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1 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
onflé, surtout à droite. Pour calmer ses douleurs, il promenait ses mains sur l'abdomen, preuve que la motilité était int
t t dits : Chez le Phocomèle, le membre difforme est réduit à une main ou à un pied, plus ou moins normal, attaché dir
. Chez l'Héxttimèlc, le membre difforme est privé de son extrémité, main ou pied, et se trouve réduit à son segment sus-
de fémur), soit au contraire du segment inférieur, du pied ou de la main (appendices digitiformes, articulés, ongles) ;
veloppement, la jambe ou l'avant-bras et mieux encore le pied ou la main font défaut ou sont restés dans un étal rudimenta
rmale, l'accouchement facile. Dès la naissance on s'aperçoit que la main droite n'existe pas ou qu'elle est du moins absol
mais l'avant-bras extrêmement raccourci ne porte qu'un rudiment de main . La longueur de l'avant-bras et de la main qui
porte qu'un rudiment de main. La longueur de l'avant-bras et de la main qui du côté sain est de vingt- trois centimètre
se'serait le pli du coude et le sommet le moignon qui représente la main . Celle-ci séparée de l'avant-bras par un sillon
vements de pronation ou de supination. Le moignon qui représente la main est immobile, inerte. La sensibilité objective
ans toutes les parties; l'enfant dit souffrir quelquefois dans « sa main », il accuse en tous cas une sensation constante
lui, il offre un bel exemple de polydactylie symétrique : Aux deux mains et aux deux pieds, il est pourvu de six doigts. C
n'est prévenu, cet excès dignitaire passe aisément inaperçu. Aux mains , les cinq doigts réglementaires sont régulièremen
résenté par un petit doigt qui se détache à 45°, dans le plan de la main , sur le bord cubital, et un peu au-dessus de l'
nombre des phalanges, au moins deux, peut-être trois... Quand la main est ouverte, tous les doigts étant allongés, le d
rs, ne pouvaient être vérifiées que par les examens nécroscopiques. Mains . A droite comme à gauche, le squelette des doigts
osé. Le point leplus intéressant de la disposition squelettiquedela main est le mode d'articulation des doigts surnuméra
surnuméraires avec les métacarpiens. Il diffère complètement d'une main à l'autre : Du côté droit, le cinquième métacar
vient s'articuler le doigt surnuméraire. Ainsi, tandis que dans la main droite le cinquième métacarpien semble constitu
resque égale, intimement accolés et. fusionnés côte à côte, dans la main gauche, au cinquième métacarpien incurvé et dif
d'un tiers moins long que le droit. L. Pieds. La polydactylie des mains se répète intégralement aux pieds. Ici, la conf
en est construit de la même façon. Mais, comme nous l'avons vu à la main gau- che, la phalangine de volume moindre, semb
que les anomalies digitales de ce genre soient symétriques aux deux mains ; on les a vu aussi se répéter aux deux pieds.
e l'observation classique publiée par Morand en 1770 (1 ). Dans une main , le doigt s'articulait avec une apophyse du cinqu
bre par une mamelle surnuméraire', avait, en outre, six doigts à la main droite. Pline parle de deux soeurs pourvues de
droite. Pline parle de deux soeurs pourvues de six doigts à chaque main . ' ' Enfin, en des siècles plus lointains encor
d'une taille' extraordinaire qui avait six doigts aux pieds et aux mains , c'est-à- dire vingt'-quatre doigts, et qui éta
-Ane. Testam., Rois, livre II, ch. XXI, 20, 21.. RADIOGRAPHIE DE LA MAIN DROITE D'UN SIXDIGITAIRE. MASSON & C'e, Édi
E D'UN SIXDIGITAIRE. MASSON & C'e, Éditeurs. RADIOGRAPHIE DES MAINS ET DES PIEDS D'UN SIXDIGITAIRE. MASSON \ Cie, l
pables de calmer une douleur intolérable, sinon au Barbier dont les mains expertes savaient conduire avec sécurité les inst
'assoient, retirent leur soulier, et, soutenant leur jambe avec leurs mains croisées sous le jarret, posent avec précaution
d'une table. LeBarbier vient, m et un genou en terre, saisit d'une main le pied dou- loureux et se penche pour regarder
leurs coiffes blan- ches, leurs fichus croisés autour du cou, leurs mains cachées sous leurs tabliers et leurs paniers au
, peignant largement et d'un jet brus- que, mais avec une sûreté de main et une franchise dans la nuance qui dénotent un
Plus de vingt tableaux de Teniers, et un nombre presque égal de la main de Brouwer, ont pour sujet des scènes de chirur
-Pédicures est signé du nom de Teniers. Mais il ne serait pas de la main du célèbre maître Anversois. On l'attribue à son
Flandres et les Pays-Bas. L'opérateur a mis genou en terre. De la main gauche il tient le bout du u pied de son client
penche en avant pour soutenir sa jambe droite à l'aide de ses deux mains croisées sous le jarret; son pied nu repose sur
pied nu repose sur un escabeau. Derrière eux, une femme debout, les mains cachées sous son tablier, un panier au bras, se
par l'âge et les souffrances, assis sur une chaise boi- teuse, les mains croisées sous le jarret, soutient sa jambe droite
bouclés tombant sur les épaules. Un genou en terre, il retient de la main gauche le pied de son client et, de la droite,
eune barbier, debout, fort soi- gné dans sa mise, rectifie des deux mains la position de la tête broussail- leuse. Un a
sis, a déjà consulté le Barbier en chef qui vient de lui faire à la main gauche un pansement sérieux ; une écharpe passée
u fond, prêt à sortir, l'autre, tout à fait à droite, un bâton à la main , assis sur un tabouret, dans un ha- bile contre
nts autres objets familiers que le peintre avait sans doute sous la main dans l'attirail de ses accessoires d'atelier. E
fait usage d'une substance cor- rosive ? La fiole qu'il tient à la main renferme peut-être un remède ano- din, prôné pa
ut du corps penché en avant, soutient sa jambe droite avec ses deux mains croisées sous le jarret. Son pied nu repose par
d'un bonnet de fourrure, un tablier autour des reins, tient dans la main gauche les orteils du patient, tandis que de la
- ques, coiffée d'un chapeau à larges bords, un panier au bras, les mains (1) P. Poacsr, Ilisl. ! léta. des drogues, édit
ché, pose son pied nu sur un cube de bois, tient sa jambe entre ses mains croisées et se penche en avant. C'est un homme âg
vêtu. Le chirurgien, un genou en terre, courbé en deux, tient d'une main les orteils et de l'autre détache un emplâtre a
assis sur une banquette à droite de lui. Il rit, en tenant dans la main droite le cor qu'il vient de couper du pied dro
. Plus loin derrière l'opérateur, son domestique, une lanterne à la main , debout près d'une table, éclaire les objets qu
pour radicale, même aux yeux des plus « conserva- teurs ». DE LA MAIN « SUCCULENTE » PAR G. MARINESCO I Les tro
arfois pour des affections différentes, c'est ainsi qu'on a créé la main typeMorvan, la main chiromégalique qui a été conf
ctions différentes, c'est ainsi qu'on a créé la main typeMorvan, la main chiromégalique qui a été confondue par cer- tai
culaire qu'on rencontre souvent dans cette affection, assurent à la main un cachet si spécial qu'on peu ! faire aisément
malade. Aussi jusqu'à plus ample informé, je consi- dère que celle main appartient en propre à la syringomyélie, et pour
le nom qui m'a été suggéré par mon cher maître, M. Marie, celui de main succulente. Ce n'est pas à dire que les troubles
dé n'ont pas prêté une attention suffisante aux caractères de cette main pour y donner une description com- plète et lâc
) Fuhstner et ZACn¡;n, Archiv. sur Psychiatrie, t. XIV, 1883. DE LA MAIN SUCCULENTE 85 d'un cas de syringomyélie qui ava
année 1888), il est question d'un gonflement indolent du dos de la main droite qui a été passager. Le gonflement a duré
otés des troubles vaso-moteurs consistant en une cyanose légère des mains . Une observation qui présente beaucoup plus d'i
tuméfaction indo- lore s'est développée quelques jours après sur la main gauche, tuméfaction qui au bout de dix jours av
he, tuméfaction qui au bout de dix jours avait atteint également la main droite. La parti- cularité intéressante^ c'est
s supérieurs sont libres dans leurs mouvements et non tuméfiées, la main est surtout tuméfiée du côté de la face dorsale
légère qui disparaît rapidement. La tuméfaction est uniforme. La main est chaude, mais sa température varie avec celle
e présentent la moindre trace d'oedème. L'atrophie musculaire de la main gauche affectait particulièrement le premier inte
yélie. Massius (1) a vu dans un cas de syringomyélie que le dos des mains était t tuméfié, cyanosé et donnait une sensati
ceux que je vais décrire. C'est un cas d'oedème et avec cyanose des mains , des pieds et des jambes (observ. XVI) au cours
une observation de syringomyélie dans laquelle ils ont noté que la main droite du malade était tuméfiée, tuméfaction du
observation due au docteur Dayot de Rennes qui a re- marqué que la main gauche de sa malade (il s'agissait bien entendu d
au doigt un aspect particulier (doigt en forme de saucis- son). La main se cyanose quand le membre reste pendant. Dans le
tait brûlé sans ressentir aucune douleur. En 1850 il présentait des mains en grille, symptôme qui dispa- rut en 1853. En
rut en 1853. En 1870 il se rappelle qu'il ne pouvait plus mettre la main sur la tête. Une particularité intéressante à n
tion à l'étude de la maladie de Morvan. Thèse de Paris, 1890. DE LA MAIN SUCCULENTE 87 terne de l'avant-bras et siégeait
oint de vue de sa nature. Etat actuel. Quand on regarde de près les mains de ce malade (PI. XIV, fig. A), on est surpris
pect tout spécial et de l'attitude qu'offrent ses extré- mités. Les mains sont en extension sur le poignet, déjetées vers l
e bord cubital, surtout la droite qui est très relevée et simule la main de prédicateur; le pouce est plutôt en extensio
t beaucoup moins caractéristique pour les trois autres doigts de la main droite, mais on peut dire qu'à mesure que l'on
se redresser et à se placer dans l'extension. Si par l'attitude la main droite se rapproche de celle du prédicateur l'a
dicateur l'attitude du pouce et de l'index permet de comparer cette main à celle d'une personne qui prise du tabac (PI. XI
le d'une personne qui prise du tabac (PI. XIV, A). L'attitude de la main gauche est moins caractéristique. La main et les
XIV, A). L'attitude de la main gauche est moins caractéristique. La main et les doigts sont en extension,mais elle est m
ais elle est moins déviée vers le bord cubital et l'extension de la main sur le poignet n'est pas aussi accusée qu'à droit
d'une manière générale que les pouces sont dirigés vers l'axe de la main . La conformation delà main offre aussi quelques
s pouces sont dirigés vers l'axe de la main. La conformation delà main offre aussi quelques particularités importantes.
re aussi quelques particularités importantes. Le bord cubital de la main est privé de sa musculature ; la ligne que dessin
espace, il en résulte une dimi- nution du diamètre transverse de la main . Ainsi elle mesure du bord cubital au 1e1' espa
r cette face de petites taches de couleur variable qui donnent à la main un aspect 88 G. MARINESCO marbré. En examinan
éger réseau veineux. La pression du doigt sur la face dorsale de la main ne laisse pas de godet. ' La tuméfaction des té
r ensemble sont boudinés, manquent de détails. La tuméfaction de la main empêche de voir l'aspect des muscles interosseux,
tement atrophiés. L'écartement et le rapprochement des doigts de la main gauche sont impossi- bles, mais ils sont fixés
tumeur, un changement de densité de la substance osseuse qui DE LA MAIN SUCCULENTE 89 donne l'impression d'une ancienne
at suivant : Membre supérieur droit. Courant faradique. DE LA MAIN SUCCULENTE 91 évidente sous l'influence de cett
Après, cet accident, il ne pouvait plus travailler, les bras et les mains ayant perdu leur souplesse. Mais la faiblesse et
périeur. Presque en même temps, avec la faiblesse et l'atrophie, la main gau- che a commencé a se tuméfier, sans cause a
gts des cloques à la suite de brûlures sans éprouver de douleur. La main droite a commencé à se fermer ; elle est devenu
en regardant le membre supérieur, c'est 1,'aspect dissemblable des mains ; leur attitude et leurs gestes sont tout dif-
leurs gestes sont tout dif- férents (Pl. Xi, fig. B). En effet, la main gauche est étendue sur le poignet et les doigts
vers le bord cubital en sorte que les axes de l'avant-bras et de la main ne forment plus une ligne droite, mais un angle
e forment plus une ligne droite, mais un angle obtus et celui de la main repose sur une surface plane, le petit doigt se
ulaire quoique à un degré moindre. La conformation extérieure de la main est tout à fait caractéristique : le bord cubital
ace interosseux à cause de la dispa- rition des parties molles.- La main , réduite'ainsi'a sa forme squelettique, est com
t hypothénar. Ce qui donne un cachet tout il fait original il cette main ne résulte pas seu- lement de l'attitude imprim
l cette main ne résulte pas seu- lement de l'attitude imprimée à la main par l'atrophie musculaire et l'action tonique d
ains muscles, mais de l'état des téguments de la face dorsale de la main gauche et des doigts. La couleur de la peau a la
des doigts. La couleur de la peau a la face dorsale est celle d'une main gelée. Elle est tuméfiée, lisse et luisante et on
'extenseur commun. La peau est fine, mollasse. La température de la main très basse.. - Les doigts du malade sont fusifo
riés longitudinalemenl. , .' L'aspect, la forme et l'altitude de la main droite sont tout dil1'Úrùuts. Sans doute, il ex
encore ici un certain degré de cyanose et de tuméfaction, celle-ci MAIN SUCCULENTE FRACTURE SPONTANÉE SIMULANT UNE HYPÉ
ROSTOSE NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T, X, PL, XIV. MAINS SUCCULENTES . Fig A. - SU.11,T DJ la l'REV11Î'R
CULENTES . Fig A. - SU.11,T DJ la l'REV11Î'R1 : OBJERVAI'10\. Les mains représentent les caractères décrits D1t11l- nut
es caractères décrits D1t11l- nution du diamètre transversal de l.l main . Lice dorsale tuméfiée, effacement des détails
l'état normal. Doigts boudinés fOlm.l1lt des fuseaux courts. Les mains sont en extension sur le poignet, surtout la dr
e du prédicateur. FIg. 13. - SUJET nr la ·rnolsli.nr observation. Mains dissemblables; la main droite présente les pre-
13. - SUJET nr la ·rnolsli.nr observation. Mains dissemblables; la main droite présente les pre- niières phalanges en e
n extension, les deux dernières en lle\ion, grille des inteiosseux; main gauche succulente présente une diminution consi
la ligne de la racine de l'index est rentrante, les doigts comme la main sont dé- jetés vers le bord cubital ; ils forme
ils forment des fuseaux allongés. Masson et Cie, Editeurs. DE LA MAIN SUCCULENTE 93 moins prononcée du reste à la fac
MAIN SUCCULENTE 93 moins prononcée du reste à la face dorsale de la main , mais le relief des ten- dons s'accuse fortemen
se fortement. Les espaces interosseux sont profonds. La forme de la main se rapproche beaucoup plus de celle de la main no
onds. La forme de la main se rapproche beaucoup plus de celle de la main normale. Le contour du premier espace interosse
ale. Le contour du premier espace interosseux est moins rentrant la main gauche. Le bord cubital est moins concave. Au p
concave. Au poiut de vue de son attitude, elle diffère encore de la main gauche. Si elle est déjetée vers le bord cubital
remière phalange, surtout celle de l'index, est en extension sur la main ; en d'autres termes, le type de la main est celu
x, est en extension sur la main ; en d'autres termes, le type de la main est celui de la grille des inter- osseux. Il n'
t celui de la grille des inter- osseux. Il n'y a que le pouce de la main droite qui se trouve en extension et écarté de
nsion et écarté de son axe médian. Vues par leur face palmaire, les mains présentent une plus grande analogie. Il existe
n du bras dépassent l'horizontale, mais le malade ne peut porter la main sur sa tête, l'écartement du tronc se fait avec f
i d'alcoolisme. La maladie actuelle a dé- buté il y a 23 ans par la main droite. Ce qui a 'attiré son attention en premièr
crayon pour écrire : aussi était-il obligé de se servir de ses deux mains , lorsqu'il voulait tracer des caractères. La main
rvir de ses deux mains, lorsqu'il voulait tracer des caractères. La main gauche n'a été prise que deux ou trois ans aprè
plus pouvoir marcher ; ses jambes se ployaient. Pendant l'hiver ses mains se tuméfiaient, mais il ne saurait préciser à que
n claviculaire), du biceps, du coraco-brachial et du triceps. DE LA MAIN SUCCULENTE 95 Les sus et sous-épineux sont atro
et posté- rieure, mais ces derniers le sont a un degré moindre. Les mains sont en exten- sion sur le poignet. La main dro
un degré moindre. Les mains sont en exten- sion sur le poignet. La main droite est en outre en pronation forcée. Le pet
forcée. Le petit doigt, surtout à gauche, est écarté de l'axe de la main ; les trois doigts du milieu. sont rapprochés.
nt rapprochés. Les pouces des deux côtés sont tournés vers l'axe de main . L'état des mouvements des membres supérieurs est
r les bras du tronc, il n'oppose qu'une faible résistance. Fig. 3.- Main « succulente potelée » chez le nommé Gass..... (d
du petit doigt que s'explique l'attitude très caractéristique de la main du malade, ce qui la rapproche du type de la main
ractéristique de la main du malade, ce qui la rapproche du type de la main de prédicateur. Chez lui, comme chez Jacq... ?
de l'exagération de cette attitude per- manente des extrémités. La main se déjette encore plus vers le bord cubital. La
se déjette encore plus vers le bord cubital. La face dorsale de la main présente à un haut degré, les particularités que
t et efface la saillie si manifeste de la tête du cubitus. Quand la main est en extension, il existe au niveau de la têt
r présence sur cette surface pleine de la face dorsale donnent à la main l'aspect potelé, ce qui est plus nettement accusé
sont effacés. Comme chez les autres malades, le bord cubital' de la main et le premier espace interosseux sont décharnés
centimètres à la face pal- maire. Ces mensurations s'appliquent aux mains des deux côtés Les troubles delà sensibilité, c
voit d'après le schéma suivant, celle de la deuxième dorsale DE LA MAIN SUCCULENTE 97 (fig. 4, 5) ; toutefois, en la
endue. Gass... se plaint continuellement de sensations de froid aux mains . Les réflexes tendineux des membres supérieurs
ans par des sensations de froid et par de l'affaiblissement dans la main gauche ; la force musculaire de cette main dimi
'affaiblissement dans la main gauche ; la force musculaire de cette main diminua progressivement, ce qui fait que la malad
rement les objets qu'elle saisissait. Peu à peu les mus- cles de la main ont diminué de volume. Quelque temps après, la ma
mus- cles de la main ont diminué de volume. Quelque temps après, la main droite a Fig. 4 et 5. - Topographie de la therm
ns ressentir aucune douleur. Plus tard, un gonfle- ment a envahi la main gauche et s'est même propagé il la partie inférie
l'avant-bras ; la même tuméfaction n'a pas tardé à s'étendre il la main droite. Ce gonflement n'a provoqué aucune doule
e il la main droite. Ce gonflement n'a provoqué aucune douleur. Les mains sont d'autre part très sensibles au froid et pe
résente une atrophie très marquée, surtout à la face palmaire de la main gauche. Les trois derniers doigts de la main ga
la face palmaire de la main gauche. Les trois derniers doigts de la main gauche sont légèrement rétractés ; il s'ensuit un
presque symétrique parce qu'elle existe, et encore plus marquée, à la main droite. L'atrophie à la face palmaire de la mai
plus marquée, à la main droite. L'atrophie à la face palmaire de la main gauche intéresse l'éminence thénar et particuli
moins nettement avec l'annulaire. L'ex- tension des doigts et de la main s'accomplit d'une façon normale, mais la rétrac-
- ducteur ; cette atrophie des deux saillies musculaires donne à la main l'aspect simien. Il existe en outre une atrophi
spect simien. Il existe en outre une atrophie des interosseux de la main gauche, cons- tatable surtout par le défaut des
ements d'abduction et d'adduction des doigts. La face dorsale de la main gauche sera décrite en même temps que celle de
orsale de la main gauche sera décrite en même temps que celle de la main droite. Les muscles de l'éminence thénar de ce cô
uction et d'ab- duction sont très limités. La face dorsale des deux mains offre une conforma- tion toute particulière qui
il cette extrémité un aspect si caractéristique qu'en voyant cette main on pense immédiatement la syringomyélie. Tout d'a
tit doigt et de l'adducteur du pouce fait que le bord cubital de la main et le bord externe de la masse DE LA MAIN SUCCU
que le bord cubital de la main et le bord externe de la masse DE LA MAIN SUCCULENTE 99 charnue intermédiaire au pouce et
intermédiaire au pouce et il l'index sont rapprochés de l'axe de la main ; il s'ensuit une diminution du diamètre transver
minution du diamètre transverse il ce niveau. La face dorsale de la main (PI. XI), surtout dans la moitié inférieure, est
ans la moitié inférieure, est tu- méfiée. On ne voit plus, quand la main est en extension, le relief des tendons de l'ex
ers tendons sont effacées. Ce qu'il faut encore noter, c'est que la main offre un aspect potelé; mais les fossettes, au li
angiennes du côté dorsal ont complètement disparu. La couleur de la main , prise dans sa totalité, est plutôt rouge viola
e, en outre, une foule de détails que l'on constate en examinant la main de près. Ces détails varient avec le moment où
nt avec le moment où l'on examine la malade. Par un temps froid, la main est rouge violacé avec une nuance de cyanose, s
paraissent et reviennent régulièrement. Un léger frot- tement de la main fait disparaître l'hyperhémie locale et capillair
se de la face dorsale. J'ai parlé plus haut de la tuméfaction de la main , j'ajouterai qu'il ne s'agit pas d'un oedème ba
terosseux dorsal, court fléchis- seur et opposant du pouce. DE LA MAIN SUCCULENT" 101 d'abord, chez eux, c'est la conf
NT" 101 d'abord, chez eux, c'est la configuration et l'aspect de la main qui sont. modi- fiés. Le changement qui porte s
iés. Le changement qui porte sur lecontour de la ligne cubitale de la main et sur celui du bord interne de la racine de l'
iennes se dirigent obliquement en haut en s'écartant de l'axe de la main . Chez nos malades au contraire la ligne cubital
doit[ la maladie a débuté il y a ` ? ans. , La face dorsale de la main est très caractéristique et constitue a elle- m
éfaction peut occuper une partie seulement de la face dorsale de la main , la moitié inférieure de la face dorsale du poign
cas pour Corr.... ou bien s'étendre sur toute la face dorsale delà main , ce qui arrive pour Gass.... Cette tuméfaction pr
une gamme variable. Elle peut aller de la tuméfaction légère de la main jus- qu'à l'empalement qui donne à la main un a
tuméfaction légère de la main jus- qu'à l'empalement qui donne à la main un aspect lourd (main de Gass...). Celle tuméfa
la main jus- qu'à l'empalement qui donne à la main un aspect lourd ( main de Gass...). Celle tuméfaction fait disparaître
fait disparaître les détails de structure de la face dorsale de la main . Les cordes tendineuses des extenseurs ne font pl
r- sales sont comme voilées. Cette rondeur de la face dorsale do la main lui donne un aspect potelé et certainement la m
ce dorsale do la main lui donne un aspect potelé et certainement la main de Corr...et Gass... laisse celle impression. J
Gass... laisse celle impression. Je liens cependant il dire que la main de Corr... est un t) pe plutôt fruste, effacé d
arquée au niveau de la partie inférieure de la face dor- sale de la main , mais chez elle, on remarque très bien celle tumé
n la plus évidente. La moitié su- périeure de la face dorsale de la main est aplatie à cause de l'atrophie très marquée
sseux comme cela sevoil dans un cas d'atrophie vulgaire. Mais celle main potelée esl faible, car le vide des muscles tradu
ces hypothénar et de l'adducteur du pouce lui donne le cachet d'une main sans force. Si on dit au malade de fermer la main
e le cachet d'une main sans force. Si on dit au malade de fermer la main , quand ce mouvement est possible, possibilité q
la température du milieu ambiant. Pendant l'hiver la couleur de la main lui donne l'aspect d'une main gelée. Il suffit qu
ant. Pendant l'hiver la couleur de la main lui donne l'aspect d'une main gelée. Il suffit que ces malades sortent dehors
main gelée. Il suffit que ces malades sortent dehors pour que leur main prenne un aspect rouge violet dû à des mar- bru
ement et donne naissance à des plaques gris violet. Aussitôt que la main s'est un peu réchauffée, la couleur violacée disp
main s'est un peu réchauffée, la couleur violacée disparaît et les mains sont plutôt rouges. Les doigts ne sont pas moins
. La longueur des doigts chez ce dernier, unie à la gracilité de la main lui donne une vague ressemblance avec la main q
à la gracilité de la main lui donne une vague ressemblance avec la main que certains maîtres italiens ont représentée dan
ause de la boursouflure de la peau interdigitale. La tuméfaction delà main peut s'arrêter aux doigts ou bien se continuer
et presque toujours ceux de l'éminence thénar sont atro- phiés. La main révèle l'aspect simien. Cette atrophie musculaire
ences et même jusqu'à leur excavation. Chez trois de nos malades la main àiïecte l'attitude de la main de prédi- cateur.
avation. Chez trois de nos malades la main àiïecte l'attitude de la main de prédi- cateur. Le squelette ne présente pa
u poignet qui nous expliquent la déviation assez considérable de la main etdes doigts (1) M. Oppenheim a bien noté la sc
m a bien noté la sclérodactylie dans un cas de syringomyélie. DE LA MAIN SUCCULENTE 103 qui sont entraînés vers le bord
igaments associé à la tonicité de certains muscles qui imprime à la main l'attitude dont nous avons parlé. Enfin pour fi
ns parlé. Enfin pour finir avec ce qui a trait la description de la main de nos 4 malades j'ajouterai que c'est une main f
a description de la main de nos 4 malades j'ajouterai que c'est une main froide et tou- jours sèche. Il n'y a pas de tro
a pas de troubles des glandes sudoripares. Il s'agit en somme d'une main tuméfiée, froide et faible avec des doigts fuse
terme capable d'exprimer à lui seul toutes les particularités de la main en question. M. Marie m'a suggéré fadé- nominat
és de la main en question. M. Marie m'a suggéré fadé- nomination de main succulente (1) qui certainement traduit le trait
J'ai négligé à dessein, de dire que l'on constate souvent, dans la main succulente, la dissociation syringomyélique, ca
n au point de vue. du tra- vail pathologique qui se produit dans la main succulente correspond à la réalité. Bien entend
'est pas approprié aux lé- sions des téguments qui caractérisent la main succulente. En effet chez tous ces'malades, il
gitale. Aussi ai-je été conduit à admettre qu'il se produit dans la main deux processus un peu différents, mais dont l'a
l'association détermine cette tumé- faction, cet empâtement dans la main succulente. C'est d'une part un pro- cessus pla
ent les dépressions naturelles qui existent sur la face dorsale de la main ; d'autre part, un processus vaso-moteur propre
vec d'autant plus d'exactitude l'apparence de la face dorsale de la main , que les botanistes pour désigner les fruits gorg
les qui nous explique l'aspect toujours changeant de la couleur des mains de nos malades. Diagnostic La main-succulente e
c'est d'une part, une tuméfaction spéciale de la face dorsale de la main il laquelle s'associe d'autre part une atrophie m
autre part une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne. C'est une main amyotrophique doublée de gon- flement. 11 suffi
phique doublée de gon- flement. 11 suffit d'avoir vu et palpé cette main pour en l'aire le diagnostic de syringomyélie m
Gilles de la Tourette, que l'hystérie peut déterminer du côté de la main des variétés d'oedème : oedème blanc, oedème bl
dème bleu des hystériques. Mais l'attitude et surtout la forme delà main dans l'oedème hystérique sont toutes différentes;
poignet et les doigts sont en flexion plus ou moins accen- tuée. La main n'est pas déjetée sur le bord cubital ; la face d
main n'est pas déjetée sur le bord cubital ; la face dorsale de la main est distendue par un oedème le plus souvent très
ent très considérable. D'autre part, le diamètre en épaisseur de la main est considérablement augmenté alors que le diam
menté alors que le diamètre transversal reste normal et que dans la main succulente, il subit une réduction assez marquée.
uction assez marquée. En outre la con- tracture du poignet et de la main s'associe souvent il l'oedème bleu hysté- rique
cas d'oedème hystérique avec atrophie musculaire. Même alors si la main suc- culente présente l'attitude que nous lui a
que nous lui avons décrite, celle-ci suffira à la distinguer de la main hystérique. Dans les polynévrites ou dans les tra
s trau- matismes des nerfs, il arrive parfois que les muscles de la main soient atrophiés et que la face dorsale présent
u membre supérieur et oedème très prononcé de la face dorsale de la main . Malgré cela, rien de semblable entre celle main
face dorsale de la main. Malgré cela, rien de semblable entre celle main amyotrophique et oedématiée et la main succulen
ien de semblable entre celle main amyotrophique et oedématiée et la main succulente. Les doigts et le poignet étaient légè
la pression digitale, pas de changement dans la conformation de la main . Pas de déviation vers le bord cubital. Dans un a
dite ascendante, survenue à la suite d'un traumatisme de la « DE LA MAIN SUCCULENTE 105 main, j'ai vu également la main
nue à la suite d'un traumatisme de la « DE LA MAIN SUCCULENTE 105 main , j'ai vu également la main violacée très oedémati
isme de la « DE LA MAIN SUCCULENTE 105 main, j'ai vu également la main violacée très oedématiée avec atrophie,mais par
lacée très oedématiée avec atrophie,mais par l'attitude seule de la main et par les caractères de l'oedème, j'ai pu excl
t inutile, je pense, de faire le diagnostic entre le phlegmon de la main et la main succulente, car on re- trouve dans l
je pense, de faire le diagnostic entre le phlegmon de la main et la main succulente, car on re- trouve dans le premier t
du tout les mêmes caractères. Dans l'érythro- mélalgie en outre la main est moite et il existe habituellement des crises
ent des crises douloureuses. La peau n'est pas souple comme dans la main succulente. Les ongles présentent dans certains
érodermie dacly- lique. Dans cette affection, la face dorsale de la main est lisse comme la peau des doigts ; ceux-ci so
atomyél ie. En effet, si on retrouve quelquefois chez ces malades des mains atrophiées, cyrnotiques et freioes, on ne renco
ontre pas cependant cet état de succulence de la face dorsale de la main et surtout cette attitude si ca- ractéristique
ale de la main et surtout cette attitude si ca- ractéristique de la main qui appartient presque en propre à la syringomyé-
ai vu un oedème très prononcé avec cyanose de la face dorsale de la main . Même dans ce cas,' la main affecte une attitud
é avec cyanose de la face dorsale de la main. Même dans ce cas,' la main affecte une attitude différente. C'est là, du r
e, une question que je dis- cuterai à propos de la palhogénie de la main succulente. Les facteurs étio- logiques qui fav
logiques qui favorisent l'apparition des troubles trophiques de la main succulente nous sont peu connus, toutefois, il
arition de ces troubles. Ainsi les 3 premiers malades présentant la main succulente sont âgés respectivement de 72, 65 et
en moyenne de 65 ans. Au point de vue de la fréquence de ce type de main , je ne saurais produire des chiffres précis. J'
re des chiffres précis. J'ajoute cependant que j'ai trouvé 4 cas de main succulente sur 25 malades atteints de syringomy
lement,et,j'en ai observé deux cas, l'oedème de la face dorsale des mains consécutif à des traumatis- mes des nerfs des m
isait des réactions vaso-motrices. Les faits cliniques d'oedème des mains au décours des affections spinales sont rares.
ion de l'origine des vaso-moteurs dans la moelle épinière est DE LA MAIN SUCCULENTE 107 en Louréed'unegrande obscuri Lé.
e la syringomyélie. L'histologie fine du système nerveux, entre les mains de Cajal, Len- hosék et Van Gebucbten, a montré
téguments et du tissu des os. Les divers troubles trophiques de la main dans la syringomyélie, comme cela arrive dans la
phiques de la main dans la syringomyélie, comme cela arrive dans la main type Morvan, dans la cbiromégalie et dans la ma
la arrive dans la main type Morvan, dans la cbiromégalie et dans la main succulente ne sont que des équivalents des dive
ades les troubles vaso-moteurs sont localisés principale- ment à la main et chez Corr..., l'atrophie musculaire est canton
chez Corr..., l'atrophie musculaire est cantonnée au domaine de la main . Or, il résulte de mes recherches que la syringom
nie des troubles trophiques et vaso-moteurs qu'on rencontre dans la main succulente, que celle-ci relève de l'altération d
d'atelier imprima un violent mouvement de rotation au fourneau. Sa main fut entraînée dans le mouvement giratoire. Il e
ulmonaires, elle entre à la Salpêtrière. Examen des membres. - La main droite est en pronation forcée. On peut à peine
nt que la première. Assis sur un billot, le patient maintient d'une main son talon et de l'autre sa jambe gauche appuyée
u en terre, courbé en deux, empoigne solidement les orteils dans sa main gauche, et de la droite promène une lancette su
penche en avant pour regarder son mal et soutient sa jambe sur ses mains croisées. . Devant lui, un vieux barbier, un ge
peau de feutre. Le pied gauche repose sur un billot carré, les deux mains se rejoignent en anse sous le creux du jarret.
r contemple la scène avec beaucoup plus d'intérêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boîte de forme as
y a lieu, en outre, de se demander si cette dernière est bien de la main de Brouwer. En effet, le dessin est complètement
le pied sur un billot de bois, soutenant sa cuisse gauche entre ses mains croisées (Fig. 3). Les accessoires n'ont guère
posé sur le coin d'une table, tenant ferme sa jambe entre ses deux mains , il geint douloureusement pendant le pan- semen
ne fait pas partie de la maison. C'est une cliente qui soutient sa main ma- lade à l'aide d'un lien passé autour du cou
'opérateur, assis sur un escabeau, tenant entre ses genoux, dans sa main gauche, le bout du pied malade, et, de la droite,
hord d'un baquet et se ren- verse en arrière, grimaçante, levant la main droite avec un geste de dou- leur comique (Fig.
tricorne emplumé, il parcourt les rues en dansant, mon- trant d'une main un échantillon de ses produits, brandissant de l'
neau du musée d'Ypres est d'une facture bien lourde pour être de la main du maître flamand, mais on conçoit aisément que l
istor.,N° 1183. Il existe encore d'autres parodies simiesques de la main des maitres flamands : 144 HENRY MEIGE Du méd
gymnastique, où elle ne fut appliquée, laissée le plus souvent aux mains de garçons de bains, de gens complètement igno-
grande partie; en avant, elle remontait jzcsqic'èr, une largeur de main au-dessus de l'ombilic, en arrière, jusqu'à la
r- cher sans trop de peine ; il traînait un peu la jambe gauche. La main gau- che serrait avec moins de force que la dro
gauche ; une paralysie motrice du côté droit et une anesthésie de la main de ce même côté, sans compter de la strangurie
e, et la motilité était en voie de rétablissement, aux doigts de la main gauche et au membre supérieur droit. Au bout de q
yperesthésie très prononcée au membre inférieur et aux doigts de la main . En fait d'autres manifestations on notait un cer
de son bras droit, et il ne pouvait faire mouvoir les doigts de la main droite. Pour en finir, avec cette énumération d
réussite a d'ailleurs été complète, j'ai réservé mon attention aux mains du malade à qui je fis, la première fois que je
ement ! me dit M. S..., j'ai cela de naissance et je me sers de mes mains à peu de chose près comme tout le monde. J'ai bie
iculaire aigu généralisé, mais cela n'a rien changé à l'état de mes mains que je me suis toujours connues telles que vous
très affecté du malade. J'en viens maintenant à la description des mains malformées qui sont absolument symétriques. -
s. - Comme on peut le voir sur la photographie ci-joinle(Fig. 1),Ia main pro- prement dite n'est pas déviée ; l'axe géné
sement déviation en coup de vent, et une flexion sur la paume de la main à 60° environ. Le pouce lui-même participe à ce
s le sens de l'extension, le malade pouvant fermer complètement les mains ; mais quelque effort que l'on fasse pour ramener
plan du métacarpe, on n'arrive pas à dépasser 45°. De sorte que la main placée sur une table par sa face palmaire forme
rticularités suivantes : quelques-uns, surtout l'annulaire des deux mains , ont une tendance à l'extension de la deuxième su
tographie que la deuxième phalange du médius présente, sur les deux mains , une excavation courbe à concavité cubitale. Ce
e comprendre en regardant la pho- tographie ci-jointe parce que les mains ont été photographiées dans l'atti- tude du max
tude du maximum de correction. Mais dans la position de repos de la main du malade, cette articulation phalango-phalangi
nt sensiblement à la même hauteur ; dans la position de repos de la main , celle de l'annulaire descend au niveau de la p
aite hors de ma surveillance; j'aurais fait faire des clichés de la main au repos qui auraient parfaitement montré cette d
Encore une particularité : si un sujet normal ferme complètement la main , on peut constater, à la face dorsale des premièr
demi-extension, en particulier entre le médius et l'annulaire de la main droite et entre l'annulaire et le petit doigt de
aire de la main droite et entre l'annulaire et le petit doigt de la main gauche. Le jeu de toutes les articulations méta
à leur niveau. La flexion permanente des doigts sur la paume de la main est manifes- tement due à l'insuffisance de lon
n, les téguments de la paume, dont l'aspect général est celui de la main que creuse volontaire- ment un homme qui veut y
trophique. Quant aux troubles fonctionnels, il est certain que ces mains malformées sont moins commodes que des mains no
il est certain que ces mains malformées sont moins commodes que des mains normales. Cependant le malade s'en sert très ha
s à remercier ici de son obligeance, a bien voulu radiographier ces mains . On peut voir sur les épreuves ci-jointes (Pl.
ainsi que j'ai pu m'en rendre compte sur toutes les radiographies de mains que j'ai examinées, la surface articulaire coif
carpienne du côté radial, c'est-à-dire sur l'oreille droite pour la main droite, sur l'o- reille gauche pour la main gau
'oreille droite pour la main droite, sur l'o- reille gauche pour la main gauche. C'est le contraire ici. Ce changement d
ale. Voici maintenant ce que raconte M. S.... Il serait né avec les mains complètement fermées. Deux ou trois mois après
ou trois mois après seulement on se serait t inquiété de ce que les mains ne s'ouvraient pas, et on serait intervenu d'ab
dhérences ( ? ) qui unissaient la pulpe des doigts à la paume de la main , puis en intercalant entre la paume et les doigts
ace sur la peau soit de la pulpe des doigts, soit de la paume de la main , des cicatrices qu'auraient laissées les incision
lformation analogue, mais moins complète. L'enfant n'est pas né les mains fermées, mais seulement les doigts déviés en mass
légèrement fléchis sur la paume, mais avec extension possible ; la main pouvait être mise à plat sur une table. Ce fils e
Les malades éprouvent d'abord un peu de roideur dans la paume de la main et de la difficulté à étendre le doigt ; bientô
extrémité libre des doigts vient alors s'appliquer à la paume de la main . Dès le principe, une corde se fait sentir sur
, une corde se fait sentir sur la face palmaire des doigts et de la main ; cette corde est plus tendue quand on fait eff
ôté du doigt, à la hauteur de la seconde phalange, et du côté de la main , vers le milieu de la paume, et quelquefois seule
nsiblement, et atteignent ordinairement le milieu de la paume de la main . Ces symptômes se bornent, pendant quelque temps,
- ment que la corde située sur la face palmaire des doigts et de la main , DÉVIATION DES DOIGTS EN COUP DE VENT q$'7 co
droit, ayant une rétraction des quatre derniers doigts de cha- que main . Ces doigts étaient à demi-fléchis, et il était i
ât. Quatre cordes dures et sail- lantes existaient à la paume de la main , depuis la partie moyenne de cette paume jusqu'
sser, dans sa première enfance, les qua- tre derniers doigts de ses mains , comme elle l'avait fait pour le pouce, qui n'é
La maladie qui vient d'être décrite ne s'observe pas seulement à la main , elle se montre également à la plante du pied. No
le que l'a donnée M. Jaccoud (1), diffère sensiblement de celle des mains de notre malade. « L'obstacle réside entièrement
i sur celle palhogénie. Pourrait-on supposer que la contracture des mains s'est produite sous l'influence d'une maladie c
, après résolution, laissé l'altitude constatée à la naissance, les mains « ayant oublié de s'ouvrir » ; ou bien elle aurai
is, pendant le temps qu'elle a duré, le développement vicieux de la main . Aucune raison ne plaide en faveur de cette hypot
e à aucuu territoire nerveux péri- phérique déterminé. L'aspect des mains de M. S... ne répond à aucune grille connue pas
oignet à la ra- cine des doigts » d'ailleurs il ne s'agit que d'une main . M. Feindel n'ad- met pas non plus que la névri
errier, Beevor et IIorsley, etc.). Les cenlres des mouvements de la main n'ont pu encore être suffisam- ment dissociés.
re du mouvement opposé, c'est-à-dire du mouvement d'extension de la main , mouvement réalisé au maximum dans le geste du
résulté une prédominance de ce dernier et l'enfant a pu naître les mains fermées par défaut d'action'de l'ensemble des mus
l'ensemble des muscles extenseurs des doigts. ' Or tout, dans la main de M. S... s'est adapté à celte position anormale
de fonctionnement ; et toutes les parties molles de la paume de la main , téguments, tissu sous-cutané, aponévrose, ne se
u redresser les doigts de l'enfant. On voit pourquoi la paume de la main ne présentait pas débrides fibreuses ; il n'y a
outtière radio-carpienne, ne se trouve pas dans l'axe général de la main qui passe par le médius ou tout DÉVIATION DES D
rne du médius ; cette gouttière est plus près du bord cubital,de la main de sorte que, il considérer l'action absolument i
, les membres se fléchir, se x 14 194 EMILE BOIX ratatiner, les mains se fermer, les doigts se dévier en masse vers le
idérations renforcent mon hypo- thèse : le centre d'extension de la main s'est développé plus tardivement que de coutume
urs ayant seuls agi pendant toute la période de développement de la main ,' l'attitude s'est faite presque irrémédiable.
Pour vérifier expérimentalement ce fait, nous avons enfoncé sur une main de cadavre trois aiguilles, une profondément au n
e superficiellement au niveau du 3e espace interosseux palmaire. La main était appliquée sur le châssis par la face palm
us nous sommes servis soit d'un pied de squelette monté, soit de la main de cadavre et avons disposé successivement ces
n recherche la situation d'une aiguille par rapport aux plans d'une main , par exemple, de la radiographier à petite distan
dans les mêmes conditions de pose de distance et simultanément, la main d'un sujet mort depuis 30 heures environ et une
ultanément, la main d'un sujet mort depuis 30 heures environ et une main d'individu vivant pour étudier les variations de
es résul- tats obtenus par les coupes microscopiques de l'os sec. MAIN « SUCCULENTE » - ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS
tableaux dressés par Thorburn et Allen Starr. Je commence par don- MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
alisations des muscles du mem- bre supérieur : 204 G. MARINESCO MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
, il y a surtout des troubles trophiques et un peu de parésie de la main . Ce n'est qu'en seconde ligne que la corne anté
ous supposons, par exemple, que les noyaux des petits muscles de la main , qui pour la plupart sont innervés par le nerf
éalité des choses elle cas de Corr.... (obs. IV), en particulier sa main droite, en est la preuve la plus démonstrative. E
on progresse et envahit des régions sus-jacentes, les muscles de la main innervés par le médian, les muscles de l'éminen
ris à leur tour, c'est précisément ce qui s'observe chez Corr... La main gauche présente de l'atrophie dans le domaine d
ans le domaine du cubital et du médian, tandis que l'atrophie de la main droite est circonscrite plus particulièrement a
ite plus particulièrement au domaine du cubital. A l'atrophie de la main succède celle de l'avant-bras, mais ici elle affe
) Gilbert Ballet. Leçons de clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
rophie musculaire localisée principalement aux petits muscles de la main qui sont représentés dans ce segment du membre.
emier se contracte déjà à 90°. La même particularité s'observe à la main droite où l'atrophie musculaire est encore moin
ouve, il mon avis, qu'au niveau de la 1'° dorsale les muscles de la main sont étages dans un certain ordre, ceux de l'émi-
usculaire se propage des petits muscles de la face pal- maire de la main à la face antérieure de l'avant-bras, et en premi
ux de la face postérieure et quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
radial exerce une action tonique manifeste en vertu de laquelle la main est en extension sur le poignet et déjetée sur le
ignet et déjetée sur le bord cubital. Quant à l'altitude dite de la main de prédicateur qu'on rencontre également chez c
ahit progressivement les segments sous-jacents, bras, avant-bras et main . Dans cette forme scapulo-humérale les muscles de
ire tout en étant bilatérale est .presque toujours asymétrique, les mains elles-mêmes présentant un as- pect dissemblable
toute spéciale dont nous allons nous occuper dans un ins- tant, la main de prédicateur. J'ai dit intégrité relative, parc
es qui figurent dans la première partie de ce travail présentent la main de prédicateur d'un ou des deux côtés. Ce ne so
es premiers cas de syringomyélie où cette atti- tude spéciale de la main a été notée. Elle est indiquée dans une observati
ale. En même temps, elle s'est aperçue de l'amaigris- sement de ses mains . Elle remarqua qu'il existait à leur niveau, surt
oc ayant trait à une femme atteinte de syringomyélie, dont les deux mains représentaient un type de main de prédicateur.
nte de syringomyélie, dont les deux mains représentaient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUS
ont les deux mains représentaient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
membre supérieur droit, amaigrisse- ment général des muscles de la main , de l'avant-bras et du bras. Le bras pend le lo
a ankylose de l'arti- culation scapulo-humérale. L'avant-bras et la main sont en pronation forcée. Le mouvement d'extens
et la main sont en pronation forcée. Le mouvement d'extension de la main sur l'avant-bras est possible ; mais les mouvem
lement sont impossibles. Le relèvement ordinaire en extension de la main lui donne l'aspect de la main de prédicateur .
lèvement ordinaire en extension de la main lui donne l'aspect de la main de prédicateur . On peut la considérer comme un p
, qui pour la première fois a décrit celte * attitude spéciale : la main de prédicateur. Deux ans après, Joffroy, dans s
é de la pachyméningile hypertrophique et il décrit de nouveau cette main . A propos de ce type de main (1) Char- cot s'ex
rophique et il décrit de nouveau cette main. A propos de ce type de main (1) Char- cot s'exprime de la façon suivante :
e d'action de ces derniers résulte une défor- mation spéciale de la main , une griffe radiale que nous désignons sous le
le de la main, une griffe radiale que nous désignons sous le nom de main de prédicateur. A. quoi tient-elle ? les tubes ne
degré dans l'allé- ration ? Quant à la valeur séméiologique de la main de prédicateur, Charcot avait 1 déjà fait une s
êté peu d'attention à la valeur séméiologique et au mécanisme de la main de prédi- cateur. Comme il s'agit d'une localis
-ce que cette forme spé- ciale d'atrophie musculaire que réalise la main en question dépend bien de la pachyméningite ce
les premiers travaux de Charcot et Joffroy, on peut dire- que cette main n'a été presque jamais rencontrée dans les observ
ans le-travail de Wieting (2) il est noté expressément que ce type de main faisait défaut. D'autre part, M. Brissaud, un a
ologique créé par Charcot el Joffroy, n'a pas rencontré non plus la main de prédicateur. Il me souvient même d'avoir prati
ans les cornes postérieure et antérieure, sans qu'on ait observé la main de prédicateur. On voit donc que les faits clin
sidéré comme atteint de pachyméningite à cause de l'existence de la main de prédicateur. Le malade présentait entre autr
ie chez une femme qui, pendant la vie, avait présenté le type de la main de prédicateur. Même dans l'observation premièr
t qui nous semble découler de cette courte exposition, c'est que la main de prédicateur peut : 'la se présenter dans des c
Bd 51, p. 210. (2) Ziegler's Beitraege La. path. An., 1893, XIII. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
alise les con- ditions d'atrophie musculaire capable de produire la main de prédicateur. Actuellement, tout au moins, no
r qui est moins touché que les radiaux, ce qui nous explique que la main est non seulement en extension sur le poi- gnet
Aussi voit-on, chez ces malades, le petit doigt en extension sur la main , relevé et fortement écarté de l'axe de celle-ci.
mplement dire que l'atrophie est prédominante dans le segment de la main , tandis que l'avant-bras est beaucoup moins touch
ce quiestarrivépour Corr... Celte atrophie,limitée aux muscles delà main , on la rencontre quelquefois dans la maladie de
de Starr, par le fait que la localisation des petits muscles de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENTE ET ATROPH
la localisation des petits muscles de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRING
ophie .ran-Ducllenne qu'on rencontre chez les malades, donnent à la main un aspect et une forme toute spéciale, ce qui p
e forme toute spéciale, ce qui permet de la désigner sous le nom de main succulente. IL - Les troubles trophiques cutané
permanents, consistent dans la tuméfaction de la face dorsale de la main , tuméfaction ayant pro- bablement pour substrat
dépendent surtout de la tem- pérature du milieu ambiant. III. La main succulente a une valeur séméiologique analogue à
lente a une valeur séméiologique analogue à celle des autres types ( main type Morvan) chiromégalique, etc.) que l'on renco
la gliose péri-épendymaire. - IV. Dans la production du type de la main succulente, la lésion des trois neurones médull
nes que résulte la conservation normale des tissus qui composent la main . Leur associa- tion fonctionnelle et anatomique
eurs. La conservation relative dès extenseurs du poignet donne à la main une attitude spéciale à laquelle Charcot a donn
la main une attitude spéciale à laquelle Charcot a donné le nom de main de prédicateur, Cette griffe se rencontre presq
éli tiques un relâchement et une distension des articulations de la main , constatables non seulement par les attitudes v
s'accomplit. Lorsque nous pensons au mouvement de l'extension de la main , nous esquissons déjà ce mouvement, et si l'idée
vérité, n'a du myxoedéma- teux ni le visage en pleine lune, ni les mains en battoir, ni les pseudo- lipomes sus-clavicul
ion ectodermi- que, mais des formations en quelque sorte de seconde main , comme dit Feindel (1). Au moment du développ
Brault. - Nxvi verruqueux zoniformes siégeant à la face dorsale des mains . Annales de dermat. et syph., 1894, p. 831. B
tres ; bras gauche, 29. Se sert assez bien de l'avant-bras et de la main , pas d'ankylose du opude ou du poignet ; pas d'
kylose, un peu d'amyotrophie sans adipose. Doigts fléchis dans la main , mais réductibles sans arthrite ; pas d'atrophie.
bras fléchi sur le bras; poignet en flexion permanente sur le bras, main en griffe. Ankylose douloureuse de l'épaule,
érieur de l'avant-bras. Atrophie en masse de tous les muscles de la main . Le malade marche en fauchant. Réflexes rotu- l
es les articulations du membre supérieur paralysé, épaule, coude et main , atrophie muscu- laire généralisée. Chez les
e est d'un réalisme cruel. Le Christ, entièrement nu, lié par les mains el par la ceinture à la colonne de supplice, se
ait en buste, grandeur naturelle, d'un vieillard, qui tient dans la main une coupe de vin (2). Buveur incorrigible, 'à fac
pathologique tout au moins vraisemblable. Récemment, j'ai mis la main sur une gravure émargée et sans signa- ture, re
Il s'agit d'un dessin datant du commencement du XVIe siècle, de la main de Hans Frank, et représentant un fou de cour c
un fou de cour, coiffé d'un bonnet à oreilles d'âne et tenant à la main une marotte ou un bâton (Fig. 4). Ce fou est po
res chances de s'en tirer, à condition qu'il ne tombe pas entre les mains d'un opérateur empressé de faire de la chirurgie
er, fut pris de fièvre et de délire qui persista la nuit. Le lende- main matin, quand sa mère voulut l'habiller, elle rema
membres supérieurs sont robustes en général. Cependant la force des mains est diminuée. La main droite serre 31 kilogr. à l
robustes en général. Cependant la force des mains est diminuée. La main droite serre 31 kilogr. à l'échelle de pression
droite serre 31 kilogr. à l'échelle de pression du dynamomètre, la main gauche 24 kilogr. Les fourmillements et engourd
parler de bonne heure. Il alla à l'école, et apprit à écrire de la main gauche. Il put même être clerc de percepteur. I
t grêle, arrondi. Il en est de même des os de l'avant-bras et de la main . Le pannicule adipeux sous-cutané est amaigri.
pour ainsi dire complète. Il ne peut serrer le dynamomètre avec la main , cependant il peut tenir un sac léger d'échanti
quatre derniers doigts. Le pouce, en extension forcée, écarté de la main ne peut venir joindre le petit doigt. L'atrophi
bre supérieur malade est cons- tamment en pronation. Pour mettre la main en supination, la main gauche 3SO en. ACHARD ET
t cons- tamment en pronation. Pour mettre la main en supination, la main gauche 3SO en. ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI fait ex
leurs il existe une ten- dance pour tout le membre, surtout pour la main , à se refroidir facilement. Les réflexes rotuli
vent exagérés, qui se passent au niveau des différents doigts de la main droite, en particulier du petit doigt et de l'ann
ou, et en descendant sur l'avant-bras et sur la jambe. La face, les mains et les pieds avait conservé leur coloration nor
bres. Doigts fléchis, réductibles, pas d'atrophie des muscles de la main . Adipose très marquée généralisée au bras et à
s ; polyarthri- tes, atrophie généralysée de tous les muscles de la main . Membre inférieur droit. Malade reste au lit; m
malade a pris soin de mobi- liser lui-même son bras gauche avec la main droite; peut le porter sur la tête. Réflexes ex
roite, aphasie en 1895, spasmodique. Avant-bras fléchi sur le bras, main fléchie sur l'avant-bras. Dès l'apparition de son
ade a pris l'habitude de faire exécuter au bras droit, l'aide de la main gauche, quo- tidiennement et à plusieurs repris
est-astreint tous les jours à mobiliser son membre paralysé avec la main restée libre. Pas d'arthrite de l'épaule si ce
cture a prédominé sur le pouce qui s'est fléchi dans la paume de la main . Il en est résulté une ankylose de l'articulati
e qui lui a donné naissance. Par leur situation môme à portée de la main restée libre, le coude, le poignet et la main s
n môme à portée de la main restée libre, le coude, le poignet et la main sont beaucoup plus facilement mobilisés que l'art
és que l'articu- 846 GILLES DE LA TOURETTE lation de l'épaule. La main même peut encore rendre quelques services ; aus
présente : l'épilepsie. Ce qui frappe au premier abord, ce sont ses mains en « pinces de homard » comme on dit (Fig. 1).
e titre : Névroses et Idées fixes. x 26 Fig. 1.- Malformation des mains en « pinces de homard » chez une épileptique. 3
pileptique. 370 F. RAYMOND ET PIERRE JANET Vous voyez qu'à chaque main elle n'a en réalité que deux doigts, un pouce b
doigts, pas de traces. Ce gros doigt moyen est bien flexible à une main . est plus ankylose à l'autre, néanmoins cette j
eune lille, comme il arrivé sou- vent dans ces cas, se .sert de ses mains si bizarres avec une habileté surprenante. Comm
lui rende ce gros doigt plus mobile. La radiographie à laquelle cette main a été soumise (Pl. XXXIX), nous a démontré qu'i
on pourrait séparer ces doigts et lui donner trois doigts à chaque main , ce qui serait très beau. Cette jeune fille rêv
elle a égale- ment les deux pieds ma) formés,quoique moins que les mains .La Planche XL représente les radiographies que
2. Fig. 3 et 4. Malformation congénitale des doigts sur une seule main chez le père (Fig. 2). Aux deux mains chez la f
itale des doigts sur une seule main chez le père (Fig. 2). Aux deux mains chez la fille (Fig. 3 et 4). RADIOGRAPHIES DES
2). Aux deux mains chez la fille (Fig. 3 et 4). RADIOGRAPHIES DES MAINS EN « PINCES DE HOMARD » D'UNE EPILEPTIQUE MASSO
rs. s. RADIOGRAPHIES DES PIEDS D'UNE EPILEPTIQUE qui présente aux mains la déformation en « pinces de homard ». MASSON
tenant à trois générations différentes de la même famille ayant aux mains et aux pieds la même malformation que vous ne v
ux pieds la même malformation que vous ne voyez ici complète qu'aux mains seulement. Il est curieux de re- marquer que le
ette anomalie : toutes les femmes de la famille naissaient avec des mains et des pieds normaux. M. le Dr Jules Janet nous
'il a recueillis à l'hôpital de la Pitié : le premier représente la main droite du père (Fig. 2), la seule atteinte chez
re (Fig. 2), la seule atteinte chez lui et les deux autres les deux mains de la fille (Fig. 3 et 4). Vous voyez que chez
pas à cette règle, car chez elle aucun membre de la famille n'a les mains constituées de cette manière. Ces malformations
tie inférieure est plus gros que le bras, à droite et à gauche. Les mains sont très grandes : 23 centimètres (la dimension
mains sont très grandes : 23 centimètres (la dimension moyenne des mains de chinois est 17 cent. 1/2) et régulièrement dév
Il y a atrophie des muscles des éminences thénar et hypothénar : la main est plate. Les lignes d'opposition y sont profo
sont longs et gros, réguliers; le tissu mou y est peu développé; la main n'est pas « capitonnée ». La tète de la 4'e pha
férieures; les avant-bras et les jambes et surtout les pieds et les mains . '« Nous ne croyons pas qu'il y ait de rapport
nt de signaler les atrophies partielles des muscles des bras et des mains , alors que les membres inférieurs n'en présentent
de très haute taille, d'une force peu commune, avec une tête et des mains très grandes dont le souve- nir est resté légen
le nez n'est pas très volumineux. Le dos est fortement voûté; Les mains sont d'énormes battoirs aux doigts très élargis
E 381 Nous reproduisons ci-contre (Fig. 2, 3 et 4) le contour de la main de ce malade, tel qu'il nous a été communiqué p
, qui sert à appré- cier l'échelle des proportions, est celui de la main d'un sujet de taille légèrement au-dessus de la
lle. Elles permettent de saisir les rapports qui existent entre une main de géant, demeuré géant pur et simple, et une m
istent entre une main de géant, demeuré géant pur et simple, et une main de géant devenu acro- mégalique. Les deux obs
nt que chez le même individu, celle-ci succède à celui-là. .Jg. . Main du géant acromégale de Lisbonne (tig. 1). Fig
.Jg. . Main du géant acromégale de Lisbonne (tig. 1). Fig. 3. Main d'un homme de très grande taille (1m93). Fin.
Fig. 3. Main d'un homme de très grande taille (1m93). Fin. 4. Main d'un homme de taille moyenne (lm70). DE L'ART
et Remak (cités par Charcot), ont décrit des nodosités osseuses aux mains et aux doigts des atrophiques, mais ce fait, qu
s lésions articu- laires rapportées (genou gauche, annulaire droit, main gauche) ne sont pas d'une nature aussi évidente
n gauche) ne sont pas d'une nature aussi évidente. L'atrophie de la main gauche rappelle la syringomyélie, quoiqu'il y a
étosiques. Lésions trophiques de la peau et de ses annexes aux deux mains , mais surtout à gauche. Enfin hémiparaplégie sp
(W. Vlitciell), névrite du mé- dian à la suite d'un phlegmon de la main (Bowlby), etc. (1) Injuries and etc. of nerves.
ion ou bien encore que tou- tes les articulations d'un doigt, de la main , du membre tout entier soient atteintes. Les tr
apparition est accompagné d'oedème par- ticulièrement du dos de la main , de troubles vaso-moteurs et parfois d'au- tres
t, tandis que la forme aiguë frappe plutôt le poignet, le coude, la main , le genou, le pied. Ainsi l'autopsie est encore
ÊTRIÈRE HYPERTROPHIE CONGÉNITALE DES DOIGTS MÉDIUS ET INDEX DE LA MAIN GAUCHE PAR R. CESTAN. Interne de la Cliniqu
oint par cet aspect étrange d'un doigt de géant à l'extrémité d'une main normale. Les cas en sont d'ailleurs assez rares
alade ne présente rien d'anormal du côté des pieds et du côté de la main droite. Les dents sont bien implantées, la voûte
t un peu rejeté à droite. Tout l'intérêt réside dans l'examen de la main gauche, car le bras et l'avant-bras de ce membr
d'une manière isolée.D'ailleurs l'hy- pertrophie peut dépasser la main , atteindre le bras, parfois même une moitié d
ture ; peu il peu, les doigts se sont fléchis vers la paume de la main . Au mois de mai, nous trouvons les doigts gros,
es : la tête est poussée du côté opposé à la déviation à l'aide des mains ; mais chaque malade a sa variante personnelle :
chaque malade a sa variante personnelle : l'un a besoin de ses deux mains et visse pour ainsi dire sa tête en sens inverse
us remplaçons son doigt par le nôtre, par deux doigts, par toute la main , mais vainement. A mesure que nous employons pl
ppose un procédé de son choix, un obstacle matériel, la paume de la main , un doigt, le bout d'un crayon, etc. En résumé,
ête dans la rectitude. L'inclinaison s'exagérait encore lorsque les mains de- vaient accomplir quelque travail, coudre, p
aire disparaître le complément du tic, à montrer à la malade que sa main n'avait pas seule le pouvoir de maintenir sa tê
nce à s'infléchir; l'appui de bois ne valaitpas, pour la malade, la main qui avait si bien réussi, pendant quatre années,
ux dans différentes directions.. Les bras restaient ballants et les mains immobiles, la malade sentait qu'elle n'avait pl
cices plus difficiles : fixation pendant la marche, pendant que les mains feuillettent un livre d'images ; on continue en m
on ne peut modifier cette attitude. Lui, se servant tantôt des deux mains , tantôt d'une seule, la rectifie aisément et comp
erdu l'habitude de ramener sa tête dans la rectitude à l'aide de la main . Il incline la tête 412 FEINDEL à droite en m
, la tête maintenue par l'appui du menlon sur un objet autre que la main ; plus tard le malade, toujours assis, est seul
continua Fig. 1. Atrophie musculaire et déformation en griffe des mains (Type Aran-Duchenne). 416 J. TARGOWLA avec de
95. On remarque tout d'abord l'atrophie des petits muscles des deux mains ; les mains sont en griffe (Fig. 1). La grille s'e
rque tout d'abord l'atrophie des petits muscles des deux mains; les mains sont en griffe (Fig. 1). La grille s'est accusée
sse des membres inférieurs est survenue postérieurement à celle des mains . Le pied est tombant ; la démarche est en stepper
ns. Il ne peut plus s'accroupir, il est obligé de s'appuyer sur les mains et sur les genoux (à quatre pattes), pour déféq
lever lorsqu'il est assis,il doit prendre un point d'appui avec les mains et les genoux et grimper le long d'un objet sta
es de prédilection de ces lépromes : LA LÈPRE DANS L'ART 423- les mains , les avant-bras, les pieds, les jambes, et face t
blanchâtre. Cette éruption se localise de préférence sur le dos des mains , sur les coudes et les genoux. Dans la Lèpre ne
ties osseuses et amènent la chute d'une phalange, d'un doigt, d'une main ou d'un pied tout entier. Puis, une cicatrice s
hystérique, - un homme qui lève en l'air son bras au bout duquel la main retombe inerte, -- probable- ment un exemple de
remier plan, assis dans une large calebasse et se traînant avec les mains appuyées sur de petits chevalets (Fig. 1). Indu
(Fig. 2). Au premier plan, l'un se traîne à genoux s'appuyant de la main sur un petit chevalet de bois. Un autre, derr
ul Richer ont bien fait ressortir le réalisme de la déformation des mains de cet infirme. Il est atteint de contractures da
douteuse, des Lépreux. Celui qu'on voit, debout, s'appuyant de la main gauche sur un bâton la main droite amputée, le
ui qu'on voit, debout, s'appuyant de la main gauche sur un bâton la main droite amputée, le moignon entouré d'un linge, un
jourd'hui une phalange, demain un doigt, quelques mois plus tard la main tout entière, et qui, par les progrès d'un mal en
par le chirurgien le plus expert. En outre, ce malade présente une main contracturée dont les doigts forment une griffe
e lui, un second malade, le front ceint d'une bande, s'appuie de la main droite sur un bâton, tandis que le bras gauche pe
n droite sur un bâton, tandis que le bras gauche pend, inerte, sans main , terminé par un moignon : Lèpre nerveuse et mutil
un autre s'avance, montrant son bras droit très atrophié, avec une main dont les doigts sont fortement repliés en dedans,
"la face hideuse, la lèvre inférieure, rouge, tuméfiée, pendante.' Sa main droite est également contracturée. Sans parle
DANS L ART 433 'Deux sont debout, au second plan : l'un, barbu, les mains jointes, les jambes nues,- une bande enroulée a
une profondeur inusitée et le globe oculaire notablement réduit. La main droite déformée, atrophiée, est déjetée en de
a coloration foncée de ces derniers, la déformation en griffe de la main constituent un syndrome morphologique que la Lèpr
t les jambes nus, un linge autour de la ceinture, il présente il la main droite un bel exemple de griffe lépreuse avec mut
Fig. 4. Lépreux, avec déformation en griffe et mutilations de la main , sur un tableau représentant la Charité de Sain
LA LÈPRE DANS L'ART 437 ces derniers présente une déformation des mains en forme de griffe qui n'est pas sans analogie
ont plusieurs présentent des membres atrophiés et contracturés, les mains affectant la déformation en griffe. Peut-être
ère où repose le corps du saint, un infirme est assis, joignant les mains , une béquille à côté de lui. Sa jambe gauche, d
davre d'un Saint. Deux des infirmes se traînent à genoux, ayant aux mains de petits chevalets. L'un d'eux est aveugle et
st accroupi, sorte de cul-de-jatte fui rampe à l'aide de supports à mains . La jambe droite, nu.e, est oedéuatiée et ulcérée
ux dont le réalisme pathologique ne saurait (1) Raphaël a traité de main de maître la Guérison des infirmes par saint Pier
ineuse telle que la Lèpre sait en créer aussi bien aux pieds qu'aux mains , Quant au pied droit dont les orteils sont, ou tr
ieds déformés par les lésions de la Lèpre nerveuse et mutilante. La main gauche sur laquelle s'appuie cet infirme pré- s
i peut encore faire son- ger à la Lèpre. Saint Pierre tient l'autre main et fait sur elle un geste de thaumaturge. Ne fa
lis raides et cassés. Lamain gauche sur son coeur, elle offre de la main droite un pain à un infirme qui rampe à ses gen
e allure se tient debout sur les marches d'un escalier, tenant à la main un panier de provisions, et sur'l'épaule des vê
affreusement con- trefait : le dos bossu, des bras trop courts, des mains trop longues, un visage rabougri, creusé de rid
e des lésions lépreuses portant sur les mem- bres inférieurs. Les mains et les doigts sont indemnes, il est vrai, et le v
passant sous l'aisselle gauche et munie d'un support où s'adapte la main . De la main droite, il retire, pour saluer la r
l'aisselle gauche et munie d'un support où s'adapte la main. De la main droite, il retire, pour saluer la reine, son co
uge par son attitude raidie et le bâton que cette femme tient de la main gauche. Le membre supérieur semble moins attein
de la main gauche. Le membre supérieur semble moins atteint, car la main droite esquisse un geste de salut : cependant l
une courte béquille sous l'épaule droite, tendant une sébille de la main gauche. Sa figure est très amaigrie ainsi que le
, etc. L'un d'eux, Saint Médard, la mitre en tête et la crosse à la main , donne deux (1) Au milieu du tableau, sur une b
lle portant sous l'aisselle et pourvue d'une poignée où s'adapte la main gauche. La main droite tend une sébille. - La
l'aisselle et pourvue d'une poignée où s'adapte la main gauche. La main droite tend une sébille. - La tête est tourné
ue bleue et des souliers rouges garnis d'énormes éperons. . De la main droite il tient son épée nue et s'apprête il coup
e.. » Plus, intéressante encore au point de vue pathologique est la main que le mendiant élève vers le Saint, dans un ge
ne jeune personne d'assez bonne mine, tenant un pain brisé dans les mains , a le cou et le visage, principalement le front e
ds, richement velue, la cou- ronne royale sur la tête, tenant de la main gauche un pain dissimulé dans les plis de son m
auche un pain dissimulé dans les plis de son manteau, et de l'autre main versant le contenu d'une ai- guière dans une éc
bonne mine » dont parle Virchow, et qui tient un pain brisé dans la main , est certainement (1) N° 211. B. IL, 1, L. 0,45
nich. 448 HENRY NEIGE un enfant, ou mieux un adolescent, dont les mains , le cou et le visage sont t couverts de taches
re investigation. « Ils sont émaciés au suprême degré; de plus, les mains sont contrefaites, La gauche surtout affecte un
it. Mais, à gauche, la lésion est moins avan- cée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l'atrophie qui
n des derniers atteints par la maladie. Depuis la déformation de la main jusqu'au mouvement limité que le patient exécute
nte du dia- dème, les épaules drapées du long manteau, tenant de la main droite le sceptre, emblème de la toute-puissanc
la main droite le sceptre, emblème de la toute-puissance, étend la main gauche pour se- courir la suprême faiblesse sou
aractéristiques. On cons- tate, en effet, sur le cou, la figure, la main et une partie du dos qu'une déchirure du vêteme
mbre supérieur gauche est clairement exprimée par la position de la main représentée tombante et par la déformation des do
partie du nez et de l'oreille, les os des membres sont déformés, la main gauche est réduite à un moignon boursouflé au b
on boursouflé au bout duquel apparaît une phalangette mise à nu, la main droite n'a que les trois doigts du milieu. Enfin
uche, qui est réduit à un état vraiment rudimentaire. Mais, dans la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des
uablement exact des mutilations produites par cette maladie. « La main gauche est réduite à un moignon boursouflé au bou
t duquel .458 HENRY MEIGE apparaît une phalangette mise à nu ; la main droite n'a que les trois doigts du milieu. » .
avec le manteau et le bourdon de pèlerin. A droite, Saint Roch, les mains croisées sur la poitrine, sa tunique rele- vée
e de malades. Au premier plan, une femme à genoux, relevant de la main droite sa manche gauche et montrant sur son ava
t montrant sur son avant-bras une large plaque rouge et ulcérée. La main tombe inerte, flasque. Lésion cutanée et lésion n
tions de la face semblent plus caractéristiques. On ne voit pas lés mains , mais le geste que fait le malade permet de sup
urckardt, directeur du Musée, nous a signalé un autre lépreux de la main du maître allemand. il s'agit d'un dessin en co
peine jusqu'à l'horizontale, ankylosé dans toutes les jointures, la main contracturée en flexion et les doigts en griffe
soutenant une sonnette. Le bras gauche est raidi exagérément. La main qui le termine est aussi en flexion forcée, et
ités des membres, les contractures ayant déterminé aux pieds et aux mains des griffes nettement indiquées, la déformation
ation de la face, enfin, et surtout, la mutilation des doigts de la main gauche, tous ces accidents pourraient très bien a
d'une représentation de Lépreux : l'infirme en question tient à la main une sonnette. Or, on sait qu'au temps où les Lé
. Ce bras ne présente pas de traces d'atrophie musculaire ; mais la main semble inerte, flasque, etc. déformée par un co
ses brunes, coiffé d'un bonnet rouge; il tient une clo- chette à la main ; un chien est assis à ses côtés. C'est un aveu
lles est très probablement un Lépreux. La sonnette qu'il tient à la main confirmerait cette conjecture, d'après ce que n
de linges, maintenues dans des gouttières en bois, s'appuyant de la main droite sur un chevalet. La jambe droite est amput
la moitié à un infirme, demi-nu, accroupi, de profil, tenant de la main droite une sébille, et s'appuyant de la gauche
hésitaient à reproduire les horribles déformations du visage et des mains . On pourrait en dire autant des Infirmes dont les
ppés. Une des peintures les plus importantes sur ce sujet est de la main d'Al- bert Durer et se trouve au musée de Frank
iguré un malade en haillons, avec des béquilles, une cliquette à la main . Des chiens lèchent ses jambes et ses bras couver
mercure pour bobine d'induction (1 figure) ; 2o Radiographie de la main d'un sexdigitaire (5 radiographies), par ALBE
305. Hypertrophie congénitale des doigts mé- dius et index de la main gauche, par CE9TA. (2 figures, 1 planche), 399.
s), par J. Sabrazès et C. CABALES (25 figures et 1 planche), 155. Main « succulente », par Marinesco (5 figures et 3 p
r Marinesco (5 figures et 3 planches), 84, 202. Malformations des mains en pinces de homard et asymétrie du corps chez
CESTAN. Hypertrophie congénitale des doigts médius et index de la main gau- che (2 figures, 1 planche), 399. Chipaul
phototypies), 218. Janet (Pierre) et RAYMOND. Malformations des mains en pinces de homard et asy- métrie du corps che
rcure pour bobines d'induction (1 figure) ; 2° Radiographie de la main d'un sexdi- gitaire (5 radiographies), 36. L
ques articu- laires d'apparence rhumatoïde, 882. MARINESCO. De la main « succulente » (5 figures et 3 planches), 84, 2
rcure pour bobines d'induction (1 fi- gure) ; 2° Radiographie de la main d'un sexdigitaire (5 radiographies), 36. MEME
en couleur), 1, 166, 305. RAYMOND et P. JANET. Malformations des mains en pinces de homard et asymétrie du corps chez
I. Hypertrophie congénitale des doigts mé- dius et index de la main gauche, XLIV, XLV. Job moderne. Atrophie musc
mineau, XLVII, XLVIII. Lèpre dans l'Art, XL VIII bis,XLIX, L, Ll. Main succulente, XI, XII, XIV. Mélanodermie récurren
deux médailles d'alu- minium superposées, XXIV. Radiographies des mains et des pieds d'un sexdigitaire, VI. Radiograp
des mains et des pieds d'un sexdigitaire, VI. Radiographie de la main droite d'un sex- digitaire, V. Radiographie d
iographies des pieds chez une épilep- tique, XL. Radiographies de mains en pinces de ho- mard, XXXIX. Scoliose dorsal
2 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
u commen- cement de cette année, il était porteur d'une tumeur à la main (sarcome à petites cellules fusiformes). Parent
varices. La peau est ridée et peu adhérente sur la face dorsale des mains . L'examen des organes génitaux révèle un pénis
épars, limités en haut par une ligne horizontale. Seins développés. Mains de grandes dimensions, de type à la fois charnu e
. Il n'a jamais eu d'enfant. Il présente un léger tremblement des mains quand il étend les doigts. Etat mental parfait.
mal. Conformation féminine du corps. Membres supérieurs très longs. Mains féminines, fines et longues, avec hyperextensibil
coprolalie. Le malade saute, trépigne, et se bat constamment de la main l'épaule opposée. Récemment des attaques épil
plètes. Dans le cas d'Aloysio de Castro, il y a de la scoliose, les mains sont grosses et courtes, mais la radiographie m
- tant dans les membres gauches. Des mouvements'ath'étosiques de la main gauche sont constatés. En dehors des accès; des
accourcissement des antagonistes, nous remarquons, en mettant notre main sur leurs tendons, que les efforts du malade se h
gonistes, tantôt les anta- gonistes ont le dessus. En mettant notre main sur ces 'muscles, nous avons bien la sensation
le dans les mou- vements actifs intéressant les articulations de la main , l'effort peut amener une position de flexion q
pouce, il exécute des mouve- ments de flexion et d'extension de la main . \ . L'étude des désordres dans certains actes
flexion dans le coude peut se combiner d'une flexion dorsale de la main , l'extension des genoux se combinant d'une flexio
n développé, intelligence au-dessous de la moyenne. Tremblement des mains étendues. Enlin exagération de réflexes en géné
te qui se trouve devant lui, et casse tout ce qui lui tombe sous la main . Ces accès durent pendant des laps de temps var
ALPÊTRIÈRE Service du Professeur Pierre Marie. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS PAR R Mme ATHANASSI
asant sur l'aspect du membre. Ce sont surtout les attitudes de la main qu'il importe de bien connaître. Avant de disti
ifférents types cliniques, il est utile de décrire l'attitude de la main normale au repos, les muscles étant dans un état
paralysie radiale, y a-t-il chute immédiate et très prononcée de la main et des doigts. - Le poignet et les-premières ph
contracture et on la réduit toujours avec facilité. La chute de la main s'accompagne de l'impossibilité d'étendre le po
étoires ou autres. 1 - Trois muscles ont pour fonction d'étendre la main sur l'avant-bras : Le premier radial qui étend
d'étendre la main sur l'avant-bras : Le premier radial qui étend la main en la portant en dehors (abduc- ton). Le deux
dehors (abduc- ton). Le deuxième radial qui étend directement la main sur l'avant-bras. Le cubital postérieur qui l'é
. Pour bien mettre en évidence cette paralysie des extenseurs de la main , il faut avoir soin de maintenir le coude et l'
et l'avant-bras du blessé immobi- les et appuyés sur une table, la main librement pendante et en pronation. Les mêmes p
et le cubital postérieur. Cependant, au lieu de laisser pendante la main examinée, il faut la relever presque à l'horizont
i, pl. XVI. /,4.. ^ùS*> A B G D E DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Atha
..11 .1>1 i A B c D E F G " H DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Atha
Athanassio-Benisty). MASSON et CI., Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 67 Les extenseurs des d
ésultat que de porter fortement le pouce vers le bord cubital de la main par l'action des muscles thénariens (pl. XVII,
dessus de l'émergence du filet du long supinateur. La chute de la main et l'impossibilité d'écarter le pouce font de la
xtrêmement gênante. Pour que soit possible l'utilisation de cette « main tombante », le blessé recourt à des manoeu- vre
est ingénieux et actif. Les uns, pour écrire, soutiennent dans leur main saine la main droite blessée et la poussent sur
et actif. Les uns, pour écrire, soutiennent dans leur main saine la main droite blessée et la poussent sur le papier. Il
ent lentement et les caractères sont petits. Les autres laissent la main droite fixe tenant la plume, et à mesure qu'ils
nant la plume, et à mesure qu'ils écrivent tirent le papier avec la main gauche. Peu à peu, ces blessés ô8 MADAME A l'HA
blessé. L'objet principal de ces divers appareils esL de relever la main tombante et d'écarter le pouce paralysé ; les f
I,YSIE CUBITALE. 1 En cas de lésion du nerf cubital, l'aspect de la main est très caractéris- tique, surtout s'il s'agit
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXVIII, PL. XIX. DÉFORMATIONS DE LA MAIN DES DES DOIGTS PAR BLESSURES DES N'EU (Jlme Ath
(Jlme Athanassio-Benisty). MASSON et Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 69 Parfois le troisième
ndre complètement le cinquième doigt. Les autres caractères de la « main cubitale » sont les suivants : Le cinquième doi
L'atrophie des interosseux, du premier surtout, donne parfois à la main un aspect dit « squelettique » (pl. XXI, fig. B).
font saillie à la paume, et les tendons des extenseurs au dos de la main . Lorsque l'atrophie est très accusée, on peut o
bserver un léger déplace- 70 MADAME ATHANASSIO-BEN18TY ment de la main vers le côté radial ; par la palpation on constat
T. XXVIII, PL, XX. A B c D E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS (.Ifme t)
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXVIII, PL. XXI. DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS ,lIme A t
terne. Il est très logique de supposer que les petits muscles de la main occu- pent la partie antérieure et interne du c
e antérieure et interne du cubital. Il existe une déformation de la main qui pourrai être confondue avec la . griffe cub
cas de section totale du médian ou de lésion, grave de ce nerf, la main du blessé se trouve élargie par rapport à la main
ve de ce nerf, la main du blessé se trouve élargie par rapport à la main normale, à cause de l'action de l'adducteur du
ettre ce doigt sur le même plan que les quatre autres, réalisant la main de singe (pi. XVI, fig. C ; Pl. XVlI, fig. G).
t la main de singe (pi. XVI, fig. C ; Pl. XVlI, fig. G). De plus la main se trouve dans son ensemble légèrement portée v
sont plus froids au niveau des muscles aplatis. La coloration de la main , des trois premiers doigts principalement, appa
onctionnelles qu'entraîne une lésion totale du nerf. L'aspect de la main est celui que nous venons de décrire à propos des
la forme particulière décrite sous le nom de forme douloureuse, la main prend un aspect qui mérite une description déta
Le blessé tient son coude fléchi, le poignet légèrement incurvé, la main levée, jamais baissée, les doigts allongés, en
ension avec parfois de l'liy- perextension des dernières phalanges ( main en calice, pl. XVI, fig. D). DÉFORMATIONS DE LA
res phalanges (main en calice, pl. XVI, fig. D). DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 73 Le pouce est en addu
ent du moins que le permet l'intégrité des muscles·thénariens. La main est émaciée, atrophiée dans son ensemble, avec un
ec un aspect affiné, effilé, qui contraste avec la robustesse de la main saine. Les doigts sont amincis, fuselés, les on
s bombés et roses. La peau, très fine, est blanche sur le dos de la main , rose plus ou moins foncé à la paume, avec parf
le est comme frip- pée et plissée transversalement à la paume de la main . Dans des cas très nombreux, cette coloration e
dorsale des doigts, est dimi- nuée dans tout le côté externe de la main et dans les trois premiers doigts. Parfois il y
ons très marquées et chevauchement des doigts rendant le membre, la main en particulier, absolument inutilisables (pl. 1VI
bsolument inutilisables (pl. 1VII, fig. F et H). L'atrophie de la main va en augmentant et porte sur tous les éléments.
Parfois, mais rarement, il y a une hyperkératose de la paume de la main , au niveau du talon des doigts. Les doigts sont d
ainure d'incrustation. L'atrophie semble s'étendre aux os, toute la main s'affine et s'étire; la radiographie révèle une
iographie révèle une décalcification très marquée des phalanges ( « main ostéoporeuse » de Sicard) (pl. XIX, fig. C). Le
Ces lésions fréquentes déterminent des aspects très variables de la main et des doigts et nécessitent de ce fait une étude
sectionné ou écrasé les deux nerfs du bras par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 75 une plaie en selon d
la pointe inférieure du plexus brachial, on observe un aspect de la main tout à fait typique. Le blessé se présente avec
sente avec un poignet en légère hyperextension sur l'avant-bras, la main portée vers le bord radial, le pouce en abduction
'une longue description. La grande diversité des déformations de la main et des doigts à ia suite d'une atteinte des deu
ne prédomi- nance.des troubles moteurs sur les petits muscles de la main et sur les fléchisseurs des doigts avec intégri
a flexion du poignet est possible (pl. 3, fig. C). L'attitude de la main et son impotence rappellent à peu près les cas
rs subli- mes et parésie plus marquée des fléchisseurs profonds, la main revêt un aspect tout à fait remarquable. L'hype
métacarpiennes, qui font une très forte saillie dans la paume de la main au niveau des talons des doigts (pl. XVIII, fig.
st moins. Les tendons fléchisseurs se dessinent dans la paume de la main qui est décharnée. La main vue par sa face dors
seurs se dessinent dans la paume de la main qui est décharnée. La main vue par sa face dorsale rappelle un dos de fourch
A et pl. XXI, fig. E). .. Troisième type. Les petits muscles de la main sont toujours les plus paralysés, mais l'hypere
tte griffe est très souple, malgré les saillies que forment dans la main les têtes des métacarpiens ; le dos de fourchette
. XXVIII, PL. XVIII. A B c D E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS ( ! lfme
a peau. Ces troubles vasomoteurs sont tantôt généralisés à toute la main , tantôt localisés à un ou plusieurs doigts et a
mpérature locale est toujours abaissée par rapport au côté sain. La main et les doigts sont froids, quelle que soit la tem
es cicatrices rétractiles, mais aussi le côté latéral interne de la main , le côté radial de l'index. Plus rarement, dans
ent. Les fléchisseurs des doigts sont le plus souvent atteints ; la main prend alors l'attitude classique observée dans
server dans deux cas une rétraction des muscles in- terosseux de la main avec une déformation des dernières phalanges ra
ontractures dites réflexes. Enfin, on peut observer au niveau de la main l'existence de troubles NOUV. ICONOGRAPHIE DE L
ÊTRIÈRE. T. XXVIII, PL. XXII. A il c D DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Atha
GRAPHIE DE LA SALPÛTRIÈRE- T. XXVIII, PL, XXIII. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES DOIGTS Mains saines (à droite). Mains fi
ÈRE- T. XXVIII, PL, XXIII. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES DOIGTS Mains saines (à droite). Mains figées (à gauche). (Mm
II. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES DOIGTS Mains saines (à droite). Mains figées (à gauche). (Mme Atkanassio-l3enisty).
Atkanassio-l3enisty). MASSON et Ci», Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 79 spéciaux formés d'un
s avec hypotonie. 1 Paralysies avec contractures. - Synonymie : « main figée » de Henry Meige, paralysie globale de la
Synonymie : « main figée » de Henry Meige, paralysie globale de la main de Pitres, acromyotonie de Sicard, paralysie d'
Foix. Ce genre d'affection s'observe de préférence au niveau de la main , plus rarement au niveau du membre inférieur.
ion de certaines attitudes vicieuses des membres et notamment de la main , s'accompagnant d'impotence fonc- tionnelle com
plètes survenant à la suite d'une blessure de l'avant-bras ou de la main , blessure qui laisse souvent intacts les nerfs
bles vasomoteurs et thermiques. Les différentes articulations de la main présentent un certain degré de rai- deur. Après
un certain degré de rai- deur. Après la mobilisation passive de la main , celle-ci reprend aussitôt son altitude « figée
in, celle-ci reprend aussitôt son altitude « figée » rappelant la « main d'accoucheur » : poignet légèrement tombant, pa
e Alh. Benisty et Mlle LÉvy, Impotence de tous les mouvements de la main et des doigts, avec intégrité des réactions élect
de la main et des doigts, avec intégrité des réactions électriques ( main figée). So- ciété de neurologie, 4 novembre 191
s contractures du membre supérieur prédominent ordinairement à ! la main et aux doigts ; elles frappent aussi fréquemment
étés les plus fré- quentes sont : la contracture en extension de la main et des doigts (doigts . étendus ou hyperétendus
été plus fréquente est celle pre- nant l'attitude classique de la « main d'accoucheur », les doigts étendus et rapproché
es autres (1). Selon M. Sicard (2), les contractures réalisent à la main et aux doigts certaines attitudes que l'on peut
poing : tous les doigts énergiquement fléchis dans i la paume de la main . Cet aspect serait dû d'après M. Sicard à la con
. Sicard à la con trac- ' ture des fléchisseurs de l'avant-bras ; « main du nerf médian ». b) L'aspect en bénitier ; la
; « main du nerf médian ». b) L'aspect en bénitier ; la paume de la main est creuse, les doigts à demi fléchis l'encercl
t, par contracture des interosseux et de l'adduc- teur du pouce ; « main du nerf cubital ». c) La main en fuseau par con
ux et de l'adduc- teur du pouce ; « main du nerf cubital ». c) La main en fuseau par contracture des extenseurs de la ma
ubital ». c) La main en fuseau par contracture des extenseurs de la main et des 1 doigts et des interosseux ; « main des
re des extenseurs de la main et des 1 doigts et des interosseux ; « main des nerfs radial et cubital ». ' d) La main en
et des interosseux ; « main des nerfs radial et cubital ». ' d) La main en col de cygne, « main des nerfs médian et cubit
main des nerfs radial et cubital ». ' d) La main en col de cygne, « main des nerfs médian et cubital » fléchie à angle a
» fléchie à angle aigu sur le poignet, les doigts allongés. e) La main indicatrice (contracture en flexion des deux dern
ont décrit comme une forme spéciale de paralysie paratonique de la main certains cas du type connu sous le nom de main
ie paratonique de la main certains cas du type connu sous le nom de main d'accoucheur. Bien que le terme de paratonique so
t clini- que. Nous entendrons ici par déformations paratoniques des mains ces perturbations motrices aux attitudes singul
(3), a présenté un cas confirmatif des leurs. Il s'agissait d'une main d'accoucheur par hypertonie dans le domaine- cu
rf ; mais la fréquence est très grande de fractures semblables sans main d'accoucheur. C'est après une intervention chirur
e les troubles vaso-moteurs, sudoraux et thermiques fréquents de la main d'accoucheur ont fait soupçonner à celle- ci un
ction sympathique, nous nous demandions si dans le cas actuel cette main d'accoucheur par hypertonie n'avait pas un point
rvice examiné systématiquement tous les petits troubles moteurs des mains susceptibles a priori de rentrer dans les pertu
s, Marseille, Rennes ou Paris, décrits par Meige (1) sous le nom de mains figées, interprétés par Pierre Marie et Foix co
clinique et morphologique. Il limite ces petits troubles moteurs des mains aux attitudes singulières dont nous avons parlé
gncl- Lavasl 111e ci rnmrhnm 1 E l' G Il DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE SEIZE DÉFORMATIONS PARA
E SEIZE DÉFORMATIONS PARATONIQUES DE LA MAIN 83 0. Observation I. Main DU lanceur DE COUTEAU. Paralysie de l'adduc- te
en avant le creux de l'aisselle droite. Des fourmillements dans la main l'avertirent qu'il venait d'être blessé. On con
douleur à la face antérieure du membre. 3. Attitude actuelle. - La main seule a une attitude anormale qui date du début
ergent l'un vers l'autre en passant par devant les précédents. La main semble ainsi prête à lancer au loin un poignard,
xcitabilité mécanique des muscles du bras, de l'avant-bras et de la main ne paraît pas modifiée sauf pour le long supina
rmule il la galvanisation. 10. Vaso- motricité et température. - La main est" légèrement plus froide. Le froid provoque
rement plus froide. Le froid provoque une sensation douloureuse. La main malade conserve moins longtemps que l'autre la
it les résultais suivants : SEIZE DÉFORMATIONS PAIt.1T011tUFS DE LA MAIN 85 tion abductrice du deuxième lombrical et de
pparence résulte de la forme en gouttière imprimée à la paume de la main par la convergence de l'index et de l'auriculaire
ale qui prend la plus grande part à l'innervation des muscles de la main et qui a, croyons-nous, sous sa dé- pendance l'
rices de ses orifices d'entrée et de sortie. ? 0. Observation II. Main DU faiseur D'OMBRES CHINOISES par hypertonie de
ent les parties molles de la face palmaire de l'avant-bras et de la main . La cicatrice de l'orifice d'entrée est percept
médiates. Il sentit comme une électrisation dans l'avant-bras et la main comme quand on se cogne le coude, dit-il. « Il du
lpêtrière. T. XXVIII. PL. XXVI I J K L DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE Nouvelle Iconographie D
pliriere. ? T. XXVIII. 1L. XXVII M N O r déformations DE la main par BLESSURES DE guerre - (T"i(nu ? f,1<P/H/
;P/H/i ? ,i r'......'. I ? - SEIZE DÉFORMATIONS PARA TONIQUES DE LA MAIN 87 Il peut fléchir davantage et étendre dans un
isation. - Il y a modification de la formule dans les muscles de la main : thénariens, hypothénariens, et interosseux N F
l'avant-bras et l'hyperto- nie du biceps. , 0. Observation III. - Main EN ciseaux par hypotonie dans le médian, due à
e. 2. Conséquences immédiates. - Immédiatement après la blessure la main se ferma, sans que le soldat put ouvrir le poin
r le membre mis en extension, et c'est depuis son abla- tion que la main et les doigts ont l'attitude actuelle. ^Jamais de
l'attitude actuelle. ^Jamais de douleur. 3. Altitude actuelle. - La main est en flexion légère sur l'avant-bras. Les qua
4. Motilité volontaire actuelle : - Spontanément la pronation de la main est parfaite ; la supination n'est pas tout à f
lète, l'adduction et l'abduc- tion sont limitées, l'extension de la main s'arrête dès que le plan dorsal de celle-ci est
sibilité. Anesthésie dans le territoire du médian et du radial à la main . Pas de trouble subjectif de la sensibilité. 7.
to- flexion. 8. Vasomotricité et température. - Habituellement la main malade est plus froide. La main malade conserve
et température. - Habituellement la main malade est plus froide. La main malade conserve un peuplus la chaleur que la sain
héuar. En résumé, état grave du médian, assez grave du cubital à la main » (le 15 décembre, Castex). 13. Influence du re
rendue évidente par le siège de la blessure et. l'anesthésie de la main . Elle produisit immé- diatement une contracture
mitation de la supination), des palmaires (flexion habituelle de la main ), du fléchisseur profond (les quatre derniers d
st évidente aussi par le siège de la blessure et l'anesthésie de la main , mais n'a pas de conséquence musculaire. III. L
action du chef interne du fléchisseur profond. R. Observation IV. Main EN patte D'ÉCHASSIER OU COL DE cygne par hypoto
ure en voyant le sang couler. SEIZE déformations PARATONIQUES DE la main 91 On constate la cicatrice d'entrée au niveau
es immédiates. - Immédiatement son bras se mit en exten- sion et la main tomba sur l'avant-bras. On lui mit le membre en
a cicartisation ; on lui appliqua une planchette sur la paume de la main pour la redresser ; mais dès qu'on cessa les ap
main pour la redresser ; mais dès qu'on cessa les applications, la main reprit toujours l'attitude qu'elle a actuelleme
en pronation conserve un certain de- gré de flexion sur le bras, la main tombe sur l'avant-bras avec les quatre der- nie
ion est imparfaite. Au poignet il y a ébauche d'une extension de la main , mais sans abduction ni adduction. Il y a une
rusque dans les fléchis- seurs de l'avant-bras et des muscles de la main . L'application de la bande d'Esmarch rend cette
té et température. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques ; la main malade garde plus longtemps la chaleur. il. Pre
la chaleur. il. Pression : 92 LAIGNGL-LAVASTINE ET PAUL COURBON main et des épiphyses supérieures et inférieures des d
rtie moyenne, on constate une hypotonie des extenseurs (chute de la main ), une hypertonie des palmaires (flexion de la mai
urs (chute de la main), une hypertonie des palmaires (flexion de la main ), des pro- nateurs (pronation habituelle, imper
lité de l'adduction et l'abduction des doigts, de l'adduction de la main ). En somme, à la suite d'une plaie dans le terr
davantage. Toutes deux ont la face palmaire dirigée en dedans de la main et non en oppo- sition. 4. Motilité volontair
e attitude en ce qui concerne SEIZE déformations PARATONIQUES DE la main 93 l'abduction et la protrusion de l'éminence t
coude. 8. Excitabilité mécanique. - Légère hyperexcitabilité de la main et de l'avant-bras malades. Elle disparaît aprè
ilé et température. Pas de troubles vaso-moteurs, ni thermiques. La main malade perd plus vite la chaleur. . Il. Pressio
blessé. Il existe une toute petite cicatrice d'entrée au dos de la main , sur le bord externe de l'extrémité inférieure du
2. Conséquences immédiates. --Quelques instants après la blessure, la main se ferma, dit le blessé. L'application d'une pl
ales sur la face palmaire des premières phalanges ; et au dos de la main on voit saillir la corde des extenseurs, de l'aur
eux côtés. Le froid détermine un peu de douleur dans les doigts. La main malade perd plus rapidement la chaleur que l'au
ement la chaleur que l'autre. seize déformations PARATONIQUES DE la main 95 9. Pression. - L'appareil Pachon fournit le
à une contracture suivie de rétraction. R + P. Observation VII. - Main FIGÉE par raideur de la flexion des deux derniè
par une explosion d'obus, dont deux éclats atteignirent le dos de sa main gauche. Il reprit connaissance au bout de quelq
7. Réflectivité. Rien d'anormal. 8. Vaso-motricité et température. Main malade un peu plus froide habi- tuellement. Pas
lus froide habi- tuellement. Pas de différence appréciable des deux mains à la sortie de l'eau chaude. 4 Pff.Mtnn ' · ·
déterminent l'h.ypertonie des extenseurs. R + P. Observation VIII. Main DE l'égreneor DE chapelet par hypotonie radiale
areil, le blessé ne pouvait plus mou- voir ni son avant-bras, ni sa main , ni ses doigts. 3 : Attitude actuelle. L'épaule
lan que les os de l'avant-bras ; il n'y a donc pas de flexion de la main sur le poignet. Par contre, les doigts sout flé
t. Seule l'abduction du bras s'esquisse un peu ; l'avant-bras et la main sont immobiles. Il y a possibilité de fléchir p
eût rien senti. Et c'est en voulant le relever qu'il constata que sa main tombait sur le poignet et était blessée. Le mem
phalanges. Au bout de deux mois, lorsqu'on enleva la planchette, la main retomba comme elle retombe aujourd'hui et les d
sont encore. 3. Attitude actuelle. Le membre étant en pronation, la main est en flexion complète sur le poignet. Les doi
s inertes, flasques et mollement fléchis, continuent la chute de la main . Pseudo-paralysie radiale. Dans la supination,
chute de la main. Pseudo-paralysie radiale. Dans la supination, la main conserve un certain degré de flexion, une con t
les doigts n'avaient aucune motilité volontaire. L'extension de la main était nulle. La pronation et surtout la supinat
igts. Par contre, aucune modification de l'impuissance à étendre la main et à en exa- gérer la flexion. 5. Motilité pr
t une adhérence aux tendons des fléchisseurs. Le redressement de la main ne dépasse guère l'horizontale. On se sent arrêté
piqûre, mais non pour l'électricité, anesthésie en gant de toute la main jusqu'au-dessus de la blessure. 7. Réflectivité
ger refroidissement habituel. Après immersion dans l'eau chaude, la main malade garde plus longtemps la chaleur. 9. Pres
èle un cal du radius bien constitué, sans troubles trophiques de la main . Amaigrissement notable de l'avant-bras et du b
l, où la diminution est un peu plus marquée, et pour le médian à la main comme à l'avant-bras » (Dr Castex, 6 décembre 191
malgré les efforts thérapeutiques au redressement volontaire de la main . La paralysie hystérique des flé- chisseurs, de
aux autres troubles s'est améliorée. ° , R -1- P. Observation X. Main d'écrivain par contractures réflexes et psychog
langinien. 2. Conséquences immédiates. Il ne se souvient pas que sa main ait eu dès le début une attitude anormale. Cell
eils de redressement (planchette, plâtre). 3. Attitude actuelle. La main en extension assez marquée sur le poignet, et l
pour l'index, dont la dernière phalange est légèrement fléchie. La main semble ainsi prête à écrire. 4. Motilité volo
es réflexes. 8. Vasomotricité. Léger refroidissement habituel de la main . Le froid y provoque de la douleur ; à la sorti
oque de la douleur ; à la sortie de l'immersion dans l'eau chaude, la main malade se refroidit un peu plus vite que l'autr
xtenseurs n'eut au début qu'un but utilitaire. P. Observation XI. - Main DE MEA CULPA par contracture fonctionnelle psyc
fusil, il fut blessé par un éclat d'obus qui entra par le dos de la main dans le carpe au-dessus du deuxième métacarpien
ère phalange le bord externe de la deuxième phalange de l'index. La main semble ainsi prête à frapper la poitrine en un ge
ité. Hypoesthésie dans le tiers externe du dos et de la paume de la main . Pas de douleur subjective. 104 LAIGNEL-LAVASTI
ification des réflexes tendineux. 8. Vaso-motricité et température. Main malade considérablement plus roide. Le froid dé
onsidérablement plus roide. Le froid détermine des douleurs dans la main elle-même. Elle se refroi- dit plus vite que l'
nges et exten- sion de leurs deux dernières). P. Observation XII. Main DU PRÊTEUR DE serment par contracture psychogèn
ale et en voyant le sang couler. 2. Conséquences immédiates. - La main se mit dans l'attitude qu'elle a actuellement e
, on lui appliqua pendant un mois, un plâtre, qui lui i redressa la main en extension. Lorsqu'on enleva cet appareil, le m
t celle qu'il avait prise primitivement. 3. Attitude actuelle. - La main est en extension ; les quatre derniers doigts,
ndex, le mé- dius et l'annulaire; le pouce est normal. Au total, la main rappelle celle du prêteur de serment. 4. Moti
siège toujours au niveau des tendons extenseurs des doigts et de la main . La, flexion forcée des phalanges est beaucoup
minution de la contracture faradique des muscles fléchisseurs de la main et des quatre derniers doigts. En intensifiant
ure. - Léger refroidissement habituel. Cya- nose légère de toute la main . Il y a une hyperesthésie de la main malade pou
Cya- nose légère de toute la main. Il y a une hyperesthésie de la main malade pour la chaleur. Le réchauffe- ment ne d
ymétrique. L'os n'a pas été atteint. 2. Conséquences immédiates. La main tomba sur le poignet et conserva depuis lors l'
t on n'appliqua aucun appareil redresseur. 3. Attitude actuelle. La main pend au bout du membre, inerte. Lorsque l'avant
alanges. 4. Motilité volontaire. Le malade ne se sert jamais- de sa main . Il pré- tend ne pas pouvoir la redresser. Il e
longtemps le bras en'écharpe, et on lui mit une planchette sous la main pour redresser la chute croissante de celle-ci.
de celle-ci. 3. Attitude actuelle. Elle date du début chute de la main sur l'avant- bras. Les doigts pendent à peine f
l'avant- bras et du poignet sont possibles. Seule l'extension de la main ne se produit pas, mais on constate très nettem
ontaire des antagonis. tes, c'est-à-dire que si l'on redresse cette main sans rien dire au sujet, on y parvient sans auc
lité. - Hypoesthésie au contact dans la moitié externe du dos de la main et le dos des trois premiers doigts. Hypoesthésie
s premiers doigts. Hypoesthésie à la chaleur. Le ma- lade plonge sa main dans de l'eau à 50° sans être incommodé. Il a h
sidérable encore pour les mus- cles thénariens et les muscles de la main innervés par le cubital. Rien à la galvanisatio
n. 10; Vasomotricité et température. Refroidissement habituel de la main , Etat de cyanose habituel. La recherche de la s
ectile a sectionné les rameaux du radial qui innervent le dos de la main . La preuve de cette lésion organique du nerf ra
rf radial est fournie par l'anesthésie de son territoire au dos de la main , et peut-être aussi par la diminution de la far
le projectile qui traversa le premier espace. R. Observation XVI. Main EN crabe par hypertonie du long abducteur, du c
lement de décombres. Dégagé par ses cama- rades, il constata que sa main avait des éraflures et que son pouce était u cass
onditions que le précédent et on le laissa deux mois. Au sortir, la main présentait une attitude comparable à celle qu'e
ier métacarpien est situé suivant une perpendiculaire à l'axe de la main . sur ce premier métacarpien la première phalang
u pouce est fléchie à angle droit, la seconde restant étendué. La main est habituellement en adduction, son bord cubital
au sujet le bras en pronation et qu'on regarde le dos du membre, la main se présente sous la forme d'une surface rectangul
port aux autres,surtout le cinquième. Ainsi, l'aspect oblique de la main rappelle celui d'un crabe. 4. Motilité provoqué
acar- pien, du premier espace interdigital et du bord cubital de la main . La bande d'EsmarcU, appliquée pendant cinquant
ui restent dans leur attitude habituelle; 2° ceux d'abduction de la main et d'adduction du petit doigt vers le 4°. Les a
spontanés sont possibles, mais limités à cause de la fixation de la main dans l'attitude décrite. 6. Sensibilité. Pas de
icité et température. - Très léger refroidissement et cyanose de la main . 10. Trophicité. - Pas de troubles trophiques a
rcée par suite de l'hypertonie du long abducteur. L'adduction de la main et du cinquième doigt est due à l'hypertonie du
des manifestations motrices, hétérogènes, observées dans ces quinze mains . C'est ici que vient s'intégrer le quatrième gr
exclusivement hystéri- que pour ne pas dire plus (XIV, chute de la main sur le poignet après blessure du triceps; XIII,
la main sur le poignet après blessure du triceps; XIII, chute de la main sur le poignet après blessure des masses muscul
as). ' 2° L'apparence est celle d'une immobilisation antalgique (X, main d'écrivain après perforation de la première pha
d'écrivain après perforation de la première phalange de l'index ; XI, main de mea culpa après lésion du carpe ; XII, main
nge de l'index ; XI, main de mea culpa après lésion du carpe ; XII, main du préteur de serment, consécutive à une blessu
nsécutive à une lésion sié- geant sur un tronc nerveux défini (III, main en ciseaux après lésion du médian,- du cubital
dial par perforation de l'extrémité inférieure de l'avant-bras ; I, main d'accoucheur après blessure du plexus brachial).
erforation des masses musculaires postérieures de l'avant-bras; II, main du faiseur d'ombres chinoises après blessure en
; VII, raideur des dernières phalanges, après blessure légère de la main et des doigts ; VI, main de violoniste après perf
res phalanges, après blessure légère de la main et des doigts ; VI, main de violoniste après perforation du troisième es
après plaie du premier espace interdigital et lésion du radial à la main ). 0° L'apparence est à la fois celle d'une réac
exe et d'une inac- tivité fonctionnelle surajoutée (IX, chute de la main sur le poignet avec paralysie des doigts après
émité inférieure de l'avant- bras; VIII, paralysie hystérique de la main après fracture de l'humérus et contracture réfl
'humérus et contracture réflexe de l'épaule et de l'avant-bras ; X, main d'écrivain par blessure de l'index). B. 7roub
III, XV, IX où il y a les signes nets d'une lésion des nerfs de la main et où les troubles vaso-moteurs sont le plus ma
pinateur seul), VII (R. + M.) (face antérieure avant-bras), V (R.) ( main , avant-bras), IV (R.) (brusquerie fléchisseurs
ain, avant-bras), IV (R.) (brusquerie fléchisseurs et muscles de la main ), 111(0.) (main,avant-bras), IX (R. + P.) (thén
, IV (R.) (brusquerie fléchisseurs et muscles de la main), 111(0.) ( main ,avant-bras), IX (R. + P.) (thénar, hypothénar,
(R. + 0.) (extenseurs et abduc- teur du pouce, petits muscles de la main ), IV (R.) (extenseurs), IX (R. + P.) (radial, c
tonie. - Il n'y a pas d'hypotonie dans les XIV, XIII, VIII (pour la main seulement). Dans les autres cas, on constatait un
oubles hystériques de la marche sura- joutés à la déformation de la main ; VIII (R. + P.)". 3° Mentalité bonne, mais pou
, Vin, VI. 3° Attitude actuelle précédée d'une autre attitude : Il, main d'accou- cheur, précédée d'une grinecubitafe ;
tude : Il, main d'accou- cheur, précédée d'une grinecubitafe ; III, main en ciseaux, précédée d'une cpntracture d'amont
main en ciseaux, précédée d'une cpntracture d'amont du médian ; XI, main de mea culpa, précédée d'une contracture des ex
vue évolutif ne nous apprend SEIZE DÉFORMATION^ PARATONIQUES. pE LA MAIN 119 donc rien de précis; il faut noter cependan
-à-dire en partant de l'anatomo- physiologie de chaque muscle de la main et de l'avant-bras, on arrive à se rendre compt
. CENTRE NEUROLOGIQUE DE LA 11' ARMEE QUELQUES DEFORMATIONS 1)l ? MAINS LI un,» t'mJR') CHEZ LES « BLESSÉS NERVEUX »
LQUES cas D'OEDËMES par STRICTION. Les quelques cas d'oedèmes de la main que nous reproduisons,'don certains étaient vér
tré le 44 mai 19Ui, pré - sente un oedème vraiment monstrueux de la main et de l'avant-bras droits, s'arrêlant brusqueme
ssus du coude. Cet oedème est élastique, snrtou dans la paume de la main , et ne garde que quelques instants l'empreinte d
d'éléphantiasis. La peau, surtout dans la paume, est écailleuse. La main est en extension modérée sur l'avant-bras, les
inzaine de jours après le traumatisme : il aurait été localisé à la main , puis aurait gagné l'avant-bras d'abord par int
ré le 2 avril 1915, présente à droite un oedème très prononcé de la main et des doigts. A la pression on a la sensation
La peau est froide, violacée, et paraît amincie (PI. XXVIII, B). Mains et doigts sont complètement immobiles, à l'except
uche d'adduction de l'index, de flexion du pouce et d'extension de la main . Bien que le malade n'accuse pas de douleurs au
,. C). -C ? âgé de 25 ans, examiné le 27 avril 1915, présente il la main droite un oedème blanc très prononcé, surtout sur
gt; ? 8 ? . n . J/il ' i' : A' B D C E DÉFORMATIONS DES MAINS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX (A. Léri.) IX^.LLL'I
e 1.. 1. PL..\..\.I.\. i B C D E A F DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE DÉFORMATIONS DES MAINS
DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 123 remop
leur extrémité. Cet oedème est mou, et la pression sur le dos de la main y détermine facilement un godet. Les doigts sont
qui sont réduites, de la flexion de l'index et de la flexion de la main qui ne sont qu'ébauchées (PI. XXVIII, 0). Passi
Cas ly (fig. D). D..., 23 ans, se présente le 25 juin 1915 avec la main droite fortement rndématiée, blanche, empâtée,
res. D... a été blessé d'une balle entrée sur la face dorsale de la main droite au niveau du 2e espace interosseux, sort
éminence thénar. Ces} progressivement après le trauma- tisme que la main et les. doigts auraient pris l'aspect actuel. C
front depuis le 13 octobre 1914, présente un oedème prononcé de la main droite et des doigts, ainsi que de la partie in
la guerre; c est depuis sqn départ aux armées que petit à petit la main s'est gonflée et contracturée en flexion. '*
Ces diverses observations ont un caractère commun : l'oedème de la main est survenu dans tous les cas à la suite d'une bl
oignet. Cette identité de lésion et la similitude de l'aspect de la main dans les cas Il eu III, les pre- miers qui se s
membre supérieur amena en quelques jours un dégonflement en masse ; main et avant-bras se ridèrent profondément comme un
tre qui se vide. Le malade de l'observation IV, dont la plaie de la main et l'altitude en contracture auraient pu faire
n'ont qu'une tendance fort réduite à se rétracter. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX ' 125 Le
comme il arrivait surtout dans les premiers mois de la campagne, la main était gonflée. Dans les cas III et IV, les doigts
mplètement ; quand on lui commande de fléchir ses doigts, il met sa main en hyperexten- sion, mais même dans cette posit
est à peine ébauchée. L'extension, l'abduction et l'adduction de la main sont bonnes, mais sa flexion est nulle. Les mou
ssures du membre, Presse médicale, 6 avril 1916. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 127 maire
accentuée, mais non complète. Ce oui est particulier, c'est que la main est gonflée, violacée sur le dos, rougeâtre dan
est impossible, sans doute pour les mêmes raisons. La flexion de la main et celle des doigts sont très limitées, leur exte
ement est impossible pour le 5* doigt. L'anesthésie occupe toute la main , à l'exclusion du domaine radial : face dorsale d
dorsale du pouce, du le, métacarpien et du 1er espace interosseux. Main plate, sans saillie; atro- phie considérable de
du médian gauche, immédiatement au-dessous de l'aisselle. Mais la main est épaissie, et surtout les doigts sont violets,
l n'y a pas de douleurs spontanées, mais la sensation de froid à la main est douloureuse. Or, lors de la blessure, les v
s, et consécutivement étaient apparues des lésions trophiques de la main , notamment un panaris analgésique du petit doigt.
palmaire (Pl. XXIX). Quand il est examiné le 18 septembre 1915, la main s'étend et se fléchit bien, les doigts s'étende
es (émotions, craintes, etc.) ont une réper- cussion. De plus, la main est épaissie et gonflée, avec un système pileux
et oedème est resté localisé dans le domaine péri- DÉFORMATIONS DES MAINS Er ! }. ED3 .G1 ! EZ'LES BLESSÉS NEIl VEUX . 129
ÉS NEIl VEUX . 129 phérique du nerf médian, la partie externe de la main , les trois pre- miers doigts et la moitié exter
in- complète. Mais dans bien des cas nous avons vu des extrémités, mains ou pieds, violacées, froides, effilées ou plus
dans LES sections COMPLÈTES DU radial. L'attitude hypotonique de la main , en col de cygne, a été justement considérée co
ux où une section complète détermine une hypotonie très intense, la main faisant avec l'avant-bras un angle très aigu, i
également totale, l'hy- potonie est beaucoup moins prononcée et'la main forme avec l'avant-bras 132 LÉRI un angle trè
ent une hypo- tonie musculaire qui leur permet de laisser tomber la main tout autant , que claus la paralysie radiale la
jusqu'aux réactions électriques qui ne nous aient DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 133 effar
naissait l'hypotonie, et il l'avait merveilleusement reproduite. Sa main opposée était, elle aussi, hypotonique, mais à
était, elle aussi, hypotonique, mais à un bien moindre degré que la main soi-disant malade, de sorte qu'elle pouvait ser
anoeuvres répétées de traction sur le poignet et de pression sur la main , de façon à relâcher ses ligaments. Quoi qu'il
aleur. Pour juger d'une hypotonie, on n'oubliera pas de comparer la main malade il la main- opposée, mais l'on saura que
artie interne du biceps ; il y avait eu fracture de l'humérus. La main se présente atrophiée, amincie, creuse {pl. XXX,
, mince et moite contrastant avec la peau épajsse et calleuse de la main opposée. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de
ne douleur qui s'irradie à la région dorsale de l'avant-bras, de la main et des doigts; la palpation de la cicatrice de
des douleurs spontanées continuelles sur la face dor- ' sale de la main et des doigts, douleurs très vives de brûlures, d
ulagement et le malade y a volontiers recours. Il évite de tenir sa main pendante ou de marcher rapidement, car la moind
ercussion douloureuse sur la cicatrice d'entrée et sur le dos de la main . La trépidation, le bruit, l'appui brusque sur le
'\ ? \. 1 V.. .. - - - A B C D 1 F DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE (A. Léri.) Masson &am
ONS DU PIED PAR BLESSURES DE GUERRE (4 4 1 /,; 1 DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 135 En so
e). Cette déformation est l'analogue de celle que l'on observe à la main dans les formes douloureuses de lésion du nerf mé
à la main dans les formes douloureuses de lésion du nerf mé- dian ; main affinée, doigts effilés ont été très justement ob
ierre Marie et IVlme Bénisty, IV1. Meige, etc... Au pied comme à la main , outre la déformation, on observe très souvent de
rs, elles sont presque toujours localisées à l'extrémité du membre, main ou pied, quel que soit le niveau du membre où l
ait été touché; au pied elles frappent surtout la plante, comme à la main la paume. Ces douleurs affectent généralement l
E LA JTLPETRIERE. 1. AA V Ill. l'L. A.'\.'\I11 DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE (-4. Léri.) Masson &a
E GUERRE (-4. Léri.) Masson & C ? Editeurs DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PrEDS^^Z^ESrBLESSÉS'NERVEUX 139 ayons vu
d'Heberden. Journal médical français, 15 mai 1912. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 141 Ces d
posé au froid et à l'humidité, mais n'a pas eu particulièrement les mains dans l'eau. Il ne manie ni arme, ni outil, ni b
au. Il ne manie ni arme, ni outil, ni bride qui expose la paume des mains à un frottement répété ; il y a 6 ans, il aurai
ais n'a vu survenir à cette époque aucune callosité ou nodosité des mains . Depuis deux mois et demi (début de mars) se so
rs) se sont développées des déforma- tions très accentuées des deux mains qui consistent d'une part en une rétrac- tion p
se traduit par de profondes dépressions des plis transversaux de la main et des plis de la base des doigts et par des bour
r par une bride linéaire profondément déprimée ; le pli moyen de la main d'une part, le pli de la base des 4e et 5° doigts
présentent pas de nodules, mais sont incurvés en S comme ceux des « mains séniles » que nous avons décrits avec le profes
ion, que l'on observe dans cette variété de rhumatisme sénile de la main . Toutes ces déformations se sont développées si
ut nocturnes, passagères et récidivan- tes, occupant la paume de la main et le dos des doigts et remontant souvent jusqu
rmations et les douleurs ont pro- duit une gêne fonctionnelle de la main pour laquelle le malade a dû être évacué contre
ection antérieure ou actuelle, les examens radio-, DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 143 graph
iale dite « macrodactylie » et affectant le médius et l'index de la main gauche. L'intérêt iconographique de cette obser
nt est consécutive à une blessure de guerre qu'il aurait reçue à la main quelques mois auparavant. De fait, on constate un
quat d'un traumatisme par projectile au niveau du bord interne de la main . La palpation et le contrôle radiographique per
a polydactylie par adjonction d'un doigt cubital à chacune des deux mains , et d'un orteil prolongeant la série des premiers
m, 3.156 habitants. 148 13N : NAISb Le doigt supplémentaire de la main droite mesure 38 millimètres. Il se pré- sente
e d'un appendice dont le bord distal prolonge le hord cubital de la main II est pourvu d'un ongle bien formé; il n'est sus
tible d'aucun mouvement d'extension ni de flexion. Le doigt de la main gauche est plus petit. Il ne mesure que 31 millim
orte d'appendice, de corps étranger ; il est pédicule et relié à la main par un pont étroit de chair. Il présente égalemen
rmet de faire les constatations suivantes. Le doigt cubital de la main gauche comporte deux os, phalangine et phalan-
aussi, ainsi qu'il nous l'a écrit lui-même, « six doigts il chaque main et six doigts seulement au pied gauche ». Le
et six doigts seulement au pied gauche ». Le doigt cubital de la main gauche est, comme dans le cas précédent, le plu
ent le doigt le mieux développé de l'observation précédente. A la main droite on constate d'abord que le doigt supplémen
observations; qu'on suive l'énumération ci-dessus, radiographie en main , on les retrouvera tous. Si l'on compare ensuite
rmation était uni ou bi-latéraie, siégeait simultanément ou non aux mains et aux pieds. C'est ainsi que Beauvais, Mason,
nt qu'on peut -observer une polydactylie ~des orteils sans rien aux mains ; les mêmes Mason, Bull, Blasius, et Ath. Johnso
Mélanie, l'aînée, n'avait qu'un orteil supplémentaire, et rien aux mains . L'orteil avait également été enlevé de la même
io- graphie. C'est lui qui nous a écrit avoir « six doigts à chaque main et six doigts seulement au pied gauche ». Nous
ixième doigt, d'un doigt supplé- mentaire implanté aux pieds et aux mains . « Lorsqu'en 1829 et 1836, dit M. le D A. Potto
. Les pouces sont indemnes. La phalange terminale du 5° doigt de la main droite est amincie et déviée, mais son articula
lations phalangino-phalangettiennes des doigts II, III, IV des deux mains sont à l'état d'ankylose osseuse complète, il n
sont d'ordinaire les deux dernières phalanges des doigts : les deux mains sont presque toujours prises symétriquement, puis
ment, puis peu à peu le processus gagne les premières phalanges, la main tout entière, le poignet, la partie inférieure de
de ['hypoesthésie, s'étendant sur toute la face - palmaire des deux mains . Les réflexes tendineux brachiaux, anti-bra- ch
l monte à cheval, se livre à des courses d'obstacles, immobilise sa main gauche pour se servir le plus possible de la ma
es, immobilise sa main gauche pour se servir le plus possible de la main droite. Matin et soir, à l'aide de sa'main gauc
section, le mouvement d'opposition du pouce aux quatre doigts de la main devenait possible, mais même à cette étape éloign
vail de surveillant. Pendant cinq ans, L... ne put écrire que de la main gauche. Vers la qua- trième année, il commença
ous dit qu'il a soulevé jusqu'en 1913 quarante-cinq kilogrammes de sa main droite, et qu'il ne peut plus actuellement en p
ce antérieure, soit de la face postérieure de l'avant-bras et de la main un très riche réseau 166 SICARD ET ROGER vein
OGER veineux. Les saillies des éminences thénar et hypothénar de la main droite s'affirment en relief très saillant. Tou
mouvements de flexion, d'extension, de rotation et de pronation. La main peut atteindre la région occipitale et même le
s l'avant-bras est fixé sur bras en flexion à 45 degrés et enfin la main glisse sur l'occiput et peut parcourir ensuite l'
tributaires : réactions absolument normales à l'avant-bras et à la main . Ce qui reste du biceps est légèrement hypoexci
n'importe quel fardeau ; les autres prennent leurs chaussures à la main et vont nu-pieds ; d'au- tres dégrafent leur éq
as rare d'un nègre venant seul au poste de secours, soutenant de sa main valide les chairs pantelantes de son autre bras
uillages enroulés en bracelet ou traversant en écharpe le dos de la main . Sur le champ de bataille, avant d'appliquer un p
t les quitter pour le coït, ne les toucher qu'après s'être lavé les mains . Autant que possible ils ne doivent être vus de
répond : Malecounzsala (Tout le monde te salue). Ils se serrent la main droite puis chacun porte la sienne à sa poitrine
as de fourchette ; prenant le riz avec une cuiller ou mieux avec la main comme ils le font d'ailleurs forcément pour la vi
tres expressions « connaître beaucoup manière, donner un couteau la main à quelqu'un pour donner un coup demain, marcher
nué la lutte pied à pied dans la tranchée et l'a défendue le lende- main contre une violente contre-attaque. Ne s'est lais
de polynucléaires. Urines : 750. 5. Peut légèrement serrer avec la main . Peut tourner la tête. T. vers 37°, Langue blan
vec céphalée violente. P. : 60. Le malade peut serrer légèrement la main ; on voit la contraction des mus- cles fléchiss
rieurs sont très difficiles ; le malade y arrive, en s'aidant de ses mains , plus difficile à gauche. Elève le pied gauch
Orteils en flexion. Réflexe cutané abdominal fort. Phénomène de la main léger ; accentuation du réflexe du coude. Sensi
lindres hyalins. 22. Il y a un tremblement intentionnel, ample, des mains . La cachexie s'est augmentée. Le malade est ass
t pas possible, quand les malades ont travaillé le mercure avec les mains , que les symptômes de polynévrite dus à une int
tit ; le cavalier tomba sur le côté gauche et roula sur le dos ; sa main gauche étant prise entre la sacoche que portait l
égèrement tiraillé. Le malade ressentit une douleur assez vive à la main , remontant le long du bras gauche jusqu'à l'épaul
bras gauche jusqu'à l'épaule ; en même temps, engourdissement de la main et du bord cubital de l'avant-bras. Il remonta
1 Quand nous l'examinons, nous constatons une grosse atrophie de la main gauche. Le premier espace interosseux est profo
ophiée, mais à un degré sensiblement moindre. Dans son ensemble, la main est plate. A l'état de repos, les trois dernier
mi-flexion. Aucun trouble vaso-moteur ou tropbique cutané; les deux mains ont la même coloration ; les doigts ont le même
o-cutané, à savoir par un léger tiraillement du plexus brachial. La main prise entre la sacoche du cheval et le pavé, le c
ment du plexus brachial sous forme d'une douleur ascen- dante de la main à l'épaule et d'un engourdissement portant surtou
s amyotrophies isolées et non progressives des petits muscles de la main signalées par Pierre Marie et Foix (1). L'obser
lopécie en clairière. Il n'est pas nécessaire d'avoir les pièces en main pour deviner la lésion causale d'une telle amyo
Aran-Duchenne, sur des amyo- trophies syphilitiques limitées de la main , sur des poliomyélites anté- rieures aiguës syp
vait plus déverses bras jusqu'à la ligne horizontale, ni mettre ses mains sur la tête : elle se coiffait avec une difficu
hés de la paroi thoracique, que l'on peut très aisément enfoncer la main entre cette paroi et la face antérieure de l'omop
ononcée à soulever ses bras, en avant ou latéralement, à mettre ses mains sur la tête et à se coiffer. A l'examen. de l'é
emière, ils citent les cas de BOECIi : , ROLLIER, FRIEDPE1CII, HEU- main , PASSAUER, TR1LAT et ;\10NOD, LE1\'IN, Fischer, Z
omberg, négatif. Tonus musculaire, normal. Force dynamométrique : main droite, 22 ; main gauche, 21 (échelle de pressi
Tonus musculaire, normal. Force dynamométrique : main droite, 22 ; main gauche, 21 (échelle de pression). Diadocociné
tions du memhre thoracique, visibles surtout à l'avant-bras et à la main , comme nous les décrirons minutieusement plus loi
x des mem- bres supérieurs, à gauche un rudiment d'avant-bras et de main , cette dernière portant deux doigts soudés seul
c une courbure évidente des os, en dehors. Il y a trois doigts à la main , munis d'ongles : le pouce, l'index et le médiu
léchissant les jambes, et se tient très bien assise. L'attidude des mains est en pronation avec flexion des doigts, mais
elle peut exécuter la plupart des mouvements dont elle a besoin. La main , en saisissant les objets, plane nn peu avant de
e de l'hémiplégie double Infantile, la supination est difficile, la main plane avant de saisir un objet. Pas de troubles
staté une améliora- lion notable de la marche, des mouvements de la main et de la parole, survenue pendant les cinq ans
u'au 5 janvier de cette année. Ce jour-là elle s'est aperçue que sa main gauche s'endormait et laissait %tomber parfois
. Elle dort très mal, mais mange encore régulièrement. Doigts de la main gauche flasques. Bras et avant-bras en contractur
ne, l'a fait asseoir sur une chaise et, à ce moment, elle a mis ses mains autour de son cou en criant : « Mainte- nant, j
ant un trajet en automobile, elle a déraisonné, pris sa tête à deux mains , et s'est plainte de forts bourdonnements d'ore
jet, une attaque de forme épileptique avec des convulsions dans les mains et dans la partie gauche du visage. Est resté cet
t dans la. région de l'épaule, plus rarement à l'avant-bras et à la main , se distribuant alors de telle façon qu'ils rap
llement. importantes, qu'elles prédominent soit à l'épaule, soit la main , qu'elles sont quelquefois compliquées de contr
le blessé. Ainsi en est-il de l'hyperex- tension des.doigts sur la main , de la main sur l'avant-bras et de l'avant- bra
Ainsi en est-il de l'hyperex- tension des.doigts sur la main, de la main sur l'avant-bras et de l'avant- bras sur le bra
otence fonction- nelle de l'épaule droite, de l'avant-bras et de la main , prédominant à l'épaule. Une atrophie musculair
lements sur- venant surtout la nuit et aux changements de temps. La main du côté malade est nettement refroidie. On ne c
Au poignet, les mouvements de flexion-extension sont bons. Pour la main , les mouvements de flexion des doigts paraissent
t effilés avec des ongles un peu incurvés. Enfin on constate à la main des troubles circulatoires importants liés la la
tions normales pour les trois nerfs du bras, à l'avant-bras et à la main . Il n'existe aucun signe de R. D., même pour le
une mobilité normale. Les troubles trophiques et vaso-moteurs de la main sont importants. Les examens électriques pratiq
s encore décrite. Le rapport des seuils cherché pour le médian à la main est anormalement élevé. Pour le thénar, on trou
rieur gauche. Parésie et atl'o- phie prédominant à t'épaule et à la main . Troubles trophiques cutanés dans la région de
' (sclérodermie). Troubles trophiques muscu- laires au niveau de la main (état pseudoparkinsonien des muscles de la main
res au niveau de la main (état pseudoparkinsonien des muscles de la main ). v Participation du plexus brachial démontrée
3 prédominent d'une part au niveau du deltoïde ; d'autre part, à la main et aux doigts. Il existe d'ailleurs de temps à
retenir l'attention. Ils sont spécialement marqués au niveau de la main , et dans la région de l'épaule, où prédominent
la région de l'épaule, où prédominent les troubles moteurs. , La main présente un aspect spécial. Elle est comme contra
les doigts étendus et recroquevillés dans la position classique de main d'accoucheur. Les doigts rigides sont effilés et
t leur face palmaire exhale une forte odeur de macération. Toute la main est froide, humide et violacée. Quand on mobilise
marquée dans l'aisselle gauche et aussi par la face palmaire de la main malade, d'où l'odeur spéciale de macération. La
matisme violent du bras. Douleurs consécutives de l'épaule et de la main . Troubles trophiques de la main sous forme d'un
s consécutives de l'épaule et de la main. Troubles trophiques de la main sous forme d'un pseudo-rhumatisme chronique. Ré
de douleurs d'abord et surtout au niveau de l'épaule, plus tard la main . Elat en mars 1916. - Les troubles sont localis
tard la main. Elat en mars 1916. - Les troubles sont localisés à la main et sont surtout d'ordre trophique'. En effet, l
e musculaire du bras droit n'est que légè- rement diminuée; mais la main est modifiée dans ses fonctions et dans son asp
nerfs et muscles du plexus brachial. Les troubles trophiques de la main pourraient donc être considérés comme d'ordre r
a constaté alors la formation de callosités à la face palmaire de la main gauche et ressenti des fourmillements au niveau
tigue dans le bras gauche qui le contraignaient à rectifier avec la main droite la ilexion involon- taire du membre oppo
est incapable de servir dans une unité active d'autant plus que la main droite se prend et que des tremblements intenti
coups de poignard surviennent sur le trajet des troncs nerveux. La main gauche en hiver reste toujours froide, contraigna
son thorax, tandis qu'il emploie tant bien que mal le couteau de la main droite. Le 10 septembre 1917, A... passe au 38e
u repos il se présente l'avant-bras gauche fléchi sur le bras et la main pendante, l'ensem- ble restant collé à la parti
ui le gêne. A. L'atrophie musculaire apparaît dès qu'on regarde les mains : elle affecte à ce niveau le type Charcot-Mari
dans les grands muscles ; tendances à l'égalisation dans ceux de la main avec contractions bonnes. Du côté gauche, on
ité évidente entre 2 et 5 milliampères. Au niveau des muscles de la main on n'obtient pas de réaction certaine avec 10 m
rive, lorsque le mouvement est terminé, à immobiliser à peu près sa main animée vers la fin du geste d'une véritable choré
s il se plaint de fourmillements intermittents particulièrement aux mains . La pression des troncs nerveux est douloureuse,
de très bonne heure. D'autre part, ici, le début est nettement aux mains , alors qu'on estgéné- ralement averti de la név
POLYARTIIROPATHIE HYDARTHROSANTE, ATTEIGNANT LES ARTICULATIONS DES MAINS - EA R M. CHARTIER 1 Médecin-major de 2* cl
nérale peu fréquentes; mais leur localisation aux articulations des mains , et spécia- lement aux articutations'métacarpo-
- cine (2) que nous trouvons une photographie d'arthropathies de la main offrant avec notre observation certaine ressemb
ulaire est exagérée. L'intérêt de l'étude de cette localisation aux mains des arthropathies syphilitiques tertiaires rési
bord les articulations plialango-pllalangiennes des doigts des deux mains , puis les épaules, les coudes, les premières ar
cervi- . cales et les épaules, tandis qu'il s'aggrave au niveau des mains ; mais alors qu'il délaisse les articulations p
ance à provoquer la déviation des doigts vers le bord cubital de la main . Puis furent atteintes les articulations des 38
genou gauche, les articulations métacarpo- , phalangiennes des deux mains , les deux articulations des poignets et les artic
ulations métacarpo-phalangien- nes des doigts et du pouce de chaque main sont considérablement augmentées de volume; ell
cartilagineuses. Les doigts sont versés vers le bord cubital de la main , toutefois ils peuvent être très facilement, et
tacarpo-phalangiennes et les arti- culations des poignets de chaque main , et enfin sur le genou gauche ; polyarthropathi
isme, ni goutte. 1 Malgré une certaine analogie dans la forme des mains avec l'aspect du rhumatisme déformant, cette po
lement des articulations ayant de beaucoup diminué, l'impotence des mains , qui était pour ainsi dire totale au mois J d'a
excep- tionnelle, sur les articulations métacarpo-phalangiennes des mains , ces arthropathies spécifiques présentent certa
r son évolution indolore, par sa localisation aux articulations des mains , par ses caractères d'affection polyarticulaire
ses sont très augmentés, est remarquable. Membres inférieurs longs. Mains allongées, de type féminin, avec hyperdis- tens
889. (2) HASTINGS GILFOItD, An Index of Diffe1'ential Diagnosis of main Symptoms. Edited by H. French, Bristof, 1914, p
sissement du squelette à l'articula- 410 - SOUZA.ET DB CASTRO Les mains ont ainsi un type long et effilé comme celui de b
RO Les mains ont ainsi un type long et effilé comme celui de belles mains féminines, l'hyperdistensibilité des doigs étan
agetlo. Rummo a donné le nom de mano dirana, à la déformation de la main qui se présente plate, large, sans interligne art
sans interligne arti- culaire au poignet, les bords externes de la main et ceux des extrémités inférieures du radius et
e, et opposés à ceux produits par la castration ; nous trouvons les mains et les pieds grands et massifs ; la selle turci
ngainements. Les deux tampons, très rapprochés et tenus d'une seule main , sont appliqués dans la région dorso-lombaire,
bile tour de passe-passe faisant choir un caillou dissimulé dans la main du chirurgien, et le patient était censé guéri
es voies naturelles. Pour compléter sa cure, le praticien a sous la main toute une phar- macie destinée à remplacer les
besicles, grâce aux- quelles il lorgne un urinai qu'il tient de la main gauche. Car ce pra- ticien cossu s'entend à ['U
ssé de besicles rondes, assis sur un l'auteuil doctoral, tient à la main un tison- nier. Un panier à charbon et un large
se osseuse des articulations phalan- gino-phalangeitiennes des deux mains , troubles d'acrotrophicité chez un adértoi- d
ard, NAUDIN et CANTALOUBE, 144. Blessés nerveux (Déformations des mains et des pieds chez les ), par Léri, 121. Bless
STINE et P. COURBON, 343. Blessures des nerfs (Déformations de la main par -), par Mme ATHANASSIO- BENISTY, 65. Camp
aire exceptionnelle, par SICARD et RORFR, 164. Déformations de la main par blessures - paratoniques de la main consécu
, 164. Déformations de la main par blessures - paratoniques de la main consécutives aux plaies de guerre, par Laignel-
es de guerre, par Laignel-La- Z'AST1NE et P. Courbon, 81. - de la main et du pied chez les blessés nerveux, par Léri,
chez un blessé de guerre, par SICARD, NAUDIN et CANTALOUBE, 144. Main (Déformations de la par blessu- res des nerfs),
ue à type scapulaire, par CAHA1'l, 269. Nerfs (Déformations de la main par bles- sures des -), par Mme ATHANASSIO- B
es -), par Mme ATHANASSIO- Benisty, 65. Nerveux (Déformations des mains et-des pieds chez les blessés -), par Li'.ri, 1
i, 121. Plaies de guerre (Seize déformations para- toniques de la main consécutives aux -), ), par LAIGNEL-L.1VA5'CINE
ques du-), ), par Collet et Petzetakis, 366. Polyarthropathie des mains , par Chartier, 384. x Polydactylie héréditair
olyar- thropalhie hydarthrosante atteignant les articulations des mains , par Chartier, 384. Sarcome profond de la par
TABLE DES AUTEURS Athaxassio-Bénisty (Mme). Déformations de la main par blessures des nerfs, 65. Baijmel (J.) et LA
67. et Laignel-Lavastine. Seize déforma- tions paratoniques de la main , 81. - - Syndrome sympathique cervical avec h
ignel-Lavastine et COuRBON. Seize défor- mations paratoniques de la main con- sécutives aux plaies de guerre, 81. Synd
dique de Sauvages, 297. Léri (André). Quelques déformations des mains et des pieds chez les blessés ner- veux, 121.
se osseuse des articulations phalan- gino-phalangettiennes des deux mains , 162. - ROGER (IL), CIIIRAY et Bourguignon. L
e ex- ceptionnelle (Sicard et ROGER),XL etXLl. Déformations de la main dans les blessu- res des nerfs (Mme ATIl.4\ASSI
blessé de guerre (Sicard, NUTDtN et CANTALOUBE), XXXIV et XXXV. Main , déformations dans les blessures de guerre (Mme
isies (Les guérisseurs de -) (MEME Henry), LXVIII à LXX. Pieds et mains , déformations chez les blessés nerveux (Léri),
3 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
consistance cornée au talon, à la couche sous-métatarsienne, et à la main , dans certaines professions mécaniques. Dans les
ace du crâne, la face postérieure du bras, les régions dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs cette couche est mul
Il se divise en quatre parties: l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main . L'enveloppe générale commune, ou la peau, prés
rge d'une quantité assez abondante de tissu adipeux. A la paume de la main , il adhère assez fortement à l'aponévrose palmair
rs celui des su-pinateurs, et, en arrière, celui des extenseurs. 4° Main . La main forme trois divisions principales : i° f
des su-pinateurs, et, en arrière, celui des extenseurs. 4° Main. La main forme trois divisions principales : i° fe carpe,
lissent surtout la communication entre l'avant-bras et la paume de la main ; c'est en particulier le cas des kystes hydatique
formant les éminences thénar et hypothénar. Au milieu, la paume de la main contenue par l'aponévrose palmaire, renferme les
e isolée, d'une texture très serrée. Partout sur sa face palmaire, la main offre un pannicule adipeux sous-cutané très abond
existe , celle du court extenseur commun; néanmoins, de même qu'à la main , pour ses tendons, il faut considérer comme conti
la collection liquide, ayant son origine à l'extrémité terminale, la main ou le pied, remonte le long des divisions vascula
autres fractions des membres, la jambe et l'avant-hras, le pied et la main . Dans chaque point où les vaisseaux passent d'une
t indiqués par la naissance des supinateurs et des fléchisseurs de la main . Cette ligne fictive intermédiaire sépare les rég
fréquente produit un engourdissement, momentané du bord cubital de la main . avant-bras. L'avant-bras, dans sa structure
sversal avec un double pli de flexion à la peau, et s'élargit vers la main par la naissance des éminences thénar et hypothén
on anti-brachiale, par le ligament annulaire antérieur du carpe; à la main , par l'aponévrose et le ligament palmaires; au mi
rieur du carpe continu inférieurement avec l'aponévrose dorsale de la main . Sous le plan sous-aponévrotique passent les nerf
Bosc et Duméril, et dont l'évacuation est presque toujours funeste. main . On divise la main en deux régions : palmaire e
ont l'évacuation est presque toujours funeste. main. On divise la main en deux régions : palmaire et dorsale. Cette défi
on semble circonscrire chaque région à la portion métacarpienne de la main . Toutefois il est utile d'y joindre, pour l'une e
t utile d'y joindre, pour l'une et l'autre, sa portion digitale. La main , en anatomie chirurgicale, se sépare en deux frac
médiaire aux deux autres, et correspondant à la flexion médiane de la main dans son ensemble. La couche sous-culanée est gar
ouvrant le tendon extenseur appliqué lui-même sur les phalanges. La main , en raison de ses nombreux usages, est sujette au
e dans le coussin sous-métatarsien, et qui n'offre d'analogue qu'à la main chez les personnes qui exercent des professions m
ire séreux, la graisse, comme à la 1 Planche i, n°Gi; et planche \% main , y est toujours rare, même chez les sujets obèses
les plus variées, que la structure du pied permet, comme celle de la main , d'étendre à sa totalité ou de circonscrire à une
s de forme , de rapports et de texture des organes par l'action de la main nue ou armée de divers instrumens ou appareils. L
ers instrumens ou appareils. L'application médiate ou immédiate de la main à la structure pathologique, dans les parties que
, le corps en demi-flexion; parfois il est assis, sur-tout lorsque la main a besoin d'un point d'appui. Certaines opérations
ans la manœuvre de presque toutes les opérations ; et même, entre des mains très exercées, ils pourraient, en quelque sorte,
un fréquent exercice, est le seul moyen d'acquérir cette sûreté de la main , qui fait que le chirurgien, habile à graduer la
n dedans ou de dedans en dehors : eu égard à la direction que suit la main de l'opérateur, on les distingue aussi en incisio
ou-vemens, il faut à-la-fois que le chirurgien ait l'esprit calme, la main très sûre, et qu'il tienne l'instrument de la man
où le bistouri se trouve le plus complètement sous la puissance de la main . La facilité avec laquelle on présente le trancha
des manœuvres, nous supposons toujours que le bistouri est tenu de la main droite. Pour faire l'application des préceptes en
droite. Pour faire l'application des préceptes en agissant de l'autre main , on devra prendre en sens inverse les expressions
s les surfaces à inciser. Il est clair que nous supposons toujours la main placée en légère pronation. La deuxième positio
plume à écrire. Le tranchant est tourné vers le bord cubital de la main ; le pouce et l'indicateur appuient par leur pulpe
, étendus sur les parties voisines, fournissent un point d'appui à la main . Dans cette position du bistouri, le médius, appu
vre dans ce cas est assez difficile, l'opérateur agissant en partie à main levée. Voici en quoi consiste le procédé. Le bist
ant par la flexion des doigts la lame du bistouri vers la paume de la main . Il suffit de la simple lecture pour concevoir qu
ue. Quatrième position '. Le tranchant tourné vers la paume de la main . L'instrument tenu comme nous l'avons dit, on o
ourné vers les parties à inciser, et le tranchant vers la paume de la main de l'opérateur. Dans cette situation, le manche e
ce dernier appuie l'extrémité du manche contre le bord cubital de la main , il est au contraire libre et relevé. Le bistou
lieu que l'extrémité du manche soit appuyée sur le bord cubital de la main , elle en est éloignée au contraire de toute la lo
de mammaire cancéreuse qu'il s'agit de détacher du grand pectoral, la main placée entre la pronation et la supination, le bo
r l'instrument, suivant que l'on présente en bas le bord radial de la main ou que la face dorsale est tournée en arrière ou
ection de l'autre côté des vaisseaux, sans modifier la position de la main , on fait exécuter à l'instrument, entre les trois
s les autres, suivant que le tranchant est tourné vers la paume de la main ou l'extrémité des doigts. On s'en sert présenté
laquelle il doit pénétrer par la pression de 1 indicateur de l'autre main sur le plat de la lame. INCISIONS DROITES. Le
g. 2, 3, 4, 5, et planche i5, fig. -i. l'opère généralement avec la main gauche et de plusieurs manières. 10 En long, av
t avec la main gauche et de plusieurs manières. 10 En long, avec la main appliquée à plat; en travers, avec le pouce et l'
t l'indicateur écartés en opposition. 20 Avec le bord cubital de la main , en arrière du trajet du bistouri, la tension en
s aides, dans les cas où il a besoin de garder la liberté de ses deux mains . Premier procédé. Incision oblique avec ponctio
e grande profondeur : la tension étant opérée, le bistouri tenu de la main droite en première position, on en présente la po
ux parties dans l'espace compris entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, et on l'enfonce jusqu'à la profondeur pré
stouri presque parallèlement aux surfaces; et, par un mouvement de la main de gauche à droite, on incise les parties en grad
pli à la peau1. On rassemble entre le pouce et l'indicateur de chaque main les tégu-mens à droite et à gauche de la ligne qu
excroissance, de la circonscrire entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, et, en la soulevant, de la faire saillir
'inciser en septième position, avec une pince à disséquer tenue de la main gauche on saisit les tissus à inciser, et on les
l'incision en dédolant exige beaucoup de légèreté et de sûreté de la main de la part de l'opérateur; elle est, parmi les va
écution de la première, on tend les parties avec le bord radial de la main gauche, dont le dos est tourné vers l'opérateur.
a seconde incision en tendant les tégumens avec le bord cubital de la main gauche. La main qui tient le bistouri est placée
on en tendant les tégumens avec le bord cubital de la main gauche. La main qui tient le bistouri est placée en pronation, fo
s lambeaux. On en soulève l'angle avec le pouce et l'indicateur de la main gauche, ou avec une pince mousse, et on glisse de
A GAUCHE a. Pour celles-ci, la peau est tendue, avec la paume de la main gauche appliquée à plat, et transversalement à la
nsversalement à la direction que l'on veut donner à l'incision. Cette main est placée à droite de la plaie, pour répondre au
ns contraire du trajet que suit le bistouri. L'instrument tenu cle la main droite en quatrième position, on en présente la p
pointe à la peau; et, après la ponction opérée, le bord cubital de la main droite reposant sur la face dorsale cle la main g
le bord cubital de la main droite reposant sur la face dorsale cle la main gauche, on abaisse le manche du bistouri pour cou
ssion déterminée avec le bord cubital ou l'extrémité des doigts de la main gauche, tend les tégumens de son côté ; un aide a
n aide agit de la même manière du côté opposé. Le bistouri tenu de la main droite en première position, le chirurgien pratiq
uivre le trajet curviligne; pour peu qu'il se néglige à cet égard, la main , par l'habitude d'agir en ligne droite, se dévie
à l'esprit la ligne qu'il doit suivre. S'il n'est pas assez sûr de sa main et de son coup-d'œil, il fera bien, avant de comm
vons parlé que des incisions où le bistouri n'est gouverné que par la main de l'opérateur. Il est sou- T. VI. vent néces
sonde cannelée à travers une ouverture, on en saisit la plaque de la main droite, entre le pouce et la face palmaire de la
l'instrument, avec la paume et l'un des bords cubital ou radial de la main gauche, suivant le sens dans lequel on doit opére
eux-mêmes, sans modifier la manière de tenir la sonde on la change de main ; et, [se servant du doigt indicateur comme d'un p
resque sous-cutanée, ou que le chirurgien soit parfaitement sûr de sa main , il peut arriver directement à l'extrémité delà c
t ce que l'on observe fréquemment lorsqu'on emploie les ciseaux de la main gauche. Le médius est toujours placé sur la bra
offrent une certaine résistance, et que l'on ne puisse pas appeler la main gauche au secours de la droite, l'indicateur, pla
immobilité. L'instrument, guidé d'abord par l'ongle d'un doigt de la main gauche du chirurgien, entame l'os par quelques pe
ur le plat, dans la troisième. Une résistance, bien sensible pour une main exercée , et l'issue d'une goutte de liquide sur
avoir légèrement tendu les tégumens avec le pouce et le médius de la main gauche, insinue lentement la pointe de l'instrume
s on doit, avant de dégager la lame, appuyer légèrement du plat de la main gauche sur la tumeur, afin que le fluide suive im
s'en saisit, le manche appuyé par son extrémité contre la paume de la main droite, tandis que le pouce et les trois derniers
teur alors, saisissant la canule entre le pouce et l'indicateur de la main droite, retire le manche avec les mêmes doigts de
de la main droite, retire le manche avec les mêmes doigts de l'autre main . Lorsque la quantité de liquide à évacuer est c
ule, la saisit par son pavillon entre le médius et l'indicateur de la main droite, le pouce applicpié sur son orifice ; de l
ur de la main droite, le pouce applicpié sur son orifice ; de l'autre main , il appuie légèrement pour faire opposition des d
rure par divers moyens : i° Avec le pouce et l'indicateur de chaque main , qui saisissent ou pincent fortement les tissus e
la base des parties à détacher. Le lien est porté directement avec la main sur les surfaces libres, ou à l'aide d'instrumens
corps métalliques, fer ou cuivre, qui se rencontrent par-tout sous la main . Effets. La cautérisation par le feu détruit im
s, la lèvre saignante est saisie entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, auprès du point que pique l'instrument; s
tés, on saisit une des aiguilles entre le pouce et l'indicateur de la main droite, le talon appuyé contre l'ongle du médius
ec soin les lèvres de la solution de continuité avec le plat des deux mains étendues. Si la plaie est considérable, comme un
dérable, comme un moignon , par exemple, il commence l'apposition des mains un peu loin des bords de la division; il presse e
leur ni secousses. Dans cette disposition, les deux bords radiaux des mains se trouveront rapprochés parallèlement, et contie
de l'aide soient parfaitement coordonnés, de manière à ce cpie leurs mains ne s'entrechoquent jamais en se rencontrant, et q
ression. Pour en gouverner les effets, à mesure que l'on appuie d'une main , il faut, autant que possible, s'assurer de l'aut
appuie d'une main, il faut, autant que possible, s'assurer de l'autre main , par le toucher d'une autre artère superficielle
ou mécanique; en d'autres termes, qu'elle se fait dans un cas avec la main seule ou armée d'une pelote, et dans l'autre par
une pelote, et dans l'autre par les instrumens. COMPRESSION AVEC LA MAIN . 5° L'aide chargé exclusivement cle la compress
n pendant tout le temps qu'elle dure. 6° Si, par un mouvement de la main ou le plus souvent du malade lui-même, la pressio
-la-fois suivant la longueur de l'artère, tandis crue, la voûte de la main embrassant le membre ou les masses musculaires vo
s attendre la douleur, immédia-ment suivie d'un tremblottement cle la main qui rend la compression incertaine, l'aide, sans
itter le vaisseau, raffermit les doigts en les maintenant cle l'autre main ; mais, s'il est forcé cle substituer celle-ci à l
lombes dans les attitudes forcées qu'exigent les opérations. 2° La main , dans son entier, s'emploie, en cas d'urgence, po
un manche court qui n'éloigne pas trop la pression intelligente de la main . COMPRESSION MÉCANIQUE. 4° Garrot. Cet instru
par-tout, au besoin, avec les premiers objets que l'on trouve sous la main . ( b) Son action com-pressive, efficace par rappo
trajet la pelote surmontée par la vis, et on la maintient fixée d'une main , tandis que de l'autre on dispose le lacs autour
soit que l'on comprime avec les quatre doigts (Pl. 18), avec toute la main par la face dorsale des articulations métacarpo-p
ul tronc veineux demeuré libre. 4° Artères de l'avant-bras et de la main . La radiale et la cubitale peuvent être comprimée
illon inter-tendineux. L'artère radiale, dans sa portion dorsale à la main , se comprime de la même manière. Pour les collaté
orte peut être comprimée, sur la région lombaire, ou par le dos de la main en travers, ou par une large pelote à manche. M.
te ou insuffisante. 2° Compression médiate. On la fait exercer par la main d'un aide, qui, derrière l'instrument en action,
oignon recouvert, fixé en situation relevée, un aide y exerce avec la main une pression molle, continuée pendant tout le tem
nsable, la confiance du chirurgien devant reposer sur l'adresse de sa main et non sur la possession d'un instrument qu'il n'
chaque côté par les trois derniers doigts fléchis dans la paume de la main , tandis que les indicateurs font glisser l'anse d
lles, empruntés de la théorie de l'arrachement, la torsion, entre les mains d'un assez grand nombre de chirurgiens, est celle
Amussat. (Pl. 3i, fig. 7.) Quatre pinces sont employées. Saisir de la main gauche, avec une pince, l'extrémité libre de l'
e, avec une pince, l'extrémité libre de l'artère; isoler de l'autre main , avec une seconde pince, le vaisseau, et le faire
4, fig- 26.) avec laquelle l'artère est serrée transversalement de la main droite, et de la gauche étreindre en travers le v
née en saillie avec une pince ordinaire, transmettre cette pince à la main gauche, puis avec une autre pince, tenue de la ma
cette pince à la main gauche, puis avec une autre pince, tenue de la main droite, isoler le vaisseau des tissus environnans
nsversalement sa portion dénudée entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, et faire exécuter avec la pince de droite
s portions les plus vasculaires exposées au contact de l'air, sur les mains , au visage, etc. Cor. Excroissance en forme de
ytren. L'orteil tenu entre le pouce et les deux premiers doigts de la main gauche, introduire à plat sous le bord libre de l
ar la tface palmaire entre le pouce et les deux premiers doigts de la main gauche du chirurgien, avec le bistouri tenu en tr
ion à plat. Dans un second procédé, le bistouri étant tenu à pleine main , coupe d'abord perpendiculairement la peau en arr
is à certaines règles : (a) A mesure que l'on opère sur une dent, les mains se servant mutuellement de points d'appui, divise
l'opérateur placé devant lui commence par la mâchoire supérieure, la main gauche servant à écarter les lèvres et diriger le
s dents incisives supérieures , la rugine à bec d'âne, tenue à pleine main comme un canif, le pouce prenant point d'appui su
prend sur le pouce gauche si l'on agita droite, et sur la paume de la main , posant sur le menton garanti par un linge, si l'
dans l'opération des commotions douloureuses. La lime est tenue à la main , seule ou portée par un manche pour les dents du
ège entre les bords alvéolaires opposés et les lèvres écartées par la main gauche du chirurgien qui sert d'appui à sa main d
èvres écartées par la main gauche du chirurgien qui sert d'appui à sa main droite, il introduit dans la bouche la lime préal
à l'autre extrémité. En dilatant l'air intérieur par la chaleur de la main , le bec, plongé dans l'acide, en aspire quelques
ixée dans un manche transversal tenu à 1 Planche '¿6. 3o pleine main . Ainsi composé, cet instrument offre, avec une gr
e chirurgien, s'il éprouve de la résistance étant obligé d'appuyer la main qui opère sur l'autre main. Le tirtoir par son pe
de la résistance étant obligé d'appuyer la main qui opère sur l'autre main . Le tirtoir par son peu de volume et la variété d
de pinces ; puis imprimer au manche cle l'instrument, empoigné par la main droite, un mouvement de quart de cercle pratiqué
dent. Cet effet opéré, faire glisser sur les gencives les doigts delà main gauche faisant pince, et, en continuant ie mouvem
n des racines. L'instrument, appliqué en position, est saisi à pleine main , le pouce appliqué sur la tige du crochet qu'il m
l'effort en faisant basculer l'instrument sur l'indicateur de l'autre main , on opère, sans fracture de l'alvéole, la luxatio
tage la luxation par le mouvement de bascule qu'il permet sur l'autre main , avantage cpii généralise son emploi à l'extracti
une pince, il faut prendre garde de trop presser ses branches dans la main droite, de crainte de couper la dent avant son ex
l'interposition d'un morceau de liège, ou mieux sur les doigts de la main gauche, on en opère la luxation en arrière et en
fermer, l'autre extrémité d'une bougie en ignition, et on abaisse la main avec promptitude dès que le verre est en fusion.
n servir, il suffit d'échauffer légèrement la boule terminale avec la main , la chaleur de la bouche ou de toute autre manièr
l'opérateur, celui-ci saisit et maintient sous son aisselle gauche la main du côtéoù ildoitopérer;puis, sa main gauche appli
ient sous son aisselle gauche la main du côtéoù ildoitopérer;puis, sa main gauche appliquée sur la face postérieureclu bras
sant alors l'aiguille ou la lancette,avec le pouce et le médius de la main droite apposés sur la rosette, tandis que l'indic
sition à la pression de l'instrument. On opère de chaque côté avec la main correspondante. Le bouchon étant appliqué contre
Cautère par incision. Saisir la peau entre le pouce et l'index de la main gauche en formant un pli longitudinal ; puis, ave
he en formant un pli longitudinal ; puis, avec le bistouri tenu de la main droite, inciser l'épaisseur du derme. On place un
lenteur etla régularité convenables, et dont on dirige le tube d'une main , tandis que de l'autre on fixe le inoxa. 11 est n
i agit de lui-même; l'autre, à manche, qui agit par la pression de la main ; tels sont les scarificateurs de M. Larrey et de
toïdien et le soléaire. Les aponévroses sont celles de la paume de la main et de la plante du pied, les grandes aponévroses
Dupuytren. Pincer et soulever , entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, le bord sternul du muscle, puis traverser
est convenable de pincer préalablement la peau avec les doigts de la main gauche. Au reste, dès que cette lame est parvenue
° la cicatrice rayonnée qui occupe toute la largeur de la paume de la main ; 2° les brides partielles limitées à l'une des ré
ions dans le procédé opératoire. Procédé de Dupuylren. (Fig. 3.) La main du malade étanc maintenue largement ouverte, auta
et dans VJponévrologir, t. II, pl. tSï. L'opération lernûnée et la main ramenée librement à l'extension, on pause les pla
'extension, on pause les plaies avec de la charpie sècbc ; on fixe la main étendue par sa face dorsale, les doigts très écar
es ne sont pas aussi communes à la plante du pied qu'à la paume de la main , plus exposée au lésions , s'y rencontrent néanmo
on gardée, le triple au moins en épaisseur de ce qu'on l'observe à la main . En raison de la fixité de la charpente du pied,
me de l'extrémité digitale, où les rétractions produisent, comme à la main , la courbe transversale en voûte des articulation
es brides de rétraction que l'on peut couper partiellement comme à la main . Les orteils étant redressés, après l'opération,
atrice, et dont les tendons, en état de tension permanente, fixent la main dans leur sens, la flexion ou l'extension, et s'o
antagonistes, plus actifs et relativement plus courts, entraînant la main de leur côté. Pour la cicatrice aiwc rétraction
aissé, par négligence, la cicatrisation s'opérer avec allongement, la main fléchie, M. Dutertre a fait l'ablation delà cicat
directement par la pression de l'ongle sur leurs ventouses orales, la main étant glissée sous la couverture. 2° Saignement
ces pourtant, et qui n'ont d'effets, bons ou mauvais , que suivant la main qui les dirige. Ainsi, ce danger ne pouvant êtr
t-bras, et, clans quelques cas exceptionnels, à la face dorsale de la main . 2° Le membre abdominal à sa partie inférieure su
ns des muscles situés au-dessous de la ligature, et on exerce avec la main , appliquée en travers ou à plat, des pressions g
me est ouverte à angle de 6o degrés, et le talon tourné du côté de la main qui doit opérer ; car en général il faut saigner
i doit opérer ; car en général il faut saigner du côté gauche avec la main droite, et du côté droit avec la main gauche. Tou
saigner du côté gauche avec la main droite, et du côté droit avec la main gauche. Toutefois si l'opérateur n'est pas ambide
ateur n'est pas ambidextre, il vaut mieux qu'il agisse toujours de la main droite en se plaçant en dehors du malade quand il
bande médiocrement serrés et qu'il assure par une rosette. L'une des mains est employée à soutenir le membre qu'elle embrass
le sang s'infiltre dans le tissu cellulaire. Pendant ce temps l'autre main , par des pressions légères des rameaux vers les t
comprime la veine distendue par le sang et la maintient immobile. La main qui doit saigner saisit la lancette tenue de chaq
ment de flexion, on rapproche le talon de l'instrument du creux de la main ; puis, présentant la pointe au vaisseau, par une
e qu'on a tiré assez de sang, on applique sur la plaie le pouce de la main qui soutient le membre, et de l'autre main on enl
ur la plaie le pouce de la main qui soutient le membre, et de l'autre main on enlève la ligature. On lave ensuite le membre
s, étendre le bras du malade dont l'opérateur applique et contient la main sous l'aisselle du membre qui doit supporter le b
chirurgien ambidextre, c'est-à-dire opérant sur le bras droit avec la main droite et sur le bras gauche avec la main gauche.
t sur le bras droit avec la main droite et sur le bras gauche avec la main gauche. Admettons qu'il agisse à droite. L'opérat
en denii-pronation, suivant qu'il le juge convenable, en applique la main sous son aisselle gauche et la maintient immobile
tient immobile en fixant le membre contre sa poitrine; la paume de sa main gauche embrasse le coude du malade, les doigts et
urface. Ainsi on peut saigner dans ce but les veines du pied et de la main , quand ce sont ces organes qui sont malades; il e
s , soit, à l'avant-bras, l'une des radiales ou cubitales, soit, à la main , la salvatelle ou la céphalique du pouce. Les vei
mment pour une saignée; mais il n'en est plus de même de celles de la main : on ne saurait suivre à cet égard l'exemple des
diale à l'extrémité inférieure du radius et sur la face dorsale de la main , et enfin la pêcheuse. Chacune de ces artères peu
océdés. 10 Procédé ordinaire. Le doigt indicateur et le pouce de la main gauche, écartés de chaque côté de l'artère, tende
ue l'index explore et au besoin contient ou dirige le vaisseau, de la main droite le chirurgien saisit le bistouri tenu comm
rapport cle M. Briquet, elle n'a eu cle résultat funeste , entre les mains de Béclard, que chez deux malades sur soixante op
ction. Renouvelée des Arabes, elle a obtenu quelques succès entre les mains de M. Lisfranc. La veine étant mise à nu longitud
position de l'artère reconnue, avec les quatre doigts assemblés de la main gauche déprimer suivant la ligne du sillon muscul
a section ne serait point parallèle au sillon sous-jacent soulever la main et tendre légèrement en travers la peau comme à l
tance, et où l'instrument, moins complètement sous la puissance de la main , peut contondre ou léser; en général, par rapport
et faisant poulie de renvoi pour chaque bout tenu dans la paume de la main . Si l'artère est profonde et le sillon étroit, il
en pressant avec la pulpe des doigts rassemblés de l'une ou des deux mains , déprimer les chairs le long du bord interne du m
triceps sural, puis, la peau tendue par lecartement des doigts de la main gauche du chirurgien, inciser verticalement la pe
inférieure. Procédé de M. Lisfranc. Avec la pulpe des doigts cle la main gauche rassemblés, reconnaître et déprimer à l'ex
des muscles jumeaux et la ligne moyenne du creux poplité; puis, de la main droite armée du bistouri tenu en troisième 1 Vo
ncée clu soléaire. Sur le trajet du sillon tracé par les doigts de la main gauche inciser dans l'étendue de huit centimètres
puis les branches digitales jusqu'à la sous-clavière. Artères de la main et de l'avant-bras. Ces artères sont la radiale
t être pratiquée à toute hauteur quelconque. Les cas d'opération à la main sont assez restreints. L'anévrisme s'y développe
dont l'arnas, en une tumeur ovoïde et aplatie, remplit la paume de la main . Au jugement commun des chirurgiens, ces cas néce
ncs artériels à l'avant bras. La ligature partielle des artères de la main n'est motivée que par les lésions traumatiques. O
cidens graves. Ajoutons aussi qu'en raison de la texture serrée de la main , du grand nombre de tissus qui s'y rencontrent et
'artère radiale à trois hauteurs différentes, à la face dorsale de la main , au tiers inférieur et au tiers supérieur de l'av
avant-bras. i° Ligature à la face dorsale du carpe ( pl. 41 )• La main placée en demi-pronation, sa face externe en haut
ée : le sillon intermusculaire mis à découvert, fléchir légèrement la main sur son bord interne pour relâcher les muscles; é
rès maigres, en relâchant tout-à-fait le muscle par une flexion de la main sur le poignet et de l'avant-bras sur le bras. Ma
e tourniquet préalablement appliqué, tandis qu'un second aide fixe la main et l'avant bras, le chirurgien, en palpant avec l
avant bras, le chirurgien, en palpant avec les doigts réunis des deux mains , s'assure de 1 Voy. Anatomie topographique, pag
us. Déprimant, suivant cette direction, la peau avec les doigts de la main gauche sur le bord interne du biceps et de son te
mière côte. Tout étant disposé, reconnaître, en palpant avec les deux mains , le sillon vasculaire que déborde le biceps , et
alors à déprimer en dehors. Le muscle contenu par trois doigts de la main gauche, dont la pulpe sent en profondeur la saill
Le chirurgien placé en dehors, avec les quatre derniers doigts de la main gauche assemblés en une sorte de griffe, le pouce
tre les scalènes, et le chirurgien placé en dehors, déprimer des deux mains , avec la pulpe des doigts rassemblés, les tégumen
chirurgiens, de dedans en dehors, en raison de la flexion gênée de la main , et, surtout, vu la difficulté de ne pas embrasse
e un des cordons nerveux externes, mais mieux de dehors en dedans, la main rapprochée du tronc, en déprimant les nerfs inter
elon nous , que pour le côté droit; à gauche , pour la facilité de la main , nous trouvons, au contraire, plus aisé et plus
re les muscles et les tégumens du cou: déprimer avec les doigts de la main gauche assemblés le sillon intermédiaire du laryn
t été prise, et faire remonter par un aide, avec la pression des deux mains à plat, la masse intestinale vet*- le flanc du cô
du côté opposé, puis, avec les deux doigts indicateur et médius de la main gauche , décoller lentement le péritoine de la fo
vers le rebord du grand bassin. En même temps avec l'indicateur de la main droite suivre dans le sillon celluleux le mouveme
mens. Enfin le poids de la masse viscérale étant bien supporté par la main d'un aide, dont les doigts écartent le bord inter
nt en dedans, suivre le mouvement avec le pouce et l'indicateur de la main droite jusqu'à pouvoir saisir le faisceau vascula
rience a toujours réussi; mais elle a échoué, au contraire, entre les mains de M. Amussat. L'auteur pense que si une épingle
cher que la tige ploie, on la soutient d'abord entre les doigts de la main gauche. Ce procédé s'effectue sans douleur, mais
t lent dans son exécution. — Deuxième procédé. L'aiguille tenue de la main gauche, frapper sur le manche à petits coups secs
r la retirer on comprime la peau à son entrée entre deux doigts de la main gauche, pendant qu'on tire dessus de la main droi
entre deux doigts de la main gauche, pendant qu'on tire dessus de la main droite. Telle est dans sa simplicité l'opératio
nt jusqu'à ce que, par un défaut de résistance bien sensible pour une main exercée, et par l'issue d'une goutte de liquide s
ives). Muni d'un bistouri à lame longue et affilée, qu'il tient de la main droite, à plat, en huitième position, le chirurgi
s avoir légèrement tendu les tégumensavec le pouce et le médius de la main gauche, 48 insinue lentement la pointe du bis
face supérieure de la lame avec l'extrémité du doigt indicateur de la main gauche. La direction donnée à l'instrument doit ê
s on doit, avant de dégager la lame, appuyer légèrement du plat de la main gauche sur la tumeur, afin que la sortie du pus s
osées à des frottemens : au membre thoracique, l'épaule, le coude, la main ; au membre abdominal, les fesses, les genoux, les
iatement les vaisseaux et les tissus vivans. — Excision. Saisir d'une main la tumeur avec une pince, une érigne ou entre les
une pince, une érigne ou entre les doigts, la soulever et de l'autre main pratiquer l'excision d'un seul coup avec le bisto
pour qu'il offre de la prise, le saisir alors entre les doigts de la main droite garnis d'un linge pour faciliter la préhen
rite de fixer l'attention des praticiens. Son siège habituel est à la main , au-devant des tendons fléchisseurs, ou au pied,
du tarse, et, en comprimant alternativement avec les doigts des deux mains , on fait circuler les corps qu'ils renferment du
ce, au pourtour du thorax et sur les membres. M. Tassery en a vu à la main dont il a fait la résection et qui contenaient un
la tumeur est isolée à son contour, la saisir entre les doigts de la main gauche ou avec une érigne et, la soulevant ou l'i
s du crâne, à l'oreille, à l'omoplate, sur les parois du thorax, à la main , au pied et en divers autres points des membres.
s, à la mâchoire inférieure, au sternum, sur les faces dorsales de la main et du pied. Physiek avait imaginé ce procédé. M.
érir par la ligature des artères radiale et cubitale une tumeur de la main . M. Chélius et Dupuytren n'ont pas été plus heure
x, Grœfe et Chélius, qui ont eu pour objet des tumeurs érectiles à la main et à l'avant-bras. procédés de destruction de l
fixe lui-même le corps étranger entre le pouce et l'indicateur de la main gauche et, ordonnant à un aide de tendre en même
oit être exactement assujetti par des aides ou préférablemcnt par une main du chirurgien, l'autre restant libre pour agir; 2
coude du côté opposé. Saisissant alors le manche de la scie à pleine main et limitant la lame sur l'os avec l'ongle du pouc
pleine main et limitant la lame sur l'os avec l'ongle du pouce de la main gauche, il commence par lui tracer une raie en fa
eul agit' la scie par des mouvcmens successifs dans lesquels les deux mains se cèdent alternativement la longueur de la chaîn
uivant. Ayant préalablement tendu les tégumens avec les doigts cle la main gauche, pour rendre l'angle du cal encore plus ap
isposé et la surface osseuse convenablement asséchée, on saisit de la main droite le cautère et on le présente rapidement su
bouillonnans, sang, sanie, pus, que l'on absterge prornptement de la main gauche avec une éponge sèche ou des boulettes de
eux ; et l'opération du trépan, comme déshonorée, se réfugie dans les mains de gens si décriés qu'on ne les nomme que charlat
couronne et de son perforatif, le chirurgien saisit la couronne de la main droite comme une plume à écrire, fixe la pointe d
nc qui surmonte l'arbre du trépan avec le pouce et l'indicateur de la main gauche réunis en cercle. Appuyant alors sur cette
nt alors sur cette plaque avec le front ou le menton, il saisit de la main droite le corps de l'arbre du trépan et donne ain
négalités sur son contour, on saisit le couteau lenticulaire à pleine main et puis, introduisant la lentille qui est à son e
urface de l'os, et cle l'y fixer entre le pouce et l'indicateur de la main gauche qui se font opposition sur les côtés de la
gauche qui se font opposition sur les côtés de la lame tandis que la main droite fait tourner la poignée qui met en jeu la
es de M. Liston pour la section des os d'un petit volume; des scies à main de diverses espèces, la scie à crête de coq, les
TIONS EN PARTICULIER. MEMBRE THORACIQUE. Toutes les parties de la main sont si importantes pour les mouveinens, qu'il es
elpeau), cette opération peut être tentée sur les autres doigts de la main lorsque le mal est limité à la première phalange.
ps. Résection de [extrémité inférieure du radius (pl. 56, fig. 4). La main placée dans la pronation et appuyée sur un plan s
s. Résection de [extrémité inférieure du cubitus (pl. 56, fig. 3). La main fortement renversée en dehors, cette seconde opér
ant son ligament latéral interne, et renverser autant que possible la main en dehors afin cle faire sortir la tête du cubitu
ui est devenue beaucoup plus facile après l'extraction du cubitus. La main fortement renversée en dedans, diviser le ligamen
re, qu'on dissèque de haut en bas et qu'on renverse sur le clos de la main . Par ce moyen, les os étant mis à nu et isolés de
rticulier, une application avantageuse. En voici la description. La main fixée en pronation par des aides, pratiquer, de c
pour ne pas blesser l'artère radiale dans le lieu de sa réflexion. La main étant relevée en arrière dans l'extension, inclin
idement les os en soulevant les chairs à mesure avec les doigts de la main gauche et rasant alternativement avec le bistouri
ompresse longuette, dont on assemble les extrémités, on soulève de la main gauche, dans son anse, la masse dermo-tendineuse
acile, en rasant les os du centre de la plaie vers l'avant-bras et la main , de les isoler clans toute l'étendue des parties
rties malades. Pour isoler la masse dermo-tendineuse antérieure, la main peut être laisséedanslapronation; mais la supinat
ngle inférieur de chaque plaie pour donner issue à la suppuration. La main et l'avant-bras seront placés sur un coussin, et
pratiquer la section de l'humérus avec une scie ordinaire tenue de la main droite, tandis que le coude est solidement fixé p
nue de la main droite, tandis que le coude est solidement fixé par la main gauche. Il ne reste plus alors qu'à extraire la p
ne, où il est maintenu par un aide. Saisir alors l'avant-bras avec la main gauche et le porter dans la flexion pour détermin
cée du triceps. L'opération à ce point, avec un bistouri tenu do la main droite entrer, par la par-tic postérieure, dans l
ineux et petit rond qui la fortifient. Saisir alors le coude à pleine main et le porter en dedans et fortement en haut. de m
i deviendront nécessaires. — Premier temps. Empoigner fortement de la main gauche le bras du malade légèrement écarté clu tr
ement écarté clu tronc, et avec un couteau inter-osseux, saisi cle la main droite, pointer à la partie postérieure de l'arti
si des parties saines. S il eût offert trop de résistance, une scie à main ou mieux encore une crête de coq en aurait fait l
maintenue dans cette position par un aide qui embrasse le talon d'une main et l'extrémité antérieure du pied de l'autre. Tou
d'avant en arrière avec la scie à chaîne. Le chirurgien saisit de la main gauche les deux chefs de la bande postérieure, qu
postérieure, qu'il abaisse en même temps qu'il manœuvre la scie de la main droite; l'aide, qui maintient les chefs de la ban
emier temps. Le chirurgien, placé au-devant du malade, saisit avec la main gauche un des angles de la lèvre inférieure ; en
uer la section de l'os, Dupuytren, qui se servait d'une petite scie à main , était obligé de passer derrière son malade, afin
la mâchoire est réséquée des deux côtés, l'opérateur la saisit de la main gauche; puis avec un bistouri boutonné, porté de
a hardiesse de porter le fer sur la continuité des membres; encore la main mal assurée du chirurgien s'arrêta-t-elle souvent
tient à ses erremens. La chirurgie grecque et latine passe entre les mains des Arabes, qui poursuivent et perfectionnent les
ou du moins exactes, d'opérations qu'ils confièrent si long-temps aux mains des barbiers. Ces considérations nous ont engag
geot; la proposition contraire rentrerait bien plus dans la vérité. Main . Nous ne trouvons rien sur ce sujet avant F. de H
u membre thoracique, sauf quelques exceptions pour l'avant-bras et la main , tous les chirurgiens anciens et modernes se sont
e pas s'écarter pour les amputations de la jambe. AMPUTATIONS DE LA MAIN . Quand la science eut fait quelques progrès, le
essources opératoires fournies par la structure même du pied et de la main , ne servirent qu'à faire entrevoir d'insurmontabl
s tendons qui parcourent les doigts, et leur réunion à la paume de la main dans de vastes synoviales dont l'inflammation est
tions du métacarpe dans la continuité. Anatomie. Le squelette de la main n'offre guère d'intérêt pour les amputations dans
ar des aides, le pouce écarté, le chirurgien, placé en dedans pour la main gauche et en dehors pour la main droite, incise c
chirurgien, placé en dedans pour la main gauche et en dehors pour la main droite, incise circulairement les tégumens au niv
unissent les angles du lambeau à l'incision transversale du dos de la main doivent marcher obliquement sur les bords radial
é ancien. L'espace inter-osseux reconnu, traverser l'épaisseur cle la main avec un bistouri droit tenu en troisième position
ien, le faire sortir par l'angle de l'incision faite à la paume de la main , et, suivant cette même incision, couper, comme d
ce rapprochement est effectué par le travail même de la nature. La main prête à une foule de modifications opératoires qu
endons enveloppés par des synoviales qui se prolongent du côté cle la main , et n'ont aucune connexion avec celles clu bras ;
cédé ordinaire modifié (pl. 7 2, fig. 1,2, 3). Premier temps. Avec la main gauche saisir lavant-bras au-dessous ou au-dessus
de section, suivant le côté de l'amputation; porter sous le membre la main droite armée du couteau, appliquer le tranchant s
re le tranchant du couteau sur le bord externe du radius, abaisser la main , agir sur les deux os, pénétrer dans l'espace int
tourner le cubitus et, par un mouvement de rotation du manche dans la main , terminer en avant comme on a commencé en arrière
n cubito-humérale, commencer sur cet os la voie de la scie, élever la main et continuer en sciant les deux os à-la-fois, mai
fig. 1 , 2, 3). Le malade assis et fixé par des aides, saisir avec la main gauche la masse musculaire antérieure constituée
relevés par un aide, le chirurgien, placé en dedans, soutient, de la main gauche pour le bras droit et de la main droite po
cé en dedans, soutient, de la main gauche pour le bras droit et de la main droite pour le bras gauche, la partie inférieure
ain droite pour le bras gauche, la partie inférieure du membre. De la main restée libre il taille en frappant de bas en haut
cilement pratiqué par tout le inonde. Il est plus facile d'agir de la main droite en se mettant, suivant le besoin, en dedan
le pied gauche, saisir avec le pouce, l'indicateur et le médius de la main gauche, les parties molles du côté interne et les
on articulation tibio-tarsienne. Premier temps. Pour le pied droit la main gauche embrasse le métatarse par la face plantair
appareils mis en usage pour remonter les tégumens, confie ce soin aux mains d'un aide. Un des points les plus intéressans d
ne saurait être absolu, car on n'a pas toujours à sa disposition les mains d'un aide intelligent. 20 Position du malade et
ncision sur la crête du tibia, porter sous le membre le bras, dont la main , armée du couteau, est fortement tournée en prona
point de départ, sans désemparer, par un mouvement de rotation de la main gauche sur le manche, exécuté vers la face intern
ns du bord interne du tibia jusqu'au niveau du péroné, saisir avec la main gauche et porter en arrière les chairs du mollet,
rniquet: la compression est exercée par un aide sur le pubis, avec la main ou la petite pelote d'usage. Chélius recommande e
ecommande encore d'embrasser la cuisse au pli de l'aine avec les deux mains , et d'appliquer alternativement sur l'artère le p
mains, et d'appliquer alternativement sur l'artère le pouce de chaque main . Le malade couché le tronc sur un lit, les deux
llimètres de hauteur. Troisième temps. Les chairs protégées par les mains d'un aide ou par la compresse-rétracteur, dont le
condyles ou immédiatement au-dessus, faire embrasser le genou à deux mains , attirer la peau en haut pour inciser circulairem
oit, en dedans pour le gauche. Pour la cuisse droite : saisir avec la main gauche les chairs du côté externe, les attirer mo
etirer avec force la peau par un aide, saisir soi-même le genou d'une main et, avec un couteau de moyenne longueur offert ob
Plus loin ou lit : « L'ablation totale des os aux articulations de la main , du pied, du poignet, du coude pied, du genou, et
bre de jointures sont réunies dans des limites resserrées, comme à la main et au pied, et n'est même pas toujours rigoureux
a face palmaire.— Premier procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main tenue en pronation, les doigts sains écartés par
a phalange que l'on veut abattre entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, fléchir l'articulation à quarante-cinq de
l'articulation. — Second procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 3). La main portée en supination, les doigts sains maintenus
par un aide, saisir la phalange eutre le pouce et l'indicateur de la main gauche, en reculant un peu le pouce vers l'extrém
e réception étant sur la première phalange qu'il s'agit d'enlever. La main dans l'extension, le plan inter-articulaire est,
parvient à le reconnaître en fléchissant le doigt sur la paume de la main , ce plan se trouvant au-dessous du relief arrond
i étant très supérieures. Voici du reste le procédé de M. Cornuau. La main en supination, les doigts sains écartés par des a
edran perfectionné par M. Walther et M. Lisfranc (pl. G8, fig. 2). La main placée en pronation, les doigts voisins écartés p
saisir la première phalange entre le pouce et l'indi- râleur Je la main gauche et reconnaître le plan articulaire avec l'
la main gauche et reconnaître le plan articulaire avec l'index de la main droite; fléchissant alors l'articulation à 45° en
ternes de l'articulation avec son tiers externe, si l'on opère sur la main gauche, ou en sens inverse pour la main droite, d
externe, si l'on opère sur la main gauche, ou en sens inverse pour la main droite, divise le tendon extenseur et descende ob
ion du bord cutané palmaire; mais ce procédé, qui oblige à changer de main pour l'incision oblique du côté gauche, vient com
rculaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig. 4)-— Premier temps. La main placée en supination, les quatre derniers doigts
ion, les quatre derniers doigts saisis parallèlement entre ceux de la main gauche de l'opérateur étendus sur leur face dorsa
le, tandis que le pouce fait opposition sur la face palmaire, pour la main droite et en sens inverse pour la main gauche, pa
sur la face palmaire, pour la main droite et en sens inverse pour la main gauche, par une incision demi-circulaire qui long
iens. Sans désemparer pour le deuxième temps, retourner rapidement la main en pronation, et, reprenant 1 incision au point o
naire perfectionné par M. Lisfranc (pl. 68, fig. 3). Pour contenir la main du malade, l'auteur prescrit, pour la main droite
fig. 3). Pour contenir la main du malade, l'auteur prescrit, pour la main droite, de la mettre en pronation, l'opérateur em
onation, l'opérateur embrassant les quatre doigts dans la paume de sa main gauche, le pouce appliqué sur l'articulation du p
nom, situation que l'on renverse en sens contraire pour opérer sur la main ganche: cette manière de fixer la main, dont le s
s contraire pour opérer sur la main ganche: cette manière de fixer la main , dont le seul avantage est de déterminer avec le
au palmaire en procédant du bord interne vers le bord externe ponr la main gauche, et en sens inverse pour la main droite. C
vers le bord externe ponr la main gauche, et en sens inverse pour la main droite. Comme en définitive le lambeau ne peut s'
rne. Méthode a un lamreau. — Procédé ordinaire (pl. 70, fig. 2). La main placée en supination, lavant-bras contenu, et les
n, d'incliner un peu le manche du bistouri vers le bord cubital de la main . — Modification de ce procédé. Une variante suivi
te le pouce, le chirurgien saisit avec les trois premiers doigts delà main gauche, et attire en avant, la plus grande épaiss
ties molles d'arrière en avant et de dedans en dehors. La paume de la main ainsi respectée, dit l'auteur, permet de donner a
du côté droit, l'incision doit être commencée par le côté radial, la main en pronation; si c'est à gauche, au contraire, pa
n pronation; si c'est à gauche, au contraire, par le côté cubital, la main en supination. Dans l'un et l'autre cas la premiè
ir à la commissure interdigitale; puis, sans quitter les doigts de la main gauche qui tiennent le pouce, en opérant la versi
second os métacarpien. Méthode a un lamreau.— i° Procédé ancien. La main mise en pronation, les trois premiers doigts écar
rocédé ordinaire, perfectionné par M. Lis-franc (pl. 70, fig. 3 ). La main placée en pronation, s'assurer de la ligne articu
prise, achèvent la certitude. i° Saisir alors entre les doigts de la main gauche, sur le bord interne, la plus grande épais
eau interne semi-elliptique. 20 Le lambeau relevé vers la paume de la main par un aide, détacher la peau de la face dorsale
e de l'articulation au-dessous de la saillie de l'os pyramidal ou, la main en supination, son côté antérieur au-dessous de l
Ce procédé est semblable à celui de la désarticulation du pouce : la main étant fortement tournée en pronation et les doigt
e dirige sur la face dorsale vers la commissure interdigitale pour la main droite, ou sur le bord libre de la première phala
la main droite, ou sur le bord libre de la première phalange pour la main gauche, de manière à arriver, dans l'un ou l'autr
diffère en rien de la même amputation appliquée aux autres doigts. La main en pronation, à partir de l'articulation carpienn
trapèze et la tête du deuxième métacarpien. Procédé opératoire. La main du malade tournée en pronation et embrassée dans
ératoire. La main du malade tournée en pronation et embrassée dans la main gauche du chirurgien, dont le pouce, étendu sur l
ire , de la tête du cinquième métacarpien à celle du deuxième pour la main droite; et au contraire du deuxième vers le cinqu
la main droite; et au contraire du deuxième vers le cinquième pour la main gauche : puis, faisant écarter par un aide le pou
r la main gauche : puis, faisant écarter par un aide le pouce pour la main droite, ou les quatre doigts pour la main gauche,
ar un aide le pouce pour la main droite, ou les quatre doigts pour la main gauche, le chirurgien tenant les quatre doigts da
r chaque côté par les apophyses styloïdes du radius et du cubitus. La main portée dans la flexion, le sommet de la saillie o
omiques que fournit à ce sujet M. Malgaigne. i° La face dorsale de la main renversée autant qu'on le peut sur l'avant-bras,
e millimètres au-dessus du pli cutané qui trace la délimitation de la main avec l'avant-bras. 3° Traçant une ligne de l'un à
ar un aide qui faitremonter eireulairement les tégumens, saisir de la main gauche, entre le pouce et les quatre derniers doi
r de la main gauche, entre le pouce et les quatre derniers doigts, la main sur laquelle on opère, et la placer étendue en de
ue la peau. Pour ce premier temps, M. Velpeau conseille d'incliner la main dans la flexion pendant qu'on coupe sur la face d
e. méthode a deux lambeaux.— Procédé ancien (pl. 7 1, fig. 3,4). La main tournée en pronation, l'avant-bras fixé et les té
tre apophyse styloïde, en procédant du cubitus vers le radius pour la main droite, et du radius vers le cubitus pour la main
s le radius pour la main droite, et du radius vers le cubitus pour la main gauche. Disséquer d'un seul coup la peau et faire
y a que de l'avantage à la conserver. Procédé de M. Lisfranc. i° La main placée en pronation, plongera plat la pointe d'un
la face dorsale et tailler le lambeau en ce sens. M. Lisfranc met la main en pronation forcée, et forme un lambeau dorsal s
forcée, et forme un lambeau dorsal semi-lunaire qu'il dissèque. 3° La main rétablie en pronation moyenne si elle en a été éc
a surface courbe articulaire, couper tous les ligamens et détacher la main de lavant-bras. Modifications diverses. M. Rust
Le membre élevé horizontalement et saisi fortement, en plein, par la main gauche du chirurgien placé en avant pour le membr
siste : le bras en position, saisir et soulever avec les doigts de la main gauche la masse du deltoïde, glisser horizontalem
essait Dupuytren. Le lambeau relevé par un aide, saisir le bras de la main gauche, le rapprocher du tronc, tourner le coude
couteau, couper la capsule et le tendon du sous-scapulairc. Pour une main exercée, le double mouvement en sens inverse, de
main exercée, le double mouvement en sens inverse, de rotation par la main gauche, et de section par la main droite, doit s'
en sens inverse, de rotation par la main gauche, et de section par la main droite, doit s'exécuter uniformément d'un seul te
dre un instant que le même aide, qui soulève le lambeau externe d'une main , saisisse entre les doigts les chaire, pour compr
: placé derrière le malade, embrasser le moignon de l'épaule avec la main gauche, le pouce appliqué sur la face postérieure
ètres de long que l'on fait relever par un aide. Au second temps , la main inclinée en bas pour inciser du talon à la pointe
g. a0 Bras droit. Pour tailler un lambeau externe en agissant de la main droite, on peut procéder de deux manières : (a) d
peut procéder de deux manières : (a) dans l'un, le coude relevé et la main dirigée en bas, piquer dans l'espace acromio-clav
aut pour le bras gauche; mais pour le bras droit il exige d'opérer la main en bas et le coude élevé, à moins d'être ambidext
as et le coude élevé, à moins d'être ambidextre et de se servir de la main gauche. Procédé de Delpech. Il se distingue par
il est difficile de faire les deux incisions obliques également de la main droite. M. Larrey taille delà main gauche celle d
incisions obliques également de la main droite. M. Larrey taille delà main gauche celle des deux incisions qui placerait la
rey taille delà main gauche celle des deux incisions qui placerait la main droite à revers en flexion et pronation forcée, m
bre cpti ne lui permet pas de continuer de suite, reporte vivement la main par-dessus l'épaule pour reprendre son incision a
forme de ces articulations est peu différente de leurs analogues à la main , seulement les têtes sont davantage recouvertes p
et sous le cinquième. Les procédés opératoires sont les mêmes qu'à la main , à lambeaux ou ovalaire (pl. 79, fig. 1 et 2) : l
e pied contenu par un aide, saisir les orteils entre les doigts de la main gauche, le pouce appliqué sur la face interne de
xtrémités onguéales des orteils. 2° Avec un couteau étroit tenu de la main droite, tracer, suivant la ligne inter-articulair
inter-osseuse, les artères digitales sont toutes plus petites qu'à la main ; il suffît d'en mâcher T. Vf. l'orifice avec
première intention. La méthode ovalaire, applicable ici comme à la main , ne serait qu'une répétition de cette dernière; n
opérer. Pied gauche. 10 La plante du pied saisie dans la paume de la main gauche, le pouce appliqué sur le rebord saillant
précédemment, le pied saisi par sa face palmaire daus la paume de la main gauche, le pouce appliqué sur l'apophyse de gliss
sur le pied gauche il suffit de renverser les positions relatives des mains , mais il convient toujours de commencer par attaq
membre étant étendu, la jambe saisie au-dessous de la rotule avec la main gauche, et la main droite armée d'un couteau droi
u, la jambe saisie au-dessous de la rotule avec la main gauche, et la main droite armée d'un couteau droit, pratiquer au-dev
re, aux dépens des muscles du mollet, un lambeau long d'un travers de main , mais dont au reste, avant de le détacher, on peu
enfin la jambe soutenue par un autre aide, et la cuisse saisie par la main gauche de l'opérateur placé en dehors : avec un l
rgien est placé en dedans du membre et se servira de préférence de la main droite pour le membre droit et delà main gauche p
servira de préférence de la main droite pour le membre droit et delà main gauche pour le membre gauche : toutefois, s'il n'
, s'il n'est pas ambidextre , l'opération est encore praticable de la main droite sur le côté gauche. Les tégumens refoulés
nt entraver l'opération. 2° Pour le lambeau interne, refouler avec la main gauche les parties molles en dedans, reporter la
autre côté; les bourses écartées, les chairs soulevées en avant de la main gauche : la ponction se fait comme dans le procéd
sion, avec une légère adduction, reconnaître, avec (rois doigts de la main gauche, le sommet du grand trochanter, puis, avec
diate-ment au milieu des chairs : enfin, saisissant la cuisse avec la main gauche, descendre avec le couteau sur la face int
utations dans la continuité du membre thoracique. Amputations de la main . Des phalanges, 232. — Des os métacarpiens : les
dio-carpienne antérieure. 46. Région radio-carpienne postérieure. MAIN . 47. Région palmaire. 48. Région dorsale. M
e la précédente par : 18. Nerf radial. 19. Vaisseaux radiaux. Main . La figure montre la couche superficielle de la
aux radiaux. Main. La figure montre la couche superficielle de la main , l'aponévrose palmaire étant enlevée. 20. Arcad
'extenseur propre du petit doigt (M), et du cubital postérieur (N). Main . 27. Branches digitales du nerf radial. 28. B
u nerf cubital. La figure montre en outre les veines dorsales de la main et les tendons extenseurs. Tome 6. Pl.9. N.
n radio-cubital de l'articulationtarsienne. — Figure 6. Section de la main , au milieu de sa portion métacarpienne. ADULTE,
13. Vaisseaux interosseux postérieurs. 14. Veines dorsales de la main . Pl.10. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob
première position, le dos de l'instrument tourné vers la paume de la main . Incision de dehors en dedans, et de gauche à d
le bistouri tenu en première position. Fig. 3. Action d'inciser, la main étant abaissée dans la même position. Fig. 4. Ret
ion verticale, pour sortir de la plaie. Fig. 5. Position des deux mains , dont l'une incise et l'autre tend les té-gumens
uri tenu en seconde position, le tranchant tourné vers la paume de la main qui tient l'instrument, l'autre main servant de p
chant tourné vers la paume de la main qui tient l'instrument, l'autre main servant de point d'appui et tendant les tégumens.
touri et la pince occupés à disséquer le lambeau supérieur gauche, la main qui tient Je bistouri en cinquième ou sixième pos
Fig. 1. Un pli étant fait à la peau et maintenu avec les doigts de la main gauche, l'opération est représentée au moment où
che, l'opération est représentée au moment où le bistouri, tenu de la main droite, après avoir traversé le repli cutané, est
s doigts causée par une cicatrice vicieuse (procédé de Dupuytren). La main est représentée sur une palette en bois qui doit
aide maintien la paupière supérieure abaissée, tandis que celui de la main gauche de l'opérateur élève le sourcil. Figure
e, en pressant sur le bouton latéral (4). FIGURE 7. Scarificateur à main de M. Pasquier. Cet instrument, très simple, se c
re; et (5) la cubitale antérieure (voyez fig. 2 et 3). Le pouce de la main droite de l'opérateur (b), appliqué au-dessous du
vaisseau sur la malléole pour l'empêcher de rouler ; les doigts de la main droite (c) tiennent en position la lancette qui f
sur la veine pour aider encore à sa réplétion, tandis que de l'autre main il a fait la ponction du. vaisseau. (D ET Da) S
6. Torsion simple de l'artère, maintenue entre les doigts de l'autre main . Figure 7. Mâchure exercée surl'artèreavecla pi
e (b) le montre, au contraire, en action. L'artère étant saisie d'une main , par la pression sur la pince, les doigts de l'au
t 5). Dans quelques cas rares, il peut être commode de la faire de la main gauche, ou de droite à gauche. a. Plaie opérato
opératoire. FIGURE 3. Ecartement des muscles. Déprimant, de la main gauche, les muscles de son côté, tandis qu'un aid
a plaie, le chirurgien, avec le bec d'une sonde cannelée, tenue de sa main droite, déchire le tissu cellulaire, en continuan
ision de la gaine des vaisseaux. a. Pince à disséquer, tenue par la main gauche du chirurgien, et soulevant un pli de la g
u vaisseau, du côté du chirurgien. a. Ecartement de la gaine par la main gauche, qui n'a pas quitté la pince. b. Dénudat
ndiquée plus haut. Immédiatement après que le vaisseau est dénudé, la main droite s'incline, en couchant l'instrument pour l
il par un double nœud. La figure indique l'action uniforme des deux mains sur chaque extrémité du fil, et le point d'appui
des orteils, déprimés en arrière par la pression de deux doigts de la main gauche de l'opérateur. 5. Gaîne des vaisseaux t
ant par le doigt indicateur gauche de l'opérateur; en arrière, par la main droite de l'aide de face, qui refoule et contient
s deux veines. Dans la fig. 1 , l'aiguille de Deschamps, tenue par la main droite de l'opérateur, est engagée sous l'artère.
la plaie opératoire (A et A2). a. Doigts indicateur et médius de la main gauche du chirurgien écartant l'angle externe de
rnée vers l'opérateur. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de sa main gauche, l'artère fémorale sur le pubis ; la main,
avec le pouce de sa main gauche, l'artère fémorale sur le pubis ; la main , fuyante à gauche, indique que cet aide doit s'ef
, pour faire place au chirurgien, et pouvoir, au besoin, servir de la main droite à l'opération. La lumière, comme le membre
ans le moment où l'opérateur reçoit, sur l'ongle de l'indicateur delà main gauche, le bec de la sonde cannelée, glissée sous
e qui soulève l'artère au dehors. On a négligé ici de représenter les mains du chirurgien, l'opération, au point où elle est
ure tournée en haut. L'aide de gauche comprime, avec les doigts de la main gauche, l'artère numérale sur la partie moyenne d
s fléchisseurs, pour laisser à l'opérateur la disposition de ses deux mains . — 1. Section de la peau. —2. Section de l'aponév
ieure tournée en haut. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de la main gauche, l'artère sous-clavière à son passage sur
e. Figure 2. Ligature de l'artère radiale sur la face dorsale de la main . Les petites figures (G2, F2, C2) reproduisent
du bras. Le muscle biceps est refoulé en avant et en dehors par la main de l'opérateur. 1. Section de la peau. — 2. S
tronc de l'artère dans le point où elle apparaît dans la paume de la main ; un autre fil est placé sous la première branche
tronc, l'aide de droite de l'opérateur comprime, avec le pouce de sa main gauche, l'artère sous-clavière à son passage sur
sur la première côte, tandis qu'avec les quatre derniers doigts de sa main droite il soulève et rappelle en haut le bord axi
pour découvrir le creux de l'aisselle. Le chirurgien déprime, avec sa main gauche, le biceps et le deltoïde; sa main droit
irurgien déprime, avec sa main gauche, le biceps et le deltoïde; sa main droite tient l'aiguille de Deschamps engagée so
. Le bec de l'instrument est guidé par l'ongle cle l'indicateur de la main gauche du chirurgien, qui déprime, avec le médius
RNE, (B et B'1). (Procédé de M. Norman, modifié par M. Velpeau). a. Main gaucbe d'un aide de face, qui écarte la lèvre sup
placé de l'autre côté du lit, en face du chirurgien, soutient, de sa main droite, le poids des intestins; tandis que, de sa
outient, de sa main droite, le poids des intestins; tandis que, de sa main gauche, il comprime l'aorte en travers, sur la co
roite de l'aide de face, qui soutient le poids des vis- cères. C. Main gauche du même aide, qui comprime l'aorte. 1, 1
l'aiguille de Deschamps. 14. Aiguille de Deschamps, tenue par la main droite du chirur- gien. Le temps de l'opération
répan anglais). Cet instrument n'est autre qu'un trépan gouverne à la main par une poignée transversale. Du reste, les acces
e, extraits de la pratique de Desault, Pelletan et Dupuytren. ) (a) Main gauche de l'opérateur qui maintient circulaireine
e le chirurgien appuie le front ou le men- ton. ( c) Doigts de la main droite du chirurgien qui dirigent la boule cent
x. Figure B. Elle représente deux autres temps opératoires. ( e ) Main droite du chirurgien occupée à ébarber le contour
ions, est destinée à agir de dedans en dehors ou contre soi, les deux mains se cédant alternativement la longueur de la chaîn
e l'opérateur peut suivre à découvert le trajet de la couronne, et la main qui tient le manche en varier à volonté la direct
a première phalange et isolé des chairs, est représenté soulevé parla main gauche de l'opérateur, dans le moment où, achevan
Le moment de l'opération montre le fragment de l'os (d ) tenu par la main gauche du chirurgien, lors-qu'ayant été isolé et
'extrémité humé-rale du radius. Ce fragment d'os isolé et tenu par la main gauche du chirurgien, est représenté au moment où
eure en haut, en regard de l'opérateur. Le bras étant maintenu par la main gauche d'un aide qui comprime en même temps l'art
nt, l'extrémité articulaire est enlevée. G, lambeau inférieur. H, main gauche de l'opérateur, qui tient l'extrémité infé
ius droit (A) l'artère sous-clavière , et, avec les doigts de l'autre main , contient le lambeau triangulaire relevé (B). S
alade étant en position assise, le membre est maintenu soulevé par la main gauche du chirurgien, H, qui empoigne en plein l'
, auxiliaire du chirurgien et placé en avant du membre, soulève de la main gauche la bande de la masse charnue supérieure, J
re étant couché sur sa face postérieure, le pied contenu par les deux mains d'un aide, dont on n'a figuré que celle qui maint
ien étant placé en regard de la face externe du membre, abaisse de sa main gauche, D, les deux bouts de la bande postérieure
bande postérieure, tandis que la bande antérieure est soulevée par la main du même côté d'un aide de face, E : tous deux son
main du même côté d'un aide de face, E : tous deux sont occupés de la main droite à faire agir du haut en bas la scie à chaî
érieure, un aide de droite du chirurgien maintient la cuisse des deux mains , dont la droite (a) comprime en même temps l'art
(b) soutenant le jarret en dessous. Un aide de gauche soutient de la main droite le talon, la gauche (c) servant à contenir
s deux côtes étant déjà opérée en dehors, le chirurgien soulève de la main gauche A le fragment isolé des deux côtes, tandis
olé des deux côtes, tandis que la scie en crête de coq R, tenue de sa main droite, opère isolément la section des côtes en d
ment disséqué et relevé sur le front, où il est maintenu par les deux mains (d, e) d'un aide placé derrière le malade, dont i
e son coussin graisseux, k. Os maxillaire tenu entre les doigts de la main gauche du chirurgien (1), qui en opère l'ébranlem
chirurgien (1), qui en opère l'ébranlement. m. Bistouri tenu de sa main gauche, et qui opère la section des chairs. FIG
le fil métallique (a), le chirurgien amène en avant et en bas, de sa main gauche (b), le fragment de la mâchoire, tandis qu
), le fragment de la mâchoire, tandis que le bistouri (c), tenu de la main droite, va pratiquer la section des génio-glosses
ù le lambeau est relevé, on peut maîtriser l'hémorrhagie par les deux mains (p, q) d'un aide, qui, en même temps qu'elles tie
re, l'apophyse coronoïde étant isolée, le chirurgien, qui tient de sa main gauche (r) la moitié droite de la mâchoire, est o
e de la mâchoire, est occupé à faire avec le bistouri (s), tenu de sa main droite , la section de l'attache eondylienne du p
er, Benard et Cie. TOME VI. PLANCHES 67 ET 68. AMPUTATIONS SUR LA MAIN . ADULTE, DEMI-NATURE. PLANCHE 67. AMPUTATIO
n lambeau palmaire. ) La dernière phalange tenue par les doigts de la main gauche du chirurgien, le bistouri, quia franchi l
. (Procédé à deux lambeaux, palmaire et dorsal, de M. Lisfranc). e, Main d'un aide qui maintient fléchis les doigts sains.
nc). e, Main d'un aide qui maintient fléchis les doigts sains. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le doigt malad
alangienne à un seul lambeau palmaire. ( Procédé de M. Lisfranc.) g , Main d'un aide qui contient le médius, h , Main gauche
océdé de M. Lisfranc.) g , Main d'un aide qui contient le médius, h , Main gauche du chirurgien qui maintient le doigt opéré
pratiqué dans l'articulation métacarpo-phalangienne du médius. ) a, Main d'un aide qui maintient celle du malade sur laque
d'un aide qui maintient celle du malade sur laquelle on opère. b, Main gauche du chirurgien qui maintient le doigt sur l
D, Amputation de J.-L. Petit, pratiquée sur l'indicateur. c et d, Mains d'un aide qui fixent le poignet et les doigts sai
et d, Mains d'un aide qui fixent le poignet et les doigts sains de la main du malade. e, Main gauche du chirurgien qui mai
qui fixent le poignet et les doigts sains de la main du malade. e, Main gauche du chirurgien qui maintient le doigt malad
ever la section. E , Amputation de M. Lisfranc, à deux lambeaux. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le doigt malad
iers doigts dans les articulations métacarpo-phalangiennes. g et h, Mains d'un aide qui fixent celle du malade. i, Main g
angiennes. g et h, Mains d'un aide qui fixent celle du malade. i, Main gauche du chirurgien qui rassemble et contient le
ation circulaire des quatre derniers doigts, l'opération terminée. La main malade, soutenue parcelle d'un aide (k), présente
RE 5. Amputation dans la continuité du troisième os métacarpien. La main du malade est maintenue par celle d'un aide (1),
hairs et à les préserver de l'action de la scie. Le chirurgien, de sa main gauche (m), fixe le médius dans son articulation
arpo-phalangienne, tandis qu'une petite scie cultellaire, tenue de sa main droite, opère obliquement la section du troisième
embre droit.) Figure 1. Section des chairs sur la face palmaire. a, Main gauche d'un aide qui maintient la portion palmair
d'un aide qui maintient la portion palmaire de celle du malade. h, Main droite du même aide qui écarte le pouce du malade
e le pouce du malade pour le préserver de l'action du tranchant. c, Main gauche du chirurgien qui renferme et fixe les qua
n gauche du chirurgien qui renferme et fixe les quatre doigts de la main opérée. d, Couteau inter-osseux, tenu par la ma
re doigts de la main opérée. d, Couteau inter-osseux, tenu par la main droite du chirurgien, et qui opère la section d
inq bandelettes remontent les chairs coupées sur les deux bords de la main et dans les trois espaces inter-osseux, pour les
espaces inter-osseux, pour les préserver de l'action de la scie. e, Main d'un aide qui maintient la portion carpienne de l
la scie. e, Main d'un aide qui maintient la portion carpienne de la main , et fixe sur chaque face l'extrémité des bandel
in, et fixe sur chaque face l'extrémité des bandelettes. f, Autre main du même aide qui maintient et écarte le pouce.
f, Autre main du même aide qui maintient et écarte le pouce. g, Main gauche du chirurgien qui renferme et fixe les qua
n gauche du chirurgien qui renferme et fixe les quatre doigts de la main opérée. h, Scie cultellaire tenue de la main dr
quatre doigts de la main opérée. h, Scie cultellaire tenue de la main droite du chirurgien, et qui opère d'un seul co
spondantes de la seconde rangée du carpe et des os métatarsiens. i, Main d'un aide qui soutient le poignet du malade. j
arsiens. i, Main d'un aide qui soutient le poignet du malade. j , Main gauche du chirurgien qui maintient les doigts de
alade. j , Main gauche du chirurgien qui maintient les doigts de la main opérée. k , Couteau tenu de sa main droite, qui
qui maintient les doigts de la main opérée. k , Couteau tenu de sa main droite, qui opère la section du lambeau palmaire.
r N.H. Jacob. Imp de Lemercier, Benard et Cie. AMPUTATIONS SUR LA MAIN . ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE \ FIGURE 5,
irurgien achève la désarticulation du premier os métacarpien. a, b, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. c, D
b, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. c, Doigts de la main gauche du chirurgien qui fixent le pouce sur le
n qui fixent le pouce sur lequel on opère. d, Bistouri tenu de la main droite, et qui achève de couper les ligamens de
est celui où le bistouri entre en plein dans l'articulation. i, k, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. 1, M
lation. i, k, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. 1, Main gauche du chirurgien qui fixe le doigt sur lequel
rgien qui fixe le doigt sur lequel il opère. m, Bistouri tenu de la main droite, et qui entre dans l'articulation par son
chi l'articulation, est employé à tailler le lambeau externe. e, f, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. g, M
xterne. e, f, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. g, Main gauche du chirurgien qui fixe celle du malade.
uche du chirurgien qui fixe celle du malade. h, Bistouri tenu de la main droite, et qui achève la section du lambeau.
résentée au moment où l'on achève la désarticulation de l'os. n, o, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. p, D
un aide qui contiennent celle du malade. p, Doigt opéré tenu par la main gauche du chirurgien. q, Bistouri tenu par sa m
péré tenu par la main gauche du chirurgien. q, Bistouri tenu par sa main droite, et qui achève la section des ligamens, ap
articulation et achève la section des ligamens du côté palmaire. a, Main gauche d'un aide qui soutient le moignon. b, Ma
té palmaire. a, Main gauche d'un aide qui soutient le moignon. b, Main gauche du chirurgien qui soutient la main du mala
i soutient le moignon. b, Main gauche du chirurgien qui soutient la main du malade. c, Main droite du chirurgien qui opè
. b, Main gauche du chirurgien qui soutient la main du malade. c, Main droite du chirurgien qui opère avec le couteau.
la surface du moignon après la section terminée. Le chirurgien, de sa main droite (d), tient avec une pince l'artère radiale
un aide fait la ligature avec le pouce et l'indicateur (e,f) des deux mains ; la main (g) d'un autre aide soutient le moignon.
it la ligature avec le pouce et l'indicateur (e,f) des deux mains; la main (g) d'un autre aide soutient le moignon. FIGURE
palmaire. (Procédé de M. Lisfranc.) L'avant-bras étant soutenu par la main d'un aide (h), la main gauche ( i ) du chirurgien
. Lisfranc.) L'avant-bras étant soutenu par la main d'un aide (h), la main gauche ( i ) du chirurgien tient celle du malade
ulation et coupé les tendons fléchisseurs, le couteau (k), tenu de la main droite du chirurgien, achève la section du lambea
ée au moment où l'on taille le lambeau dorsal en demi-pronation. 1, Main d'un aide qui soutient l'avant-bras. m, Main gauc
en demi-pronation. 1, Main d'un aide qui soutient l'avant-bras. m, Main gauche du chirurgien qui contient celle du malade
he du chirurgien qui contient celle du malade, n , Couteau tenu de la main droite du chirurgien, qui achève la section du la
n ; le chirurgien étant occupé à disséquer la peau circulairement, la main gauche (a) soulève le lambeau, tandis que la main
circulairement, la main gauche (a) soulève le lambeau, tandis que la main droite fait la dissection dans le tissu cellulair
le chirurgien vient de faire la ligature des artères principales, c , Main d'un aide qui supporte le moignon, d, Les trois f
a figure représente la surface du moignon, l'opération terminée. f, Main d'un aide qui soutient le moignon. g , Lambeau
tête de l'olécrâne pour achever la section du tendon du triceps. i, Main droite d'un aide qui comprime l'artère numérale,
riceps. i, Main droite d'un aide qui comprime l'artère numérale, k, Main gauche du chirurgien qui maintient l'avant-bras.
s du cubitus et du radius. in, Couteau à deux tranchans tenu par la main droite du chirurgien et qui achève la section.
scié, au lieu de couper au-dessus le tendon du triceps brachial. a, Main d'un aide qui opère la compression de l'artère br
, Main d'un aide qui opère la compression de l'artère brachiale. b, Main gauche du chirurgien qui maintient l'avant-bras.
t l'avant-bras. c, Scie cultellaire à armature dorsale, tenue de la main droite du chirurgien, et qui opère la section d
(Partie moyenne du bras gauche.) Figure 2. Section des chairs. d, Main d'un aide qui fait la compression de l'artère bra
d'un aide qui fait la compression de l'artère brachiale. e , Autre main du même aide qui soutient le fragment supérieur d
u même aide qui soutient le fragment supérieur du membre malade. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le fragment in
La rétraction circu- laire des chairs superficielles, opérée par la main de l'aide, empêche de juger de la forjne conique
la forjne conique en creux du moignon. i, Couteau droit tenu par la main droite du chirurgien, qui achève la section des
e conique de la cavité du moignon, dont l'humérus forme le sommet, k, Main d'un aide qui soutient le membre et fronce les ch
( Procédé de Klein. ) Figure 1. Section du lambeau antérieur. a, Main d'un aide qui fait la compression de l'artère hum
a, Main d'un aide qui fait la compression de l'artère humérale. b, Main gauche du chirurgien qui soulève les chairs de la
ter la taille du lambeau. c, Couteau à double tranchant, tenu de la main droite du chirur- gien , occupé à tailler le la
Figure 2. Section du lambeau postérieur de la même opération. d, Main gauche d'un aide comprimant l'artère humérale.
. d, Main gauche d'un aide comprimant l'artère humérale. e, Autre main du même aide qui maintient soulevé le lambeau a
main du même aide qui maintient soulevé le lambeau antérieur. f, Main gauche du chirurgien qui fixe l'avant-bras. g,
formé le lambeau antérieur, k, Couteau à double tranchant, tenu de la main droite du chirurgien, au moment où on incline son
chairs en bas et en dedans, l'opérateur est occupé à scier l'os. 1, Main gauche du chirurgien qui maintient le fragment in
qui maintient le fragment inférieur du bras. m, Pelote tenue par la main d'un aide qui opère la compression de l'artère
ompression de l'artère sous-clavière sur la première côte, n, Autre main du même aide qui maintient le lambeau supérieur
ction horizontale des chairs en bas et en dedans, p, Scie tenue de la main droite du chirurgien, et qui opère la section d
lisse en piquant le couteau sous la voûte acromio-coracoïdienne. a, Main d'un aide qui opère la compression de l'artère so
compression de l'artère sous-cla- vière sur la première côte. b, Main gauche du chirurgien qui soulève le deltoïde pour
oulève le deltoïde pour facili- ter l'introduction du couteau. c, Main droite armée du couteau déjà introduit, et dont l
et est sur le point de terminer la section du lambeau interne. d , Main d'un aide qui maintient le lambeau externe relevé
, Main d'un aide qui maintient le lambeau externe relevé. e , Autre main du môme aide, occupée à comprimer les vaisseaux e
e médius en dehors, pendant que le chirurgien achève la section. f, Main gauche du chirurgien qui contient et dirige le br
, Main gauche du chirurgien qui contient et dirige le bras opéré g, Main droite armée du couteau, et qui achève la section
section des chairs. Le chirurgien est placé en avant du membre. a , Main droite d'un aide qui comprime avec une pelote l'a
ime avec une pelote l'artère sous-clavière sur la première côte. b, Main de l'aide de face de l'opérateur, qui soulève et
ulève et rétracte les parties molles sur le trajet du couteau. c, Main gauche du chirurgien qui maintient et gouverne le
t et gouverne le bras sur lequel il opère. d , Couteau tenu de sa main droite, terminant la section des chairs. FIGURE
ssion de l'artère contenue par un aide , comme dans la figure 1. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le membre comm
auche du chirurgien qui maintient le membre comme ci-dessus. g , Sa main droite armée du couteau, et occupée à achever la
ngulaire entre l'apophyse coracoïde, l'acromion et la clavicule. a. Main d'un aide qui comprime avec le médius l'artère so
d'un mode de compression différent de ceux représentés ailleurs. b. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens d
Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du bras. c. Main droite armée du couteau qui vient de terminer la
hirurgien a commencé a détacher le lambeau interne et antérieur. d. Main d'un aide occupée à comprimer. e. Main gauche d
u interne et antérieur. d. Main d'un aide occupée à comprimer. e. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens d
Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du bras. f. Main droite armée du couteau , qui opère la section du
c et en d, figures 1 et 2. Étendue des deux incisions latérales. e. Main d'un aide qui comprime de dehors en dedans et de
x axillaires pinces entre le pouce et les trois premiers doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouverne le bras. g. T
hirurgien qui gouverne le bras. g. Tête humérale désarticulée. h. Main droite du chirurgien armée du couteau, qui achève
e et à la section des chairs, comme dans l'opération précédente. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l'artère sou
d'un aide qui comprime avec le pouce l'artère sous- clavière. b. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens d
ain gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du membre. c. Main droite armée du bistouri convexe , et qui opère l
ein dans la rangée des articulations pour achever la section. a, b, Mains d'un aide qui contiennent la jambe et l'extrémité
t la jambe et l'extrémité tarsienne du pied sur lequel on opère. c, Main gauche du chirurgien qui rassemble et maintient l
articulations et la tension des parties, la manœuvre du couteau. d, Main droite du chirurgien armée du couteau qui opère l
en suivant Je sillon digital plantaire de chacun des orteils. e, f, Mains d'un aide qui contiennent la jambe et l'extrémité
t la jambe et l'extrémité tarsienne du pied sur lequel on opère. g, Main gauche du chirurgien qui écarte les orteils pour
lantaire formé par le coussinet cutané adipeux sous-articulaire, i, Main droite du chirurgien armée du couteau, et qui ach
pêché de faire partie du lambeau plantaire taillé par le eoueau. a, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la j
ain d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la jambe. b, Autre main du même aide qui contient l'extrémité tar- sien
eau plantaire pour faciliter la section des muscles interosseux. d, Main gauche du chirurgien qui tient l'extrémité digita
auche du chirurgien qui tient l'extrémité digitale du pied. e, Sa main droite occupée à pratiquer avec le bistouri ( f)
ure de la tête du second métatarsien avec les trois cunéiformes. m, Mains d'un aide qui fixent l'extrémité inférieure de la
, Mains d'un aide qui fixent l'extrémité inférieure de la jambe. n, Main gauche du chirurgien qui embrasse l'extrémité lib
regard des extrémités du plan articulaire. r, t, Couteau tenu de la main droite du chirurgien, et dont la pointe plonge en
celui de l'opération de Chopart figuré dans la planche suivante. u, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la j
u, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la jambe. v, Main gauche du chirurgien qui saisit l'extrémité du pi
renverse en bas pour faciliter la section du lambeau plantaire. x, Main droite du chirurgien armée du couteau qui commenc
de et le cuboïde, et procéder à la section du lambeau plantaire. a, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la j
a, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la jambe. b, Main gauche du chirurgien qui embrasse le pied par sa
sion courbe dorsale. e, Petit lambeau dorsal rétracté en haut. f, Main droite du chirurgien armée du couteau droit, qui
n dans l'articulation. Figure 2. Section du lambeau plantaire. g, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la j
g, Main d'un aide qui fixe l'extrémité inférieure de la jambe. h, Main gauche du chirurgien qui incline en bas l'extrémi
opération est celui où l'on pratique la section oblique de l'os. n, Main gauche du chirurgien qui maintient le pouce sur l
e pouce sur lequel on opère. o, Petite scie cultellaire tenue de la main droite qui opère la section de l'os. FIGURE 4.
celui où le couteau inter-osseux pratique la section des chairs. c, Main d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de
ain d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de la jambe. d, Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité supérie
xe l'extrémité supérieure de la jambe au-dessus de la section. e, Main gauche du chirurgien armée du couteau qui opère l
ntérieur du tibia a été abattu par une première section oblique. f, Main d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de
ain d'un aide qui contient l'extrémité inférieure de la jambe. g, Main gauche du chirurgien qui fixe la partie supérieur
ce de section des chairs du fragment inférieur. k, Scie tenue de la main gauche du chirurgien , et qui achève la section d
tion du tibia. FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON APRÈS L'OPÉRATION. 1, Main d'un aide qui supporte le moignon dont il rassemb
rpendiculairement, pour pratiquer la section du lambeau interne. d, Main gauche du chirurgien dont le pouce et l'indicateu
n dont le pouce et l'indicateur sou- lèvent le lambeau cutané. e, Main droite armée du couteau à deux tranchans , qu'ell
res tibiale antérieure (i), tibiale postérieure et péronière. m, n, Mains d'un aide qui supportent le moignon. Figure 3.
re de la jambe. — Membre droit.) FIGURE 4. Section du lambeau. o, Main gauche du chirurgien qui contient l'extrémité inf
du chirurgien qui contient l'extrémité inférieu re de la jambe, p, Main d'un aide qui fixe le pied. q, Couteau à double
'un aide qui fixe le pied. q, Couteau à double tranchant tenu de la main droite du chirurgien , et qui opère la section du
beau. Figure 5. Surface de la plaie de l'opération précédente. r, Main d'un aide qui supporte le moignon. s, Lambeau p
les ligamens latéraux, et pénètre en plein dans l'articulation. a. Main d'un aide qui comprime l'artère fémorale sur le p
e fémorale sur le pubis à l'arcade crurale. Un autre aide, dont les mains ne sont pas figurées, fixe la cuisse du malade.
, dont les mains ne sont pas figurées, fixe la cuisse du malade. b. Main gauche du chirurgien qui fixe l'extrémité supérie
che du chirurgien qui fixe l'extrémité supérieure de la jambe. c. Main droite du chirurgien armée du couteau dont la lam
ieure du tibia et du péroné, pour tailler le lambeau postérieur. a. Main d'un aide qui comprime l'artère fémorale sur le p
a. Main d'un aide qui comprime l'artère fémorale sur le pubis. b. Main gauche du chirurgien qui attire l'extrémité supér
vant et en bas, pour faciliter en arrière la section du lambeau. c. Main droite du chirurgien armée du couteau , occupée à
ibiale. f. Lambeau postérieur. FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON. g. Main gauche du chirurgien qui rassemble les chairs du
in gauche du chirurgien qui rassemble les chairs du lam- beau. h. Main droite qui saisit avec une pince l'extrémité coup
t où le chirurgien achève la section des chairs autour du fémur. d. Main d'un aide qui comprime l'artère fémorale sur le p
ans cette figure, est supposée exercée par une pelotte à manche. e. Main d'un aide qui supporte la cuisse en dessous. f.
à manche. e. Main d'un aide qui supporte la cuisse en dessous. f. Main d'un autre aide qui supporte l'extrémité inférieu
ité inférieure de la cuisse, tandis qu'il tient la jambe de l'autre main . g. Main gauche du chirurgien, qui, avec celle
ure de la cuisse, tandis qu'il tient la jambe de l'autre main. g. Main gauche du chirurgien, qui, avec celle (e) d'un ai
gauche, relève le lambeau cutané et refoule les chairs en haut. h. Main droite du chirurgien, armée du couteau, qui achèv
résente un cône en creux , dont celle du fémur forme le sommet, i, k. Mains d'un aide qui supportent le moignon et refoulent
he. ) On a figuré l'opération à son début, le membre contenu par la main gauche du chirurgien, dont la main droite opère,
on début, le membre contenu par la main gauche du chirurgien, dont la main droite opère, à plein tranchant du couteau, la ta
nt coupé, le chirurgien est occupé à tailler le lambeau interne. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l'artère fém
vec le pouce l'artère fémorale, à sa naissance , sur le pubis. b. Main gauche du chirurgien qui embrasse le membre au-de
mbrasse le membre au-dessus de l'opération. Un autre aide, dont les mains ne sont pas représentées , doit le maintenir immo
ne sont pas représentées , doit le maintenir immobile plus haut. c. Main droite du chirurgien armée du couteau , au moment
igure 2. SURFACE DU MOIGNON, L'OPÉRATION TERMINÉE. e, d. Les deux mains d'un aide qui supporte !e moignon, et le présente
ne portion de sa capsule et le plan de section du grand fessier. c. Main gauche d'un aide de face qui comprime dans une an
l'indicateur et le médius en dedans , appliqués sur les chairs. d. Main gauche du chirurgien qui gouverne l'extrémité sup
ure de la cuisse , la jambe au-delà étant supportée par un aide. e. Main droite du chirurgien, armée du couteau, qui achèv
re (1 ), arrive sur la face interne, où il est représenté tenu par la main droite du chirurgien (m), n'ayant qu'à suivre la
e, est inclinée en dedans et en bas pour achever de le détacher. d. Main droite d'un aide qui comprime, par une double pre
ble pression opposée , les vaisseaux fémoraux dans les chairs. e. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse et lu
gouverne la cuisse et lui im- prime les mouvemens convenables. f. Main droite du chirurgien armée du couteau, g. Cavité
de la cavité coty- loïde dont on aperçoit le segment interne. d. Main droite d'un aide qui comprime encore l'artère fém
les troncs principaux n'étant liés qu'à l'extrémité du lambeau. e. Main gauche du même aide qui maintient le lambeau supé
é pratiquée immédiatement après la section du lambeau antérieur. g. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse, la j
verne la cuisse, la jambe au-delà étant supportée par un aide. h. Main droite du chirurgien, armée du couteau, occupée à
détaché le lambeau interne. Dans cette manœuvre, un aide a glissé la main derrière l'instrument pour saisir, dans le lambea
perficielle et profonde, liées après la section du lambeau. f, g. Mains d'un aide qui maintiennent le lambeau interne rel
, g. Mains d'un aide qui maintiennent le lambeau interne relevé. h. Main gauche du chirurgien qui gouverne la cuisse amput
u chirurgien qui gouverne la cuisse amputée. i. Couteau tenu par la main droite du chirurgien, et dont la pointe pénètre
rne (c). Au moment où en est l'opération , un aide maintient des deux mains (d, e) les lambeaux relevés; les mouve-mens du me
rocéder ultérieurement à la désarticulation, m. Lambeau cutané, n, o. Mains d'un aide qui contiennent le lambeau précédent, p
q. Plan de section des chairs sur la cuisse. r. Couteau tenu de la main droite du chirurgien, et qui achève d'isoler l'os
4 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
bituelle. Ba... ressentit d'abord des phénomènes douloureux dans la main droite. C'étaient d'abord des sensations de froid
s, toujours localisés au petit doigt et à l'annulaire. Bien- tôt la main devint de plus en plus faible, puis l'amaigrissem
eux persistaient. Au bout de sept à huit mois, ce fut le tour de la main gauche : de ce côté également se mon- trèrent d
'ap- parence tout à fait spéciale de déformations portant sur les mains . A droite, la main vue par sa face palmaire, pré-
à fait spéciale de déformations portant sur les mains. A droite, la main vue par sa face palmaire, pré- sente un aplatis
ent extrêmement prononcé de l'émi- nence hypothénar; le creux de la main est très exagéré et les lendons y font saillie.
étendre complètement. La phalange est en extension sur le dos de la main , la phalangine et la phalangette sont en flexio
la phalangine et la phalangette sont en flexion sur la paume de la main . L'an- nulaire est déformé de la môme façon, ma
marquée sur le memu5 CL sur l'index. Sur la face dorsale de la même main on remarque l'atrophie con- sidérahle, et môme
la déformation des doigts est moins bien visible qu'en regardant la main par la face palmaire. Sur la main gauche on con
s bien visible qu'en regardant la main par la face palmaire. Sur la main gauche on constate des déformations tout à fait s
du cubi- tal ne fait pas saillie dans les efforts de flexion; à la main , les mouvements de l'annulaire et du petit doig
ne sont pas percus dans le tiers interne de la face palmaire de la main et de l'avant-bras : dans les mêmes limites la se
vail, il remarqua que les mouvements des deux derniers doigts de sa main droite étaient difficiles. Cette gêne progressa l
déformant. L'attention est surtout attirée par les déformations des mains . La main droite vue par sa face dorsale présent
L'attention est surtout attirée par les déformations des mains. La main droite vue par sa face dorsale présente une sai
e palmaire, elle offre une exagération consi- dérabledu creux de la main avec la saillie des tendons en relief. L'émincnco
el de l'index. Le pouce seul ne participe pas à la déformation. La main gauche ne parait pas déformée vue par sa face d
face palmaire, elle présente une excavation marquée du creux de la main . L'éminence hypothénar est très atrophiée, l'ém
int de picotements presque continus dans la partie interne des deux mains . La sensibilité au contact et à la piqûre est a
la face interne des avant-bras et dans les deux derniers doigts des mains ; sur la main elle-même les limites de l'anesthési
e des avant-bras et dans les deux derniers doigts des mains; sur la main elle-même les limites de l'anesthésie sont d'à pe
quatre ans par de l'affaiblis- sement et de l'amaigrissement de la main droite, puis la main gauche a été prise peu de
affaiblis- sement et de l'amaigrissement de la main droite, puis la main gauche a été prise peu de temps après, sans l'e
aperçue qu'elle ne sentait pas au niveau de la partie interne de la main droite, s'étant faite àceniveau une brûlure dont
e motif réclamer des soins. , État actuel (mars 1887). - Les deux mains vues par leur face dorsale ont le type de la ma
887). - Les deux mains vues par leur face dorsale ont le type de la main de singe,' vues par leur face palmaire les paumes
, à la piqûre, il la température, est abolie sur la moitié des deux mains , et le tiers interne des avant-bras, ainsi que su
lité va en s'atténuant. Les réflexes tendineux sont conservés. A la main droite la peau pré- sente un état lisse au peti
tat lisse au petit doigt. Il y a des sueurs exagérées dans les deux mains . L'examen électrique fait par M. Vigouroux mont
l y a un an par de l'a- maigrissement et de l'affaiblissement de la main droite, la main gauche s'est prise peu de temps
de l'a- maigrissement et de l'affaiblissement de la main droite, la main gauche s'est prise peu de temps après. En même
ade ressentait des dou- leurs comparables à des élancements dans la main . Étal actuel. - La main droite présente des déf
leurs comparables à des élancements dans la main. Étal actuel. - La main droite présente des déformations considérables.
espaces interosseux. A la face palmaire la concavité du creux de la main est très exagérée, les tendons fléchisseurs y fon
x derniers doigts ont la phalangine et la phalangette fléchie. A la main gauche il existe des déformations semblables mais
isièmes ne sont plus possibles à l'auriculaire et à l'annulaire de la main droite, et sont gênés à la main gauche. Le pouc
'auriculaire et à l'annulaire de la main droite, et sont gênés à la main gauche. Le pouce s'oppose des deux côtés mais e
axe. La sensibilité au tact est abolie sur le bord interne des deux mains , mais il n'existe pas d'autres troubles. Les
ur les interosseux, et les muscles de l'éminence hypothénar. A la main gauche on observe une cicatrice au niveau du prem
reste, est assez semblable au cas précédent : c'est de même par la main droite que la maladie a débuté, elle a gagné ensu
par la main droite que la maladie a débuté, elle a gagné ensuite la main gauche, occasionnant symétriquement des trouble
staller insi- dieusement, sans cause apparente, et occuper aussi la main droite en premier lieu. Les lésions sont moins
s aux deux avant-bras qui s'étendaientle long du cubitus jusqu'à la main . Les douleurs étaient plus prononcées 1. Deutsc
radial, étaient faciles. Tous les espaces interosseux, surtout de la main droite, étaient profondément déprimés; des deux
s fléchisseurs se voyaient très distinc- tement dans la paume de la main . Les bouts des doigts avaient une apparence pol
s à la fermeture du courant. La sensibilité de la peau du dos de la main était altérée au niveau des trois derniers espa
général satisfaisant, par des troubles de la sensi- bilité dans la main droite. Les malades se plaignent de sensations'
dissement dans le petit doigt, l'annulaire et le côté cubital de la main . Le plus souvent les phénomènes de cet ordre sont
e muscles, et c'est en général à cette période de la maladie que la main UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. g
eut pas fléchir les premières qui restent dans l'extension. Puis la main faiblit et maigrit, les muscles de l'éminence h
est remplacée par un méplat; l'éminence thénar s'aplatit. Enfin la main prend la forme dégriffé, la situation vicieuse de
ngulièrement gênées, et le malade, tout en se servant encore de ses mains , peut rarement se livrer à ses occupations habi-
lus ou moins profonds. L'anesthésie occupe à la face palmaire de la main le petit doigtet la moitié de l'annulaire, à la
actés dans la paume et ne peuvent plus être fléchis, le creux de la main est extrêmement accusé, les saillies tendineuse
arcot. Elle demande nos soins pour divers troubles survenus dans sa main gauche. Il ya six ans, à la suite d'un panaris,
te de l'articu- lation pUalanino-ptalâniniennc de l'annulaire de la main gauche. Elle entra à cette époque à la maison d
temps après cette opération qu'apparurent les divers troubles de la main . ; Insensiblement, et sans douleurs marquées, l
roubles de la main. ; Insensiblement, et sans douleurs marquées, la main devint de plus en plus faible, surtout les deux
générale, ni sur les autres membres. État actuel(7 mars 1887). - La main vue par sa face dorsale présente une v saillie
rtout prononcée sur les deux derniers. Vue par sa face palmaire, la main offre une excavation exagérée du creux de la ma
face palmaire, la main offre une excavation exagérée du creux de la main , une saillie prononcée des têtes des métacar- p
ment des doigts. Les deux derniers doigts, le tiers interne de la main , et le bord interne de l'avant-bras dans soulie
nibles de fourmillement et d'engourdis- sement du petit doigt de la main gauche. Les douleurs gagnent bientôt l'an- nula
e, puis de la faiblesse et de l'amaigrissement apparaissent dans la main et s'accusent insensiblement jusqu'à produire les
(2 décembre 1887). L'éminence hypothénar et les inter- osseux de la main gauche sont très atrophiés. Les deux derniers doi
la main gauche sont très atrophiés. Les deux derniers doigts de la main sont rétractés en flexion, el la rétraction est p
nait d'avoir perdu depuis six mois la force et la pré- cision de sa main droite et en était gêné pour son travail. L'exame
enti de semblable dans l'autre bras. Etat actuel, déformation. - La main droite vue par sa face palmaire pré- sente une
étrique est extrêmement diminuée, l'exten- sion et la flexion de la main sont possibles; la malade ne peut pas rappro- c
t pas rappro- cher ses doigts les uns des autres; l'abduction de la main en pronation posée à plat est presque impossibl
rnu des sterno-mastoïdiens eux-mêmes, parfaitement appréciable à la main , et occasionné par l'état de contracture dans leq
à neuf mois.- Contracture en voie de diminution. - Déformation des mains . Troubles trophiques ( ? ) de la main droite.
iminution. - Déformation des mains. Troubles trophiques ( ? ) de la main droite. Le nommé D..., Frédéric, âgé de cinqu
seraient contractures, ceux-ci en extension, ceux-là en flexion. Les mains reposaient sur la partie antérieure et supérieu
ins reposaient sur la partie antérieure et supérieure du thorax, la main droite était complètement fermée; les doigts de
thorax, la main droite était complètement fermée; les doigts de la main gauche étaient à demi fléchis. Celte attitude n
aine apparaît, sans cause appréciable, un oedème considérable de la main droite, avec coloration violacée de la peau. Peu
on violacée de la peau. Peu après se montra il l'annulaire de cette main la lésion qu'on y constate aujourd'hui, et qui
considérée, à son début, comme un trouble trophique. L'oedème de la main a disparu depuis six semaines. Du côté du cou,
tendre fortement. La résistance perçue est un peu élastique. Les mains présentent les déformations suivantes. A la main
eu élastique. Les mains présentent les déformations suivantes. A la main gauche : les quatre derniers doigts, étendus, s
pas avant l'accident, et ce qu'on ne trouve pas au pouce de l'autre main . A la main droite. mêmes phénomènes, mais moins
'accident, et ce qu'on ne trouve pas au pouce de l'autre main. A la main droite. mêmes phénomènes, mais moins accentués,
es phénomènes, mais moins accentués, surtout pour l'index. Aux deux mains , D... ne peut écarter les doigts que dans une m
iblie dans tous les membres. Le malade porte assez difficilement la main droite sur la tète, il y porte très difficilement
la tète, il y porte très difficilement et avec quelques saccades la main gauche. Ces mouvements provoquent une certaine
ous ce chef (bien qu'avec certaines réserves), outre l'oedème de la main droite ;24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALY1'I.
Salp., t. I, p. 170, 1888). Flic. 5. - Courbe dynamographique de la main droite l'élat normal (le tracé se lit de droite à
DES FORCES. 3 ! ) réaction chargé de poids que l'on fait tenir à la main , le membre supérieur étant étendu. Les deux p
ntde droite à gauche, qui représente 0 , D ., D la pression de la main gauche indique une ascension à la fois plus bru
s plus brusque et plus.élevée = 52 kil., tandis que la courbe de la main droite (fig. 6) est moins élevée et un-peu hési
ée et un-peu hésitante= 48 kil. La figure 7 montre la stabilité des mains du sujet, l'avant-bras en demi-flexion, aussi à
-flexion, aussi à l'état normal; la ligne supérieure fournie par la main droite la plus faible, est plus tremblée que l'
plus faible, est plus tremblée que l'inférieure qui correspond à la main gauche la plus forte. Les figures 8 et 9 reprod
'affaiblis- sement est plus marqué par la courbe moins élevée de la main droite, FIG. 6. - Courbe dynamographique de la
ns élevée de la main droite, FIG. 6. - Courbe dynamographique de la main gauche à l'état normal (le tracé se lit de droi
(le tracé se lit de droite à gauche). FIG. 7. -a. 1remb[emeul de la main droite à l'état normal; b. tremblement de la main
. 1remb[emeul de la main droite à l'état normal; b. tremblement de la main gauche. .10 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA 6.1L1
moins brusquement ascendante et tremblée = 16 kit. - La courbe delà main gauche = 28 kil., est plus brusque et plus élevée
ue et plus élevée. . La figure 10 reproduit le tremblement des deux mains une demi- heure après un autre accès; on voit q
i représente le tremblement z l'état normal. Les oscillations de la main droite, la plus faible, sont les plus étendues.
point de vue médico-légal. ' L Fin. 8. Courbe dynamogrnphiquc de la main droite une demi-heure après un accès. lIe Iracé
de droile : , g : l1lche). 1 Fig 9. - Courbe démographique de la main gauche une demi-heure après un accès (le trace
chée du paroxysme. Cette exagération Fic. 10 - a. tremblement de la main droite; b. tremblement de la main gauche; i c.
on Fic. 10 - a. tremblement de la main droite; b. tremblement de la main gauche; i c. courbe pneumographique une demi-he
déjà cilé un malade qui, sous ' l'influence d'un effort léger de la main droite, est pris de tremblement dans son côté g
uelle elles cessèrent. - Il y a environ sept ans, ses doigts et ses mains , deux ou trois ans plus tard ses pieds et la pa
ses ailes larges et épaisses, les paupières gonflées en sacs. - Les mains et les doigts étaient grossiers et carrés, l'épai
lladden. Cas d'hypertrophie des tissus sous-cutanés de la face, des mains et des pieds. - Communiqué à la Société clinique
ion. Elle affirme qu'il exista aussi à cette époque de l'oedème des mains , mais non de la face, ce fait n'est d'ailleurs pa
ne, bien qu'elle reconnaisse qu'elle avait des picotements dans les mains auparavant. Les règles cessèrent quelques mois
et distinctement plus larges et plus épaisses que normalement. Les mains étaient remarquablement larges, leur augmentation
-cutanés qui était particulière- ment évident au bord interne de la main . La peau était moite, il existait des plis sur
lès métacarpiens n'étaient pas élargis. La circonférence de chaque main faite à la région moyenne est de 9 pouces; autr
aisait usage de gants n° 7. Les pieds étaient plus affectés que les mains ; la circonférence il la partie moyenne est de 1
nt plus grands et plus épais que normalement. Circonférence de la main au niveau des articulations métacarpo-pha- Fia.
pha- Fia. tr., n, 18 (Ob.. XII). L'ACROMÉGALIE. 49 langiennes : main droite 9 pouces ? main gauche 9 pouces i/2. Le mé
(Ob.. XII). L'ACROMÉGALIE. 49 langiennes : main droite 9 pouces ? main gauche 9 pouces i/2. Le médius droit est long d
ls; en gros, on peut dire que l'augmentation de circonférence de la main est de 2 pouces i/2 ; i aucun affaiblissement d
ucun affaiblissement de la force musculaire, la malade se sert de ses mains aussi bien qu'auparavant. Circonférence du pi
°9, il arrive à chausser des caoutchoucs n° 10, 11 et enfin 12. Les mains augmentèrent aussi d'épais- seur de plus en plu
er coup d'oeil, on est surpris par la gros- seur extraordinaire des mains . Celles-ci pa- raissent absolument élargies et
nt aussi un peu épaissis, quoique a une lapon moins marquée que les mains ; en tout cas il semble exister un certain désacco
dont dispose le malade est en général assez faible. Pression de la main au dynamo- mètre gauche, 20 k. ; droite 23 k. L
arante-huit ans se montre l'augmentation de volume du visage et des mains , et presque en même temps aussi des pieds et du
as; le visage devint plus brun, la tète toujours plus grosse. Les mains et les pieds se montrèrent bleuis, froids, épais
ngles plus larges, mais moins longs que normalement; maladresse des mains . Depuis quatre ans, disparition des douleurs da
s surtout vers leur extrémité périphérique. De même pour ceux de la main et des doigts. Les parties molles sont, elles a
s doigts. Les parties molles sont, elles aussi, hypertrophiées; aux mains , c'est surtout le tissu sous-cutané, aux avant-
11° (au lieu de 30°-50° chiffre normal). ' Les petits muscles des mains exécutent tous les mouvements; quoiqu'un peu fa
oubles de la sensibilité surtout au contact sur les avant-bras, les mains , les dernières phalanges. ' . ' Suit une série
issait notablement améliorée, elle se- servait plus aisément de ses mains , et celles-ci étaient plus molles et sem- blaie
tion alors récente, et qui d'un coup de marotte l'a démasqué. De la main droite il magnétise la lune, ce qu'il s'était, pa
es.yeux un peu fixes. Elle fut en 1888 atteinte d'un phlegmon de la main , dont l'ouverture au bistouri ne causa pas,- para
récent de la il. 5 66 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. main gauche (9'J février 1888). » Elle fut envoyée à S
hée, semblant réfléchir profondément, pleurant par intervalles. Ses mains sont froides, violettes, un peu gonflées. Parfois
a trouvons les yeux couverts d'un bandeau qn'elle maintient avec sa main ; elle paraît terrifiée et nous avoue qu'elle a
dant qu'elle répond. Son état général reste d'ailleurs le même; ses mains sont froides et violettes; elle tient la tête p
let, Anlonia est violente; elle mord les infirmières et se mord les mains , change continuellement de place ou reste debout
22 août, elle se jette aux genoux de M. Faire t et lui embrasse les mains . " Le 23, on provoque les attitudes horizontale
ventre par terre, toute raide, les bras et les jambes étendus, une main étendue, l'autre fermée. En même temps elle bav
re précipitée aux genoux du chef de service et de lui embrasser les mains . Enfin il n'y a pas chez notre malade de verbigé-
pérature est encore plus sensible il la périphérie. Les extrémités, mains et pieds, sont froides, cyanosées, présentant des
périence. Le simulateur au contraire ne tarde pas à se fatiguer; sa main tremble, la- respiration devient irrégulière et l
Ant. E... par le tambour à réaction placé sur la face dorsale de la main droite, le bras étendu Iorizoutalement. - Chaque
de sont étendus horizontalement, un tambour à réaction placé sur la main droite. Le tracé, pris pendant10 minutes, nous do
al2. Aussi, quelques auteurs, reprenant de deuxième ou de troisième main l'article précité, se sont-ils cru obligés d'in
aissance et suivie d'un sommeil profond qui dura quatre heures. Les mains seraient restées raides pendant un jour ou deux
» D'aulres fois il cherche à saisir des objets imaginaires avec sa main droite, à enlever ses vêtements. Il lui est d'ail
Taille, '1 m. 60. -Poids : 58 kil. 30. -Pres- sion dynamométrique : main droite 35, 'main gauche 30. La tête ne présente
La clavicule droite a 195 millimètres la gauche seulement 185. La main droite a une longeur de 182 millimètres, la gauch
ées (les yeux clos) donne les résultats suivants : Réaction de la main droite : .' NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. X
face et des membres, et spécialement de la mâchoire inférieure, des mains et des pieds. La malade était issue d'une famil
proéminences naturelles étaient très exagérées et les petits os des mains et des pieds très augmentés de volume; aussi le
d'enfant, était cependant analogue à ceux qu'on portait alors. Ses mains gigantesques croisées au-dessus de la ceinture
mation plus exacte du temps n'a pas été possible), la grandeur des mains et des pieds fut remarquée à propos dit choix d
remarquèrent une augmenta- lion de la circonférence des pieds, des mains et du visage, augmentation qui fut d'abord mise
i a trait aux premiers temps de son mariage. Alors « la chair » aux mains , aux pieds, à la face, aurait épaissi de plus en
ravaux manuels ne tardèrent pas à devenir impossibles parce que les mains massives ne pou- vaient plus tenir ni diriger l
fférents segments des membres. Au contraire, les parties molles des mains et des pieds ont éprouvé un développement massi
on. La peau est partout molle et élastique, non oedémateuse, et aux mains et aux pieds sillonnée en tous sens de plis mas
aiu et l'avant-bras sont d'une longueur disproportionnée, et que la main est en outre démesurément large et massive. La
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. vient évidemment de ce que celui-ci tenait en main une épée magné- tisée : « Magnétisez donc aussi
R MESMER. 105 hystérogènes. Ce n'est donc pas sans intention que sa main se porte en cet endroit, car c'est là qu'il doi
ut le côté droit du corps, sauf une diminution très marquée pour la main droite : cette zone d'anesthésie et d'analgésie
te : cette zone d'anesthésie et d'analgésie, qui occupe toute celte main , remonte en manchon jusqu'à quatre travers de d
que l'application de la bande d'Esmarch sur le poignet contracture la main en flexion; de même, si l'on étend brusquement
; le segment supérieur de la moitié droite , est bypoesthésique, la main droite est anesthésique, le segment inférieur g
dans le bras du côté droit et un peu aussi dans l'avant-bras et la main du même côté. Le lendemain (28 décembre), les d
contre le tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras, la main fléchie sur l'avant-bras et les doigts forte- m
l'avant-bras et les doigts forte- ment fléchis dans la paume de la main . La malade étant hypnotisée, on peut lui enleve
l'hémiralolle crânienne, la périphérie de l'oeil gauche et toute la main gauche jusqu'à quatre travcrs de doigt au-dessu
as en croix, les jambes légèrement écartées, le pouce serré dans la main fermée, pas de mouvement, ni écume, ni morsure de
raissent puissants; cependant la pres- sion d'un dynamomètre par la main droite ne fait avancer l'aiguille que jusqu'au
fait avancer l'aiguille que jusqu'au 39 de l'échelle et celle de la main gauche jusqu'au 32. La longueur du membre supér
ras nus. L'un boit une tasse de tisane, l'autre tient sa joue de la main gauche. Tous ont des airs plus ou moins piteux.
. Il a dû retirer pour cette opération ses gants, qu'il tient de la main gauche. Au pied du lit, un aide soulève un vase
que le témoigne le geste si bien observé que le patient) fait de la main droite. Près d'eux un aide tient un plat avec des
ur, qui porte sa trousse a sa ceinture, s'apprête, la lancette à la main , à pratiquer la saignée. Il s'y prend de la bon
u inquiet; - : . il lui abandonne son bras droit pendant que, de la main gauche, il tient lui-même le bassin destiné à r
errompre le cours du sang, et le gros bâton que l'opéré serre de la main droite a un double but; il sert de point d'appu
te chirurgie conseillent, en semblable occurence, de placer dans la main du bras qui doit être saigné un objet quelconqu
stement gonflé. Sa fille est en larmes à ses genoux et lui tient la main , tandis qu'une servante lui offre une cuil- ler
de est au lit, près d'elle le médecin est assis, tenant encore à la main les gants qu'il a retirés pour procéder, selon to
, dont les traits sont bien languissants et qui, par le geste de la main gauche placée sur sa poitrine, semble indiquer
guille d'un dynamomètre jusqu'au 60 de l'échelle par pression de la main droite et jusqu'au z0 par la main gauche. La la
0 de l'échelle par pression de la main droite et jusqu'au z0 par la main gauche. La langue est animée d'un léger tremble
de peu d'étendue, analogues'à celles du pityriasis. ' ' ' - Sur les mains , absence- complète d'écaillés, mais la. peau a. p
a malade s'exprime difficilement. La langue est tremblotante. Les mains sont prises d'un léger tremblement lorsque le bra
trois semaines la malade s'est aperçue qu'elle avait au niveau des mains des plaques brunâtres sur l'apparition desquelles
quement à l'union du tiers supérieur et du tiers moyen du dos de la main , au niveau d'une zone décolorée, manifestement
voient dans cette zone décolorée. La partie inférieure du dos de la main a gardé sa cou- leur normale très bistrée (la m
ne plaque décolorée répon- dant à la moitié supérieure du dos de la main , plaque parsemée de quelques îlots de couleur b
îlots de couleur brunâtre d'une nuance plus foncée que le reste de la main el des doigts qui sont normaux. Le front a ga
rer aucune parole ; il est à peu près complètement para- lysé de la main droite depuis l'attaque du 6 janvier 1888. État
sie faciale à droite. Les pupilles sont punctiformes et immobiles. La main gauche est tremblante et incapable de tenir de
u tronc, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les bras ; les mains fléchies sur les avant-bras reposent sur la ceint
r tenir une plume à écrire; les doigts inclinés vers la paume de la main sont déviés en masse vers le bord cubital. Les
d'extension persiste; . les membres supérieurs restent droits; les mains ne quittent guère le contact des cuisses et les
t-bras; les doigts et le pouce s'allongeaient continuellement et sa main prenait à chaque instant « l'attitude pour écri
avant-bras modérément fléchi est en pronation. La déformation de la main est typique. Le pouce et l'index allongés l'un co
s lentes, tandis que les autres doigts inclinés vers la paume de la main sont déviés en masse vers le bord cubital. Ce t
viés en masse vers le bord cubital. Ce tremblement n'existe qu'à la main gauche; 'il n'apparaît jamais au membre supérie
dite, l'attitude du membre supérieur gauche, la déformation de la main , le tremblement dont elle est animée, le faciès,
ue pour leur circonférence; voici les mesures du doigt médius de la main droite chez Ghirlenzoni : I .INATlIMIE Y.lTIf
qu'après sa mort par un écrit LE MASQUE DE PASCAL 199 tracé de sa main qui fut alors trouvé dans l'épaisseur de son pour
s ébauches quelquefois pourtant si achevées la faiblesse même de la main qui ne pouvait plus suffire à les tracer. Ce n'
e 7 février 1889. Front bas, resserré vers le haut; tremblement des mains . Ilémianesthésie gauche; rétrécissement du cham
supérieur était contracture en flexion, les doigts fléchis dans la main , la main sur l'avant- bras, l'avant-bras sur le
r était contracture en flexion, les doigts fléchis dans la main, la main sur l'avant- bras, l'avant-bras sur le bras et
e. Le malade, lorsqu'il ne perd pas connaissance, porte lui-môme la main à son pied gauche et cherche à se déchausser pour
yriade de petits trous.visibles à l'oeil nu... L'hypertrophie des mains et des pieds ne porte pas seulement sur les par
s parties molles, elle atteint aussi les os; nous avons fait sur la main et le pied conservés, une coupe longitudinale q
e conserver aucun doute à cet égard; la même coupe, répétée sur une main et sur un pied d'un homme de haute stature, nou
'ils présentent sont beaucoup plus indiquées qu'à l'état normal. La main et le pied avaient été plongés aussitôt l'autopsi
ndis qu'elle est ordinairement convexe et assez lisse. Les os des mains n'offrent de particulier que l'accroissement de l
vèrent dans les maximes de la piété la plus pure.. Cependant, cette main de miséricorde dont rien n'est digne que ce qui
en paralysie, elle. ne peut presque plus tirer aucun secours de sa main . Sa charitable maîtresse l'embrasse, la soulève
quelle tirant en avant sa jambe gauche de toutes ses forces avec sa main droite, elle faisait avancer son côté gauche par
e revient chez elle le soir à huit heures exténuée de fatigue. « Sa main droite dont elle avoitété obligée de se servir
utumés à deviner par signes ce qu'elle vouloit dire... Au reste, sa main et sa jambe gauche restèrent toujours dans'le m
ytique qui est le signe aussi bien que l'impression salutaire de la main de Dieu sur elle... elle recommence ses prières
rois centimètres, et chez un autre malade il y avait entre les deux mains une différence de cinq centimètres; 2° zl z'y a
étaient fixés en pronation forcée, les poings fermés, la paume des mains tournée en dehors. Il ne pouvait qu'incliner le
re-supérieur droit. Elle porte sur les muscles des trois segments : main , avant-bras, hras; mais c'est à la main qu'elle p
uscles des trois segments : main, avant-bras, hras; mais c'est à la main qu'elle prédomine et de beaucoup. A la main d
hras; mais c'est à la main qu'elle prédomine et de beaucoup. A la main droite, les éminences thénar et hypothénar ont di
eu moins atteints que ceux de l'éminence thénar. Il s'ensuit que la main est nettement aplalie : le 256 NOUVELLE ICONO
ItILRE. pouce est sur le même plan que les autres doigts : c'est la main de singe. Les interosseux, le premier et le sec
cond principalement, participent à l'atrophie. Le périmètre de la main pris à la base du pouce mesure : ÉTUDE DES TROU
sement bientôt buivi d'une forte secousse dans tous les membres. Sa main droite se crispa sur un manche de marteau qu'el
a main droite se crispa sur un manche de marteau qu'elle tenait, la main gauche restant ouverte. La secousse lui ayant f
ps, les avant-bras en flexion sur les bras, les doigts fléchis, les mains déviées vers leur bord cubital. Les jambes au con
encore. Pendant cette période de dix mois à dater de l'accident, la main droite et NOUVELLE ICONOGRAPHIE T It PL. XLI
Cliché A LONDE rNOTOTYPth BHHTHAUD un ATROPHIE MUSCULAIRE DE LA MAIN GAUCHE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE Llô : CROSNIBR ET
le bras droit, et cela dès le début, commencèrent à s'atrophier, la main droite se mettant en griffe, le bras droit s'at
bras droit s'atrophiant dans sa totalité. L'atrophie débuta par la main , prenant d'emblée tous les muscles, elle gagna le
lade a nettement remarqué qu'elle était précédée au bras comme à là main de. secousses fibrillaires...'. il Au bout de s
illaires...'. il Au bout de sept ou huit mois, tout était fini ; la main et le bras avaient re- pris leurs fonctions, l'
urs fonctions, l'atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main et le bras gauche commencèrent à être à leur, tou
à leur, tour envahis par l'atrophie. Aujourd'hui (octobre 1889) la main gauche présente l'aspect suivant (fig. 74, 75).
75. Les deux dernières phalanges. sont fléchies dans la paume de la main ; ¡ particulièrement celles de l'index et du méd
(pl. 1LI). La première phalange des quatre doigts est en extension ( main en griffe). , ? . , Les sillons des interosse
bras droit contracturé, les cinq doigts fléchis dans la paume de la main . Cette contracture est devenue définitive les jou
mpris le premier interrosseux. » Au mois de mai, apparition dans la main droite d'une aura débutant par l'extrémité des
ents. Il n'existe pas d'atrophie du membre infé- rieur gauche. La main droile est toujours contracturée, le pouce et l
e pouce et les quatre doigts étant en flexion dans la paume de la main ; le tliénartrès atrophié (fig. 76). L'avanl- br
mpagné la marche ascendante de l'atrophie partant des muscles de la main pour gagner le bras et l'avant-bras droit. Puis
d'atrophie. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscles de la main , l'exa- men électrique pratiqué par M. Vigoureu
s externes et les muscles, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains , les cuisses, les jambes; elle y cause tantôt une
ait des excès de boisson, il avait des pituites, du tremblement des mains , des cauchemars pendant la nuit. Depuis cinq ou
ept heures du matin), il s'est trouvé complètement para- lysé de la main droite. Il ne pouvait ni fléchir, ni étendre les
doigts, ni rele- ver le poignet, ni le mouvoir dans aucun sens. Sa main était complètement insensible, même au loucher;
oine, dans le service de M. Troisier (août 1887) où on électrisa sa main , qui resta insensible aux courants les plus forts
», disait l'élève qui l'électrisait. Il était insensible de toute la main jusqu'au quart inférieur de l'avant-bras. Au bo
. C'est environ trois mois après qu'il a commencé à se servir de la main ; il pouvait saisir un objet, couper sa viande ;
ouvait saisir un objet, couper sa viande ; mais il tremblait de cette main d'un tremblement lent, rythmé. Ce tremblement s
ur il l'hôpital on constata qu'il n'y avait pas de gonflement de la main , mais la coloration en était violette et la tem
al de 3 degrés. Il reprit son service se sentant très bien, mais la main droite n'était pas aussi forte que la gauche. D
il ouvrait une ser- rure, il était obligé de tou ner la clef à deux mains . Cet état a persisté jus- qu'en février 1888.
on sur une paillasse, il s'éveilla complètement paralysé encore de la main droite. La main était complètement insensible;
se, il s'éveilla complètement paralysé encore de la main droite. La main était complètement insensible; le contact n'était
t à bien s'observer est très affirmatif sur ce point. Cette fois la main était gonflée et violacée. Aucune sensation anorm
. Aucune sensation anormale, ni douleurs ni fourmillements dans la- main paralysée; donc paralysie absolue de la main et
ourmillements dans la- main paralysée; donc paralysie absolue de la main et des doigts, anesthésie complète, gonflement oe
e veille il l'usine Eiffel, mais il ne se servait pas du tout de la main . Paralysie, insensi- bilité, oedème, cyanose on
ES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE. 269 jours, il recouvra l'usage de sa main . Les deux premières fois, quand sa main était a
rs, il recouvra l'usage de sa main. Les deux premières fois, quand sa main était anesthésique dans tous ses modes, il ne s
en faisant un inventaire à l'usine, il s'est trouvé paralysé de la main droite pour la troisième fois. La paralysie était
t rien. Il se pinçait et ne sentait pas davantage. Dès le début, la main , était gonflée, cya- nosée, oedémateuse. Il e
Il n'est pas entré à l'hôpital, se contentant de se frictionner la main . Il est entré à la Salpêtrière le 21 mai 1889.
pas d'autres troubles fonctionnels à relever que la paralysie delà main droite. Description de la paralysie. Tous les m
main droite. Description de la paralysie. Tous les mouvements de la main et des doigts sont abolis. La main pend inerte.
lysie. Tous les mouvements de la main et des doigts sont abolis. La main pend inerte. Le malade ne peut ni étendre ni fl
r.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie absolue de la face dorsale de la main se termi- nant parun manchon circulaire' l'unio
supérieurs de l'avant-bras; analgésie incomplète de la paume do la main ut de la face palmaire des doigts.. ' ' ' The
ertie; > Le sens musculaire est aboli, poignet et doigts. - La main et les doigts sont gonflés, oedémateux; la colora
s dans les membres, apparaissant seulement la nuit. 21 juin. - La main est dégonflée, les doigts fonctionnent librement
LLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'l : TltII : RE. 23j'm('h. L'état de la main s'est amélioré au point de vne de la sensi- bil
ans les tempes. D,ms l'après-midi, pendant une partie de caries, la main droite qui était complètement désenflée s'cedém
iennent plus difficiles. Le soir du même jour, nausées. 25 juin. La main est exactement dans le même état de bouffissure e
gorge, de courte durée. 20 juin. Le malade en s'évcillanl trouve la main complètement dégon- flée, la peau cependant en
suivi de crampes dans les membres du même côté. Le gonflement de la main reparaît, et la paralysie également. Dyn. = 0. Ce
té plus de 5 minutes. 2 juillet. - L'amélioration dans l'état de la main s'est accentuée : Dyn. = 15 kilos. Tous les mou
ers inférieur de l'avant- bras. Les 8-9-10-11 août.. Mèmeélal, la main reste bouffie, cyanosée, paralysée à peu près c
OPHIQUES DANS L'il STEI'11-l. 'il Les 12-13-14 août. L'oedème de la main s'atténue, les mouvements rede- viennent plus l
côté qui a persisté d'ailleurs depuis celle époque. 17 août. - La main est complètement dégonflée, mais elle reste viola
kilos; le 23= 50 kilos ; c'est tout ce qu'il peut donner lorsque sa main est en pleine force. ' Le mardi 23, à sept heur
rcée, les doigsfortement fléchis, les poings fermés, la paume de la main tournée eu dehors. Les membres sont agités de pet
lade qui nous répond : « Je suis courbaturé, laissez-moi dormir. La main est complètement dégonflée, elle a toute sa for
t le doigt dans l'oeil, c'est un hystérique... Enfin ceci ou ça, ma main n'allait pas mieux... Après ça, j'ai élé voir le
attaque. - ...« Alors je suis resté quatre mois bien tranquille, ma main fonctionnait bien... Ah ouiche, v'là ma paralysie
entendant le coup de canon de l'Exposition, il tire sa montre de la main gauche et la laisse tomber. La main était engourd
sition, il tire sa montre de la main gauche et la laisse tomber. La main était engourdie, insensible, il y sentait des f
ctions à l'alcool camphré et l'envelop- pement avec l'ouate. 6 La main gauche est très parétir¡uc; elle est analgésique
n peu de mouvement. Examiné de nouveau le mardi, on constate que la main gauche qui est presque entièrement paralysée es
'à 2 ou 3 centimètres au- dessus 'de l'interligne radio-carpien. La main droile est également plus ÉTUDE DES [TROUBLES T
credi 25 septembre. - Le malade remue un peu mieux les doigts de la main gauche, mais la faiblesse y est toujours aussi gr
s aussi grande. L'analgésie est peut-être un peu moins complète. La main est moins enflée : l'oedème qui avait presque c
xistait pas hier. Jeudi 26. Etai moins satisfaisant. L'oedème de la main gauche a reparu. Vendredi 27.' - Les mouvemen
a reparu. Vendredi 27.' - Les mouvements reviennent dans les deux mains mais la'force est peu augmentée. Toutefois, les
dans les deux mains mais la'force est peu augmentée. Toutefois, les mains ne sont plus analgésiques comme les jours précé
normalement. Samedi 28. - Motilité stationnaire. La sensibilité des mains est revenue. La sensibité générale reste la mêm
mains est revenue. La sensibité générale reste la même. Lundi 30. Main droite un peu plus forte. Main gauche état statio
té générale reste la même. Lundi 30. Main droite un peu plus forte. Main gauche état stationnaire. Elles sont de nouveau
peu abondant, apparaissant comme un faux embonpoint au visage, aux mains et sur divers points des membres, particulièrem
on debout prolongée; il siégeait quelquefois au bras gauche et à la main . Les attaques le ramenaient plus considérable. La
l y eut un moment (Troisier) 3 degrés de différence en moins sur la main droite siège de l'oedèmc; le simple toucher per
que, étant donné l'atrophie des membres supérieurs débutant par les mains et l'exagé- : 11 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
as absolue et qu'il est obtus au niveau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une zone limitée en h
fit remarquer l'attitude vicieuse de ses épaules. Vers 30 ans, la main droite est envahie de la même façon que la main
es. Vers 30 ans, la main droite est envahie de la même façon que la main 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
hie très marquée des éminences thénar et hypothénar du côté gauche. Main en griffe. Atrophie moins marquée de l'avant-bras
ure scapulaire très diminués de volume, mais fonctionnant encore. Main droite de prédicateur, moins atrophiée que la gau
is, le toucher est plus obtus au niveau des parties insensibles des mains et des avant-bras et dans une zone limitée : en
e. - Membres inférieurs : hyperesthésiés. Sensibilité à la chaleur. Main et avant-bras gauche : thermo-anes- thésie à '1
et avant-bras gauche : thermo-anes- thésie à '100. el au-dessous. - Main et avant-bras droit : abolie il 90° et au- UN C
ans. Leurs extrémités supérieures sont un peu incurvées en avant. Main . - Sur aucun des os de la main les surfaces artic
ures sont un peu incurvées en avant. Main. - Sur aucun des os de la main les surfaces articulaires proprement t dites ne
57, 58, 70,71, 77, 78. Hystérique (atrophie musculaire - de 1, main ), 72, 73, 74, 75. 76; attaque - 8 ? 86, 87, 88,
5 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
tremblent. En outre il traîne la jambe droite. Le tremblement des mains est analogue il celui de la sclérose en plaques
st analogue il celui de la sclérose en plaques (fig. 1). Lorsque la main est au repos, rien d'anormal. Si on lui fait port
rien d'anormal. Si on lui fait porter un verre à la bouche, avec la main droite par exemple, sa main se met il trembler
it porter un verre à la bouche, avec la main droite par exemple, sa main se met il trembler et à être agitée d'oscillati
t par seconde sont rhythmiques. Elles troublent les fonctions de la main et surtout de la droite. Aussi le ma- lade ne s
hémiplégie que présente le malade est très nette. Au dynamomètre : main droite, 15; main gauche, 50. Les réflexes rotul
présente le malade est très nette. Au dynamomètre : main droite, 15; main gauche, 50. Les réflexes rotuliens sont inégaux
ste du coté droit. Le sens musculaire et articulaire est aboli à la main , à l'avant-bras, au bras, au pied, au genou; il e
juatre heures, il était sorti de chez lui. tenant son garçon par la main , pour aller acheter une salade chez le fruitier
ls en profite pour sortir dans la rue. Il se retourne le verre à la main pour voir ce qu'il était devenu et l'aperçoit, au
rrête, dès que le mouvement est exécuté. Si on fait aussi étendre les mains ou les jambes, le tremblement se manifeste. Lor
s secousses s'arrêtent instantanément. Les diverses fonctions de la main sont très gênées par ce tremblement; pour manger
que sa bouche atteigne l'aliment. Dans ces con- ditions, quoique sa main et sa tête tremblent, il arrive à boire et à mang
côté gauche. Cette hémiparésie est très manifeste. Au dynamomètre : main droite, 80 et plus; main gauche, 35. Les mouvemen
résie est très manifeste. Au dynamomètre : main droite, 80 et plus; main gauche, 35. Les mouvements actifs et passifs so
rise. Le lendemain il s'est retrouvé dans son lit, la figure et les mains meurtries au point qu'on a cru qu'il s'était batt
moteurs. - 1° llémiparôsie droite très manifeste. Au dynamomètre : main droite, 23 ; main gauche, 45. 2° Tremblement li
miparôsie droite très manifeste. Au dynamomètre : main droite, 23 ; main gauche, 45. 2° Tremblement limité au côté droit
et siège il gauche, sans raideur ni con- tracture. Au dynanomètre : main droite, 29; main gauche, 16. Le réflexe rotulie
e, sans raideur ni con- tracture. Au dynanomètre : main droite, 29; main gauche, 16. Le réflexe rotulien est très faible
un contact, ni le plan du lit, ni les objets qu'on lui met dans les mains , sur la tète, etc. Pas d'attaques con- vulsives
ux genoux. Les membres supérieurs sont parésiés. Au dynamo- mètre : main droite, il; main gauche, G. Il y a aussi affaib
mbres supérieurs sont parésiés. Au dynamo- mètre : main droite, il; main gauche, G. Il y a aussi affaiblissement muscula
êmes affaiblis; elle plisse peu son front. Lorsqu'on fait lever les mains à la malade, on voit dans la main droite un tre
front. Lorsqu'on fait lever les mains à la malade, on voit dans la main droite un tremblement qui existe (mais moins ac
le continuellement. Ce tremblement s'exagère quand on fait lever la main à la malade et dans les mouvements voulus. Dans l
d'inten- sité variable qui ne se modifie pas quand on fait lever la main à la malade. 2 juin. On commence à électriser l
sseoir sur le bord du lit, les jambes pendantes, sans l'aide de ses mains ; de même elle remet ses jambes en place sans le
de faibles mouvements. Quand elle essaie de porter l'une ou l'autre main à son visage, surtout si elle tient un objet qu
ais sans vomissements le matin, sans pituites, sans tremblement des mains , sans rien, en un mot, qui se rattachât à l'alc
ure des quatre membres, avec flexion des doigts dans la paume de la main , secousses convulsives des muscles des membres
ourtant dans cette région, car une pression forte y est perçue. Les mains tremblent un peu quand le malade est ému, mais
cher. Si l'on cherche une comparaison pour ce léger tremblement des mains qui ne l'empêche nullement d'écrire, de porter au
ieurs. L'écriture était gênée, cependant une friction énergique des mains suffisait à la rendre normale. Affaiblissement de
sacrée et les membres inférieurs avec sensation d'insensibilité des mains . Amélioration. Quelque temps après, douleurs ar
rs. Si on ordonne un mouvement au malade, dès qu'il le commence, la main se met à trembler et les secousses cessent dès qu
mbre reprend la position de repos sur le thorax. Les mouvements des mains et des doigts sont lents et assez maladroits. I
malade quitte l'hôpital ne conservant qu'un léger tremble- ment des mains et de la langue. L'évolution seule juge la natu
La parole est lente, scandée, monotone. Tremblement généralisé des mains et devras, même au repos, exagéré parles mouvemen
ns laisser do traces. Deux ans plus tard apparut un tremblement des mains coïncidant avec l'affaiblissement des membres i
ept ans qui au plus léger mouvement voulu montre un tremblement des mains . Lorsque le malade veut faire un mouvement inte
noyer. Quelques jours plus tard, il avait commencé à trembler de la main droite et ce tremblement s'était accru depuis a
sans en répandre le contenu et il lui fallait boire et manger de la main gauche. De même la jambe droite était agitée d'
unesse, a joui d'une bonne santé jusqu'en 1888. A cette époque, ses mains devinrent faibles, inhabiles à manier le pincea
out travail à partir de ce moment. Il avait déjà remarqué que ses mains devenaient faibles. Les pouces étaient animés d
és d'un léger tremblement, et souvent le pinceau s'échappait de ses mains . L'amaigrissement alla ainsi en'progressant peu à
e segment de membre a conservé presque complè- tement sa forme. Aux mains la paume présente l'aplatissement de la main de
tement sa forme. Aux mains la paume présente l'aplatissement de la main de singe. Les éminences thénar sont plus affect
flexion au con- traire est à peu près impossible. La flexion de la main , la flexion des doigts, sont assez énergiques.
veau des membres supérieurs ni du cou; on le constate seulement aux mains et en particulier aux éminences thénars, que l'
he et droite tombèrent l'une après l'autre. Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de mal en pis,
nne ou, à l'aide de béquilles.' A cette'époque, il s'aperçut que la main gauche était plus' faible qu'auparavant; bientô
e était plus' faible qu'auparavant; bientôt il en fut de même de la main droite et du bras. Depuis un mois,- le malade n
s reviendrons plus loin. Les bras sont presque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses. Membre supé
ement sur les cuisses. Membre supérieur gauche. Dynamomètre = 0. La main ne serre pas du tout. La paume-forme un creux q
is. Première attaque d'oedème. En août 1888, L... a éprouvé dans la main droite, et dans cette main seulement, des cramp
me. En août 1888, L... a éprouvé dans la main droite, et dans cette main seulement, des crampes douloureuses intéressant
nt, des crampes douloureuses intéressant toute la musculature de la main ; ces crampes survenaient il l'occasion îles mo
a persisté pendant cette période. Vers la fin du troisième jour, la main se refroidit et pâlit; en même temps elle s'eng
Autoine. Parésie totale du bras droit. OEdème très prononcé de la main droite avec refroidissement et coloration viola
et coloration violacée. Rétraction de l'aponévrose palmaire ( ? ). Main raide. - Anesthésie de la main et des doigts sauf
tion de l'aponévrose palmaire ( ? ). Main raide. - Anesthésie de la main et des doigts sauf le pouce. Anesthésie pharyng
visuel. Chloroformisation pendant laquelle on constate : 10 que la main droite perd peu à peu sa coloration violacée, q
a température s'élève, et qu'elle dépasse même la température de la main du côté opposé : dos de la main droite 32°,G; dos
e dépasse même la température de la main du côté opposé : dos de la main droite 32°,G; dos de la main gauche : i0°, l. P
de la main du côté opposé : dos de la main droite 32°,G; dos de la main gauche : i0°, l. Pendant l'anesthésie, on const
he : i0°, l. Pendant l'anesthésie, on constate que la raideur de la main et des doigts est presque aussi considérable qu
e la gravité, la longue durée des accidents rhumatismaux dont cette main a été le siège principal. Les violentes douleurs
er la ou plutôt les causes de l'abaissement de la température de la main droite. Ce symptôme ne nous paraît infirmer en
tains malades, à abaisser la tem- pérature du membre anesthésie. La main est parésiée, immobile, et dans ces conditions
ite en vingt-quatre heures; il a recouvré entièrement l'usage de sa main . Deuxième attaque d'ccdèac. Le 1"' janvier 1890
oedème en quarante-huit henres. On constate que l'anesthésie de la main comprend maintenant le pouce, et qu'elle s'est ét
r Marie, agrégé de la Faculté. Il présen- tait ce même oedème de la main droite. Il a séjourné au moins deux mois. Nous
dème. Vers le 10 novembre 1890, L... est .repris de crampes dans la main droite identiques à celles de la première attaq
UTION A L'ÉTUDE DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE- 6'J. l'impotence de la main droite; le bras droit semble aussi parésié. Les r
arésié. Les réflexes patellaires sont normaux. Au dynamomètre, la main gauche donne 35. Sensibilité générale (fig. 6,
one dessine à peu près l'os sous-jacent. L Anesthésie absolue de la main malade (voir plus loin). "11uqueuses. Anesthési
ue un certain temps. Sens musculaire conservé.. Description de la main malade (fig. 9). - Ce qui frappe au premier abo
9). - Ce qui frappe au premier abord, c'est un oedème exagéré de la main droite commençant à quatre tra- vers de doigts
phalanges. C'est, comme volume, l'aspect d'un phlegmon total de la main . Il semble que la peau, sèche et luisante, est pr
a peau, sèche et luisante, est près de se rompre. En même temps, la main est fléchie sur l'avant-bras qui se tient dans
iaire à la pronation et il la supination (posi- tion de repos de la main ). Le pouce est en opposition forcée. Cet oedème
ain). Le pouce est en opposition forcée. Cet oedème occupe toute la main , mais surtout la face dorsale qui est énorme. Les
les uns aux autres; ils sont raides et incurvés vers la paume de la main . La pulpe du pouce s'aplatit sur celle de l'ind
u pouce s'aplatit sur celle de l'index. Ce n'est pas tout à fait la main en cône de Trousseau, la main de l'accoucheur a
l'index. Ce n'est pas tout à fait la main en cône de Trousseau, la main de l'accoucheur au moment où elle pénètre dans le
car ici le pouce n'est en rapport qu'avec l'index, tandis que dans la main en cône la pulpe des cinq doigts converge vers
pe des cinq doigts converge vers un même point. La coloration de la main est d'habitudc violacée, avec des plaques plus
ces variations, et nullement soumise aux influences extérieures. La main devient rouge sombre avec des plaques plus ou m
fois tout il fait cyanosée, d'auties fois rosée. La position de la main , son plus ou moins de déclivité, n'a aucune inf
téguments. Le malade nous dit qu'a Saint-Antoine, l'élévation de la main maintenue pen- dant deux heures consécutives n'
e reparaît un peu exagérée dès que le doigt cesse la pression. La main malade est manifestement plus froide que la main
se la pression. La main malade est manifestement plus froide que la main saine. Le thermomètre nous a donné les chiffres
n tétanique. Depuis quelques jours seulement, au dire du malade, la main est prise, i intervalles irréguliers et pour un
dant l'examen du malade. Dans la position de demi-flexion où est la main , avec ses doigts demi-fléchis et le pouce touchan
ut àl'ait, quand le malade tremble, la position et le mouvement de la main d'un joueur de mandoline tenant entre le pouce
x le morceau d'écaille qui fait vibrer les cordes. Cela rappelle la main de la paralysie agitante. L'aisselle droite e
lade est littéralement trempée de ce FIG. 9. - Divers aspects de la main droite oedémateuse. En haut et à droite se voit,
roite oedémateuse. En haut et à droite se voit, comparativement, la main gauche saine. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEDÈM
hystérie chez cet homme. Mais il est remarquable que l'oedème de sa main ait été en quelque sorte la première manifestat
chez lui, au moment où pour la première fois il est venu montrer sa main à un mé- decin, aucun autre stigmate que l'anes
astique. 3° Enfin, singularité capitale, nous avons observé- sur la main malade des variations de température remarquabl
ute influence extérieure apparente. Tandis que la température de la main saine se tenait dans d'étroites limites, variant
nt seulement de 34°2à 27°, soit une oscillation de 2°8, celle de la main malade variait de 18° à Si0',A-, soit une oscil
position; qu'elle a été passa- gère, « comme un coup de folie de sa main », dit le malade; mais qui nous'dit qu'elle ne
énomène. Nous ferons remarquer de plus la coïncidence, sur une même main , de l'oedème, de la contracture et du trembleme
r cet oedème. 5° Relation entre les variations de température de la main malade et les variations de l'hyperhydrose axil
.. par le chef de service dans l'espoir d'obtenir la guérison de sa main par sugges- tion pendant le sommeil hypnotique,
fure de carbone. La face prend l'expression d'un profond dégoût. La main droite s'élève et la tète se détourne comme pour
s signes d'un grand contentement. Elle regarde dans le lointain. Sa main droite s'élève, comme pour commencer un geste,
'élève, comme pour commencer un geste, qu'elle ne termine pas et la main reste en route, la malade demeurant figée dans
sent comme dans un mouvement de dégoût prononcé. Elle fait avec les mains un geste qui correspond bien exactement au jeu de
e presque immédiat; expression de plaisir extrêmement vif. Puis ses mains s'élèvent et viennent se plaquer en se croisant
Cologne. - La malade sourit, lève les yeux au ciel, puis joint ses mains et se placedans l'attitude de la prière. Chloro
82 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Alcool. Elle joint les mains , lève les yeux au ciel et paraît prier. Les div
PI. VI, fig. '1). Verre bleu. Elle lève les yeux au ciel, joint ses mains en l'air dans l'attitude de la prière, et finit
re jaune. Elle fronce les sourcils, cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de ses yeux, comme pour se
ncé. : =Elle sourit et fait un geste de contentement. Elle porte sa main à quelque distance de son nez et flaire une fleur
t regarde à terre autour d'elle. Puis elle se baisse, arrache de la main droite une fleur à quelque distance du sol, sur
lque distance du sol, sur un arbuste imaginaire et la passe dans sa main gauche (PL IX, fig. 3 et 4). Elle recommence en
RIÈRE. semble regarder dans le lointain. Puis sourit et salue de la main . Tout à coup elle fait quelques signes de tête
r. Puis son regard semble suivre quelqu'un qui s'éloigne; enfin ses mains retombent sur ses genoux, elle baisse la tête,
s ses narines lui fait faire une légère grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la tête.
e avait mal à la tête. Alors prenant le devant de sa robe entre ses mains elle la sent, elle se met à la secouer. On pour-
elle se met à la secouer. On pour- rait croire qu'elle tient il la main un vêtement qu'elle vient de retirer d'une armo
corsage, elle fait un véri- table bouquet, qu'elle arrange des deux mains quand il est fini. Puis elle recommence à cueil
aginaire de sa poche, se regarde et a l'air enchantée. Elle pose la main sur son coeur avec une expression de profond ravi
IVES ET SENSORIELLES. 8." lion. Puis elle se comprime avec les deux mains l'ovaire droit. Ses yeux sont fixes et un peu h
este d'enlever une tache sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains , puis brosse. Elle paraît désolée de voir que l
t le geste d'écarter quelqu'un qui s'ap- procherait d'elle, tend la main et prend quelque chose (un thermo- mètre, évide
mètre, évidemment) qu'elle se place dans l'aisselle. Elle porté sa main à son front comme si elle avait mal à la tête.
de rejeter ses draps au pied du lit, allonge ses jambes, place ses mains le long de son corps comme si elle s'arrangeait
coups sur un gong, la plonge dans une grande tristesse. Elle metla main sur ses yeux comme quelqu'un qui pleure ou qui
ple, elle .sourit, paraît satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains , ainsi que peut faire une femme qui danse seule
tite étendue qui vont en augmentant. Puis tout à coup 'il .porte la main en pronation forcée, et subitement la flexion'
le. long du corps avec lequel il forme un angle de 30' environ. La main forme la griffe (PI. XI). Le temps nécessaire p
quinze secondes. , Dans cet état on constate que les muscles de la main et de l'avanl- bras sont absolument contracture
cture il place son avant-bras en prona- lion forcée, la paume de la main tournée en arrière, et brusquement les extenseu
écessitent la mise en oeuvre de mouvements précis et délicats de la main et des doigts. C'est là un premier type de trem
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. rieur; les avant-bras et les mains sont animés de légers mouvements de flexion ave
verre rempli d'eau et de le porter à sa bouche, on voit, dès que la main s'approche du verre, les oscillations s'accentu
re qui exigent tant soit peu de précision dans les mouvements de la main sont rendus très difficiles et souvent même impos
- bleurs hystériques pendant qu'il est assis. On voit alors que ses mains continuent à trembler, alors même qu'il les lai
s'est commodément assis sur une chaise et qu'il laisse reposer ses mains sur ses genoux, sa tète pourra osciller encore
r, si sa paraplégie spasmodique est quelque peu accentuée, mais ses mains ne trembleront pas; elles ne trembleront qu'autan
ndant celle seconde période le malade crie, cherche à se mordre les mains , déchire ses habits. Enfin les grands mouvement
jambe gauches. A l'exploration dynamométrique on obtient : pour la main gauche, 15 kilogr. ; pour la main droite, 45 ki
dynamométrique on obtient : pour la main gauche, 15 kilogr. ; pour la main droite, 45 kilogr. Et, dans l'expérience des
t cela avec précision et rapidité. Ainsi il se sert fort bien de sa main gauche pour tous les actes de la vie usuellc; i
ieurs, le tremblement est particulièrement pro- noncé au niveau des mains , quelle que soit l'attitude des membres supérieur
rps, ou que le sujet étant assis ils repo- sent sur ses genoux, les mains exécutent des mouvements alternatifs de flexion
Si l'on ordonne au malade d'étendre le bras, la face palmaire de la main tournée vers le sol, les oscillations s'accentu
ent et la démarche est assez assurée, l'agitation de la tète et des mains redouble. L'attitude qui favorise le mieux le tre
malade est éveillée, dès qu'il se sent observé. Le tremblement des mains à l'état de repos présente aussi ce caractère.
bien présenter quelques oscillations dans cette altitude, mais les mains ne tremblent pas du tout; elles n'oscillent que s
ce n'est pas ainsi que les choses se passent chez notre malade. Les mains tremblent sans cesse, comme aussi ses membres I
ne cessent pas d'exister, après qu'il a déposé l'objet et laissé sa main se reposer sur la table. Ce tremblement ne possèd
and ennui, il écrivait avec peine et tenait mal les objets avec les mains . Ce tremblement devint de plus en plus fort et
a pu être maintenu en contact avec cet instrument qu'a l'aide de la main droite, tant étaient prononcés les mouve- ments
é d'au moins la moilié. Le malade a pu boire un verre d'eau avec la main gauche, sans faire jaillir le liquide. Au côté op
sie portait à la fois sur les membres et sur la face ; sa force de la main droite, mesurée au dynamomètre, s'élevait à 43
droite, mesurée au dynamomètre, s'élevait à 43 kilogr., celle de la main gauche à 21 kilogr. seulement; les muscles du vis
es muscles. Si on le priait de porter un verre à ses lèvres avec la main droite, il y arrivait sans difficultés; mais si
tés; mais si on lui ordonnait de répéter la même expérience avec la main gauche, le verre était brusquement secoué et son
lique du grand hypnotisme; il suffit de frapper modérément, avec la main , la région dorsale, pour déterminer une paralys
va et on vit apparaître une parésie des extenseurs des doigts de la main gauche et plus tard de la main droite. En même te
ésie des extenseurs des doigts de la main gauche et plus tard de la main droite. En même temps les forces se perda ent e
ne atrophie très considérable et une impotence des extenseurs de la main et des doigts. A gauche le deuxième, le troisiè
phie n'est pas très manifeste au niveau des espaces interosseux des mains et il n'existe pas de déformation de la main en g
paces interosseux des mains et il n'existe pas de déformation de la main en griffe. Des deux côtés les muscles longs sup
sensation très vive de refroidissement au niveau des paupières, des mains et des genoux ; mais on ne constate pas en ces
e développa une atrophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main , paralysie et atrophie du premier'interosseux, de
che bien. Réflexes patellaires normaux; ni engourdissement dans les mains , ni douleurs en éclair dans les pieds; aucun si
ntre, il existe un affaiblissement musculaire des extré- mités. Les mains serrent faiblement des deux côtés, surtout adroit
tain temps élevée sur les orteils ; mais elle ne peut se servir des mains que lorsque les coudes ont un appui. 1. Secligm
e guérir les écrouelles. Il leur suffisait de les tou- cher avec la main , en disant au malade : « Le roi te touche, Dieu t
miraculeusement',guéries par tout enfant qui ? venant' au monde une main en avant, a aussitôt touché un cochon de lait ;
eints. Les autres étaient rangés en plusieurs lignes, genoux et les mains jointes (PI. XV). Le roi arrivait, avec une sui
aque malade, lui traçait sur le visage le signe de la croix avec la main droite, en allant du front'au menton et d'une jou
RIÈRE. guérit1. Pendant l'opération, le premier médecin appuyait sa main sur la tête du patient et le capitaine des gard
in sur la tête du patient et le capitaine des gardes lui tenait les mains jointes. Quand le roi avait passé, l'aumônier s
monie terminée, on présentait au monarque, afin qu'il se lavât les mains , trois serviettes mouillées, la première avec du
uché deux ou trois malades il fit semblant de se vouloir torcher la main , mais qu'il se rasseura tout aussi-tost, et qu'
« il se trouve foible, il faisoit une extrême cha- leur ; lavé les mains avec du vin pur et senti du vin, il revient à lui
el si doux pour obtenir leur guérison, avant de se livrer entre les mains des chirurgiens10. » Pour- tant, la Palatine ne
abri de la poussière de menues reliques on lit ces mots écrits à la main : Saint Estrope. Or, saint Eutrope ne guérissai
rtie inférieure du visage, moins nombreux sur les jambes et sur les mains . Le front et les pieds auraient élé épargnés. Il
atif, reconnaît les diverses pièces de monnaie qu'on place dans ses mains . Le sens musculaire est partout intact. Les aut
uvent se composer un habitus extérieur tel que leur air figé, leurs mains et leurs doigts placés comme dans l'attitude po
servation suivante est un exemple de tremblement lent localisé à la main droite. OBs. XII (due à l'obligeance de mon col
e et ami Nicolle). Hystéro- épilepsie. Tremblement hystérique de la main droite.-La nommée Godard, âgée de quarante ans,
membres supérieurs sont affaiblis (surtout le droit). Dynamomètre : main droite, 10 kilogr.; main gauche, 15 kilogr. Cep
ffaiblis (surtout le droit). Dynamomètre : main droite, 10 kilogr.; main gauche, 15 kilogr. Cependant la malade peut exé
tous les mouvements qu'on lui commande de faire. Elle se sert de sa main gauche sans difficulté pour tous les usages ord
s usages ordinaires de la vie, et l'impotence fonc- tionnelle de sa main droite est due bien plus au tremblement dont elle
ffaiblissement musculaire révélé par le diagnostic. Tremblement. La main droite en effet est constamment agitée. Elle ex
ension reposent exclu- sivement dans l'articulation du poignet ; la main et les doigts se meuvent ensemble; ces derniers
CONOGRADUE DE LA SALPÊTRIÈRE. ni lorsque la malade exécute avec ses mains lel ou tel mouvement. Sous l'influence des émot
ents en sont lents, inhabiles. L'exploration dynanométrique donne : main droite, 13 kilogr.; main gauche, 5 kilogr. Peut-ê
iles. L'exploration dynanométrique donne : main droite, 13 kilogr.; main gauche, 5 kilogr. Peut-être, ces chiffres sem-
. A l'avant-bras l'aspect se rapproche de la normale, ainsi qu'à la main , sauf à la face dorsale du carpe et du métacarpe
ée; la malade dit qu'elle n'a jamais vu de sueur sur son front. Ses mains transpirent l'été, dit-elle; mais elle ne trans
d'anormal. Les diverses parties du corps sont bien conformées, les mains et les pieds petits, la taille normale, le poid
inte terreuse de la peau, rides du visage et de la face dorsale des mains , ^cheveux blanchis et tombés, dents cariées ou
, en vou- lant inscrire le nom d'un voyageur sur son carnet, que sa main droite trem- blait. Ce tremblement fut assez in
ant le trajet il remarqua en délivrant un reçu à un voyageur que sa main droite tremblait. Ce tremblement fut assez pronon
d. Mais à Bordeaux il fut obligé de s'arrêter. Le tremblement de la main droite s'était accentué de même que la céphalée c
s caractères suivants : quand la malade tient son avant- bras et sa main mollement appliqués et reposant sur son abdomen,
bras et sa main mollement appliqués et reposant sur son abdomen, la main et l'avanl-bras sont animés d'un tremblement bi
nt les oscilla- lalions sont au nombre de 6 1/2 à 7 par seconde. La main décrit dans son ensemble des mouvements de flex
conde. Lorsqu'on comprime l'ovaire droit de la malade, alors que sa main a cessé do trembler, aussitôt, en même temps qu
asthénie et hystérie coiisécit- tives. Tremblement hystérique de la main droite. Claw... Louis, âgé de quarante-deux ans
, il apparaît avec les mouvements intentionnels. Ce tremblement des mains consiste en mouvements de flexion et d'extensio
consiste en mouvements de flexion et d'extension du poignet; que la main soit étendue (altitude du serment) ou posée à p
d'abord la marche du tremblement quand la malade laisse reposer sa main sur une table. Parfois les oscillations se succèd
e. Puis on le voit cesser tout à coup. La malade laisse retomber sa main , il ne reparaît pas, elle élève le bras de nouv
e qui fut, paraît-il, par- ticulièrement violente, le malade vit sa main et son avant-bras droit s'atro- phier rapidemen
droit prédominant au membre supérieur. Exploration dynamométrique : main gauche, 70 kilogr. ; main droite, 15 kilogr. Le
e supérieur. Exploration dynamométrique : main gauche, 70 kilogr. ; main droite, 15 kilogr. Le membre supérieur est atro
s et à l'avant-bras l'atrophie est uniformément répartie, mais à la main l'atrophie porte surtout sur les muscles. L'émi
cette atrophie musculaire, le malade se sert sans difficulté de sa main et de son bras pour tous les actes de la vie usue
rlical (flexion, exlcnsion), lorsque le malade tient son bras et sa main tendus hori- zontalement. Elles ne cessent pas
leur amplitude ne, s'accroît que forl peu quand le malade élève la main pour saisir un objet ou placer son bras dans l'
Le membre supérieur droit est notablement parésie. Au dynanomètre : main droite, 6 kilogr. ; main gauche, 20 kilogr. La
est notablement parésie. Au dynanomètre : main droite, 6 kilogr. ; main gauche, 20 kilogr. La malade cependant peut mou
gauche, 20 kilogr. La malade cependant peut mouvoir son bras et sa main dans tous les sens. Mais elle est incapable d'a
usculaire un peu considérable. Ce sont surtout les mouvements de la main qui sont gênés. Elle ne peut pas saisir solide-
. Les secousses sont surtout prononcées à l'extrémité du membre. La main exécute de petits mouvements incessants, régulièr
ons est de 5 à 5 1/2 par seconde, quand la malade laisse reposer sa main sur une fable ou sur ses genoux. Si elle saisit
es, il en résulte que la malade' accomplit sans difficulté, avec sa main droite, les actes relativement grossiers, tels
s avant-bras en pronation forcée, les poings fermés, la paume de la main lournéc en dehors. Il avait toute sa connais- É
de se montrer au membre inférieur, mais il a toujours persisté à la main droite, s'atténuant parfois, et subissant à chaqu
a toujours présenté les caractères suivants : il est localisé à la main droite; celle-ci est animée de secousses d'exte
ations sont plus amples, plus apparentes lorsque le malade place sa main dans l'attitude du serment. Ce tremblement peut
rmittent; alors, si l'on observe le malade dans l'état de repos, sa main reposant sur ses genoux, ou pendante et abandon
été contrariée, sans motif d'aucune sorte, d'un trem- blement de la main droite. Ce tremblement, d'abord très faible, s'ac
ut plus garder chez elle, elle fut prise d'un léger tremblement de la main droite. Il était sept ou huit heures du soir. S
blement de la main droite. Il était sept ou huit heures du soir. Sa main était agitée d'une série de secousses de faible
, debout, ou bien en marche, le membre supérieur reste en repos; la main droite repose alors sur les genoux, ou bien la
malade la tient derrière son dos, ou bien elle la soutient dans sa main gauche; rarement elle la laisse pendante le long
dans le sens flexion-exten- sion, tantôt enfin les mouvements de la main sont composés et le poignet semble décrire un m
et et du coude que se produisent les principales oscillations. La main oscille souvent sans que les doigts soient animés
DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 203 quelques légères secousses de la main ou des doigts. Après une phase de repos plus ou
rêter les secousses qui commencent, la malade applique fortement sa main contre son ventre, ou bien la serre dans sa mai
lique fortement sa main contre son ventre, ou bien la serre dans sa main gauche, ou bien la tient appliquée derrière le
lemenl de se produire. Presque toujours, quand la malade soulève sa main droite, veut saisir un objet, ou place sa main
la malade soulève sa main droite, veut saisir un objet, ou place sa main dans l'attitude du serment, les secousses, ou bie
ce des oscillations rhythmées. Cependant il arrive parfois que la main reste au repos, même étendue. Les mouvements du
une mise en altitude, une adaptation plus ou moins compliquée de la main et des doigts, comme pour saisir un objet léger p
gts, comme pour saisir un objet léger posé sur une table, placer la main dans l'attitude du serment, etc. Elle serre éner-
main dans l'attitude du serment, etc. Elle serre éner- giquement la main qu'on lui présente de sa droite et de sa gauche.
main qu'on lui présente de sa droite et de sa gauche. Dynamomètre : main droite, 25 1<ilo;r.; main gauche, 25 kilogr.
droite et de sa gauche. Dynamomètre : main droite, 25 1<ilo;r.; main gauche, 25 kilogr. Les réflexes tendineux sont
Il se prend au moyen du compas d'épaisseur. On applique avec une main , en se plaçant au côté du malade, une branche d
EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 213 l'autre main on fait mouvoir l'autre branche du compas sur la
lonne grise antérieure de la moelle. L'atrophie apparaît alors à la main , au bras et à l'épaule, à la jambe, d'un seul c
hez Br..., les membres supérieurs sont tout d'abord intéressés; les mains deviennent inhabiles, incapa- bles de tenir le
l'atrophie est surtout considérable au niveau des éminences thénar ( main de singe), des extenseurs des doigts, du biceps,
aux membres supérieurs, en commençant par les avant-bras et par les mains . Contrairement à ce qui se passe dans la polioe
et de la station debout, la gêne des mouvements des doigts et de la main , au début de la maladie. Bientôt, il est vrai,
la station debout devinrent impossibles et que les mouvements de la main et du bras se rédui- sirent au minimum. La plan
érieurs sont restés à peu près dans le même état; en tout cas . les mains ne sont pas plus habiles, ne serrent pas davantag
, soit contre son corps, ou contre ses cuisses. Il ne porte plus sa main à sa bouche, par exemple, mais bien plutôt sa b
s sa main à sa bouche, par exemple, mais bien plutôt sa bouche à sa main . L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause d
s musculaires. Les bras sont inertes, pendant le long du corps, les mains atrophiées en griffes. DE L'01'IITIIAI.\IOI'LÉC
ntrer que les avant-bras ne sont que peu ou pas atteints et que les mains sont absolument indem- nes, tandis que l'atroph
début avait lieu ordinairement par les éminences de la paume de la main et par les avant-bras. Mais ce n'est pas tout. Si
et 1886, à la suite d'une violente migraine, affaiblissement des deux mains , puis des IlIle6mlu ? e.s ? riellrsLdyspnée, tr
hâte la description de Denon ; ce croquis est aujourd'hui entre les mains de M. le Dr II. Larrey (c'est ce croquis dont-n
le critique, dans le geste du malade qui porte involontairement la main il sa chevelure pour saluer l'illustre visiteur
iiM'e. Il re- présente le général Bonaparte relevant de ses propres mains le cadavre d'un pestiféré pour ruminer le moral
dépouille d'une partie de ses vêtements qu'il retient encore de la main gauche, pendant que le bras droit soulevé met l
in qui accompagne la démonstration de M. Le Fort : il représente la main gauche du malade avant l'amputation du médius.
'amputation du médius. Le second montre l'état actuel de cette même main . OBs. Pierre IIerth, vingt-six ans, journalier,
ès » indolore de l'index gauche accompagné d'un oedème du dos de la main correspondante. Cette sorte d'abcès ne s'ouvrit
nar nel'est que beaucoup moins. Cet état d'atrophie partielle de la main contraste avec celui du reste du membre, qui a
n sentie sur le bras et l'avant-bras, elle l'est peu nettement à la main et surtout aux doigts. Le fait principal, au poin
arquée du sens thermique. Cette perversion est surtout accusée à la main ; mais elle existe sur toute la hauteur du membre,
alternative- ment sur l'un ou l'autre avant-bras, l'une et l'autre main , le malade indique, et cela ;i plusieurs repris
ts, s'exécutent très librement, quoique avec moins de force qu'à la main droite. Au courant faradique (le pôle -(- étant
on applique sur la 260 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. main le pôle z, elle se fléchit brusquement en totalit
oigt à jamais impotent, ankylosé, entravant le fonctionnement de la main , et sur les instances pres- santes du malade, p
. La température locale prise au niveau de la face dorsale des deux mains donne au bout de cinq minutes les résultats sui
. D.=34°; M. G. =28°. 12 mars. Ce matin le malade, en se lavant les mains , s'est aperçu que la face dorsale de la main ga
ade, en se lavant les mains, s'est aperçu que la face dorsale de la main gauche et du poignet était gonflée et rouge. En
u poignet était gonflée et rouge. En effet le soir à cinq heures sa main était dans l'état suivant : OEdème coloré de la
t dure, assez notable, elle respecte les doigts; le périmètre de la main gauche pris à la base du pouce dépasse de 2 cen
gauche pris à la base du pouce dépasse de 2 centimètres celui de la main droite. La rougeur a une teinte érysipéla- teus
récédé l'apparition du premier panaris; d'abord localisé au dos de la main , il aurait à cette époque gagné l'index où il s
vrier. L'état du malade est pire; l'état cyanolique du isi-c et des mains est plus marqué, la connaissance s'est obscurcie
on enfance, jusqu'à l'âge de la perbuté (on retrouve encore sur les mains et les jambes les traces indélébiles d'éruptions
de ladiathèse rhumatismale. Tous les hivers les articu- lations des mains et des pieds, de même que les grandes jointures d
G, 27, 30, 33, 38). UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE INFANTILE. 273 Main gauche. - Epiphyses supérieures du second métacar
s et rayés. Certain degré de rétraction de l'aponévrose palmaire. Main droite. - Ankyloses complètes ou incomplètes de t
he. Les mouvements d'opposition sont presque impossibles aux deux mains ; la préhension est également très défectueuse.
seraient également douloureuses. Il a souvent des engelures sur les mains et des éruptions ectyma- teuses et impéligineus
dants le long du corps, l'avant-bras en prona- tion, la paume de la main appliquée à la cuisse, les jambes rappro- chées
peu de longueur de la dernière phalange, la brièveté du pouce de la main par rapport aux autres doigts, son peu d'opposa
anomalies de développement coïncidant avec celles des doigts de la main (absence, atrophie, anomalies de nombre); on po
le reste du corps ne présentent aucun trouble moteur. Dynamomètre : main droite, 46; main gauche, 43. Lorsqu'on fait mar
ne présentent aucun trouble moteur. Dynamomètre : main droite, 46; main gauche, 43. Lorsqu'on fait marcher le malade, i
fléehi derrière le dos, interposé entre elle et le matelas, l'autre main , la droite, pressant sur les dernières fausses
ur gauche, mais pas de paralysie véritable; la malade se sert de sa main et de son membre. Pas d'exal- tation des réflex
tation des réflexes (coude et poignet de ce côté). Quand on passe la main 310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
uement après deux mois. Du mois de janvier 1888 au mois d'avril, la main gauche fut frappée de paralysie survenue tout d'u
s'est aperçue au réveil qu'elle pouvait de nouveau se servir de sa main . En juin 1889, il se produit une parésie du membr
ed droit a été frappé d'abord, le gauche une semaine après, puis la main gauche presque en même temps que le pied, et en
ain gauche presque en même temps que le pied, et enfin plus tard la main droite pendant le voyage. Mais aux membres supé
dants et plus assurés aux membres supérieurs. La malade se sert des mains avec plus d'adresse et peut serrer avec plus de
it, et la moindre émotion provoque un tremblement accentué dans les mains . Entrée le 20 février au soir dans le service de
laire déprimé à chaque respiration; pas de tirage abdominal. Avec ses mains , la malade écarte sa chemise de son cou, comme
moteurs. Les membres supérieurs sont parfaitement mobiles, mais les mains sont animées d'un tremblement menu, rapide, avec
côté gauche du corps, pour tous ses modes. En outre, il existe à la main gauche des troubles trophiques très marqués. La
il existe à la main gauche des troubles trophiques très marqués. La main entière est augmentée de volume, violacée, comm
rqués. La main entière est augmentée de volume, violacée, comme une main présentant des engelnres. Elle présente en effet
observation que la malade avait de l'hémianesthésie gauche, que les mains présentaient vraisemblablement ce que M. Charcot
elle trouve en arrivant chez elle son mari ivre et un couteau à la main ,'la menaçant. Elle eut peur et tomba à la renvers
lait plus ce qui s'était passé. On la porta chez sa mère. Le lende- main matin, elle éprouva en se levant une grande faibl
en. Si on lui dit de descendre de son lit, elle transporte avec ses mains ses jambes sur le bord du lit, puis se laisse g
pieds joints, n'est pas pos- sible, pas plus que la marche à quatre mains , etc. Pas d'abasie en un mot. Outre ces trouble
ceinte du diadème, les épaules drapées du long manteau/tenant de la main droite le sceptre, emblème de la toute-puissance,
la main droite le sceptre, emblème de la toute-puissance, étend la main gauche pour secourir la suprême faiblesse sous le
, t. I. vs NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la figure, la main et une partie du dos qu'une déchirure du vêtement
mbre supérieur gauche est clairement exprimée par la position de la main représentée1 tombante et parla déformation des
l minimum 10 L Membres supérieurs : Doigts en massue, vitiligo à la main droite. Organes génitaux : Phimosis, vitiligo d
130. Maxillaires volumineux. Lobule de l'oreille adhérent. Les mains , qui sont grandes, présentent des malformations s
excitation faradique est portée sur les fléchisseurs des doigts, la main se ferme presque aussitôt. Mais l'action ne se
a- goniste. En excitant les fléchisseurs, par exemple, on voyait la main se contracturer en extension. Nous avons rappor
eurs fois qu'une con- tracture ainsi provoquée dans un membre, à la main par exemple, pouvait cesser sous l'influence d'
. Pendant la période cataleptique, son attention est attirée sur sa main droite pendant qu'on lui suggère, en l'affirmant
e, en l'affirmant à haute voix, que ses doigts se ferment et que sa main se contracture. En même temps que cette affirma
que cette affirmation impressionne le sujet, on voit les doigts de la main indiquée se fléchir peu à peu, en quelques inst
rmé. Le souffle sur le visage réveille instantanément la malade. La main droite garde l'attitude qu'on vient de lui fair
ouffrir de la pression des doigts et des ongles dans la paume de la main . Elle y ressent une sensation de chaleur anormale
Toutes les tentatives qui ont pour but de modifier l'attitude de la main sont très - douloureuses. Le poignet, le coude
peut le soulever. Un aimant est appliqué les pôles en regard de la main gauche. Au bout d'un quart d'heure, il ne s'est p
cles entenseurs des doigts n'arrive pas à modifier l'altitude de la main . En excitant tour ;1 tour les muscles de la fac
de nouveau en état de catalepsie. On attire alors son regard sur sa main fermée et on affirme que les doigts s'ouvrent et
disparait. En même temps on voit les doigts s'étendre peu à peu, la main s'ouvrir et la contracture cesser complètement. L
les ongles ont marqué fortement leur empreinte dans la paume de la main que la malade dit être douloureuse. Pendant l'é
être douloureuse. Pendant l'état léthargique, la contracture de la main en flexion est pro- duite par l'excitation méca
oudre cette contracture. Le regard du sujet a beau être attiré sur sa main fermée, on a beau suggérer que la main s'ouvre,
et a beau être attiré sur sa main fermée, on a beau suggérer que la main s'ouvre, la contracture ne bouge pas. La mala
ée et la contracture persiste. L'application de l'aimant près de la main non contraclurée produit très rapidement le trans
antagonistes. Pendant la phase somnambulique, la contracture de la main en flexion est obtenue par des passes. Au révei
est alors mise en état de catalepsie : le regard est attiré sur la main et la suggestion vient il bout de cette contrac
DIATHÈSE DE CONTRACTURE. 351 nambulique. On dit Ù la malade que sa main s'ouvre et en même temps les doigts se défléchi
phérique est souvent remar- quablement ralentie, les extrémités des mains , des pieds, du nez, des oreilles sont le siège
hyxique s'accom- pagne d'une tuméfaction générale des doigts et des mains , avec épais- sissement pachydermique de la peau
t limité aux extrémités; aux pieds il n'occupe que les orteils, aux mains il re- monte quelquefois plus haut, etlatcinte
tement connaissance. Depuis plusieurs années, les extrémités de ses mains et de ses pieds et son nez ont pris une teinte
ail professionnel. Taille : 'I,G7; envergure, 1,70. Dynanomèlre : main droite, 39; main gauche, 38; poids : 68 kil.
el. Taille : 'I,G7; envergure, 1,70. Dynanomèlre : main droite, 39; main gauche, 38; poids : 68 kil. Sa physionomie fr
Le 21 janvier, nouvel accès de jour. Il était en train de lire, ses mains se sont convulsées en froissant le livre, il es
e inférieur. En effet, si on tend un objet à l'enfant, il avance la main gauche pour le saisir ; il remue spontanément l
rieurs. Parésie plus marquée à droite qu'à gauche. Au dynamomètre : main droite, 4; main gauche, 9. La motricité volonta
plus marquée à droite qu'à gauche. Au dynamomètre : main droite, 4; main gauche, 9. La motricité volontaire est conservé
flexion des doigts reste incomplète). En effet, elle se sert de ses mains , sans gêne appréciable, pour les divers besoins
même temps dans les membres supérieurs, au niveau du coude et de la main . La malade les localise de préférence au niveau
ibilité pour tous les modes est très affaiblie, et en particulier aux mains . Anesthésie pharyngée. Il existe en outre une z
loureux à la palpation; il se tâtait souvent sans pouvoir mettre la main sur les points douloureux. Avec ces douleurs de
note rien d'intéressant, sauf une parésie notable. Au dynamomètre : main droite, 19; main gauche, 16. Ce malade présente
essant, sauf une parésie notable. Au dynamomètre : main droite, 19; main gauche, 16. Ce malade présente encore des troub
opos, qu'un soir en rentrant chez lui, la lumière qu'il tenait à la main s'étant subitement éteinte, il est tombé : i la
st moins étendue. Il y a toujours au pli du coude et la paume de la main des plaques de peau saine. Aux membres inférieu
'agréable à en juger par le'long outil que le chirurgien tient à la main . La pose du malade est remarquable de naturel et
3 centimètres, et, chez un autre malade, il y avait entre les deux mains une différence de 5 centimètres. « 2° Il n'y a
d'atrophie. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscles de la main , l'examen électrique pratiqué par M. Vigouroux
nouvelle métastase douloureuse. Cette fois, la douleur se porte aux mains qui brusquement se contracturent, en flexion fo
ouce du côté droit replié dans la paume. En même temps que les deux mains se contracturaient, la malade a ressenti à la gor
« liqueur hygiénique» » et elle a repris ses sens. A ce moment, ses mains étaient toujours fortement conlracturées et tou
rictions n'ont pu triompher de cette contracture. Le lendemain, les mains étaient dans le même état, la malade se sentant e
faire manger... Tous les jours, son mari essayait de lui ouvrir la main de force; il n'y arrivait qu'incomplètement et en
contracture à cédé peu à peu, plus tôt et plus faci- lement dans la main gauche. Vers la fin du mois de juin, elle pouvait
s ne s'étendaient pas com- plètement. Elle pouvait se servir de ses mains pour les usages ordinaires, non sans quelque gè
ur, mais sans douleur. La malade s'est en ce moment aperçue que ses mains avaient maigri ; comme elles étaient sans cesse
le ne peut préciser exacte- ment le jour. C'est, dit-elle, quand la main s'ouvrait déjà assez bien, qu'elle a remarqué q
quand la main s'ouvrait déjà assez bien, qu'elle a remarqué que sa main droite avait maigri, que les mouvements du pouce
d'hui. La parésie et l'atrophie auraient marché rapidement. Dans la main gauche, elle n'a constaté qu'un peu de faiblesse.
aso-moteurs; la peau était, parait- il, rouge et froide « comme les mains de quelqu'un qui a froid ». État actuel (21 jui
ineuse du côté droil. Atrophie musculaire. - Elle est localisée aux mains (Pl. XL). Main droite. L'éminence thénar est tr
il. Atrophie musculaire. - Elle est localisée aux mains (Pl. XL). Main droite. L'éminence thénar est très aplatie et l'h
en apparence. Le pouce est sur le même plan que les autres doigts ( main de singe). Les mouvements de la main et des doi
me plan que les autres doigts (main de singe). Les mouvements de la main et des doigts (le pouce excepté) sont peu altér
bril- la ires très nettes dans les muscles de l'éminence thénar. La main tout entière est en outre animée d'un trembleme
utre animée d'un tremblement vibratoire très rapide et très menu. Main gauche. On constate les mêmes caractères objectif
nctionnels mais à .un degré beaucoup moins marqué. Au dynamomètre : main droite, 17; main gauche, 21. Le périmètre des d
.un degré beaucoup moins marqué. Au dynamomètre : main droite, 17; main gauche, 21. Le périmètre des deux mains pris au-d
namomètre : main droite, 17; main gauche, 21. Le périmètre des deux mains pris au-dessous du pli de flexion du pouce donn
ne attaque d'hystérie qui se termine par une con- tracture des deux mains . Au bout de deux mois, lorsque la contrac- ture
a contrac- ture est en voie de disparition, elle s'aperçoit que ses mains ont maigri; cette atrophie évolue avec rapidité
in, elle se réveilla avec de l'oedème et des douleurs dans les deux mains , qui étaient contracturées en légère flexion. L
nt peu à peu, beaucoup plus lentement et plus difficilement dans la main droite. Quelques jours après, elle s'aperçut que
dans la main droite. Quelques jours après, elle s'aperçut que cette main droite était faible et paresseuse, qu'elle maig
e s'en servir. L'atrophie se développa rapidement, « elle voyait sa main maigrir l' d'un jour à l'autre ». Elle progress
nvulsives; elle présentait toujours celte atrophie musculaire de la main droite avec des secousses fibrillaires;les éminen
iiiterosseux marqués par des sillons profonds, les mouvements de la main et des doigts perdus. Progressive- ment, sous l
telle sorte que, au mois de mai 1889, elle pouvait se servir de sa main droite (elle a même rempli les fonctions d'infi
ophie, qui a été au- trefois considérable, est aujourd'hui, dans la main droite, à peine marquée. A la vue, l'éminence t
espaces inter- rosseu ont leur relief normal ; les mouvements de la main et des quatre derniers doigts sont possibles et
à peu près immobile; il est sur le même plan que les autres doigts ( main de singe) et l'opposition fait défaut. (En somm
leur rapprochement se font aussi, mais sont un peu limités. Dans la main gauche, rien d'appréciable. La mensuration prat
n du 19 août 1890. Pas d'anomalies électriques dans les muscles de la main droite. Le premier radial externe réagit normal
la suite d'une attaque, elle a été prise d'une contracture des deux mains qui, au bout de quelques jours, a cédé la place
au bout de quelques jours, a cédé la place à une amyotrophie de la main droite. Cette atrophie a évolué rapidement ; el
ence. Puis, lentement, l'atrophie a rétrocédé, les mouvements de la main sont revenus et les réactions électriques dégén
s la première enfance, sa fille marchait, jouait, se servait de ses mains , comme les autres enfants de son âge. 1 Depui
ce qui l'obligeait à les regarder. Pour la forcer à se servir de la main droite, on lui a attaché .la gauche après sa ro
coté se raidissent et sont agités de se- cousses. Les doigts de la main droite s'écarlent « comme une patte d'oie ». iv
vril 1890), la date n'a pu être précisée, la mère a remarqué que la main de sa fille devenait « vilaine ». Et depuis (rois
u- paravant elle écrivait avec facilité), lit, depuis deux mois, la main droite est sans cesse animée d'un léger tremble
mbre supérieur droit, (a) L'ayant-bras et le bras sont normaux. (b) Main droite. Le thénar et l'hypolhénar sont effacés
nt effacés (PI. XLI, fig. A). L'opposition du pouce est impossible ( main de singe); l'écartement el.le rapprochement des
blement. Le périmètre au-dessous de la commissure du pouce mesure : main droite, 1.7 cent.; main gauche, 18 cent. 1/2. For
-dessous de la commissure du pouce mesure : main droite, 1.7 cent.; main gauche, 18 cent. 1/2. Forcedynamométrique : main
n droite, 1.7 cent.; main gauche, 18 cent. 1/2. Forcedynamométrique : main droile 1/2; main gauche, 25. La main droite est
; main gauche, 18 cent. 1/2. Forcedynamométrique : main droile 1/2; main gauche, 25. La main droite est en outre animée d'
nt. 1/2. Forcedynamométrique : main droile 1/2; main gauche, 25. La main droite est en outre animée d'un trem- blement v
rieur droit. Le bras et l'avant-bras sonl normaux comme réactions. Main droite : le premier interosseux dorsal répond,
dique, et c'est là le point capital pour nous, l'amyotrophie de la main . En effet, nous avons déjà écarté l'hypothèse d
ent a produit la fonte rapide des muscles et supprimé l'usage de la main . Autrement dit l'amyotrophie hystérique s'est gre
l'année 1888, l'atrophie a augmenté, toujours marquée surtout à la main , au bras droit et à la jambe droite. L'anesthésie
e, et de ce cote on ne peut faire de mensuration dynamométrique, la main ne se fer- mant pas. Cette atrophie est surtout
mant pas. Cette atrophie est surtout marquée à l'avant-bras et à la main ; il faut toutefois remarquer qu'il y a un degr
e très sen- sible. L'atrophie des muscles de t'avant-bras laisse la main complètement inerte et ballottante ; elle est d
es d'aucun mouvement volontaire. De môme, tous les mouvements de la main sur l'avant-bras sont abolis : pronation, supinat
r et hypothénar est très marquée, mais moins encore qu'a gauche. La main est en griffe, mais toutes les phalanges de ce
ur les troisièmes phalanges qui ne peuvent rejoindre le creux de la main . Le malade peut écarter les doigts, mais les rapp
ur gauche. Le minimum d'excitabilité normale = 12 centimètres. A la main : le court abducteur du pouce, le thénar et l'hyp
(B) Réactions galvaniques (pile de Gaiffe). a. Côté gauche. - A la main , le thénar et les inlerosseux ne se conlrac- te
re. Cette atrophie occupe de préférence les membres supérieurs, les mains ; or, ce sont là également les lieux d'élection
dernier, a mis en lumière une variété d'oedème coloré siégeant à la main , qu'il a désigné du nom imagé et expressif d'oe
u'il a désigné du nom imagé et expressif d'oedème bleu du dos de la main . Or, Schültze et Kahler avaient décrit déjà dan
nt décrit déjà dans la syringomyélie un oedème violacé du dos de la main , qui, d'après les remarques de Remak et de Roth
semblent plaider hautement la cause de l'hystérie. L'oedème de la main , accompagné, au dire de la malade, de parésie,
élie que le léger degré de scoliose et les bulles constatées sur la main droite, mais ce sont là des troubles trophiques d
h, in eodem loco). Sommaire. Atrophie progressive des muscles de la main . Exagération des réflexes tendineux des membres
ar des phénomènes extrinsèques tels que oedème violacé du dos de la main , troubles trophiques cutanés, sco- liose, etc..
certain intérêt à cet égard. Le malade tient alternativement de la main droite et de la main gauche la presselle du chr
t égard. Le malade tient alternativement de la main droite et de la main gauche la presselle du chronomètre de d'Arsonva
ne alternativement le signal en tou- chant le front et le dos de la main , à droite et à gauche. Le sujet réagit dans les
bras et sa jambe ne sont plus à lui ». Le dynamomètre donne 41 à la main gauche et 35 à la droite. La sensibilité au froid
6 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
té par 15, à la lumière par 9 personnes. Je classe ici la vue d'une main matérialisée, qui n'était pas celle du médium.
s; f) voix, ronflement. 6 personnes; g) sons d'une harmonie tirée à main . 4 personnes. V. Soulèvement du médium sur la tab
ain nombre de phénomènes « supérieurs », comme la matérialisation des mains , leurs empreintes dans de l'argile, diverses lévi
», dit le « Compte-rendu », et sans que le médium touche la table des mains ou des pieds. « A Varsovie on s'est servi d'une t
; puis les assistants forment la chaîne (catena), se prenant par les mains » ; deux voisins immédiats prennent chacun par un
r les mains » ; deux voisins immédiats prennent chacun par une de ses mains une des mains d'Eusapia un peu avant la paume, et
; deux voisins immédiats prennent chacun par une de ses mains une des mains d'Eusapia un peu avant la paume, et elle met ses
n peu avant la paume, et elle met ses pieds sur ceux des voisins. Les mains d'Eusapia reposent sur la table, près des bords.
la table élevée en haut au moment où le médium ne la touchait ni des mains , ni des pieds, ni même par la robe. Quelquefois l
ium était assis du côté large de la table. En contrôlant à l'aide des mains les pieds d'Eusapia, j'y aï toujours senti une fo
upon blanc, du côté large de la table; les contrôleurs tenaient leurs mains sur les genoux du médium ; j'étais assis vis-à-vi
rcle ouvert, en découvrant entièrement le large côté de la table. Les mains du médium reposaient sur ses genoux, et chacun de
genoux, et chacun de nous, les deux contrôleurs, tenait d'une de ses mains une de celles du médium avec un de ses genoux; no
on. Personne ne touchait la table, et spécialement Eusapia, ni par la main , ni par le pied, ni par le jupon. Dans ces condit
deux opposés, faisant avec le plancher un angle de 45° peut-être. Les mains de tous les assistants (1) Courrier de Varsovie
Varsovie N° 18. s'élevaient alors au-dessus de la table, seules les mains d'Eu-sapia et des contrôleurs reposaient sur la t
s contrôleurs reposaient sur la table près des bords. Elle jouait des mains et touchait la table d'une main et d'autre tour à
able près des bords. Elle jouait des mains et touchait la table d'une main et d'autre tour à tour. » (1) Pour mesurer la dim
. Diminution de poids de 6 à 7 livres a lieu, quand le médium met ses mains sur la table; le gonflement de la robe se glisse
nnent lieu à la remarque suivante de M. Reichman : « Eusapia pose les mains sur la table ; après une longue attente la table
tants ; on recouvrait, outre cela, les deux pieds de la table par les mains . Dans ces conditions et sans aucun mouvement en a
apia ne touchait point en ce moment, diminua, sous l'influence de ses mains serrées dans l'air, la pression sur le dynamomètr
obe se gonflait, ce que j'aidais moi-même, en tenant ses plis dans ma main , mais les jambes du médium restèrent immobiles. »
une minute à peu près, appuya les coudes sur la table et promena les mains horizontalement en avant et en arriére à la haute
gourdis et lui faisaient mal, à ce moment j'ai de nouveau examiné ses mains et n'ai rien trouvé de remarquable. J'ai vu une a
ire ou parallèle par rapport au médium; les mouvements extérieurs des mains étaient identiques dans les deux cas, ainsi que l
e lumière, et permet en même temps d'exercer un contrôle passable des mains et jambes du médium, visibles dans la chambre, qu
bords du rideau qui avaient été attachés au mur, et fit de sa propre main des plis à l'aide des épingles. Elle s'assit, tou
wski est le contrôleur de droite, Dr Heryng, celui de gauche; une des mains de chacun est liée à celle du médium par une band
t que la table est trop éloignée et me prie de toucher la table de ma main pour un moment. Ceci fait (Eusapia ne change pas
un moment. Ceci fait (Eusapia ne change pas de place) elle saisit ma main , la serre convulsivement, éclate d'un rire spasmo
marquait à ce moment l'épuisement visible sur le visage d'Eusapia; la main était en sueur, et elle-même, pâle, gémissait dou
re spasmodique, Eusapia fait dans l'air un mouvement repoussant de sa main avec la mienne (puis avec celle du Dr D.) et en m
à ce que nous avons vu et ce que j'ai senti, moi, outre cela, par les mains . Chaque fois que les muscles de Mlle X.., se tend
cide. La lampe s'allumait alors momentanément et brillait tant que la main pressait le bouton, et d'autant plus clairement q
e à batterie. Je regarde Eusapia, elle reste sans bouger, je tiens la main gauche, je sens sans cesse le pied ; Swiencicki m
s pour mieux voir et sommes témoins de la manipulation suivante : une main inconnue élève le rideau de derrière, le replie d
ession du bouton, à la lumière de la fenêtre, j'ai vu l'ombre de la main pressante ; elle s'approche du côté d'Eusapia, ma
res avouent les avoir éprouvés sans pouvoir contester le contrôle des mains du médium. Ils eurent lieu plusieurs fois à trave
. Quand les assistants étaient touchés immédiatement, c'était par une main , qui était légère, fine et de chaleur normale (Al
étaient chauds, mous et petits (Dr Wroblewski); selon M. Potocki, la main qui touchait faisait l'impression d'un appareil à
. » Le Dr Harusewicz raconte : (1) « Le 14 décembre Eusapia saisit la main du D[ Matuszewski et la mienne, nous fit nous ass
nna aux attouchements dans l'obscurité complète; nous contrôlions ses mains et ses pieds par les nôtres. Le Dr Matuszewski as
dans la langue de « John » ); la table, sur laquelle nous tenons les mains , s'élève et retombe toujours, enfin je demande, e
jà senti l'attouchement, ainsi la simultanéité est presque sûre ; les mains et les pieds sont à ce moment en ordre. Je sentis
à ce moment en ordre. Je sentis la première (et la dernière) fois une main grande à doigts largement écartés me toucher au d
ppé entre les épaules, ce qu'entendirent tous les assistants, mais la main ne fut plus distincte et les doigts à peine sensi
e et les vêtements, il est alors difficile de discerner le pied de la main . L'attouchement momentané d'une ordinaire, même p
ied de la main. L'attouchement momentané d'une ordinaire, même petite main de femme avec les doigts largement écartés, dans
ement écartés, dans le dos fait également toujours l'impression d'une main beaucoup plus grande, que celle qu'on a vue ou se
les flancs, les cuisses et les épaules ; je ne fus jamais touché à la main , au visage, aux parties sans vêtements. » M. Glow
M. Glowacki parle d'un attouchement au dos, quand il tenait les deux mains , du médium dans les siennes ; M. Loth note, que l
m dans les siennes ; M. Loth note, que le médium serrait fortement la main du contrôleur avant chaque attouchement qu'il épr
appliqué l'appareil suivant pour rendre incontestable le contrôle des mains pendant les attouchements. (2). « Les mains d'Eus
ntestable le contrôle des mains pendant les attouchements. (2). « Les mains d'Eusapia furent enveloppées par des bracelets de
acelet gauche et droit plusieurs fois et avait été serré sur les deux mains à l'aide de tenailles. Les deux contrôleurs avaie
de tenailles. Les deux contrôleurs avaient le pouce et l'index d'une main enveloppés des dés de même matière et également e
l'électro-aimant d'une sonnette, que, si les contrôleurs tenaient les mains du médium à la base de la paume même le plus légè
is si quelqu'un levait le doigt ou permettait à Eusapia d'éloigner la main , elle se mettait à sonner et ne cessait pas avant
hé trois fois, Glowacki deux fois, distinctement par les doigts d'une main ; enfin moi, ayant posé la main sur l'épaule de Gl
is, distinctement par les doigts d'une main; enfin moi, ayant posé la main sur l'épaule de Glowacki, je fus touché par les c
s ; le médium ne pouvait pas toucher les deux contrôleurs d'une seule main , l'un des doigts, l'autre de la paume, car ses do
a éprouvé plusieurs fois les attouchements, quand il tenait les deux mains du médium dans les siennes et que les deux jambes
mbrassaient une des siennes. Il a vu également très distinctement une main grande et gauche saisir la main de Prus-Glou-wack
a vu également très distinctement une main grande et gauche saisir la main de Prus-Glou-wacki au moment où ce dernier tenait
la main de Prus-Glou-wacki au moment où ce dernier tenait lui-même la main gauche du médium, dont les deux mains étaient d'a
où ce dernier tenait lui-même la main gauche du médium, dont les deux mains étaient d'ailleurs visibles et contrôlées. Ce fai
lées. Ce fait fut observé par 5 personnes à la clarté suf-lisante. La main qui touchait, qu'on avait vue aussi à Milan, plan
emblait luire légèrement. » Le fait de pareille matérialisation des mains est rapporté encore par MM. Prus-Glowacki et Ocho
mpe était affaiblie, mais permettait de distinguer les visages et les mains desassistants. La lampe électrique, placée derriè
l'ouverture du rideau, au-dessus de la tête d'Eusapia, se montre une main , d'abord indistincte et comme estropiée, puis gra
omme estropiée, puis graduellement à formes finies d'une assez grande main d'homme. Une fois se montre une autre main, beauc
finies d'une assez grande main d'homme. Une fois se montre une autre main , beaucoup plus petite, tenant un petit fichu de b
sistants : il est myope), il se plaça plus près du rideau, posant les mains sur les épaules de M. Ochorowicz. « A ce moment,
es de M. Ochorowicz. « A ce moment, comme j'ai vérifié à l'aide de la main , les deux jambes d'Eusapia sans chaussures, seule
re le rideau un objet de couleur claire, qui ressemblait à une petite main , dont l'avant-bras était nu et la paume, comme fe
ues secondes. Alors, très étonné et ému, j'ai demandé à toucher cette main ; trois coups de table (qui était derrière le rid
affirmativement, et Eusapia d'une voix altérée m'ordonna de tenir la main au-dessus de sa tête. Je me suis approché du ride
au-dessus de sa tête. Je me suis approché du rideau, j'ai pris de ma main gauche l'épaule droite d'Eusapia (Ochorowicz lui
ma main gauche l'épaule droite d'Eusapia (Ochorowicz lui tenait cette main ), j'ai tiré ma main droite à 3 pouces au-dessus
ule droite d'Eusapia (Ochorowicz lui tenait cette main), j'ai tiré ma main droite à 3 pouces au-dessus de la tête d'Eusapi
rès sortit du côté droit d'Eusapia, lentement et horizontalement, une main gauche d'homme, serra ma main de ses trois doigts
apia, lentement et horizontalement, une main gauche d'homme, serra ma main de ses trois doigts, tira légèrement mes doigts e
retira lentement derrière le rideau. Les assistants crièrent : « une main , une grande main ! » C'était une main complètemen
derrière le rideau. Les assistants crièrent : « une main, une grande main ! » C'était une main complètement vivante : de fo
Les assistants crièrent : « une main, une grande main ! » C'était une main complètement vivante : de forme oblongue, de coul
ki : (2) « Entre autres, j'ai entendu les sons d'une harmonie tirée à main , que l'on ne pouvait mettre en mouvement qu'à l'a
e à main, que l'on ne pouvait mettre en mouvement qu'à l'aide de deux mains . L'instrument s'approcha de moi et jouait, suspen
es pupilles se dilatent, la voix s'altère ; elle perd contenance, les mains deviennent froides ; si elle est debout, les jamb
ont débuté en 1888. Il s'aperçut en servant un de ses clients que sa main tremblait. Pris de peur, il demanda à s'absenter
té un alcoolisme latent et atténué, mais suffisant pour lui rendre la main moins sûre. Le léger tremblement de main l'a inqu
suffisant pour lui rendre la main moins sûre. Le léger tremblement de main l'a inquiété, il s'est demandé si sa réputation d
resta si longtemps suspendue en l'air, qu'on put passer librement la main sous ses pieds pour constater qu'elle ne touchait
r la nôtre. Ma voisine fut légèrement heurtée ; et quand je tendis la main pour en reconnaitre la cause, je constatai qu'ent
a table, sans aucun bruit, à une personne assise, même ayant les deux mains délivrées. Aurait pu le faire, et nécessairement
ins délivrées. Aurait pu le faire, et nécessairement à l'aide de deux mains , un homme qui aurait non seulement une grande lib
'une lampe à pétrole. Il s'est montré au-dessus de la table entre les mains du médium qui reposaient sur la table, presque au
le, presque au milieu, avec celles des contrôleurs. La distance d'une main du médium à l'autre était peut-être d'un pied ou
le à la hauteur de nos têtes à peu près, quand je tenais moi-même une main du médium, et l'autre contrôleur affirmait tenir
ême une main du médium, et l'autre contrôleur affirmait tenir l'autre main . En fouillant Eusapia plusieurs fois très scrupul
et le médium étions debout autour de la table, en tenant sur elle les mains unies en chaine ; ma main droite était embrassée
autour de la table, en tenant sur elle les mains unies en chaine ; ma main droite était embrassée par la main gauche d'Eusap
lle les mains unies en chaine ; ma main droite était embrassée par la main gauche d'Eusapia au bord de la table ; ma main ga
était embrassée par la main gauche d'Eusapia au bord de la table ; ma main gauche avec la main du voisin reposait sur la tab
la main gauche d'Eusapia au bord de la table ; ma main gauche avec la main du voisin reposait sur la table, presque au milie
ts après mes paroles, à la hauteur de 6-8 centimètres au-dessus de ma main gauche, apparut une pareille étincelle dorée et,
t que, malgré l'obscurité, j'aurais pu, dans ces conditions, voir une main dans l'air, comme je l'ai vérifié ensuite. » La d
n nuage de couleur bleuâtre-claire, qui avait le contour d'une grande main avec la manchette, puis de la partie inférieure d
à Eusapia et autres assistants, je suis persuadé que ce ne fut ni la main ni la tête de quelqu'un des assistants. » (Szadko
us pûmes constater que sa forme s'approchait lentement de celle d'une main . » M. Siemiradzki laisse à entendre que le nuage
t Barriera me servirent d'aides. Je fis, après asepsie minutieuse des mains et de la région malade, l'incision classique oval
anesthésie fut complète. L'opération avait été pratiquée lentement, à main reposée. L'œil, sans contention d'aucune sorte, s
nt, le bras droit devint paralysé en entier, dans la demi-flexion, la main contracturée. Quelques jours après, il se produ
racturée. Quelques jours après, il se produisit un gonflement de la main , du genou et de la cheville du côté droit. Ce gon
x mois. Pendant ce temps le bras-était insensible au toucher, mais la main et les articulations étaient le siège de douleurs
de ce jour-là, il se produisit un nouveau gonflement du bras et de la main , mais ce gonflement était excessivement douloureu
en même temps que le gonflement, disparut la douleur du bras et de la main . Le cas de cette malade était multiple ; il y a
, il y a cinq ans, la désarticulation complète du petit doigt de la main droite, à la suite d'un traumatisme. Ce sujet est
Maury, l'abbé Duquesnel, H. Taine, Ribot, que Baillarger a décrit de main de maître la Paralysie générale des aliénés, et l
pas tout à fait distinctement, les traits du visage du médium et les mains , se trouve le suivant: le médium écrit, sur le pa
reau. Evidemment, le résultat était nul ; mais, quand Eusapia posa sa main gauche sur celle du médecin qui écrivait, sans to
ns (2). » — « Assis dans l'obscurité à coté d'Eusapia et touchant ses main et jambe gauches, je sentis quelque chose gratter
ur ma manche; m'étant levé de la table, je vis sur la manchette de la main droite quelques zigzags informes, faits probablem
es assistants un signe rouge, en faisant à la lumière un mouvement de main à la distance de 2 aunes. » (Matuszewski) (3).
écanique ; une seule fois il l'? senti de deux côtés, une fois sur la main droite, une fois sur la main gauche ; une seule f
l'? senti de deux côtés, une fois sur la main droite, une fois sur la main gauche ; une seule fois sentit le souffle, en mêm
» (p. 6) : « J'ai senti distinctement, mais pas à chaque séance ; aux mains rarement et faiblement ; le plus fort souffle au
âne blessé. « Le Dr Watraszewski (ibidem). « Eusapia leva une fois ma main au-dessus de la moitié gauche de sa tête, et je s
ement des phénomènes. M. Bron. Reichman écrit (2) : « Eusapia prit ma main échauffée et couverte de sueur et la promena au-d
rerait peut-être. Mais il n'en fut rien. Le même jour Eusapia tint ma main au-dessus de sa tête, mais je ne sentis plus aucu
autres (4) : « Chaque fois qu'après la transe je donnais à Eusapia ma main avec une petite boule de papier cachée entre les
le lumière, le médium affirmait avoir l'impression du contact de deux mains ; par conséquent, elle avait le sentiment d'un ob
Varsovie, N° 62. et lui prenant, comme je le fais ordinairement, la main de ma main droite (où j'avais caché entre les doi
° 62. et lui prenant, comme je le fais ordinairement, la main de ma main droite (où j'avais caché entre les doigts le papi
soudain un mouvement et, regardant d'un œil égaré alternativement ma main et la sienne, s'écria avec l'expression du plus g
avec l'expression du plus grand étonnement et effroi, en retirant sa main : « Qu'est-ce que c'est que ça? où est votre deux
etirant sa main : « Qu'est-ce que c'est que ça? où est votre deuxième main ? » Quand je lui démontrai que cette deuxième mai
est votre deuxième main ? » Quand je lui démontrai que cette deuxième main ne la touchait point, elle m'assura, avec un éton
nement encore plus grand, qu'elle avait distinctement senti une autre main qui la touchait avec la mienne. Pour contrôler ce
ce qui était pour moi tout à fait inattendu, je mis mon herbe dans ma main gauche et touchai Eusapia de ma main droite; l'im
ttendu, je mis mon herbe dans ma main gauche et touchai Eusapia de ma main droite; l'impression dés deux mains disparut, mai
in gauche et touchai Eusapia de ma main droite; l'impression dés deux mains disparut, mais elle réapparut quand je pris la ma
ression dés deux mains disparut, mais elle réapparut quand je pris la main d'Eusapia par ma main gauche, dont les doigts cac
disparut, mais elle réapparut quand je pris la main d'Eusapia par ma main gauche, dont les doigts cachaient alors le papier
ré, s'assit sur un sopha, s'inclinant en avant ; moi, près d'elle, la main gauche tendue de façon à pouvoir l'approcher de s
e les doigts. Elle se tut, ouvrit largement les yeux, et regardant ma main , s'écria : — Qu'est-ce que c'est que ça ? j'ai l'
que ça ? j'ai l'étrange impression, comme si en même temps une autre main , una mano vaporosa, me touchait et jouait des doi
je choisis une des enveloppes préparées par mon ami et la mis sous la main du médium assis à une petite table en compagnie d
tion de ces derniers phénomènes, qu'il a toujours vus se produire les mains du médium touchant la table, est bien courte et s
gauche, mais comme celui des genoux; assis du côté droit, je posai ma main sur les rotules d'Eusapia ; elle les poussa un pe
Eusapia fait d'abord balancer la table ; et elle le fait à l'aide des mains , ce que chacun peut voir. Puis elle délivre son p
re son pied gauche et le met (couvert du gonflement de la robe : « la main de John » ) sous le pied gauche de la table élevé
a table élevé pendant les balancements. Ayant ainsi la table entre sa main gauche et son pied gauche, elle la presse de la m
a table entre sa main gauche et son pied gauche, elle la presse de la main , ce qui fait que la table se trouve comme entre l
les. C'est pourquoi la table s'élève, quoique Eusapia la presse de sa main en bas. J'ai exécuté l'expérience de cette manièr
ière le rideau, Eusapia se retournait sur la chaise et tenait dans sa main la main du contrôleur, la promenant en avant et e
rideau, Eusapia se retournait sur la chaise et tenait dans sa main la main du contrôleur, la promenant en avant et en arrièr
arrière; cela pouvait lui faciliter le dégagement de la jambe (car la main du contrôleur reposait précédemment sur son genou
son corps s'inclina alors à droite. 3° J'ai constaté, en tâtant de ma main gauche, qu'un moment avant le mouvement de la tab
fectuer ses productions. — D'ailleurs, le Dr Dunin, au moment où « la main de John » lui approchait les lunettes enlevées à
de John » lui approchait les lunettes enlevées à un voisin, saisit la main d'Eusapia. » — M. Ochorowicz (N° 23), ajoute là-d
t pour qu'il ne la gênât. — Quant aux lunettes, le Dr Dunin saisit la main d'Eusapia avec celle d'un des contrôleurs, le Dr
s, le Dr Mayzel, et les deux contrôleurs affirmaient n'avoir lâché la main d'Eusapia pas un seul moment. » Les mouvements de
« Et maintenant, Messieurs, permettez-moi de délivrer la jambe, ou la main »; le deuxième (N° 14), appelle ses expériences a
Ayant remarqué que, dans l'expérience aveG la sonnette à Varchel, les mains d'Eusapia avançaient et reculaient avec un parall
sans tenir dans les doigts quelque chose tendue qui ne permet pas aux mains de s'éloigner, et que la sonnette s'ébranla au mo
sonnette s'ébranla au moment où la ligne unissant les doigts des deux mains atteignit son bord antérieur, et se balançait com
voir, faute de lumière suffisante. « Une fois, Eusapia fit passer ses mains de l'autre coté de l'archet; mais la sonnette s
oté de l'archet; mais la sonnette se taisait. Elle retira alors les mains , approcha les doigts et faisait de ceux de la mai
retira alors les mains, approcha les doigts et faisait de ceux de la main droite des mouvements, comme si elle tâchait de s
es mouvements, comme si elle tâchait de saisir un cheveu tenu dans la main gauche. Ensuite elle approcha de nouveau les main
cheveu tenu dans la main gauche. Ensuite elle approcha de nouveau les mains de l'archet, sans plus dépasser la ligne de l'arc
ché le cheveu et dut le chercher ensuite. — Une autre fois, ayant les mains plus éloignées qu'ordinairement, elle dépassa la
dinairement, elle dépassa la ligne de l'archet, derrière laquelle les mains s'approchèrent : naturellement, cela dut se produ
faire sonner, mais elle ne fit que bouger légèrement. Elle retira les mains , raccourcit le cheveu tenu en jouant des doigts,
ligne du bord antérieur de la sonnette. — Eusapia portait souvent la main à la tête ; une fois elle était probablement trop
en avant que la sonnette fut à Tordre du jour. Quand nous tenions ses mains , elle ne se mouvaient pas parallèlement et la son
rment avoir constaté, en passant les "doigts entre la sonnette et les mains d'Eusapia, l'absence d'un cheveu ou de quelque ch
lque chose de pareil ; le Dr Harusewicz ajoute que les mouvements des mains d'Eusapia étaient égaux des deux côtés de la lign
e réussissaient pas ; le médium se leva, sortit, puis revint, mit ses mains pour un certain temps dans un bain d'eau froide,
ait comme « sympathique », de se placer derrière elle et démettre les mains sur ses épaules : cela devait la fortifier par un
ses épaules : cela devait la fortifier par un fluide. Eusapia posa sa main droite sur la gauche ; elle écarta les doigts de
apia posa sa main droite sur la gauche ; elle écarta les doigts de la main gauche, qui reposait sur la planchette ; la main
rta les doigts de la main gauche, qui reposait sur la planchette ; la main droite était disposée au-dessus de la gauche, de
ient approchés et placés entre les deuxième et troisième doigts de la main gauche (Heryng). La planchette s'éleva. Son bord
ris d'un soupçon, inclinai la tète et regardai attentivement sous les mains . La main s'approchait et s'éloignait de la planch
oupçon, inclinai la tète et regardai attentivement sous les mains. La main s'approchait et s'éloignait de la planchette ; pu
t éloigné de 1/2 cent, de la planchette. Eusapia se mit à balancer la main en haut et en bas. Comprenant que ces mouvements
destinés à enfoncer l'aiguille dans la planchette, je lui saisis les mains de ma main droite. J'espérais que deux autres per
enfoncer l'aiguille dans la planchette, je lui saisis les mains de ma main droite. J'espérais que deux autres personnes m'ai
. J'espérais que deux autres personnes m'aideraient à immobiliser les mains d'Eusapia, mais elles ne se sont pas assez vite o
e de leur faire auparavant un signe. Eusapia arracha momentanément sa main droite, dont elle tenait justement le bout supéri
nait justement le bout supérieur de l'aiguille entre les doigts de la main gauche, et fit un mouvement violent en arrière, v
M. S... Elle jouait la comédie, lorsqu'elle ne voulait pas ouvrir la main gauche, qui était vide. Pour vaincre mes soupçons
qu'à la planche supérieure. Il s'agissait, pour Eusapia, de poser les mains sur la surface supérieure de la grande planche et
icz, pour le libre passage de Pair ou pour la matérialisation de « la main de John ». Eusapia fit apporter « la machine » da
ande à M. Reichman pourquoi, étant contrôleur d'Eusapia, et tenant sa main dans la sienne, il n'a pas saisi le fil, qu'il en
ait encore remarquer qu'Eusapia n'a pas, pour un moment, eu entre les mains l'appareil, qui, apporté par le menuisier, fut im
ée sur une table voisine, à la lumière suffisante, il tenait les deux mains d'Eusapia dans ses mains, sur la planche, et aprè
à la lumière suffisante, il tenait les deux mains d'Eusapia dans ses mains , sur la planche, et après 8-10 minutes, Eusapia d
et après 8-10 minutes, Eusapia déclara sentir un vent froid dans les mains , un engourdissement dans les doigts, et la sonnet
être un homme riche avec des biens étendus et dont on recherchait la main , devint, un jour, archevêque et empereur sous la
médicaments employés aujourd'hui avec tant de profusion? Entre les mains d'un médecin expérimenté, l'hypnotisme ne fait pa
losophie à ceux qui en manquent. » Les meilleures choses, entre des mains inexpérimentées ou malveillantes, peuvent comport
s : A ta piqûre : hémianesthésie du côté droit, sauf à la paume de la main et à la plante du pied ; au contact, même distrib
les de la famille des nerveux en question. Quand, une baguette à la main , Dupotet, qui se croyait en ceci magicien, faisai
l se produisit, chez Tune, une rougeur vive au point de la peau de la main mis en contact du poêle, et chez l'autre, à peu p
attouchements des assistants. Il affirme qu'ils sont exécutés par la main du médium délivrée de contrôle, et donne la descr
nte de cet artifice (N° 18): « Ayant senti l'absence momentanée de la main d'Eusapia sur la mienne, lorsque j'exerçais le co
ivante des phénomènes : Eusapia exécutait, comme ordinairement, de sa main sur la mienne, divers mouvements, et'il arriva en
divers mouvements, et'il arriva enfin un moment, où je n'avais sur ma main que les bouts de ses doigts, qui jouaient comme s
ttouchement, puis un court moment où je ne sens pas les doigts sur ma main , et enfin je sens les doigts, qui ont un autre to
ts, qui ont un autre toucher, beaucoup plus froid, et qui touchent ma main par une surface toujours croissante jusqu'à ce qu
a main par une surface toujours croissante jusqu'à ce que je sente la main tout entière sur la mienne. — Je m'explique donc
entière sur la mienne. — Je m'explique donc les attouchementa de la « main de John » de la manière suivante : Eusapia tient
enta de la « main de John » de la manière suivante : Eusapia tient sa main sur la mienne ; manipulant de diverses façons, el
ne laisse que les doigts ; elle en joue, les lève et ne laisse sur ma main que les bouts. Pendant les premières manipulation
que les bouts. Pendant les premières manipulations, elle approche les mains des contrôleurs, elle peut donc laisser sur la ma
lle approche les mains des contrôleurs, elle peut donc laisser sur la main du contrôleur de droite sa paume, ou lui donner à
ur la main du contrôleur de droite sa paume, ou lui donner à tenir sa main , un peu avant la paume, et remplacer par les doig
sa main, un peu avant la paume, et remplacer par les doigts de cette main droite les doigts de sa main gauche sur la main d
me, et remplacer par les doigts de cette main droite les doigts de sa main gauche sur la main du contrôleur de gauche, qui n
r les doigts de cette main droite les doigts de sa main gauche sur la main du contrôleur de gauche, qui ne peut point distin
rôleur de gauche, qui ne peut point distinguer les uns des autres. La main gauche, ainsi délivrée, frappe le contrôleur ou l
tire sa chaise, et puis retourne sur la table. Alors les doigts de sa main droite quittent la main du contrôleur de gauche ;
retourne sur la table. Alors les doigts de sa main droite quittent la main du contrôleur de gauche ; il y a un intervalle tr
ès court où il n'y a point de doigts, puis les bouts des doigts de la main gauche remplacent ceux de la droite, et, en jouan
emplacent ceux de la droite, et, en jouant, Eusapia pose peu à peu sa main entière sur celle du contrôleur. — Je ne pourrais
lle du contrôleur. — Je ne pourrais pas dire si je n'avais pas sur ma main les doigts de la main de l'autre contrôleur, au l
e ne pourrais pas dire si je n'avais pas sur ma main les doigts de la main de l'autre contrôleur, au lieu de ceux de l'autre
s doigts de la main de l'autre contrôleur, au lieu de ceux de l'autre main d'Eusapia ; les expériences avec plusieurs person
m'en montrèrent la possibilité. — Les doigts qui retournaient sur la main du contrôleur étaient plus froids, grâce à l'évap
les mouvements d'une table éloignée ; les attouchements, lorsque les mains du médium sont contrôlées à l'aide d'une disposit
ue, la lumière d'une lampe électrique éloignée; la matérialisation de main ; divers sons; la lévitation du médium sur la tab
appant sur les barreaux un coup brutal avec la canne qu'il tient à la main . Il entre résolument, brusquement et frappe à tor
et se mutiler, les Tissaouas dansent et crient; ils marchent sur les mains et les genoux et imitent les mouvements de la bét
re longue et brillante..., un vêtement blanc comme neige.., tenant en main un cierge blanc fort grand et fort gros et fort a
nc fort grand et fort gros et fort allumé. » Saint Joseph appliqua la main sur le « côté droit » de la mourante et y fit une
la supériorité musculaire des extrémités gauches sur les droites (la main droite au dynamomètre 45, la main gauche 50), quo
rémités gauches sur les droites (la main droite au dynamomètre 45, la main gauche 50), quoique Eusapia ne soit pas gauchère.
intervalles, les extrémités sont presque inertes; si on lui élève la main , elle retombe par son propre poids. Mais il n'en
es ou défavorables partant des assistants, au simple contact de leurs mains ; ainsi le Dr Higier a été systématiquement le pl
r, qu'en effet un contact du genou avec la table a eu lieu, ou que la main a effectivement frappé un assistant. D'autre part
ncement de la séance, Eusapia permet aux contrôleurs de lui tenir les mains et de mettre leurs pieds sur les siens; mais bien
, sous prétexte de pression démesurée, elle met elle-même ses propres mains et pieds sur ceux des contrôleurs et rend ainsi l
e rester debout derrière elle, ni de s'asseoir de côté et de tenir la main (1) La Voix, n° 7. sur ses genoux, disant que
alement du côté étroit de la table, ce qui lui permet d'approcher les mains et les pieds des deux contrôleurs et d'employer l
lles détournent l'attention, qu'elles gênent le contrôle à l'aide des mains et qu'elles peuvent servir à masquer des bruits p
aroxysmes hystériques pourraient servir de prétexte pour délivrer les mains et les pieds qui entrent alors en mouvement. Enfi
u'on trouvât quoi que ce soit de suspect. Les assistants mirent leurs mains sur la table; le médium, M. Szydlowski, se tenait
des spirites. M. Szydlowski, assis sur une petite banquette, eut les mains fortement attachées à l'aide de fortes cordes; le
ement retroussées jusqu'aux coudes. Les assistants, se tenant par les mains et formant chaine, entourèrent le médium qui les
rvation sous le nom d'hypnotisme. M. Podmore a fait son livre d'une main de maître: et, chose qui ajoute considérablement
rfois il se donnait la peine d'écrire sa leçon en entier de sa propre main . La leçon, une fois écrite, Charcot se gardait bi
pétence de la plupart des professeurs libres. Ceux-ci, à un âge où la main est capable d'acquérir de la dextérité, et où le
contre quelqu'un et de la précipiter à sa rencontre, le couteau à la main ; j'ai déplacé en elle le sentiment de l'amitié,
eaunis... est de la plus absolue exactitude. Le somnambule, entre les mains de son hypnotiseur, est mieux que le cadavre auqu
Oui, c'est vrai, mais j'en avais envie. Dites, avez-vous jamais eu en main une aussi belle orange? Elle m'a donné dans l'œil
changerait pas de caractère parce que le magnétiseur aurait mis en la main de celui-ci* par erreur ou avec mauvais dessein,
voie M. P... baignant dans son sang, c'est plus que douteux; j'ai les mains pleines de faits qui prouvent que les somnambules
nt la tête, une douleur très vive entre les épaules, les pieds et les mains sont toujours froids, et tout la porte à pleurer.
; « 2° Après avoir reçu l'argent, se désinfecter immédiatement les mains avant de quitter la chambre du malade ; « 3° Re
a chambre du malade ; « 3° Rentré chez soi, se laver de nouveau les mains , stériliser le porte-monnaie et les pièces métall
nt nerveux, une peur effroyable de microbes, ou bien le contact de sa main avec des billets de banque lui procure une sensat
dont elle regardait les deux prétendus voleurs et leur arrachait des mains les journaux, avait quelque chose de si voulu, de
ne fait pas agir les muscles appropriés. Si on lui impose de tenir sa main ouverte, il ne songe pas à faire agir les muscles
s spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le bras ou à lui fermer la main , ils se heurtent à une résistance énergique. On
vais su à l'avance comment il tournerait, j'aurais pris l'arme de ses mains et annoncé que j'allais tirer moi-même, pour voir
s charlatans exploitaient cette branche de la science, qui dans leurs mains était devenue une branche lucrative d'industrie.
a question est donc restée entière et il faut la résoudre la loi à la main . D'ailleurs, les tribunaux ont le droit de puis
e, s'est approché de lui, dissimulant un couteau qu'il tenait dans la main , et lui en a porté un coup violent dans le flanc
dans le flanc gauche. Fort heureusement, un surveillant fit dévier la main du meurtrier, et la lame du couteau ne put pénétr
ayant fait croire qu'au Heu d'une montre il y en avait deux dans les mains de l'expérimentateur, le somnambule invité à choi
ce. Le patient était quelque peu agité pendant les suggestions. Ses mains et ses pieds remuaient fréquemment. Je lui fis
qu'il pouvait impunément prendre des bains fréquents, et se laver les mains librement. Le jour suivant, la démangeaison ava
démangeaison avait cesse, et le malade avait dormi toute la nuit les mains non enveloppées. On fit les suggestions tous le
gistes furent laissés de côté, et l'enfant mis complètement entre mes mains . La mère m'avait dit que son fils était incapab
de 68 ans demande quelque soulagement à un eczéma du cuir chevelu des mains et des pieds qui dure depuis huit ans. La déman
on intolérable. La forme écailleuse de l'affection était confinée aux mains et aux pieds. Les dermatologistes avaient aband
la traitais trois fois par semaine. Après quatre séances, l'état des mains s'était tellement amélioré que je crus pouvoir as
t: Je suis venue vers vous souffrant d'un eczéma du cuir chevelu, des mains et des pieds, j'étais sans sommeil et complètemen
rum partialis, affectant spécialement le cuir chevelu, le visage, les mains et les pieds. Visage très .coloré, démangeaison i
pieds. Visage très .coloré, démangeaison intense du cuir chevelu; les mains , spécialement la paume, épaissies de manière à fa
t la face devient moins rouge. Prescriptions d'huile de coco pour les mains . Peu à peu, les poussées d'eczéma deviennent moin
a deviennent moins fréquentes ; la démangeaison cesse. L'eczéma des mains et des pieds disparait, ainsi que les profondes c
des pieds disparait, ainsi que les profondes crevasses des paumes des mains , qui perdent leur raideur et dont la malade peut
je les ronge sans en avoir conscience. Lorsque je m'aperçois que mes mains sont dans ma bouche, il est trop tard, le mal est
l, les deux avant-bras reposant sur les appuis du siège, je saisis la main et le poignet du sujet et je les maintiens solide
m'adresse alors au malade et lui dis : « Essayez donc de porter votre main à votre bouche et de vous ronger les ongles. — Vo
voyez que vous ne le pouvez pas. — La pression que j'exerce sur votre main est un obstacle que vous ne pouvez vaincre. — Eh
squelles l'habitude se renouvelle surviendront, vous éprouverez en la main la même sensation de pression que vous ressentez
tra lourd à soulever. Celte fois, la résistance sera créée non par ma main , mais par votre propre cerveau dans lequel je cré
» Je répète cet exercice à plusieurs reprises, pour l'une et l'autre main , et la séance est terminée. Trois jours après,
t pas porté ses doigls une seule fois à sa bouche. Chaque fois que sa main s'était soulevée automatiquement, il avait nettem
t de démontrer. Voici l'expérience : Le docteur Bérillon prend la main et le poignet du patient et les retient solidemen
trop solidement votre bras ; — vous n'êtes plus libre de porter votre main à votre bouche. — Eh bien! chaque fois que l'idée
médical, l'intéressante note qui suit : « Le hasard m'a mis sous la main le numéro de février d'une publication religieuse
ompagnées d'une musique bruyante composée de chants, de battements de mains et de roulements de tambour, « Ces concerts à mes
que mal, que je le trouvais au comble de l'énervement. Je lui pris la main pour examiner le pouls, qui était très rapide, et
sur ses yeux un bandeaudoublé d'une épaisse couche de ouate, prit ma main droite qu'il appuya fortement avec la sienne sur
nsi les tressaillements, contractions plus ou moins conscientes de la main , qui, dans certains jeux de salon, aident la pers
l'induit non seulement pense mais exécute ce mouvement, le bras ou la main de l'induit agissant comme s'il appartenait à l'i
ion motrice visuelle, l'inducteur ferait mentalement, sans remuer les mains , le geste d'applaudir ; et l'induit verrait des m
sans remuer les mains, le geste d'applaudir ; et l'induit verrait des mains applaudir, etc., etc. On peut imaginer ainsi to
ans qu'il y ait communication entre l'inducteur et l'induit. Si leurs mains se touchent en effet, l'inducteur finit par dirig
celle-ci : « de temps en temps » il presse contre sa tempe gauche la main droite de l'inducteur. N'est-ce pas un moyen de d
nt, tomber sur le sol une dizaine de sujets endormis se tenant par la main . Il y en avait quelquefois parmi eux, ainsi que l
nt sur les quatre membres et le cou, le tronc, le cou et la tête. Les mains sont fortement fléchies; les pouces en adduction
e l'état mental et des ressources psychologiques du malade. Entre des mains compétentes, l'hypnotisme ne constitue pas seulem
nt ramassée absolument ivre dans le ruisseau. Elle tenait encore à la main un litre renfermant au fond une liqueur nauséabon
me, un demi cercle qu'il parcourait au début. Celui qui lui tenait la main , avait reçu la double recommandation : Première
ées de l'école cum-berlandiste. Ceux-là se font généralement poser la main du sujet sur le front, ou bien ils la prennent da
oser la main du sujet sur le front, ou bien ils la prennent dans leur main en appliquant le doigt sur le pouls. Souvent il
es personnes nerveuses; un autre s'improvise guide. Le guide prend la main du médium qui a les yeux bandés, ou bien lui pose
nd la main du médium qui a les yeux bandés, ou bien lui pose les deux mains sur les épaules en se mettant derrière lui. Avec
ar exemple, d'avancer de quelques pas dans une direction; de lever la main vers un objet, de s'incliner devant quelqu'un.
xprès tous ces mouvements brusques dans toutes les directions, car la main de mon guide, que je sens continuellement résiste
é dans une direction donnée par un guide quelconque, lui appuyant les mains sur les épaules ou lui tenant la main, il est cla
e quelconque, lui appuyant les mains sur les épaules ou lui tenant la main , il est clair que, sauf la suggestion mentale qui
lques cas de média plus sensibles, ce sont des petites poussées de la main du guide, se produisant dans la direction visée,
sous l'influence des mouvements inconscients et infiniment petits des mains qui reposent sur elles. Si nous nous élevons main
dans cette région. En effet, c'est aux pieds, première en ligne, aux mains , au territoire innervé par le trijumeau, que l'hy
elle L... des environs de Narbonne, âgée de onze ans, fût mordue à la main droite par un chien dans la cour du couvent où el
andonne, le bras reprend sa position en formation, l'avant-bras et la main légèrement fléchis. Avec l'aide de sa main gauc
mation, l'avant-bras et la main légèrement fléchis. Avec l'aide de sa main gauche et en inclinant la tète du côté droit, l
7 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
principalement à droite. La pression dynamométrique est de 9 pour la main droite et de 20 pour la main gauche. L'achromat
pression dynamométrique est de 9 pour la main droite et de 20 pour la main gauche. L'achromatopsie est complète pour les d
les tourmente. Elles renversent et brisent ce qui se trouve sous leur main . Cette agitation,accompagnée de grands cris, a
l est difficile d'imaginer la violence. Elle réussit à s'échapper des mains des infirmières, s'élance dans la cour, et là se
lle s'arme de courage, se lève, va au-devant du fantôme. Elle tend la main , mais il a déjà disparu. A peine est-elle de re-t
agnes, morte depuis un an, venait pour la chercher, et lui posait ses mains glacées sur le visage. Elle voyait aussi le cortè
pour signe précurseur une sensation de froid et une décoloration des mains et du bout des doigts. Une jeune fille de vingt
précurseurs une sensation subjective de froid et une décoloration des mains et du bout des doigts. Les deux mains deve-naient
e froid et une décoloration des mains et du bout des doigts. Les deux mains deve-naient très pâles, le bout des doigts et les
doigts et les ongles d'un bleu foncé ; la ma-lade ressentait dans les mains un froid désagréable, leur température qui était
66. Après la fin de l'attaque hystéro-épileptique, la température des mains remontait à 35°,6 ou 35°,8, la chaleur reparaissa
tion notable de température sur le côté du corps hyperesthésié ; à la main , il y avait 35°,5,une fois même 36°,1, au lieu de
l'ap-parition des symptômes décrits plus haut, pâleur et cyanose des mains et du bout des doigts. Dès que ces symptômes se m
ue ces symptômes se manifestaient, l'hyperesthésie di-minuait, et aux mains , outre le refroidissement appréciable que nous av
approche de l'attaque. Vers la fin de l'attaque, si l'on touchait les mains ou les doigts, ils s'écartaient par un mouvement
omb dans le bras. » Au dyna-momètre elle marque six divisions avec la main droite, tandis qu'avec la main gauche elle attein
ètre elle marque six divisions avec la main droite, tandis qu'avec la main gauche elle atteint jusqu'à vingt et une. La dé
bes. Elle a des secousses clans les deux jambes et le bras gauche. Sa main gauche est prise d'un petit tremblement dont parf
voisines. Ses doigts se crispent par instants. La nuit elle tient sa main gauche avec sa main droite pour s'endormir. La
s se crispent par instants. La nuit elle tient sa main gauche avec sa main droite pour s'endormir. La contracture est très
ntracturées dans l'extension, le bras droit dans une demi-flexion, la main reposant sur l'abdomen, comme il est représenté f
nté figure 6. Marc... a le bras droit fléchi, le poignet fléchi, la main au niveau de l'épaule et les doigts étendus, (fig
un point de repère. Vers la partie moyenne de cette crête rigide, la main rencontre le plus souvent un corps ovoïde, allong
elligence s'obscurcit, elle sent sa tête qui se tourne adroite et ses mains qui se crispent douloureusement. Au même moment l
ent à toute volée ». L'anesthésie cutanée est complète à droite, la main droite peut à peine serrer. Du côté gauche la sen
e serrer. Du côté gauche la sensibilité existe à un faible degré ; la main gauche, tout en ayant plus de force que la droite
durée de cette première période de l'attaque, et nous avons entre les mains un moyen sûr et facile de s'en rendre un compte e
de pronation avec flexion du poignet, le pouce, contre la paume de la main , est recouvert plus ou moins par les doigts forte
is; puis les bras s'élèvent, le coude se fléchit ensuite, ramenant la main au niveau de la figure, et le membre tout en-tier
. Phase tonique. Grands mouvements toniques des membres inférieurs. mains passent successivement devant la figure. Le poign
la figure. Le poignet est fléchi, et les trois premiers doigts de la main , pouce, index et médius, sont étendus et écartés,
tation en dehors, le poignet fléchi, le poing fermé; parfois les deux mains , ramenées Fig. 21. Phase tonique. Attitude téta
» gutturaux. Les bras—Je poignet fléchi, le pouce dans la paume de la main passant entre les doigts fermés — se fléchissent,
la main passant entre les doigts fermés — se fléchissent, amenant la main jusqu'au niveau de la face, le coude élevé, et s'
remarque un mouvement qu'elle répète assez souvent, et par lequel la main se meut circulairement dans un plan vertical. Les
ne peut longtemps soutenir la lutte. Tout d'un coup elle supplie; ses mains sont jointes, ses bras tendus en i.Il paraît qu
e je dois vous servir aussi... Vous allez m'étouffer en me mettant la main sur la bouche! » Et, fait curieux qui indique a
. tuer. Puis elle se met sur son séant, se cache le visage dans les mains et déplore sa destinée : « Ah! malheureux paren
sse des cris lamentables, appelle au secours et tend vers Marc... des mains suppliantes. Une sorte de balustrade la sépare de
aiser bien Fig. 66. — Attitude passionnelle. discret, donné de la main droite, montrent que l'idéal qui l'ab-sorbe n'a r
ais! ils lui font mal! » Elle pleure en se cachant le visage de ses mains ... « MonDieuL. le sang coule!.....» Puis elle a
t à genoux ou assise sur son lit, l'œil au ciel, un doigt levé ou les mains jointes. Elle demeure ainsi complètement absorbée
Ils sont disparus! » Puis elle retombe affaissée, le visage dans ses mains . « C'est affreux!., répète-t-elle. » Puis les s
estionnée sur la nature de son délire, elle se cache le visage de ses mains et ne répond qu'avec peine. Elle dit que ce n'est
la préoccupation de son esprit : « Thérèse!... tu viens me placer tes mains froides sur la figure... Je te reconnais bien...
la plus grande frayeur. Mais bientôt elle se cache la figure de ses mains , et se répand en pleurs abondants (fig. 80). Elle
pas ma faute si c'est son amant... » Elle se cache la figure dans ses mains , pleure... puis sa tristesse devient plus calme.
s gauche, on la dénoue. Elle s'assied sur son lit, la tète dans ses mains et semble réfléchir. Le délire revient plus calme
s vipères. » Elle se roule sur son lit en se cachant la figure de ses mains . — Au bout de quelques instants elle est plus cal
us pouvons bien nous en aller, je ne suis pas malade... (Elle tend la main vers Camille.) Tu t'en vas... » Elle se revêt de
sa femme... A boire! à boire!... (Elle se met à genoux, se frotte les mains , claque des mains.) Oh ! Jean-Louis-Philippe!...
e! à boire!... (Elle se met à genoux, se frotte les mains, claque des mains .) Oh ! Jean-Louis-Philippe!... (Elle se frotte de
s mains.) Oh ! Jean-Louis-Philippe!... (Elle se frotte de nouveau les mains . Elle boit en tenant le gobelet de plomb avec ses
s elle se redresse en criant : « A chat! à chat! » Elle se frotte les mains , frappe de la tête sur le lit, a plusieurs éructa
a malade pendant ses attaques ne s'y trompent pas. Elle se frotte les mains et les yeux, en demandant qu'on lui rende ses yeu
on court après elle, elle tente de s'égratïgner la figure; frappe ses mains l'une contre l'autre, parce qu'elle a des « fourm
ouvement est encore plus restreint et se trouve limité aux pieds, aux mains et même à un seul doigt. Ou bien le tôtanisme gén
contracturées). Laisse-moi, je t'envoie une giffle... Si j'avais mes mains , comme je dévorerais tout ça... Laisse-moi frotte
la contracture des jambes cesse. Elle fait de grands gestes avec les mains . Les yeux ne sont plus convulsés. Elle regarde da
le côté droit, les bras fléchis, les coudes portés en avant et les mains sur la poitrine; — durée, deux à trois minutes.
la joie et Vadmiration se peignent sur ses traits. Elle lève les deux mains dans une sorte d'attitude extatique : « Ah! qu'il
nt tomber... Ah! ça tombe !... » Puis elle se couvre le visage de ses mains , pousse des cris de terreur et se cache la tête d
uit, elle est toute admirative. La malade est sur son séant, les deux mains jointes : « Oh ! comme elles dansent bien ! Sont-
!... Oh ! qu'il est beau ! » Elle reste en contemplation, joint les mains , paraît réciter quelques prières, car on voit ses
temps de brouillard, ça me prend à la gorge.... » Elle tousse, met la main à la gorge, fait quelques mouvements de déglutiti
s bêtes-là, c'est sale! c'est dégoûtant! » — Elle regarde en haut les mains jointes dans une sorte d'extase : « Oh! la belle
e, comme cela a lieu habituellement. On abaisse ses paupières avec la main , et survient un nouvel état nerveux, la sommation
s sourd : Il faut lui donner de l'eau. » Elle fait des signes avec la main , regardant en bas, penchée sur le bord gauche de
dirigé en haut, elle chantonne et marque la mesure de la tête et des mains . « Y en a-t-il, des paillettes d'or! Ça fait mal
de la neige... Ça prend à la gorge, ce froid-là!... (Elle porte la main à son cou comme pour en détacher quelque chose qu
ériode n'est qu'esquissée. Au début de l'attaque, la ma-lade porte la main au creux de l'estomac, comme quelqu'un qui souffr
e le conten-tement. II. — 10 h. 58. Mais la malade porte bientôt la main à sa poitrine, elle se renverse, et presque aussi
balance en fai-sant des grimaces. III. —11 heures 5. Elle porte la main à sa poitrine, et se frotte. Un léger frémissemen
emment. Attitudes passionnelles. Assise sur son lit, elle joint les mains en regar-dant le ciel, «la Sainte Vierge », dit-e
s ! viens donc ! » Elle leur présente le doigt.—• Sorte d'extase, les mains étendues, présentant leur face palmaire en avant
lade semble interroger du regard un être invi-sible, les doigts de la main droite sont près de ses lèvres. — Tout à coup ter
côté des regards furieux. — Elle regarde sur son lit, touche avec la main , se redresse, se baisse de nouveau, cherche du re
haut ; geste de défi. Elle se mord les doigts; fait un signe avec la main comme pour éloigner. III —a). Tout d'un coup la
s non!., non.,. » elle veut. fuir. Elle se tient la gorge de ses deux mains et paraît en proie à une violente suffocation; le
ex le geste de prendre l'oiseau sur le doigt. Elle saisit de ses deux mains un coin de son drap, qu'elle caresse. Puis elle c
un coin de son drap, qu'elle caresse. Puis elle chasse l'oiseau de la main , elle souffle dessus : « Envole-toi »; elle souff
dirigé en haut et à droite. VII — 10 heures 57. Puis elle porte ses mains à sa gorge et une nouvelle attaque survient, qu'o
roule dans son lit, tire les couvertures, se frappe le visage de ses mains , se cache la face dans les oreillers, porte les m
e visage de ses mains, se cache la face dans les oreillers, porte les mains à son cou, à sa poitrine et princi-palement à sa
, tantôt elle conservait quelques instants une atti-tude bizarre, les mains passées sous les cuisses et les jambes levées per
lit. Les yeux ouverts étaient en strabisme convergent. J'appliquai la main sur l'ab-domen de l'enfant et je découvris du côt
et nullement d'épilepsie. Je conseillai de mettre l'enfant entre les mains d'un précepteur, et tout d'abord de l'éloigner de
nçant les bras, appelant son frère; elle s'agenouillait, joignait les mains ; elle parlait à des animaux. Pendant tout le temp
des soubresauts vio-lents, la malade rejette la tête en arrière, les mains se crispent. Les bras et les jambes s'agitent en
e lorsque la malade est revenue à elle-même. Les contractures de la main gauche ne cèdent qu'assez longtemps (une heure) a
ui rentrent dans la quatrième période : anesthésie, contracture de la main gauche, amaurose passagère, etc. DOUZIÈME OBSER
ours par une contracture qui a envahi le bras et la jambe gauches. La main repose sur l'épigastre, les doigts fermés, le dos
ches. La main repose sur l'épigastre, les doigts fermés, le dos de la main tourné en avant, le coude rapproché du tronc. Une
ts, le bras gauche reprend sa position habituelle, la malade porte sa main droite à la tète, puis à l'épaule ; elle se plain
surtout; tantôt ce dernier décrit en avant des tours de spire, et, la main dans la flexion forcée, le coude au corps, la mal
comble. Elle déchire ou casse tous les objets qui lui tombent sous la main . Elle cherche à déboutonner son corsage et le déc
, commence la période des contorsions et des grands mouvements. Les mains et les pieds sont fortement fléchis, portés en de
vant-bras qui est fléchi sur le bras ou au contraire étendu; c'est la main qui est fléchie sur l'avant-bras, s'incline en de
ristesse ou reflète la gaieté. Ainsi tantôt elle est agenouillée, les mains jointes, dans l'attitude de la prière; tantôt ass
e troublée dans ses phases. Quatrième période. — La malade porte la main à la région ovarienne gauche, elle se frotte ensu
a région ovarienne gauche, elle se frotte ensuite les yeux, passe les mains sur le visage, pousse une série de soupirs et ouv
ors la tête est légèrement inclinée sur le cou et le thorax, les deux mains crispées étreignent vigoureusement les yeux et le
couchée sur le ventre, les jambes rapprochées de l'abdomen, les deux mains se cachant la figure. Est-ce la colère qui l'em
au moin-dre attouchement. Lorsqu'on lui mettoit quelque corps dans la main , elle le saisissoit avec force : un bruit soudain
la malade. Elle poussait par in-tervalles des cris aigus; lorsque ses mains étaient libres, elle se meurtrissait violemment;
ions ridicules, des mouvements convulsifs des doigts des pieds et des mains , le resserre-ment total de l'œsophage, les yeux h
de plusieurs hommes réunis, quand, quelques minutes aupara-vant, une main seule aurait pu la contenir. Le tronc est porté,
ordres de son convoi, trouvait sa bière trop petite, et me serrant la main , j'étais son confesseur. SEPTIÈME OBSERVATION.
arc; il y a des spasmes et des gémissements, et la ma-lade porte ses mains au cou et à l'épigastre tout en criant : c Maman,
près ces accès, elle s'agite et déchire tout ce qui lui tombe sous la main . Ce matin elle a des halluci-nations et répond à
st pas debout, elle se lève sans laisser tomber ce qu'elle tient à la main ; elle perd connaissance, ne répond plus aux quest
t parfois (pas toujours) prise de contrac-tures douloureuses dans les mains ; puis elle tombe, sans cri, dans un coma profond,
paraît étouffer, et porte par des mouve-ments brusques et rapides une main à la gorge, qu'elle laboure énergique-ment; un co
res sont agités de convul-sions cloniques ; elle continue à porter la main à sa gorge, qu'elle déchire. Si, en ce moment, on
e la gêne de la respiration; elle fait des efforts pour retirer votre main , et répond par signes à vos questions. Puis, on l
qu'on a appelé l'hystérie libidineuse, cessèrent. La malade porta les mains à sa gorge; il semblait qu'elle étranglât et qu'e
ur. « Pendant cette partie de l'attaque, le malade déchire avec ses mains et avec ses dents tout ce qu'il peut atteindre, e
ormir pendant qu'elle prenait son repas, au moment où elle portait sa main à la bouche, et plus tard, étant occupée à laver,
alades se frappent la poitrine, se tordent les bras ou se mordent les mains . Dans leur rage innocente, elles cherchent à déch
mes, elles se font par-fois d'assez fortes blessures à la langue, aux mains , etc. » Quelques hystériques sont, au milieu de
t accrocher, ramper par terre. La tête se renverse avec force, et les mains se portent assez ordinairement vers le col, égrat
r, tantôt il se contracte dans tous les sens, bondit et s'échappe des mains qui le retiennent. La tête s'agite sur le tronc,
t. La tête s'agite sur le tronc, en avant, en arrière, de côté... Les mains se portent instinctivement, soit vers le col, qu'
lle elles semblent vouloir échap-per en portant automatiquement leurs mains à la poitrine et au col, qu'elles se lacèrent par
tiques, est celte d'un éclair, sont assez variés. Le plus souvent tes mains s'ouvrent et laissent échapper ce qu'elles tienne
érale peut être par-tielle, se borner aux deux bras, à un seul, à une main , à un doigt, à la tète seule, à la partie supérie
léchi; les doigts se ferment et le pouce se place dans le creux de la main , la phalan-gette entre le troisième et le quatriè
le bras droit FiG. S7. — Contractures généralisées. fléchi et la main crispée reposent sur l'abdomen. La tête est libre
domen. La tête est libre, la face très paie. Presque constamment la main droite est animée de petits frémissements, et de
versement; les bras se contournent et se placent derrière le dos; les mains ont une attitude à peu près constante, le poignet
Lorsque l'attaque est terminée la malade ne se souvient de rien. La main gauche reste quelquefois fermée pendant huit, qui
mée pendant huit, quinze ou vingt jours. Il y a deux mois, les deux mains sont restées fermées pour la première fois, aujou
stérieure de l'avant-bras droit, qui était maintenu au poignet par la main gauche. Après être restée pendant quelque temps d
c une inconcevable rapidité; elle dansait sur les genoux, agitant les mains comme une folle. Le plus souvent elle avait l'air
ue, elle tourna rapidement sur ses genoux ; puis elle saisit avec les mains le bord de son lit, comme pour en détacher un mor
chant à l'éviter, quelques-uns de ses vêlements lui tombaient sous la main , elle ne les quittait pas qu'elle n'eût emporté l
tude presque naturelle; les yeux sont légèrement dirigés en haut, les mains jointes repo-sent sur le lit; c'est raUitude de l
pendue; l'immobilité du corps entier est pour ainsi dire absolue. Les mains jointes, reposant sur la partie supé-rieure de la
actures et étendus perpendiculaire-ment au tronc, sont en croix ; les mains sont fermées et les doigts fléchis sivioletnment
ins sont fermées et les doigts fléchis sivioletnment sur la paume des mains qu'il est impossible deles allonger. 1. rournev
ssent, puis s'étendent comme si la malade se détirait. Elle porte les mains à son cou, qu'elle déchirerait si on ne la survei
t par la fenêtre... Adolphe... il m'a fait bien c'u mal... » Et de sa main elle montre le creux de l'estomac. En vain clic
Elle appartient à des parents pauvres; elle vivait du travail de ses mains et aidait sa mère dans les soins du ménage. Eu un
vait; la respiration était égale, régulière; le pouls fréquent. Ses mains étaient rapprochées et presque jointes sur sa poi
pinçai avec force; elle ne parut rien sentir; je lui enfonçai dans la main une forte épingle : même résultat; Vi7ise7isibili
ine de souplesse, et même de grâce, elle se souleva sans Vaide de ses mains , s'assit d'abord, puis sans déranger un pli de so
bras pendants s'écartaient du corps ci leur partie inférieure, et les mains étaient renversées, la paume tournée en avant; la
ment égal, continu, plus précis que si la volonté l'avait ménagé, les mains reprenaient leur position. Plusieurs fois j'essay
yai de rapprocher invariablement l'avant-bras du corps, d'incliner la main en dedans; la statue reparaissait toujours. Enfin
n médicale, 1851,18 janvier. Annales médico-psychologiques, p. 317. mains sur le devant de la poitrine; le regard devient t
nte brusque. La température a sensiblement baissé aux exirémilés; les mains et les pieds sont pâles et froids comme du marbre
de ba-lancement d'un côté à l'autie et s'agenouille sur son lit : les mains restent jointes, les yeux toujours fixes. )) Al
aps soient arrangés d'une façon convenable; elle les dispose avec les mains dans l'ordre le plus ré-gulier : ce ne sont pas d
ête! Pignouf!... Est-il permis?... » Elle se cache la figure avec les mains , croise les bras, menace de la tête : « il m'en f
Tu m'envoies des grenouilles. » Elle ouvre la bouche, y introduit la main comme pour en retirer quelque chose : c( Il ose e
u es une femme mondaine. » (Elle pleure, se couvre le visage avec les mains ). « S'il était permis de battre sa mère, je te ba
ce garçon plus que moi... Je te jure que ce garçon n'a jamais mis la main sur moi... Ah! est-ce vrai ou pour me taquiner?..
s. Le spasme a son point de départ dans l'utérus; lors-qu'on place la main sur cette région, les mouvements de la malade dev
n apercevant quelqu'un occupé à prier ou même joignant simplement les mains . On pouvait considérer tout cela comme les symptô
autorisait à la toucher. Nous parvînmes cepen-dant à lui appliquer la main sur les yeux, mais sans parvenir à l'endormir. Le
ractères : cris, agitation ; la malade se roule par terre, portant la main à sa gorge, se plaignant qu'on l'étrangle ; au mo
omie, le sourcil se contracte (pl. VII). Et si l'on approche les deux mains de la bouche, comme dans l'acte d'envoyer un bais
un écran, ou simplement en baissant ses paupières supérieures avec la main , la catalepsie fait place à un nouvel état qui en
procédé les radiaux, les muscles du pouce, les cubitaux, etc.. A la main les muscles des éminenos thénar et hypothénar ont
'excitation mécanique du nerf cubital en arrière de l'épitrochlée, la main d'une hystérique léthargique prend une attitude c
tion faradique faite à l'état normal n'a-vait qu'à peine indiquée. La main se trouve immobilisée dans un geste qui rappelle
Si nous réfléchissons, nous verrons que ce mouvement sin-gulier de la main est produit par les muscles auxquels justement le
la contracture en flexion de tous les segments du membre, avant-bras, main , doigts. Au contraire l'excitation du nerf radial
ataleptique sous l'influence d'une vive lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses yeux, l'œil droit par exemple, et
e dans l'attitude de la frayeur, le corps penché en avant et les deux mains levées à hauteur des oreilles. La cata-lepsie par
corps penché en avant, comme dans l'action de marcher ; seulement ses mains se sont rapprochées des oreilles, comme pour évit
lques instants, on lui ferme l'œil droit, le bras droit retombe et la main laisse échapper le percuteur; on ferme ensuite l'
rcuteur; on ferme ensuite l'œil gauche, le bras gauche retombe, et la main laisse échapper le gong. La léthargie est complèt
s malades. II fit des passes, les regarda fixement en leur tenant les mains , appliqua la main au creux de leur estomac, etc.
es passes, les regarda fixement en leur tenant les mains, appliqua la main au creux de leur estomac, etc. Nos malades au bou
dmis qu'il ne s'applique qu'à une apparence. la langue, frapper des mains , frapper des pieds, s'abaisser, s'ac-croupir, s'a
entendu. Ainsi l'observateur placé derrière la malade frappe-t-il des mains , celle-ci frappe aussi des mains, frappe-t-il du
é derrière la malade frappe-t-il des mains, celle-ci frappe aussi des mains , frappe-t-il du pied, celle-ci frappe aussi du pi
malade est placée un pied sur les barreaux d'une chaise, et les deux mains saisissant les plis d'un rideau comme dans l'acte
nt cataleptique. La malade est placée à terre « à quatre pattes y une main en avant de l'autre, aussitôt le mouvement suit e
ébut a été provo-qué par l'observateur. Ainsi en rapprochant les deux mains de la malade comme pom^ les croiser, les doigts
mouvement et se croisent complètement. En rapprochant du nez une des mains de la malade de façon que la base du nez se trouv
utomatisme de la mémoire et du sou-venir 1. Si l'on place entre les mains de la malade cataleptique un objet quelconque don
a toujours donné les mêmes résultats. On met successivement entre les mains de la malade un chapeau, elle le tourne entre ses
ent entre les mains de la malade un chapeau, elle le tourne entre ses mains et le place bientôt sur sa tête; un pardessus, au
le frissonne, etc.. Vient-on brusquement à retirer l'instrument des mains de la malade, elle redevient aussitôt cataleptiqu
est alors spontanément redevenue cataleptique, l'objet lui tombe des mains . 1. De lautomatisme de la mémoire et du souveni
du savon, aussitôt que son regard est attiré sur ces objets ou que sa main touche l'un d'eux, la ma-lade avec une spontanéit
éapparente verse l'eau dans la cuvette, prend le savon et se lave les mains , elle le fait avec un soin minutieux. Pendant qu'
ec un soin minutieux. Pendant qu'elle tourne ainsi le savon entre ses mains , si l'on vient à abaisser la paupière d'un seul œ
oit, par exemple, tout le côté droit du corps devient léthargique, la main droite, s'arrête aussitôt, mais chose singulière
hargique, la main droite, s'arrête aussitôt, mais chose singulière la main gauche seule n'en continue pas moins le mouvement
pas moins le mouvement. En soulevant de nouveau la paupière, les deux mains reprennent aussitôt leur action de la même façon
le mouvement se prolonge, puis enfin elle redevient cataleptique, les mains dans l'eau. Mais si l'on vient à lui présenter un
i présenter un essuie-mains, de suite elle le saisit, et s'essuie les mains avec la môme per-sistance qu'elle mettait tout à
malade est alors rendue complètement léthargique. On met entre les mains delà malade, toujours pendant l'état cataleptique
ns cet état complètement anesthésique. Enfin nous lui mettons dans la main une allumette que nous venons d'allumer nous-même
de ce qu'elle ne sait pas. Au lieu de tabac, nous mettons entre les mains delà malade la petite boîte qui renferme son trav
remarquable, débrouillant les fils, comptant les points, etc. Si une main étrangère défait les derniers points en tirant su
ntentement. Fait singulier, si l'on vient à fermer un de ses yeux, la main correspondante s'arrête, le bras re-tombe inerte,
les muscles sont en état d'hyperexcitabililé musculaire, mais l'autre main cherche à continuer seule une œuvre désormais imp
n moi est ab-sent. Cependant dans les mouvements qu'exécute une seule main pendant que l'autre est immobilisée, il semble y
tre est immobilisée, il semble y avoir une part d'intelligence. Cette main qui à elle seule ne peut venir à bout de faire le
lle seule ne peut venir à bout de faire le point pour lequel les deux mains sont nécessaires, semble chercher, en prenant app
t appui sur les genoux ou sur la poitrine, à suppléer au défaut de la main qui manque et modifie ainsi sa manœuvre habituell
ade n'oppose aucune résistance à celui qui lui enlève son ouvrage des mains , et elle redevient aussitôt cataleptique. Lorsq
sant ce qu'il vient de faire pour le refaire encore. On met entre les mains de Bar... une sorte de sandale, qui sert aux expé
ans la résolution et ses muscles sont hyperexcitables) ; mais l'autre main poursuit le travail et bien qu'avec plus de peine
r le côté gauche. Si l'on interpose une feuille de carton entre ses mains qui travaillent et ses yeux, elle demeure impassi
expérience du môme genre que la précédente consiste à mettre dans les mains de B... une bande de toile roulée. Elle la saisit
ans les mains de B... une bande de toile roulée. Elle la saisit de la main gauche et exécute autour de la main et du bras dr
oile roulée. Elle la saisit de la main gauche et exécute autour de la main et du bras droit un bandage assez correct. Elle a
rage, elle déroule la bande et dégage successivement le bras, puis la main . Puis elle saisit la bande par l'extrémité et la
e façon qu'elle l'a exécutée une première fois. Si pendant que, de la main gauche, elle tourne la bande autour de son bras d
n œil gauche, le bras gauche est immobilisé et garde la bande dans la main , mais le bras droit persiste à se mouvoir et par
l'action du bras gauche qui continue son œuvre. On place entre les mains de B... un livre ouvert en attirant son regard su
autant plus curieuse que Bar... est illettrée. En plaçant entre les mains de B... un porte-plume, elle s'assied à la table
arrête, elle est redevenue cataleptique. Nous lui mettons entre les mains une des grandes épingles qui servent habituelleme
sensibilité. Aussitôt qu'elle l'a reconnue, qu'elle la saisisse de la main droite ou de la main gauche, elle s'en per-fore l
qu'elle l'a reconnue, qu'elle la saisisse de la main droite ou de la main gauche, elle s'en per-fore la main du côté opposé
aisisse de la main droite ou de la main gauche, elle s'en per-fore la main du côté opposé avec une brutalité telle, que nous
arquer qu'une grosse limace se trouve sur la fleur qu'elle tient à la main . Elle regarde... L'admiration fait aussitôt place
lace au dégoût, elle rejette la fleur et s'essuie avec persistance la main à son tablier. L'hallucination peut indifféremm
ucination, prend un air de mécon-tentement, éloigne les enfants de la main , en disant que leur jeux l'agacent, et que le bru
ort satisfaite, elle est attentive, bat la mesure de la tête et de la main . Le souvenir lui apporte la matière de l'hallucin
tion ne connaît pas de bornes, sa physionomie rayonne, elle joint les mains , se jette à genoux et toute son attitude rappelle
de la grande attaque est frappante. Devant les anges, elle joint les mains , se met à genoux et, le visage radieux, demeure d
te, sur les instances de celui qui parle, mais n'entend rien. De la main droite elle reconnaît un objet ({uelconque à sa f
bjet ({uelconque à sa forme, pendant qu'elle ne peut y parvenir de la main gauche. (On a eu soin de placer un écran entre se
a main gauche. (On a eu soin de placer un écran entre ses yeux et ses mains ). De la main droite elle prend une montre pour un
(On a eu soin de placer un écran entre ses yeux et ses mains). De la main droite elle prend une montre pour un couteau, ell
ne montre pour un couteau, elle a peur de se couper; tandis que de la main gauche l'illusion ne se produit pas. Les mêmes
inquiète et chancelle, elle marche comme une femme ivre, et porte la main à son estomac avec un air de souffrance. Il nous
vements sous ses regards, soit en lui plaçant divers objets entre les mains , soit en lui adressant de vives appel-lations, la
titude communiquée, se produisent, comme le sourire en approchant ses mains de ses lèvres, le grimper en RICHER. 26 plaça
attes, etc.. Mais l'automatisme provoqué par un objet placé entre ses mains n'a pas lieu. Elle le tourne en tous sens et mont
léthargie ^. 1. Lorsqu'on lui met une paire de pincettes entre les mains , elle demeure inter-dite, retourne l'objet en tou
semble fort embarrassée. Si on lui demande ce qu'elle tient entre les mains , elle renouvelle ses investigations, puis désappo
te, le pot à eau, le savon. Elle tourne et retourne le savon dans ses mains , passe la langue dessus, sans arriver à découvrir
n lui indique les objets par leurs noms et on lui dit de se laver les mains . Elle verse alors l'eau dans la cuvette; mais ell
l'eau dans la cuvette; mais elle est distraite et ne se lave pas les mains . 2. Bar..., sur laquelle toutes les expériences
tate ainsi que le tact est conservé à droite et aboli à gauche. De la main droite elle reconnaît parfaitement un flacon par
itement un flacon par le toucher seul ^ ; ce qui est impossible de la main gauche. De même, l'ouïe est conservée à droite, e
rences qui paraissent 1. On a pris soin de placer un écran entre sa main et sa figure, bien que ses yeux soient fermés.
îte, un flacon, etc. Cependant si, en lui mettant le flacon entre les mains , on lui affirme que c'est un couteau, elle en con
une râpe, l'illusion nou--velle est aussitôt acceptée. Elle passe la main dessus et déclare en sentir les aspérités. b) .
ner-veux spécial, au point de vue du merveilleux, s'il est entre les mains d'enthousiastes aveugles ou d'habiles exploiteurs
a malade et particulièrement les parties nues de son corps, comme les mains . C'est alors que nous avons pu varier l'expérie
ui, sans résistance aucune de sa part, s'emparent chacun d'une de ses mains . Que va-t-il se passer? Bientôt la malade, de ses
e de ses mains. Que va-t-il se passer? Bientôt la malade, de ses deux mains , presse celles de chacun des observateurs et ne v
ose la même résis-tance à l'observateur de gauche en possession de la main gauche lorsqu'il veut saisir la main droite, qu'à
ur de gauche en possession de la main gauche lorsqu'il veut saisir la main droite, qu'à l'observateur de droite lorsqu'il ve
la main droite, qu'à l'observateur de droite lorsqu'il veut saisir la main gauche. Je ne chercherai point l'explication de c
son cadavre debout, seule-ment un peu penché, avec une fleur dans la main . Un prêtre fut tué par la foudre pendant qu'il ét
ps gar-dera la même position, malgré le poids dont on peut charger la main . Enfin, un des caractères qui n'est pas le moin
Bien plus, l'idée d'une action limitée peut être suggérée ; ainsi les mains placées dans la position de grimper, de combattre
, chez une hystérique du type que je viens d'indiquer, on applique la main sur les yeux ou qu'on ferme les paupières, par
dynamomètre, par exemple ; si alors on malaxe les muscles avec les mains , on les sent se raidir, acquérir la dureté du boi
f un fait analogue. « Le 3 février nous trouvâmes notre malade, tes mains et les doigts douloureu-sement contractures; depu
pendant les contractures persistaient. Nous lui prîmes alors les deux mains et fîmes de violents efforts de contraction des m
les de l'épaule et du bras, tout en lui pressant très légère-ment les mains , très douloureuses comme nous le savions ; bientô
ne douleur, puis deux doigts placés, l'un sur la tête, l'autre sur la main , amènent comme une forte commotion très douloureu
e de 8 à 9 mètres, ainsi qu'une conversation à voix très basse. Une main nue est-elle placée à 40 centimètres derrière son
lever, à chanter, à se tenir debout, à tirer la langue, à joindre les mains , etc. Mon ami R..., lorsqu'il était endormi, fais
ues exemples feront bien comprendre. Pendant que Bar... se lave les mains automatiquement, comme dans l'expérience rapporté
ais-là,dit-e]le avec stupéfac-tion, je n'ai pas besoin de me laveries mains . » Mais, chose singu-lière ! il suffit de souleve
sans faire la moindre observation, recommence son éternel lavement de mains . Si alors on empêche son action en lui tenant les
l lavement de mains. Si alors on empêche son action en lui tenant les mains ou en retirant les objets dont elle se sert, elle
e se fait encore bien sentir dans l'exemple suivant. En plaçant les mains de Par..., pendant qu'elle est en état de somnamb
elle prie la Sainte Vierge, mais qu'elle ne la voit pas. Tant que les mains demeu-rent dans la même position, elle continue s
on mécon-tentement si l'on cherche à l'en distraire. En déplaçant les mains , la prière cesse aussitôt. Toute fatale qu'elle e
ngue. Cependant elle se retire quand on présente l'ammoniaque sous la main droite. Et quel-ques instants après l'application
eûmes beau élever la voix, solliciter son attention en lui prenant la main , en lui secouant le bras, en la pinçant, en la pi
le n'avait plus rien sur le ventre, mais encore, porta les yeux et la main sur la face interne des avant-bras sur les-quels
rmé avec force, le pouce tantôt en dehors, tantôt dans la paume de la main . Quand on essaye de les soulever, contracture s'e
entrée elle était assise sur son lit, se tenant la tête dans les deux mains et se plaignant, en poussant les hauts cris, d'un
r les yeux. Pendant que je Pexamine, je remarque que tout à coup la main et le pied gauche se mettent dans une extension f
gauche se mettent dans une extension forcée, je l'engage à fermer la main : « Tout à l'heure, me dit-elle, cela va se passe
dix à quinze secondes la contracture cesse et la malade se sert de la main et du pied gauches. Une minute après, le même phé
n oculaire et frontale, et encore ce moyen ne réussit-il qu'entre les mains d'une seule personne, du médecin ordinaire de la
n. La malade est à genoux sur son lit, accroupie, la face entre les mains , poussant des gémissements et lançant, en langue
ecin d'endormir la malade par son procédé habituel. Il place alors la main sur les yeux et sur le front de la malade qui ne
tie antérieure de l'avant-bras, amène une contracture manifeste de la main dans la flexion. Mais la contrac-ture ne persiste
cun, de provoquer le réveil en soufflant sur le visage. En plaçant ma main sur le front et les yeux de la malade pour essaye
rs à un véritable sommeil; et si pendant ce som-meil, on imprime à la main , à l'avant-bras, ou au membre supérieur tout en-t
la plupart du temps cela n'a pas lieu. D'autres fois elle porte la main à son cou, comme si elle voulait en dis-traire un
es cataleptiques suivants : il suffisait de lui élever un pied ou une main pour déterminer immédiatement des con- traction
c( Les muscles une fois mis en état d'activité par le contact de la main , continuaient à se contracter avec énergie; ainsi
ou telle personne, ainsi un de ses oncles, parle simple contact de la main , arrêtait instantanément une attaque clonique d'h
uvements désordonnés des membres, et nous par le simple contact de la main , ou même du bout du doigt, nous déterminions des
gauche, elle se re-tournait avec force du côté droit; si on ôtait la main avec laquelle elle tenait fortement son nez, elle
moi les portes du paradis. Elle criait ensuite une minute, posait ses mains sur ses genoux, restait tranquille du-rant deux m
s minutes avant une heure après-midi, elle se frotta le front avec sa main , et, peu de temps après, elle tomba dans l'accès
inq heures. Un moment avant qu'il finit, elle passa plusieurs fois sa main sur son front, ce qu'elle faisait dans tous les a
'elle faisait dans tous les accès, de sorte que quand elle portait sa main à son front, c'étaient les signaux du commencemen
et qu'elle y en-tendait un bruissement qui l'obligeait d'y porter la main . )) Tous les jours l'accès commençait à une heu
re qu'elle avait perdu depuis plusieurs mois (souvent elle prenait ma main pour celle de son père), elle lui racontait (en c
nts, les paupières ouvertes et sans mouvement, les bras élevés et les mains jointes, comme si elle eût été en extase : son vi
souplesse : M. Després remarque qu'en le dé-primant fortement avec la main , la paroi abdominale ne revient pas sur elle-même
région, participant à l'état cataleptique, gardent l'empreinte de la main , — Il n'y a pas d'agitation. La malade ne cesse d
mortir ce feu dont elle est dévorée. — On est obligé de lui tenir les mains , qu'elle porte avec rage à ses yeux pour en arrac
le, nous soulevions le membre supérieur pour frictionner seulement la main et l'avant-bras, ceux-ci retom-baient inertes, ta
'avions placé. Même indépendance du pied vis-à-vis de la jambe, de la main vis-à-vis du bras. Nous avons pu voir aussi que s
pu répéter souvent cette singu-lière expérience, d'après laquelle la main droite une fois frictionnée, et les deux membres
che retombait aussitôt, le droit restant immobile à l'exception de la main qui était comme appendue àl'extrémité de cette so
olent que le précédent, et quand il fut terminé, madame X... passa la main sur son front et nous dit : « Où sont-ils? Pourqu
ent toujours bien là devant elle; un moment elle crut les saisir, ses mains se fermèrent contractées; elle luttait contre une
ue ou d'épuisement nerveux que je me relirai, la laissant entre les mains de sa bonne et d'une dame venue complaisamment. J
ent difficile qu'il semble que l'axphyxie va se produire; de ses deux mains la malad3 se presse les seins, s'étreint le cou e
ne répond pas, à moins que je ne le lui commande, et ne l'ji mette la main dans celle de l'interlocuteur. Si je l'entretiens
ent vivement comme sous l'action d'un électro-aimant. Si, d'une seule main , on tient un de ses bras, la contraction est moit
s bras, la contraction est moitié moindre que si on le tient des deux mains . Le contact se prolongeant, la contraction cesse
h. 16 minutes. — Les râles deviennent de plus en plus étranglés, les mains portées à la gorge; la malade se dresse en se sou
mains portées à la gorge; la malade se dresse en se soutenant sur les mains comme pour aspirer l'air qui lui manque. 10 h.
t la période des hallucinations, que je la tienne, ou la touche de la main , pour qu'elle en soit délivrée. Lorsqu'elle est
ain, pour qu'elle en soit délivrée. Lorsqu'elle est touchée par des mains étrangères le résultat varie selon la main qui la
'elle est touchée par des mains étrangères le résultat varie selon la main qui la touche. Elle dit qu'elle commencera kgw.
ère le dos, plaintes et secousses. 12 h. 26 minutes. — Position des mains à la gorge, râles étranglés, 13 h. 26 minutes 1
stent étendus et rigides, les pouces sont fléchis dans la paume de la main , les autres doigts sont étendus ou fléchis. La tê
bres, sensation de strangu-lation que la malade exprime en portant la main à son cou et en disant à plu-sieurs reprises : «
en communication. Elle ne s'endort qu'à la condition de lui tenir la main . Si cette parente lui parle, même à voix très bas
do Vaudition élective. )• Lorsque sa parente applique son doigt, sa main sur une partie quelconque de son corps, l'enfant
on lit, et, sans la prévenir, l'un d'eux lui a fermé les yeux avec la main . La malade a essayé de lutter quel-que peu; mais
ive, est devenu d'une placidité remar-quable. Je lui ai pris les deux mains , à ce moment-là, et j'ai senti quelques secousses
t frotte le pied sur le sol comme pour écraser des insectes, passe la main devant sa figure et souffle pour repousser des fi
e pour repousser des fils, des poils, des cheveux, porte vi-vement la main sur la cuisse et, ramenant son pantalon, il serre
veut y courir. » On parvient avec peine à fixer son attention ; ses mains , ses pieds sont sans cesse en mouvement pour sais
ble (80 pulsations), la langue est humide. » Tremblement marqué des mains , un peu moins accusé des jambes, frémissements de
des pièces de monnaie à terre, frotte la table; puis, rapprochant sa main gauche des genoux qu'il réunit et soulève légèrem
soulève légèrement, il tient, dit-il, le pigeon et s'efforce avec la main droite de lui faire avaler le grain; il se croit
t-il, le poison de La Pommerais, la digitale. 5) Le tremblement des mains est moins considérable. Pouls large 80, T. R. 37
quelquefois aussi des menaces ou des injures. » Le tremblement des mains a diminué. T. R. 37° 6. Pouls régulier, 76 pulsat
r moments à s'arrêter et même à s'asseoir, et du tremblement dans les mains , plus marqué le matin, un neu moindre après les r
e j'étais couché et que je m'étais éveillé dans la nuit. En posant la main à terre pour relever mon oreiller, je sentais que
re venait lire par dessus mon épaule dans le livre que je tenais à la main , et ses poils dégoûtants m'effleuraient le cou et
rocession sinistre; c'étaient des squelettes horribles, portant d'une main leurs têtes, et de l'autre de longs cierges, qui,
uns venaient se baisser au foyer noir et triste, en réchauffant leurs mains longues et livides, et en se tournant vers moi po
s que je deviens de plomb. Ah! comme je suis lourde! » On me prit les mains pour me faire lever, et je tombai lourde-ment par
figure, qui me paraissait couleur orange. Je passai subitement mes mains dans mes cheveux; je sentais des mil-lions d'inse
ourants induits portés sur un point limité du tégument ont, entre les mains de M. Vulpian, ramené la sensibilité dans certain
même marche, et la colonne mercurielle d'un thermomètre tenu dans la main s'élève à mesure que la sensibilité reparaît, et
qu'au lieu de la parésie ha-bituelle en pareil cas, la pression de la main indique une force en rapport avec le développemen
entimètre environ de la peau, l'œil droit est main-tenu fermé avec la main , et l'on observe ce qui se passe, du côté de l'œi
le thorax, l'avant-bras en supination et demi-fléchi sur le bras, la main fléchie sur le poignet, les doits fléchis égaleme
les doits fléchis également et le pouce recourbé dans la paume de la main . L'intensité delacontracture esttelle que l'on es
ntracture esttelle que l'on est obligé de glisser dans le creux de la main de la charpie ou un rouleau de bande pour empêche
pas à se trans-former en une véritable contracture qui immobilise la main dans la flexion. Cette contracture ainsi obtenue
accident, d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en liaut sur la main et l'avant-bras. La douleur par des observation
ormal. On voit au bout de dix mi-nutes à un quart-d'heure environ, la main gauche se fermer légè-rement. Si l'on cherche à l
as se colle au tronc ; l'avant-bras,qui était allongé, se fléchit; la main , qui était en supination, se met en pronation, se
s, dans nos explorations, de très fortes épingles, avec lesquelles la main tout entière, ou d'épais plis cutanés étaient tra
promène dans les cours avec l'air réfléchi d'un philosophe, tenant en main une liasse de petits papiers soigneusement plies
aque s'arrête tout net. La malade se réveille comme étonnée, porte la main à sa tête et reprend complètement connaissance.
muscles de l'abdomen. Mais dès que celle-ci est une fois vaincue, la main perçoit la résistance offerte par le détroit supé
mi Poirier à imaginer un appareil compresseur destiné à rem-placer la main , et qui permît de reconnaître : a si la compressi
des bagues étant plus ou moins desserrées, on cherche l'ovaire de la main gauche, tandis que la droite approche la grande v
une direction telle que la pelote qui la termine vienne remplacer la main qui comprime. Il ne reste plus alors qu'à serrer
ression jusqu'à ce que la pelote compressive soit venue rempla-cer la main qui lui cède peu à peu la place. » Cet appareil
uent le traitement hydro-thérapique. Il demande à être dirigé par une main sûre et expé-rimentée. Un certain nombre des mala
refois au moyen d'une tige dont le malade tenait l'extré-mité dans la main . 11 y avait à cela plusieurs inconvénients. D'abo
énients. D'abord le con-tact prolongé d'une surface oxydable avec une main le plus souvent humide, la transmission plus dire
a rotation. A priori l'ancienne méthode, de tourner la manivelle à la main , devait être écartée. Avec elle, pas de longues s
les rues et dans les églises cet étrange spectacle. Se tenant par la main , et emportés par leurs sens, dont ils n'étaient p
e des verres remplis d'eau limpide. Pendant la danse ils portaient en main des verres pleins d'eau et faisaient des gestes b
Magdaleine, et lui mettant dans le sein, la voulait tuer de sa propre main . Le couteau ôté, mettant la main au gosier, la vo
e sein, la voulait tuer de sa propre main. Le couteau ôté, mettant la main au gosier, la voulait étrangler, mais on l'empêch
manteau et soutane, tenant un livre couvert de parchemin blanc en la main et lui tenant ouvert lui montra deux images et ap
e par quelqu'une de ses sœurs, elle fut vue avec un crucifix dans les mains dont ede se préparaît de contenter son mauvais dé
aut lire tous ces volumi-neux procès-verbaux, la plupart écrits de la main de Laubardemont, pour croire à la réahté de pared
rits 7619. mise, nue tête, avec une corde au cou, et un cierge à la main , et demeura en cet état l'espace de deux heures,
serait désespérée, et qu'elle était bien malheureuse d'être entre les mains de ces gens-là. Les lar-mes dont elle accompagna
ons. Lorsqu'elle sentit de la douleur, elle se retira brusquement des mains de l'exorciste, déplorant sa condition, et déclam
contremisce toto corpore et puis après, la concussion des bras etdes mains succédant, il dit co?ifrc»iîsce capite et manibus
érieure plu-sieurs grandes convulsions, avait les bras tournés et les mains aussi, et les doigts demi-fermés, tirait la langu
ciser. Avant la communion, ledit Barré ayant le saint-sacrement en la main a dit : Adora Deum tuum, créa-lorem tiiuni; et pl
œur revêtu de ses habits sacerdotaux, et ayant le saint ciboire en la main , et a protesté que son action était pure, pleine
st efforcée de prendre le saint ciboire pour le tirer et arracher des mains dudit Barré; néanmoins a enfin communié avec gran
mmandements, mais qu'il refusa d'obéir au second, et que mettant la » main sur le ciboire, h jura : Par le Dieu que voilà, j
le ventre à terre aux pieds du père, qui tenait le saint sacrement en main , et qu'ayant le corps et les bras en forme de cro
les bras en forme de croix, il tourna premièrement la paume des deux mains en haut, puis acheva le tour entier, en sorte que
en haut, puis acheva le tour entier, en sorte que la paume de chaque main touchait le carreau, et qu'il rap-porta les mains
e la paume de chaque main touchait le carreau, et qu'il rap-porta les mains ainsi tournées, en les joignant sur le bout de l'
y porta les deux pieds joints aussi, en sorte que les deux paumes des mains touchaient les deux côtés du dehors de la plante
ure, l'exorciste lui fit tenir le tronc du corps droit et joindre les mains ; que Sabulon, conjuré d'adorer le saint-sacre-men
stance ; mais qu'étant pressé, il se traîna le corps tout courbé, les mains un peu distantes l'une de l'autre sans se joindre
er, et alla baiser le pied du saint ciboire que l'exorciste tenait en main , témoignant par ses gestes, ses tremblements, ses
de ne vouloir pas passer outre. Mais l'exorciste avec le sacrement en main , lui ayant commandé de satisfaire de paroles, ce
que crier : « Dis-donc ton Verbum... » cependant qu'il lui tenait la main droite sur le cœur avec sa griffe. Quand ils eure
quittai ma prise et retombai dans notre chambre, où l'on me trouva la main pleine et gâtée de la graisse dont ce sorcier s'é
Elle était très puante et noire tirant sur le rouge. On m'essuya les mains avec un linge blanc qu'on jeta tout aussitôt dans
communion... » Non, non, lui dis-je; je ne communierai point de votre main , après le discours que vous me venez de tenir...
a grille s'efforçait de la rompre, grinçant les dents, et passant les mains au travers, me voulait frapper, et disait: «Qui t
iaye, que ces bigots-là me font souffrir, » frappant des pieds et des mains contre terre, faisant un bruit épouvantable ; et
es talons, les bras tendus en l'air et les extrémités des doigts, des mains et des pieds recourbées les unes en dedans comme
orte de nature, convulsions, concussions, battements des pieds et des mains , cris, hurlements, exclamations, ris démesurés :
autres se courbent en arrière, en forme d'arc, sans y employer leurs mains , et en sorte que tout le corps est appuyé sur leu
nu comme une table. EUes marchaient dans cet état sans le secours des mains , n {Manuscrit anonyme de la bibliothèque de l'Ars
touchant la terre de la pointe de l'estomac, la tête, les pieds, les mains aussi bien que le reste du corps portés en l'air;
fois demi-heure et plus, l'on ne peut remarquer ni de l'œil, ni de la main , aucune respiration en elles. Et elles reviennent
e l'ouïe hbre... et qu'ehe leur en donnât un signe en leur serrant la main . H fut donc forcé d'obéir â l'uistant... Ils lui
donc consentit aussitôt et leur en donna le signe en leur serrant la main , et à l'instant le démon cessa cette furieuse sus
tique. «.. Après l'exorcisme fait, la fille est tombée en extase, les mains élevées en haut; et' l'on dit le Magnificat, dura
orme; les enfants se mirent à ges-ticuler, à tourner rapidement leurs mains l'une autour de l'autre, à parler, crier, jurer e
eubles, et lancent chaises, tabourets, tout ce qui leur tombe sous la main , sur les as-sistants; se précipitent sur eux pour
â terre, toujours continuant les mêmes cris; se roulent, frappent les mains sur le sol, se frappent elles-mêmes sur la poitri
res devenaient bleuâtres, et le sang lui sortait par les ongles de la main gauche et l'angle des deux yeux; après quoi elle
este du côté gauche; et enfin percluse de tout le corps excepté de la main droite; attaquée depuis plusieurs années de fréqu
demment sans connaissance se déchaussa... pritson pied gauche... delà main droite... et se mit à le remuer... Aussitôt ce pi
mêmes et s'entortillaient comme si quelqu'un les eiit tordues avec la main ; ce qui était accompagné de mouve-ments indécent
que je fais et de ce que je sens. De temps en temps, elle prenait la main de la Charpentier pour lui faire voir la force de
ontinua ses contorsions et ses mouvements, frappant toujours avec ses mains sur ses mamelles et les paities secrètes de son c
heures, elle resta sans mouvement, les dents serrées, le visage'etles mains glacés, sans qu'on piit distinguer le souffle res
autre convulsionnaire, qui se trouvait présente, branler la tête, les mains , les jambes et tout le corps, comme si ces partie
rdinairement de joie. Ils dardent avec avidité leurs regards et leurs mains en haut ; ils s'élancent vers le ciel, ils serai)
ient pour leur santé... en secouant rudement la tête, en frappant des mains , en ruant des jambes, en se tourmentant comme de
dans les charniers ou sur le tombeau, qui. après avoir fait entre les mains des hommes qui les tenaient par le milieu du corp
prédilection si honteusement marquée, qu'elles déclarent que d'autres mains leur sont moins secourables. Cependant est-il moi
on des fdles ne se trouve réveillée sous de tels yeux et par de tedes mains ? Mais quand bienmêrae l'imagination tiendrait bon
on d'une fille qui donne son corps à remuersous les yeux et entre les mains de plusieurs hommes? Que si l'on pouvait donner à
arrière, à quelle indécence ne serait-elle point exposée, si quelque main (peut-être d'hommes) ne s'avançait soudaine-ment
atre mille dans une séance; c'est avec le poing et avec le plat de la main sur le dos et sur le ventre qu'on les leur donne.
urs d'entre elles, as-sure-t-on, se firent traverser les pieds et les mains par d'immenses clous de fer, qui allaient ensuite
es, au-dessous des genoux et vers la cheville du pied; on lui lave la main gauche avec un petit linge trempé dans l'eau qu'o
au qu'on dit être de saint Paris. J'observe que les cicatrices de ses mains , qui m'avaient paru récentes au mois d'octobre de
u mois d'octobre dernier, sont aujourd'hui bien fermées; on essuie la main gauche après l'avoir humectée et touchée avec une
fer carré, de deux pouces et demi de long, au miheu de la paume de la main , entre les deux os du métacarpe qui répondent aux
tervalle de deux minutes, le même prêtre cloue de la même ma-nière la main droite, qu'on mouille ensuite avec la môme eau. F
e avec la môme eau. Françoise paraît souffrir beaucoup, surtout de la main droite; mais sans faire un soupir ni aucun gémiss
nu par des consoles; il ne coule pas de sang des blessures faites aux mains , mais seulement d'un des pieds et en petite quant
ssez donc, vous allez trop fort. Ne voyez-vous pas que je n'ai pas de main ? » Ordinairement, quand on fait cette épreuve,
e, la patiente place elle-même la pointe de l'épée, la tient entre la main , et peut soutenir une partie de l'effort, ce qu'e
peut soutenir une partie de l'effort, ce qu'elle ne pouvait, ayant la main attachée. On ouvre la robe de Françoise sur sa, p
sant : « Père Timothée, je souffre, je n'en puis plus; frottez-moi la main . »11 a promené doucement et lentement autour du c
oi la main. »11 a promené doucement et lentement autour du clou de la main droite. Depuis neuf lieures un quart jusqu'à di
res, on couche Françoise attachée à sa croix; on lui óteles clous des mains , on les arrache avec une tenaille; la douleur lui
ent des clous carrés ordinaires. J'en demande un que je conserve; les mains , surtout la droite, saignant beaucoup, on les lav
prouve les mêmes symptômes de douleur que lorsqu'on lui a décloué les mains . ^ Ces terribles épreuves n'avaient d'autre but
rent, et l'on vit s'avancer en chancelant plusieurs jeunes filles,les mains jointes, la tête penchée sur la poitrine et tremb
parences d'un idiotisme complet. Un prêtre s'approcha, et, prenant la main délicate de cette convulsion-naire. Jésus est ave
ar s'étendre sur la dépravation profonde de l'homme quand il sort des mains du Créateur, et sur sa parfaite sancdfication qua
ix ne leur eût pas suffi pour exprimer leur agitation, le bruit des mains violemment frappées l'une contre l'autre ne tarda
! 0 John Mitchel! ô John Mitchel ! » Et après avoir sangloté dans ses mains , elle montra de nouveau sa figure charmante, pâle
jeune et si belle! Mais le lendemain, avant mon départ, je la vis, la main entrelacée dans la main, et la tête appuyée sur l
le lendemain, avant mon départ, je la vis, la main entrelacée dans la main , et la tête appuyée sur la poitrine d'un homme qu
e femme couchée à terre, étendue de tout son long, les yeux clos, les mains jointes et élevées, le corps courbé en arrière pa
ssa un cri terrible et s'arracha une poignée de cheveux. Étendant ses mains ouvertes et dans l'attitude du plus violent effro
ec « une robe de gloire » et l'en ayant vêtue, il la conduisit par la main « au trône de Dieu » et prit place à côté d'elle.
rieux cortège, à la tête d'une longue uite de justes », et levant les mains vers la visionnaire, il lui montra dans leur ntér
emples de paralysie transitoire, qui intéressait dans un cas les deux mains , dans un autre le bras droit, et dans un troisièm
t de beaucoup le plus amoureux sourire du plus amoureux visage. Leurs mains sont levées comme pour inviter le Bien-Aimé à ven
-suivant : Il n'est pas un geste, [)as un mouvement de la tète ou des mains de l'in-spirée qui ne soit un modèle de grâce et
e action perturba-trice, et alors l'altitude exprime le courroux, les mains sont agitées avec violence, comme pour répondre â
ormis, et tantôt ils continuent â avoir des contorsions, frappent des mains , soupirent, rient, et ainsi de suite; puis ils re
rres qu'elle trouvait elle se mettait ses genoux nus, et joignait ses mains , et regardait au-dessus dans ie ciel, et ne savai
son état; et elle affirmait par vérité qu'elle avait mesuré de ses mains propres l'espace auquel la sainte mère se tenait
re elle et terre en ce ravissement, et le mesurèrent de leurs propres mains par diverses fois, et souvent il arriva qu'étant
de méconnaissance serait gravement puni, car Dieu mettrait sa lourde main sur lui; et lui mandait moult choses secrètes et
automne de la même année, son confesseur s'a-perçut que le milieu des mains , où devaient plus tard se montrer les stigmates d
1834, à la fête de la Purification, il la vit s'essuyer le milieu des mains avec un linge, effrayée comme un enfant du sang q
trois ou quatre lignes de diamètre, et fixés de part en part aux deux mains et aux deux pieds. Le jeudi soir et le vendredi,
en croix ; et tous les assis-tants remarquèrent les stigmates de ses mains . Dès lors, cette merveilleuse parti-cularité ne p
partie du jour, à genoux à l'extrémité de son lit, et en extase. Les mains , croisées sur sa poitrine, laissaient voir les st
tous les traits de cette femme. Elle est là à genoux sur son lit, les mains croisées contre la poitrine. Autour d'elle règne
convulsions redoublent sans cesse plus profondes et plus fortes. Les mains , toujours croisées, qui d'abord s'affaissaient in
espace d'une minute et demie à peu près. Puis, la tête se relève, les mains remontent vers la poitrine, le visage reprend sa
squ'elle aperçoit des témoins, c'est de cacher sous la couverture ses mains stigmatisées, comme une petite fille qui a taché
le vendredi matin, Loinse est abandonnée à elle-même, les plaies des mains et l'écoulement de sang dont elles sont le siège
Elle est assise sur une chaise ou sur un petit fauteuil de jonc; ses mains saignantes sont jointes sous le linge dans lequel
aide d'une machine à coudre. Les stigmates saignaient abondamment aux mains et aux pieds; le sang suintait du front et de la
t repose sur le bord de la chaise, dans l'immobdité d'une statue; les mains ensanglantées sont appuyées sur les genoux, caché
repose sur la pointe des pieds, on la dirait prête â s'échapper ; les mains s'élèvent, se joignent ou restent ouvertes dans l
nt d'où le sang descend en fdets le long des tempes et des joues, des mains petites et blanches, marquées à leur centre d'une
t, que je vais décrire, assez souvent l'extatique tombe à genoux, les mains jointes, le corps fortement penché en avant; sa t
a face prend une pâleur morte, elle se couvre d'une sueur froide; les mains sont glacées, le pouls est absolument imperceptib
insi, par moments, comme nous l'avons déjà dit, le tronc s'élève, les mains se joignent ou s'écartent, a bouche s'entr'ouvre
8 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
suite de cette maladie il a présenté, dit-il, du trem- hlement des mains . Le début de son afl'ection actuelle remonte au
présentait l pas d'atrophie musculaire bien nette, si ce n'est aux mains . D'après les renseignements que nous avons recu
en nets; toutefois la température était manifestement abaissée, aux mains et aux pieds. Le malade avait les jambes émacié
l'état physiologique, à l'exception des mouvements d'extension des mains . La pression au dynamomètre est de 15 à droite et
ntait ce même symptôme. En second lieu, lorsque X... tenait dans la main un fardeau d'une certaine lourdeur et qu'il éta
éprouvait une grande difficulté il le laisser aller. Il n'ouvrait sa main que lentement. Ce même phénomène se produisait
énomène se produisait s'il fléchissait fortement ses doigts dans la main . A part cela il était robuste et vigoureux. Cepen
omme vers l'âge de 17 ans, il éprouve de la difficulté il ouvrir sa main lorsqu'il a fortement fléchi ses doigts. Telle
moins grand et qui suit la flexion un peu forte des doigts dans la main . Dans le même ordre d'idées nous rappellerons l
gnenl. blesse et tremble- marche vacillante, vacillante, ment des mains ; diplopie. Conditions de A toujours habité V
rononcée il partir périeurs et un trem- de de 20 ans. blement des mains . Il s'y ajouta égale- Le dernier temps ment une
petits doigts qui que le ? doit de la rapport. , sont beaucoup trop main gauche pos- courts en comparai- sède la faculté
émarche ; plus tard un tremblement et une gêne des mouve- ments des mains ; enfin dans les derniers mois, une diplopie. F
gts courts. Tremblement et gêne dans les petits mouvements des deux mains ; écriture irrégulière (ataxi- que) avec léger
d il s'y ajouta également de l'incertitude dans' les mouvements des mains . A l'tige de 19 ans le strabisme, qui avait déj
laires internes des deux côtés. Gène dans les petits mouvements des mains ; écriture irrégulière, légèrement ataxi- que.
e, 32 C. HI1SDOLIMO ataxique. Gêne dans les petits mouvements des mains . Instabilité. Démar- che ataxique, cérébelleuse
hez le 2e et le 3e malades ; 8° Gêne dans les petits mouvements des mains ; écriture ataxique ; 9° Affaiblissement des mu
é en flexion sur le bras, le pouce étant replié dans le creux de la main . LE SYNDROME DE LITTLE ET LA SYPHILIS HÉRÉDITAI
che, l'avant-bras est fléchi sur le bras, la 36 TOMMASI DE AMICIS main sur l'avant-bras, les 4 derniers doigts ont de la
e telle façon que-1'enfant pour prendre un objet se sert plus de la main gauche que de la droite. Aucun autre groupe mus
,mais il travaillait difficilement du bras droit; il s'essaya de la main gauche, d'abord sur de la pierre tendre, et final
mplètement atrophié; les radiaux sont fiasques. Les muscles de la main sont un peu grêles mais non dégénérés : pas de
es mouvements d'ensemble du bras pour saisir le nez, pour porter la main 1 la bouche, etc., ne sont possibles qu'en pronat
ou la fourchette il la bouche le bras cherche un point d'appui ; la main est mise en pronation forcée (en supi- nation t
en avant. La flexion, l'extension, l'abduction, l'adduction de la main sont norma- les. La pronation est facile tandis
ment cutané, de date récente : l'épidémie, sur la face palmaire des mains , est épaissi, sec, squameux; il forme, à la pulpe
ie et présente des sillons transversaux (pouce et auriculaire de la main gauche, annulaire, médius de la main droite). A
ux (pouce et auriculaire de la main gauche, annulaire, médius de la main droite). A la surface des pieds on note de l'oe
que ainsi à la jeunesse. Heureusement, la patiente est entre bonnes mains . Son docteur est assis près de son chevet. C'es
tuette de marbre : un enfant tout nu, des ailes au dos, un arc à la main . C'est le petit dieu Cupidon..... Ne voyez-vous
au, dûment signé de Jean Steen, où le maître lui-même a écrit de sa main le nom de la maladie qu'il a tant de fois pris pl
élégamment vêtu, qui, mystérieusement, glisse une lettre entre les mains d'une servante occupée à balayer la porte. Voilà
e. La légende est écrite sur une lettre que la malade tient dans sa main : « Daer helpt geen medecyn, 1V ant bel is mi
t au territoire de la 1° racine cervicale. - E, plaque du dos de la main continuant, par sa partie externe, la bande précé
derniè- res phalanges, puis les doigts dans leur ensemble, puis la main , puis.les avant-bras, tel est l'ordre d'envahis
s l'éruption. Par contre, les régions découvertes, le visage et les mains , qui sont moins susceptibles, sont le plus souven
affection caractérisée par le développement, sur les doigts et les mains , de petites tumeurs généralement très nom- breu
ricaine. Le mari qui adorait sa femme tant qu'il n'avait vu que ses mains ou son visage, fut pénétré d'horreur quand il eut
ignet en avant ; mais elle descendait sur toute la face dorsale de la main jnsqu'aux articulations métacarpo-plialangienne
rs. Pendant ce temps, il existe des dou- leurs violentes jusqu'à la main , à type lancinant, avec soubresauts. La conso-
à l'é- paule. Sensations de picotements et de fourmillements sur la main . La lésion se répare, mais à partir de ce momen
vives surtout dans la région rétro-scapulaire. Fourmillements de la main . La sensibilité est toujours conservée dans tout
ion au soleil (un quart, d'heure) suffit à faire apparaître sur les mains , à gauche et à droite, des lésions semblables a
rophiés, ni à droite, ni gauche, mais pous- seraient très oite à la main droite. Le système pileux est également développé
se dessinent sous la peau au point qu'en prenant l'épaule à pleine main , on peut en apprécier tous les reliefs. Les mép
faciles dans toutes les directions. Immobilisant le scapulum d'une main et imprimant des déplacements à l'hu- mérus de
dorsal, on la trouve sensiblement diminuée de volume. Portant la main plus bas, sur la région du grand dorsal, on voit
oins que le bi- ceps et le coraco-brachial ; en le prenant à pleine main on voit qu'il est encore notablement charnu. En
eux de la région antérieure mais moins que le long supinateur. A la main , ce qui frappe, c'est la maigreur de l'éminence t
42 » 41 t » Longueur du médius 8 » 1/2 8 » 1/4 Au dynamomètre, la main droite, dans un premier effort, donne 9 kilogram-
ir le poignet du malade. A gauche, la pression dynamométrique de la main est de 47 kilogrammes. Les téguments du bras dr
t volumineuse. L'examen radioscopique montre aussi que les os de la main droite (PI. XX) (métacarpiens et phalanges) ne
rpiens et phalanges) ne sont pas dans le même axe, comme ceux de la main gauche (PI. XX). Il y a un changement de directio
base des métacarpiens à l'extrémité inférieure de la 3e phalange : Main droite. Main gauche. 1er doigt. 10 centim. 11 c
acarpiens à l'extrémité inférieure de la 3e phalange : Main droite. Main gauche. 1er doigt. 10 centim. 11 centim. 2° «
14 J. SABRAZËS ET L. MARTY Eu résumé, le squelette des doigts de la main droite est plus court que celui de la main gauc
uelette des doigts de la main droite est plus court que celui de la main gauche de li à 5 mm. , Les extrémités osseuses
amplitude exagérée, de même la flexion et l'extension. On met la main il angle droit en adduction et en extension sur l
oit en adduction et en extension sur l'avant-bras. La flexion de la main se fait à angle droit. Les articulations phalan
sont bien conservés (haussement). Si on demande à V... de porter la main sur la tête, il arrive à peine, en flé- chissan
sur la tête, il arrive à peine, en flé- chissant les doigts dans la main , à écarter le membre tombant à quatre travers d
corps. On est en présence d'un membre ballant. Le malade ramène la main derrière lui, mais avec peine et seulement en c
la main derrière lui, mais avec peine et seulement en conservant la main dans la pronation (ce mouvement n'est en somme qu
l'est encore dans une certaine mesure). Le malade ne peut porter la main en avant dans Pacte d'uriner. Les mouvements d'
SCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT (Sabrazès et MARTY) Main gauche {côté sam). Radiographies. Main DROITI : (
DROIT (Sabrazès et MARTY) Main gauche {côté sam). Radiographies. Main DROITI : (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeu
e sous la peau limite ce mouvement. La flexion des doigts dans la main est facile. L'extension de la main et des doigt
La flexion des doigts dans la main est facile. L'extension de la main et des doigts ne se fait pas sans le secours d'un
t possibles mais peu énergiques. L'adduction et l'abduction de la main sont conservées. L'adduction est sur- tout faci
oite. La sensation du mouillé est normale. Les objets mis dans la main sont parfaitement reconnus. Le sens musculaire
s le lit et il va saisir le mem- bre malade sans hésitation avec la main gauche. 116 J. SABRAZÈS ET L. MARTY La sensat
le membre supérieur droit; mais il a eu des fourmillements dans les mains . Interrogé au sujet de la température subjectiv
e l'avant-bras). A peine accusée sur la moitié externe du dos de la main . La sensibilité Ù la piqûre et au pincement est
ieurs ; nulle ou à peu près sur le cubitus ; nulle sur les os de la main . 1 Le pincement des troncs nerveux se traduit p
u du paquet vasculo-nerveux. La sudation est exagérée à droite : la main est constamment couverte de sueur. Si on recher
des secousses d'une très grande amplitude de l'avant-bras et de la main . Pas de contractions fibrillaires des muscles d
postérieure de l'épaule. Pas de tremblement, mais instabilité de la main et des doigts qui sont maintenus à grand'peine
s. Le malade lit très bien. Son écriture est rendue difficile de la main droite par l'atrophie musculaire qui empêche d'
120 - J. SABRAZÈS ET L. MARTY tremblée. Le malade écrit bien de la main gauche. Sa mémoire est parfaite, il peut récite
t ne s'est pas notablement modifiée. Peut-être les extenseurs de la main droite sont-ils un peu plus faibles. Le malade a
faibles. Le malade a de plus remarqué qu'il ne peut plus mettre la main droite dans la poche de son pantalon sans s'aider
tre la main droite dans la poche de son pantalon sans s'aider de la main gauche. La sensibilité sous ses divers modes es
ignet, on détermine une série de contractions dans les doigts de la main correspondante ainsi que dans l'épaule et le bras
rtir du coude ». A cette douleur suc- cède un engourdissement de la main . On note la persistance des troubles sen- sitif
ans l'épaule, irradiations très pénibles à type lanci- nant dans la main ); les considérations précédentes s'appliquent à c
e avec gonflement de la région claviculaire, fourmillements dans la main , dou- leurs rétro-scapulaires et conservation d
esse momentané- ment. De plus, ce malade a une tendance à porter la main dans sa poche, ce qui lui donne un point d'appu
plus vraisemblable, qu'aujourd'hui, que V... ne peut plus mettre la main malade dans sa poche sans s'aider de la main sa
ne peut plus mettre la main malade dans sa poche sans s'aider de la main saine, il nous demande un lien en caoutchouc pour
e nous-môme les sent et les localise en nous. Ce qui se passe en ma main est subjectif puisque ma main fait partie démon
calise en nous. Ce qui se passe en ma main est subjectif puisque ma main fait partie démon moi organique ; c'est aussi o
des attitudes segmentaires successivement sur les cinq doigts de ma main , j'éprouve une double sensation. D'abord cha- c
rement traitée (1). Les figures sont d'une expression uniforme, les mains inhabiles, les plis des étoffes lourdement indi
t à son auteur, il ne nous parait pas que celte peinture soit de la main de P. Bruegel l'Ancien. Le souvenir des oeuvres d
intient sur le fauteuil opératoire, en- de Velours. Or, j'ai mis la main sur une gravure signée Bulegel 1559. Il. Cock exc
bouche, ouvrant de grands yeux effarés aux paupières rougies. De la main gauche, il cherche à prendre un point d'appui sur
les rustres pseudo-acromégaliques de Brouwer et de Teniers. A deux mains , il tient une grosse tenaille avec laquelle il fe
e le fauteuil, un autre compère aux cheveux ras montre sa tête, une main et une partie de son dos vêtu de rouge. Il regard
onnet rose tendre qui retombe en arrière sur son dos, soulève de la main gauche la casquette de fourrure du futur client
et découvre sur le milieu de son front la tumeur à extirper. De la main droite, il fait un geste persuasif pour l'engager
ut, il l'aura. Car ce n'est pas la première. L'opéré montre dans sa main gauche deux pierres déjà retirées de son chef,
baie fermée par une claie d'osier. Parla un troisième enfant passe sa main munie d'une cruche qu'il vide dans une marmite.
minuit à gratter des tiges de porte-cigares, particulièrement de la main droite, le corps penché, éprouve des douleurs dan
bras est impossible. Pour percevoir ce signe, il faut appliquer une main sur chaque épaule du PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE
bonne santé. C'est il l'âge de i à 6 mois qu'a débuté la lésion des mains pour laquelle elle est amenée à l'hôpital. Cett
particulier dans les différents appareils. Système nerveux normal. Mains assez petites. Doigts effilés. L'extrémité du d
de laquelle la sensibilité est très diminuée. Le reste du dos de la main parait normal. La paume de la main et la face p
diminuée. Le reste du dos de la main parait normal. La paume de la main et la face palmaire des doigts sont tapissées par
leurs bords. Cet aspect lamelleux est surtout marqué à la paume des mains . La pulpe des doigts est sèche, amincie, surtou
juin 1898. 11 semble que l'extrémité des doigts est plus pâle et la main plus cyanosée. Une soeur de la malade, âgée de
de 6 ou 7 mois des lésions analogues des extrémités. La paume de la main serait également squameuse et sèche et les extr
niveau des phalanges, l'exfoliation de l'épiderme à la la paume des mains et à la plante des pieds. Cesphéno- l, mènes ex
ourées d'une auréole pigmentée, quelques- unes ont la largeur de la main et parlent de la région antérieure pour gagner
e, débutant par les pieds et les jambes et atteignant plus tard les mains » qui porte leur nom, de nombreuses observation
inence thénar du côté droit étaient moins volumineux que ceux de la main gauche; il diagnos- tiqua une atrophie musculai
première, les ten- dons fléchisseurs font saillie à la paume de la main qui, dans son ensem- ble, présente une déformat
urs étant paralysés, sans cepen- 208 PAUL SAINTON dant fléchir la main sur l'avant-bras. Le bras est amaigri, les muscle
t de la motilité. - La résistance à la flexion des phalanges sur la main et de celle-ci sur l'avant-bras est très diminuée
is ils ne me paraissent pas très atteints; les petits muscles de la main , au contraire, ont complètement disparu. Aspe
uin 1894. Elle se ditatteinte d'un eczéma tenace et très ancien des mains , des poignets et des pieds', soigné il maintes
ieurs reprises des poussées d'eczéma très tenace, sec, squameux aux mains el aux pieds, des aphtes à la langue, elle perd
urvenue il y avait trois semaines, assez intense, occupant les deux mains et les deux poignets ; les pieds n'étaient envahi
étaient envahis que depuis huit jours. A première vue la lésion des mains et des poignets rappelait très nettement l'épid
malade va très fréquemment au lavoir : il exis- tait à la peau des mains , à la face antérieure et postérieure des poignets
iffuse; mais en examinant déplus près, on constatait à la paume des mains , un peu masquées et altérées par la limite acci
antôt par des élé- ments serpigineux pouvant gagner les bords de la main ou la face anté- 224 PAUL DE MOLÈNES rieure d
manifestations cutanées étaient identiques à celles de la paume des mains , l'eczématisation diffuse en moins, et confirmaie
nne palmaire et plantaire. Ajoutons que les ongles des pieds et des mains étaient intacts, et qu'il n'existait aucune man
cation, fùt-elle mal tolérée, pendant 6 semaines. Loca- lement, aux mains et aux avant-bras, cataplasmes tièdes de fécule d
ure qui est bien toléré pendant encore vingt jours et appliquer aux mains et aux pieds l'emplâtre de Vigo. .25 septembr
te après six mois de traitement. En mars 1895, nouvelle poussée aux mains accompagnée, comme la première fois, d'épidermo
nt toute cette grossesse aucun malaise; l'éruption des pieds et des mains n'ayant pas reparu, elle n'est pas venue au dispe
poussée légère de dermite avec eczématisation des avant-bras et des mains qui a peu duré, et a pris pendant deux mois de
, elle me revenait avec une nouvelle poussée de dermite intense des mains et des poignets, et de nou- veaux placards épai
ique, même une rage telle que ceux qui en sont atteints portent une main violente sur les autres et sur eux-mêmes; la plup
oedème véritable. Il serait vraiment trop osé de prétendre que les mains si délicatement des règles des arrêts du Code d
iquer ces symptômes. En montrant que les malades d'amour portent la main sur le côté gauche de leur poitrine, ils laissent
oudées contre un meu- ble, on les voit soutenir leur tète avec leur main ; tantôt, s'abandonnant davantage, elles repose
ller placé sur : le dossier d'une chaise, soutenant sa tète avec sa main droite, semble plongée dans un douloureux anéan
. La cause ? - C'est ce jeune cavalier à cheveux blonds qui met une main sur son coeur, geste qui ne laisse aucun doute
ute sur la nature de ses senti- ments. Le remède est dans son autre main : c'est le billet qu'il remet à une servante. C
un tel ! ..... » - ,« J'entends bien, répond-il, - tandis que d'une main distraite, il fait mine de là ter le pouls sur
andonne. - « J'entends, c'est ici que le mal la lient », - et de sa main le médecin montre son coeur; puis en badinant : «
oite, tout vêtu de noir, la re- garde et lui parle ; il tient de sa main gauche le pot en grès d'o>1 il vient de lui
dont les traits sont bien languissants, et qui, par le geste de la main gauche placée sur sa poitrine, semble indi- qne
cette occurrence. Le bras droit arrondi au-dessus de la tête,de la main gauche retenant ses draps,l'aimable patiente re
évi- demment, le mal est là ! », - et ce disant, notre homme met la main sur son coeur, - « C'est encore quelque vilain
tous les assistants de cette scène. La vieille matrone qui tient en main l'appareil se tord de rire ; derrière elle, une
menter. Assise de l'autre côté de la table, la tête soutenue par sa main gauche, elle applique la main droite sur sa poi
de la table, la tête soutenue par sa main gauche, elle applique la main droite sur sa poitrine, et pousse des soupirs na-
braillé de son ajustement, sur le geste qu'elle fait en appuyant sa main droite, non sur son coeur, mais sur sa gorge re
souffre assurément de la tête ; il faut qu'elle la soutienne dans sa main en s'accoudant sur une table. En outre, elle a
le bonnet doctoral, n'a pas une autre façon de se présenter. D'une main , il feint de tàter le pouls, de l'autre il tien
! ......... » C'est merveille de l'ouïr. Une grosse commère, les mains croisées, se pâme d'admiration, devant ce maîtr
feutre noir, se tient les côtes. Un vieux, coiffé d'un bonnet, une main sur le panier de l'urinai, fait avec un sérieux
u : la jeune femme, qui écarte légèrement les jambes, tient dans sa main gauche un objet rougeâtre qu'elle appuié contre
chose rou- geâtre et de forme arrondie que la malade tient à pleine main entre ses cuisses, et par dessus ses vêtements.
t le panier de l'urinai. La jeune personne croise nonchalamment ses mains sur sa taille, regar- dant en face, dans le vag
e trois quarts, il regarde le contenu de l'urinai qu'il élève de la main gauche à la hauteur de son oeil : sa main droite
'urinai qu'il élève de la main gauche à la hauteur de son oeil : sa main droite qui tient des gants est appuyée sur sa p
ure, stigmate certain de la maladie. Et voici un nouvel indice : La main droite appuyée contre la poitrine montre claire
: tre à celui qui la soigne. Aussi lui abandonne-t-elle timidement sa main , ? redoutant un peu la révélation de sa peine.
rroïdaires. D'autres fois, ce sont les veines du bras, du dos de la main , monstrueusement dilatées, mains de vieillards.
sont les veines du bras, du dos de la main, monstrueusement dilatées, mains de vieillards. - Il y a l'infantilisme vésica
elle a souffert antérieurement. Neuf fois sur dix, vous mettrez la main sur un myxoedème fruste. Nemo dat quod non Irrc
e à se dépouiller ainsi que la ligne mé- diane du cuir chevelu. Les mains sont hivernales, froides, durcies. Les dents so
un refroidissement, il y a quatorze ans, elle eut un gonflement des mains et des pieds, présenta de l'albuminurie et fut tr
oues et du nez ; la bouffissure évidente de la face, des pieds, des mains ; la température subnormale ; la voix coassante; l
du réseau capillaire, des joues et du bout du nez), aux tempes, aux mains (le dos de la main, chez de jeu- DE L'HYPOTHYRO
, des joues et du bout du nez), aux tempes, aux mains (le dos de la main , chez de jeu- DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONI
e du corps est sub-normale. Les malades transpirent facilement. Les mains sont froides, humides, bleuâtres et flasques. L
es et les doigts peuvent être à peu près renversés sur le dos de la main . Lorsque la main est gantée, elle perd sa forme,
peuvent être à peu près renversés sur le dos de la main. Lorsque la main est gantée, elle perd sa forme, et quand on la
nspirant facilement en été et se couvrant d'engelures en hiver. Les mains sont moites et sem- blables à celles que j'ai d
enfants qui cassent et démolis- sent tout ce qui leur tombe sous la main , stupidement, non pour se ren- dre compte de la
ROÏDIE BÉNIGNE CIIRONIQUE 295 mençante, l'oedème, le gonflement des mains et des pieds. L'hypothyroï- die bénigne chroniq
e n'a pas eu d'enfants et est fort ané- Fig. 24. - Eetromélie de la main et de l'avant-bras gauches chez une femme issue
tes. La dernière enfin est venue au monde avec une ectromélie de la main et de l'avant-bras gauches. (Fig. 24.) Cet ar
t cette transpira- tion est fétide. L'examen radiographique de la main et de l'avant-bras montre que les car- tilages
L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 311 mement plats et fétides. Les mains sont froides, couvertes d'engelures et font bea
elures et font beaucoup souffrir le malade. « En hiver, ce sont les mains », dit-il, « et en été ce sont les pieds qui me
étaient cassés. On constata alors que presque constamment ses deux mains étaient enfoncées dans son pantalon sous la ceint
fin d'avril. C'est alors qu'on a remarqué que le malade portait les mains hors de son pantalon et on a constaté que les p
ulaire. 322 PAUL SAINTON - Au membre supérieur, les muscles de la main sont le siège d'altérations comparables à celle
t jamais brusque : il est lent, insidieux, traînant. L'atteinte des mains est postérieure à celle des pieds de deux ans e
ite du type Âran-Duchenne. A un premier degré (PI. III, fig. E), la main est simplement amaigrie, les doigts plus minces
ment creu- sés. A un degré plus avancé (PI. III, fig. II), c'est la main en griffe. De même qu'au membre inférieur, l'at
erches personnelles; sans avoir la prétention de mettre la dernière main à un chapitre jusqu'ici encore encombré par les
ésie à la cuisse gauche, à la région sus-claviculaire et à toute la main droite, seulement à l'extrémité des doigts de l
et à toute la main droite, seulement à l'extrémité des doigts de la main gauche. B. Face postérieure. - Hypoalgésie au t
Hypoalgésie au talon droit, hyperalgésie aux qua- tre doigts de la main gauche et à tous les doigts de la main droite.
ie aux qua- tre doigts de la main gauche et à tous les doigts de la main droite. Retard à la perception de la douleur ;
s sont fulgurantes. La malade éprouve dans les doigts, surtout à la main gauche, une sensation d'engourdissement. La r
eiller, les yeux mi-clos, le regard mourant, les lèvres molles, les mains inertes. Et l'on ébauche un semblant depamoison.V
Ni 23 342 HENRY MEIGE est plus impressionnante encore quand, la main droite posée sur la hanche, de la gauche il sai
LE MAL D'AMOUR 343 le bras d'un agréable dessin, le poignet et la main d'une irréprochable finesse, et ce qu'on entrev
ndes et ses jolis yeux que de regarder l'urinal qu'il tient dans sa main droite. Après tout, c'est peut-être la meilleure
che sur la tête, vêtue d'un casaquin de velours bordé de cygne : la main gauche ap- puyée sur sa poitrine, elle abandonn
ne sur les épau- les, le bras droit allongé sur les couvertures, la main gauche appuyée sur des vêtements entassés sur l
ne chaise, la malade s'appuie du coude sur une table,tenant dans sa main droite une sorte de fichu blanc, abandonnant sa m
tenant dans sa main droite une sorte de fichu blanc, abandonnant sa main gauche au médecin. Elle est vêtue de couleurs c
costumedu temps, tâtant le pouls d'une jeune femme assise; de l'autre main le médecin lient l'urinai dont il examine le co
des membres supérieurs, leplus souvent par les petits muscles de la main droite ; 2) L'existence des contractions fibril
e, type Aran-Duchenze; début classique par les petits muscles de la main , surmenés'; évolution rapide en 18 mois ; troub
puis 2 mois,le malade s'est aperçu d'une certaine faiblesse dans la main et surtout au pouce. Depuis 8 jours ne peut mêm
sa pipe ; en même temps le malade accuse des fourmillements dans la main droite. , État actuel. Malade bien conformé, tr
é, très robuste; 2 hernies inguinales, varices aux 2 jambes. ' La main droite présente les doigts écartés l'un de l'autr
présente les doigts écartés l'un de l'autre, en demi-flexion sur la main , les phalanges en demi-flexions les unes sur les
nation ne se font qu'à moitié. Le malade arrive encore il mettre la main derrière sa tête, mais en l'amenant d'abord sur
actions fibrillaires. En deuxoutrois mois, l'épaule, le bras et les mains se sont successivement atrophiées. Cet état atr
u- jours persisté. Etat actuel. - Malade amaigri. Le bras et la main gauche présentent exactement les mêmes signes que
ras et la main gauche présentent exactement les mêmes signes que la main droite il y a un an. Atrophie des muscles de l'ém
ent, surtout la supination à gauche. Le malade peut mettre les deux mains derrière la tête. Mensurations ................
do vertiges. Janvier 1895. L'atrophie musculaire des muscles de la main gauche est totale, plus accentuée qu'à la main
re des muscles de la main gauche est totale, plus accentuée qu'à la main droite. Main droite. Actuellement le mouvement
de la main gauche est totale, plus accentuée qu'à la main droite. Main droite. Actuellement le mouvement d'apposition se
n et la flexion du pouce sont possibles mais lentes. Pour mettre sa main droite sur sa tète, le malade avance d'abord le c
'abord le coude au niveau de la partie antérieure du thorax, met la main sur le front et la laisse glisser par derrière.
le ; il fléchit le coude, amène l'humérus en adduction forcée, met la main sur le front et la laisse glisser en arrière.
e seul de son lit, mais en se tordant, en s'arcbou- tant ; avec ses mains il prend point d'appui sur le lit, puis s'appuie
ification de la marche physiologique. Le mouvement pour amener la main sur le nez se fait par secousses, par saccades,
Ici, nous la voyons débuter à 24 ans par les muscles fatigués des. mains . Il est vrai que le sujet avait été, comme celui
s lors, il ne ressentit plus les fourmillements. Etat actuel. Les mains au repos prennent une position spéciale : la 1
ux. Ces atrophies et les déformations qui en résultent, donnent aux mains la forme de griffes (PI. LXI, C). Aux avant-b
des cas, l'atrophie musculaire débute par les petits muscles de la main , surtout delà main droite, par les muscles de l
e musculaire débute par les petits muscles de la main, surtout delà main droite, par les muscles de l'éminence thénar et
Depuis deux ans il aurait remarqué la rétraction des tendons de la main . L'état reste stationnaire depuis 18 mois dans
t-bras sont en partie conservés surtout dans le 1/3 supérieur. La main : Le malade laisse le poignet en demi-flexion; la
upérieur. La main : Le malade laisse le poignet en demi-flexion; la main a l'aspect d'une main de singe. Atrophie des mu
malade laisse le poignet en demi-flexion; la main a l'aspect d'une main de singe. Atrophie des muscles du thénar et de l'
ar ; gril interosseux apparent. Métacarpiens apparents au dos de la main . L'index et le pouce peuvent être portés en ext
s 3 autres doigts sont en demi-flexion constante sur la paume de la main : la première phalange est fléchie, la 2e fléch
chie sur la 4r, et la 39 en extension (Pl. LXII, D). La paume de la main forme une concavité hémisphérique séparée en 2 pa
à gauche se faisant jusqu'à l'hori- zontale. La pression des deux mains est absolument rudimentaire. L'adduction du pou
on du poignet fléchi ; de l'extension des doigts sauf l'index de la main droite ; dans la paume des mains on sent, surtout
nsion des doigts sauf l'index de la main droite ; dans la paume des mains on sent, surtout à droite, la saillie des tendo
t chez notre ouvrier formier poussant son rabot avec la paume de la main (obs. VI) ; chez notre maçon élevant les moello
t les moellons en leur donnant appui éga- lement sur les paumes des mains (obs. I) ; chez le malade qui est l'objet de l'
; chez notre em- ployé de bureau (obs. II). Bien plus, c'est par la main gauche qu'a dé- buté l'affection dans certaines
ection dans certaines professions surmenant plus spécialement cette main : chez un maroquinier (Voisin) ; chez un joueur d
ontre- basse (Schappel), chez un dragon s'étant beaucoup fatigué la main gauche en maintenant les brides de son cheval .
ôtés ; mouvements d'opposition et d'abduction du pouce impossible ; main à demi fermée ; extension de la main et des doigt
bduction du pouce impossible ; main à demi fermée ; extension de la main et des doigts impossible ; les mouvements de pr
l'horizontale, mais y arrive avec le bras gauche ; il peut mettre la main gau- che sur la tête, mais non la main droite.
s gauche ; il peut mettre la main gau- che sur la tête, mais non la main droite. Circonférence moyenne du bras droit et
ectoraux, le malade croise facilement les bras et porte sans peine la main sur l'épaule opposée. - L'omoplate ne suit pa
mois environ, le malade a commencé à sentir de la faiblesse dans la main droite et principalement dans le pouce. Il ne pou
le pouce. Il ne pou- vait plus que difficilement se servir de cette main . Cette faiblesse musculaire aurait été en s'exa
IRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 373 servant l'usage de sa main gauche et des doigts, dont il ne peut plus faire
rler, pour manger et pour avaler, même sa salive. Il se sert de ses mains pour l'action du maxillaire inférieur. Etat act
onstitution primitivement assez bonne. Membre supérieur droit. La main droite présente l'aspect de main en griffe asse
bonne. Membre supérieur droit. La main droite présente l'aspect de main en griffe assez caractéristique, fortement reje
t assez bien conservée. Membre supérieur gauche. - Les doigts de la main gauche sont restés en extension ; le malade peu
rigine myélopathique ; début classique par les petits muscles de la main , surmenés. - Troubles trophiques : Artlaropa- t
lever le bras droit jusqu'à la verticale ; pour arriver à amener la main droite derrière la tête, il fait intervenir des m
des mouvements de latéralité, mettant le coude horizontalement, la main contre la joue, puis la faisant glisser derrièr
uvements de pronation et de supination et tous les mouvements de la main sont possibles, mais le pouce droit ne peut être
ce droit ne peut être écarté en abduction forcée. - Dynamomètre : main droite, 12 ; main gauche, 35. Les sterno-cléido
tre écarté en abduction forcée. - Dynamomètre : main droite, 12 ; main gauche, 35. Les sterno-cléido-mastoïdiens sont
tres. Le malade peut s'asseoir seul dans son lit sans se servir des mains ; une fois assis, pour se coucher, il retombe b
pour ainsi dire totalement disparus, complètement décolorés ; à la main , surtout, les muscles de l'éminence thénar sont
osenthal ; les deux premiers ne sont que des nodosités osseuses aux mains et aux doigts chez des nerveux ; quant au trois
les des avant-bras, au lieu de débuter par les petits muscles de la main , nous trouvons dans ces cas la même loi fixant
l de l'épaule fait un contraste frappant avec les avant-bras et les mains qui ont conservé leur aspect et leurs dimension
t non seule- ment par la simple inspection, mais en palpant avec la main la masse des muscles ronds et grand dorsal. L
al. Le malade a conservé tous les mouvements de ses doigts et de la main . Il la l1échit et l'étend facilement sur l'avan
de lever les bras plus haut, partant il est incapable de porter les mains à sa tête, il ne peut porter les bras en avant
ive du type.c1l'an-Duchenne qui dé- bute par les petits muscles des mains , ce n'est pas la forme scapulo-hu- morale de Vu
ations notables dans les traits du malade, ni dans le volume de ses mains ; une photographie prise à l'âge de 20 ans le m
ume des segments supérieurs, les extrémités paraissent énormes; les mains sont larges et épaisses, le développement maximum
la saillie postérieure du calcanéum. Voici quelques dimensions des mains et des pieds : ACIi01'fÉGALIE ET DÉGÉNÉRESCENCE
auche ' c/m c/m Longueur du pli radio-palmaire à l'extrémité du Mains 1 médius 20 » 20 » Mains Largeur à la base des
r du pli radio-palmaire à l'extrémité du Mains 1 médius 20 » 20 » Mains Largeur à la base des 4 derniers doigts 8 » 8 »
de l'hypoesthésie dans la zone du cubital, au bras gauche, aux deux mains . B. Face postérieure. - Anesthésie jusqu'à la c
à tous les doigts en respectant l'éminence thénar et le pouce de la main gauche. IL Douleur. - A. Face antérieure. - Hyp
a face supérieure du pied droit. Hyperalgésie au flanc droit et aux mains jusqu'à l'extrémité des doigts. B. Face posté
la zone cubitale jusqu'à l'articulation du poignet. Hyperalgésie aux mains jusqu'au bout des doigts. Aux pieds, il y a u
eur, hypoesthésie aux jambes, à la face externe des cuisses et à la main droite ; hyperesthésie à tout le tronc. Au froi
rd interne du bras jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts de la main . B. Face postérieure. - Anesthésie en corset ;
- Hypoalgésie dans le domaine du cu- bital, à toute la paume de la main et aux deux derniers doigts à gauche; à droite,
. Analgésie en corset. Hyperalgésie aux trois premiers doigts de la main gauche et à tout le reste du corps. B. Face pos
Hypoalgésie en hémi-calotte gauche. Hyperalgésie partout sauf à la main droite, dans le territoire innervé par le radia
ce interne des bras et des avant-bras, l'anesthé- sie respectant la main . Une lésion d'où émane la 81 paire cervicale pr
la zone précédente, mais qui se continue sur le bord cubital de la main englobant le petit doigt et la portion adjacente
i-môme, le patron de la médecine, est souvent figuré un urinal à la main . ' Sans insister davantage sur les origines de
d'un tapis d'Orient, encombrée d'in-folios et de paperasses. De la main gauche, il soulève l'urinai où se reflète le jour
n vain, à dissimuler la proé- minence de son ventre en croisant ses mains par dessus. Une commère l'ac- compagne, et son
iscrète, et les autres personnages du tableau (un homme blessé à la main , deux femmes avec des enfants malades, une serv
es coussins. Elle a perdu connaissance, son regard est mourant, ses mains tombent inertes. Deux femmes s'empressent à s
egard mourant, la chute abandonnée de sa tête, la flaccidité de ses mains , tout indique une défaillance qui va jusqu'à la p
- billement. Visage noble et majestueux, gorge de déesse, bras et mains d'un irré- prochable modelé, la défaillante est
lin et de brocatelle, les bras et les épaules nues, soutient à deux mains le bras droit de la malade. Une autre, plus âgé
ue se tient dans l'ombre et se contente d'appuyer discrète- ment sa main sur l'épaule de sa cliente. Personne ne s'occup
e « c'est ça qui est encore gentil ». Comme je lui dis de mettre sa main sur la tète, elle me montre sa main droite contra
. Comme je lui dis de mettre sa main sur la tète, elle me montre sa main droite contracturée, d'un air de mo- querie, en
uerie, en disant, « celle-là ? » puis elle exécute le mouvement de la main gauche avec mille simagrées. Elle déclare penda
e hémiplégie droite avec contracture incomplète (en flexion pour la main , en extension pour la jambe) sans paralysie facia
e. Quelques mouve- ments partiels et peu étendus sont possibles. La main droite est rouge et tu- méfiée (rougeur et tumé
nstantes d'ailleurs) et d'une façon perma- nente plus froide que la main gauche. Le pied droit est aussi notablement plus
le-même l'attention en disant : « Comme si... » et en faisant de la main le geste de tracer une division nette sur la lign
spontanément (Fig. 1) : a) le na 1 sans modèle en s'aidant des deux mains , la main gauche tenant droite (contracturée) se
nt (Fig. 1) : a) le na 1 sans modèle en s'aidant des deux mains, la main gauche tenant droite (contracturée) serrée sur
b) D'après un modèle elle a écrit les nos 2 et 3, cette fois de la main gauche seule, en refusant énergiquement d'utili
is de la main gauche seule, en refusant énergiquement d'utiliser la main droite comme dans l'essai précédent. t. c) Le
e dans l'essai précédent. t. c) Le n° 4 a été écrit avec les deux mains en suivant le modèle. d) Le n° 5 a été écrit av
les deux mains en suivant le modèle. d) Le n° 5 a été écrit avec la main gauche seule, en suivant le modèle. On le voit,
pas. » Ceci accompagné d'une mimique expressive oit elle montre sa main contracturée. Notons en passant que s'étant taché
e montre sa main contracturée. Notons en passant que s'étant taché la main d'encre pendant cet examen, elle s'essuie à sa
cet examen, elle s'essuie à sa robe en disant : « j'ai du noir à la main . » Il est impossible de lui faire prononcer le mo
à son oreille), une po, mne po. Une clef. -Je vous l'ai dit, des mains , des machines, comme ça. Dans un autre examen.
u- rique, atteint depuis l'âge de 18 ans d'oedèmes partiels (pieds, mains , avant-bras, jambe, scrotum), indolores, appara
Observation d'un oedème localisé à certaines parties du visage, des mains , des bras, des parties génitales ; oedème dur, d'
oses, et même aux vésanies. Manheimer a publié un cas d'oedèmedes mains chez une mélancolique (2). Verriest a communiqu
t blanc et dur. Plus tard sont survenus des troubles trophiques des mains et des pieds (cyanose, petites ulcérations). La p
dème des deux pieds et jambes survenu chez une hystérique; mais les mains étaient aussi atteintes, et on vit bientôt se p
des hôp. de Paris, 29 mai 1896. - IOU1'.\RD-MAI\TIN et IL1CALOGLU, Main succulente dans l'hémiplégie hystérique, Soc. m
rêtant au moignon de l'é- paule, de l'autre, à l'avant-bras et à la main . D'abord blanche, lisse et dure, la peau devint
me localisé à certains segments de membres inférieurs et au dos des mains . Pour lui, il s'agis- sait encore d'un oedème n
er la tête à gauche si ce n'est en la maintenant, lui aussi avec sa main . Croyez-vous trouver là comme cause l'irritatio
t la volonté de faire agir les muscles du cou, mais la force de ces mains ; sa volonté qui se fait obéir de ses mains ne
u, mais la force de ces mains ; sa volonté qui se fait obéir de ses mains ne commande plus à ses muscles du cou » (2).
DOCUMENTS CLINIQUES AVEC PIIOTOSTÉRÉOGRAPH1ES SYRINGOMYÉLIE AVEC MAINS SUCCULENTES, ATTITUDE DE PRÉDICATEUR ET ACROMÉG
sique. En novembre 1898, impotence absolue des membres supérieurs ; mains succulentes cyanosées et refroidies, avec atrop
rique : inexcitabilité faradique et galvanique des muscles des deux mains . Inexcitabilité faradique des deux nerfs cubitaux
à ressentir des sensations de fourmillement et de faiblesse dans la main gau- che ; le matin, en se levant, il éprouvait
APHIE DE LA SALYLIN1LR1 : . T. XII. 1,1. LXXXV SYRINGOMYÉLIE AVEC MAIN SUCCULENTE Attitude de prédicateur et .¡cro1110
s tombent inertes le long du corps (photostéréogra- phie), les deux mains en extension sur le poignet dans une position in-
termédiaire à la pronation et à la supination. Dans la marche, les mains sont ballantes, portées beaucoup plus que penda
le repos en dehors de l'axe du corps, en supination plus accentuée ( mains de prédicateur). Dans l'attitude du serment on
on voit se produire des mouvements involontaires des doigts et des mains , mouvements irréguliers, de flexion, d'extension,
, sortes de secousses lentes et de faible amplitude. (Pl. LXXXV.) Main gauche. - La particularité qui attire le plus l'a
id sans phé- nomène de l'onglée. Mensurations : Circonférence des mains , immédiatement au-dessous de l'extrémité inféri
6 c. 5 à gauche, 6 centimètres à droite. La ligne cubitale de la main , surtout dans la pronation, apparaît légè- reme
beaucoup moins que la ligne de l'auriculaire. La face dorsale de la main est le siège d'un gonflement considérable ; la pr
ments un véritable godet persistant. Cette tuméfaction du dos de la main efface complètement les détails de struc- ture
lles fossettes intermétacarpiennes sont comblées, ce qui donne à la main dans son ensemble un aspect très potelé. La face
inences thénar et hypothénar sont atrophiés au der- nier point ; la main plaie, simiesque sur la face palmaire, a sur la f
esque sur la face palmaire, a sur la face dorsale l'apparence d'une main gelée très froide au toucher. ' . L'altitude to
ose locale qui s'atténue sous l'influence de la chaleur du lit ; la main ainsi réchauffée se refroidit très vite quand e
492 sabrazès cipalement en hiver. La température locale du dos des mains est dès lors de 27°. Tous les doigts ont la f
ratosi- que ; altérations de début au niveau de l'ongle du pouce. Main droite. - Elle se différencie de la main gauche p
iveau de l'ongle du pouce. Main droite. - Elle se différencie de la main gauche par un gonfle- ment et un aspect succule
plus accusée vers le bord cubital,par l'extension plus grande de la main sur le poignet, parla flexion des deuxième ellr
forte creusesur la peau oedémateuseun godet profond. La surfacedeta main droite est parsemée d'ecchymoses dues à de peti
ecchymotique ; on en trouve une aussi à la racine du médius. Cette main est plate (atro- phie des éminences thénar et h
tent les mêmes déformations qu'à gauche. La radiographie des deux mains permet de se rendre compte de l'atti- tude vici
cipation du squelette à l'augmentation de volume des extrémités. La main droite, cause des déviations moins marquées de se
INGOMYÉLIE 493 pratiquées par comparaison avec des radiographies de mains normales de sujets du même âge dont un atteint
n atteint de rhumatisme articulaire aigu avec oedème douloureux des mains . Voici les résultats de ces mensurations : Lo
antes : haussement des épaules difficile; possibilité de porter les mains derrière le dos, mais difficulté extrême à les
ge pour se produire un mouvement de rotation de tout le membre. Les mains ne sont plus douées que de mouvements très rudime
ont perdu toute facul té de se mouvoir. Au-dessus de la limite des mains la peau n'est ni épaissie ni oedéma- teuse ; on
sont anesthésiques. Analgésie à la piqûre sur toute l'étendue de la main ; à l'avant-bras et au bras sensibilité d'autant
froid et au chaud diminuée surtout à la surface des doigts et de la main . Distribution segmentaire des troubles sensitifs.
à souhait, une jeune femme est assise, te- nant une cafetière de la main droite. Si ce n'est pas la Toinette de Molière,
oeil singuliè- rement audacieux. Son regard oublie de surveiller la main tremblante qui tient la potion régénératrice, p
eprésenté sans ambages par la bourse que le vieillard tient dans sa main gauche. , A quoi bon insister davantage sur les
NTE et Gilles de r.a Toa- nETTE (2 phot.), 95. Syringomyélie avec main succulente, atti- tude de prédicateur et acromé
avec autopsie (1 sléréo- phot.), 48. Sahrazès. Syringomyélie avec main succu- lente, attitude de prédicateur et acromé
ière (Gilles DE la Tourette et DCTR.1NTE),XVI. Syringomyélie avec main succulente, atti- tude de prédicateur et acromé
9 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
gauche comme engourdi, et il y ressentait, principa- lement dans la main , des espèces de fourmillements. Rien de plus pe
on métier, sentant dans son travail de charretier-terrassier que sa main gauche pour porter la pelle était plus faible q
-dire il y a trois ans, en juillet 1886, le malade s'aperçut que sa main gauche s'engourdissait davantage, puis apparut
it lui- même avec un canif. Bientôt (septembre 1886) la paume de la main se mit à gonfler à son tour et il s'y développa
et à l'annulaire ; le malade resta ainsi pendant huit mois avec sa main malade. Lorsque la guérison fut obtenue (le mal
UX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 3 malade prenait en outre des bains de main prolongés dans la décoction - de guimauve. Un
s'aperçut qu'il n'avait plus au- cune- force dans le bras et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, étant à bout de r
générales de médecine.] Déjà lui-même avait noté l'anesthésie de la main et de l'avant-bras gauche, par ce fait qu'il av
bservés nous-mêmes en 1889, sauf qu'il existait à cette époque à la main gauche, au talon de la main,[dans*les plis digito
sauf qu'il existait à cette époque à la main gauche, au talon de la main ,[dans*les plis digito-palmaires du pouce, du mé
lmaires du pouce, du médius et de l'annulaire, et aussi un peu à la main droite, des crevasses indolores en voie d'évolu
ecouvrent le pouce, qui se cache dans l'intérieur de la paume de la main . Cette position de la tête, qui est très accent
prouve dans l'oreille gauche. La force est absolument nulle dans la main gauche, tandis qu'elle est, sinon très grande,
tandis qu'elle est, sinon très grande, du moins conservée dans la- main droite. Dynamomètre fil D = 10 M G=0. Elle
re. Réflexes rotuliens diminués, mais présents. La position de la main au repos est celle que nous décrivions plus haut
cerlain degré de diminution apparente de longueur des doigts de la main gauche, comparés à ceux de la main droite. Mais
nte de longueur des doigts de la main gauche, comparés à ceux de la main droite. Mais il faut remarquer que le malade ay
le chaud et le froid, avec perte du sens musculaire au niveau de la main (iig. il, 2). L'examen des yeux pratiqué par M.
rs parfaitement musclé. Les réactions électriques des muscles de la main , qui paraissent seuls atrophiés, sont normales
pour attirer l'attention et ne pas confondre ces déformations de la main , et en particulier des doigts, avec des panaris
dehors. A ces lésions s'ajoute l'anesthésie spéciale occu- pant la main , l'avant-bras, souvent le bras tout entier. Mai
tif A LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne Je Longuet FACE DORSALE DE LA MAIN DONT LA FACE PALMAIRE EST REPRÉSENTÉE DANS LA P
u côté droit; ' Enfin des troubles Irophiques qui ont pour siège la main droite le plus souvent et parfois le. membre in
n quoi ils consistent : , Tous les mois ou tous les deux mois, la main droite du malade est le siège d'une éruption de
sée éruptive est 'précédée et annoncée par un état douloureux de la main et des doigts. C'est une sorte d'agacement, d'c
cette gêne doulou- reuse, il se produit un léger gonflement- de la main et des doigts mais sans rougeur, sans : aucun '
ant sur la face palmaire ou dorsale des doigts, ou sur le dos de la main , jamais à bras. Ces bulles, sont bvalaires, leu
erminée. NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL III FACE DORSALE DES MAINS D'UN MALADE ATTEINT DE MALADIE DE MORVAN FRUSTE
es se sont développées à deux reprises différentes. Mais c'est à la main droite que l'éruption se produit le plus souven
otablement inclinée à gauche; l'épaule droite est suré- levée et la main de ce côté descend moins bas que la gauche, le do
ononcé. Parésie des membres du côté droit. Le malade peut porter sa main et son bras droits dans toutes les directions.
e des éminences thénar et hypothénar, des interosseux dorsaux de la main droite (pl. V). " "Sensibilité à la dou1elll' (
degré de déviation articulaire, mais beaucoup moins prononcé qu'aux mains . En outre de ces déformations articulaires, la
e ans et présente également des signes de l'arthrite déformante aux mains seulement. Il n'y a pas eu chez elle d'arrêt du d
it de tous, l'art et la science marcher de concert et se donnant la main `. » Nous n'avons pas à faire ici l'analyse de c
peau du nez, des paupiè- res, etc. ; il est très mince au dos de la main , du pied, au niveau des cla- vicules z1 à 2 mil
sures de l'épaisseur du pannicule adipeux de la face palmaire de la main et plantaire du pied, à cause des adhérences étro
mplement pour mémoire, le tissu graisseux de la face palmaire de la main et surtout de la plante du pied, qui, par sa di
tent des mouvements alternatifs de pronation et de supination de la main , accompagnés de mouvements de flexion et d'exte
tteinte d'accidents hystériques non douteux et d'un tremblement des mains survenu après une attaque et rappelant tout à fai
remblement qui existait chez le nommé Gui... « Le tremblement de la main droite est remarquable par la régularité parfaite
nfluence des mouvements volontaires. Le malade peut se servir de sa main pour boire ou pour manger et peut même écrire trè
écrire très passablement à la condition d'appuyer fortement avec sa main gauche sur son poignet droit, manoeuvre qui fai
S. 35 agité d'une trémulation continuelle et il suffit de poser les mains sur ses épaules ou sur sa tête pour percevoir l
le plus complet. Il suffit, pour le voir, de jeter les yeux sur les mains du malade lors- qu'il les laisse reposer tranqu
. Ces oscillations se produisent surtout dans le sens vertical ; la main exécute de petits mouvements alternatifs de fle
n soulèvement brusque et actif de ]'un des doigts, un ressaut de la main ou de l'avant-bras tout entier traverser le rhyth
celui de l'écriture, sont un peu troublés par la trémulation de la main et des doigts. Mais les malades ne sont nulleme
et de l'observation I. Le premier représente les oscillations de la main droite posée sur une table. Le second a été obten
de la main droite posée sur une table. Le second a été obtenu la main et le bras du sujet étant placés dans l'attitude
met de la tête; au membre supérieur, la face dorsale du métacarpe, la main étant en pronation et étendue dans l'attitude d
rale, les oscillations sont plus étendues lorsque le sujet tient sa main dans car l'amplitude des oscillations ainsi enr
lations de 9 a 9 1/ par seconde (11;tcq ...) 1-'iG. 18. - Tracé II. Main droite (attitude du serment) : oscillations de 9
tère vibratoire du tremblement s'accentuaient à un degré tel que la main de l'observateur posée sur l'avant-bras du suje
scillations, 12 i, 13 par seconde <"aNI... Frc,. 20. - Tracé Ir. Main droite (attitude du serment) : oscillations, 9 à
examen comparatif des tracés obtenus en plaçant dans la paume de la main de ses sujets une poire en caoutchouc communiquan
n enfant qui désobéit : elle lui donne une giffle d'un revers de sa main qui reste paralysée avec anesthésie en manchett
prouvait une angoisse intense lorsqu'elle était forcée de mettre sa main sur la plaque de métal, mais encore elle était pr
ceci : la malade s'étant mise à grand'peine debout, à l'aide de ses mains appuyées sur ses cuisses, absolument comme pour
font dans le pouce, qui, dans la flexion, va toucher la paume de la main . Le poignet fait de temps en temps des mouvemen
peau de feutre. Le pied gauche repose sur un billot carré, les deux mains se rejoignent en anse sous le creux du jarret. La
r contemple la scène avec beaucoup plus d'intérêt que d'émotion. Sa main droite plonge dans une petite boite de forme as
n font foi -s'est agenouillé dans une posture pleine de naturel. La main droite tient d'une façon absolument correcte « co
culations; seulement la ma- lade porte fréquemment l'une ou l'autre main devant sa bouche pour masquer son bâillement.
té, sensation de pesanteur des membres gauches qui sont faibles; la main gauche laisse parfois échapper l'objet qu'elle
e de notre examen. A des intervalles très rapprochés, elle porte la main à sa bou- che essayant de retenir un bâillement
ste dans la position où elle se trouve, se cache la figure avec ses mains et pousse des cris aigus. En même temps des mou
s, se mettait à chanter. Il cassait tout ce qui lui tombait sous la main ; ramassait toutes les saletés qu'il rencontrait
rre, des feuilles mortes, il buvait son urine, défé- quait dans ses mains et disait qu'il voulait manger ses excréments o
l'empêcher de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux membres inférieurs. La malade dit même a
t-bras allongés reposent sur les cuisses par leur bord cubital, les mains à demi fermées dans la position du repos (pl. XIX
la position du repos (pl. XIX). 2° Les bras sont croisés. 3° La ^ main droite est placée devant le menton, cachant un pe
aliments. Le plus souvent il prend la moitié de la bouchée dans ses mains et jette l'autre par terre, puis il la ramasse un
une conscience qui mérite d'être signalée, L'avant-bras droit et la main , siège de la déformation, sont NOUVELLE Iconogr
des angles et des saillies qui se forment à la région dorsale d'une main normale fléchie, -de telle sorte que la main-bo
semblance, doit être la mère du jeune convulsionnaire, assiste, les mains croisées sur la poitrine et l'angoisse peinte s
s membres inférieurs sans douleurs ni paresthésie. En même temps la main droite se prend. Elle entre à l'hôpital le quat
de se manifester. On nota aussi des oedèmes légers des pieds et des mains . Vers la fin, les muscles du cou et de la nuque
on lit, et pouvait avec une certaine difficulté, en.s'aidant de ses mains et de ses bras, mettre ses membres inférieurs h
assif et du dévelop- pement particulièrement exagéré des pieds, des mains et de la face. La taille (lu ,68) dépasse notab
aucoup de cas d'acromégalie. Membre supérieur. - L'hypertrophie des mains est bien évidente sur les photographies de la m
pour le détail. Cette hypertrophie porte plus sur la largeur de la main que sur les autres dimensions. Un fait que je tie
longueur du médius tandis qu'entre les doigts correspondants de la main droite on retrouve la différence habituelle. Ce
phalan- gine. La peau est pigmentée en brun au niveau du dos de la main et de la face dorsale du poignet; elle est' épa
d'Al- phonsine Prev... mais n'ont pas les dimensions exagérées des mains . Du reste la réaction dynamométrique est égale
s grands signes précédents : à savoir l'hypertrophie des pieds, des mains et de la face, il nous reste à terminer l'expos
nt commence à grandir d'une façon exagérée : les extrémités, pieds, mains , face, prenant toutefois les devants dans l'hyper
vulgaire : c'était une grosse joufflue. On peut voir aussi que les mains sont grandes; mais la petitesse de l'épreuve que
ins sont grandes; mais la petitesse de l'épreuve que j'ai entre les mains ne permet pas de tirer des conclusions bien sé-
up : sa face s'allon- geait, surtout dans sa moitié inférieure. Ses mains augmentèrent en même temps de volume. Elle port
il, et a été obligée de supprimer les gants de peau, non pas que sa main fut devenue plus longue, mais les pro- portions
les qui existent entre la longueur, la largeur et l'épais- seur des mains et des doigts avaient été détruites. Aujourd'hui
php de LA SAL1.TRItRt' T. III p y,l ACROMÉGALIE Comparaison de la main d'acromégalique (situé ,i droite) avec tannin d
LLQGRAPHIE Chiche ET LONCUET. Mua. cl"acromé £ a11glle (à droite) Main d'.me fille de même âge ayant de grosses mains (à
£ a11glle (à droite) Main d'.me fille de même âge ayant de grosses mains (à gauche) UN CAS A DÉBUT RÉCENT. 163 encore
t fortement allongée d'avant en arrière et légèrement ogivale.. , Mains . La main droite est un peu plus grosse que la gau
ent allongée d'avant en arrière et légèrement ogivale.. , Mains. La main droite est un peu plus grosse que la gauche : 'La
grosse que la gauche : 'La malade, on l'a vu plus haut, dit que ses mains se sont élargies et épais- sies, mais n'ont poi
nt beaucoup moins accen- tuées qu'à la face. La circonférence de la main au niveau' des arti- culations métacarpo-phalan
rosses extrémités. La force est plutôt diminuée. Au dynamomètre, la main droite et la main gauche amènent toutes deux le
La force est plutôt diminuée. Au dynamomètre, la main droite et la main gauche amènent toutes deux le chiffre 25. Les r
inance des lésions sur la face et des déformations peu accusées des mains . Toutes les autres affections qui prêtent à con
en réalité de la maladie de P. Marie ? Le peu de défor- mation des mains , la persistance des règles qui sont, il est vrai,
nt en présence d'une femme à grosse face, à gros pieds et à grandes mains . Mais il faut remarquer que ces phénomènes ont
i la con- cerne. J'en dirai à peu près autant des pieds. Seules les mains prêtent un peu à la critique, et dans un autre
ACROMÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 167 certaine augmentation de volume des mains , et c'est sans conteste du type acromégalique q
.acé du doiiiianl 100 vibrations doubles par seconde. B, Courbe de la main dioile hémiplégique. A, Courbe de la main gauch
seconde. B, Courbe de la main dioile hémiplégique. A, Courbe de la main gauche saine. 170 N0U\ELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
figure 45 donne la représentation graphique de la pression des deux mains sur deux tubes élastiques fermés à une extrémité
té, le sujet est incapable de faire un mouvement simultané des deux mains , la main paralysée agit toujours en retard de 2
et est incapable de faire un mouvement simultané des deux mains, la main paralysée agit toujours en retard de 25 à 30 ce
ar saccades, en esca- lier, comme les courbes dynamométriques de la main dans la fatigue et dans les états d'épuisement
et de même culture intellectuelle. 'Pas plus que l'instabilité des mains et les troubles de la marche, les ' troubles du
ntérieurement par une spirale de fil de fer, et que l'on tient à la main , tandis qu'on aspire par l'autre bout libre qui s
accusait un léger fourmillement aux extrémités des doigts des deux mains , mais si léger qu'elle ne l'aurait peut-être pas
f ceux de supination et de pronation qui sont faibles. Flexion delà main sur l'avant-bras, ainsi quel'extension. Doigts re
très grande difficulté pour réchauffer les pieds. 7 février. - La main gauche qui est plus paralysée, est très oedé- m
ent l'onglée. Ces troubles vaso- moteurs, oedème des pieds et de la main gauche, alternatives de cha- leur et de refroid
e. Chaleur plus grande à gauche. Différence de température entre la main droite et la main gauche = 8° 5 en plus à main
ande à gauche. Différence de température entre la main droite et la main gauche = 8° 5 en plus à main gauche. Même état
température entre la main droite et la main gauche = 8° 5 en plus à main gauche. Même état des muscles abdominaux. . 2
nce de température le matin : pas de différence appréciable avec la main . Diarrhée plus abondante. Contractilité électri
ction faible biceps, deltoïde. 24 février. Différence de t° entre main droite et main gauche, 4° en plus à main gauche
ceps, deltoïde. 24 février. Différence de t° entre main droite et main gauche, 4° en plus à main gauche. d3 nzars. -
er. Différence de t° entre main droite et main gauche, 4° en plus à main gauche. d3 nzars. -Depuis quelques jours le gon
à main gauche. d3 nzars. -Depuis quelques jours le gonflement de la main gauche augmente. La main droite est un peu oedé
-Depuis quelques jours le gonflement de la main gauche augmente. La main droite est un peu oedémaliée. Douleur assez vive
re côte gauche. Le deltoïde gauche s'atrophie. Différence entre les mains presque nulle. 'i8 mars. - Pas de diarrhée depu
ONOGRAPHIE DE LA S.VL1 ? fRIERE. bien meilleur. Différence des deux mains 3° 4 en plus à gauche. Ventre volumineux, paroi
du courant. Le soir, disparition de l'oedème, température des deux mains égale (appréciation à la main). 4 mai. Parois a
on de l'oedème, température des deux mains égale (appréciation à la main ). 4 mai. Parois abdominales très épaissies. Enc
aralysé. Fin de mai. -Depuis une quinzaine de jours, l'oedème de la main gauche a complètement disparu; la différence de
a complètement disparu; la différence de température entre les deux mains s'efface de plus en plus et l'équilibre s'établit
x bras sont maintenant dans le même état. L'attitude vicieuse des mains s'exagère. C'est le type de la griffe dans la p
de l'avant-bras, et les muscles interosseùx et des éminences de la main ; à droite plus forte contractilité. 5 juin. -
n. Progrès énormes. Tous les muscles se contractent sauf ceux de la main . Les électrisations sont continuées chaque jour.
t très forte aujourd'hui et s'utilise activement dans le service. Mains en griffe, articulations raides, flexion de l'art
npoint relatif. Novembre. - Léger progrès dans les mouvements de la main . POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 203 Main droi
ans les mouvements de la main. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 203 Main droite : les muscles de l'éminence thénar sont mo
ont moins atrophiés. Les doigts s'allongent et se fléchissent bien. Main gauche : moins avancée, raideurs articulaires.
6 décembre 1874. Le corps est dans un état d'embonpoint normal; les mains seules présentent, outre une déformation caract
des membres supérieurs; elle peut soulever de lourds fardeaux; les mains seules sont incapables d'accomplir leurs foncti
ières dans la flexion sur la première et ne peuvent plus s'étendre ( mains en griffe); de plus le pouce est rejeté en arri
eté en arrière et en dehors sur le même plan que les autres doigts ( main de singe). Le pouce de la main droite semble pl
le même plan que les autres doigts (main de singe). Le pouce de la main droite semble plus rejeté en arrière que le gau
ence hypothénar ne fait plus saillie; en somme toute la paume de la main offre l'aspect d'une surface plane, la peau de
lane, la peau de cette région est lisse et tendue. Sur le dos de la main , on voit des excavations assez prononcées entre
tement (Fig. 57). La sensibilité cutanée est conservée sur les deux mains , la malade perçoit même des différences de temp
es malades. La température présente un abaissement notable aux deux mains variable d'ailleurs pour chacune d'elles, et se
ade perçoit très peu le passage des courants dans les muscles de la main . L'atrophie et la déformation qui en résultent
phie et la déformation qui en résultent semblent plus marquées à la main gauche. A l'avant- bras, les muscles répondent
- (Dessin communiqué par M. le professeur Ilayem et représentant la main de la malade en 1875.) POLIOMYÉLITES ET POLYNÉV
ion cervicale, le pôle négatif alternativement sur l'une ou l'autre main . La malade se plaint de sentir des élancements
e de M. Boudet de Paris). Salle Madeleine, n° 23. - Température des mains : main droite, 21 "2; main gauche, 32°. Après
Boudet de Paris). Salle Madeleine, n° 23. - Température des mains : main droite, 21 "2; main gauche, 32°. Après l'appl
lle Madeleine, n° 23. - Température des mains : main droite, 21 "2; main gauche, 32°. Après l'application des courants c
1 "2; main gauche, 32°. Après l'application des courants continus : main droite, 21°4; main gauche, 33°. Après l'appli
°. Après l'application des courants continus : main droite, 21°4; main gauche, 33°. Après l'application des courants i
1°4; main gauche, 33°. Après l'application des courants induits : main droite, 21°8 ; main gauche, 33°8. Pendant l'a
33°. Après l'application des courants induits : main droite, 21°8 ; main gauche, 33°8. Pendant l'application des coura
gauche, 33°8. Pendant l'application des courants continus sur la main droite, la température de la main gauche a mont
tion des courants continus sur la main droite, la température de la main gauche a monté de 33° à33°6. L'application des
3° à33°6. L'application des courants a duré dix minutes pour chaque main . Les courants continus étaient descendants. 1
n. Les courants continus étaient descendants. 18 décembre. - A la main droite, la griffe semble moins prononcée ; l'in
urtout s'étend plus complètement sous l'influence de sa volonté. La main gauche présente également une légère amélioration
sible, la malade peut étendre presque complètement les doigts de la main droite; ceux de la main gauche ne peuvent pas e
endre presque complètement les doigts de la main droite; ceux de la main gauche ne peuvent pas encore être étendus, mais,
chute de la température s'est faite dans la nuit. Tem- pérature des mains : main droite, 21 02; main gauche, 32°. Après l
la température s'est faite dans la nuit. Tem- pérature des mains : main droite, 21 02; main gauche, 32°. Après l'applic
t faite dans la nuit. Tem- pérature des mains : main droite, 21 02; main gauche, 32°. Après l'application des courants c
1 02; main gauche, 32°. Après l'application des courants continus : main droite, 21°4; main gauche, 33°. Après l'appli
32°. Après l'application des courants continus : main droite, 21°4; main gauche, 33°. Après l'application des courants
1°4; main gauche, 33°. Après l'application des courants induits : main droite, 21°8; main gauche, 33°8. L'applicatio
33°. Après l'application des courants induits : main droite, 21°8; main gauche, 33°8. L'application des courants a du
he, 33°8. L'application des courants a duré dix minutes pour chaque main . Pendant l'application des courants sur la main
minutes pour chaque main. Pendant l'application des courants sur la main droite, la température de la main gauche a mont
l'application des courants sur la main droite, la température de la main gauche a monté de 33° à 33° 6. ' 23 décembre. -
eu lieu, et ce matin, il y a environ ï2 a'13° de différence entre la main 20(1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ËTfUËKE.
trémités inférieures dans le même sens pour chaque pied que dans la main correspondante. 24 décembre. - La différence de
ondante. 24 décembre. - La différence de température entre les deux mains existe toujours; la main gauche a 31°, la droit
différence de température entre les deux mains existe toujours; la main gauche a 31°, la droite 20°6. 29 décembre. L'am
20°6. 29 décembre. L'amélioration est très grande. Les doigts de la main droite arrivent à l'extension presque complète
tension presque complète : le pouce est moins rejeté en arrière. La main gauche va mieux aussi quoique l'améliora- tion
arquée de ce côté. La sensibilité tactile est parfaite sur les deux mains . La diffé- rence de température persiste; la ma
ite sur les deux mains. La diffé- rence de température persiste; la main droite présente toujours un abaissement de plus
tinus descen- dants a amené des changements dans la température. La main droite, au lieu de l'abaissement de plusieurs d
ces derniers temps. La sensibilité reste la même. Les muscles de la main reprennent peu à peu leur volume; les creux inter
rophiées. 31 décembre. Ce matin, non seulement la température de la main droite a encore augmenté, mais la main gauche a
ulement la température de la main droite a encore augmenté, mais la main gauche au lieu d'être à la tem- pérature normal
me hier, se trouve à 1° ou 2° au-dessous. En outre la peau de cette main gauche est fortement cyanosée, tandis que celle
de cette main gauche est fortement cyanosée, tandis que celle de la main droite est très rouge. Le pied gauche présente ég
er 4875. - Ce matin le refroidissement est à peu près égal aux deux mains . 5 janvier. - La malade se plaint de ne pouvoir
la région cervico-dorsale (irritation spinale). La température des mains est peu près* égale. Il y a toujours une sensat
rcot, et M. Brissaud, à cette époque interne du service prit de ses mains le croquis ci-joint (Fig. 58 et 59). Le regis
te dont elle ne connaît pas la composition, mais qui atrophiait les mains de toutes les ouvrières qui travaillaient avec el
e elle, cinq furent atteints, trois sont morts, et tous avaient les mains atrophiées. Elle a travaillé ainsi un an, sans
iées. Elle a travaillé ainsi un an, sans ressentir de mal, mais ses mains maigrissaient. Le 5 octobre 987, ayant vu deux
, a progressivement mais très lente- ment augmenté aux pieds et aux mains . Les muscles du tronc, des jambes et des bras s
ses occupations, marche une partie de la journée et se sert de ses mains pour tous les ouvrages de ménage ou autre qui n
er 1889. - Ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques. Mains : atrophie localisée presque exclusivement aux in
espaces sont creusés en gouttières, les éminences ont disparu. Les mains sont déformées en griffe, les doigts et le pouc
rouve les muscles interosseux atrophiés, mais moins altérés qu'à la main . Examen histologique. Moelle. - La moelle a été
fois chaque jour. Il avait en outre une sensation de fraîcheur aux mains toute particulière; le toucher était encore ass
jambes, de glace sous la plante des pieds restait persistante; les mains devenaient aussi froides et perdaient peu à peu l
ractérisés par des bulles remplies de sérosité siégeant au niveau des mains , des pieds. Elles se développaient en quelques
et d'extension de la jambe et du bras qu'on cherche à produire, les mains serrent avec moins de force qu'à l'état normal ;
ôté le médius est ankylosé dans l'extension. Pas de tremblement des mains . A la main gauche il porte des traces d'ancienn
est ankylosé dans l'extension. Pas de tremblement des mains. A la main gauche il porte des traces d'anciennes bulles au
ue et par une petite croùtelle. La peau de la paume et du dos de la main est toujours restée indemne. Au niveau des doig
de son élasticité et de sa mobilité sur les'parties profondes. A la main droite le médius est resté ankylosé à la suite d'
la région tibio-tarsienneune certaine chaleur très appréciable à la main , surtout lorsqu'on procède par comparaison avec l
r une faible étendue. Sur la limite de ces régions et au niveau des mains le frôlement du pinceau est perçu, mais plus faib
ature de 70 degrés n'est pas sen- tie ; il en est' de même pour les mains et le tiers inférieur des avant-bras. Le malade
ion ou de la perte de la sensibilité tactile (pinceau). Au niveau des mains les hachures indiquent une simple diminution de
um, s'épuise pour reparaître ensuite si l'excitation continue. A la main , quand la sensibilité électrique (frémissement
de Jacoby3 elle existait au niveau des extrémités inférieures, des mains et des avant-bras, des oreilles et du dos. M. l
'en 1875, à l'âge de Dans où elle ftittt Loin te d'un phlegmon delà main qu'on opéra et qui laissa après lui des traccs
kilogrammes), mais cela est dû aux déformations persistantes de la main droite dont nous as parlé plus haut. Le réflexe
ompléter de force, le malade pousse un cri de douleur en portant la main à la fesse et en localisant en ce point la souffr
L'épaule gauche est toujours un peu plus élevée que la droite; les mains descendent approximativement au même niveau. La t
en haut, la bouche est ouverte. Les bras s'agitent, et n'était les mains trop ouvertes, nous devons reconnaître là, une
nger son pied de position, pour se délasser, elle le prend avec ses mains , et cela non sans précautions infinies. Dans
sont bouchées. Par moments, sorte de paralysie de l'extension il la main droite. Même état à la sortie. ans. XI. Ophth
sie faciale évidenle. Le 8 juin, parésie de tous les extenseurs des mains , faiblesse des jambes. La malade quitte la clin
que des envies fréquentes d'uriner et un engourdissemement des deux mains , surtout de la main gauche, accompagné d'une di
ntes d'uriner et un engourdissemement des deux mains, surtout de la main gauche, accompagné d'une diminution notable de la
147. \vos)),16. TABLE DES PLANCHES Acromégalie, 24, 25, 27, 28; mains dans l ? 30 ; pieds dans l ? 29, 31. Adrien B
ttitude provoquée dans la -),20. Morvan (Aspect des doigts et des mains dans la maladie de -), 1, 2, 5; fruste, 3; sco-
10 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
a vérité, n'importe par quelle bouche; le bien, n'importe par quelles mains . TOME DOUZIÈME. PARIS. BUREAUX : RUE DE BEA
ut en songe, pratiqua lui-même l’opération. lui mit la pierre dans la main et cicatrisa sa plaie. » Dès l’année 98h, les m
livrèrent à l'exercice de la médecine occulte, qui devint entre leurs mains l'instrument aveugle des passions. Les cures mira
énergiquement le mot donnez, ou je leur montre à quelque distance ma main ouverte, en leur recommandant de la regarder fixe
qu’elle confond l’innocent avec le coupable ; mais aussi prêtons-lui main forte pour déjouer les prestiges de tous ces faux
ement pendant les trois premières semaines ; plus tard, cependant, la main et le bras droit se paralysent avec contraction n
es deux paupières se pîiralysent ; Suis, en novembre, le bras et la main gauche, à l’exception u pouce et de l’index. A la
ger ; au bout de trois semaines, je puis remuer tous les doigts de la main gauche ; «leux jours après, le bras gauche; au co
je puis manger sans être magnétisée. Ce fut alors que mes jambes, mes mains et mon estomac commencèrent à enfler. Depuis ce m
e en la magnétisant. Je m’approche d’elle et je veux lui appliquer ma main sur l’épigastre : ses douleurs paraissent plus vi
entent. Mon frère, le D'Alphonse Vidait, me remplace; il lui prend la main ; au bout de quelques minutes, le calme renaît et
ar elle atteint, elle fait appliquer l'extrémité dès doigts de chaque main réunis sous et derrière le lobule ïe l’oreille, a
Elles sont, dans ce cas, facilement calmées par la présentation de la main du magnétiseur, à la distance de deux pouces de l
re ¡\ lire, j'ose les convier à une élude nouvelle, et leur mettre en main l’alphabet de la sorcellerie et de la magie. Ils
ur le dos, sa figure et ses bras pâlirent, et, faisant un signe de la main droite: «Viens ici, devant mon lit, dit-elle, joi
ne de la main droite: «Viens ici, devant mon lit, dit-elle, joins tes mains , car je veux t’entretenir de notre bon Sauveur. »
ait très-distinctement des coups frappés •sur les murs, comme par une main hum une. Jamais un coup n’était isolé ; 011 en en
la fixer sur le plancher. Elle lui fut irrésistiblement arrachée des mains , et alla se placer cl’elle-même à l'extrémité la
s aucun livre que la modicité du prix mette à la portée de toutes les mains , que la simplicité abaisse au niveau de toutes le
pagande pure. Une peut être répandu dans la foule, sans nul souci dès mains dans lesquelles il tombe. Un livre de propagande
ssis au foyer de toute famille un magnétiseur instruit, médecin de la main et du cœur, qui trouvera dans son affection et da
e de la lutte. Oléda, nous croyant complètement rassurés, plongea les mains dans le baril et en retira avec effort le superbe
ir dix pieds de long; son corps était assez gros pour que deux larges mains eussent de la peine à l’étreindre ; sa tète, peti
u qui ont écrit à son sujet, je suis prêt à soutenir thèse, pièces en main , devant qui et contre qui l’on voudra, sur le pri
dit qu’un médecin de Montpellier avait coutume de faire appliquer la main de sa bonne sur son estomac, après chaque repas,
ce que les agents physiques ont pu produire jusqu’à ce jour entre les mains des plus célèbres praticiens. « Le digne sucess
dre ses idées. C’est par hasard que l’un d’eux nous est tombé sous la main , et nous aurions cru aller contre les intentions
ec les doigts. La sonnette se met à sonner, mise en mouvement par une main invisible. Le malin esprit en veut surtout à M“*
naire se mit debout sur son lit, s’appuya contre le mulet joignit les mains ; son visage, entièrement altéré, ressemblait à un
ne visite dans sa maison, de renverser sa table et de lui passer (les mains ) sur sa figure. Les frappements ayant recommencé,
ilippine. Cette douleur disparut totalement lorsque le docteur mit sa main dans celle de la dormeuse : celle-ci, au bout d’u
chmann, négociant, fut guéri d’une maladie qui causa de l'enflure aux mains et aux jambes, un tel point que ces membres étaie
ent devenus immobiles. Une clef fut aimantée par l’attouchement des mains de la jeune somnambule : cette clef n’attirait pa
ui peuvent résulter du magnétisme animal, confié ou abandonné à des mains imprudentes ou peu sûres. Et je m’étonne que notr
étisme enrayerait souvent beaucoup de maladies dès leur début, si des mains exercées y avaient recours; on peut même y rappor
que, dans une infinité de cas douteux, il le conduirait comme par la main sous les inspirations de l’instinct du malade, qu
e dit : » Ma fille a depuis son enfance des venues aux pieds et aux mains ; depuis six mois, son médecin lui brûle, tous le
, occasionnés par les souffrances qu’elle ressentait aux pieds et aux mains . Toute la nuit se passa à peu près de même. Mais
la moindre gêne dans sa marche ! Alors je m’empressai de visiter les mains et les pieds ; les verrues étaient entièrement di
tte engourdie. On put la faire rouler avec le pied, lui prendre les mains et la retourner de mille façons sans qu’elle s’év
otre homme se présente comme les autres; mais, au moment de mettre la main dans le sac : « Il est inutile, dit-il au premi
plir la formalité prescrite par la loi. Celui-ci s’exécute, plonge la main dans le sac, et la tendant, plein d’assurance, au
’estrade, les fait asseoir, le dos tourné au public, leur met dans la main un disque de zinc muni au centre d’un bouton roug
quatre ou cinq, sur lesquels ¡1 opère; voici comment : « Croisez les mains ! Bien! Vous ne pouvez plus les séparer. » F,t ils
ur pièces à l’appui, tout ou partie de ces lettres qui, écrites de ma main , auront un caractère d’authenticité suffisante po
rouver que je suis insensible, vous allez me poser un charbon dans la main . » .le refusai une semblable épreuve; mais elle
es, un gros charbon incandescent, et le lui plaçai dans le fond de la main pendant deux secondes, puis je soufflai magnétiqu
d’heure après, voyant qu’elle ne se plaignait de rien, je lui pris la main et vis au fond une escharre blanche, de la grande
ièce de cinq francs. Je lui demandai ce qu’elle avait au fond de la main . Elle regarda et supposa que la manivelle d’un pr
n ouvrier cordonnier avait un mal d’aventure au doigt annulaire de la main droite. Depuis un mois il souffrait tellement qu’
l’amputation de ce doigt. Un jour j’allai le voir et il me montra sa main ; j’éprouvai un frémissement de dégoût à l’aspect
ioste. Je lui proposai de le traiter ; il accepta. Je magnétisai sa main en la tenant entre les miennes ; puis je fis des
s passes depuis l’épaule jusqu’au doigt malade ; je lui fis mettre sa main dans un bain d’eau magnétisée, et dans l’interval
ir que j’allais agir sur la menstruation. A cet effet, je posai les mains sur les hanches, et fis des passes jusqu’aux geno
ait faire pour arrêter le sang. « Je ne vois pas. » Appliquant ma main à plat sur l’abdomen, je lui demandai si ce moyen
e du -> décembre dernier. Je le croyais depuis longtemps entre vos mains , lorsque le bureau de la censure de Chambéry m’a
ien et sagement dirigé, et s’il fait du mal quand il est confié à des mains imprudentes ; tout pesé et tout examiné, réglemen
ire de contraire; car les essais, surtout ceux qui sont faits par des mains imprudentes ou novices, les fatiguent horriblemen
çon, après avoir monté l’escalier de sa chambre, sur les pieds et les mains , s’était barricadé. Deuxième observation. Enf
a cessé chez elle, qui, quelques jouis avant, obéissait si vite à la main qui l’attirait, que les jambes avaient peine à su
elle est aussi éveillée que le premier jour ; mais aussi, à peine ma main s’est-elle dirigée vers elle, que le calme revien
rapide lorsque je la magnétisais debout par derrière, en étendant la main vers la base du cerveau, et en suivant le trajet
par devant, soit en suivant les trajets nerveux, soit en dirigeant ma main vers la racine du nez et l’autre vers l’épi-gastr
en, à peine une faible clarté. Quelques jours après, la braise à la main , je trace sur un carton un nouveau disque plus la
uveau disque plus large, je la fais asseoir, et le lui mets entre les mains . Une vive lueur lui parait bientôt en inonder l
de l’extrémité de mes doigts, des flammes s’élancer de la paume de ma main ; mes yeux et mon cœur dardent aussi des rayons d
uis le cœur, puis enfin je flambe de la tête aux pieds ; porté-je mes mains dans la direction de la porte, elle devient un fo
e trouve, en face d’une pauvre fille qui m’a remis sa sauté entre les mains : je crains d’être imprudent. Si j’osais, je vous
sept ou huit personnes forment une chaîne, en y posant légèrement les mains écartées, de manière à ce que le doigt auriculair
la table. Dès que la chaîne est rompue, c’est-à-dire «lès qu’une des mains se retire, l’action cesse, le mouvement s’arrête.
ve. Un homme, par exemple (abstraction faite du sexe), appliquant ses mains aux deux extrémités de l’électromètre, produira u
en jeu, c’est-à-dire une pression involontaire de gauche à droite, la main droite, de sa nature plus développée et plus fort
tant de la contrainte de leur position prolongée et de la tension des mains écartées reposant sur la table. Quoi qu'il en s
es entre des individus séparés par de longues distances. Là aussi des mains invisibles bouleversent les meubles et les transp
bout de la chambre à l’autre, ou même dans une autre pièce; ces mômes mains se font souvent sentir aux assistants, les touche
ez-vous croire que ce soir là j’ai senti, ou du moins cru sentir, une main me saisir par le talon gauche. La pression du pou
la sorte sans se courber, même si elles n’eussent pas eu alors leurs mains sur la table. Depuis, une autre dame de mes ami
ne voulait pas rester tranquille, et sur laquelle elle avait posé la main , a eu cette main cruellement pincée, et une bague
ester tranquille, et sur laquelle elle avait posé la main, a eu cette main cruellement pincée, et une bague qu’elle portait
ment imprimé aux objets touchés par des personnes qui se tiennent les mains en forme de chaîne magnétique. Nos lecteurs ont
t, plusieurs personnes forment la chaîne magnétique, en plaçant leurs mains à plat sur la iable et les joignant à celles de l
qui doivent éviter tout autre contact que celui de. la table par les mains et de leurs voisins par l’extrémité des doigts, r
du moment qu’une personne ne faisant pas partie de la chaîne pose la main sur la table. « Ce phénomène s’explique,d’après
soir, — une dame et deux messieurs, — nous avons posé légèrement nos mains sur le bord d’un chapeau d’homme, en mettant le p
ins sur le bord d’un chapeau d’homme, en mettant le petit doigt de la main droite sur celui de la main gauche de la personne
d’homme, en mettant le petit doigt de la main droite sur celui de la main gauche de la personne placée à droite, et au bout
ée ; alors, au moment où, changeant de position, le petit doigt de la main gauche a été posé sur celui de la main droite de
position, le petit doigt de la main gauche a été posé sur celui de la main droite de la personne située à gauche, le chapeau
l’autre, et a fini par rester incliné et immobile jusqu’à ce que les mains en aient été retirées ; la même chose s’est répét
ent, pourvu qu’il n’y ait pas de marbre. On place devant soi les deux mains , les doigts étendus, en laissant un intervalle de
face dorsale du petit doigt du voisin. Si c’est le petit doigt de la main droite qui appuie sur le petit doigt de la main g
le petit doigt de la main droite qui appuie sur le petit doigt de la main gauche du voisin, il faut que cette disposition s
travers toute la chaîne, de manière à ce que votre petit doigt de la main gauche soit croisé par le petit doigt de la mairi
autant de fois que l’on intervertit les doigts. Rompez la chaîne des mains , tout mouvement cesse ; la même chose a lieu si v
cée au centre de la chaîne, à la place de la table, et à laquelle les mains furent imposées «le la manière prescrite, finit p
ondément impressionné. L’occasion était tentante; j’avais là, sous la main , quatre jeunes gens dont j’étais sûr, de seize à
une table en bois de noyer verni. Uphonse et M"* X... imposent leurs mains sur le vase, d'après les règles prescrites; une m
fois : toujours même résultat. Deuxième expérience. J'impose les mains avec Alphonse sur le même vase; dix-sept minutes
ient autour d’une table-guéridon à roulettes, en bois d’acajou; leurs mains sont placées d’après les règles indiquées ; au bo
de mes jeunes amis et collaborateurs, j’étais très-attentif sur leurs mains , leurs bras, leurs coudes, leurs pieds, et qu’il
omène de la rotation d’une table sous l’influence de l’imposition des mains . Maintenant, qu’y a-t-il dans les flancs de la
dédaignent et le contestent sans expériinent, il va tomber entre des mains indignes; il va s’obscurcir par l'exagération et
trois branches en chêne. Nous avons, entre cinq personnes, placé nos mains à plat sur la table, de manière que chaque petit
la table, de manière que chaque petit doigt reposait sur celui de la main de son voisin ou voisine ; que les pouces ne se t
de vitesse. Dans ce moment, il faut suivre le mouvement, toujours les mains à plat, en appuyant très-légèrement. Nous avons c
artement sans tapis. « Si une des personnes a eu assez longtemps la main sur la table, elle peut la mettre sur le dos d’un
ur d’un guéridon , ou à six autour d’une table, vous posez dessus vos mains d’une certaine façon , et selon que vos doigts ra
rent. Ils n’appuyaient plus sur la table que le petit doigt de chaque main . Nous regardions ébahis. Celui des quatre que n
e à la suivre. Bouche béante, les quatre individus enlevèrent leurs mains du guéridon. 11 resta immobile. J’avais lu qu’u
it s’y replacer sans inconvénient.... A quatre, nous y apposâmes 110s mains en les juxtaposant, et le mouvement recommença po
lée puisse atteindre à cette mesure. Trois fois la table changea de mains , et trois fois elle fit les mêmes évolutions. E
inerte, insensible, cette matière brute, ce néant moral qui sous vos mains se met à vivre, je ne sais ce que cela vous fait
sayer sur-le-cliamp, et, comme ils ne trouvaient pas de table sous la main , l’un d’eux crut pouvoir la remplacer par un gran
mannequin articulé, en bois, qu’ils posèrent sur ses pieds et sur ses mains . Il ne s’écoula pas un cpiart d’heure avant que
ument d’après les inspirations d’un musicien qui n’aura qu’à poser la main sur le conducteur du fluide animique, pour lui tr
, en entrant dans un .salon, de voir, clouées autour d’une table, les mains posées sur le bord, les pouces écartés, une demi-
vous chatouille le nez, tant pis! il n’est pas permis de déranger sa main , sous peine d’interrompre le courant électrique e
e soit bien isolée, que l’on ne soit en contact avec elle que par les mains . O11 a observé qu'en changeant la position du pet
corps séparés par une distance d’à peu près trente centimètres, les mains posées sur le pourtour de la table et en contact
observer une fois pour toutes que, dans le cours de ces épreuves, les mains formant la chaîne restent posées sur le guéridon
n d’eux eût déterminé ou facilité l’oscillation par la pression de la main , il n’aurait pu le faire que dans un seul cas, ma
e à l’évidence. Car l’attention des observateurs était portée sur les mains , les mains étaient bien posées sur la table (c’es
nce. Car l’attention des observateurs était portée sur les mains, les mains étaient bien posées sur la table (c’est de la gra
er les coups; et de l’autre, il eût fallu une pression exorbitante, à mains d’hommes impossible, pour l’emporter par surcharg
, selon le poli ou les aspérités du parquet, dans la direction de ma main ; je lui présentai la paume de la main dans l’int
rquet, dans la direction de ma main ; je lui présentai la paume de la main dans l’intention de l’arrêter, et il s’arrêta tou
il s’arrêta tout court. Par un petit mouvement brusque je portai la main en avant, et il recula ; je poursuivis ce même ge
rs à distance, bien entendu, le meuble recula tant et si bien, que ma main se soulevant, il se souleva de môme du côté où el
la vue d’un objet redouté, et, par un dernier mouvement brusque de ma main dans l’air, fut renversé du côté opposé. Dans t
s yeux à la lumière, une consécration de la vérité qu’il remit en nos mains . Nous convions donc tout magnétiste qui ne s’est
es de la vie, Brise le seuil du temple d’Égérie, D’un demi-dieu tes mains ont le génie!.... Salut, Mesmer! 6 grand homme, s
r la volonté, et pour conducteurs les rameaux nerveux des bras et des mains . Évidemment, cela n’a rien, absolument rien de co
u branle général, en faisant pirouetter tout ce qui lui tombe sous la main . «Voilà, Messieurs, la logique détraquée de ceu
de bonheur et de vie, qu allait toucher 1 aile de la mort, quand une main amie 1 a écartée ; écoutez les cris de joie de
s la sympathie dans les cœurs, qui rends l’amitié frémissante dans la main de 1 homme, et mets le paradis dans les yeux de l
nt arrivées les sciences exactes. Loin de moi la pensée de porter une main profane sur les pages sublimes de l’antiquité ou
se cacher dans les profondeurs de la conscience. La justice ira d’une main sûre chercher le coupable dans sa retraite, et em
vousdonc raison'? Magnétiseur est un noble Paillasse; Son cœur, ses mains , valent bien un blason. Je viens, etc. Je ne su
sse-passe, Je jette au vent et sac et gobelet, Et cependant de ma main chaque passe Ferait pâlir l’astre do Nicolet. J
on. La première était rendue manifeste en appliquant à plat une des mains sur l’un des côtés de l'abdomen, tandis qu’avec l
des côtés de l'abdomen, tandis qu’avec la pulpe des doigts de l’autre main je percutais le côté opposé, et produisais ainsi
, instantanée du liquide, laquelle impulsion était perçue par l’autre main restée immobile. Le second moyen de diagnostic
dant cet accès convulsif, ce fut de voir la malade porter souvent ses mains au devant de son col, comme pour enlever un corps
pour les autres. 2” Que le mouvement des tables sous des chaînes de mains est déterminé par des esprits morts. 3° Que les
si, pour obtenir ces témoignages secondaires, il se reposait sur les mains incertaines de ses semblables, et particulièremen
sent former de doutes sur. les pouvoirs de l’esprit et sur ceux de la main , supérieure qui les lait agir. » Je vous laisse
ue 1& magnétisme change les cœurs et met amoureusement toutes les mains dans les mains. — Si j’étais digne d’être prêtre,
tisme change les cœurs et met amoureusement toutes les mains dans les mains . — Si j’étais digne d’être prêtre, s’est écrié M.
rêtres voulaient , ce ne serait point en vain qu’ils imposeraient les mains ; mais aujourd’hui ils ne savent plus, comme autre
leur ou l’insecte sous l'herbe L'aspirent en cent lieux divers. Ces mains , concentrant la puissance,-Guident son généreux e
ication des esprits qui se dégagent du corps humain. L’imposition des mains , l’électricité du regard et de la parole, le touc
épi-gastrique comme le siège habituel de l’âme. Ils promenaient leurs mains depuis cet endroit du corps jusqu’à la tête, ils
ux-mêmes, avec leurs vrilles rameuses qui leur servent cle bras et de mains , s’attachent pour la vie aux rameaux qu’ils préfè
ns, avec une entière bonne foi, il s’est abstenu de tout mouvement de mains , il s’est mis en garde contre tout ce qui pouvait
ons de parler, on pose sur le meuble l’extrémité d’un doigt de chaque main , de manière à en effleure à peine la surface, et
us désirez, vous y feriez obstacle ; vous ne pouvez communiquer à vos mains les propriétés d’un aimant pour qu’elle se lève d
corbeille. Deux opérateurs ont actionné la corbeille en posant leurs mains dessus ; quand ils ont obtenu des mouvements d’os
oite et de gauche, elle oscillait avec une impétuosité telle, que les mains avaient peine la suivre ; il était visible qu’il
ues au prix de vingt-neuf sous. « Deux personnes appliquèrent leurs mains sur la surface de ce meuble, de la manière qu’on
ntateurs ne se touchèrent plus par les petits doigts; seulement leurs mains ne cessant pas d’effleurer la table, ils saisiren
ssation du contact des doigts, reprit sa marche ordinaire lorsque les mains eurent été ainsi mises en communication avec le c
erre tourna comme à l’ordinaire ; le même carreau mis sous les quatre mains des expérimentateurs ne modifia en rien le mouvem
e mouvement : carreau et table coururent dans la chambre ; « 9° Une main étrangère touchant légèrement un des ex- périme
mençait à tourner après quelques^ secondes de l’application de quatre mains sur lui, tandis qu’avec une assiette d’un même po
oite à gauche, en avant, en arrière, et puis tout à coup j’ai ôté mes mains de dessus la table, interrompant seul la chaîne,
mes mains de dessus la table, interrompant seul la chaîne, tenant les mains seulement à trois doigts de distance, et de là, a
leur obéir, elle venait à moi de nouveau et fuyait à ma voix ; mes mains , toujours à deux doigts de distance de la table.
ent tenté ensuite de l’amener et de la maintenir par une pression des mains dans la situation qu’elle prenait sur un seul pie
lement placé autour d’une table, je suppose, on sent bientôt dans les mains une espèce de picotement, puis de frémissement qu
e d'écus? lui demande une personne qui en tenait deux dans une de ses mains . La table lève trois fois le pied. —Vous vous tro
, qui vient consulter à son tour. Un médecin homéopathe tient dans sa main une boîte qui renferme cent-cin-quante médicament
haute antiquité, mais trop souvent méconnu, et servant, soit dans les mains des hiérophantes ou des jongleurs, soit qu’il f
troisième personne, et le fait d’un médium qui reçoit, par sa propre main et pour lui-même, des avis dont l’expression déno
ins, comme de juste, que de la faire tourner. Un témoin, la montre en main , nous faisait, sans prendre part à l’action, les
s, mais avec une affection nerveuse bien prononcée dans les bras, les mains et les jambes. Quelques instants après, elle rent
eux autres jeunes personnes, également dans la chaîne, posèrent leurs mains sur la tête de la dame souffrante, aussitôt elle
personne, à la hauteur de la poitrine, la chaîne magnétique avec les mains . E11 moins de quatre ou cinq minutes, la personne
« J’ai fait, avec un de mes amis, l'expérience imaginée par lui, des mains à demi renversées et posées sur les genoux ou aut
me on dit vulgairement), et, par votre seule volonté, commandez à vos mains de se rapprocher, l’exécution du commandement ne
ent leur séparation, elle aura lieu de même. Nous avons mis aussi les mains au-dessous d'un guéridon sans traverse, le tenant
oue cpie la conversion m’était douce, car j’avais à abjurer entre les mains les plus charmantes. Le mari, qui porte un des be
ique. On commença. « On commença par l’insupportable apposition des mains sur un guéridon qui ne broncha pas. Je déguisai t
ratrices montèrent sur des tabourets pour élever, sans fatigue, leurs mains à la hauteur de mes épaules. La maîtresse du logi
aîtresse du logis renversa en arrière le col de mon habit, et les six mains imposées et liées par le petit doigt, m’entourère
pinard, comme 011 dit vulgairement en style de cuisine, ces gentilles mains fluidiques, et déjà il m’était tout naturel de cr
sations générales de chaud, plus rarement de froid ; il s’établit aux mains , aux aisselles, à la figure, une transpiration ab
le magnétisme aux manœuvres chirurgicales. Je saisis la tumeur de la main gauche, et, sans presser, je la magnétise directe
he, et, sans presser, je la magnétise directement , tandis qu’avec la main droite je fais sur le ventre des passes très-douc
secondes à peine sont écoulées, que je sens un gargouillement sous ma main droite, en même temps qu’un frisson parcourt tous
olique violente amena la syncope ; sans quitter l’anneau crural de la main gauche, je continue de magnétiser le ventre à gra
in gauche, je continue de magnétiser le ventre à grandes passes de la main droite, pendant que l’on applique de l’eau fraîch
eu, » et croit à mon talent chirurgical bien plus qu’aux vertus de ma main ... Je la laisse modestement dans cette confiance
e cas de hernie inguinale ci-dessus rappelé, l'imposition seule de la main avait réduit la hernie; mais ici j’ai intenté le
mbre, et leur fixité cataleptique les y tenait braqués... Bientôt ses mains se lèvent.... s’étendent vers la statue-, elle pl
e restai un instant près d’elle, et je la magnétisai en appliquant la main sur l’estomac. Ses seules idées étaient pour sa b
fermeté, solennellement; la malade s’était levée sur son séant, et sa main était tendue vers moi avec un geste si expressif,
reprît; je me rappelais l’eau dormante. Vieux praticiens, mettez la main sur la conscience : Combien de fois, dans votre c
l’eau magnétisée. Chez ma malade, je n’avais besoin que d’étendre la main , et l’attaque liysté-ro-épileptiforme cessait imm
anse vertigineuse dans un vaste salon, s’est tout à coup échappée des mains de ses magnétiseurs et est allé sauter par une fe
es bras, l’équipage s’est simplement groupé en cercle, a appliqué ses mains sur le pont, en ayant soin de former la chaîne ma
en mouvement le billard. Nous formâmes une chaîne de vingt-deux, les mains portant seulement sur les bandes d’acajou, et rig
lesquels nous faisons toutes nos réserves, on ne peut encore voir la main des démons. La nature nous offre tous les jours d
tera la logique des démonologues?.... Dieu nous garde de leur voir en main le pouvoir séculier ! M. de M.... termine en fa
a cabriole sur le pavé, puis il rit d’un air niais. Parcourant de ses mains le chambranle de la cheminée, il y trouve, en tât
vec la plus grande facilité, sans le secours des yeux, au moyen de la main . Des personnes les plus recommandables par leur c
une complète surdité, et une transposition du sens de la vue dans la main ; c’est par la main qu’il voyait. Du reste, le
é, et une transposition du sens de la vue dans la main ; c’est par la main qu’il voyait. Du reste, le pouls était naturel
handelles. Le jeune M*** est conduit vers une table ; on lui met à la main un crayon et le papier sur lequel je venais d’écr
; il applique le papier sur la table, passe rapidement le plat de la main sur ce que j’avais écrit, et écrit lui-même préci
sait de saisir la montre en appliquant le verre contre la paume de la main . On doit bien penser que nous avons eu la précaut
é, comme à son ordinaire, le verre de la montre contre la paume de la main , M*** prend le crayon et écrit : « Je sens du p
heval qu’a acheté M. L***? » Le malade répond, après avoir passé la main sur mon écriture au crayon : « Je ne l’ai pas v
it en appliquant sur l’oreille les livres qu’on lui mettait entre les mains . M. Cazaintre raconte que, prévenu contre les réc
bibliothèque de M. le curé; je le lui tins à l’oreille, il y porta sa main , l’appliqua encore plus fort contre l’ouïe, et lu
rir et décrire des lieux connus des auditeurs; il lui fait presser la main d’un étranger avec l'affection sentie d’un ami :
au progrès fascinateur de M. Philips, après s’être laissée baiser la main , Fatma a consenti à s’unir en mariage au chapelie
roi a été grand de sentir que ses doigts, repliés dans la paume de sa main , étaient crispés au point de ne pouvoir reprendre
naturelle. « Afin d’empêcher les ongles de déchirer la paume de la main , les médecins ont ordonné d’entourer de coton le
état fâcheux. On espérait qu’elle recouvrerait bientôt l’usage de ses mains , cette espérance a été déçue. Ses mains sont fort
rerait bientôt l’usage de ses mains, cette espérance a été déçue. Ses mains sont fortement crispées; il faut une grande force
nde force pour séparer, même un instant, les doigts de la paume de la main , dans laquelle ils voudraient entrer. Cette affai
« M. M.... ne pouvant ouvrir ou fermer la bouche, a eu recoure à ses mains pour faire jouer sa mâchoire ; alors le profess
ains pour faire jouer sa mâchoire ; alors le professeur a collé les mains du jeune homme, et, chose bizarre, ce dernier ava
homme, et, chose bizarre, ce dernier avait l’air de chercher d’autres mains pour détacher les siennes. Agissant sur sa mémoir
ns un autre, 011 prend du café bouillant, et sans rien tenir dans ses mains 011 le fait jouer aux cartes ; il bat et donne, n
’est pas tout; les moustiques les assiègent. Le jeune homme cache ses mains , se couvre le visage pour éviter leurs piqûres; a
quatre pattes. « Pour terminer, M. Philips lui persuade qu’il a une main de bois, et il se la fut arrachée par échardes, a
plus grande indifférence, et sans faire usage d’autres armes que ses mains et ses dents. Si l’horrible faim de la chair huma
dre, il s’assied par terre devant une petite table carrée, y pose ses mains en lisant dans un livre thibétain. Au bout d'une
vre thibétain. Au bout d'une demi-heure, il se lève en ôtant aussi la main , de sorte qu’elle conserve la Ïiosition qu’elle
la table. Aussitôt la table se ève aussi, suivant la direction de la main . Le lama est enfin debout sur ses jambes, il lève
ction de la main. Le lama est enfin debout sur ses jambes, il lève sa main au-dessus de sa tête, et la table se lève au nive
ou autres corps inanimés. Il suffît le plus souvent de poser les deux mains à plat sur les épaules d’une personne, et de voul
pte de ce qu’il a éprouvé, déclare que ce n’est point l’impulsion des mains qui a produit ces divers mouvements, mais qu’il a
ne peut définir, et dont le siège n’est point à l’endroit oi'i les mains étaient appliquées. Tout s’est passé comme dans l
polémique sur la question de savoir si elles ont été poussées par les mains , ou si une autre force a été la cause de leurs mo
tiennent debout autour du sujet, chacune appliquant sur lui ses deux mains , sans qu’il soit nécessaire que les doigts se tou
us avons été témoin. M. M.... ayant été actionné, s’assied, pose sa main sur une table où se trouve une feuille de papier.
ouve une feuille de papier. On lui met entre les doigts un crayon. La main se met en mouvement et trace plusieurs mots en ré
après avoir demandé à l'auteur des oscillations s’il écrivait par la main du sujet. Je ne suis arrivé qu’à des résultats mo
nous y mettions de persévérance. Une dame ayant pris le crayon, sa main fut agitée d’un tremblement convulsif, et elle ne
cordent à dire que leur volonté n’est pour rien dans ce que fait leur main . Ces ébauches prouvent l’existence d’une facult
extraordinaires. Sans toucher la table, par une simple imposition des mains faite à quatre doigts de distance, ces magnétisés
violente constriction vers l'épigastre ; elle y portait aussitôt les mains ; ses yeux se fermaient ; elle se levait brusquem
cris désordonnés ; le pouls est calme et naturel. Je lui applique la main droite sur l’épigastre, presque à l’instant môme
st pourpre; les membres, qui étaient roides avant l’application de la main , sont détendus ; je lui adresse quelques paroles
itent, se roidissent, les pouces toujours tournés vers la paume de la main ; le corps tout entier est en proie à des soubres
ues », de « comédie », de «bandes d’illuminés. » 11 a versé à pleines mains le ridicule. 11 a déploré l’imbécillité du siècle
ce d’un guéridon pour le faire tourner sons l’imposition de sa propre main . » — De su propre main.' Hélas ! c’est précisémen
e faire tourner sons l’imposition de sa propre main. » — De su propre main .' Hélas ! c’est précisément ce qui a manqué à. M.
envers les simples mortels jusqu’il se servir comme eux de sa propre main , il aurait peut-être évité de compromettre une be
s tables, et, à vrai dire, ce sont elles qui me mettent la plume à la main . Notre époque n’est que trop livrée au despotisme
de la science tous les laits d’occulte puissance, nous battrions des mains ; mais il y a ici quelque chose de caché, de monst
ne songe point à les troubler, à les inquiéter, et le public bat des mains aux charmants tours qu’ils exécutent, quoiqu’il n
t passer comme l'éclair, qu’au moins ceux qui ont vu les faits de mes mains soient frappés, éblouis par l’évidence, et qu’ils
le mouvement commencé, il est certain qu’on le devance. En effet, les mains de la plupart des personnes qui ont fait la chaîn
complète immobilité, et qui laisseraient glisser la table sous leurs mains , sans chercher ît la suivre dans son mouvement. M
x. Le phénomène se produit sans que la chaîne soit nécessaire, et les mains restant entièrement isolées. « Vous avez lu ce
bout du pied est poussé sensiblement encore. a Lorsqu’on tient à la main une feuille de papier ou quel- que aulro corps
s qui linit par tourner, après un certain temps d’imposition de leurs mains , ce corps peut être considéré à son tour comme so
de fluide magnétique, faire tourner l’objet inanimé placé sous leurs mains , tandis que c’est par une action musculaire imper
x distribués sur toute la surface de nos organes, et surtout dans nos mains et au bout de nos doigts, que ce mouvement est dé
survient, il est vrai, un léger tremblement involontaire ; mais si la main trouve un point d’appui, quelque faible qu’il soi
un point d’appui du tronc sur les chaises, et un point d’appui de la main sur la table ou le chapeau. Les vibrations muscul
audrait remonter bien haut, car il est de tous les temps, il sort des mains de celui qui a tout créé, qui a mis en nous ce pr
ais j’ai laissé de côté depuis longtemps ces moyens vulgaires. « Ma main , posée sur le papier, se meut d’elle-même et répo
mande l’emploi de toutes nos forces, nous nous bornions à y poser les mains sans mettre en jeu par notre volonté l’énergie do
former de sa santé, qu’elle remit précipitamment son enfant entre les mains de son mari et tomba brusquement dans un fauteuil
rès de l’herbe en question elle éprouverait une vive démangeaison àla main , et qu’elle serait forcée de cueillir l’herbe. Év
première fois qu’elle se reposa, elle se plaignit d’une douleur à la main , et elle se mit machinalement à cueillir une plan
nt de vue du rôle de la volonté. Que plusieurs personnes posent les mains sur une table, au bout de quelques instants elle
s opérateurs peuvent essayer sur elle la force de leur volonté. Leurs mains continuant à être seulement posées sans imprimer
toutes les personnes éprouvent la sensation du fourmillement dans les mains , quelques-unes sont agitées, d’autres tombent dan
du que la volonté agît seule. On dit seulement que ce ne sont pas les mains qui poussent, et que le mouvement est dû à une au
torise le brevet d’académicien. Vous soulevez 50 kilogrammes avec vos mains , en enlèverez-vous 500, 5,000, 50,000? Vous Êtes
oyé des inspecteurs voir ce qui s’y passe. «L’un d’eux ayant mis la main sur une table parlante, fut si frappé des répon
chaise basse ou un banc, afin de reposer sans fatigue le pouce (le la main droite sur le crâne du sujet ; il tient les doigt
les doigts un peu écartés et à demi fléchis ; il place le pouce de la main gauche au creux de l’estomac, et, dans cette posi
int-Denis, n° 93, présente un phénomène fort singulier. Elle pose une main sur une paire de ciseaux qui, au bout de quelques
condes, se met à tourner. On place alors sur la table où se trouve sa main une .autre paire de ciseaux que la jeune personne
ssurer en lui bandant les yeux avec soin. Les ciseaux sur lesquels la main est posée sont attirés vers les seconds ciseaux,
ain est posée sont attirés vers les seconds ciseaux, et entraînent la main dans cette direction. Le mouvement a lieu en li
illuminés par elle; Avide, elle aspirait vers le monde futur ; Sa main voulait atteindra à la voûte éternelle ; L’hôte
s la souveraine puissance de la nature, puissance mise par Mesmer aux mains de tous les hommes. Voyez-vous les académies s'ém
es malheureux que le magnétisme a guéris avaient tous pass^ par les mains de nos Esculapes. Dans l'ordre surnaturel, n’ob
as même jusqu’aux évocations? L'agent miraculeux est donc entre nos mains , et si notre foi était plus vive, beaucoup de cho
de gauche à droite, selon que l’on expérimente avec l’une ou l’autre main . L’inventeur de cette expérience ingénieuse est M
t à l’expérimentation. Vous approchez de l’appareil l’une de vos deux mains , et vous l’arrondissez autour du zoo-magnétoscope
pier se met à tourner avec plus ou moins de rapidité, selon que votre main émet plus ou moins de fluide. Vous observerez, et
uide. Vous observerez, et ceci est le plus important, que si c’est la main droite qui agit, le papier tournera de gauche à d
roite qui agit, le papier tournera de gauche à droite; et si c’est la main gauche, il tournera de droite à gauche. On peut r
e temps est à l’orage, elle fournirait la preuve que la chaleur de la main n’est pas, comme quelques personnes le prétendent
déterminante du mouvement giratoire du zoo-magnétoscope, puisque les mains sont tout aussi chaudes, sinon plus, quand l’air
auses d’électricité ou de chaleur par rapport à l’instrument. « Une main froide produit tout autant d'effet qu’une main ch
l’instrument. « Une main froide produit tout autant d'effet qu’une main chaude ; mais, pour aller au devant de toute obje
ion sur le foyer calorique qui pourrait résulter de la position de la main , l’on peut s’assurer que les mêmes effets giratoi
fait éprouver à l’instrument un mouvement de rotation plus vif que la main ; si l’on mouille le verre, l’effet se continue ;
u l’image et à la regarder avec attention. A peine l’eut-il entre les mains , que le même effet se reproduisit, il jeta l’imag
ouvelles de son enfant, f.a somnambule endormie, on lui mit entre les mains un bonnet de la petite fille, et aussitôt elle dé
m’ont parlé avec enthousiasme de faits de rotation opérés sous leurs mains , que j’ai d’abord été tenté cle répéter ce qu’a d
, des femmes vives, nerveuses , impressionnables, dont quelquefois la main plus prompte que la pensée a laissé échapper un s
lité. « Pour faire tourner une table à droite, le petit doigt de la main droite de chacun des expérimentateurs doit être p
hacun des expérimentateurs doit être posé sur la table et celui de la main gauche sur le petit doigt du voisin. Quand vien
ec une table sur laquelle, depuis dix minutes, elles avaient posé les mains . — A gauche ! dit la plus vive, et la table chang
de aussi du corps et^ de l’âme; la persévérance dans l’imposition des mains , l’électricité du regard, et la conscience du bie
Journal du Magnétisme. Nous serons donc toujours prêts à tendre une main amicale à tous ceux qui écriront sur le magnétism
tre le mouvement des tables sous l’action de la chaîne formée par les mains , ainsi que l’empire de la volonté sur l’objet act
surdes, de déclarer qu’il « n’y a plus de science, si l’on possède en main toutes les solutions, » que l’esprit humain est c
oigt sur la dent malade, pendant que la pulpe îles doigts île l’autre main est appliquée sur la joue du même côté. La malade
ons de Dieu sont à, leur tour bouleversées!..... Le fer change de mains , les persécutés deviennent à. leur tour persécute
uvement se réunir toutes quatre d’un côté de la table, y imposant les mains , la charger du même côté d’un poids de dix kilogr
dement, ce même côté de la table, ainsi chargé, se dresser sous leurs mains , elle fardeau glissant vers le côté opposé, entiè
fort fréquents de la production du phénomène après une imposition de mains de trois, quatre et cinq minutes, où nulle tensio
et cette rotation si sujette à caution avec ses chaînes superflues de mains humides et adhérentes au meuble, il serait temps
un prochain article. Cette expérience de la table glissant sous les mains sans être suivie dans son mouvement, expérience q
mple commandement, le meuble restait en place, glissant, non sous nos mains , mais au léger contact du bout de nos doigts. C’é
certains cas et pour certaines personnes, par la seule imposition des mains sur une table, un guéridon, etc.), on se met en c
prendre et à expliquer. Les tables tournent, non sous la pression des mains , mais par une force venant de nos organes, force
» — M. Védol, maçon, habitant une commune de l’Ar-dèche, entre les mains duquel est tombé un exemplaire du Manuel de lEtud
ainsi paisiblement sur la route qui conduit à l’Académie, donnant la main à celui-ci, à celui-là, à tous ceux même qui, ne
s de mauvaise foi ; votre savoir était égal au leur, et vous aviez en main un agent puissant qu’ils ne voulaient point accep
i firent brûler Urbain Grandier, et puisque le hasard conduit sous ma main une possédée, je veux connaître la puissance du m
t mourir; car sa gorge se serra tellement qu’on pouvait croire qu’une main puissante la comprimait avec effort. l!n Ilot de
lisme parfait et rendit de grands services à quelques malades. De mes mains elle passa dans celles d’un magnétiseur qui ignor
s ce que j’appelais une entreprise de fou. Prendre mon courage à deux mains , me recueillir, invoquer le secours de la Provide
le, tout cela fut pour moi un éclair. 1" Séance. — Je pose mes deux mains sur cette épaule malade, ensuite je magnétise san
t de cinq minutes, mon malade pousse des cris. Lorsque je descends la main le long de son bras, il me suit comme si quelqu’u
Les douleurs deviennent si fortes, qu’il m’injurie, nie menace de sa main valide. Je lui donne un instant de répit et tâche
nutes de repos et une bonne résolution, je lui applique de nouveau la main gauche sur l’épaule et la droite en dessous du br
roite en dessous du bras rapproché du corps. Il déclare alors que mes mains le brûlent. Les douleurs reparaissent, et quel
vec assez de facilité. Je fus tellement étourdi de ce succès, que mes mains abandonnèrent son corps, je ne pouvais croire ce
tion dans la nuit ; les forces commencent à arriver. Je place dans sa main droite une cheville, pour l’exciter à faire quelq
noyer. » A l’issue de la séance, le malade prend son chapeau de la main droite, nous salue et se coiffe avec assez de fac
l’avenir magnétiser par contact et de la manière suivante : poser les mains sur l’épaule, les descendre ensuite, sans cesser
elles resteront trois minutes; puis glisser jusqu'au poignet, où les mains seront placées de telle façon que les doigts soie
telle façon que les doigts soient en dessous du bras, le pouce de la main droite sur la plaie et l’autre sur la tumeur, et
tances. — 11 y a progrès. Le malade commence à porter son bâton de la main droite. A le voir, 011 11e supposerait pas le mem
vie revient ainsi que l'appétit; il salue facilement; il saisit de sa main jadis paralysée un verre d'eau magnétisée qu’il p
d'eau magnétisée qu’il porte à sa bouche, après quoi il reporte celte main derrière sa tête. En prenant une prise de tabac,
me repondit qu’il dormait. Ayant été mis en rapport, à l’aide de la main , avec toutes les personnes présentes à tour de rô
Je ne sais pas ce que c’est. — S’échappe-t-il quelque chose de mes mains lorsque je les approche de vous? — Oui, il sort
e petite bourse en me priant de demander au sujet ce que j'ai dans la main . La réponse fut : — Cne chaîne de montre. —
mbules devinent; mais ils n anient la n ême arme dangereuse entre des mains inexpérimentées, je veux parler de la pharmacie,
t leur arsenal du codex, si souvent impuissant ou funeste entre leurs mains , et laissent les magnétiseurs essayer de faire vi
aître des tables et des meubles mis en mouvement par l’apposition des mains . Comme on le voit, c’est une imitation du Bulleti
de papier, comme il est indiqué ; j’ai entouré cette boussole de mes mains , et la bandelette s’est mise en mouvement, mais s
fluide censé électrique ou magnétique qui est supposé s’échapper des mains de l’expérimentateur. Pour m’en assurer, j’ai pri
m’en assurer, j’ai pris le capuchon de ma lampe en remplacement de ma main , et mon zoo-magnétoscope s’est mis à tourner avec
eprend de même; puis la personne à soulever frappe deux fois dans ses mains . Au premier signal, tous font une aspiration long
é de socques de même étoffe, la tête ceinte d'un bandeau, tenant à la main do la verveine, l’arbre heureux , après avoir inv
s soins, j’enseignai à celui-ci le moyen que voici : « Appliquer la main gauche sur les dernières vertèbres lombaires, et
us des pubis ; faire une douce pression en cherchant à rapprocher les mains vers un centre commun, pendant dix ou onze minute
le attirant les objets d'acier et les aimantant par le contact de ses mains , 533. Clairvoyance ou lucidité somnambulique. F
11 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
onstatait des deux côtés, mais elle élait surtout prononcée dans la main droite, à tel point que le malade était incapab
émarche ébrieuse ; vertiges intenses; ataxie des mouvements dans la main droite, qui se ma- nifestait surtout nettement
catrices semblables au-dessous du pli du coude. Il n'y en a pas aux mains . Les membres inférieurs en présentent quelques-
ute la surface du corps sauf au tiers supérieur des cuisses et à la main droite. Par contre les sensibilités tactile et
(Williams a cependant observé une tumeur à la face dor- sale de la main entre le pouce et l'index) et contrastent par leu
oude, à la face antérieure de l'avant-bras, à la face dorsale de la main , de chaque côté de la ligne blanche, dans la ré
oient heurtés ; en outre depuis quelque temps elle a les pieds et les mains glacés. La sensibilité cutanée est partout no
troubles vasomoteurs sont uniquement constitués par la cyanose des mains et des pieds, mais il existe de fréquentes poussé
ie à son lit, fléchit sur ses genoux el se traîne en tirant sur ses mains cramponnées ; on le croirailparaplégique. Il s'es
r avec suite sur un objet, ou de rester un instant suspendu par les mains , alors qu'il était météorisé, et ces manoeu- vr
avec le tympanisme, et on peut la constater encore en pas- sant la main sous « le pont » que fait alors la colonne lombai
e malade étant dans. le décubitus dorsal ; pendre le malade par les mains , lui faire faire un profond mouve- ment d'inspi
e médiane, de l'é- paisseur d'un doigt environ, de la largeur de la main . A 15 mois, quand l'enfant commença à marcher,
, coiffé d'un béret bleu panaché de longues plumes, il écarte de la main gauche les lèvres de l'incision, tandis que de
avec le manche. Le tour de passe-passe a pleinement réussi : de la main gauche où deux doigts la retenaient dissimulée, l
lure sournoise, dissimulé dans l'ombre, et qui semble introduire sa main dans la poche de l'opérateur ? C'est le compère
se, le dessin correct, et la facture aisée. Si elle n'est pas de la main d'un maître réputé, elle témoi- gne cependant d
s non plus la touche légère de David Teniers le Jeune. Serait-ce la main de Pierre II Bruegel d'Enfer qui copia ou imita
t lui, le patient, solidement tigotté sur la chaise opératoire, les mains liées derrière le dos, le front ceint d'une ban
river et chauffer ces 'fers; pourtant, quelque vite que J'agite mes mains , je ne peux parvenir il allumer les charbons. »
ntes : une écuelle e et une cuiller. Le patient anonyme tient d'une main un pot de bière, de l'autre une cuiller à soupe
les épaules et le cou entortillés d'un étrange manteau, tenant à la main une canne, et portant une aiguière en équilibre
emment, passait pour n'être pas moins efficace que l'intervention à main armée. Cependant, dans le cas actuel, elle de-
plumé. Il s'avance sur ses jambes minuscules, tenant un urinai à la main . Et la légende nous apprend que cet habile homme,
occupé à fustiger de la belle façon une pauvre femme il genoux, les mains jointes. La gravure est de celles qui se passen
stment niet te snyden. « Je le sais bien ! ceux qui passent par les mains des maîtres sont exposés à beaucoup souffrir. A
t noter aussi la très petite taille du sujet, la bouffissure de ses mains et de son visage; c'est peut-être un myxoedémat
e d'abord, remue dans son lit, ouvre les yeuxqu'elle frotte avecses mains , bnilleàplusieurs reprises, détend ses membres,
tronc, mais la force en est diminuée. Elle se sert tou- jours delà main et du bras gauche ce qui paraîtrait indiquer une
ans connaissance, ne répond pas, ne réagit t pas quand on la pince. Main droite et jambes, mouvements spontanés. Main ga
pas quand on la pince. Main droite et jambes, mouvements spontanés. Main gauche inerte, trismus, atrophie de la papille.
s et Vaillard dans la Revue de méde- cine de 1886. Nous avons eu en mains le protocole de l'observation et les noies qui
rs et inférieurs. Les mus- cles des extrémités, les interosseux des mains et des pieds en particulier, pré- sentent même
lade présente des phénomènes d'acroparesthésie dans les bras et les mains : sensations de fourmillement intense, piqûres d'
mités supérieures. Il lui arrive souvent de tenir un objet dans les mains sans le sentir, ou d'avoir la sensation tactile d
ervée. Les articulations de l'épaule, du coude, du poignet et de la main sont normales, mais présentent toutes des cra-
ns son ensemble, et il présente un raccourcissement d'un travers de main environ. Les autres signes du tabes chez cette
le délire persiste et le 14 mai apparition de la paralysie dans la main droite qui devient tombante ; bientôt apparitio
e qui devient tombante ; bientôt apparition de la paralysie dans la main gauche et ces troubles sont survenus sans doule
ections solubles de mercure paraissent améliorer la paralysie de la main droite qui récupère quelque mouvement tandis que
oite qui récupère quelque mouvement tandis que la pa- ralysie de la main gauche persiste. Il entre le 10 août à la Salpêtr
ntacts. Bref l'attention est attirée immédiatement par l'aspect des mains (PI. XXIX). Les mains sont tombantes comme dans l
on est attirée immédiatement par l'aspect des mains (PI. XXIX). Les mains sont tombantes comme dans la paralysie saturnine
gnet; il peut à peine ramasser les objets et les petits muscles des mains sont pris, beaucoup plus à gauche qu'à droite. La
vation des deux bras. 11 existe une atrophie des petits muscles des mains et des muscles de l'avant- bras, mais tout part
malade quitte la Salpêtrière conservant une légère paralysie de la main droite et une paralysie plus accentuée de la main
e paralysie de la main droite et une paralysie plus accentuée de la main gauche. Ainsi sous l'influence du traitement io
d'ailleurs le moins pris, puis le 25 octobre dans les doigts de la main droite, enfin le 1er décembre dans l'avant-bras d
ccuse une sensation d'en- gourdissement et de froid au niveau de la main et du pied droit. Les nerfs et les masses muscu
ets et dans les bras. Parésie progressive ; engour- dissement de la main droite avec parésie des doigts, à tel point que l
oint que le malade ne pouvait plus écrire. Atrophie des muscles des mains , de l'avant-bras droit avec secouse fibrillaire
re avec paralysie Ilaccide portant sur les muscles des pieds et des mains , avec prédominance sur les ex- tenseurs. Imposs
n trouve RD dans l'adducteur du pouce et les muscles profonds de la main . Bientôt enfin on constate de l'anesthésie dans l
endi- neux ; atrophie musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mains et aux pieds. Mort en janvier 1896. L'examen hi
en 1880 ; deux ans plus tard, anes- thésie et analgésie du dos des mains , s'étendant au coude malgré le traite- ment spé
urs segments des doigts et des orteils, mutilation des pieds et des mains . Les désordres progres- sent jusqu'en 1887, mal
s.Persis- tance des troubles de la sensibilité. Insensibilité des 2 mains avec douleurs lan- cinantes s'accompagnant parf
ses membres sont comme morts.En juillet 1891 nécrose des tissus des mains , par les traumatismes fréquents dus à l'anesthési
ar les traumatismes fréquents dus à l'anesthésie de ces parties. La main droite perdit la dernière' phalange de l'index, d
la dernière' phalange de l'index, du petit doigt et du médius. A la main gauche, chute des ongles du pouce et de l'index ;
ls. La mala- die a débuté par les extenseurs des pieds, a gagné les mains atteintes très légèrement et la guérison est su
uet de ficelle et se réduisant avec facilité sous la pression de la main qui palpe et appuie. Il s'agit en somme de vais
l : 1U T. XIII. Pl. XXVI ANGIOME SEGMENTAIRE Radiographie de la main et de l'avant-bras. (G. Gasue et G. Guillain)
le malade soulevait assez bien le membre inférieur, elle portait la main à sa tète diffi- cilement,lentement, par secous
ans le côté opposé ; 174 SOUQUES à la pression 'dynamométrique la main droite donnait 19 et la gauche 12. Du côté de l
complètement abolies chez cette malade. Si on lui mettait dans la main des pièces de 0 fr.10, 0 fr. 0, de 1, de 2 et d
les différencier entre elles. Lui plaçant une grande médailedans la main elle n'a pu en deviner ni la forme, ni dire l
est assise, le front en- touré d'un linge et tenant sa tête à deux mains ; elle rappelle par son attitude les clientes o
e certaines incorrections de travail (figure d'expression uniforme, mains inhabiles, plis des étoiles lourdement indiqués
umineuses épaisses et maladroites) cette pein- ture n'est pas de la main de Breughel l'Ancien auquel on l'a attribué; il
me, une longue escarcelle pendue à la la ceinture ; il écarte d'une main l'oreille du patient, de l'autre il tient un lo
ent- vêtu, est assis par terre, les jambes croisés, faisant avec la main un geste de défense. . De quelle opération s'ag
decin,représente un doc- teur assis près d'une femme et tenant à la main une sorte de récipient à médicaments. - (2) J'a
MM. les accoucheurs ; quant au second, il est tout entier entre les mains de MM. les chirurgiens, qui comptent d'ailleurs
uite quelle portion avait pénétré. Saisissant alors la broche de la main gauche, et maintenant habilement le fil de fer
uels (4° mois) apparut la contracture débutant par les doigts de la main gauche. Le membre inférieur gauche fut pris ensui
apophyses styloïdes, la mensuration donne 16 et 18 centimètres. La main gauche est également atrophiée daus son ensem-
gnet est en flexion sur l'avant-bras, les doigts sur la paume de la main , le pouce dans la main.La con- tracture est tel
l'avant-bras, les doigts sur la paume de la main, le pouce dans la main .La con- tracture est telle qu'il faut beaucoup
ffirme avoir remarqué que lorsqu'il baille, le matin, les doigts de main gauche s'étendent d'eux-mêmes, mais ils reviennen
un mécanicien d'un tramway à vapeur tomber tandis qu'il tenait à la main sa burette d'huile pour graisser sa machine, et
ce qu'elle voulait dire, mais, si son cha- peau lui tombait sous la main , il reconnaissait l'objet de ses recherches. Il s
e de parler, d'appeler, soit qu'il tente de saisir un objet avec sa main paralysée et qu'il veuille s'appuyer dessus pou
de jouer. La mère remarqua aussitôt qu'elle ne se servait pas de sa main gauche. A la même époque on l'autorisa à se lev
et droit, 12 centimètres. gauche, 11 cent. 5. Circonférence de la main droite, 15 cent. 5. gauche, 14 cent. 5. Circo
de novembre 1895 elle tenait son avant-bras fléchi et relevé et la main gauche à angle droit sur l'avant-bras, en flexion
elle s'applique à quelque chose, et notamment quand elle écrit, sa main gauche se ferme immédiatement, le pouce à l'intér
c une certaine raideur. Mais cette dernière cède lorsqu'on ouvre la main de la ma- lade. A l'état de calme psychique com
a- lade. A l'état de calme psychique complet et de repos absolu, la main gauche est dans un état de flexibilité complète
dans un état de flexibilité complète et ne se distingue en rien de la main droite. Si l'on fait serrer un objet avec les d
la main droite. Si l'on fait serrer un objet avec les doigts de la main droite, on voit ceux de la gauche se rapprocher
également comme pour serrer. Lorsqu'au contraire elle serre avec la main gauche, les doigts, à droite, n'ont que de très
venir à la supination. Quand on change la position des doigts de la main droite, les yeux fermés, et que l'on commande à
ermés, et que l'on commande à la petite malade de placer ceux de la main gauche dans la même position, elle met son pouc
de la main gauche dans la même position, elle met son pouce dans sa main fermée, le poignet se fléchit et s'étend altern
it et s'étend alternativement sans aboutir au mouvement demandé. La main gauche ayant pris une attitude passive, la main
uvement demandé. La main gauche ayant pris une attitude passive, la main droite la reproduit très bien. Quand l'enfant c
en arrière et en bas, rotation du radius en dedans, la paume de la main légèrement fléchie sur l'avant-bras et regardant
iège d'une vive sensibilité, la malade y porte automatique- ment la main gauche à chaque instant. Pas de paralysie faciale
e d'une paralysie motrice complète,aucun mouvement des doigts de la main , de l'avant-bras, du bras et même de l'épaule.
ués en général et affectent le plus souvent le membre supérieur, la main en particulier. Ce sont par exemple, des mouvem
vrai- ment remarquable en cet endroit.) Il peut du reste ramener la main en avant et saisir les objets. Cette main est a
peut du reste ramener la main en avant et saisir les objets. Cette main est animée de mouvements très caractérisés d'at
tension et d'écartement des doigts avec flexion et contorsion de la main . La volonté est incapable de les arrêter, c'est
tement. Dans les mouvements volontaires il se fait autre chose ; la main se ferme avec force et les objets sont serrés d
étoffe, le mouchoir, la poignée de paille qui ont été saisis par la main droite, et cela surtout si l'enfant est très occu
jeux. Assez souvent l'avant-bras est ramené contre la poitrine, la main fermée avec force, le poignet fléchi dans l'att
du bras est plus grande que celle de la jambe et la paralysie de la main est surtout marquée. Pendant les deux derniers
missure labiale du même côté. En montant sur sa machine, tenant à la main sa burette d'huile, il avait glissé et était to
al droit. En saisissant sa canne et son chapeau, il remarqua que sa main gauche était engourdie, faible et maladroite, mai
e chemise de nuit et roula une cigarette, le tout en s'aidant de la main gauche. Puis il eut mal à la tête. Cette céphal
ir ni le bras ni la jambe gauches. Il fit tomber des objets avec sa main droite pour appeler à l'aide ; car, à cause de
oulever le moignon de l'épaule. Il ne peut s'habiller tout seul; la main de ce côté est le siège d'une trépidation sponta-
lté il reconnaître les yeux fermés des objets usuels placés dans sa main gauche. La notion de position des membres est a
ue cette disposition soit moins favorable à un exercice actif de la main déformée (car les mouvements d'opposition s'exe
re moins aisée), la malade de Raymond et P. Janet se servait de ses mains avec une habileté surprenante (2). Nous avons
, pour une fièvre typhoïde, mécanicien de son état, et porteur à la main gauche d'une difformité en pince de homard abso
ine force. Il disait pouvoir tenir solidement ses outils avec cette main gauche déformée; il serrait facilement la main
es outils avec cette main gauche déformée; il serrait facilement la main qu'on lui présentait, pouvait même arriver, quoi
ou chez un membre quelconque de sa famille. La radiographie de la main de ce malade a permis de faire des constata- ti
1897. (2) Parfois enfin la pince de homard peut s'observer,non aux mains , mais aux pieds, tel le fait curieux de Jayle e
ent au moment où la malade revenait de la fontaine, une cruche à la main . Nous ne pouvons être fixés d'une façon précise s
r, met son mouchoir dans la bouche et comprime ses cuisses avec les mains ; de temps en temps elle souffre dans les bras, d
t très nettement le relief et la consistance des objets mis dans sa main . Elle ne perd pas les jambes dans le lit, mais qu
une légère contracture en flexion des quatre derniers doigts de la main gauche, la motilité des membres supérieurs est no
de raideur musculaire. En 1868, troubles de la sensibilité dans les mains et les pieds. Sensation d'en- gourdissement et
uvet a disparu, mais il survient à quelques interval- les, dans les mains et dans les pieds,des sensations désagréables de
e se présente, appuyé sur une canne qu'il tient de préférence de sa main gauche : il est sans cesse en mouvement. L'épaule
ses courbures de son rachis : dans ces tentatives infructueuses, la main appliquée contre les gouttières ver- tébrales n
abandonnant sa tête à l'opérateur, qui, debout'derrière lui, d'une main lui ouvre la mâchoire, de l'autre montre avec s
rtrait assurément, d'ailleurs très vivant et.plein de naturel. La main droite armée d'un davier de petites dimensions, c
mable arracheur vient de saisir la dent malade et tandis qu'avec sa main gauche il maintient solidement sur la table l'u
arrière, dans une altitude de défense audacieuse et très vraie; la main droite se crispe au bras d'un fauteuil, la gaucli
roite, un soldat, cuirassé, s'appuie sur une longue épée et tend la main vers l'opéré. Un autre jeune homme se perd dans
éclairée par une unique chandelle qu'un. jeune garçon tient dans la main droite, la gauche faisant office de réflecteur et
un fauteuil de bois, la tête renversée en arrière, soutenue par la main gauche de l'opérateur. Ce dernier, pen- ché en
f intérêt. L'un d'eux maintient le bras droit de la victime dont la main grand' ouverte s'apprêtait à arrêter le mouveme
est fixe et étonné, tout le corps d'ailleurs reste immobile et les mains sont croisées au devant de la poitrine ; c'est so
es membres peuvent être étendus, les avant-bras-sur les bras et les mains sur les avant-bras, les doigts écartés, sans osci
ts sont hésitants et lents ; lorsqu'elle veut remplir son verre, la main qui porte la bouteille oscille et verse le liquid
d'altération de la notion de position, ni du sens musculaire : la' main droite reproduit correctement les attitudes impri
a' main droite reproduit correctement les attitudes imprimées il la main gauche,- les yeux fermés et inversement ; la ma
squ'il est par terre, il essaie de s'asseoir, ou de porter les deux mains du même côté, on observe aussitôt une grande in
ir, dans ces conditions, il est d'ailleurs obligé de s'aider de ses mains ; enfin il se relève difficilement, tous ses mouve
upérieurs. - Ni paralysie, ni atrophie musculaire. Au dynamomètre : main droite 40, main gauche 50. Pas d'incoordination
paralysie, ni atrophie musculaire. Au dynamomètre : main droite 40, main gauche 50. Pas d'incoordination, les yeux ouver
algré cela, on remarque assez souvent une cer- taine maladresse des mains ; ainsi quand le malade veut saisir un objet, un
duit-il quelques petits mouvements de latéralité qui font dévier la main du but poursuivi, mais il ne s'agit pas en réal
ement. Le malade raconte d'ailleurs qu'il est plus maladroit de ses mains depuis - quelque temps et qu'il lui arrive enco
grande gêne pour écrire, les carac- tères sont tracés lentement, la main tremble légèrement, et pour s'en con- vaincre,
bres inférieurs et par la coïncidence d'une atrophie musculaire des mains ; au point de vue anatomique par l'existence d'une
et du tremblement. Chez la malade de Pierret, la sensi- bilité des mains était un peu émoussée ; elle était prise à la moi
A une période plus avancée, les membres supérieurs se prennent, la main hésite au momentde la préhension, elle plane; i
la parole altérée, la vue troublée, les mouvements des bras et des mains étaient tremblants et incertains ; les mêmes sy
la démarche fut de moins en moins sûre, il devint maladroit de ses mains ; ces symptômes s'amendèrent puis reparurent plus
davantage être exécuté les yeux ou- verts que les yeux fermés. Les mains ne tremblent nullement; cependant l'écriture ré
écriture révèle une grande incertitude et une ataxie manifeste de ses mains . Les réflexes tendineux du coude et du poignet
trouvé à l'autopsie un caillot large et épais comme la paume de la main entre le squelette et la dure-mère. E. Michel d
e- ments. Il avait une paralysie du bras droit, plus accentuée à la main . La parole était difficile, mais incomplètement
élioration fut assez grande, pour que le malade pût se servir de sa main pour les mouvements de force, mais pas pour les
ne indemnité. On ne constata qu'une perversion des mouvements de la main . En novembre 1892, il se représenta, on l'exami
s mouvements du bras paralysé étaient satisfaisants sauf ceux de la main qui lais- sent toujours a désirer » xiii 25
on pousse un cri particulier et jette tout ce qui lui tombe sous la main à la personne qui l'a irritée. Mais même à ce m
t l'insertion des premières côtes font un relief très prononcé ; la main est relativement plus développée que les autres
e malade qui aurait désiré quitter l'emploi qu'il avait, sentait sa main droite assez malhabile pour qu'il n'osât pas le
r qu'il n'osât pas le faire, il craignait que cette faiblesse de la main l'empêchât d'être accepté comme employé dans un
ison nouvelle. Le premier symptôme apparent fut le gonflement de la main ; et nous le répétons c'est en dehors de toute
rouble de la sensibilité générale, de l'appétit ni du som- meil, la main droite enfle lentement, le malade estime qu'elle
les uns aux autres par leur développement en largeur, le dos de la main était arrondi, plus volumineux qu'actuellement, l
pendant un quart d'heure peut-être. La coloration était blanche, la main malade étant plus pâle que l'oppo- sée. Il n'
e a remarqué le raccourcisse- ment des doigts et le tassement de la main raccourcie et épaissie, mais il est probable qu
cas n'a débuté certainement qu'après la gêne des mou- vements de la main . Le traitement a été : friction avec onguent me
onguent mercuriel belladone, électri- sation, pointes de feu sur la main et sur le coude. Etat actuel (décembre 1897). L
l'avant-bras demi- fléchi à lt5 centimètres environ sur le bras, la main repos«à plat sur la cuisse. L'atrophie est mani
fet de la pointe du coude au sillon bien marqué qui le sépare de la main oedématiée, tassée, aux doigts épais et courts
lieu de 2, soit quatre centimètres de différence en longueur. La main est raccourcie dans son ensemble et présente un a
uce semblent avoir perdu leur métacarpien et être ren- trés dans la main , on dirait que lepremier s'insère sur le milieu d
insérer directement sur l'avant-bras. Si bien que si l'on mesure la main de l'extrémité du médius au pli du poi- gnet on
407 annulaire on a six à droite pour huit à gauche de sorte que la main et le doigt ont perdu chacun également deux cen
et galvaniques étaient seu- lement diminuées dans les muscles de la main et de l'avant-bras, qu'il n'y avait pas de réac
e toute attache, se dépri- mant facilement en touche de piano. A la main on perçoit au milieu des tissus mous des partie
ore quelques mouvements dans le poignet, mais à peine mar- qués. la main pend flasque au bout de l'avant-bras. Les doigt
ble des sphincters. Nous avons naturellement radiographié une telle main et rien n'est plus curieux que les lésions ains
l'avant-bras, en bas vers les phalanges, amenant un tassement de la main tel que ce qui reste de l'extrémité infé- rieur
de l'extrémité infé- rieure du radius a pénétré dans la paume de la main dépassant l'extré- mité supérieure du premier m
temps ses bras sont étendus, raides, un peu écar- tés du tronc, les mains largement ouvertes, les doigts séparés ; cet aspe
spect est encore plus accentué quand il veut se servir d'une de ses mains ; aussitôt l'au- tre s'ouvre et les doigts se m
érieurs sont le siège d'une atrophie généralisée étendue jusqu'aux - mains dont les espaces interosseux sont accentués et le
centués à droite qu'il gauche. Les bras s'é- loignent du corps, les mains sont étalées. Pendant la marche, le malade se d
et déplace alternativement ses bras en avant tout en conservant aux mains l'aspect déjà décrit. C'est la « démarche de cana
; le malade « grimpe le long de ses jambes » ; mais une fois que la main qui porte l'objet saisi a quitté le sol et que l'
ens ont une force suffisante pour la relever. Si le malade place sa main sur sa tête, ou repousse un obstacle avec son b
opagés ensuite au thorax et aux membres supérieurs, y com- pris les mains ; les muscles du cou sont atteints, mais pas de fa
martyre. Derrière lui. une vieille femme, capuchonnée de blanc, les mains croi- sées sous son tablier, regarde l'opératio
se tient de- bout, de profil à gauche, derrière une table. De la main droite il a saisi le menton du patient, et lui ou
vigou- reusement la bouche, il y plonge bravement les doigts de sa main gauche, sans souci de la morsure possible. Pe
efforts contre son bâton qu'elle serre à le broyer dans ses larges mains . Et rien n'est plus vrai que son geste réflexe et
pérateur et de l'opéré; puis deux assistants : une vieillefemme,les mains croisées sous son tablier, regardant l'opératio
au type classique. Je l'ai vu au musée de Rennes. Est-il bien de la main même de David Teniers le jeune ? Au point de vu
tionnel petit bonne[ - rouge ici, - garni de four- rures. , De la main gauche, il empoigne le menton du patient, et de l
péré, assis à gauche, le corps tourné à droite, tient un bâton à la main ; son chapeau de feutre est accroché au fauteuil.
chirurgie rustique représentées par Teniers : la vieille femme, les mains croisées sous son tablier, regardant l'opération,
ablier, regardant l'opération, et le jeune apprenti, une fiole à la main , debout près d'une table. Décor classique : aux
homme, se tapit dans l'om- bre au fond de la pièce, tenant à pleine main sa mâchoire endolorie. Tous les honneurs sont p
é d'un collier d'or auquel pend une médaille. Avec désinvolture, la main gauche sur la hanche, il tient dans la main dro
. Avec désinvolture, la main gauche sur la hanche, il tient dans la main droite une pince au bout de laquelle il montre
roit majestueusement campé sur la hanche, tenant négligemment de la main droite une pince au bout de laquelle une dent e
ent d'opérer, non sans douleur, car celui-ci appuie tris- tement sa main gauche sur sa mâchoire ébranlée. Mais ceci n'est
ésente un Charlatan de Te- niers, tenant un papier et un verre à la main . Près de lui, sur une table, à côté des pots et
ce dernier a bonne prise. Debout, derrière le malheureux, sa vaste main gauche enserrant presque toute la mâchoire, son p
pouce abais- sant brutalement la lévre inférieure, il a saisi de la main droite, avec une forte pince, la dent de son ch
pleur de ses extrémités, on devine que ce dentiste-là n'y va pas de main morte et que, coûte que coûte, il emportera le mo
intervention. Sa femme est là, près de lui, il genoux, croisant les mains , et levant au ciel un regard suppliant, implora
. Deux gamins sont In, au second plan, le bonnet sur l'oreille, les mains dans leurs po- NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
règne végétal, que chaque jour saluent des bouches enfumées, et des mains chargées de poudre, les mar- chands de*boites e
tabatière à son cou pour l'a- voir à chaque instant à portée de sa main . Les prêtres ne craignent pas de s'en servir mê
un bouffon portant des flûtes, des boites, des capsules et dont la main droite brandit une tabatière dans laquelle ses do
étaient exagérés. Deux ans avant la mort apparut un tremblement aux mains et quinze mois avant, la mort il eut un accès a
moitié droite du corps ; après l'accès restait une rigidité dans la main et le pied droits. Le jour de la mort a eu lieu u
des contractures dans les membres inférieurs, une rigidité dans les mains , des tiraillements, une grande faiblesse physique
xposée à la lumière un certain temps ou qu'elle s'est frottée avec la main libre ces troubles disparaissent. Cependant il
oins profond de ce côté, le dynamomètre de Régnier donne 26 pour la main droite et 17 pour la gauche. La malade signale d'
rticularité morphologique aussi concordante : les photographies des mains des deux sujets montrent au médius gauche une c
nt le siège de gros craquements et de frottements perceptibles à la main et à l'oreille. La déformation, due à gauche pr
les doigts du même côté se meuvent continuellement. Si on agite la main devant les yeux on ne détermine pas le resserreme
notablement plus faible que le droit, sans excitations motrices, la main gauche est plus froide et sue plus facilement. Dy
du côté droit ainsi qu'on le vit lorsqu'elle se brûla fortement la main sans s'en apercevoir.Quand elle commença à se le-
poignet... Elle offre toutes les apparences de la bonne santé. La main et le bras droits sont plus petits, plus doux au
atrophie musculaire. Seulement à droite les os sont plus petits la main demeure en flexion, tout à fait comme dans une
s mouvements du bras droit lorsqu'elle sai- sit quelque chose de la main gauche. Le matin en s'éveillant, elle peut placer
la main gauche. Le matin en s'éveillant, elle peut placer ses deux mains au dessus de sa tête, ce qui n'est pas possible v
on cinq ans 180, aujourd'hui 160. La sensibilité à la douleur, à la main et à la cuisse droite sont très atteintes, plus
, en essayant de le corriger, gesticule d'une façon bizarre avec sa main gauche. Il éprouve de grandes difficultés pour éc
e malade est effacé à droite et même remplacé par une dépression. Main . - Face dorsale, les interosseux sont' atrophiés
iés et les métacarpiens beaucoup plus visibles que sur le dos de la main du côté opposé. Face palmaire.- Les éminences t
servé sen- siblement leur relief normal. Doigts. - Il existe à la main droite une demi-flexion de l'auriculaire et de
x. Motilité et force musculaires. - Le sujet porte difficilement la main droite derrière la tête. Dans ce mouvement il n
mouvement il ne peut dépasser la ligne médiane pos- térieure.. , Mains . - Dynamomètres, main droite : 18, gauche : 38, i
épasser la ligne médiane pos- térieure.. , Mains. - Dynamomètres, main droite : 18, gauche : 38, il y a impossibilité
des douleurs qu'il compare à des coups d'épingle. L'avant-bras, la main et les doigts du même côté ne donnent lieu à au
oubles vaso-moteurs. La moitié inférieure de l'avant-bras droit et la main correspondante présentent sur leur face dorsale
ut pour la première fois faire quelques mou- vements actifs avec la main droite et le coude. La motilité de l'extrémité
ureux que le gauche.. En voulant se déshabiller, il constata que sa main droite était plus malhabile que sa gauche. Il ava
é. Le 31 janvier, il eut trois fois des mouvements convulsifs dans la main droite, qui se continuèrent ensuite dans la moi
. Le malade se plaint de douleurs vives survenant par accès dans la main droite et de secousses involontaires. Expectati
ts actifs et passifs des membres sont normaux. La sensibilité de la main droite est un peu diminuée. La parole est lente
mité revient graduellement à sa position initiale. Les doigts de la main gauche sont légèrement fermés. Le bras levé en l'
l'observation cliniques confirmèrent ces dires. La faiblesse de la main gauche était surtout surprenante dans l'action de
ure ac- cusée. Le bras droit est complètement paralysé, dynamomètre main gauche 35, main droite 13 et placé dans l'attit
e bras droit est complètement paralysé, dynamomètre main gauche 35, main droite 13 et placé dans l'attitude des hémiplégiq
titude des hémiplégiques, l'avant-bras est fléchi sur le bras et la main à demi fermée. Cependant le sens stéréognostiqu
très peu. Le malade a toujours été gaucher, le dynanomètre donne : main droite : 20.5, main gauche : 21./). Il n'a jama
a toujours été gaucher, le dynanomètre donne : main droite : 20.5, main gauche : 21./). Il n'a jamais eu d'aphasie. La
ite, côté droit. Paralysie des memhres du côté gauche. Dynamomètre, main droite : 25, main gauche : 0. La malade ne pe
aralysie des memhres du côté gauche. Dynamomètre, main droite : 25, main gauche : 0. La malade ne peut absolument rien f
main gauche : 0. La malade ne peut absolument rien faire de celle main qui est en contrac- ture, les doigts fortement
lacéré, saisit à plein bras la tête de sa victime, tandis que de la main droite, il lui introduit un so- lide davier dan
ier, en-1 tourée d'enfants qui s'accrochent à ses jupes, croise les mains dans un geste de'supplication et de pitié. dr
idi, les jambes croisées, les poings serrés. La tète maintenue par la main gauche du dentiste, il se laisse introduire, no
rtir ; une vieille femme encapuchon- née, s'avance au contraire, la main appuyée sur sa mâchoire douloureuse. Deux enfan
raconte dans une relation qui remonte à 1635, que « vinrent en ses mains 13 livres de Léonard de Vinci, quelques-uns écr
ts étaient arrivés jusqu'à lui, ce qu'ils devinrent en quittant ses mains et à la suite de quelles péripéties, ils parvinre
culaire, en arrêtant l'épaule contre le mur, et en faisant aller la main avec le charbon autour de cette épaule, le bras é
ebours, si on la compare du moins à notre écriture habituelle de la main droite, ou, comme on dit plus cou- ramment, une
e lettre fut dicté par Léonard, mais qu'il ne fut pas écrit t de sa main : il n'est donc pas surprenant que l'écriture en
lui-ci avait pris sur le tard seule- ment l'habitude d'écrire de la main gauche, à la suite d'une attaque d'hé- (1) Cité
écriture renversée de certains des hémiplégiques qui écrivent de la main gauche, en même temps qu'il donna à cette écri-
evoir que tous les hémiplégiques droits qui tiennent la plume de la main gauche n'écrivent pas en miroir, que d'autre pa
tte opinion que l'écriture en miroir est l'écriture ordinaire de la main gauche, et Martial Durand (4) accepta et dévelo
) Martial Durand, De l'écriture en miroir, élude sur l'écriture de la main gauche dans ses rapports avec l'aphasie (Journa
e. Sa soeur aînée Marguerite, 10 ans 1/2, écrit norma- lement de la main droite ; 1 frère plus jeune, 6 ans, écrit aussi c
se V... est gauchère de naissance. Elle se sert cou- ramment de. la main gauche pour les usages Je la vie, pour coudre, co
vie, pour coudre, couper sa viande etc. Elle est assez adroite des mains . Elle est très intelligente comme le sont ses f
et en voyant écrire sa soeur : elle prenait la plume et traçait de la main gauche les chiffres et les caractères que sa so
in gauche les chiffres et les caractères que sa soeur traçait de la main droite. On assure, et le renseignement a été vé
nement a été vérifié, que d'emblée elle reproduisit en miroir de la main gauche les chiffres et les lettres qu'elle copiai
lettres qu'elle copiait. Rose a continué à apprendre à écrire de la main gauche et un peu plus tard de la main droite, e
ué à apprendre à écrire de la main gauche et un peu plus tard de la main droite, en même temps qu'elle apprenait à lire.
s ordinaire. L'enfant a eu plus de peine à apprendre à écrire de la main droite que de la gauche. - État actuel (1900)
ite que de la gauche. - État actuel (1900). - Rose écrit des deux mains , mais elle écrit plus faci- ' 1 lement de la ma
e écrit des deux mains, mais elle écrit plus faci- ' 1 lement de la main gauche que de la droite. L'écriture de la main dr
ci- ' 1 lement de la main gauche que de la droite. L'écriture de la main droite (Fig. 1)- est plus penchée que celle de
riture de la main droite (Fig. 1)- est plus penchée que celle de la main gauche (Fig. 2); ce qui tient peut-être FiG. 2.
ig. 2); ce qui tient peut-être FiG. 2. - Ecriture (en miroir) de la main gauche. v 604 GILBERT BALLET à ce que la prem
re de la mai- tresse qui instruit Rose, tandis que l'écriture de la main gauche est plus spon- tanée. L'écriture de la
écriture de la main gauche est plus spon- tanée. L'écriture de la main gauche est un peu plus grande que celle de la mai
L'écriture de la main gauche est un peu plus grande que celle de la main droite. La copie (transcription de l'imprimé
i demande de faire autrement, Rose copie en écri- ture droite de la main droite (Fig. 3) et en écriture renversée de la ma
ture droite de la main droite (Fig. 3) et en écriture renversée de la main gau- che (Fig. 4). De cette main gauche (Fig.
) et en écriture renversée de la main gau- che (Fig. 4). De cette main gauche (Fig. 5) elle peut écrire en écriture droi
et péniblement. Il en est de même des carac- tères renversés de la main droite (Fig. 6). Fia. 3. - Copie de manuscrit (
e (Fig. 6). Fia. 3. - Copie de manuscrit (A) et d'imprimé (B) de la main droite. FiG. 4. - Copie de manuscrit (A) et d'i
ain droite. FiG. 4. - Copie de manuscrit (A) et d'imprimé (B) de la main gauche. L'ÉCRITURE DE LÉONARD DE VINCI 605 Le
gauchère, ap- prend à écrire seule ; elle écrit spontanément de la main gauche en miroir; ce n'est que plus tard, sous
culque, qu'elle prend l'habitude d'écrire en écriture droite, de la main droite et aussi de la main gauche. Il apparaît
itude d'écrire en écriture droite, de la main droite et aussi de la main gauche. Il apparaît déjà, et c'est ce que ce ca
nt gauchère l'écriture naturelle a été l'écri- ture en miroir de la main gauche, tandis que les autres (écriture droite de
oir de la main gauche, tandis que les autres (écriture droite de la main droite ou de la main gauche) ont été le résultat
, tandis que les autres (écriture droite de la main droite ou de la main gauche) ont été le résultat d'un effort luttant
ne de 1900 (section de Neurologie). Fic. 5. - Ecriture droite de la main gauche. FiG. 6. - Ecriture en miroir de la main
riture droite de la main gauche. FiG. 6. - Ecriture en miroir de la main droite. 606 GILBERT BALLET -l'écriture de cha
t bien une écriture de gauche à droite, quand nous l'écrivons de la main droite, mais il en est tout autrement si nous l
ais il en est tout autrement si nous l'écrivons naturellement de la main gauche. En fait si l'on veut s'orienter dans cett
s cette question des écritures diverses et du rôle qu'y joue chaque main , il faut l'envisager d'autre manière : la direc
er d'autre manière : la direction des écritures, qu'elles soient de main droite ou de main gauche, aryenne ou sémitique,
: la direction des écritures, qu'elles soient de main droite ou de main gauche, aryenne ou sémitique, doit être rapportée
leau ci-joint (Fig. 8) : l'écriture aryenne .est centrifuge pour la main gauche comme pour la main droite, l'écriture sé
'écriture aryenne .est centrifuge pour la main gauche comme pour la main droite, l'écriture sémitique est centripète pou
r la main droite, l'écriture sémitique est centripète pour les deux mains (1). Qu'en résulte-t-il ? C'est que l'écriture
les deux mains (1). Qu'en résulte-t-il ? C'est que l'écriture de la main gauche est nécessairement ['inverse de celle de
iture de la main gauche est nécessairement ['inverse de celle de la main droite : au fond, elles ne sont pas plus en miroi
appelons, nous, écrire en miroir l'écriture aryenne centrifuge, de la main (1) L'écriture en miroir étant toujours comme c
e la main (1) L'écriture en miroir étant toujours comme celle de la main droite centrifuge (aryenne) ou. centripète (sém
ntripète (sémitique), on conçoit qu'un hébreu quand il écrira de la main gauche, n'écrira en miroir que si sa main va de g
reu quand il écrira de la main gauche, n'écrira en miroir que si sa main va de gauche à droite (écrire centri- pète). S'
ne sera pas renversée mais ce ne sera pas l'écriture normale de la main gauche. A ce point de vue le malade de M. Ma- r
éjà constaté que les Sémites, comme c'était à prévoir, écrivent de la main gauche en écriture centripète renversée. FiG.
e étant pour la majorité droitiers, écrivant par consé- quent de la main droite, nous avons pris l'habitude de prendre pou
pour terme de comparaison notre écriture ordinaire, celle de cette main droite. Mais supposons qu'on n'ait pas par l'éd
rait continué à écrire exclusive- ment en écriture centrifuge de la main gauche, à lire par conséquent cette écriture :
cette écriture : pour elle l'écriture en miroir eût été celle de la main droite. Donc, si nous écrivons d'une façon qu
quasi-automatique et, sans contra- rier la nature, une phrase de la main droite puis de la main gauche, les deux écritur
ans contra- rier la nature, une phrase de la main droite puis de la main gauche, les deux écritures seront l'inverse l'u
ment : « on fait écrire à une personne la même phrase avec les deux mains simultanément, les yeux ouverts et fermés. On t
i- même, c'est-à-dire qu'on écrit involontairement renversé avec la main gauche, tandis que la droite écrit normalement.
nce. On fait commencer l'écriture depuis la ligne médiane, les deux mains rappro- chées. Les lignes écrites, surtout cell
montant et forment un angle ouvert en avant. Si l'on veut forcer la main gauche à écrire aussi l'écriture normale, l'effor
lettres renversées. » Il est aisé de concevoir que l'écriture de la main droite doit être natu- rellement l'inverse de c
e la main droite doit être natu- rellement l'inverse de celle de la main gauche : cela tient à la disposition des muscle
xe du corps ; un mouvement d'adduction du pouce et de l'index de la main droite ne correspond pas à un mouvement parallè
sens 'inverse qui rapproche de l'axe du corps les deux doigts de la main gauche comme l'adduction en rapproche ceux de l
doigts de la main gauche comme l'adduction en rapproche ceux de la main droite. Ce qui revient à dire que si, par rappo
opposé les uns par rapport aux autres : l'écriture naturelle de la main gauche est l'opposée de celle de la main droite ;
l'écriture naturelle de la main gauche est l'opposée de celle de la main droite ; mais elle lui est symétrique si on les
, centrifuge (Aryenne) ou centripète (Sémitique) et que celle de la main gauche est l'inverse (Ecriture en miroir) de ce
de la main gauche est l'inverse (Ecriture en miroir) de celle de la main droite. Mais s'il en est ainsi, si l'écriture e
n est ainsi, si l'écriture en miroir est l'écriture naturelle de la main gauche (Carl Vogt), pourquoi y a-t-il des gens qu
trairement à ce qui devrait être, écrivent en écriture droite de la main gauche, réalisant de la sorte une écriture centri
s 428 autres écrivaient plus ou moins en écri- ture droite de cette main . D'autre part, il y a très loin de ceux d'entre
rque s'impose, si l'écriture en miroir est l'écriture normale de la main gauche, il est singulier qu'on ne la rencontre qu
dans les conditions d'observation courante, l'écriture droite de la main gauche est plus commune que l'écriture en miroir.
nd on a dit que l'écriture en miroir était l'écriture normale de la main gauche, on a donné une formule vraie, mais incomp
vraie, mais incomplète. Pour qu'il y ait une écriture normale de la main gauche, il faut qu'il y ait une écriture de cet
ormale de la main gauche, il faut qu'il y ait une écriture de cette main . Or chez la presque totalité de ceux qui savent é
« Tous les peuples sans exception, dit Cari Vogt, écrivent avec la main droite et aucun n'a jamais écrit autre- ment, p
e vue auquel nous nous plaçons. Etant droitiers nous écrivons de la main droite en écriture droite et nous n'avons, sauf
s, sauf circonstances exceptionnelles, aucune raison d'écrire de la main gauche en miroir. Mais il y a des gens qui se
instinctivement porté à écrire de sa bonne'main, c'est-à-dire de la main gauche, et comme l'écriture de la main gauche e
nne'main, c'est-à-dire de la main gauche, et comme l'écriture de la main gauche est l'écriture en miroir, à écrire en miro
on générale que tous les gens qui écrivent aisément en miroir de la main gauche, et surtout ceux qui tout enfants adoptent
édecine, « a eu pendant son enfance des tendances à se servir de la main gauche pour manger et pour les autres usages ».
ages ». Ch. Mills (2) a examiné au point de vue de l'écriture de la main gauche un premier groupe de 60 garçons ou fille
roit, continua à aller à l'école et se mit à écrire en miroir de la main gauche. Risley (1), qui rapporte le. cas, dit q
précisant la formule de C. Vogt, que l'écriture en miroir et de la main gauche est l'écriture nor- male chez les gauche
par un apprentissage assez délicat arriver à écrire en miroir de la main droite : c'est le cas de certains lithographes;
hographes; on peut aussi, même lorsqu'on est droitier, tracer de la main gauche quelques caractères en miroir : mais il
ices prolongés, ces derniers écrivent sans trop de difficulté de la main droite ; ils oublient alors plus ou moins leur
oite ; ils oublient alors plus ou moins leur écriture normale de la main gauche, c'est-à-dire l'écriture en miroir, ou i
ellement. On parvient même à leur apprendre l'écriture droite de la main gauche : mais celle-ci qui est antiphysiologiqu
a commencé spontanément et naturellement par écrire en miroir de la main gauche ; plus tard elle a appris à écrire en éc
gauche ; plus tard elle a appris à écrire en écriture droite de la main droite; plus tard enfin elle est arrivée à écri
plus tard enfin elle est arrivée à écrire en écriture droite de la main gauche et en écriture renversée de la main droite
en écriture droite de la main gauche et en écriture renversée de la main droite. Chez elle l'écri- ture en miroir de la
renversée de la main droite. Chez elle l'écri- ture en miroir de la main gauche est l'écriture naturelle et de prédilectio
t l'écriture naturelle et de prédilection ; l'écriture droite de la main droite est une écriture naturelle, mais nécessi-
oduits. Ainsi chez les gauchers dont la tendance est d'écrire de la main gauche et en miroir, l'éducation concourt à ann
ffort, plus cette propension se manifestera. «Dans l'écriture de la main gauche, dit très justement Martial Durand, moins
(1) sur 100 enfants normaux en a trouvé 16 écrivant en miroir de la main gauche; mais sur 100 sourds-muets il en a compt
ha- sie, dit M. Durand, est de débarrasser l'écriture normale de la main gauche, l'écriture en miroir, de toutes les cir
l'éducation, du souvenir de la figure des caractères tracés par la main droite, du contrôle de la vue (cécité de l'écritu
uelles il découle qu'on a plus de tendance à écrire en miroir de la main gauche quand les yeux sont fermés que lors- qu'
ils sont ouverts. La distraction, en favorisant l'automatisme de la main gauche, facilite aussi l'écriture en miroir. Mi
d'un télégraphiste qui voulant à la fois manier son appareil de la main droite et prendre des notes urgentes de la main
son appareil de la main droite et prendre des notes urgentes de la main gauche, prenait ces dernières en écriture en mi
notre précédente formule en disant : l'écriture en miroir et- de la main gauche est l'écriture normale chez les gauchers
nditions les plus habituelles, quand nous apprenons à écrire de* la main droite, nous nous exerçons à copier une image vis
. Lorsqu'un hémiplégique prend pour la première fois la plume de la main gauche et trace des caractères renversés presqu
otre petite fille ; rappelons-nous qu'elle a appris à décrire de la main gauche toute seule en regardant écrire sa soeur d
re de la main gauche toute seule en regardant écrire sa soeur de la main droite et qu'elle écrivait avant de savoir lire,
eur, soit les mouvements de la L'ÉCRITURE DE LÉONARD DE VINCI 613 main droite directement observés, soit la représentati
en d'une part qu'exécutant, parce que gauchère, les mouve- ments de main droite qu'elle copiait, avec la main gauche, elle
gauchère, les mouve- ments de main droite qu'elle copiait, avec la main gauche, elle ait reproduit ceux-ci comme la mai
e copiait, avec la main gauche, elle ait reproduit ceux-ci comme la main gauche peut et doit les reproduire, c'est-à-dire
ent une transformation accidentelle et accessoire de l'écriture de la main droite, mais qu'elle peut s'organiser primitive
r, plus tard pour la refouler en lui substituant l'écri- ture de la main droite. * , 'f . * Il résulte de ce qui pré
es conditions sont nécessaires pour que l'écriture en miroir (de la main gauche) soit courante et facile : il faut d'une
s'opposer au développement de sa tendance naturelle à écrire de la main gauche. Léonard de Vinci réalisait-il ces condi
ives. Au dire de Gallichon (2), Léonard esquissait rapidement de la main gauche les figures qui l'avaient beaucoup frappé
e la main gauche les figures qui l'avaient beaucoup frappé et de la main droite celles qui étaient le fruit suffisamment
e ses raisonnements ; ses amis croyaient qu'il n'écrivait que de la main gauche. Mais ce témoignage est trop moderne et
main gauche. Mais ce témoignage est trop moderne et de trop seconde main pour faire autorité, d'autant plus qu'il y a co
'autant plus qu'il y a controverse en ce qui concerne le rôle de la main gauche dans les dessins de Vinci. ` . Vasari
itti con la lancina a rorescio (caractères écrits à rebours avec la main gauche). Mais le témoignage le plus concluant e
Or voici ce que dit celui-ci : « Il écrivait encore à rebours de la main gauche une écriture qui ne pouvait se lire qu'a
rd de Vinci réside dans ce fait qu'il écrivait habituellement de la main gauche (e mancina). Il n'est donc pas besoin de
d qui écrivait en miroir longtemps avant d'avoir été paralysé de la main droite, n'a vraisembla- blement jamais songé à
d 622 CABANNES ET BARNEFF de l'oeil; malformation des doigts, des mains , des pieds, anesthésie du trijumeau, paralysie
es paupières minces et bien souples, les oreilles non déformés. Les mains et les doigts, les membres supérieurs sont ceux d
t au plus existe-t-il une légère indécision dans les mouvements de la main , lorsqu'on commande au malade de toucher un obj
embres supérieurs, même maladresse légère dans les mouvements de la main . Les troubles de la sensibilité thermique en pa
é d'un bonnet fourré, est assis au milieu de la pièce, tenant de la main gauche une pince qui mord une dent. A droite,
A droite, derrière une table, le patient appuie sa mâchoire sur sa main . Tout ceci est connu (V. Pl. LXVII). Mais à gau
ans le genre de Brouwer (1). 1 Un paysan est assis sur un banc, les mains jointes, la tète renversée, la bouche ouverte ;
a bouche ouverte ; un barbier de village lui soutient la tête d'une main et de l'autre lui arrache une dent. Derrière, u
isé- reux aux vêtements en lambeaux, assis sur un escabeau. Dans sa main gauche qui maintient la tête du patient, l'opér
doulou- reuse, car le patient cherche à lui arrêter le bras avec sa main droite. L'artiste a médiocrement rendu la physi
lace générale- ment derrière son malade, tient son instrument de la main droite ou de la main gauche, selon qu'il doit o
errière son malade, tient son instrument de la main droite ou de la main gauche, selon qu'il doit opérer à droite ou à gau
la pratique de beaucoup sai- gner, et qui veulent toujours avoir la main ferme et légère, ne doivent ja- mais arracher d
nts, de crainte que les efforts qu'il faut faire ne leur rendent la main tremblante : on laissera donc cet emploi aux opér
er cette opération, ce n'est pas seulement pour le préjudice que sa main en pourroit recevoir, c'est aussi qu'elle me pa
ux gris bouclés coiffé d'un bonnet garni de fourrures, montre de la main droite la dent qu'il vient d'extraire à son cli
t qu'il vient d'extraire à son client, un tout jeune garçon, que la main du dentiste, posée à plat sur sa tête, tient enco
ous- tache, un béret sur la tête, se tient devant son client, de la main droite renversant la tête de ce dernier,et tena
e la main droite renversant la tête de ce dernier,et tenant dans la main gauche unechandelle avec laquelle il cherche à
pe, et toujours derrière la table, une vieille femme saisit avec la main gauche la main droite du malade, posée sur le bra
derrière la table, une vieille femme saisit avec la main gauche la main droite du malade, posée sur le bras du fauteuil
tient l'o- pérateur. Son regard anxieux, sa bouche enlr'ouverte, sa main gauche ap- puyée contre sa poitrine expriment b
pendant sur la hanche, Et sur tout l'escharpe blanche ; Tenant en main bec de corbin, Monté sur un cheval aubin, Gar
ant, tout de rouge vètu, coiffé d'un feutre immense un cerceau à la main , s'arrête, comme pétrifié. Une veille femme, un p
, comme pétrifié. Une veille femme, un pa- nier au bras, croise les mains dans un geste de supplication et d'effroi. D'au
eille femme, s'affaise sur le fauteuil opératoire ap- puyant sur sa main gauche sa tête enveloppée de linges. Car elle vie
s obéir à l'éperon, et le patient eut le temps de se cramponner aux mains de l'opé- rateur, mais celui-ci, plutôt que de
hé de plumes de paon; un énorme sabre pendait à sa ceinture ». Sa main surpassoit son conseil, J'en atteste l'expérien
nie. Dans le 7° compartiment, la Sainte est représentée assise, les mains liées derrière le dos, maintenue par deux solid
tant la Sainte en robe de damas bleu et manteau rouge, tenant d'une main la palme des martyres et de l'autre un davier e
es gouttes de sang. Une autre, Sainte Agathe sans doute, porte à la main une grosse tenaille dans laquelle est enchâssé
12 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
u des os de la jambe, de la cuisse, de la rotule, du bassin, et des mains ; la colonne vertébrale, organe médian, présent
vait pas encore été rapporté,à notre connaissance tout au moins. La main du côté malade est atteinte, nous l'avons dit : e
position temporaire de ses membres inférieurs à l'air extérieur, la main appliquée sur la jambe gauche, saine, a une sen
un côté et de l'autre. Seuls les doigts, et encore les doigts de la main droite exclusivement, pré- sentent des modifica
difications morphologiques intéressantes; les premiers doigts de la main droite, en effet, le deuxième et le troisième sur
destinées à montrer la circon- férence plus grande des doigts de la main droite par rapport à ceux de la main gauche.
nce plus grande des doigts de la main droite par rapport à ceux de la main gauche. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRRÈ
Lorsque les membres ont été laissés quelque temps à l'air libre, la main ap- pliquée sur le tibia gauche a une sensation
i. cit. (4) M. KLIPPPL, Sur une variété de rhumatisme déformant des mains et sur l'intervention du système nerveux dans l
l'a montré l'examen radiographique, certains os du squelette de la main aug- mentés de volume, boursouflés, déformés, i
e, qui, elle aussi, présentait des altérations du sque- lette de la main droite, et des phalanges tout particulièrement. C
ette singulière répartition des lésions osseuses du squelette de la main jointe à l'intégrité des extrémités ailiculaire
niveau de la plante des pieds. Sens stéréognostique conservé aux mains . Réflexes tendineux. - Réflexes rotuliens et ac
jet par terre ou d'ôter ses souliers^ elle s'exécute avec une seule main , tandis qu'avec l'autre elle soutient sa tête e
trophiés, tous les autres muscles du bras, de l'avant-bras et de la main sont absolument indemnes. Tous les mouvements
et de la main sont absolument indemnes. Tous les mouvements de la main : opposition des doigts et du pouce, flexion, a
uction et abduction des doigts, flexion, adduction et abduction de la main , flexion et extension de l'avant-bras, rotation
on en dedans et en dehors, se font très bien. La dinamométrie de la main à droite donne 2f¡, kg. et 16 à gauche* Au cont
x que les précé- dents. Tous les muscles de l'avant-bras et de la main présentent des réactions élec- triques absolume
et du bras, tout en respectant les muscles de l'avant-bras et de la main . Nous nous trouvons donc en présence d'une amyotr
enir relevée sans effort. Bientôt il est obligé de s'aider avec ses mains pour empêcher sa tète de tomber en avant. Pour
espèce de faux-col géant avec lequel il pouvait travailler avec ses mains laissées disponibles. A l'examen clinique on co
épaule, a épargné complètement les muscles de l'avant-bras et de la main qui sont parfaitement conservé des deux côtés.
e sur la poitrine du malade qui est t obligé de la soutenir avec sa main dans l'altitude du médiateur, Rien d'anormal du
antérieure chronique, qui avait débuté par les petits muscles de la main et du bras et avait envahi ensuite les muscles
explique par la multiplicité des actes fonctionnels exécutés par la main et les doigts, mais on peut observer des troubl
deux premiers interosseux et sur l'éminence thénar, pendant que la main écrit, il se produit, surtout dans le tracé des d
le bras ; or, au bout de quelques secondes, il lui semblait que sa main devenait lourde, que les doigts s'engourdissaient
ssaient ; une douleur vive avec fourmillements apparaissait dans la main , puis le bras droit, et le ma- lade devenait in
is des fourmillements apparaissaient au bout des doigts, gagnant la main et le bras ; une douleur très vive remontait de
gagnant la main et le bras ; une douleur très vive remontait de la main à l'avant-bras et au bras ; la étude SUR LES cr
nt-bras et au bras ; la étude SUR LES crampes professionnelles 77 main pâlissait et se refroidissait légèrement et, deva
à devenir irritable à l'excès. Il remarqua que sa « crampe » de la main droite était d'autant plus rapide à apparaître qu
it jours plus tard, M ? B. se déchirait déjà soulagé, sa crampe de la main droite n'apparaissait qu'au bout de 3 gaz 4 pag
écriture dans cette position, il ressent des fourmillements dans la main élevée, fourmillements qui sont bientôt suivis
eparaissaient. A la fin de 1906, le malade eut des douleurs dans la main droite : douleurs dans le petit doigt et sur le
u elles aug- mentèrent d'intensité ; enfin survint une crampe de la main droite dès que le malade écrivait vite ; les do
e jouait du piano ; en dehors de ces circonstances, la crampe de la main droite n'apparaissait pas. A l'examen clinique,
ce sont les fourmillements, les troubles de calorificalion dans les mains ; puis les douleurs en crampes, avec paroxysme, s
qu'il écrivait, ou jouait du piano ; il pouvait remuer longtemps sa main en dehors de ces deux occupations, par exemple jo
stent toujours à un certain degré (froideur, cyanose), et dont la « main succulente » est une des manifeslationsles plus n
lettres, commençait correctement, mais au bout de quelques lignes sa main ne pouvait plus se mouvoir ; la plume s'enfonça
même effet par son écriture extraordinaire ; au lieu de laisser sa main tracer automatiquement les caractères appris, il
sentait un signe intéressant : c'était de l'acro- cyanose. Les deux mains avaient une coloration violacée ; elles étaient f
sionnel, et, dit-il, d'excès génésiques, il remarqua un jour que sa main se fatiguait vite en écrivant, et qu'il trembla
erva que les troubles de l'écriture augmentaient d'in- tensité ; la main devenait bientôt mal habile à tracer les lettres,
r écrire, à certains artifices ; et, en fléchissant très fortement la main en dedans, tout en la renversant légèrement sur
vasculaire, musculaire ou nerveuse appréciable. Mais, en mettant la main au niveau de la face antérieure du poignet sur la
es des fléchisseurs. Si, air contraire, M. M... écrit en portant la main en dedans, les craquements synoviaux ne se prod
urmillements puis des douleurs dans les trois derniers doigts de la main droite, enfin des crampes dans ces mêmes doigts
epasseuses (Remak) qui, conduisant constamment le fer avec les deux mains , peu- vent voir survenir une paralysie dans le
fausses notes en jouant du hautbois parce que le petit doigt de la main droite s'étendait difficilement. Quelques mois pl
, par impossibilité de faire agir les extenseurs des doigts ; et la main peut cependant exécuter un grand nombre de mouvem
en venir à bout ; ainsi pour écrire il tient le 'porte- plume et la main de façon spéciale; et de même pour manger, saluer
is par jour, un robinet dur au moyen des deux premiers doigts de la main droite ; une névralgie se déclara sur le trajet
éveilla, il ressentit dans le bord interne de l'avant-bras et de la main une sensation d'engourdissement, avec picote- m
temps de petites secousses dans la région interne déjà paume de la main . Pendant toute la soirée il fut tenu en éveil p
ements d'écriture, le malade pouvait se servir parfaite- ment de sa main pour tenir un objet, faire sa toilette, etc.. Sou
se pour tous les actes usuels, il lui fut impossible d'écrire de la main droite : dès qu'il prenait le porte-plume, les
it moins forte, il ressentait une agitation dans le bras droit : la main deve- nait incapable de tenir la plume à cause
e crampe des écrivains du côté droit, qui apprennent à écrire de la main gauche ; mais la crampe des écrivains survient bi
rs citent des malades pouvant écrire depuis de longues années de la main gauche sans avoir de spasme; nous-mêmes en connai
ccessivement 92 MACÉ DE L1 : P1NtlY de crampe des écrivains de la main droite, crampe des dactylographes de la main ga
pe des écrivains de la main droite, crampe des dactylographes de la main gauche, enfin de crampe des pianistes des deux ma
lographes de la main gauche, enfin de crampe des pianistes des deux mains . Voici d'autre part l'observation d'un malade a
aternel, et son père, étaient atteints d'un tremblement continu des mains , qui les gênaient dans leurs occupations. Lui-mêm
ibles, tant était grande son émotion qui amenait du tremblement des mains . Lorsqu'il dut signer, en public, son di- plôme
signer, en public, son di- plôme de bachelier, ce tremblement de la main fut tel que la signature fut tout à fait inform
uue petite fille de 10 ans, qui, dit-il, a un léger tremblement des mains . Sa maladie actuelle a commencé en 1891, à l'âg
en bas sur un gros registre ; or, en arrivant au bas des pages, la main droite n'était plus appuyée sur la table, en ra
r la table, en raison de l'épaisseur du registre, et l'écriture, la main ainsi avide, le fatiguait. En outre, on lui fit
attribue sa maladie. Vers la fin de 1891, le sujet remarqua que sa main droite devenait malhabile à tracer les mots ; à
rusque flexion du pouce avec adduction forcée contre la paume de la main , dès que le malade prenait le porte-plume. En m
pent sur le porte-plume, puis se raidissent en extension ; enfin la main tout en- tière se renverse et se porte en supin
avait peur de perdre sa situation ; aussi apprit-il à écrire de la main gauche ; l'apprentissage fut assez facile, mais
sez facile, mais l'écriture ne fut jamais aussi courante qu'avec la main droite. Néanmoins il commençait à écrire de la ma
ante qu'avec la main droite. Néanmoins il commençait à écrire de la main gauche pour les besoins de sa profession, lorsq
orsque, au bout de six mois, il remarqua une certaine raideur de la main gauche, spécialement de l'index, et peu de temp
temps après survint une crampe, tout à fait semblable à celle de la main droite, et avec le même sentiment d'angoisse. M
u près à la même époque, le malade eut de la peine à saisir avec la main droite son verre de table, en raison d'une crampe
e, et il devait l'empoigner à pleine paume, ou bien se servir de la main gauche. Toutefois ce trouble fut très passager,
ut acte, autre que celui d'écrire, le malade est très adroit de ses mains ; il n'a aucun tremblement, pas plus au repos qu'
Le malade, écrivant de plus en plus difficilement aussi bien de la main gauche que de la main droite, acheta uue machin
e plus en plus difficilement aussi bien de la main gauche que de la main droite, acheta uue machine à écrire, et apprit à
pendant un certain temps, lorsque, au bout d'uu an, survint dans la main droite une crampe des fléchisseurs. Le malade se
t lui permet- tait, au lieu de remuer les phalanges, d'actionner la main tout entière par mouvements du poignet. Mais bi
epuis. Actuellement M. V. écrit peu ; il donne des signatures de la main droite, écrit au crayon de la main droite, ou à
; il donne des signatures de la main droite, écrit au crayon de la main droite, ou à la plume de la main gauche ; et, à l
main droite, écrit au crayon de la main droite, ou à la plume de la main gauche ; et, à la condition d'être seul, de n'ê
t atteinte depuis plusieurs années d'une crampe des écrivains de la main droite. Depuis quelque temps, elle souffre d'un
son torticolis qu'au moment où il écrivait, et en même temps que sa main se contractait. Observation IX (personnelle).
'épaule droite, les yeux quit- tent le papier ; et en même temps la main droite, agitée d'un léger tremble- ment se met
ne voit plus ce qu'il écrit ; la seconde c'est que sa crampe de la main à elle seule empêche l'écriture. M. Lef... a im
ns cette position, l'écriture est plus facile, mais la crampe de la main survient néan- moins quand le malade est fatigu
spasme n'a été que passager dans ces conditions. La sensibilité de la main droite est parfaite ; on ne trouve aucun signe
1'Jnes des membres du côté droit, et une crampe des écrivains de la main gauche. La malade, malgré son hémichorée droite,
uche. La malade, malgré son hémichorée droite, pouvait écrire de la main droite, mais, lorsqu'elleprenait le porte-plume
re de la main droite, mais, lorsqu'elleprenait le porte-plume de la main gauche, tous les doigts de cette main devenaient
eprenait le porte-plume de la main gauche, tous les doigts de cette main devenaient raides, se contractaient sur le port
contorsionnée, le visage convulsé, s'arrachant les cheveux des deux mains . On l'appelait L'image du Délire. (1) Entraîné
eures étaient pen- dantes et elle ne pouvait les relever qu'avec la main droite, tantôt l'une tantôt l'autre, ne pouvait
qui permet au malade de se servir à peu près conve- nablement de sa main et de son bras droit. En marchant, il traîne la j
édominante aux membres. L'avant-bras est en flexion sur le bras, la main sur l'avant-bras, les doigts sont repliés sur e
s touchés. Le malade traîne la jambe en marchant ; les doigts de la main et l'avant- bras sont en demi-flexion, naturell
as et les jambes extrêmement courts, très musclés, les pieds et les mains typiquement carrés en font un exemple classique d
as sont en pronation totale de telle façon que la face palmaire des mains est tournée complètement en arrière. Les avant-
n radiographique nous montrera l'anormale brièveté de l'ulna. Les mains sont épaisses, courtes et charnues et elles affec
ntation un peu postérieure à celle des autres doigts. La peau des mains est extrêmement ridée et surabondante ; entre les
ois fois la luxation traumatique du gros doigt des deux côtés. La main de notre nain ne présente pas spontanément le typ
hez lui virtuelle et peut être provoquée passivement ; en posant sa main sur un plan solide on peut en effet juxtaposer
on d'origine traumatique. Cette luxation comme celle des doigts des mains dépend d'un état d'anormale hypotonie des liens a
oniques. Les pieds sont relativement moins courts et carrés que les mains . Les pre- mier, deuxième, troisième et cinquièm
marge inférieure plus droite et linéaire que d'habitude. Comme à la main on voit au pied aussi que le raccourcissement tot
grosses et au contraire les diaphyses assez fines ; de même qu'à la main , le quatrième métatarsien est de beaucoup plus
phalanges ne sont pas très raccourcies -et ne sont pas, comme à la main , épaisses et trapues ; leur diaphyse est courte m
diaphyse est courte mais bien dessinée, ce qui ne se voit pas à la main . La deuxième phalange du gros orteil a une base
imaux des membres sont plus réduits que les segments distaux. Les mains et les pieds présentent aussi les déformations cl
ques particularités dignes de mention (PI. XX). Chez notre nain, la main n'a pas la déformation en trident décrite par M
he été aussi luxée et il en reste une défor- mation actuelle. Les mains et les pieds de notre patient présentent aussi un
e autre ano- malie qui a été décrite déjà par M. P. Marie (pour les mains seulement) mais dont l'origine n'a pas, que je
as, que je sache, été suffisamment éclairée. Le quatrième doigt des mains , et beaucoup plus évidemment celui des pieds, a
teur. Nous voyons, en effet, par les radiographies des pieds et des mains de notre nain que le quatrième métacarpien et l
r nous avons pu en constater l'existence dans la radiographie de la main du nain Clau- dius de M. P. Marie, et dans cell
rits par les dif- férents auteurs. Ce nouveau caractère propre à la main et au pied des achondroplasiques s'ajoute ainsi
x précédents si bien décrits déjà par M. P. Marie et qui font de la main des achondroplasiques quelque chose de tout à f
de men- tion ; c'est-à-dire l'abondance de l'enveloppe cutanée des mains ; celles-ci ap- paraissent en effet toutes ridé
t été considérés comme tout à fait analogues aux achondroplases hu- mains . Apert est catégorique sur ce point ; il écrit
Un spectacle, une audition musicale, une lecture, un serre- ment de mains , un bouquet odorant, la joie et la tristesse ambi
t des manifestations humaines. Vous êtes à table et au moment où la main armée de la fourchette arrive à bonne portée,.la
oment d'apposer sa signature au bas d'un acte, une persoune voit sa main , qui n'est pas paralysée cependant, lui refuser o
orteil droit, varus équin spasmodique, et flexion des doigts de la main droite avec léger tremblement chaque fois que l
Chez les deux autres sujets, atteints de crampe des écrivains de la main droite, il y avait, lorsque le malade se mettai
ain droite, il y avait, lorsque le malade se mettait à écrire de la main gauche un spasme de la main droite, se tra- dui
que le malade se mettait à écrire de la main gauche un spasme de la main droite, se tra- duisant par une flexion brusque
bureau, est depuis cinq mois atteint de crampe des écrivains de la main droite. Il a toujours joui d'une bonne santé, m
: dès que le malade prend la plume, le pouce droit se contracte, la main se crispe sur le porte-plume, et l'écriture dev
néanmoins employer la machine à écrire sans avoir de crampe dans la main droite. Tous les autres /actes de la vie couran
n signe d'affection périphérique. M. Mal... a appris à écrire de la main gauche, et il le fait avec assez de facilité, m
assez de facilité, mais, si on l'observe pendant qu'il écrit de la main gauche, on voit que le bras droit se contracte au
au niveau du deltoïde, et a tendance à remuer en même temps que la main gauche ; le malade se rend d'ailleurs très bien
pareil Morse. Au bout de deux ans de ce travail il fut pris dans la main droite d'une crampe professionnelle, et en même
ait en dedans et en opposition, et des mouvements désordonnés de la main . Il suivit sans succès divers traitements. A l'ex
iculté à écrire : les doigts se crispaient sur le porte-plume et la main se raidissait. La crampe devint bientôt de plus e
rampe devint bientôt de plus en plus fréquente, et l'écriture de la main droite fut complètement impossible. Le malade app
droite fut complètement impossible. Le malade apprit à écrire de la main gauche, mais éprouva ensuite dans cette main des
apprit à écrire de la main gauche, mais éprouva ensuite dans cette main des phéno- mènes semblables. Le malade fut soum
rapide. Sept semaines plus tard, M. M ? put écrire de nouveau de la main gauche ; la main droite fut plus longue à redeven
ines plus tard, M. M ? put écrire de nouveau de la main gauche ; la main droite fut plus longue à redevenir apte à écrire.
rs sans pouvoir écrire ; en temps or- dinaire, il peut écrire de la main droite, mais de temps en temps sa crampe le rep
mais de temps en temps sa crampe le reprend ; il écrit alors de la main gauche. Au point de vue intellectuel, M. M... e
tremble- ment oscillatoire (Cazenave), bégaiement des muscles de la main (Debout), celte affection « consiste dans l'imp
chisseurs, ou plus rare- ment des extenseurs des doigts, quoique la main , en général, exécute facilement lous les mouvem
l éprouve une certaine peine à tenir la plume, que les doigts ou la main se fatiguent vite et sont difficiles à mouvoir ;
mouvement de la plume. Parfois le médius et les autres doigts de la main se fléchissent aussi brusquement, soit dans tous
ande intensité ; elles peuvent siéger au niveau des doigts et de la main , remonter au bras le long des gros troncs nerveux
LLES J93 z Quelquefois le spasme ne se passe plus seulement dans la main et l'a- vant-bras, mais aussi dans les muscles
bras et de l'épaule : Duchenne a ainsi observé deux malades dont la main exécutait un mouvement de supination, par spasm
dans l'acte d'écrire, soit que l'acte soit tonique (fixation de la main et de la plume),soit que l'acte soit clonique (
interosseux, et bypertonicité des fléchisseurs qui impriment il la main une légère déformation ; d'où sa méthode thérap
En réalité tous les muscles du membre supérieur : tous ceux de la main , tous ceux de l'avant-bras, tous ceux du bras,tou
sinateur, est atteint depuis un an d'une crampe des écrivains de la main droite. Il n'a jamais été malade ; il n'est poi
arole est saccadée ; il existe un léger tremblement éthyli- que des mains ; le sommeil est agité par des cauchemars. Le m
à ressentir, il y a un peu plus d'un an, une cer- taine gêne de la main droite lorsqu'il voulait inscrire sur un plan des
papier loin à gauche et tour- née de travers, il la maintient de la main gauche ; alors tout le bras droit, dans l'exten
rte la plume vers le papier d'un geste maladroit et comme soudé. La main qui tient la plume est fortement fléchie en ded
peut écrire assez couramment sans avoir de crampe, en renversant la main sur le dos, et en tenant le porte-plume incliné e
ue la fatigue survenait, après avoir écrit un ou plusieurs mots, la main et l'avant-bras semblaient cloués au bureau ; u
'une sensation de fatigue, accompagnée d'une roideur spéciale de la main et de l'avant-bras qui ne lui permet pas le moi
dehors; le malade écrivait ainsi quelques mots, puis s'arrêtait, la main ne pouvant plus avancer vers la droite ; il devai
ncer vers la droite ; il devait alors tirer le papier à lui avec la main gauche pour pouvoir continuer l'écriture. Il s'
s troubles; on voit d'abord quelques lettres bien tracées, puis, la main s'engourdissant, les caractères se rapetissent et
. Il est atteint depuis quinze ans d'une crampe des écrivains de la main droite. Il n'a jamais eu de maladie sérieuse. O
suite d'une vive émotion, survenir tout d'abord de la fatigue de la main droite en écri- vant, puis une gêne progressive
ort de volonté remarquable, apprit en quelques jours à écrire de la main gauche ; les premiers essais furent heureux, et t
des livres aussi bien que l'écriture courante furent exécutées de la main gauche. Depuis ainsi quatorze ans, M. Br... n'é
main gauche. Depuis ainsi quatorze ans, M. Br... n'écrit que de la main gauche, et jamais aucun spasme fonctionnel n'es
s aucun spasme fonctionnel n'est survenu de ce côté. Par contre, la main droite, malgré le repos prolongé, n'a jamais pu r
que jadis. Les premières lettres sont correctement tracées, puis la main devient lourde, s'embarrasse phase paralytique
s droit aucune gêne fonctionnelle : c'est ainsi qu'il se rase de la main droite avec beaucoup d'adresse. Toutefois, M. B
inquiet, ayant pu sans difficulté depuis quatorze ans suppléer à la main droite par la ,main gauche. C. Forme TRéMULAN
ns difficulté depuis quatorze ans suppléer à la main droite par la , main gauche. C. Forme TRéMULANTE. Cazenave (33), e
é de crampe des écrivains : c'est un tremblement tout spécial de la main au moment de tracer les lettres ; ce tremblemen
et « consiste en un mouvement alternatif, en sens contraire, de la main droite; les doigts annulaire et auriculaire éta
r le papier, la plume étant tenue par les trois premiers doigts, la main se balance, oscille plus ou moins rapidement de
illatoire. Quelquefois le tremblement, au lieu de se passer dans la main , est produit par des alternatives d'adduction e
s beaucoup et assez rapidement lorsqu'il se trouve seul, et dont la main tremble dès qu'il se sert d'une plume sous les
'observer un malade qui présentait un tremblement très marqué de la main droite, tremblement qui ne se manifestait que p
nt consulter le Dr Voisin en février 1907 pour un tremblement de la main droite qui l'empêche absolument d'écrire depuis
l commence à se montrer si l'on attire l'attention du malade sur sa main droite en lui disant de prendre la position du se
e lorsque M. A... veut jouer du violon ; alors l'archet, tenu de la main droite, est agité de mouvements rapides d'al- l
un son. Par ailleurs , M. A... peut s'habiller, manger, boire de la main droite ; en un mot ne res- sent aucune gêne dan
un mot ne res- sent aucune gêne dans les fonctions multiples de la main droite. Obligé d'abandonner son métier, M. A...
fut pris, après un travail d'écriture prolongé, d'une crampe de la main droite. Il commença à éprouver des fourmillemen
ments et une sensation de froid dans les troispremiers doigts de la main , puis ces trois doigts se fléchirent avec une for
oigts se fléchirent avec une force irrésistible dans la paume de la main , et assez brusquement pour que la plume fût brisé
lques secondes, puis tout rentra dans l'ordre ; il ne resta dans la main qu'un peu d'engourdissement qui ne l'empêcha pa
demande de prendre la plume, on constate une rigidité extrême de la main et de tout le membre supérieur, et le malade peut
nalé précédemment que la crampe des écrivains pou- vait affecter la main gauche. Ces cas sont loin d'être exceptionnels, e
et nous en avons rapporté un exemple (obs. VII). La crampe de la main gauche peut suivre de très près celle de la main
). La crampe de la main gauche peut suivre de très près celle de la main droite, et survenir dès les premières tentative
après le spasme du côté droit. Quoi qu'il en soit, la crampe de la main gauche ne diffère en rien de sa congé- nère du
de crampe des dactylographes, et l'explication est possible, car la main joue un rôle automatique et ne modèle rien, ne su
n jeu de la machine à écrire fait intervenir simultanément les deux mains , et nécessite des contractions musculaires fort d
e se caractérise par l'impossibilité soudaine pour l'une ou l'autre main , ou pour les deux simultanément, de faire agir le
du poignet, qui résiste ainsi aux injonctions motrices ; tantôt la main ou l'un des doigts s'engourdit, devient impossibl
) avait d'abord ressenti de brusques flexions dans les doigts de la main droite qui survenaient au bout de quelques instan
'ailleurs été atteint simulta- nément de crampe des écrivains de la main droite et de la main gauche. La simultanéité de
simulta- nément de crampe des écrivains de la main droite et de la main gauche. La simultanéité de ces crampes montre b
crampe des écrivains à droite, une crampe des dactylographes de la main gauche, et une crampe des pianistes des deux ma
tylographes de la main gauche, et une crampe des pianistes des deux mains . La concomitance de la crampe des écrivains ave
e son point d'appui d'un petit levier, le manipulateur,tenu dans la main droite par l'intermédiaire d'un bouton- La main
lateur,tenu dans la main droite par l'intermédiaire d'un bouton- La main doit donc exécuter une série non interrompue de m
fatigue, une grande liberté d'action des muscles qui fléchissent la main sur l'avant-bras ; les trois premiers doigts co
n millimètre à peine, et que la vitesse imprimée à ce levier'par la main ,de l'employé doit être telle qu'il transmette e
le pouce fut pris à sou tour, puis l'index et le médius ; enlin la main tout entière devint inapte à ce genre de travail.
apparent ; mais, pour être bien fait, il nécessite une rapidité de main , une lixité de regard, une tension d'esprit, et s
ement ce levier en contact avec la lettre que l'on veut écrire ; la main n'exécute donc point pes alternatives d'extensi
- pareil Morse, et chaque lettre ne nécessite qu'un mouvement de la main , au lieu d'exiger une succession de lignes et d
mme, névropathe avérée, eut plus tard une crampe des écrivains delà main droite, puis de la main gauche. ÉTUDE SUR LES C
eut plus tard une crampe des écrivains delà main droite, puis de la main gauche. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES
ou trois doigts subissent en même temps l'inlilbition motrice ; la main droite est plus fréquemment atteinte que la gau
qu'elle doit déployer dans le jeu des morceaux ; cependant les deux mains peu- vent être prises simultanément. Quelquef
depuis 10 ans, avait un spasme du médius droit dès qu'il mettait la main sur le clavier. Savill (198) cite de même une f
crampe des pianistes ac- compagnait une crampe des écrivains de la main droite. Le malade cité par Meige avait à la foi
iolonistes. Crampe des violonistes. , Dans le jeu du violon, la main gauche remplit le rôle de beaucoup le plus fati
rrangé par Liszt, l'étude en ut majeur de ltuhinstein, etc. ». La main gauche est en effet plus souvent atteinte que la
33 ans, neurasthénique, qui avait une contraction des doigts de la main gauche dès qu'il voulait jouer ; la crampe n'ap
atteindre le bras droit, soit isolément, soit en même temps que la main gauche; mais alors c'est une crampe tétanique d
, avait des douleurs très vives dans les trois doigts médians de la main gauche, douleurs qui cessaient quand l'artiste
par une paralysie fonctionnelle d'un ou plusieurs doigts ; les deux mains prenant une part également active dans le jeu d
depuis quelque temps une gène croissante dans les cinq doigts de la main gauche, dès qu'il voulait jouer : le pouce nota
nniers, etc. La crampe siège surtout dans le pouce et l'index de la main droite. Ainsi un cordonnier, cité par Berger, ava
squ'elle voulait coudre, avait une crampe dans les pronateurs de la main , et lorsqu'elle voulait tricoter, dans les extens
sur une plaque de verre, puis avec le bord radial de l'index de la main droite il lissait les épreuves pour obtenir une c
nom de Kei- rospasmus, cette affection consiste en une crampe de la main et des mus- cles des doigts chaque fois que le
rès avoir rasé toute la matinée, et très fati- gué, éprouva dans la main droite un léger tremblement, perçu par un clien
ez un ciseleur, et qu'ils décrivaient ainsi : le sujet tenait de la main gauche son ciseau, et de la main droite son mar
ient ainsi : le sujet tenait de la main gauche son ciseau, et de la main droite son marteau ; chaque fois que la main droi
e son ciseau, et de la main droite son marteau ; chaque fois que la main droite devait s'éten- dre pour frapper sur le c
le spasme s'installe, empêchant de plier les doigts et de fermer la main ; la crampe ne se manifeste d'ailleurs que lorsqu
ait une brusque extension du troisième et du quatrième doigts de la main droite, qui l'empêchait ainsi de bien saisir so
res, qui,sur- mené par ce travail minutieux, avait une crampe de la main droite dès qu'il prenait le pinceau. Stéphan (1
n garçon de restau- rant qui, à force de porter des plateaux sur la main droite en extension et supination, avait une cr
a main droite en extension et supination, avait une crampe de cette main dès qu'il voulait porter une assiette de cette
ière. Un bijoutier, observé par Wilde (156), avait une crampe de la main droite lorsqu'il voulait se mettre au tra- vail
, était pris, lors- qu'il conduisait sa voiture, d'une crampe de la main gauche ; cette crampe ne se manifestait que lor
le malade tenait le volant, mais elle était alors si intense que la main devenait tout à fait impuissante à maintenir la
eux que, en raison de la tré- pidation incessante que subissent les mains sur la roue directrice, des efforts musculaires
e ce panneau ne permet pas de relever en détail la conformation des mains ; la petitesse des pieds apparaît au contraire é
du type facio-scapulo-huméral, avec participation des muscles de la main et des avant-bras. Il présente encore de la défor
uin, malgré la conser- vation des masses musculaires des jambes. La main gauche est très atrophiée, surtout l'éminence t
lade ne peut qu'ébaucher la llexion du poi- gnet, ne peut fermer la main et faire le poing ; l'opposition du pouce est im-
peut plus marcher depuis 2 ans. L'état des membres supérieurs et des mains lui permet encore de faire de petits travaux. L
sont presque impossibles. Il n'y a pas d'atrophie marquée pour les mains , et les avant-bras sont assez bien conservés. L
s bras sont très atrophiés ; il ne peut les mettre sur sa tête. Les mains présentent un certain degré d'atrophie pour l'émi
coup plus atteintes que les bras ; le malade peut encore mettre les mains sur la tête assez facilement. La flexion et l'ext
t n'est pas détachée du tronc ; l'avant-bras est mieux conservé, la main ne présente qu'une légère atrophie de l'éminenc
nar. Les mouvements sont très limités ; le malade ne peut mettre la main sur la tète, ni fléchir l'avant- bras sur le br
est plus marquée pour le bras que pour l'avant-bras. Squelette des mains . - Chez 1\leul...Artlur, qui présente de l'atroph
e cependant des modifications appréciables par comparaison avec une main normale : amincissement des os, surtout marqué
sont atteints, il n'y a pas d'inaction des mâchoires : grâce à ses mains il les fait mouvoir et peut ainsi se servir de
lade se sert journellement de ses mâchoires qu'il mobilise avec ses mains . Nous ne parlons pas, bien entendu, des anky- l
r, il se fléchit à angle droit sur ses cuisses et ses jambes où ses mains prennent point d'appui pour limiter l'action du p
out contact avec le siège, puis il relève le tronc en grimpant de ses mains le long des jambes. Enfin s'il est couché il
les pieds en arrière, rejette le bassin en arrière en appuyant ses mains sur le sol. Il se rapproche ainsi de ses pieds.
21 kil. 900. Au dynamomètre il développe une force de 9 kil. pour la main droite, de 7 kil. pour la main gauche. L'enfa
éveloppe une force de 9 kil. pour la main droite, de 7 kil. pour la main gauche. L'enfant resta quelque temps dans le se
e sous la peau. Les avant-bras sont au contraire bien développés, les mains sont larges et aplaties. , Le relief clavicul
au contraire une légère hypertrophie, mais si on le saisit à pleine main on lui trouve une mollesse caractéristique avec
re. Les avant-bras, arrondis, paraissent d'un volume nor- mal ; les mains sont larges, aplaties ; les doigts sont gros. T
les seuls segments qui puissent encore agir sont l'avant-bras et la main . Il n'y a pas de contractures, de tremblements,
ents athétosi- formes. Le malade écrit mais en traînant un peu la main , en s'appliquant et en mettant surtout beaucoup
une exostose de la partie supérieure du radius. Les doigts de la main sont volumineux, mais il n'y paraît pas d'hypertr
nger de place ses membres inférieurs est obligé de se servir de ses mains . Si l'on tente une mobilisation forcée, on n'obti
mbres inférieurs. Contemporairement les petites articu- lations des mains et des pieds se prirent à leur tour et en plus ;
es présentés par le malade : atteinte des petites articulations des mains , lumbago, douleurs généralisées, posèrent le di
voûté, la taille est petite, les bras paraissent très longs et les mains descendent jusqu'aux genoux comme chez les sing
-ils une légère courbure en dedans au niveau de l'avant-bras. Les mains ne sont,pas plus volumineuses qu'à l'état normal,
pêtrière T. XXII. Pl. XXXIV MALADIE DE PAGET Radiographie de la main . (Pascarolo et Bertolotti), SUR UN CAS D'OSTÉ
, Enfin la radiographie plus intéréssante à étudier est celle de la main gauche (PI. XXXIV), ici on peut constater facil
Les altérations les plus remarquables portent sur les doigts de la main gau- che ; à droite elles sont aussi très nette
auche. En effet le thorax, les épaules, les bras, les jambes et les mains sont nettement plus altérés du côté gauche ; le
rou- bles ont débuté par les petites articulations des pieds et des mains , si bien que dans les premiers temps, il avait
raire,ont été frappés par l'intégrité des petites articulations des mains . Il suffit de regarder un peu de près la radiog
mains. Il suffit de regarder un peu de près la radiographie de la main gauche de (1) Dans l'intéressante observation d
malade chez lequel se développa peu à peu une contracture des deux mains , laquelle ne frappa qu'un doigt de chaque côté.
XXV), on voit un trait tendu venant du doigt droit à la paume de la main . Le malade a souffert auparavant d'obsessions.
r arme à feu du nerf cubital droit avec l'atrophie musculaire de la main droite et la contracture de trois derniers doig
stion. Pour le moment nous observons un malade avec six doigts à la main dont la mère étant enceinte a vu une mendiante
cularités. Si l'apparition de la contracture chez notre malade à la main droite peut être expliquée par l'hérédité ou par
conséquent il faut faire la supposition que l'état du centre de la main droite influence le centre trophique de la main g
tat du centre de la main droite influence le centre trophique de la main gauche et peut y faire naître le môme phénomène
petit calibre il s'est blessé par imprudence au bord externe de la main . La douleur du coup disparut au bout d'un quart
ion phalango-phalangienne, l'autre au dernier pli de la paume de la main . Ces gonflements devinrent plus durs et plus gr
é que le doigt se poussa à angle droit par rapport à la paume de la main ce qui embarrassait les mouvements de la main,
port à la paume de la main ce qui embarrassait les mouvements de la main , et pour cela on résolut de faire une opération.
la deuxième phalange et prolongea jusqu'au milieu de la paume de la main . Le redressement du doigt ne fut possible qu'ap
be de la solution à 10 pour cent dans l'infiltrat et la paume de la main . Dans l'autre cas,il obtint l'amélioration après
L'appareil cutané présente les modifications suivantes : la peau des mains est pâle, lisse, luisante, glabre ; les ongles
ysthyroïdie. La peau lisse et glabre 282 RAMADIER ET MARCHAND des mains , les sillons longitudinaux des ongles qui sont ca
rémité supérieure droite et par l'atrophie des petits muscles de la main . Après divers traitements demeurés sans résultat,
uence d'un moment psychique, de l'atrophie des petits muscles de la main , atrophie qui rappelle d'une manière surprenante
ous le verrons par Meige comme procédé curateur, fatiguant moins la main , permettra souvent d'éviter le spasme fonctionnel
nous avons cité ce malade, atteint delà crampe des écrivains de la main droite, qui, malgré la cessation de toute écrit
de la main droite, qui, malgré la cessation de toute écriture de la main droite depuis quatorze ans, voit encore apparaî
depuis quatorze ans, voit encore apparaître ses troubles dès que la main droite veut tra- cer quelques mots (observ. XV)
eulement pour but de procurer aux articulations des doigts et de la main de meilleurs-points d'appui, mais ils transformen
te de la plume est sous- traite à certains muscles, et confiée à la main entière. Les appareils qui permettent à la main
es, et confiée à la main entière. Les appareils qui permettent à la main de conduire la plume sans que les doigts soient
azenave, Martin, Collin), et ceux qui maintiennent l'attitude de la main (Velpeau, Mathieu, Cazenave, Duchenne). Velpeau
ppareil qui per- met d'écrire en saisissant le porte-plume à pleine main et en faisant exécuter, non plus par les doigts
main et en faisant exécuter, non plus par les doigts ni même par la main ou le poignet, mais bien par l'avant-bras, les
neuse pelote, qui prend assez exactement le moule de la paume de la main , et qui permet ainsi de faire agir indirectemen
nt à ces deux desiderata : 1° immobiliser les doigts et donner à la main une nouvelle synergie musculaire ; 2° la nouvelle
; 2° la nouvelle position de l'écriture, la tenue musculaire de la main sont tout autres ». On pourra donc, à défaut du
e à ap- prendre l'emploi de la machine à écrire ou l'écriture de la main gauche. Ces appareils restent un moyen de trait
e sous toutes ses formes ; elle est loin d'avoir donné, même en des mains exercées, des résultais constants. Ce n'est pas
eurages lon- gitudinaux et circulaires de tous les extenseurs de la main , puis des pres- sions circulaires superficielle
rateur, âgé de 34 ans, qui depuis sept mois avait re- marqué que sa main ne supportait guère la plume quand il écrivait, q
pouce se contractait spasmodiquement, l'index devenait raide, et la main s'ouvrait rythmiquement et chroniquement, de so
au commencement, deux fois par semaine et ensuite une fois, que sa main était « engourdie » et qu'elle pouvait très bie
éfendu de faire le moindre essai d'écriture spontanée. Au réveil sa main était laissée- légèrement engourdie. Il faut ajou
avant-bras du patient reposant sur une table, de telle sorte que sa main reste dans le vide en pronation, l'autre extrém
nq mouvements d'extension. b) Le sujet tenant le bras tendu et la main en pronation, une petite balle de caoutchouc cr
s doigts. Le malade projette la balle en l'air et la saisit avec la main . Renouvelant l'exercice, il laisse retomber la
en l'air, on la laisse tom- ber deux ou trois fois sur le dos de la main , et finalement on la saisit avec la main. d)
rois fois sur le dos de la main, et finalement on la saisit avec la main . d) Le même exercice est répété avec une canne
t répété avec une canne couchée transversa- lement sur le dos de la main puis projetée en l'air, et enfin saisie au vol.
rampe des écrivains. 304 MACÉ DE LÉPINAY étant en extension et la main dans l'attitude de la pronation, la canne est t
s tendu. Puis il fait tourner la canne autour du bord cubital de la main de telle façon qu'elle se trouve placée sur le
'une plume de ronde. Ces dispositions prises, le malade écrira la main renversée. Tandis que les quatre derniers doigt
uite. Le patient s'habitue en peu de temps à cette écriture avec la main renversée. On lui recommande alors de s'exerc
i- naire, et quand le sujet est parvenu à écrire facilement avec la main renversée^ on lui fait répéter les mêmes essais
vec la main renversée^ on lui fait répéter les mêmes essais avec la main en position normale. Les figures 10 et 11 montr
mande même de s'exercer à jouer avec la face dorsale des doigts, la main étant renversée en supination : c'est un exerci
les touches sont étroites, et faciles à enfoncer ; l'effort que la main doit accomplir est ainsi très réduit, et peu à pe
n piano ordinaire. . Pour la crampe des violonistes, comme c'est la main gauche qui d'habitude est le siège du spasme et
qui d'habitude est le siège du spasme et des douleurs, c'est cette main qu'il faudra rééduquer par un entraînement prog
faudra rééduquer par un entraînement progressif; les muscles de la main seront donc tour à tour exercés par une gymnastiq
que temps de cet entraînement, le violon remplacera la canne, et la main gauche exécutera d'abord seule des morceaux de pl
ra d'abord seule des morceaux de plus en plus difficiles ; enfin la main droite reprenant à son tour l'archet, le jeu du
le. L'avant-bras doit rester libre et toucher à peine la table ; la main ne repose que sur la surface unguéale du petit
igt, qui est replié avec l'annulaire vers la surface palmaire de la main : c'est donc « une espèce de gymnatique de l'écri
e fois arriver à chanter correctement, de même une personne dont la main tremble en écrivant de petits caractères, sera
écialité, et dans les lignes plus ou moins longues qu'ils tracent à main levée on ne remarque aucun indice de tremblemen
: Le malade s'assied devant une feuille de papier double, et chaque main s'arme d'un porte-plume ; la main droite se met
uille de papier double, et chaque main s'arme d'un porte-plume ; la main droite se met alors à écrire de gauche à droite
tracer les lettres avec une certaine lenteur ; pendant ce temps la main gauche écrit de droite à gauche, en faisant tou
e, en faisant tous les mouvements symétriques, mais inverses, de la main droite; celle écriture de la main gauche, vue d
symétriques, mais inverses, de la main droite; celle écriture de la main gauche, vue dans un miroir, ou lue à Fw, 12. -
s la feuille de papier par transparence, reproduit l'écriture de la main droite ; en somme la feuille d'écriture gauche es
re droite (voir fig. 12). Pendant que le sujet écrit ainsi des deux mains , son attention se trouve éparpillée sur les deu
idents. Il y faut joindre une véritable réédu- cation motrice de la main droite, et Meige propose de la pratiquer en fai
S 311 e) Enfin l'écriture sera droite. Elle exige en effet « que la main s'in- cline en dedans, tandis que dans l'écritu
ine en dedans, tandis que dans l'écriture penchée, au contraire, la main se dévie en dehors ; la première position est inf
perçut qu'après avoir écrit plusieurs pa- ges, il éprouvait dans la main droite une sorte de gêne, de raideur, qui ren-
s de l'écriture, il n'éprouve aucune gêne dans les mouvements de la main , quels que soient les actes qu'il exécute. Ce t
t quelques sensations pares- thésiques dans l'avant-bras et dans la main , notamment dans le pouce et l'index ; mais jama
'une ligne par jour. Au bout d'un mois, s'exercer à écrire des deux mains , simultanément, la main gauche écrivant en miro
out d'un mois, s'exercer à écrire des deux mains, simultanément, la main gauche écrivant en miroir. Le malade s'est astr
une série d'exercices courts et espacés, à diriger correctement sa main et à redevenir maître de la souplesse de ses mo
la soumission souscrite d'avance. » La psychothérapie, entre les mains de Janet, de Dubois (de Berne), de Grasset, a f
Münch. med. Woch., 1905. n" 27, p. 1278. 15. BLUM. Chirurgie de la main , Paris, 1882. 16. BONNET, - Elude critique sur
'D. Klin., 1905, p. 1057. 33. Cazenave De quelques infirmités de la main droite qui s'opposent à l'action d'écrire. Gaz.
action d'écrire. Gaz. méd., 1835. - Sur quelques infirmités de la main droite (crampe des écrivains) qui s'opposent à
. - 214. CAZENAVE. Observations de tremblements oscillatoires de la main droite guéri ' ou palliés avec ou sans le secou
s avec ou sans le secours d'une machine orthopédique appelée porte- main . Gaz. méd. Paris, 1872. 215. DAl\ION. Crampe de
stinés à prévenir la production de spasmes pendant l'exercice de la main el spécialement la crampe des écrivains.' Bull.
sénateurs sont déjà assemblés. Son pas est lourd et incertain. Ses mains , pâles et osseuses, tâtent l'air, pour mieux se
qui dure quelques minutes, le malade s'efforce de maintenir avec sa main gauche son membre convulsé. Après la crise, per
téro-latérales du cou, de la face postérieure des avant-bras et des mains et sur les divers points où une révulsion cutanée
menus, rapides, rythmiques, inin- terrompus et de tremblements. La main gauche présente une accentuation plus marquée d
ez prononcés se manifestent du côté du mem- bre supérieur droit. La main est froide, elle a une teinte violacée ; il exist
roite est complète. Le membre supérieur droit est contrac- ture, la main est en griffe, les réflexes sont exagérés. Il exi
ive souvent de ne pas compter exactement le nombre des doigts de la main qu'on lui présente; elle en voit presque toujou
r. Cependant, le lendemain, elle a pu se tenir debout. Le surlende- main il y avait une paralysie complète des membres inf
l y aune paralysie des deux membres inférieurs et une parésie de la main droite. Elle ne peut se tenir assise dans le li
s la nuque; il s'est senti abattu, mais est resté debout. Le lende- main il s'est senti plus malade et s'est mis au lit; i
fit de frôler avec le drap ou de saisir légèrement la jambe avec la main pour provoquer de fortes contrac- tions de la m
pe abdominal. En conséquence, si l'on provoque, en irritant avec la main la paroi abdominale, un état de con- tracture d
; son torse s'est développé depuis cette époque ; mais surtout ses mains sont devenues plus volumineuses, larges et asse
0 m. 93. La circonférence des membres paraît partout normale. Les mains sont volumineuses, par comparaison surtout avec l
s transversal, et en forme de Lente. Les pieds sont à l'avenant des mains : épais, larges) ils ont 0 m. 295 de Ion- 444 T
a bien quelque chose de l'acromégale : il a de la cyphose, il a aux mains et aux pieds une ébauche de ce que sont les doi
sont les doigts des acromégales, on voit sur la radiographie de ses mains que les métacarpiens et les phalanges sont élar
n au développement prononcé de la portion inférieure du visage. Les mains et les pieds sont très grands, mais leurs dimensi
tés supérieures sont bien propor- tionnées dans leurs parties ; les mains très grandes en comparaison d'une main normale,
nées dans leurs parties ; les mains très grandes en comparaison d'une main normale,ne le sont pas, comparées aux autres pa
est plus en disproportion en comparaison à la jambe de ce qu'est la main comparée au bras. Le talon antérieur du pied es
moins accrus proportionnellement que les segments distaux.. d) La main et le pied sont un peu moins accrus que le segmen
ique, il est tout de même entaché d'acromégalie. Ses pieds et ses mains ne sont pas énormes, relativement à sa grande t
e surtout au visage et aux extrémités inférieures. Les doigts des mains sont conformés « en baguette de tambour » et cet
ssin très marqué du ressaut post-fambdoïdien. La radiographie de la main est intéressante; elle nous montre que l'accrois-
t propor- tionnellement diminué. Les dernières phalanges des deux mains montrent des diaphyses très allongées et minces
rophiques en correspondance des petits doigts. Au doigt moyen de la main gauche on voit, du côté ex- terne de la dernièr
rès évidents d'atrophie des dernières pha- langes des doigts et des mains et en même temps nous voyons la présence d'osté
omé- galie chez une jeune fille de t4 ans ; chez cette fillette les mains présentaient les déformations typiques de l'acr
u bras. La topographie correspond exactement à l'avant-bras et à la main au terri- toire de la 7e racine cervicale ; de
onge le bord interne, il vient mourir au ni- veau de la paume de la main entre son axe médian et l'éminence thénar. Au n
s, le hord interne de l'avant-bras ; il se termine sur le dos de la main dont il occupe la moitié interne, nettement lim
ns, les articulations du genou, du cou-de-pied ainsi que celles des mains étaient tuméfiées. Pendant deux mois, il fut inca
prouver de temps eu temps des douleurs dans les articulations de la main et à l'omoplate gauche. Déjà depuis six ans son
rs 1905 il s'aperçut un matin qu'il ne pouvait plus se servir de sa main droite : il n'avait pas trop bu la veille et n'av
Sarbo et de Biernacki.Les testicules fortement comprimés entre les mains restaient indolores. Il existait une hypotonie
n) sur la face dorsale aussi bien que sur la face palmaire des deux mains . Cette diminution de la sensibilité avait, pour l
radiocarpienne et était un peu plus accentuée du côté cubital de la main , où, à droite, elle montait un peu au-dessus de
chaud et le froid ainsi que pour les vibrations du diapason. A la main , partout hypoesthésie aux diverses formes très ac
s très accentuées ; zones d'anesthésie sur le côté cubital des deux mains . Sur la face antérieure de la main droite, les
ie sur le côté cubital des deux mains. Sur la face antérieure de la main droite, les sensations thermiques ne sont presque
ion et de supination sont exécutés parfaitement, ainsi que ceux de la main . L'humérus droit est épaissi et il présente une
eur structure. Rien de notable aux os ni dans les articulations des mains et des pieds. La réaction de Wassermann pour la
pris les côtes, paraissent augmentés de volume à la palpation ; les mains et les pieds sont respectés. Il y a hypotrophie
tBortolotti les lésions furent notées aux os dans les phalanges des mains et des pieds. 532 RAVENNA Dans mon cas le sym
ment limitées. Alors que le squelette du visage ainsi que celui des mains et des pieds est respecté, on peut dire que tou
mégalie ce sont surtout les parties molles et les os du visage, des mains et des pieds, qui sont symétriquement augmentées
très accusé. Il n'existe pas de tremblement sensible au niveau des mains , mais la langue est animée d'un tremblement fib
on lui ordonne d'accomplir. Il fait le salut militaire, il tend les mains avec une raideur carac- téristique. Quand on lu
t il est incapable d'en donner le uom, mais si on lui met entre les mains une boîte d'allumettes il sait parfaitement l'o
té sans effet ; ensuite de grandes scybales ont été tirées avec les mains du rectum. Vers le soir la cyanose a encore aug
u dans la région du coeur. Faisant pendant au poignard, on voit une main qui tient un bouquet de fleurs dans la moitié d
, ses seins sont nus, une fleur est pi- quée dans ses cheveux et sa main tient un éventail. Sur la région deltoïdienne,
, rien ne compte que l'action, et par action, j'entends l'attaque à main armée, le cambriolage, le vol, les attentats co
ai déjà signalé plus haut. Sur la région épigastrique, on voit deux mains unies dont l'une porto un bracelet. Une femme d
e de l'animal au moment où on le saigne, recueille le sang dans ses mains réunies, le boit chaud et s'en barbouille la fa
Eclairez-moi toujours, ô lumière des yeux 1 Je suis pauvre et ses mains semblent des camaïeux : Je vais prendre ses mai
uis pauvre et ses mains semblent des camaïeux : Je vais prendre ses mains . Elle dort... Le temps coule, Et mon coeur éper
ante ait choisi pour me teudre Fiancée aux yeux noirs sa caressante main ! Plus longtemps que demain, me faudra-t-il att
droite avec contracture, l'avant-bras étant fléchi sur le bras, la main sur le poignet et les deux derniers doigts dans l
main sur le poignet et les deux derniers doigts dans la paume de la main . A droite tous les réflexes étaient exagérés et l
'enfant s'est mis à fléchir l'avant-bras sur le bras et à porter la main en avant, sur le ventre. Le petit malade ne cherc
a station debout, l'enfant se porte surtout sur la jambe gauche. La main droite est froide et cyanosée. Le voile du pa
résenter rien d'anormal. Il était gaucher, mais il écrivait avec la main droite. La maladie actuelle date du mois de jui
ne peut plus rester assis dans son lit, même en s'appuyant sur ses mains . 25. - L'intelligence du malade est meilleure,
opposant. Aux membres supérieurs, l'atrophie est plus intense à la main , dont les émi- nences thénar et hypothénar sont
en ; circonférence : D : 20 centimètres 5 ; G : 22 centimètres. A mains étendues, le membre supérieur droit se fatigue pl
aux troubles moteurs s'est développée une atrophie des muscles des mains , qui est maintenant assez notable. A l'examen f
sont complètement disparus. En outre une appréciable atrophie de la main droite vient de commencer avec une légère dimin
muscles les plus périphériques, surtout les muscles iuterosseux des mains et les muscles de la flexion dorsale des pieds
leur est normal ; quant aux sens de température il ne peut, ni aux mains , ni aux pieds, faire la distinction entre des t
dant le même temps il a éprouvé des sensations de fourmillement aux mains et une faiblesse des mains. La paralysie a cont
ouvé des sensations de fourmillement aux mains et une faiblesse des mains . La paralysie a continué à augmenter pendant le
Il y a une parésie très marquée pour les mouvements des doigts et des mains . Pour les mouvements des épaules la force est d
e, surtout pour les muscles des jambes. Aux muscles interosseux des mains on ne peut obtenir aucune contraction. Etat le
orsal si l'on fait fléchir un peu les genonx et si l'on tient avec la main la cuisse fixe, il ne peut soulever le pied ; c
certaine force, mais montrent toutefois une parésie marquée. Les mains ont l'aspect caractéristique de la griffe, c'est-
e position telle qu'il n'est pas besoin de supporter le poids de la main . Il n'y a qu'un mou- vement possible des mains
porter le poids de la main. Il n'y a qu'un mou- vement possible des mains et des doigts, c'est un certain degré de flexion.
, le tronc, les membres inférieurs, ainsi que les avant-bras et les mains sont de dimensions et de conformation tout à fait
ar ses membres supérieurs trop longs quoique courts et l'absence de main en trident. Contrairement aux cas qu i nous occ
erveuses se plaignant de maux de tête, de vertige, de tremblement des mains et de faiblesse générale (10 octobre 1908). Les
ations notables se manifestent aussi dans deux os du carpe des deux mains . Ces deux os se montrent bien plus courts que les
s os du carpe voisins. La longueur du 4e et du 5e os du carpe de la main droite mesure 3 et 3 cm. 5, tandis que celle des
ure 3 et 3 cm. 5, tandis que celle des os correspondants de l'autre main est de 5 cm. 5 et de 6 centimètres. La longueur
5 et de 6 centimètres. La longueur du 2e et du 3e os du carpe de la main gauche est de 3 cm. 5 et 4 centimètres, tandis
e la main gauche est de 3 cm. 5 et 4 centimètres, tandis que sur la main droite elle est égale pour les mêmes osselets à 6
es, si l'homme a été façonné par la nature et n'est pas sorti de la main des dieux, on est invinciblement amené à penser
u supplicié se trouvant étendu obliquement sur le côté du tronc, la main à 25 centimètres en dehors de la hanche, je gra
nt-bras sur le bras, véritable mouvement de défense qui projette la main du côté de la poitrine jusqu'au creux de l'esto
é à l'automatisme dont elle prend connaissance sans le modifier. La main pare un coup avant qu'on ait eu le temps de réf
des choses que l'on prétend connaître. On se figure qu'il faut une main toute puissante pour animer cette matière inanimé
aux animaux, c'est entendu. Il parle, il pos- sède deux pieds, deux mains , il en diffère assurément par beaucoup de carac
aut la chercher plus haut et plus loin. Pour la saisir l'esprit hu- main doit s'élever beaucoup et, par la pensée, condens
13 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
re bien éclairée, le chirur-gien s'empare de la seringue, tenue de la main droite entre le pouce et le médius appliqués sur
our toutes les opérations des yeux, la seringue doit être tenue de la main gauche pour l'œil droit et de la main droite pour
seringue doit être tenue de la main gauche pour l'œil droit et de la main droite pour l'œil gauche. Toutefois cette opérati
sur les deux yeux et sur les deux paupières, la seringue tenue de la main droite. Le doigt indicateur de la main qui est li
ières, la seringue tenue de la main droite. Le doigt indicateur de la main qui est libre déprime la peau en regard du tuberc
par les deux derniers doigts, au-dessous de l'arcade sourcilière, la main qui tient la seringue, insinuer le tube capillair
crymal supérieur. Relever la pau-pière supérieure avec le pouce de la main qui est. libre, les doigts appuyés sur le front.
es doigts appuyés sur le front. Offrir obliquement le bec du tube, la main qui opère appuyée par les deux derniers doigts au
pres-crivent de prendre une position différente pour agir d'une seule main des deux côtés ; nous trouvons plus commode de ch
seule main des deux côtés ; nous trouvons plus commode de changer de main en conservant la même position, l'habitude rendan
l'habitude rendant ce cathétérisme aussi facile et aussi prompt de la main gauche que de la main droite. Le malade assis,
cathétérisme aussi facile et aussi prompt de la main gauche que de la main droite. Le malade assis, la tête un peu relevée
strument tenu comme une plume à écrire (pl. 3, fig. 3, n° 1 ), par la main de l'opérateur opposée à la narine du malade, est
is en face du jour la tête appuyée sur la poi-trine d'un aide dont la main , qui correspond au côté inverse de l'opération, p
stouri cannelé (pl. 2, fig. 16) tenu, comme une plume à écrire, de la main droite pour l'œil gauche et vice versa, le point
ig. i, b.), le chirur-gienapplique la pulpe du doigt indicateur de la main qui est libre au bas de l'angle interne, pour rec
peut-être des succès aussi nombreux que la canule à demeure entre les mains du grand chirurgien de l'Hôtel-Dieu. Cepen-dant s
nant en arrière pour laisser un orifice à l'angle interne, de l'autre main , armée du mandrin qui porte la canule, en faire g
tant en position , presser, avec l'extrémité un-guéale du pouce de la main qui est libre, en arrière du tubercule lacrymal,
deux tiers de la paupière ; l'incision doit se faire également de la main droite sur l'une ou l'autre paupière, ou l'un et
é ordinaire (fig. 11 et 12). Saisir entre le médius et le pouce de la main gauche, ou mieux entre les mors d'une pince plate
gien , qui domine son malade et trouve mieux à appuyer le coude de la main qui agit. Cette position face à face de son malad
n de ses aides. M. Malgaigne, qui ne veut pas que l'on se serve de la main gauche, recommande en précepte général cette posi
mmande en précepte général cette posi-tion pour opérer toujours de la main droite sur l'œil droit; mais cet avis n'est point
aide , la paupière inférieure abaissée par les mêmes doigts d'une des mains de l'opérateur. Tout étant disposé, saisir l'ai-g
e une plume à écrire entre le pouce et les deux premiers doigts de la main qui opère; prendre un point d'appui sur la pommet
aides étant prises comme il a été dit pour la sclé-ratonyxis, avec la main droite, pour l'un ou l'autre œil, saisir l'aiguil
une plume à écrire et sa tige soutenue par le doigt indicateur de la main gauche ; en offrir la pointe perpendiculairement
l. Saisir le couteau de Richter entre les trois premiers doigts de la main qui opère, et tenu horizontalement comme une plum
e douceur la pau-pière supérieure, ou mieux la relever soi-même de la main qui est libre, soit avec le pouce seul, soit avec
e paupière, le pouce en bas, l'indicateur en haut. Saisir alors de la main qui opère le kystitome tenu comme une plume à écr
lin (fig. 4 et 5). En même temps, avec le doigt indicateur de l'autre main , presser légèrement sur la paupière inférieure, c
ment dangereuse sur le vivant ; elle a pu réussir fréquemment sous la main exercée de son auteur; mais, loin de faire règle,
is-à-vis de son malade, l'in-strument tenu le tranchant en haut, delà main droite pour l'œil gauche et vice versa. Toutefois
est placé derrière la tête du malade, soulevant avec les doigts de la main qui est libre la pau-pière supérieure, tandis qu'
l'opéré , abaisse la paupière inférieure. L'instrument est tenu de la main droite pour l'œil droit, et vice versa, le tranch
pa r un aide tandis qu'on abaisse l'inférieure avec les doigts de la main qui reste libre; saisir de l'autre main le kéra
ieure avec les doigts de la main qui reste libre; saisir de l'autre main le kératotome à double lance comme une plume à éc
e ces nouvelles connaissances naît la méthode de Y excision entre les mains de Wenzel en 1780. L'excision de l'iris obtient b
on à la pression déterminée par l'instrument: on opère à droite de la main droite, et vice versa, en tenant le bouchon de l'
ite de la main droite, et vice versa, en tenant le bouchon de l'autre main . L'emporte-pièce est une tige d'acier d'un millim
nde, si ce sont des vers. Ce dernier moyen a réussi une fois dans les mains de M. H. Bérard. Si toutes ces tentatives ont été
duit auditif. Alors attirer le pavillon en haut et en arrière avec la main gauche, saisir de la main droite une curette (pl.
r le pavillon en haut et en arrière avec la main gauche, saisir de la main droite une curette (pl. i3, fig. 6), la glisser l
ercevoir autant que possible le fond du conduit auditif, saisir de la main droite un petit trocart courbe dont la pointe ne
). Voici la description de son procédé. Saisir l'instrument avec la main droite, comme une plume à écrire, la pointedela s
des points tracés sur le manche. Fixer ensuite avec les doigts de la main gauche le manche, auquel fait suite la tige, et,
auche le manche, auquel fait suite la tige, et, avec les doigts de la main droite, faire exécuter à la canule seule un mouve
maintenue en arrière par des aides. Tout étant disposé, saisir de la main droite la sonde, huilée préalablement et tenue co
ce dans lequel on fait glisser le bec de l'instrument tenu de l'autre main . Dilatation. On l'opère par le séjour à demeure
enue par un aide, le chirurgien , avec le pouce et l'indicateur de la main gauche, écarte la narine, et insinue par l'orific
une noix. Pour le pratiquer, introduire le doigt indicateur de chaque main , l'un par la narine antérieure, l'autre par la n
s en face d'une fenêtre, la tête fixée sur la poitrine d'un aide, les mains contenues par un autre aide, qui les aban-donne d
tant disposé, écarter les narines avec le pouce et l'indicateur de la main gauche et y introduire les tenettes fermées; puis
e traction en fixant près de leur articulation, avec les doigts de la main gauche, les branches tenues par les doigts de la
es doigts de la main gauche, les branches tenues par les doigts de la main droite, mode opé-ratoire qui est surtout utile po
proportionnée à celle de la tumeur à saisir. L'instrument tenu de la main droite, le doigt indicateur gauche sert à-la-fois
eler vers le pha-rynx à chaque tentative manquée. Tirer ensuite d'une main les chefs de la ligature restés dans les fosses n
ales et, en suivant l'ascension de l'anse avec deux doigts de l'autre main portés dans Il OPÉRATIONS la bouche, la maint
enu inutile. Les trois fils pendant au dehors, en tirant dessus d'une main on remonte l'anse qu'ils forment à l'autre bout,
mouvement s'effectue, il s'agit, avec le doigt indicateur de l'autre main , de guider en arrière et au-dessus du voile du pa
l soulève et tire en avant tandis que le chirurgien, saisissant de la main gauche la commissure correspondante, commence son
re l'introduction du doigt, on y substituerait un gorgeret : alors la main droite armée d'une paire de ciseaux plats et très
our, la tête appuyée en arrière contre la poitrine d'un aide dont les mains embrassent les deux côtés de la mâchoire de maniè
uneairigne ( Roux), ou simplement avec le pouce et l'indicateur de la main gauche. Ce procédé vaut mieux que l'anse de fil p
des chairs comme l'a conseillé Kœnig. Le bord labial étant saisi : la main droite armée de fort ciseaux à bec-de-lièvre, eng
eau l'angle gauche de la division avec le pouce et l'indicateur de la main gauche, et de la droite porter la pointe d'une pr
ément. Il suffit de la pousser transversalement avec les doigts de la main droite pendant que ceux de la main gauche maintie
sversalement avec les doigts de la main droite pendant que ceux de la main gauche maintiennent les deux bords de la plaie af
ebout en face du malade, saisir l'angle labial entre les doigts de la main gauche pour le côté gauche, et vice versa, le ten
auche, et vice versa, le tendre et le renverser en dehors, puis de la main restée libre introduire par la fistule le stylet
urel lui-même, en remontant vers le masseter. Pendant que manœuvre la main qui tient l'instrument, la main droite pour le cô
le masseter. Pendant que manœuvre la main qui tient l'instrument, la main droite pour le côté gauche ou la main gauche pour
main qui tient l'instrument, la main droite pour le côté gauche ou la main gauche pour le côté droit, on guide la pointe du
côté droit, on guide la pointe du trocart avec deux doigts de l'autre main introduits dans la bouche, et entre lesquels cett
le chirurgien sou-lève la langue entre le pouce et l'indicateur de la main gauche , la paume de la main tournée en haut :
e entre le pouce et l'indicateur de la main gauche , la paume de la main tournée en haut : et alors, si l'enfant est docil
ant est docile, le frein de la langue se trouvant bien tendu, avec la main droite armée de ciseaux mousses, courbes sur le p
té sain de la langue étant saisi entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, le poignet abaissé, si la langue est tenu
le bord gauche, afin de pou-voir toujours pratiquer la section de la main droite : par une première section nette, diviser
chirurgien placé en face saisit, avec la pince à anneaux tenue de la main gauche, la lèvre droite de la division, et de la
aux tenue de la main gauche, la lèvre droite de la division, et de la main droite qui tient le porte-aiguille tout armé, int
il le procédé original de staphyloraphie, celui de tous qui, dans les mains de son auteur, a été le plus employé. Toutefois,
is. Pour la manœuvre, le bord gauche de la division étant saisi de la main gauche avec la pince denticulée, de la main droit
ivision étant saisi de la main gauche avec la pince denticulée, de la main droite, il porte la pince à pansemens , armée de
eux étant saisi de nouveau avec la pince à dents de souris soit de la main gauche soit de la main droite, l'emploi du bistou
eau avec la pince à dents de souris soit de la main gauche soit de la main droite, l'emploi du bistouri exigeant que le chir
cipe chi-rurgical si sage de n'agir, autant qu'on le peut, qu'avec la main , on doit reconnaître néanmoins qu'il est des cas
et avantage de rendre en apparence l'opé-ration plus facile, pour une main inexpérimentée, il à, comme tous les mécanismes s
main inexpérimentée, il à, comme tous les mécanismes substitués à la main , l'inconvénient de n'agir que d'une manière déter
-ment la déprime lui-même avec le doigt indicateur gauche, puis de la main droite, armée de l'airigne double de Museux (Dupu
er la tumeur de l'artère carotide. L'airigne, passant ensuite dans la main gauche, de la droite le chirurgien saisit le bist
leur instrument. Procédé de M. Velpeau. L'instrument est tenu de la main droite par son manche, tandis que trois doigts de
tenu de la main droite par son manche, tandis que trois doigts de la main gauche, l'indicateur et le médius passés dans les
bouche et maintenir les arcades dentaires écartées, pendant que d'une main on insinue doucement et on fait descendre la sond
ucement et on fait descendre la sonde, le doigt indicateur de l'autre main , introduit par la bouche, applique le bec de l'in
i dirige en outre le bec de l'instrument, on introduit la sonde de la main droite, et, dès qu'elle est parvenue dans le lary
complète par une pression méthodique exercée à-la-fois, avec les deux mains aplat, de chaque côté du thorax. La première resp
il serait forcé de le faire s'il était placé à gauche, agissant de la main droite. Tout étant disposé, le larynx embrassé av
. Tout étant disposé, le larynx embrassé avec les doigts ao de la main gauche qui le contiennent sans le comprimer, armé
nent sans le comprimer, armé du bistouri droit ou convexe, tenu de la main droite en première position, pratiquer sur la lig
r la ligne médiane , est préférable. L'instrument étant conduit de la main droite , couché un peu obliquement, le tranchant
é dessus , on s'en sert comme d'un conducteur pour glisser de l'autre main les pinces qui doivent le saisir. L'o-pération te
. Le malade étant assis, la tête renversée en arrière, saisir dans la main , comme une plume à écrire, l'extrémité de la son
nasales jusque dans l'arrière - bouche. Prenant alors la sonde de la main gauche et faisant largement ouvrir la bouche au m
cbouter dans la paroi postérieure et le dirige en bas, pendant que la main gau-che, à l'extérieur, continue de faire filer l
e ; puis, se servant de ce doigt comme d'un conducteur, insinue de la main droite l'extrémité de la sonde qui glisse d'elle-
ord libre le chef du iil laissé dans la bouche; puis, en tirant d'une main sur le chef nasal, retour-nant en arrière et guid
main sur le chef nasal, retour-nant en arrière et guidant de l'autre main le bout libre de la sonde, on lui fait franchir d
rigueur, le même, s'il est habile, peut suf-fire pour comprimer d'une main , réservant l'autre pour appliquer les doigts sur
tiquer la section cutanée, tout étant disposé , le chi-rurgien, de la main gauche, soulève le sein, tend la peau sous la tum
pour la réunion après l'opération. Saisissant alors la tumeur de la main gauche, et au besoin, si elle est d'un trop grand
vaisseaux, en même temps qu'un autre aide, concourant au besoin d'une main à soulever et gouverner la tumeur, de l'autre , a
alade , le chi-rurgien reconnaît, en palpant avec les doigts des deux mains , l'espace intercostal et le point sur lequel il
uis, ten-dant la peau avec le pouce , l'indicateur et le médius de la main gauche, de la droite, armé d'un bistouri ordinair
quer la ponction, le chirurgien tendant les tégumens avec force de la main gauche, entre le pouce d'une part, et de l'au-tre
l'indicateur et le médius, enfonce brusquement le trocart tenu de la main droite, en affleurant la côte inférieure, pour év
és du côté opposé au chirurgien, refoulent l'abdomen du plat des deux mains pour augmenter la tension du liquide dans le poin
art; il tient le manche appuyé par son extrémité contre la paume delà main droite, tandis que le pouce et les trois derniers
teur alors, saisissant la canule entre le pouce et l'indicateur de la main droite, retire le manclie avec les mêmes doigts d
de la main droite, retire le manclie avec les mêmes doigts de l'autre main ; la sérosité s'écoule immédiatement. Lorsque la
anule, la saisit par son pavillon avec le pouce et l'indicateur de la main gauche; des mêmes doigts de l'autre main, il appu
pouce et l'indicateur de la main gauche; des mêmes doigts de l'autre main , il appuie légèrement pour faire opposition des d
e étant placé dans la situation ordinaire, l'opérateur, avec ses deux mains et en se faisant aider par un aide, rassemble, au
es en un pli vertical et légèrement oblique, dont il main-tient de la main gauche l'extrémité supérieure, tandis cpie l'infé
upérieure, tandis cpie l'infé-rieure est fixée par l'aide; puis de sa main droite armée du trocart courbe, dont l'indicateur
s d'huile d'olives ou d'une solution mucilagineuse, pendant que d'une main le chirurgien abaisse la masse viscérale pour dég
ager l'orifice de la plaie, avec les trois premiers doigts de l'autre main il essaie de faire rentrer peu-à-peu les anses in
our l'empêcher de sortir de nouveau, tandis que les doigts de l'autre main recommencent la même manoeuvre pour réd uire une
ien, connue nous l'avons dit plus haut, abaisse avec les doigts de la main gauche, vers l'angle inférieur de la plaie, la
encore un peu de passage dans l'o-rifice supérieur de la plaie, delà main droite, armée d'une sonde cannelée, l'opérateur i
t alors la tige de l'instrument, entre le pouce et l'indicateur de la main gauche, dont les trois derniers doigts continuent
derniers doigts continuent de déprimer en bas l'in-testin hernie, la main droite armée du bistouri en fait glisser la point
pour faciliter la section. L'incision terminée, par un accord de deux mains , on retire en même temps le bistouri et l'indicat
, M. Raybard réduisit la portion d'intestin hernie, puis tirant de la main gauche sur le double fil, il s'assura en tou-chan
lle garnie de son fil, affronte entre le pouce et l'indi-cateur de la main gauche, les bords de la plaie, et delà main droit
ce et l'indi-cateur de la main gauche, les bords de la plaie, et delà main droite renverse avec l'aiguille les deux lèvres e
irer le fil. Coupant l'un de ses chefs à la surface de la peau, d'une main on tire doucement et avec lenteur sur l'autre che
avec lenteur sur l'autre chef, pendant qu'avec les doigts de l'autre main on presse légèrement sur la paroi abdominale pour
du bout inférieur, le chirurgien, aidé par un aide, les saisit d'une main , tandis que de l'autre il dirige le bout supérieu
la torsion des vaisseaux lésés. Les choses étant à ce point, de la main gauche le chirurgiei saisit le bout supérieur, et
n'en font pas toute l'estime qu'il mérite. A l'expérience, entre les mains de son auteur, il a eu sur deux chiens tout le su
t si merveilleux, con-descendit à préparer lui-même le remède, de ses mains royales, pour le délivrer aux malades de Paris. I
g. 1 et a). Il "consiste en une compression méthodique exercée par la main du chirurgien sur la tumeur. Avant d'y être soumi
assez commode pour s'y maintenir un certain temps, applique les deux mains sur la tumeur, et se conduit de la manière suivan
eux mains sur la tumeur, et se conduit de la manière suivante : d'une main il embrasse la base de la tumeur, et lui imprime
nière égale les gaz et les matières qui y sont contenues ; de l'autre main il saisit le pédicule de la hernie, afin d'aider
uite doucement de la base vers le pédicule. Dans ce dernier temps, la main appliquée sur la racine de la hernie empêche les
e la hernie a trop de volume pour pouvoir être embras-sée par une des mains du chirurgien , celui-ci applique ses deux mains
bras-sée par une des mains du chirurgien , celui-ci applique ses deux mains à la racine et confie à un aide le soin de déplac
-à-l'heure, comme étant convenable à toute manœuvre du taxis avec les mains , on a eu quelquefois recours à d'autres positions
gain, à faire adopter exclusivement le bandage qui est sorti de leurs mains . On peut les diviser en deux classes : bandages n
xis la réduction de toutes les parties déplacées ; puis , mettant une main sur l'anneau aponévrotique, on amène la pelote su
aison doit-on avoir cette réserve lorsque le malade a passé entre les mains de. plusieurs mé-decins peu habitués aux opératio
es et le collet du sac, le chirurgien, combinant le mouve-ment cle sa main droite cpii tient le manche de l'instrument avec
de nouveau les viscères, et l'habi-tuant à soutenir la plaie avec la main appliquée sur le bandage, toutes les fois qu'il e
e. Une incision trop profonde peut avoir un fâcheux résultat dans les mains du chirurgien le plus habile : M. Laugier a vu un
hernie; il soulève la peau du scrotum sur un ou deux des doigts de sa main gauche, la refoule en haut et en dehors et la por
est coiffé. Deuxième temps. Saisis-sant alors le porte-aiguille de la main droite (pl. 4° fig-1), l'opé-rateur en glisse la
neau, et tient le cordon isolé entre l'indi-cateur et le pouce cle la main gauche. Ensuite il enfonce au-devant des ongles d
uts de l'intestin, on saisit une des branches de l'instrument avec la main droite; on la fait glisser sur le doigt ou sur la
isant écarter les bords de l'anus par un aide, insinue la mèche de la main droite et la guide avec l'indicateur gauche. Pour
s résultats de sa pratique personnelle. L'incision a échoué entre les mains de Béclard, Richerand, Lagneau et M. Roux. En out
elé de J. de Vigo, et qui s'est perpétué, suivant Sabatier, entre les mains des opé-rateurs ambulans. Purmann employait l'eau
eux et expose-rait à faire fausse route, le chirurgien n'ayant que la main droite de libre, fera mieux de confier à un aide
n accroche le bec, le courbe en bas vers l'anus et, en même temps, la main droite continuant à faire glisser la tige de l'in
au dehors de l'anus. Saisissant alors le pavillon de la sonde avec la main gauche, le bistouri, tenu de la main droite, est
le pavillon de la sonde avec la main gauche, le bistouri, tenu de la main droite, est glissé dans la cannelure de l'instrum
e tient ferme et l'incline vers la fesse opposée, l'opérateur avec la main gauche s'empare du pavillon de la sonde qu'il éca
er, en ouvrant, l'angle compris entre les deux inslrumens; puis de la main droite il fait glisser dans la cannelure de la so
op grand volume, sont assurément le moyen le plus sûr. A défaut de la main du chirur-gien, toujours trop volumineuse , on a
rur-gien, toujours trop volumineuse , on a conseillé de recourir à la main d'une sage-femme, et Nollet rapporte un fait où u
it où une fiole introduite au-dessus du sphincter, fut retirée par la main d'un jeune enfant, apparemment très intelligent.
lise la surface en y mettant un petit linge , en même temps que d'une main on presse de dehors en dedans sur cette masse, po
dedans sur cette masse, pour la refouler vers l'intestin, de l'autre main on tire fortement sur les deux chefs de la ligatu
vement reprise et aban-donnée à diverses époques , a repris entre les mains de Dupuy tren une célébrité nouvelle. Redoutant l
-ratoires étant prises, on procède à la réduction. Saisissant avec-la main gauche la tumeur à sa base et l'environnant dans
rer lebourrelet mem-braneux , sur lui-même. Pendant cette manœuvre la main gauche aide à contenir les parties invaginées à m
invaginées à mesure qu'elles rentrent, et peu-à-peu les doigts de la main droite se rassemblent en cône pour refouler la ma
us le sphincter, pour élargir l'ouverture. Saisissant la tumeur de la main gauche, on la renverse avec ménagement de manière
gouvernant la tumeur avec le pouce et les trois derniers doigts de la main gauche, de glisser dans l'orifice l'extrémité de
Sabatier, Boyer, Cowper, Pasquier, elle a éga-lement réussi entre les mains dePhelys, de M. Ricord et de plu-sieurs autres ch
ies sur le ventre et les jambes sur les cuisses , le chi-rurgien , la main droite armée d'un bistouri convexe, et la main ga
, le chi-rurgien , la main droite armée d'un bistouri convexe, et la main gauche placée derrière le testicule qu'il embrass
es écartées et légèrement fléchies sur l'abdomen , le chi-rurgien, la main gauche placée derrière la tumeur qu'il tient embr
gauche placée derrière la tumeur qu'il tient embrassée solidement, la main droite armée d'un bistouri con-vexe , fait une in
méthodes précédentes, le chirurgien se place du côté droit, passe sa main gauche derrière le testicide qu'il soutient comme
icide qu'il soutient comme nous l'avons déjà dit, et saisissant de la main droite le trois-quarts armé de sa canule (pl. 47
é du sac. Confiant alors le testicule à un aide , le chirurgien de la main gauche , saisit la canule en ayant soin, de peur
même temps les téguinens au voisinage de la piqûre, tandis qu'avec la main droite il retire le trois-quarts pour donner issu
ines du cordon qu'il saisit, en masse entre le pouce et l'index de la main gauche; puis la main droite armée d'une aiguille
saisit, en masse entre le pouce et l'index de la main gauche; puis la main droite armée d'une aiguille ordinaire garnie d'un
la peau du scrotum étant saisie de la même manière, on isole avec la main droite le conduit défé-rent qu'un aide tient repo
de la seconde épin-gle le corps de la première. Il abaisse ensuite la main pour faire basculer l'épingle, qu'il fait passer
chirurgien saisit le paquet variqueux entre le pouce et l'index de la main gauche, il cherche le canal déférent avec le pouc
n gauche, il cherche le canal déférent avec le pouce et l'index de la main droite, l'isole complètement et le repousse vers
urgien se place à sa droite, saisit le côté gonflé du scrotum avec la main gauche en dessous, l'embrasse à pleine main, de m
gonflé du scrotum avec la main gauche en dessous, l'embrasse à pleine main , de manière à faire saillir la tu-meur et à tendr
lée, le chirurgien , placé à sa droite, em-s brasse la tumeur avec la main gauche, par sa partie antérieure , le pouce d'un
et les quatre doigts de l'autre, pour tendre les tégumens. Puis de la main droite armée du bistouri, si la peau n'est pas ma
e de Dupuytren. Elle consiste à saisir le scrotum en arrière à pleine main et à faire saillir le testicule en avant. L'inc
me précédem-ment. Il saisit entre le pouce et les quatre doigts de la main gauche le cordon à travers un pli de la peau du s
Un aide placé de l'autre côté em-brasse entre les pouces de ses deux mains placés en arrière, et les doigts appliqués en ava
sain se trouve compris dans la partie du scrotum qu'il tient dans ses mains . Un autre aide placé à la gauche de l'opérateur,
mettre le chirurgien. Alors il saisit avec le pouce et l'in-dex de la main gauche le côté droit du prépuce, pour l'attirer u
le con-seil de M. Tavernier. Alors l'opérateur saisit la sonde de la main gauche, fait glisser dans sa cannelure le bistour
édé de M. Bégin. Il saisit le prépuce avec le pouce et l'in-dex de la main gauche, le tire à lui, introduit, par l'ouverture
arties, il embrasse la verge avec l'indicateur et le médius de chaque main , les croise derrière le bourrelet, et appuie sur
rrière sa couronne, on le comprime vigoureusement dans le creux de la main , soit seule, soit revêtue d'une compresse pendant
ers sa base avec le bout des doigts indicateur et annulaire de chaque main , les deux pouces faisant opposition au sommet, ta
ntre ces parties, recouvre la verge d'un linge fin, la saisit avec la main gauche, de manière que le pouce et l'index formen
anneau propre à l'attirer en avant; alors, avec les doigts de l'autre main il com-prime le gland, le masse et le pétrit avec
dé, comme flétri ; enfin il le repousse en arrière, tandis qu'avec la main gauche il attire fortement le prépuce en avant (P
oit de son lit, et se place du même côté; saisissant la verge avec la main gauche , les quatre derniers doigts en dessous et
en saillie la bride circu-laire qui étrangle le pénis, il prend de la main droite un bistouri ordinaire, ou mieux encore un
sir le corps, il est probable que par l'emploi de deux petits étaux à main qu'on ferait agir en sens contraire on parviendra
nge la portion de la verge qui doit être enlevée, et l'embrasse de la main gauche avec l'attention de tirer la peau vers le
rimer la peau en regard du frein entre le pouce et l'indicateur de la main gauche , avec la pointe d'un bis-touri à lame étr
oule de fer blanc, ensuite on l'égalisait et on la rou-lait entre les mains pour rendre sa surface unie. Ces espèces de bou
'est une sonde métallique, il commence par l'échauffer soit entre ses mains , soit en la trempant dans de l'eau tiède afin d'é
derrière sa couronne, entre le pouce, l'indicateur et le médius delà main gauche, pour ne pas comprimer l'urètre, ou bien e
pouce et l'indicateur et le tend un peu. Puis, prenant la sonde de la main droite, près de son pavillon, entre le pouce plac
partie prostatique, ou bien à la valvule pilorique; alors on porte la main gauche au-dessous des bourses sur le périnée, et
doigt on peut s'assurer dans quelle direction les efforts de l'autre main s'exercent, calculer approximativement, l'épaisse
à quel-que distance de son extrémité, et pousser légèrement des deux mains . On voit qu'en agissant ainsi la portion du canal
épuce en arrière et découvre le méat urinaire; puis , prenant avec la main droite la sonde près de son pavillon, de manière
it arrivé au bulbe. En ce moment, par une ac-tion simultanée des deux mains il fait décrire à la sonde et à la verge de droit
au-coup plus difficiles qu'elles ne le paraissaient exécutées par des mains habiles. Mais lorsqu'on est parvenu, par l'habitu
a symphyse pubienne dans sa concavité, puis de fixer le mandrin d'une main , tandis que de l'autre on pousse la sonde qui ch
ulement il faut du même temps pousser dans la vessie la sonde avec la main gauche, pour l'empêcher de suivre sa tige métalli
t lui saisit la verge entre le pouce, l'indicateur et le médius de la main gauche, placés derrière le gland sur les côtés du
t en avant la sonde, qu'il tient entre le pouce et l'indicateur de la main droite, ayant soin de suivre la paroi supérieure
ayant soin de suivre la paroi supérieure du canal, tandis qu'avec la main gauche il tire la verge vers lui; on arrive sans
e chirurgien, placé entre les jambes du malade, saisit la verge de la main gauche, la relève et lui donne en la tirant une d
rouvent les tissus par leur souplesse. Et il est certain aussi qu'une main ha-bile se servira avec avantage d'un instrument
as léser la partie saine du canal, pendant qu'on tient le gland de la main gauche, on imprime à l'instrument des mouvemens d
ut attaquer. Alors l'opérateur saisit l'extrémité du conducteur de la main gauche, passe le pouce de la main droite dans l'a
sit l'extrémité du conducteur de la main gauche, passe le pouce de la main droite dans l'an-neau de la canule, tandis qu'il
qu'il saisit la verge du malade entre le médius et l'index de la même main ; il pousse ensuite directement en avant l'instru
fortement l'urètre sur la sonde avec l'indicateur et le médius de la main gauche, tandis qu'avec la droite il comprime grad
age du liquide injecté est quelque-fois si grande que, la force d'une main ne suffisant pas, il faut placer la seringue entr
igne, pendant que le bec de la sonde s'insinue sous la pression de la main droite qui tient le pavillon, le chirurgien fait
cateur garnis delinge. Maintenant alors avec les derniers doigtsde la main droile, les rapports du pénis et de la tige, il i
inue profondé-ment, dans l'intestin rectum, le doigt indicateur de la main gauche enduit de cérat, et il essaie de faire ava
roportionnée à la résistance qu'il éprouve. Le doigt indicateur de la main gauche qui sert, pour ainsi dire, dé conducteur à
un aide. Ue chirurgien relève les bourses , tend les parties avec la main gauche, et fait avec la main droite armée d'un bi
e les bourses , tend les parties avec la main gauche, et fait avec la main droite armée d'un bistouri, une large boutonnière
pprochent ou s'éloignent l'un de l'autre; ici, au lieu d'agir avec la main , on agit au moyen d'un écrou et d'une vis placés
ndrin; quand on y est parvenu, on saisit la canule porte-nœud avec la main gauche pour la soutenir, on passe l'indicateur et
ain gauche pour la soutenir, on passe l'indicateur et le médius de la main droite dans les anneaux de la canule métallique,
eux comprime légèrement la vessie à la région hypo-gastrique avec une main , et relève les bourses avec l'autre main. Le ch
gion hypo-gastrique avec une main, et relève les bourses avec l'autre main . Le chirurgien, placé entre les cuisses du mala
placé entre les cuisses du malade, applique le doigt indicateur de la main gauche sur le côté du raphé, entre l'urètre et la
possible cet intestin du lieu oû se fait la ponction. Armant alors sa main droite du trocart, il en porte la pointe sur le m
'il est entré dans la vessie. A ce moment il saisit la canule avec la main gauche, retire le poinçon, et laisse écouler l'ur
travers de son lit, le chirurgien introduit le doigt indicateur de la main gauche, bien graissé d'huile, dans le rectum, le
tumeur formée par le bas-fond de la vessie. Sai-sissant alors, de la main droite, le trocart également enduit d'un corps gr
tendre la peau et faciliter l'entrée de l'instrument, saisit avec la main droite le trocart enduit d'un corps gras, pré-sen
troduction dans le canal. Arrivé à l'obstacle, il porta l'index de la main gauche dans le rectum pour diriger l'instrument v
le rectum, sur la convexité et près de son extrémité, qu'avec l'autre main . Chez la femme, la fonction de la vessie est un
ait être per-manente. Mais si l'on considère, d'un autre côté, qu'une main habile et une connaissance parfaite de l'anatomie
itimes succès; les accidens y sont rares, et même avec du tact et une main habile, à l'exception des fistules consécutives,
lle a si bien su mériter. A partir de son origine connue, entre les mains des chirurgiens arabes, où, élaborée par l'homme
x petits bras en bois, quadrillés, qu'un aide doit saisir avec chaque main , afin de fixer plus solidement l'instrument li-th
e fixer plus solidement l'instrument li-thotriteur. Le premier étau à main de M. Amussat ne diffère du précédent qu'en ce qu
y en a deux situés en sens opposé. Le dernier est très commode, deux mains suffisent pour le main-tenir solidement, tandis q
rument, et afin d'ouvrir le litholabe, on le maintient immobile d'une main , tandis que de l'autre on retire vers soi la chem
sa droite, saisit et fixe solidement le corps de l'étau avec ses deux mains (Pl. 58, fig. i, a et b), la gau-che en avant, pr
malade, le chirurgien embrasse l'instrument à pleine poignée avec la main gauche (c) dans le point où le chevalet entoure l
et entoure la canule extérieure; il fait mouvoir l'archet (d) avec la main droite, et la tête du foret, suivant les mouvemen
rs à la totalité de l'instrument était douloureux, un aide plaçant la main sur le périnée, appuie-rait la canule extérieure
de continuer à faire tourner avec lenteur le pignon embrassé à pleine main , pour ramener à soi la branche mobile, en mettant
, on embrasse la branche fixe par son renflement quadrilatère avec la main gauche, d'où sa rondelle l'empêche de glisser, pu
es jambes du malade, embrasse le poignet de l'opérateur avec ses deux mains dont la paume est tournée en haut (Pl. 61 fig. 1)
née en haut (Pl. 61 fig. 1). En ce moment saisissant le marteau de la main droite, on en frappe avec légèreté, sur l'extrémi
ur lui, que dans le cas où l'instrument serait simplement fixé par la main de l'opérateur qui éprouvant la sensation des moi
ction et à l'intensité de la force comprimante. \" Pression avec la main . Ce moyen ayant paru suffire dans les cas où le c
mobile une large rondelle convexe sur laquelle presse la paume de la main . Plus tard , M. Bancal, pour obtenir une pression
s'en servir pour opérer le rapprochement, on les saisissait à pleine main , et on les poussait l'une contre l'autre avec une
échirure presque nécessairement mor-telle. Ainsi l'écrasement avec la main ne pouvant être employé contre les calculs un peu
une virole au bout de la bran-che mâle, pour faciliter l'action de la main lorsqu'on veut s'en servir pour écraser de petits
anse, tandis que l'opérateur, tenant à pleine poignée la tige avec la main gauche, fait tourner la clef avec la main droite
ine poignée la tige avec la main gauche, fait tourner la clef avec la main droite pour faire avancer la branche mobile. La f
r constamment la pierre avec une facilité presque égale à celle de la main , et cela dans des cas où la pince à trois branche
avec laquelle il l'écrase en pres-sant fortement avec la paume de la main sur la rondelle qui ter-mine son extrémité extern
s de la lithotritie; aujourd'hui elle ne serait possible que dans des mains inexpérimentées. 3° Déchirures de l'urètre. On
à rentrer tout ouvert dans l'urètre. Mais aujourd'hui que ce sont les mains qui fixent l'appareil, on peut dire que la déchir
dans leur intervalle, afin que l'aide pût saisir avec chacune de ses mains le poignet et le bas de la jambe corres-pondant,
que possible et que cela était né-cessaire, et pressait, avec l'autre main , sur l'hypogastre, pour ame-ner le calcul vers le
sur le côté gau-che du périnée où il le maintenait, tandis qu'avec la main droite armée d'un bistouri, il faisait sur cette
tin ; mais s'il était gros, il aidait sa sortie avec les doigts de la main droite, ou bien avec un crochet, la curette ou de
es cuisses, fixaient en-suite les talons rapprochés des fesses et les mains ramenées vers les pieds ; trois aides le maintena
ers l'épaisseur des parties, il incisait avec le lithotome tenu de la main droite, comme une plume à écrire , la peau et le
le d'or sur laquelle était gravé son portrait, portant une sonde à la main , avec cette inscription : Pro servatis civibus.
voir placé son malade « comme on le fait ordinairement, il fixait ses mains iinmé-« diatement au-dessous des genoux avec deux
exposé à sortir « de sa cannelure; il en saisissait la plaque avec la main gau-« che, l'inclinait vers l'aine et la cuisse d
é la peau et. la graisse, il portait le « pouce et l'indicateur de la main droite dans la plaie pour cher-« cher la convexit
pour cher-« cher la convexité du cathéter qu'il tenait toujours de la main « gauche. Lorsqu'il l'avait trouvée , il portait
rinée en même temps qu'il relevait les bourses. Alors, libre des deux mains , ce chirurgien tendait la peau avec la gauche, ta
ure qu'il pénétrait dans ce viscère, tandis qu'avec deux doigts de la main gauche il repous-sait à droite l'intestin rectum.
lans le sens or-dinaire, et cherchait avec le doigt indicateur cle la main droite, porté dans la plaie, la cannelure du cath
ort peu de celui de Cheselden. Ponteau plaçait le petit doigt de la main gauche dans l'anneau de son cathéter, et relevant
ongle du doigt indi-cateur gauche sans intermédiaire, prenait avec la main droite Je lithotome, préalablement disposé pour s
r dépasser son col d'environ 27 millimètres, il la saisissait avec la main gauche dans le point où elle s'unissait au manche
a partie du pubis que nous avons indi-T. vu. quée, pressait avec la main droite sur la bascule jusqu'à ce que son extrémit
t, et lorsqu'on en est certain, on saisit la plaque du cathéter de la main gauche, on lui fait subir le mouvement de bascule
it, puis il enfonçait horizontalement son trocart, qu'il tenait de la main droite, à un grand travers de doigt au-dessus de
issait qu'il était arrivé dans la vessie. Alors, le manche tenu de la main gauche, il retirait un peu le poinçon, le contena
e la main gauche, il retirait un peu le poinçon, le contenait avec la main droite , en engageait la pointe dans la cannelure
ui devait le tenir dans une position parfaitement verticale, avec une main , puis relever le scrotum et tirer un peu sur la
n , puis relever le scrotum et tirer un peu sur la verge avec l'autre main (pl. 64, fig. 1 ). Le chirurgien placé en face du
rurgien placé en face du périnée, qu'il tendait avec les doigts de la main gauche, y faisait une incision demi' circulaire c
es rapports con-venables, il saisissait la plaque du cathéter avec la main gauche, et la renversait vers lui; par le mouveme
r faire sortir les lames de leur gaîne, et tirait à lui avec les deux mains en abaissant graduellement le manche jusqu'à ce q
t en outred'embrasser les parties inférieures de ses jam-bes à pleine main , au niveau des malléoles, de manière à pouvoir le
dehors; puis, par une série de 8 de chiffre, en fixant solidement la main et le poignet avec le pied, on amènerait les chef
d'eux, le dos tourné vers la tête du malade, saisira le genou avec la main la plus rapprochée de son corps, et l'attirera un
eu en dehors dans le but de tendre le périnée, tandis qu'avec l'autre main , il saisira le pied par son bord interne et par s
ne fois le cathéter en position, le chirurgien, afin d'avoir les deux mains libres, le donne à tenir à un aide instruit du mé
ur une chaise, ou, ce qui vaut mieux pour la liberté du mouvement des mains , il met un genou en terre. Saisissant alors, avec
vement des mains, il met un genou en terre. Saisissant alors, avec la main droite, un bistouri droit ou convexe, il étend le
bistouri droit ou convexe, il étend les parties avec les doigts de la main gauche et fait, au côté gauche du périnée, l'inci
de 7 à 9 millimètres. Dans ce mouvement, il doit être bien sûr de sa main pour ne pas aller piquer le rectum comme cela est
cteur qu'on emploie pour introduire les tenettes, on les saisit de la main droite, à pleine poignée, parles anneaux, on allo
ssi, on ouvre l'instrument, soit en saisissant une branche de charpie main , soit en écartant le pouce et l'indicateur de la
de charpie main, soit en écartant le pouce et l'indicateur de la même main placés dans les anneaux; ici plusieurs cas peuven
l a peu de volume, il suffit de tirer à soi l'instrument tenu avec la main droite, seule, comme des ciseaux. Quand on éprouv
nt entre le médius et l'indicateur, et embrasser les anneaux à pleine main pour tirer plus fort. On peut aussi saisir les br
t aussi saisir les branches de la le-nette auprès de la plaie avec la main gauche, les quatre doigts dessous et le pouce en
sus; ou bien le pouce et l'annulaire sont passés dans les anneaux, la main gauche fixe les branches de l'instrument avec les
ors, fixent le calcul et en facilitent la sortie (Pl. 63, fig. i). La main gauche sert de guide à l'instrument dans les mouv
la pierre, on exercerait des pressions sur l'hypogastre avec l'autre main , pour abaisser la vessie vers le doigt; et si ce
que le fit Garengeot dans un cas de cette nature, l'indicateur de la main gauche dans la vessie ; on cherche à placer son e
auche enduit d'un corps gras, la face palmaire tournée en haut, de la main droite il fait glisser dessus, à plat, la lame d'
estoyent au fondement et d'autre côté en la tenant subjette avec les mains d'un serviteur, qui comprimoyf le petit ventre au
e l'abaisser entre les cuisses du malade, tendait en travers, avec la main gauche, la peau de la région hypogastrique, qu'il
u péritoine, et terminait en retirant le calcul avec les doigts de la main droite, ou bien avec une tenette. Plusieurs mod
Lorsqu'il jugeait que l'incision était assez grande, il prenait de la main droite la sonde à dard par son pavillon, et expor
es jambes comme le veut M. Belmas, prend un bis-touri convexe avec la main droite , tend les téguinens avec la main gauche,
un bis-touri convexe avec la main droite , tend les téguinens avec la main gauche, les incise «mi allant de l'ombilic an pub
as précédent. Lorsqu'on est arrivé à la vessie, on prend la sonde des mains de l'aide , on pousse son bouton olivaire contre
nt à fixer le péritoine par la face palmaire de l'index gauche, de la main droite il fait glisser verticalement sur l'ongle
comme avec un levier, tandis qu'on tire sur la tenette avec les deux mains dont l'une, placée en supination, embrasse l'inst
, mais il paraîtrait qu'il n'aurait pas eu autant de succès entre les mains des autres opérateurs. Mais, à supposer cpi'il ré
ns cette position, il écarte les petites lèvres avec les doigts de la main gauche, repousse le clitoris en haut, et fait ave
ousse le clitoris en haut, et fait avec un bistouri droit, tenu de la main droite, une incision semi-lunaire dont la convexi
aroi su-périeure du canal, déprimait la plaque de cette sonde avec la main gauche, faisait glisser la lame d'un bistouri dro
'appuie contre le cathéter , et on le remet à un autre aide. Les deux mains étant libres, on écarte les grandes lèvres avec l
ains étant libres, on écarte les grandes lèvres avec les doigts de la main gauche, on porte la pointe du bistouri, tenu de l
doigts de la main gauche, on porte la pointe du bistouri, tenu de la main droite comme une plume à écrire, derrière l'urètr
autre, ainsi que l'ont fait MM. Flaubert et Clémot, et couper avec la main droite restée seule libre; dans tous les cas, on
irurgien, placé à droite, dé-couvre les parties avec les doigts de la main gauche qu'il porte sur le pubis en pronation ; av
e, au-dessous du vestibule, et dirige le bec de la sonde, tenue de la main droite, comme une plume à écrire, sa concavité to
re que très peu appa-rent, pour se donner plus d'aisance, on passe la main qui porte la sonde sous le jarret et, comme le re
er sous les couvertures, en se guidant par le toucher ; pour cela, la main gauche étant placée comme précédemment, le clitor
e sur la pulpe du médius droit, pendant cpie l'annulaire de la même main , servant en quelque sorte de moyen explorateur, d
serait fort simple ¦ le chirurgien s'emparerait de la tumeur avec la main gauche, pendant qu'un aide saisirait la racine du
gauche, pendant qu'un aide saisirait la racine du clitoris, et de la main droite, armée d'un bistouri ou d'une paire de cis
n n'est plus facile que de les enlever; il suffit de les saisir de la main gauche et de diviser leur pédicule avec un bistou
ur et leur épaisseur, on saisit la lèvre gauche avec les doigts de la main gauche, ou bien avec une bonne pince, et de la ma
les doigts de la main gauche, ou bien avec une bonne pince, et de la main droite on la traverse de dehors en dedans avec un
avec de fort ciseaux, on saisit la lèvre gauche avec les doigts de la main gauche, et on la pique au dehors avec une des aig
, afin démettre les muscles du ventre dans le relâche-ment. Alors les mains étant à une température convenable, on les appliq
s ou des gaz. Le meilleur moyen est d'étendre à plat les doigts d'une main sur les surfaces , pendant que l'indicateur ou le
sur les surfaces , pendant que l'indicateur ou le médius, de l'autre main , demi-fléchi, qui retombe dessus comme un marteau
uis on présente ce doigt seul à la partie postérieure de la vulve, la main étant entre la pronation et la su-pination, et en
pubienne, et de fléchir les trois derniers doigts dans la paume de la main , de manière que leur face dorsale appuie contre
ds et sa mobilité, et dans cer-tains cas sentir son fond avec l'autre main appliquée sur Phy-pogastre , et mesurer approxima
maladie à laquelle il avait affaire, M. Lisfranc introduisit toute la main dans le vagin, en suivant les mêmes règles que po
en se met à sa droite ou à sa gauche , suivant qu'il veut employer la main droite ou la main gauche. On peut porter la main
ite ou à sa gauche , suivant qu'il veut employer la main droite ou la main gauche. On peut porter la main aux parties soit d
'il veut employer la main droite ou la main gauche. On peut porter la main aux parties soit direc-tement entre les cuisses,
u-cher en même temps par le rectum et par le vagin, soit avec la même main , dont on place le pouce dans le conduit utéro-vul
on place le pouce dans le conduit utéro-vul-vaire, soit avec les deux mains , en plaçant l'indicateur d'une main en avant, et
ro-vul-vaire, soit avec les deux mains, en plaçant l'indicateur d'une main en avant, et celui de l'autre en arrière. On do
s prolongées. Cette précaution prise, on écarte avec les doigts de la main gauche les grandes et petites lèvres, et on soulè
en graissé et porté à une température convenable, on le prend avec la main droite comme une plume à écrire, la queue tournée
endant les lèvres de la fente propres à la réunion, et l'autre en les main tenant en contact assez long-temps pour que ce ré
ints passés. Procédé de M. Malagodi. Ce chirurgien porta l'index delà main droite recouvert d'un doigtier en peau jusque dan
ore saillir une des lèvres de la plaie avec l'indicateur de l'une des mains , et conduisit dans la vessie, à travers la fistul
ande pour permettre l'introduction du doigt. Si ellearéussi entre les mains de MM. Ehrman, Deyber, Chranam, Schreger, au cont
taire, sur laquelle on veut le prendre, le chirurgien la tend avec la main gauche , puis il fait sur sa face externe, et de
retire avec elle par l'urètre; alors, saisissant ces deux fils d'une main , on tire dessus, tandis qu'avec l'autre main on p
sant ces deux fils d'une main, on tire dessus, tandis qu'avec l'autre main on pousse le lambeau jusqu'à la fis-tule où il do
dos, le siège plus élevé que les épaules, on saisit la tumeur avec la main droite, bien graissée, puis on lui fait subir que
position et la disposer à se mouvoir. Alors, pendant qu'avec l'autre main on écarte les gran-des lèvres, afin qu'elles ne m
mandent delà saisir avec un linge enduit île cérat, plutôt qu'avec la main nue, etde la com-primer doucement avec les doigts
t soit viable, et terminer l'accouche-ment en dilatant le col avec la main , ainsi que l'ont fait Marigues, de Versailles, et
dit de cette méthode M. Velpeau, « si elle n'a point échoué entre les mains de M. Fricke, à Harn-ee bourg, je suis forcé d'av
nt fait, on l'enduit d'un corps gras, on écarte avec les doigts de la main gauche les lèvres de la vulve, à la-quelle on le
, avant de les introduire, un petit ruban sur lequel on tire avec la main gauche tandis qu'on repousse le bord opposé avec
ain gauche tandis qu'on repousse le bord opposé avec les doigts de la main droite; puis le doigt indicateur, introduit dans
re ne réussit pas, on a conseillé d'introduire deux doigts de l'autre main dans le rectum , et de s'en servir pour en repous
uissamment pour soulever l'organe; alors Dussaussoie intro-duisait la main tout entière dans le rectum, afin de pouvoir re-p
tandis qu'il cherchait à abaisser le col avec deux doigts de l'autre main . Comme la dis-tension de l'orifice intestinal est
De quelque manière qu'on s'y prenne, néanmoins, l'intro-duction de la main tout entière dans le rectum étant toujours très d
isant sur le doigt indicateur gauche ; puis, on fixe l'organe avec la main gauche, appliquée sur l'hypogastre, et on enfonce
t saillie dans le vagin. Il le comprima avec le doigt indicateur delà main droite, et parvint à l'écraser et à l'extraire pa
en cô-toyant le polype; arrivé là, il introduisait deux doigts de la main gauche dans le vagin, et s'assurait si l'anse éta
ligature, conduit par la canule porte-nœud, on prend celle-ci avecla main droite, et, pendantque la pince, fixée parla main
end celle-ci avecla main droite, et, pendantque la pince, fixée parla main gauche, reste immobile, on fait décrire à la prem
l'anse du fil, dont on croise les chefs en changeant les ca-nules de main . Il suffit de répéter plusieurs fois cette manœuv
exemple, on la tend en tirant sur les extrémités du fil avec l'autre main , on la porte derrière le polype, et on cherche à
ment par le tact, en dirigeant les pinces sur un ou deux doigts de la main gauche, destinés à protéger les parois du canal c
uvre, le mieux est, sans désemparer, de conduire sur les doigts de la main gauche le bistouri bou-tonné ou les ciseaux, jusq
en pressant dessus avec deux doigts introduits dans le rectum, et une main appli-quée sur l'hypogastre, et d'aller ensuite l
galement courbés sur leur plat et parfaitement tranchans, tenus de la main droite, et qu'il portait alternativement en haut,
tre trop ra-molli. Gouvernant alternativement l'une des érignes de sa main gauche , tandis que l'autre érigne confiée à un a
nche, de peur qu'il ne se détache en coupant sur la première, avec la main droite année d'un bistouri à long man- die. Le
rouver que cette opération n'aurait pas été aussi heureuse, entre les mains de ces chirurgiens, qu'on a bien voulu le dire, c
ie avec une pince-érigne que l'on confia à un aide. Deux doigts de la main gauche, portés en avant, servirent de guide à un
opé-rateur, contient le vagin entre le pouce et l'indicateur des deux mains (a, b) pour empêcher les viscères de redescendre.
l'utérus avec le bistouri et les ciseaux, glisse les doigts, puis la main gauche tout entière dans le bassin, tire en bas c
me pour l'extraire. Pendant ces manoeuvres un aide, appuyant avec ses mains sur l'hypo-gastre, repousse l'utérus en bas et le
l'aide cesse seulement en ce moment de retenir les intestins avec sa main . Les procédés suivis par la plupart des autres
e et l'utérus, attire au-dehors l'organe saisi entre les doigts de la main gauche, pratique la ligature des vais-seaux du li
essie, une incision assez étendue pour permettre l'introduction de la main , afin d'aller saisir la matrice, de l'attirer à
ges et leurs at-taches au vagin, avec de longs ciseaux conduits parla main droite. Procédé de M. Langenbeck (pl. 76 , fig.
sous de l'ombilic, le péritoine fut ouvert, puis un aide, de ses deux mains , écarta la plaie et con-tint les intestins et le
ins et le péritoine pariétal. Le chirurgien, soulevant l'utérus de la main gauche, introduisit de l'autre main de longs cise
rurgien, soulevant l'utérus de la main gauche, introduisit de l'autre main de longs ciseaux fermés , avec lesquels il divisa
orts de la nature. Quoique cette ma-nière d'agir ait échoué entre les mains de MM. Lizars et Martini, comme elle a réussi àDz
refoide en haut. Avant d'aller plus loin, on palpe la tumeur avec la main dans tous les sens, pour s'assurer si elle n'est
er dans l'incision des parois abdo-minales, pendant que, avec l'autre main , il repousserait l'utérus dans le sens opposé, af
étaient insuffisantes, il croyait possible de dilater le col avec la main , et de retirer l'enfant soit par la version, soi
deux aides pla-cés l'un à droite et l'autre à gauche disposent leurs mains sur le ventre , de manière à tendre la paroi anté
résentait par toute T. VII. autre partie, il faudrait enfoncer la main tout entière dans l'utérus par la solution de con
la cavité utérine contient des caillots, il faut les extraire avec la main , puis porter le doigt indicateur vers son extrém
ièdes et émollientes dans l'uté-rus, pour entraîner les débris que la main n'aurait pas rencontrés. Mais, en général, cela n
s calleux, il y fit une incision à droite et à gauche, introduisit la main dans la matrice, et saisit les pieds de l'enfant
able qu'on pourra augmenter assez cette dilatation pour introduire la main dans l'utérus. Dans le second cas, c'est-à-dire,
ien en face de « ce dernier, le chirurgien élève son indicateur de la main droite, « en le plaçant dans la direction du nez
accord, que si l'opéré place « devant lui deux doigts de l'une de ses mains et fixe l'un des « doigts alternativement, les as
- brasse la tête du malade, sert en même temps à F opération. D'une main il tient l'élévateur de la paupière supérieure, e
ant, ou bien, si l'on n'a pas un nombre d'aides suffisant, la seconde main est employée à tenir l'érigne qui gouverne les mo
fait le service des instrumens. Enfin un quatrième aide s'empare des mains de l'opéré, pour contenir ses mouvemens. À la rig
ne à tenir à l'aide situé derrière le malade; celui-ci le prend de la main droite; l'abaisseur de la paupière inférieure est
inférieure est tenu par l'autre aide, qui s'assure en même temps des mains du malade. Ensuite l'opé-rateur, fermant ou faisa
terne, ce qui arrive assez souvent, l'opérateur prend le crochet delà main gauche, et le glisse à plat sur le globe oculaire
tive, il peut alors tirer l'œil en dehors. Ce crochet est tenu par la main gauche de l'aide situé derrière le malade. Le chi
et demie (3 à 4 milli-mètres) de celle-ci, et le tient lui-même de la main gauche. La conjonctive étant alors soulevée par l
e le muscle soit en vue, en même temps qu'avec le crochet, tenu de la main gauche , il porte l'œil un peu plus en dehors. Il
crochet aigu, qui devient inutile , et prend le crochet mousse de la main gauche devenue libre. Pour finii l'opération, il
que légèrement modifié, et l'opération peut se faire également de la main droite. L'aide situé derrière le malade tiendra l
ain droite. L'aide situé derrière le malade tiendra l'élévateur de la main gauche et le crochet de la droite; alors l'opérat
salement au-devant du front, prend un point d'appui sur lui, et de sa main courbée tient le crochet qui doit porter l'œil en
hirur-gien doit se suffire à lui-même. 11 abaisse avec un doigt de la main gauche la paupière inférieure; puis, saisissant a
ans la position convenable, il se trouve obligé de le maîtriser de la main gauche avec l'a pince suspendue elle-même ou avec
avec l'a pince suspendue elle-même ou avec une érigne, tandis que la main droite opère la section avec des ciseaux. Si je
emens. Quant au reste, l'opérateur accroche avec l'érigne tenue de la main gauche la conjonctive un peu au-dessous et à deux
e qui peut durer long-temps), l'opérateur soulève avec le pouce de la main droite la paupière supérieure, et ordonne au mala
alors glis-ser de haut en bas, sous le muscle, le crochet tenu de la main gauche , et delà main droite, armée de ciseaux co
t en bas, sous le muscle, le crochet tenu de la main gauche , et delà main droite, armée de ciseaux courbes dont la convexit
e M. Baudens qui ne ressemble à aucun autre. Son exécution, entre les mains de son auteur, ne dure que quinze ou vingt second
dehors, et on la donna à tenir à un aide. Alors M. Velpeau prit de la main gauche une autre érigne simple, la dirigea en con
te allongée, l'insinua entre l'œil et l'érigne que tenait toujours la main gauche, et le retira en glissant de haut en bas e
e, la même position peut être conservée pour couper seulement avec la main droite des muscles différens. Premier procédé (
rgien, relève avec l'un des refouleurs la pau-pière supérieure, de la main gauche pour l'œil gauche, de la droite pour l'œil
main gauche pour l'œil gauche, de la droite pour l'œil droit, l'autre main devant tenir l'une des éri-gnes pour aider à l'op
n strabisme divergent ou con-vergent. En même temps, l'aide qui d'une main refoule la paupière supérieure, de l'autre main a
mps, l'aide qui d'une main refoule la paupière supérieure, de l'autre main avec la seconde érigne, accroche et soulève la co
opération comme il a été dit pour l'angle interne, si ce n'est que la main gauche du chirurgien,qui fixe l'œil, se présentan
eur d'un aide et le malade tournant l'œil en haut et en dehors, de sa main gauche, armée d'une érigne simple tenue comme une
ir en ramassant le muscle dans le crochet de l'instrument; puis, delà main droite, il offre obliquement, la pointe en haut,
nt Indivision du muscle, objet de l'opération; et enfin , entre les mains de son auteur, chirurgien cependant d'une inconte
naissance hau-tement glorifié lorsque, pour la première fois, par la main de Cheselden, l'art a gratifié de la vue les aveu
ils suivans sur l'opération telle qu'il l'a pratique. » Il faut de la main gauche, soulever un peu le bout de la langue, la
placé debout derrière lui. Cet aide se rend utile à l'opération ; ses mains , seules ou armées de crochets ou de pinces, serve
tus, les coins de la bouche, je saisis avec le pouce et l'index de la main gauche la racine de la langue, et la relevai en l
ant : La pointe de la langue étant saisie avec une pince, tenue de la main gauche par l'aide placé derrière le malade, puis
en haut et latéralement; avec une autre pince, également tenue de la main gauche et présentée presque parallèlement à la fa
and on saisit le frein lui-même. Relevant alors sur le côté du nez la main gauche qui tient la pince , de manière à tendre a
re aussi verticalement que possible le frein qui fait ligament, de la main droite, armée de petits ciseaux courbés sur le pl
ent renversée, la bouche ouverte et les lèvres tenues écartées par la main d'un aide. Nous implantons une petite érigne à un
côtés du tendon, entre le pouce, l'indicateur et le médius de chaque main , il forme un pli cutané perpendi-culaire, le plus
le; puis, donnant à tenir à un aide le côté du pli qu'il tenait de la main droite, de cette main il fait d'abord la ponction
nir à un aide le côté du pli qu'il tenait de la main droite, de cette main il fait d'abord la ponction de la peau avec sa la
e la pro-fondeur vers l'orifice de la plaie, avec les doigts des deux mains qui se succèdent et se suppléent sans jamais inte
, soutenu dans cette position par un aide : un second aide fixe d'une main la cuisse du malade, et de l'autre main appuie su
e : un second aide fixe d'une main la cuisse du malade, et de l'autre main appuie sur la jambe et le pied pour faire saillir
ntroduit à plat, comme nous le savons, mais le doigt indicateur de la main gauche déprime les chairs sur le bord opposé du t
que c'est pour le pied que les succès ont été les plus réels, et à la main qu'il est survenu les revers les plus funestes. L
ers les plus funestes. La cause en est dans la texture fibreuse de la main , le grand nom-bre de nerfs volumineux qu'elle ren
les attaches supérieures des muscles dont les tendons se rendent à la main ; mais il faut le dire , les sections, pratiquées
ure, pour en mieux dessiner la saillie. J'enfonçai l'indicateur de la main gauche, en refoulant la peau, derrière le bord ex
rieur pour le côté gauche, et lui-même avec le pouce et l'index de sa main gauche en saisit l'autre extrémité; puis, après s
récise de l'espace intercostal au-dessus de la côte inférieure, de sa main droite armée du trocart courbe qui dirige l'indic
ce point, sans cesser d'appliquer exac-tement, avec les doigts de sa main gauche, l'orifice cutané contre la tige, l'opérat
e. L'opération terminée, reste à dégager la canule de la plaie; d'une main continuant à comprimer l'orifice cutané, avec les
n continuant à comprimer l'orifice cutané, avec les doigts de l'autre main , le chirurgien comprime sous la peau l'autre ext
l, est assez facile quand une fois on s'est rendu familier le tour de main approprié à chacune de ces opéra-tions. 10. Son
est contenue par un aide placé debout derrière, qui la fixe des deux mains (a, b ) sur sa poitrine, les petits doigts écarté
sse la paupière et fait saillir le point lacrymal, tandis que l'autre main , armée de la seringue, opère l'injection. FIGUR
uction de la canule de Dupuytren. a. Bistouri que l'on retire d'une main après la jonction en l'incli- nant en avant et
de (a), et la paupière inférieure abaissée par les mêmes doigts de la main gauche du chirurgien ( h), de manière a fixerait
it besoin l'œil entre les deux pressions. L'instrument est tenu de la main droite de l'opérateur (c), appuyé par les deux de
e 3. Incision de la capsule cristalline avec le kystitome tenu par la main droite du chirurgien. Figure 4. Plan de la sect
sa capsule. Lekystotriteur nous paraît très incommode à l'usage, la main qui le l'ait agir étant suspendue sans point d'ap
cette première canule l'anse du fil d'une seconde, et la confie à la main d'un aide (a) qui l'écarté en dehors et. continue
e chirurgien, tenant la seconde canule d'argent avec les doigts de la main gauche (b), est occupé à faire glisser l'anse de
ire glisser l'anse de cette seconde ca-nule avec un stylet tenu de la main droite ( c ), pour placer cette anse en arrière d
tympan par le procédé de M. Fabrizj. L'oreille écartée par les deux mains d'un aide (e, f ), l'opérateur, te-nant le manche
un aide (e, f ), l'opérateur, te-nant le manche de l'instrument de la main gauche (g), imprime, avec les doigts de la main d
de l'instrument de la main gauche (g), imprime, avec les doigts de la main droite (h), un mouvement de rotation à la canule
malade renversée sur le genou du chirurgien, celui-ci, tandis que la main d'un aide (a) fixe le pavillon de l'oreille, extr
de (c), le chirurgien armé de la pince (fig. 9), tenue en plein de la main droite (d), pratique la déchirure, par torsion ,
(d), pratique la déchirure, par torsion , du polype. Les doigts de la main gauche (e) saisissent fortement les branches de l
L'angle labial est écarté en dehors avec les doigts (o, p ) des deux mains d'un aide, de manière à relever la lèvre supérieu
deux commissures labiales jusqu'au point (d). — Le lambeau tenu de la main gauche, le chirurgien est occupé à le dé-tacher a
ateaux (a, a); l'instrument s'ouvre avec facilité en pressante pleine main les deux branches (b, b) et se ferme de lui-même
it plus haut, par une érigne (d), le bord sain de l'organe tenu de la main gauche du chi-rurgien (e), une première section l
la division étant saisie et fixée par la pince à anneaux, tenue de la main gauche (c), le voile membraneux est perforé, d'ar
munie de son fil et fixée à l'extrémité du porte-aiguille, tenu de la main droite du chirur-gien (cl). Cette manœuvre est la
côté opposé est prêt à ramener l'autre extrémité de la ligature. h. Main droite du chirurgien qui tient le manche de l'ins
la pince et la tige de l'aiguille qu'elle renferme. i. Doigts de la main gauche qui tendent l'extrémité de la ligature (
Bord gauche de la division fixé avec la pince à anneaux tenue de la main gauche du chirurgien. b. Bistouri droit boutonn
la main gauche du chirurgien. b. Bistouri droit boutonné tenu de la main droite, le tranchant en haut, et qui opère la s
ar leur écartement, les extrémités des fils, fixées dans la paume des mains , ap-puyant sur la pulpe des pouces qui font pouli
petit nombre de ceux dont le mécanisme est supérieur à l'action de la main la plus exercée. Une canule (a), qui tient au m
'une amygdale saisie avec l'érigne double de Museux (a) tenue de la main gauche, tandis que la section est prati-quée de l
) tenue de la main gauche, tandis que la section est prati-quée de la main droite (b) avec le bistouri droit boutonné garni
. Dans le moment choisi pour l'opération, le médius et le pouce de la main droite (a) fixant l'extrémité de la sonde pour l'
'indicateur la dirige vers l'arrière bouche, le fil nasal tiré par la main gauche (b) ramène par l'une des narines l'extrémi
de longueur vient d'être pratiquée en regard du corps étranger. h. Main droite du chirurgien armée soit du bistouri (7) q
r-gien, est chargé de suspendre le cours du sang; avec le pouce de la main gauche (a) il comprime l'artère sous-clavière à s
re côte, et, pour plus de précaution, les trois premiers doigts de la main droite (b) du même aide compriment immédiatement
s, au moment où en est l'opération le chirurgien, qui dirige à pleine main la masse cancéreuse (c), achève de la séparer ave
entre les huitième et neuvième côtes. Le pouce et l'indicateur de la main gauche du chirurgien, appuyée sur l'une et l'autr
gauche, l'abdomen mis à découvert, un aide de face applique les deux mains (a et b) sur l'abdomen, prêt à pratiquer la compr
lsion du liquide après la ponction. Le chirur-gien placé à droite, la main gauche (c) étendue sur lhypogastre, vient de ponc
ndue sur lhypogastre, vient de ponctionner avec le trocart tenu de la main droite (d). Au moment figuré de l'opération, la p
réduction d'une masse d'intestin sortie au dehors Les doigts de la main écartant mollement les anses intestinales, et le
ient d'être pratiquée pour une plaie longitudinale; pendant que de la main gauche le chirurgien contient les deux extrémités
hirurgien contient les deux extrémités du fil , avec les doigts de la main droite il est occupé à opérer le débridement de l
le bassin, le chirurgien, qui renferme la tumeur dans la paume de la main droite (a), chasse graduellement, parles mouve-me
viscères vers l'anneau inguinal externe, tandis que les doigts de la main gauche (b) retiennent dans l'abdomen et dans le c
ntérocèle du côté droit; la manœuvre diffère peu de la précédente. La main qui enveloppe la tumeur dirige les mouve-mens de
xterne du canal crural acci-dentel , tandis que les doigts de l'autre main font remonter les vis-cères verticalement dans ce
ouvelle et très importante a réussi déjà deux fois de suite entre les mains de son auteur M. Amussat. C'est la méthode de Cal
nd, l'opération peut être faite seulement sur la sonde cannelée. a. Main gauche du chirurgien armée de la sonde cannelée q
uleux et dont le bec recourbé ressort à l'ex-térieur par l'anus. b. Main droite du chirurgien occupée à inciser le pont ch
le rectum étant dénudé. Le sujet est couché sur le côté malade. a. Main d'un aide de face, qui soulève la fesse du côté o
face, qui soulève la fesse du côté opposé à la fistule. b. Autre main du même aide, qui tient fixement le gorgeret insi
et dans la cannelure duquel appuie le bec de la sonde cannelée. c. Main gauche du chirurgien qui tient la sonde cannelée.
lée. c. Main gauche du chirurgien qui tient la sonde cannelée. d. Main gauche du chirurgien occupée à fendre les chairs
es tandis qu'avec des ciseaux courbes à longues branches, tenus de la main droite, le chirurgien excise circulairement l'int
e une plaie à deux lambeaux qui sont maintenus renversés par les deux mains d'un aide (a,b); une sonde (c) est introduite dan
on d'hydrocèle par ponction (côté gauche). La tumeur embrassée par la main gauche du chirurgien, de manière à faire saillir
anière à faire saillir son extrémité inférieure, l'opérateur, avec la main droite, est occupé à pratiquer la ponction avec l
tant faite, tandis qu'un aide, avec l'indicateur et le pouce des deux mains (a et b) agissant comme une pince, écarte à l'ext
xtérieur les enveloppes testiculaires, le chirurgien, soulevant de sa main gauche et faisant basculer le testicule cancé-reu
gauche et faisant basculer le testicule cancé-reux, est occupé de la main droite à diviser les adhérences de la tunique vag
ETAUX POUR FIXER LES LITHOTK1TEUKS DE LA VESSIE. 67, 68, 69 Etaux à main , de MM. Amussat et (69)Ségalas.—70. Grand élan, d
du bec de la sonde par l'orifice de l'urètre. Le pénis est fixé de la main gauche (a). Le prépuce abaissé par le médius et
in maintenu en-tre le pouce et l'indicateur, la sonde est tenue de la main droite (b), par son pavillon. Le curseur servira
trer l'instrument. Figure 2. [Deuxième temps. Sonde 'verticale.) La main gauche (a), soulevant le pénis par le frein, la s
vant le pénis par le frein, la sonde est fixée par trois doigts de la main droite (b), l'indicateur appuyé sur l'orifice, ou
, n° 66) étant ouvert dans la vessie (a), sa tige est soutenue par la main gauche du chirurgien (b), tandis que les doigts d
nue par la main gauche du chirurgien (b), tandis que les doigts de la main droite (c), passés dans les anneaux, font agir l'
vessie par le rectum, avec le même instru-ment. Le troeart tenu de la main droite (a) glisse sur l'indicateur gauche (b), in
-d'Etiolles, d'un fort calcul urétral à trois fragmens articulés, (a) Main d'un aide qui soulève les parties génitales; (b,
calcul. Le manche du litholabe (Pl. 61, fig. 5) est fixé par les deux mains (a etb) d'un aide placé à la droite de l'opérateu
fig. 20). Le chirurgien est placé entre les jambes du malade; de la main gau-che (a) il fixe le manche de l'instrument, et
, a été posée par M. Leroy-d'Etiolles, telle qu'il la pratique. De sa main gauche (a) l'opérateur saisit l'instrument le pou
r contenir la branche mâle et empêcher que le calcul n'échappe. Cette main est fixée comme il est vu sur la figure par les d
sur la figure par les deux d'un aide (b, ç) pour résister au choc. La main droite de l'opérateur (d) tient le marteau pour f
me chirurgien pour fixer le percuteur. Le pouce et l'indicateur de la main gauche fixant le talon de l'instrument, la main d
et l'indicateur de la main gauche fixant le talon de l'instrument, la main droite qui tient le pignon résiste au choc du mar
rateur à mouvement de rotation de M. Pravaz, supporté par un étau à main de M. Ségalas. 2° Usure concentrique ou périphé
t-Bey. 26. Quadruple poignée de M. Bancal, que l'on saisit à pleine main . La force agissante est ici brusque, irrégulièr
n. 1° A l'extrémité une plaque (a) pour appuyer avec la paume de la main . 2" A un degré plus fort une crémaillère (b) mue
Figure 1. (Demi-nalure). Incision, extérieure. Un aide ticnl d'une main (a) le cathéter el de l'autre, soulève le scrotum
on étant pra-tiquée, le chirurgien reconnaît, avec l'indicateur de la main gauche (c), le bord de la cannelure du cathéter p
annelure du cathéter pour y plonger la pointe du bistouri, tenu de la main droite (d). Figure 2. (Demi-nature.) Section de
es tenettes dans la taille latéralisée (Suile de la planche 62). a. Main de l'aide qui soulève le scrotum. b, c. Mains d
e la planche 62). a. Main de l'aide qui soulève le scrotum. b, c. Mains du chirurgien qui tiennent les tenettes. Le pouce
u chirurgien qui tiennent les tenettes. Le pouce et l'annulaire de la main droite sont passés dans les anneaux. La main gauc
uce et l'annulaire de la main droite sont passés dans les anneaux. La main gauche fixe les bran-ches de l'instrument avec le
. Figure 1. (Demi-nature.) incision extérieure. Un aide tient d'une main (a) le cathéter bien vertical, et de l'autre (b)
orme un arc d'environ 100°, étant terminée, le doigt indicateur de la main gauche (c) reconnaît le cathéter sur lequel va in
le cathéter sur lequel va inciser l'instrument tranchant, tenu de la main droite (d). Figure 2. (Grandeur naturelle.) Sec
. — C. Vaisseaux honteux in-ternes. — D. Section de la prostate. — a. Main droite du chirurgien qui fait agir le lithotome.
Incision extérieure. Le cathéter est tenu bien verticalement par une main (a) d'un aide, dont l'autre main (b) soulève le s
est tenu bien verticalement par une main (a) d'un aide, dont l'autre main (b) soulève le scrotum. Le chirurgien qui a prati
ant en arrière, dans la cannelure du cathéter, le bistouri tenu de la main droite (c). Figure 2. (Grandeur naturelle.) Vue
cathéter (d), qui dirige le bistouri avec lequel le chirurgien, de la main droite (e), termine l'incision. Figure 3. (Gran
amène du bas-fond de la vessie le calcul avec la curette tenue de la main droite (c). Figure 2. La curette (c) qui empêch
lcul de retomber, étant confiée à un aide, le chirurgien, de ses deux mains (a et b), est occupé à extraire le calcul avec la
-clitoridien. C. Incision verticale sous-pubienne, pratiquée par la main droite du chirurgien. Figure 2. Extraction du c
es tenettes. FIGURE 3. TAILLE VESTIBULAIRE. a, b. Doigts des deux mains d'un aide, qui écartent les lèvres de la vulve.
s des deux mains d'un aide, qui écartent les lèvres de la vulve. c. Main gauche du chirurgien, année du cathéter, qui dépr
Section transversale, en arc, de l'espace vestibulaire, opérée parla main droite du chirurgien. Tome 7. Pl.65. D'aprè
nstrument, dans son entier, représente la lettre K. La pression de la main sur la branche courbe (d), qui l'applique contre
ponction, opérée à la profondeur voulue, le chirurgien fixant, d'une main la tige (a) contre le pubis ; de l'autre main, ti
hirurgien fixant, d'une main la tige (a) contre le pubis ; de l'autre main , tire sur le levier (b), et dégage la lame (c) de
), enfoncée dans le polype qu'elle sert à gouverner, est tenue par la main gauche de l'opérateur, dont la main droite armée
ert à gouverner, est tenue par la main gauche de l'opérateur, dont la main droite armée d'un long bis-touri utérin, concave
ire étant amené au dehors et confié à un aide qui le fixe de ses deux mains (c, d ) , le chirurgien qui pince entre les doigt
s deux mains (c, d ) , le chirurgien qui pince entre les doigts de sa main gauche (e) l'insertion utérine du ligament large,
ain gauche (e) l'insertion utérine du ligament large, pratique, de sa main droite (f ) , la section avec le bistouri convexe
rétroversion. Figure 1. Ponction de iutérus par le -vagin. (a) . Main gauche du chirurgien appliquée sur l'bypogastre e
contien l'utérus pour faciliter la ponction avec le trocart. (b) . Main droite du chirurgien armée du trocart dont la tig
l'instrument. Figure 2. Ponction de V utérus par le rectum. (a). Main droite du chirurgien armée du trocart. dont la ti
onfiée à un aide, le chirurgien qui a saisi l'autre érigne (d), de sa main gauche, s'en sert pour gouverner le lambeau circu
li par le cancer. Gouvernant alterna-tivement l'une des érignes de sa main gauche (a), tandis que l'autre (b), confiée à un
che, de peur qu'il ne se détache en coupant sur la première ; avec la main droite, armée d'un bistouri à long manche (c), le
'opérateur, contient le vagin entre le pouce et l'indicateur des deux mains (a, b), pour empêcher les viscères de redescendre
ut dans le sac péritonéal sont fixés par la pression des doigts de la main gauche d'un aide (a), tandis que le chirurgien, d
igts de la main gauche d'un aide (a), tandis que le chirurgien, de la main gauche ( b), renversant sur lui-même l'utérus (c)
opération , l'utérus amené au dehors est saisi entre les doigts de la main gauche du chirurgien. En avant est le museau de t
seau de tanche avec le plan de section circulaire du vagin (c). De la main droite le chirurgien est occupé à pratiquer avec
on (a) ayant été pratiquée sur la ligne blanche, un aide, de ses deux mains (b, c) écarte la plaie et contient les intestins
s larges (d). Au moment choisi de l'opération, il élève l'utérus delà main gauche (e) tandis que la main droite (f), armée d
de l'opération, il élève l'utérus delà main gauche (e) tandis que la main droite (f), armée d'un bistouri convexe, pratique
C. Membranes d'enveloppe déchirées et flottantes dans la plaie. D. Main gauche du chirurgien qui écarte la lèvre droite d
on de la paroi abdominale. B. Section de la paroi de l'utérus. C. Main d'un aide qui soulève la paroi abdominale. D. M
e l'utérus. C. Main d'un aide qui soulève la paroi abdominale. D. Main droite du chirurgien qui tient les membres abdomi
sée dans l'utérus et remontant sur le dos du fœtus. L'accord des deux mains , a pour objet de rappeler la tête par un mouvemen
xième temps). Un aide, placé debout derrière le malade, tient de sa main gauche (a) l'élé-vateur de Pellier, et de sa main
malade, tient de sa main gauche (a) l'élé-vateur de Pellier, et de sa main droite (b) l'érigne qui fixe le globe de l'œil. U
droite (b) l'érigne qui fixe le globe de l'œil. Un autre aide, d'une main (c), tient le crochet abaisseur de la paupière in
et de l'autre (d) maintient fermé l'œil sain. L'opérateur tient de sa main gauche (e) le crochet mousse passé sous le muscle
es (ligure 7), dont l'une (a) est tenue par un aide el l'antre par la main gauche de l'opérateur : celui-ci de sa main droit
un aide el l'antre par la main gauche de l'opérateur : celui-ci de sa main droite (c), opère d'un seul coup la section avec
édé de M. Baudens. Figure 1. L'élévateur de Pellier est tenu par la main gauche (a) de l'aide placé en arrière, dont la ma
r est tenu par la main gauche (a) de l'aide placé en arrière, dont la main gauche (b) maintient fermé l'œil sain : un antre
aide lient le crochet abaisseur de la paupière inférieure (c). De sa main gauche (d), le chirurgien tient l'érigne simple q
tient l'érigne simple qui fixe le lendon du muscle; tandis qu'avec sa main droite (e) il incise, avec le myotome courbe, la
rière. PLANCHE D. FIGURES 1 et 2. Procédé de M. Amussat. (a, b) Mains d'un aide dont l'une lient le crochet élévateur e
) la pince à griffes qui fait opposition à celle du chirurgien. — (c) Main d'un autre aide qui tient le crochet abaisseur. —
tient le crochet abaisseur. — (d) Pince à griffe fermante tenue de la main gauche du chirurgien el qui s'harmonise avec cell
li vertical de la conjonctive et du fascia. — (d) Ciseaux tenus de la main droite qui incise perpendiculairement le pli soul
M. Bonnet. Figure 4. La inain gauche s'appuyant sur le front; de la main droite, le chirurgien amène sous la peau le muscl
res l, 2, 3, 4. Premier procédé par ponction de la conjonctive. (a) Main gauche d'un aide armée du refouleur qui maintient
n aide armée du refouleur qui maintient la paupière supérieure. — (b) Main droite du même aide qui soulève la conjonctive av
c) Refouleur de la paupière inférieure, tenu par un autre aide. — (d) Main gauche du chirurgien armée de la seconde érigne.
de. — (d) Main gauche du chirurgien armée de la seconde érigne. — (e) Main droite occupée à ponctionner la conjonctive et le
e chirurgien, saisissant l'organe latéralement entre les doigts de sa main gauche b, pra-tique une première section de bas e
première section de bas en haut avec le bistouri à fistule tenu de la main droite e. FIGURES 4 et 5. Cicatrices de la lang
ée a, le chirurgien la fixe en bas par une autre érigne b tenue de la main gauche b, tandis que de la main droite c armée du
as par une autre érigne b tenue de la main gauche b, tandis que de la main droite c armée du myo-tome de Dieffenbach, il pra
e, le frein de la langue étant soulevé avec une éri-gue a tenue de la main gauche , de la main droite d le chirurgien pra-ti
ngue étant soulevé avec une éri-gue a tenue de la main gauche , de la main droite d le chirurgien pra-tique la section d'un
e la section des tendons des génio-glosses; le doigt indicateur de la main gauche b, introduit dans la bouche, guide le bout
r. La langue étant soulevée avec le doigt indicateur gauche a, rie la main droite b, armée du petit bistouri mousse (figure
on avec la lancette de l'auteur. Un pli à la peau est pratiqué par la main droite d'un aide (a) et la main gauche de l'opéra
Un pli à la peau est pratiqué par la main droite d'un aide (a) et la main gauche de l'opéra-teur (b) ; de sa main droile ce
in droite d'un aide (a) et la main gauche de l'opéra-teur (b) ; de sa main droile ce dernier perfore les tégumens. — Figure
Premier temps de la section du tendon d'Achille. Un aide, de ses deux mains (a, b ), maintient le pied en appuyant dans le se
rus. Un aide (a) appuie sur le talon pour le ramener en dehors. De sa main gauche (b) le chirurgien tend les orteils et prat
sa main gauche (b) le chirurgien tend les orteils et pratique avec sa main droile (c) la section sous-cutanée. Comme on le v
cas de rétraction de la figure 4. Les orteils étant éten-dus par les mains d'un aide (a, b), le chirurgien pratique la secti
n des plus beaux faits de la pratique de M. J. Guérin. Figure 7. a b, mains d'un aide qui pratique l'extension des orteils ;
re 7. a b, mains d'un aide qui pratique l'extension des orteils ; (c) main gauche du chirurgien qui rappelle en arrière le c
main gauche du chirurgien qui rappelle en arrière le calcanéum ; (d) main droite armée du ténotome et occupée à pratiquer l
E 3. Section sus-tendineuse du jambier antérieur. Un aide de ses deux mains (a, b) fixe la jambe. Le chirurgien de sa main ga
. Un aide de ses deux mains (a, b) fixe la jambe. Le chirurgien de sa main gauche (c) pèse sur le bord interne du pied, dans
sur le bord interne du pied, dans le sens de sa direction normale; la main droite, armée du ténotome, pratique la section su
tendineuse du tendon du jambier postérieur. Le doigt indicateur de la main gauche du chirurgien (a) fixe le tendon contre l'
(a) fixe le tendon contre l'angle postérieur et interne du tibia; la main droite (b), armée du ténotome dont le tranchant e
tion est faite sur le cas de difformité représentée figure 1. (a, b), mains d'un aide qui fixe le pied. La main droite en par
té représentée figure 1. (a, b), mains d'un aide qui fixe le pied. La main droite en particulier (a) se dispose à ramener le
(a) se dispose à ramener le pied dans l'extension et l'abduction, (c) Main d'un autre aide qui fixe la jambe, (d) Main gauch
nsion et l'abduction, (c) Main d'un autre aide qui fixe la jambe, (d) Main gauche du chirurgien dont l'extrémité des doigts
raux au-dessus el en arrière de la malléole externe. Un aide, de, ses mains ( a, b ), fixe le pied tout prêt a abaisser son b
a abaisser son bord interne ; le chirurgien, avec l'indicateur de la main gauche (c), fixe les tendons contre le péroné, ta
main gauche (c), fixe les tendons contre le péroné, tandis que, de sa main droite armée du ténotome dont le tranchant est to
lance de son insertion, au cinquièmemétatarsien. L'em-ploi des quatre mains est le même que dans la ligure précédente. Les de
des quatre mains est le même que dans la ligure précédente. Les deux mains de l'aide (a, b) tendent à redresser le bord exte
er le bord externe du pied; les deux doigts indicateur et médius delà main gauche du chirurgien (c) pressent sur le tendon q
là main gauche du chirurgien (c) pressent sur le tendon que divise la main droile armée du lénotome. FIGURE ô. Pied talus.
. Le pied étant de lui-même à l'état de demi-flexion forcée, les deux mains d'un aide 'a, b) le saisissent prêles à le ramene
sissent prêles à le ramener dans l'extension. Avec les doigts de sa main gauche (c) le chirurgien appuie sur le tendon de
e tendon de l'extenseur commun au-dessus du ligament annulaire, et la main droile (d) en pratique la section sous-cutanée. P
évrose fascia lata (a fig. 6), la pipûre faite d'arrière en avant. La main gauche d'un aide (a) faisant point d'appui en ded
ain gauche d'un aide (a) faisant point d'appui en dedans, la pareille main du chirurgien , dont l'indicateur presse sur l'in
our obtenir le redressement du membre incurvé sur sa face externe. La main droite de l'opérateur, armée du ténotome, pratiqu
demi membraneux; la piqûre faite d'avant en arrière ; un aide dont la main gauche (a), forme point d'appui sous la rotule, t
la main gauche (a), forme point d'appui sous la rotule, tandis que sa main droite (b) pèse en bas sur la face postérieure de
redressement vertical du membre par l'extension. Le chirurgien, de sa main gauche (c), réagit en sens inverse sur la face po
réagit en sens inverse sur la face postérieure de la cuisse, et de sa main droite (b), pratique la section sus-tendineuse.
avec la position du malade commune à toutes les opérations. Les deux mains ( a, b) d'un aide, placé debout derrière le malad
ation est la ponction sous-cutanée; un pli à la peau est formé par la main droite d'un second aide (c) agissant de concert a
é par la main droite d'un second aide (c) agissant de concert avec la main gauche du chirurgien (d), tandis que ce dernier p
(d), tandis que ce dernier pratique la ponction sous-cutanée avec sa main droite (e) armée du petit bistouri ( fig. 8 ).
inyotome ( fig. 9). Figure 6. Premier temps. Le doigt médius de la main gauche (a) étant insinué, revêtu de la peau, sous
le bord interne du muscle, la face pal-maire tournée en avant; de sa main droite, armée d'un myotome, tenu comme une plume
M. Bouvier. ) FIGURE 12. Section du tendon du cubital antérieur. La main d'un aide (a) fixe celle du malade dont elle tend
malade dont elle tend le bord cubital avec le doigt indicateur de sa main gauche (b). Le chirurgien fait saillir le tendon
it saillir le tendon qu'il pousse au-devant de l'instrument, et de sa main droite (c), armée du ténolome, il en fait la sect
ans le cas de rétraction des tendons fléchisseurs, comme l'indique la main (figure 12) copiée d'après nature, les doigts éta
2) copiée d'après nature, les doigts étant fléchis sur la paume de la main et cet organe en entier sur l'avant-bras. La sect
nt celte opération ail eu des résultats cura tifs salisfaisans. !a) Main d'un aide qui pratique l'extension en masse de la
faisans. !a) Main d'un aide qui pratique l'extension en masse de la main (b); (b) main droite du chirurgien occupée à coupe
) Main d'un aide qui pratique l'extension en masse de la main(b); (b) main droite du chirurgien occupée à couper l'un des te
urgien occupée à couper l'un des tendons que fixe l'indi-cateur de sa main gauclie(c). FIGURE 14. Rétraction du tendon du
est faite sur le bord interne. Le chirurgien tenant le ténolome de sa main gauche (a) appuie avec les trois derniers doigts
vec les deux veines et le nerf médian; avec le doigt indicateur de sa main gauche (b, il déprime également les chairs sur le
fig. 4) et courbes (fig. 5). PONCTION DE L'EMPYÈME. FIGURE i. (a) Main gauche d'un aide qui fixe l'extrémité supérieure
supérieure du pli cutané dont l'extrémité inférieure est tenue par la main gauche du chirurgien (b), (c) Main droite du ch
mité inférieure est tenue par la main gauche du chirurgien (b), (c) Main droite du chirurgien, armée du trocart courbe et
14 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
emme, 44 ans. Depuis plusieurs années, augmentation de volume de la main et des doigts, avec coloration rouge vio- lacé.
galie, Paris, 1890. (3) Souques et GASNE, Un cas d'hypertrophie des mains et des pieds avec troubles vasomoteurs des extr
ue (Nouv. Iconog. de la Salpétrière, 1892, p. 281). 4 poilu Les mains sont très grandes et très larges, mais régulièrem
vers de doigts au-dessus du poignet ; elle envahit à la fois toute la main sans qu'on puisse remarquer si elle commence pa
nière. Antécédents syphilitiques (syphilis conjugale), en 1887, les mains commencent à enfler. Depuis deux ans, gonflemen
. En 1893, vue par le Dr Meyer qui constate : du gonfle- ment de la main et une augmentation considérable du volume des ja
s deux jambes avec troubles vaso- moteurs d'allure particulière aux mains et aux pieds (Deutsche med. Vochenschr. 1894, p
une coloration livide et froids au toucher. Mêmes constatations aux mains . Pendant l'examen, une coloration rouge franc a
e 23 ans. Depuis l'âge de 6 ans, remarque que, pendant l'hiver, ses mains sont cyaniques et augmentent de volume, tan- di
nts, des sensations de froid et de doigts morts, plus accentués aux mains qu'aux pieds. Ces parties sont d'un bleu som- b
PÉHU Au moment de l'examen, le malade se plaint de paresthésie aux mains . Pas de céphalées. Circonférence de la tête 58-
laires normaux. Le thymus n'est pas appréciable. Les doigts et les mains sont t jusqu'à deux ou trois centimètres au-des
ches d'un rouge brique; la limite est franchement circu- laire. Les mains sont froides et humides, fortement épaissies, mai
aient en aucune façon à cette aug- mentation de volume. La peau des mains est épaisse. Sensibilité tactile et ther- mique
ration importante. La cyanose et la paresthésie rétrocédèrent ; les mains diminuèrent de volume, de même que les pieds.
t ont augmenté de volume. Peu à peu, également, la face dorsale des mains est hypertrophiée. Pas de douleurs vraies, mais
s il n'y a eu de syncope locale. Examen de M. Cassirer ; les deux mains , jusqu'au poignet sont d'un bleu cyanotique. La
et persiste même dans une chambre chaude. La malade a toujours aux mains une sensation subjective de froid. Les doigts s
argis et se terminent d'une façon ordinaire. La peau sur le dos de la main et à l'origine des phalanges est fortement boti
vants. Jamais d'engelures. D'aussi loin qu'il peut se souvenir, ses mains ont toujours été colorées en été plus rouges, e
yanose a été beaucoup plus prononcée dans ces dernières années; les mains sont devenues peu à peu inhabiles, si bien qu'il
eu de gonflement de la lèvre supérieure. Examen du Dr Cassirer. Les mains sont déviées sur le bord cubital ; les 3e et 4e
viées sur le bord cubital ; les 3e et 4e doigts sont fléchis sur la main , et fixés dans cette position. Cette défor- mat
uis la naissance. Les doigts sont fortement cyanosés, tandis que la main elle-même est violette, mais d'une teinte beaucou
extrémités et du visage, après une asphyxie locale. Dans l'hiver, les mains et les pieds deviennent froids, d'un bleu viola
, 1890-91, hiver très rigoureux, il s'aperçoit un jour que ses deux mains sont gonflées ; elles sont pâles, livides ; il l'
anormal. Depuis lors, toutes les fois qu'il travaille au froid, ses mains augmentent fortement de volume, s'engourdissent
nt, mais restent pâles. Quand il entre dans une chambre chaude, ses mains diminuent un peu de volume, mais restent cepend
avant, il n'éprouve ni sensation de chaud ni sensation de froid aux mains . Il remarque seulement que la sensibilité est u
mplète- ment. Le malade ne remarque plus rien d'anormal du côté des mains . L'hiver suivant, aux premiers froids, le malad
aux premiers froids, le malade observe les mêmes phéno- mènes. Les mains restent toujours pâles, mais il n'éprouve aucune
pâles, mais il n'éprouve aucune douleur. Jamais d'aagelures, ni aux mains , ni aux pieds. Il affirme qu'il a toujours beau
s, ni aux pieds. Il affirme qu'il a toujours beaucoup transpiré des mains et des pieds ; il ne remarque pas à ce moment q
et n'avait par conséquent, pas été gêné par sa chaussure. Comme les mains , les pieds aug- mentent de volume sous l'influe
e les fait augmenter aussi ; ils restent toujours pâles ; comme les mains et en même temps qu'elles, ces régions subissen
que plus rien d'anor- mal, mais transpire toujours passablement des mains et des pieds. Depuis deux ans environ, la color
des mains et des pieds. Depuis deux ans environ, la coloration des mains et des pieds change. La peau devient rouge, pui
n violette, le malade com- mençait à éprouver des douleurs dans les mains ; c'étaient des sortes de picote- ments ; il lu
persiste tout le temps. Il remarque qu'il a de la peine à fermer la main , à serrer un objet ou à exécuter un mouvement de
u même moment, apparaissent des douleurs, des picotements comme aux mains . Ces picotements se produisent surtout au nivea
vail. Depuis quelque temps en effet, il ne peut rien tenir dans ses mains . A certains moments ses mains se tordent en dehor
effet, il ne peut rien tenir dans ses mains. A certains moments ses mains se tordent en dehors, surtout du côté droit et
douleurs aug- mentent, les transpirations aussi ; il a toujours les mains moites, les pieds humides. Depuis le milieu d
t pas resté alité. Il peut encore écrire, mais avec difficulté : la main droite a toujours été un peu moins gonflée que
' Le malade se plaint toujours de douleurs plus ou moins vives aux mains et aux pieds, il éprouve des picotements et des
les sensations tactile et stéréognostique sont bien conservées. Les mains ont une coloration qui varie du rouge au violet :
moindre à la face antérieure qu'à la face postérieure. La paume de la main est indemne : la couleur de la peau est légèrem
eds sont colorés. Mais la teinte est beaucoup moins accusée qu'à la main . Les orteils seuls sont violacés sur la face dors
places ayant un aspect normal. Il faut encore noter que l'axe de la main surtout à gauche ne continue pas celui de l'ava
faces osseuses sont absolument saines (Pl. Il). Sur la peau de la main , principalement à gauche, et avec uue prédominanc
pérature ou à une émotion. Mais jamais il n'y a de la pâleur. Les mains et les pieds sont toujours humides, même lorsque
gauche plus que la droite. On constate une augmentation de toute la main : en outre, du côté gauche, il existe une forte
ie large commence à la phalange, comme dans le spina-ven- tosa. Les mains subissent ainsi des changements de volume, sans q
ation locale. Il a atteint au bout d'une heure seulement 33°1 pour la main droite et 3 : i° au bout de 52 minutes pour la
nt 33°1 pour la main droite et 3 : i° au bout de 52 minutes pour la main gauche : pour cette dernière, l'ascension a été
: les phénomènes ont débuté en même temps que pour les pieds et les mains . Les cheveux sont châtains, bien implantés, san
éron : radiale gauche 7, radiale droite 8 ; au tonomètre de Gartner : main droite 7 ; main gauche, 7. 17. -- Les douleur
che 7, radiale droite 8 ; au tonomètre de Gartner : main droite 7 ; main gauche, 7. 17. -- Les douleurs sont toujours au
uillement et de douleurs cuisantes se produisait régulièrement. Les mains et les pieds sont également douloureux. Les poi
. La force musculaire ne revient pas. Au dynamomètre on obtient : Main droite, 9 40. Main gauche, 19. La main gauche
re ne revient pas. Au dynamomètre on obtient : Main droite, 9 40. Main gauche, 19. La main gauche est en effet beaucou
dynamomètre on obtient : Main droite, 9 40. Main gauche, 19. La main gauche est en effet beaucoup moins habile que pré
ée, on avait fait exécuter une photographie et une radiographie des mains . On a pris à la date du 1 cr octobre un tracé d
deux doigts L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 15 de chaque main , avec l'appareil : plélysmographe digital de M. H
HYPERTROPHIANTE 17 ration cyanique très accusée des extrémités, les mains étant les plus frap- pées, en des phénomènes su
ans qui, depuis l'âge de 12 ans, disait présenter de l'asphyxie des mains . Postérieurement élaient survenues des douleurs ;
ous, il y avait une augmentation marquée du volume des pieds et des mains , avec de la (1) Souques, Maladie de Raynaud de
juin 1902). (2) H. Hihsciifeld, Sur une augmentation de volume des mains et des pieds d'origine névrilique (Zeitschr. f.
ient insensiblement plus marquée et plus durable. Un gonflement des mains d'abord intermittent, puis permanent, s'installe.
a peau, l'engour- dissement des doitgs, le gonflement général de la main . 20 péuu Tout d'abord, ces symptômes incommod
t pris à leur tour. La succession des phénomènes est la même qu'aux mains . A ce mo- ment le malade songe à solliciter son
al : il est fort incommodé et gêné même dans son tra- vail, car ses mains sont inhabiles aux actes de son métier, même sans
années, on est tout d'abord frappé de l'aspect vraiment spécial des mains avec leur teinte et leur forme particulières. La
u pulmonaire : cette coloration est diffusément étalée sur toute la main , sans prédominance pour telle ou telle région. Qu
'au milieu de la face dorsale. La plante du pied, et la paume de la main sont respectées, probablement parce que le régime
rogressif chronique, il faut ajouter l'augmentation du volume de la main , J'hypertrophie. Celle-ci, comme le démontre l'
hie des parties molles est surtout accentuée au niveau du dos de la main et à la racine des doigts, au voisinagede l'ar-
isinagede l'ar- ticulation métacarpo-phalangienne : de la sorte, la main n'a pas cetaspect en massue, en battoir de l'ac
ntosa. Et cependant malgré cette apparence oedémateuse du dos de la main , la pression ne fait aucun godet : il s'agit d'un
ervations publiées par M. Cassirer, et dans la nôtre aussi, une des mains ou toutes les deux, sont déviées vers le bord cub
énéral, très augmentée : les malades disent avoir constam- ment les mains humides. Fréquemment les sujets accusent des do
n marquée el que la cya- nose et la paresthésie rétrocédèrent : les mains elles pieds diminuèrent de volume. Mais dans to
ntile. En second lieu, trois fois (obs.7,8 et 9) il est dit que les mains sont dans une attitude anormale^ que leur axe n
nt du moulage du musée de St-Louis, on trouve à côté du visage,deux mains de coloration asphyxique, sans lésions apparen-
une dactylite scrofulotuberculeuse avec état cyanique permanent des mains et des pieds. Sous ces dénominations diverses, pa
sans nulle autre malformation et nulle tare héréditaire, porte à la main gauche l'énorme médius figuré ci-dessous ; longte
intense, les heurts douloureux sont si fréquents, l'impotence de la main est telle que finalement l'opération nécessaire
endrons dans ce sens; dès maintenant la fillette se sert bien de sa main et le résultat fonctionnel est très satisfaisant.
t que leur exérèse d'ensemble soit denatnre àdéformergra- vement la main , il y a lieu, évidemment, de se demander si le ré
imètres, sur une circonférence de 7 centimètres. Six mois après, la main et le bras correspondant sont nota- blement hyp
loppée ; elle porte sur tout le membre et sur la moitié interne de la main , le lipome a pris, de son côté, de grandes dime
prochent et peu à peu sont ramenés au parallélisme, restituant à la main une forme plus régulière et surtout une meilleure
tre est la même des deux côtés (30). Le malade peut se servir de la main droite pour tous les actes usuels (s'habiller,
e vous faites. Permettez même à chacune de tenir ses voisins par la main . Nous aurons là, personne ne le niera, « de la
mp visuel n'était pas retourné ; il finit par voir ses pieds et ses mains là où il les sentait. Cela revient à dire qu'il a
devant un pupitre où se trouve un livre ouvert, et tenant dans- sa main gauche un urinal. Il s'agit d'une image symboli
eure est celle d'un homme coiffé du bonnet doctoral, tenant dans la main droite un urinal, qu'il montre avec l'index de la
nant dans la main droite un urinal, qu'il montre avec l'index de la main gauche. La partie inférieure est un corps d'ani
e. L'Urologue est debout devant un pupitre, tenant l'urinai dans la main droite, appuyant sa main gauche sur une escarce
devant un pupitre, tenant l'urinai dans la main droite, appuyant sa main gauche sur une escarcelle. « Les médecins n'a-
ressemblance. Ici, le personnage principal est le médecin. De la main droite, il lève en l'air l'urinal et se tourne
poignets des fraises molles. Assis près d'une table, il élève de la main gauche l'urinai qu'il regarde par transparence. S
ien, armé d'un fin bistouri, semble faire une légère incision de la main droite, tandis qu'avec les doigts de la main ga
légère incision de la main droite, tandis qu'avec les doigts de la main gauche il ramène vers lui la tête du patient, qui
, qui semble être aussi de la maison, se chauffe tranquillement les mains devant le feu. A gauche, près de la fenêtre,
Il est assis derrière une table recouverte d'un tapis rouge. De la main gauche, il tient l'urinai qu'il dirige, vers la l
main gauche, il tient l'urinai qu'il dirige, vers la lumière ; de la main droite, il s'apprête à écrire une ordonnance. A
t les politesses d'usage, la figure du vieillard qui se chauffe les mains , celle d'un domes- tique qui cherche à saisir s
is, en outre, derrière l'urologue, une commère se tient debout, les mains sous son tablier, souriant d'un air entendu. No
x. Le thénar et l'hypothénar ont eux aussi diminué de volume; cette main toutefois est un peu acromégale dans son ensemb
u'il avait à mouvoir son épaule, il remarqua également que ses deux mains étaient devenues insensibles à la douleur. L'exam
sée, mais le malade sent les conlacts dans toutes les parties de la main . Toutefois l'exploration avec l'estliésiom8tre
-analgésie n'est plus absolue à la face dorsale des phalanges de la main gauche. A la face postérieure La thermo-analgés
a malade ne peut reconnaître les objets. Quand on lui pré- sente la main , elle voit quelque chose mais ne reconnaît ni la
musculaires persistent au niveau du bord radial. Au niveau de la main , amoindrissement considérable des éminences théna
PROGRESSIVE 113 Il y a des rétractions tendineuses au niveau de la main ; les doigts sont en flexion permanente dans la
on complète est impossible pour les trois premiers doigts de chaque main et ne se fait qu'avec peine pour les deux derni
est lente et peu puissante; cependant le malade arrive à fermer sa main ; les mouvements d'opposition du pouce se font bi
porter le membre supérieur dans la direction du verre ; une fois la main contre le verre, en s'aidant de la main opposée,
tion du verre ; une fois la main contre le verre, en s'aidant de la main opposée, il le saisit,- le mobilise, le soulève
onnaît avec beaucoup de lenteur les objets usuels qu'on met dans sa main . Les réflexes tendineux sont totalement abolis
parentes, se traduisant surtout par des mouvements de flexion de la main et des doigts, surtout de l'index. Commencent à
aucun trouble du sens de la direction. Tous les objets mis dans la main , les yeux étant fermés, sont immédiatement reconn
ni de la trophicité; notons cependant, sur la face dor- sale de la main droite, un peu de kératose avec pigmentation exag
sés près du lit de la malade. ' " . - 130 HENRY MEIGE tient de la main droite, appuyée sur le bras du fauteuil, un instr
ent dont l'autre bout est fixé entre le pouce et le médius. Dans la main gauche, le médecin tient un étui qui renferme p
ar le geste de l'aide, qui, assis sur le pied du lit, soulève d'une main le bandage de la jambe malade et de l'autre main
lit, soulève d'une main le bandage de la jambe malade et de l'autre main se bouche le nez pour éviter l'insupportable od
rs laïques fussent demeurés superflus. L'attitude et le geste de la main gauche du vieux docteur peuvent très bien s'inter
orme de crises s'ir- radiant vers l'épaule et le dos. L'usage de la main devint impossible. Quelques jours plus tard, de
muscles des éminences thénar et hypothénar et des interosseux de la main droite. La main a l'aspect de la main de singe.
ences thénar et hypothénar et des interosseux de la main droite. La main a l'aspect de la main de singe. La force muscul
thénar et des interosseux de la main droite. La main a l'aspect de la main de singe. La force musculaire est nulle. La sen
'épaule et du tronc présentent un degré très net d'atrophie. A la main et au bras gauches, l'atrophie est à peine marqué
névrite in- fectieuse. Ces douleurs apparurent tout d'abord dans la main droite en même temps que se montrait l'impotenc
à penser que c'est dans la zone médul- laire de l'innervation de la main , en particulier du côté de la corne pos- térieu
.I), origine des nerfs sensitifs et moteurs (cubital et médian) de la main et des doigts, que s'observe la tumeur avec son
ait le suivant : Membre supérieur droit. Atrophie des muscles de la main droite. = (main simienne). Atrophie des muscl
Membre supérieur droit. Atrophie des muscles de la main droite. = ( main simienne). Atrophie des muscles du bras droit e
es subordonnés, au milieu desquels il est représenté ; on y voit sa main , déjà grande et grosse, mais son visage ovale n
corps du sternum. Aux membres : Largeur exagérée des extrémités ( mains et pieds), doigts en boudin (PI. XXXVII, B) ; l
ort (mai 1902). Jt. La n1.1111 Üu géant ilicire 1 ? comparée : 1 la main d un adulte normal. GIGAN'l'lSME ET ACROMÉGALIE
iques du côté des membres supérieurs et une certaine inhabileté des mains . Des crises névralgiques (céphalalgie, névralgie
supérieurs bien développées, sont cependant un peu trop longs. Les mains sont grandes, mais pas de dimension disproportion
sion disproportionnée, la force musculaire bonne, la pression de la main droite donne 13 kgr. celle de la gauche 12 kgr.
'état de l'ossifica- tion (PI. XL111). Sur les radiogrammes de la main (et aussi du pied) on constate que l'os- sifica
. XLIII GIGANTISME PRECOCE (C. ci Popovits). Radiographie de la main d'un enfant de 6 ans, mesurant 140 cm. de hauteur
ugne à tout examen, ou s'il est de bonne humeur il nous arrache des mains les instruments d'observation pour s'en faire un
de thyroïde jouât un certain rôle. HYPERTROPHIE CONGÉNITALE D'UNE MAIN PAR e E. APERT. Les hypertrophies partielle
eux catégories précédentes. L'hypertrophie des parties molles de la main et surtout du doigt annulaire est relativement
l'annu- laire et beaucoup moins prononcée aux autres doigts et à la main . L'hyper- trophie osseuse est au contraire plus
Voici la relation de ce cas : S..., 36 ans, s'est toujours connu la main gauche plus volumineuse que la main droite. Les
36 ans, s'est toujours connu la main gauche plus volumineuse que la main droite. Les bras et les avant-bras sont symétriqu
es poignets ont la même circonférence des deux.côtés En revanche la main gauche est notablement plus large et plus épais
he la main gauche est notablement plus large et plus épaisse que la main droite, et surtout l'au- nulaire du côté gauche
E 1 SALPL'TR1$RE. T. XVI. Pl. XLIV HYPERTROPHIE CONGÉNITALE D'UNE MAIN (1 ? f79'i>.. ' Masson & Clc) ](Iiteur
ALE DE LA MAIN GAUCHE (E. Apert) . HYPERTROPHIE CONGÉNITALE n'UNE MAIN . J 95 dans l'ichthyose. Le sujet raconte que t
e flétrissent au bout de quelques semai- nes. Les fonctions de la main gauche se font bien ; le malade s'en sert facilem
des phalanges les unes sur les autres ainsi que sur la paume de la main reste facile ; le malade a pu exercer sans diff
a radiographie (1) montrent que la longueur des différents os de la main malade est en général plus grande que pour la s
hié plus au médius qu'à l'an- nulaire, plus aux métacarpiens qu'aux mains ; au contraire l'hypertrophie des parties molle
met- tait pas en doute « l'augmentation de masse du squelette de la main ». La radiographie a montré que M. Besnier avai
avait raison. - Il est intéressant de comparer l'état actuel de la main avec ce qu'elle était en 1891. Nous le pouvons
i est au musée de Saint-Louis (vitrine 95, n° 1588). La forme de la main est restée identique à ce qu'elle était alors.
présente est né l'usage de ne traiter les affaires que le verre en main . Le paysan breton fait aussi de copieuses libat
à cause du climat trop rude de leur pays, ils allaient dépouiller à mains armées les vignobles du comté de Nantes. En 579
lorsque ses enfants étaient près de sortir, l'un des deux passa sa main à laquelle la sage-femme lia un ruban d'écarlate,
disant : celui-ci sortira le premier. Mais l'enfant ayant retiré sa main , l'autre sortit. Alors la sage-femme dit : pourqu
upture de division ». Son frère, qui avait un ruban d'écarlate à la main , sortit ensuite et on le nomma Zara, c'est-à-dire
homme fait ». L'autre sor- tit aussitôt après et il tenait dans sa main le pied de son frère ; c'est pour- quoi il fut
maintient le haut de son corps, tandis que l'accouchée tient à deux mains la tète de cette aide. La sage-femme reçoit le pr
reçoit le premier en- fant, on aperçoit le second qui tient dans sa main le pied du précédent. Dans le fond, un lit avec
habitude de tenir les doigts légèrement fléchis dans la paume de la main droite. Père mort à 40 ans ; aurait perdu la vi
9 fession de tisserand qui demande une délicatesse et une sûreté de main assez grandes; enfin, pendant ces deux années,
trielle, qu'il découvre, en écrivant, un trem- blement marqué de la main droite qui rend l'écriture difficile ; à ce momen
moment, il fait chaque jour la copie de plusieurs grandes pages, la main droite se fatigue rapidement, le tremblement de
s pages, la main droite se fatigue rapidement, le tremblement de la main commence au bout d'un quart d'heure environ et
tôt il résiste à ces libations auxquelles L... renonce aussitôt. La main droite assure encore l'écriture sans le secours d
squ'au mois d'août 1902, épo- que à laquelle L... s'aperçoit que sa main droite prend une attitude de prona- tion et d'a
e dans une usine les écritures techniques ne peut plus écrire de la main droite seule. Ces phénomènes se sont installés
r la rotation et l'adduction du bras en dedans ; l'avant-bras et la main se présentent par la face dorsale, la main très
ans ; l'avant-bras et la main se présentent par la face dorsale, la main très légèrement fléchie sur l'avant-bras, les doi
sain. Dans cette même attitude enfin, il n'y a pas de flexion de la main sur l'avant-bras. Le deltoïde, .le brachial ant
uscles de l'avant-bras, y compris le long supinateur, et ceux de la main ; la conformation des doigts est normale malgré
l de l'omoplate et le fond de la dépression. L... veut-il porter la main à la bouche, le mouvement s'exécute autour de l
e ; l'avant-bras fléchi, le coude s'élève à hauteur de la tête ; la main arrive à la bouche par sa face palmaire, mais l
aussitôt (PI. XLIX) L... porte toujours les aliments à la bouche de main gauche. Pour écrire, le malade se couche en que
médius, mais le mouvement de rotation en dedans se reproduisant, la main appuyée d'abord sur le bord cubital se renverse
a plume delà ligne écrite, et le malade est obligé de s'aider de la main gauche pour maintenir la dextre à peu près immo
une majuscule ou une lettre haute (I, d). Pas de tremblement de la main les doigts écartés en extension. Dans la positi
mousqueton part brusquement, il est diffi- cilement ressaisi de la main droite. Dans aucun mouvement L... n'a pu conser
t ; toutefois la peau pincée semble plus mobile qu'à gauche. A la main , les doigts sont fléchis, mais l'extension des ph
te est facile, et le malade saisit sans difficulté un objet dans la main . Le médius et l'annulaire droits, blessés dans
à un nerf périphérique : paralysie du médian, avec la flexion de la main sans force, l'anesthésie de la face palmaire de c
s et la suppression des mouvements du pouce ; - du cubital, avec sa main en griffe ; enfin du radial, puisque les mouvemen
et que l'at- titude de demi-flexion des doigts dans la paume de la main semble bien le fait d'une mauvaise habitude pri
e malade à la.suite d'un léger accident. Au reste, l'attitude de la main ne suffirait pas, en l'absence de tout autre sy
umérus en de- hors ; il intervient dans l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; sa paralysie entra
es attitudes vicieuses, demi-flexion des doigts dans la paume de la main , et des habitudes motri- ces anormales, un véri
). Or, chez notre malade, ces troubles primitivement localisés à la main et limités à la (1) Meioe et FEINDEL,, Les tics
s de la profession ; en particulier, le mouvement de rotation de la main ne se produit pas seulement à l'occasion de l'écr
ns beaucoup d'autres actes d'occupation, tel que celui de porter la main à la bouche pour manger. De plus, le trouble
e, et constitué par un mouvement convulsif de l'épaule qui élève la main au-dessus de la ligne écrite, et par un autre m
ligne écrite, et par un autre mouvement du bras qui fait tourner la main en dedans sur le bord cubital servant de charnièr
: mouvements convulsifs en dehors de l'écriture, déplacement de la main droite en hauteur et sur sa paume reflétant les
ts de son bras sont trop fréquents pour permettre le maintien de la main en bonne position pendant le temps nécessaire à
bras en dedans est assez fort pour que L... n'arrive à conserver la main immobile en bonne position que pendant une ou d
du soldat sans arme, les bras le long du corps, l'immobilité de la main droite en bonne position ne dépasse pas une à d
lut militaire, le malade conserve assez longtemps et sans effort la main droite au képi. Les mouvements d'éléva- tion de
rchait à corriger les mouvements intempestifs du bras en mettant la main dans la poche ou en se servant d'une canne ; au r
t d'une canne ; au régiment, il croisait, en dehors du service, les mains derrière le dos en tenant le poignet droit dans
rvice, les mains derrière le dos en tenant le poignet droit dans la main gauche. Depuis un mois, L... a abandonné tous c
IQUE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT 231 L... peut actuellement porter la main droite à la bouche 15 à 20 fois sans que le mou
ue le mouvement de rotation se reproduise ; il peut se servir de la main droite pour manger. La grosse difficulté était
t lourde en raison du tremblement et du mouvement de rotation de la main . Avant d'employer l'écriture en miroir, il a fa
écriture en miroir, il a fallu réapprendre au malade à écrire de la main droite sans le secours de la gauche ; L... a fait
e dix-huit jours de traitement, le malade a pu tenir la plume de la main droite seule pour former deux ou trois lettres, c
ois. Nous apprenons actuellement au malade à écrire en miroir de la main gauche, mais il n'a pas encore réussi à écrire
uche, mais il n'a pas encore réussi à écrire simultanément des deux mains à la fois. Il exécute toute- fois dans ce sens
ment, irrégulièrement ; elles cessent pendant plu- sieurs mois. Les mains sont grasses el molles; les pieds épais, aplatis.
d, un tremblement unilatéral. La malade avait appris à écrire de la main droite comme les autres enfants. Mais, vers l'â
ans, ce tremblement survint et l'obligea à apprendre à écrire de la main gauche. Actuellement elle écrit assez mal de l'
gauche. Actuellement elle écrit assez mal de l'une comme de l'autre main ; cependant, l'écriture de la main droite est p
ez mal de l'une comme de l'autre main ; cependant, l'écriture de la main droite est particulièrement mauvaise, irréguliè
t fort mal sa plume et l'on constate nettement le tremblement de la main droite lorsque celle-ci est étendue. Ou voit auss
té, de l'hésitation et de la maladresse dans l'acte de porter avec la main droite un verre plein à la bouche, et même dans
musculaire à droite. A gauche, tous les mouvements du bras et de la main se font avec aisance. Dans la marche, la jambe
c une atrophie assez intense des muscles de l'éminence thénar de la main droite. I L'homme porteur de cette anomalie e
s, re- tombant de son propre poids suivant la position que prend la main . Il n'est donc soumis à l'action d'aucun muscle
blement normale ; elles ne se distinguent de leurs similaires de la main droite que par leurs faibles dimensions, réduit
ayant, par suite, aucune connexion avec le reste du squelette de la main . 240 ' KLIPPEL ET RABAUD . Du côté du carpe e
is en oeuvre dans ce but. II Les dispositions squelettiques de la main gauche doivent tout particu- lièrement attirer
ie nous a révélées. Il n'est rien dit non plus de l'état de l'autre main . En dehors de ce cas très ancien, les recherche
us. (2) KLIPPEL et RABAUD, Anomalie symétrique héréditaire des deux mains (Brièveté du 2° métacarpien). Gazette hebd. de
pour les os, aussi (1) Op. cit. 248 KLIPPEL ET RABAUD bien à la main droite qu'à la main gauche, et nous pouvons admet
(1) Op. cit. 248 KLIPPEL ET RABAUD bien à la main droite qu'à la main gauche, et nous pouvons admettre que le tissu e
xistait un cousin germain possédant un sixième petit doigt à chaque main et un sixième orteil à chaque pied. ' Certain
normaux, mais très peu étendus. Pendant toutes ces explorations, la main perçoit de gros craquements osseux, témoignant de
ement chirurgicale, nous voulons parler du trai- tement. On a eu la main comme forcée parles accidents infectieux graves,
cher, que les poux avaient une histoire iconographique signée de la main de peintres les plus illustres, Murillo, Gérard
ient normale au niveau des épaules, du cou, de la face et aussi des mains . D'une façon générale,la peau a conservé sa col
fecte pas aux membres une répartition cylindrique. Les pieds et les mains sont respectés et l'épaississement adipeux augmen
mbes, appuie la tête sur l'épaule gauche, il tient sa chaise à deux mains et fait semblant de s'y cramponner. En réalité
ait semblant de s'y cramponner. En réalité il s'appuie sur les deux mains pour se soulever et empêcher le siège d'appuyer
er sur la chaise. En même temps, la sueur lui vient au front et aux mains et dans quelques cas on voit de grosses gouttes
es et archaïques, les malades sont en prière et l'un d'eux porte la main au front en se relevant à demi. Une inscription
e sa ver- tueuse résistance, n'hésita pas à l'occire de ses propres mains . Cette fin tragique consacra la réputation de s
uquel succéda en 1562 l'ordre des Chanoines de Ste-Dymphne, prit en main toute l'organisation : répartition et surveilla
s la mi-carême, elle eut les sens si troublés qu'on dut la lier des mains et des pieds ». (1) Ibill., loc. cil. (2) L
contre les grands agités, qui devaient être « liés des pieds et des mains pour les empêcher de nuire à eux-mêmes et à autru
ui hébergent des fous ou des sots, lieront ceux-ci des pieds et des mains de telle sorte qu'ils ne puissent nuire à perso
, évidemment possédée du diable, se renverse en arrière tendant ses mains ouvertes en avant. Au- dessus de sa tète, un dé
de la possédée, se tient l'exorciste, en babils sacerdotaux ; de la main gauche il porte un calice, et de la droite il pré
deux principaux personnages, on en voit un troisième, à genoux, les mains jointes, tourné presque de dos. Dans le fond, app
esque de dos. Dans le fond, apparaît sainte Dymphne, qui fait de la main droite un geste rituel. Elle est sim- plement v
sse de cheveux. Derrière la malade, et lui soutenant la tête à deux mains , une femme d'un certain âge, probablement une d
e un personnage, qui semble participer activement à l'exorcisme; sa main apparaît en altitude de bénédiction. Tout à f
autres assistants : le premier, sans doute un pèlerin, tient de la main droite un gros cierge très court, comme on les
et semble se contracter violemment. Les fers qui maintiennent ses mains , ceux aussi qu'on peut voir par terre et qui ét
ues et d'autres disciples, s'appro- che du malade, en faisant de la main droite un geste rituel de conjuration. Dans le
ition il est enchaîné ; - dans le cas présent par le pied et par la main gauche ; ses jambes sont nues, il n'a sur le corp
ents ; les yeux sont fortement ouverts et convulsés vers le bas. La main gauche est également intéressante avec ses doigts
auche. Il n'y avait pas d'atrophie visible des petits muscles de la main , pas plus que des autres muscles du membre supé
s l'épaisseur des masses charnues. - En disséquant la paume de la main , on rencontre, sous l'aponévrose, un peu au-des
A, b, d). * Les muscles, tant du bras que de l'avant-bras et de la main , oul une couleur et un volume normaux. Les ne
moment de la section du pôle supérieur, la malade se plaint que sa main est subitement engourdie et comme paralysée. Cepe
puis 324 DURANTE la moitié de l'avant-bras jusqu'à la paume de la main , et sans possibilité de régénération, les troub
présentait pas d'atrophie apparente, se servait régulièrement de la main gauche et ne se plaignait d'aucun trouble fonct
milieu de l'avant-bras jusqu'au tiers supé- rieur de la paume de la main . 1 NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 333 A la
et à partir de la racine des orteils. On peut l'observer au dos des mains , mais bien plus rarement, et très exceptionnell
qu'il com- mence à se produire. Je ne l'ai jamais vu très tendu aux mains . La pres- sion, même prolongée, ne donne pas un
manifestement une prédilection pour le dos du pied et le dos de la main . Si par ailleurs, les membres et le tronc parai
des membres et de la face, la finesse des attaches des pieds et des mains ; les lipomes multiples symétriques circonscrits q
llerin. La localisation est importante à connaître : les pieds, les mains , la face sont toujours indemnes et ce sont là l
'observe. Il se distinguera du tropheedème en ce qu'il respecte les mains et les pieds et présente des phénomènes doulour
nt de réelles analogies avec ceux de l'état mental des tiqueurs hu- mains . Mais, avant d'aller plus loin et pour éviter t
dressage ; affolement au moindre bruit, au plus léger mouvement de la main ou des jambes du cavalier ; vers 6 ans, la gour
du pain et surtout du sucre ; il contracte l'habitude de lécher la main qui lui présente la récompense, puis, rentré à l'
rveux, émotif, impressionnable ; impatiente quand elle est tenue en main , présentant de l'instabilité motrice, irritable.
s troubles digestifs), ou un vice d'éducation (Notus, léchage de la main du cavalier offrant du sucre après chaque trava
alternativement l'avant-bras gauche, puis le droit, la paume de la main en avant, le corps animé de lé- gers mouvements
tre geste particulier du sujet consiste à passer alternativement la main gauche et la droite sur les tempes correspondante
lit habituellement, le coude gauche sur la table, les doigts de la main droite occupés constamment à taquiner, sans les a
'on lui - donne de nouvelles entraves; ce roi des animaux, pieds et mains liés, pleure, gémit, et sa vie commence dans le
tout emmaillotté, eLle tient, un peu maladroitement, de ses longues mains aux doigts effilés; du regard, il scrute les ye
uisse mettre au monde un enfant si bien portant, la Vierge tend les mains , les doigts écartés vers l'enfant qu'elle couve d
yeux : elle parait craindre pour lui quelque trop rude caresse des mains inexpérimentées qui viennent de le lui prendre.
candalisée par le spectacle lamentable offert par l'aïeul, porte la main sur sa figure, tout en ayant bien soin d'écarter
tit la pièce d'étoffe de couleur sombre qu'elle relient de ses deux mains . Pour un plus long voyage, ce manteau lui-même
utour du cou. Le malade se débat, tour- nant violemment la tète, la main gauche crispée en grille, le pied gauche en ext
t furieusement. Son bras gauche est violemment contor- sionné et la main représente très exactement un type de contracture
eintre a représentée, tirant la langue, les yeux convulsés en bas, la main droite étendue en avant dans un geste d'effroi.
ages médico-artistiques, au lieu d'être réparties entre différentes mains , gagneraient à être réunies en une main unique.
éparties entre différentes mains, gagneraient à être réunies en une main unique. S'il ne nous dit pas laquelle, il n'est p
de l'école italienne (4 pl. photocollogr.), par Genévrier, 406. Main (hypertrophie congénitale) (2 photo- collogr.),
E, 60. TABLE DES AUTEURS ApPERT, Hypertrophie congénitale d'une main (2 photocoll.), 193. BIA/WIIl"1 (Levi). Langue
Lbvi BAVCmu), LI. Maillot dans l'art (Genévrier), LXIX à LXX11. Main ; Hypertrophie congénitale (ApEnT), XLIV; XLV.
15 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
que année soit à moi-même, soit à mes élèves, qui y puisent à pleines mains , les matériaux de nombreux travaux qui sont publi
re des altérations graves, symétriquement disposées, des doigts de la main surtout, et qui aboutissent à la mutilation de ce
hissent successivement, en plus ou moins grand nombre, les doigts des mains . Si je vous parle ici, Messieurs, de la scléroc
ous vos yeux, à côté de quelques exemples d'affections mutilantes des mains , un cas typique de maladie de Morvan, qui se tr
n premier lieu de ces affections qui entraînent des mutilations de la main et des doigts, et tout d'abord de la sclérodactyl
te dans la distribution des déformations, les quatre doigts de chaque main sont pris. Ils ont perdu leur forme primitive et
résente chez eux sous forme d'atrophie musculaire, en particulier des mains . Voici quelles sont les déformations que peut p
e cette forme de lèpre au niveau des extrémités et en particulier aux mains . En ce qui touche l'atrophie, c'est la main de si
és et en particulier aux mains. En ce qui touche l'atrophie, c'est la main de singe avec aplatissement des éminences thénar
est enlevé par le chirurgien. Enfin, on peut observer au niveau de la main , des doigts, des troubles moins accentués, tels q
xante ans qui se présentait avec un « panaris à l'un des doigts de la main . Nous constatons « la nécrose de la phalange ungu
ous l'enfonçons « sans éveiller cle douleurs dans divers points de la main « et de l'avant-bras (qui étaient gonflés). » T
parésie avec atrophie musculaire plus ou moins accentuée, occupant la main et l'avant-bras; enfin l'analgésie, dont l'étude
dont l'étude est surtout importante ici. Elle envahit généralement la main , l'avant-bras et une partie du bras, mais quelque
e développent quelquefois sur divers points du tégument externe, à la main et aux doigts. Les ongles tombent ou sont le sièg
res, telles qu'on ne les rencontre presque jamais ailleurs. Enfin, la main tout entière devient violacée, livide. La tempéra
ans d'intervalle entre les quatre premiers panaris qui ont touché la main droite et les quatre derniers qui ont envahi la m
ui ont touché la main droite et les quatre derniers qui ont envahi la main gauche. Le pronostic est nécessairement grave,
bras gauche comme engourdi et il y ressentait, principalement dans la main , des espèces de fourmillements. Rien déplus penda
tier, s'apercevant, dans son travail de charretier-terrassier, que sa main gauche, pour porter la pelle, était plus faible q
vrit lui-même avec un canif. Bientôt (septembre 1886), la paume de la main se mit à gonfler à son tour et il s'y développa «
et à Y annulaire, et le malade resta ainsi pendant huit mois avec sa main malade. Lorsque la guérison fut obtenue (le malad
aplasmes de farine de, lin. Le malade prenait, en outre, des bains de main prolongés dans de la décoction de guimauve. Une
lade s'aperçut qu'il n'avait plus aucune force dans le bras et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, étant à bout de res
énérales de médecine. Déjà, le malade avait noté fl'anes-thésie de la main et de l'avant-bras gauches, par ce fait qu'il ava
observé nous-mêmes en 1889, sauf qu'il existait, à cette époque, à la main gauche, au talon de la main, dans les plis digito
sauf qu'il existait, à cette époque, à la main gauche, au talon de la main , dans les plis digito-palmaires du pouce, du médi
palmaires du pouce, du médius et de l'annulaire, et aussi un peu à la main droite, des crevasses indolores en voie d'évoluti
recouvrant le pouce, qui se cache dans l'intérieur de la paume de la main . Cette position de la tête, qui est très accentué
prouve dans l'oreille gauche. La force est absolument nulle dans la main gauche, tandis qu'elle est, sinon très grande, du
he, tandis qu'elle est, sinon très grande, du moins conservée dans la main droite. Dynamomètre.....M. D. = 40. — .....M.
voir. Réflexes rotuliens diminués, mais présents. La position de la main , au repos, est celle que nous décrivions plus hau
un certain degré de diminution apparente de longueur des doigts de la main gauche, comparés à ceux de la main droite. Mais i
rente de longueur des doigts de la main gauche, comparés à ceux de la main droite. Mais il faut remarquer que le malade ayan
, le chaud et le froid, avec perte du sens musculaire au niveau de la main . L'examen des yeux, pratiqué par M. Parinaud le
vants : œil gauche atteint Fig. 5. — D'après une photographie de la main de Care... d'une amaurose très probablement hys
, sans être un athlète. Les réactions électriques des muscles de la main , qui paraissent seuls atrophiés, sont normales et
ne saurions remédier à ces terribles déformations des doigts et de la main qui font de notre malade un infirme et le condamn
e à cette époque, mais il persistait une sorte d'engourdissement delà main et de l'avant-bras qui gênait le malade pour trav
et. Le poignet est plus cylindrique, moins aplati que normalement. La main est transportée en masse du côté radial, tout en
use des fourmillements et des picotements, sans siège précis, dans la main malade. « La sensibilité à la douleur est absol
« La sensibilité à la douleur est absolument disparue dans toute la main , à l'exception du doigt médius qui conserve sa se
e à la chaleur. « La puissance musculaire est très diminuée dans la main qui ne peut serrer que fort peu. Les troubles ner
ut serrer que fort peu. Les troubles nerveux ne sont pas limités à la main . La flexion de l'avant-bras sur le bras est peu v
ntant les caractères suivants : l'impotence porte spécialement sur la main , le poignet et l'avant-bras. L'épaule est légèrem
contraire presque complètement impotents, ainsi que le poignet et la main . Au dynamomètre, la main droite amène le chiffr
ment impotents, ainsi que le poignet et la main. Au dynamomètre, la main droite amène le chiffre de 50 kil. sans efforts;
ain droite amène le chiffre de 50 kil. sans efforts; au contraire, la main gauche peut à peine exercer une force de 4 kil.
veste. La sensibibité profonde est abolie dans toute l'étendue de la main (V. Fig. 10 et 11). Le sens musculaire est perd
de la main (V. Fig. 10 et 11). Le sens musculaire est perdu dans la main , l'avant-bras. Si je lui ferme les yeux et que je
. Si je lui ferme les yeux et que je lui commande d'aller chercher sa main gauche avec sa main droite, vous voyez celle-ci e
s yeux et que je lui commande d'aller chercher sa main gauche avec sa main droite, vous voyez celle-ci errer dans l'espace à
précautions. Vous voyez. Messieurs, avec quelle douceur je remue la main malade. C'est qu'en effet le sens musculaire n'es
malade. C'est qu'en effet le sens musculaire n'est aboli que dans la main et l'avant-bras. Il persiste au niveau du bras et
r à son épaule. Si, dans ces conditions, je remue trop brusquement la main , je risque de communiquer quelque mouvement à cet
s ne constatez d'atrophie musculaire, ni de troubles trophiques. La main présente cette légère déformation que vous avez v
lus, le sens musculaire est perdu d'une façon assez grossière pour la main et l'avant-bras, ce qui ne se voit pas en général
compression d'un nerf, si l'on limitait son examen à la région de la main et du poignet. Cependant même en ces points l'ane
u médian et l'insensibilité était absolue clans toute l'étendue de la main , à sa face palmaire aussi bien qu'à sa face dorsa
. Chaput qui, cette fois, son rôle de chirurgien accompli, passait la main aux neuropathologistes et nous adressait le malad
généralisées du tremblement hystérique. Je n'ai en ce moment, sous la main , aucun sujet atteint d'une des formes localisées.
est couché sur une chaise où le voilà assis bien tranquillement, les mains reposant sur les genoux. Il n'y a pas eu encore
de tremblement. Mais je lui ordonne de saisir, à l'aide d'une de ses mains , un verre rempli d'eau qu'on lui présente sur un
'on lui présente sur un plateau; eh bien, vous voyez, aussitôt que la main s'approche du verre, survenir dans le membre mis
ndant quatre mois. Il fut alors atteint d'un eczéma dans la paume des mains et aux pieds. Le médecin qu'il consulta lui ayant
e peut marcher beaucoup et est tout de suite fatigué. Dynamomètre : main gauche : 24 kil. — droite : 34 kil. Le troubl
la moitié droite, il est en marche. Quand le malado est assis, les mains et la tête tremblent peu et même quelquefois pas
itié droite de la région occipitale, dans l'étendue de la paume de la main . C'est une douleur profonde qui n'est pas exaspér
écents sur cette question. Description de deux cas d'œdème bleu do la main combiné à une contracture hystérique du poignet e
ies externes et les muscles, savoir : les mâchoires, les épaules, les mains , les cuisses, les jambes ; elle y cause tantôt un
à la suite d'attaques convulsives classiques. M. Wallet, entre les mains de qui la malade se trouvait à l'époque des premi
intignan (1), qui le doit à M. Raymond. Chez ce malade le poignet, la main et les doigts du côté droit étaient le siège d'un
es deux malades que je vais vous présenter aujourd'hui. Ce siège à la main , au poignet et aux doigts semble être d'ailleurs
bleu que je viens de vous tracer brièvement. Les doigts, le dos de la main , le poignet sont le siège d'une tuméfaction dure,
avec le côté opposé. Enfin il existe un refroidissement notable de la main malade, perceptible par le simple toucher, et qui
herche de la température locale de la peau à cet endroit. Celle de la main gauche (côté sain) s'élève à 28°5 tandis que cell
e de la main gauche (côté sain) s'élève à 28°5 tandis que celle de la main droite (côté malade) n'atteint que 24°3. Il y a d
ne différence de 4°2. Remarquons en outre l'attitude vicieuse de la main et des doigts du côté droit, qui est due a une co
dents ont pris naissance. Fij. 18. — Œdème bleu du poignet et de la main , cl ez Marg. F..., combiné à une contracture de c
ar des douleurs vives dans le bras, l'avant-bras et les jointures des mains et des poignets. Le lendemain, quand elle se lève
des poignets. Le lendemain, quand elle se lève, elle remarque que sa main et son poignet sont le siège d'un gonflement doul
ont le siège d'un gonflement douloureux, sans coloration spéciale. La main était notablement froide. C'est le troisième jour
bout de quinze jours, malgré le diagnostic porté, le médecin place la main et le poignet dans un appareil plâtré qu'il laiss
fin d'appliquer des pointes de feu de temps en temps sur le dos de la main et du poignet. Lorsque cespointes de feu furent a
e attaque de nerfs. Deux mois après on enlève l'appareil plâtré. La main avait conservé sa coloration violacée; le gonflem
égion malade. Mais un phénomène nouveau avait apparu : les doigts, la main et le poignet étaient contractures clans une posi
bservons aujourd'hui, car les choses n'ont pas changé depuis lors. La main est en pronation et la supination est impossible
ar un ressort lorsqu'on les écarte les uns des autres. La paume de la main est creusée en gouttière. Le poignet est égalemen
obilisé. Tout mouvement spontané est impossible à exécuter avec cette main . . De plus, il existe une anesthésie pour tous
vec quelques différences d'ordre secondaire, le même œdème bleu de la main surajouté à des phénomènes paralytiques, et que l
de la température. Cet œdème occupe plus particulièrement le dos des mains , qui présente alors de l'analgésie et de la therm
la thermo-anesthésie. Vous comprenez par là qu'un œdème du dos de la main , présentant les caractères de l'œdème bleu et acc
Puis, une nuit, pendant son sommeil, se développa une paralysie de la main droite, avec gonflement violacé et refroidissemen
main droite, avec gonflement violacé et refroidissement du dos de la main et du poignet. Il y avait, paraît-il, à cette épo
l était venu. En juin 1889 il eut une nouvelle paralysie de la même main , et cette fois avec dissociation de l'anesthésie.
notre homme, au lieu d'une anes-thésie complète dans la région de la main et de l'avant-bras, il y a conservation de la sen
hermo-anesthésie. Vous voyez encore une fois ici l'œdème bleu de la main prendre place au milieu de phénomènes paralytique
e somnambulique de l'hypnotisme, on lui suggère que son poignet et sa main du côté droit vont se gonfler et devenir violets.
réalise peu à peu et le 30 avril elle est dans l'état suivant : La main droite est gonflée, d'un volume de beaucoup supér
onflée, d'un volume de beaucoup supérieur à la gauche. Les doigts, la main sur sa face dorsale, le poignet sont d'une colora
un bourrelet très accusé, de coloration plus foncée. Le creux de la main est également gonflé, la peau est tendue et ne fa
'elle fasse une très légère dépression. Toute manœuvre exercée sur la main produit au point qui a été touché une tache rouge
d'habitude elle est plutôt trop grande. Fcj. [J. CEdèmê bleu de la main droite, produit artificiellement par suggestion
lique, chez une grande hystérique hypnotisable (Pauline Schey,,.). La main gauche est saine et fait nettement ressortir, par
nettement ressortir, par contraste, le gonflement considérable de la main et des doigts du côté opposé. La malade remue a
tissus sous-cutanés ne gênait les mouvements en bridant la peau. La main est anesthésiée dans toute son étendue, jusqu'à u
La main est anesthésiée dans toute son étendue, jusqu'à un travers de main au-dessus du poignet, pour le tact. Pour la doule
t, pour le tact. Pour la douleur, l'analgésie remonte à un travers de main plus haut. Pour la température, il y a thermoanes
Or il s'est fait un transfert à peu près exact de la sensibilité à la main et au poignet gauches : sensibilité à tous les mo
poignet gauches : sensibilité à tous les modes jusqu'à un travers de main au-dessus du poignet gauche. Au-dessus de cette l
poignet gauche. Au-dessus de cette limite, analgésie à un travers de main , plus haut. La thermoanesthésie absolue persiste
rée comme les autres, au moins pour l'instant. La température de la main malade est de 26°5 (centigr.). Celle de la main s
La température de la main malade est de 26°5 (centigr.). Celle de la main saine de 31° 8. Différence 5°3. Mensurations en
5 Circonférence du poignet gauche..... 15e.25 Circonférence de la main au niveau des articulations métacarpo-phalangienn
ulations métacarpo-phalangiennes droites . 20c.50 Circonférence de la main au niveau des articulations métacarpo-phalangienn
ans la période somnambulique et on va lui suggérer devant vous que sa main est guérie, qu'elle n'est plus faible, qu'elle n'
qu'elle n'est plus gonflée ni violette, tout en pratiquant sur cette main malade des massages destinés à aug menter l'eff
stion. Vous le voyez, il nous suffit de dix à quinze minutes et cette main redevient blanche comme l'autre, mince et recouvr
tentative, de faire disparaître par suggestion la contracture dont la main droite était atteinte ainsi que le poignet. La co
, cependant le résultat cherché était atteint autant que possible. La main n'était pas bien forte, mais du moins elle était
On arriva ainsi au résultat suivant : aujourd'hui (5 octobre 1890) la main reste guérie toute la journée. Le soir, la malade
n reste guérie toute la journée. Le soir, la malade se couche avec sa main libre ; le lendemain matin elle est de nouveau co
ue d'hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir de l'attaque, la main est de nouveau raide et impotente, gonflée et vio
œdème bleu hystérique associé à de la contracture du poignet et de la main , absolument identique au cas de la jeune fille de
sa chute, un morceau de bois vint heurter son poignet et le dos de sa main . Après une période d'incubation de plusieurs jour
se de neige durcie. Elle glissa tout à coup, tomba sur la paume de la main droite en extension forcée et, en tombant, laissa
a charge de bois dont un lourd morceau vint heurter le dos de la même main . Douleur très vive dans la main et dans le bras.
orceau vint heurter le dos de la même main. Douleur très vive dans la main et dans le bras. Pas de perte de connaissance, el
e soir même elle pétrit du pain. Aussitôt en finissant ce travail, la main se ferma, c'est-à-dire que les doigts se fléchire
rma, c'est-à-dire que les doigts se fléchirent dans l'intérieur de la main , le pouce restant libre. Les jours suivants, pe
continua de travailler, bien que la douleur fût assez vive et que la main se fût mise à gonfler, au niveau de la face dorsa
e ecchymose violette apparut et la gêne des mouvements s'accentua, la main se ferma davantage, au point que tout travail dev
ulaire organique, endormit la malade avec du chloroforme et ouvrit la main . Puis il plaça cette main dans un appareil inamov
la malade avec du chloroforme et ouvrit la main. Puis il plaça cette main dans un appareil inamovible ordinaire (attelles d
de toile) et fit sur la ré- gion dorsale du.poignet et le dos de la main des pointes de feu. Ce mode de traitement fut con
tion de l'avant-bras, pour une tumeur blanche des articulations de la main . Pendant cette période de temps, pas d'attaques
de la malade. Elle porte son bras droit habituellement en echarpe, la main et le poignet entortillés dans de l'ouate et de l
rpe et le pansement, elle donne instinctivement la même position à la main , qu'elle tient, le coude fléchi, à une certaine d
e du corps, exactement comme si l'écharpe était encore en place. La main est assez déformée. La face dorsale est le siège
e permanente. Cicatrices nombreuses de pointes de feu. Peau violacée. Main un peu plus froide que du côté opposé. Les doigts
hénar et hypothénar et, d'autre part, à une sorte d'enroulement de la main autour d'un axe vertical passant en son milieu. C
en son milieu. C'est en somme, à peu de chose près, la position de la main dans un appareil plâtré ou silicate. En dehors de
dans la traction et dans la Fig. 20. — Œdème bleu hystérique de la main avec contracture des doigts chez la nommée Amélie
nettes ni de brides fibreuses en aucun point des articulations de la main ou du poignet. L'examen électrique pratiqué par
tats suivants : réactions électriques normales dans les muscles de la main et de l'avant-bras. La diminution d'excitabilité
ontracture cesse subitement, la mensuration de la circonférenco de la main au niveau des articulations métacarpo-phalangienn
oforme, quand la résolution n'est pas complète, tient par habitude sa main contre sa poitrine, comme si elle avait le bras e
sa poitrine, comme si elle avait le bras en écharpe. Si on écarte la main , elle reprend automatiquement la même situation.
Légère perte du sens musculaire. La contracture des doigts de la main est exactement ce qu'elle était. Goût : Normal à
observation de sa sœur Amélie, atteinte d'arthralgie hystérique de la main ; celle-ci n'en dit pas plus long). Antécédents
iceps fémoral (droit antérieur principalement) droit. A un travers de main au-dessous du bord supérieur do la rotule il y a,
'œil seraient entremêlées et confondues. L'expérimentation, entre les mains de Hensen et Vœlkers, consistant en des manœuvres
L'affection a débuté par de la parê-sie atrophique des muscles de la main , puis a envahi progressivement tout le membre, le
jeunesse, a joui d'une bonne santé jusqu'en 1888. A cette époque, ses mains devinrent faibles, inhabiles à manier le pinceau
tout travail à partir de ce moment. Il avait déjà remarqué que ses mains devenaient faibles. Les pouces étaient animés d'u
imés d'un léger tremblement, et souvent le pinceau s'échappait de ses mains . L'amaigrissement alla ainsi en progressant peu à
et le segment de membre a conservé presque complètement sa forme. Aux mains la paume présente l'aplatissement de la main de s
plètement sa forme. Aux mains la paume présente l'aplatissement de la main de singe. Les éminences thénars sont plus affecté
. La flexion au contraire est à peu près impossible. La flexion de la main , la flexion desdoigts,sont assez énergiques. Il n
iveau des membres supérieurs ni du cou ; on le constate seulement aux mains et en particulier aux éminences thénars, que l'on
uche et droite tombèrent l'une après l'autre. Quinze jours après, ses mains n'avaient plus de force. Tout alla de mal en pis,
e canne ou à l'aide de béquilles. A cette époque, il s'aperçut que la main gauche était plus faible qu'auparavant ; bientôt
che était plus faible qu'auparavant ; bientôt il en fut de même de la main droite et du bras. Depuis un mois, le malade ne
ous reviendrons plus loin. Les bras sont presque collés au corps, les mains reposent mollement sur les cuisses. Membre supé
ent sur les cuisses. Membre supérieur gauche. — Dynamomètre = 0. La main ne serre pas du tout. La paume forme un creux que
s deux derniers doigts ne peuvent venir au contact de la paume ;de la main ; le pouce et l'index serrent mieux. L'adductio
grava et on vit apparaître une parésiedes extenseurs des doigts de la main gauche et plus tard de la main droite. En même te
parésiedes extenseurs des doigts de la main gauche et plus tard de la main droite. En même temps les forces se perdaient et
une atrophie très considérable et une impotence des extenseurs de la main et des doigts. A gauche le deuxième, le troisième
phie n'est pas très manifeste au niveau des espaces interosseux des mains et il n'existe pas de déformation de la main en g
espaces interosseux des mains et il n'existe pas de déformation de la main en griffe. Des deux côtés les muscles longs supin
e sensation très vive de refroidissement au niveau des paupières, des mains et des genoux ; mais on ne constate pas en ces po
in, soit contre son corps, ou contre ses cuisses. Il ne porte plus sa main à sa bouche, par exemple, mais bien plutôt sa bou
lus sa main à sa bouche, par exemple, mais bien plutôt sa bouche à sa main . L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause de
ses musculaires. Les bras sont inertes, pendant le long du corps, les mains atrophiées en griffes. De plus le malade présen
montrer que les avant-bras ne sont que peu ou pas atteints et que les mains sont absolument indemnes, tandis que l'atrophie p
le début avait lieu ordinairement par les éminences de la paume de la main et par les avant-bras. Mais ce n'est pas tout. Si
, Innere Medicin, 8, p. 166 et 189, 1891). déformation spéciale des mains rappelant par quelques apparences l'acromégalie d
vie une série de panaris mutilants, ayant déformé 3 doigts d'une des mains et 2 de l'autre. Chez elle l'anesthésie portait s
été moins démonstrative. La malade présentait de son vivant, sur une main , un pouce amputé et une mutilation des 3 premiers
us le titre de panaris syringomyélique avec un dessin représentant la main gauche du malade avant l'opération qu'il a dû sub
z à première vue constater les mutilations qu'a subies le malade à la main gauche. Deux doigts seulement sont restés indemne
respondantes du côté sain, enfin le tégument de l'avant-bras et de la main gauche est violacé, et sa température est abaissé
isuel. (2) On a constaté sur les muscles de l'éminence thénar de la main affectée les signes de la réaction de dégénéresce
bien conservée; celle des membres supérieurs est très diminuée. D = Main droite.......... 13 — gauche......... 11 Exam
, la profes sion de tonnelier. Nous l'avons reçu à la Salpêtrière des mains de M. Proust en février 1891 par l'intermédiaire
es crampes dans les jambes et de fourmillements dans les pieds et les mains . Mais ceci dépasse le domaine de l'hystérie et
emaines plus tard, quand survient de la raideur du membre. Bientôt la main droite s'atfaiblit puis s'atrophie. Le quatrième
syringomyélique; le sens du tact est seul persistant. D'autre part la main , fortement atrophiée, présente une diminution de
e volume répond à une diminution fonctionnelle ; les mouvements de la main et des doigts sont affaiblis, sauf les mouvements
ation de l'éminence thénar et de quelques aulres petits muscles de la main ; les contractions fibrillaires font défaut. Le
paule gauche sont très limités. Le membre dans sa totalité — moins la main — est réduit à une impotence presque complète. Ma
de ces muscles. Là ne se bornent pas les troubles trophiques. La main gauche, dans son ensemble, est beaucoup plus volu
'autre côté. Ces arthropathies multiples, unilatérales, limitées à la main gauche sont donc — il n'est pas besoin d'y insist
dehors des articulations proprement dites, deux autres régions de la main où l'on remarque un gonflement considérable et pe
emier lieu, nous rappellerons l'analogie singulière que présentait la main gaucho de notre malade avec une main d'acromégali
gie singulière que présentait la main gaucho de notre malade avec une main d'acromégalique. La ressemblance est si frappante
lisé dans tous les cas ; que l'hypertrophie, circonscrite à une seule main , par exemple, pourrait, à la rigueur, ne dépendre
ue de notre malade, il est certain que l'augmentation de volume de la main n'est pas le trouble trophique fondamental : les
la démarche précipitée, le corps penché en avant, le regard fixe, les mains agitées d'un menu tremblement, vous n'hésitez pas
erré contre la poitrine, l'avant-bras est fléchi et en supination, la main fermée. Voyez comme cette malade marche « en fauc
t éprouvé une série d'attaques convulsives débutant par l'index de la main droite. L'examen un peu sommaire que nous avons f
uement caractérisée par de l'engourdissement et de la faiblesse do la main . Il est vrai de dire qu'elle a été soumise, dès s
dans la région inférieure et si elle occupe la région moyenne, par la main et le membre supérieur, comme chez cette malade.
transitoire, une faible diminution de la force dynamométrique dans la main droite. Mais, en réalité, ces phénomènes s'expliq
ontale et pariétale ascendantes, autrement dit au centre moteur de la main et du bras. . Peut-on vraiment demander plus de
partie irréparable. Et, pour un artiste, être privé de l'usage de la main droite constitue un irrémédiable malheur. Mais,
. Est-il agraphique? Oui, à un certain degré. Il écrit pourtant de la main gauche, mais souvent, en outre de la lenteur dépe
souvent, en outre de la lenteur dépendant du manque d'exercice de la main , il ne sait plus écrire certaines lettres, certai
légie brachiale incomplète du même côté, plus accusée au niveau de la main , sans troubles de la sensibilité, mais accompagné
e partielle, plus de parésie brachiale. La force dynamométrique de la main gauche se rapproche aujourd'hui de celle du côté
n. Les réflexes sont devenus normaux, les troubles vaso-moteurs de la main , qui était froide et violacée, ont disparu. Enfin
, 6 (2 fois double et 4 fois unilatérale). un léger tremblement des mains , le tout ayant évolué en une série discontinue d'
ectiformes, de la cécité passagère, du tremblement intentionnel des mains ....., bref, un ou plusieurs des nombreux symptô
mentales pour le diagnostic de ces formes frustes. Vous voyez que ses mains ne tremblent plus, que sa démarche est facile quo
bjet pour le porter à sa bouche, par exemple, aussitôt son corps, ses mains étaient agités de secousses progressivement crois
u'en 1875, à l'âge de 9 ans, où elle fut atteinte d'un phlegmon de la main qu'on opéra et qui laissa après lui des traces in
25 kilogrammes), mais cela est dû aux déformations persistantes de la main droite, dont nous avons parlé plus haut. Le réfle
diculations ; seulement la malade porte fraquemm3nt îl'una ou l'autre main devantgsa Douche pour masquer son bâillement. F
ôté, sensation de pesanteur des membres gauches qui sont faibles ; la main gauche laisse parfois échapper l'objet qu'elle ti
rée de notre examen. A des intervalles très rapprochés, elle porte la main à sa bouche, essayant de retenir un bâillement qu
reste dans la position où elle se trouve, se cache la figure avec ses mains et pousse des cris aigus. En même temps des mouve
de Fempêcher de parler correctement. Ce tremblement s'étend jusqu'aux mains et aux membres inférieurs. La malade dit même avo
cents sur cette question. Description de deux cas d'oedème bleu de la main combiné à une contracture hystérique du poignet e
16 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
pagner la perforation des parois du crâne, Ribot se rappelle que la main appliquée pendant la vie sur la paroi-crânienne d
peut derrière ses oreilles frapper un verre de cristal, battre des mains , sonner d'une cloche à toute volée, approcher un
et une ensellure lombaire permettant l'introduction facile des deux mains , entre la table d'examen et la colonne vertébra
lane), on constate pendant l'hyperextension maximum, obtenue par la main d'un aide, que le talon est éloigné du plan de la
une jeune fille dans la seule vue de se réchauffer les pieds et les mains auprès d'elle. Ils croiraient sans doute qu'il
aient l'ordonnance de sa barbe, d'autres enfin caressaient de leurs mains si douces son cou et ses bras. Sans aucun doute e
nvi, elles sautaient sur ses genoux, le frappaient de leurs petites mains en riant aux éclats, grimpaient sur ses épaules e
rolonga- tion de la vie. Les enfants le soignaient de leurs propres mains et l'enri- chissaient de leur industrie. Chaque
rature peu commune et un penseur aussi réfléchi qu'ami du genre hu- main . Les livres qu'il cite'sont tous aussi curieux qu
un petit garçon dont le visage sérieux est fixé sur un livre que sa main attentive tient grand ouvert, cependant qu'une
ette grimpée dans le fauteuil d'IIermippus agace le vieillard d'une main espiègle et lisse ses longs cheveux blanchis. x
nt synthétisé par une seule opération simultanée de l'oeil et de la main , en une oeuvre d'art. Comme le dit Taine (1) :
reusement les monuments byzantins ont souffert terriblement t de la main des hommes, plus encore que de l'action du temps.
ssédé est à genoux devant le Christ, les bras étendus en avant, les mains ouvertes, la tète légèrement inclinée vers le s
sci- ple, fait le geste consacré, sur une femme qui lui présente sa main droite. Un oeil exercé aux diagnostics médicaux
gnostics médicaux ne pourra s'empêcher de remar- quer combien cette main ressemble à une main de paralysie radiale. Certes
pourra s'empêcher de remar- quer combien cette main ressemble à une main de paralysie radiale. Certes, l'exécution est m
démoniaque exor- cisé par le Christ. Celui-ci tient une croix de la main gauche, de la droite z il fait le geste consacr
eugle. Jésus, debout devant l'aveugle, touche son oeil gauche de la main droite. Le Christ tient un bâton de la main gauch
e son oeil gauche de la main droite. Le Christ tient un bâton de la main gauche, il est accom- pagné d'un de ses discipl
pose sur le genou, le bras droit est maintenu par une écharpe et la main s'élève suppliante vers le Sauveur. Par contre
us nette dans des mosaïques du XIIe siècle. Je crois donc que cette main pendante, aux doigts retombant à peine fléchis,
cette main pendante, aux doigts retombant à peine fléchis, est une main de paralysie radiale. Dans le compartiment repr
à fait à droite, derrière l'hydropique, un mendiant s'appuie de la main droite sur une béquille. Celle-ci se termine à
t en adduction forcée, collé au corps. L'avant-bras est fléchi ; la main semble normale, mais l'ensemble du bras donne l
rtiste sur ce point, ainsi que sur l'ab- sence de contracture de la main droite, mais, en dehors de ces points de détail
, par derrière, lui soutient l'épaule gauche, tout en maintenant la main droite. La tête est renversée en arrière, et le b
ie radiale typique. L'avant-bras est maintenu ho- rizontalement. La main est pendante, en pronation, les doigts relâchés e
s les parties découvertes. Il semble manquer un ou deux doigts à la main gau- che. Le diagnostic n'est pas douteux. Seul
ous permet de l'affirmer ; la face est calme, les bras écartés, les mains ouvertes. Il n'y a pas de démon. Les pieds sont
t le saint, les genoux légè- rementlléchis, les bras écartés et les mains ouvertes. L'expression est celle du ravissement
l d'un lépreux atteint d'une crise démoniaque. La contracture de la main droite ne ressemble guère à une contracture lé-
me, dont la jambe droite est entourée d'un bandage ; il tient de la main droite un bâton et salue de la main gauche. En
e d'un bandage ; il tient de la main droite un bâton et salue de la main gauche. En dehors de l'encadrement architectura
'une d'elles, au milieu et à droite, on voit un mendiant qui, d'une main tient une sébille, et de l'autre retire son cou
ête est entourée d'un linge ; mais il est chevelu et'barbu. Dans sa main gauche il tient une sébille ; une béquille est
evait être un dangereux récidiviste. On remarquera qu'il porte à la main gauche des menottes d'un modèle vrai- ment redo
et de mal la délivre. Lascène représente lapucellesur son lit, les mains jointes : un diable s'envole au-dessus de sa tê
r un détail assez significatif : c'est la position contournée de la main gauche qui repose sur le lit, et surtout la rét
ir Vespasien déjà dé- barrassé de toute trace d'éruption ; ses deux mains jointes dans un geste d e prière reconnaissante
é, sur le chemin, une femme cul-de-jatte est accroupie appuyant ses mains sur de petits chevalets. Au-dessous, toujours
n, plus en arrière, un homme barbu, rampe sur les genoux et sur les mains armées de chevalets. Une femme le suit, s'aidan
/2 à droite, et 28 centimètres à gauche. Mais les avant-bras et les mains ont subi un arrêt de dé- veloppement et présent
errons plus loin, après avoir étudié le squelette. Le poignet et la main sont un peu différents d'un côté à l'autre. A gau
et la main sont un peu différents d'un côté à l'autre. A gauche la main n'est représentée que par un seul doigt, le pouce
s verrons sur les radiographies comment se comporte le carpe. Cette main , mo- nodactyle, est placée sur le prolongement
s recouvrent, ainsi que l'ongle, sont bien conformés. A droite la main n'est pas sur le prolongement de l'axe de l'avant
s en sens opposé sur le côté externe, de sorte que l'avant-bras, la main et les doigts for- ment comme un Z allongé. Les
t sont égalements petits. Malgré cette mauvaise conformation, cette main est la plus forte et la plus habile. Sur la face
en dehors, l'avant-bras fléchi sur le bras, et placé, ainsi que la main , en pronation, de telle sorte que le bord externe
que la main, en pronation, de telle sorte que le bord externe de la main regarde en dedans, le bord interne en dehors, et
rotation en dedans, l'avant-bras moyennement fléchi sur le bras, la main dans la pronation. (C'est en somme l'image dans
La figure 3, Pl. XVII, représente la radiographie du poignet, de la main et des doigts du côté droit; elle a été prise l
oignet, de la main et des doigts du côté droit; elle a été prise la main en pronation, la face palmaire appliquée sur la
enter en se figu- rant voir dans une glace l'image du squelette, la main en pronation pendant devant la glace et lui pré
tions que celles du côté droit. Sur la planche XVIII, toutefois, la main est davantage dans la pronation, de telle sorte
nts sont beaucoup plus restreints que passifs. Les mouvements de la main sur l'avant-bras sont aussi très limités, plus
. Les mou- vements du pouce et du doigt, qui lui est accolé, sur la main sont également très limités dans le sens de la
dans le sens de l'incli- naison sur le bord externe ou radial de la main , et c'est dans l'angle ainsi formé que G... sai
beaucoup moins de force. Malgré ce développement si imparfait de la main droite, G.... est arrivé à une habileté assez g
MIMÈLE 135 entre le bord externe du pouce et le bord- externe de la main , en même temps qu'il en appuie la tige contre l
a main, en même temps qu'il en appuie la tige contre la paume de la main en lui donnant une inclinai- son plus ou moins
faire (Voir PI. XV, no' 3 et 4). Pour placer les objets dans cette main rudimentaire et leur donner la position qu'il d
qu'il désire, il se sert beaucoup soit de la bouche, soit de l'autre main de la fa- çon que nous verrons. Nous avons te
s. Nous avons tenté d'examiner les muscles de l'avant-bras et de la main au moyen de l'excitation électrique, pour reche
stérieur, semblent faire défaut. De même l'examen des muscles de la main n'a pu être que très superficiel ; sur la face
niqués peuvent être produits. Les divers mouvements actifs de la main sur l'avant-bras sont presque nuls ; la flexion
paraissent soit faire défaut, soit être très rudimentaires. A la main les muscles de l'éminence thénar paraissent bien
Malgré les vices de conformation des coudes, des avant-bras et des mains , G... a acquis une assez grande dextérité avec
pouce droit. Souvent aussi il prend les objets en portant les deux mains rudimentaires il la rencontre l'une de l'autre. I
ux membres supérieurs, et seulement dans leur segment périphérique, main , avant-bras -et coude. Ces malformations sont sym
s parties similaires d'un radius normal. De plus, les parties de la main qui se sont développées, premier métacarpien et
a configuration générale de l'os de l'avant-bras et de l'état de la main . Il nous paraît bien plus vraisemblable d'admet
e se trouvait pas à droite, tandis que du côté gauche se trouve une main avec deux doigts rappelant à s'y méprendre la c
n avec deux doigts rappelant à s'y méprendre la configuration de la main droite, de notre ectromélien. Kummel donne cett
ique, ni l'examen radiographique n'ont pu être faits et qu'aux deux mains les doigts existant paraissaient être des pouces,
e son extrémité inférieure ; le radius est fortement in- curvé ; la main est normale ; les muscles entièrement normaux.
D'un seul côté, à gauche, la partie moyenne du cubitus manque ; la main est normale. XIII. - RcEDINCER, 1889 (7). Jeune
xterne de l'humérus ; le condyle interne de l'humérus est petit; la main normale. - Au membre inférieur, du même côté, abs
deux os de l'avant-bras paraissent faire complètement défaut et la main s'ar- ticule immédiatement avec le coude ; le c
trent les indica- tions sommaires des cas précédents. Du côté de la main on remarque le plus souvent la présence du pouc
uns d'entre eux seulement, sont conservés ; plus rarement encore la main existe avec tous ses doigts et avec les différe
omme un exemple de la variété la plus typique des difformités de la main accompagnant l'absence du cubitus. D'un côté le p
. Iconographie DE la SAufl RIÈRE. T. XIV, PI. XX RADIOGRAPHIE D'UNE MAIN BOTE PAR ABSENCE DU RADIUS (Huet et Infroit). ,
été prise l'humérus dans la rotation en dehors, l'avant-hras et la main en supination reposant par la face dorsale sur la
s normalement conformées. On y peut voir aussi la disposition de la main par rapport à l'avant-bras. Ce cas répond bien
approchent, pour la plupart, d'un type beaucoup plus régulier. A la main , le plus généra- lement, le pouce fait défaut t
s rudiments de doigts plus ou moins accusés. Chez les phocomèles la main ou le pied se sont assez bien développés mais pa-
moins bien développé, mais les parties périphériques, avant-bras et main , ou jambe et pied, font défaut en totalité ou e
s proprement dits, l'avant-bras manque en totalité ou en partie, la main peut manquer également ou bien n'être représent
ns parlé précédemment. Dans la variété type la partie radiale de la main , premier métacarpien et pouce existent, mais les
émimèles par absence de la tige ou rayon radial, l'avant-bras et la main paraissent mieux représentés dans leur ensemble
imples réunies par cet auteur dans la classe des hémitéries.Pour la main ces dernières anomalies comprennent les anomali
espar excès de nombre ou polydactylies,les doigts surnuméraires, la main en pince de homard, la syndactylie, etc. D'ailleu
oètes latins et allemands du dix-septième siècle, qui suppléait ses mains absentes par ses pieds; celui d'un autre ectromèl
de développement du cubitus et des parties correspondan- tes de la main , mais encore une déviation dans le développement
ans 1/2, il se plaignait de faiblesse et d'engourdissement dans la main droite. On peut se rendre compte que cette faib
ulement localisée au pouce. De plus, par comparaison avec l'au- tre main , on note une réelle diminution de l'éminence thén
uver les autres symptômes de l'atrophie musculaire progressive ; sa main gauche, en particulier, est parfaitement nor- m
cause première de son affection : il se sert exclusi- vement de la main gauche. En outre, il a été soumis, tous les 2 jou
roue fixée sous la table. Pendant toute la durée de son travail, la main et le bras restent dans une fausse position. C'es
s semaines, elle se plaignait, depuis 14 mois, de faiblesse dans la main droite. A l'examen, on note à droite une diminu
eurs du pouce, une grande diminution dans la force d'étreinte de la main , et enfin, un tremblement mar- qué de l'index,
e tremblement, petit et rythmé, apparaît au moindre mouvement de la main . De temps en temps, la malade ressent une contr
ue chez une pianiste qui, d'habitude, se sert également de ses deux mains et de tous ses doigts, 2 doigts seulement d'une s
ses deux mains et de tous ses doigts, 2 doigts seulement d'une seule main étaient affectés par le spasme. Depuis, l'inter
ssi à l'occasion de tous les autres mouvements : la faiblesse de la main gauche est perma- nente. Pendant de longues a
'on peut s'en assurer, il n'y a pas d'atrophie de son bras ou de sa main gauche. 11 est plus que certain que les toxines
'est pas de la faiblesse, mais elle est incapable d'actionner avec sa main droite le transmetteur télégraphique ; ce mouve
, entre temps, elle avait appris à manoeuvrer le transmetteur de la main gauche, elle fut ver- sée, à nouveau, dans son
et gauches. Nullement découragée, elle apprend alors à écrire de la main gauche, mais, malheureuse- ment, le spasme comm
ais, malheureuse- ment, le spasme commence à se produire dans cette main , de sorte qu'actuelle- ment elle est atteinte,
écrire pendant cinq ou dix minutes, en maintenant son bras avec sa main gau- che ; mais au bout de ce temps survenaient
dynamomètre marquait 76 adroite et 66 à gau- che ; l'étreinte de la main droite était évidemment beaucoup plus forte. I !
six mois; il lui était permis toutefois d'apprendre à écrire de la main gauche. Lorsqu'il recommença à écrire, il lui f
a se servir d'une machine à écrire ou apprendre à écrire de l'autre main . Mais il devra ne se servir de la machine qu'av
le bras droit écarté du tronc, l'avant-bras à demi flé- - chai, la main largement ouverte. Le possédé de la seconde fre
oupe de disciples. Ils tiennent tous un rouleau de parche- min à la main , et leurs draperies les l'ont ressembler à des ph
mbres supérieurs sont écar- tés, les avant-bras à demi-fléchis, les mains largement ouvertes. Un petit démon s'échappe de
encore soulignée par le long bâton que tient l'un d'entre eux à la main . Un point un peu spécial, est le type romain tr
t. Jésus la prend par le poignet, et nous retrouvons encore ici, la main pendante, relâchée de la paralysie radiale. Il
ourante (PI. XXII). Elle représente la guérison du jeune homme à la main sèche. Toute la scène se concentre autour du me
pécial, qui manque chez notre sujet. Enfin on peut remarquer que la main n'a plus que trois doigts. Sans doute on voit, da
er à la lè- pre, vu sa grande fréquence au XIV siècle. C'est là une main de lèpre à forme mutilante et sclérodermique. C
est dans ces formes-là que l'on voit ces atrophies musculaires, ces mains réduites à des moignons. Sans doute, en dehors
appelons le manuel de peinture byzantine trouvé par Didon entre les mains de peintres religieux modernes. Il est probable q
s un lac. L'un des possédés est debout, les bras levés au ciel, les mains ouvertes, et un petit diable noir s'accole étroit
ne tendance à l'arc de cercle. Un des bras est levé vers le ciel la main ouverte. De l'autre, le malade semble chercher à
ant d'y porter le fer, le champ opé- ratoire en le palpant des deux mains . Beaucoup de naturel dans les attitudes, dans c
tenir ainsi il a saisi l'extrémité d'un bâton qu'il serre à pleine main . Voilà bien le rituel classique de la saignée.
une bande roulée, ou simplement le pouce replié sur la paume de la main . Au bras, une ligature sera faite pour empêcher
attendant, le chirurgien se contente de comprimer ces veines de la main gauche, tandis qu'avec sa main droite, il pratiqu
ntente de comprimer ces veines de la main gauche, tandis qu'avec sa main droite, il pratique sur l'avant-bras de légères
ctères tracés sont encore visibles douze heures après, et le lende- main ils se dessinent comme des égratignures très supe
pophyse styloide du radius, petite portion de peau presque saine. Main gauche. - Coloration uniforme, très peu accusée à
uatre verrues, trois à la racine de l'index, une à l'auriculaire. Main droite. - Coloration rougeâtre, plus accusée à la
ent après. De même si l'on étire la peau avec deux doigts de chaque main . Les taches deviennent plus foncées sans d'aill
température de la peau entre le côté gauche et le côté droit. A la main les régions thoracique et scapulo-humérale para
le contraire pour le coude, l'avant-bras, le poignet et surtout la main . lle, série d'observations. Températures pris
onne des résultats inverses à ceux que fournit la palpa- tion. A la main cette région semble plus chaude à gauche qu'à dro
mes : même impression des deux côtés. Poids de 2 grammes : id. 2" Main face palmaire avec soupèsement. Poids de 100 gram
vant par la ligne médiane ,en arrière par la ligne médiane. 3° A la main , face dorsale et face palmaire. 4° A la jambe d
t perçu chaud par le malade. 1° A gauche. - 1° Au poignet et a la main . 2° A la jambe dans toute l'étendue d'un bas ay
u chaud. Un objet froid est perçu chaud à la face palmaire des deux mains , principalement à l'éminence thénar. Toutes les a
au froid.- Un objet chaud est senti froid à la face palmaire de la main gauche, sauf à l'é- minence thénar. 2° Sensib
r les temps froids le malade fléchit difficilement les doigts de la main gauche, sur- tout le médius et l'annulaire, qui
rouge ou pourpre de certaines régions de la peau (face dorsale des mains et du poignet gauche) et, sous certaines influenc
e et constante, du moins à la face dorsale du poignet gauche et des mains . 3° Comme il existe un épaississement de la pea
ques ; d'autant plus que l'oedème bleu a de la prédilection pour la main , qu'il est le plus souvent unilatéral, qu'il si
s au naevus. Elles accusent seulement une tendance à persister à la main gauche. Cela tend encore à prouver que ces plaque
unes sur les autres. La voûte pala- tine est nettement ogivale. Aux mains les ongles sont courts, fendillés, recou- verts
d qu'il y a peu de temps elle dit dans sa prière : mes pieds et mes mains sont cloués. Elle s'imagina immédiatement que par
ers troubles psychiques apparurent L... sentait que des bras et des mains venaient l'enserrer énergiquement. Elle voulut en
la Transfiguration que nous possédons au Louvre, et qui sont de la main du jeune peintre. Ici, non seulement, il a pris à
bras droit élevé verticalement, dans une pose académique, de cette main gauche contracturée en extension. Il est en eff
on. Il est en effet habituel de voir dans les crises hystériques la main fermée et en pronation, et le geste représenté
(chiffre normal). Le bras mesure 13 centimètres, l'avant-bras et la main 22 cen- timètres, de telle sorte que l'extrémit
a remarque de M. Marie. Chez notre malade, la déformation de la « main en trident » est très manifeste (Pl. XXXIV, C,C
ongueur d'un à deux centimètres ou davantage, les doigts d'une même main sont de di- mensions presque égales... Enfin le
ts d'une même main sont de di- mensions presque égales... Enfin les mains des achondroplasiques se dis- tinguent encore p
ent encore par une autre déformation que je proposerai d'appeler la main en trident et qui consiste en ce que les doigts d
peler la main en trident et qui consiste en ce que les doigts d'une main étant jux- taposés par leur base, ils s'écarten
sion complète de l'avant-bras sur le bras et de la supination de la main (Pl. XXXVI, S et T). M. Marie avait remarqué ch
raphie DE la SALPhTRIÜ(c. T, SI\', PI. XXXl\' 1) E C C' 1 MAINS D'ACHONDROPLASIQUES C C lYlaia7 e la fillette a
sante. Macrocéphalie particulière, micromélie surtout rhizomélique, main en trident, Ihorax normal, hypertrophie considé
les malades avec les caractères cités plus haut, voire même avec la main en trident ainsi que le montre la collection de
icromélie surtout rhizomé- lique, ni une intégrité du thorax, ni la main en trident, que le nanisme est créé surtout par
les membres supérieurs ont conservé leur longueur, l'extrémité des mains n'atteint pas le grand trochanter comme chez l'ac
s longs, la micromélie surtout rhizomélique, la macrocé- phalie, la main en trident, l'intégrité du thorax. Si la descri
a Salpêtrière. T. XIV, PI. IL D c D FOETUS ACHONDROPLASIQUE C MAIN D'ACHONDROPLASIQUE QUELQUES REMARQUES SUR L'ACn
es os longs, bras, avant-bras, cuisses et jambes; au contraire, les mains et les pieds sont moins atteints, tout en étant
un adulte de 1 m. 70, 27, 24. 8 el 12 centimètres. Les doigts et la main sont donc diminués d'un quart ; le bras d'un ti
e de leur longueur. Elle existe sur la photographie ci-jointe de la main de Sicard (Pl. XL, C). ' Au membre inférieur, l
rès accusées en raison de la projection du sternum en avant. ,. Les mains lorsqu'elles tombent dans le rang descendent au n
é des doigts restant à deux centimètres en- viron du condyle. Les mains sont aplaties « en battoir ». L'annulaire présent
t présenter aucun signe de rachitisme. On remarque toutefois que la main droite est légèrement en trident rappelant ains
ois que la main droite est légèrement en trident rappelant ainsi la main de l'achondroplasie. 6. André, 6 ans 1/2. Taill
présenté le 3 novembre 1898 à M. Bégouin pour une difformité de la main gauche. NLdans la famille du père, ni dans cell
itôt après sa naissance, on a constaté que l'index et le médius de la main gauche étaient soudés, et présentaient un volum
e la santé, ne présente au- cune malformation autre que celle de la main gauche. Sur cette main, on voit tout d'abord
cune malformation autre que celle de la main gauche. Sur cette main , on voit tout d'abord que le pouce, l'annulaire
'auriculaire sont bien con- formés et de même volume que ceux de la main droite. La déformationn'atteint que l'index et
distance du pli situé au-dessus, triple de ce qu'elle est sur l'autre main . On dirait donc que la phalange a peu participé
rs étaient trop courts pour des os trop longs. Si l'on regarde la main malade par sa face dorsale on voit nettement que
lement, un sillon de 3 à 4 millimètres de profondeur. De plus, la main gauche vue par sa face dorsale paraît plus large
, la mensuration donne les résultats suivants : Circonférence de la main malade 0 m. 145. Circonférence de la main droit
s : Circonférence de la main malade 0 m. 145. Circonférence de la main droite : 0 m. 125. Circonférence prise au milie
interligne métacarpo-phalangien et rencontrant un plan horizontal (la main Fig. 1. MACRODACTYLIE ET MICRODACTVL1E 307
n volume égaux à ceux du pouce et des doigts cor- respondants de la main droite. Peut-être y a-t-il une différence de 1 mi
sécrétion sudorale anormale. Les poils manquent, mais comme sur la main opposée. Température locale prise le soir 3 ? 6
pposée. Température locale prise le soir 3 ? 6. Dans la paume de la main , sur toute la surface antérieure des 2', 3° mét
pienne (elles étaient absolument saines). Ou fit sur la paume de la main et jusqu'au talon de celle-ci, une incision ver
spéciale. La bande d'Esmarch enlevée, le sang s'écoula, comme d'une main normale, par les artères collatérales. Six ou s
levés. Le 15e jour, l'enfant partait guéri. Depuis cette époque, la main est restée indo- lente ; l'enfant s'en sert aus
esait 51 kilogs, on a re- marqué que les extrémités digitales de la main gauche étaient moins dévelop- pées que du côté
c. On n'observe rien d'anormal à l'examen des autres viscères. La main droite est tout à fait normale ; les doigts ne pr
s bras : 23 cl. 5 à droite, 21 cm. 5 à gauche. Lorsqu'on examine la main gauche, on voit que le poignet, les régions dor-
he, on voit que le poignet, les régions dor- sale et palmaire de la main sont normaux, de même le pouce. Les articulations
est effilé à son extrémité libre. La radiographie (Pl. XLVI) de la main gauche montre que l'atrophie porte sur le squel
ylie chez un enfant âgé de 31 mois. La difformité, localisée à la main gauche, est caractérisée par la sou- dure des p
, la phalange distale est au con- traire allongée. Aux doigts des mains , cette réduction et surtout cette absence de pha-
qu'il portait à sa bouche ; il a cassé souvent ce qu'il tenait à la main , il se heurtait au mur pendant la nuit, et se rap
plus tard, à 14 ans, un garçon jardinier comme lui s'étant coupé la main , W... ne put lui donner aucun secours ; la vue
sa connaissance, il se rappelle même qu'il avait gardé sa brosse à la main . Ses camarades présents s'empressent autour de
une seule minute. Mouvements spasmodiques. W... présentant ses deux mains en pronation on voit à intervalles réguliers un
onistes, le biceps en particulier, ne sont pas inactifs. Les deux mains se déplacent parallèlement et simultanément à int
oup comme subintrantes et le synchronisme per- siste entre les deux mains . Par contre la symétrie est très imparfaite, ordi
e que le synchronisme est moins absolu, exceptionnellement même, la main gauche a eu des retards, peut-être des secousses
du goût. Il met plusieurs minutes à enfiler une aiguille; calant sa main droite sur sa 'main gauche et comptant sur un heu
ns les troubler. En temps ordinaire il manque, et si W... étend ses mains et ses doigts on les voit, spasme à part, aussi
les de l'épaule agitent le membre supérieur dans sa totalité : à la main le tremblement est communiqué. La tête ne tremb
it qui cependant accuse au dynamomètre une infériorité assez nette ( main droite 30, main gauche 40, mais on a noté une f
accuse au dynamomètre une infériorité assez nette (main droite 30, main gauche 40, mais on a noté une fois : main droit
ez nette (main droite 30, main gauche 40, mais on a noté une fois : main droite 70, main gauche 40) ; le malade est droi-
roite 30, main gauche 40, mais on a noté une fois : main droite 70, main gauche 40) ; le malade est droi- tier. Tous les
e trem- blement semble persister l'état latent : quand il raidit la main tendue ou quand il veut écrire, l'immobilité n'
le travail (ibid., p. 88). Note sur le travail alternatif des deux mains (ibid., p. 130).- L'e.< : c : <aM : M com
de 4 ergogrammes exécutant un repos, ont 'donné en moyenne pour la main droite 22 kilogr. 53, pour la main gauche, 15 kil
s, ont 'donné en moyenne pour la main droite 22 kilogr. 53, pour la main gauche, 15 kil. 77 (1). C'est de ces moyennes q
cas de guérison, que l'antisepsie moderne a mul- tipliés entre les mains des chirurgiens. D'un autre côté, des nombreuses
soir on veut réitérer la saignée ; la femme s'y oppose : le lende- main , le malade ne se sentant de rien, veut se lever e
Dans les membres supérieurs, en relevant brusquement la paume de la main on provoque une série de petites secousses succ
e hollandaise du début du XVIIe siècle. Elle est probablement de la main de Cornelius Galle, le Vieux, représentant le p
es renseignements au sujet du dé- but, le malade prétendant que ses mains ont toujours été dans le même état, ce qui n'es
ation et de pleurs, sans perte de connaissance, avec crispation des mains , contractures, etc. Elle se plaint d'un état ne
cha sur le champ et commença à se refermer et à guérir. » Le lende- main aussi la paralysie et la contracture disparaissai
t suggestif. PARALYSIE DU NERF CUBITAL ET CONTRACTURE CONSÉCUTIVE MAIN EN PINCE, PAR le Dr DE LÉON, de Montevideo.
onévrose palmaire, attitude très caractéristique que j'ap- pellerai main en pince. Je dois rappeler, toutefois, que Bern
Cénas sur une contracture bilatérale des deux derniers doigts de la main chez une pianiste, nerveuse et fille de mère nerv
de mère nerveuse, avec douleurs dans la région du cubital depuis la main jusqu'à l'aisselle. Seulement, dans ce cas, il
fait,elle se sentit le bras gauche très lourd et l'avant-bras et la main correspondants presque immobiles et endoloris. De
nsulta sur cet accident, et j'ob- servai les symptômes suivants : Main gauche en forme de griffe (fig. 1) ; premières ph
gts très faible; force dynamométrique réduite à 0 ; adduction de la main abolie ; impossibilité de joindre les bouts des
une hypoesthésie dans la moi- tié interne de la face palmaire de la main , du petit doigt et de la moitié interne de l'an
URES CONSÉCUTIVES (Jaciuto de Léon) . Masson & C·, Editeurs MAIN EN PINCE 411 qui en reçoivent l'innervation, le
trisée; il en résulta une violente crise convulsive. Depuis lors sa main gauche prit l'attitude de poing fermé, ainsi que
tit doigt se faisaient remarquer par leur relief sur la paume de la main . En laissant les doigts en liberté, les trois der
ment et intensément jusqu'à enfoncer les ongles dans la paume de la main ; la flexion du grand doigt n'était pas aussi éne
uche, bien que beaucoup plus considérable à la partie interne de la main . L'examen électrique me démontra alors que le n
crois avoir ainsi démontré que la malade souffre actuellement d'une MAIN EN PINCE 413 contracture consécutive à la paral
tractures post-paralytiques du facial, déterminant une attitude de la main très caractéristique (fig. 2), que par analogie
aractéristique (fig. 2), que par analogie je désigne sous le nom de main en pince. Cette contracture ne serait-elle pas
associée à une lésion organique. Mais les cas de contracture de la main , de nature hystérique, qui ontété décrits, ne s
é décrits, ne sont pas identiques au mien : tantôt l'altitude de la main est celle de poing fermé, tantôt celle d'adduct
ver la photographie (lïg. 3), qui a les trois derniers doigts de la main droite en flexion forcée, la troisième phalange s
econde, la seconde sur la première, et les trois sur la paume de la main , avec tant d'intensité que leurs ongles s'enfon
t qu'une légère séparation de contact, si l'on étend en même temps la main ; c'est une véritable rétraction (ib1'o-tendine
au moins pour la flexion et l'extension ; le malade a l'attitude de main en pince, avec laquelle il soutient la canne.
rieure du bras, qui lui pro- duisit une paralysie douloureuse de la main correspondante pendant longtemps, et que finale
étraction fibro-tendi- neuse après, qui ont déterminé l'attitude de main en pince. BIBLIOGRAPIIIS. DUCHENNE. - L'élect
aphe. Cas remarquable. Guéri. - Obs. XV, par blessure d'arme à feu, main droite, la balle entrant par la face pal- maire
e à feu, main droite, la balle entrant par la face pal- maire de la main et s'arrêtant à la face dorsale, à 6 ou 8 centimè
e noir.Seules, les parties habituellement découvertes, face, pieds, mains et partie inférieure des avant- bras présentaie
ras sont lésés des deux côtés, mais surtout à droite (PI. LIV). Les mains sont normales. Il n'y a pas d'atrophie musculai
ai montré que les mouvements des yeux agissent sur le travail de la main (4). Le travail intellectuel (5) n'est pas non
a physiologie, 1901, p. 1). Note sur le travail alternatif des deux mains (L'année psychologique, 1901, p. 130). (4) Le p
gauche, avec association de mouvements de flexion des doigts de la main droite : 128 k.94.- Accroissance lente du travail
nts du médius des mouvements de flexion sans poids des doigts de la main du côté opposé. Les diagrammes 4 a (Exp. VII) e
quand la fatigue est venue avec les mouvements associés de l'autre main , la mastication du côté correspondant donne un
flexion du médius droit des mouvements de flexion des doigts de la main gauche. L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE L'ACTIVITÉ
. 68, et de 182, 87 ; sous l'influence de mouvements associés de la main gauche, 183, 99; sous l'inlluencedes mouvement
vêtue d'un casaquin de velours rouge bordé de cygne, est assise, la main gauche appuyée sur sa poitrine, abandonnant son
t et solennel, a délicatement saisi le poignet de sa cliente. De la main droite il fait un geste profond. Son sourcil fron
e barbe, barrette sur la tôle, saisit le bras droit du malade de la main gauche. De la main droite il tient un instrument,
ur la tôle, saisit le bras droit du malade de la main gauche. De la main droite il tient un instrument, pro- bablement u
t la façon dont l'opérateur tient son instrument, la position de la main gauche dont le pouce semble tendre la peau de l
ections organiques du système nerveux (oedèmes des hémi- plégiques, main succulente des syringomyéliques, etc.). En défi
erve s'impose : depuis peu, une .tumeur maligne est apparue sur une main . S"agit-il seulement d'une coïncidence ? ? Au
re supérieur droit est tuméfié dans toute sa longueur, y compris la main ; les tissus sont enflés, tendus; la peau bleuâ
t dessiné. L'enfant peut remuer son bras et saisir des objets de la main droite. Elle commence à s'alimenter. 13. Nous t
13. Nous trouvons Alice occupée à manger sa soupe, se servant de la main du côté malade. L'amélioration s'accentue rapid
centimètres soit actif. Lorsqu'on saisit la peau du liras à pleine main , l'on tient un pli plus épais à droite qu'à gauch
la sensibilité intacte. On note seulement que le membre donne à la main une sensation de fraîcheur d'ailleurs peu impor
nd que son bras gauche est aussi plus volumineux, mais, bien que la main semble un peu plus potelée, la mensuration n'in
rvation 111. La jeune femme que la photographie représente avec des mains volumineu- ses, comme si elles étaient revêtues
e. L'hypertro- phie commence vers le milieu du bras, mais c'est aux mains qu'elle a acquis le plus grand développement. L
n action, les téguments 494 E. RAPIN deviennent plus fermes ; les mains , l'hiver, ne peuvent être fermées aussi faci- l
sidérable : 0 m. 37 et 0 m. 27 ; au poignet 0 m. 19 des deux côtés. Mains d'égal volume, à peu près : 0 m. 30 et 0 m. 2 ! j
en conformés. La sensibilité cutanée parait normale. Le dos de la main gauche porte quelques cicatrices superficielles c
eprises ; les pieds on ont toujours été exempts. Par deux fois, les mains auraient été le siège d'un érysipèle : la main
Par deux fois, les mains auraient été le siège d'un érysipèle : la main droite en 1884 et la gauche en 1893. L'enflure au
duration très douloureuse au toucher, occupant le milieu du dos de la main droite, sous la forme d'une plaque indurée roug
la Salpêtrière. T. XIV. Pl i,XIX RADIOGRAPHIE Hypertrophie de la main gauche (Ohs 11.) (A. Thomas ) Masson &
position couchée. Au palper, la vésicule biliaire est sensible. Les mains sont le siège de gonfle- , ments fugaces et pas
rtain de pouvoir la faire grandir. L'examen radio- 'graphique de la main , fait à cette époque, ne laissait aucun doute au
cipalement la face avec tendance à la contraction, en griffe, de la main gauche, impotence fonctionnelle du segment infé
ut pour le membre supérieur et plus particulièrement encore pour la main . Elle se présente avec des caractères assez diffé
e et la coloration des téguments. L'enfant se sert bien de ses deux mains , mais elle est plutôt droitière. Les réflexes t
ée à la péri- phérie qu'à la racine du membre (PI. L1'III, C). La main gauche n'est pas seulement hypertrophiée, mais el
if- forme, elle est large, étalée, en battoir.La différence avec la main droite porte bien plus sur la main elle-même qu
en battoir.La différence avec la main droite porte bien plus sur la main elle-même que sur les doigts ; elle est beaucoup
naturellement écartés. La peau présente le même aspect sur les deux mains , elle n'est pas épaissie : il n'existe aucune d
vation II, l'hémihypertrophie est beaucoup plus appa- rente pour la main que pour les autres parties la face est d'ailleur
utres parties la face est d'ailleurs 516 ANDRÉ THOMAS indemne. La main gauche est non seulement remarquable par l'exagér
contractilité faradique des muscles de l'avant-bras gauche et de la main gauche, par rapport aux muscles correspondants du
Sur l'un d'eux, on voit deux scytes embrassés, tenant chacun d'une main la poignée d'une seule et même coupe, attitude
ante, le front peu élevé, le nez droit et un peu long. Il a posé la main gauche sur la tète du patient, et de l'index dr
ssion de visage du malade, si expressive de douleur, le geste de la main gauche qui s'ap- puie nerveusement sur son geno
, et le mouvement involontaire de dé- fense par lequel il arrête la main qui, tout en cherchant à le guérir, ravive atro
porte sur la tête une sorte de capuchon. C'est le chirurgien. De la main gauche, il soulève le talon du membre blessé. D
ssé. De son côté, le malade soutient le mollet qui re- pose dans sa main large ouverte. La bande a été roulée déjà deux ou
bas de la jambe, et le chef libre reste plié plusieurs fois dans la main du panseur qui, peu ingénieux, n'a pas songé préa
encore, nous voyons le malade, essayer d'un geste de lui retenir la main . (1) H. MEME, La blesstere-d'Enée, Nouvelle Ico
la douleur. Il faudrait donc mettre en cause le peu de légèreté de main des chirur- giens scytes. C'est peut être la pe
ur, qui porte sa trousse à sa ceinture, s'apprête, la lancette à la main , à pra- tiquer la saignée. Il s'y prend de la b
rait peu inquiet; il lui abandonne son bras droit pendant que de la main gauche il tient lui-même le bassin destiné à re
errompre le cours du sang, et le gros bâton que l'opéré serre de la main droite a un double but : il sert de point d'app
sur un tabouret, soutenu en arrière parle docteur. Il serre dans la main droite un long bâton dont un aide tient l'autre b
ie du rituel de toute saignée orthodoxe. « Le baston qu'on met à la main du malade (tant pour luy soustenir le bras que
de la santé (Augsburg, Steyner, 1536). Le patient tient encore à la main le bâton de saignée, tandis que l'opérateur, un b
point obligé de regarder de trop près ; qu'il n'ait point aussi la main trop grosse parce qu'elle serait pesante, qu'il
et à la boule, parce que tous ces exercices peuvent lui ébranler la main ; enfin il doit avoir son attention sérieuse po
fin il doit avoir son attention sérieuse pour la conservation de sa main , s'il veut bien saigner de long tems. » On re
pas moins de 45 veines saignables : 15 à la tête, 10 au bras, 6 aux mains , 2 au ventre, 2 au siège, 10 aux pieds, - et ch
2 fig.), H. Paralysie du nerf cubital et contracture consécutive. Main en pince, par JACINTO de Léon (1 pl. en photoco
into de Léon. Paralysie du nerf cubital et contracture consécutive. Main en pince (1 pl. en photocollogr.), 409. Jouko
(Lucien HUDELO et Jean IIEITZ), LIV à LVII. Paralysie du cubital, main en pince (JACINTO de LÉON), LUI. Possédé (Un)
17 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
eux, -nier l'évidence même. Mais si le gigantisme donne ainsi une main à l'infantilisme, il tend l'autre à l'acromégal
e bras est propor- tionnellement moins accru que l'avant-bras et la main . L'allongement porte de préférence sur ces deux
ngue promenade. La force musculaire au dynamomètre donne 22 pour la main droite et 20 pour la main gauche-moins de la mo
usculaire au dynamomètre donne 22 pour la main droite et 20 pour la main gauche-moins de la moitié d'un adulte normal. C
maux. Donc, la persistance des cartilages épiphysaires des os de la main , dépasse déjà la limite physiologiquement permi
secondaires et l'en- semble de ses formes corporelles (excepté ses mains et ses pieds), ce qui lui donne un habitus morp
, la céphalalgie, et surtout le développe- ment disproportionné des mains et des pieds, par rapport aux autres seg- ments
arac- téristique. Rappelons tout d'abord que le développement de la main , comme nous l'avons vu en nous rapportant au ca
non artistique romain oudeVitruve, qui donne pour la longueur de la main la dixième partie de la taille, et si la main d
pour la longueur de la main la dixième partie de la taille, et si la main de José Lopes était d'accord avec ce canon, nou
canon, nous devrions avoir 0 m. 210 au lieu de 0 111. 250. Bref, la main de JObé Lopes, au lieu de s'arrêter xxiv 2 18
ttoir. Les doigts, d'une longueur sensiblement proportionnelle à la main , sont peut-être un peu massifs, mais pas en sau
sont peut-être un peu massifs, mais pas en saucisse. En somme, la main de notre géant offre ce type en long, « caractéri
vu le géant. Eh bien, cette singulière hypertrophie de la face, des mains , des pieds et des malléoles, accompagnée de cép
III GIGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE (Magalhacs Lemos). Main et pied du géant Jose Lopès, comparés à ceux de s
INFANTILISME ET ACROMEGALIE (Magalhaes Lemos). Radiographie de la main du géant José Lopès. Masson & CI ! '} Édite
9 Interrogé à ce sujet, notre géant prétend qu'il a toujours eu les mains et les pieds trop grands, ce qui est catégoriqu
par son frère et par son parrain d'après ceux-ci, les pieds et les mains seraient apparus déjà hypertrophiés à la naissa
e pouls était souvent mais pas tou- jours fréquent. Tremblement des mains . Les premiers troubles basedowiens dataient dep
térature sur ce sujet. Sous le nom de « subluxation spontanée de la main en avant », Made- lung en 1889 nous avait donné
rencontre constamment, consistent : 1° Dans une subluxatioll de la main en avant. 2" Dans la 1'ét¡'oJiosition de la tèt
on à cette règle nous avons le seul cas de Kirmisson dans lequel la main , par rapport au cubitus, était sulrluxée en arriè
âge avancé. Dans un cas de Madelung la suliluxalion en avant de la main se constitua à l'age de 22 ans ; dans un cas de
position de la tète de cubitus, dans une subluxation évidente de la main en avant et dans un raccourcissement apparent d
raccourcissement apparent de la région carpienne, de façon que les mains sont séparées de 74 ' QUADRONE E : Pavant-bra
es on ne peut ob- server des déviations ni de l'avant-bras ni de la main . Les mouvements de la main sont libres mais ave
s déviations ni de l'avant-bras ni de la main. Les mouvements de la main sont libres mais avec une certaine limitation : s
ement les mouve- ments d'extension, de flexion et d'abduction de la main sur l'avant-bras sont limités. Le patient est u
L'ÉTUDE DE LA MALADIE DE MADELUNG 77 quer toute la difformité de la main . Mais cette deuxième hypothèse ne peut être mis
ux assistant à l'Asile d'aliénés. Les déformations congénitales des mains sont nombreuses. Bien que les caractères morpho
. 11. xxiv 6 82 ' COSTANTINI doigt auriculaire de plus à chaque main . Il n'a commencé à parler qu'à l'âge de trois a
passablement développé et régulièrement distribué. Blésité légère. Main droite (PI. X). Elle présente un doigt auriculair
ont les phalangettes un peu grosses, les ongles courts et larges. Main gauche. Elle présente aussi un doigt auriculaire
f. Les autres doigts présentent les mêmes caractères que ceux de la main droite. La radiographie démontre clairement ce
'état normal. Il s'agit donc d'un cas d'hexadactylie bilatérale des mains ,' sur un sujet qui, du côté héréditaire, n'a ri
déformation est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale, parfois aux mains ou aux pieds seulement, assez souvent même aux ma
e, parfois aux mains ou aux pieds seulement, assez souvent même aux mains et aux . pieds en même temps et avec un nombre
s exemples, Ruysch (1) rencontra dans un squelette sept doigts à la main droite et six à la main gauche ; Morand (2) obser
encontra dans un squelette sept doigts à la main droite et six à la main gauche ; Morand (2) observa un cas où chaque ma
roite et six à la main gauche ; Morand (2) observa un cas où chaque main présentait sept doigts ; Suviard (3) vit chez un
ept doigts ; Suviard (3) vit chez un nouveau-né dix doigts à chaque main et à chaque pied ; Johnson (4.) rapporte égale-
on (4.) rapporte égale- ment une observation de dix doigts à chaque main et à chaque pied ; Voight (5) trouva chez un no
pied ; Voight (5) trouva chez un nouveau-né treize doigts à chaque main et douze à chaque pied ; Hagenbach (G) décrit,
est une anomalie beaucoup plus fréquente (7). La poly- dactylie des mains se rencontre beaucoup plus souventque celle despi
ccupent de préférence le côté externe ou même le côté interne de la main : cesontdonc un double pouce ou un double ortei
u'à la quatrième géné- (1) Ruvscn, Squelette ayant sept doigts à la main droite et six à la gauche. Hirt. Enc. des s. m.
porte une observation dans laquelle l'hexadactylie bilaté- rale des mains se transmettait sans interruption à travers neuf
aux hommes et femmes avaient presque tous un doigt surnuméraire aux mains et aux pieds (4). Renon parle d'une famille dan
u'à neuf (2). 2° Données d'anatomie humaine : Le squelette de notre main , tant du côté ulnaire que du côté radial, possè
is il admet l'atavisme si les mêmes formations se trouvent aux deux mains et aux deux pieds (7). (1) SPOTO, loc. cit., p.
umière paresseuses des deux côtés : tremblement de la langue et des mains . Pas de dysarthrie. Antécédents éthyliques : habi
rvation du tibia. Habitué du Palais de Justice, il en tient dans la main droite l'almanach. Son intelligence était très dé
on le désignait communément. Les chaussures étaient trouées ; à la main il tenait un énorme gourdin à peu près anssi ha
étail ; il a soigneusement figurée ! les mem- bres raccourcis et la main en scie, déformations si particulières sur les-
ent dans les épaules ; il a des dou- leurs et une faiblesse dans la main gauche et une immobilité du dos. Il est malade
arrêter brusquement aux poignets et aux chevilles. Les pieds et les mains sont normaux. Toutes les régions adipeuses sont t
ures sans secours. Convulsions du bras gauche, flexion forcée de la main et des doigts il tel point que les ongles pénètre
rits dans le Pourpoint.(Ces teintes onl été sans cloute ajoutées à la main , à moins que ce ne soit là un essai d'estampe e
loin de cacher leur [maladie la signalaient à tous par deux grandes mains d'étoffe qu'ils portaient l'une sur la tête, l'au
s, universelles par tout le corps, par- ticulières aux pieds et aux mains , et aux joinctures, d'oygnements diver- sicolor
é des plaies ». Dans le premier rang, le pre- miel' soldat a la main gauche en écliarpe et sa chausse droite est fendu
e plutôt qu'il ne le soutient ; son voisin a le bras en écharpe, la main tout a fait tombante. Ce sont eux que nous avon
vieulx cabas, où a souvent ung esgout comme une canelle à laver les mains , qui est en façon de pertuys de flûte d'Alleman
isse libres que les orteils; et son voisin a le bras en écharpe; la main tombante Les poursuyvans tours de malheurs, P
ongue robe couverte de ces emblèmes et il en tient un exemplaire en main ; ce sont les boîtes aux c unganz doulx, frais, s
iste interminable qu'en donne le Pourpoint. La Dielle tient d'une main un objet oblong, où, dans l'estampe de Blois, s
d'après Petit de Jullevillei. Le Seigneur du puy d'amour tient en main un bouquet de fleurs. Il est trainé par deux fe
nouées ». « Aussi, ne fault laisser les douleurs, les enflures des mains et des piedz dont il faut avoyr battons à pomme
soient elles qui rendent Podagres et emmantelez, La potence en la main contrite. Pour les pansements de la main, il ne
ntelez, La potence en la main contrite. Pour les pansements de la main , il ne peut guère s'agir d'onyixs bien que souv
lle, la broche chaude et le farcin entre les doygts et au creux des mains ,dont elles sont dures et espe-rses,i*ab6tèli- (
aux. Le malade élève cons- tamment le membre gauche en dirigeant sa main vers la partie droite du champ visuel, comme po
s dans le côté droit de la face et dans le bras corres- pondant. La main gauche s'élève comme hier et se dirige vers la dr
ce côté. Pas de mouvements convulsifs dans les muscles de la face. La main gauche se dirige toujours vers la droite, comme
Le malade a une espèce de stéréotypie : si on lui lève le bras ou la main , il répète ce mouvement trente fois, quarante f
oit compte les doigts à 1 m, 50, le gauche voit seulement passer la main . Pupilles larges, il réactions très faibles : str
ns la nuque, avec crises violentes accompagnées de vomissements, la main gauche était atteinte de parésie avec mouvement.-
lLI\' DIHBC1EUB-PnOl'. L. Devoto. SUR UN ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYÉLIE. LA MAIN EN « PEAU DE L
SUR UN ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYÉLIE. LA MAIN EN « PEAU DE LÉZARD , PAR Pierre BOVERI, Pn
grande variété de ces troubles dans leur expression clinique. La main type Morvan, la main chéiromégalique de Charcot e
s troubles dans leur expression clinique. La main type Morvan, la main chéiromégalique de Charcot et Brissaud, la main
ain type Morvan, la main chéiromégalique de Charcot et Brissaud, la main succulente de Pierre Marie et Marinesco, la sclér
yringomyélie, qui présentait un aspect particulier de la peau de la main . C'est sur cette particularité symptomatique qu
ans ce membre. Plus tard (3-4 mois après) le malade constata que la main et les doigts à droite de- venaient faibles et
r de tail- leur. Dans le mois de mars 1909, le malade note que la main , ou plutôt le premier espace du métacarpe, maig
extension, tandis que la deuxième et la troisième fléchissent ; la main a pris la forme de main en griffe. Les muscles
a deuxième et la troisième fléchissent ; la main a pris la forme de main en griffe. Les muscles interosseux s'atrophient
et hypothénar deviennent petits, atrophi- ques (décembre 1909) ; la main est plus froide que la gauche, fréquemment roug
auche, fréquemment rouge, et même cyanosée pendant l'hiver. Si la main est maintenue pendant longtemps dans la position
i est très pénible. Le malade se brûle fréquemment les doigts ou la main avec le fer à repasser, et tout cela sans s'en
s tard. Le même phénomène s'est produit aussi du côté gauche, où la main n'offre rien en apparence d'anormal (pas d'atroph
avons constaté deux escarres par brûlure sur le bord cubital de la main droite, brûlures qu'il s'était fait presque sans
seulement en la voyant. Le malade nous raconte que les doigts de la main droite présentent de temps en temps des secouss
ôté droit. Etal actuel (janvier 1911). Membre supérieur droit. La main droite est en légère extension sur l'avant-bras.
e, la NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPLrRIERE. T. XXIV. m. XXX[ MAINS EN PEAU DE LEZARD DANS LA SYRINGOMYÉLIE (Boveri
e, Editeurs. Phololtpne 13eUliaud, l'uns ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYÉLIE 20U ) deuxième et la troi
qu'il n'y a pas de contact des pulpes digitales avec la panme de la main . Le pouce est en adduction et en rotation inter
nence hypo- tbénar, avec aplatissement remarquable de celles-ci. La main présente l'aspect de la main en griffe. On cons
tissement remarquable de celles-ci. La main présente l'aspect de la main en griffe. On constate un élargissement de la mai
e l'aspect de la main en griffe. On constate un élargissement de la main au niveau de la, partie métarcapienne ; malgré
e hypothé- nar et du premier espace du métacarpe, le diamètre de la main droite est de 6 millimètres sunérieur à celui s
ètre de la main droite est de 6 millimètres sunérieur à celui se la main tranche. 210 BOVERI Quelques contractions fib
membre supérieur gauche se présente d'aspect tout à fait normal. La main , l'avant-bras, le bras nesont pas atrophiés ni
atrophiés ni modifiés de volume. Les mouvements des doigts, de la main , de l'avant-bras, du bras sont ac- complis sans
s crâniens ne semblent pas touchés. Aspect spécial de la peau de la main droite. Nous avons donné plus hau t la descript
de la main droite. Nous avons donné plus hau t la description de la main droite pour ce qui est de son altitude (en griffe
des mouvements relatifs. Mais ce qu'il y a de singulier dans cette main et qui lui donne un cachet spécial qui nous a f
aux. MouVËHH Iconographie de la Salpêtrière. T. XXIV. PI. XXXII MAINS EN PEAU DE LÉZARD DANS LA SYRINGOMYÉLIE 1 (Bo
e, Editeurs PII(lI(11ple Hert1.nutl, Pal ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYELIE 211 Le réflexe cutané pla
te qu'il se trouve parfois des aiguilles enfoncées dans la peau des mains le malade est tailleur sans s'en apercevoir. Ces
de rou- geur violacée qui n'existe pas de l'autre côté; de plus la main droite est sou- vent froide et elle se refroidi
se refroidit facilement, beaucoup plus et beaucoup plus vite que la main gauche. Il est hors de doute qu'il s'agit,, che
u'il s'agit,, chez notre malade, d'un cas de sy ringo- myélie. La main en griffe, la dissociation de la sensibilité, l'e
évidente. Je me limiterai donc à considérer l'état de la peau de la main . La peau de la main n'est ni oedémateuse, ni sè
terai donc à considérer l'état de la peau de la main. La peau de la main n'est ni oedémateuse, ni sèche, elle ne se desqua
volume égal des deux côtés. Ce qui donne un cachet spécial à cette main est, comme nous l'avons dit, une largeur anorma
venons de décrire, est bien évident sur toute la face dorsale de la main ; il disparaît vers l'articulation de la première
ec la deuxième. Il va sans dire que, de l'autre côlé, la peau de la main est tout à fait normale, même délicate et fine,
igneuse et a perdu sa mobilité sur les tissus sous-jacents. ». La main succulente a des caractères bien différents : « T
es détails qu'on constate à l'état normal sur la face dorsale de la main , sont effacés ou, ont disparu et remplacés par
disparaître tous les détails de structure de la face dorsale de la main ... Cette rondeur de la face dorsale delà main, lu
la face dorsale de la main... Cette rondeur de la face dorsale delà main , lui donne un aspect potelé... on ne voit pas l
la température du milieu ambiant. Pendant l'hiver la couleur de la main lui donne l'aspect d'une main gelée, Il suffit qu
ant. Pendant l'hiver la couleur de la main lui donne l'aspect d'une main gelée, Il suffit que ces malades sortent pour q
t d'une main gelée, Il suffit que ces malades sortent pour que leur main prenne un aspect rouge violet, dù à des mar- br
z tous ces malades mais avec des nuances. Il s'agit en somme d'un main tuméfiée, froide et faible, avec des doigts fus
arinesco) (3). Je néglige à dessein d'énumérer les caractères de la main cheiroméga- lique ou de la main type Morvan, ca
ein d'énumérer les caractères de la main cheiroméga- lique ou de la main type Morvan, car avec ces cas une confusion nepou
e soulever en gros plis surtout aux extrémités supérieures (dos des mains ) ; c'est cet aspect que ces auteurs ont exprimé e
chez notre malade. En effet, chez lui l'altération est limitée à la main atrophique, il n'y a pas de desquamation, pas d
ntinuellement, pendant la jour- née et la soirée, les muscles de la main droite, en maniant les gros ciseaux de tailleur
, en maniant les gros ciseaux de tailleur, et c'est justement celte main qui est lésée. Or, on peut se demander la fatig
érale de Bouchard, Paris, Masson et Cie, 1901. 3. G. MARINESCO. - Main succ7tlente sel alrophie musculaire dans la .<
. Même in- décision des mouvements pour s'habiller, se lever. A les mains froides, pas de troubles vaso-moteurs. Même asp
décembre. - G. dans la salle sourit de temps en temps, embrasse ses mains , les tourne et retourne (PI. XXXIII). Embrasse le
vant (Pl. XXXIII). Il fait constamment des gestes étranges avec les mains , il lève et agite un instant sa casquette, sans q
vain de savoir pourquoi il parle ainsi. On le prie d'écrire ; de la main droite il fait d'abord quelques gestes bizarres
signification. Il interrompt ces gestes et se frotte la tête avec une main , mais ne répond pas, puis reprend ses gestes. S
vous ennuie, M. G. ? » Il ne répond pas. Le surveillant lui tend la main . G. fait un geste de refus net. L'interne lui t
tend la main. G. fait un geste de refus net. L'interne lui tend la main ; G hésite et finit par donner la sienne en faisa
disant : « Où qu'on me mène ? de quel côté qu'on va ? » Il met ses mains dans ses poches d'un air ennuyé. Le médecin lui c
ont nous nous sommes régalés C'est le petit trou (ferme à moitié la main ). Je ne tra- vaille pas, mais je ne suis pas un
l'attitude figée déjà décrite et avec des gestes menus et variés des mains . Dans les quelques périodes d'excitation qu'il
s, puis, après avoir regardé dessous et fait plusieurs gestes de la main gauche, il la met dans la bouche. Souvent, lorsqu
Mangez » et il obéit. Lors- qu'il boit, il élève son gobelet à deux mains comme le calice la messe, re- mue les pouces et
out de deux minutes environ. De petites se- cousses continuent à la main droite après la crise, puis s'espacent et cessent
-externe du bras et sur le bord cubital de l'avant-bras, enfin à la main l'annulaire et l'auriculaire ne présentent aucune
traste étrangement. Sa taille est moyenne 1 m. 72, ses pieds et ses mains de volume normal ; de plus c'est un garçon séri
normaux. Il n'existe à ce niveau aucune difformité appréciable. Les mains sont bien conformées, avec des phalanges normales
-bras 5 millimètres de plus que de l'autre côté. La largeur de la main est identique des deux côtés : 14 centimètres. Aj
Ajou- tons que le malade n'est pas gaucher. Comme les pieds, les mains bien conformées sont énormes. Elles affectent l
carpe. Si l'on s'en rapporte au canon de vitruse, on trouve que les mains qui doivent avoir la dixième partie de la longueu
malade n'est pas seulement un homme aux grands pieds et aux grandes mains . Il n'est pas seulement un déséquilibré physique
(7) a publié un cas d'acromégalie sans déformation des pieds ni des mains . La pathogénie de l'acromégalie n'est pas encor
très lents et très maladroits. Les orteils ainsi que les doigts des mains n'ont point augmenté de volume ; les mains, quo
ainsi que les doigts des mains n'ont point augmenté de volume ; les mains , quoique fortes, ne dépassent pas la normale ;
On note une névralgie faciale unilatérale. La force musculaire des mains et des pieds est bien conservée. Les réflexes t
en même temps il exécute des mouvements rythmiques et lents avec la main , tord sa mous- tache, gratte son nez, se frotte
elle était toujours de même type : le malade portait brusquement la main droite il l'oreille ou bien a la paupière qu'il f
condes ; pendant la crise, le malade tapait le genou gauche avec sa main , ou bien portait la main au-dessous de son pantal
, le malade tapait le genou gauche avec sa main, ou bien portait la main au-dessous de son pantalon et tripotait ses orga-
ques et rares : on n'y trouve point de déformation des pieds et des mains . Chauffard a publié une observation analogue, mai
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES ASSOCIÉES DES MAINS . (ECTRO-POLY-MACRO SYNDACTYLIE ET NIICRO-TII
j'ai eu l'occasion d'observer un cas de difformité congénitale des mains sur lequel je crois utile de publier une étude ca
llatéraux personne n'a jamais présenté de difformité des doigts des mains ou des pieds. Objectivement, le sujet présente
roite. NUUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPJ3 : 1RIÈRE. T. XXIV, PL. LU. Main droite. Main fauche. Figure 2. Main gauche.
ICONOGRAPHIE DE LA SALPJ3 : 1RIÈRE. T. XXIV, PL. LU. Main droite. Main fauche. Figure 2. Main gauche. Main droite.
1RIÈRE. T. XXIV, PL. LU. Main droite. Main fauche. Figure 2. Main gauche. Main droite. 1 : CTISO-POT.I'-\IrlCRO-S
XIV, PL. LU. Main droite. Main fauche. Figure 2. Main gauche. Main droite. 1 : CTISO-POT.I'-\IrlCRO-SY\ D1CTYL r E
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XXIV, PL. LUI. ]'-LGL;RL 3. Main droite. Main gauche. 1 ? CTISO l'01.1'-\ItlCR
DE LA SALPÊTRIÈRE T. XXIV, PL. LUI. ]'-LGL;RL 3. Main droite. Main gauche. 1 ? CTISO l'01.1'-\ItlCRO-SY\T1).1C'C1'
tout ceux des supinateurs de l'avant-bras, la flexion dorsale de la main et l'opposition du pouce aux derniers doigts. E
du malade donne un résultat négatif. L'examen radiographique de la main et du tiers inférieur de l'avant-bras a permis
onstater que, dans les cas de simples déformations congénitales des mains (polydactylie, ectrodactylie, syndactylie), non
t là de phénomènes dus à une inflammation des tissus qui forment la main de l'embryon ou du foetus, ou bien des vases ou
nger seule. Tremblement et mouvements involontaires. Les doigts, la main , les avant-bras sont animés d'un tremblement pa
n dans lesquels la flexion prédomine : l'avant-bras sur le bras, la main sur l'avant- bras avec un léger mouvement rotat
bras avec un léger mouvement rotatoire en dedans, les doigts sur la main ; le pouce est animé de petits mouvements de ll
des lomhricaux et interosseux. Sécheresse de la peau dorsale de la main . On- gles striés, déformés, cassés. Ephydrose d
a main. On- gles striés, déformés, cassés. Ephydrose du creux de la main avec desquama- tion épidermique entretenue par
la compression de l'extrémité des doigts en flexion forcée dans la main . Sensibilité. Rien d'appréciable. L'inertie de
a à quelques pas ; elle fut précipitée à terre. Revenue à elle, ses mains tremblaient et ce tremblement ne fit que s'acce
n'a plus de rapports sexuels. L'hiver dernier, il est tombé sur la main droite, qui enfla, sans le faire souffrir beauc
p. Après deux semaines, l'oedème limité seulement à la région de la main a disparu complètement,en lui laissant une main d
t à la région de la main a disparu complètement,en lui laissant une main déformée, absolu- ment comme une main de rhumat
plètement,en lui laissant une main déformée, absolu- ment comme une main de rhumatisant chronique, etqui fait un contraste
une main de rhumatisant chronique, etqui fait un contraste avec la main gauche, qui est normale. Cette main, nous l'avons
etqui fait un contraste avec la main gauche, qui est normale. Cette main , nous l'avons fait radiographier, et on voit su
soulève la cuisse en l'air, dès le début on voit et on sent sous la main appliquée sur la face antérieure de la cuisse que
re étant soulevé, nous lui disons de le laisser ' appuyer sur notre main libre, alors la contracture du quadriceps dispara
relever le membre en l'air, pendant que nous tenons dans une de nos mains la masse muscu- laire postérieure de la cuisse,
lui dit alors de le laisser se reposer, soutenu seulement par noire main appliquée derrière le membre, on se rend compte
re- inférieur en l'air, nous sentons, en maintenant dans une de nos mains la masse musculaire des adducteurs, que dès le
rie à la racine des membres; ayant débuté à droite, en 1895, par la main et l'avant-bras, l'atrophie ne cessa d'agrandir
ie à prédominance rhizo- mélique, la lordose lombaire, la forme des mains , etc. , Voici les résultats métriques des princ
Salpêtrière. T. XXIV. Pl. LVI ACHONDROPLASIE (Radiographie des mains ). (J. Rebattu). )UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
halique, micromélie à prédominance rhizomélique, lordose' lombaire, mains carrées en trident, il ne manque aucun des caract
rs à la moyenne. Le raccourcissement est moins accusé au niveau des mains et des pieds, qui présentent à un certain degré
ostéogéniques. C'est là la seule anomalie constatée au niveau de la main ; mais il faut 374 REBATTU ajouter que l'apop
, Soc. anat. de Paris, oct. 1908, p. 439. Anomalie des plis de la main dans l'achondroplasie et la dysostose. Soc. anat.
oils de la région pubienne et axillaire sont bien fournis. Les deux mains présentent au niveau de l'extrémité métacarpienne
es oreilles présentent l'aiititélix plus proéminent que l'hélix. La main droite présente sur le côté externe du pouce un s
sité. Il tient, pendant tout le temps que nous parlons avec lui, la main droite sous le menton. Il lit bien mais lenteme
rudimentaire, car la radiographie montre l'état normal des os de la main . ' Dans le second cas on voit un doigt surnumér
face et de profil. On observe très nettement le goitre. Les deux mains de la même malade. Remarquer le rudiment du sixiè
de la première phalange du petit doigt. Pl. LXII. Radiographies des mains de la même malade montrant l'état normal des os
lade de la seconde observation. Remarquer le doigt surnuméraire de la main droite. ' PI. LXIII. Main droite. On observe
. Remarquer le doigt surnuméraire de la main droite. ' PI. LXIII. Main droite. On observe très bien le sixième doigt.
arres évoluèrent successivement. En même temps, les oreilles et les mains présentaient aussi du gonflement et une teinte ro
is elles restent plus rouges et plus grandes que normalement. Les mains présentent les mêmes caractères que les oreilles.
u feu. Il ne s'est jamais formé d'escarres à leur niveau. L'été les mains dégonflent, mais restent rouges ; il existe à leu
ssez marquée. Enfin les pieds participent au même processus que les mains , mais à un degré moindre. En dehors des régio
la spondy- lose rhizomélique (obs. XV) ; il y a de la cyphose, des mains en battoir et de l'hémianopsie (obs. XVIII) ; ;
VII). Comment expliquer tous ces faits ? Un bon nombre, comme les mains en battoir, l'allongement des pieds et l'hémian
rte rapide de l'instinct sexuel, puis frigidité, épaississement des mains et des pieds, sécheresse de la peau. Pâleur de
s à 72. Température : 36°2. Augmentation du volume des pieds et des mains . ' Polyurie avec urines normales. Champ visuel
its lobes du volume d'une noisette ; aspect crétinoïde de la face ; mains oedématiées, froides, roides, maladroites; oedè
eau est ridée au niveau du visage et du cou, de la face dorsale des mains des doigts et des pieds (mais le malade a 45 an
de troubles intellectuels signalés. . Pigmentation du front, des mains et des pieds. Pouls à 75. Tension 12. Homme cou
ISME TARDIF (Cordier et Rebattu). Obs. \V11. - Radiographie de la main . Soudure des épiphyses. Le malade continue cepe
donnés plus haut, sont nettement disproportionnés. L'envergure des mains ne manifeste pas d'acromégalie plns que la taille
oliose, et surtout des extrémités massives, des doigs boudinés, des mains en battoirs. Interrogé, le malade fut très affirm
régulier; la taille n'a pas changé (1 m. 65) depuis le régiment ; les mains et les pieds ne sont pas mortifiés (même pointu
tement, ainsi que l'aspect atrophié de la verge et des bourses. Les mains et les pieds sont légèrement pigmentés, la peau
t moyen, alors qu'il en est de même pour les avant-bras et pour les mains , les bras sont environ de quatre pouces plus co
t proportionnés ; il en est de même pour les avant-bras et pour les mains . alors que les bras sont beaucoup plus courts q
ssus, mais il y a plus : les deux avant-bras sont raccourcis et les mains , ainsi que les pieds, sont affectées d'une façon
ré- coce d'une artliropathie de Charcot dans le tabès. L'état des mains et des doigts est tout à fait intéressant (fig. 1
état des mains et des doigts est tout à fait intéressant (fig. 1). La main gauche est large ; les doigts sont trapus et cu
is que le premier est relativement court. La forme en trident de la main est bien évidente sur la photographie et les doig
es que les autres articulations dont il a été parlé plus haut. La main droite aussi est large. Le médius est à peu près
aire et trapu des doigts est identique à ce qui a été écrit pour la main gauche ; les articulations également sont semblab
ce qui existe de l'autre côté. Ce n'est pas le véritable aspect de la main en trident. L'état du pied est représenté sur
mité du doigt médius : à droite 14, à gauche 13. 4° Largeur de la main : 8 des deux côtés. La stature du sujet est de
s précédeuts, les humérus sont raccourcis d'une façon typique ; les mains sont un peu en forme de bêche. A droite, l'annula
le médius sont de la même longueur. Les deux petits doigts des deux mains sont très courts. En dehors de ceci, la main ga
etits doigts des deux mains sont très courts. En dehors de ceci, la main gauche est normale. VI. Agalatuolele, femme de
basse. Les humérus présentent leur raccourcisse- ment typique. Les mains sont plutôt en forme de bêche. Les doigts de la m
nt typique. Les mains sont plutôt en forme de bêche. Les doigts de la main gauche sont conrts; le fer doigt, le 2e et le 3
le raccourcissement de tous les segments du membre supérieur et la main gauche y présente les caractères de la main en
membre supérieur et la main gauche y présente les caractères de la main en trident. Par contre la syndactylie observée au
me membre. Du- four a enregistré un cas où il y avait absence de la main en trident et où les caractères mentionnés ci-d
plasie dans lequel l'unique symptôme de la maladie était l'état des mains . Si de tels faits doivent être acceptés comme des
essé est absolu- ment démonstrative (Notons en passant que les deux mains ont été radiogra- phiées sur un même cliché pou
dio-chromomètre de Benoit, placé lui-même à égale distance des deux mains ). Telles furent les lésions constatées quatre m
ilité s'est atténuée sous tous ses modes dans toute l'étendue de la main , du bras, de l'épaule, jusque dans la région du g
droit. Quand il se relève, il lui est impossible de se servir de la main . Un appareil est appliqué pendant trois semaine
a- dius avec mouvement de bascule en dehors ayant entraîné toute la main . La partie compacte de l'os a pénétré dans la p
ication est très prononcée. Le blessé affirme que la position de la main , son aspect extérieur, les dou- leurs, les trou
ent, quatre ans après l'accident, le blessé ne peut se servir de sa main , l'ankylose partielle des articulations du poigne
oigts, la perte de la force musculaire empêchent tout travail. La main est étendue sur l'avant-bras ; tous les mouvement
l. La main est étendue sur l'avant-bras ; tous les mouvements de la main sur le poignet sont très limités (flexion, exte
ect normal. La peau de la face palmaire et de la face dorsale de la main n'offre aucune altération. Elle est souple, non
ilité. Atténuation légère pour tous les modes de sensibilité sur la main (pouce excepté) et l'avant-bras. Cette atténuatio
remarque aucun changement de coloration.Sous l'influence du froid, la main devient légèrement violacée. Elle est plus sens
devient légèrement violacée. Elle est plus sensible au froid que la main gauche. Ces troubles circulatoires auraient e
ravées osseuses se reconstituent. Toutefois la comparaison des deux mains montre encore une différence des plus nettes en
re d'une hauteur de 2 m. 50, l'avant-bras étendu,sur la paume de la main droite. Le poignet enfle; la radio- 478 8 rr,w.
t est tuméfié et raide, « encloué », les doigts' à demi-fléchis, la main amaigrie. L'ankylose radio- carpienne est compl
et LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 483 même impossible et les mains très maladroites. La malade se trouve dans l'im-
mande, s'il ne survenait le fait suivant : le malade quittant de sa main brusquement l'ombilic, vient tou- cher son cou
planche carrée de bois sur ses genoux. Pendant qu'il tenait avec la main gauche son pain, il coupait vigoureusement de g
reusement de grandes tranches, avec le couteau qu'il tenait dans la main droite. Comme le malade coupait son pain trop v
ression,il ne peut pas se rendre compte qu'il tient le pain dans la main gauche, et même s'il le pouvait, en arrivant à
j'ai mis entre le pouce et l'index du malade, qui s'appuyait de la main droite sur la planche, une pierre ronde, et je
emples : 1° Il peut fléchir isolément le pouce et l'index de chaque main , mais il ne peut fléchir isolément chacun des a
fléchissent ensemble. 2° Les mouvements d'opposition du pouce à la main gauche se font avec chacun des autres doigts, t
a main gauche se font avec chacun des autres doigts, tandis qu'à la main droite ils se font seulement avec l'index et av
veut étendre complètement ce doigt, il est obligé d'ouvrir toute la main . Ces troubles, on les observe quand le malade a
lle il se trouve de faire des mouvements volontaires avec une seule main ou avec un doigt d'une seule main, sans que le
ements volontaires avec une seule main ou avec un doigt d'une seule main , sans que le même mouvement ne se reproduise invo
qu'il peut remuer isolé- ment, il ne peut pas le faire à une seule main , car celui de l'autre main se ferme aussi. 2°
ment, il ne peut pas le faire à une seule main, car celui de l'autre main se ferme aussi. 2° Quand il veut étendre un d
ette flexion le doigt qu'on veut étendre. Pendant ce temps, l'autre main se ferme aussi.. 3° Quand il ferme une main,
ant ce temps, l'autre main se ferme aussi.. 3° Quand il ferme une main , il ferme aussi l'autre; de même aussi pour l'o
ferme aussi l'autre; de même aussi pour l'ouvrir, il ouvre les deux mains à la fois. Dans ce dernier cas, il arrive que,
dernier cas, il arrive que, nous nous opposons à ce qu'il ouvre une main , le malade, après avoir ouvert 488 NOICA invo
le malade, après avoir ouvert 488 NOICA involontairement l'autre main , referme celle-ci et s'appuie avec elle sur son l
sur son genou, pour prendre, dit-il, plus de force. Il faut que les mains soient bien rapprochées l'une de l'autre, et qu'i
surveille très attentivement, pour qu'il puisse réussir à fermer une main sans fermer l'autre ; et il y arrive bien incom
; et il y arrive bien incomplètement ; car, si le pouce de l'autre main peut rester encore étendu, au contraire tous les
le poing avec les yeux fermés, il ferme alors simultanément l'autre main . De même avec les yeux fermés, il ouvre les deu
x poings la fois, sans qu'il se rende compte de ce que fait l'autre main . Il peut plier et étendre le coude de chaque cô
d, dans l'exécution de nos mouvements déli- cats el complexes de la main . C'est grâce au développement de celle sensi- b
s, que nous pouvons exécuter tant de mouvements délicats avec noire main ; mais si un jour cette sensibilité disparaît,
de de fléchir les deux dernières phalanges de tous les doigts d'une main , en laissant les premières phalanges étendues sur
phalanges s'étendent à la fois. 2° On lui recommande de mettre la main dans telle position que les pulpes du pouce et
ur les autres. 3° Un mouvement combiné est encore celui d'ouvrir la main , en étendant complètement les doigts, c'est-à-d
ux dernières phalanges de chaque doigt. En effet, quand on ouvre la main , par la seule contraction des muscles extenseur
l, nous faisons ces deux mouvements d'un seul coup, nous ouvrons la main en étendant complètement les doigts. Ce n'est p
leurs qu'il est plus maladroit -, il ouvre dans un premier temps la main en étendant seulement les premières phalanges et
fort, il réussit à étendre aussi les deux dernières phalanges. La main du malade étant ouverte et tous les doigts bien é
analogue aux précédents que 490 NOICA nous venons d'observer à la main , et chose curieuse, je l'ai observé chez ce seu
on équilibre, et risque de tomber en arrière, s'il ne mettait pas une main pour prendre point d'appui sur la planche, ou s
in pour prendre point d'appui sur la planche, ou s'il ne mettait la main sur son lit, derrière son corps. Assis toujou
Depuis 10 ans, il sent un léger engourdissement aux doigts des deux mains . Pas de troubles de sensibilité objective, sauf
ve, sauf une légère diminution du toucher sur le bord interne de la main droite. Pas d'ataxie aux membres supérieurs, ma
boulettes, il lui est presque impossible de le faire, surtout avec- main droite. Pas d'ataxie au tronc. blembresin('ér
Notre malade se tient debout, se fixant sur le bord du lit par une main , et avec l'autre s'appuyant vigoureusement sur
verts, et voilà la preuve. Le malade est debout et s'appuie avec la main gauche sur le bord du lit et avec la droite sur s
re. Pour la démonstration du second mécanisme, il cite, du côté des mains et du côté des membres inférieurs, des exemples
e, et tant de mouvements délicats et fins que nous faisons avec nos mains . Tous ces mouvements coordonnés résultent de la
iés bilatéraux, absence de tous les mouvements fins et délicats des mains , absence ou (rouble de tous les mouvements coor
par Marchand et Nouet, 144. Difformités congénllales associées des mains (2 pi.), par Fuii 329. Dystrophies osseuses p
. Subluxation spontanée du poi- gnet) (1 1'1.). par QUADRONE, 71. Main en peau de lézard dans la syringomyé- lie (2 pl
eau de lézard dans la syringomyé- lie (2 pl.), par L;0\'EBI, 207. Mains , difformités congénitales associées (2 P). par
1.1Y0\\'l'l'SCII, 3GO, Syr,w/onl.'lé[¡e (Aspect particulier de la main dans la -. Main en peau de lézill d) (2 1'1.1,
, 3GO, Syr,w/onl.'lé[¡e (Aspect particulier de la main dans la -. Main en peau de lézill d) (2 1'1.1, par 13ovrnt, 207
e (2 pl.), 199. 130YEIU (Pierre). Sur un aspect particulier de la main dans la s) l'Ingomyéllc La main en « peau de lé
. Sur un aspect particulier de la main dans la s) l'Ingomyéllc La main en « peau de lézard » (2 [il.), 207. Caryophlyl
Contribution à l'élude des dif- formités congénitales associées des mains (Eclro-polj-macro-syndactj lie et micro- lhor
rmittence et démence précoce (CnASDN et Séglas), \1XIII et XXXIV. Mains en peau de lézard dans la syringo- myélie (Bo\E
18 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
voyez combien de^ojens d'étude;ont été libéralement placés entre nos mains . C'est à nous, maintenant, d'en tirer parti. En c
définitivement la situation, il était nécessaire de mettre entre les mains d'un certain nombre de travailleurs tous les moye
ous sommes de la sûreté des méthodes d'observation qui sont entre nos mains . Le temps presse et je dois conclure. Je serais
aisant glisser son talon sur le plan du lit, ou bien il s'aide de ses mains ou de son autre pied pour allonger le membre. Ce
la Salpêtrière. Dans un cas, à la suite d'une chute sur le dos de la main , on vit survenir une contracture du poignet qui d
ai encore observé le même phénomène à la suite d'un froissement de la main dans l'engrenage d'une machine; une autre hystéri
es fléchisseurs des doigts au niveau du poignet, vous voyez encore la main et les doigts se placer dans une flexion exagérée
généraliser. Ce sont les petites jointures des extrémités, celles des mains , en particulier, les métacarpo-phalangiennes, le
s poignets, les coudes, les articulations de quelques doigts des deux mains . En un mot, sans plus insister, nous retrouvons d
en raison de la parésie amyotrophique qu'en raison de la douleur. Aux mains , la force dynamométrique est très limitée : ainsi
étrique est très limitée : ainsi, elle est représentée par 10 pour la main droite, et par 12 pour la main gauche, la moyenne
i, elle est représentée par 10 pour la main droite, et par 12 pour la main gauche, la moyenne normale étant représentée par
e articulaire chronique : 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose, main de la paralysie agitante. — L
que : 1° type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose, main de la paralysie agitante. — Les déviations articu
résentant la déviation en masse des doigts vers le bord cubital de la main dans le rhvmatisme chronique. — Dessin de M. P. R
Nous signalerons les traits communs aux deux types : En général, les mains sont dans la pronation et un peu fléchies. Les lé
ssent ordinairement une déviation en masse vers le bord cubital de la main (Fig. 4). 1. Charcot. — Etudes pour servir à l'
une habitation humide; chez elle, la plu- Fig. 6. — Représentant la main gauche de la nommée D. Type d'extension. Dessin d
'elle a produites persistent néanmoins, en conséquence de Fig. 6. — Main gauche de la nommée M.., Type d'extension. Dessin
temps fort long, du reste, où les jointures ont été main- Fig. 7. — Main droite de la nommée X,,, Type de flexion. Dessin
par le fait de la rétraction musculaire spasmodique, ont conservé aux mains leurs attitudes caractéristiques. Quels sont les
ante de la déformation. D'ailleurs, toutes les jointures qui, dans la main , subissent la déviation, n'ont pas toutes été att
de cette théorie. Je puis vous montrer que ces mêmes déformations des mains , ces mêmes déviations articulaires, que nous trou
jamais il n'y a eu trace d'arthrite nulle part et en par- Fig. 8. — Main d'athétose rappelant la déformation du type d'ext
tion du type d'extension. Dessin de m. P. Richer. ticulier dans les mains . Or, dans cette main, qui vous montre les mouveme
on. Dessin de m. P. Richer. ticulier dans les mains. Or, dans cette main , qui vous montre les mouvements involontaires spé
es mouvements involontaires spéciaux de l'athétose, et en Fig. 9. — Main de paralysie agitante, rappelant la déformation d
agérée, dans certains mouvements, lorsque la malade veut étendre la main , on voit se prcùiuirTrïnre déformation qui rappel
nte qui détermine la rigidité des parties qui sont comme soudées. Aux mains , la déformation la plus commune est celle qui rap
a déformation la plus commune est celle qui rappelle l'attitude d'une main qui tient une plume à écrire, et ici, c'est la co
schfeld, professeur de pathologie à Manchester, la photographie de la main d'un étudiant du Collège Royal qui pouvait, en ét
igible, tremblement fibrillaire de la langue, tremblement spécial des mains , ensemble de phénomènes intellectuels et moraux q
ominance des troubles moteurs, embarras de la parole, tremblement des mains et de la langue qui est animée de mouvements fibr
, sans perte absolue de conscience, survient un engourdissement d'une main , des lèvres, un embarras temporaire de la parole
er, appelé l'attention2. C'est, par exemple, un engourdissement de la main ou d'un côté de la langue, une aphasie, ou un emb
cintillant. Vous le voyez s'avancer avec une démarche titubante ; ses mains tremblent, sa langue tremble aussi ; sa parole es
s inférieurs et supérieurs sont fléchis, il se cache la tête dans les mains , et se met dans une sorte d'emprosthotonos ; il p
savoir, l'existence d'une contracture spasmodique limitée à l'une des mains , et développée, suivant toute apparence, sous l'i
nnels de la malade, nous ne Fig. 17. — Contracture hystérique de la main gauche. Dessin de M. 1'. Richer trouvons guère
ticulations du membre supérieur. La déformation est donc limitée à la main . Les premières phalanges sont fléchies sur le mét
ndrai. Chemin faisant, relevons quelques autres particularités : La main déformée est plus froide que l'autre, et elle off
te une atrophie, ou plutôt uneémacia-tion légère, non seulement de la main , mais encore des autres segments du membre. L'ava
mples assertions, relativement à ce mécanisme de la déformation de la main . Nous sommes en mesure de reproduire avec l'élec-
e première malade, en excitant le muscle opposant dans la paume de la main . Je vous ferai remarquer que sur ce sujet hyperex
la main. Je vous ferai remarquer que sur ce sujet hyperexcitable, la main contracturée en flexion, présente tous les caract
e 1881, la malade, en cassant un carreau, s'est fait sur le dos de la main , au niveau du deuxième métacarpien, une plaie ins
ne ovarie gauche, une hémianalgésiè gauche, occupant non seulement la main , mais les deux membres, le tronc, la tète ; la ma
. — Expérience destinée à vérifier la réalité de la contracture de la main . malade. L'avant-bras est appliqué sur une tabl
L'avant-bras est appliqué sur une table contre laquelle le dos de la main est solidement fixé à l'aide d'un bandage. Une pe
cé exactement dans les mêmes conditions, il donne volontairement à sa main gauche l'attitude particulière que présente la ma
lontairement à sa main gauche l'attitude particulière que présente la main contracturée de notre jeune malade. Le pouce qui
er, une barre de fer rougie à blanc avait touché son avant-bras et sa main gauche. La brûlure, quoique peu profonde, mit six
auteur, occupant la partie inférieure de l'avant-bras et le dos de la main . L'accident n'a pas causé trop d'émotion, paraît-
it des douleurs dans le bras, il ne dormit pas ; et, le lendemain, sa main présentait l'attitude caractéristique de la griff
ant-bras. Etudions de plus près cette remarquable déformation de la main , résultant d'une contracture permanente de certai
et le bras sont libres, l'avant-bras est plutôt dans la pronation. La main est fléchie sur l'avant-bras ; les quatre doigts
fléchis de telle façon que les ongles s'impriment dans la paume de la main . Les doigts sont énergiquement serrés les uns con
autres, et le pouce lui-même est forte- Fig. 21. — Contracture delà main gauche. (Dessin de M. P. Richer.) ment appliqué
nergique quement fermé, j'y insiste, compliquée d'une flexion de la main , elle est aussi très énergique. C'est là, vous le
u de rappeler une ingénieuse remarque de Duchenne. Vous savez qu'à la main les extenseurs des doigts et ceux de la main tout
enne. Vous savez qu'à la main les extenseurs des doigts et ceux de la main tout entière sont, pour ainsi dire, dans une sort
sont, pour ainsi dire, dans une sorte d'antagonisme : si on étend la main autant que possible, et si on essaie alors d'éten
igts, ceux-ci se fléchissent légèrement ; c'est que l'extension de la main a pour effet de raccourcir les extenseurs des doi
gir. Au contraire, et pour une raison analogue, si vous fléchissez la main , les doigts peuvent être facilement amenés à une
on. Considérons maintenant l'action combinée des fléchisseurs de la main et de ceux des doigts, il y a là aussi une sorte
hir fortement les doigts et fermer le poing, comme dans la menace, la main est étendue, l'action des extenseurs favorise cel
ndre ; vous ne pouvez les maintenir fléchis dans cette attitude de la main qu'au prix des plus grands efforts. Et ceci, Mess
t en raison de la présence d'une contracture, d'une déformation de la main , qui, considérée en elle-même, porte déjà la marq
u membre supérieur droit, au tronc, à la tête, au bras, mais non à la main et au poignet. Sur ces entrefaites, le malade est
aimant qui a amené cette fois la disparition de l'insensibilité de la main , et a provoqué un engourdissement et un commencem
et a provoqué un engourdissement et un commencement de rigidité de la main du côté opposé. M. Debove n'a pas été plus loin,
souffrances extrêmement vives, siégeant dans l'avant-bras et dans la main , dues en partie à la pénétration des ongles dans
du sommeil chloroformique, la malade éprouve dans l'avant-bras et la main des fourmillements accompagnés de douleurs, la co
u quatre heures, il se réveille sans douleurs dans l'avant-bras et la main ; la contracture a à peu près complètement dispar
ens, et a présenté, pendant quelque temps, un tremblement spécial des mains . Mais, depuis quatre ans, il s'est, à cet égard,
hui. Il marche habituellement, à l'aide d'une canne qu'il tient de la main droite. 11 peut se passer de tout appui cependant
ance d'action de ces derniers, résulte une déformation spéciale de la main , une griffe radiale que nous désignons sous le no
iale de la main, une griffe radiale que nous désignons sous le nom de main de prédicateur. A quoi cela tient-il ? Les tubes
e ophtalmique accompagnée de fourmillements dans les bras, dans les mains , pas d'aphasie temporaire ; d) ces migraines ne s
isait un mot pour un autre ; sa femme raconte qu'il a dit: « j'ai une main dans le soleil » (paraphasie). Il reconnaissait a
arole, il disait seulement de temps en temps un mot pour un autre. La main était assez libre pour qu'il pût écrire très lisi
'accident, il voulut essayer de jouer au billard. Il est droitier, sa main droite parfaitement libre serrait très bien la qu
ien sur un pied que sur l'autre. force DYNAMOMÉTltlQUE : 3 mars : main droite................. (iO fcil. — main gauche
NAMOMÉTltlQUE : 3 mars : main droite................. (iO fcil. — main gauche................ 50 — H avril : main droi
.......... (iO fcil. — main gauche................ 50 — H avril : main droite................. 7'i — — main gauche....
............. 50 — H avril : main droite................. 7'i — — main gauche................ — On ne constate aucun t
ivre à ce travail, nous remarquons qu'avec le bout de son index de la main droite, il retrace une à une les lettres qui cons
s le contrôle des notions fournies par les mouvements exécutés par la main , dans l'acte d'écrire. C'est évidemment là le sen
écriture, il m'est facile de reproduire mentalement la lettre avec ma main droite, tandis que c'est beaucoup plus difficile
s imprimés. Il ne s'était jamais, en effet, appliqué à tracer avec la main des caractères imprimés, comme le ferait un peint
urs, en lisant, le malade trace les caractères dans l'espace, avec la main droite; on lui met les mains derrière le dos et o
ace les caractères dans l'espace, avec la main droite; on lui met les mains derrière le dos et on lui dit de lire ; on le voi
pouce. Pour lire l'imprimé, il lui est commode d'avoir la plume à la main ; à l'aide de celle-ci, il se livre à des essais
le des signes écrits, on fait fermer les yeux aux malades, on arme sa main d'une plume et communiquant à sa main des mouveme
es yeux aux malades, on arme sa main d'une plume et communiquant à sa main des mouvements passifs, on lui fait écrire sur un
contente de les tracer dans l'espace, à l'aide de l'indicateur de sa main droite. Les notions fournies par ces mouvements d
droite ne recevait, sans doute, par l'intermédiaire des doigts de la main gauche, que des notions très imparfaites. MUe Skw
able ces mots. On voit par là qu'il lui faut compenser à l'aide de la main le défaut de mémoire visuelle des mots dont il es
t à la catégorie du sens musculaire, fournies parles mouvements de la main , dans l'acte d'écrire, ne sont pas chez lui d'une
nelle. En effet si, lorsque ses yeux étant fermés, on communique à sa main les mouvements nécessaires pour écrire par exempl
r prononcer le mot; la seconde, parla répétition des mouvements de la main et des doigts nécessaires pour l'écrire. Il convi
ieur à la 20e année, s'est fait par les membres supérieurs, par les mains , plus particulièrement par les éminences thénar e
ie, la paralysie pseudo-hyper-trophique, telle qu'elle est sortie des mains de Duchenne (de Boulogne), ce grand artiste en ne
prendre à leur tour ; mais quel que soit le degré de l'affection, les mains sont généralement respectées. Enfin, les muscles
'envahissement qui, dans la forme juvénile, ne se fait jamais par les mains (éminences thénar et hypothénar) ; l'absence de s
cher par terre, sur le dos, il ne peut se relever sans s'aider de ses mains qu'il appuie sur ses genoux, grimpant pour ainsi
ine impotence fonctionnelle des bras, un léger degré d'atrophie de la main qui est aplatie du côté de la face palmaire à cau
ez sa fille, nous constatons une intégrité complète des muscles de la main . Remarquons en passant que, dans ces cas, les mus
caractères chez le malade que je mets sous vos yeux. Remarquez que la main et les doigts tremblent individuellement, mais gr
is gravez bien dans votre mémoire l'attitude toute particulière de la main . Les phalanges sont étendues les unes sur les aut
t s'appuyer par sa pulpe sur l'index, imitant ainsi la position d'une main qui tient une plume à écrire, et les mouvements q
nt de 73 ans, la maladie a débuté à l'âge de 60 ans par l'index de la main gauche, à la suite d'un traumatisme. Chez l'autre
ège de Paris, à la suite d'une violente émotion. Chez ces femmes, les mains et les doigts tremblent comme dans la maladie de
méthode graphique, ainsi que l'a fait M. Marie. Si l'on place dans la main d'un malade une poire en caoutchouc communiquant
s secousses plus ou moins accentuées. La malade ramène brusquement sa main contre son corps ou la frotte à plusieurs reprise
ements de la face et dupeaucier. Le malade ne peut rien tenir dans sa main , rien porter à sa bouche ; mettez-lui un objet qu
n, rien porter à sa bouche ; mettez-lui un objet quelconque entre les mains , il le laissera bientôt tomber à terre. Dans les
plusieurs réunions dans lesquelles elle s'était bornée à appuyer les mains sur la table, lorsque, le vendredi 29, son père e
racer de semblables. La signature n'était pas plutôt terminée, que la main qui avait signé se convulsa : puis, Julie poussan
variable, elle se renverse en arrière, les bras écartés du tronc, les mains enpronalion, les doigts fortement fléchis. Survie
uns sur les autres. Phénomène remarquable, lorsqu'on lui comprime la main gauche les doigts étendus, on arrête l'attaque in
néralement très expertes dans le maniement de ce genre de malades Une main bienveillante mais ferme, beaucoup de calme et de
peut-être au rhumatisme qu'il faut attribuer les dé formations des mains que l'on constate chez lui. Etant enfant, il étai
il ne le fit pas assez cependant pour éviter une légère blessure à la main gauche. Malgré la peur qu'il éprouva, il put se r
de l'hémianesthésie droite, et aussi du tremblement particulier de la main droite dont il va être question dans un instant.
Le tremblement dont il a été question déjà plus haut et qui occupe la main droite est remarquable par la régularité parfaite
influence des mouvements volontaires1. Le malade peut se servir de sa main pour boire et manger, et peut même écrire très pa
ès passablement, à la condition seulement d'appuyer fortement avec sa main gauche sur son poignet droit, manœuvre qui fait c
est commencée : d'abord augmente et se précipite le tremblement de la main droite, les yeux se convulsent en haut, les membr
. Le malade brise ou déchire tout ce qui se trouve à la portée de ses mains : Il prend les poses, les attitudes les plus biza
(en arrière). alternativement la frayeur ou la joie, alors que ses mains restaient dans le vide comme à la recherche d'un
ant, dans ces accès, jusqu'à briser tout ce qu'il rencontrait sous sa main . Il y a deux ans, il fut placé à Paris, chez un b
titude ; on le voit, assis sur son lit, passer à diverses reprises sa main sur son membre inférieur, comme s'il cherchait à
. Le malade pouvait encore, très incomplètement toutefois, fléchir la main sur l'avant-bras et celui-ci sur le bras; mais to
e, à la fa-radisalion la plus intense, sur toute l'étendue du membre, main , avant-bras, bras et épaule. Du côté du tronc, ce
plus que mouvoir vos doigts; voyez, vous êtes incapable de serrer ma main , etc. » L'expérience réussit à merveille, car au
pose et tandis que, à droite, la force dynamomélrique se traduit à la main par le chiffre 70, elle ne donne à gauche que le
six cas d'ailleurs très significatifs, que le hasarda placés sous ma main , j'ai voulu surtout vous convaincre que l'hystéri
ire son fiacre, durant cinq heures encore, en tenant les guides de la main gauche. Pendant les cinq heures qui suivirent,
incapable de tout mouvement, à l'exception toutefois des doigts de la main qui, eux, pouvaient encore se remuer un peu. Ayan
, soit aux muscles du bras ou de l'avant-bras. Seuls les doigts de la main peuvent être mis en mouvement volontairement et e
gnes qui offrent une disposition singulière et, surtout du côté de la main , bien peu en rapport, ainsi qu'il est facile de l
és du membre supérieur. Vous voyez, en effet, que, sur le dos de la main , la limite de l'anesthésie est marquée, du côté d
ation, quelque violents qu'ils soient. Au contraire, à la paume de la main , sur une partie de la face dorsale de ceux-ci, et
her son avant-bras tenu écarté du tronc, de le saisir, à l'aide de sa main gauche. Il tâtonne d'à bord dans le vide, plus
nt quelconque du membre, de préférence la racine, il parcourt avec sa main tout le bras pour descendre ainsi jusqu'au point
du également la notion du poids des objets placés dans la paume de sa main ; lorsqu'il ne les regarde pas, jl ne saurait dis
sibilité. Celle-ci est éteinte absolument dans tous ses modes, sur la main , les doigts y compris, l'avant-bras et une partie
savons que chez P..., la zone d'anesthésie s'arrête, par en bas, à la main (Fig. 5i et 55). Or, la disposition de la ligne q
travail de M. Ross. la sensibilité dans les dernières parties de la main (cubital et radial pour la face dorsale, médian e
aire) et vous avez compris que l'intégrité de ces nerfs cutanés de la main ne saurait s'expliquer dans la supposition d'un
nt du fait si remarquable de la non-participation des doigts et de la main à la paralysie motrice et à l'anesthésie, si fort
s étendue cependant que chez lui, puisqu'elle occupe les doigts de la main ; mais elle se limite exactement de la même façon,
osée, et, tandis qu'à droite, la force dynamométrique se traduit à la main parle chiffre 70, elle ne donne à gauche que le c
é devant ses yeux est dans l'impossibilité absolue de trouver avec sa main gauche un point quelconque qui lui est désigné su
n épaule, ni son coude, ni enfin son poignet : seuls les doigts de la main se meuvent librement. En conséquence, la limite i
te 1, p. 326. marquée par une ligne horizontale coupant en avant la main , dans une direction transversale à peu près au ni
us allons procéder en sens inverse, c'est-à-dire en commençant par la main ; le tour du poignet, puis celui du coude, celui
n — bien entendu avec une force modérée, — à l'aide de la paume de la main . Le résultat, vous le voyez, ne se fait pas atten
énergie par un exercice très simple. Un dynamomètre est placé dans la main de chacun d'eux et on le leur fait serrer, de tou
llons-nous à nos malades de regarder toujours très attentivement leur main pendant qu'elle actionne le dynamomètre 1. Des
l'épaule, le coude, le poignet, et très faibles dans les doigts de la main . En ce qui concerne les grandes articulations, l'
ue, au début du traitement (5 juin) sur toute l'étendue du membre, la main exceptée (V. fig. 66 et 67, p. 347). Huit ou dix
. — Observation de Porcz..., du 5 juin au 11 juillet. du côté de la main , la limite de l'aneslhésie n'a pas varié d'une li
voyons qu'il se tient penché sur le côté sain, tenant sa canne de la main droite, le pied gauche ne repose pas sur le sol o
ur la température. Pour les mouvements de certaines jointures (pieds, mains , poignets, épaules) les notions du sens musculair
u grand trochanter, celle du talon n'étaient nullement perçues. Ni la main , ni le stéthoscope n'ont, pendant qu'on exécutait
t l'imagination. Malheureusement, aucun de ces moyens n'est entre nos mains ; nous avons bien essayé de faire acte d'autorité
met en œuvre consistent tout d'abord en un simple effleurage avec la main sur la fesse gauche du malade ; peu à peu, la mai
effleurage avec la main sur la fesse gauche du malade ; peu à peu, la main appuie plus fortement, et c'est alors un vrai mas
cinq mi nul.es, vous le constatez, il commence à ne plus sentir la main qui le frotte, puis il accuse un engourdissement
ioration du malade, à la suite de divers traitements : cependant, les mains conservent un certain degré de déformation qui ne
olh raconte 2 que, s'étant donné par mégarde un coup sur le dos de la main , celle-ci devint insensible, en même temps que le
aller consulter un chirurgien à l'hôpital St-Antoine ; le poignet, la main , les doigts étaient devenus très enflés ; les F
par l'action du chloroforme pour tenter de modifier la position de la main en redressant les doigts ; en conséquence, une pl
planchette maintenue par un bandage fut appliquée sur la paume de la main ; mais, à chaque instant, sous l'influence de la
dérangeait ; on fut obligé de l'enlever, au bout de deux jours, et la main , abandonnée à elle-même, reprit sa première attit
dans la supination, tandis que les doigts, fléchis sur la paume de la main , sont serrés les uns contre les autres et offrent
rir mutuellement. Le pouce est, de son côté, porté vers l'axe de la main et l'ongle de ce doigt marque une forte empreinte
'on provoque même très facilement une trépidation des doigts et de la main tout entière en cherchant à les redresser. Fig.
la contracture spasmodique se produire au poignet et aux doigts de la main . A la vérité, celte contracture se dissipe peu de
ique : sur les divers segments du membre, on pratiqua, à l'aide de la main enduite de glycérine, de légères frictions (frôle
aru en partie, peu de jours après sa sortie, il s'était mis entre les mains d'un confrère de la ville qui l'a traité suivant
Burcq. Il nous revient au Fig. 82. jourd'hui (16 octobre 1886) la main et les doigts chargés de plaques et anneaux de cu
reparu; elle paraît même exaltée, surtout sur la face palmaire de la main où l'application d'un corps froid donne la sensat
5), sont au contraire très limités dans l'extension. Et par suite, la main reste déformée ; tenus étendus, les doigts, en ef
ée ; tenus étendus, les doigts, en effet, forment avec la paume de la main , un angle de 90 degrés environ ; il est impossibl
gue à celui qui nous occupe la production du côté de la paume de la main , de tissu fibroïde rétracté dans le sens de la fl
endue aphasie. J'abordai le malade, et il me fit signe, en portant la main à sa gorge — geste ordinaire des muets hystérique
le mal que vous sentez ? Lucinde (répond par signes en portant sa main à sa bouche, à sa tète et sous so?i menton). — Ha
égitime reste silencieux, je vous l'ai dit, et, s'il porte souvent la main à sa gorge pour montrer que là est, suivant lui,
et quand on insiste, il se sert du geste caractéristique de porter la main à sa gorge comme pour nous dire que là est son ma
abord les élever au-dessus du lit qu'en les soulevant à l'aide de ses mains . Au bout de quelques jours cependant, il put quit
paralysie, ni d'insensibilité, seulement la force dynamométrique des mains est assez faible : à droite 40°, à gauche 35°. On
ns est assez faible : à droite 40°, à gauche 35°. On remarque que les mains présentent un léger tremblement qui s'accentue no
r droit est complètement paralysé du mouvement, sauf les doigts de la main . Ce membre est en outre anesthésié; l'insensibili
é de l'amaigrissement du membre; il faut ajouter que les doigts de la main sont violacés froids, comme cela se voit dans cer
etc., etc. Je ne parle pas de la pression dynamomélrique qui, pour la main , accuse par exemple 30 kil., lorsque les yeux son
spécial; mais, vers7 heures 1/2 du soir, au moment où, son seau à la main , elle allait chercher de l'eau, elle s'affaisse t
er, sa jambe droite ne peut la supporter, son seau a roulé loin de sa main droi!e qui ne peut plus le retenir. D'ailleurs, a
une abolition totale de la sensibilité, cette abolition comprend: la main , l'avant-bras, la bras jusqu'au niveau de l'acrom
men du sens musculaire : nous allons dire à la malade de saisir de sa main gauche saine la main droite paralysée, après avoi
e : nous allons dire à la malade de saisir de sa main gauche saine la main droite paralysée, après avoir pris soin de lui bo
eurs, qu'elle est tout à fait incapable d'y arriver ; elle cherche sa main droite, en haut, en bas, de tous côtés et ne peut
e et elle n'éprouve aucune difficulté à saisir son pied droit avec la main gauche, après l'occlusion des yeux. Un phénomèn
son bras aussi bien qu'avant l'accident et serrait vigoureusement la main des auditeurs désireux de se rendre compte de l
pied, simple analgésie. Du côté droit, sensibilité intacte sauf à la main , où il y a analgésie à la face palmaire. Le bras
uit est agitée avec cauchemars. Le lendemain, à 6 heures du matin, la main droite laisse brusquement échapper le seau à ordu
ant ces quatre années, les symptômes ont souvent varié, paralysie des mains il y a 15 mois. Depuis dix mois, elle ne peut plu
mployés dans la pensée que, dans de nouvelles conditions et entre des mains plus habiles, ils pourraient réussir. Après avoir
i elle-même ne peut écrire, cela ne tient certes pas à la parésie des mains , qui n'est pas assez forte pour l'empêcher de ten
rte plus ou moins complète des mouvements coordonnés communiqués à la main pour exprimer la pensée par l'écriture, ou plus s
la pensée par l'écriture, ou plus simplement encore « l'aphasie de la main ». Cette perte des mouvements coordonnés est d'ai
ur l'œil parles caractères (écrits ou imprimés); 4° comme actes de la main dans l'écriture. Après quelque réflexion, on trou
sieurs malades atteints de cécité verbale, c'est en retraçant avec la main les caractères que ces gens arrivent parfois à co
me articulaire chronique : l°type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose. main de la paralysie agitante. — L
ique : l°type d'extension ; 2° type de flexion. — Main de l'athétose. main de la paralysie agitante. — Les déviations articu
lioration du malade à la suite de divers traitements ; cependant, les mains conservent un certain degré de déformation qui ne
19 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
vérité, u’iinporle par quelle bom'hc; le bien, n’imporle par quelles mains . PARIS. UUREAUX : RUE DE BEAUJOLAIS, 5 (l'A
ans nécessité, comme remplissage universel, alors qu’on avait sous la main , pour remplir les mêmes fonctions sans lacune, l’
dans la table, et qui s’exprime par sa voix comme il s’exprime par la main du medium, que nous croyons plus juste d’appeler
chacun cet objet (c’était une espèce de plateau en niétalj dans votre main , et restez tranquilles. Ils obéirent. a S’adres
gne en S qui aboutissait à une chaise, il frotta cette chaise avec la main et se retira. Peu après nous vîmes le même homme
nnerait?» « Sa réponse fut affirmative. O11 lui mit ensuite dans la main , la cuvette tournée du côté de la paume de sa mai
it ensuite dans la main, la cuvette tournée du côté de la paume de sa main , la montre de M. P..., négociant en cette ville,
on lui dit de regarder l’heure qu’il était. Elevant dans ce moment sa main à hauteur de sa figure, le dos de cette main tour
levant dans ce moment sa main à hauteur de sa figure, le dos de cette main tourné du côté de ses yeux, il dit sans hésiter :
-il, je ne crois pas me tromper. » « On lui remit la montre dans la main avec les mêmes précautions, et comme il craignait
craignait de se tromper sans doute, il humecta son doigt, lïotta sa main comme si c'eût été le verre d’une montre, et, apr
la « petite aiguille est là ! » « Et il désignait un endroit de sa main ; en effet, ce qu’il disait était exact. «Que co
udrait, s’il était possible, ne pas laisser cette puissance entre les mains de l’inexpérience ou du crime, qui peuvent en abu
: « J’ai suivi la foi de mon Dieu ; j’ai, en son nom, imposé u les mains sur les malades, et ils ont guéri. Dieu a donc «
dans l’ombre de leurs sanctuaires, comme un pieux monopole entre les mains de leurs prêtres. II ne courait pas le risque de
racieuse, ses robustes flancs ceints d’un « léger vêtement, tenant en main la coupe d’une muse d’où « s élance un serpent ;
vous, Podalvre, Cyprine, « Esculape, recevez à jamais l’encens de la main d’Aspasie « et de Périclès ! « Apprends de plus
is se perdre tout à fait. En effet, ils survécurent au paganisme. Des mains des prêtres ils passèrent en celles des savants,
douter que ce Greatrakes ne guérit véritablement par l’imposition des mains ; en 1772, apparut un homme connu sous le nom de t
singulière» les unes que les autres. Par exemple, ayant mis entre les mains du somnambule un verre à boire, il croyait tenir
, le sujet était endormi dans une petite chaise. Je lui magnétisai la main droite avec l'intention de la soulever. 11 faisai
de la soulever. 11 faisait des efl'orts incroyables pour atteindre ma main qui s'éloignait de plus en plus. Un de mes amis
du papier et une plume, et se mit à tracer rapidement, quoique il’une main ferme, quelques lignes qu’elle lisait à haute voi
us d’une table sur laquelle vous appuyez le coude pour immobiliser la main . Ceci fait, tenez votre doigt horizontalement et
ront transversales. Le même effet sera obtenu si une dame prend votre main restée libre; et, quand le mouvement transversal
sera ainsi parfaitement établi, si celle-ci vient à donner son autre main à un monsieur, le premier mouvement se rétablira.
e «pleurer. » Il le désarme, et elle, tremblante et éplorée, prête la main à cette œuvre. Elle examine les plaies; et, de bl
agiques, puissants pour guérir? Que signifie surtout cette pose de la main , les doigts touchant à peine la blessure ; est-ce
arrivait, comme à certains médiums américains , d'être frappé par une main invisible ou enlevé au plafond, il n’y verrait qu
seur. Rien de plus fâcheux pour un mensambule que de tomber entre les mains d'un magnétiseur extravagant. » Il n’est pas do
equises à la concentration, il l’engageait à fixer son regard sur ses mains , qu’il tenait ouvertes à quelque distance, et pro
ant de coups pour chaque lettre; « 2° L’esprit guidant et fixant la main du medium sur chaque lettre ; « 3° L’esprit ent
t la main du medium sur chaque lettre ; « 3° L’esprit entraînant la main de ce medium et écrivant par elle ; « 4" L’espr
faisant le roide-mort, se bouchant les yeux et les oreilles avec ses mains , afin qu’il ne \oie ni n’entende le mouvement des
de \rai dans les tables tournantes, j’ai saupoudré un guéridon et les mains des opérateurs de poudre de talc, choisie par moi
« Une autre classe de médiums se compose de ceux qui écrivent. Leurs mains sont affectées par un pouvoir qui est manifesteme
rapidement. Déjà un nombre considérable d’écrits sont sortis de leurs mains , et on les publiera lorsque le monde sera préparé
hé une croyance forcée. Et, qu’on le sache bien les preuves sont à la main , tout autour de nous ; celui qui veut les voir, l
le roi Frédéric-Adolphe à Swedenborg, en lui met tant amicalement la main sur 1 épaule ; nous devons conclure qu’ils n’y on
palpable. Saint Joseph porte le costume d’un ouvrier et tient dans la main une règle, insigne de la profession qu’il exerça
tournés se sont on quelques secondes redressés, sans souffrances; ces mains closes depuis trente ans se sonl ouvertes; ces pa
Je la demande. » Après une prière mentale de quelques secondes, la main posée sur le siège de la douleur : « Au nom de
vons quel agent mystérieux, et que l’on croit obtenir en imposant les mains d’une certaine façon sur des tables ou même sur d
l! ■. n Illais si riionnne doit se renfermer dans I ■ rerele que la main de Dieu a tracé autour de lui, ne serait-il pas d
nous avions cru que ces intelligences si parfaites étaient entre les mains de Dieu de nobles instruments dont il se sert pou
ux qu’on leur adresse en tourmentant une table sous la pression dos mains ? Nous avons bien lu flans l\s li-\ les sacrés que
e nous, ayez pitié de » nous, vous du moins qui êtes nos amis, car la main du Sci-« gneur s'est appesantie sur nous. » Miser
er, l’aliment de leur intelligence, qu’ils dédaignent de recevoir des mains de l’Eglise ? Mais pour nous, qui vivons au milie
gent magnétique. Je pris donc la tète de la petite malade entre mes mains , cl en moins de cinq minutes le sommeil eut lieu
magnétiser. Il y consentit. J'appliquai, pendant trois minutes, une main sur le côté droit, l’autre sur le front, et le ma
raison doit-on compter qu’elle sera sensible au fluide dirigé par nos mains . Ainsi, pour moi, /c //mil i/r sou//le serait u
ux dames l’écartement du petit doigt, on 111e présenta une dizaine de mains sur lesquelles j’obtins successivement le même ré
tait tellement basse, qu’il semblait que je touchais du marbre. Cette main appartenait au beau-frère de notre collègue M. To
le succès de cette petite expérience, j’ai pour habitude de mettre la main que je veux actionner dans une position horizonta
on agira sur lui, on le verra se porter par petites secousses vers la main de l’opérateur. Cette expérience parait confirmer
aires, et dont le petit doigt, malgré sa résistance, se porta vers la main du magnétiseur. Aussi ce doigt, suivant moi, peut
tables sur ce qui n'est point connu des personnes qui imposent leurs mains sur elles, c’est interro-roger indirectement les
t été retirée ensuite avec soin, la même demoiselle Pigné a passé ses mains seules sur la table qui. d’après notre désir, s’e
ieu, aurait au contraire abaissé la table du côté de l’opératrice. La main faisait donc l’effet d’un aimant. [.} 2'i de ce
un jeune homme a posé seulement les extrémités des cinq doigts de sa main droite sur le centre d'une table qui, au bout de
parlent, mais elles s’arrêtent par des signes de croix, ou lorsqu’une main quelconque pose sur elles un crucifix ou un chape
comber ses frères sous Je fléau des maladies, alors qu’il a entre ses mains des armes pour le combattre victorieusement? Qu
bre desquelles étaient les deux ecclésiastiques, formèrent avec leurs mains une chaîne continue sur la surface d’une table, u
œur à les accuser d’impatience, lorsqu’une des six personnes dont les mains reposaient encore sur la - table, fit cette quest
un mauvais esprit? » Incontinent cette table lève le pied sous les mains mêmes de cette personne et à une hauteur d’au moi
ntes et, le lendemain, envoyé à Mgr l’évêque de Versailles, entre les mains de qui il restera. Voilà, Monsieur le rédacteur
on cou. Je me suis assise dans mon lit, et alors mon père, mettant sa main sur ma poitrine, a déchiré ma chemise et m’a port
sonne qu’il reconnut pour la sœur de son père. Sa tante lui saisit la main et lui coupa le doigt indicateur. Cet affreux cau
rouve le péril que peut présenter la pratique du magnétisme entre des mains inexpérimentées. « Dans la soirée de mardi dern
rolonU’ impérativement exprimée, la mise en rapport du sujet par les mains , avec deux assistants, etc., etc. Quand, avec t
leur santé. Il suffit de mettre les extrémités de ces personnes (les mains et les pieds; mais les mains suffiront le plus so
tre les extrémités de ces personnes (les mains et les pieds; mais les mains suffiront le plus souvent), en rapport, par une l
gras. Ceci lait, le malade doit l’embrasser extérieurement à pleines mains , tandis qu’une autre personne lui fail des fricti
vue, par la facilité avec laquelle on peut les faire saisir à pleines mains . » Ce que notre savant confrère attribue ici à
uence animique et d’action tluidique. Non ! grâce à quelques tours de mains et quelques balancements de tête (voir les Chinoi
uide rouge et brillant que les somnambules voient se dégager de leurs mains , de leurs regards, de toutes les parties du corps
leurs personnages comme des marionnettes dont le fil serait entre les mains redoutai des du tout-puissant thaumaturge; ils ac
S. Plaie. — Une femme ayant été renversée par sa vache, avait eu la main écrasée par le pied de l'animal, la chair était e
n parfaite. Paralysie. — Une femme avait un bras paralysé depuis lu main jusqu’au coude, la main ôtait fermée et incapable
— Une femme avait un bras paralysé depuis lu main jusqu’au coude, la main ôtait fermée et incapable de mouvement. Je magnét
mais dès que je les abandonnais, ils se repliaient sur le creux de la main . Il me fallut encore plus de quinze jours pour le
pour leur rendre la souplesse. Enfin cette femme reprit l’usage de sa main , put aller glaner et vaquer à scs travaux. Il n’y
ensuite il le frottait constamment tous les jours, en appliquant les mains depuis la ceinture jusqu’au bout des pieds, et ne
allongées, le souille pour en augmenter le calorique, se chauffe les mains , puis jongle fort adroitement avec ce tison, se l
ndez-vous pas les maîtres ? Comment sont-ils si puissants hors de vos mains , si faibles quand vous voulez vous en servir? Com
rés par l’entraînement de leurs préjugés, et que la plume entre leurs mains n'a pas été l'organe de leurs idées, au lieu d’ex
iatement une attaque de nerfs. u Le procédé consiste à appliquer la main infbibée d’eau froide, ou mieux encore d’eau glac
poitrine du malade et à frictionner. Quelquefois l’application de la main suffit ; les frictions ne sont nécessaires que da
que la perte de connaissance. « Quand, après quelques frictions, la main a été réchauffée, on la trempe de nouveau dans l’
ppeler les choses par leur vrai nom? Nous prenons nos antagonistes la main dans le sac, et ils nient. Ah ! vous calmez les c
ain dans le sac, et ils nient. Ah ! vous calmez les crises avec votre main mouillée et en frictionnant la poitrine des malad
isons-nous donc, nous autres? Nous n’avons pas besoin de mouiller nos mains ni de frictionner; uue simple direction d'intenti
combien Mesmer serait heureux de voir sa découverte propagée par des mains si diverses ! C est que dans nos rangs, comme à l
ndividus entourent une table et forment la chaîne en lui imposant les mains ,_ils augmentent sa matière essentielle; son mouv
qui fait mouvoir les tables; alors pourquoi faut-il l'imposition des mains , et ne peut-il les faire mouvoir à distance ? Par
ne fois imprimé par le contact à une table, se continue en tenant les mains suspendues sur elle, sans rompre la chaîne. Cela
t rigoureusement impossible. Du reste, lors même que l’imposition des mains serait à tout jamais indispensable, cela ne détru
des phénomènes qui sc réalisent presque instantanément sous d’autres mains . n Après avoir établi ce point de départ, M. le
e sa volonté silencieuse, car tout homme n’a qu’à apposer avec foi la main sur le front d’un somnambule, et bientôt il senti
lus pur cristal. « L'homme, ayant dans tous les siècles été doué de mains qu’il peut faire mouvoir au gré de sa volonté, et
te par les flots de lumière et de grâces célestes versé en lui par la main des prêtres. Tous les écrivains qui se sont occup
sur la connaissance du magnétisme dans la plus haute antiquité : « La main du u Seigneur fut sur lui, et il prophétisa. » Su
assyriens, sur les vases sacrés du temple d’isis, on voit gravées des mains dans l’attitude de la bénédiction, Or la bénédict
ction, Or la bénédiction n’est que la lumière divine répandue par les mains des prêtres et des évêques sur la foule des fidèl
monde de l’éternité. Le magnétisme, c’est la lumière répandue par des mains profanes venant réveiller l’âme par un galvanisme
s le domaine des sanctuaires religieux, désireux de le soustraire aux mains vénales des charlatans qui le compromettent et de
idiculisent ; le magnétisme, dans les temps où il était exercé par la main des prêtres, était vénéré comme une lumière divin
n immatériel regard jusqu’à Dieu. Maintenant qu'il est exercé par les mains d’audacieux spéculateurs, il est poursuivi en pol
avait impudemment couvert sa ligure. « Nous avons applaudi des deux mains à la condamnation de cette autre somnambule qui a
et de soulèvement ou d’abaissement d’un meuble sur lequel on pose les mains , — soit en touchant légèrement les doigts, soit m
ts), cette grande vitesse n’est point applicable. En effet, comme les mains ne quittent pas le meuble, qu’il n’y a pas de cho
me les mains ne quittent pas le meuble, qu’il n’y a pas de choc de la main à la table, ce mouvement de poussée a pour vitess
ne très-grande énergie, « surtout si les trépidations musculaires des mains sont ren-« forcées par une excitation nerveuse qu
tesse, et par suite une quantité de mouvement, il devra imprimer à la main une vitesse en sens contraire, beaucoup plus gran
ens contraire, beaucoup plus grande que celle du meuble, parce que la main est moins massive que la table. Si enfin la main
meuble, parce que la main est moins massive que la table. Si enfin la main ne quitte pas la table, il faudra que le bras rés
bois avait été net. — Le talc n’agit qu’en empêchant l’adhérence des mains au bois. Si les mains appuyées sur la table devie
Le talc n’agit qu’en empêchant l’adhérence des mains au bois. Si les mains appuyées sur la table deviennent moites (ce qui a
citée parM. A.-S. Morin. Un chapeau, disait-on, se soulevait sous les mains d’un opérateur. J’ai essayé de simuler l’expérien
resse. Ainsi, dans cette phrase : « Le contact des extrémités des « mains agit aussi sans doute par la communication d'une
nts agiront de concert, « surtout si les trépidations musculaires des mains sont ren-« forcées par une excita lion nerveuse (
s qui ont été faites sur le mouvement « des tables où l’on impose les mains , est parfaitement ex-cc plicable par l’énergie bi
us sont communs avec les animaux. Pour produire une œuvre d’art, la main qui dirige le pinceau, le burin, le ciseau, la pl
ontre-maîtres plus ou moins vigilants, chargés de veiller à ce que la main dirige convenablement la plume sur le papier ?
acilement : c’est l’effort ou la pression qu'on exerce. Si l’on a les mains appuyées sur une table, la table porte-t-elle seu
ppuyées sur une table, la table porte-t-elle seulement le poids de la main ? Une partie du corps presse-t-elle aussi sur la
d une certitude. Une table tourne, quelle qu’en soit la cause ; vos mains 11c la quittent pas. Il est impossible que dans v
onnes se placent debout, vis-à-vis l’une de l’autre, et mettent leurs mains sur une petite table à quatre pieds très-rapproch
la division 10. Qu’un opérateur, les yeux bandés, appuie alors les mains sur la barcelonnette, avec la consigne de ne fair
ur ne pas dire impossible, d’être complètement inerte lorsqu'on a les mains posées sur un objet oscillant, et, dans tous les
ouvement des lubies. Si un certain nombre de personnes imposent les mains sur un meuble, il y aura formation d’une chaîne m
n semblait l'instrument principal, et faire la chaîne en imposant les mains sur un individu. On verra que la majeure partie d
ront des impulsions mécaniques, surtout à l’endroit où po- sent les mains des personnes qui réussissent le mieux dans les e
e note écrite : « Faire lever le pied droit ou le bras, » lorsque les mains des opérateurs sont appliquées sur le torse du su
’on essayât de la faire lever de dessus une chaise, en lui posant les mains sur les épaules. J’opérais cette Ibis avec M. A.-
s les membres inférieurs, et le gonflement des veines des bras et des mains . L’action avait été si forte, quoique la résistan
des pressions dont ils n’ont pas la conscience. En effet, lorsque les mains portent sur un meuble, la portion du poids du cor
ortent sur un meuble, la portion du poids du corps qui presse sur les mains varie sensiblement à chaque léger mouvement du co
gèrement développée, d’apprécier la pression que l’on exerce avec les mains posées sur une table. Qu’on remarque d’ailleurs
it habituellement des expériences, quelle que soit la disposition des mains , le mouvement initial, différent de groupe à grou
ou qu’ils y ont assisté, entrent-ils en crise sitôt qu’ils mettent la main sur un meuble avec l’idée de produire des phénomè
'expérience est d'ailleurs facile b répéter pour ceux qui ont sous la main un sujet sensible aux attractions. Je n'en ai pas
Mesmérisme dans sa séance du 6_avril. Le manuscrit, déposé entre les mains du secrétaire, n’a pas été depuis en la possessio
é, ne sont rien en comparaison des miracles qui sortirent un jour des mains de l'homme ; car, ayant les forces vires, il a la
aforgue, le premier d’entre tous, cet homme plein de foi, et dont les mains étaient bénies, Laforgue n’est plus! « Chers co
son cœur ! 11 nous disait qu’il devait au magnétisme, au bien que ses mains avaient fait, la cicatrisation des plaies de son
st vrai, nous frapper, mais nous la bravons, car nous nous passons de main en main te /lambeau, et toute vérité a par elle-m
nous frapper, mais nous la bravons, car nous nous passons de main en main te /lambeau, et toute vérité a par elle-même l’im
ur guide notre conscience ; que le drapeau du magnétisme soit par nos mains tenu si haut que tout ce qui est bas et vil ne pu
gnétiseur, n’ayant (pie son ardent désir de laire le bien, impose les mains , et la maladie cède comme par enchantement devant
e leur avait-il pas dit : « Ceux qui auront la foi, imuo-« seront les mains sur les malades et les guériront? » Cette puissan
ne nous rendra pas injustes envers les vivants ; nous saluerons de la main et du cœur les générations nouvelles qui s’avance
té impuissantes, qu’elles sont émoussées, qu’elles leur échappent des mains . 11 en est d’autres plus dangereuses : hésiteront
passionnés, ceux qui, non contents de le nier, lui jetaient à pleines mains l’insulte, le ridicule ou le mépris, se taisent a
son noble langage, tient depuis longtemps le drapeau de Mesmer d’une main ferme et à une telle hauteur que nulle souillure
t timide, L’homme no sail pas exister ! L'hommo exista dès que sa main Détacha le fruit d'une plante, Creusa la terre
! O honte! origine du mal Qui brandit le tison des guerres I De ses mains l’homme 8t les serres Dont il déchira son rival ;
e reptile Un être doux el caressant. « Homme I un agent sourd de ta main . Étends-la sur le misérable Qui marcho sur to
possible d’assister aux agapes mesmériennes, et de la recevoir de vos mains . La joie pure et sincère que devait éprouver un
a attaché une multitude de petits miroirs ; ils tiennent tous à la main un instrument appartenant à la classe du tambour,
lequel elle se trouve, avec une force toujours croissante; à ses deux mains pendent les mouchoirs de rigueur; le crescendo de
sur les genoux de son malade, «pii la tient en même . temps entre ses mains . Il prétend, par ce moyen, doubler l'action du
rectement et par l’intermédiaire de la bouteille, en contact avec les mains et les genoux du malade, qui boit ensuite l’eau q
les orientaux, consiste à presser, ü pétrir, pour ainsi dire, avec la main les parties auxquelles on veut donner de la soupl
ces et des contorsions étranges ; elle ne pouvait rien tenir dans les mains , ni marcher sans sautiller. Tout ce cortège de
ent par l’ingestion de l’eau qui, après avoir été en contact avec les mains et les genoux, ne doit plus contenir de magnétism
ce que les autres fois. a Suis-je digne que saint Paul me touche la main ? — Oui. » Alors cet ami tendit la main sur l
e saint Paul me touche la main ? — Oui. » Alors cet ami tendit la main sur le guéridon et pria dévo-tieusement son prote
le guéridon et pria dévo-tieusement son protecteur de lui toucher la main . Un instant après, son bras et sa main étaient da
n protecteur de lui toucher la main. Un instant après, son bras et sa main étaient dans un état de catalepsie complète. Da
de notre côté, se mit à sourire d’un air ravissant, joignit ses deux mains en attitude de prière, et répondit : i' Oui, je
l’enfant. Celui-ci quitta le canapé et suivit à genoux, toujours les mains jointes, la clarté de la vision qu’il avait devan
son état de lucidité il voit entrer M. Charavet, sourit et joint les mains . Avant le 13 janvier, ayant fait des expérience
vec mes baguettes d’électro-biologie. Ce n’est pas seulement par la main de ce sujet que je fais écrire les réponses des e
es des esprits; j’ai fait écrire différentes autres fois par d’autres mains en diverses maisons. Le 5 de ce mois, entre autre
réunion de plusieurs incrédules dans une maison, je fis écrire par la main d’un monsieur que je voyais pour la première fois
et obtenir pour ré- Sonse le nom de son père, qui, lui touchant la main ,lui roi-it tout le bras. Après il obtint les répo
ns certains cas et pour certaines personnes, la simple imposition des mains sur une table, un guéridon, etc., pouvait nous me
prétexte que ces faits pourront devenir une aime puissante entre les mains des ennemis du magnétisme. Que M. Clément me pe
e hypernaturel, c'est un instrument dangereux et redoutable entre les mains de ceux qui ne savent pas s’en servir, ou qui s’e
ur, dans une maison habitée. Le tapage augmente; Massimo, l’épée à la main , rencontre Santa Croce sur le sommet de la montag
tes contorsions, grimaçant et bondissant autour du feu; il frappe ses mains 1 une contre l’autre, bientôt un tremblement géné
s et moins fatigants; c est seulement à l’inspection des lignes de la main , et en prononçant à voix basse quelques paroles s
ances, toutes les folies, toutes les maladies, rien qu’en étendant la main devant leur front. Si le virus de l’abeille ou
développé accidentellement des facultés intelligentes, dirigé par des mains habiles et réfléchies, le mesmérisme, autre excit
élève privilégié du maître que je raisonne ainsi, c’est l'histoire en main , l’expérience sous les yeux. En effet, voyez co
pour les hommes et très-peu pour les dames. Si un homme lui passe la main sur le dos, elle manifeste immédiatement, par des
un doute sur la nature de ses sensations. Qu’une femme lui passe la main sur le dos, elle fait à peine un ron-ron; mais dè
1). Qu’a-t-il fallu souvent pour éveiller un amour incendiaire? Une main touchée, uu doigt effleuré, une robe frôlée, le t
smériste expérimenté veuille bien réfléchir, il verra qu’il a dans sa main toutes les puissances, dans ses yeux tous les sou
regarder à deux fois avant de l'allumer. C'est que j’ai vu sous ma main surgir des hystérismes aussi violents que celui d
uelques sous à extorquer. Des signes particuliers, des mouvements des mains ou des pieds, l’intonation de la voix, le toucher
ayant aperçu le directeur de la prison, M. Bourgeois, lui a tendu la main et l’a remercié de toutes les bontés qu'il avait
issaient sans le savoir des œuvres magnétiques. Bientôt ils auront en main le faisceau tout entier de la science nouvelle, e
veilles et de nos travaux : notre récompense est dans le bien que nos mains ont fait. Baron Ut POTET. ÉTUDES ET THÉORIES.
son d’un instrument, de résister, d’être le plus fort; alors les deux mains , fortement appuyées sur le bord du plat, ne peuve
é le monde, et se promenant dans cette vaste galerie, appelle sous sa main Voltaire, Raphaël, Alexandre ou Mirabeau, et se p
ntes. Un autre, esprit fort, se moque et 11e croit rien.... sous sa main la table est immobile et muette, et ceci est la p
. 278. « Bienheureux ceux qui croiront en moi. car ils poseront les mains sur les malades, et les malades seront guéris. »
endormis, puis je la mis en rapport avec ma mère par le toucher de la main . Après quelques minutes de concentration, elle no
bilité des membres du sujet magnétisé 1 La somnambule ayant pris la main du malade, se pencha vers lui comme pour voir l’i
oir l’intérieur de son corps, et presque aussitôt je la vis porter sa main àl’épigastre; puis, après s’être concentrée quelq
ps on m’avait envoyé chercher ; —j’arrive, je prends sa tête dans mes mains , en portant l’action de ma volonté sur le siège d
t l’action de ma volonté sur le siège du mal ; je descends ensuite la main le long du corps jusqu’aux genoux, en entraînant
de circonstances, — et après deux ou trois minutes d’imposition de la main sur le siège de la douleur, je magnétise à grands
e tête, de dents, etc., etc.! Mais, outre qu’il ne me reste entre les mains aucune note, aucune pièce, une longue description
u ; un second regarda de plus près et douta ; un troisième imposa les mains , loucha lui- même la table tournante, et il com
les groupes. On lui présentait l'herbe, sur laquelle il étendait les mains , en marmottant quelques paroles, après quoi les g
prenaient garde de faire la moindre révélation ? Heureusement que la main d’un ami est venue me délivrer des liens qui me r
uelques étourdissements. Un peu avant trois heures, 011 place dans sa main les fleurs magnétisées, et elle glisse dans son c
lements, ses yeux se ferment; elle serre alors convulsivement dans sa main les fleurs magnétisées, et paraissant souffrir dé
aucoup de ce contact, elle cherche, mais vainement, à retirer avec sa main libre les fleurs comprimées excessivement dans so
avec sa main libre les fleurs comprimées excessivement dans son autre main . 11 se manifeste encore des bâillements réitérés
e tremble très-fort et s’efforce toujours d’arracher les fleurs de sa main . « A trois heures vingt minutes, M1"' de M... (
i dit, avec une vive instance, de lui ôter la fleur qu'elle a dans la main ; mais M1”' de M... fait de vains efforts, parce q
a dans la main; mais M1”' de M... fait de vains efforts, parce que la main est crispée et serrée ; les mouvements convulsifs
in, avec beaucoup de violence, M“* de M... lui arrache la fleur de la main , et en même temps M“* B... retire énergiquement e
rchait elle-même à se démagnétiser les yeux en se servant de ses deux mains , Mme de M... s’y est également employée, et M"' B
n de M. de U..., pour revenir ensuite à sa place, après avoir posé la main sur le bouton de la porto d’entrée, mais sans l'o
laquelle 011 arrive par un long corridor obscur; il est appuyé sur sa main , et est très-occupé, ayant un air sérieux en lisa
ne grande musique; il fait des roulades. Oh !... quels claquements de mains , quel vacarme! ils applaudissent tous. Ah ! il re
i se rapportât à lui, jusqu’à ce qu'on lui mit les reliques entre les mains ; alors elle s’exprima, non pas comme si elle nous
somnambulisme, un domestique frappa à la porte et entra, tenant à la main une lettre adressée au I)r Gaddock , qui se trouv
oit la luminosité qui émane des doigts du magnétiseur même lorsque la main est tenue au-dessus de sa tète, ou de toute autre
ci ne doit pas paraître plus merveilleux que lorsque le sujet voit la main placée au-dessus de sa tète ou une personne qui e
il avait l’habitude de s’asseoir. 11 devint aussitôt inquiet, mit la main à sa tête , changea de siège en se plaignant d’êt
lui parlant, je trouvai qu’elle ne pouvait parler ; lui ayant pris la main , je remarquai que tout son corps était roidc comm
nt. A la séance suivante, je voulus lui faire tenir la boule dans les mains ; elle s’éloigna pour ne pas la toucher ; dès qu'e
e pas la toucher ; dès qu'elle la toucha, la rigidité s’empara de ses mains , puis de son corps entier, et elle ne put être ré
pelet, objets qu'elle arrose d’eau bénite ; prend le chapelet d'une main et le couteau de l’autre, avec lequel elle frappe
nt, et venait, sans doute pour mieux entendre, se poser jusque sur la main qui tenait l’archet. Quatremère avait été témoin
, mais possédés (par eux), qu’une table sur laquelle ils auraient les mains se lèverait et répondrait à leurs demandes, cette
nable, où les savants effarouchés oseront enfin entrer pour tendre la main à des hommes de conviction, mais égarés dans les
établie autour d’un guéridon eut le bras en catalepsie en tendant la main vers la main de saint Paul que la table lui avait
ur d’un guéridon eut le bras en catalepsie en tendant la main vers la main de saint Paul que la table lui avait désigné comm
en avec elle. Cette école, dont M. Mateucci a tenu le drapeau d’une main assez ferme, se rattache comme théorie à l’idée d
ps, sans raideur, doit tenir les avant-bras horizontaux, le dos de la main tourné vers le sol. C’est dans cette position qu'
ées à angle obtus. Les ilcux portions de branches qui sont dans les mains de l’opérateur sont dans le prolongement l'une de
nt elles qui, dans des circonstances données, doivent tourner dans la main de l’opérateur. L’appareil électrométrique rési
latifs leur idiosyncrasie spéciale (page 55). La baguette entre les mains des opérateurs d’ordres divers donnera, dans des
présenter la position que nous avons indiquée. Si l’intérieur de sa main droite touche du zinc, la baguette monte-, si, au
u cuivre, elle descend. Si le contact est donné à l’intérieur de la main gauche, le mouvement est inverse, c’est-à-dire de
e. Le pied gauche paraît à M. de Morogues jouer le même rôle que la main droite, et le pied droit avoir les mômes propriét
roite, et le pied droit avoir les mômes propriétés électriques que la main gauche (pages 107, 115 el passim). Voilà donc d
l’étui contenant un électro-simple ou composé) dans l’une ou l'autre main , suffirait pour mettre le principe hors de doute,
iou que les électro-simples. Qu’il soit en contact avec eux par une main ou un pied ou plusieurs de ces organes, l’opérate
econd que le premier, on va comprendre l’usage de la baguette dans la main des liydroscopes ou des rainéroscopes. Un opérate
ue je la magnétisais, les membres inférieurs s’agitèrent vivement; ma main arrêtée au-dessus des genoux, les doigts dirigés
e la magnétiser. J’étais accompagné de M. le curé du pays. Je pris la main de cette fille sans que personne se doutât de ce
luzerne entouré de clôtures. Il s’avança vers lui pour lui prendre la main . Le vieillard sauta par dessus la clôture, emmena
vec le bout d’un doigt, d’abord sur le bras gauche avec l’index de la main droite, et ensuite sur le bras droit avec l’index
ex de la main droite, et ensuite sur le bras droit avec l’index de la main gauche. L’écriture est illisible pendant quelques
« Quand des personnes prolongent pendant quelque temps le contact des mains sur une table de bois, non seulement la table dev
illai. Je sentis alors une vive sensation de brûlure à la paume de la main gauche, et je fus persuadé que c’était dû à l’esp
oment, mon chien entra en courant et s’élança vers mon lit ; mais une main puissante et invisible le jeta à une distance de
s. Ma couverture fut enlevée. La sensation de brûlure à a paume de la main devint plus vive. Soudain une fenêtre B’ouvrit, e
écris mon récit par ordre et sous l’influence de l’esprit qui meut ma main et fait entendre une foule de bruits pendant que
fut enlevé de la table et promené sur le plafond, puis nous vîmes une main ayant exactement la forme d’une main humaine, si
le plafond, puis nous vîmes une main ayant exactement la forme d’une main humaine, si ce n’est qu’elle n’avait que quatre d
e main humaine, si ce n’est qu’elle n’avait que quatre doigts ; cette main saisit le phosphore, le frotta entre les doigts e
la transporta autour de la salle, en effleurant dans son passage nos mains et nos têtes. Quelquefois elle glissait sous nos
ure couvrit la moitié d’une feuille de papier, sur les deux faces. La main mystérieuse se mut autour de l’assemblée, me seco
aces. La main mystérieuse se mut autour de l’assemblée, me secoua les mains , ainsi qu’à plusieurs personnes; la sensation que
bule. Le sommeil instantanément obtenu par la simple apposition des mains sur le front, Tony fut mis en rapport avec chaque
front, Tony fut mis en rapport avec chaque malade qui lui prenait la main . Les consultations De duraient guère plus de quel
r été imprégnées du fluide magnétique, devaient être placées dans les mains ou sur les autres parties des personnes malades;
s verrions tous cher- cher dans des remèdes sans vertu ce que leurs mains et leur volonté pourraient déterminer. 11 faut
re, à sept heures du soir, on s’aperçoit pour la première fois que sa main cesse de diriger son aiguille, que sa tête s’incl
esse l’épigastre, elle accuse plutôt du malaise que de la douleur. La main fait éprouver dans cette région quelque chose d’i
ce que vous éprouvez ? — On me serre et on me déchire la chair. (Sa main , en même temps, se porte sur l’épigastre.) —"Qu
la difficulté de son ouvrage, accusant la toile d’ètre trop dure : sa main , en effet, se ralentit; sa voix faiblit de plus e
ied, etc., se met, pour parler vulgairement , à faire le savetier. Sa main , en guise de marteau, frappe la semelle sur son g
mots; la force déterminante des prodiges, l’homme la possède dans la main et dans la pensée; ce qui manque à tous, c'est le
ien ne se perd, rien ne s’anéantit. » A ces mots, Ségélius posa une main sur la tête du poëte et l’autre sur son cœur, et,
es langues « de la terre. » Ségélius mit alors un manuscrit dans la main du poète et le congédia. Quand Cipriano fut sor
r. Cipriano entre, court à Charlotte en souriant et en lui tendant la main ; mais tout à coup il s’arrête en fixant sur elle
bonne heure. Le coudrier, tle très-bonne heure aussi, indiqua dans sa main de l’eau ou des mines. Beaucoup de personnes ne
mal en pis jusqu’à ce que des passes magnétiques, des impositions de mains et le souffle chaud de sa servante sur les cavité
par exemple, furent éloignés d’elle à travers les airs comme par des mains invisibles. Plusieurs fois, dans des verres d’e
s du cœur, finit aussi un jour par lui roidir tous les membres. Les mains dans l’eai* elle s'affaiblissait ; elle n’en pouv
tandis que ceux de France le réchauffaient. L’aimant contournait ses mains , qui ne reprenaient leur état naturel que lavées
ies rappeler. Le rayon violet du soleil dirigé par un prisme sur sa main la mettait en somnambulisme ; le rouge, en catale
es ou tirait de son corps des étincelles. En prenant du fer dans sa main droite et du cuivre dans sa main gauche, elle ép
ncelles. En prenant du fer dans sa main droite et du cuivre dans sa main gauche, elle ép rouv ait dans tout le corps une c
ion qui commençait au cœur. En prenant ces deux métaux dans une seule main , elle sentait monter dans ses bras des ondulation
sant jusqu’à la gueule, ne pouvait y avoir été introduite que par une main ennemie avec l’intention de le tuer. Le 8 mai 182
lexus, par les tempes, le cou, le dos et les côtes, soit du front aux mains par les deux bras, ou aux genoux par le corps. —1
était réveillée ce qu’elle avait dit dans le sommeil, ni croiser les mains en la magnétisant. La main droite de son magnétis
avait dit dans le sommeil, ni croiser les mains en la magnétisant. La main droite de son magnétiseur sur son côté droit, ou
r en laine attaché par un bout à ces chaînes, et qu’elle tint dans sa main gauche en regardant fixement le sommet du triangl
ept heures du soir. Ver so/ilnire, par l’apposition prolongée de sa main gauche sur l’abdomen du malade. Mnlndic mentale
ne amulette de neuf feuilles de laurier; •2° Par l’apposition de la main gauche sur la cavité du cœur, et de la droite sur
ulé depuis mon arrivée, lorsque je vis le corps soulever lentement sa main gauche. Je pris aussitôt la tête entre mes mains,
soulever lentement sa main gauche. Je pris aussitôt la tête entre mes mains , et j’essayai de magnétiser avec toute la force d
rce dont j’étais susceptible. Au bout de quelques minutes, une de mes mains , appuyée sur le front, était toute mouillée. Ayan
r le front, était toute mouillée. Ayant regardé intentionnellement la main droite du cadavre, cette main se souleva comme la
ée. Ayant regardé intentionnellement la main droite du cadavre, cette main se souleva comme la gauche ; je demandai aussitôt
, et je ne pus arracher le malade à la mort. En me rappelant que là main droite du cholérique s’était soulevée au moment o
oreille sur lavéglon qu'il occupe, alors que depuis longtemps déjà la main placée sur la poitrine ne pouvait plus les sentir
rgane avait cessé de battre, je mis, comme au premier cholérique, une main sur le front et l'autre à l’occiput. Me recueilla
put. Me recueillant pendant quelques minutes, je regardai fixement la main gauche, en lui commandant mentalement de se soule
t la main gauche, en lui commandant mentalement de se soulever, et la main se leva sür-le-cliamp à la hauteur d’environ cinq
de se produire n’était pas spontané, je fis la même expérience sur la main droite, et j’obtins le même résultat. Cette ten
t pour les magnétistes que la cause qui a déterminé l’ascension de la main dans la deuxième expérience, est la même qui agit
re. Les chairs vivantes aujourd’hui iront demain, en se dissolvant, main , en se dissolvant, augmenter cette couche qui cou
un mètre environ, et supportant une barre horizontale, large comme la main et longue comme l’avant-bras. Quand ils ont à mag
complètement passif. 11 arriva bientôt, à ma grande surprise, que ma main fut mise en mouvement et écrivit des caractères l
moindre idée. J’étais abasourdi. Plus tard, l’écriture tracée par ma main me dit que j’allais être un bon medium guérissa
dit que j’allais être un bon medium guérissant par l’imposition des mains , si je voulais essayer avec patience et persévéra
al se produit, devons-nous tout à coup crier au miracle et battre des mains en signe de contentement? Avant qu’il en soit ain
a le moyen d’arrêter subitement les accès d’hystérie en appliquant sa main mouillée sur l’épigastre ; M. du Potet a fait rem
e de cérat toute la région lombaire, pour faciliter le glissement des mains et prévenir la rubéfaction et l'irritation de la
ns produisent, de l’aveu de nos adversaires, la simple apposition des mains et les passes l’obtiennent aussi, et plus efficac
n’était rien dû. J’ignorais entièrement tout ce qui s’était passé. Ma main se mit en mouvement pour écrire, et la communicat
t ainsi conduite en droite ligne à l’endroit où était la bague, et la main se fixa sur cet objet, quoiqu’il y eût de la neig
inconnu et a élé présenté par M. Tallmadge comme son ami. Aussitôt la main de la fille de M. Laurie a été mise en mouvement
tte question : « Est-ce un parent de M. Barlett ? « — Non. » La main du medium dessina alors une voiture de voyage tra
qui est amer, amer ce qui est doux, et peut ainsi devenir, entre des mains habiles ou criminelles, un instrument terrible ou
temps était la même que celle qui, aujourd’hui, est remise entre nos mains . — Vous croyez donc à la possibilité de reprodu
au contraire de l’avant, et après avoir parlé de You/il qu'ils ont en main , nous montrerons leur impuissance à s’en servir,
ateurs, en faisant la chaîne d’après le mode connu et en imposant les mains sur des tables, ont obtenu des effets que l’impul
rrange pour marcher dans le sens où le mouvement doit avoir lieu, les mains les plus rapprochées du pied appefë à se dresser
ateau, s’en rapprochent et le dépassent graduellement, tandis que les mains placées vis-à-vis, et qui s’étaient avancées d’ab
érés avec force, que le pied quitte le sol et que le plateau suit les mains au point de se renverser si on ne le retient. >
aroles. « Le maréchal remettait sa lunette dans sa poche. Il eut la main gauche, qui tenait les rênes, entièrement fracass
obscurité qui de toutes parts les environne. Mais déjà, pourtant, les mains débiles de l’homme ont saisi la foudre, et ce lar
ré une table que l’on entoure et sur laquelle 011 pose légèrement les mains , et l’avoir incorporée pour ainsi dire à la pile
esque assuré d’en rencontrer des exemples. Je me trouve avoir sous la main l’Hermès, 2e année, tome II, p. h0, et je vois qu
e et des sciences avaient donc perdu le sens commun, pour laisser aux mains des ignorants et poursuivre de leurs sarcasmes ce
lement coupées. Puis vous placez une extrémité de ce chapelet dans la main de la personne sur laquelle les expériences doive
vus. A peine cette fille, assez laide du reste, lui euUelle touché la main , qu'elle s’illumina spontanément; son visage cha
élèves de Mesmer, et qui emporta une partie des sommes versées en ses mains , est aussi l’objet d’une mention. Enfin, arrivé
g! que de sang! « C’est affreux. » « Elle cacha ses yeux avec ses mains , comme pour ne pas voir ces objets effroyables.
près m’avoir gardé vingt minutes, elle 1110 congédia en me donnant sa main à baiser et disant : « Eh bien ! monsieur Lafon
nnu que le magnétisme peut devenir une arme dangereuse dans certaines mains , il est prudent de l’interdire aux profanes et d'
és'la un instant, puis il vint s’asseoir en face d'elle et avança fos mains en tremblant. A peine les eut-elle touchées, qu’e
i tu habites le corps de cette personne, je veux que le contact de ma main , qui est en état de grâce, t’en chasse à tout jam
peuvent te tuer par leur seul mépris. — Ils se sont trop souvent de main en main passé cette arme pour que les ressorts n'
te tuer par leur seul mépris. — Ils se sont trop souvent de main en main passé cette arme pour que les ressorts n'en soien
20 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
a vérilé, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . TOME QUATORZIÈAIE. PARIS. BUREAUX ; RUE DE
complète et absolue de toutes les parties du corps. Il traversait la main , le bras et plusieurs endroits de la face avec de
épingles, sans produire aucune apparence de sensation ; il brûlait la main avec de la cire à cacheter, sans occasionner de d
ppliquer une force très-considérable pour le ployer ou pour fermer la main . « 3° La paralysie des sens et de la langue, et
s, et qu’avec un peu d’exercice il était facile de se faire percer la main et le bras avec des épingles sans donner des sign
était très-faible et qu’on n’en sentait presque pas. l’effet dans la main ou même dans la langue. Comment voulez-vous, me d
courant primaire, qui se fait, non par la machine même, mais avec la main , pouvait être suspendue presque entièrement par u
ecret mouvement de l’expérimentateur. Le même mouvement, selon que la main appuyait plus ou moins fortement, pouvait produir
rs ma table sans la toucher, seulement par la force attractive de ses mains . En marchant, elle parut avoir les yeux fermés, m
es supérieurs tout à fait insensibles, de lui fermer les doigts de la main droite, et de lui ordonner de saisir fortement
a main droite, et de lui ordonner de saisir fortement l’index de ma main gauche, que je lui présentai. 11 le lit, en me di
lit, en me disant que je ne pourrais plus retirer 111011 doigt de la main de la somnambule, si le magnétiseur, par ses trac
somnambule, si le magnétiseur, par ses tractions, ue rouvrait pas la main . Je laissai mon doigt tranquille pendant quelques
oigt tranquille pendant quelques moments, et lorsque je sentis que sa main s’était relâchée, je fis un très-léger mouvement
tte expérience, répétée plusieurs fois, me donna la conviction que sa main insensible conservait encore toute sa sensibilité
é. Mais il fallait prouver cela à tout le monde. « Je fis ouvrir la main , et je retirai de ma poche quelque chose que je n
la grenouille par ses pattes de derrière et en la couvrant de l’autre main , je l’approchai de la main droite étendue de la s
s de derrière et en la couvrant de l’autre main, je l’approchai de la main droite étendue de la somnambule i et cette fille,
uante, qui la chatouillait de se* pattes de devant, qu’elle retira la main , remua le bras gauche et tourna la tète vers cet
ce. M. Friedleben lui fit remarquer que le cadavre ne remue jamais la main droite si l'on irrite les muscles de la main gauc
davre ne remue jamais la main droite si l'on irrite les muscles de la main gauche ; et moi.... je continuai mes expériences.
et la face contractée prit l’expression de la plus forte douleur; les mains se fermèrent convulsivement; j’entendis une forte
un lapin dont on touche le nerf trijumeau ; elle porta rapidement la main droite à sa face, et se leva de son siège ; mais
l’on avait pour son épée et les armes qu’il portait nous a sauvés des mains de ces enthousiastes furieux. « Mais nos expéri
nces tellement loyales , que j’ai laissé cette même machine entre les mains de mes élèves de Francfort, dont, certes, on ne s
ale public que de voir une vérité puissante et bienfaisante entre les mains de milliers d’êtres, sans que les savants veuille
oir plus que la nature ; initiez-le, afin qu’il n’ignore plus que ses mains portent un baume plus efficace que celui des phar
point, pour m’encourager, les œuvres si merveilleuses obtenues de mes mains et des guérisons-presque miraculeuses produites p
eurs de sa brochure. Il identifie le magnétisme avec l’imposition des mains qui, d’après les Évangiles et les écrits des apôt
« L’expérience réussit mieux dans une chambre chauffée et lorsque les mains elles-mêmes sont chaudes. » Ce point de ressemb
accès........................! Pas. 2. Henry Couten. — Goutte à une main ................1 ici. 3. Benjamin üickenson. —
grand plaisir à reconnaître tout le bien que le magnétisme, dans vos mains , a produit sur moi dans le cours de quatorze séan
is, etc. « a. s“\ » Le n° 2 est une femme qui avait la goutte aux mains . Voici l’extrait d’une lettre qu’elle a écrite à
r. Ses moyens de lire dans l’avenir sont multipliés ; elle examine la main et la physionomie du consultant; elle a recours a
ol est emprisonné dans la hideuse machine ; déjà le bourreau porte la main à la corde dont le jeu va faire tomber le coupere
ssoires, sans doute, et il a le droit de semer les fictions à pleines mains . Mais il doit croire à son idée, ou bien, au lieu
ient qu’à contempler une goutte d’encre versée dans le. creux de leur main ; les moines du mont Thabor contemplaient leur nom
son. Des devins ont recours, soit aux cartes, soit à l’inspection des mains ou à celle des urines, soit à la baguette giratoi
ient qu’à contempler une goutte d’encre versée dans le. creux de leur main ; les moines du mont Thabor contemplaient leur nom
son. Des devins ont recours, soit aux cartes, soit à l’inspection des mains ou à celle des urines, soit à la baguette giratoi
ence et me présentai seul à la consultation. La somnambule me prit la main et me dit presque aussitôt : « Monsieur le comm
re après, elle était en présence de la somnambule qui, lui prenant la main , lui dit tout d’abord : « Madame, votre état n’
il n’y a point de monsieur... dit-elle avec force, en nous tendant la main qui contenait les cheveux. Je ne vois qu’une dame
le Juif errant de la science, j’ai toujours un fait à ma portée, mes mains sont inépuisables : seulement il ne fout pas me d
ssait ne devoir durer qu’ un instant est devenu inaltérable entre mes mains . Ce serait en vain aujourd’hui que l’on cherchera
ngué, le major Cléver, je croirai tout possible, et signerai des deux mains tout compte-rendu qu’il vous plaira de donner. »
quitter, puis encore savoir se servir du principe divin remis en nos mains par la vraie Providence. Jouissez, madame, soye
en 1780, une souris vivante, éprouva une commotion électrique dans la main en touchant le nerf phré-nique avec la pointe de
plus facile : il consiste en trois coups cadencés, frappés avec la main du masseur sur les membres et le bas du tronc; ce
ais de bouleau garnis de leurs feuilles. « Le massage avec les deux mains enveloppant tout le membre et le pressant très-do
rhumatisme articulaire dont il était atteint l’empêchait d’élever les mains jusqu’à la hauteur de l’épaule, il y suppléa en m
méchant, car dans ses colères il brise tout ce qui se trouve sous ses mains . On me l’amène. A peine l’ai-je touché qu’il est
médicale sera réformée. C’est une honte aux médecins d’abandonner aux mains des ignorants le soin de faire leur besogne. C’es
parties furent supposées au rendez-vous, un pistolet fut mis dans sa main , il lâcha la détente, et le bruit le réveilla. Un
ucun secours, car nous avons tenu un gros volume entre les yeux et la main de l’écrivain. Non-seulement les lignes étaient b
nque, et aussitôt l’état mental correspondant sera éveillé. Ainsi, la main étant placée sur le vertex, le somnambule, la plu
es déterminées peuvent être excitées de cette façon. .Ainsi, levez la main du somnambule au-dessus de sa tète et fléchissez
rte-lancette) entre le pouce et les doigts indicateur et médian de la main gauche ; tenez-le à une distance de 8 à 15 pouces
un mouvement de fluctuation, si les doigts indicateur et médian de la main droite, étendus et un peu séparés sont portés de
ous devons dire que le. succès presque invariable qu’elle a entre les mains de il. Braid lui-même paraît en partie dû à la co
it qui s’est passé chez moi. Un de nos collègues ayant appliqué ses mains sur les omoplates de M. ***, le fit tourner malgr
monnaie sur moi? Quel est mon âge? Dites l’heure it ma montre, » La main se soulève et frappe un certain nombre de coups
genre. Les spectateurs forment la chaîne, soit en se tenant par la main , soit de toute autre manière, après quoi chacun s
sensibles à l’action magnétique. Je rompis la chaîne, et chacun, les mains posées à plat sur la table, ne communiquait plus
qu’ils en donnaient. J’ai vu depuis des tables se soulever sous les mains d’un seul opérateur. Le 26 février, opérant en
minutes. Un thermomètre placé sur la table accusa 12° ; placé sous la main de l’un de nous, il monta à 25°. Ce guéridon fu
Ce guéridon fut ensuite couvert de sable très-fin, de manière que les mains ne pussent adhérer au bois. L’expérience recommen
r quatre litres d’eau. Dans cette position, je le priai de placer ses mains sur la table recouverte d’une feuille de papier.
ai sur la table. Interrogée, elle se trompait sur le nombre écrit. Ma main posée sur la table et celle-ci interrogée de nouv
e de l’urne du sort et fait le signe de la croix avant d’y plonger la main . Ce témoignage de foi chrétienne est accueilli pa
t connaître à l'homme les rapports qu’il ignorait naguère, lui met eu main la clef de la nature et lui découvre une partie d
ents et des dangers sérieux que cette action serait pratiquée par des mains ignorantes et dirigée dans l’un des deux buts que
l’abbé Caupert quant aux dangers de la pratique du magnétisme par des mains ignorantes ou malveillantes. Mais à qui la faute,
s plus élevées, soit étudié, réglementé et confié exclusivement à des mains capables, sérieuses, éclairées et consciencieuses
les, pourquoi, dirons-nous alors, le livrer presque exclusivement aux mains d’une curiosité criminelle ou d’une vénalité égoï
sme; nous nous y joignons de toute« nos forces, persuadé que dans ses mains cette science est appelée à rendre à l’humanité l
e qui se présente et répond. Or, je m’avance, par exemple; je pose la main sur la table ; celle-ci commence à trembler con
disant toujours votre affectionné collègue et ami, qui vous baise les mains . Francisco de PAULA GOIZUETA. {Traduit de l'e
plusieurs coups sur les jambes avec là serviette qu’elle tenait à la main . Le battu recula, toujours en sautillant, et arri
nviction et d’un énergique appel à l’âme peut, par l’imposition de la main sur l’eau, la transformer en un remède applicable
mitif magnétique. A cet effet, je pris un verre d’eau et j’imposai la main dessus environ deux minutes avec l’idée que cette
ha par lui-même un degré de certitude plus absolu en produisant de sa main et de sa pensée les œuvres dont il avait été le t
onnues de lui Almignana. 11 en conclut que l’esprit qui se sert de sa main ne sait pas le valaque, et que par conséquent il
curieux de lire les entretiens de l’auteur avec l’esprit qui meut sa main . La discussion y est vive et devient une querelle
es sont infailliblement arrêtés si l’on enveloppe avec de la soie les mains des expérimentateurs, d’où il semble insinuer que
nous explique ce dualisme de l’écrivain et du moteur mystérieux de sa main . Nous observons à ce sujet que, d’après de nombre
quelque chose sur la création. A peine le vœu était-il exprimé que la main entraînée écrivit sans interruption une dissertat
ses plus sublimes facultés ! (le fut le hasard qui me mit entre les mains le cas très-remarquable que je vais citer, et qui
mèche des cheveux du malade, et à peine celle-ci l’eut-elle dans les mains , qu’elle déclara aussitôt que la cause de cette a
dans la cure. Après quelques passes à grands courants, j’appliquai ma main vers l’épi— gastre. Une légère somnolence s’ensui
ulus moi-môme tenter de rendre quelques services par l’imposition des mains ; mais je désirais auparavant savoir si je me trou
’après ses impressions et les étincelles qu’elle voyait sortir de mes mains , elle jugea que j’avais le fluide (dirai-je le mo
e que vous voudrez. « Où souffrez-vous ? » lui demandai-je. De la main elle me désigna son côté droit... Je posai auss
De la main elle me désigna son côté droit... Je posai aussitôt la main droite sur l’épaule gauche de la malade, et de la
ai aussitôt la main droite sur l’épaule gauche de la malade, et de la main gauche j’essayai quelques passes sur la partie
à laquelle on aurait pu donner le nom de squelette ; je lui pris les mains , puis après quelques passes sur les épaules et le
ur dans une partie quelconque du corps par la simple imposition de ma main sur cette partie? Nous ne lui demanderons pas dav
, et tous les jours nous voyons dans la pratique un malade changer de mains et de traitement, et le nouveau mode du second
réable, en effet, que, pour un peu plus, si on n’avait pas eu sous la main l’argument ordinaire de la nature, MM. les esprit
sents. Alors M. E. Allix endormit sa somnambule, et lui mit entre les mains , sans les dépaqueter, les vêtements que je lui av
emercions-nous grandement notre étoile lorsqu’il nous tombe entre les mains un écrit franc, net, tranché, et fruit d’opinions
loitation manifeste de la crédulité publique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette science encore
s doigts dans la plaie, je le saisirai facilement.» Nous soulevons sa main gauche au-dessus de sa tête, introduisons le pouc
mplet, presque en syncope. Le pouls est filiforme, à 60. La tète, les mains et les pieds sont froids. On a de la peine à la r
er de votre estimable Journal vient de me tomber par hasard entre les mains . Dans un article où l’honorable M. Ogier taille e
le tour du globe ? Est-ce que vous comprenez de quelle manière votre main se meut quand vous cherchez à la mouvoir? Pourquo
int aborder l’étude des faits occultes qui sortent chaque jour de nos mains , impuissants qu’ils se sentent à en découvrir les
ans lequel se drapent nos modernes sages; aussi 11’ont-ils plus à. la main le bâton des anciens mages, mais une batte. Et po
en vous parlant de Mesmer. « Messieurs, le jour où Mesmer remit aux mains de nos pères le principe nouveau qu’il avait déco
e même, lorsque tout se dessèche sous l’ardeur brûlante du soleil, la main bienfaisante de DieuTerse l’eau avec abondance po
es et empoisonnés, et c’est sur des terrains fangeux assainis par nos mains que nous avons répandu cette semence céleste. Oui
ciences. Laissons la fausse science nous ré- pondre le scalpel à la main , elle n’empêchera point la vérité d’avoir son cou
ille par son absence. On lit donc simplement : « Le bien, par toute main ; Le vrai, par toute bouche. »... Ah' gros espr
sortir, Le voici tout entier : « Il faut ANÉANTIR Le bien par toute main , le vrai par toute bouche. » ■¿nsanit'r I c'est
« Sauvons le genre humain! » Mais c’était un démon qui dirigeait sa main ; Voilà juste pourquoi, messieurs les bons apôt
S'ils ont failli, c'est grâce ou redoutable agent Déohalné par vos mains . Et ce pauvre sergent Qui déterrait les morts 1 E
e aussi ;...... si elle arrive encore pour celui qui vous presse la main . « JOBARD. » (1) Allusion aux mandements crit
ames, dont l’une était sa mère ; qu’elles donnèrent successivement la main à la somnambule ; qu’il y eut deux consultations
à deux, à trois, à dix magnétiseurs successifs, deviennent, entre les mains du onzième, de remarquables somnambules! Quelle v
rniere assertion, et je m’en revins fort triste, sa consultation à la main , chez mon frère, qui appela de nouveau son parent
r sous scs yeux; qu’il groupe le nombre des guérisons opérées par ses mains ou par les conseils des somnambules qu’il a dirig
es. Cependant, je dois dire que depuis que ces malades sont entre nos mains ils ne sont pas entièrement rétablis, mais certai
, que nous avons craint plusieurs fois de la voir se briser entre nos mains . — Pour si épouvantable que cet état paraisse, il
imateur s’il n’y avait pas d’autres moyens de communication, et si sa main , par exemple, armée d’un crayon, ne reproduirait
dresser. Il fut fait ainsi qu’il le désirait. Un crayon placé dans sa main droite écrivit immédiatement. Ce fut une occupati
rit lui déclare se nommer Satan, et lui fait savoir que le bras et la main qui avaient servi d’intermédiaire aux réponses do
ndre pensée formulée mentalement recevait aussitôt une réponse, et la main était obligée de se saisir de n’importe quel obje
uestion de l’exorciser. Le Diable, avant de le quitter, fit tracer la main ces derniers mots : Tu n’es qu’un sot et tin imbê
e l’articulation du coude, et les mouvements de l’avant-bras et de la main étaient presque abolis. Ce monsieur vint nous c
soit bien peu ardent chez M. Segond, s’il a pu rester si longtemps la main fermée quand il lui suffisait de l’ouvrir pour no
t qu’ils ont erré ? Le roi Sicambre a bien pu courber la tête sous la main de saint Rémi et abandonner ses idoles; mais, pou
de la loyauté, adorer ce qu’ils ont brûlé et regarder sans horreur la main d’un magnétiseur. On a beau leur dire comme à l’a
toucha et confessa ; mais, eux, ils ferment les yeux, enfoncent leurs mains sous leur manteau et répondent : Vous êtes des fo
uoique mon jeu fût en ce moment caché sous la table et serré dans mes mains . A chacune de ces cartes jouées, il en posait une
ir des cartes dans un jeu caché sous une table et tenu serré dans les mains , il ne doit pas lui être plus difficile de découv
et en anatomie. » Les termes sont durs, et M. Segond n’y va pas de main morte, 011 le voit ; mais à qui s’appliquent-ils?
enté un homme qui était sourd-muet, le suppliaient de lui imposer les mains . Alors Jésus, le tirant de la foule et le prenant
us avantageuse de toucher ce sourd, dit : t C’est avec le pouce d’une main dans une oreille et le petit doigt dans l’autre,
i me réunir à vous et féconder vos travaux, mais us sont en si bonnes mains , que je ne puis qu’applaudir d’avance, à tout ce
ront leur lucidité, les tables resteront immobiles et muettes, et les mains et les bras des médiums seront complètement paral
éridon ne s’arrêta pas. Dans cet état, une personne présente plaça sa main sur le guéridon, effleurant à peine sa surface, e
ridon. Moi, j’en tire une autre conséquence, savoir : que la simple main d’un laïque, sans rien de plus que sa volonté, a
a volonté, a plus de puissance que le signe de la croix tracé par les mains d’un évêque ; ou plutôt que, le démon étant étran
d’un prélat catholique, est aujourd’hui très-commun, et que ces mêmes mains qui arrêtent les tables dans leur mouvement, plac
t les tables dans leur mouvement, placées à une certaine distance des mains des médiums, les paralysent lorsque ceux-ci sont
« Le chloroforme, dit ce médecin distingué, quoique manié « par des mains habiles, peut causer des accidents et même « la m
e très-sensibles pour la mère et pour moi. Pendant dix minutes que ma main resta appliquée sur le ventre, ces mouvements se.
a tête : 4 magnétisations. Panaris charbonneux au petit doigt de la main gauche : 4 magnétisations et compresse d’eau magn
sse d’eau magnétisée. (La malade venait d’en avoir un au médius de la main droite. Il avait duré quarante jours, pendant les
doivent être appliqués ? 6° Le magnétisme animal est-il, entre les mains du médecin qui sait le diriger, un moyen thérapeu
ée unique, presque toujours religieuse; agenouillement ; jonction des mains comme pour la prière; ravissement de l’esprit se
obligé de reconnaître la fécondité, se trouve exclusivement entre les mains de ces hommes que, sans distinction ni exception,
vez le comprendre et l’appliquer avec discernement; on vous le met en main , on vous le donne, et, au lieu de l’étu-dier dans
et à apprécier que ce qui suit : u Déplacement des douleurs par la main du magnétiseur. « Valentin Greatrakes, qui tena
e jusqu’à un certain point. Le magnétisme venait de renaître sous les mains de Mesmer ; le merveilleux de la découverte et sa
ourants. 11 y joignait souvent la prière. L’abbé Paria imposait les mains . Laforgue imposait les mains et priait. Lorsq
la prière. L’abbé Paria imposait les mains. Laforgue imposait les mains et priait. Lorsqu’on voit ceux qui réussissent
ns remplacé ce passage par une citation de son arlicle. paume de la main droite sur la région du cœur, les doigts en point
le bras gauche étendu, son coude touchant la pointe des doigts de la main droite, et la main gauche portant sur la partie e
ndu, son coude touchant la pointe des doigts de la main droite, et la main gauche portant sur la partie externe de l’articul
ousiasme; sa poitrine se gonfle, il entre dans une crise spéciale; sa main se porte d’elle-même au siège de la douleur; il o
mmence à parler se heurte, et il présente en pleurant son Iront ou sa main souffrante. — « Tiens, dit la mère, en prenant la
on Iront ou sa main souffrante. — « Tiens, dit la mère, en prenant la main entre les siennes avec des mouvements de massag
ées n’échange-t-on pas, à chaque instant, par le simple contact de la main , par le baiser? — Nous mettons de côté tout conta
sinon dans le rayonnement magnétique, une pression voluptueuse de la main , et la poignée de main amicale? — Qu’on remarque
Mathieu, parlant d'un lépreux, dit : VIII, « Et Jésus, étendant la main , le toucha, disant : Je le veux, sois purifié de
de Pierre retenu au lit par la fièvre. VIII, 15. « Il lui toucha la main , et la fièvre le quitta. II se leva et les suivit
ous l’empire d’un sentiment de bienveillance exalté, l’imposition des mains , ou une passe lente et grave accompagne l’acte vo
s trouveraient ridicule sans doute le fils inclinant le front sous la main de son père qui le bénit. XI. — De la bénédicti
XIX, 13. « On lui amena alors des enfants pour qu'il leur imposât les mains , et qu’il priât, et scs disciples les gourmandaie
disciples les gourmandaient. » 15. « Et après leur avoir imposé les mains , il s’en alla. » Marc, X, 1G, relatant le môme
igieuse et en a fait un devoir aux fidèles. «... Ils imposeront les mains aux malades, et ceux-ci js’en trouveront bien. »
rner vers les conjoints, les fixer et diriger sur eux, à distance, la main droite, les doigts rassemblés en pointe. (1) Ar
9. « Elisée dit i Giézi : Ceignez vos reins, prenez mon bâton à votre main , et allez-vous-en. Si vous rencontrez quelqu’un
ant. 11 mit sa bouche sur sa lx>uche, scs yeux sur ses yeux et ses mains sur ses mains, et il sc courba sur l'enfant, et l
bouche sur sa lx>uche, scs yeux sur ses yeux et ses mains sur ses mains , et il sc courba sur l'enfant, et la chair de l'e
. Aussi, quand ¡1 trempait la compresse, — qu’il avait tenue dans ses mains pendant toute la veillée, soyez sûrs que le linge
ont les faits que vous m’imputez à mal? « Est-ce d’avoir dirigé mes mains vers autrui dans l’intention de lui faire du bien
irés, comme par un fluide magnétique, vers le maniaque. Bientôt leurs mains se touchaient, s’enchaînaient; et, formés en un c
eux-mêmes ce sujet intéressant et y rapportent les produits de leurs mains qui peuvent en dissiper les ténèbres. Voici des
i le repos ni l’état de veille : ses yeux sont ouverts; il entend; sa main sent et agit, son esprit raisonne; et, malgré cel
descendre de sa monture pour chercher la route avec les pieds et les mains . Nous étions tous deux sous l’influence du ragle.
Tubbs. « M. Tubbs obtint le sommeil en neuf minutes, en tenant les mains et en fixant les yeux de M’’,c Flowerday. Au bout
is elle retomba dans le dossier du fauteuil. Alors M. Tubbs lâcha ses mains l’une après l’autre : elles retombèrent sans forc
. I,a n.ain gauche l'ut laissée dans la position où elle tomba. T.a main clic bras droit furent tenus élevés tic cote par
le. Oui, nous l’avons vu de près, nous avons voulu toucher avec nos mains , nous avons voulu nous assurer, en nous posant en
plètement comment chez les autres la baguette magique se meut dans la main . Vers l’année 1808, j’habitais l’Etat de Tenessée
r les mouvements de la baguette. Je rencontrai des personnes dans les mains desquelles elle resta immobile; mais, quand je te
les mains desquelles elle resta immobile; mais, quand je tenais leurs mains dans la mienne, la baguette s’agitait malgré ces
s personnes et à leur grand étonnement. Il y en eut d'autres dans les mains desquelles la baguette ne bougea pas, même quand
né, tenant la baguette dans la position verticale, une dent de chaque main , les pouces en l’air, et la pointe de la baguette
une attraction considérable, on tient la baguette plus lâche dans la main pour empêcher qu’elle ne se brise. Quand la ba-
eront par quelles lois sont liés harmonieusement ces phénomènes; îles mains expérimentées feront marcher l’hydrologie et lui
epousse, mais il cherche à l’éteindre, il ose même porter sur lui une main sacrilège!... Ce flambeau providentiel doit éclai
d’imprégnation magnétique. Les pores de la table, en contact avec les mains d’une ou plus habituellement d’un certain nombre
isque et le remplaça par un objet quelconque, qui, en passant par ses mains , acquérait, toutefois, gine véritable valeur magn
l en eût été ainsi, ce pouvoir illimité n’eût pas été dans les seules mains d’un petit chef de tribu de l’Afrique, et le fana
e ces dévouements absolus qui ne se trouvaient cependant que dans les mains d’un de ses moindres vassaux. La suggestion mag
personne n’a ja- mais taxé de fourberie.... Par l’application de sa main , dit le savant Georges Rust, il faisait fuir la
nonde des succès obtenus eu touchant les malades par l’imposition des mains . Mais Gassner, dit M. Gauthier, ne ressemblait pa
rer, si nous n’étions pas entré, depuis que cet article est entre nos mains , dans une époque si pleine de miracles, et si le
Mademoiselle 0***, dans le but d’accéder à ce désir, avait étendu ses mains sur un guéridon, en même temps que, pour un insta
t durs et douloureux. » Son exposition terminée, Luisa se joint les mains ; ses paupières se baissent avec ferveur ; son rec
e mes agneaux : c’est-à-dire au dernier né. Il les brouttait dans mes mains , et ne prenait d’autre nourriture que celle que j
s cueillir sur les collines!... « Je l’abreuvais dans l’eau que mes mains , frottées d’herbes aromatiques, pouvaient lui don
se saisir (l’une plume ou d’un crayon, sent soudainement partir sa main , sous des dictées et sur des écritures ou des suj
cependant 1 L’œil est obscurci ; le cœur porte aussi son armure ; la main ne veut être qu’osseuse; elle qui est destinée à
lumière que Christ, liomme-Dieu, savait donner en l’imposant! « La main est l’anneau premier de cette chaîne de confrater
ie, le fait avec héroïsme. Comme un éclair, et de gauche à droite, la main de Mlle L... nous expédie étrangement l’espèce de
vain de la Magie au dix-neuvième siècle fait assaut de volonté par la main gauche de Mllc H... qu’il galvanisait de mille éc
c H... qu’il galvanisait de mille éclairs foudroyants ; tandis que la main droite, sous un propulseur plus maître de son emp
n asseoit la grosse fille devant le guéridon , et la voilà (crayon en main ) (1) Auteur du livre Comment l'Eipril vient aux
e au Texas. On cite une médium de Galverton nommée Ada Bruno, dont la main écrit pendant que son esprit est neutre et étrang
és sur les genoux de plusieurs personnes ; une canne fui arrachée des mains d’un des assistants; quelques personnes furent to
cts........... « Des communications ont souvent été écrites par des mains invisibles, la plume et le papier étant placés so
fuse, et ensuite chaque objet a été rétabli à sa place ou mis dans la main de son propriétaire. Des articles de toilette et
e de la tige d’un rosier situé dans la cour, et a été placée dans les mains d’un jeune homme faisant partie du cercle. Dans u
légante et gracieuse que si elle se le fût attaché elle-même. « Des mains s’annonçant comme étant celles de nos frères, sœu
rères, sœurs, pères , mères et autres parents décédés , ont saisi nos mains , les ont pressées et ont serré chaque doigt sépar
tions d’apparitions de formes tangibles. M. Benning a vu et senti une main d’esprit qui l’a saisi, l’a caressé et lui a fait
essé et lui a fait éprouver les mêmes sensations que si c’eût été une main corporelle ; il a distingué la main, les doigts
sensations que si c’eût été une main corporelle ; il a distingué la main , les doigts et les ongles. On palpe cette main da
; il a distingué la main, les doigts et les ongles. On palpe cette main dans tous les sens, et il n’y a pas de bras au bo
irrésistible. La preuve en est dans le cas rapporté par Stilling. La main fut maintenue inactive par la volonté de l’esprit
rûlure correspondant aux doigts. Les esprits ont prouvé aussi que ces mains sont des êtres objectifs, et que leur contact lai
rayon de mine de plomb. M. Gray a été saisi par le bras comme par une main garnie de mailles de fer qui l’a fait pirouetter
er qui l’a fait pirouetter au milieu de la chambre. Il atteste que la main en question est ferme et tangible comme celle d’u
objets du poids de cinq à liuit cents livres, sans qu’on voie aucune main servir d’instrument à ces mouvements. 11 en concl
, et, par exemple, mouler de la cire sans être obligés d’employer des mains corporelles. M. Partridge, un des rédacteurs du
novembre dernier), lin des assistants fut invité à placer une do ses mains sous la table pendant un temps très-court, ce qu’
s mains sous la table pendant un temps très-court, ce qu’il fit ; les mains de toutes les autres personnes demeurant posées s
la table fut violemment agitée, et les personnes furent touchées aux mains , aux genoux et aux pieds. M. Partridge fut invi
genoux et aux pieds. M. Partridge fut invité à mettre à son tour la main sous la table : tout se passa du reste comme la p
ble : tout se passa du reste comme la première fois. Il reçut dans la main une autre lettre. L’écriture en était tracée en c
. Une troisième personne fut désignée comme devant, aussi placer sa main sous la table, à l’instar des deux autres. Elle r
rieuse qui lui serra la main. Toutes les autres personnes avaient les mains appliquées sur la table. Cette lettre portait la
pas d’écriture, et il fut jeté sous la table. M. Partridge tendit la main , et il y reçut ce même papier sur lequel un nom é
se fit avec la plus grande rapidité. Une dame ayant aussi placé sa main sous la table, reçut une lettre qui était la cinq
peine avait-on cité ce fait, qu’une personne fut poussée à mettre sa main sous la table, et elle la retira te- nant une c
. M. Partridge et une autre personne ayant successivement mis leurs mains sous la table, sentirent chacun le contact d’une
ment mis leurs mains sous la table, sentirent chacun le contact d’une main froide. Le tapis de la table fut enlevé et jeté à
s de la table fut enlevé et jeté à terre, puis relevé et mis dans les mains des assistants. Des plumes, des crayons et des ca
ts. Des plumes, des crayons et des canifs furent aussi mis dans leurs mains par un agent invisible. Ensuite les manifestation
re de mal ; les tapis furent dispersés, et les spectateurs virent une main noire et hideuse s’élever de dessous la table. Un
n’y avait aucun enfant dans l’appartement. M. Partridge reçut dans la main une plume apportée par un invisible. Son gendre a
main une plume apportée par un invisible. Son gendre aperçut l’énorme main noire tirant la robe de la dame dont il a été que
irant la robe de la dame dont il a été question : il assure que cette main était entourée d’une auréole de lumière d’un roug
ère d’un rouge pâle. On vit un canif à deux lames s’enfoncer dans une main ; plusieurs personnes sentirent à la fois des piq
n’avez rêvé en effet qu’à moitié, dis-je à mon ami en lui serrant la main . Et je lui racontai ce qui m’était arrivé. Nous
nt seront trop empressés de marcher avec nous, car nous tenons en nos mains les destinées du monde à venir, le germe de ce qu
ées, ou annoncées par une douleur émanant, soit du pied gauche, d’une main ou même d’un doigt. A ma seconde visite, qui eu
pharmaceutiques et par le plus simple des procédés ; il imposait les mains sur la douleur, et la douleur fuyait; il touchait
Je le sais, j’en suis sûr, parce qu’on ne guérit pas en imposant les mains sur les parties souffrantes; vous avez été dupes
fut défendu par sentence de traiter les malades par l’imposition des mains . Son ancien colonel, lord Orrery, ne tint compt
La méthode de Greatrakes, d’après Astelins, consistait à appliquer la main sur la partie malade et à, faire des frictions lé
peu et la chassait par les extrémités. Quand, par l’application de sa main , il avait excité l’action de la nature, il se pro
c répandit qu’il guérissait des maladies par la simple imposition des mains . Il avait môme guéri, dit-on, une comtesse de Wol
fets par les mêmes moyens. Il guérit, comme eux, par l’imposition des mains , par des attouchements, par une vertu en quelque
ses domestiques souffrait cruellement d’un rhumatisme chronique : ses mains , ses poignets, ses genoux et toutes ses articula
cé sur un coussin, elles sc sont mises à mes côtés et ont passé leurs mains sur mon corps en faisant ainsi (et il a décrit le
soldats se mit en marche et trouva bientôt le chasseur, le fusil à la main , immobile et comme frappé de stupeur, les yeux fi
toute confiance. Les esprits placent une baguette de tambour dans la main d’un visiteur en frap- p.ant un grand coup. La
p.ant un grand coup. La personne reçoit la baguette et ne sent pas de main au bout ; elle tâte tout autour et ne trouve rien
e rien ; puis tout à coup la baguette lui est enlevée et mise dans la main d’un autre, qui cherche aussi et ne trouve rien h
les esprits ; une lumière plus intense neutralise leur pouvoir. Une main d’un aspect sinistre (l) se posta devant le ne/,
e l’harmonica à l’autre extrémité de la chambre, sous les solives. La main saisit le papier phosphorique et le promena à tra
par celui qui l’avait saisie. Le bruit s’arrêta tout à coup, et la main revint sous le nez du même expérimentateur. La mu
e expérimentateur. La musique alors recommença dans un autre coin. La main s’agita, joua de l’harmonica et répandit la même
ca et répandit la même lueur. La musique s’entendit sous la table, la main se démena aussi sous la table et frappa celui qui
pouvons en apprécier le mérite littéraire ou intellectuel. Enfin, la main disparut et l’on ne vit plus rien. Les personnes
sté à plusieurs séances disent que, quand tout est bien coordonné, la main se meut autour de la chambre et frappe amicalemen
donné, la main se meut autour de la chambre et frappe amicalement los mains des assistants. Plusieurs personnes sont tellemen
ieurs personnes sont tellement (i) On petit rapprocher ce fail delà main noire qui apparut à Cidovilie, d'apres M. de Mirv
supporter longtemps ces épreuves. On assure qu’un incrédule retint la main et chercha à pénétrer le secret : il ne trouva ri
, et personne depuis n’a renouvelé cette tentative. D’autres fois, la main s’évanouit comme un gaz quand on la serre trop fo
, j’allai voir un ingénieur dont les doigts médium et annulaire d’une main avaient été coupés par une machine. Le doigt du m
s portions détachées, quand je sentis sur mon épaule le contact d’une main invisible, et j’entendis une voix qui murmura dis
disparition des marbrures et de la couleur violacée des joues et des mains . Du à août au 3 septembre, il y a eu vingt-quat
chemar et d’éprouver des points de côté à gauche. Je lui appliquai la main droite sur le front, et de la main gauche, je fis
côté à gauche. Je lui appliquai la main droite sur le front, et de la main gauche, je fis des passes du côté droit, en lui d
et, après avoir un peu cherché, il en sortit tenant l'argent dans sa main et alla au creux de l’arbre où le sac avait été m
ont nous venons d’indiquer l’existence à nos lecteurs, tombe dans des mains dignes de l’apprécier, non pas seulement comme un
nce que les esprits revendiquèrent comme la leur, et bientôt après sa main et son bras prirent l’habitude d’écrire des commu
éveloppa comme médium écrivain. Quand ces communications ont lieu, la main est mue et dirigée par une intelligence indépenda
la personne influencée. » Un soir, il y a environ six semaines, sa main écrivit le nom de W illiam Mitchell,* qui était l
ifestations à la collusion, à des causes surnaturelles, il un tour de main , à la sympathie magnétique, suivant les circonsta
la forme des objets avec une extrême précision. Nous primes dans une main une quantité d’objets, tels que des pièces de mon
s prérogatives en apparence surhu- uiaines____Celui qui tient en sa main droite les clavicules de de Scbomoh, et dans la
un aussi magnifique programme, on se sent pris de vertige; sous notre main est l’arbre fatal du Paradis terrestre, dont l’an
sés, 481. Apparition d'esprits et de fantômes, 148, 570, 578 ; — de mains isolées, 582, 621. Apports d’objets par les esp
21 (1911) La pratique neurologique
Léri, Crouzon, Roussy, Moutier, cette séméiologie a été traitée de main d'ouvrier. Mais cela ne suffisait pas, il fallait
ut alors employer le procédé suivant. On promène devant ses yeux la main dont les doigts sont écartes, on cherche la dista
on se contente de rechercher si le malade voit passer l'ombre delà main devant son oeil, s'il distingue les lumières, s
et dirigés vers la fenêtre d'où vient le jour, sont couverts par les mains de l'observateur. 2G TROUBLES NERVEUX DE L'AP
l'observateur. 2G TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les yeux grands - ouverts du malade (fig. 25). Vi
cette épreuve, que les yeux du malade restent bien ouverts sons la main de l'observateur, que les paupières ne clignent p
a lumière du jour. il temps : 'l'observateur' enlève brusquement sa main et voit la pupille se contracter sous l'action de
lumineux qu'on envoie dans l'oeil. L'un des yeux est couvert par la main . ' , EXPLORATION DE LA MOTILITÉ INTRINSEQUE DU
Tandis que le ma- lade couvre l'un de ses yeux avec la paume de sa main , on fait arriver brusquement la lumière sur l'a
mineux i'8J'aide de la bougie. 1 ? temps : la malade couvre avec la main son oeil droit. Le medcjp examine l'oeil gauche.
à l'aide de la bougie. 2*' temps : le médecin enlève brusquement sa main qui fait écran, la bougie éclaire lad et la pupil
fixer son nez ou le milieu de son front. Puis, il promène ses deux mains en agitant ses doigts dans le champ visuel à dr
phérie vers la ligne médiane. Le malade ne voit ni les doigts ni la main du côté hemianopsique, il ne voit qu'au moment
gts ni la main du côté hemianopsique, il ne voit qu'au moment où la main atteint la ligne médiane. Même expérience peut
...- Le malade a de la difficulté pour saisir rapide- ment avec la main un objet fixé pai l'aeil paralysé. Si nous demand
t normal ; ces modifications semblent donc dues, en bonne partie au mains , à l'augmentation de pression du liquide céphal
ce qui se manifeste. Il signale à son entourage la maladresse d'une main , l'engourdissement d'un membre, les fourmilleme
e somnolence établie petit à petit, une maladresse croissante de la main , de la peine à marcher, de l'empalement de la p
un couvercle de métal, d'un objet en verre ou d'une claque dans les mains . tant recher- cher l'état de l'audition pour le
t chez les droitiers (pu n'ont pas eu le temps ¡]'("dlUll1('1' leur main gauche ou qui ne l'out pu, faute d'une culture
acé. Dans certains cas, la crampe affecte une forme paralytique. La main s'engourdit et reste inerte sur le papier. On o
pé, la parésie se décèlent par de la difficulté de l'écri- ture. La main tremble, hésite, les caractères sont incomplets,
certain nombre d'hémiplégiques droits, emploient, en écrivant de la main gauche, l'écriture en miroir, c'est-à-dire une éc
formes d'imprimerie. Cette écriture est l'écriture naturelle de la main gauche, c'est-à-dire que les mouvements qu'elle
observer Rognes de Fursac, elle n'est pas l'écriture normale de la main gauche, parce que bien peu d'hommes sains ou de
es organiques s'en avisent et songent spontanément à l'employer. La main gauche, copiant servilement la main droite, écr
t spontanément à l'employer. La main gauche, copiant servilement la main droite, écrit, le plus souvent comme elle de gauc
ée. L'écriture est déformée par des ondulations et des crochets; la main du paralytique général tremble eu effet et prés
s : Fermez les yeux. Ouvrez la bouche. Tirez la langue. Donnez la main gauche. Levez la main droite. Ferme ? les mains.
Ouvrez la bouche. Tirez la langue. Donnez la main gauche. Levez la main droite. Ferme ? les mains. Tou- chez votre nez.
la langue. Donnez la main gauche. Levez la main droite. Ferme ? les mains . Tou- chez votre nez. Montrez vos cheveux, etc.
plus compliqués : « Levez votre petit doigt gauche ». « Mettez la main gauche sur voire tête et louchez ensuite votre or
é. Faire compter de l'argent. /') Lecture des mots écrits dans la main (I\allwinl\el). On prend soin que le malade ne
c une pointe mousse (allumette. crayon) on écrit sur la paume de la main , lettre par lettre, le mot que le malade doit r
anée avec la [MOUTIER,] 14 L'APHASIE. plume ou le crayon, de la main droite si celle main n'est pas immo- bilisée pa
ER,] 14 L'APHASIE. plume ou le crayon, de la main droite si celle main n'est pas immo- bilisée par l'hémiplégie, sinon
si celle main n'est pas immo- bilisée par l'hémiplégie, sinon de la main gauche. Le malade écrit-il en miroir ? Lui fa
ter de l'argent. Lui donner un ordre qu'il devra exécuter le lende- main et s'assurer alors s'il a exécuté ou non cet ordr
ie. Celle I. Ces mouvements consistent en petites secousses dans la main ou le pied droit qui se produisent seulement lo
urs, semble-t-il, avec une hémi- plégie; et le malade se sert de la main gauche pour écrire. Il arrive ainsi, d'ailleurs
générales aient été suffi- samment élevées pour que la perte de la main droite n'ait pas été un malheur irréparable cl
ie l'acte à l'étude. mais il se trompe : il brosse, par exemple, sa main au lieu de brosser son babil; ou bien il exécute
fera exécuter au malade des mouvements divers ; simples : lever la main , fermer les yeux, étendre le bras, donner la ma
; ? s complexes : ouvrir têt oeil, donner tel doigt, se frotter les mains , faire un signe de croix, un pied de nez; très
l prendra une brosse et brossera, mais frottera une écorthure de la main au lieu de son habit; il prendra un porte-plume e
sculaire (et non plus intellectuel). Le malade qui pourra tendre la main , croiser les jambes, ne pourra plus monter un e
hiques bien connus, telle l'habitude de se laver inces- samment les mains qu'ont les obsédés atteints de délire du toucher,
soire, entre , [G. CUILLAIN.] 262 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. les mains duquel la caisse des dépôts et consignations, sur
de toutes les catégo- ries, et ces malades s'y livrent soit par la main , soit par un. frottement des cuisses; quelquefo
fin on observe des malformations des membres, de la syndactylic. La main des idiots, qui a été décrite par Bourneville,
tcr), les autres dermiques (corpuscules de Meissner. siégeant il la main , au pied. el surfont abondants au niveau de la pu
uise de la peau. Les régions calleuses (plante des pieds, paume des mains ) et les régions cicatricielles sont ordinaireme
; certains hémiplégiques par exemple loca- lisent à la paume de la main les excitations portant sur les doigts, ou a la
e constatent chez des individus normaux; il la face, à la paume de. mains , le sens du lieu est beaucoup plus délicat. ^8
ie; il multiplie ainsi le nombre des objets qu'on lui place dans la main : au lieu d'une allumette, il en sent plu- sieu
en fermant les yeux d'un malade, on lui place une allumette dans la main , il croit alors toucher un bâton. Ces phénomène
La face dorsale et antérieure des phalanges, de l'avant-bras, de la main , apprécient des différences de 1/20-1/10, alors
paralysé. On peut ainsi fléchir' tous les doigts sur la pamne de la main , puis compliquer les positions des doigts. On p
de l'expérience. L'observateur saisira le doigt du malade à pleine main fermée, ou encore entre le pouce et l'index placé
s est, facile à étudier : pour ce faire, on suspend au doigt, il la main , au bras du malade, un petit panier de" papier
s de plomb. On les place simultanément sur la paume ou le dos de la main , en demandant au ma- lade d'indiquer laquelle e
a façon suivante : le malade, ayant les yeux fermés, reçoit dans la main différents objets usuels tels que : couteau , c
a température. Troubles de la notion des attitudes au pied et il la main gauches; perte complète du sens stéréognostique i
- plète, elle n'intéresse que certaines régions des téguments, la main ou le pied; fruste, elle ne comprend que des
n souvent aussi qu'un hémiplégique n'a même pas l'idée de porter sa main saine sur le point où se fait la piqûre du côté p
postérieures du bord cubital du bras, de ! 'avant-bras et même de la main (8'' racine cervicale et 1 ? dorsale); elle peu
de la moelle, ou métamère, correspond à un segment de l'individu : main , avant-bras, bras, etc. Telle est la théorie de
lre cervicale. La bande anes- thésique occupe le bord cubital de la main , de l'avant-bras et du bras en s'avançant un pe
u membre. La paralysie motrice occupe tous les petits muscles de la main et les fléchisseurs de la main. Le fait pathogn
occupe tous les petits muscles de la main et les fléchisseurs de la main . Le fait pathognomonique de ce type de paralysie,
pe, l'anesthésie s'étend à tout le membre supérieur; elle occupe la main et l'avant-bras et s'arrête à un ou deux traver
s hystériques s'habillent, écrivent, prennent les objets avec leurs mains aneslhésiques, comme si cette anesthésie n'exis
restliésie. Hypoesthésie tactile, douloureuse et thermique des deux mains , avec phénomènes dysesthésiques très marqués. Tas
ques, habituellement nocturnes; ils occupent les doigts ou les deux mains le plus souvent, plus rarement les pieds ou la
eils, aux pieds. Ils peuvent, mais plus rarement, se présenter aux- mains , à la face; habituellement symétriques et bilatér
ses, sous l'influence du froid et siégeant soit aux pieds, soit aux mains , plus rarement au nez ou au lobule de l'oreille
e, le malade ressent tout à coup une très vive douleur, il porte la main à son visage, la douleur dure quelques secondes
ù le cubital vient au-devant du carpe pour atteindre la paume de la main . Dans la névralgie du médian existent des point
fileurs de crin végétal en Algérie. Ces sujets travaillent avec la main droite en supination, le bord cubital légèrement,
déployer une certaine vigueur dans l'attitude spéciale imposée à sa main droite. Sur 25 ouvriers, Molle a trouvé la douleu
rer son réflexe rotulien par les procédés suivants : on passera la main sous la cuisse du malade et, en l'appuyant sur
ut se servir pour percuter le tendon rotulien du bord cubital de la main ou des doigts réunis en crochet. Mais il est pr
paraisse pas après une percussion avec le bord cubi- tal de la main et qu'on le voie apparaître à la percussion au
procédé de Walbaum (une jambe est croisée sur l'autre, on place une main à demi-fermée, en exerçant une pression modérée
ermée, en exerçant une pression modérée sur le point à examiner. La main est placée de manière que le pulpe des doigts r
eur de la rotule. On donne alors un choc bref et léger avec l'autre main fermée sur le dos de la main fixée sur le genou
ors un choc bref et léger avec l'autre main fermée sur le dos de la main fixée sur le genou. De cette manière, la rotule e
bas et le ligament rotulien se trouve tiraillé. On perçoit avec la main fixe la plus faible réaction du triceps). 4° Co
n est la manoeuvre de .luiclrassik : on dit au malade d'opposer ses mains en crochet et d'opérer une traction de l'une sur
manoeuvre de Muskens consiste également dans une traction d'une des mains l'une sur l'autre. mais la traction se fait au
rotulien sur un malade couché : on soulève la cuisse en passant la main sous elle, ou bien on place la jambe en demi-fl
quée avec plus de force. La per- cussion avec le bord cubital de la main est presque toujours insuffisante, tout au plus
er, on peut, comme l'a montré Erb, disposer circulairement les deux mains autour de la partie inférieure de la cuisse, le
rcutera successivement chacun des groupes musculaires. Clonus de la main . Bouchard (1866) a montré qu'en relié- vant la
Clonus de la main. Bouchard (1866) a montré qu'en relié- vant la main de certains hémiplégiques., on pou- vait obte
e certains hémiplégiques., on pou- vait obtenir un clonus de la main analogue à celui du pied. Il est nécessaire d
nécessaire de pratiquer une extension brusque 1 et forcée de la main sur le poignet et de mainte- nir ensuite cett
s ce cas il y a déjà eu début d'atrophie par les petits muscles des mains , gêne dans les mouve- ments des doigts et tremb
peut provoquer celle même contraction en serrant violemment avec la main les masses musculaires de la face interne de la c
ué de la façon suivante : on saisit entre l'index et le pouce d'une main le gland, soit immédiatement, soit à travers le
on le laisse échapper brusquement. Si l'on place l'index de l'autre main sur la portion bulbaire de l'urètre en arrière
les membres est beaucoup plus prononcée dans les segments distaux ( main , poignet), que dans les segments proximaux (épa
tation se tra- duit par le geste de ramener ses draps, de passer la main sur sa figure ou sur sa barbe, etc... ; si alor
soit la douleur qu'ils ressentent, jamais on ne les voit porter la main sur le point qui est le siège du pincement; si, a
rrespondant du cote sain, on voit le malade porter immédiatement sa main valide sur ce point et s'efforcer d'éloigner le
quelquefois cepen- dant elle se localise sur les petits muscles des mains ; elle peut être pré- coce (dès les premières s
contraire respecter celui-ci. L'aspect spécial connu sous le nom de main succulente, qui s'observe parfois chez les gran
nski) ne s'observe que dans l'hémi- plégie organique : si on met la main passivetuent en supination, elle se remet, en p
ntracture y prend, lorsqu'elle existe, un aspect spécial (pied bot, main bote); le pied est alors, le plus souvent, varus
ot, main bote); le pied est alors, le plus souvent, varus équin, la main est en flexion exagérée dans l'articulation du
commande au malade un mouvement du coté sain. Quelquefois, c'est la main hémiplégique qui reproduira les mouvements exécut
la main hémiplégique qui reproduira les mouvements exécutés par la main saine : il s'agit alors d'un mouvement associé sy
malade ébauchera un mou- vement qui est exécuté complètement par la main du côté sain, dans ce cas le mouvement associé
é par la face du côté hémiplégique pendant le mouvement fait par la main du côté sain. Tous ces mouvements se rencontren
qui faisait des efforts pour parler : on voyait chez leur malade la main ou le pied droits animés de mouvements involontai
t dans ce mouvement, on s'oppose à la flexion par la pression de la main sur la face antérieure de la cuisse. On voit al
l'aidant si c'est néces- saire, et on cherche, en appliquant les mains sur ses cuisses, à empê- cher toute flexion des
e l'atrophie. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains ; les doigts sont un peu fléchis. L'évolution de
nit par exister une contracture très marquée, prononcée surtout aux mains . Celles-ci présentent égale- ment de l'atrophie
de cylllul-scoliose, de thorax en bateau, de panaris analgésique, de main en pince de homard dans la pachyméningite de Ch
e, thcrmo-anesthesie et analgésie, atrophie de la musculature de la main , troubles trophiques des doigts. La main présente
ie de la musculature de la main, troubles trophiques des doigts. La main présente des types divers : atrophiée, elle cor
résente des types divers : atrophiée, elle correspond au type de la main de singe ou de cadavre; atteinte de troubles tr
de singe ou de cadavre; atteinte de troubles trophiques, c'csl. la main de Jlorvan avec ses panaris analgésiques; gonfl
ses panaris analgésiques; gonflée, sans oedème du reste, une telle main est « succu- lente » (Pierre Marie et Marinesco
derniers il s'abaisser, se font vis-à-vis comme une pince, et celle main en « pince de homard » ne se voit absolument qu
he spasnm- dique. Mais, si la contracture des bras et la griffe des mains sonthabi- tuelles dans les compressions cervica
ER.] 508 PARAPLÉGIE. ? chaise. Il avançait ainsi sans toucher des mains aux barreaux, progres- sant uniquement par des
culièrement gênante. Dans ce cas, il y a impossibilité de porter la main a la bouche, de la mettre dans la poche du pant
en dehors. Il a un rôle dans l'acte de l'écriture en conduisant la main le long de la ligne écrite ; aussi l'écriture e
né. , Physiologie. L'action du biceps est différente suivant que la main est en supination ou en pronation. Dans le prem
bras. Dans le second cas, la contraction du muscle amène d'abord la main en supination, puis il ffechit l'avant-bras sur l
- tains actes, comme' celui de frapper un coup violent alors que la main contient un corps lourd, connue par exemple un
médian. Physiologie. Le rond pronateur est d'abord pronateur de la main et secondairement fléchisseur de l'avant-bras s
ion. Nerf médian. Physiologie. Son rôle principal est de fléchir la main sur l'avant- bras. Il peut aussi, mais dans une
'avant- bras. Il peut aussi, mais dans une faible mesure, mettre la main en pro- nation, en abduction et fléchir l'avant
Innervation. Nerf médian. Physiologie. Le petit palmaire fléchit la main directement sur l'avant-bras; il peut secondair
ation. Nerf cubital. " Physiologie. Le cubital antérieur fléchit la main . Duchenne a insisté sur ce fait qu'au maximum d
t qu'au maximum de sa contraction il entraine le bord interne de la main avec une telle force que sa face palmaire semble
érieur est considéré, par beaucoup d'auteurs, comme adducteur de la main . Duchenne n'admet pas cette action qui, d'après
léchisseur-adducteur, les mouve- ments d'inclinaison latérale de la main atteignant leur minimum d'am- plitude quand cel
ubital anté- rieur, n'entraîne pas de trouble dans l'attitude de la main , elle abolit la flexion de la main sur l'avant-
de trouble dans l'attitude de la main, elle abolit la flexion de la main sur l'avant-bras et diminue secondairement la pui
es muscles fléchisseurs sont paralysés, les différents usages de la main sont abolis, la plus légère pression exercée sur
des deux dernières phalanges amène leur renversement en arrière. La main se déforme, car les interosseux étendent les deux
UItIIL. soi [G. GUILLAIN ] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. ainsi la main en pronation. Le rôle pronateur de ce muscle a ét
hit l'avant-bras sur le bras, et le met en demi-pronation. Quand la main est en pronation forcée le muscle en se contrac
pien sur le carpe et le carpe sur l'avant-bras, de plus il incline la main vers le bord radial de l'avant-bras. Il est ext
le bord radial de l'avant-bras. Il est extenseur et adducteur de la main . La paralysie de ce muscle amène une déviation pe
ain. La paralysie de ce muscle amène une déviation permanente de la main vers le bord cubital. Deuxième radial externe.
l externe, de même que le premier, est un extenseur abducteur de la main . Pour Duchenne de Boulogne, il est un muscle exte
euxième radial externe est seul paralysé, l'extension directe de la main est encore possible grâce à la contraction simult
alanges sur les premières, les premières sur les métacarpiens et la main sur l'avant-bras. Le muscle agit peu sur les deux
gie. Le cubital postérieur es) un extenseur et un adduc- teur de la main ; c'est le seul adducteur d'après Duchenne. Quand
rnes sont paralysés et que le cubital posté- rieur est respecté, la main ne peut s'étendre sans se porter en mine temps
tacarpien. Quand il est au maximum de sa contraction, il fléchit la main et l'incline en dehors. Ce muscle n'intervient
nsion du pouce et entraîne la chute de ce doigt dans la paume de la main , la paralysie du long abducteur et du long exte
ère cette attitude qui rend impossibles la plupart des usages de la main . Long extenseur du pouce. Insertions. Le long e
ntérieure regarde directement en avant ; telle est l'attitude de la main dite de singe. Extenseur propre de l'index. Ins
tacarpien, il rapproche aussi ce doigt du médius. - MUSCLES DE LA MAIN Région palmaire externe. Muscles de l'éminenc
s, la face palmaire du pouce regarde directement en avant, c'est la main dite de singe. La perte de l'opposi- tion du po
du poucc rend impossibles les mouvements les plus importants de la main . Le court abducteur du pouce est plus utile en ta
cubital quand on serre, le poing ferme, fortement un objet dans la main (1[I'nlc), Le palmaire cutané est un muscle rud
ne du corps (adduction) ; si l'on rapporte son action à l'axe de la main il peut être considéré comme abducteur. Ce muscle
ns, s'insèrent sur la face du métacar- pien qui regarde l'axe de la main , dans toute la hauteur de cette face, mais sur
occupent toute l'étendue de la face qui ne regarde pas l'axe de la main et la moitié seu- lement de la face qui regarde
la main et la moitié seu- lement de la face qui regarde l'axe de la main , cette face ayant déjà donné insertion, dans sa
té. Les interosseux palmaires rapprochent les doigts de l'axe de la main passant par le médius, ils sont adducteurs : le
cteurs : les interosseux dorsaux écartent les doigts de l'axe de la main , ils sont abducteurs. Les mouvements d'abductio
remière phalange et l'extension des deux dernières sont abolies, la main ne peut serrer que faiblement les objets. Si l'on
par un rameau du nerf plantaire interne (homologue du médian à la main ), le faisceau externe est innervé soit par un ram
soit par un rameau du plantaire externe (homologue du cubital à la main ). Physiologie. - Le court fléchisseur fléchit l
cteur du gros orteil, muscle homologue de l'adducteur du pouce à la main est constitué par deux faisceaux distincts 2l l
septième l'animal fait le geste de se redresser en se servant de la main ; par l'excitation de la huitième, il se gratte )e
R : DICULr'IRL.. exemple les interosseux dorsaux et palmaires de la main qui reçoivent leurs nerfs de la première racine
on et en rotation interne, Lavant-bras est étendu sur le hras et la main est dans l'attitude de la pronation avec flexion
s de l'articulation radiocarpiennc, la flexion et l'extension de la main . Le biceps, muscle supinateur fléchisseur, étan
la vie, est abolie. Aussi impossibilité pour le malade de porter la main à la bouche, de l'amener vers la région dorsale,
n- tualité l'écriture n'est possible que si le sujet à l'aide de sa main gauche déplace, sa main droite au sur et à mesu
est possible que si le sujet à l'aide de sa main gauche déplace, sa main droite au sur et à mesure que celle-ci trace de n
ie dans le territoire du nerf médian et du nerf cubital. C'est à la main que se constate le maximum des troubles. Les mu
interosseux sont paralysés. Paralysés aussi les fléchisseurs de la main . La paralysie des lombricaux et des interosseux
ments du petit doigt, il ne peut plus être rapproché de l'axe de la main ni en être écarté, il ne peut plus être fléchi. S
Sans insister sur la paralysie de chaque muscle, on comprend que la main de- vient impropre à tout usage; le malade est
ieure est d'un pronostic grave, si elle ne s'améliore pas, alors la main prend le type qu'on observe dans les paralysies
u moins normale, aussi les altitudes observées tant au niveau de la main que du poignet ne peuvent-elles être schématisé
ysie radiculaire inférieure se mollirent il la moitié interne de la main , de l'avant-hras, il la face interne du bras ju
sque, le long du corps, en pronation forcée souvent, la paume de la main regardant, en arrière et en dehors. Tous les mouv
tendus à presque tout le membre supérieur. L'anesthésic existe à ta main , il l'avant-bras. Dans la plupart des cas, elle
YSIES RADICULAIRES, 617 deltoïdicnnc, jusque vers le coude, vers la main . Les irradiations se montrent parfois dans la z
l est des malades qui accusent encore des four- millements dans les mains , dans les bras, mais il faut alors faire la part
iculaire inférieur, De Peters insiste sur une altitude spéciale des mains , qui serait fre- 11O : \OPLÉGlE BIL\CIIL\LE. U2
nze cas. L'avant-bras est en forte pronation, de sorte le dos de la main regarde en dedans et la paume de la main est to
ion, de sorte le dos de la main regarde en dedans et la paume de la main est tournée en dehors ; le poi- gnet est fléchi
oi- gnet est fléchi et en abduction vers le cubitus; l'attitude des mains , sur- tout quand les deux extrémités sont attei
radial se présente, en géné- ral, l'avant-bras à moitié fléchi, la main en pronation et en demi-flexion. ET DES NERFS S
es malades toutefois écrivent en petits caractères. L'extension de la main sur l'avant-bras est impossible, les mouvements
sur l'avant-bras est impossible, les mouvements de latéralité de la main ne peuvent, plus se faire (paralysie du cubital
érieur et du premier radial externe). La flexion des doigls vers la main se fait avec moins de force que du côté sain, c
upinateur a pour conséquence l'impossibilité de la supination de la main alors que l'avant-bras est dans l'extension sur
le bras; il faut se souvenir que le biceps est un supinateur de la main en même temps qu'un fléchisseur de l'avant-bras s
e bras. La paralysie du long supinateur est facile à constater : la main reposant sur le hord cubital on prie le malade
de l'annulaire, puis il la partie interne de la face dorsale de la main , il la face dorsale de l'annulaire et de la premi
e complète du médian a des conséquences sérieuses. La flexion de la main sur l'avant-bras est presque' nulle, seul le cubi
à la'paralysie du nerf médian on observe une grille spéciale de la main , la griffe médiane : la région de l'éminence thén
iane : la région de l'éminence thénar est atrophiée, la paume de la main aplatie, le pouce'est sur le même plan que les
e de distribution cutanée du nerf (partie externe de la paume de la main , face palmaire des trois premiers doigts et moi
a ces libres moyennes que l'expérimentation a démontré, oui Ire les mains de Cliauveau, de Vulpian, de Grabower et de Hl'
pas besoin d'être intense et un léger coup porté en jouant par une main d'enfant a pu avoir ce résultat (BI'ollal'del).
bre se trouvent frappés : en prenant ce segment de membre il pleine main ou en l'embrassant entre les deux mains et en f
segment de membre il pleine main ou en l'embrassant entre les deux mains et en faisant alternativement contracter et relâc
sa profession : c'est ainsi que l'atrophie des petits muscles de la main , qui entrent en jeu dans des exercices de délicat
s hôpi- taux pour mesurer la puissance des muscles fléchisseurs des mains . Pour que ces mesures aient une valeur réclle,
rs, aux membres supérieurs dans une partie des petits muscles de la main et, plus tard, dans le triceps et le long supinat
, Mme Sacara (1 a toujours constate une hypersécrétion sudorale des mains et des pieds; l'un d'eux en marchant pieds nus
les extenseurs des doigts, les radiaux. Les petits muscles de la main ne sont pas toujours indemnes. En tout cas les
ils sont ainsi « à quatre pattes » ; ils grimpent alors avec leurs mains le long de leurs jambes, puis le long de leurs
urs cuisses et de leurs lombes, maintenant alternative- ment chaque main solidement appuyée pendant que l'autre monte plus
scles extenseurs et fléchisseurs de l'avant-bras et les muscles des mains restent aussi inal- térés pendant un temps très
et des bras est très prononcée, le malade ne peut plus utiliser ses mains restées relativement ou entièrement indemnes
et des jambes. Exceptionnellement le début peut se faire par les mains (Iloffmanti (2), ller-. ringham (3), Sainton) (
eu touchés. Aux membres supérieurs, l'atrophie frappe d'abord les mains , soit les éminences thénar et hypothénar, soit
r et hypothénar, soit les muscles interosseux; elle s'étend de la main aux avant-bras en frappant d'abord les fléchiss
grilles; atrophie des cuisses en jarretière, atrophie modérée des mains . 694 ATROPHIES MUSCULAIRES. L'atrophie est fa
s, à petits pas, comme s'ils n'osaient soulever le pied du sol, les mains s'écartent du corps et forment un balancier. Il e
tidienne- ment de longues promenades à bicyclette. L'atrophie des mains ne diffère pas del'amyotrophiediteÀran-Duchenne :
es. Les troubles dans l'exécution de certains petits mouvements des mains sont souvent le signe révélateur de l'affection,
leurs violentes, plus souvent des crampes dans les jambes, dans les mains , dans les cuisses. Les troubles de la sensibilité
- noncée, parfois dissociée, localisée aux pieds, aux jambes ou aux mains . Cette rareté des troubles sensitifs mérite d'ê
e envahit aussi les jambes et les pieds, puis les avant-bras et les mains . Les muscles de la face ne sont pas intéressés;
s (pied bot vai'us équin, souvent pied de Fnedreich), puis 'par les mains et les avant-bras (type Aran-Duchenne) ; la pro
de Pierre Marie). Atrophie des jambes et des pieds, atrophie des mains , cypho- scoliose. Chez ce malade on voyait le
sation se fait presque toujours au début sur les petits muscles des mains , et c'est surtout par une gêne fonctionnelle dans
r; sa saillie fait place à une dépression sur le bord externe de la main , et le pouce se rapproche de l'index. Puis tous
t, le pouce se met sur le même plan que les autres doigts et la main devient plate ; c'est la main de singe. Un pe
plan que les autres doigts et la main devient plate ; c'est la main de singe. Un peu après, quel- quefois en même
es restent en extension et parfois en hyperextension : c'est la main en griffe, dite main de Duchenne-Aran bien qu'ell
sion et parfois en hyperextension : c'est la main en griffe, dite main de Duchenne-Aran bien qu'elle ne soit nul- leme
ine entre le cubitus et le radius ; les doigts se redressent, et la main pend, flasque et ballante, capable des mouvements
es plus exagérés, mais incapable d'aucun mouvement actif : c'est la main de squelette, la main de cadavre. L'atrophie
incapable d'aucun mouvement actif : c'est la main de squelette, la main de cadavre. L'atrophie gagne les bras et, plus
III.11-l'E. Soc. neurol., 6 novembre 1902. [A. LÉRI.l Fig. 12. A, main dite « de Ducheiine-Arun »; B, main que Duchenn
1902. [A. LÉRI.l Fig. 12. A, main dite « de Ducheiine-Arun »; B, main que Duchenne considérait comme caractéristique
de son atrophie musculaire progressive et qui est sans doute une main de syringumyctique. 700 ATROPHIES MUSCULAIRES.
le « palmo-spasme », autre phénomène rare, sorte d'agitation de la main qui se produit quand on interrompt un courant far
I. 702 ATROPHIES MUSCULAIRES. opposé, mais dans ce cas la seconde main ne tarde pas à être prise à son tour. La mort
de contractions fibrillaires ; son évolution est très variable; la main est fréquemment une « main de prédicateur ».
es ; son évolution est très variable; la main est fréquemment une « main de prédicateur ». Dans la sclérose en plaques
nt à la fois les membres supérieurs et les membres inférieurs; à la main elle prédomine sur les interosseux, au membre inf
compagne pas toujours du syndrome Aran- Duchenne ; la forme de la main est souvent celle de la « main de prédi- cate
me Aran- Duchenne ; la forme de la main est souvent celle de la « main de prédi- cateur » avec hyperextension du poi-
rédi- cateur » avec hyperextension du poi- gnet, ou celle de la « main en pince » (Marie et Guillain) avec contracture
ain) avec contracture surtout des trois derniers doigts. Quand la main est celle d'Aran-Duchenne, la syringomyélie se di
des cellules radi- culaires de la moelle. Elle frappe surtout les mains , mais-ne produit pas toujours l'aspect de la ma
pe surtout les mains, mais-ne produit pas toujours l'aspect de la main d'Aràn-Duchenne. Elle se distin- gue par les ci
évolué comme une atrophie musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains ,du type Aran-Duchenne. Atrophie des membres i
t une atrophie musculaire presque généralisée, ayant débuté par les mains comme une atrophie Ai'im- Duchenne et s'étant p
eints elle débute le plus souventpar l'extrémité (pied bot équin, main de singe), rarement par la racine (type scapulo
atteints sont ceux du domaine du cubital, les petits muscles de la main surtout, éminences thénar et hypothénar et inte
es deux formes précédentes : paralysie atrophique des muscles de la main , de l'avant-bras, du bras et de l'épaule, anest
la main, de l'avant-bras, du bras et de l'épaule, anesthésie de la main , de l'avant-bras et généralement du bras, à l'e
xystiques. La douleur s'étend bientôt aux doigts voisins, puis à la main , à l'avant-bras, au bras. Le doigt lésé s'atrop
'lile, sa peau devient mince, lissé, luisante, violacée, froide; la main tout entière à son tour subit les mêmes modificat
ut entière à son tour subit les mêmes modifications. Puis, après la main , l'atrophie musculaire gagne souvent l'avant-bras
oubles objectifs de la sensibilité qu'une hyperesthésie cutanée des mains et une hyperesthésie à la pression des troncs ner
les du mollet et ceux de la cuisse sont moins pris; les muscles des mains , des avant-bras des bras, du dos et de l'abdome
mbes, des doigts, de la bouche, puis des cuisses, de l'abdomen, des mains et des avant-bras; la paralysie et l'atro- phie
les cuisses ; auparavant elle envahit généralement les muscles des mains (main de singe, griffe totale ou cubitale), parfo
isses ; auparavant elle envahit généralement les muscles des mains ( main de singe, griffe totale ou cubitale), parfois des
rieurs : pieds, extenseurs de la jambe; puis mem- bres supérieurs : mains , avant-bras; évolution lente. 2. Type Werdnig-H
es réflexes tendineux; début par extrémité des membres supérieurs : mains ; évolution : membres supérieurs : mains, avant-
é des membres supérieurs : mains ; évolution : membres supérieurs : mains , avant- bras, épaules, bras, thorax, tronc; dia
e ? ) : douleurs névralgiques, exagération des ré- flexes ; souvent mains de prédicateur. Sclérose en plaques : Amyotroph
trophiques (panaris , anesthésiques, etc.), cypho-scoliose; parfois mains de prédica- teur ou mains en pince; évolution l
thésiques, etc.), cypho-scoliose; parfois mains de prédica- teur ou mains en pince; évolution lente (10-40 ans). Lèpre ne
thésie, épaississement des troncs nerveux, nodules lépreux; souvent main différente. Méningo-myélite syphilitique : lymp
rence avec un muscle normal s'accuse plus encore, à l'oeil et à la main , à l'état de contraction; quand le muscle se co
sentent des modifications très spéciales. Si l'observateur place sa main à une soixantaine de cen- timètres au-dessus du
pied et en avant du genou du sujet et lui ordonne de toucher cette main avec son pied, le malade regarde son pied, larde
ement sans avoir atteint son but; si par hasard le pied à touché la main ou l'avant-bras de 1 observa- teur, il l'a viol
in- tenir un de ses pieds en l'air contre un objet donné, contre la main de l'observateur par exemple, ce qu'il est inca
s doigts ou dans la préhension des objets. Pour saisir un objet, la main de l'ataxique, brusquement jetée à quelques cen
t pas, comme dans la sclérose en plaques, au sur et à mesure que la main approche du but. Les verres et les plats sont s
approche du but. Les verres et les plats sont souvent lâchés par la main 1 qui s'ouvre à contre-temps. Quand le malade v
ée à l'extrémité des membres et en particulier du membre supérieur, main et doigts. Elle consiste en une série de saccades
cas d'un enfant qui ne pouvait rester assis qu'appuyé sur ses deux mains largement écartées du corps; dans cette situation
é- sentait de légères oscillations du tronc; quand il soulevait ses mains , les oscillations s'accentuaient, il titubait e
aladresse, avec ou sans oscillations et tremblement des bras et des mains . L'écriture est souvent irrégulière et tremblée.
placé en avant attire le tronc à lui en prenant le malade par les mains , soit que le malade lui-même puisse saisir av
par les mains, soit que le malade lui-même puisse saisir avec les mains des meu- bles environnants et avancer pour ai
étant assis, on lui ordonne de toucher avec le bout de son pied la main que l'observateur étend à 60 centimètres environ
puis, il étendra brusquement la jambe et viendra frapper du pied la main de l'observateur; mais le choc ne sera pas assez
e l'observateur; mais le choc ne sera pas assez violent pour que la main saute en l'air ; s'il s'était agi d'un tabétique
nts désordonnés aurait peut-être rencontré, presque, par hasard, la main qu'on lui avait fixée comme but à atteindre et
te du pied. Le sujet étant debout, on le prie de s'appuyer des deux mains au dossier d'une chaise et de poser un genou su
uter les mouvements alternatifs de pronation et de supination de la main : il a constaté que les cérébelleux exécutent bea
s et les jambes étendues; b) malade assis : toucher avec le pied la main de l'observateur; c) malade debout : poser le g
inësie : mouvements alternatifs de pronation et de supination de la main . a)" la recherche des mouvements démesurés : po
écrire, de boutonner un vêtement. Pour la préhension des objets, la main « plane » comme dans le tabès au début, elle dé
ée ou ébau- chée, mais jamais le syndrome typique de Babinski. La main « plane » pour la préhension des objets, les memb
présentent des déviations sans rapport avec le but il atteindre; la main s'agite sur les objets : '1 saisir et se précip
au quel- conque du tibia, arrêts en divers points de la paumc de la main du médecin. Fléchir une jambe, l'élever de fa
culations à boules; ces ^cercles peuvent aussi être présentés il la main . L'exercice consiste à passer un pied dans le cer
alades se livrent entre eux à une sorte de lutte en cherchant d'une main à se déplacer mutuellement, etc. Comme appareil
ploient un appareil comprenant, des barres parallèles à hauteur des mains et, à terre, des cavités mar- quant la place de
en dedans des articulations correspon- dantes. La rééducation de la main et des doigts peut aussi se faire sans appareil
e innervation préparatoire; on le varie encore en faisant mettre la main du malade derrière la tête de façon qu'il ne puis
un support, permet des exercices simultanés et très variés des deux mains . Une planchette portant des séries de chevilles
nce des masticateurs en soulevant et maintenant son menton avec ses mains saines. SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. 801 pharynx et
ets jeunes il antécédents spécifiques, pourraient, sinon guérir, du mains être sensibtemeutamého- rées par le traitement
de soutenir le moindre objet, inca- pable même d'assujettir de ses mains sa tète vacillante, les yeux mi-clos, il semble
contraction. Les membres sont étendus ou dans une demi-flexion, les mains fermées, le pouce replié dans la paume de la ma
emi-flexion, les mains fermées, le pouce replié dans la paume de la main ou sur les doigts fermés et chaque membre est d
langue est mordue profondément. Les membres raides sont tendus, les mains fermées, le pouce replié dans la paume de. la m
ont tendus, les mains fermées, le pouce replié dans la paume de. la main ou sur les doigts fermés. La poitrine immobile
iers, de petite amplitude, illogiques et caractérisés au niveau des mains et des doigts par des mouvements successifs d'ext
l'épaule par exemple, et se transmet au hras, à l'avant-bras, à la main et aux doigts. Ce caractère du tremblement s'op
de l'avant-bras sur le bras, de pro- nation et de supination de la main sur lavant-bras; la main présentai ! un tremble
ras, de pro- nation et de supination de la main sur lavant-bras; la main présentai ! un tremblement analogue caractérisé
tout pendant l'effort volontaire qu'il apparaît : on l'apprécie aux mains dans l'attitude du serment, aux doigts dans la
le plus souvent au pied, quelquefois à la rotule, quelquefois à la main . Ce clonus est un véritable tremblement, il appar
es, de la langue, dans tout le corps, sauf à la tête. Au niveau des mains , ce sont de petits mouvements du pouce et de l'
te tréinulation lorsque le malade est debout : en appuyant les deux mains sur ses épaules on per- çoit facilement les osc
scillations sont produites par des mouvements de transmission il la main et ce tremblement est assez analogue il celui du
apide, nul au repos complet, très net quand les sujets étendent les mains , il per- siste sans s'exagérer dans les mouveme
es mouvements volontaires, il peut prédominer et. rester limité aux mains , mais il peut également s'étendre aux membres inf
saire pour le faire apparaître de commander au malade d'étendre les mains dans l'attitude du serment, ce tremblement ress
on voit que le malade a la plus grande difficulté pour approcher la main du verre, pour le saisir. puis l'ayant saisi, i
alors des contractions isolées, des muscles de l'avant-bras ou des mains qui provoquent quelques mala- dresses : l'enfan
maladie se révèle par une marche inhabile ou par la maladresse des mains . Quand il est brusque, la paralysie est d'emblé
en général par les extrémités supérieures, par les doigts, par les mains ; qui se généralisent ensuite il un côté du corp
nnelle; aux doigts l'extension semble prédominer sur la flexion, la main est largement ouverte, la paume saillante en av
e peuvent en effet être simulés par les mouvements athétosiques des mains , de la bouche, de la langue, mais le nystagmus
ras étendus en croix, supportés dans le relâchement complet par les mains de l'observateur ; celui- ci retire brusquement
t par les mains de l'observateur ; celui- ci retire brusquement ses mains : à l'état normal, les bras tombent immédiatement
tion des élévateurs ou brusquée par participation des abaisseurs, les mains n'arrivent pas jusqu'aux cuisses ou y restent a
: application d'un doigt sur le menton ou sur la joue, paume de la main sur le front, etc. ; parfois pro- cédés correct
début par quelque sensation anormale, démangeaison, etc. Tics des mains et des doigts : les vrais tics convulsifs sont ra
malade peut résister un certain temps; il s'applique à maîtriser sa main , modifie son attitude, tâche d'employer d'autres
odifie son attitude, tâche d'employer d'autres muscles, contient sa main droite avec la gauche : il écrit ainsi quelques m
cer à écrire. La crampe se suspend alors immédiatement, et la mente main peut s'occuper à toutes sortes d'autres actes f
ses, mais la douleur cesse avec la contraction. Les muscles de la main ne prennent pas toujours seuls part aux pi ? no
erpigineux, est beaucoup plus rare. Dans la forme paralytique, la main est rapidement ou lentement immo- bilisée, « co
ux,j.cs d'idée. ." Certains malades, ayant appris il écrire de la main gauche, ont vu l'affection envahir cette main a
ppris il écrire de la main gauche, ont vu l'affection envahir cette main après l'autre. Chez tous ces malades, on ne, co
ovccC) a vu deux sujets qui, atteints de crampe des écrivains de la main droite, s'étaient habitués à écrire de la main ga
des écrivains de la main droite, s'étaient habitués à écrire de la main gauche ; or, chaque l'ois qu'ils écrivaient de
écrire de la main gauche ; or, chaque l'ois qu'ils écrivaient de la main gauche, des mouvements convulsifs associés se p
gauche, des mouvements convulsifs associés se produisaient dans la main droite, tout à fait ana- logues à ceux de la cr
t renonce à écrire, ou reparaissent dans des actes fonctionnels des mains et des doigts autres que l'écriture. La volonté
paralytique, spasmodique ou doulou- reuse; elle siège surtout à la main gauche qui pince les cordes, -parfois il la mai
siège surtout à la main gauche qui pince les cordes, -parfois il la main droite qui tient l'archet. La crampe des télégr
avait aussi recommandé les exercices d'écriture simultanée des deux mains pour faciliter la rééducation de la main droite;
iture simultanée des deux mains pour faciliter la rééducation de la main droite; la main gauche écrira normalement « en
des deux mains pour faciliter la rééducation de la main droite; la main gauche écrira normalement « en miroir », de droit
services. Il est d'ordinaire plus facile d'apprendre à écrire de la main gauche que de rééduquer sa main droite; mais la
s facile d'apprendre à écrire de la main gauche que de rééduquer sa main droite; mais la crampe peut atteindre la main g
e que de rééduquer sa main droite; mais la crampe peut atteindre la main gauche après la droite. La pratique de la machi
nie des membres supé- rieurs est surtout évidente au niveau de la main : les doigts peuvent se placer en hyperextensio
de la main : les doigts peuvent se placer en hyperextension sur la, main ct former, avec elle, un angle ouvert en arri
sur la, main ct former, avec elle, un angle ouvert en arrière, la main peut être renversée alors complètement sur la f
t de l'hémiatrophie faciale, de l'hypertrophie portant soit sur les mains (cheiromégalie), soit sur la face et les membres
s altérations des phanères. Si nous prenons un segment du corps, la main par exemple, nous rencontrerons dans la seule s
soit que l'atrophie, musculaire simple réalise la déformation dite main de singe ou main de cadavre, soit que l'atrophi
hie, musculaire simple réalise la déformation dite main de singe ou main de cadavre, soit que l'atrophie musculaire, la
ndineuses asso- ciées déterminent les aspects connus sous le nom de main de prédicateur cI de main en pince de homard, o
rminent les aspects connus sous le nom de main de prédicateur cI de main en pince de homard, ou simulent la maladie de Dup
soil enfin que la destruction des doigts par des panaris donne à la main une similitude remarquable avec le type observé
nts ne réalisent ces syndromes particuliers connus sous les noms de main succulente, de sclérodactylie, Ic ulciromoalie.
s-nous dit; elle ne dépasse guère en tout cas la face dorsale de la main ou du pied. On l'observe tout particulièrement
g et à la gêne de la circulation dans les tissus. Ainsi se forme la main succulente des syringomyéliques. C'est une main
. Ainsi se forme la main succulente des syringomyéliques. C'est une main potelée, cyanosée, froide, lisse et sèche, très d
de godet. Un trouble analogue peut s'observer au niveau du pied. La main succulente n'est point d'ailleurs l'apanage exc
lques heures. Il atteint de préférence les parties découvertes, les mains , le cou, la face, et sur celle-ci les joues, -
r, l'envahissement adipeux respecte absolument la face, le cou, les mains et les pieds; d'où un contraste frappant entre
servent en toute région ; on en a signalé de typiques au pied, à la main , au sacrum, dans la bouche, et la rhinelkose de
et, dans [F. MOUTIER ] . Fig, 8. 1 Fig. 0. UCrOl'lI1al1on des mains dans la lèpre aneslliesique (il après Lesage et I
t Ihlcl'ce1m), 926 1 TROUBLES TROPHIQUES. la lèpre notamment, les mains peuvent être réduites à de lamentables moignons
peut y avoir, par un mécanisme analogue, disparition des os de la main et du pied avec tassement et déformation extrêm
mince sur le trajet de l'artère radiale, on applique un doigt de la main gauche, au niveau du poignet pour éviter la réc
net pour éviter la récurrence de l'arcade palmaire et l'index de la main gauche explore l'artère radiale au-dessous de l'a
s de l'am- poule. On comprime alors l'ampoule avec les doigts de la main droite jusqu'à ce que les battements de l'artèr
tements de l'artère radiale cessent d'être perçus par l'index de la main droite : on lit alors l'indication donnée par le
isé et placé dans la position horizontale, le médecin se lavera les mains avec, soin, au savon et à la brosse. L'usage de
. ? Placé il la droite du malade, le médecin saisit la verge de, la main gauche et exerce sur elle une traction assez én
sont associés le plus souvent à d'autres (roubles : tremblement des mains chez les parkinsoniens, nystagmus et tremble- m
/6 ! e, il coïncide avec une hypertrophie analogue des pieds et des mains . Le maxillaire inférieur est disproportionné et s
ratique on ne voit guère que des formes très bénignes, limitées aux mains . La contracture y est typique (main d'accoucheur)
es très bénignes, limitées aux mains. La contracture y est typique ( main d'accoucheur), mais de faible intensité. De tel
les sténoses pyloriques peu serrées. Dans ces crises bénignes, les mains et les pieds (type d'extension) peuvent être se
t sur un objet, ou en le faisant rester suspendu un instant par les mains . Ces différents exercices sont impossibles si le
ne sont pas seule- ment incontinents, mais encore se salissent les mains et se barbouillent d'innomable façon. Certains,
sont il ce prix. SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN par le Dr ANDRE LÉRI La main présente des déformations extrêmement variées au
ques pour qu'on puisse faire le diagnostic par le seul examen de la main . On comprend donc la grande importance pratique
la grande importance pratique de leur étude. Les déformations de la main peuvent être dues à un trouble local du dévelop
n une simple hypertrophie de l'ensemble ou de certaines parties des mains , hypertrophie systématisée pour ainsi dire, tou
is à une atlitude vicieuse, d'origine congénitale on acquise, de la main sur Pavant-bras ou des doigts sur la main. En
énitale on acquise, de la main sur Pavant-bras ou des doigts sur la main . Enfin certaines déformations de la main sont c
-bras ou des doigts sur la main. Enfin certaines déformations de la main sont caractérisées par des mouvements anormaux
les principales déformations que l'on peut observer au niveau de la main : 1. Troubles du développement (embryonnaire ou
articulaires : ' a) Alfections systématisées qui hyperl/'opltienlla main ou les doigts : ACIIOJ1ÉGALIE; gigantisme, 0sté
ippocratiques. Cyanose. h) Affections irrégulières qui déforment la main ou les doigts : Rhumatisme chronique : déforman
reuse, ])Iellnoli',I-iqiie. B) Difformités des parties molles : ' Main succulente. Myxoedème. OEdèmes des hystériques. E
mes des hystériques. ErythromH- lalgie. -- Névrome plexiforme de la main . C) Affections mutilantes : Main de Morvan :
gie. -- Névrome plexiforme de la main. C) Affections mutilantes : Main de Morvan : syringomyélie, lèpre. Maladie de Rayn
sies, atrophie, contracture, accessoirement rétraction : A) De la main sur l'avant-bras : Mains-botes : Congénitale :
spasmodique. TROUBLES DU DEVELOPPEMENT. 1015 B)Des.doigtssur la- main : Griffes : . , Griffe radiale ; griffe cubital
Griffes : . , Griffe radiale ; griffe cubitale; griffe -.médiane ; main d'Aran-Duchenne. IV. - Mouvements anormaux : ,
'Iaé- rnimélie, absence des segments terminaux seuls (avant-bras et main ), les segments ba- saux (bras) su- hsistant
ue), absen- ce des segments basaux, le seg- ment terminal, la main pour le membre su- périeur, étant directeme
forme la plus fréquente est l'existence d'un 6° doigt à la fois aux mains et aux pieds; les doigts surnuméraires sont plu
nt-Hilaire,- Moebius, Trélat et Monod, Duplay, Moncliet, etc.) : la main ou le pied y participent, mais souvent moins que
ceptionnel, on peut ne trouver qu'une hyper- trophie limitée, à une main par exemple (cas. d'Apert, Iconogr. delà Salpêt
ou spasmodiques. B. DYSTROPHIES CONGÉNITALES Achondroplasie. - La main de l'achondroplasique est tout à fait spéciale
es doigts ou seulement au médius et à l'annulaire ; elle donne à la main l'aspect de main en trident tout à fait caracté
ement au médius et à l'annulaire ; elle donne à la main l'aspect de main en trident tout à fait caractéristique de l'achon
istique de l'achondroplasie. Cette DIFFORMITÉS ACQUISES. : 1017 T main est assez pathogno1nonique . pour permettre de fa
mation congénitale-- exceptionnelle des quatre membres, surtout des mains , caractérisée par l'allongement des os avec ami
lysie ni modification de l'excitabilité électrique : on observe une main en araignée. . Il. DIFFORMITÉS ACQUISES A) DA
S -- - Acromégalie (Pierre Marie). Le développement exagéré dé la main est souvent le premier signe de l'acromégalie, il
argeur ou à la fois en largeur et en longueur. Le plus souvent la main s'accroît « en large » ; elle prend la forme
s souvent la main s'accroît « en large » ; elle prend la forme de main en battoir (fig. 2) ; elle est épaisse, étalé
thénar et hvnothénar sont augmentées de volume ; les sillons de la main , lès plis interphalan- giens sont plus profonds
lès plis interphalan- giens sont plus profonds que normalement, la main paraît « capitonnée » . Les doigts sont gros, s
s bras. Quelquefois, surtout dans les cas d'acromégalie précoce, la main et les doigts s'accroissent proportionnellement
uite moins déformée que dans le cas précédent, c'est simplement une main « géante » . L'excès de développement de la tèt
rie. les défor- - [A. LÉRI.] Fig. 2. 4c)'fM) ! e<y< ? f ! . Mains en battoir, épaisses, ' courtes et massives.
ique,) etc., complètent ou confirment le diagnostic. Gigantisme. La main du géant est régulièrement développée dans tout
ans toutes ses dimensions (fig. 3); c'est le « type en long » de la main de l'acromégale, celui qui, nous l'avons dit, s
hypertrophiante pneumique, affection décrite par Pierre Marie, les mains sont grosses, en pattes (fig. 4), les doigts so
sme. PeuL-nh'0 ncromégalie Truste ( ? ) « avec type en long-» de la main . : DIFFORMITÉS ACQUISES. lOi 9 métacarpiens
ACQUISES. lOi 9 métacarpiens..La-main est toute différente de la main de l'acromégalique. Les pieds présentent des dé
iques, mais de sim- ples symptômes, cer- taines difformités des mains doivent être rap- prochées des hypertro- phie
le est caractérisée comme cette affection. par une hypertrophie des mains et surtout des doigts qui sont gros, arrondis o
ÉRI.] Fig. 4. OStéO-a7'thl'Opalhze fZY1Je1'tl'ophianle pneumique, Mains en pattes; doigts épais, spatules; 'ongles en bec
iromégalie ches un syringomyélique. - Les 2°, 5° et 4° doigts de la main gauche sont hypertrophiés ; ils scmblel1{ appar
n gauche sont hypertrophiés ; ils scmblel1{ appartenir it unc autre main que le 5°' doigt. 1020 SÉMIOLOGIE DE LA MAIN.
ppartenir it unc autre main que le 5°' doigt. 1020 SÉMIOLOGIE DE LA MAIN . il n'est pas rare qu'elle porte exclusivement
antes Dans le rhumatisme chronique déformant les déformations des mains , qui sont les plus caractéristiques et presque to
éformations très différentes. Charcot a ramené ces déformations des mains à deux types principaux. le type de flexion et
xtension. Dans le type de flexion (fig. 6). tous les segments de la main sont fléchis les uns sur les autres, à l'excep-
qui sont étendues ou même hyperétcndues sur les pha- langes, et la main est plus ou moins fléchie sur l'avant-bras. Dans
l'exception des phalangines qui sont fléchies sud es phalanges, et la main est aussi plus ou moins fléchie sur l'avant-bra
s déviées en sens inverse vers le bord radial. Lnlin sur une même main la déformation des dif- férents doigts peut t
cula- tions du pouce sont en flexion ou en extension.. ' : La main peut être non seulement en flexion, mais en
oignet et la saillie des têtes métacarpiennes la face dorsale de la main est souvent concave. Les nouures et la raideur pe
sont généralement symétriques et plus ou moins simultanées aux deux mains ; Charcot a pourtant décrit une forme pendant un
douloureuses au début et pendant plus ou moins longtemps. Sur ces mains de rhumatisants, la peau semble lopins souvent ad
s, hyper- trophiés ou incurvés, souvent fragiles et cassants. Les mains du rhumatisme déformant sont souvent assez typiqu
diagnostic puisse se faire à première vue par le simple examen des mains , elles sont vraiment pathognomoniques. Mais les a
diagnostic; les pieds se prennent d'ordinaire en même temps que les mains , les autres articulations des membres, coudes, ép
tisme gout- teux, qui peut présenter les mêmes déformations des mains à l'examen clinique, mais dont les déterminatio
7) décrite parP. Marie etA.Leri('), intéresse tout spécialement les mains . Elle est caractérisée essentiellement par une
premier, métacarpien prend la forme d'un S très allongé. " .' La main typique ..du rhumatisme sénile; s'observe à parti
orr9yem;s,.tanneurs, blanchisseuses, etc.) ont eu fréquem- ment les mains dans l'eau. " - Déjà par la palpation attentive
'appliquent et s'incrustent pour ainsi dire dans la paume de la main . La flexion forcée des trois derniers doigts avec
liberté relative ou absolue du pouce et de l'index donne parfois la main une attitude en . pince de homard qui n'est pas
l'aponévrose palmaire reste saine. . Dans la goutte chronique, les mains sont généralement très déformées Fig. 9. Rétrac
t formant des replis indurés. Fig. 10. Goutte., ' Déformation de la main , flexion des doigls, tophus sur l'articulation
à s'abeéder. On les trouve près ou loin des jointures, la paume des mains notamment et sur les doigts. Les déformations g
ais et en baguettes de tambour; les déformations peuvent donner aux mains une conformation tout à fait bizarre, difforme et
Serbanesco, .1. Teissier.) Dans le rachitisme, la déformation des mains portc d'ordinaire uni- quement sur le poignet,
(laassowitr). Le gonflement peut être limité au radius seul, et la main se trouve déjetée en varus. Dans le rachitisme in
résence de corps étrangers articulaires. Dans l'ostéomalacie, les mains participent au ramollissement général du squele
flammatoires aiguës ou tuberculeuses, qui ne diffèrent en rien à la main de ce qu'elles sont partout ailleurs. C) Dans
eurs. C) Dans LES affections dystrophiques DES parties molles. La main succulente, décrite dans la syringomyélie par Pie
e de la boursouflure de la peau interdigitale. La tuméfaction de la main peut s'arrêter aux doigts ou se continuer sur l
ce hypothé- nar et presque toujours de l'éminence thénar donne à la main l'aspect [A. LÉRI.] Fig. Il. - Main succulent
l'éminence thénar donne à la main l'aspect [A. LÉRI.] Fig. Il. - Main succulente de la syringomyélie. Main potelée, san
aspect [A. LÉRI.] Fig. Il. - Main succulente de la syringomyélie. Main potelée, sans rides, sans dépres- sions, épaiss
s oedème. 1028 SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN : simien ; assez souvent la main prend l'attitude de la main de prédicateur. Cet
DE LA MAIN : simien ; assez souvent la main prend l'attitude de la main de prédicateur. Cette main est toujours froide
z souvent la main prend l'attitude de la main de prédicateur. Cette main est toujours froide et sèche, rouge violacée et m
nes et radio-carpienne, ce qui explique la déviation cubitale de la main et la possibilité de mouvements anormaux. Cette
bitale de la main et la possibilité de mouvements anormaux. Cette main succulente est tout à fait spéciale à la syringom
chenne, myopathie, etc. Dans le myxoedème congénital ou acquis, les mains sont épaisses, en bêche, les doigts gros et bou
t épaisses, en bêche, les doigts gros et boudinés; mais l'étatde la main n'est qu'un des éléments accessoires du tableau
ins consciente d'elle-même. Si ces oedèmes sont plus fréquents à la main , c'est parce que la congestion qui les détermin
que la congestion qui les détermine est plus facile à provoquer à la main qu'ailleurs par la simple application d'un lien
e Hel'Idin- ghausen, le névrome plexi forme, peut se développera la main sous lune de ses trois variétés, bien indiquées
congénital, par les autres comme une affection inflammatoire de la main qui lui avait valu une intervention opératoire.
de Dercum, même généralisée, il est remarquable que les extrémités, mains et pieds, ne participent pas il l'adiposité gén
pieds, ne participent pas il l'adiposité générale, et l'on voit une main de dimension normale, par- fois petite, à l'ext
du poignet en bracelet. - D) Dans LES affections mutilantes. La main de Morvan (fig. 12) caractérise la «parésie analg
des gaines les phalangines et les phalanges, souvent la paume de la main : les abcès s'ouvrent à l'exté- rieur par de la
s ou moins long, les fistules finissent par se fermer. Il reste une main privée d'un ou plusieurs doigts en partie ou en
ées et inégales, les portions res- tantes, tant des doigts que delà main , sont grosses, épaisses, irrégulières, couverte
catrices saillantes, les ongles sont atrophiés; tel est le type de la main de Morvan, main fréquente, mais nullement const
s, les ongles sont atrophiés; tel est le type de la main de Morvan, main fréquente, mais nullement constante tant s'en fau
e névrite périphérique autre que la névrite . (A. LERl.l Fig. 12. Main de Morvan chez un sY1'lIlgo ? yéIÙ¡ue. Main , l
. (A. LERl.l Fig. 12. Main de Morvan chez un sY1'lIlgo ? yéIÙ¡ue. Main , ll1util¡'e par des panaris analgésiques des 2
une observation de syringomyélie où les trou- bles trophiques de la main avaient pris une allure très différente; on con
e, elle peut être progressive. Dans le premier cas elle envahit les mains comme la face. le tronc et les membres inférieu
ésions sont à peu près symétriques, elles envahissent, le reste des mains , la face dorsale s'indure, de petites taches li
s veines qui en partent dessinent des marbrures livides le long des mains et des avant-bras. A la période suivante, la ma
recroqueville. La maladie de Raynaud n'est pas toujours limitée aux mains : elle atteint souvent aussi les pieds, mais mo
parlé des formes mutilantes de la tuberculose et de la syphilis des mains et des doigts : leur mode de début et leurs suppu
TUDES VICIEUSES Dans la détermination des attitudes vicieuses de la main s'associent il un degré variable suivant les ca
stic. Les principales attitudes vicieuses sont des déviations de la main sur lavant-bras ou mains-botes et des déviation
sur lavant-bras ou mains-botes et des déviations des doigts sur la main ou griffes. " - A) Déviations DE la main sur.
ations des doigts sur la main ou griffes. " - A) Déviations DE la main sur. L'AYAXT-nRAS : MAINS-HOTES. Les mains-bote
ire cette main-bote au chapitre des troubles du développement de la main si nous n'avions cru préférable de donner ici s
squ'à l'apparition des contractures et rétractions secondaires ; la main est impotente ; les réflexes tendineux sont dim
ans certains syndromes de Little par exemple.. La déviation de la main peut être extrême, généralement cubito-pal- m
de la main peut être extrême, généralement cubito-pal- maire; la main peut s'appliquer presque en son entier sur la f
-moteurs importants que dans l'hémiplégie spasmodique infantile; la main est impotente; les réflexes tendineux sont exag
gressives myélo- pathiques, quand, à la paralysie des muscles des mains qui déterminé la main d'Aran-Duchenne se joint
iques, quand, à la paralysie des muscles des mains qui déterminé la main d'Aran-Duchenne se joint la paralysie des muscl
se joint la paralysie des muscles des avant-bras qui provoque là « main de squelette » ou « de cadavre ». Dans la plu
es sont également paralysés ; il y a une main-bote totale : ; ces mains sont généralement flasques et ballantes ; il s'
ins sont généralement flasques et ballantes ; il s'agit plutôt de « mains paraly- tiques » que de mains-botes paralytique
aralysie soit sur les extenseurs, soit sur les fléchisseurs de la main peut déterminer une main-bote para- lytique par
devenant alors spasmodique. La forme la plus remarquable est la a main dé prédicateur » (fig. 15), qui été dé- crite
jerine), mais que l'on constate surtout dans la syringomyélie. La main est dans l'extension forcée sur l'avanl-bms ave
ysie in- fantile.. Main-bote para- lytique, flasque. Fig. 15. ? Main de prédicateur (main gauche). Syringomyélie il
Main-bote para- lytique, flasque. Fig. 15. ? Main de prédicateur ( main gauche). Syringomyélie il forme spas- modique
restent étendus plus ou moins complètement ; ' - il en résulte une main « en pince de homard» (fig. 16). Certaines va
e une main « en pince de homard» (fig. 16). Certaines variétés de mains fléchies du rhumatisme chronique sont dues au
e, elle est beaucoup plus rare que la forme spasmodique. ' . La main contracturée des hémi- plégiques organiques se
hémi- plégiques organiques se présente comme un poing fermé ; la main -est en légère flexion sur Pavant-bras et les d
phalangettes, les phalanges res- tant généralement en extension. La main conserve la même attitude quand l'avant-hras es
ficiel et profond, car en exa- gérant passivement, la flexion de la main on peut dans certains cas voir les doigts s'éte
ement le poignet on voit les doigts se fléchir plus fortement dans la main . une paralysie permanente du hras, elle est tro
généra- lement cette forme de main-bote paralytique. D - Fig. 16. Main eu pince de homard chez un syringomyélique (c'e
Fig. 16. Main eu pince de homard chez un syringomyélique (c'est la main droite du malade ci-dessus). Flexion des 5 der-
le sommeil chlo- roforrniclne, la contracture hystérique cède et la main s'étend, à l'excep- tion des cas où il s'est fa
est fait des rétractions fibreuses. B) Déviations des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l'atrophie des muscl
uvelles variétés multiples dégriffés, la grillé des interosseux, la main d'Aran-Duc)¡enne, etc. La griffe radiale est ca
es extenseurs des doigts et du poignet. Dans la griffe complète, la main est tombante et ne peut être spontanément relev
grité des inter- osseux, lorsque l'observateur étend passivement la main et la première phalange. Les doigts peuvent êtr
insertions supérieures et inférieures des muscles fléchisseurs. La main , appliquée à plat, ne peul être portée ni vers le
le territoire cutané du radial (partie postérieure- et externe de la main et des doigts, sauf les deux dernières phalange
g- abducteur du pouce restant très longtemps intact, le pouce et la main peuvent être portes en an- duction ; enfin le
vent être rapprochés; le pouce ne peut être opposé au petit doigt; la main est légèrement déviée vers le bord radial et ne
u de l'anesthésie sur la partie interne de la paume et du dos de la main , sur le petit doigt, la face interne de l'an- n
ns les lésions traumatiques du IA. LÉRI ] Fig. 17. - Grille de la main à la suite d'une lésion traumatique du poignet.
' que les autres doigts, son opposition est impossible : c'est la « main de singe ». Les premières et deuxièmes phalange
ue la première et la troisième sont demi-fléchies. La flexion de la main sur l'avant-bras n'est possible qu'avec une forte
te adduction sous l'action du cubital antérieur; la pronation de la main est très limitée et due seulement au long supin
ser le territoire cutané des deux tiers externes- de la paume de la main , de la face palmaire des trois premiers doigts et
compression, et dans de rares névrites toxiques ou infectieuses. La main de singe marque habituellement le dchutdn l'amy
habituellement le dchutdn l'amyotrophie spinale Aran-Duchenne. La main d'Aran-Duchenneest constituée par l'association d
ée par l'association d'atro- phie ou de paralysie des muscles de la main dans le domaine a la fois du médian et du cubit
main dans le domaine a la fois du médian et du cubital : c'est une main de singe avec «rifle des in- 1('rossl'lIx et gé
nt pour les deux dernierscommedans la grifl'l' enhitale pure). La main d'Aran-nnebenue est un syndrome dont la cause peu
ns des atrophies myopathiques. ATTITUDES VICIEUSES. 10 ! 1 La main d'Aran-Duchcnne d'origine médullaire est constant
ique, qui consti- tue le tabès, qu'à une névrite asso- ciée. La main d'Aran-Duchenne est très fréquente dans la syri
prolongée des muscles exten- seurs du poignet donne souvent à la main d'Aran-Duchenne l'attitude, de prédicateur que
ibilité, la cypho-scoliose distingueront la syrin- gomyélie. La main d'Aran-Duchenne s'observe aussi dans l'hémalomy
ons médullaires, amènent parfois' aussi la production de celte même main . Toutes les lésions portant sur les nerfs média
an et cubital ou leurs racines peuvent produire ramyotropilic de la main type Aran- Duchenne. Les lésions des racines
tre encore admise que sous certaines réserves. IA. LÉRI] Fig. 18. Mains d'A1'an-Dllchcllllc chez un sy1'illgomyéliqllc
aire (Mme Dejerine-Ilmnpl : e). Enfin, cette même déformation de.la main peut s'observer il une période généralement tar
humérale (type Erb). IV. MOUVEMENTS ANORMAUX Quelques variétés de mains sont caractérisées non seulement par leur attit
mais par leurs mouvements anormaux. Dans la paralysie agitante les mains participent à la rigidité muscu- laire : les do
nergiquement sur la face palmaire de l'index; il y a une sorte de', main en cône : La main participe aussi au tremblement
a face palmaire de l'index; il y a une sorte de', main en cône : La main participe aussi au tremblement général'; en out
parkinsoniens ont le poing fermé. Les mouvements athétosiques de la main s'observent dans deux condi- tions très différe
plégies de l'adulte, elle est aussi souvent bien plus prononcée. La main et les doigts sont animés de mouvements lents,
poulpe ». L'attitude coutumière de MOUVEMENTS ANORMAUX. ton la main est très spéciale, elle est en pronation forcée,
rie d'ailleurs d'un moment à l'autre par suite des mouvements de la main et des mouvements isolés de chaque doigt; elle
ement dans la série des atti- tudes qu'on donne normalement il la main . Ces mouvements sont inter- rompus de temps en
plus ou moins prononcée des membres at- teints et notamment de la main ; souvent les mouvements sont si- multanément
ment congeni- tale, on observe souvent aussi la pro- nation de la main , mais d'ordinaire moins forcée ; les mouvements
ulier. Dans les accès de contracture douloureuse de la tétanie, les mains prennent, dès le début, des attitudes variées e
es variées et changeantes. L'une des plus caractéristiques est la « main de l'crccozccheico » : pouce en adduc- tion for
rochement de ses bords. De très nombreuses variétés s'observent : « main de scribe », index en flexion forcée, poing fermé
RI.] . Fig. 19. - Athétose double. - )luu\'cll1clIls spéciaux des mains . SEMEIOLOGIE DU PIED par le Dr ANDRÉ LÉRI .
éformations du pied le plan que nous avons adopté pour celles de la main . Les- détails que nous avons donnés sur certain
ain. Les- détails que nous avons donnés sur certains troubles de la main nous permettront d'être bref sur les troubles s
ations ont une fréquence et- une importance très différentes à la main et au pied. I. TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT A.
odactylie, de polydac- tylie, de syndactylie sont semblables à la main et au pied : elles jportent souvent symétriquem
'a pas été signalé de forme spéciale du pied analogue à celle de la main . Les pieds participent, à un moindre degré que
celle de la main. Les pieds participent, à un moindre degré que les mains , à l'allonge- ment et à l'amincissement des os
plus longtemps. La goutte chronique se révèle aux pieds comme aux mains par des DIFFORMITÉS ACQUISES. 1045 déformat
mations ne sont guère aussi typiques qu'elles le sont sou- vent aux mains : la radiographie pourra rendre des services en m
dèmes dits hystériques portent moins souvent sur le pied que sur la main , ce qui se conçoit, étant donné leur mode de pr
es autres oedèmes portent plus volontiers sur les pieds que sur les mains : les oedèmes blancs, mous, indolores, surtout
l'é1 : ylhromélalgie porte plus- souvent sur les pieds que sur les mains ou débute par les pieds. . Nous ne pouvons insi
naud peuvent s'observer, quoique plus rarement, aux pieds comme aux mains : elles se présentent avec des caractères tout à
très analogues à celles qu'elles déterminent parfois au niveau des mains . [A. LÉRL] 1048 SÉ)11 : 101,OG11 DU PIED. L
ajorité des cas, alors qu'on ne l'observe qu'exceptionnellement aux mains ou à toute autre partie du corps. Il siège surt
nital avec malformation osseuse. En même temps malformation de la main qui n'a que 4 doigts sans pouce (ectro- dacty
uvements anormaux sont hien moins caractéristiques aux pieds qu'aux mains , ce qui se conçoit, étant données la moindre vari
st-hérniplégique, surtout infantile, on observe aux pieds comme aux mains des mouvements lents et irréguliers de reptatio
hétose double, les mouvements sont moins accentués aux pieds qu'aux mains : il y a pourtant des mouvements lents, arythmiqu
orteils voisins : le pied de la tétanie reproduit l'attitude de la main . Les déformations ne sont sud d'ailleurs unifor
graduée de 0 il )0 centimètres. On tiendra chaque branche courbe en main , comme une plume à écrire; on aura quelque avanta
gueur du bras. JK. Lon- gueur de t'avant-bras. KG. Longueur de la main . DG' X 2. Grande envergure. JI'L. Longueur de l
écart de plusieurs centimètres peut survenir facilement entre 'les mains d'un non professionnel. Ici, plus que jamais enco
vra pendre naturellement le long du corps, soigneusement étendu. La main tombe verticalement le long de la cuisse, dans
e entre les mesures prises les bras abaissés et les bras élevés, la main placée sur la tète. L'indice est de 112 chez l'
t les avant-bras et les jambes plus que les bras et les cuisses. La main elle pied sont relativement moins développés qu
érieurs. .Nous recommanderons également de prendre le contour de la main et du pied. Il va de soi que toutes les mesures
et examen portera principalement sur la forme et les dimensions des mains et des pieds, sur le profil du maxillaire inférie
oils sont épais et durs. Les extrémités sont énormes. Ce sont des mains en battoir, en bêche (spaclc-lil : e), aux tégu
au membre supérieur. P. Marie a signalé deux variétés : tantôt les mains sont allongées, tantôt elles frappent surtout p
celle-ci. On mesurera enfin les membres, on relèvera le contour des mains et des pieds. L'hypertrophie éventuelle de l'os
l'acromégalie. 11 y a, en effet, hypertrophie aL'ee déformation des mains et des pieds, élargissement de la phalangette o
ome acromégalique transi- toire. Ils ont de grands pieds, de larges mains , un nez considérable, une voix souvent grave et
normalement en pronation, le bras légèrement écarté du tronc. Les mains sont petites, charnues, carrées, Les doigts sont
ntient, accolés, l'annulaire s'écarte du médius, donnant ainsi à la main l'aspect dit en trident (P. Marie). L'annulaire e
Un grand Fig. 8. Achondroplasie (d'après Baldwyn). . 1-'iê. 9. Mains en trident dans l'achondroplasie . (d'après P.
qui les unit, une crête saillante (4e lombaire), et le doigt de la main gauche marquera l'interstice sous-jacent. C'est à
une fenêtre; ce champ opératoire permettra à l'opérateur, dont les mains auront été aseptisées, de prendre de nouveau le r
dre de nouveau le repère des crêtes iliaques sans se contaminer les mains . L'ancsthésie de la peau pourra être obtenue pa
édiate. 5" Ponction du canal rachidien. On prendra l'aiguille de la main droite, entre le pouce et le médius, à la façon
L'aiguille sera enfoncée dans l'interstice marqué par l'index de la main gauche, sur le côté interne de ce doigt, à un dem
place ce tube dans un centrifugeur, celui de Krauss par exemple, à main , à eau ou dans un centrifugeur électrique; on fer
de résorption et de raréfaction osseuses, remarquable au niveau des mains du sujet. Dans un cas de psoriasis al'tl/1'opathi
rhizomélique des membres (cuisses et bras), il la défor- mation des mains en trident, etc. L'examen radiographique montre l
diothérapie a déterminé autrefois des accidents fréquents entre les mains d'opérateurs peu prévenus, (les accidents sont
reux résultats : la fréquence du pouls diminue, le tremblement des mains et les autres symptômes nerveux s'améliorent ra
des résultats déjà acquis, de l'innocuité des rayons maniés par des mains autorisées, et souvent du caractère difficilement
iellement placés et pour l'examen des petits muscles comme ceux des mains et de la face, il convient de prendre une petit
t inducteur peuvent être faites avec un interrupteur manoeuvré à la main placé sur l'appareil. Le plus habi- tuellement
ouvertures du courant inducteur avec l'interrupteur manoeuvré à la main . L'on voit ainsi que l'onde induite d'ouverture
erminal des muscles, ou à l'extrémité des membres, à la paume de la main ou sur le dos du pied par exemple; on voit appa
ournies par le vertige voltaïque. Les électrodes seront tenues à la main , ou, ce qui vaut mieux, fixées au moyen d'une b
s suivant les points d'application des électrodes. Sur la paume des mains et la plante des pieds la résistance se comporte
as, de 250 ohms dans un autre. La résistance mesurée entre les deux mains , y compris la résis- tance de la peau, variait
timètre carré, tandis quelle est élevée au contraire à la paume des mains où on en compte 560 pour une même surface. L'ép
; elles sont généralement moins accentuées sur les pieds et sur les mains ; aussi les méthodes consistant à explorer la ré
ssi les méthodes consistant à explorer la résistance entre les deux mains plongées dans l'eau ne sont-elles pas à recomma
la résistance entre les RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE DU CORPS. 1287 deux mains plongées dans des bains. Dans d'autres conditions
ment sur la peau on pourrait substituer un procédé plus doux appelé main électrique par Duchenne de Boulogne. Une élec-
bine est placée, sur le corps du malade; l'opérateur tient dans une main la seconde élec- trode en rapport avec l'autre
rode en rapport avec l'autre pôle de la bobine et promène son autre main qui représente l'électrode excitatrice sur la pea
cathode, est représentée par un bain dans lequel on fait plonger la main ou le pied; l'intensité donnée au courant doit êt
porte sur les membres snpe- rieurs on fait plonger dans le bain une main , ou les deux mains, cl l'autre. l'11.ll'lf ! UE
res snpe- rieurs on fait plonger dans le bain une main, ou les deux mains , cl l'autre. l'11.ll'lf ! UE ? I'HOI., 2 [E.
résentée par un bain, dans lequel on fait tremper les pieds, ou les mains , suivant que l'on se propose d'agir sur les membr
ntes la faradisation pratiquée avec le pinceau faradique ou avec la main électrique en diri- geant l'électrisation le lo
atrice, correspondant au pote positif, est représentée, soit par la main de l'opérateur, connue dans le procédé de la main
ntée, soit par la main de l'opérateur, connue dans le procédé de la main élec- trique, soit par un rouleau métallique, s
arge, 4 à li centi- mètres de diamètre. Dans les deux premiers cas, main électrique et rou- leau métallique, on prend la
prend de préférence la bobine à fil moyen. L'électrisation avec la main se pratique surtout sur la tète; elle peut être
commence par la faradisalion de la tète avec un courant modéré : la main est promenée légèrement sur le front et sur les t
de malades ; suivant les cas, on v ferait plonger les pieds ou les mains en donnant au courant une intensité de 10 à 15
ment, lentement et progressivement le cerveau avec les doigts de la main gauche et l'on coupe successivement avec un sca
upe successivement avec un scalpel ou de petits ciseaux tenus de la main droite les nerfs de la base du crâne; la protub
8. Accouchement chez les paraplégiques, 512. Achondroplasie. La main , 1017. Le pied, 10 ia. Nanisme, itou2. Ra- di
8. Acorie. 1005. Acoustique, Voy. Nerf auditif. Acromégalie. La main , 1017. - Le pied, 1045. Radiographie. Selle tur
henne (Svndrome -), 688, 698. (Maladie de -); existe-t-eUe ? 706. Main , 1059. - \'oy. : itroplrie musculaire 111yélopa
i- dité musculaire, troubles intellectuels, 875. Mouvements de la main , 1041. des pieds, 1059. Atrophie congénitale
henne-Aran, 685. Caractères. Localisations aux petits muscles des mains , 698. Griffe, 699, 1059. Contractions fibrillai
erveau, 578. Clonus du pied, 452, 840. de la ro- Iule, 454. de la main , 454. Coagulation du liquidecéphalorachidien,
rvation, physiologie, 552. Cyanose congénitale. Difformités des mains , 1020. " Cylindraxes myélinisés. Coloration de
565. Diarrhées paroxystiques, 997. Difformités léralologiques des mains . Ectrodactylie, Polydactylie, etc., 1015. Hyp
dc'Ram- ino, 101)0. Gieson (Van) 1'ov. Fuchsine. Gigantisme. La main , 1018. - Le pied, 1045.-caractères, 1079.-aveci
ouloureuse sur le gros orteil, 1054. - chronique. Déformation des mains , 10` ? ! E. - Déformation des pieds, zut. Gra
e, 57. Hémiathétose, 875 - post-hémiplé- unique. Mouvements de la main , 1040. - Mouvements des pieds, 1059. Hémiatro
Ewen (Syndrome de -), ptosis, : )9. Macropodie congénitale, 1045. Main . Séméiologie, 1015. - TiOUI1,E.; nu développeme
chctzttc-Aruu, 699, 1055. - succulente de la syringomélie, 1027. Mains botes congénitales. - avec mal- formation osseu
. - ou névritique, 625. Morvan (Chorée fibrillaire de -), 868. ( Main de -), 1029. Motilité. Examen de l'aphasie, 215
). Hémiplégie, 462. - Paraplégie, 486. Mouvements anormaux de la main , 1040. des pieds, 1058. - associés, 477. - da
cuisse, para- lysies, 542. de la jambe, paralysies, 546. - de la main , paralysies, 534. - des gouttières vertébrales,
n, physiologie, 585. Myxoedème. Idiotie myxoedémateuse, 273. - La main , 1028. Le pied, 1046. - Nanisme, 1091. Radiodia
- d'Anglade, 1566. de Lh.ermitte, 1567. Névrome plexi/brnce de la main , 1028. Névropathie urinaire, 966. ' Névroses,
e de Qnincke, 919. - crises gastriques, 995. - hys- térique de la main , 1028. - du pied, 1046. - nerveux, 919. segiiie
iques, 075. Ostéo - arthropathie hypertrophianlc· lmell1niquc. La main , 1018. - Le pied, 1045. Ostéomalacie. La main
· lmell1niquc. La main, 1018. - Le pied, 1045. Ostéomalacie. La main , 1026. - Radio- diagnostic, 1180, 1182. Ostéo
ine, inclusions, 1555. Paralysie agitante, tremblement, 840. - La main , 1040. Le pied, 909.- Traitement électrique, 15
ankyloses, radiodiagnos- tic, ! 172. Rachitisme. Déformation des mains , 1025. - Déformation des pieds, 1045. - Na- n
ations des pieds, 1044. - chro- nique déformant. Déformations des mains , 1020 ? Déformations des pieds, 1044. goutteux,
, 1020 ? Déformations des pieds, 1044. goutteux, Déformations des mains , 1022. - sénile. Déformations des mains, 1022.
outteux, Déformations des mains, 1022. - sénile. Déformations des mains , 1022. vertébral chro- - nique, radiodiagnostic
ophie musculaire type Aran-Du- chenne, 705. - Chiromégalie, 1019. Main succulente, 1027. - Main de Morvan, 1029. - Rad
n-Du- chenne, 705. - Chiromégalie, 1019. Main succulente, 1027. - Main de Morvan, 1029. - Radiodiagnostic des arthro
nie. Troubles de la sensibilité objec- tive, 556. - signes, 995. La main , 101. - Le pied, 1059. Tétraplégies, 490. T
22 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
te des branches les plus impor- tantes de son service nous avons en main tous les éléments pour mener à bien notre entre
indiscutables de tuberculose pulmonaire. Il est trcs-affaibti et la main droite normale ne donne que 15 au dynamomètre.
he peut exécuter quelques mouvements, mais avec grande peine, et la main ne donne que 5 au dynamomètre; il est flasque c
à cause du haut intérêt qu'elle présente que pour mettre entre les mains du lecteur toutes les pièces du procès. S...
du côté droit malade en s'appuyant sur sa canne, qu'il tient de la main droite. Le pied droit traîne par terre tout d'u
cela d'autant plus qu'il est plus fatigué. Veut-il se servir de sa main droite ? celle-ci est prise d'un tremblement ne
ide qui fait que l'écriture est tremblée. De plus, en jouant à « la main chaude » il a remarqué qu'il lui arrivait souvent
'abord libre, est tout à coup arrêté par un obstacle brusque, et la main qui soutient la jambe pendant cette manoeuvre p
te, entouré d'une zone enflammée, rouge, large comme la paume de la main qui, en s'ouvrant, donne issue à une notable qu
u thorax, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les bras; les mains fléchies sur les avant-bras, reposant sur la ce
hies sur les avant-bras, reposant sur la ceinture. A la longue, les mains , en raison de la rigidité permanente de certains
iège, courbée en avant et comme recroque- villée sur elle-même, les mains ramenées sur les cuisses, les deux NOUVELLE ICO
hrist de Nazareth, lève-toi et marche. » « Et l'ayant pris par la main droite, il le souleva; et aussitôt ses jambes e
otre investigation. Ils sont émaciés au suprême degré. De plus, les mains sont contrefaites. La gauche surtout affecte un
Mais, à gauche, la lésion est bien moins avancée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l'atrophie qui
n des derniers atteints par la maladie. Depuis la déformation de la main , jusqu'au mouvement limité que le patient exécu
tés peu accusés jusqu'à l'année dernière. Il était maladroit de ses mains ; on s'en est aperçu principalement lorsque son
la marche est devenue beaucoup plus difficile ; les mouvements des mains et des bras plus hésitants; la tête elle-même par
les mouvements sont hésitants et incertains; il ouvre largement la main el écarte fortement les doigts ; le verre une f
omplètement. ' Si, alors, on lui dit de toucher avec son pied notre main tenue à 40 ou 50 cen- timètres au-dessus du pla
omètre il peut développer une pression assez considé- rable ; de la main droite il amène l'aiguille du dynamomètre à 40 ki
n droite il amène l'aiguille du dynamomètre à 40 kilogrammes, de la main gauche à 45. La sensibilité est normale dans se
ers le même moment aussi, elle a été prise de son tremble- ment des mains et de la tête. Quelque temps après sou retour e
l'incoordination des membres supérieurs; elle esl malhabile de ses mains , surtout pour tenir de petits objets et exécuter
, la direction générale du mouvement persiste, mais les bras et les mains sont agités d'oscil- lations latérales. Elle ne
t animé de légères oscillations en haut, en bas et latéralement. La main qui va saisir l'objet semble planer quelque tem
maintenant les yeux fermés, on lui commande de porter l'index de la main droite ou gauche sur l'extrémité du nez, les osci
dit à la malade de prendre un verre et de le porter à sa bouche, la main plane et n'arrive à atteindre son but qu'après un
n engage la malade à faire un mouvement, par exemple à atteindre la main qu'on lui présente; avec son pied, on observe u
flexion sur le bassin et dans l'adduction. S'il s'agit du bras, la main est fléchie sur le poignet, et les doigts forte
sur le poignet, et les doigts fortement fléchis dans la paume de la main . Le coude est en état de flexion. Enfin l'épaul
nce ordinaire des muscles fléchisseurs sur les extenseurs; aussi la main et le poignet droits sont-ils en flexion exagér
ils en flexion exagérée', et les doigts fléchis dans la paume de la main menacent de perforer la peau. Cette contracture
e, demandait qu'on lui fit l'amputation, pour être délivré de cette main inutile et doulou- reuse. Malgré ses désirs,
as possible de faire une opération moins radicale pour redresser la main . Par exemple, la section des tendons des muscle
r exemple, la section des tendons des muscles qui maintenaient la main dans l'attitude vicieuse. La réponse à cette ques
léchisseurs aurait immédiatement permis aux extenseurs de porter la main en arrière, et de la placer dans l'extension forc
ses qui lui font souvent lancer au loin les objets qu'il tient à la main . Ces secousses, d'ailleurs, se produisent souve
des deux côtés. Le malade est gaucher : force dynamométrique de la main droite 20, de la main gauche 35. On voit sur la
lade est gaucher : force dynamométrique de la main droite 20, de la main gauche 35. On voit sur la moitié droite du cou
. Après avoir pris le pouls normal, je fais faire au sujet, avec la main gauche, une pression soutenue sur le dynamomètr
nAl'UtE DE LA SALPÊTRIÈRE. minute environ. Pendant cet effort de la main gauche, les muscles de l'avant-bras droit sont
rmal, sans déplacer l'ins- trument, je fais' faire au sujet avec sa main droite (du côté où le sphygmographe est appliqu
SUR LES MODIFICATIONS DU POULS. 127 il celle qu'il a faite avec la main gauche. Pendant cet effort, en raison delà trém
de : a 11l.Ii : 1 gauche. c. Pouls radial droit après effort de la main droite. l'IG, 00. - a. Pouls radial droit 1101'
- a. Pouls radial droit 1101'111'" chez S... - b. Apres effort de la main ga.hc. c. Après effort de la main droite. Inc
chez S... - b. Apres effort de la main ga.hc. c. Après effort de la main droite. Inc. 07. - a. Pouls radial droit uoI'I1
mal de F... - G. effort de la maio.gauclic; c..\]'1'03 effort de la main droite. " 1'16. OU. a. 1'0111, radial droit nor
6. OU. a. 1'0111, radial droit normal de N... - b. Après effort do la main gauche. ? c. d. Après effort de main droite ?
e N... - b. Après effort do la main gauche. ? c. d. Après effort de main droite ? CiOIÏVELLE lCO,OGRA.PIHL f TIPI. "1\
son siège, emprisonné dans la jatte traditionnelle, au moyen de ses mains munies de petits chevalets semblables à ceux que
'extrémité opposée de la fresque, un aveugle, tenant un bâton de la main droite, a cette attitude rigide bien observée qu'
lève au-dessus de sa tête ses deux bras atrophiés, terminés par des mains difformes. Le buste de cet enfantes ! droit et
s levé qui appartient à un individu dont on ne voit que la tête. La main n'est nullement contrefaite, l'avant-bras seul dé
ied demeure encore creusée, ridée, et ne peut être étendue. Pour la main , la flexion des phalanges produit le même résul
limités, douloureux, et déterminent des craquements. Si on place la main sur les tendons péroniers et sur ceux qui contour
doublement du pli fessier droit. Phimosis. - Force dynamométrique : main droite, 50 ; main gauche, 45. B... offre une
fessier droit. Phimosis. - Force dynamométrique : main droite, 50 ; main gauche, 45. B... offre une mobilité extrême d
ieu devant nous. Il lève le bras droit, semble tirer des fils de sa main gauche qu'il regarde fixement, a quelques tremble
des mouvements bizarres avec ses membres supérieurs, prend avec ses mains des objets ima- ginaires sur sa tête et les por
pond pas aux interpellations. Il est incapable de conserver dans sa main les objets qu'on y place. Pendant une demi-heure,
'heure. A son réveil, l'exploration dynamométrique donne 40 pour la main droite, 25 pour la gauche. Il ne se rappelle ri
u'il remarqua (sans pouvoir attribuer à cela aucune raison) que ses mains , qu'il avait toujours eu àla vérité un peu fort
des pieds se serait montrée à peu près en même temps que celle des mains . Main droite. Circonférence au niveau de la t
s se serait montrée à peu près en même temps que celle des mains. Main droite. Circonférence au niveau de la tête des
tête des métacarpiens, 253 millimètres. Circonférence maxima de la main au niveau de l'articulation métacarpo- phalangi
o- phalangienne du pouce, les doigts était dans la position de la « main d'accoucheur », 275 millimètres. Longueur de
tion de la « main d'accoucheur », 275 millimètres. Longueur de la main depuis l'interligne articulaire du poignet jusqu'
phalange et la phalangine. 87 millimètres. Épaisseur maxima de la main au niveau de l'éminence thénar (avec le compas
. Longueur de l'index, 85 millimètres. Longueur de la paume de la main depuis l'interligne articulaire du poignet jusq
re de la base du médius, 130 millimètres. Largeur de la paume de la main à la partie moyenne, 10 millimètres. Le pouce p
sous des extrémités osseuses de l'avant- bras, 20 centimètres. La main gauche présente une hypertrophie tout à fait anal
très légèrement inférieures à celles de la Ptc. 78 et 79. Les deux mains inférieures sont celles du malade, les deux mains
78 et 79. Les deux mains inférieures sont celles du malade, les deux mains supérieures sont celles (l'un homme en bonne sa
e C... (Dessin de P. Richer, d'après une photographie de ces quatre mains prises simultanément). 176 NOUVELLE ICONOGRAPHI
ises simultanément). 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. main droite du moins quant à la largeur et à l'épaisse
t hypothénar sont moins développées et un peu plus flasques qu'à la main droite. La forme des mains est en somme réguliè
loppées et un peu plus flasques qu'à la main droite. La forme des mains est en somme régulière bien qu'étant élargie. Les
isir en cet endroit les parties molles (assez flasques surtout à la main gauche), les isoler du cinquième mé- tacarpien
er ainsi de leur très réelle augmentation de volume. Sur le dos des mains et la face postérieure des avant-bras, plexus vei
e niveau semble certainement plus grande que celle des veines d'une main saine (assez turgescente cependant) prise comme
rophiés; s'ils semblent très légèrement, plus larges que ceux d'une main normale, c'est plutôt par suite d'un certain degr
s voisines, les ongles semblent-ils un peu courts. A la paume de la main , les bourrelets situés au niveau de la tête des m
dérablement augmentés de volume. L'annulaire et l'auriculaire de la main droite présentent très nettement le phénomène d
e éprouvé en soulevant un fardeau trop lourd. A l'auriculaire de la main gauche se trouve une bague qui ne peut en être
ue très difficilement retirée et ne peut entrer à l'auriculaire de la main droite ; il y a quatre ou cinq ans cette bague
e ou cinq ans cette bague était très à l'aise à l'auriculaire de la main gauche. Son diamètre intérieur mesure 20 millimèt
ypertrophie- présente les mêmes carac- tères généraux que celle des mains ; leur longueur maxima est de 30 centi- mètres.
he, est un des plus hypertrophiés. Ici encore on constate comme aux mains une hypertrophie considérable des parties molle
il n'avait attaché aucune importance à l'augmentation de volume des mains et des pieds, non plus qu'à celle de la face, et
; 2° dernière phalange, face pal- maire, deux centimètres; 3° de la main , 5 centimètres; 4° avant-bras, six centimètres.
es bras s'étendirent, se tordirent en dehors, en même temps que les mains se mirent en griffe, le pouce rentré fortement da
il ne peut se retourner rapidement sans chercher un appui avec les mains . Abolition des réflexes rotuliens. Le malade ne
one le malade perçoit il peine la différence entre la chaleur de la main et celle d'un verre. Du côté du péroné il sembl
Il y a six mois, la malade s'aperçut qu'elle était, maladroite de ses mains , et qu'elle avait de la peine à coudre. État
ie, toute rigide, la tête droite, la face impassible, un bâton à la main (pl. XXIV). Le même type a été reproduit avec p
sseras-tu pas de pervertir les voies droites du Seigneur ? Voici la main du Seigneur qui est sur toi, tu vas devenir ave
tournant de tous côtés, il cherchait quelqu'un qui lui donnât la main ... » Raphaël en suivant de près le texte sacré
rbé en avant, rempli de crainte, n'avançant qu'avec précaution, les mains tendues en avant, à la recherche d'un guide ou d'
es jointures, les coudes sont faiblement écartées du- tronc, et les mains , qui subissent aussi une déformation spéciale, re
étendus dans l'articulation du coude et dans celle du poignet; les mains légèrement ramenées en dedans reposent sur le d
es en dedans reposent sur le devant des cuisses. La déformation des mains est vulgaire : elles affectent la position d'un
ormation des mains est vulgaire : elles affectent la position d'une main tenant une plume à écrire, mais elles offrent c
ET FACIES. 215 membres supérieurs restent droits et pendants, les mains ne quittent guère le contact des cuisses. Quant
dorsale, sensation qu'il soulage en se tenant courbé en avant, les mains fixées sur un point d'appui. Le malade attire i
e la gauche. Il existe un tremblement très marqué des doigts et des mains , tremble- ment qui ressemble fort au tremblemen
e manger sa soupe, assis dans son lit, il tenait son assiette d'une main , sa cuiller de l'autre : tout à coup, son regar
ts se contrac- tèrent légèrement et demeurèrent immobiles, les deux mains , les doigts fléchis à demi se mirent à trembler
st immédiatement frappé du dévelop- pement énorme de la face et des mains du malade, quoiqu'il n'attire lui-même l'attent
embres supérieurs. - L'augmentation de volume porte surtout sur les mains , et se montre symétrique. Les articulations phala
ion mélacarpo-phalangienne est de 11 centimètres. Le diamètre de la main au niveau des articulations métacarpo- phalangi
carpo- phalangiennes est de 12 centimètres. La longeur totale de la main au niveau du médius est de 22 centimètres (pl.
ion, l'augmenta- tion de volume, est uniforme. Au dynamomètre, la main droite donne 55, la main gauche 40. Malgré cela,
e volume, est uniforme. Au dynamomètre, la main droite donne 55, la main gauche 40. Malgré cela, et quoiqu'on ne perçoiv
vements sont limités, et le malade arrive difficilement à mettre la main sur sa tête. La force des membres inférieurs es
côté des jointures. Elle remarqua en se levant une faiblesse dans la main gauche et des fourmillements. Au bout de quel
ents. Au bout de quelques semaines, la force est revenue dans cette main , en grande partie, mais non complètement. A par
rrêt brusque des règles, qu'elle a vu, d'une façon très rapide, ses mains augmenter de volume; il la même époque aussi; sa
es tumeurs de molluscum ne dépassant pas le volume d'un pois. Les mains sont très larges, mais d'une forme à peu près rég
ur donne un aspect tel que, dès qu'on voit la malade, c'est sur les mains que l'attention est attirée tout d'abord. 1 Lon
es mains que l'attention est attirée tout d'abord. 1 Longueur de la main , du pli inférieur du poignet à l'extrémité inféri
inférieure du médius, 18,3. Plus grande largeur de la paume de la main , 11. Longueur du médius à la face palmaire, 8.
oyenne, 29. Longueur du cubitus, 24. . Le volume des doigts de la main gauche est le même que celui des doigts de la m
des doigts de la main gauche est le même que celui des doigts de la main droite, avec 2 ou 3 millimètres en moins pour cha
pour les autres mesures du bras et de l'avant-bras. La forme de la main est assez régulière, mais camarde (fig. 8 i). Les
squelette ait certainement participé à l'hypertrophie générale de la main ; et il semble que cette augmentation de volume
s ont-ils une apparence un peu aplatie. Les différents plis de la main sont parfaitement normaux, ainsi que ceux des a
Ils sont le siège d'une striation longitudinale très accentuée. La main gauche présente d'une façon très notable à sa f
mps de la maladie. Force dynamométrique : -. L'ACROMÉGALIE. 235 Main droite, 24 ; main gauche, 27. La malade était d
Force dynamométrique : -. L'ACROMÉGALIE. 235 Main droite, 24 ; main gauche, 27. La malade était droitière; la flexi
n de la tête s'opère bien, mais une pression un peu énergique de la main arrive facilement à le surmonter. Le volume des
que la malade s'aperçut que sa taille avait grossi. Rien encore aux mains et aux pieds. A l'âge de trente ans elle commen
lle a augmenté aussi considérablement. C'est à celte époque que ses mains et ses pieds commencèrent à grossir progres- si
niveau de l'articulation métacarpo-phalan- gienne. Sur le dos de la main , on voit les tendons des extenseurs faire une s
ras sont conservés, mais semblent un peu affaiblis. Dynamomètre : main droite, 10 kil. ; main gauche, 4 lui. La puissa
s semblent un peu affaiblis. Dynamomètre : main droite, 10 kil. ; main gauche, 4 lui. La puissance du biceps est norma
scapulo-humérale une certaine raideur ; la malade ne peut mettre la main sur l'épaule opposée en passant derrière la tôle;
veau de la tubérosité antérieure, 5.5. Diamètre transversal de la main au niveau de la tête des quatre derniers métaca
uelques endroits déborder les unes sur les autres; les pieds et les mains peuvent être comparés, relativement à la grosseur
à large base. Les membres supérieurs étaient grêles et longs ; les mains seules étaient larges et grosses avec les doigt
puis l'âge de quinze ans, augmentation progressive des pieds et des mains . A vingt ans, soldat pendant sept ans. Janvier
c'est la surface de l'os ou la surface de la tumeur qu'on a sous la main ; ces tumeurs, qui ont développé les régions par
saine, blanche, fine, atémique, sans oedème. Comme contraste, les mains et les pieds sont phénoménaux; la forme de ces
ie totale; la longueur, la largeur, l'épaisseur des doigts et de la main ont subi un accroissement proportionnel; les on
s mouvements sont lents ; il faut un certain effort pour soulever les mains et surtout les pieds; y a-t-il de l'affaiblisse
homme de cire. Fis. 87. - Obs. X (d'après Henrot). Contour de la main du malade; les lignes pointillées représentent
ontour de la main du malade; les lignes pointillées représentent la main d'un homme sain, prise comme terme de comparaison
âge de trente-six ans, par des douleurs et de la faiblesse dans les mains . Les douleurs ne se localisèrent pas aux seules
iraillements. En même temps, il y aurait eu un léger gonflement des mains avec rougeur de celles-ci ; d'après la descriptio
ans le temps le malade prétend avoir eu des fourmillements dans les mains et une diminution de la sensibilité, mais tout ce
tout cela a disparu, ainsi qu'une tendance très marquée à suer des mains . En même temps que ces sensations douloureuses
ue ces sensations douloureuses survint l'augmentation de volume des mains , des pieds, des oreilles, des lèvres et même de t
ien conservés. Au premier coup d'oeil, augmentation de la tête, des mains , des pieds, faisant un contraste frappant avec-
s sont d'une maigreur qui contraste avec le volume des pieds et des mains . Les genoux sont notablement épais en comparaison
ras, aux mollets, et notamment aux éminences thénar et au dos de la main où, par '< suite de la disparition des inter
la droite, deux femmes à genoux portent à la figure, au cou et aux mains , les mêmes altérations. A gauche, un chevalier
ie est age- nouillé. Il porte l'étendard et reçoit une couronne des mains de la Vierge portée sur un nuage, pendant que l
artie du nez et de l'oreille ; les os des membres sont déformés, la main gauche est ré- duite à un moignon boursouflé au
boursouflé au bout duquel apparaît une pfumm- gette mise à nu ; la main droite n'a que les trois doigts du ani9ü Enfin
che qui est réduit à un état vraiment rudimentaire. Mais, rl 11" la main qui fait suite à ce bras, ne voyons-nous pas des
23 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
'accroître en largeur et environ à cette époque il remarqua que ses mains étaient devenues plus volumineuses, mais il n'e
ineuses, mais il n'en fit aucun cas et attribua l'accroissement des mains à l'exercice de son état de laboureur des champ
phose dorsale qui donne à notre homme un aspect un peu voûté. Les mains sont très volumineuses en comparaison du bras (V.
raumatisme ancien. Ce qui est le plus intéressant à étudier dans la main de Michel c'est la peau. En effet les téguments
er dans la main de Michel c'est la peau. En effet les téguments des mains de notre sujet présentent les caractères d'une
caractères d'une véritable peau de batracien : la peau du dos de la main est fine, lisse et tout à fait glabre : on obse
e crevasse. Cette conformation particulière de la peau du dos de la main dépend de l'absence totale de glandes sébacées
lever que tous les pores sont com- plètement obstrués. En résumé la main de ce petit géant est remarquable, G BERTOLO'I
rme qui présente tous les caractères de l'acromégalie. Le dos de la main est gros, plat et élargi dans le sens transvers
uditif. Examen radiographique des extrémités. - La radiographie des mains de Michel est aussi assez intéressante. Elle pr
és de volume dans le sens transversal. Le premier métacarpien de la main arromégalique est absolument typique. Les pha
ication irrégulière. Les mêmes faits que nous avons relevés dans la main sont visibles aussi aux pieds. Le calcanéum est
eignements suivants : Hauteur 1 m. 65, tête énorme : 63 centimètres, mains exagérément lourdes et longues (25 cent.), pied
ement à 17 ou 18 ans. Il suffit 1 de regarder la radiographie de la main de cet homme (V. Pl. IV, B) pour i- voir qu'il
Je le priais de me permettre de lui prendre une radiographie de la main , ce qui me coûta pas mal de peine pour le convain
ils ne sont pas douteux. Il suffit de se rappeler ses pieds et ses mains , la voussure du dos, l'hypertrophie des os de la
e de l'épiderme et la présence de rides nombreuses du visage et des mains . Il s'agit donc là d'un trouble général de tous
ormations rachitiques ( ? ) plus ou moins prononcées et surtout des mains courtes et massives... » De même on reconnaît l'a
ie rhizomélique). Peu modifiés dans leur conformation générale, les mains et les pieds sont évidemment plus courts qu'à l
t normal : les avant-bras et les jambes ont presque la longueur des mains et des pieds respectifs, tandis que les bras et l
nt partie de l'articulation du genou. Regardées de plus près, les mains de notre sujet (V. PI. V) présentent certaines
nulaire, sont de dimensions presque égales et puis, surtout pour la main droite, les doigts sont accolés deux à deux, prés
langine. Un signe digne de remarque est qu'on peul imprimer à la main et au pied des mouvements beaucoup plus amples
plus amples qu'à l'ordinaire : ainsi par exemple, on peut porter la main et le pied avec leurs faces dorsales respectiveme
ont les suivantes : bras 17 centimètres, avant-bras 16 centimètres, main 13 centimètres (largeur, UN cas d'achondroplasi
- que nous n'avons obtenu que deux images suffisantes, celles de la main droite de l'avant-bras et du coude droit (PI. V
ngs de notre sujet. En regardant surtout la radiophotographie de la main nous voyons la dysharmonie qui est résultée par
au serment pro- ximal-micromélie rhizomélique de Pierre Marie. Les mains ont la forme typique pour l'achondroplasie, déc
forme typique pour l'achondroplasie, décrite par le même auteur, la main en trident. Les doigts sont gros et courts, la
isinage. Le membre supérieur droit pend inerte le long du corps. La main et les doigts conservent leurs mouvements. La p
eur droit est constamment con- tracture (il est fléchi au coude, la main étendue sur la poitrine, les premières phalange
art de temps, reste étendu le long du corps. Les contractures de la main et des doigts sont moins marquées que du côté d
ule, de l'adduction et de la flexion du coude à un faible degré. La main et les doigts sont absolument immobiles. Quand le
forts, on voit apparaître des mouvements associés de la tête et de la main gauche. Le membre supérieur gauche peut être le
hi au coude. Ces mouvements sont ac- compagnés des mouvements de la main droite et de la tête. Le tronc est immo- bile.
te aussi un obstacle considérable dans l'articulation du coude, de la main et dans la métacarpo-phalangieune ; les doigts
xtenseurs du coude et du carpe très contractés. Quand on fléchit la main (la gauche aussi bien que la droite) avec effor
té : sensibilité tactile est conservée excepté sur les doigts de la main droite (abolie), la main même (affaiblie) et sur
est conservée excepté sur les doigts de la main droite (abolie), la main même (affaiblie) et sur les deux pieds. La sen-
le chaud. Le sens musculaire troublé aux doigts des pieds et de la main droite. L'examen électrique n'a pas démontré de
semblait qu'il y ait une certaine amélioration (il pouvait lever sa main droite vers la hanche, exécuter des mouvements
ividu auquel le courant électrique a contracté les fléchisseurs des mains et des jambes et les a laissés dans telle positio
lépreux birmans présentant tous des déformalions très marquées des mains et des pieds sans aucune lésion tuberculeuse de
uberculeuse de la face (2). Chez ce jeune homme,l'attitude des deux mains tombantes était caractéristique (PI. IX). On co
le des muscles paralysés. On notait un peu d'anesthésie diffuse des mains sans localisation spéciale ; la diminution des di
s doigts, était déjà moins accentuée sur'la paume et sur le dos des mains . (1) Communication faite au Congrès de la Lèpre
proportionnellement à leur volume si l'on avait soin de relever la main . Dans ces deux cas et dans d'autres encore, la
adiale s'impo- sait dès le premier examen : les malades avaient les mains tombantes et ballantes, ils les portaient en av
usculaire.il s'agit de sujets jeunes qui n'avaient à aucun degré la main en griffe et chez les- quels les muscles de l'a
membres supérieurs et inférieurs. Valgisme et équînisme des pieds, main en griffe totale, position simienne du pouce. R
is- saut d'une façon tout à fait extraordinaire, pour aboutir à des mains et des pieds déformés et atrophiés au degré le
e se ranimer seulement à l'heure des repas pour at- traper avec ses mains déformées un morceau de pain qu'elle mange avec u
e veut faire des sous que je lui ai donnés et qu'elle serre dans sa main crispée, et elle répond encore : « Pour atélu des
le saisir qu'après avoir essayé des nombreux tâtonnements avec ses mains . C'est à peine si elle peut distinguer la lumière
ignet sont nettement diminuées. La pronation et la supination de la main sont à peu près impossibles. Tous les mouvement
n de la main sont à peu près impossibles. Tous les mouvements de la main : opposition des doigts et du pouce, flexion, a
, adduction et abduction des doigts, sont complètement abolis. La main de Marguerite (V. PI. XIII) atteint un degré d'at
face palmaire qui présente un méplat assez prononcé. La paume de la main est sillonnée par des rides nombreuses très pro
t porté en arrière, sur le plan des autres doigts. L'attitude de la main simienne ici est très caractéristique. Elle est e
ces thénar et hypotbénar sont complè- tement effacées. Le dos de la main est profondément atrophié ; on y voit le relief
l'articulation des pre- mières phalanges. Le rebord interne de la main , au lieu de présenter sa convexité normale, est
; ils présentent en plus des troubles trophiques évidents; toute la main est cyanosée; les téguments sont lisses et atro
uleur livide et très froids au toucher. Les mouvements actifs de la main sont réduits à l'extension 'et à la flexion des
ge du pouce et l'index. Elle réa- lise de cette façon une véritable main en pince. La région du poignet se présente auss
. T. XXIII. PI. XIII - "" , ,, m i r : ; : "TTlMl Il " ' ? 8 3. Main de Marguerite. 6. Main d'Aurélie. 8. Main d'E
- "" , ,, m i r : ; : "TTlMl Il " ' ? 8 3. Main de Marguerite. 6. Main d'Aurélie. 8. Main d'Elisabeth. 4. Jambes et
"TTlMl Il " ' ? 8 3. Main de Marguerite. 6. Main d'Aurélie. 8. Main d'Elisabeth. 4. Jambes et pieds de Marguerite.
bras (atrophie en manchette). La pronation et la supination de la main sont presque complètement abolies de même que l
sensibilité tactile, il semble qu'elle est émoussée aux pieds et aux mains , ce qui ne serait pas extraordinaire,étant donn
lence de la contraction musculaire à la fermeture de l'anode. Aux mains , tous les muscles sont complètement inexcitables
les mêmes altérations se produire chez Auré- lie. L'atrophie des- mains s'installa assez rapidement et en- peu de temps
ns s'installa assez rapidement et en- peu de temps l'attitude de la main en griffe se dessina chez la petite de la même fa
limités aux quatre membres. Voici (PI. XIII) la photographie de la main gauche d'Aurélie ; elle est très in- téressante
in gauche d'Aurélie ; elle est très in- téressante à étudier. Cette main présente en effet une atrophie poussée à son de
place on observe une véritable excavation ; de même la paume de la main est creusée ; du côté cubi- tal,fatrophie est u
réduite, mais sa fonte n'est pas complète ; le rebord interne de la main n'est pas atro- phié comme chez Marguerite, mai
re convexité extérieure. En résumé, les faits atrophiques dans la main d'Aurélie sont un peu moins prononcés que chez
ncés que chez sa soeur, notamment du côté cubital. L'attitude de la main simienne est aussi nette que possible, avec griff
sont moins com- plètes que chez Marguerite. La face dorsale de la main présente, elle aussi, une atrophie très grave. Le
e, elle aussi, une atrophie très grave. Les mouvements actifs de la main et des doigts sont très réduits, moins pourtant
façon très particulière ; en effet, tandis que les téguments de la main et du poignet présentent des alté- rations trop
u est cyanosée, livide et très froide au toucher ; enfin les os de la main semblent aussi avoir participé à l'atrophie.
pé à l'atrophie. Les mouvements de pronation et de supination de la main , quoique limités, sont encore possibles ; les m
nt encore possibles ; les mouvements d'adduction et d'abduction de la main sont assez réduits. La flexion et l'extension d
as et de l'avant-bras sont presque inexcitables. Au poignet et à la main , les muscles atrophiés sont absolument inexcitabl
agération des réflexes osseux. Atrophie musculaire débutant par les mains . Troubles trophiques en train d'évoluer. Cont
tite Elisabeth devenait de plus en plus maladroite dans l'usage des mains ; elle laissait tomber à tout moment quelque chos
r à tout moment quelque chose, elle cassait ses écuelles; bref, les mains d'Elisabeth maigrissaient. Après ce fut le tour
sés aux extrémités. Un simple regard jeté à la photographie de la main droite d'Elisabeth (V. PI. XIII) est suffisant
hypothénar conserve-encore un certain relief; de même la paume de la main n'est pas beaucoup creusée, elle ne présente pa
ifs, cette flexion est très facile à vaincre. Le bord interne de la main est encore assez arrondi. La main d'Elisabeth p
à vaincre. Le bord interne de la main est encore assez arrondi. La main d'Elisabeth présente une conformation particulièr
dité qui contraste étrangement avec la maigreur du poignet et de la main . Le bras aussi est absolument indemne de toute
normale. Il n'y a que les mouvements des muscles intrinsèques de la main qui soient 120 BERTOLOTTl compromis ; en effe
n'est presque plus possible. La pronation et la supination de la main se font encore assez bien. Les mou- vements d'e
Les troubles vasomoteurs et trophiques sont déjà assez accusés à la main d'Elisabeth, mais y a encore loin du degré atte
- tations les plus évidentes de la réaction dégénérative. Dans la main on peut encore provoquer des contractions à la fe
rsion complète de la réaction dégénérative, les petits muscles delà main sont inexcitables au courant faradique. Aux mem
com- mence à se manifester par une atrophie des petits muscles des mains et des pieds. ' (1) Frïud, Neurologische Cent
vasomo- teurs, abolition des réflexes tendineux, déformation de la main en griffe et du pied en varus-équin. Il y ava
la suite d'un traumatisme crâ- nien, des troubles trop.hjques de la main d'origine cérébrale ont abouti à des déformatio
droit au-dessus de la ligne horizontale ; la force musculaire de la main droite est diminuée. Mêmes idées délirantes de né
e lui manque. M. A. se plaint de ne pouvoir bouger les doigts de la main droite et d'éprouver de fortes douleurs dans tout
périeur droit. Pas de troubles de la sensibilité objective. 9. La main droite est violacée ; toutes les articulations pa
toutes les articulations paraissent gonflées. La température de la main est normale. Douleurs violentes dans tout le mem-
ulièrement douloureux à la pression. 12. La peau des doigts de la main droite est lisse ; les ongles sont cas- sants e
e est conservé et M : A. reconnaît les objets qu'on lui met dans la main droite ; le sens de position est normal. Les réfl
le et de l'avant-bras sur le bras sont très limités et douloureux. La main et les doigts ne peuvent accomplir que quelques
e et détermi- nent une flexion de l'avant-bras sur le bras et de la main sur l'avant-bras ; les secousses sont au nombre
es trophiques se sont accentués. Les articulations des doigts de la main droite paraissent ankylosées ; la peau des doigts
oute surveillance. Il se plaint continuellement. Les douleurs de la main droite et de l'épaule sont toujours très vives.
leurs au niveau de l'articulation scapulo-humérale et au niveau de la main du côté droit sont très atténuées. Les mouvemen
rsiste un état lisse de la peau et une sensi- bilité spéciale de la main au froid. La déformation du médius droit s'est en
prouva à l'âge due45 ansles sensations suivantes : les doigts de la main droite, quoique immobiles, semblaient se dirige
accidents apparurent des contractions cloniques des muscles de. la main qui allèrent en augmentant d'intensité et d'éte
férieurs et la figure sont oedématiés, le sein gauche enflé, puis les mains aussi ; dyspnée toujours plus forte, au-dessus
doigts. Depuis trois jours, paresthésies dans tous les doigts de la main droite et certains de la gauche. Depuis deux jo
ts de la main droite et certains de la gauche. Depuis deux jours la main gauche tremble. Hier la malade a ressenti une d
emble. Hier la malade a ressenti une douleur et de la raideur de la main gauche. Une demi- heure après, les deux membres
. La malade se plaint de sensation de brûlure dans les doigts de la main gauche. La respiration - 24, le pouls = 130. La
la mort il y avait des paresthésies dans les membres supérieurs, la main gauche tremble, de- vient douloureuse et se rai
tension du coude sont affaiblis (la première surtout). La force des mains est à peu près égale. Au poumon du côté gauche,
sus et sous-épineux. Atrophie des muscles de l'avant-bras et de la main du côté gauche. L'éléva- tion de l'épaule est p
s du coude droit très limités, à gauche impossibles. Mouvements des mains et des doigts 166 FLATAU limités et faibles,
légère des doigts. Dans le droit, mouvements minimes au coude, à la main et extension et flexion des doigts. Aux membres
ement paralysés (paralysie flasque), les doigts fléchis légèrement. Mains froides. Réflexes du muscle triceps conservés,
c. L'atrophie musculaire dans l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main augmentait toujours (surtout à gauche), en même t
(diplopie, troubles de déglutition et de mastication, douleurs des mains , démarche incertaine, incontinence d'urine, oph
einte marbrée de la peau des bras, jambes, cuisses elle cyanose des mains et des pieds. La plus légère irrita- tion,une l
ets aussi aux troubles vaso-moteurs, tels que l'état cyanotique des mains et des pieds, la teinte marbrée de la peau, et
er. Chez l'hystérique qui, à la suite d'un coup insignifiant sur la main , présente une paralysie de l'avant-bras, la sim
ont la ténacité est attestée par l'accumulation dans la paume de la main de toutes les sécrétions cutanées, par la produ
vité prolongée ; ni oedème, si ce n'est le léger gonfle- ment de la main avec un peu de cyanose et de refroidissement résu
t à condi- tion que le malade oppose une résistance (Babinski) à la main qui soulève le pied, elle est très irrégulière,
fléchir la tête avec force, en vous opposant à ce mouvement par une main sous le menton ; vous verrez, s'il s'agit d'une
ue vous faites faire ce mouve- ment à un sujet normal, placez votre main sous le talon du membre qui i doit rester immob
contraire, le membre reste inerte et n'appuie pas davantage sur la main de l'observateur. On pourrait multiplier ces ex
logique. Il se produit pendant l'examen, lorsqu'on fait étendre les mains et alors se traduit surtout à la racine du membre
ller) ; dans le tremblement des membres supérieurs, occupez une des mains à un travail quelconque qui demande de l'applicat
de l'application : écrire, tracer un dessin et, vous verrez l'autre main cesser de trembler (signe deFuchs). En fait d
ais pas de rémission dans la symptomatologie. On peut exa- miner la main prétendue affaiblie, il n'y aura pas de callosité
t d'amener un gonflement, de la cya- nose, du refroidissement de la main tenue en position déclive; de l'atro- phie des
dans les muscles contracturés. Il n'y a pas trace de lavage dans la main herméti- quement fermée. Le simulateur cupide n
n des os du métapodium. Tantôt le rayon de même nom est atteint aux mains , comme aux pieds ; tantôt la lésion est symétri
13RACHY\(ÉLIE METAPODIALE CONGÉNITALE (A. Chevallie). A gauche, main gauche d'une fillette normale de 1 ans. . A dro
A gauche, main gauche d'une fillette normale de 1 ans. . A droite, main gauche de Char. (Obs. I). ? c ? ? H') ? ....... ?
yndactylie entre les deuxième et troisième orteil (PI. XXI). A la main comme au pied, le raccourcissement du quatrième r
GÉNITALE 239 9 rieur à celui des os voisins : il est,comme dans une main normale, le plus grêle de la série. La base n
e la phalange adjacente sont peu foncées. Tous les cartilages de la main et du pied sont disparus. Ceux de l'avant- bras
e, trapue mais nulle- ment achondroplasique. Elle présente aux deux mains une anomalie congéni- tale et aucun de ses pare
nrrchini et M. Zanasi). (Obb. I. Bernabé Andréa). Radiographies des mains et des pieds. Masson & Cie, Editeurs rnou
. Les extrémités sont très raccourcies en comparaison du tronc, les mains et les pieds carrés, larges et courts. Ces dispro
omé- lique, quoique tous les segments soient très raccourcis. Les mains sont courtes, du type carré, et le raccourcisseme
aussi clairement le type en tri- dent décrit par M. P. Marie. A la main droite, le doigt moyen et l'annulaire ont la mê
le doigt moyen et l'annulaire ont la même longueur. La peau sur les mains est grosse et épaisse, elle pré- sente des ride
gros et larges ; ils sont courts, mais en proportion moins que les mains . Le gros orteil des deux pieds est très gros ; au
e est très manquante, inégale et, peut-on dire, presque disparue. Main . Les os du carpe, métacarpe et des phalanges sont
que la couche corticale a presque disparu. Le raccourcissement des mains résulte davantage d'une diminution en longueur de
en longueur des phalanges que d'une diminution des métacarpiens. Main droite. Ainsi qu'il résulte de l'examen clinique,
droite. Ainsi qu'il résulte de l'examen clinique, l'index de cette main se présente plus long que le correspondant de gau
culièrement de son épiphyse distale qui est quelque peu déformée. Main gauche. Ici aussi les os se présentent déformés,
Frallcbilli el M. Zlllltlsi). Obs. II. August. Radiographies des mains et des pieds. Masson & Cie, Editeurs. hlm
. Elles sont énormément raccour- cies et du type rhizomélique ; les mains sont courtes et aplaties et elles ne présentent
semblerait que le chapiteau humerai du radius fût peu développé. Mains . Elles ne montrent d'anormal qu'une grosseur des
rosseur des phalanges plus grande, en proportion des dimensions des mains , excepté le petit doigt qui est de dimension no
(G. Frnrrobirri el M. Zanasi). Obs III. Otto. Radiographies des mains et des pieds Masson & C1C, Editeurs. NOUV
e du côté du bras ; il est par conséquent du type rhizomélique. Les mains sont petites, courtes et grossières et elles prés
M. P. Marie. Aucune anomalie dans la longueur des doigts. Peau des mains normale ; réflexes périostés et tendineux des e
de ne fut pas pris en parfaite extension, mais en légère flexion. Mains . Comme dans le cas [précédent, ici aussi les phal
tume, en comparaison de leur longueur. Dans l'ensemble les os de la main ont une forme moins grossière que dans l'autre ca
emme normale, les extrémités sont excessive- ment raccourcies ; les mains , petites, courtes et larges, présentent la dispos
petites, courtes et larges, présentent la disposi- tion typique de main en trident. Le raccourcissement des extrémités es
alies relatives à la longueur des doigts, la forme en trident de la main , l'ensellure lombaire, l'aplatissement du dos ;
extrémités donnent une micromélie de type surtout rhizomélique. Les mains sont larges, grosses, courtes ; ce rac- courcis
nté sur un plan postérieur et supérieur. Ce fait n'existait pas aux mains . M. Marie indique parmi les altérations de la m
xistait pas aux mains. M. Marie indique parmi les altérations de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe
ui des autres doigts, fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi à la main et au pied d'un sujet qu'il a dé- crit, et qu'i
chini) l'a vérifiée dans un cas d'infantilisme du type Lorain, à la main et au pied droits. Sur la mentalité des achondr
d'achondroplasie. Brit. bled. Journal, 5 janvier 1907. REGNAULT. La main dans l'achondroplasie . Société anatomique, 27 no
sans douleurs et sans craquements. Aucun signe de rachitisme. La main est petite .les os du carpe, du métacarpe et des
nte et, en outre, l'hyper- trophie osseuse frappe en même temps les mains et les pieds, ce qui consti- tue, ainsi qu'on l
si qu'on peut le constater dans les photographies, les pieds et les mains non seulement ne présentent aucune altération de
rôle pathogé- nique : nous engageons donc tous ceux qui ont sous la main des cas d'ostéite déformante de Paget, leur app
du corps, sous la forme de paresthésies, commençant au pied et à la main . Elles étaient sui- vies de secousses cloniques
ssez fréquemment au patient que lorsqu'il tenait quelque objet à la main gauche, celui-ci lui échappait facilement. Un j
omètre : 6 ; 2° épreuve : 6. On ne remarque pas de tremblements des mains dans l'attitude du serment. Membre inférieur dr
échange assez vite la position couchée ou assise, en se servant des mains . Les membres inférieurs sont toujours étendus, le
pendantes en dehors du lit ; elle doit pour- tant s'aider avec les mains . Les mouvements passifs rencontrent un obstacle :
upérieure de la colonne vertébrale et de là vont jusqu'aux doigts des mains . Cet état dure depuis deux mois. Le malade attr
mmencement il marchait tout à fait bien et pou- vait travailler des mains quoique avec une certaine difficulté. Il n'avait,
auche ce mouvement persiste, mais peu énergique). L'extension de la main droite est abolie, à gauche elle est faible. Les
raillements pas- sent dans les jambes. 24. Douleurs brûlantes aux mains . Rétention de l'urine et des matières fécales,
propageaient jus- qu'aux doigts. Peu à peu la force musculaire des mains diminua, en- suite celle des jambes. L'état du
is au coude et rapprochés du tronc. Atrophie des petits muscles des mains . Affai- blissement des membres supérieurs, surt
douleurs irradiantes de la colonne vertébrale vers les 354 FLATAU mains , affaiblissement des membres supérieurs avec atro
use des douleurs. D'autres* mouvements de ce membre (au coude, à la main et aux doigts) sont également affaiblis (à caus
DE PITHIATISME (S. Kopc7JlllslÛ et J. /<H'0.<M/tt . Sur la main , on voit en a une bulle apparue le lendemain de l
. Au-dessus, le pansement cacheté : bl, place où, sur la peau de la main , été appliquée une pièce de monnaie, sous laque
qui suivitaprès la suggestion est apparue sur la face dorsale de la main une vésicule (PI. XXXVI) ; mais quand la même e
des conditions de contrôle rigoureux (pansement cacheté de toute la main ), les phénomènes cutanés ne sont pas apparus. '
tions expérimentales suivantes : à la peau de la face dorsale de la main été appliquée une pièce de monnaie et on a suggér
ar deux rubans de sparadrap, ensuite on a fait un pan- sement de la main de telle sorte qu'on puisse pénétrer jnsqu'à la p
n produisait des contractions manifestes dans les doigts et dans la main . Il sectionna en coupes sériées ce fragment qui
tilité volontaire et la force motrice grossière des doigts et de la main .ainsi que la production des contractions à lâ s
ras chez un garçon flui présentait des mouve- ments athétoïdes à la main gauche, enlève cette région de l'écorce cérébrale
rsley. Si on compare les figures qui illustrent les attitudes de la main de son malade avec les figures que j'ai données
tion fron- tale ascendante laquelle correspond aux mouvements de la main , zone excisée dans le cas de Brodmann, les cell
supérieure de la zone latérale, s'étend sur la largeur moyenne d'une main . Il part en arrière (fig. 4), sur la ligne médi
e zone (ri-.10) ayant en moyenne la largeur assez cons- tante d'une main , occupant tout le territoire d'innervation du 10e
ieds, et parfois même dans les membres supérieurs, spécialement aux mains . Peu de mois après la première apparition de ce
consulter à l'Hôtel-Dieu pour un gonflement considérable du dos des mains , des poignets et des avant-bras, qui s'est dévelo
ement de- puis une douzaine d'années, intéresse la face dorsale des mains . La peau est rosée, lisse et tendue ; mais il e
est un peu gênée mécanique- ment, les mouvements des doigts et des mains sont un peu maladroits. Aucun trouble de la sen
e à des refroidissements, ou lors- qu'elle laisse quelque temps ses mains dans l'eau, les téguments prennent une colorati
oureux, ni spontanés, ni provoqués ; à aucun moment elle n'a vu ses mains devenir livides; pas de crises d'asphyxie local
re réglée ; c'est à cette époque qu'elle re- marqua l'enflure de sa main gauche. Cet oedème, tout au début de son évolut
n évolution, était donc uniquement localisé à la face dorsale de la main gauche ; puis peu à peu il s'étendit à la face do
mes accidents faisaient leur appa- rition sur la face dorsale de la main droite, pour s'étendre depuis, progressi- vemen
extrémités. ' Voici, à titre de document, les dimensions des os des mains . Le premier nombre exprime la longueur totale,
p; Cie, r*diteur<; BRACHYMÉLIE MÉTAPODIALE CONGÉNITALE 439 Les mains ne présentent aucune grosse anomalie. Cependant l
La langue est instable et s'abaisse à droite. Le ser- rement d'une main provoque des mouvements associés de l'autre main,
ser- rement d'une main provoque des mouvements associés de l'autre main , du cou et de la face. La diadococinésie est mé
n un tiers, la surface articulaire du troisième métacar- pien de la main gauche est aplatie, et même légèrement concave tr
t aussi élargie, la glène paraît plus étroite que normalement. A la main droite, les surfaces articulaires se rapprochent
aphie, étaient les suivantes : . 444 CHEVALLIER La longueur de la main , de l'interligne radiocarpien à l'extrémité du mé
ique quelconque. L'enfant est, dit la mère, venue au monde avec des mains tout à fait normales ; au milieu de sa troisième
rpienne droite. Il s'agissait d'une femme de 68 ans présentant à la main droite une incurvation latérale interne des deu
; le sillon interdigital correspondant remonte plus haut que sur la main normale. La radiographie montre la brièveté et
carpe. M. IL Morestin, 1898). Les deux derniers métacarpiens de la main droite sont soudés à l'os crochu ; le plus extern
. 1'1. lui ACHONDROPLASIE (Paul CGetnllier). Radiographies des mains et des pieds de Claudilis. Masson & C,e, Éd
\,.111111111 PlrÎc. BRACHYMEL1E MÉTAPOD1ALI CONGÉNITALE 453 Les mains de Claudius, agé de 28 ans, présentent les mêmes
J 5 des premières phalanges des troisième et quatrième doigts de la main droite. Ces déformations coexistent avec des ex
esellschatf sur Chirurgie. Berlin 1890,p.613. 456 CHRVALHER de la main droite, et parliciiliôremenl des quatrième et tro
chez une fille de quatorze ans un raccourcissement de l'index de la main droile, dû ai la brièveté du métacarpien correspo
énéralement sy- métriques et analogues de forme », les pieds et les mains , dit le catalogue n'offrent aucune altération.
alogue n'offrent aucune altération. Cependant les métacarpiens delà main droite, seule conservée, sont courts, surtout l
le côté gauche et dans le sacrum. Puis contractions spontanées de la main gauche avec affaiblissement de ce membre. De te
aiblissement de la sensibilité (l'hypoesthé- sie) du Se doigt de la main gauche et du bord cubital de l'avant-bras. Par
de la voiture d'Eulenburg. Le mem- bre supérieur gauche, surtout la main , est plus faible que le droit. Troubles sensiti
Le malade ne peut changer sa position couchée qu'en s'aidant de ses mains . Au printemps 1909, l'état du malade s'aggrave
porte son index gauche au bout du nez. L'avant- bras et surtout la main et les doigts gauches sont froids et cyanosés. Ré
en accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les contractions des muscles des mains dépen- daient de l'irritation radiculaire. Outr
presque tous impossibles. Le malade, pour le soulever, s'aide de la main droite. Il réussit à soulever le membre inférieur
lexes tendineux supérieurs. Membre supérieur gauche. Le dos de la main et des doigts de ce membre se montre oedématié.
Toccali l'ol'eechio con la mano. (Touche-toi . l'oreille avec la main .) Il exécute l'ordre. Tocca il cuscino. (Touche
embre supérieur gauche parésie, et qu'il avait toujours écrit de sa main gauche (étant gaucher). On ne note aucun désord
graphie, mais cet auteur dit avoir radiographié' l'avant-bras et la main de Dobos et avoir trouvé parfaite et complète l
y a pas de micromélie évidente soit totale, soit rhizomélique ; les mains et les pieds sont parfaitement conformés. L'exa
ation du nez et la déformation des dernières phalanges des doigts des mains qui sont en baguette de tambour. Aucune trace
la longueur totale du bras est presque normale : l'extrémité de la main arrive au tiers supérieur de la cuisse ; de même
al. Il n'y a donc pas de micromélie totale, ni ryzomélique. - Les mains sont parfaitement conformées : les longueurs resp
s doigts sont telles que chez un sujet normal ; aucune apparence de main car- rée achondroplasique. Le seul fait digne
t l'aspect typique, en baguette de tambour. La peau ne présente aux mains aucune anomalie ; elle est seulement un peu fla
l . MICROSOMIE ESSENTIELLE (E. Levi). Obs I. Radiographie de la main et du pied. Ossification complète. Os SèSat1101de
es des os longs ne présentent le moindre stigmate rachitique. Les mains et les pieds sont parfaitement conformés, allongé
et sveltes ; elles ne présentent pas le type carré. Les doigts des mains sont,quoique moins que chez le père, déformés à
re des extrémités, ni aux grandes.articulations des membres, ni aux mains , ni aux pieds. 554 ETTORE LEVI ' Tous les réf
présente pas la moindre déformation rachiti- que ; les pieds et les mains sont sveltes et allongés et ne rappellent d'aucun
mains sont sveltes et allongés et ne rappellent d'aucune façon les mains et les pieds carrés des achondropiasiques. Dans
roissance des lésions manifestes, connues et classées, des os de la main : nous y reviendrons. Le type de brachymélie
é- rée (Ilirtz et Lemaire ? ). L'anomalie atteint plus souvent la main ; peut-être n'est-ce là qu'une apparence. L'a
les nerfs sont cliniquement intacts. Le doigt semble rentré dans la main entre ses deux voisins. Le raccourcissement est e
nne de 1 cent. 5. On le met mieux en évidence le poing fermé que la main étendue. Les plis cutanés sont plus ou moins mo
nne de la paume. En général, les modifications morphologiques de la main sont légères; elles ont pour résultat de permet
rachymélies méta- podiales. L'anomalie peut être unilatérale. Aux mains ,on l'a vue atteindre lecin- quiète rayon (Stern
chheim). En règle générale, le raccourcissement est symétrique. Aux mains , il atteint le premier métacarpien (Klaunsser :
de Chir., t. XXVII, déc. 1903, p. 657-693 ; p. 660 : Radiographie de mains bien confor- mées ; il y avait des exostoses (c
irrégularité des surfaces articulai l'es dévie les rayons digitaux ( main en trident). Un pli transversal coupe la paume de
digitaux (main en trident). Un pli transversal coupe la paume de la main (Regnault) (1). Il n'y a plus de ces différence
ement des cinquièmes doigts (1) F. REGAULT, Anomalie des plis de la main dans l'achondroplasie et la dysoslose. Soc. ana
les rameaux relativement gros .qui terminent l'artère, radiale à la main , la pédieuse aux extrémités in- férieures ; le
nomène est-il dû à une inflam- mation des tissus qui vont former la main de l'embryon, à une lésion des vaisseaux ou du
t pas impossi- (1) POLAII.LO : 'i, in Dict. Drrlzambre, t. IX, art. Mains , p. 51-52 : dans les fractures, les métacarpien
ANNELONGUE, Sur quelques déformations permanentes des doigts et de la main 586 CHEVALLIER comme volume se trouve en arri
rac- courcissement, et « le doigt parait rentrer peu à peu dans la main , tan- dis que les autres doigts grandissent » (
lanté sur un plan postérieur et supérieur. Ce fait n'existe pas aux mains . M. Marie indique parmi les altérations de la mai
'existe pas aux mains. M. Marie indique parmi les altérations de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe
iiini) l'a vérifié dans un cas d'infan- tilisme du typeLorain, à la main et au pied droits. » (A suivre.) ! «ni . 39 H
cinétique et des troubles très marqués de la diadococinésie pour la main droite et pour la main gau- che. La sensibili
es très marqués de la diadococinésie pour la main droite et pour la main gau- che. La sensibilité était intacte et les
orain. Nous ajouterons encore à ce propos que les radiographies des mains de nos deux nains adultes montrent une ossifica
ent dans la série avec les sujets présentant le faciès lunaire, les mains en palette et le raccourcissement segmentaire des
si nous prenons en considération les radiographies des pieds et des mains de notre sujet, nous voyons que chez lui l'ossifi
ois),bien avancée ; les car- tilages épiphysaires des phalanges des mains et surtout des pieds sont réduits à une lamelle
e épileptique. Même anomalie chez un des frères de la malade. Les mains de notre malade, Clotilde H..., sont petites ; le
f le cinquième qui décrit une légère courbe à concavité radiale. La main gauche est normale, la droite présente sur son bo
cin- quième. La motilité est parfaite. L'image radiographique des mains ne révèle aucun phénomène pathologique touchant
ut réformé à cause de ses anomalies sque- lettiques. Chacune de ses mains possède six doigts. A droite, le doigt sur- num
sur la partie dorsale externe de la tête du quatrième mé- Ons. V. - Mains du frère de Clôt. H... BRACHYMÉLIE MÉTAPODIALE
culations semblent ankylosées, en sorte qu'il fait saillie quand la main est fermée. Le pied gauche semble normal. Le pi
me rayon pied droit) ; un rudiment de doigt sur le bord cubital de la main , rudiment dépourvu d'os. Ces fais complexes d
ires des raies et les pattes des cétacés. La forme ancestrale de la main et du pied des mammifères n'était pas penta- da
phie musculaire. L'anomalie est plus nette à droite qu'à gauche. La main est plate dans son ensemble, le premier métacar
a contractilité faradique et galvani- que de tous les muscles de la main . L'atrophie en effet n'est pas musculaire, mais
pas. Tous les doigts sont d'ailleurs frêles, grêles, effilés et la main est à peu près du volume de la main d'un enfant
s frêles, grêles, effilés et la main est à peu près du volume de la main d'un enfant de 5 à 6 ans. 694 CHEVALLIER ANOM
re de travaux ont été consacrés à l'étude des doigts des pieds et des mains . En ce qui concerne les déformations digitales,
t liés entre eux; 8° parfois la réunion des doigts des pieds ou des mains se fait de telle manière, que la main ou le pied
des doigts des pieds ou des mains se fait de telle manière, que la main ou le pied sont compara- bles à des « pinces de
ort aux doigts aussi bien qu'aux orteils ; cependant les doigts des mains , outre ces modifications, peuvent en subir beau
res. Ainsi Ronades et Sérieux ont décrit un cas où l'index des deux mains était plus atrophié et plus court que l'auricul
aire étaient courts, et dans ce dernier cas, l'auriculaire des deux mains était recourbé en crochet. Cestan (3) décrit un
ncliné de côté. Boix (4) a décrit une déviation des doigts des deux mains du côté cubi- tal, ce que Brissaud avait appelé
bservation plus intéressante : il n'a trouvé que quatre doigts à la main gauche; le pouce était joint à l'index par une
ouce; et la place du médius il y avait une grande fente. De même la main droite n'avait que quatre doigts et le pouce étai
en arc. Apert et lllorisetti (8) ont ob- servé le cas suivant : la main droite n'avait que quatre doigts, le pouce manq
sa base au majeur. 1 La môme disposition existait aux doigts de la main gauche, seulement l'index et le pouce n'existai
ls mentionnent les cas suivants : 1° un cas de polydactylie (6) aux mains et aux pieds (il y avait des petits doigts supp
ntaire; les annulaires supplémentaires ou non supplémentaires de la main droite formaient avec d'autres doigts la « pinc
(type en «pince de homard o). Huggiero (10) mentionne un cas où la main droite était semblable à une pince ; une branch
t à peu près les mêmes anomalies ; ANOMALIES DES ORTEILS 697 la main droite était normale. Pauly (11) a décrit une dév
ù la mère, la fille et le petit-fils n'avaient qu'un seul doigt aux mains . Enfin, on a enregistré un certain nombre de cas
. Enfin, on a enregistré un certain nombre de cas dans lesquels les mains et les pieds d'une personne, présentaient à la fo
spect en « pince de homard» ; dans d'autres cas, c'était tantôt les mains , tantôt les pieds. Tel est le cas de Raymond et
eux. Ainsi, dans le cas de Raymond et Janet (15), il n'y avait aux mains que deux doigts : un pouce et un autre doigt form
avait pas trace d'autres doigts. Dans le cas de Thibierge (16), les mains et les pieds n'avaient que deux doigts; le pouc
les mains et les pieds n'avaient que deux doigts; le pouce des deux mains était recourbé et retourné sur sa convexité du
ourné sur sa convexité du côté du radius ; en outre, le pouce de la main gauche avait tourné au- tour de l'axe vertical,
le considérable ; l'annulaire et l'auriculaire étaient unis aussi. La main gauche représentait le même aspect et avait en
t rudimen- taire. Pour en finir avec les anomalies des doigts des mains , j'ajouterai que Kraepelin (21), dans la derniè
tion de son Cours de psychiatrie, pré- sente une photographie d'une main où l'annulaire et l'auriculaire sont identiques
le voit par l'aperçu ci-dessus exposé, les anomalies des doigts des mains ont été étudiées suffisamment en détail. Les dé
Cet individu avait aussi un cas curieux de syndactylie des doigts des mains . ' ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'È1RIÈRE.
rmations congénitales des quatre membres, lésions symé- triques des mains et des pieds. Revue de chirurgie, 1903, p. 349.
es, 1904, p. 285. 15. F. RA310tiD et P. JANET. - Mal formations des mains en pince de homard. Nouv. Iconogr., 1897, p. 36
Nouv. Iconogr., 1897, p. 369. 16. G. Thibierge. Une femme homard, mains et pieds à deux doigts. Nouv. Iconogr., 1908.
ogr., 1908. 17. SuGRES et Il.* LECLERC. - Un cas de bidactlie de la main droite. Nouv. Iconogr., 1894, p. 244. ANOMALI
22. LE Roy des BAIIIIES et GAIDE. - Malformations congénitales des mains et des pieds. Giz. des hôpitaux, 1904, p. 697.
nités du défunt : l'un, casqué et cuirassé, porte une lance dans sa main gauche, tandis qu'il appuie sa main droite sur
irassé, porte une lance dans sa main gauche, tandis qu'il appuie sa main droite sur une hache émergeant d'un faisceau de
24 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . TOME DIX-SEPTIÈME. 2° SÉRIE. PARIS. BURE
e bougie ardente •„ son voile d’étamine lui couvrait le visage et ses mains se cachaient dans de longues manches. Elle lui di
nseigner le chemin de perfection. L’archange en lui parlant posait la main sur son cœur ; et elle se sentait entraînée vers
de force dans des positions tout à fait contre nature, tandis que des mains inv isibles attachaient leurs sandales, leurs dis
s dortoirs. Une sœur plusieurs fois fut enlevée de sa cellule par des mains invisible et retrouvée en des lieux éloignés du m
du sang par le nez. Une troisième reçut sur la joue de la part d’une main mystérieuse un soufflet qui fut entendu de ses co
la pauvre sœur Marie duSamUEsprit, il lui jeta un jour la tête et une main dans le feu, ce qui eut lieu sans lamoin-dre brûl
t imprimés à des personnes vivantes ou à dos matières inertes par des mains invisibles, nous y avons la plus grande foi. L’hi
orceaux, que des (leurs ont été cueillies sur des jardinières par des mains invisibles et ont été distribuées aux dames-, que
ngtemps, et se relèvent tout de même et en un moment sans s’ayder des mains . 5- Qu’elles se portent sur le plancher, sur l’
x parties, coulent de cette façon sur le plancher, sans s’appuyer des mains , et n’est pas possible de toute force leur pouvoi
isser le ventre ainsi élevé et pendant ce temps, ont les pieds et les mains recrachés comme des crampons en pieds de chapon r
raordinaire, elles se relèvent de terre en un instant sans l’avde des mains et sans témoigner aucune lassitude ny débilité ,
te la première sans se blesser. 7° Que, s’estant battu la tête, les mains , les coudes et les pieds fort longtemps contre le
t même à la réveiller. C’est alors seulement qu’on s’aperçut que sa main était crispée et serrait avec force la corde. Tou
Cependant on put, avec beaucoup de patience, arracher le cordon de la main , mais voilà tout. La crispation augmentait prod
ras en catalepsie complète, en démagnétisant ensuite et le bras et la main . Tout cela ne fit pas grand’-chose. Je ne me déco
sa échapper un soupir de bonheur, car, comme par enchantement, sa main et ses doigts venaient de recouvrer leur usage.
ourmentés et frappés de vertiges; qu’on lui surprit souvent entre les mains des livres de magie; qu’il avait tou jours écrit
mbée en cette abomination après renonciation par elle faite entre les mains dudit évêque ; d’avoir abusé des saints sacrement
de s empêcher de reconnaître que d’autres séducteurs y avaient mis la main . On se contenta de renvoyer les religieuses dans
révost, d’E-yreux, correspondant de l'institut, aujourd'hui entre les mains de M. d’Ac-quigny, — 15° Récit de ce qui s est pa
gnèrent jusqu'au lieu indiqué. L'un d’eux lui voyant une partie de la main fermée, la lui fit ouvrir et.y reconnut un petit
à une porte donna une sensation désagréable, et le sujet se frotta la main sur ses habits comme pour la faire cesser plus vi
ait vers les objets que je lui indiquais et qu'il les prenait dans sa main . J'ai renouvelé plusieurs fois cette expérience
ombeau vide et son vieux saule qui tombe en ruines et dont plus d’une main pieuse a détaché l’écorce et les branches. 11 p
e, ils restèrent muets, et nous attendîmes en vain l’apparition de la main lumineuse qui, telle que jadis au festin de Balta
t, les esprits ayant été invités à la reprendre, elle fut retirée des mains de presque tous les membres de la réunion qui
re, tintement d'ime sonnette, sonnette arrachée très-violemment de la main qui s'efforce de la retenir ; balancement violent
sus de son support, et oscilla dans l’air sans être touché par aucune main . « 2. L’accordéon se porta sur les genoux de M.
genoux de M. Willis. Celui-ci l’ayant pris, et le tenant d’une seule main entre ses jambes, l’instrument joua à ravir, et e
e inutile de rappeler que pour jouer de l’accordéon l’emploi des deux mains est nécessaire. i 3. La lampe ayant été éteinte
epris quelques expériences plus directes. Je saisis l’accordéon d’une main , le fixai entre mes genoux, et, à l’aide des pied
rirent l’accordéon à leur tour, mais il ne rendit aucun son dans leur main . Il est bon d’ajouter que je tenais l’accordéon p
n d’ajouter que je tenais l’accordéon par un seul bout et d’une seule main , et que je ne sais point jouer de cet instrument
jouer de cet instrument ; disons encore que tout le cercle avait les mains sur la table, et que j’étais hors de toute attein
ière parfaitement distincte, l’instrument couché sur le dos : pas une main ne le tondrait, mais de faibles tueurs mciflantei
treinte délicate sur mes pieds, ressemblant exactement >àceüe«T«ne main avec la pression tiis-tiacte des doigta. Après av
oelle qu’éprouvent deux personnes quand elles se prennent par la main pour compléter le circuit (Tune batterie électro-
a table accuser les mêmes sensations simultanément. Je mis ensuite la main sous la table, et pareil contact s’y imprima avec
act s’y imprima avec plus de force encore. Cependant tous avaient les mains sur la table, eü j’étais horsde l’atteinte de M.
eurs yeux adressaient des regards suppliants à la compagnie ; mais la main invisible qui les balançait dans l’espace savait
ut son éclat, nous fûmes saisis d’tan frisson d'horreur en voyant une main étendue au-dessus. On serait excusable, sans dout
es sens en pareil cas ; il n’y avait pas cependant à s’y tromper ; la main tout entière , pâle comme celle d'un cadavre et d
enait d’un esprit, » été tracé en notre présence sans l’aide d’aucune main , soit du médium soit de toute autre personne en c
ystérieusement et placés ensuite, par un procédé invisible, entre les mains de l’enfant. Pendant mon séjour à la campagne,
’honneur d’avoir pour ami, m’a dit avoir vu souvent et tenu entre ses mains un pigeon blanc, d’une variété entièrement inconn
it la première, et ainsi de suite. Quand les quatre doigts de la même main eurent été actionnés, elle dit entendre un concer
trême difficulté de faire le tour de ma maison. M. Huddleston posa sa main précisément sur le siège de la douleur, sans que
ler, par la pensée, l’âme qu’on veut consulter et à lui abandonner sa main armée d’un crayon ou mieux encore d’une plume. »
r les signatures avec paraphe des défunts dont les esprits meuvent sa main , et qu’il obtient ainsi les signatures de personn
On comprend dès lors qu’un médium, frappé de l'idée préconçue que sa main va être l’instrument passif d'une volonté étrangè
ner les communications de celle-ci; et quand le médium abandonnait sa main à son amie, le mauvais esprit prenait sa plate ,
la haine des impies soit la première vertu, et le fanatisme armera la main d’un Balthazar Gérard, d’un Jacques Clément, d’un
) : « Les Heures de la « supérieure furent arrachées deux fois de ses mains , et je-« tées à ses pieds, et, au moment où il (s
pour la seconde fois, il reçut un « soufflet, sans qu’il pût voir la main qui le lui avait donné.» M. Dumas ne pouvait pa
coups donnés à distance, qui rappelleraient le soufflet donné par une main invisible. Beaucoup de traits épars, dans la no
« change exécuté. Les démons tirèrent les trois hosties d’entre « lès mains de leurs suppôts et les mirent au pied du soleil
andu parmi les hordes sauvages « des Montagnes Hocheuses, de poser ma main sur les yeu* « d’un veau et de souiller fortement
’un lasso, il avance graduellement jusqu’à ce o qu’il puisse poser sa main sur les yeux de l'animal et qu’il , soit parvenu
uel, voulut que l’on consultât une somnambule. La somnambule, aux mains de laquelle ou plaça une cravate de Jules, répond
qui les consultent joueraient à coup sûr et n'auraient qu’à mettre la main dans le sac pour y puiser à discrétion. Ce serait
ne peut rien induire de semblable de ce que le magnétiseur a posé la main sur le siège de la douleur, sans que le patient l
ujourd’hui, s’évanouiront comme de vains songes sous le souffle ou la main d’un ami de l’humanité. Baron du Potet. M“* Q
fort curieuses , soixante-sept fac-similé d'écritures tracées par des mains invisibles. La seconde partie du livre, la plus c
. Rarey a d'ailleurs une manière à lui de flatter les chevaux avec la main ; quant à scs effets, il ne les manque jamais, et
uccessivement ses quatre pieds, qu'il a frappés sous le sabot avec la main , puis il a passé entre les jambes de devant, et l
t M. de Nesselrode, qui vint au-devant de lui, s’inclina, lui prit la main et la baisa. Le contact de ses lèvres froides rév
cette enfant, les spectateurs remarquent que sa ligure pâlit, que ses mains deviennent tremblantes et que des crispations ner
sans le toucher, ou avancer une table d’un pied sans l’impulsion des mains ; s’étant montré impuissant à rendre la commission
t n’a qu’à prendre mie plume avec une intention de médium pour que sa main se mette aussitôt à écrire des dictées réputées s
des dictées réputées spiritualistes. Si les esprits qui conduisent la main des médiums sont ainsi à la disposition de ceux-c
ment des esprits moteurs de tables, joueurs d'accordéon, montreurs de mains , etc. Que les esprits choisissent leurs genres
les, nous aurons alors la satisfaction de les voir reconstruire d'une main en démolissant de l’autre. M. Morin déclare n’a
magisu e , la faute en est à vous qui ne répandez la vérité que d'une main si avare, quand vous pourriez en inonder le monde
et toute la magnificence dont elle était ornée quand elle sortit des mains du Créateur. Le sentiment du prix et du bonheur
e de cartes ; les yeux sont bandés d’un triple bandeau : cependant sa main est guidée plus sûrement et avec plus d’intellige
sœur, répéta-t-elle avec énergie. Elle m’a parlé, elle m’a touché la main , je l’ai vue comme je vous vois, là, dans la cham
nt ou abaissent la tête. Or, un léger frôlement répété, exercé par la main de l’homme sur ces muscles, exactement sur le som
le docteur se rendit de suite à la chambre du malade, le prit par la main , fit sur lui quelques passes et lui dit : Vous se
ourd’hui même, je ne puis rester froid en présence d’une œuvre de mes mains . La science officielle n’offre rien de comparab
nnemi sérieux n’est point là; il est où on reconnaît les faits de nos mains , ces œuvres magnifiques, pour en altérer le vrai
ient bien leurs raisons pour empêcher qu’il ne tombùtja-mais dans les mains du peuple. Ici est le crime impardonnable des sav
n immense cri d'indignation s’éleva contre co téméraire qui d'une main sacrilège touchait aux dogmes établis ; on lo déc
faut maintenant grouper el peser les faits qu’il a produits à pleines mains . A Ja multiplicité , à la confusion des expérienc
Trinité symbolique Vous inspire et vous fasse fort. Si jamais votre main se lasse, Aspirez la foi dans l’espace, Elle
l'àme qui s'en va, par le Seigneur choisie, Guérir en imposant les mains ? laissons rire la foule et sa pâle ignorance, M
Et l’harmonie, attribut magnétique Avait un temple (I) élevé par ses mains . Temple sacré, la noire calomnie Souffla sur to
porte donc que Paul soit fluidiste, Si la vertu conduit toujours sa main ? Ou que Warcel soit spiritualité, Si du vrai
n voisin, Je cède au désir qui me presse, Et je me lève, verre en main . Je veux, par charité chrétienne, Boire à nos
ertains, Puisqu'ils possèdent des mâchoires, Dont Samson eût armé ses mains . Flourens, professeur ridicule, Quand il nous
e fruit qui naîtra. Marchons !... sans orgueil, sans outrage ; La main de Dieu nous conduira. Comme un essaim qui se r
it. En effet, le manant court à son écurie, Revient la fourche en main Suivi de son gamin, Appelle le voisin, Qui s'
omme nous, tout disposés qu’ils sont, à remettre leurs armes dans les mains de leurs ennemis, croyant (fue la lutte est finie
s attractions. Les académies modernes ont dit: « Le magnétisme Im-« main n’existe pas; son prétendu titre ne signifie que
z-vous si bien scrutée que vous puissiez vous la représenter comme la main d’un artisan à son métier? Non ! généralement on
u’enfin ce monument élevé à l’absurde semble l’être à la fois par les mains savantes de l’érudition et par les mains violente
ble l’être à la fois par les mains savantes de l’érudition et par les mains violentes du fanatisme. » Passons maintenant à
rcle, et nous y introduisit en nous prenant l’un après l’autre par la main . Il distribua ensuite les rôles. Il remit le tali
main. Il distribua ensuite les rôles. Il remit le talisman entre les mains de son ami, le nécromant, chargea les autres de v
du feu h Vincenzio, qui fut assistéparAgnolino Gaddi,et il me mit en main letalisman,en me disant de le tourner vers les en
brûle, et le feu vient sur nous. Puis il sp. cacha le visage dans ses mains , et répéta qu'il était mort et qu'il ne voulait
e pour estre des siennes, il lui fit faire le signe de la croix de la main gauche, puis commanda à tous de le venir saluer,
uille j’agite une plume, quand par le rayonnement de la chaleur de ma main je fais monter un thermomètre très-sensible, j’ag
nombre des opérateurs : le contraire a souvent lieu ; c’est sous les mains de quatre ou cinq personnes bien groupées, qu’on
au. Aussi est-ce avec joie, avec cordialité que l'on s’abordait ; les mains étaient sympathiquement serrées, on se félicitait
ibertó où l'on prive de la science quiconque se permet d’appliquer la main sur son semblable, soit pour le tuer, soit pour l
e vous ferais pas appeler. Voici comment j’ai procédé en prenant la main de la malade que chaque bruit de porte, de fenêtr
anos commença; je lui demandai ce qu'il fallait pour la calmer. — I,a main entre les deux épaules. Ah ! que c’est bon, que c
eau gazeuse, avec peu de vin, pour liquéfier le sang. Ayant quitté la main en ce moment, l’ouïe abandonna les doigts; je la
arrière contre lacuisse, qui nepouvait marcher qu’en s’aidant de ses mains , et dont le genou présentait une grosse tumeur, a
sée, que la sonnette frappa fortement sur mon pied, en même temps une main m’empoigna le bas de la jambe, me palpant douceme
la jambe, me palpant doucement en montant jusqu'au* genoux; je mis ma main sur cette main, cherchant à la saisir par les
lpant doucement en montant jusqu'au* genoux; je mis ma main sur cette main , cherchant à la saisir par les doigts, mais,
t de mes doigts aussitôt que je la serrais; quatre fois je pris cette main froide, quatre fois elle fondit dans mes doigts.
tants d’attente, je vis par la clarté du feu que madame X... avait la main et les yeux vei s le ciel dans une apparence d’ex
Rose de me donner quelques marques de sa présence. J’avais une de mes mains placée sur mon genou gauche et l’autre sur la tab
r la table ; quelques instants après avoir formé ce désir, une petite main froide se posa sur la mienne qui était sur mon ge
caressant légèrement pendant dix minutes, je pus sentir cette petite main caresser la mienne depuis le poignet jusqu’au bou
dais bien d’interrompre en voulant saisir ces trois petits doigts. La main disparut, et en même temps je sentis qu’elle grim
sur mes genoux où elle s’assit, et, quoique invisible, et quoique mes mains ne pussent rien toucher, le poids d’un corps étai
se qui me chatouillait les jambes à la hauteur des genoux; j’y mis la main et je trouvai que c’était mon foulard si artiste-
ant sur le papier, et après quelques minutes, il me fut remis par une main invisible à la hauteur de la table. Les chandelle
mesure sur les cordes. La chanson finie, la guitare fut passée par la main de notre invisible convive par-dessus les genoux
as plutôt fini le premier couplet, que la guitare me fut arrachée des mains et placée sous la table. Je lui demande pourquoi
coups)? Rends-moi l’instrument!» A l’instant il me fut remis dans les mains . Alors je chantai la tarantelle napolitaine, qui
r le battant pour ne pas réveiller le voisinage (c’est une sonnette à main de six pouces de diamètre). Malgré cela, Jinn et
ible de les suivre. On dit : « .linn, tu vas trop vite. » Aussitôt la main du médium fut influencée ; elle prit le crayon (q
de quitter le cercle, quand je me sentis pris par les jambes, parles mains , et, malgré mes efforts pour me délivrer, je n'en
nts si marqués, que nous fûmes obligés de tenir les flambeaux avec la main pour les empêcher de tomber. Pendant ces mouvemen
articulière pour moi, et m’en donnait des preuves en introduisant ses mains entre mes pantalons et ma jambe gauche , me magné
les manifestations habituelles , nos chapeaux furent déposés par des mains invisibles devant nous sur la table ; la chambre
ordinairement quelqu’un de nos parents morts avant nous, nous tend la main et nous emmène à travers les airs jusqu’où est no
nts de cette science divine !... Les guérisons par l’imposition de la main sont très-ordinaires en Amérique. C’est étonnant
les yeux et l’objet, avec faculté pour la somnambule de promener ses mains sur une plaque de verre recouvrant ledit objet. O
rois minutes pendant lesquelles le docteur se tient auprès, montre en main , la masse de métal est changée en une monnaie d’o
tisme, de ce principe dont la nature est inconuue etqui peut par des. mains intelligentes opérer des œuvres tellement capital
ne porte. Etonné et déjà inquiet, j’allais en tâtonnant, promenant la main sur les parois froides et nues ; tout à coup, une
e, peignait ma vive contrariété. « Je saisis lin pistolet de chaque main , et je repris l’escalier de la gïande tour, car j
l l’enveloppait, excepté à la place du cœur, sur lequel elle avait la main gauche placée. « Sous le poids de cette série d
fantôme, car je n’en ai point encore fait la différence, me lendit la main et me dit, comme si ma pensée lui était connue :
es pistolets avait fait feu.... mais l’autre était resté armé dans ma main .... mais un fragment de la bride du cheval était
’on voit votre lumière. Diogène, il est vrai, tenait sa lanterne à la main , mais il cherchait seulement un honnête homme ,
rtie quelconque de la chaîne. « 11 fallait d’abord s’assurer que la main n’avait aucune influence sur ce mouvement, par un
t au-dessus de l’électrophore. Or, aussitôt que Schaef-fer eut mis la main sur le support, à deux pieds de la cloehe du mili
t au sud, on plaça deux êlectrophores. Dès que Schaefler y eut mis la main , l’une des cloches oscilla vers le sud ou l’est,
ore à dix pieds de distance de lui et de côté, Schaefler ayant mis la main sur la tige du pendule, on y remarqua aussitôt de
pendit le pendule ; puis Epp et beaucoup d’autres encore, y mirent la main sans qu’il en résultât aucun mouvement. Mais lors
l en résultât aucun mouvement. Mais lorsque Schaefler leur mettait la main sur les épaules, le pendule se mettait à osciller
oi est découverte, tous les hommes sont prévenus; qu’ils imposent les mains et les malades guériront. Nous extrayons ce curie
épulture, mes assassins vivent en paix. Ami, ma vengeance est dans ta main ; au nom de l’honneur, je te somme de revenir sur
se. « En conséquence, je la fis asseoir devant moi, je lui pris les mains dans les miennes, et je la regardai fixement dans
it ni ma voix, ni le son de l'harmonica ; je lui pinçai fortement les mains , elle ne le sentit pas. « Je voulus la démagnét
on ami, après s’être mis en relation avec moi en me te- liant une main , se mit à l’œuvre et travailla à démagnétiser la
n'accusait plus par signes que les douleurs d’estomac. Elle posa ses mains l’une sur l’autre , l’une prenant successivement
ologiede s’élever au rang des sciences; ils l’ont laissée ton ber aux mains des charlatans. Cessez, messieurs, de vous en lam
tre le besoin irrésistible de déchirer ce qui est à la portée de leur main , de griffer les gens; le magnétiseur est ordinair
ement la victime de ces enfantillages ; mais, je le répète, entre mes mains , jamais il ne s’est produit un fait regrettable;
; leur conversation plaît, on la recherche, on aime à leur prendre la main , à s’appuyer sur leurs bras ; leur rayonnement a
s, vous maugréez contre le vendeur, tandis que celui-ci se frotte les mains , rit dans sa barbe, sachant très-bien que vous av
andit et m’amena un jeune homme qui, depuis six mois, était entre les mains des mé e cins, et au bout de ce temps, sans espoi
aux crises, elles n’ont plus reparu depuis la première imposition des mains par le médium. Si j’avais destiné cette lettre
, « et des membres de la Convention y assisteront, le chapelet « à la main , si on veut bien le leur permettre. » Bailly penc
pu arranger à leur aise cette mystification ; ils en avaient sous la main tous les moyens et en disposaient fort librement.
ur mate qui frappe si péniblement chez les morts, était radieuse; ses mains , dont je sentis bientôt la pression sur les mien
-ci en agitant les membres inférieurs ; parfois ce sont les bras, les mains qui reçoivent un ébranlement singulier ; parfois
cter la tête, les effets parfois ont lieu loin de la direction de vos mains . Voulez-vous borner l’action de cet agent une rég
donnée que vous apercevez distinctement parfois. Ainsi dirigeant une main , un doigt sur la main d’un sujet sensible, il cou
evez distinctement parfois. Ainsi dirigeant une main, un doigt sur la main d’un sujet sensible, il court le long des nerfs d
e n’est plus permis ; ainsi bandant les yeux du sujet et dirigeant la main sur un endroit quelconque, le sujet nes’y trompe
il avertit du point correspondant à la ligne droite qu’indique votre main . J’ai pu sur des aveugles somnambules faire plus
des animaux obtenu les mêmes résultats ; la partie où je dirigeais ma main et d’une assez grande distance éprouvait des seco
pouls était à peine sensible, les extrémités froides, les doigts des mains livides et glacés. A minuit, les deux docteurs se
tre enfant aurait pu être sauvée ! » Madame Tripple posa une de ses mains sur la tête de la malade, et appliqua l’autre sur
Il venait de s’écouler juste quinze minutes depuis l’imposition des mains , quand je sentis la chaleur ramenée aux extrémité
de la serrure et ne pouvant, dans son ingénuité, deviner comment une main humaine avait pu introduire ce papier, n’hésita p
pareil commerce. 11 ne suffit pas de dire que cet esprit écrit par la main d’un médium ; il y a encore à établir que cette é
atures qui lui servent d’instrument. Il faut donc le démocratiser aux mains généreuses et compatissantes; mais les autres ne
es il s’est glissé un traître, on ne peut guère se flatter d’avoir la main plus heureuse que le Sauveur, et l’on peut regard
e qu’un individu nommé Lane, étant moribond et privé de sentiment, sa main a écrit des discours étendus sur le spiritualisme
us sur le spiritualisme, et que vingt-quatre heures après sa mort, sa main , mue par une force mystérieuse, s’est encore mise
tés. Nous ne savons sur quels faits il se fonde pour assurer que la main gauche attire et absorbe, tandis que la droite re
rcher clans ma pensée à qui j'avais affaire, je vis et je sentis deux mains passer sur moi en sens iliflérents entre la tête
s manipulations. Je sentais la douleur se retirer chaque fois que ses mains passaient sur moi. En quelques moments je fus ent
urs si violentes qu’elle était presque hors d’elle-même. Je sentis ma main serrée par une main invisible qui me conduisit à
elle était presque hors d’elle-même. Je sentis ma main serrée par une main invisible qui me conduisit à travers un verger, d
ne mousse épaisse. Ensuite je fus conduit vers le mur de clôture ; ma main fut attirée par une force irrésistible au fond d’
in, vous me magnétiserez la poitrine pendant dix-huit minutes avec la main droite, ayant soin de placer votre main gauche .s
dant dix-huit minutes avec la main droite, ayant soin de placer votre main gauche .sur la tête et de laisser tomber vos doig
culairement sur le bout de votre nez, afin d’établir un courant de la main gauche à la main droite, celle-ci devant fonction
e bout de votre nez, afin d’établir un courant de la main gauche à la main droite, celle-ci devant fonctionner à la hauteur
, une portion du plus pur de votre sang passera dans mon corps. Votre main gauche perdra toutes ses forces; après les dix-hu
iendra brûlante , et les cinq minutes écoulées, vous tracerez avec la main droite sur le creux de la gauche une croix allant
ne lettre ; par cette lettre, adressée à votre mère, il demande votre main . Un peu plus tard , je vois arriver chez vous une
papier ; ça pourra gêner le médium, mais non l’Esprit qui conduit sa main . — Posez sous les yeux du médium des questions éc
mouvements sans contacts, apports d’objets matériels, apparitions de mains , pianos jouant tout seuls, écriture directe des e
ucune expérience de ce genre de travail, ils prirent le fil à pleines mains , plaisantant sur les sensations agréables ou étra
que tout à coup deux de ces canonniers, qui tenaient le fil dans leur main , jettent un cri des plus aigus :l’un d'eux reste
ut de quelque temps, on observa que celui qui tenait le fil avait les mains brûlées. On lui demanda ce qu’il avait éprouvé :
écipité à terre ; il avait la chair brûlée de la même manière que les mains de celui qui avait tenu le fil : il avait éprouvé
orps de celui qui était tombé mort ne présentait que des brûlures aux mains , rien de plus. Pendant que cela se passait sur
s Esprits, et particulièrement de l’archange Raphaël, obtenues par la main de Mary Kahlhammer et par la bouche de Crescentia
annoncé au grand ébahissement de tous les spectateurs qui battent des mains , qui trépignent et me témoignent leur satisfactio
la ferme volonté de faire disparaître la maladie, des impositions des mains sur toute la jambe douloureuse, et après, je lui
ant à me faire garder pendant cinq minutes son passe-partout dans mes mains . Naguère encore, à la fin du mois de septembre de
rles, raconte, à qui veut l’entendre, qu’avec une seule imposition de mains , M. Manlius Salles faisait cesser en lui les plus
Je voudrais bien vous consulter sur quelqu’un, dit en lui donnant la main pour se mettre en rapport, une vieille fille qui
un frein à l’exercice de cette science nouvelle, si salutaire en des mains prudentes, si dangereuse en des mains inhabiles o
e nouvelle, si salutaire en des mains prudentes, si dangereuse en des mains inhabiles ou coupables, voilà ce que demandait Me
ctrine, il y avait un écrit que le hasard avait fait tomber entre ses mains , et qui avait été composé par un docteur indien d
doit se mettre en face dans un lieu sombre et silencieux, étendre les mains vers lui et vouloir. Alors le charme commence , v
et le sujet s’endormit graduellement. Alors le magnétiseur dirigea sa main sur son visage, et tout à coup le sujet remua la
veillé, il clier-chaà rendre compte de ses impressions. Il appuya ses mains sur les bras du fauteuil, alin de se lever, comme
vait ; mais il bégaya deux ou trois mots, passa deux ou trois fois sa main sur ses yeux comme pour dissiper un brouillard, e
ndre ni achever ce qu’il avait commencé ; puis, passant de nouveau sa main sur ses yeux, il les frotta comme un homme qui n’
nta qu’il avait senti un chatouillement agréable dans les-bras et les mains . Je n’ai pas, dit-il, perdu entièrement connaissa
de. « La sous-commission constate que Je sujet a la peau moite, les mains froides, le pouls tranquille donnant 96 pulsation
inute», après, le sujet paraît endormi. Le magnétiseur applique' ses; mains au-dessus de celles du sujet, comme pour l’attire
ut : alors les doigts du dormeur se mettent à trembler, puis toute la main est agitée de mouvements’convulsils en exécutant
ant des vibrations d’au moins un pouce. M. Collyer applique son autre main sur celle du sujet, et on voit se produire sur ce
ond affirmativement. On le prie ensuite de désigner ce que tient à la main une de ces personnes, il répond un pied. Il se tr
, il répond un pied. Il se trouve qu’une de ces personnes tenait à la main le pied d’un tabouret. « A 5 heures minutes, M.
il est debout, soupire profondément, remue les épaules , se passe les mains sur la figure, se frotte les yeux, puis étend les
a presque un traité de médecine dans ces trois mots : Imposition des mains ; il y en a un dans cette ligne : se recueillir,
reil en papier ou en paille qu’on faisait mouvoir en en approchant la main à une distante de quelques décimètres ; ce mouvem
à l’action du fluide magnétique, n’était dû qu’à la chaleur de la main . Il est probable que la découverte de. M. Rutter,
ou un veau se trouve placé entre ses jambes. Des fleurs sont sous sa main ; il en cueille quelques-unes, qui doivent servir
ait de la Patrie du 1(5.) J’admire ce personnage qui, la canne à la main , se présente à moi d’un air d’importance et me t
iens leur ont donné l’envie d’exercer leur pensée et d’é-tendre leurs mains ; le lluide s’est montré en faisceau lumineux et,
tre. Elle avait la mine dure et maussade , une toilette ridicule, des mains et une voix de harengère. On l’endormit. Le p
? ne l’apercevons-nous point dans le somnambulisme? les faits de nos mains et de notre pensée n’ont-ils pas une valeur? Cess
res lueurs; bientôt ils reconnaissent que ces lueurs partent de leurs mains ; puis, les mains des assistants deviennent ;\ le
t ils reconnaissent que ces lueurs partent de leurs mains ; puis, les mains des assistants deviennent ;\ leur tour visibles;
té humaine serait manifeste. Pour les sensitifs, le rayonnement de la main droite et de la main gauche ne serait pas le même
ifeste. Pour les sensitifs, le rayonnement de la main droite et de la main gauche ne serait pas le même. La lueur de gauche
nce polaire n’affecte pas que la vue des sensitifs. Si l’une de leurs mains touche une main, ils éprouvent une sensation de f
ecte pas que la vue des sensitifs. Si l’une de leurs mains touche une main , ils éprouvent une sensation de fraîcheur agréabl
sujet soumis à l’exploration devait se placer à l'ombre, tenir d’une main un tube de verre d’environ un mètre de long, et e
, et exposer l’extrémité de ce tube aux rayons solaires. Selon que la main qui tenait le tube était la droite ou la gauche ,
s-légèrement sur le mur d’une chambre, l'impression « éprouvée par la main gauche sera considérablement plus « fraîche et pl
idérablement plus « fraîche et plus agréable que celle que sentira la main « droite. « Terminez par une troisième expérien
eux clefs de fer sous une feuille de « papier ou sous un mouchoir, la main gauche d’un sensi-« tif, en passant au-dessus, ou
nsitive les décla-« rera infailliblement en passant au-dessus avec la main « gauche. « En voilà assez : celui chez lequel
tte nuit; elle n’entend ni ne connaît personne, gesr ticule, tend les mains comme si, parlant avec quelqu’un,.elle voulait s’
tranquille et souriante, mademoiselle Kurz gesticule, parle, tend les mains comme si elle voulait s’élancer dans les bras des
rmal sans rien se rappeler de ce qui s'était passé. Elle me serra les mains , et sembla vouloir rassurer, par son sourire, sa
t souriante ; mais, hélas ! en m’approchant d’elle et lui serrant les mains , des convulsions musculaires éclatent, une espèce
e, signe de damnation. Tout en disant ainsi, je jette ma pierre d’une main tremblante et avec un horrible battement de cœur,
yeux la lumière brillante du jour. Pourquoi avais-je mon couteau à la main ? c’est ce que j'ai complètement oublié, mais ce
précisément nuisibles. On y trouva encore un écrit tout entier de la main du prince ; il contenait des choses tellement ext
nt ou abaissent la tête. Or, un léger frôlement répété, exercé par la main de l’homme sur ces muscles exactement sur le somm
t en point. La mémo personne, à l'état de somnambulisme, a tracé de main de maître le portrait de plusieurs personnes qu’e
estimés, le chloroforme, employé comme nneslliésique , peut, dans les mains même les plus habiles , devenir une cause de mort
s accidents funestes , alors même qu’il est pur et administré par des mains habiles. — Mais, dira-t-on , si l’emploi des anes
s que apports d’objets matériels, ascensions humaines, apparitions de mains ou même de corps entiers, ont pour témoins des po
s de longueur, et il sera promptement délié, sans assistance d’aucune main humaine. Deux des membres de cette commission le
Vierge, 157, 496;—d’esprits, 10, 191. 219, 409, 444, 494, 559: — de mains , 68; — de lumières, 63 , 347 , 493. Apport d'ob
tact avec des personnes, 64, 191, 346, 557 ;— qui font apparaître des mains , 68; — qui impriment des stigmates, 71; —qui donn
25 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
re du côté droit : « chaque fois que je lui laisse soulever avec la main gauche un objet lourd, il referme rigi- dement
e un objet lourd, il referme rigi- dement le pouce et l'index de la main droite qui sont aulrementassez flexi- bles ; et
u'on donne aux enfants des poids de différentes gran- deurs dans la main . Plus lourds sont ces poids, plus grande est l'ét
chez les adultes normaux. Ferré écrit : « Lorsque l'on écrit de la main droite, il ne se passe dans la main gauche aucu
it : « Lorsque l'on écrit de la main droite, il ne se passe dans la main gauche aucun mouvement appréciable ni pour celui
ni pour celui qui écrit ni pour ceux qui l'observent ; mais si une main étrangère s'oppose au mou- vement de la main dr
bservent ; mais si une main étrangère s'oppose au mou- vement de la main droite, le sujet en expérience sent bientôt des m
roite, le sujet en expérience sent bientôt des mouve- ments dans la main gauche, et les assistants peuvent les constater.
itive. Observation II. Résumé. Etat dystrophique congénital de la main et de l'avant-bras gauches avec conservation de
ume du membre supérieur gauche, plus marquée à l'avant-bras et à la main . Nous avons trouvé les renseigne- ments suivant
té normal et sans intervention, les parents avaient remarqué que la main gauche était en flexion forcée et un appareil fut
pareil fut appliqué pendant plusieurs mois pour la redresser. Cette main gauche est toujours restée plus faible que la d
enne ; la mensuration donne 21 cen- timètres contre 24 à droite. La main est amaigrie, notablement plus petite que la dr
émaciés, les tendons fléchisseurs font saillie dans la paume de la main . Malgré cette déformation tous les mouvements d
aume de la main. Malgré cette déformation tous les mouvements de la main et des doigts sont possibles mais plus faibles
sa vie ; mais nous avons su qu'elle avait continué à se servir de sa main gauche presque aussi bien que de la droite. A
une inégalité de volume des membres supérieurs, l'avant-bras et la main gauches étant de plus petites dimensions que le
ée et les mouvements d'extension un peu limités; et en somme, celte main gauche servait à tous les usages de la vie cour
notable des fonctions motrices, prédominant à l'avant-bras et à la main et entravant en particulier les mouvements fins d
egment périphérique de subir un état dystrophique, prédominant à la main et à l'avant-bras et entrai- nant comme conséqu
a gangrène atteint successivement le pied droit, le pied gauche, la main droite, la main gau- che ; elle est précédée et
nt successivement le pied droit, le pied gauche, la main droite, la main gau- che ; elle est précédée et accompagnée de
mportant, il a subi un commencement de congélation des pieds et des mains à l'âge de 24 ans pen- dant un voyage à l'Orégo
se cicatrise au bout de trois mois. Ce fut la dernière lésion à la main droite. Vers la même époque, le pouls radial à
t à droite disparaît. En mars 1905, avant que les ulcérations de la main droite fussent cicatri- sées, le médius et l'an
a main droite fussent cicatri- sées, le médius et l'annulaire de la main gauche deviennent très douloureux, deux ulcérat
En tout 10 doigts ou orteils ont été atteints. Plusieurs doigts de la main gauche sont encore malades. Douleurs localisé
ES 59 Les douleurs et les lésions sont actuellement localisées à la main gauche, les deux doigts les plus atteints sont
in gauche, les deux doigts les plus atteints sont les 3e et 4°. ' Main gauche. Les douleurs sont intenses, spontanées et
mission. Le Dr J... a remarqué que la douleur aug- mente lorsque la main est sèche et ne transpire pas ; lorsqu'il est cou
ntenses existent aux 3e, 4e et 5e doigts et restent localisées à la main , le reste du bras est indemne. La douleur du 5e d
ne révèle rien. Les troncs nerveux au bras parais- sent normaux. Main droite. La main droite,autrefois si atteinte,semb
Les troncs nerveux au bras parais- sent normaux. Main droite. La main droite,autrefois si atteinte,semble maintenant gu
ÉTRIQUE DES EXTRÉMITÉS 61 atteint le pied droit, le pied gauche,;la main droite, la main gauche . L'appa- rition et la d
ÉMITÉS 61 atteint le pied droit, le pied gauche,;la main droite, la main gauche . L'appa- rition et la disparition des l
e maître le professeur Raymond pour des douleurs et un oedème de la main et de l'avant-bras droits. ' Ses antécédents él
d'un mois, mais d'autres très fortes ont fait leur apparition dans la main , sur- tout au niveau du pouce et de l'index. En
u pouce et de l'index. En même temps survint un oedème du dos de la main qui fut suivi cinq semaines plus tard d'un oedème
6 janvier 1908. Ce qui frappe avant tout est un oedème du dos de la main et de la partie postérieure de l'avant-bras remon
oude. La peau ne présente de changement d'aspect qu'au niveau de la main , où elle est lisse, amincie et un peu pigmentée s
es auxquelles la malade fut longtemps soumise. L'oedème fait sur la main une saillie globe- leuse, qui était moins accen
t ainsi pour la flexion des doigts, la flexion et l'extension de la main , l'extension de l'avant-bras et l'abduction du
ale du deltoïde. La pression sur les interlignes articulaires de la main , sur les masses mus- culairès de la main et du
rlignes articulaires de la main, sur les masses mus- culairès de la main et du bras et sur les troncs nerveux est très dou
et la malade éprouve toujours encore des douleurs spontanées dans la main et l'avant-bras, continues avec exacerbations,
aires dans le liquide céphalo-rachidien. La radiographie des deux mains nous a révélé des altérations très nettes dans
évélé des altérations très nettes dans la constitution des os de la main et de l'avant-bras droits. Du côté gauche, on n
emme dont Collet et BeuLter rapportent l'observation a le dos de la main rouge bleuâtre ; le gonflement delà malade de S
nous avons eu l'honneur de publier avec M. Raymond, un oedème de la main chez une hémiplégique. Dans les deux cas, oedème
ssivement triste, parce qu'un petit morceau de bois qu'il tenait à la main et qu'il prenait pour un sceptre, s'était brusq
par exemple la stature mas- sive, surtout développée en largeur, la main à la fois étalée et longue, le geste même de ce
largeur, la main à la fois étalée et longue, le geste même de cette main : on sait en effet que les acromégaliques souff
guérie, les membres inférieurs reposant normalement sur le sol, les mains croi- sées à la taille Sans doute, l'artiste in
evenu sobre, en apprenant que le tremble- ment qu'il présentait aux mains relevait de l'alcool. Mais le début de la maladie
plégie. Il marche normalement pour un aveugle, est aussi fort de la main gauche que de la droite (au dynamomètre : 40, à
e, mais ce malade se plaint de four- millement, de lourdeur dans la main gauche, de sensation de chaleur dans la jambe g
à la visite on trouve que la malade ne peut presque pas relever la main droite. Cette main est nettement paralysée dans s
uve que la malade ne peut presque pas relever la main droite. Cette main est nettement paralysée dans ses mou- vements d
et du pouce. Si on soulève l'avant-bras de la malade on voit que la main reste pendante en angle droit avec l'avant-bras
-même. L'extension de la première phalange de tous les doigts de la main droite est impossible, tandis que si on relève la
s doigts de la main droite est impossible, tandis que si on relève la main con- venablement, le mouvement d'extension de l
onnent à peu près d'une façon normale, si on a le soin de mettre la main dans une telle position qu'ils puissent agir conv
- ment sur les doigts. En d'autres termes, on a affaire à une vraie main tom- bante, qui, comme on le sait, représente l
a répétition des symptômes initiaux du membre supérieur droit : une main tombante par paralysie du nerf radial. 18. La p
onation, le poignet fléchi et les doigts fermés dans la paume de la main . Toutes ces attitudes on peut les provoquer che
coordonné pour un but déterminé, celui de prendre un objet avec la main et le porter à la bouche, et l'altitude du memb
du trapèze et du rhomboïde. Pour en revenir à ce qui a trait à « la main ,et en outre de ce que nous avons vu pour le pouce
iplégiques, capables de serrer assez fortement un objet dans leur « main paralysée, ne pouvoir saisir l'objet avec celle-c
l'objet avec celle-ci, mais être obligés « de l'introduire avec la main saine dans la main paralysée. Au coude les « mo
-ci, mais être obligés « de l'introduire avec la main saine dans la main paralysée. Au coude les « mouvements de flexion
onclusions : Quand on prie le malade de serrer le dynamomètre de la main gauche saine, on constate du côté paralysé les
, de sorte que le coude peut atteindre à la hauteur de l'épaule, la main étant au niveau de la bouche (2). Ces mouve- me
2) Nous avons observé aussi la flexion des doigts dans la paume de la main , fai- sant le poing, et un peu de flexion du po
si on lui demandait d'appuyer avec son talon dans la paume de notre main , ou si elle appuyait avec la plante du pied, pend
ble fureur de crayonner, de couvrir tout ce qui est accessible à sa main de croquis aussi polychromes que ses moyens (1)
pose de faire une étude d'arbres (or il n'a que des acacias sous la main ), mais une étude d'arbres au point de vue symboli
rquoisement du fifre devant sa femme qui, tout en lui offrant de la main une pomme, lui réserve le serpent que son autre
offrant de la main une pomme, lui réserve le serpent que son autre main dissimule derrière le dos. A l'un de ses parents
tant tristement sur sa situation présente et future, te- nant de sa main l'emblème de sa misère conjugale, regardant en fa
in- tense dans l'aine. Les frissons durent environ 15 minutes, les mains de- viennent toutes bleues et la jambe devient
me, le temps froid cause chez plusieurs malades le bleuissement des mains , qui jusqu'à un certain point ressemble à la ma-
au lieu de changer de place et d'affecter le corps, le visage, les mains , les bras et la gorge, que nous sommes très por
ent. Ces brûlures et ces coupures siégeaient d'ailleurs toujours à la main droite; on en voit les cicatrices ; il ne s'en
dérable et paraît égale à droite et à gauche pour la pression de la main , pour la flexion de l'avant-bras sur, le bras,
et l'extension du coude. Il n'y a pas d'atrophie des muscles de la main , pas d'atrophie apparente des muscles de l'avan
t au galvanique sur le deltoïde et sur les muscles extenseurs de la main sur l'avant-bras. L'exploration de la sensibili
légers. Le sens des attitudes parait émoussé pour les doigts de la main droite ; si l'on vient à plier l'index, par exemp
sens stéréognostique est complète- ment aboli, si l'on met dans la main droite du sujet des objets bien connus de lui t
if, ciseaux, il ne les reconnaît pas; si on les fait passer dans la main gauche, il les nomme imperturbablement. , Il y
ens de rapporter. En effet si la cheiromégatieou hypertrophie de la main décrite pour la première fois par Charcot et Br
onnaître pour origine un processus atteignant tous les tissus de la main et le cas qu'ils présentaient était d'origine m
, sensation d'avoir toujours trop chaud, transpirations faciles des mains et des pieds, céphalée, caractère changeant, mauv
elle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXI. PI. XXXVIII ÉTUDE DE MAINS PAR ! IANS HOLBEIN (Dessin du biucee de l31le)
biucee de l31le) (O. Crouzol1). Au-dessus : photographie d'une « main en pince D. Masson & Cie, Éditeurs Y4ndot
en pince D. Masson & Cie, Éditeurs Y4ndotypie l'am ÉTUDE DE MAINS PAR H. HOLBEIN PAR ti O. CROUZON. La photog
sée de Bàle (Suisse) et qui est dé- signé sous le titre de Etude de mains . L'artiste a dessiné quatre mains que nous avon
signé sous le titre de Etude de mains. L'artiste a dessiné quatre mains que nous avons numérotées pour la commodité de
e diagnostic des afiec- tions auxquelles il faut les rattacher. Les mains numérotées 1 et 3 nous paraissent devoir être r
l'une de l'autre ; de même nous rap- procherons la description des mains numérotées 2 et 4. La main numé- rotée 1 est pl
nous rap- procherons la description des mains numérotées 2 et 4. La main numé- rotée 1 est placée en hyperextension sur
rvé la totalité des mouve- ments. C'est là l'aspect que présente là main en pince que Pierre Marie et Guillain onl décri
e Pierre Marie et Guillain onl décrite dans la syringomyélie. Cette main est en effet en hyperextension sur l'avant-bras
ette main est en effet en hyperextension sur l'avant-bras (comme la main de prédicateur) et est caractérisée par la diff
ndex à la manière d'une pince, d'où le nom donné à cet aspect de la main à un stade avancé de la contracture. La photo
thèse de Guillain (1) nous montre un des aspects typiques de cette main en pince avec l'hype- rextension de la main de
pects typiques de cette main en pince avec l'hype- rextension de la main de prédicateur. Il est évident que la main numéro
l'hype- rextension de la main de prédicateur. Il est évident que la main numérotée 1 du dessin de Holbein n'est pas auss
tade assez avancé de la contracture. Si nous étudions maintenant la main numérotée 3, nous lui trouvons un caractère ana
t la main numérotée 3, nous lui trouvons un caractère analogue à la main numérotée 1 : c'est la différence entre l'état
spasmodique de la syringomyélie. Paris, 1902, 246 CROUZON. ÉTUDE DE MAINS PAR H. HOLBEIN ébauche de flexion de l'index. M
oigts qui est nette ici et elle nous paraît un stade de début de la main en" pince. On pourrait objecter, il est vrai, qu'
it une corde aponévrotique dans la région interne de la paume de la main .- Les mains numérotées 2 et 4 représentent des
aponévrotique dans la région interne de la paume de la main.- Les mains numérotées 2 et 4 représentent des types d'une au
- tion : il s'agit sans aucun doute ici de rhumatisme chronique. La main n° 2 présente des tuméfactions au niveau des ar
niers doigts avec une légère flexion. Enfin les veines du dos de la main et de la face postérieure de l'avant-bras sont
volumineuses et très apparentes. Il est curieux de noter que cette main ne représente point un type banal de rhumatisme c
élée néanmoins par la saillie externe du métacarpien du pouce. La main nez présente elle aussi des déformations caractér
dex, du médius et surtout de l'annulaire. Ainsi donc sur les quatre mains représentées par Holbein, deux nous paraissent
résentées par Holbein, deux nous paraissent reproduire des types de mains syringomyéliques, deux nous paraissent se rappo
rapporter à des variétés de rhumatisme chronique. Et celle étude de mains nous paraît autant remarquable par l'exactitude e
s. Toute la journée, P... reste assis dans son lit la tête dans ses mains . Mutisme absolu, ayant persisté depuis lors. Il
upations, quelques douleurs apparais- sent subitement dans les deux mains ,au niveau des deux dernières phalanges. Ces dou
AIGUE 255 lièrement aux avant-bras. Elles ont envahi à nouveau les mains et les doigts comme les jours précédents. Elles
mpossible, et, rapporte-t-il, quand il voulait saisir un objet, ses mains étaient tremblantes. La nuque et le cou étaient
énue légère- ment. Les douleurs disparaissent, mais l'impotence des mains et des avant- bras est absolue. De même la para
tre, quelques tressautements surviennent dans les avant-bras et les mains . Face. La face est sans expression aucune, fort
contractile des muscles de son épaule en projetant celle-ci. Les mains soulevées, retombent fléchies à angle droit sur l
ibles, surtout UN CAS DE POLIENCMPHALO-MYÉLITE AIGUF. 257 pour la main gauche. L'index est il demi-fléchi sur la main au
E AIGUF. 257 pour la main gauche. L'index est il demi-fléchi sur la main au repos ; la flexion plus grande est possible,
04. 15. Le malade peut aujourd'hui pour la première fois porter les mains à sa bouche, en opposant celles-ci paume à paum
ont encore lentes mais régulières, sans à-coups, sans secousses. La main éprouve néanmoins une certaine difficulté à serre
es muscles est'bonne, légèrement diminuée pour les extenseurs de la main et des doigts des deux côtés, ce qui ne s'était p
e le lui permet son ankylose des hanches. Couché, pour atteindre la main au-dessus du plan du lit avec le bout du pied, il
ct est tout à fait eurythmique. La taille est fine et élancée ; les mains et les pieds 302 ETTORE LEVI bien conformés s
ve de Babinski. Les bras sont longs, arrondis, bien conformés ; les mains plutôt grandes aux doigts allongés. Aucune dyst
cinétiques. Pas de adiadocinésie. La patiente est très adroite de ses mains ; elle se déshabille et s'habille toute seule e
ux côtés, mais ils l'étaient davantage en 1907. Pas de clonus de la main . Les réflexes scapulaires sont aussi exagérés.
issement des épiphyses surtout au poignet et au cou- de-pied. Les mains et les pieds sont fins et allongés. Les masses
loppe- ment de la partie corticale compacte (en comparaison avec la main d'une jeune fille normale de 19 ans) se montre
yse styloïde. Par comparaison j'ai fait faire les radiographies des mains : de la soeur aînée de Marguerite âgée de 22 an
la petite Adrienne, la cadette de nos deux infantiles (PL LIV). La main de notre troisième infantile âgé de 21 ans est au
troisième infantile âgé de 21 ans est aussi reproduite (PI LV). La main d'Adrienne présente d'une façon plus accentuée (à
es mêmes caractéristiques qui viennent d'être décrites à propos de la main de Marguerite. Tous les os de la main et de l'a
'être décrites à propos de la main de Marguerite. Tous les os de la main et de l'avant-bras apparaissent extrême- ment p
n doit en conclure que relati- vement le développement osseux de la main de Marguerite est encore plus arriéré que celui
et instructive est la compa- raison de l'état d'ossification de la main que nous venons de décrire (d'Adrienne 15 ans 1
NFANTILISME DU TYPE LORAIN z (Ettore Lévi). B. Radiographie de la main de Henriette S. (normale), âgée de 22 ans. A. R
in de Henriette S. (normale), âgée de 22 ans. A. Radiographie de la main de Marguerite S. (Infantile du type Lorain), âgée
. (Infantile du type Lorain), âgée de 20 ans. C. Radiographie de la main de Ida S. (normale), âgée de 16 ans et demie, soe
e de 16 ans et demie, soeur de la précédente. D. Radiographie de la main d'Adrienne S. (Infantile du type Lorain), âgée de
V INFANTILISME DU TYPE LORAIN (Ettore Lévi). Radiographie de la main d'Elysée 13., 21 ans. Masson & CI', Éditeur
ancé et qu'on peut dire normal ; en effet sur la radiographie de sa main nous observons que le tissu compact des os long
12e année ; or cet os normalement ossifié ici n'est visible dans la main de Marguerite (21 ans) que comme une toute petite
ns; très visible chez la soeur aînée normale des soeurs Ser... La main de la soeur ainée normale de 22 ans, Henriette, p
i l'on compare l'épaisseur du tissu compact osseux avec celle de la main d'une autre jeune fille normale de 19 ans,on trou
se voit pas dans la radiographie de l'infirmière de 19 ans. ' La main de notre troisième sujet (PI. LV),le jeune homme
me de 22 ans,présenle à peu près le même état d'ossification que la main de Marguerite ; quoique n'appartenant pas à la
des phalanges correspond parfaite- ment à celui des mêmes os de la main ; on remarque le même déficit de tissu osseux c
irilité. En le pressant de questions, on arrive à apprendre que ses mains , bien qu'ayant toujours été fortes, ont grossi
e temps il s'aperçut du développement exagéré de son visage, de ses mains et de ses pieds. Il paraît qu'au bout d'un an ce
n entre le déve- loppement du visage et des extrémités supérieures ( mains et pieds) et celui du reste du corps ; cette di
oit que son bras droit est un peu plus long que le gauche. Les deux mains paraissent lourdes, grosses et larges, avec des d
mentation de volume des lèvres, du nez, de la mâchoire. Ensuite les mains et les pieds ont grandi d'une façon disproportion
'étend à tout le corps, mais est surtout évidente aux lèvres et aux mains . Rien de particulier quant aux organes internes
tremblement, des palpitations. Cela été suivi par des douleurs aux mains avec agrandissement de celles-ci.Le médecin qui
épiphyses, telles qu'épaississements, exostoses, ostéophytes. Aux mains particulièrement, on a décrit comme caractéristiq
t agrandissement delà selle turcique, L'examen radiographique des mains , des pieds et des genoux, répété d eux ans aprè
s de la moitié droite de la mâchoire, à l'examen radiographique des mains et des pieds le développement du tissu osseux a
Dans un quatrième cas où l'on a fait la radiographie du crâne, des mains et des pieds, et où jusqu'à présent il n'y a pas
al gauche. Langue déviée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les troubles moteurs sont le plus accusés, mo
emière altération durable fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les troubles moteurs furent le plus ac- cen
sions inaccoutumées (port de sabois), l'apparition de durillons aux mains des travailleurs, etc., Les téguments d'une pla
d'irréfutables manifestations de l'habitude, tel celui de passer la main au-dessus d'un poële sans feu. Tout mouvement e
physionomie humaine, un livre imprimé, un discours, un serrement de mains ne sont, individuellement et ensem- ble, que de
blanc, est agenouillée à ses pieds et tient le nouveau-né dans ses mains . On ne voit pas ici de chaise obstétricale, mai
Sainte, Guillaume Alexis,.« le bon moine de Lyre », mit la dernière main au Passe temps de tout homme et de toute femme.
teuil au milieu d'un jardin ; près de cette dame, et lui donnant la main , est un jeune enfant vêtu d'une robe de drap d'
'estampes qui commande et qui dirige, sans mettre matériellement la main à l'oeuvre » ? (3). La question est encore discut
à lui, il présente d'in- téressantes anomalies des extrémités. A sa main droite, manque le médius; à sa main gauche, la
anomalies des extrémités. A sa main droite, manque le médius; à sa main gauche, la troisième phalange du médius ; à ses d
xxi 27 402 REGIS orteil. Malgré cela, il est très adroit de ses mains , et exerce la profession de cantonnier. Le de
ines entières sans parler, portant parfois, d'un geste machinal, la main au sommet de la tête. De temps en temps, sans rai
spéciale. Il reste de longues heures, en position accroupie, les mains dans les poches de son pantalon, C'est là proba
s accusées et les plus intéressantes chez Pierre sont celles de ses mains et de ses pieds. Nous en ferons à part, et plus l
des doigts ; en outre elle traduit le tremblement violent dont les mains sont agitées. Le malade est gaucher, mais on ne c
t, toujours à la même place, près de la porte de la salle. Il a les mains dans les poches de son pantalon. Les paupières ba
sa poche NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXI, PL LXTV. MAIN DROIT ? MAIN GAUCHE SYNDACTYLIE, ECTRODACTYLI
, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XXI, PL LXTV. MAIN DROIT ? MAIN GAUCHE SYNDACTYLIE, ECTRODACTYLIE, CLINODACTYLI
ésagréables. Pierre remet le mouchoir dans sa poche et tire l'autre main avec un second mouchoir ; il répète le même ges
on bien il effleure sa moustache. Pierre sort alternativement la main droite et la main gauche, avec le mou- choir d'
eure sa moustache. Pierre sort alternativement la main droite et la main gauche, avec le mou- choir d'abord, puis vides.
ons des extrémités (Pl. LXIII, LXIV, LXV). a) Aspect extérieur.- La main gauche présente seulement quatre doigts, que le
sont normaux ; à la place du médius se trouve une large fente. La main droite ne possède aussi que quatre doigts. Le pou
rment les trois autres doigts...... : Une pareille difformité des mains n'empêche pas le malade de se livrer aux travau
n homard et s'en sert très bien. Pour écrire, il tient la plume de la main gauche, entre le pouce et l'index. L'écriture p
gauche, entre le pouce et l'index. L'écriture paraît impossible de la main droite vu la disposition des doicts. t ' b) R
omiques, a bien voulu nous donner par écrit de ces radiographies. Main droite. Le carpe paraît normal. Le troisième mé
u quatrième et la disparition complète des phalanges du médius. ' Main gauche, C'est la même disposition ; mais beaucoup
à relever dans l'observation qui précède : 1° les malformations des mains et des pieds ; 2° la coexistence, avec ces malf
reuses. Faisons simplement remarquer que chez notre sujet, les deux mains et les deux pieds sont tous quatre atteints à d
de malformations et que ces malformations prédominent, pour chaque main et pour chaque pied, au niveau du troisième seg
soeurs et que, chez eux, l'ano- malie porte, tant aux pieds qu'aux mains , sur le troisième segment ou segment médian, Je
mbre supérieur droit le pouce manque, l'index est peu développé, la main est déviée vers le bord externe, l'avant-bras est
n l'étudiant de plus près, on note les particularités suivantes : Main droite. - Elle est déviée vers le bord radial de
NCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU RADIUS 413 Les plis de la paume de la main n'o.nt pas leur disposition habituelle ; les pl
ndus, et le malade s'en sert beaucoup moins que de l'auriculaire. Main gauche. - La disposition générale est identique à
Main gauche. - La disposition générale est identique à celle de la main droite ; même déviation vers le bord radial ; m
même limitation des mouvements; même disposition de la paume de la main (fig. 3) ; même position de l'auricu- laire le
membres inférieurs ne présentent rien de particulier. ' rig. 3. - Main gauche. NOUVELLE Iconographie DE la SALPETRIÈRE
s'il était légèrement touché par l'atrophie du bord ra- dial de la main . Le cinquième métacarpien est au contraire bien d
; le scaphoide fait défaut. L'axe du carpe et par suite celui de la main fout un angle droit avec la direc- tion du cubi
sence d'un rudi- ment de cupule radiale, et l'absence de l'index. Main . - Le petit doigt présente les mêmes particularit
x. Main. - Le petit doigt présente les mêmes particularités qu'à la main gauche. Il a subi une rotation sur son axe qui
e est luxé sur la partie latérale du cubitus ce qui explique que la main soit à angle droit avec l'avant-bras. Cubitus.
TALE BILATÉRALE DU RADIUS - 4t 1 la conséquence de l'atrophie de la main et de l'avant-bras, car elles sont plus prononc
l semble que le processus qui a causé l'atrophie d'une partie de la main et de l'avant-bras ait également entravé dans u
s de gre- nouille. L'agénésie des cellules nerveuses répondant à la main dans les cas d'ectromélie est consécutive à la
partie de la diaphyse, de petites inter- ventions pour redresser la main et des appareils orthopédiques appropriés onl p
me semblent pas probantes dans le sens voulu par les auteurs. La main de leur infantile montre en effet la persistance
e et Allard semble être démontrée par le fait qu'ils ont comparé la main en question a celle d'un myxoedémateux classique
un coup d'aeil â la radiographie qui représente le squelette de la main d'une jeune fille normale de 16 ans (Ida), soeu
hler qui, chez un nain âgé de 12 ans, observa que la grandeur de la main correspondait à celle d'un enfant de S il 6 ans ;
30 ans la persistance des cartilages épiphysaires du genou et de la main . Schuller explique différemment les cas de cett
c toute évidence la différence énorme entrel'étatd'ossification de la main de Marguerite et celui d'une main normale appar
e entrel'étatd'ossification de la main de Marguerite et celui d'une main normale appartenant à sa soeur âgée de 22 ans ;
ormale appartenant à sa soeur âgée de 22 ans ; l'ossification de la main d'Adrienne est encore plus arriérée, mais si l'
ur on doit aboutir à une conclusion inverse. La comparaison de la main d'Adrienne (15 ans 1/2) avec celle de sa soeur
diyiduet. , - ^rTout ce que je viens de dire s'applique aussi à la main de mon troisième 'sujet Elis%o Bian..., n'appar
lisme (de Lorain). Chez lui aussi les cartilages épiphysaires de la main sont tous très visi- bles et l'examen de toutes
faits sont dignes aussi d'être mentionnés; ainsi,aussi bien dans la main de Marguerite que dans celle d'Adrienne le petit
ouce, manque totalement; il est au con- traire très évident dans la main de la jeune fille normale de 20 ans et dans cel
ous forme d'une ombre à peine appréciable sur la radiographie de la main de mon troisième sujet. Pour conclure, nos troi
Hypophys, Zeitschr. f. Psych. H. 2, 1908. UNE « FEMME HOMARD » MAINS ET PIEDS A DEUX DOIGTS PAR R Georges THIBIERG
Je dois à l'obligeance de M. le Dr Sottas les photographies de ses mains et de ses pieds. La radiographie des mains m'a
les photographies de ses mains et de ses pieds. La radiographie des mains m'a été communiquée par le « sujet » : elle est
aux régions que repro- duisent les photographies ci-jointes. Les mains sont constituées par deux doigts, articulés chacu
PHIE DE LA SALtÊTRtÈM. T. XXI. Pl. LXVIII UNE FEn ! E-HO ! ARD ( Mains et pieds à deux doigts.) (Tbibicrge) Masc;on
nographie DE la SALPETRIÉRH. T. 1XI. Pl. L11X UNE FEMME-HOMARD ( Mains et pieds à deux doigts.) (Tbibierge) Masson &
asson & Cm, Éditeurs. Phototypie Bertliaud, UNE FEMME HOMARD, MAINS ET PIEDS A DEUX DOIGTS 473 unique métacarpien e
jusqu'à l'insertion de ces métacarpiens sur le carpe. à Aux deux mains le pouce est incurvé à angle obtus, convexe du cô
a face dorsale de sa 2e phalange regarde vers le bord cubital de la main . L'autre doigt, en forme de navet dans sa porti
neux durillon. La pince constituée parles orteils a, commecelle des mains , une grande force de résistance et ne peut, lor
lée ; peut-être même ne l'a-t-elle jamais été. Le tremblement des mains apparaît. Aussi l'écriture est-elle hésitante e
emme de chambre, elle fut atteinte d'une brûlure du 2e de- gré à la main gauche. On appelle le médecin qui panse la main a
du 2e de- gré à la main gauche. On appelle le médecin qui panse la main avec de la va- seline boriquée ; il revient le
é pour une angine du petit frère; il observe avec étonnement que la main est encore pansée, et il demande des explicatio
jours après la brûlure, une nuit, à la suite de douleurs atroces à la main malade, autour de la plaie en voie de guérison
». À ce e moment seulement j'ai appris l'histoire de la brûlure la main , et des ulcéra- tions gangreneuses qui l'avaien
rnières plaques. Pour les pre- mières manifestations de la maladie ( main gauche, pied droit), on peut seulement observer
médicale de Nantes, le médecin pouvait provoquer par suggestion la main cadavérique avec le froid, la pâleur, l'insensibi
ensibilité du cadavre. Ce sujet présentait des crises spontanées de main cadavérique de la durée d'une heure. Pourquoi c
de mon service était atteinte d'un tremblement in- tentionnel de la main droite,qui l'empècliait d'écrire. Elle était empl
le avec la malade en présence des étudiants, je lui explique que sa main est saine, que les nerfs du bras ne sont pas ma
e j'essaye de travailler avec w 1 33 498 VALOBRA l'aiguille, la main tremble, je ne peux pas. » Sans rien dire, je l'e
nce d'électricité statique avec des étin- celles très fortes sur la main droite. Après, je lui dis nettement : « Allez,
sé de trembler en écrivant parce qu'elle avait été persuadée que sa main était saine, elle aurait été guérie aussi du trem
la chambre noire, j'allumais le tube, je lui montrais les os de la main , etc... Après quelques minutes je plaçais le suje
je lui disais : « Non ? C'est étonnant ; essayez un peu : tendez la main ouverte vers le tube ». Presque tous les sujets
une jeune fille hystérique qui présentait des accès douloureux l la main gauche pendant lesquels la main devenait pâle,
présentait des accès douloureux l la main gauche pendant lesquels la main devenait pâle, froide, anémique (sans arriver p
venait pâle, froide, anémique (sans arriver pourtant au degré de la main cadavérique). Il était suffisant de lui placer
de la main cadavérique). Il était suffisant de lui placer dans les mains les pôles d'une petite machine à courant faradi
sur son lit, pâle, respirant avec peine, comprimant son coeur de la main , en pleine angoisse. Ce malaise qui, heureuseme
onique, variété congénitale unique (2 pl.), 61. Crouzon. Etude de mains par Bolbein (1 pl.), 245. DESPLATS. Hypertrop
trophique il la suite 'd'un zona. Lésions trophiques des os de la main à type de rhumatisme chronique (2 pl.), 64. S
scients chez les animaux (3 pl.), 1. Thibierge. Une femme homard, mains et pieds à deux doigts (2 pl.), 472. V ALODII
es svasmodiques ou paraple- giques), par NOICA, 25, 152. Holbein ( Mains par-) (1 pl.), par Crouzon, 245. Hypertrophie
entral(Monoplégie crurale par lésion du -) (1 pl.), par Long, 37. Mains et pieds à deux doigts (2 pl.), par Tiiii31EiiG
7. Mains et pieds à deux doigts (2 pl.), par Tiiii31EiiGE, 412. Mains par Holbein (1 pl,). ). par Crouzon, 2 15. Mani
roy (Henry Meige), LXXII. Lobule paracentral, lésion (Long), 1 \" Mains par Holbein (CROUZOX), XXXV111. Microgyrie (HAU
26 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
labourer le ventre avec ces armes d'un nouveau genre. De ses propres mains , il s'était déchiqueté, tailladant de chaque côté
profession et revêtaient leur costume de cour pour mettre la dernière main à une arme de prix. Les enfants de samouraï rec
de faire harakiri et échappaient ainsi à l'exécution infamante par la main du bourreau. Souvent ils se suicidaient pour ne p
nte. Cette force est également figurée par le geste dominateur de ses mains dont l'une s'appuie sur la tète d'un lion et l'au
ns très développés (fig. 65). Le caducée que le personnage tient à la main a d'ailleurs été considéré par divers auteurs et
vec la stature d'un homme habillé en femme, et tenant un sceptre à la main . » Elle aurait, ajoute-t-il, réuni dans cette eff
e l'enfourchant prit alors son vol à travers les airs, tenant dans la main la tète de Méduse. Ce récit fut l'objet de nombre
nent les deux bras étendus ou baissés, surtout quand elles portent en mains des ornements symboliques. Leurs bras sont nettem
ison, une petite vieille toute cassée, qui, une canne à béquille à la main , lui emboitait le pas jusqu'à la porte du palais
exprimables ; les forces s'en vont : on peut à grand'peine remuer les mains . Les yeux se ferment malgré soi, ou, s'ils resten
nimal ». par il. Louis Favre. L'hypnotiseur se sert souvent de sa main pour agir sur l'hypnotisé ou le sujet. II appuie
ouvent de sa main pour agir sur l'hypnotisé ou le sujet. II appuie sa main tantôt sur les épaules du sujet, tantôt sur son f
ôt sur un point hypnogène quelconque, tantôt sur le vertex, etc. La main de l'hypnotiseur qui agit ainsi a-t-elle seulemen
insi a-t-elle seulement une action psychique, suggestive? Ou bien, la main de l'hypnotiseur a-t-elle en même temps une actio
homme. Dans mes expériences, les choses se sont passées comme si la main humaine avait une action sur le développement des
pement des cultures — microbiennes et végétales ; Comme si les deux mains avaient des actions différentes (quant au sens ou
intensité des effets) ; Comme si, dans chaque expérience, une seule main était vraiment active ; Comme si la main droite
aque expérience, une seule main était vraiment active ; Comme si la main droite était la plus active dans le cas des grain
si la main droite était la plus active dans le cas des graines, et la main gauche la plus active dans le cas des microbes ;
a main gauche la plus active dans le cas des microbes ; Comme si la main droite, active dans le cas des graines, agissait
cas des graines, agissait en faveur de la croissance ; Comme si la main gauche, active dans le cas des microbes, agissait
croissance ou le développement ; Comme si l'action favorable de la main droite touchait seulement — ou surtout — les grai
t uni dans une même pensée ; c'est la phase d'émotion. On place les mains sur la table, et c'est le grand silence succédant
s'effrayait du grand silence. C'est la phase du recueillement. Les mains sont placées dans une certaine position, les doig
ne certaine position, les doigts sont écartés, le poignet soutient la main , le bras est sans appui; l'attitude est fatigante
oici la période des contractures douloureuses. Un assistant retire sa main pour lutter contre une crampe des doigts. Un autr
a table avec eux : phénomène qui cesse si les assistants tiennent les mains non plus au contact, mais à peu de distance de la
cation avec les esprits; telle autre s'exerçant dans l'obscurité, les mains recouvertes de gants de coton, en arrivait à user
rendit. Pour la remercier, ils la représentèrent avec un peigne à la main et une barbe au menton, comme marque distinctive
num. Strasbourg, 1562. (4) J. Lydus : De mcnsibus, p. 84 et 89. mains , les dieux lares étaient de petites divinités tut
r caractère gémellaire et les attributs symboliques placés dans leurs mains , l'indiquent d'une façon précise. Mais ce qui doi
ntes le même arrangement compliqué et gracieux. Il a placé dans leurs mains les mêmes symboles tutélaires. Vus de dos, les de
Charcot en donnant à un sujet hypnotisé l'attitude de la prière, les mains jointes, à genoux, les yeux au ciel, mettait son
it un o grand signe de croix, entra dans l'Immobilité... à genoux les mains «jointes, le chapelet entre les doigts, le corps
fille va chaque matin prier à l'en-« trée delà Grotte, un cierge à la main , escortée de plus de 900 person-* nés. Là, on la
rappelons le fait qu'un jour la flamme du cierge qu'elle tenait à la main lui brûla les doigts sans qu'elle manifestât le m
t été miracle, c'est que la flamme du cierge n'ait pas produit sur la main de l'enfant une brûlure au premier ou au deuxième
u cicatriciel. Son épaisseur se remarquait surtout sur le visage, les mains et les pieds. La lèvre supérieure était fendue en
ait reçu une secousse douloureuse à la vue d'un vieux soldat dont les mains avaient été gelées pendant la campagne de Russie.
t lui que l'extérieur. Ces préliminaires accomplis, il avait juré, la main sur un livre, qu'il n'avait pas d'empêchement de
ion de femme à barbe. « Femme barbue loing la salue, un bastón à la main . » Ce vieux proverbe qui eut longtemps cours en F
geforte fut vaincu. Le vainqueur demanda pour prix de sa victoire, la main de la belle Wilgeforte. Le père, qui était resté
e et martyre, n'est pas fixée à la croix par des clous traversant ses mains . Elle y est attachée par des cordes qui lui serre
moins une heure : peut-être n'a-t-il pas mesuré la période, montre en main , peut-être aussi a-t-il relaté le fait d'après un
z les personnes en bon état de santé normale, plus considérable de lu main droite que de la main gauche. Les chiffres indiqu
état de santé normale, plus considérable de lu main droite que de la main gauche. Les chiffres indiqués par l'écart de l'ai
ffres, c'est la proportion qui existe entre le chiffre indiqué par la main droite et celui indiqué par la main gauche. Cette
e entre le chiffre indiqué par la main droite et celui indiqué par la main gauche. Cette proportion varie avec une régularit
e en traitement, on voit la fraction donnée par les chiffres des deux mains se rapprocher progressivement de la proportion no
ée, qui est démontré par l'écart plus considérable obtenu avec la main gauche comparativement à celui de la main droite,
idérable obtenu avec la main gauche comparativement à celui de la main droite, ce qui est un caractère diamétralement op
la tristesse, des insomnies. Son examen sthénométriqué nous donne : Main droite -f 28°. Main gauche -\~ 52e. Le second m
somnies. Son examen sthénométriqué nous donne : Main droite -f 28°. Main gauche -\~ 52e. Le second malade est une dame d
ncolie, insomnie presque complète. Au sthénomètre elle nous donne : Main droite -f- 14". Main gauche -f- 20°. Un autre m
que complète. Au sthénomètre elle nous donne : Main droite -f- 14". Main gauche -f- 20°. Un autre malade se plaint d'une
ue le domine et l'arrête aussitôt. L'écart qu'il nous donne est : Main droite -f 23°. Main gauche -f- b&o. Je m'ar
rête aussitôt. L'écart qu'il nous donne est : Main droite -f 23°. Main gauche -f- b&o. Je m'arrête dans cette énum
c'est-à-dire la prédominance de l'écart de l'aiguille obtenu avec la main gauche, sur celui qui est donné avec la main droi
'aiguille obtenu avec la main gauche, sur celui qui est donné avec la main droite. La proportion entre les deux chiffres dem
ise avec le sthénomètre avant de commencer le traitement nous donne : Main droite -j- 23°. Main gauche -J- 38». Le traitem
re avant de commencer le traitement nous donne : Main droite -j- 23°. Main gauche -J- 38». Le traitement terminé et le mal
né et le malade guéri, nous avons repris sa formule qui se trouve : Main droite + 30°, Main gauche -f- 25". La dernière
ri, nous avons repris sa formule qui se trouve : Main droite + 30°, Main gauche -f- 25". La dernière formule est bien no
ésentent l'angle d'écart de l'aiguille du sthénomètre, obtenu avec la main droite et avec la main gauche, tout en suivant la
t de l'aiguille du sthénomètre, obtenu avec la main droite et avec la main gauche, tout en suivant la règle générale, se pré
es, enfin la crainte de la mort. L'examen au sthénomètre me donne : Main droite + 4° Main gauche -{- 22». Le second mala
nte de la mort. L'examen au sthénomètre me donne : Main droite + 4° Main gauche -{- 22». Le second malade est aussi un h
nt considérable de la volonté. Son examen sthénométrique me donne : Main droite -f- 3°. Main gauche-f 25*. Une dame de 3
a volonté. Son examen sthénométrique me donne : Main droite -f- 3°. Main gauche-f 25*. Une dame de 35 ans m'est amenée p
ns sa phobie de la maladie mortelle. Au sthénomètre nous trouvons : Main droite -f- 7°, Main gauche -J- 21®. Les différe
aladie mortelle. Au sthénomètre nous trouvons : Main droite -f- 7°, Main gauche -J- 21®. Les différences que nous avons
ez tous, cela est dû à l'abaissement énorme du chiffre indiqué par la main droite. Voici maintenant les indications obtenu
la fois affaiblissement physique et dépression morale : 1" épreuve. Main droite + 10°. Main gauche -f 20°. 2« épreuve. M
nt physique et dépression morale : 1" épreuve. Main droite + 10°. Main gauche -f 20°. 2« épreuve. Main droite + 20°. M
: 1" épreuve. Main droite + 10°. Main gauche -f 20°. 2« épreuve. Main droite + 20°. Main gauche + 26°. 3e épreuve. Ma
droite + 10°. Main gauche -f 20°. 2« épreuve. Main droite + 20°. Main gauche + 26°. 3e épreuve. Main droite + 30°. Ma
20°. 2« épreuve. Main droite + 20°. Main gauche + 26°. 3e épreuve. Main droite + 30°. Main gauche -f 35°. 4' épreuve. M
n droite + 20°. Main gauche + 26°. 3e épreuve. Main droite + 30°. Main gauche -f 35°. 4' épreuve. Main droite -f 45°.
26°. 3e épreuve. Main droite + 30°. Main gauche -f 35°. 4' épreuve. Main droite -f 45°. Main gauche -f 37°. 5e épreuve.
droite + 30°. Main gauche -f 35°. 4' épreuve. Main droite -f 45°. Main gauche -f 37°. 5e épreuve. Main droite -f- 35".
5°. 4' épreuve. Main droite -f 45°. Main gauche -f 37°. 5e épreuve. Main droite -f- 35". Main gauche -j- 30°. Ces form
oite -f 45°. Main gauche -f 37°. 5e épreuve. Main droite -f- 35". Main gauche -j- 30°. Ces formules ont été prises de
4e épreuve, nous arrivons à la prédominance normale du chiffre de la main droite sur celui de la main gauche; mais les
la prédominance normale du chiffre de la main droite sur celui de la main gauche; mais les chiffres sont dépassés, comm
it constater la prédominance anormale de la force extériorisée par la main gauche sur celle de la main droite. Ce qui cara
anormale de la force extériorisée par la main gauche sur celle de la main droite. Ce qui caractérise l'hystérie, dans l'e
beaucoup trop considérable qui existe entre le chiffre indiqué par la main droite et celui qui est indiqué par la main gauch
le chiffre indiqué par la main droite et celui qui est indiqué par la main gauche. Et, de plus, cet écart est dû constamment
art est dû constamment à l'abaissement énorme du chiffre donné par la main gauche qui, parfois, descend jusqu'à 0. Voici,
droite du pharynx, suppression du réflexe. Examen sthénométrique : Main droite -}- 25*. Main gauche -f- 5°. M. P..., 21
uppression du réflexe. Examen sthénométrique : Main droite -}- 25*. Main gauche -f- 5°. M. P..., 21 ans. Point hystériqu
. Aboulie, troubles psychiques. Son examen au sthénomètre donne : Main droite -|- 23°. Main gauche + 3°. M. A..., 36 ans
sychiques. Son examen au sthénomètre donne : Main droite -|- 23°. Main gauche + 3°. M. A..., 36 ans, hystérique. Contrac
omnie et troubles psychiques nombreux. Au sthénomètre, nous avons : Main droite -f 25°. Main gauche -f- 0°. Lorsqu'après
ychiques nombreux. Au sthénomètre, nous avons : Main droite -f 25°. Main gauche -f- 0°. Lorsqu'après un traitement appro
nomètre nous donne, avant de commencer le traitement, le 21 octobre : Main droite -f 27°. Main gauche -f 0°. Les vomisseme
avant de commencer le traitement, le 21 octobre : Main droite -f 27°. Main gauche -f 0°. Les vomissements cessent sous l'i
u. A un nouvel examen sthénométrique, nous trouvons, le 26 novembre : Main droite -f- 40°. Main gauche -f- 8°. Mlle P..., 48
sthénométrique, nous trouvons, le 26 novembre : Main droite -f- 40°. Main gauche -f- 8°. Mlle P..., 48 ans, hystérique. Imp
ec abolition du réflexe. Examen au sthénomètre, avant le traitement : Main droite + 34°. Main gauche -f- 3°. Le mois suivant
lexe. Examen au sthénomètre, avant le traitement : Main droite + 34°. Main gauche -f- 3°. Le mois suivant, amélioration cons
'état général et disparition de la névralgie. Examen au sthénomètre : Main droite -f- 17°. Main gauche +23°. Il existait enc
arition de la névralgie. Examen au sthénomètre : Main droite -f- 17°. Main gauche +23°. Il existait encore des troubles psyc
yperesthésie. Son examen sthénométrique nous donne : 1er octobre, main droite -j- 25°. — main gauche -{- 9°. .12 oct
men sthénométrique nous donne : 1er octobre, main droite -j- 25°. — main gauche -{- 9°. .12 octobre, main droite +38°.
octobre, main droite -j- 25°. — main gauche -{- 9°. .12 octobre, main droite +38°. — main gauche + 32°, La première
-j- 25°. — main gauche -{- 9°. .12 octobre, main droite +38°. — main gauche + 32°, La première formule se rapproche
n examen sthénométrique nous donne en effet à cette date : 2 janvier, main droite -J-35°. — main gauche -J- 50°. La mala
nous donne en effet à cette date : 2 janvier, main droite -J-35°. — main gauche -J- 50°. La malade est remise immédiatem
au sthénomètre, et nous trouvons une formule normale : 15 janvier, main droite -f- 43°- — main gauche -f- 32°. Rappro
trouvons une formule normale : 15 janvier, main droite -f- 43°- — main gauche -f- 32°. Rapprochons maintenant ces diff
ie qui se dégage alors et la guérison de cette maladie : 1er octobre, main droite + 25°. — main gauche + 9°. 12 octobre, m
et la guérison de cette maladie : 1er octobre, main droite + 25°. — main gauche + 9°. 12 octobre, main droite -t- 38°. —
e : 1er octobre, main droite + 25°. — main gauche + 9°. 12 octobre, main droite -t- 38°. — main gauche -+- 32°. 2 janvie
ite + 25°. — main gauche + 9°. 12 octobre, main droite -t- 38°. — main gauche -+- 32°. 2 janvier, main droite -f 35°.
12 octobre, main droite -t- 38°. — main gauche -+- 32°. 2 janvier, main droite -f 35°. — main gauche -f- 50°. 15 janvie
-t- 38°. — main gauche -+- 32°. 2 janvier, main droite -f 35°. — main gauche -f- 50°. 15 janvier, main droite + 43°.
. 2 janvier, main droite -f 35°. — main gauche -f- 50°. 15 janvier, main droite + 43°. — main gauche -+ 32°. Je citera
e -f 35°. — main gauche -f- 50°. 15 janvier, main droite + 43°. — main gauche -+ 32°. Je citerai un second cas du "mêm
ous donne dès le début une formule franchement hystérique : 8 juin, main droite -{- 38°. — main gauche + 0°. Le 17 jui
e formule franchement hystérique : 8 juin, main droite -{- 38°. — main gauche + 0°. Le 17 juin, nous trouvons encore l
l'hystérie, mais la neurasthénie se dessine par la supériorité de la main gauche. 17 juin, main droite +- 2°. — main gauc
eurasthénie se dessine par la supériorité de la main gauche. 17 juin, main droite +- 2°. — main gauche +¦ 3". Le 24 juin
par la supériorité de la main gauche. 17 juin, main droite +- 2°. — main gauche +¦ 3". Le 24 juin, toutes les manifestat
nt améliorées, ¡1 nous reste une formule franchement neurasthénique : Main droite -f- 15*. Main gauche -t- 24'. Le 2 août, l
s reste une formule franchement neurasthénique : Main droite -f- 15*. Main gauche -t- 24'. Le 2 août, la neurasthénie est gu
donne une formule déjà bien meilleure que celle du début : 2 août, main droite + 30°. — main gauche -h 7°. Enfin le 1
bien meilleure que celle du début : 2 août, main droite + 30°. — main gauche -h 7°. Enfin le 17 août, il y a eu une i
écentes, les deux chiffres sont donc assez bas, mais l'écart entre la main droite et la main gauche est presque normal. 17
chiffres sont donc assez bas, mais l'écart entre la main droite et la main gauche est presque normal. 17 août, main droite
entre la main droite et la main gauche est presque normal. 17 août, main droite + 10°. — main gauche -f- 4°. Réunissons
la main gauche est presque normal. 17 août, main droite + 10°. — main gauche -f- 4°. Réunissons la courbe de cette mala
main gauche -f- 4°. Réunissons la courbe de cette malade : 8 juin, main droite -f- 38°. — main gauche -f- 0°. 17 juin,
issons la courbe de cette malade : 8 juin, main droite -f- 38°. — main gauche -f- 0°. 17 juin, main droite + 2°. — mai
ade : 8 juin, main droite -f- 38°. — main gauche -f- 0°. 17 juin, main droite + 2°. — main gauche-h 3°. 24 juin, main
roite -f- 38°. — main gauche -f- 0°. 17 juin, main droite + 2°. — main gauche-h 3°. 24 juin, main droite + là0. — main
che -f- 0°. 17 juin, main droite + 2°. — main gauche-h 3°. 24 juin, main droite + là0. — main gauche + 24°. 2 août, main
in droite + 2°. — main gauche-h 3°. 24 juin, main droite + là0. — main gauche + 24°. 2 août, main droite -f- 30*. — ma
uche-h 3°. 24 juin, main droite + là0. — main gauche + 24°. 2 août, main droite -f- 30*. — main gauche -f-1". 17 août, m
droite + là0. — main gauche + 24°. 2 août, main droite -f- 30*. — main gauche -f-1". 17 août, main droite -f- 10*. — m
e + 24°. 2 août, main droite -f- 30*. — main gauche -f-1". 17 août, main droite -f- 10*. — main gauche -|- 4>. Ces
ite -f- 30*. — main gauche -f-1". 17 août, main droite -f- 10*. — main gauche -|- 4>. Ces deux observations sont in
enverse- ment des chiffres normaux de la force extériorisée de la main droite et de la main gauche. Main droite -f>
chiffres normaux de la force extériorisée de la main droite et de la main gauche. Main droite -f> 17°. Main gauche -|-
ux de la force extériorisée de la main droite et de la main gauche. Main droite -f> 17°. Main gauche -|- 30*. La guéris
sée de la main droite et de la main gauche. Main droite -f> 17°. Main gauche -|- 30*. La guérison obtenue par la méthod
e de l'application des aimants, nous retrouvons une formule normale : Main droite -j- 55°. Main gauche -f- 52*. Lorsqu'on ob
s aimants, nous retrouvons une formule normale : Main droite -j- 55°. Main gauche -f- 52*. Lorsqu'on observe une dépression
urs successifs, est examiné au moyen du sthénomètre : On constate : Main droite = 0°. Main gauche = 0°. Après quinze jours
t examiné au moyen du sthénomètre : On constate : Main droite = 0°. Main gauche = 0°. Après quinze jours de traitement, le
rès quinze jours de traitement, les chiffres se relèvent et donnent : Main droite + 33°. Main gauche + 8". Une autre observa
traitement, les chiffres se relèvent et donnent : Main droite + 33°. Main gauche + 8". Une autre observation n'est pas moin
nomètre une formule tout à fait analogue à celle des neurasthéniques. Main droite -j- 22°. Main gauche -j- 43°. Après six se
out à fait analogue à celle des neurasthéniques. Main droite -j- 22°. Main gauche -j- 43°. Après six semaines de traitement,
rise, je pratique de nouveau son examen sthénométriqué et je trouve : Main droite = 0°. Main gauche = 0°. Six semaines plus
de nouveau son examen sthénométriqué et je trouve : Main droite = 0°. Main gauche = 0°. Six semaines plus tard, il y a améli
çon très sensible. A cette époque, examiné au sthénomètre, il donne : Main droite + 55*. Main gauche 4- 43*. Je m'arrête dan
A cette époque, examiné au sthénomètre, il donne : Main droite + 55*. Main gauche 4- 43*. Je m'arrête dans cette longue énum
ux manuels gradués, au modelage, au dessin, à la musique : exercer la main et les yeux de l'enfant autant que sa mémoire ; a
ques GOUTES « d'eau; c'est de la terre détrempée; elle gratte avec sa main , forme un « petit creux où se ramasse un peu d'ea
lle ne trouva qu'une « terre détrempée. Aussitôt elle pratique de ses mains un petit trou « qui se remplit d'eau bourbeuse :
lle guérit encore. Bien que le geste de Bernadette creusant avec sa main un trou dans la terre humide eût été moins beau q
de sa verge, néanmoins la source avait coulé à la surface du sol. Des mains pieuses continuèrent ce jour-là à aggrandir et ap
tant, a contracté la mauvaise habitude de tenir, presque toujours, la main dans sa bouche ce qui lui donne un aspect hébété.
'enfant court vers son père et lui dit : « Papa je ne mettrai plus la main dans ma bouche ». A partir de ce jour, il est com
ces successives sont vaines; à la troisième séance l'enfant retire la main de sa bouche, au moment même où on lui fait la su
œur de l'église dans la nef, sans lui faire aucun mal. On lui lia les mains avec l'étole et on l'entraîna de cette façon de n
ainsi qu'en témoignent le bouquet de fleurs qu'elle . tient à la main et le timbre de sa voix qui est celui d'une femme
: BrissauD (1) Manœuvre qui consiste à tirer fortement sur les deux mains unies par l'extrémité des doigts recourbés en cro
vre la plus grande partie du visage et monte jusqu'aux joues, par ses mains épaisses et fortes, elle est un homme; par l'étal
s doigts sont ornés, la quenouille placée sur la table à portée de sa main , en sont les témoins irréfutables. Ribera s'est
images motrices d'articulation. Un autre, enfin, écrit de sa propre main sa leçon tout entière ; il confie à sa mémoire de
dites de leçon, il est défendu, d'ordinaire, de tenir une plume à la main et de rien écrire; le graphique se voit ainsi ref
ses leçons très consciencieusement; il les écrit même en entier de sa main . Lui demande-t-on de les réciter à haute voix, il
e avec soin son sermon du dimanche suivant. Il le rédige de sa propre main et, dès que sa rédaction lui parait être au point
ront, en même temps qu'ils lisent des yeux et écrivent de leur propre main , articuler nettement et être pleinement attentifs
aie dompter et il ne cesse de recommander d'avoir constamment dans la main les animaux en dressage, de ne pas les perdre de
tique. Les accidents ne peuvent actuellement se produire qu'entre les mains des ignorants qui ne connaissent pas la question.
entait le service de la Pitié, un aîsthésiomètre et un dynamomètre en main , courant de lit en lit, avec une ardeur juvénile,
ion sur: « Le traitement de l'insomnie par l'action hypnogénique delà main . » Un banquet offert par le Président, M. le Dr
arrêt. Plaçant une pièce de cinq centimes à sa portée, j'ai arrêté sa main prête à la saisir, en lui disant: « Ceci ne t'app
professeur Delbœuf, en visite à Nancy en 1887, comment, ayant pris en main et feuilleté ce volume au moment de son apparitio
ous voyez qu'elle ne peut pas tenir en place ; le tronc, la face, les mains , les membres inférieurs sont animés de mouvements
aires destinés à compléter l'expression primitivement ébauchée par la main de l'opérateur. Ces expériences rendraient évid
énergie par un exercice très simple. Un dynanomètre est placé dans la main de chacun d'eux et on le leur fait serrer de tout
çon suivante : le bras droit étant paralysé, par exemple, on place la main droite à plat près de la main gauche saine; p
tant paralysé, par exemple, on place la main droite à plat près de la main gauche saine; puis on commande au sujet de mo
à des pratiques d'exorcisme, jusqu'à ce que la femme se débattit des mains et des pieds, et que l'écume sortit de sa bouche.
mes robustes étaient obligés de la tenir. Le père Jean lui imposa les mains , la fixa d'un regard ferme et lui dit d'une voix
ville, de Rodez, résolut la question en remettant la malade entre les mains des médecins. Elle fut promptement rétablie. Da
Cet homme est âgé de 35 ans ; il a un tremblement, très net aux deux mains , étendu aussi à tout le membre supérieur, ainsi q
izontales, sont de 7 à 8 par seconde. Quand il appuie fortement les mains sur les cuisses, il ne tremble pas; mais le tremb
onne de véritables succès ; mais nous n'avons pas notre homme sous la main ; il ne vient nous voir que de loin en loin. Tout
les sottises. Il finit par mourir dans la misère, une bouteille à la main . Van Helmont vivait dans l'aisance, excité au tra
e est contracturée. — t Eh bien, lui dit-on, je vais la tirer avec la main , hors de la bouche, et la contracture sera vaincu
écuté ensuite plusieurs sauts dans le cercle formé par la réunion des mains de son professeur et. toujours au commandement de
'aurait elle-même pour but que de cacher un tremblement nerveux de la main et du bras. Au fond, il reste le grand artisle
rober aux félicitations, s'enfermer dans son cabinet et se tordre les mains à l'idée qu'il n'avait pas donné tout ce qu'il po
e lui ferme les paupières ; je lui applique le pouce et l'index de ma main gauche sur les globes oculaires tandis que de la
t l'index de ma main gauche sur les globes oculaires tandis que de la main droite je lui fais quelques passes le long du cor
continuèrent comme à l'état de veille jusqu'au moment où. plaçant ma main sur son ventre à travers ses vêtements, je lui fi
27 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
. La même gêne se retrouve pour tous les mouvements des bras ou des mains que le malade veut accomplir, après être resté qu
etourner péniblement sur le ventre, puis de se mettre à genoux, les mains appuyées à terre, et, il lui est impossible de se
re des doigts sur une poire en caoutchouc tenue dans la paume de la main , par suite de la contraction des fléchisseurs. Le
devant du sternum, l'autre électrode dif- férente maintenue avec la main sur le muscle à examiner, voici ce que nous obs
(1) La suspension très prolongée peut amener un engourdissement des mains . Pour remédier à cet inconvénient, on aura soin
ar M. Charcot (de l'Institut). , (2) Je dois les photographies à la main habile de mon ami, le Dr Van Haren Noman, profe
en servir, comme un enfant apprend à marcher ». Je lui mettais en main un miroir et la priais de se regarder et de s'ef-
saient pas sur la température. Les pressions exercées avec toute la main calmaient les douleurs, tous les topiques les a
t augmenté au point que le malade ne peut plus tenir rien clans les mains . On lui faisait conduire les bestiaux pour l'occu
de peu d'amplitude. Le malade est bien assis il laisse reposer ses mains sur ses genoux. Ce sont surtout les doigts qui se
e : flexion et exten- sion, adduction et abduction des doigts de la main . Mêmes phénomènes aux pieds ; de temps en temps
à celte dernière comparaison s'ef- forçait de la repousser avec les mains . Dans quelques cas, elle est le siège de mouvem
sont toujours bien plus for- tement prises que les inférieures, les mains sont toujours atteintes el peuvent l'être seule
aravant. Au début ils commencent habituellement par les doigts, les mains et les poignets et moins fréquemment par la rac
ultent des mouvements de fermeture et d'ouverture alternatifs de la main . Ainsi s'explique ce fait que les athétosiques
ce fait que les athétosiques ne peuvent tenir un objet dans' leurs mains sans le laisser tomber. A ces mouvements de fle
tension s'ajoutent ceux d'ah et d'adduction qui font que lorsque la main s'ouvre les doigts sont en gé- néral fortement
ant sans régu- larité, ces mouvements font passer successivement la main par les position* les plus diverses. A côté de
rteils, ne sont ordinaire- ment qu'une image atténuée de ceux de la main ou plutôt des deux mains : moins violents, souv
e- ment qu'une image atténuée de ceux de la main ou plutôt des deux mains : moins violents, souvent très affaiblis, ils s
it que le malade cassait une assiette ou un verre qu'il tenait à la main , et rien de plus. II. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES
es secousses indépendantes de chacune des articula- tions d'une des mains . Kurella en Allemagne s'est servi d'un chronomètr
ins voyante et moins ridicule. Ainsi la malade de Barrs, plaçait sa main rebelle entre ses genoux, ou crispée sur les pl
perçut de l'existence de mouvements athétosiques aux doigts de deux mains seulement. A l'âge de six ans elle sentait ses'
mais ne pourra jamais écrire il cause des mouvements qu'elle a aux mains . La mère ne peut pas se rappeler exactement à q
ugmentent beaucoup, Le sommeil seul suspend ces mouvements. Aux mains , aux pieds et à la face surtout quand la malade p
osition les bras sont accolés au tronc, les avant-bras fléchis, les mains unies. Les doigts enlacés reposent sur les cuisse
préférée, car ainsi les mouvements involontaires dos doigts et cle la main sont réduits à leur minimum. Quand les mains re
es dos doigts et cle la main sont réduits à leur minimum. Quand les mains reposent sur les genoux, les doigts et les poig
fait semblables à ceux de l'hémiathétose, On voit les doigts des mains s'unir et se désunir continuellement. Chaque do
ouvement d'extension, va presque jusqu'à la subluxations ; toute la main rejette vers le bord cubital. Il résulte de ces
vant-bras ont très peu d'étendue. Quand on place un objet entre les mains de la malade, une plume par exem- ple, elle la
de nystagmus ; pas de signe de Romherg. Troubles vaso-moteurs : les mains et les pieds sont toujours froids et violacés.
laxité des ligaments telle, qu'il survient spontanément, ou sous la main du clinicien, de véritables subluxations des phal
ations des phalanges. On a vu même des déformations permanentes des mains simulant celles du rhuma- tisme déformant class
pour écrire ou tenir leur plume. Un malade d'Audry écrivait avec la main gauche, qui offrait des mouvements moins intens
s que la droite ; celui de Greidenberg pouvait écrire avec les deux mains mais avec certains artifices : ainsi pour écrir
deux mains mais avec certains artifices : ainsi pour écrire avec la main gauche, il place sa main droite sur la table en s
ains artifices : ainsi pour écrire avec la main gauche, il place sa main droite sur la table en s'en servant comme suppo
main droite sur la table en s'en servant comme support, il place sa main gauche au-dessus et de cette fa- çon il écrit.
arriver à leur but. Ainsi un de mes malades saisit le verre à deux mains pour boire. Presque tous les auteurs ont remarq
de de Hughes, pour découper sa viande par exemple, prenait à pleine main son couteau, comme s'il s'était agit d'un poignar
t au repos, assis par exemple, les bras sont accollés au tronc, les mains se joignent pour se séparer ensuite ; les doigt
porter une cuillère il sa bouche, il faut qu'il l'empoigne à pleine main et, après quelques mouvements lents et oscillatoi
resque idiot. Les réactions électriques sont nor- males. Pieds et mains rouges et froids. Presque toutes les fonctions
vement en flexion, en extension, en pronation et en supination, les mains se fléchissent, et les doigts se placent en flexi
sité variable : dans le cas de Joffroy et Huet les adducteurs de la main sont contracturés. Dreschfeld in- dique chez so
alade que les muscles de l'avant-bras sont raides, Massa- longo les mains sont contracturées. Ces contractures, qui ne dépe
re d'auteurs dans l'athétose double : refroidissement au niveau des mains et des pieds, qui peuvent être rouges, livides,
TEURS UNE ANOMALIE DU COCCYX CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 91 la paume des mains ne peut pas se renverser en dehors au delà d'un a
nt; vous trouverez l'histoire du « 11laschera tabetica » exposée de main cle maître, d'après mon enseignement, par le regr
uteur du corps; pour les Grecs c'était le palme ou la largeur de la main à la racine des doigts ; pour les modernes c'es
ulaire des muscles spinaux. L'atrophie a envahi successive- ment la main , le membre supérieur, l'épaule et le thorax du cô
ns le montre parfaitement droit. II y a 3 ans, il constate que sa main droite est insensible à la brûlure, un an , plu
insensible à la brûlure, un an , plus tard, même découverte pour la main gauche. Les membres supérieur et inférieur gauc
quelques jours, pour une forte brûlure, non douloureuse, du dos de la main droite ; de la, on l'envoya à l'Asile de Nanter
te, sauf pour les interosseux, qui paraissent plus atrophiés -Il la main gauche, il en juger par la dépression des espac
la racine des membres ; elle est plus considé- ) râblé à droite, la main droite est complètement impotente et le malade se
est complètement impotente et le malade se sert exclusivement de sa main gauche. L'attitude permanente des mains témoigne
se sert exclusivement de sa main gauche. L'attitude permanente des mains témoigne 1 d'une prédominance do la paralysie s
s témoigne 1 d'une prédominance do la paralysie sur les extenseurs. Main droite : poignet 'Jeu flexion légère ; doigts t
isseurs, contracture qu'il faut un assez grand effort pour vaincre. Main yauche en griffe. Flexion des deux dernières phal
3allll... une canne. Il n'a pu en user il cause de la faiblesse dos mains . Il n'a pu davantage se servir d'une ou de deux b
. Observation II (personnelle). Syringomyélie ayant débuté par la main droite il y a 12 ans. Scoliose à déviation dors
umide ; il en a beaucoup souffert ; il a contracté des engelures de main droite, engelures qui, à partir de cette époque
ui, à partir de cette époque, reparurent tous les hivers, à la même main , jusqu'en 1886. L'année suivante, en 1880, il
86. L'année suivante, en 1880, il constate un affaiblissement de la main droite, léger d'abord, puis s'accroissant d'une
çon lente et continue. En 1882, il s'introduit une aiguille dans la main droite. Il ne s'en aperçoit que plusieurs mois
it que plusieurs mois après, ce qui suppose une insensibilité de la main en ques- tion. Cette même main perd peu à peu l
qui suppose une insensibilité de la main en ques- tion. Cette même main perd peu à peu la finesse de sa sensibilité au co
er. Sur les entrefaites, il avait remarqué qu'il se brûlait à cette main sans rien ressentir. Il devient garçon de burea
L'ordre d'envahissement de la paralysie a été le suivant : en 1880, main droite : en 1885, jambe droite : en 1888, main
e suivant : en 1880, main droite : en 1885, jambe droite : en 1888, main gauche ; vers janvier 1891, jambe gauche. La re
rès affaiblis. En somme, pas d'amyotrophie notable, si ce n'est aux mains . Réactions électriques des muscles ; d'après l'
: légèrement diminuée dans toute cette moitié, sauf au pied et il la main ainsi qu'a l'avant-bras droits, où la diminutio
ngelures antérieures étaient peut- être des troubles trophiques. La main droite. qui en était le siège, rougit faci- lem
e sous l'influence du froid. Bien que la glace, appliquée sur cette main . ne provoque aucune sensation, le malade affirme
d du côté gau- che, s'est altérée au-dessous du genou, ainsi du. la main et dans la moitié in- férieure de de ce côté. L
atif vers le pôle positif ; par exemple, si le malade tient dans la main le pôle négatif, les contractions ondulatoires co
ssent quelquefois par déterminer du côté des mem- bres, surtout aux mains , des déformations articulaires semblables à celle
es finissent par déterminer du côté des membres, principalement aux mains , des déformations semblables à celles qu'on obs
smodi- que si l'on peut ainsi parler. Le» mouvements brusques des mains dans la chorée suffisamment accen- tuée, renden
es finissent par déterminer du côté des membres, principalement aux mains , des déformations et subluxations des doigts as
d'oscillations rhythmées de petite étendue et de durée courte ; la main et les doigts tremblent individuellement, les pha
s'appuyer par sa pulpe sur l'index imitant ainsi la position de la main qui tient une plume à écrire, et les mouvements q
ique, sur la peau des régions carpiennes et métacarpiennes des deux mains et sur les avant- bras. Voici en quoi consiste
t. Incliné en avant, il ne peut se redresser sans s'appuyer sur les mains ; ce fait a pour cause l'altération des extenseurs
on his- toire. Observation VIII (Personnelle). Hypertrophie des mains et des pieds avec troubles vaso-dilatateurs de ce
Ses pieds ont toujours été de dimensions quelque peu exagérées, les mains aussi, peut-être ; mais leur augmentation consi
aucun signe de tuberculose ; il n'a que de la bronchite banale. Les mains et les pieds sont le siège d'une hypertrophie rég
unes congénitales, les autres acquises. Peut-être l'hypertrophie des mains et des pieds doit-elle être, dans l'espèce, rap
ure post-hémiplégique, dans laquelle une déformation exagérée de la main attire surtout l'attention. Voici d'ailleurs le
emblement généralisé qui disparut bientôt pour rester localisé à la main gauche ; pendant trois années, ce fut presque le
préoc- cuper des obstacles qu'il pourrait rencontrer, tenant de la main droite une 224 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
c, l'épaule un peu abaissée, l'avant-bras étendu sur le bras, et la main sur l'avant- bras. La main est déformée, les ar
, l'avant-bras étendu sur le bras, et la main sur l'avant- bras. La main est déformée, les articulations métacarpo-phalang
st lisse, tendue, amincie. Le tremblement occupe les doigts et la main ; il ne monte pas plus haut que l'avant-bras, d
n- nant, on ne tarde pas à se convaincre qu'en réalité, en 1888, la main et le bras gauches étaient le siège d'une roide
rait présenté un tremblement très menu qui n'a gagné le reste de la main que plus tard, et deux ans après il la suite de l
éloigné du tronc, le coude demi-fléchi, de même que le poignet; la main est ramenée vers la cein- ture, les doigts en d
alade est assise, le tronc et la tête gardent la même attitude ; la main en pronation repose sur la cuisse : la jambe est
. LONDE. PHOTOCOLLOGRAPHI6 C"tNd & Longuet. Déformation DE la main dans la maladie DE Parkinson simulant UNE contrac
ours après, il remarquait déjà un certain degré de raideur, dans la main et l'avant- bras droits ; au bout de 6 à 8 mois
ut de 6 à 8 mois, le tremblement apparut, limité aux doigts et à la main , la raideur dominant toujours, et imprimant une c
eur dominant toujours, et imprimant une certaine déforma- tion à la main ; puis, un an après l'accident, le membre inférie
du tronc, allongé et raide, le coude étendu, le poignet fléchi, la main en pronation est ramenée au devant de la cuis-
re complète- 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment la main et les doigts, qui après quelques mouvements prov
lques mouvements provoqués conservent un instant cette position. La main droite est cyanosée et presque constam- ment co
rte de sueur. Le membre supérieur gauche est légèrement fléchi ; la main ne présente pas de déformation notable. Au dyna
ccusées et ne se manifeste plus que dans cer- taines conditions. La main gauche offre il l'état de repos un tremblement pe
omme, il est facile à l'heure actuelle, malgré la déformation de la main , de reconnaître due Rab. est atteint de la maladi
ce, la préhen- sion des objets se fait d'une façon particulière, la main plane pendant un assez long temps au-dessus de
façon à produire des attitudes en contracture caractéristique. (La main de l'accoucheur lorsqu'il veut l'introduire dans
symp- tômes ataxiques dont celle-ci était atteinte. En 1874 « les mains , que la patiente tient étendues sur le lit, attir
ions sur la difficulté et peut-être sur le danger de celle cure. La main gauche s'appuie dans un geste de confiance et d
èle fini; tout le nu de l'aveugle nous fait pressentir la sûreté de main , la vigueur du futur auteur de la Terre. Les
obie » reste une oeuvre de haute va- leur, dans laquelle on sent la main d'un sculpteur qui s'élèvera aux plus hauts som
son ensemble ainsi qu'il est facile de s'en assurer en plaçant les mains sur une apophyse mastoïde. L'appareil Fig. 35.
nce et sa trace est assez persistante. Elle a constamment froid aux mains et aux pieds ce qui l'oblige enjuil- let-août à
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS AVEC TROUBLES VASOMOTEURS DES EXTRÉMITÉS CHEZ U
rcot un hystérique mâle qui présentait un développement exagéré des mains et des pieds accompagné de douleur, de parésie et
la moitié gauche du corps et fortement diminuée du côté droit : les mains , en particulier, sont absolument insensibles des
rappé de la disproportion qui existe entre ses extrémités (pieds et mains ) qui sont énormes et le reste du corps qui est
COLLOGRAPHOE ( ? H £ NE & LONGUET Hypertrophie DES PIEDS ET DES mains avec TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UN HYSTÉRIQUE
TTAILLE & VIE ÉDITEURS UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS . 283 le reste tout semble normal. Les mains (PI
ROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS. 283 le reste tout semble normal. Les mains (PI. XXVIII) sont très grandes et très larges m
es dépassent notablement les propor- tions moyennes ; comparées aux mains d'un sujet sain de même taille, de même âge et
t sain de même taille, de même âge et cle profession similaire, ces mains paraissent énormes. Cette augmentation de volum
urésié. Il dit cependant qu'au cours des hivers de 1891 et 1892 ses mains sont devenues plus grosses encore. A l'é- tat n
ers de doigts au-dessus du poignet, elle envahit à la fois toute la main sans qu'on puisse remarquer si elle commence pa
urtout en fourmille- ments et en crampes dans les doigts et dans la main , avec de temps en temps des sensations de brûlu
ives pour forcer le malade à làcher les objets qu'il tient dans ses mains , le travail les exagère, elles cèdent sous l'infl
cèdent sous l'influence du repos. Malgré l'apparente énergie de ses mains , le malade est remar- quablement faible, on sen
nte quelques,traits que nous UN CAS D'HYPERTROPHIE DES PIEDS ET DES MAINS . 285 n'avons pas retrouvés dans notre observati
aladie actuelle. Au mois d'octobre 1885, il s'est un jour brûlé les mains à son poële sans le sentir; il ne s'en est aperçu
lques engour- dissements. Peu de temps après, il a remarqué que ses mains maigrissaient et se déformaient : l'amaigrissem
dans le service de M. le Dr Monod. A cette époque il présentait aux mains et aux pieds des troubles trophiques et des déf
sensibilité : « Membre supérieur droit : anesthésie complète de la main ; à l'avant-bras, anesthésie limitée au coude, tr
Depuis lors l'affection a continué à évoluer lentement. Du côté des mains , rien de saillant n'est survenu, sauf que l'atr
ts se sont de plus en plus dé- viés et fléchis et que peu à peu ces mains sont devenues complètement in- formes (pl. XXXI
arche et à son métier. En effet il a ressenti des douleurs dans les mains et surtout dans les pieds. C'étaient des douleu
de volume et de force normale. Les déformations portent ici sur les mains : elles sont symétriques et très considérables. L
t sur la première et immobilisée dans cette position. Dans les deux mains , le médius et l'index font défaut (amputation). A
les deux mains, le médius et l'index font défaut (amputation). A la main droite l'auriculaire et l'annulaire sont déviés d
laire sont déviés dans la paume et fixés dans cette situation. A la main gauche, l'annulaire et l'auriculaire sont compl
ée en dehors. Les ongles sont bosselés, épaissis, irréguliers. A la main , la peau est d'as- pect normal ; aux doigts, el
gne d'être noté. Examen électrique (pratiqué par M. Vigouroux). Aux mains , pas de réaction des intérosseux, excepté pour
ins, pas de réaction des intérosseux, excepté pour le premier de la main droite qui présente la réaction complète de dég
vait été pu- bliée par Blocq et Blin, et a bien voulu mettre en nos mains une petite note préliminaire des résultats qu'i
THÉTOSE DOUBLE. 297 Membres supérieurs. Mouvements athétosiques des mains et des doigts plutôt rapides ; en extension, fl
on, flexion, adduction et abduction. Ne peut rien sai- sir dans ses mains ; mange seule, mais très maladroitement et saleme
actilité électrique, n'est pas explorée. Troubles vaso-moteurs, les mains surtout toujours rouges et froi- des. Fonctio
, mais il n'a jamais marché seul, il marchait à peu près tenu par une main ; ce n'est que quand on a essayé de le faire mar
hémiplégique. Cependant on peut en l'excitant en faisant passer la main devant ses yeux, lui faire cligner les pau- piè
rs, les bras sont écartés du tronc, les avant-bras demi-fléchis. La main droite reste plus souvent fermée légèrement, fléc
igts, de temps à autre, on peut facilement étendre les doigts et la main ; elle n'a pas de contrac- ture, souvent il pla
uvent il place son pouce entre son index et le médius en fermant la main ou bien le met comme les épileptiques, quand il v
t comme les épileptiques, quand il veut prendre un objet avec cette main il étend à demi ses doigts et prend l'objet entre
main il étend à demi ses doigts et prend l'objet entre la paume de la main et tous les doigts réunis. Circonférence du b
échi, on éprouve une certaine résistance à étendre l'avant-bras. La main est portée sur le bord cubital du poignet d'oit
PÊTRIÈRE. Lo pouce eu flexion forcée appliqué contre la paume de la main ainsi que de quelques mouvements d'adduction et
e articulation. Pour saisir un objet il fait la même manière que la main droite. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 3
fant en l'appelant, en lui offrant un sou qu'il prend surtout de la main droite. L'enfant se tient debout à la condition
ment il l'hospice. État actuel : Membres supérieurs émaciés ; les mains sont cyanosées ; raideur de tous les muscles du
s sont appliqués contre le thorax, les avant-bras sont fléchis, les mains sont fléchies sur les avant-bras et les doigts
s sur les avant-bras et les doigts sont fléchis dans la paume de la main , le pouce en deliors. Ce type de flexion est pe
étendre les membres ; il droite comme il gauche l'enfant étend ses mains par instant et il se produit alors des mouvements
ueurs de nez. « L'homme étendant les bras esl, de l'exlrémilé de la main droite à l'ex- trémité de la main gauche, aussi
es bras esl, de l'exlrémilé de la main droite à l'ex- trémité de la main gauche, aussi large que long. « La plus grande
mie; de ce point à l'extrémité du médius, deux têtes (avant-bras et main ). Les égalités du membre supérieur subsistent c
long, et les quatre membres plus courts. Le pied est plus petit, la main de même dimension. D'où l'on peut conclure que
ugmente que de 1 à 2,36. La longueur du membre supérieur moins la main est doublée entre 4 et 5 ans, triplée entre 13
quadruplée au moment du dévelop- pement complet. D'autre part, la main est doublée entre et 7 ans, puis triplée à l'âge
ressantes. Vers 7 ans la longueur du bras jusqu'à l'extrémité de la main égale la hauteur de la bifurcation (périnée) au-d
nt à la taille, voici quelles sont les proportions du pied et de la main . A partir de 5 ans, la main est le neuvième de la
s sont les proportions du pied et de la main. A partir de 5 ans, la main est le neuvième de la taille. A tous les âges,
re un peu longs, car l'extension du poignet qui existe sur les deux mains raccourcit la mesure prise en ligne droite et mar
nétrés que nous sommes de la sûreté des méthodes qui sont entre nos mains (1) ». PREMIÈRE PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE D
uée, puisque l'enfant portait facilement de lourds fardeaux avec sa main droite, alors que de la même main, il ne pouvait
lement de lourds fardeaux avec sa main droite, alors que de la même main , il ne pouvait que diffi- cilement tenir des ob
sses qu'il leur imprimait. Quand il marchait, il plaçait de même sa main droite dans la poche droite de pantalon, afin d
ntôt dans l'ex- tension, tantôt restent fléchis dans le creux de la main droite. Mais quand on vient à forcer la contrac
mènent en outre l'extension et la flexion brusques des doigts de la main droite. Le malade ne tarde pas à ramener son bras
nfin, les orteils du pied droit ne sont pas, comme les doigts de la main droite, le siège de mouvements particuliers, pseu
ose vraie les mouvements d'ex- tensionetde flexion des doigts de la main droite. Pour toutes ces raisons, il y avait don
oyez cependant des bras bien musclés ; le dynamomètre placé dans la main droite marque 31 kilogrammes et 29 dans la main g
mètre placé dans la main droite marque 31 kilogrammes et 29 dans la main gauche. Pour l'instant je veux seulement appele
ore au-dessus de ce point. (On peut tenir les deux rhéophores d'une main , réservant l'autre main pour la correction du cou
t. (On peut tenir les deux rhéophores d'une main, réservant l'autre main pour la correction du courant.) Je fais agir le
l l'aide d'un système optique. LA FARADISATION TIIÉHAPEUTIQUE u73 main , je m'attendais à voir une dilatation de la pupil
i le malade ne l'empêche pas lui-même en échauffant la joue avec sa main (1). Ne pouvant pas entrer ici dans tous les déta
aux mouvements, passifs, en même temps qu'apparaît le clonus de la main ou du pied et l'exagération des mouvements réfl
extrémité remonte par derrière jus-' que sur l'épaulé gauche.' La' main droite s'appuie sur' la hanche, pendant' que la
ii¡¡I11¡;\I.IIo, LES HERMAPHRODITES DANS L'ART 387 il tient de la main droite élevée un tronçon de lance pendant que l'a
èvre -), par Estevès, 43 ; (Troubles trophiques symé- triques des mains et des avant-bras d'ori- gine probablement), pa
ment), par Veillon, 201 ; (Un cas d'hypertrophie des pieds et des mains avec troubles vaso-moteurs chez un -), par Souq
ans l'anorexie ), 1, 33, 36, 3-1 ; Ilypertrophie des pieds et des mains avec troubles vaso-moteurs chez un -), 38 ; (Sy
hémiplégie spasmodique enfantile), 41, 42 ; Troubles trophiques des mains et des avant-bras d'origine probablement ), 2.
8, (Altitude pendant la marche dans la - ), 29 ; (Déformation de la main simu- lant une contracture dans la -), 30, 31.
28 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ait pas de parasite : le résultat de ces examens a été négatif. , Main droite. Le pouce et l'auriculaire, malades depuis
ies blanches ; le bout du doigt n'est pas nettement hypertrophié. . Main gauche. - Le pouce, l'annulaire et l'auriculaire
maximum de largeur et d'opacité. A certains doigts même (Cf. index main gauche, fig.'V),' forme un large anneau autour de
ctions Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. III Main gauche. Main droite. Pied droit. ACRODACTYL
le Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. III Main gauche. Main droite. Pied droit. ACRODACTYLOPATHIE HYPERTH
ent inquiet, les troubles sont déjà considérables. Les pieds et les mains sont énormes, les doigts hyper- trophiés sont r
nfance (variété congénitale). Très souvent c'est l'hypertrophie des mains et des pieds qui éveille l'attention, et le méd
1912. (1) G. Fumarola, Les difformités congénitales associées des mains . Nouvelle Icono- graphie de la Salpêtrière, 19H
urs NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII,. Pl. VII Main gauche. Main droite. Pied droit. POLYDACTYL
Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII,. Pl. VII Main gauche. Main droite. Pied droit. POLYDACTYLIE Observatio
de leur arrêt de développement qui donne à la confor- mation de la main un cachet tout à fait caractéristique (PI. VII).
lus elle est démon- trée par le fait que l'extrémité digitale de la main arrive à peine au ni- veau du grand trochanter.
mètres de longueur correspond un radius de 18 centimètres et que la main est très réduite dans sa longueur : il y a donc
exemples (PI. VIII). Nous reproduisons ici la radiographie de deux mains d'un enfant âgé de 5 jours que nous avons étudié
ts reconnaissent pour cause une compression intra-utérine quand les mains repliées au devant du thorax,ont comprimé la ré
pression de la cage thoracique correspondant à la compression de la main . Une trentaine de cas de ce genre ont été réuni
sur lequel je dois insister. Dans son cas,en effet,tandis que de la main gauche il y avait ectrodactylie absolue du côté
produi- sant par une simple cause mécanique, aurait retenti sur la main opposée par un trouble réflexe de l'acrométagén
cas typique de dédoublement complet du premier rayon digital de la main (1) DUBREUIL-CIIAM8AI\DEL, Du développement du
droite par cause mécanique dû à la compression intra-utérine de la main contre l'hémithorax droit. L'individu porteur d
s certains cas, au contraire, que la compression amnioti- que de la main contre le thorax, puisse donner lieu à une anomal
il est aisé de vérifier t'hémiatrophie du thorax et d'autre part la main du même côté qui présente une syndactylie des 4
on différente pour le Ve rayon métapodial : en effet, tandis que la main gau- che présente une disposition normale, au p
e dédoublement des rayons digitaux sur un seul métatarsien, et à la main droite ce processus de bifurcation intéresse au
port à l'axe du membre, présente un nombre des phalanges inférieur ( main ) ou égal (pied) au nombre des articles phalangi
nt curieux d'acrogigantisme localisé aux trois rayons médiaux de la main chez un enfant de 21 mois issu d'une mère mégal
, Contribution à l'étude des difformités congénitales associées des mains . Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1911, p
ent tout à fait raide, il marche à petits pas. Assis à la table les mains sont secouées par de fortes trémulations s'exag
sique s'aggrave lentement. Les oedèmes se montrent aux pieds et aux mains . Pendant la dernière semaine du mois' l'érysipè
ravers de doigt. ' Rien d'analogue à ce moment au niveau des deux mains ou des doigts, des genoux, des oreilles ou des
Prague. (1) Voir mes articles « Déviation latérale des doigts de la main » et « Pseudogibbus après effort musculaire » p
ssé au genou gauche et le vagonnet lui a passé sur les doigts de la main droite. Depuis cette époque, douleurs de la main
r les doigts de la main droite. Depuis cette époque, douleurs de la main droite ; de temps en temps douleurs de la jambe
pendant la marche devenue difficile. - Examen le 5 février 1909 ; main droite livide, à la partie charnue de la phalan
e. La peau de cette phalangette est mince et sensible. Doigts de la main droite en flexion et.abduction légère. Pouce dr
eux à la pression. Tremblement de l'extrémité supérieure droite, la main droite transpire beaucoup et enfle de temps en
s. Hyperesthésie de l'index et hypoesthésie des autres doigts de la main droite.' Hypoesthésie et paraesthésie de la jambe
d'une façon symétrique en apparence, mais inégale. ' Du côté des mains , l'hypertrophie porte exclusivement sur l'annu-
et en ne considérant que les lésions osseuses, les pieds comme les mains sont élargis et épaissis, camards sans augmenta
se coucher, quand on se croit traqué par des ennemis, se laver les mains sans trêve, quand on redoute une contagion, s'a
de tourner la tête se fait sentir chaque fois qu'elle se sert de la main droite ; elle est incapable de CONSIDÉRATIONS S
sociation psychologique, se produit pour n'importe quel usage de la main ou du bras. Ce qui cause la douleur c'est l'act
e torticolis, mais non la contraction douloureuse des muscles de la main : elle fait tout son travail avec la main gauche
oureuse des muscles de la main : elle fait tout son travail avec la main gauche et semble plus aigrie que jamais dans sa
elles n'affectaient que le corps, la tête et les bras, mais non les mains . Ce tremblement n'empêchait pas la malade d'é-
celui d'un caissier de la Marine dont la paralysie trémulante de la main fut guérie après une con- sultation pendant laq
imprimant des lettres, il avait à peine un léger tremblement de la main . Dans ce cas-ci, encore, ce n'était pas le trav
il ne soit point rare de la voir commencer par une anesthésie de la main et par l'atrophie de quelque muscle interosseux.
eux de la douleur. Ils ne savent pas ce qu'ils louchent avec leurs mains , et cependant ils prennent grand soin de ne pas
pas avec la douleur. (1) En ce moment je vois le malade dont les mains correspondent à la ligure 34; il prend tous les
out d'un certain temps d'anesthésie, des altérations trophiques des mains ou des pieds. Quoique la présence de zone d'hyp
façon que dans le cas précédent pour les orteils : prenant dans notre main gauche et immobilisant la jambe du malade par s
e du malade par sa partie inférieure, on saisit avec douceur, de la main droite, le métatarse et l'on incline ou en deda
sie ou anesthésie articulaire. En revanche, dans un grand nombre de mains et de pieds lépreux avec anesthésie cutanée el
bonne taille. Il a des lépromes dans la peau des avant-bras et des mains . ' Les symptômes nerveux consistent en aneslhés
quand nous invitons un lépreux ayant de l'aneslhésie des tissus des mains , avec les yeux fermés, il exécuter le geste con
tons à loucher avec l'index le bout de son nez ou d'une oreille, la main est ' alors élevée sans tremblement ni déviatio
la sensibilité profonde, fait que beaucoup de malades, ayant : des mains et des pieds en période avancée d'atrophie muscul
se voit en contours diffus à cause de son mouvement rythmique. Les mains de la femme des figures 4 et i', avec atrophie mu
syringomyélique chez lequel, en plus de l'atrophie des muscles des mains , il y a celle du biceps et celle du pectoral du c
phiés par l'effet de la tuméfaction inflammatoire du carpe et de la main . L'atrophie est uniforme dans toute la longueur d
st paraly- tique comme dans le cas de la figure 30, dont l'état des mains a été pro- duit par névrite typhique, et dans l
comme on le voit dans les figures 2, 2', 3t et dans le pouce de la main correspondant à la figure 32. Et en quatrième l
x derniers doigts de la figure 33 et celle des trois derniers de la main correspondant à la figure 34, sont régies par l
léchisseur superficiel ; l'attitude des trois derniers doigts de la main gauche de la même figure 34 dépend de la contra
l'extrémité·cles doigts avec résorption osseuse. Voir ce sujet les mains des figures 2 et 31. Dans certains cas, quand l
uand les muscles contractures s'atrophient, si la flexion n'est pas main tenue par ces ai fera fions que je viens de décri
et du tendon du biceps la produit chez beaucoup de lépreux dont les mains elles doigts offrent de graves lésions. (I) N
U SYSTÈME NERVEUX 167 dans certaines régions, mais spécialement aux mains parce que ce sont des régions distales el, par
morbide chez les individus sains. Les articulations du carpe de la main de la figure 29 sont des types d'inflammation a
n'ont pas été mutilés par des phlegmons ou par scléroder- mie, les mains peuvent acquérir cette forme de griffe d'oiseau d
e chirurgicale. La deuxième et la troisième phalange du pouce de la main qui corres- SFML'T061AT(ILOGIG : LU SYSTÈME NER
cification osseuse à un degré plus ou moins élevé. Le squelette de la main droite de la figure 45 montre la raréfaction, s
s extrémités des phalanges et des métacarpiens. La photographie des mains de ce malade se trouve dans la figure 46, qui en
se par résorp- tion, d'une même forme et d'une même évolution. La main de la figure 60 est un exemplaire typique de macr
du pouce lesonl aussi quoiqu'à un degré moins élevé. Le reste de la main a le volume normal. Celle image, ai-je dit, c
ascendante, l'atro- phie passe aux membres supérieurs : d'abord aux mains , puis aux avant- bras, et quelquefois aux bras.
oyenne, avant d'attein- dre les membres supérieurs. En général, les mains se prennent au mo- ment où les jambes sont atte
il l'a cessé, il y a deux ans, non pour faiblesse ou maladresse des mains , mais parce que ses jambes ne pouvaient plus le
et les 180 SOUQUES jambes, ne se montrant aux membres supérieurs ( mains d'abord, puis avant-bras) que plusieurs années
très longue période (PI. XXXII, XXXIV). Aux membres supérieurs, les mains présentent les déformations sui- vantes : les p
llants, et il y a atrophie exlrême de tous les petits muscles de la main , avec disparition complète des.éminences thénar e
périeurs, il faut noter l'atrophie extrême des petits muscles de la main : interosseux, éminences thénar et hypothénar. Su
ain : interosseux, éminences thénar et hypothénar. Sur le dos de la main se dessinent nettement les tendons des extenseurs
rapprocher les doigts que d'une façon incomplète et que s'il met la main sur un-- plan résistant. L'opposition du pouce es
olontaires correspondants se fassent avec une étendue normale. A la main ,' la flexion et l'extension des doigts sont possi
ouve encore plus frappantau niveau des membres supérieurs. Avec des mains extrêmement atrophiées, nos deux sujets peuvent é
ique. Il ne peut absolument, comme vous le voyez, rien faire de ses mains ; son impotence fonctionnelle est com- plète. L
Chez lui aussi l'impotence fonctionnelle est absolue au niveau des mains . Je signale, en passant, chez F... l'existence
altérations en disant que les muscles des pieds, des jambes et des mains sont iiiexciuibles au courant faradique,et que l'
équilles. Les réflexes tendineux sont tous abolis. Aux pieds et aux mains il y a hypoesthésie superficielle et profonde à
tre malade un acromégalie indiscutable. Aux membres supérieurs, les mains (PI. XL, fig. 1) ont l'aspect caractéristi- que
sez nettement sur l'épreuve radiographique. Les radiographies des mains décèlent un développement exagéré des parties m
/-syndactylie. Il s'agit d'un homme de 35 ans dont les pieds et les mains présentent la conformation suivante : Chacune
les mains présentent la conformation suivante : Chacune des deux mains , examinée extérieurement, présente cinq doigts.
beaucoup plus com- plexes. Il ne s'agit de syndactylie pure ni aux mains ni aux pieds. Le squelette de la main gauche, q
t de syndactylie pure ni aux mains ni aux pieds. Le squelette de la main gauche, quoique simple en apparence, renferme c
orienté de telle sorte que sa base regarde en haut et en dehors (la main supposée allongée le long du corps) elle sommet v
'un sixième doigt. Cette opinion trouve un appui si l'on examine la main droite. Sans doute, les formations squeletlique
squeletliques ne sont pas tout à fait superposables à celles de la main gauche ; elles leur sont néanmoins très comparabl
sa situa- tion, comme aussi par sa forme, à l'os cylindrique de la main gauche. Mais il y a plus, et la polydactylie de
plémentaire se rapporte à l'un des orteils normaux. Aussi, tant aux mains qu'aux pieds, )'apparente syndactylie dissimule
oublions pas en effet que la polydactylie est accompagnée, tant aux mains qu'aux pieds, de syndactylie. Or, de même que nou
t chaque pied possède huit orteils, tous en syndactylie et dont les mains sont éga- lement syndactyliques ; de ces derniè
nce, spécialement accentué dans la région terminale. Le fait que la main normale quant au nombre des doigts pré- sente c
sente cette disposition, et que le doigt supplémentaire de l'autre main n'est pas enfermé dans l'enveloppe cutanée indi
ers externe et le tiers interne de cette face. 5° Au niveau de la main , l'éruption descend jusqu'à 3 centimètres au- d
centimètres au- dessous de la ligne bistyloïdienne sur le dos de la main . Dans la paume de la main on trouve des élément
la ligne bistyloïdienne sur le dos de la main. Dans la paume de la main on trouve des éléments siégeant : sur l'éminence
ts actifs du poignet et du coude semblent normaux comme étendue. La main gauche est habituellement dans la position suiv
avec la plus grande netteté que ces troubles dans la motilité de sa main gauche sont apparus en même temps que le zona, et
d'étendue limitée : le malade n'arrive que péniblement à mettre la main sur la tête, et ne peut élever son bras à la ve
taine étendue. Passivement, tous les mouvements sont possibles à la main comme au poi- gnet et au coude. A l'épaule on n
ras, pour la flexion et l'extension du poignet ; très diminuée à la main , au dynamomètre on constate 20 à droite et 3 à
est, il est vrai, droitier, mais il a constaté lui-même combien sa main gauche avait perdu de force depuis l'apparition d
as et de l'avant-bras, la face antérieure de l'avant-bras, toute la main et les doigts. La face antérieure du bras semble
sation est très minime. Cette hypoalgésie est surtout marquée à la main et aux doigts. Elle prédomine sur le bord cubit
e à la main et aux doigts. Elle prédomine sur le bord cubital de la main et sur les deux derniers doigts. La sensibilité
ratiqué dans le sang, le 3 avril, fut négatif. Une radiographie des mains et poignets faite à la Salpêtrière, le 31 mars
mblent cependant s'être un peu accentués, sur- tout au niveau de la main . Ainsi au dynamomètre, on a : 0 à gauche pour 18
centués. Depuis environ trois semaines, on constate au niveau de la main gauche un oedème léger le matin, s'accentuant d
ant dans le courant de la journée. Cet oedème siège au niveau de la main : doigts, paume, dos de la main, et empiète sur
e. Cet oedème siège au niveau de la main : doigts, paume, dos de la main , et empiète sur le tiers inférieur de l'avant-bra
s de la main, et empiète sur le tiers inférieur de l'avant-bras. La main est légèrement rosée, violacée. Enfin le malade d
dit éprouver une sensation de froid très accentuée au niveau de la main et surtout des doigts. On ne la constate pas ob
Les réflexes sont présents, ils ne sont pas exagérés. .4 gauche la main est presque toujours en flexion palmaire. Le pouc
e secousse vive, entrecoupant les contractions des fléchisseurs, la main exécute un mouvement de flexion dor- sale. La
échisseurs, la main exécute un mouvement de flexion dor- sale. La main droite montre également de la tendance vers la fl
laire, également bien appréciable en palpant les petits muscles de la main ou mieux encore en prenant notre malade par un
sans difficulté donner,des positions excessives aux doigts et à la main , malgré lès contractions continuelles des muscl
out le corps est penché vers le côté gauche'et qu'inconsciemment la main fait le poing. Pourtant aucun muscle n'est para-
e est pressé contre le thorax, il est mis en flexion - au coude, la main fait le poing. Brusquement l'avant-bras est jeté
r le ' membre. Au moment où les avant-bras sont jetés en avant, les mains exécu- -tent des mouvements associés de flexion
la sensation d'une action musculaire irrégulière, mal soutenue ; la main est mise en flexion palmaire et pas en flexion
taté, quand le malade fait un mouvement de préhension : il ouvre la main d'une manière exagérée. Le malade est capable d
on permanente, serré contre le thorax. Il tient la cuiller à pleine main . Après une attente relativement longue, le bras d
uche. Les mouvements alternatifs de pronation et de supination delà main restent 'tout a fait en défaut : c'est à peine
us capable de faire suivre le mouvement inverse. Par contre l'autre main exécute quelques mouvements 'alternatifs'incons
normes, mais le pouce se met tout de suile eu opposi- tion quand la main fait un mouvement actif de préhension. En général
isolés des doigts,/ les mouvements de flexion et d'extension de la main restent presque entièrement en défaut. De temps
Le malade affirme avec la plus grande netteté qu'à cette époque la main gauche ne présentait aucun trouble fonctionnel',
nant après l'épaule gauche le bras et l'avant-bras gauches, puis la main gauche, atteignant ensuite les muscles du cois,
t de l'épaule droite; c'est en dernier lieu que le bras droit et la main droite furent pris. Cette évolution fut essentiel
m. Le membre supérieur gauche présente tout d'abord au niveau de la main une atrophie très marquée, ayant amené la dispa
nt à la palpation. Le pouce est sur le même plan que la paume de la main , sa première pha- lange est en légère flexion s
n'est possible. Le membre supérieur droit présente au niveau de la main une atrophie un peu moins accentuée que du côté
sent légèrement touchés, bien qu'on les sente se contracter sous la main , leur relative faiblesse fonction- nelle semble
Comme troubles vaso-moteurs, il faut signaler un état spécial de la main gauche. Cette main est plus froide que celle du c
-moteurs, il faut signaler un état spécial de la main gauche. Cette main est plus froide que celle du côté opposé : et c
TROPHIE'PROGRESSIVE ARAN-DUCHENNE 301 objectivement. De plus, cette main est cyanosée et elle présente sur la face dorsa
gent encore actuellement au niveau du genou, du cou-de- pied et des mains ; elles apparaissent brusquement et disparaissent
e perd de sa force. Il remarque très nettement qu'à cette époque la main gauche est faible alors qu'il peut encore très
he. Celui-ci se perd à son tour. Enfin un an après l'atteinte de la main gauche, en 1911, alors que tout le membre supér
tout le membre supérieur gauche est fonctionnellement très touché, la main droite se prend. Lentement, et de bas en haut,
périeurs étaient atteints, mais il pouvait encore manger seul de la main droite, une fois qu'on lui avait coupé ses alimen
asque en grande partie l'amyotrophie sous- jacente. Au niveau de la main gauche, on constate que les doigts sont habi- t
is presque sans force. Le malade peut arriver cependant à mettre la main sur la tète, mais très pénible- ment. Le deltoï
Le membre supérieur droit est un peu moins touché que le gauche. La main droite semble aussi atrophiée que la gauche, ma
elle est diminuée partout ailleurs et en particulier au niveau des mains . Les vibrations du.dia- pason sont à peine perç
sens des attitudes persiste, bien que très diminué, au niveau de la main droite ; il est aboli partout ailleurs. Le sens
s, il faut signaler une sensation subjective de froid au niveau des mains et non des pieds ; cette sensation n'est pas perç
pieds ; cette sensation n'est pas perçue objective- ment. Enfin la main gauche présente une légère tendance à la succulen
ommence à sentir. Je crois que je sens un petit chatouillement à la main . Oui, je comménce à sentir. 2' minute (spon- ta
n- tanément). Oui, je sens un peu autour des doigts, à la paume des mains , je sens un peu plus, mais ce n'est pas bien fo
h ! je ne sens pas bien fort. Je sens de petits picotements dans la main . Je sens beaucoup plus ma crampe à présent que
in. Je sens beaucoup plus ma crampe à présent que l'électricité aux mains . 4** minute (spontanément). Voilà, je commence
mps flasques et volumineuses. La peau est d'un blanc d'albâtre. Les mains sont petites, délicates, avec les doigts effilés.
gustatives dans ces cas ( ? ). En ce qui concerne la petitesse des mains et l'efGlure des doigts chez notre malade, on e
ion ; dès les premiers instants, la mère- s'aperçut qu'il avait une main plus volumineuse que l'autre. Pas de maladies d
et l'avant-bras gauches sont identiques à ceux du coté opposé. La main gauche présente un épaississement des téguments,
présente un épaississement des téguments, avec hypertro- phie. La main n'est pas allongée, mais très élargie. La régio
rtout du même côté, caractérisée par l'hypertrophie en massue de la main et de trois doigts, avec succulence et hypotonie.
rélat et Monod, Duplay, Mouchel), les deux pieds (Clutlon [3]), une main (Apert [4]). Mais dans aucun de ces cas on ne c
glycosurie, de po- lyurie ; le facies n'est pas caractéristique; la main n'est pas allongée ; enfin la radiographie mont
as d'Aloïso de Castro, il y a de la scoliose, de la glycosurie, les mains sont grosses et courtes, mais la radiographie man
onc d'un remaniement complet, portant sur le squelette entier de la main et de et non pas de la suppression simple de qu
condi- tions qui entraînent l'absence d'une partie importante de la main . Deux hypothèses principales sont en présence :
s. Chez le sujet qui va nous occuper, la syndactylie portait sur la main droite et seulement sur le médius et l'annulair
nt et tout il l'extrémité existe un léger sillon. - Comparée à la main gauche, la main droite est légèrement plus grande
extrémité existe un léger sillon. - Comparée à la main gauche, la main droite est légèrement plus grande : NOUVELLE Ic
éfléchir sur sa signification. Tout d'abord remarquons que les deux mains sont tout à fait semblables. Ne serait-ce pas une
nues dans le mode de (1) M. DERVAUx, Syndactylie terminale des deux mains et syndactylie d'un pied. Société d'obstétrique
unies, mais que la réunion traduit un ensemble de processus dont la main est le siège, mais qui dérivent sans doute de l
ment publiées et relatives à la constitution du réseau artériel des mains syndactyles. On a souvent rappelé que Le- maist
érales s'effectuer plus près de l'extrémité des doigts que dans les mains normales. Plus récemment, Gentès et Auharet (3) d
'un processus très complexe portant sur l'ensemble des tissus de la main ou du pied et d'où résulte aussi bien le mode de
ielle- ment caractérisé par un bras réduit à un moignon portant une main en miniature. L'année suivante, l'un de nous, e
e sujet actuel le moi- gnon antibrachial ne porte aucun rudiment de main , tandis que ce moignon, chez les trois autres,
, tandis que ce moignon, chez les trois autres, est terminé par une main minuscule, mais parfaitement reconnaissable. Et
in minuscule, mais parfaitement reconnaissable. Et non seulement la main fait défaut, chez lo sujet qui nous occupe, mai
i comparable à celui qui existe concurrem- ment avec un rudiment de main , contredit l'hypothèse mécanique. Dès lors, les
si nous rappelons que dans l'un des cas rapportés par \Iouchotte la main était 352 HUPPEE ET RABAUD représentée par un
émimélie antibrachiale caractérisée par la disparition totale de la main et par une réduction très accentuée des os de l'a
ère progressivement accentuée en allant du bras à l'extrémité de la main , mais même la diffé- renciation a complètement
ogressivement devenu du tissu fibreux. La région tout entière de la main a subi pareille-transformation, ainsi que l'ont
transformation a été de moins en moins complète en remontant de la main vers le bras. Dans notre précédent travail nous
discussion sur ce point se heurte aux cas dans lesquels existe une main , très petite sans doute, mais bien conformée. D
ettique très étroite entre les individus dont les uns possèdent une main très petite, mais indéniable, et l'autre, qui en
r tout aussi discutable,- à savoir la prédominance de l'usage de la main gauche chez les épileptiques ; ensuite le phénomè
la radiographie. Comme on le sait, la prédominance de l'usage de la main gauche est relativement plus fréquente chez les
droitiers, on trouve très souvent la prédominance de l'usage de la main gauche. Par contre, 9 sur 11 de ces épileptiques
ux-mêmes, on peut considérer alors la prédominance de l'usage de la main gauche comme un signe de dégénérescence qui se
dlich, entre autres, qui 'explique la prédominance de l'usage de la main gauche par un'111éningo- encéphalile diffuse qu
comme diagnostic différentiel, car la prédominance de l'usage de la main gauche se pré- sente aussi bien dans l'épilepsi
order aucune valeur diagnostique à la prédominance de l'usage de la main gauche. Nous avons probablement un phénomène pl
e prendre, comme dans quelques cas de prédominance de l'usage de la main gauche, pour un symptôme hémisphérique : si les
lepsie, seulement les contractions commencent quel- quefois dans la main droite (cependant elles sont aussi souvent immédi
es personnes qui l'entou- rent tous les objets qu'il trouve sous la main . Il cause très vite : c'est à peine si l'on par
29 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . TOME SEIZIÈME. 2e SÉRIE. PARIS. BUREAU
vérité, n'importe par quelle bouche; Le bien, n'importe par quelle main . Baron du Potet. Paris, 15 février 1857. le
gnétisme. D’une société factionnaires, ce journal est passé entre les mains de M. le aron du Potet, qui s’en est rendu l’uniq
e la matière , industriels et trafiquants ; leur cœur est mort, leurs mains n’ont aucune puissance, mais l’ignorance humaine
le magnétisme, avait en- gagé vivement le médecin à .appliquer sa main sur la partie malade et à magnétiser son mari, pe
ue j’ai faites durant la magnétisation : J’appliquai directement ma main sur la partie saillante en exerçant de légères fr
s revenaient avec leurs éclats joyeux comme des fanfares, marchant la main dans la main , souriant à leur sœur, la poétique
avec leurs éclats joyeux comme des fanfares, marchant la main dans la main , souriant à leur sœur, la poétique Espérance, et
é, par le décret souverain du 8 octobre 1845, exclusivement entre les mains de MM. les médecins qui en sont par système les e
, les interrogateurs et les spectateurs sceptiques qui ont posé leurs mains sur le parquet, près des pieds des médiums, et qu
en lui, le Christ, il les a invités à le toucher et à palper de leurs mains la blessure de son côté, ce qui était un moyen de
entre en fureur, cherche querelle à ceux qui lui 1 tombent sous la main , menace, provoque, veut se battre et éprouve le
a disposition, et je me mis à magnétiser tout ce qui me tomba sous la main . Mus amis, mes connaissances , leurs chiens, leur
istent aux frictions descendantes et qui cèdent à l’application de la main sur le point douloureux. d Je connais un magnét
init par se guérir radicalement par trois à quatre applications de la main , pendant l’espace de dix minutes chaque fois. «
le somnambule , ayant les yeux fermés, voit un objet qu’il tient à la main , personne ne prétend que son âme soit obligée îl
d que son âme soit obligée île sortir de son corps pour aller dans sa main ; si l’objet est renfermé dans une boîte placée à
s, puis s’est arrêtée sur sa cuisse. — « Prenez la cloche de vos deux mains , et serrez-la de toutes vos forces, » dit alors M
G... obéit. M. Hume commanda alors à l’esprit d’enlever la cloche des mains de M. de C..., et celui-ci a raconté qu’il avai
es mains de M. de C..., et celui-ci a raconté qu’il avait senti des mains gantées (nous sommes en bonne compagnie, l’esprit
tées (nous sommes en bonne compagnie, l’esprit ne se présente pas les mains nues) ouvrir les siennes et lui enlever la cloche
A peine remettions-nous les lignes qui précèdent à l’imprimeur, qu’un main amie nous adressait un feuilleton de l’Estafette,
tapis, par une sorte de pression singulière sur les genoux ou sur les mains des dames et des hommes. « Une dame, la comtess
it de telle personne, morte depuis longtemps, vienne lui effleurer la main . « Si l'esprit consent, dit le médium , il l’an
.., placé derrière la comtesse de L..., se baisse, saisit vivement la main de celle-ci et la serre très-fort. « Madame de
l me l’a serrée à me faire crier ; et, chose étrange, j’ai entrevu sa main et j’ai senti qu’elle était brûlante. « Emotion
de L..., ce quelle racontait de l’impression que lui avait causée la main de l’esprit était tellement frappant, que l’on n’
tapis, par une sorte de pression singulière sur les genoux ou sur les mains des dames et des hommes ; — 2° que l’esprit d’une
uvaient derrière la somnambule, de s’approcher doucement, de tenir la main sur le dossier de la chaise et de me prier de fai
frir. Tous les regards se portèrent sur ce jeune homme qui, ayant les mains derrière le dos, était bien loin d’être dans
onie (art de reconnaître le moral de l’homme d’après les formes de la main ) ; ce cours, où le professeur a montré autant de
discours chaleureux et éloquents du baron du Potet', qui porte d’une main si ferme le sceptre du magnétisme, et qui sait si
souffrances, fait du magnétisme sans s’en douter ; l’ami qui prend la main d’un malade , qui, par l’énergie de sa volonté et
. Depuis près de trois heures, la crise durait. A ma vue, retirant sa main renfermée dans celles de sa mère, elle me fit dou
er le cerveau, je pris en place de l’eau sédative que j’avais sous la main , et j’en appliquai des compresses sur la tête, au
es lignes s’est occupé de l’étude de l’homme par les caractères de la main , et il a observé que les gens timides, suscep
gradations d'un même sentiment, — éprouvaient, au contact subit d’une main qui presse la leur, une espèce d’horripila-tion,
diaparait au contraire dans un temps très-court, lorsqu’on touche la main des personnes douées d’une sensibilité de sensiti
n crâne, son regard annoncent des tendances à la rêverie mystique. Sa main , que nous avons étudiée avec soin, a les cara
eu me pardonne mon ignorance, j’étais bien embarrassé. « J’avais la main gauche en pointe à la hauteur du sternum , — la m
num , — la malade assise et moi debout, — je faisais les passes de la main droite, — je l’avais priée de me regarder, croyan
je fais. » « Elle sourit ; — j’étais un peu fatigué, je changeai de mains et continuai les passes dans le même sens. « Au
nespéré, que je fais quelques nouvelles passes, et, arrêtant mes deux mains à la hauteur du front, je formule en moi-même l’o
et du magnétiseur. Suivant lui, la somnambule n’aurait été entre ses mains qu’un puissant instrument de diagnostic. Il est v
mentaire sur la Bible, vit une nuit en rêve un homme qui, plaçant une main sur sa joue, lui annonça qu’il mourrait bient
lors de la résurrection attribuée à Elie. Le prophète ayant pris des mains de la mère le corps de son enfant, le porta dans
'enfant. Il met sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses yeux et ses mains sur ses mains ; il se courbe sur l'enfant et la c
t sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses yeux et ses mains sur ses mains ; il se courbe sur l'enfant et la chair de celui-
in qu’un maître encore plus grand qu’eux a dit : « Ils imposeront les mains sur les malades, et ils les guériront. (Marc, xvi
, mais d’une façon bien hostile. Il déclara qu’il ne prêterait pas la main au magnétisme, et qu’il se retirerait si on emplo
disputent les meilleures places pour chercher leur nourriture dans sa main et jusque entre ses lèvres. — Il est bien diffici
, entendant une personne se plaindre d’être souffrante, je lui mis la main sur le front, et lui dis : Rêvez à ce qui doit vo
ils et moi faisons quelquefois mouvoir une table par l’imposition des mains . Il y a peu de jours, j’eus l’idée d’interroger c
ériences-là). On voit aussi des médiums chez lesquels la parole et la main servent deux intelligences antagonistes ; c’est q
ieu de croire encore que l’esprit agit quelquefois directement sur la main du médium quand il veut le faire écrire, ou sur l
s amis, qui fut médium pendant un an, mais qui, malgré tout ce que sa main a écrit de remarquable, est resté incrédule, tant
e fut qu’après la séance, bien entendu, qu’il nous en fit l'aveu). Sa main fut longtemps et violemment agitée ; il y avait l
nous dit-il ensuite, que j’écrivais ce que je voulais, et lorsque ma main s’est arrêtée, j’étais sûr de l’avoir écrit. Voic
rrêtée, j’étais sûr de l’avoir écrit. Voici ce qu’il avait écrit : La main de l’aveugle nous a fait assez voir pour ce soir.
t qu’il tiendra à honneur que tout le monde le sache. « Eh bien, sa main n’a plus été agitée. Nous avons fait de vains eff
laquelle les invisibles dictaient des prescriptions. Tout à coup, la main du médium, madame S..., s’arrêta, et celle-ci me
merez ce nom avec des lettres que vous connaissez, et aussitôt la main écrivit Chmnédris. Oli ! s’écria le médium, qu’es
is répondre que... je n’en savais rien, ce qui était vrai, lorsque la main reprit ainsi : Qiia-mé-dis ; c’est une plante ; c
ersonnes s’assirent autour d’une table très-massive en y imposant les mains . « L’effet fut nul. « Il y a trop de monde, d
temps, le commandant F. P.., aide-de-camp du prince , une bougie à la main , et couché sur le tapis, cherchait le truc et la
n. « Ensuite, M. B... mit son mouchoir sur la table, le tenant à la main ; bientôt il sentit un tiraillement très-vif, qu’i
uille de papier. A l’envers, précisément sous la question écrite, une main invisible avait tracé ces mots : « Dans deux jour
es pâlirent, une demi-obscurité régna dans le salon et on aperçut une main , indécise et rayonnante comme un nuage lumineux,
n tapis. Il a appuyé ses deux coudes sur la table, et sa tête sur ses mains , comme pour recueillir sa pensée, ou converser av
aché violemment pour s’envoler comme un grand papillon dans une autre main . Ensuite..., oh ! par exemple, je n’ose aller plu
cueilli comme les premiers propagateurs de vérités impossibles... Une main , une véritable main blanche et fine , composée d
miers propagateurs de vérités impossibles... Une main , une véritable main blanche et fine , composée de cinq doigts , aux o
ur cette apparition, en courant la chance de recevoir un soufflet. La main a été polie et n’a témoigné aucune irritation, co
let. La main a été polie et n’a témoigné aucune irritation, comme une main de reine espagnole habituée au baisemain. « Il
d’une demi-minute employée à cette sorte d’évocation , il étendit la main dans la direction de la table, qui se mil aussitô
marcher et arrêter les aiguilles à volonté, seulement en étendant la main . Puis toutes les sonnettes furent subitement agit
s’ouvrit tout à coup avec bruit, et le livre, comme jeté par une main invisible, vint tomber sur les genoux de la perso
rs airs qui furent indiqués ; puis, des mouchoirs furent arrachés des mains de quelques messieurs qui avaient défié l'é— voca
ain ? Puisque l’ombre nous environne, Marchons en nous donnant la main . Aimer, c’est croire ; et nul mystère Pour le b
git pas seulement d’éventer le visage par le mouvement rapide des mains , mais tout dans le corps du magné liste doit conc
t sur le lit, chacun d’un côté, et lui caressèrent les joues avec ses mains . Oh ! quelle vue magnifique! La chambre était ple
fille malade, et se place de manière que celle-ci puisse y poser les mains . O11 entend des coups gradués, depuis les sons le
Ils ont pincé les cordes, puis ils ont remis le violon entre nos mains , en faisant un bruit semblable à celui qu’on prod
la pointe sur le milieu de la tumeur; d’un coup sec de la paume de la main donné à l’extrémité du manche, je l’enfonce à tra
avec les yeux bandés , et lorsque, doutant encore, je lui appuyais la main sur le bandeau, elle s’écriait d’un ton fâché : «
, et le docteur se présente. La jeune fille se cacha la tète dans ses mains , et refusa obstinément de répondre à aucune quest
de passes dans le dos, il se mit â genoux et baisa avec transport la main sale que lui tendait le marmiton. Je le tirai à l
croyant la voir sur la table et sentir son sang couler. En passant la main devant la tète d’une personne, je la lui faisais
rement encore, dans le Tyrol, deux saintes montraient au peuple leurs mains et leurs pieds percés comme ceux du Christ, et de
nes comme une branche de groseillier à maquereau, plus épaisse que la main et large comme deux mains ; il roula avec volupté
groseillier à maquereau, plus épaisse que la main et large comme deux mains ; il roula avec volupté sa face sur cette feu
de ses ongles, dépassant probablement les extrémités endurcies de sa main , rencontra le feu et brûla (contre le programme)
’Aïssaoua le prit sans discontinuer ses bonds ; puis, écartant à deux mains ses crins épars, il se logea dans l’œil la pointe
ujours hurlant et sautant, roulait rapidement entre les paumes de ses mains la boule du bâton dont l’autre bout était dans so
i rends le pain beni.) « — Voulez-vous me permettre de regarder vos mains et de vous tâter le pouls? (Il venait de jouer du
sabre cinq minutes avant.) « — Volontiers. « — Nous regardâme ses mains : elles étaient parfaitement nettes, moites, très
dans 1 Amérique du Sud, cent fois nous avons vu des nègres tenir à la main , sans se brûler, le charbon pour leur cigare ou c
rus, et une incapacité complète de mouvement de tout le bras et de la main . Dans ce fouillis de muscles de l’épaule, du bras
ce fouillis de muscles de l’épaule, du bras, de l’avaut-bras et de la main , comment reconnaître ceux qui étaient irrités et
tous ses efforts sur ce point, s’était occupé des doigts, puis de la main , puis du bras, et en dernier lieu seulement d«l’é
pal. L’engourdissement ou la contracture des muscles du bras et de la main n’étaient que les difficultés secondaires, les ca
r successivement tous les mouvements possibles des doigts, puis de la main , puis du poignet, en ayant soin de magnétiser de
i sens. Le voile soulevé ne Rabaissera plus. On a bien pu laisser aux mains des prêtres de toutes les religions le pouvoir sp
rchons résolument en avant. Les chefs des peuples du passé avaient en main une épée; ils frappaient des gens qui ne ripostai
u du beurre. On m’apporte de l’huile dans une assiette ; je trempe ma main droite et je l’applique sur l’épigastre de la mal
la tumeur, qui égalait la grosseur d’un œuf de poule. Je trempe ma main dans l’huile d’olives, je l’applique sur la tumeu
t de vains efforts pour obtenir la réduction. J’arrive, j’applique ma main sur la tumeur, et, en quelques miqutes, elle rent
e et très-douloureux. Je fais venir de l’huile d’olives, je place nia main sur le côté malade, et, en moins de cinq minutes
tends le patient dire en souriant : Mais vous m’ôte z mon mal avec la main . Un quart d’heure après, il pouvait s’asseoir sur
queur, mais pour cela il a dû bien souvent s’échapper brillant de mes mains , car le scepticisme était enraciné. Mais commen
t travaillé pour nous ! Continuez de porter le flambeau déposé en nos mains , sa lumière est faible encore, mais chaque jour v
ut-être, dans un moment d’entraînement, iraient-ils jusqu’à tendre la main ... à la main purifiée de celui qu’ils ont anathém
un moment d’entraînement, iraient-ils jusqu’à tendre la main... à la main purifiée de celui qu’ils ont anathématisé. Lais
agnétisme, c’est le camp armé, le groupe de ceux qui pratiquent d’une main et combattent de l’autre, la fraction militante,
vérité, n’importe par quelle bouche ; le bien, n’importe par quelles mains ! Et, croyez-le, celui qui tiendra haute et ferme
De Mesmer, vaillante phalange, Unissez en vos faits nouveaux La main du mage au cœur de l'ange, El Dieu bénira vos t
ait sur l’aile des vents ; A nous la mission de l'âme. Car en nos mains est un dyctame Que le Tres-IIaut donne aux ferven
é des pensées les plus opposées aux siennes. Il serre cordialement la main aux magnétistes studieux de toutes les écoles. Qu
sources de la médecine ordinaire, et parfaitement accomplie entre les mains de M. du Potet. J’ai suivi les phases de cette gu
, ni parler. Je crus comprendre aux sigues qu’elle me fit alors de la main , que j’agissais convenablement, mais qu’il falla
ur la naturede celles qui l’atteignaient alors. L’application de la main , conseillée par M. le docteur Louyet, ensuite d’
me Férand, se trouvait son cousin qui lui tenait de temps en temps la main . Je m’aperçus que , lorsqu’il cessait de la lui t
ces paroles. Le maréchal remettait sa lunette dans sa poche. U eut la main gauche, qui tenait les rênes , fracassée , le cor
le salon ; Hume était debout, en extase, les yeux levés au ciel, les mains étendues. On eût dit qu’il ne tenait déjà plu
tres. Leur religieuse terreur s’accroît encore. Alors on aperçoit une main lumineuse, entourée d’une sorte de vapeur phospho
main lumineuse, entourée d’une sorte de vapeur phosphorescente. Cette main plane sur une jardinière remplie de roses; elle e
is autres et les offre à trois autres dames. Le pian«est ouvert, la main s’en approche et improvise des mélodies célestes,
e douceur qu’éprouvent tous les assistants. La musique s’arrête, la main s’évanouit, les lumières recommencent à répandre
e à moi. » A l’instant même la clef s’avance du pian«et tombe dans la main du prince Constantin B..., qui s’évanouit , tant
la voix qui proférait ses paroles (5)... « Il s’est signalé par une main forte et un bras étendu, et par des visions horri
comme cela (madame P... indique exactement la forme par un signe des mains ). « — Je vous fais souffrir... je souffre aussi
sition ? « Tournant spontanément la tète à droite, et se plaçant la main droite sur la poitrine, en arrondissant et fermai
oigts : — « Comme ça. — « Et puis ? — « Elle a des cheveux à la main . u Effectivement, ces vêtements, ces fleurs, ce
es fleurs, cette position, tout est vrai. Cette personne tient, de la main droite , un bouquet placé sur son cœur, ainsi que
, reprit Adèle. Je lui vois en ce moment un bouquet de violettes à la main . » Je me récriai de surprise ; car j’étais allé
sprit. Il est un peu dur, en effet, quand on tient une vérité dans la main et qu’on la présente avec confiance aux personnes
a plus scrupuleuse exactitude, et je signe cette déclaration des deux mains , avec la même sincérité que je me dis, monsieur,
de petit pupitre sur lequel deux médiums n’ont qu’à poser chacun une main . Au bout de quelques minutes, la planchette s
inutes, la planchette s'anime et se met en marche, entraînant les mains de gauche à droite. Les mouvements qu’elle exécut
les plus étranges, les plus diverses, se produisent alors sous leurs mains . Prenant, pour l’instruction du lecteur, les fa
par des amis (il y a de cela environ quatre ans) à poser avec eux les mains sur un chapeau, sur une corbeille, sur un guérido
t en effet la singulière propriété de s’agiter et de tourner sous les mains des opérateurs. Je crus voir là le résultat d’une
x. Ce ne fut bientôt plus seulement un guéridon qui tourna sous nos mains , ce fut un guéridon qui leva successivement ses t
je parle en fassent leur meâ culpà. Pour ma part, je m’en lave les mains , car j’ai toujours regardé ces sortes d'épreuves
ite tout l’heure, et de communiquer l’animation, par l’imposition des mains , ces instruments graphiques d’un nouveau genre. D
s, souvent faibles, quelquefois remarquables, se produisirent sous la main môme d’opérateurs tout à fait étrangers à la prat
ions obtenu autrefois des vers au moyen d’un guéridon , mais sous les mains de médiums qui cultivaient la poésie, et cela nou
par malheur, soit par ton imprudence, J«serais là pour te tendre la main . Une autre fois... mais c’est assez de merveill
habits sera dans une fine incandescence. Fixez son attention sur ses mains : d’abord elles auront une faible ressemblance av
e gagner en volume, et deviendront diaphanes comme lorsqu’on place la main devant une bougie. Cette main s’étendra plus long
ront diaphanes comme lorsqu’on place la main devant une bougie. Cette main s’étendra plus longue qu’en réalité. Chaque doigt
de la mesure des doigts corporels. Moyennant ces jets flamboyants, la main outrepasse le double de sa grandeur j les dernièr
s couleurs des diverses parties du corps sont dissemblables ; que les mains droites luisent d’un feu bleuâtre, pendant que ce
issance, Al. Bellée, a pu les distinguer très-bien à leur évasion des mains de M. du Potet, pendant une leçon de magnétisme.
cette dame, très-bon mesmériste, avait en ce moment un sujet sous la main . Il le plonge en crise magnétique et l’invite à l
ce, ouvrit un «ac renfermant des abeilles. Aussitôt, à la suite de la main de cet hnmme qui décrivait en l'air le nom de Jos
mée des insectes. Le fit du prestige, c'est que l'homme cachait en sa main la rein» abeille, que suivait instinctivement l'e
adame du P..., sa belle-sœur, madame 0..., puis moi, nous plaçons nos mains sur une table voisine, en invitant quelque puissa
it doucement madame 0... Son mari, d’après mon invitation, pose ses mains avec les nôtres sur la table. La somnambule épr
onde réunion, les choses prirent une marche différente. A peine les mains furent-elles sur la table , que la somnambule , e
le comte de Vauréal, son fils Charles (2} et moi, nous apposâmes les mains sur un guéridon, en appelant à haute voix l’espri
ir pour les Etats-Unis, vous faire mes adieux, et, en vous serrant la main , je prenais l’engagement de vous faire part des o
chemar de la philosophie... et le mien : je voulus peser de ma propre main les prétentions de l’école nouvelle qui, chaque j
le et placée sur les autres. Un tapis ayant été mis sur la table, une main , ou du moins un objet qui, au toucher, semblait ê
le, une main, ou du moins un objet qui, au toucher, semblait être une main , fut à plusieurs reprises agité sous ce tapis. Pl
prises agité sous ce tapis. Plusieurs des spectateurs saisirent cette main qui s’évanouit sous leur pression. Ces messieurs
semblable à celui de doigts humains. Pendant que cela se passait, les mains des médiums et celles des spectateurs étaient pos
e et visibles pour tout le monde. « M. Hume prit un accordéon d’une main en ne touchant que l’extrémité de l’instrument, p
n en ne touchant que l’extrémité de l’instrument, pendant que l’autre main était étendue dans une direction opposée. Plusieu
exemple, furent éloignés de son lit ii travers les airs comme par des mains invisibles. Elle fut prévenue, pendant deux jou
sa situation, des plaisanteries qu’elle voulait éviter, lui retint la main , qu'elle porta machinalement à son front, comme q
ions « qu'on va lire. Quand la table a commencé de sémouvoir sous nos mains , « nous avons prié l’esprit qui l'animait d'écrir
convenable. Ces! de la sorle que je m’en sers. Elle devient, en mes mains , de la dynam«thérapie infinitésimale. C'est une m
ort empressé , fit à l’enfant beaucoup de caresses, lui posa les deux mains sur la tète, et, au bout d’un quart d'heure, l’ou
rme à ceux qu'on distribue à Rome, après qu’ils oui été bénits par la main du pape. Il émane en effetdu Saint-Père. milt
s craquements se firent entendre , des souffles se firent sentir, des mains invisibles pressèrent les genoux des assistants;
nts, vents violents, abaissement de 'la température, attouchements de mains invisibles, mains lumineuses, tables maintenues e
s, abaissement de 'la température, attouchements de mains invisibles, mains lumineuses, tables maintenues en l’air à plusieur
homme qui chasse une vision, essuya son front, saisit sa chaise d’une main qui tremblait encore, et s’écria comme s’il eût é
e désignai (celui du prince de Join-ville), et portait, avec ses deux mains jointes derrière son dos, son mouchoir plein de c
ouce. Pour produire l’électricité, j’agis en même temps avec les deux mains , les doigts réunis en faisceau, entre les deux je
lui tombe des nues ! J'ai vu mille insensés, l'œil tendu vers leurs mains , D'une table tournante attendre leurs destins;
ience de ce qu’ils disent, de guérisons subites, par l’imposition des mains , de maladies réputées incurables, de résurrection
uir, — exécutés sur des instruments placés hors de la portée de toute main mortelle. 3- La cause (cause intelligente, comm
illement, les esprits agitant, successivement, ou tous à la fois , la main des médiums, se manifestent par des communication
s instruments, et même quelquefois une voix qui parle ; on y voit une main qui écrit, et diverses mains qui voltigent, ayant
uefois une voix qui parle ; on y voit une main qui écrit, et diverses mains qui voltigent, ayant été préalablement rendues lu
s lumineuses à l’aide de phosphore ; on va même jusqu’à toucher cette main . Nous avons été témoin de ces choses, dans l’Ohi«
battre celle-ci comme s’il eût été tenu et conduit d’en haut par une main invisible (il est à remarquer que tout le monde e
st eu communication avec le verre d’eau qu’il tient lui-même dans ses mains . Du reste, ces évocation* d’êtres vivants sont re
aussitôt qu’il se disposera à se lever, prenez-le amicalement par la main , et entrez de suite en rapport et en conversatio
rait donc interdire au clergé de donner la bénédiction, d’imposer les mains et encore plus les saintes huiles qui suffisent q
ais du mauvais emploi du mesmérisme , mais de son application par des mains inexpérimentées. Il est heureux pour cette pa
Villars, se met en communication avec le somnambule qui lui prend la main droite, tout en conservant dans la gauche la crav
terrement : — Eh bienl mon cher Thierry, me dit-il en me serrant la main , vous aviez raison. Et ainsi de suite jusqu’au de
dé, le seul qui m’ait réussi et qui consiste à appliquer la paume des mains , après les avoir trempées dans de l’eau bien fraî
ille froid et de fortes passes transversales après m’être mouillé les mains . Cette fois encore, mon attente fut trompée , car
t à coup elle se plaint d’une douleur à la tempe droite : j’y pose la main pour la calmer, mais aussitôt elle s’éveille. J’e
st mort et plongé dans l’eau. Il est étendu sur le dos, et une de ses mains est élevée et placée tout près du visage. La fami
ami que retient un pays lointain , prenez votre appareil, et avec la main dirigez l’aiguille mobile sur les lettres dont vo
loin qu’il est, voit le fer mobile s’agiter sans le secours d’aucune main et courir tantôt ici, tantôt là ; il sait tout ;
le continu. La tête ayant été prise pendant dix minutes entre les mains , l’une sur le front, l'autre à l'occiput, la mala
que vous le verrez faire des mouvements pour se lever, prenez-lui la main , parlez-lui d’abord avec douceur, il vous répondr
se sont assises autour d’une table et ont formé la chaîne avec leurs mains posées sur la table. Les personnes ont ensuite fr
: je le crus cassé. Vidé par un passant, mon bras fut relevé et la main placée dans mou gilet pour la soutenir, puis, quo
fut toujours en vain. Enfin instinctivement, je dois le dire, avec ma main droite que je plaçai en face et près de la gauche
r; quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je sentis les doigts de la main malade se mouvoir peu à peu comme d’eux-mêmes et
citer encore les derniers mots de ce livre qui devrait être dans les mains de tous les magnétiseurs ; les voici : « .....
des expériences et des faits, et de prendre ensuite le magnétisme en mains pour l’exercer seuls ; grâces au ciel, ils s’y so
une personne : en magnétisant, il se servait, comme d’habitude, de sa main droite, il avait au doigt l’anneau pastoral et au
. Elle retomba doucement sur le sol, sans bruit, sans choc, mais la main placée alors sur sa surface sentait en elle une s
. Afin de faciliter ses recherches, elle me pria de placer une de mes mains sur sa tête, et, quelques instants après, elle me
le magnétisai sur l’heure. — Pour tout procédé, j’ap- pliquai une main sur l’abdomen, l'autre à l'épigastrc ; vingt minu
urs, trois quarts d’heure chaque fois, sans interruption , plaçant ma main gauche tantôt au sommet de la tête, d’autres fois
uche tantôt au sommet de la tête, d’autres fois à la base , et, de ma main — 604 — droite, je cherchais à entraîner la
u est pris par le mal, prenez une cuvette d’eau, frictionnez avec les mains toute la personne pour la décharger, avec l’i
eureusement il s’est trouvé 1111 athlète qui a pris courageusement en main la défense de la vérité. M. Chalin, membre corres
en servir était celle-ci : le consultant, te-.nant l'alphabet dans sa main gauche , indique successivement chaque lettre du
battoir. Toutes les personnes du cercle ayant les dix doigts de leurs mains étendus sur la table, il était mécaniquement impo
vigoureux et des plus solides, sans ie moindre haut de note entre les mains pour aider sa mémoire. — 11 n’aurait d’ailleurs p
édium. Les autres personnes s’assirent en cercle, en se tenant par la main , sur le seuil delà porte de communication ; j'eus
s nœuds dont la réunion formait l’entrelacement le plus complexe. Les mains du médium étaient attachées derrière le dos et li
, et qu’il nous priait de le, détacher sur-le-champ. Lue lumière à la main , je vais au in dium, et je le trouve littéralemen
une petite table carrée à quatre pieds ; le jeune homme me donna ses mains à tenir. Tout à coup son siège fut brusquement ti
ne pas tomber. Nous nous avisâmes alors de nous tenir debout, et, les mains de mon compère dans les miennes, je les éle\ai et
ent à l’appel, et, muni d’une bonne corde, j’assujettis fortement les mains d’un des sujets derrière le dos; je passe ensuite
lons touchant la planche, qui est ainsi la seule séparation entre les mains et les pieds. Je m’assure ensuite que les quatre
le demi-cercle formé par les spectateurs , avec un long cordeau à la main . Afin de garantir les personnes bien intentionnée
, et les bouts ramenés vers le centre du groupe, sont remis entre les mains des spectateurs. Dans de pareilles conditions, nu
Allumez, (le qui est aussitôt fait. Nous trouvons les enfants liés de main de maître plus fort et surtout plus artiste-ment
sse au ni- veau de nos genoux ; la guitare semble pincée à pleine main et à tour de bras, et son bruit est comme un tour
. J’empoigne l’instrument, mais mie force supérieure l’arrache de mes mains et le lance avec violence contre les planches. Je
gts s’applique sur mes joues et se fait nettement sentir. Je tends la main à John : il en presse le bout des doigts avec les
la cloison de la cellule, je demande à l’esprit de me faire sentir sa main sur la nuque ; aussitôt les cinq doigts et la pau
tir sa main sur la nuque ; aussitôt les cinq doigts et la paume d’une main de grandeur ordinaire s’appliquent derrière ma tê
sur les deux pieds de mon voisin de gauche. Ensuite, j’appliquai une main sur le front de chacun des deux enfants, et leurs
iquai une main sur le front de chacun des deux enfants, et leurs deux mains embrassèrent respectivement mon bras et s’y appuy
on voisin de gauche qui se plaint à John de ce qu’il n’y va pas d’une main plus légère. Mon tour arrive : ie violon, comme s
pas d’une main plus légère. Mon tour arrive : ie violon, comme si une main le maniait par le manche, frappe de la panse sur
inouï, honteux, que des phénomènes si merveilleux qui sortent de vos mains ne soient point accueillis et que cette richesse
huit autour d’une table, sur laquelle nous posons tranquillement les mains , et les bruits dont je parle ne tardent pas à se
voir gré au rédacteur en chef de Y Ami des sciences d’avoir prêté les mains à cette petite expédition. z. p. FAITS DE P R
orps immobile. Il appelle de nouveau, le silence continue; il tend la main et touche une peau froide et des membres raidis.
’il entend un bruit étrange. Il se détourne, et voit sur la table une main qui trace rapidement quelques lettres sur le papi
spontanément par une influence mystérieuse, 180, 185. Apparition de mains . 208, 334, 490 : — de lumières, 238; — de l'ima
ts, des fusillades, 659, 236, 334, 490,628; — qui font apparaitre des mains , des lumières, etc., 208, 238, 334, 490 ; — qui
30 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
- ments, des engourdissements dans le bout de tous les doigts de la main droite qui montent dans l'avant-bras, le bras,
ue dure environ une heure; alors survient l'engour- dissement de la main droite, de la lèvre supérieure et inférieure, où
e dormir, étendu- sur le dos, les membres supérieurs relevés et les mains jointes derrière la nuque. - Le 13 oclobre dern
les étaient paralysées; les muscles des bras, des avant-bras et des mains étaient complètement respectés. Notre malade se
si, quand on lui demandait de faire un effort pour les soulever, la main de l'observateur, appliquée sur l'épaule, ne pe
catif, cet homme éprouvait une grande difficulté à in- troduire ses mains dans ses poches et surtout,à les en retirer. No
t, étaient normaux et égaux de chaque côté. La force musculaire des mains , explo- rée au dynamomètre, était parfaitement
sant. - Vous voyez, Messieurs, que ce malade peut exécuter avec ses mains , avec ses avant-bras, tous les mouvements qu'on
ne certaine limite. Il lui est possible aujourd'hui d'introduire la main dans la poche et de l'en sortir. Mais l'épaule
conditions, l'écriture ne de- vient possible que si, à l'aide de sa main gauche, le sujet déplace sa main droite, au sur
ient possible que si, à l'aide de sa main gauche, le sujet déplace sa main droite, au sur et à mesure que celle-ci trace d
raides de l'enfant en appuyant la plante du pied sur la paume de la main , on déterminait l'apparition d'un « tremblement »
res supérieurs étaient maladroits, saisissant mal les objets que la main laissait vite tomber. Les membres inférieurs d'
éveil et enfin qu'il a souvent des cauchemars caractéristiques. Aux mains et à la langue on ne constate qu'un tremblement
s les plis entre les phalanges des doigts du côté de la paume de la main la douleur est très vive, sur le sommet du pouce
it doigt. Aux doigts des pieds c'est moins prononcé. Sur le dos des mains au contraire la sensibilité douloureuse augmente
uée entre les deux parties du corps est surtout pro- noncée sur les mains : à droite la sensibilité douloureuse est un peu
tde la sensibilité douloureuse de la peau, surtout sur la paume des mains . Les avantages de mon appareil sont les suivant
stant dans la maladie : elle se fait- couche par couche, et sur les mains par larges lambeaux). L'éruption s'étendit grad
ournée. Il déclare spontanément qu'il s'est couché sur' le dos, les mains jointes derrière la nuque, et s'est endormi ainsi
eules les épaules étaient paralysées. Les bras, les avant-bras et les mains étaient complètement respectés. : Les phénomè
nt tellement marqués que le malade a beaucoup de peine à mettre ses mains dans ses poches et surtout il les en sortir. Lo
dit à cet homme d'essayer de lever ses bras, on ne sent pas sous la main la contraction des muscles deltoï- des. La rota
s touchés. Le malade peut écrire et coudre. De même les muscles des mains , des avant-bras et des bras sont respectés. Leu
hiés. Les bras sont potelés ; les attaches du poignet fines, et les mains petites. L'aspect général est celui d'un enfant
t plat. Le bras et l'avant-bras sont arrondis, le poignet mince, la main petite et les doigts fins. Corps et membres son
s de boisson. Il a de la gastrite, des pituites, du tremblement des mains . De plus, il a des antécédents névropathiques :
l lui a été impossible de faireaucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout tems froids comme
aisément de son bras 'gauche,'elle s'habille et se codl'e avec ses mains . » Le miracle était consommé et la « demoiselle
urs, et la résistance au centre de gravité de l'avant-bras et de la main . Dans l'extension, les choses changent, et troi
mesure de réchauffement des muscles n'a pas encore donné entre les mains des divers auteurs des résultats concordants, et
ent la flexion et l'extention de l'avant-bras avec un poids dans la main , il est bien évident que' le'' biceps' du'membr
VI, Gj.1 et 2). La contraction est plus évidente encore, lorsque la main est chargée d'un poids. Dans ce cas, à la contr
la seule action de la pesanteur. Si au lieu de soulever un poids, la main , dans ce même mouvement, opérait une traction s
exion de l'avant-bras sur le bras. \ Dans le mouvement lent, la main n'étant chargée d'aucun poids, on remar- que, l
e l'autre portion du muscle. Que le membre s'élève ou s'abaisse, la main chargée 'd'un poids ou à vide, la forma du delt
un épais pansement ouaté, destiné à les préserver des contacts, sa main et son avant-bras droits, qu'il découvrit devan
ement pénible, localisé au petit doigt et à la partie interne de la main ; toutes les 10 ou 15 minutes, sans motif, ou à l
e de la première phalange du médius, la partie correspondante de la main jusqu'à la tête cubitale ; du côté palmaire, le
ières phalanges de l'an- nulaire et la largeur correspondante de la main et de l'avant-bras jusqu'à deux centimètres au-
incision en L donl la longue branche suivait le bord interne de la main depuis la tête du cubitus jusqu'à la tôle du 5e
tion, la zone que nous avions antérieurement notée sur le dos de la main comme hypoesthésique, devint complètement anest
ÉRIEURE CERVICALE DROITE 13D l'annulaire, à la partie interne de la main sur une largeur correspondante, et, sur l'avant
point de départ : soit en un point situé sur le bord interne de la main , soit en un autre point correspondant à l'olécr
jacente provoqua des contractions des muscles intrinsèques de la main , flé- chisseurs des doigts (surtout du pouce
ou- leur quelconque,, et pouvait laisser à l'air, sur les draps, sa main et son avant-bras qu'il préservait jadis des co
percussion du dos du poignet provoquait une légère extension de la main . D'autre part tandis que la zone et les bandes d'
a percussion du dos du poignet ne provoquait plus d'extension de la main . Les réflexes des membres inférieurs étaient nor-
esthésiques postopératoires elles-mêmes ont disparu, si bien que la main peut être utilisée pour écrire, et que notre ma
icale, comprenant les deux doigts internes, la partie interne de la main , et deux bandes antibrachiales et brachiales, l
la moitié interne de 'l'annulaire et la partie correspondante de la main ; du côté dorsal le petit doigt, l'annulaire mo
la première phalange du mé- dius et la partie correspondante de la main . L'existence des bandes 11y- peresthésiques ant
ostic, absolument disparu, et lui, qui depuis des années portait sa main en écharpe, dans un épais pansement ouaté desti
ses atroces, pouvait, le soir même de l'opération, se -servir de sa main pour manger sa soupe et pour écrire sous nos ye
e ce changement et l'opéré lui-même ne se lassait pas de mouvoir sa main et ses doigts, véritablement stupéfait que ces mo
ans est affecté depuis 2 ans d'un eczéma récidivant des doigts des mains . Anesthésie à la douleur des extrémités gauches.
âge de 32 ans, est affecté depuis 19 mis d'un eczéma du dessus des mains . Anesthésie à la douleur des extrémités supérieur
fectée depuis plusieurs années d'un eczéma récidivant du dessus des mains , des cuisses et des jambes. Anesthésie il la la
e commerce, âge de 45 ans, est arrecté d'un eczéma ré- cidivant des mains . Anesthésie il la douleur des extrémités supérieu
ns, est affecté depuis 6 ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains . Anesthésie il la douleur des mains et'des avan
zéma récidivant de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains et'des avant-bras ; de plus, une place ronde an
fectée depuis plusieurs années d'un eczéma récidivant du dessus des mains . Anesthésie à la douleur et anes- thésie tactil
s est affectée depuis plus d'un an d'une érup- tion récidivante des mains et des avant bras. Anesthésie de toutes les varié
, est affecté depuis 4 ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains . Anesthésie il la douleur des mains, des bras,
zéma récidivant de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains , des bras, de la poitrine et des jambes. (Fig.
soldat de 25 ans est affecte depuis 5 ans d'un eczéma chronique des mains , des bras et des pieds. Anesthésie il la douleu
gé de 23 ans, est affecté depuis 14 ans d'un eczéma de la paume dos mains . Anesthésie de toutes les variétés de sensibili
parties du corps attaquées de préférence 'par l'eczéma ont été les mains . L'éruption était, jusqu'à un certain point, ré
nvier, après une crise douloureuse intense dans le bras et clans la main , apparition de quelques nouvelles vésicules dans
emarque un placard ayant au moins l'étendue de toute la paume de la main . f Toutes les autres régions de la moitié gauch
elle n'affecte l,i que l'avant-bras, au-dessous du pli du coude, la main et aux pourtours de l'éminence thénar. Sur le t
oeuvres non signées de cet élève hors pair passent pour être de la main du maître. Les mêmes méprises sont par- faiteme
e panier : Ses avant-bras sonl nus et elle croise nonchalamment ses mains sur sa taille; (1) No l."i3 du Cat. l3redius (1
' trois quarts, il regarde le contenu d'une fiole qu'il élève de la main gauche à la hauteur de son mit ; sa main droite
ne fiole qu'il élève de la main gauche à la hauteur de son mit ; sa main droite qui tient des gants est appuyée sur sa poi
ire vieillie », ces yeux humides et fatigués, ces lèvres pâles, ces mains blanches et ces bras amaigris, cette sensation
13° Alors le roi dit il ses serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains , et jetez-le dans les ténèbres extérieures ; c'
chaussures également ornées de pierres précieuses. Le bras et la main gauches sont cachés par ce manteau. D'un geste im
main gauches sont cachés par ce manteau. D'un geste impé- ratif, la main droite, qui tient un sceptre d'or, commande l'exp
tète baissée tient les jambes, l'autre, de profil, maintient d'une main le bras gauche du convive, et de l'autre soutient
arder le tableau du musée d'Amsterdam comme étant, lui aussi, de la main de F. Bol. Une telle supposition n'aurait rien
leur façon. J'en connais, pour ma part, plus d'une vingtaine de la main des maîtres les plus célèbres. Celui de Gérar
és, sont pansés par des servants. 1 Tous ces documents sont de la main d'artistes flamands ou hollandais du 1V au XVII
les bords de la fente osseuse, ou trépane, soit avec le tré- pan à main , soit avec le trépan à villebrequin. Quant au per
ion mastoïdienne. Parmi les « ferrements* » qui sont à portée de la main du chirurgien ne se voient ni les couronnes (mo
es de la teste\ humaine, d'Ambroise Paré (1). Parfois il tient à la main une sorte de sonde boutonnée, ou un couteau à l
nt des opérations sur le crâne ne.seraint- ils pas tombés entre les mains des chirurgiens pour des affections céré- brale
t pas une simple image ils s'a- bandonnent sans réfléchir entre les mains de ceux qui leur promettent, le plus souvent a
le chirurgien s'avance, armé d'un long bistouri, et, soudain, d'une main ferme, il fait au front une forte entaille. Le pa
aides paralysent ses mouvements. Cependant l'opérateur saisit delà main droite une énorme pince et fait mine de la plon
ait mine de la plonger dans la plaie. En même temps, il approche sa main gauche demi fermée;et, dextrement, en pres- tid
jongleries charlatanesques. Les pierres- tombent à profusion de la main gauche de l'opérateur dans un plat que soutient
teur dans un plat que soutient une vieille femme, tandis que, de la main droite, le prestidigitateur san- glant, fait un
client. Ce doit être un habile homme, car il opère à distance, et à main levée. 11 fait une moue dédaigneusedes plus comiq
cé; il est coiffé d'un petit bonnet pointu rose. Avec l'index de sa main gauche, il montre un objet rond, rosé, déposé sur
in gauche, il montre un objet rond, rosé, déposé sur la paume de sa main droite allongée sur la table. C'est la pierre de
qui se penche pour regarder la pièce à conviction, s'appuyant d'une main sur le coffre, l'autre main ap- pliquée sur sa
la pièce à conviction, s'appuyant d'une main sur le coffre, l'autre main ap- pliquée sur sa poitrine dans un geste de dé
une femme à capuche blanche se lamente et essuie ses larmes avec sa main droite. A droite, un servant vêtu de rose, avec
ans trop de mal et se prête d'assez bonne grâce au pansement. De la main droite, il tient une longue baguette. , Le fo
nage âgé renverse la tète en arrière et lève les bras en l'air, les mains croisées. Le chirurgien, un vieillard, est coif
ons et le rassurer sur les suites du traitement. Il est habile : sa main droite tient légèrement le scalpel à manche courb
uit délicatement la pointe au fond de la blessure. Il est fort : sa main gauche bien appuyée sur la joue du patient s'oppo
fforts sont vains. Sa tète est solidement maintenue à gauche par la main gauche de l'opérateur et en arrière par une aide
érateur et en arrière par une aide qui l'immo- bilise dans ses deux mains . C'est une femme âgée, à la figure compatissant
rs besognes. La plaie béante ne lui fait pas oublier son devoir. Sa main gauche est un appuie-tète sur lequel on peut comp
essent même avant la perte de connaissance. Ici les bras levés, les mains croisées impliquent un geste expressif, défini,
des malades, mais qui prenaient corps en glissant dextrement de la main du charlatan sur le front entaillé du patient.
s : son haut de chausse est largement déchiré au genou droit. De la main droite il tient son bonnet appliqué sur le bras d
es pinces, de vraies tenailles, dont il tient un manche dans chaque main , il laboure froidement le front de son client d
rsenal de scalpels, pinces, curettes, ciseaux, etc., à portée de sa main . Ses pieds sont chaussés de sandales à semelle de
haut personnage, un homme, à moitié caché, se précipite pour prêter main forte à l'aide éborgné par le patient. Du même
: au besoin môme il est prêt à jouer du couteau qu'il tient dans sa main gauche. Qu'on le laisse en paix, ou gare les re
es autres opérés. D'ailleurs, au cas échéant, l'opérateur a sous la main un ustensile infaillible pour faire tenir la pa
avers. C'est sûrement un fameux buveur, car il tient encore dans la main gauche un grand pot à couvercle d'étain appuyé
un lac rembourré. L'opérateur s'apprête à introduire l'index de la main gauche dans la plaie. Derrière lui sur une petite
de la pierre de tête. Un autre le suit en geignant, montrant à deux mains le siège du même mal. Puis un troisième et peut
éjour au lit, l'enfant se plaint un matin de fourmillements dans la main droite mais on n'attache aucune importance cell
ande à manger. La mère s'aperçoit alors avec stupéfaction que cetle main droite vin 18 266 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
laires. Elle les a re- marqués en même temps que la paralysie de la main droite, dès que le catarrhe de la rougeole a di
ion du facial inférieur, se compliquait d'une légère atrophie de la main . Il s'agissait là d'amyotrophie simple, c'est-à-d
s, sans autres troubles trophiques qu'un léger amaigrissement de la main . Les réflexes tendineux sont exaltés du côté dr
existe un tremblement intentionnel, assez faible du reste, dans la main droite. Quant aux troubles oculaires, ils sont
llez-vous me dire, mais comment expliquer alors l'amyotrophie de la main paralysée ? Vous n'ignorez point, Messieurs, que
es et qu'elle se localise très fréquemment aux petits muscles de la main . Jus- qu'ici donc point de difficulté. Quanta l
vant : « L'individu éprouve une sensation de fourmillement dans les mains et dans les pieds, puis une certaine hésitation
eurs, les doigts se ser- rent les uns contre les autres, c'est la « main d'accoucheur » ; le bras restant en extension o
ain d'accoucheur » ; le bras restant en extension ou en flexion, la main peut à son tour s'incurver for- tement sur le p
plantaire se creusant d'une manière analogue à ce qui se passe à la main ; tandis que la face dorsale se cambre vigoureus
la synergie réflexe ne s'arrêta pas là ; presque aussitôt les deux mains se contractèrent, et enfin la malade eut une vi
vait des amis invités), après s'ètre servie comme d'habitude de ses mains , pendant les apprêts du festin, elle fut prise d'
nt les apprêts du festin, elle fut prise d'engourdissement dans les mains et d'une absence complète de la sensibilité au co
allait ne plus pou- voir, se servir do ses membres supérieurs. Les mains étaient raides, mais non douloureuses." ' Cet
. . - - -' z Les doigts .sont tellement fléchis dans la paume de la main que les- ongles pénètrent dans la chair et lais
s contractures de se produire. Le moindre frôlement des bras et des mains produisait de vives douleurs (hyperesthésie cut
res supérieurs sont en demi-flexion, tantôt en extension. Tantôt la main prend l'attitude de la main de l'accoucheur qui
flexion, tantôt en extension. Tantôt la main prend l'attitude de la main de l'accoucheur qui va pénétrer dans le vagin ou
au contraire les doigts sont fortement fléchis dans la paume de la main , avec ou sans pronation du pouce. Les membres inf
travers de doigt au-dessous du pli inguinal, en bas à un travers de main au- dessous de l'interligne du genou, abolition
e Bruegel l'Ancien. Mais la signature de la gravure n'est pas de la main de l'artiste qui signait en lettres capi- tales
Charlatan de ce dernier au musée d'Amsterdam, laisse même opérer à main armée une vieille qui lui sert de second, penda
. Un des assistants, placé au premier rang et qui appuyait ses deux mains sur la table pour mieux voir, passe soudain à l
nt. D'un geste brusque la chirurgienne lui saisit le menton avec sa main droite et le force à tourner la tête, face au p
i domine aussi dans toute la composition. Dans l'esprit, comme dans mains détails du des- sin, l'artiste se montre le dig
-ci est une mine inépuisable de « pierres de tète ». Relevant de la main droite le cuir chevelu largement incisé, l'opérat
e ce pauvre homme lui tient des pro- pos consolants. Elle a dans la main une des fameuses tumeurs, et montrant la sorciè
maintient le menton de sa cliente entre le pouce et l'index cle sa main gauche. De la main droite armée d'une sorte de bi
n de sa cliente entre le pouce et l'index cle sa main gauche. De la main droite armée d'une sorte de bistouri a lame trè
99 pousse un cri et cherche à repousser le chirurgien avec ses deux mains . Mais à l'encontre de ce qu'on voit dans la plu
orte un chapeau à plumes, le con entouré d'une fraise, plongeant sa main gauche dans une petite sacoche pendue il sa cei
on excellente. Quant à l'opération, elle ne peut guère varier. La main droite, armée d'un bistouri, incise plus ou moins
incise plus ou moins profondé- ment la peau du front, tandis que la main gauche, munie de fortes pinces, saisit une pier
âne volumi- neux, au nez, au menton et aux pommettes saillants, aux mains en bat- toirs, aux pieds, énormes, au dos gibbe
encore la même : incision sur le front avec un bistouri tenu de la main droite, tandis que la main gauche s'empare de la
sur le front avec un bistouri tenu de la main droite, tandis que la main gauche s'empare de la pierre néfaste. Seulement
est bien possible que celle-ci soit dissimulée dans le creux de sa main gauche : les trois derniers doigts sont repliés d
bavarde, lout en maintenant les épaules de l'opéré avec ses grosses mains . Quatre autres personnages occupent la droite d
sionne vivement. Comme tous 1 les personnages d'A. Both, elle a les mains énormes, de grosses mains de ' paysans déformée
s 1 les personnages d'A. Both, elle a les mains énormes, de grosses mains de ' paysans déformées par le travail. Adroit
ur accompagner le patient : aussi est-il plein de courage, et de la main droite il l'exhorte à supporter vaillamment sa
droite il l'exhorte à supporter vaillamment sa souffrance. Dans sa main gauche, il tient par le cou un canard, qui sera
t d'être opéré. Il a la tête en- tourée de linges et montre avec sa main droite l'endroit de son front où 1 son mal siég
te l'endroit de son front où 1 son mal siégeait. Il tient dans la main gauche un petit corps ovoïde, peut-être la tumeur
ne une sorte de sonde sur le crâne de ce dernier, tandis qu'avec la main gauche il écarte les cheveux et sou- tient la t
ouffre cruellement, ferme les yeux, ouvre la bou- che et croise les mains comme pour demander grâce. Derrière eux, une vi
vieille femme regarde, debout, une coiffe blanche sur la tête, les mains croisées sous son tablier, un panier passé au bra
sur la tempe droite d'un homme qui crie très fort et cache ses deux mains dans son chapeau. Tout en maniant son bis- tour
l'appui. Vêtu d'une robe de docteur et coiffé du haut bonnet, de la main droite il présente à ses auditeurs un stylet sur
ué un corps arrondi, tumeur ou « pierre de tète » sans doute. De la main gauche il fait un geste explicatif. Derrière
oile noir sur la tète. L'air décidé, la bouche un peu railleuse, la main sûre et légère, elle fait, à l'aide d'une longu
bon- net noir et recouvert d'un béret il créneaux, tient entre ses mains la tète de l'opéré. Ce burlesque personnage, qu
ux, les bas lombes, le chapeau de travers, mais tenant encore d'une main sou verre et de l'autre un broc d'étain. 1,L la f
servi du même modèle. Le chirurgien opère lui-même, tenant dans la main droite une- lige bou- tonnée dont on ne disting
bou- tonnée dont on ne distingue pas l'extrémité inférieure. De la main gauche, il tend, entre le pouce et l'index, la
our. Derrière le chirurgien est un jeune garçon qui puise à pleines mains dans un panier rempli des mêmes pierres. Ce joy
e poignée de cailloux à l'opérateur. Ce dernier les enferme dans sa main gauche, et, tandis que de la droite il pique lé
du patient une pierre que le chirurgien dissimulait dans une de ses mains , et qu'il affir- mait être sortie de la tète.
eau du coccyx une eschare profonde, à demi-détachée, large comme la main , s'étendant jusqu'à l'anus. Le coccyx est dénudé
entôt il se développe une eschare sacrée large comme la paume de la main , à évolution rapide. Puis la fièvre augmente, ave
M. X... est né en 1872 du mariage consanguin de deux cousins ger- mains qui ont eu 7 enfants. Il est le 4" de ces enfants
niveau des gaines, douleur que la pression et les mouvements de la main exagéraient fortement, et en : outre par une tumé
ras malgré la résistance du malade. Les deux avant-bras et les deux mains ont leurs saillies musculaires normales, mais o
ies musculaires normales, mais on remarque qu'à droite, au repos la main est tout entière déjetée vers le bord cubital,
ent facile- ment, mais le dynamomètre ne marque que 32 ; de même la main s'étend et se fléchit sur l'avant-bras, elle se
mouvement de supi- nation est impossible. A gauche au contraire la main n'est pas portée vers le bord cubital, elle s'i
droite, le dynamomètre marque également 32. Signalons sur les deux mains , les nodosités articulaires, caractéristiques de
ous-épineux, les sous-scapulaires, les mus- cles fléchisseurs de la main et des doigts sont respectés ; aux membres infé
rses jointures, les coudes sont faiblement écartés du tronc, et les mains , qui subissent aussi une déformation spéciale, re
e s'est aper- çue qu'elle tremblait. Le tremblement a débuté par la main droite. Il existait pendant le repos et s'augme
'attitude de la moitié su- périeure du corps. Il faut lui tirer les mains pour la mettre debout et l'installer en équilib
mais d'autant plus qu'on se rapproche de l'ex- trémité. ? ? A la main , et surtout adroite, ce sont de petits mouvements
position. A toute minute, si elle est assise, il faut lui donner les mains pour la lever et l'asseoir de nouveau. Elle a b
émotion vive; la raideur et le tremblement, localisés d'abord à la main droite, ont envahi peu à peu le bras, la jambe
iège, courbée en avant et comme re- croquevillée sur elle-même, les mains ramenées sur les cuisses, les deux pieds relevé
31 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
etc.. etc. On voit que le véritable coupable tombera ainsi sous la main de la justice, parce qu'il lui aura été impossibl
me. Personne ne contestera que cette défense se trouve en très bonnes mains . Cependant, dans le travail si soigné de M. Kub
nce la plus élémentaire : les substances toxiques sont placées en des mains dignes de confiance; elles sont retenues dans l'o
onsultations; qu'au moyen du fluide magnétique et de l'imposition des mains elle endon David ; que ce dernier, ainsi endormi,
clusivement dans des frictions, des insufflations et l'imposition des mains ; » Attendu qu'il s'agit donc bien, dans l'espè
re qu'il a joué un rôle actif; qu'il c'était qu'un instrument dans la main de la femme Quentin, et qu'ayant perdu pour un mo
e se lever, elle se lève; de s'asseoir, elle s'assied; de tourner ses mains l'une autour de l'autre, elle les tourne. Je lu
lle ne le repousse pas; elle s'en éloigne, au contraire, si c'est une main étrangère qui le lui présente. Nous allons voir
aspire avec plaisir les émanations. Il faut que je le lui retire des mains . Puis, toujours par suggestion, elle me défait
uvons ; qu'elle n'a rien bu. qu'il n'y a jamais eu de verre entre ses mains . Vainement on lui montre le cercle humide que le
et alors, pour prouver son dire, elle passe, à plusieurs reprises, la main sur la table, faisant voler, sans les voir, les f
ser l'hypnose, dans le cas qui nous occupe, a été l'application de la main sur le sommet de la tête, de manière a agir à la
ois par polarité sur les deux hémisphères cérébraux. En imposant la main droite sur le front, je détermine en premier lieu
t dans ce sommeil et que je diminue l'hypnose par l'application de la main gauche sur la tète, je ramène l'état somnambuliqu
la tète, je ramène l'état somnambulique; si au contraire j'emploie la main droite, je détermine l'état suivant que j'appelle
sujet objective ses visions à l'extérieur, car il écarte vivement la main du magnétiseur quand celui-ci la lui place devant
t en contact avec lui la perçoive. Si moi, magnétiseur, je tiens la main de Benoist et qu'une tierce personne me pique, me
sse dèsque le contact n'a plus lieu. Si je me contente de mettre la main de Benoist en contact avec celle d'un autre indiv
un autre individu et que j'établisse le rapport en laissant ma propre main en contact avec les deux autres, Benoist ne perço
plein de sang, comme les veines gonflées qui faisaient saillie sur la main de l'opérateur, etc. Si on lui demande ce qu'il
arrèter, dans la crainte d'un accident (1). Avec l'imposition de la main gauche, je ramené graduellement et en sens invers
é est si grande, qu'il a fallu beaucoup d'attention et de légèreté de mains pour reconnaître les phases, aussi bien de l'alle
n se donne beaucoup de peine pour trouver un objet que l'on a sous la main . » Ainsi l'analyse démontre que les sens, pou
ment dans les expériences d'hypnotisme. Ceux-là savent qu'entre les mains d'un hypnotiseur habile, il n'est pas d'intellige
liser le vœu qu'il a formé, rien ne lui coûte. Aussi est-ce de longue main qu'il médite son programme, qu'il le complète, ch
il ne faut pas laisser les poisons et les armes dangereuses entre les mains de tout le monde. » Veuillez agréer, etc. » S
unich, nous prie d'insérer la note suivante: • Un livre intitulé La Main for, et publié probablement au dix-septième on au
t dans un profond sommeil à la suite d'un simple attouchement avec la main . (0 Revue Je l'Hypnotisme. Juillet 1888. N* 1,
nuit, y fouille.fait le geste de saisir un objet qu'il place dans ma main et me dit: La voilà. *• Inutile de vous dire que
lace dans ma main et me dit: La voilà. *• Inutile de vous dire que ma main était absolument aussi veuve de pièce de quarante
u'on cherchait par démonstration à le guérir, les empoignait avec ses mains , vous les mettait devant les yeux ou vous les jet
nne éprouve une sensation de chaleur ou de froid qui semble suivre la main du magnétiseur. Cette sensation est quelquefois a
vec attention l'état de la santé de notre collègue ; elle appliqua la main sur le front et la région du cœur, et. au bout de
nnes. Dans la première série d'expériences, M. Smith tenait l'une des mains du sujet, mais cette précaution ayant été constam
que et banal d'un puissant agent thérapeutique, et le maintiendra aux mains des médecins aussi longtemps qu'existera une loi
emandai, ajoute-t-il. si elle ne sentait point une aura passant de la main au bras et de là dans le dos. puis dans la cuisse
contre souvent chez des êtres primitifs, sortant en quelque sorte des mains de la nature : chez des villageois, des campagnar
-nous pas que quelques physiologistes ont prétendu qu'en appuyant ses mains chaudes ou une plaque légèrement chauffée sur la
ne au nom de la Vérité qui ne trompe jamais. C'est elle qui lèvera la main pour faire pénétrer au loin la lumière et son fla
. Cependant il n'y a jamais eu de perte de connaissance. La paume des mains , les aisselles sont le siège d'une sudation abond
DiLAtuuvt, Journal de médecine mentale. T. II, p. 8, i86a. Paris. mains des hcmmes, et il invoque a l'appui de sa thèse d
our réaliser cette oeuvre importante. Son livre sera demain! dans les mains de tous ceux que préoccupe la grave question deJ
agmus et la blêsïté que l'on nous avait sî^naiës. Les oreiiles, les mains et les pieds bien faits: pas de pléiades toanglio
ut rien préciser. Il est très facile à endormir. Dès que je pose ma main sur son front, en faisant l'occlusion des pau
complet. la physionomie est modifiée, il marche les yeux fermés, les mains derrière le dos et obéit à toutes les suggestions
sent des heures entières: il revenait avec une attitude spéciale, les mains derrière le dos, les yeux fermés, sachant toutefo
nglotant et en s'accrochant convulsivement à ce qui lui tombe sous la main , une sécurité irraisonnée. Tel encore, tremblant
sur leurs matelas, en poussant de sourdes plaintes jusqu'à ce qu'une main tutélaire leur impose la tranquillité. Pour certa
eusement. Il y t*3ut trop de tempr-, et ce n'est pas la fourchette en main , devant un auditoire charmant, contre lequel il n
résultat» eue l'emp.oi ce la suggestion hypnotique a donnés entre les mains du D' Ladame Je Genève'. 11 aurait pu ajouter aus
eux bandés, interrogea longuement le prévenu Pichereau et lui prit la main , qu'il garda quelque temps entre les siennes; enf
un bureau : ¦ Etre assis, écrit-il, dB vant une table une plume à la main , c'est le plus pénible, le plus rude des métiers.
nt et ne veulent pas pue-tir! Combien se remettent ù moitié entre les mains d'un médecin et prennent ensuite je ne sais quel
l aliène absolument son libre arbitre. Il devient une chose entre les mains des directeurs et des médecins, qui prescrivent n
pas, c'est vrai ! Vous allez vous rappeler tout de même. » Je mets ma main sur son front et j'affirme : « Vous vous rappelez
comme... » en... catalepsie... avec... une lame de couteau... sur les mains . » Et, à ces paroles, elle se raidit dans une esp
ins instruits et expérimentés, il ne peut être que nuisible entre les mains de gens ignorants ou peu scrupuleux et de charlat
nutes de fixation, et je la remis, complètement insensible, entre les mains de M. Bax, qui put facilement palper sa mulade et
le brns un engourdissement qui s'accompagne de fourmillements dans !a main et détscsjj mine un peu d'impotence fonctionnelle
ression sur les musses et les mouvement* imprimés sont douloureux. La main est à demi fermée et ne* s'ouvre que lentement av
tilité musculaire est fortement diminuée du côté droit, tandis que la main g uche serre avec vigueur et énergie. Le sens mus
nifes-tés des manœuvres pratiquées par des magnétiseurs. Si entre les mains de ces individus qui sont complètement étrangers
gers, il est juste de reconnaître qu'il n'en est pas même entre les mains des médecins expérimentés, qui trouvent dans l'
s. L'hypnotisme ne doit être appliqué que par des médecins; entre les mains des empiriques et des charlatans, il offrirait le
s-uns de nos collègues, quand ils nous ont dit ici qu'ils avaient les mains pleines de vérités, mais qu'il ne leur était pas
ison naturelle est souvent la mort, qui guérissent toujours entre les mains des homœopathes. Ainsi, on ne peut nier qu'ils gu
ns, et cela depuis qu'il est au monde. — 10 séances d'application des mains sur la tête et le ventre de ce jeune enfant éveil
ccès de colère interminables. — Après $ à 6 séances d'application des mains , il a été bien sous tous les rap- '4 ports, et de
urines et des excréments, céphalalgie, vue affaiblie, tremblement des mains , fourmillements dans les jambes, sueurs, iniellig
le magnétiseur Léon, l'expérience du miroir magique. Je mis entre ses mains un petit écran, en lui disant que c'était un miro
, quand M. Mathieu et mot con-' tournions nos bras de manière que mes mains avaient l'air de lui appartenir, B... ne s'y lais
comme une ressource nouvelle et d'une puissance redoutable entre les mains des malfaiteurs de profession ou d'occasion. Avec
use faculté de voir avec la peau, entendre avec l'œil, goûter avec la main . L'énoncé de ces faits étranges devait plutôt dét
couleur; une légère constrictîon autour du poignet ou du doigt de la main insensible fait apparaître l'image visuelle de ce
es, un phénomène de réduction. 8* Lorsqu'on trace des lignes sur la main insensible, et que celle-ci est placée dans le mê
raissent sur l'écran sont parai H les a celles qu'on a tracées sur la main . 9' Les images visuelles provoquées, persistant
par les sujets ; lorsqu'on imprime un mouvement passif au doigt d'une main insensible, le sujet décrit parfois ce qu'il voit
l'excitation de ces régions; si l'on place un objet familier dans la main insensible, le sujet voit cet objet sur l'écran;
it cet objet sur l'écran; si l'on imprime un mouvement graphique à la main insensible, le sujet voit sur l'écran les lettres
a conduite passée. Effectivement, .juand clic s'éveille, elle tend la main à M. le principal Dc-Tozey, et lui dit : a Bonjou
Même insensibilité aux membres supérieurs dans les avant-bras et les mains . Vue très abaissée, surtout à droite, insuffisa
é de chercher, comme d'habitude, mes jambes ci de les saisir avec les mains pour les remuer. » " Je le fais aussitôt transp
t de vous supporter; la sensibilité va renaître aux avant-bras et aux mains , dont les mouvements s'exécuteront sans difficult
s néanmoins modifié : la constipation cède. Dynamomètre : Pression, main droite 5 lui.; main gauche 8 kil. 14 décembre.
: la constipation cède. Dynamomètre : Pression, main droite 5 lui.; main gauche 8 kil. 14 décembre. — séance. 15 décem
t allé à la selle le dimanche et le mardi. 8* séance. — Dynamomètre : Main droite 33 ; main gauche 3o. 16 décembre. — 9* s
le dimanche et le mardi. 8* séance. — Dynamomètre : Main droite 33 ; main gauche 3o. 16 décembre. — 9* séance (8 h. matin
cembre. — 9* séance (8 h. matin*. Dynamomètre : Pendant l'hypnose : main droite 3;, main gauche 33. Révcil : main droite s
nce (8 h. matin*. Dynamomètre : Pendant l'hypnose : main droite 3;, main gauche 33. Révcil : main droite s3 i/s, main gauc
omètre : Pendant l'hypnose : main droite 3;, main gauche 33. Révcil : main droite s3 i/s, main gauche 33. 17 décembre. — N
ypnose : main droite 3;, main gauche 33. Révcil : main droite s3 i/s, main gauche 33. 17 décembre. — Nuit très bonne. Avan
e 33. 17 décembre. — Nuit très bonne. Avant la séance, dynamomètre: main droite 3i 1/3, main gauche 33. io' séance. — Ap
— Nuit très bonne. Avant la séance, dynamomètre: main droite 3i 1/3, main gauche 33. io' séance. — Après la séance, dynam
i 1/3, main gauche 33. io' séance. — Après la séance, dynamomètre : main droite 3t, nfl gauche .'. Le malade a eu une sell
pouvait mouvoir ses jambes dans son lit qu'en les déplaçant avec les mains comme des corps inertes, marche maintenant avec d
ble. Commencement de putréfaction à la région abdominale. Œdème des mains , de la droite surtout. Plaie de position de peu
Philosophes et penseurs n'ont qu'une voix laxiessus. Entre le* mains du sophiste Thubal Holoferne sic) « qui lui appri
s maladies nerveuses et des maladies mentales est concentré entre les mains d'un seul professeur chargé de la chaire spéciale
ion pour se débarrasser d'une infirmité aussi gênante: j'appliquai ma main sur son front, en faisant l'occlusion des paupièr
dire l'espace d'une heure, toute la tribu danse, chante et frappe des mains . Puis les hommes s'avancent auprès de la hune et
es fléchisseurs produisait la flexion des doigts, l'incurvation de la main sur le poignet pouvant aller jusqu'à la contractu
a contracture ; la même action sur le trajet des extenseurs relève la main , redresse les doigts jusqu'à l'extension forcée.
é anesthésie : la malade n'a point connaissance des mouvements que sa main exécute, non plus que des pressions ou des fricti
, toutes tes choses qu'on lui présente, et cela tout aussi bien de sa main droite que de sa main gauche. L'ouïe, conservée
'on lui présente, et cela tout aussi bien de sa main droite que de sa main gauche. L'ouïe, conservée presque intacte, est
nt, avec embarras, ne pouvant se servir que très incomplètement de sa main gauche, qui est à ce moment en état de parésie et
veille et lui demande : D. — Qu'aviez-vous tout à l'heure entre les mains .- R. — Monsieur... je n'avais rien. La boîte
tion, car, scientifiquement, je ne saurais vous la donner. Voici ma main gauche que je place derrière mon dos, à votre dis
ière mon dos, à votre disposition, et bien à l'insu de la malade : ma main droite repose sur celle de la jeune fille; consid
us voudrez entrer en communication avec elle, en touchant du doigt ma main , quand vous voudrez lui parler. Faites et agissez
ntend pas et ne répond rien : dés que M. X... se met au contact de ma main , elle répond à toutes les questions qui lui sont
, tantôt négative, suivant que M. X... touchait ou ne touchait pas ma main . Qu'il baissât ou qu'il haussât le timbre de sa v
us avons vu la sensation auditive se produire au simple contact de la main de l'expérimentateur avec la main de l'hypnotisé,
se produire au simple contact de la main de l'expérimentateur avec la main de l'hypnotisé, sans qu'aucun rapport immédiat ex
portée sur tel ou tel des assistants, à cette condition qu'une de ses mains sou au contact de Marie, et l'autre au contact de
le touche du bout du doigt, en un point quelconque de la personne, sa main , son front, sa barbe... — C'est Monsieur un tel
qu'on lui faisait. Elle ne voyait ni interne, ni verre ! Je prends la main de Marie, et à un moment quelconque je touche de
ds la main de Marie, et à un moment quelconque je touche de mon autre main mon interne qui me tournait le dos ; aussitôt ell
uille, qu'elle saisit: de même pour le fil qu'elle prend de son autre main . D. — Je lui commande d'enfiler l'aiguille. E
elle la saisit, et ne peut faire la couture qu'à la condition que ma main ne quitte pas l'objet. — s'arrêtani. aussitôt que
vec activité, je poussai la pointe de son aiguille vers l'index de sa main gauche qui tenait l'objet : elle traversa le bout
e ; — La perception visuelle limitée aux seuls objets que touche la main de l'expérimentateur ; — Et. plus particulièrem
oment même où il le domine de toute son autorité, il détourne avec sa main le regard du fasciné et le porte doucement sur le
yeux sont convulsés et les paupières closes, qu'un assistant place sa main étendue sur le front du sujet et la laisse au con
: « Vous avez une guêpe sur le front : » machinalement, il y porte la main ; il est même des personnes qui croient en sentir
rité que peut avoir un professeur sur ses élèves. Je mets entre leurs mains une préparation microscopique, bitumée, étiquetée
ersonne quelconque, quelque sceptique soit-elle, — je lui applique la main sur le front ou j'exécute auelque autre simagrée
luide » déposé inconsciemment sur la carte par mon sujet. Je passe la main , en effet, ou le nez sur chacune des cartes, et,
J'étais accoudé sur le bras droit du fauteuil et la tête posée sur la main droite. Je ne pouvais que très peu remuer le bras
ivai à faire un mouvement de tête de droite 4 gauche; mais à reine la main droite eut-elle été rendue libre par ce déplaceme
ge quelques données de ce complexe problème. Il est là présent, ses mains sont appliquées sur les touches du clavier qu'il
t qui n'a plus de secret pour lui. Le signal est donné, il part. La main droite, la plusactive. celle dont les mouvements
se ralentit tour à tour en exécutant le chant qui lui appartient, la main gauche, en satellite fidèle, la suit doucement, l
es, son caractère individuel, et dans cet ensemble harmonique de deux mains qui s'accordent, on ne sait ce que l'on doit admi
ne graphique donne correspond un son voulu, un mouvement précis de la main , et que, par suite, une série de signes écrits su
s mentales si complexes qui s'opèrent pour diriger les mouvements des mains d'une façon différente, tantôt du côté droit, tan
t isolément dans chaque lobe cérébral pour diriger le mouvement de la main correspondante ! et ces actions doubles, distinct
en effet que, normalement, les pianistes interprètent la partie delà main gauche en clef de /a.ci la partie de la main droi
erprètent la partie delà main gauche en clef de /a.ci la partie de la main droite en clef deso/.cequi est encore un suppléme
a voix flexible et harmonieuse, peut en même temps qu'il met les deux mains en activité sur le clavier, chanter et exprimer e
arte soi-disant magnétisée leur serait révélée parce qu'en passant la main au-dessus, elles ressentiraient une secousse dans
es muscles (tantôt au bout des doigts seulement, tantôt dans toute la main , le poignet, le bras, etc.), ont en effet signalé
pareil cas. Lorsque son tour fut venu, elle tressaillit en passant la main sur une certaine carte que je n'avais pas plus to
départ, elle avait vainement essayé de toucher du piano, parce que sa main droite — celle qui avait ressenti la secousse ima
«gnalc une carte en déclarant qu'elle vient d'éprouver, en passant fa main au-dessus, « un grand frisson dans le dos ». EU
sieurs fois hypnotisé, se renverse subitement en arrière en passam la main sur une carte qu'elle crovait avoir été magnétisé
n les approchent successivement de leur nez en les saisissant avec la main . On conçoit qu'une telle expérience ne puisse êtr
irme — qu'il suffit de me faire quelques passes devant le nez avec la main gauche, pour aiguiser mon sens olfactif au point
se d'une dame qui disait avec conviction « qu'elle mettrait plutôt sa main au feu a que de convenir qu'elle n'a rien éprouvé
le n'aura qu'à regarder pendant trois secondes ce bouton tenu dans la main droite pour s'endormir pendant cinq minutes préci
ble degré. Pendant qu'on arrache sa dent, il crie, se débat, prend la main du médecin. Je continue mes suggestions pendant e
bre a disparu, sente ou ne sente pas cette porte lorsqu'il promène sa main dessus, qu'il complète la partie disparue par l'a
s yeux et parut s'endormir. J'épiai ce moment pour poser doucement ma main gauche sur son genou, puis je la promenai de haut
i de haut en bas jusqu'à trois reprises; après quoi, m'emparant de sa main droite, je relevai celle-ci et la retins quelques
la retins quelques instants dans cette position. L'avant-bras et la main restaient en catalepsie. Voilà donc mon voisin hy
le malade est d'une constitution faible, le dynamomètre donne pour la main droite 38, pour la main gauche 32. Les fonctions
titution faible, le dynamomètre donne pour la main droite 38, pour la main gauche 32. Les fonctions du corps s'accomplissent
: distinguera la distance de 3 pas, de l'œil gauche, les doigts de ma main et les traits de ma figure ; également Hrc les gr
comme paralysie agitante. Outre le tremblement si caractéristique des mains , il y avait la trépidation générale du tronc, la
tait considérable et généralisée a la quatorzième. Le tremblement des mains a diminué au point que le malade peut porter un
oux devant pour happer le liquide, sans toucher le récipient arec les mains . Il est intéressant de constater qu'un état mor
otre éminent collaborateur. Quelques-uns pourront dire qu'entre leurs mains , le même procédé thérapeutique n'a été suivi d'au
e survenu chez un ouvrier à la suite d'un coup de maillet reçu sur la main . Après quelques jours d'engourdissement, il se pr
ction des zones hypnogènes ; tout en causant avec F..., prenez-lui la main et serrez son poignet qui présente une zone hypno
ent elle entrera en crise. Serrez toute autre partie du bras ou de la main , et le sommeil ne se produira pas. Les caractèr
voulait employer la force pour se faire obéir, elle la prenait par la main e. la poussait pour qu'elle la laissât tranquille
s l'idée d'avoir recours à un subterfuge. Pendant que j'appliquais ma main sur son front et qu'elle était légèrement engourd
ir un terme, on tremble à son approche. » A cette peinture faite de main de maître, nous ajouterons, pour que notre descri
es pupilles sont égales. Pas d'ataxie de la langue, des lèvres ni des mains . Il n'existe aucun trouble de locomotion. Elle
illet. L'hypnose est produite assez rapidement par l'apposition de ma main gauche sur son front, et la présentation d'un pri
stion que j'ai fait disparaître une contracture avec anesthésie de la main chez une hystérique, des paralysies multiples che
'appelle « Od ». Deux verres remplis d'eau sont tenus, l'un dans la main droite, l'autre dans la main gauche, puis on fait
s remplis d'eau sont tenus, l'un dans la main droite, l'autre dans la main gauche, puis on fait goûter l'eau à un sensîtif.
u à un sensîtif. Sensation rafraîchissante procurée par l'eau de la main droite; goût désagréable accusé pour l'eau de la
par l'eau de la main droite; goût désagréable accusé pour l'eau de la main gauche. De là : i* Il s'échappe de la main de
ccusé pour l'eau de la main gauche. De là : i* Il s'échappe de la main de l'homme quelque chose qui est absorbé par l'ea
l'eau. 2° Ce quelque chose est de deux espèces différentes, pour la main droite et pour la main gauche. 3' Certaines per
chose est de deux espèces différentes, pour la main droite et pour la main gauche. 3' Certaines personnes apprécient cette
s enveloppés de papier. Attraction provoquée. — Pour le doigt de !a main droite du sensitif. — Pour les uns : Pas d'attr
Tous les corps attirants provoquent une sensation de chaleur sur la main gauche : de froid sur la main droite. Et inversem
voquent une sensation de chaleur sur la main gauche : de froid sur la main droite. Et inversement. Actre expérience.— Un s
re expérience.— Un sensitif étant placé a l'ombre, mettez-lui dans la main 'gauche) un bâton de v;rre. de telle façon que l'
e l'extrémité de ce bâton puisse ctre exposée aux rayons solaires, la main restant à l'ombre. Il ressentira une impression d
e sur clic un bâton en bois. L'extrémité de ce bâton, touchée avec la main gauche, parait chaude; touchée avec la main droit
ce bâton, touchée avec la main gauche, parait chaude; touchée avec la main droite, elle parait froide. Au moyen d'un enton
'eau dans un tube de verre. Un sensitif, touchant l'entonnoir avec sa main droite, le trouve froid; avec sa main gauche, il
f, touchant l'entonnoir avec sa main droite, le trouve froid; avec sa main gauche, il le trouvera chaud. En6n, ¡1 est faci
des aimants, ainsi que des piles électriques. Pour les cristaux, la main gauche ressent un soufHe frais lorsqu'elle s'appr
main droite à quelqu'un, vous est-il indifférent que le serrement de main se prolonge ? 5* Quand vous manipulez des pièce
gent, ou mieux de cuivre, vous est-il indifférent de le faire avec la main droite ou la main gauche? Mettez-vous cet argent
cuivre, vous est-il indifférent de le faire avec la main droite ou la main gauche? Mettez-vous cet argent dans la poche de d
s au bout d'un certain temps une impression de chaleur dans l'une des mains , de froid dans l'autre ? Quelle est celle de vos
dans l'une des mains, de froid dans l'autre ? Quelle est celle de vos mains qui a froid ? 8* Quand vous tenez les paumes de
le de vos mains qui a froid ? 8* Quand vous tenez les paumes de vos mains l'une à côte de l'autre, et que l'on souffle légè
y a-t-il une différence dans les impressions ressenties par les deux mains ? Quelle est celle des mains qui a une impression
s les impressions ressenties par les deux mains? Quelle est celle des mains qui a une impression de chaleur, quelle est celle
leurs dans votre chambre à coucher ? lo" De* passes faites sur la main , le bras, la figure, le corps.sont-elles ressenti
pas possible au premier venu de tracer dans le même instant avec ses mains des figures différentes telles qu'un cercle et un
pareil travail veut une éducation égale des éléments moteurs des deux mains et surtout exige un développement au moins égal d
tte rare faculté de dessiner ses figures sur le tableau avec les deux mains dans Iemême instant apparemment ; quelques-unes d
e lui ont vu faire, la figure d'un animal, la partie antérieure d'une main et la postérieure de l'autre pendant qu'il l'expl
vaient, par l'etfort de la volonté, exécuter aucun mouvement avec une main sans que l'autre exécutât dans le même instant le
s les premiers temps de la maladie s'exprimait déjà en écrivant de la main droite, avait une lésion dans un seul hémisphère
32 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ces données que, par la radiographie, nous pouvons avoir entre les mains un moyen direct d'évaluer la valeur de l'angle sp
jaunâtre. D'autre part, on remarque que le malade a une tête et des mains acroméga- liques, et aussi une scoliose bien év
nez volumineux, ses lèvres charnues, ses oreilles saillantes. Les mains sont grosses, courtes, du type large de M. Pierre
su adipeux et musculaire peu développé. Il porte continuellement sa main gauche au côté douloureux de la tête, il gémit,
oit avoir une barre de fer sous son édredou et il tâ- tonne avec la main pour se convaincre de son existence. Pendant la j
ment donné, pendant notre visite, il prie l'un de nous de mettre la main sur son édredon et de lui dire si nous ne sento
ouveau en état de prostration, il gémit et porte continuellement la main à la tête. Il ne répond qu'avec difficulté, en se
sis, il ne peut rester en repos, il balance le corps, se frotte les mains , remue les jambes ; debout, son corps est entra
zi du pied un objet que l'on place à une certaine hauteur du Iit.La main ne plane pas au-dessus de l'objet à saisir, mai
l'index tenus en extension ; même en dehors de toute préhension, la main et les doigts restent étendus et ceux-ci sont ani
de pression du dynanomètre indique une moyenne de 11 ldlogs pour la main gauche, de 7 kil. 5 pour la main droite. Malgré
e une moyenne de 11 ldlogs pour la main gauche, de 7 kil. 5 pour la main droite. Malgré cette méiopragie, il n'y a aucun
son pied gauche sur un escabeau et soutient sa jambe avec les deux mains placées sous le jarret. Ce blessé est un homme
e du tableau est placé le chirurgien un genou à terre, tenant de sa main gauche le pied du blessé, il soulève de l'autre
, tenant de sa main gauche le pied du blessé, il soulève de l'autre main l'emplâtre qui recouvrait la blessure. Le barbi
t. Cette femme coiffée d'une capeline porte un panier et a les deux mains croisées et placées sous son tablier. A côté
ement les objets que, les yeux fermés, il est admis à tenir dans sa main ; quelquefois, ne trouvant pas le substantif, f,
phasie motrice subcorticale dans lequel la faculté d'écrire avec la main gauche était bien conservée, trouva un abcès isol
tiano d'un centre cénestésique pour les mouvements des bras et des mains nous paraît aussi plausible que l'existence d'u
e, voici les principales mensurations du squelette. ')2() GALLA1S Main . GIGANTISME ACR01 ! ÉGALIQUE (Alfred Gallais)
personnalité morale ainsi qu'en témoigne parfois une légende de sa main . ' Tel est l'état mental de notre géant inverti
tracer quelques caractères. Elle nous a arraché le porte-plume des mains pour dessiner quelques caractères informes, rép
ral est de 8'i, Les muscles épicondyltens sont très développés. Les mains pendantes le long du corps, atteignent sur la c
uisse un point situé à cinq centimètres au-dessus de la rotule. Les mains n'offrent de particularités qu'au point de vue de
ser un infirmier ro- buste. Elle paraît très habile à se servir des mains et des doigts', en raison sans doute de la laxi
ie : le développement de la musculature fessière, l'isodaclylie, la main en trident, l'ensellure lombaire, la grosseur d
arence boudinée, et s'écartent les uns des autres leurs extrémités ( mains en trident), telle" l'ensellure du nez, telle l'é
lan antérieur du corps, aux mamelons, aux avant-bras, aux bras, aux mains qui semblent gantées de blanc ; pour le plan po
la plisser qu'aux organes génitaux, aux paupiè- res, à la face, aux mains , aux pieds et aux jambes, tout le reste est pachy
cerveau sont toutes doubles, comme aussi nous avons deux yeux, deux mains , deux oreilles, et enfin tous les organes de no
ue par exemple, un joueur de luth a une partie de sa mémoire en ses mains ; car la facilité de plier, et de disposer ses
seulement ici par un exemple. Si quelqu'un avance prompte- ment sa main contre nos yeux, comme pour nous frapper, quoique
ine de notre corps est tellement composée que le mouvement de notre main vers nos yeux excite un autre mouvement en notre
de 39° prolongée.laquelle n'exerce pas d'action sur le pigment hu- main . Nous croyons aussi avoir remarqué des formes de
animales ; j'ai dit probablement, car je n'ai examiné le foetus hu- main qu'à partir du quatrième mois et je ne sais pas c
emontent comme elles jusqu'à la base du crâne. En introduisant la main à l'extrémité toute supérieure de la cavité thora
dullaire de l'humérus. Sur la radiographie de l'avant-bras et de la main , on ne remarque pas la luxatiou de l'extrémité
eilkunde, 1912, p. 1-35. 45. RroNAULT. - Anomalies des plis de la main dans l'achondroplasie de la dysos- tose. Bull,
du tronc, pendant la marche, en oscillant comme des balanciers, les mains dans les attitudes anormales, produites par les
a dans la chambre, elle trouva Caroline sautillant parterre sur les mains et les pieds en pleurant. Dans le premier momen
ERSTROM dents étaient bien conservées ; sa mise était simple et ses mains déjà ru- gueuses par suite du travail domestiqu
âge de 53 ans, il a commencé à sentir de la gêne dans l'usage de la main gauche la plus utilisée pour son tra- vail. Uu
la main gauche la plus utilisée pour son tra- vail. Uu jour, cette main lâcha l'instrument qu'elle tenait et se tourna br
re adduction ou abduction, sans opposition. Les autres doigts de la main gauche n'ont pas d'extension possible, ni d'écart
'extension possible, ni d'écartement en éventail. L'extension de la main sur l'avant-bras est faible. La main droite n'e
éventail. L'extension de la main sur l'avant-bras est faible. La main droite n'est pas atrophiée, mais depuis quelques
pital, du 12 décembre 1901 au 15 février 1902. La faiblesse de la main gauche a suivi une marche progressive : elle sert
a droite, et depuis un mois, les lé- gers troubles parétiques de la main droite, relevés à l'examen clinique antérieur,
Hôpital cantonal note : L'atrophie musculaire est très marquée à la main gauche, à l'avant-bras et au bras. Le deltoïde
roit. A droite, l'atrophie se retrouve à un plus faible degré, à la main et à l'avant- bras ; elle n'est pas appréciable
usculaires dans les muscles du membre supé- rieur gauche, depuis la main jusqu'à l'épaule : elles ont une intensité maxima
ucun changement des trou- bles moteurs et trophiques. L'usage de la main devint même plus difficile en- core, et les con
t de l'atrophie musculaire à l'âge de 53 ans, par les muscles de la main gauche ; la main droite est prise trois ans plu
usculaire à l'âge de 53 ans, par les muscles de la main gauche ; la main droite est prise trois ans plus tard, les membr
gauche intéressé jus- qu'au deltoïde, une parésie des muscles de la main et de l'avant-bras droit', aux membres inférieu
ulenburg (début de l'atrophie à 29 ans par les petits muscles de la main , avec atteinte à 33 ans seulement des inter-oss
es muscles des pieds et des jambes, avec extension plus tardive aux mains et aux avant-bras. Pas de contractions fibrilla
. La soeur de ce ma- lade ne présente d'atrophie qu'aux muscles des mains . Ici contractions fibrillaires et douleurs. Che
cé à l'âge adulte et a atteint t les muscles des jambes et ceux des mains et des avant-bras; mais chez l'un, le début s'e
ains et des avant-bras; mais chez l'un, le début s'est fait par une main , avec extension à l'autre main et à l'avant-bra
progressive des membres supérieurs, commençant par les muscles des mains , tandis qu'aux membres inférieurs, on ne trouve
ière enfance, une atrophie partielle des mus- cles de la jambe; les mains n'ont été prises que plus tard. Chez tous deux,
ème année ; chez d'autres sujets à 30 ou 40 ans ; les muscles de la main étaient pris les premiers, l'atrophie remontait p
à 20, 27, 25 et 50 ans, et pour les trois derniers malades par les mains ; des douleurs ne se manifestèrent que chez deux
par les extrémités des membres inférieurs, mais que les muscles des mains et des avant-bras peuvent être touchés les premie
tant de l'enfauce, intéressant les muscles des jambes et ceux de la main droite. A l'examen histologique, on trouve une mo
début dans l'enfance, a frappé les muscles des jambes, puis ceux des mains , des avant-bras et ceux du bras gauche : l'atro
rigine hérédi- taire, familiale, débutant à l'àge de 20 ans par les mains avec extension jusqu'à l'épaule et au tronc, et
rs avec douleurs lancinantes pendant plusieurs années, atrophie des mains à 19 ans. Troubles de la sensibilité cutanée et p
N (2). - Début à l'âge de 42 ans par une atrophie des muscles de la main droite ; extension aux muscles de l'avant-bras, a
ère diminution de la sensibilité ; atrophie des membres supérieurs, mains , avant-bras, bras, épaules ; atrophie de l'orbicu
ambe, pied-bot ; aux membres supérieurs, atrophie des muscles de la main , puis de l'avant bras, sensibilité intacte ; dimi
cles des jambes. Atrophie musculaire, refroidissement, cyanose ; les mains et les avant-bras pris deux ans plus tard sont
but vers 5 ans par la paralysie des jam- bes ; à 9 ans atrophie des mains ; extension progressive allant jusqu'aux mus- c
bres inférieurs avec prédominance aux extrémités, pieds-bots équins, mains simiennes. Diminution de la sensibilité aux mem
44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type Aran-Duclenne; extension lente aux m
près le début de la maladie, atrophie progressive des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des mus
ir de préférence du bras gauche. Lorsqu'il devait écrire vite de la main droite, il se fatiguait aussitôt, au point d'êt
ien que l'observateur cherche à l'en empêcher par la pression de la main , il y parvient beaucoup moins bien à droite malgr
édiaire entre celle de la supination et celle de la pro- nation, la main est en état de flexion sur le' poignet et les doi
lexion sur le' poignet et les doigts en état de demi-flexion sur la main , sauf l'auriculaire qui présente sa première phal
es muscles de l'épaule et du bras, et ceux de l'avant-bras et de la main sont atrophiés à un degré moindre. Le muscle delt
aule se trouve un peu en dehors. S'il essaie de faire prendre à ses mains l'attitude du serment, il n'y arrive pas avec l
rendre à ses mains l'attitude du serment, il n'y arrive pas avec la main droite. En effet, le malade est obligé de hausser
droite plus que l'épaule gauche. Le bras se tourne en dehors et la main a une tendance à tomber. Le sujet peut soulev
en s'aidant d'autres muscles. Il arrive à fléchir com- plètement la main sur le poignet et à plier les doigts de la main q
r com- plètement la main sur le poignet et à plier les doigts de la main que d'ailleurs il ne peut étendre que bien peu.
able d'opposer le pouce aux autres doigts. S'il essaie d'étendre la main , le cinquième doigt un mouvement d'extension ex
notable- ment moindre qu'à gauche. L'examen radiographique de la main et du poignet ne permet de constater aucune dif
e scapulaire et à ceux du bras, puis à ceux de l'avant- bras, de la main , et du membre inférieur ; la manière dont se prés
r du pouce, adducteur du pouce, mus- cles interosseux dorsaux de la main ). D'autres muscles (ou nerfs) présen- tent une
ue n'a révélé à droite aucune altération appré- ciable des os de la main . Il a montré au contraire (fiT.8 et 9) que l'humé
ales au niveau des extrémités et ne présente aucune déformation des mains ni des pieds C'est un homme fort, bien constitu
fond que l'on est accoutumé à voir chez les pagétiques avancés; les mains tombantes arrivent à peu près à mi-cuisses comme
les auteurs ou dans les radiographies que nous avons eues entre les mains , des cas où la localisation du début semble avo
trophiques que Roger et Garnier (1) ont observés dans les os d'une main à la suite d'une fracture de l'avant-bras corre
oit dans son lit, les jambes pliées légèrement sur les cuisses, les mains sur les genoux. Après avoir refusé de s'aliment
ait fermé les murs. » Il se croyait alors alternativement entre les mains de Dieu et du Diable. Il souffrait atrocement.
plein d'étoiles « de l'éternité... Il y avait des Diables avec les mains saignantes. Et j'avais « une émotion (il montre
e l'enfant s'excite,se dresse sur son séant, veut nous arracher des mains le livre, manifestant de la co- lère. Tout le
st pas pur... il est poussière (il a un mor- a ceau de pain dans la main ). Du moment qu'il vient de la terre... mangera...
monotone : «Hallucination de quoi, hallu- « cination de qui... Une main ... à qui... qu'est-ce que c'est que ça ? ... A qu
.. Une main... à qui... qu'est-ce que c'est que ça ? ... A qui « la main ... oh la la... » - Il voit une montre : « Une mon
itrine avec force. Puis il se prend le creux épigastrique à pleines mains et crie en chantant : « Mon Ame ! ô mon coeur ? I
remis à penser à ce qu'il y avait dans ce livre et j'ai revu « des mains ... J'ai vu un mort qui agitait un os... Je me sou
Diable qui me « poursuivait ; je le voyais dans vos yeux, dans vos mains , comme la première « fois.... C'étaient des squ
uer ces statuettes : « Je voyais la Vierge dans la salle remuer les mains , ouvrir les « yeux et me dire d'aller à elle...
les cas les plus typiques de l'atrophie musculaire progressive. La main d'Aran-Duchenne leur appartient, en particulier
général le double 'pied-bot névriti- que de Joffroy et souvent des mains assez analogues à celles d'Aran-Du- chen ne, D'
causant finalement des lésions diffuses dont le lien commun est la main d'Aran-Duchenne. J. Au contraire, dan's les cas
udiés, il s'agit d'amyotl'o- phies isolées des petits muscles de la main , pouvant déterminer soit la main typique d'Aran
s isolées des petits muscles de la main, pouvant déterminer soit la main typique d'Aran-Duchenne avec lésion thénarienne,
t le lien commun est la limitation stricte aux petits muscles de la main , et l'absence de progression des symptômes en u
es atrophies iso- lées et non progressives des petits muscles de la main . , Ces atrophies isolées ne sont pas rares et n
as d'amyotrophie isolée et non progressive des petits muscles de la main , et ceci et priori se conçoit. En effet des lésio
xcitant peu à peu et criant d'un ton déclamatoire « Les bras et les mains crucifiés pour l'amour de Dieu... le coeur de Jés
lumière et à l'accommodation. On constate un tremblement léger des mains et de la langue : il existe également du trembl
it le tour des extrémités inférieures. Il a remarqué en outre que ses mains ont commencé à maigrir ; surtout la paume gauch
oigts sont peu agiles et limitées. La déflexion des doigts et de la main est plus faible que la flexion. On observe des
ad- duction du membre que l'abduction. La flexion du coude et de la main est plus forte que leur extension. Les mouvemen
est plus forte que leur extension. Les mouvements des doigts de la main gauche sont lents et faibles; surtout l'opposit
électrique : CARIE DES VERTÈBRES 3'je 0 complète des doigts de la main gauche. La flexion du coude est meilleure que s
ntérieures suffisent à expliquer l'atrophie de petits muscles de la main gauche avec réaction partielle ou totale de dégén
nce, ainsi que l'affaiblissement des fonctions de ces muscles de la main et de l'avant-bras gauche. La compression trans
vation clinique des symptômes tels que l'atrophie des muscles de la main gauche du type Aran-Duchenneetdes troubles de la
ans souffrait depuis longtemps de douleurs aigues à la nuque et aux mains suivies d'un affaiblissement nota- table des me
uit, pendant une ou deux heures, par des fourmillements tenaces aux mains . Mais cela ne dura que peu de temps. Plusieurs
he, après une fatigue. Les trois doigts internes (III, IV, V) de sa main gauche et la région anté- rieure de la plante d
troublés par la trépidation ; ceux des trois doigts internes de la main gauche sont quelque peu gênés par l'engourdisseme
men : l'avant-bras est fléchi presque à angle droit sur le bras, la main de l'exa- minateur est prise dans la main du ma
gle droit sur le bras, la main de l'exa- minateur est prise dans la main du malade, qui est légèrement fléchie dans ses
ue l'examinateur sent aussi, comme un serrement très sensible de sa main . C'est l'inversion du réflexe du radius, récemmen
on de l'avant-bras, mais associée à un mouvement de pronation de la main . c) Si, maintenant, l'avant-bras étant toujours
enseur commun des doigts, on obtient un mouvement d'extension de la main et de flexion des doigts ; en descendant gradue
pienne, on provoque la seule flexion des doigts. L'extension de la main et des doigts, on peut seulement l'avoir en per
du cubitus, et il est alors associé au mouvement de pronation de la main . c) En percutant sur la face dorsale de l'avant
les doigts se fléchissent plus ou moins toujours. d) Si, enfin, la main étant toujours tombante en pronation complète, on
radius, on obtient pres- que constamment un léger soulèvement de la main (action des radiaux), seul ou associé à la flex
faire appuyer 408 PASTtNR * du coude sur le lit, le tenir avec la main , etc., puisque en faisant durer quel- que peu l
le (compas de Weber) est fort diminuée dans la moitié interne de la main gauche et dans les trois doigts correspondants en
THRITE CHRONIQUE DU RACHIS 409 Dans tous les autres doigts des deux mains , cette sensibilité n'est.pas non plus parfaite.
pason sont perçues faiblement sur les os des doigts engourdis de la main gauche, sur les rotules, sur les tibias, sur les
oujours par les petites articu- lations des extrémités, surtout des mains et des pieds. Pour la même raison, il n'apparti
rmet qu'un court écart des bras et aucun mouvement d'élévation ; la main ne dépasse pas l'épaule opposée ; l'épaule droi
ne dépasse pas l'épaule opposée ; l'épaule droite, les coudes, les mains , les genoux, les pieds sont intacts et libres d
he ou à droite. Pour se lever, elle s'appuie sur le matelas par les mains et les talons, et se traîne jusqu'au bord du lit
la malade en vue de gagner quelque argent, fait de la couture à la main ou à la machine à pied. Sauf la torture de l'im
ar les articulations métacarpo-phalangiennes, contre la paume de la main ; l'index présente l'ankylose en demi-flexion de
jambe. Il lui est difficile de coudre : l'aiguille lui tombe de la main et les ouvrages qu'elle confectionne actuelleme
tain tremblement. Quand on oblige la malade à mettre le doigt de sa main droite sur son nez, le doigt os- cille avant d'
ette de la bave à droite sans s'en apercevoir. Le tremblement de la main droite, dans les mouvements, est plus intense.
Marie L'ATROPHrE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES DE LA MAIN FRÉQUENCE RELATIVE ET PATHOGÉNIE. TÉPHROMALAC
ies musculaires isolées non progressi- ves des petits muscles de la main . Nous avons vu quelles étaient les lésions qui,
phère cérébelleux gauche. Atrophie musculaire non progressive de la main droite avec main d'Aran- Duchenne. C'est en 1
gauche. Atrophie musculaire non progressive de la main droite avec main d'Aran- Duchenne. C'est en 190S, deux ans apr
miplégie, que le malade a, pour la pre- mière fois, remarqué que sa main droite, déjà plus faible et plus maladroite, pr
douleurs assez vives dans les membres supérieurs et surtout dans la main notamment au niveau des articulations ( ? ). Il n
rophie des membres interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire. La main gauche paraît normale. Les ré- flexes du poigne
ssion au niveau des espaces. Les mouvements des petits muscles delà main se font sans force, l'opposition du pouce surtout
pour les muscles de l'éminence hypolhéuar et les interosseux. La main gauche, un peu amaigrie, paraît respectée à l'exa
nt à étudier deux choses : 10 Une atrophie des petits muscles de la main gauche. 2° Une hémiplégie droite, aphasie termi
ongtemps après l'amyotrophie. L'atrophie des petits muscles de la main n'a été observée que dans les der- niers jours
n est pas autrement inquiété : A l'examen : l'atrophie porte sur la main gauche où elle est nettement prédominante au ni
par suite de l'atrophie des membres interosseux. Les mouvements de la main se font sans force, surtout l'opposition du pou
n du pouce et les mouvements d'écarte- ment des doigts. A droite la main est un peu amaigrie, mais il est impossible d'a
deux : côtés. La face est conservée, le malade serre assez bien la main . Il n'y a pas d'autre amyotrophie. Le réflexe rad
°7. En résumé : Atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main . Cette atrophie est limitée aux éminences théna
ment celles des membres supérieurs de l'épaule, du poignet et de la main . En particulier, les articulations du carpe et
r de profondes dépressions sur le dos de la maiu. Du côté gauche la main est un peu maigre mais parait normale. Les ré
de date ancienne isolée et non progressive des petits muscles de la main . Cette atropliie est limitée au côté droit. A l
nt 3 morts en bas âge. Le malade vient consulter pour faiblesse des mains surtout de la gauche. \ Fio. 11. Ohs. IV. Név
ARIC ET FOIa Début de l'affection il y a 18 ans sans douleur par la main gauche qui a commencé à maigrir et à s'affaibli
gauche qui a commencé à maigrir et à s'affaiblir. Depuis 10 ans la main droite a été prise à son tour. Depuis lors plus
muscles thénariens,hypothénariens et interos- seux. Vue de dos, la main esfamaigrie, chaque espace interosseux est marqué
l'éminence hypothénar dont la saillie normale au bord interne de la main est remplacée par une dépression permettant de su
. On n'en constate d'ailleurs pas de nets au niveau des muscles des mains . Rien d'anormal il la face, au thorax, aux membre
e est conservée également au niveau du bras et de l'avant-bras. Les mains sont moins fortes et le malade accuse une faibl
en électrique par M Uuet. A droite : dansée domaine du cubital à la main , on constate encore des ma- NOUVELLE lc..ONO&am
pe diffus. Atrophie ISOLÉE NON progressive DES PETITS MUSCLES DE la main ('Pierre Marie et C. Foix). l'atrophie isolée
tion galvanique est très diminuée. Dans le domaine du médian à la main , on constate aussi de la D. R. moins avancée.
ique sur le nerf et sur les muscles dans le domaine du cubital à la main . Même état qu'à droite dans le domaine du média
tal à la main. Même état qu'à droite dans le domaine du médian à la main . En résumé, amyotrophie non progressive avec ma
ne du médian à la main. En résumé, amyotrophie non progressive avec main de type Aran-Du- chenne, évoluant depuis 18 ans
. A ce moment, la malade ressentit des douleurs assez vives dans la main droite. Ces douleurs, passagères et du type lan
epen- dant elle a de temps en temps quelques fourmillements dans la main gauche et craint, dit-elle, que celle-ci ne se
Depuis 1 an 1/2 environ, le malade ressent de vives douleurs dans la main droite. Ce sont des élancements qui surviennent
sité. Enfin depuis 6 mois ils ont beaucoup diminué. En même temps la main droite perdait sa force, le malade avait beauco
ramasser, surtout s'il s'agis- sait d'un objet de petite taille. La main gauche n'a jamais rien eu. A l'examen, la force
non PT1.0GIIESSIYE DES PETITS MUSCLES 441 1 d'un côté à l'autre. La main droite serre la main beaucoup moins fort que la a
l'autre. La main droite serre la main beaucoup moins fort que la a main gauche. Les mouvements du pouce se font sans forc
t uniquement à droite et pré- dominant sur les petits muscles de la main et surtout sur les interosseux. Le dos de la ma
its muscles de la main et surtout sur les interosseux. Le dos de la main est creusé de sillons profonds dessinant les méta
ur du pouce est pris comme le court abducteur et l'opposant. ' La main gauche paraît indemne ainsi que les membres supér
es au galvanique (avec 40 M. A. pour hypothénar). Les muscles de la main innervés par le nerf médian présentent l'hypo-exc
ésentent l'hypo-exci- tabilité faradique et galvanique. Rien à la main gauche. Par conséquent, lésions très marquées d
et des interosseux, lésion moindre de l'éminence thénar. Rien à la main gauche. Les réllexes sont conservés et normaux.
nc congénitale . La malade dit avoir été toujours plus faible de sa main gauche. Elle était en 442 P. MARIE ET FOIX mê
e cela dans les antécédents. Pas de syphilis avouée. A l'examen, la main gauche est dans l'ensemble plus petite que la mai
. A l'examen, la main gauche est dans l'ensemble plus petite que la main droite, les doigts sont plus minces et plus eff
tension de l'avant-bras sur le bras sont normales. La flexion de la main se fait bien, l'extension de la main peut être un
ont normales. La flexion de la main se fait bien, l'extension de la main peut être un peu moins bien qu'à droite. La mal
nence hypothénar et des muscles interosseux. La sensibilité de la main est normale. Les réflexes tricipitaux sont normau
. Nie la syphilis, présente une atrophie des petits mus- cles de la main droite frappant les interosseux, l'éminence théna
rachidieune. Lym- phocytose. B) Atrophie des petits muscles de la main : Remonte également à un an environ. Elle est s
Remonte également à un an environ. Elle est strictement limitée à la main droite, bien que les douleurs aient été bilatér
e niveau sur les interosseux, d'où profonde dépression du dos de la main ; sur l'éminence thénar qui est amaigrie en mas
rvée et absolument semblable à celle du côté gauche. De ce côté, la main est indemne. Du côté de la main droite on note
elle du côté gauche. De ce côté, la main est indemne. Du côté de la main droite on note une diminution des mouvements de l
type de tahes supérieur. Atrophie isolée des petits muscles de la main du côté droit. Il est difficile de dire si cett
Depuis deux ans, fourmillemeuts dans les trois premiers doigts de la main droite, un peu dans le quatrième. En même temps
s subjectifs de la sensibilité dans les trois premiers doigts de la main droite, atrophie thénarienne limitée à l'abducteu
mitée à l'abducteur et à l'opposant. L'examen électrique montre : Main gauche : thénar, hypothénar, normaux. Main droi
en électrique montre : Main gauche : thénar, hypothénar, normaux. Main droite : hypoexcitabilité faradique du fléchisseu
inance unilatérale ; la limitation stricte aux petits muscles de la main . Au point de vue de l'évolution : la lenteur et
teints de façon quelque peu iné- gale. Sur nos 8 cas unilatéraux la main droite est touchée G fois, la gau- che 2. L'u
ominance marquée du côté gauche. On peut dire par conséquent que la main droite est touchée 2 fois sur 3. La limitatio
chée 2 fois sur 3. La limitation stricte aux petits muscles de la main constitue un carac- tère absolu et - pour ainsi
a de dissocier les 2 tableaux cliniques. L'atteinte globale de la main est loin d'ailleurs d'être la règle absolue et
exe radial étant situé au-dessus du centre des petits muscles de la main . 118 P. MARIE ET FOIX Quelle que soit l'inter
réllexes, l'atrophie isolée non progressive despetits muscles de la main constitue par son siège, ses réactions électriq
té des cen- tres nerveux. Or plusieurs de ces malades avaienl des mains dulype Aran-Duclienne et ceci parait au premier
Joffroy, et chez qui l'atrophie bilatérale des petits muscles de la main , s'accompagne d'a- myotrophie considérable de t
ue et non pas d'atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main . L'atrophie isolée non progressive peut d'aille
, toujours asymétrique, strictement limité aux petits muscles de la main , parfois môme à un seul groupe, thénar ou hypothé
aiguë, l'atro- phie isolée non progressive des petits muscles de la main peut reconnaître comme cause une lésion destruc
s de sucre. On remarque seulement à ce moment-là les dimensions des mains qui sont en battoir, le volume du nez, le progn
érieur (de l'acromion à l'extrémité du médius) 0,75. Longueur de la main : de l'interligne radio-carpien à l'extrémité du
carpien à l'extrémité du médius : 0, 18 1/2. Le décalque de cette main (femme) est plus large et plus trapu que celui
de cette main (femme) est plus large et plus trapu que celui de la main des auteurs. C'est une main en battoir. En somm
lus large et plus trapu que celui de la main des auteurs. C'est une main en battoir. En somme, à part la largeur de la m
teurs. C'est une main en battoir. En somme, à part la largeur de la main et les dimensions boudinées des doigts, les mem
temps et l'espace. Dysarthrie. Propos incohérents. Tremblements des mains , de la langue, des muscles du visage. Suit depu
e signalé l'adhérence des lobules des oreilles,des tremblements des mains et de la langue, la diminution des réflexes pupil
s (1) ou l'on prenait un vase en verre rempli d'eau chaude dans une main et l'on plongeait dans le verre un fil électrisé
it dans le verre un fil électrisé et on touchait ensuite de l'autre main le fil du vase (commotio). Enfin on a essayé de
O, 265 Atrophie isolée non progressive des petits muscles de la main , fréquence relative et pathogénie . Téphromalac
secondaire) (4 pl ), par ANnn>i- TIIOM 18 et J UMENT1É, : 109. Main (Atrophie isolée non progressive des petits mus
malacie (Atrophie isolée non progres- sive des petits muscles de la main , fré- quence relative et pathogénie. - antérieu
t Marie (P.). Atrophie isolée non progressif des petits musclesdela main ; fréquence relative et pathogénie. Téphro- ma
CASTRO), XXXV à XXXVI. Atrophie isolée des petits muscles de la main (Marie et Foix), LXI. Barbier pédicure (f3rsous
33 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
orps humain. C'est ainsi que l'on a obtenu d'excellents clichés des mains et des pieds. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un
,dépas- sant actuellement une heure il deux heures au moins pour la main , devrait être poussée à six ou huit, et peut-êt
ons habituelles. Déjà, à cette époque, elle éprouvait dans les deux mains quelques picotements, quelques four- millements
pen- dant trois mois des fourmillements dans les phalangettes de la main gauche. Le 4 décembre suivant, un panaris s'est
Le 4 décembre suivant, un panaris s'est développé l'annulaire de la main droite; or, circonstance sur laquelle on ne saura
e était presque absolue aux quatre membres ; seuls les doigts de la main gau- che pouvaient être mis en légère flexion.
et d'un abaissement léger de la température locale au niveau de la main droite, qu'une eschare sur la région trochantérie
avait présenté une anesthésie complète et totale aux doigts et aux mains . Puis l'abolition de la sensibilité avait en- v
M. le professeur Debove, à l'hôpital Andral. Les articulations des mains , les poignets, les coudes, les épaules, les genou
Il y a si mois ont apparu les arlliropalbics du côté des doigts de la main droite, et la douleur du talon, que nous allons
alement attirée vers des particularités qui déroutent tout d'abord. Mains . On remarque des déformations particulières du cô
ius et de l'articulation métacarpo-pha'- tangienne de l'index de la main droite; de l'articulation de la Ire et'2° pha-
roite; de l'articulation de la Ire et'2° pha- lange du médius de la main gauche. (PI. Y et VI.)' . Il y a4mois'a commenc
mmencé ]'arthropathiedel'articÚlation phalangin9-phalangienne de la main droite. Tous les symptômes ont été ceux d'une art
e dès qu'il essayait de remuer le doigt ou avait il se servir de sa main . En-même temps le doigt était' rouge au niveau de
l'articulation métacarpo-phatangienno de l'indica- teur de la même main se prenait, mais cette fois l'arthropathie évolua
RHAGIE 29 au niveau de l'articulation pbatangino-pbatangienne de la main gauche. Mais tandis que la rougeur, la tuméfact
ni craque- ments. Les déformations métacarpo-phalangicnnes de la main droite, et celle de l'articulation phalangino-p
e de l'articulation phalangino-plralanienne [doigt en massue) de la main gauche n'ont rien de caractéristique, ce sont l
tisme noueux, celle de l'articulation pllalauino-phalangieune de la main droite au contraire est tout a fait caracté- ri
rs jours le malade a remarqué qu'il se servait difficilement de ses mains , qu'il ne pouvait pas soulever des objets un peu
ver des objets un peu lourds ; pour ex- pliquer cette faiblesse des mains le symptôme douleur suffit largement. Mais alor
disparu, le malade n'a pas pu davantage se servir facilement de ses mains et notamment de la main droite qui avait été plus
s pu davantage se servir facilement de ses mains et notamment de la main droite qui avait été plus touchée, puisqu'ici l
. N'ayant pas de dynauomètre, nous lui faisons fortement serrer nos mains avec les sien- nes, et il est toujours facile d
que taudis qu'il aura a provoquer de la douleur en serrant avec la main droite on sent ;i peine sou étreinte avec la ma
n serrant avec la main droite on sent ;i peine sou étreinte avec la main gauche. 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
l ne l'est aujourd'hui. Un mois environ après les arthropathies des mains , il a remarqué que ses hras diminuaient, tous l
as du reste. Quinze jours après le début des artllro- pathies de la main droite et en même temps que l'apparition de l'art
ralysie des muscles ; si le malade n'a pu se servir aisément de ses mains , s'il n'a pu mar- cher, ce n'est d'abord que la
Hémichorée hystérique (Bras). Fiq. 8. Paralysie agitante (Pied et' main ). 1 Fio. 9. Amyotaxie spéciale chez un tabéti
tambour Marey. Pour démontrer qu'il en est ainsi, admettons que la main du malade soit placée dans l'anneau central et
on du premier rayon voulu; admettons même que les vibrations de. la main déplacent l'anneau central du plan de l'appareil,
dant à noter. L'Hermaphrodite debout, qui tient une feuille dans la main gauche et soulève de la main. droite un coin de
debout, qui tient une feuille dans la main gauche et soulève de la main . droite un coin de son voile au-dessus de son épa
sonnage androgyne, presque nu, tenant une torche renversée clans la main droite, la jambe gauche cou- verte d'une draper
les représente un personnage entièrement nu, debout, tenant dans la main gauche un cathare, et une torche dans la main d
ebout, tenant dans la main gauche un cathare, et une torche dans la main droite. Une tresse de ruban passée en bandouill
'agit d'un aveugle, parce que ce loqueteux, qui lient un bâton a la main , est conduit par un chien. Une femme assise lui
main assez exactement reproduit, et un squelette tenant dans chaque main un vase à boire. Ces sujets macabres faisaient
Enée fuyant avec son père Anchise sur les épaules, et tenant il la main le petit Ascagne. Les personnages sont représen
t singulier : au vainqueur ap- partiendra le trône de Latinus et la main de sa fille Lavinia. Tout est préparé pour cett
tion du poète. (Il. VII.) . Enée est là, immobile, s'appuyant de la main droite sur sa longue lance, le bras gauche sur
te sans 44 NOUVELLE ]CONOGKAPmE DE LA SALPÊTRIÈRE doute, lance en main , bouclier au bras, casque sur la tête, retournent
illeurepor- tée du champ d'opération. Il palpe la blessure de ses mains expérimentées. « Il voit le trait, le sai- sit
la dou- leur disparaît, l'hémorrhagie s'arrête, le fer, suivant la main qui l'ex- trait, se détache sans effort. L'ar
artie de son corps, visible pour son fils seulement, et te- nant en main la plante merveilleuse. ÉNÉE BLESSÉ 45 Cueill
rtu que pour les personnages héroïques. Il fait merveille entre les mains d'une déesse de l'Olympe, entre. celles de l'ange
s manches sont quadrillés pour les rendre moins glissants entre les mains de l'opérateur ; ils sont longs, relativement a
rticulées, au moyen desquelles l'opérateur tient l'instrument de la main gauche tandis qu'il tourne la vis dilatatrice de
ment de la main gauche tandis qu'il tourne la vis dilatatrice de la main droite. Ces petites tiges ressemblent aux manches
la paraplégie ; le ma- lade remue les deux bras et peut tendre la main droite. Cependant t on note que tous ces mouvem
on de l'avant-bras sur le bras et peut tenir son verre de la même main ; à gauche, au con- traire, ses mouvements sont
régions extrêmes du corps ; les membres et surtout les extrémités, mains et pieds. Le bras, la jambe se laissent en- cor
situation exacte qu'occupe le projectile suivant l'épaisseur de la main , et l'étude des symptômes permet presque toujou
oujours de le faire. J'ai pu ainsi trouver très facilement dans une main une aiguille que d'autres y avaient antérieu- r
par M. le profes- seur Guyon, dans la séance du 2 mars 1896. DEUX MAINS CONTENANT DES PROJECTILES Photographiées par la
t l'intérêt pratique est réellement considérable (Pl. XI). C'est la main d'un malade qui a reçu une balle de revolver, i
ormal. Le bras gauche au contraire est tout à fait significatif. La main fermée, les doigts crispés sur la paume, et com
terprétation plus malaisée. A gauche, un moine tient entre ses deux mains la main droite d'une femme assise à côté de lui
ion plus malaisée. A gauche, un moine tient entre ses deux mains la main droite d'une femme assise à côté de lui. Peut
ourte robe qui moule son corps ; le bras gauche est levé en l'air, la main tombante, le bras droit demi-fléchi. L'attitu
il est intéressant à relever, c'est la contracture très nette de la main droite dont les doigts sont crispés sur la paume,
te dont les doigts sont crispés sur la paume, tandis qu'à gauche la main tombe flasque et comme paralysée sur l'avant-bras
ablotins qui s'échappent de leur bouche. Le premier a également les mains prises dans des menottes barbares. Il est debou
haut du corps renversés en arrière, les yeux convulsés en haut, les mains crispées. La légende explique que ces trois dém
nue, dans une pause contorsionnée, tirant sur ses cheveux des deux mains . Il s'agit, à notre avis, d'une représentation
ndants sont tiraillés en deux directions oppo- sées, en haut par la main ^gauche, en bas par la main droite, et l'on sait
ux directions oppo- sées, en haut par la main^gauche, en bas par la main droite, et l'on sait qu'il est fréquent de voir
u'il est fréquent de voir les hystériques en attaque saisir à pleines mains leur chevelure, souvent même s'arracher des poi
s Offices (Flo- rence), n° m.i2, représente un saint qui impose les mains à une jeune femme possédée. Celle-ci est fortem
renversé en arrière. La face est très grimaçante ; les pieds et les mains contractures. Le geste est plus dramatique que
cre et très détérioré. St Sulpice, en costume épiscopal, impose les mains à un.homme demi-nu qui se renverse en arrière sou
représente St Mathurin exor- cisant un enfant. Le saint fait de la main droite un geste hiératique, et tient dans sa ma
saint fait de la main droite un geste hiératique, et tient dans sa main gauche celle d'une petite fille à longs cheveux.
lysie de l'orbiculaire des lèvres qui doivent être écartées avec la main pour introduire les aliments dans la. bouche. L
deux membres inférieurs, de sorte qu'il ne sentait rien ni avec les mains ni avec les pieds. Forte céphalée 8 ou 10 jours
. Sensibilité des doigts et des niains, mais ne peut mouvoir ni les mains ni les bras. 12 novembre. Peut détacher les bra
tion graduelle; peut s'asseoir sur son lit, mouvoir les doigts, les mains , les bras et les jambes dans toutes les direction
mbes. Vers le 15 août, fourmillements dans le bout des doigts de la main droite, crampe dans cette main qui l'empêche de
ements dans le bout des doigts de la main droite, crampe dans cette main qui l'empêche de tenir son couteau ou sa fourchet
de la ré- gion antéro-externe des jambes et de la face dorsale des mains où la sensibi- lité générale est diminuée. La m
niveau de l'épaule, descendent le long du bras et de Pavant-bras, la main s'en- gourdit alors'et sa force diminue. Elles
ons, n'est encore qu'à son aurore. DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS CONSÉCUTIVES A L'OSTÉITE SYPHIL
iolan, décrivait les déformations per- manentes des doigts et de la main consécutives aux lésions tuberculeuses de leurs
e premier examen du malade, par l'existence d'une déformation de la main survenue au cours d'une série d'accidents qui*
syphilitique. L f3AlIAILLE 1 I Cie DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS 153 sieurs succombèrent ; lui-mêm
éreuse double pour lequel nous le soignons, et la déformation de la main gauche, qu'il nous reste à étudier. Celte défor
parfaitement conser- vés ainsi que tous les autres mouvements de la main . Les cicatrices lisses, gaufrées, circulaires,
ux tissus profonds : le malade assure en effet que les plaies de sa main n'ont jamais été profondes, et qu'il n'en est ja-
ent diminués de volume et de longueur, et semblent appartenir à une main plus petite que le reste du squelette photographi
artérielle du doigt correspondant. En somme la déformation de la main de mon malade est due à une diminution de longu
la précédente, pour permettre la description des déformations de la main consécutives aux ostéi- tes syphilitiques, sont
rcol, Med. Congress, 1889, p. 992. DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS 155 Beauregan1 (1), 13eyb (2), Il
culation phalango-phalangiennedu mé- DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN . ET DES DOIGTS 157 dius. On le voit, cette obse
uleuses des phalanges et des méta- carpiens, les déformations de la main consécutives aux ostéites syphili- tiques de ce
és, aux paupières épaissies, les bajoues flasques et pendantes, les mains et les doigts boursoullés de la naine qui accom
Madrid, est le portrait d'un grand vieillard tenant une coupe à la main par E. Mardi (n° 782 du Catal.). Le troisième est
Parmi les premiers, figurent au premier rang les pieds-bols et les mains botes, le genu valgum et les nouures des genoux
Sabaslien de Morra, peint par Velasquez, au musée de Madrid, a les mains complètement déformées. Les anomalies qui porte
u. 1 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Il tient dans la main gauche, levée au niveau de l'épaule,un poisson de
l'épaule,un poisson de la bouche duquel jaillit un jet d'eau. De la main droite il vide une fiole. Ses pieds reposent su
bras l'appa- rence de boudins ficelés, et clans la bouffissure des mains se creusent des fossettes en cupules, comme on
raisseux sur le corps et sur les mem- bres, criblé de fossettes aux mains et aux pieds, est, abstraction faite' de la têt
t G, 1S95. 178 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE et dans la main gauche une grosse poule. Il est vêtu d'un misérab
ez, à lèvres épaisses, leur dos voûté jusqu'à paraître bossu, leurs mains en battoirs et leurs pieds démesurés,sont comme
danse le pauvre roquet dont il tient les pattes de devant dans ses mains de gros bébé. Ce nain danseur est fortement bar
. - . Le plus jeune, à gauche, au pied d'un escalier,tient dans ses mains une grosse corde attachée au collier du molosse
e au collier du molosse ; le plus âgé, debout devant ce dernier, la main gauche sur la hanche, porte la main droite vers l
é, debout devant ce dernier, la main gauche sur la hanche, porte la main droite vers le col- 180 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
à cils rares. Enfin, le petit nez camus et les lèvres en moue, les mains boursouflées et les doigts boudinés, achèvent l
rs d'autres anomalies squeletti- ques, portant sur la tête, sur les mains et sur les pieds. La face n'est pas acromégaliq
res- que horizontal ; l'avant-bras dirigé verticalement en haut. La main été brisée ; mais on devine le geste de supplic
vine le geste de supplication qu'elle devait faire vers le ciel. La main gauche est appuyée sur la fesse du même côté, aid
ros nez, les lè- vres épaisses, le menton fortemenLproéminent ; les mains et les pieds sont énormes; les saillies occipit
e », pom- mettes et sourcils saillants, il lui manque cependant les mains en battoirs et les pieds en bateaux pour être u
, et de la masse sacro-lombaire. La figure 5 (Pl. XXXII) montre une main de femme, la face palmai>, étant tournée en
étant tournée en haut. L'hyperextension excessive des doigts et de la main nous obligent penser qu'il existe une distensio
qu'il existe une distension accentuée des D'l' , fléchisseurs de la main et des doigts, des masses thènar et hypothénal' e
nal' et de tous les ligaments des articulations du poignet et de la main . La figure 6 (PL XXXII) nous montre les pieds d
verticale, et parfois au delà. Si alors l'opérateur saisit dans ses mains la jambe du malade, il peut continuer le mouvemen
-Condé, général, membre de l'Académie française. Une dédicace de la main de l'auteur : g A. S. A. S. le Comte de Clennon
gien qui n'eut pas davantage le don de se faire obéir et revint les mains vides. Le digne prélat songea alors à envoyer la
vait reparu, et en se jetant principalement sur les bras et sur les mains de la malade, elle lui avait ôté l'usage de ces p
ne âcre, échauffée et très fétide ; elle me serra plusieurs fois la main dans les siennes, qui me parurent suantes, et me
i réitérées et aussi laborieuses que celles qu'elle a subies. Ses mains et ses bras me parurent assez maigres, et marqués
rut seulement plus fréquent, . mais point élevé. Elle me porta la main sur la poitrine; je sentis de très grands batteme
cette journée par l'odeur urineuse de la moiteur qui* couvrait ses mains ,-et qui depuis deux ou trois jours me paraissait
mois après, sans cause, et resta localisée sur les bras et sur les mains . Enfin, pour terminer, il nous reste à parler d
ord les mêmes caractères, mais à mesure que l'on se rapproche de la main , la 260 nouvelle iconographie DE la salpêtrière
ute de mieux. A ce niveau et au niveau des doigts, très effilés, la main donne l'impression d'une dissection achevée; la
la pincer même au niveau de la face palmaire. Dans son ensemble, la main maintenue en demi-flexion, paraît immo- bilisée
e impossible. La dermatosclérose est ici plus marquée encore qu'aux mains : elle suffirait à expliquer l'enraidissement c
ieur.) G. MASSON, Editeur UN « HOMME MOMIE » Photographie de la main par la méthode de Roentgen. UN « HOMME MOMIE »
pporté. Un an plus lard, crises douloureuses siégeant au niveau des mains , le long du dos, constrictives, en ceinture, pl
ément cons- tatable pour la jambe droite : quelquefois, dit-il, ses mains sont malhabiles. Une arlhropatltie de la hanche
au-dessus du plan du lit; b) (La cuisse soulevée et reposant sur la main du médecin, la jambe fléchie sur la cuisse par
existait, chez un tabé- tique au début, une paralysie motrice de la main droite. L'étude de ces paralysies a soulevé dif
uteur, la paralysie était en quelque sorte segmentaire, occupant la main et non un groupe de muscles relevan de l'innerv
ue ossifiante du tibia. Ostéomyélite et périostite des doigts de la main gauche. Diphtérie, bronchopneumonie, pleurésie. »
un escabeau, la chemise défaite laissant l'épaule gauche à nu, les mains croisées sous son menton, corps de profil et tête
a large taille, coiffé d'un bonnet bordé de fourrure, enfonce d'une main un bistouri dans l'épaule, tandis que de l'autre
vieille femme,coiffée d'un feutre in- forme, un panier au bras, les mains cachées sous son tablier, et qui regarde l'opér
ds sur un tabouret, l'é- paule et la poitrine nues, tient entre ses mains croisées sa jambe droite repliée contre son cor
us mouvementée, est beaucoup plus expressive. Le barbier n'a pas la main légère ; on s'en rend compte aisément. Ce derni
tache et une barbiche grises, se tient debout derrière la table, la main gauche appliquée sur l'épaule du client pour' t
r l'épaule. Un simple tour de prestidigitation faisait sortir de sa main l'arête incriminée. Le patient se retirait émer
de la polynévrite alcoolique, je désirais si vivement avoir sous la main un cas de paralysie arsenicale. Si l'occasion s
orce normale ; de plus, ils sont bien coor- donnés ; en serrant les mains , l'enfant déploie une vigueur en rapport avec s
élangés d'arsenic, soit que cette adjonction ait été l'oeuvre d'une main criminelle. 3° Enfin la paralysie peut se dével
bien décrit les déformations qui se produisent en pareils cas, aux mains et aux pieds. Ce sont des rétrac- tions qui por
kin s'en est tiré avec des rétractions tendineuses persistantes des mains et des pieds, après vingt-deux mois de séjour à l
A SALPÊTRIÈRE tre, les' douleurs, les contractures paralytiques des mains et des pieds ont persisté jusqu'à la mort, surv
à la suite d'un empoisonnement d'origine alimentaire, oeuvre d'une main criminelle, ou simple accident. A propos de cet
et par une diarrhée persistante, et qui avait présenté ensuite, aux mains et aux pieds, une éruption de lâches rouges, érup
ddition de doses moyennes d'arsenic aux aliments est l'oeuvre d'une main criminelle. Ne perdez pas de vue que ce toxique
résie envahit les membres ; le malade perdit l'usage complet de ses mains et de ses pieds ; cet état persistait encore en p
ait été, selon toute vrai- semblance, mélangé aux aliments, par une main criminelle. Je passe aux paralysies arsenicales
ressenti des douleurs dans les membres ; plus tard ses pieds et ses mains se sont para- lysés ; les jambes sont devenues
les signes avant-coureurs de la paralysie. Puis les pieds et les mains sont frappés d'une impuissance fonctionnelle pl
is qui atteint un degré extrêmement prononcé aux petits muscles des mains et des pieds, aux autres segments des membres, au
cas, elle peut prédominer aux extrémi- tés, ou même se limiter aux mains et aux pieds (type chiropodal) . Dans les deux
endineuses entrent en scène, les déformations qui en résultent, aux mains et aux pieds, sont différentes dans les deux ca
ux cas. Dans ceux de paralysie arsenicale, les petits muscles de la main et des pieds, muscles interosseux, muscles de l
ralysie frappe d'abord les muscles extenseurs et flé- chisseurs des mains et des pieds. Les mains et les pieds sont ballant
es muscles extenseurs et flé- chisseurs des mains et des pieds. Les mains et les pieds sont ballants (fig. 37 et 38) (1),
elles entraînent des déformations caractérisées par la fixation des mains , des pieds, en flexion ou en extension. 1 Je
ésions unguéales localisées au pouce, au médius, il l'annulaire de la main gauche (PI. XLVIII). , Les ongles de la main
il l'annulaire de la main gauche (PI. XLVIII). , Les ongles de la main droite, ceux des pieds sont normaux. La lésion
les sont plus larges, plus durs que les ongles correspondants de la main droite ; ils paraissent plus épais. Leur surfac
ns les régions suivantes : 1° Faces antérieure et postérieure de la main , des deux tiers inférieurs de l'avant-bras droi
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 2° Faces palmaire et dorsale de la main gauche ; 3° Deux tiers inférieurs de la face an
e qui, précisément pré- sente ses zones anesthésiques au niveau des mains . Observation II (Hystérique). M..., 61 ans, f
II (Hystérique). M..., 61 ans, fleuriste. L'ongle du pouce de la main gauche présente les quelques altérations suivan-
et d'analgésie localisée à la région thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° une zone d'anesthésie tactile et d'
d'anesthésie tactile et d'analgésie occupant la face dorsale de la main et de la moitié infé- rieure de l'avant-bras ga
2° Thermo-hypoesthésic de la face dorsale des 4 derniers doigts de la main gauche. , Il est inutile de revenir sur l'ana
tit jamais à parler une' autre langue que sa langue natale. Les Ro- mains , qui imposèrent leur idiome à tant de peuples vai
ÊTRIÈRE Une vieille femme, coiffée de blanc, tenant un broc dans la main gauche, regarde l'opération, tout en jacassant.
ête et des extré- mités, par G. Rossolimo, 33. Déformations de la main et des doigts consécutives à V ostéite syphilit
Hé- marthrose tabétique. 265. ' Chipault (A.). Déformations de la main et des doigts consécutives à l'ostéite sy- ph
es dans letabes,XXVIII XXIX, XXX, XXXI, XXXII. Déformations de la main et des doigts con- sécutives à l'ostéite syphil
du coude, fracture de jambe (photographies Roentgen), XIII, XIV. Mains contenant des projectiles (photo- graphies Roen
34 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
ueuse. Il est tout à fait propre, s'habille seul, lave lui-même ses mains et son visage. Son caractère est gai. IL ? est
sait manger avec la cuiller, mais le plus souvent il se sert de ses mains . Il est incapable de faire sa toilette et il pa
s. Il ne gâte plus, mange proprement, et arrive à se laver seul les mains . - Il est gai, joueur, taquin même. A la classe
qui consistent à apprendre aux enfants à se laver la figure et les mains , à s'habiller, etc ; - 3° les leçons de table o
r, delà fourchette, etc ; - 4° les exercices pour l'éducation de la main , des sens et de la parole ; 5° les leçons de pe
rrêter et tout d'abord les exercices des- tinés à l'éducation de la main et du sens du toucher. La main des.idiots et au
ces des- tinés à l'éducation de la main et du sens du toucher. La main des.idiots et aussi d'un grand nombre d'im- béc
ou- vent inhabile. Les Fig. 23,24 et 25 en donnent une Fig. 23. - Main idiote. Main idiote. xxi. idée (1). Les exerc
bile. Les Fig. 23,24 et 25 en donnent une Fig. 23. - Main idiote. Main idiote. xxi. idée (1). Les exercices de gymnast
us servent, en particulier, en faisant saisir les éche- Ions par la main des idiots, à leur apprendre à opposer le pouce
ne savent (1) Nous avons préparé avec M. J. Boyer un mémoire sur la main idiote que nous publierons dès que nous l'auron
s publierons dès que nous l'aurons revu et mis au point. Fig. 24. - Main idiote. xxii TRAITEMENT ? MÉDICO-PÉDAGOGIQUE.
7) nous ser- vent à exercer successivement tous les muscles de la main . On place les mains des enfants dans de l'eau c
à exercer successivement tous les muscles de la main. On place les mains des enfants dans de l'eau chaude ou froide ; on
es rugueuses ou lisses à divers degrés, etc. (Fig. 27). Fig. 25. - Main idiote. b M H H 1 : > : 1 M- n
nts exercices nous recourons aux suivants qui perfection- nent la main , le sens du toucher et contribuent à l'éducatio
s, des boules du diamètre correspondant. Fig. 27. Éducation de la main , DE la vue, etc. XLV Ainsi se trouvent éduqués,
V Ainsi se trouvent éduqués, en même temps, le sens de la vue, la main et l'attention (1). - ~ (1) Voir le Compte rend
t-à-dire gâ- teux, ne marchant pas, incapable de se servir de ses mains , et qu'on est parvenu, par l'emploi méthodique
archer, à se déshabiller et s'habiller, à se laver la ligure et les mains , nous lui avons rendu de réels services et auss
près modèle, soit de mémoire. Ces jeux divers exercent à la fois la main et les yeux du malade, qui arrive de lui-même à
les exercices aux haltères et aux massues, et enfin les exercices à mains libres, les plus difficiles à exécuter pour l'i
rations de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoiqu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'enfant ne pouvait ni s'
on corps et de ses vêtements, désigne par leur nom les doigts de la main , elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de v
e )) c'est-à-dire, aux exercices phy- siques et à l'éducation de la main ; - 30 que ces classes « habilement organisées,
enfants il la visite des médecins qui les ont soignés, qui ont en main Imite- leur histoire et peuvent, en quelques in
et à la région parotidienne. Pas de gonflement ni de rougeur des mains ni des pieds. - Le lendemain le gonflement est
. 18 juin. - Pas de coloration ni de gonflement de la face ni des mains , mais aux deux pouces on note un décollement pa
epousser d'une manière irrégulière. 8 Epilepsie. Sur le dos de la main et le long du bord interne du pouce droit, on n
teinte érythémateuse, légèrement violacée de la face dorsale des mains , moins marquée à là face palmaire. Rien aux pieds
gaucho de la lèvre supérieure ; légère rougeur des joues, rien aux mains ni aux ongles. On continue lo traitement il la
face et la lèvre inférieure ; pas de rougeur du pharynx ; rien aux mains ni aux pieds. Tableau des accès et des vertiges
au des accès et des vertiges. EOSINATE DE SODIUM. /Il le clos des mains , surtout à gauche, mêmes ulcérations croet- teu
- De nouvelles ulcérations sont apparues sur la face, le cou et les mains à côté des anciennes, cicatrisées. Elles présen
ité ni de bourdonnements d'oreilles. Sur la face dorsale des deux mains et des doigts, rougeur et gonflement sans oedème.
ujours très marqué, il prédomine maintenant à droite; plus rien aux mains . Sensations subjectives entière- ment disparues
plus pronon- cés à droite, Rien sur la muqueuse buccale ni sur les mains . La rougeur disparait au bout de quelques jours
endant môme à la partie antérieure du thorax. Rien aux pieds ni aux mains ; rougeur de la muqueuse buccale, mais sans gonf
t a un peu diminué à la face, la rougeur persiste; léger oedème des mains ; constipation. 3 mai. - Toute trace de gonfleme
ices brunes, déprimées, irrégu- liéres, - Sur le bord cubital de la main gauche, ulcérations lentes â guérir; les ongles
et indurée, comme si un furoncle allait se former en ce point. A la main gauche, l'ongle du pouce, soulevé dans ses quat
veau de l'articulation môtacarpo-phalangienne du médius. Rien iL la main droite ni aux orteils. 18 juin. - L'ongle du po
ur sans gonflement de la muqueuse buccale, de même sur le dos des mains . Le rlécollemenl des ongles des index s'est arr
pousser. 23 juillet. -Lésions cronteuses disséminées sur les deux mains ; à la main droite l'ongle du pouce semble se rec
juillet. -Lésions cronteuses disséminées sur les deux mains ; à la main droite l'ongle du pouce semble se recoller. EOS
le se recoller. EOSINATE DE SODIUM. f7 -1 5 août. Ulcérations des mains guéries. 31 août. - : '\ombreuses ulcérations c
le nez et le lobule de l'oreille droite. - Rien au pharynx, ni aux mains , ni aux pieds. 23 juillet. - llcme état; quelqu
23 juillet. - llcme état; quelques ulcérations croûteuses sur la main droite. . G août. - Tout accident a complètemen
volume d'une lentille, disséminées sur la face. Sur le dos de la main droite, ulcération de la grandeur d'une pièce de
Ailleurs on n'observe ni gonflement, ni rougeur de la face ni des mains . L'ongle du pouce droit se décolle de plus en plu
ur le menton. Ganglions sous-mentaux engorgés et douloureux. Sur la main droite, ulcération en partie cicatrisée au nive
- ques croûtes sont disséminées sur l'index droit et le dos de la main gauche. L'ongle du pouce droit présente une colo-
oues, les paupières supérieures et inférieures, la face dorsale des mains et des doigts. On cons- tate de plus une colora
pas d'engorgement ganglionnaire. Rougeur et gonflement du dos de la main gauche, Membres inférieurs 55 . Epilepsie. in
ée d'intensité ; gonflement symétrique de la face; il a disparu aux mains . Pouls à 88. Urines (quantité 1 litre et quart)
pas de peau saine. Pas de rou- geur de la face, du pharynx, ni des mains . Au pouce gauche, l'ongle est presque complètem
18 juillet. - Pas de gonflement ni de rougeur de la face, ni des mains , ni de la muqueuse buccale. Cicatrices brunes,
énéralisée de la face, s'accompa- gnant de chaleur perceptible à la main et d'un gonflement occupant les joues, les paup
l'oeil parait moins grand. Sur la face dorsale des doigts et des mains , rougeur intense et gonflement remontant à qua-
remontant à qua- tre ou cinq centimètres au-dessus des poignets; la main gauche est plus enflée. Rien sur le reste du co
on, pas de surdité, la conjonctive n'est pas injectée. OEdème des mains persistant, plus accusé à gauche (côté non paraly
nflement réapparus sur la face, des deux côtés, et sur le dos de la main droite. 14 mai. - Rougeur et gonflement disparu
nvahi le pharynx qui est très fortement coloré. La face dorsale des mains et des doigts est notable- ment tuméfiée et pré
se, les yeux sont presque complètement formés. Les phlyctènes de la main droite en se réunissant les unes aux autres ont
sur les piliers antérieurs et le voile du palais et sur le dos des mains . Gonflement en voie de résolution. 1 gr. d'éosi
s de rougeur des téguments, pas d'engorgement ganglion- naire. La main gauche présente sur sa face dorsale une large e
douleurs et sans manifestations inflammatoires. Sur le dos de la main droite, large plaque violacée consé- cutive à u
re des taches rosées à la nuque, derrière l'oreille gauche. Sur les mains , qui sont d'habitude cyanosées, il reste encore
labiale gauche, sur la face antérieure du pavillon des oreilles. Mains violacées mais sans gonflement ; pas de décolleme
s croûtes recouvrant les ulcérations sont tombées. Rougeur vive des mains . Au pied droit, légères ulcérations des deuxièm
29 juillet. - Léger gonflement et rougeur de la face et du dos des mains . 10 août. - Toute trace d'accidents a disparu e
inférieures; rougeur diffuse de la face. Rien à la gorge, ni aux mains , ni aux pieds. 9 juillet. - Rougeur intense, su
t prédominant aux régions parotidiehnes des deux côtés. Rougeur des mains , mais sans gonflement; rien aux pieds. 23 jui
rsistante de la face, s'accompa- gnant de chaleur perceptible iL la main . Le malade semble inquiet, agité, se plaint que
ate DE sodium. 37 Pas de gonflement, mais légère rougeur du dos des mains ; rien aux pieds. - - 3"1 août. Sur le dos du
ez étendues, non recouvertes de croûtes. Sur la nuque, le dos de la main gauche et les pouoes, ulcérations en voie de ci
eures. Ulcération croûteuse à la queue du sourcil gauche ; rien aux mains . 31 août. - Petites croûtes noirâtres, de la la
es inférieures et des régions parotidiennes. Rien au pharynx ni aux mains . 22 aoftt. - Hougeur et gonflement delà joue du
sentiellement en une rougeur suivie de gonflement de la facc et des mains . Plus tard, à l'occasion de traumatismes minime
a face, le cou, la partie supérieure du thorax, la face dorsale des mains et des doigts, parfois envahir le pharynx ; c'e
plus accusé aux régions précitées. Il occupe de même le dos de la main et des premières phalanges. C'est un gonflement
si sa localisation en certains points de la face et sur le dos clés mains ne tient pas à l'abondance du tissu cellulaire
us que du gonflement localisé à certaines régions de la face et aux mains . Les érythèmes ont été signalés par Vcïel (1 ïe
ns un seul cas (Ons. X.) nous avons vu l'él' ! Jlhème éosinique des mains suivi de phlyetèmes volumi- neuses. La pigmen
noté le minimum d'accidents, et si les lavages de la figure et des mains , l'attention du malade a éviter les écorchures
e lorsque, regardant le malade par ^derrière, on lui fait mettre la main dans le dos (fig. 3). Les groupes de vésicules
es. Au contraire le malade porte sans difficulté et sans douleur la main sur la tête. La pression ne donne aucun point d
ruption, il a une sensation de froid continuelle dans le bras et la main . - L'état général est excellent. 9 janvier. - I
rveuse, parle avec volubilité, s'agite, a des tremblements dans les mains lorsqu'elle parle, ne peut rester en place, pou
upérieurs, se produisant toutes les douzes ou duinzes secondes. Les mains sont fermées, le pouce eu dedans. Une bave mous
s deux pieds. Tendance à l'incurvation des reins, on peut passer la main entre le sol 88 Hystérie .mâle de l'enfance.
mie do l'attaque. Les bras restent quelques secondes raides mais la main est ouverte, les doigts écartés ; si on les fai
véritables mouvements coordonnés. Gabriel prend son mouchoir des mains de l'infirmier, le plie en triangle, place sur la
Le malade essaie de mordre tout ce qui est à sa portée, ses propres mains , ses bras, la jambe de l'infirmier, une serviette
el tout en poussant des cris de joie essaie; de rapprocher ses deux mains dont il tient les doigts écartés comme [s'il vo
nait pas à le réveiller un médecin fut appelé. On a dit le lende- main au père que R... avait eu une forte crise nerveus
es membres supérieurs sont longs et grêles, mais symé- triques. Les mains sont d'apparence normale, les doigts sont longs
ence normale, les doigts sont longs, cyanoses, l'annulaire des deux mains est court; les on- gles sont normaux : ;onychop
La circulation est défectueuse en ce sens que, après la douche, les mains restent une demi-heure blanches et anesthésiées
ement un ou deux tours sur lui-même en poussant des cris aigus. Les mains saisissent dans une crispation violente tout ce
respiration devient haletante, pour se régulariser peu il peu. Les mains sont plutôt fraîches, le front n'est pas chaud.
arétique des quatre membres, prédominant à droite ; tremblement des mains , marche impossible, déviation de l'oeil droit.
mère remarqua qu'il ne pouvait plus marcher, ni se sel vil' de ses mains . « Il avait un tremblement, des mains qui l'emp
archer, ni se sel vil' de ses mains. « Il avait un tremblement, des mains qui l'empêchait de s'en servir. » Il était plus
e la cuillère, mais pas de la fourchette. Il boit d'ordinaire de la main gauche. La marche a tou- jours été défectucuse
e diminution consi- dérable du nombrc des accès. Le tremblement des mains est toujours constaté, surtout à droite. Il est
qu'il est incapable de travailler à cause de son tremblement des mains . Au mois d'août, les parents demandent sa sorti
ons en 15 secondes. Dans les grands mouvements ce tremblement des mains est à peine appréciable. Il le devient par l'inte
tète est encore plus léger; les bras appliqués sur le corps et les mains sur les cuisses on ne note. pas de tremblement.
e de boire montre toujours le tremblement caractéris- tique avec la main droite. Avec la main gauche, le malade porte pr
jours le tremblement caractéris- tique avec la main droite. Avec la main gauche, le malade porte presque sans trembler l
Avec la cuiller même différence. Habituellement, B... mange de la main gauche. « Les yeux vont bien, dit-il, mon ceil
roite, qui s'améliora peu à peu en deux mois ; - 3° tremblement des mains et de la tête ; - lao déviation de l'oeil droit
u bout de dix minutes, le tremblement a cessé mais les pieds et les mains restaient « crispés ». Puis il a eu, durant tro
nalogues. Alors, il a eu un peu de « renâclement dans la gorge, les mains se sont décrispées », il a pleuré et a demandé
té. Poings fermés, pouces en dehors. Lucien essaie de se mordre les mains . Pas d'écume. Durée, cinq minutes. 24 murs. - U
e flexion, écume blanche, repos. Après dix minutes, B... porte sa main à la bouche. Mouve- ments de mastication. Flexi
titude vicieuse. L'avant-bras est on dcmi-Ilcxion SI11' te bras, la main il. demi-fléchie en pronat on ; par moments l'a
nat on ; par moments l'attitude de l'avant-bras restant la même, la main se ploie en supination et se fléchit sur la face
archer sans y réussir ». Il n'a jamais pu tenir les objets dans ses mains , il essayait de les porter à sa bouche sans pou
bait. - Onanisme constaté peu après son retour de nourrice avec ses mains ; il a continué jusqu'à l'admission. Sa mère lu
de droite et de gauche. Onanisme très fréquent : l'enfant porto la main gauche à la verge qu'il saisit entre le pouce e
cture des quatre membres, partant marche impossible, mouvements des mains très limités ; - gâtisme. Jusqu'ici nous n'avon
0", lie et 12e côtes, une cicatrice de brûlure, de la largeur de la main , produite accidentellement par de l'eau bouillant
s cantiques, baise dévotement une image sacrée qu'elle garde en ses mains . Vient-on à lui demander son nom, elle répond :
u chocolat, elle s'en est barbouillé le visage, l'a broyé entre ses mains et l'a semé de droite 201 Excitation maniaque.
bres supérieurs à musculature faible mais à fonctions normales. Les mains sont maigres, les muscles interosseux étant peu
gres, les muscles interosseux étant peu développés ; la paume de la main est creuse. Membres inférieurs : position const
s. Hymen circulaire. - Vulvite légère. Ona- nisme constaté avec les mains et avec les talons. La sensibilité cutanée para
bile, yeux convulsés en haut, le bras droit est en demi-flexion, la main droite est restée dans la poche du paletot. Le
urces. Il récrimine contre la maladie « qui l'oblige il tendre la main ». Il n'a, dit-il, cette' année, travaillé que pe
il s'est fait une plaie au visage, à la lèvre inférieure et à la main . Il s'était déjà fortement blessé le menton en ja
s dans une chute. Enfin signalons quelques petites cicatrices aux mains , traces des érallures qu'il se fait en tombant.
; morsures profondes de la langue ; contusions du poignet, de la main et de la tête ; - surdité et névral- gies tempo
35 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
on le tirait en avant, et que, malgré sa tendance à tomber sur les mains , il n'en faisait rien lorsqu'on l'attirait en ava
s'achever. Le dyna- momètre trahit un déficit considérable dans les mains , de plus de moitié en comparaison, avec un indi
s'installa lentement et ne devint complète qu'après le 3e jour. La main aurait été d'abord frappée, puis la paralysie a
elle n'éiait pas gauchère ; elle écrivait, man- geait, etc.. de la main droite. Déplus la lésion du centre de la cécité
les gouttières verté- brales, de continuels efforts, sensibles à la main chez un homme recouvert de ses vêtements, sensi
onc. Assis, le malade se tient assez fortement penché en avant, les mains habituellement appuyées sur les genoux qui sont t
e volume et sont sou- levés en avant et en dehors comme si avec les mains on avait voulu arracher la paroi antérieure du
du thorax ; ses dimensions sont en moyenne celles de la paume de la main ; elle s'étend de la 4e à la 8e côte environ, l
es barbiers pour mettre, excusez la vulgarité de l'ex- pression, la main à la pâte. Un médecin consentait à disserter en l
ses ouvrages, passé sous silence la guérison des écrouelles par la main royale. Il se défend en ces termes de cette acc
ent les morts, chiromanciens, ceux qui interrogent les lignes de la main , hydromanciens, ceux qui devinent par l'eau, py
ges (PI.XVII). Sur ce tableau un des rois, agenouillé prend dans sa main droite le pied gauche de l'enfant, dont le gros
st immobile. Le pied gauche, fléchi sur la jambe, est touché par la main de l'adorateur au niveau du talon et sur le bor
droite de l'adorateur et le pied droit est effleuré au talon par la main droite éten- due du roi mage prosterné. Dans
adora- teur ne touche plus du tout le pied gauche de l'enfant et sa main droite, au bien d'être étendue et d'effleurer l
L'ART H9 teils du pied gauche touché par la barbe, les lèvres et la main de l'adorateur. Dans le dessin, un peu effacé p
de Florence, où l'on voit le pied droit de l'enfant, touché par la main et les lèvres de l'adorateur, étendre légèrement
ant, sans mouvement des orteils, reposant sur une serviette dans la main de l'adorateur. (2) Galerie de Florence, 35 cen
avec une extrême difficulté; il ne peut les tenir au moyen des deux mains . Les réflexes sont de plus en plus faibles. La
t de un à trois ans, l'incertitude des mouvements atteint aussi les mains (ce dé- but par l'incertitude des membres supér
oubles de la sensibilité. L'épreuve du dynamomètre donne 15 pour la main droite et 30 pour la main gauche. Les réflexe
L'épreuve du dynamomètre donne 15 pour la main droite et 30 pour la main gauche. Les réflexes tendineux et osseux, nor
ent à gauche. On voit tout de suite, eu regardant le malade, que sa main droite est le siège des mouvements lents, repti
ie vaso-motrice cliniquement appréciable, ni oedème, ni cyanose, ni main succulente. Signalons encore la démarche ébrieu
et surdité progressives, déformation hypertrophique de la tête, des mains et des pieds ; / te<Ms ? 7Mtjoa- résie droit
ier elle se sent tomber. Elle lâche les paquets qu'elle tenait à la main pour pouvoir se maintenir en saisissant la rampe
des angles costaux à la base gauche du thorax. Membre supérieur. Main hypertrophiée, large. Sur /6[T/ace palmaire, on
nar... Il en résulte une exagéra- tion de la concavité palmaire. La main semble creusée à sa partie médiane. Les plis pa
e, son avant-bras gauche reste fléchi à angle droit sur le bras, sa main est en flexion sur l'avant-bras, les pre- mière
intervalle. il y a 2 à 3 ans, pituites matinales et tremblement des mains à la suite des excès de boisson. Vers la même
alvules sigmoïdes. Ce souffle s'entend en auscultant sur le dos. La main appliquée au niveau du maximum du souffle perçoit
rouble de sensibilité, les réflexes tendineux sont normaux, mais la main gauche serre moins fort que la main droite. La
tendineux sont normaux, mais la main gauche serre moins fort que la main droite. La face est légèrement asymétrique, la
lorsqu'il se lève, une partie de son corps est tuméfiée : c'est la main droite, par exemple, qui se présente comme un p
e sucre ; température 38°2. Tuméfaction de la surface dorsale de la main gauche, bien circonscrite la circonférence de l
dorsale de la main gauche, bien circonscrite la circonférence de la main gauche dépasse de 3 cm. celle de la main droite
crite la circonférence de la main gauche dépasse de 3 cm. celle de la main droite. Les paupières sont très tuméfiées. Nous
I) de sérum ; deux jours après elle présente un oedème du dos de la main gauche, oedème blanc, bien circonscrit au poi-
s le godet du doigt. Après '2fi heures l'oedème avait disparu de la main , et il était'évident au pied gauche et aux deux
eau du tronc surgirent des oedèmes de la grandeur de la paume de la main , avec les mêmes caractères. Le soir tout avait di
ne couleur rosée, de la grandeur d'un écu ou bien de la paume de la main , qui ne démangeaient pas. Leur siège était vari
nt sans raison tantôt aux paupières, tantôt aux pieds, tantôt à une main , sans aucun désordre de la santé générale. Six mo
toujours un caractère segmentaire asymétrique ; ils frappaient une main , ou bien la jambe, l'avant-bras... La températu
variable et que ceux-ci ne se répétaient jamais au même niveau, la main droite était presque tous les jours frappée par l
ois jours. Ils avaient toujours une singulière prédilection pour la main droite. A ce moment, je perds de vue la malade
de régime lacté les oedèmes ont peu à peu disparu. Seulement dans la main droite ils se sont répétés jusqu'au mois d'août
digestion aussi se fit très bien. Elle se plaint toutefois, car la main droite malgré ses massages est restée un peu tu
ite malgré ses massages est restée un peu tuméfiée. Examinons les mains : la main gauche est éthétiquement parfaite; pas
ses massages est restée un peu tuméfiée. Examinons les mains : la main gauche est éthétiquement parfaite; pas trop mai
faite; pas trop maigre, étroite,aux doigts longs et bien modelés.La main droite avant sa mala- die était sa digne compag
n des monuments modernes les plus admirés de la ville. A présent la main qui a été le siège préféré de l'oedème passager p
s altérations persistantes qui la déforment. Elle n'est plus la belle main clas- sique ; c'est la main défigurée qui fait
la déforment. Elle n'est plus la belle main clas- sique ; c'est la main défigurée qui fait tout de suite se souvenir de l
; c'est la main défigurée qui fait tout de suite se souvenir de la « main succulente» (Voir la figure). Le dos est tuméfi
la sensibilité ne montre aucune altération. La circonférence de la main au niveau de la moitié du dos est de 3 centimèt
- maladie de Quinke. Les oedèmes se répètent avec prédilection à la main droite. La malade guérit des phénomènes intestina
e guérit des phénomènes intestinaux et et des oedèmes de Quinke. La main droite présente une sorte de trophoedème chroni
oupes d'altérations pathogéniques ? Est-ce que le trophoedème de la main de notre quatrième observation, et le trophoe-
la profession exige une adresse particulière des doigts, un tour de main spécial. L'origine et la pathogénie de cette bi
infirme de sa profession. Tant qu'il ne prend pas la plume dans sa main , il se sent bien portant. Mais il lui suffit d'
gne bientôt d'un trem- blement, d'une contracture : la crampe de la main devient prolongée. L'em- ployé est dans l'impos
qu'étant bien portantes elles sont incapables de se servir de leurs mains pour écrire. Elles ont bien re- cours à leur ma
servir de leurs mains pour écrire. Elles ont bien re- cours à leur main gauche, mais comme le moral est déjà atteint, com
vidu entier est dominé par la crainte de l'ataxie professionnelle, la main gauche ne tarde pas à se prendre à son tour et
ce moment le malade se sert facilement de son bras droit, seule la main a conservé encore une forme disgracieuse par suit
a déclaré lui- même que cet agent thérapeutique a échoué entre ses mains . Plus tard, on a cependant noté quelques cas de
été utiles ; on peut engager les malades à apprendre à écrire de la main gauche, mais on ne peut leur promettre le succè
térations des fibres musculaires des muscles de l'avant-bras et de la main intéressée ; à savoir : les interosseux et les
ise convenable et à conserver un maintien correct du corps et de la main ; 2° à faire un choix judicieux des ustensiles
ra- piques et nous finissons par la rééducation. En examinant les mains atteintes de crampes des écrivains, on constate e
endre son bras atteint de telle sorte que le bras, l'avant-bras et la main se trouvent en extension complète, on remarque
ces de la canne. C. Exercices des poids. D. Exercices d'écriture la main renversée. LA CRAMPE PROFESSIONNELLE 225 exte
- fonds, longitudinaux et circulaires, de tous les extenseurs de la main . Ensuite, nous faisons les pressions superficie
ace le bras du patient sur le bord du bureau, de telle sorte que sa main atteinte reste dans le vide. On attache le seau
calibre plutôt moyen. On place la balle sur la surface dorsale de la main ou plutôt sur la surface dorsale des doigts. On
ce dorsale des doigts. On projette la balle et on la saisit avec la main . On la projette de nouveau et on la laisse tomber
omber deux ou trois fois sur la surface dorsale de la 226 KOUINDY main , et définitivement on la saisit au vol par la sur
, et définitivement on la saisit au vol par la surface palmaire de la main . Les exercices de la canne (PI. XXX) se compose
comme les exercices précédents : on place la canne sur le dos de la main , on la projette en l'air et on la saisit au vol a
de la main, on la projette en l'air et on la saisit au vol avec la main . Dans le second genre d'exercice de la canne on
quatrième doigt, et par la flexion de l'index et du petit doigt, la main , l'avant- bras et le bras étant en extension co
. Après quoi, il fait tourner la canne autour du bord cubital de la main et la place de telle sorte, qu'elle se trouve p
ontractures nous faisons apprendre à nos malades l'écriture avec la main renversée. Le patient place le porte-plume entr
orte-plume entre le pouce et la face palmaire des doigts et pose la main sur la face dorsale. Pendant le premier temps le
nt le premier temps le patient doit renon- cer à l'écriture avec la main , en position habituelle. La Planche XXX, C mont
en position habituelle. La Planche XXX, C montre la position de la main pendant l'écriture avec la main ren- versée. No
che XXX, C montre la position de la main pendant l'écriture avec la main ren- versée. Nous supposons que pendant l'écrit
la main ren- versée. Nous supposons que pendant l'écriture avec la main renversée les muscles, qui subissent l'action s
es, qui subissent l'action spasmodique, se trouvent au repos et 'la main exécute plus facilement les signes conventionnels
uent beaucoup pour l'exécution des lettres, dans l'écriture avec la main renversée les extenseurs interviennent pour la ma
s porte-plumes. Cepen- dant, nous préférons pour l'écriture avec la main renversée,soit un porte-plume ordinaire, soit l
me anglaise. Quand le patient possède facilement l'écriture avec la main renversée nous répétons une série d'exercices a
avec la main renversée nous répétons une série d'exercices avec la main en position ordinaire; de cette façon il arrive
in en position ordinaire; de cette façon il arrive à écrire avec la main renversée et avec la main ordinaire suivant nos
de cette façon il arrive à écrire avec la main renversée et avec la main ordinaire suivant nos préceptes; son écriture a
eu de temps d'obtenir que le patient s'habitue à l'écriture avec la main renversée. Alors, nous lui recommandons de s'ex
moins long indiqué par le commandement. Par ce moyen on habitue la main à suivre une discipline de volonté, indispensable
surtout au début ; d'ailleurs, la rééducation de l'écriture avec la main renversée entraine par elle-même une exécution
nt le traitement. IL' Fig. 10. Après le traitement (écriture avec main renversée). Fig. il. - Après le traitement (écr
t (écriture ordinaire). Fig. 14, Après le traitement (écriture avec main renversée). 230 KOUINDJY Cette action de la r
quentes, lorsque le patient a à sa disposition l'écri- ture avec la main renversée. Les exercices, que nous engageons à
face dorsale de chaque doigt. L'exercice doit être exécuté avec la main , placée à différentes hauteurs. Le patient arri
z les violonistes la crampe se localise à peu près toujours dans la main gauche, nous leur faisons exécuter une série de
exécuter une série de mouvements analogues aux déplace- ments de la main sur les cordes, aux trépidations de chaque doigt.
il semble bien que par précaution on ait pris soin de lui lier les mains . D'ailleurs, un homme, qui est peut-être le bar
eur du vitrail nous le représenle armé d'une scie qu'il lient de la main gauche, ce qui peut s'expliquer par la technique
n s'appuyant de-toutes ses 236 HENRY MEIGE · forces avec les deux mains sur une table ouïe dossier d'une chaise. Il suppo
de changeait à volonté l'inclinaison du torse, en appuyant les deux mains sur ses genoux. Capuccio (i), dans une étude do
, ayant même origine el même destina- tion que les mouvements de la main destinés à ramener la tête vers la rectitude.La
e, tremblement de la langue, embarras de la parole, tremblement des mains plus marqué à droite, exagération des réflexes
de grands mouvements de la tête et des membres. On observe que la main droite est froide ainsi qu'une partie de l'avant-
ine. L'eschare, qui n'a pas suppuré, est large comme les paumes des mains , elle n'a pas creusé en profondeur. Les jambes so
c aphasie, chez qui les contractures, au niveau du poignet et de la main , faisaient songer à une hémiplégie de l'enfance a
ons joint à l'observation que l'on va lire, des photographies de sa main où l'on peut voir nettement les déformations que
mille, ne pouvait-il permettre un diagnostic exact : l'aspect de la main et du pied du côté paralysé donnent l'impressio
é droit est paralysé et les contractures s'installent précoces ; la main droite est contracturée en flexion. La famille,
s dès qu'on voulait mobiliser les articulations. La déviation de la main et des doigts en flexion, l'attitude en extension
ans une attitude de pronation très marquée. Au niveau du poignet la main est en flexion à angle droit sur l'avant- bras
- bras et en même temps il y a un certain degré d'inclinaison de la main sur le bord cubital. Elle est pour ainsi dire f
s séparément. En commençant par le bord 244 GAUSSEL cubital de la main , il est évident que le petit doigt et l'annulaire
is phalanges de ces deux doigts qui sont fortement fléchies dans la main . Le médius est également en flexion sur le méta
en adduction bien marquée et légèrement .fléchi dans la paume de la main . Il est à remarquer que cette attitude est fixe
té de manifestations rhumatismales, bien que les déformations de la main rappellent certaines attitudes de rhuma- tismes
tures permanentes ; il en résulte une attitude par- ticulière de la main et du pied comparables à celles que l'on remarque
ans. L'avant-bras est fortement fléchi sur le bras, le poignet et la main ont une attitude analogue à celle de notre mala
de flexion des hémiplégiques adulte et l'impression produite par la main est plutôt celle d'une main d'hémiplégie cérébral
adulte et l'impression produite par la main est plutôt celle d'une main d'hémiplégie cérébrale infantile ; étant donné
0 ans. 246 GAÙSSEL On remarquera, d'après les photographies de la main , combien celle-ci a d'analogie avec celles des
fection actuelle c'est-à-dire une sen- sation de faiblesse dans les mains et dans les membres inférieurs avec tendance au
ussitôt absolument flasque. L'exploration dynamométrique donne à la main droite 20, puis 18 à une deuxième pression, à l
ue donne à la main droite 20, puis 18 à une deuxième pression, à la main gauche 22 puis 15. L'épuisement semble donc trè
ans son lit, elle approche une chaise du lit, soulève avec les deux mains le membre inférieur gauche en le prenant au niv
le bord du lit. Elle prend alors successivement ses jambes avec ses mains , les range l'une à côté de l'autre, comme des cor
de torsion du tronc aidés par le soulèvement du corps au moyen des mains . Si on lui demande de se coucher par terre, ell
sans se servir d'un point d'appui auquel elle se cramponne avec les mains . Tous les muscles sont également frappés de la
- cés ; parfois ils ont une disposition nettement segmentaire : une main , un avant-bras, la cuisse... (Cassirer). Les oe
aissons des oedèmes gros comme une noisette et comme la paume de la main , et nous avons des poussés d'urticaire de la mê
nce des poussées d'urticaire avec l'éruption d'oedème de Quinke aux mains , aux pieds, aux paupières. Cassirer (13) a vu d
edème d'une durée variable, mais toujours courte, s'établit dans la main droite un oedème avec tous les caractères du trop
semblait dé- finitivement établi, disparaît. Après 15 jours, sur la main droite, éruption d'urticaire (rougeur, démangea
rvé ce phénomène dans les paupières ; Jollet (53), aux doigts de la main ; Meige (54) et Hallopeau (54), à la moitié de
sait la formation d'oedèmes circonscrits à la langue, au front, aux mains , et parfois à la glotte. Dans ces cas, l'action
a maladie, le phénomène est plus fréquent dans le membre supérieur ( main succulente) et est accompagné par des altérations
(pied succulent de Crocq) lorsque change le siège de la lésion. La main dont nous donnons la reproduction photographique
ré- xviii 18 266 VALOBRA sente une analogie si complète avec la main succulente qu'il est impos- sible à ne pas song
ation pathogénique identique. Et, puisque dans notre observation la main succulente a été précédée par des oedèmes passa
n dont la lésion définitive produit l'oedème nerveux persistant. La main succulente pourrait, selon Dejerine (86), être ob
n de syringomyélie de Remack (50) dans laquelle la succulence de la main était bilatérale, tandis que l'amyotrophie étai
dis que l'amyotrophie était cantonnée à gauche, et l'observation de main succulente de Lo2caNell (87) qui ne présentait
l se produisait seulement des érythèmes larges comme la paume de la main , qui suivaient de tout près l'injection et qui
aussi que l'éléphantiasis peut, dans certaines circonstances (pied, main ), simuler un caractère métamérique. Eléphantias
rchives de Neurologie, 1888, ne$42-44-47-48. 49. MARINESCO. - De la main succulente. Nouvelle Icon. de la Salpêt., 1897, p
lle veut écrire une lettre, et dès le commencement de cette lettre la main se met à trembler ; elle ne parvient à la termi
e lendemain et les jours suivants le même phénomène se produit : la main tremble pendant toute la durée de l'écriture et s
286 BONNUS d'inspection, voyages fatigants, le tremblement de la main droite pendant l'écriture, apparaît, dure de lo
sparaît. En octobre 1899, au retour d'un voyage encore plus dur, la main droite recommence à trembler, puis peu à peu le
e ne' faisait, dit-elle, un grand effort de volonté pour obliger sa main à obéir. Elle insiste beaucoup sur la dépense d
commencement de sa maladie. Jamais de douleurs dans le bras et la main . Cet état, qui d'intermittent était devenu cont
a ma- lade de ne pouvoir y répondre par suite de la faiblesse de la main , invocation a la Vierge, mais, paraît-il, avec
re de suite et en- core très lentement pour donner de la force à la main qui est très faible. C'est peu après, en mai, q
ap- pliquer à écrire et écrire très lentement comme un écolier ; la main au milieu ou à la fin des mots est agitée de pe
rieure un peu au-dessus et cela, dit-elle, malgré sa volonté : « ma main ne peut pas aller plus loin ». Ces accidents so
yon ou quand elle simule l'écriture sur une table ou sur un mur, la main vide ou avec un crayon, les mouvements sont norma
marche, il suffisait d'un ouvrage en tricot ou d'une fleur tenus à la main pour que le torticolis ne se produisît pas. Q
, c'est à la faiblesse qu'elle attribue les accidents du côté de la main , à la faiblesse ceux du côté du cou : « Ma main
dents du côté de la main, à la faiblesse ceux du côté du cou : « Ma main est trop faible, mon cou est trop faible. » D'a
cou plus fort. Pendant les séan- ces d'écriture, elle dit que notre main donne de la force à la sienne. C'est à l'idée d
pourra pas guérir, que la crampe des écrivains s'aggravera, que la main deviendra tellement faible qu'elle ne pourra lu
alade est distraite, ils ne se produisent pas. Les mouvements de la main et du cou sont irrésistibles, mais elle n'a pas
ertitude de la guérison. Nous lui avons alors appris à écrire de la main gauche ; au bout t de quelques jours il lui fut
de quelques jours il lui fut facile de faire sa correspondance de la main gauche. Défense lui était faite d'écrire de la
spondance de la main gauche. Défense lui était faite d'écrire de la main droite. Quand nous som- mes sûr que Soeur M. I.
psychothérapie ayant commencéson oeuvre ; nous nous occupons de la main droite. C'est l'idée de faiblesse qui domine, la
ccupons de la main droite. C'est l'idée de faiblesse qui domine, la main droite est 2U BONNUS trop faible ; la partie
omine, la main droite est 2U BONNUS trop faible ; la partie de la main où cette faiblesse se fait particulièrement sen
e se fait particulièrement sentir,se trouve à la face dorsale de la main ,vers l'extrémité phalangienne du deuxième métac
blie. Ledébut a été d'une brusquerie extrême. Soeur M. I... a vu sa main n trembler presque dès le commencement de la le
ec la plus grande facilité, sans observer la moindre secousse de la main , cela pendant trois ou quatre semaines, et sitô
s les frais. La malade avait cette idée fixe que la faihlesse de la main augmentant la mettrait un jour dans l'impos- CR
e séance nous faisions de la psychothérapie ; nos doigts mis sur sa main n'étaient dans notre idée qu'un moyen objectif de
ssaient. Si l'on ne veut voir dans la position de nos doigts sur la main de notre malade qu'un simple geste antagoniste
e faiblesse qui domine dans son esprit. Son cou est trop faible, sa main est trop faible. Peut-être faut-il en chercher
crête tibiale a dis- paru, remplacée par une surface mousse. Les mains et les pieds sont normaux. L'examen des viscère
passage possible par dessus la tête, sans les disjoindre, des deux mains unies derrière le dos, etc., etc. (XV. Pl. XXXI
des poignets, grimper à la barre fixe. Dans l'abduction du bras, la main soulevant un fardeau, la tête de l'humérus se s
ntanelle antérieure est encore à 47 ans grande comme la paume de la main ; il semble de plus que la largeur des fontanelle
dysos- spasmodique très prononcé des 4 membres et l'existence de la main en pince patho- gnomonique. Il est donc fort po
IDE et CL. VURPAS, Essai sur la psycho-physiologie des monstres hu- mains . Paris, de Rudeval, 1903. (2) A. Léiii et CL. V
oppée une paraplégie spasmodique, s'accompagnant de tremblement des mains . La parole était mal articulée, lente et monoto
ie, ni parésie. Etat spasmodique marqué des jambes. Faiblesse des mains sans tremblement. Exagération des réflexes tend
Bras en demi-flexion, les poignets ramenés en avant du thorax, les mains tombantes, le pouce tombant à droite, le pouce
rs. Force musculaire bien conservée, sauf dans l'acte de serrer les mains . ' Tremblement de la main quand on fait étendre
servée, sauf dans l'acte de serrer les mains. ' Tremblement de la main quand on fait étendre les doigts, droits et gauch
Ebing, Spiller, Jendrassik, Raymond et Souques). Le tremblement des mains n'existe pas au repos, il est donc intention- n
outonner), il ne se montre que quand on dit au malade d'étendre les mains en écartant les doigts. Nous pensons que ce tre
O-SPINALE FAMILIALE 411 Certains symptômes (parole, tremblement des mains , contracture) pourraient à un examen superficie
de 25 ans. Peu intelligent dès l'enfance. A 15 ans tremblement des mains qui augmente peu à peu. Diminution des facultés i
pas d'accrocs. Le voile du palais se lève bien. Fatigue rapide des mains . Tremblement même au repos, s'exagérant dans les
ans. Dès l'enfance, intelligence médiocre. A 16 ans tremblement des mains et de la figure ; diminution de l'intelligence. R
ce qui concerne les humérus, les radius, les cubitus, les os de la main . Cependant les excellentes radiographies que je d
ir chez notre malade, la sueur se manifester à la face palmaire des mains et à la face plantaire des pieds, mais surtout au
is leur musculature est très réduite de volume. En commençant par les mains nous constatons que les éminences thénar et hyp
eurs places des dépressions. La concavité de la face palmaire de la main est exagérée, suite de l'atrophie. Sur la face do
sseux dorsaux. Ces atrophies font que nous avons de chaque côté une main amincie avec tendance à la griffe : le pouce est
des quatre derniers doigts sont un peu fléchies sur la première. La main est déviée sur le bord cubital de l'avant-bras. L
l'humérus proémine sous la peau. La force dynamométrique à chaque main est zéro. La circonférence de l'avant- bras, à
anger tout seul, peut encore porter la cuillère à la bouche avec la main gauche, mais beaucoup plus difficilement avec l
e rétractions tendineuses. La résistance musculaire est nulle aux mains , aux poignets et aux coudes, assez bien conserv
relever dans son lit et s'asseoir, il doit s'appuyer avec les deux mains sur le lit ; sans cet appui ce serait impossible.
n d'un quadrupède, c'est-à-dire qu'il s'appuie sur les pieds et les mains à la fois, sans réussir d'ailleurs à se mettre
e chaise, ou d'un autre appui quelconque, qu'il peut saisir avec la main ; alors seulement il parvient à se relever. L
isparus, les espaces in- termétacarpiens se dessinent très bien. La main ressemble à celle d'un singe. Les membres supér
en entier tombe le long du corps, ballant, l'avant en pronation, la main avec la face dorsale en avant. Si on soutient l
a main avec la face dorsale en avant. Si on soutient le poignet, la main tombe, ballante, les poings pré- sentent la 2e
, à boire, l'aider à s'habiller. Le malade peut à peine conduire la main à la bouche, cela avec nombre d'artifices. Aux me
sont recouvertes de poils abondants et longs. La face palmaire des mains et la face plantaire des pieds ont une peau, bl
e elle se tenait mal en classe, accoudée, la tête appuyée entre les mains , sa maîtresse, lasse de remontrances inutiles, lu
te se dévie du côté du muscle sain, et le redressement se fait à la main , sans aucune résistance, mais dès qu'on cesse d
est démontrée par la palpation des muscles, que l'on trouve sous la main gros et durs du côté où le rachis est concave.
commune. Les pratiques ordinaires du magnétisme échouant entre ses mains et craignant qu'on ne lui fitun mauvais parti, il
ntrè- rent en crise, vociférant, injuriant, écumant et frappant des mains » (Kuhn). Le lendemain eut lieu la confirmation
son anneau pastoral. Elles ont même réussi à le faire tomber de sa main . « Le moment où le prélat a donné sa bénédictio
de nombreux représentants dans l'Afrique centrale. Nous tpnons en main quelques photographies qui nous ont été remises p
pour la jambe et l'avant-bras, et n'intéresse que peu le pied et la main . La cuisse et le bras; normalement plus 488 POR
généralement moins touchés que les autres segments des membres, les mains et les pieds sont épais et doivent un aspect rama
'amincissent et se séparent vers leur extrémité, réalisant ainsi la main en trident que P. Marie a si bien décrite chez l'
que la crête iliaque ou le grand trochanter, alors que normalement la main devrait arriver au tiers moyen de la cuisse.
proportionnels des segments rhizoméliques et mé- soméliques. Les mains présentent des déformations spéciales sur lesquel
épaisses. Les doigts sont de dimension presque égale, donnant à la main un aspect carré; juxtaposés à leur base, ils s'éc
ar leur extrémité et simulent la divergence des dents d'un trident ( mains en trident). Le métacarpe, les doigts présentent
des membres peuvent être peu marquées, la tête peu volumineuse, la main avoir une conformation normale. 2° Chez quelq
ractérisée par la micromélie le plus sou- vent rhizomélique, par la main carrée et en trident, par le volume de la tête
1). Nanisme rachitique tardif (Rev. d'orthopédie, 1901). PAULY. - Main en trident (Soc. méd. de Lyon, 1903). PAULY et
izomélique est aussi très appa- rente sur cette photographie. Les mains de ce même] malade. Remarquer leur réduction da
l'annulaire ainsi que leur déviation. C'est la forme typique de la main en trident, de Pierre Marie. SUR DEUX CAS D'ACH
car il ne peut pas. l'étreindre bien à cause de la petitesse de ses mains . Mais le malade frappe avec beaucoup de force l
tesse de ses mains. Mais le malade frappe avec beaucoup de force la main de ses visiteurs pour plaisanter. Les membres son
de ses visiteurs pour plaisanter. Les membres sont très courts. La main n'arrive que jusqu'à la région trochantérienne. A
ures prises sur le membre supérieur droit : Le médius = cent. 8. La main ,de l'apophyse styloïde du radius la racine des
n =16 cent. 1/2. De l'acromion à l'épicondyle = 16 centimètres. Les mains présen- tent l'aspect en trident décrit par Pie
et la différence entre ces doigts est minime. La face dorsale de la main est arrondie. Sur l'abdomen et la cuisse droite o
s le 542 PARHON, SnUIVD9 ET ZALPLACHTA décubitus iliaque avec les mains sur le coussin et la tête sur les mains. Il ronfl
décubitus iliaque avec les mains sur le coussin et la tête sur les mains . Il ronfle d'une façon pénible. Il est peut-êtr
nfoncé et aplati à sa racine, une déformation carac- téristique des mains , la main en trident de Pierre-Marie (Voir la figu
aplati à sa racine, une déformation carac- téristique des mains, la main en trident de Pierre-Marie (Voir la figure), l'
auteur qui a attiré l'attention sur la confor- mation spéciale des mains de ces malades. La longueur de leurs doigts est
les autres en formant ce que Pierre Marie a désigné sous le nom de main en trident. Cette déformation de la main a été re
e a désigné sous le nom de main en trident. Cette déformation de la main a été retrouvée dans tous les cas publiés depui
langienne à l'extrémité du médius = 6 cent. 9. Dans son ensemble la main est développée surtout dans le sens transversal
minime. Les parties molles des phalanges sont bien développées. La main rappelle dans son ensem- ble l'aspect d'une pat
on trochantérienne ; la microrizomélie des membres supérieurs, avec main en trident; la courbure des mem- bres inférieur
stant normal. 3° Micromélie rizo- mélique des membres supérieurs.4° Main en trident. 5° Ensellure lombaire. 6° Epaississ
autres enfants. Les parents s'aperçurent bientôt des anomalies de la main , et que les membres inférieurs étaient très peu
u'à la même épo- que, le chirurgien lui pratiqua une opération à la main droite, laquelle lui donna la possibilité de jo
au niveau : DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 563 564 VALOBRA Main droite. Carpe. - Le scaphoïde et le semi-lunaire
le grand os et avec l'os crochu comme les trois métacarpiens de la main normale : ils présentent seulement une anomalie
re. Toutes les phalanges sont unies par une syndactylie complète. Main gauche. Le scaphoïde'et le semi-lunaire se présen
altérations morphologiques symétriques aux lésions décrites dans la main droite : anomalie de forme du trapèze, trapézoï
os. DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 565 Les os du carpe de la main gauche ne sont pas aussi bien séparés l'un de l
gauche ne sont pas aussi bien séparés l'un de l'autre comme dans la main droite. Métacarpe. Disposition parfaitement sym
la main droite. Métacarpe. Disposition parfaitement symétrique à la main droite : mêmes anomalies numériques et morpholo
ute description. Il est pourtant nécessaire de noter que dans cette main comme dans la main droite on ne peut pas locali
Il est pourtant nécessaire de noter que dans cette main comme dans la main droite on ne peut pas localiser le pouce avec s
une liste des altérations congénitales du squelette : 1° Dans les mains : altération de forme et de structure des os du c
po- lydactylie ; éctrodactylie ; syndactylie. Les altérations de la main sont localisées au bord radial pour ce qui conc
une ptérobrachie. Dans la deuxième l'auteur observa l'absence de la main et de l'avant-bras gauche et une atrophie de la m
XVIII. PI. UX DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES Radiographie des mains . Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière. T. XV
es Dipnoes. Les schémas de Gegenbanr (35) démontrent aussi que la main à cinq doigts de l'homme ainsi que celle des ve
ssance une bride amniotique qui divisait les deux pouces de la même main . Mais la démonstration indirecte de cette hypot
t une contemporaine amputation congénitale de l'avant-bras et de la main . L'ectrodactylie est aussi très fréquente : [Otto
ologique est très difficile à nier dans les membres supérieurs. Les mains sont formées par six doigts. Mais tan- dis que
à formés d'une façon dé- finitive et étaient normaux,tandis que les mains (dernières à se développer) qui étaient en form
té. Examen à son entrée : Le malade ne peut pas boire au verre ; sa main plane avant de le saisir et aussitôt qu'il le t
ter le verre à la bouche lorsqu'il arrive à le tenir entre ses deux mains . Du reste dans tous les mouvements volontaires,
s ont conservé leurs mouvements. Le tremblement est très marqué aux mains : le malade ne peut arriver à mettre son index su
Etat subcomateux, respiration difficile. Le malade meurt le lende- main . Résumé CLINIQUE. Raideur progressive dans les
usculaire a augmenté, qui a des troubles vaso- moteurs marqués avec mains succulentes et qui a présenté trois petites atta-
les deux derniers, s'étaient fléchis peu à peu dans la paume de la main où ils étaient solidement fixés par des brides
de Dupuytren), rendant presque impossible tout fonctionnement de la main . Le même processus évoluait en même temps du cô
de la main. Le même processus évoluait en même temps du côté de la main gauche, où il avait débuté peu après l'atteinte
té de la main gauche, où il avait débuté peu après l'atteinte de la main droite ; même atrophie de l'émi- nence thénar,
s, extenseur commun et extenseurs propres du pouce et de l'index. Main . C'est à la main que l'atrophie atteint son maxim
un et extenseurs propres du pouce et de l'index. Main. C'est à la main que l'atrophie atteint son maximum. C'est à peine
Il y a au con- traire une atrophie manifeste des extenseurs. A la main , atrophie des muscles thénar et hypothénar et des
erniers doigts, ce qui permet encore une certaine utilisation de la main . Malgré le degré de cette atrophie, on est un p
s tra- vaux. Lorsqu'on a réussi à lui placer le dynamomètre dans la main nlauche il donne 15, mais la préhension est imp
Il dit son état local également très amélioré en ce qui concerne les mains et surtout la main droite. Les doigts s'étenden
également très amélioré en ce qui concerne les mains et surtout la main droite. Les doigts s'étendent manifestement mieux
ie entière; de toutes parts, on accourt à celui qui tient entre ses mains la vie et la mort, la santé et la mahdie. Des suc
Ils ne moururent pas tous... Par un phénomène curieux d'égoïsme hu- main satisfait, les survivants proclamèrent patron uni
e ; à gauche elle se fait mais avec participation du bras; les deux mains , en demi- pronation, demeurent déjetées en deho
x mains, en demi- pronation, demeurent déjetées en dehors. Les deux mains sont d'ailleurs petites et souples. Si la palpa
ités inférieu- res des premières phalanges, particulièrement sur la main gauche. Sur les crêtes iliaques, par le palper
lie par ses prolongements au niveau de la fesse. Quand on place une main sur cette saillie, on sent, pendant la flexion de
e cubitus, 4 sur le radius droit, 5 sur le radius gauche, 10 sur la main droite, 21 sur la main gauche, 13 sur le fémur
ius droit, 5 sur le radius gauche, 10 sur la main droite, 21 sur la main gauche, 13 sur le fémur droit, 10 sur le fémur ga
allaitement ma- ternel, ils grandissaient normalement. Ensuite, les mains et les pieds crois- saient sans proportion avec
se changeait quelquefois en vrais cris. Les malades frappaient des mains paume contre paume presque tout le jour, accom-
de l'extré- mité inférieure de la seconde phalange du médius de la main gauche. La 28", près de l'extrémité inférieure
trémité inférieure de la seconde phalange de l'annulaire de la même main . La 29°, près de l'extrémité supérieure de la pre
extrémité supérieure de la première pha- lange de l'annulaire de la main droite. La 308 (pisiforme), à l'angle supé- rie
19, non 32. Le langage est empâté. Tremblement de la langue et des mains . Réflexes patellaires très faibles. Réflexes pu
égère submatité en dessous de l'omoplate droite, de l'étendue d'une main ; la respiration est moins forte à ce niveau, on e
arrière du tronc, des avant-bras fixés res- pectivement par chaque main . Le bord inférieur du grand dentelé se per- çoi
e à l'extrémité de l'échelle de pression, sans difficulté, des deux mains ; à l'échelle de traction, il atteint le chiffre
N° 139. Une femme, dont les traits expriment la colère, a saisi la main d'un homme qui s'incline en se frappant le front
e à se rapprocher d'une autre femme, dont elle retient également la main . Près de l'homme incliné, un personnage, couvert
banc de bois, un vieillard obèse, chauve et de mine hypocrite, les mains croisées l'une sur l'autre, NOUVELLE Iconograph
n couronné de plumes et la palme au poing. On lui embrasse pieds et mains . Il est suivi d'une ombre encapuchonnée dévôtem
s se gratte la tête comme quelqu'un de mal éveillé, égouttant de la main droite un corns à boire. Le tout sous de somb
36 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
on obtenait plus souvent la cessation des accès qui débutaient par la main ou le pied. Galien a observé un enfant de 13 ans,
ine de Paris (1779). « La bouche, dit-il, ou l'oeil, ou le cou, ou la main , entrent en convulsion : ces parties deviennent p
r accès s'est produit dans la rue. La malade a senti les doigts de la main atrophiée, s'étendre et s'écarter les uns des aut
e a voulu continuer sa course, en maintenant le membre malade avec la main saine. Mais bientôt, le malaise augmentant, elle
ncés par une aura. R... sent un engourdissement dans les doigts de la main droite qui s'écartent. Elle court en avant comme
n demi-pronation, est impossible, à cause de la rigidité du coude. La main est fléchie sur l'avant-bras, inclinée sur le bor
paces interosseux sont très-amaigris. R... est incapable d'étendre la main . Elle travaille à la couture et se sert de la mai
pable d'étendre la main. Elle travaille à la couture et se sert de la main gauche. Droite. Gauche. Circonférence du bras
Octobre. Aura. R____ sent un engourdissement dans les doigts et la main , mais ne dépassant pas le poignet et ne s'accompa
3° que l'avant-bras forme un angle droit avec le bras;— 4° que la main , et nous insistons sur ce point, est tout à fait
his. Quant au pouce, il pend en dedans et est accolé à la paume de la main . Les mouvements de l'épaule sont assez étendus
ci comment elle procède : elle maintient la partie déjà pliée avec la main gauche, pendant que la droite prépare un second p
La malade nous raconte que, parfois, lorsqu'elle essaie d'étendre la main gauche, il survient presque aussitôt des spasmes
u'elle est très-forte, s'accompagne de mouvements, de secousses de la main ; — c) la malade accuse encore une douleur occupa
; elle ne remonte pas, mais descend dans l'avant-bras, le poignet, la main et les doigts, « où, dit-elle, on dirait que j'ai
ant-bras, à peine fléchi, se soutient sur le devant de l'abdomen ; la main est fortement fléchie, à angle droit, sur l'avant
II.) — La malade élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au front. L'abduction et l'adduction sont gênées.
ses souliers. — Elle travaille à la couture, tenant l'aiguille de la main gauche et soutenant le linge avec l'auriculaire d
le souffrirait plus qu'à toute autre époque. — — La contracture de la main serait aussi plus prononcée lorsqu'il survient de
ntractures. L'influence du froid extérieur est la même. Au palper, la main , le genou et la jambe du côté droit sont plus fro
; on a remarqué que, immédiatement avant le premier, elle tirait sa, main malade avec l'autre et. que, de plus, avant le se
horax, l'avant-bras est fléchi sur le bras, en pronation ainsi que la main qui, souvent, est à angle droit sur le poignet.
é latérale beaucoup plus considérable qu'à l'état physiologique. La main fait un angle droit avecl'avant-bras, elle est d'
e a une attitude à peu près normale. La malade parvient à allonger la main . Il lui est impossible de fléchir aujourd'hui l
, d'adduction et d'abduction. (Pl. IV.) Gr... se sert à peine de la main gauche. Veut-elle saisir une règle sur une table,
alée par M. Charcot, entre les mouvements choréiformes du pied, de la main et de la face. Si, par exemple, on dit à la malad
a main et de la face. Si, par exemple, on dit à la malade d'ouvrir la main gauche ou de la fermer, le pied, chaque fois, se
nt ou s'étendent, ensuite le pied repose de nouveau sur le sol. Si la main est portée sur la tète, le pied se tourne, s'agit
sont à peu près toujours nocturnes, a) Gr... ne sent rien dans la main , l'a-vant-bras, le coude ou le bras; mais elle ép
nte aussi d'une manière assez satisfaisante l'une des attitudes de la main . Ces phénomènes sont venus, d'ailleurs, se surajo
toute leur longueur : les mouvements anormaux sont circonscrits à la main , au pied, au cou, à la face ; en d'autres termes,
les qui meuvent les doigts et les orteils ; quelquefois, en effet, la main tout entière et le pied sont affectés ; — 3° enfi
lques muscles de la face et du cou sont, en même temps que ceux de la main et des pieds, agités de mouvements cho-réiformes
u moins violacée, rendue très-évidente par les temps froids (alors la main et le pied paralysés peuvent être violacés); 2° q
oignet sur l'avant-bras. Les doigts sont infléchis sur la paume de la main (Pl. V.). S... peut exécuter certains mouvements
cuter certains mouvements avec le bras droit, porter, par exemple, la main sur la tête, mais en général, elle ne s'en sert p
bras gauche, que le bras droit restait pendant, était flasque, que la main droite était fermée. La santé générale était bonn
s d'une fois par semaine et c'est surtout durant cette période que la main a pris l'attitude qu'elle a aujourd'hui, que la d
e droit sur le bras, appliqué sur la poitrine, au-dessous du sein. La main est si fortement fléchie que les doigts viennent
ue les doigts viennent pour ainsi dire s'appuyer sur l'avant-bras. La main forme un crochet dont l'ouverture est très-étroit
est possible. — Quant au poignet, c'est à peine si on peut mettre la main à angle droit. Les fléchisseurs des doigts sont e
t, qu'elle ait ou non des accès, elle gâte. — Elle mange seule, de-la main gauche, sans voracité. Elle ne peut s'habiller. E
lus de 10 ou 12 centimètres du tronc; elle est incapable de porter la main droite sur l'épaule gauche. L'avant-bras est à
u l'avant-bras sur le bras, sans pouvoir dépasser l'angle droit. La main , considérablement atrophiée, est à angle droit su
t une douleur constrictive occupant l'épigastre où la malade porte la main et des palpitations cardiaques violentes. Puis, l
pitations cardiaques violentes. Puis, les trois derniers doigts de la main droite s'allongent, se roidissent, se collent l'u
roit se contracture clans l'extension et la pronation (Fig. 2) ; la main se tord et se met à angle droit sur le bras qui s
avait dans la première phase. Simultanément, la tête se redresse; la main , qui était fléchie, s'allonge entièrement. La con
t diurnes et nocturnes; ils prédominent le jour. M... se sert de la main gauche pour manger, ce qui dénote déjà une paress
ique du bras droit. Cependant, on a essayé de la faire écrire avec la main droite, et on y est parvenu d'une manière passabl
on y est parvenu d'une manière passable. Dans ces derniers temps, la main est devenue plus lourde et parfois tremblante. M.
ins fort que le droit; c'est à peine si la malade peut serrer avec la main . Le membre inférieur gauche est aussi plus faib
ntracture dans la demi-flexion.L'avant-bras est dans la pronation; la main est fléchie et les doigts restent étendus. Simult
bres dans l'adduction, incomplets dans l'abduction et l'élévation. La main est à angle droit sur l'avant-bras ; le pouce et
de est libre ; l'avant-bras est dans sa position naturelle; seule, la main demeure fléchie sur l'avant-bras. Une demi-heur
gauche, demi-fléchi, écarté du tronc, est élevé de telle façon que la main est à la hauteur du visage; — le pouce, l'index,
et à gauche ; le iras gauche est dans l'extension et la pronation; la main est tordue, pour ainsi dire, et à angle droit sur
IH). 5 atril. — Le membre supérieur est tout à fait souple, même la main . Dès qu'on fait exécuter quelques mouvements au b
ès qu'on fait exécuter quelques mouvements au bras ou qu'on touche la main , celle-ci et les doigts se contracturent. — Le me
ncomplet. — Il nous a paru que, sous l'influence de l'extension de la main sur l'avant-bras tous les phénomènes précédents s
evait sa chemise, eic. Son délire est niais et erotique. Ce matin, la main gauche était toute sale; il est fort probable que
é à demi, est légèrement écarté du tronc et tordu en pronation; —• la main est fléchie à angle droit sur le poignet ; le pou
bres du côté gauche plus que ceux du côté droit (i). Tout d'abord, la main , le pouce et l'index sont allongés; les trois der
is (Pl. IX); peu après, le membre supérieur se place en pronation, la main se fléchit sur l'avant-bras (Pl. X). Puis, peti
aïe ! le bras gauche s'élève, se met à angle droit avec le tronc; la main reste à angle droit sur le poignet et les doigts
mblement, ni ataxie). — Au dynamomètre Burq, nous trouvons 33 pour la main gauche et 35 pour la main droite. — Les jointures
dynamomètre Burq, nous trouvons 33 pour la main gauche et 35 pour la main droite. — Les jointures du membre inférieur gauch
en arrière ; le membre supérieur gauche devient rigide, s'allonge, la main Années. Attaques. Accès, 1803........... 81 3
ontracturent dans la demi-flexion, les coudes se portent en haut; les mains et les doigts s'infléchissent ;— les membres infé
ue série d'attaques. Mouvements brusques, assez rares, de la tête ; — mains sans cesse agitées ; dans la marche, flexion fréq
ion est notablement troublée : l'air a une couleur vert d'eau; sur sa main , V... voit sans cesse un cheveu vert en forme de
embre 1870. Au bout d'un an, je reviendrai... Ce n'est pas hors de ma main ... Il y a un homme qui entre... Trois fois vous a
ix épreuves avec le dynamomètre Mathieu ont donné à la pression de la main 60 à gauche et 30 à droite. Aussi L... fait-elle
le. » Elle laisse fréquemment tomber les objets qu'elle tient dans la main droite, et traîne un peu la jambe correspondante
antôt elle voit Jules (l'ouvrier peintre), qui tient un couteau d'une main , la menace et lui intime l'ordre de venir avec lu
. Au dynamomètre Burq : 39 à droite, 41 à gauche. — Température de la main droite, 37°,2; — de la gauche, 37°. — Application
ras droit : au bout de 10 minutes, la sensibilité est revenue dans la main et la moitié inférieure de l'avant-bras ; ce reto
elle se plaint de son cou ou de son bras droit qu'elle frotte avec la main gauche : « Otez-moi mon bras, dit-elle. » Et elle
ion exagérée,les doigts sont énergiquement fléchis sur la paume de la main , le pouce placé entre l'annulaire et le médius. —
t, donne des baisers. — Dans une autre, elle s'asseoit également, les mains sont jointes, elle est effrayée, suppliante : Par
nne heure... » (Regarde à gauche, se soulève à demi, fait signe de la main , donne des baisers). « Non ! non ! Je ne le veux
te! Pignouf ! .. Est-il permis?... » Elle te cache la figure avec les mains , croise les bras, menace de la tête : « Il m'en f
Tu m'envoies des grenouilles. » Elle ouvre la bouche, y introduit la main comme pour en retirer quelque chose : ¦ Il ose en
u es une femme mondaine. ¦ (Elle pleure, se couvre le visage avec les mains ). « S'il était permis de battre sa mère, je te ba
ce garçon plus que moi... Je te jure que ce garçon n'a jamais mis la main sur moi... Oh! est-ce vrai ou pour me taquiner...
olle contre le tronc ; Lavant-bras, qui était allongé, se fléchit; la main , qui était en supination, se met en pronation, se
vite en rêve — X.. se soulève, s'as-seoit,regarde en haut, joint les mains en suppliante (Pl. XX) et dit d'un ton plaintif :
veau, la gaieté est peinte sur son visage, elle bat la mesure avec la main et le pied du côté droit; elle s'arrête,écoute tr
t le pied du côté droit; elle s'arrête,écoute très-attentivement ; la main gauche repose sur le sein droit ; l'avant-bras dr
ine la tête, croise les bras, cache sa figure avec ses cheveux et ses mains , parle bas, fait avec la tète des signes affirmat
« Pardon ! Pardon, Monsieur ! Laissez-moi... » Elle s'agenouille, les mains jointes, se plaint, se recourbe, tend le dos, est
ouïe),se relève, s'asseoit sur son oreiller, cache sa figure dans les mains , pleure, parle bas... et se réveille : la série e
e fust » fort bonne, entière, et non vsée, elle la prit de ses » deux mains , et sans s'efforcer, elle la rompit en deux » aus
e ventre » à terre au pié du Père, qui tenoit le Saint-Sacrement » en main , et qtiaiant le corps et les bras en forme de (
, p. 233-234. » croix, il tourna premièrement la paume des deux » mains en haut, puis acheva le tour entier, ensorte »
haut, puis acheva le tour entier, ensorte » que la paume de chaque main touchoit le carreau, » et qu'il raporta les mai
la paume de chaque main touchoit le carreau, » et qu'il raporta les mains ainsi tournés, en les joi- » gnant sur le bout
orta les deux piés joints aussi, en sorte que les » deux paumes des mains touchoient les deux côtés du » dehors de la pla
dans l'extension et quelquefois, en même temps, dans l'adduction; les mains sont fléchies et dans la pronation (Pl. XXXII); l
e Picard, qui dit qu'il falloit que » cela fust, et qui me tenoit les mains pendant que se » commettoit cette ordure. » (Loc.
d'ordmaîre, dans les autres confessions « il me teuait sans cesse les mains sur les parties honteuses...» Enfin, Madeleine eu
le visage lumineux, les yeux pleins de larmes... Tout lui tombait des mains ... Son visage était tour à tour étincelant comme
t : Je suis une biche harassée, Qui cherche l'onde avec ardeur ; La main du chasseur m'a blessée, Son dard apercé jusqu'au
véritables extases : elle restait à genoux douze heures de suite, les mains jointes sur la poitrine, les yeux fermés, immobil
e elle avait vu Notre-Seigneur qui, tenant une couronne d'épines à la main , la lui posa sur la tête en disant : « Ma fille,
la corde au cou, un bâillon dans la bouche, un cierge allumé dans les mains ; à se rendre dans cet état à la cathédrale de Co
37 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ette 20 . SÉGLAS immobilité pour s'agenouiller, la tête entre ses mains et il reste alors un temps indéfini dans cette
pillaire, signe d'Argyll, trémulation de^la langue, des lèvres, des mains ; réflexes rotu- liens abolis, signe de Homberg
it vu obligé d'appliquer des appareils ap- propriés aux bras et aux mains afin d'éviter les ulcérations qu'auraient pu pr
de la parole ; pas de signes pupillaires, pas de tremble- ment des mains ; tremblement de la langue très manifeste. Reflex
couvert. Passe tout son temps à se frotter le ventre avec les deux mains , en regardant son ombilic et n'interrompt ce ge
ombilic et n'interrompt ce geste que pour se malaxer le cou avec la main droite. Observation VII D... Ferdinand, 53 an
ovembre 1903. Changement de caractère, irritabilité, tremblementdes mains depuis deux ans environ ; au début étourdisseme
négalité pupillaire, signe d'Argyll ; tremblement de la langue. des mains , de l'écriture ; réflexes tendineux normaux. La
hérents, il fait des gestes stéréotypés, qui consistent à lancer la main en avant et à la fermer violemment en tournant
temps se produit un claquement sonore. Tantôt le geste est fait de la main gauche dans un plan horizontal ; tantôt il est
ain gauche dans un plan horizontal ; tantôt il est exécuté des deux mains les bras élevés en l'air. Parfois le mouvement
des deux mains les bras élevés en l'air. Parfois le mouvement de la main est exécuté seul, le bras et l'avant-bras resta
exécuté seul, le bras et l'avant-bras restant presqu'immobiles : la main est alors ouverte et fermée brusquement pendant
colère ; puis des divagations, des maladresses, du tremblement des mains , de la difficulté à parler. A l'entrée on const
élirantes bien caractérisées ; satisfaction simple. Tremblement des mains , de la langue ; secousses de la face ; nombreux
gyll ; réflexes tendineux normaux ; tremblement de la langue et des mains ; accrocs de la parole. DES SYMPTÔMES CATATONIQ
- nées entières ; debout, les bras légèrement écartés du corps, les mains pen- dantes et devenues oedématiées par suite d
sition, la tête fléchie, les yeux fixés sur l'une ou l'autre de ses mains , qu'il remue légèrement à la façon d'un objet q
puisqu'elle ne pouvait lever les bras pour se peigner, bien que ses mains eussent conservé toute la liberté de leurs mouvem
olument indemnes ; il est néanmoins facile de s'assurer que, si les mains , les poignets, les coudes fonctionnent bien, les
elle qu'une émotivité extrême qui se traduit par le tremblement des mains , de la langue, des lèvres, par l'instabilité de
le font remarquer MM. Mayet et Jouve, les petites articulations des mains et des pieds ne sont pas épargnées par le proce
l'âge de 44 ans environ, affaiblis- sement lent et progressif de la main gauche, qui en même temps s'amaigrit peu à peu.
tout traitement. Sept ou huit ans après le début dej'atrophie de la main gauche, les mêmes symptômes se manifestent à dr
mes symptômes se manifestent à droite : début par les muscles de la main , progression lente vers l'avant-bras. En 1892
seignements suivants : Membre supérieur gauche. - Les muscles de la main sont comme fondus ; atrophie complète des muscl
é l'atrophie est arrivée à un stade moins avancé. Les muscles de la main sont notablement atrophiés mais leurs mouvement
tôme n'a pas été retrouvé depuis cette époque). Refroidissement des mains et état lisse de la peau qui est très mince.
upérieur droit, tantôt dans le gauche, au niveau du bras ou de la a main . Etat mental. - A cette époque la malade présen
44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gauche, type Aran-Du- chenne ; extension lente
s le début de la maladie , atrophie pro- gressive des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des mus
nous occupe. L'observation I (atrophie musculaire progressive de la main droite et des membres inférieurs, intégrité de la
essive de la main droite et des membres inférieurs, intégrité de la main gauche) montre à l'examen histologique une inté
ère et des nerfs sympathiques. Les filets nerveux des muscles de la main droite sont entourés d'un tissu conjonctif épai
ie avait débuté entre 5 et 7 ans par les muscles des cuisses et des mains et avait été accompagnée de douleurs, trouve à
rès 68 \ ITALO IIOSSI bien l'épreuve de la diadococinésie avec la main droite ; les mouvements sont surtout lents. Il
une canne ou une béquille, il « marchait comme un homme ivre ». Ses mains étaient faibles, il ne pouvait plus s'en servir
ent convexe en avant, l'autre concave en dedans L'os est dur, et la main qui le palpe perçoit de petites nodo- sités rug
gure glabre, un prognathisme manifeste du maxillaire inférieur. Les mains en battoir. Notre malade actuel possède encore
it de tous, l'art et la science marcher de concert et se donnant ia main » (1). En ce temps là, en effet, dans un modest
« Cours pratique et élé- mentaire » que Paul Richer met entre leurs mains et en comparant les planches de Tortebat avec c
al ; il déterminait à chaque coup de serpe violemment donné avec la main droite, un fort contre-coup au niveau de la pau
vec la main droite, un fort contre-coup au niveau de la paume de la main gauche qui maintenait solidement la perche; l'u
sieurs heures de ce travail, il éprouva dans la région palmaire de la main gauche une douleur vive qui ne le quitta plus,
ROPHOEDÈMES CHRONIQUES D'ORIGINE TRAUMATIQUE 147 rente, occupant la main , les doigts, s'accentuant très lentement, envahis
ent effaçant tous les reliefs du membre ; à la région dorsale de la main , l'oedème donne l'aspect à pleine peau, mais sans
in, l'oedème donne l'aspect à pleine peau, mais sans le luisant de la main succulente syringomyélique par exemple (PI. XXI
non hystérique chez qui un trophoedème chronique, persistant, de la main droite succéda à des poussées répétées d'oedème
uce antérieu- rement étudié (2),et dans deux cas (3) observés à une main chez des jeunes filles pendant la période mentr
bdomadaire. 1894. (3) G. RETIENNE, Deux cas d'mdèuaes fugaces de la main chez des jeunes filles mens- lruées. Soc. neuro
rt et Garnier. Quant à l'oedème trophique de la syringomyélie, la main succulente, son type « à pleine peau », luisant
d'une entorse tibio-tarsienne ; dans le nôtre,' où il apparaît à la main d'abord puis à l'avant-bras et au bras, à la suit
traumatisme déterminé par les contrecoups reçus dans la paume de la main gauche tenant à pleine main,pendant toute une.
s contrecoups reçus dans la paume de la main gauche tenant à pleine main ,pendant toute une. matinée, une perche dont il
n que cette femme l'avait consulté pour une ulcération du dos de la main droite qui fut reconnue de nature cancéreuse et
ère de profession, ma- niait habilement l'aiguille avec ses grosses mains et ses gros doigts. Quant à l'explication que l
onne et Tobiesen. Depuis peu une tumeur maligne est apparue sur une main , fait qui impose une réserve dans l'interprétat
ire au-de- sus duquel se creuse un sillon profond. Les pieds et les mains de notre ma- lade remarquablement indemnes ne s
bourrelet il n'a plus une circonférence que de 15 centimètres. Les mains contrastent par leur petitesse avec l'aspect mass
n se localise avec prédilectiou à la face dorsale des' pieds et des mains . On a de plus décrit dans l'adipose douloureuse
int Barthélemy lui-même, le patron des Ecor- chés, son couteau à la main , avec sa peau tout entière déposée comme un par
: station droite, les bras tom- bant le long du corps, la paume des mains tournée en avant, c'est-à-dire l'avant-bras en
apparaissent contrac- tés à cause de la rotation de l'humérus, les mains étant en pronation. Plus bas, les spinaux sont
se sentit alors très faible, eut de la difficulté à se servir de sa main droite et traîna pour la première fois la jambe d
, flexion légère du poignet, flexion des doigts dans la paume de la main au niveau de la première et de la seconde phalang
ne présente aucun signe d'aphasie, il lit et écrit très bien de la main gauche. Pas de dysarthrie. L'intelligence est b
me bornai à celle de la douloureuse, qui me parut diminuée dans la main droite. Les réactions élec- triques, faradiques
l'éminence thénar droite avec la déformation caractéristique de la main simienne; l'hypoesthésie correspondait à la top
seg- ments en toute direction, excepté le pouce ; la flexion de la main droite était impossible à cause de la paralysie
s exactement aux atrophies et pseudo-hypertrophies. Des deux côtés la main serre sans grande vigueur, le malade résiste ma
flexion, l'extension, la supination, et la pronation passives de la main et aussi à l'extension passive de l'avant-bras.
adius et du cubitus plus volumineuses fout saillie sous la peau. La main enfin a un aspect particulier ; elle est rejetée
quée à l'union de son tiers supérieur et de son tiers moyen. A la main , même retard d'ossification, portant sur les méta
langes. On remarque encore, en comparant avec la radiographie d'une main d'enfant du même âge, qu'il existe un raccourciss
DELMAS de proportions normales ; les bras sont gras et potelés, les mains sont grosses et les doigts boudinés. La tempé
vers l'âge de 10 à 11 ans ; à cette époque la mère remarqua que la main droite de son fils était plus grosse que la gau
1... avait très facilement des engelures aux pieds et surtout à la main droite ; peu de temps après il se plaignit de x
la différence de coloration et de volume qui existe entre les deux mains . L'avant-bras et la main du côté droit sont sou
on et de volume qui existe entre les deux mains. L'avant-bras et la main du côté droit sont souvent parsemés de marbrures
e froid, au moindre abaissement de la température; objectivement la main est certainement plus \' froide au toucher que
n peut obtenir le \ -même résultat en faisant tremper au malade ses mains dans l'eau très froide : % la main et l'avant-b
n faisant tremper au malade ses mains dans l'eau très froide : % la main et l'avant-bras droits prennent alors une teinte
i ^supérieur. Il existe nettement une augmentation de volume de la main et du poignet droits. L'avant-bras ne participe
de plus que (du côté gauche ce qui est sensiblement normal. A la main l'hypertrophie existe uniquement en largeur et la
jO/lIIl). SYRINGOMYELIE AVEC PHÉNOMÈNES BULBAIRES ti(>3 3 deux mains est à peu de chose près la même. Le poignet a 1 c
lade ne se rend t nullement compte des objets qu'on lui met dans la main droite ; il sent à peine I qu'il a quelque chos
ns la main droite ; il sent à peine I qu'il a quelque chose dans la main , et seulement si l'objet est très gros. A gauch
thropathie de l'épaule droite et une hypertrophie du poignet et de la main du même côté, accompagnée de troubles vaso-mote
membre, tantôt seulement l'avant-bras et le bras, toujours c'est la main dont l'hypertrophie est le plus manifeste, il n
le processus d'hypertrophie est localisé aux extrémités. Parfois la main et le pied sont pris en même temps, tantôt les qu
atteint d'hypertrophie, il n'est pas rare au contraire de voir les mains présenter la « chiromégalie ». Cette chiromégal
iani (8), Schlittenhelm (9)], mais presque toujours dans ce cas une main est plus atteinte que l'autre, tantôt unilatérale
notre malade la chiromégalie est unilatérale et prend uniquement la main droite, elle n'est pas limitée à la main d'une ma
ale et prend uniquement la main droite, elle n'est pas limitée à la main d'une manière absolue et le poignet est augment
onnaître pour origine un processus atteignant tous les tissus de la main . On conçoit que l'examen histologique seul soit
s'en rendra bien compte sur la photo- graphie comparative des deux mains (I'1. L), porte sur la largeur de la main; le p
hie comparative des deux mains (I'1. L), porte sur la largeur de la main ; le poignet, le carpe, tous les doigts sont augme
ns articulaires. Les os offrent la même transparence que ceux de la main opposée. On peut donc conclure qu'il s'agit d'u
ungspapille). Trem- blement fibrillaire de la langue. Dynamomètre : main gauche 10 ; droite, 36. Réflexes patettaires fa
par une sorte de palette de dimensions très réduites tenant lieu de main . L'avant-bras mesure 7 centimètres en longueur
e, par cette artère ; l'avant-bras et le bour- geon représentant la main étaient plongés dans l'eau chaude pour cette inje
attitude de l'avant-bras et de l'ensemble du bourgeon représentant la main est, au moment de la dissection, en supination,
e en bas et en dehors, vers le bord interne de ce qui représente la main ; à sa partie inférieure, il se termine par un te
ndon (le, fig. 3) très largement étalé sur la face antérieure de la main , formation UÉMIMÉL1B AVEC A'l'IiOI'111G NUMÉlll
le aussitôt à la face dorsale de ce qui représente le poignet et la main , s'attachant sur le tissu fibreux dense qui con
es muscles sont innervés par le radial. Au niveau du poignet, de la main et des rudiments de doigts, il n'est possible d
ies de même nom normalement formées. Or il est incontestable que la main de l'hémimèle rappelle d'une façon suffisamment
HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 305 d'avant-bras ni de main , seulement une empreinte circulaire dans un point
oit. On ne trouve aucune trace, aucun rudiment d'avant- bras, ou de main . Les muscles grand pectoral, petit pectoral, delt
Gaz. des hôpitaux, 1857, p. 15. Hémimélie thoracique gauche ; la main et l'avant-bras étaient absents ; il existe seu
se voisine. Membre supérieur gauche : ici non plus, il n'y a que la main qui soit atteinte par la malformation. Cette ma
, il n'y a que la main qui soit atteinte par la malformation. Cette main comprend une région carpienne et deux appen- di
bien une pince d'écrevisse. Son volume est moindre que celui de la main droite. Membre supérieur droit : les muscles du
les longs du pouce normaux. Mais l'extenseur propre index manque. Main . - Les muscles de l'éminence thénar sont peu déve
ré pronateur. Au poignet, il donne un rameau palmaire cutané ; à la main , il donne un rameau musculaire à l'é- minence t
onne des rameaux musculaires, et se termine en deux rameaux pour la main . La branche postérieure du cubital, arrivée au do
ormale, tan- dis que les deux dernières convergent vers l'axe de la main ; elles sont petiteset atrophiées et la phalang
ndue. 1"e phalange. Ibid. 2° phalange. - Elles n'existent qu'à la main droite, et offrent un état car- tilagineux pour
anent, est terminé par un moignon où l'on retrouve une apparence de main . Quel- ques ossicules peuvent être sentis dans
reste du corps est bien conformé. XVI. Puech (Paul), Absence de la main gauche par arrêt de développement. Montpellier
trouve une masse osseuse, longue de 2 centimètres, terminée par une main peu développée, constituée par 4 métacarpiens e
e saillie, quoique molle de consistance, avait les caractères d'une main rudimentaire ; à la palpation on la sentait relié
normal, terminé par cinq bourgeons digitaux qui tiennent lieu de la main absente. Chez la mère, ni syphilis, ni bydramni
iographie montre que le cubitus- descend plus bas que le radius. La main est un moignon in- forme présentant, à sa parti
u bout duquel on aperce- vait à la partie inférieure un rudiment de main constitué par cinq tubercules au niveau desquel
, 1901, p. 128-148. Sujet masculin, 24 ans. Les avant-bras et les mains ont subi un arrêt de développement et présenten
n le recouvrant dans plus de la moitié de son étendue. A gauche, la main n'est représentée que par un seul doigt, le pouce
pien correspondant. Les phalanges semblent normales. , A droite, la main se dévie et s'incline d'abord sur le côté interne
s en sens opposé sur le côté externe, de sorte que l'avant-bras, la main et les doigts forment comme un Z allongé ; deux d
sont beaucoup plus restreints que les passifs. Les mouvements de la main sur l'avant-bras sont très limités, plus dans l
e Montpellier), Hémimélie avec avant-bras partiel et vestiges de la main . Soc. anat. de Paris, février 1902, p. 153-154.
ité libre arrondie ; sur cette extrémité on remarque un rudiment de main représentée par les vestiges des doigts. Les deux
es mouvements de l'épaule et du coude sont normaux ; le rudiment de main jouit d'une mobilité indépendante. La radiograp
trace de l'apophyse slyloïde de cet os. Les os du poignet et de la main font défaut ; notons seule- ment sur l'épreuve
conformés ; il s'est noyé. Membre supérieur droit. Normal, sauf la main qui est privée du médius, ainsi que du métacarp
tion radio-carpienne, sur laquelle vient' se greffer un rudiment de main gauche réduite au 5' métacarpien et au lor mé-
trait sur l'extrémité arrondie, un petit appendice représentant une main avortée. Ce petit appendice, disposé dans le pl
olidement fixés. La femme y place son aiguille qu'elle enfile de la main droite. Quant aux bourgeons digitaux, ils n'ont
par des sillons et disposés exactement comme les cinq doigts d'une main . 332 KL1PPEL ET BOUCHET Cette main avortée se
nt comme les cinq doigts d'une main. 332 KL1PPEL ET BOUCHET Cette main avortée se replie sur le moignon, l'insertion du
nelle déterminée par cette hémimélie, par une éducation de son autre main et de ses pieds, particulièrement du pied corre
c une atrophie assez intense des muscles de l'éminence thénar de la main droite. L'hémimélie n'est pas d'ordinaire stric
eur d'une hémimélie thoracique droite, ayant en outre, à gauche une main bifide avec syndactylie des deux premiers doigts
evêtement cutané du moi- gnon brachial par une surface mousse. A la main , les cinq métacarpiens sont divisés en deux gro
e interne, se trouvent les 3e et 40 métacarpiens. La division de la main en deux portions va donc jusqu'au milieu des méta
cupent les hauteurs de la montagne ont constamment la carabine à la main , toujours prêts à repousser les attaques des assi
de ce côté ; il laisse parfois tomber les objets qu'il tient de la main droite et prend l'habitude de se servir de la g
. L'impotence motrice a fait de nouveaux progrès. Au dynamomètre la main droite amène 4 et la gauche 13. Le malade est c
sidé- rable (1). , Ces macrosomies partielles peuvent donner à la main un volume énorme, ressemblant de loin à celui d
onner à la main un volume énorme, ressemblant de loin à celui de la main acromégalique, et justifiant le terme de cheiro
bras droit il existait une impotence fonctionnelle des muscles de la main avec amyotrophie, une parésie des extenseurs de
scles de la main avec amyotrophie, une parésie des extenseurs de la main et de l'avant-bras, le deltoïde était un peu am
minence thénar et sur les muscles interosseux et ex- tenseurs de la main . Les réflexes tendineux étaient abolis aux memb
ait le plus frappant consistait en une hypertrophie manifeste de la main , du poignet, de l'extrémité inférieure de l'ava
t-bras du côté droit. Cette hypertrophie spécialement évidente à la main droite portait sur l'é- paisseur et non sur la
ne présentait pas cette hypertrophie. L'examen radiographique de la main atteinte par le processus hypertro- phiant mont
istait pas de processus récent de dégéné- ration. Les nerfs de la main ont été examinés isolément (cubital, médian, coll
d'atrophie simple est discret et limité. Les petits muscles de la main droite (éminence thénar, éminence hypothé- nar)
ne infiltration adipeuse marquée. Peau. La peau de la paume de la main droite et de la face dorsale est épaissie d'une
nous limiler à l'étude de la cheiromégalie. L'hypertrophie de la main qu'il est possible de rencontrer au cours de la
première vue la cheiromégalie de l'hypertrophie acromégalique de la main . Dans notre cas le diagnostic était extrêmement
éments de diagnos- tic ne manquent pas. Dans la syringomyélie, la main et les doigts sont déformés, contractu- rés, bi
up plus sur la largeur que sur la longueur. Dans l'acromégalie, les mains sont trapues, en battoir, les doigts sont uniform
n- tation des os est régulière et s'étend à tout le squelette de la main tandis que dans la cheiromégalie l'augmentation
'agissait d'un malade âgé de' 36 ans qui succomba au tétanos. Les mains étaient volumineuses, grosses et trapues, à gauch
.11olseliewnilçoff' déclare être des corps hyalins. La peau de la main , notablement épaissie, présentait dans le derme d
is intéressantes à relever ici, en raison et du volume énorme de la main et de la difficulté qu'il peut y avoir à faire
re rapprochée de notre cas il est noté que les petits muscles de la main sont atrophiés tandis que la peau et le tissu c
s étaient intenses et généralisées à tous les rameaux nerveux de la main . Dans les nerfs du bras (médian, cubital), l'ex
nution de nombre des grosses et moyennes fibres, tandis que dans la main les nerfs présentaient les phénomènes de névrit
c corps granuleux. En définitive les modifications des tissus de la main dans la cheiromé- galie sont bien différentes d
le cervico-dorsale, la malade ne présentait aucune hypertrophie des mains ni des pieds, mais seulement une raré- faction
riphériques, étendues comme nous l'avons dit à tous les nerfs de la main et aussi ce fait que la cavité syringomyélique ét
nne du fémur ; de ce fait cette extrémité n'est pas accessible à la main , elle se perd dans le creux poplité. Le péroné
, comme les orteils, épais, élargis en spatule à leur extrémité. La main n'a pas l'aspect en trident- ni en éventail, ce
voilà bien, semble-t-il, des caractères nets d'achondroplasie ; les mains ne forment pas le trident, il est vrai, mais le
t consommée puisqu'il existe un rudiment du membre constitué par la main et le cordon fibreux qui en part. Il est probable
l'épiphyse inférieure ; on comprend qu'au niveau du carpe et de la main ce processus d'atrophie puisse être tel que les p
roprement dits, où l'avant-bras manque en totalité ou en partie, la main peut manquer également ou bien n'être représentée
ge ou rayon cubital. Dans la variété- type, la partie radiale de la main , 1er métacarpien et pouce existent, mais les qu
mimèles par absence de la tige ou rayon radial ; l'avant-bras et la main paraissent mieux représentés dans leur ensemble ;
êt de développement du cubitus et des parties correspondantes de la main , mais encore une déviation dans le dévelop- pem
ible qu'une petite portion de l'écorce préside aux mouvements de la main qui, en réalité, était le seul segment du mem-
ices dans la portion de l'écorce correspondant aux mouvements de la main . Quoi qu'il en soit; l'atrophie du membre n'est
nquent; en réalité seuls sont réellement absents, les muscles de la main , c'est-à-dire les muscles des éminences thénar et
ux-mêmes sont en continuité avec une palette représentant la future main , elle-même constituée de tissu moins différencié.
la future main, elle-même constituée de tissu moins différencié. Main : on peut cependant y remarquer quelques centres
ans son prolongement plus que dans celui de l'os crochu. Toute la main a une légère courbure, surtout du côté cubital.
de tissu condensé. Les cavités comprises entre les cartilages de la main ne communiquent pas entre elles et sont séparée
es scapulaires. Grand palmaire se perd dans le tissu condensé de la main , puis se fusionne avec le tissu de l'extrémité
e la 6e semaine qu'existent le carré pronateur, les mus- cles de la main ; c'est il ce moment seulement que se distinguent
onnexions que nous avons trou- vées ; au niveau du poignet et de la main , elles se perdent ou se terminent dans un tissu
ois leurs tendons infé- rieurs, distaux, et la masse centrale de la main . Les muscles du pouce sont les moins développés
ent graisseux. ' Les tendons des autres muscles des doigts et de la main s'étalent en un 412 KLIPPEL ET BOUCHET tissu
l'homme et leur fréquence rel2tive. PUECII (Paul). - Absence de la main gauche par arrêt de développement. Montpellier
at). Soubeyran. Hémimélie avee avant-bras partiel et vestiges de la main . Soc. anat. Paris, février 1902, 6 s., IV, 153-
imore, no 2. February, 28, 1902, VIII ; The Development of the Arm in Main , With 2 plates and 14 text ligures, p. 145-185.
607. (3) JUMPOLSKI, Déformation congénitale des deux pieds et d'une main . Ozasopismo lekarskie, nua 8, 1901 (polonais).
(de l'épicondyle à l'apophyse sty- loïde du radius). Longueur des mains : 18 centimètres (de l'apophyse styloïde du radiu
ie. Lisbonne, 1906. 428 J. SÉCLAS ET A\LItÉ BARRE Au niveau des mains , l'auriculaire de la main gauche surtout rappelle
J. SÉCLAS ET A\LItÉ BARRE Au niveau des mains, l'auriculaire de la main gauche surtout rappelle un peu la disposition e
rappelle un peu la disposition en trident ; l'annulaire de la même main est en retrait. Membres inférieurs : De l'épi
tant insépa- rable de la carte, au cas où l'on n'aurait pas sous la main celle-ci ou une table explicative, l'emploi de
c.), en regardant à travers les trous, du casque ou en tâtant de la main gauche passée sous celui-ci et l'on indique par
trou- vent sensiblement modifiés comme le montre la radiographie. Main gauche. -- La main gauche est un peu moins dévelo
lement modifiés comme le montre la radiographie. Main gauche. -- La main gauche est un peu moins développée que la main
. Main gauche. -- La main gauche est un peu moins développée que la main droite. Les doigts dans les mouvements d'extens
plasiques. L'annulaire et l'auriculaire s'écar- tent de l'axe de la main ; le médius s'écarte en sens contraire au niveau
ne l'articulation de la 1°° avec la 2e phalange de l'annu- laire. Main droite. - La main droite présente un très léger é
de la 1°° avec la 2e phalange de l'annu- laire. Main droite. - La main droite présente un très léger écartement de l'aur
temporaine du développement. D9an gauche courte, plus petite que la main droite. Les doigts peuvent se juxtaposer normal
que la main droite. Les doigts peuvent se juxtaposer normalement. Main droite : disposition des doigts en trident : l'in
et de l'avancement de la mandi- bule (PI. LXXXIV). Le volume des mains s'accrut au point qu'il devint impossible à la ma
gues, la plupart gâtées, et très éloignées les unes des autres. Les mains sont charnues, les doigts gros et courts et les
les caractères de la physionomie acromégalique. L'accroissement des mains et des pieds est considérable. L'examen radio-
ri- gée par une réaction légère : l'apposition de deux doigts de la main gauche derrière la tête, dans la région occipit
spasme, qui réapparaît dès que le malade fait cesser l'action de sa main gauche. C'est là, ainsi que l'a montré M. Briss
ts rapides et successifs de flexion et d'extension des doigts de la main droite. La rotation de la tête se produit surto
ras se constate facilement : si l'on soutient l'un des bras avec la main et qu'on demande de le laisser retomber inerte
tés devant un miroir, le malade étant assis, le dos non appuyé, les mains posées sur une table. Sur le miroir est tracée
l'épaule, près du cou, et parfois un fourmillement consécutif dans la main gauche. 3° En outre je suis toujours dans l'é
rester un instant sans remuer quel- que chose; il me faut porter la main sur un objet, sur mes vêtements, au visage, en
grande part dans cette aggravation ; je sens, lorsque j'applique ma main sur ce muscle, au moment où les contractions se
au contraire une sorte d'engourdissement du bras, et surtout de la main , avec tremblement à peine perceptible de celle-ci
à peine perceptible de celle-ci. Suivant l'expression commune, « la main me meurt », et il est très difficile, quelquefo
ours je ferai les mouvements avec un poids d'un kilogramme à chaque main , puis de deux kilogrammes,comme je devais le fa
'il s'accompagne d'une sensation d'engourdissement du bras et de la main du côté droit (côté du sterno-mastoïdien contract
atement après une séance d'exercices devant miroir et un livre à la main , je pourrais marcher une heure et plus sans êtr
marche. La roideur des muscles du cou augmente lorsque je porte les mains à la tête pour me moucher, me grat- ter, me lav
ant jamais de torticolis. Je n'ai pas encore mon ancienne sûreté de main ; lorsrlue je m'observe dans l'immo- bilité je
plus facile aujourd'hui qu'il y a un ou deux mois de faire avec la main droite la toilette de l'oreille gauche, de tourne
tête et du bras droit surtout, comme le port et les frictions de la main droite sur le côté gauche de la tête et la rotati
38 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n'importe par quelles mains . TOME II PARIS BUREAUX : RUE D'ANTIN, 12.
agnétisé, éprouvait un besoin irrésistible de suivre le mouvement des mains du magnétiseur. Il s’inclinait comme s’il eût vou
seur. Il s’inclinait comme s’il eût voulu saluer à chaque fois que la main passait devant sa tète. Lorsqu’il voulait résiste
lanthropique, fit porter de nouveaux fruits à l'arbre cultivé par les mains du docteur allemand ; il modifia les réservoirs o
e à Cherbourg pour se faire traiter d’une rétraction des doigts de la main . Il y a sept semaines, dans une chute où le pied
apper. Mais cette démonstra-iration -cesse aussitôt que je dirige une main dans Ja direction de sa tôle, en lui disant : «
illé, on lui fit essayer ses forces au dynamomè-« tre. Pressée par la main droite l’aiguille marquait « trente kilogrammes e
par la main droite l’aiguille marquait « trente kilogrammes et de la main gauche douze « kilogrammes. Les deux mains réunie
trente kilogrammes et de la main gauche douze « kilogrammes. Les deux mains réunies la firent mon-« 1er à trentfe et un kilog
mol actif Ici signifie levier, moteur. _tj « essaie ses forces : la main droite fait monter l'ai— « guille du dynamomètre
tre à vingt-cinq kilogrammes (un « de moins qu’avant le sommeil) ; la main gauclie (la « paralysée), à vingt-six ( quatorze
e moins de besoins. » Serait-ce, par hasard, quelques mouvements de mains qui produiraient les faits que je viens de vous s
ividus. L’un surtout éprouve de la suffocation par la direction do la main vers la région hypogastrique. Séance du 14 janv
roduit la brûlure d’un fer chaud; 2° un crayon passé sur Je dos de la main , elle accuse la douleur d’une coupure profonde, s
it dit : « Bienheureux ceux qui croiront en moi, car ils poseront les mains sur les malades, et les malades seront guéris. •
obligeai à rester ainsi jusqu’ù sept heures du matin. Les bras et les mains se couvraient de vésicules produites par l’opium.
insu, en trois minutes; 4" par « l’insufflation et en présentant les mains sur le front, « en une minute. Lo mémo effet a eu
lectrique dans l«'br*s gauche. Nous avons fixé le guéridon avec nos mains , le môme phénomène a lieu. Nous avons ensuilé tou
et son tablier, l’expérience a toujours lieu. Nous lui avons tenu les mains et les pieds : toujours le contact de ses vêlemen
0 dites. Je prendrai garde que cette jeune fille ne tombe entre des mains indignes. Déjà quelqu’un de la loea-Jité aurait o
guéridon grossier et très-pesant, je l’ai tenu for-« tement dans mes mains ; non-seulement il était re-« poussé de l’enfant,
enfant, mais aussi, en raison de la ré-« sistance, contourné dans mes mains , et toujours de «gauche à droite. . « La huche,
e sensation de piqûre, de brûlure, par son contact avec l'index de la main gauche. L’effet eut lieu en ma présence, sans con
it lieu à distance. M. le docteur Beaumont, tenant l'enfant pur les mains , ne la laissait fléchir sur la chaise que graduel
contact parla robe eut lien, lachni.se me fut violemment arrachée des mains et adhéra positivement aux jupes de l’enfant, qui
ts poétiques dont voici la terminaison : « Grand Dieu! vous dont la main puissante « De miracles sans nombre a semé l’univ
lus faibles, et allaient s’affaiblissant bientôt après avoir paru. La main de l’observateur, approchée de leur point de dépa
dans un sens opposé la tête de la jeune fille, et d’interposer notre main entre la sienne et la bougie. Ces expériences éta
et jamais nous ne pûmes empêcher qu’elle fût violemment déplacée. La main de la jeune fille aidait-elle au mouvement? en au
sé les meubles, tant son ardeur était grande ! Mais il s’aidait des mains . Jeune savant, prenez garde; vous trompez, ce n'e
le bras semi-cataleptique, et lui fait de même « ouvrir et fermer la main ad libitum. » Puis, cessant cette magnétisation l
aux, à les lire surtout, afin de pouvoir comparer les œuvres de leurs mains à celles citées par les auteurs, et se rendre ain
t les laissait retomber lourdement. Elle secouait la tête, levait les mains , les appuyait sur le lit, se levait sur son séant
uis se laissait aller à son propre poids. Elle portait de nouveau les mains sur sa tête, se frottait les cheveux et donnait u
; mais si on lui parlait, même à voix très-basse, dans le creux de la main ou sous la plante des pieds, sur le creux de l’es
ait de même si, en lui parlant toujours à voix basse, on appuyait une main sur les régions ci-dessus indiquées. Bien plus, e
le la chaîne était de quatre personnes, dont trois se tenaient par la main ; la quatrième communiquait avec la troisième par
substitua udc pression à peine sensible du bout de ses doigts sur ta main de l’interrogateur, ou bien de la première person
sait, et le jugeait aussi bien qu’aurait pu le faire le contact de la main la plus délioate. « 6° Phénomènes intellectuels
a part que certaines manœuvres habi-t les et cachées des pieds ou des mains pouvaient « avoir eue dans le fait observé. « A
tion; aussi, cette opération n’eût-clle pas réclamé le secours de mes mains , je ne crois pas que j’eusse pu me faire illusion
charlatan, il eut de plus la douleur de voir sa découverte entre des mains où il ne l’avait point remise, et enfin de se voi
eut faire se dévoile à nos yeux; encore un pas, et nous sauverons des mains de la justice des êtres qui font le mal, sans dou
avec laquelle il avait dù se coucher, et tenait un grand couteau à la main . Il alla droit à mon lit, dont il connaissait la
il connaissait la position, eut l’air de vérifier, en tâtant avec la main , si je m’y trouvais effectivement; après quoi il
e cachée : on ajoute que la baguette de noisetier s’agite entre leurs mains . Cela peut être exagéré, mais il est de fait que
reuses épreuves établirent que les baguettes qu’ils tenaient en leurs mains ne manquaient jamais de tourner. « Je remarquai
. Grimaut; et lorsque je mettais un de mes doigts dans chacune de ses mains , pendant que la baguette tournait, je sentais des
sentais des battements d’artères tout à fait extraordinaires dans ses mains ; il avait le pouls élevé comme dans une grosse l
les de la terre, au moyen d’une petite « baguette qui tourne dans vos mains . C’est difficile à « croire. Toutefois, à la rigu
peu au-dessous de la bifurcation ; on prend une des branches dans la main droite et l’autre dans la main gauche, de manière
on ; on prend une des branches dans la main droite et l’autre dans la main gauche, de manière à ce que le point de réunion,
son corps arrive sur le passage d’un cours d’eau, elle communique aux mains une contraction qui réagit sur la baguette. « P
hant d’une source il sentait dans tout sou corps, e« surtout dans sc» mains et à l’extrémité de ses doigt«, une certaine impr
r une loi pour qu’à l’avenir vous, moi, tous, nous passions entre les mains do gens qui ne savent ni se gouverner ni se guéri
e l’on ment à l'Académie; nous en avons, ma foi, plus d'une preuve en main qui pourrait vous édifier, mais nous remettons à
le, car il est écrit : Heureux ceux qui croiront, car ilsposeivnt les mains sur les malades, et les malades seront guéris. Et
s, marchez sans crainte dans la route tracée par Mesmer. Tenant d’une main ferme votre drapeau, que votre devise soit toujou
t après, s’est mis en rapport avec la somnambule par le toucher de la main . Immédiatement la somnambule a reconnu les rap-
ctères. Chacun de nous, mis en rapport avec elle par le toucher de la main , a pu se connaître s’il s’ignorait, et se convain
r toute objection. La somnambule, en recevant le manuscrit dans ses mains , l’a appliqué sur son estomac, tout en se croisan
n seul a été magnétisé par M. Berlhe, au moyen de l’application de la main pendant le sommeil de,la somnambule ; ils ont tou
e. Sur l’ordre du magnétiseur, lu somnambules’en est approchée, et sa main , après avoir été attirée machinalement par le flu
ule acquiert par la sensation, à propos du manuscrit laissé entre ses mains ; toutes ces expériences enfin m’ont paru si clai
Mettez un autre bandeau, demandez vous-méme ce que vous avez dans la main , le tour ne réussira pas et vous découvrirez la
e à’Algérien, qui fit asseoir un des enfants près de loi, lui prit la main et sembla le regarder attentivement. Cet enfant,
« N’aie pas peur, enfant ; je vais t’é-« crire quelques mots dans la main , tu y regarderas, « et voilà tout. » L’enfant s
t. » L’enfant se remit de sa frayeur, et l’Algérien lui traça dans la main un carré entremêle bizarrement de lettres et de c
. « Le silence était profond ; l’enfant avait les yeux fixés sur sa main ; la fumée s’éleva en larges flocons, répandant u
ement aux préparatifs et fixa bientôt ses regards dans le creux de sa main , sur le reflet de sa figure qu’on apercevait même
stion que de me confier le secret de l'apparition dans le creux de la main . » {La tuile nu prochain numiroJ}- CLINIQUE M
’êtkis de partir de cette ville ; mais le bien, n’importe par quelles mains ! Cette heureuse épouse a guéri son mari. Donc, s
nutieuse. Un des plus honorables armateurs de noire ville, prenant la main de Prudence, lui a demandé: « Où sommes-nous, Mad
tit morceau de papier, il traça, dessus les signes à dessiner dans la main et les lettres qui y ont rapport; puis, après un
il me le donna. En voici la copie exacte : T. u. 15 MAI 1846. 9 MAIN GAUCHE. I.ES QUATRE DOHSTS. LE BRAS. « L’Al
rt à côté de sa nouvelle épouse; et Achmed, que le papier écrit de sa main dénonça à la justice, fut arrêté et eut la tête t
n, sans qu’on puisse admettre de fraude, voient dans le creux de leur main , avec la môme facilité qu’au travers d’une lucarn
asseoir la jeune fille, il prend, entre le pouce et l’index de chaque main , les deux pouces de la somnambule, qu’il fascine
fisante. La tête acquiert un degré de chaleur fébrile, tandis que les mains et les pieds deviennent froiefê. C’est cette temp
le, sous peine de ne pas réussir dans ses expériences, en portant ses mains au front de Prudence, pratique que quelques spect
es séances, on fit, après cette première expérience, passer entre les mains de Prudence divers bijoux dont elle détermina mer
faculté. Ainsi, trois jeunes gens ont été priés de tenir entre leurs mains , l’un son portefeuille, l’autre son lorgnon et le
ême expérience est faite au moyen d’un mouchoir qu'on remet entre ses mains . Si le poids fictif dépasse certaines limites, Pr
afin de s’assurer qu’elle ne se trompe point, et remet le bouquet aux mains de la dame, disant de manière à être entendue de
ls que Daniel dans la fosse aux lions, Milon le Crotoniatepris par la main dans la fente d’un arbre et dévoré par un lion,
jamais intervenu pour ordonner l’exhumation de malades morts dans les mains de Broussais. Il est vrai que Broussais était un
il ne le peut pas, par défaut de qualités physiques, qu’il dirige une main tierce, saine et ferme, et il arrivera à la réali
la propriété des médicaments qu’il conseille au malade lui donnant la main , et il verra bientôt s’opérer le miracle ; il v
at alarmant pour les assistants, mais réellement sans danger dans des mains habiles. Séance du 4 mars. — La présence de mis
a été abandonnée par M. Aubin Gauthier. Maintenant elle est dans les mains de M. Winnen, qui en éprouve la môme action débil
vérité n'importe par quelle bouche, et le bien n'importe par quelles mains , nous faisons une large part « chacun, mais en re
uter que cet effet n’avait lieu que quand le 01 était soutenu par une main étrangère; car aussitôt que la jeune Clic touchai
chaises, tables, etc. Il semble qu'en touchant les objets de ses deux mains il s’établissait un courant de fluides opposés se
arrasser du triomphe ou de la chute de son système; il eût ouvert les mains et saisi avec avidité la fortune qui s’offrait d’
ne laissons jamais outrager la mémoire de ceux qui nous tendirent une main secourable dans les ténèbres et guidèrent nos pre
vivants, et le somnambulisme, dégagé de tout mensonge, est, dans nos mains , un scalpel autrement assuré et intelligent que c
mnambules une preuve de leur vision ; il remit, à cet effet, dans les mains d’une d’elles, un petit portefeuille porté plusie
la lumière s’obscurcit, et, comme la philosophie avait passé dans les mains des sophistes, la magic futj remplacée par la néc
oitié des Archives est remplie d’extraits d’un livre qui est dans les mains de tout le monde. Nous croyons que les pratiques
e, et tout son corps se couvre de sueur. Le magnétiseur lui place une main sur la tête et l’autre sur l'estomac en lui disan
s je pleurerai. Hâtez-vous, je suffoque. » Le magnétiseur passe les mains longitudinalement sur les membres; la somnambule
râce, je refusais, mon refus n’aura jamais rien de sérieux. Que votre main soit dirigée ici (la base du cerveau, la racine d
e n’était chargé du soin de la défense! 11 n’a plus qu’à se laver les mains et recevoir son salaire. Il peut, de cette manièr
parce qu il en ignore la vertu bienfaisante. Engage-le à promener ses mains sur tes membres roidis, sur ton abdomen gonflé, i
que ce soit un valet, un portefaix même. Crois-moi, lors môme que ses mains , scs habits exhaleraient une odeur capable de rév
produit chez certains sujets. Le médecin qui la soigne lui a mis dans main , à plusieurs reprises, des billets cachetés dont
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n'importe par quelles mains . TOME III. PARIS BUREAUX : HUE S'ANIIN, 12.
hez moi pour être magnétisée de nouveau (elle arrive s’appuyant d’une main sur un bâton et de l’autre contre les maisons).
u feu. Le lendemain, en effet, il fait venir cette femme, lui pose la main sur la tête, et en présence de beaucoup de monde
ez-vous « à côté d’elle, et, lorsque maître Robert lui imposera a les mains et l’interrogera sur la foi, saisissez-les-lui «
tout fut fait ainsi ; et lorsque le clerc eut arraché le papier de la main du moine, cette femme, interrogée comme précédemm
de procurer, par son art, que, parmi tous ceux qui tombaient sous sa main , il n’y en eùt^as un qui pût se soustraire à la n
émités qui déterminent l’homme à s’approcher de l’arbre, à étendre la main , à cueillir la pomme, enfin à la manger. Et voilà
ur du papier, fit emporter les bougies, et, prenant son malade par la main , il le conduisit auprès d'une table, lui présenta
ésenta le papier et lui remit le crayon; celui-ci passa rapidement la main gauche sur les lignes tracées par le médecin et é
Si, l'aiguille du galvanomètre étant sur le zéro, on touche avec les mains les deux extrémités du fil multiplicateur, l'aigu
alvanomètre étant sur le zéro, si on approche magnétiquement les deux mains de la cage de verre qui recouvre l’instrument, et
oite à gauche d’un certain nombre de degrés ; mais si l’on retire les mains elle se reporte rapidement de gauche à droite, et
ployer l’expression des magnétiseurs, quelques passes rapides avec la main droite de bas en haut, les pôles seront instané-r
fluide nouveau ; les trois points par lesquels il s’échappe sont les mains , l’épigastre et le front. » Ces deux communicat
i ne spécule que sur les faits que peuvent toucher et nos yeux et nos mains , est essentiellement incomplète, et, par conséque
ent pas, ne laissaient pas de tourner sur leur axe sous faction de ma main , d’un conducteur, pourvu que la moitié de leur su
on que l’on pourrait l'aire en attribuant au calorique rayonnant delà main les mouvements de l’aiguille que je viens de dire
de place. « Enfin, pour isoler l’action des yeux d’avec celle de la main , des conducteurs, ou de l’aimant comparateur, je
étique étant commune à tous ces laits doivent se reproduire entre les mains de tous. Sinon, la science et la bo\ine foi de l’
gea aussitôt vers son libérateur. Celui-ci lui présenta le plat de la main à sa sortie de l’eau, et elle sauta dessus, et el
à douze ou quinze pieds de distance, elle revint constamment dans la main qui lui était présentée; une fois môme elle remon
tourna vers lui, nagea avec rapidité, et vint encore se poser sur sa main . Curieux de connaître jusqu’où cette grenouille p
ure impossible au cheval de voir soit le fouet qu’on balance, soil la main qui en est armée, et le parfait silence de l’air,
s’aperçut qu'il avait oublié ses notes. En trouvant d’autres sous sa main qui avaient trait à l’aliénation mentale, il réso
it solitaire et avec la rêverie d’une sentinelle perdue. Tant que les mains du prophète restaient levées, Israël était vainqu
as interrompue; mais aussitôt que Moïse, fatigué, baissait un peu les mains , Amalec l’emportait; car les tribus faiblissaient
ffectéed’un rhumatisme articulaire et d’une goutte sciatique dans les mains , les genoux et les pieds, qui lui occasionnaient
ute autre, à la distance d’un demi-mètre environ, pieds joints et les mains croisées derrière le dos, oa poso son Uiblier s
ui-même les lois et de déposer les moyens de leur exécution entre les mains des chefs qu’il a choisis; c’est ce qu’on appelle
e projet de tuer son enfant. Deux fois elle s’y prépare, deux fois sa main s’y refuse; cette malheureuse mère n’échappe à la
d’un fluide nerveux, magnétique ou autre, qui agit sur l’âme comme la main sur une lyre, en ébranlant une, deux ou plusieurs
effets un bien rare se présente : la non contracture des muscles des mains , tandis que les bras et les avant-bras sont dans
érison d’ischurie obtenue en quelques minutes par l’application de la main sur l’hypogastre. Ensuite s’engage une vive dis
avec l’effroi de la douleur, qui se peignit alors sur sa figure, ses mains , qui un instant auparavant paraissaient privées d
également à chaque partie du corps prise séparément : ainsi, dans une main , le pouce et l’index participent à un pôle, le pe
e d’un individu sans modifier son état de santé. En effet, posez la main sur la tête d’un individu en bonne santé, même à
s sans ressentir des douleurs de tête proportionnées au temps que les mains seront restées stationnaires. Cette vérité se dém
tablit toujours un pôle insolite qui occasionne de la douleur sous la main ou dans un« autre partie du corps formant le pôle
chaque partie du corps prise séparément : ainsi, dans un pied ou une main , le pouce et l’index participent ù un pôle; le pe
nétiseurs, qui ont éprouvé que les effets magnétiques produits par la main droite différaient de ceux produits par la main g
iques produits par la main droite différaient de ceux produits par la main gauche. L’honorable M. Deleute, observateur judic
nombreuses expériences, cette différence d’effet, par exemple que la main gauche avait une propriété tendant à calmer et àr
t àrafraîchir très-favorable dans les cas d’irritation, tandis que la main droite avait une propriété contraire qui tendait
simple observation, que l’usage que l’on fait plus généralement de la main droite que de la main gauche semble indiquer autr
e l’usage que l’on fait plus généralement de la main droite que de la main gauche semble indiquer autre chose qu’une habitud
ne loi, l’homme primitif devant être aussi fort et aussi adroit d’une main que de l’autre. Cependant, de temps immémorial, l
ne main que de l’autre. Cependant, de temps immémorial, l’usage de la main droite semble avoir prévalu ; cela ne serait-il p
a loi de polarité, et ne serait-ce pas à la nature de son pôle que la main droite devrait l’excès de force et d’adresse qu’e
la main droite devrait l’excès de force et d’adresse qu’elle a sur la main gauche, et même que le côté droit acquerrait plus
Bueaille étant dans une de scs extases, il lui mit une lettre dans la main , au sujet de la femme d’un de ses amis, qui était
porte encore que, pendant une de ses extases, lui ayant mis entre les mains un billet cacheté dans lequel un homme demandait
en ces états que lorsque le Père Gérard l’approchait, lui posait une main sur la poitrine ; alors scs esprits s’embrouillai
. Je continue mon action sur ces points. 11 semble à la malade que ma main , éloignée d’un pied, presse fortement les parties
ur lesquelles elle est dirigée. Plusieurs fois elle s'assure que ma main ne s’y appuie réellement pas. A la fin de cette
plus que jamais* Mon premier soin est de la replacer. Pour cela, la main posée sur le ventre à la région ombilicale, je 1
au et dégage fortement par les jambes ; de temps à autre, je pose mes mains sur les tempes pour maîtriser la folie, puis je m
résolutions; pour maintenir les unes et les autres, il faut mettre la main à l’oeuvre. « Soit que nous rétablissions sur d
mpatissant aux maux du genre humain, su calmer, guérir;en imposant la main , animer le mourant! Grâce à ce Prométhéc, n croit
aisait pour se précipiter à terre ou contre la muraille, je plaçai ma main droite à quelques pouces de son épigastre, et je
son gouvernement; 3" La connaissance de la structure du corps bu- main et du mécanisme de ses fonctions, comme aussi cel
’une sensibilité extrême, line goutte d’eau magnétisée déposée sur sa main le plonge dans un coma profond. Ensuite, M. d
ent sur lui leurs effets toxiques; mais si on lui met de l’or dans la main , et que l’on touche seulement son magnétiseur ave
de la célébrité. » Voilà un gouvernement paternel qui n’v vu pas de main morte. Les novateurs doivent y regarder à deux fo
ait trouver dans leurs retraites, où ils guérissaient en imposant les mains . Il faudrait aussi accuser la mère qui presse son
l’avenir, jouent aux cartes les yeux bandés, et tendent en sortant la main pour recevoir leur salaire. Courant les foires, i
yez-vous pas, au contraire, des guérisons éclatantes se faire par des mains désintéressées, par deshommesqui, se considérant
e allant pour mettre un chaudron sur le feu, l’anse lui resta dans la main , les oreilles s’étant rompues. La même fille al
nt aussitôt. Eu entrant, ils virent celle femme assise, tenant à la main un mouchoir qu’elle ourlait dans l’obscurité, et
uge qui a ses racines en vous. Il lui commande comme je commande à ma main , à qui je dis : « Baisse-toi, » et elle se baisse
pensée publique, sur des points dont tous les éléments sont dans vos mains ? Vous ne me répondez pas, et je sais bien pourquo
ce elle-même y a renoncé, parce qu’en s’y liant, au lieu de mettre la main sur les coupables, elle l’aurait mise sur les inn
x! Le magnétisme, celte riche découverte, va désormais pusscr par des mains bénies; elle aura pour apôtres ceux qui ont si bi
arurh alhon Adonai, dit à Cla-« risse la personne dont elle tenait la main . — Je « vous entends bien, répondit la somnambule
ru. Ma somnambule, mise en rapport avec cette dame, en abandonna la main au bout de deux minutes, disant que son pouls éta
u, sa marche n’en esl que plus rapide; semblable au coursier dont une main puissante comprime l’élan, son ardeur s’augmento
souffrance, se lève tout à coup, elle étend les bras en crispant les mains , les traits de sa figure se contractent, son rega
secourir, on la relève ; mais la crise continuant, elle s’échappe des mains qui la soutiennent et se roule de nouveau sur le
39 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
cer du sein « tend à admettre les localisations segmentairespour la main , l'avant- bras, le pied et la jambe, tandis que
le radial qui donne le mouvement à un seul muscle de ce segment (la main ), à l'abducteur du pouce, a un noyau différent
Neef, réciproquement aux muscles de l'épaule, de Pavant-bras, de la main , pour Marinesco et Parhon réciproquement aux mu
es deux bandes externes des bras signalées plus haut, mais aussi la main ; toutefois il respecte nettement une bande int
syphilis. A )'age de 23 ans, elle voit appa- raître une gêne de la main droite avec amaigrissement de cette main et de lé
ppa- raître une gêne de la main droite avec amaigrissement de cette main et de lé- gères douleurs lancinantes au niveau
de l'épaule. L'affection progresse lente- ment. En janvier 1902, la main droite est très amaigrie, le pouce un peu écarté,
ant d'unecertaine maladresse dans les mouve- ments des doigts de la main gauche; et on aperçoit déjà un amaigrissement des
ATHIQUES 11 Les troubles sensitifs occupent la moitié interne de la main , de l'avant-bras et du bras (Planche II). La li
e l'avant-bras avec le retour des mouve- ments physiologiques de la main avai l entièrement disparu dans les muscles del
des mêmes parties se fait normalement. Tous les mou- vements de la main et des doigts existent. » Il paraît donc assez vr
te des muscles de l'éminence thénar et du premier interosseux de la main droite. Cette atrophie était due à un foyer de
segment médul- laire aurait entraîné une atrophie segmentaire de la main . Ce raisonne- ment est spécieux. Les recherches
Bruniche mentionne la paralysie des extenseurs et supinateurs de la main et môme celle des interosseux.Sans être impossi
trer la grande rareté de la paralysie par- tielle des muscles de la main , c'est que les déformations consécutives ne s'y
fléchisseurs des doigts, les pal- maires et le rond pronateur; à la main , les divers muscles des éminences thénar et hyp
très atrophiés et ont perdu pres- que complètement leur action. La main , dans son attitude habituelle, est tenue eu abd
; il peut seulement être très légèrement porté en adduction vers la main , en même temps que sa deuxième phalange est faibl
, sai- sissant l'avant-bras, on l'agite vivement en divers sens, la main ballotte et suit passivement l'impulsion donnée
vers sens, la main ballotte et suit passivement l'impulsion donnée ( main de polichinelle) ; la paralysie est flasque, sa
de sternale de 50 cinq. ; électrode diffé- rente de 1 cmq. pour les mains et de 5 cmq. pour les musles des autres ré- gio
our les os du bras et de l'avant-bras, très manifeste du côté de la main . 20 CESTAN ET HUET Les mensurations que nous
eps, le Grand Dentelé ; et la 7/7" cervicale les Exten- seurs de la main ; à la VIIIe cervicale, les Fléchisseurs. Eding
ceps ; et la VIP la longue portion du Triceps, les Extenseurs de la main , le Grand Pectoral (chef costal) ; à la Vllle,
e Grand Pectoral (chef costal) ; à la Vllle, les Fléchisseurs de la main , à la Il' Dorsale, les petits muscles des mains
s Fléchisseurs de la main, à la Il' Dorsale, les petits muscles des mains . En d'autres termes, Thornburn rattache le Grand
z lui en effet, nous constatons une atrophie des petits muscles des mains , des fléchisseurs, des palmaires, des cubitaux,
hie des autres muscles de l'avant- bras et des petits muscles de la main . - Nous rapprocherons de l'observation précéden
; mais la plupart des muscles de l'avant-bras et les muscles de la main sont restés paralysés et se sont notablement atro
ond des doigts, cubital antérieur, et dans les divers muscles de la main , la motilité volontaire est à peu près nulle, les
est complètement flasque, et lorsqu'elle est agitée passivement la main suit en tous sens l'impulsion donnée. Dans tous l
fondre la disposition segmentaire et la disposition radiculaire. La main en effet ne constitue-t-ellepas un seg- ment, e
Elle reste étendue dans son lit ; elle soulève ses cuisses avec ses mains pour tenir ses jambes en demi-flexion, cette posi
e peut lutter contre l'immobi- lisation de l'épaule saisie à pleine main . Les muscles abdominaux sont impuissants. Si on
de l'avant-bras s'opèrent assez bien. Enfin tous les mouvements de la main et des doigts sont conservés ; quoique plus fai
be sur la cuisse sont très faibles, la malade doit se servir de ses mains pour relever les cuisses et mettre les jambes e
es; gauche, 15. Haut-bras, droit, 16 centimètres ; gauche, 17. La main est à peu près normale. Les mouvements exécutés p
re. Mais une différence aussi considérable existe également dans la main . On sait que la myopathie est caractérisée par
iques, myopathiques et neurotiques) les déformations, telles que la main en griffe, sont dues à l'action prédomi- nante
iné tous les muscles de l'épaule, du bras, de l'avant-bras et de la main un à un avec le plus grand soin et il n'a pas p
cet à peu près, nous avons, il me semble, la preuve absolue sous la main , comme quoi le piétinement sur place de notre m
nomène est surtout marqué aux fléchisseurs de l'avant-bras et de la main , quand le malade ferme le poignet, principalement
ulnaris et des fléchisseurs des derniers doigts ; la flexion de la main seule, accompagnée d'une tension des muscles du b
'état de repos plus tard que les autres. La force de la flexion des mains est fort dimi- nuée ; à la main droite 18 kilog
autres. La force de la flexion des mains est fort dimi- nuée ; à la main droite 18 kilogrammes, à la gauche : 15 (d'après
palement les fléchisseurs, sont atrophiés ; le volume des muscles des mains est diminué symétriquement, si on n'en compte p
e Saint l3erlarcl exorcisant une pos- sédée. Le saint tient d'une main le livre des exorcismes, et de l'autre fait le
semble écarter le dé- mon voltigeant. La Possédée, les bras et les mains inertes, semble plutôt s'effondrer que se débat
es raisons de le croire, ces peintures sont au- thentiquement de la main de Giotto, le Désespoir et la Colère peuvent être
e trouve un Possédé dont le bras est fortement contor- sionné et la main manifestement en contracture. On peut voir égal
l'enfant à l'hôpital. La mère n'a pas remarqué que la figure ou les mains de sa fillette se soient oedématiées, ni que sa v
ELLE Iconographie de la Salpêtrière, T. XV, PI. XV RADIOGRAPHIE DES MAINS D'UNE INFANTILE (Type Lor,tin et type Brissaud
ements choréiformes, des sueurs, surtout au niveau des pieds et des mains ; pas de tremblement. On suspend le traitement pen
sence des muscles pectoraux et l'existence d'une malformation de la main , du côté droit. Et en l'interrogeant j'apprends
dent, les parents remarquèrent la petitesse et la déformation de la main droite. Sa mère incrimina une vive émotion, épr
s plus après qu'avant cette constatation, il n'en fut incommodé. Sa main droite seule le gênant dans l'accomplissement de
son métier vers (le douze ans, se servant presque aussi bien de la main droite que de la gauche pour manier son pinceau.
ées au niveau du thorax. Voyons mainte- nant celles que présente la main droite. - A noter, en passant, que le bras et P
hie il y avait, elle serait légère et réflexe (mal- formation de la main ). Les réflexes tendineux sont normaux. La main
l- formation de la main). Les réflexes tendineux sont normaux. La main droite est arrêtée dans son développement (PI. XV
(PI. XVII). Elle est beau- coup plus petite et plus étroite que la main gauche. Son périmètre,mesuré au ni- veau de la
r Témoin. La radiogra- phie (Pl.XVII) représente le squelette de la main droite. Pas d'autres anomalies à signaler. Le
me nage, grimpe aux arbres et à la corde à noeuds avec facilité. La main droite seule le gêne, et cela se conçoit, pour l'
ifficile de faire du trapèze, et impossible de tirer au fusil de la main droite, parce qu'il ne peut bien saisir la barre
chette. Mais il fait de la gymnastique et tire convenablement de la main gauche. L'examen électrique, pratiqué par M. le
NITALE DES MUSCLES GRAND ET PETIT PECTORAUX DROITS Photographie des mains . - Radiographie de la mam droite. ABSENCE CONGÉ
ce des pectoraux. L'arrêt de développement et la malformation de la main droite entravent seuls l'exécution de certains ac
'absence des pectoraux se complique de malfor- mations graves de la main droite.La mise en réforme me semble s'imposer,
e s'imposer, étant donné que cet homme ne peut tirer au fusil de la main droite. On pourrait toutefois le verser dans un
ée. D'autre part, la co- existence fréquente de malformations de la main corrobore celle opi- nion. Tentchoff a relevé u
de cas de syndactylie, sans compter les autres malformations de la main . Tous ces faits parlent pour l'origine périphér
nférieurs dans un appareil plâtré améliorait l'état des bras et des mains . Comment expliquer cette améliora- tion, sinon
s sont en état de rigidité spastique avec athétose des pieds et des mains et les réactions électriques, les réflexes sont p
ssi posé sur telle chose ; on dit au malade, par exemple : « posez la main sur la table, et posez la paume en dessus ». Le
e nous-même les sent et les localise en nous. Ce qui se passe en ma main est subjectif puisque ma main fait partie de mon
calise en nous. Ce qui se passe en ma main est subjectif puisque ma main fait partie de mon moi or- ganique ; c'est auss
s atti- tudes segmentaires successivement sur les cinq doigts de ma main , j'éprouve une double sensation. D'abord chacun
s desdira, Ne n'en dira ne plus ne maius Je me met dou tot en voz mains . Et Noble fait une peinture très vive des maux
t jeune homme. Près d'eux un tout jeune garçon tient également à la main un urinai de moindre dimension (fig. 1). La pag
au XV` siècle, les médecins représentés très souvent l'urinai à la main . Dans ses très intéressants volumes consacrés a
du XV, siècle et représentant des médecins figurés l'u- rinai à la main . Une gravure de la Danse macabre, de G. de Manu
'Anne de Bretagne.) \Inssoa Li' CIC, Éditeurs LES UROLOGUES 191 main gauche un vase demi-plein qui n'est autre que l'u
el il disserte scientifiquement ainsi que l'indique son geste de la main droite'. Le livre de Mathéolus (1492) montre, d
lle par une ceinture à laquelle pend une escarcelle. Il tient de la main gauche un panier d'osier avec anse, d'où émerge l
voit un médecin à longue robe exa- miner l'urinai qu'il élève de la main gauche. Je citerai ici une quatrième gravure d'
et (fig. 2). Largement drapé dans sa longue robe qu'il relève d'une main ,un médecin d'aspect patriarcal élève de l'autre
l relève d'une main,un médecin d'aspect patriarcal élève de l'autre main l'urinai à demi rempli. Près de lui une vieille,
t qui était en même temps chanoine de Saint-Quentin. Il élève de la main gauche le vase à urines,, l'urinal, symbole de
vase à urines,, l'urinal, symbole de la profession, pendant que la main droite fait le geste 192 PAUL RICHER de la dé
ec simple collet et parements de fourrure marron. 11 tient des deux mains un pot de faïence à décors bleus qui n'est autre
es « Danses des morts » le médecin est souvent figuré l'urinai à la main . Nous avons déjà signalé le médecin de la « Danse
médecin absorbé dans la contemplation de l'urinai qu'il élève de la main droite et ne prêtant aucune attention à la mort g
uvert, se retourne pour re- cevoir les visiteurs, et prendre, de la main même de la mort, un volumi- neux urinal à demi
t coiffée et vêtue, le sein droit découvert. Elle feuillette, de la main droite, un livre supporté par un petit lutrin s
orté par un petit lutrin sur lequel est sculpté un squelette. De la main gauche, elle soulève avec une pince les replis
lit et il écrit. Assis près de la table, un livre entr'ouvert d'une main , il lient de l'autre l'urinai qui pour lui n'a pl
OGUES 197 rière la table, une vieille femme, un panier au bras, les mains sous le ta- blier, un chapeau de paille sur la
me attend la décision du docteur tout en pleurant, la tête dans ses mains (PI. XXIII). L'industrie des médecins urologues
qu'on vient de lui apporter et dont il tient encore le panier de la main gauche. Que voit-il dans les ondes de la liqueu
quelle on voit un livre ouvert, des fioles, une lampe. Il tient à la main (1) Le Dr Meige a donné la reproduction de ce t
le timide, craintive, embarrassée, tenant t un pli de sa robe de la main gauche, et près d'elle une femme d'âge, la mère
la mère elle-même ou une commère du voisinage qui, unebouteilleà la main , indique d'un geste énergique qu'on entrera che
re pas entièrement de sa faute si la cruche qu'elle tient entre ses mains est fêlée. La mère, en effet, est furieuse, ell
sa femme aurait remarqué qu'il ne pouvait tenir aucun objet dans la main droite, il lâchait im- médiatement ceux qu'il a
orsqu'on le pique du côté droit il ne fait de mouvements qu'avec la main gauche. 11. Le malade est dans le coma complet.
est égale des deux côtés, mais est peut-être diminuée (dynamomètre, main droite 9 kilog., main gauche 9 ki- log.) ; égal
és, mais est peut-être diminuée (dynamomètre, main droite 9 kilog., main gauche 9 ki- log.) ; également des deux côtés ;
vident du membre supérieur droit ; le malade serre moins fort de la main droite que de la main gauche : il se tient diffic
ieur droit ; le malade serre moins fort de la main droite que de la main gauche : il se tient difficilement sur les jambes
us les mouvements sont possibles, mais ils se font sans énergie, la main peut à peine serrer et le malade n'oppose qu'une
on générale, sauf quant à la tête et quant aux extrémités (les deux mains et le pied droit) était normale. Pendant les fk
ité de la face méninge. Meningo-encéphalocèle. B. Face palmaire des mains . C. Face dorsale des mains. (Ha1lsbl11ler et
go-encéphalocèle. B. Face palmaire des mains. C. Face dorsale des mains . (Ha1lsbl11ler et l3rinrel). MONSTRUOSITÉ RAR
'orteil se voit un petit ongle. Les 4° et 5e doigts sont normaux. Main droite- (PI. XXVII, fig. B et C). Au pouce et à l
phalange par un sillon profond. L'auriculaire est bien conformé. Main gauche (Pl. XXVII, fig. B et C). Elle est, dans s
A l'extrémité de la masse totale, on voit sur le bord cubital de la main un auriculaire assez bien conformé (fig. B) sép
un auriculaire assez bien conformé (fig. B) séparé du moignon de la main par 224 4 UAUSHALTER ET BRIQUEL un sillon pro
squ'à presque contact (fig. B) sur ce qui représente la paume de la main , et ne s'en laissant pas relever. Cet appendice e
culaire ci- dessus décrit) 3 phalanges inclinées sur la paume de la main par le fait même des adhérences, et corresponda
Ces 3 phalanges convergent l'une vers l'autre et vers la paume de la main , pour se fusionner en une masse confuse, comme
sue précédemment décrite. Dans la masse molle, du côté radial de la main , on sent la phalange du pouce, contenue dans un
t à un arrêt de développement de la face, et à des déformations des mains , des pieds, du cerveau et du crâne; la déformat
ides amniotiques ; les sillons, les bourrelets qui défigu- rent les mains , la présence dans un de ces sillons d'un fragment
fait analogue à celui que nous avons observé, les malformations des mains , de la face, et un volumineux encéphalocèle ant
bes, appuie la tête sur l'épaule gauche, il tient sa chaise à .deux mains et fait semblant.de s'y cramponner (Pl. XXX). En
.de s'y cramponner (Pl. XXX). En réa- lité il s'appuie sur les deux mains pour se soulever et empêcher le siège d'appuyer
er sur la chaise. En même temps, la sueur lui vient au front et aux mains et dans quelques cas on voit de grosses gouttes q
es courbes p[4tys'nographiques des deux sujels. Sur les deux sujets main droite. A. Courbe du pouls capillaire de Liao-S
ET VURPAS LA VIE BIOLOGIQUE D'UR XIPHOPAGE 2o7 l'exploration à la main permet également de formuler une conclusion qui n
e de Liao-Toun- Chen. VI Nous avons pris la respiration avec la main et nous avons fait des re- cherches expérimenta
chez lesquelles le segment basilaire du membre s'étant atrophié, la main ou le pied s'in- UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE A
s) est plus ou moins atrophié, le moignon portant un rudiment de la main ou du pied. C'est évidemment cette disposition qu
ême son propre nom, même lorsqu'il avait écrit son nom de sa propre main . Il n'y a rien à ajouter. C'est bien de cécité
olition des réflexes tendineux. Atro- phie des petits muscles de la main . Sensibilité à peu près normale. Troubles sphin
arfois les mets qu'on lui sert. Un matin, on le trouve une canne à la main , s'escrimant contre le mur. Son chef de travail
ient et veut l'em- mener ; il s'avance sur lui avec un couteau à la main . C'est à la suite de cette scène qu'il est de n
de mouvements provoqués. Dès que l'on fait le geste d'approcher la main de lui, avant même qu'on l'ait touché, on voit
it encore plus dès qu'il voit que l'on fait le geste d'approcher la main . On réussit plus facilement en mobilisant douceme
Une autre fois le malade tire spontanément son mouchoir et lève la main pour se moucher. Il suffit de lui dire : « Tien
il mangeait, il s'arrête dans l'attitude du moment, la cuiller à la main , la bouche ouverte, fixe et raide. A côté de ce
de vieux journaux qu'il conserve précieusement. Il a toujours à la main un journal plié ; parfois il le tient devant se
e, le long de la grille du quartier, son vêtement ouvert, et les deux mains dans ses poches. 342 SÉGLAS Ne manifeste pa
, I). L'hiver il reste assis au pied de son lit, la tête basse, les mains sur les genoux, sans faire le moindre;mouvement p
eux jambes, des deux dernières phalanges de l'index du médius de la main gauche. Pendant leur évolution, à l'âge de 20 a
re d'entre elles, une mutilation des doigts (médius et index) de la main gauche et enfin, pour que la similitude soit to
ntion sont des mutilations spontanées de l'index et du médius de la main gauche et la présence d'exostoses sur différent
nt au niveau des troisièmes phalanges de l'index et du médius de la main gauche. La peau s'ulcère peu peu à leur niveau.
e iliaque, sur les côtes, sur les clavi- cules, sur les os des deux mains (métacarpiens et phalanges), sur l'extrémité in
eurs aucune déviation, scoliotique ou autre (fiez. 2). Quant à la main gauche, où se sont produites les amputations spon
e quelques vestiges de l'ongle (PI. XLVI). La radiographie de cette main est des plus démonstratives au point de vue des
une disparition du péroné gauche, des amputations spontanées de la main gauche, nous avons été amenés à étudier avec so
quel- ques-unes se sont accompagnées de suppuration, présentant une main de Morvanetdes troubles de la sensibilité carac
'il faut attribuer la résorption des pha- ' langes des doigts de la main gauche, qui s'est produite il y a dix mois ? Au
troubles trophiques du système osseux. n Toutefois, malgré cette main de Morvan, malgré ces lésions du sque- lette, n
submersion. « L'auguste Hono Sousori se mit tout nu et souilla ses mains et son visage avec une boue rougeâtre, puis il
atteignit sa ceinture, il tourna sur lui-même, ensuite il plaça les mains sur sa poitrine, lorsque la mer atteignit ses ais
s aisselles, et enfin lors- qu'elle atteignit son cou, il agita les mains (1). » Les danses d'Oudzoumé et d'IIono-Sousori
costumé en vieux prêtre s'avance sur la scène, et, l'éventail à la main , exécute un pas rythmé accompagné par le chant pl
ernier service, celui de vous trancher le cou avec le sabre à deu'x mains quand, ayant suffisamment saigné et débridé la
uit pour tuer le jeune homme, ils le trouvèrent debout, le sabre en main ; le premier qui rentra eut la têle coupée, et
entendant le bruit, sauta de sa chaise à porteurs, le poignard à la main . et aida le jeune héros à mettre en fuite ses d
renards que, lorsqu'ils voient paraître leur maître, te- nant à la main , un pot de saké, récompense et rafraîchissement a
laquelle il attache un prix inestimable et appuie, avec orgueil, sa main sur un bâton de bambou qui vaut plus à ses yeux q
un caractère soigneusement dé- veloppé. Nous n'avons pas entre les mains l'admirable observation d'un Hamlel, d'un Lear,
trine ; les avant-bras sont reportés en avant, en demi-flexion, les mains ont l'attitude classique du parkinsonien ; le p
re de la hanche cède assez facilement sous la simple pression de la main . En dernier lieu s'installe un torticolis cloni
ncrier ; des petits mouvements latéraux détournent tout le temps la main de sa direction primitive. Le résultat est à pe
ur empêcher la tête de se pencher à droite, le malade se sert de sa main gauche appuyée à gauche, ce qui devrait augmenter
la tête à gauche. Vig. est obligé, pour la redresser, d'appuyer la main sur le menton, ou sur la joue; les tiraille- me
de normale peut être obtenue par la volonté seule, ou l'appui de la main , mais pendant un instant seulement.Pour redresser
seulement.Pour redresser la tête, déviée à droite, Vig. applique sa main gauche sur la joue gauche, ce qui paraît illogiqu
bres supérieurs. - La force est conservée dans les bras et dans les mains , le dynamomètre donne 90° à droite et 85° à gauch
s, le dynamomètre donne 90° à droite et 85° à gauche. Le bras et la main droits accomplissent, avec aisauce, les mouvement
t l'index fléchis, ainsi que les autres doigts, dans la paume de la main qui s'appuie fortement sur le papier. L'écritur
es, surtout ceux des majuscules, sont formés de lignes brisées. A main levée, l'écriture est à peu près impossible. Les
ites oscilla- tions latérales ; elles s'exagèrent si l'on charge la main d'un poids ; ces oscilla- tions cessent, dès qu
mobiliser, le coude gauche appuyé sur la cuisse, l'assiette dans la main gauche qui tient aussi le pain. Dans cette posi
position, le bras est immobile, mais l'avant-bras remue encore. La main droite porte la fourchette à la bouche sans malad
es membres inférieurs. . Station. Il se lève sans le secours de ses mains , et peut rester debout, les pieds rapprochés et
quelques faux pas de côté. Le bras gauche est en demi-flexion, la main en pronation, on y remarque, comme pour les mem
entent leur contraction minima entre 2 et 5 MA. Quand on explore la main , on voit apparaître, par propagation du courant,
de la jambe à 9 centimètres et 11 centimètres. Quand on explore la main , il se produit, comme au galvanique, des contrac-
u faradique ; des contractions ondulatoires, quand un pôle est à la main , l'autre à la racine du membre ; ces ondulations
roubles de la coordination des mouvemenls complexes des jambes, des mains ,des muscles de la face, l'occasion de fonctions d
s une bonne gravure sur acier, est le célèbre : Jules Pippi dit Ro- main , ou Jules Romain (1499-ils40), peintre et archite
ui inspecte un vase de verre à demi plein d'urine qu'il lient de la main droite. En face de lui,une femme dra- pée à la
orbé dans l'examen de l'urine, vers le malade qu'il indique avec la main droite tendue vers le côté opposé du tableau. D
étendu dans un lit somptueux un malade qui cache sa figure dans ses mains . Le drap ramené sur les cuisses laisse entièrem
uer une troisième ventouse avec le goblet de verre qu'il tient à la main , pendant que deux adolescents à côté de lui tienn
au chevet du lit, chargée de maintenir le malade et pose une de ses mains sur son dos ; une autre femme, probablement l'é
vu plu- sieurs. Après une sensation de picotement qui débute par la main droite et remonte le long du bras, la malade po
moins longue, sur la partie supérieure de laquelle il s'appuie de la main droite, s'en servant comme d'une canne. L'inc
alléolaire, 24 cent.), on ne constate d'élargissement notable. La main est très grande (ng.1) : si on la compare à la ma
ent notable. La main est très grande (ng.1) : si on la compare à la main d'un individu nor- mal, on s'aperçoit qu'il s'a
ed est volumineux (lig. 2), sans être CLICHÉ INFROIT rig. 1. - La main du géant Charles comparée avec la main d'un adult
CLICHÉ INFROIT rig. 1. - La main du géant Charles comparée avec la main d'un adulte normal. NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA. S
VII GIGANTISME ET INFANTILISME (P. E. Launoh el Pierre Roy). La main du géant Charles (Persistance Lige de ;o ans de
NFANTILISME 553 Marinesco, par exemple, dans ses recherches sur les mains acromégali- ques,a rapproché et comparé les rés
à forme géante, chez laquelle l'affection avait débuté à 25 ans, la main était plus longue et moins grosse; la diaphyse
moins accrus proportionnellement que les segments distaux. 4° La main et le pied sont un peu moins accrus que le segmen
hez elle la taille disproportionnée et la forme particulière de ses mains et de la mâchoire inférieure. Les mesures d'aille
férieure. Les mesures d'ailleurs confirmèrent cette impression ; la main , au lieu d'être d'accord avec les canons artist
La peau, pâle au visage, brune sur les avant-bras et la paume de la main , présente une consistance normale, en dehors de
allongement porte sur tout le membre, mais est frappant surtout aux mains , qui semblent dispro- portionnées relativement
as propor- tionnel sur tous les os : ainsi l'axe longitudinal de la main est incliné vers le bord radial de l'avant-bras
ance du radius était restée en retard de celle du cubitus. Les deux mains sout très grandes, surtout très longues ; la fo
typique, ni l'hypertrophie disproportionnée et caractéristique des mains et des pieds, ni la cyphose cervico-dorsale, et
semblé petite, sur- montant un aussi grand corps ; ses pieds et ses mains sont énormes, est vrai, mais leur développement
conférence = 1 m. 015 en 1899 ; 1 m. 040 en 1902) ; la longueur des mains s'est accrue (de 233 à 243 mm.) ; enfin la tête
le laissait monter jusqu'en haut du talus ; arrivé là d'invisibles mains le faisaient trébucher et le jetaient parmi les
de gwin ardent dans sa poche, ou bien avec un paquet de crêpes à la main ; malheur à celui qui a le gousset trop bien garn
s un dessin de 1411llinton Sur 'celte dernière image l'énormité des mains est remar- quable; par contre les pieds sont pe
ré dans l : llhestcation, : 6 juillet' 184 5, en tambour-major' ; ses mains (42 centimètres) et ses pieds sont énormes. r
'acromégalie. Si l'on peut admettre à la rigueur que l'énormité des mains et des pieds soit passée inaperçue ou que les a
glabre, fluet et pâle. Souvent, David est figuré seul tenant à la main , ou foulant aux pieds la tête de son gigantesqu
e peu idéalisées. On est particulièrement frappé des dimensions des mains , qui semblent énormes, par rapport au reste du
au géant de planter en terre le tronc de palmier qu'il tenait à la main ; le lendemain le palmier était couvert de feuill
t une rivière dont l'eau atteint à peine sa cheville. Il tient à la main , en guise de bâton, un tronc de palmier ou une gr
nt Cristophe apparaît là, presque nu, gigantesque et herculéen. Ses mains et ses pieds sont plutôt de petites proportions ;
un jour ou l'autre. Dans la même chapelle, une autre fresque de la main d'ANSUINO DA Fonr.i, représente la Prédication
nique et d'un large manteau, se tient debout à droite, tenant de la main gauche son tronc de palmier. Ses jambes sont nu
re disproportionnés dans leur lon- gueur sont mastocs, carrés ; les mains n'ont rien d'excessif. Mais le visage est intér
lusieurs saints dont saint Cristophe barbu tenant son palmier de la main droite et soute- nant de la gauche le Bambino à
40 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
vérité, n’importe par quelle bouche; / le bien, n’importe par quelles mains . TOME QUINZIÈME. PARIS. BUREAUX; RUE DE BEA
t que c’était un dépôt sacré qui ne pouvait être mis en de meilleures mains qu’en celles des érudits et des savants. Ainsi,
enouiller devant le chef et baiser la terre : celui-ci lui imposa les mains comme pour lui donner sa bénédiction, et lui dit
e quitta son manteau, sa fourrure de poil de chèvre, et prenant de la main d’un de ses confrères un long poignard dont le ma
deux ouvertures de la plaie, et je ne pus retenir un mouvement de la main pour faire cesser cette scène horrible. — Madame
m’effraya; il était armé d’un grand sabre recourbé qu’il prit à deux mains par les deux extrémités, et s’en étant appliqué l
e et embarrassée. Qu’était cela? Mes yeux n’avaient-ils point vu, mes mains n’avaient-elles pas touché? J’avais beau me rappe
ari qu’elle a une fausse natte, et que la mèche qu’il tient entre les mains appartient à M“' Jolipointe, qui se trouve pour l
iera les 10,000 dollars qu’il offre. S’il dépose la somme entre les mains du professeur Hare, du juge Edmonds ou d’un banqu
cation, et je dois ajouter que c’est sans connaître en rien ce que sa main écrivait qu’il lut lui-même, à sa grande surprise
jeune fille était en crise, et cclle-ci, au moment où il y portait la main , l’appela par son nom de l’autre chambre, lui dis
des effets surprenants que nous n’obtenons pas en Europe ; il y a des mains qui vous touchent, des lettres qui vous sont remi
rminé des combinaisons chimiques qui se refusaient à s’opérer dans la main de ses élèves. v Les anciens étaient plus près
e nous les diatribes et la polémique, serrons-nous fraternellement la main et unissons nos lumières et nos œuvres pour le pl
int de polémique, point de diatribes; serrons-nous fraternellement la main , loyaux magnétiseurs, et rappelons-nous que l’uni
du vin produit l’ivresse ; il faudrait déchirer les chapons avec les mains , attendu qu’avec les couteaux et les fourchettes
pouvait croire que son éducation se ferait rapidement, confiée à des mains habiles. Mais arriva la tourmente de 89, et la pa
oubliée dans le bouleversement général, se trouva recueillie par des mains pieuses et dévouées, mais en général peu savantes
. Je venais d’approcher mon guéridon, sur lequel j’avais apposé les mains . — Ah ! ah ! voilà le monsieur! Voyons, qu’il n
"c L*** et moi nous parvenions ainsi, par l’apposition momentanée des mains sur le chapiteau de la pendule du salon, à suspen
multipliant ses gentillesses, conquérait l’admiration générale. A la main fermée d’un prélat, qui s’était présentée sous ce
vigueur stupéfiante. Le nombre quatre avait deviné juste. Une seconde main s’était empressée de suivre la première, en formu
ndant de définir ce qu'était la chose qu'elle lui remettait entre les mains . c Alexis accusa aussitôt trois pièces de 5 fr.
eur duquel était écrit un mot formé de quatre lettres; et, prenant la main de la dame, h l'effet de s'assimiler sa pensée, i
in de Venise que, peu (fimtants auparavant, il lai avait va entre les mains . Alexia subissait cette influence de pensée par r
ux camarade, mon successeur n’eut pas, une minute ou deux, promené sa main , riche d’une pléthore nutritive,queM'-'B***, endo
; pourtant, cette fois, avec l’attention de se laisser choir dans ma main droite. Nous nous empressâmes de constater la sit
ez ostensiblement, elle réclame ma coopération. J’applique une de mes mains sur le meuble, sans toucher celles de l’évocatric
lques minutes de communication silencieuse où le consultant tient une main sur la table, elle lui répond par le mouvement tr
eure de la science! Maintenant, cher maître, tendez-moi de nouveau la main ; le disciple va essayer de se montrer fidèle à v
e (1) la manifestation reparaît. M. Hébert la prie de faire écrire la main de M"» Octavie, phénomène qu'il est très-désireux
ujours actif, toujours zélé, et jamais découragé, il a semé à pleines mains l'enseignement des faits par la Fi ance et par l’
aux capillaires ). De plus , une sueur abondante perle à la paume des mains . Cet effot, no pouvant être simulé , est. par cel
ssayai de la calmer au moyen du magnétisme. Je plaçai donc une de mes mains sur le front, et l'autre au-dessous de l’épigastr
de bien-être qu’il fut facile de remarquer. Elle me regarda, prit ma main droite qui se trouvait sur son front, la serra af
e n’aurais osé l’espérer. On lui banda les yeux , puis je promenai ma main au-dessus de son corps environ à un décimètre de
commettre la moindre erreur au-dessus de quelle région se trouvait ma main . Lorsque je me retirai, elle était entièrement
et voici quel fut le résultat de nos recherches : Si on mettait une main , un livre entre les yeux de la malade et la lumiè
t à la contenir, et, lorsqu’elle dégageait ses bras, elle portait ses mains à son cou, comme pour le déchirer ou enlever un c
que le sort futur des destinées morales de l’humanité est entre leurs mains , et qu’ils doivent, en se groupant en masses frat
re sans se blesser et même sans éteindre la lumière qu'il tenait 6 la main . Cela ne l’empécha’ pas ensuite de continuer sa r
ique par son magnétiseur cessait momdntanément d'être tétanisé, si la main incroyante de Magendie s'avisait de le faire mouv
de dire vrai! » (Cette réponse fut écrite d'un trait spontané, parla main de \lUaOctavie). Drs voyants supérieurs protest
ais esprit! interrompt un jeune homme, en retirant précipitamment ses mains . — « Ne l’écoute pas ! je suis un esprit de Die
ersonnes : la prédiction s’était réalisée. Il leur était advenu d’une main étrangère... que nous ne connaissions presque pas
vous l’avez vu de vos yeux, vous l’avez entendu de vos oreilles : la main du médium part, rapide comme l'éclair; ou bien, r
nnement est trop forte pour vous ; quittez son voisinage et prenez en main une de vos plaques de cuivre rouge. » J’obéis et
d de son cœur une de scs plus fortes volontés ; puis, en imposant les mains à la jeune fille, il lui dit : De ce moment, voos
elle-ci, cet acte de dévouement et d’intelligence? Oli ! certes, la main sur le cœur, vous ne le penserez pas!., et vous v
lergé (2). Ce n’est qu’aux fauteurs de malédictions sous la prétendue main du Christ, que je ne puis m’empêcher de dire: Est
et non incriminer la virtualité providentielle que compromettent nos mains ignorantes. Ainsi (je cite ce fait encore, parc
là de par eux inesmes au milieu de tous, sans que personne y mist la main , quatre trippiez (2) à la façon de ceux de Delphe
le tout par ordre, et mieux préparé qu’il n’eust été sceu estre de la main des plus excellens credenciers. Sur deux de ces q
Irrité d'avoir vu, à plusieurs reprises, différents papiers entre les mains de plusieurs personnes, ce qui l’avait fait tombe
emportera. » Plus tard, son père s’étant présenté avec du papier à la main , chose qui, depuis le 5 mars, l’épouvantait si fo
ce moment critique, elle met en pièces tout ce qui lui tombe sous la main ; son lit et ses vêtements ne sont pas épargnés;
d convulsivement tout ce qu’elle peut atteindre, et se dévorerait les mains si on n’avait pas la précaution de les lui envelo
qu’il offre, ne voit rien, il est passif, il n’aurait qu’à étendre la main pour guérir promptement, sûrement, et éviter de l
ule à la table parlante. Je n’ai point à médire de celle-ci ; j’ai en main la relation de faits capables d’émouvoir ; mais c
leur permet de voir à des distances considérables?... Ecriture mus main risible. M. Rerfus Elmer, de Spring-field, écrit
tremblement du bras droit, depuis l’épaule jusqu’à l’extrémité de la main , dont elle a été soulagée très-promptement, ains
ès lui avoir fait sa magnétisation, ce digne vieillard le prit par la main , lui fit faire trois fois le tour de sa cellule,
. qui avait été domestique chez mes parents, devint paralysée d’une main qui s’était fermée de telle manière qu’il était i
ouvrit les doigts l’un apri$ l’autre, et la renvoya agissant de cette main comme de l’autre. Qu’a valu à M. Laforgue son g
e ne le connaissait pas non plus. Un colonel qui le savait apporta sa main , elle ne put pas le dire davantage, ajoutant que
ayant mis pour la première fois , avec une demoiselle de son âge, la main sur un guéridon , en le priant de lui dire quelqu
ntraire. Nous touchons au merveilleux, la force miraculeuse est aux mains des hommes, c’est plus que la science vulgaire qu
eva le corps du lit pour le poser sur une planche, la tôte glissa des mains de ceux qui le tenaient. La daine déclara que tou
entière, peuvent bien vivre côte à côte se tendant fraternellement la main , et ne mettant leur véritable amour-propre à se
et en famille, en ne voyant autour d’eux que des visages amis et des mains tendues. 11 y a quelque chose d'éminemment resp
tion, présentant enfin le type parfait qui sortit un jour radieux des mains du Créateur et qui s’était dégradé d’âge en âge e
t été amenés à la vérité du magnétisme par les faits éclatants de nos mains ou de leurs propres œuvres, alors, Messieurs, tou
Naples et Rome même ont dans leurs murs des bouches muettes, mais des mains actives ; comme un souille de vie, la vérité s’y
qu’un réveil, une résurrection ! «Heureux donc seront ceux dont les mains bénies auront aidé la nature en faisant le bien
s contes allégoriques dans la manière du 18' siècle, a semé à pleines mains l’ironie et l’épigramme sur les ennemis systémati
ise sa force dans une si loyale et si profonde conviction ? « D'une main hardie et prudente tout à la fois, vous avez soul
t devant elle une femme ayant l’attitude du repentir, et tenant d’une main un mouchoir dont la perte lui était très-sensible
antes, est maintenant dans notre ville. Nous avions entendu parler de mains spirituelles qui faisaient tourner les tables, qu
être, sans s’en douter, un magnifique sujet. Je lui mis un crayon en main et glissai dessous une feuille de.papier. « Pourq
ns m’a singulièrement ébranlé. C’est Mesmer, lequel répondant, par la main d’une dame, aux questions d’un mien ami de Paris,
ême été prévenu de lui préparer une cuvette d’eau pour s'en tarer les mains . Enfin, le moment si ardemment attendu est arri
ophétie produisit sur les spectateurs une surprise stupéfiante. Ses mains lavées, il se met à la besogne, comme un vrai rap
nous prouva clairement que, si cette eau avait pu servir à laver des mains , elle devait aussi avoir été employée à lessiver
eilleurs esprits que l’on croyait étouffés ou étiolés se dressent les mains pleines et disent : Nous voici, et nos œuvres ave
que les tables non seulement se meuvent quelquefois sans contact des mains ou des personnes, mais qu’elles sont restées parf
ent. J’ai vu des tables, sur lesquelles quatre ou même seulement deux mains étaient posées aussi légèrement que possible, fai
rences aux personnes de la société; et plusieurs fois j’ai senti, mes mains avec celles d’un ami étant sur la table, mais ne
nsi dire, avec une grande force, se mouvant ainsi contrairement à nos mains . Il est évidemment impossible de faire sauter une
mpossible de faire sauter une table perpendiculairement en posant les mains dessus, même en essayant de le faire ; et nous av
s muscles n’y sont pour rien. Quelquefois, en posant simplement nos mains , ou plutôt les extrémités des doigts, sur la tabl
oique je n’aie pas encore vu que la table se mouvait sans contact des mains , je sais , il n’en pas douter, que ce fait s'es
raconté qu’elles avaient vu des tables marcher sans l’imposition des mains , se lever du plancher, se tenir suspendues en l’a
ent c’est en vain qu’elle l’essaie. Une dame m’a dit qu’en prenant la main du médium , elle avait quelquefois évoqué la cris
ssi devint lumineux. La même corde, quand un des bouts serait dans la main d’un magnétiseur, deviendrait lumineuse par le co
s assistants voient, en même temps, et même puissent toucher de leurs mains , une main , un bras, une figure qui est devenue v
s voient, en même temps, et même puissent toucher de leurs mains, une main , un bras, une figure qui est devenue visibles, c
le petit malade qui semblait dormir, en pleurant et en se tordant les mains . Elle me fit part de cette vision, la première
était le lit, et ici vous fûtes debout quand vous vous êtes tordu les mains de douleur. » La nourrice étonnée avoua que l’enf
nd danger pendant quelques heures, qu’elle pleurait et se tordait les mains à l’endroit indiqué mais qu heureusement la fièvr
résultat. Elle n’est pas encore tout à fait guérie, car elle a les mains toujours un peu contractées ; mais la cure n’a pa
y a pas b' soin de pharmacie, Nous 1’ portons tous au bout d’chaqu' main ; C’ n’est point z’ un’ facétie. Toi-z-ct moi
évident que chercher à remettre l’emploi de la science magnétique aux mains des médecins, c’est vouloir l’anéantir ; c’est fa
us, y ajouter celle-ci : Comment ces mêmes ombres peuvent-elles, sans mains , faire mouvoir des meubles, des crayons, et surto
les parties douloureuses ; mais lui : « Je vois bien, » dit-il, et sa main , sou pouce, veux-je dire, se promenait doucement
a lumière : Un crayou fut posé sur un papier que le médium tint d’une main sous la table, l’autre main restant sur la table,
sé sur un papier que le médium tint d’une main sous la table, l’autre main restant sur la table, à la vue de tout le monde.
, les mots suivants furent écrits sur le papier, sans l’aide d aucune main physique : Ayez la montre. Une montre fut alors f
manière que la montre pendait à deux pouces au plus au-dessous de la main , et M. Farrar enveloppa cette main avec un moucho
ux pouces au plus au-dessous de la main, et M. Farrar enveloppa cette main avec un mouchoir, afin d’empêcher l’exercice des
e main avec un mouchoir, afin d’empêcher l’exercice des doigts. Cette main et la montre furent alors passées sous la table,
. Cette main et la montre furent alors passées sous la table, l’autre main du médium restant sur la table. Dans cet état, la
de la table, qui alors se levait, se renversait et restait sur leurs mains . Plusieurs personnes firent cette expérience, et
t (1). « Enfin, la compagnie forma un cercle, tous se tenant par la main , y compris le médium. Je tenais la main droite de
cercle, tous se tenant par la main, y compris le médium. Je tenais la main droite de celui-ci dans ma main gauche, etD. K. M
in, y compris le médium. Je tenais la main droite de celui-ci dans ma main gauche, etD. K. Minor tenait la main gauche du mé
main droite de celui-ci dans ma main gauche, etD. K. Minor tenait la main gauche du médium dans sa main droite. Le médium s
ma main gauche, etD. K. Minor tenait la main gauche du médium dans sa main droite. Le médium s’éleva alors aussi haut que no
e le médium ne touchait quelquefois la table qu'avec les doigts de la main gauche, et qu’il était permis à n’importe qui d
gauche, et qu’il était permis à n’importe qui de lui tenir l’autre main , afin de s’assurer qu’aucun effort musculaire n’é
fut répété plu -gieurs fois, chaque personne étant admise à tenir les mains du médium, afin de se convaincre qu’il n’y avait
age. Quand le médium s’éleva du plancher, au lieu de s’appuyer sur ma main , celle-ci était tirée avec lui, et j’étais fortem
s dans cette chambre. Avec l’une des cordes j’attachai solidement les mains du médium derrière son dos, et, avec l’autre, je
pour queje visse la moindre mouvement d’elle et de moi. Je posai mes mains sur la ^able, et aussitôt de forts coups se firen
Je me levai et montai sur celle-ci, où je me tins debout, ayant à ma main droite le tambour qui arrivait ainsi presque à to
es. Et, tandis que je tenais ainsi le tambour élevé, les doigts de ma main gauche étaient posés sur la tête du médium, de so
au-dessus de nous, puis elle fut posée sur ma tête sans l’aide de mes mains qui étaient jointes sur la table, ni celles du mé
t de l’eau et plusieurs morceaux de phosphore. Je vis au moins quatre mains de différentes grandeurs prendre de ce phosphore
ag autour de la chambre et presque jusqu’au plafond. Je vis aussi les mains d’un enfant de l’âge de quatre ou cinq ans, ainsi
os têtes, et dire : O vous, de peu de foi! A ces mots , je portai mes mains à la bouche du médium : elle était telle que je l
du médium : elle était telle que je l’avais arrangée, de même que ses mains et ses pieds ; le médium parut sortir d’une sorte
t peu à peu et elle entra en sommeil magnétique. Je plaçai alors la main droite pendant trois minutes sur le sommet de la
is au magnétisme et je le propose comme moyen « utile dans les seules mains des médecins. Je crois, en « conséquence, nécessa
. Je crois également opportun de discréditer « le magnétisme dans des mains non médicales , en en exa-« gérant, selon fart, l
mnambule que j’ai chez moi, et à, peine celle-ci lui eut-elle pris la main et tâté le pouls qu’elle s’écria : « Cette enfant
tour. — Je m’en aperçois, me dit la somnambule, parce que je sens ma main répoussée par un fluide qui n’est pas te sien pro
pèce d’Hercule vieilli, qui en me parlant amicalement tenait mes deux mains dans une des siennes, et les écrasait rudement, s
in* probable. / qu’il m’avait fait en me disant qu’il avait cette main -là paralysée. Elle était privée de sensibilité, m
s il remarqua que, par suite de légères frictions le long du bras, la main s’entr’ouvrait, les doigts s’allongeaient par un
je , mon vieil ami ; c’est sans doute déjà fait ; car il vous tend la main . « Et tous doux s’en allèrent ensemble et se dé
gner sa petite fille, on endormit M™' Ogier, qui, après avoir pris la main de M. Leger, lui dit aussitôt : « Dans quelques j
appréciable entre l’instant où un fait a lieu, même à proximité de ma main , et l’instant où je le vois. Donc, entre notre vi
ui fit prendre quelques rafraîchissements , puis se mit à promener la main sur le membre blessé de haut en bas, en passant s
femme fut, « en effet, priée de rechercher ma montre, et, le lende-« main , elle me la rapporta. Je l’interrogeai sur les mo
le demanda à écrire. On lui donna tout ce qu’il fallait, elle posa sa main paralysée sur le papier pour le maintenir, de l’a
extraordinaire de la transposition des sens ; elle entendait par les mains et par les pieds. On réussit également pour le
en lui disant qu’il voulait qu’elle s’endormit : il lui appliqua les mains sur les épaules, et fixa sur elle des regards pén
die. Le 5 octobre, Ninfa parcourait une chambre tenant une tasse à la main ; elle posait le pied gauche à terre, se disposai
l'hébreu ont été écrits correctement, et, à ce qu’il semble, par des mains différentes. L’anglais, l’alle- (1) Brochure in
qu’il y avait trop de lumière. Le papier avait d’abord passé par mes mains , et il était blanc : plusieurs autres personnes s
udié le sujet, ne saurait être d’aucun poids. Des yeux pour voir, des mains pour toucher, des oreilles pour entendre : tels s
t d’un air d’incrédulité, M. Ogier invita la société à placer dans la main de la somnambule les cheveux ou quelque autre obj
comment on le fait : on noircit avec de l’encre noire le creux de la main gauche, en faisant une tache de la grandeur appro
’huile, ensuite on magnétise cela au moyen de quelques passes avec sa main droite : une autre personne peut aussi faire ces
étiques de la durée d’une demi-minute ; cela fait, il faut appuyer sa main pour ne pas fatiguer et fixer ses yeux sur la tac
arque cette phrase : « Lorsque Mesmer venait à paraître , tenant en main la baguette magique dont tous avaient plus ou moi
ité, le docteur alluma un papier et le promena sous le nez et sur les mains du sujet qui ne donna aucun signe de sensibilité.
, cesse et s’évapore , en même temps que la réunion et le contact des mains . C’est donc bien tort, selon nous, que quelques
..........2 Id. de la jambe..................1 ld. du pouce de la main ............1 ld. du pénis.......... 3 Extract
de Paris, domicilié à Ncw-York. « Voilà donc le magnétisme par les mains d’un médecin, réduit en philtres, en poudres, en
11 garantit qu’une lettre contenant des susdites « poudres, dans les mains de personnes prudentes, sans i avoir égard à l’âg
fer l’ivraie dans la moisson du bon grain répandu à profusion par des mains bienfaisantes et infatigables. Max. Nous avons
à votre connaissance tous ceux que le hasard m’a fait tomber sous la main dans le courant de mes travaux d’histoire locale.
palais des rois de Neustrie. La veille du jour où Charles en vint aux mains , l’abbé Erme, son ami et son protégé, retiré, sel
il poursuivait un sanglier dans la vaste forêt de Mormal, n’ayant en main qu’un cor et un épieu, et autour de lui qu’un pet
ance de la foi chrétienne. En cette conjuration y tin-« rent aussi la main ledit M. Buisseret, Nicolas Goubelle , (c lors ch
magnétisai l’œil malade dix minutes chaque matins Application de la main , sept minutes ; Insufflations, trois minutes;
e fait mouvoir, pour écrire cet article, la matière grossière dont ma main est formée. L’acceptation ou le rejet de l’un de
munications. Cela fut répété à divers intervalles de la soirée. Les mains des médiums furent plusieurs fois mues par les es
rcle furent souvent touchées, et leurs vêtements furent tirés par des mains d’esprits, ce qui fut quelquefois vu par les scep
esprits de passer leurs ma ns sous la table (car autrement toutes les mains étaient posées sur la table, à la vue de tout le
, de cette manière, cinq lettres furent successive ent reçues par ces mains : toutes étaient enfermées dans des enveloppes et
e virent comme moi. Moi, comme d'autres, je fus requis de mettre ma main vers mon genou, partiellement sous la table, ce q
gts, et je suppose que c’était la lettre que je reçus ensuite dans la main . Je sentis également quelque chose qui ressemblai
dans la main. Je sentis également quelque chose qui ressemblait à la main d’une personne morte : c'était froid et pâteux. J
. Je sentis distinctement des doigts. La lettre était tenue par cette main qui, plusieurs fois, la plaça dans la mienne, et
yer une grande force pour le retenir. Il fut cependant arraché de mes mains et tiré sous la table. Enfin, les tables restèren
ture sans être découvert dans les manifestations qui suivirent. Des mains et des pieds d’esprits, complètement formés, se m
laient provenir de dessous ces meubles, de roa et de l’autre côlé les mains étaient quelquefois assez élevées pour que nous e
omme je les décris. Moi, et tous ceux qui le voulurent, prirent les mains des espritsetlesexaniinèrenl soigneusement jusqu’
EUes étaient, en ce qui concerne la vue et le toucher, de véritables mains avec leurs os, chair, peau, comme nous les trouvo
r, peau, comme nous les trouvons quand nous regardons et touchons les mains des ■sortels. D*?ux des personnes invitées, et
ne des extiémitûs du cercle, dirent avoir vu distinctement une grosse main brune saisir la robe de soie •Xaue dame placée en
ces messieurs prit cette partie de la robe pour l'arracher de cette main , et la tension fut telle que l’étoffe se déchira
rt de ces exhibitions de inainset de pieds avaient lieu, et je vis ma main venirle prendre et l’emporter, et, presque au mêm
n venirle prendre et l’emporter, et, presque au même instant, la même main me le présenta par l’ouverture qui était devant m
par l’ouverture qui était devant moL Je vis très-distinctement cette main et j'en reçus le crayon. Bien d’autres faits se p
ue de tous, et reparut ensuite, les deux lames ouvertes, tenu par une main d’esprit qui le brandissait devant nous, tandis q
gnétisme disparaît ; la recommandation de guérir par l’imposition des mains n’est plus qu’une lettre morte ou comme le souven
i ce n’était par hasard qu’une graisse fusible à la température de la main , il n’y aurait qu’un phénomène physique des plus
je le voyais encombré de monde. Mais une dame vint me prendre par la main et me conduisit. Elle me dit son nom sans rien aj
e la caisse comme si elle eût été tenue et conduite d’en haut par uuc main , tout le monde en étant éloigné d’au moins huit p
plié. Personne n’y touche; l’étranger s’éloigne de plusieurs pas. Les mains du médium agitent un instant la lettre, puis la d
un miracle. Jeanne lui répondit qu’elle n’en avait pas encore sous sa main ; mais qu’à Orléans elle ne manquerait pas d’en f
dit-elle, un peu de sang; mais ces misérables n’échapperont pas à la main de Dieu ! » Et tout de suite elle monte sur le re
roi le 17 juillet 1*29, et assista à la cérémonie, son étendard à la main . Elle voulut alors se retirer dans sa famille, di
ûmes favorisés de la visite d’esprits plus gracieux qui rendirent des mains visibles et tangibles pour nous, et nous laissère
ystérieuses conversations. Après un certain temps d’application des mains sur le guéridon, autour duquel nous étions assis
assez grande pour que deux opérateurs puissent y appliquer chacun une main ; cette planchette est traversée vers le haut par
gèrement incliné. Après un temps plus ou moins long d’application des mains , elle s’anime (si toutefois les deux opérateurs o
lle se promène sur le papier en écrivant toutes sortes de choses. Les mains doivent suivre le mouvement, en n appuyant qu’aut
si des artisans, des hommes de labeur, aux vêtements plébéiens, aux mains endurcies par les fatigues. Aucun choix, aucun pa
ibles ; d’autres sont attirés ou repoussés par le magnétiseur dont la main est pour eux comme un véritable aimant ; ils semb
t s il lui est inconnu, et deviendra un sujet très-sensible entre les mains d’un autre magnétiseur. Enfin certaines personnes
mais L... n’écoute pas, il est abstrait; il avait un grand papier en mains , et était venu de la dunette, il l’a mis de côté
ne et les fit tomber eu sommeil magnétique, seulement en soutenant la main d’une d’elles, lien mit ensuite trois, dont deux
620. FAITS ET EXPÉRIENCES. Apparition de lumières, 43, 373; — de mains et autres membres isolés, 375, 572, 619; — de fan
lle hystérique, 481 ; — sur un médium. 488. Ecriture tracee par des mains invisibles, 218, 572, 570, 626. Effets magiques
, 43, 156, 375 , 591 , 617 ; — qui font apparaître des lumières , des mains , etc., 43, 373 , 375, 572, 619 ; — qui commettent
t au magnetismo et le propose comme moyen utile, mais dans les seules mains des médecins, 386. Propagande. Fondation de nou
41 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
vérUé, n’iinporic par quelle bouche; le bien, n'importe par queile^i mains . -6©3— TOME DIX-NEUVIEME. «• SERlb. PARIS
tèrent sur le haut de la colline. « 11. Et.lorsque Moïse tenait les mains élevées, Israël étiut victorieux ; mais lorsqu’il
l les abaissait un peu, Amalec avait l’avantage. «12. Cependant les mains deMoïse étaient lasses et appesanties : c’est pou
yant mise sous lui, il s’y assit, et Aaron et Hur lui soutenaient les mains des deux cotés. Aussi ses mains ne se lassèrent p
, et Aaron et Hur lui soutenaient les mains des deux cotés. Aussi ses mains ne se lassèrent point jusqu’au coucher du soleil.
rs le docteur Braid n’au* rüil découvert qu'un mot. Holw tenait ses mains étendues, Et Israël italt victorieux. {Ouvrag
étaient conduits au bûcher pour criuie de magie, la foule battait des mains , et tous les seigneurs de la cour, des princes de
lepsie se déclare. Piiilipps faisait tenir son disque magique dans la main gauche. « Or, tous les sujets ne sont pas, comm
vis à deux pas de moi : il avait le sourire sur les lèvres, et, d’une main , il me mnnü'a k cid. La vision disparut, mais je
, je n’ai que l’évidence de plus de cent mille faits produits par mes mains ; mais je suis l'écho de voix innombrables qui ac
uve ; il me répond qu’il se croit dans le paradis, saisit aussitôt ma main et la porte à ses lèvres. K Pendant l'opéralion
ousse un léger cri, se redresse brusquement, et s’échappe bientôt des mains de la personne qui la tenait. Le réveil une fois
entions; c'est quand le jugement est satisfait de ces fantúmes que la main les trace sur le papier par le dessin et récritur
ture. Quand rien n’est dtDi la lil«, il n’en peut ri«n sortir, Lj main n'est r|u'un eulave et ne fait ¡u’ob¿lr. JoBAsn
lcment. Ses procédés étaient des plus simples : l'application de sa main sur la partie souffrante et de légères frictions
soulager à f instant les plus vives douleurs par l’application de sa main . Je l’ai vu faire descendre une douleur de l’épau
er celui de rinvçntetjr : au lieu de chercher l’âme, ton scalpel â la main , cherche à la voir de ton œil interne. Tu admires
duquel étaient disposés des fils conducteurs que tenaient dans leurs mains les malades ou les curieux soumis à l’expérimenta
ommités de la science, ils jappent contre les novateurs. Jamais leurs mains n’ont souillé les ouvrages des grands hommes c{ui
: Ti> ««kT{ ycistm nnù/icv» ijs’/iûivt Ti R Touchant avec les mains celui qui était tourmenté par K des maladies dang
Dieu, étendaient avec ferveur et les yeux tournés vers le ciel leurs mains sacrées, où des flots de vie passaient dans les m
later le décès, sépara le sac en deux parties ; il s’eii échappa luic main desséchée I K La fille Jardin se souvenant alor
mis dans son cercueil les restes de sa femme, et sur sa [poitrine la main desséchée qui, si nous pouvons nous exprimer ains
qui soit capable aujourd'hui de guérir un malade par l’imposition des mains . Jésus avait pourtant dit : Bienheureux ceuT qui
joié, se pi'écipite au devant d’elle, la prend allèctucusemcnt par la main et la conduit dns uiie autre pièce, afin de la dé
n’eus pas besoin d’employer un houciion de carafe, mais seulement mes mains et ma pensée. Il en fut de même encore quelque te
.se, qit'on n’eût pas di1 abandonner ce joyau et le laisser entre des mains qui ne pouvaient en coïinaîti-e toute la valeur ?
mprimer le oerf qui va distribuer la sensibilité au petit doigt de la main correspondante ; tout aussitôt votre doigt s’engo
dwantlepromier ótre qu'il»virent fléchir aprèa quelques signes de la main ? Quand les magnétistes voudront se donner la pei
ils à rappeler son ouvi'age eo conservant de longs ongles à leurs.... mains . Et cette piotade qui, dans son logia, chante tou
is che» Mme Grison, qui, après e'être mise dans l’état voulu, prit la main du jeune homme, et nous attendîmes. Le vicomte ét
le roi en 178A s’efforça(Venterrer àtoutjamais. Il me tombe sous la main une letU'e fort curieuse dudocteur Frappnrt (du 6
esponsabilité qui pèse sur les hommes qui l'ont livré & de telles mains impures. Aussi la postérité, toujours juste, ma
culières. 3* La concentration de l’exercice du magnétisme, dans les mains du médecin, entraîne l'obligation de k part de la
quand tout à coup un morceau de pâte de 2 kilogrammes, échappant des mains du jeune mitron, s’élança à une distance de plusi
magnétique et la seusibilité de mon sujet : lorsque j’approchais mes mains du malade , je déterminais des contractions que j
constaté, et je n’avais pas encore mis les cheveux du malade dans la main de madame Grison. Il me fallut attendre au moins
hommes puissamment magnétiques, se sentirent entraînés k imposer les mains , & opérer des pas&es. Alors ce moyen cura
. Quelque temps api-ès son baptême, ce pieux philosophe mit entre les mains du saint évêque trois cents pièces d'or, pour les
or, distribuez-le aux pauvres, et faites-moi uue promesse de votre main , par laquelle vous m’ttssurerea que Jésus-Cliris
à ses enfants de lui mettre, après sa mort, cette promesse datis les mains , et de l’enseveür avec lui ; ce qui fut exécuté p
rez l'assurance par la quittance même que j’en ai écrite de ma propre main . L’évêque ignorait que l’on eût enseveli cette pr
donné un papier en mourant, et leur avait ordonné de le mettre en ses mains après sa mort, itttisque personne le sût. Alors l
l alla droit au tombeau du philosophe, fit ouvrir et trouva entre ses mains cette promesse qu’il lui avait donnée autrefois.
la promesse quelques lignes, qui avaient été écrites depuis peu de la main du philosophe. Elles contenaient ces paroles : Mo
ssure môme que cettc promesse où ces lignes avaient été écrites de la main de ce philosophe chrétien après sa mort, fut gard
rticulièrement cet écrit, pour le garder avec soin et le conserver de main en main à leurs successeurs. » (Extrait de l’hi
rement cet écrit, pour le garder avec soin et le conserver de main en main à leurs successeurs. » (Extrait de l’histoire d
ui dit-il, que donneriez-vous à celui qui remettrait le roi entre vos mains ? « — Par ma foi, réiiomiit Regnaud, il n’y a r
i ; quand il s’aperçut qu’il était au château de Montauban, entre les mains de Règoaud, il entra dans un tel accès de fut-eur
Bourdin se laissa toucher, et les pièces blanches tombèrent dans les mains de la femme sauvage. Ou exigea de plus de la bl
u moment où celui-ci fait les passes nécessaires, ou l’imposition des mains , suivant le mécanisme qu’il emploie pour arriver
nerf radial amenant des soubresauts dans les bras, l'avant-bras et la main , j’éprouvais des convulsions dans le pouce et l’i
t la main, j’éprouvais des convulsions dans le pouce et l’index de la main avec laquelle je touchais le malade, ou bien une
main avec laquelle je touchais le malade, ou bien une douleur dans la main ; et la crise que j'amenais chez le malade par la
rialisme, l'animisme et l'organicisme, s’y donnent fraternellement la main dans une réconciliation franche et définitive.
-térieJs de la pharmacie ne donnent-ils donc pas le même pouvoir à la main qui le.s administre? inette puissance de modifier
éoplustie soit donc la bienvenue, car elle se présente aux hommes les mains pleines de vérités, de consolations et de tecours
s dont je vou.s enti'e-tiens. (I Que la sciencc étende hardiment sa main sur lui, qu'elle en brise les sceaux; à elle seul
ndonne à à son chant, au chant des sirènes et à ses carcBses ; que sa main prépare, que sa bouche goûte ce qu'il devra boire
accorde l’aveugle confiance, et l'augmente (1) Il vient au monde la main fermée; le symbole en accompagne la raison matéri
la position aussi (irolégc : rccourliéc en poiny, signe de force, la main domina-Irice auire, saisit, ombrasse, enserre, ét
aimantés. 11 y oubliera les heures souffrantes ; il s’y cramponne des mains , de la voix, d'un œil suppliant, de tout son poid
rine occulte et par cela même dangereuse, propre seulement, entre les mains d’un charlatan habile, à exploiter la crédulité p
i 2* je paralysais les bras du sujet en croix, je suspendais à chaque main un poids de dix kilogrammes et j’obligeais le sce
opposition systématique, allons à leur rencontre, picnotis-les par la main et obligeons-les à coutrôlcr nos expéi'ieiices, à
son et le sommeil une fols déterminé, je fis toucher par le malade la main du médium, et j'attendis la vision interne ou la
tion exacte pour lui, c’était la présence de mon citent qui tenait la main da médium. Le purgatif agissait en outre par son
t un devoir de venir au secours de votre prochain et de lui tendre la main , si votre main peut le guérir par la vertu que Di
venir au secours de votre prochain et de lui tendre la main, si votre main peut le guérir par la vertu que Dieu a mise en el
milice qui niarclie à la conquête du monde , non avec des armes à la main , mais avec un flambeau ? Dans ce cas, venez avec
n’est pas réveillé par la douleur des meurtrissures qu’il se fait aux mains . (3ne fois il nous a dit : n Nous sommes au spect
e bruit, et me prie d’aller me coucher. «Tiens, dit-il, prends-moi la main ,lesdoigtó entre les doigts ; serre, serre plus fo
la valeur? c’était un stimulant. La corbeille une fois revenue aux mains du magnétiseur, celui-ci fait appeler son valet e
ville sur l’heure, j’emporte tous les objets que vous m’avez remis en main , comme souvenir de gens qui m’ont fait un si bien
clos ou sur les tréteaux des foires. Il est vrai alors que, dans les mains impures de ces malheureux, cette science perd tou
estreindre, comme elle a pour domaine l’immensité, elle brise d'une main ferme les entraves que la science positive veut l
e baron, 11 y a environ deux ans que le hasard fit tomber entre mes mains un volume de M. Ricard, sur le magnétisme auiinal
a transposition de l’ou'ie. A ma volonté, il entendait parle pied, la main , etc..., et pour prouver que le déplacement de ce
erre; il ne s’est néaii-muiiis jamais fait de mat. En appliquant ma main sur sa tête, j’éveillais en lui des sentiments co
rornuor, d'aillcur«. Inr'qu'Ü« so sont produits mainlp fni« sous nn« mains ? Halle, ainsi que sa ville natale, ud souvenir
ancien recueil où tous pourront puiser d’utiles renseignements. LA MAIN DE GLOIRE. DJS LA MUN DB GLOIBE DONT SE SERVENT
certains scélérats, qui confessèrent à la torture s’ètre servis de la main de gloire dans les vols qu’ils avaient faits; et,
el en était l’usage, ils répondirent, premièrement, que l’usage de la main de gloire était de stupéfier et rendre immobiles
non plus branler que s’ils étaient morts; secondement, que c'était la main d’un pendu; troisièmement, qu’il fallait la prépa
ement, qu’il fallait la préparer en la manière suivante : on prend la main droite ou 1h gauche d’un pendu exposé sur les gra
antement, et, pour en être éclairci, on le fit dépouiller nn comme la main , et, après une exacte recherche, on ne trouva aut
rlHers de BeciDgos Fralre», à Ten-sciga« &Âgrippo, éa 18t9.) La main de gloire dispenserait messsieurs les académicien
l'emploi desdis^es de mètaj, des spatules, etc., etc. A défaut de la main d’un pendu qu’ils seraient obligés d’aller cherch
ain d’un pendu qu’ils seraient obligés d’aller chercher trop loin, la main d’un de leurs malades décédés pourrait parikiteme
rs malades décédés pourrait parikitement servir à condition que cette main de gloire serait tenue par une main vivante. Qu
ment servir à condition que cette main de gloire serait tenue par une main vivante. Quel que soit l’accueil réservé à cet
problème étant (»sé en face de moi sur un tableau noir, je prends les mains d'une personne impressionnable on 4’un sujet déji
notre ville, au fils duquel je" donnais des soins, il avait entre les mains quelques volumes d’une sorte d’ancien journal, do
nt en avant, car en eux est le progrès, la vie même. La colère serait main *-tenant superQue, nous n’avons plus à parler qu’à
ien j'en ai vu naître ; Ils brillent à mes yeux, ils s’offrent à ma main , Et souvent sans appel. Apprendre à les connaît
sputer le patrimoine de leur frère, mais ils viennent pour lui prêter main forte et combattre à ses côtés dans la séculaire
schisme ! Que Jes pilotes, dès demain. Prennent le gouvernail en main ! (Jii) Veillei un peu sur l’équipage, Guideî-
ux et s’emparént trop Muvent de l’es- prit des somnambules et de la main des médiums pour qu'on accepte de confiance leurs
entrer dans l’état magnétique, il porta lentement sur sa poitrine ma main qui pressait alors la sienne, je le priai de m’en
sienne, je le priai de m’en dire le motif, et il me répondit que ma main , ainsi placée, lui eau-sait du plaisir; je dois d
i à l’aide de quelques passes seulement » Une autre fois, posant ma main sur la sienne avec l’intention de la lui magnétis
e la lui magnétiser fortement, au bout d'un moment U laissa tomber sa main sur un siège ; mais, craignant que le siège ne fi
iège ; mais, craignant que le siège ne fit écrasé sous le poids de sa main , il la porta vive- ment dans son sein, disattt
ilogrammes était suspendu k chacun de ses doigts: en même lemps celte main était devenue insensible. Ce sujet souifrait ho
d’une sueur abondante et dteVins pâle et triste j je sentais dans une main ce que jamais je n’àvais ressenti dans vos nooibr
iser. » 11 me répondit sur te ton de la surprise { « Je le suis ; vos mains étaient si chargées de fluide magnétique qne j'en
pour être réveillé : les objets étaient tantôt une robe, tantôt une main , un mur, etc..... Ceci me parait devoir être ex
, que dis-je? la répugnance qu'éprouvent certains savants à mettre ia main à l’œuvre pour nettoyer les écuries d’Augias, du
les empêchant de se rejoindre, et de couper ce lien vigoureux avec la main . On te rencontrei-a aucune résistance, on ne sent
de sang depuis douze ans, 26. Qui avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins et qui avait dépensé tout s
tra dans le lieu où elle était couchée. Al. Et l’ayant prise par la main , i! lui dit ; Talitha cuini, c’eat-à-dirè : Petit
SI ma perception magnétique ni'a traduit la vérité, Pauline lèvera la main droite ; Si mon sens Intime, au contraire, est
Si mon sens Intime, au contraire, est en défaut, elle abaissera la main gauche ; Enfm, si la simple affirmation ou néga
dre qu’iniparfaitement sur l'objet à décider, Pauline se croisera les mains sur la poitrine. Aussitôt, à la surprise de l'a
e. Aussitôt, à la surprise de l'assistaDce, la cataleptique leva la main droite. Pendant un moment je riiagnétisai la re
s, lui dis-je, quelque chose qui vous soit salutaire 7 Elle lève la main droite. — Dans quel objet se trouve ce quelque
ite. — Dans quel objet se trouve ce quelque cbose ? Klle place la main th'oiie sui' uue des boites. Je l’ouvre et j’ajou
, continuées pendant trois jotu's. — Est-ce tout? Elle abaisse la main gauche (négation). J'iodique instantaDément que
oute, puis je dis à Pauline : — M’avez-vous compris? Elle lève la main droite, — Eh bien 1 après votre première prescr
ordonne trois jours de repos. — Ensuite? Elle étend de nouveau sa main droite surlabolte, et touche du doigt indicateur
rouve plus sa lucidité. — Vous ne voyez donc pas î Elle baisse la main gauche. — Pouvez-vous me dire à quoi cela tient
f. — Quelqu’un autre que moi voua a-t-il magnétisée ? Ellelève la main di'olte. — Est-ce milady ? Képétition du mouv
ent affirmatif. — En avez-vous éprouvé du bien ? Elle rebaisse la main gauclic. — C'est depuis la magnélisaliou tic mi
ança jusqu’à l'endroit de ma cachette, et m’y tendit gracieusement la main (1). C’était la fidèle exécution du programme.
blisi «ment, les pèro et mère Breat sortir leur lils que jo reçus dei mains (oÿmej du médecin, jusqu au 18 inclus. — Magnét
iversel des âmes, à ces moments terribles où Dieu est intervenu d’une main plus visible pour sauver ou pour pousser en avant
nementen avant, nous surtout, disciples de Mesmer, qui avons reçu des mains de cet homme célèbre le flambeau qui a déjà si bi
is de longues années (vitigi ans environ) elle avait les doigts de la main droite roides, wainttnanl ils ont recouvré leiu’
es forces occultes de diiïércnts caractères nous produisirent, par la main du médium, des dessins, des cœWômes et divers gra
s, en- 177Â. Je n’ai pas vérillô ce que ces détails peuvent valoir. Main voici, d’après ce traducteur, la recUfication du
it ensuite cacher les serpes dans de hautes herbes. On le mena par la main auprès de ce lieu, et la baguette ne manqua pas d
de la ville, des fontainiers. M. Guillaumot a vérifié, les plans ila main , les largeurs, les angles, les sinuosités...... a
enfin avec quoi il avait fait ce portrait, « elle lui montra de la main une machine électrique qui était « auprès de son
un droitier, et dáosle cAté gauche d’un gaucher ; de même que dans la main énergiquement eon-tractée de l'un et de l'autre,
n énergiquement eon-tractée de l'un et de l'autre, tandis que dans la main la plus Toisioe dn repos, on ne constate querélec
éniable et que je constate en ce moment mèine, par l’obéissance de ma main à poser ici les caractères qui donnent un corps a
retrouve, n’importe où elle tombe, une pierre lancée au loin par une main connue ou inconnue, gantée ou non. Parce que le c
u les appareils d'induction;— sensation d’air comprimé au passage des mains de l’opérateur; — surexcitation des sécrétions; —
ère dépendance. Pourquoi ne réussissent-ils pas également entre les mains de chacun ? Ce n’est pas à vous que je rémémore
des Boos-Eufants, 15 bit. plHe du mouvement ), les dvi/jls des deux mains , ¡e genou droit [avec Ivjdarihrose] el tout le pi
ui était dt^jà une imprudence, et une serviette lui ayant échappé des mains , le courant rapide l'emportait à la mer. Viri^ini
u vérité n’importe, par gurlle. bouche, le bien n'importe par quelles mains . Nous accueillons le pour et le contre, puisqu’il
’épigastre, entendre par la plante des pieds, goûter par la paume des mains . Mais les phénomènes sont tellement anti-rationne
s asseoir les uns derrière les autres, j’invite le second k poser ses mains , sur les épaules du premier, le troisième à exécu
liaise, le plus commi)dén)eüt possible, se plaça devant lui, posa ses mains sur ses épaules, puis sur U tête, et termina par
écla-ture, je vais essayer ; aussitôt il se met à la besogne ; de la main il masse les chairs, frotte et presse fortement l
S PROCÉDÉS MAGNÉTIQUES. Monsieur et cher maître, Je mets enfin la main à l’œuvre pour vous donner le résumé de ma méthod
s ; 3° Le massage, qui consiste à pétrir, pour ainsi dire, avec les mains , la partie affectée ou toutes les parties du corp
e magnétique; 4“ L'imposition ou l’application de l’une ou des deux mains sur la partie malade ; 5' Enfin, les insufflati
es l'exigent. Dans toutes mes magnétisations, j’emploie ou les deux mains , ou alternativement l’une ou l'autre, ou même une
les résultats que je cherchais. Enfin, l’idée me vint de tenir de la main gauche les deux conducteurs d’une machine d’induc
e même à la longue la paralysie du bras gauche et de magnétiser de la main droite à distance j cette manière de procéder par
as le problème-cherché; alors j'eus l’heureuse idée de placer dans la main du malade , ou d’appliquer sur une parlie quelcon
saliün générale de douce chaleur qui suivait le trajet décrit par nia main droite et qui pénétrait jusqu’à la moelle des os,
é de pratiquer l’électrisation magnétique par contact en promenant ma main droite sur toutes les parties du corps par dessus
rassant le malade des vêlements qui m'auraient empêché de promener ma main droite sur l’épidermc. Alors j’obtius par ce moye
le de l’étincelle électrique, 11 est de rigueur de magnétiser avec la main à plat, de manière que l’extrémité de tous les do
ux encore avec un seul doigt. Plus on appuie fortement le doigt ou la main sur l’épiderme, moins on craint de voir se produi
fecfion innainmatoire, je place le pôle positif de la machine dans la main ou sur uue partie quelconque du corps du malade,
uelconque du corps du malade, et moi je tiens le pôle négatif dans la main gauche ; au contraire s'il s’agit d'une affection
corps luisant, d’aucun objet, en employant seulement ma pensée et mes mains . On appelle princes de la science nos savants l
erez daas les Icnèbres. (1) Dans la sujétion de médium écrivain, ma main traça ces lignes : _ « Vos prétendus cspi'lt» f
osophe grec, Diogènc, parcourait les rues d’Athènes une lanterne à la main , cela à la face du soleil. Si quelqu’un lui adr
pigastre, entendre par la plante « des pieds, goûter par la paume des mains . Mais ces phé-(I nomènes sont tellement anti-rati
onores jusqu’aux lobes acoustiques. Quand il goûte par la paume des mains , ou odore par les genoux, c'est parce que son n
magnétisme animal, cesse-t-il d'être une puissance formidable dans la main des hommes 7 CoQvenons-en : les faits parlent p
phore galvanique, comme la secouyse ({ue reçoit la personne tenant en main les conducteurs d’une spirale plate (voy. p. AOO,
e. Ayant saturé de fluide les jambes, les cuisses et les doigts de la main , ils acquirent à leur tour une rigidité tétanique
a douleur et de l'abolition entière des sens. Un médecin ayant mis sa main dans celle du magnétisé, il la sentit serrée comm
travagantes ; je lui donnais à boire en lui posant un verre vide à la main , toute espèce fîe vins, et je changeais, par la p
i, àla même montre. II devinait les personnes qui lui touchaient la main . Toujours transmission de pensée. II compta,
surpris de voir que c’est sa fille qui se promène une chandelle k la main . Dès lors plus de crainte à avoir, il ouvre et so
nais susceptible de procurer les plus ineffa-bles bienfaits entre les mains de celui qui sonde ses mystères, éclairé par une
ls beaucoup de chances d’amener facilement et promptement entre leurs mains le succès de ces choses? i( indiviclusignobles
sentirent que la force n'était pas tout. Les armes lombèrent de leurs mains . Incapables de la moindre action,. ils se traînai
ne taille majestueuse, revêtu de la robe des Druides, et portant à la main une baguette, autour d» laquelle s'eiitrelaçait
'incunnu ce que cela voulait dire, lorsque ccliii-ci le prrnant parla main te fit lever, et lui raontraiU sur l'arbre même a
dversaire du docteur Charpignon, à qui, bien au contraire, je serre U main très-cordiaiement. Cette brochure est dans les do
mages, nous montrerons que le spiritualisme est aujourd'hui entre les mains d’enfants qui, tout étonnés de ces prodiges, balb
rès-faible ; le pouls presque imperceptible; la peau du visage et des mains froide et mâte au toucher ; les membres sont dans
les leur attention se ti'ouve concentrée. Mettez un livre entre les mains d'un sujet, et lorsqu’il sera en train de lirei i
l s’agit était alors enceinte de sept mois. Je pris donc l’une de ses mains ,- et, après l'avoir saturée de fluide, je la posa
i vous voyez madame B...?— Oui, elle est là près de moi ; je tiens sa main dans la mienne. —> Vous n’ignorez pas que cett
che remplie d'eau. Elle est toute ramassée sur elle-même : elle a les mains posées sur les yeux, la tête près des genoux, les
me B... a dû éprouver une forte douleur dans Jes reins, là où j’ai la main . Tous ces détails étaient exacts et confirmés a
écontenancée. Madame B... se leva de dessi^sou siège; elle lâcha la main du sujet, le rapport était rompu. (]e fut le to
e est entrain défaire un bouquet. Ah ! elle s’arrête et elle porte la main au côté droit.... Elle vient de ressentir une for
lle monte l’escalier. Elle s’arrête dans la cuisine pour se laver les mains . Elle consulte encore sa montre. Elle écrit. Elle
stiles au mesmérisme. J'ai eu occasion dans le temps de prendre les mains au jeune P. L. et j’ai provoqué une crise eu moin
La vérité par n’importe quelle bouche, le bien par n’importe quelles mains ? Quand sacrifieront-ils la question d’amour-propr
et c’est ce que j’ai fait quand vous m’avez si cordialement tendu la main . Maintenant que j’ai laissé s’épancher mon cœii
mpuissance de reproduire une réalité idéale vons le ferait tomber des mains . On sent vivement, etToilàtout il). Au fur et à
ctrc plus vicieuse que celle qui consiste à faire des passes avec les mains , puisqu’il est d’expérience que parla volonté seu
vérité avant tout, et à celui qui nous la montrera nous tendrons iJne main fraternelle et reconnaissante. Henry André, M
n les attribue à la jonglerie et à la supercherie,^parce que quelques mains indignes ou quel-ques cupides s en sont servis.
font payer pour n’en pas débarrasser les autres hommes ; vous avez en main l’art naissant, une portion du principe universel
losophie, et laissez- vous doucement inspirer par les œuvres de vos mains , car l’agent soumis à votre puissance emprunte qu
heure. Au moment où elle se réveillait, elle croisait ses bras et S63 mains au-dessus de sa tète, et, quelques instants après
vous prendra pour un voleur ou un charlatan, et il s’échappera de vos mains pour suivre la foule : c'est ainsi que tous nos a
trer dans la classe élevée. Le magnétiseur (1 ) (streicher) pose sa main gauche sur le côté droit du front de la personne
côté droit du front de la personne sur laquelle il veut opérer, et sa main droite sur le côté gauche, les maintient à cette
il y a accumulation d’od sur la partie. 2® Qu arrive-t-il quand la main continue de faire lapasse sur tout le corps? Cett
st en droit d’admettre que lorsque l’on fait une passe, avec les deux mains , sur tout le corps, on charge le côté droit en od
nnent des détails sur leur vie terrestre, 249 ; — qui tracent, par la main du médium, des signes hiérogIyphiques et des phra
les poursuivis pour exercice illégal de la médecine. 193, 331, 352. Main (la) de gloire. Main de pendu portant une chandel
xercice illégal de la médecine. 193, 331, 352. Main (la) de gloire. Main de pendu portant une chandelle magique, dont se s
42 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
et d'une bonne foi reconnues, par exemple Lombroso et Tamburini. Les mains du médium reposent, comme le dit la relation, dan
iste, en effet, a former une chaîne, chacun prenant, généralement, la main de son voisin. Cette disposition préliminaire éta
u, il est vrai, a la clarté : J'y reviendrai plus tard. Parce que les mains du médium semblaient reposer dans celles de ses v
ogue avait été prise lors d'une autre séance spirite : sans tenir les mains du médium, on l'avait lié complètement, ce qui se
mplètement, ce qui semblait lui rendre impossible de se servir de ses mains pour une tromperie quelconque. Alors des choses a
t pincé à diverses parties du corps et un autre touché au dos par des mains invi-sibles. etc. Quant à l'explication de ce*
le médium prend placo et met plusieurs ou même tous les doigts de sa main droite dans les doigts correspondants de la main
ous les doigts de sa main droite dans les doigts correspondants de la main gauche do son voisin de droite, et ceux de *a mai
rrespondants de la main gauche do son voisin de droite, et ceux de *a main gauche dans les doigts de la main droite de son v
son voisin de droite, et ceux de *a main gauche dans les doigts de la main droite de son voisin de gauche. Le lecteur le cro
cilement, et pourtant il n'en est pas autrement que, dégager les denx mains sans que le voisin de droite ni celui de gauche e
ement de l'attention. Dans l'obscurité, quand on ne peut pas voir les mains , les médiums parviennent souvent à dégager les le
aperçoivent rien, le médium s'efforce d'approcher le plus possible la main gauche du voisin de droite du la main droite de c
d'approcher le plus possible la main gauche du voisin de droite du la main droite de celui de gauche. De celte façon, il lui
De celte façon, il lui est finalement possible de toucher d'une seule main celle de deux voisins : si le médium arrive, par
lle de deux voisins : si le médium arrive, par ce truc, à dégager .sa main droite, le voisin de gauche touche définitivement
touche définitivement une partie, et celui de droite une autre de ta main gauche, sans apercevoir que c'est une seule et la
tre de ta main gauche, sans apercevoir que c'est une seule et la même main qu'ils touchent tous les deux. Je crois possible
ement de l'attention de ses deux voisins, à dégager, non seulement la main droite, mais aussi la gauche, et arranger les cho
et arranger les choses de sorte que le voisin de droite touche de sa main gauche la main droite de celui de gauche. Les deu
s choses de sorte que le voisin de droite touche de sa main gauche la main droite de celui de gauche. Les deux voisins, qui
royant tenir encore le médium, tandis que celui-ci a. en réalité, les mains depuis longtemps dégagées et peut s'en servir pou
éloignée, promener en rond (dans l'air) une sonnette, toucher de ses mains les voisins, leur retirer des chaises, comme dans
t, qu'on ne remarquât pas à la lumière que le médium avait dégagé les mains de la façon décrite ci-dessus. J'y répondrai en p
écrite ci-dessus. J'y répondrai en premier lieu que le dégagement des mains n'est qu'une possibilité que j'ai admise. D'autre
médium est parfaitement en état, en opérant habilement, de mettre ses mains dans celles de ses voisins de la méme façon qu'il
es, sans qu'ils s'en aperçoivent plus qu'ils ne soupçonnaient que les mains avaien. été retirées. E. j'affirme que cette opér
atelage; je crois aussi qu'il est possible de glisser de la sorte ses mains entre celles des voisins assez vite. D'ailleurs
i nous supposons, par exemple, que premièrement elle avait dégagé les mains et s'en était serri pour remuer la table, il est
le, il est possible que, plus tard, après avoir replacé a nouveau ses mains entre celles des voisins, elle se soit levée de s
é, et ce que le bateleur fait dans cet instant où ce qu'il a dans les mains , échappe à l'attention détournée des assistants.
ent vingt-sept pigeons. Cinq seulement arrivaient à Liège le lende- main , quelques autres le surlendemain, les trois quart
que sa tête était agitée de mouvements saccadés; en même temps ses mains se soulevaient. Sa physionomie avait revêtu une c
nd il écrit, se trouve tout entier dans sa plume et par suite dans la main qui en est l'instrument intermédiaire ; de même,
que aussi rapide. Des mouvements inconscients se produisent dans la main du sujet, et bien que très légers et à peine perc
voyant une personne qui écrit, c'est l'oscillation continuelle de la main , oscillation proportionnelle du reste et variable
ères tracés; c'est dans les articulations du poignet et surtout de la main que se passent ces mouvements. Il y a des mouveme
cérébrale gauche. En tant que nous sommes habitués à écrire avec la main droite, il est évident que les mouvements nécessa
ne attaque do l'hémisphère gauche. Mais nous pouvons écrire avec la main gauche ; alors la question s'étend aux mouvements
ées par la situation même du cerveau? Tous les peuples écrivent de la main droite; donc c'est l'hémisphère cérébrale gauche
e une môme action sur l'écriture. En donnant un même mouvement à la main , le résultat sera une môme forme de lettre, et ce
ue font les gamins, c'est-à-dire eu plaçant d'une certaine manière la main droite sous l'aisselle gauche et en imprimant à c
s détails, il reste encore la possibilité que le médium, une fois les mains déga- (1) Loc. cit., tome IV, n°.1.p. 19 à 22.
sûre. On peut lier le médium, on peut lui attacher les jambes et les mains avec des corde*. Il réussit ordinairement sans pe
enlevé, en apparence. tous les movens. Ni par le moyen de tenir les mains du médium, ce qui c'est souvent, comme nom l'avon
reté que le médium ne parviendra ??r, dans l'obscurité, à dégager ses mains . Si maintenant Lombroso veut aussi expliquer, à
, ne quitte pas encore souvent sa place et ne peut atteindre avec tes mains ou ses bras que les personnes qui sout â sa proxi
table, autour de laquelle sont assises plusieurs personnes avant les mains posées des*us, remue, et il j a longtemps que cel
ant exercer une pression sur l'endroit de la table où se trouvent ses mains , de sorte qu'elle se lève du cité opposé, ne peut
ins qu'elle ne soit pas trop lourde de ce côté, où l'on va apposé les mains , chacun peut répéter celte expérience ; il ne lui
à peu près le même artifice que celai que J'ai décrit pour le cas des mains . Quant aux pieds, imaginer.- tous donc une séan
de ou un fil attaché à la table, dont le bout se lût trouvé entre les mains du médium, de sorte qu'il l'eût attirée à lui ? N
nt bien portantes depuis et présentaient celle singulière formule : MAIN DROITE MAIN GAUCHE Mlle M... All 5/0 0/Rep S po
antes depuis et présentaient celle singulière formule : MAIN DROITE MAIN GAUCHE Mlle M... All 5/0 0/Rep S pour Mlle J...
CHE Mlle M... All 5/0 0/Rep S pour Mlle J..., de telle façon que la main droite de Mlle M... attirail de ta même quantité
in droite de Mlle M... attirail de ta même quantité que repoussait la main gauche de Mlle J... Le coté gauche de M... étai
disparition des obsessions. RÉSUMÉ DES 250 FORMULES BIOMÉTRIQUES MAIN DROITE — MAIN GAUCHE Att / AU Hypotension vitale,
es obsessions. RÉSUMÉ DES 250 FORMULES BIOMÉTRIQUES MAIN DROITE — MAIN GAUCHE Att / AU Hypotension vitale, débilité, neu
t, après l'avoir frappé d'agraphie par suggestion. d' « aphasie de la main », il lui rend la faculté d'écrire en pressant le
êtres en chasubles blanches ou de drap d'or; puis, mitré et crosse en main , un évèque; enfin, le troupeau de fidèles. D'ap
gnal de détresse ou de découragement du malade guéri, a lui tendre la main pour éviter la récidive. C'est bien ainsi que l'e
pos et qui s'accentuent quand le malade veut faire un mouvement. La main gauche tremble aussi un peu, d'un mouvement qui a
tain nombre d'oscillations qui grandissent peu à peu. à mesure que la main approche du bot. Les oscillations persistent au
stait autrefois. On lui présente un doigt qu'il arrive à saisir d'une main comme de l'autre, sans hésitation et presque tans
e ce moment, sa guérison est complète. 11 boit facilement d'une seule main , alors qu'il y a deux jours, il était obligé d'em
douleurs de tête. On lui fait alors boucher l'oreille droite avec la main et l'on constate qu'elle entend la voix basse à q
Plusieurs mois après, se trouvant au dehors, elle fut mise entre les mains d'un autre médecin aliéniste, qui songea aussi à
re vague, relative au sens de l'ouïe ; puis, subitement, écartant les mains , je lui criai en même temps : « Entendez ». La mé
e trois fois, et après la troisième fois, le malade fit signe avec la main qu'il commençait à entendre de l'oreille droite.
e ne voulant pas du regard, elle fut endormie par l'application de ma main droite sur le front et assez rapidement plongée d
aussi des phénomènes purement psychiques. L'oreille sourde entend, la main insensible sent, mais l'esprit du sujet fausse ou
lèvres un verre do vin : le reste du corps resta debout et rigide. La main étendue était comme figée sur place, et pas une g
nté A lui qui doit effectuer la guérison. Il faut lui donner dans les mains les différents fils, sur lesquels on a tiré A son
ncer des états phytiques. Par exemple, la production de stigmates aux mains et aux pieds par la pensée continue aux plaies du
it tout sauver? Mathis se pose sur le passage du juif, une hache à la main . Il entend la sonnette du cheval, se précipite su
é et bourgeois n'a pas peur du spectre de Banquo, et il se frotte les mains , de temps à autre, en se redisanl qu'il mourra vi
ige toujours... on ne verra pas mes traces dans la neige. (Il lève la main et semble chercher quelque chose.) Le songeur.
doigt, pour recommander l'attention aux juges. — Mathis, étendant la main .) La hache!... où est la hache?... Ah: ici, derri
... (D'un air d'épouvante.) Quel silenceI (Il s'essuie te front de ta main .) Tu as chaud, Mathis... ton cœur bat... C'est à
Tout à coup il jette un cri d'horreur et s'affaise, la tête entre ses mains . — Bas.) Quels jeux !... oh! quels yeux !... comm
là un orateur dont le discours fasse sur l'esprit des juges ce que la main du musicien fait sur les cordes d'une lyre. Mais
forte quand on se met avec elle en communication physique. Prenons la main d'un homme et demandons-lui quelque chose : pour
uelque chose : pour dire non, il faudra qu'il commence par retirer sa main . Je prêche depuis dix minutes un ami pour le déci
es douleurs à la nuque et à l'épaule droite. Anesthésie tactile de la main droite, avant-bras droit collé au corps, la doule
it disparu et le sujet pouvait porter sa cuillère à la bouche avec la main droite : mais la douleur au niveau de la nuque et
inconscients et désordonnés, on la voyait à chaque instant porter la main violemment à son coté droit, comme pour en arrach
-aussi, au cours de cette crise, que la malade portait fréquemment la main au sommet de ta tête, el ce geste, tout insignifi
dans le cas précédent. Il pousse les mêmes gémissements, il porte sa main crispée à son colé droit, comme pour en écarter l
fréquemment chez la première malade, qui portail à chaque instant les mains au sommet de la tête pour exprimer sa souffrance.
u'Angélina élevait dans ses bras, ne put, tout en se meurtrissant les mains , escalader le mur. Le père alors, pris do rage,
ua la route. Pendant la route, lepère marcha sans le vouloir sur la main de la petite morte étendue sur le plancher de la
r en place ; elle touche à tout, et les mouvements spasmodiques de la main droite ne lui permettent pas d'écrire ni de se li
imace plus, votre téte ne remue plus, votre épaule, votre bras, votre main ne sont plus agiles de mouvements. Vous dormez bi
roient que leur fille est devenue idiote. « Je lui prends alors les mains et, l'obligeant à me regarder en face, je lui com
et authorité royales, nous avons, par les présentes signées de notre main , dit, déclaré et ordonné, disons, déclarons et or
son action électro-organique. « L'action immédiate, imposition des mains , souffle, suggestion par la parole, action du reg
re les mots écrits qu'on lui mettait sous les yeux en exécutant de la main droite les mouvements nécessaires à la reproducti
gle; il ne restait que l'écriture, on plutôt que les mouvements de la main nécessaires à cette opération. Ce sont ces mouvem
rurent, moins l'usage des sens. La malade se mit d'abord à remuer les mains , à les promener amour délle, cherchant à se recon
esse, lorsque la religieuse t'imagina de lui mettre un cravon dans la main droite et de loi faire écrire, en dirigeant ses m
fur et à mesure qu'ils étaient écrits et être reprise aussitôt par la main qui guidait la sienne, lorsqu'elle se trompait et
irrégulière, grosse, maladroite, cède qu'on obtenait en dirigeant ta main . Je déchiffre la conversation suivante, qui donne
et muotle. La religieuse lui met un crayon entre les doigts prend sa main dans la scienne et l'entretien s'engage ainsi :
jets et les personnes. Je lui mets un crayon entre les doigts de la main droite, saisis sa main dans la mienne, et lui fai
Je lui mets un crayon entre les doigts de la main droite, saisis sa main dans la mienne, et lui fais écrire ce qui suit :
— Oui. A ce moment Mme X... sent noire manchette et repousse notre main avec énergie ; la religieuse substitue la sienne
sse faire. D. — Vous allez dormir... (à ce moment, elle repousse la main de la religieuse et écrit toute seule :) R. — V
as si vite ! D. — Vous allez dormir... (elle repousse de nouveau la main de la religieuse et écrit :) R. — Je voudrais e
e extérieur. Les mouvements de l'écriture que l'on fait exécuter a sa main réveillent dans son cerveau l'idée que représente
oduit quand nous lui commandons de dormir. Si nous écrivons avec sa main ; « Vous allez dormir cinq secondes et quand vous
e jeune, ouverte, souriante. On ta disait folle, et on m'avertit sous main à plusieurs reprises. — ne sachant pas que je la
les deux membres inférieurs ; gène dans la marche. Douleurs dans les mains . Nausée-incessantes. Voix rauque. Pas d'hérédit
nt eoncluauls. Il s'agira ici, il est vrai, de redressement physique, main , entendons-nous, redressement physique particulie
de l'emploi d'anesthésiques. Tout le temps que dura l'opération ma main gauche reposait sur le fioul de ta malade lui fer
e ta malade lui fermant doucement les yeux, ma droite tenait ses deux mains et je ne discontinuai pas à raffermir sa volonté,
griserie qui gagne les cerveaux les mieux équilibrés quand ils ont en mains la toute-puissance. C'est, comme l'a écrit Tain
e jeune sœur, l'œil brillant, le sourire aux lèvres, tenant de chaque main une béquille désormais inutile et ayant dans son
: Il a de l'amblyopie gauche ; il ne reconnaît pas les objets ; la main placée devant l'œil est vue comme une plaque noir
ibilité. Il semble bien que l'anesthésie soit réelle. D'ailleurs la main et l'avant-bras gauche présentent une teinte bleu
t la sensibilité thermique est pervertie. Un objet froid placé sur la main , le bras ou l'avant-bras gauche lui paraît froid.
lui paraît froid. Le 15 janvier. ses yeux étant fermés, j'applique sa main gauche sur la fonte d'un poêle chauffé, il dit qu
sur la fonte d'un poêle chauffé, il dit que c'est froid, et laisse sa main appliquée contre la foute, jusqu'à la brûlure, sa
ter aucune douleur. Si j'ouvre ses yeux de façon qu'il voie Où est sa main , il dit ne plus avoir aucune sensation, ni de fro
otion de la position du membre supérieur gauche; il ne peut, de cette main , ramasser une épingle : il ne peut dire si cette
peut, de cette main, ramasser une épingle : il ne peut dire si cette main est en l'air ou couchée sur la lit. Si je lui fer
sur la lit. Si je lui ferme les yeux et que je l'invite à chercher sa main gauche avec la droite, il ne la trouve pas. Si je
main gauche avec la droite, il ne la trouve pas. Si je mets ma propre main dans la sienne, il croit que c'est sa main droite
pas. Si je mets ma propre main dans la sienne, il croit que c'est sa main droite. Cela posé, j'endors le malade et je lui
main droite. Cela posé, j'endors le malade et je lui suggère que sa main droite est devenue un aimant qui attire fa gauche
ire fa gauche à une certaine distance. La sag-gestion se realise : la main gauche vient s'accoler à la droite, preuve que la
t s'accoler à la droite, preuve que la notion de la position de cette main qui ne paraissait pas exister, existe. Je répèt
xplique aux assistants que cette expérience ne réussirait pas, que la main gauche ne trouverait pas la main droite, si le ma
expérience ne réussirait pas, que la main gauche ne trouverait pas la main droite, si le malade ne sentait pas les deux main
e trouverait pas la main droite, si le malade ne sentait pas les deux mains . Si après cette explication, je répète l'expérien
ite, neutralise de nouveau le sens musculaire et se suggestionne : la main gauche est bien attirée vers la main droite, mais
sculaire et se suggestionne : la main gauche est bien attirée vers la main droite, mais à côté, elle n'arrive plus à la louc
malade étant réveillé, ses yeux étant clos, je lui dis de chercher sa main gauche avec la droite; il ne trouve pas. Si j'app
j'approche la mienne, il la prend pour la sienne. Mais si je mets sa main gauche dans sa droite, il la rejette, refusant de
cependant morphiniques : douleur subite irradiant du petit doigt à la main et au bras gauches, à la région scapulaire et à l
d'une certaine mise en scène, des passes magnétiques, imposition des mains , légers attouchements sur le malade, placé devant
qu'il est censé transmettre à l'aide du regard et de l'imposition des mains sans ordonner ni médicaments ni traitement, tombe
çants dont les affaires prospèrent et qui se frottent joyeusement les mains en voyant affluer la clientèle. Cette attitude m'
erins. Celui-ci va demander à Notre-Dame-de-Lourdes la guérison de si main , celui-là l'apaisement de violentes douleurs de d
ant. Nous voyons un religieux bénissant la foule et dont on baise les mains . C'est du délire. On ne voudrait point le laisser
lui et lui faisait imiter des mouvements alternatifs d'élévation des mains ou de projection de la langue. Sur l'autre cas,
et hypnotisante au plus haut degré. En effet, lui ayant appliqué les mains sur le dos, je lui affirme qu'il se sentira attir
l'enfant suivit le mien dans toutes les directions, qu'à ma prière sa main pressât légèrement la mienne et dès lors j'essaya
ique, ses membres recouvrèrent leur disposition à la contracture, les mains se fermèrent roidies et elle ne voulut plus me re
pratiques et progrès encore plus marqué ; j'obtiens des serrements de main à plusieurs reprises. Le vcnlredi 17, les dents
ls n'accomplissent pas les suggestions et qu'ils laissent retomber la main quand on la soulève (Prever). Deuxièmement, il
a guérison par la foi soient chaque jour plus complètement dans notre main et que, par suite, la maladie nous trouve plus fo
on. Le pédagogue et le médecin doivent marcher en général en amis, la main dans la main, et, dans ce» cas et surtout chez de
gue et le médecin doivent marcher en général en amis, la main dans la main , et, dans ce» cas et surtout chez des enfants à p
ne hystérogène ou hypno-gène. On constate un tremblement marqué des mains , assez fort pour empêcher le malade de dessiner o
Les quatre membres sont dans l'extension et complètement raides; les mains sont contracturées; certains doigta étendus, les
certains doigta étendus, les autres fléchis; c'est ainsi que, pour ht main droite, le médius et l'annulaire sont fortement f
A ce moment, les doigts sont fléchis au point qu'on ne peut ouvrir la main . Une fois laissée en repos, la malade reste tra
dont l'extrémité forme le prépuce. J'ai vu à Constantinople entre les mains d'un médecin polonais, au service de l'année tu
lle envie de la combattre et ce n'est pas le moment. J'ai entre les mains un névropathe par hérédité. C'est un homme dans l
st à ce point développé qu'il suffit de placer le sujet à genoux, les mains croisées, pour que «on visage prenne une expressi
deux cas le sens musculaire était conservé, car si l'on joignait les mains de la malade, sa physionomie prenait immédiatemen
contraction permanente et donnent très nettement cette sensation à la main appliquée i plat. Exagération du réflexe rotulien
tement avoir des maux de tète, des troubles de la vue, l'aihétose des mains , un besoin constant de tordre ces bras comme-si e
part sans qu'il manifeste rien. Si l'on place un verre d'enu dans les mains du sujet et que l'on plonge une pointe dans le li
à causer jusqu au moment où, se retournant brusquement et portant la main derrière sa tète, il demanda en riant qui lui tir
s prit une épingle et égratigna deux fois la plaque sur l'image de la main du sujet : celui-ci s'évanouit, quand il fut réve
de la main du sujet : celui-ci s'évanouit, quand il fut réveillé, la main présentait deux stigmates rouges. Nous avons es
eau de cette sensibilité': une statuette de cire étant placée dans la main de Collette, nous piquons cette statuette à l'aid
e que celle de Collette. Si nous lui plaçons la figurine de cire en mains , elle ne sent pas quand nous piquons dans la cire
tre; toutefois, l'itallucination n'est pas assez profonde pour que la main trace les lettres à l'envers. Nous savons tous qu
jours dans l'extension: les doigts élaieul fléchis dans la paume delà main . Le bras guérit le premier, mais la jambe ne guér
e fatigue, on observe des secousses fibrillaires dans les muscles, la main s'abaisse peu à peu, et lorsqu'elle s'en aperçoit
bras. Comme nous l'avions prévu, nous n'observons aucune réaction; la main retombe inerte ou reste maintenue dans l'état où
43 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
conquêtes de la pathologie..... « Au contraire, lorsque, entre les mains de Galien, lamé-ce thode expérimentale, déjà mani
insi privée de ses appuis naturels ne saurait aboutir, même entre les mains les plus habiles, qu'à un empirisme plus ou moins
rouvée, la méthode expérimentale, admirable instrument qui, entre ses mains , a dévoilé déjà bien des mystères. Ainsi s'expr
nécessité de substituer l'emploi du thermomètre à l'application de la main , dans l'appréciation de la température du corps.
té réalisés à cet égard. On peut dire, sans exagération, qu'entre les mains de Baerensprung, de Traube, de Michaël, de Wunder
manifestations les plus fréquentes; viennent ensuite les doigts de la main ; puis, à une grande distance, les genoux, les cou
e de fines aiguilles cristallisées. Elles siègent de préférence aux mains , et occupent le côté de l'extension ; on en trouv
paupières ; 2° Les ailes du nez ; 3° Les joues; 4° La paume des mains ; 5° Les corps caverneux. Sur tous ces points
e suivant : d'abord les orteils, le cou-de-pied, les genoux, puis les mains , les poignets, les coudes, dans quelques cas rare
lée, on voit souvent les tophus se former de bonne heure, surtout aux mains ; c'est la forme fixe primitive de la goutte, dan
x marquer leurs points au jeu avec les tophus qui leur garnissent les mains , et qui laissent sur le tapis vert une trace blan
t d'une femme âgée de soixante-trois ans, concierge, qui portait à la main droite les déformations caractéristiques du rhuma
— Déformations osseuses. — Jointures affectées de pré-férence. — Les mains sont presque toujours atteintes les premières. —
u partiel. Il affecte de préférence les petites jointures, celles des mains en particulier. C'est une maladie qui se montre t
ui sont affectées en premier lieu. Dans la goutte, c'est le gros 1° Mains et pieds seuls, petites jointures..... 25 fois.
tites jointures..... 25 fois. — — — gros orteil....... 4 fois. 2° Mains et pieds en même temps qu'une grosse articulati
cipaux, avec les dérivés secondaires. Dans l'un et l'autre type, la main est dans une pronalion plus ou moins exagérée. C'
clinaison en masse de toutes les phalanges vers le bord cubital de la main , puis une déviation en sens inverse des phalangin
e la phalan-gette sur la phalangine, et alors le dos des doigts de la main Fig. 19. — Première variété du premier type.
des phalanges, qui se portent visiblement vers le bord cubital do la main . Fig. 21. — Second type. Ce type peut offrir,
Dans la première, il y a flexion de toutes les articulations de la main les unes sur les autres, de manière à constituer
ne nous sommes occupés jusqu'ici que des déviations des doigts de la main ; mais que devient le pouce ? Fig. 22, '. — Pr
seuses par suite des subluxa-tions qui se sont opérées. Ainsi, à la main , dans le second type, il se produit une saillie c
et en dehors sur les têtes métacarpiennes, qui font sur le dos de la main une saillie considérable ; — une subluxa-tion peu
les pha-langes, dont les têtes font saillie du côté de la paume de la main . Enfin, par suite de la flexion prolongée des pha
elette. Les membres inférieurs sont parfois indemnes, alors que les mains ont subi les altérations les plus prononcées. Cep
ont conservés. Remarquons, à cet égard, que les déformations de la main droite, dont les malades continuent à se servir,
ir, ne présentent pas un type aussi régulier que les déviations de la main gau-che, qui se trouve le plus souvent condamnée
: il en ré-sulta une déviation des doigts vers le bord cubital de la main ; et cet homme, aujourd'hui rétabli, porte encore
identiques à celle de l'arthrite sèche. — Les autres jointures de la main souvent affectées, mais à un moindre degré. — Cet
; en dernier lieu, des douleurs symétriques se manifestèrent aux deux mains et l'on constata le passage de l'affection au rhu
ette maladie. Il avait eu, en 1818, des douleurs assez vives dans les mains et les poignets, accompagnés d'un léger gonflemen
de la jointure, dans les parties molles. Les autres jointures delà main sont en général affectées, mais à un bien moindre
à rhumatisant, un phlegmon se déve-loppa à la suite d'une piqûre à la main , et un accès de rhu-matisme aigu débuta par l'art
trière, un panaris, qui s'était développé sur l'un des doigts de la main , marqua le début d'un rhumatisme noueux, qui comm
s toutefois que pourrait le faire croire la sensation éprouvée par la main de l'observateur. Aux mains, aux pieds, même dans
faire croire la sensation éprouvée par la main de l'observateur. Aux mains , aux pieds, même dans les cas les plus intenses,
ession des règles, les articulations métacarpo-phalangiennes des deux mains , et presque en même temps celles des genoux, devi
lètement ankylosés, les bras sont demi-fléchis sur l'avant-bras ; les mains , qui sont dans une pronation complète, présentent
nnent pas indifféremment ; quelques-unes des plus petites, celles des mains en particulier, sont atteintes presque cons-tamme
ssi la plupart des infirmes ne peuvent-elles pas faire usage de leurs mains et de leurs bras, tandis que les articulations de
dre. Extrémités supérieures. — Caractère commun aux deux types : la main est en pronation plus ou moins complète, et quelq
toutes les phalanges sur les métacarpiens vers le bord cubital de la main , puis déviation en sens contraire des phalangines
2). La déviation en masse des phalanges, vers le bord cubital de la main , est un caractère constant qui se montre un des p
bluxation des os du carpe en avant, ce qui fait paraître le dos de la main comme excavé et raccourci, d'autant mieux qu'on o
dehors des têtes des métacarpiens qui font dès lors, sur le dos de la main , une saillie considérable; par suite, les phalang
ne saillie des têtes osseuses des premières du côté de la paume de la main . Enfin, par suite de la flexion exagérée des phal
aractérisée par une inclinaison manifeste vers le bord cu-bital de la main . Il va sans dire que, suivant les cas, les ca-rac
a flexion de la pha-langette sur la phalangine, et alors le dos de la main paraît excavé à partir de la tête saillante des m
iétés du deuxième type. 1° Flexion de toutes les articu-lations de la main les unes sur les autres, de manière à cons-tituer
nt un peu prononcées, la malade ne peut plus guère faire usage de ses mains . Cependant, dans bon nombre de cas, le pouce rest
tankylosés ou même simplement déviés, que ne le sont les doigts de la main . Le gros orteil a une tendance habituelle à se po
réunies chez une même malade à des degrés divers. Les difformités des mains , quoique très prononcées, n'y sont pas aussi régu
s mortes avec les déviations les plus complètes des articulations des mains , on ne trouve le plus souvent des lésions arthrit
rps dans une sorte de tension continue ; si elles veulent étendre les mains fléchies, à peine celles-ci ont-elles dépassé le
ulsivement, à l'extension et présentent notre deuxième type; si leurs mains étendues exécutent le mouvement de flexion, le mô
mes, voici ce que nous avons noté: les articulations des doigts de la main et du pied ont été les premières et les seules ma
s : dans des cas assez rares, foutes les articulations des doigts des mains et les métacarpo-phalangïennes se sont prises sim
ères arthrites occupent les jointures du pouce et de l'index des deux mains : rarement les articulations des petits doigts so
s cas, elles ne peuvent faire usage de leurs bras et surtout de leurs mains .- Les premières arthrites qui se manifestent so
laire aigu; la grand'mère avait eu des rhumatismes chroniques, et les mains déformées, comme les a notre malade. Elle a une s
ion de 25 sangsues; mais, deux ou trois jours après, les doigts de la main , les poignets, puis les coudes se gonflent simult
e bien ; la mère n'a pule nourrir, parce que déjà, les mouvements des mains étaient devenus insuffisants. A vingt-neuf ans, e
ements. A la suite de ce traitement, la malade pouvait s'aider de ses mains pour boire seute ; cette amélioration dura peu. A
, les mouvements sont trop bornés pour que la malade puisse fermer la main ; elle peut cependant tenir une aiguille entre le
s. Les deux membres supérieurs sont dans le même état à peu près ; la main gauche est un peu moins difforme que la droite :
xion dans tout son développement. Depuis longtemps, les jointures des mains sont douloureuses, la nuit seulement, et la malad
ntrien d'anormal ; l'enfantmeurtunanaprès sa naissance. C'est par les mains que les douleurs ont tout d'abord débuté, par les
uleurs ont tout d'abord débuté, par les articulations du médius de la main gauche ; puis les deux pouces ont été symétriquem
gle droit, de manière à simuler unemainbot palmaire ; la l'orme de la main droite est celle du second type (ou de flexion),
is sur les métacarpiens, dont les tètes font saillie sur le dos de la main . Il y a subluxation des phalanges, en arrière de
er une aiguille dont il lui est possible de se servir pour coudre. La main gauche présente à peu près la même forme que la d
ule, mais elle est obligée pour le faire de rapprocher sa tête de ses mains . Rien dans les hanches ; demi-flexion des genoux
de gonflement dans les articulations métacarpo-phalangiennes des deux mains ; quelques mois après, elle voit tes poignets dev
aient prises sourdement, sans douleurs vives ; vers cette époque, lqs mains ont pris insensiblement l'attitude vicieuse Charc
ourd'hui. Il y a cinq ans que la malade ne peut plus se servir de ses mains , si ce n'est pour s'aider à marcher avec une béqu
n'est pour s'aider à marcher avec une béquille. Etat actuel. — Les mains sont en pronation complète ; toutes les jointures
. Elle a débuté le plus souvent par les jointures des doigts, de la main , où elle a produit des douleurs articulaires, mi
ans le sens de la flexion ; elles ont pu, quant à ce qui concerne les mains , être ramenées, comme nous l'avons montré, à deux
s articulations métacar-po-phalangiennes du pouce et de l'index de la main droite. Cette douleur est à peine accompagnée d'u
, reparaissent tout à coup, et cette fois, toutes les jointures de la main se prennent, et, en même temps, les articulations
uis ce temps, la malade n'a jamais quitté le lit. Les mâ-choires, les mains , les orteils, les cous-de-pied, les genoux, les c
férieures du cubitus et du radius font saillie du côté du dos de la main ; toutes les articulations métacarpo-phalangiennes
s; les articulations des doigts sont toutes déformées; la forme de la main est extrêmement bizarre, et se rappro-che beaucou
a-langettes. Les pouces sont dans l'abduction, et encore mo-biles, la main est sèche, la peau y est comme collée sur les os,
ensuite à sa bouche, en faisant glis-ser l'instrument avec une de ses mains , tandis que l'autre main le dirige. Varliculati
isant glis-ser l'instrument avec une de ses mains, tandis que l'autre main le dirige. Varliculation coxo-fémorale est asse
oit se prend lui-même, et enfin les articulations des doigts des deux mains . D'abord bornées aux petites articulations, la tu
orné presque exclusivement aux petites articulations des pieds et des mains , envahir les coudes, et, à cette époque déjà, se
ssure que, lors de l'invasion du point de côté, les articulations des mains , qui étaient gon-flées et rouges, cessèrent subit
ible par les mouvements provoqués dans les diverses articulations. La main , considérée en général, est en outre déformée ; a
ns ; de plus, ils sont légèrement inclinés vers le bord interne de la main . Les mouvements volontaires sont pour la plupar
lies osseuses sont peu prononcées, les enfoncements sont comblés ; la main est immobile dans l'axe de l'avant-bras ; les mou
rayeux existaient dans l'épaisseur des tendons de la face dorsale des mains au voisinage des articulations métaCarpo-phalangi
idité et les déformations perma-nentes étaient surtout prononcées aux mains , et depuis long-temps elles empêchaient tout trav
mains, et depuis long-temps elles empêchaient tout travail. Les deux, mains forte-ment maintenues en pronation, sont affectée
y a déviation en masse de tous les doigts, vers le bord cubital de la main , et cette déviation est si pro-noncée, que le bor
amaigris, une saillie très accusée ; par suite, tous les doigts de la main sont fléchis sur le méta-carpe, en même temps qu'
es osseuses, ils étaient aplatis et ne formaient pas sur le dos de la main de paillie appréciable, de telle sorte que, avant
rose sombre. Le genou droit est également douloureux et tuméfié; aux mains , l'articulation métacarpo-phalangienne du pouce d
Nous avons ouvert les articulations métacarpo-phalan-giennes des deux mains , les fémoro-tibiales, et celles des gros orteils.
t. » — Trois cas de goutte articulaire consécutive à la paralysie des mains , suite d'intoxication saturnine, sont encore ment
sé ; il y a sensation de fourmillement dans les derniers doigts de la main et clu pied droit, ainsi que sur les bords extern
ges, douloureuses et tuméfiées, principalement celles des genoux, des mains et des poignets. Son attitude dans le lit, le mod
ille externe, et d'un tophus au voisinage d'une des articulations des mains . On prescrit le sulfate de qui-nine et le calomel
mplète est impossible, si le malade les meut pendant qu'on y tient la main appliquée, on perçoit une sorte de crépitation à
mme polie à sa surface, et paraît soudée aux tissus sous-jacents. Les mains , par suite de l'an-kylose des poignets, sont main
as, sans flexion, sans extension forcée, sans déviation latérale. Les mains présentent toutes deux le même mode de déformatio
point cette déviation en masse des doigts vers le bord cubital de la main , qui se rencontre si habituellement dans le rhuma
à des nodosités, plus prononcées en général du côté de la paume de la main . Sur la face palmaire de la phalangine de l'index
me de la main. Sur la face palmaire de la phalangine de l'index de la main droite, il existe une de ces nodosités consistant
sont développés au x^oisinage de quel-ques-unes des articulations des mains ; l'une et l'autre oreille externe présentent des
édé à la fois si ingénieux et si simple que M. Garrod a mis entre les mains des cliniciens et qu'il a dé-crit sous le nom de
it se prend lui-même, et enfin, les articulations des doigts des deux mains . D'abord bornées aux petites articulations, la tu
orné presque exclusivement aux petites articulations des pieds et des mains envahir les coudes, et à cette époque déjà, se ma
ssure que, lors de l'invasion du point de côté, les articulations des mains qui étaient gonflées et rouges cessèrent subiteme
e dans les mouvements provoqués dans ces diverses articuiations. La main considérée en général est en outre déformée ; ain
s; de plus, ils sont légèrement inclinés vers le bord interne de la main . Les mouvements volontaires sont, pour la plupart
lies osseuses sont peu prononcées ; les enfoncements sont comblés. La main est immobile dans l'axe de l'avant-bras ; les mou
ras fait un angle de 35 à 40 degrés avec le bras ; l'avant-bras et la main sont, en outre, dans une pronation habituelle. Qu
on graisseuse, ce qui con-traste avec l'état des autres muscles de la main qui ont conservé, à peu de chose près, leur volum
ce cas, a été le poignet ; or, le phlegmon siégeait sur le dos de la main . «Le rhumatisme noueux s'est développé chez une
Salpêtrière, à la suite d'un panaris qui occupait un des doigts de la main , et les jointures de ce doigt furent les pre-mièr
tre dès à présent. Dans le rhumatisme noueux, les articulations des mains , et, d'une manière plus précise, d'après mes prop
exceptionnel, un cas de rhumatisme noueux, dans lequel une seule des mains fut affectée pendant toute la durée de la maladie
tacarpiens, à droite comme à gauche. — Les autres articulations de la main droite ne sont pas altérées au même degré à droit
droite ne sont pas altérées au même degré à droite et à gauche. A la main droite, les articu-lations métacarpo-phalangienne
halan-gettes, seule celle du médius présente le dépôt crayeux. — A la main gauche, les articulations métacarpo-phalangiennes
y a vingt ans. Actuellement les petites articulations des doigts des mains sont seules tuméfiées et dé-formées. Les articula
s aux articulations méta-carpo-phalangiennes etphalangiennes des deux mains ; seuls le petit doigt et le pouce de la main gauc
tphalangiennes des deux mains; seuls le petit doigt et le pouce de la main gauche sont intacts. — Arti-culations coxo-fémora
a longue, une véritable atrophie, et alors ainsi que cela a lieu, aux mains en particulier, dans certains cas de rhumatisme n
rthropathies multiples qui avaient produit aux membres et surtout aux mains et aux pieds des difformités très prononcées, fut
gidité et les déformations permanentes étaient surtout prononcées aux mains , et depuis longtemps elles empêchaient tout trava
x mains, et depuis longtemps elles empêchaient tout travail. Les deux mains for-tement maintenues en pronation sont affectées
y a déviation en masse de tous les doigts vers le bord cubital de la main , et cette déviation est si prononcée que le bord
amaigris une saillie très accusée ; par suite, tous les doigts de la main sont fléchis sur le métacarpe, en même temps qu'i
osseuses ; ils étaient aplatis et ne formaient pas, sur le dos de la main , de saillie appréciable ; de telles sorte qu'avan
onnaître, et pour ne citer qu'un exem-ple, lorsqu'elles affectent les mains , on les distingue en général aisément des déforma
ns ce volume (p. 363 à 389). articulaires en général, et celles des mains , en particulier, peuvent être rapportées à plusie
it œuf de poule (pl. II), se développent surtout du côté du dos de la main ; indépendantes jusqu'à un certain point des parti
ous la peau, au voisinage de plusieurs articulations des doigts de la main , avait envahi les parois des veines, et pénétrait
. 34 Trois cas de goutte articulaire consécutive à la paralysie des mains , suite d'intoxication saturnine, sont encore ment
ser; ce sont d'abord les petites jointures des extrémités, celles des mains , les méta-carpo-phalangiennes surtout, qui sont a
. Aussi, beaucoup d'infirmes ne peuvent-ils plus faire usage de leurs mains et de leurs bras, alors que les articulations des
ner à présenter le tableau sommaire des difformités qu'on observe aux mains . Ce sont d'ailleurs celles qu'il est surtout util
flexion, 2° type d'extension. Caractère commun aux deux types. — La main est en prona-tion plus ou moins complète et quelq
toutes les phalanges sur les métacarpiens vers le bord cubital de la main , puis déviation en sens contraire des phalan-gine
ges. — La déviation en masse des phalanges vers le bord cubital de la main est souvent une des premières déformations qui s'
caractérisée par une inclinaison manifeste vers le bord cubital de la main . Variétés dupremier type. — 1° La plupart des c
la phalangette sur la phalan-gine, et alors le clos des doigts de la main paraît excavé à partir de la tête saillante des m
étés du deuxième type. —1° Flexion de toutes les articula-tions de la main les unes sur les autres, de manière à constituer
eau sont un peu prononcées, le malade ne peut plus faire usage de ses mains . Cependant, dans un certain nombre de cas, le pou
remplacer les mouvements qu'elles ont perdus. Les déformations des mains que produit le rhumatisme noueux peuvent se retro
rations qui se produisent fréquem-ment au voisinage des jointures des mains chez les vieux gout-teux (p. 012-015). Nodosité
il, vous appeler un jeune homme ? N'avez-vous pas l'œil larmoyant, la main sèche, le visage jaune, la barbe blanche, une jam
s même de l'une des malades. Le tremblement envahit quelquefois les mains . Pourtant, nous le répétons, c'est à la tête qu'i
'un grand nombre de fédérés que l'on fusillait sous ses fenêtres. Les mains sautent parfois quand elle travaille à la couture
pouces qui l'empêche d'enfiler son aiguille. Elle tremble plus de la main droite que de fa gauche. Rien du côté des jambes.
ntage de- puis qu'elle est à la Salpêtrière. Pas de tremblement des mains ou de la mâchoire (1). Cas V. —Pot..., 84ans :
blement delà tête, sans partici-pation de la mâchoire inférieure. Les mains sont libres. La ma-lade est encore capable de cou
. 177. PLANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I. Fis. 1. — Main droite d'un homme de soixante-neuf ans, atteint d
lles externes de nombreuses concrétions d'urate de soude. Fig. 2. — Main gauche d'une femme de quatre-vingt-quatre ans, go
, goutteuse, morte à l'hospice de la Salpêtrière, en 1863. — Les deux mains étaient affec-tées symétriquement et au même degr
tés osseuses, s'étaient aplatis et ne formaient pas, sur le dos de la main , de saillie appréciable ; de telle sorte, qu'avan
eieS lome VU : Fi. i PLANCHE II Pig. i et 2. — Déformations des mains dans le rhumatisme articulaire chro-nique général
e quatre-vingt-quatre ans, morte à la Salpôtrière en 1863, et dont la main gauche est représentée dans la planche I, figure
type. Fig. 5. — Déformations articulaires du premier type. Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Heberden. Fig. 7. — Doigt
. — Déformations osseuses. — Jointures affectées de préférence. — Les mains sont presque tou-jours atteintes les premières.—
identiques à celle de l'arthrite sèche. — Les autres jointures de la main souvent affec-tées, mais à un moindre degré. — Ce
44 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . PARIS. BUREAUX; RUE NEUVE-DES-PETITS-CHAMPS,
nt embarrassé. C’est un pianiste qui, ayant un bon instrument sous la main , se plaindrait de ne pouvoir en tirer les notes q
é de ces bonnes dispositions, nous fîmes apporter un Évangile, et, la main placée sur une image du Christ, nous lui dictâmes
e. Deux d’entre eux se mirent à lui faire des frictions du plat de la main , sur la jambe enflée, en commençant par la cuisse
s la migraine, la pleurésie et les lélhargies, et faisait diriger les mains des parties supérieures aux inférieures, en parco
èreté; quelquefois même il faisait tenir l’extrémité des pieds et des mains (2). Dans les maladies d’estomac, Cælius faisait
te tout le corps, ou une partie seule; fort et aprement, soit avec la main ou toile neuve, éponges ou d’autres choses. La ve
frictions sur les bras. Pechlin (4) recommande l’application de la main avec de légères frictions dans le météorisme et c
5), allègue qu’il survenait dans toutes les parties sur lesquelles la main avait été maintenue, un saisissement qui dissipai
on, se servait quelquefois des frictions (1); il appuyait parfois ses mains sur le siège de la douleur, qu'il frictionnaitjus
e la souffrance ail disparu. Gassner, son émule, imposait souvent les mains sur la tête, et frottait la nuque avec force et p
grand succès, rapporte le Dr Gilbert, de Lyon (i), l'attouchement des mains sur les parties latérales du cou, sur l’épine du
e, à compter; je feuilletais tous les livres qui me tombaient sous la main ; mais on ne m’offrit plus de maître, le temps éta
que pour tout ce que je n’avais point vu de mes yeux et touché de mes mains , j’acquis enfin un petit nombre de connaissances
nt seulement, hommage à la vérité. Dieu avait pris un enfant par la main , il le mena au séjour de la douleur, et lui dit
ble; tu la guériras sous leurs yeux, par la seule « imposition de tes mains , afin de leur apprendre « qu’il existe une médeci
omplètement immobile, comme s’il eut été taillé dans la pierre par la main du sculpteur. Le troisième cas est d’autant plu
RE III. De la Médecine magnétique. (Suite.) De l'imposition des mains et du Toofhcr. L’imposition des mains et te tou
Suite.) De l'imposition des mains et du Toofhcr. L’imposition des mains et te toucher sont deux procédés qui se rattachen
éciale du magnétisme. En effet, comment supposer que l’imposition des mains ou le loucher aient suffi pour produire des guéri
nt recourait quelquefois aux frictions magnétiques : il promenait ses mains lentement sur les parties malades, jusqu’à ce qu’
ges de l’instinct adamique le penchant secret qui nous fait porter la main sur le siège de nos souffrances? La nature ne sem
intervenir la puissance du démon,, lorsqu’elles se réalisent sous la main des hérétiques. Henry Boguet, grand-juge et conse
magnétique à l’incubation des œufs par les poules. L’imposition des mains est un usage que l’on retrouve chez tous les peup
ez les Indiens ; il se traduisait de deux manières : i° en ouvrant la main , les doigts serrés ; 20 en tenant le pouce et les
Chine, par Sonnerai. Chez les Hébreux, le grand-prêtre imposait les mains , en élevant les trois premiers doigts, les autres
par le terme d’enchantement. On considérait alors Y imposition des mains , non seulement comme un moyen efficace d’attirer
t inanus Do-mini super ilium. » Et après que Paul leur eut imposé les mains , est-il dit autre part (i), « le Saint-Esprit des
rophétisèrent... Et Dieu faisait des prodiges extraordinaires par les mains de Paul.... Les malades étaient guéris et les esp
s étaient guéris et les esprits malins sortaient des possédés. » La main de Dieu était même synonyme de bonheur, « et manu
iquité expliquée, do Monllaucon (2), dos détails fort curieux sur les mains votives 011 mains mystérieuses, qui étaient en br
do Monllaucon (2), dos détails fort curieux sur les mains votives 011 mains mystérieuses, qui étaient en bronz* et chargées d
la part des malades qui dédiaient au dieu bienfaisant l’emblème de la main qui avait servi à leur guérison. Ces mains voti
enfaisant l’emblème de la main qui avait servi à leur guérison. Ces mains votives s’appelaient encore mains panllices. Les
avait servi à leur guérison. Ces mains votives s’appelaient encore mains panllices. Les prêtres étaient ordinairement repr
Les prêtres étaient ordinairement représentés les bras étendus et les mains ouvertes, à la manière des divinités protectrices
t expliquées par Maréchal (4), la description fort intéressante d’une main votive trouvée, le février 17 '1G, dans los fou
ns les ouvrages «lu comte de Cajlus (5). C’est par l’imposition des mains que le sacerdoce était conféré à dos hommes qui r
ation sacrée chez les Romains. C’est également par l'imposition des mains que se pratiquaient les exorcismes. C’est encore
quité et du moyen-âge, que les frictions, le toucher, Vimposition des mains et Y insufflation, procédés fort usités dans (t
s proscrit par le clergé, qui en redoutait les conséquences entre les mains de l’ignorance, et qui avait tout intérêt à anéan
ses progrès. « 11 nous serait facile de démontrer, l’histoire á la main , et en remontant aux époques les plus reculées, q
aladies, était les frictious de la « peau (i). » « L’imposition des mains , si fort en usage chez les Égyptiens et les popul
ux; mais, domptée par les regards de M. Iluguet, elle vint lécher ses mains à travers les barreaux de la cage, au grand étonn
rer sensiblement; j’osai cependant, car des preuves existaient en mes mains . La vérité avait lui un instant aux regards de Ro
l cependant je ne suis rien; je représente seulemetn une pensée; ma main tient un drapeau avec cette devise : La vérité,
vérité, n’imporle par quelle bouche ; le bien, n'importe par quelles mains . Mais, lecteurs, je vous initie trop à ma vie;
es faits était pour moi un embarras. J’avais trop de richesses en mes mains , elle cerveau, comme l'es loin ac, n’est capable
culte, et de soumission à scs volontés; puis on renouvelle entre les mains du roi et de la reine le serment du secret, qui e
le et y place celui qui veut être initié, après lui avoir mis sous la main un petit paquet composé d’herbes el autres substa
arrive aux convulsions, que le roi fait cesser en le touchant avec la main ou avec sa palette; ensuite on le conduit à l’aut
nne endormie continua de battre exactement la mesure du pied et de la main . Le rédacteur du Boston Port qui raconte ce fait,
le fit « entrer dans l’atelier particulier où l’on met la der-« nière main aux horloges. Un des ouvriers désira « faire l’ex
xpérience sur cet homme ; 011 le mit à « compter et à battre fie la main la mesure sur le « banc, en suivant le mouvement
nir lorsqu’ils fléchissaient. Le magnétisme devenait donc entre mes mains un instrument pouvant acquérir uneprécision presq
n élancement soudain de tout le pou-poir divin qui demeurait dans mes mains et dans mes oieds; ce qui fut accompagné d’une se
la somnambule. Elle ne me fit pas de questions : elle indiqua avec la main les parties où je souffrais, et je répondais par
ins, rien n’y faisait. J’ai consulté la somnambule : elle m’a pris la main , m’a indiqué mon mal et m’a ordonné un traitement
t je possédais le double qu’elle me demanda. Quand elle tint dans scs mains la seconde clef, elle me désigna minutieusement l
’une princesse, ce ne serait plus qu’un mariage morganatique ou de la main gauche, qui défierait toute critique. On vous a l
pendant une dizaine de minutes, appliquait principalement une de ses mains sur la partie du corps répondant au siège du mal,
« M. Lassaigne désire transmettre l’idée par l’attou-« chement des mains . Placé derrière la somnambule, « il fait plusieur
s il s’assied à côté « d’('lle, et soutient, sur la face palmée de sa main , « celle tout étendue de Prudence. « Mu* Prtden
tude inclinée, et occupés à examiner le second, qui s’était blessé la main , circonstance qui a été reconnue véritable à la d
nous ne considérons véritablement comme pôles que ces extrémités. La main gauche sera le pôle opposé de la main droite, et
me pôles que ces extrémités. La main gauche sera le pôle opposé de la main droite, et ainsi de suite. Considérant ensuite ce
ou considérant encore dans chacune d’elles des pôles opposés, dans la main le petit doigt sera le pôle opposé du pouce, le s
force le pôle déjà établi, en touchant le pôle opposé avec l’autre main (i). » Ce système dos pôles était admis par les
sédaient à un degré assez élevé lesBruno, Deleuze, etc. « Lorsque vos mains sont à la distance d’un ou deux pouces de l’estom
apercevrez de celle d’un souille qui de l’estomac se projette sur vos mains . Ce flatus n’a pas tout-à-fait le caractère d’un
lionnaire. Après cette espèce de commotion électrique, il retirait sa main en élendant les doigts; il s’établissait alors en
soulager et de le guérir de ses maux. Commencez d’abord par poser une main , ou toutes les deux, sur l’endroit de son corps o
rps où il ressent de la douleur ; ou, s’il ne souffre pas, passez une main sur son estomac, et l’autre, en opposition, sur l
es d’une série de verres colorés, le sujet tenait constamment une des mains de son magnétiseur, et la portait quelquefois à s
uelques paroles d’espoir, j’ai écarté un peu le monde; j’ai imposé ma main sur le front pendant un moment, puis j’ai opéré d
cham- brc. Elle se sent brisée et accuse un engourdissement dans la main et le bras gauches. Je magnétise de nouveau le br
plus énergique qu’aux autres doigts. Le contact des pouces ou de la main est le mode de magnétisation que nous avons adopt
lte médication sera suivie d’accidents plus ou moins graves entre les mains d’un magnétiseur ignorant ou imprudent On a avanc
. Les courants palmaires ne sont autre chose que l’apposition de la main sur un endroit quelconque du corps. Leur action e
ants magnétiques d’une manière évidente, quand on a soin de fixer les mains (ou les doigts) en opposition l’une avec l’autre.
alité, qu’un mode particulier de passes magnétiques. Le contact des mains employé par Deleuze et la plupart des magnétiseur
magnétiseurs appellent passes un procédé qui consiste à promener les mains le long du corps, soit en touchant, soit à distan
nt, soit à distance. Les passes par contact se font en traînant les mains sur le corps, et appuyant plus ou moins fortement
ui ne sont que des passes à grands courants, avec opposition des deux mains (1). Les passes longitudinales descendantes ont
recommandaient, d’après leur système des entraînements, de laisser la main suivre tous les courants que produit la nature.
ur ceux qui ne connaissent pas les entraînements. Laissez aller votre main , quelque direction que le courant lui fasse prend
rganisme. » Les passes transversales se font en présentant les deux mains rapprochées perpendiculairement à la longueur du
r la portée, se termine par des passes entraînantes, en dirigeant les mains de la poitrine aux épaules, jusqu’à l’extrémité d
re comment l’exprimer. «Oh! Messieurs, nous tenons peut-être en nos mains ce qui doit rénover l’humanité, en détruisant les
res; que, plus avancés que nos devanciers, le magnétisme est dans nos mains un art certain ? Nos efforts ont été couronnés de
e, il est écrit symboliquement ces sentences dans chaque œuvre de vos mains ; le temps doit, en les justifiant, montrer un jou
in, par le secoure de la précieuse lumière que Mesmer a remise en nos mains . Et, pour terminer, il a lu la pièce de vers qu
ivilégiés auxquels Dieu confie la puissance de guérir eu imposant les mains en son nom. » II est impossible de s’exprimer e
douleur de son enfant en le pressant sur son sein; l’ami qui tend la main à son ami mourant et lui communique, par une géné
alogie entre les visions mystérieuses des somnambules et les tours de main des pronostiqueurs. Nous ne conseillerons cependa
vous n’auriez qu’à (I) \oltairc. L'Ingénu, cliap. 20. étendre la main sur un des tombeaux du Panthéon, et la grande omb
son père, j’ai vu bien des choses à côté de vous; j'ai eu sous votre main des sensations, des joies, des mémoires, des tris
ans ses yeux bleus, de la poésie dans ses cheveux blonds et épars; sa main sèche et pâle donnait à sentir le frémissement de
i dis : « Vous souffrez beaucoup? — Moins, depuis que je touche votre main ; ma respiration est aussi pénible , mais la vie s
mbulisme dont je venais de saisir quelques lueurs. Appuyant donc la main gauche à la base du cou, je magnétise avec l’inte
à l’émanation fluidique (cela autant que possible, bien entendu) ; ma main droite actionne le crâne, le sujet ferme les yeux
fflets? ah! ils se gonflent... » Et la malade se dresse, dégage ses mains , el parcourt mon bras de son doigter : sa figure
vant, à sept heures du malin , ma malade s’éveillait en me tendant la main , et me disant : « Oh! vous m’avez donné un beau
devant moi se déroule une scène indescriptible... Louise étend les mains sur des touches invisibles, qu’elle parcourt avec
ie qui était partout en moi: dans ma tête, dans mes pieds, dans mes mains , dans ma poilrine;..... et j’entendais distinct
’es qu’obscurité ! O mon maître! si vous saviez comme je révère vos mains , quand je songe qu’elles m’ont éclairé ! Mainte
hoses que je m’imaginais que vous me dictiez, après être sorti de vos mains , un dimanche... Le plus difficile était sans do
sur ce fait très-remarquable, qui se généralise chaque jour dans ses mains , et qui s’est confirmé dans ce cas, savoir : l’hé
éminent de la science mesmérienne, et que les prodiges opérés par scs mains bienfaisantes pourraient faire passer, à bon droi
l’épreuve décisive. Aussi le paysan alla-t-il tout radieux plonger sa main dans le sac, et il en retira le numéro du conscri
recevoir des malades. Depuis ma plus tendre enfance, j’ai tendu la main aux malheureux, pour leur prodiguer des consolati
fait qu'entrer et sortir dans ma maison. A peine je leur ai touché la main , qu’ils ont été se loger en ville. Le frère Pacau
ée, la volonté médiocrement tendue, en glissant lentement le plat des mains sur le corps, depuis le sommet de la tête jusqu’a
yer d’expliquer les phénomènes qu’ils voyaient se produire sous leurs mains , il> n’ont pas donné leurs explications comme
déplorable abus des remèdes. Jésus disait à ses apôtres d’imposer les mains : c’est un procédé que les magnétiseurs emploient
nétiseurs emploient journellement, et il semble quelquefois que leurs mains absorbent le mal; mais cela 11e suffit que rareme
tandis que nous n’aurions à faire qu’un geste, presque un salut de la main !..... Hahnemann n’est pas plus exact quand il
aire tou- cher la chose, non pas seulement du doigt, mais à pleines mains . Mme D..., rue Désirée : névralgie faciale, qui
ter l’emplâtre cl la flanelle d'opium et de morphine, et j’imposai la main vingt minutes, ce qui amortit les douleurs et pro
in de ia Douane,avait de fréquents maux de tête, que l’imposition des mains calmait après une action d’environ une demi-heure
e : névralgie faciale et froid habituel des pieds. L’imposition de la main calmait les douleurs après une action d’une demi-
l d'abord, souffrit alors de partout; elle se contordait, prenait mes mains et les portait successivement à l’épigastre, sur
p grande quantité de fluide. Jésus disait à scs apôtres d’imposer les mains , et le médecin Luc, son disciple, raconte (chapit
pas ? Ils n’auraient plus qu’à faire un geste, presque un salut de la main .... Mais que sont devenues, pour les homéopathes
oses très-atlénuées. Nous aimons à croire que M. Taxil n’a eu sons la main qu’une édition contrefaite de l’excellent Traité
ur chez tous les hommes, et chaque fois que le magnétiseur impose les mains , il sort une vertu de lui. L’action magnétique
s nous y attendions, l’opposition mesmérique s’est concentrée dans la main de M. J. B. Elle aura par là plus d’unité, puisse
our la réveiller ? Une simple insufflation, une légère imposition des mains , un tout petit contact de la robe de Jésus.... po
. » Néanmoins, je me cramponne toujours à la question, Gauthier d’une main et du Potet de l’autre. Je citerai même une autre
craint pas d’aborder , ne désire pas voir de scs yeux, toucher de ses mains , etc., ne se défie pas des assertions el des magn
ment. Yoici comment agit M. Darling. II place dans la paume de la main gauche de la personne qui se soumet à l’expérienc
’état impressible n’existe pas ou est incomplet, M. Darling prend une main du sujet dans la sienne, et le regarde fixement d
le mouvement des bras qu’il empêche, soit en oOl. comprimant les mains l’une contre l’autre par un mouvem ent fort et ra
, c’est bien. 11 agit de même sur les sensations. Ainsi il prive la main ou le brns de toute sensibilité, même à la plus v
des bras : M. Darling défiant le sujet de lui donner un soufflet, sa main s’arrête contre la joue du docteur. De même, s’il
le sujet voit des choses qui n’existent pas, tels qu’un livre dans la main vide de M. Darling, un oiseau dans une chambre qu
uoi il consiste : La personne qui se soumet à l’épreuve tient d’une main , en avant et un peu au-dessus des yeux, un objet
poignet, une dernière passe brusque l’a comme extraite au-delà de la main et des doigts, cl elle n’a plus reparu. De plus,
cination il dit : « ail right, » souvent en frappant violemment de la main sur les épaules du sujet. — A propos de ce ail ri
e éprouvette : il appelle des gens de bonne volonté, et leur met à la main cette petite batterie galvanique; il y joint des
der diffère le plus essentiellement de la nôtre. M. Fiske met dans la main des personnes qui se soumettent à l’expérience ,
ent à craindre dans l’application du nouveau système , même entre des mains inexpérimentées, si l’on agit prudemment, et l’on
e lever de sa chaise par la puissance électrique, sans la toucher des mains , et à se tenir debout sans être maintenue. Elle a
e plusieurs pas en marchant, et elle ne faisait qu’appuyer une de ses mains sur mon bras, que je tenais étendu dans une posit
de cinq dollars en courses de cabriolet, et réussit enfin à mettre la main sur un sujet dont les idées sur la tempérance con
arme tout puissant, et quand il est accompagné de l’application de la main sur le dos, on dit qu’il réveille les individus q
e monde au même état. Il fait quelques pas, il s’arrête, il joint ses mains en extase ot son visage est rayonnant de joie.
e douleur, on va former le circuit à la la partie douloureuse avec la main droite, mais on ne l’y pose pas, et on ne fait pa
se servait. C’est incroyable; 011 le niera; mais que tout médecin, la main sur la conscience, réponde.,.. Aussi quel avantag
’il médite la parole de Jésus-Christ, lorsqu’il disait« d’imposer les mains sur les malades, et que les malades seraient gu
nt pas, qu’ils essaient du nôtre, qu’ils peuvent toujours puiser à la main d’un ami. Il est vrai que, dans ce cas, il pour
s douleurs en général, se traitent par l’imposition ou l’approche des mains , les frictions ou les passes toujours lentes et d
uissante; le magnétisme, que nous voyons tous les jours, par d’autres mains que les nôtres, alléger momentanément des maux de
rs distribuent leurs soins aux autres parties; couvrez le malade de mains bienveillantes , au lieu d’emplâtres de moutarde
les orteils se crispaient; il se servait à grand’ peine d’une de ses mains , et jamais il n’avait articulé une syllabe. Inuti
isième semaine il put rester assis par terre et se servir assezde ses mains pour manier ses joujoux ; à la quatrième semaine
vie est usée par le mal ou par les remèdes, condition si commune aux mains des allo-palhes, mais parce que vos passes n’ont
t et fit place à une expression étrange. Mmc Alexis porta vivement la main à son front et chancela.....Quelqu’un la soutin
econdes : « C’était vrai. « Mme de Broock , prenant à son tour la main d’Alexis, lui dit : « Je ne veux pas vous embar
lumière vulgaires. Il a d’autres vertus, et se produit déjà entre nos mains , par un faible rayon, il est vrai, mais tout prou
der, et la vérité peut devenir dangereuse placée entre de certaines mains ; et fi j’écoute la voix qui est en moi, le murmur
ées à la médecine et ne s’y sont pas toujours trouvées eu très-bonnes mains . J’espère, dans les pages qui vont suivre, lever
je vais indiquer les moyens d’en faire l’épreuve. Si vous prenez la main d’un malade en plaçant votre pouce dans le milieu
ez la main d’un malade en plaçant votre pouce dans le milieu de cette main et l’index sur le revers, vis-à-vis du pouce; si
ec une ferme volonté de le guérir; si, enfin, vous portez votre autre main sur la partie malade en la frottant légèrement TU
la partie sensible ou souffrante. Maintenant, quanti vous prenez la main d’un malade de la manière que j’ai indiquée, vous
tre électricité en contact avec la sienne; en portant ensuite l’autre main sur le mal, vous établissez un vrai courant, vous
donnais des détails sur le nouveau moyen de guérir par le contact des mains , et sur quelques-unes des maladies qui pouvaient
née, je fais boire l’eau au malade. 11 faul avoir soin do passer la main pendant quelques minutes sur la lOtc et sur la po
avoir laissé de voire sang aux ronces du chemin, après avoir sali vos mains de l’or que vous pourrez y trouver, vous vous arr
e, ce qui esl raie maintenant, 011 accourt me chercher, cl des que ma main a louché la convulsionnaire , elle s’arrête, se c
rvenais à obtenir un calme prononcé toutes les fois qu’appliquant mes mains sur la tête, je formulais cette pensée: douleur,
aurais volontiers traité de cher voleur. Remis, malgré moi, entre les mains de la gendarmerie, Il vient d’être condamné aux
sur moi ses grands yeux noirs el perçants, à peine eut il étendu s:i main sur ma tête , que je sentis cette dernière déchar
elle la trouvait trop nerveuse, et elle me prit une seconde fois les mains : « Bon espoir, me dit-elle, vous touchez à la
gnétiser soi-méme, si le fluide sortant du corps, s’échappant par les mains , rentre dans le corps. Je lui demanderai commen
on des devoirs de sa charge. Il versera toutes les semaines entre les mains du trésorier toutes les sommes qu’il aura pu rece
1a, comme in- térêt cio cinq bons du Trésor. En tout, nous avons on main , Liv. 8S4 : 4: 5 5?2 (22,110 fr.) « Nos princip
euvent les magnétiser , les réchauffer de leur baleine et tenir leurs mains sur les parties malades, ou les traîner lentement
leurs qui semblaient tenir de la dentition et de la coqueluche: notre main posée quelques moments sur son cou, et ensuite pr
r !.... El ici encore le" mères peuvent magnétiser leurs filles : les mains quelque temps appliquées sur les aines, et ensuit
ue dans certaines circonstances. Si un somnambule a été bon entre les mains d’un magnétiseur instruit, ce n’est pas une raiso
aux circonstances, car ils sont nos maîtres dans 1 art de passer les mains , et ils rendront bien d’autres services encore, p
encé par acheter un peu de bien, que l’homme cultivait de ses propres mains . Seulement, les habitants du lieu remarquèrent
ensé, les représentants d’une religion nouvelle détruisirent de leurs mains tous les monuments, ainsi que les livres qui pouv
gnétique la réunion de plusieurs personnes se tenant mutuellement les mains et se touchant même par les pieds ou les genoux,
endra, sans contredit, un précieux auxiliaire du magnétisme entre de3 mains prudentes et exercées. Malheureusement, il n’est
aient les meilleurs effets, ont donné des résultats opposés entre les mains d’autres magnétiseurs (2). Une de nos malades nou
bsessions, le monopole de la médecine, uniquement concentré entre les mains des prêtres, se soit ressenti des préjugés et des
étiser l’eau, consiste à tenir le vase qui la contient entre les deux mains et à diriger sur le liquide !e longues insullla-t
sous des épaules deux cautères fictifs, au moyen de deux doigts de sa main pressant en pointe de chaque côté de l’épine, il
et tourner les feuillets. Cinq jours plus tard, elle se servira de sa main pour porter la nourriture à sa bouche. La sensibi
rang qui lui appartient comme agent curatif, et sera placé entre les mains de ceux qui devraient seuls le pratiquer, car il
ient seuls le pratiquer, car il est sujet :i d’énormes anus entre les mains des ignorants et des méchants. Au lieu de douter
yage en imagination. Un monsieur s’assit auprès du sujet, lui prit la main et s’imagina faire un voyage qu’il avait effectué
raison. Elle se croyait enterrée vivante, et il lui semblait voir la main d’un démon arrachant ses entrailles. Soumise au
rancs, mais Eudoxie a déclaré positivement l’avoir vu un jour dans la main de la femme Maudenet, qui variait fort habilement
universel (du), 257. Frictions (des), attouchements, imposition des mains , insufflations. Recherches sur leur emploi dans l
smérisme déguisé. Illuminés. Voy. Swedenborgistes. Imposition des mains , 61. Inculcation du la volonté, 4. Insensibil
45 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
ait commencé à avoir des secousses : « Tout ce que je tenais dans mes mains m'échappait et ma patronne, supposant que je le f
elques secousses isolées, comme électriques, W... bat le lit avec ses mains , pousse des cris redoublés, bat l'oreiller avec l
me, elle se débat, riant toujours : « Ah ! mon cœur ! » Elle porte la main à la région précordiale. « Ah! Gl..., s'il te dem
u'elle a gardé jusqu'à ce matin. L'appareil enlevé et remplacé par la main , on donne le chloroforme. Nous écrivons avec la p
oigts et des avant-bras, on amène une contracture dans la flexion des mains et des avant-bras. (Pl. VIII.) M. Charcot a désig
Je me trouve mal, mon ami!... Oh ! la la ! » Petites plaintes, met la main sur son cœur : « Oh ! la la ! » Physionomie souri
ttaque que l'on arrête par la compression ovarienne, exécutée avec la main . 5 h. 45. « Ne me touchez pas, si je suis une s
osition de ses membres, de désigner les objets qu'elle tient dans ses mains , et de marcher avec assurance. W... présente pl
pour résultat de supprimer Y arc de cercle antérieur. — On retire la main qui comprimait, troisième attaque; si, alors, on
ées, nous sommes parvenus à vaincre cette résistance et à enfoncer la main au fond du bassin, c'est-à-dire à comprimer la ré
..., aune certaine période de sa maladie, la simple application de la main sur n'importe quelle partie du tronc ou des ' I
est réendormie par surprise, c'est-à-dire en appliquant rapidement la main sur le front. Elle est, par conséquent dans la pé
Au bout de trois ou quatre minutes, on note un léger tremblement des mains . Le pouls (P.) est toujours à 108. La respiration
a respiration se ralentit sur-le-champ. M. Regnard la saisit par la main , qu'il lâche aussitôt ; elle le suit, fait le tou
, elle s'endort; —je veux que vous dormiez quand je frapperai dans ma main : — au bruit, elle s'endort. Phénomènes consécu
rienne gauche, et on la rendort par surprise en projetant vivement la main vers la face. — On la réveille en projetant de l'
a clavicule à la ceinture, et sur le bras gauche jusqu'au poignet. La main est insensible (transfixion, etc.). — Uamblyopie
e deux éléments au sulfate de cuivre. — A 10 h. 40, P... distingue la main , un doigt, un crayon. — A 10 h. 50, elle prétend
u cou jusqu'à la clavicule, du quart inférieur de l'avant-bras, de la main , du tronc au-dessous de la ceinture et du membre
a eu aucune modification de la vue. 31 Janv. — Electrisation. — La main gauche, insensible, est placée dans le manchon de
n de la pile Grenet. La sensibilité reparaît en 7 ou 8 minutes sur la main et le quart inférieur de l'avant-bras gauche. — D
us tard, la sensibilité persistait à gauche, mais était abolie sur la main et la partie inférieure de l'avant-bras, à droite
sfert.) jer février, — Même état. — 2 fév. — Insensibilité des deux mains . 3 fév. — Insensibilité des deux mains, des deu
év. — Insensibilité des deux mains. 3 fév. — Insensibilité des deux mains , des deux avant-bras, des deux côtés du cou, de l
s obstacles ou les rejette violemment; je cherche à la prendre par la main , elle me repousse violemment. On lui ordonne d'
porte-plume. (Elle a les paupières closes.) Durant cet exercice, les mains tremblent; aussi les lettres sont-elles un peu ir
une sensation de chaleur par tout le corps, elle cherche à mettre ses mains sur des objets froids, sur du fer, elle ne garde
ices, fait des sauts, s'accroche aux barres de son lit, elle voit des mains qui cassent des œufs sur sa couverture, des fantô
s œufs sur sa couverture, des fantômes « ignobles » qui mettent leurs mains glacées sur sa figure ; elle croit que des hommes
e sur ses jambes; elle oscille en marchant. Elle tremble beaucoup des mains et a de la peine à écrire son nom et la date ; le
s lignes tracées sur de la cire. — Pendant la nuit, douleurs dans les mains , les poignets, les jambes, les mollets; crampes d
jours une sensation de chaleur insupportable, principalement dans les mains . Pour la calmer, elle plonge ses mains dans l'eau
table, principalement dans les mains. Pour la calmer, elle plonge ses mains dans l'eau froide ; elle se trouve bien des douch
tc. A partir de minuit, insomnie. Elle a des « inquiétudes » dans les mains qui sont brûlantes et qu'elle baigne dans l'eau f
s et qu'elle baigne dans l'eau froide. — Hier, dans l'après-midi, les mains étaient rouges et très chaudes. M... se plaint de
oureuse. — Ni sucre ni albumine dans les urines. Le tremblement des mains et des jambes est encore très marqué. — T. R. 38°
», et, de fait, elle voyait un homme qui s'avançait et lui posait sa main froide sur son visage. — Eau albumineuse, etc.
nt assise sur son lit, prête à tomber; l'une d'elles ayant appuyé les mains sur ses épaules pour la maintenir, V... fut encor
t va s'asseoir dans un coin, sur le parquet, le menton appuyé dans la main . De temps en temps, elle ferme les yeux et lutte
. Les mouvements des bras sont libres ; H... serre moins bien de la main gauche que de la droite. Parfois, lorsqu'elle a l
ce est fraîche, les joues sont colorées, ainsi que les muqueuses. Les mains sont potelées ; les poignets mesurent 16 centimèt
lade mange, boit, se peigne seule. Elle serre médiocrement fort de la main droite et encore moins de la main gauche. Le me
Elle serre médiocrement fort de la main droite et encore moins de la main gauche. Le membre inférieur droit est libre; la
après lavement. 1" mai. — P. 96; T. V. 37°, 6.— Lorsqu'on joint les mains (attitude de la prière), elles conservent cette p
mais ne désire pas manger; les membres ne sont plus contractures; la main gauche tremble légèrement; l'anesthésie est toujo
nt des secousses, laissent échapper les objets qu'elles tiennent à la main ; par instant, elles sont incapables de parler ,
rovoquer certaines recherches. Par un grand malheur, ce fut entre les mains de véritables malades que tombèrent les premières
égale entre ses pouces et les vôtres : cela fait, vous retirerez vos mains en les écartant à droite et à gauche et les tourn
t. Vous recommencerez cette passe cinq ou six fois, en détournant vos mains et les éloignant un peu du corps pour remonter. V
es éloignant un peu du corps pour remonter. Vous placerez ensuite vos mains au-dessus de la tète, vous les y tiendrez un mo
vous rapprocherez aussi quelquefois du malade de manière à poser vos mains derrière ses épaules pour descendre lentement le
. Après les premières passes, vous pouvez vous dispenser de poser les mains sur la tête, et faire les passes suivantes sur le
tiser. Cependant, je crois pouvoir observer que le contact absolu des mains sur la tête et l'épigastre n'est point indispensa
es de recueillement qui doivent précéder toute expérience, je lève ma main droite à la hauteur de son front, et je dirige le
e la poitrine et du ventre; seulement, à chaque fois que je relève ma main , j'ai le soin de laisser tomber mes doigts, de te
u visage et suivant l'axe du corps; après quoi, vous étendez vos deux mains à quelques pouces du front et des régions pariéta
Tout le temps que dure l'opération vous variez peu la position de vos mains , vous contentant de les porter lentement à droite
méthode qui n'eut point d'imitateur et ne réussit guère qu'entre ses mains . Il faisait commodément asseoir dans un fauteuil
Si cet effet ne se produit pas spontanément, on laisse aller les mains du sujet et on lui applique les pouces sur les gl
i s'hypnotise vite : il vous suffira {Fig. 6) d'étendre subitement la main sur la tête, elle tombera comme foudroyée. Je cit
l'état de sommeil. Il suffit d'exciter les muscles légèrement avec la main pour les voir se contracter aussitôt. Je renvoie
vec un porte-plume et amenant la contraction de tous les doigts de la main , sauf le second et le troisième, résultat que don
dividu hypnotisé. Il suffit pour cela de lui saisir vivement les deux mains et de se retirer rapidement. Dans la plupart des
jet hypnotisé dans la position représentée (Fig. 16), c'est-à-dire la main appuyée contre un mur, le corps penché et portant
autres petites filles. Pour les punir, les sœurs leur attachaient les mains , le soir. X... assure que, parmi les sœurs, il y
le posséder comme je voudrais; alors je me couvrais la figure de mes mains , et c'est à ce moment où je ressentais un grand b
terne, venant dans le service, est venu me parler, il m'a pris par la main en me disant « Bonjour » ; alors je me suis senti
été réveillée avec une contracture dans l'extension, si on appuie sa main contre un mur, elle ne peut se retirer. Pour exéc
sionomie change et se met en harmonie avec l'attitude. Place-t-on les mains dans la situation d'une personne en colère, la ph
personne en colère, la physionomie exprime la colère. — Joint-on les mains , la physionomie traduit la supplication. — Met-on
r l'animal imaginaire. f) On lui montre le ciel en lui joignant les mains . Elle se met à genoux et on l'interroge. « Que vo
on Dieu. —Que vois-tu encore?—La Vierge.—Comment est-elle?—Elle a les mains jointes... un serpent est sous ses pieds... un ar
cilement. On la prévient qu'on va l'endormir en passant rapidement la main sur son front (surprise) ; elle résiste, ne s'e
d'analogue.) On ordonne à la malade de frapper trois coups dans sa main en la prévenant qu'elle s'endormira au troisième
uement. — On attire son regard sur une cuvette vide, elle se lave les mains et continue tant qu'on ne l'arrête pas. — On diri
elle est couchée sur le ventre, les jambes fléchies vers le dos, les mains portées en arrière vers les pieds, la tête rejeté
igé de l'écouter. (Les joues se colorent.) « Ah ! ah ! (S... porte la main sur son sein gauche, comme si elle souffrait et l
S... porte la main sur son sein gauche, comme si elle souffrait et la main droite sur sa figure.) Oh ! toutes ces voitures..
de pain. Elle s'arrête, ouvre les yeux, regarde fixement, porte la main sur son cœur, se tortille sur place. « Oh ! ma mè
les yeux : « J'étouffe ! » Enfin, elle parvient à boire, dit que ses mains sentent l'oignon. (Elle en a épluché ce matin, ma
le spontanément : nous la rendormons par surprise. On place dans sa main droite des objets variés, elle les reconnaît, dit
ète, et sur son clavecin Laissait, tout en rêvant, flotter sa blanche main . Ce n'était qu'un murmure ; on eût dit des coups
eu que lors qu'elle dan-foit vn mouton noir la tenoit apponduë par la main auec fes pieds, qui efloient comme elle difoit, b
abbath, Sabbath, c'est-à-dire la feite iour de repos, en hauffant les mains ballets en haut, pour teftifier donner va certain
longtemps. Les filles et femmes tiennent chacune leurs Démons par la main , lefquels leur apprennent des traicls geftes li l
46 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
vérité, n’imporle par quelle bouche; le bien, n’iraporle par quelles mains . TOME DIX-HUITIEME. 2« SÉRIE. PARIS. BURE
quand on les abat. Rappelez-vous, magnétistes, que vous avez en vos mains la vérité la plus essentielle au bonheur des homm
cevoir l’oscillation la plus minime. Cependant, je pose l’index de ma main droite sur la surface supérieure de la rondelle,
, et en même temps un morceau de soufre est placé dans le creux de ma main gauche, mes regards sont atlachés sur l'olive du
porterait peu, pour le résultat final, que le soufre fût à nu dans la main , ou qu’il y fût placé dans une boite de bois blan
t par M. Rudder ou Rutter, mettrait en communication le pendule et la main de l’opérateur par une armature en cuivre, substa
t sa bourse doit être le prix. Les deux partis brûlent d’en venir aux mains en bataille rangée ; mais comment engager l’alfai
ffre de se mettre en pension chez vous et de verser 500 fr. entre vos mains si vous parvenez à lui donner la fièvre. Hom. —
porte aujourd’hui la pensée dans le monde-entier, n’était entre leurs mains qu’un instrument de physique amusante. A cette
rrête, car mon sang court déjà plus vite, et je craindrais d’avoir la main trop rade. « Je passe à vous, cher docteur, et
n puissant, fécond, infaillible : c’est de magnétiser de votre propre main des malades. Suivez ce conseil, et le fait ne
elle? Lorsque plus tard, dans des temps moins calamiteux, on remit la main à l’œuvre, bien des observations étaient perdues,
posa un doigt sur le front, tandis qu’elle pressait fortement l’autre main , et le regarda fixement. Mais quel ne fut pas so
stupéfiée, lui fil plusieurs questions, en le tenant toujours par la main ; il y répondit chaque fois brièvement, d’une voi
un individu parler... par la bouche, comme saint Paul, écrire avec la main comme tout le monde en suivant desycux les mo
main comme tout le monde en suivant desycux les mouvements de sa main , et on ne lui en demande pas davantage ; ou bien
a bonne aventure. Peu soucieux de pareille chose en pleine rue, et la main déjà levée vers la sonnette de la maison du marqu
imenter eux-mêmes les doses infinitésimales. Qu’ils mettent entre les mains de leurs somnambules de petites boîtes contenant
x aveugle, sourde et muette. A ma demande, l’un d’eux lui appliqua la main sur le bras ; au même instant, sentiment de fraye
ur et légers mouvements convulsifs des bras, qui cessèrent dès que la main fut retirée... Bientôt la malade jouissait de l
le je frappai avec ma tète, n’ayant pas la force de le faire avec les mains ni les pieds. Je perdis ensuite entièrement conna
me voit ni ne m’entend ; je lui applique ensuite très- légèrement la main sur le genou droit (3); elle ne voit ni ne sait q
11' MARIE BHESSAC.—CURES MER VEILLEUSES OPÉRÉES PAR LE TOUCHER I» UNE MAIN FÉMININE. — POURSUITE POUR EXERCICE ILLÉGAL DE LA
e me sers de préférence du magnétisme, en dirigeant le fluide avec la main droite vers la partie malade et en retirant la ga
connaissait à l’instant les cartes (qu’on lui faisait glisser sous la main , car il lie fallait pas la toucher), quoiqu’elles
graduellement devant le charmeur, jusqu’à ce que celui-ci étendant la main , les saisit comme il eut fait de baguettes inanim
voir nerveux : notamment il est arrivé qu’une personne frappant de sa main une image imaginaire, était repoussée par une for
les assistants, le vase se mit en mouvement, quoiqu’il n’y eût aucune main visible auprès de lui, et glissant le long du par
ce que je considérais comme un accident. « Elle me dit de poser les mains sur la poitrine du patient pendant quinze minutes
ni courant d’air, ni réverbération des rayons solaires ; approchez la main de ce verre avec les doigts réunis, sans le touch
errez sortir le fluide. On ne peut le confondre avec la chaleur de la main , qui peut à peine ternir le verre, ou, quand cela
peine ternir le verre, ou, quand cela a lieu, elle forme autour de la main un rond plus ou mdns régulier, tandis que le flui
n avantage réel, et que, d’autres ouvriers laborieux mettant aussi la main à l’œuvre, il n’en puisse surgir pour l’avenir, a
fragile et souvent éphémère, mais armé de toutes pièces, et tenant en main le talisman qui doit me donner l’entrée du te
effets « alternatifs de cet agent; il se manifeste dans le corps hu-« main par des propriétés analogues à celle de l’aimant.
cs effrayants qui an- nonçaient évidemment un orage intérieur. Ma main droite, chargée du môme fluide que la tête produi
i, pour corroborer mon système et le compléter, je puiserai à pleines mains dans les divers ouvrages où M. le baron de Reiche
rez-vous plus difficile pour un sourire bienveillant, un serrement de main , un geste sympathique, des paroles de consolation
écrit, mais c’est un Esprit qui parle par sa bouche, qui écrit par sa main ; l’Esprit agit ainsi, même sans avoir été appelé
u de la lettre. J'endormis mon sujet et lui remis la lettre entre les mains . Après l’avoir appliquée au creux de l’estomac, p
rs meilleurs médiums aux deux extrémités du câble qu'ils tiendront en main . Les dépêches mentales formulées par l’un seront
souvent presque sans sa volonté ; tel un instrument qui se prête à la main qui le touche et ne rend des sons que par son imp
mpare est une puissance plus forte que lui, et il est presque sous sa main comme un instrument qui rend des sons. C'est ce q
ualiste dans l’exercice de ses fonctions diffère peu du sujet sous la main du magnétiseur, et que le cercle embrassé par les
cès de mon introducteur était complet. « Alexis, prenant ensuite la main de ma femme, lui parla d’événements passés et not
e, les mouvements d’objets matériels sans contact, lea apparitions de mains ,les ascensions lmmaiues, etc. Que g es faite adio
s nomsdequel-ques-uns de scs malades. Nous avons, du reste, entre no3 mains les attestations de ces divers» cures. I!: i. T
rtez-vous. » En même temps il se courbe vers Tinfortuné, fait avec la main deux ou trois passes le long du corps et des bras
il n’y eût plus de communication entre nous ; elle avait abandonné ma main et s’était éloignée de mon lit. Je passai six ou
n brin d’herbe , il n’est pas un insecte qu’elle ne doive prendre aux mains du paysan qui en connaît les propriétés et la ver
. « A la demande du magnétiseur, elle indiquait les objets tenus en main par les personnes de la société ; elle ne se trom
abîme, et qui, à la voix de l’Eternel : « Fiat lux » s’échappa de ses mains pour vivifier la masse informe et éclairer les té
oir reçu l’impression de ce désir, remonte sur son théâtre, dirige la main sur SI. Julio, qui part à l’instant, vient auprès
montra comment l'esprit de vie, Par le vouloir, peut jaillir de nos mains . Ce flux puissant sur le mal homicide Lance sa
qu’ils tueront au lieu de tuer le malade. Cela fait, appliquez la main guérissante, tnanus sanation sur le mal et catale
savez pas plus ce que vous faites que les apôtres qui imposaient les mains avec cette foi vive et simple qui s’est perdue au
fant ne perd rien de son pouvoir, et dès qu’elle a posé l’index de la main droite sur le guéridon, ce meuble s'agite si viol
céreux qu’il avait enlevés par la seule opération de l’imposition des mains , et qui étaient conservés dans des bocaux d’espri
ments; mais il ajouta que le procédé de guérison par l’imposition des mains était beaucoup plus certain et plus rapide. « .
ar suite d’une inflammation des reins. J’enlevai le mal en posant mes mains des deux côtés du corps pendant une demi-heure ;
lui était arrivée en ferrant un cheval. Je tins le poignet entre mes mains pendant une demi-heure, après quoi il se trouva p
er, ni appuyer à terre la jambe goutteuse. Je tins la jambe entre mes mains pendant une demi-heure ; l’enflure disparut gradu
ilité. — Madame M. C. D... avait un goitre au col : en appliquant les mains pendant une heure, j’obtins une diminution consid
t. « Dans beaucoup de cas, il m’arriva, par la seule imposition des mains de guérir divers maux, tels que crampes, maux de
que. l'expérience démontrait Être juste. Dire ce qu’il tenait dans sa main , ce qu'il avait dans ses poches , n’était pour e
curieux.de l'apprendre par une voie aussi extraordinaire. Bientôt les mains de la jeune personne commencèrent à. se promener
n, courant qui paraissait fuir en ligne droite. Si alors je tenais la main à deux ou trois pieds de distance de son corps, l
celle produite par une forte décharge électrique. Plus j’éloignais la main pour obtenir cet effet, plus les secousses étaien
inrent tellement violentes chaque fois que je dirigeai la paume de la main vers elle, que les parents, inquiets de voir les
e fut de pouvoir attirer mademoiselle X. vers moi, en faisant avec la main des signes d’attraction. Lorsque j’employais ce
seur s’assurait de cette direction par la position qu’il donnait à sa main ; s’il rencontrait le courant, il pouvait presque
la somnambule était prise de mouvements convulsifs chaque fois que la main du magnétiseur se trouvait dans la direction de c
le voulut briser l’instrument révélateur ; mais on le lui arracha des mains , et, à la fin du dix-septième siècle, en 1688, on
t employé de « longues années à m’instruire, et avaient mis entre mes mains « un trésor, tel que nul homme n’oserait en espér
consultation de M“' Berney. « Elle était assise, dit-il, tenant la main d’une dame. La seconde fois que le mot de commiss
la position que l'on sait. M. Mongruel n’avait pas sans doute sous la main de sujet exerçant l’art chorégraphique. Une histo
rissaient sans diplôme et même sans autre remède que l’imposition des mains , à l’exemple des apôtres ; la loi qu’ont obtenue
nce inexplicable. Je m'assis auprès de sa couche et saisis une de ses mains que je retins malgré ses efforts entre les mienne
application de feuilles d’orties mr l’ipiderine. Ayant quitté la main que je tenais pour parler avec les médecins, ils
é; je la retrouvai dans les papilles nerveuses de l’auriculaire de la main gauche. — C’est singulier, s'écria-t-elle, je n’a
personne morte, vous la verrez. A l’instant même, elle joignit les mains et s'écria eii sanglotant : a 0 Henri ! Henri ! l
lara ; je n’eus que le temps de demander : — Que faut-il faire ? — La main entre les deux épaules ! Aussitôt que j’eus obé
laquelle elle se frictionna avec une sorte de frénésie, changeant de main quand l'une était fatiguée, — Laissez-la faire,
e, il ne faut pas l’espérer avant un an. « J'avais déjà la plume en main pour écrire sous la dictée de mon clairvoyant, cr
la, ou c'est l’un de nous. Or on ne m’accusera pas, j’espère, car mes mains et mes pieds sont en évidence ; que chacun en fas
à prendre uue lourde table de cerisier sur laquelle nous posâmes nos mains , dans l’attente de ce qui allait arriver. Aussitô
elques pouces du sol, de sorte qu’un monsieur passa plusieurs fois sa main en tous sens entre le parquet et la table. Cela s
s dans leur immense orbite et déviés de la route que leur a tracée la main de l’Eternel, s’écrouleraient. Cette force est
ppelai de leurs noms chacune de mes sœurs; mes sœurs se prirent parla main , sans me répondre. Puis tous se rassirent. — Ne
cacha sa tùie sur ses genoux, comme si elle eût voulu jouer à la main chaude. Surpris de cette étrange fantaisie dans u
té, je n’en touchai pas moins légèrement, du l'ouet que je tenais, la main de ma sœur. Une force mystérieuse me poussait à
ndis un bruit sec comme celui d’ossementsquis’entre-choquaient... Une main se jeta dans ma main..-. Cette main y demeura...
me celui d’ossementsquis’entre-choquaient... Une main se jeta dans ma main ..-. Cette main y demeura... C’était celle d’un sq
mentsquis’entre-choquaient... Une main se jeta dans ma main..-. Cette main y demeura... C’était celle d’un squelette! Je me
ches ne parvinrent point à me faire découvrir ces restes sacrés, line main seule, une main de femme entourée d’une chaîne d’
nt point à me faire découvrir ces restes sacrés, line main seule, une main de femme entourée d’une chaîne d’or, gisait dans
a fatale vision m’avait apparu. Je pris la chaîne d’or : la voici. La main fut déposée dans l’oratoire du château. Il y a
moi, comme jadis au château île Gross-Renzow. Ils se prirent par la main et tournèrent lentement autour de mon fauteuil.
encore... N’est-ce pas que vous m’en croyez? Allons, donnez-moi votre main . Comme Blücher ne répondait pas, le roi de Prus
otre main. Comme Blücher ne répondait pas, le roi de Prusse prit la main du vieillard dans la sienne. Cette main se trou
s, le roi de Prusse prit la main du vieillard dans la sienne. Cette main se trouvait glacée et minuit sonnait. Le feld-m
le degré voulu d'impression Habilité, il l'emprisonne dans une de ses mains , puis, après lui avoir soulevé les plumes par le
ir soulevé les plumes par le souille, il glisse les doigts de l’autre main contre sa peau; après un temps calculé pour que s
é de ces assertions. Pour la première expérience, un dé est remis aux mains d’une personne de la société. Elleest priéede cho
urner devant elle, de manière à ce que l’oiseau voie bien dans quelle main il se trouve. M. Tréfeu fait ensuite sortir l'un
ussi. «Troisième expérience : Une pièce d’argent est placée dans la main d’un des assistants, qui met sur le papier la val
calfat n» 1, et lui ordonne de désigner ce que cette dame tient à la main . L’oiseau tire du casier, avec le bec, une carte
t. Une des personnes présentes le môle, coupe et garde le jeu dans la main . Quatre autre personnes choisissent les nombres
t jetés dans un chapeau. On en tire un, que M. Tréfeu serre dans sa main fermée, sans l’avoir lu. Savez-vous quelle ques
nous-même, paraîtra au premier coup d’œil une arme très-forte dans la main de nos adversaires ; mais nous croyons qu’elle se
une verge, d’une baguette de coudrier, qui ne manque pas de forcer la main .à un imbécile qui la serre trop et qui tourne ais
e hauteur prodigieuse sur les murs de « Luxembourg ; je lui tends les mains , la hauteur des murs, « des rochers, diminue, les
son existence; son état était désespéré. M. Page, en lui imposant les mains sous la direction des Esprits, lui procura dès la
les morsures de serpens à les toucher seulement, de sorte qu’avec la main ils faisoient sortir tout le venin de la playe. V
s des serpens encore que quekjuesfois ils les’pressassent entre leurs mains , ou leurs marchassent du pied dessus, et què même
tente, jouée au théâtre de North-Waltham. Au moment où elle posait sa main sur une tête de mort que son rôle .l’obligeait à
iers qui succombent à la première heure seront là-haut pour tendre la main à leurs survivants. Baron du POTET, propriétair
yeux étaientouverts etfixeset sa bouche fermée. La garde approcha les mains de sa bouche et de ses narines, et ne sentit aucu
pie , des compresses et de l'appareil ; le tout, bien pétri entre mes mains et imprégné d’effluves magnétiques, était ensuite
ista à tenir fermement les genoux des deux femmes en y appliquant les mains de manière que tout mouvement latéral des os fût
ule évidence du mouvement des os était le témoignage de ceux dont les mains se trouvaient en contact avec l’articulation. L’e
fréquemment, pendant une heure et plus; chaque fois on appliquait les mains quelques minutes de suite. Le résultat fut toujou
frappeuses, c'est-à-dire qu’on entendait beaucoup de coups quand les mains étaient retirées, aucun quand on les tenait appli
. Flint et qui se bornaient aux genoux, 11’auraient rien empêché, les mains qui comprimaient les genoux n’auraient senti aucu
sur son genou, comme a fait le médium dont il s’agit ; puis il met la main droite à plat sur le papier ; il suffit que le po
plat sur le papier ; il suffit que le pouce glisse un moment sous la main étendue, et l’on écrit ainsi un ou deux mots qu’o
u de plombagine. M"e Huet, en ayant l'air de poser tout simplement la main sur la feuille de papier, tracerait des lettres a
gravité, la récitation de leurs prières. Le bokle recueille, dans sa main droite, du sang de sa blessure , le porte à sa bo
jette en l’air en poussant une grande clameur. Il passe rapidement la main sur la blessure de son ventre, et tout rentre dan
d’écume à la bouche, point de flexion des pouces dans la paume de la main . Le cri initial n’a pas eu lieu. L’accès d’ailleu
les malade«, allaient au-devant l’une de l'autre* se prenaient par la main , s’embrassaient, et enfin s’agenouillaient en s’i
lles dont les traits devenaient to«t b, coup rayonnants, levaient les mains au ciel, et imploraient le secours à peu près en
être s’en retourna tellement édifié, qu’en me serrant cordialement la main , il remercia le ciel de ce qu’il ne craignait pas
servir de vaine récréation ; qu’elle ne peut être maniée que par des mains habiles et expérimentées; qu’autrement elle peut
ue ce soit, parce que cette personne se sera amusée à faire aller les mains au tour de la tête d’un enfant. Mais si le magnét
douta pas un seul instant que sa fiancée ne fût morte ; il étendit la main , prit un de ses pistolets et se fit sauter la cer
es allumées; ilfit autour de lui une sorte d'exorcisme, luiimposa les mains sur la tête, et tousdeux, dans cette attitude, ad
uinze milles de Mittau. L'enfant étant de nouveau exorcisé, ayant les mains du vénérable imposées sur sa tête, et les prières
moyen matériel bien usé. Il se contenta d’opérer par l'imposition des mains sur la tète de l'enfant. « Quelqu’un soupçonnant
e la personne qui avait amené l’enfant fit elle-même l’imposition des mains . L’interrogatoire eut lieu, et les réponses de la
répondant aux évocations, écrivent au moyen de corbeilles mues par la main des médiums, ont oublié leurs noms de baptême et
ndez-vous pas votre enfant crier? » Point de réponse. Elle met la main sur le lit, et ne sent rien. Effrayée, elle appel
resta toujours près de son lit. Après ce temps, elle se leva, mit la main sur le berceau à côté, et se mit à pleurer et à s
ce les effraye ou les intimide, car ils voient qu’elle tient dans ses mains divines la clef de toutes les sciences. Les enn
ous dit-on, pour se convaincre,- voir de leurs yeux, toucher de leurs mains . Eh bien, qui les empêche : non-seulement ils peu
ur, et le scélérat, comme l’honnête homme, tombe à genoux et tend ses mains vers le ciel.... Ce principe divin, que deviend
st-ce que le moule matériel qui nous forme serait le dernier dans les mains de Dieu ? Cinq pauvres sens, ajoutés à ce moule,
nétique parfaitement lucide, vous verriez le mirage lumineux de votre main s’allonger comme une ombre au soleil couchant, et
te d'une lucidité suffisante, M. Constant l'a-t-il mieux vu?... Si ma main lluidique peut ainsi s’allonger à cent pieds de d
rit. Quant aux miracles de M. Home, et notamment aux apparitions de mains sans corps , M. Constant les avait précédemment a
les motifs qui ont changé sa manière de voir, il admet la réalité des mains en question (p. 295 et Zi 56), seulement il ne le
our la lumière astrale qui use du même procédé que pour fabriquer les mains de Home. Ces explications valent celles de M. Con
retrouve dans •les faces antérieures et postérieures des bras et des mains , des jambes et des pieds. De cette triple source
'emporte encore dans le côté gauche sur le côté droit. Les pieds, les mains sont positifs, puisqu’ils reçoivent les extrémité
des nerfs qui prennent leur origine dans le cerveau, mais de plus la main gauche et le pied gauche sont encore soumis à une
aissait et nommait toutes les pièces de monnaie qu’on plaçait dans sa main , mais elle ne pouvait dire au règne de quel souve
diaire des sens de fouie et du goût. En touchant son épiçjaslre d’une main et en parlant dans l'autre à voix basse, on obten
ssez vive et une mussitation presque continue. J'appuyai doucement ma main sur l’épigastre en y exerçant une pression lente,
m'approchai davantage, et je tins en quelque sorte sa tête entre mes mains . Le visage, ordinairement très-coloré, était très
des. Au bout de quelques instants, je m'aperçus avec surprise que mes mains seules empêchaient la tête de tomber sur la poitr
considérer. L’immensité était ouverte devant nous ; les œuvres de nos mains et de notre intelligence nous paraissant effrayan
ur tous mes somnambules lucides. Ainsi on plaçait dans le creux de la main de M"‘ Marguerite ou de M. Catelat quelques goutt
e suffiraient pour obtenir le résultat. Dans ce cas, je mets les deux mains à plat sur le ventre delà mère sans la toucher, a
al. Je pense que vous vous êtes déjà fait la réflexion que toutes les mains ne seraient pas bonnes pour agir. Les hommes à pa
ard entre deux têtes, une dame modestement vêtue, au visage pâle, aux mains blanches et effilées dénotant une de ces natures
résultat : j’allais y renoncer. « Tout à coup je la vis passer une main , puis l’autre sur scs yeux, pour combattre, à ce
e, des étincelles électriques jaillir de mon cerveau. « Soudain, la main gauche d’accompagnement s’arrête sur les notes gr
répondit M. Etienne avec la plus aimable courtoisie en me prenant la main , venez; vous avez magnétisé madame, c'est à vous
e fois, et en public surtout, je me sentis ému. Cependant je pris les mains de la dame; et, après quelques minutes, car mon i
individu qui avait un ver solitaire, par l'apposition prolongée de sa main gauche sur l’abdomen du malade. (P. 138.) Elle re
mois la calme ; le rayon violet du soleil dirigé par un prisme sur sa main la met en somnambulisme, le rouge en catalepsie ;
la magnétise, le coudrier la démagnétise. Le coudrier tourne dans sa main et indique les eaux souterraines et les mines. Sa
ve un jour éloignée d’elle à travers les airs, comme emportée par des mains invisibles. (P. 316.) Elle ne peut supporter l’ea
je fus resté à peu près deux minutes dans la Zambie, en imposant mes mains sur la malade, elle se leva de son ht, se promena
t et en proie à de cruelles souffrances. Je fus influencé à poser mes mains sur la malade. La douleur cessa aussitôt. Je lui
depuis onze ans et alitée depuis un an. Dès que je lui eus imposé les mains , elle se trouva également guérie et en état de ma
in, elle aperçut l'anneau à ses pieds, et, tout étonnée, porta la main à la ceinture de cheveux où il était fixé. S'étan
os chevaux fourbus, et vous-même... Je vous plains de tomber en ces mains redoutables ! Adressez-vous, d’ailleurs, pour d
j’y écris un mot, je le plie, et le serrant de toute ma force dans ma main droite, je viens poser mon poing fermé sur le crc
re servante périssait certainement. Elle portait de temps à autre ses mains à son front ; elle semblait absorbée dans ses pen
sont du ressort du magnétisme humain qui est dès lors tombé dans des mains indignes et étrangères à toute notion médicale. L
une panacée universelle et ridicule à ces avides empiriques. Dans des mains indignes, le magnétisme perd tout caractère scien
r rongeur de toutes les découvertes utiles, >> et il tendra une main amie « à tous les hommes sérieux qui pratiquent c
loitation manifeste de la crédulité publique, au lieu de sonder d’une main hardie le vrai ou le faux de cette science encore
doigts dans la plaie, je le saisirai facilement, « Nous soulevons sa main gauche au-dessus de sa tête, introduisons le pouc
inférieure du lambeau et nous dit : «Je l'ai. » — Serrant toujours la main au-dessus de la tête de la patiente, M. Gros sais
omplet, presque en syncope. Le pouls est filiforme à 60. La tête, les mains et les pieds sont froids. On a de la peine à la r
d'arriver peu à peu à démêler la vérité de l’erreur et d'arracher des mains des charlatans une arme puissante dont ils usent
remèdes ont été donnés qui n’étaient point nécessaires, et entre des mains expérimentées la cure eflt été plus rapide. Qua
onnons l’extrait suivant pour nos abonnés qui n’ont point entre leurs mains la collection du journal, nous ne saurions le ren
ent. Voici comment agit A1. Darling. 11 place dans la paume de la main gauche de la personne qui se soumet à l’expérienc
’état impressible n’existe pas ou est incomplet, M. Darling prend une main du sujet dans la sienne, et le regardé fixement d
ois c’est le mouvement des bras qu’il empêche, soit eu comprimant les mains contre l’autre par un mouvement fort et rapide, à
, c’est bien. 11 agit de même sur les sensations. Ainsi il prive la main ou le bras de toute sensibilité, même à la plus v
des bras : M. Darling défiant le sujet de lui donner un soufflet, sa main s’arrête contre la joue du docteur. De même,
le sujet voit des choses qui n’existent pas, tels qu’un livre dans la main vide de M. Darling, un oiseau dans une chambre qu
uoi il consiste : La personne qui se soumet à l’épreuve tient d'une main , en avantet un peu au-dessus des yeux, un objet l
s sur un point rouge placé au centre d’un disque de zinc tenu dans la main gauche, leur avait fait regarder dans des lunette
rlée, par cela seul qu’elle nous est transmise par le mouvement de la main ou de la langue. Quels que soient les signaux (br
47 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
une bonne observation clinique suivie d'une bonne autopsie, entre les mains d'un observateur attentif et éclairé. Eh bien,
fure de carbone. — La face prend l'expression d'un profond dégoût. La main droite s'élève et la tête se détourne comme pour
les signes d'un grand contentement. Elle regarde dans le lointain. Sa main droite s'élève, comme pour commencer un geste, qu
s'élève, comme pour commencer un geste, qu'elle ne termine pas, et la main reste en route, la malade demeurant figée dans l'
issent comme dans un mouvement de dégoût prononcé. Elle fait avec les mains un geste qui correspond bien exactement au jeu de
ire presque immédiat; expression de plaisir extrêmement vif. Puis ses mains s'élèvent et viennent se placer en se croisant su
de Cologne. — La malade sourit, lève les yeux au ciel, puis joint ses mains et se place dans l'attitude de la prière. Chlor
position de défense comme pour so battre. Alcool. — Elle joint les mains , lève les yeux au ciel et paraît prier. Les div
tacle terrible. Verre bleu. — Elle lève les yeux au ciel, joint ses mains en l'air dans l'attitude de la prière, et finit p
re jaune. — Elle fronce les sourcils, cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de se3 yeux, comme pour se
foncé. — Elle sourit et fait un geste de contentement. Elle porte sa main à quelque distance de son nez et flaire un fleur
et regarde à terre autour d'elle. Puis elle se baisse, arrache de la main droite une fleur à quelque distance du sol, sur u
uelque distance du sol, sur un arbuste imaginaire et la pisse dans sa main gauche. Elle recommence ensuite, cueille aussi un
. — Elle semble regarder dans le lointain. Puis sourit et salue de la main . Tout à coup elle fait quelques signes de tête et
ser. Puis son regard semble suivre quelqu'un qui s'éloigne; enfin ses mains retombent sur ses genoux, elle baisse la tête, l'
ous ses narines lui fait faire une légère grimace. Puis elle porte sa main à son front comme si elle avait mal h la tête. Al
lle avait mal h la tête. Alors prenant le devant de sa robe entre ses mains elle la sent, elle se met à la secouer. On pourra
sent, elle se met à la secouer. On pourrait croire qu'elle tient à la main un vêtement qu'elle vient de retirer d'une armoir
son corsage, elle fait un véritable bouquet, qu'elle arrange des deux mains quand il est fini. Puis elle recommence à cueilli
imaginaire de sa poche, se regarde et a l'air enchanté. Elle pose la main sur son cœur avec une expression de profond ravis
ations comme pour une inhalation. Puis elle se comprime avec les deux mains l'ovaire droit. Ses yeux sont fixes et un peu hag
geste d'enlever une tache sur sa robe, qu'elle frotte entre ses deux mains , puis brosse. Elle paraît désolée de voir que la
fait le geste d'écarter quelqu'un qui s'approcherait d'elle, tend la main et prend quelque chose (un thermomètre, évidemmen
rmomètre, évidemment) qu'elle se place dans l'aisselle. Elle porte sa main à son front comme si elle avait mal à la tête. Pu
te de rejeter ses draps au pied du lit, allonge ses jambes, place ses mains le long de son corps comme si elle s'arrangeait p
s coups sur un gong, la plonge dans une grande tristesse. Elle met la main sur ses yeux comme quelqu'un qui pleure ou qui pr
emple, elle sourit, {paraît satisfaite, puis prenant sa robe dans ses mains , ainsi que peut faire une femme qui danse seule,
e droite. Hallucination très agréable. Il salue, donne une poignée de mains , il rit, chuchote. On note quelques mouvements du
ge. — Il se jette sur quelqu'un et fait des mouvements de jambe et de main comme s'il était à cheval. (Les hussards en Russi
on. Puis il prend la couverture et s'en enveloppe. Enfin, il porte la main à sa bouche comme s'il mangeait, fait marcher ses
de dégoût.) Où sommes-nous, dis? Il ne sent pas, lui. (Elle porte la main à son nez.) Je me bouche le nez avec mon mouchoir
. Cela me rappelle ma pauvre mère. » (Elle pleure, la figure dans les mains .) Chez cette malade, il est absolument impossib
t-il à la scène qu'il va jouer par quelques mouvements de torsion des mains , qui représentent, en raccourci, les périodes con
il avait alors une propension à voler tout ce qui lui tombait sous la main et à le cacher sans réflexion là où il se trouvai
it à sa façon l'idée qu'on lui suggérait". Une canne placée entre ses mains devenait un fusil (il avait été soldat en 1870-71
brûler les cils sans qu'il parût la voir. En la lui mettant dans les mains il allumait sa cigarette et fumait, n'ayant pas
sson à l'aide de cet engin, il se baisse et attrape les poissons à la main en comptant rapidement : « Un, deux, trois, quatr
ien voulu nous communiquer. La voici telle qu'il l'a remise entre nos mains . Il s'agit d'une jeune fille de 16 ans, Louise
18 janvier 1889, en jouant avec un chat, elle fut mordue par lui à la main gauche. La main gonfla, devint rouge et resta trè
en jouant avec un chat, elle fut mordue par lui à la main gauche. La main gonfla, devint rouge et resta très douloureuse pe
squement elle tombe à quatre pattes; elle court sur ses genoux et ses mains posées à plat sur le sol, la tête un peu redressé
un coup. Ses yeux se fermaient, ses paupières battant légèrement, les mains et les bras étaient le siège de quelques courtes
Quelquefois dans le cours de la crise survenaient ces contorsions des mains et des bras qui en marquaient à peu près régulièr
! tiens! c'est drôle..., une bête! » Il se jette à quatre pattes, les mains en avant, comme pour l'attraper. « Elle est parti
l'eau. » R. « Mais non! c'est le plancher... (tâtant le sol avec ses mains ), il y a un tapis. » Il se lève. D. « Ouvre les y
a un homme auprès... Oh! c'est excessivement loin. » Il met ses deux mains sur ses yeux en abat-jour, puis cherchant à lire
il est exactement le même. Même période de contorsion des bras et des mains précédant l'invasion du délire lui-même, pendant
, mais ça ne fait rien, je le vois tout de même. » Puis mettant ses mains sur ses yeux en abat-jour, il lit dans le lointai
la, c'est gênant à la fin ! » Puis, seconde série de contorsion des mains ; le malade cherche à déchirer sa couverture, se r
lui apporte du pain, il le mange avec voracité. Il rapproche ses deux mains au-dessus des yeux, prend l'attitude d'une person
assez souvent des hallucinations. Il lui arrivait parfois de voir une main jaune (celle de sa mère sur son lit de mort) qui
Dieu! mon Dieu ! (elle secoue la tête et se frappe le crâne avec les mains ). « .....Je veux boire pour m'empoisonner. (On
est ça. Fais donc attention, tu vas me blesser. Ah ! tu m'as coupé la main . Que tu es maladroit! Va chercher le médecin; tou
uis épuisée (elle reste pendant un moment immobile, inanimée). Ah! ma main va un peu mieux. Pourquoi est-elle entortillée, s
ect..., où sommes-nous, dis?... Il ne sent pas, lui ! » Elle porte sa main à son nez: « Je me bouche le nez avec mon mouchoi
c'est agaçant ! » Elle cherche d'ailleurs peu à se défendre avec ses mains contre ces bêtes imaginaires qui lui piquent la f
a fort chaud, elle déboutonne le col de son corsage, s'évente avec sa main ou son mouchoir: « Où sommes-nous?... En Afrique.
e rappelle ma pauvre mère. » Alors elle se cache la figure dans ses mains et pleure. Nous l'asseyons devant une table et,
re. Nous l'asseyons devant une table et, lui mettant une plume à la main , nous essayons do la faire écrire. Elle ne modifi
erre jaune donne l'hallucination de grand soleil et la malade met ses mains sur ses yeux comme une visière, pour se protéger
ux effarés regardant fixement le parquet. Puis il avance doucement la main , comme s'il cherchait à prendre une bête qui marc
sur lui; il se recule, change de place, puis la suit de nouveau de la main , la manque plusieurs fois, finit par l'attraper.
e la bête poursuivie. Il la tient alors dans ses doigts et de l'autre main fait le geste de la déchiqueter, de lui arracher
e par un césarien quelconque... la justice française n'a pu mettre la main sur lui. Il a pu fuir et, son complot manqué, il
impressions que nous lui fournissons. C'est ainsi qu'en promenant les mains devant ses yeux on lui fait voir un papillon qui
lui fait voir un papillon qui voltige, il souffle dessus, allonge les mains pour l'attraper. Si on frappe en mesure avec le
tion d'un régiment qui passe, musique en tête. Il bat la mesure de la main droite, se dresse sur la pointe des pieds pour mi
me dans c't'état-là! (L'ami revient et il lui prend quelque chose des mains ) : Tenez, madame, buvez, là, ça va mieux? Appuyez
r une chaise, le plaçant devant une table, lui mettant une plume à la main et attirant par tous les moyens possibles, par la
t jusque sur ses conjonctives, en arrivant de côté. Si à ce moment la main qui s'agite autour de lui arrive dans ce cercle é
dans lequel semble restreint le champ de sa vision, ce n'est pas une main qu'il voit en général, mais un cafard qu'il essay
uis il se remet à écrire. On peut alors interposer un carton entre sa main et ses yeux, il continue sans direction, sans enc
ue tout se passe dans son cerveau, qu'il ne conduit pas en réalité sa main avec ses yeux, mais qu'il s'agit en tout cela d'u
uteur, à la même distance, sur les feuillets que nous avons entre les mains . » Et M. Mesnet ajoute: « Quelle signification do
yeux fermés, faisait son lit, s'habillait, se promenait la canne à la main , allumait un cigare, etc. Ce noctambulisme a duré
se. Il avait déjà depuis quelque temps une sorte de tremblement de la main droite qui le gênait beaucoup pour écrire et il s
ont il ressentit tous les prodromes. A ce moment le tremblement de la main était à son maximum. C'est dans cette ville qu'il
dans lequel on met en réalité le malade à l'aide de ce procédé. La main droite est le siège d'un léger tremblement qui gê
rochés du corps ; les avant-bras en pronation forcée ; la paume de la main en arrière et en dehors, les doigts fléchis. Le
que la sensation est perçue, en faisant une grimace, et en portant la main de ce côté. Du côté gauche, au contraire, il y a
après (1). En cherchant à explorer la sensibilité, on ferme avec la main les yeux du malade, qui retombe aussitôt dans son
uant avec une épingle le côté droit de la face. Le malade, portant la main de ce côté et avec mauvaise humeur: « Oh! les guê
ient calme, les yeux fermés. On frappe un coup sur une table, avec la main . Le malade, relevant la tête, et fortement: « Ent
x. Il paraît ne pas se rappeler qu'on l'ait endormi en lui mettant la main sur les yeux et n'a pas la moindre conscience de
ndignation, des hésitations, il se laisse enfin convaincre, avance la main vers la clef, la saisit brusquement, puis tombe d
ù se trouvent du papier et de l'encre, et à lui mettre une plume à la main . Nous avons pu ainsi constater, dès le début de s
s morts », il s'exécute facilement et en trois minutes il trace d'une main ferme les lignes suivantes, que nous avons placée
ranquillement assis sur une chaise. Nous lui fermons les yeux avec la main , exerçant une légère pression sur les globes ocul
ouleur. Lorsque je l'invite à chercher, sans le secours de la vue, sa main droite avec sa main gauche, elle n'y arrive pas.
'invite à chercher, sans le secours de la vue, sa main droite avec sa main gauche, elle n'y arrive pas. Si, enfin, nous lui
-vous ? je ne dors pas, je ne dors pas. » Cependant, elle se tord les mains , semble faire un grand effort, et bientôt on voit
e-Magdeleine qu'elle avait vue dans la chapelle et, l'ayant entre les mains , elle « donna grand signe de liesse. Et commença
ituellement. Elle ne dit jamais de paroles grossières, mais elle a la main leste. Elle ne supporte pas la contradiction ; el
rsonnalité. Paris, 1888, p. 186 et suivantes. passant légèrement la main sur les globes oculaires et la réveillant ensuite
Urbain, on le transféra à l'asile de Bonneval où il fut mis entre les mains de M. Ca-muset (1). Il était alors toujours parap
ises nouvelles, il entre à l'hôpital de Rochefort où il est entre les mains de MM. Bourru et Eurot. A cette époque (avril 1
ème état. Voici comment : elle est assise, un ouvrage de couture à la main . Tout d'un coup, après une douleur aux tempes (qu
a salle des malades pour y déposer ses affaires, que je l'ai prisedes mains de ses parents, et, l'ayant emmenée avec moi, ai
maintes fois surprise dans quelque travail d'aiguille, ou mettant la main sur le bouton d'une porte qu'elle se préparait à
sa vie antérieure. Pour ce qui est des nombreux médecins entre les mains de qui elle a été dans sa vie, elle ignore absolu
jour il s'agit d'une blessure à la cuisse, un autre d'une plaie à la main . Plus tard, c'est une brûlure du poignet, une mor
uve sans connaissance, en proie à un accès d'étouffement, portant ses mains au-devant de sa poitrine, autour de son cou, comm
alheur ! disait-elle, mes pauvres enfants, vous pouvez pleurer... Ses mains se décharnent déjà... laissez-le moi encore, je v
ien de semblable. D. — Qu'est-ce que cette plaie que vous avez à la main droite ? R. — C'est une brûlure. D. — Quand e
très souvent, au cours d'un interrogatoire, elle met spontanément la main à sa poche, en tire ce carnet et l'ouvre pour en
avons été à la comédie et nous ne sommes rentrés à C... que le lende main par le train de midi. D. Votre fille a-t-elle e
.. J'allais chercher un logement, un petit chien jaune me mordit à la main et déchira ma robe. Une dame vint à mon secours e
alvi)2 a vu le fils d'un père diabétique présenter un tremblement des mains , entre autres accidents nerveux. Il a vu chez les
s) avec hypéres-thésie assez marquée au niveau de la face dorsale des mains et des pieds, hypéresthésie qui l'oblige parfois
es par les mouvements de la tête et l'obligeant à tenir sans cesse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège d
pigmentation brunâtre. 11 présente des placards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main, petit doigt et annulair
présente des placards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main , petit doigt et annulaire gauches). Il est porteu
vons signalées et d'engourdissement dans les pieds, les jambes et les mains , qui le gênent pour s'habiller. 11 ala sensation
e ni de ses limites. C'est une chose indéterminée, douloureuse, s Aux mains , l'engourdissement occupe les deux premières phal
vertige existant toujours. S'il veut s'avancer, il porte d'abord ses mains en avant pour éviter de se cogner contre les obje
is, il fut électrisé par Duchenne de Boulogne le long du rachis, à la main , mais non à la face. Puis il cessa de le voir.
e gêne des mouvements des doigts, en particulier du pouce, et de la main , cpui oblige dès lors le malade à tenir ses outil
rossit, que ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la sensation de l'onglée et la cyanose y est asse
lement du poignet commence assez bas sur l'axe de l'avant-bras. Les mains étant en supination, on voit bien l'aplatissement
hie sur la première. La flection des autres doigts sur la paume de la main est plus forte adroite qu'à gauche. Dans la pro
observe les mêmes caractères au pouce et aux autres doigts de chaque main . Ceux-ci sont volumineux, surtout au niveau des p
les sont flasques aux pectoraux, aux muscles du bras. A la paume delà main droite leur consistance est fort diminuée. MENS
et l'extension, la pronation et la supination sont possibles. A la main , la flexion est plus forte que l'extension. L'add
éalable de la seconde phalange sur la première ; et tandis qu'à cette main le pouce arrive à toucher (sans s'apposer réellem
nge ne peut être étendue sur le métacarpe. Si l'on soutient un peu la main , les deuxième et troisième phalanges peuvent être
e médius et l'index; la tête est fléchie en avant et rapprochée de la main . Le malade tient sa plume à écrire comme sa fourc
directement : pour arriver à déboutonner le col de sa chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras g
a main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras gauche avec la main droite. Si l'on place une épingle sur son lit,
ur marcher, le malade cambre son bassin et a l'aspect lordosique. Les mains reposent sur le rachis, par suite d'un mouvement
icale, le malade est obligé de s'appuyer sur un objet voisin avec les mains . Face. Hypertrophie généralisée des muscles, ma
les contractions fîbril-laires qui existaient dans les muscles de la main et Fêtât des réactions électro-musculaires. Bie
ypertrophie ? Pas de modifications notables du côté des muscles des mains . Muscles de la paroi abdominale affaiblis. Impo
nt immobile ; puis, entraîné en arrière, il tend involontairement les mains en avant et tombe en perdant connaissance. Obse
suite (un tous les deux mois environ). Aura : Paralysie brusque des mains , qui lui fait lâcher les objets qu'elle tient ; p
t et accès. Plus rarement mêmes phénomènes avec début au niveau de la main et propagation au bras. Outre les deux cas d'au
fois accompagnée de sensation d'engourdissement dans les doigts de la main droite, jamais dans les lèvres ou la face. Aucu
sa fille devient subitement très angoissée, étouffant et portant les mains à la région épi-gastrique et au cou. Elle paraît
ois elle est tombée dans le feu et elle porte encore, au niveau de la main gauche, des déformations cicatricielles considéra
l'âge de 20 ans. Premier accès développé à l'occasion d'une attaque à main armée, suivie de vol, de la part de son mari. Acc
t à pivoter trois ou quatre fois sur lui-même de gauche à droite, les mains en l'air comme pour chercher un point d'appui.
ctuellement je vais passer à l'examen des divers cas que j'ai sous la main et à propos desquels je vous présenterai, chemin
l..., âgée de vingt et un ans, que je regrette de n'avoir pas sous la main aujourd'hui, et qui présente depuis longtemps un
t la fin. — Ces exemples, les seuls que j'ai pour le moment sous la main , suffiront amplement, je pense, pour vous donner
Beard à un sujet atteint de cette maladie qui tenait un couteau à la main . « Jette-le, » répond aussitôt le malade et en mê
d'avoir souvent des contractures dans le membre supérieur gauche ; sa main se fléchit quand il travaille et garde cette atti
is un an ou un an et demi il y aurait aussi un peu de tremblement des mains , surtout à gauche. Le côté gauche, et particuli
ologie de ces accidents a été tracée pour la pre- mière fois, et de main de maître, car on n'y a rien ajouté de bien impor
seré bleu des gencives extrêmement prononcé. Le malade peut fermer la main avec un certain degré d'énergie, mais il ne peut
accidents d'alcoolisme se sont montrés, consistant en tremblement des mains , cauchemars où le malade revoit des épisodes de l
48 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
vérité, n’importe par quelle bouche; lo bien, n'importe par quetlea mains . ON S’ABONNE A PARIS : AU BUREAU DU JOURNAL,
qu’elle a, comme tout ce qui est occulte et caché, devient entre les mains de tous un instrument précieux comme moyen rie tr
remiers temps,et marcher d’un pas plus ferme dans la route où, de nos mains , nous avons arraché les épines. D’autres leur e
d’un concours empressé. C’est par la publication des œuvres de nos mains , des récits de faits faciles à produire et à cons
vérité, n’importe par quelle bouche ; le bien, n'importe par quelles mains . Telle est notre devise. Qu’on ne croie point
danger le pilote inexpérimenté s'il ne sait conduire sa barque d’une main assurée. Il en résulte la grande question s’il n’
de distance environ de celui que jo veux impressionner. Je dirige mes mains sur toute la surface du corps, sans déranger les
ntractions. Des mouvements se manifestent dans les doigts si c’est la main que j’aotionne, et souvent môme tout le corps épr
sent en convulsion. Muni de cette instruction , il dirigea d’abord la main vers le poignet droit, qui entra en con- vulsio
et ce coude droit s’agita; puis il porta son pied vers le coude et la main gauches, et des mouvements convulsifs très-forts
M. Du Potet, sur l’invitation de M. Ribes, dirigea par derrière la main sur son coude; la contraction précédemment observ
veiller, elle le gênait et le contrariait. Il porta plusieurs fois la main derrière la tête comme s’il y souffrait. Il tomba
mêmes mouvements se manifestèrent dans les parties vers lesquelles la main ou le pied étaient dirigés. » (Rapport de l’aca
ous avons la tranquillité d’esprit désirable, nous portons une de nos mains , les doigts légèrement écartés et sans être tendu
cinq ou dix minutes de repos, nous recommençons les mouvements de nos mains comme précédemment pendant un nouveau quart d’heu
devinrent mobiles; il reprit connaissance ; nous Je vîmes mouvoir sa main , la porter à ses lèvres, arracher avec ses doigts
magnétisor le cerveau et la poitrine que secondairement; tenir votre main sur ou en face de l’estomac le plus que vous pour
ien, en effet, l’objet qu’il cherchait ; je me laissai saisir par ces mains glacées, et cette espèce de spectre me repoussa d
ans résistance; mais, lorsque j’y fus parvenu, je dégageai une de mes mains et la lui appliquai sur le front, en lui disant d
otet. 1-e prochain numéro contiendra un mémoire inédit, écrit de la main même de Mesmer. Le Propriétaire-Gérant, HÉBERT.
seroit (1) Toui ce que nous publierons de Mesmer étant écrit de sa main , il ne nous appartient pas d’y rien changer, quel
signait les parties du corps qu’il fallait magnétiser, montrait de la main une personne qu’elle ne pouvait voir, scs yeux ét
oute pas, le plus puissant de ceux que la nature nous a mis entre les mains , ou plutôt c'est la nature elle-même que vous nou
qui s’était relevé, jouet d’une hallucination, et qui, une bûche à la main , donnait force coups de revers et coups de second
gnétiseur, placé à huit pieds de distance, fit aucun mouvement de ses mains . Depuis ce jour on n’a plus employé le procédé ma
e ici; vos doigts en pointe dirigés sur l’organe en souffrance, votre main à plat appliquée sur lui et touchant la peau si v
E AIGUË, DYSSENTERIE. Les frictions magnétiques, c’est-à-dire votre main , promenée légèrement de place en place et lenteme
l’articulation qui est le siège de la maladie, et vous descendez vos mains lentement comme si vous vouliez attirer quelque c
pouvait assez se louer de cette salutaire influence : «Combien votre main me soulage , disait-il; partout où elle se porte
magnétisme, que j'employai tantôt en frictionnant les membres avec la main pour y rappeler la chaleur, tantôt en faisant des
joignis un magnétisme de tous les instants, tantôt en réchauffant les mains de la malade dans les miennes, tantôt en friction
iption. En supposant, pour un instant, qu’on nous ait mis entre les mains un appareil électrique ou galvanique, et que nous
té gauche; battements de cœur précipités, sourds, mais réguliers à la main . Il était impossible do chercher quelque indice p
... Elle est somnambule! « Où souffrez-vous le plus ? » Elle prend ma main et la pose sous le cœur... « C’est donc là votre
! « Vous me ferez avec cela une tisane, et vous passerez dessus les mains comme sur moi, parce qu’il en sort quelque chose
plus graves désordres; semblable pouvoir placé sans garantie dans des mains ignorantes ou indignes serait nn fléau redoutable
es masses sans y porter le trouble ou l'effroi et sans passer par les mains impures du charlatanisme. Monsieur le Ministre,
sont le su- (t) En annonçant la publication de pièces écriles de la main de Mesmer et qui sont en noire possession, nous i
s de toutes espèces, que mes compatriotes m’avoient préparé de longue main , mais qui, loin de me décourager, ne firent que r
nutieuses sur deux meurtres qu’il avait commis. Remplie d’effroi, les mains et les traits crispés, comme si elle eût été elle
la chambre; c’étaient des trompes qui finissaient en feuillages, des mains qui s’ouvraient en nageoires de poisson, des être
garde, sur les premiers morceaux de papier qui me tombaient sous les mains , une quinzaine de croquis les plus extravagants d
s’échapper, elle abandonne la lutte et menace'de ne laisser dans nos mains qu’un cadavre froid. Depuis Mesmer, bien des pr
récurseur du néant. La malade fit un léger mouvement ; je lui pris la main et lui fis connaître que j’étais près d’elle; ell
per à cause de l’obscurité qui nous enveloppait presque, je portai la main sur son front; aussitôt elle me dit d’une voix à
mais cela s’opère lentement, et,dans certains cas, l’on détruit d’une main ce que l’on a fait de l’autre , jusqu’à ce que la
tention et d’une manière intelligente, on découvre encore ceci : La main dirigée dans la région du diaphragme et maintenue
s manifestions les saints transports que nous éprouvons lorsque notre main , dirigée avec art, a chassé le froid de la mort e
ment il procède: Se tenant debout devant mit- lade, il so passe les mains sur la tète en frottant et tournant rapidement pe
té. Plus de cinq cents personnes ainsi endormies în’ont passé par les mains ou ont été soumises à mon examen. J’ai magnétis
me homme que tout ô l’heure ; quelque chose de divin est sorti de vos mains . Bien des magnétiseurs me comprendront, car ils a
abitudes; le somnambulisme est devenu un joujou, on l’a mis entre des mains d’enfants. Il faut être sévère pour les consultat
e j’étais couché et que je m’étais éveillé dans la nuit. En posant la main à terre pour relever mon oreiller, je sentais que
cadavre venait lire par-dessus mon épaule le livre que je tenais à la main . Je sentais Sés poils dégoûtants m’effleurer le c
ocession sinistre : c’étaient des squelettes horribles, pestant d’une main leurs têtes horribles, et le l'autre de longs c
uns venaient se baisser au foyer noir et triste, en réchauffant leurs mains longues et livides, et en se tournant vers moi, p
rande quantité où les filaments nerveux sont aussi plus nombreux. Les mains et les pieds sont dans cette condi- lion, et c’
nspiration vient aussi quelquefois, mais c’est surtout à la paume des mains des magnétises qu’on l’observe, et parfois en ass
l ne voulait pas croire que ce fût la sienne, et il porta de suite la main sur sa tête, pour s’en assurer. Je lui arrêtai la
ta de suite la main sur sa tête, pour s’en assurer. Je lui arrêtai la main et lui recommandai de ne pas toucher à sa tête et
e, à son grand étonnement, il le vil sur sa table, écrit de sa propre main , plié et prêt à être présenté à son maître. Il s’
prises, briller et «’éteindre de la cire d’Espagne sur le dos de la main d’une somnambule, sans qu'elle ait témoigné la mo
cou ou le milieu du corps, le renversent, lui attachent fortement les mains , puis le laissent dans cet état cuver tranquillem
ouffriraient point un homme qui guérirait les malades en imposant les mains ; il serait lapidé! Civilisation menteuse, tu n’as
bène que l’argent et l’ivoire embellissent ; instrument divin dans la main qui te tient, lu charmeras les oreilles un instan
civilisés, entendent assez bien la charité, car elle est entre leurs mains prévoyante pour le malheur. Choisissons parmi c
à l’action magnétique en se renversant en arrière; puis, ramenant la main de M“e L... sur la (ôte de sa mère, lui dire d’un
. Hébert, se plaçant à l’autre bout de la salle, le magnétise avec la main d’abord, et cet homme semble comme frappé de la f
se penche et la respiration devient laborieuse. Alors, dirigeant une main sur la tête et l’aulre sur les articulations des
main sur la tête et l’aulre sur les articulations des phalanges de la main gauche, M. Hébert détermine une violente commotio
Vos tractions les plus fortes ne peuvent désunir les doigts de leurs mains , comme de leurs pieds, sondés ensemble. Les membr
nnés, bannissant toute crainte d’insuccès,je dirigerai simplement mes mains sur les malades. Ces gestes seraient sans aucune
rment terrible, et le forcer enlin à céder la place, à celui que nies mains conduisent. Faculté merveilleuse démon être, je v
, les muscles conservent. leur souplesse, les doigts des pieds et des mains recourbés n’entrent plus dans les chairs, mais en
avait la môme intention, mais la pauvre fille me serre seulement les mains , elle sait que je ne pourrais comprendre son lang
ient pu être tefUS. Elles se plaignaient vivement, et portaient leurs mains sur les parties de leurs membres qu’elles croyaie
il est des jours où les effets s’obtiennent plus tôt en employant une main que l'autre; les malades sentent la différence qu
ersonnels. Après divers exercices, je m'assieds à côlé d’Alexis, ma main dans sa main, el nous voilà causant. « Mon ami,
Après divers exercices, je m'assieds à côlé d’Alexis, ma main dans sa main , el nous voilà causant. « Mon ami, lui dis-je,
mêlée.... — Pauvre homme, vous êtes blessé, dit Alexis en posant sa main sur ma tôle; c'est là que porta le coup. — Mais
nçai ot m’approchai si près du fantôme qu’il se trouva à portée de ma main , que j’étendis pour le toucher, croyant par là me
ait une puissance électro-dynamique considérable. Le magnétisé, les mains mouillées, prit les deux conducteurs, un dans cha
étisé, les mains mouillées, prit les deux conducteurs, un dans chaque main ; alors le professeur de chimie, pharmacien distin
ment renversé, tandis que le magnétisé, resté debout, la chaîne d’une main et le pôle de l’autre, n'éprouva aucun signe appr
ffriraient point un homme qui guérirait les « malades en imposant les mains ; il serait lapidé! » u Je viens, Monsieur, en c
permet do faire les expériences les plus curieuses. Vos doigts et vos mains semblent appartenir plutôt à moi qu’à vous ; tout
rge. Eh bien, essayons nos forces. Moi je ne vous toucherai point. Ma main dirigée sur votre front imprime à vos idées un tr
z l'employer avec sagacité, de magnifiques résultats sortiront de vos mains . C’est lui (fui guérit, el le somnambulisme ne sa
ets magnétiques. J’ai vu des personnes s’endormir promptement sous la main d’hommes qui se croyaient peu propres à devenir m
océdés magnétiques varient. C’est par une application prolongea de la main sur l'estomac et le ventre que VOUS devez agir, c
il fallait y ranimer la sensibilité; je ne l’espérai pas en vain. Ma main appliquée tantôt sur l’estomac, tantôt sur les in
ait une longue barbe, des cheveux hérissés, des fers aux pieds et aux mains , qu'il secouait horriblement. De la des nuits aff
vole, se figurer des fantômes, il applique son esprit, ses yeux et sa main à écrire. Au commencement de la nuit, un profond
oujours à revenir, c’est-à-dire vers celui qui estsorli palpitant des mains du Créateur? La Genèse alors ne serait que Valpha
mais tellement sensible que la seule approche ou l'éloignemeni de la main imprime au paquet intestinal un mouvement de va e
, el moyennant un prix convenu, aidé de plusieurs ouvriers, il mel la main à l’œuvre et exécute les travaux nécessaires pour
sent les douleurs; ils ont des signes à eux connus, ils promènent les mains sur les malades, et ces pratiques toutes magnétiq
fussent. ‘ On prend l'objet que l’on veut magnétiser entre les deux mains ; on projette par la volonté la force magnétique,
re que le magnétisme complétait la saturation, le surplus suivait les mains , puis les bras, et enfin gagnait tout le système
autre dormeuse. Une autre, pour avoir tenu pendant quelque temps la main d’un idiot, resta hébétée pendant quelques jours.
ile qu'il y avait quelque chose d’étrange à cet endroit el y porta la main , disant que quelqu'un devait l’y avoir pincée. Da
ls était alors ù soixante-seize. On ne remarqua aucun tremblement des mains , comme il arrive quand on veut déguiser les signe
u’on lui enlève sa dent parce qu’il ne souffre plus; mais, portant la main à sa bouche, il s’aperçoit, en voulant la toucher
- blottissantes perspectives. Le génie du l’invemion, guidant de sa main puissante le char du progrès, s’élance de conquêt
e toutes pièces par scs ingénieux artifices! la physique désarmant la main loule-puissanle qui tient la foudre, et paralysan
Ch... était à quatre pas du magnétisé. Il s’en rapproche; il inet une main de M. Camille T... et une main de M. D... dans ce
nétisé. Il s’en rapproche; il inet une main de M. Camille T... et une main de M. D... dans celles du jeune Régis en]lui disa
larité de tous les spectateurs. Ces deux Messieurs lui montrent leurs mains pendant que les atteintes se renouvellent de la p
s dans son chapeau. L’un des invisibles y introduit ostensiblement sa main el enlève les espèces. L’enfant n’y trouvant plus
nte, l’enfant ne le voit pas; mais à l’instant où le pécule passe des mains de l’invisible dans celles d’un autre specia- l
ent avoir, el qui ont une influence qui s’étend sur leur ouvrage. Vos mains doivent être pures de souillures. On rira de ceci
nion des cœurs? On sent le travail commencer en nous ; un regard, une main qui touche la vôtre, un mot enfin ! et souvent vo
us ne guérirez tous les malades; plusieurs sont sortis incomplets des mains de la nature; les uns devront avancer en se traîn
ent les deux oranges qu’elles saisis-« saient. Enfin, tâtonnant de la main , elles rencontrent un « corps qu’elles prennent;
tation de quatorze pulsations, transpiration abondante à la paume des mains , occlu- sion des paupières, etc. L’entendement
hips ! 2° Mise « en rapport avec deux messieurs qu’elle tenait par la main , « on stimula, surexcita la combativité du côlé g
extrême contre le magnétiseur ; elle se lève avec fureur, lui met une main à la gorge, tandis que de l’autre elle tient une
ère à le déchirer. Puis, tout à coup, elle quitte l’habit, porte la main à la montre qu'elle enlève avec une dextérité éto
orts parce que vous ôtes nombreux, parce que vous vous donnez tous la main ; mais, Messieurs, le magnétisme intéresse le mond
Aucune objection n’est restée sans réponse. En un mot, il a tracé de main de maître les progrès de celle science, et il a p
du corps ù la gravitation , la sueur abondante surtout à la paume des mains , l’insensibilité à la douleur, l’impossibilité de
m’avait vu faire. Il s’exerça ainsi plusieurs jours à se tourner les mains sur lui-même avant de se coucher. Il survint bien
magnétisai. Durant que j’agissais sur lui il se met à retourner ses mains sur lui-môme, quoiqu’elles fussent enveloppées, e
ar contact n’est nullement nécessaire: toucher les ponces, passer les mains sur les épaules, les descendre le long des bras,
o douleur. Son visage n’a pas cessé d’èlre calme et impassible; ses mains sont demeurées entièrement libres, cl elle a caus
ons, elle commence par se palper toutes les régions du corps avec ses mains ; elle imite au parlait toutes les souffrances des
rd à grands courants, puis par des passes longitudinales, la pose des mains sur les genoux ; et, en commençant mes passes au-
qu’il fallait détourner cette glande par le contact de la paume de la main , puis tirer vers les extrémités. Elle dit encor
iot murmura des paroles inintelligibles pour moi. —Le livre tomba des mains de l’académicien pétrifié. — Celait un livre alle
d’abord repoussé comme tous. Tâchez de toucher le cerveau ; que votre main puisse être fixée sur le front; commandez le calm
une demande à faire, une question ù poser, une mèche de cheveux à la main .... Vous ne pouvez vous refuser à quelques expéri
ivit. Quelle bonne fortune pour eux si le malade était mort entre les mains du magnétiseur! Vous lo voyez, ce n’est qu’au m
p d’autres dames avec vous, « dans la charrette du bourreau, et les mains liées « derrière le dos. — Ah ! j’espère que dans
e plus grandes dames que vous iront « comme vous en charrette, et les mains liees comme « vous. — De plus grandes dames! quoi
théâtre et dans mille ouvrages divers, jetaient le ridicule à pleines mains sur les partisans du magnétisme. Vous le voyez,
e à travers tant de « siècles s’est laissé saisir, elle est entre nos mains pour ne « plus en sortir. Tous les systèmes fruit
physique la plus matérielle; n que le magnétisme est devenu dans ses mains une science exacte, mathématique, qu’il propose d
normal, pose, sans prévenir de son dessein, une prise de tabac sur la main d'une autre personne magnétisée, madame Beker, qu
49 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
avant pour se mettre sur son séant (plusieurs fois j’ai recouvert une main seulement avec le drap, et je l’ai toujours vu dé
vation ; mais il suffit que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un doigt sur la poitrine, ses épaule
s supérieurs étendus sur les côtés de la poitrine, l’avant-bras et la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné
ativité des personnes ; autres par l’Art de divination, inspection de main , et autrement, s’avancent vouloir predire les bon
que je n’ai point toujours, mais que je retrouve parfois. Je tins mes mains sur sa tête pendant plusieurs minutes; je fis des
re. Dès qu’elle fut au lit nous montâmes, et j’examinai son état. Ses mains étaient brûlantes, la gorge était très-douloureus
ord des passes sur le cerveau, siège du mal, et. puis y imposai les mains ; au bout de peu d’instants, la malade nie dit : «
si ma perception magnétique m’a traduit la vérité, Pauline lèvera la main droite ; si mon sens intime, au contraire, est en
; si mon sens intime, au contraire, est en défaut, elle abaissera la main gauche; enfin, si la simple affirmation ou négati
ndre qu’imparfaitement sur l’objet à décider, Pauline se croisera les mains sur la poitrine. Aussitôt, à la surprise de l’ass
ine. Aussitôt, à la surprise de l’assistance, la cataleptique leva la main droite. » M. Clever de Alaldigny attribue les f
retrouve plus sa lucidité. — Vous ne voyez donc pas? Elle baisse la main gauche. — Pouvez-vous me dire à quoi cela tient
f. — Quelqu’un autre que moi vous a-t-il magnétisée? Elle lève la main droite. _Est-ce milady? Répétition du mouvement
ent affirmatif. — En avez-vous éprouvé du bien ? Elle rebaisse la main gauche. —Cest depuis la magnétisation de milady
ança jusqu’à l’endroit de ma cachette, et m’v tendit gracieusement la main . C'était la fidèle exécution du programme, la pau
chantant sur les Ilots joyeux ; l’enfant veut le suivre, il porte la main à la chaîne, il détache 1 anneau. L’antiquité a
sous ses vêtements de grand hiérophante, il est debout, la lyre à la main , la tète couronnée du laurier sacré, les yeux tou
e grand hiérophante cède h l'ivresse de l’amnnt, sa lyre tombe de ses mains , il regarde Eurydice, il s’élance vers elle.... 1
se auparavant : « Si je pouvais seulement faire mouvoir cette vilaine main , » et pour m’imiter, elle ajoutait : « Je veux...
bon, la marche est moins pénible, il remue très-bien les doigts de la main gauche et ¡1 porte facilement cette main elle-m
très-bien les doigts de la main gauche et ¡1 porte facilement cette main elle-même à la tête. J’augure donc qu'il est en b
as le début d’un bill de confiance ? L’État donnerait-il sciemment la main à des cénacles de déception ? Par la continuité s
au silence affermie, Sait entrevoir les destins que j’attends, Ma main gaiement presse une main amie -On aime mieux, qua
it entrevoir les destins que j’attends, Ma main gaiement presse une main amie -On aime mieux, quand on a soixante ans. J
nces physiques ont progressé, que tout s embellit ou fructifie par la main de l'homme ; mais ils voient aussi que l'aliment
ue, en dehors de la Société chacun de nous donne ses sympathies et sa main à ceux qui sont assez osés pour vouloir explorer
cle en tout lien, Et prompts à déeiiirer les voiles Epaissis par la main de Dieu ! A ceux dont la table, ou l'armoire, C
iques Chantés sur vos harpes mystiques, Et daignez, nous donnant la main , Mêlant aux nôtres vos louanges, Des élus, de
mari : Ami, et non mon ami. C’était encore tout un cahier écrit de la main des Esprits et tombé au milieu des assistants. Ch
u du corps à la chaise sur laquelle il était assis, il n’avait qu’une main libre de laquelle il pouvait prendre le bord de l
e il pouvait prendre le bord de la table placée devant lui, son autre main était tenue par une des personnes présentes. Derr
de lui qui prend comme lui la table entre les doigts libres des deux mains , puis il doit enlever cette table et la poser ren
la poser renversée sur leurs têles. C’est encore chose impossible aux mains les plus vigoureuses. La nuit se fait, et en quel
gende de l’invocation magnétique. La pose du prêtre, l'imposition des mains , le costume officiel et exact dont il est revêtu,
la torture tout germe de génie. Le xviii0 siècle osa déchirer d’une main ferme le voile qui couvrait, depuis huit cents an
M. Squire, lié par les jambes et le tronc à une chaise, et donnant sa main droite à moi, il a réussi, en touchant par le bou
n droite à moi, il a réussi, en touchant par le bout des doigts de sa main gauche, à soulever une table de quatre-vingts liv
res? Vous direz qu'il est impossible de soulever cette table avec les mains , donc... — Oui ! avec les mains! Mais ai-je vu si
ible de soulever cette table avec les mains, donc... — Oui ! avec les mains ! Mais ai-je vu si on ne se sert pas d'autres moye
rard se laisse persuader et prend une pomme-, celle-ci s’attache à sa main , et, comme elle était brûlante, il cherche de l’a
e l’autre maip à s’en débarrasser. Mais à peine a-t-il approché cette main de l’autre que toutes les deux se collent ensembl
nt tout ce qui leur vient à l’esprit, s’efforcent de séparer les deux mains , mais sans pouvoir y réussir. L’un est d’avis qu’
de haut en bas jusqu’à ce que la pomme tombe d’elle-même, et que les mains reprennent leur premier état. Cette femme Connais
parler de l'égale « répartition de la chaleur animale. Les pieds, les mains , « presque toujours glacés chez les gens nerveux,
s simagrées, en face de ses niais visiteurs, consistent à faire de la main droite une croix sur les parties dont on sollicit
un peu, et Al. B... se sentit piqué d’un coup de dent au pouce de la main droite. La blessure, très-légère, ne donna que pe
que bien ceci, un des médecins qui entouraient la malade lui prit la main , aussitôt madame Cornet, malgré l’état spasmo-diq
possibilité physique bien constatée de voir, serra affectueusement la main du médecin et dit : «... Oli ! il pat bon, lui...
ant tableau ! C’est à vous, à cette rapide et affectueuse pression de main (pie la malade a dû un peu plus de force, un peu
nétiseur avec le liquide; ou bien enfin en tenant simplement dans ses mains , ainsi que je l’ai vu pratiquer à Vienne, par un
ns nul ménagement et par tous les moyens que l’intelligence place aux mains des croyants, de ceux dont on ne peut pas dire, s
n type d’égoïsme, a bien pu dire qu’il aurait le courage de garder sa main pleine de vérités, sans jamais l’ouvrir; mais Fon
uelque regret de n’avoir pas été utile à ses semblables, en tenant la main aussi serrée? Un homme réellement sérieux, et q
chenbach appelle un sensitif. Que cet être pose légèrement ses deux mains sur un mur, au bout de quelques instants il résul
tants il résultera pour lui de ce contact une sensation de froid à sa main gauche et de chaleur à la main droite. Si, lui fa
ce contact une sensation de froid à sa main gauche et de chaleur à la main droite. Si, lui faisant ouvrir la main gauche, vo
main gauche et de chaleur à la main droite. Si, lui faisant ouvrir la main gauche, vous présentez l’extrémité des doigts de
ouvrir la main gauche, vous présentez l’extrémité des doigts de votre main droite et les promenez lentement et à quelque dis
te et les promenez lentement et à quelque distance de la racine de la main ouverte jusqu’au bout des doigts, il ressentira c
un degré plus faible encore, comme quelque chose qui se meut dans sa main , suivant la direction que vous imprimez à vos doi
c'est le magnétisme. Dans cette position, si un sensitif approche sa main gauche du pôle nord ou négatif de l’aimant, il se
de façon qu’il dépasse légèrement l’objet sur lequel il sera posé, la main gauche du sensitif éprouvera des sensations disti
e qui s’en échappe est plus brillante, mais moins longue et rouge. La main gauche dirigée vers ces flammes reçoit une impres
e grandes flammes bleues et rouges s’échappent de ses pieds et de ses mains . En variant ces expériences, en les multipliant
rouleau de fil d’archal en partie dévidé et pressé avec force dans la main , il s’échappe par l’extrémité du fil une flamme o
raîcheur ne sont les mêmes pour tous. Le souffle de l’or perçu par la main gauche du sensitif semble plus chaud que celui du
feu matériel, le feu de Prométhée ne leur va point aussi bien, leurs mains sont trop débiles pour qu'il puisse en jaillir.
re aux pèlerins. Le nazar-boundjek par excellence a la forme cf une main . conte et affirme qu’on apportait, souvent dans
l. Je demande maintenant pourquoi ce brimborion a-t-il la forme d’une main ?... Ne serait-ce point que, dès les temps les plu
le symbole de la passe magnétique ? Les Lévantins se servent de leur main lorsqu’il s’agit de se préserver momentanément du
lancer, pour se préserver des maléfices, les rayons fluidiques de sa main , de sorte que la passe magnétique et son symbole
tre occasionné par la jalousie ou par la haine, il n’a qu’à ouvrir la main et jeter une passe funeste à son agresseur ou à s
ante de ce signe sacré et mystérieux. Puis le magnétiseur dirige sa main ou plutôt scs deux mains ouvertes vers le souffra
t mystérieux. Puis le magnétiseur dirige sa main ou plutôt scs deux mains ouvertes vers le souffrant, le touche en commença
t pas toute la valeur scientifique. S’il y aune douleur locale, les mains du magnétiseur s’y arrêtent un peu plus. Mais, en
es âgées, celles qui ont visité les Lieux-Saints et touché avec leurs mains le tombeau du Christ sont considérées comme celle
1). Les passes se font de différentes manières. Magnétiser avec les mains vides, c’est la manière ordinaire ; mais si le ca
manière ordinaire ; mais si le cas est grave, on tient alors dans la main différentes choses, comme quelques grains d’orge,
ents, et le lui montre possédant cette translucidité que présente une main qui serait placée entre nos yeux et la flamme d’u
qui varient selon les différentes parties du corps : la lumière de la main droite, ainsi que les flammes qui se dégagent du
flammes qui se dégagent du bout des doigts, sont bleues; celles de la main gauche, d’un rouge éclatant. Tout le côté droit d
la différence des impressions : chacune des lumières produit, sur la main sensitive, les mômes sensations, un peu plus pron
orée des belles nuances de l’arc-en-ciel. Le sensitif prenant dans sa main gauche une baguette de verre (il vaut mieux se se
s, produit une flamme bleue, laquelle occasionne de la fraîcheur à la main sensitive : d’où cette conclusion que les planète
ous trouvions. Cependant je lui bandai les yeux, el la prenant par la main , je la conduisis dehors. Après l’avoir fait march
rche dans l’espace pendant quelques instants; puis elle indique de la main , non-seulement la région, mais encore la place mê
s et d'écarts malheureux elle fourmille journellement, même entre les mains des maîtres ! Je ne veux insister ni m’étendre da
dix minutes se passent sans qu’il parle de rien ; j’applique alors ma main ou l’extrémité de mon pouce à la racine de son ne
que du jour où elles se passeront constamment de l’intermédiaire des mains , de celui des tables, des crayons, des chapeaux,
ammes, laquelle est placée à distance de la longueur du bras et de la main gauche, moins celle des doigts, devant un jeune m
mène d’une façon un peu plus énergique et disent : le médium ayant la main droite tenue, et attachée, et demeurant parfaitem
e tenue, et attachée, et demeurant parfaitement immobile, lance de la main gauche et dT un bond la table par dessus sa tête.
t du boni de la table sur les genoux par la pression des doigts de la main gauche sur les bords de ladite table. Deuxième
la table se trouve, il la redresse perpendiculairement, en aidant sa main d'un mouvement de va et vient opéré par les genou
e, ne magnétisassent aussi deux malades dans la même séance, un de la main droite, l’autre de la main gauche; et je voudrais
deux malades dans la même séance, un de la main droite, l’autre de la main gauche; et je voudrais savoir dès lors quel bien
qu’il avait caché dans sa marche gauche, après s'ètre enveloppé cette main , de linges et de bandages, comme s’il l’eût eu dé
en fait une ceinture, un collier; il les bat, il les pétrit entre ses mains sans que jamais un seul l’ait mordu. Ils sifflent
u’un seul cœur pour un seul effroi. — Ah ! fit-il en mettant ses deux mains sur son visage et en reconnaissant de quelle espè
l cherchait à s’emplir la poitrine d’air, les yeux de lumière, et les mains , qu’il ouvrait et fermait à chaque instant, d’un
: Comme un ressort d’acier qui se brise et revient détendu dans la main de celui qui l’a brisé, le serpent naja se détach
ment du cou de Nanny ; il se déroula et vint se déployer sur les deux mains de Zeb, qui le saisit par le milieu du corps et l
u Rengale ; le soir s’allumait. Zeb se versa de l’eau fraîche sur les mains , qu’il se passa ensuite aux bras et au visage ; p
lle dont le père venait en récompense de lui accorder publiquement la main . Léon GOZLAN. FIN. POLÉMIQUE. RÉPONSE AUX
vissante de grâce et de beauté. Plusieurs prétendants aspiraient à sa main , parmi lesquels s’en trouvait un qui, à cause de
ée. Je venais d’approcher mon guéridon, sur lequel j’avais apposé les mains . La somnambule était sérieuse : elle regardait av
user ailleurs, ne sut pas plus que lereste (les spectateurs ce que sa main écrivit. Une ai)tre fpccç occulte, se disant auss
s d’une vigueur stupéfiante. Le nombre" quatre était exact. Une autre main , celle de ¡’Empereur, s’était empressée de suivre
ames Du Potet et sa belle-sœur, madame Ogier et moi, nous plaçons nos mains sur une table voisine, en invitant quelque puissa
it doucement madame Ogier. Son mari, d’après mon invitation, pose ses mains avec les nôtres sur la table. La somnambule éprou
magnétisme était connu en Egypte, qu’il était exclusivement entre les mains des prêtres, de la science desquels les peuples v
ns, c’est aussi la boiic de Pandore. Puissance bienfaisante entre les mains de l'adepte, merveilleuse eiiti‘e les fnâiiiS de
faibles, toujours redoutable et paralysante pour les sages entre les mains des ignorants ei des pervers, la perspective d'ti
E. A. M. Paris. CAUSERIE. Le sort des humains n’est plus dans les mains de la nature, la science e9t devenue la régulatri
tigant, se retire promptement. Oh ! Esculalpe, vous qui placiez votre main sur l’épigastre du malade l’y teniez longtemps, é
les infirmes qui durent leur guérison à l’imposition médianimique des mains . Ils ont inscrit leurs noms, en attestation de ce
chair : aucune idée pure à adorer. Thomas d’Aquin ayant eu entre les mains les ouvrages quelque peu défigurés et incom- (1
é par un prêtre revêtu des habits sacerdotaux, portant la croix d'une main et la torche de l'autre. Un notaire et son clerc,
de la nature. « Il se laisse enfin toucher et prend le malade par les mains . h En peu de minutes le mieux se déclara; on tien
s et de légers aliments qui a rétabli le « malade ou l’imposition des mains de M. Mesmer qui a « opéré ce miracle (2) ? » Q
s opérateurs » dit le Dictionnaire de médecine (1) « avaient dans les mains une baguette de fer longue de 1U 12 pouces. Cet
sée qui servait à les réunir les uns aux autres, et se prenant par la main , formaient la chaîne. Cette dernière pratique est
les fixant, mais ils étaient magnétisés surtout par l’application des mains , et par la pression des doigts sur les hypochondr
a famille de M. Terceral depuis 1626. Une petite notice, écrite de la main de D. Félix Terceral, son trisaïeul, et datée du
la mauvaise fortune. Le moine mit alors un vase plein d’eau entre les mains de l’italien, et celui-ci y regardant vit, dans l
présent, un jeune Égyptien vit dans de l’encre épaisse versée dans la main les objets éloignés, cachés, inconnus, sur lesque
la possession d’un méchant démon; alors ils placent 1 unjoun dans la main d’un enfant, et celui-ci y voit bientôt se dessin
escrip. du cabinet Blacas, tom. 11, p. 401, 402. sur la paume de la main d’un enfant, qui ne tarde pas à voir la ligure de
à ta discrétion, et qui s’adressait probablement au diable, entre les mains duquel se remettait le sorcier qui invoquait son
ents physiques violents, car les mouvements violents des liras ou des mains nuisent plus qu'on ne croit à l'émission du uide
mais c’est le cerveau qui est le plus sensible. Je plaçai alors ma main droite sur sa tête, les doigts écartés, le pouce
emblement un bien-être général; ensuite, dès que vous avez posé votre main sur ma tête, j’ai senti comme de l’eau tiède (sic
e ne vois là ni vibrations ni ondulations d’un éther ou od,puisque ma main était posée immobile sur sa tête. Je ne nie pas q
ques, consacrées par ma pratique, deviennent aussi fécondes entre les mains d’autrui. Ce sera presque mon testament, car je
lle de la Thérapeutique magnétique, ouvrage auquel il met la dernière main et qui paraîtra par livraisons, sous la cou- ve
les rameaux nerveux qu’elles influencent, et selon qu’on opère de la main droite ou de la main gauche. Observations de M. d
qu’elles influencent, et selon qu’on opère de la main droite ou de la main gauche. Observations de M. de Reichenbach, 11. —
c., 99, 107, 166, 206, 318; — qui conversent par les tables ou par la main de médiums, 99, 318, 567 ; — qui servont à diner,
50 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ant plusieurs jours, les ongles s'enfonçaient dans la paume de la main , puis les doigts s'étendaient de nouveau; d'autre
ve dans tous les segments du membre à partir de l'épaule jusqu'à la main . L'épaule est aplatie et le deltoïde est mani-
gauche, comme l'indiquent les figures t et 2, sauf à la paume de la main et à la partie palmaire des doigts où la sensib
septième cervicale, et les globes oculaires; il suffit de mettre la main sur les, yeux pour provoquer l'attaque. Dans la
rsale des doigts et à la partie inférieure de la face dorsale de la main , sans retour de la motilité des doigts; en même
s, la sensibilité reparaît à la face dorsale des doigts, gagne la main , puis l'avant-bras et enfin le bras et l'épaule ;
mais il ne peut y arriver ; on fait faire alors aux doigts et à la main paralysée des mouvements passifs en disant au m
que l'on fait et de faire exécuter en même temps aux doigts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINIQUE NERVEUSE.
ulier très limités ; et tout le membre supérieur, en particulier la main et les doigts, présentent un tremble- ment à os
ie inté- rieure de l'avant-bras on fait exécuter aux doigts et a la main des mouvements passifs, et les mouvements spont
e son membre su- périeur. Le bras et l'avant-bras sont flasques. La main est fléchie et contracturée; les doigts sont au
dant une heure, après quoi elles reparaissent de nouveau, sauf à la main . ' 2. - La sensibilité reparaît spontanément ju
2. - La sensibilité reparaît spontanément jusqu'au coude, mais la main seule peut se mouvoir. M. Gautiez recommence la
é- dicaux les plus élevés. 11 conclut qu'un médecin doit avoir en mains le service administratif. P. K. XLI. Notes sur
droit ; l'oeil, du même côté, percevait encore les mouvements de la main ; l'acuité de l'oeil gauche était égale aux tro
éprouvé des angoisses extrêmement violentes et des tremblements de mains l'empê- chant presque d'écrire. Au reste, Panas
r le bord cubital de la face dorsale des avant-bras, sur le dos des mains , au niveau du troisième métacarpien, du troi- s
gré sur la face palmaire du même dos, ainsi que dans la paume de la main (même région); puis, tout disparait, si ce n'es
eures, surtout à la ceinture, de l'épaule et des petits muscles des mains ; profonde dépression au niveau des espaces inte
paule sont seules rigides, mais le patient ne peut se servir de ses mains , il faut l'alimenter ; inté- grité de la sensib
des muscles des yeux. Affaiblissement très notable de la force des mains , tremblements à l'occasion des mouvements voulus,
e ans affecté d'anes- thésie complète et persistante à la tête, aux mains , aux pieds, atteinte des organes des sens. Au d
tion git précisément dans l'habi- tude du malade de se servir de la main gauche, habitude qui en faisait un droitier du
constate pas d'épais- sissements rachitiques des épiphyse<. Les mains et les doigts sont très larges, courts, épais;
eur gauche devenait raide, les doigts commencèrent à se fléchir, la main se fléchit sur l'avant-bras et il devint imposs
si bien que les ongles finirent par pé- nétrer dans la paume de la main et provoquèrent des excoria- tions assez accent
était complète- tement paralysé : les mouvements des doigts, de la main , de l'avant-bras et du bras étaient tout à fait
t flasque au début, devient raide. Les doigts se fléchissent sur la main , la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur l
au début, devient raide. Les doigts se fléchissent sur la main, la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le bras, ,
trac- turé, les ongles des doigts s'enfoncent dans la paume de la main , et pour empêcher l'ulcération de la peau, on int
ération de la peau, on interpose entre les doigts et la paume de la main une pelote de ouate. 15. - On s'aperçoit que le
doigts, on provoque une légère douleur ; quant aux mouvements de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras e
endant quinze jours des compresses, des cataplasmes; le poignet, la main , les doigts étaient très enflés, légèrement flé
C'est alors que les doigts se sont fléchis, contractu- rés dans la main , dans l'état où ils sont aujourd'hui. Huit jour
il est entré à Lariboisière, où on l'a endormi pour lui étendre la main sur une planchette, mais la main ne s'est pas m
on l'a endormi pour lui étendre la main sur une planchette, mais la main ne s'est pas maintenue dans cette situation. Qu
d'une façon très limitée. Les doigts sont fortement fléchis sur la main , allongés et contracturés. Ils sont serrés les
l'axe longitudinal du médius. Le pouce est fortement fléchi vers la main , l'ongle incrusté sur la face externe de l'inde
on pratique sur les téguments du bras gauche des frictions avec les mains enduites de glycérine, et, en même temps, on ch
était impossible de mou- voir l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main ; les mouve- ments des doigts seuls étaient poss
n médecin ni par les assistants; c'est lui- même qui, en portant la main gauche sur l'épaule droite, s'est figuré que so
roite. Le membre supérieur droit est plus froid que le gauche. La main droite est plus rouge que la gauche. A la mensu
es du membre supérieur gauche paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main paraissent atteints; le bras est plus atrophié
sous l'influence de l'eau-de-vie, le malade s'endormit. Le lende- main matin, à son réveil, c'était le 2 novembre, Maroz
fit quelques' pas en s'appuyant sur elle, et pendant ce' temps, sa main gauche était si faible qu'il pouvait à peine la
telle façon que le malade pouvait à peine tenir une soucoupe de la main droite. L'urine s'échappait'avec peine et en mê
urs après une nouvelle attaque avaitproduit de la contracture de la main droite et cette contracture avait persisté depu
doigts fortement fléchis ; les ongles incrustés dans la paume de la main y avaient creusé des ulcérations qui exhalaient
lui enjoins alors, d'une voix forte, d'étendre le petit doigt de sa main droite; elle le fait avec beau- coup de difficu
e très énergique, les deux autres doigts sont aiséments étendus. La main est alors dans une extension à peu près complèt
ougles d'une longueur démesurée sont noirs et sales, la paume de la main est exulcérée et sanieuse, en raison de la pres
e gauche. Avant de la réveiller, je lui suggère d'aller se laver la main et de se faire couper les ongles. Elle est reto
e depuis mon intervention elle s'était servie librement de ses deux mains pour les soins du mé- nage et les travaux des c
n de la température n'a été observée. La force dynamométrique de la main droite a été cons- tatée un peu affaiblie le 2b
possible par la volonté de modérer un peu ces secousses. Quant à la main gauche, le malade n'a observé rien d'anormal.
rs, les mouvements des doigts sont libres. S'il applique ses deux mains , l'une contre l'autre, les doigts opposés l'un il
il essaie d'éloigner chaque doigt l'un de l'autre, les doigts de la main gauche peuvent faire un mouvement un peu plus pro
u plus pro- noncé que ceux de la droite. A un examen soigneux de la main DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU. 20
rien d'anormal à observer. Du côlé gauche, les doigts ainsi que la main et le bras fonctionnent normalement. La force d
et le bras fonctionnent normalement. La force dynamométrique de la main droite est un peu plus faible que celle de la m
mométrique de la main droite est un peu plus faible que celle de la main gauche. G... dit qu'il lui est arrivé quelquefo
l'examen des différentes qualités de la sensibilité du bras, de la main et des doigts, rien d'anormal à constater, pas d'
coup plus faibles qu'aupa- ravant. La force dynamométrique des deux mains , est presque la même. fer octobre 1884. Encor
e trouble peu marqué de la parole et les secousses des doigts de la main droite à chaque mouvement où ceux-ci sont emplo
t que ces troubles moteurs sont absolument limités aux doigts de la main droite, sans participation d'aucune autre parti
c légère plaque d'atrophie grise brunâtre, trem- blement modéré des mains à l'occasion des mouvements inten- tionnels, os
ent. Enfin il attribue à des mouvements incoercibles des doigts des mains le diagnostic d'athétose primitive bilatérale p
cher; impossibilité de tenir solidement les objets, surtout avec la main gauche, souvent inca- pacité de se vêtir. Il ne
et de réaction dégénérative. Il est vrai que les petits muscles des mains participent, dans une certaine mesure, à l'affe
en cette rotation lente et caractéristique de tous les doigls de la main autour des articulations ulélacarpopba- langien
e la main autour des articulations ulélacarpopba- langiennes : « la main placée au repos et à plat sur un support exécut
congénitale des muscles des yeux), la tuméfaction inlermitlanle des mains 1 Voy. Archiv. de Neurol. Un cas de névrite mul
que possible ; inviter le patient à entrelacer les doigts des deux mains et,en tendant les bras horizontalement, à tirer
t les bras horizontalement, à tirer aussi fort que possible sur ces mains , ainsi unies, comme pour rompre l'entrelacement
u'ils pendent librement, ce que l'on peut contrôler en pla- çant sa main au-dessus de la cuisse près de l'articulation du
pressa suffisamment contre la zone motrice, des contractures de la main et des Archives, t. XII. 16 234 REVUE DE path
culaires; un examen plus complet aurait peut- être fourni entre les mains d'un psychiatre des points de repère satisfaisa
porte surtout : à droite, sur les extenseurs des doigts et de la main , le long extenseur du pouce, le premier interosse
aussi légèrement agité, il se promène à grands pas et imprime à ses mains rap- prochées l'une de l'autre des mouvements p
Le bas du dos est très sen- sible à la palpation; le passage de la main sur la peau cause aussi de vives douleurs; il s
ns les bras, la sensibilité est aussi émoussée; il ne retire pas la main même quand on transperce la peau avec une éping
qûres; le gauche ne perçoit que l'attouchement, à l'exception de la main , où de profondes piqûres produisent seulement d
; le ma- 274 CLINIQUE NERVEUSE. lade peut remuer les doigts de la main droite et la ramener au corps. Une sent ni piqû
e d'une hallucination probablement, se mit tout à coup à agiter les mains et faillit sauter du lit. Le 28 décembre, les s
che ; le bras droit levé le plus haut tremble aussi. La force de la main droite est affaiblie ; le dyna- momètre ne marq
uleurs à la faradisation avec un pinceau, à remuer les doigts de la main et du pied, et à marcher sans béquilles. Le 10
nsomnie. Le 23 mars, il marche facile. ment; le bras au coude et la main fléchissent, ce n'est qu'à l'épaule que le bras
à six heures du soir, nouvelle attaque de convulsions. Le lende- main matin, je lui trouve une anesthésie cutanée de to
ce des paroles incohérentes, pa- raît saisir quelque chose avec les mains , ou bien il les porte à la gorge, à la région d
h... à l'âge de 4 ans. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE 295 la main ; il n'aurait que rarement marché seul dans l'appa
soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la figure et aux mains . Il fut alors ramené à Bicêtre, d'où il ne sortit
sous le doigt et comme bouffie de graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la température. Le the
ois, on y observe un abaissement de température, sensible même à la main ; le thermomètre, appliqué sur la face externe d
face externe des bras, marque à droite 33°,8, à gauche 34o,l. La main droite est déformée par une brûlure dont la cicat
s de monnaie ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dos de cette main , la peau, comme oedémateuse, forme une pelotte
ent résiste sous le doigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un état analogue, bien qu'à un deg
e, lourde, mais cependant possible lorsque l'enfant est tenu par la main . Il est intéressant de remarquer ici que le Pac
ssiette. Il mange sa soupe seul, avec une cuiller qu'il tient de la main gauche et les aulres aliments avec ses doigts. Il
s doigts. Il boit également seul en tenant le gobelet avec ses deux mains . Appareil digestif. - Il n'existe ni vomissemen
est bon. -T.R. 38°,6. - Soir : 38°, 6. ' 8. La rougeur a gagné la main droite; en même temps elle disparaît en arrière
domen. T. R. 38°,2. -Soir : 38°,8. 9. - La rougeur e^t limitée à la main et au poignet droits, les 30Î- le . CLINIQUE NE
urant de l'année. On l'exerce à marcher, ce qu'il fait, tenu par la main . La mémoiie paraît exister; il reconnaît les pers
nt avec peine la pulpe des deux doigts index et médius réunis de la main gauche. Les valvules sont suffisantes et saines
l'époque de sa mort, il était propre, marchait tenu simplement à la main ; il était devenu, au moins par moments, plus ex
e une légère couche de graisse sur toute la surface du corps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un enfant
ertaines circons- tances ; ainsi quand on lui met un chat entre les mains , il le caresse et prend une figure riante et po
aisseux. Nulle part on ne trouve d'infiltration oedémateuse, ni aux mains , ni aux pieds, ni à la face. On enlève la parti
es paupières; épaississement de la langue ; ,. bave; oedème sur les mains ; cheveux rares; absence de goitre. La nommée S
esses et aux extrémités ; celles-ci sont déformées et massives. Aux mains , le creux palmaire est remplacé par une surface
souffrait de maux de tête, sa tête s'inclinait sur la poitrine; les mains et les pieds devinrent très froids, les jambes
'engelures. La (peau est sèche etdure par places, mais la paume des mains est quelque- fois moite. Les mains ont la forme
re par places, mais la paume des mains est quelque- fois moite. Les mains ont la forme d'une bêche. Il n'y a pas de vérit
ne douleur lorsqu'on les saisit entre le doigt dans le rectum et la main placée sur l'abdomeu. Il est probable que les o
e, rougeole. Langue et lèvres épaisses; gonflement des pieds et des mains ; intelligence et mé- moire presque nulles ; ina
as droit, peut mettre la IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 339 main derrière la tête, mais les mouvements sont lents
il venait bien, était frais, rose, n'avait rien ni aux pieds ni aux mains , ressemblait aux enfants de son âge. Victor com
d'adénite, d'otite, de maladies cutanées, etc. - Vers neuf ans, les mains et les pieds épais et courts se seraient gonflé
onner, lacer ou nouer, ni se déshabiller, se laver la figure ou les mains . - Il était très sensible au froid; les mains e
aver la figure ou les mains. - Il était très sensible au froid; les mains et les pieds, surtout ceux-ci, étaient bleus et
nent, mais la poitrine est normale et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramassées, les doigts sont courts,
c- tuel et physique, l'aspect de la face, du cou, des pieds etdes mains qui, d'après le récit des parents et d'après la
quable agrandissement des éminences thénar et hypothénar de chaque main , ce qui leur donnait un aspect large et déformé,
t de 1D1,30; le cou était large, gros; la peau commeoedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient rouges, cy
pachydermique commençante, qui se développe en un an. La force des mains diminue, surtout à droite; la marche s'appe- sa
novembre 1880. Deux mois après, fatigues, anémie, perte de forces, mains lourdes, peu agiles, surtout pour les travaux f
à coup. En février 4881, anémie prononcée, faiblesse de la mémoire, mains engourdies. En février 1883, les symptômes s'am
avec peine 2 kilom. L'anémie s'accentue, le visage s'infiltre, les mains sont enflées, sans albuminurie; diminution de l'a
rie; diminution de l'appétit, de la soif et du goût, maladresse des mains , lourdeur des jambes. 1 Annales médico-psycholo
t écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des pieds et des mains . Le cou est guéri, mais elle est comme paralysé
d'oedème marqué, mais épaississement de la peau du visage et des mains . 26° Baumgartner 1. - Fille de seize ans, extir
n goitre de 4gag gr. en octobre 1881. Un an après, visage infiltré; mains et pieds épais, dyspnée ; alourdissement corporel
pâleur et idéation ralenties, visage infiltré, paupières épaisses, mains enflées le soir, pas d'al- buminurie, paralysie
s, dyspnée en montant l'escalier, visage infiltré, ma- ladresse des mains ; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et
ltré, ma- ladresse des mains; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et pieds enflés ; difficulté de parole et d'idé
ote l'arrêt de la croissance, la pâleur du teint, un oedème dur des mains , la décoloration des muqueu- ses ; l'abdomen es
ital et radial. On ne trouve pas de douleur à l'avant- bras et à la main , mais seulement un léger engourdissement. La mê
encore assez pénibles, et il est difficile à la malade de porter la main sur la tête. La légère amélioration que l'on av
r maintenir relevés les quatre lambeaux distincts, il faut quatre mains qui sont toutes très gênantes. Si, au contraire,
alors la face se contractait et le malade perdait connaissance. La main et les yeux étaient tournés à gauche et le memb
e l'attaque. Etal actuel (très abrégé). - Mouvement. La force de la main gauche était égale à 45; celle de la main droit
Mouvement. La force de la main gauche était égale à 45; celle de la main droite à 85. Il pouvait exécuter tous les mouve
ter tous les mouvements avec.le membre supérieur gauche; ceux de la main étaient un peu affaiblis. Le pouce gauche était
er son membre supérieur gauche, le malade a mis tout d'un coup sa main à la blessure et a dit qu'il sentait un « bourdon
semblait frapper l'os du membre, le côté du cou, et s'étendre de la main à la blessure. Les réflexes profonds étaient tr
e la réunion, tout était dans l'ordre, excepté que l'étreinte de la main était moins forte qu'auparavant et que les mouv
eur droit. Tous les mouvements étaient atteints, surtout ceux de la main . Cette parésie est intéressante comme étant san
douleur, sont plus senties. Si dans ces condi- tions on touche une main et un pied soit avec un objet froid (0°), soit
51 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
fet, à l'aide de certains gestes qu'elle exécutait avec le bras et la main gauche, cette malheureuse infirme parvenait à fai
aient été détruites ! Serons-nous jamais assez heureux pour mettre la main sur un fait d'un caractère aussi singulier, et qu
'hui à des intervalles très rapprochés. Cependant, les mouvements des mains et des bras sont libres et ne présentent encore q
re les deux épaules, au niveau des fausses côtes, dans les doigts des mains , etc. Cependant, les mouvements des membres supér
er qu'etle laisse fréquemment tomber les objets qu'elle tient dans sa main droite. Il n'existe pas de douleur en ceinture.
riphérie, analogues à celles qui se développent dans les doigts de la main , lorsque le nerf cubital a été froissé au niveau
rigide ni flasque ; mais il lui est impossible cependant d'élever sa main droite jusqu'à sa tête. La sensibilité cutanée [t
age 50, Berlin, 18558), diminuée sur ce membre.La température de la main droite est, ce même jour, un peu plus élevée que
la main droite est, ce même jour, un peu plus élevée que celle de la main gauche (main gauche 32°, S — main droite 36°), et
te est, ce même jour, un peu plus élevée que celle de la main gauche ( main gauche 32°, S — main droite 36°), et le même fait
un peu plus élevée que celle de la main gauche (main gauche 32°, S — main droite 36°), et le même fait a été constaté de no
e. 11 y a de plus un certain degré de gonflement uniforme de toute la main et même de l'avant-bras, mais sans œdème. Ces par
eparaît au point qu'elle pouvait marcher quelque peu, se servir de sa main droite, tant bien que mal, la porter à sa fête, e
r et du gonflement au niveau de quelques-unes des articulations de la main droite. Celle-ci est manifestement plus chaude qu
ions de la main droite. Celle-ci est manifestement plus chaude que la main gauche. En outre de ces douleurs localisées sur l
; seuls les doigts sont un peu rigides et fléchis dans la paume de la main . Lorsqu'elle est abandonnée après avoir été sou
est plus chaude etplus colorée, principalement à l'avant-bras et à la main , que sur les parties correspondantes du côté oppo
générale et non accusée spécialement au niveau des articulations. La main gauche est d'ailleurs plus chaude et plus colorée
lavyngo-trachéal ; pouls presque insensible; sueurs visqueuses. A la main gauche, les doigts ont une couleur violacée qui n
l'a soulevé. Pas de traces de rigidité, si ce n'est aux doigts de la main qui sont légèrement flétris. Sensibilité cle ce m
manifeste et une coloration d'un rouge violacé. La température de la main droite (3f °, 5), est plus élevée que celle de la
pérature de la main droite (3f °, 5), est plus élevée que celle de la main gauche (35°, o). Température rectale 38° 5. Le
t un peu plus faible que le droit; la malade peut cependant porter sa main gauche à sa tête. Les articulations du bras et de
mbre supérieur gauche est flasque, inerte. Le poignet et le dos de la main sont volumineux; la peau présente là une colorati
même coloration. Les tendons de l'extenseur commun des doigts de la main gauche, dans la partie où ils sont recouverts par
ion plus prononcée des téguments, appréciable surtout à la paume delà main (1), et en même temps une température plus élevée
), peuvent guérir par l'or pris à l'intérieur. « J'ai mis entre les mains de M. Burq une malade atteinte de contracture hys
e j'ai tenue à l'égard de M. Burq, lorsqu'il m'assura qu'il tenait en main un traitement efficace de l'hystéro-épilepsie. Je
e, le sourcil se contracte; si, au contraire, l'on rapproche les deux mains de la bouche, comme dans l'acte d'envoyer un bais
un écran, ou simplement en baissant ses paupières supérieures avec la main , la catalepsie fait place à un nouvel 1. Les po
taleptique sous l'influence d'une vi\re lumière. Nous fermons avec la main un seul de ses yeux, l'œil droit par exemple et a
stérique et absolument anesthésique du côté droit. Nous traversons sa main de part en part avec ce poinçon : elle ne s'en ap
de tout le côté droit. Ce malade fut envoyé par M. le Dr Grancher. Sa main fut placée entre les branches de l'aimant de Fara
peut subir, comme précédemment le membre gauche, la transfixion de la main , experimentum crucis;, sans que la malade s'en ap
on membre inférieur tomba paralysé, insensible aux frictions, puis la main se ferma, puis le poignet se fléchit, enfin tout
du côté droit, et arrivait à l'état où vous la voyez aujourd'hui. La main droite n'est plus contracturée, et il ne reste qu
rvice : vous voyez successivement, sous l'influence de cet aimant, la main se fermer et le membre se contracture!*. Si mai
cielle du membre supérieur droit. Si nous plaçons l'aimant près de la main gauche, nous faisons promptement disparaître la c
A celle jeune fille, hémianestliésique du côté droit, je traverse la main , l'avant-bras droit, avec une forte aiguille, san
membres exerce sur l'aspect de la physionomie ; je lui rapproche les mains de la figure comme on fait lorsque l'on rit, et a
du membre (il faut fléchir la jambe et bien la soutenir en tenant la main sous la partie postérieure de la jambe) ; 3° la t
produit lorsque l'on cherche à élever le membre en le tenant avec la main appliquée sur la plante des pieds. Vous voyez q
ement. Il n'y avait pas d'anesthésie des membres supérieurs; mais, ma main ayant touché légèrement l'autre membre inférieur
ent des sourcils. Si, au contraire, on approche de la bouche les deux mains ouvertes, comme dans l'acte d'envoyer un baiser,
oude repose sur l'angle d'une table, et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet, re
et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet, retombe inerte dans la flexion. La perc
s du carpe. La percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des doigts. Le tracé I (Fig. 2) a été obtenu
ui se prolonge quelque peu. En efïêt, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction réflexe des extenseur
fig. 3 et h. L'excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et des doigts nous a donné des résultats analogue
t-bras demi-fléchi est en supination et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet ret
et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet retombe inerte en extension. Nous avons
racture se développer instantanément, les tendons faire saillie et la main s'immobiliser dans la flexion. Le tracé suivant
trique indiquant le moment et la durée de la pression. Au dos de la main , l'expérience offre encore un caractère plus sais
omie et de la physiologie. Sous l'influence de cette excitation, la main se contracture dans une attitude spéciale, se rap
et représentée par la Fig. 9. Le poignet est légèrement fléchi et la main tout entière un peu entraînée vers le bord cubita
es deux derniers doigts sont complètement fléchis dans la paume de la main ; le pouce entraîné dans l'adduction, vient appuy
phalange du pouce se fléchit et qu'elle se place dans la paume de la main recouverte alors par les doigts en flexion {Fig.
iale des rameaux du nerf cubital aux muscles de l'avant-bras et de la main . En effet, le nerf cubital fournit des rameaux
nervés par le nerf cubital. Cubital antérieur. —• Fléchisseur de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigt
Adduction (palmaires), abduction (dorsaux) par rapport à l'axe de la main . Flexion des premières phalanges. Extension des d
ette. Nous pouvons déduire de là l'attitude spéciale que prendra la main , lorsque tous les muscles innervés parle nerf cub
ans les lois connues de la physiologie musculaire. La flexion de la main sur l'avant-bras est due à l'action du cubital an
nsons-nous, la raison physiologique de l'attitude des doigts et de la main dans la griffe cubitale. D'ailleurs la faradisa
o-musculaire persiste après l'excitation, et imprime de la sorte à la main une attitude qu'il est facile d'analyser. La fa
ppliquer sa face palmaire contre le bord externe du médius; enfin, la main est légèrement fléchie et attirée vers le bord cu
e donne des résultats analogues à ceux de l'excitation du cubital. La main prend alors une attitude qui trouve sa raison dan
ues relatives à la distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main . Le nerf médian fournit des rameaux aux muscles
eur énergique. Grand palmaire. Petit palmaire. — Fléchisseurs de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur superficiel des d
scles pronateurs (rond pronateur et carré pronateur). Flexion de la main sur l'avant-bras. — Sur trois muscles fléchisseur
n de la main sur l'avant-bras. — Sur trois muscles fléchisseurs de la main sur l'avant-bras (qui sont le grand palmaire, le
ner lieu aux mouvements suivants: 1° Pronation ; 2° Flexion de la main sur l'avant-bras ; 3° Flexion des doigts complè
aussi de la phalangette. Voici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l'excitation mécanique du méd
e, par un mouvement d'opposition, vient se placer dans la paume de la main , mais la phalangette est dans une situation inter
avons vu parfois la flexion des doigts s'accuser bien davantage et la main prendre complètement l'attitude du poing fermé (F
vement de rotation du bras de dehors en dedans, de telle façon que la main , ayant subi un tour complet revient présenter en
cles innervés par le nerf radial. En effet, l'attitude que prend la main , sous l'influence de l'excitation mécanique du ne
ntenant. L'expérimentation sur les muscles de l'avant-bras et de la main est plus complexe, et cela pour plusieurs raisons
erches de Duchenne (de Boulogne) pour que nous y insistions ici. A la main , l'excitation des muscles de l'éminence thénar pr
sont accessibles à l'excitation mécanique qu'à la face dorsale de la main . A la face palmaire, ils sont complètement recouv
également sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main , l'excitation des interos Fig. 14. — Quelques p
uelques points moteurs de la face antérieure de l'avant-bras et de la main , M, nerf médian. — 1, muscle rond pronateur ; 2,
elques points moteurs de la face postérieure de l'avant-bras et de la main . R, nerf radia!. — C, nerf cubital. —l,long sup
rche à exciter les muscles interosseux en comprimant sur le dos de la main , au niveau des espaces interosseux, au point d'él
paraît s'expliquer assez facilement par la présence, sur le dos de la main , des tendons extenseurs et des brides aponévrotiq
signalées plus haut n'infirment les résultats qu'a fournis, entre les mains de Duchenne (de Boulogne), la faradisation locali
s mettrons en regard, d'un côté, les résultats qu'a donnés, entre ses mains , la faradisation localisée, et, d'un autre côté,
e de l'épitrochlée, et, comme dans l'expérience décrite plus haut, la main , sous l'influence de cette excitation, se contrac
eux phénomène que nous observons pour la première fois. Dans les deux mains , de petits mouvements fort légers s'opèrent à la
s, bientôt, ces mouvements s'accusent dans un sens différent à chaque main . A la main contracturée, les doigts quittent peu
ces mouvements s'accusent dans un sens différent à chaque main. A la main contracturée, les doigts quittent peu à peu, et c
ire et le petit doigt se défléchissent. Les mêmes doigts de l'autre main subissent au même moment un mouvement inverse, l'
ulaire, à celui qui reçoit les rameaux du nerf cubital. En un mot, la main droite est redevenue flaccide, et la main gauche,
nerf cubital. En un mot, la main droite est redevenue flaccide, et la main gauche, entrant en contracture, a pris l'attitude
rse en quelque sorte, et après avoir fait passer la contracture de la main droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant à
rte, et après avoir fait passer la contracture de la main droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant à proximité de la m
main droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant à proximité de la main droite dans le but d'y ramener la contracture en
la main droite dans le but d'y ramener la contracture en délivrant la main gauche. Ce retour s'opère avec plus de lenteur. I
e s'est-il effectué incomplètement. Au bout de ce temps, en effet, la main gauche est redevenue complètement molle, pendant
ffet, la main gauche est redevenue complètement molle, pendant que la main droite, rigide, esquisse fort nettement l'attitud
on place ses deux: avant-bras en pronation, de façon que le dos de la main regarde en haut. Les muscles sont dans la résolut
en extension forcée. L'attitude demi-fléchie des autres doigts de la main n'est pas modifiée. Nous appliquons alors un aima
muscles extenseurs. En voici un autre exemple : le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la pression
moteur désigné sur. la figure 15, 6. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Cette main repose sur la table par sa fac
la figure 15, 6. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Cette main repose sur la table par sa face palmaire et les d
ion postérieure de l'avant-bras amène l'extension des doigts et de la main . Cette attitude, maintenue par la contracture sim
lacée dans la même attitude que pour les expériences précédentes, les mains reposant sur une table, la face dorsale regardant
ale regardant en haut. La pression légère du tendon du médius de la main droite au-dessus de la tête du troisième métacarp
cette situation d'extension forcée. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Le transfert de la contracture s'opère tr
in gauche. Le transfert de la contracture s'opère très rapidement. La main gauche est immobile dans une demi-flexion; on voi
dans une demi-flexion; on voit d'abord dans les tendons du dos de la main , tendons de l'index et du médius, se produire un
nt aussi, et comme par degrés, on voit les deux derniers doigls de la main se fermer, le pouce se rapprocher, et bientôt l'a
l'avant-bras gauche. Au bout de quarante secondes environ, on voit la main gauche se con-tracfurer dans l'attitude de la gri
a pression du nerf cubital en arrière de l'épitrochléc contracture la main dans l'attitude régulière de la griffe cubitale.
lle regarde son bras paralysé qu'elle cherche à soulever avec l'autre main , mais sans manifester le mécontentement qu'un rév
1. L'anesthèsie se trouve réduite à une plaque de la largeur des deux mains environ et qui occupe le sommet de la tête, plus
ée ou la friction des tendons du poignet amènent la contracture de la main soit en flexion, soit en extension, suivant les t
arrière de l'épitro-chée provoque la contracture du poignet et de la main dans la flexion; la griffe cubitale est imparfait
du nerf cubital au coude, par exemple, la contracture se produit à la main et à l'avant-bras dans le domaine du nerf cubital
mie, le sourcil se contracte. Au contraire, si l'on approche les deux mains ouvertes de la bouche, comme dans l'acte d'envoye
e inférieure, et les deux bras s'élèvent à demi fléchis, la paume des mains tournées en avant ainsi qu'il est représenté sur
is aussitôt en harmonie. Le corps s'est rejeté en arrière et les deux mains se disposent à prévenir l'approche de l'objet qui
, lorsque, la jambe étant fléchie sur la cuisse, on rapproche avec la main les muscles du mollet de leur insertion calca-née
racture provoquée par flexion brusque d'un segméntele membre (pied ou main ), il est facile de se convaincre que l'attitude a
muscles extenseurs (jumeaux et soléaire) est plus prolongée. Sur la main , le même phénomène se produit. Si nous malaxons l
es muscles extenseurs par exemple, et qu'en même temps, maintenant la main en demi-flexion, nous empêchions l'extension de s
sont réellement, et cela tient à ce que nous avons mis par hasard la main sur un moyen de les faire apparaître, beaucoup pl
le père nous La amené et, d'après notre conseil, l'a remis entre nos mains . Les accès, depuis qu'il est à l'hôpital, se répè
sation énergique et prolongée des muscles antagonistes pour ouvrir la main de la malade, et ce ne sera pas avant demain que
: on peut employer le massage, la friction, la pression soit avec la main , soit avec une bande élastique la percussion des
s la gouttière olé-cranienne sur le nerf cubital, on voit aussitôt la main se con-tracturer et prendre l'attitude dite de la
ficielles, comme le frôlement, le souffle buccal ou l'agitation de la main à distance, produisant un léger courant d'air, on
presse sur le nerf cubital, on ne constatera peut-être clu côté delà main que l'esquisse, en quelque sorte, de la griffe cu
e première expérience, sur le nerf cubital, on constate du côté de la main l'esquisse de la griffe cubitale, qui se dessine
re par les manœuvres que nous avons déjà signalées (pression avec les mains , avec une bande élastique, etc.) ; cette propriét
nerf médian avant de former les rameaux musculaires et cutanés de la main , ont été. par erreur, et contrairement à ce qui e
52 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ui consistent -CI apprendre aux enfants à se laver la figure et les mains , il s'habiller, se déshabiller, ` brosser, rang
he, à se gargariser, etc. ; 4° les exercices pour l'éducation de la main , des sens et de la parole ; 5" les exercices él
le monde, jetait de tous côtés les objets qui se trouvaient sous sa main . Actuellement, l'enfant est plus calme, son tra
mettait un maillot, il souillait ses vêlements, soit maladresse des mains , soit len- teur des mouvements, aujourd'hui nou
r, à s'attacher à nous, il son frère. Devenu moins maladroit de ses mains , il nous a rendu quel- ([lIes services dans les
complète, c'est-à- dire qu'il ne marche pas, ne se sert pas de ses mains : il faut le faire manger, le laver, l'habiller
- gique consiste à éveiller l'attention de l'enfant, à éduquer la main et le sens du loucher, puis le sens cle la vue.
nement, soit avec les "' barres à sphères ou les haltères, soit les mains libres. Ces exercices sont les suivants : mouve
, afin de varier leurs occupations, d'améliorer l'éducation de leur main , de fixer davantage leur attention. Ce travail n'
s deux exercices, il convient d'en ajouter un troisième exécuté les mains libres et qui consiste en un haussement d'épaul
on se fait en ramenant les jambes et en abaissant les bras (1). Les mains sont tantôt libres, tantôt munies d'haltères. E
nd des services incontestables au point de vue de l'éducation de la main et de l'ccil et est d'une utilité évidente pour
e année un véritable progrès, tant au point de vue de l'habileté de main que du soin et de la propreté dans l'exécution
e vue du caractère. Bon apprenti tailleur. Il écrit et coud avec la main gauche. . 2° Lang.... 19 ans, atteint d'épileps
ravaille beaucoup, très courageux, très docile. Ecrit et coud de la main gauche. 1-1° Mêla.. (Albert), l'ians.-In26écill
exercices de copie. Apprenti tailleur passable. Ecrit et coud de la main gauche. 15° Sim... (Eugène), 13 ans. Imbécillit
pêcher les enfants de mettre leur Promenades et distractions. xxv mains dans les poches de leur pantalon, de se coucher
avec ou sans rotation de la tête ; 15 avaient un tic coordonné des mains ; 1G enfants idiots étaient tourneurs; 19 9 éta
arlylie, 1 de syndaclylie ; 3 do mal formations pathologiques de la main , 1 d'encéphalocèle, 1 de cyphose (' ? ), 47 pré
toutes les conjonctives injectées. La transmission se fait par les mains des enfants, par leurs habits avec lesquels ils
corps avec ou sans rotation de la tête; 17 ont un tic coordonné des mains ; 14 enfants idiots sont tour- neurs; 12 sont sa
lylie ; 1 de syndactulie : 3 de malformations pathologiques de la main ; 1 d'encéphalocèlc ; plusieurs de ('Uplwsc ou d
se servir des objets usuels, elle était heureuse de plonger pleines mains dans son assiette. L'enfant gâtait jour et nuit
précédente ; ces jeunes filles ont acquis une grande habileté de main et une certaine justesse cl'ccil dans la mesure
tre pauvre amie, dans un dortoir situé en face de notre bureau, les mains crispées après le montant d'un lit, la bouche c
e pres- que toujours entr'ouverte, palais ogival, tremblement des mains . Au point de vue intellectuel et moral, nous re
e jeta sur l'infir- ,nier et, lui serraant fortement la gorge d'une main , lui rongea dans la poitrine un couteau poignar
sans motif. Il pleure ou plutôt crie en se tappant la tète des deux mains ou sur sa chaise, ensuite il se mord. Ces crise
sur les murs, casse les carreaux, soit avec sa tête, soit avec ses mains . Quand elle est dans une rage semblable, elle p
pourraient faire croire qu'elle est battue. La tête, la figure, les mains , portent souvent des ecchymoses consécutives au
ferait un bélier tout en poussant des rugissements. Le dessus de la main gauche porte des durillons formés par les coups
coups qu'elle se donner constamment il la tête en frappant avec sa main . Ses mains, ses oreilles, sa tète, sont parfois
elle se donner constamment il la tête en frappant avec sa main. Ses mains , ses oreilles, sa tète, sont parfois ensanglant
. On constate ce matin que la figure est bouffie ; les pieds et les mains sont légèrement enflés. Soif vive, lan- gue sèc
Alembres supérieurs bien proportionnés, un peu courts cependant. Mains petites, larges, doigts courts, légèrement palm
tout, sans présenter de salacité. Le toucher est obtus, du reste la main est idiote, la pré- hension est faible, 111.. l
t environné de flammes. Quand on le secourut, on vit qu'il avait la main et la cuisse droites profon- dément brûlées. Il
pour le jeter à la tête de son maître. Un infirmier lui retient la main , maîtrise ses mouvements et le calme un peu. L'en
e, comme l'é- crivent des auteurs récents, nous pouvons, pièce en main , conclure la gravité de cette forme; la situation
, on note de la raideur des membres, raideur prédominant iL gauche. Main dans la Ilexion, flexion qui va toujours croiss
ion DU malade. . 55 tête sur la gauche, mouvements de flexion de la main ). Ces crises ont été au nombre de six, répartie
tant. La tête reste constamment un peu inclinée sur la gauche, la main et l'avant-bras dans une légère flexion, la cuiss
présentent rien d'anormal. La forme, la longueur des doigts; des mains , des ongles est régulière; pas d'onychophagie. La
croscopiques des méninges. VII. Idiotie microcéphalique, nanisme, main botte ; -) l'An IIOUI\NE\'n,LK Depuis longtem
epuis longtemps nous avons l'intention de publier un mémoire sur la main idiote sur laquelle nous avons maintes fois don
., 13 ans. Poids : 24 k. 300; Taille : 1"'28, au lieu de 1111li2. Main gauche. Face supérieure. -- L'index, le médius
médius et le bord radial de la phalangine de l'annulaire. IDIOTIE : MAIN BOTTE. 71 position naturelle, sa phalange sui
rus, d'où une infle- xion de la phalangette vers la paume de la main . Le pouce, qui est difficilement opposa- bl
cilement opposa- ble, suit la direction des autres doigts de la main . Le premier méta- carpien est long et grê- le
ce est dans sa position naturelle, il s'incline vers la paume de la main et sa pha- lange et sa phalangette forment un a
et la pha- langette de l'auriculaire et de l'annulaire. Fia. 5 - Main gauche. 7'2 IDIOTIE : MA)N BOTTE. s'infléchit
la- tions phalangiennes avec la phalangette de l'auriculaire. Main droite. A la main droite, le pouce, l'index, le
ennes avec la phalangette de l'auriculaire. Main droite. A la main droite, le pouce, l'index, le médius et l'annu-
laire sont tout à fait normaux. L'auriculaire est absolu- Fig. 6. - Main droite. Idiotie : main BOTTE. 73 ment semblab
rmaux. L'auriculaire est absolu- Fig. 6. - Main droite. Idiotie : main BOTTE. 73 ment semblable à celui de la main gau
ain droite. Idiotie : main BOTTE. 73 ment semblable à celui de la main gauche. Il y a un vide entre les phalangines. d
défaut qu'on se servira de la percussion avec le bord cubital de la main , avec les doigts, avec le dos d'un couteau, avec
; c) en palpant le triceps dont on sentira la contraction sous la main . Quand le malade est couché, pour rechercher le
Quand le malade est couché, pour rechercher le réflexe, on passe la main sous la cuisse du malade, on soulève légère- me
ignet se recherchent aussi, le membre étant dans le relâchement, la main du malade reposant dans la main de l'observateu
bre étant dans le relâchement, la main du malade reposant dans la main de l'observateur. La percussion se fait alors sur
flexes. On peut les provoquer aussi en serrant violem- ment avec la main , de façon à comprimer les masses muscu- laires
n avant, les jambes éloignées, le malade écartant ses fesses de ses mains . b. Couché sur le dos, les jambes en l'air, les
de l'oeil il examiner un rat ou une bougie allumée. On fait avec la main un écran interceptant la lumière entre et la so
la source de lumière. * On éclaire à volonté l'oeil en retirant la main : la pupille reçoit la lumière, la contraction
e, etc. ; bouffissure et faux ((,dème des paupières, des joues, des mains , des pieds, etc; présence des pseudo-lipomes, a
complètement disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des pieds. Deb... taquine les infirmiers, pa
Urine : 500 grammes. Pas de glande. La desquamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500
u de l'ombilic 0 m. 740, il ne mesure plus que 0 m. 67. La peau des mains demeure moite et devient souple ; les ongles po
le fait travailler. Lorsqu'on l'appelle pour lire, il se frotte les mains et saule en signe de satisfaction. Il reconnaît e
de. 155 à projeter sa langue sur la joue et à essuyer ensuite de la main l'humidité laissée par la langue. Le tronc et l
autre bras, sans but défini. Si on lui fait tenir un objet des deux mains , on voit les doigts s'allonger démesurément, d'
la langue a passé sur la joue ou les lèvres, V..., d'un revers de main , essuie la salive (parfois la région mouillée s'u
joue. Souvent aussi, mais d'une façon moins brusque, elle porte la main à son oreille, exécutant le geste des femmes qu
main à son oreille, exécutant le geste des femmes qui, d'un tour de main , re- mettent en place les boucles de cheveux to
les boucles de cheveux tombant sur leurs oreilles. Même geste de la main vers les yeux qu'elle frotte vigoureusement. Le
n vers les yeux qu'elle frotte vigoureusement. Les mouvements de la main n'ont pas eu, devant nous, la brus- querie des
ien tous les caractères des tics. Si on porte son attention sur les mains , on les voit brusquement et involontairement se m
sion. Quelquefois, en effet, notre malade frappe du pied, lâche ses mains qui étaient réunies devant elle, hausse les épa
voie souvent à droite et à gauche l'ouvrage qu'elle tient entre ses mains . Elle écrit mal, fait des taches sur son cahier
crise, reprend sa conversation, ne se souvient de rien. Il a les mains brûlantes un moment. État actuel (6 novembre 19
st absolument concentré sur le siège des plaies clu Christ : front, mains , pieds, côté. Elles voudraient les voir saigner.
er et que la mémoire diminuait. Sa mère, une nuit, la vit porter la main à ses organes génitaux. Elle lui demanda si ell
e au point de vue de la parole. Continuellement l'enfant passe la main sur son front, elle semble souffrir de la tête. P
lsions à un mois et demi à 3 ans et demi. - Parésie consécutive des mains , surtout de la droite. Description du malade
é, après ces convulsions, que l'enfant présentait de la parésie des mains . Dès qu'il a commencé à marcher, il a pris l'ha
ait limitée à quelques sylla- bes plus ou moins mal articulées, les mains étaient déjà maladroites (la maladresse paralyt
e malformation. Mouvements volontaires et provoqués, affaiblis. Les mains sont un peu pendantes, l'enfant prend à poignée
i arrive quelquefois d'uriner la nuit. Il est très maladroit de ses mains et semble avoir un peu de paralysie, principale
ses mains et semble avoir un peu de paralysie, principalement de la main droite, d'où la néces- sité des exercices de la
palement de la main droite, d'où la néces- sité des exercices de la main . Comme manie l'enfant il celle de porter contin
. Traitement médico-pédagogique. 213 a fait de réels progrès. Les mains sont toujours maladroites; il est parvenu à lac
est sorti du pavillon des contagieux. Il est moins maladroit de ses mains , est parvenu a nouer et il boulonner; connait t
rte beaucoup de bonne volonté, mais, affecté d'un tremblement de la main , il a une grande diffi- culté à tenir sa plume
PHAGIE.; excitation maniaque. vrant démesurément la bouche avec les mains ce qui provoque une hémorragie assez abondante.
nant clans le côté droit et intéressant davantage, scmhle-t-il, les mains . A l'au- topsie, nous avons trouvé : 1 une inég
raideur. Tient sa tète assez droite. Prend les objets dans ses mains ; porte le pain et les André. Aurait dit papa
ION de MALADES. René gâteaux à sa bouche. Les mouvements de ses mains sont assez sûrs. Ne tire la langue que lors d
aisi le crispe entre ses doigts. A des mouvements ner- veux des mains , de la face et des orteils, qui se cris- pent
s, les bras écartés dutronc, l'avant-bras fléchi sur le bras, les mains en prona- tion. Les mouvements spon- tanés so
e 13 décembre, on ne peut davantage l'alimenter; il est pâle, a les mains , les bras, les pieds violacés et glacés et meurt
xion des membres supérieurs portant 'surtout sur l'avant-bras ; les mains restent au contraire souples et tombantes. Les
e nuit et jour. Il ne comprend absolument rien, ne fait rien de ses mains si ce n'est porter son pain à sa bou- che. Pu
font saillie partout. Les bras sont repliés sur la poitrine et les mains posées sur les avant-bras. Les bras sont collés
nt collés contre le tronc, les avant-bras repliés sur le tronc, les mains iL angle aigu sur l'avant-bras; les pouces fléc
ant-bras; les pouces fléchis transversa- lement dans la paume de la main , les quatre : autres doigts fléchis sur le pouc
53 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
réaliser le but que nous poursuivions, ce qu'il fallait avoir sous la main , à la Salpêtrière même, c'était un homme qui conn
sont fléchis, le pouce étant fortement appliqué contre la paume de la main . Les membres inférieurs, à l'origine très-rigid
avant-bras va se placer horizontalement sur le dos, de sorte que la main , qui est fermée, s'applique sur la colonne vertéb
endus perpendiculairement au tronc, sont en croix (Pl. VI et IX); les mains sont fermées et les doigts fléchis si violemment
ins sont fermées et les doigts fléchis si violemment sur la paume des mains qu'il est impossible de les allonger. Le tronc
issent puis s'étendent comme si la malade se détirait. Elle porte les mains à son cou qu'elle déchirerait si on ne la surveil
, pourvu toutefois que ces Filles ne le tou-» chassent point de leurs mains , ce qu'ils ne voulurent » point permettre, tant p
me non sanglante ; sueurs très-abondantes à la face et à la paume des mains . La malade ferme les paupières et pousse quelques
ps en temps, elle quenotte, se plaint, secoue la tête. La face et les mains sont toujours couverts de sueur. La température v
sur une croix et les y fixant à l'aide de clous qui traversaient les mains et les pieds. Ces « saintes » qui se laissaient p
qu'il ne s'écoulait pas de sang quand on enfonçait les clous dans la main et le pied du côté gauche, tandis qu'elles sembla
les semblaient souffrir et perdaient du sang quand on transperçait la main et 1@ pied du côté droit. Sachant aujourd'hui que
ur. Il en était également de même quand on transfixait la langue,, la main , etc. Donc, chez les malades auxquelles nous fais
é de la poitrine, de s'enfoncer des clous au travers des pieds et des mains . Il y a là les éléments d'une curieuse étude que
a paroi abdo minale, au centre de la fosse iliaque, on sent avec la main un corps oblong, roulant sous les doigts; c'est q
e pâleur extrême et par des mouvements convulsifs. Geneviève prend ma main et la place sur son cœur pour faire constater les
u après lui, criant que elle voulait le tuer, qu'il passerait par ses mains , etc.» 14 décembre. — Les règles ont paru le 9.
ur toute la surface du corps. —Lorsque,maintenant les talons avec les mains , on dit à la malade de fléchir les jambes sur les
la droite. Il en est de même, quand, les jambes étant fléchies et les mains appuyées contre elles, on ordonne à la malade de
le poignet fléchi sur l'a van t-bras, le pouce contre la paume de la main . De plus, G... avait des plaques congestixes de l
e)... « Oh ! il m'a donné un coup de bec! » et elle porte vivement la main au sommet de sa tète. — Elle a peur, pousse des c
e corps est rigide; les bras et les jambes sont dans l'extension, les mains contournées et fléchies sur les poignets (Planche
et avait, appuyé sur ses genoux, un crucifix qu'elle maintenait de la main droite tout en discourant : « Pauvre petite cré
ude presque naturelle ; les yeux sont légèrement dirigés en haut, les mains jointes, reposent sur le lit; c'est Y attitude de
endue ; l'immobilité du corps entier est pour ainsi dire absolue. Les mains jointes reposant sur la partie supérieure de la p
ras droit est dans l'extension, rigide dans toutes ses jointures ; la main et les doigts sont fléchis ; le pouce est appliqu
et les doigts sont fléchis ; le pouce est appliqué sur la paume de la main et re-couvertpar les doigts. Le bras gauche a la
cherche à se protéger contre les corbeaux en cachant sa tète avec ses mains . Elle pousse de petits cris, comme si on la piqua
uris par exemple,grimpe le long de ses jambes. Puis, elle reporte les mains à la tète, reparle des corbeaux : « Ça me pique !
les bras sont placés le long du corps, retournés (en pronation); les mains sont à angle droit sur les avant-bras ; les doigt
avant-bras ; les doigts sont énergiquement fléchis sur la paume de la main , les pouces en dehors. — Les membres inférieurs s
sont contrac-turées, immobiles. Le bras droit est soulevé, rigide; la main et les doigts sont souples. A gauche, la contract
les doigts sont souples. A gauche, la contracture occupe le bras, la main et les doigts qui sont fléchis, le pouce en dehor
, elle la repousse : « Laisse-moi, lui dit-elle, je m'imagine que tes mains sont des corbeaux. » 14 août. — Hier, à midi, G
est fléchi à angle droit sur le bras et correspond à la ceinture, la main et les doigts sont fléchis. Le bras et l'avant-br
: « Ouvre-moi ; on m'appelle. » Elle parle à voix basse, embrasse sa main , se couche sur son lit, se découvre, écarte les j
ardé cette attitude durant dix minutes, elle pleure, s'agenouille les mains jointes.Tout d'un coup, elle se redresse et s'écr
e. Une heure plus tard, elle se réveille, crie : Oh ! là là ! tend la main , l'embrasse, se lève, se découvre, frappe à la po
ps contre le mur qu'elle embrasse, soupire, se recule cl flatte de sa main l'endroit où était collé son ventre. Cette scène
saute, rit, se découvre, fait des gestes cyniques... Puis, ayant une main cachée dans sa camisole, l'autre élevée,elle marc
iques. On parvient à la calmer ; elle se couche, les yeux fermés, les mains jointes et reste tranquille jusqu'à (l) Souvent
au couvent, « elle se mit en chemise, la corde au cou, un cierge à la main , resta dans cet état l'espace de deux heures au m
gestes, la danse bizarre, qu'elle exécutait : portant brusquement ses mains à son visage ou sur sa tète pour se garantir des
près, un de ses ennemis, Duthibaut, leva le bâton qu'il avait dans la main et en frappa Urbain Grandier, quoiqu'il fût revêt
ie par quelqu'une des soeurs, elle fut vue avec un Crucifix dans la main dont elle se préparait.......... » L'auteur du
uche. — Hallucinations de la vue. — Température comparative entre les mains et les aisselles. — Ischémie à gauche. — Attaques
ails, où on ne put la garder, sous prétexte qu' « elle suait trop des mains » ; — puis, chez une passementière, qu'elle quitt
ux ou alimentaires. Soir. — La température est moins élevée dans la main anesthésiée que dans la main saine, ainsi que l
a température est moins élevée dans la main anesthésiée que dans la main saine, ainsi que le montrent les chiffres suivant
main saine, ainsi que le montrent les chiffres suivants : T. de la main droite après 5 m. 34°, 2 — — 10 33°, 9 — gauc
te, indolores à gauche. Après l'application des sangsues : T. de la main droite après 20m. 34°, 4 — gauche — 20 31°, 3 L
iens, trapèzes, etc.) Pendant ces efforts convul-sil's, M... porte la main à la région précordiale. La région épigastrique s
ilatées ; rigidité générale. b) Les bras sont dans l'extension, les mains tordues et tléchies à angle droit sur les avant-b
, crie, menace, brise parfois tous les objets qui lui tombent sous la main . 8 avril. — Attaques. Première période. Souvent
ant-bras est fortement fléchi sur le bras et fixé contre le sein ; la main est fléchie à angle droit sur le poignet et les d
fois, il se produit des crampes dans les doigts et un tremblement des mains , comparable au tremblement alcoolique. — M... man
s cuisses deviennent rouges ou rosés (érythème) ; la pression avec la main rend évidente cette action du nitrite d'amyle sur
ntractions, également passagères, dans la face (grimaces) et dans les mains . M... dit qu'elle avait des fils électriques qui
r elle que portent les modifications. Le bras gauche est fléchi, la main appliquée sur l'épaule ; le bras droit est demi
la main appliquée sur l'épaule ; le bras droit est demi fléchi, la main en avant de la poitrine. M... est attentive, aper
lle s'âsseoitencore, regarde à gauche, fait signe de la tète et de la main droite. Elle assiste à des scènes variées, semble
replace le corps sur le milieu du lit, le soulève un peu et, avec la main droite, exécute les gestes du meâ culpâ, suivis d
droit, se rasseoit, regarde à gauche, semble heureuse, rapproche les mains .) « Oui, ça fait du bien!... Oh! oh! mon petit ch
in ! » — Elle cause seule : Comme çà le soir! sautille, se frotte les mains , chante. « Ernest ne pouvait pas faire autrement
es yeux dirigés en haut et pleins de larmes, la figure extatique, les mains jointes ; puis, elle se balance lentement ; march
, va embrasser une de ses compagnes , reste debout, à côté d'elle, la main droite appuyée sur la poitrine; frotte ses jambes
Ça fait du bien. [Bis)... envoie des baisers, se recouche, appuie la main sur les organes sexuels, tapotte, est heureuse.
sans distinction, cherchant à les attirer vers elle, embrassant leurs mains , leurs habits. Elle comprend qu'elle est impuissa
in à la série d'attaques. 22 nov.— Contractures passagères dans les mains et dans la langue : c'est ce qu'on désigne d'habi
secousses et s'est constituée lentement, débutant, par le pied et la main , et gagnant ultérieurement les autres jointures.
paru en deux heures. b) Les crampes siègent principalement dans les mains et les pieds, surtout à droite ; elles maintienne
dans les attaques d'hystérie, 9, 38,59, 115, 137. — Température des mains et des aisselles du côté sain et du côté anesthés
54 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rence de raison, que l'acte de l'homme qui fait lentement brûler sa main sans manifester de dou- leur ne s'explique que
cactus, mâcher des étoupes enflammées, lécher ou frapper avec la main de gros fers rouges, mâcher et ava- ler des sco
ivants : Ils lèchent la pelle, ils la frappeutavec la paume de la main . Ils la frappent aussi avec un ou deux doigts e
ce de la sueur qui la recouvre. Ils ne frappent avec la paume de la main que lorsque celle-ci est très humide de sueur,
s le cautère par le mauvais bout. Ils saisissent délicatement d'une main l'extrémité froide ou peu chauffée et font les
émité froide ou peu chauffée et font les exercices d'épreuve sur la main du côté opposé. Pour celle-ci même, s'ils ne la
nte ne pénètre profondément. Jamais ils ne placent la paume de la main sur les pointes de la masse. On serait égalemen
u reste très rarement, il se frottait rapidement le visage avec les mains . En revenant à lui, il ne savait rien de ce qui
ient non plus de re- muer. Voulait-il prendre quelque objet avec la main , c'était toujours par un mouvement circulaire q
accadée ; aussi la malade reste-t-elle ordi- nairement assise ; les mains saisissent les objets avec diffi- culté. Si on
e fois on le vit, pendant qu'il surveillait ses ouvriers, porter la main à la tête et prendre ensuite subite- ment sa co
éses- pérés qu'il fit pour se dégager. Il était- encore entre leurs mains quand il revint à lui, mais il ne se souvenait
uvenait de rien de ce qui s'était passé après qu'il avait porté les mains à sa tête; ce geste avait été provoqué, suivant
ans les amputations de l'hu- mérus, les muscles qui agissent sur la main font complètement défaut. Et cependant ici, com
;e connue de douleurs dans le bras droit; gonflement du dos de la main et des doigts. Douleurs surtout la nuit, avec cha
c chaleur et sécré- tion sudoralesur le bras et dans la paume de la main ; ces douleurs durent quelques semaines puis dim
d'une grosse vésicule et consécutivement d'un ulcère du dos de la main droite près de l'articulation du poignet. Usage d
a deuxième phalange du médius, Traces de brûlure sur le dos de la main . Anesthésie complète de la peau au toucher, à l
l'anesthésie n'intéresse pas le bras tout entier, mais seulement la main et l'avant-bras jus- qu'au pli du coude. Elle d
trou- bles sensitifs, des picotements, des fourmillements dans les mains et dans les pieds, puis une sensation de brûlur
tête, et que, vers le commencement de cette année, ses pieds et ses mains quasi-contractés, ne pouvaient plus remplir leu
la jeune fille recouvra sa santé première. L'usage des pieds et des mains qu'elle avait aupara- vant perdu, lui revint en
angeât. L'an suivant, I sq.2, au moment où Ferdinand, roi des Ro- mains , allait entreprendre la guerre contre les Turcs,
parler, plus spécialement, de la paralysie partielle limitée à la main et à une portion de l'avant-bras que nous avons
i, dans l'obser- vation de Chauffard', une chute sur la paume des mains , à la suite de la rupture d'une échasse, donne
le membre supérieur gauche. D'abord limitées à l'avant-bras et à la main , ces douleurs s'étendent en quelques jours jusq
tique, ceux dans lesquels un segment de membre, le plus souvent la main et l'avant-bras, se trouve seul intéressé. To
caractérisée. Dans ces conditions, l'impotence fonctionnelle de la main n'est qu'un épi- sode (souvent tenace et durabl
Parésie du membre supérieur droit, portant exclu- sivement sur la main et sur le poignet. Les muscles de l'épaule, du
vant-bras ont conservé leur force. La malade peut à peine fermer la main et tenir sa cuiller pour manger : le long sup
a sensibilité n'est pas com- parable à l'anesthésie absolue de la main et du poignet. L'odorat et la vue sont diminués à
mouvements choréiformes, et la paralysie sensi- tivo-motrice de la main et du poignet est la consé- quence évidente de
maintenant un cas plus complexe où la mono- plégie partielle de la main et de l'avant-bras se montre à l'occasion d'un
mois après, à la fin de décem- bre, le malade se mord le dos de la main dans une attaque et se fait une ecchy- mose l
tails sur cette dernière paralysie localisée à l'avant-bras et à la main : toutefois, l'en- semble de l'histoire de ce m
se, le malade se mord accidentellement et légèrement le dos de la main . Immédiatement cette main se paralyse. Evi- dem
cidentellement et légèrement le dos de la main. Immédiatement cette main se paralyse. Evi- demment, il faut faire la par
mpara- bles à l'engourdissement momentané qui suit un choc sur la main , et qui disparaît au bout de quelques secondes
hystérie générale, une paralysie partielle sensitivo- motrice de la main et de l'avant-bras gauche. Chez cette malade co
on, elle fut guérie en six mois. Mais, à partir de cette époque, la main gauche a commencé à s'affaiblir et la malade du
frait plus du poignet ; les mouvements étaient con- servés, mais la main était devenue extrêmement faible et lais- sait
membre supérieur, il est très diffi- cile à la malade de porter la main sur la tête. La face n'est point pa- ralysée.
out, sauf à la partie inférieure de l'a- vant-bras gauche et à la main . La parésie s'est atténuée ; le transfert l'a
PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. t89 les 'mouvements des doigts. La main semble lourde à la malade, elle laisse tomber l
ade, elle laisse tomber les objets qu'elle porte. Les muscles de la main ont conservé leurs propriétés élec- triques, ma
ur l'action des inter- osseux. Au dynamomètre, on obtient : pour la main droite, 22 ; pour la main gauche, 15. Sensibi
eux. Au dynamomètre, on obtient : pour la main droite, 22 ; pour la main gauche, 15. Sensibilité. La sensibilité cutanée
les phénomènes les plus intéressants s'observent au poignet et à la main . Celle-ci présente une anesthésie absolue qui r
et, de façon à figurer un véritable gant. Sur toute l'étendue de la main , la malade ne sent pas quand on la pique et ell
en est résulté une douleur assez vive et la nécessité de garder la main en écharpe pendant une dizaine de jours. L'accide
des dou- leurs assez vives qui ne cessaient que par le repos de la main , et qui même ne disparaissaient pas de suite. A
entuait, au point que Mille V... avait de la peine à soulever de la main droite des objets d'un poids peu considérable e
e. Voici ce que je constatai : A première vue, l'avant-bras et la main du côté droit, pa- raissent tout à fait normaux
rence d'un état morbide. Les mouvements voulus du poignet et de la main sont tous possibles. il1110 V... peut redresser
possible u 1VI"° V... de tenir un objet tant soit peu lourd avec sa main droite. Instinctivement elle se sert de sa main
t peu lourd avec sa main droite. Instinctivement elle se sert de sa main gauche pour tous les mouvements qui demandent u
er une carafe, etc. Au dynamomètre, elle donne facile- ment avec la main gauche une pression de 40 kilog., tandis que de
ent avec la main gauche une pression de 40 kilog., tandis que de la main droite elle n'arrive pas à 4 kilogr. Il y a donc
qu'il soit émoussé. En touchant légèrement le dos ou la paume de la main avec le pulpe du doigt, la malade ne s aperçoit
uille ou une épin- gle, même sans les voir, quand on lui place la main dessus ; elle se rend compte également de la pr
galement de la présence d'une feuille de papier interposée entre sa main et la table, etc. Il y a donc, en somme, affai-
ubles sensitifs est très particulière. L'anesthésie occupe toute la main droite, la région du poi- gnet et s'arrête brus
est parfaitement conservée, et les muscles de l'avant-bras et de la main droite répondent à l'excitation électrique auss
douleur due au contact des éponges est très nettement perçue par la main gauche, tandis qu'elle n'est pour ainsi dire pas
main gauche, tandis qu'elle n'est pour ainsi dire pas sentie par la main droite. C'est le résultat de l'analgésie que no
rouble trophique au niveau des régions anesthésiées : la peau de la main n'est pas altérée, on ne constate, ni sueurs lo
pouvait à peine fournir une pression de 4 ou 5 kilogrammes avec sa main droite, alors que de la gauche elle atteignait
ans effort, une pression de 30 kilogrammes au dynamo- mètre avec sa main droite, mais n'atteint pas encore le degré de f
c sa main droite, mais n'atteint pas encore le degré de force de la main gauche. Un nouveau symptôme s'est produit : à l
tion du sens musculaire, car les téguments de l'avant-bras et de la main ne sont pas doués d'une sensibilité anormale. E
Il ne paraît pas douteux que chez Mlle V..., la para- lysie de la main et de l'avant-bras n'ait été la consé- quence d
DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 197 doigts de la main et du poignet), a été ici beaucoup plus longue
roit, qui s'accompagnent de gonflement des téguments du dos de la main et des doigts. Sur tous ces points existent des s
d'octobre. Vers celte époque, la malade constate sur le dos de la main droite une vésicule qui ne tarde pas il se rompre
toutes les excitations et ne sont pas atrophiés. Sur le dos de la main , les téguments sont encore livides, cya- nosés
ques troubles vaso-moteurs et d'une éruption localisée au dos de la main . Néanmoins, M. Adamkiewicz n'admet pas l'hystér
qu'il eut son premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la main de sa mère, fut précipité en avant comme s'il c
de morsure de la langue. Le ronflement est fort, pas d'écume; la main gauche reste contracturée pendant environ vingt
devenait sombre aux approches de l'accès; quelquefois il portait la main au creux de l'estomac et disait : ça va méprend
s sont bien conformées et l'ouïe est le plus fin des cinq sens. Les mains et les membres supérieurs n'oifrent rien de par
emps des cris inarticulés et, à la moindre contrariété, se mord les mains ; elle est affectée de mouvements de balancement
enseurs, au moment où le pianiste fait des accords, immobilisant la main dans la position qu'elle avait pour exécuter ce
, le D Warrington Haward ajoute des signes de refroidissement de la main , avec aspect violacé et conges- tion veineuse.
omènes que nous avons men- tionnés s'observent le plus souvent à la main gauche, qui, du reste, est celle que l'on exerc
u en 1854 frère de l'empereur, mais dans sa généalogie écrite de sa main , il ne fait nullement mention de cette parenté.
le champ visuel est diminué latéralement; engourdissements dans les mains et les pieds; dé- marche incertaine, parole anx
pas complètement, mais la patiente gémit, se prend la tête dans les mains , répond quelques mots aux questions qu'on lui adr
à Krakow et dans d'autres villes encore. L'auteur possède entre les mains , des documents indiquant que les religieux ont
simple détail; mais puisque en définitive vous portez sur elle une main téméraire... (Réclamations à gauche.) Mais oui !
ionnés que moi. Je pourrais vous dire comme Louis XVI : « Mettez la main sur mon coeur, et vous verrez s'il bat plus vit
essant on voit dans le per- sonnel des asiles. Mais quand on met la main sur un infirmier consciencieux, fidèle, on l'es
omes, débute brusquement, la malade tombe sans connaissance : les mains se portent derrière le Uos, et les doigts s'entre
ps un fort aimant. L'appli- cation ou même la simple approche de la main , donne lieu aux mêmes effets. L'attaque de so
yeux se ferment, HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLE. 327 les mains se rapprochent, les doigts s'enchevêtrent, les br
pprochent, les doigts s'enchevêtrent, les bras s'al- longent et les mains se fixent au-devant de l'abdomen (tandis que da
même effet par l'application du pavillon du stéthos- cope ou de la main . Lorsque la main est appliquée sur le front, il
pplication du pavillon du stéthos- cope ou de la main. Lorsque la main est appliquée sur le front, il se produit des m
roit. On peut obtenir les mêmes effets par la simple approche de la main . Pour réveiller la malade, il faut avoir recour
se produit un certain nombre de mouvements de déglutition; puis les mains se séparent, les bras s'élèvent au-dessus de la t
ras s'élèvent au-dessus de la tête, retombent ensuite en croix, les mains s'étendent et se placent alternativement en pro
lèvent au-dessus de la tête, les doigts se plient dans la paume des mains , elle frappe alors les deux mains l'une contre
oigts se plient dans la paume des mains, elle frappe alors les deux mains l'une contre l'autre à plusieurs reprises, puis
francs, de la cacher sous son traversin et de la rendre le lende- main au chef de clinique; elle exécute bien la premièr
es fait parfaitement contracter. L'application de l'aimant et de la main , produisent toujours les mêmes effets, que nous
t produit une anesthésie complète de ce doigt s'étendant à toute la main et même à l'avant-bras, et s'accompagnant de fo
et gauche. Pendant le sommeil on lui donne l'ordre de décroiser les mains et les pieds, et elle l'exécute parfaitement. M
généraux. Le corps tout entier est en contracture généralisée : les mains fortement enlacées et croisées derrière le dos,
La seule dif- férence (insignifiante du reste) c'est qu'elle a les mains croisées sur le ventre, tandis que dans l'attaq
russes, un malade atteint d'atrophie musculaire pro- gressive de la main , et d'anesthésie partielle du sens thermique su
es passagers et des troubles trophiques de la peau (des bulles à la main droite). A l'autopsie on trouva une cavité le l
elle avec paresthé- sies et altérations trophiques de la peau de la main droite, perte des réflexes cutanés et diminutio
ints, en même temps qu'on constatait une atrophie des muscles de la main gauche, des bulles sur les extrémités digitales
ation assise plus intense du côté droit ; neuf mois au- paravant la main droite commença à faiblir et il y a six mois le
malade s'aperçut pour la première fois de la thermanesthésie de la main gauche. Etat actuel. - Le malade est un homme r
ie inférieure de l'abdomen sur un espace grand comme la paume de la main se trouve un eczéma squameux. Sur les doigts, l
uce ne peut atteindre le petit doigt. L'extension des doigts, de la main et de l'avant-bras se fait avec très peu de for
rs de ce dernier sont plus forts. La pronation, la supination de sa main ne sont pas faibles. Le malade serre la main as
ue 24 kilogr. à droite (62 à gauche) et à l'extension passive de la main on n'obtient pas de chiffre plus élevé. L'éléva
démarche est devenue plus normale. . La force s'est accrue dans la main droite. Le clonusdespieds, l'a- nesthésie et l'
puie fortement sur la table l'avant-bras et le rebord cubital de la main , et la tête vient au-devant de la bouchée en ex
ais rarement, il se pique la bouche. De préférence il se sert de la main gauche pour prendre son pain, et les mouvements
re l'autre. La jambe gauche parait rester immobile. 11 repose ses mains sur ses genoux et conserve assez longtemps cette
re, se boutonner, mais lentement. Pour boire, il rapproche les deux mains , les doigts très largement espacés, et avec des
ête un peu tendue en arrière, les bras allongés, mais tenus par les mains appuyées sur le ventre; les cuisses rapprochées
es jambes rejetées de côté. On note des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de la tête et de la jambe
est saisi vigoureusement d'une part entre le pouce et l'index de la main droite (les trois derniers doigts res- tant éca
res- tant écartés) et d'autre part les trois derniers doigts de la main gauche (le pouce et l'index restant écartés). A
s'est avancée en oscillant. Quand D... veut prendre une cuiller, la main droite décrit des oscillations assez grandes, a
malade veut se lever de sa chaise, il garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penche le tronc en avant
la contraction des muscles. Dern... peut toucher avec ses pieds la main de l'observateur sans qu'il y ait erreur de dir
cherche à s'y opposer. Le dynamo- mètre Mathieu fort donne pour la main droite 20 et 18 pour la main gauche, résultat e
mo- mètre Mathieu fort donne pour la main droite 20 et 18 pour la main gauche, résultat en contradiction avec l'examen.
e maternel, excès de boisson. Oncle paternel et deux cousins ger- mains maternels, convulsions. - Un frère, convulsions,
traîner par terre, sur le côté gauche. Il se servait un peu do la main gauche; par exemple, pour gratter là terre, creus
ge seul, mais ne peut se servir que de la cuiller qu'il tient de la main gauche. Montre qu'il désire continuer les douch
. de donner une poignée de main, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses doigts se mettent alors
poignée de main, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses doigts se mettent alors dans l'extension
lors dans l'extension ;et l'abduction; , et il ne peut rejoindre la main tendue qu'en im- primant à la sienne de légères
qu'en im- primant à la sienne de légères oscillations. Au repos, la main étant dans l'extension, l'annulaire et le petit
ontlègèrement fléchis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le bras fortement tendu, ainsi que l'a
e l'avant-bras. Quand on écarte de force le pouce de la paume de la main où il est fléchi, cette paume se tourne vers le
sis dans un fauteuil, avec des mouvements d'athétose, surtout de la main gauche. Il rit facilement, répond par gestes quan
ents très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur les barreaux
ssis, Lem... a les bras allongés sur le devant du tronc et tient sa main droite avec la gauche; la jambe droite est croisé
ATHETOSE DOUBLE. de grands mouvements. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur de la tête et un peu en a
ncé à s'apercevoir, il y a dix-huit ans, de l'affaiblissement de sa main droite, puis bientôt d'une dépression entre les
tacarpiens. Les mêmes alté- rations commencèrent à se produire à la main gauche, il y a sept ou huit ans. Lors de l'entr
de l'entrée du sujet à l'hôpital Sabhatsberg, le 3 janvier 1885, la main droite était en forme de griffe («in Krallenste
nar. Cet état existait éga- lement, quoiqu'à un moindre degré, à la main gauche, qui n'était toutefois pas crochue. Les
re l'empyème à droite, une atrophie assez marquée des muscles de la main droite, qui pré- sentaient de minces faisceaux
le, englobés dans de la graisse ; atrophie moins considérable de la main gau- che. La même atrophie et les mêmes altérat
55 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
emme, d'habitude, le soir quand il se couche, lui lie étroitement les mains à l'aide d'une corde, de façon à atténuer l'inten
ant de l'y laisser tomber. Lorsqu'elle m'a définitivement échappé des mains , j'éprouve une grande émotion. M. Charcot: Eh b
ofit de tous, l'art et la science marcher de concert et se donnant la main . Mais il s'agit d'en revenir à notre homme ; le
avité regardant à droite et inversement dans la moitié supérieure; la main droite, le bras étant pendant, descend beaucoup p
cher le sommeil. «Je vois, dit-ilsouvent,presque toutes les nuits une main qui m'étreint la gorge et qui m'étrangle ; alors
e fais les rêves que je viens de vous dire.» Nous mettons entre les mains du sujet qui ne présente aucune trace de paralysi
tre. L'instrument pressé aussi fort que possible donne 18, 20 de la main droite, bien qu'il s'agisse d'un sujet admirablem
cela est vrai, plusieurs fois; ma mère également a eu les doigts des mains enflés et déformés. M. Charcot.— Voici la part
étendus en masse de façon à faire un angle droit avec la paume de la main ; il y a là vraiment contracture spasmodique, car
l'attention du connaisseur. La pression dynamométrique donne pour la main gauche parésiée il kilos, tandis qu'elle donne 60
ément tout à fait : ainsi, il peut porter un verre à sa bouche, de la main droite surtout, sans répandre le contenu. Toutefo
eurs, visibles surtout lorsque ceux-ci sont maintenus soulevés par la main de l'observateur et qui rappellent la description
sont de brusques mouvements cloniques qui, le sujet étant assis, les mains reposant sur le genou, élèvent tout à coup les me
intenses pour faire « qu'elle laisse tomber ce qu'elle tient dans les mains ». Les secousses surviennent pour ainsi dire par
eptembre 1888, il a commencé à s'apercevoir un matin au réveil que sa main gauche était le siège de fourmillements et que le
upérieur gauche, se terminant en «. gigot » du côté du tronc ; sur la main , il y a seulement analgésie ; analgésie de toute
rler paralysie mais seulement parésie. Le dynamomètre pressé par la main gauche donne 25, tandis que pour la main droite i
Le dynamomètre pressé par la main gauche donne 25, tandis que pour la main droite il donne 80. — Aucune participation à la p
n ce qui concerne la sensibilité profonde; ainsi partout excepté à la main où le malade conserve quelques notions des mouvem
t tel qu'il l'était, autrefois devrait donner par exemple 80° de la main droite, il ne donne lui que 28°, 30° au plus. Il
et la dernière expérience dynamométrique a donné seulement 14 pour la main droite et 50 pour la main gauche. Rien n'est plus
dynamométrique a donné seulement 14 pour la main droite et 50 pour la main gauche. Rien n'est plus tenace quelquefois, vous
ment, le membre supérieur droit : l'épaule, le coude d'abord, puis la main , s'est seul dégagé. Rien de semblable ne s'est
dos, dans les pieds et les jambes d'abord, puis dans les bras et les mains , et un peu partout, M. Charcot : Voyons, ne mêl
urs des membres inférieurs ont plus tard envahi les avant-bras et les mains ? La malade : Oui, monsieur, mais cela s'est fa
: Pouvez-vous nous dire précisément, où les douleurs siègent dans les mains ; d'abord, existent-elles dans les deux mains? L
ouleurs siègent dans les mains; d'abord, existent-elles dans les deux mains ? La malade : Oui, dans les deux mains, mais jam
existent-elles dans les deux mains? La malade : Oui, dans les deux mains , mais jamais dans les deux à la fois. M. Charco
s deux à la fois. M. Charcot: Et comment sont les douleurs dans les mains ? sont-elles aussi fortes que dans les jambes ? mo
s habituellement un engourdissement dans les deux derniers doigts des mains ? La malade: Oui, monsieur, mais non constamment
le domaine cubital, occupant le plus souvent symétriquement les deux mains , mais pouvant, pendant longtemps, se montrer d'un
pouvant, pendant longtemps, se montrer d'un seul côté, sur une seule main . Gela peut constituer, en somme, un incident morb
instant inconsciente (1). Vers la même époque, elle a éprouvé dans la main gauche un tremblement qui se manifestait lorsqu'e
enne du gros orteil du côté droit ; les genoux, les articulations des mains , des poignets, des coudes sont devenus plus tard
tic. Ce tremblement occupe, non seulement les membres supérieurs, les mains en particulier, mais aussi les membres inférieurs
si qu'on peut s'en assurer lorsque le sujet étant debout, on place la main sur une de ses épaules ou sur le sommet de sa têt
ès, on reconnaît ce qui suit : le tremblement en question, étudié aux mains , avec le secours de la méthode graphique,paraît c
ment de la maladie de Basedow : c'est bien entendu du tremblement des mains qu'il s'agit. Les deux ordres de tracés ne diffèr
formes frustes à l'aide des caractères qui sont maintenant entre nos mains . En réalité, l'histoire clinique de la maladie de
à coup, un jour du commencement de septembre, étant à son bureau, ses mains se sont mises à trembler si fortement qu'il lui e
u'il suffira de rappeler, il existe un tremblement surtout marqué aux mains , où l'on compte à l'aide de l'appareil enregistre
nts témoins descènes violentes; une tante paternelle a les doigts des mains déformés par le rhumatisme articulaire chronique;
mé Mes... mann qui, il y a sept ou huit ans, s'est mis à trembler des mains en même temps qu'il ressentait des palpitations d
nique, alors même qu'ils ont conservé les mouvements des doigts de la main droite, sont, dans l'immense majorité des cas, pl
le père nous l'a amené, et d'après notre conseil l'a remis entre nos mains . Les accès à l'hôpital se sont répétés pendant qu
er venu : c'est ce qu'on appelle un « tâcheron ». Il travaille de ses mains sans doute mais il prend à sa charge des travaux
Il y a un affaiblissement remarquable de la force dynamométrique : la main droite donne 45 seulement et la main gauche 55 ;
de la force dynamométrique : la main droite donne 45 seulement et la main gauche 55 ; le malade, cependant, n'est pas gauch
porte replié sur son épaulegauche et il doit le lancer à l'eau de la main droite en le déployant en éventail. Or, au moment
elle était restée fort incomplète; la pression dynamométrique cle la main gauche donne en effet 21. Le malade se plaint plu
he toujours vers 8 heures du soir et se lève très tard. Tandis que la main gauche paralysée donne au dynamomètre 21 la droit
un certain degré de faiblesse dans le membre supérieur gauche ; la main de ce côté ne pouvait plus tenir les outils ; en
embre ; un jour, il s'est aperçu qu'il était insensible, en voyant sa main couverte du sang d'une blessure qu'il s'était fai
participation de la face, le membre supérieur gauche pend inerte ; la main de ce côté donne à peine 3 ou 4 kilog. au dynamom
-dessus du pli de l'aine, l'extrémité des quatre doigts étendus de sa main droite qu'il dirige vers le petit bassin, en exer
ises. M. Charcot qui n'a pas cessé pendant ce temps de maintenir la main sur la région ovarienne gauche, s'adressant à l'a
. (A la malade) Avez-vous quelquefois de semblables douleurs dans les mains , dans les bras ? La malade. — Oui monsieur, for
Elle désigne, en disant cela, les deux derniers doigts de chacune des mains .) M. Gharcot. — Vous voyez qu'il s'agit du doma
gnements que je puise dans l'observation détaillée que j'ai entre les mains viennent d'ailleurs déposer encore en faveur de l
ntier ; ovarie gauche ; pas d'autres points hystérogènes. Dynamomètre main droite : 28 ; main gauche : 12 ; Voilà donc un
he ; pas d'autres points hystérogènes. Dynamomètre main droite : 28 ; main gauche : 12 ; Voilà donc un nouvel exemple de l
s diminué surtout à gauche. Au repos léger tremblement vibratoire des mains , lequel disparait si on fait étendre la main et é
mblement vibratoire des mains, lequel disparait si on fait étendre la main et écarter les doigts. 1, Paul Richer. De l'att
urs sont faibles et facilement fatigués. Le dynanomètre donne pour la main droite 18 et pour la gauche 25. Pas de troubles g
écouragé, moins prostré. Le dynamomètre donne actuellement 45 pour la main droite et 65 pour là main gauche ; mais les stigm
e dynamomètre donne actuellement 45 pour la main droite et 65 pour là main gauche ; mais les stigmates persistent tels quels
employé de commerce et d'entrepreneur. Jamais il n'a travaillé de ses mains et jamais il n'a eu de véritables chagrins. C'e
l'extension, sont fléchis en masse, à angle droit vers la paume de la main et en même temps fortement déviés vers le bord cu
llez prendre note, Messieurs, de cette déformation particulière de la main et des doigts que je vous ai fait remarquer déjà
re contracture est dans toute son étendue, épaules, bras, avant-bras, main frappée 1. 13« Leçon du mardi, 1887, 1888, 1889
groupes de mouvements spécifiés, systématisés, différenciés, de la main . Le malaJe ex.^cule parfaitement à l'aide de ces
et des mots. Le sujet qui d'ailleurs a conservé dans les doigts de la main l'exécution normale de tous les mouvements vulgai
qu'on a tracé quelques mots, il survient dans certains muscles de la main des crampes pénibles, qui font qu'on est obligé d
question tout à l'heure ; certaines anesthésies absolues occupant les mains et les pieds dont M. leDr Brissaud a fait une int
échelle se présenta un homme, au visage ensanglanté, portant dans ses mains un pavé énorme qu'il lui laissa lomber sur la têt
sant de remarquer même, dès à présent, qu'aux membres supérieurs, aux mains surtout où elle était assez accentuée lors de l'a
membres supérieurs, en ce qui concerne les mouvements du poignet. La main est tombante, beaucoup moins à proportion que l
ie affectant d'une façon prédominante les extenseurs des pieds et des mains symétriquement; la réaction de dégénération très
rès gué-rison de la paralysie, l'intervention chirurgicale, entre les mains de M. ïer-rillon, a été nécessaire pour produire
s particulièrement sur la partie inférieure des avant-bras et sur les mains où ils atteignent leur maximum (voir les fig. 74
chambre,courir une grosse araignée noire; elle se mit, une bougie àla main , à la poursuite de cet animal imaginaire qu'elle
rieur surtout : les objets qu'il portait lui tombaient, dit-il, de la main droite, « lorsqu'il ne les regardait pas ». Cette
main droite, « lorsqu'il ne les regardait pas ». Cette parésie de la main droite, avec perte du sens musculaire, nous allon
é (côté Fig. 76. Fig. 77. droit). Le dynamomètre donne 20 pour la main droite, 5o pour la main gauche. N'allez pas cro
77. droit). Le dynamomètre donne 20 pour la main droite, 5o pour la main gauche. N'allez pas croire quecette insensibili
malade revient à lui assez rapidement et se relève en se frottant les mains et en se grattant la poitrine, comme si la peau d
appé d'une hémiplégie gauche incomplète avec légère contracture de la main , tandis que le membre inférieur gauche, flasque,
ant bien que mal, et, plus tard, il a pu travailler habilement de ses mains , dans une profession dont l'exercice est, parait-
a peau des jambes et des pieds, en même temps que l'application de la main sur ces parties vous y fait percevoir une sensati
lle marchait elle allait souvent plus vite qu'elle ne le voulait; ses mains tremblaient. Ces quelques traits suffisent pour n
bras sont agités de tremblements fibrillaires presque incessants. La main parait généralement amaigrie quand on la compare
'avant-bras est beaucoup moins atrophié que celui de l'autre côté. La main paraît à peu près normale. Telles sont les prin
ophie dans les muscles des épaules et des bras, les avant-bras et les mains étant relativement préservés, de manière à figure
bras sont parfaitement conservés; il en est de même des muscles de la main et de l'avant-bras ; l'examen le plus attentif ne
hine. Le médecin a l'imprudence de lui laisser une seringue entre les mains et il contracte l'habitude de s'administrer plusi
e et s'apaise après la prise du médicament. II est surtout accusé aux mains . Nous avons étudié graphi- Fig. 92. — «. Tracé
placer le malade sur le tabouret électrique et on a tiré d'une de ses mains à l'aide de la pomme, une forte étincelle. Il ass
ervice, il eut la présence d'esprit de se tenir aux cordages avec une main et d'éteindre avec l'autre la flamme qui consumai
l'un d'eux se baisser comme pour ramasser quelque chose avec ses deux mains , se redresser, élever les bras, puis se baisser d
portables. Le septième jour, elle commença à mouvoir le bras droit,la main et les doigts, et la sensibilité se manifesta en
main et les doigts, et la sensibilité se manifesta en même temps à la^ main droite et au pied gauche. Le neuvième jour,le bra
pouillé de son épiderme dans une petite étendue, et qu'elle tenait la main 1. Cosmos, t. XIX, p. 31, 1861, .'.ans Scsticr,
érale. Tandis que l'exploration dynamométrique donne 24 kilos pour la main droite, elle ne donne que 15 pour la main gauche.
ique donne 24 kilos pour la main droite, elle ne donne que 15 pour la main gauche. Vous le voyez, en somme, dans tout ce q
par la foudre et resta sans connaissance. Lorsqu'il revint à lui, sa main droite était insensible, presque incapable de mou
Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. vement et de la sensibilité dans la main . Le malade est sorti de la clinique, guéri, quatr
ter les doigts et de fermer le poing complètement. L'anesthésie de la main est complète : « on peut lui planter une aiguille
de la main est complète : « on peut lui planter une aiguille dans la main , lui appliquer les courants induits les plus éner
ectrique, y placer de la glace ou de l'eau chaude, lui appuyer sur la main de tout le poids du corps avec le talon de la bot
Les limites de cette anesthésie sont très spéciales. Elle comprend la main entière et cesse un peu au-dessus du pli du poign
urants continus étantrestéssans effet, on appliqua au voisinage de la main un gros aimant; au bout de trois quarts d'heure d
'heure de cette application, il se produisit un fourmillement dans la main et bientôt après la sensibilité y reparut. Après
malade en question a éprouvé des crises convulsives, débutant par la main droite et suivies de perte de connaissance (attaq
ondeur de 1 m. 50. Il ressentit en ce moment-là, une secousse dans la main droite, éprouva une sorte d'éblouissement et rest
ort de la jambe gauche que de la droite. Le dynamomètre donne pour la main droite 27 kilos et 19 pour la gauche. Il n'y a pl
t de la volonté peut momentanément arrêter les mouvements, ceux de la main , par exemple, prendre une plume et écrire. Ch...,
, à peine même peut-elle tenir un instant la plume qu'elle a prise en main . Vous avez pu remarquer que pendant toute la du
me côté ; un instant après, on la voit saisir un pli de sa robe de la main droite, au niveau de cette même région de l'abdom
s. La malade ne pouvait pas souffrir qu'on lui portât inopinément une main sur l'épaule, sans tressauter. Une accalmie s'e
inférieurs, par des mouvements qu'il imprime à son siège à l'aide des mains . Telle est, messieurs, l'astasie-abasie paralyt
d était dirigé très sûrement vers le point que l'on désignait avec la main ; l'enfant se faisait un jeu de cet exercice. Les
èrement, on cherche à lui faire obstacle en appliquant légèrement une main sur le devant de sa poitrine. Il s'agit donc là e
rtie de la moitié gauche du corps. La tête seule , et les extrémités, main et pied, sont exceptés. Les frictions, même légèr
eux dans les membres du côté gauche. Le dynamomètre donne 26° pour la main droite et 25 pour la main gauche. Vous avez cer
té gauche. Le dynamomètre donne 26° pour la main droite et 25 pour la main gauche. Vous avez certainement compris, messieu
obligeait lorsqu'il montait un escalier à s'appuyer sur le mur, de la main gauche. En marchant,il y avait une légère boiteri
trois pas,il appuie fortement sur le sol une canne qu'il tient de la main gauche, et à l'aide de cette manœuvre il semble s
plus ou moins considérablement atrophiées ; les déformations de la « main de singe » sont déjà peut-être nettement accusées
erfs: elle se fait par segments de membres; ainsi elle occupe soit la main seule, soiten outre une partie de l'avant-bras ou
éruptions huileuses siégeant principalement sur certaines parties des mains et des avant-bras, laissant après elles des ulcér
. Roth (1). Ils paraissent occuper le plus souvent le dos d'une des mains qui alors est complètement atteinte d'analgésie e
boutir sans douleur, à la perte d'un ou de plusieurs des doigts de la main ; enfin certaines tournioles, suivies parfois de
884, il commença à éprouver de la faiblesse dans les mouvements de la main droite où,peu après,se manifesta l'amaigrissement
ent le membre supérieur droit tout entier, puis, en commençant par la main , le membre supérieur gauche Fig. 105. — La main
n commençant par la main, le membre supérieur gauche Fig. 105. — La main droite de Bar......my. Etat actuel. où actuelle
des secousses fibrillaires qui se voient à droite comme à gauche, aux mains , sur les avant-bras, les bras, les épaules et que
électrique a donné les résultats suivants (2) : sur quelques mus 1. Main droite : pression dynamométrique 15 k. Main gauch
) : sur quelques mus 1. Main droite : pression dynamométrique 15 k. Main gauche : — — — 30 k. 2. Note sur les résultats
tions galvaniques ; 68 cles : eminences thenar ethypothénar de la main droite ; muscle grand-fessier du côté droit, les
ement, en avant comme en arrière, depuis l'extrémité des doigts de la main , jusqu'aux attaches des épaules, l'application de
il y a 10 ans par des symptômes amyotrophiques d'abord localisés aux mains . pepùis5 ans, l'état reste absolument stationnair
endants le long du corps: les épaules, les bras, les avant-bras et la main considérablement amaigris présentent à peu près p
isent dans ce membre sont un certain degré d'extension en masse de la main , les mouvements particuliers des doigts étant imp
les muscles innervés par le radial restant relativement indemnes, la main offre l'attitude d'extension forcée, familière au
y a également ici pronation forcée de l'avant-bras ; l'attitude de la main est analogue à ce que l'on voit du côté gauche, m
paraplégie cervicale » avec amyotrophie. L'attitude particulière des mains avait pu faire songer un instant à l'existence d'
sie (pincement et piqûre) est complète en avant comme en arrière, aux mains , aux avant-bras, sur toute l'étendue du tiers inf
d. brûlure que lorsqu'elle est chauffée à 50° et au-dessus. Sur les mains , les avant-bras, et le tiers inférieur des bras,p
uis 1884, il s'est produit à plusieurs reprises soit aux doigts de la main , soit aux orteils, des panaris superficiels ou de
son attention. Au bout de six mois, elle commença à remarquer que ses mains s'affaiblissaient et maigrissaient ; les secousse
de surmonter. Vous allez du reste en juger. Vous voyez comment à la main droite les mouvements chez notre homme sont, au p
la tuméfaction singulière que présentent toutes les parties de cette main surtout sur la région dorsale; elle est due à un
pérature y est moins élevée que sur les parties correspondantes de la main gauche (fig. 124). Sur les parties ainsi paralysé
ubles de la sensibilité sont uniformément répandus sur les doigts, la main , le poignet et le cinquième inférieur de l'avant-
ont bien mis en relief, et en même temps l'œdème violacé du dos de la main qui,d'après les remarques de MM. Remak et Rotb, f
s le savez, par excellence, une maladie lentement Fig. 124. — A. la main droite de P... eyn, anesthésiée, tuméfiée, bleuât
A. la main droite de P... eyn, anesthésiée, tuméfiée, bleuâtre. B. la main gauche, saine. progressive, susceptible, sans d
première a commencé il y a, trois ans par une paralysie de cette même main droite, dont il est de nouveau question aujourd'h
ges. Cette fois la sensibilité des parties paralysées du mouvement, main et poignet, était absente dans tous les modes, ta
tement les mêmes parties. Donc,en se réveillant,le malade a trouvé sa main droite de nouveau paralysée, comme lors de la pre
ette de l'ouïe dans l'oreille droite. La tuméfaction cyanosée de la main disparaît, puis réapparaît de temps à autre rapid
au contraire paraissent notablement obnubilées dans les doigts de la main . Il est remarquable que les troubles, ci-dessus
ndant le trajet il remarqua en délivrant un reçu à un voyageur que sa main droite tremblait ; ce tremblement fut assez prono
d. Mais, à Bordeaux, il fut obligé de s'arrêter. Le tremblement de la main droite s'était accentué, de même que la céphalée
la condition que ces mouvements ne nécessitent pas d'effort. , .. ( main droite = 11 kilogrammes. Au dynamomètre........j
ain droite = 11 kilogrammes. Au dynamomètre........j gauche_36 _ La main droite est animée d'un tremblement continu assez
ez rapide, qui s'atténue légèrement quand le malade laisse reposer sa main sur ses genoux, et qui s'accroît un peu quand il
rt une intensité telle que le malade est incapable de se servir de sa main droite pour manger ou bien pour boutonner sa vest
myotrophie des membres supérieurs qui présentaient la griffe radiale ( mains de prédicateur) ; plus tard encore est apparue un
ophie avec réaction de dégénérescence, surtout dans les muscles de la main , sans espoir de guérison ; c'est pourquoi il para
chirurgicale a été nécessaire, et a réussi une fois de plus entre les mains de M.Ter-rillon. L'opération, dans ce cas, a dû
l ne recouvra que quelques très légers mouvements des doigts et de la main . Quanta la face, au dire du malade, elle n'a pa
Quelques légers mouvements de flexion des doigts et d'extension de la main , voilà tout ce que le malade peut faire. Le membr
nce. L'exploration dynamométrique donne les résultats que voici : Main droite = 38 k. — gauche = 3 k. Membre inférieur
rter l'index gauche à son nez; de même il tâtonne pour saisir avec sa main droite son poignet gauche, etc. Le testicule ga
e degré. L'exploration dynamométrique donne les résultats suivants: Main droite = 50 k. — gauche = 15 k. on prescrit au
ce musculaire s'était de nouveau accrue dans les membres paralysés. Main droite = 50 k. — gauche = 25 k. Le 12 août, l
plètement guéri ; il affirme qu'il a entièrement repris ses forces. Main droite =51 k. — gauche = 35 k. La sensibilité
Coupe de la moelle normale ....... 493 Fig. 1 OS. — Syringomyélie. Main en griffe........... 503 Fig. 106, 107 -- Sensi
56 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
; l'oedéme'fort considérable en permet la facile exploration. Les mains sont très grandes, régulières : elles ne semblent
si ce n'est en un point. En effet les 2e et 3° mé- tacarpiens de la main droite sont très volumineux et la main est déform
e et 3° mé- tacarpiens de la main droite sont très volumineux et la main est déformée il leur niveau. A part cela, la
ienne = 17 cent. Poids 900 gr. Membre supérieur droit. Les os de la main droite contrairement il ce que l'on observe ord
icules. Elle respecte au contraire d'une manière absolue les os des mains et des pieds, les os de la face, sauf parfois l
r pour le diagnostic différentiel. De même, pour ce qui regarde les mains et les pieds. Dans notre obser- vation les 2e e
les pieds. Dans notre obser- vation les 2e et 3e métacarpiens de la main droite sont très volumineux et les parties moll
e il droite. Les radius sont plus développés que les cubitus. Les mains ne sont pas indemnes. Le carpe du côté gauche est
ents avec le faciès de la leontirtsis ossea de Virchow. De plus les mains sont loin d'avoir été respectées par l'ostéite. C
trailles toutes crues des victimes, serrant des serpents dans leurs mains , les entrelaçant dans leur cheveux, ou se roula
lés et habits en désordre, crient, chantent, battent des pieds, des mains , sautent comme des maniaques, ce qui ressemble pl
ers de laquelle se dessinent ses formes élégantes. Elle tient de la main gauche un chevreau dont on ne voit que la moitié
coude sur un arbre (chêne ou platane) symbolisant une forêt. De la main gauche, il tient un thyrse. Un manteau, dont un
ontrôler, sur une photographie toute récente que j'ai eue entre les mains , l'exactitude du dessin de Welcker, et, jusqu'à p
upe du musée de )lmiicli (n° 332) une ménade tenant un thyrse d'une main et une panthère ( ? ) de l'autre. Repr. dans Abha
légèrement fléchis, et les pieds convulsés, la pointe en dedans. La main droite est manifestement crispée. Sur le dessin
est manifestement crispée. Sur le dessin reproduit par Welcker, la main droite semble tombante, inerte et molle. Elle m
es caractères somatiques tels que les contractures du pied el de la main . L'artiste ancien, s'il ne les a pas indiqués a
feuillage. Une longue mèche de cheveux tombe sur son épaule. De la main gauche il tient les re- nes ; de la droite, un
tesse ainsi qu'un satyre complètement nu, qui tient un thyrse de la main droite. Un autre satyre obèse le suit, tenant u
roite. Un autre satyre obèse le suit, tenant une torche dans chaque main , vêtu d'une clamyde, et chaussé. A la partie su
cchante danse suivant le mode ordinaire, te- nant un tympanon iL la main . De l'autre côté, se trouve le groupe des deux
t ornés de colliers, elles bras, nus également, de bracelets. De la main droite, elle tient un tympanon, et de la gauche,
SÉDÉES DES DIEUX DANS L'ART ANTIQUE 59 Mais, il y a plus encore. La main gauche qui tenait le thyrse, ne l'a pas laissé
tement en contracture : les doigts sont crispés sur la paume, et la main entière est en flexion forcée sur l'avant- bras
possédées des dieux dans L'ART antique 61 Elles tiennent dans leurs mains les accessoires accoutumés des pompes dionysiaq
ntes dont un genou repose sur un autel, et qui soulèvent dans leurs mains des sta- tuettes de divinités (4). Il n'y a p
natomie artistique, Description des formes extérieures du corps hu- main . Pion. Nourrit et Cie, Paris 1890. Yoy. Iconogr.
x et lorsque les bras tombaient naturellement le long du corps, les mains au lieu de toucher la face externe des cuisses
t de leur taille. Sur un même sujet, elle s'exagère, s'il porte les mains en avant et plus encore si les mains sont chargée
elle s'exagère, s'il porte les mains en avant et plus encore si les mains sont chargées de poids. Une ligne tracée du cen
en arrière pour faire équilibre. L'homme qui porte un fardeau à la main se renverse de côté pour le même motif. De plus
téressant à relever cependant est la distance qui sépare du sol les mains tombant naturellement le long du corps. En se rep
jambes, soit en fléchissant un genou et en s'y accro- chant par les mains . Je ne parle pas des cas dans lesquels la chute
s membres supé- rieurs (surtout les avant-bras et les muscles de la main ). Réaction de dégénéres- cence dans un grand no
t. z L'atrophie musculaire envahit rapidement les avant-bras et les mains , si bien qu'à sa sortie de l'hôpital le malade
ns les membres supérieurs. Elles sont devenues très aiguës dans les mains surtout. Elles redoublaient tous les soirs de 4
dansjeur entier, avec prédominance dans les avant-bras et dans les mains ;,une rigidité dn¡ C01,1 avec flexion légère de
res (PI. XVI). Membres supérieurs ? L'atropine est très marquée aux mains . Les es- paces interosseux sont déformés, les é
paces interosseux sont déformés, les éminences aplatie.s. Les deux mains sont en griffe, tous les doigts étant en demi-f
e éprouve à ce moment dans la partie antérieure de l'avant-bras. La main est dans UN CAS DE PACHYMÉNINGITE CERVICALE SYP
normaux. Troubles trophiques très prononcés du côté de la peau des mains et des doigts. La peau est lisse, luisante, sem
t tranquille. Elles siègent surtout dans les avant-bras et dans les mains ; elles n'ont pas le caractère fulgurant : mais
, mais il existe une hyperesthésie très vive dans les doigts et les mains , sur- tout à la face palmaire. Les espaces in
eau du mollet. Ce membre lui paraît plus froid que l'au- tre ; à la main , la température de la peau semble être la même de
portion d'os que nature avait séparée de grandeur de la palme de la main et plus... et pour ceste cause l'eis faire audi
sins inédits relatifs aux myopathies. Le lecteur aura ainsi sous la main des documents écrits ou figurés faciles à consult
dut appuyer ses poignets sur ses genoux ; elle ne pouvait tenir ses mains en l'air au devant de la poitrine. La main gau-
elle ne pouvait tenir ses mains en l'air au devant de la poitrine. La main gau- che dès ce moment devint plus faible que l
poitrine. La main gau- che dès ce moment devint plus faible que la main droite. Depuis, elle est restée près de dix ans
e apparente ; il s'ensuit que la flexion et surtout l'extension de la main sont peu puissantes. La pronation et la supin
le, quoique faible, des deux côtés. Les éminences de la paume de la main ne sont pas en apparence atteintes. L'éminence
ever que si elle a un point d'appui devant elle. Alors elle met les mains sur ses cuisses, puis penchant fortement le haut
s et la malade n'en accuse pas la sensation. Pas de tremblement des mains . Mais les jambes naeollelit par- fois pendant l
X cr TA B 1 L r T ÉLECTRIQUE DES NERFS ET DES MUSCLES 161 bras. Aux mains la diminution de l'excitabilité électrique est pe
00 ; C. bonnes à 90. Cubital antérieur : Comme le précédent. A la main tous les muscles présentent un volume sensiblemen
le cubital antérieur; à 100 C. assez bonnes dans tous les m. de la main innervés par ce nerf et dans le cubital antérieur
L'atrophie porte surtout sur le long supinateur et les radiaux. Les mains ne semblent pas intéressées. Les réflexes olécr
e muscle, sa contractilité volontaire est notablement affaiblie; la main peut être portée dans la prolongation de l'axe
5 ; Rond pronateur : C. m. vers 65 léger déplacement à 60m' ; Aux mains les muscles conservent aussi un développement nor
ation debout, il commence par prendre appui sur ses genoux avec les mains , puis il incline le tronc en avant en se soulevan
soulevant légèrement (Fig. 51). Dans un second temps, il descend sa main gauche au-dessous du genou correspondant, étend
enou correspondant, étend le membre supérieur droit, grimpe avec la main gauche le long de la cuisse pour placer son poing
troisième temps, il redresse le tronc et la tête et vient placer sa main droite sur la fesse du même côté. (Fig, 52) (2).
t ainsi à fléchir le tronc. Arrivé alors à s'asseoir, il appuie ses mains sur le parquet, fléchit les memhres inférieurs
flement du cou dans la région thy- roïdienne. (Fig. 53). Les deux mains et les deux pieds sont très congestionnés. Ii, id
istance plus forte dans l'extension passive que dans la flexion. La main tombe sur l'avant- bras et s'incline vers le bo
carter les hras de son corps, et ne peut que faiblement étendre les mains . Le long supinateur est atrophié autant que les a
. Nulle part on n'observe d'hyperlrophie. Enfin, il existé dans les mains et les pieds un mouvement continuel qui ressemb
ons. En outre de la déformation de la face, il faut noter celle des mains et des pieds ainsi que l'ensellure dorsale. La
s mains et des pieds ainsi que l'ensellure dorsale. La position des mains et des pieds est due à l'action non contrebalancé
homme lève en l'air ses deux bras très amaigris et terminés parties mains difformes. Il est vraisemblable, comme l'ont avan
ur la même fresque, un homme étend son bras à l'extrémité duquel la main tombe comme dans la paralysie radiale; mais on n'
. L'émaciation des membres supérieurs est extrême. L'attitude de la main en griffe est caractéristique. Les mêmes caract
immédiatement après, loti[ le membre supérieur gauche, y compris la main , s'infiltra d'un oedème considérable. Admet-
sibilité du tégument. Vous voyez, en tous cas, que la paume de la main peut reposer de trois façons différentes sur le
gurantes dans les membres supérieurs droit et gauche (au niveau des mains et des coudes, jamais dans les épaules). Elle c
sert encore passablement de ses membres supérieurs, du moins de ses mains et de ses avant-bras. Kilo ne peut pourtant pas é
i, n'a éprouvé aucune douleur dans la nuit et a travaillé le lende- main et les jours suivants. Elle a consulté le médecin
a région thoracique. De temps il autre fourmillements dans les deux mains et sur tout dans le petit doigt et dans la régi
e majorité des faits, les trou- bles trophiques cutanés du côté des mains comme dans les observations d'Hoffmann (XI, X.
survint avec des frissons une tuméfaction rouge, doulou- reuse à la main gauche. La suppuration donnait lieu à une ouvertu
la mort arriva par septicémie. Ce malade avait de l'atrophie des 2 mains , mais il n'est pas dit qu'il ait eu des ulcérat
des 2 mains, mais il n'est pas dit qu'il ait eu des ulcérations aux mains . Chez le malade de Karg (J. B. 43 ans) il y eut
st facile de prou- ver que l'absence d'un ou plusieurs doigts de la main est la conséquence d'une mutilation intra-utéri
. cozgézil. Th. Paris, 7 décembre 1893. UN CAS bE l31bACTYLIE nr LA MAIN DROITE E 243 adultes, de savoir s'il y a eu arr
s parfaitement conformés. Ses parents ne lui ont jamais parlé de sa main , mais les gens du pays lui ont donné ultérieure
dimensions sensiblement infé- rieures à celles du membre opposé. La main semble, à première vue, avoir subi une amputati
ni il la face. Enfin elle utilise merveilleusement sou rudiment de main : c'est ainsi qu'elle a pu longtemps travailler
aussi bien et même mieux que cer- taines personnes ayant leurs deux mains complètes », elle coud en maintenant la pièce d
mains complètes », elle coud en maintenant la pièce d'étoffe de la main droite et en tirant l'aiguille de la gauche. Elle
tirant l'aiguille de la gauche. Elle peut également écrire avec sa main gaucho. -f ? En somme, tout se borne à une anom
c sa main gaucho. -f ? En somme, tout se borne à une anomalie de la main droite. Sans doute, le membre supérieur droit e
ccuse surfont au niveau du tiers inférieur de l'avant-bras et de la main . En ce point, elle forme un con- traste frappan
de la main. En ce point, elle forme un con- traste frappant avec la main du côté sain. Du reste, les divers segments de
font défaut, le pouce et le petit doigt sont très atrophiés. Cette main dans son ensemble rappelle une pince de homard.
autre anomalie chez notre malade et aussi l'aspect si spécial de sa main . On pourrait, il est vrai, faire valoir, en fav
accorder quelque crédit au récit de la malade et à cette histoire de main sanglante à la naissance, racontée par des vois
épaules. A gauche, le Christ drapé dans un long manteau, étend ses mains au- dessus de la tète du jeune homme. Plusieurs
que l'on se rapproche de la racine des mem- bres. L'attitude de la main est en « dos de fourchette ». Les 3 derniers doig
3 derniers doigts sont en dcmi-llcxion. La flexion volontaire de la main est nulle ; seuls quelques petits mouvements de
ossibles ; l'extension est limitée ; les mou- vements passifs de la main et des doigts sont limités. A l'avant-bras, la fl
UN CAS DU S y R 1 N G 0 l Y ÉLI ATYPIQUE 267 10 kilogrammes avec la main gauche; les mouvements contrariés démontrent un
5°, com- plètement abolie sur la l'ace palmaire des doigts et de la main ; sur le dos de la main, sensibilité retardée à
e sur la l'ace palmaire des doigts et de la main ; sur le dos de la main , sensibilité retardée à 80° ; non perçue à 50°.
lace). Complètement abolie sur la face palmaire des doigts et de la main ; il sent une fraîcheur sur le dos de la main ; c
e des doigts et de la main ; il sent une fraîcheur sur le dos de la main ; complètement abolie il l'avant-bras. Au bras,
ition de ses doigts, mais re- connaît bien la position donnée il la main , il l'avant-bras et au bras. La sensibilité des
XXXV & XXXVI SYRINGOMYÉLIE Arthropathies et déformations des mains . L BATTAILLE ET C" UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AT
t toujours souillé sur la moitié gauche. La peau de la paume de. la main droite est épaissie, lisse, couverte de fines s
issie, lisse, couverte de fines squammes blanchâtres : le dos de la main est violacé. ! Les doigts de la main droite et
mes blanchâtres : le dos de la main est violacé. ! Les doigts de la main droite et le pouce gauche sont le siège de cicatr
he gauche. Altérations de nombreuses petites articulations des deux mains ; relâchement de l'articulation de la Il et 2°{ph
a sensibilité tactile et esthési- que est améliorée au niveau de la main et de l'avant-bras ; J'anesthésie termi- que et
s métatarsiens et amener le raccourcissement et l'amincissement des mains et des pieds. En somme il n'y a rien ia de sembla
du tabes dorsalis. Il est vrai qu'il y avait eu des bulles sur les mains , mais à la rigueur ces derniers symptômes n'exclu
aspect normaux, consécutive à une chute violente sur la paume de la main , et, dès lors, n'ayant en rien l'allure d'une f
thropathie tropho-suppurée nécrotique siège aux extrémités, pied ou main , sans dépasser le carpe d'une part, l'ar- ticul
laissant un doigt ballant, extrêmement raccourci, qui donnait à la main une ressemblance étonnante avec une patte de si
it le niveau de la lésion nerveuse, les petites articulations de la main ou du pied et ne s'étendant que rarement et acc
férieure du cubitus avec décol- lement par le pus des muscles de la main et de l'avant-bras, et phénomènes septiques des
ade, fit une courte prière, les yeux fixés au ciel, et toucha de la main la tête de Bastida. A ce contact, celui-ci ouvr
ces guérisons d'attaque hysté- rique à la suite de l'imposition des mains , comme en sont peuplées les chroniques de l'épo
epré- sente cette scène montre bien l'attitude caractéristique dela main etdu bras. « C'est encore par la vertu du signe
point de vue qui nous oc- cupe, non plus que l'homme qui joint les mains , à droite au premierplan. Les petits diables no
ien indiquée. C'est assurément un démoniaque. Il semble même que la main droite soit en extension forcée sur l'avant-bras
as douloureux, en en'et, alors que le frôlement le plus léger d'une main étrangère réveillait une douleur ex- quise ango
Le membre supérieur gauche est totalement paralysé ; les doigts, la main , l'avant-bras et le bras sont tout à l'ait immo
re il se plaignit de ne plus sentir ses trois derniers doigts de la main droite ; ils étaient comme morts. La sensation do
morts. La sensation do contact n'y était plus bien nette ; puis la main est devenue comme violette. Pourtant il s'en se
ien malgré l'engourdissement. Ce n'est que vers le 8 janvier que sa main devint incapable de lui servir. Il continua pourt
e supérieur droit est raide et résiste aux mouvements provoqués. La main est beaucoup moins forte que celle du côté opposé
tre la sensibilité à la douleur est- elle légèrement diminuée il la main droite. Il n'existe pas non plus de troubles su
troubles vasomoteurs. On a vu qu'il y en aurait eu, au début, a la main . 7. Les jours suivants ces symptômes s'accentue
e sous-optique, par E. Brissaud, 99. Bidactylie (Un cas de) de la main droite par amputation congénitale, par A. Souqu
que, 104. ECLERC (H.) et H. Souques. Un cas de bi- dactylie de la main , par amputation con- génitale, 242. LONDE (P.
ue, 221. Souques (A.) et H. LECLERC. Un cas de bi- dactylie de la main droite par amputation congénitale, 242. Souqu
de Weber (Deux cas), XLIII, XLIV. Syringomyélie (déformation des mains ), XXXVI. TABLE DES FIGURES Ambroise Paré (p
57 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. table, et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expéri- mentateur. La main du sujet
e poignet est soutenu par la main gauche de l'expéri- mentateur. La main du sujet retombe inerte dans la flexion. La per
du carpe. La percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des doigts. Le tracé I (h'a'g. 2) a été obte
e prolonge quelque peu. En effet, dans ce dernier cas, on voit la main soulevée par la contraction réflexe des extenseur
Fig. 3 et 4. L'excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et des doigts nous adonné des résultats analogu
bras demi-fléchi est en supination et le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet r
le poignet est soutenu par la main gauche de l'expérimentateur. La main du sujet retombe inerte en extension. Nous avon
ture se développer instantanément, les tendons faire saillie et la main s'immobiliser dans la flexion. Le tracé suivant
e par le choc et qu'elle débute moins brusquement. Au dos de la main , l'expérience offre en- core un caractère plu
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Sous l'influence de cette excitation, la main se con- tracture dans une attitude spéciale, se
t représentée par la Fig. 9. Le poignet est légèrement fléchi et la main tout entière un peu entraînée vers le bord cubi
x der- niers doigts sont complètement fléchis dans la paume de la main ; le pouce, entraîné dans l'adduction, vient ap
halange du pouce se fléchit et qu'elle se place dans la paume de la main recouverte alors par les deux doigts en flexion
le des rameaux du nerf cubital aux muscles de l'avant-bras et de la main . 1 En effet, le nerf cubital fournit des rameau
nnervés par le nerf cubital. Cubital antérieur. Fléchisseur de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des doigt
Adduction (palmaires) abduction (dorsaux) par rapport à l'axe de la main . Flexion des premières phalanges. Extension des
te. Nous pouvons déduire de là l'attitude spéciale que prendra la main , lorsque tous les muscles innervés par le nerf
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 65 La flexion de la main sur l'avant-bras est due à l'action du cubital
s-nous, la raison phy- siologique de l'attitude des doigts et de la main dans la griffe cubitale. D'ailleurs la faradi
ro-musculaire persiste après l'excitation, et imprime delà sorteàla main une attitude qu'il est facile d'analyser. La fa
uer sa face palmaire contre le bord externe du médius ; enfin, la main est légèrement fléchie et attirée vers le bord
nne des résultats ana- logues à ceux de l'excitation du cubital. La main prend alors une attitude qui trouve sa raison d
s relatives à la distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main . Le nerf médian fournit des rameaux aux muscles
ateur énergique. Grand palmaire. Petit palmaire. Fléchisseurs de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur superficiel des
s pronateurs (rond pro- nateur et carré pronateur). Flexion de la main sur l'avant-bras. Sur trois muscles flé- chisse
de la main sur l'avant-bras. Sur trois muscles flé- chisseurs de la main sur l'avant-bras (qui sont le grand palmaire, l
r lieu aux mouvements suivants : 1° Pronation; 2° Flexion de la main sur l'avant-bras; 3° Flexion des doigts complèt
e aussi delà phalangette. Voici maintenant l'attitude qu'a prise la main sous l'influence de l'excitation mécanique du m
par un mouvement d'opposition, vient se placer dans la paume de la main , mais la phalangette est dans une situation int
s vu parfois la flexion des'doigts s'accuser bien davantage et la main prendre complètement l'attitude du poing fermé
ment de rotation du bras de dehors en dedans, de telle façon que la main , ayant subi un tour complet revient présenter e
les innervés par le nerf radial. En effet, l'attitude que prend l'a main , sous l'influence lir. 13. - l : ri/Jé radiale.
x surfaces articulaires. Ainsi, dernièrement, nous avions entre les mains une pièce, recueillie à Bicêtre par notre collè
a pensée. Si, pendant qu'on l'interroge, on vient à lui toucher les mains , on est surpris de voir qu'aussitôt il se troub
, et dès lors, il n'a plus qu'un objectif : répéter le contact; les mains à la recherche des vôtres, il ne recouvre sa tr
u le désir de ne pas prolonger un tourment si manifeste placent les mains à portée des siennes, l'appétit de ce contact e
préserver, il doit s'empresser de toucher à son tour et des deux mains ; une seule ne conjurerait le danger qu'à demi.
t l'application directe de l'aimant, on peut procéder ainsi : d'une main l'observateur touche un barreau aimanté caché d
ne chaîne de malades. Nous avons fait l'expérience suivante : d'une main nous touchons le pôle d'un aimant et nous plong
rsque, la jambe étant flé- chie sur la cuisse, on rapproche avec la main les muscles du mollet de leur insertion calcané
à la contraction du tibial antérieur, mais bien la pression que la main exerce sur les jumeaux et le soléaire. Mendel
IE. 127 î X. NOTE on THE LErT-IIANDEDNESS (Note sur l'usage de la main gauche); par W. Ireland. (The j9)'a<K, III, p.
les asiles d'aliénés et d'idiots, que l'habitude de se servir de la main gauche préférable- ment àladroiten'expliquenull
pas qu'il y ait là un motif suffisant pour proscrire l'usage de la main gauche, surtout quand cet usage est la conséque
se mit également à voler, et volait tout ce qui lui tombait sous la main . Il étiquetait chacun des objets volés, les enf
de faire ces mouvements assez accentués. 4° Il tenait un vase à la main . « Jette-le » lui dis-je. Il le lança par terre
Jette », « jette » disait- il, et il jetait tout ce qu'il avait à la main . Peu importait la langue employée : il répétait
derrière lui; il bondit et, si le rasoir ne s'était échappé de ses mains , il se serait grièvement blessé. Un « sauteur »
leur étaient adressées. Berger produit ces phénomènes en plaçant sa main , préalablement échauffée, sur la nuque du sujet
enant. L'expérimentation sur les muscles de l'avant-bras et de la main est plus complexe, et cela pour plusieurs raiso
e Duchenne (de Boulogne) pour que nous y insistions ici. A la main , l'excita- tion des muscles a>S '5 S -
t accessibles à l'excitation mé- canique qu'à la face dorsale de la main . A la face pal- maire, ils sont complètement re
alement sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main , l'excitation des interosseux présente quelques
he à exciter les muscles interosseux en comprimant sur le dos de la main , au niveau des espaces interosseux, au point d'
raît s'expliquer assez facilement par la présence, sur le dos de la main , des tendons extenseurs et des brides aponévrot
alées plus haut n'infirment les résultats qu'a fournis, entre les mains de Duchenne (de Boulogne), la faradisation loca
mettrons en regard, d'un côté, les résultats qu'a donnés, entre ses mains , la fara- disation localisée, et, d'un autre cô
de l'épitrochlée, et, comme dans l'expérience décrite plus haut, la main , sous l'influence de cette excitation, se contr
phénomène que nous observons pour la pre- mière fois. Dans les deux mains de petits mouvements fort légers s'opèrent à la
ntôt, ces mou- vements s'accusent dans un sens différent à chaque main . A la main contracturée, les doigts quittent peu
ou- vements s'accusent dans un sens différent à chaque main. A la main contracturée, les doigts quittent peu à peu, et
ire et le petit doigt se défléchissent. Les mêmes doigts de l'autre main subissent au même moment un mouvement inverse,
aire, à celui qui reçoit les rameaux du nerf cubital. En un mot, la main droite est redevenue flaccide, et la main gauch
rf cubital. En un mot, la main droite est redevenue flaccide, et la main gauche, entrant en contracture, a pris l'attitu
e en quelque sorte, et après avoir fait passer la contracture de la main droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant
e, et après avoir fait passer la contracture de la main droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant à proximité de la
in droite à la main gauche, nous plaçons l'aimant à proximité de la main droite dans le but d'y ramener la contracture e
main droite dans le but d'y ramener la contracture en délivrant la main gauche. Ce retour s'opère avec plus de lenteur.
est-il effectué in- complètement. Au bout de ce temps, en effet, la main gauche est redevenue complètement molle, pendan
, la main gauche est redevenue complètement molle, pendant que la main droite rigide esquisse fort nettement l'atti- t
n place ses deux avant-bras en pronation, de façon que le dos de la main regarde en haut. Les muscles sont dans la résol
n extension forcée. L'attitude demi-fléchie des autres doigts de la main n'est pas mo- difiée. Nous appliquons alors un
uscles extenseurs. En voici un autre exemple : le petit doigt de la main droite est placé dans l'extension par la pressi
oteur désigné sur la figure 15, 6. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Cette main repose sur lavable, par sa f
a figure 15, 6. L'aimant est appliqué près de la main gauche. Cette main repose sur lavable, par sa face palmaire et les
ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 21 t doigts et de la main . Cette attitude, maintenue par la contracture s
dans la- même asti- tude que pour les expériences précédentes, les' mains reposant sur une table, la face dorsale regarda
* en' haut.. 1 - . 3 La pression légère du tendon du médius de la main droite au-dessus de la tête du troisième métaca
auche., Le transfert de la contracture s'opère très*ra pidement. La main gauche est immobile dans une demi-flexion ; on
une demi-flexion ; on voit d'abord dans les tendons du dos de la main , tendons de l'index et du médius, se pro- duire
si, et comme : par degrés, on voit les deux derniers doigts de la main se fermer, le pouce se rapprocher, et bien- tôt
208), (Cette griffe cubitale est facilement transférée à l'autre main par l'application de l'aimant. 2° La bande d'Es
avant-bras gauche. Au bout de quarante secondes environ, on voit la main gauche se contracturer dans l'attitude de la gr
se assez bien en s'arrêtant par moments pour chercher un mot. De la main gauche et d'une écriture « en miroir » qu'on pe
un temps excessivement froid. La nuit fut calme ; mais, le lende- main matin à sept heures, il fut pris de vertiges, pui
ers les deux ou trois heures du matin et fut surpris de trouver ses mains impuissantes et complè- tement inertes. Les mai
is de trouver ses mains impuissantes et complè- tement inertes. Les mains étaient tombantes, comme entraînées uniquement
ois de juin 4 876 (trois mois après le début), le malade, ayant les mains pendantes et les doigts en griffe, alla à Spa. Là
de la région postérieure. Cette lésion' correspond à la chute de la main , qui est habituellement en flexion légère sur l
de de' mettre cette articulation en extension. Les extenseurs de la main et des doigts répondent très peu à la faradisat
, et donnent très nettement la réaction de dégé- nérescence. A la main , les muscles interosseux et de l'éminence thénar
s les muscles paraissent avoir complètement disparu à ce niveau. La main est en griffe, flasque, mobile sur le poignet, et
en griffe, flasque, mobile sur le poignet, et constituant une vraie main de polichinelle. Le malade peut seule- ment aug
de peut seule- ment augmenter un peu le mouvement de flexion, et sa main ne lui sert guère que comme un crochet ; elle l
ment les mouve- ments des épaules, ne se servait presque pas de ses mains ; la marche était lente et fort pénible. Voilà q
leur état normal, et il y avait dans ceux de l'avant-bras et de la main une amélioration telle, que le malade pouvait m
iguë. - 1 1 ·.h Il y eut une faiblesse un peu plus marquée dans les mains et dans les jambes, mais sans nouvelle'1 poussé
la région posté- L , ? a -* 1 238 RECUEIL DE FAITS. rieure. Aux mains , on remarque encore l'amaigrissement des émi- n
sont exécutés par X..., et, en somme, il a recouvré l'usage de ses mains . Il n'y a pas guérison, mais il y a une amélior
ux et compliquée, cette fois, d'une para- lysie presque absolue des mains , constatée moins de vingt- quatre heures après
'presqilelcolnplète de la'sensibilité du côté gauche. Le bras et la main gauche étaient fléchis et n'étaient capables qu
' le REVUE%DE,L PATHOLOGIE,- MENTALE. 267 besoin delse,laver.les- mains ;lsont.seulementudestincidents qu'explique le'do
faite qu'ils ne fussent parfaitement ^propres.' Elle se lavait les' mains plus de deux cents fois dans la . p t t , r. "
les'imaginaitqu'illexistait ; quelque chose, qui, 1 absorbé par les mains ,ouipar uneautrejpartie du, corps, pouvait lui ê
desjpurmillements etjde.l'engourdissement;'dans .les pieds, et( les mains . Les effets les plus. tenaces comme, durée furent
de, fées,1 histoires, fantastiques, ? etc.7que l'on met entre les) mains des' enfants ; en dépit de ses réserves;'il res
lt düm ? ment- où Marchant'se retournait, lui'mit'familièrement une main ,t, sur l'épaule et de l'autre lui tira un coup
qu'elle fut arrêtée. Or,, cette femmo'jétait M-0,Eybeii.,Le lende- main grand émoi,dans les,journaux, politiques. Notre h
réfil la. repousse et s'avance,vers son collègue» uns revolver à la main , en. lui criant : « Tu m'as trahi cette nuit : »
rier; par, Pierson, 122. ot ,'^'K. i' TABLEiDES MATIERES. 315 Main (note sur- l'usage de la gau- che), par Ireland
58 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
a vérité, n’imporle par quelle bouche; le bien, n'imporle par quelles mains . TOME IV. PARIS BUREAUX : BUE D'ANTIN, 12.
ant d’un Dieu auquel il ne croit point. Que ferait-il en imposant les mains ? 11 ajouterait au trouble. Je ne vous parlerai
tables. Ce n'est qu’à celle condition que vous pourrez rendre par vos mains la vérité féconde. Celui qui u’a rien amassé peut
om • de tous 1rs sumls cl saintes qui ont guéri en imposant les • mains , etc., elc. » Profondément affligé, ce digne su
oudrons pour les autres, alin qu’un bien qui peut se faire par toutes mains n’ait point d’obstacles à vaincre. Néologie. —
nétisme, celte brillante vérité, semble être destiné à passer par des mains impures; c’est une épreuve qui doit durer jusqu’a
ppant la surface qui est en équilibre ; vous verrez rejaillir Yers la main la portion d’eau que vous avez déplacée. Cette
t admira les lines broderies d’un mouchoir que cette dame tenait à la main . Je remarquai que les objets simples qu’on lui
ssait, sur l’ordre muet d'un assistant. Etant assise, elle a porté la main droite à sa tête, puis à ses pieds, parties du co
très-rapidement, et le premier-mouvement du patient fut de porter la main à l’endroit où j’avais enfoncé l’épingle, et de s
vait une affection nerveuse compliquée. Dès que je lui eus imposé les mains , elle eut des convulsions si fortes, si violentes
sses en remoulant étaient mauvaises. (Noie du directeur.) tirai mes mains de dessus elle, et. m’éloignai de quelques pas: l
celle des prêtres, craignons 0 que le magnétisme ne tombe entre leurs mains . » (1) Voy ci la kllre de M. Theit dans la Démo
eur figure était sérieuse, mais douce et vénérable. Ils tenaient à la main un tesbih, sorte de (I) 2 vol. iu-8*. Pari», 18
gue arabe, à en juger par sa prononciation gutturale; puis il mit une main sur la tête de la malade, lui souffla sur le fron
tête de la malade, lui souffla sur le front, et, avec le pouce de la main droite, lui frotta légèrement l’espace qui se tro
cule : « La santé et la maladie, me « dit-il, sont également dans les mains de Dieu; c'est o donc à lui qu’on doit s’adresser
essaiera de tracer. M. le baron du Potet, tenant de la craie d’une main et du charbon de l’autre, trace sur le parquet de
serpent symbolique, se penche sur ce signe fatidique en écartant les mains comme pour le saisir. On l’arrachc alors île ce
saisi rassemblée ; mais VI. du Potet s’approche promptement. passe la main sur le front du patient, qui se penche sur lui, f
» « Elle se lève de son siège, les traits convulsés, se tordant les mains ; court quelques pas devant elle, et tombe en s’éc
us empêcherons tout malade d’être approche par un ami, de recevoir sa main dans la sienne. Une mère ne devra plus presser so
ain, fera tout ce qu’il pourra pour vous prouver qu’en sortant de nos mains on est guéri à jamais des soucis de la vie. Nou
ue soient les maladies qui vous assaillent, ayez d’abord recours k la main d un ami, qui porte en vous la vio dont il peut d
d un ami, qui porte en vous la vio dont il peut disposer; que celte main , dirigée avec art et méthode, aille trouver les p
es secousses dans les différentes parties du corps où je dirigeais ma main . Cette première magnétisation dura une demi-heure
désire relever, relative à Mmo Cadet-Gassicourt : son mari tenait sa main gauche, et un second médecin lui tenait la main d
: son mari tenait sa main gauche, et un second médecin lui tenait la main droite; un troisième était derrière madame, et le
que je faisais quelque interpellation à la malade, venait toucher mes mains pour voir si elles étaient empreintes de quelque
prochainement à Paris, monsieur Jean Raymond. je vous prendrai par lu main et je vous ferai toucher du doi^t ce que vous ref
tres par lesquelles le magnétisme et ses prôneurs étaient habillés de main de maître. Reproches, lettres anonymes et lettres
effets les plus merveilleux.— L’avare qui retrouve son trésor qu’une main avide lui avait dérobé n’éprouve pas un saisissem
que je ressentis lorsque, formulant en moi cette pensée : « Que votre main droite, placée sur vos genoux, se lève et se port
placée sur vos genoux, se lève et se porte à la tête, » je vis cette main , docile à ma pensée, obéir à mon désir. Je fus bi
à l’homme d’oser toucher à l’arche sainte, c’est-à-dire de porter une main sur ce que les siècles barbares nous ont transmis
aveugle par amaurosc, traitée par la strychnine. Ayant observé qne la main de M. Gcrdy, approchée des yeux de la malade pour
straire son attention de l’essai que je voulais faire, j’approchai ma main de son front; elle en fut avertie par une violent
eillées, et mes yeux n’avaient plus assez (l’orbite.... J’étendis les mains , je me jetai à genoux.... Mais ce n’était point d
ce pas que je n’aie dessillé tes paupières. Viens, que j’apprenne tes mains à disposer du trésor ignoré que recèle ton être.
n de ses enfants. Écoutez et vous jugerez. Et d’abord, la Genèse en main , voici ce que je crois démêler de l’œuvre des six
’antipathie, enfin tout le domaine où la magic s'assied le sceptre en main . Le théomédisme posé, vous allez voir les conséqu
eux et qui les subjugue l’un et l’autre, ce qui met la quenouille aux mains d’Hercule, le fard au visage de Surdanapale, ce q
ividus au sein des ténèbres; et qui n’a reconnu, les yeux bandés, une main defi'ère, un souffle d’amie? Tout le monde connaî
t pas l’aimant et. qui verrait marcher une statue de fer au gré de la main qui la dirigerait, dirait de toute nécessité: c’e
ur et de crainte? » « L’espril du sang sC fige en la'veine quand ès mains prenons le froid du serpent. » Qui n’a senti, au
mains prenons le froid du serpent. » Qui n’a senti, au contact d'une main infâme, ce quelque chose qui serre le cœur? N’e
elque chose qui serre le cœur? N’est-ce pas sensation commune à nos mains que cette répugnance pour certaines natures, tand
e le fluide affecte pour certains individus qui soutirent tout de nos mains , bien que le courant soit dirigé sur d’autres.
enir, et sa fureur augmentait de leur résistance. Je lui appliquai la main sur le front el lui dis d’un ton impératif de s’a
uvais désormais légitimement espérer la guérison. Puis, niellant la main à l’œuvre, il obtint tout à coup plus que je n’os
s deux êtres humains obligés de céder à ce pouvoir et dormir dans nos mains . Us redoublèrent lorsque nous reconnûmes que ce p
ils avaient une commune origine avec ceux que nous produisions de nos mains . Nos recherches n’étaient cependant point guidé
ience le veut, si elle daigne s’occuper de nos recherches, prendre en main la défense de la découverte de Mesmer, en poursui
, qui depuis quelque temps suivait attentivement les mouvements de la main de l’opérateur et fixait ses yens sur la plaque
et dur, langue couverte d’un enduit jaunâtre, soif ardente, etc. Ma main , dirigée vers la tète avec intention magnétique,
je vois ; ça appartient à madame D"\ Oh ! je la vois qui se lave les mains avec du savon, c’est sans doute ce qui aura fait
« vieille,sèche et ridée, qoi s’avancait vers moi. Elle me « prend la main , l’ouvre, regarde et paraît surprise. « Qu’a-t-
ive, parle de ses immenses projets, et termine en remettant entre les mains de l'impératrice un vieux livre manuscrit, écrit
sera de quarante-neuf « fois vingt mille hommes. « Portera à dextre main un aigle, signe de la victoire « à guerroyer. Don
papiers. La copie textuelle de la prophétie d'Olivarius, écrite de la main même de François ,1c Metz, est datée tic l’an 1
lle avait un goitre qui pendait jusqu’à sa ceinture, et tenait par la main un petit crétin qui lui ressemblait. Chacun témoi
t, quelque nom qu’ils portassent: les remèdes étaient connus de leurs mains . Le philosophe, « contre les humeurs d’audace et
le, et, comme tant d’autres, aimé les livres nouveaux, voici dans mes mains les pages enfumées de l'antique Diosco-ridc! J’ai
omme, sous l’influence d’une volonté, voit dans les ténèbres, suit la main qui l’attire, tremble de froid, verse des sueurs
bre, mais simple et pure, dégagée de tout prestige : l’imposition des mains , le souflle spirituel, l’exorcisme, etc. Le moy
spiritualisme domina. Nous tenons le milieu, et la vérité est en nos mains , et le mesmérisme est aussi difficile à nier aujo
en désolédem’avoirperdue.... Une femme vint derrière lui, tenant à la main un large couteau de cuisine; mais il l'entendit v
.... Il est venu tout pâle et tout plein de sang; il m’a prise par la main et il me montrait tout cela avec son doigt. » «
’ai la conviction qu’elle aurait pu me briser les os et me séparer la main du poignet. Cette pression, commencée d’abord par
ieure; enfin, un tourniquet ne se serait pas mieux comporté que cette main changée en un appareil de torture. 11 meparaît do
dans un fauteuil, ayant à son côté madame Valette, qui lui tenait la main . Au bout de vingt minutes, elle s’est endormie.
nt s'empare de l'assemblée, lorsqu'on voit l’opérateur agiter dans sa main un véritable couteau, qu’il promène avec calme au
ssister à une horrible catastrophe. Mais une tète est calme.... une main est sûre, une seule main ne tremble pas. Dieu ! q
tastrophe. Mais une tète est calme.... une main est sûre, une seule main ne tremble pas. Dieu ! qu'il faut de courage à un
sa longueur, en soulève et excise les bords osseux, et, plongeant sa main tout entière dans la vaste cavité, il en extrait
de sa reconnaissance; elle presse et embrasse à plusieurs reprises la main de madame Valette, qu’elle n’avait pas quittée.
longue torture de l’opération, n'a pas quitté la pauvre patiente, sa main dans la sienne, ses vêlements inondés de sang, et
le savez, Messieurs, à chaque effort fait par nous pour remettre aux mains des savants le dépôt si précieux que nous avions
sentiments qui portent l’homme à secourir son frère, à lui tendre la main . Souvenons-nous qu’à l’heure de la prière saint P
nécessaires à l’exécution de cette œuvre. Ils viennent recevoir de la main d’une dame leurs insignes de fondateur du Jury ma
; Quand4a santé jaillit en féconde rosée. En rayons de feu de nos mains ; C’est lorsque nous venons étaler des merveill
issance de Mesmer, le 23 mai suivant, pour y recevoir la médaille des mains du président au nom du Jury. Si quelqu’une de c
le 23 de chaque mois, à partir du 23 du présent mois de mai, dans les mains du trésorier. CHAPITRE VIII. Additions, chang
eau n’est pas de l’Académie. Est-ce ignorance? J’ai ouï dire que sa main connaissait la marche du fluide. Est-ce insuccè
itions que vous, nous aurons les secousses de Nobili rien qu’avec nos mains ; nous aurons les pansements de Hariss, aux vésica
ons les pansements de Hariss, aux vésicatoircs près, rien qu’avec nos mains ; nous au-Tons aussi, pour plus de chance de succè
reux de l’estomac arrête le hoquet tout aussi bien que la paume de la main peut réveiller les contractions du cœur dans une
ferme, tombait dans des attaques épouvantables. Si on lu touchaitaux mains ou au visage, elle n’éprouvait rien ; mais si on
peut envoyer chez le pharmacien! Mais le massage... rien qu’aVec les mains , les doigts... on guérit! M. Trousseau l'avoue fr
e? Elle pressait, tiraillait, remuait les entrailles des malades; scs mains , enduites de pommade, n’en dégageaient pas moins
ne sais ce que c’est. Mais de ces affections me sont tombées sous la main ; j’ai senti des nœuds que le mesmérisme faisait
les barbes d’une plume ou la tête d une épingle. En pressant avec la main sur les apophyses épineuses de la colonne vertébr
siasme est sans bornes à la vue de l’état physique et moral que leurs mains ont produit. La réflexion ne vient qu’après exerc
is, d’abord s’agite sur son siège, semble mal à l’aise, puis porte la main sur le ventre, qu’elle frictionne en différents s
nlez-vons des faits? en voilà. M. Lafontaine, armé de scs redoutables mains , frappe à tort et à travers. C’est un magnétiseur
a vérité, n'importe par quelle bouche; le bien, n’imporle par quelles mains . TOME Y. PARIS BUREAUX : BUE D'ANTIN, 12.
p d’Amérique ; on ne nie plus, bien au contraire, on attaque armes en main , en disant : Qu’ils vantent donc encore leur magn
’eus la cruauté, je l’avoue, de pincer si fortement le magnétisé à sa main gauche, que, revenu à son état normal, il éprouva
e s'opéra dans mon pauvre corps. Prostration de forces, immobilité de mains et de pieds, contraction de la mâchoire jusqu’à m
lies, et, à l’exemple de saint Paul, qui pria avant que d’imposer les mains sur le père de Publius pour le guérir de la fièvr
et de la dyssenterie, je fis aussi ma prière avant que d’imposer mes mains sur mon infortunée malade, et ce n'est qu’après a
priétaire pour une moitié au trésor découvert. « Avant de mettre la main à l’œuvre, le docteur voulut renouveler l’expérie
e l’avantage qu’il y aurait de recourir à ce moyen quand on a sous la main l’homme convenable. « Eufin nous" dirons pour t
Chambre des Pairs, en consacrant cet état déplorable, a mis entre les mains du premier individu venu le moyen de commettre un
eux pour éprouver pareille maladie, je l’engage à se mettre entre les mains de M. Jules de Rovèrc. Jamais on ne trouvera plus
e, qui, depuis jusqu’aujourd’hui, resta toujours enflée, ainsi que la main droite elle bas-ventre. En 1812, congestion céréb
i-je de ma mère, qui depuis trente ans était privée de l’usage de ses mains et qui maintenant se trouve soulagée et en voie d
ompagnie « qu’à l’époque de la mort de Mesmer ils i avaient entre les mains le titre d’une rente ■viagère de « 6,120 francs a
il s’éveilla en sursaut, se leva brusquement, prit sa tête entre ses mains , disant qu’il se sentait ivre, et je ne pus venir
pour venir à lui, et l’aborda en marmottant des charmes, lui prit lu main , et presque aussitôt lui passa l’autre transversa
nes que ce soit lui qui ait proposé de placer le magnétisme entre les mains de ses ennemis et des hommes qui le nient -, de m
mérite de l’être, on le pratiquera dans l’intérieur des familles; une main amie dissipera une indisposition commençante et p
auche ; une chaleur extrême, une sensation intolérable de brûlure aux mains et aux pieds quand on les touchait, des cris déch
z remarquable après quelques minutes, en prenant dans les siennes des mains qu’on lui abandonnait sans se plaindre. Je contin
t, le 17 février. Sept jours après, elles reparurent aux pieds et aux mains , quelque peu aux jambes, comme des crampes, et to
res hors de son lit, dans un fauteuil; elle se sert assez bien de ses mains pour manger seule, tenir son livre, jouer aux dom
est bien plus facile à Colomb de submerger notre île qu’il a sous la main que d’éteindre la lumière de la lune qui se trouv
lui étaient presque interdits, et je fus obligé de le pousser avec la main par derrière pour le faire avancer. Après quelque
ent envahi, que, ue m’en apercevant pas, la moindre impulsion de ma main causa sa chutc. Il ne revint qu’avec difficulté;
de condamner celte doctrine, voyons comment elle fonctionne dans les mains de M. Esdaile. «Tel exeile les symptômes mesmér
us de manière à pouvoir appliquer votre face contre la sienne, et vos mains sur le creux de l'estomac, quand il vous plaira;
ant alors les yeux de votre patient, commencez à passer lentement vos mains , étendues enforme de griffes, à environ un pouce
restez quelques minutes sur les yeux, nez et bouche, puis passez une main de chaque côté du cou pour les ramener jusqu’au c
eut aussi appliquer sans pression, mais avec une ferme intention, les mains sur l’épigastre et les côtés, o La sueur et la sa
eune, domiciliée à Pau. (Une descente de matrice et le charbon à la main gauche.) 2. Jeanne, fille Claverie, première né
première née, de Pau, rue Gassies. (Un champignon à l’index de la main droite.) 3. Veuve Claverie, de Pau, rue Gassies
au magnétisée. 34. Veuve Binoî, de Pau. (Unpanaris au pouce de la main droite.) 35. Marie Escodbës, de Pau. (Migrain
e manière à avoir la face presque en contact avec celle du malade, la main droite étant généralement placée au creux do l’es
u creux do l’estomac, et les passes faites avec une seule ou les deux mains devant la figure, sur les yeux principalement. Le
t quelques mots sur un morceau de papier, plia le papier, et posa une main de marbre sur le tout. Daiq Nous rentrâmes. iz**.
re. Ah! c'est singulier ; il y a un mot qui n’est pas de> la même ¡ main . Tiens, c’est votre signature, n i . • .aup-.iüi.
dité était arrivée au plus haut degré. Maquet s’appropha de lui, la main fermée. « Pouvez-vous voir ce que j’ai dans la
opha de lui, la main fermée. « Pouvez-vous voir ce que j’ai dans la main ? dit-il. — Otez vos bagues, la vue de l’or me g
Maquet, sans ôter ses bagues, se retourna et passa l’objet de la main droite dans la main gauche. « Ah! très-bien, di
ses bagues, se retourna et passa l’objet de la main droite dans la main gauche. « Ah! très-bien, dit Alexis; maintenant
e si souvent menteurs ou exagérés, et puis j’avais été traité par des mains si différentes, et avec si peu de succès, que j’a
elle doctrine, M. Andrivcau. proposa de me soulager, et dirigeant ses mains sur mes membres convulsés il en calma bientôt l’a
aire, je souriais avec satisfaction, et parfois même, pressant de mes mains ma poitrine haletante, je fondais en larmes, comm
ile et du vin sur les plaies du malheureux Juif, qui, tombé entre les mains sanguinaires des voleurs, fut couvert de contusio
e nombre de ceux déjà opérés par la seule et simple imposition de mes mains . Quant à la propagation du magnétisme, c’est da
l’amour et le zèle que nous avons eus jusqu’à ce jour pour tendre nos mains secourables à l’humanité souffrante et aux malheu
etournons-nous à la barbarie? Quoi! un homme ne pourra plus tendre la main ù son frère souffrant, verser quelques gouttes de
, l’homme aux bonnes œuvres, Y homme qui guérit sans que jamais scs mains se soient ouvertes pour en recevoir un salaire, d
mmandé Jésus par ces paroles : «Ceux qui croiront en moi poseront les mains sur les malades, et les malades seront guéris. »
comme de ses œuvres divines; le juge, obéissant à la loi, se lava les mains , regrettant d’avoir prononcé une scutcncc qu’il t
se Broca, épouse Seguikotte, h. de Pau. lUnedarlre à la paume de la main droite.) 101. Jeanne-Marie Bach, servante chez
120. Jean Forgubs, de Pau, rue du Palais. (Panaris au pouce de la main droite.) 121. Marie Pillard, fille, deuxième né
La Vérité n'importe par quelle bouche; le Bien n'importe par quelles mains .« D’antre part on lit dans VAbeille de la Nouve
e plusieurs fois, il en a été de même d’une serpe qu'elle tenait à la main , d’un ballot de bruyère porté sur la tête ; des t
t se servant d'autres pratiques pieuses que la religion met entre les mains des fidèles pour chasser les démons -, et cependa
nt : « Monsieur, que vous me faites de bien ! vous m’avez enlevé avec main cette douleur qui tout à l'heure était pour moi u
be blanche, qui s’enlevait au ciel, toute seule, une palme verte à la main , comme les saintes, et appelant, * Emile, Emile
devant le fou, à moitié couvert ; la grande commode de noyer avec ses mains de cuivre et sans marbie dessus; et au pied de mo
pensais plus. J'ai vingt témoins de ce fait. Ma complainte courut de mains en mains. Elle est si singulièrement applicable,
plus. J'ai vingt témoins de ce fait. Ma complainte courut de mains en mains . Elle est si singulièrement applicable, que je re
e la rue des Prouvaires, où un sergent de ville reçut en effet, de la main d’un jeune homme, une belle dans le corps. Je n’a
rappelez? » — Il rassembla un moment ses souvenirs, et me tendant la main avec cordialité : « En vérité, je ne vous aurais
x que lui, circulait péniblement autour de la table, mettant ses deux mains devant ses yeux pour n’ètre pas ébloui des lumièr
ant donc en pratique ces moyens si saints, que (’Eglise met entre les mains de ses ministres, et môme des simples fidèles, po
ait une légère chaleur au siège de son mal, ce qui le fit y porter la main el savoir que l’opération était terminée. Sa tu
ormi le cinquième jour, il fut opéré le septième. M’étant blessé à la main , je ne pus l’opérer; M. K. O’shaughnessy eut l’ob
straire la partie à l'instrument, ni de repousser celui-ci avec leurs mains ; il est donc tout à fait évident qu’ils n’ont nul
ion de la machine électro-magnétique à aimant central intérieur ; ses mains et son corps tremblèrent synchroniquement avec le
orce occulte, cause des plus grandes merveilles. Premier fait. Ma main tient le miroir fatidique; elle tremble malgré me
joutait un iroisiôme. — Elle a désigné l’argent que j’avais dans ma main , le nombre des pièces, leur valeur, les effigies
ien ont un tout autre caractère: le flambeau du magnétisme, entre Ers mains , jelle ses clartés sur les cas de diagnostic obsc
s thérapeutiques ordinaires ; à son tour, inslrumenl docile entre leo mains du magnétiseur dont elle subit l’influence, ell
jà été endormi une ou deux fois, il suffira de quelques mouvements de mains près de lui , sans le loucher, et du simple regar
ués. Nous pouvons déclarer qu’ils nous onl presque lous passé par les mains el sous les yeux, depuis une vingtaine d’années,
ur le cerveau du questionneur. Vous avez une pièce d’argent dans la main , un portefeuille, un billet dans votre portefeuil
ésistance des corps savants, chaque coup porté à leur édifice par une main si ferme en détache une pierre : déjà on peut y a
cou de momies? Non, sans doute. Mais lorsque le jour sera venu où une main mystérieuse écrira en lettres de feu sur les mura
s pour la guérison, on cite les frictions sèches, avec la paume de la main , comme ayant produit quelquefois un allégement im
croire qu’il y ail une lacune dans l’admirable synthèse tracée de la main de Dieu, dans le microcosme vivant qu'il annoblit
59 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
s parties sur lesquelles on agit; mais on ne l'a pas toujours sous la main . 3° Jvec le nitrate d'argent. On le fixe à angle
et n'est pas rendu plus étroit par les cuisses de la malade ; 1° les mains des aides ne projettent pas d'ombre sur la région
long manche cjuadrangulaire c^u'un aide peut tenir solidement à deux mains . Dans les cas difficiles, à ce spéculum qui dépri
t qu'on aplatit à l'endroit tordu ; puis on tire le fil de soie de la main gauche pendant que la droite guide le fil d'argen
e pince à torsion ; 3° des ciseaux. Les deux bouts du fil tenus de la main droite, sont engagés dans la fente du support, qu
enus de la main droite, sont engagés dans la fente du support, que la main gauche pousse le long du fil, jusqu'à ce que les
surfaces avivées viennent se placer en contact. Alors on tient de la main gauche le fil et le support, la droite avec les p
fils à 2 centimètres en avant de la plaque; cette pince passe dans la main gauche, sans lâcher les fils, qu'un coup de cisea
les fils, qu'un coup de ciseaux coupe, et que la pince, reprise de la main droite, tord par quelques mouvements de rotation.
a suture paraît enfoncée dans les chairs ; avec une pince tenue de la main gauche, on saisit un point et on le soulève jusqu
pèce de bouton porté sur un long manche ; puis prenant ces flls de la main gauche, il appuie fortement l'ajusteur sur les ti
la main gauche, il appuie fortement l'ajusteur sur les tissus avec la main droite ; les fils sont ainsi redressés et les bor
la hthotomie ; anes-thésiez-la, puis passez Tindex et le médius de la main gauche dans le vagin ; écartez-les de manière à d
ition de la lithotomie et chloroformisée ; deux aides tendent avec la main les bords de la déchirure. Pour opérer l'avivemen
viser des deux côtés le sphincter de l'anus. Pour cela, l'index de la main gauche in-troduit dans l'anus sert de guide à un
l'on procède au troisième temps, qui est la suture enchevillée, La main gauche saisit solidement un côté du périnée avivé
ur vérifier l'exactitude du rapprochement, on introduit l'index de la main droite clans le vagin et l'index de la main gauch
n introduit l'index de la main droite clans le vagin et l'index de la main gauche dans le rectum ; et en les promenant simul
es deux premiers temps, l'opérateur peut placer les deux doigts de la main gauche dans le rectum, pour tendre les parties tr
ueuse utérine n'est pas toujours une opération inoffensive. Entre les mains de Récamier même, elle a produit les résultats le
a longueur de la tige intra-utérine a beaucoup -vai-ié même entre les mains de Valleix; on comprend d'ailleurs qu'elle ne doi
étro-péritonites, dont plusieurs avaient été mortelles même entre les mains expéri-mentées de Valleix, tels furent les accide
térines. Pour sonder sans spéculum, on introduit l'indicateur d'une main dans le vagin; on ramène le col dans l'axe du vag
l se peut, on l'intro-duit un peu dans l'ouverture du col. De l'autre main , on porte la sonde dans le vagin en dirigeant sa
ntre-indications. On n'oubliera pas qu'il faut une grande légèreté de main quand on a poussé avec la sonde l'utérus à l'hypo
odes que ces dilatateurs spéciaux, parce qu'on les a toujours sous la main ; on en coupe des bouts de 8 à 9 cen-timètres ; un
et on introduit le doigt dans la cavité du col en pressant de l'autre main sur l'hypogastre. Si ce doigt est arrêté par l'or
ette lame n'est pas parfaitement réglée par le mouvement en bas de la main de l'opérateur, elle pourra bien porter profon-dé
ouvement alternatif, imprimé par un double levier que fait mouvoir la main de l'opérateur. Ce mouvement de va et vient, anal
chaînes ne puissent pas couper; on agit alors de toute la force de la main sur le levier, et si l'instrument résiste, on peu
e manière à n'être pas obhgé de déployer sur lui toute la force de la main ; on évitera ainsi la rupture de l'instrument et
eut quelquefois introduire jusqu'au fond du vagin deux doigts de la main gauche et conduire sur eux la pince de Museux qu'
l'opérateur placé en face de la malade et tenant l'ins-trument de la main gauche, le dirige en avant ou en arrière suivant
ée, le chirurgien tourne doucement le volant delà vis en tenant de la main gauche l'instrument immobile. Après quelques tour
e. Après quelques tours de vis, il est bon d'introduire l'index de la main gauche dans le vagin pour reconnaître si le col e
fréquents et douloureux d'ininer, la malade est obligée de porter la main sur la tumeur pour la relever; sans [cela la vess
s'il faut la porter un peu haut, on réunit en pointe les doigts de la main droite et on les introduit dans l'anneau formé pa
cherche à saisir le polype en écar-tant les doigts, et, soit avec la main gauche, soit avec le secours d'un aide, on fait g
ments suffisent pour engager le polype dans l'anse, et pendant que la main gauche tient le serre-nœud en le poussant un peu
gauche tient le serre-nœud en le poussant un peu contre l'utérus, la main droite tourne la vis lente-ment jusqu'à division
pour être embrassé par le spéculum, on conduit sur l'indicateur delà main droite une pince de Museux, et on saisit le polyp
attirer en bas l'un de ces fils ; puis, prenant les son-des de chaque main , on les porte de chaque côté du polype, pendant q
été abaissé. Lorsqu'on est arrivé au pédicule, on rapproche les deux mains de manière à faire arriver les sondes sur la port
et supérieure du polype. Prenant alors les deux sondes dans une seule main , on tire sur les chefs du fil qui sortent par le
onvexité du polype ; puis on place le fil. L'un des chefs, tenu de la main droite, est passé dans le chas de l'aiguille cond
des aiguilles, sans faire de nœud* L'opérateur les prend alors de la main droite, et, tournant leur concavité vers le polyp
ieure jusqu'au pédicule de la tumeur, en se guidant sur l'index de la main gauche placé dans le vagin. Puis on déroule les c
et on la place comme pour l'opéra-tion de la taille. Un aide pose les mains sur l'hypogastre pour pouvoir refouler l'utérus v
cherche à l'attirer successive-ment dans tous les sens à l'aide de la main gauche; pendant ces tractions, on détruit avec le
fficultés de l'opération dans certains cas, à sa durée, qui entre des mains habiles a été d'une et même de deux heu-res, on c
ale, et peut ainsi produire des frottements ou des craquements que la main ou le stéthoscope feront percevoir. On se rappell
hoscope feront percevoir. On se rappellera aussi que si l'on place la main de champ, le bord cubital appuyant immédiatement
bord cubital appuyant immédiatement au-dessus du pubis, et que cette main s'enfonce profondément dans l'abdomen, on peut pe
ire se retirer avant son réveil. Instruments. Il faut avoir sous la main des bistouris droits à manches fixes ; des pinces
our la suture entortillée. Pour le pansement, on doit avoir sous la main une pelote chargée d'épingles, des bandelettes ag
malade. On a d'abord employé des ligatures de soie qu'on serrait à la main ; quelle que soit la force qu'on déploie, ces lig
nts de l'opération font ressortir un fait exact, c'est que, entre les mains des chi-rurgiens versés dans la gastrotomie , l'i
rrête momenta-nément ou mieux définitivement la sortie du liquide. La main gauche de l'opérateur et même celles d'un aide ap
t les ge-noux bien écartés. L'opérateur introduit alors l'index de la main gauche dans le vagin et cherche la partie la plus
e en même temps qu'on retire doucement la sonde. Pendant ce temps, la main gauche presse la paroi abdominale près du point p
ans le kyste. Au dernier moment, la sonde est retirée vivement, et la main qui comprime le ventre reste biea en place, pour
les kystes uniloculaires ; il faut la faire assez longue pour que la main puisse entrer dans le kyste et l'examiner avec so
elle a fourni des résultats extrêmement heureux, notamment entre les mains de M. Keith. Pendant que ces faits si remarquab
doigt mouillé sur une vitre. Pour rechercher ce signe, on applique la main à plat et on l'appuie fortement sur les téguments
air. Chacun d'eux, de même que l'opéra-teur, aura soin de plonger les mains dans un vase plein d'eau chaude, avant de toucher
il est placé à droite de la malade tout près de sa poitrine, ses deux mains sont posées sur le ventre, les pouces s'entre-cro
s intestins ou l'épi-ploon viennent à s'échapper, il ôte aussitôt ses mains . L'autre aide soutient le ventre en bas et se pla
a cavité abdominale. Pendant ce premier temps, les doigts, ou même la main entière si cela est nécessaire, cherchent à re-co
rt, comme nous le représentons planche XllI ; ou encore introduire la main entière en arrière du kyste (voir même planche);
sous les doigts, on peut, comme le recommande Nussbaum, introduire la main dans la cavité de ce kyste et saisir les cloisons
cette recherche doit être faite minutieuse-ment, en écartant avec la main les organes pelviens pour bien examiner tous les
le péri-toine, dit-d, et il préfère laisser dans l'abdomen ce que la main ou un morceau de flanelle ne peuvent enlever. Cet
ec des adhérences très-vasculaires à l'épiploon, guérissent entre des mains expérimentées, dans la proportion de 7 à 8 fois s
UMENT UNISSANT). Figure i. Deciibitiis latéral gauche, position des mains . Figure ii. Spéculum de M. Sims. Les deux extré
. RESTAURATION DU PÉRINÉE Figure i. Procédé de M. Baker Brown. A, main gauche de Fopérateur qui tend la grande lèvre gau
n gauche de Fopérateur qui tend la grande lèvre gauche pendant que sa main droite place les sutures sur cette lèvre. B, main
uche pendant que sa main droite place les sutures sur cette lèvre. B, main d'un aide, dont l'index écarte la grande lèvre dr
e trouve le coulant è, est le manche du cautère, on le tient à pleine main et on place le pouce sur ce coulant b. Figure v
n le voit distendu et sphérique dans la figure xxii bis, après que la main droite a chassé dans ce pessaire l'air contenu da
ire de MM. Chassaignac et Mathieu, a est la poignée qu'on tient de la main gauche, b b est un levier dont la main droite fai
t la poignée qu'on tient de la main gauche, b b est un levier dont la main droite fait alternativement basculer les deux ext
iser un polype ; le fil qu'on y voit est maintenu dans la paume de la main par les autres doigts. Figure xx. Ablation d'un
re en portant le bistouri à plat. Figure ii. Ponction du kyste. Les mains d'un aide compriment l'abdo-men pour faire sailli
e saillir le kyste ; l'opérateur fixe ce kyste avec deux doigts de la main gauche et sa main droite enfonce le trocart près
; l'opérateur fixe ce kyste avec deux doigts de la main gauche et sa main droite enfonce le trocart près de ces deux doigts
ste la canule qui a servi à l'évacuation du liquide, on soulève d'une main une partie de la paroi, puis on réin-troduit le p
rs une espèce de poignée constituée par la canule, on la saisit d'une main pour tirer le kyste au dehors ; les doigts de l'a
isit d'une main pour tirer le kyste au dehors ; les doigts de l'autre main poussent le kyste pour aider son passage à traver
plaie. (De Krassowsky.) Figure iv. Dans le cas de kyste friable, la main droite et une partie de l'avant-bras sont enfoncé
sont enfoncés dans l'abdomen pour soulever la tumeur, pendant que la main gauche la tire avec précaution à l'aide de la can
abdominales en rapprochant les bords de la plaie ; pour protéger ses mains on les recouvre de compresses mouillées. Le pé-di
clamp B (voyez planche xiv, fig. xx). Le chirurgien saisissant d'une main le manche du clamp, porte de l'autre main le caut
chirurgien saisissant d'une main le manche du clamp, porte de l'autre main le cautère G sur le pédicule, qu'il coupe en l'ap
pour que les fils soient mieux tendus. Puis, prenant l'aiguille d'une main , on soulève avec l'ongle du pouce de l'autre main
nt l'aiguille d'une main, on soulève avec l'ongle du pouce de l'autre main un ressort adapté au coulant, et en poussant on f
r, on la ferme en poussant son verrou ; puis tenant cette pince d'une main , on tire avec l'index de l'autre main sur le coul
; puis tenant cette pince d'une main, on tire avec l'index de l'autre main sur le coulant A, le pouce s'arc-boutant sur le b
i font éclater le calcul. Un levier transversal B, qu'on saisit de la main gauche empêche l'instrument de faire des mouvemen
RINÉALE. -«SS^ï- FiGURE i. Tailla prérectale, premier temps. — La main droite d'un aide tient le catliéter ; sa main gau
le, premier temps. — La main droite d'un aide tient le catliéter ; sa main gauclie relève les testicules. La main droite du
n aide tient le catliéter ; sa main gauclie relève les testicules. La main droite du chirurgien vient d'achever l'incision e
n ajoute des manches, a, qu'on fixe par une vis b, et qui donnent aux mains une puissance très-grande. Figure viit. Irrigat
ion de la fistule à Fanus, par l'écrasement linéaire. Chassaignac. La main d'un aide relève la fesse. L'indicateur droit du
ssaignac. a. Érigne multiple à crochets diver-gents, b L'écraseur. La main gauche d'un aide relève la fesse. Sa main droite
ver-gents, b L'écraseur. La main gauche d'un aide relève la fesse. Sa main droite tire sur une ligature qui a été appliquée
Figure iv. Traitement du varicocèle par une injection coagulante, a Main droite d'un aide qui relève la verge, b Sa main g
jection coagulante, a Main droite d'un aide qui relève la verge, b Sa main gauche qui comprime les veines pour les faire gon
e, b Sa main gauche qui comprime les veines pour les faire gonfler, c Main gauche de l'opérateur qui fixe les veines au poin
teur qui fixe les veines au point où elles doivent être piquées, d Sa main droite, faisant la ponction avec la canule-aiguil
qui contiennent le caus-tique de Fillios. b Vis pour serrer l'étau à main auquel les cuvettes sont fixées, c Main droite du
s. b Vis pour serrer l'étau à main auquel les cuvettes sont fixées, c Main droite du chirurgien. Figure xii. Cautérisation
ion qu'on doit donner au laryngoscope de Czermak a, qu'on tient de la main gauche, l^a main droite enveloppée d'un linge b m
nner au laryngoscope de Czermak a, qu'on tient de la main gauche, l^a main droite enveloppée d'un linge b maintient la langu
dienne, dans un cas de polype du ven-tricule du larynx. Krishaber. a, main gauche tenant les pinces qui ont saisi le polype
shaber. a, main gauche tenant les pinces qui ont saisi le polype ; b, main droite tenant les ciseaux courbes qui coupent le
ain droite tenant les ciseaux courbes qui coupent le polype ; c at d, mains des aide.^ qui écartent les deux moitiés du carti
vii. Serre-nœud laryngien de Moura, pouvant être manœuvré d'une seule main . Figure xviii. Ligateur automatique courbe de G
incisions successives. La tète de l'enfant est maintenue par les deux mains d'un aide, dd; elle est légèrement renversée en a
60 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
qui consistent il apprendre aux enfants à se laver la figure et les mains et à s'habil- ler ; - 3° les exercices pour l'é
mains et à s'habil- ler ; - 3° les exercices pour l'éducation de la main , des sens et de la parole ; - 4° les leçons de
épuce au gland, etc.. Tout d'abord l'enfant porte inconsciemment la main il la vulve ou à la verge, éprouve du fait de c
e responsabilité et celle du personnel secondaire. Primitivement la main courante consistait en une rampe en fer, mainte
itique que nous en avons faite, l'architecte l'a remplacée par la main courante en bois avec gorge que vous voyez. 2°
s de cris, tics multiples (balancements, grimaces, agitations des mains , etc.). Bien que les organes des sens puissent
étées vers deux ans. - Affaiblissement paralytique du côté droit et mains en crochet, constatés ci deux ans et demi. - Tr
mbres inférieurs. - Abcès multiples du genou droit. - Brûlure de la main gauche à neuf ans et, peu après, premier panari
sort, etc. 1890. Furoncles, abcès. - Brûlure provoquée au dos de la main droite sans douleur. 1893. Phlegmon du coude
auche, qu'il marchait en tortillant et trai- nant la jambe, que ses mains étaient en crochet : «les doigts, dit-on, se re
projeté du foyer, il voulut le ramasser, tomba et posa le dos de la main gauche sur le charbon, sans s'en apercevoir : «
iolences passagères; rétraction du membre droit; malformation de la main Antécédents personnels. 7 droite, voûte palat
ieure du radius dont on ignore et la date et la cause. L'état des mains mérite une description détaillée. a) Main gauch
t la cause. L'état des mains mérite une description détaillée. a) Main gauche. - La peau de toute la main, surtout des d
te une description détaillée. a) Main gauche. - La peau de toute la main , surtout des doigls, Fi ! l. 3. '13 Paréso-an
'y a pas d'atrophie des éminences thénar et hypothénar (fig. 4). b) Main droite. - La peau est épaisse, principalement aut
la phalangette du pouce; mouvements très limités. La peau des deux mains est le siège de crevasses assez profondes. L'éc
pas non plus le contact de gros objets appuyés avec pression sur sa main . b) Sensibilité à la douleur. - Il Côté gauche
mètres l'une de l'autre. ' 2° Côté droit. L'anesthésie occupe, à la main les mêmes régions sauf que l'éminence thénar a
d'écartement. c) Sensibilité thermique. - Thcrmo-anesthésie de la main gauche dépassant l'analgésie de deux il trois t
gésie de deux il trois travers de doigt. - Thermo- anesthésie de la main droite ayant la même distribution que l'anal- g
D' Hobert Sollel. (du Havre). ... Marche DE la maladie. 15 de la main et du poignet jusqu'à une ligne passant à deux tr
de doigt au-dessus du pli articulaire. - A la face palmaire de la main , le malade reconnaît les objets qu'on lui fait sa
frottement de la béquille. Septembre. - Brûlure sur le dos de la main droite qui n'a occa- sionné aucune douleur. 1
ole. Il commence à faire des chaussures neuves. Son écriture (de la main gauche) est restée lisible, mais il sait à peine
lisible, mais il sait à peine lire. Sa tenue laisse à désirer. Ses mains surtout sont sales, pleines de cre- vasses ; il
qu'on lui adresse. La tenue est meilleure. Mars. - Phlegmon de la main droite; incision. Juillet. - Puberté. Pas de ch
qu'à la ligne droite; il peut les fléchir jusque sur la paume de la main , sauf l'auriculaire qui en resle très écarté, e
ment rouge. Il existe une induration pro- ? i. 5. Malformations DES mains . 19 fessionnelle de la moitié radiale de l'inde
'épaule et du coude sont libres; parfois, il y a des craquements. Main . Les doigts sont plus qu'à demi fléchis sur la pa
. Main. Les doigts sont plus qu'à demi fléchis sur la paume de la main , et dans leur totalité portés vers le bord cubita
u niveau de l'articulation phalango-métacarpienne (les doigts de la main droite sont bien moins cylindriques). Les produ
t sur le quatrième doigt. Sur les autres doigts et à la paume de la main , les épais- sissements paraissent dus à la prof
alangine du médius. Le malade prétend qu'il fatigue davantage de la main droite, bien qu'il s'en serve moins que de l'au
l s'en serve moins que de l'autre : « J'écris et je fais tout de la main gauche,» dit-il. Avant son entrée à Vaucluse, qua
à Vaucluse, quand il n'avait pas de béquilles, il marchait sur les mains . Il s'appuyait principalement sur les articulat
lonie de Vaucluse, il lui arrivait assez souvent de marcher sur les mains . Ici, il ne le fait qu'en jouant ou lorsque ses
ent ses béquilles. B... rappelle qu'autrefois les doigts des deux mains étaient placés en crochets. Ils se sont allongé
ent une idée des différences qui existent entre les doigts des deux mains . NOUVELLE DESCRIPTION DU malade. 21 1 22 PARÉ
ue le gauche, qu'il marchait en traînant la jambe droite et que les mains étaient en crochet. III. - Nous croyons donc de
ar une paralysie de la jambe gauche, et enfin c) par l'altitude des mains en crochet. IV. - L'arriération intellectuell
mbres supérieurs se seraient fortifiés et l'attitude en crochet des mains aurait notablement diminué. VI. - Nous nous bor
upérieure du radius, mutilations pathologiques de deux doigts de la main gauche, ankylose et altitude vicieuse du genou
nes- thésie, une analgésie, une thermo-anesthésie des doigts, des mains , des avant-bras jusqu'au voisinage du pli du coud
9 sorte d'hypertrophie des doigts. Signalons aussi l'attitude des mains en crochet et une atrophie, à droite, des éminenc
uivi la méthode de Erb. ' MEMBRE supérieur gauche A. Sensibilité. Main . Face dorsale '" ? 30 Paréso-analgésie DES extr
temps de la vie, on a remarqué aussi qu'elle portait fréquemment la main au front comme pour en chasser quelque chose. -
e, où les doigts sont contractu- rés et fléchis dans la paume de la main . Du côté gauche, les mouvements spontanés sont
e gémissement. Elle est dans le décubitus dorsal, les bras et les mains fléchis sur les extrémités des membres et dans un
reposent sur la poitrine, les doigts sont légèrement infléchis. La main droite est très fléchie sur le bord cubital, ma
eurs et inférieurs gros, courts, incurvés. - Etat pachydermique des mains et des pieds. Ongles petits poussant lentement.
reuse, sèche, sans transpi- ration habituelle, sauf quelquefois aux mains . Développement exagéré du tissu adipeux formant
e au premier temps à la base; cyanose des lèvres, de la langue, des mains , des pieds. - Respiration toujours gênée, sans
t. 36°,9, et 37°. 10 mai. - Un demi-lobe. T. Il. 37°, 5 et 38°. Les mains et les pieds, qui avaient une coloration rouge
remué sans cesse. T. R. 38°, 8. Un gramme de glande thyroïde. - Les mains se dégonflent de plus en plus. Les cheveux tomb
ue ne sort plus; la face est moins bouffie, la coloration rouge des mains atout à fait disparu. - Soir : T. R. 39°, 4. lt
rme à la suite d'un tremblement qui l'empêchait de se servir de ses mains . - Grand'mère maternelle, 80 ans, sobre, devenu
e distinct. Cou. - Le cou est court : on sent très bien sous la main les anneaux de la tra- chée et les cartilages d
IQUE. IDIOTIE avec cachexie PACHYDERMIQUE. 67 avant-bras et les mains sont bouffis : et cette bouffissure est nette
es sont petits (4 mm. à peine). j, L'eufant serre bien des deux mains et ni it l'oeil, ni aux me". surations il n'y a
as sont rapprochés du tronc, les avant-bras demi- fléchis dans la main , le pouce écarté en dehors. Du moi- gnon de l
le diviser dans le creux de l'ai- selle en plis secondaires. La main est globuleuse, la peau y est bouffie, vioiacée
s modifications se produisent déjà dans l'aspect cle l'en- fant Les mains qui étaient de coloration rouge vineux ont pris
er ; sa figure parait moins bouffie, la coloration rougeâtre de ses mains a tout-il-fait disparu. La langue est rentrée d
presque généralisée, plus abondante sur le ventre, la verge et les mains . Sillons dans les espaces interdigitaux (gale).
bras droit est pendant le long du thorax, l'avant-bras 11Üehi. la main tout à fait fléchie. - D... est toujours gâteux,
ontre le tronc, l'avant-bras presqu'à angle droit sur le bras et la main à angle droit sur le poignet (Pif], 13). D... m
jetait 108 Description DU malade. tout ce qui lui tombait sous la main , frappait ses frère et smur, Il aurait été prop
nt traîne la jambe droite, peut cependant sai- sir les objets de la main droite, mais ne les garde que quelques instants
on lui pose, tire la langue, rit, déchire tout ce qu'elle a sous la main . 28 octobre. - Pern... décline de plus en plus.
edémateux, sans conserver toutefois, ainsi que les pau- pières, les mains , les pieds, l'empreinte du doigt qui les compri
incurvations ra lritiques. Leurs articulât ions sont noueuses. Les mains et les pieds, souvent cyanosés, sont ramassés,
dit qu'elle marche très lentement et lourdement en la tenant par la main . Elle n'est pas propre. Elle ne dit que deux mo
u est sèche, pas très épaissie. Rien au niveau des articulations. Mains violacées, froides. Membres inférieurs . - Légè
qu'elle fasse du bruit. 8 février. - Desquamation des pieds et des mains . Dispa- rition du tremblement des mains. Respir
squamation des pieds et des mains. Dispa- rition du tremblement des mains . Respiration facile, la bou- che fermée. Bave p
nt aperçoit ses parents, elle rit, pousse des « ga, ga », agite ses mains pour exprimer sa joie. Ses mouvements sont deve
. Desquamation du menton. B.. est grognon, mord continuellement ses mains , souffre des dents, dont deux viennent de perce
gestes, elle dit merci, bonjour, non. Elle est toujours gaie.- Les mains et les pieds sont normaux, les doigts effilés.
le, se plait beaucoup dans son chariot, enfin marche tenue par la main . Elle comprend bien le jeu, est très joueuse ; il
a face est redevenue bouffie, les lèvres épaisses et déformées; les mains , les pieds ont de nouveau augmenté de volume et
utre, crises den- taires. - Desquamation abondante, prédominant aux mains et surtout aux pieds qui changent de peau. Luci
ve la rapproche des enfants normaux. Elle marche bien, tenue à la main et il est probable que, sous peu, elle marchera s
si que les ongles qui cassent facilement. Cyanose des téguments des mains ; sous les aisselles graisse assez abondante.
cun malaise, dort bien. La desquamation commence aux pieds et aux mains . 28 février. Une enfant la fait tomber, ce qui
ères violentes quand on veut la placer dans le chariot, se mord les mains , se cogne la tête, trépigne, pousse des cris ép
est très joueuse, taquine. Elle ne veut marcher qu'à, l'aide de la main ou d'une chaise, va trop vite et tombe, ce qui l'
diarrhée. - Kr... aime iL être propre et dès que sa figure ou ses mains sont sales, elle vient vers les infirmières pour
gauche était paralysé. L'avant-bras était fléchi, le pouce dans la main . Pendant 14 jours, l'enfant n'a pas quitté le l
it toujours resté paralysé ; l'enfant avait de la peine à porter la main sur la tète ; on devait l'habiller et le déshabil
s'en servir. Le bras est accolé au tronc, l'avant-bras -fléchi, la main pendante, la face dorsale en avant. Au membre i
, sans voracité, mais malproprement, se barbouille le visage et les mains . La mastication s'effectue d'une façon -convena
s deuxième et troisième orteils des deux pieds qui sont creux. A la main gauche, cicatrice consé- cutive probablement à
aire cariée. - Décembre : plaie tranchante de la face dorsale de la main droite. 1890. Juillet. - Même traitement. - Pub
61 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
Si je demande à cette femme comment s'appelle ce que je liens à la main et qui me sert à écrire sur ce tableau noir, vo
tuel était régulier. La pression dynamométrique était de 35 pour la main gauche et de 40 pour la droite. Pas d'asymétrie
ait, qui montait dans la jambe. En même temps le malade portait ses mains sur le membre gauche et le serrait fortement au
ployés, brisait et déchirait tous les objets qui tombaient sous ses mains , de façon qu'on a été obligé de l'isoler dans u
blié par MM. F. Raymond et P. Janet sous le titre : Déformation des mains en pinces de homard chez une épilepti- que (2).
Fig. 1. - Ectrodactylie et Syndactylie affectant la disposition de la main « en pince de homard ». (Obs. de F. RAYMOND et
rvation d'Hypertrophie congénitale des doigts médius et index de la main gauche par M. R. Cestan (1). On trouvera dans l
lie : sexdigitaire complet ; auriculaire supplé- ,mentaire aux deux mains et aux deux pieds ; orteils « en coup de vent »
- Un autre cas de polydactylie : annulaire supplémentaire aux deux mains et aux deux pieds; auriculaire supplémentaire dén
aux deux pieds; auriculaire supplémentaire dénué de squelette à la main gauche. III. Un cas de syndactylie des doigts i
s. Dans sa jeunesse, il fut opéré de son doigt supplémentaire de la main gauche. Actuellement, il est encore porteur d
gauche. Actuellement, il est encore porteur d'un sixième doigt à la main droite et aux deux pieds. A la main droite, c
rteur d'un sixième doigt à la main droite et aux deux pieds. A la main droite, ce doigt surnuméraire se détache du bord
a précédente en se dirigeant obliquement vers le bord cubital de la main ; chez notre premier sujet, c'est l'inverse que l
t comparable à celui que Brissaud, puis Feindel, ont décrit pour la main sous le nom de « déviation des doigts en coup d
celle de l'auriculaire surnuméraire que nous avons constatée sur la main gauche du sujet dont nous avons publié les radi
ERT LONDE ET HENRY MEIGE II La planche IV (A et B) représente les mains d'une femme qui porte à droite et à gauche deux
rd cubital, il prend naissance entre les deux derniers doigts de la main : c'est vraisemblablement un annulaire supplément
la main : c'est vraisemblablement un annulaire supplémentaire. A la main droite, la déformation est particulièrement intér
Mais ce n'est qu'une ressemblance, car tous les autres doigts de la main sont normaux et dans la « pince de homard » vér
estige d'une tête de quatrième mé- tacarpien supplémentaire. A la main gauche, l'anomalie digitale est tout autre. Il s'
ier, le cinquième métacarpien se continue sur le bord cubital de la main par une phalange, une phalangine et une phalanget
e révèle l'existence que d'un doigt sur- Z) - .. ? numéraire a la main gaucne. uepen- danl l'inspection de la main du
- .. ? numéraire a la main gaucne. uepen- danl l'inspection de la main du sujel montre qu'il existe encore un autre
guration extérieure de ces cu- rieuses anomalies digitales : Ú la main droite, un annulaire bifurqué en Y ; à la main
s digitales : Ú la main droite, un annulaire bifurqué en Y ; à la main gauche, un bouquet digital formé de deux doigts
onde et IIe.niiy l\I¡;IGE,) Fig. 1. Annulaire supplémentaire à la main droite ; annulaire et auriculaire charnu surnu-
main droite ; annulaire et auriculaire charnu surnu- méraires à la main gauche. (Obs. II. A. Lom et Henry Meige.) NOLV.
ographie reproduite Pl. VII peut donner une idée. Les anomalies des mains sont multiples. Outre la syndactylie qui porte
formées et offrent des surfaces d'articulation irrégulières. A la main gauche, les premières phalanges sont bizarrement
presque impossible de décrire la charpente osseuse des doigts de la main droite, l'arrêt de développement ayant complèteme
.). L'anomalie porte ici, non seulement sur les doigts, mais sur la main et même sur le squelette du poignet. C'est une
131. (2) A. Souques et HENRI LECI.EliC, Un cas de bidaclylie de la main droite. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1894,
nc. des se. méd., art. Doigt.) Fig. 6. - Un cas de bidaclylie de la main droite (cas de A. Souques et II. Leclerc.) AP
tites phalanges beaucoup plus petites que la seconde phalange de la main gauche ne remuaient pas séparément. Les tendons
ser la connexion des doigts supplémentaires avec le squelette de la main et d'acquérir des notions que le simple palper
des deux pieds accompagnée d'ecl1'odactylie avec syndactylie de la main droite. Cette observation est accompagnée de phot
evés, vient nous consulter parce qu'il ne peut plus se servir de sa main gauche. Il y a un mois et demi en voulant reten
ment il reste inhabile, laisse échapper tout ce qu'il tient dans la main de ce côté, sans ressentir du reste de douleur, b
e ce côté con- tre 35 à droite, mais notre malade exerce surtout sa main droite. La sensibilité au premier abord ne para
réognostique est par contre absolument absent ; qu'on mette dans la main des objets très usuels, une montre, une clef, une
pièce de monnaie, un crayon, du bois, de l'étoffe, du papier que la main droite reconnaît instantané- ment, le malade ne
reconnaît instantané- ment, le malade ne peut dire ce que tient sa main gauche; il dit c'est chaud, c'est froid, c'est
insensible. Depuis ce moment elle a toujours « comme l'onglée » la main gauche et tout ce qu'elle veut saisir de cette
e l'onglée » la main gauche et tout ce qu'elle veut saisir de cette main lui échappe. Nous constatons d'abord que les de
troubles- de sensibilité, mêmes réflexes rotuliens un peu forts. La main gaucho n'amène que 22 au dynamomètre tandis que
oureuse, et bien localisée ; il y a à gauche sur l'avant-bras et la main une certaine hy- peresthésie au froid et au cha
bien conservée, de même que la notion de position dans l'espace, la main gauche est toujours immédiatement saisie par la
s l'espace, la main gauche est toujours immédiatement saisie par la main droite dans quelque direction qu'on la mette. Le
compas de Weber marque un écart plus' considérable au niveau de la main et de l'avant-bras gauche avant que la malade p
deux piqûres. . Le sens stéréognostique est complètement aboli. La main gauche ne reconnaît ni une allumette, ni un cra
c plus aucun élément pour con- naître l'objet qu'on a mis dans leur main ; joignez à cela que souvent leur sensibilité m
il faut bien admettre avec Wernike qu'il est double puisqu'avec la main saine les objets sont immédiatement reconnus. M
ent nos renseignements bien péniblement recueillis, la piastre à la main . 58 ? 13 CHARCOT L'amyotrophie porte sur la t
ocument pictural se rapportant à ce genre d'opération. Il est de la main d'un peintre allemand du 1VIIIe siècle, Dietric
fs, le vieux chirurgien emploie des procédés énergiques. A pleine main , il empoigne son malade par les cheveux et lui ma
mme les agitations des jambes peuvent, elles aussi, faire dévier la main de l'opérateur, ce dernier a jugé bon de paralyse
l'l1oise,cauteleusc, C'est un traître qui s'avance le poignard à la main pour surprendre sa victime (Fig. 18). Fig. 17
les coudes au côté, les avant-bras horizontalement t en avant, les mains fermées. Pour marcher, on lance la jambe en avant
ations et des muscles. La méthode des empreintes a donné, entre les mains de M. Gilles de la Tourette, d'excellents résul
une légère hypoesthésie au niveau des deux der- niers doigts de la main droite. Les réflexes patellaires sont conservés :
l sont très intéressantes; il décrit le lichen ruber des paumes des mains et des plantes des pieds chez une malade qui so
rison complète. III. Un officier de 22 ans. Le lichen ruber sur les mains , les pieds et la nuque. La distribution de l'ér
t groupées formant des stries cornées qui traversent les paumes dos mains du côté radial jusqu'à l'hypothenar. Outre cela l
ôté, la fesse, et la plante du pied. On remarque sur la paume de la main des petites papules planes, isolées el conlluen
lade ne fut jamais en état de faire un travail pénible parce que sa main gauche est affaiblie. De même il se fatigue vit
mine, tandis que le côté droit reste sec. La force musculaire de la main gauche, mesurée par le dynamomètre Mathieu, se
e sensiblement diminuée en comparaison de la force musculaire de la main droite; ainsi, pour la main gauche, elle égale 30
omparaison de la force musculaire de la main droite; ainsi, pour la main gauche, elle égale 30, pour la main droite, 120
la main droite; ainsi, pour la main gauche, elle égale 30, pour la main droite, 120. L'électro-excitabilité des muscles
t le long de l'axe du tronc. L'éruption disposée sur la paume de la main présente sur ses parties pé- riphériques une co
e on a trouvé les altérations suivantes : la force musculaire de la main gauche sensiblement diminuée en comparaison à l
a main gauche sensiblement diminuée en comparaison à la force de la main droite; ainsi, d'après le dynamomè- tre Mathieu
de la main droite; ainsi, d'après le dynamomè- tre Mathieu, pour la main gauche elle égale 50, pour la main droite 150.
e dynamomè- tre Mathieu, pour la main gauche elle égale 50, pour la main droite 150. Les réflexes tendineux, cutanés et
ette de tambour » qu'il présente au plus haut degré, aussi bien aux mains qu'aux pieds. On peut se rendre compte par la r
rs bords. (PI. XV, C). Nous avons radiographié, par comparaison, la main de l'enfant de 6 ans qui accompagne sur la phot
e phalange porte surtout sur les parties molles. Au contraire, la main de l'autre infantile, du type Lorain, âgé de 17 a
deux malades apparaît dans toute son évidence, quand on compare la main presque achevée de cet enfant de 17 ans, à cell
depuis trois ans. Il présente une lame osseuse comme la paume de la main dans le grand dorsal droit, une deuxième lame f
e Pincus il y avait une stase vei- neuse très prononcée au nez, aux mains et aux extrémités inférreures, à partir du geno
i obscurcissaient le résultat ; l'électricité a déterminé,entre les mains de Munchmeyer, la cyanose et des accidents d'une
is qu'elle est de 35 à gauche. Tous les mouvements des doigts de la main et du bras sont libres. Les réflexes tendineux
ni absolument, ni relativement. En engageant la malade à.serrer la main d'une façon continue, on voit au bout de quelqu
ouvements de l'avant-bras s'exécutent bien, il en est de même de la main et des doigts qui sont, exceptionnellement attein
au niveau de la tabatière anatomique; dans celui de Nicoladini, la main droite était dans l'extension forcée. Munchmeye
patte d'oie. Les jambes et les pieds, comme les avant-bras et les mains , sont rare- ment touchés ; Minkewitsch a noté l
univoques, on s'en rendra compte par le court exposé suivant. Aux mains , Godlée a signalé une déviation des deux pouces v
ion, l'iodure de potassium, a donné des résultats douteux entre les mains de Skinner et de plusieurs autres ob- servateur
ents successifs, qui diminuent d'amplitude en approchant du but. La main ne plane pas ; de plus, l'objet une fois saisi es
La main ne plane pas ; de plus, l'objet une fois saisi est bien en main . Plusieurs fois, en voulant prendre sur sa tabl
us les yeux du patient une pierre qu'il dissimulait dans une de ses mains et qu'il affirmait être sortie de la tête. La far
rurgie popu- laire, toujours reléguée au second plan, un bâton à la main , un fichu sur la tête, rébarbative et rechignan
un noeud de rubans, vêtu d'une casaque à larges crevés, appuyant sa main (1) N' 244 du Catal. F. Schlie, 1882. B. H. 27,
ai fortement usé. - Dans le fond, un malade tenant un bâton de la main gauche et portant son bras droit en écharpe.
s manières. Gracieux profil, fine moustache, longs cheveux bouclés, mains délicates, doigts effilés : c'est un gentilhomm
eveux en bon ordre, le chi- rurgien, tout de noir vêtu, palpe de la main gauche les bords de la plaie béante, tandis que
e pro- fil à gauche, sur un fauteuil auquel elle se cramponne d'une main , levant son autre bras en l'air, le poing fermé
rière le cou de la femme afin de refréner ses agitations, et, de la main droite, il s'apprête à opérer sur le front au m
de chirurgien, homme grave, attentif à son opération, fait avec la main droite une incision sanglante sur le front de son
le tableau de Madrid, le malade est tourné il droite ; il joint les mains au lieu de croiser les bras, il grimace horrible-
pris encore devoir ce chirurgien armé pour la bataille opérer de la main gauche. Assurément l'on peut être gaucher et mani
est vrai, supposer encore, selon l'avis du Dr Liétard, que les deux mains du chirurgien concourent à l'opération, « la main
rd, que les deux mains du chirurgien concourent à l'opération, « la main droite, qui paraît simplement posée sur la tète
i de faire sortir un liquide d'un kyste, opération dans laquelle la main non armée aurait fait le principal ». Voici enf
ne parle pas des gravures où les originaux sont retournés ; là, la main droite devient la main gauche et réciproquement .
res où les originaux sont retournés ; là, la main droite devient la main gauche et réciproquement . Uae 01'(;1\ ITlO : '
e savoir à quelle opération se livre cet inciseur de crâne. D'une main , il entaille largement; de l'autre, appuyée sur l
n criant : « ma tèle, mi tète ». Puis régions diiis lltlléïéll.itible mains , en criant : « ma tête, ma tète o. Puis elle to
unication avec la ma- lade que parle procédé suivant : On saisit la main droite, on allonge l'index de celte main, et on
édé suivant : On saisit la main droite, on allonge l'index de celte main , et on lui fait décrire les lettres des mots dont
vers le petit doigt et le petit orteil. Au contraire sur le dos des mains la sensi- bilité augmente du bord cubital vers
Les surfaces dorsales des pieds sont plus sensibles que le dos des mains . Autour du 1 /3 moyen de la cuisse, de la jambe
sibilité douloureuse est grande (les plis de la région palmaire des mains qui recouvrent les articulations des doigts).
les sensations douloureuses, surtout sur les faces pal- maires des mains . Les indications de l'algésimètre donnent non s
en nour- rice. A l'âge de trois semaines, bulles de pemphigus aux mains et aux pieds ; puis coryza ; puis augmenta lion
i. Il avait été renversé par une voiture qui lui avait passé sur la main droite et sur le membre inférieur droit. Ce mem
se prit une semaine après ; plus tard, atteinte des épaules et des mains . Au ni- veau des deux coudes, tuméfaction avec
tour des côtes. Ossification des sterno-mastoidiens fixant la tête. Mains et poignets libres ; ankylose des coudes à angl
e, immobiles. Les deux bras sont très rapprochés et fixés au tronc; main droite et avant-bras gauche sont mobiles. Fixat
des bras, avant-bras gauche fixé à angle droit, l'avant-bras et la main gauches offrent une certaine mobilité. Cuisses fi
L'humérus droit reste éloigné du tronc. Les coudes sont fléchis. La main droite est dans l'extension forcée. Les deux om
, incapables de se contracter. Musculature de l'avant-bras et de la main normale. Motilité abolie dans l'articulation du
70°, la flexion extrême peut aller jusqu'à 50°. L'avant-bras et la main , sauf la malformation Fig. 4. Myosite ossifiant
de 10°. Biceps et articulation du coude normaux. L'avant-bras et la main , sauf l'an- kylose congénitale de l'articulatio
ieure de la région fessière ci épaississement du fémur à largeur de main au-dessous du grand trochanter. La hanche est l
complète ; le bras se remue en masse avec l'omoplate. Avant-bras et main droite normaux sauf la difformité congénitale du
t un peu raide. Les articula- tions du coude, des avant-bras et des mains sont normales. Ankylose de l'arti- culation pha
oraux. Atrophie du deltoïde. Avant-bras en flexion et en pronation, mains croisées ; mouvements des avant-bras très limit
cubital antérieur on voit une lame osseuse,mobile. Mouvements de la main gauche plus limités que ceux de la droite. Muscle
s de la main gauche plus limités que ceux de la droite. Muscles des mains et mouvements des doigts normaux. Lame de 3 centi
nt entièrement réu- nies au fémur. Une lame osseuse, large comme la main , appartenant au droit antérieur de la cuisse, s
du tronc de 10 centimètres, fléchi à angle obtus. Mouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des muscles du
a main et des doigts normaux. Atrophie des muscles du bras et de la main .Dans le brachial antérieur une masse osseuse sous
raquement. Duf... pouvait remettre sa tête en place en s'aidant des mains ; la correction se faisait brusquement, de même qu
Duf... peut porter ses bras dans toutes les directions, mettre les mains sur sa tête, etc. Mais tandis que le bras gauche
suite donne lieu à des craque- ments que l'on perçoit en posant la main entre les deux omoplates. Les mouvements des br
odosités de Mouchard existent au médius et à l'annu- laire des deux mains . En outre, sur la partie moyenne de la face dorsa
iant à droite sur une étendue du crâne d'une surface large comme la main . Les mouvements actifs ou passifs se passant da
et un peu au-dessus, de chaque côté, sur une surface large comme la main , allant des dernières côtes il l'os iliaque. De p
ne (position très instable, qui ne peut guère être prise que si les mains ont un appui). Si nous examinons Duf... commenç
e met en génuflexion gauche, prend un point d'appui avec une de ses mains , incline tout le corps du côté où se trouve cet
tout le corps du côté où se trouve cet objet qu'il ramasse avec sa main libre (PI. XXXVIII, 8). Pour ôter son pantalon,
s la jambe sur la cuisse, le pantalon est soulevé à la portée de la main , et Duf... n'a plus qu'à le faire glisser au delà
ure de la cuisse gauche reposent seuls sur le bord de la chaise. La main peut être glissée sous l'ischion gauche (PI. XX
e de scs'oreillers, Duf... s'assied sur le bord du lit. Il place sa main droite sous sa cuisse droite, puis raidissant s
des muscles de la face ainsi que la sensibilité sont normales. La main droite paraît un peu plus développée que la gauch
ique notable. En hiver, joue droite plus froide, siège d'engelures. Main droite un peu plus développée que la gauche. Pa
11 cent. à droite, 0 m. 11 cent. à gauche. Dans les dimensions des mains il y a une très légère différence à peine ap- p
tôt c'est le membre supérieur correspondant (Arnheim, Stembo) ou la main du môme côté qui sont seuls hypertrophiés (Ziehl)
ivres. Relativement au reste du corps qui est bien proportionné les mains et les pieds sont énormes; la bosse frontale ains
ude gauche, le droit offre encore quelques mouvements incom- plets. Mains et doigts libres. Aux membres inférieurs tous les
rmes qu'à l'état normal. Mus- cles de la face des avant-bras et des mains complètement libres. Le gros orteil, des deux c
vêtue, capuchonnée de blanc, une couronne sur la tête, tient de la main gauche un livre entr'ouvert, et de la droite une
'appuyant de son bras droit sur le sol, et tenant une sébille dans la main gauche. Il lève vers la Sainte un regard éploré
ère, no 6, 1817. 400 HENRY MEIGE visibles sur les doigts des deux mains . Mais ce qui attire surtout l'atten- tion, c'es
garée. Comme président du Comité, j'ai l'honneur de remettre en vos mains l'oeu- vre que M. Falguière et M. Samson ont él
rcot : Elargir le domaine de la science, en livrer la culture à des mains françaises. Je leur confie l'exécution de ce va
près, enfin dans un second temps ils sont obli- gés de déplacer les mains , de les retourner pour mettre le fond de chaudièr
econd temps, c'est-à-dire au moment où notre homme avait changé ses mains d'attitude, et poussait devant lui un objet lou
A) Station ASSISE.- 1° Le tronc étant droit, les bras en avant, les mains sur les genoux. Il y a une déformation apprécia
de ces diverses déformations. 2° Le tronc est incliné en avant, les mains sur les genoux. La déformation est à peu près i
et elle tomba dans un sommeil profond dont elle ne sortit le lende- main que tard dans la matinée. Dès le réveil, on const
n du 26 avril, on ne .note plus que quelques rares mouvements de la main droite, l'arythmie a dis- paru, la malade a rep
- maines. Il remarqua alors un gonflement mou, comme la paume de la main , très douloureux à la pression au début, puis p
ètres de longueur et de largeur, elle va jusqu'à l'articulation de la main , sans limites précises, dans la portion tendine
é). Rien sur le système os- seux, pas de déformations congénitales ( main , pied). Le 16 novembre 1894. Incision de la tum
oit des pointes osseuses. Stase veineuse très prononcée au nez, aux mains et aux extrémités inférieures à partir du genou
vements du coude limités ; extension possible 135°, flexion 35°. La main peut être portée à 3-4 centimètres au-dessus du m
orer que des doigts trop grossiers d(\nallll'c1l1 le souvenir d'une main il l'élégance vrai- ment patricienne ? . - On
d'un ensemble. Paysages naïfs, mais témoignant déjà d'une sûreté de main peu commune et d'une rare justesse d'observation.
sain. Mais Nicher est aussi sculpteur : et voilà que, pétris de sa main , des masques, des statuettes, reproduisant d'ap
e des anciennes fabriques de Dcift oui été des- sillés de sa propre main (PI. LIV). Tel émail qui semble avoir élé conse
biliers. Que de plats, que d'as- siettes ont été transformés par sa main en petits tableaux connueuiora- til's ! (l'1. L
quissés au'crayon. et écrivait les légendes. Il existe ainsi, de sa main , plusieurs volumes d'impres- sions en images.
leur des mots. Son abord était froid, son bonjour imperceptible, sa main n'avançait qu'a demi et ne répondait guère à l'
culte il honorait Shakspeare, qu'il avait lu, relu cl annoté de sa main . La philosophie du dramaturge anglais lui étail p
62 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
du cœur. Parfois, bouffées de chaleur à la face. Elle sue un peu des mains et des aisselles. L'ouïe, conservée à droite, e
ras et au bras: l'épaule seule est restée volumineuse. En appuyant la main sur cette articulation et en fai-sant exécuter de
se à une grande profondeur; le troisième avait reçu une balle dans la main . Tous ces projectiles ont été extraits. Le tétano
'rmnios. Une sage-femme qu'elle avait appelée dit qu'elle sentait une main , et après avoir fait plusieurs explorations alla
age-femme l'ont touchée une dizaine de fois, et ont môme introduit la main entière dans le vagin. A partir de ce jour, le mé
a tète de l'humérus, ainsi qu'on peut le constater en introduisant la main dans l'aisselle. Il existe donc une luxation intr
tait encore possible, mais la marche im-possible. Le jour suivant les mains , les genoux, les jointures des pieds éiaient gonf
ouloureuses. Chaleur fébrile, selles involontaires. A son entrée, les mains étaient gonflées, roidex et douloureuses, avec ro
placées. Le troisième jour, eschare au sacrum — IVndanl dix jours les mains restèrent rouges, douloureusi s, roides et. gonfl
restèrent rouges, douloureusi s, roides et. gonflées. Le 8 avril, les mains étaient encore gon-flées et érythéinateuses. Poul
ux, parfois contraction des membres, mais pas de rigidité permanente; mains gonflées, roides, mais moins lés cas de Gull1 e
eschares, — sont ap- vouges; épaules plus libres. — 22 avril : les mains ont leur aspect normal et ont perdu leur roideur.
t plus luisant et l'œ-dème plus distinct que dans le rhumatisme, i es mains étaient également affectées, bien qu'il n'y eût p
des membres. En juin, le malade marchait seul. Durant le sommeil, les mains et. les poignets, les jointures des pieds, devena
— 5° que Yavant-bras l'orme un angle droit avec le bras ; — 4° que la main , et nous insistons sur ce point, est tout à fait
his. Quant au pouce, il pend en dedans et est accolé à la paume de la main . Les mouvements de l'épaule sont assez étendus
i com-ment elle procède : elle maintient la partie déjà pliée avec la main gauche pendant que la droite prépare un second pl
a malade nous raconte que, parfois, lorsqu'elle s'ingère d'étendre la main gauche, il survient presque aussitôt des spasmes
par la vue d'un de ses voisins qui est atteint d'une paralysie de la main droite1. Elle a allaité son enfant jusqu'à sept
eurs dans la demi-flexion. Les doigts sont fléchis sur la paume de la main . — Œdème. Au toucher, nous trouvons le col effa
et près de cinq centimètres d'épaisseur l. Les os du pied et de la main sont exempts de toute altéra-tion. Nous avons s
ent elle procède : elle rapproche les bords qu'il faut coudre avec la main gauche, puis les maintient avec son moignon; cela
es maintient avec son moignon; cela fait, elle prend l'aiguille de la main gauche et la besogne marche vite. Elle est colori
I... se plaint d'un sentiment d'en-gourdissement dans les pieds, les mains et les mollets. Les spasmes musculaires sont plus
ant-bras, à peine fléchi, se soutient sur le devant de l'abdomen ; la main est fortement fléchie, à angle droit, sur l'a-van
XVI.) La malade élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au front ; l'abduction et l'adduction sont gênées
E A T T I T L' I) Ë D E S M E M II li E S tenant l'aiguille de la main gauche et soutenant son linge avec l'au-riculaire
elle souffrirait plus qu'à toute autre époque. — La contracture de la main serait aussi plus prononcée lorsqu'il survient de
orte qu'au membre 1 La planche XVI indique bien les différences de la main et des avant-bras. supérieur. Au palper, le gen
ée avec succès le pre-mier : il consiste à pousser l'instrument d'une main , à guider de l'autre son extrémité au moyen de l'
atteint est superficiel, le tégument peut rougir. Si l'on porte les mains sur les parties malades, on détermine une douleur
,8 à peine. 24 février ; une heure. Le malade vient de mourir. A la main , les membres sont un peu moins froids qu'à minuit
n objet. Lorsqu'il veut boire, par exemple, il prend un verre avec sa main droite, l'ap-plique contre sa poitrine et l'y mai
-bras gauche; alors, saisissant de nouveau les bords du verre avec sa main droite, il le soulève avec les parties qui consti
ec sa main droite, il le soulève avec les parties qui consti-tuent sa main gauche, et parvient ainsi à l'amener jusqu'au niv
e bras est bien conformé; il en est de même de l'avant-bras ; mais la main présente la disposition ana- tomique suivante :
ieur droit. C, jambière à rallonges. pemcnt du bras gauche et de la main droite (hémimélie), et un arrêt de développement,
roides, et qu'il était obligé de saisir en enfonçant profondément ses mains au milieu des bottes de foin ser-rées les unes co
contre les autres. État actuel. — L'éruption qu'il porte occupe les mains , les pieds et les parties sexuelles. Aux mains, l
qu'il porte occupe les mains, les pieds et les parties sexuelles. Aux mains , l'éruption est parfaitement sy-métrique. Le dos
elles. Aux mains, l'éruption est parfaitement sy-métrique. Le dos des mains , principalement au niveau des articu-lations méta
, et qui lui donnent l'apparence d'une langue de chat. La paume de la main offre des callosités, des duril-lons assez marqué
travail. Aux pieds, l'éruption a les mêmes caractères qu'au dos des mains , un peu moins marqués peut-être. Les plaques gris
s, sont recouvertes de squames d'un gris plus jaunâtre que celles des mains et des pieds. Elles sont plus petites, ne sont pa
couvert la peau rouge rosé, mais d'une coloration moins foncée qu'aux mains . Ces squames sont plus molles ; elles n'ont pas l
fection squameuse. — Les plaques épaisses qui recouvraient le dos des mains et les pieds étaient bien des squames, et non des
échée. Aux parties génitales, les squa-mes étaient moins dures qu'aux mains ; elles avaient une certaine REVUE PH OTOGR AP
qu'une partie non atteinte en apparence par l'affection, la paume des mains , est le siège d'une desquamation épidermique. Nou
'affection? Ce psoriasis est nettement limité: il occupe le dos des mains et les pieds, les parties sexuelles ; il est symé
ut. de nat. arthritique et dartreuse, Obs. XVI, p. 461), la paume des mains et la plante des pieds sont le siège principal de
asis à la plante, au talon, puis sur la face dorsale des pieds et des mains . Cette différence est insuffisante pour faire de
mière apparition du mal, L... était briquetier; il façonnait avec ses mains la terre à brique, mar-chant dans un sol détrempé
chez un grainetier, et là est obligé à chaque instant de fourrer les mains dans des bottes de foin comprimées, à bords rogné
ds rognés, où il est très-exposé à s'écorcher, à se couper le dos des mains . Cette influence extérieure seule n'ex-pliquerait
urait agi, croyons-nous, au plus que comme cause provocatrice; et aux mains , du moins, ce psoriasis scarlatiniforme pourrait
ressive. — Début remon-tant à douze ans environ. — Déformations de la main , de l'avant-bras, du bras et du thorax, principal
it alors corroyeur, et il nous dit qu'il était toujours appuyé sur la main gauche et qu'il fatiguait beaucoup. Pendant longt
ar le bras gauche, celui où les déformations sont le plus accusées. Main gauche. —L'abducteur du pouce est atrophié; la sa
plus récente, a produit des déformations beaucoup moins ac-cusées. Main droite. — Les muscles de l'éminence thénar sont c
-tement atrophiés; le doigt indicateur est fléchi vers la paume de la main , on ne peut le redresser que difficilement; les a
-seulement de chemise, mais aussi de draps; actuellement la paume des mains est encore moite. Les pau-pières, à gauche, sont
ns la veine, et l'on retire le stylet. On prend alors le flacon de la main gauche, et on manie avec la droite la pompe de co
u'à mon sens elle comporte, trace cependant avec une grande sûreté de main les traits les plus saillants de ce symptôme. C'e
ent qu'une à la fois. L'exploration la plus soigneuse, faite par la main la plus exercée, ne peut, après l'expulsion du ca
s mis dans une gouttière est maintenu dans une po-sition déclive ; la main et l'avant-bras sont plus élevés. Je prescris d
ujours à arroser le pansement. La peau est chaude, sèche, âpre à la main ; cependant il n'y a pas un état fébrile, bien fra
ais, outre le mouvement que montre celte figure, Gimel peut porter la main à la bouche, en inclinant un peu la tête ; il peu
vant-bras en arrière et le lléchir dans cette position pour mettre la main contre la colonne vertébrale. Ainsi il y a rotati
as se fléchit très-bien sur le bras, et Gimel a l'usage complet de sa main , sauf lorsqu'il faut la porter en dehors, l'avanl
, fléchi sur le bras. Alors il est obligé de la conduire avec l'autre main . Ainsi il écrit, et il a adressé une longue lettr
onne reconnaissance à madame Gross, mais il est obligé de conduire sa main droite avec l'autre, pour lui faire suivre le mou
de la tumeur, une incision ovalaire, le chirurgien, sai-sissant d'une main les bords de la plaie, qu'une dissection peu éten
la séparation des té-guments par arrachement, en s'aidant de l'autre main qui dédolait, ainsi qu'on l'eût fait avec un inst
consiste en une flexion de l'avant-bras avec pronation, flexion de la main et des doigts. Si l'on opère par force l'extensio
squement encore, la flexion des doigts se complète spontanément et la main se redresse légèrement ; l'at-titude primitive s'
. Plus loin (p. 72), achevant la description des déformations de la main , il ajoute : « Lorsque l'hémiplégie s'est produit
développement de l'individu, et surtout dans la première enfance, la main qui est le plus souvent en flexion, au lieu d'acc
bué, d'ailleurs avec réserve, par M. Bouchard, aux déformations de la main chez les personnes paralysées depuis leur enfance
ysée dès l'âge de 17 mois. Chez cette dernière malade, en effet, la main forme avec l'avant -bras un angle droit. Nous ret
bout de deux mois. A une certaine époque, gonflement du bras et de la main ; cet accident reviendrait de temps en temps. É
s-légère de l'avant-bras sur le bras et des doigts sur la paume de la main . La malade ne peut étendre ni l'avant-bras, ni le
rd, mais elle le soulève. Les doigts sont fléchis dans la paume de la main ; il lui est impossible de les étendre. — La face
ens. Mars 1867 (Note de M. Lépine). 11 y a quelques jours, les deux mains étaient semblables au point de vue de la températ
mblables au point de vue de la température. Au-jourd'hui, 24 mars, la main , l'avant-bras, et le bras sont plus froids à droi
ids à droite. La différence est beaucoup moins grande aux bras qu'aux mains . De même pour les membres inférieurs, le pied, la
médiaire. Veut-on aller plus loin, on est arrêté par la douleur. La main est à angle droit sur l'avant bras, les doigts so
endraient plusieurs fois par jour. — Elle serre encore un peu avec sa main ; elle porte même des objets assez pesants, lorsq
rès-ancienne, l'attitude générale des membres, les déformations de la main , des doigts, se rapprochent à un degré remarquabl
nc, l'avant-bras fléchi à peu près à angle droit et en pronation ; la main est fléchie et inclinée vers le bord cubital ; le
; les doigts sont plus ou moins fortement fléchis dans la paume de la main ; généralement le pouce est étendu et les doigts
uve, hémiplégique à gauche depuis la pre-mière enfance, présente à la main les déformations suivantes : le pouce est fléchi
dujcôté droit à la suite de convulsions (avant l'âge de 13 mois). La main paralysée est à angle droit sur l'avant-bras et e
phalangines ; le pouce est fléchi assez fortement dans la paume de la main . — Maur..., Marie, âgée aujourd'hui de 27 ans (
angle droit sur l'avant-bras. Le pouce est fléchi dans la paume de la main ; les autres doigts pris dans leur ensemble sont
ulsions à l'âge de 8 mois, suivies d'une paralysie du côté gauche. La main , à angle droit sur l'avant-bras, est dans la pron
eu plus particulièrement en vue. A part la disposition générale de la main qui est — dans tous ces cas — à angle droit sur l
paralysie les travaille, l'attitude des membres, les déformations des mains subissent quelques modifications. REVUE DE LA P
cent, mais elle ne va pas au delà, car, en prenant la tumeur à pleine main et en cherchant à lui imprimer des mouvements, el
de, engagé à saisir rapidement l'objet qu'on lui présente, portera la main trop en de-hors ; s'il est averti par des méprise
re attention se sont subitement manifestés. Obligé de se servir de la main gauche pour tous les petits services que ne pou
che pour tous les petits services que ne pouvait plus lui rendre la main droite, il avait constaté depuis quelques jours d
atin (24 novembre), il s'aperçut pour la première fois qu'il avait la main du même côté notablement enflée. Surpris de ce ph
qu'on se rapproche de la racine du membre ; faiblement prononcée à la main , elle est plus forte à l'épaule que partout aille
supérieur droit à l'usage habituel que nous faisons du bras et de la main droite : chez notre malade, les conditions se tro
croyons pouvoir attribuer cette augmentation de la tuméfaction de la main à la position déclive. REVUE PHOTOGRAPHIQUE D
e coloration rouge, érythéma-teuse des pieds et des jambes, qui, à la main , semblent glacés. Iln'y a pas, du reste, de troub
63 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
rticipent dans une certaine mesure à la paralysie : la pression des mains est très faible, la malade ne peut se peigner ; o
l fut électrisé par Duchenne de Boulogne le long du ra- chis, il la main ,mais non il la face. Puis il cessa de le voir.
e gène des mouvements des doigts, en particulier du pouce, et de la main , qui oblige dès lors le malade il tenir ses out
ssit, que ses lèvres sont plus saillantes. De plus il a souvent aux mains la sensation de l'onglée et la cyanose y est as
ment du poignet commence assez bas sur l'axe de l'avant-bras. Ses mains étant en supination, on voit bien l'aplatissement
ie sur la première. La flexion des autres doigts sur la paume de la main est plus forte à droite qu'à gauche. Dans la
bserve les mêmes caractères au pouce et aux autres doigts de chaque main . Ceux-ci sont volumineux, surtout au niveau des p
sont flasques aux pectoraux, aux muscles du bras. A la paume de la main droite leur consistance est fort diminuée. MENS
MYOPATHIE PROGRESSIVE DU TYPE LANDOUZY-DÉJER1NE. 13 chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras g
main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras gauche avec la main droite. Si l'on place une épingle sur son lit,
s contractions fibrillai- res qui existaient dans les muscles de la main , et l'état des réactions élec- tro-musculaires.
ypertrophie ? Pas de modifications notables du côté des muscles des mains . Muscles de la paroi abdominale affaiblis. Impo
une voiture de poupée qu'on conduit devant lui. Il ne peut avec la main droite saisir les objets qu'on lui présente, ce
eut avec la main droite saisir les objets qu'on lui présente, cette main ayant ses doigts repliés en griffe et le bras du
rfs ( ? ) Début. Au mois de mai 1891, elle a eu des crampes dans la main droite : ses doigts se ferment dans la paume, l
venons d'assister il une de ces crises épilepliformes ; début par la main droite, puis secousses étendues à la jambe et i
symétrie correspondante de la face et du tronc. L'amyotrophie de la main droite, qui est venue se greffer sur cette hémipa
ai pu dire ailleurs que l'agraphie, c'était l'aphasie motrice de la main . Il y a cécité verbale quand le sujet, non privé
ible. Ayant posé les rhéophores de cette manière je les tiens d'une main . Le malade étant couché, le bras ne doit pas être
orces. Par mesure de prudence, nous lui fimes lier les pieds et les mains avec de fortes courroies, mais il re- muait ses
ui aucun objet sacré ; après la guérison, il prenait de ses propres mains la sainte croix et les reliques, les embrassait e
lui-là croira a la possession le jour où il sera en enfer entre les mains du diable. Pour moi, j'ai l'autorité de deux évêq
demi-heure l'enfant se jeta sur un banc, frappant autour de lui des mains et des pieds. Si le médecin lui signi- fiait tr
elle très marquée des fléchisseurs des doigts. Il en résulte que la main est en extension, et absolument incapable, par la
is présen- tant encore une raideur considérable du poignet et de la main . On lui pres- crit des douches sulfureuses, du
me je vous le disais tout à l'heure, la raideur du poignet et de la main , anesthésie complète au niveau des doigts l env
environ) sur un éclat de verre. Le médecin qui le pansa lui mit la main en flexion, en lui disant qu'il craignait une p
ras chez un malade atteint de névrite consécutive à une plaie de la main , et dont la névrite s'accompagnait de douleurs
hésié, la région lavée et aseptisée par précautions convenables, la main et l'avant-bras, enveloppés de compresses, sont r
Par- dessus le pansement, un plâtre est appliqué pour maintenir la main en flexion assez prononcée. Quant aux troubles
s en place. On met encore un petit pansement ouaté pour protéger la main et le 13 août tout panse- ment est supprimé.
malade, à qui nous avions bien recommandé de venir nous montrer sa main , se présente absolument guéri : il a recommencé à
la chute d'un bout de phalangette. La force est revenue dans celte main , et les muscles se sont reformés. L'exploration
'abord ne détermine au- cune sensation particulière au niveau de la main ; mais au niveau des deux phalanges en question
t est maxima. Aujourd'hui (10 janvier 93) l'état s'est amélioré, la main a encore re- pris de la force, l'incurvation de
r un aide, de sa démarche ataxique. Le dynamomè- tre marque 34 à la main gauche, 57 à droite. Un nouvel examen de la vue
s n'ont pas la force normale. L'enfant ne peut se suspendre par les mains . Les pieds présentent une déformation particu-
, dit-il. De temps en temps, il pousse des cris plaintifs, porte la main à sa tête et répète souvent : « Oh là I oh là I
t claire. Un certain nombre d'hommes et de femmes, se tenant par la main , dansent une ronde au son du galoubet et d'une so
es trophiques variés : maux perforants plantaires, excoriations des mains , bulles peniphigoides aux jambes et aux avant-bra
les mem- bres inférieurs, les organes génitaux, les avant-bras, les mains et quelques parties du crâne et de la face. Exa
tion principalement caractérisée par des mutilations spontanées des mains et des ulcères perforants de la plante des pieds.
e d'un franc et ne s'est pas creusée au delà d'un centimètre. Les mains , épargnées jusqu'alors, se recouvrent, à l'âge de
Entre temps, apparition de bulles transitoires. A cette époque, la main gauche se prend à son tour. Sur l'éminence thé-
s phénomènes coïncidaient avec une anesthésie des avant-bras et des mains ; trois doigts de la main droite (pouce, index et
vec une anesthésie des avant-bras et des mains ; trois doigts de la main droite (pouce, index et annulaire) n'é- taient
- taient pas complètement insensibles. Depuis lors, les ulcères des mains ont guéri. Mais fréquemment apparaissent des so
raissent des soulèvements bulleux de l'épi- derme dans la paume des mains . B... n'a jamais constaté sur sa peau la présen
nent tout à fait normalement. L'affection est surtout localisée aux mains et aux pieds. Nous ferons d'a- bord un examen r
région épitrochléenne gauche, surface large com- me la paume de la main , érythémateuse, rouge brunâtre, laissant persiste
poalgésie testiculaire sans atrophie; urines et miction normales. Main droite. (PI. 1VII). - Les doigts sont infléchis v
recouverte desquames épaisses et cornées. Sur la face dorsale de la main , la peau est lisse, rosée, moins plissée que no
ités de la peau signalées plus haut sont d'origine cicatricielle. Main gauche (Pl. XVIII). La face palmaire est très apl
gravent les lésions. Pas de sudation exagérée sur les membres ; les mains et les pieds sont plutôt secs. Troubles sensi
le-ci est perçue sur une petite zone triangulaire de la paume de la main . Tout le reste du membre présente la dissociati
les sensitifs sont identiques à ceux que nous venons de décrire. La main gauche est absolument insensible au froid et au c
musculaire. B..... éprouve de grandes difficultés à tenir dans ses mains les objets de petit volume ; il ne reconnaît ni l
is les contractions aux faradiques sont encore normales. Aux deux mains , résistance encore très grande. Les intérosseux
muscles des éminences thénar et hypothénar, ne réagissent pas à la main gauche. Seuls les muscles de l'éminence thénar se
gauche. Seuls les muscles de l'éminence thénar se contractent à la main droite. Au niveau des cuisses, résistance et co
132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cepté au niveau de la main gauche où la réaction est nulle. Au niveau de l
niveau de la main gauche où la réaction est nulle. Au niveau de la main droite, réaction conservée uniquement à l'éminenc
au Sénégal. La mala- die a débuté à 39 ans par de l'amyotrophie des mains . On constata, plus tard, une parésie atrophique
e de la figure par son aspect cyanose, de couleur violet foncé. Les mains sont aussi cyanosées, épaisses. Ces troubles de l
dynamométriques des fléchisseurs des doigts est de 45 kilog pour la main droite, de 40 pour la main gauche. Il ne pré- s
seurs des doigts est de 45 kilog pour la main droite, de 40 pour la main gauche. Il ne pré- sente sur les membres et le
ouvement d'extension à droite. 4 Pas d'atrophie musculaire. - Aux mains le dynamomètre donne 50 à droite, 45 à gauche.
la région lombaire sur une lar- geur à peu près égale à celle de la main , s'irradiant vers les deux flancs, surtout du c
lombaire médiane, sur une sur- face à peu près égale il celle de la main . De ta elles s'irradiaient vers les deux flancs
s. Atrophie muscu- laire des avant-bras et des petits muscles de la main , sans réaction de dégéné- rescence. Phénomènes
é à son métier de couturière, sans éprouver aucune gêne du côté des mains ni des yeux. Elle remarque seulement vers le mo
lopie très nette ; puis les douleurs lancinantes gagnèrent les deux mains . Dans la main gauche elles n'occupaient que les d
e ; puis les douleurs lancinantes gagnèrent les deux mains. Dans la main gauche elles n'occupaient que les deux derniers
in gauche elles n'occupaient que les deux derniers doigts : dans la main droite au contraire elles prédominaient dans les
muscu- laire : la malade est devenue incapable de rien tenir de la main gauche en outre cette main a un peu maigri. A l
st devenue incapable de rien tenir de la main gauche en outre cette main a un peu maigri. A la même époque, douleurs très
e une atrophie musculaire évidente dans le bras, l'avant-bras et la main du côté gauche. Le bras et l'avant-bras de ce c
ent 1 centimètre de moins en circon- férence, que du côté droit. La main gauche présente un aplatissement des émi- ncnce
surtout marquée pour les deux derniers espaces du côté dorsal de la main . Au repos cette main présente un léger degré de g
les deux derniers espaces du côté dorsal de la main. Au repos cette main présente un léger degré de griffe des interosseux
mbres supérieurs (sauf les mouvements sus-indiqués des doigts de la main gauche) ; mais ils sont très faibles des deux c
des doigts est particulièrement faible : à droite la pression de la main gauche est insignifiante, à gauche elle est tout
plates, dans les bras, jusque dans les doigts (deux derniers de la main gauche surtout). Les troubles de la sensibili
nution de l'excitabilité faradique dans les muscles atrophiés de la main droite, et de la main gauche, mais pas de réactio
té faradique dans les muscles atrophiés de la main droite, et de la main gauche, mais pas de réaction de dé- générescenc
uleurs lancinantes spontanées. Les muscles de l'avant-bras et de la main gaucho ont repris du vo- lume. L'extension co
cuse une légère douleur il la nuque. L'atrophie des muscles de la main gauche a disparu entièrement; les doigts exécut
nquaient pas d'abuser. Je crois bien qu'il s'en apercevait, mais sa main qu'il donnait si rarement était toujours grande o
mais il ne fil une leçon sans que celle-ci fût pré- parée de longue main , documentée à l'excès. Au sortir de l'amphithéâtr
n'y avait rien à changer; la leçon était écrite tout entière de sa main , dans ce style ferme, vigoureux, sans inutilité
vail de quel- que importance sans qu'il l'eût relu et corrigé de sa main . Et combien ga- gnait-on à ses annotations !
u son chef vénéré, celui qui toujours bienveillant la guidait d'une main ferme. Tous ici nous conserverons pieu- sement
al définie dans le membre supérieur droit, surtout l'avant-bras et la main . Ce- pendant il a l'usage parfait de ses bras.
e une légère diminution de la force musculaire il la pression de la main droite. De plus les mouvements de la main droit
aire il la pression de la main droite. De plus les mouvements de la main droite se font avec beaucoup moins de souplesse q
main droite se font avec beaucoup moins de souplesse que ceux de la main gau- cho. Parfois, dit le malade, il se produit
Parfois, dit le malade, il se produit une raideur passagère de cette main ; « elle est maladroite, » On constate en out
es : Contracture spasmodique du bras droit de l'avant-bras et de la main qui est déformée suivant le type d'extension cu
t pleine de sanglots, ses yeux sont remplis de larmes, il joint les mains dans une supplication pressante : « Mon Di ! Mo
» dit-il en se précipitant vers M. Char- cot, puis il lui prend la main et la baise respectueusement en courbant son éc
ie, où il espérait terminer heureusement ses jours, ayant entre les mains un procédé de guérison certain. Mais pendant qu
es douleurs qui ne cessent jamais passent du bras à la jambe, de la main au pied, pour reparaître a l'ancienne place et re
ompagne la description de ces douleurs erratiques d'une mimique des mains très mouvementée et sa figure prend une express
en dire. Des parcelles de bois qui avaient pénétré sur le dos de sa main gauche ont été retirées alors : on voit encore
suivants : Le bras gauche tombe verticalement le long du corps, la main est aplatie, les doigts demi-fléchis, le pouce
ie, les doigts demi-fléchis, le pouce fléchi dans l'intérieur de la main . L'épaule du même côté élevée, conservant conti
atrophie musculaire appréciable. Examen dynamométrique : Le 5 mars, main gauche : 6 ; le 7 mai : 14 ; main droite : 23,
xamen dynamométrique : Le 5 mars, main gauche : 6 ; le 7 mai : 14 ; main droite : 23, 43. Examen électrique (par M. le D
c6-, cyclisca), pour élargir les fentes de frac- ture, soit avec la main , soit avec le maillet (malleolus). Les bords de l
oit en faisant rouler le manche de l'instrument dans la paume de la main autour de son axe de droite à gauche, puis de gau
de la fente osseuse (Pl.111VIII) ou trépane, soit avec le trépan à main (Pl. XXXIX) soit avec le trépan à villebrequin
i éclaire et « réchauffe » la plaie, trépane il l'aide du trépan : '1 main . D'après le même auteur. L. f3.vrrw.cr sT et
enticulaire; les élévatoires, au lieu d'être simplement maniés à la main , étaient d'ordinaire montés sur le triploïde ou b
pèce de boule qui est au milieu roulent sur leuraxe ; autrement les mains des chirurgiens éprouveraient un frottement qui
te contracture de la face est suivie de mouvements des doigts de la main droite ; ils se fléchis- sent et s'étendent, pu
gts de la main droite ; ils se fléchis- sent et s'étendent, puis la main se ferme et le bras droit devient rigide tout d
t soulevée, le bras est en totalité étendu et tourné en dedans ; la main se ferme et entre en extension sur l'articula-
ute par des mouvements dans les petits mus- cles ; les doigts de la main comme les orteils du pied présentent cet état a
scles du bras et de la face. Si l'excitation était appliquée sur la main , l'ordre du développement des contractures était
in, l'ordre du développement des contractures était le suivant : la main , le bras, la face, et en dernier. lieu l'extrémit
tion suit le même ordre. 2. Si le diapason est posé au-dessus de la main , c'est le'bras qui com- mence la série des cont
de-malade qui veut l'obli- ger à se laver, lui arrache le sceau des mains et cherche à la frapper. 7-11-12-19. La malade
érieures sont fléchies à angle droit et ramenées vers le tronc; les mains présentent les anomalies suivantes : les doigts,
1-10 juin. La malade chantonne de temps en temps et embrasse les mains du médecin. Des lâches bleu-pourpre apparaissent
raissent progressivement; l'extrémité malade et les doigts des deux mains demeurent courbés. ler juillet. Soir t. 38°.
8. - L'codème des extrémités inférieures disparaît. Les doigts des mains se resserrent de nouveau. 12. La tension des
01'ATIIIE AIGUË CHEZ UNE ALIÉNÉE F 327 la prière. Elle embrasse les mains de ceux qui l'approchent. Elle prie or- dinaire
Vienne, espérant que la guérison arriverait peu il peu. Cependant, sa main restait raide et il ne pouvait plus tenir son v
re, au point qu'il faut un temps très long au malade pour porter sa main sur sa tête. y arrive cependant, des deux côtés;
il ne souffre pas, dit-il : mais il est raide. La déformation de la main gauche, la parésie de la jambe du même côté s'o
épaule ; mais pas de contracture, pas de paralysie. La pression des mains est forte. La marche est normale. On remarque c
Paris pour les pau- vres malades. » Ce livre, écrit en entier de la main de Renaudot est notre premier traité de diagnos
64 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
vérité, n’importe par quelle bouche; ^ le bien, n’importe par quelles mains . TOME VIII. PARIS. BUREAUX ; RUE NEUVE-DES-
tion, et à l’augmentation de la puissance médicamenteuse). Dans cette main inconnue, le mirliton a la voix de Mimi : il atti
Elle reconnaît son erreur; l’amant trop précipité était perdu sans la main mystérieuse qui chauffe le cœur de la belle, (lni
nze ans d’éternité! tu es déjà en retard. Urbain veut fuir...... la main satanique s’est étendue vers lui : il est cloué a
rine, ont été arrêtées presque instantanément par l’application de la main sur la poitrine, et l’emploi de l’eau magnétisée.
n’en ayant pas continué le traitement. Cependant l’application de la main faisait disparaître la tumeur, qui ne revenait qu
transpiration locale tellement abondante, que l’eau ruisselle dans la main jadis paralysée. Ces résultats avaient été annonc
ile, ils explorent lentement les régions malades, en y laissant leurs mains le plus longtemps qu’ils peuvent. Il n’est pas ju
uns des tubercules déclarés malsains par les savants, se frottait les mains etriait de bon cœur. Nous sommes, comme lui, en p
vérité, n’importe par quelle bouche ; le bien, n’importe par quelles mains ? Féte de Mesmer. — Nous approchons du 1 i5e ann
et Clayton. » Le général et M. Clay se donnèrent très-cordialement la main , et causèrent à voix basse. 11 aborda M. Webster
placer, parce qu’il avait pris part à la politique. Le général mit la main sur sa hanche, et répondit avec une grande austér
stinctif de leur qualité. Cette sorte de décoration consiste en une main d’or, suspendue à la boutonnière par un large r
en choisi, mais la forme ne nous en paraît pas heureuse. Pourquoi une main de femme? Celle de l’homme, qui représente la for
oins. Je iis donc semblant de sonder où était le mal en appliquant ma main tantôt sur l’estomac et la promenant de place en
réveil, il dit quil sentait quelque chaleur au scrolum; y portant la main , il s’aperçut alors qu’il avait été opéré. II n
qu’elle contenait est jeté à travers la chambre , comme lancé par une main invisible. Au même instant, une pelisse qu’on ava
usitée pour l’opération de la lithotomie, mais sans lui attacher les mains et les pieds comme à l’ordinaire ; on lui passa e
droit. Cette dernière expérience paraît l’avoir éveillé. En voyant sa main tachée de sang, il dit que la piqûre qu’on lui av
main tachée de sang, il dit que la piqûre qu’on lui avait faite à la main l’avait réveillé. Le 19. Profondément entrancé,
étise toujours par des passes élip-tiques, c’est-à-dire il promène sa main droite, ou toutes les deux ensemble, de la droite
grandes élipsoïdes. Mainte fois il ne fait que poser le revers de sa main gauche au creux de l’estomac, tandis qu’il tient
la, au magnétiseur, qu’appliquer son petit doigt au petit doigt de la main du magnétisé, et vouloir retirer son fluide : c’e
ont précédés d’un tremblement du petit doigt, et de l’annulaire de la main gauche, que suivent des convulsions des bras. Ell
crier la patiente. Il y a aussi un petit engorgement sur le dos de la main gauche, auquel participent le medium et l’annulai
teintes, mais la décoloration est plutôt augmentée. L’enflure de la main gauche disparaît rapidement, tandis que celle de
uvais aspect, et douloureux au loucher. Du 12 mars. L’enflure de la main est presque disparue, mais celle des doigts est p
Du 3i. L’ulcère est presque cicatrisé. L’enflure et la douleur de la main et des doigs disparaissent chaque jour. Du jtTt
aite santé, le lendemain il était paralysé de tout le côté gauche. La main est fortement serrée, on ne peut l’ouvrir qu’avec
avant-bras et la jambe assez haut sur son lit; il ouvre légèrement la main . Le spasme des muscles de la face a beaucoup dimi
aut le bras paralysé, mais il ne peut encore ni ouvrir ni fermer la main . Du 27. 11 a dormi dans le varandah (galerie co
is il ne peut mouvoir le bras, ni fléchir ou étendre l’avant-bras. La main reste toujours fermée, mais on peut l’ouvrir aisé
et nous lancer l’injure et le mépris. Je me dis : S’ils avaient en main le pouvoir; si l’institut et les Académies réglai
aît pas plus extraordinaire que l’odeur du soufre développée dans les mains d’un malade par une trentième dynamisation de sul
, les frictions doivent être faites à l’épaule, mollement, avec les mains . « Il est bien fâcheux que le Traité des Fricti
roides et les écrouelles, en frictionnant les parties malades avec la main d’un mort(i). Bacon discute longuement l'opinio
cl suiv. (5) Utilité de la Philos, nat. longtemps prolongée de la main d’une personne morte de maladie lente, pour la cu
devant les yeux de la malade. La peau, devenue terreuse seulement aux mains , est dans un état de chaleur normale. Les mouveme
sible dans l’état général. Le malade a dormi la nuit. L’enflure de la main a diminué; la douleur persiste’au genou droit, où
Endormi, le maladè consulté ne peut répondre qu’en lui appliquant la main sur le front. Il se plaint de crampes à la main.
’en lui appliquant la main sur le front. Il se plaint de crampes à la main . Quelques passes sur les doigts le soulagent. Une
en dormi ; il peut se lever, se chausser et marèher. 11 se sert de sa main pour écrire. Pendant son séjour à l’hôpital, un
édecins de la commune duBignon , a consenti à ce quelle passât de ses mains en celles d’un magnétiseur de Paris, M. Gravé, qu
e époque, paralysée du bras droit, qui était contourné en arrière, la main renversée, etc., au point de rendre ce membre inu
huit jours, en rendant le verre elle étendit les bras, elle serra les mains de M. Gravé en pleurant, et demanda son père. T
ement, et après quarante minutes d’action, il lui dit : « Joignez les mains , et priez Dieu pour le remercier de la grâce qu’
e bras droit de la malade était déparalysé, puisque elle joignait les mains en les levant en avant, ce qu’elle n’avait pu fai
enfin, elle éprouva une contraction du bras droit, dont elle porta la main à son front avec une agitation pénible. Le maît
tes ses évolutions, et nous faire partager toutes ses émotions. Une main ouverte et dirigée vers le ciel, l’autre abaissée
« Dès la première fois que celle dame opéra sur moi, en me tenant la main et faisant les passes d’usage, je m’endormis pres
nt de fixer notre attention ; car s’ils étaient réalisables entre les mains d’un bon nombre de personnes, la démonstration du
mène qu’éprouvent les fibres végétales de certains arbustes, dans les mains des personnes qu’une cause excitatrice vient à re
t d’eau, ou seulement quand elles tiennent un métal dans une de leurs mains . «.......Le mouvement de cet appareil est plu
campagne que dans un appartement..... ... Si l’on frotte une de ses mains avec de la résine, une peau de renard ou autre co
it le sommet s’abaisser plus ou moins. Si, au contraire, on charge sa main d’électricité positive, on voit le conducteur s’é
douleur forte existe vers une partie de l’organisme, si on y pose la main , et qu’on reprenne aussitôt l'extrémité du conduc
lle de bois ou de corne. On en saisit les extrémités libres à pleines mains , on les courbe en dehors , et l'instrument forme
er de l’état électrique do l’atmosphère qui l’entoure, prend dans une main une pièce d’argent, métal qui fait monter la bagu
ique ;t juste titre une des premières places. Des faits sortis de nos mains sont là d’ailleurs pour nous faire croire à l’eff
user de charlatanisme ; car je ne me place point dans l’ombre, et mes mains n’ont jamais touché d’argent venant de mes démons
fallut trente ans pour savoir qu’ils avaient un sens , tandis que mes mains et mon intelligence pouvaient me fournir, dès le
is elle ait osé s’élancer. Il ajoute « que Mesmer, en soulevant de sa main hardie le voile qui dérobait à nos yeux cet immen
ême avec l’intention deTaire le bien, le magnétisme pratiqué par _des mains incapables peut produire le mal, mais un mal rela
r qui apprenait aux apôtres à guérir les malades par F imposition des mains , aient méconnu la tradition vraie de cet enseigne
aîne, se suit, se coordonne dans ce vaste univers, et reconnaissez la main invisible qui conduit toute chose vers ses fins.
nous sommes prêts à prouver à tous par les œuvres qui sortent de nos mains . Je vous le disais tout à l’heure, messieurs, nou
aits inexprimables, et que ne peut procurer la science ollicielle. La main secourable d’un homme dévoué et sympathique se po
le, mais l’estomac, mais l'estomac!... » en s’efforçant d’y porter la main . Je ne suis pas éloigné de croire qu’il ne ress
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . Vous m’obligerez, Monsieur, d’accueillir ma le
là des débris humains, que sc font mes opérations; pas la plus petite main de gloire, ni de corde de pendu ou de graisse de
au-delà. C’est ainsi que tant de livres précieux furent brûlés par la main du bourreau, c’est ainsi que tant d’hommes périre
chaque phénomène qui viendrait se développer, diit passer entre leurs mains , et subir le contrôle de leur savante analyse.
au salée. L’opérateur plaçait les deux doigts correspondants des deux mains dans les deux vases, et, après ça, il contractait
survenu d’hémorrhagie, le malade se leva , ouvrit les yeux, porta la main à la plaie, qu’il semblait voir, et retomba incon
el durant quelques minutes. Pour plus de sécurité, oq lui mit dans la main un charbon ardent, il ne le sentit pas ; mais e
pplication de corps très-froids. Un gros morceau de glace mis dans la main du sujet y fondit promp-toment, sans que celui-ci
u moment de l’entière fusion de cette glace, l’eau qui restait sur la main fut évaporée instantanément. Le thermomètre y aya
. On crut que le frottement d’un homme par un autre, l’apposition des mains , etc., produisaient des effets remarquables, dépe
les temps anciens, aux yeux profanes de la foule ignorante. Dans ses mains qu’il tient ouvertes pour tous, la magie, arraché
s puériles, ridicules ou passionnées du vulgaire, leur faire bénir la main prodigue qui a répandu tant et de si précieux don
dieu, table ou cuvette? Il sera dieu : mime je veux Qu’il ait en sa main un tonnerre. Tremblez, humains, faites des vœux
Platon. Venez donc, philosophes, approchez! Nous vous tendrons une main amie pour vous introduire dans le sanctuaire de l
, pour être témoins du pouvoir de l’enchanteur. Nous avions pris à la main , pour la plupart, de grandes feuilles de talipot
rocher de la cobra, chantant toujours , la toucher, la caresser de la main sur la tête et sur le col, et, à notre extrême su
n peu plus, et son rêve changea aussitôt de caractère. 11 joignit les mains , et protesta devant Allah qu’il ne s’enivrerait p
sprit. Le somnambulisme se développait à la simple présentation de la main devant l’épigastrc. La malade me défendit avec la
atidique, se lève en mon cerveau : le dire de M. du Potct. — Voici ma main sur la tumeur, tans mouvement, sans pression, sim
e celui d’un scrotum refroidi, puis quelque! chose me glisser sous la main très-doucement : c’était l’anse intestinale qui f
te aux effets magiques, tantôt s’approchant d’eux, leur appliquant la main sur les épaules, puis la laissant couler le long
venu lui redemander son enfant l’injure sur les lèvres et l’épée à la main (2). Ce mémoire, qui tendait à (1) Foissac, Rap
ar M. Ducros, doit se trouver dans le rayonnement calorifique de « la main . C'est un phénomène de chaleur et non de magnétis
et très-minces ; il présenta divers corps qui se trouvèrent sous sa main , à deux ou trois lignes de distance de. la point
ent pas s'élever à plus de 3,000 fr. L’attraction magnétique n’a pu main tenir la bonne harmonie entre les contractants, e
, lui sauva la vie en s’écriant : « Arrête, soldat! ne porte pas la main sur le roi Crésus! » L’impression que ressentit c
ent, et, lorsqu’entré dans ma chambre il m’eut bénie, en appuyant les mains sur ma téle, je fus guérie parfaitement, et en ét
ient pour guérir les maladies par les attouchements, l’imposition des mains ou la prière. On les appelait loucheurs ou taumat
rivilège de guérir les affections scrofu-leuses, par l'imposition des mains ou le toucher. Toutes nos recherches n’ont pu nou
Tliiers, ouvr. cité. (3) .Normandie romanesque , p. 305. de ccttc main royale sur l’esprit de ces malheureux infirmes do
aient au toucher n’obtenaient pas leur guérison sous le contact d’une main royale; un petit nombre seulement devaient à leur
s de France , de guérir les maladies par le toucher, l’imposition des mains ou la prière, ils possédaient aussi des anneaux,
(2) Magnel. medic. (3) lb., p. 681, et Thealrvm sympalh. (i) Du Main . vulner. curai. Le célèbre charicelier Bacon (i
ligeant, et on en recherche l’auteur. Je place cette lettre entre les mains d’un somnambule, et lui témoigne mon désir. « Cel
usse été fier de rencontrer des amis , des frères, qui, me tendant la main lorsque je sortais triomphant de l’Hôtel-Dieu, m’
la surdité; saint Roch de la peste; sainte Pétronille de la fièvre ; saint Main de la gale et des dartres ; saint Cloud des furon
ine Benjamin détournait toutes les maladies par le seul contact de sa main . Protogène, prêtre d’Édesse, soulageait les enfan
ain, évêque de Paris, guérit plusieurs personnes par l’imposition des mains ; enfin, que saint Martin fit passer un flux de ve
prit malin fut expulsé de son corps. Saint Bernard s’étant lavé les mains , fit avaler cette eau à une jeune fille qui se tr
ieurs procédés pour exorciser. Le plus répandu était l’imposition des mains ; on avait aussi fréquemment recours à des paroles
ait mourir. Attendant cette heure, qui viendra pour nous-mêmes, où la main d’un ami nous rendra ce que nous aurons fait aux
re zèle a trouvé des imitateurs, et, de toutes parts, le bien que vos mains ont répandu se reproduit en moissons abondantes.
orète, soutenu par cette sublime pensée que lebien qui jaillit de nos mains fait tomberuncdouce rosée donnant la paix du cœur
e à ces solitaires d’un autre âge, qui, pleins de foi, imposaient les mains sur les malades, en leur disant : Au nom de Dieu,
urs dégoûtantes que les scrofules ont enfantées disparaissent sous sa main bienfaisante; les fièvres, si communes sous le ci
ux succès. Calcutta est son théâtre; c’est là où, dans un hôpital, sa main habile a, sur des centaines de malheureux, enfonc
, à ces douleurs vaincues d’avance, à ces chairs vives, qui, comme la main de l’innocent soumise à l’épreuve du feu, semblen
s comme rien n’annonce que justice nous soit bientôt rendue par les mains du pouvoir, il y aurait chez nous incurie et pres
un homme plein de santé, dans la force de l’âge, et, lui mettant à la main une canne qui ne m’appartient point, je dis à cet
e se rendit chez moi, cl, après avoir examiné ma femme, il lui mit sa main droite sur la tête, et, «leux secondes après , mo
s les premières magnétisations. Les doigts correspondant à ceux de la main de Mme Folliot mère (i), demeuraient raides et in
LES SYMPTÔMES CI-APRÈS : en dérembrc 1° Enflure du ventre, de la main gauche, dalant de douze années. 2° Index de la
u ventre, de la main gauche, dalant de douze années. 2° Index de la main droite gonflé au point de ne pouvoir être fléchi
léchi par intervalles. 3° Gonflement commençant des doigts et de la main gauche. 4° Froid glacial des mains, résistant à
nt commençant des doigts et de la main gauche. 4° Froid glacial des mains , résistant à la chaleur du feu. 5° Soif intense
, car elle ratifie la flétrissure qu’a subie son génie; elle bal des mains à tous les outrages qu’il reçoit. Partout où il v
e frappe le cœur, que ne l’est dans cet instant un caractère tracé de main d’homme. Changeant brusquement la position de l
u magnétisme? J’aime à le penser; car je reconnais que l’action de la main , que l’action du souffle, ajoutent considérableme
ement à la volonté, qui est le moteur principal. Celle action de la main el de l'insufllation, ressort avec évidence des d
magnétisée; je calmais instantanément scs coliques en appliquant ma main sur l'abdomen, et en formulant cette prière: Oh!
, et en formulant cette prière: Oh! mon Dieu, soulagez mon enfant! Ma main n’était pas retirée, que les cris recommençaient.
cris recommençaient. Les passes ne pouvaient remplacer l’action de la main . Je ne pouvais quitter un seul instant mon petit
ais quitter un seul instant mon petit malade, qui voulait toujours la main de papa. Je ne vous dirai pas les heures des jour
vulsions des enfantsles coliques des adultes, par l’application de ma main sur l’abdomen; je faisais disparaître les céphala
, tome Y, page a65. Cette pièce importante est écrite en entier de la main de Mesmer, et nous la reproduisons telle qu’elle
e, plus de cent mille individus, en France seulement, périrent par la main du bourreau, après avoir souffert les douleurs de
terendu de plusieurs cures merveilleuses opérées par l'apposition des mains (les passes), avec un discours physique sur ce su
lisme données en cette ville par M. Adolphe Didier, qui est passé des mains de M. Fortier en celles de M. Mongruel. — Le Co
été, unique de nos jours, de faire mouvoir, tourner et varier dans sa main , par sa seule volonté, la clé par laquelle je l’e
r par l’application de la clé, comme autrefois par l’imposition de la main , par attouchement, toutes les douleurs, toutes le
rte un chapeau de velours noir avec un voile; un manchon garantit ses mains contre la rigueur du froid. Sous ce costume, ceux
ment le magnétisme sous forme de frictions, ou par l’imposition des mains , 43. Prophétie d'Orval. Un mandement de l’évêqu
65 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
merger en dehors de l'eau dans la piscine, durent explorer avec les mains leurs jambes à partir des hanches pour savoir à
est lancé avec force sur l'abdomen; ramené ensuite vers la tête, la main par sa face dorsale, répondant au pre- mier mét
membre du côté opposé ; ils sont seulement moins énergiques, et la main , par ses extrémités digitales demi-fléchies, he
deur d'une pièce de cinq francs, résultant des chocs réitérés de la main (fig. 4). D'ailleurs, les parties découvertes d
typie de Ma... M... DE LA MALADIE DES' TICS. 19 est de même de la main droite, l'instrument contondant, qui offre, au
ée à terre; si on lui donne quelques sous, elle les tiendra dans la main , les examinera à plu- sieurs reprises, pensant
bien d'intro- duire la moindre parcelle de tabac; puis, portant la main derrière. ' « Putain, putain de vie, salope, ma
on et l'extension alternative des - dernières phalanges, tantôt des mains , tantôt des pieds. Bien que les mouvements s'ex
de la sensibilité. Sens musculaire légèrement obtus de ce côté ; la main apprécie imparfaitement la forme des objets. Réfl
dans la campagne de Crimée, il fut blessé légèrement au pouce de la main droite; en 1870, il se battit aux environs de Par
t impossible; à droite, il pouvait à peine mouvoir les doigts de la main . Sa langue était contractée et immobile, les lè
rs le mouvement commença à revenir il droite successivement dans la main , dans l'avant-bras et dans le bras, puis dans l
s extrême- ment faibles et incomplets. AU... ne réussit pas avec sa main à se toucher l'épaule, il ne peut pas sans l'ai
out pour les fléchisseurs des doigts. En invitant AU... à serrer ma main dans sa main gauche, il y réussit avec beaucoup
fléchisseurs des doigts. En invitant AU... à serrer ma main dans sa main gauche, il y réussit avec beaucoup de fatigue,
flexion est-il achevé, son énergie augmente brusquement, je sens ma main serrée entre la sienne avec beaucoup de force et
qui se produisait quand AU... voulait serrer quelque chose dans sa main gauche. Ce cas est extrêmement intéres- sant, p
charger sur un chariot, par maladresse la dalle s'échappa de leurs mains . B... qui se trouvait en face d'elle se recula vi
es. Il s'aperçut encore que son bras gauche, et particulièrement la main , n'avaient plus la force d'autrefois, les mouve
igts avaient très peu d'énergie et les objets lui échappaient de la main avec une grande facilité. Dès cette époque comm
ong du tronc, l'avant-bras en très légère flexion et supination, la main tombant, le doigt dans une semi-flexiou à peine a
peut fléchir sa cuisse sur le bassin sans soutenir sa jambe avec la main droite et encore le mouvement est très peu acce
lle existe pour tous ses groupes muscu- laires. B... peut placer la main sur la tête¡; il peut fléchir complè- tement l'
et, avec les deux des doigts il réussit à se toucher la paume de la main . Dans toutes ces positions, B... peut opposer une
em- bres paralysés; 2° l'état dans lequel se trouve la peau de sa main gauche; elle est calleuse presque autant que l'au
emple de la femme qui présenta une paralysie des extenseurs de la main après avoir donné une gifle à l'un de ses enfants
, mille marchands, comme autrefois à Athènes, vendent des bras, des mains , des petits enfants de cire qui orneront les ab
ules diffèrent, mais l'esprit hu- 78 THÉRAPEUTIQUE PSYCHOLOGIQUE. main , toujours, lui-même dans ses grandes manifestatio
lui a été impossible de faire aucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout tems froids com
t aisément de son bras gauche, elle s'habille et se coiffe avec ses mains . » Le miracle était consommé : toutefois, il fa
ôté droit avec atrophie. « Mais, dit explicitement le narrateur, sa main , sa cuisse et sa jambe droite ne rengraissèrent
des genoux. Simultanément, il exerce fortement avec la paume de la main et à quatre ou cinq reprises de fortes pression
ué contre la poitrine du malade. Dans cette situation, il prend les mains du malade et les faisant passer par-dessus les
ion de modalités psychiques en viennent-ils à s'infli- ger de leurs mains le sort qu'ils redoutent ? 2 Chez l'homme sain,
as, s'exacerbant pendant les mouvements. Parésie très prononcée des mains et des pieds. Pendant les quatorze mois qui sui
des pieds. Pendant les quatorze mois qui suivirent, la parésie des mains allait en augmentant, des atrophies prononcées
tait à la fin de janvier, lors de son entrée à l'hôpital : les deux mains en griffes (parésie des muscles interosseux), l
nérale des membres gauches. Diminution de la force musculaire de la main droite, du membre inférieur et du tronc. Secous
bre inférieur et du tronc. Secousses fibrillaires des muscles de la main gauche. L'exci- tabilité électrique des muscles
psychiatrie à l'Université, avec deux chefs de clinique, a sous la main les deux quartiers d'ob- servation, hommes et f
nt, des voisins accoururent, enfoncèrent la porte et retirèrent des mains de la folle, la malheureuse enfant au moment où
une atrophie symétrique et lentement effec- tuée des muscles, de la main et des avant-bras, peut encore se rencontrer da
coliose. Vous apercevez les mêmes déformations en griffe des deux mains , l'aplatissement des éminences thénar et hypo-
, respectant pendant longtemps les muscles de l'avant-bras et de la main . Il y a parfois pseudo-hypertrophie de certains
nd dorsal exécute assez difficilement son aclion et, en arrière, la main ne peut atteindre la ligne médiane. Les rhomboï
t encore assez énergiques quoique un peu affaiblis. Dynamomètre : main gauche 13 kil. main droite G kil. La malade é
ues quoique un peu affaiblis. Dynamomètre : main gauche 13 kil. main droite G kil. La malade était droitière. Les mo
ouvement sans être prévenue, elle a une tendance à appuyer ses deux mains sur la cuisse gauche. Les fléchisseurs du bassin
sans le secours d'une de ses compagnes. Aux membres supérieurs, la main et l'avant-bras restent indemnes, mais l'atroph
culum de l'oreille moyenne, s'il n'est dirigé vers l'antrum par des mains expérimentées armées d'instruments SERVICE OTOL
se et de trépanations depuis quinze ans, quand j'ai pris à temps en main le traitement topique auquel je fais allu- sion
s supérieurs et infé- rieurs. Aucun signe de rachitisme. Le dos des mains présente des durillons arrondis limités par des
x très saillants, dus à des morsures répétées qu'il se fait sur les mains . Les aisselles sont entièrement glabres. Le pén
naire, entre parfois en colère et se mord furieuse- ment le dos des mains . ' . , 1888. Juillet. Pas de modification notab
t souvent sur lui-même de gauche à droite. Il met fréquemment ses mains sur ses oreilles. Il connaît bien sa place en cla
ux mouvements de l'athétose (fit. 23 et 24). Il remue lentement les mains demi-fermées comme pour attraper une mouche, pu
ts. Il parvient à faire ce mouvement compliqué sans se servir de la main opposée. Il ne tarde pas alors à se pencher à t
-1) 1,'iy. 36. Fig. 36. 244 RECUEIL DE FAITS. il met alors la main droite dans la poche de son pantalon, laisse fl
il sort de sa poche un morceau de fer-blanc, se racle un instant la main gauche avec, puis le porte il sa bouche. le mâ-
entasse les morceaux dans ses poches et à se mor- diller le dos des mains qui portent en effet une double cicatrice calle
laisse traîner le pied gauche dans sa marche ordi- naire, et que la main correspondante Hotte le plus souvent IDIOTIE CO
ses doigts dans ses yeux, puis dans sa bouche, ou bien il passe ses mains sur sa figure, comme un chat qui se nettoie, et
duit le visage de sa bave, qui, mélangée avec la malpropreté de ses mains , lui donne un aspect repoussant. Gouj... ouvr
onne un aspect repoussant. Gouj... ouvre de grands yeux, frotte ses mains l'une contre l'autre, et aspire fortement en se
d'aphasie. Ces phénomènes de paralysie s'accentuent et le lende- main le malade présente une paralysie complète du côté
s peine certains mouvements, avec secousses de l'avant-bras etde la main , secousses exagérées par les mouvements intenti
r les mouvements intentionnels. Il y avait aussi anes- thésie de la main allant en diminuant jusque vers le coude. Affai-
tour des muscles du cou, de l'épaule, des bras, des avant-bras, des mains . Atrophie dégénérative progressive du système m
ctérisées par des accès d'en- gourdissement et de rigidité des deux mains et des deux avant- bras. Les sensations de brûl
les rappelions ici, ne pouvait manquer de traiter celte question de main de maître. Il étudie successivement les halluci
ois. Le cousin saisit la canne, mais le fourreau lui resta dans les mains , et l'épée, dégagée, resta nue entre les mains de
u lui resta dans les mains, et l'épée, dégagée, resta nue entre les mains de l'aliéné, qui la plongea dans la poitrine du
oups de fer à repasser quilui ont fait depro- fondes blessures; les mains meurtries de la malheureuse, dontl'état est trè
lue du sujet, a planté une longue épingle, successivement, dans les mains , les joues et les oreilles de l'assassin. - N
up de mal à s'habiller; il était obligé de manier son fouet avec la main gauche et il ne pouvait plus porter des fardeau
ardeaux sur l'épaule droite. Mais enfin, il pouvait se servir de sa main droite pour manger. Les mouvements de l'épaule
ari, et il est resté deux ans sans rien remarquer, se servant de sa main droite comme de sa gauche pour fouetter, de ses
ble à une heure après midi, il sentit le couteau lui échapper de la main droite, et celle-ci resta inerte, tombante. Il de
habitude. Du reste, il n'avait rien ressenti de particulier dans la main , l'avant-bras ou le bras. C'était le dimanche; le
ient d'ajouter qu'au moment de l'apparition de sa para- lysie de la main , il n'a point ressenti le moindre malaise, le m
es, il a travaillé de temps en temps, toujours sans se servir de la main droite. Etat actuel. Malade d'apparence vigoure
érieur droit. Motilité. La paralysie atteint tous les muscles de la main , de l'avant-bras et du bras. A la main et à l'a
teint tous les muscles de la main, de l'avant-bras et du bras. A la main et à l'avant-bras, elle est absolue. Le malade es
bsolue. Le malade est incapable de faire le moindre mouvement de la main et des doigts. Quand la main est en pronation,"
de faire le moindre mouvement de la main et des doigts. Quand la main est en pronation,"elle est tombante comme dans la
es mouvements de pronation et de supination de même. Pour mettre sa main dans l'une ou l'autre de ces positions, le ma-
ns l'une ou l'autre de ces positions, le ma- lade la saisit avec la main gauche. Flexion. - Quand on lui commande de flé
peut pas se produire de supination. Dès le début de la flexion, la main se met en supination. Ce n'est donc 324 CLINIQU
position de pronation n'est autre chose qu'une chute passive de la main , en vertu de la pesanteur. Dans tous les cas, l
anteur. Dans tous les cas, le malade est capable de porter ainsi la main à la bouche. Une fois l'avant-bras fléchi, quan
le est intacte partout et en particulier dans tous les doigts de la main . Rien d'anormal dans le creux axillaire, pas de
s mouvements alternatifs de flexion et d'extension des doigts de la main gauche en regardant bien, puis de les reproduire
rdant bien, puis de les reproduire à droite en fixant à son tour la main droite et se représentant bien le mou- vement.
s associés (par exemple : pression du dynamomètre, écriture de la main gauche). 25. - Séance d'une heure. Même exercic
llu procéder isolément pour l'index et toujours par imitation de la main saine. ' 26. Séance d'une heure. Les mouvements
rs TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 327 doigts de la main . Le troisième est plus paresseux, mais il arrive
est encore incapable d'écrire ou de presser le dynamo- mètre de la main droite. Poignet toujours tombant. En résumé, les
n bras droit pend inerte le long de son corps et il éprouve dans la main droite une sensation de fourmillement qu'il compa
llement qu'il compare à celle que donnerait du sable tombant sur la main . Cette sensation a persisté un mois environ.
e M. T..PaET; séjours de trois mois chaque fois). Etat actuel. La main droite est tombante en flexion et pro- nation,
ssibilité pour les fléchir ; cependant si l'on a soin de relever la main sur l'avant-bras, les doigts peuvent exécu- ter
ent de flexion, et les premières phalanges étant maintenues sur la- main , les deux derniers peuvent être relevés par le
deux derniers peuvent être relevés par le malade, de même aussi la main étant étendue sur une surface plane, il peut fa
e du membre. Réflexes tendineux normaux, pas de tremblement de la main droite. Pas d'atrophie du membre paralysé. La m
remblement de la main droite. Pas d'atrophie du membre paralysé. La main gauche éten- due présente un tremblement oscill
on du pouce, puis quelques mou- vements d'écartement des doigts, la main étant posée à plat sur une table, c'est surtout
u serrer le dynamomètre. A ce moment, la sensibilité revient sur la main et les doigts, il reste seulement une "zone d'a
ivrogne. Puis la parole s'est embarrassée, enfin le tremblement des mains est apparu plusieurs mois après. Le malade s'est
omplètement paralysé; il pendait inerte. Et quand le malade prit sa main gauche avec sa droite il remarqua que sa main g
and le malade prit sa main gauche avec sa droite il remarqua que sa main gauche était insensible. Après quelques soins,
et nerveux. Il en souffre encore quand on presse fortement à pleine main l'épaule gauche. Pas de cauchemars, pas de cris
e ; 2° parole scandée et lenle; 3° tremblement intentionnel de deux mains ; 4° nystagmus; atrophie blanche de la papille;
malade s'efforce d'exécuter des mouvements divers des doigts de la main et des autres segments du membre supérieur gauc
erches, et dans aucune des observations qui sont tombées sous notre main , nous n'avons trouvé cette déformation signalée
e qu'en prenant sur ses jambes une série de points d'appui avec ses mains , ce qui lui permet de hisser en quelque sorte le
e remue un peu ses pieds, et continue à se servir assez bien de ses mains pour fabriquer avec beaucoup d'art de petits jo
ds, plier les genoux. Il continue à se servir de ses doigts, de ses mains , et parvient à plier légèrement l'avant-bras su
rès peu de force. Pour s'en convaincre il n'y a qu'à lui donner ses mains à serrer; à peine sent-on une faible pression,
ient ce phénomène si l'observateur tâche d'arrêter avec ses propres mains les mouve- - ments des membres du malade et les
tés; la force muscu- laire diminuée d'une manière considérable : la main droite porte le dynamomètre à 10 et la gauche j
au délire du toucher (lavage REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 375 des mains , craintes des contacts, gestes anormaux, répétiti
me phalanges de l'index, médius, auriculaire et annulaire de chaque main deviennent livides et, au bout d'un temps varia
Ils ne ne s'accompagnent d'aucune sensation douloureuse ; les deux mains sont atteintes simultané- ment, en commençant p
les deux mains sont atteintes simultané- ment, en commençant par la main gauche; le pouce n'est jamais pris. La durée de
e seaux placés dans toutes les parties des bâtiments, de grenades à main et d'extincteurs chimiques. L'auteur a une grande
te pensée obsédante peut s'interpréter ainsi : « Je ne sens plus ma main , je ne peux plus la remuer, mon bras est lourd
volonté, affirme qu'il ne pense pas à remuer son bras, à serrer sa main , à faire une grimace; bien mieux, il n'a aucune
ette attaque n'est pas un acte simple comme une contrac- tion de la main , c'est un ensemble très complexe de convul- 1 H
t le plus habi- tuellement sur les cuisses par la face palmaire des mains dont le bord interne est incliné sur le cubilus
s supérieurs occu- pent la même position que précédemment, mais les mains repo- sent sur les parties latérales du tronc o
l'indica- teur, soit contre sa face palmaire. Cette disposition des mains de reposer constamment par leur face palmaire,
alement le membre supérieur gauche, où il est surtout prononcé à la main ; pour les autres membres, on ne l'observe que l
eine s'il est dessiné pour la Fac-similé de l'écriture tracée de la main droite. Le tremblement en est peu marqué, c'est
s la formation des lettres. Fac-similé de l'écriture tracée de la main gauche. Le tremblement est ici très net. La fig
rs de son arrivée à Bigorre, la ligure 6 au moment du départ. De la main gauche, le malade écrit de droite à gauche. m
du départ. De la main gauche, le malade écrit de droite à gauche. main droite et fait défaut dans le membre inférieur du
e et fait défaut dans le membre inférieur du même côté. Etudié à la main , il consiste en des mouvements alternatifs de f
les doigts qui semblent « filer la laine »; les seconds occupent la main dans son ensemble. Ce sont des oscillations peu
Fig. 55. Fig, 56. PARALYSIE AGITANTE ET HYSTÉRIE. 445 tient sa main fortement appliquée contre le genou. La langue
comme parle passé; actuellement, il lui est impossible de porter la main gauche sur la tète; il éprouve une grande diffi-
quée dans les mouvements; il y a quelques mois, s'est aperçu que la main droite trem- blait lorsqu'il était,émotionné. P
avant. Assis, les membres supérieurs reposent sur les cuisses, les mains en pronation. Le tremblement est limité au côté
au côté droit; manifeste pour le pied, il est très peu accusé à la main et ne se produit que si le malade est émotionné.
le goût est obnubilé; réflexes rotuliens et des fléchisseurs de la main exagérés. En somme, cas vulgaire de paralysie agi
ssent négligeables, pourvu que l'emploi de ce moyen reste entre les mains de l'homme de l'art. M. Robertson ne croit pas
prit, car, au bout de quelques instants, la jeune femme mettait la main sur trois écrins contenant des cachets en vieil
66 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
'une anesthésie surmontée d'une bande d'hyperesthésie ; on eut « la main forcée » par l'apparition d'une eschare sacrée
ord, à genoux, puis posant de pied droit à terre, enfin appuyant la main droite sur le genou droit. Mais on s'aperçoit vit
s, et, dans la station assise, se tient renversée en arrière et les mains appuyées sur les cuisses. On ne trouve d'ailleurs
. Ou constate alors : atrophie et paralysie flasque des muscles de la main , de l'avant-bras et du triceps trachial : parap
s troubles vésicaux, parésie du membre supérieur droit surtout à la main et à l'avant-bras,avec très légère atro- phie d
dou- leurs erratiques dans le dos ; deux autres mois plus tard les mains devinrent maladroites ; cette maladresse, et de
ns la station assise, elle était obligée de soutenir sa tête à deux mains ce qui amenait la sédation des douleurs. 7 mois
des mouvements : elle ne prend qu'à peine un objet quelconque de la main droite qu'elle peut cependant porter à son nez,
le peut cependant porter à son nez, ce qui lui est impossible de la main gauche. Elle ne peut se tenir debout seule, perda
rachiaux, des muscles antibrachiaux, et paralysie des muscles de la main , avec atrophie des éminences thénar et hypothén
tion IV, le malade étant alcoolique etayant un peu de faiblesse des mains , on avaitpensé à une polynévrite alcoolique à for
emblances éclatent ; on re- connaît que le sujet ne prend appui des mains sur ses membres inférieurs que pour immobiliser
terre, s'accroupissant sans fléchir le tronc, et s'appuyant sur les mains pour se relever. La marche est caractéristique, s
masser un objet à terre sans lenteur et sans prendre appui avec les mains ; c'est à peine si elle hésite un peu pour fair
ert beaucoup de rhumatisme noueux qui lui déforma les doigts et les mains . Mère : La mère du malade, encore vivante, est
nfant, et disait à chaque instant, en se cachant la figure dans ses mains et regardant sournoisement à travers les doigts é
ineau tombé vivant dans un filet ; et, sur le champ et d'un coup de main , il l'a tué, déplumé et mangé tout cru. Il ne com
, régions axillaires, inguinales poplitées et à la face dorsale des mains . Mais spécifions les principales altérations pr
et légèrement cyano- tique sur chaque pommette. La face dorsale des mains , avec ses fossettes infantiles, est très gonflé
nons, les soudures épiphysaires sont faites dans le squelette de la main et du pied, et dans les articulations radio-car
tres symptômes. Le visage conserve le même teint, les téguments des mains présentent la même infiltration de faux oedème et
tout de suite le teint bleuâtre et surtout la dimension anormale des mains et des pieds. Le bébé se développa très bien, m
de plus en plus, sur- . tout après des efforts musculaires, et les mains et les pieds grandissaient-telle- ment, qu'il l
ment faits pour lui. Ayant fini l'école, il travailla un peu de ses mains . Au mois de novembre 1903 il tomba malade de la
d'une petite circonférence, mais les bras et les jambes, surtout les mains et les pieds, les genoux, les poignets et l'art
face gluante, et ses sillons profonds, elle ressemble à la peau des mains des blanchisseuses. La tête, la bouche, les lèv
mouvements de toutes les jointures des membres supérieurs. - Les mains larges, camardes, aux longs doigts (type en long)
vous'ai déjà montré l'aspect singulier de la peau des paumes de la main . Mesures des membres supérieurs. ACROMÉGALIE
ttention. Plus distinctement que par l'examen de nos yeux et de nos mains , on remarque le disproportion de l'hypertrophie o
Gerhardt connaissait déjà l'augmentation de volume des pieds et des mains , l'état douloureux et le gonflement des articula-
e plus avancé, et notre F... est déjà venu au monde avec de grosses mains et de gros pieds. Pierre Marie appelait l'acrom
re jeunesse on a remarqué les di- mensions relativement grandes des mains et des pieds, d'abord sans troubles de fonction
ature un cas dans lequel il existait une augmentation de volume des mains et des pieds avec une proé- minence des os mala
à bords à pic et à fond blafard (Constatation du 10 juin). ' Les mains présentent aussi de l'infiltration très nette, lé
oup moins tendue qu'aux pieds ; les doigts ont la forme de boudins ( main succulente). Coeur. A l'auscultation du coeur o
l'olécrâne, subluxations des phalanges aux 3 derniers doigts de la main droite. Atrophie du membre inférieur droit port
hermomètre à cuvette plate est très basse : 22° (sept. 1904). Les mains sont recouvertes d'une peau ridée, beaucoup trop
mpression sur lui : la bouche ouverte comme pour pousser un cri, la main droite tendue, la gauche ramenée en arrière, expr
de David adolescent est sculptée en un immense bloc de mar- bre. La main avec la fronde repose sur l'épaule, mais les yeux
bibliothèque du Vatican un recueil de poésies écrites de sa propre main ; les trois dernières pages renferment dans une r
fait aucune maladie grave jusqu'à l'âge de 12 ans. À cette époque, la main droite présente une faiblesse particulière. La
e s'en sert toujours pour écrire, mais en tout autre but emploie sa main gauche. Ce trouble dura une année : la jeune fi
existe un faible degré de camptodactylie à l'auriculaire gauche. Les mains ne présentent rien d'anormal, en dehors d'une l
constatable aux deux poignets. Ce jeu des articulations permet, la main étant à plat sur la table, d'amener ce segment à
s nouures imprécises, de l'impotence passagère et mal définie de la main droite, nous voyons qu'en notre cas, il reste uni
avant terme à huit mois ; dès la naissance on s'est aperçu que ses mains et ses pieds étaient mal conformés. Vers l'âg
aris ACHONDROPLASIE PARTIELLE ATYPIQUE (H. Dufour) En haut, les mains de l'acliondroplasidue (arrêt de développement du
s, quoique courts ; ils dépassent les crê- tes iliaques. Absence de main en trident. Les bras devraient être plus courts
ntre, on y observe les mêmes caractères. Une brûlure localisée à la main entraîne un arrêt de développement de tous les se
ar rapport au développement des autres parties. Certains doigts des mains et des pieds présentent un arrêt de dévelop- pe
ont fort diminués de volume. Or les déformations des pieds et de la main s'expliquent par le seul fait de cette brièveté
et se débattait, brisant souvent les objets qu'elle avait entre les mains . Puis elle s'amusait comme les enfants avec une
a malade à un peu marché « son bras gauche se paralyse un peu », la main gauche « devient toute rouge » et les mouvements
réellement et est perceptible à la palpation. Membres supérieurs. Main : on y observe des arrêts de développement, sem
loppement, semblables à ceux des pieds. En effet, le 5e doigt de la main gauche présente comme les deux derniers orteils
s orteils l'aspect d'un moignon pyriforme. Les 3 phalan- 1 ic. 3. - Main gaucho. ges sont formées, ou plutôt esquissées,
PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 143 derniers doigts, et quand la main repose sur le lit, la ire phalange forme une vé
itable voûte à concavité inférieure. Seul le pouce est normal. A la main gauche mêmes déformations, mais moins accentuées
oigts 3 et 4 et surtout le 5e ont de la difficulté à s'allonger. La main est assez bien développée (voir radiographie, P
enée légèrement sur la surface de la peau. 152 NOICA paumes des mains et les plantes des pieds où la sensibilité est no
des pieds, la verge et le scrotum qui, avec la peau des paumes des mains , des plantes des FiG. 1 et 2. 17 mai 1905. Topo
et du cou-de-pied. Le sens stéréognostique est absolument aboli aux mains , le malade est inca- pable de reconnaître un ob
pable de reconnaître un objet qu'on lui a placé dans la' paume de la main et sur DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMIT
oigts). Les cercles de Weber examinés sur la peau de la paume de la main et de la face palmaire des doigts sont si agran
'une pointe sur la pulpe des doigts et une autre sur la paume de la main au voisinage du poignet donne la sensation d'une
rophique, le malade quoique paralysé et atrophié comme celui-ci aux mains , garde tout de même le sens stéréognostique.
e pression est bien perçue. Il est à remarquer que sur le dos des mains et des pieds les pressions très fortes provoque
les pressions très fortes provoquent des douleurs. Sur la paume des mains et sur la plante des pieds il ne sent pas les p
sous de la ligne inguinale. On remarque que la peau de la paume des mains , y compris celle des faces palmaires des doigts
ubles de la sensibilité à la pression. Sur les dos des pieds et des mains , les pressions très fortes sont dou- loureuses.
ires des orteils ont la sensibilité tactile normale. Sur le dos des mains la peau est hypoesthésique, mais celle qui recouv
Les champs de Weber sont agrandis sur toute la peau de la paume des mains et des faces plantaires des doigts, le malade ne
plantaires, des pieds et des orteils, celle des faces palmaires des mains études doigts, de la verge et du scrotum sont res
dans la percep- tion. On remarque aussi que la peau de la paume des mains , de la plante des pieds et de la verge est un p
la même topographie. 158 NOICA cuisses. De même sur le dos des mains et sur la peau des avant-bras plus accentués qu
Les membres supérieurs et inférieurs, sauf les faces palmaires des mains et les faces plantaires des pieds ont complètem
de la famille (peau fen- dillée, craquelée, engelures rebelles des mains ). Un cousin germain et une cousine germaine ich
énérale en arrière et à droite. On n'en remarque aucune au cou, aux mains , aux jambes, aux pieds. En résumé : distributio
aturnine : avant-bras fléchi sur le bras, légè- ment en pronation ; main en flexion forcée, autrement dit, tombée sur l'av
suivie de muscle en muscle, 172 socA l'excitateur électrique à la main , soit directement, soit comparant le côté droit
droite avec crises jacksonniennes localisées à l'avant-bras et à la main . Il existe une ébauche d'hémianopsie à droite.
enseignements de lui ; lorsqu'on l'interroge il cherche à porter la main à la tête, mais sans y arriver. C'est un homme
me se localisent strictement aux membres inférieurs, en général les mains sont prises à des degrés variables, alors que j
n ne se confine pas aux membres inférieurs, les bras et surtout les mains sont atteints, fait qui manque toujours dans la
nt, au moment où il faisait un très léger effort de torsion avec la main droite, une sorte de déclanchement, se produire
s, il lui était impossible de l'élever pour, par exemple, porter la main à la bouche : une luxation spontanée de l'épaule
on hémisphère droit ; mais il a dit qu'il se servait toujours de sa main gauche de préférence pour un travail nécessitant
- veaux : il se frotte la région épigastrique avec le poignet de la main gauche en se donnant l'attitude d'un homme qui
niment la phrase de « mea culpa »... ; ou bien avec le médius de sa main gauche il fait un mouve- ment rapide de frottem
l'un contre l'autre ; flexion et entrecroisement des doigs de deux mains (Fig. F, G) ; contorsion générale du corps dans
risque de se blesser ou de blesser quelqu'un, lorsqu'il a dans les mains des instruments tels que grattoir, plu- mes, et
s, mouvements saccadés du bras avec épaule correspon- dante raidie, main crispée autour du poignet, frottement du poignet
, avec de gros souliers et une escarcelle de cuir à la ceinture. Sa main gauche crispée sur le bras du fauteuil, son poi
oiffé d'un bonnet informe, où brillent quelques ornements. Ses deux mains sont occupées. L'une, la gauche, solidement appli
appliquée sur le crâne du malade tient une sonde ou un bistouri.La main droite tient un autre instrument ; les deux arm
une vieille femme contemple l'opération ; sa mimique attristée, ses mains jointes témoignent de la sincérité de son émoti
dents de la galerie de Schwerin : même expression attendrie, mêmes mains croisées supplian- UN BAHBIER-CIIIHURGIEN DE GE
uve encore la vieille femme au regard anxieux, compri- mant avec sa main gauche les battements de son coeur. Cette note ap
de la parésie du bras droit et dimi- nution de la sensibilité de la main droite et de la jambe gauche. Enfin ap- paruren
citations psychiques.Le malade ne peut pas les remuer sans l'aide des mains . 354 GIUNI0 CATOLA La flexion, l'extension de
ésente des lésions tuberculeuses assez avan- cées. La force de la main droite est nettement amoindrie. Face. Rien de r
l'essaya-t-il à plusieurs reprises ; cepen- dant la mobilité de la main était normale et il n'éprouvait aucune diffi- c
roite, indifférent à gauche. Il se déboutonnait difficilement avec la main gauche, un peu plus facilement avec la main dro
t difficilement avec la main gauche, un peu plus facilement avec la main droite. On conduit le malade à l'infirmerie le
che. Enfin, quand on pique le malade à droite, il grimace, et de sa main droite cherche le lieu de la piqûre. La même ép
et en- semble de caractères ; la figure 3, en opposition, montre la main normale du vieillard bien conservé, dont il a é
sur 70 cas) déclare n'avoir jamais éprouvé aucune douleur dans les mains ; ils ne se plaignent pas de leur déformation, sa
déformation est habituellement généralisée à tous les doigts d'une main ; le plus souvent symétrique aux deux mains ; en
à tous les doigts d'une main ; le plus souvent symétrique aux deux mains ; en tous cas, elle atteint à peu près toujours
aspect, nousp laçons la radiographie (PI. LV11, radiogr. 2') de la main du vieillard bien conservé, déjà signalé comme ne
n, on peut voir coïncider chez le même malade, parfois sur une même main , la déformation dystrophique et le rhumatisme déf
ionnelles anciennes ou plus ou moins récentes, et du surméenage des mains .Nous la trouvons tout aussi marquée chez des cult
ffet des signes évidents d'acromégalie, l'aspect de sa face, de ses mains , de ses pieds, les dimensions de sa taille sont c
t une cage thoracique réduite de volume eu égard à la taille. Les mains sont surtout remarquables par leurs dimensions en
ugmentation de volume porte surtout sur la longueur, la largeur des mains n'est pas disproportionnée à leur longueur. Les
aucisson », que l'on observe dans certains cas. Sur le profil de la main du sujet que nous avons dessiné à côté du profil
de la main du sujet que nous avons dessiné à côté du profil 1 d'une main d'adulte on peut apprécier la différence des dime
dent se calmait lorsque désireux de se sous- xix 26 Profils de la main gauche d'un adulte de taille moyenne et de la mai
26 Profils de la main gauche d'un adulte de taille moyenne et de la main du malade acromégalique. 394 GAUSSEL traire
la maladie. Du côté des extrémités tout d'abord l'hypertrophie des mains et des pieds était manifeste. On sait qu'il e
de chiromégalie : l'un dans lequel l'aug- mentation de volume de la main se fait dans le sens de la largeur ; la main es
entation de volume de la main se fait dans le sens de la largeur ; la main est alors cubique, massive, courtaude, en batto
a largeur gardant des dimen- sions proportionnées à la longueur; la main est alors moins difforme. C'est à ce type que r
main est alors moins difforme. C'est à ce type que répondaient les mains de notre malade. De même aux extrémités inférie
é de faire cette radioura- 396 GAUSSEL phie du crâne et celle des mains , le malade, au moment de son premier séjour, ay
pneumique ; cette affection (1) s'ac- compagne de déformations des mains portant sur les doigts, en particulier sur la p
on carpo-métacarpienne à peu près normale au lieu de transformer la main en battoir comme l'acromégalie, elle amène une dé
et fait une volumineuse saillie au-dessus de la face dorsale de la main , elle respecte les maxillaires et produit rarem
l'ossification était intéressant; et notamment la radiographie de la main montra que les cartilages épiphysaires des méta
vec ceux qui furent décrits dans mon premier tra- vail. ' Tête et main (en comparant les radiographies de 1903 à celle d
médications pendant les trente derniers mois. La radiographie de la main droite a montré des modifications fort re- marq
n a beaucoup avancé après le traitement. S1'1']a radiographie de la main on constata en 1903 que l'ossification de tou : l
Meillet soutenait une thèse sur les déformations permanentes de la main . Charcot présidait : il loua fort ce travail et f
faibles mouvements, de très peu d'amplitude, des avants-bras et des mains . On peut constater également, par instants, de tr
troubles objectifs de la sensi- bilité et une déformation des deux mains , rappelant le tableau de la sy- ringomyélie, et
st brûlé à l'avant-bras avec sa cigarette et ne l'a pas senti. La main gauche a commencé a faiblir, a se fatiguer plus v
tume ; un an après les mêmes signes de faiblesse se constatent à la main droite. La jambe gauche devient, en même temps, l
u faible. A cause des progrès des troubles trophiques au niveau des mains , cet homme a dû quitter son travail depuis un a
d'apparence vigoureuse, robuste, dont l'attitude en griffe des deux mains trahit seule, au premier examen, l'état de maladi
servée dans les différents segments des membres, sauf au niveau des mains qui sont le siège d'une atrophie très marquée,
ous attirons l'attention est congénital. Il est surtout accusé à la main et à l'avant-bras droits, et il intéresse en ou
e membre droit, on ne sent que fort peu de saillies musculaires. La main droite est nettement dirigée en dedans ; elle for
conservée et dessine une saillie nette, mais le bord externe de la main (côté de l'éminence thénar) est tout à fait dép
) est tout à fait déprimé et mince. Le mouvement de flexion de la main est normal ; celui d'extension (1) Communicatio
4 FRANÇAIS ET EGGER est imparfait, il aboutit seulement à placer la main sur le prolongement de l'avant-bras. Les mouvem
us montre que cette importante déformation de l'avant-bras et de la main tient non seulement à l'absence du pouce, mais
radius entraîne celle du pouce et de son métacar- pien ; 2° que la main non maintenue par le radius forme un angle plus
osto- ses, ni d'irrégularité à la face antérieure des tibias. Les mains sont courtes et larges,; les dernières phalanges
flexes, force musculaire au-dessous de la moyenne à la pression des mains , mais pas d'inégalité apparente ni fai- blesse
n, les collines supportent des forteresses à tours crénelées. De la main droite le saint fait le geste de l'exorcisme : de
un jeune homme demi-nu, musclé et vigoureux qui se tient assis, les mains jointes. La physionomie de ce personnage est calm
ouverte, les bras étendus. Notons par contre, l'invraisemblance des mains ouvertes et comme pâmées. Pas de ligure ailée i
s reconnaissons un aveugle à l'attitude générale de son corps, à sa main tendue en avant et qui maintient par une cordelet
de l'épaule droite sur une primitive béquille qu'il maintient d'une main contracturée. Comme la jambe droite semble aussi
par les muscles des jambes s'étendant plus tard aux nitis- cles des mains . Intégrité des muscles de la racine des membres.
la racine des membres. Pieds-bols équins. Atrophie des muscles des mains , type Aran-Duchenne. Contractions fibrillaires
E INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 479 ses mains , et sa parole commença à présenter les caractères
ue, présentant une déformation très prononcée des deux pieds et des mains , avec atrophie musculaire, le membre inférieur dr
mais en festonnant comme un cérébelleux. Pour marcher, il appuie sa main droite sur une canne. Sans ses souliers conformés
musculaire, type Aran-Duchenne, égale et symétrique des deux côtés, main simienne avec griffe cubitale légère, atrophie
affaiblis en particulier dans les fléchisseurs des doigts et de la main . Le.long supinateur et les radiaux sont intacts
RINE ET ANDHÉ THOMAS bres. Le retard, très prononcé sur la peau des mains , diminue également en remontant. Sur la face
n dit au malade de prendre un objet sur la table (plume, verre), sa main exécute de légers mouvements de latéralité, puis
e toucher le nez ou une oreille avec l'index de l'une ou de l'autre main , les mouvements de latéralité s'exagèrent et le d
le malade ne perçoit pas des différences de poids, placés dans ses mains , si cette différence ne dépasse pas 30 grammes.
tération très prononcée de la sensibilité tactile des doigts et des mains . Lorsque la malade tient quelque chose dans ses
it à la malade deje prendre, pour y arriver elle fait exécuter à sa main une série d'oscillations transversales et l'abat
membres est très altérée, car si l'on dit à la malade de porter la main sur son gros orteil, sur un genou, sur l'un ou
té faradique abolie dans les muscles des jambes, des cuisses et des mains , diminuée aux avant-bras. La contractilité galvan
eux. Aux membres supérieurs atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Mains simiennes sans griffe cubitale. Cypho-scoliose tr
absolue sur toute l'étendue de la face palmaire des doigts et de la main , et sur la face dorsale, jusqu'à l'interligne m
aule. A gauche, même état pour la face palmaire des doigts et-de la main . Sur la face dorsale des doigts, la sensibilité
tions également très marquées sur la face dorsale et pal- maire des mains , diminuant de bas en haut et ne disparaissent qu'
ufs à la coque au repas, son fils pou- vait tenir ces oeufs dans la main très longtemps, ce qu'aucun membre de la famill
ment sur le sol. Ils ne peuvent mar- cher qu'avec une canne dans la main droite et marchent la tête penchée en avant et
veloppement. Il n'existe dans ces cas ni oscillations latérales des mains comme dans la maladie de Friedreich, ni tremble
s, pas de D R dans les fléchisseurs des doigts et les muscles de la main , non plus que dans le trapèze et le rhomboïde. A
avec des cylindres hyalins granuleux et des cellules rénales. A la main gauche il a les difformités typiques de la mala
che il a les difformités typiques de la maladie de Dupuytren : à la main droite il n'a rien d'anormal. Il persiste à dir
il y a trois ans. Au commencement, il a eu des fourmillements à la main ; après, la sensibilité aux doigts et aux paume
x présentent des lésions de l'arthrite chronique ; sur le dos de la main et sur les deux côtés il y a des taches ecchymoti
térale et la plus externe t (Pl. LXXXI, A, A', B). Position de la main : elle est légèrement fléchie vers le carpe, les
derniers doigts, placés de cette façon, entrent dans le creux de la main : le pouce est étendu dans ses deux phalanges ave
sensibilité thermique est distinctement diminuée. Le restant de la main et de l'avant-bras ont une sensibilité normale. L
eu nombreux; celui dont parle Cenas qui, après un traumatisme de la main , villa rétrac- tion survenir à l'autre main, es
alilée, s'est rendu à l'endroit où le Prophète se trouvait. Avec la main gauche il va, tâtonnant l'épaule de l'enfant qui
leurs représentations artisti- ques de la cécité. On y reconnaît la main du grand artiste, scrupuleux observateur de la
67 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
t de méthode, à leur inexpérience et à leur incompétence. Entre les mains d'un maladroit, d'un brutal ou d'un ignorant, il
e aussi dangereux que peuvent l'être la digitale et l'opium entre les mains d'un empirique. Quant à la simulation tant de f
pourquoi, monsieur vient à moi, me donne des coups de canne, met ses mains dans ma poche et me prend mon argent. — Est-ce bi
air furieux, et subitement, s'armant d'une assiette qu'il arracha des mains d'un domestique qui passait, il s'apprêta à me la
ont elle était formulée, M. D... s'arrêta net et je pus enlever de sa main crispée l'assiette menaçante. Profitant de l'éton
l et se dressa sur son séant. Il reconnut ses parents, leur tendit la main et, se levant, fit quelques pas dans sa chambre;
on que j'allais lui donner, mes regards s'arrêtèrent sur l'une de ses mains ; je m'aperçus alors avec étonnement qu'elle retir
s; je m'aperçus alors avec étonnement qu'elle retirait vivement cette main comme si elle était piquée. Je regardai l'autre :
té du corps d'où ils partaient; que les rayons digitaux émanant de la main droite étaient positifs et que ceux qui émanaient
nt de la main droite étaient positifs et que ceux qui émanaient de la main gauche étaient négatifs; enfin, que le souffle lu
es. Paris, 1887, Masson; in-8°, de 392 pages. N'ayant pas sous la main des feuilles de papier colore pour refaire les ex
l'auteur préconise un nouveau traitement qui aurait donné, entre ses mains , des résultats fort satisfaisants. Frappé de l'in
à le frapper dans le bas-ventre avec un instrument qu'il tenait à la main . M. Deny put éviter le coup en sautant en arrière
termine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête
i matinale, cl demande si elle a dormi longtemps ? Puis, portant la main sur son ventre, elle s'écrie : Tiens! qu'est
slov. Peddie et Skoe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave question. Selon eux. il ne suffit pas
il aborde l'histoire des pratiques qui en dépendent. L'imposition des mains , qui provoquait chez certains sujets un état où i
d'affections du système nerveux, par l'exorcisme et l'imposition des mains ; il promenait celles-ci sur la tête, le cou, la n
r lui commandera de tenter de le guérir par un procédé qui, entre des mains suffisamment expérimentées, n'a encore donné lieu
commence à essayer le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la région bregmatique et je produisis
la parole embarrassée, empâtée, de la titubation, le tremblement des mains . Mme F... nie absolument toutes habitudes alcoo
r par la fixation de ses veux sur les miens et par l'apposition de ma main sur son front. État de léthargie. Je lui suggèr
r écrire un certificat dont son fils a besoin pour le volontariat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut trac
té cutanée, par exemple ? on note les effets suivants. Si on prend la main du sujet, lequel est impassible et inerte comme u
me, son regard devient brillant et expressif, et en même temps que sa main répète itérativement le geste du début, la physio
que) provoqué soit par suggestion verbale, soit par la préhension des mains . Dans cet état, il n'entend, no voit et ne sent
os, cette tierce personne, avec l'extrémité du doigt indicateur de ma main droite, de manière que le mouvement que j'opère,
elle l'interroge, et la sent si elle le tou-che. Je ferme ensuite ma main et la retire doucement en arriére; L..., aprè
rines contiennent. Si quelqu'un d'indifférent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit, il ne sait pas où
forte raison, il entend cette clochette, si je l'agite de mes propres mains . De même, si, pendant que je me riens derrière
sparaissent aux yeux de L... Je supprime de cette façon pour L... des mains , des doigts, des bras, des chapeaux, des têtes mê
i leur sont confiées : c'est de ne pas les laisser déchoir dans leurs mains , faute de culture, et d'enrichir leur patrimoine
ournie de comparaisons brillantes, qui. mis au tableau, la craie à la main , sont incapables d'aligner quelques chiffres et d
mieux, c'est-a-dire de s'approcher de l'instrument et d'y appuyer les mains . CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Association fran
egard est fixe, épouvanté. En même temps, les bras sont raidis et les mains , croisées l'une sur l'autre, sont contracturées e
ui nous dit qu'à un moment donné elles ne seront pas dirigées par des mains coupables et qu'elles ne pourront pas ainsi ouvri
aussi s'expliquer. Le docteur Lorenz s'étant badigeonné le dos de la main et' l'avant-bras avec de la teinture d'iode sur u
ite de l'alambic ; on était obligé de plonger a plusieurs reprises la main dans la cucurbite pour mêler l'eau et les feuille
qui dure une partie de la journée, quand on a quelque temps trempé la main dans une solution d'acide phénique. M. le docteur
Saujon, npus racontait dernièrement qu'il lui suffisait de tremper sa main dans un verre d'eau contenant dix gouttes de tein
pour voir survenir une éruption avec démangeaison de la peau de cette main . L'un de nous a publié, il y à déjà plusieurs a
onsiste en passes légères que l'on exécute tantôt avec la paume de la main , tantôt avec les doigts. Les frictions s'exécuten
de la main, tantôt avec les doigts. Les frictions s'exécutent avec la main , comme on le sait. Le pétrissage se fait, tantôt
ntôt en soulevant seulement un muscle, ou en pétrissant avec les deux mains , ou bien encore en roulant des deux mains les mus
en pétrissant avec les deux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une région. Le tapotement se fait d
t se fait de deux manières : 1° par le claquement avec la paume de la main ; 2° par le hachement avec le bord cubital de la
la paume de la main ; 2° par le hachement avec le bord cubital de la main . Les appareils sont presque abandonnés, du moin
tres, la liberté de se servir alternativement ou indifféremment de la main droite et de la main gauche. J'ai protesté ailleu
e servir alternativement ou indifféremment de la main droite et de la main gauche. J'ai protesté ailleurs contre cette tyran
eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet enfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se sent-il pre
L'homme doit se servir alternativement ou simultanément de ses deux mains . Il est regrettable qu'il se soit créé par atavis
an; quand on lui présentait un objet, il le saisissait aussitôt de la main gauche. C'est la mère elle-même qui a nourri les
ès, cet enfant avait complètement perdu l'habitude de se servir de la main gauche, et est tout à fait droitier aujourd'hui q
ui passe très souvent inaperçue) et il se servira de préférence de la main gauche. Si on n'intervient pas à temps, cette hab
de progrès ; l'hypnotisme scientifique devient chaque jour, entre les mains des médecins, un précieux instrument dans le trai
malsaines. Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un médecin expérimenté qui l'emploie comme moye
ongue, comme dans la position du sommeil; j'appliquais la paume de ma main gauche sur le front, le pouce et l'index venant c
r légèrement et fermer les deux yeux, pendant que j'exécutais avec la main droite de douces frictions sur les membres. Soumi
tion est longitudinale. Dans * ce cas, l'aimant en fer à cheval et la main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou su
a vue, en effet, et s'est entretenue avec elle. Mais l'approche de la main en hétéronome vers la nuque a supprimé la vision,
urnée que dans la nuit à pratiquer l'onanisme : tantôt elle porte les mains sur ses parties génitales, tantôt elle se frotte
laisser seule un instant, qu'il est indispensable de lui attacher les mains la nuit, et qu'elle a pris depuis deux ans à peu
peu près l'habitude d'embrasser son pire sur la bouche en mettant la main sur ses parties. Celte enfant est très forte po
i-heure le réveil par suggestion (toucher de l'oreille gauche avec ma main ). 15 janvier 1887.— L'enfant m'est ramenée. D
eurs, toute personne mise en état de somnambulisme devient, entre les mains de l'expérimentateur, un véritable automate, tant
é à toutes les médications. Pour provoquer le sommeil, j'appliquai la main droite sur le front et je fais In suggestion du d
ous vous endormirez vous-même pour vous soulager. Vous appliquerez la main droite sur le front avec l'idée de dormir. Dès qu
sur le front avec l'idée de dormir. Dès que vous serez endormi, votre main se détachera du front et tombera naturellement le
s du vol qui vous est reproché. » Auch... s'endort en appliquant sa main droite sur son front; au bout de quelques instant
iquant sa main droite sur son front; au bout de quelques instants, sa main se détache et retombe naturellement. Le sujet don
malgré lui, en sensation ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main à la joue en ayant l'air de souffrir, il souffre
nt la divination des pensées. Un de ses émules a fait écrire à ma main , en la conduisant, un nombre de trois chiffres qu
pas conscience du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais
primait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais la main de l'opérateur, tout en croyant qu'il conduisait
. Jamais d'hallucinations pendant le jour. Jamais de tremblements des mains . La malade, même après ses plus fortes crises, n'
t devenue terrible. La malheureuse boit tout ce qui lui tombe sous la main , en particulier l'esprit-de-vin. Plusieurs fois e
e opération très délicate, capable de faire beaucoup de mal entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il faut donc la laisse
que la pratique courante donne seule au chirurgien la dextérité de la main indispensable pour réussir les opérations les plu
t, le jour et la nuit, deux de ses doigts, l'index et le médius de la main gauche. On avait en vain essayé tous les moyens p
équences fâcheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un médecin consciencieux. S'il a été signalé de
contradictoires : tenir les bras écartés et cirer sans rapprocher les mains . Une angoisse inexprimable se peignit sur son vis
i le traitement. Fixant Anatole, dans le plus grand silence, mes deux mains appuyées légèrement sur les côtés du front, je ré
rer. A peine était-il assis qu'elle a saisi un poignard placé sous sa main et qu'elle l'en a frappé, sans savoir pourquoi, f
hassin qui a assassiné M. de Givray afin de pouvoir mettre un jour la main sur la fortune de sa femme; c'est lui, du moins,
stincts, imitant soit les coups que l'on produirait en frappant de 1a main une porte ou une cloison en bois, soit le grattag
elle est toute tremblante. Pour éviter ce sommeil, elle se trempe les mains dans l'eau froide ; mais cela ne lui suffit pas,
, s'accoude sur la table de la cuisine, avec sa tête reposant dans la main gauche. A 6h. 5a Mme X... étant entrée pour la pr
le était endormie, immobile, les yeux fermés, tenant son ouvrage à la main , mais ne travaillant pas. Quand Mme X... l'avait
faut laisser de côté l'hypothèse d'une simulation machinée de longue main et avec art, par une série de trucs et de superch
bilité de reconnaître les objets. Lorsque, par exemple, on plaçait la main devant l'œil gauche de la malade, elle ne pouvait
r d'élèves : J'ai ouvert le robinet qui coule l'eau pour me laver les mains . Un écolier entendant aurait dit tout simplemen
écolier entendant aurait dit tout simplement : « Je me suis lavé les mains . » Un autre, ayant à raconter les faits saillan
eusement ressortir les dangers que présentent ces pratiques entre les mains de charlatans. « A la suite d'évocations spirit
ituellement. Elle ne dit jamais de paroles grossières, mais elle a la main leste. Elle ne supporte pas la contradiction : el
us venons de le rapporter. Elle a même une fois mordu son fiancé à la main , parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En eff
e partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux bras, aux mains et aux jambes. Pendant que je la soumettais aux é
u'elle était dans son état de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains vers le ciel, et. dans une hallucination érotique
n an avant, elle avait donné a son enfant un soufflet du revers de la main , étant très en colère. C'est à la suite de ce lég
our la narguer et qu'elle devait lui donner une gifle du revers de la main . Elle le fit, en effet, et se trouva paralysée du
. Lui ayant ensuite suggéré de donner un soufflet avec la paume de la main , on constata que la paralysie portait dans ce cas
amne dans les termes les plus énergiques l'usage de ce moyen dans les mains de personnes étrangères à la médecine. * Janv
aut de méthode, à leur inexpérience et a leur incompétence. Entre les mains d'un maladroit, d'un brutal ou d'un ignorant, il
e aussi dangereux que peuvent l'être la digitate et l'opium entre les mains d'un empirique. » Avant de finir, l'auteur comb
personnes qui ont de faulte de membre naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'autre membre quel quil soit de boiteux
fumais et il me demanda du feu. En prenant mon cigare, il plaça sa main en contact avec la mienne et me regarda intensive
ans. qui avait été hypnotisé par Léon au moyen de l'imposition de la main sur la nuque, a contracté le tic de pousser un pr
emier, fait connaître une méthode infaillible (elle l'a été entre mes mains , du moins jusqu'à présent), pour réveiller le sou
is, à peine dehors, Mlle Jeanne voit passer un omnibus, s'échappe des mains de l'agentetse précipite sous les roues. On n'eut
t devenir dangereux, quand on l'emploicmal a propos. Et si, entre les mains de MM. Charcot, Bernheim, Liébeault e: d'autres e
rme cet état en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec l'autre main sur la mâchoire inférieure de l'animal, de façon
r étudier l'action du contact de l'or sur sa peau, je lui ai, avec ma main gauche dont l'un des doigts porte une bague en or
ma main gauche dont l'un des doigts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La sensation dudit annea
ndit; en tous cas, le lendemain matin, je constatais sur le dos de sa main une ampoule de brûlure au deuxième degré, présent
tie de l'anneau qui avait été en contact avec la région dorsale de la main . La cicatrisation de la petite plaie qui en fut l
ercuté le dos de cet homme, principalement dans les points qu'avec la main , restée libre, il ne pouvait parvenir a toucher,
étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtie
ue, comme si elle devait dormir pendant plusieurs heures par jour, la main gauche appliquée sur son front, les doigts ferman
iquée sur son front, les doigts fermant les paupières, pendant que la main droite faisait de douces frictions sur les membre
ire un mot. Je la plaçais souvent dans une position fixe, assise, les mains étendues sur les genoux, et la forçant à ne pas f
de sang coula sous la porte, et Sidi Mahmed ben Aïssa ressortit, les mains ensanglantées, demandant une seconde victime. Une
sportée d'une sainte ardeur, se jette dans la fosse et brise avec les mains et avec les dents tout ce qu'elle trouve. Cet exe
e donner aux expériences. Car il ne faut pas oublier que si entre des mains d'hommes prudents et possédant les connaissances
mander que la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de méd
tique de l'hypnotisme, ainsi que des dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a lu les conclusion* s
fet est produit, et ce malheureux devient comme une machine entre les mains du magnétiseur et sous les yeux de ses concitoyen
Faut-il s'en affliger? Sans doute, il est commode de trouver sous sa main , groupés dans un ordre systématique, les résultat
que la pratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du premier venu. Un ou deux orateurs ont tenté
conde; or. pour cette partie de mon livre, le manuscrit est entre les mains des compositeurs et je n'en ai point encore d'épr
as cette montre, mais deux montres exactement pareilles dans mes deux mains . Il les voit, en effet, et, invité à reprendre l'
Par M. Félix HÉMENT inspecteur général de l'univesitték Jeu de main , jeu de vilain, dix le proverbe. Ce sont, en effe
, on ne manque pas de dire à la victime, en manière de blâme : Jeu de main , jeu de vilain. Ce sont aussi des gens grossier
de nous, nous lançons sur lui un regard pénétrant et lui prenons les mains . Nous le tenons captif sous l'action de notre reg
doit pas être mise sur les tréteaux, car de là elle passera dans les mains d'individus malintentionnés qui s'en serviront po
les faces. II. La pratique de l'hypnotisme doit être réservée a des mains habiles et prudentes. Semblable à ces médicaments
oup de bien. Ceci dépend, par-dessus tout, de la direction. Entre les mains des Jésuites, il est devenu une arme perfide merv
68 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
t de méthode, à leur inexpérience et à leur incompétence. Entre les mains d'un maladroit, d'un brutal ou d'un ignorant, il
e aussi dangereux que peuvent l'être la digitale et l'opium entre les mains d'un empirique. Quant à la simulation tant de f
pourquoi, monsieur vient à moi, me donne des coups de canne, met ses mains dans ma poche et me prend mon argent. — Est-ce bi
air furieux, et subitement, s'armant d'une assiette qu'il arracha des mains d'un domestique qui passait, il s'apprêta à me la
ont elle était formulée, M. D... s'arrêta net et je pus enlever de sa main crispée l'assiette menaçante. Profitant de l'éton
l et se dressa sur son séant. Il reconnut ses parents, leur tendit la main et, se levant, fit quelques pas dans sa chambre;
on que j'allais lui donner, mes regards s'arrêtèrent sur l'une de ses mains ; je m'aperçus alors avec étonnement qu'elle retir
s; je m'aperçus alors avec étonnement qu'elle retirait vivement cette main comme si elle était piquée. Je regardai l'autre :
té du corps d'où ils partaient; que les rayons digitaux émanant de la main droite étaient positifs et que ceux qui émanaient
nt de la main droite étaient positifs et que ceux qui émanaient de la main gauche étaient négatifs; enfin, que le souffle lu
es. Paris, 1887, Masson; in-8°, de 392 pages. N'ayant pas sous la main des feuilles de papier colore pour refaire les ex
l'auteur préconise un nouveau traitement qui aurait donné, entre ses mains , des résultats fort satisfaisants. Frappé de l'in
à le frapper dans le bas-ventre avec un instrument qu'il tenait à la main . M. Deny put éviter le coup en sautant en arrière
termine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, ou de la tête
i matinale, cl demande si elle a dormi longtemps ? Puis, portant la main sur son ventre, elle s'écrie : Tiens! qu'est
slov. Peddie et Skoe, tous trois médecins aliénistes, qui ont pris en main cette grave question. Selon eux. il ne suffit pas
il aborde l'histoire des pratiques qui en dépendent. L'imposition des mains , qui provoquait chez certains sujets un état où i
d'affections du système nerveux, par l'exorcisme et l'imposition des mains ; il promenait celles-ci sur la tête, le cou, la n
r lui commandera de tenter de le guérir par un procédé qui, entre des mains suffisamment expérimentées, n'a encore donné lieu
commence à essayer le traitement par l'hypnotisme. J'appli- ; quai ma main gauche sur la région bregmatique et je produisis
la parole embarrassée, empâtée, de la titubation, le tremblement des mains . Mme F... nie absolument toutes habitudes alcoo
r par la fixation de ses veux sur les miens et par l'apposition de ma main sur son front. État de léthargie. Je lui suggèr
r écrire un certificat dont son fils a besoin pour le volontariat. Sa main tremble tellement, en effet, qu'elle ne peut trac
té cutanée, par exemple ? on note les effets suivants. Si on prend la main du sujet, lequel est impassible et inerte comme u
me, son regard devient brillant et expressif, et en même temps que sa main répète itérativement le geste du début, la physio
que) provoqué soit par suggestion verbale, soit par la préhension des mains . Dans cet état, il n'entend, no voit et ne sent
os, cette tierce personne, avec l'extrémité du doigt indicateur de ma main droite, de manière que le mouvement que j'opère,
elle l'interroge, et la sent si elle le tou-che. Je ferme ensuite ma main et la retire doucement en arriére; L..., aprè
rines contiennent. Si quelqu'un d'indifférent tient un encrier à la main pendant, qu'endormi, il écrit, il ne sait pas où
forte raison, il entend cette clochette, si je l'agite de mes propres mains . De même, si, pendant que je me riens derrière
sparaissent aux yeux de L... Je supprime de cette façon pour L... des mains , des doigts, des bras, des chapeaux, des têtes mê
i leur sont confiées : c'est de ne pas les laisser déchoir dans leurs mains , faute de culture, et d'enrichir leur patrimoine
ournie de comparaisons brillantes, qui. mis au tableau, la craie à la main , sont incapables d'aligner quelques chiffres et d
mieux, c'est-a-dire de s'approcher de l'instrument et d'y appuyer les mains . CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Association fran
egard est fixe, épouvanté. En même temps, les bras sont raidis et les mains , croisées l'une sur l'autre, sont contracturées e
ui nous dit qu'à un moment donné elles ne seront pas dirigées par des mains coupables et qu'elles ne pourront pas ainsi ouvri
aussi s'expliquer. Le docteur Lorenz s'étant badigeonné le dos de la main et' l'avant-bras avec de la teinture d'iode sur u
ite de l'alambic ; on était obligé de plonger a plusieurs reprises la main dans la cucurbite pour mêler l'eau et les feuille
qui dure une partie de la journée, quand on a quelque temps trempé la main dans une solution d'acide phénique. M. le docteur
Saujon, npus racontait dernièrement qu'il lui suffisait de tremper sa main dans un verre d'eau contenant dix gouttes de tein
pour voir survenir une éruption avec démangeaison de la peau de cette main . L'un de nous a publié, il y à déjà plusieurs a
onsiste en passes légères que l'on exécute tantôt avec la paume de la main , tantôt avec les doigts. Les frictions s'exécuten
de la main, tantôt avec les doigts. Les frictions s'exécutent avec la main , comme on le sait. Le pétrissage se fait, tantôt
ntôt en soulevant seulement un muscle, ou en pétrissant avec les deux mains , ou bien encore en roulant des deux mains les mus
en pétrissant avec les deux mains, ou bien encore en roulant des deux mains les muscles d'une région. Le tapotement se fait d
t se fait de deux manières : 1° par le claquement avec la paume de la main ; 2° par le hachement avec le bord cubital de la
la paume de la main ; 2° par le hachement avec le bord cubital de la main . Les appareils sont presque abandonnés, du moin
tres, la liberté de se servir alternativement ou indifféremment de la main droite et de la main gauche. J'ai protesté ailleu
e servir alternativement ou indifféremment de la main droite et de la main gauche. J'ai protesté ailleurs contre cette tyran
eu raison, en ont fait un ambidextre. Cet enfant dessine, écrit de la main droite; mais vient-il à se battre, se sent-il pre
L'homme doit se servir alternativement ou simultanément de ses deux mains . Il est regrettable qu'il se soit créé par atavis
an; quand on lui présentait un objet, il le saisissait aussitôt de la main gauche. C'est la mère elle-même qui a nourri les
ès, cet enfant avait complètement perdu l'habitude de se servir de la main gauche, et est tout à fait droitier aujourd'hui q
ui passe très souvent inaperçue) et il se servira de préférence de la main gauche. Si on n'intervient pas à temps, cette hab
de progrès ; l'hypnotisme scientifique devient chaque jour, entre les mains des médecins, un précieux instrument dans le trai
malsaines. Certes, ce sommeil artificiel peut être utile entre les mains d'un médecin expérimenté qui l'emploie comme moye
ongue, comme dans la position du sommeil; j'appliquais la paume de ma main gauche sur le front, le pouce et l'index venant c
r légèrement et fermer les deux yeux, pendant que j'exécutais avec la main droite de douces frictions sur les membres. Soumi
tion est longitudinale. Dans * ce cas, l'aimant en fer à cheval et la main de l'expérimentateur appliqués sur le buste ou su
a vue, en effet, et s'est entretenue avec elle. Mais l'approche de la main en hétéronome vers la nuque a supprimé la vision,
urnée que dans la nuit à pratiquer l'onanisme : tantôt elle porte les mains sur ses parties génitales, tantôt elle se frotte
laisser seule un instant, qu'il est indispensable de lui attacher les mains la nuit, et qu'elle a pris depuis deux ans à peu
peu près l'habitude d'embrasser son pire sur la bouche en mettant la main sur ses parties. Celte enfant est très forte po
i-heure le réveil par suggestion (toucher de l'oreille gauche avec ma main ). 15 janvier 1887.— L'enfant m'est ramenée. D
eurs, toute personne mise en état de somnambulisme devient, entre les mains de l'expérimentateur, un véritable automate, tant
é à toutes les médications. Pour provoquer le sommeil, j'appliquai la main droite sur le front et je fais In suggestion du d
ous vous endormirez vous-même pour vous soulager. Vous appliquerez la main droite sur le front avec l'idée de dormir. Dès qu
sur le front avec l'idée de dormir. Dès que vous serez endormi, votre main se détachera du front et tombera naturellement le
s du vol qui vous est reproché. » Auch... s'endort en appliquant sa main droite sur son front; au bout de quelques instant
iquant sa main droite sur son front; au bout de quelques instants, sa main se détache et retombe naturellement. Le sujet don
malgré lui, en sensation ou en acte suivant sa nature. Si je porte ma main à la joue en ayant l'air de souffrir, il souffre
nt la divination des pensées. Un de ses émules a fait écrire à ma main , en la conduisant, un nombre de trois chiffres qu
pas conscience du mouvement involontaire que ma pensée imprimait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais
primait à ma main pour écrire ce chiffre à mon insu; je conduisais la main de l'opérateur, tout en croyant qu'il conduisait
. Jamais d'hallucinations pendant le jour. Jamais de tremblements des mains . La malade, même après ses plus fortes crises, n'
t devenue terrible. La malheureuse boit tout ce qui lui tombe sous la main , en particulier l'esprit-de-vin. Plusieurs fois e
e opération très délicate, capable de faire beaucoup de mal entre des mains inhabiles ou malhonnêtes ; il faut donc la laisse
que la pratique courante donne seule au chirurgien la dextérité de la main indispensable pour réussir les opérations les plu
t, le jour et la nuit, deux de ses doigts, l'index et le médius de la main gauche. On avait en vain essayé tous les moyens p
équences fâcheuses. Je ne crois pas que cela puisse arriver entre les mains d'un médecin consciencieux. S'il a été signalé de
contradictoires : tenir les bras écartés et cirer sans rapprocher les mains . Une angoisse inexprimable se peignit sur son vis
i le traitement. Fixant Anatole, dans le plus grand silence, mes deux mains appuyées légèrement sur les côtés du front, je ré
rer. A peine était-il assis qu'elle a saisi un poignard placé sous sa main et qu'elle l'en a frappé, sans savoir pourquoi, f
hassin qui a assassiné M. de Givray afin de pouvoir mettre un jour la main sur la fortune de sa femme; c'est lui, du moins,
stincts, imitant soit les coups que l'on produirait en frappant de 1a main une porte ou une cloison en bois, soit le grattag
elle est toute tremblante. Pour éviter ce sommeil, elle se trempe les mains dans l'eau froide ; mais cela ne lui suffit pas,
, s'accoude sur la table de la cuisine, avec sa tête reposant dans la main gauche. A 6h. 5a Mme X... étant entrée pour la pr
le était endormie, immobile, les yeux fermés, tenant son ouvrage à la main , mais ne travaillant pas. Quand Mme X... l'avait
faut laisser de côté l'hypothèse d'une simulation machinée de longue main et avec art, par une série de trucs et de superch
bilité de reconnaître les objets. Lorsque, par exemple, on plaçait la main devant l'œil gauche de la malade, elle ne pouvait
r d'élèves : J'ai ouvert le robinet qui coule l'eau pour me laver les mains . Un écolier entendant aurait dit tout simplemen
écolier entendant aurait dit tout simplement : « Je me suis lavé les mains . » Un autre, ayant à raconter les faits saillan
eusement ressortir les dangers que présentent ces pratiques entre les mains de charlatans. « A la suite d'évocations spirit
ituellement. Elle ne dit jamais de paroles grossières, mais elle a la main leste. Elle ne supporte pas la contradiction : el
us venons de le rapporter. Elle a même une fois mordu son fiancé à la main , parce qu'il voulait l'empêcher de sortir. En eff
e partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux bras, aux mains et aux jambes. Pendant que je la soumettais aux é
u'elle était dans son état de sommeil, l'ont vue se lever, tendre les mains vers le ciel, et. dans une hallucination érotique
n an avant, elle avait donné a son enfant un soufflet du revers de la main , étant très en colère. C'est à la suite de ce lég
our la narguer et qu'elle devait lui donner une gifle du revers de la main . Elle le fit, en effet, et se trouva paralysée du
. Lui ayant ensuite suggéré de donner un soufflet avec la paume de la main , on constata que la paralysie portait dans ce cas
amne dans les termes les plus énergiques l'usage de ce moyen dans les mains de personnes étrangères à la médecine. * Janv
aut de méthode, à leur inexpérience et a leur incompétence. Entre les mains d'un maladroit, d'un brutal ou d'un ignorant, il
e aussi dangereux que peuvent l'être la digitate et l'opium entre les mains d'un empirique. » Avant de finir, l'auteur comb
personnes qui ont de faulte de membre naturel en eulx comme de pié de main d'œl ou d'autre membre quel quil soit de boiteux
fumais et il me demanda du feu. En prenant mon cigare, il plaça sa main en contact avec la mienne et me regarda intensive
ans. qui avait été hypnotisé par Léon au moyen de l'imposition de la main sur la nuque, a contracté le tic de pousser un pr
emier, fait connaître une méthode infaillible (elle l'a été entre mes mains , du moins jusqu'à présent), pour réveiller le sou
is, à peine dehors, Mlle Jeanne voit passer un omnibus, s'échappe des mains de l'agentetse précipite sous les roues. On n'eut
t devenir dangereux, quand on l'emploicmal a propos. Et si, entre les mains de MM. Charcot, Bernheim, Liébeault e: d'autres e
rme cet état en léthargie, et voilà com-ment : on presse avec l'autre main sur la mâchoire inférieure de l'animal, de façon
r étudier l'action du contact de l'or sur sa peau, je lui ai, avec ma main gauche dont l'un des doigts porte une bague en or
ma main gauche dont l'un des doigts porte une bague en or, touché la main sans qu'il y prit garde. La sensation dudit annea
ndit; en tous cas, le lendemain matin, je constatais sur le dos de sa main une ampoule de brûlure au deuxième degré, présent
tie de l'anneau qui avait été en contact avec la région dorsale de la main . La cicatrisation de la petite plaie qui en fut l
ercuté le dos de cet homme, principalement dans les points qu'avec la main , restée libre, il ne pouvait parvenir a toucher,
étant resté le même, j'essaie de l'hypnotiser par l'application d'une main sur le front et la pression sur les yeux. J'obtie
ue, comme si elle devait dormir pendant plusieurs heures par jour, la main gauche appliquée sur son front, les doigts ferman
iquée sur son front, les doigts fermant les paupières, pendant que la main droite faisait de douces frictions sur les membre
ire un mot. Je la plaçais souvent dans une position fixe, assise, les mains étendues sur les genoux, et la forçant à ne pas f
de sang coula sous la porte, et Sidi Mahmed ben Aïssa ressortit, les mains ensanglantées, demandant une seconde victime. Une
sportée d'une sainte ardeur, se jette dans la fosse et brise avec les mains et avec les dents tout ce qu'elle trouve. Cet exe
e donner aux expériences. Car il ne faut pas oublier que si entre des mains d'hommes prudents et possédant les connaissances
mander que la pratique de l'hypnotisme ne soit plus laissée entre les mains du premier venu. La section d'hygiène et de méd
tique de l'hypnotisme, ainsi que des dangers qu'il présente entre des mains inexpérimentées, M. Masoin a lu les conclusion* s
fet est produit, et ce malheureux devient comme une machine entre les mains du magnétiseur et sous les yeux de ses concitoyen
Faut-il s'en affliger? Sans doute, il est commode de trouver sous sa main , groupés dans un ordre systématique, les résultat
que la pratique de l'hypnotisme ne devait pas être laissée entre les mains du premier venu. Un ou deux orateurs ont tenté
conde; or. pour cette partie de mon livre, le manuscrit est entre les mains des compositeurs et je n'en ai point encore d'épr
as cette montre, mais deux montres exactement pareilles dans mes deux mains . Il les voit, en effet, et, invité à reprendre l'
Par M. Félix HÉMENT inspecteur général de l'univesitték Jeu de main , jeu de vilain, dix le proverbe. Ce sont, en effe
, on ne manque pas de dire à la victime, en manière de blâme : Jeu de main , jeu de vilain. Ce sont aussi des gens grossier
de nous, nous lançons sur lui un regard pénétrant et lui prenons les mains . Nous le tenons captif sous l'action de notre reg
doit pas être mise sur les tréteaux, car de là elle passera dans les mains d'individus malintentionnés qui s'en serviront po
les faces. II. La pratique de l'hypnotisme doit être réservée a des mains habiles et prudentes. Semblable à ces médicaments
oup de bien. Ceci dépend, par-dessus tout, de la direction. Entre les mains des Jésuites, il est devenu une arme perfide merv
69 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
un réel service à rendre à la science, en arrachant l'hypnotisme des mains des empiriques et de charlatans qui le compromett
nique, alors même qu'ils ont conservé les mouvements des doigts de la main droite, sont, dans l'immense majorité des cas, pl
e, 17; mai 1887, p. 325. d'après notre conseil, l'a remis entre nos mains . Les accès à l'hôpital se sont répétés pendant qu
cette personne chantait, s'accompagnait sur le piano, jouait des deux mains des notes probablement diffé- (l) Cf. Espinas,
se, je me rassieds et reprends ma lecture. Voilà que machinalement ma main plonge dans ma poche et en tire le cahier à cigar
Dr Howes réussit à lui apprendre à parler, à lire, à écrire avec les mains est aussi une histoire connue de tous les psychol
nt, qu'elle sentait même les grains de poussière sur sa figure et ses mains . Fait assez curieux, le sens de la température ét
qu'elle n'avait pas vus depuis très longtemps, au seul contact de la main . Son sens musculaire, autant qu'on a pu en juger,
ypnotiques et à la nécessité d'en confier exclusivement l'usage à des mains intègres et expertes. A ce propos, du reste, vo
re d'hypnose, le dernier mot est fort loin d'être dit ; si, entre des mains inhabiles ou vénales, ses pratiques entraînent d'
e que le chirurgien ne peut se soustraire à l'obligation d'exercer sa main , de l'assouplir et de la familiariser avec 1) T
mputations, qui ne reposent sur aucun fondement. Pas plus entre nos mains qu'entre celles de MM. Liébeault, Bernheim. Beaun
mesure, au développement de la névrose. Mais aujourd'hui, entre les mains des médecins qui se bornent à appliquer la sugges
on drap de lit. Il le serre violemment entre ses dents, tire avec les mains de toutes ses forces et finit par le déchirer.
ues. Il est incontestable que la volonté de cet homme était dans ma main et que j'étais absolument maître de lui a l'état
e tout avouer ou tout nier à cet homme; j'aurais pu le faire jurer la main sur un brasier. Mois la vérité? Impossible de la
'on désirait. Dans l'état de somniation, il suffisait de placer une main sur la région épigastrique et d'insinuer que le h
Une jeune femme en état de somnambulisme provoqué, venait de poser sa main sur un bouton de porte d'appartement et tombait n
es Richet fait asseoir le sujet, prend ses pouces dans chacune de ses mains et les lui serre asser fortement pendant quelques
e de loin sesgrands yeux sur eux, leur montrait le revers élevé de sa main , avançait quelques pas, puis abaissait brusquemen
ent d'un sommeil doux, calme comme le sommeil naturel. J'approche une main doucement de ses yeux et je dis : « Dormez ». Que
dre attouchement du tendon roiulien, il suffisait même d'approcher la main comme pour le toucher, la jambe décrivait une tra
is; aucun effet ne se produirai!. Puis remettant lemêrae métal sur la main , en leur disant ou en disant aux assistants : a V
x assistants : a Voici ce métal ou cet aimant que j'applique m sur la main ; au bout de trois fois la sensibilité sera reven
la main ; au bout de trois fois la sensibilité sera revenue dans la a main et la moitié de l'ayant-bras. par exemple, s Agis
de prise encore sur cet esprit détraqué. Ce sera un jouet entre leurs mains et ils en feront tout ce qu'ils voudront. L'hysté
incapable de réflexion, il deviendra vite un instrument de crime aux mains de qui saura s'en servir. Messieurs, je ne vous
sans consistance, et, je vous l'ai dit, ce sera un jouet entre leurs mains . Non-seulement ils s'en amuseront, le taquineront
a parole est libre. Le bras est absolument inerte, avec œdème de la main qui commence à se contractera. Douleurs spontanée
emain, par le même procédé, le mouvement était rendu à un doigt de la main droite désigné d'avance, puis à la main tout enti
était rendu à un doigt de la main droite désigné d'avance, puis à la main tout entière, an bras, etc., et toujours au plus
nt progressivement à un tel point qu'il fallait lui maintenir dans la main une bande roulée pour empêcher les excoriations é
d'affirmer à la malade qu'avant la fin du rêve, je l'arracherais aux mains des croquemoris; je lui affirmai aussi qu'elle as
le, même chez les enfants A la mamelle. Il lui suffit d'appliquer une main sur le ventre et l'autre sur le dos du petit suje
ain d'accomplir son larcin ; le tiroir était ouvert ; elle mettait la main sur la photographie convoités, et brusquement ell
résigné. Nous Je faisons asseoir en face de nous et. lui prenant les mains , en le fixant avec insistance par le regard, nous
tabacs, et qui, en raison de ses occupations, a presque toujours les mains et les bras dans le jus de labac. En outre, ayant
peaux à grands bords rabattus et portant chacun quelque chose dans la main , le premier portait un balai. J'étais assis moi-m
avais la sensation d'avoir chaud aux pieds. Je n'ai pas constaté à la main si les pieds étaient réellement chauds, mais la s
haud aux pieds.Je constate, en touchant directement mes pieds avec la main que le pied droit est manifestement chaud, sans t
nsation d'avoir chaud aux pieds, et je constate, par le contact de la main , que j'ai bien réellement chaud aux pieds. Cett
on d'écrire, j'étais a ma table de travail, une plume blancne dans la main . J'ai rêvé que j'avais de l'imagination après a
vateurs ci étudiés par M. Charcot, ne sont guère à redouter entre les mains des personnes expérimentées, grâce à la méthode s
e n'avais agi qu'avec la plus grande douceur, par l'application de la main sur le front, l'occlusion des paupières avec le d
rdent, à la suite de cette excitation très lorte et unique, ou faible main répétée, un état anatomique particulier, quelque
ans. sur sa sœur qui en avait neuf, aidant de ses conseils et de ses mains les deux débutants. A douze ans elle se livra d
mples. Il fut élevé par si mère, excellente femme qui le gâtait. « La main ferme d'un père, m'êcrit-il. aurait pu peut-être
deux individus mal équilibres, je crois : l'un, un enfant, tombe aux mains d'un credin qui façonne cette argile malléable à
fait a une fleur fauchée, une fleur de bagne »; l'autre, faute d'une main ferme pour le guider, devient un ivrogne et, grâc
ivre en marge de la société, jusqu'à ce que celle-ci les reprenne, la main dans le sac ou dans le sing. pour les écraser san
à des milliers de malades et nous sommes certains que, si entre leurs mains expérimentées l'hypnose a amené la guérison d'un
eur, soit sur les extrémités des doigts, index ou majeur de l'une des mains de celui-ci, ou bien des passes, ou de toute autr
acture des bras s'accompagna d'un certain degré d'asphyxie locale des mains qui dura plusieurs semaines et que j'ai réussi A
le bras, surtout A gauche en s'accompagnant d'une asphyxie locale des mains , A un degré très prononcé. Les deux mains étaie
d'une asphyxie locale des mains, A un degré très prononcé. Les deux mains étaient violettes, gonflées, principalement le so
soir, froides au toucher et le thermomètre appliqué sur le dos de la main accusait le 27 Mars 19°6 A gauche et 24°5 à droit
sivement tous les jours d'un degré environ des deux côtés. 27 Mars, Main gauche 19°6. Main droite 24°5 28 » » 2o°5. » 25
jours d'un degré environ des deux côtés. 27 Mars, Main gauche 19°6. Main droite 24°5 28 » » 2o°5. » 25°8 29 » » 21°8.
is la température locale..tous les jours et vers le 10 avril les deux mains présentaient une température d'environ 30°. Il av
la ne manque pas d'intérêt. Le 5 avril, le thermomètre accusait ù la main gauche 26°6. Désirant arriver très vite à la norm
abaissement de 20. Toutefois le lendemain matin la température de la main gauche était à 27°8, c'est-à-dire que depuis la v
st sorti de l'hôpital le 8 juin; avec une température de 320 aux deux mains . Au mois de Septembre 1889, il rentra à l'hôpital
re service que le mien où il resta plus d'un mois avec l'asphyxie des mains . Voyant que l'aflection ne se modifiait pas par l
eures je pouvais faire varier en plus ou en moins, la température des mains de 10°. Un jour, je lui dis: c La main gauche va
en moins, la température des mains de 10°. Un jour, je lui dis: c La main gauche va « devenir froide et violette ainsi que
exactement et touchant les parties désignées. Le lendemain matin, la main était froide et violette, à la face palmaire comm
inférieure de l'avant-bras. Le thermomètre appliqué sur le dos de la main accusait 20° tandis que la veille, il donnait 30°
sous l'extension du biceps. Le 13 décembre la température des deux mains était à 320. En pré-sence de plusieurs de mes col
l, professeur de physiologie, j'endors le malade et je lui dis que la main et l'avant-bras au côté gauche allaient se refroi
u côté gauche allaient se refroidir. Une heure après on notait sur la main gauche, le thermomètre étant reste appliqué, une
minution de 9°4 à gauche el de 1°5 seulement a droite. 14 Décembre. Main droite 30°5. Main gauche 22°6 Sans l'endormir e
gauche el de 1°5 seulement a droite. 14 Décembre. Main droite 30°5. Main gauche 22°6 Sans l'endormir et en touchant simp
30°5. Main gauche 22°6 Sans l'endormir et en touchant simplement la main gauche, je dis: « Cette main va se refroidir», et
l'endormir et en touchant simplement la main gauche, je dis: « Cette main va se refroidir», et la diminution constatée fui
minution constatée fui encore assez sensible û gauche. 15 Décembre. Main droite 30°. Main gauche 19°. Ainsi donc en 48 h
e fui encore assez sensible û gauche. 15 Décembre. Main droite 30°. Main gauche 19°. Ainsi donc en 48 heures, la tempéra
30°. Main gauche 19°. Ainsi donc en 48 heures, la température de la main gauche s'était abaissée de 13 degrés sous l'influ
utre de la contracture de l'avant-bras et de la teinte violette de la main ainsi que de la partie intérieure de l'avant-bras
de 30° à droite et de 20° à gauche ; on dit au malade eu touchant sa main gauche : « La chaleur va revenir ». Dès ce moment
ré 3 heures, en même temps qu'il se produisait un tremblement dans la main et l'avant-bras. La température a été prise d'h
Bonnet, médecin major au 6° de ligne, j'ai déterminé l'asphyxie de la main droite. Avant l'expérience à 9 heures du matin la
roite. Avant l'expérience à 9 heures du matin la température des deux mains était de 30°. une demi-heure après la suggestion,
-il qu'en disant à un sujet, dans des conditions déterminées :« Votre main va devenir froide », le grand sympathique réponde
tes par le procédé de la fixation de ses yeux, de l'application de ma main sur son front et l'injonction de dormir. J'obti
e plus puissant et le plus asservi des animaux, il peut tenir dans sa main un sceptre qui règle le sort de plusieurs million
. S'il ne veut pas travailler, il doit mourir de faim ; s'il porte la main sur quelque chose, il est saisi comme un voleur.
ant que son hôte montait â cheval, lui présenta du bétel de sa propre main , se tint debout quand il entra et ordonna à ses c
Il mit sa tête sur le sol. et un de ses grands officiers prit dans sa main le pied du fils du Calife et le plaça sur le cou
andu, en ce monde ou dans l'autre. Ils écrivirent cela de leur propre main , et reconnurent leur écrit devant le Cadi qui lég
cience de vos propres crimes. » Ses pieds furent liés ensemble et ses mains attachés a son cou. Il resta dans cette position
de les mutiler et torturer pour de petites fautes en leur coupant les mains et les pieds, le nez et les oreilles, en leur arr
brûlant les corps avec le feu, en les crucifiant, en leur clouant les mains et les pieds, en les écorchant tout vifs, en leur
moyens: rien n'y fit, le sommeil persista. Enfin, le médecin passa la main sur (a ligure de la jeune fille et cria d'une voi
e ; saint Ladre, contre les ladreries : sainte Marie pour la gale aux mains ; saint Marcoul contre les écrouelles ; saint Pat
es d'hypnotisme. Le ministre de l'Intérieur, a, d'ailleurs, entre les mains , les renseignements les plus propres à éclairer s
ppliquée sans inconvénient. Car il ne faut pat oublier que, entre des mains d'hommes prudents et possédant les connaissances
d'une série de crises, il était aphone. Dés que je lui appliquai mes mains sur le front et sur la gorge en lui disant que j'
autour de la tête. Du côté du mouvement: hémiamyosthénie gauche: la main gauche est maladroite et n'a aucune force : la ja
econnu par la jeune fille. Il ne pouvait nier, il avait la natte â la main et danssa poche une paire de ciseaux. Une perqu
coupa une natte. Il se souvient fort bien que lorsqu'il l'eut dans la main il éprouva une sensation voluptueuse telle, qu'il
soir il coupa une natte avec son couteau. Serrant la tresse dans ses mains il courut à son domicile et fut repris de la même
l avait réu-si à couper une natte, et qu'il avait les cheveux dans la main , rienau monde ne lui aurait fait lâcher prise, qu
roid; ce qui le tronble, c'est d'apercevoir le coiffeur tenir dans sa main la chevelure d'une femme. Si cette femme sort ave
ui et invinciblement attiré que par les cheveux pendants, ceux que sa main peut prendre. « Je me juge, nous dit-il, plus s
ns pas de l'affirmer hautement, de procédé plus inoffensif, entre les mains des médecins compétents, que la suggestion hypnot
il va vous mordre. » Le sujet voit le chien, éloigne son bras, met la main sur son mollet où il a reçu une morsure fictive;
, un peu plus fort si j'insiste. On voit qu'aucune passion n'anime sa main . D'autres sujets résistent aux suggestions qu'o
ompli, elle s'amuse de l'attention dont elle est l'objet; elle joue à main chaude avec ses gardiens; elle mange de bon cœur
, elle entre en contracture, et se place d'abord en opisthotonos, les mains jointes sur la poitrine, les pieds en varus équin
ue de plus en plus et se rejette enfin, brusquement, sur le côté, les mains gardant la même position, les pieds restant en va
supérieure, (pose de sirène), se relève lentement sans le secours des mains et, une fois à genoux, se projette en arrière. El
, se projette en arrière. Elle se relève ensuite, sans s'aider de ses mains en aucune façon, se maintient sur un pied, le dro
t des paupières. Sommeil somnambulique obtenu de nouveau en posant la main sur les yeux. Fascination provoquée par le relève
e de continuer à nous tromper. Aussitôt elle ouvre les yeux, place sa main devant sa figure et S'en va en pleurant. Donc,
decins trouvent la malade triste, tranquille, la tète appuyée sur les mains . Elle ne répond pas comme toujours au salut matin
rite cherchant vainement dans les fentes du fauteuil. En passant la main sur le front de la malade M. Krafft-Ebing produit
alme, timide, impressionable, au point de ne pouvoir prendre dans ses mains un poisson vivant ou ramasser un ver de terre. Su
ont. Il voit le ver et s'en écarte : « Mais vous l'avez eu dans votre main , il y a un instant, » lui dit-on. Il réplique: «
préméditer et de préparer avec une habileté extraordinaire, de longue main , et de perpétrer l'assassinat d'une famille entiè
il tient en immolant ses victimes. D'autre part, il sent nettement fa main de son persécureur se poser sur son corps; il est
.R.) tout les pages 55, 65, 66 el la note de la page 105. Entre les mains de M. Delbœuf, el toujours dans le même bui. ces
pratique de M. Ber-nheim), de soutenir que les praticiens, entre tes mains de qui l'hypnotisme a produit des accidents — d'a
on, qui est pour lui fondamentale. C'est ici qu'il croit avoir mis la main sur les intérêts qu'on n'avoue pas. Pour qu'il ne
e cassée d'un coup de fusil. Un garde des finances s'élança, sabre en main , sur le torcené pour le désarmer. Il reçut uns ba
Avec l'Université, la défiance est un devoir. Ce qu'elle donne de la main droite clic le reprend aisément de la main gauche
ir. Ce qu'elle donne de la main droite clic le reprend aisément de la main gauche et si l'on procède par les moyens mis en œ
e m'etonner que l'on confie la direction des générations futures àdes mains aussi ignorantes. Une demi-heure pour vaquer au
èmes, figures ou mots qu'il a plu à l'expérimentateur de tracer de sa main . Indépendant de tout état organique appréciable
vons vue, les jours de cousultation, s'immo-biliser en catalepsie, la main sur le bouton de la porte qu'elle venait d'ouvrir
résistance, il cède à la plus légère pression. Il ne peut étendre sa main qui reste fléchie sur le poignet. Il donne, au dy
terlocuteur en lui servant d'agent de transmission par le contact des mains , tel que j'ai indiqué dans un précédent mémoire.
drogues, il faudrait plusieurs volumes. L'hypnotisme, lui, entre les mains les plus maladroites, n'a jamais causé le moindre
ilitaire et il ne doit même pas songer à un traitement qui, entre tes mains des hommes les plus autorisés, a donné dans des c
continuer. Il n'y a ni spasmes, ni tremblement, ni paralysie dans la main . Comme antécédents, de six à huit ans, ce malad
ze ans, premiers symp-tômes de doute ; ayant plusieurs objets dans la main , il ne savait lequel poser le premier. Onanisme a
u corps : mais il paraît siéger de préférence aux membres supérieurs, main et poignet, du moins dans les observations étudié
rique occupant toute l'extrémité du membre supérieur et donnant à ces mains l'aspect de mains tuméfiées, énormes. bluâtres,
te l'extrémité du membre supérieur et donnant à ces mains l'aspect de mains tuméfiées, énormes. bluâtres, froides, contrast
énormes. bluâtres, froides, contrastant au plus haut point avec la main opposée, de volume, de température et de colorati
tions suivantes, pendant le sommeil hypnotique. On lui a dit que sa main droite enflait, devenait plus grosse que l'autre,
s suggestions répétées pendant cinq ou six séances hypnotiques .cette main droite est devenue assez rapidement énorme, presq
tout le reste du corps. Elle ressemble en un mot de tous points, à la main d'une autre malade hystérique atteinte d'œdéme bl
de de simples suggestions psychiques produire et localiser dans cette main des désordres de nutrition et de circulation dura
s désordres de nutrition et de circulation durables et tels que cette main est moitié plus grosse, plus colorée et beaucoup
moitié plus grosse, plus colorée et beaucoup plus froide que l'autre main . Niera-t-on, après un exemple aussi manifeste a
seul effort de sa volonté et de de son désir de tromper, se faire une main plus grosse, plus dure, plus colorée et de 3 degr
s nous en inquiéter davantage, nous passons outre. Nous avons sous la main des aliments qui nous paraissent plus appétissant
ifféremment de toutes les essences odorantes qui leur tombent sous la main . Les prostituées de bas étage, celles qu'on appel
i semblenl s'ignorer et se partager l'empire de leurs sens : ainsi la main pourra écrire des pensées fort suivies et raisonn
sation tout à fait différente, sans même se douter du mouvement de la main . Ce second moi auquel appartient l'écriture subco
e preuves, se manifester trop ouvertement. A quelqu'un qui arrive les mains pleines de faits, il est difficile d'opposer une
70 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
époque, elle ressentit quelques douleurs dans l'épaule gauche et sa main gauche se mit à trembler à chaque émotion, même
t la profession de polis- seuse sur métaux, fatiguait uniquement sa main droite. La fatigue habi- tuelle, qui, dans un c
lement progressé : il y a dix-huit mois, le tremblement a envahi la main droite, puis les membres inférieurs : la ri- gi
mblement, je ne vous dirai pas grand'chose. Vous voyez que ses deux mains sont agitées par des oscillations horizontales, p
et examen, ces- sant presque complètement par le repos, lorsque ses mains sont appuyées sur le lit. Rien de semblable aux
désire, surtout, attirer votre attention, sur les déformations des mains et des pieds, qui sont, dans ce cas, tout à fait,
ce cas, tout à fait, remarquables. Les quatre derniers doigts de la main sont, comme vous pouvez le constater, fléchis à
e métacarpe, rejetés dans leur ensemble, vers le bord cubital de la main ; les deux dernières phalanges, en hyperextension
nges, en hyperextension, sont véritablement subluxées, surtout à la main droite ; le pouce est en dedans, opposé aux aut
duquel il demeura quatre mois alité et s'affaiblit notablement. Sa main gauche se mit alors à trembler. D'abord intermitt
'est que, depuis quinze jours, le tremblement a envahi également la main droite. , En l'interrogeant, nous apprenons, en
-ci sont abso- lument indemnes. Par contre, vous voyez que ses deux mains , mais sur- tout la gauche, sont agitées par des
ême tendance à fléchir tous les segments des membres supérieurs; la main , en particulier, prend déjà l'attitude habituelle
'espace de quatre ans. Dès le début de cet amaigrissement, ses deux mains se seraient mises à trembler. Remarquez bien ce
u côté gauche du corps. Le tremblement qui agite continuellement sa main gauche est remar- quable par son amplitude; vou
pides se faisant dans le sens vertical, et agitant l'ensemble de la main ; avec quelques mouvements individuels, peu consid
s observez, au pied gauche, des oscil- lations moins amples qu'à la main , mais présentant les mêmes carac- tères. Ces tr
l a remarqué, il y a deux ans environ, un léger tremble- ment de la main gauche, survenu sans cause apparente, et qui a, d
iques examinés ont été trouvés nor- maux. Deux petits muscles de la main et leurs plaques terminales étaient envahis par
le malade meurt, avec une escharre sacrée profonde, large comme la main . , Malgré une affection cancéreuse dont l'évolu
Douleurs fulgurantes des membres inférieurs ; engourdissements des mains . Diminution de la sensi- bilité au chaud, au fr
ils (Journ. de l'Anat. et de la Phys., 1893, p. 223). Notes sur les mains et les empreintes digitales de quelques : M ! M(t
: M ! M(t6M., 1900, p. 255). Les lignes papillaires de la paume de la main (ibid., p. 316). Les lignes papillaires de la p
316). Les lignes papillaires de la plante du pied (ibid" p, 602). La main , la préhension et le toucher (Revue philosophiq
che », son profil de « casse-noisette » ou de « polichinelle », ses mains volumineuses qui couvriraient chacune l'assiett
-flexion, les coudes rejetés en arrière, et il appuie fréquemment les mains sur les hanches comme pour se soutenir. Il ne p
e 32 ans), douleurs articulaires avec gonflement aux genoux, pieds, mains , pendant 1 mois. De suite après des douleurs vive
emblement de la langue et des lèvres. Pas de tremblement marqué des mains . Maladresse marquée des bras ; la malade ne ref
squ'à 20. Elle ne peut frapper un nombre de coups déterminé dans sa main . La parole s'embrouille dès qu'on veut lui fair
cette nuit elle est tom- bée de son lit (contusion du nez et de la main ). 95 janvier 1902. - L'état s'est amélioré ; la
. On note un tremblement continuel et généralisé surtout accusé aux mains et à la langue; pas de mouvements fibrillaires.
ce de l'urine et des fèces. A noter la déformation des doigts de la main droite surtout : la première phalange est en ex
laire assez bien conservée au bras et à l'avant-bras, diminuée à la main , avec laquelle il ne serre que très difficilement
ng supinateur bien ébauché ; l'incoordination est plus accusée à la main droite qu'à la main gau- che ; elle est de deux
ébauché ; l'incoordination est plus accusée à la main droite qu'à la main gau- che ; elle est de deux iota plus exagérée
lsif, que pour la nature de l'affec- tion tout objet qu'il tient en main peut d'un moment à l'autre se trans-. ERGOTHÉRA
légance des silhouettes, dans la figure du saint qui exorcise de sa main droite et dans le groupe -des assistants ' émer
la transfiguration de Rubens, au musée de Nancy (2). Le geste de la main crispée arrachant les vêtements se rencontre pour
Claire. Dans ce dessin (rapporté par P. Richer dans son livre), la main gauche de la convulsionnaire ouvre la robe en d
Christ s'avance hors du portique avec huit de ses disciples, et de la main droite, il bénit le possédé. Celui-ci, à demi-n
mal servi par une science insuffisante. En admet- tant même que les mains soient considérées comme liées derrière le dos,la
ommairement, et avec des traits conventionnels, à peu près nus, les mains ordinairement attachées derrière le dos, les ch
t surtout par une contracture du bras gauche caractéristique : « la main est fermée, les doigts crispés sur la paume, co
les plus nombreuses, c'est-à-dire aux extré- mités des membres, aux mains , aux pieds, à la face. Aussi les déforma- tions
ont un peu saillantes ; les arcades sourcilières le sont moins. Les mains ne semblent pas disproportionnées, les doigts son
ue, depuis l'âge de 20 ans, il ne grandit plus. La radiographie de sa main montre bien en effet que les cartilages de conj
T. XVII. Pl. XXI TYPE INFANTILE DU GIGANTISME Radiographie de la main d'ERNEST (E. 'Brissaud et Henry DiCeige). Mas
ulin que l'ovoïde féminin. Les membres sont relativement courts, la main est également courte, large et trapue, les doig
s grand que l'annu- laire, lequel est plus grand que l'index. Si la main fait le trident, c'est que les téguments sont é
ns la racine du membre et l'abolition complète des mouvements de la main et des doigts. On constate la perte du XVII -la
emaines après cet examen, est apparu du côté gauche au niveau de la main et du pied un oedème blanc, non douloureux, mou,
des lèvres ; particulièrement pendant la nuit, elle ressent dans la main droite de légers et rapides fourmillements. Mai
aucier. Son membre supérieur droit est incomplètement paralysé ; la main droite amène encore au dynamomètre ; la main ga
lètement paralysé ; la main droite amène encore au dynamomètre ; la main gauche amène 10. La démarche est possible, mais
uoi que ce soit. Le 20 avril, nous avons constaté l'apparition à la main droite d'un oedème très marqué, blanc, mou, gon
oedème très marqué, blanc, mou, gonflant et distendant le dos de la main et remontant jusqu'au tiers inférieur du bras.
est apparu un léger oedème de la mal- léole droite. L'oedème de la main avait diminué. L'oedème de l'avant-bras per- si
aquelle apparutcinq semaines plus tard un oedème considérable de la main , de l'avant-bras et des deux tiers in- férieurs
u côté gauche pour la face et le muscle droit externe de l'oeil. La main et l'avant-bras furent le siège d'un oedème très
naux (on avait t la plus grande difficulté à tracer le godet sur la main , et dans la discus- sion qui a suivi, 1\'kPierr
celte série le type décrit par Gilbert et Gar- nier sous le nom de main succulente : là encore il s'agit d'un pseudo- o
encore dans la syringomyélie où ils siègent surtout au niveau de la main , sous un type spécial pour lequel Marinesco a cré
a main, sous un type spécial pour lequel Marinesco a créé le nom de main succulente que Gilbert et Garnier ont appliqué
t point altérés. L'examen hématologique a été fait par piqûre de la main et de la jambe. Les résultats n'ont montré aucune
s injures à tout le monde, ne travaille plus, s'arrache la peau des mains avec les ongles. 8 juillet. La malade est con
ute la journée immobile sur une chaise, les paupières baissées, les mains sur les genoux, ne cause à personne, répond aux
us nette. 3 juin. -- Examen physique. - Cyanose et infiltration des mains . Réflexe plantaire conservé. Réflexe rotulien c
nse que mon sang ne circule pas. Le sang se trouve accumulé dans la main , comme un abcès, et il faut bien percer cet abc
e, etc. ; ce sont aussi des idées obsédantes (arrêt du sang dans la main ) qui produisent ses impulsions. Les hallucinati
prendre la position du soldat sans armes, on voit que la paume des mains se place au niveau du grand trochanter. De plus
ux « crêpes » couleur « café au lait » grandes comme la paume de la main , siégeant dans la région dorsale, symétriquement
té habituelle. Pas de syphilis. Ethylisme (pituite, tremblement des mains ). Aucun antécédent nerveux, pas de convulsions da
... est atteint, depuis l'ye de 17 ans, d'un tremblement limité aux mains assez comparable au tremblement éthylique. Pas
égère, abolition des réflexes tendineux. Atrophie des muscles de la main . Sensibilité à peu près normale. Troubles sphin
motrices des régions paraplégiques. En particulier, au ni- veau des mains et des pieds, la Tache Blanche (1) produite par u
re. Avec leurs faces rasées, carrées, à l'ossature saillante, leurs mains en battoirs, leurs énormes souliers, et leurs dos
x aussi tête nue et en bras de chemise, la veste et le chapeau à la main , côte à côte, coude à coude, quelquefois se don
out à coup un verre de bière, qui semble tombé du ciel, circuler de main en main dans un rang du cortège ; chacun y boit
up un verre de bière, qui semble tombé du ciel, circuler de main en main dans un rang du cortège ; chacun y boit une gor
fisait de les comprimer pendant quelques instants, avec ses propres mains , et de les maintenir im- mobiles, pour que les
ètement avant deux minutes ; avec des excitations interrompues à la main , les premières contractions sont fortes, elle s
d'une durée de quelques secondes, pendant lesquelles elle porte les mains au cou et pousse des gémissements de terreur, d
ets plus âgés; elle commence généralement parles petits muscles des mains , présente des contractions fibrillaires, des at
aires, des modifications électriques et des déformations spéciales ( mains de singe, etc.). En terminant, j'ajouterai que
nte. (Pl. XXXVIII.) Plus intéressant est l'image radiographique des mains . Nous y retrou- vons les mêmes lésions d'exosto
e sont habituelles, la présence de lésions spécifiques des os de la main sont une rareté, de sorte que l'on pourrait être
. DÉFORMATIONS SINGULIÈRES ET SYMÉTRIQUES DES AVANT-BRAS ET DES MAINS RÉSECTIONS ORTHOPÉDIQUES. - GUÉHJSON par A.
déviation est encore accrue par la subluxation postéro-externe de la main ou plus exactement par la rotation de son bordi
tion et supination abolies ; flexion : 65°, extension ; 1Oo. III. Mains . - lllain droite : La main droite ne présente pas
flexion : 65°, extension ; 1Oo. III. Mains. - lllain droite : La main droite ne présente pas une conforma- tion norma
sur lui-même, et dont le condyle, déformé, est aplati et élargi. Main gauche : Au niveau de la main gauche s'observent
yle, déformé, est aplati et élargi. Main gauche : Au niveau de la main gauche s'observent des lésions identi- ques con
petit appendice suspendu à l'angle inféro-interne de la paume de la main ; son articulation avec le métacarpe est située à
rs, deux mois après l'opération. DÉFORMATIONS DES AVANT-BRAS ET DES MAINS 85 carpienne est placée à 1 centimètre 1/2 en a
longueur des tendons expliquent assez l'impotence persistante de la main et du poignet. Nous décidons alors de soumettre
mité inférieure du poignet s'in- DÉFORMATIONS DES AVANT-BRAS ET DES MAINS 287 fléchissait sur le bord cubital : cette cou
ourbure physiologique. » 288 CANGE Détail important, les os de la main , ou plus exactement ceux du méta- carpe, sont é
sses. Oscillation latérale des doigts, quand on lui fait étendre la main , les doigts écartés. Rigidité lors des mouvemen
bolie aux jambes et aux pieds ; très diminuée aux avant-bras et aux mains . En outre on constate une diminution de la sen-
ogique de quelques travaux d'aliénés, voire des broderies dues à la main de femmes ' malades. Tout aliéniste praticien
Voici les matériaux dont nous disposons : 1° une broderie due à la main d'une malade affectée de manie périodique ; 2°
tendant que c'est « le diable ». La malade crie, chante, frappe des mains , saute, grimace, s'élance sur les personnes qui
onscience. Les ouvrages reproduits sur ces pages et qui sont dus à la main de malades, dont l'état mental vient d'être éba
ose de chaotique,d'irrésistible.Une poignée de graines lancée d'une main vigoureuse ne se distribuerait pas d'une façon pl
étoiles du modèle, assez jolies en somme se transforment entre les mains de la malade en une parodie pitoyable. Une obse
sacerdotaux, avec la. mitre et la crosse, auréolé et faisant de la main droite un geste de bénédiction. Près de lui est
ère : grands seigneurs, nobles dames et bourgeois, agenouillés, les mains jointes, moines et nonnes portant bannières et
la grande couronne, une polka sautillante, en levant le pouce de la main gauche ». Cette cérémonie n'a été abolie qu'en
leurs « pèlerines », ainsi que le bour- don que la femme tient à la main . Ils se livrent d'ailleurs à leurs ébats chorég
les, ceux-là courent comme des effarés, s'inondent la figure et les mains d'eau froide ; ceux- là se vautrent de préféren
ras ou qu'elles mêlaient à leur chevelure ; les thyrses entre leurs mains devenaient des baguettes magiques, qui, frappan
ailles toutes crues des victimes, serrant des ser- pents dans leurs mains , les entrelaçant dans leurs cheveux, ou se roulan
lés et habits en désordre, crient, chantent, battent des pieds, des mains , sau- tent comme des- maniaques, ce qui ressemb
u'à gauche les nerfs médian et radial à l'avant-bras, cubital il la main ; aux membres infé- rieurs, le sciatique et le
1884 elle commença à s'apercevoir qu'elle était moins habile de ses mains et parfois même son ouvrage lui échappait. En m
èrent progressivement. Les doigts se fléchirent dans la paume de la main et bientôt elle ne put cor- riger cette attitud
e qu'on doit interposer de l'ouate entre les doigts et la paume de la main . Il ne semble pas qu'il y ait d'atrophie muscul
0l,%S ET ll.lUlt bras sont très limités, surtout à droite. Les deux mains restent contracturées. Pas d'atrophie musculair
e des membres supérieurs, sans raideur, ni contracture sauf pour la main . Les doigts sont toujours en flexion forcée. Ab
t servir en même temps un morceau de fromage. Mais les doigts de la main gauche du bonhomme sont bien raides, et quelque
aque côté de l'Enfant Jésus, qui, assis sur un coussin, bénit de la main droite' et soutient le globe et la croix de la ga
es gants, au lieu d'être de fil blanc, comme ceux que l'on voit aux mains des évêques représentés à la même époque, sont de
it-on, à travers ces gants, des nodosités et des défor- mations des mains . En tout cas le saint homme devait avoir là quelq
parfaitement. . Le malade ne peut serrer fort les objets avec ses mains ; les muscles de l'avant-bras n'ont aucune forc
r. Le membre droit reste appliqué au corps dans la demi-flexion, la main est demi- fléchie sur l'avant-bras, les doigts
t le fléchit assez facilement par un mouvement de rep- tation de la main sur le tronc. Ebauche de quelques mouvements de
ation de la main sur le tronc. Ebauche de quelques mouvements de la main gauche qui peut serrer peine les objets ; la ma
mouvements de la main gauche qui peut serrer peine les objets ; la main droite serre mieux. Par suite de la paralysie des
urs des doigts et de l'action prédominante des muscles cubitaux, la main se porte dans l'adduction à 130°. Pas de cont
de l'un et l'autre côté. Pas d'atro- phie des petits muscles de la main . Les mensurations montrent d'une façon générale
a maladie de Thomsen. Il se produit avec la même intensité aux deux mains . Comme dans la maladie de Thomsen, si on fait exe
eu brusquement sur les rênes, la contracture se produisait dans les mains et il était obligé de rendre de l'avant-bras ou m
'avant-bras sur le bras. Ce n'est d'ailleurs pas seulement dans les mains et les avant-bras que ces phénomènes se produis
appliqué sur les fléchisseurs, on a une fermeture spasmodique de la main et le malade ne peut étendre les doigts qu'au bou
cas de myotonie congénitale, a signalé l'atrophie musculaire de la main et de l'avant-bras alors que la musculature était
mond, d'un sujet de 34 ans qui eut successivement de l'atrophie des mains , des avant-bras, des membres inférieurs et même d
laisser aller. De même s'il fléchit forte- ment les doigts dans la main , il ne peut les ouvrir que lentement. A noter q
quand il avait travaillé dans la mine : il était obligé d'appuyer ses mains sur ses genoux. Puis ses camarades le voyant à
jambes des pla- 460 GÉNÉVII1EII ques grandes comme le creux de la main ; la peau, à ce niveau, devenait très pâle, pui
manière, de l'autre côté du ventre, sur les fesses, sur le dos des mains et des doigts ; ces plaques de gangrène superfici
t : vu de profil, son corps figure un Z. Il tient constam- ment une main près de sa bouche, l'autre dans sa poche. ' , 8
sa torpeur : « Je veux m'en aller, laissez-moi m'en aller. » Les mains , les jambes et les pieds sont le siège d'une hype
, 1 la face près du pli naso-génien gauche, à la partie dorsale de la main gauche et du métatarse droit, des macules rouge
ceinture pelvienne, o à la région scapulaire, 8 à la face dorsale des mains , 1 au coude droit. Les cicatrices récentes so
manque d'ensemble ou de proportion entre l'avant-main et l'arrière- main est fréquent (Cheval normand, descendance du pur
siège de ses souffrances. Le vieillard lui soutient la tête avec la main gauche : avec la droite il .tient la pince qui
réquence ; ses grands yeux azur sont tournés vers le pla- fond : la main est soulevée, prête à arrêter le bras de l'opérat
grande que l'effet produit sur l'ob- servateur. La position de la main qui s'appuie sur la bouche et qui marque le centr
le est parfaite : aussi, pour en donner un exemple, le détail de la main soulevée de la femme est d'une vérité anatomique
uite), agenouillé devant le Christ, qui lui fait l'imposition de sa main droite sur les pau- pières (Pl. LXV). , Le ma
est dans une attitude recueillie et suppliante, il s'appuie, de sa main droite, sur un bâton qu'il tient en même temps qu
vertes ; celui du premier rang est dans t'attitude delà prière, les mains jointes, son visage exprime l'admiration du pro-
n de l' Hydropique (n° 528). A droite, le Christ debout, impose les mains à un malade assis sur une pierre et soutenu par
se élégante qui lui tâte le pou,ls.'A sa droite, un aide lient à la main l'instrument de la ponction. La. scène se passe
r, 88. Déformation singulière et symétrique des avant-bras et des mains ; résection or- thopédique ; guérison (3 pl ? pa
Cange. Déformation singulière et symétri- que des avant-bras et des mains ; résec- tion orthopédique; guérison (3 pl. en
71 (1934) Oeuvre scientifique
a responsabilité, tout en n'insérant aucune ligne qui ne frit de la main même de Babinski. de faire un choix et des coupur
e, la paralysie vulgaire du nerf radial ; sans doute la chute de la main peut être volontairement obtenue et il est possib
l est possible de simuler l'impuissance d'étendre les doigts sur la main et la main sur l'avant-bras ; mais ce que perso
ble de simuler l'impuissance d'étendre les doigts sur la main et la main sur l'avant-bras ; mais ce que personne ne sera
cuisse et du bassin, le signe du peaucier, la griffe spéciale de la main (voir : Leçon sur le diagnostic différentiel de
un neurologiste. Une diminution unilatérale de la sensibilité de la main , un affaiblisse- ment du sens stéréognostique r
ensé les efforts consacrés à cette branche de la sémio- logie. La main , munie du marteau percuteur, interroge le système
exe rotulien, on demande à l'individu en observation de joindre les mains et de tirer très fortement sur les doigts entre
quée, ainsi que beaucoup le font encore, avec le bord cubital de la main , procédé dont un des inconvénients, entre autre
'extrémité infé- rieure du radius ; E. Réflexe de pronation de la main . 4a SÉMIOLOGIE A. Réflexe rotulien ou du tric
gèrement fléchie sur la cuisse, l'extrémité du pied soutenue par la main gauche de l'observateur. C. RÉFLEXE DU TRTCEP
le membre supérieur en dehors et en arrière ; on le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le bras du suje
coude, l'observateur, assis, fait appliquer à plat sur sa cuisse la main du sujet. Il est à noter que, dans ces conditions
e fléchi sur le bras, est placé en demi-pronation et soutenu par la main gauche de l'observateur au niveau de l'extrémit
Parfois, en percutant ce point, on provoque aussi une flexion de la main et des doigts. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES O
s, outre le réflexe constant, un mouvement réflexe de flexion de la main et des doigts. Telles sont les règles principal
endi- neux tels que ceux d'adduction de la cuisse, de flexion de la main et des doigts, d'extension de la main et des do
e la cuisse, de flexion de la main et des doigts, d'extension de la main et des doigts, d'abduction, d'adduction de la m
'extension de la main et des doigts, d'abduction, d'adduction de la main , etc. En réalité, leur absence, à l'état normal,
de l'extrémité inférieure du radius on détermine une flexion de la main et des doigts, cette flexion est ordinai- remen
ormal, comme je l'ai dit, le réflexe de flexion des doigts et de la main , le réflexe d'extension des doigts, etc., peuvent
SSEUX 51 le bras. Celle-ci s'accompagne parfois d'une flexion de la main et des doigts; mais ce dernier mouvement, chez
ion de l'extrémité inférieure du radius détermine une flexion de la main et des doigts l'emportant en intensité sur la f
he ce signe en pro- cédant ainsi : tenant la jambe immobile dans la main gauche et saisissant l'extrémité du pied avec l
obile dans la main gauche et saisissant l'extrémité du pied avec la main droite, l'observateur fléchit brusquement le pi
e une succession rapide de flexions et d'exten- sions, donnant à la main qui soutient et accompagne le pied, la sensation
nent « la danse de la rotule ». De même, en redressant fortement la main on obtient, dans certains cas, une série de sec
celles du clonus du pied : c'est la « trépidation épileptoïde de la main » signalée par Bouchard en 1866. Ce phénomène n
qu'au huitième segment cervical, centre du réflexe de flexion de la main et des doigts. Sinon, l'irréflectivité du membr
es réflexes de défense. r) Le sujet étant couché, on saisit avec la main l'extrémité du pied et par certaines perturbati
s de pareils malades, car ce n'est, en quelque sorte, que « pièces en main » qu'on finira par s'entendre (). » Les année
che est plus rapproché du tronc que le membre supérieur droit et la main gauche se trouve plus près de la ligne médiane qu
ec des efforts, parvient à fléchir sponta- nément les doigts sur la main et l'avant-bras sur le bras, mais ces mouvements
ès avoir attiré ses bras en avant, je laisse simplement reposer ses mains sur les miennes et cesse de les tenir, le membre
sain, l'attitude que je lui ai donnée, tandis que du côté malade la main glisse sur la mienne et se porte en arrière. Po
as du côté sain, dans les expériences b et c, la rétropulsion de la main paralysée, dans l'expérience d, sont dues à ce
un abaissement de l'épaule ainsi que par une chute du pied et de la main ; lorsque les jambes sont pendantes, l'angle que
tenu dans la position horizontale et en pronation, la flexion de la main est plus accentuée de ce côté. L'affaiblissement
ptoïde du pied et parfois aussi de la trépidation épileptoïde de la main . Il n'en est pas de même pour l'hémiplégie hyst
bien connue. Je désire, au contraire, insister sur l'attitude de la main et des doigts, la griffe particulière qu'on obs
oigts quelques mouve- ments passifs et glisser facilement sa propre main entre les doigts et la paume de la main du mala
lisser facilement sa propre main entre les doigts et la paume de la main du malade. Si alors on cherche à porter celle-ci
sticité et animé d'une légère trépidation ; de plus, pendant que la main s'étend sur l'avant-bras, les phalanges se fléchi
us intense ; la pulpe des doigts est en contact avec la paume de la main . Pour donner une idée de la forme de la contrac
stater le caractère précédent d'une autre manière. Soutenez avec la main le membre paralysé et soulevez-le il une certai
le membre inerte, obéissant aux lois de la pesanteur, donnera à la main sur laquelle il repose une sensation de poids, pr
ment provoquer le déclenchement du réflexe de défense en portant la main du malade en hyperextension ou en supination fo
u'on excite le côté sain ou le côté malade. Dans le premier cas, la main se porte sur le point excité comme pour le prot
r le protéger. Dans le deuxième, le membre supérieur se soulève, la main se porte sur Ja tête et vient s'appliquer soit à
nté, en pinçant alternativement les deux côtés, faire exécuter à la main saine des mouvements en sens inverse : la main ét
faire exécuter à la main saine des mouvements en sens inverse : la main était-elle appliquée sur la tête à la suite du
pinçait la jambe du côté malade, le bras s'élevait de nouveau et la main se portait sur la tête. z> Revue Neurologiqu
es ayant leur centre dans l'encéphale. Quant aux mouvements de la main vers la tête constatés chez les hémi- plégiques
, particulièrement du triceps, des pronateurs, des extenseurs de la main et des doigts et des interrosseux. L'examen élect
de l'oeil à examiner et un peu en avant des yeux ; on interpose sa main , qui joue le rôle d'écran, entre l'oeil et la l
en observation de fixer un objet éloigné, on retire brusquement la main ; or à ce moment, dans ces conditions, à l'état n
ter alternativement, avec toute la rapidité dont on est capable, la main en pronation, puis en supination, Observez le m
a joue et l'oreille. Le malade étant assis, on lui dit de mettre sa main en pronation, la paume appliquée sur le genou d
uée sur le genou du même côté. Puis on lui commande de retourner sa main , par un mouvement de supination, de telle façon q
ation est plus ample qu'il ne convien- drait, le bord cubital de la main atteignant un niveau plus élevé que le bord rad
quelconque, mais devant s'arrêter exacte- ment à la verticale : la main franchit la limite fixée. On peut faire répéter
n qu'un seul aide, se plaçant devant lui et le prenant par les deux mains , l'attire légèrement au moment où il soulève la c
pidité chacun des mouvements élémentaires, par exemple de porter la main rapidement soit en pronation, soit en supinatio
de mouvements élémentaires, par exemple de porter avec rapidité la main alternativement en pronation et en supination.
ce genre : « ataxie légère du membre supérieur »,... « ataxie de la main ». C'est là peut-être une manière commode de résu
e dans un cadre et présentée verticalement, le sujet un crayon à la main , les yeux fermés, trace de haut en bas et de ba
n. Enfin la déviation angulaire se manifeste si on fait porter à la main d'un seul côté, le bras pendant, un poids de cinq
tionnelles et plus parti- culièrement dans les petits muscles de la main ou du pied. Sous l'influence du réchauffement p
cipée des secousses est souvent très apparente dans les muscles de la main , en particulier dans ceux de l'éminence thénar.
'acuité visuelle est 7/10 ; à droite le malade reconnaît à peine la main que l'on déplace devant son oeil. Les douleurs
a vue ; toutefois le malade est en mesure de compter les doigts de la main ; l'acuité visuelle est 2/10. Le goût et l'od
as est fléchi sur le bras. Le malade a pris l'habitude de porter la main gauche derrière le dos, car, dans cette positio
membre supérieur gauche est placé en avant, il le maintient avec sa main droite. Le phénomène le plus saillant consiste
gauche est en avant du thorax et que le malade cherche à porter la main gauche en avant. On voit alors apparaître des s
porter presque constamment la tête en rotation à droite; quant à ses mains , elles reposent sur la table par leur bord cubi
iller, il constata, à sa grande surprise, que le bord cubital de la main gauche se détachait involontairement de la tabl
ans l'épaule du côté gauche ; par un effort de volonté, il remit la main dans la position primitive, mais quelques instant
onté, les impulsions invo- lontaires qui entraînaient la tète et la main , et de continuer ses occupations tant bien que
pro- noncés ; le muscle trapèze de ce côté est tendu, le dos de la main regarde la ligne médiane du corps ; de plus, l'
ECTIONS NON PYRAMIDALES instinctivement, à soutenir sa tête avec la main , et il peut par cette manoeuvre atténuer le spa
t telle que le malade s'efforce de la diminuer, en plaçant les deux mains croisées derrière la nuque, en un geste anta- g
ère abduction l'avant-bras en demi-flexion (1) le long du tronc, la main , à demi fléchie, regarde la cuisse par sa (') L
s, une sorte de trépidation du membre tout entier, de l'épaule à la main : tous les muscles sont le siège de spasmes inces
On relève peu de chose à ce point de vue à droite : cependant, à la main , le médius est de la même longueur que l'index
peu plus difficilement à droite qu'à gauche et l'occlusion de la main est un peu plus énergique du côté droit. Quan
ons en différents sens, mais la direction générale est celle que la main doit suivre, et le but est toujours atteint. L'oc
ossible si un seul aide placé devant le sujet le tient par les deux mains et l'attire légèrement vers lui ou bien si le mal
ouve de distance en distance des points fixes qu'il puisse saisir des mains , comme, par exemple, les barres des lits d'une
re placé dans Tllis'RillO-i1 SYIII;TRII D'ORIGINF BULBAIRE 3o3 la main fermée marque à gauche 35°,4, à droite 34°,3 seul
e à gauche 35°,4, à droite 34°,3 seulement. Les veines du dos de la main sont moins saillantes à droite qu'à gauche où ell
ement spécial. Le // mars au soir le malade sent tout à coup que sa main droite se réchauffe, que le sang y circule larg
ie normale. 12 mars. La dissociation syringomyélique a disparu à la main droite et à la moitié droite de la face. Au mem
re est à peu près égale des deux côtés du corps et les veines de la main sont presque aussi saillantes à droite qu'à gauch
a main sont presque aussi saillantes à droite qu'à gauche. Les deux mains sont immergées vers 10 heures du matin pendant qu
et les veines sous-cutanées sont effacées des deux côtés ; puis la main gauche s'échauffe, ses veines se dilatent, tandis
puis la main gauche s'échauffe, ses veines se dilatent, tandis que la main droite reste plusieurs heures manifestement plu
à peu près, au moins en apparence. 13 mars. Les veines du dos de la main sont plus saillantes à gauche qu'à droite ; la
es du dos de la main sont plus saillantes à gauche qu'à droite ; la main droite est un peu plus rouge que la gauche. Qua
roite est un peu plus rouge que la gauche. Quand le malade lève ses mains en l'air, la saillie des veines disparaît au dos
ve ses mains en l'air, la saillie des veines disparaît au dos de la main gauche ; les deux mains tendent à pâlir, la gauch
la saillie des veines disparaît au dos de la main gauche ; les deux mains tendent à pâlir, la gauche plus vite que la droit
la droite ; à un moment donné, la différence de coloration des deux mains est maxima; puis les deux mains deviennent à pe
a différence de coloration des deux mains est maxima; puis les deux mains deviennent à peu près également pâles. On remar
des deux côtés ; après immersion prolongée dans de l'eau froide, la main droite redevient plus froide que la gauche, mai
après l'épreuve de l'eau froide, apparait tou- jours au niveau des mains , mais elle est moins accentuée et moins durable q
as initiés à cet ordre de recherches. Technique. Chacune des deux mains est munie d'un pléthysmographe d'Hallion et Com
our établir avec une parfaite certitude la comparaison entre les deux mains explorées ainsi de façon symétrique, on élimine
ambours : pour cela, on intervertit quelquefois les appareils d'une main à l'autre, ou bien, avec le même appareil, on e
ou bien, avec le même appareil, on explore alternativement les deux mains . Nous avons pu, avec ce dispositif, étudier la
nous appliquons de la glace soit sur la face dorsale d'une des deux mains , soit sur la nuque, ou sur les parties latérales
nditions physiologiques; mais, chez un sujet normal, quand les deux mains sont dans les mêmes conditions, les courbes se co
en détail l'évolution des phénomènes comparativement dans les deux mains , il faut tracer avec soin, sur chacune des deux c
pression d'action des centres vaso-constricteurs correspondant à la main gauche : abolition du tonus vasculaire entreten
e entretenu par ces centres, d'où vaso-dilatation relative dans cette main , et élévation relative de sa température superf
jet sain est dans un milieu relativement froid, les vaisseaux de la main sont relativement contractés. Lorsqu'il passe de
érence d'amplitude du pouls, que nous avons signalée entre les deux mains , est au maximum : à droite, pouls capillaire extr
, l'amplitude des pulsations augmenter. Elle augmente dans les deux mains , mais surtout dans la main où elle était d'abord
augmenter. Elle augmente dans les deux mains, mais surtout dans la main où elle était d'abord le plus faible, si bien q
is ou quatre secondes. Plus tard, quand le pouls capillaire de la main droite s'est amplifié fortement, cette différen
ifesté une modification dans leur forme ; c) enfin, l'immersion des mains dans l'eau froide a provoqué une réfrigération
eur des membres supérieurs, plus prononcée à droite qu'à gauche; la main gauche est agitée par moments d'un tremblement
n flexion forcée, il faut exercer une forte traction pour ouvrir la main . Ces divers troubles persistent et s'aggravent
des membres supérieurs ; dans l'observation I, la contracture de la main droite était extrême- ment forte. Je crois do
acé et enflé. Elle constatait aussi des troubles du même ordre à la main droite, qui s'affaiblissait, au point que la ma
gnes se montrent, plus discrets, au membre inférieur gauche. A la main et à l'avant-bras du côté droit, l'hypothermie es
éciable, surtout par les journées froides. Le dos et la paume de la main sont rouges, à certains jours même violacés, et o
olacés, et on y voit des cica- trices d'engelures. Au contraire, la main gauche a gardé la coloration et la température
la température normales. La force que la malade peut déployer de la main droite est très inférieure à celle de la main g
e peut déployer de la main droite est très inférieure à celle de la main gauche : il est aisé de vérifier l'affaiblissem
flexion des doigts, de l'abduction des doigts, de l'extension de la main sur l'avant-bras. Ajoutons que les réflexes osso-
AFFECTIONS DE LA MOELLE bras (les fléchisseurs surtout), ceux de la main , sont contractures à des degrés divers. Les mêm
culaire. Les membres supérieurs sont allongés le long du corps, les mains sont ouvertes et les doigts étendus ; la peau à
rfaitement l'avant-bras sur le bras. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de raideur. Les réflexes tendineux des
e flexion de l'avant-bras. De même les réflexes des doigts et de la main sont exaltés et si on percute l'extrémité infér
té les réflexes de flexion, extension, abduction et adduction de la main . En outre on peut provoquer parfois de la trépi
outre on peut provoquer parfois de la trépidation épileptoïde de la main droite. Les réflexes abdominaux et anal sont ab
ls consistent en une extension de l'avant-bras avec pronation de la main , adduction et rotation interne de tout le membre.
; l'angle inférieur est ouvert en dedans et regarde le creux de la main ; il est formé par le premier métacarpien et par
THIE PROGRESSIVE PRIMITIVE 441 Signalons spécialement à ce sujet la main , où les muscles interosseux, en particulier, so
les chiffres pour donner une idée de leur degré de développement. Main : Muscles de l'éminence thénar, 2 ; muscles de l'
est plus forte à droite qu'à gauche. La flexion et l'extension de la main et des doigts sont à peu près normales. La flex
le triceps brachial droit, les fléchisseurs et les extenseurs de la main et des doigts, dans les muscles du mollet et de l
a jambe en percutant le tendon achilléen ainsi qu'une flexion de la main et des doigts en percutant les tendons des fléc
une grimace dénotant la perception dou- loureuse et qu'il retire sa main . Parmi ces sujets, les uns refusent de se laiss
tait un agent dangereux à manier, susceptible de devenir, entre des mains criminelles, une arme redoutable ; les autres s
n avec cette manière de voir. Il s'agit d'un cas de paralysie de la main , sans aucun signe dénotant l'existence d'une lé
t à l'eau, était en danger de mort, Chartier put consta- ter que la main paralysée n'exécutait aucun mouvement. Cette obse
Meige, Mme Ath. Bénisty et Mule Lévy(') décrivent sous le nom de « main figée » certaines impotences fonctionnelles dont
ures ou d'acromyotonies du membre supérieur, des contractures de la main en attitudes variées rebelles à la thérapeutique,
th. Bénisty et Mule G. Lévy, Impotence de tous les mouvements de la main et des doigts avec intégrité dos réactions électr
de la main et des doigts avec intégrité dos réactions électriques ( main figée), Société de Neurologie, 4 novembre ig 15
lle Il s'agissait d'un blessé atteint d'une paralysie flasque de la main et des doigts consécutive à une plaie par balle
d'atrophie diffuse et non systématisée des masses musculaires de la main , de l'avant-bras et du bras, sans réaction de d
; de la sur excitabilité mécanique très prononcée des muscles de la main et de l'avant-bras, avec lenteur de la secousse
s, qui avaient un peu partout retenu l'attention des neurologistes ( main figée, acro-contracture, main d'accoucheur). L'
retenu l'attention des neurologistes (main figée, acro-contracture, main d'accoucheur). L'existence de la surexcitabilit
culations. Il s'agit souvent de transfixions de l'avant-bras, de la main , de la jambe, du pied et, particularité intéressa
n flexion de la jambe, les pieds bots et les greffes des orteils ; la main d'accoucheur, les contractures et les parésies
n d'accoucheur, les contractures et les parésies hypotoniques de la main et des doigts, la contracture de l'avant-bras a
e mais ils prédominent aux extrémités et s'y cantonnent souvent. La main ou le pied atteint de troubles de motilité est
ouvent un aspect légèrement infiltré, surtout à la face dorsale de la main qui paraît « succulente ». Parfois même, c'es
l'hypothermie est surtout prononcée à l'extrémité (doigts, orteils, main ou pied), et elle s'atténue progressivement de l'
tache blanche produite par la pres- sion du doigt sur le dos de la main ou du pied malade, au lieu de dispa- raître plu
réaction de dégénéres- cence : « Les praticiens n'ayant pas sous la main les appareils électriques qui ne se trouvent qu
es cas on obtient, par des mouvements passifs, une surflexion de la main qui forme avec l'avant-bras un angle très aigu,
ments. Le blessé lève-t-il brusquement les bras ou marche-t-il, la main malade pend et oscille comme un corps inerte, e
ez les sujets atteints de contracture ou d'hypertonie réflexe de la main , la compression de la région métacarpienne ou des
d'acro-myotonie, Sicard a observé une anesthésie très profonde à la main et à l'avant-bras. Il a été frappé par l'absence
u de temps après la blesssure, avaient gagné, quatre mois après, la main saine. A maintes reprises, sous l'influence de ca
ous avons pu voir les gouttes de sueur perler à la surface des deux mains ('). On observe, tout particulièrement lorsque
('). On observe, tout particulièrement lorsque la lésion siège à la main , une atrophie globale nettement appréciable aux
igts qui, alors, sont effilés. La radiographie comparative des deux mains met en évidence cette décalcification du squele
i- feste aux extrémités. Sur l'épreuve positive, le squelette de la main malade apparait plus clair, le dessin des travé
éfaut dans les (') J. Babinski et J. Froment, Parésie réflexe do la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sécré- toires
inférieur. Dans quelques cas de contrac- tures du membre supérieur ( main d'accoucheur), examinés dans les mêmes conditio
erosseux ; d'autre part, une paralysie incomplète des muscles de la main innervés par le médian et d'une parésie des exten
ès lente, surtout si la température du milieu ambiant est basse. La main dans toute son étendue, quel que soit le terri-
lysie des extenseurs, on observe, outre une forte hypothermie de la main et de l'avant-bras, de la parésie des fléchisse
t-bras, de la parésie des fléchisseurs qui subsiste même lorsque la main est tenue en ex- tension. Les troubles réflexes
rme douloureuse des lésions du nerf médian, font remar- quer que la main est émaciée dans son ensemble, que l'amyotrophie
us les mouvements des différents segments du membre sont abolis. La main et l'avant-bras légèrement atrophiés présentent u
au-dessus du coude et jusqu'à l'épaule dans un cas de lésion de la main . Quelquefois même l'autre bras présente quelques
ner cette étude de pathogénie. Quelques-unes des formes cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro- contracture, pr
ude de pathogénie. Quelques-unes des formes cliniques : main figée, main d'accoucheur, acro- contracture, présentent, no
à éprouver des douleurs et une sensation de fourmillements dans les mains , qui n'ont jamais disparu. Un peu plus tard il re
façon normale. Le malade n'a jamais eu de douleurs fulgurantes. Ses mains sont engourdies, il éprouve la sensation d'un ver
s fléchisseurs du poignet est suivie d'une flexion assez vive de la main sur l'avant-bras. Il n'y a pas de troubles de s
uche ; les autres modes de sensibilité ne sont pas atteints. ' La main droite est manifestement moins chaude que la main
atteints. ' La main droite est manifestement moins chaude que la main gauche. Il n'y a pas de troubles sphinctériens,
s voisins pour les moindres actes de la vie ; ne pouvant porter ses mains à sa bouche, il a besoin, à ses repas, d'un infir
ociété de Neurologie, 4 juillet 1907). 139. De la pronation de la main dans l'hémiplégie organique (Id.). t4o. Sur le
té de Neurologie, 3 juin rgr5. 223. De l'extension paradoxale de la main provoquée par la faradisation unipolaire de la
de Médecine, septembre, octobre 1916). a4a. Parésie réflexe de la main gauche. Troubles vaso-moteurs et sudoraux bilatér
72 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
ire, à la Médecine et à la Physiologie, qu'elle est devenue entre les mains des Janssen, des Marey, des Lippmann, des frères
matique. Mais peu à peu elle s'est perfectionnée, elle est sortie des mains du photographe de profession pour passer concurre
cas de beaucoup de personnes, il était indispensable d'avoir sous la main tous les instruments voulus pour opérer rapidemen
ssement. — 3. Estrade repliée. — 4. Appareil pour la photographie des mains . — 5. Appuie-tête. — 6. Lit. — 7. 7. 7. Fonds. —
). 2,46 1,97 1,3l Bras (à partir de l'aisselle) .. , 1,3i i,i5 0,99 Main (et poignet)............ 2,46 1,97 i,3i Jambe (
u tronc en avant est tout à fait caractéristique ; la déformation des mains , l'extension des membres inférieurs sont égalemen
ig. il. journées dans son fauteuil, immobile, courbée en avant, les mains ramenées sur les cuisses, les deux pieds relevé
l. II). Ce rétrécissement de la peau est général et affecte aussi les mains et les pieds, qui ont également un aspect tout à
s traits les plus caractéristiques de l'affection. Reproduction des mains . — Ces extrémités étant fréquemment atteintes dan
evons dire de suite qu'il est très rare de voir de bonnes épreuves de mains , car on ne sait comment les placer commodément à
r plus ou moins. Le malade se place derrière et il n'a qu'à poser ses mains sur le support, où il peut les maintenir facileme
t les maintenir facilement sans gêne ni fatigue. Les deux faces de la main peuvent être ainsi reproduites. Pour avoir une im
e principe et qui est employé d'une manière courante pour l'étude des mains professionnelles. Nous en reparlerons plus loin.
ins professionnelles. Nous en reparlerons plus loin. Pour avoir des mains d'une certaine taille, il faudra rapprocher l'app
lui adressons ici nos sincères remerciements. A celte distance, la main ne pourra plus être considérée comme un plan uniq
abitude. Dans la plupart des Fig. 23. cas, ce sera facile, car la main est maintenue; mais si celle-ci n'est pas stable,
ura avantage, sauf impossibilité, à faire les PI. IV. Spécimen de mains à grande échelle. épreuves de mains de même tai
ire les PI. IV. Spécimen de mains à grande échelle. épreuves de mains de même taille, de façon à faciliter les comparai
l vertical, il pourra être employé utilement pour la reproduction des mains . Nous donnons (Pl. IV) un magnifique spécimen d
résultats Fig. 24. que l'on peut obtenir dans la photographie des mains : à cette grandeur d'exécution on perçoit tous le
nervés par le cubital. L'éminence hypothénar et les interosseux de la main gauche sont très atrophiés. Les deux derniers d
la main gauche sont très atrophiés. Les deux derniers doigts de la main sont rétractés en flexion et la rétraction est pi
pins prononcée sur le petit doigt. Il sera toujours bon, lorsqu'une main présentera des différences de volume, de photogra
sentera des différences de volume, de photographier simultanément une main normale. La comparaison sera plus facile. C'est c
plus facile. C'est ce qu'on peut voirdans la fig. 24, qui montre des mains d'acromégalique à côté de mains normales. Dans
t voirdans la fig. 24, qui montre des mains d'acromégalique à côté de mains normales. Dans le domaine de l'hystérie, on aur
e l'hystérie, on aura fréquemment à reproduire des contractures de la main , soit qu'il s'agisse de contractures traumatiques
suivrons les mêmes règles que celles indiquées précédemment pour les mains , mais en faisant la remarque que, la plupart du t
Fig. 29. l'on peut tour à tour, rien qu'en modifiant l'attitude des mains , voir se peindre sur la figure du malade l'extase
l'un des bras est porté en avant le poing fermé et l'autre amenant la main près de la commissure labiale, un des côtés du vi
nomie, le sourcil se contracte. Au contraire, rapproche-t-on les deux mains de la bouche comme dans l'acte d'envoyer un baise
, la malade fronce les sourcils, elle cligne les paupières et met ses mains en abat-jour au-dessus de ses yeux, comme pour se
rt foncé, produit un effet tout différent. Elle sourit, puis porte la main à quelque distance de son nez, en flairant une fl
ant interposé, elle lève les yeux au ciel(P/. VII, fig. 3), joint les mains en l'air, dans l'attitude de la prière et finit p
un vif dégoût et se bouche le nez entre le pouce et l'index met la main sur ses yeux, comme quelqu'un qui pleure ou qui p
ctif, il faut que ce soit l'opérateur qui la suive avec un appareil à main , pour la saisir au moment favorable. Parfois, d
d'applications intéressantes, les empreintes de pieds (Jîg. 55), de mains pouvant révéler des particularités intéressantes.
rateur et permet de le laisser ouvert tant que dure la pression de la main . Les plaques sensibles, placées dans des petits
reuve, le sujet placé devant l'appareil photographique tient, dans sa main droite, le miroir laryngé, éclairé par l'appareil
tés et l'on obtient d'excellentes épreuves. Nous avons eu entre les mains une épreuve obtenue par ce procédé, on distingue
s hystériques. La lampe à incandescence était placée sur le dos de la main du malade et son image reçue sur une feuille de p
d'un régulateur Foucault. Il était nécessaire d'opérer ainsi, car la main reste toujours sensiblement à la même place; c'es
isser ou les pièces en cours d'autopsie. Ce procédé a donné entre les mains de M. Donnadieu de magnifiques résultats. S'il
r le tube amenant l'oxygène (fig. 65), nous mettons à portée de notre main un robinet qui permet l'arrivée ou la suppression
rossissements, on pourra se contenter de déplacer la préparation à la main afin de trouver le point que l'on veut reproduire
une roue moletée de grand diamètre qui se trouve ainsi à portée de la main et permet d'imprimer à l'objectif des mouvements
ports, on peut commander, au moyen de deux manivelles placées sous la main de l'opérateur, le déplacement du banc optique et
au moyen de vis sans fin et de volants toujours placés à portée de la main . Cet appareil sera tout indiqué pour les études
les rainures sont numérotés et permettent de mettre immédiatement la main sur un cliché quelconque. S'il n'était pas poss
raphique, comme nous le verrons plus loin, on tire avec une machine à main facilement 4oo à 5oo épreuves par jour. Si l'on s
voir, on la recouvre d'une feuille de papier filtre blanc et, avec la main , on chasse les bulles d'air et on donne une adhér
apidité du tirage et par suite du prix de revient. Avec une machine à main , un tirage de 5oo par jour est difficile à réalis
destiné à éviter l'empâtement des demi-teintes. Ce procédé, dans les mains de MM.Lumière de Lyon, donne de magnifiques résul
iques, excluant d'une manière absolue la retouche locale faite par la main de l'homme, retouche qui peut toujours altérer la
istendue, on l'applique sur le cliché couche contre couche et avec la main à plat on enlève les bulles d'air interposées, af
e étant à nu, il est facile avec un écran, ou même simplement avec la main , de masquer les rayons allant à tel ou tel point
photographiques et sans l'intervention d'un travail quelconque de la main . Voici le procédé qu'ils ont indiqué et que nous
que nous ne saurions passer sous silence : il s'agit de l'examen des mains professionnelles (Pl. XVII). Tl est reconnu que d
Tl est reconnu que dans le travail manuel certaines déformations des mains , certaines callosités ou rugosités, certaines déc
usivement médical et intéresse l'homme de l'art au même titre que les mains pathologiques. Nous en dirons autant du faciès de
rs de Pl. XVII. Coiffeur. Buraliste. Raboteur. Tonnelier. Mains professionnelles. Pl. XVIII. 1. Coups et co
détails de la face............................ 77 Reproduction des mains ....................................... 79 Pieds
lie.......................................... 76 IV. —? Spécimen de mains à grande échelle............................... 8
tubes de culture...................................... 168 XVII. — Mains professionnelles.................................
73 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
tout souci de sa conservation personnelle elle a été se remettre aux mains de lajustice. L'état d'âme manifesté par cette
(2) Op. cit. pp. 26-24. appropriés. Si on lui impose de tenir sa main ouverte, il ne songe pas à faire agir les muscles
s spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le bras ou à lui fermer la main , ils se heurtent à une résistance énergique. » (1
ression. Certes, quand vous avez suggéré à votre hypnotisé que, ses mains jointes, il ne peut les séparer, et que vous le d
les extenseurs antagonistes, il cherche à arriver à la séparation des mains par l'écartement des bras. Alors il met en jeu le
nscience, qui s'escrime à la fois, en même temps, et à tenir les deux mains fortement unies, et à les séparer avec violence?
ns trois minutes il ne sentira plus absolument rien ; je maintiens ma main appliquée sur la région sensible ; je suggère la
sur une de ses fonctions, il était utile que l'opérateur appliquât la main à l'endroit où il voulait agir et qu'il l'y maint
gies, cédant comme par enchantement par l'application prolongée de la main de l'opérateur sur le front. Il y a là un effet s
t une pratique d'exorcisme pour laquelle on emploie non seulement les mains , mais les genoux et les pieds. Tels les Annamites
. On constata au dynamomètre que la malade avait gagné 7 kilog. de la main droite, et 3 kilog. de la main gauche. Pour mai
e la malade avait gagné 7 kilog. de la main droite, et 3 kilog. de la main gauche. Pour maintenir les résultats acquis, no
alade, fît une courte prière, les yeux fixés au ciel, et toucha de la main la tête de Bastida. A ce contact, celui-ci ouvrit
C'est une de ces guérisons d'attaque hystérique par l'imposition des mains , comme en sont peuplées les chroniques de l'époqu
is je lui suggère en vain la disparition des douleurs. J'applique les mains sur la région douloureuse, j'affirme que la sensi
Souvent les aliènistes sont attaqués ; on leur reproche de prêter la main à des séquestrations arbitraires. Or, combien de
état mental d'un individu. Il est aussi absolument utile d'avoir en mains soit les lettres du malade, soit ce qu'il écrit e
d'une certaine mise en scène, des passes magnétiques, imposition des mains , légers attouchements sur le malade placé devant
qu'il est censé transmettre à l'aide du regard et dc l'imposition des mains sans ordonner ni médicaments, ni traitement, tomb
e plonge pas mes yeux dans ceux du sujet, je me contente de mettre ma main sur son front, dc lui dire d'une voix persuasive
tin, quand il fait froid, des élancements et des picotements dans les mains , qui ne dis- paraissent qu'après une heure de
r à rien et de n'avoir aucune préoccupation. Je pose ensuite les deux mains sur la tête du sujet pendant quelques instants, p
es articulations. Si l'on a déplacé un membre en le soulevant avec la main , abandonné à lui-même le membre ne garde pas la p
t quelques frémissements musculaires qui indiquent la fatigue ; si la main qui le soutenait se retire, il revient à sa posit
iennent en passant lentement et à plusieurs reprises les doigts de la main le long d'un membre et à une certaine distance de
lexion du membre qui obéit d'une manière absolue aux mouvements de la main directrice, et l'on peut ainsi, en décomposant le
i que l'on a vu bien souvent répété et qui consiste â conduire par la main le sujet qui exécute un acte déterminé à l'avance
rminé à l'avance. Pour exécuter cette expérience, je faisais poser la main du sujet à plat sur la mienne également ouverte ;
s mouvements fibrillaires des sujets qui peuvent se communiquer de la main à la main. Il est en effet très difficile, en fai
ts fibrillaires des sujets qui peuvent se communiquer de la main à la main . Il est en effet très difficile, en faisant effor
de la manière suivante. Je me place derrière le sujet et je tiens les mains élevées latéralement de chaque côté de sa tête et
cas, de laisser au moins une distance de quinze centimètres entre mes mains et la téte du sujet, il n'y a là absolument aucun
nce réussit mieux encore dans ces conditions qu'avec le contact de la main . Je reviens maintenant aux mouvements dont j'ai
ements dont j'ai parlé tout à l'heure, que l'on obtient en passant la main lentement et à plusieurs reprises à une certaine
ion analogue pendant la catalepsie. Si l'on reprend ce membre avec la main et si on le replace dans sa position normale, on
e revenir à sa situation première sans intervenir directement avec la main : il suffît, par le môme procédé employé tout à l
ique passif, qu'un membre quelconque du sujet pris et soulevé avec la main retombe immédiatement dans sa position normale. L
distance, n'est donc plus le même que celui du membre soulevé avec la main . Ces mouvements de translation peuvent s'obtenir
place à une certaine distance du sujet, et, par les mouvements de la main dirigée vers lui, je puis lui faire pencher le co
if et je rends au sujet son état normal en passant plusieurs fois les mains en travers devant son visage et en lui soufflant
on porte-plume, mais la phrase est arrêtée au moment du paroxysme. La main suit un mouvement automatique, les caractères de
ue, mais il laisse tomber sa canne ou les objets qu'il tient dans les mains . Il ne s'est jamais mordu la langue, n'a jamais u
mplète et assurée, lorsque tout à coup, au lieu de rester là, sous ma main , pour me permettre de la surveiller encore et de
ables de mieux faire celte fois-ci. Toutefois, ayant le sujet sous la main , je pourrai surveiller les choses, écarter les él
a suggestion considérée comme élément de plasticité sociale entre les mains de ces grands éducateurs de nations que furent le
lité cutanée des bords opposés de l'annulaire et du petit doigt de la main gauche s'éteignit, j'eus des accès de fièvre inte
e à l'objet qu'elle tient. Un jour, la malade ferme la fenêtre, et sa main reste contracturée sur la poignée, on est obligé
nêtre. Un soir, elle allume sa lampe, et sa lampe lui reste dans la main , sans qu'il soit possible de s'en dessaisir. Elle
e s'en dessaisir. Elle est obligée de passer la nuit sa lampe dans la main . Elle va pour se coucher, elle veut avancer un
édé fondamental qui la constitue peut se définir ainsi : Présenter la main dans des conditions qni peuvent varier à l'infini
ou à droite, devant ou derrière, épaules, avant-bras, coude, poignet, main , genou, pied, épigastre, parties génitales, etc.,
la partie visée se rapproche graduellement et irrésistiblement de la main de l'opérateur. Ces mouvements se produisent spon
ements se produisent spontanément chez certains sujets, même quand la main de l'opérateur reste immobile ; ils ne se produis
certains autres que lorsque l'opérateur lui-même déplace lentement la main , et il s'établit alors une correspondance quasi m
fer ou de cuivre : il suffit pour cela que l'opérateur tienne dans sa main une des extrémités du fil et que l'autre extrémit
nt encore inconnues, cette influence est polarisée, en ce sens que la main droite produit constamment un certain effet, la m
n ce sens que la main droite produit constamment un certain effet, la main gauche un effet différent, et les deux mains supe
ment un certain effet, la main gauche un effet différent, et les deux mains superposées paume contre paume les deux effets ré
selon que le fil de fer ou de cuivre est tenu par l'opérateur, de la main droite, de la main gauche ou des deux mains réuni
e fer ou de cuivre est tenu par l'opérateur, de la main droite, de la main gauche ou des deux mains réunies. 8° Cette infl
enu par l'opérateur, de la main droite, de la main gauche ou des deux mains réunies. 8° Cette influence se dégage naturelle
ts d'anesthésie, d'attraction, de picotement, etc., que produisait la main elle-même. Pareillement, en enroulant autour de l
produisait la main elle-même. Pareillement, en enroulant autour de la main un fil de fer qui se termine en pointe aux cinq d
e que le conducteur métallique soit en contact avec l'intérieur de ma main , il me suffit de présenter la pointe de la baguet
faisant deux fois les mêmes expériences de présentation directe de la main , mais tantôt isolé du sol en même temps que le su
es. Supposons que la partie du corps du sujet visée à distance par la main de l'opérateur soit la rotule du genou gauche, un
ces crises, elle était tombée dans le feu et avait eu la figure elles mains horriblement brûlées, que ce mal fut combattu ave
érable, qui n'a cédé, pendant neuf mois, à aucun traitement entre les mains des spécialistes les plus distingués, sans tendan
ement de l'articulation tibio-tarsienne et des articulations des deux mains . Lorsque nous faisions des expériences sur la pre
ubles nerveux. — D'autres expériences s'appliquaient aux doigts de la main . La nuit, on avait un ou plusieurs doigts entouré
langes. Enfin, une grande quantité d'expériences s'appliquaient à une main entière ou aux deux. La nuit, on portait un ou de
Sous la pression de gants étroits, toutes les articulations de la main se courbaient. — D'autres expériences ont été fai
u'a peut-être sur le rêve le fait que, le soir, on a vu et mis sur sa main ou son pied les choses stimulantes (le ruban, la
he, on mettait la chose (ruban, ficelle ou gant) sur le membre (pied, main ou doigt), ne l'y retenant que quelques minutes ;
particulièrement sur la peau, — en employant un gant de laine pour la main ou un bas de laine pour le pied, — semblent indiq
différents sens ; on rêve, par exemple, qu'on prend quelque chose en main , qu'on se donne la main, etc. d) Pour détermine
série d'expériences alternatives : Une nuit on portait le gant sur la main gauche, une autre sur la main droite; une autre n
es : Une nuit on portait le gant sur la main gauche, une autre sur la main droite; une autre nuit encore on portait des gant
main droite; une autre nuit encore on portait des gants sur les deux mains . Ajoutez à cela quelques expériences pour déter
qui existe depuis notre enfance entre les nombre et les doigts de la main . Voilà les formes ordinaires des rêves musculai
le, le sommeil superficiel, on est capable de concevoir le pied ou la main comme son propre pied ou sa propre main, A quoi t
le de concevoir le pied ou la main comme son propre pied ou sa propre main , A quoi tient la différence entre les rêves où le
sières cite comme exemple une malade qui présenta une contracture des mains à la suite d'un réve où elle croyait jouer du pia
rement qu'avec le fatalisme, que nous naissions avec des lignes de la main absolument déterminées et qui ne variaient plus,
ure de moins de vingt centimètres. Elle ne pouvait non plus fermer la main ; de sorte qu'elle était incapable de se laver, de
'aide des mouvements propulseurs du tronc. Disons encore que les deux mains étaient toutes déformées, ainsi que les pieds, le
t toutes déformées, ainsi que les pieds, les genoux et les coudes. Sa main droite, notamment, n'avait plus rien d'humain.
besoin l'expérience. La jeune fille est toujours debout; je serre sa main autour d'un crayon en lui défendant de le lâcher
ref, il n'était pas 7 heures que le sujet, réveillé, se servait de sa main et de son bras et de sa jambe à peu près comme s'
nsi à cette occasion encore deux ou trois fois. Il me semblait que sa main reprenait une forme plus présentable. Je ne l'ai
soulevé. D'autres essaient quelques mouvements avec les doigts ou la main , laissant le reste du membre immobile; d'autres l
re le bout du nez, l'autre pouce contre le petit doigt de la première main , de façon à figurer le pied de nez, le malade con
ticulation; G centre moteur graphique; Vofil; 0 oreille: I, langue. M main . J'étudierai d'abord les centres de réception,
tte dernière envahit-elle par le gros orteil, par un des doigts de la main ? le malade cherche souvent instinctivement à l'e
à la tête en serrant fortement son coude-pied ou son poignet avec la main . D'autres portent constamment au bas de la jambe
u même but en recourbant énergiquement les doigts dans la paume de la main d'un épilep-tique quand un certain temps s'écoule
dit fut servi. Schweninger n'hésita pas, et, arrachant l'assiette des mains du prince, il la lança par la fenêtre. Du coup,
et sans force ; cet ouvrier avait beaucoup de mal pour mettre sa main sur la tête ; il ressentait alors des douleurs vi
cile et profond. — Eh bien ! après une seule séance, le malade mit la main dans la nuque, poussa le bras en l'air, souleva u
n jour que ces malades tombent, pour ainsi dire par hasard, entre les mains d'un médecin, il faut avouer que bien souvent le
lle a guéries, dont plusieurs avaient vingt à trente verrues à chaque main . « Elle bandait les yeux des gens qui venaient
nsi que les tractions rhythmées de la langue sont devenues, entre les mains de Laborde, un si précieux moyen de réveiller les
ls prosélytes, encouragés d'ailleurs par les indulgences .et ayant en mains tous les pouvoirs, se conçoit difficilement. M. B
, et elle ne manisfeste que quelques soubresauts par le toucher de ma main . Le 5 Juin. Elle ne présente plus qu'une sensib
la pression exercée sur les globes oculaires et à l'application de la main sur l'occiput. Mais c'est le premier procédé.qu'i
equel est gravée l'échelle. ? condition que ledit étui reste dans les mains du médecin, ce sera parfait. Dans tous les cas, o
t, et son patron, ne voulant pas le livrer à la justice, le remet aux mains de son père, qui le châtie très sévèrement. Cet
ation du regard, mais principalement de passes et de l'imposition des mains , a pu être plongé, dès la troisième séance, dans
eptionnelle bonté de son patron que notre jeune homme doit d'être aux mains des médecins et non aux mains de la justice. Grâc
n que notre jeune homme doit d'être aux mains des médecins et non aux mains de la justice. Grâce à cet événement, on peut dir
l 1896. Le sujet est toujours en traitement hypnoihérapique entre les mains de M. Regnault. Il n'a rien vole depuis le début
Nancy en 1886.» J'applaudis autant que qui que ce soit, et des deux mains , aux efforts heureux de notre vaillant secrétaire
livre sur la Méthode expérimentale, qui devrait être entre toutes les mains , M. le Df Laborde dit qu'au point de vue historiq
se produit, on la voit tomber à genoux, se cacher la figure dans ses mains , se rouler à terre en proie à une violente terreu
les, moyennes. Pas de tremblement de la langue, ni des lèvres, ni des mains . Pas de goitre, pas de pléiade cervicale. Utérus
ditionner. L'ceil droit ouvert, je lui dis de me fixer, je tiens à la main un crayon brillant, je le présente à droite, à ga
dit-elle, cette petite, je ne l'aurai pas vu naître. » Elle porte la main à son ventre pour s'assurer qu'il n'est plus gros
tre dans la pratique de la chirurgie. Absolument inoffensif entre les mains de médecins expérimentés, on peut reconnaître à l
74 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
tres végéta-tifs, ne se tenant pas debout, ne se servant pas de leurs mains , dépourvus d'attention, ne prononçant aucun mot,
, m gâte plus, s'habille et sedéshabille, lace ses souliers, lave ses mains . La prononciation est défec-tueuse mais il arrive
te qui consistent à apprendre aux enfants à se laver la figure et les mains , à s'habiller, se déshabiller, brosser, ranger le
, à se gargariser (1), etc. ; 4° les exercices pour l'éducation de la main , des sens et de la parole; 5° les exercices éléme
tenir debout, à marcher, à être pro-pre, à se laver la figure et les mains , à manger seul, à parler n'est-ce pas déjà un rés
bre 1901, âgé de 13 ans. — Hémiplégie du côté droit, il écrit avec la main gauche. L'écriture est d'abord irrégulière et lou
s votre prochain compte-rendu, la mutilation que j'ai contractée à la main gauche pendant la classe de chant par le fait d'u
arches, contre-marches. 2° exercices d'assouplissement avec barres et mains libres. Nota. Ces exercices se l'ont en comptant,
alancer le corps en avant et en arrière. Appui tendu des pieds et des mains . Appui fléchi des pieds et des mains. Chant à l
re. Appui tendu des pieds et des mains. Appui fléchi des pieds et des mains . Chant à l'appui des pieds et des mains, flexio
pui fléchi des pieds et des mains. Chant à l'appui des pieds et des mains , flexion et extension des jambes. Elévation de
S'asseoir alternativement sur la barre gauche et droite en avant des mains . Porter alternativement les jambes réunies sur
Suspension bras raccourcis. Tractions. Ecarter alternativement les mains . Ecarter simultanément les mains. Changer la
ons. Ecarter alternativement les mains. Ecarter simultanément les mains . Changer la prise des mains. Élévation altern
les mains. Ecarter simultanément les mains. Changer la prise des mains . Élévation alternative delà cuisse et de la jam
lle inclinée. — Etant devant l'échelle monter avec les pieds et les mains . Monter à l'aide des pieds et des mains et descen
onter avec les pieds et les mains. Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras. Monter et des
l'échellle, suspension. Tractions. Suspension par les pieds et les mains . Flexion, extension des jambes et tractions des
es et tractions des bras. Monter et descendre avec les pieds et les mains . Monter à l'aide des pieds et des mains et desc
endre avec les pieds et les mains. Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras. Monter par de
pédique. —• Étant devant l'échelle. Monter avec les pieds et avec les mains . Descendre à la force des bras, bras allongés. Mô
simultanément les cuisses et les jambes. Monter avec les pieds et les mains et descendre de même. Monter avec les pieds et le
pieds et les mains et descendre de même. Monter avec les pieds et les mains , se placer à l'appui tendu et descendre en avan
e l'échelle, suspension. Tractions. Suspension par les pieds et les mains . Flexion, extension des jambes et tractions des b
et tractions des bras. Monter et descendre à l'aide des pieds et des mains . Monter à l'aide des pieds et des mains et descen
dre à l'aide des pieds et des mains. Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras. Monter et des
bras allongés). Progression en avant en déplaçant alternativement les mains . Progression en avant en déplaçant alternativem
les mains. Progression en avant en déplaçant alternativement les mains (bras allongés). Progression vers la gauche (bras
raccourcis). Progression en avant en déplaçant alternativement les mains (bras raccourcis). Progression en avant par un mo
inférieures. Etant placé comme ci-dessus à l'appui des pieds et des mains fléchir les bras, corps cambré, tête levée. Élé
e qu'ils s'isolent dans les coins; et de les empêcher de mettre leurs mains dans les poches de leur pantalon, aux infirmiers
ps avec ou sans rotation de la tête ; 12 avaient un tic coordonné des mains ; 6 idiots étaient tourneurs; 12 étaient sauteurs
ly-dactylie, 3de syndactylie; 6 de malformations patho-logiques de la main , 2 d'encéphalocèle guérie; 1 de cyphose, 20 prése
ducorps avecou sans rotation de la tête; 10 ont un tic coordonné des mains ; 5 entants idiots sont tour-neurs; 9 sont sauteu
lydactylie ; 2 de syndactylie; 5 de malformations pathologiques de la main ; 1 d'encéphalocèle ; i de cyphose; 17 pré-sentent
année précédente. Ces jeunes filles ont acquis une grande habileté de main et une justesse d'œil dans la mesure des propor-t
enable. C'est surtout à cette occasion que l'on procède aux soins des mains , des pieds, des ongles. Voici la statistique des
dite ; éducation Bourneville, Bicètre, 1905. ** *** *** *** de la main , cylindres, briquettes, sphères, cône et prisme à
à un traitement méthodique. Nous avons eu à faire l'éducation de la main chez des enfants que l'on croyait être des arriér
dynamomètre), sensibilité, toucher, etc. — État des jointures ; — des mains , des doigts, (cyanose, engelures, etc.) ; — des o
rse. Saut. Montée et descente. Toilette. Lavage de la figure et des mains . Propreté. Haiiillement. Ordre. Digestion.
ires. (Voir page clxxxvi). Circulation. Congestion des pieds, des mains , des oreilles et de la face ; pâleur. Accès de co
Ouïe. Aptitudes musicales. Odorat. Flaireurs. Gout. Toucher. Mains . Forme. — (Gaucher, droitier ou ambidextre). Ch
uricu-laire au rebord externe de l'extré-mité supérieure du pouce, la main étant dans son extension la plus complète, les do
s son extension la plus complète, les doigts écartés. Largeur de la main au niveau des articulations métacarpo-phalangien-
-tueuse. Il est tout à fait propre, s'habille seul, lave lui-même ses mains et son visage. Son caractère est gai. B... est pr
re. Il ne veut plus absolument écrire II tient mal son crayon dans la main , sourit, comme s'il disait : « Je n'écrirai pas »
a main, sourit, comme s'il disait : « Je n'écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le faire écrire. 1905. — S'
e son corps et de ses vêtements, ainsi que le nombre et le nom de ses mains . Il reste malgré cela turbulent et voleur de fria
des exer-cices qu'on lui faisait faire, se cachait le visage avec les mains , puis, si on le forçait un peu vivement, il se re
ter les hauts cris et qui aujourd'hui l'amusent. Il laisse guider ses mains pour les exercices des barres, du nouer, lacer et
ce à pouvoir lui-même diriger l'éponge sur son visage, et à laver ses mains . 1904. — L'amélioration continue, l'enfant est
le sol, et leur appliquant ainsi chauffé sur le visage, le cou ou les mains . Tous ces faits, vus et empêchés, sont niés par l
encore davantage, l'en-fant est devenu propre. Il sait bien laver ses mains , commence à endosser lui-même ses vêtements. Il c
lle cochon, puis va chercher une brosse, pour se brosser et laver ses mains . Après quoi, il est fier, et va montrer à tout le
pleurs, de rages, notre élève déchirait ses vêtements, se mordait les mains et ne vou-lait rien faire. D'une grande indocilit
zèle pour apprendre; dès que j'entre dans la classe, ses yeux et ses mains me demandent instamment de le prendre près de moi
t l'addition simple. Il y a de grands efforts à faire pour écrire, la main droite étant pa-ralysée et la gauche très maladro
s difficultés que nous avons rencontrées. Malgré la difformité de ses mains idiotes, Charm... est parvenu à former Fig. 14.
rai que, grâce au traitement persévérant des douches en pluie sur ses mains malades et toujours gonflées (1), elles ne se son
r, à s'attacher à nous, à son frère. Devenu rrio.'ns maladroit de ses mains , il nous a rendu quelques ser¬vices dans les dort
idiotie complète, gâtait, ne savait pas s'habiller, mangeait à pleine main ; il était d'une nature extrêmement paresseuse, so
er. ?— En 1897, il a appris à lacer, nouer, boutonner, à se laver les mains seul, à reconnaître les couleurs, les principales
us points; notre élève est en bonne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. — Poirs... lit couramment, mais n
es devoirs, ses cahiers sont bien tenus, et bien que se servant de la main gauche, son écriture est très lisible. 1901. —
, mais il n'a pu y rester à cause du tremblement dont est affectée sa main droite. De-puis le Ier décembre, il est, comme ai
omotion incessant. 1904. — Malgré la paralysie dont est affectée sa main gauche Ricqu... est arrivé à faire le nœud à rose
r de la cuiller. En 1898, la marche est devenue plus assu- rée, les mains moins maladroites. En 1899, il est parvenu à se d
lets, des boutonnières et poser des bou-tons. Mais elle se sert de la main gauche, ce qui rend le tra-vail plus lent et plus
s lent et plus difficile; l'enfant s'obstine à ne pas se servir de la main droite, bien qu'elle ne soit point paralysée. Ell
côtés, bavardait à l'école, faisait aller ses jambes, ses pieds, ses mains , on aurait dit qu'elle était mue par un ressort.
xha-lait une odeur nauséabonde, les cheveux clairsemés et raides, les mains courtes, épaisses et cyanosées, le ventre volumin
l'odeur fétide qui se dégageait de cette matière s'est amoindrie; ses mains et ses .pieds n'ont plus cette feinte violacée; e
ut avec aisance; monte et descend les escaliers en se tenant des deux mains à la rampe et paraît fière de pouvoir faire cet e
son corps et de ses vêtements, désigne par leur nom les doigts de la main , elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de vue
si elle' faisait quelques pas tout en la soutenant et lui donnant la main . L'enfant a eu, en outre, une coxalgie qui a néce
érations de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoï-qu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'enfant re pouvait ni s'
en temps opportun. Elle ne mangeait pas seule, cherchait à mettre les mains dans son assiette, ainsi que dans celles de ses v
75 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ulaire. Les membres' supérieurs sont allongés le long du corps, les mains sont ouvertes et les doigts étendus ; la peau à
itement l'avant- bras sur le bras. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de raideur. Les réflexes tendineux des m
e flexion de l'avant-bras. De même les réflexes des doigts et de la main sont exaltés et si on percute l'extrémité inférie
MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE 13 abduction et adduction de la main . En outre on peut provoquer parfois de la trépi
outre on peut provoquer parfois de la trépidation épileptoïde de la main droite. Les réflexes abdominaux et anal sont ab
ils consistent en une extension de l'avant-bras aux pronation de la main , adduc- tion et rotation interne de tout le mem
ffisamment pour lui permettre de fléchir l'avant-bras et de porter la main à la bouche. Cette femme continua, cependant, à
sait toujours DES LOCALISATIONS DE L'APHASIE 27 aux muscles de la main et de l'avant-bras du côté droit. Les accès repar
ne tombe jamais. Il ne lâche jamais les objets qu'il tient dans sa main droite,et ne tremble pas. Il n'a jamais eu d'ic
et égale des deux côtés, dans les divers segments ; au niveau de la main , la force est de 38 à droite et de 35 à gauche,
ération difficile et délicate, exigeant en même temps une sûreté de main notable et des outils parfaits. Dans ces condit
la parésie du mouvement dans les articulations des pieds, tenu par la main , le malade avance encore, mais avec précaution
forte tumeur aux contours effacés, grande comme la demi paume de la main . Le tissu du néoplasme faisait corps avec la moel
enou dans une proportion assez forte, lorsqu'on lui soutenait avec la main la jambe qu'il avait levée. Dès lors, les mouve
s deux avant-bras croisés sur la poitrine, et l'on peut voir que la main droite est distendue à plat sur l'épaule gauche
main droite est distendue à plat sur l'épaule gauche, tandis que la main du côté opposé est fermée en poing. Les taches
t le galbe des membres des enfants. Ils ne sont pas infiltrés ; les mains sont rosées et pote- lées au niveau de la face
Troubles t1'ophiques. - Peau un peu sèche. Engelures fréquentes aux mains et aux pieds. Retard d'ossification des os. La
es régions plantaires. Il faut de très grandes, chaleurs pour que les mains se couvrent de sueurs. IX. Phénomènes thermiq
commencent, en général, par les extrémités supé- rieures : doigts, mains , face, et se généralisent, progressivement, sous
'un de ses frères avait des attaques qui l'obligeaient à porter les mains au visage et poussait des cris. La description
fréquentes. Elle place les bras en arrière et se cramponne avec les mains au fond de la chaise. Quand la malade est couch
Elle se met en décubitus dorsal' et saisit les fers du lit avec les mains . Dans celte position elle obtient non la diminu
ner ses accès l'effet est le contraire. Si on la prie de serrer ses mains violemment on voit dominer les accès pendant quel
, la chemise déboutonnée, le pan- talon tombant, une casserole à la main . Sa tenue ne peut guère être correcte à cause d
souvent, causait seul, déplaçait les objets qui lui tombaient sous la main : effets, sabots, brosses, etc. Il faisait peu
allé. 29. Se promène dans l'hospice avec un bouquet de fleurs à la main . 30. Cris, chants, insomnie. 31. Toute la jou
pent le cadavre ; elle se jette sur lui, lui baise les pieds et les mains , lui adresse tout haut les paroles les plus ten
euil.Le pieux monarque, également vêtu de deuil et uncie1'[Je el la main , y vint aussi pour se voir enterrer et célébrer s
c un certain degré d'antéversion et de rétrécissement du bassin. La main est courte, grosse, du type carré. M. P. Marie
du type carré. M. P. Marie a décrit un aspect particulier de cette main à laquelle il a donné le nom de main en trident p
un aspect particulier de cette main à laquelle il a donné le nom de main en trident par le fait que les trois doigts du
e l'interne. Dans de nomhreux cas on a trouvé que le 4e doigt de la main , et parfois du pied, a une base d'implantation po
membres peuvent être à peine marquées, la tête peu volumineuse, les mains avoir leur conformation normale. Ils rappellent d
que le gauche et il manquait les déformations caractéristiques des mains . M. Schrumpf a cité un cas où les déformations
és distales des membres ; les cuisses, les jambes, les pieds et les mains étaient fort raccourcis. Cependant dans ce cas,
é de micromélie rhizomélique aux membres supérieurs, les doigts des mains ne présentaient pas la disposition dite à « tride
u malade étaient achondroplasiques, le père ne l'était pas, mais sa main était à trident et présentait la même atrophie de
15.5 au lieu de 19.5, pour l'avant-bras 13.2 au lieu de 14, pour la main 10.8 au lieu de 11.30. Donc la micromélie est
DROPLASIE ET CHONDROHYPOPLASIE 167 tre en pronation, la paume de la main tournée en arrière. Les mains sont gros- ses, c
E 167 tre en pronation, la paume de la main tournée en arrière. Les mains sont gros- ses, courtes, carrées, les doigts ne
stales soient séparées entre elles en reproduisant ainsi le type de main il trident. Les muscles sont bien développés et
ien développés. Les pieds sont moins courts et moins larges que les mains ; au reste rien d'anormal. On ne note pas de la
fication des os du carpe, y compris le pisiforme, est complète. Les mains (Pl. XXV) sont courtes, les métacarpiens, les p
conformés et les caractères sexuels secondaires sont au complet. La main est carrée et on peul lui faire prendre passive
xité des ligaments, la micromélie n'est pas des plus prononcées, la main n'est pas en trident d'une façon évidente, mais
le déviation de la normale, et il est en effet supérieur à 100. Les mains au contraire ont une longueur sensible- ment no
és. On ne note xxvi 12 174 FERRUCCIO RAVENNA aucun indice de la main dite « en trident ». La position des membres supé
sur la forme et la posi- tion de ses épiphyses. Le squelette de la main est complètement ossifié, de même que les carti
us n'avons pu rencontrer dans le squelette de l'au- Ire pied et des mains . Ce genre de dystrophie, uni à d'autres signes
harmonique des os, avait déjà été signalé par M. P. Marie dans les mains de quelques achondroplasiques. M. Lévi derniè
t sa cause dans l'insuffisant développement du jeu métacarpien à la main et respectivement du 4° métatarsien au pied. Il
n'existait qu'au pied droit; point à l'égard de l'autre pied et des mains . Chez l'individu étudié par M. Zosin ce n'est q
n carpométacarpienne : 9 centimètres. Le médius : 8 centimètres. La main présente la forme en trident caractéristique. L
sion ne peut pas se faire complètement. L'extrémité inférieure de la main n'arrive du côté droit qu'au niveau du pli ingu
côté droit l'index et le médius ont Ja même longueur (6 cent.) et la main présente l'aspect en trident caractéristique. C
s faibles dimensions longitudinales des os. Sur la radiographie des mains on observe nettement la disposition en tri- den
bras droit : 19 centimètres. L'avant-bras droit : 22 centimètres. La main droite : 10 centimètres Le bras gauche : 17 c
s gauche : 17 centimètres. L'avant-bras gauche : 17 centimètres. La main gauche : 9 centimètres. L'index droit : 7 centi
oigt droit : 6 cent. 7 ; gauche : 7 centimètres. La déformation des mains en trident pst à peine ébauchée. Les doigts n'a
jambes sur la cuisse présenté par lui. Chez le troisième malade la main en trident n'était pas bien nelte. Si- gnalons
par le fort volume de sa tète. Mais le nez n'était pas enfoncé, la main ne présente pas le carac- tère en trident (PI.
a malade se tient debout, dans la position du soldat sans arme, les mains atteignent à peine le grand trochanter. L'avant-b
ernier : allongé, il forme avec lui un angle' de 145° environ. La main est en trident, aplatie, les doigts sont excessiv
e observa que les objets, que pre- nait l'enfant, lui tombaient des mains et que, quand il marchait, il était tout de sui
er facilement dans la marche ; les objets lui tombaient souvent des mains . D'un autre côté, dans la maladie d'Erh-Golclll
her beaucoup. Autrefois, son corps ne transpirait que rarement, ses mains pas du tout. Sa peau ne montre aucun trouble va
e l'avant-bras soit fixé en rotation in- terne el immobilisé par la main du côté opposé. Ce point de vue est bien fondé
s de traumatismes ayant pu sectionner ou écraser un des nerfs de la main . Affection actuelle. Il y a environ deux mois e
n jour qu'il faisait très froid ; il garde pendant tout ce temps sa main gauche devant son cou pour tenir son col fermé, e
t aux membres supérieurs dans ses trois segments. Au dynamo- mètre, main droite : 26 kilogrammes ; main gauche : 28 kilogr
es trois segments. Au dynamo- mètre, main droite : 26 kilogrammes ; main gauche : 28 kilogrammes. Le malade est aussi bi
flexion de l'avant-bras sur le bras, et d'extension en masse de la main sur l'avant-bras sont conservés des deux côtés.
oir ainsi l'influence nocive de ces agents chez lui, la peau de ses mains aurait absorbé ces substances, dans l'exercice
rétation ne manque- rait pas de soulever. Il se'servait de ses deux mains , quoique plus sou- vent de la gauche ; une seul
ller le malade,un peu malgré lui, après cette consta- tation que la main ni le poignet n'ont rien. Avant-bras, coude, bras
ffet très aisément, et en maintenant solidement avec la paume de la main , nous sentons la région reprendre sa forme normal
facile de s'y habituer, il aidera même les autres mouvements de la main . Ces vues se sont trouvées confirmées. Le banda
lie.La parole est lente et embarrassée. Ataxie et diadoacinésie de la main gauche « (1) Cette dilatation n'est pas suffi
be (1) a vu apparaître des plaques de sclérodermie au visage et aux mains chez un malade atteint d'un goitre exophtalmique.
n constate une sclérodactylie au petit doigt et à l'annulaire de la main droite. A l'âge de 29 ans, crises de tétanie. L
hement, a commencé la scléro- dermie par un oedème des doigts de la main gauche qui s'étend ensuite aux mains, au visage
par un oedème des doigts de la main gauche qui s'étend ensuite aux mains , au visage, au cou, moins aux pieds, avec pigment
gnets, qui empêchent les mouvements de flexion et d'extension de la main . Depuis quelque temps les douleurs aux genoux s
sur la ré- gion externe depuis le coude jusqu'au bord cubital de la main ,ces plaques, de dimensions variables, ont une c
, et la pression à leur niveau n'est nul- lement douloureuse. Les mains sont le siège des altérations les plus graves ; l
ximum, tandis que le pouce est relativement indemne. La paume de la main est bridée dans toute son étendue par une adhéren
du poignet en produisant deux creux latéraux ; la photographie des mains que nous donnons ici montre assez bien cette indu
ies ; il y a un certain degré d'atrophie musculaire. La paume des mains est toujours humide et moite par une sudation abo
tinue. La malade a remarqué depuis longtemps cette hyperhydrose des mains . Au tronc la peau est lisse, sauf sur le ventre
les mêmes troubles trophiques que nous avons décrits aux doigts des mains ; la peau est lisse, de couleur bru- nâtre, par
Salpêtrière. T. XXVI. l'1. XLIV SCLÉRODERMIE Radiographie de la main et du crâne. (Bertolotti) . ÉTUDE RADIOLOGIQU
ûtes recouvrant les nodules au niveau des coudes, des genoux et des mains . L'analyse chimique de cette substance faite par
cornée. Examen électrique. - Au niveau des muscles intrinsèques des mains , des muscles, des avant-bras et des muscles du
scles atteints de myopathie essentielle. Diagnostic radiologique. Mains (position dorso-palmaire).- L'examen des épreuves
aucoup de progrès, comme on peut le voir dans la radiographie de la main complète en position dorso-pal- maire. Il est i
orte à l'exagération des ! phé- nomènes de diaphorèse au niveau des mains . En général, c'est le phé- nomène inverse qui f
erons observer qu'elle affectait de préférence la face, le cou, les mains et les jambes, mais qu'à l'inverse de ce qui se p
ion et l'extension des doigts sont impossibles, la face dorsale des mains est lisse, mince, atrophiée, violacée, avec hypot
4) il y a des fourmillements, des douleurs dans les extrémités, les mains sont froides et cyauiques, la peau est durcie, il
urs violentes dans les articulations des épaulés, des coudes et des mains , les doigts des mains étaient tuméfiés, rouges,
articulations des épaulés, des coudes et des mains, les doigts des mains étaient tuméfiés, rouges, froids, presque insen
omènes disparaissaient temporairement par l'immersion prolongée des mains dans l'eau chaude. Les mains étaient cyanoiique
airement par l'immersion prolongée des mains dans l'eau chaude. Les mains étaient cyanoiiques, recouvertes d'une peau dur
de... gra exti... t-a, ta... t-i-o-n, tion lasomo.. t-r-i, tri... qui main .. t-i- m, non, e-n-t, (c'est ça) leur tuni.. qu
omposant le mot correspondante un objet montré. Ecriture. - De la main gauche. Spontanée. - Elle écrit des mots sans c
nce de Lichtheim-Dejerine . Réussit bien chez elle. Ecriture. De la main gauche. Spontanée. - La malade écrit : J'ai été
mouvements de flexion des doigts ; elle réussit encore à porter la main sa bouche. La percussion des tendons radiaux dé
bouche. La percussion des tendons radiaux détermine un clonus de la main extrêmement fort et durant plusieurs secondes.
rvée, sauf pour une petite zone, qui répond à la face dorsale de la main et des doigts ; mais la perception quantitative d
lettres). Copie. Conservée ; la malade copie très exactement de la main gauche le»texte qu'on lui donne et transcrit l'
ur bro, elle écrit, grot. L'écriture des mots usuels est conservée ( main , pied, rue, chemise, panta- lon). Celle des phr
ur des pièces de monnaie et peut les additionner. Ecriture. - De la main gauche. , Spontanément et sous dictée elle ne p
ne pleure jamais ; il est peu coléreux ; quelquefois il se mord les mains , mais il ne casse pas les objets mobiliers, il
haut en bas. Il danse une ou deux minutes et termine en mettant la main droite sur la bouche et, en pous- sant un cri p
enfin, pas toujours, il souffle brusque- ment avec le nez dans ses mains . Puis la scène recommence. Par moments, elle es
ever les deux pieds à la fois. Par moments encore il porte les deux mains sur la joue droite ; c'est surtout dans cette att
réciproquement ; la tête reste immobile, cependant que les doigts des mains qui reposent sur les cuisses, font de petits mo
s des membres supérieurs ; il se touche les oreilles, surtout de la main droite : il ne touche pas plus souvent une orei
: il ne touche pas plus souvent une oreille que l'autre; il met sa main droite sur son visage, etc. Quelquefois il croi
e, agite le pouce avec rapidité. Quand il se rasseoit, il porte les mains en arrière pour se protéger. Il met alors la ja
er. Il met alors la jambe droite sur la cuisse gauche, frappe de la main droite son pied droit, agite la tête activement
le l'attire. La surdité est également presque complète : il tend la main quand on l'appelle Paul : les bruits intenses l
ve même, semble-t-il, spontanément ; il se mord alors le dessus des mains au niveau de la racine des premières phalanges
e lui, il n'est tou- tefois presque jamais violent : il se mord les mains , mais ne cherche pas à frapper ou briser. Ins
, il y a une très légère diminution de la force à la pression de la main droite et de la force de résistance des membres s
ur justifier son dire de la perte de la mémoire, du tremblement des mains au point de ne pouvoir pas écrire, de l'irritabil
prodromes qui consistent en mouvements incoordonnés portant sur les mains et sur les membres inférieurs. Ces mouvements s
NFANTILISME - 413 a corps thyroïde sur les côtés de la trachée. Les mains sont un peu allongées et peu musclées, un peu g
doigts est mince comme celle des doigts de femme. Sur le dos des mains la peau est légèrement craquelée, froide et sèche
male ou peut-être plus étroite que normalement. La radiographie des mains , faite également, n'a montré aucune particulari
thyroïdienne. Si l'on ajoute enfin que l'expérimentation, entre les mains de Ashner, Caselli, Cushing, Ascoli et Legnani, a
ant les scapulæ alaise. On ne voit pas l'invasion de l'atrophie aux mains ni aux régions thénar, hypothénar, ni aux inter
s côtés puis se met il quatre pâlies, eu cherchant à rapprocher ses mains des mem- bres inférieurs pour prendre enfin des
res. Les os dit membre supérieur, à la palpation, sont normaux. Les mains sont volumineuses, avec une forme de battoir et
er 1913) avec « tête énorme et déformations presque symétriques des mains et des pieds sans aucune déformation des os lon
mation des os longs des membres ». Notre sujet a en effet de fortes mains , mais elles n'ont pas de lésions spéciales même à
acromégalie pourrait être envisagée, mais chez notre malade, pieds, mains et thorax sont normaux. Seule l'extrémité céphali
esses, arrêt de développement du bassin, déformations spéciales des mains leur donnant un aspect carré; NOUVELLE ICONOGRA
Nous avons indiqué ailleurs (1) que les petits os des extrémités, des mains et des pieds, prennent très souvent part au pro
LXVIII, fig. 1), toute (1) ANDRÉ LÉRi, Les lésions des extrémités, mains et pieds, dans la maladie de Paget. Société méd
aussi très nettement les caractères acromégaliques de la tête, des mains et des pieds (Voir Pl. LXXI). Il y a du prognathi
on des sinus frontaux). Il y a de l'exophtalmie des deux côtés. Les mains sont tout à fait acromégaliques (type large), a
et Foix, L'atrophie isolée non progressive des petits muscles de la main , etc. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière.
euvent expliquer certains faits d'atrophie des petits muscles de la main (1). Il serait prématuré de répondre à cette qu
5°, le malade ne peut le mette en extension qu'en se servant de ses mains . Atrophie musculaire à la jambe et aux cuisses.
l'hôpital avec une paraplégie et des troubles de motilité dans les mains . Comme antécédents, il aurait eu la fièvre palu
urs il est obligé de garder le lit. Le 15 décembre, la motilité des mains , et principalement celle des doigts, est altérée.
76 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
lusieurs points l'expérimentation. Celle-ci, en effet, même entre les mains de l'opérateur le plus habile, pourra-t-elle jama
ces anatomiques et physiologiques préalables, et vous aurez entre les mains les conditions d'une expérience s'opôrant, si l'o
erva pour tout symptôme que des douleurs s'irradiant dans le bras, la main et l'épaule du côté gauche, et accompagnées d'un
ite à l'époque par M. Corail, et qui se trouve actuellement entre les mains démon ami, M. Duchenne (de Boulogne)1. 1 Compte
de fourmillements et d'irradia-tions douloureuses dans les doigts des mains . Cette dernière circonstance, si vous vous report
bles. Une grande partie des muscles du bras, de l'avant-bras et de la main étaient considérablement atrophiés, surtout à dro
normal. Des deux côtés, mais principale-ment à gauche, la paume de la main est aplatie et comme ex-cavée en conséquence de l
ras ; mais, en s'appuyant sur les coudes, il parvient à se servir des mains pour porter ses aliments à sa bouche. Les divers
rieusement engagés et R... a toujours pu continuer à se servir de ses mains , soit pour manger, soit pour tenir un livre. Ja-m
Ainsi vers le 15e jour, R... pouvait se tenir debout en appuyant les mains sur les objets environ-nants. Vétat actuel, rel
et même faire quelques pas à condition de s'appuyer à l'aide des deux mains sur les épaules-de son domestique. Les membres in
core, en sa faveur, l'expérimentation sur les animaux, qui, entre les mains de M. Prévost, a montré qu'une lésion, portant su
n nombre de muscles dans un membre su-périeur. Tous les muscles de la main et de l'avant-bras auront, je suppose, à ce momen
aste frappant avec l'atrophie très accentuée de l'avant-bras et de la main . Prenons un autre exemple, plus rare. Ce sera,
d'autres fois, assez énergiques pour mettre en mouvement un doigt, la main elle-même. Ces secousses fibrillaires n'appartien
gonistes. C'est de la sorte que se produisent, pour ne parler que des mains , des déformations variées, connues sous le nom de
r un des membres supé-rieurs, le droit surtout ; elle commence par la main et remonte à l'avant-bras, au bras, à l'épaule,
eut être recon- La contractilité faradique n'est pas modifiée. A la main , disparition complète des éminences tbénar et hyp
rophie des mus-cles est surtout prononcée au membre thoracique droit ( main , épaule,avant-bras). La mortest survenue en consé
oubles de la sensibilité. — Déformations paralytiques; attitude de la main . — Trémulation des membres supérieurs à l'occasio
circonscrite à une région limitée du membre, à quelques muscles de la main ou de l'avant-bras, par exemple: elle s'étend un
ans aucun doute, dépen- Fig. 23. — Attitude de Vavant-bras et de la main chez la nommée Tr., âgée de 58 ans, atteinte de s
fléchi, tandis que les doigts sont recroquevillés vers la paume de la main (Fig. 23). Ces attitudes forcées, les douleurs
nences thénar et hypothénar sont tout à fait aplaties, la paume de la main excavée, l'avant-bras et le bras réduits presque
embres fléchis. D'habi-tude, à cette époque, si l'on redresse avec la main la pointe du pied étendu, on fait naître dans tou
. Cependant, pour ne parler que de ce qui concerne l'avant-bras et la main , il est digne de remarque que, dans la pachyménin
quelques groupes de muscles, une sorte de griffe où l'extension de la main prédomine. Cette griffe n'est pas l'apa-nage excl
et plus tard se contracturent tout comme Fig. 25. — Attitude de la main dans la pachyméningite cervicale. dans la sclér
ur ainsi dire à volonté, en relevant brusquement, avec la paume de la main la pointe du pied ou l'extrémité des orteils (Tré
n des pieds de cette femme est fléchi et tenu dans la flexion par une main étrangère, il s'y produit aussitôt un tremblement
e supérieur contracture, en redressant les phalanges des doigts de la main . (J.-M. C.) troubles de la sensibilité, déjà si
qui apparaissent successivement. D'abord, c'est un état parétique des mains qui se montrent inhabiles à saisir les objets. De
emps, les doigts se fléchissent involon-tairement dans la paume de la main . Plus tard, cette flexion pathologique devient pe
une névrite du bout périphérique, suivie d'atrophie des muscles de la main et d'une éruption pemphigoïde. Plus tard, le memb
été, sans con-teste, l'initiateur ; puis les descriptions tracées de main de maître par Trousseau en divers endroits de la
'adduc-tion et l'abduction, puis dans la flexion et l'extension. La main , on le constate également, ne peut rester tranqui
nouveau, lorsque la malade, s'aidant d'une canne qu'elle porte de la main gauche, s'efforce de se tenir debout immobile ou
ès im-mobile. Mais cela a lieu uniquement, grâce à un subterfuge : la main est tenue, en effet, fortement appliquée le long
se servir un peu de son bras droit. On s'aperçut dès ce moment que la main de ce côté, dans les mouvements volontaires, étai
es précédents. Cette fois, en effet, le malade avait senti d'abord sa main gauche se fermer convulsivement et le bras corres
a contrac-ture commença à s'emparer du membre supérieur gauche, de la main surtout, et à l'occuper d'une façon persistante d
é moindre, le membre infé-rieur correspondant. Il faut ajouter que la main et l'avant-bras contractures étaient devenus, dan
ents. Il assurait que, plusieurs fois, un ébranlement communiqué à sa main douloureuse avait été l'occasion du développement
t volumineux, difforme. Depuis l'époque où cet accident a eu lieu, la main gauche présente une déformation particulière qui
is mois après (septembre 1873), dans le temps où C... s'ai-dait de la main droite pour se redresser sur son lit, Vavant-bras
nsolidation s'est faite assez promptement, sans grande difformité. La main droite commence à présenter une déformation analo
ite commence à présenter une déformation analogue à celle qu'offre la main gauche. Les mouvements des divers segments du mem
du membre sont faciles encore et réguliers. G... peut porter avec la main droite ses aliments à sa bouche, ramasser de menu
les mouvements de flexion et d'extension des doigts. Les doigts de la main gauche sont habituellement allongés, mais leur ex
uellement dans l'ostéomalacie. Le bassin, non plus que les doigts des mains , ne présentent les déformations qui se lient en g
rieur gauche, même pour s'aider à manger. Elle a peu de force dans la main de ce côté et l'incoordination motrice est très-p
ses. Aujourd'hui, c'est à grand'peine qu'elle peut, à l'aide de cette main , porter un verre à sa bouche. Décembre 1876. —
tige et presque aussitôt M. W... sent successivement les doigts de sa main gauche se fléchir involon-tairement, le membre su
le malade s'est senti comme précipité tout à coup par l'action d'une main étrangère ; il est tombé en géné-ral, directement
ut des accidents. Bientôt après l'atrophie s'empara desmus-ctes de la main gauche, puis six mois plus tard environ, la droit
69, 7 ans après le début de la maladie. L'a-trophie a envahi les deux mains , les deux bras, les deux épaules surtout l'épaule
nts, la malade pouvait encore dans une cer-taine mesure se servir des mains . Au moyen de certains artifices, elle pouvait enc
té articulaire. Seuls, les doigts étaient fléchis dans fa paume de la main sans qu'il fût actuellement possible de les étend
ssements, une leucorrhée abondante, enfin de l'œdème des pieds et des mains . En même temps, la respiration devient de plus en
eux. — Les muscles de la région externe sont également atteints. A la main , les lombricaux ont seuls conservé la coloration
nférieurs. — Vers le 20 septembre, elle éprouva des douleurs dans les mains , et, à partir de cette époque, les membres supéri
s le long du tronc ; mais, de plus, à l'épaule, aux avant-bras et aux mains , il y a atrophie prédominante de certains muscles
à la fois sur les muscles flé-chisseurs et extenseurs des doigts: aux mains , les éminences thé-nar et hypothénar sont remarqu
sous les yeux un bel exemple de la déformation connue sous le nom de main en griffe. Les mou-vements des différentes partie
rs extrêmement limités. C'est à peine si la malade peut sou-lever ses mains au-dessus de ses genoux où elles reposent habitue
longtemps, et il s'accompagne d'un tremblement, surtout latéral, des mains , fort singulier. Les mouvements de flexion et d'e
janvier, la malade, qui sait écrire, n'a pas pu tenir une plume ; ses mains ne lui sont d'ail-leurs d'aucun usage et il lui e
ées. Ces contractions sont surtout remarquables aux avant-bras et aux mains . Elles se produisent tantôt spontanément, tan-tôt
roduire des mouvements très prononcés d'extension des doigts et de la main tout entière lorsqu'on a produit à l'aide d'un do
supinateur, déterminer un mouvement de supination par suite duquel la main se renverse sur sa face postérieure. L'excitation
lus, rendait les déformations des membres supérieurs, et sur-tout des mains , plus caractéristiques encore. L'impuissance mo
-core la coloration rouge est assez bien conservée. Les muscles de la main sont jaune feuille-morte et très atrophiés, surto
e-morte et très atrophiés, surtout les interosseux. Les muscles de la main sont certainement, avec ceux de la langue, les pl
tème musculaire par la description des altéra-tions des muscles de la main ; ce sont ceux, en effet, qui offrent les lésions
dus immobilisés depuis longtemps. En résumé, dans les muscles de la main , c'est-à-dire là où les lésions étaient le plus a
e générale, toutes ces lésions sont beaucoup moins accusées qu'à la main . Au deltoïde, nous retrouverons toutes les altéra
P... marchait encore, bien qu'avec une certaine diffi-culté. Déjà sa main gauche ne pouvait lui servir et était tenue rap
hée du corps. Elle se plaignait aussi de voir depuis quelque temps sa main droite s'affaiblir, ce qui la gênait pour manger.
in degré de contracture ; les doigts sont fléchis dans la paume de la main , le poignet est dans la pronation, le coude demi
celui des muscles du cou ; le deltoïde surtout est très altéré. A la main , les muscles des éminences thénar et hypo-thénar
rement, une bonne partie par la bouche. Puis, por-tant le pouce de la main droite sur l'un des côtés du larynx, elle semble
éprouve de la difficulté à élever son bras et elle ne peut porter sa main gauche jusqu'au niveau de sa bouche. Le bras et l
Enfin, les mouvements de préhension se font aussi bien à l'aide de la main gauctie qu'à l'aide de la main droite, et il n'y
sion se font aussi bien à l'aide de la main gauctie qu'à l'aide de la main droite, et il n'y a pas trace d'atrophie prédomin
xtrême. Lorsqu'on demande à la malade si elle souffre, elle porte les mains à la région précordiale et fait comprendre qu'ell
raire, sont atrophiés et jaunâtres. Aux bras, aux avant-bras et aux mains , les muscles ont, du côté droit comme du côté g
é que la langue. Les muscles du bras et de l'avant-bras, ceux de la main (émi-nences thénar et hypothénar), quoiqu'ils par
e sens que celui de M. Cohnheim. Bien que nous n'ayons eu entre les mains qu'une partie de la moelle épinière comprenant la
les qui meuvent les doigts et les orteils ; quelquefois, en effet, la main tout entière et le pied sont affec-tés ; — 3° enf
lques muscles de la face et du cou sont, en même temps que ceux de la main et du pied, agités de mouvements choréiformes.
rmes limités au côté gauche du corps et affectant la face, le cou, la main et le pied. Les doigts sont sans cesse en mouveme
est pris entre les deux pre-miers doigts. Elle ne se sert guère de sa main : quand elle a saisi un objet, elle le lâche bien
. Notons qu'il y a une sorte de synergie entre les mouvements de la main et ceux du pied : quand on dit à la malade d'ouvr
nts de la main et ceux du pied : quand on dit à la malade d'ouvrir la main gauche ou de la fermer, le pied, chaque fois, se
gr. photographique de la Salpêtrière, t. n, p. 1 à 90. seulement la main et le pied du côté paralysé (hémichorée post-hémi
étose). Les jointures du membre supérieur gauche sont rigides. — La main est fléchie sur l'avant-bras. Les doigts sont ins
doigts, l'extension forcée. Quand on demande à la malade d'ouvrir la main , les doigts passent à l'extension forcée, les pha
les phalangettes se renversent, et presque aussitôt les doigts et la main se fléchissent. Essaie-t-elle de fléchir le pouce
t indépendants. Si on commande à la malade de fermer ou d'ouvrir la main le Died sur-le-champ est pris de mouvements : le
orteils remuent. — Quand on observe la malade au lit, on voit que la main et le pied gauches sont à peu près constamment ag
ments saccadés, synergiques ; afin de les atténuer, elle maintient la main gauche avec la droite. Maintes fois, dans des l
fférence portant sur l'étendue des mouvements anormaux : limités à la main et au pied du côté paralysé, chez la première mal
faiblissement de la sensibilité du côté gauche du corps. Lorsque la main gauche est fermée, on remarque que les doigts veu
à ces mou-vements, des mouvements de pronation et de supination. — La main est-elle ouverte ? on note des mouvements d'exten
enir un peu de repos, la malade est obligée d'ap-pliquer fortement sa main sur un plan résistant. Si l'on considère les mo
u'ils sont désordonnés, saccadés, brusques. La malade porte-t-elle la main à sa figure? elle se soufflette. Lui fait-on pren
endre un objet léger? elle exécute un mouvement disproportionné de la main et, à chaque instant, menace de laisser tomber l'
I, ils sont circonscrits à la moite gauche de la face et du cou, à la main et au pied du même côté, tandis que, dans l'obs
oubles de la sensibilité. — Déformations paralytiques; attitude de la main . — Trémulation des membres supérieurs à l'occasio
77 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
74J.- Hémiplégie gauclte incom- plète ; - atrophie des pieds et des mains . - Description d'un étourdissement. - Traitemen
s après qu'elle laissait échapper les objets qu'elle tenait dans la main gauche. Néanmoins, le médecin qui la soignait a
e est naturelle. Membres supérieurs, tronc, etc. - Les doigts de la main gau- che sont plus courts de 5 millimètres que
e la main gau- che sont plus courts de 5 millimètres que ceux de la main droite. Les avant-bras, les bras, les deux moit
, à sa partie moyenne, est la même des deux côtés. Le' pied et la main gauches sont violacés et froids au tou- ` cher.
nt violacés et froids au tou- ` cher. - La malade serre mieux de la main droite que de la gauche, mais peut se servir de
r le tronc, est rigide ; les doigts sont fléchis sur la paume de la main , le pouce étant recouvert par les autres doigts.
ite, moindre à gauche. Le pouce droit est fléchi sur la paume de la main et recouvert par les autres doigts ; à gauche,
bilité à la chaleur est conservée : si, par exemple, on applique la main sur la surface glacée, le malade ac- cuse une s
Souvent la température dépasse même celle de la peau voisine et la main seule permet de s'assurer de celte augmentation c
secousses subites, rapides. A-t-elle alors quelque objet entre les mains , elle le laisse choir; de plus, elle voit des éti
le membre supérieur gauche qu'elle était obligé de soutenir avec la main droite. La tète était penchée sur l'épaule gauc
la face étaient rouges et brûlants ; la peau sur le reste du corps ( mains , pieds et tronc), était, au contraire, pâle et
ps (mains, pieds et tronc), était, au contraire, pâle et froide. La main droite était plus froide que l'autre : on eût d
sensation d'eau glacée qui passait dans son bras gauche, depuis la main jusqu'à l'épaule. Elle a ensuite ressenti des p
des doses, ils n'ont jamais été, pour les malades placés dans notre main , un obstacle à la continua- tion du traitement.
e pâleur plombée de la face et une décoloration des avant-bras, des mains et princi- palement des doigts. L'action du n
sexuels outrés, il eut un spasme du bras gauche qui commença par la main et en quelques minutes plaça les doigts dans l'
vaient été subits et sans prodromes ; mais dans tous les autres, la main était affectée de spasme suivi, quelques minute
is par semaine. Ils commencent par un spasme violent du pouce de la main droite. - D'une façon générale, les convulsions
Trois accès par semaine. Aura partant du cou et quelquefois de la - main gauche. En février 1874, on emploie le nitrite
Il a dix ou douze accès par an, précédés d'une aura qui part de la main . Il a commencé l'usage du nitrite d'amyle en se
is- sance mais n'eut plus d'attaque. Pendant la nuit et le lende- main , on fit une inhalation de nitrite d'amyle toutes
Le regard est \ fixe, hagard, la respiration parait ralentie. - Les mains sont bleuâtres, les ongles sontdécotorés. - Sal
d'une convulsion tétanique. La 122 IIT5TI;ItO-1 : PILL,P511 ? .. main droite se contracte ; d'abord en supination, elle
vres et les joues remuent comme dans l'acte de la mastication ; les mains se fléchissent sur les avant-bras, les accès de
pronation forcée, les doigts fléchis, le pouce dans la paume de la main de telle sorte que son extrémité arrive entre l
férieur est aussi dans l'extension forcée; en le saisissant avec la main , on soulève le corps tout entier. Contracture
onservées. La malade accuse uniquement de l'engourdissement dans la main de ce côté. A neuf heures et demie, Ler ? qui
, les doigts sont fermés, le pouce appli- qué contre la paume de la main . Le membre inférieur gauche s'étend, passe au-d
acture de l'avant-bras gauche, qui était dans la flexion forcée, la main , fermée, touchant l'épaule. La seconde attaque
r gauche, fixé dans sa position, est retourné de telle façon que la main est appliquée sur l'épine dorsale. Le membre in
s l'extension; le pied est en équin. Si on place une orange dans la main gauche, la malade la maintient tant qu'elle a l
mais elle la laisse échapper dès que les paupières sont fermées. La main et le bras sont le siège d'un tremblement qui a
lit, est en outre le siège de douleurs et de fourmillements; i la main ne peut saisir les petits objets. Les membres in-
la cuisse gauches. Le bras gauche est étendu, le droit fléchi; les mains sont dans la position ordinaire.' Les paupières
s se sont étendues. Le bras gauche est dans la flexion exagérée, la main reposant sur l'épaule. 1 1 mars. Une attaque a
sont étendus et écartés; le pouce est placé entre eux. Tantôt la main est allongée, tantôt' fléchie sur le poignet. Par
poignet. Parfois l'avant-bras demi-fléchi se porte en arrière et la main frappe le dos; ou bien le bras entoure le jarre
tronc ou appliquée directement sur. la poitrine, ou bien encore la - main droite va se poser sur l'épaule gauche. Membr
court après elle, elle tente de s'égratigner la figure; frotte ses mains l'une contre l'autre, parce qu'elle a des « fourm
a encore de temps en temps des fourmillements dans les pieds et les mains , surtout à droite. - Le sommeil est, en général,
d'outre en outre avec une grosse épingle, un pli fait à la peau des mains ou de l'a- vant bras ; je ne parvenais à percer
i voir double l'infirmière qui esta deux mètres à droite du lit. La main étant présentée étendue, les doigts verticaleme
ilité elle-même est sérieusement compromise dans le côté droit : la main ne serre plus avec énergie. La jambe est 158 HY
lée dans certains points. Ainsi, la tempé- rature de la paume de la main est à 34.0,8 à gauche et à 31 : : i°,2 a à droi
ple frappant de contracture dans l'extension. Lorsqu'on applique la main sur la plante du pied, préalablement fléchi, et
bras, le poignet sur l'avant-bras, et les doigts sur la paume de la main . Les tenta- tives pour l'étendre produisent une
eux. 9 décembre. Depuis l'attaque d'hier, la malade se sert de la main droite et. mange. Le membre inférieur droit est l
Du reste, la sensibilité tactile n'est pas abolie tout-à-fait à la main . Les yeux étant fermés, on constate que la mala
la malade n'a pas la notion de position de son avant-bras et de sa main . Elle parvient à s'en rendre compte dans une ce
st toujours fixé dans la même position ; quelquefois, cependant, la main s'élève vers l'épaule; la jambe exécute à peine
à sa portée, ses draps, par exemple, ou cherche à griffer avec sa main droite. - Alors, apparaît un nouvel intervalle de
accolé au tronc ; Lavant-bras légère- ment fléchi en pronation; la main et les doigts sont dans la flexion forcée. Le m
le côté droit de la tête serré comme dans un étau. Analgésie de la main droite. 23 mai. Aucune amélioration. Afin de re
au du larynx quelque chose de raide (contracture des muscles). A la main , le genou et la cuisse gauches - côté contractu
35o,6 des deux côtés. Lorsqu'on essaie d'allonger les doigts de la main gauche, la malade assure avoir dans l'avant-bra
accolé au tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras, la main modérément fléchie, les doigts dans la demi-fle
lables sur le trajet du plexus brachial (région claviculaire, bras, main ). - Ces dou- leurs sont rappelées ou exaspérées
ide; le poignet et les doigts sont souples. La malade se sert de sa main et soulève, avec effort il est vrai, le membre
e douleurs dans l'épaule gauche et d'une sensation de froid dans la main correspondante. La sensibilité est reve- nue, m
fourmillements dans la plante du pied droit et des crampes dans la main du même côté. Par moments, elle a des douleurs
gauche. La malade ne distingue ni les doigts pris isolément, ni la main tout entière. Les personnes et les objets lui d
nce au détriment du côté gauche. 26 mai. Au dynamomètre, 85 pour la main droite, 62 pour la gauche. -Etch... est capable
ats suivants : oeil gauche. Etch... reconnaît les mouvements delà main à 60 centimètres ; mais elle ne peut compter les
ui se sont montrés chez Etch... Ces signes sont les sui- vants : la main ou le pied du membre menacé de contrac- ture se
78 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
vait de la peine à marcher et elle tenait difficilement un objet ù la main . Les lèvres étaient agitées de mouvements, ainsi
lontaires, rapides, irréguliers, Dès qu'elle a saisi un objet avec sa main droite, elle le laisse infailliblement tomber, si
it ; dès lors, elle laisse tomber tous les objels qu'elle tient de la main droite, tant celle-ci est devenue malhabile. On
etière, elle est de nouveau prise d'hémichorêe, avec maladresse de la main . C'est pour cette récidive qui dure depuis trois
, ciseaux, etc. : elle les prend avec dextérité, les conserve dans s» main et s'en sert correctement. Je lui demande ensuite
tesse extrême. Et j'ajoutais que c'est grande pitié quand on voit des mains maladroites ou brutales manier lourdement cette m
ique sans appareils ; la Chimie sans laboratoire, dont j'ai entre les mains un exemplaire de la 6' édition, portant la date d
cera à préparer et à faire lui-même les expériences. L'habileté de la main se formera, en même temps que l'attention se port
l'amphithéâtre. Ea conséquence, je demandais auxasslstantsde lever la main aussitôt qu'ils percevraient l'odeur. « J'enlev
ondes, la plupart des auditeurs placés près du professeur levèrent la main . En 40 secondes 1' a odeur» se répandit jusqu'au
. Par exemple, le sujet étant hypnotisé, je lui mets un verre dans la main et je lui suggère que son bras est paralysé et qu
t paralysé et que celte paralysie réapparaîtra dès qu il aura dans la main un verre rempli d'une boisson alcoolique quelconq
que. Cette paralysie psychique se reproduit quand le malade a dans la main un verre rempli de vin ou d'alcool. Elle dure ass
une expérience d'automatisme bien connue. On met un mouchoir dans les mains d'un somnambule, il se mouche, puis plie son mouc
du cerveau. Au conlraire, la sensation passive du mouchoir dans la main amène mécaniquement une série d'actes : c'est de
e de Chevreul révèle bien cette origine : si on tient un pendule à la main et qu'on le fixe avec attention, on lui communiqu
l'expérience de Cumberland, recherche uVun objet en tenant par la main celui qui Ta cache : on se guide sur les mouvemen
elui qui Ta cache : on se guide sur les mouvements inconscients de la main , qui sont d'autant plus forts que l'on se rapproc
se guide sur les mouvements de la baguette divinatoire tenue dans la main . Ces mouvements sont communiqués par le sourcier
ion,car on affirme, par exemple, a cochon vole » pour faire lever les mains , 2°deriímíaíÍon, car on love la main pour que les
hon vole » pour faire lever les mains, 2°deriímíaíÍon, car on love la main pour que les autres fassent de môme, et 3° de l'h
de l'habitude d'actes, car on fait lever plusieurs fois de suite les mains en énonçant des animaux qui volent réellement, pu
maux qui volent réellement, puis on en dit un qui no vole pas, et les mains continúenla se lever. Ce jeu, en apparence si sim
de M. Binet : l'enfant regarde à gauche un métronome et tient dans sa main droite qui doit être comme morte, une des deux ex
Après avoir ainsi amorcé le mouvement, il abandonne le balancier. La main de l'enfant qui serre ce dernier, accoutumée au m
t ordre. On peut modifier l'expérience en mettant une plume dans la main d'un enfant et en la lui cachant par un écran. Ce
ume dans la main d'un enfant et en la lui cachant par un écran. Cette main doit être molle, on la prend et on lui imprime qu
mouvements graphiques, puis on l'abandonne doucement à elle-même. La main peut alors continuer l'impulsion acquise et exécu
de jambages tous semblables; il est produit par des mouvements de la main automatiques et se répétant par habitude. Quand c
t de l'écriture, le cerveau intervient; il fournit des pensées que la main exprime par des lettres et des mots variés. M
s efforts, ù tel point qu'il lui fallait quelquefois exercer avec les mains une forte compression sur le ventre : quelquefois
édecine que quand la psychothérapie aurait bien et dûment, et par des mains compétentes, été reconnue incapable de guérir ces
tesse. Mais cela tient précisément à ce qu'il est un enfant et que sa main ne présente ni le développement ni la force muscu
sa main ne présente ni le développement ni la force musculaire d'une main d'adulte. Il joue des morceaux qu'exécutent d'ord
ers comme un enfant imite une grande personne ; il sait faire avec sa main des mouvements que les enfants de son âge sont d'
très enfant quand il ne joue pas de violon, et qui môme, l'archet en main trahit son âge, peut si on sait lui épargner la f
este. Considérez son membre supérieur gauche. La face dorsale de la main et du poignet est considérablement augmentée de v
igts sont infléchis au point qu'on a dû garnir d'ouate la paume de la main , pour empêcher les ongles de s'enfoncer dans cett
ou circulaires. Quanta la syringomyélic, elle donne bien lieu à la main succulente comme chez celte jeune fille, mais ell
rolongé des appareils de contention, ainsi que l'usage d'attacher les mains des enfants onanistes pendant la nuit, exerçait l
me que l'emploi des appareils de contention et lu fait d'attacher les mains semblent créer ce que nous serions tenté d'appele
. I, p. ï98) : « Elle est adorable : couchée, évanouie d'amour, les mains , les pieds « nus pendants, les yeux demi-clos, el
nime. Jusqu'aux draperies tortillées, jusqu'à l'alanguise-« ment des mains défaillantes, il n'y a rien en elle ni autour d'e
s fossettes dans ses fraîches joues « luisantes : sa flèche d'or à la main indique le tressaillement délicieux « cl terrible
tous les nerfs de ce corps charmant,, « ardent, qui s'étale devant sa main . On n'a jamais fait de roman sî « séduisant et $i
l'amour do Dieu et que l'on nomme séraphins... Cet « ange avait à la main un dard qui était d'or, dont la pointe éiait fort
ajuster et à désirer de paraître « bien; j'avais un grand soin de mes mains et de ma coiffure; j'aimais « les parfums et tout
ours elle a des engelures au 1" et 2* degré sur la face dorsale de la main droite et depuis ce matin-là seulement elle prése
seulement elle présente un gonflement considérable des doigts, de la main et du poignet jusqu'à 4 ou 5 centimètres au-dessu
la puissance de ecl instrument. J'appliquai cet aimant à côté de sa main sur une table et je lui recommandai de regarder a
main sur une table et je lui recommandai de regarder attentivement sa main . Celle-ci se dégonflerait à vue d'œil. Au bout
'influence de cette c expectant attention » et de légers massages, la main était revenue à son état normal. La gué-rison per
e et ne voulant plus travailler, concentra toute son attention sur sa main . Elle l'immobilisa avec précaution et vit l'œdème
ent couchés en rang sur des nattes, pieds nus et leurs balouches à la main . Ils faisaient face au mur garni d'une grille de
un Arabe, placé au milieu de la rangée, frappait trois fois dans ses mains et modifiait par ce signal la forme et le rythme
ulant.'Sa crise fut longue: le marabout le calma par l'imposition des mains sur les côtés de la poitrine et du ventre; l'homm
en plus doux ; le tambourin avait cessé ; les marabouts passaient la main sur les yeux des Aissahouas, leur souillaient sur
t de savants belges eux-mêmes, il me semble que nos voisins ont eu la main un peu lourde, tout au moins en ce qui concerne l
s. Ceux-ci plaidaient la liberté des hypnotiseurs. M. Ladame prend en mains la cause de l'hypnotisé « l'homme-lige obscur du
s ; 2° La combinaison de mouvements différents de l'une et de l'autre main . A cela vient s ajouter, pour les instruments à
ésultat de la souplesse des mouvements ; elle peut concerner les deux mains , comme dans le piano, orgue, harpe, etc., ou simp
deux mains, comme dans le piano, orgue, harpe, etc., ou simplement la main droite, comme dans les instruments à cordes et sp
e la rassurai de mon mieux; mais, ne l'ayant pas encore eue.entre les mains , j'ignorais moi-même jusqu'à quel point je pourra
a joué à !a manille avec des cochers, qu'il a reçu une blessure à la main , qu'il a failli être écrasé par une voiture, etc.
informé de la cure, ce dernier lui a conseillé de se mettre entre les mains du môme particulier, lequel l'a si bien fait marc
Il couvre facilement une pièce de cinq francs avec son pouce. Avec sa main , il atteint une hauteur de 3 mètres. Les bras éte
comestibles, d'objets presque sans valeur, qu'ils trouvent sous leurs mains , charbons, bois, œufs, peignes, paniers. La misèr
rendre de l'argent ou toute autre chose qui ne lui appartient pas, sa main ne pourra se mettre en mouvement et je lui mets s
dans son Ht, couchée, dans la même position de décubitus dorsal, une main de chaque côté appuyée sur l'oreiller, la paume t
n périnéale antéro-postérieure. Comme la plaie saignait, il posait la main sur le fumier, puis l'appliquait à plat sur la pl
te une couture avec une grosse aiguille, trempant de temps à autre sa main dans le fumier et demandant aux assistants de tir
ns son sommeil » ; mais, à 4 heures du matin, elle s'areboute sur les mains , d'une part, sur les talons, de l'autre, puis se
t mit sa bouche sur la bouche de l'enfant, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains, et s'étendit sur lui; et la chair
e sur la bouche de l'enfant, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains , et s'étendit sur lui; et la chair de l'enfant fu
acles de VExode (c. IV, 6} : L'Eternel dit encore à Moïse : mets ta main dans ton sein. Et il mit sa main dans son sein; p
Eternel dit encore à Moïse : mets ta main dans ton sein. Et il mit sa main dans son sein; puis il la'retira, et voici, sa ma
ein. Et il mit sa main dans son sein; puis il la'retira, et voici, sa main était blanche de lèpre comme la nefge. Puis Dieu
main était blanche de lèpre comme la nefge. Puis Dieu dit : remets ta main dans ton sein; et il remit sa main dans son sein;
a nefge. Puis Dieu dit : remets ta main dans ton sein; et il remit sa main dans son sein; puis il la retira de son sein, et
tiendra là; 11 invoquera le nom de l'Eternel, son Dieu: il étendra sa main sur la plaie et guérira le lépreux. L'Abana et le
icateurs. Nous sommes encore moins renseignés sur la. maladie de la main sèche {Mat., XII, 10 ; Luc, VI, 0 ; Marc, III, 1)
e, lui sera imposée par l'opérateur qui s'appliquera h fixer avec les mains les muscles atteints de mouvements involontaires.
d'une bonne qui lâchait régulièrement la vaisselle qu'elle tenait en mains dès qu'on lui disait : a Faites attention, vous a
férentes, savoir : à Rome, à physio-psychologie des religieuses mains d'un certain de la Potteric, ecclésiastique, qui
il avait fait (Luc, VIII, 39). Il pratiquait aussi l'imposition des mains , si usitée par tous les thérapeutes. Tltouchaitla
u la langue. D'autres fois, ce sont seulement de petites crises : les mains tremblent, les objets s'éloignent ou se rapproche
ourant d'une puissance considérable. » Je tenais fortement dans les mains deux larges électrodes : ce qui empêcha les brûlu
n cri informe. Je n'eus plus alors la sensation de l'existence de mes mains et de mes bras, étant étendu à terre, et les murs
e règle métallique qui me parut très froide et retirai brusquement ma main . Environ un quart d'heure après, je pus remuer le
ui veulent s'occuper d'hystérie et d'hypnotisme, M. Richer a tracé de main de maître les règles de la méthode à suivre dans
gne une herbe laiteuse et la remit à Boudha, Boudha la prenant de ses mains , la passa à Vadrika en disant : « Voici qui calme
e analogue à ceux énoncés plus haut. Le sujet entre. Il prend une des mains de son « conducteur », l'applique à l'une do ses
t, libre à nous d'en faire la critique. ii s'obstine à maintenir ma main contre sa tempe; jem'y prête. Mais j'ai soin de r
nir ma main contre sa tempe; jem'y prête. Mais j'ai soin de rendre ma main et mon bras aussi flasques, aussi inertes, aussi
accomplir. Mais le sujet tâtonne, peine, presse nerveusement, ma main , apparemment pour provoquer ou pour arracher une
quer ou pour arracher une indication, un aveu, une direction; mais ma main reste inerte... De guerre lasse, il se déclare tr
r imprime la dynamique musculaire de la personne dont ils tiennent la main : tout se passe à l'insu de leur pleine et claire
ien de surnaturel, mais qu'il usait en somme d'un subterfuge : que la main du conducteur qu'il prenai t et s'appliquait à la
e corps ou sur les membres. Alors l'opérateur introduit l'index de la main gauche dans la joue que l'on distend le plus poss
à38°,5)àun moment fixé par lui. Burot l'a abaissée de 10° pour une main . Rien de plus frappant que l'isoiabiiitê de ce ph
petit M'"" V... devient de plus en plus incapable de se servir de ses mains , comme aussi de gagner sa vie en coulissant de gr
ition de l'enfant. Grand est alors mon étonnement. Dès que je mets la main sur le ventre je ne sens aucune masse dure. Le ty
estinal est partout exagéré, et l'examen intus et extra avec les deux mains , me permet d'affirmer à la fausse parturiente qu'
er leur magnétiseur et sortir avec plus de force de sa tête et de ses mains ... Plus tard, les docteurs Despinc et Charpigno
u bien lit sans aucun goût n'importe quel livre qui lui tombe sous la main ; aux repas, il mange gloutonnement. Je ne croi
servir, il faut agir scientifiquement et avec conscience. Entre des mains autres que celles du médecin, il devient un instr
désire voir disparaître les accidents qu'elles occasionnent entre les mains des ignorants. Alors on ne verra plus d'accidents
s de pensée (liseurs de muscles) ('). Ce n'est pas sans raison que la main du conducteur est placée sur la tempe ! n La co
nnant que le soi-disant liseur de pensée applique systématiquement la main conductrice à sa tempe, puisque cette région est
ages entendus, coups de fusils, pour l'ouïe. — Froid aux pieds ou aux mains , chaleur exagérée pour les sensations de tact. —
ucunement, s'enfoncer de longues aiguilles dans les joues et dans les mains ; les plaies restaient exsangues. Lorsqu'il négli
uand elle dormait, si on s'approchait d'elle et si on lui touchait la main , on voyait survenir de légères secousses dans tou
ture de pensée : le prétendu liseur de pensée maintient à sa tempe la main de son conducteur parce que les tempes sont la pa
sur la malheureuse et on la frappe avec tout ce qu'on trouve sous la main . Sur le point d'expirer, la victime a encore le t
ontracture des pieds. Je soutiens d'un bras la fillette et de l'autre main presse les yeux, et lâ fillette monte tranquillem
ents, comme des soubresauts de conviction, et un éclat de voix, et la main frappant la table, attestaient qu'il avait vu, et
79 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
un état de grossesse manifeste. Un jeune guerrier imberbe, dont la main soutient crânement la . III. Gravure de Nlco'.a
artiste a figurée ne se désintéresse pas des travaux de son sexe. Les mains sont armées d'un fuseau et d'une quenouille. L'en
ne sorte de toquet garni de perles. Le mouchoir qu'elle porte dans la main droite et les gants qu'elle tient dans la main ga
qu'elle porte dans la main droite et les gants qu'elle tient dans la main gauche indiquent bien qu'il s'agit d'une personne
une fille qui, debout, tournait le dos à la fenêtre, je pris ses deux mains . Le jour éclairait mon visage. D'un ton calme, ma
elles pleure toujours quand elle fait des adieux), je pris une de ses mains et, comme la première fois, je lui dis sans l'end
il suivant : ¦ Chaque soir, une foiscou- ¦ chéc, laissez une de vos mains sur les draps comme si j'allais vous la - prend
os pères. Il convient de reconnaître que la scène a été rendue'de main de maître. Les moindres détails ont été rendus av
Isaie s'exprime ainsi (Isaïe, chap. LXV, v. 2) : « J'ai étendu « les mains tout le jour contre ce peuple incrédule qui march
onnons la reproduction {Fig. 10). Le père, debout, a la figure et les mains velues, auprès de lui se trouve une de ses filles
Le '20 octobre 1902, il se présente à ma consultation portant û la main son observation détaillée. Depuis trois ans il es
point qu'il lui arrivait par moment un besoin impérieux de mordre ses mains pour apaiser son état morbide, une hypéresthésie
t se tenir debout, ni faire un pas en avant sans avoir une canne à la main . Le 21 novembre 1902, il se présente à ma consu
s au cou et à l'épaule gauche, depuis six ans, et d'avoir toujours la main gauche très froide. Cette douleur l'empêche de se
'une heure ou deux la nuit, il ne peut ni lever le bras, ni fermer la main . Avant do me prononcer sur son cas et de me cha
dis que je vais l'endormir et que si, au réveil, la température de sa main , de froide qu'elle était devient chaude, il y aur
es, la disparition des douleurs et lo changement de température de sa main . Une demi-heure après, quand je l'ai réveillé,je
prend que ses douleurs ont complètement disparu. La température da sa main aussi est considérablement augmentée. Le traiteme
jours après, le malade peut facilement étendre les doigts, serrer ma main assez fortement, mouvoir le bras dans toutes les
e un sac par la fenêtre, sur un signe que je lui fais, en battant des mains . Comme la malade se plaint d'un m.nlaise dans la
usser. > A l'instant même, l'enfant fut transformé ; il porta la main à sa bouche et me montra de son doigt une molaire
ue la feinte, s'il y en avoit, ne pourroit tenir contre un coup de la main appliqué brusquement au visage ; mais celte expér
e plus tard. C'est ainsi qu'ils apprennent le saut périlleux. Tenu en main par une ceinture de cuir, l'enfant exécute ses pr
èce de guenon. Julia Pastrana avait cependant quelques beautés. Ses mains étaient très jolies et ses yeux langoureux avaien
t entrer en contact avec le monde extérieur, ouvre les yeux, passe la main devant eux comme pour chasser un voile, parait en
s éveillée. Sur mon ordre elle ouvre les yeux, me regard? et passe la main à plusieurs reprises sur ses paupières. Je la pin
ptien, se présente à ma consultation le 15 décembre 1902; il porte la main à la tempe droite et se plaint d'éprouver des dou
t être portée artificiellement au point de faire toucher le dos de la main à l'avant-bras, et que les doigts se fléchissent
aille moyenne des hommes en Birmanie. Tout le corps, les pieds et les mains exceptés, était couvert d'un poil soyeux et doux
epas a un parfum quelconque dans son mouchoir ou même s'est lavée les mains avec un savon odorant. Enfin, son hyper-excitabil
lière ; elle s'agitait plus que de coutume et remuait fréquemment les mains sur la couverture de son Ht. Tous ces phénomènes
s elle est incapable de marcher. Or, il suffit de la prendre par la main ou même par la manche, pour qu'elle marche aiséme
seule, vous vous rappellerez comment on marche, vousaban-donnerez la main de votre mère et vous marcherez seule comme tout
cette obscurité à un moment quelconque ; chacun de nous aura sous la main le petit boulon d'une lampe électrique qu'il pour
nte quelqueséraillures. Les membres supérieurssontgréles, courts, les mains très petites. Les membres inférieurs, garnis de p
ssin avaient l'aspect féminin ; les membres inférieurs également. Les mains et les pieds étaient de petites dimensions. Hab
s. SI son patron exige qu'elle écrive immédiatement sous ses yeux, sa main tremble tellement qu'elle brise sa plume sur le p
Il tourna la difficulté en emporlant un sty-lographe qu'il tint à la main pendant toute la durée de l'examen. Il était ains
t elle se plaint. Et de fait, dès que j'eus appliqué la paume de ma main sur sa nuquo, elle s'endormit profondément. Si
é envoyait Ieroubbaal, Bedan, Iphtâh, Schemouèl pour les sauver de la main de leurs ennemis et leur donner une résidence sûr
eut faire parvenir à sa bouche le verre que je viens de lui mettre en main . Le tremblement a gagné tout te corps ; il est su
L'hypnotisme et les Rayons N. Dr Demoncht : Action hypnogénique de la main . D' Wiazemskt (de Saratow) : Vomissements incoe
n d'une giande finesse et d'une fraîcheur extrême. La délicatesse des mains et des pieds ne laisse rien à désirer. La cheve
Sur le dos, existe une région velue de la dimension de la paume de la main ; les poils qui la recouvrent sont doux, épais et
ne. Il arrive à l'un d'eux un léger accident. Un faux mouvement de la main amène une certaine gêne dans l'articulation du po
tous les dons naturels de l'homme, cultivés et mis en valeur par une main habile. C'était aussi pour eux affaire de distrac
stant sa ferme volonté prenait le dessus : 11 devenait très pale, ses mains se crispaient, mais 11 faisait ses observations a
on et de répulsion se produisaient dans l'appareil à l'approche de la main . Mais la grande légèreté de l'objet, son extrême
ée sur un pivot. Avec ce dispositif il fut facile de constater que la main , étendue vers le cylindre de liège, l'attirait d'
des mouvements de l'air. Pour se servir de l'appareil, on place la main étendue en la faisant reposer, pour la maintenir
mouvement varie, ainsi que nous le verrons tout à l'heure, suivant la main présentée, suivant les personnes, et peut même, a
. Lorsqu'on opère à l'air libre, il est certain que, en avançant la main un peu vivement ou en la retirant, on détermine u
ue, avec l'appareil, tel que nous l'avons décrit, si l'on approche la main et si on la présente vis-à-vis de la pointe de l'
roduit un calorique assez considérable, et chacune de ses parties, la main en particulier, dégage une chaleur rayonnante app
la manière suivante : Une épaisse couche d'ouate fut placée entre la main et l'appareil. Au bout de quelques instants, le m
se produisît malgré cette interposition. La chaleur rayonnante de la main ne pouvait évidemment traverser aussi rapidement
ien évident que ce n'était pas, à plus forte raison, la chaleur de la main , bien faible en comparaison, qui pouvait agir dan
t encore objecter que la lumière, soit réfléchie par la surface de la main , soit agissant d'une façon quelconque, était la f
s autres expériences. L'expérimentateur assis dans l'immobilité et la main sur le support; le degré où se trouvait arrêtée l
allique, relié à la terre par une chaîne de métal, fut placé entre la main et l'appareil. Dans ces conditions, on constata q
ue l'aiguille se mettait en mouvement de la même façon que lorsque la main était présentée sans interposition. Afin d'avoir
rien au mouvement de l'aiguille du sthénomètre sous l'influence de la main . Dans la contre-expérience en question, après avo
au sujet de cette force, avec le sthénomètre. Quand on approche une main de l'appareil, les doigts présentés en regard de
ent de l'aiguille, ordinairement dans le sens de l'attraction vers la main présentée. Ce mouvement se fait lentement, prog
30 et 40 degrés. Si l'on compare le déplacement obtenu avec chaque main successivement, on constate que lu déplacement ob
ue main successivement, on constate que lu déplacement obtenu avec la main droite est normalement plus considérable que celu
ain droite est normalement plus considérable que celui obtenu avec la main gauche. L'amplitude du déplacement de l'aiguille
orsqu'une personne se place vis-à-vis de cet appareil sans avancer la main , à environ 60 centimètres du globe et regardant f
imaginaires. Ils ne peuvent, à l'heure actuelle, exister qu'entre les mains des maladroits et des ignorants qui ne savent pas
'Joseph Viasemskv (deSaratow), p. 305. 6. Action hypnogènique de la main , par m. le Dr L. Démon- cuy. p. 307. — Discussi
entale, c'était que le besoin disparaissait aussitôt qu'il prenait en main le vase. Quelquefois, surtout au moment de la déf
ugmentation de la tension artérielle et, consécutivement, chaleur aux mains et aux pieds. L'hypnotisme est curatif, en soi, e
rcose éthyl-méthylique.» M. Deuonchy. — « Action hypnogénique de la main ».— Discussion : MM. Bérillon, Raffegeau et Paul
oyens, hypnotiques ou autres, ont échoué. Action hypnogénique de la main par M. le dooteur L. Deuonxhy. Personne d'ent
léger courant d'air sur le front à l'aide de battements répétés de la main . Ce fait banal, que tout le monde a pu voir,
x qui m'aidera de la sorte? Un instrument que nous possédons tous, la main . Si la main peut produire des courants d'air fr
de la sorte? Un instrument que nous possédons tous, la main. Si la main peut produire des courants d'air frais qui réveil
ne pas lui faire créer des atmosphères chaudes qui endorment? Or la main et, plus spécialomcnt la région du creux de la ma
ndorment? Or la main et, plus spécialomcnt la région du creux de la main , est nhondamment pourvue de vaisseaux sanguins. C
e s'y dégager une certaine température. Pour moi, j'ai saisi à pleino main le réservoir d'un des thermomètres de laboratoire
de bain chaud. Comment cela ? Voici mon procédé : Je présente la main légèrement fermée devant la région oculo-fron-tal
ement fermée devant la région oculo-fron-tale, la ligne médiane de la main vis-à-vis de la ligne médiane de la figure, la ma
gne médiane de la main vis-à-vis de la ligne médiane de la figure, la main débordant légèrement sur le front, le coupant de
a figure, la main débordant légèrement sur le front, le coupant de la main descendant sur les narines. J'obtiens ainsi une c
ppesantissement des paupières, de torpeur, de somnolence. De plus, la main obstrue la lumière et établit un crépuscule artif
outefois j'attire votre attention sur un point : je n'applique pas ma main sur le front ni sur les yeux; c'est à distance, à
à distance, à la moindre possible il est vrai, que je présente la main , ce qui différencie nettement mon procédé de tout
tion entrecoupée de légers accès de toux. Je fais l'application de la main hypnogénique, un sommeil léger s'établit. A son r
ndormir comme une chose inutile à tenter. Je fais l'application de la main hypnogénique; après une vingtaine de minutes, l'e
ns nécessaires à son état, et pour l'endormir j'essaie d'appliquer la main hypnogénique. Les yeux du bébé se tournent en hau
journée très occupée. En ce cas, je fais sur moi l'application de la main hypnogénique, et jamais je n'ai eu d'insuccès. Il
ôt dans le sommeil naturel. Il est évident qu'ici, à l'action de la main , s'ajoutent l'auto-suggestion et une attitude de
i des impressions imaginatives que le déclanchement s'opère et que la main intervient. Si elle n'évoquait pas impulsivement
t à fait sains par la coutume traditionnelle de célébrer, le verre en main , chaque événement important de la vie sociale ou
Une sensation de tristesse les accable ; ils ont mal à la tète ; les mains tremblent ; parfois ils éprouvent, disent-ils, un
le cric, vocifère, brise ou déchire tout ce qui est à la portée de sa main ; elle injurie, menace et essaye de frapper tous
en s'endormant) lui avait donné un coup sur la tête. Et clic porte la main à la région qui avait heurté le meuble. Elle ne s
retarde l'application de ce traitement toujours Inoffcnsif entre les mains de médecins compétents. Seance da mardi I? Janv
ut son cortège clinique. De temps en temps, elle porte brusquement la main à sa gorge, comme pour enlever l'objet qui gêne s
t de se coucher. C'est en se cramponnant avec difficulté sur ses deux mains qu'elle prend la position assise ; anesthésie pre
Le concours d'animaux « intelligents ».— Un chirurgien gaucher. — Les mains prédestinées. — L'écriture aveu la langue, p. 353
e concours d'animaux • intelligents ». — Un chirurgien gaucher. — Les mains prédestinées — L'écriture avec u langue-La séance
Psychologie. Il n'y a rien de plus spirituel que la pétition de la main gauche, rédigée par Benjamin Franklin, dans laque
r Benjamin Franklin, dans laquelle II réolame pour les deux sœurs, la main droite et la main gauche, une égalité d'aptitudes
n, dans laquelle II réolame pour les deux sœurs, la main droite et la main gauche, une égalité d'aptitudes et de situation.
asymétriques. C'est pour obéir à cette loi du progrès qu'une des deux mains a dû acquérir une prédominance sur l'autre. Chez
. Chez la grande majorité des hommes, cette prédominance incombe a la main droite. Il en est résulté que le mol de dextérité
agilité. Cependant, chez quelques hommes, la dextérité réside dans la main gauche. Tel était le cas du Dr Simon Thomas, qui,
un chirurgien des plus adroits. Simon Thomas tenait le bistouri de la main gauche et il le maniait avec une véritable maestr
e cette disposition comme un mauvais signe. Les Anglais désignent ces mains sous le nom de helpless hands et considèrent qu'e
n sont affligés peu de chances de succès dans la vie. Ce sont des mains prédestinées au malheur ot à la déveine. Nous avo
vons ou fréquemment l'occasion do constater une corrélation entre ces mains lourdes, molles et humides et un état psychologiq
e que l'on peut désigner sous le nom général d'aboulie. Ceux dont les mains sont molles sont dépourvus do décision, d'énergie
olles sont dépourvus do décision, d'énergie, de volonté. Cet état des mains s'observe fréquemment chez les hystériques, chez
t leur infériorité dans la lutte pour l'existence. Celte mollesse des mains résulte évidemment d'un trouble dans l'activité f
ividus qui, après avoir présenté de l'hyperhldrose très accentuée des mains , étalent revenus à un état normal. A mesure que l
ntuée des mains, étalent revenus à un état normal. A mesure que leurs mains redevenaient sèches, fermes et vigoureuses, on po
hypnotique exerce une Influence très elflcsce sur l'hyperhldrose des mains . On peut en conclure que son action s'exerce d'un
central, ayant une répercussion sur les vaso-moteurs. La croyance aux mains prédestinées repose donc sur quelque fondement. I
se donc sur quelque fondement. Il convient de soumettre ceux dont les mains sont molles a une éducation psychothérapique spéc
es capables de modifier favorablement la nutrition. La langue et la main peuvent-elles dans certains cas se suppléer comme
la main peuvent-elles dans certains cas se suppléer comme le fait la main remplaçant la vue chez l'aveugle? Le D' Rublnstei
ée à la vue de son animal favori si cruellement traité, elle porta la main gauche du même côté de son visage dans un geste d
la main gauche du même côté de son visage dans un geste d'horreur. La main , dans cette altitude, couvrait l'oreille gauche e
sur l'oreille et sur la joue représentait l'emplacement occupé par la main de la mère sur les régions analogues. Les parties
olat, elle devient anxieuse et ramasse tout ce qu'elle trouve sous sa main , oignon, carotte, épluchures, même des saletés, m
sommeil : il s'endormait sur le bord du pétrin, à table la cuiller en main , en faisant ses livraisons en ville, quelquefois
par Bonnet, p. 121. Mal de mer et suggestion, par Osgood, p. 303. Main (Action hypnogénique de la), par Demonchy, p. 3
, p. 303. Main (Action hypnogénique de la), par Demonchy, p. 307. Mains prédestinées (Les), p. 354. Mérite agricole, p. 9
80 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
nstamment dans la liouchc les matières pulvérulentes ramassées par la main mise on contact successif avec les objets les plu
qués qui leur sont particuliers et habituellement se servent des deux mains dans beaucoup de circonstances où l'on eu emploie
'une seule. C'est dire que les onycho-phages sont maladroits de leurs mains et qu'ils ne sauraient en général être des ouvrie
lus grande enfance et que nostre principal gouvernement est entre les mains îles nourrices, d Sans remonter jusqu'à la nourri
s des autres et installés à une table spéciale. Lorsqu'on examina les mains de ces imliscipliuables. on trouva que sur les si
rée comme une habitude des plus nuisibles. Dans certaines écoles, les mains des «'-lèves sont l'olijel de fréquentes inspecti
ecins ont conseillé de porter constamment des gants ou d'attacher les mains pendant la nuit. La pratique ne tarde pas à démon
dans In journée. 8-ule. nue occupation néressilanl l'emploi des deux mains interrompait mentale des enfants vicieux ou dég
ivement employés. Dès que le moyen Je coercí lion cessait, dès que la main .; .uelie était libre, l'entant reprenait son hab
es sont réduits â la plus simple expression ; à certains doigts de la main gauche, il n'en reste pour ainsi dire plus. Ils n
telle qu'il ne peut boutonner ses vêtements sans le secours des deux mains . On ne le voit jamais se ronger les ongles ; il l
les suggestions appropriées. Le 8 février, l'ongle de médius de la main droite et celui du pouce gauche étaient manilcstc
ion. elle se mil îi se frotter les veux du iitalîu au soir, avec ses mains , et lit nailre une congestion îles paupières, si
ux les règles de l'hygiène. Hérodote (344 ans avant J.-C. parlait des mains des dieux : Pline en taisait aussi l'éloge : Andr
nt, la seusihilité existe partout, sauf au niveau du poignet cl de la main droite. Il existe en même temps un rétrécissement
atement verses au profit des pauvres du VI" arrondissement, entre les mains de M. Poiiehet. ¦pi! en fournira le reçu du Burea
francs au profit îles pauvres, à verser, en cas d'insuccès, entre les mains de M. l'ouchet. n'a pas d'autre luit, on le devin
des mèches antiseptiques. Sans rien lui annoncer, je lui prends la main et lui demande de tenir ses veux fixés sur le
e livrer à des expériences d'hypuostisme. qui étaient alors entre les mains seules des charlatans avant de devenir une branch
uter qu'ils en sont la cause pensante, ils obtiennent eu appuyant les mains sur des guéridons, des tables, etc. C'est aussi p
elle me fil ta remarque que c'était bien un esprit qui conduisait sa main et pas elle, puisqu'elle ne savait absolument rie
ux ou trois jours, je la forçai à jouer en pressant fortement sur ses mains qui étaient sur le piano, mais chaque accord semb
clôture du Congrès international de Home. en octobre. La force des mains chez les nouveau-nés On sait qu'un des caractèr
nges de toutes espèces, c'est l'aptitude à se tenir suspendus par les mains , aptitude qui joue un ride important dans leur mo
stence et qui développe leur poigne à ce point qu'on a pu comparer la main des anthropoïdes à un véritable grappin. Cette fa
auf deux, il a constaté que reniant pouvait se tenir suspendu par les mains , soit aux doigts de l'observateur, soit à une bag
des. Dans un cas même, l'observateur vit un enfant lâcher prise de la main droite au bout de 10 secondes et se tenir suspend
de la main droite au bout de 10 secondes et se tenir suspendu par la main gauche encore pendant 5 secondes. Ce sont là de
e un jour pendant la classe d'un accès de tremblement débutant par la main droite et s'étendant à toute la musculature du co
ses injures et lui lance de loin un morceau de bois qu'il lient à la main , le fils riposte en lui lançant le même bâton : l
enu le voir, il descend aussitôt, ne crie plus, serre cordialement la main à sou camarade et lui explique qu'il a voulu fair
u, des deux cotés. Il avait en même temps des fourmillements dans les mains ; il ne pouvait pas écrire. La maladie infectieu
ésenta il l'hôpital en déclarant qu'il ne pouvait plus travailler, sa main gauche étant devenue trop faible et inapte aux ou
té. J'y consentis, au moment où je lui donnai les électrodes dans les mains et ou je fermai le courant, qui était assez fort,
ggère, par exemple, à quelqu'un en hypnose qu'il ne peut pas lever la main et il n'y réussit pas; ensuite je lui suggère de
e. Quand je suggère â un sujet qu'il lui est impossible de lever la main et qu'il réalise cette suggestion, je crois que d
ètres de la malade et je lui ai dit : Madame, je vais vous piquera la main gauche où vous ressentirez une très forte douleur
ion de la douleur: après j'ai dit au sujet : je vais vous piquer à la main gauche et vous sentirez la douleur à la main droi
je vais vous piquer à la main gauche et vous sentirez la douleur à la main droite, aux oreilles, aux pieds, au bout du nez.
ue M. de Rochas. J ai pris un verre plein d'eau je l'ai placé dans la main du sujet. J'ai attendu dix minutes, j'ai piqué le
essentie. Pour continuer mes expériences, je pris le verre dans mes mains je me suis éloigné de 3 ou 4 mètres, j'ai recomme
ion. Aussi peut-on dire que les savants île nos deux Pays marchent la main dans la main. C'est dan- cet c-pril queje voua
ut-on dire que les savants île nos deux Pays marchent la main dans la main . C'est dan- cet c-pril queje voua convie tous,
ur être mis en contact avec l'opérateur. Le sujet serre fortement les mains de l'opérateur, surtout les pouces, que M. de Lcv
s autres parties du visage, ensuite la poitrine, la face palmaire des mains , les bras, le cou, etc.. « Cette sensibilité sp
ui se trouvait là et qui prétendait que j'avais quelque chose dans la main . Bien que n'ayant pas cherché ce résultat, j'eu
ence le plus manifeste que présente le sujet. Tremblement nerveux des mains «le temps en temps. Aucun trouble de la vue. de l
l lui vint une très douloureuse contracture des muscles pliants de la main droite et les doigts perdirent peu â peu toute le
rdirent peu â peu toute leur puissance de s'étendre, tellement que la main se res- serra en forme de boule. Elle ne pouv
la mis facilement dans un profond sommeil, ouvris sans difficulté sa main et lui suggérai la souplesse et la mobilité des d
igts et des muscles. Apre» quelques minutes lorsque je l'éveillai, la main droite était aussi souple et aussi libre de ses m
à cause de douleurs dans le bras, maïs de la précédente raideur de la main il n'y avait plus la moindre trace. Nouvelles e
1893. — J'ai fait asseoir Lucy devant une table, avec un crayon â la main et du papier lout prêt pour écrire. — Puis je lui
er d'écrire avec sa mani le mot qu elle a dans l'esprit.—Je prends sa main dans la mienne, comme afin de la guider pour écri
uggestion â l'état de veille, de telle sorte que son bras droit et sa main droite deviennent complètement insensibles, et qu
e peut plus les remuer. — Sur l'ordre que je lui adresse de remuer sa main , elle se trouve désormais incapable de le faire.
ndant que je contiens son babillage impétueux, et que je garde sa main comme pour la guider, cette main commence à se re
ge impétueux, et que je garde sa main comme pour la guider, cette main commence à se remuer, et elle écrit le mot rat. —
l'écrire sur une bande de papier qui serait ensuite remise entre les mains d'un témoin, de manière à pouvoir certifier que l
solidement l'ullcntion de l,ucv sur le mot. et pour l'arracher de sa main . N° 4. — Après avoir, une bonne fois, complété
, de telle manière que Lucv m'écrive un court billet : si bien que sa main paralysée écrira ce billet sans qu'elle ait elle-
elle ait elle-même conscience de cet actr, et sans que je guide cette main . En même temps qu'elle me parle, sa main écrit
et sans que je guide cette main. En même temps qu'elle me parle, sa main écrit : Vous êtes bon. Comme je lui demandais si
huchotais à son bras: alors elle dit : Lucy ne m'entends pus, mais la main paralysée m entend. — La main va écrire. — Et ell
le dit : Lucy ne m'entends pus, mais la main paralysée m entend. — La main va écrire. — Et elle écrivit Henry Hulst. — Tandi
nuait le récit de son histoire, je repris : Maintenant il faut que la main signe; appelons la main Kalie. Elle signa du nom
stoire, je repris : Maintenant il faut que la main signe; appelons la main Kalie. Elle signa du nom qui était suggéré : Kali
uelque chose ; qu'est-ce ? Sa réponse me fut transmise au moyen de sa main . Vous allez me conduire à la maison. — Et, cette
nces 4 et 5, elle fut absolument hors d'état de comprendre comment sa main avait pu agir indépendamment d'elle-memc, san
aissance, et cela surtout alors qu'elle était incapable de mouvoir sa main par sa propre volonté. — En vérité, elle ne reven
IX pages). GoeTz. (Ed.). — contracture hystéro-traumatique de la main gauche (Réf. méd. de la Suisse romande, S. Bloc
u globe oculaire droit, et quelques jours après, un tremblement de la main du même côté; enfin, un engourdissement général d
l'avait défiée, il se tira de là en déclarant qu'elle s'était fait la main à cet exercice, comme si l'on se fut doulé qu'il
res d'une somnambule, il lui dit : - Madame, je vais vous piquer à la main gauche où vous ressentirez une très forte douleur
r » : dans une autre expérience l'auteur place un verre d'eau dans la main du sujet, il lui dit : « Une partie de votre sens
- que celle de Collette. Si nous lut plaçons la figurine de cire en mains , elle ne sent pas quand nous piquons dans la cire
la villa G... Mme G... était à sa fenêtre ; elle lui (il signe de la main et lui dit : « Montez, nous ferons un tour dans l
vient à son conducteur, l'attire, le place près de soi. lui prend les mains , le tàte. lui touche In tête, s'efforce de saisir
point des individus de bonne foi. indiquent par des mouvements de la main , la pensée intérieure qui les anime. Sans le savo
. Aussi, espérons-nous que nos lecteurs s'efforceront d'avoir sous la main el de consulter souvent cet ouvrage agréable à li
inement des motifs cl une volonté. Un motif tend à me faire porter la main à droite: un autre tend à me faire porter la main
me faire porter la main à droite: un autre tend à me faire porter la main à gauche. L'image du mouvement à droite prédomine
main à gauche. L'image du mouvement à droite prédomine : je porte la main â droite, et ce mouvement est exécuté parce que j
uggestibililé motrice est très développée de sorte que si on pose les mains sur leur dos ou même si on lance brusquement la m
si on pose les mains sur leur dos ou même si on lance brusquement la main en avant de façon que ce mouvement provoque un lé
racle, si ce n'est qu'il guérit quelques malades en leur imposant les mains . Et il s'étonnait de leur incrédulité. » Les hy
anesthésie. à cause d'un souvenir personnel, Chanter le couteau il la main , pour faire rire un opéré, cela vaut In peine d'ê
eux. d'augmenter la résistance des assiégés, d'avoir toujours bien en mains l'armement le meilleur et le plus perfectionné. »
oût d'ail. Au réveil, elle trouve ce goût partout. On lui met dans la main une grenouille fictive. Au réveil ses mains lui p
artout. On lui met dans la main une grenouille fictive. Au réveil ses mains lui paraïs-sent avoir un goût de grenouille, si b
un faux nom. devoir la Sainte-Vierge, d'avoir nue grenouille dans In main , de sentir partout un goût d'ail, de courir après
longe pas mes yeux dans ceux du sujet ; je me contente d'appliquer la main sur son front, et de l'inviter à dormir. S'il ne
oucement : « Je vais vous enlever la douleur. Sentez la chaleur de ma main , à mesure que je frictionne, la douleur diminue,
dis : — Il y a près de vous une personne qui dort, elle porte à la main gauche une bague, je désire lui prendre celte bag
à quelques pas d'elle, une autre somnambule qui porte une bague a la main gauche: elle se dirige vers cette dernière, prend
ui ne jugent qu'avec leur raison et avec des preuves irréfragables en mains , qui ne veulent point croire à leur intuition, re
ait en lui une réceptivité spéciale préparée de plus ou moins longue main . Elle sera préparée par l'hérédité, la dégénéresc
ussion à ce sujet, j'allais à elle et relevant un peu sa téte avec ma main droite, je lui dis en la regardant dans les yeux
Elle va se lever sans sentir la moindre douleur. Je la prends pnr les mains , elle obéit et se lève, sa ligure n'exprimant auc
i dis doucement mais avec autorité en relevant un peu sa tête avec ma main droite : * Vous allez bien fixer mes yeux cl vous
ond sommeil et passo à l'état de parfait automate : j'avais entre les mains un excellent sujet pour l'expérience projetée, c'
lui dis-je, respirez en et dormez. « En même temps j'abaisse avec la main gauche ses paupières. Elle s'endort aussitôt et s
Montons. » En effet Mme G... était en race, et à l'aide de ses deux mains , elle achevait de mettre le désordre danti sa che
vous, » « En même temps je fermai ses paupières avec les doigts de ma main gauche. Puis doucement Je lui répétai plusieurs f
je m'approchai de nouveau de Mme G..., et lui mettant dans une de ses mains les deux bouts des tresses, ornées de rubans, je
nous regardant, puis reportant ses yeux sur ce qu'elle tient dans la main . Tiens, dit-elle en riant, mais je suis donc démê
inte d'insensibilité d'une moitié du corps — nous lui mettons dans la main droite, .inesthétique, un dynamomètre.... la main
lui mettons dans la main droite, .inesthétique, un dynamomètre.... la main donne en moyenne le chiffre12. Si on fait contemp
édé — certainement curieux mais qui demanderait à être dirigé par une main délicate et une âme froide — c'est la généralisat
s chairs. Quand le jour parut, le malade tenait les sangsues dans ses mains . Il était guéri. L'autre observation n'est pas
ants et dont M. Charcot a esquissé la silhouette avec celte sûreté de main et cette humeur pittoresque qui le caractérisaien
fiée à un médecin assisté de plusieurs confrères et qui aura la haute main sur toul le personnel. Il sera assisté de profess
54 Faux témoignages des aliénés devant la justice, 249. Force des mains chez les nouveaux-nés, 95. Force de volonté, 22
81 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
;vérité, n’importe |.ar quelle bouche ; le bien n’importe par quelle! main *. TOME VI PARIS BUREAUX :.RUE D'ANTIN , 12.
tion. Abt. 8. Lo montant des actions sera payé en espèces, dans les mains dn gérant, au moment de la délivrance. _ A»t. 9
Société, obliger le gérant à faire le dépôt de ces actions entre les mains d'un tiers convenu entre eux. Aht. 16. M. le ba
oir surtout refusé plusieurs partis. — Mademoiselle, je vous offre ma main et serai heureux de contribuer à votre guérison.
lla droit à M. Alexandre Dumas, s’inclina devant lui et lui baisa les mains . Le maître reçut ces marques de déférence avec la
a fatiguée, dit le magnétiseur; je vais la réveiller. En un tour de mains l’opération fut faite. Dégagée du fluide qui ench
père par le seul charme de la puissance de passe-passe faits avec les mains ou à l’aide du regard seul. Lorsqu’il a endormi a
endormi par le moyen des passes que sa femme opérait sur lui avec ses mains , ou seulement en le fixant d’une manière particul
tres quelque temps sans parler. Cependant le comte Brahé, étendant la main vers le cordon d’une sonnette, se disposait à son
st l’enfer que vous voulez que je défie. » Le roi arracha la clef des mains du concierge. —«Je vois bien, dit-il d’un ton de
te, un enfant, debout et la couronne en t ite, tenait un sceptre à la main ; à sa gauche, un homme âgé, ou plutôt un autre fa
emplir les fondions de président, se leva, et frappa trois fois de la main sur un in-folio ouvert devant lui. Aussitôt il se
lence. Quelques jeunes gens de bonne mine, habillés richement, et les mains liées derrière le dos, entrèrent dans la salle pa
taucorps de cuir brun, tenait le bout des cordes qui leur liaient les mains . Celui qui marchait le premier, et qui semblait ê
t l’Angleterre, m’avait écrite, il y a huit ans. Je la plaçai dans la main de la somnambule, en lui demandant où était cette
les épaules; elle indiqua aussi des pièces d’argent enfermées dans la main . » Léonarde Valerie, femme Rougerie. — J’ai vu
s. » M. Lassimone, professeur de dessin.— Jémis une lettre dans les mains de la somnambule; elle me dit qu’elle était de mo
ir secrètement fait marcher l’aiguille de ma montre, je lui plaçai la main sur la boîte et lui demandai l’heure; elle répond
e cette vérité dans le parlement, et je tremble qu’on ne lui coupe la main ; en attendant je vous serre magnétiquement la vô
trir tranquillement la vérité, je les frapperai en plein visage de ma main de pygmée, c’est tout ce que je puis faire; mais
veau. 0 Mesmer! toi qui aimais la République, toi qui en traças de ta main , peut-être les premières bases, car tu jugeais da
cices ; voltiger, nager; C° Lancer des pierres au but avec les deux mains alternativement ; "i0 Jetter des grosses pierre
er à deux hommes de l’éllier nitrique, n’en ayant pas d’autre sous la main . Mais cela ne produisit d’autre effet qu’une ivre
autres drogues, mais par des attouchements, passes ou impositions de mains , frictions sèches, insufflations, simples regards
lques pauvres malades dans une modeste cellule, pour y recevoir de la main bienfaisante d’un respectable vieillard quelque s
sabbat, les sorciers devaient se mettre de cet onguent à la paume des mains et à la plante des pieds où s’épanouissent les ne
cun, ne deviendrait-elle pas une arme à deux tranchants qui, dans les mains des ennemis du magnétisme, pourrait jusqu'à un ce
forces, l’on puisse détruire, par quoi que ce soit, l’ouvrage «le ses mains et de sa pensée. Le fer tranchant peut séparer le
de l’effet, et disait sentir dans la poitrine, sous l’influence de ma main , comme si denombreusesgoultes d’eau tombaient de
Il sentait tous les organes qui se trouvaient successivement sous ma main , dans une agitation extraordinaire. Le massage qu
l5ou 30 minutes, produisait toujours un bien-être indicible. Sous ma main toutes les douleurs de poitrine disparaissaient e
fois de sa viede ressentir sur le membre atrophié l’impression que sa main y avait produite en tombant, et qu’un travail ext
ent que la sensibilité était rendue à toute cette jambe en portant sa main partout. Il sentait une force nouvelle la parcour
ennes, sans sommeil, il remarqua que toutes les fois que je posais la main sur la région du foie, il ressentait une douleur
séances, par des magnétisations locales, et le massage, en posant la main sur l’endroit malade ; 2 migraines ; 1 spasme
nerveux les plus curieux, et pour développer une force telle, que sa main faisait à ma volonté l’office d’un étau d’acier.
. Les contractions musculaires se produisaient toutes les fois que ma main se dirigeait sur lVpigastre, et deux ou trois pas
éveilla en sursaut, poussant des gémissements, et en portant ses deux mains sur le ventre il assura y éprouver les plus vives
s habituelles. Un jour pour me montrer sa force il saisit d’une seule main et par sa poignée un seau à charbon de terre qui
générales, j'actionne ces organes, et bientôt s’y développent sous ma main de vives douleurs, ainsi que du côté de la rate;
fes par jour, et en même temps j’actionne la tête en y appliquant mes mains pendant un quart d’heure. Chaque séance dure une
, lorsque les sciences commencèrent à s’étendre, par tomber entre les mains des médecins, astrologues, magiciens, sorciers, n
ps. Ces remèdes consistent en prières et attouchements. Ils posent la main sur la tête, font des insufflations mystérieuses
J’en ai vu quelques-uns portant, à un cordon pendu au cou, une petite main en argent dont trois doigts seulement sont ouvert
le. Les dalles, les pavés semblaient se soulever d’eux-mèmes, car les mains qui les touchaient paraissaient impuissantes et d
s les verrez » bientôt, saluant l’èred'un nouveau régime, tendre la » main et demander encore des places. » C’est donc au pe
u ciel... » Et par un effet suprême de volonté, étendant vers lui les mains , et l’enveloppant tout entier de son regard, elle
bientôt une autre, qu'il ne fit aucune difficulté de prendre dans sa main . Je dus reconnaître qu’il avait réellement le pou
ité et la vie extérieure, et livrent votre corps sans résistance à la main de l’opérateur. Qui sait encore si, sous l’influe
is qu avec les minces. Mais nouâ n’avonè pa* assez d’éléments sous la main pour répéter cet essai jusqu’à nous assurer indub
e des trois jours; comme de la royauté, le sceptre est tombé de leurs mains . L’Institut n’est plus qu’un sépulcre blanchi;
. 14. Ou se révolte contre ces ordonnances, et le pouvoir tombe aux mains des insurgés. 15. Le i(imliat dure trois jours,
yeux, sur nos fronts, dans nos traits, dans les délinéaments de notre main , dans la forme de notre pied, dans notre geste, d
d’entrevoir en perspective un trône relevé sur les débris et par les mains d’une république. Ce pressentiment, qui précède l
blierons successivement tous les documents qui nous tomberont sous la main , car rien ne doit être perdu de cette lutte où la
graissé partiellement; et si l’expérimentateur a également froid aux mains , il prendra le chat sur ses genoux, lui passera l
ains, il prendra le chat sur ses genoux, lui passera les doigts de la main gauche sur la poitrine, et passera la main droite
i passera les doigts de la main gauche sur la poitrine, et passera la main droite, depuis le cou jusqu’à la queue, le long d
du chat, traverser le corps de l’expérimentateur et se terminer à la main placée sur le dos du chat. » Quoique le chat ép
e fer; la terre était gelée. Je lui fis des passes sur le dos avec la main droite pendant que je tenais ma main gauche sur s
is des passes sur le dos avec la main droite pendant que je tenais ma main gauche sur sa poitrine; après quelques passes j’o
agnétisation, au point que je puis sans difficulté la prendre avec la main . Jugez de ma satisfaction à la vue de ce succès;
cession. Il en résultera l’encouragement de l’agriculture entre les mains des personnes qui auront les moyens de la perfect
Au moment où, voulant agir sur l’estomac de l’enfant, je plaçai ma main sur son épigastre, la mère éprouva la sensation «
on se fera sentir chez les gens, parce que la couronne sera posée par mains d’ouvriers qui ont guerroyé dans la grande Ville.
es dernières,aux choses les plus épouvantables : le tout est peint de main de maître (1). Dans l’exposition du théosophisme,
titution, atteint depuis quinze ans d’une agitation continuelle de la main droite, se soumit à un essai, dans une de nos séa
de la main droite, se soumit à un essai, dans une de nos séances. Sa main , tenue cinq ou six minutes dans la mienne, avait
ain, quoique avec moins d'intensité. Ma canne la fit cesser, comme ma main l’avait fait la veille, et, pendant quelques jour
ment des maux de tète, que, depuis lors, il s’enlève lui-même avec la main ; et sa vue est parfaitement revenue, tandis que l
ussi bien que dans ses échos européens et américains. J’eus entre les mains , par exemple, le CharlesElwoodde M. Brownson, je
glace, ainsi qu’il ne doit arriver qu’après une longue pression de la main d’Azrael. En vérité, est-ce que le somnambule,-pe
l, il va sc roidir en arrière. Au petit doigt, comme à la paume de la main , 011 n’agit que sur les fléchisseurs des doigts,
ume de la main, 011 n’agit que sur les fléchisseurs des doigts, et la main se ferme, tandis qu’au pouce, on détermine un rel
et la paralysie est quelquefois générale. (Votre canne engourdira la main , et rendra rigide le bras : souvent môme le corps
t été mieux appréciée, le remède à tant de maux se fût trouvé dans la main de chacun ; et c’est sans doute pourquoi les sorc
dans les bras de sa mère ou de sa bonne. Il se servait très-mal de la main gauche, dont les doigts étaient souvent crispés e
ours paresseux ; les mouvements du bras étaient lents et saccadés. La main droite ne lui était guère d’aucun usage : les doi
manière fort incomplète et désordonnée; loin d’obéir à la volonté, la main s’éloignait au premier effort : l’extension du br
aient, et les doigts se crispaient plus fortement encore que ceux des mains . Il suait presque toujours et il salivait abondam
nts étaient moins désordonnés, l’enfant faisait meilleur usage de ses mains , et il se tenait assis, sans appui, heureux de ce
le père et la mère à lui donner les leurs, puisqu’ils ont dans leurs mains ce que j’ai dans les miennes. — M"1' Van N....
, et l’inflammation y était considérable. Je présentai la paume de ma main à quelque distance, et l'enfant ne tarda pas à en
demi et la bouche de côté. En moins d’une heure la présentation de ma main fit cesser la douleur, qui ne revint plus, mais l
le que les moyens ordinaires avaient été employés. L’imposition de ma main , durant environ trois quarts d’heure, amortit la
re succès, aux tâtonnements ordinaires de la médecine. J’approchai ma main , et en moins d’un quart d’heure il y eut engourdi
s études. Quelle admirable médecine que celle qui se trouve dans la main de chacun !... Agréez mes salutations bien affe
uement, nos opinions, et que parmi les hommes qui ont la puissance en main , il n’y a que ceux d’une haute supériorité qui ai
ne mettons en 1830 que 2 contre 1. 3° « La couronne sera posée par mains d’ouvriers qui ont guerroyé dans la grande ville.
pas même le cinquième du chiffre qui représente la probabilité qu’une main divine a soulevé le voile de l’avenir en faveur d
souffler deux ou trois fois avec force dans ses naseaux en tenant mes mains sur ses yeux, aussitôt il devenait, comme par mir
yait le mobile scientifique; tandis que le magnétisme tombe entre les mains de ces beaux-esprits dont chacun renverse le syst
mercantiles, tous les genres de découvertes que la nature met en nos mains . « J’estime que le magnétisme est un de ces bea
ès-aiguës qui devenaient intolérables chaque fois que je dirigeais ma main vers cette région. Je m’attachai à provoquer une
ui ne, serait point comprise. La plume d’ailleurs tremblait entre nos mains et nous craignions qu’elle gravât nos tristes pen
érité, n'importe f.r.r quelle liomlic ; le bien n'importe par quelles mains . TOME VII PARIS BUREAUX . RUE ÏEUVE-DES-PET
éance amenant une amélioration qui naissait, pour ainsi dire, sous ma main . 2° Maladie nervoso-menfale. Le 13 juin 1848,
e m’approchai religieusement de Suire, sur la tête duquel je posai la main avec la foi intime que je devais arrêter ce chant
la vie, vous venez de prendre le sort ou la maladie, comme avec la main , et m’en avez debarrassé. Ah ! mon Dieu, je respi
manter le fer au moyen de l’attouchement, même en le tenant entre les mains pendant un espace de temps assez considérable.
re la carrière ; qu’il est bon qu’elle aille et qu’elle voie l’écu en main , l’œil ouvert. Le jury est dans nos mœurs, et la
os sens, sauvera le malade d’une mort qui serait inévitable entre vos mains . J'ajoute à la condition de pondérabilité celle d
ieu de rappeler ces mots de Laubardemont : Donnez-moi une ligne de la main d’un homme, etje le ferai pendre? Assurément il f
s mes yeux dardent tous leurs rayons, Dans l'air, autour de moi, sa main passe et repasse. Sous cette impression mon fro
ant une borne. Cette intéressante somnambule saisissait donc dans ses mains ce qu’il y a de plus insaisissable, et soulevait
jamais mieux à guérir ou calmer une céphalalgie, qu’en appliquant la main gauche du sujet sur la partie de sa tète correspo
cadémie de médecine persiste à nier l’évidence et à laisser entre les mains de tous une puissance de bien et de mal. Je ne
s il doit être considéré comme un auxiliaire précieux, qui, entre les mains d’un homme sage et confiant dans sa puissance, pe
e que l’essai pratique qu’il en aura fait n’aura pas réussi entre ses mains . Vous voulez un médecin, choisissez celui qui g
es veux du simple d’esprit ; examine les faits qui sont sortis de mes mains et les compare à ce que fait la science qui préte
yaient par mes yeux, entendaient par mes oreilles, touchaient par mes mains , etc.; que comme magnétiseurs ils pouvaient savoi
usse el vous sollicite au meurtre, puis c'est sur vous-même que votre main dirige le fer assassin, car la terrible voix cont
n matelas, et dont l’étonnement semble mêlé d’effroi ; elle porte les mains à la ceinture du mahométan, décroche le lourd cha
, en cas de réussite. Eli bien! la somnambule, après avoir promené sa main au-dessus des boites, à 15 centimètres de distanc
usion (les sensations. » Le magnétiseur proposa que l’on prit parla main sa somnambule; qu’on lui commandât de marcher, et
du corps mal taillé, le corps en partie >i en forme de bouc ; les mains et les pieds comme ceux » d’une créature humaine,
iverses observations pleines de justesse sur l’objet que je tenais en main ; enfin il s’établit entre nous une conversation
il voyait par mes yeux, entendait par mes oreilles, touchait par mes mains , etc., etc., si bien que je le considérais comme
partager les idées socialistes ; le tout pour montrer qu'en de telles mains le magnétisme n’est qn’un instrument de spoliatio
ou m’ondoyer le corps avec de l’eau fraîche, à passer le creux de la main en l’appuyant fortement depuis le sommet du crâne
t, des douleurs intenses disparaître comme si on les enlevait avec la main ? Ces cures admirables ne sont-elles que d’heureu
tique qui devra correspondre, en traversant le cerveau, à votre autre main , dont les doigts seront dirigés à trois pouces au
r discuter les mérites du mesmérisme, « un Monsieur déposera dans les mains du pré-« sident une enveloppe cachetée, contenant
aveçon, pardessus lequel il plaça son bridon. Alors, tenant de chaque main ces moyens de répression, il commença à parler do
les regards les plus doux; puis, passant la longe du caveçon dans la main gauche, qui tenait les rênes du bridon, il flatta
flatta le cheval en le caressant sur le front et sur les yeux avec la main droite. Il fallut peu de temps pour que ce cheval
sur le fer avec le marteau de l’étrille, et ensuite à lui promener la main avec douceur sur toutes les parties du corps. *
ité, p. 172), lisait avec le coude, la nuque et l’un des doigts de la main gauche. * § II. Il y a des somnambules qui.sc
ra au col, aux articulations des bras et des jambes, aux pieds et aux mains . Des frissons vinrent compliquer cet état; le pou
ent infailliblement de celle qui ne l’est pas; 3° cette eau attire la main . « Maintenant, continue M. Parsons, je vais vou
ever la séance le président dit qu’il a ouvert le pli déposé dans ses mains par M. Burrows, et trouvé qu’il contenait cinq ba
s dormir? — Un quart d’heure. « Au bout de dix minutes, montre en main , je lui demandai i — Combien de temps avez-vou
e femme instruite, elle se mit de suite en prières, les yeux au ciel, mains jointes, exprimant une douceur de traits angéliqu
toute l’Allemagne, il y a une vingtaine d’années, s’était échappé des mains de ses exploitateurs, et venait implorer mon se
82 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
189à ? .. 6 THÉRAPEUTIQUE. résistance et en ne transmettant à la main que de faibles sen- sations. Pourtant l'existen
te un homme versé dans l'hypno- logié pratique et habitué de longue main à manier la sugges- tion obtiendra peut-être de
par exemple, est d'autant plus héroïque qu'elle est maniée par des mains plus expertes ? Ce qui n'empêche pas que tout m
t le remettre à son professeur; il fallait qu'on lui « arrachât des mains » sa copie qu'il ne pouvait se décider à donner
'à l'âge de six ans elle n'a pu que se trainer sur les pieds et les mains , elle avançait à quatre pattes. Jamais elle n'a
tate l'extension permanente du pied et des orteils, l'extension des mains , puis du tronc : tout le corps se met en extens
s bouffées de chaleur, la sensa- tion de boule à la gorge, puis les mains devenaient absolument insensibles, ensuite les
aryngien croupal, avec anesthésie pha- ryngienne, douleurs dans les mains puis céphaliquesou abdominales, et finalement c
suite le tronc avec circonspection en s'appuyant solidement sur les mains , afin d'éviter toule flexion du tronc. Aucune alt
intéressant surtout la mémoire. Les radiales sont un peu dures, les mains tremblent légèrement. Pas de syphilis, pas d'al
rbes. Le siège des tatouages est de préférence à l'avant-bras, à la main , au bras, aux doigts. On les rencontre moins so
spect des symptômes ont trompé quatre médecins différents entre les mains desquels il est successivement passé. Observati
réagissent que faiblement à la lumière et à l'accommodation. Les mains sont gourdes et tremblottantes, l'écriture malais
SAVANTES. -l4L driceps, comme on peut s'en convaincre en plaçant la main sur ce muscle; la tonicité du quadriceps est au
rminent les contractions des muscles fléchisseurs des doigts et des mains , facilite la production du réflexe patellaire.
à se vêtir seules; plusieurs qui, en arrivant, mangeaient avec leur mains , ont appris à se servir de la fourchette et de la
invite le malade de s'asseoir dans son lit, sans s'appuyer sur ses mains et sans que les jambes bougent ; 10° le même mo
itement. 1° Rester debout immobile, les pieds un peu écartés, les mains appliquées sur la couture du pantalon. Rester dan
aux sans les déplacer; , '10 Se lever d'une chaise sans s'aider des mains . S'asseoir lentement sans se laisser tomber; '1
par exemple chez les employés des postes, qui en soupesant sur la main les lettres peuvent distinguer des différences de
roptose à z<7 gauche et un certain degré d'incoordina- tion à la main gauche. Observation IX : incoordination à la ma
dina- tion à la main gauche. Observation IX : incoordination à la main gauche. Notre Observation II est le plus bel exem
r Magnan. Elles concernent, l'une, un oedème angio-neurotique de la main ; l'autre, des crises de frissons et d'horripila
ralisée. Parésie flasque des muscles fléchisseurs et extenseurs des mains , qui ne peuvent ni l'une ni l'autre dépla- cer
plus, contracture passagère par intervalles, des fléchisseurs de la main gauche. Un tremblement généralisé à petites osc
e aussi des deux côtés. Autres points hystérogènes sur le dos de la main gauche et au niveau de la pointe du coeur. Anes
rfois absolument trempée. 188 RECUEIL DE FAITS. Description de la main malade. - On est, dès le premier abord, frappé
est, dès le premier abord, frappé par l'oedème très prononcé de la main gauche, que la malade nous montre en la souleva
a main gauche, que la malade nous montre en la soulevant de l'autre main , restée seule potente. La main est en continuat
us montre en la soulevant de l'autre main, restée seule potente. La main est en continuation recliligne avec l'avant-bras,
de l'articulation du poignet est possible, mais très douloureux. La main est prise en entier, de 5 centimètres au-des- s
enser à un rhumatisme articulaire. L'immobi- lité, la raideur de la main tout entière donneraient plutôt l'impres- sion
mme autant de brides entre lesquelles la peau bombe fortement. La main est le siège d'une douleur vague, qui n'est plutô
up plus vivement ressenti du côté droit. Quelques jours après, la main ne désenflant pas, nous l'exami- nons après une
EURS D'ORIGINE HYSTÉRIQUE. 189 environ, une cyanose accentuée de la main et de l'avant-bras. La coloration générale est
t ainsi des marhrures de nuances diverses. La circonférence de la main a augmenté encore d'un centimètre. Sensation de f
e lourdeur. Aucun changement d'altitude. Enfin l'élé- 'vation de la main , maintenue un certain temps, produit sur l'avant-
uleur rosée n'est pas la seule que puisse revêtir sponta- nément la main oedématiée. Ayant en effet un matin, demandé à
un matin, demandé à la malade, au cours du sommeil provoqué, si la main n'avait pas été d'un bleu plus net, nous ne som
paraître cet oedème en l'espace de très peu de temps, toujours à la main gauche. Enflée comme à l'ordi- naire, elle prés
l'oedème disparaît, un peu plus lard, presque complètement. Mais la main , même désenflée, présente un aspect spécial : ell
dans le'cas d'oedème bleu, des élancements, particulièrement aux mains , et semblant provenir du pli du coude ( ? ). C'es
on de douze jours. 27 avril. Une attaque, à la suite de laquelle la main commence à enfler. Le massage, régulièrement pr
u soir, est bien accentué. Un ruban métrique, faisant le tour de la main , et placé transversalement, au niveau du pli d'
entimètres. Coloration normale, légèrement rosée. Température de la main gauche, 24°,2 ; de la main droite, 29°,2. - De
e, légèrement rosée. Température de la main gauche, 24°,2 ; de la main droite, 29°,2. - De chaque côté, au niveau de la
qu'on s'occupe d'elle, tout cesse comme par enchantement. 28. La main est toujours oedématiée, et présente les mêmes
toutes saignantes. La malade se serait, la veille, fait frotter la main ave; une telle vigueur que « la peau en aurait
en aurait craqué ». Les mouvements bien restreints cependant de la main ont déterminé la forme de ces petites plaies. T
ment. - T. G. 19°, G ; T. D., 260,4. 30. A 10 heures du matin, la main est totalement désentlée, et la malade commence
T. G. 27°,8; T. D., 28°,7. 1er mai. Une attaque, après laquelle la main gauche est très peu enflée, sauf l'empalement c
aut, qui persiste toujours. Mais il y a eu transfert, et c'est à la main droite d'être maintenant tuméfiée, rosée, vague
u bout des doigts. Sensation de froid telle que la malade expose sa main au soleil durant toute la journée. T. G. 24° ;
n des règles. 4. Le matin, la malade refuse de se laisser masser la main , crie, trépigne. Quelques heures après, la main
e laisser masser la main, crie, trépigne. Quelques heures après, la main droite, complè- tement désenflée, présente sa t
ins facilement les dents de ce côté. T. G. 23 ? ; T. D., 26°,8. Les mains sont moites; la gauche est très particulièremen
la photographierait aujourd'hui, se trouve subitement enfler de la main gauche (oedème blanc rosé), et de la face. 9.
de la face. 9. 2 attaques convulsives de suite, après lesquelles la main gauche est presque désentlée. D = 20 1/2. T. G.
de combien de temps de l'oedème cyanotique typique tou- jours à la main gauche, et se prolongeant sur une partie de la fa
e ces oedèmes blancs, en îlots, se sont accompagnés. comme ceux des mains , de paralysie des muscles sous-jacents (diffi-
maximum d'amplitude de la pulsation avec une pression de 8, sur la main enflée il faut une pression de 17 dans le premi
doit amener un notable refroidissement local, le rayonnement de la main étant consi- dérable par rapport à sa masse, et
la face dorsale, nous - ont donné les résultats suivants : quand la main gauche est désenflée, elle peut présenter, comp
gauche est désenflée, elle peut présenter, comparativement avec la main droite, une différence de 1 à 2° en plus ou en
rature extérieure est plus basse. Lors de la crise d'oedème à la main droite, il y a eu d'abord abaissemeut deJ ? par r
dans ces accès^ fort dangereux, brise tout ce qui lui tombe sous la main . Entré à la Salpêtrière en 1889-1890, puis à l'
se dressant sous l'action de l'aimant (Barthélemy). La paume des mains , la face plantaire des pieds où manquent les glan
ise d'urticaire qui peut durer huit jours. Hyperhydrose. Les deux mains sont, par endroits, rouge violacé, et cette tei
e malade ressentirait à certains moments une sensation de froid aux mains , et c'est alors qu'il y aurait transpi- ration.
repris avec énergie et qui porte avec dignité le drapeau enlevé aux mains des maîtres de la Faculté alsacienne. Ces maitr
réception .SOCIÉTÉS SAVANTES. 207 dont le programme est entre vos mains , et à les rapporteurs qui ont rédigé les remarq
yanose débute insensiblement : la malade s'aperçoit un jour que ses mains et ses pieds sont plus violacés qu'aupa- ravant
moments de la journée ; la cyanose existe sur toute l'étendue des mains ; vers le poignet elle diminue insensiblement; ell
tte coloration vio- lacée est surtout marquée à la face dorsale des mains et des pieds, leur face palmaire et plantaire e
a calorification locale et de la sudation : le dos des pieds et des mains est glacé et sec, tandis que leur face plantair
de la névrose. Elle était bien réglée. La coloration cyanotique des mains nous frappa aussitôt; elle était identique à ce
atteinte de cette infirmité depuis un an environ; elle dit que ses mains et ses pieds avaient insensiblement changé de c
hygiénique. Les symptômes névrosiques s'amendèrent rapidement; les mains et les pieds récupérèrent insensiblement leur c
par suggestion : exemple, une fillette avait un tremblement de la main droite ; elle ne pouvait marcher par suite d'une
s (faire semblant de lire un journal, se couvrir le visage avec les mains , se moucher bruyamment, s'essuyer la figure, se
droit ont pour effet de faire parcourir, à plusieurs reprises, à la main du même côté, toute l'étendue du membre supérie
r là, mais fréquemment aussi le bras se contracte et s'étend, et la main est, comme du côté opposé, brusquement projetée e
ac- ;. téristique en appliquant le plus fortement qu'il le peut, sa main contre les plis de son vêtement, en tâchant d'e
is de son vêtement, en tâchant d'entrelacer ses doigts à ceux de la main du côté opposé, l'avant-bras continue à parcou-
tionnellement au nombre des malades ? Donne-t-il aussi des essuie- mains individuels et dans quelle mesure ? Jusqu'à quel
vement pénible localisé au petit doigt et à la partie interne de la main . Toutes les dix minutes à peu près, sans motif, c
d'anesthésie tactile occupant la peau de la portion interne de la main et de celle d'une partie de la longueur des doigt
oire comprenait les deux doigts internes, la par- tie interne de la main et deux bandes antibrachiale et brachiale, l'un
uleurs sourdes dans l'épaule gauche, avec fourmille- ments dans les mains , survenant à l'époque des règles. Plus tard un
membre supérieur également du côté gauche. Puis con- tracture de Ja main gauche qui disparait alors que le tremblement s
upérieurs. La sensibilité au lou- cher et à la douleur diminuée aux mains et aux avant-bras. Dou-- z leur vague continuel
-- z leur vague continuelle à la nuque et fourmillements aux deux mains . Inégalité fréquente des pupilles qui sont assez
des douleurs dans les bras et elle n'ouvrait plus facile- ment les mains . A l'examen actuel, à la clinique : mains à demi
ait plus facile- ment les mains. A l'examen actuel, à la clinique : mains à demi fléchies sur les avant-bras, doigts à de
mi fléchis, le pouce en adduc- tion. Les mouvements d'extension des mains et des doigts impos- sibles. Les avant-bras peu
et physiologique des aliénés est aujourd'hui bien connu et dans les mains de tous les aliénistes. C'est une oeuvre désorm
on travail fut subitement prise de fourmillements dans le creux des mains et à la plante des pieds. Ces fourmillements ont
alade ne pou- vait pas se tenir sur ses jambes, ni se servir de ses mains . On était forcé de la nourrir. Peu à peu les tr
Il y a un peu d'incoordination des mouvements dans les doigts de la main gauche visible surtout quand la malade se bouto
tronc et s'arrête à la hauteur de la troisième côte. Aux bras, aux mains , au cou et à la figure, le tact est normal et t
r est aboli la sensibilité à la piqûre est affaiblie. Aux bras, aux mains , à la figure, au cou la piqûre est vivement et
nt du mois de juin 1895, la malade pouvait en s'appuyant avec une main le long des lits et soutenue par une personne de
es bras. Fourmillements et engourdisse- ment dans les doigts et les mains . Etal actuel (le b mai 1895). Le malade est bie
i fait toucher. Engourdissement et fourmillements aux doigts et aux mains . La sensibilité profonde est normale. Il n'y a
malade ne peut pas s'as- seoir dans son lit sans s'appuyer sur ses mains . S'il essaie de le faire, ses jambes se lèvent
S DORSALIS. 353 moindre émotion lui occasionnait un tremblement des mains . Il est marié. Sa femme n'a jamais fait de faus
de l'odorat, des dents, de la langue. ' Extrémités supérieures. Les mains sont agitées d'un tremble- ment aussitôt qu'il
de (articulaire) est troublée aux articulations des doigts des deux mains , mais surtout à la main gauche. Le ma- lade n'a
blée aux articulations des doigts des deux mains, mais surtout à la main gauche. Le ma- lade n'a aucune notion des mouve
cun trouble d'incoordination motrice dans tous les mouve- ments des mains et des bras. L'écriture du malade n'est pas cha
st normal sur le dos du pied gauche, sur une plaque grande comme la main au mollet et sur la surface antérieure de la cu
enversé. Pour se lever de son siège le malade se cramponne avec les mains sur les bords du fauteuil, ses genoux vacillent
dans les pieds, les jambes et dans les trois derniers doigts de la main gauche. En 1891, à la suite de quatre séances d
nde arti- culaire et musculaire est normale dans le bras et dans la main droite. Main gauche. - Le malade ayant les ye
re et musculaire est normale dans le bras et dans la main droite. Main gauche. - Le malade ayant les yeux fermés ne sent
ux fermés ne sent pas les positions qu'on donne aux doigts de cette main dans toutes les articulations des doigts, ni le
es articulations des doigts, ni les mouvements qu'on imprime à la main sur l'avant-bras. Les moindres mouvements dans l'
Il y a un certain degré d'incoordination dans les mouvements de la main gauche. De temps en temps la malade a des doule
ade a des douleurs fulgurantes daus les trois derniers doigts de la main gauche. Extrémités inférieures. Sensibilité.
tête basse, si le malade essaie de s'asseoir sans s'appuyer de ses mains les jambes se sou- lèvent, surtout la gauche.
rtes et vigoureuses. Mais, la commission n'a pas retrouvé sur leurs mains les lésions que l'accusation signalait comme des
sion de l'ai- guille de son appareil biométrique, en présence de la main , déce- laient les mouvements invisibles à notre
nnelle respective de chacun de ces mouvements. La plaqne dans ses mains est devenue le loyal témoin intermé- 1 Tout sem
sous une douce.pression de la volonté, cette image s'évacue par la main et vient se graphier sur la plaque. Pour aide
le vent électrique, peut être employée intermédiaire- ment entre la main (le corps se trouvant dans un bain d'électricité
riore sous cette forme qui se graphie sur la plaque à laquelle la main l'abandonne. Les conclusions de ce que nous venon
e suivant qu'elle l'est par l'électricité ou par les effluves de la main . Ces effluves présentent une forme en rapport ave
joindre le malheureux Hugues, qui, as>is et tremblant, sentit la main de Dieu s'appesantir sur lui. Il tomba sans con
t. Je fis venir la communauté qui se mit en prière : tout à coup sa main droite s'ouvrit et il fit trois signes de croix
« cellule pour me percer; mais avec la croix que je tenais à la « main , je les ai dispersés. » D'abondantes larmes coula
rma les yeux et sembla perdre connaissance ; cependant il tenaitles mains jointes et élevées vers le ciel. Nous nous mimes
le Seigneur qui l'a frappé et guéri, le Seigneur dont il a senti la main , et auquel soit honneur, gloire et puissance dans
aint- VARIA. 411 Sylvain-en-Caux, nommée Thomasse George, dont la main ne pou- vait s'ouvrir, Comme elle faisait dire
être faisant « la dernière élévation du corps de Notre-Seigneur, la main luifut a ouverte aussi facilement que si jamais
omènes se combinent, le personnage apparaît tenant, par exemple, en mains des tables où se lit une inscription. Ici encor
mètres de lon- gueur. On l'attache, par une de ses extrémités, à la main gauche du sujet, on lui fait longer le lit et s
ale de la sensi- bilité, avec cyanose et sensibilité au froid de la main gauche, hémidrose, hygroma trophique de la bour
est précieuse dans les salles d'autopsie, pour enlever l'odeur des mains . Son prix est de 3 fr. 75 le kilo- gramme. M.
Vandena- beele porte neuf blessures, quatre à la nuque et cinq aux mains . Elles sont graves. Debrll, qui a déjà été enfe
83 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
lèles (Fig. 1), à marcher, soit en les tenant sous les bras ou à la main , soit au charriot. On essaie de les rendre prop
sur les sièges d'aisances et de leur apprendre à se servir de leurs mains pour manger. Nous avons essayé de guérir la bav
omme citoyen, comme ministre d'un gouvernement qui doit tendre la main aux pauvres, aux humbles, à ceux qui souffrent, à
u reste très rarement, il se frottait rapidement le visage avec les mains . En revenant à lui, il ne savait rien de ce qui
ient non plus de re- muer. Voulait-il prendre quelque objet avec la main , c'était toujours par un mouvement circulaire q
accadée ; aussi la malade reste-t-elle ordi- nairement assise ; les mains saisissent les objets avec diffi- culté. Si on
e fois on le vit, pendant qu'il surveillait ses ouvriers, porter la main à la tête et prendre ensuite subite- ment sa co
déses- pérés qu'il fit pour se dégager. Il était encore entre leurs mains quand il revint à lui, mais il ne se souvenait
uvenait de rien de ce qui s'était passé après qu'il avait porté les mains à sa tête; ce geste avait été provoqué, suivant
émotions. Deux frères : l'un est bien portant; l'autre tremble des mains (cinquante ans)', pas d'excès de boisson; tous de
vertige. - Le malade, occupé ou non, s'arrête tout à coup, porte la main droite à la joue du même côté qui présente quel
te la joue droite et quelquefois les deux côtés de la face avec les mains ; en même temps, il fait entendre une espèce de
oir trouble pendant l'accès), mais parfois il s'accroche avec les mains aux objets qu'il rencontre, et, en ce cas, s'il n
jets qu'il rencontre, et, en ce cas, s'il ne les a saisis que d'une main , il s'enroule en quelque sorte au- tour d'eux.
rents, il se lève, se met à courir, sort et va s'accrocher des deux mains aux deux roues de derrière d'un fiacre en marche.
portent le corps de droite à gauche et de gauche à droite, les deux mains appliquées devant la face et la frottant. Ces m
viron 66 mètres; arrivé contre le mur, il frappe vigoureusement des mains , se retourne brusquement et reprend sa course e
ctées. Durant la course, il se frictionnait l'épaule droite avec la main droite. On le fait rentrer dans le cabinet; pen
à terre ; il se précipite vers le bout de la salle, frappe des deux mains contre le mur, se retourne brusquement, reprend
ourse. La figure est rouge, vultueuse; le malade bave un peu; de la main droite il se frictionne la joue et l'é- paule d
ntractées ; il reste debout, ne répond pas aux questions, prend des mains : des enfants sa casquette tombée pendant la co
1° Des vertiges non procursifs pendant lesquels le malade porte la main droite à la joue correspondante qu'il frotte à
a course peut être précédée ou suivie d'une sorte de tapotement des mains , des coudes ou des pieds et sur le caractère du
is, l'année suivante, avec un cou- teau que sa mère lui arracha des mains ; elle se blessa l'index et le médius. A la vue
ière, puis la jambe gauche est agitée de secousses cloniques; de la main droite il se comprime le gros orteil, et cela s
le gros orteil, et cela sans lâcher une cigarette qu'il tient de la main gauche. Après une compression de trois secondes
e carreau, il tombe sans lâcher sa ci- garette, toujours tenue delà main gauche; le bras droit est agité de mouvements a
s secousses généralisées à tout le corps, le malade se frappe de la main gauche la cuisse gauche, puis survient un tapot
de morsure de la langue. Le ronflement est fort, pas d'écume; la main gauche reste contracturée pendant environ vingt
qu'il eut son premier accès convulsif : tout d'un coup il quitta la main de sa mère, fut précipité en avant comme s'il c
devenait sombre aux approches de l'accès; quelquefois il portait la main au creux de l'estomac et disait : ça va me pren
rois jours après, étant à table, il tape dans son assiette avec les mains , puis la tête tombe dans l'assiette et il a un
rfois défécation également involontaire. Cyanose très prononcée des mains . Il a été soumis au traite- ment par l'élixi¡'
supérieurs sont contractures dans la flexion; le pouce est dans la main , les doigts fléchis; les membres supérieurs son
- lier, sauf une cyanose localisée, dès le début de l'accès, à la main et au poignet droits. Les sangsues n'ont pas pris
toutes les portes avec n'importe quel objet qui lui tombe sous la main . Il cherche souvent aussi à se déshabiller. Eta
il remuait sa cuiller, écartait son assiette, chiffonnait avec les mains , faisait mouvoir sa langue entre les dents. O
non et donnait de violents coups de pieds, ou de violents coups de mains ; tantôt dans le vide, tantôt sur les personnes;
ois qu'on a remarqué ces accidents, il a donné un violent coup de main sur l'épaule de sa mère. - Jamais il n'a frappé s
et à la personne qui se trouvait devant lui et tombait en accès; la main ' Bricon. - Du traitement de l'épilepsie, 1882,
« pour se chercher son droit dehors ». En par- lant au médecin, les mains , toujours en mouvement, sont placées devant lui
s extrémités supérieures et inférieures sont bien développées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. - Sur les bra
parler, ni lui faire tirer la langue. il mange seul, mais avec les mains . 20 décembre. -Pupilles égales, un peu dilatées
orrespondante. Dans les premiers temps, il ne pouvait porter la main à la bouche ; ce mouvement n'est devenu possi
puie fortement sur la table l'avant-bras et le rebord cubital de la main , et la tête vient au-devant de la bouchée en ex
ais rarement, il se pique la bouche. De préférence il se sert de la main gauche pour prendre son pain, et les mouvements
re l'autre. La jambe gauche parait rester immobile. Il repose ses mains sur ses genoux et conserve assez longtemps cette
re, se boutonner, mais lentement. Pour boire, il rapproche les deux mains , les doigts très largement espacés, et avec des
ête un peu tendue en arrière, les bras allongés, mais tenus par les mains appuyées sur le ventre ; les cuisses rapprochée
es jambes rejetées de côté. On note des mouvements des doigts de la main droite, des épaules, de la tête et de la jambe
est saisi vigoureusement d'une part entre le pouce et l'index de la main droite (les trois derniers doigts res- tant éca
res- tant écartés) et d'autre part les trois derniers doigts de la main gauche (le pouce et l'index restant écartés). A
s'est avancée en oscillant. Quand D... veut prendre une cuiller, la main droite décrit des oscillations assez grandes, a
malade veut se lever de sa chaise, il garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penche le tronc en avant
a contraction des muscles. - Dern... peut toucher avec ses pieds la main de l'observateur sans qu'il y ait erreur de dir
cherche à s'y opposer. Le dynamo- mètre Mathieu fort donne pour la main droite 20 et 18 pour la main gauche, résultat e
mo- mètre Mathieu fort donne pour la main droite 20 et 18 pour la main gauche, résultat en contradiction avec l'examen.
maternel, excès de boisson. - Oncle paternel et deux cousins ger- mains maternels, convulsions. - Un frère, convulsions,
traîner par terre, sur le côté gauche. Il se servait un peu de la main gauche; par exemple, pour gratter la terre, creus
ge seul, mais ne peut se servir que de la cuiller qu'il tient de la main gauche. Montre qu'il désire continuer les douch
. de donner une poignée de main, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses doigts se mettent alors
poignée de main, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses doigts se mettent alors dans l'extension
t alors dans l'extension et l'abduction; et il ne peut rejoindre la main tendue qu'en im- primant à la sienne de légères
qu'en im- primant à la sienne de légères oscillations. Au repos, la main étant dans l'extension, l'annulaire et le petit
nt légèrement fléchis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le bras fortement tendu, ainsi que l'a
e l'avant-bras. Quand on écarte de force le pouce de la paume de la main où il est fléchi, cette paume se tourne vers le
ents très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur les barreaux
ssis, Lem... a les bras allongés sur le devant du tronc et tient sa main droite avec la gauche; la jambe droite est croisé
rieurs décrivent de grands mouvements. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur de la tête et un peu en a
sion (saisir une cuiller ou un verre et les porter à la bouche), la main droite décrit des oscillations assez grandes, a
ITÉ. 207 Î V. Imbécillité ; malformations congénitales des deux mains et du pied gauche ; polysarcie ; Par BOURNEVILL
s, un nombre assez considérable d'exemples de malforma- tions des mains et des pieds qui doivent faire l'objet d'un pet
- Strabisme, nystagmus, myopie. - Malformations des doigts des deux mains et du pied gauche. (Polydactylie). Esn. Marie
. Elle porte une éruption de vitiligo très mar- quée sur le dos des mains et les avant-bras. Elle éprouve des douleurs rh
ossesse. La mère attribue les difformités que sa fille présente aux mains et à un pied, à l'impression vive et persistant
me et cinquième doigts normaux, lorsque la malade ouvre ou ferme la main ; mais chacun des doigts de ce groupement n'a p
qu'au niveau do l'extrémité antérieure de la seconde phalange. b) Main gauche. La pouce, l'index, le médius et l'annulai
rant de son travail. Une fois sa mère le surprit la tête dans ses mains et riant comme un fou, mettant son mouchoir devan
'en aller d'ici, disait-il ; je veux les papiers de magistrature en mains ; je veux quatre francs par jour et vivre indép
à m'en rendre compte cette nuit là, et voici comment. Je sentis une main me touchant la nuit pen- dant mon sommeil, et u
rentrai losoir. Je passai la nuit chez eux etla journée du lende- main . Le soir j'allai trouver mon cousin D..., faubour
te le certifia cat du docteur, ci-joint, vous mettra les preuves en mains . Je viens donc vous demander une audience, de c
t de table (morphine) me prit par le bras et me mit le couteau à la main , en faisant des signes et des gestes. Alors, je
84 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
TE ÉCOLE. V ces; les leçons de toilette (lavage de la figure, des mains , entretien de la chevelure, cirage des souliers
etien de la chevelure, cirage des souliers etc.), les exercices des mains (fermer, ouvrir les mains, agiter les doigts, l
age des souliers etc.), les exercices des mains (fermer, ouvrir les mains , agiter les doigts, les allonger, les étendre-
de tonneau et de passe-boules, pour l'éducation de l'oeil et de la main . x Grande école ; éducation physique. Les tra
ercices manuels (bronettage, passe-boules, tonneau), exercices delà main et de l'oeil. Pour pal- lier à cet inconvénient
es enfants cle la grande école, afin qu'elles puissent se laver les mains à la sor- tie des classes ou des ateliers. Il s
e. Signalons comme particula- rités, les difformités qu'offrent les mains de l'enfant, surtout la main droite qui est en
rités, les difformités qu'offrent les mains de l'enfant, surtout la main droite qui est en demi-flexion sur l'avant bras ;
atre derniers doigts sont demi fléchis sur le métacarpe. Toute la main est légèrement déviée sur le bord cubital. L'en
t de plus en plus faibles. Sch.. ne voulait pas qu'on la prit de la main gauche, elle voulait que ce fùt de la main droi
pas qu'on la prit de la main gauche, elle voulait que ce fùt de la main droite. On ne sait à quoi attribuer cette préfére
u DESCRIPTION DE la malade.. 15 bras droit. Articulations saines. Mains petites, doigts effilés.- Ongles courts, aplati
urait présenté fréquemment du stra- bisme. Elle marche tenue par la main . Elle a même fait un pas ou deux seule. Absol
i dans le trajet inguinal. Membres supérieurs gros, bien conformés, mains bien faites, ongles régulièrement implantés.
aux mots : papa et maman. S.. ne saisit rien spontanément avec les mains mais prend le pain et les gâteaux qu'on lui pré
eint au même degré que l'inférieur. Les doigts sont fléchis dans la main qui elle-même est fortement fléchie sur l'avant
ortement fléchie sur l'avant-bras. L'enfant ne se sert pa3 de cette main et lorsqu'il veut la remuer, elle est le siège
. dit qu'elle a remarqué les mouvements convulsifs des doigts de la main paralysée (athétose) quand il a commencé à se r
doux, affectueux, mais voleur et quémandeur. Il met volon- tiers la main sur les sous ou les friandises qui sont à sa port
'argent aux personnes qu'il voit chez lui. Il se sert surtout de sa main gauche, en particulier pour manger. Ses fonctio
ose : contorsions de la face à droite, mou- vement des doigts de la main qui se porte en arrière, etc. Le certificat, qu
amment; il a appris à cirer ses souliers et à mieux se servir de sa main droite. Il n'est plus aussi voleur ni men- dian
Il commence à syllaber et à faire quelques mots sur le cahier de la main gauche. Il n'a pas de tics ni de mau- vais inst
ère abduction, les avant-bras fléchis au maximum sur le bras, les mains légèrement fléchies, plus à droite, où la contrac
centuée. Pouce dans l'extension, doigts fléchis dans la paume de la main , l'index très-peu, le petit doigt complè- temen
nel alcoo- lique. - G1'and'mère paternelle, aliénée.- Cousin ger- main maternel, convulsions, méningite. Cousine mater-
sychiques. Il a été réformé à la révision à cause d'une plaie de la main droite faite dans son enfance et qui l'avait es
u troisième jour de ses couches. «Il s'est lové la nuit ayant il la main deux petits pistolets de poche et a dit : « A n
fforts bruyants d'expiration. La mère lui frau- pait alors dans les mains et tout était terminé. Souvent aussi il était p
e son enfant à sa chute et à celle de son enfant. Un médecin rou- main aurait prétendu qu'il s'était de la sorte abimé l
us et l'articulation du coude est ankylosée dans cette position. La main est en extension et adduction sur l'avant-bras.
développée chez lui, et il a toujours été inapte à se servir de ses mains . Aucune cause déterminante ne peut être invoqué
se qui la gêne : c'est sa nervosité : - « Quand je suis agacée, mes mains se crispent et se mettent à trembler. » Elle n'
nt-bras dans un état qui dépasse la demi-flexion sur le bras; les mains sont en flexion légère sur le poignet et sont tou
bonne partie de la journée. Il est incapable de se servir de ses mains . Les selles sont régulières et bonnes. Il n'a pas
anale saine. Membres supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Mains osseuses. Doigts longs et nerveux, non hippocra-
« tout comme un enfant d'un an. « Il faisait des manières avec ses mains , comme M. le curé à l'église. » Toujours gâteux
rit à se servir de la cuiller ( il savait avant tenir son pain à la main ) et à prononcer le mot « Lisa » (Elisa, nom de
vul- sifs des plus violents. Depuis les premières convulsions, la main droite avait de la tendance à se mettre en supina
tendance à se mettre en supination et en demi-flexion. AH mois, la main fut prise de contracture, les doigts se fléchir
z l'enfant un lie consistant en mouvements rapides du pied et de la main gauchos se reproduisant pendant assez longtemps
t est contracture. L'avant-bras est en demi-flexion sur le bras. La main en pronation est déviée sur le bord cubital. Le
upérieur gauche est normal. Les ongles sont bien implantés aux deux mains . Le membre inférieur droit est le siège d'une c
e. 137 de la jambe gauche ou le genou. Souvent, en même temps, la main gauche est animée de mouvements de va at vient
rieure de la jambe gauche ou le genou. En même temps et souvent, la main gauche était animée de mouvements de va et vien
si noté dès cette époque des mo¡¡eement" il [/u;/o- siques des deux mains qui auraient persisté. L'enfant digérait mal, v
carlatine. - Coqueluche à bâtis. Pas de gourmes, etc. Engelures aux mains tous les ans. Pas d'étourdissements, de chorée,
CRIPTION DU malade. peau rude, marbrée de rouge aux extrémités. Les mains froi- des et cyanosées sont en flexion sur l'av
s mains froi- des et cyanosées sont en flexion sur l'avant-bras. La main gauche semble être plus particulièrement le siè
emander ce qu'on lui veut. Il saisit mal les échelons et retire les mains dès qu'on les a mises en place. En classe, on e
ur le membre inférieur du même côté ; le gauche un peu fléchi et la main pendante. Les membres inférieurs sont assez dro
alysie incomplète clu bras droit, des mouve- ments choréiformes des mains et un état de demi-con- tracture des quatre mem
minces et peu musclés, sontnéan- moins normalement constitués. Les mains sont bien faites et les ongles régulièrement im
ant parait souffrir de la tête, grince des dents, poursuit avec les mains des objets imaginaires. Veux ternes et demi-clo
ite marmotte. » Elle ne tenait pas les ob ets qu'on lui mettait aux mains . Depuis ce moment, elle prend les objets avec s
mettait aux mains. Depuis ce moment, elle prend les objets avec ses mains , se sert de ses jouets, déchire des feuilles de
de vaccine à chaque bras. Motilité normale. L'enfant se sert de ses mains , surtout de la droite, pour prendre les objets.
me convergent, mais il faut remarquer qu'elle regardait souvent ses mains de très près. Il a toujours été impossible de f
lli- gence, mais amenèrent un certain degré d'inhabileté dans les mains . Le père alla consulter à la Salpêtrière. On admi
tains points, sans cicatrices. Quelques peti- tes excoriations à la main et aux avant-bras, marques de vaccine aux deux
es supérieurs amaigris, peu musclés mais réguliers et cylindriques; mains violacées, doigts en fuseaux, un peu larges à l
C'est après avoir constaté un certain degré d'inhabi- leté dans les mains de son fils que le père alla consul- ter à la S
des yeux, se frottait le front continuelle- ment avec le dos de la main droite, « poussait des cris de bête fauve penda
e fréquents change- ments dans la face, le menton se refroidit, les mains et les pieds sont complètement glacés. Vers 4 h
olontiers et projetait à terre les objets qui lui tombaient sous la main . Pas de traumatismes. Caractère affectueux, il
supérieurs sont en flexion. L'avant-bras est fléchi sur le bras, la main sur l'avant-bras. Il est diffx'i'e de relever s
endant l'enfant saisit toujours les objets qu'on lui présente de la main gauche. 20 juin. Louv...aétérevaccinésanssuccés
L'avant-bras droit, en pronation forcée, est fléchi sur le bras. La main est fléchie sur l'avant-bras au point que la fa
e en un jour.) Malformation dee doigts (trois doigts seulement à ta main droite). - Grand'mère pater- nelle très nerveus
t plus. Il a une malformation congénitale de l'avant- bras et de la main du côté droit. L'avant-bras est beaucoup plus c
vant-bras est beaucoup plus court et plus petit que le gauche et la main ne se termine que par trois doigts : le pouce,
père, qui est déjà un dégénéré, et ne possède que trois doigts Ù la main droite, est de plus un alcoolique outré ; la mè
res supérieurs et inférieurs. Aucun signe de rachitisme. Le dos des mains présente des durillons arrondis, limités par de
aux très saillants, dus aux morsures répétées qu'il se fait sur les mains . . Les aisselles sont entièrement glabres. Le p
re, entre parfois dans en colère et se mord furieusement le dos des mains . 1·'i ? : J. 210 0 Puberté. 1888. Juillet
t souvent sur lui-même de gauche à droite. Il met fré- quemment ses mains sur ses oreilles. Il connaît bien sa place en c
ouvements de l'athé- tose (fig. 13, et 1 li). Ilrcmue lentemcnt les mains demi-fermées, comme pour attraper une mouche, p
. Il parvient à faire ce mou- vement compliqué sans se servir de la main opposée. Il ne tarde pas alors à se pencher à t
ux dans un léger strabisme, convergent (/ig.l6,'1 ).11 met alors la main droite dans la poche de son pantalon, laisse (l
il sort de sa poche un morceau de fer-blanc, se racle un instant la main gauche avec, puis le purte à sa bouche, le mâch
l entasse les morceaux dans ses poches et à se mordiller le dos des mains qui portent en effet une double cicatrice calle
laisse trainer le pied gauche dans sa marche ordinaire, et que la main correspondante flotte le plus souvent inerte le
s doigts dans ses yeux, puis dans sa bouche, ou bien il passe ses mains sur sa figure, comme un chat qui se nettoie, et
it le visage de sa bave, qui, mélan- gée avec la malpropreté de ses mains , lui donne un aspect repoussant. Gouj... ouvr
ne un aspect repoussant. Gouj... ouvre de grands yeux, frotte ses mains l'une contre l'autre, et aspire fortement en se
endre. Elle ne s'habille pas seule, gâte, mange salement avec ses mains . Elle bave beaucoup surtout en mangeant; elle par
ssait son temps ainsi, jouant avec les objets qu'elle avait sous la main , des bouts do papier, d'étoffe ou de ficelle, o
mment un air grognon et inintelligent. L'enfant porte sans cesse la main à sa tête en poussant des gémissements et des p
gémissements et des plaintes inin- telligibles ; ou bien, avec ses mains , saisit les objets environ- nants, les vêtement
r la face dorsale des avant-bras. Ossature et articulations saines. Mains grandes, maigres, doigts effilés, ongles longs,
peau cireuse, eczé- mateuse ; état pachydertnique des pieds et des mains ; hernie ombilicale ; rachitisme ; absence de la
habillé en se regardant dans le miroir. Il se lave le visage et les mains avec soin; se sert habilement de la cuiller, de
n est très difficile; il se sert seulement de la cuiller et de la main gauche ; il ne sait ni se laver, ni se vêtir, ni
85 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avec hypéres- tbésie assez marquée au niveau de la face dorsale des mains et des pieds, bypérestbésie qui l'oblige parfoi
ar les mouvements de la tête et l'obli- geant à tenir sans cesse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège
- tation brunâtre. Il présente des placards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main, pelit doigt et annulair
ésente des placards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main , pelit doigt et annulaire gauches). Il est port
.. et cette opinion contre laquelle s'est élevé récemment M. Ger- main Sée ' semble parfaitement établie. Elle repose
ns signalées et d'engourdissement dans les pieds, les jambes et les mains , qui le gênent pour s'habiller. Il a la sensati
i de ses limites. C'est une chose indéter- minée douloureuse. » Aux mains , l'engourdissement occupe les deux premières ph
llement je vais passer à l'examen des divers cas que j'ai sous la main et à propos desquels je vous présenterai, che-
.., âgée de vingt et un ans, que je regrette de n'avoir pas sous la main aujourd'hui, et qui présente depuis longtemps u
la fin. Ces exemples, les seuls que j'aie pour le moment sous la main , suffiront amplement, je pense, pour vous donne
ard à un sujet atteint de -cette maladie qui tenait un couteau à la main « Jette-le, » répond aussitôt le malade et en m
ès souvent on constate la même attitude et un léger tremblement des mains avec altération de la voix. P. K. XXIII. LE TAB
s en ceinture, de velouté; des douleurs lancinantes, aux pieds, aux mains , aux doigts, aux orteils, aux phalangettes, que
oubles sensitifs, des névralgies des parties molles de la paume des mains et de la plante des pieds, sous forme de douleu
e qui persista plusieurs mois. Puis, subitement, l'avant-bras et la main ont enflé, cet oedème dura plusieurs semaines,
tué le matin que le soir; tantôt il siégeait à l'avant-bras et à la main , à l'un ou à l'autre et rarement à la face. La
une mêlée indescriptible, car les soixante-quatre malades, prêtant main forte à leurs gardiennes, s'efforçaient, de leur
sa raison, il alla, en pleurant, se constituer prisonnier entre les mains des premiers agents qu'il rencontra. L'élat do
las... lequel nous a exposé que depuis un an, ou environ, entre les mains d'un prêtre et par paroles de futur, il a contrac
pouvoir finir une phrase, c Quand il était fatigué il tremblait des mains . » En août 1890, il alla passer la saison des v
iquées; 3° Un tremblement menu, vibratoire, très prononcé, des deux mains . Ce tremblement n'existe pas toujours au repos.
raitre de placer les bras du sujet dans l'attitude du ser- ment, la main ouverte et les doigts écartés. L'écriture est t
syllabes oubliés, des lettres mises à la place d'autres lettres. La main et la mémoire sont en défaut; 4° De l'inégalité
ments qui se montrent de temps à autre en maintes régions du corps ( mains , cuisses, etc.), mais qui, parfois, se produise
égalité de pupilles, le signe d'Argyl Robertson, le tremblement des mains , et traversant de temps à autre ce syndrome per
endent en suivant le membre infé- rieur du même côté jusque dans la main et les doigts. C'est là, bien que sous une form
es, des gens qui le menacent et qui le poursuivent le poignard à la main . Il peut' arriver, il arrive même souvent, qu'i
le service, elle présente une certaine anxiété, du tremblement des mains , surtout à gauche. Elle ne sait pas où elle est
du nez, les lèvres et les paupières sont épaissies : à la paume des mains la peau est épaissie, sèche, mais lisse. Un peu
t précédé l'acci- dent. Un homme était atteint de chorée minor ; sa main droite était mutilée; on ne constatait chez lui
et dans les deux bras pendant lesquels les objets lui échappent des mains . Hérédité. On ne constate pas d'autre anomalie, q
sée par les masticateurs fortement con- tracturés. Les doigts de la main droite sont convulsivement fléchis dans la paum
t d'un panaris grave nécessitant l'amputation de l'indicateur de la main droite; six mois plus tard, l'articulation radi
l se produit même un trouble de la motilité des articulations de la main qui se subluxe. D'autres panaris apparaissent à l
tions de la main qui se subluxe. D'autres panaris apparaissent à la main droite; ils sont incisés et guérissent; actuell
ores dans l'articulation radiocubitale jadis atteinte. Sur les deux mains , on observe entre les doigts des rudiments de m
ong du membre supérieur droit, surtout au niveau des doigts de la main , et, sur le tronc, jusqu'à la sixième côte; mais
vèle une simple diminution de l'excitabilité dans les muscles de la main ; aucune modification qualitative. Il doit y avo
Le soir la parole est plus distincte; elle remue plus facilement la main gauche qui redevient tout à fait immobile le le
ascendante; de gauche à droite les caractères étaient tracés d'une main mal assurée et le corps en était anguleux ! C'e
lysie (incomplète) et l'atrophie des extenseurs des doigts et de la main des deux côtés, on observait que les muscles du
ophiés. A gauche, la paralysie est moins marquée; les muscles de la main sont intacts. Contrac- tilité faradique et galv
idiots et épi- leptiques à Bicêtre, dans ce service qu'il dirige de main de maître, et dont la chronique est chaque anné
une cour intérieure, escalada le mur et, s'aidant des pieds et des mains , 266 varia. - atteignit le toit, d'où il rede
rsécution. Le rapport du Dr Legras parvint le 20 novembre entre les mains de M. Lozé qui, immédiate- ment, prit un arrêté
police, le 7 jan- vier dernier, lorsque l'administration a remis la main sur la jeune fille. Le matin, à cinq heures e
n individu qui, installé place Voltaire et tenant un revolver il la main , déchargeait son arme à tort et à tra- vers. To
eure de durée de ce sommeil léthargique, cette jeune fille porte la main à ses yeux, se frotte les paupières, fait un gr
péresthésies partielles. Elle se plaint de souffrir; elle porte les mains sur le sternum en disant ressentir de ce côté d
it avoir quelqu'un près d'elle qu'à la condition de tou- cher de sa main la personne, mais elle ne la reconnaît pas lors
naît pas lors même qu'elle l'interpelle ; elle porte prestement les mains sur les habits, sur la figure, et dit : Cela re
orces, produit un léger entre-bâillement de la fenêtre, bien qu'une main appliquée sur la tige de fer, la maintint vigou
uvait avoir barricadé la croisée; elle en fit l'inspection avec ses mains qu'elle promenait du haut en bas; elle rencontr
avec ses mains qu'elle promenait du haut en bas; elle rencontra la main qui tenait la tige de fer : a Encore de grosses
upières closes, les yeux con- vulsés ; elle étendait légèrement ses mains sur chaque objet, recon- naissant par le touche
ut ce qui la touche, et jette à terre tout ce qui lui tombe sous la main ; debout sur son lit, elle veut se jeter la tête
pain pendant un de ces accès supplémentaires, elle le touche de sa main / s'assure par le contact de sa réalité et le mo
on- tenant un morceau de viande rôtie étant mise au contact de sa main , elle prend connaissance par le toucher de l'assi
et persistants, des doigts palmés ou même la réunion complète d'une main ou d'un pied. Toutes ces anomalies sont la trad
e bifide. Les métacarpiens sont soudés entre eux : la forme de la main rappelle celle que prendrait une main nor- male
és entre eux : la forme de la main rappelle celle que prendrait une main nor- male dont les doigts seraient fortement se
en effet, l'enfant qui commence à jouir du contrôle distinct de ses mains , on surprend assez vite des phénomènes d'attent
re. Tantôt elle avait, en pleine conscience, des mouvements d'une main , d'un pied que ne pouvait régler la volouté. D'
une malade qui m'avait semblé fort singulière : elle avait les deux mains absolument anesthésiques, mais elle reconnaissa
et ses épingles à cheveux en écaille. Tout autre objet mis dans ses mains , une pièce d'or ou un crayon, n'étaient absolum
ient absolument pas sentis. Une autre malade, ayant éga- lement les mains absolument anesthésiques, savait toujours, par
ques 3. Des organes entiers, ou des parties d'organes, un doigt, la main ou la cuisse, deviennent anesthésiques dans tou
innervé par le cubital ou le médian qui est anesthésique, c'est la main ou le poignet. Un malade actuellement dans le s
nt la région du poignet, tandis que la sensibilité est intacte à la main et à l'avant-bras. - ' Electivité ou- esthésie
iologie bien grossière, bien populaire. \ Quand une hystérique a la main paralysée, où devrait être son 1 insensibilité
ras. Et cependant, l'anesthésie est presque I toujours limitée à la main elle-même et au poignet. Dans la ¡ cécité hysté
le sentir. Est-ce que les hystériques ont souvent des brûlures aux mains ? Evidemment non, et cependant la thermo-anesth
consultation ; elle éprouvait un certain engourdissement dans la main droite, mais la paralysie n'était pas manifeste.
sibilité persistante et des plus gênantes siégeant à la paume de la main : cette anesthésie faible aux doigts était en e
en- sibilité qui occupe une toute petite région de la paume de la main droite, tandis que vous ne vous apercevez même pa
Je constate ce que j'éprouve, mon insen- sibilité de la paume de la main droite me gêne et mon insensi- bilité de tout l
elle ne se trompe jamais et crie toujours « oui» quand je pince la main droite et « non» p quand je pince la main gauch
« oui» quand je pince la main droite et « non» p quand je pince la main gauche. Elle est aveugle de l'oeil gauche et se
n pourrait appeler l'électrisation imaginaire. Je lui donne dans la main droite 1 Nous étudions l'anesthésie banale des
nt je touche. Voyez les belles secousses muscu- laires, et comme la main se relève brusquement dès le plus léger contact
du même genre qui vous paraî- tront peut-être plus curieux. Dans la main insensible de Berthe, je mets un objet sans la
e a saisi et tâté la paire de ciseaux que je lui avais mise dans la main , elle a glissé les doigts dans les anneaux, et
mise dans la main, elle a glissé les doigts dans les anneaux, et sa main se met à ouvrir et à fermer alter- nativement l
vement les ciseaux. Dans les mêmes conditions, je lui place dans la main un objet plus petit; vous voyez que la main fait
s, je lui place dans la main un objet plus petit; vous voyez que la main fait des mouvements de va et vient comme pour c
un écran, et, cela fait, je touche légèrement le petit doigt de la main Cf. Pures, cil., 1. 1, p. 73. L'ANESTHÉSIE HY
Pures, cil., 1. 1, p. 73. L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 347 gauche, la main anesthésique, ne l'oublions pas, et Berthe s'éc
tête de Berthe par un écran, et je lui mets un petit objet dans la main gauche; elle le tàte, mais ne peut savoir ce qu
qu'elle est bien endormie, je lui demande ce qu'elle avait dans la main gauche tout à l'heure, et ce qu'elle a senti so
sous son nez. Elle répond sans hésiter : « Vous m'avez mis dans la main gauche un petit bou- 1 ri 1/1011/. l ? ych,, p,
inférieure et je suis avec la pointe un mot tracé sur le papier. La main du sujet, si elle était sensible, aurait senti
sensation élémentaire ? Pour le vérifier je mets un crayon dans la main droite complètement.insensible et je détourne l
avions déjà remarqué quand Berthe tenait les ciseaux. Mais voici la main droite qui se met à écrire. Comment ce mouvemen
i,' il est trop complexe : constatons seulement les résultats. La main a écrit le nom de Jean, le nom de l'inventeur de
érique et que cette expérience peut ne pas toujours réussir. Sur la main gauche anesthésique de Berthe, je colle un pain
à cacheter rouge : la voici étonnée, et en contemplation devant sa main . Laissons-la un instant, puis maintenant quand
maintenant quand elle a la tête tournée, pinçons légèrement cette main tout à l'heure si insensible. Voici Berthe qui cr
es membres inférieurs. Les bras, sans raideur, balayent le sol; les mains s'ar- rêtent surle tronc, et suivant l'expressi
s de circumduction avec flexion forcée du pouce dans la paume de la main . Les secousses cloniques se généralisent enfin,
t une impulsion subite : Il faut qu'il tue M... qui est là, sous sa main , M... qui lui a jeté un sort. Après, il sera dé
at et que dans sa précipitation il charge mal, lui éclate entre les mains . il se débarrasse de la crosse et ne garde que
et des aspérités aiguës. C'est avec cette arme redoutable entre les mains d'un homme de sa force que, dans une maison où
des extrémités, mais plutôt avec la fonction spéciale de celles-ci ( main ) et avec l'activité des zones corti- cales motr
mique ou autre. Deux observations. 3° Cyanose locale, surtout aux mains et aux pieds. Observation. III. Elle survient p
ec pâleur des doigts, puis, colo- ration bleue envahissant toute la main . Elle se montre aussi sponte quand il fait chau
ction gagne les membres supérieurs, il s'y joint du tremblement des mains . La seconde observation est plus particulièreme
rophie de la peau de l'extrémité supérieure et surtout du dos de la main (aspect de la pellagre). En somme, si l'atrophi
f the Enact- ments 1'especting Lunatics. L'orateur montre pièces en main que le but poursuivi est d'empêcher les admissi
hémiopie observée pendant la vie, d'autre part, la maladresse de la main qui, probablement, doit.êlre rapportée au lobe
grand au point de vue.technique. Il n'est pas douteux qu'entre ses mains le nouvel institut médico-pédagogique Vallée ne p
dans l'intérieur du corps humain comme s'il eût été en verre; ses mains , disait-il, étaient attirées par une force invinc
t pris de querelle dans un petit chemin désert et en sont venus aux mains . Au cours de la rixe, Gagnière a tiré son coute
des pieds. L'héroïque patient supporte tout et, une fois sorti des mains de ses tortion- naires seulement, proteste cont
86 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mouvements ordinaires, puisque le malade se sert très bien de sa main pour exécuter les mouvements vulgaires et même
nt, et elle se tient debout parfaitement en appuyant chacune de ses mains sur cha- cune de celles de l'aide. Etant ainsi
L'ànier fu- rieux se mit à la poursuite de l'enfant, une hache à la main . L'épouvante saisit les jeunes écoliers; notre
de marcher. Le malade se sert de ses membres supérieurs, mais les mains sont fermées : le père assure que pendant le so
uraient été paralysés au point qu'elle ne pouvait se se; vu' de ses mains pour rien même pour manger. Cet état de complète
aucune exagération de la sueur dans l'aisselle, au bras, ni à la main . La fonction sudorale du côté gauche du corps et
se s'arrête exactement à la ligne médiane de la face. En passant la main dans ses cheveux, on sent que toute la partie d
qu'en plongeant les bras dans l'eau chaude, il ne sentait pas à la main droite la température de cette eau, tandis qu'i
commence à différencier plus difficilement le chaud du froid. A la main droite sur ses deux faces, le froid ne donne plus
sans qu'il accuse une sensation outre que celle du con- tact. A la main gauche on ne constate rien de semblable. La sen
, affir- mation dont le compas de Weber montre l'exactitude. A la main droite, D... paraît sentir aussi bien sur la sphè
rois jours après, étant à table, il tape dans son assiette avec les mains , puis la tête tombe dans l'assiette et il a un
lui, soit exposé à devenir une sorte de machine de guerre entre les mains de l'un ou l'autre des partis en présence. Faut
des secousses, laissent échapper les objets qu'elles tiennent à la main ; par instants, elles sont incapables de parler, q
c'est que le directeur et les fonctionnaires supérieurs prennent en main cette organisation; la suivent pas à pas, y par
de ses membres. Il est vrai que, pour l'habituer à se servir de la main droite, parésiée, on lui attachait l'autre; ce
. Même aspect athlétique des extrémités des membres inférieurs, des mains , des avant-bras, mais moins accentué que celui
souffert le long de l'avant-bras ou d'avoir eu du gonflement de la main , mais lorsque le doigt fut guéri, il arriva que
péta depuis, de temps en temps, un gonflement indolent du dos de la main droite. Le gonflement durait une journée pour d
ntimètres; ce sont les restes des dartres antécédentes; la peau des mains un peu cyanosée, froide au palper, n'est pas oe
, avec fentes longitudinales; la troisième phalange du médius de la main droite n'existe pas et l'extrémité de la second
ormés de faisceaux pins solides mollement réunis entre eux. Sur les mains on n'observe que l'atrophie du premier espace i
oite, elle manque complètement; à gauche, tous les mouvements de la main et des doigts sont normaux et assez étendus; à
normaux et assez étendus; à droite, l'extension et la flexion de la main est légère- ment limitée ; sa flexion radiale e
flexion radiale est assez considérable; les autres mouvements delà main et des doigts sont assez faibles. L'oppo- sitio
a été remplacée par un sentiment de constriction. En général, la main droite était la plus frileuse et transpirait da
. Le 23 août, il y eut état fiévreux et sur le côté cubital de la main gauche forma- tion d'une ampoule, grande comme
subjectivement. Membres supérieurs : les petits mouvements de la main sont moins adroits, l'écriture est restée presque
thésie. Le sens de la pression examiné sur la paume et le dos de la main paraît égal des deux côtés ; le malade est asse
e 5 mil., quatrième et cin- quième 2 mil., pouce 3 mil. Paume de la main gauche 12, droite 30 mil., partie inférieure de
les mouvements de l'articulation de l'épaule sont plus faibles, la main gauche ne s'élève pas du tout au-dessus de la l
e pas du tout au-dessus de la ligne horizontale. Au dynamo- mètre : main droite, 14; gauche, 15. Douleur .sourde conti-
mais moins distinctement à droite qu'à gauche sur i la paume des mains et les doigts. Sur les paumes de la main, le ma
uche sur i la paume des mains et les doigts. Sur les paumes de la main , le malade ressent une pression de 300 grammes
e partielle du membre supérieur droit; atro- phie des muscles de la main ; des tiraillements convulsifs. M110 S..., âgée
e 24 avril 1886 à l'occasion des douleurs qu'elle éprouvait dans la main droite. Etat actuel. La malade est pâle, maig
musculature est amaigrie. Les muscles thénars et hypothénars de la main droite sont modérément atrophiés. A l'examen par
muscles interosseux et parfois aussi dans les autres muscles de la main et de 1 avant-bras. La malade se plaint d'une d
profonde siégeant dans le membre supérieur droit, surtout dans la main . Toute secousse, tout mouvement actif, l'effroi
e continuellement augmente aussi au moment du refroidissement de la main . Outre la douleur, existe une forte hyperes-
re est abaissé dans la même région que la sensibilité générale. Les mains ne sentent pas la différence de t° entre 17 et
de la douleur, le bras commence à faiblir. L'amaigrissement de la main débuta aussi en même temps que survint la doule
. Thermanesthésie partielle généralisée. - Anesthésie limitée de la main . - Pareslliésies. Atrophie musculaire progressi
de la main. - Pareslliésies. Atrophie musculaire progressive de la main . Phelgmon, panaris, etc., dans les antécédents
de trois semaines. Le gonflement ne s'était pas étendu à toute la main . Il y a six ans, le petit doigt de la main gauche
it pas étendu à toute la main. Il y a six ans, le petit doigt de la main gauche enfla en même temps que la partie voisin
t de la main gauche enfla en même temps que la partie voisine de la main (l'enflure ne s'étendait pas jusqu'au bord radi
ies molles interdigitales et descendant du dos et de la paume de la main jusqu'au niveau des têtes métacarpiennes. La ma
aume était considérable et s'étendait jusqu'à la face dorsale de la main . L'avant-bras n'enflait pas. La douleur avait été
Après la guérison de l'abcès (au prin- temps), les mouvements de la main étaient encore parfaitement normaux, mais depui
t de l'amaigrissement des autres muscles interosseux. Depuis que la main s'était affaiblie, elle éprouvait des fourmille
tantôt dans l'autre pour deux ou trois minutes. La faiblesse de la main continue à augmenter légèrement encore. Il n'y
à celle qui se forme à la suite d'un coup sec sur le muscle). A la main droite, il y a près de deux ans, une crampe ton
ibrillaires : le malade les sent; ils ne se produisent pas dans les mains seules, mais aussi dans l'avant-bras et l'épaul
oid. Il y a deux ans, une faiblesse se fit sentir également dans la main droite, mais au moment où elle est exposée au f
ue, se développa l'ano- malie dans le petit doigt. Etat actuel. - Main gauche. - Entre le pouce et le deuxième métacar
est très aplati, ainsi que l'hypothénar. La peau de la paume de la main est facilement dépressible ; on n'éprouve aucun
fléchi dans la première articulation et ramené vers la paume de la main , mais ces mouvements sont absolument impuissant
ontracte à 5°, le premier interosseux à 0, les autres muscles de la main ne se contractent point. Courant constant. Les
nts avec l'alternative de Volta ne provoquent pas de contraction. Main droite. Il n'existe nulle part de l'atrophie musc
ent affaiblis en comparaison de l'état normal. Les mouvements de la main sont libres et forts, de même que tous les autr
de temps à autre pour deux ou trois minutes dans les muscles de la main droite alterna- tivement des contractures spasm
2 mill. ; le dos de la troisième phalange, 6 ; de la première, 10. Main gauche, première phalange, face palmaire, 4-5 ;
almaire, 4-5 ; de la deuxième et troisième, 6 et 7 ; la paume de la main , 12 ; sur Je dos de la main gauche, 2 centimètres
e et troisième, 6 et 7 ; la paume de la main, 12 ; sur Je dos de la main gauche, 2 centimètres et l'attouchement de chaq
fé- rence de pression entre 300 et 350 grammes sur les paumes des mains . Le sens musculaire est conservé. Le sens de la
ÉDULLAIRE. 183 lité ne présentent pas de changements notables. La main droite est subjectivement plus atlaiblie. Les
l'expression du malade. Il lui semble qu'ils sont plus forts. La main plongée dans une cruche d'eau à40o, « est comme
on étendus dans l'articulation interphalan- gienne du pouce de la main gauche ; si- multanément il y a un tremblement
s; si le ma- lade, après avoir fortement serré le poing, ouvre la main droite, l'index reste pour une minute spasmodiq
ent du sens de la douleur et du toucher à la moitié radiale de la main droite (fig. 7 et 8). Il occupe les trois premi
du quatrième; sa limite va exacte- ment au milieu de la paume de la main et de la face dorsale du quatrième doigt en d
a face dorsale du quatrième doigt en descendant. Sur la paume de la main la ligne séparant la partie anesthesiee forme d
éparant la partie anesthesiee forme dans le tiers supé- rieur de la main une courbe qui con- tourne la partie inférieure
igne frontière de l'anesthésie venant à sa rencontre du dos de la main , où sa disposition est sem- blable à celle qu'e
on de l'anesthésie, commença à se développer, le gonflement de la main droite existant jus- qu'à présent. Le dos de la
nflement de la main droite existant jus- qu'à présent. Le dos de la main est oedé- matié dans sa partie supérieure, et s
existé pendant plus de six mois. 26 janvier 1884. L'oedème de la main a disparu, mais en re- vanche, on observe sur l
a douleur sont abaissés, quoiqu'ils ne soient pas détruits, sur les mains et les doigts dans les limites antérieures. L'a
igts dans les limites antérieures. L'atrophie et la faiblesse de la main gauche sont restées stationnaires. A la main dr
et la faiblesse de la main gauche sont restées stationnaires. A la main droite atrophie partielle des muscles du thénar
, mais le malade se plaint d'un affaiblisse- ment du pouce et de la main . 28 février. L'affaiblissement de la main droit
ment du pouce et de la main. 28 février. L'affaiblissement de la main droite progresse, il y a une légère main en gri
r. L'affaiblissement de la main droite progresse, il y a une légère main en griffe, l'extension complète des phalanges e
s espèces de sensi- DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 185 bilité de la main . Ici la région occupée par l'anesthésie général
ographique dans les cornes posté- rieures des nerfs sensitifs de la main . Dans ce cas, nous voyons, outre l'anesthésie p
'anesthésie à la douleur et au toucher, et lui-même déclara que ses mains sentaient la diffé- rence entre la chaleur et l
une épreuve grossière, faute d'avoir mon thermesthésiomètre sous la main . 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. Tous ces symptômes
chaise sur laquelle le malade s'asseoit et qu'il soulève avec ses mains en la faisant progresser par petits sauts, mouve-
sensibilité du bras droit. Il y avaitde la thermanes- thésie de la main ainsi que des élancements et des crises doulour
rfois défécation également involontaire. Cyanose très prononcée des mains . Il a été soumis au traite- ment par l'élaxir p
supérieurs sont contractures dans la flexion ; le pouce est dans la main , les doigts fléchis; les membres supérieurs son
après la mort; H, T. une apiès. DE L EPILEPSIE PROCURSIVE. 237 main et au poignet droits. Les sangsues n'ont pas pris
toutes les portes avec n'importe quel objet qui lui tombe sous la main . Il cherche souvent également à se déshabiller.
il remuait sa cuiller, écartait son assiette, chiffonnait avec les mains , faisait mouvoir sa langue entre les dents. O
non et donnait de violents coups de pieds, ou de violents coups de mains ; tantôt dans le vide, tantôt sur les personnes;
ois qu'on a remarqué ces accidents, il a donné un violent coup de main sur l'épaule de sa mère. Jamais il n'a frappé son
et à la personne qui se trouvait devant lui et tombait en accès; la main ouverte, il frappait où il pouvait; l'infirmier
« pour se chercher son droit dehors ». En par- lant au médecin, les mains , toujours en mouvement, sont placées devant lui
agnétiseur de passage à Saint- Etienne, a l'habitude d'appliquer la main sur le dos du patient en lui disant : « Vous se
partir du jour où survint l'aphasie, on ne le vit plus de livre en main . L'aphasie dura jusqu'à la fin de janvier 1885,
ice et de l'adminis- tration seules, » l'administration l'a sous la main , mais ne l'em- ploie qu'avec une réserve extrêm
ela se fait à Londres, un seul fonctionnaire peut l'avoir entre les mains , et il est consulté ensuite par la justice, quand
utique et chaque école possède un matelas ou un lit, à portée de la main . Plusieurs médecins de la ville de Bielefeld vi
dans l'enfance. Depuis deux ans, D... u un engourdissement dans la main droite et particulière- ment limité dans la rég
s extrémités supérieures et inférieures sont bien développées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. Sur les bras,
parler, ni lui faire tirer la langue. Il mange seul, mais avec les mains .- 20 décembre. -Pupilles égales; un peu dilatée
it vu obligé d'appliquer des appareils appropriés aux bras et aux mains , afin d'éviter les ulcérations qu'auraient pu pro
sion (saisir une cuiller ou un verre et les porter à la bouche), la main droite décrit des oscillations assez grandes, a
ou de loin des appréhensions de cette nature : j'ai placé dans les mains de la malade des pointes, des épingles, du cuiv
tre en place. Quand on lui donnait de l'argent, elle s'essuyait les mains après ; de même elle se secouait quand on la touc
diverses mon- naies d'argent et de cuivre qu'elle a prises dans la main sans la moindre appréhension ; elle a touché sa
le, de s'essuyer, c'est après avoir tenu longtemps des sous dans la main ; le cuivre, ajoute-l-elle, enfermé dans la mai
s des sous dans la main ; le cuivre, ajoute-l-elle, enfermé dans la main chaude et humide, dégage une certaine odeur qui
utchouc vulca- nisé. Depuis neuf mois, il plonge l'objet tenu de la main gauche dans le liquide vulcanisateur. Aussi a-t
gauche dans le liquide vulcanisateur. Aussi a-t-il ressenti dans la main gauche d'abord de l'engourdissement, du fourmil
seux, mais il ne faut pas croire que chez ces ou- vriers ce soit la main gauche qui soit de préférence ou presque exclus
ction dégénérative, n'ont pas dépassé le territoire de ce nerf à la main , et les troubles de la sensibilité se sont limité
et progressive- ment présenté une atrophie des petits muscles de la main du côté droit, de la parésie de la jambe du mêm
87 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
e aux exigences élémentaires, à se vêtir, à se laver le visage, les mains et les pieds, se peigner les cheveux, se nettoy
ment à mettre à contri- bution. Dans ce but, nous mîmes entre leurs mains le livre si remarquable de Seguin, Traitement m
quettes, etc.). Exercices de gymnastique. - On sait combien la main des idiots est inerte, maladroite ; combien leurs
oins à titre d'essai. Nous pensions y trouver le moyen d'exercer la main des idiots, de corriger leurs mouve- ments déso
ts, et, d'autre part, on leur apprend à se laver la figure et les mains , à se peigner, se brosser, cirer leurs souliers,
lque sorte par accès. La langue est presque noire. Les pieds et les mains sont violacés. B... est très maigre; ses membre
qu'à la vue des aliments ; il com- mence seulement à saisir avec la main ce qu'on lui pré- sente. Il est gâteux. 7 oct
faible et très amaigri. Ce- pendant il marche si on le tient par la main . Les extrémités sont toujours cyanosées. Il tou
prononce de plus en plus. Les oreilles, les lèvres, la langue, les mains et les- pieds sont fortement cyanosés. Il y a u
'enfant décline de plus en plus. La peau est légèrement chaude à la main . Les mains et les pieds sont violacés sans être
cline de plus en plus. La peau est légèrement chaude à la main. Les mains et les pieds sont violacés sans être froids. Le
expériences de rarre,des températures de 36°,5 dans la paume de la main et de 38° sous la langue, sans qu'il soit fait me
e dès le lendemain de sa naissance une cyanose des pieds et des mains presque continuelle, mais plus marquée à certai
ès la naissance), la faceprésente une cyanose persis- tante : les mains et les pieds sont bleuâtres. Le 27, la langue
On ne perçoit toujours aucun bruit anormal au coeur. Le lende- main , les pieds sont presque noirs et froids ainsi q
nde- main, les pieds sont presque noirs et froids ainsi que les mains . Erythème à la face interne des cuisses, grand am
II. (Bourneville). Vach... Mathilde, née le 7 mai 1871. Cyanose des mains très marquée au niveau des ongles dès le jour d
es et des lèvres devient bleuâtre. Le 11, cyanose persistante des mains et des pieds. Le pouls très petit est impossible
evient perceptible, 120. Pas de- nouvel accès depuis hier soir. Les mains ne sont plus cya- nosées. L'enfant tette beauco
e nouveaux accès. Très légère cyanose des extrémités. 14 mai. Les mains présentent, à certains moments, une teinte légè
hien. 16 mai. On n'observe plus qu'une légère teinte cyanique des mains quand elles restent exposées à l'air. (Fig. 4.)
le service de 111, \Iolland. Quelques autres sont restées entre les mains de notre maître et malheureusement nous n'avons
soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la figure et aux mains . Il fut alors ramené à Bicêtre, d'où il ne sort
sous le doigt et comme bouffie do graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la température. Le the
s, on y observe un abaissement de température, sensible même à la main ; le thermomètre appliqué sur la face externe des
a face externe des bras marque à droite 33°,8. à gauche 34°,1. La main droite est déformée par une brûlure dont la ci-
s de monnaie ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dps de cette main , la peau, comme oedémateuse, forme une pelote é
ement résiste sous le doigt et ne disparaît pas par la pression. La main gauche offre un état analogue, bien qu'à un deg
le, lourde, mais cependant possible lorsque l'enfant est tenu parla main . CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 21 Il est intéressan
iette. Il mangc sa soupe seul, avec une cuiller qu'il tient de la main gauche et les autres aliments avec ses doigts. Il
s doigts. Il boit également seul en tenant le gobelet avec ses deux mains . Rien de particulier à signaler du côté de l'ap
on lui donne de l'eau : il la regarde, prend le verre avec ses deux mains , boit avec avidité : quand il a vidé le verre,
ste; coloration violacée du nez ; il se ratatine dans son lit ; les mains sont croisées en avant du cou. T. R ? 3G°,G. -
boire de vin. - Il est gâteux, malpropre, incapable de se laver les mains et le visage. - D'ordinaire, il reste dans un c
ins et le visage. - D'ordinaire, il reste dans un coin, inerte, les mains entrecroisées sur le cou. - La parole est à peu
lus gai, plus actif. Il a perdu son ancienne habitude de placer ses mains sur son cou. Il est très obéissant, mais très c
rche en avant et en arrière, une échelle de corde tenue de chaque main ; extension du corps en avant et en arrière, fle
he ; ascension à l'échelle; - balançoire, etc. Les mouvements des mains se sont régularisés ; la préhension s'effectue bi
a insisté sont les suivants : assouplir les mouvements, exercer les mains , traiter le gâtisme. De plus, on a cherché à pe
ion et pronation forcées, se rapprochent de la ligne médiane. Les mains déjà fermées, les pouces en dedans durant la phas
un opisthotonos assez marqué pour qu'on pût facilement passer la main entre la colonne lombaire et le plan du lit. Cett
es supérieurs sont allongés en extension et pro- nation lorcée, les mains fermées, pouces en dedans. Cet état de tétanism
en restant dans l'extension, se rapprochent de l'axe du corps, les mains continuent à rester fermées, les pouces en deda
février. Une attaque est déterminée involontairement en portant la main sur la tête de l'enfant pour explorer la zone d
1881), l'enfant se- tient sur les jambes et marche, soutenu par les mains . Son état général est d'ailleurs excellent ; il
oussait des cris, trépignait et brisait tout ce qu'il avait sous la main . Cet état se prolongea une fois pendant une nui
roit est ordinairement collé au tronc, l'avant-bras demi-fléchi, la main pendante à angle droit. Poignet flasque ainsi q
des secousses du- rant lesquelles l'enfant soulevait brusquement la main en écartant les doigts. P. 1 ? G; T. li. 39°,4.
plus, la tem- pérature y était abaissée d'une manière évidente à la main . Cet état s'accentuait de plus en plus au-desso
88 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ses membres inférieurs tout d'une pièce en s'aidant volontiers des mains ; il élève au-dessus du plan du lit sa jambe ga
a cuisse et celle-ci sur le bassin. Le malade, quoique s'aidant des mains et de sa jambe gauche, ne peut ensuite étendre
raticiens confièrent les mani- pulations de lapendaison, soit à des mains inexpérimentées, soit aux malades eux-mêmes, ce
des matières fécales. Le tremblement alcoolique est très marqué aux mains et à la face. Du côté de l'appareil respiratoir
ubles intellectuels augmentent et la marche est plus difficile. Les mains sont maladroites et P... urine dans son lit à côt
active, bourdonnements d'oreille, vaso-constriction des extrémités ( mains et pieds). Une grande variété, la migraine opht
la lumière, très légère faiblesse du facial droit, tremblement des mains , violente céphalalgie. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
, l'angoisse, le tremblement 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des mains , les illusions observés, accuse les excès alcooli
l existe, en seconde ligne, un affaiblissement des muscles des deux mains , sauf l'éminence thénar droite néanmoins touché
ne vertébrale. Très faible diminution de la sensibilité cutanée des mains . ' Evidemment il s'agit d'une apoplexie des cor
e cellules des cornes anté- rieures, puisque les fléchisseurs de la main et des doigts jouissent d'une intégrité relativ
ue d'oeil légèrement amélioré les mouvements des petits muscles des mains . P. KER\V\L. XLI11. Du phénomène paradoxal de
l convient de veiller rigoureusement à ce que les ouvriers dont les mains ou les vêtements sont souillés prennent un bain
rvation gît dans l'étude clinique et radiosco- pique du pouce de la main gauche. On y voit les os des phalanges dépouill
une verste, ne but point et s'en revint se coucher un accordéon en main , à onze heures. Le berger aurait été réveillé d
e de leurs voisins d'Albion. Et voici l'évidence, prise de première main , du cinquante-cinquième rapport des « Commissio
en s'éveillant, il a été tout surpris de ne pouvoir se servir de sa main droite. Il était incapable de fléchir ou d'étendr
i, ne se plaignant de rien autre chose que de cette paralysie de la main droite per- sistante depuis quarante-huit heure
u poignet très limités, ceux de l'avant-bras et du bras normaux. La main est en demi-flexion, sans contracture. Elle est
-ALCOOLIQUE. \ 99 côtés. Pas de sensation d'engourdissement dans la main paralysée. Le malade a conservé la notion de l'
des lignes circulaires très régulières. Sur la face palmaire de la main et des doigts, la sensibilité est normale, ainsi
ire et soumis à une séance de faradisation de l'avant-bras et de la main . Après quelques instants, la sensibilité reparait
ait dans tout l'avant-bras, puis les mouvements des doigts et de la main redeviennent possibles. Après un quart d'heure
alade fait la fête et se saoule. Le lendemain matin, il sent que sa main et son bras droits sont moins vigoureux que la
drose, mais les troubles moteurs en sont très marqués. Alors que sa main gauche broie les objets qu'on lui dit de serrer,
ors que sa main gauche broie les objets qu'on lui dit de serrer, sa main droite n'exerce sur la main qu'on lui tend qu'une
les objets qu'on lui dit de serrer, sa main droite n'exerce sur la main qu'on lui tend qu'une pres- sion insignifiante
: 15 kilogrammes au dynamomètre. Les mouve- ments,de flexion de la main sur l'avant-bras et de l'avant-bras sur le bras
. Après un quart d'heure de faradisation de l'avant-bras et de la main , la sensibilité est redevenue normale, mais la fa
tre jours, pendant son travail, G... a ressenti une douleur dans la main gauche, douleur légère d'ailleurs et qui bientô
e au malade de Fif}. 13. 102 CLINIQUE MENTALE. tapoter des deux mains sur la table, comme s'il jouait du piano, l'on
piano, l'on s'aperçoit nettement de la lenteur des mouvements de la main gauche. Le mouvement d'opposition du pouce et d
tion de ses membres et reconnaît les lettres que l'on trace dans sa main à l'aide d'une épingle. L'excitabilité musculai
tôt, mais peu à peu le malade s'aperçoit que les mouvements de sa main sont de plus en plus gênés; il continue à travail
porter lentement la cuiller à la bouche. Dans l'acte de tourner une main autour de l'autre, la main droite reste en arri
à la bouche. Dans l'acte de tourner une main autour de l'autre, la main droite reste en arrière, et si l'on lui dit d'exé
c les doigts des roulements de tambour, il ne le peut faire avec la main droite. Il est incapable de peler une orange avec
e avec la main droite. Il est incapable de peler une orange avec la main droite, même si on a eu le soin de soulever' au
. Cependant dans l'acte de s'habiller il s'aide quelque peu de la main droite. La force musculaiie est presque totalemen
musculaiie est presque totalement perdue. Pression au dynamomètre : main gauche 40 kilogrammes, main droite 1 kilogramme
ement perdue. Pression au dynamomètre : main gauche 40 kilogrammes, main droite 1 kilogramme. La sensibilité à la piqû
de l'avant-bras et diminuée sur la face antérieure du bras et de la main . Sur la face postérieure, le dos de la main est
rieure du bras et de la main. Sur la face postérieure, le dos de la main est anesthésique et l'avant-bras hypoesthésique.
appréciable. Le 13 mars, deuxième séance de dix minutes encore ; la main droite donne 3 kilogrammes au dynamomètre. Rien
esque entièrement revenue, le malade donne 35 kilogrammes avec la main droite. Exeat. Observation Y. - L..., cinquante
alade ne peut tenir le dynamomètre de Mathieu. Il ne peut saisir la main que l'on lui dit de serrer. La flexion de la ma
ne peut saisir la main que l'on lui dit de serrer. La flexion de la main sur l'avant-bras est presque nulle; il suffit d
s est presque nulle; il suffit d'un poids insignifiant placé sur la main à plat pour l'empêcher de se produire. Les mouv
contact est normale partout. Analgésie en gant de la totalité de la main droite (depuis le bout des doigts jusqu'au poig
ique. L... ne ressent aucune douleur, mais quand cesse la séance sa main a recouvré une cer- taine vigueur, il donne 2;i
vient. Nous le faradisons; au bout de 8 minutes nous cessons car la main et le bras ont reconquis leur vigueur entière.
était occupé à raboter une pièce de bois, son rabot lui échappa des mains . Il voulut le ressaisir pour continuer son ouvr
ressaisir pour continuer son ouvrage, cela lui fut impossible ; sa main droite était devenue insensible, inerte, il ne.
e malade ne se plaint de rien autre chose que de la paralysie de sa main droite. Cette main n'est ni rouge ni tuméfiée ;
nt de rien autre chose que de la paralysie de sa main droite. Cette main n'est ni rouge ni tuméfiée ; elle est un peu pl
Le 5 juillet Faradisation pendant une vingtaine de minutes de la main et de l'avant-bras droits : disparition de l'anes
jours prédominé à l'extrémité terminale du membre, aux doigts, à la main , au poignet. Parfois même elle a été abso- lume
plus saisir de petits objets, manier leurs outils, exercer avec la main une pression énergique. D'autres étaient tout à
étaient tout à fait incapables d'imprimer à leurs doigts et à leur main le moindre mouve- ment volontaire. · Dans la
nalgésie en gant, en gantelet ou en manchette, limitée parfois à la main et remon- tant d'autres fois jusqu'au coude ou
e motrice. Dans l'observation I, où la paralysie était limitée à la main , une large plaque d'anesthésie cutanée envelopp
ait la totalité de l'avant-bras, tandis que dans l'observation V la main seule était hypoesthésique, bien que la paralys
commencions à les électriser, ils supportaient généralement sur la main et l'avant-bras paralysés, sans en éprouver de
e champ de la vision de la moitié environ de son aire normale. La main paralysée n'a généralement pas présenté de trou
ns constaté une fois un refroidissement très appréciable de cette main (obs. I) et une fois une exagération très marquée
à autre, la salive est si épaisse qu'il lui faut l'arracher avec la main . Artériosclérose des gros troncs vasculaires. C
x clous à travers les deux pieds ainsi qu'un troisième à travers la main gauche. Il a été trouvé suspendu, vivant encore
s, je me contracte; des épingles me piquent la nuque, le front; les mains deviennent moites, les yeux humides, voilés. Pa
ute, une minute, je me sens vaincu. Alors, une chaleur me prend aux mains , au ventre, puis monte, monte, envahit le coeur
en même temps quelques mouvements du membre supérieur droit dont la main fermée exécute des mouve- ments de supination t
de la jambe sur la cuisse s'accentue, ainsi que la supination dela main droite +. Les craquements augmentent, la vitess
craquements dans la cheville + Mouvements de flexion du pouce de la main droite, puis de tous les doigts. - Cinq minutes
- sion,du membre inférieur droit et. très légers des doigts de la main droite. Durée de dix minutes. Sentez la chevill
Mouvements très intimes de flexion des quatre derniers doigts de la main et très étendus du pouce + La cheville se déblo
débloqué. Sentez la verge et les testicules : Louis frotte avec la main droite verge et testicules qui, bientôt après,
bi- lisation du bassin + On le brûle z- Tout disparaît. Sentez la main droite : mouvements de flexion et d'extension d
n. Sentez le poignet : mouvements de flexion et d'extension de la main sur l'avant-bras en demi-supination, les doigts à
e que j'entends la montre ? Que vous écrivez avec la montre avec la main gauche. Sentez votre tête, votre cerveau : Ça m
rnal. Il me dit : Je vois trouble, mais je crois que vous avez à la main gauche un porte-plume. - Crise de contracture a
rise de contracture après laquelle il ne voit plus ce que j'ai à la main , parce que quelque chose lui a claqué dans la t
uation de la resensibilisation : Pourquoi bou- gez-vous toujours la main droite ? Parce qu'il part un lil d'ici (pariéta
ête, sort de la colonne. suit mon bras en dedans et fait mouvoir ma main . Sentez l'oreille : j'entends le tonnerre Tout
e), Louis fait des soubresauts. La disparition du fil brûlant de la main droite s'accompagne aussi d'un soubresaut. Jusq
sais pas l'âge que j'ai + Crise de contracture ? Le malade porte la main an flanc gauche --f- Levez-moi ça de devant, ce
c., fait enfin une procession bien suivie. A la fin, il me prend la main et me dit : Je n'ai plus rien et je suis bien.
et Louis est en imminence d'asphyxie; mais il appuie fortement la main sur son pariétal droit, glisse sur la joue et le
nt le ventre, il me semble que je recule très loin de vous, que mes mains sont grosses et pèsent beaucoup. Tout mon corps
nois et H. Carrier publient un cas fort curieux d'ano- malies de la main droite, de la jambe et du pied gauches, chez un
cipales déformations que les auteurs ont relevées dans leur cas. La main droite présente une déformation dite en pince de
dans ses moindres détails, la photographe et la radiographie de la, main et du pied qui offrent les malformations. En so
tte ma- 240 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. lade, sont limitées à la main et à i'avant-bras droits, à la jambe et au pied
utre fruste avec vitiligo largement réparti sur le tronc et sur les mains . Le premier malade a été en outre atteint de do
otalement absent et le gauche réduit usa plus simple expression, la main droite est petite et porte les traces d'une synda
e mourir, s'est souvent représenté à moi, je redoutais de mettre la main à l'oeuvre, mais comme je l'ai dit, j'ai traver
ce qui me dispensa de toute question. Il me serrait amicalement les mains , mais repoussait tout secours et il me supplia
ce déterminée de la' source lumineuse ou du réflecteur on expose la main pendant un temps fixé et pour une force de cou-
du segment inférieur de la moelle aient pu agir sur les muscles des mains . Deux hémiplégiques peuvent-ils tenir les stigm
la plus vive aux régions les plus riches en glandes, à la paume des mains , à la plante des pieds, au creux de l'aisselle el
de macrodactylie chez un enfant de trente et un mois, localisé à la main gauche et caractérisé par la soudure des parties
sident et de M. A. Hitti le secrétaire général, qui tient entre ses mains une administration plus complexe qu'elle ne le
tate une analgésie et une anesthésie thermi- que très prononcée aux mains et aux pieds. L'anesthésie va en diminuant de l
rnes et internes. Il en existe très peu sur les os des pieds et des mains . A la palpa- tion, ils sont d'une consistance o
ormal. La parole et l'écriture ne sont pas modifiées. Parésie de la main gauche; paraplégie inférieure bien prononcée avec
ar le Dr L. DurLos. (Th. Paris. Naud, éditeur, 1901.) , Entre les mains de Quincke et de ceux qui n'ont pratiqué la pon
embre du conseil de surveillance des asiles des aliénés, prenant en mains les intérêts de l'administration assignait la C
ur la tête le contenu d'une cruche d'eau froide qu'elle tenait à la main . Aujourd'hui (11 janvier), la malade se sent ma
une petite ecchymose s'est montrée depuis ce matin sur le dos de la main droite. - 22. Plus de fièvre ni hier ni aujourd
vait bêcher et piocher son jardin, il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun signe de dégénérescence; s
il fait exécuter à son avant-bras une pronation légère, il étend la main en haut : il suffit alors de procéder à la palp
t 378 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. pas du tout nécessaire que la main vienne en flexion dorsale, pour que se produise
lexion de l'avant-bras, le mouvement s'effectue aussi bien quand la main est totalement fléchie. C'est la répétition de
ogie des mouvements (1867) p. 160. « Les muscles fléchisseurs de la main sont, comme tous les autres muscles qui s'attache
re, quoique faiblement, exécuter ce mouvement. Après avoir mis leur main en pronation, ils la tenaient dans l'extension
aintenir, il se servait du bras droit ramené par-dessus la tête, la main gauche appuyée sur la hanche. Il faisait ce trava
Le trouble myotonique du mouvement est limité aux avant-bras et aux mains . Les muscles qui le présentent sont non hypertro-
ant convenablement à la lumière. Mouvements des bras et vigueur des mains parfaits, pouls normal aucune blessure, occiput
volume, se plaint de vifs battements de coeur, de tremblements des mains , d'une sensation de compression au cou, elle a
urs et pronateurs de l'avant-bras droit et des petits muscles de la main . Une cicatrice ovale, creuse, du volume d'une n
nt depuis longtemps presque exclusivement,du bras gauche et de la main gauche, Incurabilité. , . P. KERAVAL. L.T\\III.
os longs, la micromélie surtout rhizoméliqne, la macrocéphalie, la main en trident, l'inté- grité du thorax. .. R. Char
as, et des membres inférieurs. ainsi que du tronc : les muscles des mains et des pieds ne sont pas atteints : les spasmes
était étendu; pendant quelques minutes seulement on lui a placé les mains au-dessus de la tête. Au réveil les deux bras é
ysés : il ne subsistait qu'un très léger mouvement des doigts de la main droite. Les bras et les avant-bras étaient anes
surface équivalente en arrière : les deux épaules, les bras et les mains sont compris dans la zone anesthésiée. A la fac
nd la sensibilité est revenue, elle a reparu d'abord à la paume des mains , aux doigts, puis à la face dorsale des pieds, et
tres médecins de l'asile : il y avait aussi des coupures graves aux mains , résul- tant évidemment des efforts de la victi
arce qu'elle était la première personne qui s'était trouvée sous sa main : elle aurait agi de même à l'égard de n'im- po
Garnier, bien placé pour avoir sur lui des documents de pre- mière main , nous donne la statistique des individus écroués
e la caro- tide. Le membre supérieur correspondant est atrophié, la main .est en griffe, tous les mouvements sont incomp
un débit de vin du boulevard Richard-\'allace; l'autre, le lende- main , à Puteaux. Elle était, la seconde fois, au dire
trem- blement des lèvres et de la langue, pas de tremblement des mains , pas d'embarras de la parole. Elle ne présente pa
la- mation. La commissure labiale est abaissée, à droite. Avec sa main droite, le malade exécute sans difficulté tous le
encore beaucoup moins des phrases. Il copie l'écriture, mais d'une main mal assurée. Il copie l'im- primé comme un dess
moire, idées délirantes de grandeur et de richesse, tremblement des mains , diminution notable de l'acuité visuelle sans i
vement de trombone manifeste embarras de la parole, tremblement des mains . La mémoire ne semble guère atteinte. Il déclar
e la mémoire subsiste. Rien du côté de l'écriture. Tremblements des mains et de la langue, à rat- tacher, de même qu'un a
nt de vue physique, de l'inégalité des pupilles, du tremblement des mains et de la langue, l'exagération des réflexes, le
et à des achats de terrains adjacents. Le directeur- médecin a les mains libres, n'étant responsable que vis-à-vis du co
89 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
raux : la malade enlève ses oreillers, exécute des mouvements avec sa main comme pour arracher la douleur qui l'étreint au c
était purement nerveux : que la douleur se calmait à l'approche de ma main , que la respiration devenait plus lente et plus c
mari, me la ramena à Nancy, le 18 janvier, décide à l'abandonnera mes mains ,et n'ayant d'ailleurs aucun espoir de la sauver ;
il y eut encore quelques élancements passagers ; la malade portait sa main sur la région prcecordiale et avait un mo-ment d'
outir ; je lui montrai que sanj l'endormir, l'application seule de ma main suffisait à enlevr toute sensi-sibilité douloureu
ntérêt dramatique et que le caractère de ses personnages est tracé de main de maître. Cela suffira pour justifier le succès
divine » : Passanante, se précipitant, une- bannière socialiste à la main , sur le roi Humbert, qu'il veut mettre à mort pou
ité. Les affaires ne pouvant se traiter, nous dit-il, que le verre en main . Au début, il pouvait limiter très facilement s
n éprouve, qu'il a une épingle profondément plantée dans le dos de la main . 6 mai. — Les cauchemars ont disparu comme par
ors, puis je l'invite a se lever. Il obéit. Je lui mets alors dans la main un verre rempli d'eau : « Voici de l'absinthe, lu
en sera ainsi chaque fois que vous aurez un verre d'absinthe dans la main . » J'ajoute: « Si jamais quelqu'un vous sollicite
S'il insiste trop, plutôt que d'en boire, vous lui appliquerez votre main sur la figure. » Je le réveille et lui demande
fait ni vous ni moi, il se trouvera sans doute aisément de meilleures mains que les miennes pour reprendre l'œuvre et lai fai
vec des souliers boueux et des pantalons crottés ; la propreté de ses mains est douteuse et il s'en va sans les laver. Il a p
t que le suggéré était uo instrument aveugle et automatique entre les mains de celui qui la mis dans l'état hypnotique. Il a
, Elle ne sent pas l'application d'un fer chauffé au rouge; elle a la main couverte des brûlures qu'elle se fait journelleme
e, la doctrine de l'auto-suggestion. L'auteur expose ensuite, et de main de maître, ses idées sur l'etiologie ou mieux sur
out l'univers vous vénère comme un saint ? Je vais faire coulcrdc vos mains une rosé: de sang ; une croix sanglante stigmatis
évrier 1882, pour y être traitée d'une atrophie considérable des deux mains , dont le début remonte à environ neuf ans. Elle s
remonte à environ neuf ans. Elle se plaint surtout de n'éprouver à la main droite aucune différence du froid et du chaud. Ce
verte des brûlures qu'elle se fait journellement. L'atrophie des deux mains est très prononcée ; la disparition des muscles o
des muscles opposants et des interosseux leur donne l'apparence de la main simienne. La malade a de graves antécédents h
re que 1a suggestion n'ait été appliqué, nous avons vu l'atrophie des mains s'améliorer d'une façon très appréciable. Le même
ises d'éclamp-sie pendant ses couches. De plus, elle présente sur les mains , les bras ella poitrine, de nombreuses marques de
d'amener rapidement une élévation notable de la température de la main chez des malades qui présentaient de la cyanose d
s dans des ouvrages classiques que vous avez certai-nernent entre les mains . Beaucoup d'auteurs considèrent les tentatives
autres lois elle avala des flacons de laudanum qu'elle avait sous la main . Obs. VI —Alix s..., trompée par son premier am
lever la baguette de sûreté, et son amant put lui arraché l''arme des mains avant qu'elle eût réalisé son dessein. Obs. VII
n de se tuer et, aussitôt elle avale le poison qu'elle trouve sous sa main ou se jette à l'eau. Le lendemain, elle est enc
avec le délire des persécutions et la folie systématisée.Il décrit de main de maître la genèse des idées fixes. « chez un in
on. Crainte de contaml-nation. Délire de toucher. Lavage fréquent des mains comme usage de puri fication. Déverses autres obs
arres, il n'ose rien toucher, de peur dé contamination c' se lave les mains toute la journée II raconte qu'il ne peut dormir
es injections de morphine. Des crampes se produisirent aussi dans les mains et les pieds mais celles-ci diminuèrent par la su
bre et d'octobre, elle souffrait de vives douleurs dans les bras, les mains et les jambes. A cette époque elle prenait de b à
me, il commit l'inconséquence d'aller se mettre, à Londres, entre les mains de la justice. En prison on s'aperçut qu'il était
e enclavéedans le détroitsupéricur gênerait pour la pénétration de la main et des branches et entourerait cette opération-de
e plongée dans un degré assez profond de l'hypnose devient, entre les mains de celui qui Ta endormie, un véritable automate,
e contre quelqu'un et de la précipiter a sa 'encontre le couteau â la main ; j'ai déplace en elle le sentiment de l'amitié,
jet de valeur place à leur portée ils se cachèrent le visage dans les mains ; puis l'un d'eux se réveilla en-disant : « Non, j
n mot, il recevait du malade un violent coup de poing â la figure. La main était armée d'un caillou. Le coup porta à quelque
ions identiques. Sa malade pouvait être hypnotisée par le passage des mains sur les globes oculaires. Quand on l'hypnotisait
Une des hystériques les plus intéressantes qui aient passé entre nos mains . Alber-tïne M..., était alors dans le service. El
e sens strict du mot, l'idéal célèbre : il est comme le bâton dans la main du voyageur! « Aussi, contrairementà l'opinion
omnambule et très délicate, elle a été presque toute sa vie entre les mains des médecins. Je l'ai trouvée extrêmement hypnoti
retour à Paris, son imprévoyance su se mettant elle-même entre les mains de la justice (1). » Aussi, M. Dopffer rendait-il
regard le tableau des dangers qu'offre le sommeil provoqué entre des mains inexpérimentées. Enfin il l'applique avec te plus
(2) : tuberculeux, brightiques, rhumatisants, etc., etc. Entre les mains du professeur de Nancy, la suggestion acquiert un
es faits précis, nous avons maintes fois livré nos malades à d'auu-es mains plus habiles que les nôtres. Elles ne réussirent
r plus qu'à cette époque; des crimes de laboratoire, par exemple, ses mains en sont pleines. Puis il se livre à une dissertat
pard a voulu exécuter l'ordre quelle avait reçu. Elle avait entre les mains la cordelière, elle s'est avancée, mais elle n'a
grand anatomice autrichien, âgé de quatre-vingt-onze ans, a reçu des mains de son frère le crâne authentique de Mozart Une
par le besoin du vol ; il dérobe tous les objets qui tombent sous sa main et les cache avec dextérité. « Tel autre combin
e qu'il y a un danger à laisser la pratique de l'hypnotisme entre les mains du premier venu, et. pour eux, un des dangers rés
nconnu. Un grand nombre de fois, à la Salpètrière, on a mis entre les mains d'une hypnotique un coupe-papier, en lui disant q
soir, lorque déjà le jour tombait, la Lohée s'élever rougeâtre de sa main gauche, et bleue de sa main droite. Elle voyait
ombait, la Lohée s'élever rougeâtre de sa main gauche, et bleue de sa main droite. Elle voyait toat aussi bien les mômes p
ousse de toutes ses forces, ne veut plus de compresses, mais lient ma main sur ses yeux. Contractions chaque 2 m., pas de do
le, un hypnotisable, s'il en fût jamais, — il ne faut pas avoir eu en main un hypnotisé pour le nier, — déclaré simulateur p
même aussi vite qu'elle l'avait espéré. Pendant ce temps, j'avais la main placée sur le ventre de la femme pour surveiller
Il était environ six heures du matin. Assis à côté de la femme, d'une main placée sur le ventre, j'observais les contraction
se plaignait nullement, mais elle disait par moments : « C'est votre main qui est sur le ventre qui me gône ». La contrac
ant la contraction. A la première qui survint, M. Delbœuf, plaçant la main sur la poitrine de la femme et appuyant quelque p
dilatation du col avait à peu près la grandeur d'une petite paume de main . La tète plongeait davantage et se rapprochait du
mmander toutes les quatre minutes. A partir de ce moment et montre en main , nous pûmes nous assurer que les douleurs revenai
a moyenne. Détail caractéristique. Le mari pleurait et joignait les mains , dans des angoisses inexprimables, parce que, à s
CRISTALLISATION Que l'acte de la cristallisation soit perçu par la main sensitive, et comment il l'est, c'est un sujet qu
des façons renforcer et affaiblir les effluves. Je faisais lever une main au sujet et, si je plaçais ensuite les doigts de
r une main au sujet et, si je plaçais ensuite les doigts de ma propre main de même nom, de façon que les bouts de mes doigts
mes doigts arrivassent à l'articulation des premières phalanges de la main du sensitif, la Lohée s'allongeait de moitié envi
moitié environ. En répétant l'expérience avec les doigts de mon autre main , les effluves se raccourcissaient jusqu'à s'évano
parfois complètement. En appliquant le même procédé à la réunion des mains de même nom de plusieurs personnes, les mains dis
rocédé à la réunion des mains de même nom de plusieurs personnes, les mains disposées les unes au-dessus des autres, à la faç
es rayons solaires opèrent des modifications analogues. En plaçant ma main droite au soleil, on voyait s'épaissir et augment
, on voyait s'épaissir et augmenter la Lohée émanant des doigts de ma main gauche, maintenue à l'ombre, jusqu'à doubler de
qu'à doubler de grandeur. Au contraire, si je maintenais à l'ombre ma main droite et plaçais la gauche au soleil, la Lobée s
'ombre ma main droite et plaçais la gauche au soleil, la Lobée sur ma main droite diminuait jusqu'à s'effacer presque. — En
nt, la Lohée doublait et triplait de longueur. — La façon de tenir la main avait sur le phénomène une influence essentielle
in avait sur le phénomène une influence essentielle : en laissant mes mains pendre le long du corps, la Lohée était toujours
e long du corps, la Lohée était toujours plus longue aux doigts de ma main droite qu'à ceux de ma main gauche, 5 lignes d'un
ait toujours plus longue aux doigts de ma main droite qu'à ceux de ma main gauche, 5 lignes d'un côté. 1 ligne 1/2 de l'autr
e, 5 lignes d'un côté. 1 ligne 1/2 de l'autre; mais, si j'élevais les mains , les doigts en l'air, les Lohées s'inversaient :
es mains, les doigts en l'air, les Lohées s'inversaient : celle de ma main droite devenait la plus courte, et celle de ma ma
ent : celle de ma main droite devenait la plus courte, et celle de ma main gauche la plus longue, 4 lignes d'une part et 9 d
me terrestre. — L'afflux, plus ou moins considérable du sang dans mes mains , n'amenait aucune différence dans la grandeur des
aucune différence dans la grandeur des Lohées. Après avoir placé mes mains horizontalement, je les élevais verticalement et
encore en grandeur et s'élevaient de G à 7 pouces. En se frottant les mains , les bouts des doigts ou leurs jointures, la Lohé
doigts, il donnait 9 lignes; si je l'entourais simplement de mes deux mains , la Lohée montait à 12 lignes, et si je le compri
mains, la Lohée montait à 12 lignes, et si je le comprimais entre mes mains , aussi fort que je pouvais, elle était de 26 lign
suivait donc le développement de la force vitale. Si j'étendais ma main et mon bras droit, en poussant l'effort jusqu'à l
ns. Un sensitif se plaçait devant le médium, de façon qu'une de ses mains fut dirigée au nord, l'autre au sud ou inversemen
inversement; dans les deux cas, la Lohée se montrait plus longue à sa main droite qu'à sa main gauche. Je fis examiner les
s deux cas, la Lohée se montrait plus longue à sa main droite qu'à sa main gauche. Je fis examiner les doigs de mes deux p
miner les doigs de mes deux pieds. Ils se comportèrent comme ceux des mains . Ils donnaient, tout comme eux, naissance à de lo
et dit que cela lui fait beaucoup de bien. En même temps je liens ma main sur ses veux, à chaque coi;traction (elles revien
respirer la compresse et pousse, ne se plaint pas, puis elle pose sa main sur la mienne. A 6 h. 3/4 la tête franchit le can
, la femme pousse, reste calme. A 7 h. l'expulsion est finie, jute ma main de ses yeux et elle les ouvre de suite, demande l
nnait pas, qu'elle pouvait ouvrir les yeux, mais que si je mettais ma main sur ses yeux, elle se sentait bien et cessait de
e et l'intérieur du larynx, très vite, sans aucune peine; l'œil et la main s'y font seuls. On procède automatiquement pour a
. — Face pile, anémiée, amaigrie". Tempérament lymphatique. Apyrexie. Mains fraîches. Pouls 80, régulier. Le matodo présente
plus de rien. Son teint est plus rose. Le dynamomètre donne 28 de la main droite, 23 de la gauche. Suggestion tous les jour
ve très bien. 22 janvier. — N'accuse plus qu'un tremblement dans la main qui l'empêche d'écrire. Noua le faisons écrire so
es fois ce sont des mouvements combinés, tels que le frottement d'une main contre l'autre, la marche en avant sans pouvoir s
ux de l'estomac, à la vulve, aux reins. Parfois, tenant un objet A la main , l'idée lui vient de le laisser tomber A terre, m
proie à un malaise général, des sueurs apparaissent aux pieds et aux mains « elle ne sait pas ce qu'elle a >; elle geint,
un besoin génésique très vif, elle y résiste; jamais elle ne porte la main A la vulve, se bornant A geindre, A serrer les cu
8 nov. 1887, p. 11S. comédie f ne sait-il pas que ce qu'il tient en main n'est pas un poignard, mais bien un objet inofien
uf, en fin de compte, se déclare convaincu que si. on mettait dans la main d'un somnambule un vrai poignard, il ne frapperai
ppât quelqu'un. Si on le lui ordonnait énergiquement, elle levait les mains et tombait aussitôt en léthargie. M. Pitres a pu
ience, que son sommeil ou son non-sommeil étaient entièrement dans ma main . Que je pouvais, selon mon désir, prendre le somm
suggestion d'autrefois) les contrac-tions en flexions des bras et des mains se reproduisirent. Cependant, par des suggestio
t amenés l'un après l'autre. A la plupart, elle tâtait le dos avec la main gauche, tout à fait à la manière des somnambules,
e volonté. Puis viennent les mouvements automatiques (contorsions des mains ) se répétant avec une rapidité vertigineuse. Je l
se. Je lui suggère la sensation d'un fluide magnétique entre mes deux mains , sur lesquelles sa tète est appuyée (elle répond
se plaignait, en outre, de ressentir quelque chose d'anormal dans la main . Puis tout se passait. A neuf heures, elle se r
re com- parés à ceux de l'homéopathie ou à ceux de l'imposition des mains de Maennedorf ; à mon point de vue, ceux-là ne so
estion, comme du reste il est arrivé d'en guérir par l'imposition des mains ou par l'homéopathie. Naturellement, il n'est pos
éniblement, le eorpt fortement incliné à gauche et en avant, les deux mains appuyées sur un bâton ; pendant la marche, le mem
90 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ant, il éprouvait une sorte do somnolence. Lorsqu'il se vil cuire les mains des agents, il lui sembla qu'il sortait d'un rôvo
élibérer, etl'on composa des mémoires,dont quelques-uns, écrits de la main de Biaise, concluent à la résistance. Cependant,
bulique, de découvrir les affections de la personne qui lui touche la main et d'indiquer le remède convenable; que presque c
Guertiau ; que les malades s'adressent à elle ; qu'elle leur prend la main , énonce leur maladie et dicte l'ordonnance au D'
cements brusques quasi-instantanés (de Rochas}, la présentation de la main (Boi-rac). Ainsi certains phénomènes réputés ra
e. Pourtant son pouls bat plus de SU pulsations. Elle est couchée les mains jointes ; son bras demeure en l'air si on l'élève
ion pariétale gauche d'un homme sain. Au bout de quelques minutes, la main droite est prise d'un tremblement convulsif qui g
avec le professeur de psychologie belge, qu'on laisse libre entre les mains les plus ignorantes et les plus imprudentes une p
p plus délicate, et Unira, si l'on n'y prend garde, à tomber dans les mains des charlatans 3ans aveu. La seconde question,
terminer la cause. Au mois de novembre 1898 elle s'est brûlé les deux mains et les avant-bras; elle en éprouva une vive fraye
t d'un malaise très pénible; cela ne dure que deux minutes, montre en main ; au bout de ce temps, les secousses se répètent p
de Charlotte ce Roannez. Les Pensées ont été et sont dans toutes les mains . Or, si l'on ne connaît bien Pascal, si l'on n'es
nées â l'onanisme. On lui administra du bromure et on lui attacha les mains : rien n'y fit. Elle fut hypnotisée et reçut la su
ni moustaches. Les fonction de la peau sont normales, les ongles des mains et des pieds sont bien développés, les dents régu
le sommeil (hypnose), le sujet est merveilleusement plastique sous la main du médecin; alors intervient la nouvelle thérapeu
'il ait porté sa découverte à la perfection, r. moissonnant à pleines mains dans ce nouveau champ d'observation et laissant à
ocaliser les lésions dans le cerveau et dans la moelle, à y guider la main du chirurgien, à analyser les névroses, à utilise
nouvelles écoles et les maîtres contemporains et démontre, œuvres en main , qu'ils sont dégénérés. Mais tandis que Lombroso
e plus graves, on arrive au but le plus souvent par l'application des mains , des passes sur le visage et les extrémités du co
ec la téte d'un serpent : crâne, bouche, yeux, sont comme dessinés de main d'homme. Les graines de buglossc ayant vaguemen
tions populaires, 1S87, p. 1&amp;4./page> page n="145"> main en bois est efficace contre les blessures de ce m
pratiquée au temple d'Asatusa (Tokio). Les fidèles frottent avec les mains la partie de la statue divine correspondante à la
de lastatuc. Elle a aussi une statue de saint Ivertin qui porte les mains à sa tète ; celle-ci est inclinée sur l'épaule dr
icaux ou pharmaceutiques. Il ne lui reste qu'un léger tremblement des mains , quelquefois un peu d'agitation la nuit, un peu d
it difficile. Dans la première séance, par le regard, la parole, la main droite appliquée sur le front et bientôt sur les
On doute môme des choses qu'on a vues de ses yeux et touchées de ses mains . — J'ai toujours trouvé St Thomas bien crédule, a
ommes du peuple, enfants, gens de marque. . Certains sr- lavent les mains dans la braise; un môme en sort avec un charbon e
de vie- Cette attitude, la tête baissée,lesyeuxbaissés,souvent les mains Jointes, cette attitude de reploiement sur soi-mê
puis une heure dans Pétat profond d'hypnose. Soudain les doigts de sa main droite s'agitèrent, puis, sans s'éveiller ni ouvr
utefois, C. n'a pu se souvenir que du fait suivant : les doigts de la main droite se sont crispés au moment où la suggestion
lution titrée, de cocaïne, par exemple, ne donnera-t-elle pas, en des mains dif-rentes, des résultats insuffisants ou excelle
; la douleur passée, je commence l'expérience et, lui appliquant une main sur le ventre, l'autre sur les yeux, sans laisser
térine assez/page> page n="180"> forte se produisit sous ma main , accusant un effort violent, mais sans douleur ap
tes écoulées, une nouvelle contraction se produit, je la sens sous ma main , mon autre main étant restée sur ses yeux et, sou
e nouvelle contraction se produit, je la sens sous ma main, mon autre main étant restée sur ses yeux et, sous l'influence de
our continuer à la soulager, à l'empêcher de souffrir, en plaçant mes mains comme j'avais commencé à le faire. Cette expérien
. Cette expérience faite, je me rends à sa prière et, cette fois, mes mains étant appliquées toujours, l'une sur le ventre, l
tourage, je me mets en devoir de pratiquer le procédé du Dr Joire.Une main sur le ventre et l'autre sur les yeux, je lui aff
rgie. Trois minutes s'étaient à peine écoulées, que je sens sous ma main une contraction se produire, mais sans souffrance
précédentes. Quand je la quitte, clic souffre. L'application de mes mains est continuée; je fais une suggestion nouvelle d'
t des plus simples, puisqu'il consiste uniquement à appliquer une des mains sur les yeux du sujet qui ferme spontanément les
erme spontanément les paupières sous cette légère pression. L'autre main est appliquée sur le ventre et, en même temps, l'
e psychologue d'Ouire-Mer rendit visite à Mme Pipers et mît entre ses mains une pendule de voyage qui avait appartenu à.un pe
étants et une voix dolente. Elle s'endort toute seule, en prenant les mains du visiteur et, après quelques sursauts et quelqu
s de Braid. Après l'avoir plongée en catalepsie, il lui transperça la main avec une aiguille et fit diverses expériences des
agir, dans les circonstances que nous supposons, que s'il a sous la main ur. sujet capable de subir les suggestions qu'il
échappe tout d'abord, il est vrai, mais nous avons le sujet entre les mains . Dans ces conditions, un médecin neurologiste exp
otisme, on peut dire qu'il est, à tout le moins, inoflensif entre les mains de ceux qui en ont fait une étude approfondie, qu
isé. Séance du mardi 21 novembre 1699. Hyperhidrose abondante des mains guérie par l'hypnotisme par M. le Dr Albert Charp
un cas d'hyperhidrose abondante localisée à la face palmaire des deux mains , cas intéressant par sa rareté d'uno part, et aus
revenu de sa terreur, M. D..., âgé alors de 15 ans. s'aperçut que ses mains étaient tout humides. Dès lors, M. D... transpi
que ses mains étaient tout humides. Dès lors, M. D... transpira des mains à tout instant, plus particulièrement lorsque son
te nécessitant u::e association d'idées dans la quelle intervenait la main . Par exemple, les mouvement;; de préhension et su
d'une intensité vraiment extraordinaire. A peine avait-on essuyé les mains que l'on voyait apparaître, comme au sortir d'une
cumoirc, les gouttelettes de sueur, et M. D... n'avait qu'à tenir ses mains pendantes pour que chaque dernière phalange digit
un robinet de filtre. En_regardant sourdre les gouttelettes dans la main de ce jeune homme, on devinait la distribution de
dernier lieu, et avec beaucoup moins d'intensité, dans le creux de la main et sur les deux premières phalanges digitales.
t les traitements suivants qui furent suivis par le malade : bains de mains dans des solutions modificatrices de hi peau, eau
nte, â savoir les pointes de feu profondes et les scarifications; les mains de ce jeune homme furent labourées en tous sens.
e obtenue. Le malade aujourd'hui, après A mois de traitement, n'a les mains moites que de temps à autre. Cette moiteur ne dur
s accusée. Le bras droi n'exécutait que des mouvements restreints; la main , tout en eonservan le mouvement des doigts, ne dé
Société de dermatologie une' jeu:ic femme portant des cicatrices aux mains , aux pieds, aux joue?, a la région antérieure du
s 1870, lirons Ci consaîî.e lo paa^ntntditdo Bordeaux, qui, cnt:c 1-j mains de nos chirugiens de rai.-.t-Andr,:, «"draïnaa la
alade chloroformé dans un but de suggestion vienne à mourir entre nos mains . Les experts, avec les dispositions d'esprit qu'o
ait dans son cerveau la musique harmonieuse qu'il composait et que sa main traduisait sur le papier. Par la force de l'auto-
rs d'une crise, un beau jour, il saisie ses organes génitaux dans les mains et les tira fortement, comme pour les arracher ;
rtement, comme pour les arracher ; parfois anssi, il fait pénétrer sa main dans l'arrière-gorge qu'il laboure jusqu'au sang
première séance, il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paralysées et lui ont refusé tout service
inq verres à vin de genièvre. Quelques jours après, il a fait avec sa main gauche quelques mouvements auxquels il n'était pa
pas habitué ; à la même époque, il a senti des fourmillements dans la main gauche. Néanmoins, il a joui d'une santé excellen
obsessions et phobies ; il avait également tendance â se servir de la main gauche ; parfois, tl s'amusait à lire à l'envers.
s'agite et gesticule sans cesse ; il est Impressionnableetémotif. Ses mains tremblent, c'est alors que,pour étudierle tremble
e et sachant écrire l'hébreu, on Ta prié d'écrire quelques mots de la main gaucho et de droite à gauche, c'est-à-dire dans l
pas intervertie mais si, au contraire, le malade écrivait de la même main gauche, mais do gauche à droito l'écriture était
age n'est pas intervertie. A la question pourquoi il écrivait de la main gauche et en miroir il a répondu que c'est par su
ou encore simplement chez des sujets normaux qu'on fait écrire de la main gauche. Mais jusqu'à présent on n'a rencontré p
étrange. Chazal, en manches de chemise, un lourd marteau de fer à la main , se tient debout devant l'enclume. Il parait tran
nt des silhouettes. Cbazal est toujours debout, immobile, grave, la main sur le marteau, ceint de rouge, Illuminé par la f
par le bras, une autre femme retient ses jambes et le forgeron de sa main gauche soutient sa nuque. Un effroyable rugisse
première séance, il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paralysées et lui ont refusé tout service
es aspersoirs, les patènes et les plats d'offrandes ont passé par les mains du ciseleur. Les dais, les chapes, les chasubles,
si vous subtilisez dix millions à des actionnaires ou si vous faites main base sur une province ou sur une nation, vous pas
ire. Quant à moi, les vignettes des missels qu'on me mettait dans les mains , étant enfant, se sontsi profondément gravées dan
lle a maintenant les aspersions, les bénédictions, les impositions de mains , les saluts, les génuflexions, les prosternements
t, a S'il le fallait, s'écrie-t-ellc tragiquement, je me couperais la main pour témoigner que je dis la vérité ! » Afin d'
volume. Lorsqu'un malade, atteint de cette affection, tient dans sa main un objet d'une certaine dimension, il lui semble
rticulier le tremblement tout à fait typique dans le bras droit et la main droite. Ce tremblement était continu et le malade
de avait perdu complètement la faculté d'écrire et de se servir de sa main . Sous l'influence des mouvements, les doigts s'ét
s,soumis au traitement hypnotique, il peut maintenant se servir de sa main pour manger, boire, écrire et travailler: son fac
du pelit morceau de bois, en partie carbonise, qui lui reste dans la main ; finalement, elle le jette loin d'elle, par la fe
e, même le plus insignifiant, ne manquait jamais d'aller se laver les mains et qu'elle le faisait bien jusqu'à cent fois par
tout moindre essai de palpation, la malade repousc instinctivement la main qui la touche. Sur toute la surface œdémateuse, l
au d'un de ses poignets, un œdème très douloureux qui lui laissait sa main sans force aucune, lui arrachant fréquemment des
cusé et convaincu de sorcellerie. Il fut condamné à être brûlé par la main du bourreau et l'exécution eut lieu devant un gra
de sa parfaite honnêteté ; en foi de quoi nous avons signé de a notre main . — Fait à Vanvres, le 19 septembre 1730. Pintuel,
un malade atteint, je suppose, de fièvre typhoïde : si je lui lève la main , une fois sur trois, au moins, il gardera la main
: si je lui lève la main, une fois sur trois, au moins, il gardera la main cn l'air, parce qu'il n'a pas assez de spontanéit
rce qu'il n'a pas assez de spontanéité intellectuelle pour changer sa main de place. .Si, dans la pratique civile, vous pr
tre le premier et le deuxième orteil, et, prenant la viande à pleines mains , il la coupe ainsi en l'attirant de bas en haut.
sseoir accroupi par terre de façon u avoir ses pieds rapprochés de la main et leur permettre de travailler ensemble ; 2° aux
ois, p. 151./page> page n="383"> Hyperhidrose abondante des mains gué-rie par l'hypnotisme, par Albert Charpentier,
91 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
qui consistent à apprendre aux enfants à se laver la figure et les mains et à s'ha- biller ; - 3°les exercices pour l'éd
mains et à s'ha- biller ; - 3°les exercices pour l'éducation de la main , des sens et de la parole ; 4° les leçons de pe
ne ligne verticale dans l'espace ménagé entre les deux règles. La main ne peut dévier que d'une manière restreinte. Lo
utefois s'appuyer sur la règle, qui doit servir non pas à guider la main , mais l'oeil. Nous remplaçons ensuite l'apparei
nts. Des boules de grosseur correspondante sont placées entre les mains de l'enfant qui doit les faire passer par les t
Fig. 4). Cette boîte constitue un nouveau moyen d'éducation de la main et de l'oeil et contribue à apprendre aux enfan
Il est salace, déchire ses habits, casse tout ce qu'il a entre les mains . Il est incapable de s'habiller et de se déshab
ssivement poltron. Il aime à détruire tout ce qui lui tombe sous sa main . Quoique assez délicat, il ne serait jamais mal
l'Age de 8 ans. Elle présentait, autour des ongles des doigts de la main et des pieds, des ulcérations (onyxis -probable
Membres supérieurs : bien musclés, sans ancienne cica- trice. Les mains sont régulières, les ongles sont courts, can- n
he. Déjà, depuis un mois, on s'était aperçu que l'enfant avait la main gauche plus faible que la droite, sans rien remar
, est paralysé, mais incomplètement. Les extenseurs sont pris, la main est en flexion et en pronation ; la supination es
; incapacité de s'habiller. - Accès de cris. - Tics; se mord les mains ; accès de colère. Progrès de la marche. Etat s
nger seule, se tient mal à table ; elle prend plaisir à plonger les mains dans sou assiette pour porter les aliments à la
nts, surtout de sa soeur âgée de 10 ans. Tics. Mus... se mord les mains constamment et avec vio- lence, surtout la part
e ; elle se tient mieux et exécute quelques pas en la tenant par la main ; elle cric quand on veut la mettre dans le cha
rder plus longtemps. Au bout do quatre jours on dut le remettre aux mains de la police qui l'en- voya à la préfecture, pu
it son livre de messe, porte un scapulaire. Tantôt il se frotte les mains , tantôt il les applique sur ses oreilles comme
normal, peu musclé. - Colonne vertébrale non déviée. Bras normaux, mains lon- gues ; doigts-volumineux. - Membres inféri
n lant quelques secondes, abduction et extension des bras en croix, mains fermées, les pouces en dedans, puis déflexion e
- En plus de ces accès de cris, Lau... se tapotait le front avec la main droite, ou bien se cognait le front sur la tabl
fuleux, aucun traumatisme. Elle a eu des engelures aux pieds et aux mains . Les sentiments affectifs sont nuls ; elle ne p
grêles, peu musclés. Les mouvements sont gauches et la position des mains bizarre : elles semblent être le siège d'une lé
mblent être le siège d'une légère contracture. Sur le dos de chaque main , davantage à droite, épaississement papittomate
tamment ce.- régions Les ongles sont bien implantés et la forma des mains régulière. Les mimbres inférieurs ont une morph
'ap- pelle, regarde un instant puis cache vite sa figure avec les mains . Elle ne sait ni s'habiller ou se déshabiller, ni
oujours le même; le gâtisme persiste. Elle continue à se mordre les mains , à se frapper le front, à jeter des cris, à se
. Janvier. Elle se déchire constamment le nez, cogne sans cesse ses mains qui sont couvertes de croûtes épai-ses. Bien qu
plus en plus. Malgré la surveillance, et quoiqu'on lui attache les mains , sa figure et son nez surtout, sont écorchés. L
térieur du tronc, attitude particulière et contracture légère des mains , marche difficile et hésitante, gâtisme. L'en-
l'abri un fût d'eau-de-vie; celui-ci se serait en- flammé entre ses mains . - Deux frères : l'un, idiot depuis l'âge de 7
rossesse ap- parut de l'oedème des jambes et des cuisses ; rien aux mains , ni aux paupières : on ne peut savoir si les ur
opération, iljetait, bri- sait, cassait ce qui lui tombait sous la main ; il griffait et mor- dait. On ne signale che
lus calme. Quand il veut uriner, il fait « han, han » et porte la main à ses organes génitaux ; pour la défécation il in
nes génitaux ; pour la défécation il insiste davantage, tire par la main , montre le vase. Il est devenu très peureux et
d'être calme ; il pousse des cris, se cogne la tète et se mord les mains . Etat actuel (21 avril 1894). - Le teint est co
entrouverte. L'enfant bave et crache continuellement, soit sur ses mains , soit sur les objets qui l'entourent. - La lèvr
t pas surveillé. Les membres supérieurs sont bien développés; les mains rouges, violacées, les doigts gros, comme cedém
tandis que le bras droit est sans cesse agité, soit pour porter la main àla bouche, soit pour se donner des coups sur l
sis de la barbe traité et guéri à l'hôpital St.-Louis. Il porte aux mains des cicatrices laissant présumer une résec- tio
la sottise qu'il venait d'accomplir que, tandis qu'il tendait d'une main l'étoupe arra- chée au sommier, il se protégeai
juillet. - Tentative nouvelle de strangulation, cette fois avec les mains sur l'enfant D... qu'on a trouvé suffocant. 188
ve ses manies destructi- ves; il vole tout ce qui lui tombe sous la main . Un pantalon trop court, par exemple, lui a été
ales. Examen dynamométrique : D. 30; G. 25. Aucune malformation des mains , doigts et ongles. - Mem- bres inférieurs bien
ours souriante. Il fait parfois des grimaces, se mord l'index de la main droite en remuant la tête à droite et à gauche,
ain droite en remuant la tête à droite et à gauche, pendant crue la main est repliée en l'air dans la position qu'il lui
u'un de s'approcher. Lorsqu'on arrive près de lui, il tâte avec les mains , et tout en parlant compte les boutons des vête
s de la cour sans qu'on le con- duise. Il marche le corps droit les mains tendues en avant. Il ne casse, ni ne déchire ri
ombres, compte des bâtonnets qu'on lui présente et les doigts de la main allongés, enles pal- pant. Il compte spontanéme
ne infirmière qui lui faisait une observation, l'a saisie par les mains , égratignée et frappée à coups de pieds sans qu'e
battu sa soeur, il s'est mis dans une violente colère, crispant les mains et tout d'un coup il a prononcé le mot : « me..
-fléchis sur les bras ; les doigts sont à demi-fléchis. La peau des mains est violacée et froide. Membres inférieurs tr
nt complètement disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des pieds, Deb.... taquine les infirmiers, p
it. Urine : 500 gr. Pas de glande. La desquamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500 g
veau de l'ombilic Om,740, il ne mesure plus que Om, 67. La peau des mains demeure moite et devient souple ; les ongles po
s du cou ont diminué, la parole est plus nette. 12 juillet. - Les mains et les pieds font peau neuve, les ongles pousse
agilité. Elle se cache derrière les portes avec un petit bâton à la main dont elle donne un coup à chaque enfant qui pas
les rubans de leur bonnet et rit bruyamment. La desqua- mation des mains et des pieds continue. 30 septembre. - Durant p
ns des seins ni de la vulve, le corps tout entier est glabre. - Les mains et les pieds n'ont plus l'aspect pachyder- miqu
membres supérieurs nous n'avons à noter que l'épaissis- sement des mains . Aux membres inférieurs signalons une légère in
Elle marche assez bien, à la condition d'être toujours tenue par la main ; le pas est encore mal assuré. Elle a une asse
de des ongles, disparition des croûtes de la tête, desquamation des mains et des pieds qui perdent leurs caractères Lies,
s et saccadés; toucher, assez délicat, aime beaucoup à pas- ser les mains sur tout ce qui est soyeux; odorat, normal; fla
nvolontaire. Il ne laisse pas tomber les objets qu'il tient dans la main . La durée de ces accidents ne dépasse pas 5 à 6
92 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
blissement de la vue. Etourdissements , krouomanie. Tremblement des mains . Cauchemars. Cris. Février 1898 : torticolis et
rogressif de la rue. - Cécité au bout de 2 ans. - Trem- blement des mains iL partir de l'âge de 15 ans. - Tumeur blanche
ngueur; rallongement porte sur tous les segments, bras, avant-bras, mains , doigts. Il y a un léger degré de contracture p
proche de son lit : « vache, cochon, putain. » Il a constamment les mains sous la couverture pour se livrer à l'onanisme et
de battements excessifs. a) Il existe un tremblement très net des mains , menu, rapide, perceptible au repos et s'exagér
toujours judicieusement interprétée, par son érudition de première main , son caractère à la fois scientifique et pratiq
s fesses, il existe uneanesthésie en garniture large d'une paume du main de chaque côté, et descendant un peu au- dessou
légèrement écarté du corps, l'avant-bras fléchi sur le bras ; la main est rabattue et déviée vers le cubitus, les doigt
après les crises épileptiqucs, qu'elle indique par son attitude, la main sur le front, ou quelquefois par des plaintes t
e levé et écarté du corps. Elle bouleverse tout, s'accrochant de sa main droite aux personnes ou aux objets qu'elle renc
, la malade se plaint, noue un mouchoir autour de sa tète, porte la main au front : le nysLagmus est accéléré, le strabi
produits par l'hypnotisme sur les hystériques. Mais l'esprit hu- main , avide de résoudre les problèmes qui l'environnen
tenu, soit en fixant un objet brillant, soit par l'apposition des mains sur le front, soit par la parole. Peu importe a
e pleurait et se plai- gnait qu'elle ne pouvait rien tenir dans ses mains , tant celles-ci tremblaient toujours. Elle ajou
stème nerveux. Les réflexes lendineux augmentés : trem- blement des mains il chaque mouvement ; les réflexes pharyn- gien
ui aurait dit : « Le quart des parisiens m'est passé aittsi par les mains . » , MAL PERFORANT ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115
enez un lé- ner mouvement de projection de la jambe, ou au moins la main appliquée sur le triceps y sent des contraction
901- 19U5.) Un prie le sujet du regarder au loin et l'on bai, des mains (mit près d'une oreille; ses paupières su ferme
onditions suivantes : le patient ne doit point voir le mouvemem des mains de l'expérimentateur ; il doit être assis sur une
rüru cLe faun 11 mnarclur lc plafoml ; le iun decin frappe dans les mains derrière lui tout un examinant les paupières de
Afin d'éviter de mettre l'air en mouvement par le claquement t des mains , on peut frapper avec le manche du marteau sur un
oucher le verre les extrémités digitales, ou d'autres parties de la main , on voit l'aiguille faire un mouvement vers le
rrespondante. Parfois c'est l'inverse ; la feuille recule devant la main qui s'approche, pour revenir sa situation premièr
la main qui s'approche, pour revenir sa situation première quand la main s'éloigne. Rien de semblable ne se produit sur
avec acropares- thésiu des lueurs orangées autour de la tête et des mains . Sont- ce des phénomènes de radioactivité ou de
cause est. restée inconnue. Le début aurait été (j fois localisé la main gauche, 5 lois à la main droite, 1 fois aux mem
e. Le début aurait été (j fois localisé la main gauche, 5 lois à la main droite, 1 fois aux membres inférieurs. Dans un
ruction des libres des organes. Noté également des paresthésies des mains d'ailleurs générale- ment rapidement passagères
dissement qui pendant près d'un mois occupa foule la paume des deux mains et la plante entière des deux pieds, ainsi que
d'introduire entre les lèvres et ont ! ')' les dents l'index de la main droite, écartant les mâchoires com- me avec un
les lui rende, déclare qu'elle ne veut pas les laisser entre les mains de leur père.[« Ils ont encore besoin des caresse
tes, des cou- teaux ou tout autre objet qu'elle rencontrait sous sa main . La réaction terminée, la femme P ? ne paraît p
trace des coups qu'elle vient de porter inconsciemment de sa propre main , le témoignage flagrant d'une intervention malvei
ne émotionnelle chez une dé- générée. M. IIOUBIN(N'rTCH entre les mains six mille dossiers d'enfants martyrs, il n'y a
nts ictiales de parents aliénés dont les dossiers ont été entre les mains de M. ilouhinowitclt. Peut-être cela tient-il à l
t par les extrémités et, portant d'abord sur les petits muscles des mains et tles pieds, avant ut plu- profondément que s
angeait, il s'arrête dans l'altitude du mo- ment, la cuiller il. la main , la bouche ouverte, fixe et raide. Mai 1901 à 2
ui lit pren- dre l'habitude de saisir directement la tasse dans ses mains et de boire à même. Elle commença par de petite
teints dans leur ensemble par les mouve- ments : si la malade a les mains croisées sur l'abdomen au mo- ment de la contra
ent modifiée par exagération du mouvement : si la malade portait la main sur sa tête. la main est projetée latéralement
ération du mouvement : si la malade portait la main sur sa tête. la main est projetée latéralement et dépasse le but. Qu
masse de l'organe et, ne produit pas de trouble de la parole. Les mains présentent un tremblement également, inconstant,
rps, la main'ouverte, et le pouce un peu replié vers la paume de la main . L'analyse des urines, l'aile aussitôt après la
des tics, el par des hoquet* convulsifs espacés. Le tremblement des mains persiste, très affaibli dans son amplitude, et
ée au- dessous du zygoma, en arrière de l'os malaire. Du côté des mains , aspect de la sclero-dactylie à sa phase ini- t
et réveil des fonctions psyclil- flues, Culte malade présente la « main en trident » que M. Marie considère comme carac
ans chez le malade ; ces crampes localisées aux avant-bras et aux mains réalisaient le type de la « main de l'accoucheur
localisées aux avant-bras et aux mains réalisaient le type de la « main de l'accoucheur »'. La contracture actuelle pré
ux organes génitaux, à l'abdomen, au dos, respec- lant la face, les mains , les jambes et les pieds. Les troubles nerveux
lieu à des manifesta- lions gangreneuses symétriques. L'examen des mains du malade montre : . droite : Index tuméfié,
e tendant à se généraliser, la présence, d'une grille cubitale à la main gauche confirment leur manière de voir. G. L.
enfin lus moyens do traitement. III. Contribution à l'ètudeile la main bote congénitale ; par le Dr P. C'RANDJEAK (déc
ut heureusement empêché par les employés, qui le remirent entre les mains des agents, lesquels le conduisirent au commiss
ueuse. Il est tout à fait propre, s'habille seul, lave lui-même ses mains et son visage. Son caractère est gai. B ? est pré
I ne veut plus absolument écrire. Il tient mal son crayon dans la main , sourit, comme s'il disait : « Je n'écrirai pas »
main, sourit, comme s'il disait : « Je n'écrirai pas », et tient la main raide quand on veut le faire écrire. 1905. - S'
n corps et de ses vêtements, ainsi que le nombre et le nom de ses mains . Il reste malgré cela turbulent et voleur de fria
xer- cices qu'on lui faisait faire, se cachait le visage avec les mains , puis, si on le forçait un peu vivement, il se re
r les hauts cris et qui aujourd'hui l'amusent. Il laisse guider ses mains pour les exercices des barres, du nouer, lacer
pouvoir lui-même diriger l'éponge sur son visage, et à laver ses mains . 1904. - L'amélioration continue, l'enfant est
sol, et leur appliquant ainsi chauffé sur le visage, le cou ou les mains . Tous ces faits, vus et empêchés, sont niés par
ore davantage, l'en- fant est devenu propre. Il sait bien laver ses mains , commence à endosser lui-même ses vêtements. Il
cochon, puis va chercher une brosse, pour se brosser et laver ses mains . Après quoi, il est fier, et va montrer à tout le
urs, de rages, notre élève déchirait ses vêtements, se mor.dait les mains et ne vou- lait rien faire. D'une grande indoci
e pour apprendre; dès que j'entre dans la classe, ses yeux et ses mains me demandent instamment de le prendre près de m
l'addition simple. Il y-a de grands efforts à faire pour écrire, la main droite étant pa- ralysée et la gauche très mala
difficultés que nous avons rencontrées. Malgré la difformité de ses mains idiotes, Çharm ? est parvenu à former , FIG, 22
i que, grâce au traitement persévérant des douches en pluie sur ses mains malades et toujours gonflées (1), elles ne se s
er, à s'attacher à nous, à son frère. Devenu moins maladroit de ses mains , il nous a rendu quelques ser- vices dans les d
iotie complète, gâtait, ne savait pas s'habiller, mangeait à pleine main ; il était d'une nature extrêmement paresseuse,
r. - En 1897, il a appris à lacer, nouer, boutonner, à se laver les mains seul, à reconnaître les couleurs, les principal
points; notre élève est en bonne voie pour la lecture, écrit de la main gauche. 1896. Poirs ? lit couramment, mais ne c
devoirs, ses cahiers sont bien tenus, et bien que se servant de la main gauche, son écriture est très lisible. 1901.
ais il n'a pu y rester à cause du tremblement -dont est affectée sa main droite. De- puis le icr décembre, il est, comme
ocomotion incessant. 1904. Malgré la paralysie dont est affectée sa main gauche Ricqu ? est arrivé à faire le noeud à ro
L'écriture est bonne et très lisible bien que l'enfant écrive de la main gauche, le côté droit étant paralysé. Pour le c
TRAITEMENT MI·.D1C0-Pi'sn.lGOGIQ1;I : DES IDIOTIES. 293 rée, les mains moins maladroites. En 1899, il est parvenu à se
s, des boutonnières et poser des bou- tons. Mais elle se sert de la main gauche, ce qui rend le tra- vail plus lent et p
lent et plus difficile; l'enfant s'obstine à ne pas se servir de la main droite, bien qu'elle ne soit point paralysée. E
ôtés, bavardait à l'école, faisait aller ses jambes, ses pieds, ses mains , on aurait dit qu'elle était mue par un ressort
re externe, cicatrice cutanée et exostoses. La paume droite de la main a été déchirée aussi par un trau- matisme (aura
i par un trau- matisme (aurait été accidentellement pendu par cette main à un croc d'étal) ; petit doigt désarticulé et
rs de l'avant-bras, tandis que le groupe postérieur est celui de la main . e) On retrouve le centrede la main dans toute
oupe postérieur est celui de la main. e) On retrouve le centrede la main dans toute V étendue du, l" seg- ment dorsal ;
- sez souvent quelques groupes de muscles, exemple : la face, les mains , l'avant-bras, l'épaule, traduisent un accroissem
n'ont ja- mais cédé depuis lors. L'attitude athétosique figée delà main rappelle celle de l'hémiplégie cérébrale infant
, et deux mémoires spéciaux : Education psycho -physiologique d'une main idiote, éducation pspcho-physiologique d'un cei
rt à l'Expo- sition de Vienne et les mémoires sur l'éducation de la main et de l'oeil qui formaient autrefois le volume
étaient atteintes d'hypocliondrie : l'une des deux s'est coupé la main gaucho d'un coup de cognée. Un frère de la condam
(Pierret) et du toucher sous forme de picotements à la face et aux mains , de sensation de froid aux mains, etc. En faisa
me de picotements à la face et aux mains, de sensation de froid aux mains , etc. En faisant l'examen des principaux phénom
il et d'autres' , spasme du cou, de la nuque, l'engourdissement des mains , du tronc, convulsions de certaines parties du
lait une odeur nauséabonde, les cheveux clairsemés et raides, les mains courtes, épaisses et cyanosées, le ventre volumin
odeur fétide qui se dégageait de cette matière s'est amoindrie; ses mains et ses pieds n'ont plus cette teinte violacée;
avec aisance; monte et descend les escaliers en se tenant des deux mains à la rampe et paraît fière de pouvoir faire cet
on corps et de ses vêtements, désigne par leur nom les doigts de la main , elle compte seule jusqu'à vingt. Au point de v
elle faisait quelques pas tout en la soutenant et lui donnant la main . L'enfant a eu, en outre, une coxalgie qui a néce
tions de l'arithmétique, écrit lisiblement, quoi- qu'écrivant de la main gauche. A son entrée, l'enfant re pouvait ni s'
. RAYMOND et EGGER.- Une vieille femmeprésenteunemo- noplégie de la main droite en voie de guérison ; intégrité de tou-
Raymond et Français montrent une syringomyélique spas- modique avec main de prédicateur, thorax en bateau etcypho- scoli
surait 30 centimètres delà tète il la queue et était large comme la main d'un homme ; il avait la tète et le corps d'une
plus considéra- bile du côté gauche, qui donne 0 au dynamomètre, la main droite donnant encore 18. Les muscles des mains
0 au dynamomètre, la main droite donnant encore 18. Les muscles des mains sont très atrophiés ; la gauche est réduite à u
mps, et qu'elle laissait tomber tous les objets qu'elle tenait à la main . Peu à peu son humeur LA SCLÉROSE LATÉRALE AM
servation elle lance à la ligure des gens ce qu'elle lient dans les mains puis entre dans une crise de rire incoercible e
et en équin varus ; à la ceinture scapulaire, à Pavant-bras et à la main , qui est légèrement déformée en griffe. L'atrop
lle a, celle dub, à.l'm, etc. Il ne peut se servir utilement de ses mains , surtout de la gauche ; les membres inférieurs,
e les régions lombai- res sont atteintes ; les interosseux des deux mains ont à peu près disparu. Les sphincters fonction
du maxillaire supérieur gauche. Puis gêne de la marche, ensuite des mains en troisième lieu, gêne de la parole ; entre te
thénar,moindre à l'hy- pothénar ; visible aux interosseux. Les deux mains ne donnent que 20° au dynamomètre. Pas de tremb
é,hypo- thénar, sont aplaties, les espaces interosseux amaigris, la main droite étant plus touchée; les mains sont creus
spaces interosseux amaigris, la main droite étant plus touchée; les mains sont creuses, le pouce s'op- pose difficilement
ladresse. 11 y a tendance à la contracture des fléchisseurs et à la main en griffe à droite. Atrophie de la ceinture scapu
s les tas d'ordures et lorsqu'on veut lui retirer ce qu'il dans les mains , il devient méchant.» Le certificat de vingt-qu
somme, l'atrophie atteint surtout le bras et la jambe gauches. Aux mains , les éminences thénar et hypothénar ne pa- rais
temps opportun. Elle ne mangeait pas seule, cherchait à mettre les mains dans son assiette, ainsi que dans celles de ses
de poitrine puis des crises cardiaques et enlin de l'mlènte de la main avec cyanose. Il s'y ajoute de la cyanose de la l
se. Lymphocytose. \'oir Landry. Magnan. IIommage au D1' -, 317. Main bote. De la congéni- tale, par Grandjean, 231.
93 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
rres parallèles, à marcher soit en lès tenant sous les bras ou à la main , soit au charriot ; on essaie de les rendre pro
sur les sièges d'aisances et de leur apprendre à se servir de leurs mains pour manger, etc. Au 31 décembre 1886, il y ava
5, 10, 15, 20, 25 et 30 millimètres, destinés à être pris à pleine main ; 3° De sphères en bois de diamètre également dé
, 20, 25 et 30 milli- mètres, destinées à être prises soit à pleine main , soit avec l'extrémité des doigts. Ces différen
ne constate pas d'épais- sissements rachitiques des épiphyses. Les mains et les doigts sont très larges, courts, épais;
cident, il pouvait encore marcher assez convenablement, tenu par la main ; il n'aurait que rarement marché seul dans l'appa
soeur lui fit par imprudence de fortes brûlures à la figure et aux mains . Il fut alors ramené à Bicêtre, d'où il ne sort
sous le doigt et comme bouffie de graisse. On ne constate pas à la main d'abaissement notable de la température. Le the
ois, on y observe un abaissement de température, sensible même à la main ; le thermomètre, appliqué sur la face externe d
ace externe des bras, marque à droite 33°,8, à gauche 34", I . La main droite est déformée par une brûlure dont la cicat
s de monnaie ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dos de celte main , la peau, comme oedémateuse, forme une pelotte
ent résiste sous le doigt et ne disparaît pas par la pres- sion. La main gauche offre un état analogue, bien qu'à un deg
e, lourde, mais cependant possible lorsque l'enfant est tenu par la main . Il est intéressant de remarquer ici que le Pac
ssiette. Il mange sa soupe seul, avec une cuiller qu'il tient de la main gauche et les autres aliments avec ses doigts. 11
s doigts. 11 boit également seul en tenant le gobelet avec ses deux mains . Appareil digestif. - Il n'existe ni vomissemen
ir : 38°,6. CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 31 8. - La rougeur a gagné la main droite; en même temps elle disparait en arrière
bdomen. T. R. 38°,2. -Soir : 38°,8. 9.- La rougeur est limitée à la main et au poignet droits, les autres parties attein
urant de l'année. On l'exerce à marcher, ce qu'il fait, tenu par la main . La mémoire parait exister; il reconnaît les pers
nt avec peine la pulpe des deux doigts index et médius réunis de la main gauche. Les valvules sont suffisantes et saines
l'époque de sa mort, il était propre, marchait tenu simplement à la main ; il était devenu, au moins par moments, plus ex
e une légère couche de graisse sur toute la surface du corps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un enfant;
ertaines circons- tances ; ainsi quand on lui met un chat entre les mains , il le caresse et prend une figure riante et po
aisseux. Nulle part on ne trouve d'infiltration oedémateuse, ni aux mains , ni aux pieds, ni à la face. On enlève la parti
n des paupières; épaississement de la langue , bave; oedème sur les mains ; cheveux rares ; absence de goitre. La nommée
esses et aux extrémités ; celles-ci sont déformées et massives. Aux mains , le creux palmaire est remplacé par une surface
souffrait de maux de tête, sa tête s'inclinait sur la poitrine; les mains et les pieds devinrent très froids, les jambes
ngelures. La .'peau est sèche et dure par places, mais la paume des mains est quelque- fois moite. Les mains ont la forme
re par places, mais la paume des mains est quelque- fois moite. Les mains ont la forme d'une bêche. 11 n'y a pas de vérit
ne douleur lorsqu'on les saisit entre le doigt dans le rectum et la main placée sur l'abdomen. Il est probable que les o
rougeole. - Langue et lèvres épaisses; gonflement des pieds et des mains ; intelligence et mé- moire presque nulles ; ina
oit, peut mettre la Bourneville, 1886. 5 66 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. main derrière la tête, mais les mouvements sont lents
il venait bien, était frais, rose, n'avait rien ni aux pieds ni aux mains , ressemblait aux enfants de son âge. Victor com
'adénite, d'otite, de maladies cutanées, etc.. - Vers neuf ans, les mains et les pieds épais et courts se seraient gonflé
onner, lacer ou nouer, ni se déshabiller, se laver la figure ou les mains . Il était très sensible au froid; les mains et
laver la figure ou les mains. Il était très sensible au froid; les mains et les pieds, surtout ceux-ci, étaient bleus et
nent, mais la poitrine est normale et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramassées, les doigts sont courts,
- tuel et physique, l'aspect de la face, du cou, des pieds et des mains qui, d'après le récit des parents et d'après la
quable agrandissement des éminences thénar et hypothénar de chaque main , ce qui leur donnait un aspect large et déformé,
de 4m, 30; le cou était large, gros; la peau comme oedématiée; les mains ramassées; les doigts épatés étaient rouges, cy
pachy dermique commençante, qui se développe en un an. La force des mains diminue, surtout à droite; la marche s'appe- sa
novembre 1880. Deux mois après, fatigues, anémie, perte de forces, mains lourdes, peu agiles, surtout pour les travaux f
à coup. En février 1881, anémie prononcée, faiblesse de la mémoire, mains engourdies. En lévrier 1883, les symptômes s'am
avec peine 2 kilom. L'anémie s'accentue, le visage s'infiltre, les mains sont entlées, sans albuminurie; diminution de l'a
rie; diminution de l'appétit, de la soif et du goût, maladresse des mains , lourdeur des jambes. 1 Annales médico-psycholo
t écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des pieds et des mains . Le cou est guéri, CACHEXIE PACHYDERMIQUE OPÉRA
d'oedème marqué, mais épaississement de la peau du visage et des mains . 26'' Baumjdrtner 1. Fille de seize ans, extirp
un goitre de 166 gr. en octobre 1881. Un an après, visage infiltré; mains et pieds épais, dyspnée ; alourdissement corporel
pâleur et idéation ralenties, visage infiltré, paupières épaisses, mains enflées le soir, pas d'al- buminurie, paralysie
s, dyspnée en montant l'escalier, visage infiltré, ma- ladresse des mains ; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et
ltré, ma- ladresse des mains; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et pieds enflés ; difficulté de parole et d'idé
ote l'arrêt de la croissance, la pâleur du teint, un oedème dur des mains , la décoloration des muqueu- ses ; l'abdomen es
enaire avait eu des douleurs rhumatismales ; pas de nodosités·des mains . Soeur : morte à sept ans de co ? t'UMSïo ? s ? F
vec une cuiller. Le strabisme domine à gauche. Quand on dérange les mains , elles exé- cutent de très faibles mouvements.
re. FAITS CLINIQUES. 125 10r mai. La préhension se fait mal de la main gauche. La marche s'accompagne de titubation av
C'est pour cela que nous n'avons que des renseignements de seconde main et partant insuffisants. HÉMIPLÉGIE DROITE INCO
ué cependant que lorsqu'il voulait saisir un objet, il dirigeait sa main à côté ; on attribue ce manque de préci- sion d
l serait atteint d'un tic : Il roule toujours quelquechose dans les mains (mouchoir, pain, ou n'importe quel autre objet)
eux mois, de l'eczéma impétigineux du cuir chevelu, de la face, des mains et des aisselles. Enfin, l'enfant ne devenait p
oins maintenant, en dehors de ses colères; il aime à se frotter les mains l'une contre l'autre (son père fait souvent de
. Quand il a bu ou fini de manger, il jette les objets. Il suce ses mains ; cette succion a été constatée dès son entrée
ts en se défendant l'ont jeté à terre. Il porto continuellement les mains à la tête, s'égratigne les oreilles et les lèvr
bres. Membres supérieurs : Le plus souvent, Ren... place les deux mains sur la nuque, appliquées l'une sur l'autre. Sur
e mais très améliorée. L'enfant est gai ; quand on le tient par les mains , il fait des mouvements du tronc comme s'il vou
reconnaît personne. Il a de nombreux tics : il saute, il tappe ses mains sur ses yeux, secoue fortement la tête ; il élè
coue fortement la tête ; il élève les bras et tourne vive- ment les mains ; il roule les yeux en haut et,en même temps (1)
mple, lorsqu'on veut qu'il vous regarde, il suffit do lui tenir les mains , de bien le regarder et de dire plusieurs fois
de le faire manger, car il ne savait aucunement se servir de ses mains , - appétence exclusive pour le lait et la soupe ;
vant son déjeuner sans y toucher, ou bien il mange salement avec la main et parfois essaie de prendre son bouillon avec
métrie impossible.- D'habitude le malade tient la tête penchée; ses mains sont ramenées en avant de la poitrine, l'une su
estomac est dilaté et déborde les fausses côtes de la largeur de la main . Dans la cavité pleu- rale gauche, un demi-verr
e par excès de redressement ; la cause vulnérante, probablement les mains appliquées avec vio- lence et symétriquement à
t du coude droit. Parfois, secousses du poignet gauche. Peau moite, mains cyanosées. Traitement : Sangsues derrière les o
94 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
modiques qui dispa- missent ensuite. Augmentation de l'atrophie des mains . Troubles de la déglutition, de la respiration,
Tenon, elle éprouvait une certaine difficulté pour se peigner de la main droite ; elle pro- nonçait mal certains mots, l
camotées, parler lent, monotone, non scandé. Pas de tremblement des mains . Jamais de maux de tête, ni ver- tiges. L'appar
u pouce n'est possible que si la malade prend le pouce avec l'autre main pour le mettre dans la position voulue. La ma
eu, les pouces sont rejetés en abduction, écartés de la paume de la main , il n'y a plus ou à peine d'opposition ni d'add
es éminences thénar répondent faiblement aux courants induits. La main n'a pas d'attitude particulière, sauf une demi pr
mmen- cement d'octobre ; elle peut aussi à peine se servir de ses mains , quoique celles-ci ne soient pas déformées. Les m
tômes sont encore plus accusés; depuis quelques jours seulement les mains ont commencé très rapidement à prendre l'attitu
à prendre l'attitude de la griffe ; les phalanges sont fléchies, la main est presque continuellement dans la pronation,
-Les mouvements de diduction de la mâchoire sont conservés. - Les mains présentent une atrophie musculaire manifeste av
ennes), de sorte que les ongles viennent porter dans la paume de la main , du moins, ceux des deux derniers doigts, car l
ers doigts, car le médius et l'index sont écartés de la paume de la main par le pouce fléchi entre eux et celle-ci.. L
dons des extenseurs, font une saillie considérable sur le dos de la main . Le carpe est un peu en extension sur l'avant-b
x présente une dépression assez considérable. Dans la paume de la main , les muscles qui s'attachent au bord interne du
ec la phalangine. Le pouce peut aussi être écarté de la paume de la main , mais avec une certaine diffi- culté. Quand on
sont des mouvements de flexion. Elle n'a plus aucune force dans les mains lui per- mettant de serrer un objet, ni de fair
ses doigts. La description qui précède a été faite surtout pour la main droite, la gauche est un peu moins atrophiée et
mais présente en somme un aspect tout à fait analogue à celui de la main droite. On éprouve une difficulté assez grande
et semblent avoir une certaine force; la malade ne peut mettre les mains sur sa tète, tout ce qu'elle peut faire, c'est
ment des muscles, surtout du côté droit du corps, spécialement à la main droite. En mai, on s'aperçut que la malade, en
upérieurs on constate un certain degré d'atrophie plus marquée à la main droite qu'à la gauche. (Les membres supérieurs
de l'atrophie avant les membres inférieurs, et tout d'abord dans la main droite où l'index et le pouce ont commencé à se
droite où l'index et le pouce ont commencé à se fléchir) ; dans la main droite, les deux dernières phalanges des doigts
supérieurs, mais beaucoup mieux d'ailleurs à gauche qu'à droite, la main gauche est à peine atteinte et la malade peut e
gère résistance des membres supérieurs aux mouvements passifs. La main droite est plus rouge et peut-être un peu plus fr
et peut-être un peu plus froide que la gauche. . Au dynamomètre, main gauche= 13 1{ ? main droite=71t. Dans les membr
plus froide que la gauche. . Au dynamomètre, main gauche= 13 1{ ? main droite=71t. Dans les membres inférieurs, résist
l'oeil nu sur la moelle d'un cadavre. Le Dr Gillette fait placer la main d'un aide au niveau du bulbe ; en tirant fortem
ériences en quatre groupes. Groupe premier. - Tractions faites à la main , au moyen d'un crochet mousse. Nous ne saurions
r le corps de l'animal par un aide; l'opérateur passe l'index de la main droite dans l'anneau d et pose le pouce sur le
droite dans l'anneau d et pose le pouce sur le bouton E. De l'autre main il ouvre la vis c, et la traction commence. On a
ion avait vécu qua- rante-trois jours après une forte traction à la main . Au bout de six à huit semaines, il n'y a que d
nerf sciatique d'un lapin sacrifié 43 jours après une traction à la main . La myéline est en voie de résorption. Prolifér
saisir les objets ô$' ' RECUEIL DE FAITS. placés devant elle. Sa main pressait fort, sa langue tremblait à la sortie
e, dame fort intelligente, décrit de la façon suivante : « Quand la main de mon fils, dit-elle, ne faisait rien, elle ne
ite, un ou plusieurs doigts; de grands efforts ou l'aide de l'autre main produisent le mouvement voulu qui, alors, s'eff
CHONDRE ; par C. Reinhard. (Cenlralbl. f. Nervenheilk., 1884.) La main est placée à plat (doigts réunis); on en dirige l
qui me semblent procéder du même ordre d'idées; je n'ai pas sous la main les observations complètes, mais en voici les f
la per- sonne qui a décidé ce qu'il doit faire, le touche de ses mains ; ils se mettent à marcher ensemble dans la cha
roblème (mou- vements de locomotion); 2° quand des. mouvements de main font partie du contenu du problème. Sans mou- v
corps du suggesteur, et dans les autres, par les mouvements de sa main , auxquels le corps prend toujours une cer- tain
ulaire du suggesteur et la résistance que ses muscles opposent à la main du lec- teur grandissent parallèlement aux mouv
main du lec- teur grandissent parallèlement aux mouvements de la main de ce dernier, tout de même que la tension de n
la tension des bras dans diffé- rentes directions. En tenant de ma main gauche le bras droit de la personne en expérien
oppressé, serré à l'estomac; son visage se couvre de sueurs, ses mains sont froides et, craignant de s'évanouir, il s'em
ans le lit, s'assied, réveille sa femme, gémit et, la tète dans les mains , cherche le nom qui ne vieut pas. Tout à coup i
entre le début des troubles bulbaires et celui de la parésie des mains , et un intervalle de dix-sept mois entre le début
ncore plus irritable que le précédent. Il mange seul, mais avec ses mains et est gâteux. Les testicules sont petits, la ver
ent t les jambes et les cuisses l'une contre l'autre en plaçant les mains aux parties génitales. De ces trois frères, l
ent, a travaillé au jardin jusqu'à ce qu'il eût perdu l'usage de sa main droite. 7° Mungo, quarante-sept ans, indifféren
supérieurs est une légère flexion de l'avant-bras sur le bras; la main est ordinairement à demi fermée. Quoique plus âgé
mbée quand le muscle entre en contraction. Le poignet est grêle. La main est courte et paraît très épaisse par suite du
écuté, il éprouve une peine extrême à éten- dre les doigts, et la main reste serrée pendant un temps relative- ment
Le tracé reproduit dans la figure 2 a été obtenu en plaçant dans la main de M. M... une boule de caoutchouc reliée par u
ormes de la contrac- tion électrique des muscles fléchisseurs de la main chez notre malade. Une boule de caoutchouc étan
malade. Une boule de caoutchouc étant placée dans la paume de la main , on lance les courants dans les muscles fléchisse
en hiver qu'en été. C'.3st ainsi que, pendant la saison froide, ses mains sont crispées et forment une griffe rigide. Lor
t avec difficulté et avec lenteur que ses doigts se détachent de la main étrangère. Enfin tous les phénomènes décrits pl
long. Par un froid très vif, il est même obligé de ramener avec sa main , dans leur position normale, ses AncHiVKS, t. X
d'un fil électrique. (C'est un simple fil de coton qu'il tient à la main .) Ce fil doit empêcher ses persécuteurs de l'ap
cture du côté droit a disparu. Il s'est endormi, le corps plié, les mains relevées derrière la tête, et a tranquillement
andine en voulant se tenir debout. La pression dynamométrique de la main droite est plus faible que celle de la main gau
on dynamométrique de la main droite est plus faible que celle de la main gauche. L'hémianesthésie sensitivo-senso- riell
cours d'une gastrotomie, au moment où le chirurgien introduisit sa main dans le péritoine, survinrent à deux reprises d
la peau de la face intacte, atrophie des petits muscles des deux mains avec troubles de nutrition, de la peau, des phala
dans l'eau froide. Il survint immédiatement de l'anesthésie de la main , puis de la faiblesse musculaire. Peu à peu l'ane
les deux confrères fussent d'accord, et qu'il n'eût pas entre les mains le rapport motivé, d'ailleurs non demandé par lui
tue sept personnes et parcouru huit kilomètres. Ayant eu entre les mains le dossier constitué par l'instruction laite au
xpé- rience physiologique faite sur les animaux fournit entre les mains de physiologistes même des plus éminents, il ne r
s'attache à Pinel. Le célèbre aliéniste est représenté tenant à la main des chaînes brisées qu'il vient d'ôter aux alié
, qui, comme lui, ont été bons, en lace du monument élevé par vos mains généreuses, à la science et l'humanité. » " Dis
e 1882, démontre un affaiblissement de la force musculaire des deux mains , spécia- lement de la main droite et une rigidi
ssement de la force musculaire des deux mains, spécia- lement de la main droite et une rigidité surtout dans les flé- ch
ainsi dire, un air de famille qui les faisait attribuer à une même main . Ils avaient éclaté soit un dimanche, soit un j
xplication rationnelle en dehors d'elle ? Le mobile qui a armé la main de Claude n'est-il pas un mobile passionnel d'o
n plus, il laissait quelquefois tomber les objets qu'il tenait à la main sans s'en douter, et il se sou- venait parfaite
des objets : faciles à s'enflammer qui se trouvaient à portée de sa main . Or, j'ai en vain recherché chez elle la sympto
je conclurai : . I. Les incendies multiples allumés par une même main présentent d'ordinaire les caractères suivants :
fait : il a continué à se toucher; quand on lui avait t attaché les mains , il « travaillait de son corps » et on avait dése
et 6 fois du )" janvier au 30 septembre 188o. Au dynamomètre, la main droite est un peu plus forte que la gauche. L
erme; cependant le nouveau-né n'avait d'ongles ni aux pieds, ni aux mains . Il a été élevé au biberon jusqu'à trois mois,
e plus; pas d'onanisme. Il marche seul et mange seul, mais avec ses mains ; il est gourmand et même vorace; pas'de salacit
utre que des engelures,' quelques croûtes dans les cheveux, sur les mains , à la figure et sur le corps, et souvent des ad
ers deux ans, jamais la parole ne s'est développée il mange avec la main , mais sait tenir une cuillère. Il a toujours ét
istant; ni bave, ni succion, ni balancement. Mange souvent avec ses mains , et déchire les aliments avec ses dents. Juin
t exagéré de l'abdomen.. Membres supérieurs grêles, bien conformés; mains violacées, doigts longs; pas de ganglions axill
manger seul avec la cuillère; cependant, il se sert souvent de ses mains ; il ne sait pas s'habiller. Pas de bave, ni de
tiques (dix ans); impotence absolue, parole nulle; mâchonnement des mains , stra- bisme ; affaiblissement prédominant au m
nées sur les bras de sa grand'mère ou dans une chaise, mettant ses mains dans sa bouche, mais sans les sucer. 1879. Sept
Le soir à sept heures, attaque de lathargie; en l'examinant, notre main touche par hasard le vertex, alors la malade es
ne sentaient qu'imparfaite- ment les objets qu'elles prenaient à la main . Elles avaient de la peine à saisir les petits
(Cas. XI); ailleurs de la migraine, des douleurs articulaires des mains , des coliques néphrétiques (Cas. XX11D; ailleurs
ement de pa- résie des extrémités du même côté ; hémiathétose de la main , température un peu plus élevée àgauche. -Autop
sourd, et on note un peu d'incoordination dans les mouve- ments des mains . Le 27 août 1882, sans que son état se soit en
re amputé la verge pour obéir au pré- cepte de l'Ecriture : « Si ta main droite fait le mal, coupe-la. » Il refuse de ma
galvanique; un bain chaud, comme un courant faradique. Placez les mains d'un névropathe dans l'eau froide ou dans l'eau
la première temporale, du pli courbe; l'habileté, la dextérité des mains , l'harmonie des mouvements, ne peuvent s'obteni
a moelle : tels sont les mouvements de flexion ou d'extension de la main sur l'avant-bras ou de l'avant-bras sur le bras
tres fois, ce sont des mouvements plus étendus, le frottement d'une main contre l'autre ; d'autres fois encore, c'est la m
paralysé, flasque, sans contracture. Le dynamo- mètre marque 0 à la main droite et 36 à la main gauche. L'anes- thésie d
contracture. Le dynamo- mètre marque 0 à la main droite et 36 à la main gauche. L'anes- thésie du côté droit est absolu
rend inintelligible la lecture à haute voix : je ne peux écrire, la main droite étant paralysée. La mémoire, très précis
droite. La force muscu- laire est sensiblement égale dans les deux mains : 21 à la main droite, 25 à la main gauche. V
e muscu- laire est sensiblement égale dans les deux mains : 21 à la main droite, 25 à la main gauche. V... se réveille
nsiblement égale dans les deux mains : 21 à la main droite, 25 à la main gauche. V... se réveille à Bonneval ; il vient
s du mouvement et de la sensibilité. Essais dyna- mométriques de la main ;droite : 30°; de la main gauche : 32°. 11 repre
ensibilité. Essais dyna- mométriques de la main;droite : 30°; de la main gauche : 32°. 11 reprend conscience le 6 mars z
emps qu'il appa- raît courroucé dans sa moitié gauche, parce que la main droite fait le geste d'un amical adieu, tandis
e que la main droite fait le geste d'un amical adieu, tandis que la main gauche semble, le poing fermé, menacer quelqu'u
nerf sciatique d'un lapin sacrifié 43 jours après une traction à la main . La myéline est en voie de résorption. Prolifér
95 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
70. Déjà, une décision que nous n'avons pas réclamée amis entre nos mains un service de près de 150 lits où il nous est don
e des Nervensystems mil Derucksichtigung der Pathologie. Francfurt am Main . 1855, pp. 63, 64. 2. Friedreich. — Beitraege z
loc. cit. — Eruption particulière siégeant sur la face dorsale d'une main et des doigts, et probablement consécutive à la l
l s'étaitformé sur la peau du pouce et des deux premiers doigts de la main , des ulcères qui résistaient à tous les traitemen
son des ulcères. Mais, aussitôt que la malade voulait se servir de sa main , le nerf était de nou-veau comprimé, et bientôt l
ccasionné la lésion des nerfs qui animent le bras, l'avant-bras et la main , j'ai vu le malade accuser une sensation musculai
es avaient même disparu sans laisser de traces. Chez cette femme, les mains avaient offert la dé-formation connue sous le nom
t sous l'influence des mouvements. Le genou, le coude, le poignet, la main , le pied, sont les parties les plus fréquemment a
tte, fut frappé d'hémiplégie à début subit. Peu après, le poignet, la main et le pied du côté paralysé dévinrent chauds et t
riphérie, analogues à celles qui se développent dans les doigts de la main , lors-que le nerf cubital a été froissé au niveau
té des muscles. — Attitude du tronc et des membres. — Déformation des mains et des pieds. Ralentissement dans l'exécution des
it à trembler, et letremblemenl qui était primitivement localisé à la main droite, s'est étendu et a gagné successivement le
me légère et bénigne. Le tremblement est circonscrit à un pied, à une main , au pouce. Ce symptôme en apparence si peu inquié
ères qu'il importe de connaître et sur lesquels nous insisterons. Les mains sont-elles prises? on voit ses divers segments os
usque-là demeurées indemnes. Si, par exemple, il a d'abord affecté la main droite, au bout de quelques mois, de quelques ann
quelques mois, de quelques années, ce sera le tour du pied droit; la main gauche ensuite, puis le pied gauche, seront pris
s oscillations ryth-miques et involontaires de diverses parties de la main rappeler l'image de certains mouvements coordonné
ans les cas de paralysie agitante un peu pronon-cée. — Attitude d'une main qui tient une plume pour écrire. que toujours,
eurs mérite d'être relevée. Fig. 9. — Déformations des doigts de la main simulant celles du rhumatisme articulaire chroniq
du thorax, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les bras ; les mains , fléchies sur les avant-bras, reposent sur la cei
vant-bras, reposent sur la ceinture (Planche \) (1). A la longue, les mains , en raison de la rigidité 1. Cette planche repr
lume à écrire; les doigts, mé-diocrement inclinés vers la paume de la main sont déviés en masse vers le bord cubital(F?V/.8)
s montrent, en outre, dans Fig. 10. — Déformations des doigts de la main , simulant celles du rhumatisme articulaire chroni
e tremblement, d'ailleurs peu intense éliez lirj, et limité à une des mains . Il avait cependant, à Uci-'haùï degré déjà, l'at
lle était poussée en avant et ne s'arrêtait qu'en s'appuyant avec les mains sur un corps résistant : « Sans cette précaution,
la malade a les bras accolés au corps, les avant-bras lléchis et les mains réunies comme pour se soutenir. Pris dans leur en
dans leur ensemble, les doigts sont légèrement fléchis, l'amasses: la main entière est incliner sers le bord cubital. Toutes
che de s'aider des objets voisin:-, elle saisil les montants avec les mains pour avan-cer le bassin : elle place ensuite ses
tants avec les mains pour avan-cer le bassin : elle place ensuite ses mains plus bas sur les côtés de la chaise, et, après qu
quatre années, le tremblement est à peu près nul: il n'occupe que la main droite, où il est apparu seulement depuis trois m
ation de Parkinson, que cet auteur a transcrite du reste de seconde main , il y avait, paraît-il, une augmentation de volum
lent éviter le [désenchante-ment des découvertes tardives, de seconde main , en anatomie pathologique. C'est dans les 22e et
rter à sa bouche le verre rempli d'eau, l'agitation rythmique de la main et de l'avant-bras est d'abord, au moment de la p
, il s'agit par exemple du membre supérieur, dans l'acte de porter la main à la bouche, la direction générale du mouvement p
le disions il y a un instant, s'exa-gèrent cependant à mesure que la main approche du but à atteindre. Au contraire, dans l
z avec soin, chez la malade que je vousprésente, les mouvements de la main , dans l'acte de la préhension d'un objet de pet
démesurément et s'étendent à l'excès en s'inclinant vers le dos delà main . Puis l'objet est saisi tout à coup, sans mesure,
observé une atrophie des muscles de l'éminence thénar. La paume delà main offrait une excavation an fond de la-quelle on vo
ue de les fléchir lorsqu'ils sont étendus. Lorsqu'on saisit dans la main l'extrémité de l'un des pieds et qu'on l'étend un
mme je l'ai plu-sieurs fois observé après lui, en saisissant à pleine main Fun des gros orteils du malade et en le fléchissa
un point de repère. Vers la partie moyenne de cette crête rigide, la main rencontrera le plus sou-vent un corps ovoïde, all
des muscles de l'abdomen. Mais, dès que celle-ci une fois vaincue, la main perçoit la résistance offerte par le détroit supé
de toutes ses forces et l'application des deux premiers doigts de la main sur le siège présumé de l'ovaire suffit pour obte
arrêter un accès, par une pression énergique, exé-cutée avec les deux mains réunies sur le bas-ventre. Mais déjà Mercado (151
ire. « Une forte et large pression, exercée par l'intermédiaire de la main sur la région ovarienne, suffit, dit Négrier, dan
'à mon sens elle com-porte, trace cependant avec une grande sûreté de main les traits les plus saillants de ce symptôme. C'e
bres intérieurs, se produit dans le pied lorsque, saisis-sant avec la main l'extrémité de celui-ci, on le redresse brusqueme
e,eu redressant vivement les doigts, un tremblement spasmodique de la main en tout semblable à la trépidation provoquée du p
nt, elle aurait des convulsions. Cependant elle serre fortement de la main gauche. Dans la nuit du 19 au 20, 6 accès et da
it en outre un mouvement de pronation, en vertu duquel la paume de la main se dirige en dehors. Cette attitude du membre sup
ent sur l'oreiller, Pa-vant-bras est fortement fléchi sur le bras, la main surl'avant-bras.et les doigts fléchis eux-mêmes a
ments ; ceux du côté gauche restent tout à fait libres. Ainsi de la main gauche, malgré les grandes oscillations du tronc,
goutte du liquide, un verre rempli d'eau ; elle peutencore, de cette main , tracer sur le papier quelques carac-tères, et éc
e l'avant-bras, de la nuque, de la jambe, les plis interdigitaux delà main droite, sont traversés de part en part, à l'aide
urence, un certain degré d'hémiamyosthénie. Ainsi, tandis que pour la main gauche la pression dynaraomé-frique est de 25 kil
ssion dynaraomé-frique est de 25 kilg., elle est représentée, pour la main droite, par 15 kilg. seulement. Relevons une fois
lesavanf- bras, demi fléchis, sont disposés do telle sorte que les mains reposent sur la région ombilicale et que les coud
peu fléchis et ramassés les uns contre les autres. La disposition des mains est la même des deux côtés. Les jambes sont rap
, surtout au repos. La tête tremble un peu plus, par moments, que les mains . Lorsque celles-ci sont d'aplomb, elles restent g
vient, mais avec une grande lenteur, à porter l'une et l'autre de ses mains à la face. Les membres inférieurs ne présentent
que jour le tour de la salle en la soute-nant. — Même tremblement des mains , des jambes. — Mêmes besoins de déplacement et mê
umide ; chagrins. — Névralgie frontale (?). —Faiblesse du pouce de la main gauche, puis de lamain droite. —Lenteur de la dém
é paraît avoir été ce que M. R... appelle une faiblesse du pouce delà main gauche. 11 s'en est aperçu en jouant aux cartes.
cartes. Il éprouvait une certaine difficulté à tenir son jeu de cette main ; peu à peu la main, puis l'avant-bras, et le memb
t une certaine difficulté à tenir son jeu de cette main; peu à peu la main , puis l'avant-bras, et le membre tout entier enfi
lus, le malade l'assure du moins, la moindre trace de tremblement. La main droite s'est prise plus tard de la même façon ; a
dant le temps que j'examinais M. R...,jem'aperçusque,par instants, sa main gauche, abandonnée sur le genou correspondant, ét
répondent que lentement et tardivement. » Je me suis assuré que la main gauche était la seule partie qui présentait le tr
e tremblement en question. Je priai M. R... de prendre la plume de la main droite et d'écrire quelques mots. Il traça len-te
ain droite et d'écrire quelques mots. Il traça len-tement, mais d'une main ferme, des caractères réguliers, telle-ment lins
l'ai dit plus haut, on peut a peine les déchiffrer à l'œil nu. Les mains ne présentent pas de déformation permanente : mai
s effort. Il n'existe pas la moindre trace de tremblement, même aux mains . La malade peut écrire encore d'une écriture très
n'y ait pas, comme on voit à propremement parler, de tremblement des mains , il y a lieu de remarquer qu'à l'occasion de cert
épida-tion spontanée et, à un moment, il survint de tremblement de la main droite dans les mouvements volontaires. En 1874
incapable de se tenir debout ; on observe le tremble-ment spécial des mains à l'occasion des mouvements. Quand on veut la lev
la diplopie et l'embarras de la parole ont cessé. Le tremblement des mains a diminué. La ma-lade peut s'asseoir sur son lit.
r, tantôt il se contracte dans tous les sens, bondit et s'échappe des mains qui le retiennent. La tête s'agite sur le tronc,
nt. La tête s'agite sur le tronc, en avant, en arrière, décote... Les mains se portent instinctivement,soit vers le col qu'el
lle elles sem-blent vouloir échapper en portant automatiquement leurs mains à la poitrine et au col, qu'elles se lacèrent par
t accident, d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en haut sur la main et l'avant-bras. La douleur sera probablemenlcomp
«..... Une jeune fille de 11 à 12ans s'était piqué l'index de la main gauche avec la pointe d'une paire de ciseaux. L'a
ngle droit sur le bras. Quelques jours après, tous les mus-cles de la main et de l'avant-bras furent le siège de spasmes vio
l'avant-bras furent le siège de spasmes violents, produisant dans la main et l'avant-bras, des mouve-ments convulsifs singu
il 1877, Mlle X..., en tombant de sa hauteur, se heurta le clos de la main droite contre un tabouret. Il s'ensuivit une doul
peu de gonflement. Deux ou trois jours après, le petit doigt de cette main commença à se fléchir d'une façon permanente, pui
erposer un linge, pour empêcher les ongles de bles-ser la paume de la main . Les tentatives de réduction faites à plusieurs r
e les doigts, qu'enfin il existe une anes-thésie complète occupant ta main droite, le poignet et remontant j usqu'à la limit
exion commença à se produire dans l'annulaire et le petit doigt de la main droite, ^es jours suivants, les trois autres doig
a main droite, ^es jours suivants, les trois autres doigts de la même main furent envahis à leur tour par la contracture. So
l'accident, on constate ce qui suit: Les quatre doigts internes de la main droite sont légèrement fléchis, dans l'articulati
ation métacarpo-phalangïenne, de manière à former avec la paume de la main , un angle obtus d'environ 130° à 130°. Les deux d
oignet est rigide lui aussi; en somme l'attitude rappelle celle de la main tenant méthodiquement une plume à écrire. Dans to
lume à écrire. Dans toute l'étendue du bras, de l'avant-bras et de la main , il existe d'une façon per-manente une douleur qu
resta localisé au membre inférieur gauche jusqu'en 1876, époque où la main du côté correspondant fut prise à son tour. Aujou
on le voit, un cro-quis fort instructif pour le médecin. 11 est de la main de ce P. Breughel (1), qu'on a quelquefois surnom
té des muscles. — Attitude du tronc et des membres. — Déformation des mains et des pieds. Ralentissement dans l'exécution des
; — dues à des lésions sponta-nées du nerf de la 5e paire, 17. M Mains (Déformation des) dans la pa-ralysie agitante, 17
96 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
a vérité, n’importe par quelle bouche; le bien, n’importe par quelles mains . PARIS. BUREAUX ; RUE NEUVE-DES-PETITS-CHAMPS
ivement de la chaîné. J’ai vu des cas où cette personne mouillait Ses mains inuti-leincnt et sans les rendre conductrices, j’
Médecine magnélique. (i) De Mira. Corp. subtil. mon cerveau à ma main , la force nécessaire pour produire l’effet que je
e l’effet que je désire. Ce qui part de mon cerveau pour arriver à ma main , préalablement par le canal des nerfs, est ce que
nommons fluide vital, ou fluide nerveux, ou fluide magnétique. Notre main , qui a reçu cette force, l’emploie à vaincre üne
lançant à une certaine distance. Si nous envoyons de la force à notre main sans la communiquer à un corps, soit immédiatemen
’armatures. Je saisis doucement le nerf crural avec deux doigts de la main gauche, et je le touchai avec un petit morceau de
chai avec un petit morceau de la chair musculaire que je tenais de la main droite. A l’instant, il y eut des contractions vi
isai la substance musculaire en deux parties, que je saisis de chaque main , et avec lesquelles je touchai le nerf en deux po
ures du soir. La tète se prend, la malade s’affaisse, ses bras et ses mains s’engourdissent, elle éprouve un soulagement; je
moi, elle le fait, et s’endort presque subitement A l’approche de ma main . Elle répond aux questions suivantes : Connaiss
t de m’obéir. Il est ici, dit-elle, dans la poitrine, en y portant sa main . Au même instant, des spasmes produits par une vi
olente crise se manifestent, elle souffre horriblement. J’applique ma main sur le creux de l’estomac et fais des passes à gr
y ainfen. Il s’échappe, ajoutai t-èlte, en plus gfândé abondante del mains Jue de todte âdtrfe pârtî^ dü corps, et particuli
bre des sotqnambules vqjppt un fluidt Ivmiueux et brillant sortir des mains et de la tète de leur magnétiseur.} H i ajoute qp
. Le champ de l’humanité a ses chardons et ses ronces; il faut qu’une main intelligente le» empêche de nuire. Mai», ne répan
ment contestés de notre maitre. Cette lettre n’est point écrite de la main de Mesmer, il l’a seulement signée. Nous ne savon
e de sa somnambule, transmet à celle-ci l'ordre voulu, en étendant la main ; et par la simple émission du fluide l'ordre est
rdre n’est pas plutôt transmis à M. Lassaigne, que celui-ci dirige la main vers son sujet, et immédiatement la somnambule s’
e i . Quand vous vous, wseyez auprès de moi, et que votre puissante main , sans me toucher^ agite l’âir qui m’environne, je
je me bornais à dire : Yous ne voyea donc pas qu’il s’échappa de mes mains , de mon corps une vapeur, un arôme, une flamme, e
mère de famille qui ne soient animés de pareils désirs, et entre les mains desquels le magnétisme n’opère des prodiges. A
qui auront été consignés d'avance dans un écrit cacheté, et déposé en mains tierces, je m'oblige à vous payer immédiatement 5
pé, je fer fa ; mais »'jl» ont dit vi*i, je mM. Le par» ne scra pas mains de soixante onces d’or espagnoles, ni plps de cin
e et correspondant à la jambe dont le nerf est intact, un doigt de la main , et à l’autre pied à nerf coupé, le doigt corresp
in, et à l’autre pied à nerf coupé, le doigt correspondant de l’autre main , l’on aura la reproduction des mêmes conditions d
rémonies du Yaudoux L’impératrice marchait deVânt, tenant un coq à la main . Les prêtres de èette religion portaient le mouto
il lève les yeux au ciel pour se donner l’air inspiré. Il tient â la main une grosse Bible, qu’il paraît lire avec attentio
la résurrection. Pour arriver jusqu’à l’enfant, qu’elle avait vu les mains jointes auprès du bon Dieu, elle avait traversé l
nne pas, on aurait dû dire par quel moyen celle-ci serait arrivée aux mains du destinataire. Ce procédé serait humiliant, mêm
e cette lettre, destinée à Swedenborg, dût seulement rester entre les mains de G. Bush; cela ne respecterait ni la logique, n
fin, dans celte France où les partis se menacent avant d’en venir aux mains ? L’ignorance, Messieurs, car chacun croit avoir l
e ! « L'homme des champs foule du pied les mauvaises herbes que ses mains ont arrachées, tandis qu’il caresse du regard et
Le génie du premier traça la ligne naturelle qu’il fallait suivre; sa main habile et puissante fixa les premiers jalons du c
pérance, D'éloigner du nous la souffrance. Dans l'air il agile sa main ; Il s’en émane un feu divin , Fluide pur qui
magnétisme un nom plus doux, l'n regard qui gronde ou caresse ; La main que lentement on presse; Un sourire échangé par
ement le principe d’une science nouvelle, et la cause du bien que ses mains avaient fait. Partisan dévoué du magnétisme, M.
des puissante* Que fait vibrer l'agent vital. Harpes, qui, sous des mains savantes. Produisent un son médical! Ce sont le
, et le diplôme de notre affiliation. Je vous serre cordialement la main , et vous prie de me rappeler au souvenir de mes c
e toutes les académies, s’il eût aperçu le premier que de ses petites mains s’échappaient des rayons: Jésus, enfant, ne confo
assister A la cérémonie que nous racontons. 11 reçut sa médaille des mains de M. le président, qui lui donna en même temps l
tiques M. Juffey en joignait de pécuniaires, il reçut sa médaille des mains du président, qui lui donna également l’accolade
ivre. Après avoir payé la dette du passé, ne fallait-il pas tendre la main à l'avenir? En recevant sa médaille, il embrassa
de l'enchantement. « Je suis la force rajeunie, L’agent caché, la main bénie Qui donne la vitalité; Je respire au seui
pas asservis..... Il inc semble voir des prémices Du bronze que mes mains pressaient avec délices. l'ertil accnell de mon
qu’une entrevue de mesméri-scurs de toutes les nations, se donnant la main et s’appelant frères. J’aurais bien voulu prendre
Soo-vola. Pierre Paul Doussin, âgé de trente ans, ayant demandé la main d’une jeune fdle qu’il aimait, fut ajourné jusqu’
prier Dieu. « Que fais-tu là ? lui dis-je. « — Je me chauffe les mains . Et il me pria par deux fois d’aller lui chercher
ce que je fis. « En entrant la seconde fois, je vis qu’il avait les mains dans le feu. Je les lui retirai précipitamment; e
’ont tenu les poignets dans la flamme, et m’ont entièrement brûlé les mains , me disant : Brûle, si tu veux guérir ! » Les d
xpression de sérénité parfaite , sa respiration est perceptible , ses mains ont quelque chaleur, et elle donne des indices de
s; bien différent en cela de Fontenelle, qui disait : « Si j’avais la main pleine de vérités, je me garderais bien de l’ouvr
ser sa fille. Celle-ci étant endormie, je dis à Mme Huet de placer sa main horizontalement et parallèlement aux yeux entière
ré ces derniers mots, que je m’empressai déplacer, tout doucement, ma main droite au-dessous de celle de Mme Iluet, â qui je
nt la calmer tout en voulant continuer mon expérience, je lui pris la main , et, me mettant en rapport avec elle, je lui adre
périence, je priai une personne de la société, Mme Am... de placer sa main devant les yeux de la somnambule, et dans cette p
moins fort. » Je priai encore une autre personne de placer aussi sa main de la même manière que l’avait fait la précédente
— Comment est-il? — Il est pétillant, c’est-à-dire il s’échappe des mains à la manière des étincelles de couleur de feu, el
de faire placer devant la lucide, à quelques pouces de distance, les mains des quatre personnes dont elle avait aperçu le fl
aperçu le fluide; mais quel fut notre étonnement, lorsque les quatre mains , à peine rapprochées de la somnambule, nous la vî
battre, et nous dire d’un air extrêmement contrarié : « Retirez vos mains , car vous me tuez avec ce mélange de fluides. Vit
une expérience qui tant contrariait la somnambule, je fis retirer les mains et cette séance finit. Croyant donc, Monsieur l
s, les faits d’insensibilité magnétique qui se produisaient entre les mains des chirurgiens de tous les pays n’eussent-ils pa
puyées sur des faits; e» ces faits, Messieurs, étaient l’œuvre de ses mains . Sa pensée, toujours active, cherchait surtout
’argent. Ce n’est point, Messieurs, par ce queM. Ordinaire a mis la main à l’épée que nous sollicitons pour lui cette dist
mme nous que celui qui en est l’objet ne puisse point recevoir de vos mains la récompense qu’il mérite si bien. Un jour nou
es personnes qui consultaient la sibylle était considérable ; pour le main -tenir et l’augmenter, Mongruel faisait insérer c
ouche pas aux muscles de la jambe , si celle-ci est bien isolée de la main , A est certain que la contraction éprouvée par ce
née, et passe dans la salle à manger. Avant de le suivre , je pose ma main sur la feuille étalée, en voulant qu’à son retour
epas, Gustave va reprendre son livre; mais à peine l’a t-il entre les mains , qu’il tremble de tous scs membres, ses doigts se
matin, Gustave était assis sur un canapé. Debout derrière lui, et mes mains appuyées machinalement contre le dossier du meubl
’engluer au dossier du canapé, en happant le principe brut que nies mains y avaient involontairement déposé, tandis que mon
comporte â la manière des aimants. ÂUraclion verticale. Je pose ma main à plat sur le parquet, avec une intention puremen
ré les plus violents efforts. Attraction horizontale. Je promène ma main en ligne droite sur le parquet. Je fais placer le
te et dangereuse. Attraction circulaire. Je trace un cercle avec la main , toujours sans intention arrêtée. Le sujet est pl
lus fatigué, plus souffrant. Je m’approchai de lui pour lui tendre la main , mais je ne touchai plus qu'une main froide et ra
rochai de lui pour lui tendre la main, mais je ne touchai plus qu'une main froide et raide : il venait de retomber dans son
e son abnégation individuelle (2). « Cette lettre, remise entre les mains propres du destinataire, n’obtint pas de réponse
e pas pour opérer des prodiges de guérison dans nos temples, sous les mains du Christ, sous celles des apôtres, et sous les p
orifique et curative du magnétisme , la puissance de l'imposition des mains , l’action de la volonté, de l’imagination, de la
nsmettait à ses disciples le pouvoir de « guérir par l’imposition des mains , » et prédisait que des prodiges semblables serai
ccusé , alors, commença à lui faire des passes sur les yeux, avec les mains , et bientôt l’assoupissement magnétique agit, el
ndonnent, comme une panacée ridicule, à d’avides empiriques. Dans des mains indignes, le magnétisme animal perd tout caractèr
étudier et d’enlever cette branche curieuse de leur noble science aux mains indignes qui s’en sont emparées. L’homme en pos
vidu sur un autre. Cette action s’exerce par diverses impositions des mains , voisines de l’allouche-nient, et qu’on nomme des
dinairement à l’aide de quelques lègères secousses qu’on imprime à la main ou au bras , en disant : Éveillez-vous. Il paraît
mier pas fail dans la roule de la vérilé; voilà un jalon planté d'une main habile el propre à guider comme à rallier les esp
première du sommeil, cl les faits innombrables el merveilleux qu'une main habile el exercée peut obtenir de lui sans être o
n marche, soutenu sous un bras par une personne, et appuyé de l’autre main sur une béquille). Depuis plusieurs années, jet
ette scène. Quelques jours après, elle vint à la maison, me serra les main , me dit qu’elle avait été abusée et me fil des ex
97 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le meuble qui contenait l'argent, sans être vu. Arrêté le lende- main , Cing... fut trouvé porteur de trois pièces de 5
i de B... surchargé. On retrouva également, entièrement écrit de sa main , annexé à un bulletin de sortie de l'hospice de
i demanda son billet qu'il ne put pro- duire et fut remis entre les mains du gendarme de service. Le 21 janvier 1883, il
ance lorsqu'il arriverait, rentrant les pouces dans la paume 'le la main et me raidissant il seule fin de faire croire à u
et tordus sur eux-mêmes ; les pouces fléchis dans la paume de la main , enfin une légère écume se voyait sur ses lèvres.
forme et certaines propriétés extérieures des objets placés dans la main . Si à ce phénomène sensoriel vient s'ajouter un
extérieure qu'apprécie le tact multiplié par les mouve- ments de la main qui palpe. C'est l'association de toutes ces sen-
plus haute et plus complexe de la sensibilité musculo-tactile de la main et des doigts, il est peu probable qu'il faille
e la vie. La destinée des peuples a pu se trouver parfois entre les mains d'aliénés ; mais ceux-ci n'avaient rien à faire
'arrête au coeur, de son estomac. En même temps, tremble- ments des mains , accélération du pouls, inégalité pupillaire, ou
tres et signes simples tels que coeur, anneaux, sur les bras et les mains de préférence. Point de tatouages obscènes. Génér
nisme le plus absolu règne partout, aussi bien dans les actes hu- mains que dans les autres phénomènes de la nature; par
douleur, nous le faisons marcher. Pour cela, nous le prenons par la main , nous le stimulons de la voix et du geste, nous
le début remonte il trente-cinq ans, coloration violet foncé de la main et du bras droit, qui sont froids, désagréables
lioration ; ce sont les suivantes : 1° desquamation de la paume des mains et de la plante des pieds ; 2° mouvements choré
ar contre totalement perdue jusqu'au coude, à l'avant- bras et à la main , et jusqu'au genou au membre inférieur. Quant a
remiers symptômes remontaient à l'enfance ; 2° les caractères de la main droite, main de prédicateur qui est presque spé
ômes remontaient à l'enfance ; 2° les caractères de la main droite, main de prédicateur qui est presque spéciale à la sy
1899. Présidence de 111. Jules Voisin. Ilyperhidr·ose abondante des mains guérie par l'hypnotisme. ,il. Albert Charpentie
tion. Je sors... Enfin, quatre-vingt-dix. On détache rapidement les mains et les. pieds et on aide Prokhorow il se mettre d
tard et tombait souvent; il a toujours été très mala- droit de ses mains . Vers l'âge de sept ans il eut des crises ner-
de tuer sa femme; il s'emparait de tout ce qui lui tombait sous la main pour le lui lancer à la figure. Maintes fois, c
de l'arrêter. Une autre fois, sa femme l'a trouvé un cou- teau à la main , disant qu'il voulait mourir et se couper la gorg
ollenberg, de Hambourg, dans la collection Nothnagel, qui traite de main de maître l'histoire de la « Chorée dégénérativ
atérale, non compliquée, des bras et surtout des petits muscles des mains . On croit successivement à une atrophie muscula
e lamoelle recélant les centres ' trophiques des petits muscles des mains ; cela a suffit pour empê- cher la paralysie spa
aux plis de la peau entre les phalanges du côté de la paume de la main . Les parties les moins sensibles sont la fesse et
i fléchis, produit un plissement de la peau du bord cubital de la main , dont l'intensité varie suivant les individus, ma
à l'aponévrose palmaire ainsi qu'à la peau et au bord cubital de la main ; l'aponévrose palmaire a des attaches au pisif
inguinaux en avant et aux fesses en arrière, à la face dorsale des mains , à la face posté- 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
de la cuisse, etc... Ne sont pas du tout sensibles, la paume de la main , la plante des pieds, le gland du pénis, régions
s tenailles ; un beau jour, il saisit ses organes génitaux dans les mains et les tira forte- ment comme pour les arracher
ment comme pour les arracher ; parfois aussi, il fait pénétrer sa main dans l'arrière-gorge qu'il laboure jusqu'au sang
ue. Ce malin il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paralysées et lui ont refusé tout service
as de troubles de la motilité des mem- bres. Pas de tremblement des mains , pas de tremblement inten- tionnel, pas de trép
inets, elle installa un réci- pient près de son lit, à portée de sa main et chaque fois que le besoin la réveillait, ell
onne quelquefois de ne plus sentir les piqûres qu'elle se fait à la main droite et de ne plus se brûler quand cette même
e se fait à la main droite et de ne plus se brûler quand cette même main saisit un fer à repasser chaud. Elle maigrit be
ré l'attention de Zoé sur sa tête. Plusieurs fois, elle a porté les mains à la tête, dans la région rolandique. Lui deman
; mouvements de flexion et d'extension 216 Ô THÉRAPEUTIQUE. de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras. La
traînant beaucoup la jambe du côté gauche, se servait un peu de la main de ce côté, travaillait à la lingerie. Elle était
; le bras droit se contracture en flexion de tous ses segments, la main en face de la tête, dans une attitude de défens
mais il n'existe pas de trépidation épileptoïde ni aux pieds ni aux mains . L'intelligence est bien conservée. La parole e
omme dépourvue d'aplomb. La macroglossie a diminué lentement. Les mains sont restées un peu volumineuses. Traitement : mé
au tronc, l'épaississement de la langue, les rides du front et des mains , le front bas, rappelant celui d'un animal, l'é
que. Cette naine était très bien confor- mée, avec des pieds et des mains parfaitement proportionnées. La tête était de f
t la dentition est retardée. Mais il n'y a pas de myxoedème, et les mains , quoique plates, ne sont pas en soucoupe comme
la moelle : douleur au dos, aux bras, au ventre : tremblement des mains et des bras; pour l'appareil digestif, selles muq
os, de la diminution de la puissance génitale, du tremblement des mains et des bras, de l'exagération du réflexe rotulien
oid aux extrémités, sueurs exagérées, teinte bleue des pieds et des mains , tachycardie, palpitations; pour l'appareil dig
: 1\1. Ballet fait observer que pendant le paroxysme spasmodique la main de ce malade ressemble a une main athéto- sique
ndant le paroxysme spasmodique la main de ce malade ressemble a une main athéto- sique, ce qui n'est pourtant pas le cas
semblance, il n'y a pas identité absolue entre les mouvements de la main de ce malade et ceux de l'athétose dans notre c
nts de la main de ce malade et ceux de l'athétose dans notre cas la main prend souvent l'attitude d'une main qui fait le
l'athétose dans notre cas la main prend souvent l'attitude d'une main qui fait les « cornes ». L'état des réflexes diff
s mouvements volontaires des membres supérieurs, et notamment de la main droite. Dissociation de la sensibilité en demi-
e cinquante-cinq ans. Il y a vingt ans, faiblesse progressive de la main gauche avec formation con- sécutive des gtiffes
tive des gtiffes, il y a douze ans panaris indolore à l'index de la main droite avec déformation consécutive des doigts. V
de l'épaule. Il y a ciuqans apparut une faiblesse des doigts de la main droite. La main prend la forme d'une griffe. Il y
y a ciuqans apparut une faiblesse des doigts de la main droite. La main prend la forme d'une griffe. Il y a deux ans, c
rtaine faiblesse de la vessie. Multiples brûlures indo- lores de la main . Cicatrices. Etat présent. Cyphose accusée avec c
onstatée par la radiographie (le cliché est présenté à la Société). Mains en griffes avec atrophie intense. Exagération d
sie complète à la douleur et à la température dans le domaine de la main gauche, du poignet et de l'avant-bras droit. Ce
dans un atelier de chaudronnerie, il reçut à l'oeil gauche et à la main droite deux blessures graves qui le dégoûtèrent
ions accomplis avec' une sombre et cruelle énergie et une sûreté de main qui tient de l'automatisme sont le propre du dé
la tête un formidable coup d'une Vierge en plâtre qu'il tenait à la main , lui faisant une large plaie du cuir chevelu. 1
ses réactions défensives, se sert de tout ce qui lui tombe sous la main ; c'est ainsi qu'il menace le médecin d'un coute
en alliage très lourd (antimoine 7) dont un des bras est cassé; la main de l'autre bras et les deux pieds sont égalemen
tério-sclérose. Il existait dans ce cas des troubles trophiques des mains et des pieds, en rapport direct avec la pré- se
Désordres produits par le séjour d'une aiguille dans la paume de la main ; par M. le Dr MAERE (de Gand). (Journ. dl ! '<
GIE NERVEUSE. pelotte, la cassa et se l'enfonça dans la paume de la main au niveau du troisième métacarpien gauche. Troi
ées par ce corps étranger sont-elles considérables : atrophie de la main et de l'avant-bras, rétraction tendineuse, doul
es surtout il l'endroit du corps étranger et au niveau du carpe. La main est contracturée et ne possède aucune force. La
es; il existait en outre des troubles trophiques remarquables aux mains et aux pieds, phénomènes qui engagent à admettre,
rapidement, et un mois plus tard, elle n'avalait plus bien. Bras et mains commencèrent à perdre leur force; faiblesse dans
, scrupuleux à l'excès, il ne rencontra jamais sur sa route que des mains largement tendues ou des fronts respectueux.
uoique j'aie, personnellement, peu connu M. le Dr Bou- C11EREAU, ma main , qui vient encore déposer un modeste rameau sur
malade chez qui les frictions sur les oreilles et l'application des mains sur le conduit auditif externe réveillaient et
fs extérieurs très légèrement, bien entendu, avec la paume des deux mains ; ou nous appliquons simple- ment les mains sur
avec la paume des deux mains; ou nous appliquons simple- ment les mains sur les oreilles, c'est toujours, en résumé, le
la suggestion à une légère exci- tation. « On applique, dit-il, la main sur la poitrine d'un de ces alcooliques dont l'
é, et, une expression d'horreur peinte sur le visage, repousser des mains l'objet imaginaire. » L'hyperesthésie, que nous
ques apparents de dégénérescence. Pas de tremblements du corps, des mains seulement et de la langue. Pas d'hyperesthésie
, si on lui frictionne légèrement les oreilles, et qu'on tienne les mains appliquées un certain temps sur le conduit audi-
rès légère irritation de la membrane du tympan. En maintenant nos mains sur les oreilles de la malade, ou bien en les fro
t apparu : insomnies avec hallucinations nocturnes. tremblement des mains , crampes dans les mollets. HYPERESTHESIE CORTIC
(sapo mercurialis), dont on frotte le corps du malade, trempant la main dans l'eau, durant un temps moins long, que ne
es membres inférieurs, de la partie inférieure du corps et dans les mains , où par places elle est impressionnée avec un r
t aussi produire le phénomène de la corde tout sim- plement avec-la main : On saisit le biceps ou un autre muscle par se
re de l'acromion. La peau de la paume gauche est calleuse, toute la main gauche est cyanosée. Exagération des réflexes r
ie et la radiogra- phie ont montré l'intégrité de tous les os de la main gauche, sauf les deux phalanges du pouce qui so
nts de la tête ; névrite des nerfs opti- ques, parésie légère de la main droite, exagération des réflexes du côté droit.
remier cas consiste dans les phénomènes d'acromégalie dans les deux mains . Chez la troisième malade il existe à l'heure a
culier, le tremblement tout à fait typique dans le bras droit et la main droite. Après avoir été, trois fois par semaine
au pain d'épice, une dizaine de plaintes ont été déposées entre les mains de M. Leygonie, commissaire de police du quarti
ers devant le tribunal correctionnel, vient de re- tomber entre les mains des alguazils de M. Lépine. Il se trouvait, hie
Scherf, sa femme et les deux chanteuses de psaumes se lavèrent les mains dans le sang de la victime, puis, pour compléte
avait été saigné, et les vingt membres de la secte se sont lavé les mains dans le sang. » (Le Temps, 9 février 1900.) L
ils sont extrêmement fournis. La taille est moyenne. Les ongles des mains sont larges, cannelés dans le sens de la longue
trouve d'attirer son attention. Cependant, lorsqu'on lui demande la main , il arrive à la donner sans trop d'hésitations,
habiller et de manger seul; si d'autre part on le prie de porter la main à une épaule après l'avoir portée sur l'autre,
ants et le 24 octobre elle atteint les dimensions de la paume de la main . Le lendemain 25 octobre, autre eschare à l'ang
de ce côté. Les tapotements sur les oreilles et l'application des mains sur le conduit auditif externe, réveillent et e
spondant aux excitations. A un moment de calme, nous appliquons nos mains sur les oreilles : les hallucinations apparaiss
ffrayants, qu'il a du reste beaucoup de peine à s'endormir, que ses mains sont tremblantes, ce qui le gêne beaucoup pour
robuste pour son âge. Il est tout tremblant, et ni les pieds ni les mains ne tiennent en place. Tout son corps est couvert
admis d'urgence à l'Asile clinique, où nous l'avons vu le lende- main matin 4 avril. C'est un grand brun, bien musclé ;
ser, il les voit sauter, il se dépêche, il les écrase avec ses deux mains . Toutes ces hallucinations provoquées par la su
Les oreilles. - En tapotant sur les oreilles, avec la paume de la main , très légèrement, il nous dit d'abord qu'il n'ent
t du rhum, dit-il, mais du mauvais rhum. La peau ne donne rien, les mains tremblent toujours. Le 22 avril toute halluci
eil calme, sans cauchemars. L'appétit est bon, le tremblement des mains diminue. Transféré à Ville-Evrard'le 30 avril.
chien a l'air d'aboyer, mais j'entends (nous pinçons la peau de la main droite), j'entends un roulement de tambour...»
a entendu un roulement de tambour lorsque nous lui avons pincé la main . .vue : . Il sent la lavande, ou plutôt, dit-il
pmann : il voit une voiture sans cheval, le cocher... le fouet à la main ... des arbres. Oreille. « Assassin de C..., tie
ttitude vicieuse. L'avant-bras est en demi- flexion sur le bras, la main à demi fléchie en pronation; par mo- ments, l'a
tion; par mo- ments, l'attitude de l'avant-bras restant la même, la main se ploie en supination et se fléchit sur la fac
ancement antéro-postérieur du tronc en même temps qu'elle tourne la main gauche et agite les doigts. La température re
s plus riches en fibres du 4° bloc corrrespondent à la région de la main et des doigts. Les parties les plus pauvres des
tte, quoique faible, du bras droit ; tremblement intentionnel de la main droite, surtout pour les mouvements compliqués te
dessus du noyau segmentaire des muscles de la jambe, du pied, de la main , etc., il doit exister des centres plus élevés,
llard dans la vue il y a un an ; fourmillement dans les bras et les mains l'année dernière ; taille 6 pieds 1 pouce, poid
s corrigeant leur trouble visuel. A. V. XXXIX. Syringomyélie avec mains succulentes, attitude de prédi- cateur et acrom
- fession depuis quatre ans. L'an dernier il a vu apparaître à la main droite des fourmillements dans le domaine du nerf
es muscles. Celle-ci s'étend non seulement à tous les muscles de la main innervés par le cubital, mais encore à ceux inn
extrêmement saillantes, le menton en galoche, les doigts larges, la main trop longue par rapport aux autres segments du
452. Aiguille. Désordres produits par une - dans la paume de la main , par Naere, 329. Alcoolisme. Progrès de l'- d
98 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
nt pas dans l'articulation. Quand on fixe l'angle du scapulum avec la main , tandis qu'un aide fait mouvoir l'humérus, on voi
sentent, car je vais vous le montrer sur une pièce que j'ai entre les mains . Voilà pour ce qui concerne les caractères loca
peut à peine le porter en avant ou en arrière, et ne peut élever les mains plus haut que le menton. Il est donc privé de son
malade avait conservé toutes les apti¬tudes de l'avant-bras et de la main . L'épaule, dépourvue d'articu¬lation, était const
et le malade ne pouvait remuer le bras gauche qu'en se servant de sa main droite. L'épaule était le siège de douleurs, si
thoracique. A gauche, pas d'adhérence visible ; mais, en passant la main entre la paroi et le poumon, on éprouve de la rés
iser le côté pratique de son enseignement ; il conduit l'élève par la main , l'initie aux premiers secrets de l'hô¬pital, lui
malade meut sa mâchoire, mais principalement quand, avec le dos de la main , on pralique, d'arrière en avant, des frictions s
e ce liquide obligeant le malade à tenir constamment un mouchoir à la main pour s'essuyer le menlon. Alibert ne dit pas co
enir avec un petit bracelet, s'il n'est pas sûr de l'immobilité de sa main . Lorsqu'il s'agit d'ex¬plorer un muscle en partic
aques de nerfs; depuis un an, douleurs et gonflement des pieds et des mains . — Mère, 61 ans, toujours un peu souffrante, pas
lement, des Mémoires de la Société de biologie se trouvent sous notre main . Nous allons donc compulser très-succinctement
tions de la photographie. l'accusé, les empreintes des pieds et des mains et de tout objet qui peut avoir rapport à l'assas
damnés. L'usage de la photographie et le métier de photographe sont main ¬tenant si répandus, que presque partout, même dan
uérison fut spon¬tanée. Il a eu, il y a trois ans, à la paume de la main gauche et sur le bord interne, un durillon forcé,
de pcrtuis qui existe encore à la partie supérieure de la paume de la main . Au bout de deux mois cet orifice se ferma. Le
alle, apparut un gonflement indolent s'élendant depuis le talon de la main jusqu'à 3 centimètres environ au-dessus du pli su
ment par le trou qui existe à la partie su¬périeure de la paume de la main . Sur ces entrefaites, le malade, ennuyé de la lon
ailleurs de se livrer à ses travaux habituels avec toute la sûreté de main qu'ils exigent, se décida à se présenter à notre
vi une marche insidieuse, provoquée par un durillon de la paume de la main , ac¬compagné d'abord d'empâtement indolent, de gê
¬vements, puis de gonflement, limité en premier lieu à la paume de la main , sans doute à cause de la résistance du ligament
s tendons fléchisseurs des doigts, enfin ulcération de la paume de la main donnant issue à un liquide d'une nature caracté¬r
on des gaines sy¬noviales tendineuses. Aujourd'hui à l'examen de la main malade, ce qui frappe au pre¬mier abord c'est en
re jus¬qu'à la cicatrice qui occupe la face antérieure du poignet. La main qui le guide dans cette exploration n'a aucune se
t : Inflammation chronique limitée à la gaîne synoviale interne de la main ou gaine commune des tendons fléchisseurs des doi
au laboratoire de Cla-mart, par M. Leriche, externe des hôpitaux, une main gauche sur laquelle avaient été injectées les bou
es les bourses synoviales des tendons flé¬chisseurs de la paume de la main . C'est cette pièce qui est annexée à cette observ
ement à ces gaines. On peut les résumer en disant qu'à la paume de la main il existe deux gaines synoviales: l'une externe,
dessus du ligament annu¬laire du carpe et descend dans la paume de la main jusqu'au ni¬veau du pli moyen. Elle est limitée,
REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XIV. SYNOVIALES DE LA MAIN INJECTÉES doigts ne participaient en rien à l
aine. A la sortie, on constata que la déformation de la paume de la main avait disparu, que les trajets fistuleux étaient
c tous les doigts sauf avec l'auriculaire. La pression exercée par la main du malade était plus énergique et les douleurs av
re une certaine difficulté à rap¬procher les doigts de la paume de la main . LÉGENDE EXPLICATIVE DE LA PHOTOGRAPHIE (Pl. XI
isseurs. N Gaîne externe ou du fléchisseur propre du pouce. de la main injectée avec la main du malade : la déformation
erne ou du fléchisseur propre du pouce. de la main injectée avec la main du malade : la déformation était absolument la mê
maniement en est aussi facile que celui de l'ophthal-moscope simple à main ; la pièce en buffle 0 étant tournée dans le sens
l'observateur, près du sujet, le chirurgien sai¬sit le bouton F de la main gauche, tandis que la main droite se tient au mir
t, le chirurgien sai¬sit le bouton F de la main gauche, tandis que la main droite se tient au miroir; les pièces mécaniques
tous les tâtonnements et à toutes les positions de l'ophlhalmoscope à main . Une fois l'image trouvée avec toute la netteté p
ns. Prendre douze pilules le soir en se couchant, et douze le lende¬ main malin. Une heure et demie plus tard, on boit 45 g
de ricin, additionnée d'une quantité égale d'eau de menthe. Le lende¬ main un ver enroulé sur lui-même et tout entier était
nnelle de traitement des frac¬tures ; cependant il a réussi entre les mains de M. Sédillot. L'auteur en parle peu longuement.
ure de la jambe droite. L'eschare n'a¬vait guère que la hauteur de la main , mais elle entourait le membre environ dans les t
ndie. II. Analyse de la pulsation. — Si le pouls paraît simple à la main qui le touche, il n'en est plus ainsi quand on l'
ge; ils sont, on peut le dire sans crainte d'être démenti, traités de main de maître ; ils constituent des monographies exce
es informes, gonflés, douloureux, rendaient la marche impos¬sible. La main gauche, encore plus malade et plus déformée, étai
us malade et plus déformée, était condamnée à l'immobilité. Seule, la main droite pouvait lui être de quelque secours. Les f
des parties qu'elles occupent. 11 est loin d'en être de même de la main , qui est figurée dans la planche XIX. La face dor
ils, ont produit ces déformations si extraordinaires des pieds et des mains que nous avons étudiées et qui font de la malade
er. Le chapitre con¬sacré à cette opération fondamentale est tracé de main de maître ; on est heureux de trouver des conse
B... Jeanne, âgée de 29 ans, ouvrière en tabac, a eu le pouce de la main gauche saisi clans une mécanique. Dixjours après
. Membres supérieurs. La malade serre beaucoup plus fortement de la main droite que de la main gauche. Avec les doigts ell
. La malade serre beaucoup plus fortement de la main droite que de la main gauche. Avec les doigts elle ne sent pas les peti
sibilité à la douleur, nota¬blement diminuée à la face palmaire de la main , est conservée à la face dorsale et sur les avant
t, ce sont des fourmillements, des douleurs lancinantes, limitées aux mains et aux pieds, principalement dans les appendices,
r, est à 100. Il n'y a pas d'augmentation de chaleur appréciable à la main . La température de l'aisselle est de 57°,4; celle
avec la plus grande facilité, mais disparaît aussitôt qu'on retire la main . On sent au-dessous des téguments la tête de l'hu
écutent avec assez de facilité : la malade soulève son bras, porte la main sur la tête, vers le dos, etc. La faradisation
ma¬dame X.... Le palper abdominal et le toucher vaginal mirent en nos mains les éléments les plus précis d'un diagnostic faci
ler. Le lendemain 25, trismus très-prononcé, flexion des doigts de la main gauche. 12 grammes de chloral sont administrés. A
M. Lavaux, pour un ma¬lade atteint de tétanos. Cet homme avait eu la main gauche enta¬mée par une scie circulaire, le 16 lé
tébrale les électrodes de la machine qu'il avait heureusement sous la main , et 1 Société de chirurgie, séance du 25 mai 18
des glandes mammaires, a été tout à fait temporaire, puisque le lende¬ main matin, c'est-à-dire cinquante heures après la par
t enfoncé, le 17 avril, une épine à la base de l'ongle du pouce de la main gauche. Il était atteint depuis 8 jours de symptô
resse est quelquefois vive, incommode pour la malade; elle donne à la main la sensation d'une chaleur acre et mordicante. Da
7 Planche XIII..(Edème de la jambe 98 Planche XIV. Synoviales de la main ............102 Planche XV. Syphilide écailleuse
99 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt complètement disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des pieds. Deb... taquine les' infirmiers, p
rine : 500 gram- mes. Pas de'glande. La desquamation de la peau des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Urine : 500
de l'ombilic 0 m. 740, il ne mesure plus que 0 m. 67. La peau des mains demeure moite et devient souple ; les ongles pous
côtés du cou ont diminué, la parole est plus nette. 12 juillet. Les mains et les pieds font peau neuve, 'les ongles pouss
agilité. Elle se cache derrière les portes avec un petit bâton à la main dont elle donne un coup à chaque enfant qui pas
ans (mai 1889). 16 thérapeutique. bruyamment. La desquamation des mains et des pieds continue. 30 septembre. Durant pre
ion des- seins ni de la vulve, le corps tout entier est glabre. Les mains et les pieds n'ont plus l'aspect pachydermique,
de bègues, de sourds-muets, etc. Un cousin maternel issu de ger- main a les pieds tournés. Pas de consanguinité : le
x membres supérieurs, nous n'avons à noter que l'épaississement des mains . Aux membres inférieurs signalons une légère in
Elle marche assez bien, à la condition d'être toujours tenue par la main ; le pas est encore mal assuré. Elle a une assez g
des ongles, disparition des croûtes de la tête, desquama- tion des mains et des pieds qui perdent leurs carac- tères pac
euse aurait déterminé des vertiges, de l'ataxie, du tremblement des mains , de la paresse vésicale, de la dysurie, de l'af
droite avec parti- cipation de la peau et du sens musculaire de la main droite ; ces signes disparurent après quelque t
avant-bras et des jambes, et, en tout dernier lieu, les muscles des mains et des pieds. La paralysie, toujours flasque, p
es traits du visage se précisent. L'abdomen est moins saillant, les mains et les pieds perdent un peu leur aspect de pelle,
, est caractérisée par de l'engourdissement et du picote- ment à la main droite, surtout au pouce et à l'index; quelques
ifs de nature alternativement tonique et clonique, débutant dans la main \ 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et se propagea
ntelligence et le pouvoir d'exprimer les idées par des gestes de la main gauche sont conservés. Ni le membre inférieur d
, la perte du sens de ta température, celle-ci surtout accusée à la main et à tout le côté droit de la face. Au bout de
ux débutent par les doigts, il devenait clair que les centres de la main et des doigts étaient atteints; et l'on pouvait
s diagnostiquer une tumeur intéressant les centres du bras et de la main . Le malade ayant présenté des convulsions et de
oyez inoffensif. Actuellement, l'autorité administrative, entre les mains de laquelle de semblables aliénés sont confiés,
her dans le membre supérieur gauche. Il lui semblait parfois que sa main se promenait sur une surface polie, ou bien qu'
r de lourds paquets : or la sensibilité tactile était diminuée à la main et au bras gauche, la sensibilité au froid y ét
de confier à l'homme une tâche qu'il convient de ne laisser qu'aux mains de Dieu ». Et Wines dit encore : « Il ne suffit
es. Mais lorsqu'un criminel est condamné, il devrait être remis aux mains de l'Etat, chargé de pourvoir à son traitement
é par son tic, le malade le combattit en repoussant sa tête avec sa main . Ce geste également volontaire au commencement
se. Elle se leva, s'empara d'une machine à coudre fonctionnant à la main et en asséna sur la tête de son mari un coup tr
mais le bras droit est visiblement plus faible que le gauche ; les mains sont plus affectées comparativement que les mus
s muscles de l'avant-bras et du bras. Les mouvements actifs de la main droite sont faibles, mal coor- donnés et maladr
e sont faibles, mal coor- donnés et maladroits et l'extension de la main gauche est presque impossible. La sensibilité
nsibilité générale des membres supérieurs est conservée, quant à]la main droite elle est un peu émoussée. Les muscles du
les deuxième et troisième orteils des deux pieds. Pieds creux. A la main gauche, cicatrice consécutive probablement à un a
résent ont pour effet fâcheux de ratatiner le cylindraxe. Entie les mains de l'auteur, la formaline a donné d'excellents
ts des piqûres d'épingles. Si au contraire l'opérateur saisit de la main gauche une électrode plate humide en contact av
t avec l'extrémité conductrice du second circuit, et qu'il place sa main droite sèche, dont la paume est dirigée vers le
orment, mangent, jouent et travaillent avec les enfants. Lavage des mains et de la figure avant chaque repas. On 1 Même p
gir un seul muscle des extrémités. Le mouvement revint d'abord à la main droite, puis au bras gauche. Enfin, graduelleme
GIE NERVEUSE. 269 dance de l'esprit, comme ceux de la face et de la main . - Si les lésions de dégénérescence s'étendent
'étamage de glaces. A quinze ans, apparition d'un tremblement aux mains s'accen- tuant surtout dans les petits mouvemen
e. Le malade étant tranquillement assis, on note un tremblement des mains et des pieds, plus ample que dans la paralysie
etits mouvements de pré- cision n'augmentent pas le tremblement des mains . Des deux côtés, exagération légère du réflexe
isté, mais à un degré infiniment faible. Le malade ne voyait pas la main du médecin. On distinguait sur cet oeil une opa-
de cin- quante ans. Le lendemain de l'opération, il distinguait la main à cinquante centimètres, et le troisième jour,
rgatifs, d'efforts violents, de com- pression de l'abdomen avec les mains , et que cette défécation douloureuse s'accompag
uis à la tête, finalement dans les bras (épaississement extrême des mains et des pieds). Quelques années plus tard elle éta
ayer pour des raisons psychiques; plus tard, après avoir fatigué la main droite (c'est un écrivain de profession), il a
ention sur un mouvement réel ou voulu exécuté dans l'espace avec la main droite, parexemple en faisant le geste d'écrire
ccygienne de Féré, l'exagération du système pileux sur le dos de la main droite et la face correspondante de l'avant-bra
ouvement perpétuel; le mélancolique accroupi, les yeux baissés, les mains inactives ; les dégénérés, les idiots et les dé
és de la maison qui ne tardaient pas à l'aper- cevoir, plongeant sa main dans les poches de celles qu'il approchait. Le
re 1893, le malade fut reçu au service militaire; il prétend que sa main était déjà à ce moment dans le même état qu'à s
ble aux membres inférieurs. Force musculaire de 90 kilogrammes à la main droite, de 8 kilogrammes à la main gauche. La m
usculaire de 90 kilogrammes à la main droite, de 8 kilogrammes à la main gauche. La musculature est flasque en général,
cent bientôt, mais la coloration bleue revient encore plus vite. Sa main gauche est notablement plus froide que Ja droit
ttelette de sang à l'aide d'une piqûre sur la face dorsale des deux mains . L'examen a démontré que le sans du membre droi
aradique n'ont eu aucune influence sur la couleur et l'oedème de la main . Seuls les bains chauds semblaient diminuer que
du corps provoquait une éléva- tion de la température locale de la main droite. A la main gauche, malade, il y avait au
it une éléva- tion de la température locale de la main droite. A la main gauche, malade, il y avait au contraire un abai
nait une élévation de la température au même degré à peu près de la main droite; à la main gauche la température restait
de la température au même degré à peu près de la main droite; à la main gauche la température restait sans modification
entation de l'oedème et de l'intensité de la coloration bleue de la main gauche. Le processus des deux sommets devint ra
i les renseignements sui- vants : la coloration bleu noirâtre de la main gauche a disparu, mais le gonflement oedémateux
ment dilatées. En examinant les artères du membre atteint depuis la main jusqu'à la sous-cldvière, je n'y ai pu trouver, d
ble de sérosité dans le tissu cel- lulaire de la face dorsale de la main gauche. Processus tubercu- ÉTUDE ANATOMO-PATHOL
s et au-dessous des parties oedématiées et quelques muscles de la main . Les ganglions du grand sympathique ont été conge
stion de folie ou non-folie se trouve donc actuelle- ment entre les mains du public, et si ceux qui sont en contact imméd
-huit an, atteinte d'hémiplégie du coté gauche avec contracture des mains , hémianesthésie et amaurose de l'oeil droit ; i
,177) ou seulement 1 pouce (0m,0234) de plus que le même étalon. La main qui, dans le canon artistique, représente le 1/
iessingesanthropoïdesqui, par la mâchoire, les sinus frontaux, les mains , les pieds et la cyphose dorsale rap- pellent l
ne de la cuisse droite, sur une surface grande comme la paume de la main , une sorte d'engourdissement en surface qui gag
erve le même phénomène quand on saisit le bras entier dans ses deux mains et qu'on exerce l'extension brusque de l'avant-
obtient un transfert mais incomplet. - 8° La force des muscles des mains demeure, la plupart du iemps, intacte. 9° Vers
ivit de la sorte plusieurs jeunes filles « les ciseaux ouverts à la main , tout prêt à enfoncer les lames dans leur chair
étées vers deux ans. - Affaiblissement paralytique du côté droit et mains en crochet, constatés à deux ans et demi. - Tra
mbres inférieurs. - Abcès multiples du genou droit. - Brûlure de la main gauche à neuf ans et, peu après, premier panari
sort, etc. 1890. Furoncles, abcès. - BrÛlure provoquée au dos de la main droite sans douleur. 1893. Phlegmon du coude
auche, qu'il marchait en tortillant et trai- nant la jambe, que ses mains étaient en crochet : «les doigts, dit-on, se re
projeté du foyer, il voulut le ramasser, tomba et posa le dos de la main gauche sur le charbon, sans s'en apercevoir : «
iolences passagères; rétraction du membre droit; malformation de la main PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 44
ieure du radius dont on ignore et la date et la cause. L'état des mains mérite une description détaillée. a) Main gauch
t la cause. L'état des mains mérite une description détaillée. a) Main gauche. La peau de toute la main, surtout des doi
rite une description détaillée. a) Main gauche. La peau de toute la main , surtout des doigtf, Archives. 2e bérie, . 1. 2
y a pas d'atrophie des éminences thénar et hypothénar (fig. 28). b) Main droite. La peau est épaisse, principalement autou
la phalangette du pouce; mouvements très limités. La peau des deux mains est le siège de crevasses assez profondes. L'éc
pas non plus le contact de gros objets appuyés avec pression sur sa main . b) Sensibilité à la douleur. 1° Côté gauche :
mètres l'une de l'autre. 2° Côté droit. L'anesthésie occupe, à la main les mêmes régions sauf que l'éminence thénar a
d'écartement. - c) Sensibilité thermique. Thermo-anesthésie de la main gauche dépassant l'analgésie de deux à trois tr
nalgésie de deux à trois travers de doigt. Thermo- anesthésie de la main droite ayant la même distribution que l'anal- g
u Havre). PARESO-AN.1LGESIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 453 de la main et du poignet jusqu'à une ligne passant à deux tr
s de doigt au-dessus du pli articulaire. A la face palmaire de la main , le malade reconnaît les objets qu'on lui fait sa
au frottement de la béquille. Septembre. Brûlure sur le dos de la main droite qui n'a occa- sionné aucune douleur. 1
ole. Il commence à faire des chaussures neuves. Son écriture (de la main gauche) est restée lisible, mais il sait à peine
lisible, mais il sait à peine lire. Sa tenue laisse à désirer. Ses mains surtout sont sales, pleines de cre- vasses ; il
s qu'on lui adresse. La tenue est meilleure. Mars. Phlegmon de ia main droite; incision. Juillet. Puberté. Pas de chan
qu'à la ligne droite; il peut les fléchir jusque sur la paume de la main , sauf l'auriculaire qui en reste très écarté, e
'épaule et du coude sont libres; parfois, il y a des craquements. Main . - Les doigts sont plus qn'à demi fléchis sur la
Main. - Les doigts sont plus qn'à demi fléchis sur la paume de la main , et dans leur totalité portés vers le bord cubita
u niveau de l'articulation phalango-mélacarpienne (les doigts de la main droite sont bien moins cylindriques). Les produ
t sur le quatrième doigt. Sur les autres doigts et à la paume de la main , les épais- sissements paraissent dus à la prof
alangine du médius. Le malade prétend qu'il fatigue davantage de la main droite, bien qu'il s'en serve moins que de l'au
l s'en serve moins que de l'autre : « J'écris et je fais tout de la main gauche,» dit-il. Avant son entrée à Vaucluse, qua
à Vaucluse, quand il n'avait pas de béquilles, il marchait sur les mains . Il s'appuyait principalement sur les articulat
lonie de Vaucluse, il lui arrivait assez souvent de marcher sur les mains . Ici, il ne le fait qu'en jouant ou lorsque ses
ent ses béquilles. B... rappelle qu'autrefois les doigts des deux mains étaient placés en crochets. Ils se sont allongé
ent une idée des différences qui existent entre les doigts des deux mains . PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 4
ue le gauche, qu'il marchait en traînant la jambe droite et que les mains étaient en crochet. III. Nous croyons donc devo
ar une paralysie de la jambe gauche, et enfin c) par l'attitude des mains en crochet. IV. L'a1'1'iération intellectuelle
mbres supérieurs se seraient fortifiés et,l'attitude en crochet des mains aurait notablement diminué. VI. Nous nous borne
upérieure du radius, mutilations pathologiques de deux doigts de la main gauche, ankylose et attitude vicieuse du genou
- thésie, une analgésie, une tlte1'lno-anesthésie des doigts, des mains , des avant-bras jusqu au voisinage du pli du coud
e sorte d'hypertrophie des doigts. Signalons aussi l'attitude des mains en crochet et une atrophie, à droite, des éminenc
On constate depuis plusieurs années une augmentation de volume des mains , des pieds, de la mâchoire inférieure, du nez,
ent éloignées de plusieurs centimètres. En 1894, on constate que la main a l'attitude dite du prédicateur; les muscles S
erfs sectionnés et sept mois après cette suture, on constate que sa main n'a plus son attitude caractéristique, mais les t
suturés. En janvier 1895, se produisent des mouvements actifs de la main ; la position anor- male des trois derniers moi
s résultats sont moins nets pour le médian. Le malade se sert de sa main pour manger, pour jouer ; elle est légè- rement
t une anesthésie complète des quatrième et cinquième doigts de la main droite. M. Bruns (de Hanovre). L'hystérie chez
nt de névralgies au niveau des articulations ; la contracture de la main , des doigts s'accompagne parfois d'oedème bleu ou
100 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
entons cette tumeur cylindrique, et en disposant les doigts de chaque main transversalement à sa direction, nous avons pu pe
e nous a raconté que le malade marchait primitivement en appuyant les mains sur les genoux, que les douleurs très-vives qu'il
a cité deux. Les trois premières guérisons ont été obtenues entre les mains de Larrey par les moxas. Abernethy employait des
e lèvent, ils sont obligés de tenir la tête solidement fixée avec les mains pour éviter un ébranlement pénible. II. Modific
les révulsifs doux sont indiqués; l'électrisation cutanée, entre les mains de M. Duchenne, de Boulogne, a dissipé des douleu
ces sur les seconds. La distance qui sépare les deux doigts de chaque main est très-différente d'un côté à l'autre dans les
laudication que j'ai indiqué. Les têtes fémorales sont senties par la main , sans qu'il soit besoin de recourir à une manœuvr
le seul que l'on possède. Ainsi, dans les diarlhroses, même pièce en main , on reste presque constamment dans le doute relat
rale. Si nous prenons la précaution de fixer le bassin à l'aide de la main appliquée contre la tubérosité sciatique, l'abais
siste davantage, quoiqu'il finisse également par céder à l'effort des mains ; c'est un deuxième degré de contracture. Vous rem
des Ro- (1) Voyez la Gazette des hôpitaux, numéro du 6 mai 1856. mains , qui appelaient scaurus celui dont les malléoles
suivant l'expression de M. Duchenne. Cet état s'explique, comme à la main , par un excès d'action des extenseurs et des fléc
erne ; vous comprenez quelle marche vacillante doit en résulter. La main n'est pas déformée, parce que la faiblesse muscul
s à l'âge de dix huit mois. Elle porte un pied bot varus droit et une main bot du même côté. Vous voyez que, chez cette fe
à l'inférieur. Remarquez la forme arrondie du poignet; la paume de la main s'appuie presque sur l'avant-bras; en cachant pou
n pied bot valgus. Les mouvements sont complètement abolis dans cette main , en sorte que la paralysie porte même sur les mus
ame Doidan, cinquante-sept ans, porte un pied bot équin gauche et une main bot du même côté. Cette femme assure que ces diff
é à marcher vers trois ans et demi, et déjà la déviation existait. La main , qui est une main bot valgus, a conservé quelques
rois ans et demi, et déjà la déviation existait. La main, qui est une main bot valgus, a conservé quelques mouvements; mais,
, et on peut alors effacer celte difformité par un léger effort de la main ; c'est ce qui fait comprendre certains redressem
ied ou de la jambe; ou bien un autre effet d'une même cause, comme la main bot, produite avec le pied bot par une affection
n orthopédiste imprime fréquemment à ce membre des mouvements avec la main , et il en est résulté jusqu'ici quelque améliora
ces efforts de flexion , de même que dans ceux qu'on exécute avec la main ; sa résistance est insurmontable, et sa distensi
n, atteint aussi, il y a quelques années, d'une hémiplégie gauche, la main ne conserve aujourd'hui qu'un peu de faiblesse mu
ous le voyez, quelquefois le sort de toute une existence est dans nos mains quand nous sommes appelés à remédier au pied bot.
ication de l'orthopédie au pied bot resta encore concentrée entre les mains d'un petit nombre de spécialistes, jusqu'à l'inve
uissances employées dans le traitement des pieds bots, savoir : 1° la main ; 2° les bandages; 3° les machines ou appareils mé
bandages; 3° les machines ou appareils mécaniques. A. Emploi de la main . — La main est la première de ces forces. Elle pe
3° les machines ou appareils mécaniques. A. Emploi de la main. — La main est la première de ces forces. Elle peut agir seu
, dans le talus, dans le varus et le valgus directs, il suffit qu'une main fixe la jambe, tandis que l'autre agit sur le pie
de et le cu-boïde ont éprouvée sur leur petit axe. Puis, avec la même main qui appuie sur le côté externe de l'astragale et
e valgus, on procède comme dans le varus, mais en sens contraire. Une main repousse le talon en dedans et presse sur le (1
interne antérieur de l'astragale et du calcanéum, tandis que l'autre main ramène la pointe du pied en dedans, abaisse son b
équin enroulé, peuvent être aisément attaquées par un même effort des mains , parce qu'elles se font dans le même sens. Il n'y
on sur-le-champ comme dans les luxations ordinaires. L'emploi de la main a, sans contredit, un grand avantage sur les autr
anœuvres aussi longtemps que cela est nécessaire. L'application de la main ne saurait constituer à elle seule une méthode cu
les muscles de son pied et en le redressant très-fréquemment avec la main . J'ai moi-même observé un enfant pied bot de na
tenait lieu de mère. Cette dame allait jusqu'à tenir le pied dans sa main la nuit, tout en dormant. Des praticiens habile
ours du bandage marcheront dans le sens du redressement opéré par les mains . » C'est ce qu'on obtient dans le varus, en appli
ques de gutta-percha, appliquées molles sur le pied redressé avec les mains , et presque instantanément solidifiées par le ref
ivent répondre à deux conditions principales : continuer l'action des mains ou la remplacer, être assez puissantes pour exagé
upérieurs, paralysés presque complètement, sont dans l'exten?ionj les mains fléchies sur l'avant-bras. Les membres inférieurs
Supposons un cas de varus : on commence par redresser le pied avec la main , et on le pose à plat dans la sandale ; en même t
ans le traitement ordinaire du pied bot, tous les moyens concourent : main , bandages, machines. II. Ténotomie. — Vous avez
a piqûre des téguments se fait vers le bord du tendon qui répond à la main droite de l'opérateur, assez près de ce bord dans
plutôt d'un côté que de l'autre; on se place alors de manière que la main droite réponde au côté indiqué. On peut donner
ont je viens de parler, et une flexion considérable du coude et de la main , du côté gauche. Je vais pratiquer, comme chez
temps après la section. Il s'agissait, à la vérité, des muscles de la main ; mais les mêmes considérations s'appliquaient év
u pied n'exigent pas la même précision de mouvements que celles de la main . Il en résulte que l'on peut souvent, sans préjud
hitisme, pour ne m'occuper que de la maladie que Glisson a décrite de main de maître. § 1er. — anatomie pathologique du ra
k (1) ; de la garance, qui a compté de nombreuses guérisons entre les mains de Levret (2) et de beaucoup d'autres ; des bains
rvation juvénile, celui-ci, par exemple : Une personne, appuyant la main sur l'occiput de l'enfant , l'engage à la repouss
urs de la tête, en répétant ce mouvement plusieurs fois de suite ; la main oppose alors une résistance croissante de manière
, rétrécies dans le milieu, renflées aux deux bouts. On en charge les mains ; et, suivant que les mouvements exécutés par les
ostérieure de la tête ou du tronc de l'enfant, c'est en avant que les mains lui présentent une résistance que l'on varie suiv
er en contractant les fléchisseurs du tronc. Placez, par exemple, vos mains contre les siennes, dans une position telle qu'il
Cette corde est encore plus manifesté lorsque, fixant le bassin d'une main , on essaye avec l'autre de soulever le bas du dem
dans tout le demi-thorax gauche. Le cœur semble quelquefois, sous la main , aussi près de la paroi postérieure de la poitrin
'est de croire qu'on remédie à la scoliose commençante en exerçant la main gauche, quand la convexité dorsale est à droite.
brusque succédant à sa flexion. De la le conseil de faire tirer de la main gauche sur une corde élevée, comme pour sonner un
anquent rarement, à une certaine période de la maladie, d'appuyer les mains sur les cuisses pour se soustraire au malaise cau
urbure dorsale droite, est singulièrement diminuée par l'effort de la main gauche sur la hanche de ce côté ; sans ce point d
tronc retombe presque aussitôt à droite, tandis qu'avec l'aide de la main , les muscles du rachis le maintiennent assez long
marqués que ceux de la position horizontale. Naturellement, c'est la main droite qui fonctionne quand la convexité dorsale
, a conseillé, à la fin du siècle dernier, de faire suspendre par les mains à une perche horizontale, aussi longtemps qu'ils
ombaire, on voit augmenter la courbure dorsale. En faisant appuyer la main sur la hanche, on diminue la courbure dominante,
gnent la suspension. On se sert peu des cordes ; elles blessent les mains délicates des enfants et surtout des jeunes fdles
euvent être saisis solidement; trop minces, ils ne présentent pas aux mains assez de surface, ou ils plissent la face palmair
orps est suspendu. Dans le premier cas, on peut être suspendu par les mains , les avant-bras fléchis, le pli des coudes, par l
es. Dans le second mode, le corps peut être supporté par la paume des mains , les avant-bras ou les coudes. L'un et l'autre ex
ut à développer, par des exercices spéciaux, la force d'occlusion des mains , qui les met en état de rester cramponnés aux sup
suspension consistant à détacher ou à enlever alternativement chaque main , en la remettant à la même place, ce qui prépare
ant à la même place, ce qui prépare à la progression en avant par les mains . Au plier sur les'membres inférieurs correspond u
sion, qui rapproche et éloigne successivement'le tronc du support des mains et qui prépare à l'ascension. Une espèce de saut
et qui prépare à l'ascension. Une espèce de saut se pratique sur les mains comme sur les membres inférieurs. Les progressi
nt, suivant les expressions de Delpech. On dévide quand on avance les mains , l'une restant toujours derrière l'autre; on aune
ains, l'une restant toujours derrière l'autre; on aune en passant les mains l'une devant l'autre. Cette progression se fait
n se fait sur deux supports parallèles par une suite de pas où chaque main avance à son tour, comme le long de deux perches
e suspension. — On peut encore avancer par une suite de sauts sur les mains . .La progression en ligne verticale ou oblique,
sin de droite et de gauche pour se donner un élan à chaque effort des mains . Ces mouvements désordonnés peuvent nuire à l'eff
lternatifs de tout le corps qui rélèvent et l'abaissent du côté de la main qui s'élance. Un vice opposé à l'exagération de
la bascule brachiale, assez élevée pour qu'on y soit suspendu par les mains , joint ici, comme l'escarpolette , l'attrait du p
n. On les exerce à se traîner, à ramper à plat ventre en s'aidant des mains et même des pieds, le long d'un banc, d'une planc
e, qui suspendait les enfants par le dessous des bras, la tête et les mains , pour étendre le rachis par le poids des parties
horizontale. Or les bandages, les machines, destinés à remplacer les mains , à continuer leur action, ne pourraient exercer u
re rémittente, ce qui le rend plus supportable. On peut se servir des mains de plusieurs aides pour pratiquer de fortes exten
mêmes à produire des extensions plus puissantes en s'attirant par les mains vers le haut du lit; il résulte de ce mouvement u
du rachis. Si, sur l'un de ces enfants, nous appliquons fortement la main sur la saillie postéro-latéralc des côtes droites
ntéro-gauche, ou bien si, l'enfant étant sur le dos, nous passons une main sous la gibbosité dorsale en appuyant de l'autre
plus résistante en arrière qu'en avant. Les cartilages cèdent sous la main au niveau de la gibbosité antérieure, tandis qu'o
flexion, dans la Gazette médicale, 1838. Les pelotes remplacent la main qui embrasse la convexité postérieure des côtes o
nfants qu'il peut être avantageux de soulever souvent le corps parles mains , par les coudes, par-dessous les bras, dele tenir
te attitude. On n'a pas besoin d'appareil dans ces circonstances; les mains suffisent, et les parents eux-mêmes peuvent prati
euvent pratiquer ces manœuvres. 2° Extensions et pressions avec tes mains dans la station. — On a cherché à produire , au m
dans la station , pour étendre et redresser le rachis. L'action des mains va encore nous permettre de nous rendre compte de
influence immédiate de cet ordre de moyens. Nous soulevons avec les mains , sur ces enfants, soit la tête, soit les membres
res cervico dorsales. Le soulèvement des membres supérieurs par les mains placées sous les aisselles, a l'inconvénient d'él
dire accompagnée d'obliquité de l'arc lombaire. Nous faisons agir les mains sur trois points, — comme clans la position horiz
ppose, dans cette appréciation , que les appareils agissent comme les mains ; mais il s'en faut que, dans la station, il en so
épaules. Vous remarquez, sur le dos à nu , que la suspension sur les mains produit ici une véritable extension, comme dans l
ceintures et corsets orthopédiques, ont pour but, comme l'effort des mains , tantôt de soutenir et de soulever les membres su
olonté. Vous savez déjà, d'après les résultats des efforts avec les mains , ce que l'on peut attendre de ce genre de support
nière à soutenir et à repousser le côté droit du tronc comme avec une main qui lui serait plus ou moins fortement appliquée.
dire, aucun de ces appareils ne remplace parfaitement l'effort de la main . La ceinture, à laquelle ils empruntent en défini
218 I. Moyens mécaniques.................... 221 A. Emploi de la main ................... 22^ B. Bandages.............
on verticale. . ........... ib. 2° Extensions et pressions avec les mains dans la station.................... ib. 3° Fa
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