou ralentie, le réflexe qui en résulte sur- vient en retard, ou
mal
à propos, ou avec trop de violence,ou avec trop
essaires à la toux, se ferme comme dans l'effort, ou ne s'ouvre que
mal
à propos, et le malade, n'inspirant pas, ne fai
er l'ensemble des phénomènes de la crise laryngée, est certainement
mal
choisi. Rien n'est plus éloigné de la séméiolog
x bandés. La femme Faron a laissé deux lettres, pour sa mère et son
mal
i demandant pardon, disant qu'elle ne pouvait p
qu'on peut contrôler leur diète. Ponction lombaire dans l'état DE
MAL
. Cette ponction diminue la gravité de l'état,s'
n, hypertension qui s installe aussitôt après le début de l'état de
mal
. 1 au : ur : L. NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE DES I
n plus difficile ; d'autres, enfin, de nature épileptique, états de
mal
, dont la symptomatologie avait été modifiée par
A ce propos, nous insisterons sur ce dernier diagnostic d'état de
mal
, appliqué à des accidents caractérisés par la per
? Roger Voisix el A. Ilcyou.-I3romisme,lrouhlcc mentaux et état de
mal
épileptique au cours de la dcehtoruration avec
s en décembre. Cette fois encore, une malade fut atteinte d'état de
mal
, trois jours après cessation du régime, et y su
i lui dit que « les francs-maçons et les rouges » lui feraient du
mal
. Cette remarque ne lui fit à l'époque aucune impr
éfenseurs, avocats de leur délire, dontle seul défaut est de s'être
mal
renseignés; et si, d'autre part,le milieu renfe
ntum considérable de choses qu'il ne comprend pas ou qu'il comprend
mal
. RECUEIL DE FAITS Athétose double. Mort au co
te jusqu'alors. Un jour,après avoir déjeuné, elle com- menra à être
mal
disposée et à sentir son estomac lourd, ses mem
lique se distingue par l'état mental parli- culier : douleur morale
mal
justifiée par l'asystématisalion des conception
ue les épileptiques meurent le plus souvent au cours d un état de
mal
et que les diagnostics n'indiquent pas si les suj
se du cartilage de conjugaison ; l'ossification périostale est nor-
male
. La dysplasie périostale intéresse surtout les
s et des surfaces articulaires, mains en trident, dimensions nor-
males
du tronc et de la colonne, ensellure lomhaire, dé
uestion si com- plexe des crises épileptiformes, delà palhogénie du
mal
comitial et des affections qui le simulent. D'a
dernier cas, les réflexes réapparaissent rapidement. Dans l'état de
mal
les réflexes sont souvent très actifs. Dans le po
nous a été donné de recueillir d'épileptiques succombant en état de
mal
peu de temps après leur lièvre typhoïde, alors
ntrer dans le monde et reprendre la lutte pour la vie. En outre, le
mal
est appelé précoce. il l'est tant, en effet, qu
es trois condi- tions formulées par Bail : l'éclosion simultanée du
mal
et surtout l'identité absolue non seulement des
folie gémellaire est d'une rareté excessive, ou nous avons été bien
mal
favorisé. Quoi qu'il en soit, nous devons , cro
chiffres de ces épreuves mêmes peuvent être considérés comme nor-
maux
. D'autant plus qu'on y constate une très petite
s gros dans les épreuves avec du brome que dans les épreuves nor-
males
. Dans les premiers il est de 11, dans les dernier
être établie d'une manière très sûre. Dans la Il, recherche nor-
male
, l'opération augmente rapidement et atteint son
diffé- rent-elles du temps initial, qu'on appelle le « temps nor-
mal
n. Les épreuves normales en général montrent un
ble mais insignifiante. Mais la forte surestimation du temps nor-
mal
après la prise du médicament est à peine attribua
avec choix. On a réalisé D épreuves d'après cette méthode, i nor-
males
et 5 avec du brome, les dernières avec une dose
y- lactique ; nous les exposerons quand, après avoir indi- qué le
mal
, nous étudierons ses causes et nous cherche- ro
dit y. eux les abus ont précipité tout au moins l'apparition de la
mal
,- die mentale. L'alcobla joué le rôle d'appoint
cérébro-spinale diplo- pneumococcique de l'enfance. Rev. mens. des
mal
. de l'enf., Par., 1904, v. ',1-2, p. 20-30. B
, cric après ses enfants et leur dit : «Je deviens tout drôle, j'ai
mal
à la tête. Puis il se met à dire des bêtises, f
chez lui les jours suivants. Il nous fait encore comprendre qu'il a
mal
à la tête, et il désigne de la main la région r
n au niveau de la région temporo-pariétale gauche : « J'ai toujours
mal
là ». 342 CLINIQUE MENTALE. D. Depuis quand
où les troubles débu- tèrent : il disait à ses enfants qu'il avait
mal
à la tête, il voulait les conduire au cimetière
mai. Les noms propres sont parmi ceux qui lui don- nent le plus de
mal
. Nous lui disons notre nom et lui deman- dons d
vais commis un crime, on dirait qu'il va m'arriver toutes sortes,de
maux
. je ne suis bien nulle part, il faut que je soi
out le monde, pour le travail, pour tout, et alors j'ai beaucoup de
mal
dans la tête. Quand je ne regarde pas les lèvre
s parlent entre elles à côté de moi. je crois toujours qu'on dit du
mal
; je me dis bien que ça n'est pas vrai, mais il
D ? nous fait com- prendre = il présentait alors du mutisme qu'il a
mal
à la tête, et il désigne avec la main la région
que j'ai reçu un coup de marteau sur la tête et que je conserve le
mal
». A noter que la région superficielle correspo
« breuse. » Mais dans la majorité des cas l'organisme se suffit
mal
à lui-même pour la lutte et il faut lui venir en
tion qui s'observe entre un asile et un autre, quant à l'étendue du
mal
et au nombre de ses victimes. Alors que dans un
tuber- culose dans leurs asiles et les remèdes opposés par eux au
mal
. » En Allemagne, nous avons été devancés par un
ent à bas prix des appareils de rebut qu'ils réparent tant bien que
mal
. La lenteur de la décompres- sion, dit Boinet,
l'explo- sion des symptômes cliniques caractéristiques d'un état de
mal
grave. 6° Les principes toxiques épileptogène
menté sur le lapin, et Cellie, ayant déclaré que l'espèce avait été
mal
choisie, ,\1. et 1 ? refirent leurs expériences s
ègles, turbulents, inattcntifs, qui troublent laclasse eldcnnenl du
mal
leur professeur Ce sont de faux anor- maux. Les
t laclasse eldcnnenl du mal leur professeur Ce sont de faux anor-
maux
. Les vrais anormaux ont Lous des Lares : 1° pal'
ussi. M. Bérillon. -Dans les classes, l'existence d'un seul anor-
mal
suffit parfois pourépuiser la bonne volonté et l'
ycho-somatique permet des succès rapides, faciles et durables. Le
mal
de mer vrai et le mal de mer imaginaire. M. Fél
des succès rapides, faciles et durables. Le mal de mer vrai et le
mal
de mer imaginaire. M. Félix 11EGNAULT. -Désirew
mer imaginaire. M. Félix 11EGNAULT. -Désirew d'étudier, de près, le
mal
de nos SOCIÉTÉS SAVANTES. mer je me suis em
qué pendant toute la durée des vacances. Très souvent j'ai guéri le
mal
de mer, non par suggestion directe, mais par su
n médicament psychique, aucune spécialité réputée ne peut guérir le
mal
de mer qui sur- vient par les gros temps, .l'en
par les gros temps, .l'en suis arrivé à distinguer, d'une part, le
mal
de mer vrai, contre lequel rien ne fait,(iL moins
e l'on ait affaire à une personne hystérique), et d'autre pari le
mal
de mer imaginaire (produit par l'auto-suggestion,
mbreux succès en négligeant de traiter par suggestion indirecte des
maux
de mer imaginaires, dont j'estime la proportion
doute l'auto-suggestion occupe une large place dans l'étiologie du
mal
de mer; aussi bien d'ail- leurs que la contagio
n. Un jour des passagers racontaient auprès de moi des histoires de
mal
de mer ; je sentais que j'allais en 41re attein
tion dans l'étiologie elle traitement d'un certain nombre de cas de
mal
de mer. M. Paul Farez. i\I.IlegnauIt dit que la
aul Farez. i\I.IlegnauIt dit que la suggestion ne saurait guérir un
mal
de mer vrai que chez les hystériques.Cependant,pr
le cas suivant : la mer est très mauvaise, tout le monde souffre du
mal
de mer; survient le danger d'incendie, d'échoue
ndie, d'échouement, de voie d'eau : l'émotion est si intense que le
mal
de mer est supprimé chez tous. On ne saurait so
utenir que tous étaient des hystériques ou que tous n'avaient qu'un
mal
de mer imaginaire. Cette dérivation de l'attent
ette dérivation de l'attention a donc suspendu un certain nombre de
maux
de mer vrais; la suggestion est donc lé- gitime
M. 13ÉRILI-ON. - M. Paul Farez et moi-même avons immunisé contre le
mal
de mer des gens qui n'étaient pas le moins du mon
fendre de l'auto-suggestion. La suggestion thérapeutique guérit le
mal
de mer non seulement d'origine psychique, mais au
M. LINET-SANGL74. D'après M. Itegnault, si la suggestion guérit le
mal
de mer,c'est qu'il est imaginaire ; si elle ne le
. En effet, on ne nous apporte aucun élément de diagnostic entre le
mal
de mer vrai et le mal de mer ima- ginaire ; on
apporte aucun élément de diagnostic entre le mal de mer vrai et le
mal
de mer ima- ginaire ; on devrait nous dire en q
distinguent l'un de l'autre. M. Le Menant des C.HESNA15. - Si le
mal
de mer imaginaire est seul justiciable de la su
à elle, vous faites un diagnostic. Quant à la distinction entre le
mal
de mer vrai elle mal de mer imaginaire, elle m'es
un diagnostic. Quant à la distinction entre le mal de mer vrai elle
mal
de mer imaginaire, elle m'est apparue comme une
tion, ni l'approche d'un danger n'ont mo- difié l'intensité de leur
mal
de mer. MM. LEPIN.1Y ET POTTIER expose les moda
de leur mal de mer. MM. LEPIN.1Y ET POTTIER expose les modalités du
mal
de mer chez les animaux, lesquels subissent aus
il nous a paru indiqué de renoncer à la douche froide généralement
mal
acceptée, et de lui substituer la douche tiède
ent constant dn nom- bre des laibles d'esprit et l'hérédité de leur
mal
, a émis hier un voeu en faveur d'une interventi
s et soeurs,elle aime à être caressée. Elle n'aime pas à faire du
mal
. Instincts non pervertis ; pas d'onanisme ; aur
ns toute l'étendue de la poitrine, l'enfant respire d'ailleurs très
mal
. Son teint est de plus en plus pâle ; les lèvre
é- sentée par des faisceaux de tissu conjonctif adulte, soit nor-
maux
, soit avec tendance à la prolifération évoluant v
nomènes et sur les rapports clini- ques et pathogéniques du « petit
mal
moteur » avec les tics) certaine- ! myoclonies.
sé par un incident de ta- chycardie paroxystique. G. C. XLVIII. -
Mal
perforant buccal; par M. PALLIASSE. (Lyon médic
dents de la mâchoire supérieure, résorption du re- bord alvéolaire,
mal
perforant buccal. Les perforations sont pla-' c
identique. La thèse de Ilenry reproduit toutes les observations du
mal
perforant buccal, ce qui porte actuellement à d
nsonge, à la ruse et à l'hypocrisie. Le traitement psychologique du
mal
de mer. MM. Félix REGNAULT, Paul Farez, Pamart,
, Magnin, Demonchy échangent des vues au sujet de la distinction du
mal
476 LÉGISLATION ET ASSISTANCE. de mer vrai
inction du mal 476 LÉGISLATION ET ASSISTANCE. de mer vrai et du
mal
de mer imaginaire, ainsi que sur l'effica- cité
que sur l'effica- cité de la suggestion contre certaines formes du
mal
de mer. - Cette discussion ne peut être épuisée
n- tassés : par contre, les infirmiers et gardiens sont, en genéral,
mal
rétribués et en nombre insuffisant, et bien que
p;-consc ! 'ent.(ia(rne être sent qu'il a en lui un être inconnu ou
mal
connu avec lequel il voisine. Ainsi s'expliquen
me et l'orthopédie mentale : Les enfants et les adolescents anor-
maux
: Retardataires, instables, timides, indociles pe
lames, par Mme Déjerine. p. 48. Loi. La sur les aliénés, p. 329.
Mal
de mer. Le vrai et le - - - imaginaire, par Ré-
La en médecine mentale, par Derou- baix, p. 23. dans l'état de
mal
, par Friedel. p. 158. Les - - en série au cours
ième siècle, un homme appelé Didier, qui passait pour guérir tous les
maux
. Il traitait les paralytiques en les faisant couc
quelles la main avait été maintenue, un saisissement qui dissipait le
mal
: « On n’ignore pas, ajoute cet académicien, que p
e cet académicien, que plusieurs charlatans calment et suspendent les
maux
de (1) Œuvres médic. d’Ambr. Paré, t vol. in-fo
placé dans un des paniers que portait cet âne. Mais le fond avait été
mal
assuré, les clavicules qui servaient à l’assujéti
fond avait été mal assuré, les clavicules qui servaient à l’assujétir
mal
mises; bref, je tombai sur la route avec les orei
châtié chaque fois que je rentrais, on mettait sur mon compte tout le
mal
arrivé à la maison, mal qui s’était fait en mon a
e rentrais, on mettait sur mon compte tout le mal arrivé à la maison,
mal
qui s’était fait en mon absence. Des objets étaie
nsurable? Comment agit-elle sur nous, et comment peut-elle guérir Ips
maux
? Ma joie était troublée par le besoin de connaîtr
ire avec toutes leurs drogues et tous leurs agents. Vous guérirez des
maux
désespérés. — Vous vous expliquerez alors celte l
Alsie (c’est le nom de la vache), s’est trouvée subitement prise d’un
mal
si violent, que ^vétérinaire appelé, après l’avoi
dernières causes, et très-probablement par l’effet du magnétisme ani-•
mal
. « La Cour n’oubliera pas ce très-probablement
ement, sont les « seules vraies causes attribuées au magnétisme ani-«
mal
, par conséquent tout traitement public où les « m
prends à regarder comme un bien ce que je considérais alors comme un
mal
; je ne changerais point ma vie pour celle du plu
c’est désobéirau dieu lui-même, et partant s’exposer aux plus grands
mal
» heurs, aux plus sévères châtiments. C’est donc c
nant 011 nous demande s’il est vrai que ces hommes ont, pour faire le
mal
, la puissance qu’011 4eur attribue, si, en un mol
rires.) etienne vermot. Il a recours à la femme Desaillous pour un
mal
d’yeux dont il était affecté ; la femme Desaillou
elle a dit qu’il avait l’air d’y pas toucher, mais qu’il me ferait du
mal
s’il pouvait. D. Est-ce que vous n’avez pas eu
ions chroniques, qui guérit les désordres organiques, qui les simples
maux
de nerf; d’autres enfin ne traitent que les incur
é à les guider au milieu de ces ténèbres. Est -ce un bien ? Est-ce un
mal
? je ne le sais ; mais si jamais ils parviennent à
vation, je gravais sur une table d’airain un des premiers remèdes aux
maux
désespérés. Comme un invisible messager, j’envo
te-dix ans que les magnétistes réparent, autant qu’il est en eux, les
maux
causés par la médecine dite savante, et l’Académi
pouse de M. le principal du collège. Je souffrais depuis longtemps de
maux
d’yeux et de maux de tête qui parfois m’ôtaient l
ait ma guérison, c’élail l'excessive préoccupation que me causait mon
mal
. « Vous y pensez sans cesse, me dit-elle, cl souv
rties où je souffrais, et je répondais par oui; elle trouvait bien le
mal
sans qu’on le lui indiquât. M. Anctin s’est beauc
J’ai consulté la somnambule : elle m’a pris la main, m’a indiqué mon
mal
et m’a ordonné un traitement qui m’a parfaitement
ite, avant la consultation. M“c Rose a palpé mon fils et a indiqué le
mal
; les remèdes ont été pris à Nogent. A la seconde
apelière à Nogent. J’ai consulté Mme Rose pour mon fils qui avait des
maux
d’yeux. Elle le palpa, puis nous dit que la cause
i avait des maux d’yeux. Elle le palpa, puis nous dit que la cause du
mal
était dans le cerveau. Elle prescrivit des remède
n fut arrivé, je pris une consultation. M"“ Rose me palpa, me dit mon
mal
; elle m’a bien guérie. Les médecins n’avaient pu
s maladies. l5° m. rosel-sortais, de Nogent. Ma femme était au plus
mal
, et notre médecin avait déclaré qu’elle était per
les efl'orts des médecins, et que sa femme a été guérie par elle d’un
mal
de sein qu’il croit avoir été un cancer. 180 m“
gémir profondément sur un ordre de choses qui obligerait à rendre le
mal
pour le bien, et à frapper comme un vil malfaiteu
aiteur une personne dont l’existence est consacrée au soulagement des
maux
de ses semblables. Mais heureusement, et nous esp
ropbobie , etc. , le médecin, pour tout soulagement, nous nomme notre
mal
en grec ou en latin, et nous débile de fort bel
alement une de ses mains sur la partie du corps répondant au siège du
mal
, décrivait, non-seulement les caractères de la ma
r eu recours à aucune question, elle affirme positivement la cause du
mal
, qui se trouve être précisément celle que le doct
e l’éloge en disant que s’ils ne font pas de bien, ils ne font pas de
mal
. Peut-être alors, si elle n’eût été animée que de
ue pour la combattre. De lit les panacées qui doivent guérir tous les
maux
. Sans parler du D1 Sangrado, qui traitait tous se
mais on persuadera difficilement à ceux qui ont été délivrés de leurs
maux
, qu’ils sont coupables de révolte contre llippoc
ivit, et dit qu’il était assis dans une partie du vaisseau : il avait
mal
à l’une de ses jambes, qui était nue et décolorée
le magnélisa quelque temps avec l’intention de s’assurer du siège du
mal
, par la sensation qu'il éprouverait. Le résultat
toucher un malade avec le déiir de le soulager et de le guérir de ses
maux
. Commencez d’abord par poser une main, ou toutes
liques, dans des chambres séparées, au local social ; 4° 1ue quand le
mal
l'exige, les magnétiseurs se transportent au domi
es appartenant à des langues étrangères, quelquefois, il lus prononce
mal
; mais pas de manière , cependant, à obscurcir son
la bouche de Solon. « La mort, dit-il, est pour certains hommes un
mal
qui les frappe d’une profonde terreur. C’esl de l
uscultation est une magnifique invention, mais Laennec a fait plus de
mal
aux médecins que Montaigne, Molière et Rousseau.
sous pour le purgatif agréable. « Et le chloroforme, a-t-il fait du
mal
aux chirurgiens ! Si bien qu’il en est aujourd’hu
et parut très-étonnée. Elle déclara, en outre, ne plus éprouver aucun
mal
. » La lettre suivante nous a été dernièrement a
sation la plus forte s’affaissant plus rapidement sous l’empreinte du
mal
que l’organisation la plus chétive, pourquoi sera
nts digitaux en dirigeant les doigts réunis en pointe sur le siège du
mal
. « Le fluide sort alors avec plus d’abondance de
avez, Messieurs, c’est avec cet agent que nous guérissons souvent des
maux
désespérés. « Ce tableau, loin d’étre exagéré,
fable de son cru, dite avec une bonhomie si malicieuse que les rires
mal
contenus l’interrompaient sans cesse. Voici cet
eu a mise en chacun de nous, tenteront de porter des soulagements aux
maux
de leurs semblables. A côté de magistrats voyan
Une longue expérience prouve cependant que la justice a toujours été
mal
venue à prononcer des arrêts, quand comparaissait
’en fera justice !..... « Songe que l’homme est pétri de bien et de
mal
, en tant qu’esprit et matière : l’homme est tigre
ectifiant mutuellement, ils nous dispensent d’insister sur les points
mal
rendus. C’est la Presse qui a pris l’initiative
de la vue à distance, comme une sibylle moderne , elle aurait eu des
maux
de nerfs, — que dis-je? elle aurait jeté des cris
e , en disponibilité el au traitement de réforme ; ennemi de tous les
maux
qui affligent le genre humain» Habitant Pau. (Bas
, était malclassée, pour que les convulsionnaircs ne se fissent aucun
mal
, cl dans les séances de propagation magnétique, o
journellement, et il semble quelquefois que leurs mains absorbent le
mal
; mais cela 11e suffit que rarement, et nous ne co
m-nambuliseurs qui, dédaignant les livres de nos maîtres, exploitent,
mal
ou bien, une machine bonne ou mauvaise. Puységur
ulisme imparfait, quelques endormeurs immoraux ont essayé de faire le
mal
; mais nous délions qu’on puisse nous citer un seu
ions qu’on puisse nous citer un seul exemple où il soit résulté aucun
mal
de la magnétisation directe, quelque longue, quel
irecte, quelque longue, quelque fortement concentrée qu’elle ait été.
Mal
administrée, la magnétisation ne peut jamais deve
es personnes, dans la crainte qu’il ne s’en trouvât d’un esprit assez
mal
fait pour s’en fâcher; mais si M. le Dr Taxil veu
nétisa dix ou douze jours, environ une demi-heure chaque fois, et le.
mal
disparut. Mrac L,..., rue Claiborne : névralgie
ffet, 011 évite de parler du fond delà question, pour nous attribuer,
mal
à propos, l’intention de recommander les doses tr
ever quelques-unes de ses propres inexactitudes?... Que j’aie bien ou
mal
compris une de ses phrases, el que, pour rétablir
lesquelles le dialogue suivant s'établit : «Est-ce qu'on vous fait
mal
? — Personne ne me touche. » Puis elle s’entre
z le paysan malade, et lui adressa des questions sur l’origine de son
mal
. Le charron répondit que sa maladie provenait du
un ami précieux ou à rendre la santé à celui qui est tourmenté par un
mal
douloureux, serait le récompenser au centuple de
érison clos malades avec un succès remarquable. Des maux de tête, des
maux
de dents, des douleurs névralgiques et rhumatisma
ec la nouvelle science; car, qu’y a-t-il de plus propre à guérir un
mal
de tête obstiné ou une maladie du cerveau, qu’une
mploie sur les malades atteints de rage, de folie furieuse ou attires
maux
analogues, il se pourrait qu’il en résultât du bi
geant qu’une petite expérience sur cet homme ne pourrait pas faire de
mal
dans ce cas désespéré où la morl était si prochai
le juge Poley refusa d’admettre l'accusation, comme étant frivole et
mal
fondée, sinon malicieuse. M. Fiske avait été in
age par instinct, à son insu, et qu’il fait quelquefois du bien ou du
mal
, sans le savoir, sans le vouloir. Qu’il s’étudie,
fois électricité cl magnétisme n’ont-ils qu’amendé palliativement les
maux
que banalement on leur a opposés! Il faut que le
rt de magnétiser consiste à faire du bien aux autres sans se faire de
mal
à soi-même, et on l'apprend en lisant les Manuels
les; car la nature prévoyante et sage a mis partout le bien à côlé du
mal
, le remède à côté de la maladie, le médecin à côl
sez par la puissance magnétique, c’est qu’elle était homéopathique au
mal
que vous combattiez. iN’esl-cc pas là toute l’his
ne faudra-t-il pas se hâter de l’accuser, car il aura peul-êlre deux
maux
au lieu d’un à combattre, et le pire des deux ser
une première idée (i)....................... Les maux de tête, les
maux
de dents, le tic douloureux, les rhumatismes et l
on soutenue; mais l’effet n’en est pas toujours prompt, surtout si le
mal
est ancien ou s’il a été aggravé par des remèdes
s jours, par d’autres mains que les nôtres, alléger momentanément des
maux
de dents,etc. etc., comme insuffisant, puisque ni
maladies aux mille noms; dans les rhumes, causes premières de tant de
maux
, souvent d’affections de poitrine appréciables se
e beaucoup le magnétiseur qui donne de sa vie au risque de prendre le
mal
des autres, et qu’011 ne paie guère ce que valent
Remercions d’abord M. J. B. de nous faire remarquer que nous l’avons
mal
compris; c’est un tort que nous sommes disposé à
ladies aux mille noms. Ainsi, les rhumes, causes premières de tant de
maux
, qui ne sont qu’un trouble vital de la muqueuse p
palement parce qu’on n’y a recours que lorsque la vie est usée par le
mal
ou par les remèdes, et pourtant dans ces cas enco
isme échoue , ce n’est pas seulement parce que la vie est usée par le
mal
ou par les remèdes, condition si commune aux main
. Même chose pour le petit D., âgé de quatre ans : vous palliez son
mal
, vous le quittez à cause de votre impuissance d’a
s’est revélée à moi ; et cependant un sentiment me dit que je fais le
mal
en louchant à ces choses ; je ne sais d’où il vie
prouvent des tiraillements, des picotements, des fourmillements ou un
mal
de tète subit. Les femmes ne sont pas seules acce
E X. — K" H3G. — NO\EMl)URE 1831. 11 pendant environ une minute, le
mal
doit avoir disparu. Sur plus de cent expérience
rois personnes sur quatre auraient le même succès que moi. Pour les
maux
de dents et les rhumatismes, j’ai toujours réussi
ité en contact avec la sienne; en portant ensuite l’autre main sur le
mal
, vous établissez un vrai courant, vous enlevez l’
une valeur pratique. G. JOLY. P. S. Dans les maladies graves, le
mal
revient quelquefois ; alors il faut plusieurs app
u’il fallait quelquefois bien plus d’une minute pour guérir. Quand le
mal
est grave el chronique, il faut persister. Si vou
mites, et je ne les connais point. Voici comment j’opère lorsque le
mal
est intérieur, l'on verra que ce remède est aussi
l faut appeler science, art, philosophie, magie, recèle le bien et le
mal
, c’est tout et ce n’est rien. Vous y trouverez le
phale, fut respecté, car je souffrais avec toute la conscience de mon
mal
et je suivais mon ennemi dans toutes ses attaques
e maudite névrose, tantôt un peu mieux, le plus souvent beaucoup plus
mal
, lorsqu’un de mes amis, magnétiseur et homéopathe
montra la lucidité la plus étonnante. Elle m’expliqua la cause de mon
mal
(une ascension de neuf heures de marche au sommet
les mains : « Bon espoir, me dit-elle, vous touchez à la fin de vos
maux
. Votre maladie a eu pour cause prédisposante votr
e magnétique de M. Capern pour soulager les souffrances et guérir les
maux
, son dévouement au mesmérisme, son activité, son
a névralgie, le rhumatisme, l’épilcpsie, la danse de Saint-Guy et les
maux
de nerfs caractérisés. Presque toutes ces affecti
a l n cnfanl ayant une jambe plus courte que l’autre, par suite d’un
mal
à la hanche, fut reçu à la fin de novembre, et le
ici de quelle manière il rend compte de son état aujour. d’hui. « Les
maux
accumulés dont j elais accablés « sont affaiblis
erie des prétendus magnétiseurs, exploitant à l’aide du somnambulisme
mal
développé, la crédulité des personnes trop empres
la persévérance nécessaire; car sans cela on ne ferait que pallier le
mal
: il faut aider la nature aussi longtemps qu’elle
les est à peu près aussi certain que s’il s’agissait de leurs propres
maux
; les liens d’affection semblent y être pour quelq
eau magnétisée, ajoute-t-il, a cet avantage, qu’elle ne peut faire de
mal
, qu’elle passe facilement, et que les malades la
écouvrit à Salomon plusieurs sortes de mélodies, suivant la nature du
mal
que l’on voulait dissiper. Elien (6) nous apprend
inutilement, par tous les moyens connus, de calmer ou de déplacer le
mal
. Au mois d’août 1848 , la paralysie envahit le
cin- quante dans les vingt-quatre heures. Les médecins regardant le
mal
comme incurable, se bornent à l'emploi des calman
é aux lieux dont elle fut bannie, remonterait avec elle le courant du
mal
et lui ferais toucher successivement tous les riv
la tirer du lit et l’asseoir sur un fauteuil; mais elle, se trouvera
mal
les premières fois. Elle marchera, le icr avril,
pour que cette voie de compensation d’un peu de bien pour beaucoup de
maux
me fût ouverte, que la justice des hommes sortît
la cause : hier, à huit heures du soir, Eugénie s’était trouvée fort
mal
à son aise; on s’aperçut bientôt qu’il n’y avait
magnétisât pas sa malade, « parce qu’on pouvait lui faire beaucoup de
mal
. » Rien pouvait beaucoup !.... On la magnétisa, c
yennant une somme de 5o francs, voulut bien se charger de détruire le
mal
. Remettant à la jeune fille une petite fiole plei
st un esprit que ma science somnambulique enverra pour arracher votre
mal
, etc. » Adélaïde suivit les prescriptions de la
cusatrices que quelques mouchoirs, dont elle expliquait tant bien que
mal
la possession. Cette femme fut laissée en liberté
hement, 485. Extraction de glandes, 518. § II. Cas de médecine. —
Maux
et affections guéris ou soulagés par le magnétism
712, — par l'eau, 714, — par la salive, 719, — par la musique, 720.
Maux
communiqués sympathiquement du malade au somnambu
, 210, 250, 446, 613, 654, 747, 758. — Communication sympathique de
maux
. 219. — Erreurs dessom-nambules, 452. — Extase, 2
ait été tout à rebours, et avec une rare inintelligence, ce qui cadre
mal
avec ce que M. le professeur Liégeois nous appren
ossible de fournir un travail continu, aussi ses études ont-elles été
mal
faites. En 1883, il eut un ictère simple; on ne r
ut sonore. Cela posé, je découvre l'abdomen et je lui demande où il a
mal
. Il me signale la région qui est à droite de l'om
ropager quelquefois vers Thypogastre, et quand vous urinez, vous avez
mal
. L'enfant répond enfin que la douleur s'étend que
derrière toi. et tu iras au tableau noir où tu écriras : Je n'ai plus
mal
au ventre, ni à la poitrine. Cela dit, je vais le
e que son organisation native lui donnant la conscience du bien et du
mal
, lui suggère une répugnance instinctive pour le m
nce du bien et du mal, lui suggère une répugnance instinctive pour le
mal
! Mais il est des sujets qui sont nés sans consci
ce, ou qui n'ont pas reçu les bienfaits d'une éducation coercitive du
mal
! Ceux-ci résisteront-ils aux suggestions d'actes
e, au début de sa carrière, je ne dis pas d'hypnotiseur, le mot sonne
mal
, mais de psychothérapeute, on se laisse facilemen
Bornéo, masse son client durant de longues heures, jusqu'à ce que le
mal
se décide à partir. Quelle suggestion pour l'opér
de lui ouvrir la bouche. Il lui jeta alors dans la gorge une liqueur
mal
odorante, lui injecta de l'eau-de-vie dans les na
i courent les hôpitaux de ville en ville pour se faire débarrasser de
maux
imaginaires. La quatrième variété comprend des
ue n'a jamais été observé. Il est très difficile, dans l'hypothèse de
mal
comitial larvé, d'admettre cette conscience si lu
de toute sa vie, il ne ressentit plus aucune atteinte de ce terrible
mal
. » C'est une de ces guérisons d'attaque hystéri
de s'être refroidi, depuis deux ou trois jours, il aurait eu déjà un
mal
de tête frontal et à la nuque persistant encore a
ventre, surtout à l'aine droite et dans la région rénale. De plus, le
mal
de tête a reparu hier soir. Il résiste aux tentat
s les membres inférieurs. Hier et avant-hier, il a eu constamment son
mal
de tête frontal et occipital ; il a essayé de se
tive, plus il démontre et affirme d'un ton tranchant qu'il a toujours
mal
. Devant cette fin de non recevoir, devant ce pa
donnons dans ses propres idées. Le lendemain, 17, il trouve que le
mal
de tête n'a pas diminué, mais il a moins de verti
ur en urinant. Le 18, il dit qu'il a pu dormir la nuit, il n'a plus
mal
en urinant, le mal de tête est moins violent. Il
18, il dit qu'il a pu dormir la nuit, il n'a plus mal en urinant, le
mal
de tête est moins violent. Il a eu hier dans l'ap
ve, hier, pendant le sommeil, Ta piqué avec une épingle et lui a fait
mal
. Je n'insiste pas, et je dis : a C'est inutile. J
cer la chose. Le 20, même état. Il me raconte qu'il y a deux ans un
mal
de tête analogue a disparu, après qu'il eut pris
tes. J'évite d'ailleurs de les réveiller par la pression. Le 22, le
mal
de tête disparait un peu; la douleur de ventre a
st plus sensible à la pression. Continuation des pilules. Le 23, le
mal
de tête est un peu passé, ainsi que le mal de ven
n des pilules. Le 23, le mal de tête est un peu passé, ainsi que le
mal
de ventre. Mais il accuse, depuis le 2i, une doul
ême état les jours suivants. Le 26, il dit que depuis avant-hier le
mal
de tête est revenu malgré les pilules. De plus, i
vant-hier le mal de tête est revenu malgré les pilules. De plus, il a
mal
au larynx quand il respire. Les douleurs dans les
maladie tire à sa fin. 28. Hier, le malade accusait de nouveau son
mal
de tête et ses douleurs de mollet. Aujourd'hui, p
é nerveuse de certains malades, à la faveur aussi d'une thérapeutique
mal
appropriée à l'état psychique, que je ne puis m'e
contracte ses traits. Au réveil, son premier mot est qu'il a toujours
mal
; il semble irrité de ce que j'ai l'air de su
ns leregard un fluide magnétique capable de soulager presque tous les
maux
; qu'il se borne à pratiquer, en s'entourant d'un
lui ar rivent spontanément ; l'instrument faussé reste muet 01 répond
mal
. Il y a d'ailleurs des transitions de tous degréi
ormis de nouveau en sommeil profond et lui suggérai la disparition du
mal
de tête, de l'oppression, des quintes de toux, le
toux, le sommeil toute la nuit. Au réveil, elle n'avait plus son
mal
de tête et se sentait comme desserrée. La nuit su
s, intermédiaires aux trois états classiques et qui ont été longtemps
mal
définis et entourés d'une grande obscurité? Ces
e contient une part de suggestion ; de nombreux auteurs, interprétant
mal
l'opinion du savant nancéen. crurent qu'il contes
omme nuisible et de mauvais exemple. Elle déchire et casse tout, fait
mal
tout ce qu'elle fait : « C'est plus fort qu'elle
pas et qu'elle en a le dégoût, qu'elle ne peut plus faire ce qui est
mal
et qu'elle ne le veut pas, qu'elle veut-être une
mieux en mieux, qu'elle ne pourra ni ne voudra plus faire ce qui est
mal
; je répète, en quelque sorte, mes suggestion à l'
e son misérable état; elle dit que « c'est plus fort qu'elle de faire
mal
. » — L'impulsion est évidente. — Maltraitée plus
qu'il faut distinguer de la nausée et qui peut être la seule forme du
mal
de mer ; l'angoisse laryngée, gutturale, celle de
t disparait, mais le vertige ne cesse guère. Par moment la marche est
mal
assurée, déviée, les promenades à cheval sont aba
. « La loi s'y trouve complètement exposée, ainsi que le bien et le
mal
des actions, et les immémoriales coutumes des qua
ité de l'Ecole dentaire montre qu'en dehors de l'ingérence si souvent
mal
comprise de l'Etat, l'initiative privée peut souv
fisants contre la permanence de la cause physique d'où venait tout le
mal
. Ma conclusion de ce qui précède, c'est que, un
'ai pu le faire, elle m'a dit : « Je ne sais pas ce qui me pousse à «
mal
faire, c'est une volonté plus forte que la mienne
i je recommence « et pourtant je ne voudrais pas, je sais que je fais
mal
et je le « fais quand même ; je me sens énervée,
facilité, par la suggestion hypnotique. Si telle est l'origine du
mal
de notre intéressante dipsomane, ou plus exacteme
a course, il plut beaucoup, X... se mit souvent à la fenêtre etdormit
mal
. Il se leva le matin vers six heures et voyant qu
ressent des troubles gastriques qui provoquent un état d'hypocondrie
mal
défini. Quelques phobies apparaissent, se renforç
phobies est quelque peu complexe. Le traitement pharmaceutique a été
mal
supporté, la suggestion directe ne peut lutter, d
umatismes psychiques qui ébranlent et qui sont plus à redouter que le
mal
lui-même, car ils le renforcent bien souvent. M
peut avoir affaire à des auto-intoxications qu'un travail musculaire
mal
réglé augmente. Si un exercice modéré tonifie, un
t deux années environ. Au bout de ce temps, vaincue par la force d'un
mal
qui allait croissant et qui menaçait de détruire
aussi qu'en rentrant chez lui, il fut pris avant d'arriver d'un fort
mal
de tête, il vit passer un brouillard devant ses y
que. Mais si l'on veut tenir compte qu'au moment de l'apparition du
mal
comitial, cette fille n'avait pas moins de dix à
le feu et avait eu la figure elles mains horriblement brûlées, que ce
mal
fut combattu avec succès par le bromure à hautes
soir ; puis, apercevant son frère, se jette sur lui pour lui faire du
mal
. Quand j'arrive, la crise dure depuis 3 ou 4 he
de Dumas cette individualité, cette personnalité, qu'on aura bien du
mal
a remplacer... (Chronique médicale) CHRONIQUE
isité M. Hanquet ; j'avais cru, comme beaucoup d'autres médecins, son
mal
incurable, et, en novembre 1866, je lui délivrai
t les Chambres législatives belgés, p. 69. Paris, Félix Alcan. le
mal
s'étalait aux yeux, on ne peut admettre que les h
re par écrit. Je copie sa réponse: « J'étais atteint d'un violent
mal
de tête et dérangé de l'estomac. Je ne ressentais
mbes. Ceci avait commencé le 12 août 1880. Le 15, dans la matinée, le
mal
de tête allait mieux. Vers il heures du matin, je
tique vraie. La troisième s'est suggérée qu'elle devait avoir le même
mal
au même âge que sa sœur, et le second frère, par
a figure et les arrêtait ainsi. Quand, à 17 ans, il comprit que son
mal
dépendait de celle coutume fâcheuse, il s'abstint
e, il jeta le cri initial, mais, à ce moment, le désir de dominer son
mal
le lui fit réprimer, étouffer, ne voulant pas rév
désespérer, soit parce qu'il ne leur avait pas exactement défini son
mal
, ne combattirent que mollement son projet. Ce f
défini son mal, ne combattirent que mollement son projet. Ce fut un
mal
, car avec les plaisirs du mariage, goûtés sans di
qui restait des anciennes crises. Bientôt les derniers vestiges d'ua
mal
si ancien et bien réel (X... avait été réformé au
excitations amoureuses se modérèrent. Il eut, avec la disparition du
mal
, plus d'entrain, plus de confiance en lui-même. E
ne des causes pour laquelle l'onanisme est fréquemment atteint par le
mal
sacré, c'est la facilité extrême avec laquelle il
clatera rapide comme l'éclair. Au résumé, l'étude de cette cause du
mal
comitial ne présente rien d'extraordinaire et je
décharger. Les premières paralysent les secondes, elles triomphent du
mal
et le refoulent encore une fois ! Et ce qui dém
, alors que le plus souvent elle ne fait que soulager, que masquer le
mal
. D'où vient cette différence? On n'en sait rien,
é raide, douloureux et sans force ; cet ouvrier avait beaucoup de
mal
pour mettre sa main sur la tête ; il ressentait a
malades de ces avantages. Ces cas sont surtout ceux dans lesquels le
mal
semble plutôt moral que physique, et cependant je
temps, abandonnés à leur malheureux sort et, dans ces conditions, le
mal
ne fait qu'augmenter et s'aggraver de jour en jou
les autres, il accuse les circonstances, il s'accuse lui-même de son
mal
; mais il ne pense pas qu'il lui soit possible de
ades prennent un plaisir étrange à entretenir en eux la cause de leur
mal
, et font d'une façon plus ou moins consciente, to
comme des malades, mais on les accuse d'être elles-mêmes la cause des
maux
dont elles souffrent, et au lieu de les plaindre,
qu'elle n'accuse jamais M. X., elle invoque une cause étrangère à ses
maux
, elle cherche, au contraire, toujours à l'excuser
e. Il y avait donc urgence à la traiter immédiatement et à arrêter le
mal
avant qu'il ait pu faire des progrès plus considé
st méchant volontairement, enseigne la doctrine socratique ; faire le
Mal
c'est ignorer le Bien; pour tendre au Bien il fau
njustice est involontaire. Dans le Sophiste : « Il y a deux sortes de
maux
de l'âme. L'un, quiest appelé par la foule méchan
e, mais tout en connaissant le bien et en le voulant on peut faire le
mal
: « Celui dans la moelle « duquel s'engendre un s
une âme malade et insensée par la faute du corps, il c est considéré
mal
à propos comme un homme volontairement « mauvais.
vec le moyen âge la théologie remplace la philosophie : le bien et le
mal
deviennent l'œuvre de Dieu et du démon avec l'hom
ès par la suggestion hypnotique Par le D' Auguste Voisin. Etat de
mal
hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations
s ans, par des ctourdissements suivis dc perte dc connaissance et des
maux
de tète. Du côté des parents, aucune tare. Ce
nts névropathiques, agit sur son moral, détourne son attention de son
mal
en la reportant sur une affection fictive de l'ut
é, à la prison, à la flétrissure, il pourra peut-être, comme un arbre
mal
venu, être redressé et devenir ce qu'on appelle u
22 ans, atteinte de troubles moraux et d'impulsions irrésistibles au
mal
. Celte malade, , qui s'était jusqu'alors montrée
n mari qu'elle épousa en octobre 1883. Le ménage ne marchait pas trop
mal
, sauf quelques ennuis jusqu'en 1887, année où son
eut ses premières hallucinations ; elle entendait les voisins dire du
mal
d'elle; elle se disait persécutée. En 1890 et 189
j'ai déjà eu maintes fois l'occasion d'appliquer, c'est-à-dire : « Le
mal
produit par la suggestion maladroitement ou crimi
té que son fils était toujours accompagné, à Oran, par un jeune homme
mal
famé, un certain B— Celui-ci avait un empire imme
ue B... était son ami, qu'il ne souffrirait pas d'en entendre dire du
mal
, etc. Tout cela, combiné avec les précédents de
de Tantipyrine, par exemple, empêcher à tout jamais le retour de leur
mal
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séanc
rf médian (?). « On dirait qu'on me coupe le bras ou bien que j'ai un
mal
qui va aboutir. » Cette douleur, lorsqu'elle est
postérieure de la tète, puis descendant le long du cou : « Ça me fait
mal
comme des bourdonnements dans la tête, » Grâce à
série d'accidents : 1° Convulsions affectant les allures d'un état de
mal
; — 2° Hémiplégie consécutive compliquée générale
nce. Ces accès, par leur continuité, constituent un véritable état de
mal
, accompagné d'une élévation souvent considérable
e remarque rien autre chose que les symptômes ordinaires de l'état de
mal
épileptique, avec limitation toutefois des convul
se plaint de douleurs assez profondes dans le bras paralysé, à trajet
mal
défini; — le pouce n'est plus fléchi comme autref
sivement. A l'âge de 25 mois, Per... est prise d'un premier état de
mal
convulsif; les convulsions qui ont duré neuf heur
aurait commencer à se montrer. A quatre ans et demi, nouvel état de
mal
convulsif pendant 4 ou 5 heures ; limitation des
e temps du retour de la roideur. Enfin, à cinq ans, troisième état de
mal
qui dure douze heures et dans lequel les convulsi
néral au membre supérieur, de même que les commuions durant l'état de
mal
. Parmi les autres phénomènes qui se surajoutent
ré cela, elle a marché à 16 mois. Les convulsions, durant cet état de
mal
, ensuite pendant les accès, ont toujours occupé l
nous avons dit qu'on l'avait observée 15 ou 20 jours après l'état de
mal
; à cet égard nul doute : la mère assure que « l'
veiller, il peut arriver qu'elle tombe de son lit et qu'elle se fasse
mal
. è) Elle a ensuite des battements de cœur, et c)
e nous avons relevés dans les autres observations, à savoir : Etat de
mal
con-vulsif primitif, hémiplégie consécutive, épil
tose ? Dans ce cas, elle s'est montrée 15 ou 20 jours après l'état de
mal
convulsif. On l'a notée quand les mouvements ont
s du côté sain. Nous avons, jusqu'ici, passé en revue : 1° YEtat de
mal
convulsif; 2° Y Hémiplégie consécutive et Y Athét
ques jours, quelques semaines ou au plus quelques mois après Fétat de
mal
convulsif qui a produit la paralysie. Des sympt
, par accident exceptionnel, les accès prennent l'allure d'un état de
mal
, comme nous l'avons vu chez Pet... Marie (Obs. in
sie ordinaire, peuvent être isolés, sériels, ou constituer un état de
mal
. — Toutefois, nous devons faire une remarque très
souvent dans cette dernière, à savoir l'existence simultanée du grand
mal
(accès) et du petit mal (vertiges), clans Yépilep
ère, à savoir l'existence simultanée du grand mal (accès) et du petit
mal
(vertiges), clans Yépilepsie hémiplégique, les ve
ait de souffrir au creux de l'estomac, elle disait : « Maman, j'ai du
mal
! » La face devenait très-pale, la connaissance d
. T... appellerait Finir* mière, dirait : Marie ! Marie ! je suis
mal
... Je suis mal... ! Et il s'écoulerait un temps a
ait Finir* mière, dirait : Marie ! Marie ! je suis mal... Je suis
mal
... ! Et il s'écoulerait un temps assez long pour
role est embarrassée, peu développée: il est des mots que T. prononce
mal
; d'autres qu'elle est impuissante à dire. Elle pa
15 ou 20 ans. La lésion primitive, qui s'est traduite par un état de
mal
convulsif, une hémiplégie, etc., a déterminé un a
qu'avec moins de rapidité que ceux qui sont sujets, de plus, au petit
mal
. Ces malades ont un caractère moins désagréable
aucune souvenance de ce qui s'est passé. Elle se plaint d'avoir plus
mal
à la tête que ce matin. Disons à ce propos, que,
t un temps plus ou moins long. Du 15 au 26 septembre, petit état de
mal
hystérique. — 15 et 16 septembre, secousses. 2
les accès se multiplient, au point de constituer un véritable état de
mal
. Alors, la température ne dépasse guère 38°,5 ; l
en qu'hébétée, ne tombe pas dans le coma ; tandis que, dans l'état de
mal
épileptique classique, la température s'élève rap
vessie et de Vurèthre). On retire environ deux litres d'urine. V... a
mal
dormi, souffrait du ventre ; il en est souvent ai
attaques se montrent généralement par séries, constituant un état de
mal
hystéro-épileptique. Nous avons vu que V... avait
ugmentation des mouvements choréiques. Plusieurs fois, ces états de
mal
hystéro-épilep tiques ont laissé après eux des tr
donnant lieu, à son tour, à une rétention d'urine. Le dernier état de
mal
a laissé une paraplégie incomplète avec incontine
nte quelquefois à l'approche des attaques et surtout après un état de
mal
hystéro-épileptique ; d'autres fois, au contraire
.., auquel ceile-ci l'avait en quelque sorte livrée.Lepèrede L... est
mal
avec sa femme, ne veut pas qu'on lui parle de sou
dans le côté gauche. 6 juin.— L... a eu plusieurs fois des états de
mal
hystéro-épileptique. Ce matin, elle a été prise à
chon!... Je le dirai à papa... Cochon! que tu es lourd!... Tu me fais
mal
.» En même temps, elle a quelques petits mouvement
né l'exemple... Je ne comprends pas que tu dises que je tombe du haut
mal
... Je suis contente de te voir, pour avoir des no
ds ! » L... a peur ; elle pleure ; demande qu'on retire ces ani
maux
, se débat. Nous comprimons la région ovarienne dr
ses dans les membres du côté droit. En voulant boire, elle s'est fait
mal
aux dents ; en descendant les escaliers, elle est
. Je ne le peux pas... G est impossible. . . Et puis, non ; je ferais
mal
et papa me gronderait. .. Ensuite, j'ai M. C...;
qu'il me tuerait... Je vous dis que c'est lui qui veut... 11 me fait
mal
... Il dit que plus tard ça me fera du bien. . . P
ne boirai pas 1 (Elle serre les dents). Oh ! vous m'avez fait trop de
mal
... non, vous n'y arriverez pas. » (Elle croise én
ons que les attaques se montrent par séries, constituant des états de
mal
hystéro-épileptiques et que la malade a été, à ce
borne même à cette seule variété d'attaques, constituant des états de
mal
hystéro-épùeptiques. Aussi, des personnes, peu au
us les yeux de véritables accès d'é-pilepsie, ou un véritable état de
mal
épileptique. Or, il n'en est rien, et parmi les s
e reste à 38° ou 38°,5, tandis que si l'on avait à faire à un état de
mal
épileptique elle atteindrait 40°, 41° et môme 49°
X..., sous une forme comparable jusqu'à un certain point à l'état de
mal
. On se rappelle que celui ci se compose, à son pl
ïes. — Début des grandes attaques (16 ans). — Alastody-nie. — Etat de
mal
hystéro-épileptique. — Hémianesthésie droite.— Ré
llait que sa mère se levât pour la rassurer. Souvent,elle se trouvait
mal
pendant 3 ou 4 minutes (attaques syncopa-les). En
nt le jour ; elle vaguait avec les autres enfants du voisinage, était
mal
soignée, nourrie irrégulièrement et ne fréquentai
pas... J'irai le sauver... (Effroi). Il vient encore pour me faire du
mal
, celui-là... tout uniment pour ça... » A... crie,
n'a pas été complète et que la malade est encore sous le coup de son
mal
. Les attaques se présentent par séries, durant
us pratiquons la compression : G... se réveille. — « Vous me faites
mal
, dit-elle. » — Qu'avez-vous ? — « Je ne puis le d
toute meurtrie et » livide ; toute noire et plombée ; toute gâtée et
mal
» accommodée, sans sçavoir d'où pouvoient venir m
76, 78, 82, 86; — Contracture, 75, 77; — Convulsions, 69; — Etat de
mal
, 84, 88; — Pronostic, 68. — Température, 74, 84,
ant les accès, 32. Erotisme, 79, 162, 164, 210, 219, etc. Etat de
mal
hystérique, 78, 80 ; — Température, 78; — épilept
un certain nombre de scolioses qui n'ont pas d'autre origine. Si le
mal
est observé à son début, une talonnette qui exh
t à des « mamelles », avec mamelon saillant ; organes génitaux nor-
maux
; intelligence moyenne. (Fig. 1.) 5. OTTO, 1841
he totalement absent; membre inférieur droit représenté par un pied
mal
conformé, directement articulé avec le pelvis.
sa mère, âgée de 30 ans, avait eu une grossesse et des couches nor-
males
. L'enfant pesait 2250 grammes et paraissait en
palpation de l'avant-bras montre que le squelette du coude est nor-
mal
, on sent très bien l'olécrane et la tête radiale
à sang froid, or qui ne sait que la propriété de repousser est nor-
male
chez le salamandre par exemple, ou encore dans le
droite, la forme de la phalangine se rapproche davantage de la nor-
male
; elle est plus longue que la symétrique, et légè
ils regardaient comme avilissant. Cependant, pour ne parler que des
maux
les moins graves, mais non pas des moins doulou
s guérisseurs des pauvres diables en quête d'un soulagement à leurs
maux
. Leur chirurgie rudimentaire était quelquefois
s, au temps d'Adriaen Brouwer et de David Teniers. Dans une chambre
mal
éclairée, aux murs enfumés et décrépits, sous un
x de trouver, pour une maigre obole, quelques soins grossiers à des
maux
exaspérants. Ils entrent en clopinant, appuyé
ed dou- loureux et se penche pour regarder de plus près le siège du
mal
. ' Alors, selon qu'il s'agit d'une excoriation,
touri ou scalpel, méthode palliative qui n'atteint pas la racine du
mal
et ne met pas à l'abri des récidives. Puis l'
vieilles et nouvelles, ulcères, écrouelle, cancer, noli me langere,
maux
des mamelles, chancre, -morsures de chiens enra
implicité, s'ins- pire aussi bien des chagrins que des liesses. Les
maux
du corps ne les laissent pas indifférents. Pl
sans souci de la taloche que lui vaudra tout à l'heure cet onguent
mal
fondu. Les accessoires restent conformes à la t
le remède n'est pas plus dou- loureux ni même plus dangereux que le
mal
! Ne cherchons pas à connaître le caustique emp
rsale du pied. Jeune, le nez crochu, les lèvres minces, les cheveux
mal
frisés, il'est t coiffé de l'inévitable bonnet
loupes, servaient à concentrer les rayons lumineux sur le siège du
mal
. Nous les retrouverons dans presque tous les tabl
bitude sans acci- dent aucun. Dans la nuit du 13 au 14 juillet le
mal
reparut : sept attaques consécu- tives. Cette f
fait est affirmé par plusieurs personnes qui ont vu M... en état de
mal
). Enfin, ce joui--là, M... se mordit t plusieur
bintrantes; le malade tomha du premier coup en un véritable état de
mal
permanent. C'étaient de grands accès épileptiqu
èrent de nouveau, M... reprit connaissance et sortit de son état de
mal
, brisé, abattu; mais cette fois encore guéri, e
CÉRÉBRALE 79 une violence inouïe, et le malade succomba en état de
mal
dans le courant de la nuit, sans avoir recouvré
n ait quelque chance de rencontrer cette lésion à la surface. Si le
mal
est profond, la crâniectomie est inutile et les
pour faire disparaître les douleurs comme pour prévenir un état de
mal
d'où peut résulter la mort. Cette conclusion -
bles sensoriels d'aucune sorte. La vue, l'ouïe et le goût sont nor-
maux
; les pupilles réagissent bien à la lumière et l'
de l'index, ce qui permet d'imprimer au doigt des mouvements anor-
maux
. Atrophie considérable des émiuences thénar et hy
st pris d'angoisse. « Si vous continuez, dit-il, je vais me trouver
mal
. » Et effectivement il s'agit là d'une véritable
mmes. Leur volume est sensiblement normal. La capsule se décortique
mal
. Par places, existent des kystes. La substance co
érations diffuses des cellules des tubes contournés qui se colorent
mal
en général. Les glomérules sont peu atteints. L
eurs au niveau du foyer, par progression du foyer tuber- culeux, le
mal
de Pott est encore susceptible de provoquer une s
, m'est amenée de temps en temps, depuis environ une année, pour un
mal
de Pott dorsal moyen en voie d'ankylose. Ce m
ne année, pour un mal de Pott dorsal moyen en voie d'ankylose. Ce
mal
de Pott a débuté à l'âge de 7 ans 1/2. Il parait
us dorsal nécessité par son affection. OBs. II. -Le second cas de
mal
de Pott dans lequel j'ai constaté l'exis- tence
eune femme, de vingt-cinq ans environ, hystéri- que, et atteinte de
mal
de Pott dorsal moyen avec gibbosité et crises d
ose osseuse ou articulaire. Lorsqu'elle survient dans le cours d'un
mal
de Pott, elle peut exercer une influence fâcheu
on pied droit sur un escabeau, se penche en avant pour regarder son
mal
et soutient sa jambe sur ses mains croisées.
lies de quelque liquide bienfaisant. Sur l'une d'elle se lit, assez
mal
d'ailleurs, le mot Rose ou Rosat. Nous n'insiston
ins croisées (Fig. 3). Les accessoires n'ont guère varié : fauteuil
mal
équarri auquel est ac- croché le chapeau du mal
ppuyé sur un bàlon. De piètre mine, misérablement vêtu, coiffé plus
mal
encore d'un feutre gris déformé, ce n'est pas pou
attendant son tour, ému à la pensée qu'il souffrira bientôt le même
mal
, sa vilaine moue exprime bien la répugnance aux
nche fait le tour de son cou. Mais la face est vulgaire et la barbe
mal
soignée. (1) N° 141 du Catal., B. H., 38, L. 27
e de bésicles énormes, la poitrine ornée de colliers de molai- res,
mal
éclairée par une petite lampe fumeuse, applique s
ans les rues, disoit sans cesse : « Je tire les cors des pieds sans
mal
ni douleur. » Je ne sçais s'il exécutoit sa prome
'il exécutoit sa promesse ; mais s'il le faisoit, on le payoit fort
mal
, car il étoit très mal vêtu et pa- roissoit for
se ; mais s'il le faisoit, on le payoit fort mal, car il étoit très
mal
vêtu et pa- roissoit fort gueux. S'il avait eu
sement mettre il profil la crédulité populaire, en prônant, pour des
maux
souvent intolérables, un remède facile et à bon
ETTE ET A. CHIPAULT tique efficace contre ses accidents trophiques (
maux
perforants, etc.), ainsi que l'un de nous l'a r
établissement hydrothéra- (1) A. CIIIP.1ULT. De la cure radicale du
mal
perforant par l'élongation des nerfs plantaires
iquée. Restent les ataxiques parvenus à la deuxième période de leur
mal
, en voie d'incoordination, chez lesquels l'affect
atalement voués à une évolution progressive et assez rapide de leur
mal
: chez ces ataxiques, de tous les plus nombreux
BOIX mité au pied droit. Chez la première de ces dames, le siège du
mal
est à' l'indicateur. La conformation angulaire
p. 421, citât. Raymond). (4) RAYMOND. Des myoclonies in Clin, des
mal
. du syst. nerv., Paris, 1896, p. 556. 222 GRASS
l'habitude » et que les Allemands l'appellent aussi d'un mot « pas
mal
choisi » une maladie de l'habitude (Gewolm- hei
l'infantilisme se présente à nous sous des aspects très variés, assez
mal
dé- finis et le plus souvent mal décrits. Le
ous des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent
mal
décrits. Le problème est actuellement beaucoup
par Brouardel et par les élèves de ces deux maîtres sont des êtres
mal
venus, retardataires à tous égards, de petit es
ignorons si le corps thyroïde avait conservé des proportions nor-
males
; mais tout fait croire qu'il était atrophié co
rgnait aucune génération, on voyait beaucoup de ces êtres rabougris,
mal
venus et à courte vie,que le dialecte local désig
e, ce qui est le cas pour les malades des hôpitaux, qui, indigents,
mal
soignés chez eux, nous arrivent pour être placé
egretté maître M. Charcot, Arch. de physiol., 1868, et Leç. sur les
mal
. du syst. nerveux, t. I). Ces arthropathies sont
ces concernant la structure fine de la cellule nerveuse l'état nor-
mal
ou pathologique. Le succès du développement de ce
x membres inférieurs et à la tête; en même temps sa démarche devint
mal
assurée. : En dernier lieu,sa mémoire s'est beauc
up affaiblie ; en outre le malade se plaignait souvent qu'il voyait
mal
. Il avait aussi des hallucinations telles qu'en
nt tenté de se sous- traire à la mort et qu'ils avaient déblayé pas
mal
de terre (Pl. XXXVIII). Non loin de cette cave,
de l'infortuné Job et que leurs cuisantes morsures s'ajoutèrent aux
maux
de toutes sortes dont le malheureux'fut accablé.
pattes est assez fantaisiste, mais leur forme générale n'est pas trop
mal
indiquée. L'image avait en effet une portée sci
re plus asymétrique et en même temps elle est gravement atteinte du
mal
comitial. Nous ne vous dirions rien de ses accè
K. Mitchell relate deux cas d'arthropathies spi- nales au cours du
mal
de Pott ; dans l'un d'eux (mal de Pott lombaire)
arthropathies spi- nales au cours du mal de Pott ; dans l'un d'eux (
mal
de Pott lombaire) le genou d'un côté, le cou-de
r d'une hanche, du genou et du cou-de-pied opposés ; dans l'autre, (
mal
de Pott cervical), ce fut le poignet qui fut atte
la lésion spi- nale amenèrent la résolution. Dans le cas de Bail (
mal
de Pott également) on vit à plusieurs reprises
mort. Tel peut être le cas de Vincent, myélite aiguë au cours d'un
mal
de Pott (cité par M. Talamon) : hydarthrose des
e (caverne a u sommet droit, ramollissement du sommet gauche) et de
mal
de Pott dorsal, paraplé- (1) Union médicale, 18
sie en notre ab- sence ; nous apprîmes seulement la confirmation du
mal
de Pott. Conclusions : Il ne s'agissait pas d'a
fils : Arthro- pathie du genou droit, aiguë au début, au cours d'un
mal
de Pott. (2) Thèse agrégation médecine, 11. 3
ste un noevus vasculaire sous le sein gauche, que les oreilles sont
mal
ourlées à lobule adhérent et que le tourbillon
ccomplit seul, elles furent régulièrement escamotées, tantôt par un
mal
de tête opportun, tantôt par une visite à recev
obtenues. Le malade nous disait que depuis long- temps il se tenait
mal
, que son métier de typographe en était cause. Quo
du début sont en partie répétés à chaque séance, et tout mouvement
mal
fait est recommencé et travaillé à nouveau dans
ire les séan- ces prescrites ; le lendemain il s'en est un peu plus
mal
trouvé : et cette ex- périence qu'il a faite à
de lointains méfaits, on oublie- rait volontiers de se garder d'un
mal
qui paraît aujourd'hui fatalement condamné à s'
ardée comme l'affection la plus re- doutable pour l'homme, comme le
mal
devant qui les plus pitoyables hési- taient à s
r leur passage, à la porte du Temple, la créature qui, frappée d'un
mal
irrémédiable, n'attend plus de secours que de la
t de malades implorant un miracle pour obtenir la guérison de leurs
maux
. On y voit un aveugle, - un infirme appuyé sur
le nez, les yeux, les lèvres ont presque disparu, dé- vorés par le
mal
rongeur, et qui tend en avant les moignons nus de
irs sanguinolentes par de grossiers pansements ; chez le second, le
mal
est de date plus ancienne et des cicatrices bien
s mois plus tard la main tout entière, et qui, par les progrès d'un
mal
en- core incurable, savaient leur corps fatalem
e d'un linge, son nez et ses lèvres semblent à demi rongés par un
mal
qui nous paraît bien être la Lèpre. L'oeil lui-
ir les contours, la peinture étant détériorée à cette place et fort
mal
éclairée. On devine cependant à leur position
neu- sement fait, mais qui, malheureusemenl, dissimule la nature du
mal
, ulcère ou plaie, qui n'est pas nécessairement
barbe clair- semée. En outre, il louche horriblement. Tant bien que
mal
, ce loque- teux se tient debout à l'aide d'une
t les images pieuses fixées sur son bonnet. 442 HENRY MEIGE Son
mal
, s'il n'est pas imputable à la Lèpre, est cependa
antes et de tubercules saillants ; son nez est à demi dévoré par le
mal
, et ses lèvres rongées ne parviennent plus à cach
e pied gauche, tuméfié, informe, a cependant gardé sa position nor-
male
; mais le droit, à la suite de je ne sais quelle
, mettait au ban de la société. Comme le lépreux d'Albert Durer, le
mal
est reconnaissable à deux signes caractéristiques
cement du XVI, siècle). MATTHIAS GRUNENALI), dont la vie est encore
mal
connue, a laissé des oeuvres en nombre importan
figuré dans l'angle inférieur gauche du ta- bleau, et dévoré par un
mal
horrible, ne serait autre qu'un syphilitique (F
fet de reconnaître un syphilitique dans ce malheureux... L'horrible
mal
est gravé sur tout son corps d'une façon in- dé
os jours dans les formes un peu sévères de la (1) Voy. Difformes et
Mal
. dans l'Art, p. 79 et seq. 456 HENRY MEIGE ma
r une maladie d'importation récente dont les méfaits étaient encore
mal
connus. Une autre remarque permet très bien de
ste dont il fut frappé. Un petit ange mon- tre du doigt le siège du
mal
(2). Au-dessus, Dieu dans une gloire. Dans la
radition qui représente, conformément à la réalité pathologique, le
mal
de Saint Roch, siégeant à la partie supéro-intern
de petits cercles teintés de noir. Les altérations de la face sont
mal
indiquées. Mais les membres sont amaigris et dé
ar leur bruit, les passants de la présence d'un individu atteint du
mal
contagieux. LÈPRE dans L'ART 465 ' Auprès 'de
Mais l'anatomie de ce personnage étant, d'une façon générale, assez
mal
traitée,on ne peut que signaler,sans y insister
le Saint donne son manteau, est peut-être aussi une victime du même
mal
. Son pied mutilé, la déformation de son nez et
peut-être le seul refuge permis aux malheureux qu'avait frappés le
mal
justement redoutable. Dans ce cruel exil, sans
s lorsqu'il survient des modifications im- portantes, en bien ou en
mal
. Quand le malade meurt, ses photographies sont
chette et du couteau; l'appétit est bon, les digestions sont nor-
males
, les selles régulières; il n'y a pas de vomisseme
st à 80; la respiration à 24. La sensibilité générale parait 1101
male
sous toutes ses formes.- L'ouie parait plus dév
ai ; on recommence à le faire marcher. 1or juin. - Hier, il était
mal
en train ; il semble que la peau du côté droit
ituellement en partie hors de cette cavité. Les dents sont petites,
mal
confor- mées, il en manque plusieurs et la plup
t aucuns antécédents héréditaires de maladies, tels que syphilis ou
mal
de Bright, aucun antécé- dent d'alcoolisme, ni
ant sa maladie, elle le mit chez une garde qui l'aurait maltraité.,
mal
soigné, et même fait jeûner. Quand, au bout de
loppés, contrairement à ceux du mollet. Le fond de l'oeil est nor-
mal
. Mentalement, c'était une enfant lourde, ne prêta
Dans un autre cas du même auteur, le corps thyroïde paraissait nor-
mal
. - Dans l'autopsie du cas de Ord, faite par Green
à manger sa soupe il se mit dans une telle colère qu'il se trouva
mal
et qu'on dut aller chercher un médecin ; 2° fau
aquelle les accidents reprirent plus forts que jamais. Il se tenait
mal
sur ses jambes, se cognait à droite et à gauche
isme in- terne très accusé de l'oeil gauche. - L'ouïe semble nor-
male
; en effet, l'enfant tourne la tête quand on l'ap
lutition toujours impossible. 30 juin. L'enfant va de. plus en plus
mal
. Il ne bouge pas, n'avale pas, grimace quand on
lui sont com- muns avec la circonvolution du corps calleux qui est
mal
LÉSIONS DE LA PROTUBÉRANCE. 117 délimitée.
xamen ophthalmoscopique montre le fond de l'oeil pâle et la papille
mal
dessinée à droite. La cornée est insensible de ce
e antérieure. FAITS CLINIQUES. 125 10r mai. La préhension se fait
mal
de la main gauche. La marche s'accompagne de ti
mati- ques de méningite tuberculeuse ; Tuber- culose généralisée;
Mal
de Pott; Par BOURNEVILLE et PILI.IET. L'obser
tions miliaires dans les poumons, le foie, le péritoine et la rate.
Mal
1 de Pott dorsal au début. Sema..., Charles-A
e par des enge- lures. A ce moment, il était sale, gâtait, digérait
mal
et vomissait. Quelques jours avant son départ
il a eu la gourme ; mais ni ophthalmie ni otite (sa soeur a souvent
mal
aux yeux). Il ne toussait pas; n'était pas suje
1 grammes. Le coeur (80 grammes) est sans lésions ; orifices nor-
maux
. Péricarde sain. Abdomen.- Sur le péritoine, pe
ons, on s'est aperçu que l'intelligence était atteinte : il parlait
mal
, ne pouvait fixer son attention, n'écoutait pas
ompagnaient de tremblement; il pouvait parler, mais la parole était
mal
articulée; souvent, on ne le comprenait pas; il
he du corps et cette prédominance se remarqua durant les états de
mal
convulsifs qui survinrent à des intervalles plus
du troisième jour de la naissance, à trois ou quatre mois, il eut
mal
aux yeux et, à partir de deux mois, de l'eczéma
TIQUES. le volume d'une petite olive ; léger phimosis ; méat nor-
mal
. Nombreux ganglions des deux côtés du cou, surt
les contractures paraissent avoir augmenté, les pupilles réagissent
mal
à la lumière. 19 février. Après une nuit calme,
oncée de la face interne. La base du crâne est symétrique et nor-
male
. La quantité de liquide céphalo-rachiclien est lé
de grandes cellules, relativement très peu abondantes, se colorant
mal
par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore
a été hantée par l'idée que l'enfant qu'elle portait pourrait être
mal
conformé et ce fut la première chose qu'elle de
e scrotum inhabité, petit et allongé, a pu être pris pour une verge
mal
confor- mée. Ces différents aspects ne pouvaien
Mén... se levant avec son appareil. (jour : Battements sourds et
mal
frappés; pouls, 112 par minute. - Sensibilité g
urs, mais peu épais, sont symétriques. Le trou vertébral est nor-
mal
. Dure-mère et liquide céphalo-rachidien, rien de
ons les singulières assertions de l'auteur relativement à l'état de
mal
épi- leptique et nous ferons voir qu'il s'est d
nette, en ce qui con- cerne les petites séries d'accès et l'état de
mal
épilep- tique. Conclusions. 1° Les accès isol
partial que, sur ce second point, comme sur le premier, il n'a pas
mal
placé sa confiance en acceptant comme l'express
'épilepsie et l'hystérie, pages 1 à 9h. Paris. 1876. - De l'état de
mal
épileptique, thèse de A. Leroy ; Paris, 1880, p
bsence d'hyperthermie, à distinguer les séries d'accès de l'état de
mal
épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉR
épileptique. Bourneville, 1886. 16 234 TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE
MAL
. III. DE LA TEMPÉRATURE DANS L'ETAT DE MAL ÉPI-
'il pré- tend ajouter à nos connaissances actuelles sur l'état de
mal
épileptique. « D'ordinaire, écrit M. Witkowski,
jours. (1) Ceci est vrai pour quelques cas, mais souvent l'état de
mal
débute brusquement. OPINION DE M. WITKOWSKI.
rile la plus connue des épileptiques, à ce qu'on a appelé l'état de
mal
épileptique, une invasion invariablement etploi
opinions de M. Witkowski, et, en comparant son tableau do l'état de
mal
épileptique à la description que nous avons tra
ous répétons, en fournira une première démonstration. « L'état de
mal
épileptique, avons-nous dit, est ca- ractérisé
t, les notes des pages 2 ? 6 et 232. 236 TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE
MAL
. - ration.; 5° et surtout par une élévation con
ême quand ils ont cessé. » . Nous avons distingué, dans l'état de
mal
épileptique, deux périodes, comme le fait, un p
s, Flg. 23. - Tracé de la température rectale dans un cas d'état de
mal
type, terminé par la guérison. -, T. prise 2 he
s rigoureuses. Nous avons insisté sur la TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE
MAL
. 237 marche, la durée, le traitement et l'ana
la durée, le traitement et l'anatomie pathol9,. gique de l'état de
mal
. De même que M. Witkowski, mais encore avant lu
ue M. Witkowski, mais encore avant lui, nous avons vu que l'état de
mal
pouvait être constitué uniquement par la périod
quement par la période con- Fi r. 35.-Tampératnre dans un état de
mal
limité à la péiiode convulsive. - , T. aussitôt
+ T. 8 heures après la mort. Fig. 25.-Tempéralure dans un état de
mal
terminé par la mort à la période méningiti- q
a mort survenait enfin que dans '23H 8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE
MAL
. d'autres circonstances l'état de mal se termin
8 TEMPÉRATURE DANS l'ÉTAT DE MAL. d'autres circonstances l'état de
mal
se terminait par .la guérison. Nous avons rap
n 1870, l'observation d'une malade, Chevall..., qui a eu un état de
mal
épileptique dans son type le plus parfait. La f
. Quelque temps après, cette malade a été prise d'un nouvel état de
mal
, limité à la période convulsive et auquel elle
centrale, celle de la période convulsive. Un exemple de l'état de
mal
terminé par la mort du- rant la période méningi
arla mort. (fin. 25). L'observation suivante, relative à un état de
mal
qui, comme le second état de mal de Chevall...,
on suivante, relative à un état de mal qui, comme le second état de
mal
de Chevall..., a eu une issue fatale, permettra
riode convulsive. (1) Le nombre des accès qui constituent l'état do
mal
est très variable; il peut être inférieur à 10,
ie légère à la naissance.-Premières convulsions à six mois (état de
mal
).- De six mois à onze ans, fréquents retours de
nt de souffrir du ventre, principalement autour du nombril : « j'ai
mal
au ventre, dit-il. » Lo regard est brillant ; l
a tête est assez régulièrement ovoïde. 242 OBSERVATION. ' ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE. 243 Traitement : Ecole, gymnastiqu
, la gauche un peu plus que la Fig. 26. Température dans un état de
mal
terminé par la mort. , T. 1/4 d'heme ,il). la mor
ance du début de sa courbe ; cetto scis- TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE
MAL
. 249 sure est de nouveau coupée par un pli de p
rale a été prise à des intervalles rapprochés dans ce cas d'état de
mal
, dont la marche a un peu différé des cas ordina
dans Bourneville, 188G. 1 ? -1 250 .TEMPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE
MAL
. son ensemble nous présente une élévation rapid
la fig. 27 ; il montre la marche de la température dans un état de
mal
qui s'est terminé en trente heures. La malade,
écédé la mort. L'abaissement Fig. 27. - Température dans un état do
mal
épileptique limité la période convulsive et ter
a marche de la température dans les principales formes de l'état de
mal
épileptique (2). (1) Voir : Bourneville. - Rech
us ces iniquités. Joignez-vous à nous, qui voulons séparer le bien du
mal
, et nous aurons une tribune du haut de laquelle l
toute démarche; mais dans ce monde rien ne se perd : le bien comme le
mal
se découvre. Un de nos amis, M. Logcroite, qui pa
donner en spectacle dans des conversations, et ils font du bien et du
mal
: du bien, quand les expériences de clairvoyance
les expériences de clairvoyance surpassent l’attente des présents; du
mal
, quand elles échouent. Mais il y a aussi parmi eu
trât dans le sein de chaque famille, car alors nous aurions à côté du
mal
le bien, du malade le médecin, comme l’a très-bie
nouvelle science qui va prendre naissance? Est-ce le bien, est-ce le
mal
qui doit en résulter? Si j’y réfléchis, je trouve
éprouvé des crises de nerfs, d’autres de grands soulagements à leurs
maux
. » Aujourd’hui que le magnétisme a suivi la pro
on lui adresse sur toutes choses; il découvre dans le corps humain le
mal
comme s’il le voyait à travers une gaze, et il in
n’ai pas laissé passer un jour sans opérer le bien, etc. » Faire le
mal
, dans notre pays, est chose facile; mais l'homme
, passementier. — Il y a cinq ans que je suis atteint à la jambe d’un
mal
qui a résisté aux soins des médecins. J’ai vainem
ns les éclairer. Ne m’en veuillez donc point si de ce côté je vous ai
mal
jugé. Après cette réparation, je vous dois un a
ions magnétiques. Voici donc un moyen prodigieux pour le bien ou le
mal
, selon qu’il en sera fait usage ou abus; car si l
e ce changement de direction amena un déluge d’expériences la plupart
mal
faites et point du tout expliquées. Maintenant ce
our de la piscine de Pau où ils cherchaient du soulagement dans leurs
maux
et dans leurs souffrances, avec menace d’être emp
vont pour obtenir du soulagement dans leurs infirmités et dans leurs
maux
? Quant à moi, j’avoue que tout cela m’est surp
soulager librement el à volonté les êtres malheureux qui, dans leurs
maux
eldans leurs souffrances, avaient recours à eux,
ienfaisante d’un respectable vieillard quelque soulagement dans leurs
maux
et dans leurs souffrances. Voilà ce qu’à la pla
ion du chloroforme on craignait la congestion cérébrale ou tout autre
mal
, une application extérieure de cet onguent pourra
es secours de la médecine sans avoir pu arrêter la progression de son
mal
. Tous les 5 ou G jours paraissait une crise qui d
la remarque que je lui lis que dans ce cas cela ne lui ferait pas de
mal
, « C’est vrai, dit-elle, » et aussitôt ses craint
Mais aussitôt qu’il interrompait son traitement les symptômes de son
mal
reparaissaient; enfin après l’avoir repris et sui
suffoquées et s’enfuient; la troisième, la plus jeune sœur, se trouve
mal
, mais bientôt remise à l’aide de quelques passes
en peu de temps, et comme elle souffre sans connaître la cause de son
mal
, elle veut se confier à mes soins. Depuis six sem
puis six semaines elle a une fièvre de cent pulsations par minute, un
mal
de tète continuel, privée de sommeil, sans appéti
us profond que la malade ne le suppose, car elle ne croit avoir qu’un
mal
de tête. J’apprends qu’à tous ces symptômes vient
s yeux ou les oreilles, touchent la partie souffrante, en chassent le
mal
par des gestes et récitent des prières en arabe (
ter sur eux en amulette. De là les talismans el préservatifs pour les
maux
à venir : la peste, l’incendie, le tonnerre et le
uchent et que les articulations aient craqué. Alors il caractérise le
mal
, indique le remède, prononce une prière, et l’opé
tipathie pour une » personne qui ne nous a rien fait ni en bien ni en
mal
; » c’est là encore le fait de ces singuliers invi
r depuis deux jours, trois Séances, — guérison... Garçon de 19 ans,
mal
d’oreille, côté droit, à la suite de fièvres d’ac
tout de suite, mais ce n’est qu’au bout de dix jours qu’elle vit son
mal
, et toute sa gravité. Le 5 janvier dernier, elle
aincus, après que je leur ai indiqué le siège et fait l’historique du
mal
souvent secret qui les inquiète; en cela, je ne p
s inquiète; en cela, je ne puis me tromper, parce que je ressens leur
mal
dès qu’ils m’approchent. En voici assez pour le
seulement avant mon départ, et elle n’a plus été atleinte du moindre
mal
. Elle était au parfait bonheur, et je vous avoue
feuille de papier blanc, lui envoye le remède invisible pour tous les
maux
. » Je dois charitablement apprendre à ceux qui
tre a-t-elle porté ma lettre sur son cœur, parce qu’ayant soulagé les
maux
de madame sa mère, je lui en parlois avec un véri
heté et déposé. Les malades, de leur côté, feront l’exposé de leurs
maux
, de leurs souffrances; le signeront, le cachetter
es de grossières erreurs, des prophéties démenties, des circonstances
mal
décrites, des dates inexactes; mais ceci n’impliq
est grand. Les biens sont faits, les saints vont souffrir. L’homme du
mal
arrive de deux sangs, prend naissance. La fleur b
t six fois vingt lunes, puis disparait pour ne plus parailre. Moult
mal
, guère de bien en ce temps-là : moult villes péri
bre non plein de lunes, Dieu combat par ses deux justes et l’homme du
mal
a le dessus. Mais c’est fait, le haut Dieu met un
e : il n’a pas été saigné, n’a plus eu d’éblouissements, rarement des
maux
de tète, que, depuis lors, il s’enlève lui-même a
ation de la Providence avait été mieux appréciée, le remède à tant de
maux
se fût trouvé dans la main de chacun ; et c’est s
Bor...l. Londres. — M. M...e. — Il y a eu croisement de lettres par
mal
entendu. -Rien de fâcheux. — Envoyé deux fois le
mie, était depuis trois semaines enfermé dans une chambre obscure. Le
mal
ne diminuant point, malgré les soins du médecin q
ême genre, mais avec complication de douleurs d’oreille du même côté,
mal
du sommet de la tête (celui-ci ancien"), et fièvr
vant les cas. Je ne vous dirai pas un mot des migraines guéries, des
maux
de dents calmés, etc.: cela devient trop vulgaire
on des obstacles. Lever ces obstacles, ce serait trouver le remède au
mal
. Mais le moyen de les lever? Voilà maintenant la
surtout par ce prétendu ridicule que quelques gens malintentionnés ou
mal
instruits s’efforcent de jeter sur la pratique du
. On me rapporta que cette femme était affligée d’une complication de
maux
qui la faisaient cruellement souffrir et auxquels
nt qu’elle essaye de faire, et comme complément d’une accumulation de
maux
aussi grande qu’il s’en peut trouver réunis à la
ume d’un œuf de poule ordinaire. Interrogée sur l'origine de tous ces
maux
, elle me dit qu’ils étaient venus à la suite d’un
qui se maintiendrait au siège de la douleur pendant toute la durée du
mal
. Combien nos goutteux désireraient cette paralysi
tait que depuis quelques mois qu’Eslher était ainsi ; qu’avant que le
mal
l’eût si cruellement frappée, elle s’exprimait bi
na. Pendant sept jours il n’avait rien ressenti, mais le huitième, le
mal
avait reparu; Suire était d'abord devenu fort tri
me étendu, amaigri et à la mine sinistre, qui chantait, tant bien que
mal
, des chants religieux. » C’est Suire, disait-on,
tais à la femme Suire, et qui avait grand soin de me les demander; le
mal
diminua d’intensité avec une rapidité qui, d’un i
doivent, nécessairement porter au dehors et expulser le principe «lu
mal
: mais la maladie est trop ancienne et trop invét
des productions vagues de la fantaisie; on se rappellera ici tous les
maux
que des projets hazardés en finances ont produits
arties, soit la cause dynamique de la vie, soit l’agent producteur du
mal
, n’est qu’une prétention illusoire et complètemen
articulière. Je n’en finirais pas si je voulais montrer ici tout le
mal
que peut faire, et que fait !>ien souvent la t
itement une altération organique bien souvent où elle n’est pas. Le
mal
que font les médecins est donc bien grand, quand,
tables disciples d'Esculape, depuis le commencement de l’art, avec le
mal
qu’a causé au genre humain le nombre immense des
de médecins dans le monde. » Mais de ce que des théories fausses ou
mal
comprises font naître des erreurs déplorables et
ui dépasserait la limite de la réaction nécessaire, et aggraverait le
mal
, en changeant ainsi sa nature. Ilahnemann compr
promet toujours, épuisés par les souffrances et par la durée de leur
mal
, ils n’hésitent pas à renoncer aux médecins, puis
’on ne croit le penser. Pourquoi, médecins allopathes, avez-vous si
mal
conduit cette maladie, que vous avez fait passer
rès vous, fait table rase de toute votre pharmacie, de votre régime
mal
combiné, et qui, remettant l'organisme dans des c
porteur d’une affection, ne peut guérir le sujet qui souffre du même
mal
, et que celui dont la tête est saine ne réussira
ence et à laisser entre les mains de tous une puissance de bien et de
mal
. Je ne m’étendrai pas davantage sur le magnétis
ne la reconnaîtra plus. Il restera seulement aux hommes la mémoire du
mal
qu’elle leur a fait et la honte de s être soumis
ute sur une vérité si patente ? Et, si j’ai pu soulager et guérir des
maux
désespérés par des procédés simples comme la natu
nfluence des lieux, des habitudes pernicieuses, et tout ce cortège de
maux
nés des professions et des métiers nécessaires po
ra rétablir la médecine des écoles; car les médecins ont fait plus de
mal
aux hommes que toutes les guerres ensemble. En
’intelligence peuvent saisir l’homme plein de raison; un mot, un fait
mal
compris, la lecture d’un livre écrit avec passion
ns noire cœur la connaissance de la véritable cause de la plupart des
maux
qui affligent les hommes. On accuse la nature et
au premier souffle. Et c'est ainsi que la nature nous châtie par des
maux
qui tendent sans cesse à nous avertir des vices q
quelques hommes timides et peureux toujours disposés à s’exagérer le
mal
et par cela même enclins à rejeter les vérités. R
voulant connaître s'il parviendrait à faire cesser ou à détourner le
mal
qui me tourmentait si violemment. Je ne pus décou
voulus obéir à cet aréopage pour faire cesser le plus (ôt possible le
mal
qui me tourmenlait. Sur ses ordres je me rendis,
s. J’ai accédé à cette proposition, croyant trouver le bien à côté du
mal
, comme cela arrive souvent; mais au bout de quelq
pourtant, il croit, il est entièrement convaincu, il allirme que ces
maux
ont une origine différente, qu’ils ont le résulta
ance de bons ou de mau-» vais génies, scion qu'ils font le bien ou le
mal
. » » Il est plus que probable que l’émir avait
ourraient égarer une foule d’esprits faibles. Indiquer la cause des
maux
moraux, c’est préparer leur guérison. Après ce lo
eux; une barbe de chèvre; la forme du col et » tout le reste du corps
mal
taillé, le corps en partie >i en forme de bouc
e occulte, ce serait l’excuser en partie, mais le plaisir de faire le
mal
. Oui, c’est à cette passion indigne qu’il a tout
é sans pareille pour pousser à cc point la satisfaction de faire le
mal
. A cela je répondrai que s’il ne s’imposait pas c
je ne saurais établir une semblable supposition. Quant à se faire du
mal
autant qu’à moi, il faut bien remarquer cependant
je n’ai plus d’espoir que dans le magnétisme, il est la cause de mes
maux
, mais tout me présage qu’il doit aussi en être le
stantanées, comparables aux miracles. Qui n’a vu, en magnétisant, des
maux
, même graves, cesser comme par enchantement, des
puisque c’est d’elle que dépend la vie dans les cas où le progrès du
mal
est plus rapide que l’action des remèdes, où l’im
s songes, et indique à ceux qui souffrent des remèdes propres à leurs
maux
. L’observation fidèle de ses avis a sauvé des mal
e pendant un songe ; il en reçut l’ordre de se rendre à Esape, où son
mal
avait commencé, d’y prendre des bains et des vo
r, J’ai lu avec le plus vif intérêt les détails circonstanciés d’un
mal
grave, détails qui respirent d’un bout à l’autre
ri longtemps une haine secrète, en le regardant comme l’auteur de ses
maux
. Aujourd’hui notre obsédé, après avoir tout ten
), la petite vérole, diverses maladies de la peau, l’épi— lepsic, les
maux
vénériens, la dyssenlerie, la diarrhée, la catale
eure de magnétisation. Alors la vie sembla renaître; quelques paroles
mal
articulées me firent diriger des insufflations ch
es d'un Somnambule. 1" L’extase. 2° Dieu. 3“ Le Monde. •i" Le
Mal
. ri- Le Bien. fi" Marche vers le bien. 7" L
ou quatre minutes de repos, le docteur lui demande : — Où est votre
mal
? — A l’estomac. — Qu’y a-Hl à l’estomac? —
a-t-il à la place où était le sang? — C’est tout ulcéré, et me fait
mal
. — Quel remède y porter? — Un purgatif. — L
détail jusqu’au 3i octobre, jour indiqué par elle pour la fin de scs
maux
. Cette dernière fois elle dit qu’aucun médecin n’
s constitutionnelle, elle se plaignit, trente-six heures après , d’un
mal
de gorge qui devint bientôt tel, que c’était la c
donnance dos remèdes convenables, etc. Le 6 août, elle se plaignit de
mal
de tête, mais disant que le ventre était libre ;
jours qu’elle indiquerait. A la vingt-troisième séance, elle vit son
mal
, qui était un commencement d’anévrisme, radicalem
dique les remèdes propres à la guérir, et annonce la cessation de ses
maux
, le tout avec des détails longs et précis. Elle t
gale ou psore, la syphilis, ies dartres, etc. j° Il peut apaiser le
mal
, pallier l’intensité des symptômes, mais non détr
avez tort de répudier trop catégoriquement, au nom du magnétisme, le
mal
qu’il pourrait faire, c’est donner gain de cause
toute force peut être employée dans deux sens opposés, en bien ou en
mal
, cola dépend de la manière de s’en servir. 11 n’y
le, ne suffisent pas pour le rendre malheureux au milieu de ses biens
mal
acquis ? Comparez le calme d’un homme de bien,
lui qu’il croyait son persécuteur, et qui certes ne lui voulait aucun
mal
. Notre ami, dont la conscience est sans reproche
est sans reproche , fut cruellement alfecté de cette accusation d’un
mal
dont il ignorait la cause, mais que l’on faisait
raitée autrefois par le magnétisme, s’imagine, lorsqu’elle souffre de
maux
accidentels, que la pensée de son magnétiseur se
i, du moins, s’imagine le bien ; c’est la seule qui ne croit point au
mal
. Cette différence est bonne à constater. Septiè
straire une parcelle? La religion, faite pour donner la paix à l’âme,
mal
comprise ou exagérée, trouble aussi la raison. L’
ux, iront plus loin : que Dieu leur soit en aide, et leur épargne les
maux
et les dangers de l’initiation. Je laisse toute
de cas; et de temps en temps il me vient des malheureux abandonnés ou
mal
traités par la médecine classique. Je vais vous f
culaire aigu, guéri en cinq ou six magnétisations. A chaque séance le
mal
disparaissait comme par enchantement, en faisant
l est probable que l’emploi prolongé du magnétisme aurait triomphé du
mal
. « 8° J’ai guéri en outre une infinité de maux
. « 8° J’ai guéri en outre une infinité de maux de tête, migraines,
maux
de dents, d’estomac, de suppressions menstruelles
ois, deux fois par jour, je n’ai obtenu que de légers déplacements du
mal
. « io° Depuis un mois je magnétise une jeune de
ite d’une hydropisie de poitrine, et d’une hydarthrose du poignet. Le
mal
durait depuis treize mois, et toutes les ressourc
tous les autres magnétiseurs sont vertement tancés. Mais s’il dit du
mal
des magnétiseurs, il n’en est pas de même du magn
es forces, que, si je n’avais la crainte que vous interpré- tassiez
mal
mon silence, je ne l’entreprendrais pas. Ce franc
assez sobre de mots mystiques et sacramentels , dont la signification
mal
assise emporte pour beaucoup plus de gens l’idée
s deux mois elle suivait les conseils d’un médecin qui pensait que le
mal
de celte femme venait d’un amas de sang fixé au c
e à Plancy-sur-Aube. « Joséphine Joigny, femme Levêque, atteinte de
maux
d’estomac depuis plus de huit ans, a été guérie e
séances magnétiques, et par l’eau magnétisée. On a constaté que ces
maux
d’estomac étaient causés par des vers; vingt et u
d’une bonne santé et demeure à Saron. « M11' Lorcet, affectée d’un
mal
de dents continuel, avec redoublement aux époques
omba en somnambulisme et fut immédiatement soulagée. Elle dit que son
mal
venait du sang, et-qu’il fallait neuf magnétisati
enti à recevoir mes soins. Je iis donc semblant de sonder où était le
mal
en appliquant ma main tantôt sur l’estomac et la
bien, il me répondit : oui. Enfin je continuai à l’interroger sur son
mal
: il m’assura qu’il serait guéri en le magnétisan
Je vous enlrotiendrais bien d’autres guérison?, telles que coliques,
maux
de dents el de tète, mais l’on connaît bien ces r
ne sentait de douleur nulle part. Prié de se lever et de montrer son
mal
, il fut très-surpris de voir le lit mouillé et sa
ambe et le bras du côté gauche ont pris un volume considérable, et le
mal
est renfermé dans ce même côté du scrotum, de tel
ussi une petite excroissance dans l’intérieur de l’oreille droite. Le
mal
est venu de ce qu’on lui perça les oreilles pour
la masse de chair, qu’il reconnut; il dit que de la voir lui faisait
mal
. Une heure après, il n’éprouva plus aucune douleu
ur la première fois en dix minutes, dans l’espoir de la soulager d’un
mal
de tête nerveux et persistant. Je l’éveillai avec
n hôpital, dix jours après, il me demanda la permission de toucher le
mal
avec l’acide, pendant que la femme était dans son
ne se rappelle point que les glandes se soient enflammées sans que le
mal
d’oreille ait suivi. Cette inflammation semestr
une interruption ou un changement dans l’enchaînement de l’action du
mal
chez elle. Les voici : « Du 28. Venue encore au
t ce qu’on pouvait espérer d’une constitution aussi délabrée, et d’un
mal
pareillement invétéré. Cela montre assez, je pens
e couverte de toile) ouvert, ¿‘tant exposé à l’air froid. Il s’en est
mal
trouvé : sa voix s’est voilée; il sent le côté ma
uit sur les membres paralysés, et combien 011 diminue la douleur d’un
mal
violent en appliquant dessus des animaux vivants,
e sou haleine et de scs autres émanations, tombe, victime d’une union
mal
assortie, dans la plus visible faiblesse. » .No
ffrent et sont prédisposés plus que les autres à être atteints par le
mal
. Mais si la maladie atteint une constitution robu
tempes, des douleurs dans les membres; puis arrivent la diarrhée, les
maux
de cœur, les vomissements, les crampes, l’aspect
dressent à des constitutions faibles, détério-réçs par les ravages du
mal
. Les sinapismes, les bains sinapisés, peuvent êtr
A ceux qui devaient être les guides du troupeau, la responsabilité du
mal
; car leur égoïsme leur a fait méconnaître la voi
son , il sortit enfin sans avoir éprouvé de soulagement notable à son
mal
. Quelques jours après , je fus appelé. La doule
, sur la même route d’Aifrcfeuille, est en ce moment atteinte du même
mal
, après être tombée dans ce cruel état à la suite
ge impur qui ne se laisse épurer que par les esprits d’élite. Bien et
mal
, mal et bien , on tire au hasard l’un ou l’autre
pur qui ne se laisse épurer que par les esprits d’élite. Bien et mal,
mal
et bien , on tire au hasard l’un ou l’autre ; car
vette, les cadavres s’agitent sous ses yeux, et, bientôt, se trouvant
mal
, nous l’emportons sans qu’elle ait la conscience
p grande dépense qu’elle a faite de fluide magnétique, elle a bien du
mal
à reprendre ses forces, etles symptômes de sa mal
s basses, la fascination, la domination despotique, l'entraînement au
mal
, etc.; 6" Que du courant qui s’établit invincible
tion est capable de déplacer la douleur. 11 arrive quelquefois que le
mal
passe du magnétisé au magnétiseur : ce fait rentr
ffets, mais dont la pratique ne“va pas jusqu’à distinguer toujours un
mal
symptomatique d’un mal essentiel. Oui, que les mé
tique ne“va pas jusqu’à distinguer toujours un mal symptomatique d’un
mal
essentiel. Oui, que les médecins méditent sur la
and M. de la Salzède ajoute que le magnétisme augmente quelquefois le
mal
du magnétisé (abstraction faite, bien entendu, de
en, le magnétisme pratiqué par _des mains incapables peut produire le
mal
, mais un mal relatif, passager, qu’une influence
isme pratiqué par _des mains incapables peut produire le mal, mais un
mal
relatif, passager, qu’une influence capable arrêt
de ne produire que le bien, et si, quand ils ont causé ou aggravé le
mal
, il leur reste toujours la possibilité do le ré
l’erreur, l’ignorance, le mensonge, funestes présents de l’esprit du
mal
, aient aveuglé les hommes au point de leur faire
nt rien , nous dit-elle. Enfin la malade aussi est guérie de tous ses
maux
, dont elle serait morte en août prochain, s’il fa
ntester l’opportunité. Si encore on pouvait coudre ce qui a été coupé
mal
à propos!... Il ne suffirait pas ici de couper le
ez-vous ? » Le plus souvent il me répond : « A rien. — Pensez à votre
mal
, lui dis-je; ou bien, pensez à telle personne » (
de Paris, a éprouvé l’état de maladie suivanl: Le ier août 1847, un
mal
de tête effrayant se déclara, je conduisis l’enfa
isis l’enfant au Parvis Noire-Dame. Consultation du médecin. — « Ce
mal
n’est rien. » Le lendemain le corps se couvrit
il ; la tête penchée sur l’épaule gauche, par suite de la violence du
mal
; le corps renversé en arrière par les douleurs d
is quarts d'heure après, il se plaignit d’une cuisson au siège de son
mal
, et d’une certaine faiblesse. Du reste, ignorant
par sa pensée. — Y a-t-il une « punition future pour ceux qui font le
mal
? — « Sans doute; une grande. — En quoi consiste-«
moment de recueillir les fruits d’une longue persévérance, un remède
mal
choisi ou ordonné au hasard vient enlever tout es
n est bien assuré d’avance que l’action magnétique n’aggrave point le
mal
, et qu’elle ne contrarie en rien celle des remède
ous déplorons ces retards, qui ressemblent à un oubli; mai« ce serait
mal
juger des intentions du Jury que de les lui attri
s les plus énergiques de la médecine classique. Tôt nomina census. Le
mal
fit des progrès rapides, et elle se vit bientôt a
les crises se dissipaient enfin, et elles emportaient, disait-on , le
mal
avec elles (i). « L’homme qui semblait ainsi co
nombreux malades y ont trouvé la guérison ou le soulagement de leurs
maux
, sans qu’aucun accident soit venu ternir l’éclat
s la pensée de la soumettre à un traitement magnétique qui dissipa ce
mal
au bout de deux séances. Le père Kircher, dit,
ction d’un vomitif. A l’âge de douze ans, la dentition s’était fort
mal
développée chez lui. Sa famille lui fit extraire
, et né en mars ou avril, pour produire ces cures. Les loucheurs du
mal
caduc prétendaient descendre en ligne directe de
e premier de ce privilège. On donnait alors à cette maladie le nom de
mal
de roi. Philippe passa pour avoir perdu celle fac
tation dans le traitement des écrouelles, appelées aussi Icing devil (
mal
de roi.) Les rois ont cessé de guérir ces malad
aux doigts , préservaient de beaucoup d’affections, et dissipaient le
mal
caduc. L’anneau d’Edouard guérissait les membres
p. 148. (2) Odyssée, liv. xix. (3) Géorgiques, liv. 15. (4) De
Mal
/net. euIner. curatio. core bien des contradicti
prit de la Divinité, dirigé par leur intermédiaire vers le bien ou le
mal
. Van Helmond lui-méme , un des plus chauds partis
ce savant médecin avait le privilège de toute la famille, et, bon an
mal
an, en recelait une somme assez ronde. Depuis l’e
nue? Sujets à tant de maladies, continuerons-nous de laisser faire le
mal
sans pouvoir y mettre une digue ? « Jouets des
ausses doctrines? La perversité est-elle inhérente à notre nature; le
mal
, enfin, doit-il pérdo-miner sur le sentiment du b
er cette eau à une jeune fille qui se trouvait aussi possédée , et le
mal
se dissipa. L’histoire de l’Église est remplie
afin que celui qui souffre et languit sache le moyen de soulager ses
maux
; 2° Grouper tous les phénomènes nouveaux, de m
ez les Égyptiens; Oromase et Arimane, chez les Perses; le principe du
mal
était appelé Satan par les Arabes, et Job paraît
D et LOYSEL. Faire que l’art du chirurgien s’exerce sans ajouter au
mal
qu’il doit détruire, la douleur des opérations ,
étique en semblable occurence. Déjà on avait tenté et réussi pour des
maux
de moindre importance. Mais il y avait loin de là
s devant tous, car je n’aime point les mystères; sans jamais faire de
mal
, je me servirai de la force inconnue, pour montre
elle me pria un jour de régler avec son médecin et le pharmacien. Son
mal
empirait journellement; j’étais très inquiet, lor
triques, et dont je me crus guéri. Cependant, soit que le principe du
mal
ne fût pas détruit, soit que les remèdes qui me f
urent immédiatement appelés ; l’un d’eux soutint que les symptômes du
mal
annonçaient d’une manière certaine que l’affectio
t. Plusieurs d’entre nous pourront attester qu’il se charge- de nos
maux
en y participant, pour maîtriser la désorganisati
5° Soif intense, dite d'hydropique. 6° Douleurs rhumatismales. 7°
Mal
de tête continuel , plus ou moins violent, durant
ssivement guéris par un homme de I.igny, habitué au traitement de ces
maux
, et, pourcela, poursuivi par les médecins. 14°
ison s’annonce par la disparition graduelle et successive de tous les
maux
ci-dessus énoncés. En i836, j’ai été traitée po
ans sourire ; c’est celui d’un bon gendarme gravement hypothéqué d’un
mal
qui lui garottait les jambes; pas moyen de monter
goutteux, notre paralytique de la veille, qui s’élait déchargé de son
mal
aux dépens du guérisseur, et s’amusait à faire ca
ide de Dieu, qui connaît tout le bien qu’il a fait dans sa vie, et le
mal
qu’il a enduré des antagnonisles du système de l’
encore si j’en avais éprouvé du soulagement. Je lui répondis que mon
mal
avait été toujours en augmentant. 11 me dit : Yen
s : Est-il possible qu’avec un moyen aussi simple on puisse guérir un
mal
comme celui dont je suis atteint? Petit à petit l
qui veut le triomphe de la vérité sur l'erreur, celui du bien sur le
mal
. Ne comptez point les années écoulées déjà, cel
d'invincibles antipathies chez un grand nombre d’étres. La Li~ bertè
mal
entendue n’est plus qu’un vain mot, propre à sédu
laquelle un somnambule peut indiquer à des malades la nature de leur
mal
, et les remèdes convenables, est assez rare; elle
lui appartient, et elle restitue au magnétisme ce qu’un enthousiasme
mal
éclairé lui avait ravi, Deleme, qui devrait ser
Très-souvent, les somnambules assez lucides pour sentir et voir le
mal
dans sa nature et dans scs effets, ne sont plus q
ui précèdent; une pareille prétention serait le fait d’une prévention
mal
fondée contre le somnambulisme, et de l’ignorance
permis de faire du bien sans un diplôme qui vous autorise à faire du
mal
à vos semblables. Voilà pourquoi je ne magnétise
in, des médicaments fort inolfensifs, qui ne leur ont fait ni bien ni
mal
. Les témoignages concernant la prévention spéci
stium, 356. Tumeurs cartilagineuses, 82. § II. Cas de médecine. —
Maux
et affections guéris ou soulagés ¡par le magnétis
on : quelques caries dentaires; nanisme des incisives, articulation
mal
établie; gingivite tartrique ; maxillaires suff
casion d'une peur. D'abord la malade devint sujette à un énervement
mal
délini. Elle avait comme le sentiment d'un état
légère saillie latérale droite détruisantia symétrie des formesnor-
males
. A la palpation, la glande thyroïde paraît beauco
a cellule, G. D"rY. 111. - Clonus du droit abdominal dans un cas de
mal
de Pott ; par PARHON et P.1YINIAN. (Journ. de N
e déve- loppa vers l'âge de 4 ans à la suite d'un traumatisme, un
mal
de Pott lombaire suivi quelque temps après de par
intense, accompagnée de vomissements et de stase de la papille, le
mal
ayant évolué sans fièvre, avec un amaigrissemen
toxines sera découverte et les antitoxines obtenues, les effets du
mal
pourront être prévenus. Notre espoir ne dispara
, puisque nous ne possédons au- cun moyen d'influencer la marche du
mal
à travers la moelle épinière. Il en Va de même
, avait lait un long séjour dans ce mêmehos- pice, en cabanon, fort
mal
installé, alors que ses vociférations ne laissa
, qui est élargie transversalement du double de son diamètre nor-
mal
et renferme une cavité centrale irrégulière. Le f
on lombaire pendant la vie.- Quanta la pie-mère, elle e>t nor-
male
et ne présente aucune trace d'inflammation. La
que plus de fibres nerveuses ; et celles qui subsistent se colorent
mal
. La trame névroglique n'est pas épaissie. Au-
ningite,soit simple, soit tuberculeuse. L'origine trauma- tique du
mal
de Pott a été très discutée et Renard, dans son
de l'estomac et remontait ensuite vers la gorge. Elle soutirait de
maux
de tète dans l'occiput, d'insomnie, d'une ano-
ion, mène une vie régulière el active, et ne fait aucun excès. Le
mal
dont il souffre est congénital : le malade affirm
test aussi bonne que celle de ses compagnons, hienqu'au travail son
mal
peut lui jouer des vilains Lnurs.lluand il veut
ue nous avions fait enle- ver pour l'examen, il a d'abord paru très
mal
habile et les doigts étaient raides ; après que
ce n'est pas un ouvrier ordinaire. Il paraît timide ; n'a jamais de
maux
de fête ; ne se plaint de rien. N'a aucune phob
'a pas même le temps d'y songer. Au surplus, lu malade vit avez »on
mal
, ne s'en soucie guère, et si ce n'était le désir,
extérité nécessaires. Dans les exercices d'ensemble, la parades, le
mal
serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE
, la parades, le mal serait encore plus grand. CLINIQUE MENTALE
Mal
perforant et paralysie générale : Parle Dr MARI
ques généraux qui présentaient, au niveau de la plante du pied, des
maux
perforants symétriques. « Obs. I. Le premier
irantes de richesse. Inéga- lité pupillaire. Troubles de la parole.
Mal
perforant du pied gauche. » C'est un malade d
.Verrenkrankheiten. l3urlin, 1902. Verlag- S. Karger, p. ? d0.)
MAL
Perforant Et paralysie générale. 113 frère deva
r, c'est que, en même temps que s'opérait la rémission mentale, les
maux
perforants s'amélioraient aussi ; la suppuratio
ait au niveau de la plante du pied, à droite et à gauche, plusieurs
maux
per- forants. Avec la rémission psychique, les
lorsqu'est survenue la période d'excitation terminale, on a vu les
maux
perforants se rallumer tout comme la maladie ;
u- veur. Traité par 11-et Ki à Broca, 18 mois avant l'entrée. Les
maux
perforants avaient débuté 3 ans avant l'interneme
marche peu nette comme tabès ; ne fauche pas. Signe de Romberg. Les
maux
plantaires perforants et symétriques sont actue
albuminurie passagère. Les premiers auteurs qui se sont occupés du
mal
per- forant (Leplat, 1855) lui atlribuaient une
dû à la pression du pied sur le sol, ainsi qu'au port de chaussures
mal
laites. Comme preuve, ils alléguaient que le ma
port de chaussures mal laites. Comme preuve, ils alléguaient que le
mal
per- forant était plus rare chez la femme ainsi
e mécanique parune théo - rie vasculaire. On avait remarqué que les
maux
perfo- rants sont rares dans la jeunesse et que
cause, attendu que nombre d'ar- tério-scléreux ne présentent pas de
maux
perforants. C'est à Duplay et More que nous dev
« Le quart des parisiens m'est passé aittsi par les mains. » ,
MAL
PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle d
mains. » , MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du
mal
perforant : la théorie nerveuse, d'après laquel
ésions du système nerveux central. Bali et Thibierge ont signalé le
mal
perforant dans l'e tabès ; parfois il précède l
- tamment dans le spina bifida latens. Dans nos observations, les
maux
perforants ont pré- cédé la paralysie générale
oul, la proportion des diverses affections nerveuses compliquées de
mal
per- forant : Nombre des cas observés : 91 ; at
surtout.) C'est M. Christian (1) qui l'un des premiers a signalé le
mal
perforant dans , la paralysie générale. Marando
se complique d'alcoolisme. D'après lui égale- ment, l'existence du
mal
perforant favoriserait les ré- missions de la m
e l'affection elle-même, le rôle des indications dans la genèse des
maux
perforants chez les paralytiques généraux sembl
mé par l'observation de notre malade Bau ? Chez lui, en effet, le
mal
perforant serait survenu à la suite d'une intox
our certains auteurs, d'ailleurs, il ne fau- (1) Ciiristiax. - « Le
mal
perforant uans la paralysie générale ». {Union
UE MENTALE. drait pas adopter, en ce qui concerne l'étiologie des
maux
perforants, la théorie nerveuse d'une façon trop
observe, en eifet, que presque toujours (quoi- qu'on ait signalé un
mal
perforant palmaire) le mal perforant siège à la
que toujours (quoi- qu'on ait signalé un mal perforant palmaire) le
mal
perforant siège à la plante du pied et précisém
. Au reste, il est logique, à ce point de vue, de rap- procher du
mal
perforant les eschares du coude ou des talons e
a théorie mixte, mécanique et nerveuse qui semble devoir fournir au
mal
perforant l'explication la plus satisfaisante.
us comprimés) ; les eschares talonnières ou plantaires, compris les
maux
perforants qui nous occupent, seraient de même
rapport parfois avec les phases critiques prémonitoires des ré-
MAL
PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 117 missions ?
hologi- ques variées invoquées par les auteurs pour expliquer les
maux
perforants et les eschares en général de la dém
sures (Deoorce), , Nous avons vu également que l'amélioration des
maux
perforants apparus chez nos malades a coexisté
e de suppurations prolongées, dues à des causes diverses,telles que
maux
perforants, eschares, pleurésies purulentes, ph
t Viollet. Suppuration et rémission dans il paralysie générale.
MAL
PERFORANT ET PARALYSIE GENERALE. 119 lions sp
voir que la cure de certaines suppurations'en général, et celle des
maux
perforants en particulier, peuvent coïncider av
us ostéohypertrophique ci disparition radiculaire, et un moulage de
mal
perforant coceggien. M. Déjerine et LEI : NH1RD
ts dans la dé- mence catatonique. La démence précoce est, en effet,
mal
1 connue ; il faut donc savoir se limiter, et s
lle mange de moins en moins, de même qu'elle réagit de plus en plus
mal
à toute sollici- tation extérieure ; elle met d
Pas d'asymétrie osseuse de la face. Voûte du palais ogivale, dents
mal
implantées, adhérence du lobule de l'oreille. P
s qu'au travail intellectuel. A 31 ans, il se marie avec, une femme
mal
équilibrée, dépensière et qui ne lui porté que
tique. Mais en voulant rester neutre, il se trouva que : 11 ? avait
mal
calculé et qu'au lieu de se faire des amis, il
partagez les opinions de votre beau- père qui nous fait beaucoup de
mal
. puis vous avez un employé qui est radical et f
les griefs que l'on croit avoir contre eux, car ce serait faire du
mal
à la religion. L'époque de Rodez lui-même se dé
es professionnelles spéciales, la surveillance ne pourra être que
mal
faite et surtout mal comprise et quel ne sera pas
spéciales, la surveillance ne pourra être que mal faite et surtout
mal
comprise et quel ne sera pas le découragement d
ellule embryonnaire, est fondée sur des observations incomplètes et
mal
interprétées. J. S. XL1V. Recherches histologi
ent et non dans toute la libre, mais les lésions sont partielles et
mal
définies. La btriatidn longitudinale présente d
llette de 7 ans, sans lare héréditaire, née ¡'¡ terme, se développe
mal
et finalement s'arrête dans sa crois- sance. De
tieuses, causes probables des I roubles d'après un processus encore
mal
défini. Lu traitement sera celui de toute conva
0. Ai.orir.n. Lus principales formes «les I roubles nerveux dans le
mal
de l'oit sans gibbusilê (4 pland,l ? ! ln[ ? \I;U
est resté stationnaire II ne veut plus absolument écrire. Il tient
mal
son crayon dans la main, sourit, comme s'il dis
ce qui se passe autour de lui, est devenu cares- sant et gai. IV.
Mal
? (Henri). Entré le 2 décembre 1887 à l'âge de
enfant peut aujourd'hui discerner ce qui est bien d'avec ce qui est
mal
. Il commence à s'habiller et à se désha- biller
en, et cherche à faire ce qu'il voit faire aux autres aussi bien en
mal
qu'en bien. Il devient affectueux. A la classe,
s'est beaucoup développé au prix de grands efforts, car il est très
mal
doué. Avec difficulté il est parvenu à tracer tou
xcitation nerveuse, comme au début. Elle ne cherche plus à faire du
mal
à ses TRAITEMENT \l1 : 1)ICO-I'l : U.GOGIQUG
n âge. Elle s'habillait avec peu de goût, procédait tant bien que
mal
à ses ablutions; les soins du ménage, de même que
é sans pareilles. Elle était méchante et cruelle, aimait à faire du
mal
à ses compagnes. Pour se rendre un compte exact
éfense, elle donne un coup de pied à une idiote, pousse une petite,
mal
équilibrée sur ses jambes; en gifle une autre s
ère. L'érection, au paroxysme, s'accompagnait d'une sorte d'état de
mal
avec impulsion au coït pour ainsi dire inconsci
it peu compatible avec la conservation unilatérale d'un état nor-
mal
des réflexes, Voici l'interprétation qu'il propos
pathoiréncse de la paralysie générale, l'apparition chez un ani-
mal
d'une méningo-encéphalite, consécutivement à une
t mémoires de Béguin sur l'éducation des enfants normaux et anor-
maux
, comprenait son rapport sur l'éducation, à l'Expo
pellier. Contribution à l'étude pathogénique de la paraplégie du
mal
de Pott. Prix Civrietcx. 800 francs. Question :
, à la thérapeutique, à la pédagogie des enfants vicieux ou anor-
maux
. La leçon d'ouverture aura lieu sous la présidenc
e blessé paraîtra revenu et définitivement revenu à son état nor-
mal
. Pourra-t-on affirmer que tout se bornera aux tro
e certains troubles des facultés. Une demande d'indemnité ayant été
mal
accueillie, cet ouvrier fut placé volontairemen
ca. (Riforma medica 1900). l'épilepsie ET la migraine. 307 le
mal
éclatait à des époques déterminées. Depuis 27 ans
épileptiques ; dans le second cas,des attaques d'épilepsie petit
mal
sont venues remplacer des accès de mi- graine q
manifestations de l'épilepsie, sa forme latente ou l'équivalent du
mal
comitial. La communauté des phénomènes propres
e. Sa vie est d'une grande moralité, mais il a souffert de violents
maux
de (été, de douleurs, des blessures aux jambes
e recherchait l'intimité de personne, vivait isolée, souffrait d'un
mal
du pays des plus intenses et pleurait souvent. El
mandaient de châtrer les épileptiques, afin de les délivrer de leur
mal
, attendu que celui-ci serait dû à une rétention
ut de délivrer la société d'une postérité ayant hérité cet horrible
mal
. Aretheus (3), Asclepiadus et Scribonius Largus
herchant à s'étrangler avec le cordon de sa chemise. Elle procédait
mal
à ses soins de toilette, s'habillait et se désh
ents sur ses antécédents héréditaires. Malade depuis quatre ans. Le
mal
aurait débuté par des névral- gies tenaces dans
ann (1) décrit à la paroi de l'abcès 3 couches : La couche interne,
mal
différenciée de la cavité de l'ab- cès, est con
utour des vaisseaux. La zone externe, zone d'irritation,large, mais
mal
délimitée. est parsemée de nombreuses cellules
és dans la paroi de l'abcès. 450 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Prenant
mal
les colorants, ils contiennent à peine de-ci de
ques amorphes, plus volumineux que les lymphocy- tes, à protoplasma
mal
coloré ; souvent il n'y a pas de noyau, parfois
plasma mal coloré ; souvent il n'y a pas de noyau, parfois un noyau
mal
coloré. Ce sont des cellules nerveuses en nécro
aissables, mais prenant moins bien les colorants qu'à l'état nor-
mal
; à leur périphérie elles sont attaquées par les
ivant les points, mais toujours bien nette et facile à retrouver,
mal
limitée sur sa face interne, mais différenciée su
faire quelques pas. Au réfectoire, l'enfant se tenait affreusement
mal
, aimait à se salir et à se barbouiller avec les
application. Le caractère s'est également modifié. L'enfant parlait
mal
au début, était maussade, restait inerte; aujou
igence. C ? lisait par syl- labes, son écriture était lisible, mais
mal
formée; elle ne fai- sait que des copies, conna
doute, les appréhensions de l'opinion publique sont le plus souvent
mal
fondées et, si de telles séquestrations se sont
ement des aliénés, 504. Clonus du droit abdominal dans 'un cas de
mal
de Pott. par Portion et Papininn, 2. du pied,
D1' -, 317. Main bote. De la congéni- tale, par Grandjean, 231.
Mal
perforant et paralysie géné- rale, par Marie et
ent de l'Orne, par Cpulanjou, 50. - - générale. Voir Cécité, - -,
mal
perforant. - - fa- ciale et hémiatrophie lingua
nne, 154. Polymyosite. Etude de la -. par Margoulès. 142. Pott (
Mal
de -). Voir 'Clénus. Processus. Des - compensat
- que, par Rossi et Roussy, 423. - latérale amyotrophique anor-
male
, par Lejonne et 1-hermitte, - - latérale. Voir
t des mêmes moyens, de guérir et d’apporter remède à toutes sortes de
maux
. D’un autre côté, l’extase, la catalepsie, le s
on vint me prier d'aller voir M. Gilquin, en m’annonçant le terrible
mal
dont il était affligé. Confiant dans la force don
l lui donnait un peu de soulagement, mais dès qu elle était levée, le
mal
recommençait. Je pensai que le magnétisme pourrai
, le doute s’empare de leur esprit; la certitude s’évanouit, et si le
mal
est trouvé, la cause échappe , le médicament est
ques minutes se passent, et il me dit de cesser : « Vous me faites du
mal
, » vous avez une grande force magnétique ( ignota
lux de sang au cerveau déjà surchargé, et l’on aggravera forcément le
mal
que l’on voulait combattre. « Dans les sciences
les battements du cœur, persuadés que ce serait agir dans le sens du
mal
. Ils emploient la saignée, les sangsues à, la bas
c le flambeau qui nous servira à découvrir les moyens de soulager les
maux
de l’humanité? Ce sera l’instinct, guide des anim
nambulisme peut faire beaucoup de bien ; mais il ferait énormément de
mal
si on se livrait à lui sans réserve, sans discern
a lune, cela pourra tendre à annihiler un bien annoncé ou exagérer un
mal
. Dieu a accordé la prescience à l’homme, mais seu
une sorte de fatalisme comme les Orientaux et accepter le bien et le
mal
, comme venant non de nous-mêmes, mais découlant d
, par l’énergie de sa volonté et la puissance de l’amour, soulage ses
maux
, est aussi un magnétiseur sans le savoir. Leur i
les perfectionnant, on parvient à diminuer progressivement la part du
mal
et à faire prédominer celle du bien. C’est ce qui
période , un soir que je visitais la jeune fille, je la trouvai plus
mal
que les jours précédents, le pouls variait de
es crises d’où dépendent la vie ou la mort. J’essayai de combattre le
mal
; je dégageai l'épine dorsale par des frictions.
son par l’ingestion ou l’application d’un autre poison , de guérir un
mal
par l’introduction d’un autre mal, cet art existe
on d’un autre poison , de guérir un mal par l’introduction d’un autre
mal
, cet art existe plutôt dans l’application de remè
eur tâche plus facile. Le cœur se dilate au bien, il se resserre au
mal
. Le prêtre devrait toujours avoir un grand cœur,
campagnes, où l’ignorance ne demande qu’à comprendre, où le génie du
mal
est si facile à chasser, où la science fausse n’a
s’oppose au bien que je désirerais vous faire, et devienne cause d’un
mal
dont je ne saurais mesurer la portée, et auquel j
me T.... Cette dernière va très- bien ; elle ne sent plus rien du
mal
«qui l’a si longtemps affligée. Elle se croit ence
radis. Rappelons-nous que toujours la science fut considérée comme un
mal
par les hommes chargés de nous enseigner la moral
loyé les moyens les plus usités, nous n’avons rien obtenu de bien. Le
mal
augmentait toujours, le pouls devenait mauvais, l
passes sur la partie malade, avec la ferme volonté de faire sortir le
mal
par derrière. J’étais heureusement bien tombé, ca
c ce mystère, les hommes bons et généreux pourront guérir beaucoup de
maux
et faire du bien. G. COPEAUX. Etrépilly, près
vons plus peur du diable et que nous n’y pensons plus. Voilà le grand
mal
de l’époque. A qui s’adresse le sermon de l’Unive
nest vint à moi. Je lui demandai comment allait son frère. — Pas plus
mal
qu’hier, me répondit-elle. — Je respirai. Elle aj
éversé sur autrui. Qui n’a rien ne peut rien donner, et le pauvre est
mal
venu lorsqu'il adresse sa prière à l'homme dont l
dium, pendant nos séances. Un malade a été guéri d'un cancer ; le
mal
a disparu , presque sans douleur. Des personnes o
. » Je lui dis de ne rien craindre, et qu’on ne lui ferait pas de
mal
. Alors les esprits la levèrent de son lit, la por
en un mot, elle présidait les manœuvres opératoires. Tout occupé du
mal
de notre chère malade et ne songeant qu’à la déba
ne vous touche point encore. — Oh ! j’ai peur, vous allez me faire
mal
!... — Mais non, puisque vous êtes en sommeil.
us saviez ne pas sentir. — C’est vrai ; mais quand je regardais mon
mal
et quand je voyais l'opération à côté, le frisson
rlait par cris d’indiens farouches, avec des variations de hoquets en
mal
de mer; et, d’instant en instant, l’esprit divin
battait à temps réguliers et calmes. « — Vous n'éprouvez donc aucun
mal
à faire ces exercices? « — Vous voyez ! « — C
ux que nous. Nous vous dirons seulement que le cactus ne fait pas
mal
; que , dans certaines conditions très-connues de
bien étudié, peut nous mettre sur la voie de quelque loi inconnue ou
mal
définie. Nous remarquons que, d’après la répons
u tombés dans l’oubli, le médecin cherche toujours à diagnostiquer le
mal
, c’est-à-dire à remonter de l’effet à la cause, a
re le patient ni le praticien. — Exemples : — Vous vous plaignez d’un
mal
de tête. — Après quelques questions et de mûres r
vous êtes atteint d'une céphalalgie (c’est-à-dire, en français, d’un
mal
de tête). — Vous souffrez d’une articulation
iatifs. On croirait peut-être que pour les cas chirurgicaux, oîi le
mal
est externe ou peu profond, toute difficulté disp
un membre de la Société ayant demandé pourquoi, le siège principal du
mal
étant à l’épaule, l’opérateur, au lieu de diriger
eux des efforts qui eussent sufû à franchir la pente du terrain. Le
mal
de l’épaule était évidemment l’obstacle principal
de ce lieu, et le provoquer à une sorte de combat. Il faut,bon gré ou
mal
gré, qu’il vienne, qu’il apparaisse sur la brèche
instant de surprise, dire : c’est le démon , c’est Satan, l’esprit du
mal
qui vient nous perdre. Ce serait accuser Dieu d’i
d’impuissance, en faire le vassal d’un être au-dessous de lui, car le
mal
serait au-dessus du bien. Mais l’argument mis en
ls se sont laissé égarer par un enthousiasme irréfléchi et qu’ils ont
mal
observé. Avant de publier une conquête du magnéti
ation , j’entends le patient dire en souriant : Mais vous m’ôte z mon
mal
avec la main. Un quart d’heure après, il pouvait
chemins de fer n’étaient pas inventés et que les routes étaient fort
mal
tenues par les hauts barons qui avaient bien autr
ns de toutes nos forces à dissiper les maladies, à sou- lager les
maux
de toute nature. C’est dans ces œuvres de bienfai
ps où il se réconcilierait avec Ormuzd. Ces temps s’accomplissent. Le
mal
n’est que l’ombre du bien. Plus la lumière se rép
s ténèbres et en réduit l’étendue. Chaque progrès entame la sphère du
mal
, la rétrécit et tend à la faire disparaître. Le m
tame la sphère du mal, la rétrécit et tend à la faire disparaître. Le
mal
se change on bien , et Héelzébub régénéré rep
essentiel des magnétiseurs. La cécité est une maladie. Combattons le
mal
sans trêve, sans relâche; mais que cela n«dim
de nous voudrait le déserter? Le devoir est de faire le bien pour le
mal
; qui de nous reculerait devant cette condition ?
Le fruit apporte sa moisson (1). Dieu seul est maître, etc. Le
mal
est fils de l'ignorance; Il peuple aux ombres d
Rien qui n'ait son rayonnement, Le bien au bien prête la vie ; Le
mal
au mal, fatalement. (2) La soperstitioB et l'in
i n'ait son rayonnement, Le bien au bien prête la vie ; Le mal au
mal
, fatalement. (2) La soperstitioB et l'incroyanc
’a-t-on dit, pour se diriger dans le traitement. Aussi les ravages du
mal
avaient-ils diminué d’étendue et d’intensité. Néa
mps la main. Je m’aperçus que , lorsqu’il cessait de la lui tenir, le
mal
augmentait; je pensai alors que l’action du paren
en apparence décident souvent d’une série incalculable de biens ou de
maux
. » ( Haute Magie, tom. 1", p. 86.) Quand on ser
but. « Et cette phrase puissante : Délivrez-nous, pbéseuvez-socs du
mal
I Hommes, comprenez bien !... cl vous aimerez int
en sommeil, elle m’interpelle vivement : C'est votre cœur qui me fait
mal
, monsieur !... Il est là... dans ma poitrine. Il
tourmentée. — Madame P..., demandai-je, qu’avez-vous V — Je suis
mal
il l’aise : emparez-vous de moi davantage. Nous
onté , dès que l’on en fait usage, est un abri protecteur. Toujours l«
mal
est soumis au bien, quand on l«veut. J’en ai cité
25 juillet dernier,p. 590, faut convenir que ce secret a été bien
mal
gardé. Le Spiritual Telegraph dit que les.journau
é. Il n’a pas disputé, il n’a pas répondu , mais il semblait inquiet,
mal
son aise, et il est sorti. Il est toujours ains
des expériences. En entrant dans le salon, Home se sentit tout à coup
mal
à son aise ; il essaya de surmonter cet état de g
jeune homme, un joueur malheureux s’est brûlé la cervelle; il s’était
mal
tué, et il est mort en se débattant contre d’horr
cidents qui pourraient m’arriver en route à mon état naturel, même le
mal
de mer, ce qui a eu lieu une fois, il y a quelque
e magnétisme, le magnétisme n existe pas. A nos yeux, le plus grand
mal
qui puisse exister pour une nation, c’est d’avoir
gnétiser soi-même, et, par ce moyen , de dissiper très-facilement les
maux
légers, d’adoucir les graves souffrances et même
aux hanches. A partir de ce moment, il fut tout à fait délivré de son
mal
. Par la suite, il se débarrassa de la bande qu’il
de petites douleurs nerveuses qui prenaient fin en même temps que le
mal
qu’il combattait ; à la suite de quoi le sommeil
ndit : « Gardez-vous bien de lui faire prendre un bain froid ; car le
mal
se fixerait sur la poitrine. Ne l’endormez pas av
ien. » En rentrant chez lui, M. O. trouva sa femme qui se plaignit de
maux
de reins et annonça que ses règles étaient venues
qu’elle s’était trompée, et que ce médicament lui ferait plus de
mal
que de bien. Ainsi, elle s’était encore trompée s
is pendant la traversée, j’eus peur, et, de plus, je fus si malade du
mal
de mer, que je ne fus pas plus loin et que je rev
cafetier, par le bossu, l’enfant et par les assassins ; si j'ai eu le
mal
de mer ; comme tu as pu t’assurer de la réalité d
e. Non seulement ce traitement lut impuissant, mais encore 011 vit le
mal
empirer au point que le docteur sensé annonça aux
s déclare. qu’il monte à bord d’un bâtiment, puis il dit avoir le
mal
de mer; si par quelques précautions 011 11'abrége
11 11'abrégeait pas la traversée, il éprouverait des vomissements. Le
mal
est donc bien réel. Qui est-ce donc qui est allé
ni sécrétion bilieuse ; une âme sans corps 11e pourrait donc avoir le
mal
de mer. En tout cas, ce serait son affaire ; puis
, est ici sous 110s yeux, éprouve véritablement tous les symptômes du
mal
de mer ; c’est bien son vrai corps qui est agité
uand j’étais enfant, je ne pouvais voyager en diligence sans avoir le
mal
de mer : le souvenir qui m’en restait était si ré
uvais une salivation fétide, des nausées, en un mot, les prodromes du
mal
en question ; j’avais hâte de m’éloigner pour éch
uent meut ses organes. Que ce soit Y esprit (et non 1 âme) qui ait le
mal
de mer ou qui s’enrhume à l’humidité, que ce soit
s l’eau , accroché dans des herbes. — Oh ! est-il vilain t ça me fait
mal
de le voir. Réveillez-moi. D. Dites où il s’est
issait son enfant, était affectée depuis trois semaines, d’un violent
mal
de tête qui présentait souvent des redoublements
se sentit alors la tête très-légère et entièrement débarrassée de son
mal
. Elle demanda son enfant qu’on avait éloigné pour
onfler. Deux jours après, je vis la jeune femme et j’appris que son
mal
de tête n’avait pas reparu , qu'elle avait sué ab
sme : nous ne demandions pas autre chose. Au reste, peut-être ai-je
mal
interprété, — et je le crois, — le sens attac
tés savantes, aux pouvoirs qui gouvernent, qu'il fuit renvoyer le
mal
qui s'est fait et celui qui se fera longtemps enc
, et quand ils n’y réussissent pas, du moins ils n’aggravent pas leur
mal
, et que dans ces opérations il n’y a ni somnambul
uses que l’auteur défend avec tant de chaleur, on devrait, d’après le
mal
qu’elles ont fait, les déclarer infernales. Pour
ernales. Pour apprécier une découverte, il faut mesurer le bien et le
mal
qu’elle peut produire, et si la part du bien l’em
ous ceux qu’il accuse d’être sciemment les instruments de l’esprit du
mal
. Heureusement cette ridicule imputation ne peut ê
ut être prise au sérieux. Le bon sens public n’admettra jamais que le
mal
puisse être l’auteur du bien. Les hommes dévoués
TISME ARTICULAIRE CHRONIQUE ET GOU TTE, ULCÉRATIONS DE L’OESOPHAGE ET
MAL
DE FOIE, CHOLÉRA ÉPIDÉMIQUE, NÉVRALGIE 0CCIP1T0-F
est très-alarmant, me dit-elle ; d est temps de porter remède au
mal
affreux qui me dévore. Depuis un an que je n’ai p
vomissements, les palpitations et les symptômes avaient disparu ; le
mal
seul au foie se traduisait encore par une assez v
emps de recourir à la médecine; que le magnétisme n’avait fait que du
mal
à sa fille, et que ses époques étant arrêtées, ce
liter dans l’estime des parents, et pour avoir dénaturé le mot arnica
mal
écrit par moi avant mon départ, et avoir lu et fa
rimitivement les causes qui produisent le choléra, après la nature du
mal
, enfin je dirai la manière de le curer. Je vois
ion spasmodique du plexus solaire. Quand l’individu est pris par le
mal
, prenez une cuvette d’eau, frictionnez avec les m
bien-être délicieux, et, à leur réveil, se sentent soulagés de leurs
maux
. M. Gaspa-rini prétend avoir trouvé par là un moy
imant passivité de son rôle. Il se toutefois sans me l’aire aucun
mal
. I.es lumières reparurent, et je lus impatient (l
O! John , 01 you hurtme, », ce qui veut dire Oh! Jeun, vous me faites
mal
. Mon voisin m’apprend que ce Jean est l’esprit ta
us pas magnétisé madame P... de la rue Saint-Honoré? j’avais un grand
mal
de tête et froid aux pieds, instantanément mon ma
? j’avais un grand mal de tête et froid aux pieds, instantanément mon
mal
de tète s’est passé et mes pieds se sont réchauff
ires, une affluence considérable de personnes s’est portée chez elle.
Mal
lui en a pris. Elle fut dénoncée comme sorcière,
e prodigieuses influences exercées h distance , soit en bien, soit en
mal
, et comparables à celles qu’on attribue à la sorc
« Depuis, il y a quinze mois, Louna n’a pas cessé de se plaindre d’un
mal
erratique qui lui prend tous les muscles, mais qu
puisqu’elle dit elle-même que c’est l’âme d’un mort qui l’obsède. Son
mal
donc ne saurait être qu’une hallucination. Mais q
e considérable de Philadelphie, Market-Street, et qui est sujet à des
maux
d’estomac, n’a trouvé rien de mieux pour les apai
etc., montre certainement beaucoup plus de perversité et fait plus de
mal
à la société, que le joueur déloyal qui cherche à
r les sorciers ou magnétiseurs, et qui ne sont que des suspensions du
mal
combinées d’accord avec le démon qui possède le m
9. | Ablation de la table maxillaire, 239. § II. — CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guéris ou soulagés. Abcès dans la région du cœu
. Insomnie, 540. Maladie lymphatique, 180. — de foie, 515, 599.
Maux
de tète, 562. Névralgie occipito-frontale, 605.
dont lès systèmes pratiques se contredisent formellement — « Tout le
mal
vient des humeurs,» — «purgeons les humeurs.» —
à un homme bien portent, sa santé n'en souffrira pas; mais qu'il ait
mal
à la gorge, et vous verrez ! Allop. — Voulez-vo
ur que la fièvre intermittente donnait beaucoup, et qu’il y avait pas
mal
de rates à plessimétriser et replessimétriser, —
du bien que vous lui avez fait est de beaucoup supérieure à celle du
mal
dont vous avez été la cause. Explique qui voudra
er voir que la réalité. Qu’on ne s’y trompe donc point, plus ou moins
mal
dit, ce que j’écris n’est pas le fruit d’un rêve.
: c’est un crime à nos yeux de ne pas utiliser le magnétisme dans les
maux
qu’il pourrait guérir, et son rejet par les médec
ouer pour le faire revenir à lui ; enfin , me rappelant tant bien que
mal
les passes contraires que j’avais vu faire il y a
létement fini avec le réveil; M. M... eut toute la soirée de violents
maux
de tète, des douleurs dans les membres et des mou
dus à terre : il les enjamba avec précaution sans se faire le moindre
mal
, et il évita avec le môme soin les chevaux et les
levé, puis sur un autre encore plus haut, sans se faire e moindre
mal
; il se promenait h travers diverses rues, et ret
rdinaires qu’elle procède avec des données certaines sur la nature du
mal
, au lieu de se hasarder comme eux à des hypothèse
vois dans le corps de ma bonne-maman les organes qui souffrent et le
mal
qui la dévore ! » La-dessus on appelle le médecin
appelle le médecin, qui prescrit les remèdes exigés par la nature du
mal
, et la grand’mère ressuscite. « Depuis ce jour,
’elle avait donnés à son lils. « Voilà, monsieur le baron, le fait (
mal
exposé, mais vrai), que j’ai été bien aise de vou
ti, grâce au signe avant-coureur, et j’eus le bonheur de triompher du
mal
avant même qu’il eût eu le temps d’éclater. « U
ra défini.... Pour M. Lélut, du moins, cet état, qu’il soit bien ou
mal
défini, existe , peut être provoqué par un agent
l’idéal, cette soif inextinguible d’amour ne sont que des aspirations
mal
définies à la vie spirituelle. Nous pourrions,
une pensée divine : la belle chose que Dieu dit, nous l’écrivons bien
mal
: notre réalité ne s’adapte pas bien à notre beau
en fais la description fidèle, et le docteur, certain de la nature du
mal
, prescrit avec certitude des médicaments efficace
la poussière, et il est tellement sous le joug de la puissance du
mal
, qu'il ne peut se maîtriser tant que dure l'accès
s de foi, les prétentions qu’il affiche, les problèmes qu’il pose, le
mal
qu’il peut faire aux âmes, voilà sans doute assez
ule persista dans son affirmation. Je me retirai persuadé qu’il avait
mal
vu. .Mais à trois mois de là, cet ami que j’avais
ris ; tout d’abord son mari la traita par le système Raspail, mais le
mal
s’aggravait tons les jours. Me trouvant en bonneë
bien-être général. Novembre 1855. M. Th. Koltswart, h Francfort.
Mal
de dents, fluxion. Guérison instantanée. Mars 1
l’on ne pourrait pas lui donner un remède pour la soulager d’atroces
maux
de dents dont elle souffrait depuis plusieurs jou
gal succès. Mai 1856. Madame Eberl, à Francfort. Céphalalgie avec
maux
de dents et insomnie. Guérison opérée à l’aide de
u bout d'une couple de semaines j’aurais pu triompher complètement du
mal
. L inconséquence des parents, qui voulaient soume
rovenir d’un défaut de circulation du sang. La malade soufflait de ce
mal
depuis une année. Quelques passes magnéti-i ques
agnétiques , amènent au bout de huit jours la complète disparition du
mal
. Déc. 185(1-février 1851. M. Kup, prop. de mine
uscles de la poitrine et des reins. Les premiers symptômes sérieux du
mal
remontaient à plus de six ans, et, en dernier lie
dans son travail de restauration. La convalescence fut longue, carie
mal
avait laissé des traces profondes. Sa maigreur ét
sie et de boulimie. Huit ouidix jours suffisent pour triompher de ces
maux
., Juillet 1858. Madame Laubivytr. Douleurs sour
estive dé ventouses. La première magnétisation diminue la violencé du
mal
; la secondé s’én rend maître entièrement. De se
ctobre 1858, à la suite d’un grand chagrin, je fus prise d’un violent
mal
de tète, d’atroces coliques, de nausées et de vom
sporter à mon domicile. Madame Ogier vint en effet et reconnut que le
mal
était très-grave, et jugea qu’elle, pourrait me s
assai six ou sept heures sans souffrances, mais le soir, je me-sentis
mal
au foie et le mal devint intolérable. Le médecin
heures sans souffrances, mais le soir, je me-sentis mal au foie et le
mal
devint intolérable. Le médecin jugeait une applic
, malgré toutes les peines que je me donnai, reconnaître la nature du
mal
que j’avais encore à combattre. J’avais beau repa
oûts et les déceptions, quelque nouveau moyen dè réduire la somme des
maux
5 et, au pis-aller, ce sera une0 noble tâche que
scepticisme, en dépit aussi de la science, qui explique tant bien que
mal
ce merveilleux phénomène, elle se ressouvint de s
rt de vérité, à priver les pauvres malades des moyens d’alléger leurs
maux
ou même de leur rendre la santé. Le Journal de
étaire-gérant. 125' ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE ME^Ü* «:*
Mal
185». 14' célébration, sous la présidence de M.
t dans un état de bonheur ou de souffrance proportionné au bien ou au
mal
qu’ils ont fait pen-dantla vie : ce n’est pas tou
té est incertaine , les mauvais Esprits peuvent lui faire beaucoup de
mal
. «Les mauvais Esprits peuvent même s’emparer de
toftne contre l'ignorance qui, selon lui, est la cause de tous les
maux
de l’espèce humaine (découverte qui vaut son pesa
près un examen attentif, leurs prétentions à cet égard fussent jugées
mal
fondées, il s’ensuivrait seulement qu’il y aurait
lucidité , et peuvent ainsi découvrir les causes et la nature du
mal
et les moyens d'y remédier. Mais si l’on demande
ssuresjYeverraient leur patrie. Le magnétisme, en effet, localise les
maux
, empêche toute résorption purulente , tout dével
Par le vouloir, peut jaillir de nos mains. Ce flux puissant sur le
mal
homicide Lance sa foudre et le force à fléchir ;
u bien, du vrai, du beau, du juste, est tenue en échec par l’armée du
mal
, du faux , du laid , commandée par le prince
te, pour la faire retomber clans le chaos primordial où le bien et le
mal
, la raison et la folie, la force et l’inertie fer
lux, et se poursuit sans relâche en gagnant du terrain sur l'armée du
mal
, destinée à être un jour vaincue ; mais qui conti
du déicule terrestre qui peut également paralyser les hominicules du
mal
passés dans les rangs ennemis. Ceci nous donne
sence d’un ôtre malade, n’a qu’à so faire ce simple raisonnement : le
mal
n'est point une chimère, il a une cause; rien ne
ui, car tel est presque toujours le cas. Vite à l'œuvre, touchez le
mal
et commencez la chasse, dispersez cette fourmiliè
Cela fait, appliquez la main guérissante, tnanus sanation sur le
mal
et cataleplisez les traînards qui ne résisteront
mûrit en son temps. Imitez Dieu, persévérez et vous triompherez du
mal
, et la mort reculera devant vous. M. Jobard ava
: « Le malade qui attira le plus mon attention fut une dame dont le
mal
consistait en un fongus hematode (comme l’appelai
rait violemment, par suite d’une inflammation des reins. J’enlevai le
mal
en posant mes mains des deux côtés du corps penda
posant mes mains des deux côtés du corps pendant une demi-heure ; le
mal
n'a pas reparu. — Un maréchefl avait au poignet u
G... avait la goutte à la jambe ; le membre était rouge et enflé ; le
mal
durait depuis plusieurs semaines, et le malade ne
s mains pendant une demi-heure ; l’enflure disparut graduellement, le
mal
se dissipa, et le malade put marcher avec facilit
cas, il m’arriva, par la seule imposition des mains de guérir divers
maux
, tels que crampes, maux de tête, maux de dents, n
tion des mains de guérir divers maux, tels que crampes, maux de tête,
maux
de dents, névralgies, etc. : le temps que j'y emp
s plus probants que ceux qu’il a présentés à. la commission, il a été
mal
inspiré en en offrant la répétition aux membres d
produit souvent l’orgueil, et l'orgueil, qui est toujours principe du
mal
, ferme nécessairement les yeux à la lumière supér
ne sais si elle dormait ou non. Ses remèdes ne m’ont fait ni bien ni
mal
. n M. Adolphe Marix, négociant, rue Saint-Côme.
és d’abandonner la partie et de se retirer vaincus par la ténacité du
mal
. — Mais c’est impossible, vous ne pouvez abando
dis-je, la voilà en somnambulisme, nous allons savoir et la cause du
mal
et le remède. — Deinandez-lui si elle a été bie
alade: — Madame! ne savez-vous pas que Dieu a mis le remède à côté du
mal
et que c’est à vous à le chercher? Faites un effo
d’esprit que vous ne voulez pas vous conserver à votre famille, c’est
mal
! Soutenue par la fermeté de ma volonté, la sie
ièrent de lui adresser encore quelques questions sur l’origine de son
mal
; mais j’eus beau crier à son oreille, l’ouïe éta
on doigt sur l’épigastre, et lairalade répondit immédiatement que son
mal
avait commencé entre les deux épaules. — Ce n’est
pent du corps de vos malades. Voilà donc la cause toute naturelle des
maux
dont vous vous plaignez, monsieur le docteur, et
e va laisser mourir, parce qu’elle n’a pas su remonter à la source du
mal
, et, par conséquent, en connaître la cause-, il e
que vous avez laborieusement mis au monde, est la cause efficiente du
mal
qui l’a sourdement rongé par une cause accidentel
aussi heureux dans son diagnostic, s’il a 9i bien reconnu la cause du
mal
, le traitement qu’il prescrira sera rationnel, so
x abandonnés, il faut que je m’arrange pour y passer la nuit le moins
mal
possible. En me disant cela, je traversai plusi
trompés sur sa maladie. M“* Dorman, entrancée, dit à la dame que son
mal
provenait de calculs biliaires ; que les concréti
voir jamais luire le jour de l’harmonie : ils prennent tant bien que
mal
leur parti d’une contradiction dont ils se consol
pas par triompher, et, si elle fait peu de progrès, c’est qu’elle est
mal
défendue. Certes, nous sommes loin de méconnaître
un motif, et cependant un profond chagrin nous dévore..., cela finira
mal
.— Deux mois après j’étais veuf; —que de pressenti
ardon du mot (on me sert de l'andouille dont les parties intégrantes,
mal
lavées, ont le goût d’excréments). 2° Des chang
it le voisin, et réciproquement (place d'armes), puis dans une maison
mal
famée, maudite. Un suicide s'accomplit dans cette
encespour savoir dans laquelle des deux têtes se trouvait le siège du
mal
, ou plutôt la perception directe. 2. — Ayant re
érai attentivement mes enfants; l’aîné me parut souffrant. « Où as-tu
mal
? Au ventre? Y sens-tu de la chaleur ou du froid?
z lui était conforme à ce que j’éprouvais. Je fis passer aussitôt son
mal
et le mien en un quart d’heure. 3. — Madame Cla
sée avec un prêtre et madame Cl..., au bout d’une heure, je me trouve
mal
à mon aise, gêné de l’estomac, je suffoquais...,j
uve le même malaise, et je dis à M. de Murât, employé : Je ressens un
mal
qui ne vient pas de mon être, il ne m’appartient
e donne un bonnet de nuit... «Tuas mis ce bonnet pendant que tu avais
mal
à la tète? » 11 réfléchit,... c'est juste, dit-il
is mal à la tète? » 11 réfléchit,... c'est juste, dit-il. Il avait eu
mal
de téte le matin. J'ôte le bonnet, et mon mal se
te, dit-il. Il avait eu mal de téte le matin. J'ôte le bonnet, et mon
mal
se passe. 6. — J’ai donné ici encore quelques l
— Je ne sais ; mais la vue de cet homme qui vient de passer m’a fait
mal
. Le connaissez-vous? « — Si je le connais? mais
s de la hiérarchie lamaïque. Ce sont ordinairement de simples lamas ,
mal
famés et peu estimés de leurs confrères. Les lama
btenues ne peuvent pas faire de bien, elles ne peuvent guère faire de
mal
. La plupart sont ainsi conçues : « Trois fumigati
BULIS&IE. Le magnétisme est l’arbre de la science du bien et du
mal
; il ne faut pas y toucher, disent certaines pers
bules, et il était bien rare qu’elles se trompassent sur la nature du
mal
et par conséquent sur celle des remèdes à employe
me n’existe pas; or ce qui n’existe pas ne peut certainement faire de
mal
, et le prévenu étant auteur de rien, ce rien ne p
r des incendies. Cet expert aurait ajouté que le magnétisme répare le
mal
qu'il peut causer : il y a tout lieu de croire qu
étisme, quand on avait là, devant soi, un pauvre enfant, atteint d’un
mal
sérieux, et qui n’était peut-être pas réveillé de
nous étions injustes; aujourd’hui nos académies sont responsables du
mal
qui se fait ou peut se faire, on doit les maudire
as laissée dormir? » Elle se plaignit aussi que la bouche lui faisait
mal
: c’est qu’on la lui avait frottée avec du vinaig
hes, comme le prouve ce poids sur le cœur dont elle se plaignait. Son
mal
était nerveux, comme le démontre l’insomnie conti
llement si ce trésor de science , fruit de si longues études,.vaut.le
mal
qu’il coûte, si cette sublime magie , hérissée de
t se fait-il qu’on néglige un aussi puissant moyen de guérir tous les
maux
? Comme l’auteur ne cite aucune expérience person
médecine, mais sans assurer qu’ils eussent le don de guérir tous les
maux
, et nos ancêtres les Gaulois n’étaient pas plus q
le ; les questions se précipitent: « Qu’avez-vous ? vous trouvez-vous
mal
? » Nulle réponse ! « On s’approche d’elle pour
, qu’elle n’avait jamais rien vu de pareil ni entendu parler d'un tel
mal
. Alors, elle décrivit l’état du malade d’une mani
je l'eus constatée, je partis par le premier train. Elle a décrit le
mal
aussi sûrement que j’eusse pu le faire en ayant l
encore une expression d’idiotisme. « Vers l'automne de 1851, les
maux
de tète et les aooês augmentèrent tellement, que
ombattu de nouveau par le magnétisme. « Le 31. La malade accuse des
maux
de dents violents qui s’irradient sur tout le côt
nétisation ; après quoi; elle se lève et vaque à ses occupations. Les
maux
de doits persistent toute la journée. «Le 2 nov
re d’eau et quelques passes sur la tête, parce que l’insecte lui fait
mal
. — M. Gros essaye de la démagnétiser; la malade p
s frappé la tête ? « Réponse. — Parce que l’insecte ne me fait plus
mal
. n Quatrième question. — Pourquoi vous frappiez
aussi sans accè-. Quand il y avait eu un accès, la malade se sentait
mal
à son aise. « Le 18. Depuis deux jours je remar
tion. — Votre santé se rétablira-t-elle ? « Réponse. — Non, cela va
mal
. Le 10 janvier à 3 heures et demie du soir, j’aur
u & ou 10 selles avec des coliques et n’a pas.rendu d'urines. Les
maux
de tète et le sommeil comateux persistent ; le po
es. La malade a uriné. « Elle accuse encore des coliques, un peu de
mal
de gorge, des points de côté voyageant de gauche
e vanter d’être utile aux hommes : jusqu’ici elle leur a fait plus de
mal
que de bien. Baron du potet. CONTROVERSE. C
oin : c’est une illusion provenant de ce que généralement ou apprécie
mal
les lois de (i) Rochesler Knockirigs! Iliscover
d’un chasseur fourvoyé, battant la campagne et très en colère d’avoir
mal
ajusté sa proie. Tâchez donc un peu d'y trouver q
et observations, par M. Morin, 554. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guéris ou soulagés. Aménorrhée, 230. Boulimie
veau, 225. — des reins, 299. Laryngite pseudo-membraneuse, 226.
Maux
de dents, 225. Mutisme accidentel, 141. Névra
3, 309, 357, 453, 580, 636. Sympathie, nerveuse, ou ressentiment du
mal
d'autrui à distance, 443. Thérapeutique magnéti
, 340, 449, 618; — spiritualité, 297, 411, 592. — (Pour le détail des
maux
soulagés ou guéris, voy. Clinique.) Transmissio
es passions basses. Prenez l'être le plus vicieux, le plus enclin à
mal
faire, parvenez à le somnambuliser, et vous le tr
oute chose, c’est la continuation de la lutte éternelle du bien et du
mal
, d’Oromaze et d’Arimane; il faut savoir séparer l
démons, qui ne se manifestent que pour nous perdre et nous pousser au
mal
, et qu’on ne peut sans impiété s’adresser à eux.
manité sont comme nous imparfaits, faillibles, mélangés de bien et de
mal
. Si nous pouvions nous communiquer à des êtres su
beneficicndo. Comment une telle œuvre peut-elle émaner de l’esprit du
mal
? Le diable, en vieillissant, serait-il devenu ass
mutation du principal agent matériel qu’il doit de pouvoir guérir les
maux
, de rétablir l’équilibre dans des corps délabrés,
ne faisait-il pas plus de bien, mais il faisait certainement moins de
mal
. « Cette existence des créations magnétiques et
ne intention, en priant, et avec un cœur pur. On gué-« rira ainsi les
maux
les plus incurables. » Je doute qu’on puisse mi
ssures étant juge exercé, elle espère le sauver. n Elle voit que le
mal
vient de la fatigue et des humeurs trop abondamme
comte d’Ourches, qui a fait ses preuves en fait de magnétisme ani-
mal
, qui n’est pas nouveau-venu ilans le monde somato
d’autres, a évidemment agi comme auteur du délit; i Que c’est donc
mal
à propos que le jugement de première instance l’a
t élément. n Le second degré peut être appelé élément moteur uni-i,
mal
. C'est encore un degré supérieur, ou forme perfec
xistence ; seulement celle-ci se trouve alors dégagée des milliers de
maux
auxquels notre vie matérielle est sujette.... I
voir de plus grand motif d’incitation au bien et de répulsion pour le
mal
, que la conviction bien acquise de la réalité de
mné à un long sommeil sans rêves ; mais que, passant à un état où les
maux
de la vie matérielle n’existent plus, il est mieu
« —Telle infirmité. « — Croyez-vous que Dieu, qui nous envoie le
mal
, puisse l’Oter? « — Oui. «— Vous savez qu’il
ement physiques et du but d’une utilité médicale, me font beaucoup de
mal
. » Pour notre compte, nous avons vu des symptôm
e de nos destinées et celles de nos semblables, les biens couinic les
maux
, la vie et la mort, dans le temps et dans 1 étern
. Notre lettre n’est pas destinée à être lue du haut de la chaire. Le
mal
que nous signalons n’est pas connu du peuple de n
d'intelligence pour diriger seul ma conduite et discerner le bien du
mal
, assez de force morale pour oser sonder quelques
des molifs du jugement dont est appel, « Dit qu’il a élé bien jugé,
mal
appelé ; maintient les dispositions dudit jugemen
rveux. Cette enfant était alitée depuis quatre jours, pour un violent
mal
de tête, qui s’était accru beaucoup la nuit précé
e, probablement, je ne sortirais pas de chez eux sans avoir enlevé le
mal
de tête à leur fille, ce qui parut les surprendre
faction mêlée de surprise, leur enfant déclarer qu’elle 11’avait plus
mal
à la tête. Un fait digne de remarque dans cette
e père de la malade était aussi sensible au magnétisme, avait souvent
mal
à la tête, et présentait, comme sa lille, un doui
sfaction, celle de soulager presque toujours et de guérir souvent les
maux
de leurs semblables. Depuis que je m’occupe de
e organisation, il prouve, par déduction, qu'il peut aussi chasser le
mal
qui le ronge; car il n'est pas plus étonnant d'en
s moyens que la Providence a mis à notre disposition pour adoucir les
maux
qui accablent l’espèce humaine. Est-il un homme q
finirent par produire le résultat désiré. Mais, soit que le sujet fût
mal
disposé, soit que le fluide eût été administré à
ve. La magnétisée, rappelée à la vie, en a été quitte pour un violent
mal
de tête, et le magnétiseur pour une salutaire fra
M. Aubin Gauthier vient de succomber à la suite d’une maladie aiguë
mal
définie à son début, et qui, aussitôt connue, ne
ant ou s’abaissant dans l’échelle des êtres suivant qu’elle a bien ou
mal
usé de son libre arbitre; sa déchéance, toutefois
fourni des armes au faussaire, à l’incendiaire, ;ï l’empoisonneur. Le
mal
marche toujours à la suite du bien, comme son omb
le s’est ranimée et a cherché à manger. Dès que je cessais d’agir, le
mal
revenait. J'ai dû continuer une partie de la nuit
eine, marche, s’asseoit encore, parle de choses diverses qu'on entend
mal
, dit des sentences tenant de la prédiction. 11 éc
us l’avons été tous, de ces crises affreuses connues sous les noms de
mal
caduc, haut mal, épilepsie, M. Blesson ne se born
ous, de ces crises affreuses connues sous les noms de mal caduc, haut
mal
, épilepsie, M. Blesson ne se bornait point à s'ap
fet d'une forte magnétisation ordi- uairc, et guérissait souvent un
mal
contre lequel la quinine avait lutté en vain pend
is encore les corridors, les chambres, les cénacles. Déjà des paroles
mal
sonnantes pour la justice se faisaient entendre d
érité révélée par Mesmer; mais il en est résulté plutôt un bien qu’un
mal
, puisque pendant ce temps d’arrêt la sphère du ma
au moins une partie des voiles dont la vérité magnétique s’accommode
mal
. Sinon, nous serons en droit de dire ou que cette
egarder comme magiques. S’il en était ainsi, le titre nous paraîtrait
mal
choisi, et l’auteur se servirait de termes improp
ée dans la même langue et publiée à Milan ; dans ce cas, ce serait un
mal
, car les forces divisées se perdent. HÉBERT (de
onnant ce sens: « Les pyroscaphes sont impossibles avec des cylindres
mal
« alésés, qui laisseraient fuir la vapeur » ; E
tion de rembourrer son pavé pour les assommer sans trop leur faire de
mal
? J’en étais là de mes doutes, lorsque je me su
e, répondis-je au curieux, est la cause inconnue des phénomènes assez
mal
connus présentés par le règne organique. La con
ces mouvements sont inconscients. Qu’on ait, au contraire, le moindre
mal
de gorge, et la douleur causée par l’angine à cha
ononcés de l'état crisiaque. Le somnambulisme naturel ot la chorée (
mal
caduc) en sont les modes le plus complet, d une p
la même façon un groupe, il faut qu’il y ait une cause réelle bien ou
mal
appréciée. Alors il n’y a pas hallucination, il
ouveau, mais elles enseigneront de saines pratiques pour soulager les
maux
. ■ Mais, Messieurs, le temps du repos n’est poi
ute, Messieurs, nous n’éteindrons pas entièrement ce qu’on appelle le
mal
, car il a sa source dans un principe de destructi
couronne. Sans doute, il ne peut parvenir à supprimer complètement le
mal
physique, attribut inévitable de tout être fini ;
pé par la cupidité et le charlatanisme. d Ce n'est pas seulement au
mal
physique que s’applique l'action curative du magn
pour faire le bien, ne soit employée avec la même énergie à faire le
mal
, ne soit mise au service des plus mauvaises passi
et étend ses facultés accroît sa capacité pour le bien comme pour le
mal
, suivant l’usage bon ou mauvais qu’il croit devoi
« L’esprit des temps modernes écartera de l’Amérique et de nous le
mal
devant lequel est tombée la civilisation antique.
p ardent avait énervé sa riche nature par des efl'orts surhumains. Le
mal
allait prendre sa revanche; tant de fois vaincu p
e lugubre tableau. Mais quelle clarté soudaine illumine sa pensée? Ce
mal
, inconnu jusque-là, sous lequel succombe celui qu
e.... Et ce forfait... Dieu l'a soufforti I ! O honte! origine du
mal
Qui brandit le tison des guerres I De ses mains l
ttaquer sans merci les corps savants, car ils nous firent beaucoup de
mal
en repoussant toujours la vérité. Aujourd’hui mêm
ent point qu’on puisse guérir sans la matière, et qu’ils sont dans le
mal
. Ceux, au contraire, qui sont dans l'amour de Die
es autorités d’Allemagne, avaient successivement essayé d’éloigner ce
mal
, mais ce fut sans succès. Le hasard m’apprit les
t marcher, et bien que le cours du traitement ait démontré combien le
mal
était profondément enraciné, et qu’il avait atta-
ication de sangsues aux cuisses ; mais ce moyen, loin de diminuer son
mal
, ne fit que l’augmenter, et produisit une gêne ex
voit son cerveau; elle le dit être très-rouge, un jour qu’elle avait
mal
à la tète, et beaucoup moins un autre jour qu’ell
xempts de cette maladie. Aucun traitement n’a été employé contre ce
mal
, bien qu’il dure depuis plus de douze ans et qu’i
à que Gemma, qui était simplement tombée sur ses pieds, sans se faire
mal
, arrive juste à propos pour se mettre à la place
es analogies physiques du mesmérisme ne sont pas mieux constatées, le
mal
vient de la divergence des expérimentateurs : par
, elle est trop serrée...,. C’est une tumeur dans les os qui lui fait
mal
. — A quoi servirait votre électricité, dès lors
A rien; c’est vrai.... Je ne voyais que l’effet, et non la nature du
mal
. >■ La conseillère des peaux de mouton fut é
médication. La paraplégie était donc incurable ? Non ; la nature du
mal
était'syphilitique, les mercuriaux et l’iodure de
de lac et de baignoires à torpilles. Eh! ma foi, ce n’est pas déjà si
mal
imaginé. Quoi qu'il en soit, ces poissons élect
ble au mesmériste de dire ce qu’il va développer dans l’organisme, le
mal
ou le bien, la paix ou la tourmente, la douleur o
ête dans mes mains, en portant l’action de ma volonté sur le siège du
mal
; je descends ensuite la main le long du corps ju
e de deux ou trois années seulement, autant pour combattre ces divers
maux
que pour prévenir les complications, les médicame
es s’étant irrités, 011 eut recours à l’opium et à ses succédanés. Le
mal
parut céder un instant sous l’empire de cette méd
en était le siège, semblait déjà frappé de cécité, et l’ancienneté du
mal
me faisait craindre que peut-être mes soins serai
eur étendue. Je n’ai vu dans cette affection qu’une complication de
maux
occasionnée par des traitements d’une barbarie ré
som-nambuliques, me facilitèrent les moyens de la débarrasser de ce
mal
beaucoup plus tôt que je n’osais l’espérer. Je te
subir, et ce fut dans un de ces moments qu’elle trouva le principe du
mal
qui persistait : « Les frictions mercurielles q
sourcilière gauche, détermina, au bout d’un quart d’heure, un violent
mal
de tète, avec surexcitation des nerfs ; et, malgr
a faire deux fluides contraires. La somnambule répond quelle lui fait
mal
, sans doute ; que cela cependant est nécessaire.
i qui m’attire et qui a voulu que je me lève; mais cela m’a fail bien
mal
(1) ! d Elle ajoute : « — Ah! le voilà qui s’
ent immédiat des atroces souffrances des navigateurs : la guérison du
mal
de mer par le magnétisme. Une très-heureuse expér
e expérience m’a démontré l’influence de l’agent magnétique contre un
mal
réputé jusqu’à ce jour sans remède, malgré que l’
int notamment d’une maladie grave. Elle déclara qu’il s’agissait d’un
mal
intérieur, que les médecins 11e soupçonnaient pas
onnaissance étant revenue et la malade disant que rien ne lui faisait
mal
, je prescrivis la potion suivante : Eau distill
il n’est pas étonnant qu’ils résistent : étudiant à peine, ils savent
mal
et concluent faussement. — Sous le titre de : H
Quant aux conséquences pratiques, que M. de Morogues les ait bien ou
mal
expliquées (ce que nous ne pouvons savoir), elles
dernière circonstance réitérée fut sans doute la principale cause du
mal
qui devait se montrer. En effet, le lendemain à m
me magnétiser sans retard, car je sentais mes forces s’anéantir et le
mal
empirer. — Elle m’administra une bonne magnétisat
inuer quelque temps encore après moi, afin d’éloigner indéfiniment le
mal
et éviter par ce moyen une nouvelle rechute. De
s, loin d’amener uu soulagement, ne servirent qu’à faire redoubler le
mal
d’intensité. C’e-.i, alors qu’elle fut conduite à
tent du magnétisme ; nous allons parler des esprits. — Loin d’être un
mal
, ce serait un bien si toutes les choses que nous
ps ronds dont il est parlé se manifestent au Üeu d’un, et qu alors le
mal
est incurable. « La veille du jour oii j’écris
du reste, ils cachent avec grand soin. « Ils expliquent la cause du
mal
par l’existence de petits vers qui s’attachent au
isme, ils restent froids et insensibles en présence du plus grand des
maux
, et le choléra dût-il revenir encore nous visiter
ons pourtant sceller les bienfaits du magnétisme dans les plus grands
maux
, comme dans les plus petits, et voir sans frémir
reçu environ mille magnétisations. Parmi les guérisons, on cite des
maux
de dents et d’oreilles, des douleurs de tète, des
matismes, des surdités, des cécités, des cancers, des névralgies, des
maux
de hanche, des maux d’yeux, des entorses, des cas
és, des cécités, des cancers, des névralgies, des maux de hanche, des
maux
d’yeux, des entorses, des cas de paralysie, d’épi
médecine, elles n’ont point fait un pas en avant, et la même somme de
maux
physiques et moraux existe sur le globe. La guerr
s profondeurs du sommeil, on surprend même la perversité, le génie du
mal
combat à armes égales celui du bien; moi-même je
s souvent que par les pensées et les volontés d'autrui. Pour tous ces
maux
, prêtres, médecins ou philosophes y perdent leur
ivait autant, disait-on, à quiconque lui faisait un procès, disait du
mal
de lui, ou simplement lui déplaisait. On compre
oins que la franchise et la confiance entière. Avec nous, il n’arrive
mal
qu’à celui qui use de détours. Tu es, je le vois,
es expériences que lit sur elle la médecine, elle 11e fit qu’aller de
mal
en pis jusqu’à ce que des passes magnétiques, des
seront donnés plus loin. Une espèce de sorcier lui fit beaucoup de
mal
au moyen d’une poudre qui l’exalta et d’une amule
en rapport avec elle toutes leurs indispositions. Elle expliquait les
maux
de nerfs par des nœuds qui se forment à l’épine d
l’âme et sans aucun pouvoir sur elle à la voir souffrir, si elle l’a
mal
dirigée; 2° que l’âme ne sent et n’agit dans l’au
sujet d’expérience un genou malade depuis environ dix ans, et dont le
mal
avait résisté à la science des meilleurs médecins
la guérison do maux de tête nerveux, de névralgies, d'érésipèles, de
maux
d’yeux, d’oreilles, de poitrine, de poumons, de c
et leur ferous cortège ! Ah ! combien s’abusent ceux qui se croient
mal
placés au second rang. La renommée oblige, elle d
que des poisons administrés à des somnambules ne leur ont causé aucun
mal
; il apporte son témoignage, il croit parce qu'il
du tronc rendaient excessives. M. Nélaton ayant reconnu la nature du
mal
, procéda sans délai au massage des parties endolo
indiquer ici. Tous les magnétiseurs ont eu occasion de guérir de ces
maux
de reins; il en est de même du torticolis, des do
é d’une grande foi, et l’on dit qu’il a le pouvoir de guérir tous les
maux
. M. Nathan Opton, medium guérisseur, deColombus
lités les chimères de leurs cerveaux malades. Nombre de faits ont été
mal
observés, la constatation n’en a point été faite
est vrai, comme un homme atteint par la vieillesse, et si des enfants
mal
appris me jettent quelques cailloux, je ne les po
er les lois de son empire, encourager les vivants à persister dans le
mal
; car si le mal n’était plus, les pasteurs cesser
on empire, encourager les vivants à persister dans le mal ; car si le
mal
n’était plus, les pasteurs cesseraient d’être néc
les à l’action magnétique, des agacements de nerfs, des malaises, des
maux
de cœur, des crises nerveuses, des syncopes ; le
ent aucun compte de nos efforts n’ont qu’un tort à nos yeux, celui de
mal
voir. Je n’en ai pas fini avec mes causeries, j
cirur de leurs tours d'adresse, sans considérer qu’ils perpétuent le
mal
et empêchent le bien. Combien de fois ai-je enten
, afin d’arriver par moi à Son Altesse Impériale. Le plan n’était pas
mal
conçu, mais il échoua devant ma volonté; je ne di
Puységur en « la chargeant de fluide. ii — Oh ! que vous me faites
mal
! vous me brisez la tète et « le cœur. « — Lise
Puységur en était contrarié; il craignait beaucoup qu’on l’accusât de
mal
user du magnétisme, qui devrait servirsurtont à l
is-je, il ne s’en relèvera pas! _ a Le même soir, il se trouva plus
mal
; trois jours après il était mort............_ .
ente. Épilepsie. — Miss Toy, de Birmingham, avait des accès de haut
mal
tous les jours. Elle fut radicalement guérie, d’a
cet égard dans Y Art (le magnétiser. « La musique gaie leur faisait
mal
et leur donnait des convulsions. Cependant Louise
un filon insuffisamment exploité des richesses souterraines et assez
mal
cataloguées de la science mesmé-rienne. C'est à
ant intentionnellement sur mon adversaire. Mais cette observation est
mal
faite, le contraire s’est présenté plusieurs fois
bien et fait le plus souvent défaut lorsqu’on veut le faire servir au
mal
; puisqu’enfm 011 ajoute sensiblement à son actio
Direction el travaux, 228, 455, 764. CLINIQUE. Cas de médecine. —
Maux
guéris ou soulagés. Abcès de la cornée, 486.
thiasie des paupières, 486. Lumbago, 657. Maladie mentale, 615.
Maux
de tête, migraine, 133, 549 Néphrite, 546. Névr
e grande puissance; il est & la portée de teus et peut guérir des
maux
désespérés. En vain avons-nous, par des appela su
a voie d’un meilleur avenir. Cette consolante pensée que le remède au
mal
qui nous dévore est trouvé nous a soutenus dans n
on en contestera môme quelques-uns.... Mais pourquoi prévoir ainsi le
mal
? Nos adversaires, devenus plus justes et plus rai
tion soit pratiquée. Quelquefois l’action du magnétisme augmente le
mal
et replace l’individu qui y est soumis dans l’éta
à le repousser comme il l’a fait pour l’agent contraire qu’un médecin
mal
inspiré a pu introduire dans la circulation. Mais
nt à l’infini et cela dépend : du genre d’affection, de la gravité du
mal
, des remèdes déjà pris et du moment que vous avez
remèdes déjà pris et du moment que vous avez choisi pour agir; car le
mal
change souvent dans cette tourmente du corps, où
s ou moins , bien que, dans certains cas, on ne soit atteint que d’un
mal
local. Ce que je regarde comme un des plus gran
mploi du magnétisme. Soyez certain que, quelle que soit la gravité du
mal
, si une crise est possible elle aura lieu , et, s
uits ou altérés profondément dans les tissus qui les constituent : le
mal
ainsi fait est irréparable. (La suite au procha
magnétiser pendant son extase. J’y consentis, sachant que je faisais
mal
, car il m’avait repoussé; il était homme et libre
ier cas que j’ai cité; toutes crieront que ces messieurs étaient bien
mal
infor- niés quand ils ont dit que celle opérati
lle est complètement guérie et qu’elle n’aura plus aucun retour de ce
mal
cruel. » On doit remarquer ici que cette guéris
ation, d'engorgement", queces fluides apportent, et qui augmentent le
mal
local, parce que l'effet augmente la cause, ne ce
? Ne s’opposera-t-on pas, de celte manière, aux progrès ultérieurs du
mal
, et ne favorisera-t-on pas sa résolution? Nous su
i-même, ce qui est absurde, mais pourtant très-commun. Revenons aux
maux
incurables. Les maladies ont, en général, un co
ions chroniques qu’on a le bonheur de guérir, la marche rétrograde du
mal
suit exactement le chemin qu’il avait pris pour a
de procédé; vous dirigez de préférence lo magnétisme sur le siège du
mal
, s’il est bien connu ; dans le cas contraire, sur
emps que vous soutiendrez les efforts qui sont faits au siège même du
mal
. Soyez assuré que l’émonctoire qui doit servir
» Elle prend ma main et la pose sous le cœur... « C’est donc là votre
mal
? Qu’y a-t-il donc ? — Du sang... il y en a bien t
-ce toute la cause de votre maladie? — Non; mon ventro est aussi bien
mal
, mais je n’y vois pas. » « Après une dizaine de
les piiviléges de votre position, Monsieur le Ministre, d’empêcher le
mal
en favorisant le bien. Ouvrez-nous un lieu où nou
Après quelques minutes je me retrouvai avec tout mon sang-froid, sans
mal
de tête, sans aucun des symptômes qui accompagnen
out instant qu’elle allait périr. Un soir qu’elle était extrêmement
mal
, je voulus la voir une dernière fois avant de ren
es écrits et à chercher des vérités d’un ordre moral qui seraient ici
mal
placées. Seulement, pour satisfaire le lecteur
retardez l’invasion. Ce premier pas fait, vous ôtes bientôt maître du
mal
. Dans toutes les affections où, par des causes
r le mois suivant. Combien de fois n'ai-je pas ainsi rélabli la mensl
mal
ion après que tous les remèdes avaient échoué ! D
certain temps, s’il est conduit avec sagesse; il s’égare, s’il est
mal
dirigé. Lorsqu’il rentre dans l'état naturel, il
s indiscrétions de la somnambule! on tremble qu’elle ne s’inocule les
maux
des personnes qui demandent à être mises en rappo
uvrait ma porte, quoique j’en eusse pris laclefsur moi, me faisait un
mal
horrible. Alors je voyaisen trer le même cadavre
uelques êtres, leurs victimes? Gloire à vous, Seigneur, même pour les
maux
que j’ai soufferts ! Pardonnez-moi si parfois je
du malade, le moindre mouvement; seulement il dit : « Vous me faites
mal
. » Chaque lambeau fut incisé, et à chaque incisio
lambeau fut incisé, et à chaque incision il répéta : « Vous me fuites
mal
; » mais la tête resta immobile. Chaque lambeau f
nq minutes l’enfant remua le bras en disant qu’il ne lui faisait plus
mal
. Le docteur Clavery cite une guérison de douleu
crut pas d'abord, mais, voyant son fichu ensanglanté, elle se trouva
mal
. Le chirurgien incrédule avait alors un visage où
Les gens éclairés qui nous disent : N’allez point do ce côté, jugent
mal
des choses ; la suite le démontrera. La tristes
sont-elles jumelles ou sœurs pour être frappées en môme temps du môme
mal
? Non, l’une est Allemande, l'autre Russe; elles n
l’organisation. Quelquefois le magnétisme aggrave les symptômes du
mal
; le magnétisé et le magnétiseur s’effraient; il n
t malgré cette amélioration de^*«a santé en général, je jugeai que le
mal
avait fait trop de ravages pour espérer une guéri
étique, pourvu que je fusse assuré qu’il ne pouvait lui arriver aucun
mal
, et que je le visse auparavant dans cet état. «
ilité à la douleur. Je vis, je fus convaincu que mon opposition était
mal
fondée, et le premier résultat de cette convictio
nés, venant aussi lui demander le soulagement ou la guérison de leurs
maux
; el le bruit s’en répandant, on vint bientôt des
hommes que le magnétisme soit un agent curatif? Ils s’en moquent pas
mal
tant qu'ils se portent bien. Beaucoup ne voudraie
ans cette assemblée, et l’interprétation des gens du monde traduirait
mal
les émotions qui naissent d’un premier regard jet
le malade reconnaisse pour vraie la description des symptômes de son
mal
. Chez les somnambules parfaits on doit entendre e
ur bouche les mois mêmes dont se sert le malade pour caractériser son
mal
. Le rapport intime doit faire éprouver et surgi
rdinaires, qui ont un choix de remèdes qu'ils ordonnent tant bien que
mal
dans différentes affections. Je ne veux pas ici
i? Vit-on jamais une science se former avec des matériaux incomplets,
mal
recueillis, souvent tronqués, et des livres bien
it très-haut et d'un ton très-brusque : Eh! je ne vom trouve point de
mal
; au même instant il ouvre les yeux, et de l’air l
d’avis, à ceux qui magnétisent : La nature souvent .'puisée par le
mal
et les remèdes n’a plus la môme activité,; les sy
les yeux , tous les médecins appelés, et il y en eut beaucoup, car le
mal
est ancien, dure depuis plus de dix ans : hystéri
aginaire , humorale , rhumatismale , affection de ta moelle épinière,
mal
à lu matrice , ver solitaire. Cette nomenclature
stème « des influences en général que ladite propriété du corps ani-.
mal
, ainsi que le remède et la méthode de guérir. » P
U MAGNÉTISME. VOYAGE A SAINT-PÉTERSBOURG. (Fin.) « J'ai vu le
mal
, mais n’aime que le bien. ■ Maintenant le magné
a sensibilité dont les somnambules ont souvent besoin pour sentir les
maux
d’autrui, ils sont exposés h prendre et à s'inocu
ne de mes somnambules ; celle-ci, après avoir parfaitement bien vu le
mal
et indiqué les eaux thermales qui devaient le gué
chez la malade. Je ne fis pas beaucoup d’attention, car pour d’autres
maux
il en avait été de môme, et aucune suite fâcheuse
e ne pouvait ouvrir la bouche. J’essayai vainement de faire cesser ce
mal
, que je croyais passager. Après plusieurs heures,
tes cuillerées, sa bouebe étant fermée aux trois quarts. Peu à peu le
mal
la quitta. Une autre somnambule, après avoir to
ion est singulière, mais efficace. Endormis, ils n’onl aucune peur du
mal
qui leur arrive dans cet état; réveillés, ils ont
arrive dans cet état; réveillés, ils ont les mômes craintes que si le
mal
devait ôtre durable. Voici à ce sujet ce que di
er à quitter leur « place, en disant que leurs voisins leur faisaient
mal
; « d’autres s’en éloigner d’eux-mêmes avec précip
sciatique, la catalepsie, la gaie, les humeurs froides, « et tous les
maux
vénériens. 11 ne convient, ujoutait-« t-il, qu’au
ent, ujoutait-« t-il, qu’aux magnétiseurs de traiter ces espèces do «
maux
, parce que leur volonté el leur action en repous-
nt et « reçoivent lafluidité, la transpiration, et que, l’action « du
mal
arrivant chez elles en môme temps que la « sensat
a m’était personnel, je n’y fis d’abord pas beaucoup d’attention ; lo
mal
se passa promptement, mais le jour suivant il en
ue depuis un instant il n’y souffrait plus, mois qu’habituellement le
mal
qu’il y sentait était intolérable. Je cessai mes
veloppement et devait faire craindre une décomposition totale, que ce
mal
m’arriva. J’éprouvais en sortant de chez cette ma
omme un Dieu ne peut être que juste, le bien doit être récompensé, le
mal
puni : ceci est hors de tout doute. L'idée géné
a 11 y a un Monsieur au n° 2 qui se couche en se plaignant d'un grand
mal
de tôle. » Ce second fait également vérifié se tr
gnétisme, les supprime. Elle retient ainsi, sans augmenter en rien le
mal
qui existe, des forces nécessaires. Vous ne devez
magnétiseurs. Il y aura lutte, guerre sourde ou apparente. Ce serait
mal
connaître l’humanité que d’en juger autrement. Sa
musement, de l’autre, des malades abandonnés cherchant remède à leurs
maux
, ne pourrait-on pas se demander comment il a fait
ance naturelle, jointe â une grande facilité de percevoir le siège du
mal
, qu'ont les somnambules magnétisés à se porter au
vérité que nous enseignons ne soit jamais possédée par ces génies du
mal
revêtus de la robe de docteurs. Grand Dieu ! que
voir magnétique! Qu’ils restent dans l’aveuglement, car s’ils font le
mal
en parole ils pourraient le faire en action. Nous
'amputation de la jambe était inévitable. Mais, malgré les progrès du
mal
, cette jeune lilie n'avait jamais voulu consentir
et autres propriétaires à Frontignan, et dit : « Cette malade :i été
mal
soi-« gnée ; on lui a fait des saignées qui lui o
vai un engourdissement aux doigts, et je conçus alors que le siège du
mal
était tout à la fois depuis le soin jusqu’à l'est
mu-luelleuienl, ils sont la base de nos connaissances, le bien el le
mal
, le vrai el le faux, la lumière el les'ombres, le
monstrueuses erreurs et ses nombreuses contradictions. Nous dirons le
mal
qu’ellea fail, le bien qu’elle pourrait faire, el
és vous serez médiocre magnétiseur, et vous ne réussirez que dans des
maux
légers et de peu de durée ordinairement. Plus j
s. Un instinct vous arrête lorsque vous êtes sur le point de faire le
mal
; si vous n’obéissez pas au frein qu’il vous oppo
que toutes cèdent très-promptement à l’action magnétique. L’acuité du
mal
et sa prolongation, quand on emploie les moyens c
férence! s’élever et grandir ce qui doil les détruire ou diminuer les
maux
sur lesquels ils spéculent? Ne vous étonnez point
aux murs du temple des tablettes explicatives sur la nature de leurs
maux
et des remèdes dont ils avaient fait usage. C’est
comme les apôtres, opérer des œuvres de miséricorde, on nous rend le
mal
poulie bien. J’en ai fait l’épreuve depuis peu da
érit que par des crises, c’est-à-dire, par un combat entre elle et le
mal
qu’elle veut détruire, combat qu’il importe d’aut
airvoyance en souffraient au point qu’ils ne distinguaient plus leurs
maux
. Nous pourrions nous-même ajouter bien des faits
récieuses entraînent presque toujours des abus à leur suite; c’est un
mal
qu’il faut supporter comme les autres plaies soci
nuel, dix à douze syncopes par matinée, avec raideur cataleptique. Le
mal
empire jusqu’à la fin de juillet. On était généra
heure, m’ont un peu soulagée. Ce soir ma tête me fait de nouveau bien
mal
. » La douleur du dos persiste toujours ; les ja
arcourir le champ du merveilleux, nos premiers pas seront incertains,
mal
assurés, et cependant nous sommes sans crainte; c
sommeil fut agité, et elle fit entendre quelques mots interrompus et
mal
articulés, qui bientôt après devinrent plus disti
it ordonné. L’enfant commanda 19 coups, il en fut frappé 20. « (.'est
mal
, dit-elle, il y en a 20. » Et immédiatement après
maintenant 110 ! » On ne put encore compter plus loin que 50. « C’est
mal
, il n’y avait que 10(5 coups, » dit-elle, lorsque
la moins instruite de l’école, ses études ayant été retardées par des
maux
d’yeux. Son discours roula surtout sur la vie de
ésigner nominativement ; car les faits de ce genre sont en général si
mal
accueillis, que l’on aime mieux les taire que de
que leur vigoureuse organisation recèle le remède le plus certain aux
maux
de leurs enfants, il les mettra en garde contre l
e, c’est-à-dire , qu’il avait fait trop de bien pour n’en dire que du
mal
, et trop de mal pour n’en dire que du bien.... Je
, qu’il avait fait trop de bien pour n’en dire que du mal, et trop de
mal
pour n’en dire que du bien.... Je connais depuis
les poisons, et si, d’un autre côté, le magnétisme animal guérit des
maux
que la médecine ordinaire ne guérit pas, je le de
ancés aux jambes, et la boule à raccommoder les bas lui fait toujours
mal
. A chaque instant on l’entend s’écrier : » Jésus
sommeil un oiseau dont elle eut peur, croyant qu’il allait lui faire
mal
; elle appela à son secours, disant à son père de
t admirable; mais elle peut faire ou beaucoup de bien, ou beaucoup de
mal
, selon que le magnétisme se trouve bien ou mal ap
e bien, ou beaucoup de mal, selon que le magnétisme se trouve bien ou
mal
appliqué. La seule question qui semble agiter mai
où nous vivons, pas plus que dans les temps anciens. Mais comme d’un
mal
il résulte toujours un bien, dans les vues si sag
t naturel et puissant, qui peut faire beaucoup de bien ou beaucoup de
mal
, selon qu’il est bien ou mal appliqué ; 3° 11 n
ut faire beaucoup de bien ou beaucoup de mal, selon qu’il est bien ou
mal
appliqué ; 3° 11 n’est point surnaturel, malgré
e. Je sais qu’il est parfaitement reconnu que le magnétisme combat ie
mal
partout où il le trouve; ainsi, que les vernies s
l’aide du magnétisme, un malhonnête homme pourrait faire beaucoup de
mal
. Je doute qu’à l’aide du magnétisme un honnête ho
malheureux millionnaire l’engagent à restituer une partie de ce bien
mal
acquis, pour racheter sa tranquillité ; mais une
s dû changer par le fait seul de sa désobéissance, qui 11’était qu’un
mal
moral. Seulement, ayant mérité une punition, Dieu
de l’homme, et qui ne passent pour surnaturels que parce qu’on les a
mal
examinés ou qu’on ne l’a fait qu’incomplètement,
x, si utiles pour la santé, pour la guérison ou le soulagement de ses
maux
... et même pour le prémunir contre certains actes
’avoir fait du bien. Premier fait. Un ouvrier cordonnier avait un
mal
d’aventure au doigt annulaire de la main droite.
boutons pleins d’inflammation s’étaient formés à la partie opposée du
mal
; nous reconnûmes que c’était, deux petites esqui
rité de la religion, en l’affranchissant des préjugés et des craintes
mal
fondées qu’on a allégués contre le magnétisme ani
s de la môme manière, comme le font les phénomènes magnétiques, si un
mal
se manifeste sous des influences précises, connue
moi comme sur le saint homme Job, chercherait bien plus à me faire du
mal
que du bien. Quant à un miracle, ma raison et la
e, fait du bien quand il est bien et sagement dirigé, et s’il fait du
mal
quand il est confié à des mains imprudentes ; tou
veulent pas non plus entendre parler de diable, enfer, perpétuité de
mal
, et autres idées en vogue parmi nous, déclarant q
oigts de la moitié «les expérimentateurs ; des dames se sont trouvées
mal
; «Vautres ont eu des attaques de nerfs ; et on ma
ais ils n’auront plus la ressource de répondre comme aujourd’hui : Ce
mal
est nerveux, nous n'y pouvons rien. «Le mesméri
t achevée, elle va consister à empêcher l’erreur de se produire et le
mal
de se répandre. Baron DU POTET. VARIÉTÉS. F
s de bureau, les chefs de division , les directeurs généraux seraient
mal
venus à gronder, car ils ne sont pas les moins em
traces (peu agréables peut-être pour M'n0 du Potet), sur l’acajou pas
mal
égratigné de ce géant vaincu par un pygmée. C’éta
tique d’une nature très-impressionnable, M'"° L... faillit se trouver
mal
, elle avait des nausées et le système nerveux dan
stant s’accrochaient, tandis que nous étions à retirer, tant bien que
mal
, et à jeter de côté le malencontreux tapis. Une f
. Fiers ennemis de l'ignorance. Salut à vos efforts divins, Des
maux
qui rongent les humains C'est le grand mal, le ma
vos efforts divins, Des maux qui rongent les humains C'est le grand
mal
, le mal immense..:.. Salut, Newton. Franklin, D
rts divins, Des maux qui rongent les humains C'est le grand mal, le
mal
immense..:.. Salut, Newton. Franklin, De Caus,
nces, ô banquistes maladroits, et il eût pu en résulter un très-grand
mal
pour la société. Mais, à présent que le phénomène
rotte a eu peur d’être au-dessous de sa tâche, et cette crainte, bien
mal
fondée sans doute, lui enleva le point d’appui qu
conscience, ni libre arbitre. Enlevez à l’homme le droit de faire le
mal
, vous lui ôtez le mérite du bien, vous supprimez
l’avouons, le magnétisme, comme toutes choses, renferme le bien et le
mal
, il est comme le fleuve qui féconde et ruine, com
ole à vous dire, car vous n’aurez pas de cœur! Oh! non, tu n’es ni un
mal
ni un vain mot, fluide qui donnes la vie, éther i
t mets le paradis dans les yeux de la femme; oh ! non, tu n’es pas un
mal
, tu es le plus grand des biens, tu es la santé, l
ouvantera les criminels, et les natures les plus perverses, voyant le
mal
puni dès ce monde, rentreront, poussées par le re
ur et réclame un état civil dans le livre de la science du bien et du
mal
: l’Académie est sommée de le lui acccrder. « C
t qu’il avait fait tout ce qui était humainement possible, et que, le
mal
étant arrivé au plus haut degré, il engageait la
lés par le I)r Jouënne, son médecin, avaient paru plutôt augmenter le
mal
que le diminuer. Deux sœurs de charité étaient
ant que le magnétisme, qui peut, en quelques minutes, faire cesser le
mal
, ce qui est un immense avantage, car il est rare
imbibé d’eau de Cologne fut prescrit par la même personne, contre des
maux
d’estomac qui venaient à des époques irrégulières
re dans de l’eau magnétisée, et le magnétisai lui-même une minute. Le
mal
d’estomac cessa; mais la malade se plaignit que l
ies ont disparu par l'apposition d’un linge magnétisé sur le siège du
mal
. Chez le typhoïque cité plus haut, une serviette
on, la puissance de l’esprit sur la matière, c'est un fléau, c’est le
mal
. Tant que les opérations magnétiques ne seront pa
e ont quelques pages consacrées au magnétisme, soit en bien, .soit en
mal
, soit avec indifférence. Les auteurs qui ont tr
catrices et sur les moyens de les employer à guérir ou à soulager les
maux
de nos semblables, en dirigeant sur eux, par notr
t dans les ressources de notre propre nature les moyens de guérir les
maux
qui frappent l’humanité. Employons-le délicatemen
oyance générale et constante chez tous les peuples, que les génies du
mal
apportent une prodigieuse intervention dans les é
ilanthropie, il est sans doute appelé à la soulager ou à la guérir de
maux
qu’on a crus incurables, à resserrer ses liens so
tuelles. 11 faudra pourtant bien qu’elle accepte les faits : bon gré,
mal
gré, elle sera forcée de les accepter tous. n N
jeune dame, qui faisait partie de la chaîne, se plaignit d’un violent
mal
à la tôte après quelques mouvements très-rapides
u par l’un : « L'homme propose et Dieu dispose, » et « Honni soit qui
mal
y pense, » par l’autre. (Les deux dernières rép
s quel but et dans quel intérêt l’ennemi du genre humain, l’auteur du
mal
, viendrait nous guérir de nos maux... Beaucoup de
ennemi du genre humain, l’auteur du mal, viendrait nous guérir de nos
maux
... Beaucoup de faits magnétiques, sans présenter
s êtres surhumains, peut, en vertu de son libre arbitre, user bien ou
mal
de son pouvoir ainsi que de tous les dons de Dieu
ps avant le sinistre de Monville, un berger se soit vanté de mettre à
mal
quelques manufacturiers, et que par une coïnciden
dangereux, pouvant donner lieu à des équivoques et à des imputations
mal
fondées ; néanmoins il l’a maintenu comme étant c
ble à tous égards, je crus tout expliquer en admettant qu’ils avaient
mal
vu et mal observé par conséquent. Le malade eut
égards, je crus tout expliquer en admettant qu’ils avaient mal vu et
mal
observé par conséquent. Le malade eut plusieurs
t il s’appelle. « Enfin, il fait embarquer un homme et lui donne le
mal
de mer à un tel degré que ce malheureux, perlant
métamorphose , il a accepte le bras d’un galant chapelier, l'homme au
mal
de mer, et grâce au progrès fascinateur de M. Phi
ont vu cette pièce sont tous d’avis quelle fera plus de bien que de
mal
à la cause magnétique. Revue de» Journaux. —M.
us êtes serviteurs du démon, et il se sert de vous pour perpétuer les
maux
; vous êtes ses agents, nulle puissance humaine n’
et que sous certaines conditions l’emploi de leur moyen de guérir les
maux
; à Rome, nul n’oserait parler ouvertement du magn
rien sentir sans le bouillonnement de mon sang; jusque-là je vois le
mal
avec indifférence; mais aussitôt qu’une chaleur v
eux puissances gouvernent les mondes, et que pour échapper à celle du
mal
il faut connaître ses artifices et son pouvoir ?
ses œuvres, à ses pompes, et moi je dis qu’il faut étudier l’agent du
mal
pour apprécier et connaître ce qui est bien. Ba
cherché pour une ordonnance, bonne en elle-même, consciencieuse, mais
mal
composée et exécutée sans prudence ni intelligenc
udiés. En dédaignant une telle étude, un corps savant n’empêche aucun
mal
, et il se prive gratuitement du mérite de faire u
lamme électrique sur son chien qui se sauvait, et qui n’a point eu de
mal
; mais en même temps sa fille asphyxiée tombait à
à la fortune, s’ils n’eussent évoqué, appelé à leur aide l’esprit du
mal
, afin d’en être inspirés et de pouvoir ainsi, par
s plus que la nature. 11 existe un principe de bien et un principe de
mal
. Ces deux agents, ces deux forces se font équilib
Y harmonie suffisent à l’âme pour lui faire aimer le bien et haïr le
mal
. « La volonté qui produit le magnétisme procède
révélations qai feraient supposer une âme à l’objet magnétisé. C’est
mal
poser la question. Les partisans des communicatio
ieux ne serait pas de longue durée, car la cause qui avait produit le
mal
existait encore; que le moyen le plus sûr de l'em
t-elle, est étrangère aux cris que vous venez d'entendre : la peur du
mal
en est la seule cause. » Cette explication était
eut quatre évacuations de matières séreuses; à la quatrième, tout le
mal
avait disparu ; le cinquième jour, les parents vi
élivrer d’une maladie par ma seule volonté ; elle suit le parcours du
mal
s’éloignant. 11 faudrait un volume pour donner
ent dit d’abord, et déclarer qu’elles étaient animées par l'esprit du
mal
, et que celui-ci ne cherchait qu’à nous tromper e
tupéfaits. — Non. — Qui es-tu donc alors? — Je suis l’esprit du
mal
. — Quel a été le but de l’indigne comédie que t
perdait son temps, il nous a de nouveau avoué qu’il était l’esprit du
mal
, qu’il avait espéré reprendre notre confiance, ma
. le baron de Chabert, pour s’assurer si l’on a affaire à l’esprit du
mal
, peuvent ne pas réussir immédiatement (soit par l
t par se démasquer et par convenir formellement qu’il est Y esprit du
mal
, et qu’il ne cherche qu’à nous égarer et à nous t
ransformations superficielles pourraient avoir lieu, mais la somme du
mal
serait toujours la même (page 80). Ce serait donc
e redoutable, je sens en moi quelque chose qui s? révolte à la vue du
mal
. Ce sentiment vient d’un Dieu bon et juste , en l
yer du docteur... il voulait me faire du bien, et il m’aurait fait du
mal
.... Tenez, je la tiens la feuille qu’il me faut..
s médecins dont la capacité ne saurait être vérifiée et peut faire du
mal
. « Mais la prohibition cesse avec le danger, pa
impérial) s’occupent directement ou indirectement du soulagement des
maux
de l'humanité, et par quelque mode que ce soit?
de le traite avec considération : le pauvre, car il peut lui faire du
mal
en le calomniant et le dénonçant; le propriétaire
usieurs occasions j’ai remarqué que lorsque l’un des porteurs remplit
mal
sa tâche, en respirant mal à propos, la partie du
rqué que lorsque l’un des porteurs remplit mal sa tâche, en respirant
mal
à propos, la partie du corps qu’il tend à souleve
inée par mon habile médecin qui, pour me soustraire au retour du même
mal
, me magnétisa pendant quinze autres jours consécu
e voiture. Le narrateur de ce fait termine ainsi son récit : a Le
mal
durait depuis dix mois, et Mme P..., perdant chaq
seconde, pour ce que la présomption est en soi la marque d’un esprit
mal
fait et d’un homme de peu de sens. « Nous devon
nts, 561. | Hernie crurale étranglée, 385. § II. Cas de médecine. —
Maux
guéris ou soulagés. Affaiblissement nerveux, 86
icardite, 33. Hydropéritonite, 276. Hystérie, 33, 60, 283, 465.
Maux
d'estomac, 289. Migraine, 388. Névralgie fron
icultés considérables, tant j'avais de voix incomplètes, fausses et
mal
timbrées. Mais, à force d'insistance, en établi
ui ignorent l'existence des établissements où on les reçoil et qui,
mal
renseignées, ne croient pas à la pos- sibilité
ques pour les instituteurs et les institutrices des enfants anor-
maux
. e) Nos auteurs insistent sur la supériorité de
ète à 3 ans. M... a commencé à marcher à 18 mois, mais il se tenait
mal
. Ses parents l'ont repris à 2 ans. 15 jours apr
Il se sert un peu de la cuiller et de la fourcliette, se lave très
mal
, ne sait ni mettre, ni ôter ses vêtements. L'in
ui le gardent. - A plusieurs reprises, on lui a demandé où il avait
mal
: il a indiqué sa tête. Ce matin, la prostratio
sutures pariéto-occipilales. Méninges. - Liquide en quantité nor-
male
. Adhérences par paquets des deux feuillets de l'a
he, 110 gr. Abdomen. - Tube digestif. - OEsophage, eslomac nor-
maux
ainsi que le duodénum. Sur le reste de l'intestin
s vinaigrées, à 9 heures du matin, l'enfant respire de plus en plus
mal
, se cyanose de plus en plus, le visage devient
e d'ulcération. - Foie (1150 gr.) stéatosé. - Rate (150 gr.) nor-
male
. - Reins très congestionnés se décortiquant facil
l nu, de foyer de sclérose. V. Épilepsie idiopathique ; État de
mal
; Mort ; Lésions méningitiques; Par nOURXE\'I
Marche croissante des accès. - Déchéance intellectuelle. - Etat de
mal
; mort. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère 1
ont en aug- mentant. En février 1895, elle est prise d'un étal de
mal
et succombe en trois jours. III. L'autopsie a f
Hémiplégie gauche ; - Épilep- sie partielle ; Déchéance; - État de
mal
; Par BOURNEVILLE et COMTE. SOMMAIRE. - Père
rition des vertiges : déchéance progressive. - Mort dans un état de
mal
. Autopsie. - Asymetrie crânienne très prononcée
pas cessé d'avoir une marche croissante et ont abouti à un état de
mal
, absolument comme chez les épileptiques ordinai
as atteint le degré élevé que l'on note d'habitude dans l'état de
mal
qui complique l'épilepsie ordinaire. Etat de MA
rvation à la Société de biologie en 187G. Il est survenu un état de
mal
pareil à celui que nous venons de relater et la
hémiplégique et atteinte d'épilepsie. Elle a eu un premier état de
mal
, offrant également les mêmes caractères, dans l
er dans les commentaires de cette observation, un véritable état de
mal
. C'est ce qui est arrivé chez cette dernière ma
A peine quelques semaines s'étaicnt-elles écoulées après l'état de
mal
d'épilepsie partielle, qu'un seconcl état de ma
es après l'état de mal d'épilepsie partielle, qu'un seconcl état de
mal
se développa : les accès différaient notablemen
isolés, mais aussi des accès qui avaient composé le premier état de
mal
. En moins de 40 heures, M... eut plus de 300 ac
. ( ? ) Hémiplégie in ? rnlilesniuircl'tpilrtpsie7arlielln; étal de
mal
épileptique; rrwrl.. loy·r arrcinn intéressant
elle a uriné au lit jusqu'à 1G ans ; éprouve de rares maux de tête
mal
carac- térisés. - [Père, mortalG9 ans de i cong
z droite dans le chariot. Elle ne sait pas manger seule, se tient
mal
à table ; elle prend plaisir à plonger les mains
Son père, nerveux, violent alcoolique, de tempérament arthritique (
maux
d'estomac, migraines, ulcères variqueux) est mo
ndre plusieurs métiers : tentatives inutiles, l'enfant maladroit et
mal
disposé cassait tout et ne faisait aucun progrè
iques. IX. Épilepsie. - Atrophie cérébrale localisée. - État de
mal
. - Influence des injections de Brown-Séquard; P
s accès sous l'influence des injections de Brown-Séquard. - État de
mal
. Mort. AUTOPSIE. - Atrophie cérébrale localisée
erfs. Toujours un peu anémique. Coliques néphrétiques il y a 2 ans.
Maux
de tête passagers. Caractère très doux mais imp
rmaux ; Peau blanche. Cicatrice de la trachéotomie. Viscères nor-
maux
. - Rate volumineuse. La parole est lente. L'éta
ux gris des deux côtés n'ont aucune lésion macroscopique. État de
mal
; température. 97 Les véritables accès ont paru
ndant les séries d'accès (élévation modérée) et pendant l'état de
mal
(élévation rapide et considérable). VI. Au poin
ou deux mois après, sa femme a remarqué une éruption à la peau, des
maux
de gorge, etc. Il a dû suivre de nouveau un tra
is- te, hantée par de vagues idées de suicide. Elle se « trouvait
mal
» après chaque repas. Cet état, qui persista pend
e. La parole était limitée aux mots : papa, maman, qu'il prononçait
mal
avant l'opération, dit la mère, et sans applica
gauche (145 gr.); congestionnés à la base. - Coeur (122 gr.) nor-
mal
. Abdomen. - Foie (495 gr.) ; Rate (45 gr.) ; -
nt d'idiotie à un degré pro- noncé : parole bornée à deux mots même
mal
appli- qués, gâtisme, marche tardive, affaiblis
. - Habileté manuelle extraordinaire. - Clas- tomanie. - Passion du
mal
. 1880-1881. - Ecrthyma. - Tentatives multiples
ement à la selle. Il ne sait ni cracher, ni se moucher. Il se tient
mal
à table, se sert assez maladroitement de la cui
tion par M. le Dr CRUET. - Mâchoire supérieure : Douze dents saines
mal
rangées, mâchoire laté- ralement déprimée et pr
ilité cutanée normaux. Le malade parle dilficilement; les mots sont
mal
articulés Description du malade. 137 on a bea
tout et cherche à saisir au passage les enfants pour leur faire du
mal
. - Cette année (1893), l'un de nous, dans un tr
il laquelle il a été soumis (16 ans) que quelques douleurs de tête
mal
définies, de rares accès épilepti- f ormes, de
lui est plus surprenant, c'est qu'il n'emploie son adresse qu'au
mal
, et non au mal fait inconsciemment. Quand il ma
surprenant, c'est qu'il n'emploie son adresse qu'au mal, et non au
mal
fait inconsciemment. Quand il manigance et exéc
point ; les stigmates psychiques abondent et outre la passion du
mal
qui domine toute son histoire, nous ob- servons
et de la propreté à un an ; - de la ma1'- che à 18 mois. - État de
mal
convulsif un an ; durée 24 heures. - Aucun acci
front, de chaque côté de la ligne médiane. - Crâne de volume nor-
mal
, symétrique, nettement dolichocéphale ; fontanell
jours ; elle prétend avoir été très effrayée, ne pas s'être trouvée
mal
, mais avoir été prise d'un fort tremblement qui
a condition d'être toujours tenue par la main ; le pas est encore
mal
assuré. Elle a une assez grande répugnance pour l
revenir à son degré antérieur, c'est-à-dire au-dessous de la nor-
male
, pendant les suspensions du traitement. Le poids
éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs : les cheveux
mal
plantés, grossiers, de diverses nuances, lais-
t qu'en parole ; très affectueuse ; n'a pas la notion du bien et du
mal
. Volonté active, veut toujours produire quelque
rant de la conversation le mot de Cambronne. Elle sait qu'elle fait
mal
en disant des paroles grossières ; quand elle a
891, Kl..., alors qu'il allait notablement mieux au point de vue du
mal
caduc, a été atteint de diarrhée, s'est affaibl
halie, de l'asymétrie faciale, du strabisme conver- gent, des dents
mal
implantées, une voûte du palais ogivale. «'Quan
oncerait et que l'on nomme le clou hystérique; que le sujet sent le
mal
venir avant que de tomber, qu'il peut tomber à
tôt la justesse de mon observation, mais répondit qu'il avait alors
mal
calculé sa chute et que ce fut bien involontair
fous dans ses ascendants ou ses collatéraux, ou bien des individus
mal
équilibrés, épilep- tiques, hystériques ou suic
ant toute sa satisfaction dans les souffrances d'autrui, ne fait le
mal
que pour le mal, tandis que Cing... n'était men
isfaction dans les souffrances d'autrui, ne fait le mal que pour le
mal
, tandis que Cing... n'était menteur que pour pa
i souvent tirent leur orgueil de leurs méfaits et qui font alors le
mal
pour le mal, on ne dit plus que ce sont des fou
rent leur orgueil de leurs méfaits et qui font alors le mal pour le
mal
, on ne dit plus que ce sont des fous moraux, ma
é. Tout cela, comme le fait remarquer Claparède, est encore assez
mal
étudié. Toutefois nous ne croyons pas comme lui q
s altérations (exagération, affaiblissement, abolition) au début du
mal
, pour faire le diagnostic, dans les cas douteux
utilité de la peine, comme moyen d'intimidation des gens disposés à
mal
faire, est aussi manifeste. Peut-être, cepen-'
aitement susceptible d'être utilisée à son profit et de remédier au
mal
qui a été fait. « Il n'y a qu'un moyen, pour la
lpé a agi . et dans quelle mesure il peut se corriger et réparer le
mal
qu'il a causé à la société. A. LB\A71toU. IX.
ns; père criminel, mère douce et intelligente. Notion du bien et du
mal
très émoussée : cet enfant est sujet à des viol
e même quelquefois à se demander si le remède n'est pas pire que le
mal
. Une opinion généralement admise veut qu'on ne
es cas où la suppression radicale du médicament produit l'état du
mal
ou augmente le nombre des crises sont réels, mais
ent thérapeutique sont nuls en fait, que le sentiment de bien et de
mal
n'est pas affaibli dans l'état hypnotique (il s
donner de fortes doses de mercure, car môme les doses faibles sont
mal
tolérées;. il est même sage d'examiner l'urine
de con- naissance ; avant l'attaque il avait souffert de fréquents
maux
de tête avec nausées ; cette céphalalgie était
en trois semaines. - Le deuxième cas, plus classique, représente un
mal
de Pott vertébral avec pachyméningite caséeuse
lle de l'aïeule, concurremment avec la chorée dégénérative, le haut
mal
, l'épilepsie, dont plusieurs auteurs, Hoffmann,
ales, des ennuis. Le malade s'énervait facilement, il recevait très
mal
les clients. Il dut cesser complètement de coiffe
les familles de paralytiques généraux que dans les familles nor-
males
. Celte moyenne étant de quatre naissances et demi
n constate partout ; à raison de ce que pense le peuple même de ses
maux
et du soulagement qu'ils nécessitent partout, d
al qui se trouve en ville et dont l'organisation a déjà absorbé pas
mal
de ressources. Si, en effet il ne remplit pas mai
servation de tumeur cérébrale s'étant traduite par les symptômes du
mal
sous-occipital et par de l'hémiatrophie de la l
be des ulcérations superficielles assez étendues dont la nature est
mal
déterminée. Les dermatologistes les ont consi-
théologique du moyen âge touchant la responsabilité : le bien et le
mal
sont l'oeuvre de Dieu ou du démon et l'agent du
les autres sont plus ou moins cariées. La voûte palatine est nor-
male
. Le réflexe pharyngien est très affaibli. Les m
uoi que ce soit de ses troubles unitaires. Il n'est pas sujet aux
maux
de tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. F
t l'affection considérée. Peu marqué dans le diabète sucré, dans le
mal
de Bright, il est surtout manifeste dans les in
des noeuds dans la cheville ça craque + La cheville ne me fait plus
mal
, elle est plus petite, je la sens bien. - Sente
ntez-vous votre pied ? Oui. Vous appartient-il ? Ça ne me fait plus
mal
, mais je ne puis dire si c'est à moi. 11 me sem
ite + Les mouvements sont très peu accen- tués + ça ne me fait plus
mal
. Sentez l'os de la jambe : Ça me fait mal, on m
tués + ça ne me fait plus mal. Sentez l'os de la jambe : Ça me fait
mal
, on me le broie + c'est très douloureux z- on m
e ronge l'os, tout autour + çà diminue un peu + La cheville me fait
mal
z- Elle va craquer + Elle cra- que + Je me sens
z depuis le genou non compris jusqu'aux orteils : Le mollet me fait
mal
+ On me ronge l'os de la jambe + Çà craque à la
+ Çà craque à la cheville + Je sens ma jambe + Elle ne me fait plus
mal
. Réveil. Séance de une heure et demie. 25. Sent
de une heure et demie. 25. Sentez votre genou : La cheville me fait
mal
. Sentez votre genou : Il brûle + 11 est gros +
fait mal. Sentez votre genou : Il brûle + 11 est gros + Il me fait
mal
en dedans - Elle fait des mouvements de flexion
boules + ça craque fort -f- mon genou diminue + Il me fait toujours
mal
en dedans. Séance de près d'une heure. zig. L
l en dedans. Séance de près d'une heure. zig. La cheville me fait
mal
+ On me ronge l'os de la jambe. Sentez votre ge
enou : Ça craque + Il devient plus petit + Le genou ne me fait plus
mal
+ On ne me ronge plus l'os de la jambe + La che
+ On ne me ronge plus l'os de la jambe + La cheville me fait encore
mal
, là, en arrière au ten- don d'Achille. z Ça ne
ore mal, là, en arrière au ten- don d'Achille. z Ça ne me fait plus
mal
. - Réveil au bout d'une heure. La sensibilité s
sent complètement son membre inférieur- droit qui ne lui fait plus
mal
du tout. Ajoutons que dans toutes les séances q
quoi de ces mouvements, elle nous a répondu que la tête lui faisait
mal
, précisément dans la région rolandique gauche.
et à ma grande surprise, elle me répond : Monsieur, vous me faites
mal
, vous me frappez dans l'estomac. Je ne me suis
espire mieux, l'étouffe- ment disparaît, la poitrine lui fait moins
mal
. J'ai renouvelé plu- sieurs fois cette expérien
les tiraille. Les yeux sursautent dans les paupières. - Ça me fait
mal
à la tête (région occipitale d'abord, puis temp
m'a piqué dans le dos + Ça m'a passé + Le sommet de la tête me fait
mal
- - - Elle s'étire Quel âge ? Je ne sais pas z
ncette dans le cerveau -f- J'ai un gros poids sur la tête + Ça fait
mal
sur le front+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la
ai un gros poids sur la tête + Ça fait mal sur le front+ Ça me fait
mal
aux tempes + J'ai la tête lourde -f- Elle me fa
t+ Ça me fait mal aux tempes + J'ai la tête lourde -f- Elle me fait
mal
tout autour + Elle s'étire + ça me fait mal là
lourde -f- Elle me fait mal tout autour + Elle s'étire + ça me fait
mal
là en arrière (protubérance occipitale) + On me l
'ai, je crois, vingt-un ans, sans en être sûre + Les tempes me font
mal
? On dirait qu'on me serre la tête + on dirait
le ébauche quelques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait
mal
là (point cérébral de la poitrine). Je per- cut
: J'ai vingt à vingt-un ans, ma tête est lourde + Le front me fait
mal
+ La tête me fait mal tout autour + La poitrine
un ans, ma tête est lourde + Le front me fait mal + La tête me fait
mal
tout autour + La poitrine me fait mal -f- J'ai la
me fait mal + La tête me fait mal tout autour + La poitrine me fait
mal
-f- J'ai la tête lourde + Elle est grosse derri
e me fait rien. Réveil à 8 heures. 11. Je languis ? La tête me fait
mal
+ Je ne sais pas où je suis z il est lundi + La
it mal + Je ne sais pas où je suis z il est lundi + La tête me fait
mal
+ On dirait qu'on m'y lance des coups, je suis
rcredi + Je cher- che, je ne sais pas où je suis + Le front me fait
mal
+ J'ai des noeuds dans la tête + Je suis en 189
e sais pas + Je suis couchée, je ne sais où + Toute la tête me fait
mal
+ Il y a quinze à dix-huit jours que j'ai faill
THÉRAPEUTIQUE. me voir ? Avril, mai, etc. ? novembre, j'ai de gros
maux
d'esto- mac, j'étouffe - Janvier 1898 ? J'ai ma
bre, j'ai de gros maux d'esto- mac, j'étouffe - Janvier 1898 ? J'ai
mal
à l'estomac + Je m'en- nuie. 13. - -f- févrie
m'en- nuie. 13. - -f- février 1898 z- mars -f- L'estomac me fait
mal
, j'ai des vomissements -)- C'est le 1G mars -+-
(-C'est le 5 septembre z Je travaille + Octobre - L'estomac me fait
mal
, j'ai envie de rendre + novembre + décembre + J
donne une nou- velle potion + 16 mars, c'est 8 heures du soir, j'ai
mal
au côté, je suis couchée + Il vient le D'' Vial
en ville + Je com- mence à sentir mon estomac z La poitrine me fait
mal
z Je sens un peu la tête + Oh ! c'est le 14 mai
ée+ Je sens ma tête ? Il est 8 heures -La poitrine me fait toujours
mal
. A ce moment, il est 8 heures et quart. J'ordon
ps correspondantes; et, lorsque la sensibilité était devenue nor-
male
, les zones disparaissaient. Est-on en droit de
bien conservée, et la résistance aux mouvements passifs est nor-
male
. Cependant le bras droit semble un peu moins fort
ment à d'autres parties du corps. La température rectale est nor-
male
, et l'intelligence de ces malades est ordinaireme
est irritable (il ne l'était pas) et oublieux; pour la moelle, il a
mal
au dos, il boite; il y a de la paralysie des ja
d'ailleurs, peuvent être influencés par beaucoup de facteurs assez
mal
dégagés jusqu'ici, et parmi lesquels il faut me
fibrillaires. Les formules hématologiques et urinaires sont nor-
males
. Sur un cas a" hémispasme. J. 13AUmsm. - Voici
droite la forme du pied et le réflexe cutané plantaire sont nor-
maux
, à gauche le gros orteil est étendu sur le métata
courant des dernières quatre années s'ajoutèrent des accès de petit
mal
, avec obnubilation de la conscience, symp- tôme
ès d'épilepsie psychique. Psychose épileptique. Mort dans l'état de
mal
épilep- tique. A l'autopsie, on constate, en de
, qu'on observe dans l'écorce cérébrale des .animaux adultes nor-
maux
très rarement, dans les cas pathologiques se renf
années. Celle sorte de neutralisation manichéenne du principe du
mal
par celui du bien est d'ailleurs fréquent, dans u
d'aliénation mentale. Ils ont eu cinq enfants : trois garçons nor-
maux
, une fille exaltée, hystérique à grand fracas, do
Il s'imagine avoir des bouchons plein la gorge et fait remonter le
mal
à une époque (il y a précisé- ment deux ans) où
du liège mâché. Il a quatre jours, dans la nuit, il se plaint du
mal
de gorge et demande à boire. Sa mère lui offre
ylore largement dilaté existe sur la paroi duodénale une ulcération
mal
délimitée dont le fond est ouvert. mais où l'on
es : i° Les convulsions exclusivement toniques des accès de petit
mal
épileptique ne sont pas identiques aux accès téta
de cette observation se plaignait d'une céphalalgie insupportable,
mal
localisée, presque constante, puis bientôt aprè
ormale. Etat psychique sain. Muscles ciliaires intacts, vision nor-
male
. Pas d'écoulement de salive. ' Apparition de fa
mie, par- fois un peu brusque mais cette brusquerie qui dissimule
mal
un grand fond de bienveillance le servait beaucou
souvent les femmes les ignorent. » Après avoir fait connaître le
mal
, M. Bouchereau proposait le remède. 376 NÉCRO
de douleur très nette, et le malade s'écrie : « Mais vous me faites
mal
, lais- sez-moi. » Le pincement n'amène pas une
bouche les oreilles tellement le bruit est fort, disant qu'il en a
mal
à la tête. Goût. Si l'on touche légèrement la l
ie au point de vue médico- légal. R. DE IUSGR.1VE CLAY. XLVII. Le
mal
de tête dans l'épilepsie; par L. Pierce CLARS.
ns l'excès d'activité mentale. Il est intéressant de noter que le
mal
de tête est beaucoup plus intense chez les mala
ueuses et le défaut d'assimilation sont certainement à la racine du
mal
. Il est remarquable de voir de quelle manière u
cation devient radicalement insuf- fisante quand il s'agit du petit
mal
, et dans certaines crises psy- chiques totaleme
soigneusement le mécanisme du retour à l'état de conscience nor-
male
. 11 y a'encore un sujet d'étude très important :
. M. Déjerine a rarement vu à l'hôpital le tabes conjugal; on est
mal
placé pour l'étudier dans le milieu hospitalier.
ans. Neuf mois avant son entrée à l'hôpital commença à souffrir de
maux
de tète et tout de suite après apparurent des a
t. Conclusions : 1) La gaine de myéline d'une fibre nerveuse nor-
male
est d'une formation chimique complexe : on y reco
s de l'élongation des nerfs : étude expérimentale et thérapeutique (
mal
perforant plantaire, 456 VARIA. ulcères variq
apeutique (mal perforant plantaire, 456 VARIA. ulcères variqueux,
mal
perforant buccal, pied tabétique, etc.) ; A. Fo
sciculaire du sciatique (avec figures) ; M. Bardesco. Sur un cas de
mal
perforant et sur deux cas d'ulcères variqueux t
eux traités par élonga- tion des nerfs ; J. Crocq. Le traitement du
mal
perforant plan- taire.par la faradisation du ne
- logie externe : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée.
Mal
de Pott. - Signes et diagnostic de la cuoealgie.
, sans cauchemar, et il nous dit que depuis un mois il dormait très
mal
, avait des cauchemars terrifiants, des insomnie
ont symétriques, peu écartées du crâne, bien ourlées; le lobule est
mal
dessiné, adhérent. Au niveau du tragus, on note
s leur développement mais ont leur forme et leur consistance nor-
males
. (PA, P', moitié supérieure de LQ, extrémité du l
le ne fut pas excitable, mais il s'agissait, sans exception, d'ani-
maux
âgés de moins de neuf jours. Cette inexcitabilité
- thie de Leyden ils étaient accrus en nombre et d'apparence nor-
male
quant à leur structure. - Normaux aussi dans un c
faiblesse, mala- dresse et très légère anasthésie. Dans un cas, le
mal
a débuté. par 'r les bras. Les nerfs craniens s
quelques jours, délire doux, légère fièvre (101° ou 102° F) ; léger
mal
de tête, peu de vomissements ; pas de convul- s
ns faiblesse et sans récrimination, car toujours il sut regarder le
mal
en face et se résigner. Le 14 novembre 1898, de
une complète guérison; son ambition se borne souvent à atténuer le
mal
, à l'enrayer, et, dans les cas les plus graves,
leur état psychique et moral, plutôt un déve- loppement désordonné,
mal
équilibré, qu'un arrêt de développe- ment. En o
des jeunes dévoyés. Une première mesure à prendre, pour enrayer le
mal
, serait de rendre réelle l'obligation scolaire
s Il , par Har- ter, 425.' Attaques frustes d' , par Fé : é, 429.
Mal
de tête dans l ? par L. P. Clark, 433. - et d
a le voir sans indignation, elle songera qu'il lui a fait beaucoup de
mal
, que peut-être il lui en fera davantage encore :
t ? — J'ai pris une pièce de cinq francs. — Savez-vous que c'est très
mal
? c'est un vol ; comment avez-vous été amené à le
ue c'est très grave ? il vaudrait mieux dire qui vous a » poussé au
mal
... — Personne. — On ne vous punirait pas, dans »
e. Elle lui peut réussir; on ne se méfie pas. Si elle lui réussit, le
mal
est fait. Il a trouvé son arme. Précieusement il
par leur instinct, soit par leur éducation première. Ces enfants sont
mal
équilibrés au point de vue mental. On constate le
sa vraie nature: pour MM. Binet et Féré, qui trouvent singulièrement
mal
choisie l'expression d'hallucination négative que
s mains l'une autour de l'autre, elle les tourne. Je lui suggère un
mal
de dents, et elle a mal aux dents; un éter-nuemen
l'autre, elle les tourne. Je lui suggère un mal de dents, et elle a
mal
aux dents; un éter-nuement, et elle éternue; je d
appelle les démons. Ces démons, purs esprits, seraient les auteurs du
mal
, les inspirateurs du mensonge et c'est à ce titre
tout temps objecté à l'Eglise que croire aux démons comme auteurs du
mal
, c'était encourir le reproche de contradiction, p
Dieu. Soit ! a-t-on riposté. Mais alors votre Dieu est l'auteur du
mal
; ¡1 n'est pas l'être infiniment bon que vous nou
bablement l'Eglise. Dieu est le seul auteur des êtres qui ont créé le
mal
, mais il n'est pas l'auteur du mal. Il a créé ces
l auteur des êtres qui ont créé le mal, mais il n'est pas l'auteur du
mal
. Il a créé ces êtres libres et il fallait qu'il l
dignité en dépendait. C'est par le mauvais usage de la liberté que le
mal
s'est trouvé créé. Les esprits indépendants n
avoue qu'au spectacle de l'univers se débattant sous les étreintes du
mal
que j'aurais ainsi déchaîné sur lui, il ne me vie
atures du Dieu catholique, qui leur laisse la liberté de commettre le
mal
. Il les oblige même à le commettre; car, en raiso
la concilier avec la Bible. De pareilles contradictions font plus de
mal
à une doctrine religieuse, dite infaillible, que
elle est persuadée quelle ne se remettra plus, elle est beaucoup plus
mal
que les précédentes fois. — Troubles de la digest
laquelle se contraignent, ou dans laquelle se complaisent les esprits
mal
équilibrés. Quelles formes précises revêt la si
hypnotise le malade en ce sens qu'elle le fait penser au siège de son
mal
, et, par là. entretient ou agrandit la plaie. C'e
gastrique n'est point complète, le malade ne voit que confusément son
mal
, et les re.r.èdes qu'il s'ordonne ne peuvent être
rticuliers, les voici : i" degré. Le molade roit parfaitement son
mal
présent et peut indiquer les remèdes qui lui «ont
«ont nécessaire», sans cependant prévoir le développement d'un autre
mal
dont la cause existe déjà et lui échappe. Il peut
happe. Il peut encore annoncer avec précision l'époque de guérîson du
mal
qui l'occupe. 2* 4egrè. Ix magnétisé peut entre
l qui l'occupe. 2* 4egrè. Ix magnétisé peut entrevoir, de plus, les
maux
des personnes sur lesquelles le magnétiseur a tix
emèdes qu'il ordonne. S* degré. Le magnétisé voit avec certitude le
mal
présent et le germe de toute autre maladie qui pe
ement de Valogncs, sur le motif qu'elle ressentait sympathiquemcnt le
mal
des autres, ce qui ne pouvait se faire que par ar
dies sans savoir si les personnes sont malades, ni la nature de leurs
maux
. Ils en sont instruits par le sentiment «le doule
nt, les mêmes souffrances que le malade, et indique ainsi le siège du
mal
et toutes les sympathies... • La plupart des so
forts inutiles pour soulever son bras à elle, en v ressentant le même
mal
. (?., p. 23a.) Cette même personne, mise en rap
e dit que le sang se portait à la tête: qu'actuellement M. Marc avait
mal
dans le côté gauche de cette cavité ; qu'il avait
le; que souvent il avait de la toux et qu'avant l'expérience il avait
mal
dans le côté gauche de la tête, maïs qu'il ne res
il maintient les faits, les expériences de la deuxième séance ont été
mal
faites. Il a obtenu le contraire dans son laborat
rfaitement les gestes et mouvements des personnes qui tombent du haut
mal
, qu'il n'y avait personne a l'hôpital général de
es phénomènes de l'ordre naturel; que le déterminisme positiviste est
mal
fondé a renier la possibilité du miracle, mais se
n comme insoluble à son point de vue, ou à en rejeter les faits comme
mal
observés; • D'autre part. a Regrettant la fac
adies nerveuses où l'on peut, grâce a ce puissant moyen, soulager des
maux
rebelles a toute médication, inoffensif lorsqu'il
oindre intensité. Quoique les élancements soient aussi fréquents, son
mal
est, dit-il, plus supportable. A partir de ce mom
, c'est-à-dire un individu encore en santé, mais nerveux à l'excès et
mal
équilibré? Dans la manière de se conduire à son é
* souhaiter que les mères et les jeunes filles puissent confier leurs
maux
à des personnes de leur sexe, plutôt que de deman
ps ou les consolations de l'âme. Ajoutons enfin que la Faculté serait
mal
venue à chasser de son sein les femmes courageuse
re sans pudeur dans l'appartement de sa mère. Il se flatte d'aimer le
mal
et il dit qu'il ne se rend pas eomote qu'il lait
latte d'aimer le mal et il dit qu'il ne se rend pas eomote qu'il lait
mal
. Ses parents ont consulté un certain nombre d ins
illet, le jeune homme était absolument transformé. L'idée de faire le
mal
avait disparu et était remplacée par la volonté d
caractère et de volonté : sans doute, il mettait entre le bien et le
mal
une certaine différence, mais incapable de se ret
ions d'ordre exclusivement clinique; le diagnostic posé, l'origine du
mal
spécifiée, plus ou moins aisément, les accidents
senter les choses sous le jourlel plus fantastique, qu'on se donne un
mal
inouï pour lui en cacher Uj nature ci les véritab
sauraient plus être qu'artnciels. La distinction entre le bien et le
mal
ne saurait plus devenir que pure convention. A ce
éapparaît avec le plus de ténacité. Parmi les causes déterminantes du
mal
caduc, 36 fois sur 8ô par Maisonneuvc. 27 fois su
trop le répéter, la crainte est un moyen de direction détestable; Le
mal
qu'elle cause est grand ; plus grand parfois qu
ncs de l'école qu'au premier chef il importe de les tenir écartés. Le
mal
qu'ils y causent est infini. REVUE CRITIQUE D
t dans un somnambulisme profond, n'ont pu être guéris par moi de leur
mal
. Il est très probable que les meilleurs résultats
sagère des* phénomènes douloureux. L'épilepsic sous la forme de p;:i:
mal
et le» psychoses légères sont traitées à l'aide d
s des arguments que je trouvais faux et des faits qui me paraissaient
mal
interprétés. Aujourd'hui je vais prendre mu r
fait de l'homéopathie et depuis i! est guéri. — Mme R... souffrait de
maux
de tète affreux contre lesquels elle avait en vai
i a conseillé de voir l'homceopathe ; d'abord elle a résisté puis lai
mal
est devenu si intolérable qu'elle s'est rendue. E
n, il est utile, il est nécessaire que l'on connaisse U profondeur du
mal
et quels sont les ravages que luit chaque jour, d
aux crampes d'estomac, des l'âge de 7 ans ; parfois elle se trouvait
mal
et tombait comme en défaillance ; deux crises de
domination du magnétiseur. Elle travaillait encore un peu. mais très
mal
; elle n'avait plus de goût à rien, elle ne vivai
ù la suite de manœuvres d'hypnotisation trop fréquemment répétées ou
mal
conduites. Aussi n'est-il pas. d'une manière abso
s mains des homœopathes. Ainsi, on ne peut nier qu'ils guérissent les
maux
de gorge, et particu-lièrement le croup et les an
e, il verra les objets plus ou moins f.dèlement. Il se donne alors un
mal
incroyable pour deviner, c après certains indices
Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne s'agirait-îl pas la de l'état de
mal
cpileptique où l'on vibre aussi, où l'on n'a pas
symptômes que je viens d'indiquer manquent absolument dans l'état de
mal
. l.'état de mal est un état très grave, qui souve
e viens d'indiquer manquent absolument dans l'état de mal. l.'état de
mal
est un état très grave, qui souvent se termine pa
t, dans les termesoù elle est donnée par le professeur de Liège, être
mal
saisie par le lecteur et lui suggérer une pensée
ments et des sifflements d'oreilles, une otorrhéc du coté gauche, des
maux
de dents très aigus, principalement dans le* mola
sonnifier l'incurabilité. Pour l'instant, il ne suit plus, depuis pas
mal
de temps déjà, de traitement : « Demi-quart comme
sse à la force, h que d'abord subie avec une impatience plus ou moins
mal
déguisée, prise en haine ensuite, l'autorité du m
la rigueur,. Puis, quand le moment pénible est venu ; quand, bon gré.
mal
gré, il faut aborder les sujets auxquels l'élève
des zagaies : celui que le coup atteint est reconnu pour l'auteur du
mal
. Dans l'Inde, pour voir en songe le sorcier don
ûre de ne pas se tromper et que la poitrine lui faisait encore no peu
mal
». Les phénomènes hallucinatoires consécutifs s
isait repéter, « il se sentait vivement impressionné et s'en trouvait
mal
. > Je passe maintenant au troisième groupe c
terre inconnue, mystique et... négligeable. Or. le fait qu'on connaît
mal
un organe ne donne nullement le droit de négliger
science, et les annales de la médecine mentale attestent partout quel
mal
immense l'abus du mot simulation a produit. Le pu
es autres cas. Lorsqu'une violente émotion subite fait disparaître un
mal
de tête ou un mal de dent, il ne s'agit pas non p
squ'une violente émotion subite fait disparaître un mal de tête ou un
mal
de dent, il ne s'agit pas non plus de complaisant
un autre dynamisme plus conscient, mais modifié, ne voit pas ou voit
mal
. Le premier moi évite les objets qu'il voit, le s
s s'accomplissent lentement, mais elles sont normales. Le malade voit
mal
, surtout de l'œil gauche ; il ne peut pas reconna
tisme c'est l'hypnotisme de Nancy), comprend une série d'états encore
mal
définis et mal classés : on pourrait même se dema
ypnotisme de Nancy), comprend une série d'états encore mal définis et
mal
classés : on pourrait même se demander si quelque
aragraphe : « Nous n'irons pas plus loin dans l'étude de ces états si
mal
définis et si mal classés, vu l'absence des carac
n'irons pas plus loin dans l'étude de ces états si mal définis et si
mal
classés, vu l'absence des caractères somatîques i
'occuper dans la série. » Je dois vous paraître, ce moment-ci. bien
mal
défendre la thèse qui vous a été annoncée. Je vou
dit Babinski. il fallait un certain courage pour relever une question
mal
famée et marcher a rencontre des préjugés enracin
ena avec l'espoir que je pourrais peut-cire enrayer définitivement le
mal
. Elle me fut confiée de nouveau pendant un mois
proposition, et pour un peu nous dirions même que la jalousie est un
mal
nécessaire à la condition qu'elle soit bénigne ;
e goûtenietnelaissent goûteraucune tranquillité, interprètent tout en
mal
, dénaturent les faits, accusent les intentions, c
tait ruinée, et où il n'y avait que les gros murs et quelques poutres
mal
assurées. Il montait au plus haut de cette maison
al dc la Chakitk. — M. le docteur Luys reprendra son cours le jeudi 9
mal
à 10 heures, dans l'amphithéâtre du premier étage
lorsqu'on peut prévoir une décharge, et en particulier dans l'état de
mal
. Les rapports qui existent entre les paroxysmes
ation de la papille et de la rétine, la papille floue, gris sombre,
mal
limitée, nuageuse, de la névro-rétinite. L'am
'image droite, mais à limites nettes ; les vaisseaux étaient nor-
maux
. Cet état indicateur d'une affection scléreuse et
s périodes d'amélioration et d'aggravation, un an avant l'entrée le
mal
fit des progrès et V... devint complètement ave
empiéter les unes sur les autres et déterminer un véritable état de
mal
obsédant dont la durée peut se prolonger des se
en moi une seconde pensée qui me contredit toujourset me pousse au
mal
quand j'ai l'idée du bien », finit par se croir
oubles qu'elle combat, de' la connaissance de la physiologie nor-
male
et pathologique et du mode d'action des mouvement
n établies. Etant donné que tous les mouvements coordonnés nor- '
maux
n'ont été obtenus chez l'enfant ou l'adulte que p
eur faut demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor-
mal
de la contraction volontaire et de la coordinatio
her a appelé type de contraction balistique pour les muscles nor-
maux
, remarquons seulement qu'ils sont peut-être plus
nduit ces expériences, nous sommes portés à croire qu'on interprète
mal
les lois de l'hérédité, si lois il y a. Or, il
chidien. Le diagnostic étiologique de la lésion est orienté vers le
mal
de Pott par l'existence d'une cyphoscoliose dor
son testament, partageait à dessein sa fortune entre des gens tous
mal
portants, pour jouer une niche à ceux de ses hé
t chirurgie) ; 20 Insuffisance hépatique (symptômes et diagnostic).
Mal
perforant plantaire. Deuxième séance. Questio
l'enfant suppliait : « Maman, petite mère chérie, ne me fais pas de
mal
, dis ! » On mit fin à cette scène en désarmant la
des crises terribles d'épilepsie. Hier matin même, terrassé par son
mal
, Louis Gasse était tombé sur la chaussée, rue d
tobre 1897). Meyer. Contribution M l'étude de la folie communiquée (
mal
. de Kor- sakofT). (Allg. Zeilsch. f. Psychiatri
isé surtout par un défaut de mémoire assez prononcé. Elle con- naît
mal
son âge et l'année; elle calcule très difficileme
jet tel qu'un état d'émotivité, et qu'enfin en outre le taux nor-
mal
de la volonté se trouve surpassé, l'obsession pre
! non... je ne guérirai pas... mon Dieu... je ne veux pas faire du
mal
>, finalement, elle tomba dans un sommeil,ca
lui reste que quelques troubles somatiques (douleurs abdominales et
mal
de tête). DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 16S
c des idées de persécu- tion ; il disait qu'on voulait lui faire du
mal
et lui prendre son poste; à cause de ses idées,
gitées de visions nocturnes, elle s'imagine qu'on veut lui faire du
mal
, à la suite d'une entero- clysme, elle accuse d
ale ; le malade craint la lumière; voit bien les objets éloignés et
mal
les objets rapprochés. Il s'agit, en somme, de
délire, ce qui nécessite son internement. Il meurt enfin en état de
mal
sans avoir jamais pré- senté de phénomènes méni
nts : Le père de la malade, de constitution délicate, supporte très
mal
la boisson et s'enivre assez souvent ; il vit e
Les idées de persécution sont plus nettes ; elle accuse de tous ses
maux
une certaine Lina; alors elle cesse de pleurer, s
s'excite, se met en colère. Mais toutes ces idées délirantes sont
mal
coordonnées, mal systématisées comme s'il y ava
t en colère. Mais toutes ces idées délirantes sont mal coordonnées,
mal
systématisées comme s'il y avait de l'affaiblis
e sa faiblesse. Elle souffrait en outre de la constipation, dormait
mal
et son caractère était devenu méfiant et irrita
'avait plus retrouvé, depuis lors, de bandage convenable, la hernie
mal
conte- nue avait augmenté de volume et était de
me plus voir maintenant. « Ca ne va pas, répétait-il, j'ai toujours
mal
dans le ventre. Ce qu'ils m'ont fait, ou rien, c'
ulôt en empirant d'une façon continue. Tout le monde lui faisait du
mal
. On voulait l'empoisonner, le couper en morceau
refusait de voir qui que ce soit dans la crainte qu'on lui fasse du
mal
. Cependant l'attitude n'était pas celle d'un pe
, au contraire, dit la femme, il avait toujours peur de se faire du
mal
. Etat du malade à son entrée (14 mars 1898). Ma
cablement, air effrayé. Peur de mourir. Angoisse. « Je n'ai fait de
mal
il personne... je ne sais pas... je ne sais pas
- geait plus, était très amaigrie, se préoccupait beaucoup de son
mal
; des voisins lui avaient dit que l'on n'en récha
t garder le lit pendant dix jours. Depuis elle ne ressentit rien de
mal
jusqu'au mois d'octobre quand elle fut prise de
s. Plus tard, l'état changea ; tantôt, elle se portait bien, tantôt
mal
. Pourtant, elle était très faible et très nerve
ction. Mais si l'épiphora est fonction de l'hypersécrétion lacry-
male
, il peut tenir aussi à l'oblitération des conduit
y- male, il peut tenir aussi à l'oblitération des conduits lacry-
maux
sous l'influence du spasme qui alors n'est qu'une
tait une névralgie à type grave générali- sée, ce qui cadrait assez
mal
avec la névralgie faciale palu- dique, qui, on
ation avec le tabes. L'avul- sion dentaire, l'ablation d'un dentier
mal
fait, l'extraction d'un corps étranger, le trai
ation et de madé- faction, il forme une masse compacte qui se prête
mal
à la conformation du visage. On aura soin de ne
- bonique causée par des polypes du nez, l'absence de motifs nor-
maux
, mais, à raison de la conservation de la réminisc
i, 25 novembre 1901). M. Pauly présente un jeune homme atteint de
mal
de Pott sous- occipital et porteur d'une minerv
si l'attention sur la rareté de la paralysie de l'hypoglosse dansle
mal
de Pott sous-occipital. G. C. XXIII. A quelle p
spinale à streptocoque et à staphylocoques chez un sujet atteint du
mal
de Pott fistu- leux ; par GUI13.L. {Presse médi
Observation d'un enfant de cinq ans, atteint depuis deux ans d'un
mal
de Pott fistuleux et qui a succombé à une méningi
273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort des sujets atteints de
mal
de Pott listuleux. A. Fenayrou. XXVIII. Les c
instable et l'automatisme joue un rôle plus grand qu'à l'état nor-
mal
. Paralysie double du pneumogastrique pulmonaire
e comme signe de lésion organique. Atrophie des membres de nature
mal
déterminée. M. Marie montre un jeune homme qui
avec finesse et perçoit les nuances; il ne s'indigne pas contre le
mal
mais lutte contre lui avec ténacité. M. BillILL
VANTES. timents d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le
mal
et sur ses conséquences. Mais, quand il s'agit
rement. Il écrit bien lui-même et sous la dictée, mais il déchiffre
mal
les mots écrits (même par lui-même). Le malade
chiffre mal les mots écrits (même par lui-même). Le malade comprend
mal
les dessins et les tableaux. En suivant la main
s atteint le développement psychique indispensable à l'homme nor-
mal
. Il faut donc que les autorités veillent sur ces
i. « J'étois sujette, éci it-elle, à de grandes migraine ? et à des
maux
d'estomac et de rein qui avoieut beaucoup augme
étoit si grand que je vo- missois tout ce que je prenoiS2 ». « Les
maux
de cceur qu'elle avoit presque toujours, dit de
étoient causées par ces abcès. Au commencement de l'année 1662, mon
mal
s'augmentoit de jour en jour 1 ». Le médecin lui
pensée, dit-elle, de la prier de m'obtenir du soulagement dans mes
maux
, seulement pour trois mois, et que ce me seroit u
ractures en flexion des bras qui, rapprochés des migraines et des «
maux
d'estomac et de rein » de notre religieuse, nou
e neuvaine, au cours de laquelle elle demande le soulagement de ses
maux
pen- dant trois mois. 5° L'hépatite suppurée
u la nuit »°. Enfin, s'étant convaincue que la signa- ture était un
mal
, elle s'accusa de sa faute « dans les termes le
té. Elle disait à propos de la rémission pseudo- miraculeuse de son
mal
: « Je n'ai pas seulement reçu cette grâce par
n ans), jour de son enlèvement de Port-Royal, elle se trouva « fort
mal
». La même année, ayant appris que plusieurs-re
que cette maladie le conduiroit en peu de jours à l'éternité... Son
mal
redoubla la nuit du 24 au 25... Elle fut un peu m
Elle fut un peu mieux le 26, mais, sur le soir, elle se trouva plus
mal
... Vers les onze heures elle perdit connoissanc
emi de traite- ment prophylactique. Juin'1901 : Les chaleurs sont
mal
supportées; deux crises dou- loureuses de cinq
à 20 milliampères pendant vingt minutes, mais la malade s'en trouve
mal
et accuse une recrudescence des douleurs. Elle
que ne pouvant prendre aucun repos et ne voyant aucune issue à ses
maux
, il pense au suicide. En 1887, sur sa demande,
araissent engourdis, et la douleur ressemble maintenant plutôt à un
mal
de dents qu'à une névralgie faciale vraie. »
ui, après des essais de coït non suivis de succès, l'impulsion nor-
male
pour le sexe féminin se transforma en une impulsi
r- male pour le sexe féminin se transforma en une impulsion anor-
male
de forme rare. Il remarqua un jour que cela lui
s victimes de la société et de sa prétendue civilisation; là est le
mal
, là aussi seulement est le remède. Ce qui fait
sparaître en peu de temps. Dans les cas d'albuminurie chronique, de
mal
de Bright, les résultats que l'on peut obtenir pa
uës, le pied n'a que trois doigts ; le membre inférieur gauche plus
mal
conformé montre à la place de la cuisse et du gen
30 septembre la température s'éleva jusqu'à 39,5, ayant été nor-
male
le matin. Le cours ultérieur de la maladie se f
iforme et générale de neurasthénie la plupart des désordres nerveux
mal
définis et non classés qui n'appartenaient pas
mort de son mari, elle se sent prise des premières atteintes de son
mal
. Inquiétude vague et sans motifs, oppression, a
ar ce spectacle, éprouve due anxiété terrible, a peur de se trouver
mal
, mais parvient à se maîtriser jusqu'à la chute
i-même. La plupart des auteurs qui ont reconnu sa réalité clinique,
MAL
Pitres et Régis, Ballet, Lalanne, etc., se refu
t2 ». Ces eaux ne lui procurèrent qu'un soulagement passager. « Son
mal
empira toujours' ». En septembre 1665, ce voyan
vant, il alla consulter les plus habiles médecins de Rouen, pour ce
mal
qui ne lui « don- noit point de relâche, car, d
difficile, avec quelques autres accidens qui en dépendent' ». « Mon
mal
étoit d'abord fort peu de chose. Je fus bien de
es entre- faites, « je me blessai à l'os de la jambe, et quoique ce
mal
ne parut rien d'abord, il s'aigrit et je ne lai
de deux mois sans pouvoir marcher. Pendant ce tems-là, mon autre
mal
augmenta beaucoup, en sorte que je commençai à av
DES RELIGIEUSES. 427 de l'eau de bétoine distiléel, me fit tant de
mal
, que j'eus bien regret de l'avoir pris. » Puis
lusieurs autres remèdes que chacun disoit être le spécifique de mon
mal
. Mais, bien loin de m'en sentir soulagé, ma par
e maladie intercurrente survint. « Je fus pris d'une lièvre et d'un
mal
de côté, et en deux jours de tems je me trouvai e
oyois fort souvent ne pouvoir pas résister deux jours de suite à un
mal
qui me donnoit aucun repos ni jour ni nuit. Je
Bourbon, « j'eus le courage, dit-il, d'aller, quoique je fusse très
mal
, le jour de la Pentecôte, entendre la messe que j
voit été pensionnaire à Port-Royal, et ce fut là que com- mença son
mal
. qui fut d'abord une fluxion qui se jetta sur ses
carié. Elle souffrit des douleurs presque incroyables, tant de son
mal
que des opérations faites par les chirurgiens qui
ma peu à peu ses douleurs et la mit en état de pouvoir guérir de ce
mal
si furieux. Mais quoique sa plaie se fut referm
est assurément la nature dégénérative des présentations < ! Mûr-
males
qui est l'élément le plus original; c'est aussi c
masculin sur la répétition par l'hérédité des présentations anor-
males
. » Non, les auteurs prétendent seulement qu'il es
ire qu'on retrouve ici la même alternance des présentations anor-
males
que dans les couches de sa mère. Observation 11
H. Larger des documents fort curieux sur les présentations anor-
males
et autres anomalies obstétricales de quelques per
Il est vrai que, sur les 340 observations de présentations anor-
males
des auteurs, et bien que dans toutes, sans except
ire. Il s'agit de femmes qui, après une ou plusieurs couches nor-
males
, contractent des crises d'épilepsie, d'hystérie,
etc. Des femmes enfin, qui ont tour à tour des présentations nor-
males
avec un mari normal et des présentations anormale
ar- dés comme des pécheurs abandonnés de Dieu, de véritables ani-
maux
; on les exècre, on les évite, on les condamne au
bserve partout une légère rigidité. La sensibilité cutanée est nor-
male
, mais le sens musculaire dans les extrémités infé
it les caressés des chiens sachant qu'elle faisait quelque chose de
mal
et qu'il fallait se cacher. Elle les attirait d
sa fille d'une négligence d'éducation : c'est d'elle que tout le
mal
vient. Ce fait est remarquable par plusieurs ci
Conduction ralentie et épuisement rapide sont les propriétés, nor-
males
du nerf sans myéline ut de la libre de Rémak (lib
qu'elle naviguait et éprouvait un violent 554 SOCIÉTÉS SAVANTES.
mal
de mer, puisqu'elle abordait à une côte au moment
86 cas. Parmi les 30 cas de paraplégie organique, nous trouvons le
mal
de Pott (la cas), la syphilis médullaire (4 cas),
s encore humanisé d'avan- tage sa thèse en indiquant les remèdes au
mal
qu'il signale. Mais il se déduisent de l'énumér
e physiologique. Cet aperçu m'a laissé rêveur, je crains de l'avoir
mal
compris. Une notice mobile était jointe à l'ouv
'intervention de la foule est impul- sive et ne fait qu'aggraver le
mal
. Le Christ au poste. « Je suis Celui qui suis.
lessé à l'abdomen. Navel se pré- cipita au secours de son camarade.
Mal
lui en prit, car Berger, tournant sa fureur con
ale à streptocoque et à sta- phylocoques chez un sujet atteint du
mal
de Polt fistuleux, par Gui- bal, 272. Deux cas
itique des théories et des doctrines du système nerveux » des têtes
mal
conformées chez lesquelles il faut considérer la
et tordue. Vous trouverez que ces individus ont continuellement des
maux
de tête et des fluxions d'oreille. ' - Il est
e l'amygdale pharyngienne. Le palais est eu ogive, les dents sont
mal
implantées et crénelées. L'enfant présente un f
e palais est en dôme, les dents très irrégulières sont divergentes et
mal
im- plantées. Conformation du squelette. La c
formation du squelette. La conformation du squelette est très anor-
male
. Joseph ressemble à un singe : il a des bras très
Si nous comparons la radiographie (latérale gauche) d'un crâne nor-
mal
à celle d'un crâne oxycéphale, on saisit tout de
que nous avons faites nous n'avons trouvé que deux observations de
mal
de Recklinglausen avec acromégalie. La nôtre es
symptôme rattaclable à son affection. Il était d'intelligence nor-
male
, d'humeur paisible, sans trace de rien d'insolite
aitement bromure anti-épiteptique. Le malade reste au lit, il a des
maux
de tète très intenses et des vertiges. La cépha
commence. 9. Le malade se plaint de vertige et de temps en temps de
maux
de tète assez intenses. Il peut faire quelques
st qu'il avait honte de raconter à des personnes étrangères tout le
mal
qu'il supporte de la part de ses parents qu'il
ents sont conlie lui et il ne sait pas pourquoi, car il n'a fait de
mal
à personne d'etitr'eux. Il n'accuse plus de mau
s une injection d'éther, en disant la voix éteinte : oh, comme j'ai
mal
à la tète 1 On lui fait une ponction lombaire et
t. Depuis ce soir-là il est tombé de nouveau malade au lit avec des
maux
de tète intenses, se joignant il des accès de h
ents athétoïdes. Pas de signes de Romberg. La parole est chuchotée,
mal
articulée, explosive. Le pied est dans une atti
gaz Régions dorsale moyenne, supérieure, cervicale. Elles sont nor-
males
. - 11 ' En somme, la lésion est strictement
e malade, mais aussi à diriger une thérapeutique contre la cause du
mal
, qu'il faut pour cela 'connaître. Sans doute on
scérales et, en particulier, gastriques, des tabès nous sont encore
mal
connus. En ne considérant d'abord que les lésio
la suite de la lésion cérébrale, et qui, par un méca- nisme encore
mal
discuté, mettrait en tension le neurone moteur.
es aux crises et au tabes, et leur étant liées d'une manière encore
mal
connue. On ne connaît pas de lésions gastriques
t une pulsation cérébrale sans cependant constater de saillie anor-
male
. Il y a environ 11 centimètres entre les bords an
sens des couleurs est en général diminué chez B..., mais reste nor-
mal
au point de vue qualificatif; il arrive à assorti
mémoire. Souvent il trahit aussi cette défectuosité en interprétant
mal
une quantité de mots et en leur subs- tituant d
un arbre, incapable de produire autre chose qu'une ligne courbe et
mal
venue. Même son « bonhomme » est un personnage de
e faire à la vie commune des hommes, d'autant plus que « ça me fait
mal
el que je sens le tout opposé du sens. Lorsqu'un
. Lorsqu'un homme « me fixe, j'ai la sensation que l'on va me faire
mal
. Quand il me regarde « en souriant, j'ai de la
« sance, j'ai été élevé comme une fille ; à la pension, on avait du
mal
à me « faire jouer avec les garçons. Plus tard,
is « pas. Chaque fois que je vois un regard de mon père, ça me fait
mal
, quand « il est un peu sévère avec moi. J'ai ma
ça à parler, et encore, disent les parents, ce fut avec beaucoup de
mal
. A deux ans, il subit un traumatisme crânien à
En même temps son développement physigue se montre nettement anor-
mal
. A huit ans, il lui faut les habits d'un enfant
, je ne sais pas ce que j'éprouve ; va-t-en ! va-l-eaz ! tu me fais
mal
! on m'en- fonce un clou dans la tête. » Ses am
aboutir la nais- sance de notre sujet, qui }iif3 ? lll eA1mailloté,
mal
soigné ( ? ) l\.l1erouta ne marcna quia trols-a
berculeux, mais en petit nombre (Color. Ziehl-Niellsen), et gardant
mal
la coloration au procédé de Baumgarten. Nous av
poussées plus loin, comme des bacilles de Hansen probables (quoique
mal
colorés au procédé deBaumgarten). Si notre mala
rotulien chez des sujets indemnes de tout autre trouble nerveux est
mal
connue. Les sta- tistiques publiées à ce sujet
e cette absence, je voudrais montrer que les faits observés cadrent
mal
avec des interprétations trop souvent admises;
s au sujet de l'épiphyse une hypothèse célè- bre et d'ailleurs fort
mal
connue bien qu'elle soit souvent rappelée. En e
ner sa pensée, en confrontant ce brouillonavec le texte tant il est
mal
dessiné. » Fia. 1. 174 ' SAINTON ET DAGNAN-BO
contre parfois lors- qu'on recherche cette glande, sur des cerveaux
mal
conservés. « Je ne trouverois pas estrange que
ait cela que par jeu et qu'il se gardera " bien de nous faire aucun
mal
, nous avons toutefois de la peine à nous em- pê
e de l'épiphyse. « A 3 ans, il commence à grandir d'une façon anor-
male
, de sorte qu'à cinq ans, il en paraissait sept. D
en deux quelconques de ces points, ont la même composition centési-
male
. L'examen optique d'une solution colloïdale nou
a cellule nerveuse en expérience, de l'âge et de l'espèce de l'ani-
mal
. Aussi, faut-il se mettre rigoureusement dans les
vertébrale s'est tassée à sa partie supérieure, comme dans certains
maux
de Pott sous-occipitaux. Mais, chez notre malad
disposition, pas de douleur le long de la colonne vertébrale, pas de
mal
de Pott, pas de traumatisme antérieur. D'aill
aît de ce fait plus grand que celui du côté gauche. On repère assez
mal
les apophyses épineuses, les espaces inter-épineu
cipital, disposition que l'on rencontre chez certaines espèces ani-
males
(oiseaux). Cette surface articulaire est assez
ais c'est là une disposition qu'on retrouve sur des squelettes nor-
maux
; et comme elle est munie de côtes, nous la consi
ltiples : la tuberculose, l'alcoolisme, la syphilis, la variole, le
mal
de Bright, les cardiopathies, la folie. Ferré (
uestions. Il est un peu peureux. Il a peur que nous lui fassions du
mal
quand nous l'examinons. Il connaît le jour de l
cage thoracique aplatie (Schentheuer), le sternum aplati, les pieds
mal
faits (Dowse),grande dépression du sternum, pie
ire que les dents poussenttard, elles sont irrégulières, crénelées,
mal
implantées. Il semble que chez notre malade c'e
om- pagnie de ses frères. Un jour, en rentrant, elle se plaignit de
maux
de dents et de malaise; pendant que les frères
nte. La mère fit coucher Caroline qui continua à se plaindre de son
mal
de dents sans pourtant tout d'abord accuser d'a
e découverte; apparemment, sa maladie fut provoquée par un accès de
mal
de dents ou, peut-être, par un rhume insignifia
er la date - comme elle s'en retournait sur la glace, elle avait eu
mal
aux dents et s'était sentie légère- ment souffr
légère- ment souffrante; chemin faisant, elle ne s'était fait aucun
mal
et il ni vu ni entendu rien d'extraordinaire. L
e peuvent pas être écartés en éventail. Le triceps brachial résiste
mal
aux mouvements passifs. Le mouvement de flexion
alibre dont le cylindraxe est encore entouré d'une gaine de myéline
mal
colorée par 1'liématoxyline, tantôt des éléments
n des fibres nerveuses qui parfois atteignaient une épaisseur anor-
male
au milieu d'une gangue conjonctive riche en noyau
E TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices raréfiées, petites, avec un noyau
mal
coloré, et des prolongements moins visibles ; r
électriques allant jusqu'à la RD. Examen histologique : Moelle nor-
male
. Dans les ganglions spinaux, les racines antérieu
s ne sont pas particulièrement saillantes. La jambe gauche est nor-
male
, mais, pour élargir sa base de sustentation, le m
irrégulièrement plaqué de taches sombres et claires ; aspect flou,
mal
limité, d'un rebord à double contour. Ces carac
reté ? - R. Oh ! non. Quand j'étais sur la terre, je n'avais pas de
mal
». Ensuite il nous raconte des hallucinations q
e de couvreur : quelqu'un lui a demandé si c'était pour se faire du
mal
. Il a répondu négativement. D. Avez-vous touj
s'énerve : « Il fera ça, s'il le fait pas tombera.... ne fait « pas
mal
... mais c'est prêt à faire... » Il sort en chanta
l pleure toujours : « C'est pénible... c'est affreux... «Il me fait
mal
avec des fourches ! ô perdu.... Qui t'a donné la
ez le corps, « mais l'âme ! l'âme 1... Mais on ne peut pas faire de
mal
à Dieu ! » Quelqu'un dit : Vous avez peur que l
avez peur que le Diable vous emporte ? R. J'ai peur qu'il me fasse
mal
, j'ai peur de mourir ! D. On le chassera ! R. A
es habillés, prêts à me saisir avec des faulx.... « cela me faisait
mal
et je criais.Je ne voyais pas qu'un Diable... Il
on caractère était très doux. Parfois vif, mais incapable de faire du
mal
. Confiant, bon coeur, « on abusait de sa bonté
sommes en présence d'un sujet prédisposé, à lourde hérédité, assez
mal
développé physiquement, chétif, qui fait de lég
éressante, mais nous insisterons sur la lésion très particulière et
mal
connue que présente la moelle cervicale de trois
, au-dessus et au-dessous, l'aspect de la coupe est absolument nor-
mal
. Ajoutons pour être complet qu'il s'agissait de
émarcation entre le gliome et les zones de dégénérescence est assez
mal
établie ; dans ces régions les fibrilles névrogli
souvent incohérents, des idées délirantes absurdes, polymorphes et
mal
systématisés de grandeur, de persécution et de
FLATAU A L'1101'ITAG ISRAÉLITE DE VARSOVIE. CARIE DES VERTÈBRES
MAL
DE POTT SANS GIBBOSITÉ A UN AGE AV\l'\CÉ par
A UN AGE AV\l'\CÉ par J. ROTSTADT. Lorsqu'il est question de
mal
de Pott, on pense généralement à une déformatio
été dit, dans t'age adulte. Jouche cite dans son travail 20 cas du
mal
de Pott dont 9 sans 392 ROTSTADT gibbosité. A
9 sans 392 ROTSTADT gibbosité. Alquier, clans son travail sur le
mal
de Polt sans gibbosité, cite les cas de Lionvil
es racines médullaires. . Fidder; parlant de la compression dans le
mal
de Pott, prétend que celle affection peut surgi
r, dans son travail Principales formes des troubles nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusi
la maladie, ce qui ne permettait pas de croire au développement du
mal
de Pott. Ce n'est que six semaines après l'entrée
persister en augmentant toujours jusqu'à la mort. Pourtant dans le
mal
de Pott, les douleurs doivent être considérées co
uparavant par Fickler et citée par lui dans sa mono- graphie sur le
mal
de Pott : dans 14 cas, les douleurs d'intensités
ptôme de la maladie. Dans son travail sur les principales formes du
mal
de Pott sans gibbosité, Alquier souligne justem
s les processus de compréssion de la moelle est surtout au cours du
mal
de Pott ; ce sont surtout les auteurs français
lité présenta la dissociation typique ; à l'autopsie on constata le
mal
de Pott avec carie des 6" et 7° vertèbres cervi
us haut, nous devons conclure que 404 4 ROTSTADT le diagnostic du
mal
de Pott sans gibbosité chez un vieillard était da
gomyélie. Rev. Neur., 1906, tio 24, 2. ALQon.K. Quinze autopsies de
mal
de Poil chez l'adulte. Nouv. Icon., 1906, t. XI
XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité. Nouv. Icon., t. XIX.
é. Nouv. Icon., t. XIX. 4. Ascenzi. - Compression médullaire par le
mal
de Pott. L'Encéphale, 1910, na 11. 5. FicKrR. -
de déviation pour aucun des côtés. Pas de Romberg. Elle s'équilibre
mal
sur la jambe gauche et pis encore sur la droite.
and il habitait la petite ville de Mertola. Observation actuelle.
Mal
cite. Il sent une déviation à droite. Parfois i
delà main se font sans force, l'opposition du pouce surtout est très
mal
exécu- tée. Il en est de même des autres mouvem
cal et du 1" segment dorsal. Les cornes postérieures sont grêles et
mal
vascularisées. La substance blanche est indemne
Les mouvements des interos- seux sont très gênés, le malade écarte
mal
les doigts à droite et à gauche, l'ex- tension
e sans grande force,l'adduction et sur- tout l'opposition sont très
mal
exécutées. Celle-ci est remplacée par un mouve-
avant-bras gauche est un peu plus mince que le droit, le reste nor-
mal
. La force est normale à droite pour tous les mo
e céphalo-rachidien, chiffres qui ne sont guère éloignés de la nor-
male
; en constatant d'autre part la très faible quant
e. Les fesses, les cuisses et les jambes ont un développement anor-
mal
. La peau y est épaisse, parsemée de vergetures
dilatation pupillaire est anormale. Le sommet du poumon droit sonne
mal
, on y constate une obscurité mar- quée sans bru
s'agirait d'ailleurs que d'une exagération dans la répartition nor-
male
du tissu cellulo-graisseux sous-cutané, dont on c
meurs de l'angle ), 1, par Moxiz, 417. Poil (Carie des vertèbres.
Mal
de - sans ,gibbosité),par ROTSTADT, 391. adic
oyen de l'-) (4 pl.), par MAIUNESCO, 193. Vertèbres (Carie des -.
Mal
de Poil sans gibbosité), par ROTST.1DT, p. 391.
aumatisme crânien (1 pl.), 384. ROTSTADT (J.). Carie des vertèbres.
Mal
de Polt sans gibbosité (4 fig.), 391. TissoT
op affligé, plus que je ne mérite, parce que je n'ai jamais fait de
mal
à personne. » Il séjourne un mois à l'hôpital o
sens dans une pharmacie voisine. Les assistants parlaient de « haut
mal
». Il n'avait . pas uriné sous lui, ne s'était
put se remettre au lit et se rendormir. A son réveil, se sen- tant
mal
à la tête, il se leva et sortit se promener. La m
s que nous avons signalés ne sauraient aucunement être rattachés au
mal
comitial. 1. Charcot et 'rlpiau, Soc. méil. des
eurs. Encore aujourd'hui, sa vue n'est pas parfaite, et il apprécie
mal
le violet. Il a eu en outre de petites attaques
opie du même côté, une diminution de l'acuité visuelle. Il apprécie
mal
le violet. L'ouïe du côté gauche est diminuée.
faire des réserves. En effet, à cette époque, l'hystérie mâle était
mal
connue, et il suffisait même dans certains pays
etage des blessés. Mais deux heures après, il est pris d'un violent
mal
de tête avec douleur lombaire, vertige et tendanc
Clinique des maladies dusystemcnervou'c. (A suivre.) 1. Vulpian,
Mal
. du système nerveux, t. IL DE L'OPIITHALMOPLËGI
dans le reste de la journée le malade était abattu, fatigué, avait
mal
il la tête. La crise n'était annoncée par aucun p
Le malade n'a jamais éprouvé de diplopie. Le champ visuel est nor-
mal
, ainsi que le fond de l'oeil : Les mouvements de
abord absolument indemnes. Les cuisses ont conservé leur forme nor-
male
, ainsi que les jambes. La résistance à tous les m
Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de
mal
en pis, si DE L'O1'IITiIALIIIOPL$GIE EXTERNE. 5
très peu prononcés. Sensibilité du larynx diminuée. Epiglolte nor-
male
. Cordes vocales normales, fonctionnant régulièrem
frontale bilatérale avec 'nausées. Le bruit et là lumière lui font
mal
. Il cessent autour de l'orbite du côté gauche de
u. Il n'est pas douteux que jusqu'à la disparition spontanée de son
mal
, il ne pérégrine à travers les services hospita
té chez elle en diverses circonstances. Revenue à elle, elle répond
mal
aux questions que nous lui adressons, paraissan
re grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait
mal
à la tête. Alors prenant le devant de sa robe e
pour ce qu'elle vaut. Après la scène de la robe secouée, revient le
mal
de tête, puis ainsi de suite. , Le sulfure de
dans l'aisselle. Elle porté sa main à son front comme si elle avait
mal
à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter s
l des altérations très incomplètement étudiées' et en tout cas fort
mal
définies. Ce sont certaines inflammations de la s
rmal et l'état d'immobilisation volontaire du thorax. A l'état nor-
mal
(fig. 22) la respiration ne présente rien de part
ion. Le surlen- demain du jour où il pénétra dans cet atelier ainsi
mal
famé, il fut brusquement pris de tremblement, c
lle expliquait cela en disant que le parquet de sa chambre était si
mal
joint, que les vapeurs mercurielles devaient év
n 1889. Antécédents héréditaires Mère épileptique, morte en état de
mal
, a l'âge de trente-six ans. Père mort de pneumo
-devant du cheval et put l'arrêter à temps. Son enfant n'eut pas de
mal
; mais le malade éprouva une émotion violente; il
sentit près de défail- lir. Pendant la nuit suivante il dormit fort
mal
, dès qu'il était endormi il revoyait en rêve la
e réveillait en sursaut. Le lendemain, il se plaignait d'un violent
mal
de tète. Cette céphalalgie 118 NOUVELLE ICONOGR
faire la veille. Il continuait cependant à travailler tant bien que
mal
, régulièrement. Ces divers troubles persistaien
res supérieurs. A son grand ennui, il écrivait avec peine et tenait
mal
les objets avec les mains. Ce tremblement devint
ent pour lui. D'une intelligence assez bornée, il s'imagina que son
mal
était grave, incurable; il n'osait pas consulter
s, sclérose en plaques, atrophie musculaire, maladie de Friedreich,
mal
de Pott, etc. La fréquence de ces associations s'
ations aux paraplégies par compres- sion lente de la moelle dans le
mal
de Pott et les tumeurs médullaires. En France,
et ami Chipault' a essayé le trépan dans deux cas de paraplégie par
mal
de Pott. Dans ces conditions, la trépanation du
1. Chipault, Deux Cas de trépanation rachidienne pour paraplégie par
mal
de Poil (Rulletins de la Société analomique, 18
, et là on l'examine ; le chirurgien l'interroge et diagnostique un
mal
de Pott. Il avait jadis craché le sang, se plai
hétif, et on pouvait supposer que le trau- matisme avait exagéré le
mal
de Pott et déterminé une compression de la moel
ant s'il n'y a pas autre chose, si en même temps il n'existe pas un
mal
de Pott. C'est dans cette incertitude que ce ma
. D'autre part, il n'y a pas de déformation. « Il n'y a donc pas de
mal
de Pott. et toutes les apparences de cette affe
ypothèse inutile puisqu'on comprend tout sans cela. » S'il n'a pas de
mal
de Pott, il n'a pas non plus de myélite. Les ca
harcot montre sans peine que les nerfs périphériques, la moelle, le
mal
de Pott ne pourraient expliquer ces accidents.
omplètement paralysés, le tronc et les membres supérieurs sont nor-
maux
. Absence des réflexes tendineux et crémastérien.
rester debout. Mais il marchait bien et sans fatigue. Bientôt le
mal
s'aggrava et on vit apparaître une parésie des ex
nt bilieux, avait des vomissements de temps à autre et souffrait du
mal
de tête; quant au reste, il était d'une bonne san
C'est un grand fumeur de cigarettes. Il ne souffre pas, n'a pas de
mal
de tête. Robuste, bien bâti, il ne présente auc
u que ce n'étaitlàq4'up'eupé'rst,iion5 : }) ? ? '- -' Cet affreux
mal
; : «" dont le-germe est û'ne- caêo'cllÍmie, l'app
; c'est pourquoi je conseille à tous ceux qui sont affligés de ces
maux
de tenter un moyen spirituel si doux pour obtenir
tout par courrier spécial au ministre La Vrillière. Mais celui-ci,
mal
disposé pour d'Argenson, se borna à répondre « qu
privée d'autrefois que les saints guérissaient le plus souvent les
maux
dont ils avaient eu à se plaindre pendant leur
malade, prises a l'âge de onze ans, quelques mois après le début du
mal
. Ces documents qui présentent un intérêt de pre
tact. Les autres sens spéciaux, l'odorat, l'ouïe, le goût sont nor-
maux
. Du côté des yeux, il n'y a ni achromatopsie ni r
seconde semaine après la col- lision. Dès qu'il se met à lire, son
mal
de tête s'accroît. Il souvent des vertiges. L'a
ais dans la dernière semaine de septembre il commença à éprouver un
mal
de tête consistant en une sensa- tion continuel
sur la région médiane, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui faisait
mal
lorsqu'il passait de la station assise à la sta
amenée. Elle couchait dans une mansarde dont la fenêtre fermait fort
mal
. La pièce élail très humide, avec des moisissur
(on était en septembre) soufflait sur son lit à travers la fenêtre
mal
jointe; c'est dans cette chambre qu'une nuit (la
par les roues de la voiture. Elle se releva aussitôt, n'ayant aucun
mal
, et elle put sans dif'fi- culté aucune terminer
ts, le triceps, le grand pectoral, ont conservé leur puissance nor-
male
. Les muscles sont pris isolément et non par group
lement pleurard. Si on le fait parler, on s'aperçoit qu'il articule
mal
les mots et nasonne considérablement. D'ailleur
s droit, en effet, mais c'est pour découvrir l'aisselle où siège le
mal
tant re- douté, la tumeur pestilentielle. Et le
général en chef, veut lui faire voir le signe caracté- ristique du
mal
, le bubon. Sur son ordre, le pestiféré se dépouil
vec une grande prudence, les muscles retrouveront leur vigueur nor-
male
. Grâce à l'obligeance de M. le professeur Charc
n'y a là qu'une différence relativement minime, et, du reste, assez
mal
appréciable. Ajoutons que l'application du cour
(1) Tonnini, Deettera ? ione et primilivila (.\ l'cI/. ilal per le
mal
. nen-), janvier et mars 1890. 286 NOUVELLE IC
me molaire. Ou bien, et c'est le cas le plus fré- quent, elles sont
mal
rangées soit en avant, soit en arrière près des
té d'autant plus con- testable qu'elle est devenue aujourd'hui plus
mal
définie et plus que. jamais sujette à une foule
is, sans cause connue, d'une céphalalgie violente et prolongée. Ces
maux
de tète siégeaient surtout du côté droit du crâne
iminuée; il résiste assez bien aux mou- vements passifs de flexion,
mal
à ceux d'extension. Les mouvements des orteils,
vers le com- mencement de septembre, les choses allaient plutôt de
mal
en pis. Il lui était impossible de se tenir deb
altérée sans être cependant intacte. Sur le tronc, elle semble nor-
male
. Le sommeil est régulier, de longue durée, tranqu
(inédite). Paraplégie hystérique simulatrice d'une para- plégie par
mal
de Pott.-Julia B..., seize ans, repasseuse, entre
ses antécédents héréditaires, étant donné le diagnostic supposé de
mal
de Pott, à une ménin- gite tuberculeuse. L'appa
songé, à cause de la paraplégie douloureuse, de la gibbosité, à un
mal
de Pott que les antécédents paternels ren- daie
perdu le souvenir sur le compte de l'hystérie venant compliquer le
mal
de Pott. Aujourd'hui, tout nous semble parfaite
rtaines para- plégies par tuberculose vertébrale. La gibbosité du
mal
de Pott n'est pas constante; les abcès froids p
e avait eu toute sa vie des crises de nerfs, « elle tombait du haut
mal
», dit la malade. Antécédents personnels. Dan
a mère au médecin, en rentrant de l'école, il se plaignit d'un fort
mal
de tête; je le mis au lit croyant que c'était u
au lit croyant que c'était une indisposition; mais pas du tout, le
mal
's'ensuivit et de jour en jour il s'accroissait
but pro- gressif, on était parfaitement autorisé à songer soit à un
mal
de Pott sans déviation, soit à un tubercule de
et confirmer les soup- ` çons. Aussi l'existence problématique d'un
mal
de Pott, d'une myélite ne nous parait pas admis
ant, que tout le corps portait; les stigmates. d'une autre forme du
mal
, la lèpre atrophiques. « Cette. représentation
tait au ban de la société. Comme pour le lépreux d'Albert Durer, le
mal
est reconnais- sable à deux signes caractéristi
ade lui-même. Ajoutons enfin que cette anomalie a pu également être
mal
interprétée et attribuée à tort, selon nous, au r
nférieures qui sont petites, érodées, écartées les unes des autres,
mal
implantées. Pas de lésions rachitiques. Pas de
s vertical, très asymétrique ainsi que la face, strabisme, oreilles
mal
ourlées, lobules sessiles, atrésie des fosses nas
individus porteurs de la poitrine en en- tonnoir sont souvent aussi
mal
conformés au point de vue cérébral qu'au point
ar ses gestes et par l'expression de son visage. Depuis le début du
mal
, depuis deux nus par conséquent, la situation é
du cou. Au-dessous de lui se trouve le bourrelet dorsal supérieur,
mal
délimité inférieurement, se continuant souvent
es Enfants- Malades une fillette de neuf ans, traitée en ville pour
mal
de Pol t cervico-dorsal, par les applications l
e tenir debout. A partir de la vingt-deuxième séance, elle commença à
mal
supporter ce traitement; à peine est-elle soule
encore amendés un peu; elle souffre toujours de vomissements et de
maux
de tète. - '1" février 1890. La 'malade passe com
ctt- leuse et on lui met un vésicatoire à la nuque. Elle était très
mal
et on l'a crue mourante. Cet état a duré jusqu'
ne femme de quarante-sept ans ayant eu autrefois une paraplégie par
mal
de Pott. Elle était guérie de sa paraplégie dep
nopause, apparurent des accidents hystériques simulant un retour du
mal
vertébral et de la paraplégie par compression.
s celle d'nne paraplégie hystérique, et qu'on songe fatalement à un
mal
de Pott, à la tuber- culose, à la syphilis médu
e valeur diagnostique, car les paraplégies par compression, dans le
mal
de Pott par exemple, peuvent guérir. Mais en réal
latente, l'exaltation des réflexes en traduit souvent et les restes
mal
éteints et la menace d'une récidive. 4.° Les
ile à pratiquer. Les deux pupilles, de moyenne grandeur, réagissent
mal
à la lumière etàl'accom- modation. Pas de lésio
leur, l'articulation carpo-métacarpienne du pouce droit lui faisait
mal
. Actuellement cette articulation est à demi ankyl
ssous parle d'autre manière : « Tes pieds t'ont porté pouf faire le
mal
, dit-elle, qu'ils apprennent main- tenant à sou
re à l'adresse de cette dernière, elle console le malheureux de son
mal
en lui en montrant un pire : « Ton corps est co
e : elle accostait les passants pour leur demander des cou- ronnes.
Mal
lui en prit, car elle fut mise au Dépôt et de là
le triceps ne réagit plus; le deltoïde et les pectoraux réagissent
mal
(10 et 5 1/2). b. Membre inférieur gauche. Dans
ondition qu'il ait déterminé chez des sujets sains les limites nor-
males
du champ visuel, et qu'il ait ensuite exploré dan
ères spéciaux. Les limites supérieures de cette anesthésie seraient
mal
tranchées et se continueraient graduellement av
nviron. Le champ visuel est légèrement rétréci. Le malade distingue
mal
les nuances du violet du même côté. Résultats dou
la mort, la température monte à 41,8. Depuis le début de l'état de
mal
, il avait eu 108 accès,- et depuis le 24 au mat
ecevoir les affirmations qui ont pour but de les débarrasser de leurs
maux
. Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
ant toute la durée de cette dernière, elle est nerveuse, agitée, dort
mal
, 60 réveille souvent... et, pas une fois, elle n'
malades qui, rebelles a l'idée de se faire hypnotiser, s'y prêtaient
mal
et je n'obtenais pas d'hypnotisme, leur éducation
iner constamment sur la nourriture est l'indice d'un esprit étroit et
mal
équilibré. La suggestion hypnotique, en renforçan
suggestion, ou mieux cette hantise, de la compensation du bien et du
mal
, ce principe trouvé au berceau de toutes les reli
principe trouvé au berceau de toutes les religions et qui veut que le
mal
subi, accepté ou recherché sur terre soit payé, a
e prit naissance il Pérouse dont les habitants, pour faire cesser les
maux
de l'Italie, commencèrent, dans les rues de leur
un malade selon les jours et les heures. Ce syndrome ressemble pas
mal
au syndrome de la névrose hystérique avec laquell
ou autoritaires d'un autre ». a été étendu à une foule d'attributions
mal
définies ou contradictoires. Depuis une quinzaine
vateurs avait apporté tant de clarté ne provient que d'une définition
mal
conçue et dépourvue de toute signification qui, à
il pas observer que : « les larmes que nous versons sur nos « propres
maux
sont, au sentiment d'Homère, une espèce de volupt
s lueurs sont te reflet De l'enfer on mon cœur se plaît! Lu Fuch do
Mal
: (Horreur sympathique.) Pendant que des mort
ervile. Ma Douleur, donne-moi la main, riens par ici. Les Fleurs du
mal
: (Recueillement.) Enfin, nous avons, pour noye
ons la lampe, afin De nous cacher dans les ténèbres ! Les Fleurs du
Mal
: (L'Examen de Minuit.) Albert Samais : DOULE
aisent plus qu 'aux beautés des naufrages. Les Stances. I. 2. Les
maux
les plus ingrats me sont présents des dieux, Je t
puis m'envelopper de l'éclair de ces nuits ? Serais-je satisfait des
maux
qui me ravagent, Parce qu'ils font goûter les att
ie), mais leur moralité est bien fragile et leur notion du bien et du
mal
bien incomplète. Ils sont, plus que les autres, p
se trouve en présence d'êtres auxquels une éducation insuffisante ou
mal
comprise n'a pu conférer ces dons, la possibilité
ller encore plus loin et de les doter de freins contre l'impulsion au
mal
, de qualités morales supérieures, de sentiments e
politiques et les religions. C'est par les disciples présomptueux ou
mal
intentionnée que se désagrègent les doctrines sci
te sottise devient raison. » Si un simple praticien avait été assez
mal
avisé pour baser une-thérapeutique sur « l'acte d
rmacien ? De même que celui-ci oubliait ses étiquettes ou les plaçait
mal
. reux-là ne définissent point ou définissent mal
ettes ou les plaçait mal. reux-là ne définissent point ou définissent
mal
leurs expressions. « Or, quel moyen de raisonne
s grande analogie entre la tête d'un de ces philosophes et l'officine
mal
tenue d'un pharmacien. Il importe ensuite de fa
'espérance au fond de la boîte de Pandore, comme nn remède à tous les
maux
que cette fatale boite avait répandu sur le monde
er une conception originale, c'est en synthétisant les travaux encore
mal
coordonnés'de ses ancêtres et de ses contemporain
e l'Ecole de Psychologie. D'autre part. Binet-Sanglé me paraît bien
mal
connaître la clientèle-civile, ainsi, d'ailleurs,
'introduction de la psychologie dans la médecine que provient toot le
mal
. Il résulte, au contraire, de l'ignorance profond
ive : je l'ai signalé expressément et j'ai souligné qu'il s'accordait
mal
avec d'autres passages où (1) de Hérédia. Les t
16, 48 et 58. délivrées par on ne sait quels médicastres, souvent
mal
rédigées exprès, de peur de se compromettre lorsq
Mais pas de douches ni de bains froids, auxquels l'enfant réagit fort
mal
. Au début de la cure, le moins possible d'exe
cours à lui, il ferait œuvre de prophylaxie, il enseignerait à ne pas
mal
faire, il apprendrait les moyens de ne pas deveni
. Aujourd'hui les bourdonnements, les peurs, les étourdissements. les
maux
de gorge ont cessé et mon goitre a bien diminué.
910 ;'?• assék! ??? cm» et tea cimfëitncts de ????? dr ??-jclioto'jic
mal
/iiibtics» Hypnotisme thérapeutique. — Psychoth
jouant un rôle dans l'extension de l'industrie paraîtra, a plus d'un,
mal
choisi. A ce compte, 11 faudrait aussi décerner u
personnalité subeonscleute, Revue de l'hypn., juin 1905. p. 367 ; Cf.
mal
1905, p. S46. 5. Fkcili-ade (de Lyon). Revue de
suggestion pendant le sommeil naturel, Revue de l'hypn., mars, avril,
mal
et Juin 1898 : brochure Malolne. 46 p. — Incontin
le, domestique chez un de mes amis. Il m'est arrivé de la guérir d'un
mal
de dents par la suggestion hypnotique. Elle aussi
au visage. En 190S, elle a souffert, pendant 4 semaines, d'un violent
mal
de tête, accompagné de douleurs dans les bras et
ivre et plate;je dis à l'expérimentée qu'elle souffrira juste le même
mal
qu'elle a déjà ressenti au moment de sa brûlure o
titre de simple appendice, le récit des hypnotismes de second ordre,
mal
distincts, (1) Un cas d'hypnotisme fortnit. (Re
t presque des demi-dieux. Le Galvanisme, comme on disait jadis, fut
mal
accueilli par les savants, et Volta dut subir mil
ntre minuit et deux heures, soit par une douleur, soit par un malaise
mal
défini, qu'ils qualifient d'oppression, de pesant
e continuité dans l'exercice de l'attention volontaire. Une curiosité
mal
coordonnée dispersant sans cesse l'attention sur
aison qu'ils ne se servent de leur intelligence que pour concevoir le
mal
. Tandis que l'instabilité mentale et la folie m
éhension et à la réflexion. Cependant on ne fait rien pour enrayer le
mal
qui menace d'éteindre, dans notre race, les quali
e par lui est si neuve que les lecteurs ont peine à le suivre, encore
mal
initiés à l'étude de ces problèmes. Le livre n'
vie pour la patrie. Pour nous, médecins, la douleur est toujours un
mal
, lorsque nous ne pouvons guérir, nous cherchons à
oin de faits nouveaux, dit Henri Coulou, pour être innocent. On a été
mal
défenda ; c'est un fait ancien plus intéressant q
, c'est un fait ancien qui vaut un fait nouveau. Un fait ancien a été
mal
interprété lors des débats, n'est-ce pas un fait
ouverte des délinquants et des criminels constitue un encouragement à
mal
faire et un péril social. Chaque jour la Seine
terait une condamnation imméritée à ceux qu'un esprit de conservation
mal
comprise pousse à sacrifier un innocent, pour sau
allures hyperchlorliydriques, beaucoup d'autres ressentent un malaise
mal
défini, qu'ils ne peuvent caractériser et qui con
tout antrement. surtout pour les enfants. Pour savoir d'abord de quel
mal
souffre le petit malade, les parente consultent,
denx jours après qne le petit était atteint de trois maladies : « Le
mal
de saint Ollle, le mal de saint Mamert et celui d
e petit était atteint de trois maladies : « Le mal de saint Ollle, le
mal
de saint Mamert et celui de saint Christophe. • L
saint Christophe. — Allaitement au bilteron. Varennes: saint Clair. —
Mal
??? yeux. (Premier dimanche de septembre. Trè
se, la mélancolie de nature bénigne et enfin ces divers états nerveux
mal
définis, caractérisés par des stigmates spéciaux
nombreuses lettres qu'il m'a écrites dans les diverses phases de son
mal
. de constater les signes graphologiques qui peuve
est grêle, inconsistante et parfois lourde ou empâtée ; les mots sont
mal
formés, les lettres offrent un lamentable aspect
ns contrôle à l'influence des suggestions pernicieuses d'un entourage
mal
renseigné ou mal intentionné. * Dans certains
nfluence des suggestions pernicieuses d'un entourage mal renseigné ou
mal
intentionné. * Dans certains milieux spéciaux
s les personnes qui les ont éprouvés comme lui, sont fort sujettes au
maux
de tète, tandis qu'on ne les observe jamais chez
ire. Elle sent bien que le docteur ne sait pratiquement rien de son
mal
et qu'il ne peut, par conséquent, la soulager. El
tombe entre les mains de charlatans sans vergogne et va rapidement de
mal
en pis. Il est utile que les hommes de science
s, sauf ce qu'elles peuvent glaner dans la fréquentation de compagnes
mal
élevées. Ce qu'elles apprennentalorsest extrêmeme
mois, en leur faisant espérer la guérison ou le soulagement de leurs
maux
: qu'il les invitait à lui apporter de l'eau ou d
ait que le neurasthénique a pour celui qui veut le débarrasser de son
mal
une touchante docilité et lui accorde une confian
flore graphique dans laquelle les fleurs sont remplacées par des mots
mal
accouplés qui manquent de tenue, d'élégance et d'
ons, des angoisses et par des craintes ou des phobies le plus souvent
mal
fondées. Les malades atteints de cette affection
défaillances nerveuses de ses premières années et ne conserver de son
mal
que ces idées mystiques qui. ainsi que je vous l'
o-psychoses, à vous dire quelques mots de ces états pathologiques
mal
définis qui représentent certaines formes de la d
leurs défaillances. Presque tous ces malades ont un système nerveux
mal
équilibré. Leurs facultés psychiques sont tantôt
et ses phobies disparaissent d'elles-mêmes. Ainsi, un homme qui parle
mal
une langue étrangère, cesse d'en user aussitôt qu
ans, veuve, vient se plaindre à moi que. depuis deux mois, elle dort
mal
, se sent déprimée,et est toujours poursuivie par
aire en manœuvrant la canule à injec- lion. Elle n'y voyait aucun
mal
. TJn jour il lui tombe dans les mains un livre su
ux. Et cela suffit pour la guérir puisqu'elle connait la cause de son
mal
. Toute la série de ses raisonnements était juste,
suggestive devient efficace lorsque Ton a ainsi remonté à la cause du
mal
. » On voit par ce qui précède combien les idées
ois d'un traitement calmant et reconstituant mirent fin tant bien que
mal
à cette première crise ; mais, depuis lors, chaqu
La prochaine séance de la Société d'hypnologie aura lieu le mardi 17
mal
à 4 heures el demie, sous lu présidence de II. le
oir mystérieux capable de guérir les maladies et de conjurer tous les
maux
. Aussi on en abuse, et par tous tes temps, même p
é ou souffrant que l'on calme par une chanson : d'abord il oublie son
mal
pour écouter cette voix qui le charme ; aux sensa
ont déclaré, à la fin de la séance, être tout à fait débarrassés d'un
mal
de tête souvent intense et dont la ténacité les a
acité d'impression. Parfois un repos suffit pour que le même diapason
mal
entendu tout d'abord s'entende plus distinctement
ci lui faisait avoir avec elle des relations. L'enfant s'en défendait
mal
, car il en éprouvait une sensation agréable, et c
trent pas plus d'intelligence, c'est peut-être parce que nous faisons
mal
leur éducation et que nous ne savons pas les mani
'actualité. de ses entraves. Contre leurs insistances, elle s'est
mal
défendue, donnant ainsi la preuve d'être une abou
882. d'Anaximènes et de Thaïes, aussi bien qu'avec les intuitions
mal
assurées de Schelling, de Gœthe et de Hegel. Et c
, aussi bien que dans les vantardises de l'hystérie. Contre la loi du
mal
universel, disait Vigny, le juste n'a qu'une arme
ngeant, mais surtout exagéré en toute chose. Comme tous les individus
mal
équilibrés et mobiles il se laissera parfois émou
us les cas, féliciter M. Garofalo d'avoir eu le courage de signalerun
mal
. Médecine rétrospective. La commission des ma
'est traduite par la disparition complète et pres-qu'instantanée d'un
mal
déclaré incurable partous les médecins, n'en est
certainement, on n'a pas assez souvent recours pour le traitement des
maux
qui affectent le moral comme le physique de l'hom
ère, c'est-à-dire son grand-père à elle, obligé de reprendre sa ferme
mal
gérée par son gendre. Quelques jours après, elle
l'amour du travail et le désir de bien faire, l'horreur de ce qui est
mal
, le dégoût des ongles, l'indifférence pour les ga
r d'une certaine liberté d'allures et d'expressions qui auraient fait
mal
accueillir ce troupier fini dans un salon ou aupr
ns et les illusions sont des troubles précoces. Le sens du bien et du
mal
n:est pas aboli, mais le sens moral est annihilé
ouvelle alors l'expérience en ajoutant que la personne visée a dit du
mal
de lui, en maintes circonstances. La résistance à
des ciseaux, etc., elle en avait rempli une armoire au grenier. Ce
mal
sévit partout dans la plupart des grandes villes.
its sérieux, fatigués de se trouver à chaque instant devant des faits
mal
observés, d'une authenticité très contestable, il
le resle anéantie et ne peut rien faire. Les attaques débutent par un
mal
de cœur, des étoufîements. Elle ne se débat pas.
. — La douleur est moins vive. Nouvelle suggestion. La malade dormait
mal
parce qu'elle cessait d'entendre dès qu'elle entr
et d'avoir la physionomie gaie. 9 décembre. — La malade n'a pas eu
mal
à la tète et a la physionomie souriante. Il est
ntale ; sa physionomie devient gaie. 0 janvier 1896. — Se plaint du
mal
de tète. Hypnose. Suggestion de n'avoir plus de d
n chercher la cause dans ce fait, que le rôle du médecin expert a été
mal
compris, et qu'il a été rempli par des magistrats
a suggestion et que la suggestion hypnotique la guérirait de tous ses
maux
, comme avait été guérie son amie paraplégique. Je
utes et qu'à son réveil elle pourrait marcher avec assurance, que ses
maux
d'estomac, ses palpitations, ses angoisses, ne se
n'ont plus la confiance et la volonté nécessaires pour triompher d'un
mal
qui le plus souvent est de nature psychique. Ils
t à chercher dans une mort librement acceptée ou voulue, un terme aux
maux
dont ils souffrent depuis si longtemps. - C'est
mieux conduites ; c'est elle qui entretient, multiplie et exagère le
mal
, par une représentation mentale obsédante, pouvan
le cas échéant, de redemander au sommeil provoque la guérison de ses
maux
. Observation II Neurasthénie de la ménopause —
s hypochondriaques. Il verse des larmes en me faisant le récit de ses
maux
, récit interminable, où les détails les plus futi
rmiques de sérum et le massage lombo-abdominal, je lui prouve que son
mal
ne peut résister aux puissantes modifications que
itution mentale comporle d'attention, de jugement et de volonté. Le
mal
de mer et le moyen de le prévenir par la suggesti
r par la suggestion hypnotique. Par le docteur Gorodichze. « Le
mal
de mer est dû au vertige que la mobilité des obje
apporter avec une non moins grande précision. Incontestablement, le
mal
de mer débute toujours par une sensation vertigin
igny (14 ans aux Iles Sandwich, Paris, 1874) raconte avoir éprouvé le
mal
de mer le plus violent pendant les secousses du t
rviennent dans la production qu'en tant que causes occasionnelles. Le
mal
de mer finalement n'est autre chose qu'un acte ré
deux hommes et deux femmes, tous les quatre extrêmement sensibles au
mal
de mer avant le traitement, et qui après quelques
littéralement en furie. Il fut le seul passager à bord qui échappa au
mal
de mer. Observation III. — Le cas de M. M..., 4
encourageant. Tout, jusqu'à présent, peut-on dire, a échoué contre le
mal
de mer, en dehors du moyen infaillible donné par
'avortement ou l'accouchement prématuré. Le traitement préventif du
mal
de mer évite ainsi à une catégorie de malades des
ngue et des mains. II présente divers signes de dégénérescence: crâne
mal
formé, oreilles asymétriques, incomplètement ourl
it à nos suggestions une résistance inspirée par diverses inquiétudes
mal
justifiées. A la quatrième séance, l'ayant complè
il sortit à six heures et demie du soir dudict iour sans faire autre
mal
(Dieu mercy) que la totale ruyne de ladite Pyrami
, n° 4. suggestion1. Là, l'idée de la souffrance avait produit le
mal
ici, l'absence de souffrance l'empêchait de se pr
ugmente le désordre organique dont la douleur est le signe; l'idée du
mal
y entretient et y développe le mal. Au contraire,
la douleur est le signe; l'idée du mal y entretient et y développe le
mal
. Au contraire, supprimez la douleur, et vous supp
, ces causes d'aggravation. Si le sujet blessé oublie sa blessure, le
mal
s'arrête et disparait peu à peu. Cette conclusi
logues à ceux que l'on a constatés à Liège, que de faire oublier leur
mal
aux malades ? N'a-t-il pas ainsi, nombre de fois,
ment que Delboeuf, de la meilleure foi du monde, cela va sans dire, a
mal
interprété les faits expérimentaux sur lesquels j
i se fait un malin plaisir de confondre les contraires, le bien et le
mal
, le vice et la vertu. A certaines heures de la jo
iété doit-elle alors laisser la suggestion s'exercer en bien comme en
mal
, profitant du bon et remettant au temps ef à la m
le mauvais ? Ou doit-elle empêcher la suggestion de s'exercer dans le
mal
ou ce qu'elle considère comme tel ? La première
il toujours s'effacer et ne doit-il pas, en certains cas, prévenir un
mal
qui menace son existence même ? La connaissance
faire, laissez passer », disent les spencériens, le remède viendra du
mal
lui-même. Croient-ils que, par sélection, la ra
in du cabaret, honteuse, reste lettre morte. Sans doute, l'excès du
mal
provoque déjà une réaction. Des associations se f
c'est faciliter l'évolution pacifique. Mais on ne peut imaginer le
mal
que font les feuilles pornographiques, qu'achèten
s documents curieux. Ce serait parfait si, après nous avoir montré le
mal
, elle nous indiquait le moyen de lutter contre le
pre volonté qui devient notre médecin, nous guérissant de beaucoup de
maux
pénibles, provenant pour la plupart de notre mora
n. Or, il faut vous persuader à vous-même que vous êtes guéri; que le
mal
ne peut plus entrer en vous; que vous êtes votre
ssions, etc. ; et Rhéurr qui signifie l'influence mauvaise, en vue du
mal
que l'on désire attirer sur une personne, sur un
'hésiterai pas à déclarer de premier ordre dans le bien comme dans le
mal
. « C'est dans cette pensée que j'ai l'honneur d
it de faire un mauvais rêve, qu'on ne lui avait en réalité fait aucun
mal
, qu'il aurait tout oublié au réveil, et qu'il sor
ignant à n'être que les horlogers d'un organisme dont ils connaissent
mal
les rouages et dont ils ignoraient le fonctionnem
rosée, d'une véritable hystérique dont l'instabilité mentale se prête
mal
à l'influence suggestive. L'état de grande hystér
isante. Que !e malade soit guéri à Lourdes, qu'il soit délivré de son
mal
en Norwège par un pasteur inspiré, ou que, plus m
ssants. Agée de 13 ans, elle avait vu une petite fille tomber du haut
mal
; immédiatement, elle fut prise d'une attaque qui
m, je mécontentai de dire à la malade : « Mon enfant, jusqu'ici, on a
mal
soigné tes yeux, si tu veux croire en moi, je te
apte à tout travail. Les renseignements concernant la marche de son
mal
ne peuvent être obtenus qu'avec la plus extrême d
atement, le nombre et l'intensité des attaques diminua, ainsi que les
maux
de tète, et, à partir du troisième jour, on ne co
à cet argument. En effet, le malade a, depuis cinq ans que dure son
mal
, fait de nombreux et longs séjours dans divers hô
n'eût un ou plusieurs accès d'épilepsie. L'amendement définitif du
mal
doit donc être attribué exclusivement à la sugges
la véritable raison pour laquelle certains passagers sont atteints du
mal
de mer tandis que les autres en sont exempts »,
t les points sur les i, suivaient l'alignement, effaçaient une lettre
mal
employée pour la remettre à la place exacte, et q
l'est pas. La bêtise est le plus grand malheur personnel et un grand
mal
social. NOUVELLES Enseignement de l'hypnotism
mme telle, à peu près supprimée depuis que la nature névropathique du
mal
a été reconnue et la médication modifiée. Au poin
en relations avec moi. Je ne lui cachai pas l'incurabilité absolue du
mal
dont était atteint son mari, mal qui durerait peu
cachai pas l'incurabilité absolue du mal dont était atteint son mari,
mal
qui durerait peut-être encore plus de deux ans. J
? de retarder de quelques jours la confidence à la mère. Où était le
mal
? cela ne valait-il pas mille fois mieux que d'ag
es génitales vraiment extraordinaires ; la seconde avait toujours été
mal
réglée. Je crois que c'est encore là une conditio
fs contenus dans le nid étaient trop nombreux, l'Incubation se ferait
mal
par manque "de chaleur. La substitution une fois
passé. Enfin, si les accès étaient en série, si un véritable état de
mal
se produisait, il faudrait avoir recours à une mé
'une attaque de rhumatisme articulaire aigu, un rétrécissement mitral
mal
compensé. Son jeune frère a toujours été soigné p
en travaillait pas moins, depuis l'âge de treize ans, dans un atelier
mal
aéré, où elle passait de douze à quinze heures pa
vet en 1796. Ils étaient regardés comme ayant le pouvoir d'attirer le
mal
à eux et ils devaient guérir par le seul fait de
organique, et par le seul fait d'une idée dominante ayant paralysé ou
mal
dirigé sa volonté, le patient peut demeurer, pend
, 1897). - H. Aimé. Les rapports du physique et du moral, jusqu'ici
mal
résolus, peuvent être envisagés nouvellement, si
strueux en vertu et en vice ; un autre, insignifiant en bien comme en
mal
; l'un met de grandes forces, l'autre de faibles
s des mots un sens métaphorique pour les rendre propres tant bien que
mal
à désigner de nouveaux états de conscience, est u
ns sujet qu'un autre. On prétend que cet enfant n'est ni chétif, ni
mal
portant, ni maladif, mais on convient qu'il n'est
e dernier système d'intervention, on devra au moins lui savoir gré du
mal
qu'il n'aura pas fait. * * * APPENDICE Co
heim. 91. Maîtres de l'hypnotisme et de la médecine (les), 1, 65.
Mal
de mer et le moyen de le prévenir par la suggesti
ériques, chez les intoxiqués, ainsi que chez les enfants impulsifs ou
mal
élevés. II appartenait au professeur de la clin
A douze ans, plus de migraines, mais apparition de symptômes de petit
mal
; mictions nocturnes inconscientes, constatation
re est-il ? » Après la crise, pendant une heure environ, j'éprouve un
mal
de tête qui n'est pas de la migraine, et qui est
mpagnés. D'une façon générale, on peut dire que les épileptiques sont
mal
soignés, et les solutions bromurées dont ils sont
e heurter la nuque contre une pierre. Perte de connaissance, violents
maux
de tète, somnolence, puis, après trois jours, le
a vue, se jette à ses genoux, et implore en gémissant un remède à son
mal
, conjurant l'empereur de daigner lui humecter les
voir, par le traitement hypnotique qui s'adressera à la cause même du
mal
, on pourra les guérir et leur rendre le bonheur.
it d'une femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes en -
mal
d'enfant et cause la mort des nouveaux-nés. (4)
femmes en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans une maison une femme en
mal
d'enfant, a-t-on coutume de suspendre à la porte
A l'ouverture du Prince of Wales, beaucoup de personnes se trouvèrent
mal
. Pourquoi ? Parce que les tapissiers avaient reco
isé par l'Esprit du Seigneur. Ce baptême amena aussi la guérison d'un
mal
corporel dont je souffrais depuis 12 ans ». Le
insolite, m'intrigua beaucoup. Mais, peut-être s'agissait-il d'un cas
mal
interprété, amplifié, déformé ; peut-être la nouv
é, amplifié, déformé ; peut-être la nouvelle transmise avait-elle été
mal
traduite et avait-on lu trente ans, au lieu de tr
staller. Elle consulte un rebouleur qui lui annonce les plus grands
maux
. En effet, les douleurs augmentent ; elle dit à s
ur les échelons inférieurs des débilités mentales, mais d'autant plus
mal
connues qu'on-se rapproche de l'état normal, et q
a limite de la débilité et de la normale, se trouve, dans sa famille,
mal
surveillé, abandonné à lui-même, livré au hasard
x-parents (et le fait est fréquent d'après mes observations), apprend
mal
à l'école, se trouve dans les derniers de sa clas
e, et, pour peu qu'un stigmate de dégénérescence quelconque (oreilles
mal
implantées, prognatisme, asymétrie crânienne, elc
valeur, tandis que, dans une école, qu'il soit simplement paresseux,
mal
dirigé, ou qu'il soit réellement arriéré, il s'ha
s d'hygiène physique et morale du travailleur à Paris, et ces débiles
mal
éduqués, l'Etat se trouve obligé de les prendre à
qui, de par son ignorance, ne correspondent pas à la nature intime du
mal
, en s'adressant alors à un trouble apparent sans
rir par ce procédé. Il est encore le meilleur traitement des états de
mal
et de somnambulisme naturels, puisqu'il permet !a
eil. On peut expliquer de la sorte le rêve de malades localisant leur
mal
avec plus d'exactitude que le médecin. Un malade
n accueil des plus empressés. A vrai dire, rien n'y est mieux ni plus
mal
qu'en France ; et, comme en France, nous avons en
e résoudre catégoriquement par oui ou par non une question qui semble
mal
posée. Si les arguments et les vues théoriques de
et 16. — O mon enfant ! Observe la prière, ordonne le bien, défend le
mal
, et supporte avec patience les maux qui peuvent l
prière, ordonne le bien, défend le mal, et supporte avec patience les
maux
qui peuvent l'atteindre. C'est la resolulion indi
atiqué. On se débarrasse tout d'abord des faibles, des difformes, des
mal
venus. Les uns, comme les Lapons, éprouvent la fo
résentait le symbole de la vie heureuse. Ce n'étaient pas les seuls
mal
venus qu'utilisaient les Egyptiens. Leurs rois et
e, sont prises de claudication et de douleurs à la hanche. La peur du
mal
avait, par autosuggestion, créé le mal. Je pour
uleurs à la hanche. La peur du mal avait, par autosuggestion, créé le
mal
. Je pourrais citer, cent, deux cents exemples a
ligents qui présentent ce spasme de l'œsophage. L'un, à la suite d'un
mal
de gorge, avala de travers ; il eut un spasme qui
aucun des liens fixés à l'arbre, sous peine soi-même de contracter le
mal
. Pour guérir la hernie, point n'est besoin de r
orce a, selon la croyance populaire, la vertu précieuse de chasser le
mal
. Aussi, lorsque quelqu'un tombe malade, ne manque
trui. Vous parlez de sens moral, surtout de la « notion du bien et du
mal
! » La responsabilité n'impliquait que la thèse d
onsabilité n'impliquait que la thèse du libre arbitre ; le bien et le
mal
impliquent, eux, une certaine métaphysique et un
n que les droits de la défense sociale. Ce que vous dénoncez comme un
mal
, d'autres le considèrent comme un grand bien. E
ité non moins que de la légitimité de ses griefs, elle sait qu'il est
mal
de se venger, elle possède en son entier le faisc
ement. Non ! Ce serait là une mesure trop naive et qui ferait plus de
mal
que de bien, car un travail physique, joint à un
fait. Parmi ces nains de cour, nous n'en relevons qu'un seul bossu (
mal
de Pott cervico-dorsal) qui promène un lévrier (F
ons retrouvé de nos jours ces Akkas. Nous les connaissons encore fort
mal
, et ne savons décider à quelle race nous avons af
i, ceux qui ont beaucoup pratiqué cette gymnastique sont généralement
mal
propor- ' tionnés, le développement des jambes n'
. Il faudrait revenir sur ce sujet et ne pas classer des infanticides
mal
expliqués dans le cas de « disparition de l'insti
t chez les oiseaux mais chez les quadrupèdes. Là c'est un petit serin
mal
conformé et que la mère ou le père jettent obstin
sais de destruction d'un enfant qui comme on dit vulgairement « vient
mal
» c'est-à-dire d'un enfant dont la santé est déli
voqué une folie qui a duré cinq ans. Pendant cinq ans j'ai cru que le
mal
ne pourrait guérir, qu'il durerait toute la vie.
dont on sent les bases se solidifier déjà. Est-ce un bien, est-ce un
mal
? Je n'ai pas à en discuter. Je constate un fait.
uge, il en fait un arbitre. Le médecin n'est pas un arbitre. Le grand
mal
est que précisément il le devienne en fait et s'e
soient adressés à ses représentants pour obtenir la guérison de leurs
maux
. Aussi, plus tard, les prophètes qui passent pour
rononcé. Si la littérature est opprimée, la science est encore plus
mal
partagée. Elle est simplement supprimée dans ses
qu'ils font le bien ; ils en seront les ennemis, s'ils commettent le
mal
. Doué d'un esprit très positif, il s'est montré
e cœur humain. La terre est mon église. Ordonnez le bien, défendez le
mal
, la justice d'une heure vaut mieux que la dévotio
qu'elle se trouve. Aidez-vous pour le bien, ne vous aidez pas pour le
mal
. Voyagez, regardez, contemplez les merveilles de
Cambyse avait été affecté de la maladie que quelques-uns appellent le
mal
sacré. Il n'est point invraisemblable, remarque H
vec sa pénétration habituelle, que, le ¦corps souffrant d'un si grand
mal
, l'esprit ne fût pas resté sain. Après avoir mo
ec gratitude la direction de notre ancienne civilisation, tandis que,
mal
instruits, ennemis des Européens, ils seront une
« Ceux qui sont en proie à la fièvre tierce, quarte, à la podagre, au
mal
comitial, ne peuvent pas, même dans les jours où
s le champ de la conscience, le malade alors comprend la cause de son
mal
et est guéri. J'avoue que cette prétention d'expl
lui dit ; il n'a pas non plus la faculté de distinguer le bien et le
mal
, le bon et le mauvais, l'utile et le nuisible. La
vages causés par l'alcool, je lui ai suggéré un dégoût profond de son
mal
et lui ai affirmé qu'à l'avenir (il y avait encor
nta aux siens sa rencontre et mentionna aussi sa peur d'avoir le môme
mal
. Il passa une nuit très agitée et ne rêva que des
ultérieures des taches. D'après les dires de Mourade, l'origine du
mal
peut très vraisemblablement se rattacher à la cra
de la société d'hypnologie et de psychologie aura lieu le mardi 19
mal
, à 4 heures et demie, sous la présidence de M.
eux cernés a pour effet de provoquer chez les parents une indignation
mal
contenue, dont les enfants sont souvent les innoc
as, ce n'est pas l'onanisme qu'il faut incriminer, mais bien le petit
mal
épi-leptique, se traduisant par des accès légers,
mment une jeune institutrice est venue medcmander de la traiter de ce
mal
des « yeux cernés ». Il lui suffit d'avoir eu un
eudi 2 juillet. — Les paranormaux. — Les faux anormaux. — Les enfants
mal
élevés. Jeudi 9 juillet. — La lutte contre la d
oublié de nous dire en quoi il consiste il répond que sa pensée a été
mal
comprise et qu'il entend par là « un appareil sym
e despote. » Sur le chemin de Donlatabad, il fut affligé d'un violent
mal
de dents et en perdit une. Il ordonna de l'enterr
céda, prit immédiatement les mesures les plus capables de réparer les
maux
causés par son prédécesseur. Dans un décret gravé
caractère de Mohammed Toghlah aurait été considéré comme un individu
mal
équilibré. Ses tendances à la dissipation l'aurai
ient attiré des condamnations. Ses supérieurs et ses chefs l'auraient
mal
noté et il aurait été privé de tous ses emplois.
e. Mais les désastres qu'ils occasionnent sont peu de chose à côté du
mal
qu'ils peuvent accomplir lorsqu'ils tiennent dans
: « Est-il permis de faire du bien le jour du sabbat, ou de faire le
mal
? de sauver une personne ou de la laisser périr? E
reux asiles de nuit situés dans le Borough of Ma.nfiatta.rn, quartier
mal
famé de New-York. Ainsi, le Docteur Quackesros a
r, apaiser ses douleurs, abattre son anxiété et l'aguerrir contre les
maux
à venir. L'auteur a réussi à se former un état-ma
argés de l'exécution de ses ordres. De là sans doute est venu tout le
mal
. Parmi ces collaborateurs, les courtisans dominen
de son peuple. Comment venir en aide aux nations affligées d'un tel
mal
. Je crois que le seul moyen efficace, c'est de s'
, Podiapolsky (de Saratow), ainsi que les publications suivantes : Le
Mal
de mer, essai de pathogénie et de traitement, par
moral, en quelque sorte antagoniste de celui qui avait causé tout le
mal
, et annihilant ses effets avec la même soudaineté
t consistant à enduire les doigts des enfants de substances amères ou
mal
odorantes, et à immobiliser les mains ou à protég
ion sur ce sujet, on est d'avis qu'on doit appeler l'attention sur le
mal
fait au malade par les bruits qu'on pourrait évit
, p. 111. Institut hydrothérapique du Vésinet (Supplément), p. 8.
Mal
de Pott cervico-dorsal, p. 169. Nains des tombe
docile, montre beaucoup de bonne volonté, mais comme il est très-
mal
doué, les progrès sont lents. La parole surtout s
uand la faiblesse humaine rend une alternative inévitable, des deux
maux
préférons le moindre ; en tout état de cause, i
mbreuses : 9 enfants sont entrés il l'infirmerie atteints d'étal de
mal
épileplùpie, deux ont succombé : Tholll.. et Ma
dange- reuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet
mal
jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
es. L\S7-II compte du nombre et de la situation des enfants anor-
maux
, il continue ainsi : « En donnant la prééminenc
surveillées soigneusement, d'où il résulte que « très peu tournent
mal
au de- hors ». «Le 5 mars 1891, le Comité des
école ordinaire à une rivalité sans espoir avec des enfants nor-
maux
, ou, d'un autre côté, exposé aux influences dépri
d'une façon défectueuse, le pouce ne s'opposant pas ou s'opposant
mal
aux autres doigts. L'appétit est exagéré ; le s
incts, taquineries incessantes. Son esprit n'est tourné que vers le
mal
. Avril. - Indiscipline constante; cet enfant fe
rend part à tous les jeux. Il a de la volonté, distingue le bien du
mal
. Il est toutefois facile il entraîner à mal fai
é, distingue le bien du mal. Il est toutefois facile il entraîner à
mal
faire, ment quelquefois en classe pour évi- ter
cre- vasses ; il les brûle souvent exprès. « Cela ne me fait aucun
mal
», dit-il. Souvent il s'amuse il marcher « à qu
après avoir été bleus à la nais- sance. Les pupilles sont nor-
males
et sensibles à la lu- mière. La racine du nez
ant 'une sorte degrognementins- piratoire. La sonorité est nor-
male
. - L'auscultation du ccettr décèle un souffle t
il. allonger quand elle est contente. Elle commence à se tenir mais
mal
sur les jambes la mère essaie de la faire saute
éiltai'o-conjo2cli.i;ile. 1'eu\ : ! lOl'l1l : tllX et motilité nor-
male
. Iris verts. Pupilles égides et à réactions norma
Cyanose à la naissance. Premières convulsions sous formé d'état de
mal
à 5 ans auec prédominance à droite. - H(iiii7 p
s de plus en plus prononcée. - Evolution de la puberté. - État de
mal
. - Élévation notable de la température. - Mort.
mmes par- venus à communiquer à l'épaule tous ses mouvements nor-
maux
. On fléchit facilement le coude, mais son extensi
me côte. Les vaisseaux huméraux droits et gauches paraissent nor-
maux
: même couleur, même calibre, etc., ainsi clueles
s- tionné, ayant un aspect un peu muscade. Vésicule biliaire nor-
male
. Canalcholédoque pel'll1éable, - Pancréas, rien.
s convul- sions qui se sont présentées sous la forme d'un état de
mal
. Elles ont duré sept heures sans arrêt et ont p
nt porté uniquement sur le côté droit. Souvent, après cet état de
mal
, les malades de cette catégorie ont un répit, l
s - encéphalite - qui s'était traduite clinique- ment par l'état de
mal
convulsif, débuté l'épilepsie. Dans les accès,
ainsi qu'on l'observe communément dans cette forme symptomatiqne du
mal
comitial. Bien que, en général, il n'y ait pas
t à l'origine, ces malades n'en sont pas moins sujets à l'état de
mal
épileptique. Doue... nous en fournit un nouvel
rçon de 2 ans, assez bien portant, mais ayant tendance à se trouver
mal
à la moindre émotion. Notre malade. - Grossesse
assez épais. Paupières bleuâtres, pas de blépharite. - I'e2twor-
maux
, mobiles, sans strabisme, ni nystagmus, pupilles
ntimètres, lèvres minces. Menton non proéminent. - Oreilles larges,
mal
our- lées, peu écartées du crâne. Cou et thor
s circonvolutions y sont petites et nombreuses, le pli courbe est
mal
délimité. PA garde seule son autonomie. Il en est
IV). Le lobe frontal est formé de ses trois circonvolutions nor-
males
sauf la partie antérieure de FA, atrophiée sur un
rtain degré de myopie. L'ouïe est bonne, l'odorat et le goût nor-
maux
. Elle n'a jamais eu de rougeole, ni de scarlatine
géré : elle mangeait de tout en excès, mêlait ses aliments, mâchait
mal
. Jamais cependant DESCRIPTION DE la malade 117
er. - La langue est épaisse et peu large. Les amygdales sont nor-
males
. Le réflexe pharyngien est conservé. - Le goût es
fonc- tionnel, les mouvements volontaires et provoqués sont nor-
maux
, ainsi que les mouvements réflexes. Il est à rema
découvrir la glande thyroïde. Des masses pseudo-lipo- matheuses,
mal
délimitées, parsemées de ganglions légè- rement
, tandis que les autres, au bout de très peu de temps, supportaient
mal
des doses beaucoup moindres. C'est aux malades
loutonne, ni Antécédents personnels. 147 vorace, mange peu, mâche
mal
, n'aime guère que le lait. Bave abondante ; poi
arioloïde, de rougeole, ni de scarlatine ; pas de coqueluche ni cle
mal
de gorge. A 4 mois, elle aurait eu quelques « b
a- latine affaissée, ne présentant pas l'excavation centrale nor-
male
. Langue très volumineuse, remplissant toute la ca
pas été bien vive, car Kr.. n'a pas pleuré. 29 février. Aline est
mal
à son aise, de mauvaise humeur, vomit plusieurs
gure, y compris les paupières, est gonflée. Elle montre qu'elle a
mal
aux dents et au front. Dans l'après-midi, elle es
qu'on lui dit, sait quand Médication thyroïdienne. 171 elle fait
mal
et pleure dans la crainte qu'on ne la gronde. E
re. - L'enfant est redevenue gâteuse. Elle se rend compte qu'elle a
mal
fait et essaie de faire disparaitre ses excré-
ever. Masoin a constaté des modifications analogues chez les ani-
maux
thyroïdectomisés. L'importance de ces conclu- s
du traite- ment. Elle ne tient pas non plus à une surcharge anor-
male
en hémoglobine, puisque des modifications in- v
être propre à 15 mois, il parler à 18 mois. f Alcoolisme : état de
mal
convulsif. 209 C'est à i ans, qu'aurait débuté
eu des accès presque tous les jours. En outre, dès le début de son
mal
, il aurait été sujet à des vertiges et à des se
com- plète. C'est donc Ù l'alcool qu'il faut attribuer l'élut de
mal
convulsif. II. Les accidents aigus observés che
es convul- sions que se manifeste l'action de l'alcool. L'état de
mal
convulsif qui a duré (rois jours, dans le cas act
ise nerveuse : l'enfant était en train de déjeuner, il s'est trouvé
mal
, sans motif, sans contrariété ; il est tombé de
osé, se rend vite familier. - Parait avoir la notion du bien et du
mal
, il lui arrive de morigéner ses camarades. Volo
Impossibilité de la station debout à 2 ans et demi, attribuée à un
mal
de Pott, qui n'a jamais existé. Membres inférie
u ». Placé aux Enfants-Malades, il fut considéré comme atteint de
mal
de Pott ( ? ). Il y resta cinq mois, puis sa mère
habiller, mais est incapable de. boutonner, de lacer, etc.; se lave
mal
; mange assez proprement; se sert bien de la fou
aucune déviation, aucune saillie, ce qui écarte l'idée du prétendu
mal
de Pott que l'enfant aurait eu à trois ans (1).
s, les yeux occupent une situation natu- relle, mais le malade fixe
mal
les objets qu'on lui présente. Lorsqu'on sollic
émasquer ton hypocrisie et faire connaître tes projets? Le bien et le
mal
se répandent, un pouvoir dangereux se révèle au m
guéridon, après avoir fait un mouvement d’étonnement, répond : — Pas
mal
trouvé ! c’est dommage que cela ne soit pas vrai.
ie m’a confié que tous les individus qui lui ont gratuitement fait du
mal
finissaient misérablement, comme si le don de les
sciences qui les ont précédées. Elles sont confuses et se définissent
mal
. Astronomie, chimie, physique, etc., il n’est p
cusable. Je ne pouvais reculer. Par malheur, voilà que tout marche de
mal
en pire ! Je redouble de zèle et de bon vouloir e
re. La prescription qu ils vous donnent est pour vous seul et pour le
mal
actuel; ils sentent que ça vous guérira.... et da
s ardue. (1) La division philosophique des facultés de l’âme est si
mal
faite, et le vocabulaire do la psychologie si inc
ne de celles qui ont été présentées pour voir laquelle cadre le moins
mal
avec l’ensemble des faits (1). Voilà les règles
urnissant l’occasion d’examiner sous une nouvelle face cet état assez
mal
connu jusqu’à ce jour, et en les habituant à cons
mnie ses organes. C’est elle qui, par un raisonnement fautif, conclut
mal
de sensations vraies, mais qu’elle interprète. fa
par des tapis accumulés, un matelas ou tout autre objet transmettant
mal
les vibrations. Si le bruit se produit réellement
itue le personnel magnétique militant. C’est une année. — Armée assez
mal
organisée il est vrai, et point du tout disciplin
ont fait immensément pour la propagande. D’ailleurs , ce serait fort
mal
raisonner que de déduire des principes que nous a
l'application partout où son action bienfaisante pourra soulager les
maux
de l’humanité. L'auditoire a été électrisé en l’e
e ...’adressa ces reproches très-amèrement: « Docteur'... c'est très’
mal
! je n aurais jamais supposé cela de vous! Ces mes
en n «primant qu’a moitié ma pensée, que, dan. ces circonstanc.,, de,
mal
.d “ entén ' dent et vo.ent rWem,n( ce que le méde
, ici comme partout, le double écueil de l'incrédulité et de la piété
mal
éclairée : l une ne voit qu’illusions et qu'impul
r ses soins pour un autre militaire, qui était tombé en proie au même
mal
. La crise de celui-ci a coimnoncé il y a deux jou
de l’avis d’un vrai penseur (2), n’est-ce point : « Une communication
mal
comprise, inconsciente, avec l’ordre invisible ?
t prenez en main une de vos plaques de cuivre rouge. » J’obéis et mon
mal
disparut. M. Hébert croit expliquer cette vertu s
no, d'autres encore ont protesté hautement contre elle : « Montrer le
mal
où il n'est pas, écrit l'abbé Loubcrl, ce n’est p
La Vérité complète ! La Souveraine Puissance! — L'agent de tous les
maux
et de toutes les colères où nos détresses, de plu
essive, ¡1 peut, — en lui-même comme autour de lui-même,—repousser le
mal
, attirer le bien... pour tous!... et nécessaireme
à, lui ayant demandé comment il se trouvait : « Entre le bien et le
mal
, me répondit-il, et je ne sais encore lequel des
ganes souffrants, comme disait Broussais ; bien mieux, de détruire le
mal
en détruisant la cause. » Voilà de singulières af
ser les douleurs et môme, en beaucoup de cas, de faire disparaître le
mal
physique ; mais ils ne sout pas les seuls qui aie
des organes souffrants? M. Latour croit-il impossible de détruire le
mal
?... Ce n’est sans doute pas là sa pensée : nous n
n’être pas compris ; de sorte que quand le malade vous a déclaré son
mal
, vous le lui répétez en vous servant d’un synonym
qui enseignait à guérir les autres, et qui, loin de guérir son propre
mal
, ne pouvait même en déterminer la cause !... Co
ine année, mon garçon Emile, âgé de sept ans, atteint subitement d’un
mal
de tète foudroyant, allait indubitablement subir
fais que commencer. En mai 1853, me trouvant moi-même atteint d’un
mal
de tête continuel, pour lequel j’avais employé le
a prière et dans « toutes mes prescriptions, etc., etc. » Et tous mes
maux
de tète, ainsi que les étourdissements, avaient d
u immédiatement. Le 11 novembre, mon épouse fut saisie d’un violent
mal
de tète qui ne discontinuait pas. Le 14 , j’écriv
j’écrivis en conséquence à M. Cheneau, et le 18 à M. Laforgue, car le
mal
de tête ne cédait pas ; il me répondit le 23, en
avait fait part que, depuis deux ans, il était atteint d’un violent
mal
de tête continuel, mais dont les crises devenaien
té, tantôt de l’autre. Le h novembre, il m’écrivait de Lorient : « Le
mal
de tête m’a o repris de plus belle. Le 1" novembr
s parents d’aller le chercher, parce qu’ils’en trouvait beaucoup plus
mal
. Enfin, accablé de souffrances , mes parents réso
ut dévoués à la science , n’ayant d’autre passion que de soulager les
maux
de l’humanité : et tout ce qui les préoccupe, c’e
ont les choses, la science et l’industrie se liguant pour prévenir le
mal
par une foule de règlements sur la salubrité publ
sée bonne ou mauvaise sur une personne, l’impressionner en bien ou en
mal
? — Oui, répond la table, si elle est assez fort
étendue sur le sol. — Entre ce jeune homme et mon chapeau ? Tous deux
mal
formés. Entre ma tabatière et la maîtresse du log
dame reconnut, toujours d’après son rêve. Elle lui fit connaître son
mal
, il lui prescrivit des médicaments qui la guérire
tes et cuchíes qu’elles soient, peuvent être dévoilées. Voyez-vous le
mal
moral obligé de s’avouer vaincu, et les hommes mé
les hommes méchants forcés de revenir à la vertu ? « Voyez-vous les
maux
physiques attaqués dans leurs racines par la vie,
venir M. Quayne, qui, sans se laisser décourager ni par la gravité du
mal
, ni par l’arrêt du médecin , se mit à magnétiser
vante donc, elle indiqua, toujours sur mes questions, le siège de son
mal
; elle se prescrivit un traitement magnétique des
teau à vapeur, et bientôt elle se plaignit du vent du mouvement et du
mal
de mer. Pendant ce trajet, elle se balançait comm
à marcher ■ se tenir debout, et elle devint même pâle. Je fis passer
mal
de mer par quelques passes, car je l’avais déjà v
aucoup souffrir de nausées, et sur le point de se trouver tout à fait
mal
. Enfin elle nous dit qu’elle y était, qu’elle se
i ne serait qu’un effet de la suggestion ou de ce qu’on a nommé, bien
mal
à propos, la biologie, mais exercée, comme la l
ts, Quoiqu’ maint jaseur en glose. J’guéris de tout, mêm’ du haut
mal
, Comm’ d'un p'til rhumatisse : Ça s’ noram1 m
omplaisance ; en effet' non seulement ces esprits répondaient bien ou
mal
à toutes es questions qui leur étaient posées, ma
ement qui n’eût pas été précisé, l'esprit aurait pu faire beaucoup de
mal
à ces jeunes filles en frappant ainsi leur imagin
ques jours s’écoulèrent pendant lesquels je patientai, croyant que le
mal
passerait de lui-même. Pas d’amélioration sensibl
ais bonne envie d’en essayer; mais on m'avait inculqué l’idée que mon
mal
provenait d’une fraîcheur gagnée en restant trave
uis un mois environ, cette fille souffrait excessivement d’un violent
mal
de tète, pour lequel elle vint me consulter plusi
t accouchée, et qui, depuis plus de dix jours, souffrait d’un violent
mal
de tête. Aux symptômes qu’elle me décrivit, je re
des tempes à l'épigastre ; puis je la laissai, lui disant que si son
mal
de tête persistait, elle se fît faire le lendemai
ée. Le 22 , j’allai la voir, et, à peine entré, elle me dit que son
mal
de tête était parti avec moi le jour précédent, e
et théories spiritua-listes : des personnes incrédules , ou seulement
mal
assises dans la connaissance si complexe du magné
ux mains dans une des siennes, et les écrasait rudement, s’excusât du
mal
(1) Les anastomoses, réunions entre les deux sy
s mouvements inconscients en volontaires et involontaires nous semble
mal
fondée. Il n’y a que l’observation qui nous rende
sif, c’est le nom beaucoup plus convenable qu'il donne à l’état assez
mal
désigné par les magnétiseurs français sous le nom
émerveillés. Le médecin , convaincu dès lors qu’il avait prise sur le
mal
, chercha à influer sur le retour des accès, et il
en mer, déposées dans la nacelle, il dirigea sa barque tant bien que
mal
, et, grâce à l’observation du soleil et des étoil
l obtint d’elle l’indication du traitement à suivre pour combattre le
mal
. Tout ce qu’elle avait prédit se révéla de point
ues secondes se passent, et enfin elle revient sans avoir senti aucun
mal
. « La première fois que je vis se passer cette
nd la vie à mademoiselle A... et qui empoisonne le chanvre ; car tout
mal
qui donne ou peut donner la mort est un poison.
n poison. Ici toute la péripétie d’une agonisante dont on enlève le
mal
pour le transplanter sur le chanvre. Le pauvre ch
. a aussi magnétisées avec le fluide et la volonté de transplanter le
mal
. Ma tête se dégage, ma fièvre diminue, mais, en
ut pas seulement queles rois de France qui eurent le don de guérir ce
mal
incommode. «Saint Erme, successeur de saint Urs
ain. Jeanne Potière, qui passe pour être la cause primi-« tive de ces
maux
, commença, dès l’àge de 9 ans , à s'a-« muser av
es doigtz sacrés devant la bou-« che, et disoit : Si tu as pouvoir de
mal
faire ou de mor-« dre ces doigtz sacrés, si d’en
érir, ont recours à elle, et très-souvent elle apporte remède à leurs
maux
. Il en est de même d’un paysan belge, qui habite
ns trois jours, je serai guérie. — C’est impossible, lui dis-je, le
mal
est trop sérieux- — Homme de peu de foi, reprit
damique, l’humanité proscrite travaille sans relâche s’affranchir des
maux
et des erreurs, suite d’une chute, d'une dégradat
été faite de goûter «lu fruit de l’arbre de la science du bien et du
mal
; ainsi, bien que la désobéissance fût coupable, d
’est propre qu'à l'embrouiller. M. Auguez professe, sur la cause du
mal
physique, un système fort étrange : « Nous ne cra
es frères qui, moins parfaits que lui, sont en butte aux atteintes du
mal
et de la douleur. C’est de cette manière que guér
t la Vierge , parlant en très-bon espagnol, langue qu’il connaît fort
mal
dans son état ordinaire. Les passants attroupés d
01- ront, saisiront des serpents vénimeux et n’en éprouveront aucun
mal
(Marc, xvi, 17, 18). Il proposa d'appeler les pré
mes, anciennes ou nouvelles. La mensambulance n’est qu’un phénomène
mal
observe par les anciens, incompris des modernes,
des tables, comme on fait du daguerréotype, les uns bien , les autres
mal
; car il faut, pour réussir, un ensemble de précau
u crucifiant une femme avec l'abbé de La-vauguillon sans lui faire de
mal
. Enfin Mesmer est venu. Ce phénomène est aussi
né de voir refléter sa figure dans une glace de Saint-Gobin. Les plus
mal
partagés sont ceux qui croient causer avec le dém
double selon la loi des couples. Le stationnaire ignorant interprète
mal
les dépêches divines et les rend d’une façon souv
e quelque temps après vers ce gouverneur qui l’accueillit encore fort
mal
. Mais la jeune fdle lui ayant annoncé qu’en ce mo
re la pureté des mœurs. Aussi, pour réprimer efficacement un si grand
mal
, souverainement funeste à la religion et à la soc
lui qui, avec l’aide de scs nombreux satellites, s'amuserait — ici le
mal
est bien à sa place — à offrir aux hommes une réc
iter, à troubler, à ébranler même leur imagination, à les conduire au
mal
, à les perdre enfin, dernier terme de ses espéran
ce qui re--iil'iu au même, — non, ce qui est pire encore, — vous avez
mal
vu, vous avez mal expérimenté ; je vous le pardon
au même, — non, ce qui est pire encore, — vous avez mal vu, vous avez
mal
expérimenté ; je vous le pardonne. Uais il faudra
s malades, ils se gardent bien d’appeler à leur aide celui qui est le
mal
personnifié. La restriction apportée par l'inquis
time, ne commet aucun acte répréhensible, même quand la confiance est
mal
placée; sa position est celle de tout homme qui c
aisie de causer à ce sujet, nuig ne voyons pas qu’ils fassent plus de
mal
que s’ils en parlaient à l'état de veille. 11 y a
nes parties du corps; les autres ont éprouvé des sensations pénibles,
mal
de tête, oppression , difficulté de respirer, etc
soulagés ou même ont obtenu la cessation au moins temporaire de leurs
maux
. Quelques-uns ont présenté un larmoiement qui a d
il faut d'abord que le malade explique avec soin en quoi consiste son
mal
et quelles en ont été les phases, ce qui exige un
nombreuses séances que le magnétiseur parvient à se rendre maître du
mal
; il est donc prudent de ne l’attaquer qu’autant
mais mon ami L... a eu beaucoup à faire avec des malades atteints du
mal
de mer. On a vu un vaisseau en mer, c'était un va
r. « Le capitaine est en bonne santé, quoiqu’il souffre beaucoup du
mal
de tête. « Pourquoi M. L... ne se sert-il pas d
euse d’où résulte une superstition ridicule, et qui. donne lieu à des
maux
de tout genre. La lucidité est un éclair fugitif
avaux de la société , 45, 251 , 387. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guéris ou soulagés. Affaiblissement de la vue,
, si l'on s'en tenait à cette définition, le mot s'accorderait bien
mal
avec la chose. En effet, s'il convient à la raiso
0 globules et 17,360 globules blancs. La bouffissure du visage, les
maux
de tète fréquents, l'apathie générale ne sont pas
équilibre. Il ne sortde'cet état qu'une fois installé tant bien que
mal
au réfectoire, en face de ses aliments qu'on est
te.. Non. Raoul et Crici. - On y a fait de la peine, on m'a fait du
mal
. Le vin, C'est moi qui payais... NoN.. Berthe ell
ivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et cliniques du
mal
de Pott ; ils mon- traient en détail comment le
nkylose en demi-flexion des hanches lui imprime une direction anor-
male
; il en résulte aussi que le thorax, en avant, vi
veau du pancréas, on peut observer que certains lobes se colorent t
mal
; les limites des cellules n'apparaissent plus ne
aires contiennent peu d'ovules bien développés (1). La plupart sont
mal
formés, méconnaissables. Dans l'épaisseur de la s
rées des autres arthrites chroniques relevant du syndrome rhumatis-
mal
. » Admettons donc qu'il s'agit d'une spondylose
on retrouve des fibres atrophiées représentées par un cylindre-axe
mal
coloré et une gaine de myéline petite et peu tr
ent traînante et un peu monotone ; lettres et syllabes sont souvent
mal
prononcées et par moment les syllabes se précip
les autres. Intelligence intacte. Observation II (novembre 1906). -
mal
? fondeur en étain, âgéde 74 ans. A toujours eu
du but à atteindre quelques oscilla- tions peu amples, à caractère
mal
défini, qui semblent toutefois relever plutôt d
inférieures des olives, pèse 120 grammes. Plusieurs cervelets nor-
maux
dans les mêmes conditions nous ont donné des poid
grains sont bien moins tassés que normalement, ils se colorent plutôt
mal
avec l'hématéine et le carmin ; dans certains p
assement de celles qui persistent on aurait pu avoir un aspect nor-
mal
, sans dégénération ni sclérose de la substance mê
ous avons pu constater l'évolution progressive d'une courbure anor-
male
encore peu accentuée. 2° Le genou présente, com
ivait-il, ont été empruntés à la géométrie. Les os se prêtent assez
mal
et ce langage sévère. » - Alors, pourquoi l'emp
ogiques et n'avait pas, hésité à prescrire un remède féroce pour un
mal
... qui n'existait pas. Quelques notions morph
plastique. On exhibait aux jeunes gens un sque- lette tant bien que
mal
ajusté, ainsi qu'un légendaire cadavre dont les
ntrer les dents. A vrai dire, elle ne peut siffler, et elle souffle
mal
une bougie ; on peut dire qu'il y a seulement une
rtie médiale de la corne on observe quelques cellules d'aspect nor-
mal
. L'asymétrie de la moelle est moins accusée que d
oie pédonculaire semble être aussi bien développée qu'à l'état nor-
mal
, et aussi bien à gauche qu'à droite. Dans aucun d
es, définitives, y compris la porencéphalie ac- quise, se prêtaient
mal
à l'étude de la lésion initiale, car il était déj
., 1880, Bd. 26, p. 557. (4) AMHAMBAULT-DAHAScniso, Revue mens. des
mal
. de l'enfance, 1885. (5) DRUMMOND, Brain, 1885,
RUMMOND, Brain, 1885, VIII, p. 14. (6) Pierre Marie, Leçons sur les
mal
. de la moelle, Paris, 1892. (7) GOLDSCHEIDER, Z
plusieures perches à l'aide d'une mauvaise serpette, tranchant fort
mal
; il déterminait à chaque coup de serpe violemm
peine touché par la cardio-sclérose ; la pointe est à sa place nor-
male
; le pouls est régulier, égal, légèrement dur.
énérations n'avait relevé la nature essentielle- ment différente du
mal
. . La malade de Mabille présentait t'anesthésie
circulation complémentaire nous mon- trent facilement l'origine du
mal
. L'éléphantiasis causé par les Pilaires se reco
ue du malade peut, dans le cas échéant, faire supposer la nature du
mal
. L'éléphantiasis nostras présente, à ce qu'il s
si le syndrome de Dercum apparaît chez une comitiale parce que son
mal
a préparé le terrain, ou si ce sont là deux man
r par des démonstrations sur des statues reproduisant tant bien que
mal
la musculature humaine. Les écor- chés eurent d
cile de savoir s'il s'agissait ou non d'aphasie vraie ; il avait du
mal
à prononcer les mots, il ne pouvait lire (peut-êt
féremment ou seulement de la moitié ayant conservé sa fonction nor-
male
. Le manque de renseignements précis à ce sujet da
missements sans nausées préalables. Ventre en bateau. Pupilles nor-
males
, céphalée. Traitement. - Purgation et antisepsi
myéline ramassée en boules ou en blocs irréguliers ; elle se colore
mal
par l'hématoxyline et incomplè- tement vers la
an, mais n'a commencé à marcher qu'à l'âge de 19 mois. Il a toujours
mal
marché, tombait sans cesse ; le caractère de la
Des deux côtés la main serre sans grande vigueur, le malade résiste
mal
à la flexion, l'extension, la supination, et la
altérations dentaires : dents irrégulières, petites, cupuliformes,
mal
implantées ; incisives médianes en retrait sur le
irrégulières, crénelées chez la fille, 9 ans - ; dents supérieures
mal
implantées, petites, crénelées, cupuliformes, tan
s de la digestion, de la respiration et de la circulation sont nor-
maux
. La sensibilité est normale ; la force musculai
centrée en haut et en dedans, ce qui peut être considéré comme nor-
mal
. Elle paraît ne pas réagir à la lumière du jour ;
se une sensa- tion de tension dans son oeil et il prétend voir plus
mal
qu'auparavant ; il a a maintenant une myopie de
sibilité normale pour les couleurs et avec une acuité visuelle nor-
male
. Il existe en outre un rétrécissement concentriqu
ant. Les mouvements de la ceinture scapulaire s'accomplissent assez
mal
tant à droite qu'à gauche ; le malade s'asseoit
et de la nuque ; la sensibilité à la piqûre y est tout à fait nor-
male
, le tact étant émoussé et l'anesthésie à la tempé
hystérique des muscles du dos. Certaines mé- ningites chroniques du
mal
de Pott s'accompagnent de paraplégie spasmo- '
syringomyélique (1) et on a parfois pris pour une syringomyélie un "
mal
de Pott (2). - ' - La maladie de Morvan et surt
bolies à droite). On sait d'ailleurs à quel point nous connaissons
mal
les voies conductrices des diverses sensibilité
fit des soucis au sujet de son commerce qui cependant n'allait pas
mal
du tout. Il ne boit pas beaucoup, mais ne support
é et l'examen histologique démontra qu'il s'agissait d'une gomme. Les
maux
de tête diminuèrent, mais ce fut le seul résult
endre son cheval, etc. Il tient la tête raide et dit qu'elle lui fait
mal
. Cicatrice semi-circulaire récente dans la régi
gonflées et souvent variqueuses. La coloration Weigert-Pal réussit
mal
et la coupe est criblée de « soleils » plus gra
donne issue à du liquide cérébrospinal limpide. La nuit suivante le
mal
de tête s'est beaucoup aggravé, au point que le
e la vue et des symp- tômes cérébelleux. Fin 1902, amanrose totale,
maux
tête, nausées. Janvier 1904, troubles psychique
gauche n'a que 4 centimètres ; les muscles ont leur insertion nor-
male
. La cuisse du côté droit n'est représentée que pa
e l'os externe qui remplace le radius. Le court supinateur est nor-
mal
, les deux radiaux externes s'insèrent au sommet d
le triceps 312 KLIPPEL ET UOUCHET sural est incomplet ou du moins
mal
formé : le jumeau externe s'insère au condyle e
ie, au scaphoïde, et une autre facette large répondant à l'os anor-
mal
que nous verrons tout à l'heure. Le pyramidal s
de petits plombs de chasse. La peau est saine et de coloration nor-
male
. On sent très bien, au palper, deux extrémités os
développement. Du côté du membre supérieur droit, le bras est nor-
mal
; l'artère numérale, après avoir fourni l'huméral
fs. Ils présentent dans la moitié supérieure leur distribution nor-
male
, quoique notablement diminués de volume. Mais le
u- périeures du grand pectoral surmonté en dehors d'un corps charnu
mal
diffé- rencié, longé à sa partie externe par le
let désespoir et un ralentissement de l'activité intellectuelle. Le
mal
faisant de rapides progrès avait au bout de quatr
ifice produit par l'entrée et la sortie de la balle. Dans un cas le
mal
se développa tout de suite après une blessure et
lie raisonnante et i de psy- chose épileptique. Donc dans 17 cas le
mal
existait certainement avant la guerre, c'est le
hommes les plus doux étaient devenus insupportables, le bien et le
mal
étaient, pour ainsi dire, émoussés. La plupart
fférente, cela dé- pendait des formes d'aliénation. Tout d'abord le
mal
de mer fit trois fois plus de victimes parmi le
i le personnel de service. Sur 126 infirmiers, 22 souffrirent de ce
mal
, ce qui fait 17,45 0/0. Sur A6 malades (nous en
3 0/0. Les aliénés souffrant de mélancolie furent plus expo- sés au
mal
de mer que les aliénés atteints de manie, de conf
l'une ou l'autre forme de psychose alcoolique. La disposition ! au
mal
de mer et son intensité dépendaient de la sorte
erver, l'état dépressif y contribuer. Chez les malades souffrant du
mal
de mer, on remarquait pendant le ballottement u
ique, parfois, presque jusqu'à l'arrêt de l'activité mentale. Plus le
mal
de mer était violent, plus l'aggravation se fai
Kiff, 1906, p. 144. 352 WLADYCZKO Chez les sujets non exposés au
mal
de mer en plein océan, on remar- quait l'affaib
Il faut ajouter à tout cela que le roulis provoquait un plus violent
mal
de mer que le tangage. La traversée du Whampo
ngomyélie, leur cause et leur nature sont encore à l'heure actuelle
mal
connues. Nous ne connaissons pas, en dehors de
qui sont à la base de la cheiromégalie. Celles-ci sont encore assez
mal
connues, puis- que, ainsi que nous le disions p
étacarpien existaient des exostoses, les articulations étaient nor-
males
. La peau présentait des rides, des fentes, des ép
malformation de la bouche ; cependant la parole est dé- fectueuse,
mal
articulée ; la voix est gutturale, élevée, eunuch
es et ils représentent dans leur configuration l'aspect des os nor-
maux
, à part les dimensions et quelques détails de for
ment et une perturbation générale des dispositions anatomiques nor-
males
. Ces anomalies sont encore d'autant plus marqué
eur consistance est plus grande que celle du tissu glandulaire nor-
mal
; ils crient sous le bistouri qui les divise, et
re. Du troisième au quatrième jour, elle a eu seule- ment un peu de
mal
de tête, mais sans toux, ni oppression, ni hémopt
nouveau de la céphalalgie, cette fois avec un peu d'oppression, de
mal
de coeur, et quelques épistaxis. M. Manec se di
tes, s'accompagnent de céphalée et par instants de véritable état de
mal
; le niveau intellectuel est très faible, le ca
ronc n'offre aucune anomalie appréciable. Le développement est nor-
mal
; il n'y a aucune courbure anormale de la colonne
ce que la cure anti- luétique, entreprise aux premiers symptômes du
mal
, n'en a pas empêché l'évolution. On pourrait
membre atteint de trophoedème et surtout avec ceux d'un membre nor-
mal
d'une malade à développement moyen. SUR UN NOUV
lligent et instruit, a fait lui-même une analyse très exacte de son
mal
. Et si, en général, il est prudent de n'accepter
s'en inquiète ; il ne cesse d'y penser, s'observe, s'analyse. A ce
mal
irritant s'ajoute l'obsession de ce mal. Tel
s'observe, s'analyse. A ce mal irritant s'ajoute l'obsession de ce
mal
. Tel fut le cas pour Taurone. Sa tête tourna da
de se heurter contre les personnes ou les objets, parce qu'il voit
mal
ceux qui sont à sa droite. Mais aussi, il l'avoue
qu'il ait cherché à s'éclairer sur la na- ture et la gravité de son
mal
, soit en consultant plusieurs médecins, soit en
al. Il a reconnu dans' les descriptions les'signes physiques de son
mal
, mais déclare sincè- rement ne pas retrouver ch
bonne humeur, assiduité et intelligence. Cependant, il continue à
mal
dormir. Couché à 10 heures du soir, il ne s'ass
avec excès sur le malade, et de lui parler le moins possible de son
mal
. Le distraire sans jamais le fatiguer. Assurer
u mode de résistance (ou de décontraction) avec lequel je suis encore
mal
familiarisé et que j'ai à apprendre. Je multipl
es, ces efforts fréquents suivis de défaillances ne sont-ils pas un
mal
? L'ennui me porte quelquefois à lire un peu (l
et maintes causes d'irritation. En présence de l'aggravation de son
mal
, l'isolement rigoureux lui fut conseillé : : él
pour les exercices, il y a de très grandes différences en bien ou en
mal
d'une séance à l'autre. Les repas sont un peu m
ien. En même temps qu'une bonne chose en arrive une mauvaise ; plus
mal
la veille on est mieux le lendemain ou inversem
s être au courant, ont certainement l'impres- sion que je vais plus
mal
. Je suis au contraire persuadé que je me trouve e
sité des effets de la rééducation ? Dans l'idée que je me fais de mon
mal
, c'est l'organisme, qui met en communication av
ndrez compte que je suis loin de bien réussir encore. J'écrivais si
mal
qu'il n'est pas commode de tracer bien couramment
t actuel et ne m'en préoccupe que comme indices que la cause de mon
mal
n'a pas entièrement disparu. Tant qu'il en sera
mée sans aucune période de dépression ; les dermers vestiges de mon
mal
n'ont pas encore complètement disparu, mais ils
e une navette, dit Ch. Bell) pourrait porter vers les points lacry-
maux
les corps étrangers qui peuvent se trouver dans l
à retours périodiques, douleur de tète fréquen- te, accès de fièvre
mal
analysés ; mais, à l'âge de vingt ans il remarque
vient le sommeil et le lendemain malin tout a disparu sauf un léger
mal
de tête qui se dissipe dans la journée et n'empêc
ent cutané. Les ongles du pied gauche, membre le plus atteint, sont
mal
nourris, striés transversalement, et se cassent f
constamment; les membres supérieurs étaient maladroits, saisissant
mal
les objets que la main laissait vite tomber. Le
dans ces derniers temps, en même temps que la marche était devenue
mal
coordonnée, avaient pris nettement le caractère f
ment le moment, pour traduire la sensation par les mois : « ça fait
mal
». Si la piqûre est forte et prolongée, la douleu
dans les couches superficielles le protoplasma très abondant prend
mal
la couleur, tandis que les noyaux agrandis dans
a couche superficielle contient un grand nombre de grosses cellules
mal
colorées. Il semble que dans cette maladie, la
petite taille, très musclé, d'as- pect très vigoureux. - Tout le
mal
siège dans les régions deltoïdiennes et consiste
n avec toutes les données naturelles ». Hermaphrodisme est un terme
mal
défini lorsqu'il est appliqué à l'es- pèce huma
Éditeurs DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE 61 Cet homme parlait
mal
le français; était d'une intelligence assez obt
u de taille au-dessus de la moyenne. Il est peu musclé, et se tient
mal
(Pl. XI et XII). La figure est sans expression
fortement busqué, les oreilles très grandes, effilées par le haut,
mal
ourlées. Pas un poil de barbe sur le vi- sage.
ivra, est atteinte, selon toute probabilité, d'une affection encore
mal
connue et dont l'étude est à peine esquissée da
amenèrent un grand état de faiblesse. La malade alla tant bien que
mal
jusqu'au 1er janvier 1893. Le 31 décembre, elle
ons qui font défaut dans les différentes formes de sciatiqués. Le
mal
de Pott lombo-sacré s'accompagne assez souvent de
ve à la pression, avec sensa- tion d'aura. Bref, il s'agissait d'un
mal
de Poil hystérique. En somme, tous les cas que
on d'un symptôme pouvant donner le change à un examen superficiel :
mal
de Pott sacré, hystérique, sciatique, lumbago ar-
ication d'un linge trempé dans l'eau froide dissipe ordinairement le
mal
et les alarmes qu'il avait causées ». , Au co
volume. Un médecin timide et sans expérience ne fait qu'aggraver le
mal
en prescrivant des sangsues et des cataplasmes,
E 115 que la face rougissait, le sein gauche, qui était le siège du
mal
, se marbra de petites plaques rouges, d'une sor
forme ». De plus, « elle tombe de teins en tems dans des accès d'un
mal
épilep- tique qui la prive de connoissance pend
s un fait généralement admis, et la contraction musculaire est fort
mal
définie lorsqu'on dit qu'elle consiste dans le
faut pas oublier que toutes les expériences ont porté sur les ani-
maux
et sur des muscles n'ayant plus leurs connexions
ension de la main. Les réflexes des membres inférieurs étaient nor-
maux
. La miction exigeait- un effort notable des muscl
pupille droite était un peu rétrécie. Le fonds de l'oeil était nor-
mal
; l'état général était excellent. Le 13, état l
il lui, il se retrouve dans son lit, en proie à de vi- ves douleurs
mal
localisées. Il apprend alors de son entourage que
L 155 reux, jusque-là en bonne santé. Un pareil mode de début cadre
mal
avec l'hypothèse d'une tumeur dont l'évolution
rougis témoignent des mauvaises nuits passées sans sommeil. Quel
mal
mystérieux est venu donner aux joues de cette bel
ts que révèle le conlenu de ces fioles mystérieuses. Nous serions
mal
en mesure d'en pénétrer le sens, si tous les arti
son Médecin empirique de la Galerie d'Aremberg, à Bruxelles, cache
mal
un jeune garçon dont le geste trop significatif r
Musée Boijmans, à Rotterdam, laisse facilement deviner la nature du
mal
dont elle est atteinte. Je ne fais que rappeler
ont considérées comme représentant des jeunes femmes atteintes du «
mal
d'amour ». Par comparaison avec les oeuvres ana
t het is minne pijn Ici la médecine ne peut rien Puisque c'est le
mal
d'amour. « Mal d'amour », « fièvre d'amour », «
jn Ici la médecine ne peut rien Puisque c'est le mal d'amour. «
Mal
d'amour », « fièvre d'amour », « maladie virginal
nale », « ictère blanc », « fièvre blanche », « pâles couleurs », «
mal
de langueur», « cachexie des jeunes filles », t
plus de symptômes qu'il n'en faut pour être édifié sur la nature du
mal
. Et Samuel van lioostraaten a rendu tous ces déta
la torpeur des idées, et les rêvasseries obsédantes. C'est bien le
mal
de langueur, dont la cause est souvent toute ps
bien le mal de langueur, dont la cause est souvent toute psychique,
mal
d'amour contrarié, si l'on veut en croire Hippo
ins peut-on la comparer a d'autres « malades d'amour », chez qui le
mal
n'est pas souleiiienlpsycliique, mais s'affirme n
e lecture qu'il s'agisse d'une scène de possession. On s'ex- plique
mal
cependant la nécessité de faire lier les bras et
u riche comme sous la robe du pauvre. Pour symboliser l'esprit du
mal
, il fallait en figurer une manifestation object
OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 229 On ne lit pas seulement le diagnostic du
mal
dont le patient est atteint; on comprend ce qu'
e pouvaient manquer d'attirer l'attention des peintres de genre. Le
mal
de dent, malgré sa douloureuse réalité, n'excite
sa mâchoire à l'habile homme qui se l'ait fort d'extirper la cause du
mal
sans douleur. Il y a là matière à plus d'une ét
p opératoire un cautère bien chaud, pour « ranimer les esprits ani-
maux
». « Les personnages accessoires de ces petites
cles, on disait vulgairement en Hollande en par- lant d'un individu
mal
équilibré : « Il a une pierre dans la tête o. La
l'esprit faible et crédule, vraiment mala- des peut-être, mais d'un
mal
invisible dont chacun se gaussait. Le décor et
n délirante d'un symptôme réellement douloureux. Bien souvent les
maux
de tète sont mis sur le compte d'un corps étran-
lque partie de leur corps, une bête malfaisante cause de tous leurs
maux
, d'endormir ces malades sous le chloroforme, de
rre qui pèse sur le front ? Eh bien ! Voilà précisément la cause du
mal
, et c'est le malade lui-même qui vient de la di
une opération du même genre ; il semble s'en être tiré sans trop de
mal
et se prête d'assez bonne grâce au pansement. De
nt est du dernier grotesque, et il l'opéré qui, pour se guérir d'un
mal
imaginaire, a sollicité une intervention sanglant
, il relire une pierre du front d'un soldat, dont là mère se trouve
mal
à la vue de la'blessure ». Celle description so
i représente, d'après le catalogue, « la mère du soldat se trouvant
mal
à la vue de la blessure ». S'il est douteux que l
quand ils ont dansé ou sauté par-dessus un pont, ils sont guéris du
mal
de Saint-Jean , (1) Voyez Les Démoniaques dans
n autre le suit en geignant, montrant à deux mains le siège du même
mal
. Puis un troisième et peut-être d'autres encore
les malades à voir dans un caillou du crâne la source de tous leurs
maux
et à implorer des spécialistes la bienfaisante
GRAPHIE DE LA SALPLTRIÈI1E est maladroite et faible, qu'elle saisit
mal
et laisse échapper les objets, qu'elle presse s
ieu de s'amender, s'accentuent. Ainsi l'enfant marche beaucoup plus
mal
: il tombe fréquemment, il telle enseigne qu'il
ro- phie des hémiplégiques, vous savez comme moi qu'elle est encore
mal
élu- cidée. D'aucuns ont prétendu qu'elle indiq
it rendre compte de la ré- trocession. D'autre part, l'évolution du
mal
est parfaitement compatible avec la production
st a partir du mémoire de Dance (2) que la tétanie jusqu'alors fort
mal
décrite prit véritablement rang dans la noso- l
te'crise : deux ou trois heures avant l'attaque la malade se sentit
mal
il 'son aise; elle était prise par instant de b
la cuisse gauche est le siège d'un oedème blanc et dur, il limites
mal
tracées, se fondant graduellement avec les tissus
mps, dut accomplir de hauts faits d'armes. Aujourd'hui, il est bien
mal
loti : sa jambe droite, repliée et racornie, re
possède un curieux tableau intitulé : « Il n'y a pas de remèdes aux
maux
de l'amour (2) ». Enfin, un peintre qui devait
e village où de pauvres diables viennent chercher le remède à leurs
maux
.' Trois personnages forment le groupe principal
une ceinture de cuir, ses petites jambes prises dans des bas blancs
mal
tirés et les pieds dans de gros souliers pleins d
inges et montre avec sa main droite l'endroit de son front où 1 son
mal
siégeait. Il tient dans la main gauche un petit
aignée de la veine temporale, opération très recommandée contre les
maux
d'yeux ou d'oreilles. Cependant la palette fait
celui-ci ; il en a grand besoin el faites en sorte de le guérir du
mal
d'ivrognerie qui ne le quille guère. Voilà bien
ouri, lui gratte fort désa- gréablement la région parotidienne.' Le
mal
ne serait pas grand, si, en même temps, l'opéré
nutile. Quand le naïf opéré sera bien convaincu que la cause de son
mal
n'existe plus, que toutes les pierres de sa têt
patient laisse entendre qu'un grain de folie n'est pas étranger au
mal
pour lequel on l'opère. La lanterne allumée dan
us des mollets. Elle ressent également par instants des picotements
mal
loca- lisés en même temps qu'il se produit des
té, dans les faisceaux antéro-latéraux, un ou deux petits triangles
mal
colorés par le carmin ; ces triangles, dont la
rps en avant. Dans la station debout, ils corrigent tant bien que
mal
ce défaut de stabilité, par la flexion des ge-
e. Les apparences de la sénilité sont certainement exagérées par le
mal
lui-môme, car cette malade n'a que 62 ans et on
ession. A ce propos, Bérenger de Carpi insiste sur l'existence nor-
male
d'un contact intime entre la face interne du crân
atteste Dieu, que lui-même jurait que, même au commencement de son
mal
, il coïtait avec une servante de la maison, sin
tions sur le point en question. Il est évident que M. Quentin était
mal
renseigné. Le Directeur de Bicétre parla de ma
ens que leurs maîtresses les interrogent sur les objets, les ani-
maux
, les plantes, etc., qui frappent leurs yeux. No
t de malades anciens ayant présenté des modifications en bien ou en
mal
et de 23 moulages de la tête des malades décédé
êtrière sont aussi intéressantes que les garçons atteints des mêmes
maux
, étant donné l'état de ce service a la Salpêtri
asses, réfec- toires, offices, bains, lavabos, magasins, etc., sont
mal
répartis pour les besoins du service ; l'éclair
insuffisant dans la classe et le réfectoire ; enfin, ces localités,
mal
aérées, sont humi- des, froides et malsaines.
ction de trois étages. Pour des enfants hémiplégiques ou marchant
mal
, la montée et la descente des escaliers les expos
lpètrièresontaussi intéressantes que les garçons atteints des mêmes
maux
, étant donné l'état de ce service à la Salpêtri
litre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de
mal
épileptique; mort; foyer ancien intéressant les c
ges à quatorze ans. - Début des accès à dix-sept ans par un état de
mal
. - Aura du pouce gauche. Père très nerveux, pAstç
n de l'anus. Bromure de potassium. - Armures magnétiques. - État de
mal
. Mort. Autopsie : Atrophie de l'hémisphère cé
es parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet état de
mal
, Grar... aurait été comme fou pendant un mois;
disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l'état de
mal
, la raison et la marche étaient redevenues ce q
peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l'état de
mal
: toutefois, il fréquentait l'école du soir, et
availlent » ; je ne puis dormir, et, le matin en me levant, j'ai un
mal
de tète à ne pas pouvoir la lever, et qui se diss
etit. Bien souvent, quand les nerfs viennent d'être agités j'ai des
maux
de coeur qui me retirent l'appétit. » 10 EPIL
T. R. 40°;5. 64 accès dans la jour- née ; 137 dans la nuit (Etat de
mal
).. H mai. A la visite, on le trouve dans un éta
reprises, des séries d'accès ; il eut de plus, en 1874, un état de
mal
sur lequel nous manquons de renseignements. Enf
s de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel état de
mal
auquel le malade a succombé et qui a offert la pl
de a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'état de
mal
ordinaire, entre autres l'élé- vation de la tem
, mais de tous les auteurs qui ont vanté l'action du curare dans le
mal
comitial, aucun ne l'a employé, que nous sachio
était que des vertiges, et les autres, en plus grand nombre de haut
mal
. Observation II. - Epilepsie; début ci neuf ans
at de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le caractère du haut
mal
, mais seulement nocturnes pendant deux ans. Dep
, précédé (un quart d'heure à une demi-heure) d'un accès de petit
mal
. Le dernier accès survint quatre jours avant. le
ité comme le précédent et n'eut plus d'accès ni de petit ni de haut
mal
, et jus- qu'à présent (commencement de juin 186
ble de l'intelligence, le curare peut, dans certains cas, guérir le
mal
et même rendre un peu de son intégrité à l'espr
lus tard à qua- torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais
mal
(les autres enfants ont parlé vers dix-huit moi
it très ébranlées; articulation normale, forme des mâchoires nor-
male
; voûte palatine peu profonde, parait légèrement
Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un état de
mal
; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 vertiges.
s se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable état de
mal
. Ils ont été plus nombreux en 1883, et les facu
gauche. - De quatre ans et demi ci sept ans, dix il douze états de
mal
convulsifs. A sept ans, nouvelles convulsions pre
lose. Modifications de l'intelligence. - A dix nrzs, nouvel état de
mal
: nouvelle diminution de l'intelli- gence. - Dé
t ans, de la poitrine et de chagrin, dit-on, parce que son fils a «
mal
tourné» : il buvait, courait les filles, ne tra
ux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d'états de
mal
convulsif, débutant le matin vers quatre heures,
sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel état de
mal
plus long que les précédents, dans DANS L'ÉPILE
par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier état de
mal
sur- venu à dix ans. La situation intellectuell
nvulsions à trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'à deux ans. -
Maux
de tête cinq à six fois par an de huit à douze
nel alcoolique, mort aliéné. - Premières convulsions à trois ans. -
Maux
de tête fréquents. - Absences depuis janvier 1882
mois = 33 jours). totaux 78 DU CURARE germain maternel mort du
mal
de Pott. - Onanisme. - Début à trois ans.- Débi
1882). - Curare; insuccès. - Hydrothérapie (juin à octobre 1883). -
Mal
de Pott. - Abcès par congestion. -1 ! 'islule ! H
connaissance, n'avait pas encore été utilisé pour com- battre le
mal
comitial lorsque nous avons commencé nos essais
un léger malaise avec mouvement fébrile assez marqué, en frissons,
mal
de tête, inappétence, soif vive, agitation ou a
grognon la veille. En ville, une de nos mala- des nous dit avoir eu
mal
à la tête la veille, mais le soir elle était as
t que nous avons pu le savoir, avaient les caractères ordinaires du
mal
caduc vulgaire. Très fré- quents, paraît-il, av
ut haut : « Où suis-je ? ». Le matin, à la visite, S... dit qu'il a
mal
à la tête, et paraît un peu hébété; il prétend
'eut pas d'autres attaques à Sainte-Anne; mais il se plaignait d'un
mal
de tête continu, localisé à l'occiput; de doule
INCTS. 1 53 douleurs vagues dans l'estomac, la jambe gauche; d'un
mal
de gorge revenant par accès : « c'est souvent, di
u sinueuse, sur le bord cu- bital de la main gauche. - Ongles assez
mal
conformés. Verruessur le dosdes mains et les do
cachottier, de mauvais caractère ; il ajoute qu'il se tenait assez
mal
comme propreté. Quelques jours après le second
il ne fait rien. Pour la première fois, il se présente aujourd'hui
mal
tenu, sa chemise déboutonnée est sale, sa crava
ans, syncopes. Début des attaques en juillet 1880 (17 ans). État de
mal
hystérique. - Contusions. - Admission à la Piti
et son corps était couvert de bleus et d'égratignures. Cet élat de
mal
hystérique ne cessa que sous l'influence d'inha
aptitude infiniment inégale des indi- vidus pour le bien et pour le
mal
? Là, Messieurs, là est la circonstance atténua
ie du sieur Loise ? et l'avoir enivré au « Château-Rouge », cabaret
mal
famé de la rue Galande, se sont jetés sur lui d
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anor-
maux
, mais encore des enfants malades : quand ils on
rcurrentes. 9 enfants sont entrés à l'infirmerie atteints d'état de
mal
épileptique ; 2 atteints do bi,oncho-p71ditn-im
bre, dangereuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet
mal
jointoyé, non hourdé, du premier étage ; il en
choréiques ; 1 ophtalmie ; 1 pleurésie ; 4 bronchites ; 7 états de
mal
épilep- lique; 20 engelures; 18 gourmes; - 2 di
eil nu dans les centres nerveux. Tuberculose généralisée. Etat de
mal
. Calotte peu épaisse et peu dure ; graisseuse ;
e à l'éducation des enfants anormaux. Le premier pas pour guérir un
mal
, c'est de le bien con- naître. Voilà pourquoi l
des dif- férences individuelles si grandes chez les enfants anor-
maux
, est la mort des classes spéciales. Les résultats
la plus ancienne est destinée surtout aux enfants vraiment anor-
maux
, tandis que la plus récente, ouverte en 1897, est
chargée des écoles pour l'instruction spéciale des enfants angor-
maux
( sourds et muets, aveugles et faibles d'esprit).
a prendre, coûte que coûte, les mesures nécessaires pour enrayer le
mal
. Une bonne part de ce mal provient des familles
, les mesures nécessaires pour enrayer le mal. Une bonne part de ce
mal
provient des familles, de l'hérédité d'abord, d
plus que nous avons pu les comparer à son écriture à l'état nor-
mal
, laquelle est très correcte. Cette comparaison me
e, originaire de Bretagne, d'une intelligence médiocre, s'exprimant
mal
. Elle s'est mariée il ,23 ans. - Migraines asse
né une opacité de la cornée du côté gauche qui fait qu'il voit très
mal
de cet oeil. Enfin il aurait eu la teigne ( ? )
et fournis à la base de. la verge, autour de l'anus qui est nor-
mal
. - Testicules de la grosseur d'une amande ; pas,d
ueux, profond. - Scissure perpendiculaire externe (Sc,p,e,), nor-
male
. - Scissure parallèle frontale (5c.lo.f.), profon
la naissance n'ont offert rien d'anormal. III. C'est à un état de
mal
convulsif, survenu à quatre mois, ayant duré 4
Amyolrophie de la jambe gauche. 1893-97. Alternatives de bien et de
mal
au point de vue du caractère. - Progrès à l'éco
était raidi, fièvre très forte, vomissements ; il aurait eu aussi «
mal
au ventre et de la diar- rhée et aurait été san
de progrès. Juin, - Son caractère se porte de plus en plus vers le
mal
. Il devient menteur et accuse ses camarades inn
t de ma petite chérie de filleule. Vous m'en voudrez pas si j'écris
mal
et si je fais des fautes, au moment que je vous é
17 mai. - C... s'est affaiblie progressivement ; sa démarche est
mal
assurée, son poids a diminué de 8 kilog. 300, l'a
c'est- à-dire jusqu'à 1'2 ans, Gel... aurait été tout-à-fait nor-
male
et .plutôt d'une intelligence au-dessus de la m
décembre 1895, puis en sixième au lycée de Versailles. Il apprenait
mal
, conduite passable, tenue physi- que défectueus
ue physi- que défectueuse, avait une épaule qui se nourrissait plus
mal
que l'autre. On le soumet à une gymnastique spé
se troubler, indigestions avec douleurs de tête, se plaint d'avoir
mal
aux tempes, reste huit jours sans manger ; a de
s. - Les fonctions respiratoires et circulatoires paraissent nor-
males
; les fonctions digestives ne sont pas régulières
voir de mé- decins ! ... ce sont des charlatans... ils vous font du
mal
... je ne suis pas malade... qui donc a inventé
elouse des jeux. Là, tout en veillant à ce qu'il ne se fasse pas de
mal
, on le laisse libre de ses mouvements. Il reste
peu dépotage. Se plaint dans la journée que « l'estomac » lui fait
mal
; il parait avoir des difficultés pour respirer
et d'un bégaiement très prononcé. De huit à onze ans, il apprenait
mal
. A partir de janvier 1896, le caractère s'est m
o. idente. La dentition est mauvaise, les dents, irrégulières, sont
mal
implantées. - Menton rond.- Oreilles bien ourlé
rie le 2fi août, se 104 Épidémie de fièvre typhoïde. plaignant de
mal
de tète et de mal de gorge. Pas de signes locau
e 104 Épidémie de fièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de
mal
de gorge. Pas de signes locaux d'angine, pas de
. (Louis), Il ans, entré à l'infirmerie lé 31 août, se plaignant de
mal
de tête. Toux fréquente, et à l'ausculta- tion
ouvant fournir aucun renseignement sur le siège ou la nature de son
mal
. Perte de l'appétit, vomissements rares. Toux f
sente il la consultation ; depuis un ou deux jours se plaindrait de
maux
de tète, inappétence, épistaxis peu abondante.
on- gestion surtout 11 gaucho et en arrière; bruits du coeur nor-
maux
. l'as d'albuminurie. -.Soir : T. R. 3'.t°. Jusq
< suivis- dë-bécéS ? H 1 Malade' depuis ]a veille, se plaint-dé -
mal
de tôte et dè'MlP dues. Sôit· : T : R. h0 ? 5 :
R. h0 ? 5 : - " ? ? ' ;. ? - - 6 septembre. Se plaint toujours de.
mal
: de : tête délire^ peu bruyante insomnie.. - L
e, le sommeil est pro- fond et tranquille. - G.... parle, mais très
mal
: il prononce à peu près toutes les lettres de
. 21 novembre. Entré an pavillon d'isolement. Le malade accuse du
mal
de tête. La face est rouge, les conjonctives in
tte première crise a duré cinq minutes au plus et, à la 140 État de
mal
convulsif ; ÉPILEPSIE consécutive. suite, le ma
tions multiples. Sommaire. - Père alcoolique ; otite entraînant des
maux
de tête continuels. - Grand' mère paternelle, c
aissie et formant laparoi de la poche purulente. Rein gauche nor-
mal
, se décortiquant aisément. - Organes génitaux sai
ce totale do renseignements sur le siège, la nature, l'intensité du
mal
, la plupart des malades présentaient des signes
out ce qu'il ne faudrait pas faire, n'a pas l'eslirit du bien et du
mal
», travaille 4 jours et part 15 jours, arrière,
é; un troisième mort tuberculeux. Mère, 44 ans, a toujours eu des
maux
d'estomac et d'in- testins depuis son deuxième
is, histoire de me promener. » Parait avoir la notion du bien et du
mal
. Idées religieuses assez prononcées. N'est pas mé
le gauche (45 gr.), tous deux un peu décolorés. Capsules -sur1'é-
males
, 2 et 3 gr. Estomac, pancréas, vessie, rien. 1'in
ervice. (Thèses et mémoires). 1880. Lt.nor (A.). - De l'étal de
mal
épilepl iclite. Thèse de Paris. SI"GLAS (J.). -
; enfin consécutivementdes thrombose ? , des dilatations anévris-
males
, des ruptures, etc. Et cependant, malgré la diver
ion. L'examen ophtalmoscopique montre une pupille absolument nor-
male
. Aucun trouble de l'odorat ni de l'ouïe. C. Int
s vorkommenden, Augensloe¡'ungen. Leipzig, 1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, -
Mal
. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NE
des cheveux, leur décoloration; dès pigmentations, des bulles, des
maux
perforants, des lipomes symétriques, des arthro
les troubles trophiques en général douloureux, tels que le zona, le
mal
perforant, ne provoquent pas souvent de douleur
89t. - De Crozant. Revue médicale, 1846. " Griesinger. Traité des
mal
. ment., trad. Douncie, 1865, p. 405. 4 Vulpian.
sous lesquelles la surface est rouge, piquée de points violacés.
Mal
perforant. Le mal perforant n'est pas rare chez l
a surface est rouge, piquée de points violacés. Mal perforant. Le
mal
perforant n'est pas rare chez les paralytiques
t que dans les autres mala- dies du système nerveux. En général, le
mal
perforant est indolent, suppure peu, n'attire p
e. Mais c'est M. Christian 2 qui attira l'attention sur deux cas de
maux
perforants chez des paralytiques généraux. Puis
Le fait connu, M. Barthélemy" en fit le sujet de sa thèse, et le
mal
perforant fut admis définitivement par les clinic
et examinée par M. le D'' Sérieux, qui a confirmé le diagnostic de
mal
perforant. En voici l'observation : Observati
ostic de mal perforant. En voici l'observation : Observation X. -
Mal
perforant. Mme B... Catherine, cinquante-trois
- Trccilé d'anatomie pathologique, 1879, t. II, p. 71. 2 Christian.
Mal
perforant dans la paralysie générale (Annales m
ale (Annales médico-psych., 1882, p. 230). 3 Marandon de Montyel.
Mal
perforant et paralysie générale (Encé- phale),
alysie générale (Encé- phale), 1888, p. 257. j z * Barthélémy. Du
mal
perforant dans la paralysie générale (Thèse de
aie sous l'articulation du gros orteil gauche. L'ulcère, qui est un
mal
perforant, existait depuis un mois, selon la mala
de, mais comme elle n'en souffrait pas, elle n'en disait rien. Le
mal
perforant se trouve au-dessous et un peu en dedan
et s'est graduellement resserré, les bords se sont rapprochés et le
mal
perforant a disparu. Sur le gros orteil du pied
mplotant contre elle (c'est elle qui parle), ne lui ont fait que du
mal
. Les infirmières ont murmuré quelque chose cont
par l'étude microscopique des pièces. Aussi, chez l'un de ces ani-
maux
, tué trois semaines après l'opération de la répar
ls individus, bien qu'ils soient capables d'apprécier le bien et le
mal
, ne sont pas responsables de leurs crimes. Ils
us médecins, classerons-nous, dans un cas donné et après examen, le
mal
dont souffre celui qui nous demande conseil ? Q
e souvent la phrase suivante : « Je ne sais ce que j'ai, je me sens
mal
». A l'examen on constata un affaiblissement de
mal ». A l'examen on constata un affaiblissement de la mémoire, des
maux
de tête dans les régions frontale, pariétale et
et ne se trompait pas même dans leurs nuances. Il distinguait très
mal
les physionomies des personnes qui l'entouraien
els (par dilatation des gaines lymplaa- tiques ? ) Pas de gommes.
Mal
... Marie-Rose, domestique, âgée de vingt-trois an
qu'on lui en veut, que les soeurs en particulier font à dessein de
mal
la soigner, de ne pas lui donner ses remèdes, ni
domaine du trijumeau droit n'existe plus. La malade s'alimente très
mal
, elle se cacbectise rapidement. 31. Hier à deux
tout autour, et formant une seconde cavité à paroi anfract.ueuse et
mal
limitée. L'abcès put facilement être extrait en e
des fibres nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délimitent
mal
de la région péripapillaire dans le secteur tempo
musculature oculaire. Un peu d'inégalité pupillaire. Réactions nor-
males
; cependant quant on les expose à la lumière, les
son lit, sans' s'occuper à rien, immobile et apathique. Elle répond
mal
aux questions qu'on lui pose, souvent par un mo
bruit, dort assez bien. Elle a maigri considérablement, s'alimente
mal
, a pris un aspect cachectique. Sa plaie est en vo
pertises médico- légales, et les fautes que commettent des médecins
mal
préparés, précipités dans leurs jugements ou qu
ur et ne déterminent pas de gêne pour la marche. Est-ce le début de
maux
perforants ? nous l'ignorons. Ils existent depn
niveau delà huitième vertèbre dorsale. Il ne s'agis- sait pas d'un
mal
de Pott, le malade étant d'une constitution vig
une éruption de pemphigus ; 1 fois de l'érythème et enfin 1 fois le
mal
perforant. TABLE STATISTIQUE DES TROUBLES T
ont bas implantés, bien fournis, mais tout à fait blancs. Les dents
mal
implantées sont cariées en grand nombre et noir
s'excitait violemment, redoutant, déclarait-il, qu'on lui fasse du
mal
. Il prenait alors un air menaçant, faisait mine d
systèmes d'association supérieurs, postérieurs et inférieurs nor-
maux
. 222 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
pe de l'observateur. Puis il y a les modifications bio-chimiques si
mal
connues. A l'appui l'auteur cite des cas répondan
te uniforme nébuleuse certains noyaux étaient tuméfiés, se colorant
mal
ou pas du tout; il en était de même du nucléole
cellules ganglionnaires se présentaient avec leurs caractères nor-
maux
; mais les altérations vasculaires ne disparaissa
de la création, il croit que l'alcoolisme est, en quelque sorte, un
mal
nécessaire, parce qu'il est l'agent de la sélec
ont songé à lui tendre la main et à le relever. Nous connaissons
mal
en France ces admirables sauveteurs qui ont pri
IÈNE SOCIALE. vivant dans un contact incessant avec les victimes du
mal
et sachant ce qu'il faudrait d'héroïsme pour va
étresse morale était sublime et devait conduire à l'idée, également
mal
connue en France, de soigner le buveur comme uu
e irritation locale. Au premier abord on peut penser que lorsque le
mal
est sous la dépendance de causes dites psychiqu
femme, d'autres enfin qui aiment le mâle comme des individus nor-
maux
aiment la femme. Ce ne sont guère ces sujets que
un coureur de garçons honnêtes, travaillent en somme pour le moins
mal
. D'ailleurs, il ne faut pas croire que tous les
accomplissement de l'acte sexuel, a été pour cet homme une cause de
maux
irréparables liés à l'infirmité de ses enfants.
ard on n'a rien trouvé qui indiquât de sa part un sentiment anor-
mal
. A vingt ans, cette jeune amie fut l'objet d'une
ant qu'elle ne se marierait jamais; mais comme on sup- portait fort
mal
cette décision, elle donna des prétextes plus ou
on inaptitude génératrice, elle s'accuse d'avoir, malgré ses soins,
mal
répondu à l'affection de son mari et elle conclut
à l'affection de son mari et elle conclut qu'elle aurait fait moins
mal
si elle ne s'était pas mariée. Elle affirme qu'
eux frères sont célibataires. Une soeur, vingt- neuf ans, se trouve
mal
facilement et est sujette aux migraines, elle a
tête de l'enfant diminuait et si son développement devenait nor-
mal
. A partir de l'époque de cette crise importante
dyspnée et un peu de toux. Bien qu'il n'y ait pas de bruits anor-
maux
à l'auscultation, la respiration est plus rude à
nce si l'homme de l'art, qui passe sa vie au milieu des victimes du
mal
, s'affran- chit de l'impérieux devoir social qu
véhicule. Les préparations alcoolisées contribuent à développer un
mal
terrible. Enfin, la suppression du vin dans les m
avec les hérétiques. Cette féroce intransigeance a fait beaucoup de
mal
, elle en fera encore. Pourtant une lueur d'espo
encherait la balance, mais j'ai bien peur que ce ne soit du côté du
mal
. « La presse, disait lumineusement le D1' Belva
t, par cette revendication même, à agir pour le bien et non pour le
mal
? C'est vers le progrès social et non vers la dég
at. Deux mots sur chacun de ces deux points : L'alcoolisme est un
mal
profond qui résiste à toutes les atta- ques jus
ale, il devient logique de traiter la collectivité atteinte du même
mal
par le même procédé. Ainsi s'explique la tendan
on, mais qui entraîne l'approbation de quiconque sait qu'aux grands
maux
s'op- posent les grands remèdes. L'abstinence
l'alcoolisme pour voir immédiatement surgir une légion d'hommes en
mal
d'écrire ou des amateurs de réclame qui noir- c
les hommes de bien qui depuis quelques années, émus des progrès du
mal
, cherchaient fébrilement quelque chose à faire.
raie, essentielle. La neurasthénie n'est pas une affection vague et
mal
définie, comme tendrait à le faire croire la desc
nystagmus de lilippel et Durante (saccadé non arythmique). Parole
mal
articulée presque incompréhensible. Aucun trouble
n peut cependant avancer, en possédant bien l'oeuvre générale- ment
mal
connue de Braid, que depuis ses derniers travaux
lerinages (Lourdes, etc.). Est-il besoin de relever les cri- tiques
mal
fondées de Bénédict, qui après avoir discute des
ure. L'enfant meurt dans des conditions analogues aux cas d'état de
mal
épilep- tique, trente-six heures après l'absosp
nt de l'alcoolisme aigu. Ces accidents rappellent-ceux de l'état de
mal
épileptique. P. RELLAY. Nos lecteurs trouveront
rationnellement et rigoureuse- ment scientifiques. On connaît fort
mal
l'oeuvre de Braid et seule- ment par ses premie
le malade et du malade sur le milieu ambiant. Et dans le cas où le
mal
est fait, où l'épidémie est déjà déclarée, il i
es perceptions organiques inconscientes n'arrivent plus ou arrivent
mal
au sensorium, la synthèse mentale habituelle es
i- gieuse. C'est alors que le malade s'accuse par exemple d'avoir
mal
fait sa première communion. La moindre entorse
nceptions morbides. « Le malade croit qu'il est la cause de tout le
mal
qui existe dans le monde; il est Satan, il est
s accidents sont toujours survenus à la suite d'une sorte d'état de
mal
hystéro- épileptique, sans aucune manifestation
e l'anes- thésie généralisée, à la suite de cette sorte « d'état de
mal
hystéro-épileptique » dont j'ai parlé plus haut
lapins sacrifiés en bonne santé. Aussitôt après la mort, les ani-
maux
étaient placés dans une étuve à 22°, d'où ils éta
ntral; les cellules épithéliales, noyau et protoplasma, se colorent
mal
. Dans les terminaisons ner- veuses, on observe
ssi fréquentes, et le malade succomba quatre jours après en état de
mal
. Autopsie. Congestion des méninges. Atrophie du
e des mesures à prendre, il est à craindre que des résultats hâtifs
mal
interpértés ne jettent quelque confusion ; auss
igaments intra et péri-articulaires et une démarche très pénible et
mal
assurée. Si le corset devrait être rayé de la l
si personne ne prend soin du paralytique général au début de son
mal
, il est voué, par son inconscience et son incurie
festes certaines altérations du protoplasma cellulaire que décèlent
mal
les autres procédés. Cette méthode permet ainsi
ue l'état démentiel s'améliore. M. G. Ballet. Je me suis sans doute
mal
exprimé si M. Voisin ne m'a pas compris, quand
domen, les sensations fortes sont légèrement perçues, mais toujours
mal
localisées et avec un retard assez considérable.
tion de la main, ni de griffes des doigts : main en position nor-
male
; phalanges en demi-flexion sur la main et les un
s'étendent : le pouce seul conserve une sensibilité à peu près nor-
male
. Les eschares se sont creusée', le malade a de la
rme générale est celle d'un fuseau; macroscopiquement, on distingue
mal
ce qui reste de la moelle au point maximum d'ép
nt aux sensibilités cutanées, leur trajet ultérieur est encore fort
mal
connu. Après avoir franchi la ligne médiane (comm
- Le : . di. lisiol. sprim., 1873, 196. 5 Salkowsky : Zeit. r. nol.
Mal
., XXIX, 18C, 7. * Pour les discussions relative
s le dynamisme inconscient né de ses scrupules et de son horreur du
mal
contrastera en réalisant les maléfices les plus
ue où la mentalité n'était pas entamée sont encore reconnues nor-
males
, jusqu'à ce que, à leur tour, elles s'allèrent, c
écouvert rétrospectivement que dès sa naissance elle était vouée au
mal
, elle a compris qu'elle avait dû être oubliée d
bation céneslliésique primitive. De même que ces malades perçoivent
mal
les impressions ordinaires, de même leurs hallu
vie. « Deux pensées, dont l'une représente le bien et l'autre le
mal
, sont en lutte continuelle dans son imagination.
e mal, sont en lutte continuelle dans son imagination. La pensée du
mal
l'emporte toujours. » La soeur de la malade est
ute élévation de senti- ments, la prière ; la voix veut toujours le
mal
quand la malade veut le bien. La malade, qui
, sans une faute dans I*ot-dre de leur siieces- sion. Cet « état de
mal
unilatéral » ne se produit que sous l'in- fluen
ot (Eugène) Contribution à l'étude des troubles nerveux précoces du
mal
de Pott. Ilaopolf.(firihor). Contribution à l'é
dont la guérison est la règle, doit être rangée parmi les états de
mal
ou paroxysmes hys- tériques. Comme traitement,
Il y a là nn symp- tôme grave, et d'autant plus intéressant que le
mal
qu'il dénote pourrait peut-être encore être ent
reuses : 15 enfants sont entrés à l'infirme- rie atteints d'étal de
mal
épileptique. - pneumonie, 1 ; - tuberculose pul
bre, dangereuse. Le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet
mal
jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
sités du traitement l'exigent. Le service mortuaire est tout-à-fait
mal
placé, très loin de la clinique, c'est-à-dire d
ux sont d'ailleurs, en général, beaucoup trop petits et, en partie,
mal
cir- conscrits. Nous pourrions relever d'autr
si trop éloigné de l'une des moitiés de la Clinique; les ateliers
mal
placés, qui devraient être plutôt il la postérieu
« toujours fourré dans la Loire ». Il ne se plaisait qu'à faire le
mal
. Il battait les enfants plus jeunes que lui et,
ns haute. Det2titiota. -\Iàclioirc supérieure : 13 dents eontiguës,
mal
rangées, de forme irrégulière. Canine gauche tr
Il fait assez bien des additions et des soustractions simples, mais
mal
la multiplication. - 11 connaît la divi sion du t
gesse de cette me- sure (conforme aux règlements qui disent que le,
mal
.,des doivent être accompagnés donateurs sorties
ronne près Vendôme : elle avait déjà eu «quelques atteintes» de son
mal
avant son mariage. Quatre frères et soeurs : l'
. III. Epilepsie due à l'onanisme ; Démence consécutive État de
mal
épileptique ; mort ; . Par BOURNEVILLE et WU !
rès une émotion. Description du malade. Diarrhée séreuse. - Etat de
mal
épileptique; mort. Autopsie. - Asymétrie crânie
e des facultés intellectuelles. Le malade a suc- combé à un état de
mal
, accompagné de l'élévation habituelle de la tem
re, rien de particulier. Grand-père maternel, accidents ner- veux
mal
déterminés. - 9rrièe-grand'mére maternelle mort
de la mémoire. Pourtant, il continue son métier, qu'il fait un peu
mal
, on le garde parce qu'il est un très ancien ouv
it moins depuis, une absinthe par jour et d'ailleurs la tolère très
mal
; caractère nerveux, emporté, se déchirant les
- thèse, auraient été tout simplement déviées de leur trajet nor-
mal
par la présence de la lésion porencéphalique. La
ilatées, démontrent simplement que la circulation en retour s'opère
mal
. A côté de ce système veineux très- développé,
enfant fut pris de vertiges. Tout d'abord, il sem- blait se trouver
mal
, s'asseyait, devenait pâle, puis tout cessait.
d ; il était sorti pour donner à manger à ses moutons. Il se trouva
mal
, et on le porta dans son lit, où il mourut cinq
s difficile par suite de l'indocilité de l'enfant, qui respire très
mal
, ne permet de reconnaître aucun bruit anormal e
nvulsions qui ont été très fortes et ont revêtu la forme d'états de
mal
con- v1Ûsif, durant deux à trois heures, et qui
bien rarement, et qui s'est traduite cliniquement par des états de
mal
successifs, explique l'idiotie profonde dont ét
es. Ces deux frères sont célibataires. Une soeur, 29 ans, se trouve
mal
faci- lement et est sujette aux migraines ; ell
mbé (Fig. 3). Arcades sourcilières peu saillantes. Paupières nor-
males
. - Orbites un peu excavés surtout à droite où l'c
symp- tômes les plus manifestes. X. Deux nouveaux cas d'état de
mal
épileptique ; Par BOURNEVILLE, TISSIER et RELLA
dans nos Comptes-rendus aucune observation nou- velle sur l'état de
mal
épileptique. Les deux cas qui suivent vont nous
de rappeler les traits principaux de cette complication si grave du
mal
comi- tial. Observation I. - idiotie complète
mi- tial. Observation I. - idiotie complète et épilepsie. Etat de
mal
; élévation considérable de la température. SO
esque complète de développement physique et intellec- tuel. État de
mal
. - Mort en 11 jours. Autopsie .- Mërutu/o-en.cë
cuil. d'élixir. 5e 2 - 1 6° - suspension du traitement. Etat de
mal
. Le G novembre, le malade, qui n'avait présenté
ne reprend plus " connaissance entre les accès et tombe en état de
mal
. A 6 heures du matin, le chiffre des accès atte
onjonctivite, une bronchite, une chute du rectum, Fig. G. - État de
mal
. 136 Etat de MAL épileptique. une entérite ch
nd traite- ment ne détermina qu'une cessation momentanée du petit
mal
. VII. L'état de mal, qui a occasionné la mort d
étermina qu'une cessation momentanée du petit mal. VII. L'état de
mal
, qui a occasionné la mort de l'enfant, s'est bo
ig. 6). Ons. II. - Epilepsie idiopathique; accès sériels; - état de
mal
; mort ; élévation considérable de la températur
ère violent. Déchéance. Plusieurs séries d'accès. Mort en état de
mal
épileptique avec accidents Se2lcL0-111('n tngitt(
ier. Pas d'accès. Abattement de plus en plus mar- Fin. 7. - État de
mal
de Deb... La dernière notation thermométrique été
4 L,G. - Poids : 29 kg. 800. Tableau des accès durant l'état de-
mal
. Epilepsie : crâne et cerveau. 115 Autopsie f
sur la Fig. 8. Fia.n. 150 Température ; accès, séries, état DE
MAL
. température. Dans deux accès la température s'
s des séries d'ac- cès, mais qu'elle monte très haut dans l'état de
mal
. (1-'ig. 7, T. IL 42°,3 au moment de la mort).
il y a eu un abaissement de la tempéra- ture (38°, 4). L'état de
mal
a offert également ses autres carac- tères habi
la connaissance, aurait déterminé un affaiblissement prolongé. Le
mal
ctmÚtial aurait débuté deux mois plus tard et se
que nous allons résumer. 2 juillet. - D... est gâteux. Il se tient
mal
à table, essaie de se servir de la cuiller, man
ses écarts de conduite. Il a une notion assez exacte du bien et du
mal
, n'est plus aussi jaloux et affectionne ses cam
rnis, séparés par un intervalle de 15 millimètres. Paupières nor-
males
, cils longs, nombreux. Iris bleu foncé, pupilles
presque ouverte. Lèvres épaisses, un peu renversées. Langue nor-
male
. Voûte palatine fortement ogivale. Luette petite.
e service. (Thèses et mémoires). 1880. LEROY (A.). De l'état de
mal
épileptique. Thèse de Paris. SÉGLAS (J.). De l'
est guère entre eux et nous qu’une question de plus ou de moins assez
mal
définie. XII dépend de ceux qui restent chargés
le, ce dont ils semblent peu soucieux. Les philosophes le rejettent
mal
)(résoji utilité, car le ma-guétisme donne une cle
y certifie que, depuis vingt-neuf mois, il souffrait cruellement d'un
mal
de genou, causé par une chute, et qui l'obligeait
un peu de sagesse, produit de si éclatantes guérisons ou soulage les
maux
qu'il est impossible de guérir. Découverte immens
bornes dans son uülité I On fera mieux que guérir, on préviendra les
maux
ou on les attaquera alors qu'ils commenceront à s
Les passions sont inséparables de rhoiiime et le magnétisme serait un
mal
s'il les delruisait ; mais il tempérera celles qu
, elles n'auront pour justification qu’une organisation incomplète ou
mal
faite qui, il faut le dire, résulte trop souvent
nes, il ne peut aller à la garde-robe ; ettouteune multitude d’autres
maux
que nous ne voulons poiut énumérer. Le nombre des
onté de Dieu n’intervient nulle part pour adoucir ou faire cesser les
maux
de la condition humaine? Bien de semblable n’exis
porter par les infirmiers; toutefois, épuisé de fatigue, il se trouve
mal
en arrivant. (( Une heure environ après cette s
des bâtons daos les jambes, voulant absolument nous faire le plus de
mal
possible. Nous ne dironspasici yaeZiieu TomXlX. —
orteils. Une chose remarquable, c'est que lorsqu’il chassait ainsi le
mal
et qu’il était obligé de discontinuer, la douleur
gtemps : à savoir, comme dit Socrate, que vous ne savez rien ? Quel
mal
, à la (in, peuvent vous faire les apôtres de cett
ons voulues. Toutefois, malgré le doute dans lequel je flottais, et
mal
-gré même une conversation assez animée à laquell
nne n’y a rien compiis. « Comment troûYez-voiis cela 7 Ce n’est pas
mal
effrayant, au moins pour ceux qui ne connaissent
s. Et cette piotade qui, dans son logia, chante toujours le même air,
mal
*-heur á son mari, à moins pourtant qu'il ne Bôit
ouver la lucidité d’une somnambule. Consultez pour un homme qui a des
maux
d'estomac ou une gastrite chronique, et qui vient
lui dites de regarder le malade, elle verra la fracture, écartera les
maux
internes. D’autres verront la fracture et no reco
aule gauche. Cette malheuse fille a été transportée à l’hospice où,
mal
* gré les soins qui lui out été prodigués, elle es
terrogeai la malade qui toe donna les renseignements suivante sur son
mal
. Elle avait dans le corps, me dit-elle, une boule
ait depuis le début de sa maladie. 11 existait en outre aux tempes un
mal
intérieur qui avait éié traité par les médecins ;
ployés au traitement de cette affection ayant été appliqués à côté du
mal
, n’auraient rien produit de bon. Sur ces indica
en quatre et le brûla avec de l'eau forte. Malgré cette opération, le
mal
empirait rapidement et l'enflure atteignait déjà
festés, sans espoir cependant de pouvoir combattre victorieusement un
mal
si prompt diins ses effets. Je magnétisai environ
haleur et de vives douleurs dans le côté droit, qui était le siège du
mal
. Ce résultat fut un encouragement pour moi. .le m
taté l’état maladif, est en voie de guérison, malgré l’opiniâtreté dü
mal
, cbntt« lequel je lutte depuis cinq mois« et cont
r la misère humaine. M. Roger croit sans doute avoir fait beaucoup de
mal
au magnétisme, il se trompe. On ne tue pas la vér
B — Cousin, dit Maugis, me proraeitez-vous qu’il ne souffrira aucun
mal
si je vous le fais voir ? 1 — Je vous le jnre.
agnétisme peut parfois aller jusqu’à tuer, son rôle est de guérir nos
maux
et de détinire dans leur source les fausses croya
e je magnétisais ; si le malade avait des maux de tête, je prenais le
mal
de tête; si elle avait des douleurs dans un membr
m'étendrai davantage sur ce genre de somnambulisme trop peu connu et
mal
apprécié. Les observations qui ont été publiées
s de la nature qui les rendit susceptibles de causer d’autant plus de
mal
qu’elleles fit plus puissantes à produire le bien
puissance nouvelle dans la voie de ses applications légitimes. Quels
maux
ne faudrait-il pas en attendre, si, méconnue des
omme partout, éviter le double écueil de l’incrédulité et de la piété
mal
éclairée : l’une ne voit qu’illusion et qu’im-pul
resse de peuple, devineresse, superstitieuse, blaspbémeresse de Dieu,
mal
créant la ioi de Jésus-Christ, vanteresse, idolât
ligée de porter un panier rempli de linge, la douleur s'aggrava et le
mal
se fixa entièrement dans ledit bras. Nepouvnnt
ens employés jusqu’à ce jour avaient eu pour résultat d’aggraver (mon
mal
consistant en une douleur aiguë, et une espèce de
résentant un caractère très-obscur, l'appareil tligestif fonctionnait
mal
; cerlains aliments étaient absorbés, d’autres rej
fois le tenir à deux ; mais nous ne l'aurions pu qu’en lui faisant du
mal
. II nous voit tous, il tu WH journal sam lumière,
ému par cette scène, soit que l’accès fût trop fort, j’ai beaucoup de
mal
à le calmer; cependant il œe voit, il m’entend; m
à trois heures, il reçoit une lettre d nn individu qui le traite fort
mal
, relativement & certains bavardages. Toute la
nir, il me pria de lui démagnétiser un peu les yeux qui lui faisaient
mal
; dans ce but, j'y souillai légèrement dessus, au
s sur le point du cerveau qui était aliéré, et dont le jeu dérangé et
mal
régularisé déterminait l'ensemble de cette affect
ra dans l'avenir, chacun ds nos adversaires auri laissé un geime de
mal
qu’on rlétraira plus tard, comme nous faisons nou
x Defèterleioaiire Au milieu de tous; Rélas! pour sa gloire Si j'ai
mal
chanté, Au moine je peux boire A Totre luilé.
en tfadlùieltant que 'deux esprits àt^ohts, celui du bien et eélai du
mal
. Ce fut une erreur fttve, et Sorit les suites ont
géliques : Suivez le chemin de ta vertu, — failfs It bien évitez le
mal
. — Aimes Dieu et votre pro-chain, ou quelques aut
refuserait plus àla révisiondecertains procès, sousle prétexte que le
mal
est sans remède et que lajustice doit être sensée
main était devenue insensible. Ce sujet souifrait horriblement d’un
mal
de dents, et rien ne le pouTait calmer si ce n’es
l'état magnétique, mais la prudence me soufflait que le moment était
mal
choià à cause de la frayeur que je pourrais cauf^
enable pour sa guérison. R._Le docteur l'a regardé et a dit que mon
mal
avait un très-mauvais caractère ; U a ordonné l
jeune homme, et le docteur, et toutes les personnes qui avaient vu le
mal
. Pour le patient, rien ne peut égaler le contente
tement qu'il éprouvait de la disparition en quatre ou cinq jours d’un
mal
qui, dans une autre circonstance où il ne connais
us haut la voix du bien et de la vérité, il étouffe le vain brait dti
mal
et de l'erreur t JoSË Serra t Iclesias. rim B
tendant connaître, par le magnétisme et le seul contact du malade, li
mal
dont celui-ci est atteint, rédige elle-mômc l'ord
ang s’arrêta, el elle sentit en son corps qu'elle était guérie de son
mal
. 30. Aussitôt Jésus, connaissant en soi-roème l
Pauline s'en prend à la pensée de sa sœur. « Cette pensée m’a fait
mal
, » me répète plusieurs fois la cataleptique. Sa s
n que je préjugeais du dévouement de milady, ma peine enfin d’ôtre si
mal
compris dans les efforts de mon zèle et de mes fa
ans passés. Origine présumable : plusieurs urétrites infectieuses,
mal
soignées. Eugène, jiour cacher son mal au capitai
sieurs urétrites infectieuses, mal soignées. Eugène, jiour cacher son
mal
au capitaine dont il était le cavalier d'ordonnan
ue un des coins du voile qui cache ses secrets, fera toujours plus de
mal
à notre cause qu’il ne peut le prévoir. Qu’on étu
la soumission comme les canons du romanisme. Nos paroles peuvent être
mal
interprétées, mais qu'on ne s’y trompe point : il
s. Dans d’autres, soit mon impéritie, soit dea prédominances morbides
mal
saisissables, soit la fâcheuse concomitance des m
visiter ce malheureux, qui, privé de repos jour et nuit, déclinait de
mal
en pire, et désespérait sa femme et leurs parents
par les moyens que vous indiquiez, il se trouverait débarrassé de son
mal
et... d’autres petites choses. Qu’entendiez-vous
t ce singulier langage : « Votre frère avait souffert du diabète : ce
mal
est incurable, donc votre frère était toujours di
extraits de l'AsiNUAiRE général DE tA DOCTBICK HAHNEMASNIENNE, par
MAL
CATELLA^ frèrCS, Paris, 1860, chez J.-Ii. Bailliè
son train de vie habituel. Le troisième’ jour, je le quittai ; de son
mal
il n'en avait plus que le souvenir . Ce matin, je
le rationalisme n’accepte pas le fluide magnétique, dès lors il sera
mal
accueilli des Iluidistes d'abord, des spiritualis
er de cet état fâcheux, car il va sans dire qu’après avoir produit le
mal
, je m'empressais d'y remédier. Que serait-il arri
ience merveilleuse élait nulle ou à pou piès, jo lui faisais plus île
mal
qu'- ilc bii'ii. Sur ses iiisiaiiccs, j étals pre
s tle croire (|ue sa miHhücle fui vicieuse, je crus soulenniiit avoir
mal
saisi ses iiisiruciions. Plus éclairé aujourd’liu
t conscience, que les savants d'aujourd’hui préparent aux homn3es des
maux
incalculables en se refusant à l’étude du magnéti
ure, consiste daus la diminutioD, el, enfin, dans la guéii-son de sou
mal
. Pour recevoir ce principe, il est parfaitement
nature nous fournit, afin que nous ne soyons pas accablés par tant de
maux
. a Ah ! s’il n’est pas d'animal plus excellent
inaire s’est laissé induire en erreur, U a été dupe de ses sens, il a
mal
vu, en un mot. C’est ce que je vaislui prouver
physique qu’il compare à l’effet de l’eau sur l’époDge. L’exemple est
mal
choisi, car la pression atmosphérique et la poros
écrit contre Ifes prétentions de ceux qui, exagérant et interprétant
mal
les phénomènes d’un magnétisme transcendant, ont
r une force vive déposée au sein de l’organisme pour lutter contre le
mal
, et que si cette force vitale fait défaut, nul mé
r (le avec le sulfate de quinine à doses pondé-un accouchcmeût qui va
mal
, la femme est uleurs expulsives sout nulles : je
l'harmonie, la paix, le Iwnheur : époque primitive où il n'y avait ni
mal
, ni maladie, ni mort, ni combat des hom- Ne nou
ortel auteur du Sépber. livre profond, si défectueusement traduit, si
mal
compris encore. — ■ Faut-il, en traduisant Moïse,
'abord un silence de deux ans. «Le bien, disait-il, c’est l'unité; le
mal
, c’est la division ; la justice, c'est l'égalité.
le miséricordieux Amida peut fléchir en leur faveur Yana, le génie du
mal
, suprême monarque des enfers. Lorsque ces âmes on
ossèdent la sensibilité nerveuse perçoivent ordinairement le siège du
mal
, parce que la communication du mal se fait, non p
rçoivent ordinairement le siège du mal, parce que la communication du
mal
se fait, non par la sympathie (et qui peut nous e
des parties maladives. Nous voyons que la somnambule souffre tout le
mal
du malade : le magnétiseur sensitif se trouve dan
ne se débarrasse point des molécules qui l’ont envahi. Le principe du
mal
se communique d'autant plus, que celui qui opère
té rend le magnétiseur lucide, car aloi's, où se trouvera le siège du
mal
, il ressentira une perturbation ou absence du flu
t rétablis l’équilibre. Je pris alors une jeune dame qui me dit avoir
mal
à la tête. Ici les effets furent bien différents
e l'avais mise; après que j’eus rompu le charme, elle déclara que son
mal
de tête avait disparu. A ce moment la princesse,
eptiques ; vous compromettriez en outre la science du magnétisme ani*
mal
, chose qu’il faut surtout éviter. Les vrais adept
souf-frances ; il lui serait donné de réduire de beaucoup la masse de
maux
auxquels, journalièreinent, nous sommes exposés.
bien et régulièrement faite, qu’on laisse agir le fluide; si elleaété
mal
et irrégulièrement faite, on a un avantage immens
e portion du principe universel, le principe seul qui peut guérir les
maux
, car il a la vie en puissance. Que vos efforts
et que ma faible voix fut en opposition à celle de tous les savants.
Mal
me prit, sans doute, de ne point être la paille q
isables descriptions viendraient d’elles-mêmes m’aider à signaler les
maux
infinis enfantés par l’ignorance. Arrêtons-nous
ation de cuisse, 36. i Extraction de dents, 620. CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guiris ou soulagés. Accès convulsifs, 115. An
en traitement, 206 ; — par le toucher d'une mtolie de cheveux, 243. —
Maux
passant du magnétisé au niagnétràeur, ou du malad
en extase, 26, 97, 181, 144, 150. 436, 608, 622. Ressentiment du
mal
d'autrui, d'im pressions étrangères, etc., 148. 1
387, 606; — intuition médicale, 145, 343, 436, 622; — ressentiment du
mal
d'autrui, d'impressions étran gères, etc., 148, 1
accident spécifique. Jamais elle n'aurait eu d'éruption cutanée, de
maux
de gorge, de céphalalgie. 11-y a G mois, dit-el
n- clinée sur l'épaule gauche. Ce qui lient ce que le sujet, voyant
mal
de l'oeil gauche, incline la tète de ce côté po
phiques et vaso-moteurs. Il n'en existe absolument au- cun : pas de
mal
perforant, pas de desquamation cutanée impropreme
nc admettre une néoplasie diffuse dont la localisation se préciserait
mal
: l'ophtalmoplégie externe incomplète, si bizar
renseignements suivants sur ses antécédents et sur le début de son
mal
. Il Son père et sa mère sont morts à un âge ava
e et son tissu néoplasique est peu à peu remplacé par le tissu nor-
mal
de la corne antérieure. - La description de la
chent également àlanotion des ostéites vertébrales gommeuses. Telle
mal
de Pott syphilitique de Portal (4). (1) A. Fo
tement spécifique se montra efficace car, après des alternatives de
mal
et de mieux, vers 7 ans, l'enfant était à peu prè
frac- tures de jambe. Toujours est-il que cette fracture avait été
mal
réduite et qu'elle s'est terminée par une pseud
s. Les jambes sont raides, en extension forcée, et les pieds, assez
mal
in-' diqués d'ailleurs, semblent contournés la
nton. De sa bouche ouverte s'échappe un diable ailé ; les yeux sont
mal
indiqués et les paupières presque closes. Cependa
rtébrale exagèrent. , Les sphincters vésical et anal fonctionnent
mal
. De temps en temps il sur- 114 NOUVELLE ICONOGR
ale, que le père était mort tuberculeux et qu'on eût pu penser à un
mal
de Pott cervical. Mais les bras ne furent pas p
ar compres- sion due à une ostéo-cbondrite gommeuse, en un mot à un
mal
de Pott sy- philitique. Mais il n'existe pas
prolongeant pendant 3 jours, auraient constitué uue sorte d'état de
mal
qui n'a d'ailleurs rien laissé d'appréciable. P
ite, 1 m. 40. Elle dit n'avoir jamais eu d'éruptions cutanées ni de
maux
d'yeux ou d'o- reilles. Réglée à 17'ans, toujou
minuée. La malade localise bien ses sensations mais celles-ci .sont
mal
interprétées au point de vue qualitatif. Transfor
les, la droite étant plus dilatée que la gauche, elles réa- gissent
mal
à la lumière et assez peu à l'accommodation.. L
doit faire attention pour rester en équilibre car ses pieds sentent
mal
le sol, il lui est impossible, dit-elle, de faire
re (1 injec- tion par jour pendant 15 jours). Ces injections sont
mal
tolérées par suite d'une réaction douloureuse loc
bservations personnelles, une étude d'ensemble. t ê , IX - 11
MAL
DE POTT AVEC GRANDE DÉFORMATION par 1 BENJAMI
déformation d'une étendue vraiment exceptionnelle consécutive à un
mal
de Pott. L'observation en elle-même ne comporte
ure. . M. Jules Simon l'examina à nouveau et porta le diagnostic de
mal
de Pott, on constatait à ce niveau une légère d
elongue consulté, fit coucher l'enfant sur une surface plane et ré-
MAL
DE POTT AVEC GRANDE DÉFORMATION 159 sistante et
éfécation en rapport sans doute avec la constipation opiniâtre. ,
MAL
DE POTT Avec grandes déformations. LES NAINS
re distingués. Leur bouche toujours ouverte, aux dents généralement
mal
plantées, à la lèvre. supérieure trop courte et
et despom- mettes saillantes. La largeur de ses chausses dissimule
mal
l'arc disgra- cieux de ses jambes en parenthèse
ertain sur la cause de sa gibbosité. UN BOSSU DE L'ART ÉGYPTIEN. (
Mal
de Pott). Figurine en bronze. (Collection de M.
aille qui lui appartient, y a reconnu l'image d'un sujet atteint de
Mal
de Pott. Il s'agit d'un petit bronze, haut de 6
Aussi, ces seuls caractères suffisent-ils à rendre le diagnostic de
Mal
de Pott infiniment vraisemblable. ' . On ne
é des côtes en haut, la conservation des reliefs musculaires nor-
maux
, sans atrophie ni pseudo-hypertrophie, sur tous
de cet appui artificiel la colonne vertébrale rendue fragile par le
mal
de Pott, les muscles de la région dorso-lombair
sur le deltoïde. Tous ces signes réunis confirment le diagnostic de
Mal
de Pott. La statuette égyptienne que nous venon
e décrire montre que les mal- formations corporelles causées par le
Mal
de Pott ont été observées et exac- tement repro
l'Art anti- que d'une image fidèle des déformations vertébrales du
mal
de Pott. Un des plus célèbres a été longuement
t Paul Richer ont encore retrouvé les déformations vertébra- les du
mal
de Pott dans plusieurs autres spécimens de l'art
la gibbosité anguleuse est conforme aux déviations produites par le
mal
vertébral. Deux Pygmées en bronze, de la collec
s de Bossus dans l'art ne se rapportent pas uniquement à des cas de
mal
de Pott. Eu égard à leur nombre relativement re
ibilité d'une distension extrême des muscles, et d'une laxité anor-
male
des ligaments. La figure 1 (Pl. XXVIII) et la f
gnement ; quand on lui demande quelque chose, elle ne répond pas ou
mal
. Toute la journée elle reste insouciante des ge
amoindries et quelques-unes de ces dernières montrent des contours
mal
définis. La partie postérieure de l'hémisphère
des fibres etcellules nerveuses; ces derniers éléments se colorent
mal
, leur structure n'est pas distincte. Il y en a
r - LA MALADIE DE LA FILLE DE SAINT-GÉOSMES 225 . d'imposture les
maux
qu'ils ne connaissent pas et contre lesquels ils
decins. Plusieurs, invités à aller examiner Geneviève, furent assez
mal
reçus d'abord; le premier, qui proposa un sonda
tendis s'agiter beaucoup dans son lit, et proférer quelques paroles
mal
articulées ; m'en étant approché, je la trouvai
t de cris ; j'essayai de lui parler, elle me dit qu'elle sentait du
mal
à la nuque et au col ; il ne me fut pas possibl
ntenterons de relever les principaux, ceux surtout qui, inconnus ou
mal
définis au siècle dernier, n'ont pas été suffisam
sol.. 1 C'est déjà plus qu'il n'en faut pour affirmer la nature du
mal
dont était atteinte la Fille de St-Géosmes. '
ment fin à cette rétentipn passagère. (1) Cn,\l\col. Leçons sur les
mal
. du sysl. nerf., t. 1, p. 2 il. (2) Gilles IiE
é de progna- thisme. La cavité buccale nous montre des dents très
mal
plantées ; surtout en avant, au nombre de 29, 1
t, au nombre de 29, 14 en haut, 15 en bas, de forme à peu près nor-
male
, sans signification particulière, à l'exception d
eau de l'apophyse gau- che. Déplus, les fontanelles nous paraissent
mal
ossifiées. Les membres supérieurs sont dans leu
parut plus manifeste parce que le développement général se faisait
mal
; lentement mais progressivement elle alla s'acce
mémoire. Il s'agit, en résumé d'un tabétique syphilitique à 17 ans
mal
soigné, qui entre dans le tabes à 23 ans par de
s pas en présence d'un de ces cas tout particulièrement étudiés par
Mal
Raymond et Nageotte, ni de paralysie générale v
ar un tissu conjonctif riche en vaisseaux, formant des replis anor-
maux
avec des vaisseaux très dilatés. Sur les coupes
fascicule radiculaire est accompagné de vaisseaux qui à l'étatnor-
mal
n'ont qu'une paroi très mince, cette paroi peut a
ellules de la moelle, nous ont paru conserver leurs caractères nor-
maux
, elles forment des travées séparées par les faisc
lanche qui, sur tout le reste de la coupe, présente son aspect nor-
mal
et est licitement limitée du côté droit par la pi
parsèment le reste de la coupe, mais une substance grenue, prenant
mal
les couleurs, infiltration gommeuse au stade de r
faveur de l'origine spécifique de ces dilatations vasculaires anor-
males
, nous devons faire ressortir que dans la plupart
oïde est également épaissie, triple au moins de ses dimensions nor-
males
; constituée par des stratifications de tissu fib
ficile de le préciser. C'est sur le moignon de T'épaule que siège le
mal
, en arrière, au niveau des attaches postérieure
encore, on peul faire toutes sortes de conjectures sur la nature du
mal
et de l'intervention. Quelle contusion, quel abcè
idité avec laquelle est survenue la guérison. Voilà qui se concilie
mal
avec l'hypothèse d'une myélite dans le sens propr
récisément quand l'incontinence d'urine et des matières fécales est
mal
dessinée et de courte durée, quand elle s'accom
forts faits pour ramener les doigts et les orteils en position nor-
male
étaient il peu près infructueux. J'ajoute que la
la seconde quinzaine, des phénomènes d'intolérance (vomissements et
maux
d'estomac) étaient apparus. La dose de LX gouttes
ieu, les réflexes tendineux réapparaissent. Le retour à l'état nor-
mal
peut être complet. Toutefois dans les cas graves,
750 grammes. Moelle extraite du canal rachidien. Aussi les méninges
mal
conservées ne montrent pas bien leurs lésions.
ystème nerveux sous le nom de corps granuleux. Sur certains espaces
mal
limités les cellules et les noyaux ont perdu leur
substance grise les cellules se voient avec peine, ou les distingue
mal
dans leurs contours et dans leur structure infi
mblent avoir perdu leur affinité pour l'hématoxyline qui les colore
mal
. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITA
rappelle et par son aspect et par ses dimensions un ongle d'orteil
mal
soigné, son bord libre, irrégulièrement dentelé,
e de la maladie que celle de l'intervention ; cependant le siège du
mal
à la par- tie supérieure du dos, près de la bas
. La Maladie de laFille de Saint-Geosmes, par Henry MEIGE, 223.
Mal
de Pott avec grandes déformations, par Benjamin
. Maccus, Polichinelle et l'Acro- mégalie, 375. 'VEIL (Benjamin).
Mal
de Pott avec grande déformation, 158. TABLE D
ns contenant des projectiles (photo- graphies Roentgen), XI, XII.
Mal
de Pott avec grandes déformations, XXII, XXIII.
térie, XLVIII et TLIX. TABLE DES FIGURES Bossu de l'art égyptien (
mal
de Pott), 20, 21. Clonographe, 3. Gomme syp
aux du facial et du narmoteur oculaire externe sont absolument nor-
maux
des deux côtés. On trouve dans les racines de la
e intégrale. Nous essaierons ensuite de mettre en lumière les faits
mal
connus ou nouveaux qu'il nous a été donné d'étu
s et les jambes gelés et c'est cette gelure qu'il attribue tous ses
maux
. On le transporta à l'Hôtel-Dieu dans le service
uefois spontanément et fait quelques pas aidé d'une chaise. Il dort
mal
. Son appétit est diminué. Ses téguments sont d'
s. Du côté de l'ceil, on trouve du myosis ; les pupilles réagissent
mal
à la lu- mière ; le champ visuel est rétréci.
e des pieds et des jambes. à laquelle le malade attribuait tous ses
maux
; elle aurait joué le même (1) P. Maiiie, Leçon
vaguement fibrillaire assez riche en noyaux. Un autre point assez
mal
connu de la question est l'existence de tu- meu
. Si leurs reliefs sont bien indiqués, leurs contours sont toujours
mal
délimités : à la périphérie, en effet, elles se c
u mi- lieu de la masse encore peu développée, l'existence de noyaux
mal
isolés et résistants, noyés dans une atmosphère
blier des cas d'anorexie hystérique. C'est un syndrome relativement
mal
connu de la plupart des médecins et M. le Dr Gi
ossibilité de parler. Tout le temps de sa jeunesse elle se trouvait
mal
à tout instant, elle a longtemps souffert de né
rès bonne, l'accouchement a été facile ; élevée au biberon d'abord et
mal
nourrie, elle dut à quatre mois être mise au se
mène à la campagne à Epernon ; déjà elle mangeait peu et digé- rait
mal
, dès que le repas était terminé elle se « tortill
REXIE HYSTÉRIQUE 33 des douches, 15 douches ; ces douches sont très
mal
supportées, la consti- pation persiste, les tro
se cruelle, qu'il avait perdu deux ans avant sa fille ainée du même
mal
, il voulait sauver celle-ci ; il exprimait celt
lomac, d'autres douleurs dans les épaules, dort peu, semble digérer
mal
. On le considère comme un neurasthénique ; car, e
nce actuelle de signes de syphilis, il retourne à son corps. Tant
mal
que bien il y fait son service jusqu'au milieu de
ment : il est très ennuyé qu'on n'oppose pas une thérapeutique à ce
mal
, très inquiet si l'on suspend le traitement spé
lyperhroduclion de gaz et non d'un excès de distension des gaz nor-
maux
, logés trop à leur aise parsuile de la laxité ano
veuse, folie ou épilepsie, on ne sait trop, en tous cas le nom de «
mal
herculéen » est resté synonyme d'accidents ner-
ontiers les causes de tous les désordres de l'esprit et de tous les
maux
ayant la tète pour siège. Les charlatans se gar
t avides de merveil- les, et ceux qui souffrent d'incompréhensibles
maux
. Même de nos jours, l'idée que des corps étrang
citait -les plus graves opérations. La plupart, voyanl bien que le
mal
était tout psychique, se refusèrent à tenter un
ments jusqu'au jour de la bienfaisante interven- tion. Car tous les
maux
proviennent de ces néfastes cailloux : céphalalgi
ine ambulante. Car l'opération de la pierre de tête guérit aussi du
mal
d'ivrognerie. Maître Jan Steen nous l'a déjà donn
cou : impossible de bouger. Aucun ménagement pour ce client dont le
mal
doit être terrible, quelque fou furieux ou quel
out être vivant renferme quelque part une pierre, cause de tous ses
maux
. La légende le dit explicitement : 1l keeck i
de tète ou souffrir sous le couteau du chirurgien ; entre ces deux
maux
également redoutables,que devenir ? ... Assurém
t de le considérer comme un souverain remède contre une infinité de
maux
. De là, la réflexion du fumeur de notre gravure
tout,répond quelque- fois bien aux questions, mais le plus souvent
mal
.Elle dit même des bêtises dé- mentielles et sur
a malade s'endort tout à coup en parlant ou en mangeant. Elle tient
mal
son ménage et devient malpropre, sa mémoire, son
nt alcoolique, malade stupide, répond par monosyl- labes, renseigne
mal
sur les débuts de sa maladie. Se plaint de céphal
té de chirurgie de Le Deiiil et Delbet, mentionne, au diagnostic du
mal
de Pott, l'erreur possible avec les fractures spo
multiples de la colonne vertébrale. Exagération des courbures nor-
males
. Première courbure latérale à concavité droite au
ucun renseignement sur son hérédité. Peu intelligente, elle raconte
mal
l'histoire de ses antécédents pathologiques. Ma
s,le dernier, mais il a succombé à une éruption généralisée et à du
mal
dans la bouche. Lo premier phénomène en date,
150 GIBERT Personnellement, il n'a jamais eu d'autre maladie qu'un
mal
perforant plan- taire à droite, apparu à l'âge
levât de l'action lo- cale du sublimé sur le nerf par une injection
mal
dirigée. Nous avons vu pratiquer chez nos maîtr
permet d'entendre aucun souffle. Il n'existe aucune vibration anor-
male
. Les artères du membre ne paraissent avoir subi a
ant-bras. (G. Gasue et G. Guillain) ANGIOME SEGMENTAIRE 171 son
mal
; à vingt-cinq ans ce fut la variole, ce fut une
vasculaires rétro-axillaires et latéro-lhoraciques s'expli- querait
mal
avec un anévrysme artérioso-veineux. Ce n'est p
triques, indolentes, molles, dans lesquelles on retrouve des noyaux
mal
isolés et indurés ; à la périphérie on constate
secondaire n'est-elle pas très probable dans une peau distendue et
mal
Irourrie' ? L'ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 191
OGRAPHIE DES ARRACHEURS DE DENTS PAR HENRY MEIGE Au premier
mal
de dent remonte sans doute le premier dentiste. I
comme ces derniers étaient souvent d'humeur railleuse, pour eux le
mal
de dent se prêtait à merveille aux scènes humoris
e prêtait à merveille aux scènes humoristiques. Sans doute,c'est un
mal
douloureux entre les plus douloureux ; maison sai
des témoins et l'on peut prévoir que les choses ne tarderont pas à
mal
tourner pour le peu délicat opérateur. Car un h
vivement. Ce. tableau situé dans la première salle du musée et fort
mal
éclairé d'ailleurs,, loin de la lumière, était
galement à retrouver quelques mots. Elle dit sponta- némerit ; j'ai
mal
..... elle répond « à boire » quand on lui demande
as de déviation de la face ni de la langue, la sensibilité est nor-
male
. J'ai revu le malade en septembre 1887. Il étai
e l'aile du nez on trouvait un 234 RENÉ MARTIAL petit territoire (
mal
défini quant à ses contours) où la sensation étai
une cigarette, le tout en s'aidant de la main gauche. Puis il eut
mal
à la tête. Cette céphalée augmenta rapidement et
porte en outre une ulcération à la face dorsale du pied droit et un
mal
perforantplantaire avec anesthésie au pied gauche
E BRÈCHE DE COMMUNICATION BUCCO-SINUSIENNE CONSÉCUTIVE, SIMULANT LE
MAL
PERFORANT BUC- CAL ; FACIES SPÉCIAL (DÉMONIAQUE
- véolaire, la lèvre supérieure et les parties attenantes des joues
mal
soute- nues sont en retrait dans la cavité bucc
erve chez les tabétiques atteints de résorption des mâchoires et de
mal
perforant buccal. La phy- sionomie de notre mal
moyenne, non amaigri, solidement bâti. Coloration du visage nor-
male
. Ataxie des deux jambes. Abolition ries réflexe
ax reposant sur la crête iliaque correspondante. Marche ataxique,
mal
assurée, impossible sans canne, rappelant de suit
nctionnement des grands appareils splanchniques est à peu près nor-
mal
. Musculature flasque, couche cellulo-graisseuse
courbures suivantes : la portion cervicale a perdu sa lordose nor-
male
et la saillie des apophyses épineuses forme une l
examen des organes thoraciques et abdominaux ne révèle rien d'anor-
mal
. Observation VIII. - (Musée de la Salpêtrière.)
ion de Vacuité visuelle, troubles subjectifs de l'ouie. Deux petits
maux
perforants symétriques aux talons. A 39 ans, prem
jambes dans son lit. Un jour, par hasard, elle constata deux petits
maux
perforants systématiques sur l'un et l'autre talo
ongles sont un peu déformés, mais pas dystrophiés. Plus de trace de
maux
perforants. Sauf les symptômes d'une bronchite
sans chute ni perte de connaissance, mais très pénible, analogue au
mal
de mer. ' A trente-sept ans, il a plusieurs cri
inq ans, que le malade voit survenir les premières atteintes de son
mal
: à cette époque, en effet, il fut pris de douleu
sez longue, deux ou trois kilomètres sans trop de fatigue. Il sentait
mal
néan- moins la résistance du sol ; il lui sembl
entuée existe dans les membres inférieurs. La marche est d'habitude
mal
assurée, talonnée, elle est impossible dans l'obs
ronc en avant, apparition d'une cyphose dorsale au début. A 51 ans,
mal
perforant plantaire double : amputation double,
inférieurs et au tronc. Il y a sept ans, le malade fut atteint d'un
mal
perforant plantaire, localisé au premier orteil
de doigt à gauche, de deux seulement à droite. La palpation se rend
mal
compte de la série des apophyses épineuses, elles
sur la gauche. Le malade est placé dans le décubitus dorsal, il est
mal
il son aise ainsi, dit-il, il se couche d'habit
dent leur tour, l'un d'eux indiquant aussi du doigt le siège de son
mal
. A droite. l'éventaire du' char- latan est dres
Millier. La moelle qui semble aussi plus petite qu'une moelle nor-
male
est fixée et durcie par le même procédé. Après
es, leurs prolongements peu nets, obscurs, leur noyau irrégulier ou
mal
coloré. Dans cette région il n'existe ni hyperp
isceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil médian sont nor-
maux
. l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 341 C.-
rmes qui existent quelquefois, il est vrai, chez des individus nor-
maux
, mais nous semblent plus prononcée chez notre mal
pos, l'expression du visage était stupide. La parole est explosive,
mal
articulée et scandée, parfois difficilement com
bres lui apparaissent voilés. La papille est injectée des deux côtés,
mal
limitée, légèrement voilée. Léger degré de cy
let ne pèse que 80 grammes ; comparées il celles d'un cervelet nor-
mal
, les fibres de la substance blanche et de ses ram
ce grise sont également moins développées que chez un individu nor-
mal
, mais elles sont bien proportionnées l'une il l'a
, mais conservant une grande faiblesse et quelques douleurs diffuses,
mal
limitées dans la tête..... au mois de décembre.
mba sur le pavé se frappant le côté droit de la tête. Elle fut très
mal
pendant quelques mois,et quand elle se leva, on s
bien que les autres enfants de son âge , Voici donc un cas où un
mal
est remplacé par un autre et où l'épilepsie jac
noncées avec fistules ; actuellement il est maigre, de petite taille,
mal
char- penté ; durant toute sa vie il n'a pu boi
l'attitude du malade est telle, sa configuration thoracique est si
mal
dissimulée sous les vêlements qu'elle fait songer
colonne vertébrale présente soit une exagération des courbures nor-
males
soit un renversement de ses courbures, soit enfin
entière ou la gib- 'bosité en anse décrite par Lannelongue dans le
mal
de Pott. A côté des angles saillants on pourra
ce praticien de très pauvre apparence. Une masure enfumée, aux murs
mal
crépis, ornés d'un grossier por- trait-charge ;
cette poudre si elle voulait éloigner au plus vite la cause de son
mal
. Mais ce fut en vain. Autre aventure : J'entr
urs médecins, essaya plusieurs traitements, mais ce fut en vain. Le
mal
fit de rapides progrès et bientôt toute dégluti
églutition de liquide ou de solide devint impos- sible. La cause du
mal
était la pénétration dans la gorge et t'arrière-g
nt com- plet et mourut. Le cadavre fut ouvert et montra la cause du
mal
: l'oeso- phage était rétréci dans sa partie su
cette affreuse poudre qui ne peut être pour elles qu'une source de
maux
. Il se félicite cependant que la mode de fumer
e. J. II. Cohausen interpelle ainsi la tabatière source de tous les
maux
dont se plaignent les priseurs : Tabatière, c
ille. Mais chez tous l'ouverture du nez montre lacauseprincipale du
mal
: il s'échappe des cavités mises à découvert un
le ne ressent de douleurs dans aucune partie du corps, pas même des
maux
de tète. La parésie du nerf facial gauche que n
déjà donnée, les faits suivants : L'acuité visuelle est toute nor-
male
dans l'oeil droit, mais très faible dans l'oeil g
la pupille gauche est un peu ovale, mais du reste tout à fait nor-
male
. Diagnostic : Ptosis incomplet gauche, paralysie
et bruyants, période enfin de localisation des lésions. Au début du
mal
, les déviations simples ne s'installent pas d'e
même de l'affection, qui le laisse dans l'ignorance complète de son
mal
. D'autre part, toute dévia- tion du rachis, tou
ffection vertébrale comparable à l'ostéo-arthropathie tabétique. Le
mal
de- Pott dorso-lombaire seul a quelques analogi
pouvaient un instant faire naître le doute, il resterait encore au
mal
vertébral ses symptômes de suppuration et les p
mais aucun ne se souciait de traiter d'une manière aussi pénible un
mal
qui ne lui causait ni douleur, ni gêne, ni inqu
s'alcoolisant et faisant divers excès. C'était paraît-il un cerveau
mal
équilibré, les bizarreries de son caractère éta
ue de lésion cérébrale ou cérébelleuse, se plaignant seulement d'un
mal
de tête et d'un peu de fièvre. Observation XXVI
ainsi que son extrémité supérieure. Les organes internes sont nor-
maux
En ce qui concerne le pariétal gauche, on y tro
il n'y a pas d'aphasie, les mots difficiles ou incompris sont seuls
mal
prononcés. La corde vocale gauche aurait été pa
eurs indiscrets le contenu de ses écrits, il eût été singulièrement
mal
inspiré en adoptant l'écriture à rebours, dont
E LÉONARD DE VINCI 609 nous qui arrivent à griffonner plus ou moins
mal
quelques caractères en miroir, à la petite fill
, que l'écriture en miroir et de la main gauche est l'écriture nor-
male
chez les gauchers. * .Telle que nous venons d
prit : ce sont là défauts ou qualités qui d'ordinaire s'accommodent
mal
d'une discipline. Au reste cette discipline il
l a eu une fièvre continue qui a duré neuf jours, s'accompagnant de
maux
de reins sans céphalée ni diarrhée et qui sembl
l'accommodation sonthabituellement conservés ou bien ils répondent
mal
aux incitations lumineuses (Lawford). Ils se pr
es malades ne peuvent pas fixer du tout ou bien parce qu'ils fixent
mal
. Il est normal dans deux cas (Lucanus, Gast), rét
rendre que si l'un des articles de la chaîne manque ou se développe
mal
, il en résultera des troubles plus ou moins profo
he pigmentaire grande com- me une pièce de un franc, peu colorée et
mal
limitée. Au niveau du pli du coude droit, une m
r un perchoir (4). 1 J'ai déjà eu l'occasion de parler, à propos du
Mal
d'Amour, d'un tableau de Gérard Thomas (5) (com
pêtrière, Planche LXX, 1899. 660 HENRY MEIGE uroscopiques pour le
mal
d'amour ; mais, dans le fond de la pièce, un aide
u- rel. ' « La septiesme arrache les dents qui branlent, qui font
mal
et qui se gastent. » Ainsi, les chirurgiens p
ns le nez jusqu'au gosier, où je n'ay rien senty, qui m'aye fait du
mal
... Toute la difficulté est là que la liqueur, tom
ment et sans grande douleur. Le gamin, qui a eu plus de peur que de
mal
, demeure cependant les yeux pleins de larmes, t
it Jean Goeurot (1), médecin de François le', ne sait-on pas que le
mal
de dents « entreaultres immortelles passions de
ais, la valeur d'un symbole. « Vous portez une mousche, avez-vous
mal
aux dents ? » lit-on dans une pièce de vers de
pièce de vers de l'époque. Et le dicton répétait : « Alal de dent,
mal
d'amour. » La planche LXXXVII reproduit une gra
suffira de rappeler ici cette ancienne légende, d'après laquelle le
mal
de dent serait causé par un ver logé dans la cavi
simplement avoir signalé un fait d'observation banale, journalière.
Mal
m'en a pris. J'avais bel et bien dit une hérési
emme qui a été pendant des années sa compagne. Il suppose qu'il est
mal
con- formé (en apparence les organes sexuels so
parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du
mal
. Je dois dire cependant que, d'après mon expéri
ois, elle eut, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins
mal
élevés, mal embouchés, des désa- gréments qui s
t, dans la maison qu'elle habite, avec quelques voisins mal élevés,
mal
embouchés, des désa- gréments qui se reproduisi
2C Cas. - Il est âgé de quinze ans, un peu adipeux, joufflu et pas
mal
empâté pour le moment. On ne relève chez lui ni
s. II y a dix semaines environ, sans cause connue, il a été pris de
maux
de tête, puis d'inappétence et de divers accide
sûr moyen qui, en pareil cas, devra être opposé à la propagation du
mal
; c'est d'ailleurs là un point sur lequel tous
evoir régulièrement les impressions du dehors ; le malade s'oriente
mal
dans ce qui l'entoure et devient confus dans se
les plus sévères répressions. Délits commis dans des buts stupides
mal
déterminés, souvent sous l'influence de la bière
d'incendie dans les hôpi- taux. A Paris, il est des établissements
mal
pourvus à cet égard : nous pouvons citer en têt
pture de fiançailles, entre paysans, la fiancée étant atteinte . de
mal
caduc (17 mars 1533) : . ... Par-devant nous, o
est venu à sa connaissance que ladite, sa fiancée, est atteinte de
mal
caduc. - L'exposant s'est donc parce motif prés
qu'il fallait le commander à tout propos, qu'enfin il écrivait très
mal
et ne pouvait pas tenir la comptabilité. Le patro
is et éloi- gnés du corps. Il s'avance dans cette posture, d'un pas
mal
assuré, les pieds fortement tournés en dehors,
rade l'a heurté en passant, parce' qu'il croit que l'infirmier' l'a
mal
servi au repas,'ou parce qu'il s'imagine qu'on
souvent, tirent leur orgueil de leurs méfaits et qui alors font le
mal
pour le mal. Eh bien, de tels individus ne sont
rent leur orgueil de leurs méfaits et qui alors font le mal pour le
mal
. Eh bien, de tels individus ne sont pas des ali
est bien capable d'induire en erreur. 4° Les troubles trophiques :
maux
perforants (Kir- misson), chute des dents et de
ez aimé une femme qui est le diable ; » une autre lui dit qu'elle a
mal
fait de le dire c Je suis Jésus en vous, » lui di
prétexte pour y -aller. Alors elle pensait à ses enfants. « Quel
mal
vqis-je leur faire, se disait-elle; il n'y a pa
la peine qu'elle fait à ses enfants en ne pouvant pas surmonter son
mal
. Il y a trois semaines, elle se DES HALLUCINATI
Etant jeune, elle était très scrupuleuse, avait toujours peur de
mal
faire. Après s'être confessée, elle avait peur de
travailler chez elle, et à partir de ce moment, elle se porta plus
mal
. Déjà depuis an an, elle n'allait pas très bien
au contraire travailleuse, active, tout en étant triste. Elle avait
mal
dans le dos et voulait rester couchée. Il fallait
it à une petite voisine : Sauve-toi, sauve-toi, je vais te faire du
mal
. » c La peur, dit-elle, est venue après la faib
it de voir des lumières, de voir parler un enfant; tout lui faisait
mal
, etc. Il y a quinze jours, elle est venue habit
die on ressent tout péniblement. 1 . ' «Quand je suis couchée, j'ai
mal
partout; c'est comme une pesanteur. J'ai dans l
faux. C'étaient de faux papiers. Mais on ne voulait pas me faire de
mal
, j'ai été très heureuse. Je crois que ma mère n
e monde, mais il faut croire que ce n'était pas cela. J'ai donc été
mal
élevée. Je n'étais pas moi- même, il fallait qu
mar- quée qu'elle commença à perdre l'esprit. Elle se nourrissait
mal
. Elle devint complètement aboulique et indifféren
ceinte et d'un autre que son amant. Des gens voulaient lui faire du
mal
. Elle croyait que tout le monde parlait d'elle,
d'où, et elle comprend des voix, dit-elle. D'ailleurs, elle saisit
mal
ce qu'elles disent. Antécédents personnels. «
t laborieuse. Aimait à se disputer. 'Froid aux pieds, maux de tête,
mal
réglée. Elle était orgueilleuse, aimant la disc
ms. Il y en a bien aussi qui sous prétexte de faire du bien font du
mal
. Elle est ici prisonnière d'État et de guerre,
une demoiselle. Ne m'appelez pas bonne dame, j'ai toujours fait le
mal
, je ne vaux sept fois rien. C'est à tort pour-
a perdue si elle crache dans son crachoir. Tout ce qu'elle fait est
mal
fait. C'est une gémisseuse perpé- tuelle. Ain
9 cience qui caractérisent l'état désigné sous le nom de « petit
mal
», 'et qui, par suite de leur peu de durée, peuve
aperçu peut être en quelque sorte interprété comme un état de petit
mal
, une série de petits accès psychiques. Il peut
, après la-convalescence de la fièvre, à des sensations illusoires,
mal
comprises par le cer- veau. En général, la dépr
ndante; de gauche à droite les caractères étaient tracés d'une main
mal
assurée et le corps en était anguleux ! C'est d
venue faciliter la tâche. En tous cas, c'est pour avoir méconnu ou
mal
interprété les stigmates de l'hystérie que des mé
rendre, allons la chercher ! » J'y suis allé. Je ne crois pas avoir
mal
fait. . Achille -Dourches n'est d'ailleurs inte
qu'on la touche, elle se retire brusquement, disant qu'on lui fait
mal
. Les paupières sont fermées, et les yeux convul
médecins appelés près d'elle, découragée par l'aggravation de son
mal
dont elle se rend très bien compte elle veut s'
ant avec énergie : « »Non, je ne veux pas rester ! « Je me trouve
mal
ici ! « Je ne suis pas à ma place dans cette sa
: la forme de la main rappelle celle que prendrait une main nor-
male
dont les doigts seraient fortement serrés pour ne
conscience qui nous permet de discerner le vrai du faux, le bien du
mal
, à ce témoignage intime qui donne l'approbation
par le simple contact et sans miroir, si sa coiffure était bien ou
mal
disposée, selon ses goûts. Il semble qu'ici la se
On arrêta l'hémor- rhagie et la plaie se cicatrisait tant bien que
mal
, quand la jeune fille peu de jours après l'acci
étudiée : 1° Après l'attaque convul- sive isolée; 2° Après le petit
mal
; 3° Le délire; 4° Pen- dant et à la suite des a
4° Pen- dant et à la suite des accès en série; 5° Dans l'état de
mal
. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ LES EPILE
consécutive aux accès en série et à l'albumi- nurie dans l'état de
mal
. Nous n'y reviendrons donc pas. Les phénomènes
ul accès, est peut-être une véritable complication dans l'état de
mal
où, nous le verrons plus loin, elle paraît consta
naire meurent plus facilement que les autres épileptiques d'état de
mal
. 362 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous n'avons
int' forcément des sérielles. 17.. . . Albuminurie dans l'état DE
MAL
épileptique. Les états de mal épileptique étant
17.. . . Albuminurie dans l'état DE MAL épileptique. Les états de
mal
épileptique étant assez rares, même dans un servi
s systématique- ment l'albuminurie chez des épileptiques en état de
mal
, nous l'avons toujours rencontrée : nous ne pré
ypique : Le 23 juillet 1891, Hemmer..., seize ans, entre en état de
mal
à 10 heures et demie du matin. Nous assistons a
parce qu'il montre bien l'évolution de l'albuminurie dans l'état de
mal
. ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE ET ÉPILEPTIQUE.
37° 8'. Tantôt les malades sont mortes : ' 23 ans, Pet... Etat de
mal
de trois jours, 135 accès. Albuminurie intense.
s jours, 135 accès. Albuminurie intense. 54 ans, Court... Etat de
mal
de trois jours, 228 accès. Albuminurie intense.
ne peut pas servir toujours à différencier, à elle seule, l'état de
mal
épileptique de l'éclampsie. C'est une affinité de
nt ont besoin d'être multipliées et étudiées à nouveau. L'état de
mal
épileptique paraît toujours être accompagné d'a
souffrances, il croit en trouver l'explication daus ce fait qu'il a
mal
pris les médica- ments qu'on lui a ordonnés. Al
n, son fusil en mauvais état et que dans sa précipitation il charge
mal
, lui éclate entre les mains. il se débarrasse d
e toutes sortes, particulièrement par celle qu'on veut lui faire du
mal
, et aussi par son désir d'en finir, d'être déba
l est de plus en plus préoccupé par la crainte qu'on lui fasse du
mal
, qu'on l'empoisonne. Il mange à peine. On ne peut
uelles : « Je veux mourir, il faut que je meure. On veutme faire du
mal
, on veut m'empoisonner ! a Impos- sible de lui
qu'il ne voulait tuer que M..., qu'il ne veut pas qu'on lui fassede
mal
, ni qu'on l'empoisonne». Il s'apitoie évidemmen
ma faute, puisque j'étais fou. Je vois bien qu'on veut me faire du
mal
. Je ne veux pas qu'on m'em- poisonne. - Je veux
que légère, trouble dans les idées, préoccupations un peu vagues et
mal
systé- matisées dans le sens des idées de persé
nnalité caractérisée par la lutte entre l'idée de bien et l'idée de
mal
. Ici chaque voix a sa localisation. Cela a sans
but. Depuis six mois elle n'est pas réglée, après l'avoir été assez
mal
plusieurs mois auparavant. Elle se plaint de leuc
dissocie. Il assiste lui- même à cette dissociation; il sent que le
mal
réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies c
un délit. Si leur place n'est pas à la prison, ils sont encore plus
mal
placés dans les asiles. La légis- lation devrai
ité, et, en particulier, du sens musculaire; les malades localisent
mal
les sensations, appré- cient moins distinctemen
es. On peut plus ou moins probablement accuser l'excitation anor-
male
des centres moteurs, dans la manie, la folie syst
On pourrait les appeler paralysies générales à localisation anor-
male
. M. HAHN présente un cas de folie aiguë chez un
que de méningo-encéphalite. Obs. VI. Idio- tie complète, épilepsie,
mal
de Pott vertébral. Obs. VII. Cas d'hys- térie c
n aide. Tous ceux surtout qui sont en proie aux premiers accès d'un
mal
que l'on peut dissiper, doivent être admis à re
en quelques minutes et sans rechute toutes sortes de névralgies et
maux
de tête par son fluide électrique. Consultation
employés à l'égard des victimes d'accidents, feignit de se trouver
mal
dans la rue. On le transporte à l'hôpital, où u
ie mentale, par Sarlo, 231. Pyramides, chez l'homme et les ani-
maux
, par Bechterew, 397. RAYNAUD (maladies de), par
la coque- Ittclic el la rouireole dans sa première enfance; il et[[
mal
il l'n- 1 ('ille droite pendant deux semaines a
l'n- 1 ('ille droite pendant deux semaines après la rougeole, et ce
mal
lui accompagné (l'un étal fébrile. Point d'autr
d'une manière très imlulurmiutc;il se plaignait quelquefois d'avoir
mal
à la lèle, d'avoir des vertiges et d'être irrité
[ions précises. Tout cela dérangea mon système nerveux ; j'avais
mal
au dos, à la tête ; des Heurs blanches et des ver
ndant la nuit. Le troisième hiver je me suis sentie de nouveau très
mal
; je me fatiguais facilement, j'avais des ecchy
oce des variantes d'une même entité morbide. La démence précoce est
mal
connue et doit encore être étudiée avant qu'on
our fermer les yeux, ce qui gêne ce dernier mouve- ment. Tabès et
maux
perforants. M. P. Marie présente un tabëtiquo a
perforants. M. P. Marie présente un tabëtiquo atteint de plusieurs
maux
perforants palatins déterminés par des points d
observation d'imbécile, avec hémiplégie et épilepsie, et état de
mal
qui lui sert de contre-partie. Paul Boncour con
tte complication de l'ostéite tuberculeuse font encore (4) CoTA. Du
mal
de Poil au-dessous de la moelle chez les enfant
ibres nerveuses, nom- breuses fibres grêles, libres qui se colorent
mal
au Pal, fibresavec la gaine myélinique ii@i,é-u
comme il peut arriver dans les autres racines de la moelle dans le
mal
de Pott, il est possible que la dure -mère puis
montre que les nerfs périphériques sont sains et qu'il s'agit d'un
mal
de Pott sacré qui se pro- pagea au tissu épidur
rqué de mélancolie et d'hypocondrie ; la ponction, en guérissant le
mal
local, fait disparaître* les . troubles mentaux
s décrites chez les épileptiques morts dans le co- ma ou en état de
mal
. La moelle ne présente rien de particulier, sau
pte quoiqu'un peu lente, et la contraction présente un degré nor-
mal
. L'immobilité réflexe su peut aussi transformer
teinls d'épilepsie grave ou surtout, pendant les périodes d'état de
mal
dui,assezsouvent se produisent sans cause et tr
n épileptique pendant la phase d'aggravation de sa maladie (état de
mal
) on n'obtient pas de phénomènes d'intoxication
e survenue brusquement avec rétention d'urine diagnostiquè- rent un
mal
de Pott après ponction lombaire à polynucléaires
hernie scrotale double, ne pouvant avoir de rapports sexuels nor-
maux
, commettait des attentats à la pudeur sur des fil
que, pour arriver à ses fins, il se donne souvent beaucoup plus de
mal
que s'il travaillait d'une fa- çon normale. -
préoccupations mentales, il en arrive à jouer, devant un auditoire,
mal
ou beaucoup moins bien que dans la solitude : t
es dégénérés. 3° Une troisième forme (que les auteurs différencient
mal
des précédentes et qui en est pourtant bien dis
ontinuent t pas moins d'arriver en foule, et on y trouve encore pas
mal
de possédées. Le mémoire contient 5 observation
rs travaux, de joindre leurs efforts pour combattre le plus grand
mal
qui puisse affliger l'humanité : l'affaiblisse-
- ques ne sont que l'interprétation délirante de sensations anor-
males
réelles : un angineux croit avoir un chat dans la
urtout des persécu- teurs des médecins qu'ils accusent de les avoir
mal
soignés ou d'être la cause de leur infirmité (a
cours à la con- tracture. D. Au point de vue palhogénique, on est
mal
renseigné sur ces faits. En particulier, il par
certains paralytiques et sur leurs troubles de nutrition (escarres,
maux
perforants, etc.) ainsi que sur la catatonie de
Thomsen fait obser- ver que certains sujets nerveux les supportent
mal
dès qu'ils dépassent la durée d'une demi-heure,
e ces établissements. Eux aussi étaient ignorants, donnaient fort
mal
les douches : personne ne les avait conseillés. E
connaissent pas les inconvénients et même les dangers d'une douche
mal
administrée qu'ils ne cherchent pas à se rensei
été possible, par l'intoxication bellado- liée, (le faire naître le
mal
comitial, qui s'est superposé ou substitué à l'
ri, cesse d'allaiter son enfant, douent apathique, inac- tire, dort
mal
, se plaint de la tête, se lamente continuellement
et s'agitent, comme en des tableaux cinématographiques, des ani-
maux
, des personnages grotesques, des fantômes, des
cksonnienne la zone lésée de l'écorce cérébrale, on enlève, avec le
mal
, l'activité volontaire du membre correspondant.
mouvements passifs et actifs des membres. Le sujet loca- lise très
mal
. Si, au lieu d'une perte de substance relati- v
Il avait la respiration du type Cheyne-Stokes. Chez l'enfant nor-
mal
, il en est à peu près de même. x Chez le nouveau-
d'acheter et d'an- nexer à l'asile (1). ' Nous avons émis l'idée,
mal
acceptée par certains, que les mé-, decins deva
grand nombre de fois (1), - '2° L'ell fant a succombé il un état de
mal
épileptique et selon la règle que nous avons co
alysés (pas d'fyntériel, et qu'elle perdait ses bs. Elle s'alimente
mal
(il faut la forcer), parce que son estomac est
son enfant se meurent. A partir de cette époque, il eut de violents
maux
de tèle et per- dit l'aptitude au travail. Il a
ce les ouvriers sédentaires, travaillant dans des locaux étroits et
mal
aérés ; et que,par contre,ceux qui sont occupes
ésident au développement des atrophies nerveuses sont encore trop
mal
déterminées pourcluel'al)sence de ces atrophies,
leptiqucs, etc.. est nulle. ou très faible, du moins pour l'ani-
mal
. Son élude ne fournil guère de renseignements dir
ets de la soustraction du liquide céphalo-rachidien chez les ani-
maux
avant d'en préconiser l'emploi chez l'homme C'est
s \ ordinaires, d'où la dénomination d'écoliers mentalement anor-
maux
, ils forment te degré supérieur de l'imbécillité
, en usant d'une méthode spéciale, on arriverait aies rendre nor-
maux
. Des écoles seraient à créer pour eux, et dès qu'
endemain jeudi, à 11 heures, par une voi- tun' de l'Asile. Non sans
mal
,etgrlce à l'intelligence et au sang- froid du c
])escouleur put être camisole et hissé en voiture. Tant bien «pie
mal
, il arriva ainsi à l'asile. Le malheureux aliéné
Sur la pathogénie des altérations médullaires survenant au cours du
mal
de Pott ; l'Ail le D' 1T.\LO HüSS1 (Travail d
que celle de la pathogénie des accidents médullaires au cours du
mal
de Pott Nombreuses ont été les opinions émi- se
e de l'histoire pathogénique des troubles médullaires au cours du
mal
de Pott ; il ne nous semble donc pas inutile -
théorie mécanique osseuse des phénomènes nerveux survenant dans lé
mal
de Pott, insiste sur l'origine osseuse des comp
Pains 1860. (4) Midi \un, - Sur la méningite et la myélite dans le
mal
verté- bral. Thèse deParis 18;1. (5) (at.RCO'
lente et progressive, comme cela s'observe habituelle- ment dans le
mal
de Pott, nous affirmons, dit Michaud, que la ca
Ley- den, non seulement la paralysie par compression au cours du
mal
de l'ott, mais même celle provoquée par des tu-
us qui déterminent l'altéra- tion pathologique de la moelle dans ie
mal
de Pott sont les suivantes : dans des cas rares
e conception de la pathogénie des altérations mé- dullaires dans le
mal
de Poil a été admise et confirmée dans ses gran
le. Que cette myélite nettement tuberculeuse propagée au cours du
mal
de Pott soit extrêmement rare, le fait est prouvé
ion sine qua non de l'admissibilité d'une vraie myélite au cours du
mal
de,Pott.11 est évident que la question de la sp
la spécificité ana- tomique de la myélite tuberculeuse au cours du
mal
de Pott ne peut pas être détachée de celle delà
résultats posi- tifs de l'inoculation. .. La possibilité dans le
mal
de Pott d'une vraie myélite primaire, indépenda
il 1901. 436 - pathologie nerveuse. il s'agissait dans ce 'cas de
mal
de Pott dorsal. En l'ab- sence de toute pachymé
pliquer des lésions médullaires analogues survenant dans les cas de
mal
de Pott où il y a une pachyméningite. Cette act
s ont rencontrées dans un cas où il n'y avait pas, il vrai dire, un
mal
de Pott, mais la constatation très in- téressan
- Il faut toutefois convenir que cette action des toxines, dans lé
mal
de 1'ott, pour la production des faits dégéné-
terrain de l'anatomie pathologique on rencontre parfois des cas de
mal
de Pott dans lesquels on ne peut expli- quer le
ue pas également un certain rôle dans la grande majorité des cas de
mal
de Pott où les troubles circulatoires mécanique
uestion de la pathogénèse des altéra- tions médullaires au cours du
mal
de Pott. Ceci d'autant plus que, dans la plupar
apporte ici l'étude anatomo-pathologique de la moelle dans 4 cas de
mal
de Pott. chez des malades ayant présenté des tr
n correspondant du tissu épidural qui l'ail que la convexité nor-
male
de la moelle est remplacée par une dépression. Au
en outre une abondance de gaines 11l élinique gonflées, se colorant
mal
au Pal, parfois en voie d'évidente fragmentatio
ntouré d'une gaine m)é)ini- que également gonflée, se colorant très
mal
au Pal : certaines de ces mailles sont remplies
chare fessière. La malade meurt'le 13 mars, 1 DO ? i , Autopsie :
Mal
de Pott ancien au niveau de la 4° vertèbre dorsal
ng ! 'os'tui)erculecaseifbrmejn'esentantdes 'masses qui se colorent
mal
, des points nettement l'1ll.iliéb et quelques c
- tées on retrouve des mailles normales contenant des fibres nor-
males
. Les mailles plus fortement dilatées sont pour la
aine m\ clinique forlement dilatée, irrégulière, se colo- rant très
mal
au Pal. Dans les mailles nv rugliclues moins fort
aquelle on pu déjà expliquer des cas analogues, surtout au cours du
mal
de Pott : très probablement, elle n'existait pa
au niveau de la moelle lombaire. l3.iRTrt.s (11, \, dans un cas de
mal
de Pott dorsal avec pachyméningite et lésion tr
minution des libres nerveuses, beaucoup de libres qui se colo- rent
mal
, et, entre elles, quelques-unes dont la gaine myé
de la névroglie moins coiiteiiziiit une gaine mvélinique tuméfiée,
mal
l'ulol'll- hie, parfois à peine perceptible, av
ions fermes sur la pathogénie des accidents médullaires au cours du
mal
de Pott en général, il nous semble cependant qu
re,- dans la pathogé- nèse des altérations médullaires au' cours du
mal
de Pott, leur donner une place exclusive et oub
obine et le nombre des globules rouges était au-dessus de la nor-
male
, mais la lymphocytose est très marquée et le nom-
être considéré comme étant vraisem- blablement l'agent pathogène du
mal
comitial. Quel- ques mois après, un article par
men du sang se montre positif; 2° résistance des éléments « anor-
maux
supposés parasitaires » à la coloration ; 3" diff
e rapproche alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë,de l'état de
mal
où les périodes s'imbriquent, se confondent que
es circonslances, obtenir des cultures pures provenant de l'étal de
mal
. recherches M1CROB10LOl>I<,¡CES SUR l'épi
es avec une quantité minime d'une culture peu virulente. Les ani-
maux
sont morts ayant perdu près de la moitié de leur
t que lorsqu'on aura une idée nette et définie des propor- tions du
mal
que l'on sera en position de mettre la question d
e et une adolescence normales, son affection débuta par de violents
maux
de tète et des accès mélancoliques. Le second m
ercostales d'origine périphérique, douleurs intercostales de causes
mal
dé- terminées, ,Les douleurs centrales sont frè
entes, apparaissent à intervalles irréguliers, ont une localisation
mal
déterminée, ne s'acompagnent d'aucun trouble de
uivant l'organe atteint. Enfin les douleurs intercostales de causes
mal
déterminées com- prennent les topoalgies hystér
ations médullaires. Sur la pathogénie des surve- nant au cours du
mal
de Pott, par Rossi, p. 417. Amaurose tabétiqu
£ iqlle8. - Voir Spasmes. Rôle des spinaux dans la marche nor-
male
chez 1 homme, par Lamy, p. 396. Mutisme chez
icho- not et Castin, p. 206. La, - , par de Buck. p. 374. POT ?
Mal
de -. Voir A.lfé1H- tions médullaii es. Prix
gite syphilitique bas]hure, par Souques et Vincent, p. 52. - et
maux
perforants, par P. Maiie, p, .33. - Voir - Hf
des dissentiments d'origine médicale. Les médecins s'entendent sur le
mal
et sur ses conséquences, Mais, quand i! s'agit d'
oit fuir aussi dans le temps, laisser derrière lui, comme une auberge
mal
tenue, la vie sotte et mesquine, ce que Stéphane
il apprenne le piano. Ses études marchentbien, mais il s'ennuie, dort
mal
, ne mange plus et devient très triste. Au bout
ns son établissement de province, il a été émotionné, s'est ennuyé, a
mal
dormi; il a fait de la paralysie intermittente pa
e résultat : l'absence de caractère dans les élites. Pour corriger ce
mal
, il n'est qu'un remède : bouleversement complet d
n mêle. Et d'abord, les vaisseaux du cerveau s'indurent, l'organe est
mal
nourri ; d'autre part, les cellules nerveuses, ac
n des liqueurs absorbées à la fin des repas, se faire de plus en plus
mal
. Ils constatent avec tristesse que les apéritifs
tomac presque vide, s'en vont à leur travail. Ce travail, ils le font
mal
, sans goût, s'éton-liant de ne plus s'intéresser
sant pour leur compte, vont s'attaquer à des cellules nerveuses, déjà
mal
irriguées par des artères sans souplesse. L'urémi
et physiques, aux drames qui vont être la suite presque inévitable du
mal
qu'il a constaté ? Et pourquoi ? Pour assurer la
ration est faite. L'opération a lieu également lorsque l'enfant tette
mal
. Dans la Bulgarie centrale, d'après l'ethnograp
connu, M. Tsani Guintcheff, l'opération n'alieu que si l'enfant tette
mal
. On s'abstient alors même qu'il serait kaSSOIEzit
s villages, que les matrones coupent le filet aux enfants qui tettent
mal
. M. Corrado Avolio, de Xoto (Sicile), m'a envoy
morsures de serpents et d'autres animaux venimeux ne leur font aucun
mal
, ils peuvent rendre ces animaux inoffensifs, ils
le sorcier, Epine de laurier, Epine très aiguë, Ne me faites pas de
mal
ni aux autres. On donne en Sicile le nom de sai
né ne parlera pas bien s'il ne la subit pas. Et à quelqu'un qui parle
mal
on dit qu'il n'a pas eu le frein coupé, de sorte
let. (Dr Gesare Musatti, de Venise.) Avere ? non avere lo bene, ?
male
sciolto . — Avoir ou ne pas avoir le filet bien o
re lo bene, ? male sciolto . — Avoir ou ne pas avoir le filet bien ou
mal
coupé. (Dr Gherardo Nurcci, de Moniale, Pistoia
loir produire l'hypnose ; trop concentrés ou trop distraits, ils sont
mal
ou peu impressionnés par les procédés psychophysi
t ni les explications ni les prescriptions de son médecin et il va de
mal
en pis. Une seule séance (l'hypernarcose peut suf
malades voudraient bien demander à l'hypnotisme la guerison de leurs
maux
; mais ils ne peuvent surmonter les préventions qu
naires. Une personne a été hypnotisée, deux jours plus tard elle a un
mal
de tête : c'est l'hypnotisme ; quelque temps aprè
rit s'acheminent vers le sanctuaire pour obtenir la guérison de leurs
maux
. Dès leur arrivée, afin de rendre le Dieu favorab
lui. Sur l'ordre des légats du pape, « Montfort les fit tous périr de
male
mort ? (1). De plus, il fit démolir les principal
. Vis-à-vis des angineux, une règle s'impose : leur dissimuler leur
mal
, certifier qu'il consiste non en une angine de po
alysies bizarres, traumatiques ou non, ou de ces attaques convulsives
mal
définies, trop fréquemment soupçonnées, dès l'abo
et contradictoires; la description n'est guère celle d'une attaque de
mal
comitial; le sujet, par surcroît, est un soldat m
ue de mal comitial; le sujet, par surcroît, est un soldat médiocre ou
mal
coté. Grave embarras. La situation existe pourtan
and il y en a si peu de ne mécontenter personne, rien que pour un mot
mal
à sa place ou supposé tel ! Que de fois les ai-je
e —- justiciable d'une thérapeutique mentale dirigée contre des idées
mal
formulées, souvent subconscientes. Que devons-nou
émoire, dans les circonstances énoncées, ces malheureux soldats ayant
mal
commencé, paraissant irrémédiablement voués aux r
r à leurs heures et avoir leur action. Le remède est donc à côté du
mal
, vous le voyez, Messieurs, et ce n'est plus rien
. Voici deux malades âgées, l'une de 38, l'autre de 22 ans. L'une a
mal
au nez, l'autre à la langue. On a fait à leur suj
isparu ou appartient à une autre personne, etc. En outre, elle a très
mal
à la tête ; quand elle se coiffe, elle a l'impres
isations et, après chaque séance, la malade se trouvait beaucoup plus
mal
. L'autre malade peut encore travailler; celle-ci
a cause de son état. La seconde a un père brutal qui la reçoit très
mal
et, pour des futilités, la met à la porte de chez
emaines, dit-il, je fut appelé auprès d'une malade qui souffrait d'un
mal
ulcéreux dans la région du genou. Dans une opérat
uvement choréiforme a disparu à droite. Le tronc est agité et la tête
mal
contenue bouge encore. Nouveau bonnet plus solide
res carrés. (1) Ferme, métairie. Le doute vient probablement d'un mot
mal
écrit. 'il::1. Raynicr IV, vivant en 924, m
animaux n'est pas une question nouvelle, et, pendant que des esprits
mal
inspirés tentaient de le nier chez les humains, o
travaillais à mon bureau et à me mordiller l'oreille sans me faire de
mal
. Quand je lui parlais sur un ton affectueux ou qu
le cheval. M. Guenon ne s'est pas simplement appliqué à soulager les
maux
des chevaux de régiment qui lui sont confiés ; il
u ses états analogues, sont déjà venus à l'aide des dresseurs ; mais,
mal
connus ou non interprétés, ils n'ont pu être util
in gauche un kyste synovial qu'on a essayé d'écraser et on lui a fait
mal
. Puis on le lui opère à l'hôpital; on ne fait que
conscient à son opération ; il en est vivement impressionné, il dort
mal
, revoit son opération en rêve et le lendemain les
uivant leur coutume, ont sacrifié le médecin pour apaiser l'esprit du
Mal
auquel est due la maladie. Ouvrages déposés à,
après avoir été enfermé sans bouger toute la journée dans des classes
mal
aérées, soit soumis à l'obligation de veiller le
oque. D'ailleurs si les troubles persistaient, vous auriez sans doute
mal
interprété l'oracle et comme tout passe en ce mon
se hystérique unilatérale s'imposait donc, bien que la pupille réagit
mal
à la lumière et à l'accommodation et quoique l'ex
fleurie (2J, acquerrait, par ce seul fait, la propriété de guérir les
maux
d'yeux (Tradition fort ancienne : Médecine préhis
st irritable, taciturne ; il lui semble que son entourage lui veut du
mal
. Elle craint qu'il n'arrive malheur aux membres d
un garçon et à une fille — « Eh bien, lui-je, quand cela serait, quel
mal
y aurait-il »? Je prononce ces paroles d'un ton p
intention de ne pas être confondus avec ceux qu'inspire un mysticisme
mal
dissimulé derrière des phrases d'ap-parence scien
ecine est totalement impuissante à prévenir aussi bien qu'à guérir le
mal
; et l'intelligence se révolte à la pensée que cet
Ce traitement sera efficace s'il s'attaque à la véritable cause du
mal
. Comme facteur étiologique, on a invoqué les écre
ou larvés de crise épileptique, des attaques ébauchées ou avortées du
mal
comitial. L'identification n'est pas possible : a
ple narcolepsie, nettement distincte des accidents épileptiques. Le
mal
comitial possède d'ailleurs sa forme spéciale de
ux, il a le regard vague, hébété, il se plaint de lassi- tude, de
mal
de tête ; il n'a aucun souvenir de ce qui s'est p
ut à cause du grand exemple que vous avez donné. En effet, l'un des
maux
dont on souffre le plus en France, c'est de tout
ion de la vie ne rentrent pas dans la catégorie de ce qui est bien ou
mal
; un grand nombre des émotions qui déterminent la
ne sont pas aptes à les manier, mais on n'accusera pas ces objets du
mal
qu'ils ont servi à causer ; pourquoi donc reproch
ou à déployer de la grâce, mais à orienter la volupté. On dépeint le
mal
sous des formes captivantes ; on dissimule ses co
; on cache soigneusement sa laideur ; on fait alors, non seulement du
mal
, à ceux qui ne sont pas purs de cœur, mais aussi
e Voisin, Dejerinc, Bêrillon. de Paris. Et ce traitement nouveau du
mal
éternel — étincelle magique d'un foyer toujours p
uve des fourmillements, des douleurs; elle devient préoccupée et dort
mal
. Petit à petit, en dépit de la planchette, les do
rès l'accident, il survient une période de méditation; la malade dort
mal
et, consécutivement à l'entorse, certains centres
nt : l'inviolabilité de la personne humaine, Dr Bonnet, d'Oran : Le
mal
de mer et la suggestion. COURS DE PSYCHOLOGIE à
attrayante. En effet, si quelque objet donne l'impression d'être fort
mal
adapté à son but, prenons un édifice ou objet ren
ufflement et le point de côté indiquent qu'on a commencé trop vite et
mal
suivi la progression; il faut ralentir et au beso
progression lente, d'autant plus lente que la respiration s'effectue
mal
chez le malade, comme il a été indiqué plus haut.
asmes. L'imagerie peut parfois porter à l'hilarité, mais où serait le
mal
? Après tout, le rire n'est-il pas hygiénique, et
z, lui dis-je, il ne faut pas redouter une sonde, cela ne fait pas de
mal
. — Non cela ne fait pas de mal en effet, et je vo
edouter une sonde, cela ne fait pas de mal. — Non cela ne fait pas de
mal
en effet, et je vous avouerai même que je n'ai pa
it en état de crises subintrantes et présentait un véritable accès de
mal
hystérique. Ces crises sont, de temps à autre, en
nt : l'inviolabilité de la personne humaine. Dr Bonnet, d'Oran : Le
mal
de mer et la suggestion. Les séances de la Soci
sil, elle refuse obstinément de se mettre sur le dos; l'orifice étant
mal
dirigé, les contractions ne portent pas : elles s
ise dans un engrenage; un mois après, elle avait commencé à lui faire
mal
et à maigrir, les mouvements des doigts devenaien
podophyllin contre la constipation. Je lui suggère qu'elle n'a pas de
maux
de tète, que l'appétit revient et je vois renaîtr
ient gâteuses : c'était un système déplorable : les malades étaient
mal
soignées, les locaux mis a leur dis- position,
; et il estime que pour conclure à la duplicité originelle j'ai dû
mal
interpréter les expériences de Cha- bry. Je ne
tion intra-vasculaire, et que les attaques, qu'il s'agisse du grand
mal
ou du petit mal, ont pour cause déterminante une
laire, et que les attaques, qu'il s'agisse du grand mal ou du petit
mal
, ont pour cause déterminante une stase soudaine
emplacent quelquefois les crises convulsives, les attaques du petit
mal
et les faits que l'on désigne sousletermed' « é
cas, on conçoit que les phénomènes prendront le caractère du petit
mal
ou se traduiront par des équivalents épileptiqu
lle donnera naissance à une série de crises, voire même à l'état de
mal
. Sauf dans les cas qui se compliquent de maladi
L'hypoesthésie périphérique, seule étudiée jusqu'ici à l'état nor-
mal
ou pathologique,serait en quelque sorte provident
aint de céphalée violente. Un rebouteur lui annonce les plus grands
maux
; elle cesse de parler, de manger, s'alite, res
s cris, prononce des paroles entrecoupées, et cherche à se faire du
mal
en se serrant le cou avec un mouchoir. Quand, e
à demi-asphyxiée. Elle dérobe tout ce qui peut servir à se faire du
mal
, couteau, aiguilles, épingles, et s'intro- duit
guée; j'ai bien peur d'une affaire, «que le remède soit pire que le
mal
. Je souffre beaucoup. I.'igu- tt re-Loi... (ici
é non moins que de la légitimité de ses griefs, elle sait qu'il est
mal
de se venger, elle possède en son entier le fai
eau d'idées morales qui sont l'attribut commun des individus nor-
maux
: elle a aussi pleinement le sentiment de la con-
ssaires pour « ré- sister » aux forces qui le sollicitaient vero le
mal
? Voilà une question qu'il faut résoudre pour é
nes. Les peines infligées par les tribunaux aux délinquants anor-
maux
ne doivent plus être considérées comme des puniti
d'un individu. Tout en étant de très bonne foi, il peut se tromper,
mal
voir ou mal interpréter. Une telle puissance do
u. Tout en étant de très bonne foi, il peut se tromper, mal voir ou
mal
interpréter. Une telle puissance doit être part
et Schumann meurt d'une encéphalopathie diffuse chronique de nature
mal
déter- minée. Hugo Wolf, mort de paralysie gé
ions nous concluons : Le nervosisme est souvent en relation avec le
mal
fonctionne- ment de la glande thyroïde et peut
lui considère les réactions hystériques comme des réactions nor-
males
exagérées. Mais quelles sont ces réactions ? Quel
états épileptiques et sur les moyens de rappeler à la vie les ani-
maux
électrocutés. 51. le Dr Long (Genève; fait défi
m- putables à des lésions médullaires ou cérébrales. Quand l'ani-
mal
succombe, la mort est imputable à des escarres cu
trouvé un cerveau avec sa forme conservée, mais des circonvolutions
mal
développées par des scissures et des sillons pe
es. C'est ainsi que la couche moléculaire, tapissée à l'état nor-
mal
par quelques fibrilles à peine visibles, se recou
sme ou de l'hystérie est bien un trouble pro- dromique de l'état de
mal
. Pour noter les troubles visuels colorés pendan
ntra-utérine ou dans les pre- mières années de la vie. Les éléments
mal
développés, chétifs, succomberaient rapidement
complet, mal- gré des tentatives d'éducation professionnelle, très
mal
acceptées d'ailleurs, comme c'est malheureuseme
nséquent de l'ancienne conception de la garde de nuit par un paysan
mal
dégrossi ou une servante mi- endormie, circulan
baissement de la pression sanguine, qui descend à son niveau nor-
mal
quand les convulsions cloniques cessent. Pressi
, tuméfaction dure, percée de trois fistules donnant issue à du pus
mal
lié. L'examen sans anesthésie révéla une lésion
tion erronée d'instructions inspirées par des sentiments d'économie
mal
placés, par le désir d'assister le moins possib
tait toujours occupée de choses érotiques; ses études allaient très
mal
. A l'âge de 17 ans, la malade se marie, mais bien
ans ses rêves érotiques, tandis que le coït n'est pour elle qu'un
mal
inévitable ou un mal difficile à éviter. Pour s
ques, tandis que le coït n'est pour elle qu'un mal inévitable ou un
mal
difficile à éviter. Pour satisfaire ses désirs
té et impressionnabilité très exagérées, mauvaise humeur, insomnie,
mal
de tête, impossibilité de tra- vailler etc.), l
mément à l'opinion de Koelliker, et que leurs fonctions sont encore
mal
con- nues. Ch. B. XX.- Ueber Begriff und Loka
s. M. BERILLON.- On peut aussi provoquer les larmes chez les ani-
maux
; pour faire pleurer une vache, il suffit de batt
par des considéra- lions philosophiques sur l'innéité du bien et du
mal
, sur le rôle de l'éducation dans le développeme
out changé. » Un de ses enfants est mort ; les deux autres tournent
mal
, trompant ainsi des espérances de près de vingt
sécutions, sans être personnellement méfiante : elle a honte d'être
mal
jugée, elle est très humble. Dans leur idéation
raison de leur amitié, ou pour toute autre cause ; elle se rappelle
mal
la date des faits ; en les exposant, elle ne leur
ants, toutes mes intuitions se sont réalisées (ainsi les filles ont
mal
tourné, etc, Le célèbre avocat Me D. ne m'aurait
leur situation en 1896. De 1896 à 1901, le ménage vit tant bien que
mal
; le mari ne travaille pas chaque jour; la mala
, au sujet de sa maison, au sujet de son tra- vail ; on lui veut du
mal
, on se moque d'elle,on lui fait des misères, el
d'un objet pointu. Sensibilité cutanée et « sens musculaire » nor-
maux
. Les mouvements du côté gauche pouvaient d'abord
ents devaient être dirigés par plusieurs organes sensoriels étaient
mal
exécutés par le côté gauche ; à droite, akinési
ysie complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accidents nerveux du
mal
de Pott chez les adultes ; (Revue générale), pa
attribuée à une méningo-myélite, à une compression médullaire. Le
mal
de Pott cervical donnera parfois le change avec l
avec la pachy- méningite cervicale hypertrophique. Le pronostic du
mal
de Pott avec troubles nerveux n'est pas toujour
n; - 3° am- nésies dans les névroses.Le rapport qui existe entre le
mal
comitial et l'amnésie est tellement étroit et d
cchias, Gassendi. D'autre part, Calmeil a rapporté plusieurs faits,
mal
interprétés au XVIe siècle, et qu'il place dans
t déterminées par une organisation normale, comme les impulsions au
mal
le sont par une organisation déviée ou incomplè
sophiques sont relatives : à la question de l'innéité du bien et du
mal
, et à celle de l'éducation. L'auteur conclut qu
mal, et à celle de l'éducation. L'auteur conclut que le bien et le
mal
ne sont pas innés, mais seulement les aptitudes
ne sont pas innés, mais seulement les aptitudes ; si le bien et le
mal
étaient innés,on ne verrait pas des peuplades,
ducation, la 39G BIBLIOGRAPHIE. conséquence est que le bien et le
mal
.étant ce que l'intelligence montre il la sensib
en plus grande quantité que ses convives. Après le souper, il avait
mal
au coeur et les nausées l'empêchaient de dor- m
e. Dès ce jour, le malade s'aperçut, que ses extrémités obéissaient
mal
à sa volonté et qu'il ne pouvait pas faire de mou
ments au niveau de toutes les articulations. Les pupilles sont nor-
males
. La force musculaire est partout conservée. Sensi
eils est intacte. La sensibilité de la langue et du palais est nor-
male
. Les grands troncs nerveux et les plexus ne sont
reuse société avait mangé, le soir, des homards sans éprouver aucun
mal
; mais le lende- main c'était l'hiver - tous le
porté par Simon (3) sont notés les symptômes suivants : diarrhée,
mal
de tête, nausées, vomissements, sentiment d'alour
ls peuvent produire des toxines nuisibles malgré l'apparence nor-
male
des conserves. Il n'est pas rare précisément que
lclo-tabe, f)eufs rncctic.l'ochcnsclu ? 1S91, p.1 007. DE l'état de
MAL
épileptique. 41U Quant à notre malade, outre
use ait pu provoquer tiès facilement la polynévrite. De l'état de
mal
épileptique ? Idiotie congénitale aggravée par
sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de
mal
. Sclérose atrophique et mé- ningo-encéphalite d
cbL mort d'une fluxion de l, poitrine, en 1902. < DH l'état de
MAL
épileptique. 421 Pas de consanguinité ; père du
aralysie infantile. - L'enfant n'a présenté aucun accès, ni état de
mal
jusqu'à son entrée à la Fondation (3 ans). Ca
Pas de faux croup, pas de diphtérie, pas de fièvre typhoïde. Pas de
maux
d'yeux, mais stra- bisme qui a débuté après les
e reconnaissait à ce moment que son père et sa mère. DE l'état de
MAL
épileptique. 423 Elle fut alors examinée au p
le glabres. Membres supérieurs et inférieurs glabres. DE. L'ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUF. 4.2Î I Traitement : Bains salés, s
elle est constamment somnolente, surtout après ses accès. Etat de
mal
, mort. Le 13 septembre 1906, l'enfant Mar... es
est montée à l'infirmerie à 3 heures de l'après-midi, en étal de
mal
, la température est de 37°4, mais elle ne larde p
de violentes secousses cloniques et se recroducvil- . de l'état DE
MAL
l : l'ILI'l'1QUG. 42'.) lent ; les paupières ba
nier soupir, sans râles, ni cris. Pendant la durée de son état de
mal
, c'est-à-dire en 18 heu- res la malade avait eu
; en arrière les circonvolutions sont plus maigres. de l'état de
MAL
1 : 1LG1'rIQIiC. 431 Hémisphère gauche : tout l
1906. V. Au mois de sep- tembre 1JU(i il est survenu un état de
mal
épileptique qui va nous permetlrc d'entrer da
permetlrc d'entrer dans quelques considérations. VI. L'état de
mal
épileptiqtte, nous le rappe- lons, est une co
it pas, un second accès apparaît, la température s'élève, l'état de
mal
est-constitué et la mort peut arriver. (Fig. 1)
de nouveau, ces deux circonstances peuvent se produire : l'état de
mal
se termine par la mort avec unélévation de la t
abaissée 3 3-1. La mort est survenue après 229 accès. Ici l'état de
mal
ne s'est com- posé que d'une période convulsive
ration : fuite des idées, logorrhée, stéréotypie chez les individus
mal
doués, ou verbigéra- tion, salade de mots.A l'i
é, côté de la manie et de la mélancolie, les diverses formes, assez
mal
différenciées les unes des autres, de ce · GRUN
de centrifugation suffisant). * G. DENY. II 1. - Un cas d'état de
mal
épileptique traité par la ponction lombaire ; p
tension du liquide céphalo-racliidien étant la règle dans l'état de
mal
épileptique,les ponctions lombaires répétées et a
L. Waiil. III. - La dénudation de la fémorale dans le traitement du
mal
perforant plantaire; par M. TI IIEUTER, (Soc. d
s médicales de Lyon, 14 nov. 1906.In Lyon med. 16 décembre 1906.)
Mal
perforant plantaire d'origine myélitique chez un
tte in- tervention a en trois semaines amélioré considérablement le
mal
perforant. t. La dénudation de la fémorale se
ssmaul. Il remarque enfin que les formes complexes sont encore très
mal
con- nues ; que certaines autres,telles que l'i
gement que possible. Malheureusement, les salles de bains sont fort
mal
installées, glaciales enhiver et impossibles àc))
fI, p, 76, Les afiectifs neutres, par Lionel Dauriac, p. 91. de
mal
cpileplique. Voir Idiotie. de mal épileptique.
par Lionel Dauriac, p. 91. de mal cpileplique. Voir Idiotie. de
mal
épileptique. Voir Ponction lombaire. Empoison
- sultats au point de vue social, par M. Royer, p. 238. - anor-
maux
. Inspection médicale des Ecoles de Bordeaua, p.
ur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de
mal
. Sclérose atro- phique et méninge-encéphalite
ude de 1' - , par Perrin, p. 375. Infanticide. L' chez les ani-
maux
, par Lépinay, p. -170. Infirmières. Le service
praticiens et la nouvelle sur les aliénés, par Granjux, p. 461.
Mal
de POTT. Les accidents ner- veux du -- chez les
nce de la numération, par Lamelle, p. 454. Un cas <; d'état de
mal
épileptique, trai- té par la par Pichenot et
l'entrée ou quand il survient des changements soit en bien soit en
mal
, les moulages en plâtres faits après décès, l'a
s avons besoin de sentir qu'on ne nous oublie pas, et que, si notre
mal
nous isole pour un temps de la société, la soci
rs : Bourneville est élu conseiller, il fait connaître l'étendue du
mal
, il déclare qu'on peut y remédier et le Conseil
de cette jeune fille font remonter ce qu'elles appel- lent le grand
mal
. L'enfant pousse un cri aigu, perd connais- san
rait eu, de l'âge de treize ou quatorze ans à quarante-six ans, des
maux
de tête fréquents et violents accompagnés de bo
malade dit que ces diverses cicatrices pro- viendraient <t d'un
mal
qui lui serait venu » il y a quelques années (f
pins pour fourrures; elle n'est pas migraineuse, mais a parfois des
maux
de tète; sans être sujette d'ordinaire aux sync
est utilisé au balayage des cours, besogne dont il s'acquitte aussi
mal
qu'il répond. ? Aura. - Le malade avant les a
10 h. 22, le malade dit : « Il n'y a que de ce côté-là que j'ai le
mal
que j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence
loniques du côté gauche que le malade accuse être le siège de son
mal
; pendant toutela durée de l'accès (12 secondes) i
rveiller. Revenu à lui, il ne se souvenait de rien, se plaignait de
mal
de tête et restait sombre pendant une heure ou
abiller. Il mange seul, mais ne se sert pas du couteau ; il se lave
mal
. Pas de trem- blement des lèvres, ni de la lang
lution du corps calleux. Le lobule paracentral, bien développé, est
mal
délimité en avant et en arrière. -Le lobule qua
u corps calleux. Il existe aussi un pli pariéto-limbique postérieur
mal
délimité en avant par la scissure sous-pariétal
s lettres, ne savait pas compter spontanément ; il répondaitassez
mal
aux questions qu'on lui posait, ne disant que oui
ntermittentes. - Attaques éclamptiques à l'âge de six mois. - Petit
mal
consécutif. - Accès caractérisés par une impuls
. - Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Mort en état de
mal
. Alép... (Auguste), né le 24 mars 1872, est ent
puisse y adapter chaque cas particulier. Leurs frontières sont fort
mal
délimitées. N'observe-t-on pas, du reste, fort
- Accès de colère. - Tentative de suicide. - Hypospadias. Etat de
mal
(novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état
as. Etat de mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état de
mal
(1 86). J. Autopsie. - Atrophie et aspect chagr
07 qui, quoique bien développée est par suite très irrégulière et
mal
délimitée du lobe temporal. Toutes les parties si
corps calleux, le corps strié, la couche optique paraissent nor-
maux
. Il en est de môme du lobule de l'insula. Hémis
r sur lui l'attention de nos lecteurs : il s'agit des deux états de
mal
qu'il a eus en 1884 et en 1886. Dans les deux c
procursive 111 montre la marche de la température dans un état de
mal
qui se termine par la guérison; le second nous
cond nous donne la marche de la température dans un cas d'état de
mal
aboutissant à la mort, avec les deux sommets cl
ccès. - Mor.... se frotte la tête et marche en disant : « Oh ! j'ai
mal
à la tête, je vais tomber. » Observation XL. -
ngt-deux mois, début de l'épilepsie à trois ans. - Au1'a. - Etat de
mal
. - Déchéance intellectuelle. - Violences. - Dél
- Dilatation pupillaire droite. - Embarras de la parole. - Etat de
mal
. - Mort. Autopsie. Persistance du thymus-, épip
s pigmenté, les veines sont très dilatées, les pupilles sont nor-
males
. Le malade eut son premier accès, il y a cinq a
incement de dents. - Gâtisme; affaiblissement progressif; " état de
mal
. - Pyo-pneumo-thorax consécutif. - Mort. AUTOPS
( ? ) à l'âge de soixante-dix ans environ; elle était sujette à des
maux
de tôle. - Une soett1', soixante-quatre ans, abcè
d'une intelligence au-dessous de la moyenne. De plus la mère parle
mal
le français. 124 DE l'épilepsie PROCURSIVE. p
illet. - Dentition : mâchoire supérieure : douze dents saines, mais
mal
rangées et atrophiées ; les incisives sont coniqu
e occipitale en relief. - Front large, bombé, saillant. Yeux nor-
maux
, iris bleu ; nez petit, bouche, 4 centimètres, lè
violent, disputeur. « Il m'a battu bien souvent et m'a fait bien du
mal
! » Douleurs de tête consécutives aux excès; pas
par ses gestes et ses cris, attire l'attention quand un enfant fait
mal
. Il mange seul, mais ne peut se servir que de l
ui ; il sait très bien dilîé- rencier ce qui est bien de ce qui est
mal
, il a une bonne mémoire, il est affectueux et t
l'hystérie. Paris, 1876, p. 1 il 14 et 91 à 98, etc. - De l'Etat de
mal
épileptique (thèse Leroy). Paris, 1880. 'berlin
mometry. New-York, 1876, p. 226. Mosen- thal. - Traité cliitiq. des
mal
. nerveuses, trad. Lubanski. Paris, 1877, p. 533
posée sur l'élévation considérable de la température dans l'état de
mal
épileptique. Toutefois, avant d'aborder l'expos
la température dans les accès sériels d'épilepsie et dans l'état de
mal
épileptique. Ils ne feront d'ailleurs que confirm
u de Bicêtre pour 1886, p. 231 à 250.) En ce qui concerne l'état de
mal
, le lecteur trouvera aux pages 102 et 110 de ce
de rencontrer, soit 55,40 0/0, c'est-à-dire plus de la moitié sont
mal
conformés. En décomposant ces chiffres, nous ar
it comme une faiblesse subite dans les jambes; elle s'est trouvée
mal
et a eu des lypothymies plusieurs fois par semain
ent, elle ne se rend pas compto de ce qu'elle lit. Elle écrit, mais
mal
, ne sait pas faire les additions, et n'a jamais
le par- fois, lorsqu'elle mange avec voracité des pommes de terre
mal
cuites, elle dit que c'est assez bon pour elle, e
au contraire, à la moindre piqûre, il lui faut mettre un pansement.
Maux
de tête fréquents. Pas de si- gnes d'hystérie.
e, où il se termino en pointe, ce doigt possède aussi un ongle mais
mal
conformé. 'l'out ce système a des mouvements de
dus que normalement; l'opposition avec le pouce se fait d'une façon
mal
habile avec lo doigt externe. Le doigt ex- tern
oite 10, à gauche 42. L'intelligence est faible, la malade comprend
mal
les ques- tions qu'on lui pose et y répond à pe
comprend mal les ques- tions qu'on lui pose et y répond à peine ou
mal
; parfois, elle parle d'un autre sujet. Son lang
portant et une soeur dont on n'a pas de nouvelles; elle se conduit
mal
et on ne sait si elle vit encore. - Ni aliénés,
ire. Je le fais dans le but unique (soufflé), de ne pas me faire de
mal
, car je prétends que la morphine est la seule,
le sous-surveillant. Si on le pousse à travailler, il dit qu'il a
mal
à la tête. Interrogé à ce sujet, il répond qu'i
u'il a mal à la tête. Interrogé à ce sujet, il répond qu'il n'a pas
mal
iL la tête. Voici les deux lettres qu'il adress
. Alors je préfère aller à la cam- pagne, plutôt que de rester ici,
mal
nourri, mal vêtu et embêté FOLIE DE L'ADOLESCEN
réfère aller à la cam- pagne, plutôt que de rester ici, mal nourri,
mal
vêtu et embêté FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 253 pa
emande de monter à l'infirmerie sous prétexte que le gaz lui fait
mal
, mais c'est plutôt, pense-t-on, pour éviter de re
use d'aller travailler à l'atelier de couture parce que ça lui fait
mal
aux doigts. Quoiqu'il ne soit pas excité, il di
avaient été fixées d'un commun accord à Cent enfants au maximum. Le
mal
s'est empiré durant l'année 1893 dans une propo
l'année. Maladies intercurrentes. Elles ont été rares : états de
mal
épileptique suivis de décès, 2 ; ménin- gite cé
nt la grossesse. Naissance un peu avant terme. Accidents convulsifs
mal
caracté- risés du 18" au 3U" jour après la nais
jeune, et maintenant elles coulent encore de temps en temps. Pas de
maux
d'yeux, pas d'adénites. A la fin du moins de ma
ssine par des stries blanches ; ni calculs ni kystes. Vessie nor-
male
, pas d'inflammation ni de calculs. Réflexions.
émotions continuelles, la mère alors n'étant pas mariée et étant
mal
reçue dans sa famille. Accouchement à 7 mois 1/
onnaît ses noms et prénoms, parle avec lenteur, hésitation, exécute
mal
ce qu'on lui commande. Il sait parler, cause di
rnes à 2 jours. Secondes convulsions vers le 3° mois ( ? ). Etat de
mal
convulsif à 2 ans. De là il 5 ans convulsions 4
olaires permanentes, le reste dents de lait. L'articulation, encore
mal
fixée, semble régulière. Menton, oreilles, régu
là les convulsions ont réapparu tous les mois. A huit mois, état de
mal
convulsif' qui a duré de 8 heures du matin à G
l'une d'elles, il serait « tombé d'un second étage sans se faire de
mal
. » Caractère gai, sentiments affectueux. On aur
eu de chose près aux autres enfants. III. Alors, il a eu un état de
mal
convulsif qui a duré deux heures, puis un autre
ensuite, les convulsions ont été men- suelles. A huit mois, état de
mal
. IV. A l'entrée, l'intelligence était à peu prè
sionomie hébétée. Onanisme. - Parole et sens spéciaux nuls. Etat de
mal
épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort. -Atyp
uit que le jour. Il ne rend jamais d'écume et ne crie pas. Il mange
mal
, ne mastique pas, ne bave ni ne suce. Il n'est
ssifiées. Le crâne semble symétrique. Front élevé. 1 ! 68 Etat de
mal
ÉPILEPTIQUE. lèvres : pas de déviation de la bo
pas d'anomalies dans leur topographie. Leur consistance est nor-
male
et on ne trouve nulle part de sclérose.- Les vais
ltérieurement à la naissance. III. L'enfant a succombé à un état de
mal
épilepti- que et, suivant la règle posée par l'
ation I. Hydrocéphalie; épilepsie partielle du. coté DROIT; état DE
MAL
épileptique; mort. Sommaire. Père rhumatisant,
vation : antécédents héréditaires. 177 Démence progressive. État de
mal
épileptique; mar- che de la température ; mort.
e ce qu'il fait. Mensurations de la tête. Hydrocéphalie : état DE
MAL
épileptique. 181 182 .' - Hydrocéphalie. Le m
: Tableau des accès et des vertiges. 190 Hydrocéphalie ; état DE
MAL
. tique, même à écrire, mais à la fin de 1887 se
en diminuant. Au mois de février 1888, il a été pris d'un état de
mal
épileptique qui a offert les caractères habituels
ni ne déchire rien. Ni glouton, ni gourmand, ni salace, il mâchait
mal
ses aliments il cause de sa mauvaise dentition.
ues. Bouche petite, voûte palatine un peu ogivale, dentition nor-
male
et assez régulière. Menton peu développé. A noter
ieds plats surtout àgauche. .VoZiZi'Zédes membres supérieurs nor-
male
. Marche défectueuse. L'enfant incline à droite et
varus semblent un peu plats. Les ongles et les orteils sont nor-
maux
, il n'existe pas de réflexes ( ? ). (fig. 0 et 00
aque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutions
mal
délimitées et paraissant être-; les restes de l
t, est ramolli et ne peut être enlevé. Le cervelet, d'aspect nor-
mal
, est un peu plus développé à gauche qu'à droite.
est lisse et distendu. = La face interne se rapproche de la nor-
male
dans sa partie frontale, mais les deux tiers post
. Les corps striés et les couches optiques n'offrent rien d'anor-
mal
. Hémisphère droit (795 gr.) ? Les circonvolutio
nfant ne put plus maintenir sa tête droite. A la suite de l'état de
mal
convulsif l'enfant avait les deux membres infér
convulsions iL un an. Secondes convulsions il. quinze mois (Etalde
mal
d u7'alzl 8 joul's).-Cécitépassagère, . dispari
se rendormait. Si, - intel'l'ogemt Révil..., on lui demande où il a
mal
, il porte la main au front et à l'occiput. Dans
est couvert d'acné punctata. - Oreilles accolées au crâne, petites,
mal
ourlées, à lobule adhérent ? Palais ogival. Hyp
es et contient un peu de liquide. - Powilon droit (380 gr.), nor.
mal
. Coeur (220 gr.), sain. Abdone2. -Foie (1200 gr
la motilité est imparfaite il faut en accuser le cerveau qui dirige
mal
les mouve- ments, car l'intégrité des réflexes
Des accès de colère et de pleurs survenaient pour des motifs aussi
mal
déterminés. On le faisait manger, il digérait b
gts grammes (2180 gr.) de liquide ltidieii. (Le cerveau ayant été
mal
soigné, est tombé. en putréfaction n'a pu être
tante et un oncle paternels, morts phtisiques. Mère, surmenée et
mal
nourrie dans sa jeunesse. Grand-père maternel,
grande différence d'Il- ge de son mari afin d'échapper à sa famille
mal
disposée pour elle. De 14 à 20 ans, elle fut pl
re malade. Cependant nous pouvons ailirmer que l'enfant était assez
mal
soigné chez lui, car on a constaté qu'à son ent
tir du 6 novembre 1882. 1883. Novembre.-Apparition des symptômes du
mal
de Pott. 20 décembre. - Ponction d'un abcès par
ussi une excavation caverneuse capable de contenir une noisette. Le
mal
de Pott... est indiscutablement l'origine de la
en arrière des dents de lait correspon- dantes. L'articulation est
mal
fixée. Les pointes des dents se touchent bout à
s courts mais normaux. Membres inférieurs symétriques. Pieds nor-
maux
, légère exagération de la voûte plantaire. - La m
rendre les questions qu'on lui pose. Mouvements de préhension assez
mal
coor- donnés. Chev... mange mal à table. Instab
ose. Mouvements de préhension assez mal coor- donnés. Chev... mange
mal
à table. Instabilité très grande, il ne peut pa
s les plus minces sont au niveau des pariétaux. Les sutures coro-
male
et mtra-partetate sont ossifiées. Le crâne parait
ent, devenaient subintrantes et déterminaient une sorte d'état de
mal
durant environ 2 heures 1/2. Placé aux Enfants-Ma
s d'onanisme, ni de kleptomanie ; il est très susceptible. Il parle
mal
et nasonne. 1885. 4 mars. L'enfant est attein
ntes en dehors. Nez moyen, bouche moyenne. Oreilles très grandes et
mal
ourlées. Lèvres minces. Dentition normale. Ment
bien défini ; que son cerveau fonctionne psychologi- quement assez
mal
, mais que les lacunes qui carac- térisent ce ma
nt maternel au sein. Noi... fut sevrée il 16 mois, car elle prenait
mal
le sein et pleurait très fréquemment. Jusqu'à 1
es défauts, bien qu'elle se rende parfaitement compte du bien et du
mal
. OBSERVATION : ' '. 343 Elle est onychop liag
sif ». Septembre, - Il fait un court séjour à l'infirmerie, ayant
mal
aux yeux; on constate une kératite interstitielle
d d'une façon arrogante et comme sous l'empire d'une colère sourde,
mal
dissimulée. Sa mère étant sortie, nous lui repr
2e2- tal de Peti... Ce jeune homme est aigri, de méchante humeur,
mal
disposé à l'égard de sa famille. Il sem- ble qu
ion. Ni boudeuse, ni capricieuse, elle se rend compte du bien et du
mal
et pleure lorqu'on lui fait des reproches. Le s
n'est pas douteux que les processus psychiques de l'organisme ani-
mal
ont leur substratum anatomique dans le cerveau. L
fit des petits, qu'elle mangea. Au bout de trois mois on tua l'ani-
mal
(1). De l'autopsie il résulta, comme les cliché
métriques des extrémités on a réuni toute une série de faits encore
mal
classés et d'étiologie obscure. Raynaud en 1862
centimètres à la cubitale. L'artère radiale qui ne bat plus se sent
mal
, les troncs nerveux paraissent normaux à la palpa
RES et VAILLARD, Altérations des nerfs périphériques dans deux cas de
maux
perforants plantaires et dans quelques autres f
r exemple, la seconde figure : on y lit une gravité artificieuse et
mal
assurée, un besoin intérieur d'éclater, quelque
ividus qui choisissent, par une ostentation' trompeuse d'un sérieux
mal
entendu, un vêtement som- 86 GAETANO BOSCHI b
que ; et qu'il est possible qu'un sujet qui commence une période de
mal
avec un peu de gaieté, en voyant une fleur ou u
abits sont bien plus fréquents chez les malades en question dont le
mal
est plus avancé ; quoiqu'il y ait aussi beaucoup
x du costume se rencontrent chez le mania- que, lorsque l'entité du
mal
n'est pas très grave ; tandis que chez les déme
e convulsionnaires que dans certaines oeuvres du xive siècle, assez
mal
figurées d'ailleurs, car on sait que les artistes
t les caractères macroscopiques du sque- lette sont eux-mêmes assez
mal
connus. Cela provient, en partie, de ce que l'a
ui demande des nouvelles de sa santé ; il répond : « Cela ne va pas
mal
, je mange bien et je ne me sens pas malade, mais
itablement énorme, si on veut bien le comparer avec le calibre nor-
mal
d'une branche de la sylvienne. Au point de vue
sylvienne. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS Séance du 5 mars 1908
MAL
DE POTT SARCOMATEUX PAR F. RAYMOND et L. ALQU
1908 MAL DE POTT SARCOMATEUX PAR F. RAYMOND et L. ALQUIER Le
mal
de Pott sarcomateux est bien plus rare que les au
895, le fait actuel est le seul de ce genre. Mal- gré sa rareté, le
mal
de Pott sarcomateux est d'un grand intérêt pour l
détermine, la comparaison des lésions avec celles observées dans le
mal
de Pott tuberculeux peut contribuera à éclairci
s signes de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diagnostic de
mal
de Pott. L'oedème augmenta progressivement, et en
endantes et descen- dantes habituelles (PI. XX). Cliniquement, le
mal
de Pott sarcomateux est, bien souvent,confondu
ment, le mal de Pott sarcomateux est, bien souvent,confondu avec le
mal
de Pott tuberculeux ; rien, en effet,ni dans l'év
tion du Nouvellle Iconographie DE la Salpêtriere T. XXI. PL XIX
MAL
DE POTT SARCOMATEUX. (Raymond et Alquier). De
e la moelle entre les V* et Vl paires. Intégrité de la dure mère.
MAL
DE POT SARCOMATEUX 115 lui rachis y compris la
nfirmer l'erreur. En effet, on ne sentait qu'une masse douloureuse,
mal
limitée, ressemblant bien plus aux « gâteaux »
dans les cas où le sarcome vertébral est primitif, le diagnostic du
mal
de Pott tuberculeux est souvent porté ; témoin, e
et des plexus brachiaux; le diagnostic clinique avait été celui de
mal
de Pott tuberculeux. Les accidents nerveux dus
nous ne parvenons à découvrir aucune différence entre la myélite du
mal
de Pott, et celle due à une autre cause de compre
xines du bacille de Kocb, dans la genèse des lésions ner- veuses du
mal
de Pott tuberculeux n'est pas, à l'heure actuelle
n, 1886. Nouville Iconographie DE la SALPtTRitRB T. XXI. Pl. XX
MAL
DE POTT SARCOMATEUX. (Raymond et AlquiCl). A
ns dans le cas particulier, une réaction imparfaite par application
mal
réussie de la méthode d'une réaction imparfaite
4 (1er cahier) : « Ce dessin, écrit NI. X..., est le portrait assez
mal
réussi de M. A... (autre malade). Derrière lui es
par trop insinuant et que ce malencontreux télescope était diablement
mal
placé. Tout est bien qui finit bien : Jetons un
n du sexe ; mais ceci est un jeu d'enfant : j'ai en ma jeunesse pas
mal
fréquenté les acteurs (et même quelque peu aussi
y avoir disposé, au pied et dans les branches, toutes sortes d'ani-
maux
, de fruits et de victuailles, hétéroclites et mod
iquement guérie de l'attaque aiguë, le pudendum était redevenu nor-
mal
, la douleur avait disparu et les jambes étaient c
ù sa température s'éleva beaucoup. Sa jambe droite, qui lui faisait
mal
de- puis 4 heures de l'après-midi, commença à e
ary, fille d'Hannah Wherrell, eut deux enfants, tous deux libres du
mal
aux jambes. Les enfants de Hunsley Wherrell.
es de l'infirmité familiale. Autant qu'elle peut se le rappeler, le
mal
fut d'abord remarqué au niveau des genoux, et d
vaquer à ses occupations qùoique elle reste un jour ou deux encore
mal
en train. Son état est le suivant : Les ortei
ry qui vient après est normale; Edith, la troisième, est aussi nor-
male
jusqu'à présent. Emily, maintenant âgée de 12 ans
m- bre, au contour arrondi. Le 10 juillet la jambe commença à faire
mal
dans l'après-midi ; pendant la nuit elle était
tre en tête les syndromes thyroïdiens, car la thyroïde est la moins
mal
connue de ces glandes. Comme son étude a suscit
érament hyperthyroïdien. Interprétation. Dans des syndromes aussi
mal
délimités et dont les rapports avec l'hy- perth
Pas de syphilis héréditaire ou acquise.Conformation crânienne nor-
male
.Pasdegoitre ni d'exophtalmie.Végétations adénoïdi
La circonvolution temporo-occipitale (lobule fusiforme) semble nor-
male
, ainsi que la circonvolution de l'hippocampe et l
visible, mais -on le voit comme à travers un voile, on le délimite
mal
ou même on ne 'l'aperçoit plus du tout. Le co
tc.) ou d'af- fection intéressant indirectement le système nerveux (
mal
de Pott, etc.). Nous avons remarqué que chez un
t constaté de la rudesse de la respiration qui, d'ailleurs, se fait
mal
; et pense que là tuberculose pulmonaire est une
uerite commença à souffrir d'anémie ; elle devint très pâle, digéra
mal
et souffrit de fréquentes céphalées. Le médecin c
nt à rien. Bonté. Il faut être bon, sans cela les gens nous font du
mal
. Intelligence. C'est le savoir : qui n'est pas
peur de rester seule, que des hommes me pren- nent et me fassent du
mal
. J'ai peur de rester seule dans la nuit. Gaîté.
gien est normal. Déglutition et mastification normales. La voix est
mal
timbrée dissonante ; la parole est toujours promp
dulte d'intelligence très médiocre. La faculté d'attention est nor-
male
, l'imagination nulle, la mémoire très pauvre. L'a
de la soeur ainée normale de 22 ans, Henriette, paraît in loto nor-
male
; seulement si l'on compare l'épaisseur du tissu
Marguerite).- La radiographie du Thorax ne faitrelever rien d'anor-
mal
au niveau des os courts de la colonne vertébrale
diographique a montré une selle turcique double de la capacité nor-
male
. Doit-on admettre qu'en ce cas l'hypophyse, alt
s pieds le développement du tissu osseux a paru des deux côtés nor-
mal
, quoique un peu fort et uniforme, de manière que
que aussi loin que remontent ses souvenirs, il -se rappelle d'avoir
mal
vu de l'oeil gauche. (1) Communication et pré
chée ; se croit en voiture. Délire, prétend qu'on veut lui faire du
mal
; crises d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendin
ent également déjà parésiés. Les nerfs optiques fonctionnaient très
mal
et il y avait peut-être hémianopsie. - . QUEL
déterminé. Se plaignit une fois de maux de tête, une autre fois de
maux
de dents. Pouls ralenti, à environ 50. Démarche
truction des fibres nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et
mal
délimitée du tissu cérébral par des cellules sa
bientôt toute la surface de la coupe. Les faisceaux sagittaux sont
mal
dessinés. Avec la pointe du N. C. apparaît auss
dant comme le centre de l'univers. S'il était au pouvoir de l'anor-
mal
d'établir des classifications, il renverserait le
manifestations naturelles et aussi, parfois, leur intensité- anor-
male
qui leur ont fait attribuer l'épithète de névrosi
conditionne des actes de répétition et d'imitation qualifiés anor-
maux
par nous, ce ne sont toujours que des ripostes à
l faut d'abord connaître la cause de leur maladie la nature de leur
mal
et, celle-ci trouvée, le remède, s'il existe, ser
e maire. Docile, il se laisse emmener en disant : « Il n'y a pas de
mal
». Le maire le fait relâcher, et conseille à sa f
éréotypie de langage, bien définie. La phrase : « Oh ! ça ne va pas
mal
! » répétée toujours avec les mêmes intonations,
uche. D'un côté comme de l'autre les reliefs musculaires se sentent
mal
, même quand on demande au malade de faire contr
einture thoracique. Les clavicules et les omoplates paraissent nor-
males
, mais les muscles qui s'y insèrent sont peu dével
et les tissus de soutien (os et cartilages) dérivent chez les ani-
maux
supérieurs du mésenchyme (Hertwig) : le développe
sson (Hutinel), les affections des reins (Souques et Castaigne), le
mal
de Pott (P. Marie) ont été tour à tour cités co
s trois sujets en effet on observe partout que les proportions nor-
males
entre le tissu spongieux et le tissu osseux compa
naissances cliniques et physiologi- ques ; elle est un peu vague et
mal
définie; mais malheureusement toutes 444 ETTORE
isme psychique et il reconnaît aussi l'existence de cette catégorie
mal
limitée et mal défi- nissable de leicht abnorme
et il reconnaît aussi l'existence de cette catégorie mal limitée et
mal
défi- nissable de leicht abnormen Kinder, de We
uissent être doués d'un développement intellectuel tout à fait nor-
mal
et proportionné à leur âge. Si nous traçons à p
exacts des choses abstraites ou concrètes par leur nature même très
mal
définies : cette inconscience de certaines diffic
mme tous les symptômes d'hypertension sont atténués ; tout cela est
mal
con- ciliable avec l'hypothèse d'une tumeur don
Société de Péd. de Paris, 17 avril 1901. Infantilisme. Traité des
mal
. de l'enfance. Grancher-Comby. 1904, t. I, p. 993
vrai. Nouv. Icon. de la Salp., janv-fév. 1907. Leçons clin. sur les
mal
. nerveuses, 1899, 2' série, p. 440. BNOUARDEL.
be. Rev. méd. de la Suisse Romande, 1887, 1897. Conray. -Traité des
mal
. de l'enfance, 3° édit., 1899. Conorrfint. - Se
diseases, nov. 1906, no 11. 1 D'AsTnos. - Hydrocéphalie. Traité des
mal
. de l'enfance, Comby-Grancher, t. IV, 1905, p.
. und Physiol., 1905, p. 219. HUTOEEL. - L'infantilisme. Rev. des
mal
. de l'enfance, 1893 ; Gazette hebd. de méd. et
adies du corps thyroïde. Syphilis de la glande thyroïde. Traité des
mal
. de l'enfance. Grancher-Comby, 1904, tut 111, p.
cette même année. Syphilisée également en 1894, la mère se soigna
mal
, et en 1900 présenta quelques signes de tabes.
omènes de l'abolition des réflexes tendineux, le signe d'Argyll, un
mal
perforant plantaire. Le signe de Romberg existe
dement. Si on donne en effet un ordre à Jeanne B..., elle l'exécute
mal
; elle oublie une commis- sion qu'on lui dit de
tions cutanées de notre malade. A cetle série appartiennent : a) le
mal
perforant des tabétiques, des syringomyéliques,
adiodermite. L'influence du système nerveux sur le développement du
mal
pe2-r- rant n'est pas douteuse non plus. Le mal
le développement du mal pe2-r- rant n'est pas douteuse non plus. Le
mal
perforant produit une- lésion 488 VALOBRA . q
égoriquement que son siège était fait. M. Valobra est encore plus
mal
renseigné sur l'opinion de M. Balzer qui m'a au
par simple affirmation verbale; les souvenirs deM. Valobra doivent
mal
le servir. » J'arrive maintenant à ce qui const
eurs raisons que je vais exposer : 1 1° La malade avait caché son
mal
aux médecins avec qui elle était en rapport ain
, à la sclérose latérale amylrophirur., à la paralysie agitante, au
mal
de Pott, aux myélites, etc. Entre temps, il ava
ques, et aussi les infections, la fièvre typhoïde, l'.influenza, le
mal
de Bright, dont il fil entrevoir les ré- percus
usement, ne tarda pas à se dissiper, je tentai de l'expliquerpar le
mal
des montagnes.- « Peut-être,répondit-il, mais,
a solitude du lieu, le grand silence nocturne, et aussi l'analogie du
mal
, rendaient poignante doublement ? ... Les ann
de tous. - Henry MEME. TABLE DES AUTEURS ALQOIER et Raymond.
Mal
de Pott sarcoma- teux (2 pl ), 113. APERT et
contro- latéral homogène et hétérogène, 210. RAYMOND et ALQUIER.
Mal
de Pott sarcoma- teux (2 pl.), 113. ' RA1\IOD
pe de - à la suite d'un zona) (2 pl.), par Rose, 64. Sarcomateux (
Mal
de Poil-) (2 pl.), par Raymond et ALQUIER, 113.
hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 ans; mais le
mal
sommeillait depuis dix-huit ans, remarquez-le bie
es provinciales du même genre. Jusque-là, il n'y a pas encore grand
mal
sans doute; mais voici le côté fâcheux. Le jeune
ofondément l'état de conscience peuvent, dans certaines circonstances
mal
étudiées, déterminer une amnésie rétroactive, c'e
ces accidents constatés n'ont jamais dépassé les limites d'un simple
mal
de tête ou d'un engourdissement passager, suscept
qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux bizarres, k des attaques
mal
caractérisées avec perte totale ou partielle de c
part les détracteurs de l'hypnotisme s'appuient sur des observations
mal
laites pour condamner aveuglément son emploi. Dan
ain (3), Fournier (4), Parisot (5), les symptômes caractéristiques du
mal
comitial se mènent de la partie et l'on se trouve
a l'hystérie proprement dite, ce que l'èpilepsie symptomatique est au
mal
comitial essentiel? » Ou bien avec Charcot, convi
t par certaines manœuvres dites magnétiques, dont l'action est encore
mal
déterminée; tantôt par une suggestion : lantôt pa
de nausées, puis des vomissements abondants de matières alimentaires
mal
dirigées. Le dernier repas avait eu lieu 6 heures
elles-mêmes snr les fonctions de l'organisme ; mais cette action est
mal
connue, les assertions des auteurs sur la valeur
r cours à ses mauvais instincts : terrain tout préparé, la semence du
mal
y germera et y poussera vite une moisson abondant
s ; fièvre, insomnie; aucune trace d'hystérie. je fus d'abord assez
mal
accueilli par la patiente, a qui les soins médica
it voulu, de propos délibéré, commencer la série des attaques du haut
mal
ou de la grande hystérie ! Mettrez-vous en caus
ces procédés, dont le mécanisme et l'inprétation physiologiques sont
mal
connus, il faut accorder une grande part à la sug
vis : obéir, travailler, penser au bien ; faire le bien ; délester le
mal
et vice ; être agréable, se rendre utile, aimer l
rave ou incurable ; il faut, au contraire, affirmer nettement que son
mal
est léger et qu'il guérira. Il est encore un po
storique et critique. Paris. 11889.. ln-8°, 498 p. mouvet : Etat de
mal
hystérique à accès subinstrant suggestion hypnoti
la manière de se comporter de plusieurs personnes. 4° N'avoir fias
mal
à l'estomac. (a) En décembre 1888, me trouvant
88, me trouvant chez moi. et ayant depuis plus d'une heure un violent
mal
à l'estomac, mal qui m'empêchait de me livrer à t
hez moi. et ayant depuis plus d'une heure un violent mal à l'estomac,
mal
qui m'empêchait de me livrer à toute occupation i
upation intellectuelle, je pratique l'auto-suggestion de ne pas avoir
mal
à l'estomac. Au bout de vingt minutes, le résulta
al à l'estomac. Au bout de vingt minutes, le résultat est obtenu ; le
mal
d'estomac disparaît et ne reparaît plus. Je puis
puis me mettre au travail. (b) Dans les mêmes circonstances, ayant
mal
à l'estomac et froid aux pieds, je me donne l'aut
mac et froid aux pieds, je me donne l'auto-suggestion de ne pas avoir
mal
à l'estomac ; pendant ce temps, je pensais que je
uto-suggestion pour le froid aux pieds qui m'incommodait moins que le
mal
d'estomac. Le simple désir, la pensée de ne plus
on d'avoir chaud aux pieds bien plus souvent que l'autre, n'avoir pas
mal
à l'estomac, par le fait de l'éducation, c'est el
a première exécutée au bout de dix minutes. La seconde, ne plus avoir
mal
a l'estomac, a été aussi exécutée, mais au bout d
minutes, et je n'ai pas cherché à reproduire cet état hallucinatoire
mal
défini, mais qui est très pénible et très ennuyeu
pression qui suit est d'autant plus grande. 10° Chanter Je chante
mal
et n'ai aucune prétention à exceller dans ce genr
e donne l'auto-suggestion de haïr une personne, D..,, qui m'a fait du
mal
. Le résultat est positif, je la hais. Cette expér
travail dans l'après-midi, mais le résultat est nul. Je souffre d'un
mal
de tête intense, atroce, j'ai une calotte de plom
ntense, atroce, j'ai une calotte de plomb qui me serre la tête, et ce
mal
persiste malgré tout. Je plonge ma tête dans l'ea
é tout. Je plonge ma tête dans l'eau froide sans réussir a modérer ce
mal
, j'essaie de me reposer, puis me promène au grand
érer ce mal, j'essaie de me reposer, puis me promène au grand air. Le
mal
de tête continue, et je sens que, s'il dure longt
a salle de jeu, et l'émotion causée par le jeu me fait disparaître ce
mal
de tête en quelques minutes. L'auto-suggestion
t disparaître ce mal de tête en quelques minutes. L'auto-suggestion
mal
pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnos
uto-suggestion mal pratiquée développe l'hystérie ainsi que l'hypnose
mal
pratiquée. Mais l'auto-suggestion pratiquée ave
la rue et c vadrouiller » (1) le soir. La fille se débauche et tourne
mal
. Tant pis ! Elle n'en sera pas plus malheureuse p
pas sérieusement, et, réflexion faite, elle se dit que si sa fille a
mal
tourné, il vaut mieux essayer de tirer partide ce
t au café, et on expose son embarras aux amis. Ceux-ci encouragent au
mal
, lèvent les derniers scrupules et proposent de te
ondamner aux travaux forcis a perpétuité. Voici donc deux individus
mal
équilibres, je crois : l'un, un enfant, tombe aux
e. Intelligences débiles qui ne savent pas bien distinguer le bien du
mal
, volontés sans consistance qui côtoient toujours
ne et que, dans leur conscience contami, née, la notion du bien et du
mal
, de plut en plus confuse, tende à s'effacer. Déso
ainsi les conclusions : 1° L'épilepsie procursive est une forme du
mal
comitial, dans laquelle l'accès se manifeste par
ommes s'attirent autant de haines en faisant le bien qu'en faisant le
mal
.» Ainsi un prince qui désire maintenir son pouvoi
est le souverain Juge de tous, cela ne semble pas l'avoir préservé du
mal
. Comme Mountstuart Elphinstone l'a observé : (4
cet homme. « Sur le chemin de Donlatabad. il fut affligé d'un violent
mal
de dents et en perdit une qu'il ordonna d'enterre
es à se débarrasser d'un mauvais roi dans l'Est, qu'il est rare qu'un
mal
aussi étendu soit accompli par le mauvais gouvern
ualités vicieuses qui n'appartiennent qu'à la veillesse. « Mais ces
maux
deviennent plus graves et sont encore augmentés p
endues, fatiguées, dissipées, celles des autres actions éprouvent des
maux
semblables et qu'en conséquence, le corps sans so
vie sédentaire ou de cabinet, si famillière aux gens de lettres. Les
maux
qui résultent de là, quoique assez graves par eux
de l'embonpoint ; saint Clair, sainte Claire, sainte Luce, contre les
maux
d'yeux ; saint Cloud, contre les furoncles : sain
des pauves, ou recueil de prières et oraisons présiceuse contre le
mal
de dents, les coupuees, les rhumatisme, la teigne
fais-tu là? « — Je suis ici pour mon chef, pour mon sang et pour mon
mal
de dents. » « Apoline, retourne-toi ; si c'est
. S. J. C, le signe de la croix sur la joue avec le doigt, en face du
mal
que l'on ressent, et en très peu de temps vous se
nt une étude approfondie. Il existait de ces oraisons contre tous les
maux
, contre toutes les affections ; leur succès éta
occasion, comme pour me démontrer qui si j'avais calmé et endormi le
mal
, je ne l'avais point déraciné. Certains faits m
s aujourd'hui que votre docteur en théologie est en défaut et qu'il a
mal
interprété la réponse de ta Sacre-Pénitencerie.
met ! » « Hypnotiser un malade pour le soulager ou le guérir de ses
maux
; l'hypnotiser pour empêcher le retour des crises
s l'un de ses professeurs et le frappe de trois coups de couteau qui,
mal
dirigés, n'atteignent que le matelas. C'était la
N'aimez-vous pas votre enfant? » — «Si! je l'aime! Je sais que c'est
mal
. Je n'ai aucune raison pour le tuer. C'est plus f
lle tombe souvent sans perdre connaissance, mais ne s'est jamais fait
mal
. Dès le début, elle entre en contracture, et se p
ion, de la façon suivante. Je lui dis : « Mon enfant, vous avez là un
mal
qui vous fait bien souffrir; voilà longtemps que
é ; il y a indifférence pour tout ce qui n'est pas en rapport avec le
mal
dont elle souffre. Dans le second état, le caract
ion. Quand finalement la malheureuse femme découvrit la nature de son
mal
, l'anxiété fut extrême ; sa tête s'égara ; elle c
ve, peureuse, craintive; elle est morte tuberculeuse. Le père assez
mal
équilibré, faisait des excès d'absinthe. Il a été
beaucoup plus violente que de coutume. Poussé maigre lui et malgré le
mal
qu'il savait se faire a lire les jour..aux. il s'
disant qu'il s'acharnerait après lui et qu'il lui ferait toujours du
mal
. Cet état dura quelques mois; l'anxiété devînt
toutes espèces de craintes, L... ne pouvait plus travailler, dormait
mal
; ses nuits étaient troublées par des cauchemars :
persécuteur l'injurier, l'appeler coquin, lui dire qu'il lui fera du
mal
partout où il ira. Il entend distinctement les pr
se croit pas seul l'objet de tourments; il croit que Pranzini fait du
mal
a sa sœur, à sa grand'mère. Celle-ci a fait une c
ndonne parce qu'il n'est plus digne de la voir; il interprète tout en
mal
, voit tout en noir. ¡1 verse d'abondantes larme»
çon d'un mélancolique, c'est-à-dire comme un être passif qui subit un
mal
et reste sans défense. Il pleure, gémit, s'accuse
e sa toilette au plaisir d'aller jouer avec ses camarades? C'est bien
mal
connaître le naturel de l'enfant. et je suis en d
e mes commandements l'exécuteur fidèle, Bientôt, j'allégerai de vos
maux
le tourment ! En attendant, prenez cette somme
illes, et cette surdité, sans écoulement par le conduit auditif, sans
mal
de gorge, se dissipe après quelques mois. A dou
rmanents, présentent la série des accidents variés: attaques, état de
mal
, etc. constituant la pathologie de l'hystérie.
ude de la courbe des excréta urinaires, pendant la durée des états de
mal
. montre qu'au début il y a chute des éléments uri
is plateau, et relèvement quelques jours avant la sortie de l'état du
mal
. Ce sont là des phénomènes dus a l'hystérie et no
donc de prédire le retour de l'état normal. Quelque soit l'état de
mal
observé, le poids des sujets diminue journellemen
raie et d'epilepsie partielle symptomatique. de même que les états de
mal
correspondants, se jugent par une élévation consi
incipes constitutifs de l'urine. L'attaque d'hystérie et les états de
mal
, quelque forme qu'ils revêtent. se jugent par une
confondre avec ceux que nous avons notés dans l'attaque et l'état de
mal
hystériques, de même d'ailleurs que, cliniquement
minuer. Nous ne sommes pas les derniers à regretter que des esprits
mal
pondérés aient contribué par leurs exagérations e
l craint d'avaler des microbes en respirant, de peur de leur faire du
mal
; il a des incertitudes fréquentes lorsqu il met u
s de l'écriture remonte a 1884, il a alors trouvé qu'il écrivait plus
mal
qu'avant. Sous la dictée il écrit sans hésitation
ue les autres : ils amèment un grand excédant de garçons. L'embryon
mal
nourri tend vers le sexe masculin : son sexe est
ué : la soupe à la tortue impressionnera désagréablement notre palais
mal
préparé à un tel excès de graines de pipéracées.
ûleras l'avant bras sur la ligne que je viens de tracer. Cela te lera
mal
. une rougeur paraîtra à ton bras, il y aura du go
ès en produisant le sommeil. Je réussi généralement a lui enlever ses
maux
de tète, des picotements dans les parties génital
un chiffre absolument exceptionnel, puisque une selle turcique nor-
male
, chez un individu de haute taille, ne mesure jama
tre de lui prendre une radiographie de la main, ce qui me coûta pas
mal
de peine pour le convaincre. Or la ÉTUDE DU GIG
s ne sauraient être confondus si, au lieu de considérer les formes.
mal
caractérisées, on tient surtout compte des formes
té de Médecine de Jassy (Roumanie). On entend par dystrophies (5ùS)
mal
, et °pop'h, nourriture) « un trouble de la nutr
ble du côté gauche, il est vif du côté droit. Le plantaire est nor-
mal
. Les réflexes abdominaux sont faibles. La sensibi
coupait avec un couteau) ». Tout le membre inférieur droit lui fait
mal
. Les douleurs, nocturnes l'empêchent de dormir,
ssement sur la fice externe du pied droit. A l'examen objectif sent
mal
les piqûres au bord externe du pied droit. 16
dorsale aussi bonne que la plantaire). Mouvements des orteils nor-
maux
. Atrophie visible sur la face antérieure de la ja
masses musculaires de la jambe gauche sont atrophiées et réagissent
mal
au courant électrique. L'hypotonicilé, le réflexe
elle préfère se reposer sur le côté droit. La jambe droite lui fait
mal
mainte- nant au moindre mouvement. La malade ne
'une hyperesthésie générale de la peau. Le simple toucher leur fait
mal
. Les douleurs peuvent siéger dans d'autres endr
ui décrivent une forme spéciale de sarcome vertébral sous le nom de
mal
de Pott sarcomateux (Haymond -Alq uier, cas de Po
u de la partie inférieure des avant-bras, la sensibilité était nor-
male
. Le malade ne se plaignait d'aucune douleur ; il
arder ' De ses vairs ieux doucement el visage, Bien péusse de mes
maux
respasser, Mais ne me veut faire tant d'avantag
rononcé (V. PI. XII) ; les pupilles, très dilatées, réagissent très
mal
à la lumière et à l'ac- commodation. En exami
scles du cou ont présenté des réactions électriques à peu près nor-
males
. Les altérations sont nettes sur les muscles de
La mère, qui avait suivi avec tout son regret maternel les progrès du
mal
chez l'aînée, vit donc avec effroi les mêmes al
épaté. Sa lèvre supérieure est aplatie et rehaussée, les dents sont
mal
implantées et la lèvre inférieure, abaissée et re
. Sa prononciation des mots se fait de la même façon, le r est très
mal
prononcé et le t est substitué à plusieurs lett
he est très large, la lèvre inférieure est relâchée, les dents sont
mal
plantées, avec diastase dentaire et les signes
te les mêmes défauts de prononciation que ses soeurs. Le r est très
mal
prononcé et le t est substitué à beaucoup d'autre
rythmique (70-80 à la minute), la respiration est paisible et nor-
male
. Examen des réactions électriques. Les muscles
mmédiatement d'une perte de connais- sance d'une durée d'une heure.
Maux
de tête les jours suivants sans au- tres troubl
La malade se plaint d'une difficulté d'avaler les solides, elle avale
mal
aussi les liquides. Les mouvements de la tête s
u-dessous de l'apophyse mastoïde, il y a une petite tumeur à contours
mal
définis, immobile, dure. Dans le pharynx (du cô
ato-pharyngien. La malade se plaint de la difficulté d'avaler et du
mal
à la gorge, au maxillaire gauche et à l'oreille
dans la corne gauche, tandis qu'à droite elles étaient presque nor-
males
. Dans la corne gauche les cellules nerveuses lésé
s un grand nombre de corpuscules amyloïdes. Les vaisseaux sont nor-
maux
ou un peu épaissis. La névroglie est faiblement p
ne materna, on ne tint aucun compte des altérations multiples, mais
mal
coordonnées, que l'on signalait dans le cerveau d
x, cellules et fibres, dans des coupes provenant de cerveaux d'ani-
maux
mis en expérience ; Forts de toutes ces preuves
he en avant ne pourra s'opérer tant que le cerveau normal nous sera
mal
connu, tant que la physiologie de l'écorce cérébr
offre de grandes variations individuelles, enco- re peu connues et
mal
déterminées ; on pourra peut-être un jour y rap
parfois Ù imiter les tremblements pathologiques, il y réussit fort
mal
, car cela est très difficile. Il est toujours fac
de re- volver sur le greffier de justice de paix l'accusant d'avoir
mal
fait J'enquête pour son accident du travail. Il
point de départ halluci- natoire aides idées de persécution, délire
mal
systématisé, sans doute en raison de l'amnésie
attitude vicieuse chez d'autres sujets : on dit qu'ils se tiennent
mal
, qu'ils ont les épaules tombantes, etc., mais,
es bien comprendre. La timidité échappe de même à trop de personnes
mal
renseignées à son égard, quoique expertes dans
ne étude préalable de la théorie, manquent de méthode et apprécient
mal
les valeurs morale, ou intellectuelle de leurs
qu'elle échappe à l'oeil même malveillant du prochain peu exercé ou
mal
averti. Bien mieux, elle échappe souvent t'inté
tations voulues de l'activité. Une vigoureuse muscula- ture corrige
mal
le défaut. Ce n'est pas à la périphérie qu'il est
s centres, voilà ce qui est essentiel. Les centres du timide sont «
mal
arrangés ». De ce dérangement semble résulter u
ngine. De l'auriculaire gauche l'ongle est petit, mince, écailleux,
mal
limité d'avec l'épidémie voisin. Le grand-père
t ses voyages, toujours en bonne santé. Une fois seule- ment, ayant
mal
pris ses mesures pour sauter, il tomba et se cass
ion je puis dire qu'ici il s'agit d'une mentalité parfaitement nor-
male
et bien équilibrée et d'une intelligence plutôt s
t à sa hauteur, normale quant à son diamètre sagittal et aussi nor-
male
quant à ses diverses parties. Rien de remarquab
frontaux. A la base du crâne, la selle turcique a été trouvée nor-
male
dans le premier cas; dans les autres elle était p
urs qualités à leurs descendants, comme font certaines races d'ani-
maux
, nous nous demandons s'il n'était pas risqué d'af
la reproduction des achondroplasiques, avec certaines races d'ani-
maux
, n'a pas de valeur. On sait que les races des boe
5 centimètres de la pointe de la rotule : 30 centimètres. Etat nor-
mal
des mouvements actifs ou passifs. Force musculair
ne retarde les affections métasyphilitiques, que même dans des cas
mal
soignés, de telles affections se manifestèrent pl
t suivi aucun traitement spéci- fique ou chez qui ce traitement fut
mal
dirigé. Oppenheimditque.de deux personnes attei
U LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR RAYMOND. SUR LA LÉSION OSSEUSE DU
MAL
DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA COMPRESSI
lièrement favorable à l'étude de la cica- trisation osseuse dans le
mal
de Pott. 1° Quel est le rôle des lésions osseus
aphie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XXXIII LÉSIONS OSSEUSES DU
MAL
DE POTT , (Alquier et Klmfeld). A. Aspect de
sson & Cie, Editeurs. Phototypie Berthaud LÉSIONS OSSEUSES DU
MAL
DE POTT (Alquier el Klarfeld). Effondrement e
graphie DE la Salpêtrière. T. XXIII. PI. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU
MAL
DE POTT (A lquier et llny'eld). Mal de Pott a
I. XXXV LÉSIONS OSSEUSES DU MAL DE POTT (A lquier et llny'eld).
Mal
de Pott avec coudure rachidienne à angle droit. F
plus loin ostéoporose (en bas, à droite). SUR LA LÉSION OSSEUSE DU
MAL
DE POTT 311 intervertébraux qui les séparaient
ces « accidents de l'effondrement » et des luxations en arrière du
mal
sous-occipital, les lésions osseuses nesemblent p
fficile de pré- ciser la nature. (1) ALQUIEa, Quinze autopsies de
mal
de Polt chez l'adulte. Iconographie de la Salpê
fibres nerveuses, au lieu de présenter leur coupe transversale nor-
male
, présentent souvent des faisceaux myéliniques à d
ncte parcourue par les fibres nerveuses modifiées avec les contours
mal
dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses.
ec les pieds mouillés. Etat actuel. La malade est de petite taille,
mal
nourrie. Rien de no- table dans les organes int
es trou- bles trophiques dans l'hystérie a été fondée sur des faits
mal
observés ou mal interprétés. L'émotion n'a pas
ophiques dans l'hystérie a été fondée sur des faits mal observés ou
mal
interprétés. L'émotion n'a pas l'action qu'on lui
e présentent pas de lésions. 7°EnacheD... Notes cliniques. - 5 ans,
mal
de Pott avec paraplégie spasmodique, contractur
J... Notes cliniques. - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un
mal
de Pott. Atrophie des membres inférieurs. Durée d
... Notes cliniques. 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un*
mal
de Pott, sans atrophie, ni contracture. Réflexes
evenu flasque. Durée de la maladie : 2 ans. Examen macroscopi- que.
Mal
de Pott ayant donné lieu à un processus pachyméni
sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lésées, transmet- tront
mal
à la périphérie l'influx sympathique qu'elle ont
lité, parce que, si, d'une part, un diagnostic différentiel avec le
mal
de Pott ou avec un processus syphilitique à la ch
hez noire malade sont les suivantes : rachitisme; ostéo-ma- lacie ;
mal
de Pott; processus syphilitique des vertèbres; dé
es à cet endroit. l. On ne peut non plus soutenir qu'il s'agit de
mal
de Poil, parce que la malade n'accuse aucune do
'elle est subluxée sur la 4e, venant ainsi perdre ses rapports nor-
maux
avec la 2" et avec la 4° lombaire. Telles sont
Brachymélie SYMÉTRIQUE IV. Métatarsienne. Infantilisme TUBERCULEUX.
MAL
DE POTT. TUBERCULOSE PULMONAIRE. L'observation
é mesurée directement : 430 CHEVALLIER sur les suivantes qui sont
mal
formées ; sur la première phalange du troisième
let costal. Aucun point rachidien n'est douloureux : il s'agit d'un
mal
de Pott cervical inférieur guéri. Le bassin e
dominer actuellement c'est la cachexie tuberculeuse attestée par le
mal
de Pott guéri, la tuberculose péritonéale ancienn
e pérttonéaie sclérosante ; ostéite raréfiante récente de la hanche ;
mal
de Poil cervical guéri avec ankylose ; arrêt du
ade, Emilie Laug., est âgée de dix-huit ans. Le pied droit est nor-
mal
; le gauche est au contraire remarquable par la p
ulsions apparaissent pendant quatre jours. Le développement se fait
mal
: à six ans et demi l'enfant commence à marcher
à fines cellules; les bases paraissent creusées de larges alvéoles
mal
remplies de trabécules osseux. Les phalanges de
lésées, peut-être même les seules lésées; elles sont très courtes,
mal
formées et leur tissu osseux n'a donné qu'une omb
ans cer- tains cas de carie vertébrale les malades supportent assez
mal
l'exten- sion, mais alors on ne voit pas une te
, des troubles sphinctériens et des troubles trophiques de la peau (
mal
perforant). TUMEURS DE LA MOELLE I ? f'INIISItE
les cas préci- tés consistaient en formation de foyers irréguliers,
mal
délimités avec une raréfaction des fibres. Ces
rs. Il convient à ce propos de rappeler ici que mon cas se concilie
mal
avec la doctrine bien connue de Dejerine, d'après
éfaut. Au niveau du lobe pariétal, le faisceau fronto-occipital est
mal
délimité du cingulum en dedans ; en dehors, il s'
pour ce qui regarde le développement sexuel qui est absolument nor-
mal
chez les microsomes. LA MICROSOMIE ESSENTIELLE
s la première ou la seconde enfance chez un enfant tout à fait nor-
mal
à la naissance parle toujours en faveur du diagno
,dont 8 seulement survécurent. Parmi ceux-ci, furent de taille nor-
male
(en moyenne de 1.625), et 3 restèrent extrêmement
, à celle d'un enfant de 4 ans. Le scrotum est de proportions mini-
males
mais normalement conformé; on n'y palpe pas les t
Examens locaux. - Crâne. La tête,vue de face,paraît absolument nor-
male
; en la regardant de profil on est au contraire t
i imbibés. La peau n'est point fine, ni trop dense, absolument nor-
male
. Les globes oculaires ne sont point saillants,
ches myéliniques du tubercule quadrijumeau antérieur paraissent assez
mal
colorées (méthode de Pal), mais les coupes ne s
athew), scrofule (obs. p. II), bacillose latente probable (obs. I),
mal
de Pott, carie de la hanche, péritonite chroniq
métacarpien est raccourci du quart ou du tiers de sa longueur nor-
male
. Il garde sa forme générale. La diaphyse est brèv
s. L'ossification des autres métacarpiens et des phalanges est nor-
male
, avancée ou parfois retardée (obs. III) comme l'o
architectural et formateur sont consi- dérables ; sa pathologie est
mal
connue. Le rachis et la base du crâne sont trop
apnbre, art. Doigt, t. 30, p. 225. (3) L. D'ASTIS08, Rev, mens. des
mal
. de l'enfance, nov. 1901, t. 19, p. 493-506. BR
ur médullaire. liev. neurol..4, 1902, p. 114. ItY31OND et Aeoren. -
Mal
de l'ott sarcomateux. Nouvelle Iconographie de ta
ire, humaine, de frénésie. Pour les autres, le peintre souffre d'un
mal
d'origine diabolique et d'étiologie divine : il e
s la lutte entre ses nou- veaux devoirs et le souvenir d'affections
mal
éteintes, réveillées par ses occu- pations même
sibilité était intacte et les pupilles ne présentaient rien d'anor-
mal
dans leurs réactions à la lumière et à l'accomoda
hôpital, fut opérée pour des glandes sup- purées au cou, de nature
mal
déterminée, eut quelques crises épileptiformes.
ntourée d'une couche de fibres assez épaisse, mais qui se colore fort
mal
et dans laquelle se trouvent enclavés un bon no
sieurs systèmes différents. Un grand nombre d'entre elles se colorent
mal
, étant plutôt jaunâtres, et se dégagent directe
e, ce tapétum est certainement moins volumineux que le tapétum nor-
mal
; ses fibres constituantes sont plus relâchées et
e frontal, un champ de fibres très irrégulier et qui se colore fort
mal
, se dessine petit à petit et renferme, entre au
pilier antérieur du trigone. Ces deux forma- tions se colorent très
mal
et sont réunies sur la ligne médiane par un repli
be frontal. Ce sillon semble se prolonger sous la forme d'un septum
mal
défini qui pénètre dans l'épaisseur de la paroi v
décrit tous les caractères cliniques néga ti fs et posi ti fs (nor-
maux
et pathologiques) qui nous permettent d'attribuer
rmaux et ne différant en rien par leur psychisme des individus nor-
maux
du même âge et du même niveau social. Von Hansema
-disant nanisme mitral, l'un par M. Bruneau de Laborie, l'autre par
MAL
Klippel et Cha- brol. Eh bien ! toutes les ob
ines femmes à faire des amniotites à répétition, ou tout au moins à
mal
conserver intactes les enveloppes de l'oeuf (1)
et de méd. coloniales, 1904, p. 285. 15. F. RA310tiD et P. JANET. -
Mal
formations des mains en pince de homard. Nouv.
i), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion osseuse du
mal
de Pott ; son rôle dans la genèse de la - ; son
ar KOPEZYNSKI et jAnosxYKSKi, 363. Pott (Sur la lésion osseuse du
mal
de ; son rôle dans la genèse de la compression
90. TABLE DES AUTEURS ALQUIER et Klarfeld. La lésion osseuse du
mal
de Pott. Son rôle dans la genèse de la compress
u pithiatisme (2 pl.), 363. KLAHFEf.n et Sur la lésion osseuse du
mal
de Pott ; son rôle dans la genèse de la compres
t souvent plusieurs jours de suite à la maison pour se reposer, les
maux
de tète devenant de plus en plus violents. Enfi
vomissements de glaires qui coïncident avec les paroxysmes de son
mal
. L'appétit est cependant assez bien conservé. Les
thérapie s'accentuèrent alors rapidement. Au bout de deux mois, les
maux
de tète avaient presque totalement disparu. Le
artillerie, sans passer un seul jour à l'infirmerie, et sans que le
mal
ait reparu. Depuis, il s'est bien porté, et il es
Au mois de mai de cette année scolaire, il commença à ressentir des
maux
de tète qui, d'abord légers, ne tardèrent pas à
qu'un beau matin il accusa, sans cause bien appréciable, un violent
mal
de tête, accompagné d'étourdissements et de mau
éciable, un violent mal de tête, accompagné d'étourdissements et de
maux
de coeur. Cet état, qu'on crut d'abord passager
fois, la médication ne parut pas réussir. Au bout de deux mois, le
mal
avait encore augmenté et l'on dut renoncer à ce
pour la campagne, au mois de juillet, en excellente disposition. Le
mal
de tête ne le reprenait que quand le travail ét
ne. Il con- tinue régulièrement son traitement hydrothérapique; les
maux
de tête ont complètement disparu, et, au jour o
d'avoir tou- jours les pieds et les mains glacés, surtout quand le
mal
de tète est plus fort, et cela même pendant les
le dortoir, il se réveilla le matin avec de la fièvre et un violent
mal
de tête qu'il compare à celui qu'il a ressenti
trois pre- miers mois, tout alla bien. Mais, après cette époque, le
mal
de tète reparut, et il s'aggrava bientôt tellem
élèves de sa classe. Depuis environ six mois, l'enfant se plaint de
maux
do tète qui, assez faibles au début, sont allés
et s'ex- primait très facilement. Depuis un an, il se plaignait de
maux
de tête siégeant sur le devant du front, et qui
put y travailler durant toute une année. Mais, l'année suivante, le
mal
de tête reparut avec une telle intensité qu'on
de la glace pouvait seule calmer. En été, cure à Luxeuil ; elle fut
mal
tolérée. Ensuite saison de trois mois il Divonn
er. Cependant X... nous a dit que, dans les dernières semaines, les
maux
de tète étaient devenus de nouveau ,tl6 mv A.CL
aujourd'hui de douze ans, m'alété amenée, il y a deux ans, pour des
maux
de tète, qui, préoccupaient beau- n coupoles pa
par lui.. le Dr Millard.. Sous l'infliience,4 I'Iivdrotliérapié les
maux
.¡lle ¡tète ont cédé cette fois, rapidement., L
geant au front, et qu'il compare à un sentiment très douloureux. Le
mal
va en augmentant dans la journée et souvent est
abord, les' sentiments, les idées pénibles sont assez confus, assez
mal
déterminés dans tel ou tel sens. Cependant, l'a
hez. elle pendant.dit-sept ans : ;Avec Page 116si manifestations du
mal
se rapprochèrent de plus en plus, et, en 1866, la
jusqu'à ces trois- dernières années, elle appréciait clairement son
mal
, même au plus fort}des pa- roxysme's.1 OepÚis¡l
CONSC1ENCE. 37 Î les modifications survenues en elle et regrette le
mal
qu'elle fait : rmais1elle'esif domjll'ée ? ùbju
traitement par le quinquina, le musc , et la digitale enrayèrent le
mal
. M-0 L ou..... guérit. Ala convalescence lés tr
s' souffrances, mais, sa volonté est impuissante à réagir contre le
mal
. Pour- tant le sommeil est excellent, l'appétit
MIi\ ,par.lJa),.pç9 ? H 1 qy ,ses <,}Ip'¡ : ,ieurls.Jj lugeaient
mal
, et ne l'estimaient pas, consciente toutefois des
f 0."1)11 n"n '.1 ,'t/V'" '1' dans son esprit, elle fit part de son
mal
a ses compagnes. Tout' le'monde' l'entoura' d'a
, Par moments, des impulsions violentes à)'briser, et à faire dût
mal
la subjuguaient, impulsions qu'elle raisonnait sa
un meuble. A partir de .cette chute,. elle eut des'insomnies et des
maux
de tète parfois RECHERCHES suri LA ! rrOLIEJA\'
tobre, elle entra comme domestique'dans une,maisomoit.elle fut fort
mal
nourrie. Les troubles revinrent, avec l'anémie.
' une seconde suffira : 1 Elle se tsentitrtoute. la journée faible,
mal
·à à soncaise,- .et en conclut à un empois sonne
onHrès'p'rononcée du fond-de l'oeil.' Peu 'après ? iiouvel état' de
mal
'(on1 compte jusqu'à qrïarante-sixà cin- quante
VERTIGES ÉPILEPTIQUES. 163 Il a toujours peur qu'on ne lui fasse du
mal
. Deux de ses camarades placent son lit entre le
1 ! Le 14 mai, Nouaux est un peu larmoyant. A son réveil, il a eu
mal
à la tête. Son langage est un peu diffus. Aurai
s ambi- tieuses, expansives, on n'en trouvera que d'enfantines et
mal
cohérentes; et ce qui frappera dès l'abord, ce
mes caractères d'indécision, avec les mêmes conceptions flottantes,
mal
déterminées, soit dans la démence sénile simple
qui termine parfois ces vies aventureuses de certains héréditaires
mal
équi- librés. Cette hypochondrie ne fait guèr
opathie de l'articulation métacarpo-phalangienne de l'index droit :
maux
perforants plantaires, dystrophie des ongles de
pied droit, au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne, un
mal
perfo- rant qui persista pendant quatre ans et
ans et nécessita, en 1879, l'am- putation du gros orteil droit. Ce
mal
perforant n'avait été pré- cédé d'aucune douleu
lus mobile queprécédemment. Vers la fin de la même année, un second
mal
perforant, tout à fait semblable à celui qui s'
sans qu'on puisse dire qu'elle soit véritablement atrophiée. Les
maux
perforants ont laissé des traces persistantes. A
une cicatrice blanche, froncée, peu épaisse qui occupe la place du
mal
perforant guéri en 1881. L'ongle du gros orte
étaché, un jour de l'hiver de 1881, pendant que le malade avait son
mal
perforant. Il est tombé spontanément sans qu'au
complète : 1° au niveau et au pourtour de la cicatrice de l'ancien
mal
perforant du côté gauche dans un rayon de deux
ement- instructive. Elle nous montre plusieurs troubles trophiques (
maux
perforants plantaires, dystrophie des ongles de
iphériques et de troubles trophiques cutanés. Observation VIII. -
Mal
de Polt. - Abcès par congestion; déviation de l
jours, il n'y a pas eu de garde-robes. Pas d'esclrares. En somme,
mal
de Pot(ancien ayant donné lieu à une dé- viatio
uses d'herpès (OBs. IV) ou de bulles pemplii- goïdes (OBs. IX), des
maux
perforants plantaires (OBs. VII), des oedèmes c
eu en pro- portion sont atteints de cette céphalée ! L'origine du
mal
n'est donc pas là exclusivement. Quand le mal d
alée ! L'origine du mal n'est donc pas là exclusivement. Quand le
mal
débute, nos jeunes malades sont tous, on le rem
eux plus spécialement. Du reste, nous ne prétendons pas qu'entre le
mal
de tète et l'application du cerveau il y ait un
été le cas de D... qui, par deux fois, a pu se croire débarrassé du
mal
et qui en a été repris dans les conditions les
ous essayent de conti- 1 Voici la suite de l'observation de D... Au
mal
de tète s'ajouta au bout t de peu de jours un é
n apogée, ce n'est pas seulement le labeur scolaire qui exaspère le
mal
, c'est alors la lecture, même celle dite de dél
ellectuel est donc des plus évidentes : il entretient et aggrave le
mal
de tête. Il y a là une sorte d'action en retour
t aggrave le mal de tête. Il y a là une sorte d'action en retour du
mal
sur lui-même. La douleur est, du reste, toujour
dans cette guérison. Il est aussi certainement des cas légers, oùle
mal
ne fait, pour ainsi dire, qu'eflleu- rer l'adol
il a séjourné dans cette station. Toutefois, il a été repris par le
mal
aussitôt qu'il en est revenu. Il est, du reste,
'étaient adressés à des établis- sements non médicaux, s'en étaient
mal
trouvés. On confiera donc ces sortes de traitem
noyau et le nucléole conservaient leur forme et leur position nor-
males
et ne présentaient pas d'hypertrophie. (PL. III,
démence. Traitement des accès par l'acide sclérotinique. État de
mal
. -Tempé/'[tt1l1'e élevée.- Amélioration.- Broncho
a pas d'attaques, mais est très nerveuse et se trouve quel- quefois
mal
, à la suite de contrariétés. [Père, soixante-quat
peu, se plaint sans cesse. Pas d'oppression. - La poitrine résonne
mal
en arrière et à droite. Respiration rude, mêlée
publié, il y a quelque temps, un très bel exemple '. V. L'état de
mal
, auquel a succédé la broncho-pneumonie terminal
e dont il s'agit ne songea jamais à entraver cette fonction anor-
male
. Dans le cas contraire, et les deux observations
ne fièvre typhoïde, est restée pendant vingt et un jours en état de
mal
épileptique et dont les attaques ont atteint le
lgarisation. L'école de M. Charcot a fait faire il la théorie de ce
mal
des progrès considérables, et ces nou- \elles o
prit, lequel fait proufiter & aide, & non celuy qui fait le
mal
& qui aporte nuifance. Toutesfois afin que
la suite de cette couche, on a constaté l'existence d'une éruption
mal
déter- minée aux organes génitaux, et quelque t
ques. Logé le plus souvent dans des caveaux humides, se nourrissant
mal
et insuffisamment, il était obligé de travaille
nt jusqu'à ce moment, cause une certaine difficulté d'uriner. Son
mal
actuel date du printemps de 1878, quand une nuit,
cura un soulagement remar- quable, mais passager. Bientôt après, le
mal
s'aggrava de nouveau; outre le dérangement dans
; depuis cette époque jusqu'à l'en- trée du malade à l'hôpital, le
mal
parait avoir été stationnaire. Etat actuel (7 s
A l'oeil nu, les racines des nerfs spinaux paraissaient être nor-
males
; il faut excepter les racines antérieures du cou
- taient pas mérycoles. L'autopsie n'a jamais montré rien d'anor-
mal
dans la conformation de l'estomac des individus a
a augmenté depuis l'usage des vomitifs. Soif modérée; urines nor-
males
. Rien au coeur; un peu d'emphysème; sensibilité e
sensations que dans un seul cas et d'une seule manière. Lui fait-on
mal
, soulire-t-i1, il pousse un cri inarticulé, tou
de rachitisme ni de scrofule; orteils courts, voûte plantaire nor-
male
. Organes génitaux : Verge petite; prépuce très
et devant n'importe qui; il parait cependant comprendre qu'il fait
mal
, mais éclate de rire lors- qu'on le gronde. I
cinq mois, la mère a eu une peur si violente qu'elle s'est trouvée
mal
sur le coup etn'a re- pris ses sens qu'au bout
es dont les pupilles réagissent . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 05
mal
à la lumière. Elle fail exclusivement défaut chez
; un écoulement vaginal après son mariage, pas de maladies depuis;
maux
de gorge fréquents; chute de cheveux. A la suit
bservation à l'asile ayant révélé des attaques de grand et de petit
mal
, M. Froenkel tend à croire aux allégations émis
hique des aliénés n'a jamais été influencé par ce médicament, ni en
mal
, ni en bien, ajoute M. Richter : enfin, termine
urpris par une hallucination ou une illusion de la vue ou de l'ouïe
mal
définie : on l'appelle pour lui demander ceci o
tes sortes. Cependant, confor- mément à l'adage : Qui trop embrasse
mal
étreint : on peut, pour le moment, borner ses d
ueuse, qu'une émotion morale puissent troubler l'équilibre nutritif
mal
établi. « Ainsi compris, le diabète serait un q
l'Intimidation joue socialement, de l'aveu de tous, un rôle immense,
mal
compris parfois, mais nullement exagéré, Le Respe
a Bible témoignent de l'existence de cette madic chez les Hébreux. Le
mal
de Baal Péor n'était sans doute pas autre chose.
ramme de Martial qu'on ne peut guère traduire en français ? Le mari a
mal
au... pied ou ailleurs ; sa fcn.me y a mal aussi,
re en français ? Le mari a mal au... pied ou ailleurs ; sa fcn.me y a
mal
aussi, et son fils ci sa fille; et son gendre, et
et son fermier, et son laboureur, et son journalier, tout le monde a
mal
au même endroit. Et l'ode fameuse a Priape avec
a vous à prendre soin de lui. Suivez-le afin qu'il ne fasse point de
mal
. Je priai le lieutenant j Mac de m'accompagner.
ssant en face d'hommes en vue à qui ils ne voulaient en réalité aucun
mal
, poursui-vatenl uniquement des revendications per
z Baillière et Fils , rue Hautefeuille, 19; Paris,1890. Là est le
mal
, et pour en arrêter les progrès, il faut en tarir
aire des victimes ; cependant, si nous tentons d'enrayer la marche du
mal
. nous aurons déjà fait quelque chose d'utile. N
age, suivant mes tor-ces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout
mal
et de toute injustice. Je ne remettrai à personne
des faits — et donnerai consciencieusement mon avis sur la nature du
mal
; au quatrième jour d'une maladie aiguë, j'averti
alin qui s'est livré à cette petite spéculation. « Si le rhume tourne
mal
. on dira : quelle prévoyance ! et s il guérit: qu
reux — c'est un puits de science ; pour les autres son mutisme masque
mal
sa nullité. « Docteur Chilosca, si nous mettion
ent le crédit dont le médecin a besoin, et elles n'ont jamais fait de
mal
à personne. Le Docteur 'Polypharmaque prescrit
on et de li circoliiion din» lìiypnose. Pragrr. mid. Woeb, li aoùt.
MAL
BER TI : L'hypnotitme et 1« triitcrceat dei foos.
, avec l'épilepsie, prouve bien en faveur de l'origine héréditaire du
mal
; néanmoins leur constatation chez certains sujet
. Son langage est correct, mais elle ne sait plus coudre, calcul très
mal
de tête, quoique caissière. Les auteurs font re
vient la nuit, demande a rester seul avec la malade pour conjurer le
mal
; après force pratiques de sorcellerie plus ou mo
ai qu'un conseil à vous donner : faites-vous donc hypnotiser! Les
maux
dont vous souffrez, en un clin - d'œil vont dispa
atrophier. Faites-vous hypnotiser!... C'est la panache contre tonales
maux
, la baguette magique qui conjure tous les mauvais
chien; depuis ce moment, il a. pendant le jour, des attaques de petit
mal
. mais pendant la nuit il a de grandes attaques da
s la grande majorité des cas, impuissant contre les attaques du grand
mal
épileptique. par contre, il pourra toujours, s'il
re les résistances qu'on oppose à leurs désirs, un besoin de faire le
mal
, dût-il entraîner après lui la ruine et le déshon
orceau de papier : Maltraitée par mon père ne voulant pas me conduire
mal
je mets fin à mes jours : , je pardonne à mon pèr
e se précipiter sur elle et de détourner le coup: cilene se fit aucun
mal
et accoucha d'un enfant vivant le 18 avril. Depui
ts fournissent une preuve convaincante de la réalité pathologique des
maux
dont elles se plaignent. Et pour revenir à notre
était indispensable, après avoir an préalable déterminé la nature du
mal
, de mesurer l'etendue. actuelle des altérations.
chien. 11 fait laver ses habits, les vend et se reproche ensuite les
maux
imaginaires qu'il a pu communiquer ainsi à d'autr
est comme le collégien qui fome son premier cigare ei s'en est très
mal
trouvé; il n'en a pas moins recommencé le lendema
e même insuccès j'emploie alors le choréop. tismt (1), qui produit le
mal
de mer et les nausées. la fille Caffo sortait de
ndues par des tribuns populaires : les masses, suggestionnées pour le
mal
. deviennent féroces; c'est l'anarchie, c'est la v
tions sans suites, de phrases à sens vague, de conceptions délirantes
mal
reliées entre elles. La faiblesse cérébrale qui
ébilité sont venues se greffer des idées mélancoliques, incohérentes,
mal
systématisées, peu adhérentes, comme elles le son
ations crâniennes, anormalités de visage, défauts dentaires, oreilles
mal
conformées ou mal placées. Les prostituées prés
anormalités de visage, défauts dentaires, oreilles mal conformées ou
mal
placées. Les prostituées présentent aussi un no
ations physiologiques nouvelles dans la crainte d'être dupes de faits
mal
observés ou falsifiés ? « Nous ne l'avons pas p
vec l'hypnotisme. Dans l'espèce la somnambule en question a agi auusi
mal
que le ferait un médecin qui a hésiterait pas à r
on met à l'épreuve et le danger qu'il peut y avoir de b part des.gens
mal
intentionnés, qui peuvent étudier pendant lesdite
OTISME A LA COUR D'ASSISES Un récent procès criminel est venu, fort
mal
i propos, remettre sur le tapis la question de l'
nette pour que Gabrielle Bompard sache ce qui est bien et ce qui est
mal
. Lille n'est pas atteinte d'aliénation mentale; r
motifs qui l'ont poussée à tuer une personne qui ne lui voulait aucun
mal
, et si, par hasard, ce ne serait pas M. Bottey qu
ser d'autre impression qu'une certaine fatigue musculaire et un léger
mal
de tète. « Quelques jours après, la mère de M.
monde, peut, alternativement, être employée pour raccomplissement du
mal
ou utilisée pour le bien. (a suivre.) DISCUSS
ts d'un docteur, et souvent dans les remèdes prescrits pour guérir un
mal
qui n'existait pas. L'hypnotisme supprime facil
arguments soulevés contre l'hypnotisme par les ignorants et les gens
mal
informés. Dans aucun cas je n'ai vu la pratique d
z ncllo pour que Gabrille Bompard sache ce qui est bien et ce qui est
mal
. EUe n'est pas atteinte d'aliénation mentale; rie
s, qu'elle s'efforce d'appliquer à l'étude des maladies nerveuses, si
mal
connues avant l'intervention de son chef. Entre
legmons (3), les bronchites et les hémorrhoïdes (4), l'hydropisie, le
mal
de Brigh, l'aphasie, l'atrophie du nerf optique (
rés chez 21 malades sur 22! Si nous n'avions auparavant hypnotisé pas
mal
d'hystériques femmes, quand nous prenions leurs o
que personne ne lai contestera la priorité de l'idée qu'il se fait de
Mal
second. (1) Gazette des Tribunaux, 20 déc. 1990
. VII, fasc. 3. 1890.) Solder (J.-N-). — Hypnotisme. (Méd. pop., 20
mal
1890, p. 216.} Shoeraker (J.-V-). — Spiritualis
x : 32 à 100. normal. Une troisième malade. Gn____atteinte de grand
mal
hystéro-comitial, compliqué d'hallucination de
use, elle juge la portée de ses actes, elle a la notion du bien et du
mal
, elle distingue par l'esprit, sinon par le sentim
e les aveugles moraux connaissent encore la distinction du bien et du
mal
. Ils savent fort bien qu'il faut faire telle chos
e forte pression dans le ventre, mais cela ne lui faisait presque pas
mal
. A 7 h. m. elle dit À sa voisine : ¦ Allez cherch
eut lieu la délivrance. Elle m'a raconté après qu'elle a eu très peu
mal
dans la nuit el pas du tout au moment de l'accouc
Après 5 m. de sommeil, demande que je la réveille, que cela lui fait
mal
. Jela réveille au bout de 10 m. ; réveil difficil
fre plus, dit qu'elle est très bien : € Cela presse, mais ne fait pas
mal
». Mais à chaque contraction, qui sont très forte
t légèrement, mais se tranquillise dès que je lui dis qu'elle n'a pas
mal
, que j oie les douleurs. Elle se plaint d'avoir m
s qu'elle n'a pas mal, que j oie les douleurs. Elle se plaint d'avoir
mal
au cœur Je lui suggère que cela est passé, elle r
bout de 3/4 d'h. Elle dit avoir bien dormi et n'avoir presque pas eu
mal
. Pendant 1/2 h. elle reste tranquille, se plaigna
m. durent 50 s. De temps eu temps elle gémit et dit que cela lui Tait
mal
. Alors je lui donne une compresse trempée d'eau;
ans d'aulres. 11 ne craint pas de soutenir que le jury a fait plus de
mal
à la société que la torture elle-même, a L'ignora
tout en affirmant qu'elle ne devait rien sentir, qu'elle n'avait pas
mal
. A partir de ce moment, la patiente n'agita plus
e n'avait pas souffert, mais qu'elle venait d'être prise d'un violent
mal
de gorge, qu'elle croyait étouffer et que, depuis
guère avoir d'imporlance pratique en accouchement. Le moment est bien
mal
choisi, en effet, pour tenlcr l'expérience et la
es causes, souvent la cause principale, et parfois la cause unique du
mal
organique. Un mot encore ; des expériences, com
suggestion était possible. De plus, le sujet ayant accusé de violents
maux
de tète, ils avaient trouvé que l'hypnotisme ne p
nditions défavorables, je repris le traitement psycho-thérapique. Les
maux
de tète furent rapidement combattus par la sugges
ccouchement la femme se sent faible, tousse, gémit, se plaint d'avoir
mal
à la poitriue, crache de l'écume sanguinolente.
sommeil profond pendant 10 m., à la fin je suggère de ne ne pas avoir
mal
k la tête à son réveil. Au réveil, la femme dit q
qui, selon M. Levillain, jouent un rôle important dans l'évolution du
mal
; Yamyosthénie douloureuse, la rachialgie et l'hyp
C'est qu'en effet le diagnostic est ici l'élément capital : que de
maux
de tète, de vertiges, de troubles digestifs et ci
ciété de Psychologie physiologique. — On sait que, dans certains cas,
mal
déterminés encore, il est arrivé qu'on ait cru vo
'on n'a pu hypnotiser cette proportion, on doit se dire qu'on procède
mal
, qu'on n'a pas l'expérience nécessaire, ou qu'on
on procède mal, qu'on n'a pas l'expérience nécessaire, ou qu'on a été
mal
dirige1. L'art de suggérer s'apprend, par l'habit
océdés exigent un apprentissage. Au début, on ne réussit pas; on voit
mal
, on entend mal; on croit qu'on n'arrivera jamais
un apprentissage. Au début, on ne réussit pas; on voit mal, on entend
mal
; on croit qu'on n'arrivera jamais à voir et à ent
: elle avait des appréhensions, elle s'imaginait qu'on lui faisait du
mal
, devenait méfiante, redoutait de se trouver seule
...? C'est vrai! je me souviens ». L'impression existe, mais elle est
mal
conservée. «Aujourd'hui, près d'un mois s'est é
uelques minutes dans ce semi-état d'engourdissement et se plaignit de
maux
de tète. Je lui expliquai alors tout doucement qu
de rester auprès d'elle, mais maintenant tu ne peux plus lui faire de
mal
, mais rien que du bien. Tu ne peux plus lui faire
gestive, ou son état en est amélioré subjectivement, si toutefois son
mal
est accessible à la suggestion. Ceci explique jus
Il y a un an, elle avait fait un séjour à l'hôpital d'un mois pour un
mal
de ventre ot des points douloureux disséminés ; s
torchon malpropre sans ressentir une impression désagréable : elle a
mal
au bout des doigts et ne peut s'en servir. Enfi
e antérieurement par les mêmes auteurs pour l'attaque et les états de
mal
hystérique. a Entre l'hypnose provoquée et l'hy
A notre seconde séance, M110 Y. G. me raconte qu'elle a, par moments,
mal
dans le ventre et qu'elle ne peut se baisser sans
ologique, personnelle, une influence morale et cérébrale; si elle est
mal
placée, si le maître n'en sait pas tirer parti, l
rs, est resté complètement raide. Ajoutons que notre malade dort très
mal
la nuit ; il ne cesse de rêver de médecins et il
; il ne cesse de rêver de médecins et il craint qu'on ne lui fasse du
mal
. Cette jambe gauche présente un raccourcissemen
t aucune amélioration. Le malade est obsédé par la persistance de son
mal
; il y pense sans cesse le jour et en rêve la nui
ésiques moraux, des amoraux; ils ne discernent pas ce qui est bien ou
mal
; ils y sont complètement indifférents. D'autres
y sont complètement indifférents. D'autres ont la notion qu'ils font
mal
et ils désirent s'amender; mais ils sont impuissa
resse cocaînique complète. Tous prisent avec fureur de la cocaïne. Le
mal
est devenu tel que le Conseil municipal a pris un
le traitement de troubles névropathiques divers (trac des chanteurs,
mal
de mer, agoraphobie, onanisme, timidité.etc...).
tions physiologiques nouvelles, dans la crainte d'être dupes de faits
mal
observés ou falsifiés ? Nous ne l'avons pas pensé
et $i tendre. » . On pourrait objecter avec raison que le lïernin a
mal
interprété efe déformé Ick sensations intimes don
à lire des romans et ce divertissement ne; « lui faisait pas tant de
mal
qu'à moi ; nous oubliions nos autres devoirs « po
, qui pis est, j'y prenais plaisir, ce « qui fut lu cause de tout mon
mal
... « Je reçus un grand préjudice d'une do mes p
cation de cette dernière, et qu'en définitive la jeune Thérèse allait
mal
tourner; il fut alors contraint de prendre ce que
s tJOTiiis-sements nerveux qui persistèrent pendant vingt ans, et les
maux
de cœur dont la sainte se plaindra à chaque page
e j'en « fusse fort contente : mes défaillances augmentèrent et mes
maux
de « cœur étaient si grands que se trouvant joint
ux de « cœur étaient si grands que se trouvant joints à tant d'autres
maux
, on « ne pouvait les voir sans étonnement. Je pas
ait les voir sans étonnement. Je passai ainsi la première année. « Le
mal
était si grand que je n'avais toujours que fort p
douleurs, « et elles sont quelquefois bien grandes principalement des
maux
de « cœur, quoique je ne tombe pas souvent dans c
nfluence d'une autosuggestion elle détermina une exacerbât ion de ses
maux
de cœur: « Il y avait alors une religieuse mala
ventre par lesquels elle rendait la nourriture qu'elle prenait. Ce «
mal
qui donnait de l'horreur à toutes les sceurs ne p
s grandes.... » Sainte Thérèse avait si bien atteint son but et les
maux
de cœur augmentaient â tel point, qu'il fallut co
ant les deux pre-« miers mois me mirent presque à l'extrémité : et ce
mal
de cœur si « extraordinaire, pour lequel on me tr
e je n'avais ni jour ni nuit un seul « instant de repos, et tant de
maux
joints ensemble me mirent dans « une profonde t
et permettre les violations de domicile. Le remède serait pire que le
mal
; 2° Représentations publiques d'hypnotisme. —
fisamment armées pour défendre la société contre les méfaits des gens
mal
intentionnés. Le sentiment de cette responsabilit
frit de « grandes infirmités » (3), et, tout l'hiver, elle tomba d'un
mal
dans l'autre. Le 3juin, elle écrivait: « J'ai com
lement pour s'excuser, mais vraiment par la conscience. qu'ils ont de
mal
faire; et plus d'un exprimait le désir (d'autant
ulant au crime. En prison presque tous déclarent qu'ils se trouvent
mal
, pas tant par l'alimentation que par l'isolement.
ément très bien; elle est très maigre, mais elle vit ni plus ni moins
mal
que beaucoup d'autres malades qui mangent à belle
de boule qui remonte, puis du vertige, une tendance à se trouver
mal
..., elle se débat et tout se termine par une expl
ort que ce piqueté, semblable à des piqûres de puces était spécial au
mal
comitial ; chez cette femme il s'agit seulement d
rée à l'identité des symptômes émotionnels, etc., tout cela s'accorde
mal
avec l'hypothèse qui attribue à l'idée un rôle to
Marguerite d'Angennes naquit en 1643. En nourrice, « il lui vint un
mal
dont elle ne fut pas bien pensée (sic) ; de quoi
le sang, et quoique cela ne dura guère, elle en demeura beaucoup plus
mal
que l'autre fois, son poumon paraissant tout à fa
mois environ avant sa mort, c'est-à-dire vers le 30 juillet 1660, le
mal
s'aggrava. « Elle n'avait plus de repos les nuits
e premier qu'elle prit ne produisit pas cet effet; mais il charma son
mal
et sa toux, et la laissa dans un fort grand calme
n qui étaient fort grandes »(6j. A cinq heures du soir, elle fut très
mal
, mais « au bout d'une heure et demie, son oppress
evenues si fâcheuses que, quoiqu'elle ne se plaignit point des autres
maux
, elle m'exprima la peine qu'elle souffroit de cet
anifeste et les malades n'hésitent pas à reconnaître qu'ils sont très
mal
doués au point de vue du pouvoir modérateur. En e
A 13 ans, d'autres accidents apparurent qui persistaient à 15 ans : «
Maux
de tête, colique, débilité générale, extrême diff
ue, débilité générale, extrême difficulté de respirer, c'étoit là ses
maux
habituels ; mais le pire de tous étoit une enflur
ystérique, amyosthénie hystérique, dyspnée hystérique, c'était là ses
maux
habituels, mais le pire de tous était une tympani
hystérique qui datait de plusieurs années. » En effet, de tous ses
maux
et de cette « enflure prodigieuse » Magdelaine-Cl
te Baudrand avoit perdu la voix (aphonie hystérique) ; ayant un grand
mal
de tête et oppression de poitrine (céphalalgie et
ession de poitrine (céphalalgie et dyspnée hystérique): tous lesquels
maux
lui avoient continué jusqu'au jour de la Sainte-T
es dans l'aphonie hystérique. Les médecins a résolurent d'ouvrir le
mal
le lendemain » (*). Ce fut le commencement de la
ns « auroient trouvé icelle Baudrancl parfaitement guérie de tous les
maux
ci-dessus sans qu'il parut aucune marque ni vesti
'échappe de ses lèvres. Depuis l'avant-veille, elle a encore vomi pss
mal
de fois, mais elle a pu supporter la boisson que
périeux besoin de manger constitue toute la crise. Il s'agit ici de
mal
comitia] tardif, lequel débute à vingt, trente, q
n terrain d'hérédité et d'artériosclérose n'a pas pour aboutissant le
mal
comitial ou même si le paroxysme d'angoisse n'est
ui. Le soir, il se sent étourdi et vcit tout tourner; la nuit il dort
mal
et rêve beaucoup. Depuis lors il présente, à peu
ge pour a éteindre les flammes de la concupiscence. Il fallait que le
mal
fut « pressant pour recourir à un remède si viole
'âme sur le corps. Ainsi par la volonté seule peut-on guérir bien des
maux
physiques... » • a Aujourd'hui le docteur L
s formations de phénomènes psychiques réels, mais ces phénomènes sont
mal
interprétés et n'ont presque jamais été rapportés
n par l'intermédiaire de l'organisme de la mère ('). Il y a aussi des
maux
ou des marques dûs à la sympathie qui viennent qu
tiques en leur faisant espérer la guérison ou le soulagement de leurs
maux
; « Qu'en agissant ainsi et en répétant, pendan
s, il a montré que le médecin pouvait beaucoup de bien ou beaucoup de
mal
dans le traitement des maladies ; il a surtout in
ri qui me dit : « Elle ne voulait plus revenir et j'ai eu beaucoup de
mal
à l'amener. » — Pourquoi donc n'étes-vous pas v
nets et je m'y suis installée. Or, cet endroit était si malpropre, si
mal
tenu, que j'en ai été dégoûtée, et je suis sortie
f, si avisé, devient indifférent à tout; il travaille sans goût, fait
mal
sa besogne et reçoit des reproches auxquels il ne
is on l'accuse d'avoir voulu donner la mort à sa femme ; il se défend
mal
, on l'incarcère, il va passer aux assises. Au bou
me privilège tous les guérisseurs. Cependant, les magnétiseurs sont
mal
inspirés, lorsqu'ils invoquent la tolérance qui l
rveux touchant l'aliénation mentale, après des pratiques d'hypnotisme
mal
dirigées ; le massage ne" déterminera plus la mor
n ne verra plus d'albuminuriques victimes de l'hydrothérapie employée
mal
à propos. Sur la proposition qui en est faite, le
aturel pour la coprophagie. a Elles ne souffrent, dit-il, jamais de
maux
d'estomac tandis que les hommes sont atteints de
gestion et des exercices de marche, la contracture se reproduit, avec
maux
de tète atroces. Je suis remercié. Entre parenthè
ste et de bonne santé, prend le lit, atteinte d'une fièvre très vive,
mal
de tète, envie de vomir, langue sale, étouffement
st marqué au sceau de la dégénérescence. Si on le gâte, si on l'élève
mal
, si l'on satisfait tous ses caprices, il aura non
cette femme a eu des idées de persécution; tout le monde lui veut du
mal
. Elle a fait de la folie hystérique. Cette jeun
oir, il est inutile de rien tenter pour te guérir ou pour adoucir tes
maux
; prends et fais ce qui te fera plaisir, tu es per
des agglomérations confuses, des assemblées non organisées; c'est un
mal
inhérent au manque d'organisation ; c'est la mani
condamnés s'inspire uniquement de cette idée que l'homme qui fait le
mal
est un malade le plus souvent guérissable. En ma
ne voix du ciel, qui lui dit que la prière était le remède à tous les
maux
. Sachant que la Providence se sert volontiers des
. lettres devraient être lues par un oeil d'acuilé visuelle nor-
male
. ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.
éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l'état nor-
mal
, sont atteints de cécité pour une, pour plusieurs
e exactement sur l'objet qu'on lui demande de fixer. L'oeil- voyant
mal
l'objet qu'il fixe .se porte instinctivement de c
l'objet lumi- neux; la flamme de la bougie vue dans sa-forme nor-
male
par l'oeil- gauche est traversée verticalement
Quant au mécanisme de leur production, il est, pour le moment, fort
mal
connu; l'explication par réflexe semble bien n'
le malade constate, de lui- même, qu'il voit l'objètdu'il fixe plus
mal
que ceux du voisinage; enfin, il arrive aussi,
ie; atteint d'hémianopsie droite, par exemple, il se plaint de voir
mal
les objets situés à sa droite. Souvent, il croi
s hémianopsies par lésion des ganglions centraux sont, à vrai dire,
mal
connus. Les para- lysies associées, les modific
et la signification précise des inégalités pupillaires sont encore
mal
connus. Néanmoins, une inégalité pupillaire con
La signification de ce trouble pupillaire très rare est d'ailleurs
mal
connue. On ne l'a rencontré que dans des maladi
e, leur TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 101 trajet, encore
mal
connu doit être analogue à celui des autrcs-mouve
iables, mais on ne peut s'empêcher de remarquer combien ils cadrent
mal
avec les théories logiques de Fleschsig, sur le
déter- mine la lagophtalll11l' : manquant de tonicité, il applique
mal
les pau- pières sur le globe, d'où le sillon re
maladies graves, aux approches de e l'agonie, le clignement se fait
mal
, les yeux restent entr'ouverts, d'où la product
se ce uerf avec le rameau lacrymal de l'ophtalmique; I, nerf lacry-
mal
; li, glande lacrymale. TROUBLES DE LA 310TLLlT
\AItOETËS 1· : 'l'IOLOl : IlliL. Les causes du nystagmus sont trop
mal
connues encore pour per- mettre d'établir une b
ineurs et celui des affections de l'oreille dont les causes, encore
mal
connues, sont, peut-être d'origine nerveuse; à
t très diminués pendant, les périodes de nystagmus. La cause en est
mal
connue. On l'attribue à la position couchée des
des mineurs et le nystagmus auriculaire dont les causes sont encore
mal
connues, à part le nystagmus lié à une affection
it l'oblitération des voies d'écoulement des larmes (points lacry-
maux
oblitérés oit évcrsés, oblitération du canal nasa
on de la cornée, des paupières, de la conjonctive, des voies lacry-
males
, des fosses nasales. C'est un larmoiement réflexe
assez souvent' l'évolution suivante : après un refroidissement, des
maux
de tète violents s'installent, tous les signes
n psychique en rap- port avec l'obstruction respiratoire est encore
mal
connu. Pour Guye, il s'agirait surtout d'un eng
me, c'est à tort que l'on a appelé « vertige epiteptiquc » le petit
mal
comitial dont le syndrome essentiel est l'affaiss
ire et parallèle; c'est le vertige, de translation. Le vertige du
mal
de mer, le vertige du mal des montagnes sont, c
vertige, de translation. Le vertige du mal de mer, le vertige du
mal
des montagnes sont, comme les précédents, dus i
ations directes avec le. liquide labyrinlhique. La résistance auor-
male
au vertige voltaïque peut ainsi être parfois un s
ns les névroses. Nous avons dit que le petit [A. LÉRI VERTIGES.
mal
comitial qu'on appelle « vertige épileplique » n'
immobilisation. Ces règles sont notamment applicables au vertige du
mal
de nier et, du mal des montagnes. Les médicamen
règles sont notamment applicables au vertige du mal de nier et, du
mal
des montagnes. Les médicaments calmants et anes
recherche de l'aura, des équivalents, permettront de reconnaître le
mal
sacré. Dans l'ictus laryngé, le malade ressent
morsures, pétéchies cervicales) révéleront d'ordinaire la cause du
mal
. - Il convient d'ajouter que le diagnostic peut
déter- miner des accès épileptiformes. Certains comas sont encore
mal
étudiés, tels sont les accidents du coup de fro
les syphi- litiques à la période secondaire dorment peu et dorment
mal
; il en est de même encore au cours des affectio
u moins paralysé, le souffle court. La colonne; d'air expiré semble
mal
utilisée (dyspneumie de Pierre Marie). La bouch
ondre en un inintelligible bredouillement. La voix est, quelquefois
mal
posée, bitonale, quelquefois aussi extrê- memen
lus compliqués (jusqu'à 5 et 6 chif- fres). Si le malade parle trop
mal
pour prononcer ces nombres, lui demander de les
quées de répétitions fréquentes de mots ou de groupes de mots, sont
mal
construites, le verbe y est à l'infinitif, l'ar
, l'article supprimé. La parole de l'interlocuteur est en général
mal
comprise ; ou si quelques mots sont entendus, u
ait parfaitement ce qu'il doit accomplir, niais ses mouvements sont
mal
coordonnés, saccadés. Toutefois. l'ataxique vis
es empêche pas. Certains malades entendent des tintements, des sons
mal
déterminés, c'est l'hallucination auditive élém
ia- (PICS, le délire est ici polymorphe. Elles existent aussi, mais
mal
coor- données dans le délire alcoolique chroniq
és, les idiots; il tous, le médecin donnera la notion du bien et du
mal
, fera comprendre l'utilité des principes de la
t de la substance grise de la moelle du côté opposé (origine encore
mal
connue) et se rendant au cervelet par les pédon
e tou- cher simple comme toucher; lorsque les -malades interprètent
mal
les impressions venues de la périphérie et qu'i
èves du service de s'être appuyés sur sa jambe et de lui avoir fait
mal
. alors qu'en réalité, on l'avait tout simple- m
ïe, du goût et de l'odorat avec la couche optique, sont encore fort
mal
connues. L'hémianesthésie thalamique présente
éninges, de la moelle; par myélite transverse, syphilis médullaire,
mal
de Pott, etc.). Caractères. Dans la paraplégie
s'installent simul- Fil ! . 10. Paraplégie sensitive dans un cas de
mal
de Pott. Ancsthésie au tact, à la douleur, moin
syphilitique, compression osseuse ou par lumeur, cancer vertébral,
mal
de Pott). En général, elles portent en même tem
S4, S5) prises en bloc (leur distribution individuelle étant encore
mal
connue), on est moins avancé pour les autres raci
on pathogène sur les racines nerveuses; on a pu l'observer clans le
mal
de Pott et au cours de la méningite tuberculeuse
té, que chez, les malades qui ont été soumis a des examens médicaux
mal
conduits. D'après Babinski, on ne la trouve jam
ggestible. On ne deman- dera pas, par exemple : « Cela vous fait-il
mal
? » en comprimant un nerf en un point donné, ma
ma : irradiation en ceinture le long des nerfs intercostaux dans le
mal
de Polt; irradiation dans les membres inférieur
névrites, la douleur à la pression des apophyses épineuses dans le
mal
de Pott, les points de Valleix dans la sciaticpie
ba lions nocturnes qui sont presque pathognomoniques; en effet, les
maux
de tête des syphilitiques apparaissent le soir,
pille. Douleurs de la nuque, Elles sont dues, le plus souvent, au
mal
de Pott sous-occipital ou cervical ; aux exsudats
ontrent dans les affections dcs vertèbres et en particulier dans le
mal
de Poil. Ces douleurs, ordi- nairemcut. localis
1occ1). Les causes patho- géniques des algies centrales sont encore
mal
connues, elles relèvent du domaine de la psycho
isement de la douleur justifie les opéra- tions tendant à guérir le
mal
en attaquant directement la cause. Les douleurs
stéites, fractures), les tumeurs du sein, les affections du rachis (
mal
de Pott, scolioses), les tumeurs intra-rachi- d
a névralgie sciatique sont très nombreuses : lésions des vertèbres,
mal
de Pott, lésions méningées et compressions radicu
e crois que la sciatique spasmodique est souvent symptomatique d'un
mal
de Pott. La sciatique double dépend fréquemment
e de la céphalalgie et de' la rachialgie. - LES CÉPHALALGIES Le
mal
de tête est un symptôme fréquent et commun à de n
ections para- typhiques, la grippe, etc. Ces céphalées sont souvent
mal
localisées, n'ont pas une violence extrême, s'a
."> Enfin, nous avons dit que la compression de la moelle par un
mal
de Poil, par une tumeur vertébrale, par une tum
a trouvé, sur 10 cas, les réflexes du côté paralysé trois fois nor-
maux
, deux fois affaiblis, cinq fois exagérés. Dans
ioration sont fréquentes ; on peut même observer dans quelques cas (
mal
de Pott, par exemple) la succes- sion de phénom
ions incomplètes avec paralysies flasques dont la raison s'explique
mal
en dehors d'altérations périphériques. On a décri
'une paraplégie spasmodique, le clinicien doit songer avant tout au
mal
de Pott, à la sclérose en plaques, à la myélite s
lorsque la lésion est une hémato- myélie par décompression brusque (
mal
des caissons, maladie des plon- geurs, des scap
tes les compres- sions médullaires intrinsèques ou extrinsèques, le
mal
de Poil, le cancer vertébral, la s ! J1'il1goll
sur, celle que tient sous sa dépendance la tuberculose vertébrale ou
mal
de l'oll. Le diagnostic en est parfois très fac
ire n'est pas le seul, ni même le premier il se révéler au cours du
mal
de Pott. II existe également un syndrome rachi-
de lymphocytose au cours des accidents pottiques. On a décrit un
mal
de Pott syphilitique; sa rareté nous dispense d
ce degré dans aucune autre affection, si ce n'est peut-être dans le
mal
de Pott. Elles sont suffisamment intenses, suff
médullaire présente des tableaux cliniques variables. Comme dans le
mal
de Pott, la moelle peut être atteinte de' façons
eau) ou indirect (fracture, luxation rachidienne) de la moelle, par
mal
de Pott [vertèbre cariée (voussure subite), rup
nous l'avons déjà dit, est toujours flasque au début (sauf dans le,
mal
de Pott où les paraplégies, par compression à d
moelle, la sclé- rose musculaire essentielle chez le vieillard,- le
mal
de Pott, la sclérose en plaques, la myélite syp
é. Si le trapèze, le rhomboïde, l'angulaire de l'omoplate sont nor-
maux
, la paralysie du grand dentelé n'amène pas de déf
ression des larmes. Le muscle de llorncr dilate les points laC1'\'-
maux
, les attire en dedans et les fait plonger dans le
sparu. On trouve alors des troubles de sensibilité qu'on s'explique
mal
si on ignore la topographie radiculaire sensitive
traumatismes, les com- pressions (lésions de la colonne vertébrale,
mal
de Pott, tumeurs, adéno- pathies), les .névrite
es sans lin et, malgré cela, il est encore bien des points qui sont
mal
connus et qui donnent lieu à discussion. lous ne
. Toutefois, on s'explique . [LANNOIS.] 646 MALADIES DU LARYNX.
mal
que ce soient surtout les noyaux des dilatateurs
e chez tous les malades inégales, irrégulières, striées, dentelées,
mal
implantées, chevauchant l'une sur l'autre : chez
se demander s'il ne s'agit pas d'affections fébriles intercurrentes
mal
caractérisées qui donneraient un coup de fouet à
ch. f. Nervenheilk, 1 X()¡, p. 410. 4. Stumpf. Centmtlit. iiiiiei-e
Mal
., 189Ô. . [A.LÉRL] fi'1'2 12 ATROPHIES MUSCUL
ils sont abolis ou diminués dans la moitié des cas, à peu près nor-
maux
souvent, exagérés rarement (Sainton); ces modific
t reconnaître une cause commune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les
mal
. de la moelle, Paris, lu. 2. <CO ! .MX. Th.
t Loustk. Arch. de rnédec., 1905, p. 78. 2. CIIAIICOT. Ler. sur les
mal
. du sllst. rteru., '1887, p. 27. Leç. du mardi, 1
xtrémité, du membre supérieur, aux doigts. La cicatrisation se fait
mal
ou incomplètement, la région reste sensible, un
vr. Soc. des Sciences médic. Lyon, 1900. 2. 1l : ouow. Traité des
mal
. du syst. nerv., traduit par L.-Lagrave, p. 628;
tané : adipose, oedème; dents : irrégulières, striées, dentelées,
mal
implantées; glandes : lésions diverses (thyroïd
ération, mais elle n'aurait plus rien de fonctionnel. On s'explique
mal
une hypertrophie musculaire ainsi localisée et
rtrophie musculaire ainsi localisée et isolée, et ces faits, encore
mal
définis, qui paraissent rentrer dans le domaine
die de Thomsen, nous avons fort tendance à croire que la limite est
mal
tranchée entre ces cas divers, qu'ils appartien
Les muscles hypertrophiés ont leur puissance volontaire tantôt nor-
male
, tantôt augmentée, assez souvent diminuée ou très
uement, tombe assis, puis se relève aussitôt lui-même tant bien que
mal
. On peut se demander quel rôle l'incoordination
frigidité et impuissance, troubles oculaires, atrophie musculaire,
maux
perforants, chute des ongles et des dents, hype
esthésies, perte du sens musculaire, enfin incoordination, démarche
mal
assurée et talonnante, signe de Romberg; on n'obs
- rieurs, est avant tout un trouble sensitif : si le malade exécute
mal
les mouvements les plus simples, c'est surtout
ité profonde, musculaire, articulaire et osseuse; s'il exécute plus
mal
encore les mouvements plus complexes, c'est ava
es, vertiges, somnolence. On a noté également des attaques de petit
mal
, de l'asynergie, des ictus successifs. La mort, c
it en travers comme dans les maladies bulbaires classées. La parole
mal
formée, nasillarde au début, s'étouffe de plus
imentation nous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani-
mal
la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la rég
rapprochée qu'ils arrivent à constituer ce qu'on a appelé l'élal de
mal
. Dans les névroses, les attaques peuvent se rep
. Elles sont généralement précédées par les manifestations du petit
mal
, absences, vertiges, convulsions incomplètes sa
naissance. Il y a pourtant quelques traits qui les différencient du
mal
comitial, outre la présence de l'albumine dans
même coup sur coup, devenir subin- trantes et constituer Y étal de
mal
, lequel conduira il la mort par collapsus ou au
iale typique peut alterner avec des attaques anormales, dites petit
mal
, ou être remplacée par elles : il s'agit alors d'
le, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a décrit un état de
mal
? s/en'<7Me. Ce qu'il importe de savoir surt
Croctj de Bruxelles pense que ces tn'lI1h]eurs, en apparence nor-
maux
, sont des sujets pathologiques, et il pense, que
i se révèle par l'insomnie et qui peut être le prélude de l'état du
mal
choréique. L'excitabilité mécanique et électriq
un délire hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'état de
mal
: ces troubles psychiques sont peut-être d'orig
ente, elle annonce alors ' CcaovzoN. 852 - CHORÉES. ' l'état de
mal
choréique; dans certains cas, l'apparition de la
nt par le syndrome auquel nous avons déjà fait allusion : l'état de
mal
choréique qui s'annonce par des agitations extr
elques mala- dresses : l'enfant laisse tomber un objet, il se tient
mal
à table ou bien il grimace, les parents s'évert
on- naît deux variétés principales. C'est tout d'abord l'état de.
mal
choréique qui est semblable à un délire d'intox
ques cas, elle est alors le plus souvent symptomatique d'un état de
mal
ou d'une complication, mais quelquefois elle pe
ée est caractérisée, comme nous l'avons déjà indiqué, par l'état de
mal
, par l'élévation dé la température, par l'exist
dans 2 à 2 12 pour 100 des cas. et elle se produit alors par état de
mal
ou épuisement nerveux, comme dans le cas de Bar
clmrca lactantiurn : quelquefois la mort peut survenir par état de
mal
choréique comme dans le cas c.lc l3echtorell' (
et par sa déformation progressive qu'il devient tic; la limite est
mal
tranchée, entre le geste, normal et le tic, il y
cune part au tic; les mouve- ments sont il la fois trop violents et
mal
dirigés; une analyse plus atten- tive montre qu
sie, constipation, crises diarrbéiques favorisées par l'habitude de
mal
manger, trop et trop vite; pollakiurie et polyu
mple, de jouer du piano ou du violon, etc. Le mot crampe est très
mal
choisi ; il implique l'idée d'une douleur qui e
Bonnier a observé un cas de crampe professionnelle symptomatique du
mal
de Bright et améliorable par le régime lacté, e
des affections cérébelleuses (Dejerine) ; on l'a rencontrée dans le
mal
cle Pott (Dcjerinc) ; dans la syringomyélie (De j
([seudo-acronOalie), de la sclérodermie, de la sclérodactylie. des
maux
perforants, des panaris analgésiques, de la gangr
arder sur les troubles tro- phiques viscéraux : ceux-ci sont rares,
mal
étudiés, et il est difficile de savoir quel est
ngent sous trois chefs fort proches les uns des autres, ce sont les
maux
perforants, les panaris analgésiques, les escar
ération, se constituent les mutilations des membres. Les ulcères ou
maux
perforants s'observent en toute région ; on en
s (diabète); névrites traumatiques (blessures du plexus brachial et
mal
perforant palmaire), mal de Pott et caries vert
umatiques (blessures du plexus brachial et mal perforant palmaire),
mal
de Pott et caries vertébrales diverses, spina-b
ingomyélie. Mais la lésion banale, classique par excellence, est le
mal
perforant plantaire tabé- tique. Notons que le
cellence, est le mal perforant plantaire tabé- tique. Notons que le
mal
perforant diabétique est également com- mun et
tique est également com- mun et que, dans la pratique courante, les
maux
perforants plantaires ne relèvent guère que de
ue de l'une ou l'autre de ces deux maladies, tabès ou diabète. Le
mal
perforant tabétique peut, d'une façon générale, s
mité des moignons. A la plante du pied, son lieu d'élection, le
mal
perforant se rencon- tre au niveau de l'articu-
fistuleux et suintants partent du fond de [F. MOUTIER-1 Fig. 6. -
Mal
perforant plantaire, attribué il la tuberculose
écidives sont fré- quentes en plein tissu cicatriciel. A la fin, le
mal
perforant est peu douloureux : une zone anesthé
up plus graves, voire mortels, ostéo- arthrites suppurées. .. Les
maux
perforants peuvent être multiples ; ils sont fréq
paraître sur le moignon, et cela pour ainsi dire indéfiniment. Le
mal
perforant peut s'observer éga- lement dans la b
dentier dans la genèse de ce trouble trophique. Fort voisines des
maux
perforants sont les escarres de decubitus qui p
différent. L'étiologie d'un certain nombre d'hypertrophies est fort
mal
connue : signalons simplement (en laissant de c
le. La fièvre l'ait partie du cortège symptomatique. dans l'état de
mal
cho- réique ou dans une complication associée à
se succèdent coup sur coup, il y a constitution alors de l'état de
mal
opileptique, et un des signes capitaux de cet é
mort et monte même encore après la terminaison fatale. Cet état de
mal
épiloptique, même quand il se rencontre dans la p
apoplectique sont souvent des prosta- tiques dont la vessie se vide
mal
depuis longtemps et chez lesquels il suffit d'u
une affection nerveuse bien caractérisée (épilepsie, spina- bifida,
mal
de Pott, myélites diverses). Les incontinences
première forme, c'est en général après un cathétérisme septique ou
mal
conduit, avec évacuation trop rapide par exempl
ls cas, et cette chute des dents peut être un accident précoce. .
Mal
perforant buccal. On peut observer dans la bouche
olaires, perforant parfois, le maxil- laire supérieur. 11 s'agit de
maux
perforants tabétiques, au niveau des- quels exi
jeune ayant éprouvé une vive émotion ; depuis ce temps elle digère
mal
, et brusquement, sans cause, elle vomit. Elle a
t durer une ou plusieurs heures; quel- quefois un véritable état de
mal
embrasse plusieurs journées. Les crises' s'espa
empêcheraient de croire à la névrose. Nous n'insisterons pas sur le
mal
de mer. Cette affection n'est autre qu'un syndr
PAREIL DIGESTIF. malade sommeille ou délire; ses reins fonctionnent
mal
, il y a quelque- fois de l'albumine, du sucre d
des traumalismes et compres- sions de la moelle : une fracture, un
mal
de Pott déterminent ainsi de la constipation qu
général plus ou moins grave, douleur au point de Mac Burney bien ou
mal
localisée. Puis tout s'efface, c'est réellement
éné deviennent tous les trois des inanitiés parce qu'ils raisonnent
mal
. ' L'hystérique a une véritable perversion du r
. Quant au neurasthénique, il ne mange pas assez soit parce qu'il a
mal
compris ou mal appliqué son régime, soit parce
asthénique, il ne mange pas assez soit parce qu'il a mal compris ou
mal
appliqué son régime, soit parce qu'il éprouve d
iquide incolore et filant. Là -encore l'alimentation répare tout le
mal
. Il s'agit seulement, en effet, de simple hyper
ehors d'indications précises, ils fout à la longue beaucoup plus de
mal
que de bien. Enfin, les neurasthéniques et hyst
is ou se venger; nombre d'idiots salissent pour le plaisir de faire
mal
. Il n'est pas exceptionnel enfin d'avoir affair
chy- méningite cervicale hypel'l1'ophir¡ue, une tumeur méningée, un
mal
de 1. Nous avons dit il l'article ce Atropines
niveau des mains. [A. LÉRL] 1048 SÉ)11 : 101,OG11 DU PIED. Le
mal
perforant est plantaire dans la grande majorité d
erfs du pied, une gelure, etc., sont le plus volontiers atteints de
maux
perforants. ' \ Iii. ATTITUDES VICIEUSES Il
lérose en plaques, par cancer médullaire, méningé ou vertébral, par
mal
de Poil surtout, on peut observer des pieds-bols
d'être définis. Seul, l'indice, dont le débutant a parfois quelque
mal
à saisir et le calcul et la valeur, demande une
t un cachecti- que, elle est parfois précédée de crises convulsives
mal
définies à ce jour. Fig. 3. Une femme acromég
; il convient de noter aussitôt que la tête et le tronc sont nor-
maux
en hauteur sinon en proportions, et que seule l
st fréquent chez les rachitiques. On se trouve en présence de nains
mal
conformés, ou plutôt déformés, dont le 'gros ve
es sont courts et boudinés. La face est normale, la voûte crânienne
mal
ossifiée, hap-recée. Les dia- physes sont fragi
ue asymétrique, énorme, petite. bifide, fissurée, de motilité anor-
male
. La langue peut parfois se loger presque complète
ux de l'hérédité; elle fixe également ce qui est bien et ce qui est
mal
chez les conjoints. En résumé, les stigmates de
es de l'enfance, s'il a eu des érosions, des maladies de gorge, des
maux
d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs
? E-P<7Ûier). Le malade a eu le plus souvent dans l'enfance des
maux
d'yeux longs et terribles pourtant sans douleur
e éponge chaude. Ce procédé s'utilise souvent dans le diagnostic du
mal
de Pott. Signalons, au niveau de la base du crâne
ardifs. Le plus important des accidents tardifs est la céphalée; le
mal
de tête est assez fréquent après la ponction lomb
es pigments et sels biliaires dans le liquide céphalo-rachidien est
mal
expliqué par ces auteurs. Plus tard, Widal, Sic
présence d'éléments monol1llclél'S, lymphocytes, tandis que dans le
mal
de Poil, il n'y avait pas de lym- phocytes. C
er une opacité plus ou moins nette, plus ou moins linéaire, bien ou
mal
limitée, qui permettra le diagnostic : et ce diag
vo- quent au contraire plus fréquemment des transparences anormales
mal
délimitées (Mills, de Martel, etc.). Les tume
diographie montre une caverne sous forme d'une lacune dans l'os, Le
mal
de Pott ne se révèle géné- ralement sur la plaq
ait. La constatation de certaines déformations ao1'- tiques dans le
mal
de Pott sera parfois plus intéressante. Les dét
de Paget, l'os est entièrement " ouateux n, la couche compacte est
mal
délimitée vers le centre, vers la moelle osseuse,
est mal délimitée vers le centre, vers la moelle osseuse, elle est
mal
délimitée aussi vers la périphérie parce que la c
l3tu jon n'ont eu que des insuccès. Les compressions médullaires du
mal
de Poil peuvent être heureuse- ment influencées
1190 RADIOLOGIE. La radiothérapie des maladies nerveuses, encore
mal
connue et imprécise dans ses indications et la
est une expres- sion vague par laquelle on entend les effets encore
mal
connus et mal définis produits sur la nutrition
- sion vague par laquelle on entend les effets encore mal connus et
mal
définis produits sur la nutrition intime des ti
r, surtout lorsque les autres manifestations de la DR restent assez
mal
caractérisées, aiusi qu'on l'observe parfois, m
chercher; elles permettent parfois, en effet, de reconnaître une DR
mal
définie par ses autres caractères. Nous devons
SCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. 1259 vrites d'étiologie assez
mal
déterminée, attribuables souvent à des auto- in
plorer la sensibilité à la douleur et rechercher si elle reste nor-
male
ou si elle se trouve augmentée ou diminuée. Lorsq
t une intensité voisine de celle qui produit les contractions mini-
males
des muscles, intensité qui il cette période de la
trisation, ou dans lesquelles le traitement électrique incomplet ou
mal
dirigea été abandonné depuis longtemps. Un cert
l'observation a montré depuis longtemps qu'un traitement électrique
mal
dirigé, avec des courants trop intenses, ou tro
pourrions citer comme exemples des polynévrites et certains cas de
mal
de Pott. Les myopathies sont des affections qui
oxica- tions ; elle peut être symptomatique de lésions vertébrales (
mal
de Poil), de lésions des méninges rachidiennes,
traitement déjà indiqué'. Contre certains troubles trophiques, les
maux
perforants en particu- lier, le traitement élec
icu- lier, le traitement électrique a été encore employé. Contre le
mal
perfo- rant plantaire, Crocq a conseillé, après
ccidents hystériques disparaître après des applications électriques
mal
appropriées; on a vu aussi des troubles hystéri
corps produite par le renver- sement; si la nouvelle intensité est
mal
supportée, on la diminue un peu. et l'on contin
as plus efficace. r L'électrisation statique est généralement assez
mal
supportée par ce genre de malades, souvent elle
écia- tement à ces malades qui, d'ailleurs, supportent souvent fort
mal
l'eau froide. Parfois les hains de siège, les d
istologie normale du système nerveux de l'homme et de la série ani-
male
, mais elles n'ont aujourd'hui qu'une importance s
, et montées dans la glycérine. Les préparations se conservent très
mal
. Cette méthode a élé surtout employée pour l'ét
éliniqucs sont colorées en noir, mais les fibres fines sont souvent
mal
colorées et la coupe a fréquemment, une couleur
e dans les états patho- logiques. Conservation des réactions nor-
males
, 1` ? l0. - Altérations simplement quantitative
de Graefc, de Rosenbach, 107. Modification de la sécrétion lacry-
male
, paralysies oculaires, troubles de la vue, 108.
Spasmodiques, 1055. acquises, paralytiques ou spasmodiques, 1055.
Mal
de. zncr, vertige, 159. - vertige, vomissements
musculaire, 724. - Ataxie tabétique, 7a ! ). - Hypotonie, 909. -
Mal
perforant, 025. Arthropathies, U1)1. - Crises g
4. - physiologiques, 158. Vertige rotatif. - de translation, - du
mal
de mer, - du mal des mon- tagnes, 159. 1 402
es, 158. Vertige rotatif. - de translation, - du mal de mer, - du
mal
des mon- tagnes, 159. 1 402 INDEX ALPHABÉTI
ement depuis deux ans perte de connaissance. Vomissements. Troubles
mal
définis de la marche depuis deux ans. Amaurose
occasion de constater d'ictus. Au mois de mai, la malade s'alimente
mal
, s'affaiblit progres- sivement, une escarre fes
'inhabileté des organes vocaux et aussi du peu de finesse de l'ouïe
mal
exercée jusque-là, nous dûmes avoir recours à d
ercie. .1'nisoif. J'ai froid. Permettez-nzoi de sortir, s'il J'ai
mal
la télé, vous plaît. Ces petites propositions
- gnifiants dans le dessin. 50 A noter encore qu'au début l'ouïe,
mal
exercée et mal servie par l'intelligence, se bo
ans le dessin. 50 A noter encore qu'au début l'ouïe, mal exercée et
mal
servie par l'intelligence, se bornait à enregis
importe surtout de savoir dépister la nature des accidents du petit
mal
. En face de tous les nombreux remèdes préconisé
a pupille. Ceux-ci représentent chez le malade l'association nor-
male
de l'occlusion palpébrale et de la contraction pu
lot bleu, laissant les jambes et les pieds nus. Sordides, hirsutes,
mal
nourris, ils se bousculaient le jour, et la nui
t un accès épileptiforme, qui débuta par des tiraille- ments et des
maux
au membre supérieur gauche. L'accès se répéta e
itions étiologiques de la myopathie primitive progressive sont très
mal
connues encore aujourd'hui. » Dans le Manuel
laire progressive spinale, p. 683 : « Son étiologie est encore fort
mal
connue. » Dans le livre de Dieulafoy, t. II, vo
. 1 Al. locom. et lés. caml. Contrib. « l'élude du. 1'etentiss. des
mal
. dou- lour. sur le coet'. (monts. méd., 1880, X
t-cinq ans. Quatre ans auparavant, ce jeune homme avait été pris de
mal
de tête et la céphalalgie avait duré plusieurs
es ou aux dominos avec des malades de sa division, mais jouait très
mal
. L'intelligence était affaiblie, il avait des i
main; elle était rouge, un peu tuméfiée parce que le sang circulait
mal
. Il boitait assez fortement de la jambe, marchait
es d'excitation réflexe (diète, occupations, médicaments). Le petit
mal
est rebelle au traitement et exige une surveill
traitement il est décourageant, surtout en ce qui concerne le petit
mal
. C'est à peine si on obtient 5 p. 100 de guérison
leptiques. Il importe que le public soit instruit de la nature du
mal
, de la rareté de sa guérison, de sa tendance dest
ença par une grande dépression morale avec l'idée d'avoir commis du
mal
et des délires homicides et suicides. Ces sympt
lexes nor- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. '147
maux
à l'exception de réflexe patellaire qui manque ab
tes les autres régions. 2° Homme, dix-neuf ans, après une influenza
mal
de tête occipito- frontal persistant intense. H
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. donne comme symptômes : 1°
mal
à la tête le plus souvent fron- tal et fréquemm
t demi d'écorce. Deux mois après, apparition d'une attaque de petit
mal
non suivie d'autres crises. Quatorze mois après
ment à l'aide de coupes transversales, qui ne démontrent que peu ou
mal
la disposition des espaces lympha- .tiques : il
prostituée de bas étage qui ne pourra inspirer au malade déjà bien
mal
disposé, que dégoût et répulsion. Mais là se renc
es larges et profondes qui proviennent de ce que les malades sont
mal
tenus ( ? ). Il suffit de donner des lavements ch
activité et de sa science; montrant avec netteté les caractères du
mal
et les diffi- cultés à vaincre il a déterminé,
ge desboissousspiritueuses s'attache avant tout à la prophylaxie du
mal
, par l'action et l'exemple individuels, par la
t l'exemple individuels, par la vulgarisation de la connaissance du
mal
dans l'école et les milieux populaires. « Laiss
dividu, à sa conscience, à sa moralité, essayant de le détourner du
mal
par un effort volontaire. C'est eu quoi nous av
quels sys- tèmes de fibres se prennent dès la première atteinte du
mal
; et les autres, jusqu'où peut aller l'affection
ons aux résultats. Nos cas de tabès initial montrent d'abord que le
mal
débute au niveau du système radiculaire, à la f
pour nous permettre de recher- cher l'époque précise à laquelle le
mal
détruit et les autres fibres radiculaires et le
ente un état granuleux spécial ; elle est poussiéreuse et se colore
mal
, en brun terne ; nous avons rencontré très souv
ert avec le directeur responsable, si le Sénat n'avait pas coupé le
mal
dans sa racine, du moins il avait apporté un co
ition de vivre avec eux. Le médecin a vite fini de diagnostiquer le
mal
de son malade et de lui indiquer le remède qui
les pathologiques, ils sont destinés, nous le craignons, à toujours
mal
fonctionner. Tant que nous l'avons pu. nous avo
e qui vient à l'esprit est celle d'une compression de la moelle par
mal
de Pott probablement. Mais l'enfant mise debout p
e cas particulier même, il ne faut pas se hâter de conclure, car un
mal
de Pott pourrait réellement exister concur- rem
it. De l'alphabet il écrira correctement les 5 premières lettres et
mal
les suivantes, mettra 7 minutes an lieu de 7 se
e introduite par Pinel à Bicêtre et à la Salpêtrière; tels sont les
maux
que dépeint Esquirol avec une sobriété émouvant
dont nous sommes capables, en nous appliquant à discerner dans ces
maux
dont souffre notre société, ce qu'il y a de fat
Archives, 2° série, t. IV. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. mais fort
mal
préparé professionnellement, et pressé par le tem
appropriés auraient eu facilement raison, si la véritable nature du
mal
avait été reconnue. Les mêmes considérations s'
à l'état de veille. M. Régis pense, comme M. Pitres, que ce serait
mal
servir la cause de l'hystérie infantile que de
on emploi a donné lieu n'ont jamais dépassé les limites d'un simple
mal
de tête ou d'une somnolence passagère, suscep-
Avec la ferveur d'un apôtre, il allait de pays en pays signalant le
mal
, luttant, comme il le disait a contre la puissanc
e jour et je crois encore qu'une maison sans portier est une maison
mal
tenue, à plus forte raison un établisse- ment p
- nerait le dédoublement; il n'y en aura jamais assez. Entre deux
maux
il faut choisir le moindre. Le médecin d'un grand
ier. M. Christian prétend qu'une maison sans portier est une maison
mal
tenue. A ce compte, beaucoup de maisons sont ma
ier est une maison mal tenue. A ce compte, beaucoup de maisons sont
mal
tenues, car les portiers sont relativement rare
ditaire. Par l'acquis, elle se rattache à la vie physiologique nor-
male
. Par l'hérédité, elle devient la source de toutes
e- ment par la direction. Comme je ne puis assez exprimer tout le
mal
que j'en pense, je laisserai la parole à mon véné
vec son énorme popu- lation, n'a qu'un préfet : en marche-t-il plus
mal
pour cela ? z On nous parle à chaque instant de
é tubercu- leuse. Fallait-il penser à une excitation médullaire par
mal
. de Pott ? La colonne vertébrale est droite san
la cause occasionnelle qui n'est pas nécessaire pour l'éclosion du
mal
, elle nous échappe. Si ces doutes avaient pu pe
ambin; celui-ci, dans sa fuite, tombe à terre mais ne se fait aucun
mal
, Deux jours après, il éprouve une grande faible
us mar- cher. Je vous défends désormais de lui en parler. » Mais le
mal
était fait, la suggestion avait accompli son oe
e; ce fut suffisant pour ame- ner les premières manifestations d'un
mal
qui aurait pu éclater plus tard ou peut-être ja
d'être constamment auprès de son lit pour éviter qu'elle se fasse
mal
. Cris aigus, qu'on peut entendre au loin venant e
moment de la rougeole et notre petit malade ne s'en porte pas plus
mal
; il grandit et, à part quelques accidents signa-
faisceaux pyramidaux qui ont existé avec leur développement nor-
mal
; aussi cette affection ne montre-t-elle aucune t
rès un modèle; il copie faux, parce qu'il ne peut lire ou qu'il lit
mal
les lettres, notamment celles qui sont associée
quand il lit bien, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit
mal
, c'est-à-dire mal ce qu'il lit mal, mais exacte
, il écrit bien, il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est-à-dire
mal
ce qu'il lit mal, mais exactement comme il lit.
il écrit exactement ce qu'il lit mal, c'est-à-dire mal ce qu'il lit
mal
, mais exactement comme il lit. Cet état s'est m
ntale. Troubles mentaux consécutifs, état maniaque, mort en état de
mal
épileplique. A l'autopsie adhérence du cuir che
iguës et subaiguës, et aussi les intoxications chroniques. Les ani-
maux
de la première catégorie vivaient de trois à ving
ssé vers la périphé- rie ; les prolongements s'ouvrent, se colorent
mal
parfois et la cellule de même. Les phénomènes,
faisait partie d'un pèlerinage revenant de Lourdes, s'est trouvé
mal
en gare de Nancy. On lui apporta une tasse de bou
uand je veux faire mouvoir la cuisse, l'enfant crie que je lui fais
mal
. Jé n'entends pas de cra- HYSTÉRIE INFANTILE EN
appeler parce que les parents s'imaginent qu'elle tombe d'un « haut
mal
», et qu'elle n'a pas besoin du secours inutile
à l'articulation et un peu de déformation de la hanche. La peur du
mal
avait créé, chez elles, le mal, et ce mal, créé
déformation de la hanche. La peur du mal avait créé, chez elles, le
mal
, et ce mal, créé par la peur, n'était évidemmen
e la hanche. La peur du mal avait créé, chez elles, le mal, et ce
mal
, créé par la peur, n'était évidemment qu'un accid
ez une jeune hystérique, relaté dans l'llsGé7·ie en Vendée ', et ce
mal
de Pott chez une hystérique, avec hoquet perman
t très défectueux et que je suis, je dois l'avouer, peut-être assez
mal
placé pour établir une juste appréciation d'apr
leur enfant; elle se charge souvent, cette famille, d'entretenir le
mal
quand elle n'arrive pas à le créer de toute piè
PHIQUES DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 393 ' adhérents. Les dents sont
mal
implantées, barrée^, les inférieures sont usées
. - Jusqu'ici nous n'avons à enregistrer que des phénomènes anor-
maux
sensitifs la plupart du temps, mais, vers la troi
n voie de guérison quand, tout d'un coup, prise d'un irré- sistible
mal
du pays, elle quitta l'hôpital. En résumé, nous
tion cardiaque, jusqu'à la réintégration complète dans l'état nor-
mal
; c) Soulagement corrélatif des altérations du fo
S. dans de l'eau vineuse, du lait ou de la bière. Si l'iodure était
mal
toléré (hypercrinies des muqueuses oculaire et
anguin, l'alcalinité du sangestdue au phosphate bibasique de soude (
mal
), elle est plus élevée après la digestion qu'à
, à la suite d'une série très nombreuse, B... est tombée en état de
mal
et est morte dans le coma. OnSFRYATJO : 'I III.
an et demi. » Au mois d'août 1890, le malade éprouve de nouveau des
maux
d'estomac, un tremblement de' tout le corps, et
ques sont obsédantes : aussi 494 RECUEIL DE FAITS. répond-il fort
mal
aux questions qu'on lui pose. Une de ses préoc-
les autres phénomènes : goitre, tachy- cardie, tremblement, ont été
mal
interprétés au premier abord et nous avons appl
rider le nez. Mouvements du voile du palais et de la langue nor-
maux
; conservation du goût, de la sensibilité. Pas de
ui succombe à l'epilepsie même, est généralement tué par un état de
mal
dans lequel on distingue un stade convulsif et
usqu'à quarante-huit heures, et le malade tom- bait dans un état de
mal
épileptique chaque fois qu'elles arrivaient à c
îl° que s'ils ne guérissent pas, c'est d'abord la faute de l'asile,
mal
construit et mal agencé, et ensuite celle des m
guérissent pas, c'est d'abord la faute de l'asile, mal construit et
mal
agencé, et ensuite celle des médecins négligent
exemple ad- venu, comme ils feront quand ils auront quelqu'un aussi
mal
traité, principalement de rêveries nocturnes, c
que le gentilhomme au char- retier, de l'avoir ainsi guéri d'un tel
mal
comme celui-là... » 542 ' varia. - Nous croyo
nt l'ona- nisme, si commun parmi les enfants nerveux et arriérés,
mal
surveillés. ? 6°, 7°, 8° et 9°. Nous considérons
à l'huma- nité. Par respect pour nous-mêmes, qui nous disons nor-
maux
, nous devons secourir les vieux, soigner les mala
RS. 547 relever dans la mesure du possible, rapprocher de la nor-
male
, les anormaux. Et c'est là du bon, du vrai social
ainsi démontrer l'appareil compliqué des facultés dites supranor-
males
de son curieux sujet et en cataloguer les élément
et de sa tendresse. » Elle songea à la religion qu'elle connaissait
mal
et essaya de prier. Premières hallucinations. A
urelle et en conserve précieusement les manuscrits. C'est un fatras
mal
compris et mal assemblé, résultat de l'élabora-
nserve précieusement les manuscrits. C'est un fatras mal compris et
mal
assemblé, résultat de l'élabora- tion sub-consc
dans l'audition. Si à la naissance de certains enfants « entendant
mal
on débouchait ce trou, ou si on en perçait un «
Si on lui frotte les jambes dans ces circonstances, elle a aussitôt
mal
aux joues, et d'autant MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. '1
plus fort que la friction des jambes est plus énergique. Elle sent
mal
ses membres quand elle ne les voit pas. Ils lui f
de mauvaise humeur; à' la suite - d'une visite de son mari, elle a
mal
dormi, elle est énervée, elle a eu mal aux jamb
visite de son mari, elle a mal dormi, elle est énervée, elle a eu
mal
aux jambes et de la diarrhée. Toute la matinée, l
senté depuis son enfance des attaques ressemblant à celles du petit
mal
. Il fut pris subitement de convulsions intermit-
cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme forme anor-
male
, car parfois le tremblement peut rester unilatéra
sie créé le pouvoir agglutinant et qu'il y a un séro- diagnostic du
mal
comitial. 0 G2 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
ésion cérébelleuse. Les tumeurs du nerf auditif sont eucore assez
mal
connues ; leur siège ordinaire est dans la foss
ne sont pas nécessaires. Il ne faut pas non plus parler de « grand
mal
» ou de « petit mal » non plus que d'attaques l
ires. Il ne faut pas non plus parler de « grand mal » ou de « petit
mal
» non plus que d'attaques légères ou graves. Da
lever et marcher; après la troisième, la douleur a disparu. - Le
mal
de mer et la suggestion. M. Bonnet (d'Oran) étu
physiologiques et psychologiques qui produisent ou exaspèrent le
mal
de mer. S'il est très difficile de s'en préserver
isuelles et olfactives, la position horizontale, etc. La crainte du
mal
de mer, la conviction qu'on l'aura, l'initiatio
artez. - De nombreuses observations classiques mon- trent que si le
mal
de mer peut être provoqué par des causes morale
la ferme croyance qu'on est immunisé suffit à rendre réfractaire au
mal
de mer. Je l'ai expérimenté tout récemment. Il
lui ai réellement fait les suggestions qui doivent le préserver du
mal
de mer, il fait, sans éprouver aucun malaise, u
res, douleur à la pression de certains troncs céré- braux, démarche
mal
assurée, amaigrissement des extrémités in- féri
sistance d'une seule des glandules peut assurer la survie de l'ani-
mal
. Certaines conditions peuvent modifier l'évolut
telle que les nerfs n'ont certainement plus leur sensibilité nor-
male
. . " Mais il est un autre symptôme essentiel qu
nt pâle, anémique, elle se fatigue très facilement, commence à être
mal
réglée et à souffrir du bas-ventre, en même tem
erfs périphériques : c'est alors que l'on assiste à l'apparition de
maux
perforants, de gangrène sèche avec résorption d
en (pie ce morceau ne rende pas comme l'autre une situation anor-
male
de sa conscience : La prière Prier c'est entr
n introduction dans le sang sont de faible quantité, on a l'état de
mal
épileptique et les attaques d'épi- lepsie sllbi
enou en maints cas atteint les degrés les plus extrêmes et dure pas
mal
de minutes ; il apparaît parfois spontanément.
l'état psychique de chaque malade, pour combattre efficacement le
mal
. Le traitement de l'alcoolisme par la suggestion
NIQUE MENTALE. il concluait que la pathogénie de ces angiomes était
mal
connue, mais que leur développement était obser
s un salon, il se placera de préférence à contre-jour, dans un coin
mal
éclairé, à l'abri d'un meuble. Pour cacher son
du corps, à la dysmor- phophobie 1, à l'appréhension d'être trouvés
mal
faits ou ridicules, qu'on peut attribuer leur p
ns un brillant élève et l'on me remarqua : J'étais petit, malingre,
mal
habillé, sans argent de poche : je souffrais de c
ntôt on sût dans tout le collège que j'appar- tenais à cette maison
mal
famée que les Assomptionnistes tenaient en vill
malheureux dans l'intimité. Tandis que la peur du regard, c'est un
mal
que je porte avec moi, que j'ai tou- jours là,
te les yeux sur un objet voisin. Tout en discourant, je pense à mon
mal
et perds le fil de mes idées. C'est pis lorsqu'
'avais jamais ressentie. Je continuai mon explication tant bien que
mal
; mais dès cet instant, j'étais pris. La fatalité
anxieuse, tout à fait comparable à celle qui saisit un artiste, un
mal
de « trac » dans la journée qui précède une pre-
baiguës qui attei- gnent les prédisposés sous des influences encore
mal
connues. , M. Lhermitte (de Paris).- Nous avons
le nombre des racines peut varier de 30 à 37 suivant l'espèce ani-
male
et, en particulier, chez les divers animaux de la
exes de défense (clignement, larmoiement, etc.). Mais elle apprécie
mal
les nuances. Sous ce rapport, la conjonctive a
, qu'ils soient dangereux ou non, sont des aliénés tout court. Le
mal
vient surtout d'un défaut d'organisation des asil
inculpés en observation. - c. Etant donné les imperfections de pas
mal
d'asiles départe- mentaux, un devoir étroit s'i
C'est la réforme complète de ceux de ces établissements, encombrés,
mal
distribués qui ressem- blent plutôt à des priso
ù les pratiques signalées par M. Freud comme la cause spécifique du
mal
ne sauraient être incriminées. D'après M. Pierr
ratiques que j'indique ne sont pas seulement capables d'aggraver le
mal
existant, mais de faire apparaître, à un âge dé
jeunesse ni à chatouiller les vieux marcheurs. Honni soit donc qui
mal
y pense. OBSERVATION I. - M. X.... quarante-qua
ès qu'il s'était tué. Voilà donc un cas où, à aucun moment avant le
mal
, le sujet n'a souffert d'une accumulation incom
, qui malheureusement eut un grand succès, car l'autre le prit très
mal
. Il fit à Z... des scènes violentes, et sans l'in
ent bien. Ses occupations, la présence des gens, firent trêve à son
mal
. Mais le soir, quand il fut seul chez lui, l'obse
quatre blennorrhagies seraient bien capables de lui occasionner le
mal
pour lequel une seule avait suffi, et il en fut
ne pas pou- voir pisser du tout dehors, j'espère m'habituer aussi à
mal
pisser dedans. Je crus devoir le mettre en gard
ir le mettre en garde contre la possibilité d'un retour offensif du
mal
, et d'une aggravation s'il continuait le même c
ncomplètement satisfaite de l'excita- tion génésique qui produit le
mal
. Nos trois observations ASSOCIATIONS PSYCHIQUES
compte, ce sont les mouvements qu'elle fait. « Je suis horriblement
mal
dans mes rêves et je suis d'autant plus effrayé
« je ne puis pas, j'ai peur, je vais tomber, je m'étouffe, je suis
mal
» et tous les phénomènes qui caractérisent son
urais ». Demandez lui si elle dort « je suis éveillée, mais je suis
mal
parce que je n'y vois pas ». Faites-là marcher
t d'une dépression légitime due à la compréhension de la gravité du
mal
chez les plus cultivés. A l'Asile on peut encore
quand doit se faire l'éducation professionnelle des enfants anor-
maux
? 3° Formation du personnel de l'enseignement spé
au choix de la nourrice que s'il s'agissait d'un nourrisson nor-
mal
, né de parents absolument sains. Il est cependant
carnivores. 1 6° Processus dégénératifs étendus de diverse nature,
mal
étu- diés encore. Enfin certains cas peuvent, p
minations s'imposent dans l'intérêt de l'immense populalion nor-
male
des enfants de nos écoles. Mais ce n'est pas en
IQUE NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de
mal
mort; atrophie considérable de l'hémisphère cér
but de la marche, de la parole, de la propreté ci dix mois. Etat de
mal
convulsif à onze mois, pendant trois jours : pr
égie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etal de
mal
, élévation progressive de la température : mort
; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de nerfs
mal
déterminées, dans lesquelles elle ne perdait pa
le a quatre enfants bien imbécillité, hémiplégie gauche, épilepsie.
MAL
mort. 463 portants. Huit neveux et deux nièces
x en 464 RECUEIL DE faits. vingt-quatre heures. Mais le père peut
mal
préciser la marche de la maladie. Il semble cep
auchemars ni hallucinations. Lors de ses accès, il dit avoir un peu
mal
à la tête, mais seulement s'il est interrogé, c
egimbeau, phrases de lecture courante, bonne articulation. Ecriture
mal
assurée, un peu tremblée. En calcul, il ne fait
aucun malaise apparent, mais l'en- fant, interrogé, accuse un léger
mal
de tête. A plusieurs reprises, lotions vinaigré
heures de l'après-midi, nouvel accès, qui est le début d'un état de
mal
: 7 accès se succè- dent, à intervalle de dix m
Cela va me reprendre, dit-il, les IMBÉCILLITÉ, HÉMIPLÉGIE. ÉTAT DE
MAL
ÉPILEPTIQUE. 469 doigts me piquent », et aussit
demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étouffe et j'ai
mal
à la tête. » Lors de l'approche d'un accès. il
470 RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges. ÉTAT DE
MAL
, MORT. 471 I ques dizièmes de degré sous l'infl
63) ; 7ëH ? )e ? e infantile suivie d'épilepsie partielle : étal de
mal
épileptique, mort : foyer ancien intéressant les
476 RECUEIL DE FAITS. Hémiplégie. - Mens ! l1'((tions. ÉTAT DE
MAL
EPILEPTIQUE, TEMPÉRATURE. 477 mence épileptique
pileptiques hémiplégiques, comme Ham..., sont sujets à des états de
mal
épileptique, de même que les épi- septiques ord
ain âge, vingt-cinq, trente ans, s'ils ont survécu aux états de
mal
, on voit les accès s'éloi- gner et enfin dispar
s divisions de l'hospice comme infir- mes incurables. L'état de
mal
épileptique n'a offert, ici, que la pre- mièr
disparaissent, Fig. 16. - Tracé de la température - de l'état de
mal
de Il ... 478 . RECUEIL DE FAITS. la températ
. Le crâne un peu en retrait était enve- loppé dans un cuir chevelu
mal
ajusté, sur lequel les cheveux noirs et raides
; circonvolutions supérieure et moyenne, normales de position mais
mal
formées ; circonvolution inférieure très atroph
s guérir l'idiodie, nous pouvons du moins apprendre la leçon de ses
maux
. Il a été dit avec vérité, quoique « pas » par
ace, étaient des manifestations sur- venant chez des hystériques en
mal
de contracture, ils les appel- lent hémispasme
Cette tare nerveuse, dit l'auteur, expliquerait la fragilité anor-
male
, fragilité congénitale probablement, des centres
é- sente comme particularité intéressante, une conformation anor-
male
de la surface supérieure de la langue, qui est cr
Masselon. Son exemple du paralytique général dément est, en outre,
mal
choisi, à cause des rémissions de la pa- ralysi
effleurer les pieds ni caresser les visages; accident qui, outre le
mal
qui aurait pu en résulter, aurait fait courir d
ox, guardaos. (Ho ! ho ! prenez garde.) Qu'on ne vous fqsse pas de
mal
, messieurs. Pedro, adelante con juicio (Pedro,
urpas, 411. 1.IBÉCILITÉ; hémiplégie gauche : épi- lepsie; état de
mal
; mort; atro- phie considérable de l'hémisphère
now, 60. Main. Hypertrophie congénitale d'une -, par Apert. 497
MAL
de mer. Le et la suggestion, par Bonnet, 82.
, par Viazemsky, 80. -; voir Abasie. - ; voir Névralgie ; voir
Mal
de me1'. La impéra- live, par Bérillon, 83. - v
l satisfaisant, à part bronchite légère. Viscères sains. Coeur nor-
mal
. Corps thyroïde, organes génitaux : rien de spéci
ent parler se déclarent. La température froide est particulièrement
mal
supportée. La coloration d'abord intermittente
t quand il se livre à des excès de boisson. L'accouchement fut nor-
mal
. Nourrit au biberon jusqu'à l'âge de 18 mois. A
ion par la chaleur. Pendant l'été, il ne remarque plus rien d'anor-
mal
, mais transpire toujours passablement des mains e
r pour les écarter d'ailleurs. Il y a cependant quelques cas, assez
mal
catégories, qui à un examen superficiel, peuven
acroscopi- quement indemne. L'auteur conclut qu'il s'agit là de cas
mal
déterminés, voisins de l'ostéoarthropathie hype
iver seulement : l'été tout disparaissait. Mais, avec le progrès du
mal
, durant toute l'année, il n'y a aucune relâche.
ue durant l'hiver et laissent peu de trêve au patient. Celui-ci est
mal
habile aux travaux exi- geant quelque minutie :
e complets, terminons en notant que la sécrétion lacrymale est nor-
male
ainsi que la sécrétion nasale. La muqueuse du nez
uche n'est pas atrophié et que la sécrétion de la muqueuse est nor-
male
. L'examen du larynx n'a révélé aucune altération
Il ne peut s'agir d'oedème, reliquat, témoin d'une fracture osseuse
mal
consolidée, d'un cal douloureux. Plus encore qu
isseaux sanguins ou lymphatiques. Les ganglions inguinaux sont nor-
maux
. L'absence de varices lymphatiques, de séjour d
transmet au centre par la voie centripète. Elle est en- registrée,
mal
élaborée et parvient ainsi modifiée au système sy
rononcée; il existe des mouvements de latéralité tout à l'ait anor-
maux
; on peut amener les extrémités de l'index et du
vue, dit-il, a quelque chose de provi- dentiel, et l'on s'explique
mal
l'étonnant développement du toucher actif chez
uments complémentaires). PAR HENRY MEIGE. Dans une étude sur le
Mal
d'amour, parue en 1899 dans ce recueil, j'ai dé
ou plus probablement saint Luc, l'un des quatre (1) Henry Meioe, Le
mal
d'amour (Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, 18
). xiiie siècle. « Apportez-moi un orinal, Et si verrai dedenz le
mal
. » (Roman du Renard, vers 19509.) C<M)MKeH
e les gens sont deshaitiés. Et s'il languissent, Il les garist du
mal
du chief, Des dolereus yeus, Des maus des den
ir si les gens sont malades. Et s'ils languissent, il les guérit du
mal
de tête, des dou- leurs d'yeux, des maux de den
nguissent, il les guérit du mal de tête, des dou- leurs d'yeux, des
maux
de dents et des fièvres. » Ces deux passages pr
Editeurs Il... LES UROLOGUES 6R Je crois bien qu'il s'agit du «
mal
d'amour ». L'attitude pâmée de la femme peut dé
gue de Godfried Schalken, au musée de la Haye, nous a appris que le
mal
d'amour se révélait souvent de la sorte. Et enten
» des belles chlorotiques de Gérard Dow ou de van IIoostraaten., Ce
mal
est bien plus prosaïque : la dame est enceinte, n
n... Mais la jolie pécheresse pourra-t-elle toujours dissimuler son
mal
? Dans quelques mois, hélas ! il deviendra flag
ent aussi long qu'eux. Leurs oeillades malicieuses dépistaient le «
mal
d'amour » avec une perspi- cacité au moins égal
amorphes, d'aspect vitreux, montrant à la périphérie quelques noyaux
mal
colorés, puis le manchon serré des cellules ron
ertes de substance con- tenant quelques boules amorphes se colorant
mal
et inégalement. L'nn de ces foyers, le plus imp
gulièrement. Le nez est incliné il, droite; les dents sont cariées et
mal
plantées. Rien d'anormal du côté des oreilles ;
ue l'hypothèse de Wilbrand ne peut être soutenue; ce fait s'accorde
mal
également avec l'opinion d'Edridge-Green (1) qu
écédents personnels. Venu au monde à terme dans des conditions nor-
males
. Aurait marché très tard, à 4 ans. Aurait parlé d
lait penser de la fréquence de son absence. Mais un phénomène cadre
mal
ici avec le reste du tableau : c'est la présenc
troubles génito-urinaires, ni incoordination motrice ; il n'a eu ni
maux
perforants, ni douleurs fulgurantes dans les ja
des stig- mates indélébiles de syphilis héréditaire, tels que : 1°
Mal
formations den-. taires caractéristiques ; 2° D
gmates oculaires, dentaires ou palatins. Le système pileux est nor-
mal
. ' Les membres supérieurs n'offrent rien à sign
ne manifeste pas la même répul- sion que le néophyte. Il regarde le
mal
et réfléchit à l'intervention pos- sible : cure
ible que possible des plaies humaines, n'a pas voulu représenter ce
mal
effroyable qui faisait alors, et qui fit encore
cérations des jambes de préférence à d'autres affections. Ce sont
maux
très fréquents, bien faits pour inspirer la commi
eure des cavités crânienne et rachidienne ; mais les courbures nor-
males
de cette face sont complètement absentes ; c'est
peau et jusque dans les muscles. Les muscles ont une structure nor-
male
; les fibres musculaires ont leur striation trans
son bulbe était peu appréciable ; le nez avait une disposition nor-
male
. Nous avons déjà signalé l'ophtalmique. Schéma
t nombre). b. Cellules ovalaires, larges, à protoplasma se colorant
mal
, réticulé, gra- nuleux, à noyau plus ou moins e
réticulé, gra- nuleux, à noyau plus ou moins excentrique, déformé,
mal
coloré. Ces cellules, nombreuses, représentent
a suite de la présentation d'Achard et Laper. Soc. de neurologie, 3
mal
1903. (2) TAntiFFi. Caso della macrosomia, Anna
it comme une méningite. La maladie commença par de la fièvre et des
maux
de tète; il ne reconnaissait pas son entourage
èse : « Dieu dit aussi à la femme : je vous affligerai de plusieurs
maux
pendant votre grossesse ; vous ne mettrez au mond
tre partie du corps ; pas de fourmillements, ni de sensations anor-
males
; aucune douleur spontanée, il n'y a de douleur p
à apprendre à écrire de la main gauche. Actuellement elle écrit assez
mal
de l'une comme de l'autre main ; cependant, l'é
irrégulière, tremblée, souvent illisible. Elle tient en effet fort
mal
sa plume et l'on constate nettement le tremblemen
u d'un faisceau musculaire se produit à l'état isolé et l'on serait
mal
venu d'assimiler ces variations par défaut à la
qu'un mot servant à désigner un ensemble hétéroclite de phénomènes
mal
analysés. L'hérédité, dans ce qu'elle a de positi
. Observation. RÉSUMÉ. Syphilis ancienne. - Il y a dix-huit mois,
maux
perforants plan- taires gauches ; guérison.- Ma
a dix-huit mois, maux perforants plan- taires gauches ; guérison.-
Maux
perforants plantaires droits.- Arthro- pallie d
l, aucune crise laryngée. Appareil urinaire. Le besoin d'uriner est
mal
perçu ; parfois quelques mictions involontaires
ite au moment du [départ du malade nous a donné des contours osseux
mal
définis, mais cependant suffisamment nets pour êt
cter. Nous voudrions également attirer l'attention sur les nombreux
maux
perforants qui ont précédé dès longtemps l'appa
LLON se sont quelque peu affermis, et la malade fait mieux ou moins
mal
, et avec un peu plus de précision les mouvement
e l'apothicaire donne ses soins n'est pas une paysanne souffrant du
mal
de dents, mais bien une femme galante atteinte
. L'esamina un Perito, e scrive intauto Medica penna la ricetta al
male
. Voilà donc retracée'par la peinture, le burin
es, que je mentionne brièvement : 1° Prière à Saint Minus contre le
mal
français. - Gravure sur bois par W. Hamer de Nu
Dresde et de Vienne. La légende parle de gale (scabies) et non de «
mal
français », appella- tion courtoise et de bon v
après le tirage récent. 3° Prière à Saint Denis pour la guérison du
mal
français. Image pu- bliée à Regensburg ( ? ) ve
tato, p. 10, fig. 6. - 4° Emploi médical du bois de Gaïac contre le
mal
français. Gravure sur cuivre par Ph. Gallo, d'a
ux dernières figures avec leur légende. 5° L'Espaigtzol affligé dit
mal
de Naples. Gravure reproduite sans nom d'auteur
éique, ni un trouble de l'équilibre ataxique, mais quelque chose de
mal
défini et qui participe de chacun de ces symptôme
e granuleux et dégénéré. Dans certains points les cellules prennent
mal
la couleur (PI. LIV, A). On trouve une abon- da
ieure des cuisses, etc., forme des masses lipoma- teuses à contours
mal
limités. La tuméfaction des membres inférieurs
est aussi normale. L'excitabilité électrique des nerfs moteurs nor-
male
. Tous les mouvements actifs et passifs sont norma
, l'un des spécimens trop rares de la poésie bardique, dont un zèle
mal
entendu des Irlandais du moyen âge, anéantit, o
ours : « Oh L mon fou ou commensal n'est pas méchant, iT ne fait de
mal
à personne ; bien plus, c'est le meilleur enfan
fermant, ou de toute autre manière afin qu'ils ne puissent faire de
mal
à personne, et que les nourriciers payeront tou
es aliénés. En ce qui concerne les soins médicaux, nous sommes fort
mal
rensei- gnés ; c'est qu'à vrai dire ils étaient
vers eux les âmes compatissantes, et à signaler la présence de leur
mal
contagieux. On sait, d'autre part,que les ens
ES POSSÉDÉS DE SAINTE-DYMPHNE 317 disait « une cloche bien timbrée,
mal
timbrée, fêlée » de même on a dit « une tête, u
e, fêlée » de même on a dit « une tête, une cervelle, bien timbrée,
mal
timbrée, fêlée ». Ces locu- tions se trouvent c
tombait dans le feu ou dans l'eau », n'était pas plutôt atteint de
mal
comitial. De telles chutes appartiennent surtout
soit à de longues cellules fusiformes imbriquées, se différenciant
mal
les unes des autres. Avec la safranine, on peut
des troncs autres que le médian. Il est vrai que l'on s'explique
mal
pourquoi cette sensibilité, d'abord conservée,
La physiologie des organes de la sécrétion interne est encore trop
mal
connue pour qu'on puisse émettre à présent des
voulu par intérêt pour Alcmène ; ainsi elle se délivre d'un double
mal
par un seul travail, et elle est garantie du so
Médecine [Écoles flamande et hollandaise) : les Pierres de tête, le
Mal
d'amour, les Opérations sur la tête, l'épaule, le
On voit reparaître, en particulier, toutes les aimables victimes du
Mal
d'Amour, les gentilles maladesdevan Miens, Gérard
p. 110-116 (2 phot.). Henry MEiGE. Les Peintres de la Médecine, Le
mal
d'Amour, p. 51-68 (4 phot.), p. 226-260 (8 phot
éminisme et les Hermaphrodites antiques (L'anthropologie, 1895). Le
Mal
de Polt dans l'drt antique (Travaux de neurologie
trais chez moi. Monsieur m"a donné un coup de canne qui m'a fait très
mal
. — Etes-vous bien sûr? C'est moi qui vous l'ai fa
devient colère et m'a jeté ses crosses sur le nez. Elle m'a fait très
mal
. J'ai encore une bosse. — Voyons, sotte, lui dis-
excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement
mal
disposés pour faire des découvertes, mais ils fon
u disposée à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez
mal
et me demande ce que je viens faire. — D'un ton t
enfants se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escalier d'un pas
mal
assuré et faillit tomber à la dernière marche; il
s, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et
mal
supportées, M. Lion endor- mit la malade en l
chiré son pantalon en marchant, dit qu'il ne peut plus marcher ; il a
mal
aux deux jambes (il est a Saint-Urbain en 1877, i
petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a
mal
à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travai
eut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé
mal
aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est pa
geste de les arracher, s'indigne contre le médecin, M. Lacuire ; il a
mal
à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie
al, un besoin de remuer, d'aller et de venir; par de la tristesse, du
mal
de tète, de l'anxiété ; par de la chaleur épigast
e, où l'on n'arrive à quelque chose qu'à la condition de se donner du
mal
. N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder h
auchemars effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour.
Maux
de tête continuels. Je constate que l'haleine
cette matière, comme en tant d'autres, le remède se trouve a côté du
mal
et dans la cause même du mal. D'ailleurs, de mê
d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du
mal
. D'ailleurs, de même que les savants, en poursu
sives et raideur du tronc. La physionomie du sujet avait l'expression
mal
caractérisée d'un violent étonnement. Le tube p
marche des choses humaines, si, à côté du bien qui se fait, il y a le
mal
qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à c
il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à côté du
mal
qui se développe, il y a souvent des compensation
il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur un sopha, il calculait si
mal
sa distance qu'il tombait sur le parquet. Son dél
in à travers les âges. Une foule de faits historiques jusque-là assez
mal
connus et insuffisamment expliqués se trouvent po
son ange qui lui souille le bien, elle a son démon qui lui souffle le
mal
. Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'homm
t l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre, et, sentant redoubler son
mal
, il resta à Meulan. On commençait à désespérer de
ses, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse.
Mal
de tête, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pa
uche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m'écrit : « Le
mal
d'estomac n'a pas reparu de toute la journée. Ce
eutique. Un autre sujet présentait les mêmes troubles morbides; son
mal
était, depuis dix ans, rebelle à tous les médicam
avait nécessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du
mal
. le professeur prescrivit sur-le-champ une médica
n'apparaissent pas. Les 2 et 3 octobre, elle a de la céphalalgie, des
maux
de cœur et des envies de vomir, quelques vertiges
x mois, j'observe un cas véritablement typique d'une affection encore
mal
connue. On ne sait comment la dénommer; M. Charco
de juillet, d'août et de septembre. La malade, qui m'accueillait très
mal
au début et ne se laissait hypnotiser que par la
itement est une opération très délicate, capable de faire beaucoup de
mal
entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il fau
claire, et ils s'étonnent qu'une suggestion faire par eux se réalise
mal
. Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit
t voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses
mal
ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager
ne à Anatole d'aller au lit. Il obéit aussitôt : mais sa démarche est
mal
assurée, comme celle d'une personne endormie ; je
onc, il décidait en toute liberté d'esprit, il distinguait le bien du
mal
, il était par conséquent responsable. Tous le
rer que, dans la plupart des cas. les aliénés comprennent qu'ils font
mal
, jugent leur conduite blâmable, mais ne peuvent a
-il l'acte odieux qu'il a commis ? Ou bien n'est-il bon qu'à faire du
mal
? Mais pourquoi ce titre d'Alphonsine que l'int
ance du public les résultats constatés, en ce cas même, où est le
mal
? Les lecteurs sont du moins informés et, partant
rapport avec quelqu'un atteint de la même maladie. Il attribuait son
mal
à une émotion extrêmement vive éprouvée au cours
uit! » Alors intervient le pharmacien du service qui nous dit: c J'ai
mal
compris ce qui m'avait été demande; ce flacon con
X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se sentit un peu
mal
a l'aise, il eut aussi de fréquents bâillements.
térie. En tête des circonstances propres à déterminer le passage du
mal
de l'état latent à l'état ostensible, il faut ins
n, au milieu social, au climat, etc., leur influence sur la genèse du
mal
, dont elles recèlent les origines véritables, est
in, en s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand
mal
de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissi
ntie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce
mal
de tète se dissiperait et alors elle a continué à
it cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son
mal
de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmen
après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le
mal
de tète continuant à augmenter, elle s'est sentie
nne de ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son
mal
de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fai
ire. On suppose que l'expérience a été, d'une manière ou d'une autre,
mal
faite, et on attribue au hasard des coïncidences
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de
maux
d'estomac. Elle chante, elle joue du piano ; elle
herché si ce n'était pas un simulateur; ils se sont donné beaucoup de
mal
pour rien. Le cas du dormeur de Londres aurait be
nte-six heures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai
mal
à la tête, laissez-moi tranquille; » puis elle s'
l est consacrée l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : «
Mal
de Pott. — Accident de compression médullaire. —
'un regard persistant : son œil avait un reflet métallique qui me mit
mal
à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant
redevient ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni
mal
de tête, ni fatigue, mais le plus souvent le regr
me cause occasionnelle une séance d'hypnotisme aussi intempestive que
mal
combinée ? Mlle Jeanne se trouvait dans cet éta
Ne semble-t-il pas que, dans ces conditions, une séance d'hypnotisme
mal
dirigée, qui amoindrit la volonté, et surtout une
M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les sujets
mal
réveillés ou réveilles sous une impression pénibl
r une fois de plus combien sont regrettables ces séances d'hypnotisme
mal
dirigées, comme les pratiquent, par milliers, à P
artiel. » 5° Les insuccès sont dus, soit à ce que la suggestion est
mal
ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleu
s riches que Ton choisit, quel que soit leur âge. De là, des mariages
mal
assortis et des unions malheureuses. M. Magnus, p
ts, les variétés de ce symptôme, parfois très grave, surtout s'il est
mal
interprété, si sa couse réelle demeure inconnue,
de l'Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent
mal
appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinct
ide, qu'elle n'a plus le regard terne, qu'elle n'a plus peur de faire
mal
. qu'elle est sûre d'elle: qu'elle n'a plus de rag
tion: elle est sûre d'elle-même; elle n'a plus à craindre de faire du
mal
à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de
e verre et les poisons les plus violents, sans en éprouver le moindre
mal
. La puissance que Dieu avait destinée aux adeptes
e fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait
mal
. Enfin il roule à terre en catalepsie, et tandis
ur les spectateurs, car le rire est un excellent remède à beaucoup de
maux
. Qui ne se rappelle les attitudes bizarres et les
rudents, les hardis, les téméraires, les enfants perdus. Je ne dis de
mal
de personne, car tout travailleur sincère a droit
réditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le
mal
des riches. La pauvreté en serait à l'abri. Et le
ernière extrémité, et non sans répugnance. Ils les regardent comme un
mal
nécessaire, et, en cela, ils sont dans l'erreur.
'aura pas éveillé en lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du
mal
par l'horreur du mal même. En un mot, le sens mor
lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du
mal
même. En un mot, le sens moral n'aura pas été dév
u genre homo. Sur l'homme, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de
mal
, comme beaucoup de bien. Ceci dépend, par-dessus
t été convenablement élevés ; g fois, ils ne l'avaient été ni bien ni
mal
, et 26 fois, ils avaient été maltraités habituell
enter les choses sous le jour le plus fantastique ; qu'on se donne un
mal
inouï pour lui en cacher la nature et les véritab
à l'âge de six à huit ans sont, par excellence, les candidats au
mal
caduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. D
ersonne qui y aura été soumise ne pourra s'en tirer, étant donnés les
maux
physiques et moraux qu'elles produisent, au témoi
tes, Ventrières et Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes.
Mal
des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut,
trais chez moi. Monsieur m"a donné un coup de canne qui m'a fait très
mal
. — Etes-vous bien sûr? C'est moi qui vous l'ai fa
devient colère et m'a jeté ses crosses sur le nez. Elle m'a fait très
mal
. J'ai encore une bosse. — Voyons, sotte, lui dis-
excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement
mal
disposés pour faire des découvertes, mais ils fon
u disposée à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez
mal
et me demande ce que je viens faire. — D'un ton t
enfants se tenaient avec leur mère. Il descendit l'escalier d'un pas
mal
assuré et faillit tomber à la dernière marche; il
s, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et
mal
supportées, M. Lion endor- mit la malade en l
chiré son pantalon en marchant, dit qu'il ne peut plus marcher ; il a
mal
aux deux jambes (il est a Saint-Urbain en 1877, i
petits amis. Le médecin ne peut le guérir, « Il y a six mois qu'il a
mal
à la jambe, il a attrapé mal aux jambes en travai
eut le guérir, « Il y a six mois qu'il a mal à la jambe, il a attrapé
mal
aux jambes en travaillant a la vigne. » Il est pa
geste de les arracher, s'indigne contre le médecin, M. Lacuire ; il a
mal
à la jambe droite, qui est à l'état de paralysie
al, un besoin de remuer, d'aller et de venir; par de la tristesse, du
mal
de tète, de l'anxiété ; par de la chaleur épigast
e, où l'on n'arrive à quelque chose qu'à la condition de se donner du
mal
. N'est-ce donc pas suffisant de leur accorder h
auchemars effrayants dont le souvenir l'inquiète jusque dans le jour.
Maux
de tête continuels. Je constate que l'haleine
cette matière, comme en tant d'autres, le remède se trouve a côté du
mal
et dans la cause même du mal. D'ailleurs, de mê
d'autres, le remède se trouve a côté du mal et dans la cause même du
mal
. D'ailleurs, de même que les savants, en poursu
sives et raideur du tronc. La physionomie du sujet avait l'expression
mal
caractérisée d'un violent étonnement. Le tube p
marche des choses humaines, si, à côté du bien qui se fait, il y a le
mal
qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à c
il y a le mal qui le suit comme son ombre, d'un autre côté, à côté du
mal
qui se développe, il y a souvent des compensation
il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur un sopha, il calculait si
mal
sa distance qu'il tombait sur le parquet. Son dél
in à travers les âges. Une foule de faits historiques jusque-là assez
mal
connus et insuffisamment expliqués se trouvent po
son ange qui lui souille le bien, elle a son démon qui lui souffle le
mal
. Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'homm
t l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre, et, sentant redoubler son
mal
, il resta à Meulan. On commençait à désespérer de
ses, mais le malade se trouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse.
Mal
de tête, énervement, fièvre, mais il n'éprouva pa
uche. La nuit suivante fut excellente. Le lendemain il m'écrit : « Le
mal
d'estomac n'a pas reparu de toute la journée. Ce
eutique. Un autre sujet présentait les mêmes troubles morbides; son
mal
était, depuis dix ans, rebelle à tous les médicam
avait nécessité son entrée a l'hôpital. En présence de la gravité du
mal
. le professeur prescrivit sur-le-champ une médica
n'apparaissent pas. Les 2 et 3 octobre, elle a de la céphalalgie, des
maux
de cœur et des envies de vomir, quelques vertiges
x mois, j'observe un cas véritablement typique d'une affection encore
mal
connue. On ne sait comment la dénommer; M. Charco
de juillet, d'août et de septembre. La malade, qui m'accueillait très
mal
au début et ne se laissait hypnotiser que par la
itement est une opération très délicate, capable de faire beaucoup de
mal
entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il fau
claire, et ils s'étonnent qu'une suggestion faire par eux se réalise
mal
. Il ne faut pas oublier que tout ce qui se dit
t voilà encore pourquoi le médecin d'aujourd'hui préfère endormir ses
mal
ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager
ne à Anatole d'aller au lit. Il obéit aussitôt : mais sa démarche est
mal
assurée, comme celle d'une personne endormie ; je
onc, il décidait en toute liberté d'esprit, il distinguait le bien du
mal
, il était par conséquent responsable. Tous le
rer que, dans la plupart des cas. les aliénés comprennent qu'ils font
mal
, jugent leur conduite blâmable, mais ne peuvent a
-il l'acte odieux qu'il a commis ? Ou bien n'est-il bon qu'à faire du
mal
? Mais pourquoi ce titre d'Alphonsine que l'int
ance du public les résultats constatés, en ce cas même, où est le
mal
? Les lecteurs sont du moins informés et, partant
rapport avec quelqu'un atteint de la même maladie. Il attribuait son
mal
à une émotion extrêmement vive éprouvée au cours
uit! » Alors intervient le pharmacien du service qui nous dit: c J'ai
mal
compris ce qui m'avait été demande; ce flacon con
X... cessa de fumer ; depuis la dernière séance, il se sentit un peu
mal
a l'aise, il eut aussi de fréquents bâillements.
térie. En tête des circonstances propres à déterminer le passage du
mal
de l'état latent à l'état ostensible, il faut ins
n, au milieu social, au climat, etc., leur influence sur la genèse du
mal
, dont elles recèlent les origines véritables, est
in, en s'habillent, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand
mal
de tête. Elle pensait que ce mal de tète se dissi
ntie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle pensait que ce
mal
de tète se dissiperait et alors elle a continué à
it cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son
mal
de tête. Puis, le mal de tète continuant à augmen
après qu'elle a ressenti le commencement de son mal de tête. Puis, le
mal
de tète continuant à augmenter, elle s'est sentie
nne de ces différentes heures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son
mal
de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fai
ire. On suppose que l'expérience a été, d'une manière ou d'une autre,
mal
faite, et on attribue au hasard des coïncidences
appétit et digère beaucoup mieux qu'à l'état normal. Elle n'a plus de
maux
d'estomac. Elle chante, elle joue du piano ; elle
herché si ce n'était pas un simulateur; ils se sont donné beaucoup de
mal
pour rien. Le cas du dormeur de Londres aurait be
nte-six heures sans s'arrêter. Elle s'est éveillée an disant : « J'ai
mal
à la tête, laissez-moi tranquille; » puis elle s'
l est consacrée l'autre moitié. Voici l'une de ces observations : «
Mal
de Pott. — Accident de compression médullaire. —
'un regard persistant : son œil avait un reflet métallique qui me mit
mal
à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant
redevient ce qu'elle doit être ; et, à leur réveil, ils n'accusent ni
mal
de tête, ni fatigue, mais le plus souvent le regr
me cause occasionnelle une séance d'hypnotisme aussi intempestive que
mal
combinée ? Mlle Jeanne se trouvait dans cet éta
Ne semble-t-il pas que, dans ces conditions, une séance d'hypnotisme
mal
dirigée, qui amoindrit la volonté, et surtout une
M arrive souvent, en effet, dans ce genre de séances, que les sujets
mal
réveillés ou réveilles sous une impression pénibl
r une fois de plus combien sont regrettables ces séances d'hypnotisme
mal
dirigées, comme les pratiquent, par milliers, à P
artiel. » 5° Les insuccès sont dus, soit à ce que la suggestion est
mal
ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleu
s riches que Ton choisit, quel que soit leur âge. De là, des mariages
mal
assortis et des unions malheureuses. M. Magnus, p
ts, les variétés de ce symptôme, parfois très grave, surtout s'il est
mal
interprété, si sa couse réelle demeure inconnue,
de l'Ecole de Nancy, sur les phénomènes de l'hypnotisme, est souvent
mal
appréciée. Aussi je crois devoir exposer succinct
ide, qu'elle n'a plus le regard terne, qu'elle n'a plus peur de faire
mal
. qu'elle est sûre d'elle: qu'elle n'a plus de rag
tion: elle est sûre d'elle-même; elle n'a plus à craindre de faire du
mal
à personne; elle est guérie. Elle gagnera plus de
e verre et les poisons les plus violents, sans en éprouver le moindre
mal
. La puissance que Dieu avait destinée aux adeptes
e fois). Il suffoque bientôt, ses tempes se gonflent, son état fait
mal
. Enfin il roule à terre en catalepsie, et tandis
ur les spectateurs, car le rire est un excellent remède à beaucoup de
maux
. Qui ne se rappelle les attitudes bizarres et les
rudents, les hardis, les téméraires, les enfants perdus. Je ne dis de
mal
de personne, car tout travailleur sincère a droit
réditée dans la science avec un bonheur insolent. On l'a proclamée le
mal
des riches. La pauvreté en serait à l'abri. Et le
ernière extrémité, et non sans répugnance. Ils les regardent comme un
mal
nécessaire, et, en cela, ils sont dans l'erreur.
'aura pas éveillé en lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du
mal
par l'horreur du mal même. En un mot, le sens mor
lui les sentiments élevés qui l'éloigneraient du mal par l'horreur du
mal
même. En un mot, le sens moral n'aura pas été dév
u genre homo. Sur l'homme, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de
mal
, comme beaucoup de bien. Ceci dépend, par-dessus
t été convenablement élevés ; g fois, ils ne l'avaient été ni bien ni
mal
, et 26 fois, ils avaient été maltraités habituell
enter les choses sous le jour le plus fantastique ; qu'on se donne un
mal
inouï pour lui en cacher la nature et les véritab
à l'âge de six à huit ans sont, par excellence, les candidats au
mal
caduc et à l'hystérie, à celui de la puberté. D
ersonne qui y aura été soumise ne pourra s'en tirer, étant donnés les
maux
physiques et moraux qu'elles produisent, au témoi
tes, Ventrières et Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes.
Mal
des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut,
le, le regard fixe, le visage pâle. Puis elle a dit : Oh ! que j'ai
mal
au coeurl J'ai mangé trop de poires. On l'a cou
de deux minutes environ elle est revenue à elle : Où suis-je ? J'ai
mal
au coeur ; j'ai mangé trop de poires, je n'en m
alcooliques ou aqueuses des couleurs d'aniline basiques. Il prend
mal
le Gram. Pour peu que l'action de l'alcool soit p
cavités gauches avaient une épaisseur double de l'épaisseur; nor-
male
, celles du coeur droit étaient également épaissie
l tousse et vomit facilement. Jusqu'à l'âge de trois ans il dormait
mal
. De ses quatre frères et soeurs, un est mort du
suffisamment.vigoureux, à dentition bonne, mais les dents sont très
mal
entretenues. La langue est bonne, l'appétit est b
estruction. Charcot a comparé cet état à celui des fils électriques
mal
isolés et a cherché à expliquer le tremblement
es affections .nerveuses sont mieux connues, 'des faits jusqu'alors
mal
classés, prennent rang / dans les grandes catég
rite de cette mère une constitution délicate et peu résistante au
mal
. Son enfance romanesque. Dès le plus jeune âge,
es changent souvent de médecins, cherchant partout remède à leurs
maux
imaginaires, ainsi Thérèse changea souvent de d
s événements de cette période, il faut décrire les symptômes de son
mal
; ce sont les paroles mystiques entendues, ce s
t en repos et permettra d'autres préoccupations que celles de son
mal
. Quelquefois Thérèse comprendra le non réel de
ies ; son sonnet 1 au Christ crucifié est resté célèbre en Espagne;
mal
traduit en vers français par Sainte- Beuve, Fir
t ils - fourmillent et nous font regarder Thérèse comme atteinte de
mal
hystérique. Bien que dans ses nar- rations, ell
rdes, de Paray- le-Monial et de la Salette : A certains moments, le
mal
L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si gr
ur atroce, angoissante, située dans la région précordiale : « Mon
mal
de coeur était si cruel, nous dit-elle, qu'il sem
Bécèdes, une campagne de son père, pour changer de climat; mais le
mal
ne faisait qu'empirer; Thérèse avait un grand d
l' et laissa croire à sa mort, sans avoir peut-être conscience du
mal
qu'elle faisait, ce fut pour tirer une espèce de
petit des trois quarts que le noyau des précédentes, et se colore
mal
et peu distinctement. Le protoplasma se colore
curielles prescrites; tandis- que souvent l'adulte, honteux de son
mal
, ne réclame pas les conseils d'un médecin et subi
ophie des muscles de la ceinture scapulaire. Quelque temps après le
mal
subit une nouvelle recrudescence et d'unilatéra
La sensation tactile et la perception de la chaleur étaient nor-
males
sur toute la suriace du, corps. La sensibilité à
dans l'angle interne de l'oeil. La destruction, chez tous ces ani-
maux
, du facial jusqu'au ganglion géniculé, n'entraîne
ez l'aspect d'une mosaïque brisée, dont les mor- ceaux sont parfois
mal
rejoints., On voit par là qu'il s'est fait tout L
es représentations mentales. En effet, votre observateur s'atralyse
mal
quand il vous dit : « Je ne vois pas. mais je s
'entre elles à être irrémédiables; et. de fait, les cerveaux d'ani-
maux
ayant été sacrifiés plus ou moins longtemps après
et amyotrophie, qui reproduisent trait pour trait la paraplégie du
mal
de Polt ou de la pachymé- ningite tuberculeuse
malades » ; pour ces cas, Jules Falret a créé l'expression de petit
mal
intellectuel des épilepliques, restée dans le lan
t présent. La face a l'aspect d'un masque. La malade mar- che assez
mal
; ses mouvements sont atactiques ; tremblement de
nt étroites; la pupille droite est plus large que la gauche, réagit
mal
à la lumière. L'écriture est troublée. Le disco
istraite; il lui était difficile de marcher, elle commença à parler
mal
, se plai- gnait d'un mal de tête et d'un trembl
fficile de marcher, elle commença à parler mal, se plai- gnait d'un
mal
de tête et d'un tremblement des mains. La malade
ge.. · Etat présent. Sa face a un aspect d'un masque, elle marche
mal
, en chancelant ; ses mouvements sont maladroits,
ssent à la lumière. 'La parole est paralytique. La malade combine
mal
, ne sait pas, quand elle est arrivée de la camp
prononce le mot : « assassin » ; se défend de n'avoir rien fait de
mal
. Son regard est terne, effaré, distrait de ce q
e, t. XI, p. 552). « Etat des yeux. Les yeux révèlent la gravité du
mal
, et leur aspect suffit seul pour annoncer une a
orte à l'âge de quarante- neuf ans, d'affection indéterminée, était
mal
portante et est restée malade les sept dernière
u ; appétit presque nul (quelques tasses de lait ou de limonade).
Maux
de reins, coliques. Le soir, retour des époques.
à 'gauche; la malade perçoit à peine des piqûres légères et réagit
mal
aux piqûres profondes; hypoes- thésie de la cor
'il y avait des gens qui complo- tassent ensemble pour lui faire du
mal
. D'autres hallucina- L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈ
itablement étrange pour une nonne. Arnaud d'Audilly et Chanut ont
mal
traduit le mot castillan Higa : suivant le dictio
ous sommes ici, avant tout, pour étudier en commun quelques-uns des
maux
qui frappent l'homme dans son système nerveux,
erre aux savants dont l'unique ambition est de réduire la somme des
maux
qui affligent l'humanité; il boit au succès de
n qu'il est très difficile de se rendre compte delà gravité de leur
mal
. Et, chose curieuse ! ces mêmes sujets dont les
orie de liqueurs, et qu'il y en avait d'autres, dont l'état, encore
mal
connu, avait besoin d'être étudié : c'est avec
e que ma malade entre- voyait le suicide-comme le seul remède à son
mal
. Les tics ne sont pas seulement tributaires de
verrues non seulement chez les humains, mais aussi chez les ani-
maux
par des prières spéciales, des attouchements, des
peaux de crêpe, déformés, aplatis, pénétrés dépoussière et tenant
mal
sur des cheveux en désordre. Leurs figures avaien
ui choisit les logements, c'est elle qui choisit les hôtels. Elle a
mal
choisi, il est vrai, mais elle regrette et ne s
nnée 1899, son amie constate' que G... n'est plus le même ; il dort
mal
, il a la nuit des hallucinations de la vue. Par
l'hypothèse d'une vengeance possible de son patron; mais il se rend
mal
compte de sa situation, se croyant en convalesc
en nombre. Le protoplasma des grandes cellules pyrami- dales prend
mal
l'éosine; le corps cellulaire est peu coloré, les
elle raconte qu'en reprenant ses sens, elle trouvait ses vêtements
mal
en point. , L HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 321
te Thérèse s'appelle d'un autre nom en aliénation mentale, c'est le
mal
hystéro-épi- leptique. LE château intérieur.
ne foi de sainte Thérèse ; elle ne se rendait nul- lement compte du
mal
dont elle était la proie et regardait comme vra
es dans la fausse direction d'un mysticisme maladif, Thérèse fit un
mal
considérable à l'humanité ; car il ne faut pas
re actuellement en ' traitement; le cinquième a succombé en état de
mal
. De l'utilité de la ponction lombaire pour le d
d'idiotie pro- fonde avec gâtisme, avait de l'écholalie, prononçait
mal
quelques mots : du panput pour pain, à barre po
de l'idiotie, au plus tard, à deux nzzs. Plus on temporise, plus le
mal
s'aggrave, plus la tâche du médecin et du pédag
nnent facilement auto-accusa- teurs ; en tout cas, ils se défendent
mal
et laisseraient volontiers croire à leur culpab
rice FAUHK et Couhtexsoux. La massothérapie est souvent employée et
mal
comprise dans le traitement du tabès. A titre d
int chercher à atteindre, car il ne peut que les augmenter s'il est
mal
compris ou mal pratiqué. La pathogénie de l'épi
atteindre, car il ne peut que les augmenter s'il est mal compris ou
mal
pratiqué. La pathogénie de l'épilepsie, par Mau
pe de Cl. Bernard. « Aucun composé toxique ne peut, à l'état nor-
mal
, faire partie de l'organisme »; et cette réponse
le fou bondit sur le secrétaire, qui aurait certainement été mis à
mal
, si deux'agents n'étaient intervenus. L'étrange
te représailles, de le crucifier, avec des cordes/sans lui faire de
mal
, sur une croix de pierre, au bord du chemin.. ;
n Dieu ! mon Dieu ! je ne me rappelle pas avoir jamais rien fait de
mal
, je n'ai jamais tué, ni volé, ni assassiné, com
ts, n'ont jamais commis le moindre crime, n'ont jamais rien fait de
mal
à leur âge qu'auraient-ils pu faire de mal ? ' ?
'ont jamais rien fait de mal à leur âge qu'auraient-ils pu faire de
mal
? ' ? Pourquoi est-on contre nous comme çà ? »
it être coupable, elle cherche à trouver comment elle peut faire le
mal
. Ses recherches, toujours dans le même cercle,
oins heureux, et la Terre enfin qui est l'enfer à cause de tous les
maux
que nous souffrons. Telle est l'idée des Planèt
qu'elle ait nommé, elle ne comprend pas qu'on lui ait fait tant de
mal
, elle qui souhaite le bonheur universel et l'un
onde lui en voulait : on refusait partout ses oeuvres; on disait du
mal
de lui pour l'empêcher de gagner sa vie et il f
tions qu'elle encourait. Elle perd l'argent qu'on lui confie, parle
mal
de son père à tout le monde et finit par le dén
nt sa petite chérie. Il me l'enfonçait jusqu'à ce que cela me fasse
mal
; il l'avait énorme, alors il se tenait à une cer
eau directeur de l'Assistance publique, M. Napias, qui, sans doute.
mal
renseigné, a refusé. Il était pourtant tout nat
qui ont suivi l'incident, le maxillaire inférieur ne lui a pas fait
mal
, mais quelque temps après, des douleurs se sont i
t les soins rapides aux aliénés aussi près que possible du début du
mal
. VI. Le traitement du goitre exophtalmique, par
ntrée des aliénés dans les hôpitaux dès les premiers symp- tômes du
mal
, le traitement immédiat étant la plus grande chan
. Maintes fois aussi il avait cherché à voir à travers des planches
mal
jointes, des femmes dans les cabinets d'aisance
elle se pro- longe outre mesure, en résumé quand ses réactions sont
mal
adaptées à l'intérêt de l'individu ou de l'espè
plus fréquentes ; vien- nent ensuite celles relatives à la peur de
mal
faire à tous les points de vue, moral, religieu
es signes stéthoscopiques peu nets, à cause de la localisation du
mal
au centre du poumon. Quant à la température, nous
tions qu'on lui pose, n'y répondant pas, ou disant n'im- porte quoi
mal
à propos, ne reconnaissant pas les siens, il acco
ède, suit ou remplace les attaques, se rattache surtout à l'état de
mal
, et se termine, non soudain, mais graduellement
et hérédité. Le mot dégéné- rescence est fort souvent appliqué très
mal
à propos, et rien n'est plus aveugle que les so
MENTALE. instinctivement, fatalement, comme les fous moraux vont au
mal
et au vice. Aussi bien la prostitution n'est pe
est tout à fait exceptionnel de trouver les trois sensibilités nor-
males
au même moment, tandis qu'on les trouve anormales
sa soeur nous apprend que plusieurs médecins avaient attribué ses
maux
de tête- sa chasteté. Il ne voulait-ni du mariage
toutes choses avec une perpétuelle nausée, comme un homme qui a le
mal
de mer consi- dère les aliments. Il jugeait nia
au niveau de leur origine. M.IIUET présente une enfant atteinte de
mal
de Pott lombaire s iiiiii- lai2l une myopathie.
t cependant paru douteux, la radiographie permit d'établir celui de
mal
de Pott. Paralysie pseudo-bulbaire chez un jeun
heures. L'intelligence est intacte, la malade s'est accoutumée à son
mal
chronique. Les principaux troubles se trouven
uble du côté de l'ouïe. Les réflexes rotuliens et cutanés sont nor-
maux
, il n'y a pas de trouble de la sensibilité, ni de
joute que ce sont les hommes qui sont employés aux soins des ani- !
maux
et dans les mines où l'eau est rare et fréquemmen
sont moins exposés que les aricul-; leurs; les individus pauvres et
mal
soignés sont plus fréquemment infes- tés. L'éch
ar l'alimentation avec les boissons ou les légumes absorbés crus ou
mal
cuits; les poussières peuvent enfin en contenir.
prit une place de domes- tique, mais ne la garda point, étant trop
mal
nourrie. Elle vint alors demeurer 1 chez sa tan
é en prison et pense qu'on veut lui extorquer sa signature. Il dort
mal
et gâte au lit. Le 12 décembre, l'excitation se
! Pendant que nous sommes là, nous devrions songer au bien, pas au
mal
. Nous sommes ici avec notre sacré viande pour c
ayé d'étudier l'écriture chez notre malade, mais il se prêtait très
mal
à l'expérience (par' suite peut-être de ses idé
mble, je ne peux pas ». Après plusieurs tentatives, il écrivit très
mal
quelques lettres qui semblent vou- loir représe
e, Nouvelle Iconographie de Salpêtrière, 1896 ; Des attitudes anor-
males
chez les tabétiques. 54 GASNE ET COURTELLEMONT
elle Faure et Frenkel rattachent la possibilité des attitudes anor-
males
constatées chez les tabétiques) ; mais en supposa
ivantes : exception- nellement application d'un appareil à traction
mal
placé et tirant sur le tibia; d'ordinaire atrop
animal vivant est puissante pour calmer les douleurs causées par un
mal
violent, on doit convenir que cette méthode n'e
e son haleine et de ses autres émanations et victime d'une union si
mal
assortie, tombe bientôt dans la plus visible faib
est assez caractéristique pour qu'il soit facile de reconnaître son
mal
du premier coup d'oeil, quand même le geste du
ta- blement inférieur. Les figures sont trop petites dans le cadre,
mal
dis- posées. L'attitude de l'aveugle nous sug
compte des intentions qui ont présidé à leur exécution, et on copie
mal
. b) Porte de bronze du dôme de Gnesen (Pologne
le Saint Evêque. Rien dans son attitude ne permet de reconnaître le
mal
dont il est atteint : au- cun geste désordonné,
vre. Sainct Rémy faict que par divins records La rescussite et de
mal
la délivre. Lascène représente lapucellesur son
secondaires. Les vaisseaux extra-médullaires sont d'apparence nor-
male
,et la pie-mère'ne présente il considérer qu'un lé
onne vertébrale. Tableau analogue à celui du cas I. Le cervelet est
mal
développé dans sa partie médiane ; à sa partie
ant en arrière. Les cordons postérieurs dans leur partie dorsale sont
mal
développés, pâles et étendus de côté. Le faisce
u tronc ; la colonne vertébrale ne présente pas de déviations anor-
males
. Les bras, proprement dits, ont il peu de chose p
comme forme et comme volume ; la diaphyse parait sensiblement nor-
male
aussi jusqu'à l'extrémité inférieure, mais celle-
dian, radial et cubital au point do vue sensitif, mais G... s'étant
mal
prêté à cet examen les résultats ont été peu nets
es supérieurs absents par l'emploi des membres inférieurs eux-mômes
mal
conformés. Nous avons vu, il y a une quinzaine
progressive ; sa main gauche, en particulier, est parfaitement nor-
male
. L'anesthésie n'accompagne pas habituellement l
caractéristique, toujours identique dans toutes les crises du même
mal
. Il a passé à côté, n'ayant pas une éducation s
age, un jeune étranger se disant expert en l'art de guérir tous les
maux
. « Qu'il vienne ! dit le père, et s'il sauve ma f
my (9) sur la démographie, la possibilité de son apparition dans le
mal
comitial. La photographie qu'il publie est précis
boucles d'oreille. A droite le lobule est adhérent. Les dents sont
mal
plantées ; à la mâchoire inférieure, elles chev
te elle était hantée par la crainte de ne l'avoir pas ou de l'avoir
mal
affranchie, elle revenait à plusieurs fois pour
nsées.... » III Actuellement L... est tourmentée par la pensée de
mal
agir depuis longtemps. Divers événements de sa
lui reviennent à la mémoire et elle est hantée par la crainte d'avoir
mal
agi. 242 ' VASCHIDE ET VURPAS Au moment où l'
n elle. Elle s'imaginait que toutes les personnes dont elle pensait
mal
, connaissaient ses pensées, que tout le monde s
Elle dit qu'elle entend « en elle » les personnes, dont elle pense
mal
, qui lui disent des sottises. Elle fait la dema
me elle le devait en ces diverses circonstances. Le soupçon d'avoir
mal
agi ou mal pensé, cette condi- tion primordiale
devait en ces diverses circonstances. Le soupçon d'avoir mal agi ou
mal
pensé, cette condi- tion primordiale d'une cond
elle à sa pensée. Elle veut faire des excuses à ceux de qui elle a
mal
pensé. Ces pensées qui lui viennent à l'esprit
é opposé les pyramides n'existent pas. Les cordons postérieurs sont
mal
développés, pressés un peu sur uu côté, celui o
re de la moelle épinière, du côté où les cordons pos- térieurs sont
mal
développés, se trouve une formation ovale, couver
anté- ro-postérieure. Du côté où les cordons postérieurs sont plus
mal
développés, 'la substance gélatineuse de Roland
est élargi. Les cordons postérieurs dans leur partie dor- sale sont
mal
développés, pâles et ne contiennent pas de fibres
de la moelle allongée, ces parties, lesquelles dans la moelle nor-
male
sont couvertes du cervelet, dans tous nos cas son
s, son tube digestif, son système nerveux sont de constitution nor-
male
. Son intelligence, bien qu'un peu au-dessous de l
droplasique. Ces nains peuvent donner naissance à des enfants nor-
maux
; les exemples en sont nombreux ; ce qui arrête c
'une part, leur dissemblance trop considérable avec les sujets nor-
maux
, les met vis-à-vis de ceux-ci, dans un monde fait
sidérée que comme purement accidentelle. Que l'alimentation ait été
mal
dirigée pour chaque enfant, aux mêmes causes ré
ement chaque enfant, et tel nourrisson dont l'alimentation aura été
mal
comprise ne sera pas infailli- blement voué au
flexion de l'index : elle a saigné, et la cicatrisation a été nor-
male
. La sensibilité est difficile à apprécier, étan
schromatopsie. Acuité visuelle normale. Olfaction et gustation nor-
males
. Acuité auditive affaiblie, la montre entendue à
ggestion. 1 La pathogénie de ces accidents myocloniques a été assez
mal
étudiée.On sait le plus important sur leurs cau
ées dans le dernier acte de la désassimilation, par les tissus nor-
maux
de l'organisme : elle varie donc beaucoup suivant
a le caractère em- porté (25 ans), une autre fille de 37 ans, a des
maux
d'estomac, de la migraine ; elle est mère de 2
embres inférieurs à partir du genou. Cram- pes. Pupille réagit très
mal
à l'accommodation et pas du tout à la lumière,
tubercules quadrijumeaux. On y voit des cellules à contours flous,
mal
délimités, indécis. Elles prennent diver- semen
ment, mais toujours la coloration est uniforme. Le noyau se détache
mal
sur le fond de la cellule. Sa position n'est parf
ps cellulaire est nettement diminué de volume. Les contours en sont
mal
délimi- tés. Certaines cellules présentent des
absence de coloration des éléments nerveux qui se détachaient très
mal
sur le reste de la préparation. Le noyau ne pou
filtre le corps cellulaire et le noyau. Ce dernier se détache alors
mal
sur le fond cellulaire uniformément co- loré. C
cellulaire uniformément co- loré. Certaines cellules même prennent
mal
la couleur. En un mot ce que l'on constate ce s
et l'index, avec quelque difficulté le doigt du milieu, et avec pas
mal
de difficulté et beaucoup de douleur les deux der
zygomatiques étaient certainement le siège d'une hypertrophie anor-
male
. De même, le maxillaire inférieur, très pointu, a
les radiculaires des cornes antérieures apparaissent en nombre nor-
mal
, sans qu'aucun des groupements paraisse atrophié.
jonctive et la fibre striée semble avoir conservé sa structure nor-
male
. · Le tableau clinique que nous avons donné de
Le texte ne dit pas si la malade avait la peau bronzée, mais vu le
mal
qui avait amené la mort, la coloration ictérique
LA SAIGNÉE EN IMAGES PAR R HENRY MEIGE - (Suite) A propos du
Mal
d'Amour (1), j'ai eu l'occasion de signaler plusi
istesse et les angoisses de la patiente. Les « pâlies couleurs » du
Mal
d'Amour n'étaient pas une contre-indica- tion.
, c'était ne pas soigner. Pourquoi faire une exception en faveur du
Mal
d'Amour ? ? ..... » (1) Nouvelle Iconographie d
Convalescence franche; le bras paraît avoir repris son volume nor-
mal
. Depuis ces quelques jours de maladie, la santé
. du sysi. nerv., 1886, t. II, p. 295. (3) P. Marie, Leçons sur les
mal
, de la moelle, 1892. xiv 38 482 E, HAPIN né
en présence de troubles trophiques consécutifs à des lésions encore
mal
déterminées du département nerveux chargé de di
es fonctionnelles, l'on risquerait (1) Voir Charcot, Leçons sur les
mal
. dusyst. nerv., isil, t. II, p. 156. (2) Ducuev
in sur lequel il avait à opérer. Ainsi que cela était à prévoir, le
mal
récidiva : un gros marron squirrheux a poussé dan
cié cette affection, en la sé- parant de plusieurs états oedémateux
mal
caractérisés : oedèmes nerveux, segmentaires, h
nfondu. Il a par- ticulièrement insisté sur la forme héréditaire du
mal
. Nous publions aujourd'hui trois cas de trophoe
ed. En même temps paraissaient les taches vineuses. Depuis lors, le
mal
a progressivement augmenté. Tel était son état
onc une année après, je me mis à la recherche du petit malade. Le
mal
a empiré. La cuisse mesure maintenant 0 m. 49, au
sieurs jours. Cette issue de sérosité semble arrêter le progrès du
mal
. 1. Cet enfant a une soeur de quatorze ans qui
xtrémités, ni de gonflement du corps thy- roide. La mère se prête
mal
à des investigations et répond de mauvaise grâce
e. Le caractère héréditaire n'existe pas dans ce cas. Le début du
mal
, au dire des parents, est très nettement attribué
R.... vint chez moi en novembre 1896. Vingt et un ans. Taille nor-
male
. Poids avec vêtements : 60 kilog. xiv 39 498
l'embonpoint est normal. Marie, habituée dès l'enfance, a pris son
mal
en patience. Elle semble ne pas s'en inquiéter. E
nséquence. Marie a eu la rougeole à l'âge de huit ans. Cependant le
mal
préexistait. Elle ne présente aucune hyperesthé
ymose très étendue de la région fessière, a coïncidé avec le début du
mal
. Actuellement, le mollet a 40 centimètres de to
ariablement chez les infantiles. 'A propos de la rougeole, cause du
mal
, le Dr Marcel Garnier dans un ou- vrage remarqu
ntraînée par le poids du corps. Mais en dehors de leur volume anor-
mal
, leur aspect extérieur n'est nullement modifié et
e part les mouvements provoqués ne causent aucune sensibilité anor-
male
, non plus que la pression sur les articulations,
sure reçue à la chasse ou à. la guerre, ou simplement d'un vulgaire
mal
de dents ? Question diffi- cile ! Mais il faut
et dont nous avons vu plus d'un exemple en pein- ture à propos du «
Mal
d'amour », - le docteur de P. van Sliegelant tout
me jour, je recevais le bulletin suivant : « Plus d’éruption, plus de
maux
de gorge, l’appétit revient. J’étais parti bien é
comme du plomb. Je fis d’abord des passes sur le cerveau, siège du
mal
, et. puis y imposai les mains; au bout de peu d’i
roduit pas toujours des résultats positifs, elle peut ne pas faire du
mal
. On ne pourrait, hélas 1 en dire autant de la mét
bandeau qui couvre nos yeux, s’il est vrai que c’est n,ous qui avons
mal
observé. Cette note est empreinte d’un scepticism
ervé. Cette note est empreinte d’un scepticisme systématique qui sied
mal
ce nous semble à un partisan sincère de la vérité
mença à ressentir les effets de trop grands efforts pour surmonter le
mal
rnoral que causent toujours des maux trop réels.
grands efforts pour surmonter le mal rnoral que causent toujours des
maux
trop réels. Voici les symptômes qui se présentaie
ent en oubli. L’indifférence est grande en ce pays, et j’ai bien du
mal
à y établir le magnétisme sérieux. Les faiseurs d
. Sachant qu’il était malade, je me décidai un jour à l'aller voir.
Mal
m’en prit, car je ne fus pas admis près de lui; s
hume de poitrine et de cerveau. Une seule séance le débarrassa de son
mal
. Émerveillé de cette puissance, il en est devenu
epte, et dès que quelqu’un souffre chez lui, aussitôt il magnétise.
MAL
DE TÊTE. Madame T... me demanda si je ne pourra
e T... me demanda si je ne pourrais point faire quelque chose pour un
mal
de tête qui la tracassait et qui, dans le moment
ne paralysie. Là, près du lit de son ami, M. Empis fut frappé du même
mal
, et pendant plusieurs jours son état a inspiré de
ous : ces travers n’entretiennent que l’ignorance et conséquemment le
mal
. Plus l'homme s'élève et s'amende, Plus il co
i avec assez de bonheur pour qu’aujourd’hui, aucune, personnalité, ce
mal
rongeur des unions, ne puisse nous asservir au de
onde nouveau offrait de bien attrayante? merveilles; mais une société
mal
assurée encore sur ses assises pouvait-elle se pr
in ; A ceux qu’offusque toute gloire, A qui bonheur d'autrui fait
mal
, Mon toste le plus cordial ! C’est aux malade
Heureux qui leur ressemble ! heureux qui les prend pour ami ! « Le
mal
physique est souvent une conséquence du mal moral
s prend pour ami ! « Le mal physique est souvent une conséquence du
mal
moral, le désordre suit nécessairement la déraiso
: Il faut apaiser les dieux offensés, et nous disons encore : le bien
mal
acquis ne profite pas, il faut res tituer, il fau
ien mal acquis ne profite pas, il faut res tituer, il faut réparer le
mal
commis, il faut satifaire à la justice, ou la jus
n brave ne doit pas compter les ennemis avant la bataille. Prévoir le
mal
, c’est le rendre en quelque sorte nécessaire. Il
on état empirera sans que la médecine encore arrête les progrès de ce
mal
. La jeune impératrice d’Autriche voyage avec se
ode de traitement, dirigé par un praticien habile, n’a jamais fait de
mal
à personne, mais au contraire qu’il'n’a fait que
r de prendre quelques bains seulement, car alors ils feraient plus de
mal
que de bien : mais on devra en prendre de trentek
es bains de mer y associent le magnétisme humain et ils verront leurs
maux
promptement disparaître. S’il y a des hommes qu
in, consola tout le monde et fut. rempli de l’espérance d’échapper au
mal
. Ce ne fut qu’une lueur. Bientôt la mélancolie re
étisme et des magnétiseurs, et il allait se trouver désarmé contre le
mal
dans un moment suprême ! Ses confrères aux grande
nt à l’un, s'il est demi-croyant : —Cet agent vous ferait beaucoup de
mal
, vous attaquerait les nerfs; à la mère désolée de
ble maladie, qui conduisit Coriolan chez les Volsques, avec ce triste
mal
, que l’on nomme tout simplement la colère. Lame
le médecin somnambule avoue qu’il s’était trompé quant à la nature du
mal
qu’il avait voulu combattre en traitant cette dam
r l’autre, de sorte que c’est le même fluide bleu magnétique qui fait
mal
et qui guérit, et c’est le cas de dire ici : « Si
es mystères de la nature ; des malheureux qui verront la fin de leurs
maux
dans un monde meilleur; des âmes religieuses qui
incontestable, exact, en un mot. • (Journal du Magné-lime, n» 8!, 25
mal
1804-1 Une série de faits et le principe nature
es médicales enseignées par nos Facultés, parce qu’elles font plus de
mal
aux hommes qu’elles ne leur font de bien; ce que
portons toujours en nous le principe qui relie tOHtes choses ; que le
mal
tend à soumettre son fauteur aux forces nées du m
s choses ; que le mal tend à soumettre son fauteur aux forces nées du
mal
, et que plus, au contraire, nous répandons le bie
is Puységur jusqu’à nos jours, le somnambulisme magnétique a été fort
mal
étudié ; et aujourd’hui, peut-être, plus mal que
me magnétique a été fort mal étudié ; et aujourd’hui, peut-être, plus
mal
que jamais, à cause de la déconsidération dont no
r et encore plus du consultant ; enfin à ce que, en général, ils sont
mal
dirigés..... Je ne parle pas ici des endormeurs
imentés, les rêveurs et les charlatans du magnétisme ont fait plus de
mal
à notre cause que toutes les académies réunies. A
re avait une « douleur au bras, laquelle était la suite d’une saignée
mal
« faite. Or, la douleur que mon père ressentait é
ière de voir, relativement au somnambulisme. Son sujet avait senti le
mal
, mais comme il ne voyait plus ou qu’il ne pouvait
e douleur, il a répondu par induction qu’elle était due à une saignée
mal
faite. Eh bienl j’ai la conviction intime que s
à un magnétiseur peu expert, et qu’il a été vaincu, dompté, endormi,
mal
réveillé et malade. Plus un mot contre mes conc
il faut que je fasse mes malles. La saison presse, et j’ai encore pas
mal
de centaines de kilomètres à faire avant de rentr
ts du magnétisme. Nous portons dans la pensée l'arbre du bien et du
mal
, la source de la vie et de la mort. C'est encore
e la sorte reste calme. € L'affliction est, en ciïet, une partie du
mal
. » Hebmès. Physique, finxif (de fini, produire,
msay. Avant ce moment-là, toute tentative de fascination tournerait à
mal
; elle ne serait qu’une cause certaine d’irritati
revenant à lui qu'il s’apercevait de la blessure et en ressentait le
mal
. [Cité (le Dieu, liv. xiv, ch. 24.) La pratiq
ez le paysan malade et lui adressa des questions sur l'origine de son
mal
. Le charron répondit que sa maladie provenait du
ant avec ces messieurs, je leur dis que je croyais à la curabilité du
mal
; puis, tout à coup, j'ajoutai que, dans ce moment
rocédai, séance tenante, à la démonstration du fait. Tout marche de
mal
en pire ! Je redouble de zèle en pure perte : les
g. insc. tsl sériés, pl. 9 et 12. jeune sœur de la Reine, « dont le
mal
a pénétré la substance, >■ ou suivant une vari
ance, >■ ou suivant une variante, « sur les membres de laquelle le
mal
s’est étendu. »Sur l’impuissance avouée du docteu
neur ; pour Bint-Reschit, la jeune sœur de la reine Neferou-Ra ; un
mal
a pénétré 1 dans sa substance; que ta Majesté v
demande ; indiquez-moi parmi vous « un homme au cœur intelligent, un
mal
/re aux doigts habiles. » « IG. Le basilicogramm
re, à cause de Binat-Rosch, la petite sœur de la Reine Ra-Nefrou ; un
mal
s’étend (1) dans ses membres. » « Le roi après
cette prière du défunt : « Fermez-moi contre les morts qui font le
mal
contre moi ! Qu’ils ne fassent pas de mal contre
ontre les morts qui font le mal contre moi ! Qu’ils ne fassent pas de
mal
contre moi. » « L’adjuration étudiée s’adresse,
était restée inconnue, puisque le messager se contente de dire qu’un
mal
a raidi ses membres, le grammate égyptien sut ais
s solides et fait tomber les cheveux. Si, par aventure, il attaque le
mal
, ce n’est que pour en produire un plus grand et d
u premier coup d’œil pour un miroir magique; la forme des caractères (
mal
reproduits dans un croquis pris par moi en quelqu
partout en suivant mes membres ; mais lout cela ne me faisait pas de
mal
, au contraire, j'éprouvais un certain plaisir à c
ureau et liste des dignitaires, 157. CLINIQUE. CAS DE MÉDECINE. —
Maux
guéris ou soulagés. Affection mentale, 169. B
aladie grave de l'utérus, 260. — du foie, 226. — des yeux, 558.
Maux
de tête, 259. Névralgie faciale, 117. Palpita
mnambuliques, 256, 377, 471, 663. Contagion fluidique et morbide.
Maux
passant du magnétisé au magnétiseur, 261 ; — d’un
e faciale. Les divers sphincters fonctionnent bien. La marche est
mal
assurée ; le malade s'en va un peu voûté ; traî
de globulins ou hématoblastes. Chez plusieurs malades en état de
mal
, nous avons voulu remplir l'indication de la sa
s l'influence de la médication et le remède est bientôt pire que le
mal
. Aussi ne doit-on pas en faire usage. La bellad
rences dans le nombre des accès et nous ne constatons pas d'état de
mal
produit par la suppression d'un de ces traiteme
ssi seulement à remplacer l'idee incon- ciliable par une autre idée
mal
appropriée à s'associer à l'état émotif qui, de
dinairement dans la faculté pour l'individu de discerner le bien du
mal
, en ce qui concerne un acte donné, et dans l'abse
ude à dis- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 tinpuer le bien et le
mal
dans l'acte accompli, soit par rapport iL l'aff
impossible de lire de longues séries de nombres. Elle calcule très
mal
. Au début, l'écri- REVUE DE pathologie NERVEUSE
paires. Etat général mauvais, le malade se tient voûté et il marche
mal
, sans que, pourtant, les muscles des membres infé
peut plus quitter sa chambre. A signaler, dès le début, de violents
maux
de tête et d'estomac qui n'ont pas cessé. Act
pouvant se relever. Cuisses maigres, jambes et pieds d'aspect nor-
mal
, simple diminution quantitative de l'excitabilité
des lésions articulaires qui peuvent.faire partie des symptômes du
mal
perforant. Les arthrites consécutives aux affec
venant sous forme d'accès, soit simples, soit prolongés ou états de
mal
. Ces faits consacrent d'une façon irréfragable la
urs du paroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'état de
mal
; l'attaque de spasme paraît avoir surtout le p
s'occupe ensuite de quelques variétés de l'attaque et de l'état de
mal
hystérique revêtant plus particulièrement le type
ne attaque hystérique transformée. Dans l'attaque et dans l'état de
mal
du sommeil hystérique, il ne s'agit en réalité
assimilée à un paroxysme ordinaire, à sa forme prolongée ou état du
mal
. Le second volume de la seconde partie du Trait
à tuer son enfant '. » Il faut convenir que la question est assez
mal
posée. Qu'est- ce que cette fureur homicide tra
ui ne parlent pas, nous nous occuperons ensuite de ceux qui parlent
mal
. Idiots qui ne parlent pas. Les idiots qui ne p
mots de l'idiot. L'essentiel c'est de s'assurer si tel mot bien ou
mal
prononcé correspond exactement à l'idée que nou
ut la transition entre ceux qui ne parlent pas, et ceux qui parlent
mal
. Edmond B... appartient à cette catégorie. Il d
faisons même semblant de ne pas le com- prendre s'il persiste à les
mal
donner, et nous arriverons en peu de temps à de
erons en peu de temps à de grands changements. Idiots qui parlent
mal
. Les idiots, dont nous allons main- tenant nous
accès reviennent plus forts et le malade est enlevé par un état de
mal
. Le patient, dit Legrand du Saulle, paie son «
Nous n'avons jamais vu sa suppression amener à ce moment un état de
mal
et la mort du malade. Cet état de torpeur accom
avons essayés dans plusieurs cas et spécialement dans des états de
mal
ou dans des périodes d'excitation ou de trouble
is chez la première, deux fois chez la seconde, à arrêter l'état de
mal
. Tous ces moyens d'action sur le tube digestif
bien lorsque les accidents sont déjà com- mencés et dans l'état de
mal
que cette médication nous paraît devoir être em
ées à plein jet sur la tête '. Chez les malades qui sont en état de
mal
épileptique avec élévation croissante de la tem
de Lep... que nous avons soumise à ce traitement dans deux états de
mal
et une période d'excitation, a pu échapper à ce
ieurs malades nous les avons employées avec succès dans l'état de
mal
, dans les accès sériels et lorsque les symptômes
tué, laver l'estomac plusieurs jours de suite. Enfin dans l'état de
mal
et dans l'agitation, nous joignons à tous ces m
s accès épileptiques fréquents, souvent suivis de grand et de petit
mal
intellectuel. Son intelli- gence a baissé beauc
t 1893 elle entre dans une série d'accès, dans un véritable état de
mal
avec une température élevée, 40°. Hébétude, éta
inaison ; 7° Dans l'épilepsie par intoxication, lorsqu'un état de
mal
s'accompagne d'hémiplégie corticale, on voit sou-
de l'attaque, constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi : haut
mal
, 87 fois; forme mixte, 69 fois; petit mal, 34 foi
répartissent ainsi : haut mal, 87 fois; forme mixte, 69 fois; petit
mal
, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 157 ha
9 fois; petit mal, 34 fois; REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 157 haut
mal
avec épilepsie jacksonienne, 14 fois; épilepsie r
évation et voussure anormales de la voûte palatine, dents inégales,
mal
développées, chevauchant les unes sur les autre
n cas d'épilepsie rotatoire, et un cas d'épilepsie psychique (petit
mal
) ; ces quatre cas montrent com- bien divers et
r l'interruption de la transmission héréditaire des caractères nor-
maux
. Tous les individus, nés de parents malades, prés
coolisme, d'en atténuer les effets, de propager la connaissance du
mal
dans tous les milieux sociaux, de grouper le plus
s, méningite basilaire; il écrit à ce propos : « Ich habe mehrere
Mal
eine Miliartuberculose der cerebralen Pia Mater a
itée à la partie inférieure du renflement cervical dans le cours du
mal
de Pott. Nous regrettons de n'avoir pu prendre
eitrage zur ]{enntnis der Rückenmarkstuberkulose. Tùbingen, 1890.
Mal
de Pott cervical. Leploméningile chronique. Pouss
s myélites syphilitiques, ainsi que celles qui surviennent après le
mal
de Pott. Dans les cas suraigus (le cas de Raymond
auche. Au contraire, tout léger attouche- ment est à peine senti et
mal
localisé surtout à la plante des pieds. Tous ce
ille de Félicité, qui a le courage de dire : « Pourquoi fais- tu du
mal
it l\1me elle n'est pourtant pas méchante. » Féli
t le médecin de la famille aurait observé les premiers symptômes du
mal
et qu'il s'empresserait d'apporter aux magistra
très incomplète dans son expression symptomatique. La pneumonie, le
mal
de Bright, créent aussi le goitre exophtalmique;
t apparu, une modalité nouvelle d'un même trouble pathologique ? Le
mal
de Graves serait alors une sorte d'hystérie lar
ais malades, dignes d'intérêt, et qui, sotia l'impulsion, répondent
mal
à leurs chefs, les frappent, déchirent les effe
ne pas subir, à quelque degré, un retentissement psychique de leur
mal
s'étendant dans la sphère morale. M. Garnier ad
ires à la doctrine classique de l'inconscience et de la fatalité du
mal
sacré. Il. Laroussime rappelle à son tour les c
ourent les hôpitaux et même les villes pour se faire débarrasser de
maux
imaginaires. La quatrième variété comprend les
été observé. Il est très difficile d'admettre, dans l'hypothèse de
mal
comitial, cette conscience si lucide et si rais
e ses besoins. Et de là, de ce défaut d'adapta- tion d'un organisme
mal
préparé à s'assimiler avec avantage cette surab
servation. On suppose que le feu a pris dans un tuyau de che- minée
mal
construite. Heureusement le feu fut signalé au mo
une ma- ladie grave; à dix-huit ans, après un coit suspect, il a eu
mal
à la verge passagèrement. On ne peut lui faire
ceinte. Histoire de lu maladie . Depuis lontemps Wek.. se plaint de
maux
de tête; aussi bien au physique qu'au moral il
une certaine amélioration attri- buable à la suspension, G voit son
mal
évoluer rapidement; depuis mai 1891, il présent
s pieds sont tombants, les orteils fléchis en griffe présentent des
maux
perforants dorsaux qui ouvrent les articulation
est elle-même le fait de dispositions anatomo-physiologiques encore
mal
connues. III. Le processus présente un aspect t
la langue, sueurs profuses, suffocation, parésie du coeur, état de
mal
). Ces accès ne présentent aucun des caractères
s, la région est en outre douloureuse à la pression. Le malade voit
mal
de l'oeil droit, surtout si les objets qu'il re
i que des aliénés enfermés dans des prisons cherchent à cacher leur
mal
pour ne pas être placés dans des établissements
cool. Heroguelle. Contribution à l'étude du traitement de l'état de
mal
épileptique. BÉZIAT. De la sciatique hystérique.
de la plupart des aliénés. De pareils remèdes ne font qu'activer le
mal
: de tous côtés éclatent de véritables épi- dém
brutalité des gar- diens qui empêchent les autres de s'approcher z
maux
Andrée, ajoute Esquirol, dit la même chose, en
s dans de vieux cou- vents, dans des châteaux adaptés tant bien que
mal
à leur ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 363
l'apparition des crises, mais dans la plupart des cas font plus de
mal
que de bien; 4° En cas d'agitation maniaque, l'
e sédatifs du système nerveux; 5° Le meilleur remède dans l'état de
mal
épileptique est la sai- gnée. Comme médicament,
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 385 parole nasonnée. En 1894,
maux
dé tête, grande faiblesse, insomnie. - Février
ur les éléments constitutifs de cette zone. R. M. C. XXXVI. LÉSIONS
MAL
DÉFINIES DE LA COLONNE VERTÉBRALE, SUIVIES DE P
; par le Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en état de
mal
, l'auteur trouva une atrophie marquée des circo
combien chez les quérulents symptômes maladifs et réactions nor-
males
peuvent s'entremêler. Les tendances processive» n
s psychiques, comme il est intelligent et a la notion du bien et du
mal
, il doit être déclaré responsable. Les Drs Pel-
ve - comme on augmente la fêlure d'un vase, en le sondant du doigt,
mal
il pro- pos ou maladroitement. Nous réclamons
x devrait avoir le sien; ces aliénés toujours affaiblis se tiennent
mal
sur les bancs; ils ont besoin d'appuyer leurs b
s et dite section des travailleurs, malheureusement on la mit assez
mal
à exécution et il est indispensable que sur ce
u éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs; les cheveux
mal
plantés, grossiers, de diverses nuances, laisse
éit qu'en parole; très allectueusc; n'a pas la notion du bien et du
mal
. Volonté active, veut toujours produire quelque
rant de la conversation le mot de Cambronne. Elle sait qu'elle fait
mal
en disant des paroles grossières; quand elle ar
u- velles suggestions en opposition avec elle. J. Ségalas. LVIII.
MAL
DE BRiGIIT ET folie; par le D'' BO : \DUIIANT.
de quarante-trois ans, buveur. Le début de la maladie est brusque :
maux
de têle, impossibilité de se tenir debout; puis
assant ensuite à la maigreur qui présage la fin prochaine d'une vie
mal
dirigée. L'autopsie révèle des faits plus instr
ntre l'utilité d'un examen spécial de psychiatrie. P. Sérieux. LE
MAL
DU S1'ÉCL1L1S31Ej Par le Dr IIUGIlES. L'auteu
requérir les pompiers de l'avenue Parmentier. Et ce n'est pas sans
mal
que les braves sapeurs parvinrent à se rendre m
Borborygmes. Note sur une épidémie de , par Féré, 316. Brsu.ur.
Mal
de - et folie, par Bon- durant, 470. Bulbaire
n des ary- thmiques par Lannois, 318. Colonne vertébrale. Lésions
mal
définies de la traitées par la suspension et
hypertrophique : à savoir des muscles gros et durs qui fonctionnent
mal
ou même point du tout. Mais il y a plus et ce n
st couché sur le dos. En ce qui concerne les membres inférieurs, le
mal
a fait d'assez grands pro- grès, car, tandis qu
t au niveau de la cuisse gauche, précisément celle dans laquelle le
mal
était depuis 1889 en pleine évolution, il s'est
eur primitive. On se croit alors en droit de son- ger à un début de
mal
de Poil cervical ; mais l'examen du petit malade
convulsives qui allaient jusqu'à déterminer un véri- table état de
mal
et qu'il était parfaitement raisonnable de rappor
ent fait songer des médecins experts tour à tour à la méningite, au
mal
comitial et au mal de Pott; tous ces phénomènes
médecins experts tour à tour à la méningite, au mal comitial et au
mal
de Pott; tous ces phénomènes n'avaient été que pa
cérébrale dans un cas d'Itstéro- épilepsie. Charcot (Leçons sur les
mal
. du syst. nerv. T. III, p. 90). Observation VI.
ser à une lésion organique de l'encéphale. Charcot (Leçons sur les
mal
. du syst. nerf. T. III, p. 62). Nous retrouvo
ar séries et constituent alors dans l'hystérie un véritable état de
mal
épileptiforme. Tantôt l'épilepsie partielle d'o
) G. Ballet, loco citato, no' 23 et 24. , (7) Charcot, Leç. sur les
mal
. du syst. nerv., t. III, p. 287. 30 NOUVELLE IC
hystérie. Lorsque ces contractures sont (1) Charcot, Leçons sur les
mal
. du syst. 7zei,v., t. 11, p. 252. (2) P. Rlcucn
ffet se passer de longs commentaires et nos (1) CIIARcor, Clin, des
mal
. du syst. nerf. Guinon, 1892, p. 28e'l. (2) Bou
médic., 4 février 1888. (2) Voir CIIAftCOT et CARTAZ, Leç. sur les
mal
. du syst. nerv., t. III, p. 481 et Leç. du mard
er quelques sons articulés ou seulement des monosyllabes qu'il cite
mal
à propos ; mais il est presque toujours atteint
côté opposé. (Charcot, in op. cit., p. 329). (1) Charcot, Clin. des
mal
. du syst. nerf. G. Guinon, t. 1, p 308. (2) G.
était en colère » dé- clara-t-il. Cet enfant avait-il fait quelque
mal
à cette femme, achevai-je ? Non, répondit-il.
ux se mouillèrent de larmes, il la vue de cet enfant délivré de son
mal
. Telle est l'histoire de cette difficile missio
l'Eglise catholique. Qni n'admirera la sagesse de Dieu qui d'un tel
mal
a su tirer un si grand bien ! (D) Phénomènes co
3 août 1891, d'après les rapports du père et du fils, tout est nor-
mal
chez cet enfant. Il visite maintenant avec amour
NERF MÉDIAN 71 ces troubles trophiques par blessure des nerfs et le
mal
perforant classi- que : chez notre premier mala
r malade, l'aspect des ulcérations rappelait, en petit, l'aspect du
mal
perforant avec son ulcération centrale, son épais
ues de cause périphérique et traumatique. Ce sont des ampoules, des
maux
perforants, des ulcérations du derme, voire même
de nécrose, avec un fort grossissement on aperçoit quelques noyaux
mal
colorés, épars au milieu d'un amas de fines granu
s la substance grise, les cellules des cornes antérieures se colorent
mal
par le carmin ; elles prennent une teinte jaune
e que dans les territoires décrits précédemment : débris de myéline
mal
colorés par les réac- tifs, quelques corps amyl
mplètement disparu du côté gauche, quand hier, à la suite de violents
maux
de tète, le front s'est trouvé plissé à droite
l'attention du côté des viscères et l'appétit est il peu près nor-
mal
. En présence de ces divers phénomènes qu'on con
es plaques. A 42 ans, développement de troubles trophiques variés :
maux
perforants plantaires, excoriations des mains,
nes. Concomitamment, pendant l'hiver (le froid aggrave en effet son
mal
), une éruption huileuse apparaît brusquement, p
oubles sensitifs (fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité tactile nor-
male
. La sensibilité à la piqûre est également conserv
lexes rotuliens, pupillaires, testiculaires et abdominaux sont nor-
maux
. Examen électrique pratiqué à la clinique de M.
au de l'épaule, du dos, du bras, la résistance n'offre rien d'anor-
mal
et tous les muscles se contractent énergiquement
r- tinique et l'âge relativement avancé auquel s'était développé le
mal
; mais c'étaient là plutôt de simples présompti
ué. La lumière vive, le soleil ou le feu, les charbons ardents, est
mal
supportée par le malade : il est obligé de se ga-
des plus nets, où les éléments en voie de destruction se coloraient
mal
, en un mot une véritable gomme intrapariétale.
atinées, sans prolongements, chargées de pigment; elles se colorent
mal
; un grand nombre d'entre elles sont entièrement
vons rencontrées chez le premier ; mais que la durée plus longue du
mal
en a modifié l'aspect et la nature. Parmi les c
rescence, comme on pourrait le croire à la lecture des observations
mal
fondées de Svietline et publiées par lui. Les m
- dantes qu'ils ont méticuleusement analysées et mises en notes : -
Maux
de tète tenaces, digestions pénibles, insomnies
YÉLITE SYPHILITIQUE 211 les lésions rencontrées plus haut. Elle est
mal
limitée en dehors, car elle touche en un point
pillaires infiltrées légèrement, le tissu nerveux lui-même est nor-
mal
. Les coupes du nerf oculo-moteur droit ont montré
phoïde ? ), sa soeur vit encore ; elle est mariée, pas nerveuse, mais
mal
portante depuis un accouchement difficile. W.
neux presque continuel. En mai 1892, les vomissements cessent : aux
maux
de tète s'ajoute alors une rachialgie très part
l'accouchement; mais la malade ne remarqua ni éruptions cutanées, ni
maux
de gorge, ni chute de cheveux. Eu juin 1891 s
ertainement pas une étude du maître; ce « n'est qu'une copie, assez
mal
habile d'ailleurs, due à une peintre fort peu e
ITE SYPHILITIQUE 257 Père mort tuberculeux. Le malade connaît assez
mal
sa famille, et ne saurait dire s'il a des antéc
92. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 261 pieds. Sa marche était
mal
assurée, il titubait. Réformé en mai 1890 pour sa
es supérieurs. Le malade accuse une faiblesse et une légère douleur
mal
définie dans le membre supérieur droit, surtout l
- fluence du traitement spécifique ait modifié en rien la marche du
mal
. L'évolution de ces paraplégies graves, comme o
acements perpétuels, « c'était, dit-il, pour trou- ver un remède au
mal
dont je souffrais depuis l'âge de 25 ans, mal qui
rou- ver un remède au mal dont je souffrais depuis l'âge de 25 ans,
mal
qui ne me laissait ni trève, ni repos, et pour
ie de foie ( ? ) Mais ne pouvant trouver en Russie de remède il ses
maux
, il s'adressa à l'Al- lemagne, puis à l'Autrich
'Autriche, quêtant dans chaque université une consultation pour son
mal
de tète, sa douleur de dos, ses points de côté. C
voit assez bien-, dit-il ; mais sa vue se fatigue vite. Il mange
mal
, n'a pas d'appétit et se plaint de ses digestions
mange mal, n'a pas d'appétit et se plaint de ses digestions. Il dort
mal
éga- lement. Quand on l'interroge sur les tra
lançant aussitôt qu'on le lui permettait dans la description de ses
maux
. Puis il est parti promettant de revenir. On ne
e maladies somatiques aiguës ou chroniques. Ses règles étaient nor-
males
, quoique toujours très abondantes. Avant sa malad
Etat fébrile. Aucun changement dans l'état psychique. 5-6 février.
Mal
à la tête, vomissement, langue chargée ; la malad
s et cherche à la frapper. 7-11-12-19. La malade est agitée et dort
mal
. 25. Elle urine sous elle. Le reste du mois ell
es telles que l'otématome, les décubitus chroniques et aiguës et le
mal
perforant. La littérature fournil peu d'indicat
il marche. Les changements de temps, les orages surtout exagèrent son
mal
. Il n'est pas rare qu'il ait une attaque quand
ie sérieuse jusqu'à ces dernières années. Elle souffrait souvent de
maux
de tète, et de quelques douleurs vagues dans le
- trière : « là, lui disaient-ils, est la seule médecine pour votre
mal
, et M. Char- cot est le seul médecin qui le con
. Le phénomène sur lequel elle attire d'abord l'attention, c'est le
mal
de tête qui répond bien au type neurasthénique
t, l'ouïe, normaux. La vue est faible ; la malade est myope et voit
mal
, surtout de l'oeil gauche. Pas de rétrécissement
oi désormais, et tous ceux de mes compatriotes qui souffriront de mon
mal
, je les enverrai à la Salpêtrière ». Ayant fa
pauvreté que par sa bizarrerie. a Son habit tout difforme Et très
mal
arrangé attirait toujours l'attention du public
bornent les analogies, et le diagnostic est aisé à l'aire. Dans le
mal
comitial ambulatoire, il est presque toujours pos
ent, la courte durée de leurs promenades dont le but reste toujours
mal
défini, tout cela n'a rien de commun avec la vi
rant de la légende. « Nous pensions être un songe Le récit de vos
maux
. Nous* traitions de mensonge Tous vos plus gr
disa- tion provoque des contractions d'une intensité presque nor-
male
. Les douleurs sont moins vives. Température du ma
ordination motrice était le symptôme prédominant se trouvaient fort
mal
différenciées les unes des autres, et pour la p
Roth. Histoire de la musculation irrésistible ou de la chorée anor-
male
. Paris, 1850. * Sandras. Traité pratique des ma
droite il trébuchait et tombait par terre; toutefois sans se faire
mal
. Vers le mois de mai-juin, S... fit à l'hospice
rents ramenè- rent l'enfant au Havre. Celui-ci paraît ne pas s'être
mal
trouvé de ce changement d'existence. Lorsque no
, mais de tous les auteurs qui ont vanté l'action du curare dans le
mal
comitial, aucun ne l'a employé, que nous sachio
était que des vertiges, et les autres, en plus grand nombre de haut
mal
. - Observation Il. Epilepsie; début à neuf uns
at de vertiges pendant un an, ont ensuite pris le caractère du haut
mal
, mais seulement nocturnes i Thiercelin. Académi
, précédé (un quart d'heure à une demi-heure) d'un accès de petit
mal
. Le dernier accès survint quatre jours avant le d
raité comme le précédent etn'eutplus d'accès ni de petit ni de haut
mal
, et jus- qu'à présent (commencement de juin 186
ble de l'intelligence, le curare peut, dans certains cas, guérir le
mal
et même rendre un peu i Beigel. Versuche mit Cu
85.), Quand on veut étudier fructueusement le fonctionnement nor-
mal
ou anormal d'un organe, il ne faut pas se borner
temps de s'éteindre, l'auteur organisa rapidement, tant bien que
mal
, une série de leçons. Le nombre decesleçons fut d
prise et un désappointement; tous les candidats répondirent bien ou
mal
aux questions pratiques : la moitié d'entre eux
re à la sienne propre, plutôt que comme le résultat des excitations
mal
réglées d'une affection nerveuse. D'auho part,
pétée, ou même parfois à l'aide d'influences mécaniques, uu état de
mal
épileptique qui, tantôt se calme spontanément,
iiiie de un à deux dixièmes de degré. C. On aurait, dans l'état ^le
mal
, noté 44o l'; le thermomètre monterait encore pos
on n'entrave ni l'excitabilité corticale, ni la genèse de l'état de
mal
; 14" L'anémie n'a d'influence sédative sur les co
ns le sang fait disparaitre les pauses mterconvulsives de l'état de
mal
; les pupilles deviennent étroites; 15- La morphin
ans cesse persuadé qu'on s'occupe de lui et qu'on veut lui faire du
mal
; avec de telles dispositions d'esprit, D... dev
n cudroit : « ,1'ai twé dessus, dit-il, parce qu'elles me faisaient
mal
au ventre; je ne les connaissais pas, mais je s
lltizig lit un mémoire sur la température au-dessous de /tt) ! 0 ?
male
cliez les paralytiques Ce mémoire sera publié in
fférents. Un seulcas, celui de Greitf concernait des accès de petit
mal
aboutissant à un âge plus avanc"à à une psychos
e à un diagnostic analytique et sûr, c'est son augmentation anor-
male
; cette augmentation existe quand les mouvements
les manières de voies erronées, jetteront la lumière sur les points
mal
compris et feront régner l'unité. SOCIÉTÉS SAVA
la médication la plus simple, en rapport toujours avec la cause du
mal
, ne trouvant d'autre part, comme influence sus-
e. , Après quelques notions préliminaires sur la physiologie nor-
male
et pathologique du système nerveux périphérique a
le, mort-née. D... a été élevé en nourrice, où il fut, paraît-il,
mal
soigné. Il n'a pas eu de convulsions à aucune é
iction qu'il ne tarde pas à tomber à terre, sans toutefois se faire
mal
. On est obligé d'intervenir pour faire cesser c
cons les périodes de rémission ou d'accalmie. Sous des influences
mal
connues et qui, tout au moins, sont, autant que
lus tard à qua- torze ou quinze mois); il a parlé à quatre ans mais
mal
(les autres enfants ont parlé vers dix-huit moi
tions et accès de manie avant et après les accès. Séries; états de
mal
. - Affaiblissement intellectuel. Pliimosis. Onani
it très ébranlées; articulation normale, forme des mâchoires nor-
male
; voûte palatine peu profonde, parait légèrement
Hier, à trois heures de l'après-midi, Cr... a été pris d'un état de
mal
; à 8 heures, il avait eu 20 accès et 10 vertiges.
s se montrent par séries. Nous avons même noté un véritable état de
mal
. Ils ont été plus nombreux en 1883, et les facu
dans le service de M. Kowa- lewsky avec tous les symptômes du haut
mal
. M. Tarnowsky finit son article par une étude c
de couture, d'ailleurs sa vue baisse; elle se lève plus tard, dort
mal
. La nuit elle a des peurs vagues, non motivées, e
près d'elle la nuit; elle a peur de manger parce qu'elle a peur de
mal
digérer, elle apeur de mourir; elle a peur du b
e sont pas les déceptions, ni les peines morales qui font éclore le
mal
, mais il semble que cette idée qui s'est imposé
eint. En tous cas, ces sujets reconnaissent eux-mêmes l'éclosion du
mal
, ils le pressentent et, dans leur entourage, ils
ue ceux qui les entourent ne tardent pas à soupçonner l'invasion du
mal
. Quant à eux, ils persistent dans leurs opinion
pport, semblables aux enfants qui déjà distinguent et apprécient le
mal
qu'on leur fait, avant de discerner le mal qu'i
inguent et apprécient le mal qu'on leur fait, avant de discerner le
mal
qu'ils font aux autres ; toujours défen- seurs
e soit apportée de ce côté. L'on a dit avec raison que les hôpitaux
mal
tenus, mal surveil- lés étaient la pire des cho
rtée de ce côté. L'on a dit avec raison que les hôpitaux mal tenus,
mal
surveil- lés étaient la pire des choses, les in
à gauche. De quatre ans et demi ci sept ans, dix ci douze états de
mal
convulsifs. A sept ans, nouvelles convulsions pre
liétose. Modifications de l'intelligence. A dix ans, nouvel état de
mal
: nouvelle din21 ? zutio ? z de l'intelli- S'en
it ans, de la poitrine et de chagrin, dit-on, parce que son fils a «
mal
tourné» : il buvait, courait les filles, ne tra
ux. b) De quatre à douze ans, Lef... a eu une douzaine d'états de
mal
convulsif, débutant le matin vers quatre heures,
sans prodromes, ainsi que c'est à peu près la règle, nouvel état de
mal
plus long que les précédents, dans lequel les c
par ces convul- sions. Elle diminua encore après un dernier état de
mal
sur- venu à dix ans. La situation intellectuell
onvulsions ci trois mois, revenues plusieurs fois jusqu'A deux ans.
Maux
de tête cinq ci six fois par an de huit ci douz
rnel alcoolique, mort aliéné. Premières convulsions cc trois ans. -
Maux
de tête fréquents. Absences depuis janvier 1882.
TOTAUX DU CURARE DANS 1,'ÉPILEPSIE. le 9 germain maternel mort du
mal
de Pott. Onanisme. Début ff trois uns.- Débilit
velu (1882). Curare; insuccès. Hydrothérapie (juin à octobre 1883).
Mal
de Pott. Abcès par congestion. - Fistule ingzzi
été régulière. A vingt et un ans, elle eut des accidents cérébraux
mal
déter- minés, qui furent suivis d'une convalesc
alade à son arrivée à l'asile. Elle mangeait difficilement, dormait
mal
, retirait et déchirait ses vêtements. Le 22 mar
au 28 mars, la malade dormit peu et d'un sommeil agité elle mangea
mal
, ne prit que du lait et du bouillon. Sa surexci-
des attaques, l'influence des attaques, et enfin pendant l'état de
mal
épileptique. Dans ces divers cas, nos recherche
e phosphorique total est augmenté. B. Sous l'influence de l'état de
mal
épileptique : 10 L'azote rendu par vingt-quatre
at or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaques et de l'état de
mal
épileptique, avec les résultats que nous afourn
ications produites par les attaques d'é- Epilepsie et par l'état de
mal
épileptique sur l'élimination de l'acide phosph
dehors des attaques, sous l'influence des vertiges et de l'état de
mal
épileptique, c'est ailleurs que dans le système
e qui se passaient au sein de la substance ner- veuse. B. Etal de
mal
épileptique. Sous l'influence de l'état de mal
veuse. B. Etal de mal épileptique. Sous l'influence de l'état de
mal
épileptique, l'azote, l'acide phosphorique uni au
rique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des attaques et de l'état de
mal
épileptique, l'élimination de l'azote et de l'a
e par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'état de
mal
épileptique augmentent l'éli- mination de l'azo
xclut pas l'astuce chez lui; il est soupçonneux-, il a la vanité du
mal
. C'est un grand enfant, avec le front bas, mal
-, il a la vanité du mal. C'est un grand enfant, avec le front bas,
mal
conformé, étroit au plus haut degré avec la régio
lement des mains (im- possibilité de tenir sa fourchette); démarche
mal
assurée, faible réaction et fréquemment inégali
ssion pénible, fâcheuse. Les routes insuffisantes, à peine frayées,
mal
entretenues, difficilement accessibles, même en
ue, car des frictions à l'onguent napolitain avaient eu raison d'un
mal
per- forant; le temps écoulé entre l'ulcération
oubles qui ont été observés dans la seconde, nous voulons parler du
mal
perforant plantaire (Christian), de l'atrophie mu
pleine d'intérêt et de charme. Les livres de ce genre s'accommodent
mal
d'une analyse métho- dique, toujours en désacco
te, sur les ruines du pays, un règne sans lendemain. « Contre les
maux
dont ces deux partis menacent la France, dans n
dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs,
mal
de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendu
etc. 2 auli. 1861. 7. Briickner. — Deulsch. Klini/i, 1865, n" 30.
mal
, par la section des troncs nerveux, puisque, dans
ertains groupes de muscles. pression exercée par une tumeur, par le
mal
vertébral de Pott, etc. Ces diverses affections m
ellules ner-veuses motrices sont bien réellement le siège primitif du
mal
. Leplussouvent, le travail d'irritation gagne ens
'un muscle ; il en résulte que celui-ci pourra répondre tant bien que
mal
aux ordres delà volonté et se contracter encore s
ique de la moelle épinière, dans la myélite par compression (tumeurs,
mal
de Pott), dans la myélite primitive, dans l'hémip
), rattacher les symptômes cérébraux ou cérébro-spinaux graves, assez
mal
définis encore, qui terminent rapidement la vie,
té rachidienne, du pus provenant d'un abcès, chez un sujet atteint de
mal
vertébral, ont pu à ma connaissance déterminer la
professeur Mitcliell (1), qui l'a observée dans la paraplégie liée au
mal
vertébral de Pott, où cependant elle est, je le c
ro-pathie subaigë chez une femme atteinte de paralysie consécutive au
mal
de Pott. Ce fait a été consigné dans la thèse de
de ses internes, M. Michaud. [Sur la méningite et la myélite dans le
mal
vertébral. Paris, 1871). 3. P. 92 et 93. 4. G
lement dans de telles conditions, vous ne soupçonneriez certes pas le
mal
dont elles sont atteintes. Au contraire, dans u
de, tel que celui qu'entraîne l'habitation prolongée dans une chambre
mal
aérée, dans un rez-de-chaussée bas et obscur, etc
). La tête est toujours à peu près respectée à toutes les époques du
mal
, même dans les cas les plus intenses, et c'est là
les sont même capables, vous l'avez vérifié, de marcher tant bien que
mal
, sans aide ni appui. Je vous ai fait remarquer, M
ent. Cer-taines consonnes, les Z, les p, les g, sont particulièrement
mal
prononcées. Il existe chez Mlle V..., ainsi que
ermet aux malades, pendant longtemps encore, de marcher tant bien que
mal
et de vaquer à leurs occu-pations ; mais un jour
les malades qui, jusque-là, avaient encore pu marcher, tant bien que
mal
, se trouvent désormais réduits à l'impuissance à
uvent, on ne trouve mentionnés que des accidents névropathiques assez
mal
déterminés : la migraine de temps à autre, ou des
véC une autre femme 1. . général, trop facilement impressionnables,
mal
armés pour soutenir ce qu'on appelle, dans la thé
t pas oublier d'ailleurs que, quant à présent, la véritable notion du
mal
n'est, en général, reconnue que lorsque déjà les
cet instant, tantôt la malade gémit et pleure, criant qu'on lui fait
mal
, — tel est le cas de^Marc...^— tantôt, au contrai
'ovaire gauche ; elle y réussit le plus souvent lorsque l'invasion du
mal
n'a pas été par trop rapide. Dans le cas contrair
ences qu'entraîne la répétition des accès, ou autrement dit Y état de
mal
hystéro-êpileptique. Je me bornerai, quant à prés
st plus facile que de reconnaître chez Etch..., la véritable cause du
mal
. Il en sera de même encore dans le fait suivant,
ter un instant devant ces guérisons rapides, inespérées souvent, d'un
mal
qui, pendant si longtemps, se sera fait remarquer
nt, de plus, des contractions fibrillaires très accusées et répondent
mal
aux excitations électriques. Je crois, par conséq
tiques fournis par l'examen de la température centrale dans l'état de
mal
hysléro-épileptiquc et l'état de mal épileptique.
pérature centrale dans l'état de mal hysléro-épileptiquc et l'état de
mal
épileptique. —Elat de mal hystéro-épileptique : s
tat de mal hysléro-épileptiquc et l'état de mal épileptique. —Elat de
mal
hystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res c
ystéro-épileptique : ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de
mal
hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas ex
secondaire. Ainsi : a) l'hystérie convulsive coexiste avec le petit
mal
(Beau, Dunant) ; b) l'épilepsie convulsive est su
e- plus significatif. Jamais vous ne voyez apparaître soit le petit
mal
, soit le vertige épileptiqueàam les descriptions
ligne ponctuée répond au pouls. Il y a d'ailleurs, dans cet état de
mal
des épileptiques, à dis-tinguer ce qu'on nomme le
ure centrale chez la nommée Chevall.., pend int le cours de Y état de
mal
épileptique qu'elle vient de subir tout récemment
nt sur l'un dés ovaires ; petits kystes sur l'autre. (B.) l'état de
mal
épileptique, on l'observe encore, par exemple, da
le d'une hystérique qui avait eu jusqu'à 100 accès par jour. Vétat de
mal
hystéro-épileptique peut d'ailleurs se prolonger
het épi-leptiforme, si prédominant et si fortement accentué, Vétat de
mal
a persisté pendant plus de deux mois, et, par mom
ces intervalles aussi, d'ailleurs très brefs, la nature hystérique du
mal
, surtout dans les premières semaines, repa-raissa
l résulte-rait en somme de tout ce qui précède, que si dans Y état de
mal
épileptique, à grandes séries, la température s'é
ffira, Messieurs, pour vous montrer qu'en présence d'un cas d'état de
mal
hystéro-épileptique de quelque intensité, malgré
s mouvements involontaires dont il s'agit reproduisent, tant bien que
mal
, des actes voulus, intentionnels. Après avoir r
aversés de part en part, à l'aide d une aiguille volumineuse et assez
mal
appointée, sans que le sujet ait la moindre notio
ns les attaques subintrantes dont l'enchaînement constitue un état de
mal
, se reproduisent chez G... toujours suivant le mê
t un moyen de diagnostic, un élément propre à éclaircir la théorie du
mal
; il y a là, encore, un moyen théra-peutique; mai
efficace pour couper court promptement et définitivement à un état de
mal
hystéro-épileptique, alors même qu'il se présente
laquelle le tremblement n'avait paru que quatre ans après le début du
mal
. M. Charcot a rappelé ces faits et, de plus, il e
l'œil du côté où siège l'hémianesthésie : de ce côté, «la malade voit
mal
, les objets ne dessinent pas nettement leur image
cents et plus. Lamalade peut demeurer alors dans une sorte A'état de
mal
, analogue à l'état de mal épilepfique, mais qui p
eut demeurer alors dans une sorte A'état de mal, analogue à l'état de
mal
épilepfique, mais qui peut se prolonger vingt-qua
ique qui ne manquerait pas à se produire s'il s'agissait de l'état de
mal
épileptique, l'influence de la com-pression des o
s. La phase épileptoïde peut se répéter au point de simuler l'état de
mal
de l'épilepsie vraie avec toute son apparence de
l'élévation thermique qui accompagne au contraire toujours l'état de
mal
épileptique (1). 2° Variété. — Forme démoniaque
isproportion apparente avecles effets produits, ceux-ci s ont souvent
mal
compris, mal interprétés ; on les prend 1. Résu
apparente avecles effets produits, ceux-ci s ont souvent mal compris,
mal
interprétés ; on les prend 1. Résumé d'une leço
80) tentée à plusieurs reprises, eut plutôt pour effet d'aggraver le
mal
... La guérison eut lieu cependant au bout cle deu
, les sections de nerfs et de tendons exas-pèrent presque toujours le
mal
et sont quelquefois suivis des plus fâcheux effet
dans une très petite éten-due en hauteur: Myélite partielle, tumeurs,
mal
de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendu
ique de Ja moelle épinière, dans la myélite par compression (tumeurs,
mal
de Pott), dans la myélite primitive, dans l'hémip
ques fournis par l'examen de la température centrale dans l'état de
mal
hystéro-épileptique et l'état de mal épileptique.
pérature centrale dans l'état de mal hystéro-épileptique et l'état de
mal
épileptique. — Etat de mal hystéro-épileptique ;
at de mal hystéro-épileptique et l'état de mal épileptique. — Etat de
mal
hystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res c
ystéro-épileptique ; ses phases. — Caractè-res cliniques de l'état de
mal
hystéro-épileptique. — Gravité de certains cas ex
s, 245, 262. — Ses formes, 267. — Arrêt de 1'—, 338, 375. (V, Etat de
mal
épileptique). Eruptions eczémateuses, 24 ; lich
3. — sacrée, 96 ; — dans l'ataxie loco-motrice, 77 : — dans l'état de
mal
épileptique, 378. (V. Décubitus.) Etat de mal é
77 : — dans l'état de mal épileptique, 378. (V. Décubitus.) Etat de
mal
épileptique, 372. (V. Température.) — hystéro-épi
370. — Nature de 1' —, 373. — Température dans 1' —, 376. — Etat de
mal
hystéro-épilep-tique, 381. — Cas graves d'—,383.
35. Peau 'Troubles trophiques de la), 22 ; — lisse, 25, 32. Petit
mal
épileptique, 375. Pharynx (Paralysie du), 346.
254 ; — dans les attaques d'hystéro-épilepsie, 376 ; — dans Y état de
mal
épileptique, 377, 378 ; — dans M état de mal hy
376 ; — dans Y état de mal épileptique, 377, 378 ; — dans M état de
mal
hystéro-épi-leptique, 382. Torticolis hystériqu
central, diffus de la substance blanche du lobe pariétal. Les bords
mal
limités se continuent sans ligne de démarcation
cédé, la mortification de leurs congénères, de telle sorte que le
mal
irait en se propageant de proche en proche jusqu'
sans faiblir ces assauts violents et prolongés. Débar- rassé de son
mal
, l'ex-aliéné n'aura plus la même vi- gueur de l
doute, chez ces malades, la guérison serait un leurre, puisque le
mal
serait condamné à progresser chaque jour. Mais
osée à croire qu'on se moque d'elle et qu'on cherche à lui faire du
mal
. Un symptôme alarmant d'affaiblis- sement intel
ui pré- vient le malade. Les grands accès sont précédés de grands
maux
de tète, surtout autour de l'oeil gauche, qui ser
ction involontaire inconsciente; sommeil profond, suivi de violents
maux
de tête. Ce qu'il appelle vertige répond plutôt
rche de la température rapproche l'accès d'éclampsie de l'état de
mal
épileptique. L'urémie s'accompagne toujours d'a
s. Quatre mois après (octobre) apparition des premiers symptômes du
mal
actuel. Ce furent d'abord des faiblesses nerveu
ieurs de l'ab- domen ; urines rares très chargées d'albumine. Grand
mal
de tête, suspension du bromure; régime lacté.
peut rester ni assise ni couchée, parce que tous ses nerfs lui font
mal
. Aussi, change-t-elle continuellement de positi
ose de résoudre, à l'aide de la vivisection, chez le chat. Cet ani-
mal
, tout en ne le cédant en rien au chien comme inte
ente, se traduisant, aux yeux d'un médecin exercé, par un caractère
mal
pondéré, bizarre, instable, indifférent à l'excès
.) L'auteur veut prouver avec des expériences faites sur les ani-
maux
, qu'une dose suffisante de bromure de potassium t
FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouvelle variété d'état de
mal
i : PILEI'TIFOIillE Par le Dr Gilbert BALLET, e
uaud l'hystérie revêt la physionomie de l'épilepsie, c'est le grand
mal
qu'elle simule le plus souvent et elle peut le
ut le simuler dans ses deux modalités : l'accès' isolé et l'état de
mal
. On sait que la première phase de l'attaque-hys
eur réunion et leur en- chaînement constituent un véritable état de
mal
, rap- pelant de très près l'état de mal épilept
ituent un véritable état de mal, rap- pelant de très près l'état de
mal
épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'
at de mal épileptique. Mais il s'agit alors simplement d'un état de
mal
épilepti forme, comme l'appelle M. Charcot, qui
r les caractères et la signification nosologique de ce faux état de
mal
épileptique. L'hystérie s'habille donc souven
at de mal épileptique. L'hystérie s'habille donc souvent en grand
mal
. Elle peut aussi s'habiller en PETIT mal. Quelq
ille donc souvent en grand mal. Elle peut aussi s'habiller en PETIT
mal
. Quelques faits observés par l'un de nous', dan
accès se sont montrés par séries consti- tuant un véritable état de
mal
, analogue à celui qu'on observe chez les indivi
de la sensibilité a été pratiqué à deux reprises, pendant l'état de
mal
hystérique, et un mois après la fin des crises;
ométrique au dessus du chiffre physiologique est la règle dans le
mal
comitial, pour peu que les accès se répètent. C
i prédominant et si fortement accentué, dit notre maître, l'état de
mal
a persisté pendant plus de deux mois, et par mo
laquelle la température s'éleva jus- qu'à 40°, A, durant l'état de
mal
. Cette différence radicale dans l'influence qu'
u'ont sur la calorification les attaques d'hystérie et les accès de
mal
comitial est un fait aujourd'hui bien connu. Eh
dénomination vulgaire « d'ori- oinaux», de «maniaques», dissimulent
mal
la véritable aliéna- tion mentale. Qu'une doule
onde, qu'une perturbation violente surviennent chez ces prédisposés
mal
équilibrés, et les premiers symptômes du délire
dées tristes ou de persécution ; puis elles feront explosion et, le
mal
s'accentuant de plus en plus, toute idée de per
18(1 RECUEIL DE FAITS. DU DELIRE CHRONIQUE. ayoirjes attaques du
mal
comitial qu'à partir de dix-huit ans, tombant b
les régions où ce tissu est particulièrement abondant à l'état nor-
mal
, c'est-à-dire dans la-première couche corticale,
sonnable, incohérent; il a perdu la mémoire; en dehors de l'état de
mal
, il est docile, mais très susceptible. 11 a pen
le tissu nerveux de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor-
maux
; et l'auteur est amené à conclure que ce n'est p
cas échéant, de faire lejiial sans savoir, que ce. qu'ils font est
mal
. L'explication que donne M. Kesteven de ces fai
au fond de toute pensée, de toute opération mentale.. Agissent-ils
mal
, c'est qu'ils n'ont au- REVUE DE PATHOLOGIE MEN
enties, auraient corrigé, ou au moins tenu en échec leur tendance à
mal
faire». Si cette obtusion atteint surtout la po
n ? revanche, les attaques ,quasi- s3,neopales - ailalogue au petit
mal
de l'épilepsie vraie ont été 6bserv^s,p £ esqqC
rigorisme dont font foi la plupart des conceptions irrésistibles (
mal
du toucher, folie du doute, etc.). ? Quoi qu'il
pas moins touchée que la sensibilité générale. La malade sent très
mal
les odeurs. L'ouïe est diminuée, surtout à gauc
cependant, lorsqu'on la questionne vivement, Ang... répond : « J'ai
mal
à la tête ». Dans l'attaque, telle que nous ven
menta- nément, et la malade peut diriger son regard tant bien que
mal
vers l'objet qu'on lui indique. La tète est enfin
place qu'y occupent d'habitude, les convulsions à forme de grand
mal
, et si elles étaient d'ordinaire suivies, comme
mment, comme on sait, aux accès d'épilepsie vulgaire (attaques de
mal
comitial); 2° Quelques cas nous autorisent à pe
çon exceptionnelle, emprunter aussi le masque de l'attaque de petit
mal
(absences et ver- tiges) ; 3° Il résulte, d'a
quelquefois con- sidérables, constituant alors un véritable état de
mal
épilepti forme; 7° Il est des signes qui perm
les autres éléments de diagnose utilisés pour distinguer l'accès de
mal
comitial de la grande attaque d'hystérie (effet
titre : Hémiplégie infantile suivie d'épilepsie partielle, état de
mal
épilep tique ; mort, foyer ancien intéressant les
ges ci quatorze ans. Début des accès et dix-sept ans par un état de
mal
. Aura du pouce gauche. Père très ne ? t;eM.B, p ?
ion de l'anus. Bromure de potassium. - Armures magnétiques. État de
mal
. J)f0t'<. Autopsie : Atrophie de l'hémisph
es parties correspondantes du côté droit. A la suite de cet état de
mal
, Gra... aurait été comme fou pendant un mois; i
disait-il, plus douloureuse que la droite. Un mois après l'état de
mal
, la raison et la marche étaient redevenues ce q
peureux. L'intelligence aurait un peu baissé à partir de l'état de
mal
; toutefois, il fréquentait l'école du soir, et
availlent »; je ne puis dormir, et, le matin en vie levant, j'ai un
mal
de tête à ne pas pouvoir la lever, et qui se diss
etit. Bien b0u\oit, quand les nerfs viennent d'être agités j'ai des
maux
de coeur qui Ille retirent l'appétit. » 304 R
s reprises, des séries d'accès; il eut de plus, en 1874, un état de
mal
sur lequel nous manquons de renseignements. Enf
s de renseignements. Enfin, en 1883, il survint un nouvel état de
mal
auquel le malade a succombé et qui a offert la pl
de a succombé et qui a offert la plupart des symptômes de l'état de
mal
ordinaire, entre autres l'élé- vation de la tem
généraux et celui des mêmes éléments tangentiels d'un cerveau nor-
mal
, mais il doit y avoir une cause d'eireur (décompo
lle devient bientôt phthisique, a fréquemment des attaques de petit
mal
, et meurt sept mois après son entrée. A l'autop
attaques, fréquentes et graves, présentent les caractères du grand
mal
: elle tombe en avant, sans qu'on ait observé d
aison paternelle; se déguisa en homme et cou- rut ainsi les maisons
mal
famées, puis fut de nouveau enfermée dans un as
pporter de contingent anatomique capable de décider de la nature du
mal
. Est-ce une myopathie pure, est-ce une tro- pho
e gauche, en arrière de l'amygdale bien développée, un lobe anor-
mal
, étant donné la place qu'il occupe; on peut croir
M. Manz), une névrite optique double. Puis, à la suite d'un état de
mal
per- sistant depuis plusieurs semaines, l'urine
rale), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle variété d'état de
mal
), 129, 277. Epilepsie (recherches cliniques et
rme d'épilepsie partielle (étude d'une nouvelle variété d'état de
mal
épileptiforme), par Ballet et Crespin, 429, 277
rveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l'état nor-
mal
et chez les paralytiques gé- néraux), par Tucze
la rue expliquera sa conduite en prétextant la crainte de se trouver
mal
, quoique n'ayant jamais présenté une crise quelco
quelconque, tandis qu'un épi-leptique craint rarement un accès de son
mal
ou ne le craint qu'incidemment. 3° En troisième
indu ou non motivé, en grande société ou dans un lieu public. L'homme
mal
équilibré ou à intelligence affaiblie n'y sait pa
d'infidélité, quoiqu'étant parfaitement assuré que sa méfiance était
mal
fondée et d'ordre pathologique. Le doute ainsi se
égers, de date récente. Dans les autres cas. on réussit à enlever les
maux
de tôte, l'état nerveux, les palpitations ; surto
la résistance psychique moins sérieuse du malade. Aussi, agirait-on
mal
de vouloir combattre les idées obsédantes en leur
ement, i I—, des parents conduisaient leur enfant à l'hôpital pour un
mal
- quelconque à la jambe. Le médecin, jugeant te»
ffer par suite de la violence et de l'etrangeté du remède appliqué au
mal
. Lisez l'ordonnance de la somnambule : « Cons
progéniture de* conjoints consanguin*, aucun effet, ni en bien, ni en
mal
. Voici les résultats de l'enquête de Georges Darw
représentation publique d'hypnotisme, par la raison que l'application
mal
failo de l'hypnotisme est. dans un grand nombre d
de lire le* chapitres suivants : ta Morphinomanie, F Hypocondrie, le
Mal
de mer, le Délire de la persécution, l'Obésité et
nt, au point de troubler le sommeil. En outre, survinrent de violents
maux
de tète. A cela s'ajoutèrent encore des douleurs
as devant le tribunal de Nivelle» et condamnés pour escroquerie à pas
mal
de mois de prison du chef d'exercice illégal et f
nversement la douleur peut être provoquée sans lésion (exemple : on
mal
de dents). Ensnite, si Vaudevoir savait simuler l
m, qui ont porté te même jugement que moi. De sorte que M. Masoin est
mal
venu à laisser entendre que Vandevoir aurait bien
. Le Jeune Espagnol voulut prendre des figues à un arbre; il s'y prit
mal
et tomba d'une hautenr de trois mètres. 11 se rel
intercostale causée probablement par l'infiuenza. Mis eu hypnose, le
mal
disparut immédiatement sous l'influence de la sug
en hypnose pour la première fois et la suggestion fil disparaître le
mal
aussitôt. Le jour suivant, quoiqu'elle ne ressent
tude des contractures post-hémiplégiques. (Presse medi* cale belge,
mal
1891.) Mouir DC Totu. — Suicides étranges. (Annal
urs nécessaire de les plonger dans le sommeil pour faire cesser leurs
maux
et leurs douleurs. C'est ainsi que je guéris brus
ers M. D____: € Vous voyez cet homme, monsieur le docteur; tous ses
maux
vont cesser. » Puis — le récit prend plus de temp
a barbe et la secoue avec violence, en lui disant : « Vous n'avez pas
mal
, vous n'aurez plus mal! * Il n'avait pas eu mal.
ec violence, en lui disant : « Vous n'avez pas mal, vous n'aurez plus
mal
! * Il n'avait pas eu mal. Je lui tirai la moustac
t : « Vous n'avez pas mal, vous n'aurez plus mal! * Il n'avait pas eu
mal
. Je lui tirai la moustache, les sourcils, je loi
de nouveau à M. D.... : « À votre tour, docteur, essayez de lui faire
mal
, je ne vous regarde ni l'un ni l'autre. » M. D...
e faisait que se tater le bras, que palper la marque, pour voir si le
mal
n'apparaîtrait pas à la longue. J'ai raconté dans
abitués à ces sortes d'expériences, à la fatigue, à l'épuisement, aux
maux
de tète, à des névralgies, etc., comme résultats
, van Renterghem, van Eeden , ayant proposé d'abandonner l'expression
mal
définie d'hypnotisme et de la remplacer, là où il
inément d'une rétention complète d'urine, coïncidant avec de violents
maux
de reins, qui dura vingt-quatre heures. Cette rét
nts héréditaires qu'une mère un peu nerveuse et affligée de fréquents
maux
de tète ; son père n'a jamais été malade. Elle a
s'il le voulait. On la menacé ; on l'a châtié. Celte suggestion était
mal
faite. L'enfant voulait bien, mais il sentait que
aite à l'état de veille eût pu, avec de la persévérance, triompher du
mal
. Ceux qui ont une idée fausse de ce qu'est la s
e but : convaincre l'enfant qu'il est capable du bien et incapable du
mal
, afin de lui donner en fait cette puissance et ce
personnes pour la maintenir dans son lit et l'empêcher de se faire du
mal
. Elle pousse des aboiements, décrit des mouvement
s d'esprit, ou bien qu'eux surtout, soient hypnotisantes, paraît être
mal
fondée; 6° L'expérience nous apprend qu'il est
tisme, la dyspepsie, l'insomnie, la névralgie, la bronchite aiguè, le
mal
de gorge, l'enrouement, la constipation, les hémo
dans les centaines de cas où il a employé lnypnotisme, le plus léger
mal
résulter de cette méthode; que toutes les objecti
ait d'incontinence d'urine, d'insomnie, de tremblement des lèvres, de
mal
de tète, de dysménorrhée, de douieur abdominale d
la crainte des examens Revue médicale de la Suisse romande, n" 5, 20
mal
1191.) Chervin. — - A propos du bégaiement hyst
phino-manie une nouvelle appétence morbide qui augmente la gravité du
mal
. Ces moyens et d'autres, comme sparteine, nylrogl
tout ce qu'il a perdu en extension. Un peut juger de la gravité du
mal
par la table statistique suivante ; Comme on le
ination, à enlever la tristesse et l'inquiétude qui le suggestionnent
mal
; je lui montre qu'il est guéri, qu'il n'a plus de
e à elle portait aussi ce sobriquet. Voilà bien le propre d'un esprit
mal
pondéré. Un autre exemple : B... s'appelle Vi
i? — Je ne sais pas. Il y a quinze jours, à midi, le déjeuner m'a bit
mal
à. l'estomac. Alors l'idée m'est venue de ne plus
ercher toujours en dehors de lui les causes de ses malheurs et de ses
maux
, que d'attribuer à certaines gens, suspects d'uno
eurs, le col luy venant fort gros, et aucuns ayant dit que sesloît du
mal
de la mère (c'est ainsi qu'on désignait et qu'on
mèro, mais c'est la Fauvaraud qui nous a mis céans et qui Ta donné le
mal
, ne la laissez point entrer, car elle nous veut c
té, renouveler celte précaution une ou deux fois par an, où serait le
mal
? Voilà ce que j'appelle La suggestion atténuée.
u'après chaque consultation, où je la rassurais sur la gravité de son
mal
, elle en souffrait beaucoup moins, et j'attribuai
u'ayant baillé ladite espoigne à ladite femme elle ne se trouva point
mal
, sinon quelque temps après que ladite femme tomba
ans disent d'un enfant gâte : • Y é on ehachô ma eu* (e'esi un chàchô
mal
cuit». • CMèehoier, v. Dorloter, choyer i l'excès
ion qu'elle se portait à merveille et n'avait éprouvé aucun retour du
mal
. III. — Le lii décembre 1889, M^C... me demanda
s, voulait faire arracher la première molaire, qui était le centre du
mal
; très énervée, excitée au plus haut degré, elle
ntenue. Le lb" avril 1891, M1'* L..., dix-sept ans, se plaignait de
maux
de dénis in loi érables. Je l'endormis profondéme
l'anxiété et l'irritation nerveuse qui, souvent, occasionnent plus de
mal
que le plombage ou l'extraction d'une dent mauvai
t est un exemple de ceUe étrange maladie de nature hystérique, nommée
mal
det abois, très fréquente au moyen âge, surtout d
au moyen âge, surtout dans les couvents, où elle était épidémique. Ce
mal
était considéré comme résultant de la possession
chiens nboyent, et que chascuug soupçonne que ledit F. luy a donné le
mal
, et avoir ouy dire que ledit F. avoit heu dispu'.
e avec ladite femme, et qua lors qu'on luy demande qui luy a donné le
mal
, elle dit, en se tourmentant et hurlant : J e le
grande importance et produire de grands effets, soit en bien, soit en
mal
. Mais lorsqu'un trait de caractère est foncièreme
suite d'un découragement subit et contagieux). Nous serions donc bien
mal
venus à nier l'effet des milieux en sociologie et
ne peut arriver à enlever. Un jeune homme qui avait eu parfois des
maux
de tète est atteint d'une pneumonie et souffre de
s des maux de tète est atteint d'une pneumonie et souffre de violents
maux
de tète. Son médecin, auquel i\ en parle et qui c
cin, auquel i\ en parle et qui connaissait sa famille, lui dit : « Ce
mal
de tète est héréditaire; vous ne le perdrez jamai
rdrez jamais Dès ce jour, le jeune homme conserve pendant deux ans un
mal
de tête continu dont je le délivre en deux ou tro
sa fille n'a toujours pas été à la selle, elle ne se trouve pas plus
mal
, toujours pas de vomissements. L'appétit est dimi
e très étroit, qui est celui de la science, n'en peut produire que du
mal
. J'avais traduit en ces termes l'interdiction d
s répétées ont, entre autres inconvénients, celui de faire éclater un
mal
nerveox demeuré latent juique-là, de créer, chez
les reins de la graisse suspecte : « Qu'elle s'est toujours trouvée
mal
du despuis, et qu'il luy semble qu'elle a dans le
allait traduire en justice celle qu'il accusait de lui avoir donné le
mal
par sortilège diabolique, lorsqu'il fui guéri d'u
babils de sadite femme, ei que celuy ou celle qui luy avoit baillé le
mal
tomberoit incontinent ma'ade, snyvant quoy ayant
i elle scait pas que cela ne se fait en nostre religion, et que c'est
mal
fait d'abuser ainsi du nom de Dieu ? R. Qu'elle e
al fait d'abuser ainsi du nom de Dieu ? R. Qu'elle est marrie d'avoir
mal
fait, mais que voyant sa fille estre soulagée ell
Que sa mère luy dist avoir signé ladite Mantilliotte, et qu'elle fust
mal
avisée. Comment sadite mère le scavait? R. Que
prie Dieu tous les jours ? /t. Qu'ouy, et que lors le démon luy fait
mal
, et qu'elle demeure morte. La dessus a récité l
é, sont fréquentes dans les interventions du démon. Le démon cause le
mal
, et levant aussitôt ses maléfices, il persuade au
e qui déroute par son excentricité les ressources de l'art. Tantôt le
mal
est caractérisé, soit sous une forme générale, co
'une fois la malédiction d'un pire ou d'une mère ont eu pour effet le
mal
terrible de la possession. > L'abbé Moreau d
n. Et ceux ne méritent pas d'estre nommés chrestiens qui imputent les
maux
avenus, à quelque femme maligne, au diable et non
er, aussi pro- fitait-il peu des leçons orales, il était d'ailleurs
mal
doué sous le rapport de la mémoire. L'amélior
des médecins, mais de la part de quelques conseillers, sans doute
mal
renseignés, qui ont manifesté une certaine host
icaments, surtout les poly-bromurcs et le bromure de camphre (grand
mal
et vertiges ou vertiges seuls). Les bains, les
lus puissants agents thérapeutiques contre les diverses formes du
mal
caduc et ses complications. Joints aussi aux pu
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants anor-
maux
, mais encore des enfants malades : quand ils on
nt atteints d'hémimélie; 1 de polydarlylie, 1 de syndaclylie ; 3 do
mal
formations pathologiques de la main, 1 d'encéph
s. Maladies intercurrentes. 11 enfants ont été atteints d'état de
mal
épilcptiquc ou de séries d'accès ; aucun cas n'
aire quelques pas. Au réfectoire, l'enfant se tenait affreusement
mal
, aimait à se salir et à se barbouiller avec les a
méningite ; 10 pour la grippe; 15 pour séries d'accès ou étals de
mal
; 11 pour ophtalmie, 9 pour engelures; 2 pour 15
contrariété la met de mauvaise humeur. Elle cherche il se faire du
mal
à elle-même et aux personnes qui l'entourent. E
ncore existantes sont grêles, assez espa- cées les unes des autres,
mal
orientées dans leur direction générale, puisque
rt-Pal, ils ne forment plus les bandes foncées qui, à l'état nor-
mal
, se distinguent aisément d'avec les autres couche
. - Ménin- gite à 6-7 mois. Avant, l'enfant paraissait déjà anor-
male
. A un an, elle semblait n'avoir que 6 mois. Pre
x, a eu trois légères congestions cérébrales (48 ans), actuellement
mal
portant; a eu un peu de paralysie après la dern
let à Paris (pas de chute) ; facile, par la tête, avait perdu « pas
mal
d'eau le matin. » - A la nais- sance, l'enfant
nt aussi restreint. (Voir p. 34). La parole est limitée il des mots
mal
prononcés, d'une voix d'homme désagréable. Pas
de ce quilui appartient. Propre, coquette, ordonnée. Le bien et le
mal
se com- fondent avec le permis et le défendu. T
ment normal; il n'avait jamais eu la moindre convulsion ; jamais un
mal
de tête, jamais un étourdissement. Studieux et
cependant, l'enfant dit à sa mère : "je sens que je vais me trouver
mal
". Une autre fois il dit : "cela me chauffe dans
ueux comme par le passé; raisonnant juste, appréciant le bien et le
mal
, « il avait, dit sa mère, tout son moral, mais
ne présente ni cicatrices, ni malformations. - Les yeux sont nor-
maux
, les pupilles réagissent à la lumière et à l'acco
à venir, exprimées sur un ton trainant, monotone, avec des syllabes
mal
arti- culées. Il mange indifférement tous les a
souris.. - Thorax régulier ; respiration abdominale. Coeur nor-
mal
, ainsi que tous les organes abdominaux. Organes
ieure, I'i, et inférieure, 1'2, sont très incisées et semblent nor-
males
ainsi que le lobule du pli courbe. Lobe tempora
ladie d'intestins, journalière à la campagne, sobre, sujette il des
maux
de tète. Elle était d'une taille moyenne, forte,
l'heure, ce que sa soeur attribuait à ce qu'il sait qu'il prononce
mal
les mots. Il coud avec une certaine habileté. I
- tion s'effectue assez péniblement. Le foie et la rate sont nor-
maux
. Les selles sont rares et le plus souvent il faut
ans; aupara- vant l'enfant paraissait avoir un développement nor-
mal
. Peut-être serait-il possible d'en induire que l'
abitude, comme chez tous nos myxoedémateux, au-dessous de la nor-
male
. Au moment de la mort, presque foudroyante, elle
, tette sa langue, crie par moments, se jette de côté, se ferait du
mal
si on ne le surveillait. Il ne reconnait passa mè
tres enfants, même sa soeur. - Il ne demande pas à manger, mastique
mal
, est gâteux. Le développement des jambes ne par
i- neuse, mais non éversée. - Langue grosse, palais et voile nor-
maux
. Amygdales normales. Le goût semble exister. Il y
mois. Surviennent à ce moment des convulsions sous forme d'étal de
mal
(2 heures), qui se F-ig. 26. - Lem.... Georges
ans. Marche à onze mois. Propreté vers un ars. Acci- dents nerveux
mal
déterminés et rachitisme des membres inférieurs
e, qu'elle frappait. Mais aussitôt, s'apercevant qu'elle avait fait
mal
, elle demandait pardon, disant : « Je ne l'ai p
iode d'exacerbation tout travail régulier est difficile : elle coud
mal
, envoie souvent à droite et à gauche l'ouvrage
ite et à gauche l'ouvrage qu'elle tient entre ses mains. Elle écrit
mal
, fait des taches sur son cahier, ce qui l'impatie
e beaucoup ses Vrrents. Quelquefois alourdissements ( ? ), quelques
maux
ie tête ; pas de tremblement. Sommeil bot. pas
fant parait normale. 26 mars. L'enfant, qui était bien la veille, a
mal
dormi cette nuit, et ce matin elle se lève tout
eur ; elle est plutôt exubérante. Elle a eu quatre ou cinq fois des
maux
, de tête. Le sommeil est bon, un peu lent à ven
r tout. La parole était limitée à quelques sylla- bes plus ou moins
mal
articulées, les mains étaient déjà maladroites
aladroites (la maladresse paralytique a augmenté après les états de
mal
). Les convulsions de 3 ans et demi n'auraient fai
entrou- verte ; lèvre supérieure un peu proéminente. Palais, nor-
mal
. Amygdales, un peu hypertrophiées. Langue, peu
ré toutes les précautions que l'on prend, il parvient à se faire du
mal
, il s'est mordu la lèvre inférieure auec tant d
extrême ; alors que précédemment il ne cherchait qu'à se faire du
mal
à lui-même, il s'en prend maintenant aux per- s
es recrudescences d'agitation et toujours il cherche il se faire du
mal
, il casse des carreaux avec son manchon, cherch
demi, convulsions qui se sont manifestées sous la forme d'état de
mal
, et sur lesquelles nous n'avons pu avoir que de
l se tenait à peu près bien. Après la rougeole, il se tenait très
mal
. Les bras sont devenus contrac- turés vers la
te. L'exa- men du fond de l'oeil n'a pas été pratiqué. . Thorax
mal
conformé, sans qu,il y ait de saillie, rachit
ion ne peut être constatée. Lé- ger strabisme divergent. Thorax
mal
conformé : cyphose assez marquée. Déformation
de G` ? mm. sur notre encéphale et de Ci mm. sur le cerveau nor-
mal
que nous avons pris comme point de comparaison. I
llod n'a pas une valeur absolue. Nous avons vu des individus nor-
maux
qui pouvaient fermer isolément un oeil et pas l'a
diaque, dont les battements sont aussi ralentis. L'hématose se fait
mal
, d'où t la fréquence des congestions passives d
congestions passives des poumons. La cir- culation veineuse se fait
mal
et l'on observe très fréquemment l'a;dème des m
physiologiques ; ils ne respirent plus suffisamment, se nourrissent
mal
; l'assimilation ne se fait 38 ' PATHOLOGIE M
ilement à l'examen, ayant peur qu'il ne lui arrive quelque chose de
mal
. Elle répond très difficilement aux questions,
ofondément comme soulagée et comme si elle avait échappé à un grand
mal
. Observation V. La nommée Berthe Silherg..., âg
lements fibrillaires de la langue et des lèvres. La parole est nor-
male
. Il n'y a pas de tremblements aux membres supérie
décembre z. Puis en sixième au lycée de Ver- sailles. Il apprenait
mal
, conduite passable, tenue physique défec- tueus
ue physique défec- tueuse, avait une épaule qui se nourrissait plus
mal
que l'autre. On le soumet à une gymnastique spé
se troubler, indigestions avec douleurs de tête, se plaint d'avoir
mal
aux tempes, reste huit jours sans manger; a des
voir de médecins ! ... ce sont des charlatans... ils vous font du
mal
... je ne suis pas malade... qui donc a inventé la
elouse des jeux. Là, tout en veillant à ce qu'il ne se fasse pas de
mal
, on le laisse libre de ses mouvements. Il reste
peu de potage. Se plaint dans la journée que a l'estomac » lui fait
mal
; il parait avoir des difficultés pour res- pir
t d'un bégaie- ment très prononcé. De huit à onze ans, il apprenait
mal
. A partir de janvier 1896, le caractère s'est m
diagnostic est insuffisant. Le clinicien doit préciser le siège du
mal
; alors seulement le chirurgien pourra aller à
syphilis médullaire datent de 1797 avec le mémoire de Portai sur le
mal
de Pott syphilitique, et il est bon de remarquer
s rotuliens, incoordination motrice; puis les troubles trophiques :
mal
perforant, arthropathies, atrophie musculaire.
s deux lobes frontaux; l'idiotie hydroccphaiique acquise; l'état de
mal
épileptique ; l'épilepsie consécutive à la fièvre
ffrance. Bier- nacki a désigné cette troisième réaction sous le nom
mal
choisi de réflexe. Disons sur le champ qu'on
aille haute, constitution faible, le crâne bien conformé; les dents
mal
implantées, surtout celles de la mâchoire infér
normale; elle distingue bien les couleurs; le goût et l'odorat nor-
maux
. Les pupilles réagissent bien directement et par
adhérents. La voûte du palais profondément excavée. Les dents très
mal
implantées et usées. Les pupilles égales réagis
retardée et bien dimi- nuée sur toute l'étendue du corps, localise
mal
. Le goût et l'odorat pervertis. La marche lente
tisé, il accuse pourtant un de ses voisins qui voulait lui faire du
mal
et qui lui chuchotait des menaces, ce qui prouve
sente pas de trépidation épileptoïde. Les bruits du coeur sont nor-
maux
. le pouls est tout petit; les extrémités froides.
ris. Dieu a parlé avec elle et l'a réprimandée d'avoir fait tant de
maux
; 118 PATHOLOGIE MENTALE. même les images sa
. Les pupilles légèrement dilatées, réagissent bien à la lumière,
mal
à l'accommodation. Il n'y a pas de nystagmus ni d
atique de la physiologie restant entourée d'une grande obscurité et
mal
comprise en raison des notions absolument pri-
dans l'hérédité duquel je n'avais pu déceler la syphilis ; j'étais
mal
servi par ma mémoire. Ce jeune homme, en effet,
ette considération, qu'étant d'apparence bénigne, la syphilis a été
mal
soignée ou peut-être méconnue au début ? M. Bal
bs- tances toxiques, produites journellement dans l'organisme, et
mal
éliminées-en raison des anomalies des échanges nu
-paroxystique existe dans la moitié des cas, surtout dans l'état de
mal
. 1 Seyfert. Dublin quarterly Journal, 1854. 8
âtre et se coagule très facilement, surtout à la suite de l'état de
mal
. Cette particularité avait été remarquée par le
Nous n'avons pas poussé nos expériences jusqu'à la mort de l'ani-
mal
; nous voulions simplement savoir si les mêmes qu
levée dans les familles d'épileptiques que dans les familles nor-
males
. Les épileptiques appartiennent généralement à de
ques sont susceptibles d'engendrer, tout comme les individus nor-
maux
, cette puissance reproductive tombe à un niveau s
sensi- blement inférieur à celui de la moyenne des familles nor-
males
. Les épileptiques tendent à la stérilité. 3° La
ire, à ses prodromes, à sa marche, etc. L'anatomie pathologique est
mal
connue et l'auteur n'a pu faire les autopsies d
aine, d'un entourage sain. Ces conditions, d'après l'auteur, seront
mal
remplies dans un asile. Le lieu de choix pour le
disparaître progressivement. L'hémianopsie persista accompagnée de
maux
de tète. Cette observation est précédée d'une é
cas de névralgie du trijumeau d'origine dentaire non accompagnée de
mal
de dent ; par Waiter M. Tuonx. (Occidental médi
nt d'une certaine liberté, y sont utilement occupés mais ils y sont
mal
installés, mal surveillés, mal clos. L'action du
ne liberté, y sont utilement occupés mais ils y sont mal installés,
mal
surveillés, mal clos. L'action du médecin n'y e
nt utilement occupés mais ils y sont mal installés, mal surveillés,
mal
clos. L'action du médecin n'y est pas permanent
On a vu, dit Calmeil, le délire éclater à la suite de con- fessions
mal
dirigées, de sermons sur les peines de l'enfer
1 Amadei et Tonuini. La Paranoïa e le sue forme. (Archietal per le
mal
, nervo, 1883-1884.) 7 Riva et Tanzi. Rev. speri
évotion, ne sont qu'i- mitées ou commandées; comprenant, d'ailleurs
mal
, ce qu'ils , entendent, ils agissent de travers
née ; en réalité il avait vécu un rêve. Ayant en effet commencé par
mal
dormir, après un mois ininterrompu de « noces a
GIQUES. 30S XVII. Etude microscopique de la moelle dans deux cas de
Mal
de Pott ; par William G. SPILLER, professeur de
'auteur présente des préparations de moelle de deux-sujets morts du
mal
de Pott. Dans le premier cas la moelle a été peu
berculeux intra-duremérien. Des considérations sur le traitement du
mal
de Pott font suite à l'exposé des lésions, et six
on pendant les mouve- ments. Le réflexe rotulien droit est exagéré.
Mal
perforant à la base de la troisième phalange du
voulaient-ils comme cela, tous les voisins ? ... » Elle reçoit très
mal
son mari qui vient la voir, l'accusant d'être la
ar dessous, disant : « Ils sont toujours là qui veulent me faire du
mal
... ils me mettent un buse dans la matrice... ils
mnésie. 11 trouve également que la psychose polynévritique est très
mal
nommée, car il existe des psychoses polynévriti
ouvements devinrent impossibles. Rien ne put arrêter l'évolution du
mal
et la malade, qui restait sur un fauteuil, fut
traction exercée sur les téguments. La température des objets était
mal
ressentie ; pas de dissociation de la sensibili
nte aussi des troubles mentaux graves ; presque dès le début de son
mal
, elle était anxieuse : « J'ai peur, disait- ell
n put établir de lien entre ses phrases; elle ne répondait que très
mal
aux questions posées. Amnésie, absence absolue
céphalite ; enfin, le tabes a une durée beaucoup plus longue que le
mal
qui avait frappé notre malade. Pour toutes ces ra
écaniques : AI. le D1' Buisson. Quelques cas d'obsession urinaire ;
maux
perforants plantaires précurseurs de l'attixie
at du malade, il serait difficile de mesurer exactement le degré du
mal
, tandis que l'utilité de la séparation est inco
Intelligence et mémoire bien affaiblies; quel- ques consonnes sont
mal
prononcées. Rougit facilement. Le pli naso-labi
timent avant la crise, l'aura; la crise proprement dite ; l'état de
mal
; les crises épileptiques sous forme de psychoses;
aturel, qu'un type social, créé par nos préjugés et par l'éducation
mal
comprise à laquelle la jeune fille est soumise.
vant : Un jeune homme de l'arrondissement de Bayeux, atteint d'un
mal
nerveux, a été interné à l'asile du Bon-Sauveur d
énitents ? Ses scrupules sont vrais et justifiés, il ne fait que le
mal
; et alors même qu'il semble faire quelque chos
aire quelque chose de bien, cela est faux parce qu'il a toujours le
mal
en tête depuis son lever jusqu'à son coucher. L
, l'orgueil, l'entêtement. Il est à noter aussi qu'il supporte très
mal
la contradiction : toute discussion l'impatient
rité. Elle s'en montre très frappée, en parle toute la soirée, dort
mal
la nuit,et dès le lendemain matin se met à déli
société serait d'autant augmente. RECUEIL DE FAITS. - HYSTÉRIE
MALE
. MUTISME. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE. ÉTAT SE
aslische Aphonie. (I'he)». Uo7<«/6/tf/<e, 1898 ) HYSTÉRIE
MALE
. 461 d'aucune sorte. Dans l'âge adulte : existe
e pendant ces deux semaines il avait pratiqué le coit en HYSTÉRIE
MALE
. 4G3 s moyenne quatre fois par jour et le jou
is nous n'ajoutons pas grande importance à ce fait, nous HYSTÉRIE
MALE
. 465 croyons que nos questions éveillent en lui
des deux côtés; les autres réflexes, tendineux et cutanés sont nor-
maux
. Les pupilles sont égales et réagissent bien à la
tigmates d'hystérie et la même lacune dans la mémoire. HYSTÉRIE
MALE
. 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une lettr
est à remarquer que P... est entré dans l'état second, à HYSTÉRIE
MALE
. 1169 la faveur d'une crise délirante. Or, dès
médical amélioration puis aggravation progressive, mort en état de
mal
. Hémisphère gauche pesant 115 grammes de moins
tées facilement. 11 n'en est pas de même lorsqu'il s'agit de formes
mal
définies et comme M. Giraud, je crois que les e
pas de troubles trophiques ; intégrité des sphincters, urines nor-
males
. La paralysie suit une marche rapidement ascendan
La sen- sibilité est conservée. La démarche est brusque, saccadée,
mal
assurée; elle n'est possible qu'avec l'appui de
ge considérable et une forte hyperémie. Noyaux gris centraux nor-
maux
. Liquide abondant dans les ventricules. Petit foy
les mêmes conditions, que dans l'écorce de sujets morts en état de
mal
épi- leptique. On serait tenté de leur attribue
au soulagement de ses semblables atteints par le plus terrible des
maux
: la folie. Cette excursion médicale, très inté
i en omnibus, ni en chemin de fer, sans éprouver les symptômes du
mal
de mer. Je l'avais traitée par la suggestion et r
thyroïde et delà thérapeutique de la -, par Trac- zewshi, 160.
Mal
de PoTT. Etude microscopique de la moelle dans
ois de cas du triju- meau d'origine dentau'e non ac- compagnée de
mal
de dents, par Walter il. Tliol-ii, 235. - ova-
modique et épilepsie, 327. Obsession. Quelques cas d' uri naire ;
maux
perforants plantaires précurseurs de l'ataxie d
é auditive, des zones d'anesthésie. Beaucoup d'onychophages respirent
mal
par le nez. donnent la bouche ouverte, ce qui peu
tions. Dans un autre volume sur l'hypnotisme, formé de compilations
mal
reliées ensemble, el qui n paru Il y n un an envi
ustement attribuer au fait d introduire dans sa bouche ses doigts. — «
mal
malpropres, un grand nombre tle troubles digestif
rveuses. Siss ilenls sont défectueuses ; ses oreilles sont grandes et
mal
bordées. .Vu lycée, on se plaint de son travail,
de nombreux stigmates physiques de degenerescence il a les oreilles
mal
plantées, mal ourlées, le voile du palais In -
igmates physiques de degenerescence il a les oreilles mal plantées,
mal
ourlées, le voile du palais In - profond cl rét
ce qui suit : Le fameux cousin était dr retour : il avait pris très
mal
l'accusation porter contre lui, et avec une indig
ii elle qui était ainsi tourmenté, elle dépérit et meurt bientôt d un
mal
inconnu. Dans l'envoûtement par les images de c
e lillc resta insensible. Alors je lui annonçai qu'elle n'aurait plus
mal
, qu'elle allait marcher sans douleur, et sans gèn
'il était nécessaire de lui laire une opération, elle n'aurait pas de
mal
. —Celait la première lois que je risquais une sug
comme elle n'avait cessé de se plaindre, on avait cherché la cause du
mal
partout où elle en signalait la présence. La vo
btins plus rien. Elle avait dés le premier jour localisé le f,iège du
mal
dans le genou. Mais ou avait déjà exploré cette r
provoquer de douleur, bien qu'elle prétendit que là était le siège du
mal
. Enfin, autant pour me contenter que pour en avoi
a rigueur scientifique la plus impeccable, sans relever le bien ou le
mal
fondé des polémiques engagées entre les partisans
cevoir les affirmations qui ont pour luit de les débarrasser de leurs
maux
. Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
accumulée au pôle d'inertie, deviennent remarquables en bien comme en
mal
. soit qu'on leur suggère de la sédalion ou de l'e
: devenus absorbés d'une manière continue par l'idée négative de leur
mal
qui leur est inculquée, ils n'en fou! plus la dif
. Quatre fois, une sensation de sécheresse à la bouche ou des besoins
mal
satisfaits ont précédé ou accompagné mes premiers
ia avec tant d'instance de- ne rien lui faire faire qui pût lui faire
mal
ou la choquer «pie je trouvai difficile d'insiste
tins sociétés modernes oii le désir personnel de jouir a créé tout le
mal
qui consiste en la richesse des uns et In misère
ne il récite son chapelet pendant la route', mais il n'a rien fait de
mal
: il a eu raison de vouloir tuer son père, telles
et spécialement celles qui ont rapport à la vision, ont été ternes et
mal
dessinées. Pires encore ont été les représentatio
ant pas insignifiantes, je ne redoute pas d'en parler. Honni soit qui
mal
y pense. Dans mou premier sommeil, après m'ètre c
être entraînés vers le bien, mais aussi incapables de se détourner du
mal
; ils sont comparables aux projectiles qui. lancés
pour les envoyer au ciel. Certes on peut trouver de la résistance à
mal
faire, même chez les dormeurs les plus profonds,
onvictions arrêtées, qui Boni indifférents pour le bien comme pour le
mal
: telle la célèbre Cahricllc Bompard. dont la fro
se reproduisant de quinze il vingt fuis par nuit. I.a longue durée du
mal
devait faire admettre l'existence de lésions maté
ent à la vue du sang humain et nous avons cîté mon client se trouvant
mal
en voyant saigner un poulet ou couper le cou d'un
ltats, mais le meilleur traitement sera dans tous les cas. puisque le
mal
dépend d'une impression-nabilîté excessive de for
t plus méritoire, nous »emble-t-il. que la jalousie, cause de tout ce
mal
, qui avait mis les jour» de cette femme en danger
rait-on confondre leur maladie avec certaines autres affrétions. Le
mal
décrit par M. Charcot sous le nom d'automatisme c
uestion une conférence qui renferme quelques vérités aussi justes que
mal
connues. Il n'est pas possible, dit M. Hart, de
â l'école on le met toujours parmi les derniers élèves malgré tout le
mal
qu'il se donne pour faire ses devoirs. Il écrit b
ils le disent il est tres sérieux pour son age- et il ne raisonne pas
mal
. Il a le caractère doux, il est tres obéissan
e. Elle a. depuis sa quatorzième année, un enrouement, peu à peu le
mal
empira jusqu'il eu que depuis un an déjà elle est
; je ne vais à la selle que tous les deux ou trois jours. « Je dors
mal
; j'ai le sommeil agité. « Sans parler de cent
scurité, embarras, contradiction. On est pris au piège d'une question
mal
posée. Si l'on accepte au contraire les faits com
c elle. Je fus le 23e médecin consulté pour l'objet, cause de tant de
maux
depuis 5 ans ! Dans mitre exploration, nous con
réveil, je lui suggérai, en gros et en détail, la guérison de tousses
maux
. 9 avril. Plus d'attaques: cneore battements et
nsibilité telle que de itochas l'a décrite el que par conséquent il a
mal
compris mon récent article sur la pseudo-extérior
oeh. in-4». 31 pages, Charles Boehw. Montpellier. 1893). Grasset. —
Mal
de Polt et paraplégie fiasque aneslhésique (broch
injonctions, il aurait tenté de se tuer lui-même: mais, de deux coups
mal
dirigés, l'un lui fit seulement une blessure à la
ent en contact et son service militaire s'accomplissait tant bien que
mal
lorsque la période des exercices de gymnastique a
de la folie, alors qus l'on peut à peine se douter de l'existence du
mal
et quelques exemples tendent a prouver que. dans
s cela d'avoir une influence prépondérante, on bien encore que l'on a
mal
raisonné. Le « je veux » n'est que l'expression
rdes. Il s'agit de paraplégies, «le mutité, tremblements, et tous les
maux
qui peuvent frapper celte catégorie de malades. J
le el qui sert maintenant d'infirmier volontaire. Il a eu en 1880, un
mal
de Pott avec abcès multiples et paraplégie conséc
rmer le contraire. Comme miracle, il ne s'agit la simplement que d'un
mal
de Pott amélioré suivant les procédés ordinaires
fut ordonné à Marguerite de Navarre, pour le pansement d'un furoncle
mal
placé, et que lu bibliothèque de Florence possède
t l'année du roi. fut attaqué de la lièvre, et. sentant redoubler son
mal
. il resta il Meiilan. On commençait il désespérer
elon le cas, à droite ou à gauche. Céphalalgie. — Le rire guérit le
mal
«le tète, parce qu'il déblaie les sinus frontaux
ment dans la région frontale: il s'est proniptement débarrassé de son
mal
en lisant les Anec dotes mèdicales de Witkowski.
a lutte pour la vie: mais il faut cependant mettre en garde contre le
mal
les gens qui suivent la mode et s'abandonnent à l
nnent peut-être à eux qu'après plusieurs heures ; ils se sentent très
mal
ù l'aise, se plaignent de maux de tète ; leur phy
plusieurs heures ; ils se sentent très mal ù l'aise, se plaignent de
maux
de tète ; leur physionomie est hébétée, etc. Ces
l'auteur rherrhe-t-il ensuite à guérir par une nouvelle suggestion le
mal
produit. A chaque séance d'hypnotisme, la jeune f
mesure que je frictionne, la douleur diminue, vous n'avez plus aussi
mal
. vous sentez bien que cela diminue. Avez-vous enc
z plus aussi mal. vous sentez bien que cela diminue. Avez-vous encore
mal
? » Elle dit : « oui ». Je continue à toucher la
a région. Après 2 minutes, je dis avec conviction. « vous n'avez plus
mal
du tout. » Elle dit : « Encore un peu ». — « Je v
ndant 2 minutes, puis je dis: « Enfin tout est fini. Vous n'avez plus
mal
du tout, » La douleur a en effet disparu. Elle av
présentent la naturo telle qu'ils la voient, mais alors ils In voient
mal
, puisque autrement que M. Xordau; ils sont donc d
rement que M. Xordau; ils sont donc dégénérés. En effet, s'ils voient
mal
. c'est qu'ils éprouvent des troubles visuels, or
serait assez topique et que pour des dégénérés ce ne serait pas trop
mal
raisonner. Pour qui donc a-t-il écrit? Four les
ucubratlons. A notre avis sa principale erreur est de croire que le
mal
qu'il dévoile est special :. notre époque . et dé
chat et conduit à penser que Brooklyn est une ville où l'on dort fort
mal
. Si les chats et l'insomnie sévissaient avec la
ue dans une pièce surchauffée, dit-elle avec grand sens, des artistes
mal
disposées ou nerveuses aient accusé des symptômes
r l'offrande d'un ex-voto, sur lequel on gravait souvent le récit des
maux
endurés et des guérisons obtenues. Dans des fou
te avec un soin méticuleux ce qui s'est passé la nuit, s'il a bien ou
mal
dormi, le genre de rêves qu'il a eus. puis il se
en tout et partout. ¦ Suivant l'auteur le problème de la vie a été
mal
pose. Il n'y a pas de différence essentielle
Voix, N. 2. en affirmant qu'ils étaient engourdis et lui faisaient
mal
, à ce moment j'ai de nouveau examiné ses mains et
de de traiter ce genre de malades, on finit toujours par triompher du
mal
. La lecture de ce livre est très attrayante et
au sein droit au commencement d'avril 1890. Pendant l'examen de son
mal
qui était une tumeur sarcomateuse d'un grand volu
ignit la fois suivante d'avoir eu, dans le courant de la semaine, des
maux
de tète violents et plusieurs saignements de nez.
lade accusait une douleur sensible, il se plaignait des piqûres et du
mal
qu'on lui faisait. En outre, à la suite des piq
premier il est en position d'assister aux premières manifestations du
mal
, et d'informer les familles des conséquences si s
t au cours de quelque expédition amoureuse, le chat fut ramassé assez
mal
en point, ne pouvant plus agir que des pattes de
us aucun souffle, seulement un froid très peu sensible et des cheveux
mal
coiffés... En tout cas, je crois que ma première
ystériques ou anxieuses. Ils se produisent, en outre, par un réveil
mal
fait avec défaut de désuggestion, etc. Ils se p
seur, lorsqu'il ne connaît pas à fond le manuel opératoire. Tout le
mal
qu'a produit Friedrich par son mode d'hypnotisati
endant l'année 1891, d'accidents nerveux, états de sommeil, vertiges,
maux
de têtes, convulsions. Ces symptômes se produisir
ns toute l'économie animale, dés que cet organe modérateur fonctionne
mal
ou est supprimé. Du reste, beaucoup de faits se p
les hypnotiseurs, restés en rapport, obtiennent sur eux en bien ou en
mal
, par affirmation et avec rappel d'attention accum
emploi de ce moyen et dans sa répétition trop fréquente, dans des cas
mal
appropriés. Les médecins seuls devraient, d'après
e de médecine ignorait le langage médical. Elle expliqua cependant le
mal
du frère de M. Neukomm avec une telle précision q
nsable. J'estime donc que le fait tel qu'il est présenté doit être ou
mal
observé ou mal rapporté ou dénaturé. » A la Sal
e donc que le fait tel qu'il est présenté doit être ou mal observé ou
mal
rapporté ou dénaturé. » A la Salpétrière, les i
ssez souvent ; ils soulagent presque toujours, mais ne font jamais de
mal
. Peut-on en dire autant de tous les médicaments e
malade sait très bien que son enfant est vivant, qu'il n'a en aucun
mal
. Quand elle raconte comment s'est passé l'acciden
épit du témoignage de la conscience qui en comprend et en apprécie le
mal
fondé. Les choses se passent comme si une image
ssitôt, elle ajoutait : « Ah! le voilà, mon cher petit. Il n'a pas de
mal
. Quel bonheur! » Quelques jours après, le souveni
céder facilement aux impulsions qu'on leur donne, conjure souvent le
mal
qui les menace ; elles plient alors et ne se bris
onfirmé dans la véracité de ses dires et de l'existence réelle de son
mal
, en ce qu'immédiatement, pendant que je lui adres
que momentané. Bientôt l'auto-suggestion reprend tout son empire, le
mal
reparait dans toute son intensité, les malades et
'au lieu de lui faire du bien, il lui ferait au contraire beaucoup de
mal
. Le lendemain, à l'état de veille, ignorant compl
onta avoir rêvé que « ce maladroit de M. Escande était venu lui faire
mal
à son genou. » Mais, lui dit-on, il venait avec d
ns largement réparé cela par la suite. Si un rêve peut ainsi faire du
mal
, ne peut-il pas faire du bien? S'il est pathogène
lant et se trouvant entièrement rétablie, s'écria : « Je n'ai plus de
mal
, je suis guérie par la grâce de Dieu ! » Elle dem
u moins les symptômes analogues), l'irritation générale des nerfs, le
mal
de tête et des yeux, le tremblement du corps enti
mmeil tranquille; après les séances difficiles ou manquées, elle dort
mal
. Je note encore que dans les expériences de Varso
, couvert de sueur, près de s'évanouir ; il se plaignait d'un violent
mal
de tête. Avant l'expérience, les assistants miren
iques et pour les jeux nécessitant des efforts soutenus. Ils écrivent
mal
, présentent une infériorité notable au point de v
venir de la séance. J'ai pourtant observé des cas, où l'hypnotisme,
mal
conduit ou trop violent, ou fréquemment répété ou
étant né en 1830, dans une petite bourgade, à Soursk, éloigné de pas
mal
de verstes d'un centre important. Son père appart
rir, coup sur coup, deux de ses filles. Son fils aîné est frappé d'un
mal
terrible et qui ne pardonne pas. On appelle le Pè
quoi bon s'échauffer dans une entreprise qui n'est que temporaire et
mal
rétribuée, et sans concurrence qui stimule ? On y
grotte. James Tonbridge, de Paris, souffrait depuis longtemps d'un
mal
de Pott avec abcès et plaies étendues. La poitrin
onbridge pendant sa maladie, constatèrent la guérison radicale de ses
maux
. Tl y avait huit ans que Marie Barret (rue de l
e faisant des trous à la tète. a On s'étonne de les voir si durs au
mal
: l'un s'amputait la jambe tranquillement en la b
t aux maladies. Ils sont particulièrement sujets aux rhumatismes, aux
maux
de dents, aux ophtalmies occasionnées par la chal
ntervient : « Vous l'avez prise à un compagnon, à un camarade ! C'est
mal
. — Oui, c'est vrai, mais j'en avais envie. Dites,
le parce qu'elle ne dort pas et qu'elle a toujours peur de se trouver
mal
. Elle a la sensation d'un casque serrant la tête,
it, ne savez-vous pas cette belle oraison qui guérit de l'ongue, — la
mal
ongue (cataracte), de la fleur et du bourdon (org
e qui est : Et le, super ante et super ante te. On se préserve du
mal
de dents en disant cinq pater et cinq aue et en f
eure. » Nous croyons que ce souci exagéré de l'antiseptie dissimule
mal
une véritable phobie neurasthénique compliquée, v
inopérable ; une autre d'une carie au pied , M1,M X..., Z..., que des
maux
incurables avaient abattues, déformées, jetées pr
Alger, il s'agissait donc ici d'un aliéné monomaniaque que ses juges,
mal
éclairés par les médecins-juristes, avaient pris
time des préjugés populaires et, par suite, une victime de la justice
mal
informée. Plein de cette conviction, M. Durand
onnais pas. » Interrogée par moi pour quelle raison elle faisait le
mal
, elle se livrait à des violences, à des bris d'ob
it pas pourquoi et qu'elle n'éprouvait aucune satisfaction à faire le
mal
. Pendant les deux premiers mois de son séjour d
je m'aperçois que mes mains sont dans ma bouche, il est trop tard, le
mal
est fait. » I! fut convenu de suite que le mala
st normal, à l'exception de son onycho-phagie. 11 sait que c'est fort
mal
de se ronger les ongles ; mais c'est plus fort qu
rs l'idée première, l'état conscient primitif — il savait que c'était
mal
— aurait suivi son cours normal et il ne se serai
x états conscients successifs : le premier qui constatait que c'était
mal
et qui n'était pas suffisant à arrêter l'acte com
elle devint domestique. Elle quitta sa place au bout d'un an avec du
mal
de gorge. Ses règles apparurent lorsqu'elle eut s
tre considérables. Ce que le manque de volonté causa, c'est-à-dire le
mal
, et la guérison qu'il empêcha, de fortes impressi
ue bien avant dans la nuit, » II en résulte une propagation rapide du
mal
, une véritable épidémie d'attaques hystériques qu
s de me placer dans la salle même), j'avais dû me loger tant bien que
mal
, que je le trouvais au comble de l'énervement. Je
aptes à exécuter, sans qu'ils puissent y résister, les suggestions à
mal
faire auxquelles on les poussera. Etant, par eux-
être imposée à N... de ne plus se souvenir d'avoir été suggestionné à
mal
faire après son réveil ; — tous ces vols se manif
re manque absolument chez l'hystérique. Dès le début aussi du grand
mal
, les pupilles se dilatent et ne se contractent pa
trouve du reste sur les poumons des individus morts en état de grand
mal
. L'hystérique a bien des convulsions toniques, ma
i avait échappé au service militaire en simulant le grand et le petit
mal
et qui était interné à l'Asile de Clermont. Ces
orterez une part à un faiseur de thèses. Professions que tiennent pas
mal
d'internes et même quelques médecins. « La thès
, chacun revenait avec son travail de bibliographie, et tant bien que
mal
on ordonnançait le tout ; et il s'est trouvé des
cela le malade se remet à boire de l'alcool, il le supporte bien plus
mal
qu'auparavant. Surdi-mutité hystérique guérie p
s accidents sont rebelles à toute thérapeutique quand on les comprend
mal
, quand on ne remonte pas à leur origine, autant i
sai, et des suggestions lui furent faites pour soulager les fréquents
maux
de tète dont elle souffrait. Elle revint quelques
mère très emportée aussi avait en plus un tic nerveux et souffrait de
maux
de tète tris fréquemment. Son grand-père paternel
84. Un accouchement laborieux ne peut être attribué qu'aux esprits
mal
intentionnés s'opposant à la sortie de l'enfant.
it û l'époque où il a été découvert, mais qui semble maintenant assez
mal
connu généralement, car il a donné lieu â bien de
veut le guérir, il croit que l'application est faite dans ce but, le
mal
disparaîtra purement et simplement. Mais si c'e
oser qu'au lieu de le guérir on va simplement changer la place de son
mal
? Cela est si vrai que, ne connaissant pas que c
la croix et souffle trois fois), cette homme sera guéri. — Pour le
mal
de gorge. — Mal de gorge et grenuchon (fièvre (
ffle trois fois), cette homme sera guéri. — Pour le mal de gorge. —
Mal
de gorge et grenuchon (fièvre (1) Thèse récemme
toc. cit./page> page n="57"> scarlatine) et tout espèce de
mal
de gorge, je vous touche tous à la fois, au nom d
ù son membre. J'ai eu souvent l'os de test servir grandement en haut
mal
, aux coliques graveleuses et autres douleurs de r
rs de terre était également employée par les médecins pour guérir les
maux
de gorge des enfants. Nos paysans poitevins emplo
ique, encore quelques conseils. — Pour preserver les jemmes de tout
mal
au sein, froite^-leur la poitrine avec le cordon
extrémité, alors que souvent il n'y a plus rien à laire. Avez-vous
mal
aux dents ? Nos guérisseurs ont des spécifiques m
nder une dent. — « Quand on la porte sur soi, dit-elle, ça guérit les
maux
de dents. » — Comme nous lui montrions le peu de
, autrement vous aurez opéré en pure perte. — Pour se préserver des
maux
de reins, chauffez-vous le dos au feu de laSaint-
l'on est par-là comme on devrait toujours être dans la souffrance des
maux
, dans la privation de tous les biens et de tous l
t deux causes de l'automatisme ambulatoire ; ce sont l'hystérie et le
mal
comitial. Afin de prouver que les accès d'autom
mbulatoire vis-à-vis de l'hystérie. On le place aussi sous celle du
mal
comitial. Est-ce avec juste raison et ne pourrait
une succède à l'autre. La deuxième preuve, c'est que le traitement du
mal
comitial agit favorablement sur l'automatisme.
faire soupçonner un étui pathologique, celte personne est atteinte de
mal
comitial et non pas d'hystérie. L'individu qui ur
uère douteux qu'il faille rattacher l'automatisme de notre cliente au
mal
comitial. Et la conséquence naturelle de cette
es fractures. Jamais notre inteution n'a été de les viser. C'est donc
mal
â propos qu'ils ont pris l'alarme ! · Hais atte
as s'abattre et reprendre sa stabilité. Le petit garçon n'eut d'autre
mal
que de profondes contusions, mais B..., qui avait
sent les matous ! Dans ce infime pays, on recommande contre le même
mal
, des têtards fricassés, pris à l'intérieur. C'est
ser prendre aucune. Ce n'est pas tout. Si on a éprouvé quelquefois le
mal
de mer ou le vertige qui suit le balancement de l
's, qui ne veulent demander qu'à la seule prière la guérison de leurs
maux
, il s'est fondé à Londres une secte nouvelle, éga
l'homme est toujours et fatalement roulé par la femme. Il a écrit Le
Mal
du Siècle roman où il met en opposition l'esprit
maladie dont notre époque souffre le plus, c'est la lâcheté. (1) Le
Mal
du Siècle, par Max Xordau, Paris, Louis Westhauss
dieu humain ou animal.Ce fétiche est efficace contre toutes sortes de
maux
; niais parfois il n'a d'action que sur certains
efficace contre les blessures de ce membre (t). On emploie contre les
maux
de dents, un bois taillé en forme de dent et reco
tète ; celle-ci est inclinée sur l'épaule droite. Ce saint guérit des
maux
de tète, des vertiges, des étourdissements, des
s cette propriété que parce qu'un des leurs aurait été atteint par ce
mal
? Saint Eutropo guérissait la migraine parce qu
uggestion hypnotique, et cela sous le prétexte de le débarrasser d'un
mal
de dents et d'un certain tremblement (probablemen
de la suggestion. Au réveil, il dit se trouver très bien, n'avoir pas
mal
à la téte. La nuit suivante a été très bonne.
vaient au moins une douzaine d'autres articles, mais elle n'eut aucun
mal
à choisir ceux que j'avais nommés. — Quand je sui
des méthodes suggestives orientales, que nous connaissons encore bien
mal
. Il nous est rapporté parle Dr Th. Pascal, qui en
humanité et le souci de la sécurité publique ? Peut-on aggraver son
mal
en y pensant trop ? De tout temps le populaire
la suite d'une préoccupation constante de l'esprit du malade sur son
mal
et d'une attention perpétuelle à la partie malade
-midi. Remarque. — Il y a un retard de 1 heure 45 minutes. La durée
mal
calculée de 8 jours, 5 heures, 30 minutes corresp
al calculée de 8 jours, 5 heures, 30 minutes correspondait à la durée
mal
calculée de 197 heures 30 minutes du N° 14. Ceile
ont revenir toutes les cinq minutes et qu'elles ne lui feront plus de
mal
. En effet, après cinq minutes écoulées, une nou
ur propre nature, en regardaient les rouages intimes d'ailleurs assez
mal
et, do plus, avec un tel éton-nement, qu'ils n'os
, sans les consulter au préalable. Mais ils souffrent, ils se font du
mal
, ils se combattent. Les deux esprits contemporain
re, les tentatives de suggestion chez les pauvres malades atteints du
mal
comitial./page> page n="187"> Un cas de
ort, l'idée que nous nous en faisons, qui nous terrorise et nous fait
mal
— et non la mort elle-même. M. Jean Finot trace d
cela me paraît une fable ; je ne serai pas si naif de me déranger. »
Mal
lui en prit. Avant un mois, il reçut une lettre é
la, malgré tout, n'est pas impossible, car un criminel ou un individu
mal
intentionné pourra étudier les phénomènes hypnoti
hatouillé est la minceté de sa peau et que lui seul de tous les ani-«
maux
rit ; car le chatouillement est un ris par le mou
és d'après une esthétique particulière, il y aurait, convenez-en, pas
mal
d'hommes â éliminer, soit pour la forme, soit pou
peu, moyennan! une certaine méthode d'entraînement, acquis sur Pàni-N
mal
une influence psychique. Des magnétiseurs n'ont
trouver-exaltée. Ainsi, l'un des parents de M. Foustanos pariait fort
mal
le français à l'état de veille, mats, une fois en
nous revint, et nous i'avens eu puur président en 18'G. Enfin, le 29
mal
1885, prônant en quelque sorto aa retraite, 11 so
u'au cours do aa longue et belle vie, de même qu'aux jours affreux du
mal
qui duvalt lo terrasser, il a goûté en patriarche
mps de s'en aller tandis qu'on croyait que le jeune homme se trouvait
mal
. D. — Mais vous, vous l'avez vu. Reconnaitriez-
ade ne présente, une fois réveillé, aucun symptôme anormal. U n'a pas
mal
à la téte, il ne vomit pas et, très rapidement (d
o, le Dr Gibert put, grâce à la suggestion, faire oublier la cause du
mal
et cette amnésie détermina la guérison de tout un
ès rationnellement ceux qui l'approchent mettent sur le compte de son
mal
. Il est vrai que s'ils rapportent des changements
ngements de caractère à la maladie elle-même, ils en entrevoient fort
mal
l'origine et l'explication scientifique. On dit :
par des bizarreries d'actes ou de désirs qu'on rapporte encore à son
mal
, mais sans comprendre, exactement comme si le mal
grit et change le caractère du patient, ? Dans l'espèce, la nature du
mal
n'est pas indifférente, et c'est à cette origine
s ses employés s'aperçoivent d'erreurs grossières. De plus, il reçoit
mal
ses clients les plus importants, les insulte pour
-suggestion naturelle accepte la représentation mentale mauvaise ; le
mal
s'en suit. Celui qui voit voler peut accepter a
ie intellectuelle, dit Giroust, solitaire de Port-Royal, font plus de
mal
à la tête que de bien au cœur » ('). De l'aveu
utomobile sous un soleil torride. Elle rentre le soir avec un violent
mal
de tète et se couche. Mais la nuit, elle est réve
jusqu'à un certain point, obnubilées ou perverties. Elle se rappelle
mal
les jours et les dates, ou bien, elle les embroui
s distruens. Empêchons donc Mme B... de ¦ ruminer », d'entretenir son
mal
, el de s'intoxiquer avec ses idées délirantes; pr
le nom de démence épi-leplique-paralytique-spasmodique, une affection
mal
ou insulfisamment/page> page n="342"> d
, écrire, calculer; ils sont alertes et agiles. ? la suite d'états de
mal
répétés, d'accès sériels prolongés, nocturnes ou
ée par ?a suggestion hypnotique, par Vlavianos, p. 11. Aggraver son
mal
en y pensant trop ? (Peut-on), p, 158. Alcoolis
titubait, avançant à pas inégaux, jambes écartées, ni mieux, ni plus
mal
à la lumière ou dans l'obscurité. Couchée sur
chir ou d'étendre la jambe sur la cuisse ? Ces mouve- ments se font
mal
, la jambe étant envoyée brusquement à droite ou à
s ne sont pas dues à des bottines trop étroites, ou trop larges, ou
mal
faites et en a changé plu- sieurs fois sans rés
ite l'idée d'une tumeur extra- médullaire agissant par compression (
mal
vertébral, tuberculose, cancer, pachY1éllingite
marche, se promène volontiers, bien que ses petits pieds paraissent
mal
proportionnés avec le volume du corps et de l'a
es formes. En 1885, le syndrome du déficit cérébelleux était encore
mal
connu, et comme la sclérose en plaques lui empr
ée. La parole est scandée, explosive, spasmodique, nasouuante, très
mal
articulée quant aux consonnes. Si l'on repren
z D... 1° Dans la marche, le tronc, en arrière, ne suit pas ou suit
mal
les mouve- ments des membres inférieurs. Il fau
stent fixes, rigides et ne fléchissent pas, comme chez l'homme nor-
mal
, pour rétablir l'équilibre. ' (1) Fouché a rapp
. Les types de démarche, même ne s'écartant pas beaucoup de la nor-
male
, sont très nombreux ; et il faut tenir compte de
au plus au 1/5 ou au 1jeu interne de la crête iliaque pa- raît bien
mal
disposé pour élever le bassin de son côté : l'élé
ES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 69 légères qu'elle est
mal
limitée à sa partie inférieure. Le peu d'aplatiss
S SÉNILES DU SQUELETTE SIMULANT LA MALADIE DE PAGET 77 d'affections
mal
précisées encore en certains points, il convient
nt pas faute d'empiéter sur celui des voisins : d'où le proverbe « le
mal
est que le barbier ne se contente pas du poil »
ison, était une concrétion intestinale recueillie sur divers ani-
maux
. Les plus estimés étaient ceux de la chèvre sau
troisième génération, d'autant mieux que le malade a conscience du
mal
dont il est atteint. Les premiers symptômes ne
vue du diagnostic. Le cas d'Henri R... occupe donc une place encore
mal
déterminée entre la maladie de Friedreich et l'
r, les couches cellulaires sont tassées ; les éléments en sont nor-
maux
et se colorent bien. Aucune altération vasculaire
uve des modifications. Chacun d'eux est plus petit qu'à l'état nor-
mal
et chaque amas est composé d'un nombre d'éléments
us tard que cette malade se plaignait depuis longtemps déjà de voir
mal
et qu'un oculiste aurait constaté une hémianopsie
t prétendu qu'on ne l'avait pas remise dans sa position habituelle.
Maux
de tête violents par crises. A vomi une seule foi
ière du néoplasme la substance blanche a un aspect tout à fait nor-
mal
. ' Ecorce. - Elle est très altérée à proximité
abord.Ecrit encore des lettres sensées bien que très simples. Joue
mal
aux cartes, jeu qui cependant ne lui est pas 13
6 mois encore et ce fut alors qu'il commença à ressentir de violents
maux
de tête, qui furent bientôt suivis de vomisseme
y a lieu d'éliminer tout de suite une lésion osseuse (ostéomalacie,
mal
de Pott) dont on ne trouve aucune trace. L'hyst
ient maladroit dans d'autres actes de la vie : il commence à porter
mal
sa canne, il renverse de temps en temps la cuillè
intense. Au Nissl, les cellules pyramidales apparaissent déformées,
mal
colorées et les cellules pyramidales sont pour
Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor-
males
. Ecorce cérébrale. Les méninges, peu épaissies,
sont conservés. Les réflexes crémastériens et plantaires sont nor-
maux
. La sensibilité à la douleur est, semble-t-il, un
e marquée. Le tissu nerveux, - cellules et fibres - se. colore très
mal
. Les racines sont enflammées. Weigert-Pal. On
ée et de l'endartérite très prononcée. Le tissu nerveux se colore
mal
, seulement au niveau de la substance grise. Il
qués par les lésions partielles des lobes cérébel- leux sont encore
mal
déterminés. Les expériences des physiologistes so
tous les cas dans lesquels la circulation veineuse du membre se fait
mal
, faute l'impuissance aux mouvements. Mais ces l
75. P171LIPPSOR. Ricerche sperim, sull'orticaria. Giorn. ital. par le
mal
. ven. e del. pelle, 1901, p. 908. 76. TonSK.
ue de Neurol., 30 déc. 1904. 87. LounzsLL. - Contr. à l'étude de la
Mal
. de Morvan, Thèse de Paris, 1899. 88. Schlesing
, p. 654. 106. Millard. Thèse de Paris, 1888. Des oedèmes dans la
mal
. de Basedow. 107. RAi'tN. De quelques formes ra
(118). 111. ALARD. id. id. 115. Calderoni. Giorr2ale ital. delle
mal
. ven. e délia pelle, 1903, V. 119. Asxen uND BA
at., art. OEdème. 130. Kaposi (Besnier, Doyon). Path. et trait. des
mal
. de la peau, Paris, 1891. 131 RicHAnDiERE. Anna
ides très fortes et qui prennent à la gorge. Dans certains ateliers
mal
aérés les ouvriers vivent ainsi pendant plusieu
ion, est fils d'un alcooli- que mort à la suite d'accidents nerveux
mal
définis. Lui-même a fait quel- ques excès alcoo
en est aperçue. Les dents sont irrégulières, petites, cupuliformes,
mal
implantées : les incisives médianes sont en retra
erno-cléido-mastoïdien il existe en dehors du faisceau sternal nor-
mal
, des faisceaux qui vont se fixer sur les points d
mensions du crâne sont les suivantes : comparées aux diamètres nor-
maux
chez l'adulte (occipito-frontal : 192 mm. 3. Bipa
re bipariétal, 132 millimètres (149 mm. 3 chez la femme adulte nor-
male
). .. Diamètre occipito-frontal, 170 millimètres
tion des muscles de la ceinture scapulaire est le plus souvent nor-
male
. La plupart des auteurs se sont préocupés de l'ét
ade de cette régression. A un second stade les clavicules sont nor-
males
; seules les anomalies crâniennes persistent. Not
). 350 RABAUD D'une façon générale, d'ailleurs, la question était
mal
posée. Et elle était mal posée, non seulement p
on générale, d'ailleurs, la question était mal posée. Et elle était
mal
posée, non seulement par Dareste, mais par tous c
que Murait (1) met les hémorragies sur le compte de pressions anor-
males
exercées durant l'accouchement. Veraguth (2) adme
multiplier, ce qui se traduit par la diminution du nombre des assises
mal
. pighiennes (1). Celles-ci font bientôt complèt
asmodique, s'accompagnant de tremblement des mains. La parole était
mal
articulée, lente et monotone. Les aliments lui
ivent sans interruption en donnant lieu ainsi à une sorte d'état de
mal
qui, d'ailleurs, ne s'accompagne d'aucun troubl
ents volontaires des muscles de la face accentuent ordinairement le
mal
; d'autre part une électrisation énergique du ner
e que les muscles en question soient paralysés ; ils se contractent
mal
à propos en réalité,et de plus ils ne sont plus s
onnels. A l'âge de cinq ans a été malade d'influenza (maux de tête,
mal
à la gorge, vomissements, etc.). En dehors de cet
enfin une paraplégie incom- plète ressemblant par quelques côtés au
mal
de Pott. Les contractures hystériques sont aujo
ion avec le résultat produit. La netteté est grande si l'origine du
mal
est rapportée à une frayeur, une émotion, une col
os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le pied paraît
mal
supportée. Mais un examen un peu circonstancié
e muscle sterno-mastoïdien. Les mouvements de déglutition sont nor-
maux
. Aucun phénomène général, température 37° 2, poul
ille dont de Paoli nous a raconté l'histoire : comme elle se tenait
mal
en classe, accoudée, la tête appuyée entre les
Un médecin consulté sur ces entrefaites avait émis l'hypothèse d'un
mal
de Pott au début, et avait institué un traiteme
ire. La malade, disons-nous, avait été soignée pendant un mois pour
mal
de Pott : le mode de début, l'état général de l
on s'opposaient tout à fait à cette manière de voir. La scoliose du
mal
de Pott n'atteint, on peut dire jamais, une sem-
ure sur laquelle, depuis quatre ans, il était cloué par un prétendu
mal
de Pott. Mais notre observation prouve que cette
ralgiques. Mais ces dernières ne sont pas régies, com- me celles du
mal
de Pott, par la distribution anatomique des nerfs
is même dis- paraître. Cette courbure est parfois énorme, souvent
mal
ou pas compensée, et quelle que soit son ancien
originales, d'où dépend le diagnostic différentiel, tantôt avec un
mal
de Pott, tantôt avec un « tour de rein », tantôt
n existe, quoique sensiblement diminué, le réflexe cornéen est nor-
mal
. La sensibilité paraît normale sur la plus grande
bres inférieurs, le droit surtout, elles auraient eu comme cause un
mal
de Pott lombaire ou dorso-lombaire tout au plus,
e question. Il était donc à peu près certain qu'il n'y avait pas de
mal
de Pott lom- baire. C'était moins sûr pour la r
ction lombaire prouvant que le liquide céphalo-rachidien était nor-
mal
nous avions pensé à l'hystérie bien plutôt qu'à u
relater un cas d'hystérie infantile ca- pable d'en imposer pour un
mal
de Pott, c'est-à-dire pour une lésion d'ordre c
rigés principalement par un vicaire, l'abbé F..., esprit exalté et
mal
équi- libré, prompt à voir le diable au milieu
er un mauvais tour, car il m'en veut toujours, a pu envoyer tout ce
mal
sur ma paroisse. » L'abbé C... devient donc le
imes, le parti religieux signala ses ennemis comme les au- teurs du
mal
et peu s'en fallut que ceux-ci ne payassent de le
. d'incré- dule, que nous sommes des folles, que nous n'avons qu'un
mal
d'imagina- tion ! nous sommes des damnées, s...
s sur ce sujet, un grand nombre de ces dystrophies nous sont encore
mal
connues, et des faits disparates sont fréquemme
nous avons l'occasion de publier, sous le titre d'ostéogénèse anor-
male
, une observation qui, quoique rentrant dans la gr
la luxation congénitale de la hanche dont la pathogénie est encore
mal
élucidée. On pourrait invoquer cette laxité com
ense sur tous les points. Certaines portions prolifèrent un peu moins
mal
que les autres, ainsi que le montre l'intensité
ut pas considérer ces faits comme relevant d'une ossification anor-
male
du périoste. Ils sont bien plutôt, croyons-nous,
s, volumineux chez les enfants de S. Müller et de Grotthof,est nor-
mal
chez les autres. La Pituitaire était normale da
lité des os, par des fractures multiples et par une voûte crânienne
mal
développée. Il n'y a pas de synostose prématuré
ion de l'activité cellulaire entravant la différenciation ? loi.- z
male
et l'évolution régulière vers l'état adulte parfa
et guéri avant la naissance (Soc. de Chir., 1883, et Rev. mens. des
mal
. de t'enfance, 1884). GuÉRiK. Rech. sur les dif
rence existe, car chez ces derniers il existe une persistance anor-
male
du cartilage de conjugaison qui continue a produi
que certaines phalanges ne présentent presque plus leur forme nor-
male
; mais elles sont aplaties et présentent des trou
extrémité distale) l'union persiste, le procédé de division se fait
mal
ou bien ne se fait pas. Il suffit de consulter
nt sans cesse. 574 VALOBRA .syndactylie, la théorie atavique a du
mal
il se soutenir. On ne peut cer- tainement pas i
as de ces deux variétés. Il y existe un os qui occupe la place nor-
male
du tibia; mais peut-on affirmer que cet os soit l
ut, la présence fréquente des cicatrices sur la peau de ces membres
mal
formés. Ces cicatrices, selon les recherches ex
w's Archiv. Bd. 100, 1885. 72. Handeck. Cité par KIRnussox. Tr. des
mal
. chir. d'origine congén. Paris, 1889. 73. IIoRR
ie-mère et les hémisphères cérébraux apparaissent complètement nor-
maux
. Les deux hémisphères, durcis dans le liquide de
début de la syphilis. Il s'aperçut que le pouce droit fonctionnait
mal
et était ramené en arrière et en dehors. Il n'y é
es plus loin il avait gardé assez de force pour faire tant bien que
mal
son métier de jardinier. En 1901 il entra à l'H
te baissée, comme un peu soudée, et qui marche par instant d'un air
mal
assuré. Il présente aux membres supérieurs une
crate et Galien donnàient, à la vérité, des secrets pour guérir les
maux
du corps et pour maintenir, durant un peu de temp
e ses serviteurs par sa vertu avaient même le pouvoir de guérir des
maux
qui mettaient tous les médecins au désespoir, com
« Mort, lèvé-toi au nom de Jésus; et toi, mauvaise bête, reçois le
mal
que tu as fait. » Au même instant, le mort ress
tion normale du squelette, trouble en rapport avec une cause encore
mal
déterminée aujourd'hui, mais provenant d'une vi
ut aussi d'apoplexie; sa grand'mère maternelle mourut d'une maladie
mal
précisée; il semble qu'elle ait traîné un temps
-même les jugea de nature osseuse. Ces tumeurs ne lui firent jamais
mal
, et il ne fut pas exempté du service militaire,
rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux substances se distinguent
mal
, mais'la zone corticale n'est nullement atrophi
lus grosse qu'à l'état normal. Toutes les colo- rations réussissent
mal
. Il s'agit là sans doute d'oedème. Vaisseaux. N
ansversal ; cette déformation jointe au ptosis, à la position anor-
male
de la tête, contribue à lui donner une allure tou
fille de 11 ans que nous avons vue et qui ne présente rien d'anor-
mal
du côté des yeux et dont le développement est rég
ue de son apparition, de sa forme même, constituer le reliquat d'un
mal
de Pott. La colonne vertébrale est ankylosée à
ucune malformation. La musculature est par rapport à la taille nor-
male
; les réflexes tendineux ne sont pas exagérés. Le
oisin dans les termes suivants : « Ce n'est pas difficile que tu aies
mal
aux épaules, tu as l'épaule démolie. » Dans cet
es muscles en particulier, on reconnaît que chez tous elle est nor-
male
(1). Tous les mouvements du deltoïde sont norma
, S'agit-il de l'une des formes si variées, si complexes et encore
mal
con- nues des myopathies primitives progressive
me musculaire. Intervenant sur un squelette encore peu résistant et
mal
consolidé, ces con- tractions déterminent des m
urant, les foetus étudiés par Zingerle possédaient une moelle anor-
male
, mais se développaient toutefois comme des foetus
-vasculaire faisant hernie au-dessus du crâne ; le cerveau, quoique
mal
développé, paraissait indemne à l'oeil nu. L'au
. S'il en était ainsi, le foetus en question serait un foetus anor-
mal
, porteur d'un encéphalocèle de petites dimensions
à la fois la furie des courses de taureaux et le réveil des haines
mal
assoupies contre les Maures. Ce sont là visions
uillé. Derrière un homme assis se gratte la tête comme quelqu'un de
mal
éveillé, égouttant de la main droite un corns à
à 9 mois. Propreté à 15 mois. Début de la parole à 4 ans. Etat de
mal
convulsif à 6 mois. Convulsions localisées au c
te à 15 mois. - il.. ans seulement, elle commence àt \ parler, mais
mal
. - Marche à 9 mois, propre à 15 mois. J S A 6 m
mbe, à droite, remuaient; ils restèrent paralysés après cet état de
mal
. A 10 mois, seconde attaque de convulsions, é-
nt tous les 6 mois, toujours localisées à droite. Après cet état de
mal
, l'intelligence était moins vive et l'enfant re
près la mère, la paralysie, qui a débuté après le pre- mier état de
mal
, se serait aggravée après choques série con- vu
ne présente pas de cicatrices. Les arcades sourcilières sont nor-
males
. Les sourcils sont châtain clair, de même que les
ngien. Le menton est rond, très régulier, dans une situation nor-
male
par rapport au maxillaire supérieur.- Les oreille
ion des accès deux ou trois fois par jour. Après le premier état de
mal
, comme après tous les autres jusqu'à l'âge de 4
rome : Imbécillité, hémiplégie, épilepsie, succé- dant à un état de
mal
convulsif de la première enfance, moins souvent
-tam.... (1), reste ce qu'elle était après la guérison de l'état de
mal
convulsif ou même s'amé- (1) Voir cette observa
s accès se présentant sous forme de séries, quelquefois d'état de
mal
, mais si le malade ne succombe pas dans cette c
tiges nombreux, la physionomie s'altère, l'attitude se modifie en
mal
, le corps s'affaisse, s'incline du côté paralys
1\ERA'AL.. XI. Du vomissement de matières fécales dans l'état de
mal
épileptique ; par Il. Goktze. (Veurolog. l'crttws
o1cn[c qui e li'alll'ol'll1cnl ulL¡"l'il'UI'l'IIII'1l1 l'II état de
mal
. C'est alors qu'à 5 heures du soir elle vomit plu
es tout cesse. Le 8 septembre 1897, de 6 à 9 heures du soir état de
mal
suivi du même phénomène. Le 29 août 1899, de 4 il
mardi 29 novembre 1901. Présidence de 31. Voisin-. Le traitement du
mal
de mer par la suggestion hypnotique. ON ()sG()0
des suggestions faites avant l'embarquement, immuniser cou- tre le
mal
de mur. Quatre fois pendant un voyage ,rAnglclcl'
76 SOCIÉTÉS SAVANTES. en Amérique, j'ai, par suggestion, arrêté le
mal
de mer nettement déclaré. Non seulement les vom
'avoir il bord un médecin qui sache par t'hypno- notisme inhiber le
mal
de mer; cela se rencontre très rarement ; aussi
e vertige de la lo- lomotion, l'ensemble des malaises identiques au
mal
de mer, il l'intensité près, et dont souffrent
petit bateau, j'ai pu, par simple affirmation, arrêter chez elle le
mal
de mer dès le début des nausées. Vomissements i
eût fait (elle ou telle chose, ses péchés lui eussent été remis. Le
mal
qu'il a, lui a été donné pal' des gl'ns qui ont
celles des bacilles de Koch. Le liquide retiré inoculé à des ani-
maux
donne un résultat positif (Widal el Lesourd) ; 2°
dans ce but une opération chirurgicale ' ! Noire inonde s'accommode
mal
(Tune telle pratique, d'autant plus (pie l'hél'
e la dil'liwllé ,lJ 1.1 I¡it-III) 1'1 au--¡ au n01l1 d'une économie
mal
comprise, de les hospitaliser dans les asiles d
pas aux exigences du traitement des aliénés ; les bâti- ments sont
mal
adaptés à leur destination acluelle. « Avec leurs
ration». Le corps de l'internat est ¡"g : tleIl1l'nL 1111 or¡ ? ane
mal
adapté à ses fonctions ; les internes sont trop
en vertu desquelles cette dernière ne réagissant plus ou réagissant
mal
, présente une tendance remarqua- ble il conserv
duite va se traduire par des associations fragmentaires, dépendant
mal
les unes des autres, par suite de la dispa- rit
e constamment la même phrase : « Est-ce bête, est-ce vilain, est-ce
mal
! J'ai passé le grand bon Dieu sous terre ! ».
st-ce qui est bête ? (ti cst- ce qui est vilain ? Qu est-ce qui est
mal
? » elle regarde son interlocuteur avec un oeil
douceurs, lui inspi- rent de l'espérance, l'aident à supporter son
mal
. Le sentiment de la moralité est souvent troubl
foyers, il reste encore des fibres musculaires suffisamment nor-
males
pour parera la paralysie étendue, absolue, de cer
t normale. Deux autres enfants de la même famille paraissent nor-
maux
mais ont de l'exagération de divers réflexes : ce
que sur 400.000 enfants en. âge scolaire il y avait 13.150 anor-
maux
des diverses catégories (font 7067 faibles d'espr
leur attire l'attention sur l'utilité de la création des cours nor-
maux
pour instituteurs se destinant acet enseignement
VANTES. 249 tl'ilp au début, désordres de la motricité consécutifs,
maux
de. tête, parestbésies multiples, anesthésie pa
z rarement des décès subits dans les accès isolés, même par état de
mal
. Les prévisions budgélaircs de l'exercice 1905
el l'on raconte que le professeur Ult cmint ce que l'on appelle le
mal
de Polt. Ce professeur aurait déclaré, sur les de
xplication du tsar et, de l'impératrice, que l'enfant suttlToc d'un
mal
constitutionnel. « Ce n'est pas seulement le ts
tionnel. « Ce n'est pas seulement le tsarévitch qui soulllre d'un «
mal
constitutionnel » ! C'est, en dehors de lui, to
s de lui, toute la Russie. Mais on ne comprend que trop bien que le
mal
de son (ils empêche l'empereurde s'occuper de c
x qui connaissent l'histoire de la dynastie Ilobtcin- Gottorp. Le «
mal
de PuLL (lont on parle est, on le sait, une des
on remarqua, dès la jeunesse, les stigmates psychologiques du même
mal
. - Faut-ilremunll'l' plus loin ? Les trois frèr
stion de l'hygiène sexuelle est des plus délica- tes : les conseils
mal
adaptés, ou venus mal à propos, éveillent la se
uelle est des plus délica- tes : les conseils mal adaptés, ou venus
mal
à propos, éveillent la sensualité et peuvent pr
il prit part à un accident de voiture où il eut plus de peur que de
mal
; il ne garda aucune trace, mais il est tombé l
t en général de mauvaises odeurs ou de mauvais goûts qu'il spécifie
mal
; mais quand il se plaint de mau- vais goût il
s cauchemars affreux, elle voit des ligures grimaçantes, des ani-
maux
r·(Trayanl..(;r·.IIaIIncinalion·sunL foules rappo
niquement et souffre, au point décrier. La tête lui fait atrocement
mal
, du côté gauche ; on eût dit qu'on la lui déchi
as cle même pour les enfants idiots, les plus nombreux clos anor-
maux
. Ayant ou l'occasion de faire appel à nos collè-
nsif agonique muet. Deux périodiques succombèrent <'1 un état de
mal
éllileplique. Quelle est la proportion des acci
que. Quelle est la proportion des accidents mentaux chez les ani-
maux
qui, privés de leur corps thyroïde, vivent longte
de la voix s'altérer n'a ni augmenté ni diminué par les progrès du
mal
, mais les troubles vocaux ont eu une bien moins
VEUSE. gère, devient constante, correspondant ainsi à l'état nor-
mal
de la vision. ' Une autre fillette, atteinte d'
l'oeil qui, à l'ombre et pendant le déjeuner, ne lui fai- sait plus
mal
, recommence à lui piquer avec l'air vif et le sol
jusqu'à la fin du séjour à Arcachon. L'enfant se plaint en plus de
mal
de tête, surtout localisé au niveau de la tempe
u un verre rouge, et avec leurs dimensions et leurs couleurs nor-
males
. Cette expérience, ici' encore, concordait donc
très simplement' : « Je puis l'aire beaucoup de bien ou heaucoup de
mal
suivant la direction- qu'on m'imprime » , Aus
pports fort honnêtes, et sur ce point, assure-t-elle « l'auteur est
mal
informé ». Mais cette Clau- di1l ? c'élaithicn
Mais celle réaction même, de par son caractère pat'oxys- tique et
mal
combiné tout il la l'ois, s'éloigne singulière-
instruction publique pour en limiter les effets, elles font plus de
mal
que de bien. Et cependant vous n'entendrez sort
difficilement praticable. Les religieux et les dévots se prêtent
mal
aux recherches de l'hiéropsychologiste, qu'ils
. térations profondeh et donne naissance aune dilatation anévrys-
male
qui secondairement peut se rompre et donner lieu
ent impuissants il corriger des actes dont ils reconnais- saient le
mal
fondé. Par l'éducation du caractère et la therape
i se développe normalement ne ment que lorsqu'il le veut; l'anor-
mal
reste menteur. Les tout pelitsl'nfantsmentenlle p
Dubuisson, que nous sommes heureux de publier,montre l'intensitédu
mal
et la nécessité d'une réforme sérieuse. Les Arc
mbre insuffisant pour permettre, surtout aux di- verses périodes du
mal
,une statistique de quelque valeur. Afin de comb
térales diminuent en nom- bre et en persistance avec les progrès du
mal
. En effet, il y en a 15 à la première période,
ition ; bien plus, ils le trouveront également assez souvent nor-
mal
durant un certain temps et, qui plus est, normal
La nor- malité constante diminue au contraire avec les progrès du
mal
; toutefois nous l'avons exceptionnellement cons-
ille. Au musée, existe une collection de cailloux, recueillis par
MAL
Yigouroux et Charpentier dans 1 intestin d'un m
diots et aux déments épileptiques. Les uns et les autres mastiquent
mal
et avalent gloutonnement. Parmi les épileptique
l. Accidents syphilitiques pendant le tabès ; pal' Dalous, (Rev. de
mal
., janvier 1904.) L'auteur rapporte des observat
urnit le plus gros chiffre. « Mais ici encore, il s'agit d'un terme
mal
défini, comme celui de cachexie sénile, marasme
mélioration ne progresse que très lentement, malades qui sont aussi
mal
que possible dans de grands quartiers. « Tous l
coolisme. En atten c le jour où l'on se décidera, pour diminuer le
mal
quer les moyens prophylactiques que le médecir
asiles publics d'aliénés, 416. ConrLItEncE. Voir Enfants attor-
maux
. Confusion mentale, par Gilbert Ballet et Ros
choses des chiens privés de la glande thyroïde, par Blum, 293.
MAL
de MER. Voir Suggestion. M.%11CIIE. Voir Dégéné
ar De- roubaix, 392. Suggestion. hypnotique. Le trai- tement du
mal
de mer par la - -, par IL Osgood, 73. éthyl-m
es sterco- raux dans l'hystérie, par Breg- man, 59. Voir 'Etat de
mal
épileptique. incoercibles de la grossesse gué
ainsi suivi une marche graduelle et envahissante et, actuellement, le
mal
est accompli. Vous voyez que chez cette femme il
eant au niveau des plis naturels de la peau, constituant une sorte de
mal
perforant palmaire, pouvant se propager aux gaine
donc pas dire légitimement, à un moment quelconque de l'évolution du
mal
, même en présence de l'extinction, complète en ap
moment de convulsions. Après ces vertiges prend naissance un violent
mal
de tête consistant en une constriction douloureus
prennent sans raison, en causant, en travaillant, jamais la nuit. Le
mal
de tête qui les suit peut durer toute une journée
une fois la petite perte de connaissance passée, il se relève avec un
mal
de tête bien particulier, dans lequel la peau du
nts à signaler. Sa mère était épileptique : elle est morte en état de
mal
. Il a un frère atteint également de mal comi-tial
e : elle est morte en état de mal. Il a un frère atteint également de
mal
comi-tial. B... est donc un prédisposé au premier
au-devant du cheval et put l'arrêter à temps. Son enfant n'eut aucun
mal
, mais B... éprouva une émotion si violente qu'il
e qu'il se sentit près de défaillir. La nuit suivante, il dormit fort
mal
. Dès qu'il était endormi, il revoyait en rêve la
t se réveillait en sursaut. Le lendemain, il se plaignit d'un violent
mal
de tête. Cette céphalalgie, qui consistait en des
, jusqu'en février 1889. Le malade était très inquiet, attribuant son
mal
à la trépidation delà machine et songeait, avec t
nvient-il de tenter chez elle pour essayer de s'opposer au progrès du
mal
? Mais avant de parler de thérapeutique, il est
s dans leurs intervalles, du moins à l'origine, enfin l'ancienneté du
mal
remontant à l'enfance ne permettent guère de l'ad
une fièvre typhoïde à 28 ans. Elle se figurait qu'on lui voulait du
mal
....., qu'on la magnétisait, etc.. Côté patern
l y a de cela 5 ans, en février 1885. La malade a souffert alors d'un
mal
de tête qui se localise du côté droit, occupe d'a
é, semblant, en quelque sorte, vouloir s'établir en permanence. Les
maux
de tète dans ces petites attaques, comme dans les
acquise ou héréditaire. Rien dans le passé qui la rappelle. Jamais de
maux
de gorge, pas d'éruptions cutanées, etc., etc. La
e à la gorge, des battements dans les tempes et quelquefois se trouve
mal
. Le début des accidents actuels a eu lieu en ju
ans, pleurésie gauche suivie d'une « névralgie générale ». Elle avait
mal
partout. Enfin elle eut une gastrite qui fut qual
actement le contraire que l'on remarque. Parce que cela lui fait trop
mal
, elle ne pose pas son pied droit sur le sol; elle
- (1) Eichhorst. — Hanêbueh der speciellen Pathologie und Therapie,
Mal
. du syst, nerv., p. 95. mais elle n'avait été m
diabète; blennorrhagie; compression intra-pelvienne du plexus sacré;
mal
de Pott; cancer vertébral. — Il peut exister des
ique néphrétique qu'il commença à ressentir les premiers symptômes du
mal
qui l'amène aujourd'hui devant nous. Il sortait
ous ne trouvons pas dans une compression du plexus sacré l'origine du
mal
. Nous devons d'autant plus nous arrêter à cette r
cause à laquelle on devait naturellement penser chez notre malade, au
mal
de Pott. C'est une affection qui n'est pas rare à
uparavant, pour un testicule tuberculeux. Mais de quelle variété du
mal
de Pott s'agirait-il donc ici?JDu mal de Pott lom
ux. Mais de quelle variété du mal de Pott s'agirait-il donc ici?JDu
mal
de Pott lombo-sacré. Les pseudonévralgies, sur le
bbosité : il est inutile, je crois, d'insister là-dessus. « Dans le
mal
de Pott lombo-sacré, dit M. le professeur Lannelo
ulbe (polio-encéphalite), il convient de placer ceux dans lesquels le
mal
s'est étendu aux portions similaires de la moelle
dans le reste de la journée le malade était abattu, fatigué, avait
mal
à la tête. La crise n'était annoncée par aucun ph
, en ce qui concerne l'atrophie musculaire des membres supérieurs. Le
mal
s'est un peu aggravé au niveau des membres inféri
. Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de
mal
en pis, si bien qu'après quatre mois de maladie,
gie frontale bilatérale avec nausées. Le bruit et la lumière lui font
mal
. Il ressent autour de l'orbite du côté gauche de
nt rester debout. Mais il marchait bien et sans fatigue. Bientôt le
mal
s'aggrava et on vit apparaître une parésiedes ext
ellement pleurard. Si on le fait parler, on s'aperçoit qu'il articule
mal
les mots et nasonne considérablement. D'ailleurs
la corne antérieure correspondante ; lésions enfin des régions encore
mal
connues qui dans la substance grise centrale prés
en temps aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de
maux
de tète. Rien du côté de l'estomac. Troubles de l
accentué les yeux fermés que les yeux ouverts. Démarche hésitante,
mal
assurée, cependant pas réellement titubante. Quan
il était lent à répondre aux questions qu'on lui adressait, analysait
mal
ses sensations et n'en rendait compte que très im
ommissions en ville, à la suite des libations auxquelles il ne manque
mal
* heureusement presque jamais de se liver en ces o
mes tonneaux, lorsque tout à coup une pile entière de ces demi-muids,
mal
calée, s'ébranle; une avalanche de tonneaux se pr
n, chaque jour renforcée par un abus nouveau du poison, entretient le
mal
et en aggrave les effets. De fait, à chaque nouve
éoplasie tuberculeuse. Mais fallait-il s'arrêter à un diagnostic si
mal
sonnant et entraînant avec lui un pronostic très
tion de strangulation au cou et alors elle pâlissait et se « trouvait
mal
», sans convulsions d'aucune sorle. On la mettait
, mais la dysesthésie, symptôme qui est 1 Charcot. — Leçons sur les
Mal
. du syst. nerveux, t. II, p.. 116 et 292. parti
adies nouvelles. Ce reproche, s'il était formulé sérieusement, serait
mal
fondé. Sans doute, il n'y a guère de maladies nou
tout que noub comptons pour établir l'origine syphilitique de tout le
mal
. En effet, vous allez le reconnaître, du reste, c
n de sa profonde amnésie, il ne sait pas, dit-il, s'il a eu autrefois
mal
à la tête ; sa femme le lui a dit, mais il ne se
he se prendre à leur tour, et enfin le malade perdre connaissance. Le
mal
datait de trois mois environ, disait-il, et était
antôt jaunâtre, terne, comme voilée par un nuage à contours vagues et
mal
dessinés. Le contraste entre ces images ophtal-mo
é la première description fondamentale, (1) Charcot. Leçons sur les
mal
. du syst. nerv., t. II, p. 293. (2) Pitres. Con
e diagnostic. Déjà, mardi dernier, à propos de R...bes, chez qui le
mal
avait débuté au cours d'une pneumonie, je vous fa
rcée, souvent accompagnée d'un « Ah ! », comme bâillerait un individu
mal
élevé. Mais cela ne se remarque point touj ours e
bète ; blennorrhagie ; compression intra-pel-vienne du plexus sacré ;
mal
de Pott; cancer vertébral. — Il peut exister de
208. Protubérance : tumeurs de la —, 427. Pseudo-névralgies dans le
mal
de Pott, 185. Pseudo-tabes diabétique : mal fon
eudo-névralgies dans le mal de Pott, 185. Pseudo-tabes diabétique :
mal
fondé de cette expression, 268. Ptosis spasmodi
ette application de la pho- tographie aux changements en bien ou en
mal
surve- nus chez les malades. (Voir aussi PL. VI
sans droits ni qualité. \ Par ces motifs, déclare les époux Baetge
mal
fondés en leur ' demande, les en déboute et les
d'hydrothérapie, d'une chaudière et d'une salle de bains; le tout
mal
éclairé et mal agencé (1) ; b) un grand bâtimen
ie, d'une chaudière et d'une salle de bains; le tout mal éclairé et
mal
agencé (1) ; b) un grand bâtiment perpendiculai
tie du bâtiment K. Tous les bâti- ments consistent en constructions
mal
agencées et en général en assez pauvre état. Le
lait de vache ; son ventre était gros, les digestions se faisaient
mal
. Sa mère le conduisit à la consultation de l'hô
marqua qu'il n'était pas comme les autres enfants, qu'il saisissait
mal
le biberon.- Il ne se servait pas de ses mains
par la carie ? L'articulation est très défectueuse mais sur- tout
mal
fixée. Les molaires du fond de la bouche seules s
mment en pareil cas. Il n'y a jamais eu de convulsions ou d'état de
mal
convulsif, ce qui autorisait à penser qu'il s'a
été élevé au sein par sa mère et s'est développé d'une façon nor-
male
. Sa santé était bonne. Il n'a jamais eu de convul
développement intellectuel était un peu retardé : à 7 ans il lisait
mal
et n'écrivait pas du tout. La marche et les mouve
ires de lait. Les 1 ? molaires sont en éruption. L'articulation est
mal
fixée et irrégulière. Les dents du fond de la b
les idiots. Le plus souvent on note son apparition après un état de
mal
convulsif ou de simples convulsions internes. D
s n'exis- taient pas encore. VI. Idiotie complète ; Epilepsie ;
mal
de Pott vertébral ; Par BOURNEVILLE et tSCH WAL
n intellectuelle. Roséolesy- philitique. yidé ? iitesce ? *incaies.
Mal
de Pott dorsal. - Amaigrissement progressif. -D
gré de compréhension. Ainsi, il sem- blait comprendre qu'il faisait
mal
quand il se masturbait. Il n'a jamais eu de kle
S derniers mois qu'il a passés chez sa mère. Il marchait alors plus
mal
et ses pieds s'étaient retournés davantage. 188
se l'abcès, il s'écoule une cuillerée de pus crémeux et verdâtre.
MAL
DE hOT'1 vertébral. 71 7 jttillet. - Le 5 juill
imées. Oreilles petites, bien ourlées, lobule à peine distinct. 7
MAL
DE POTT VERTEBRAL. MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73
bien ourlées, lobule à peine distinct. 7 MAL DE POTT VERTEBRAL.
MAL
DE POTT VERTÉBRAL. 73 grande partie de la régio
chis. Le lobe occipital a des sillons et des circonvolutions nor-
males
, mais dans son ensemble il paraît un peu atrophié
nte du rachis, on trouve un abcès peu volumineux, renfermant un pus
mal
lié, avec des grumeaux; il siège au niveau des
travaux pratiques de la Faculté. La moelle cervicale, au-dessus du
mal
de Pott, offre des lésions portant sur les enve
sudat granuleux. Sur une coupe de la moelle dorsale, au niveau du
mal
de Pott, nous retrouvons successivement les môm
itement, les accès continuent à être moins fréquents. Plus tard, le
mal
vertébral cle Pott s'ag'ra- vant, la tuberculos
aineux; une soeur sujette à des maux de tête; une autre atteinte de
mal
de Pott; une autre morte de méningite tubercule
une fille, 20 ans. ma- lade depuis trois ans (hydarthrosc du genou,
mal
de Pott pro- bable) ; 5° une fille, 13 ans 1/2,
e Pott pro- bable) ; 5° une fille, 13 ans 1/2, délicate, souffre de
maux
de tête; 6° une fille morte à 3 ans 1/2 d'une m
gilet et sa chemise et se frotte la poitrine comme s'il sentait son
mal
. On le met à terre, nu depuis les cuisses jusqu
sai, cela dure à peu près 5 minutes : une fois debout tant bien que
mal
, il se met à marcher, fait une vingtaine de foi
s crises; elles du- raient, dit-il, un quart environ, puis il avait
mal
à la tète et pleurait abondamment. Une seule fo
: 1LIE. 117 7 causée par la vue d'une folle qui avait des attaques
mal
définies et que la mère de notre malade a soign
ncle paternel et frère alcooli- ques ; mère, pertes de connaissance
mal
caractérisées. Pour Edern.. : père, hébétudes p
temps. 1 CI' mais Il connaît maintenant'les noms de tous les ani-
maux
des tableaux et les usages de quelques-uns. Disti
nt à tirer la langue qui est rouge, et, interrogé, répond qu'il n'a
mal
nulle part. Son intelligence, en somme, est aussi
saurpourri. Est-ce qu'il va se foutre de ma république. Tiens, il a
mal
aux cheveux. Tu ne vas pas te taire ! je vais a
'atelier de cordonnerie, il ne fait pas de progrès ; il reçoit très
mal
les observations, il est insolent et grossier.
ne sait à quel âge il a parlé ; mais à son retour, il parlait très
mal
, on ne le comprenait pas. Il imitait les animau
es clefs, etc., mais non des gourmandises. Use débarbouille assez
mal
, se lave les mains, sait s'habiller et se déshabi
aisément à l'exécution des mouvements ; il saute bien. Il se tient
mal
au réfectoire, et se dérange constamment pour a
Il se sert convena- blement de la cuiller et de la fourchette, mais
mal
du couteau. Il saisit bien les aliments ; la ma
convolutions ch corps calleux bien développée. -Lobllle paracentral
mal
limité en avant. Le sillon de Rolando pénè- tre
oir une aura, car Paul s'écriait quelques secondes avant : « Maman,
mal
, -0 ? l ? Partout ? C'est tout ce qu'on pou- va
térie. 197 1882. 22 février. Paul a èté pris dans la journée d'un
mal
de gorge assez violent. 23 février. On constate
difforme. Le palais n'offre rien d'anormal et les dents, quoique
mal
rangées et en mauvais état, sont bien conformées.
s et dorsales su- périeures on trouve une enflure molle, élastique,
mal
définie, d'environ 15 cent. de diamètre où les
oit se reposer; « 20 Les esprits envieux, pour qui tout bien est un
mal
, quand il n’est pas pour eux; « 3° Les esprits
r tonique antiglaireux de Guillié. Les principaux caractères de son
mal
sont des crises très-douloui euses, qui lui cause
ation lui a-l-elle fait du bien?—Oh! oui, un grand bien. Où est son
mal
; le voyez-vous? — Pas de réponse. Un tremblemen
elle ; je lui commande le calme, la presse de me dire si elle voit le
mal
, elle promet de m’obéir. Il est ici, dit-elle, da
s? — Oui. Auriez vous, dans cet état, la faculté de bien voir votre
mal
? — Oui. Et celui de Mm' Sanlafé? — Oui. Et l
ûre? — Très-sûre. Indiquerez-vous des remèdes? — Oui. Quel est le
mal
de Cecilia ? — Elle mange beaucoup. Que doit on
entendre avec moi pour guérir cette brave dame? — Oui, mais j’ai bien
mal
à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp
bien mal à la tête aujourd’hui. Oh! comme je souij're! Olp?-r moi lu
mal
de tête. J’essaje de dégager la tête, elle dit
deur du citron que j’avais voulu attribuer au mouchoir. — Mais, mon
mal
de tête ne s’en va pas; ôtez-le-moi. — J’ai fai
ffet tout de même ; et maintenant que vous voilà débarrassée de votre
mal
à la tête, remontons. — Oui, je n’ai plus rien.
au, dont je fis boire au malade quelques gorgées, qui dissipèrent les
maux
de cœur. a Voyant le malade revenu à un état me
un médecin le lendemain matin. Celui-ci, trouvant le malade pas trop
mal
, ordonna, comme par routine, des bouteilles d’eau
nais qüe la médecirie est mensongère, qu’elle fait aux hommes plus de
mal
qiië dé bien , je rëncdütre-rais les mêmes difîic
onsidérer comme le plus grand bienfait acquis au soulagement de nos
maux
. Toute vérité nouvelle qui surgit, a de la pein
i faiblit, nous fournira le moyen de lutter victorieusement contre le
mal
. Eh bien ! l’action magnétique est la transfusion
es jet nous tiendra compte un jour du bien que nous aurons fait et du
mal
que nous aurous détruit, car là seul est le vérit
ébrouiller un peu. Orna bien essayé déjà; mais je pense qu’on s’y est
mal
pris, en cherchant àj fai.e lire au loin les somn
erreur de mes somnambules, ou 4es malades en somnambulisme, sur leur
mal
et le traitement, je perds, et pour chaque exacti
9 sont lésés» qu’en effet, U ne gnérwe pa«, et que i’anwpsw prouvequA^
mal
était Won décrit, je gagne deux mises, puisque le
ques mystiques à l’aide desquelles il promettait de guérir tous les
maux
de l'humanité. Il s’entoure de mystère, commence
ruit dans l’arrondissement que du célèbre médecin qui guérit tous les
maux
, et que le vulgaire a surnommé Guêril-Tout. On vi
uche. L’enfant paraissait mieux; le lendemain matin , elle était plus
mal
, et à trois heures de l’après-midi, elle expirait
excité plus d’une fois les rires de l'auditoire. « Je tombe du haut
mal
, dit-il; ma mère me conduisit consulter Guérit-To
re assise; celle couchée me dit : « Qu’avez-vous? « Je lui contai mon
mal
; elle me prescrivit de la soupe à l’oseille penda
’est la somnambule du prévenu. Elle était venue le consulter pour des
maux
d’estomac. 11 lui a fait manger de l’ail et de l’
eu, elle avait traversé le feu et les flammes j elle avait eu bien du
mal
cette nuit-la. La femme Pichon nie ces propos.
xactitude de la déposition ; s’il n’a pas interrogé le témoin sur son
mal
, c’est parce qu’il a une telle expérience des mal
iez de le tirer à quatre bidets, que vous ne lui rendriez pas tout le
mal
qu’il m’a fait. Il m’a tiré les membres ; il m’a
tés à Riéder, raconte ce qui suit : Gobert, maréchal ferrant, avait
mal
à la jambe, la somnambule lui ordonna de manger d
ure, mari de l’une des somnambules du prévenu : Ma femme déjà avait
mal
à un bras; elle a consulté Guérit-Tout; son bras
rapport aux facultés cérébrales et aux propriétés mentales maintenant
mal
comprises et incomplètement connues; et, enfin, à
ce, de par monsieur Swedenborg ! U paraît, décidément, que c’est un
mal
contagieux, et que Swedenborg porte réellement ma
isonné éteignit un instant élail le signe précurseur de la fin de nos
maux
? Car en anéantissant voire fausse philosophie, en
nées de l'humanité 6e découvraient à la vue ! Yous avez donc créé les
maux
qui nous affligent et interrompu les temps; mais
a vérité. Oh! Messieurs, si tous les hommes étaient persuadés que nos
maux
viennent de notre seule ignorance, le sang ne ser
rme vengeresse propre à punir les faux savants, à qui nous devons les
maux
de notre patrie; propre à détruire les systèmes m
bientôt deux arts, deux sciences; l’un tout mensonger, et qui vit des
maux
qu'il a faits; l’autre réel, qui laisse à la natu
e à faire autant de bien aux hommes que vos systèmes leur ont fait de
mal
. « Enfin, Messieurs, « Nous allons honorer, a
la souffrance Au pain de l'espérance, Ixllié vainqueur de tous uos
maux
; Au parta qui murmure Contre son frère parjure,
sens de mon cercle magique, Les vertus à ma droite, à ma gauche lo
mal
, Ici rudes labeurs, là-bas pente déclive, Chœ
, serait-elle, faite trop tôt, la source de confusion, de trouble, de
mal
dans tous les genres. Et il semble que pour con
res et faire au contraire la lumière ; il semble que pour atténuer le
mal
produit par cette inertie des hommes d’intelligen
éclairée par les travaux de tant d’intelligences contemporaines ? Le
mal
ne déborde-t-il pas ? N’est- ce pas le poison q
nt elles être assez sages pour recevoir cette puissance de bien et de
mal
? Le mensonge est à côté de la vérité, l’illusion
esta ferme dans son attitude. Opposant le fait au doute, le bien a»
mal
, il poussa le sacrifice jusqu’à exposer sa vie po
ce que le pistolet n*a pas été trouvé, d'autant qu’il a pcut-Atre été
mal
cherché dans un lieu mal indiqué, la somnambule a
s été trouvé, d'autant qu’il a pcut-Atre été mal cherché dans un lieu
mal
indiqué, la somnambule ayant prévenu quelle ne vo
e l’on ne comprend le souverain des cieux. Je soulage ou guéris des
maux
où l’impuissance De l’art thérapeutique est promp
e des savants protégés par l’État. La clairvoyance répare souvent les
maux
causés par le savoir officiel, et fait aussi cess
ans aucune se- cousse , le droit au travail ; qui un remède pour un
mal
d’aventure; qui le moyen de s’assurer la fidélité
cès curieux que celui ofi viendra s’opposer aux tendances du parquet,
mal
instruit de la question, l’influcnce de milliers
i nient le magnétisme agissent en insensés , ils sont responsables du
mal
qui s’est fait ou se fera; leur devoir était d’éc
rs, qu’une destinée bien incertaine, et n’a pu faire que quelques pas
mal
assurés , et toujours vivement contestés. Annoncé
s perceptions; il n’y a rien au-delà; l’erreur tient aux observations
mal
faites, l’ignorance à celles qu’on ne fait pas ou
s exprimez le plus léger doute, vous les tourmentez, vous leur faites
mal
, disent-ils. Il est quelquefois dangereux d’insis
ils se trompent quelquefois, souvent même dans quelques circonstances
mal
déterminées , on ne, les écoutera qu’avec prudenc
nsulter; mon frère lui dit qu’il s’agissait de inoi, et lui conta mon
mal
. « 11 est bien heureux d’être venu ici, répliqua
e coûte beaucoup d'avoir à reparler de celte affaire, qui m’a fait un
mal
affreux, qui a rendu malade ma fille, qui n’est p
ponnerie ; voilà tout ce qu’il y a dans cette prétendue science. Le
mal
ainsi produit est donc incalculable, mais c’est a
ngrenés. II est dans la science et dans la politique ; c’est un grand
mal
, sans doute, mais c’est une des plaies de l’huma-
lutte; on ne changera point la nature des choses, seulement, quand le
mal
est trop grand, il se corrige par son propre excè
mouvements un peu rapides; l'animal ne s'en servait que d'une façon
mal
assurée pour grimper et pour prendre. Monatschr
ats succincts : Coïncidence ou causalité : deux malades, en état de
mal
, soumises au bain de une heure à 39°, se sont h
avoir eu de myocardite, le tissu cardiaque est de coloration nor-
male
, ferme et résistant. Nous trouvons dans les oreil
i- tudes qui au point de vue physiologique sont parfaitement nor-
males
, et qui au point de vue psychologique peuvent par
'expérience d'un spécialiste pour découvrir les premiers indices du
mal
, et dans le doute, il craint d'engager, en si gra
pour ne plus reparaître. Ce sont surtout des idées systématisées,
mal
liées, mélangées sans ordre à des hallucination
le que grande crise de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre
mal
caractérisée et attribuée au palu- disme. Le pa
les et les nerfs du côté gauche sans R. D. Sensibilité : localise
mal
le tact au-dessous de la ceinture. Sensi- bilit
dilatant et en certains points les gaines de myéline sont diffuses,
mal
colorées, et les cylindraxes tuméfiés. Un cas
s été heureux et cela se comprend puisque le cerveau de l'idiot est
mal
formé congénitalement. Au contraire, quand l'id
aso-moteurs que s'explique une telle guérison. On peut aggraver son
mal
en y pensant, comme on l'a prouvé pour certaine
de la maladie et ter- 'minaison identique; 3° Origine spontanée du
mal
évoluant sur un même fonds organique. Ces con
et vingt-cinq ans de phtisie pulmonaire. Les 'autres seraient nor-
maux
. La mère des jumelles G... qui nous fournit ces
u'elles « perdaient les idées ». Célestine, la première, commença à
mal
travailler, à gâcher l'ouvrage. Elle devint ext
mère, qui, en voulant la marier contre son goût, a été cause de son
mal
. 1 880. Toujours soumise à des crises fréquente
protoplasma intensivement coloré, et dont le noyau'se distinguait
mal
: quelques cellules avaient même subi le dernier
as anciens. Aussi incline-t-il à croire que l'infection. origine du
mal
, est générale, qu'elle n'épargne aucune province
urs, on doit reconnaître que les causes directes et indi- rectes du
mal
paraissent être des plus nombreuses et sans doute
ne partie circonscrite de la moelle épinière; qu'avec le progrès du
mal
, toujours de nouveaux segments dégé- - nèrent,
ité, central et entouré d'une zone plus pâle, non striée et à bords
mal
délimités (noyau). La cellule est très élastique
resque tou- jours central et volumineux, entouré d'une zone pâle et
mal
limitée '(noyau). - Généralement il y a très
phile présentait la disposition que l'auteur considère comme nor-
male
. Dans tous les cas, naturellement, il y avait des
l'influence puissante qu'exerce sur leur production une éducation,
mal
comprise a été également mise en lumière. La th
admirable ». Mais il ne suffit'pas d'améliorer les enfants anor-
maux
; il faut encore façonner les enfants normaux et
u quatre ans, ont toutes les cinq des accès sériels et des états de
mal
. A la suite de ces accès ou de ces étals de mal
els et des états de mal. A la suite de ces accès ou de ces étals de
mal
elles présentent des troubles moteurs et intellec
complètement démente, emportée par une vaste eschare ou un état de
mal
. Ces malades ne sont pas des idiots épileptique
eux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu état de
mal
au cours de leur pyréxie. L'autopsie confirma l
a température aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l'état de
mal
épileptique. ! Il. lII.\G : '<I.\N craint que
milaires. Trépidation épileptoïde dans la tuberculose pulmonaire.
MAL
Léopold LÉvi et FOLLET. La trépidation épileptoïd
génie. M. Félix REGNAULT. Sans doute, l'homme de génie est anor-
mal
, et parce qu'il possède des qualités psychiques s
ont loin d'être probantes; 2° Il ne faut pas confondre l'absence du
mal
comitial avec Vidée fixe de l'homme de génie. P
IQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveuse familiale,
mal
définie, à allures de paraplégie spasmodique tr
mêmes conditions de symptômes nerveux transitoires à allures assez
mal
définies, nous avons cru inté- ressant de les f
out de six semaines, il 'sortit' du service marchant toujours assez
mal
. Cette gêne dans la marche existait encore au m
ieu à aucun signe appréciable. Cependant quelques symptômes cadrent
mal
avec cette manière de voir : nos trois malades
aps de. temps qui ne.doit pas être inférieur, à trois mois..La note
mal
.ajourne.le candidat à six mois. ' .La* commis
de la gorge, un léger trouble de la vue, quelquefois, et un peu de
mal
de tête. Si on donne le médicament par la bouch
nique, 10 de sciatique, lo de maladies mentales, 7 de goutte, 22 de
mal
de tête, 10 de dyspepsie, 10 d'ar- thrite rhuma
uée à la pattie inférieure de l'occiput. Elle était de couleur nor-
male
et la circulation sanguine y paraissait parfaitem
entuée et étendue. La valeur diagnostique de ce symptôme est encore
mal
déterminée, mais n'est probablemrnt pas-très gran
le cadre des maladies nerveuses. Beau- coup de gens souffrent d'un
mal
de tête qui reparait à des inter- valles irrégu
'on appelle communément migraine hémicranie, céphalalgie nauséeuse,
mal
de tête bilieux, mal de tête nerveux, névralgie
nt migraine hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux,
mal
de tête nerveux, névralgie de la tête : pour ne
qui permettent d'éta- blir le diagnostic de cette forme spéciale du
mal
de tôle et entre dans quelques détails sur le t
898.) Jeune femme de vingt-six ans, enceinte de six ou sept mois,
mal
traitée et insuffisamment nourrie : pas d'antécéd
ffet des nombreuses causes que passe en revue l'auteur. L'amour, ce
mal
universel, moteur puissant s'il y en a un, ne p
rdinaire. Spontanément, il remuait très peu ses membres, mais moins
mal
les bras que les jambes. Il ne pouvait se retourn
raversée de la Nouvelle-Calédonie en France, il a été insensible au
mal
de mer. Pas de rumination. Constipation habituell
te, survenues au quin- zième jour, se montrant sous forme d'état de
mal
à partir de ce jour, jusqu'au sixième mois, ont
ligence i est conservée, la parole un peu traînante et les syllabes
mal
arti- culées...'... ? Le 29 octobre la céphal
e du 4° ventricule, liquide encéphalo-rachidien en quantité anor-
male
. Au niveau de la moelle allongée, la dure-mère ad
de venir quand même. Souffre-t-elle ? demandai-je. Non, et voilà le
mal
, elle ne réagit plus : voilà le malheur. Si on
sion de toute autre cause toxique ou infectieuse. La moelle dans le
mal
de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont trouvé, dans
ns le mal de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont trouvé, dans un cas de
mal
de Pott, en dehors de toute compression osseuse
M. ACIIAIID a ainsi traité trois sciatiques, dont une causée par un
mal
de Pott, une sciatique ancienne avec amyotrophie
la mélancolie que l'apparence ; l'asthénie psycho-motrice s'accorde
mal
avec une telle richesse d'hallucina- nations ou
hologie et surtout l'étiologie de la maladie du sommeil sont encore
mal
connues et la nature en reste mystérieuse malgr
re avec démangeaison violente, adénite douloureuse, réflexes nor-
maux
, affaiblissement graduel de l'intelligence; 3° pé
marasme. La filaria nocturna ne parait pas avoir de rapport avec le
mal
; au contraire la présence de la filaria perstan
et demi. Un an plus tard, il avait eu une première attaque de petit
mal
. Peu de temps après survint une attaque d'épile
ns le pied droit. Au sortir de ces accès, elle se plaignait d'avoir
mal
.à la tête, et elle avait l'esprit un peu troubl
- lant du coma qui suit une ivresse intense, ou d'un sommeil nor-
mal
, ne peut absolument pas marcher, ou bien il ne pe
01 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion bucco-sinusienne, simulant le
mal
perforant buccal ; faciès spécial démoniaque. C
es très précoces, depuis la chute prématurée des cheveux jusqu'au
mal
perforant. Enfin, parmi les phénomènes plus rar
peu d'altérations de la sensibilité, des réactions électriques nor-
males
, des sphincters intacts, une marche rapide et une
mandant de ne pas le suivre, parce qu'il avait peur de lui faire du
mal
; il se rendit alors au bureau de police, où il
n de la nomenclature des impressions olfactives montre le caractère
mal
défini des odeurs et l'absence des points de co
ures. Bruxelles, 1900. Lnpumerie Sevoreyns. CRocQ (J.). Un cas de
mal
perforant plantaire périphérique guéri par la f
nce de son premier enfant et celle du second, le malade présenta du
mal
aux lèvres qu'on supposait avoir été pris avec
2° Victor, le malade ; 3° fille vivante, dix-huit ans, atteinte de
mal
de Pott avec des plaies de mauvais aspect et fé
docile, il fait ce qu'on lui commande et l'exécute tant bien que
mal
, comme un enfant. Il ne présente de délire d'aucu
s la maladie de Bayle, alors qu'on y rencontre tous ceux, depuis le
mal
plan- taire jusqu'aux dystrophies unguéales et
souffert la trépa- nation à l'âge de treize ans, mourut en élat de
mal
, et dont l'orifice de trépanation était presque
ilepti- ques. Sur cinquante-deux femmes observées tant en état de
mal
que dans des moments sans crises, une fois seulem
ment il n'y a aucun symptôme prémonitoire, tout au plus un peu de
mal
de tête ou de légers troubles gastriques; mais le
Il s'agit d'un professeur neurasthénique, qui sourit malgré lui,
mal
à propos, sans raison, juste au moment où il aura
lles, représentent d'autres exemples de cette légion : les uns sont
mal
construits de naissance, les autres sont désorg
es, qui, sans être maniaques ni mélancoliques, sont continuellement
mal
à l'aise (dysesthésie personnelle) : tels les n
Il convient d'appeler sensations obsédantes des sensations anor-
males
, plus ou moins élémentaires, qui prennent une for
ique., etc., à moins encore que les faits publiés ne soient des cas
mal
observés pouvant, à la rigueur, être confondus av
eL. Il m'a été impossible de les connaître. Elle avait les oreilles
mal
ourlées et était sujette dans l'enfance à des cri
bas des globes oculaires est donc possible. Dans une position nor-
male
au contraire, il ne peut regarder ses pieds par s
e l'idée délirante se trouve toujours dans une sensation intérieure
mal
définie qui s'accompagne d'une altération de la p
Concussion de itt, par de Forest-Villard et Spiller, 251. dans le
mal
de Pott, par Thomas et Hauser, 342. Forma- ti
Paraplégie ataxique subaiguë, par Dana, 68. - .Maladie nerveuse
mal
définie à allures de - sl)as- modique, par Leno
slpow, par Bee))terew,147. Plexus CIIOIt0ÏD1-S. Histologie nor-
male
et pathologique des Fmdley, 318. 1 Polynévrit
suite de cet ictus, et pendant un certain temps, la malade comprit
mal
ce qu'on lui disait, parla mal, en bégayant, eut
un certain temps, la malade comprit mal ce qu'on lui disait, parla
mal
, en bégayant, eut de la difliculté à se faire c
e du péroné est hypertrophiée à droite (4 cm. 5 de largeur) et nor-
male
à gauche (2 cm. 8 de largeur). L'examen détaill
nsidérable de la mémoire ; la malade, nous l'avons dit, ren- seigne
mal
sur le début de son affection, et sa fille nous a
ture de ces régions ne rappelle nullement celle de la thyroïde nor-
male
. On trouve pourtant aussi des régions dans lesque
e à 17 ans, après deux ans elle accouche d'une façon tout fait nor-
male
. L'enfant né à terme pesait 5 kilogs, était très
ette irrégularité fonctionnelle, la respiration a toujours été nor-
male
sans dyspnée, sauf la dyspnée d'effort par insuff
es lésions anatomiques, pour importantes qu'elles soient, ren- dent
mal
compte du caractère électif si particulier de ces
ffrant de plus en plus de sa douleur rétro-sternale, se mita dormir
mal
, à digérer difficile- ment, à devenir irritable
à l'athérome, sous forme d'endartérite oblitérante (voir Arche. des
mal
. du coeU1', mars 1909). Mais nous ferons rema
de l'écriture augmentaient d'in- tensité ; la main devenait bientôt
mal
habile à tracer les lettres, se raidissait sur
vie courante qui nécessitent la mise en marche des extenseurs sont
mal
exécutés, ou bien le malade « truque » pour en
it à son bureau dans un état d'inquié- tude disproportionné avec le
mal
qu'il éprouvait ; il n'était pas au travail dep
hasthéniques; depuis quelque temps aussi son travail lui paraissait
mal
fait, ridicule, honteux ; quand elle se mettait
il n'a jamais eu de crises nerveuses. Etant enfant il écrivait fort
mal
, mais surtout quand on l'observait ; il se rappel
s, qui irradient souvent jusqu'à l'épaule. Le malade est d'ailleurs
mal
à son aise pendant toute ÉTUDE SUR LES CRAMPES
enait 40 mmgr. de sulfate de radium. Bien que l'application ait été
mal
faite, n'intéressant que la partie tout antérie
veau ou sous la pie-mère cérébrale d'épileptiques mortes en état de
Mal
, ou après des crises nombreuses, des hémorragie
le nombre sont tels que l'on assiste parfois à un véritable état de
mal
. Il n'est pas rare alors de voir apparaître des
uche, sa langue est parfaitement mobile. Les voyelles a et e sont
mal
prononcées ; les voyelles i, o, u sont émises à
et à deux ans il parlait assez correctement; la dentition fut nor-
male
. Abandonné à deux ans par les siens, il fut éle
e veux cependant donner aucune signification spéciale à cette anor-
male
richesse des putréfactions intestinales, car je n
années, les meilleurs arguments. Toutefois, ne disons pas trop de
mal
de la psychologie, car c'est une ten- dance bie
ièrement heureux, car le réflexe n est pas l'invention d'un esprit en
mal
d'ex- plication, mais un rouage dont l'existenc
énergie peuvent et doivent suffire à expliquer ce phénomène. L'ani-
mal
inférieur recherche l'action bienfaisante du sole
smodique, et dont voici l'histoire : Observation X (personnelle).
M. Mal
..., âgée de 23 ans, employé de bureau, est depuis
sans aucune gêne. Il n'existe aucun signe d'affection périphérique.
M. Mal
... a appris à écrire de la main gauche, et il l
ngival de Burton, et une anémie saturnine marquée. L'existence du
mal
de Bright chez certains malades atteints de cram-
remarque cet auteur, est un symptôme fréquent, parfois initial, du
mal
de Briht. Chez les bi-igliliqltes on trouve des
alop, une tension artérielle exagérée, et tous les petits signes du
mal
de Brigue. Sous l'influence du régime lacté, le p
e malade trace avec peine des lettres irrégulières, de plus en plus
mal
formées, souvent presque illisibles. Si l'on palp
à fait particulier. » D'une façon générale, on retrouve dans le «
mal
télégraphique », comme disent les employés, les
orts d'accommodation pour lire sa musique tiop éloi- gnée de lui et
mal
éclairée. Tranjen a décrit la même affection chez
pronostic sera l'ancienneté de la maladie : une névrose négligée ou
mal
soignée pen- dant de longues années, ancrée pou
e duquel il se trouve. Commence à marcher vers 2 ans et demi, niais
mal
, dès le début ; depuis, les troubles n'ont fait
e inférieure. Les avant-bras, arrondis, paraissent d'un volume nor-
mal
; les mains sont larges, aplaties ; les doigts so
ion, l'extension, les mouvements de latéralité du poignet sont nor-
maux
, quoique plus lents. Il n'y a pas de maladresses
'ostéite déformante de Paget doit être très rare. Parmi le groupe
mal
classé dans lequel on avait englobé autrefois les
es, et captés au griffon même; les substances radio-actives, encore
mal
connues, contenues dans ces vapeurs brûlantes,
nt, une intensité extrême, et l'on peut affirmer que la phobie de «
mal
écrire », avec toutes les conséquences fâcheuse
t des cas qui se rapprochent du sien : il en découvre même là où le
mal
n'existe pas. Par exemple, il raconte que son f
lais suffisants pour les copies qu'il a à faire, par crainte d'être
mal
noté par son nouveau patron. Aussi son écriture s
and, 1880, p. 165. 322 MACÉ DE LÉPINAY Y 35. Charcot. - Clin. des
mal
. du syst. nerveux, 1892, I, p. 169. 36. CHCRCH.
érieur droit ; crampe des écrivains d'origine artérielle. Arch. des
mal
. du coeur, mars 1909. 96. l\IASSAUT, - Bull. So
lin. Schmidt's Jahrbuch, 1838, p. 123. 117. ROSENTHAL. - Traité des
mal
. nerveuses, 1878, traduct. Lubanski, p. 614. 11
Hy- gieia, t. 38, 1816. 224. Hammond (traduct. Labadie-Lagrave).
Mal
. du syst. nerveux, 1S79, p. 943. 225. HAHTEXBEM
nce des segments périphériques de certains nerfs, comme chez l'ani-
mal
après section expérimentale d'un nerf, la régénér
nerfs. De môme l'hypothèse d'un trouble dynamique expliquerait fort
mal
la localisation des lésions aux troncs nerveux,
description, varient d'une coupe à l'autre, ses bords sont sinueux,
mal
limités, enfin, çà et là, on trouve, en pleine lé
UDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 383 sements, obstruction',
mal
de tête et aussi troubles de la conscience ; il a
deux ou trois jours, le patient est tombé malade le 2 novembre avec
mal
de tête et douleurs dans la région lom- baire,e
laen) de Kronoberg. ' ' Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec
mal
de tête et une forte fièvre. Elle a eu un vomis
rs 1908. Cette fille est tombée malade soudainement le 10 mars avec
mal
de tète et des frissons. Elle est restée au lit
u département de Kronoberg. En avril 1905, l'enfant s'est plaint de
mal
de tète pendant deux jours, mais elle est resté
ans, du département de Kronoberg. Le 24 juillet 1905, la fille a eu
mal
à la tète et est restée au lit un jour.Depuis e
est sentie bien et a resté debout pendant trois jours ; mais alors le
mal
de tête et des douleurs dans tout le corps ont
inique le 19 mars 1908. - J La maladie a commencé le 12 mars par un
mal
de tête et des frissons. De- ) puis ce jour là
partement de .Taenkceping. En août 1905, il est tombé malade avec
mal
de tête, spécialement dans la nuque. Il y avait
y a maintenant trois ans qu'elle est tombée malade avec de la fièvre,
mal
de tête (surtout douleurs dans la nuque) et des
elle essaye de les contracter, on cons- tate qu'ils se contractent
mal
, mais toutefois on peut sentir une certaine con-
parésie des membres inférieurs. Il ne semble pas qu'elle ait eu ni
mal
de tète, ni raideur de la nuque ni douleurs pro
épartement de Kronoberg. La maladie a commencé en avril 1905 par un
mal
de tête et de la fièvre. De- puis (les parents
entre la clinique le 22 septembre 1907. Le 11 septembre il avait
mal
à la tête et fut obligé de quitter l'école. Le
novembre 1907. ' Le 9 novembre il a été malade et s'est plaint d'un
mal
de tête. Le lendemain il est resté au lit, et l
presse n'importe quel point de la colonne ver- tébrale. Le malade a
mal
de tête. Ces derniers symptômes ont subsisté pe
. La maladie de la fille a aussi commencé le même jour (le 20) avec
mal
de tête, frissons et douleurs le long du dos, d
san, 36 ans, de Werum. En octobre 1905,la maladie a commencé par un
mal
de tête très violent, qui a continué les cinq j
sain. Le 12 octobre 1907, la maladie a commencé par des frissons et
mal
de tête, surtout dans la nuque; il s'est senti
main il s'est senti plus malade et s'est mis au lit; il avait encore
mal
à la tête et aussi de la fièvre. Un médecin a c
décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- ment, fièvre,
mal
de tôle (le phénomène le plus constant), vomissem
Pendant les deux jours qu'elle a passés chez elle, elle n'avait ni
mal
de tète, ni sympaômes de lièvre,ni douleurs dan
ébut delà poliomyélite aiguë. Ces symptômes n'ont rien de spécial :
mal
de tête, surtout dans la nuque (qui est probabl
08. Il y a deux semaines, le garçon est tombé malade avec frissons,
mal
de tête, vomissements et fièvre. Il est resté c
mbé malade presque de la même façon ; puis il est resté au lit avec
mal
de tète et une ob- struction considérable. Et
rable. Etal le 17 janvier. - La conscience n'est pas troublée, il a
mal
à la tête et a une raideur de la nuque très pro
emaines, elle a commencé d'être abattue ; en même temps sont venus le
mal
de tête et des vomissements qui sont revenus pl
s, de Tolfta, entré à la clinique le 11 juin 1908. Après avoir eu
mal
à la tète et s'être senti indisposé pendant deux
est superficielle,costo-abdominale,plus fréquente qu'à l'état nor-
mal
: 26 à la minute. CoeU1', - L'ictus de la point
e l'accommodation est nor- 466 ETTURE LEVI ET GIUSEPPE FRANCIllNI
mal
, symptôme d'Argyll-Robertson L'oeil gauche est am
es font défaut. Il n'y a pas de Babinski. Le réflexe plantaire nor-
mal
fait aussi défaut. A côté de cela nous devons m
chemin faisant, ils n'arrivaient il s'en défaire que plus ou moins
mal
, Pour les premiers observateurs, les taches na'
ellement de préférence le siège électif de ces manifestations anor-
males
(1). » Ainsi donc, dans la classe des naevi-vas
i de l'enclume). Sur la plante du pied il existe des deux côtés, un
mal
perforant, indolent, avec des bords cutanés tai
constatés antérieurement et déjà minutieusement décrits. Des deux
maux
perforants qui existaient à l'époque du précédent
er de l'hypertrophie qui tend en général à exagérer les formes nor-
males
, et qui, avec un processus d'ostéite raréfiante d
bien d'autres ait pu jouer un rôle important dans la production du
mal
, mais je pense que les cas observés sont en tro
La mère de B... est actuellement décédée, des suites d'uneaffection
mal
déterminée du foie. Réglée à 12 ans, elle ava
ma- lade, le troisième est mort au bout de six semaines. Il était «
mal
conformé au point de vue respiratoire ». Nous
e, il a encore travaillé, mais il avait des douleurs dans le dos et
mal
à la tête. On a observé qu'il avait ce jour-là un
était, le soir, de 38°I. Le malade maintenant ne se plaint plus de
mal
de tête ni de douleurs dans le dos. La sensibil
ar il ne pouvait plus alors s'asseoir dans le lit. Il est venu un «
mal
de gorge » pendant le même jour, et il semble que
pour ces cas, c'est que l'action du coeur continue d'une façon nor-
male
. Cette dissociation remarquable entre la fonction
eurs et que la motilité des membres est depuis devenue presque nor-
male
.) Mes observations me semblent parler en faveur
s organes les gras se trouvent en proportions supérieures à la nor-
male
. La signification intime de ce fait nous échappe
e silhouette de disciplinaire sur l'avant-bras. Une figure de femme
mal
ébauchée occupe le centre de la région abdomina
est d'un carac- tère faible et indécis, très faible à entraîner au
mal
comme au bien. Il porte sur la région épigastri
de la déviation des fonctions normales par suite d'un genre de vie
mal
ordonné. Quoi qu'il en soit, il est hors de dou
rne de la couche. Ceux qui persistent sont irréguliers, se colorent
mal
ou même sont à peine teintés par les matières c
on y retrouve néanmoins un certain nombre de fibres à myéline nor-
males
. Dégénérations descendantes. Au-dessous de la l
. A cette époque, en pleine santé, étant en route, il est pris d'un
mal
de tête atroce, de vertiges et de nausées. Ces
assé par des passants qui l'ont conduit en le soutenant ut avec pas
mal
de difficultés, chez lui. Après quelques jours il
qui s'écoule avec une forte pression. Le lendemain le malade a des
maux
de tète très violents et des vomissements. Aprè
ême debout. La mobilité des membres supérieurs est tout à fait nor-
male
. La malade ne se sert pas bien des membres inféri
raisser en même temps que sa maladie fait des progrès. L'affection (
maux
de tôle, diminution de la vue, etc.) et l'embon
t un li- quide brun. Deux mois après l'opération elle n'a plus de
maux
de tète, la vue s'est t améliorée et elle est m
on des coudes est diminuée, mais leur extension est à peu près nor-
male
. Les mouvements des épaules sont normaux. La ma
tout le reste de son organisation, le sujet paraît absolument nor-
mal
; la tête, le cou, le tronc, les membres inférieu
(lig,2), Les os des membres inférieurs sont normaux... bassin nor-
mal
, tête normale, colonne vertébrale sans déviation.
chimiques de la matière vivante ; on ne les connaît pas et, bon gré
mal
gré, il faut en subir les effets. Donc,du chef de
u'il existe deux instincts inhérents à l'espèce humaine et aux ani-
maux
, au moins d'après ce que l'on pouvait juger avec
ui reste indifférent en présence d'une semblable excitation. L'ani-
mal
ne réagit à la vue du gibier, à l'odeur de la cha
phénomènes réflexes constituent donc des actes de physiologie nor-
male
ou pathologique, en vertu desquels le courant ner
n allait faire tomber le plafond sur sa tête. » La nuit, il dormait
mal
et parlait tout haut. Son appétit avait sensibl
oire du fardeau soulevé, regardé comme la cause première de tout le
mal
. Mais ce diagnostic ne pouvait se soutenir en p
nnent une tournure dubitative et néga- tive ; ces négations vagues,
mal
dessinées semblent avoir exclusive- ment porté
té aliénées. La mère avait des idées d'imnânite, ci oyait 101l10urs
mal
faire. La soeur pnrail avoir été comme notre ma
es. Par conséquent tout est mort. Elle même va mou- rir. On fait du
mal
à son mari : s'il peut se présenter devant elle,
t arriver : On toiture ses véritables enfants et son mari ; tout ce
mal
ne peut être commis par Dieu ; il n'y a donc pas
ommis par Dieu ; il n'y a donc pas de Dieu, il n'y a qu'un démon du
mal
. Pour éclairer ses doutes, elle cherche dans le
caché ; il n'y a pas de Dieu, il n'y a qu'un démon, qu'un esprit du
mal
qui a fait le monde; la religion à laquelle ell
lques-uns. Elle sait ce qui se passe main- tenant, on interprète en
mal
tout ce qu'elle fait de bien pour faire rire la
aduellement. Les prodromes bénins n'attirent pas l'attention, et le
mal
ne se manifeste que plus tard par un affaibliss
ne, comme tout le monde l'admet, mais des accès ty- piques de grand
mal
; 3° la différence entre l'épilepsie partielle et
grand mal; 3° la différence entre l'épilepsie partielle et le grand
mal
, bien qu'importante au point dé vue du traitement
ée, obtuse, mais silencieuse et tranquille. Un beau jour elle mange
mal
, se plaint de douleurs physiques, pâlit, s'affa
Korb, où à l'autopsie les cornes antérieures ont été trouvées nor-
males
). Une autre particularité, plus intéressante enco
lait aller la chercher. La concierge alla aussitôt prévenir M. Gri-
mal
, commissaire de police, qui dut faire enfoncer la
ien moins faciles à interpréter, parce qu'elles sont aussi les plus
mal
connues. Les cellules de Clarke sont toujours a
u pas atteintes, ne peut être due à la même cause. Nous connaissons
mal
l'anatomie normale et pathologique des cellules
ur l'étiologie de la paralysie générale. Nos observations sont trop
mal
documentées à cet égard, parce que bon nombre d
les de la corne postérieure. La dure-mère est habituellement nor-
male
, la pie-mère souvent atteinte de lepto-méningite
e d'état. La malade est devenue plus calme, mais elle répond encore
mal
aux questions qu'on lui pose, fait des grimaces
tenus à différentes époques peut renseigner aussi sur la 'marche du
mal
. Au point de vue thérapeutique, la connaissance d
peut être considéré comme un dégénéré, un épileptique prédisposé au
mal
par l'hérédité; mais qui pendant son enfance et
et l'autre à l'intoxication résultantde la putréfaction d'aliments
mal
digérés. Il ne pense pas, comme Voisin, que les
rique ne perd pas complètement connaissance et ne se fail jamais de
mal
. Au début de la crise épileptique, les pupilles
e des artères thyroï- diennes, etc.). La marche de la maladie est
mal
connue, les malades restant peu de temps à l'hô
non seulement par les attitudes vicieuses et les mouvements anor-
maux
qu'on peut imprimer aux doigts, mais aussi par la
uv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 2, 1897.) Deux observations de
mal
de Pott, compliqué « d'un symptôme peu connu et
t due à la congestion osseuse et capable de compliquer gravement le
mal
de Pott en débilitant lé malade et en rendant t
danger. Le fils Lu qui était tombé dans une nouvelle attaque de son
mal
pendant que sa mère et sa saur brûlaient, n'ava
x, Trovato saisit un fusil et fit feu sur le sergent. Mais il avait
mal
visé et la balle dévia. Alors .dans un véritable
en colorées et parsemées de noyaux; mais on trouve aussi des fibres
mal
colorées, presque transparentes; par places on
hémorrhagiques. On trouve encore dans ce tissu de nombreux disques,
mal
colorés, sans structure précise; la plupart de
osé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE. noyau
mal
coloré, de corps granuleux, de détritus et d'une
e tissu nerveux. Sur les coupes au Weigert la substance blanche a
mal
pris l'hématoxyline; le nombre des tubes nerveux
il l'humanité dans la spécialité que vous avez choisie. « Parmi les
maux
qui affligent l'espèce humaine, l'un des plus t
héréditaires, fouillés minutieusement, ne présentaient rien d'anor-
mal
. En ce qui la concernait, elle n'avait jamais pré
ciété de Chirurgie, il admet le délire post-opéra- toire. Si on l'a
mal
vu jusqu'à présent, c'est que c'est un délire h
pée de cet examen et de ces remarques, la malade, dès lors, eut des
maux
de tête persistants. A la fin de la séance M.
les accidents consécutifs, soit à la présence de la tumeur anévris-
male
, soit à la rupture de cette tumeur que l'on obser
s de l'ancien château et surtout des orangeries. Ils y étaient très
mal
, l'établissement était certainement au-dessous de
de Toulouse), rap- portent l'observation d'un sujet mort en état de
mal
épileptique, après avoir présenté toutes les gr
aire de la moelle, les cellules radiculaires ont été reconnues nor-
males
. De même les cellules des noyaux du bulbe. Dans l
nnel; de même que pour des abus de boisson de la part des malades
mal
surveillés où même poussés par leurs hôtes mal in
la part des malades mal surveillés où même poussés par leurs hôtes
mal
inspirés. Malgré le régime presque exclusivemen
précision des mouvements nécessaires au chant, et l'on comprendrait
mal
que le larynx et le voile du palais, destinés A
pour faire disparaître les douleurs, comme pour prévenir un état de
mal
d'où peut résulter la mort. > R. C. IX. CE Q
criminer uniquement l'inter- vention, car le sujet était en état de
mal
et présentait d'ailleurs une grave lésion encép
e, de prendre dans les boues une fille mendiante et tombant du haut
mal
. Il en fit sa maîtresse ; autre affaire étouffée
intoxication hépatique est trop complexe, sa nature est encore trop
mal
connue pour qu'on puisse, avec une certitude ab
épa- tisme ; on l'observe dans tous les cas où le foie fonctionne
mal
, dans les états bilieux, hémorrhoïdaires, dyspept
fs auxquels le foie ne reste pas étranger. L'origine hépatique du
mal
chez notre malade se révèle néanmoins d'une faç
l'a serrée entre deux objets sans que cela ressemble nullement à un
mal
de tête. » Elle fut reprise à plusieurs fois de
lade cherche à frapper : elle dit que ça la soulagerait de faire du
mal
à quelqu'un. Crises de forme léthargique : soud
faire Archives, 2e série, t. VI. 24 '370 CLINIQUE MENTALE. le
mal
, de se charger des péchés des autres, d'avoir vou
délire : elle attribue ces dernières à des en- nemis qui jettent le
mal
sur elle ; elle proteste de son innocence, dit
t biliaire. Vomisse- ments, fièvre, soif vive; t. 38° 2. 13. - Le
mal
fait des progrès rapides ; l'excitation est tombé
nifeste des projets de vengeance contre les auteurs supposés de ses
maux
. Antécédents alcooliques certains. Mon observat
s les points de vue, du jour de leur entrée, à la phase initiale du
mal
, jusqu'ci la terminaison fatale. Nous avons eu
rechercher cette anesthésie initiale qui permettrait de dépister le
mal
dès la première heure et par une thérapeu- tie
t et en dehors, c'est son attitude de repos; c'est la position nor-
male
, physiologique et anatomique, d'où le regard seul
avril 1898.) E. B. XCIV. DOUBLE syndrome DE BRO\VN-SÉQUARD dans LE
mal
DE POTT ; par le D' P. LONDE. Si, dans une pa
r. L'observation relatée par l'auteur en est un exemple au cours du
mal
de Pott ; quoique incomplet, le double syndrome
conscience, à la façon des malades qui succombent dans un état de
mal
épileptique. Ce cas, qui par sa netteté et sa s
ique. L'épilepsie somatique se divise elle-même en grand et petit
mal
et l'épilepsie psychique en épilepsie simple et é
rès avoir passé en revue et examiné chacun des symp- tômes du grand
mal
épileptique, l'auteur conclut que pas un ne peu
er mais sur la combinaison de tous les symptômes présents. Le petit
mal
épi- leptique, auquel se rattachent les absence
s, les vertiges, l'automa- tisme épileptique, se distingue du grand
mal
par l'absence de con- mIsions. Une interrupti
riminel du châtiment et quelles sont-elles ? ,¡ Ces conditions sont
mal
déterminées, et jamais l'opinion géné- rale n'a
s, fait remarquer que les aliénés n'ont que la notion du bien et du
mal
qu'un aliéné est susceptible d'avoir. Il est pa
sens moral a été développé et qu'ils ont connaissance du bien et du
mal
. Les idiots, les imbéciles. les sourds-muets, p
ment moral et intellectuel, d'après leur connaissance du bien et du
mal
. Si les habitudes criminelles ne sont pas établ
e de quelques vaisseaux, nous n'y avons rien trouvé de bien anor-
mal
. Il nous a semblé, par place, rencontrer moins de
fait Ilayem, sur la multiplicité des noyaux, ni sur des propriétés
mal
définies du protoplasma cellulaire (Friedmann),
rales, etc. ; 9° l'épilepsie sénile peut affecter la lorme de grand
mal
ou de petit mal, parfois surviennent des équivale
l'épilepsie sénile peut affecter la lorme de grand mal ou de petit
mal
, parfois surviennent des équivalents de diverse
es objets, mais ne les reconnaît pas, ne peut les nommer, s'oriente
mal
dans l'espace car il ne peut plus comparer les
des matières premières gaspillées; de la dépréciation d'un travail
mal
fait; des affaires négligées, et de cent autres c
nouvelles, que tous les narcotiques qui, à la longue, font plus de
mal
que de bien. Les malades, heureux d'échapper à
e, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en état de
mal
, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidité du cou
par IIlls, 321. .Main succulente. La -, par Jlari- nesco, 125.
MAL
DE Pots, Double syndrome de Brown-Sequard dans
Makarewicz, 523. 111a11y, 215, 256. Main',297. y Mann, 312.
Mal
andon de Ilontyel, 376, 475. \larfan, 42. M
ence sur les enfants qui sont incapables de pouvoir lui rendre le
mal
qu'il leur fait. Elles consistent en égratignures
alade, l'avant-dernier des enfants et une dernière fille, faible et
mal
portante. Antécédents personnels. - Lors de la
grossesse. - Naissance un peu avant terme. - .Accidents convulsifs
mal
caracté- risés du 18e au 39c jour après la nais
entrée à l'improviste en jetant un cri : elle a failli se trou- ver
mal
, a dit que l'enfant remuait violemment dans son
- lement adhérent. Les différentes parties de l'oreille sont nor-
males
. L'orifice du conduit auditif externe est assez l
octobre. - L'enfant, depuis quelques jours, n'a pas d'appétit, dort
mal
, crie. Elle tousse un peu. A l'auscultation, 16
maternel et grand'mère maternelle, sobres, morts, l'un avec, « un
mal
de jambe » ( ? ) l'autre à 69 ans, asthmatique (
t gauche. L'enfant passant par des alternatives de mieux et de plus
mal
avec une tem- pérature qui oscille de 31o aux e
4 h. 50. A 5 h. il a son 45' accès dans lequel il succombe (État de
mal
). La température au moment de la mort est de 39
nts d'hémiplégie infantile spasmodique étaient sujets à l'état de
mal
comme les épileptiques vulgaires : tel a été le
cas de Le T... ; il a succombé à la période convulsive d'un état de
mal
en 10 heures, avec éléva- tion de la températur
éléva- tion de la température centrale. Anatomiquement, l'état de
mal
s'est traduit, selon la règle, par une congesti
- res. Cils longs et bien implantés. Yeux grands, à motilité nor-
male
, pas d'exophthalmie, de paralysies, ni de nystagm
e succèdent à intervalles plus ou moins rapprochés. Il mange peu et
mal
et rejette les aliments au sur et à mesure qu'o
bondamment lorsqu'on le change. - Il gâte jour et nuit, dort peu et
mal
et crie chaque fois qu'il se réveille. Pas d'on
te qui aurait duré un mois. Depuis longtemps elle se plai- gnait de
maux
de tète. Sa maladie était caractérisée par un d
o- siques des deux mains qui auraient persisté. L'enfant digérait
mal
, vomissait, avait des périodes de diarrhée, suivi
eption de son pain, l'enfant ne prend aucun aliment seul. Il saisit
mal
les objets qu'on lui présente. Il ne mastique a
Il pleure et a l'air de se demander ce qu'on lui veut. Il saisit
mal
les échelons et retire les mains dès qu'on les a
.. L'affection de l'estomac à laquelle a succombé le grand-père est
mal
définie. Peut-être faudrait-il la mettre sur le
re. La sensibilité au tact, à la piqûre, à la chaleur parait nor-
male
sur toutes les parties du corps. - Les réflexes p
idente par l'auto- psie. XV. Epilepsie. symptomatique ; état de
mal
, élévation de la température; mort. Par BOURN
telligence et modification défavorable du caratère en 1892. Etat de
mal
épileptique : mort. Autopsie : sclérose atrophi
usseau, certifie que le jeune Mardi ? âgé de 10 ans, est atteint de
mal
épileptique parfaitement caractérisé, que les a
. Dès le 31 octobre, il est admis à l'infirmerie, se plaignant de
maux
de gorge. Il accuse aussi des douleurs lombaires,
écis. L'état général est bon, et malgré cela, l'enfant se plaint de
maux
de tète, de douleurs articu- laires, et dans la
noïdes. Menton arrondi. - Oreilles assez grandes, larges en haut,
mal
attachées, assez écartées du point d'insertion ;
es jambes. Périnée glabre. 192 État DE MAL épileptique. Etat DE
mal
épileptique. .193 ment la bouche et la tient
e exagération des mouvements toniques du côté gauche. 194 État de
mal
épileptique. Le membre inférieur gauche a été a
angsues aux apophyses mastoïdes. Marche des accès pendant l'état de
mal
. 16 décembre. - 3 accès dans la journée.1 H a
EPTIQUE. 195 18 décembre. - 12 accès dans la journée. 196 Etat DE
mal
épileptique. R. au 6" accès : 380,6. 2, d'heure
ventricule n'offrent rien de spé- cial. 198 RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE
mal
. Cou. Larynx et trachée normaux. - Persistance
essantaupointdevuesymptomatique. Ils offraient RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE
MAL
. 199 toutefois un certain degré de gravité puis
l- ter à la Salpêtrière. Jusqu'au moment de l'entrée à Bicêtre le
mal
caduc n'avait pas retenti défavorable- ment sur
st à la suite de la rémission de deux nuis qu'est survenu l'état de
mal
auquel March. a succombé. IV. Cet état de mal
t survenu l'état de mal auquel March. a succombé. IV. Cet état de
mal
a été caractérisé par une période convulsive av
actère. Le malade au sur et à mesure de la 200 RÉFLEXIONS ; ÉTAT DE
MAL
. répétition des accès ne répondait plus à aucun
us ce que nous avons dit, à savoir qu'elle s'élève durant l'état de
mal
épileptique. Chez March. les convulsions ont pr
apporté aucune notion nouvelle sur la nature et la localisation de
mal
. Peu de. congestion dans la boite osseuse et cl
.. Sommaire. Grand' mère paternelle morte épileptique (en état de
mal
probablement). - Mère émotive mais sans cri- se
épileptique et parait être morte en état RÉFLEXIONS. 9<5 5 de
mal
. Chez le père il est impossible de trouver aucun
i,e-4. Pas (le peur, pas d'envie. De temps à autre elle se trouvait
mal
ni lis revenait vite à elle. - Accouchement il
t faisait cons- tamment sous lui. Il est encore gâteux. Il mastique
mal
. bave beaucoup mais ne vomit pas. Pas de méryci
r le trajet de la scissure de Sylvius. 230 SCLÉROSE ATROPHIQUE.
male
dans sa moitié inférieure, est sclérosée et atrop
ement par deux foyers de sclérose atrophique régio- nale. L'état de
mal
convulsif et l'hémiplégie ont permis de rattach
jusqu'à l'âge de 6 ans. A cette époque, elle fut prise de violents
maux
de tête, qui lui fai aient pousser des cri., de
la tête (Hydrocéphalie). 25 juin. - L'enfant marche de plus en plus
mal
. Elle ne peut même plus se tenir debout dans le
ffre un aspect général très anormal. Les sillons sont peu profonds,
mal
délimités en certains points. La scis- sure de
direction la première partie de la scissure de Sylvius. - FI et F2,
mal
délimitées à leur partie antérieure où de nombr
tend qu'elle comprend à peu près tout ce qu'on lui dit, mais répond
mal
, souvent d'une façon incohé- rente ; elle aurai
er à l'eau. Elle ne s'approche jamais du feu assez pour se faire du
mal
ou pour qu'on puisse craindre qu'elle tombe dan
bien les gens du pays par leur nom qu'elle prononçait toujours très
mal
; elle se rappelait quelquefois des événements
'auscul- tation des sommets des poumons, murmure vésiculaire nor-
mal
. l'ointe du coeur battant dans le 4*' espace, sur
forme de bouillie ver- dâtre. - Poumon gauche (385 gr.). Il crépite
mal
dans pres- que toute son étendue; à la palpatio
SOMMAIRE. - Grand'mère paternelle, morte épileptique (eu état de
mal
probablement). - Mère, émotive, mais sans crise
éants ni de difformes. .4."P. 'Pas de' maladies d'enfance; quelques
maux
d'yeux sans gour- mes ni abcès ganglionnaires.
ilèges sé- duisants, on en fit autant d'incarnations de l'esprit du
mal
. Belzebub et Lucifer prirent la place de Dionys
gues sur une épidémie qui sévit en Hollande en 1373, et qu'on nomma
mal
de St-Jean. « On croit, dit-il, que ce mal se c
en 1373, et qu'on nomma mal de St-Jean. « On croit, dit-il, que ce
mal
se communiquait à ceux qui regardaient les mala
érison complète. Il confesse d'ailleurs que tous ceux que frappe ce
mal
étrange n'ont pas été mordus par la tarentule (
osait, en faisant de la musique, était aussi de rompre la racine du
mal
lui-même par la violence des accès (3) ». Enf
au théâtre. D'une éducation musicale insuffisante, il a beaucoup de
mal
à apprendre ses rôles, et il a toujours été forte
es privations, d'in- telligence médiocre, et s'étant observée assez
mal
. Nous n'avons pas trouvé de maladies nerveuses
s vulgaires appellent le ne S. Fiacre, qui est une chose absurde et
mal
entendue, pour ce qu'il n'y a point de maladies
la station myopathique une véritable caricature de la stalion nor-
male
. Dans ce cas la longueur II h est augmentée. La
n. 1'1'0[/1'. méd., 1 mars 1885). Voy. aussi : Ibid. Leçons sur les
mal
. du syst. zzerv" t. III. (2) Pierre Marie et G.
xtrémités résultant de celte maladie des muscles, la position anor-
male
des omoplates, la lordose lombaire, la faiblesse
éralisée, sans cher- cher à la rattacher à tel ou tel groupe encore
mal
défini ; et, sans entrer dans la discussion de
nels de la malade) : l'un, faible d'esprit, tombant souvent du haut
mal
, et l'autre, homme intelligent et travailleur, pè
ille gauche qui n'entend plus depuis ce temps. Elle voit aussi fort
mal
de l'oeil gauche. Elle a eu 6 enfants et 3 fausse
étant toute pe- tite, et le fait est à noter, elle avait toujours «
mal
au dos ». Elle souffrait aussi de violents maux
lle avait toujours « mal au dos ». Elle souffrait aussi de violents
maux
de tète. C'est aussi au début de la maladie qu'
ure. Les paupières s'affrontent complètement dans la fermeture nor-
male
. Mais l'occlusion forcée se fait faiblement, surt
e. Son père est émotif, asthmatique. Un de ses oncles tombe du haut
mal
. En remontant plus haut dans son hérédité on tr
availlant sur les marchés de St-Denis, portait des paquets, gagnant
mal
sa vie, souvent sans ressources, sans nourritur
même il a toujours pu siffler comme aujourd'hui, c'est il-dire fort
mal
, mais ce fait ne l'a jamais frappé. Durant cett
cutent ; le malade résiste bien à la flexion passive de la tête et
mal
à son ex- tension. , MEMHHES supérieurs. La m
rtement des bobines de 65mm, bien plus tard que pour un muscle nor-
mal
; en même temps des contractions se montrent dans
t forte et dans cette position la résistance semble à peu près nor-
male
. Jambier antérieur : C. m. à 55 ? ; Jumeau exte
pseudo-hypertrophique, de Duchenne (3). (1) CuAncor. Leçons sur les
Mal
. du Syst. Nerv., T. II, ISS5, p. 234. (2) Ibid.
OUZY et Déjerine. Rev. de médecine, 1886. (5) CHARCOT. Leç. sur les
Mal
. du syst. nerv. T. III, 1881, p. 190. NU : 1 ?
Thomas D. SAVILL. (de Londres). (1) Voy. Charcot. Leç. sur les
mal
. du syst. nerv., t. III, 1886, p. 204 et sq. (2
atin que le malade en constate la gravité apparente et soudaine. Le
mal
est fait; la lésion est acquise et définitive.
cavait été décol- tee ? L'accident est bien ancien et nous sommes
mal
informés. Ce qui est certain, c'est que l'a- po
t des excès génésiques, de toute espèce, auxquels elle attribue son
mal
. Il parait que, dès le premier jour du mariage, s
Kilo a duré cinq il six jours. Pendant de longues années, tout le
mal
semble s'être borné il ces crises dou- loureuse
es ainsi que sur tout le reste du corps. Sens musculaire Il se rend
mal
compte delà position de ses doigts, mais re- co
ltation de chaque, semaine, pour se plaindre il nous d'une fouie de
maux
presque toujours les mêmes. C'est le coeur, c'e
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pressons pas de déclarer que tant de
maux
accumulés sur la même victime soient purement i
es (Charcot), une forme bé- nigne (1) et une forme maligne avec pas
mal
d'intermédiaires. Anatomie pathologique et path
ites où l'infection, d'abord articulaire, produit, pour des raisons
mal
connues, des névritespéri-articutaires à marche a
, fortement dévié en dehors et porteur a l'angle de déviation, d'un
mal
perforant : l'ulcération, chez ce malade que je
: ainsi chez un tabétique que nous avons observé, et qui portait un
mal
perforant 301 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
o- phalangiennes ou interphafangiennes caractérise la 3e période du
mal
per- forant. Très rarement il s'étend au loin,
: en effet, 7 arthropathies métatarso-phalangiennes consécutives au
mal
perforant nous ont montré dans le liquide séro-pu
s articulaires qui peuvent faire partie du cortège symptomatique du
mal
perforant en en modifiant parfois le pronostic
thies du métatarse et des or- teils. Les arthropathies fermées du
mal
perforant peuvent de même se limiter aux articu
on métatarso-p halangi en- ne du gros orteil gauche, il côté d'un
mal
perforant guéri. 2° Une forme atrophique, qui p
moro-tibiale. Au lieu de rester limitée à l'articulation voisine du
mal
perfo- rant, comme dans les formes précédentes,
rant, comme dans les formes précédentes, l'arthropathie fermée du
mal
perforant peut s'étendre, envahir tout le carpe o
tibio-tarsienne. Dans ces deux formes, l'intérêt pronos- tique du
mal
perforant disparaît devant la gravité des lésio
ces grandes arthro- pathies du pied évoluent sans concomitance d'un
mal
perforant. On groupait, il y a quel- ques année
abituelle- ment plus grandes pour la lésion articulaire que pour le
mal
perforant; loi que nous avons autrefois démontr
maître M. Tuilier pour la forme la plus légère des arthropathies du
mal
perforant, la petite arthropathie fruste, et qu
st vraie pour toutes. Ajoutons que dans toutes ces arthropathies du
mal
perforant, sauf dans les variétés les plus atté
chez un ma- lade à qui nous vîmes le calcanéum se nécroser après un
mal
perforant ta- lonnier de nature indéterminée.
, dans l'état de la malade ne permettait de les. expliquer. Dans le
mal
de Poil, c'est une- forme un peu différente, hy
t s'infecter, et à la suite d'inflammation viscérale, d'eschare, de
mal
perforant, devenir tropho-suppurées, tropho-nécro
s la continuité du métatarsin, comme chez un de nos malades dont un
mal
perforant avait ouvert et nécrosé la '1 l'a art
toute sa vie,'il ne ressentit plus au- cune atteinte de ce terrible
mal
(3) ». Il s'agit ta, à n'en pas douter, d'une d
fait fondamental, puisqu'il nous fait saisir la véritable cause du
mal
. Il s'ensuit que telle ou telle dénomination anci
de nous adresser une lettre documentée sur son état. « Cependant le
mal
ne fait qu'empirer, écrit-il ; les douleurs de ha
rois il une péritonite enkystée. Comme la malade va de plus en plus
mal
, on demande au Dr T... de venirpour ouvrir, s'il
ge très dévot., venait souventvoir la malade depuis le début de son
mal
. En juin 1892, il lui avait apporté une statuet
ique des maladies du système nerveux. (1) Charcot, Leçons sur les
mal
. du syst. nerv., t. III. (2) P. Etat mental des
taux de l'orientation et les centres frontaux du langage sont assez
mal
connus. i) Nous avons étudié ailleurs (Réflexes
u et de l'épaule ont repris leur volume et leur fonctionnement nor-
maux
. Sans aucun fourmillement, sans fatigue du bras s
et II. Squelette, IV. - Os comparés à ceux d'un squelette nor-
mal
, V. Pachyméningite cervicale syphilitique, XV
'opium, c'est une arme a de-x tranchants. Elle peut faire beaucoup de
mal
et beaucoup de bien; mais, en réalité, son abus,
ussitôt il vient naturellement a l'esprit de l'opérateur qu'il a fait
mal
an médium en resserrant les bandes, et il s'appli
de « médium » S duper les savants. dont les prétentions critiques si
mal
à propos menacent de les empêcher de gagner leur
on médical y soit pour quelque chose. Nous concédons cependant que le
mal
produit, par la lecture d'une pathologie de la vi
tome XXIII.) Lopez de Gomara (Justo S.) — La cienca del bien y del
mal
. Et hypnotismo y la suggestiion al alcance de tod
ême, d'impressionnabilité excessive lui causant des palpitations, des
maux
de tète avec fréquentes syncopes. Gastralgie inte
cin. J'avais toujours des selles aussi difficiles et aussi rares, des
maux
de téte aussi violents, ne pouvant rien prendre e
à la malade et à son mari que, parce que ce moyen précieux avait été
mal
appliqué, sans aucun doute, ce n'était pas une ra
udier, non plus l'état momentané qui répond à la présence du concept,
mal
* l'état permanent, les habitudes d'esprit (et leu
t est parfaitement indiquée chez ces malades. La psychothérapie est
mal
vue de la classe aisée et intelligente. Ce n'est
la faute d'irriter et de vexer leurs malades en leur disant que leurs
maux
sont Imaginaires et qu'ils n'ont qu'à bien vouloi
es, avant de faire une tenta-tive sérieuse a les débarrasser de leurs
maux
d'une manière plus normale, moins dangereuse et p
ne ceinture pleine. Mathis était alors aubergiste et l'auberge allait
mal
. L'échéance approchait; point d'argent, et sur la
signaler comme un véritable danger social. A nos yeux, la gravité du
mal
résulte moins de son extension rapide à toutes le
de ces malades se décide à demander à la médecine de les guérir d'un
mal
qu'elle a presque toujours causé. Il reçoit alors
ous consulter, elle a le teint jaunâtre, cachectique. Elle souffre de
maux
d'estomac; les digestions sont pénibles et elle a
pressions qu'il lui communique. C'est ce qui fait que tant d'orateurs
mal
aguerris sont arrêtés à leur premier élan, précis
dans mon service, le sujet avait l'attitude d'un individu atteint de
mal
de Pott cervical. Le repos, l'immobilisation, les
une fille, qui la soignait dans un de ces accès, fut attaquée du même
mal
; le lendemain une seconde, le surlendemain une t
la crise dont ¡1 avait été témoin, et les jours suivants il se disait
mal
a l'aise, se plaignant de douleurs vagues et d'un
crispée à son colé droit, comme pour en écarter l'objet qui lui fait
mal
. Au bout d'un certain temps, cette même douleur s
d'après mes notes, précisément pour que l'on ne put pas m'accuser de
mal
interpréter ses paroles. Je regrette que M. Bernh
ofession de saltimbanques ou acteurs en plein vent; les affaires vont
mal
, les enfants sont contraints par le père à commet
z travailler à ta couture. Vous aurez de l'appétit ; vous n'aurez pas
mal
à l'estomac ; vous irez à la garde-robe tous les
nscience, et de ne pas différer à leur en parler quand la violence du
mal
ne leur permet plus d'y mettre ordre avec la libe
le second Jour de leur maladie, de se confesser lorsque la qualité de
mal
l'exigera; voulons que ceux qui y auront manqué s
amifications du systeme- nerveux et peut ainsi produire le bien ou le
mal
sur l'organe où elle concentre son action (I).
ar la main qui guidait la sienne, lorsqu'elle se trompait et énonçait
mal
un mot. Ces crises l'étant répétées assez souve
isonnable, alors. Vous resterez au lit et vous ne vous ferez point de
mal
. R. — Tu dis qu'il faut que Je sois raisonnable
monde extérieur, mais a pu recevoir les suggestions appropriées a son
mal
et sortir d'un état dont on a peine a se figurer
ions encore que le fau nous brûle, qu'une piqûre d'aiguille nous fait
mal
, que les oignons nous font pleurer, que le vin no
médecin, que voilà. Je sais à l'avance que vous ne pouvez rien à mon
mal
. J'en souffre depuis vingt ans. J'ai toujours été
n'ont réussi qu'à me mettre dans tous mes états et à me donner grand
mal
de tète. Mon médecin, que voilà, me dit que vous
er ù vos manœuvres, mais c'est surtout pour le con- vaincre que mon
mal
est bien sans remède. D'ailleurs, je ne crois pas
et, le tirant violemment par la barbe, je lui annonce qu'il n'a plus
mal
, qu'il n'aura plus mal (1) — et la prédiction se
nt par la barbe, je lui annonce qu'il n'a plus mal, qu'il n'aura plus
mal
(1) — et la prédiction se réalise. Ici. le suje
a eues pendant les douze premières années de notre mariage, a savoir,
maux
de seins à la suite de couches, mal de gorge diph
nées de notre mariage, a savoir, maux de seins à la suite de couches,
mal
de gorge diphtérique, nombreux abcès à la gorge,
rrhe d'estomac ; mais un malheureux médicament, dont la formule a été
mal
comprise par le pharmacien (parait-il), lui a occ
pas le secret de ceux qui s'appliquent avec succès au soulagement des
maux
de leurs semblables? Dans mon volume sur le Magné
ait de son affection très compliquée que de la faiblesse et un peu de
mal
de tète au réveil. La guérison se maintint sans
e des sauvages portant des amulettes et adorant des divinités en bois
mal
sculpté ! L'humanité, du haut eu bas, ne vit que
ois pas déjà et au delà ; de plus près, le livre est gris. Le sujet à
mal
calculé la distance. Ces expériences contradict
s le regard un fluide magnétique capable de soulager presque tous les
maux
; « Qu'il se borne à pratiquer, en s'entourant
ionnement de ses divers organes et déduire de cet examen la nature du
mal
. provoquer ou activer les réactions nécessaires à
ateur, tandis que l'initiateur évolue suivant la nature de son propre
mal
. Plus souvent qu'une véritable folie, on voit se
erveux, devint peureuse, impressionnable, émotive, oublieuse, dormait
mal
, ayant des cauchemars, se réveillant souvent en s
ars, elle rentre un jour de la promenade en se plaignant d'un violent
mal
de tète qui dure deux ou trois jours, puis survie
rable et une éruption esl apparue sur la joue gauche et sur le front.
Maux
de tète par accès. Polydurie el pollakiourie aprè
lpitations sont déjà rares et la sensibilité est presque revenue, les
maux
de tète ont passé, elle dort bien la nuit, sans l
cherait d'enlever au malade son dernier espoir, surtout s'il croît le
mal
guérissable par la foi, remède qu'il n'a pas osé
re du lycée et le prend en apprentissage. E... éprouve de fréquents
maux
de téte, survenant surtout quand il est contrarié
ne l'aime plus - pourquoi cela serait-il ? il ne lui a jamais fait de
mal
— mais bien de savoir si sa belle-mère permettra
je me suis endormi jusqu'au matin. Samedi. — J'ai dormi, mais plus
mal
que la nuit dernière, car j'ai été éveillé trois
uses; pourtant, je tiens bon. Je ne céderai pas. Aujourd'hui, je suis
mal
a l'aise. Je crois qu'il ne faudrait pas une gran
gis à blanc. Je recommence à trembler. Dimanche. — J'ai encore plus
mal
dormi. Toute la nuit n'a été qu'une alternative d
......Et pourtant, tu es honni, bafoué, détesté, redouté a l'égal des
maux
les plus terrible». a On effraie lus hommes a
neries de leurs femmes, toi, tu endosses la responsabilité de tout le
mal
que fait la tienne. • Partout où lu te présente
a une sœur également bien portante, elle-même a toujours souffert de
maux
d'yeux ; actuellement elle est malade depuis cinq
ique à vingt ans. puis tuberculeuse. Comme Mme B... se plaignait de
maux
de tète persistants, je loi proposai de l'hypnoti
tre maladie que celle pour laquelle elle est entrée à l'hôpital : son
mal
a débuté il y a quinze mois, brusquement, sans ca
mois, brusquement, sans cause appréciable ; elle fut prise d'un fort
mal
de tète, puis elle ressentit une boule partir de
plus d'affinités avec la défunte, et d'hériter par conséquent de son
mal
. En effet, au bout de quelques jours, elle commen
quelconque, couture, broderie, musique, sans immédiatement avoir des
maux
de tète, des troubles de la vue, l'aihétose des m
sans cause. Mémoire et volonté bonnes. Intelligence assez développée.
Maux
de tète par accès. Vertiges fréquents, peut-être
tin, se réveilla tres courbaturé, très pâle, et remplit tant bien que
mal
ses occupations ordinaires, ignorant ce qui s'éta
ur ? » « Celui qui mange du miel et. du ??urr? tait-il réprouver le
mal
et choisir le bien ? » II. Cadet de Gassicourt,
st incapable de faire sa toilette et il parait aimer avoir ses lias
mal
tirés et ses vêtements non boutonnés. Actuell
érés. Les enfants dont nous nous occupons ne parlent pas ou parlent
mal
; dès que par une méthode particulière nous avo
ve encore souvent que, par la force de l'habitude, Mugn... prononce
mal
, mais il suffit, dans ce cas, d'une sim- ple ob
pitalisation et de l'éducation de cette catégorie d'enfants anor-
maux
et les convaincre de la possibilité de les amélio
Nos appren- tis, à Bicêtre, sont non seulement des enfants Axon-
maux
, mais encore des enfants malades : quand ils on
. Maladies intercurrentes. - 4 enfants ont été atteints d'état de
mal
6,I)ilel)ti(lue; G atteints de bron- cho-pneuzo
dangereuse, car le gâtisme exigeant un lavage quotidien du parquet
mal
jointoyé, non hourdé, du premier étage, il en r
de syphilis; 3 de congestion pulmonaire ; 4 de cachexie ; 6 pour
maux
d'yeux, 14 pour gourmes, 23 pour diarrhée, 10 p
4 pour gourmes, 23 pour diarrhée, 10 pour bronchite, 4 pour état de
mal
épileptique; Notons enfin 3 enfants que nous av
és, malgré leur répugnance, de recourir aux placements d'office. Le
mal
que nous voulions supprimer, et que; avec l'app
éo- laire des dernières grosses molaires. Urines en quantité nor-
male
, conservant leur coloration. 9 mai. - Toute tra
mois pendant 12 heures ( ? ). - Heprodllc- lion d'accidents nerveux
mal
caractérisés une dizaine de fois. - Début proba
Sommaire. - Enfant assisté; aucun renseignement. Mort en état de
mal
le 43 août 1898. Fer.... (Henri), 19 ans. - Eos
ne- ments un peu détaillés sur l'emploi de cette plante contre le
mal
caduc. Voici le passage qui nous inté- resse (p
A'nox I. Imbécillité et épilepsie symptomatiques; démence ; état de
mal
; mort ; méningo-encéphalite. Boni- : ..., (Vic
eu plus épaisse que la gauche. L'inférieure est charnue, à contours
mal
dessinés et proéminents, surtout à gauche, et c
ale droite, mais les mouvements sont peu souples. L'enfant se tient
mal
, le dos voûté, l'épaule gauche plus basse que l
T. R. 38°. Rien à l'auscultation. L'enfant, du reste, respire très
mal
et il est difficile de l'ausculter. - Régime lact
l'insula. Face interne. - Elle n'est pas morphologiquement nor-
male
. Une scissure longitudinale dédouble Fi. Le lobe
corde entre ses camarades. Très expansif. A la notion du bien et du
mal
; rien d'exa- géré dans ses pratiques religieus
de petits morceaux de récitation. - La marche est maintenant nor-
male
. On constate la disparition du clou et des zones
'âge de 10 ans. Conception, grossesse, accouchement, rien d'anor-
mal
. Élevé au biberon avec du lait et du vin. - Habi-
, taquine volontiers ses camarades sans aller jusqu'à leur faire du
mal
; n'aime pas rester seul autant parce qu'il a pe
entraîner. Affectueux et non égoïste, il a la notion du bien et du
mal
; ne présente aucune exagération dans ses pratiq
propreté à 2 ans. A 3 ans, peur, suivie la jours après d'un état de
mal
con- vulsir qui dura 13 heures. Consécutivement
ans. Vers cette époque, apparut tout à coup, un matin, un état de
mal
convulsif. Quinze jours auparavant, B.. avait eu
tête, dont il se plaignait « il chaque changement de saison. » Ces
maux
do tête duraient deux ou trois jours. A l'âge d
? Le prépuce étrangle un peu la base du gland ; le méat est nor-
mal
; les testicules sont du volume d'un gros oeuf de
ncé ce mot. L'affaiblissement intellec- tuel consécutif à l'état de
mal
, à ses suites, et ulté- rieurement la diminutio
bro-spinale. Avant les convulsions, Bé... était tout-à-fait n01'-
mal
, suivant les dires réitérés de sa mère. C'est l'é
n01'- mal, suivant les dires réitérés de sa mère. C'est l'état de
mal
convulsif, grave et prolongé, avec les nom- bre
ont symétriques, peu écartées du crâne, bien ourlées; le lobule est
mal
dessiné, adhérent. Au niveau du tragus, on note
de particulier jus- qu'à l'âge de 8 mois. Alors survint un état de
mal
convulsiF qui dura quatre heures, suivi : 1° d'
attaque : « Je n'ai pas perdu con- naissance, mais je me suis senti
mal
dans le ventre et dans les reins. J'ai tremblé
levé au sein par sa mère jusqu'à 3 mois : « Il venait tant bien que
mal
, parce que je fatiguais beaucoup et étais mal n
venait tant bien que mal, parce que je fatiguais beaucoup et étais
mal
nourrie. Il ne différait pas des autres enfants
les bras. Préhension et mastication nulles : la langue se mouvait
mal
, grincements fréquents des dents, la nuit aussi b
très mauvaise, érosions poussées iL l'extrême, toutes les dents ont
mal
évolué et sont mal implantées. Ces caractères m
ions poussées iL l'extrême, toutes les dents ont mal évolué et sont
mal
implantées. Ces caractères marquent une premièr
s odeurs. - Elle ne peut prendre aucun soin de toilette et se prête
mal
à ceux qu'on lui donne. - Gâtisme complet jour
laire. 219 seaux et les nerfs de la base de l'encéphale sont nor-
maux
. La pie-mère est notablement congestionnée et p
e connue, il a eu des migraines ( ? ) : dou- leurs de tète, à siège
mal
défini, puis vomissements bilieux; la vue se br
is semaines. Lui-même ne travaille pas régulièrement à cause de son
mal
. Il demande des secours pour subvenir aux besoi
n'auraient point été dues à la chute, car il ne s'était pas fait de
mal
en tombant. Cet accès n'avait pas été plus long
ars. L'enfant, en bon état, apprend très-bien à l'école. 1895. 30
mal
. - Intelligent, bonne santé; pas de I roubles n
ous a fourni des ren- seignements intéressants sur la marche de son
mal
. Le tableau des accès (p. 242 et 243), quoique
l est de par la pathologie nerveuse un certain nombre de cas encore
mal
classés dont la description difficile se trouvera
es antécédents héréditaires, si ce n'est une maladie nerveuse assez
mal
déterminée dont est mort son grand- père patern
ant beaucoup de douleurs lombaires et en ceinture. Le diagnostic de
mal
de Pott fut porté et on lui appliqua un corset
. 23 Celle-ci, en dehors de l'accident initial qui paraît avoir été
mal
observé, se manifesta d'abord par des « ulcérat
des phénomènes très intéressants dans l'espèce : ils consistent en
maux
de tète survenant vers 8 heures du soir et ne d
nt au redressement, sans que pour cela le muscle, cause première du
mal
, se soit sclérosé. Le temps n'est plus où l'on
ait observé depuis longtemps, à l'occasion d'une malade atteinte de
mal
de Pott et de paraplégie spasmodique consé- cut
, et il se produi- sait ainsi de temps à autre des sortes de crises
mal
définies mais avec sensa- tion nette de constri
nte, lente, traînante et nasonnée. Si on le l'ail lire, il articule
mal
les mots, il semble qu'il n'est pas maître de l'a
rappelle pas être sujette à avoir des rêves. Elle a fréquemment des
maux
de têtes (céphalalgie frontale). Du côté de la
ent (pl. 10) par une cambrure exagérée du pied, une saillie anor-
male
, du, tarse en dos d'âne, visible surtout lorsque
le hypertrophique, je puis le répéter à propos de la paraplégie par
mal
de Pott. Dans la plupart des cas de ce genre qu
èse arthritique et névropathique qu'a démontrée M. Charcot rendrait
mal
compte de la rareté de la complication. Deux po
t qu'il avait toujours eu une bonne santé, bien qu'il fût sujet aux
maux
de tête; il est mort à 67 ans; sa mère était ne
Membres égaux, réguliers, sans incurvations ni nouures. Tronc nor-
mal
. Organes génitaux bien développés. Peau brune, fl
a dure-mère et l'arachnoïde incisées, il s'écoule une quantité nor-
male
de liquide céphalo-rachidien. 1 L'encéphale est
d'atrophie notable; les autres parties des hémisphères sont nor-
males
. ' , 6° Les circonvolutions de la face interne
ine de minutes dans un sommeil sterto- reux. Il se réveille avec un
mal
de tête qui dure le reste de la journée. Il ne
lus superficielle à mesure que l'accès approche (chez B..., état de
mal
). Fin. 49. - Tracé du pouls avant le commenceme
- Tracé du pouls avant le commencement d'un accès (chez B..., état de
mal
). 122 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
j'ai pris sur un malade de mon service qui a succombé à un état de
mal
. Ceux de ces tracés qui comprennent toute la du
. 50. - Tracé du pouls au commencement d'un accès (chez B..., état de
mal
). FiG. z- Tracé du pouls au commencement d'un a
die ancienne bien que ré- cemment nommée et décrite, a fait tout le
mal
. Enfin, on peut distinguer dans le haut de la f
d'une certaine quantité reprendre progressivement sa position nor-
male
. ' '. - ' - Aussi je conseille de ne faire aprè
a eu, dit-il, une sorte de fièvre muqueuse. Pas de ganglions, ni de
maux
d'yeux, ni d'écoulements purulents. Il s'enrhum
es douches tièdes et des bains russes (ce qui ne lui fit ni bien ni
mal
). Quel- ques mois après, sa marche était tellem
, on constate qu'il existe très peu de courbes, que le malade prend
mal
la plume, qu'il « manque l'encrier », qu'il enf
servation de la nature. Telle déformation des membres qui semble un
mal
tout local relève souvent d'une affec- tion gén
tout. Elle est, ce me semble, un peu moins exquise qu'à l'état nor-
mal
. En tout cas, elle est certainement légèrement ém
crétion de l'urine. Les fonctions de sécrétion sont tout aussi nor-
males
. Un litre d'urine par jour ou peu près. Urines cl
res etleur convexité ont été prises pour une déformation osseuse du
mal
de Pott; sur les côtés de cette courbure normal
ccusée au point que plusieurs avaient opiné pour une'déformation de
mal
de Pott ou de polyarthrite vertébrale, cette dé
pointes de feu : on craignit d'être définitivement en présence d'un
mal
de Pott, et on envoya le malade dans le service
et très prononcée, présentait un aspect anormal pour une saillie du
mal
de Pott, nous résolûmes de nous livrer à un min
de la gibbosité, contribue encore à nous faire rejeter' l'idée d'un
mal
de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des
res supérieurs. Depuis quatre ans, sa vue a beaucoup faibli. Il y a
mal
perforant au pied droit. A sa sortie de l'hôpit
otables déformations. État actuel. La démarche du malade est lente,
mal
assurée; il ne peut se retourner rapidement san
. De temps z en lemps, oedème du membre inférieur. Il y six mois,
mal
perforant au niveau de la tête du premier métatar
300 grammes. La synoviale ne présente pas de vascularisation anor-
male
. Ce premier degré est donc caractérisé par une so
idérer comme guérison n'est bien souvent qu'un étal stationnaire du
mal
qui, sous l'influence d'une cause quelconque, u
re supérieur droit. Il existait aussi une douleur sourde, continue,
mal
loca- lisée, dans le membre inférieur du même c
e phé- nomène semble être exclusivement subjectif. Le malade sent
mal
ses jambes dans son lit. Chatouillement parfait
ous les caractères objectifs du durillon, de la première période du
mal
perforant. Toutefois, il n'est pas entouré d'un
embres inférieurs ne présentent aucune adipose, les poils sont nor-
maux
, les ongles ne présentent pas de dystrophie notab
entiellement avoir souffert pendant plus de deux ans de ce terrible
mal
et me dit, qu'au 'cours de celui-ci, il avait v
n constate au moins 6 ou 7 centimètres de plus que dans l'état nor-
mal
. Tout le pourtour du maxillaire inférieur, aussi
ître que la face seule est hypertrophiée. Le teint est d'un blanc
mal
. Fie 86. Obs. X (d'après Ilenrot). 250 NOUV
forme d'une sorte de personnage diabolique on de damné. L'horrible
mal
est gravé sur tout son corps d'une façon indéniab
ie de Raynaud à la deuxième période, affec- tant la forme d'état de
mal
asphyxique, survenue et la suite d'une émotion
ment qui disparait lorsque les doigts reprennent leur couleur nor-
male
. Parfois, l'asphyxie s'établit d'emblée sans être
s mains prennent successivement ;la coloration blanche, puis bleue,
mal
accentuée, en même temps qu'elles se refroidiss
les. Au bout d'un certain temps s'est installé un véritable état de
mal
avec dix à douze crises par jour d'une durée de
ée fixe rappelant ses crises, il s'établit un cercle dont l'état de
mal
est l'expression symptomatiqne. C'est en modi
tendues, l'inquiè- tent et sont une nouvelle cause d'aggravation du
mal
. La nature psychique apparaît encore quand l'id
uvait dans son ménage; à peine mariée en effet, son mari se conduit
mal
; il dissipe son bien dans les plaisirs les plu
ohibitives; Mais, là même où les lois sont les plus ter- ribles, le
mal
est-il supprimé ? Autrefois l'hypnotisme faisait
aurait lieu de faire savoir à la population que l'industrie prépare
mal
l'alcool. Les so- ciétés de tempérance ont là u
able épidé- mie d'hystérie chez les élèves de cet établissement. Le
mal
avait débuté à la suite d'excès et de débauches
Depuis lors je m'enrhume facilement, je prends plus facilement des
maux
de gorge et de petites angines. Actuellement, j
t des veines. Lorsque je fais de la gymnastique des bras, j'ai vite
mal
dans le dos. Si cette sorte de fatigue s'accent
d'éclampsie. Ma mère vit encore et se porte très bien, mais a eu un
mal
de jambes temporaire non sans analogie avec le
asthéniques ; son ventre se ballonne après les repas, il dort assez
mal
, et au réveil éprouve de la fatigue. 1 Aux me
conscient et qui témoignent nettement de la défiance du sujet et du
mal
auquel il se croit en butte, en un mot du délir
tête et le bras gauche étaient libres. La sensibilité partout nor-
male
. Après un traitement, qui a consisté surtout en
archer assez librement sans soutien. L'auteur, après avoir exclu le
mal
de Pott, à cause de la forme particulière de la
p. 416.) Trois cas de pseudo-tabes suivis de mort, le premier avec
mal
perforant et coma, les deux autres avec gangrèn
preuves, et jusqu'ici elles ne sont pas favorables. E. B. XXXVI.
MAL
DE POTT cervical. Leptomyélité chronique. Poussée
terminaison. La malade, tuberculeuse par les poumons, présentait un
mal
de Pott cervical accompagné de lésions chroniqu
ileptiformes, prenait fréquemment des caractères de tonicité encore
mal
définis. Il a aussi remarqué que les injections
nt, dans certaines circonstances, les épileptiques vrais en état de
mal
. Enfin il a, depuis plusieurs années, constalé
nd il a toujours trouvé leurs urines hypotoxiques pendant l'état de
mal
et hypertoxiques après. Il croit, à une intoxic
e ami Magnan poursuivait alors. Magnan expérimentait sur les ani-
maux
, M. Motet voyait les malades et, sans s'être ente
temps de son séjour à Mazas, Maumy était un peu pâle, s'alimentait
mal
, mais il n'a pas tardé à reprendre le dessus; a
ent. L'oreille gauche, de forme triangulaire à base supérieure, est
mal
ourlée. Rien de semblable à l'oreille droite. L
ns sont applicables à notre cas d'affection de Raynaud. L'état de
mal
asphyxique en rapport avec une idée fixe sub- 1
s développés, en toute indépendance, par les médecins, sont souvent
mal
compris par les magistrats qui ont cependant cr
venheilk. 1893). Du quartier de surveillance continue. Rapporteurs.
MAL
Siolé et Kroepelin. Les deux rapporteurs se son
epuis lors Nissl a trouvé la haryolcinèse dans le cerveau de l'ani-
mal
adulte comme dans l'écorce des paralytiques génér
grande partie des recettes, de préférence à prévenir les causes du
mal
. On a souvent considéré le dixième de l'alcool
surprend peut- être. On s'étonne, en effet, que pour un délire, un
mal
de tête, de asiles d'aliénés. 245 L'insomnie,
ur résul- tat que d'arrêter momentanément la marche envahissante du
mal
. Dès ce moment, il se savait perdu : défiguré,
SEGUIN (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants MOt'-
maux
et anormaux, avec une préface par Bourneville. Vo
ite sous diverses dénominations : morbus her- culeus, morbus sacer,
mal
comitial, mal lunatique, haut mal, mal Saint-Je
ses dénominations : morbus her- culeus, morbus sacer, mal comitial,
mal
lunatique, haut mal, mal Saint-Jean, etc., etc.
morbus her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut
mal
, mal Saint-Jean, etc., etc. Ambroise Paré dans
her- culeus, morbus sacer, mal comitial, mal lunatique, haut mal,
mal
Saint-Jean, etc., etc. Ambroise Paré dans ses oeu
dans les périodes d'agitation prolongées et surtout dans l'état de
mal
épileptique dont la gravité est bien connue.
2° Elle se rencontre dans tous les modes d'épilepsie ; 3° L'état de
mal
épileptique parait toujours accompagné d'albumi
cette albuminurie peut, quand elle se manifeste pendant un état de
mal
épileptique, être la source d'erreurs de diagno
s accès sont nombreux, intenses et subintrants comme dans l'état de
mal
. Il n'est pas jusqu'au moment de l'évacuation d
ue-nous, avons faite. Comparons-la. à la^terminologie z actuelle du
mal
de lrillt.rA1'époque où Bright découvritune mal
'une néphrite parenchymateuse ; ceci empêche-t-il l'express sion de
mal
de Bright d'être correcte en ce sens qu'elle sépa
es autres maladies mentales. S'il est accordé que, de même que le
mal
de Bright était caractérisé par une série de sy
ence dans les idées), et que, dans la Paranoïa, de même que dans le
mal
de Bright, il y a des variétés distinctes de pa
autres maladies mentales de môme que la pléiade symptomatique du
mal
de Bright séparait ce groupe des autres maladies
i dei casi detti deliri primi sistematizz. (Archiv. italiano per le
mal
. nervosi.) 'FANzi et Riva. La paranoia contribu
. Elle était bien portante; pas d'obtusion in- tellectuelle, pas de
mal
de tête. Toutefois, la mémoire laisse encore à
s zones radiculaires postérieures, la substance grise. Racines nor-
males
dans la queue de cheval. Altérations très faibles
miers, tandis que la répétition n'est que de six fois à l'état nor-
mal
, dans les pires, conditions du travail intellectu
Seguin (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants zzor-
maux
et anormaux, avec une préface pai Bournevinc. Vol
lle s'apercevait qu'un des côtés, de- côté situé.à sa droite, était
mal
vu, qu'il disparaissait peu à peu. Au bout de peu
côté gauche, m'appâraîc, bien, clairement( mais, je^côté^ droit est
mal
vu parce qu'il se dédouble, l'une des ..moitiés d
et, amaigris-^ sèment est des, plus manifestes à la sujtedesétatsde;
mal
.0n a signaléj aussi la,,présencederstries.surtl
ement ét'surtout'quànd'il''v''a''eù de grandes séries ou un état de
mal
? ) .. ' -, t. - ...0 tnn .· ? < rr oq)-.r ? t
se produit généralement pendant une série d'accès, dans un état de
mal
le plus souvent. Elle a déjà été signalée par l
ter pendant un mois et demi ; il est vrai que dans ce cas l'état de
mal
a duré lui-même à peu près un mois. D'autres fo
février 1893, elle a 238 accès épileptiques ; elle reste en état de
mal
avec forte élévation de température pendant tout
vation de température pendant tout ce mois. Au cours de cet état de
mal
elle devient hémiplégique droite et aphasique.
; elle semble réfléchir longuement avant de répondre; les mots sont
mal
pro- noncés et parfois employés les uns pour le
dre. La parole est hésitante; les mots sont traînés par syllabes et
mal
prononcés, puis soudain elle dit deux ou trois
- sité. En 1891 vers le mois de décembre, cette malade en état de
mal
est frappée d'hémiplégie droite avec aphasie pass
la parole, elle est réduite à son minimum. La malade prononce très
mal
les quelques mots oui, non, monsieur, qui reste
nfluence de nouveaux accès en séries surtout ou d'un nouvel état de
mal
, comme d'ailleurs la démence épileptique simple
ozci, non et quelques mots faciles. Encore les prononcent-ils très
mal
et sur un ton monotone. L'intonation a disparu.
es épileptiques ayant fait une hémiplégie corticale dans un état de
mal
, et l'hémiplégie semble avoir marqué le début.
e. Nous verrons tout à l'heure dans la patho- , génie que l'état de
mal
avec son élévation de température et son ensemb
ue que nous voyons chez les malades précédemment cités. L'état de
mal
agirait donc comme la rougeole, la variole ou tou
Rien de spécial à signaler dans les antécédents héréditaires. Déjà
mal
en train depuis quel- ques jours, quoique vaqua
ne présente pas de trémulation adynamique. Les pupilles sont nor-
males
; même vigueur dans les membres supérieurs droit
des cris de douleur et en perdant beaucoup de sang. Tu m'as fait
mal
, Baptiste, disait-il, dans des sanglots et des ho
»Gui'-i. (E.). Rapport et mémoires sur l'éducation des enfants nor-
maux
et anormaux, avec une préface par Bourneville. Vo
u'on don- nerait un léger cachet aux becs d'éclairage, où serait le
mal
? La literie mérite une sérieuse attention, ell
e crétinisme qui ne peut plus fournir de descen- dance ; l'excès du
mal
devenant un remède, en mettant fin à la série d
e forceps, sont considérés comme autant de causes prédisposantes au
mal
comitial. Diverses conditions défectueuses dans
ompa- gnent-ils pas comme ici de sensations vagues de malaise, de
maux
de tète, de diminution d'appétit, etc... ? I- D
Bourneville. Rapport et mémoires sur Véducalion des enfants nor-
maux
et anormaux, par E. Sccum, avec une préface par B
472. Possédés de Brouzat, par P. Iliclier et Meige, 497. Po2°r,
mal
decervica), par Ray- mond, 133. Procès Feldma
de Villejuif (Seine). Prognatisme, voûte palatine élevée, oreilles
mal
conformées, regard fixe. Idées délirantes de
htisme. Interprétations pessimistes de modifications cénesthésiques
mal
déterminées. Crises d'anxiété et de désespoir,
aille au-dessous de la moyenne. microcéphale, prognatisme, oreilles
mal
conformées, voûte pala- Ons. 23. Fin 9. - O. G.
ile le 31 août 1906. Microcéphalie. Voûte palatine élevée, oreilles
mal
conformées, yeux petits, regard Ons. 40. Fic..
le 16 août 1904.- Atrophie du massif inférieur de la face, oreilles
mal
conformées, voûte palatine élevée, tremblement
TRIBUTION A l'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 15 étroit, oreilles
mal
conformées, voûte palatine élevée, regard sans
ictus. Nos résultats concordent avec les conclusions du travail de
MAL
A. Rodiet, Dubos et P. Pansier, en ce qui conce
NTALE, ces différences de calibre pourraient n'avoir rien d'anor-
mal
. Dans un cas, la papille nous a paru uniformément
écisse- sement très net des artères, des papilles absolument nor-
males
et une vision parfaite. Ce rétrécissement artér
vulsive, aucun vertige, aucune absence qui puissent faire croire au
mal
comitial. On est forcé de conclure à une fugue
ENCES. 45 état d'ivresse et complètement oubliés dans l'état nor-
mal
. On trouvera dans une communication de Dobrot-
il devient irritable, commet des actes extravagants qu'il explique
mal
, ilest« faillie moialement et physiquement», ilné
les ouvrièrcsqui travaillent en chambre, dans des bureaux fermés,
mal
ventilés ou insuffisamment aérés, etc., que, par
A noter aussi que dans un de ses états elle était très sujette aux
maux
de dents et que dans l'état suivant elle n'avai
de ces états ne puisse être considéré comme appartenant au « petit
mal
» il est important de noter que la malade a eu
journal, 28 juillet 1906.) Dans toutes les contrées civilisées, le
mal
connu sous le nom de paralysie générale des ali
ytique est fortement en augmentation. Cette recrudes- cence dans un
mal
irrésistiblement progressif, réfractaire au trai-
hologues. Une masse de documents venant des cliniques concernant ce
mal
et son jumeau, le tabes dorsalis, a été recueil
base d'hallucina- tion affectaient le type de la persécution, mais
mal
systématisée. Ces troubles intellectuels débute
r qu'on l'attachât pour qu'il ne courût aucun risque de se faire du
mal
. La menace d'un sérieux arrosage avec quelques
ognes, mais moins d'alcooliques que dans toute autre région. 4° Les
maux
sociaux les plus graves que cause l'alcool relè-
discipline psycho-motrice ne pourrait pas être appliqué aux ani-
maux
. Il serait plus délicat à appliquer lorsqu'il s'a
ui arrivera quelquefois je suppose, ils pourraient se trouver assez
mal
préparés à leurs nouvelles fonctions. Si mes id
unal. Les attributions de la Commission de surveillance sont bien
mal
indiquées dans le texte de la loi ; il faut espér
ns traitants. S'il n'y avait que change- . ment de qualificatif, le
mal
ne serait pas grand ; nos jeu- LA REVISION DE L
néralement d'ac- cord pour déplorer le fait. J'avoue ne pas voir le
mal
. Je suppose en effet que le médecin aliéniste,
esse de la mémoire : il est forcé de tout écrire : il localise très
mal
dans le passé les faits de son existence. Il boit
ffisam- ment profondes pour qu'on pensât les premiers jours à des
maux
perforants. Aucun détail ne put être obtenu de
plus ou moins grand chez les spéculaires et ceux-ci sont des anor-
maux
au même litre que les sujets qui sont incapables
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. seuso dont la physiologie est encore
mal
connue et qui parait se rattachera des maladies
. Un autre concerne un homme de39ansqui en tra à l'hôpi tal ayec un
mal
per- forant plantaire, bilatéral : quinze ans a
ulièrement le plus banal mais non le moins significatif de tous, le
mal
de tête, les troubles moteurs, la neurasthénie
té actuelle, celle des demi-fous n'est pas préci- sée ; on les juge
mal
: certains d'entre eu vont une haute valeur soc
squ'à ce que le 160 BIBLIOGRAPHIE. malade cherche la cause de ses
maux
en dehors de lui (n'est-ce pas un peu tard ? )
lutte contre ce milieu ; identiques enfin les notions de bien et de
mal
. Donc dans le duplicisme, la conscience, au lie
lle proclame « la liberté, l'universalité des notions de bien et de
mal
, » et « d'une règle de justice avec res- ponsab
s instincts divers et même opposés, sans quoi « on com- prendrait
mal
que l'unité absolue d'existence et de fonc- tio
isme a- t-il pu négliger les entrecroisements incomplets des ani-
maux
à vision stéréoscopique, entrecroisements grâce
uatorial qui séparera l'hémisphère végétatif et l'hémisphère ani-
mal
i . 108 , PSYCHOLOGIE Chez fous les animaux,d
es ; mais les conditions nouvelles que l'on rencontre chez ces ani-
maux
mettent encore mieux en évidence la fausseté de l
très loin leur développement. Les cellules du stade 8 (dont 4 ani-
males
et 4 végétatives) donnent encore, non seulement u
e sûreté uniquement en raison du degré de leur peine. On s'explique
mal
ce dispositif : si l'in- dividu est reconnu ali
s. Si l'interdit n'était privé que de la gestion de ses biens, le
mal
ne serait pas trop grand. Encore me semble-t-il
critiques, bien loin de là, et j'aurais à regretter de m'être bien
mal
fait comprendre si, à la lecture de mon travail,
ifique, et si l'on vient alors à l'introduire dans l'organisme ani-
mal
, elle peut, tout en restant à l'état de spore, él
hiver à la température ambiante, et en cette saison il se développe
mal
si on vient à le cultiver à l'étuve, à une temp
rte d'en- sociétés savantes. 259 Lrée en matière, chez les sujets
mal
doués au point de vue de l'es- prit. Chez les
e sens bien que je ne respire pas comme avant ·. La nuil, elle dort
mal
« parce qu'elle n'a pas de force dans l'estomac
nquiète de son étal el elle sent « que tous les jours elle est plus
mal
». (Iliaque matin à la visite, elle formule les
i mis du ten ps pour m'en apercevoir que j'avais tort..t'avais tout
mal
compris. Ma \ie est manquée. Le jugement dernie
la doit être une puni lion. le diable me tourmente, cette main lait
mal
n. 11 refuse de s'alimenter, l', parce qu'il ne
sé l'exaspéra- lion la plus légitime. » Il s'accuse d'avoir fait du
mal
à ses amis et à sa famille, mais à mesure qu'il
ue fois obligé du répéter ces mots très rapidement ». On me fait du
mal
,jour et nuit, minute par minute, je crois pouvo
mécanisme est d'observation couran te dans la vie psychique nor-
male
: un ébranlement non perçu, à peine senti au cour
es coêtres, si les actes extérieurs, les manifestations de l'ani-
mal
ou de l'homme, auxquels assistent les deux co-êtr
à Laromiguière, Maine de Biran, Diderot, Ribot, en plusieurs points
mal
interprétées, sur l'abstrac- lion sensorielle,
pondre à certaines objections, préciser certains points qui ont été
mal
compris, ou mal interprétés, et dissiper certai
es objections, préciser certains points qui ont été mal compris, ou
mal
interprétés, et dissiper certains malentendus.
rgu- ment déterministe » (p. 85 à 88) : il l'expose tant bien que
mal
, et pourtant il néglige ce qui devenait alors le
ée qui est, elle aussi, « le fruit de la coopération de deux ani-
maux
conjugués ». Le dualisme longitudinal, la duali
r n'ait pas songé à la mesu- rer à sa thèse : mais sa bonne foi fut
mal
récompensée. Les motifs, se demande-t-il (p. 10
ce purin, on se contentait de fumer la terre,il n'y aurait guère de
mal
! mais on arrose avec, les légumes et notamment
es sondes nasopharyngiennes.L'économe s'ac- quitta de ce soin, mais
mal
. Je lui proposai de m'en occu-^. per. J'essuyai
tions, se rapportant à la signification des mots, sont complexes,
mal
définies,variables et beaucoup plus accessibles à
ions du type peu uniformes, peut-être parce que l'on s'entend assez
mal
sur le degré de déviation des autres types d'im
plications de la rougeole et Symptômes, diagnostic el traitement du
mal
de Pott ; Diagnostic des ictères et fracture du c
ue l'exagéra- tion de ce qui se produit constamment à l'état nor-
mal
, avec cette différence seulement que l'inertie ou
rre, d'une révolution, etc. ? S'il existe des notions de bien et de
mal
communes à tous les hommes, est-ce l'observatio
TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité ; par Alquier. (Nouv. Icon
de gibbosité qui, pour des raisons anatomiques, est un apanage du
mal
de Pott de l'adulte, est une cause de grandes dif
c les affections nerveuses médullaires ou para- médullaires dont le
mal
de Poil sans gibbosité peut prendre le masque (
sible, en l'absence de déformation rachidienne, de diagnostiquer le
mal
de Pott. F. TISSOT. XXXVL- Acromégalie partie
et P. Lejonne : Sur une af- fection méningo-encéphalique de nature
mal
déterminée. M. Souques : Notes complémentaires
éclamant l'intervention de l'hygiéniste. Ils se divisent en : Anor-
maux
d'école. susceptibles de bénéficier de l'instruct
- vement semble se dessiner, dans notre pays, en faveur des anor-
maux
d'école. Le projet de loi. proposé par la commiss
récemment déposé par le Ministre : deux classes spéciales d'anor-
maux
se sont crées à Paris. 1... Le D1' Régis a'prov
ivant : FAITS DIVERS EptLEPSiE.Pourquoi a-t-on appelé l'épilepsie
mal
de terre' ! La réponse est facile. Terre n'a pa
s habituel et ne vient pas du latin terra, mais de terror, terreur.
Mal
de terre signifie mal de terreur. On comprend a
pas du latin terra, mais de terror, terreur. Mal de terre signifie
mal
de terreur. On comprend aisément combien les espr
e impressionnés en présence d'un malade atteint d'une crise de haut
mal
: les convulsions, l'aspect grimaçant de la fi-
s contrées du Midi, on appel- le encore l'épilepsie ma, de terrour,
mal
de terreur, l'usage a fait supprimer l'r final
. Enfants. Voir Encéphalite. - Voir Fièvre hystérique. -- anor-
maux
, p. 271. - arriérés : voir Traitement. Enseig
ydney J. Cole, p. 495. Les principales formes des nerveux dans le
mal
de Pott sans gibbosité ; par Alquier, p. 498.
nt formée. C'est seulement lorsqu'elle est incomplète, irrégulière ou
mal
répartie, qu'elles se préoccupent de la dissimule
ité : son père, François Soubi-rous. meunier de son état, après avoir
mal
fait ses affaires, avait dû quitter le moulin qu'
e d'une distraction, d'une émotion ou bien de l'apparition d'un autre
mal
. Or, d'après ses biographes, les choses se pass
veilles de Lourdes, page 19, 31, 70. physique s'aggrava et que le
mal
hystérique prit son entier développement. C'est a
pouvaient, à cette époque, savoir, comme aujourd'hui, ce qu'était le
mal
hystérique et se rendre compte qu'il pouvait expl
iration normale se rétablit et la malade n'accuse aucune sensation de
mal
être, d'étouffement. Mais dès que l'anesthésie es
nn Laurent, Examinateur à l'Ecole Polytechnique. Un des plus grands
maux
qui afflige l'humanité est la passion des jeux de
ne sa santé et celle de ses enfants ; l'un perd le sens du bien et du
mal
sous l'influence de l'alcool, l'autre pressé par
les joueurs sont de véritables aliénés, on peut prévenir chez eux le
mal
en leur montrant la vérité avant que la passion d
les samourai se transformèrent en une armée de fonctionnaires souvent
mal
rétribués mais toujours respectés et dévoués corp
uste dont nous donnons cï-joint le dessin, la figure barbue s'accorde
mal
avec le sein de femme que le statuaire a eu soin
es et les harpies chez les anciens, la personnification du laid et du
mal
. Il a également pour principal rôle de suggérer l
jusqu'à l'âge de jeune fille. L'enfant né plus tard souffrait du même
mal
mais à un degré moins prononcé (Lucas). Une fem
uérir à nos yeux une importance psychologique plus grande, puisque le
mal
qu'elles engendrent retombe non seulement sur nos
contre une influence aussi corruptrice pour ses membres juvéniles et
mal
protégés. L'alternative est l'asile ou la prison,
, elles étouffaient, sanglottaient, fuyaient au loin ou se trouvaient
mal
». Cet état pourrait se définir par un mot : La s
es dégénérés. Un grand nombre d'entre eux sont simplement des enfants
mal
élevés. Quand ils n'ont pas été pervertis par les
raitement de ces cas est long et difficile. Quand il s'agit d'enfants
mal
élevés, on observe des transformations d'autant p
e son menton (fig. 94). Les femmes à barbe sont, on le voit, très
mal
considérées par le clergé, même quand elles sont
e d'un innocent. Aujourd'hui, selon le pays, elle favorise les femmes
mal
mariées en les faisant veuves, ou elle rend les u
rti, le premier malade qui se plongeait dans l'eau était guéri de son
mal
quel qu'il fût. L'eau de Betsaïda aujourd'hui e
lavées avant les siennes dans la piscine. Sous prétexte de guérir un
mal
quelconque, il ne faut pas donner une grave malad
veloppement Dominique Castagna {l'homme-momie) général se faisait
mal
; lentement, mais progressivement, elle alla s'ac
déterminent un certain degré de prognathisme. » Les dents sont très
mal
plantées, surtout en avant ; on en compte 29, 14
e au niveau de l'apophyse gauche. De plus, les fontanelles paraissent
mal
ossifiés. Les membres supérieurs sont dans leur
tellectuels allant jusqu'à l'idiotie. Si l'enfant parle, mais parle
mal
, il faut faire le diagnostic de trouble de la par
c de communion du chœur de l'église dans la nef, sans lui faire aucun
mal
. On lui lia les mains avec l'étole et on l'entraî
lement, etc., ou bien, cas très fréquent, qu'on essaie d'attribuer un
mal
déjà existant à l'accident survenu. Par simulat
'est pas constant*. — Il y a des jours où il ¦ entend mieux, ou moins
mal
... Tout dépend... C'est selon la tête ». ¦ Selo
ète le tableau. M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de douleurs
mal
déterminées, mal localisées, de vertiges ; mais t
M. Cavier se plaint, enfin, de dyspnée, de douleurs mal déterminées,
mal
localisées, de vertiges ; mais tout cela compte p
remarquables de ces gens qui, de bonne foi, s'imaginent ressentir des
maux
qu'ils n'ont pas ! Au premier acte du Malade im
ons donc la situation presque identique à ce qu'elle était au mois de
mal
dernier. Mais un incident survenu au cours de l'e
ves, que pour arrivera ses fins, il se donne souvent beaucoup plus de
mal
que s'il travaillait d'une façon normale. Une des
s préoccupations mentales, il ën arrive à jouer, devant un auditoire,
mal
ou beaucoup moins bien que dans la solitude ; tou
les dégénérés. 3BUne troisième forme (que les auteurs différencient
mal
des précédentes et qui en est p'ourtant bien dist
eur lait, le donnaient volontiers avec une autre personne s'y prenant
mal
! N'y aurait-il pas là une question d'ascendant, d
paroles prononcées avec une intonation calme, qu'il ne lui veut aucun
mal
, lentement il captera sa confiance, il obtiendra
stolique, qui était à l'épreuve des menaces les plus terribles et des
maux
les plus irrésistibles, le porta à ne vouloir jam
ait de s'aliéner sa clientèle ; les innovations étant en général fort
mal
accueillies, surtout dans les campagnes. Ce ne
ecevoir les affirmations qui ont pour but de les débarrasser de leurs
maux
. Et n'aurait-il que la propriété d'être un calman
s formations de phénomènes psychiques réels, mais ces phénomènes sont
mal
interprétés et n'ont presque jamais été rapportés
les maîtres de l'hypnotisme n'ont aucun lien commun avec les esprits
mal
inspirés qu'un excès de crédulité, ou un défaut d
r ! * O vous les Exilés des Humaines Délices, Vous que taraude un
mal
incurable, inconnu, Esclaves de la Peur, des Tare
e, dont nous connaissons peu l'hérédité, a été réglée à 11 ans, assez
mal
dans le début; petit à petit, l'appétit diminue;
chaleureusement applaudie par un auditoire enthousiaste : « Quand le
mal
semble défier toutes nos ressources et celles de
trouver auprès du père Jean la guérison et le soulagement de tous les
maux
. Une grande abnégation et une individualité très
re. Dernièrement arriva à St-Pétersbourg une pauvre femme malade. Son
mal
se manifestait en ce que, chaque fois qu'elle ent
problème des enfants anormaux. Les anormaux arriérés et les anormaux
mal
élevés. L'hypnotisme et l'orthopédie morale. La m
n miracle. H a permis qu'un de ces bouts de ruban donnés tant de fois
mal
à propos, vînt se fixer à la boutonnière d'un che
n fort explicable. La timidité accidentelle témoigne d'un caractère
mal
exercé, d'un défaut d'expérience, d'une volonté p
quelques preuves caractéristiques pour démontrer que l'hypnotisme est
mal
connu ou interprété. Le livre de M. Dubois sur le
aissait bien doué sous tous les rapports, il écrit : « Il fut pris de
maux
de tète, d'insomnies ; le moindre travail amenait
ssion hypocondriaque, le terrain épileptique, une psychose ou môme un
mal
organique cérébral : il faut rechercher ce qui es
la menstruation régulière. Elle vit dans une petite pièce obscure et
mal
aérée, qu'elle partage avec son père, sa mère et
oujoui-s à l'occasion d'un reproche. Lorsqu'elle est dans l'état de
mal
hystérique, le reproche joue le rôle de traumatis
uffit à mettre en branle certaines machines puissantes. Cet état de
mal
hystérique est signalé par quelques phénomènes pr
de la prendre comme domestique. Louis, Gras et Cauvin qui lui font du
mal
(comme elle l'écrit en italien) sont des individu
Dr illox, professeur à l'Ecole de psychologie, a commencé le Mardi 8
Mal
, à cinq heures (Salle des Conférences de l'Ecole,
Le problème des enfants anormaux. Les anormaux arriérés etlesanormaux
mal
élevés. L'hypnotisme et l'orthopédie morale. La m
Raies de feu ou méthode pour appliquer les pointes de feu sans -faire
mal
au malade par M. le D* Coste de Lagrave : La Crim
d'avril suivant, troisième crise de léthargie : elle s'était trouvée
mal
chez un pharmacien et avait été conduite à l'hôpi
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