, le plus d'avantages et le moins d'inconvéniens. C'est d'après cette méthode que nous comptons procéder. OPÉRATIONS QUI SE P

de notre ère, que l'on trouve les premiers témoignages certains de la méthode ancienne, dont il a hérité, qu'il a pratiquée lui

ent à cet effet. Bientôt Anel ( 17 i o) renouvelle et perfectionne la méthode par injection. Enfin J.-L. Petit, comme créateur

nne la méthode par injection. Enfin J.-L. Petit, comme créateur de la méthode par incision et dilatation, vient faire une révol

crymales. On l'opère de haut en bas par le point la-crymal inférieur ( méthode d'Anel) ou de bas en haut par la na-rine et le ca

(méthode d'Anel) ou de bas en haut par la na-rine et le canal nasal ( méthode de Laforest). i° Cathétérisme par le point lacr

s instrumens pour le mettre en pratique. L'objet particulier de cette méthode , applicable aux diverses maladies du canal lacrym

nt de vue de l'anatomie, quelques explications préalables. Dans cette méthode , l'instrument, qui pénètre par la narine dans le

èdent sans hésitation. Les autres instrumens du cathétérisme par la méthode dcLa-forest, analogues aux deux précédeus pour la

n emploi avec celui des moyens qui agissent sur le canal nasal par la méthode de La-forest. dilatation. L'objet de cette mé

l nasal par la méthode de La-forest. dilatation. L'objet de cette méthode est d'obtenir, par une compression t. vu. perma

s voies lacrymales; 20 en bas, l'orifice nasal du canal. La pre-mière méthode est celle de Méjean, la seconde est celle de La-f

ère méthode est celle de Méjean, la seconde est celle de La-forest. Méthode de Méjean (pl. 4» fig- 2). Applicable seulement a

ne remplit pas, et il est insuffisant pour la dilatation du canal. Méthode de Laforest. — Plusieurs procédés lui sont appli-

erres dlhès. 2° Dilatation par un orifice accidentel resté béant. Méthode de J.-L. Petit. Ce chirurgien est le premier qui

dés empruntent l'incision de J.-L. Petit comme un premier temps de la méthode opératoire de Méjean. Incision de Pouteau. Elle

Procédé de Lecat. Le premier il a combiné lincision de Petit avec la méthode de Méjean en se servant de la plaie pour intro-du

rurgien. Procédé de MM. Sanson et Bégin. En tant que d'employer- la méthode de Méjean et pour la simplifier,ces chirurgiens o

cès par ce procédé. Toutefois il faut admettre, comme dans toutes les méthodes , les cas de récidive, dont la proportion néanmoin

ation n'a été constituée qu'en t822 par M. Harvcng comme une nouvelle méthode opératoire à l'imitation du pro-cédé de Dticamp p

arles tra-vaux de M. Gensoul. Toutefois, en théorie, est-ce une bonne méthode que la cautérisation qui n'agit qu'en détruisant,

ceux dont nous avons parlé plus haut à propos du cathétérisme par' la méthode de Laforest: 10 le cathéter ( ¡¡1. 2, fig. 8) pou

désobstruction, les injections et la dilatation du canal nasal par la méthode de Laforest, on devrait encore de la reconnaissan

u avec l'alliage de Darcet. formation dun canal artificiel. Cette méthode , la plus ancienne, était généralement usitée avan

e à la fois à une double indication. Réhabilitée par Woolhouse, cette méthode est restée dans les temps modernes comme une ress

pour pratiquer une route artificielle : i0 par l'os unguis ; c'est la méthode ancienne reproduite par Woolhouse : 2° par le sin

vaste plaie qui en résulte ont immédiatement été con-damnés, mais sa méthode néanmoins a trouvé des imitateurs. Modification

la cautérisation avec le fer chaud. Quelle que soit la valeur de la méthode elle-même, l'objet que l'on se propose quant aux

sal, il suffit des injections aidées au besoin du cathétérisme par la méthode de Laforest. Sous ce rapport le ca-théter et la s

ns. S'il n'y a qu'obstruction et rétrécissement du canal nasal, trois méthodes de dilatation se présentent. Les mèches, tentes,

e paupière, et d'une portion ou de la tota-lité du cartilage tarse. Méthode ancienne.—Excision de la conjonctive. Indiquée pa

utif se conduire comme dans l'ophthalmie or-dinaire ou traumatique. MÉTHODE DE M. DlEFFENBACH--Excision de la conjonctive a

du tendon aponévrotique de l'un des muscles droits de l'œil. Trois méthodes opératoires ont été employées contre le ptéry-gio

li des distinctions sur la nature de la cataracte en-traîne celui des méthodes opératoires : le souvenir de l'extraction est per

on pour le diagnostic, la convenance de l'opération et le choix de la méthode et du procédé. — 1° Siège. Sous ce rapport on dis

st plus le siège d'un travail aigu. On opère la cataracte par trois méthodes : ïabaissement, Yex-traction et la méthode mixte

re la cataracte par trois méthodes : ïabaissement, Yex-traction et la méthode mixte ; les deux premières renferment plusieurs p

mixte ; les deux premières renferment plusieurs procédés. première méthode . — abaissement. Le mot abaissement renferme auj

s procédés et les différencie. Historique. La première notion de la méthode par abaissement remonte à Antyllus. Les Arabes, a

iement, complète l'ensemble des sous-pro-cédés qui se rapportent à la méthode par abaissement. Appareil. Il se compose des ob

yxis. kératonyxis. Le mot kératonyxis désigne cette variété de la méthode par abaissement, où l'on fait pénétrer l'aiguille

travers d'une piqûre de la cornée ; Abul-casis dit avoir suivi cette méthode . Après plusieurs siècles d'oubli une tradition po

bas et en arrière; puis,à volonté, en dehors ou en dedans. deuxième méthode . — extraction. On appelle extraction l'opératio

ement sans parler de l'extraction, rien ne prouve cependant que cette méthode n'existât pas encore, puisqu'à la fin du même siè

ée et à attirer au dehors la cataracte avec une ai-guille fine. Cette méthode se maintient pendant plusieurs siècles. Rhazès la

après un Grec inconnu nommé Lathyrion. Ali-Abbas, en parlant des deux méthodes , établit déjà les cas dans lesquels ou doit préfé

par MM. Lawrence, Green, Forlenza, Duptiytren, elle est adoptée comme méthode usuelle par M. Alexandre, de Londres, et par M. J

un grand nombre de cas, et doit la faire accepter seulement comme une méthode exceptionnelle. Kératomie latérale (pl. 10, fig

s simple, offrent en outre la facilité de prendre un point d'appui. Méthode mixte de M. Qcadki. C'est une combinaison de l'

au dehors à travers la petite plaie de la cornée. Appréciation des méthodes d'opérer (a cataracte. A l'occasion de chaque m

éciation des méthodes d'opérer (a cataracte. A l'occasion de chaque méthode , nous en avons posé les indi-cations en apprécian

as. De cet examen alter-nativement spécial et comparatif des diverses méthodes , il est résulte; qu'aucune d elles ue saurait exc

la rapidité de son exécution, I abaissement, doit être préféré comme méthode générale. PUPILLE ARTIFICIELLE. L'opération d

ure et les effets de la cataracte et en imaginer les deux principales méthodes opératoires, n'aient pas eu l'idée, beaucoup plus

ages relativement à la vision. De ces nouvelles connaissances naît la méthode de Y excision entre les mains de Wenzel en 1780.

ur de l'iris avec le cercle ciliaire, en fait la base d'une troisième méthode par décollement. Enfin une qua-trième méthode est

la base d'une troisième méthode par décollement. Enfin une qua-trième méthode est Y extension de la pupille naturelle, imaginée

s n'ont plus fait que perfectionner ou combiner, suivant les cas, ces méthodes fondamentales , d'où dérivent tous les procédés a

e verrons, elles influent d'une manière importante sur le choix de la méthode ou du procédé opératoire. On distingue quatre m

e choix de la méthode ou du procédé opératoire. On distingue quatre méthodes pour former la pupille artifi-cielle : l'incision

on, le décollement et l'extension de la pupille naturelle. première méthode . — incision. Coreclomie (de xéon , pupille ; et

r), iridotomie (de îotç et retiveiv). Imaginée par Cheselden, cette méthode a été surtout adoptée par Sharp , Adams , et modi

re disparaître ce grave inconvénient de l'incision qu'on a proposé la méthode de l'excision. seconde méthode. — excision. C

ent de l'incision qu'on a proposé la méthode de l'excision. seconde méthode . — excision. Corectomie (de ko on, pupille; ex,

rlenza, Benedict et Gibson ont sur-tout cherché à perfectionner cette méthode . t° Procédé de Wenzel (pl. 11, fig. (')). Ce pr

il attire au dehors une portion de l'iris, qu'il excise. troisieme méthode . — décollement. Corédialyse ( cTlGCAUCftç, sépa

qu ou doit (lavoir généralisé cette opération et d'en avoir fait une méthode . i° Procédé de Scarpa (pl. 11, fig. 9). Armé de

s'exposera une traction trop forte qui entraînerait une déchirure. méthode mixte. — excision et décollement. Pour prévenir

moins ingénieux (pl. 1 1, fig. 16, et pl. 2, fig. 55-59). quatrième méthode . — extension de la PUPILLE NATURELLE (pl. 11, f

pa-rer des indications qu'ils sont destinés à remplir. A. Incision. Méthode généralement abandonnée : la propriété contractil

étendue, ou si l'iris a été le siège de phlegmasies prolongées, cette méthode réussit moins bien. L'inflammation tendant à se d

C. Décollement. Exposant moins aux inflammations consécu-tives, cette méthode est spécialement indiquée toutes les fois que la

on des lambeaux avec les caustiques ou des corps dilatans; mais cette méthode ne vaut pas la pre-mière. Si la membrane est prof

membrane tympanique à l'aide d'un crayon de nitrate d'argent : cette méthode est tombée dans l'oubli. 2" Catiietéiusme de la

he ; 20 la narine correspondante, 3° la narine opposée. A. Première méthode . Due à Guyot, maître de postes à Ver-sailles ( 17

est généralement abandonnée à cause de ses difficultés. B. Deuxième méthode . Imaginée par Cléland en 1741, adoptée par Ant.Pe

mité en haut et en dehors, dans l'intérieur de la trompe. Troisième méthode . Son invention toute moderne appartient à M. Dele

simple cathétérisme. Cautérisation. A priori, on conçoit que cette méthode combi-née avec la dilatation puisse être employée

ivait partout. Les Indiens de la tribu des Koomas donnent la première méthode de rhinoplastiquc , qui consiste à former sur les

ns l'Italie, où Sixte-Quint fait revivre le châtiment des Indiens. La méthode des Italiens dérive manifestement de la méthode i

iment des Indiens. La méthode des Italiens dérive manifestement de la méthode in-dienne, et elle n'en diffère que parce que le

e large expérience, la rhinoplastique s'est, enrichie d'une troisième méthode , dite méthode française, qui n est qu'une applica

ence, la rhinoplastique s'est, enrichie d'une troisième méthode, dite méthode française, qui n est qu'une application de la mét

e méthode, dite méthode française, qui n est qu'une application de la méthode indienne aux mutilations partielles du nez. La ch

le qui les mettait en usage. rhinoplastique par transposition. i° Méthode italienne. Procédé de Tagliacozzi (pl. i|, fig.

des bouts de sonde en gomme élastique jusqu'à guérison parfaite. 20 Méthode indienne. Procédé ordinaire, avec la peau du fr

ion , qui résulte de la trop grande torsion du pédicule du lambeau. Méthode française ou méthode, de Celse. Cette méthode a

la trop grande torsion du pédicule du lambeau. Méthode française ou méthode , de Celse. Cette méthode a bien plutôt pour but

édicule du lambeau. Méthode française ou méthode, de Celse. Cette méthode a bien plutôt pour but de raccoutrer un ne/, muti

terminé l'aplatissement du nez. De là deux procédés distincts dans la méthode française. i0 Rhinoplastique par simple décolle

des lambeaux pour les déplacer avec plus de facilité, on obtient une méthode applicable à une foule de difformités. Restaura

bstance au lieu de réparer l'ancienne. valeur relative des diverses méthodes de RIIINOPLAST1QUE. La méthode italienne, moins

nne. valeur relative des diverses méthodes de RIIINOPLAST1QUE. La méthode italienne, moins douloureuse, offrant surtout l'a

on est possible. Cependant, à cause de sa facilité d'exécution , la méthode indienne a généralement prévalu, et est aujourd'h

os du nez manquent, et quand la peau du front est saine (Grœfe). La méthode de Celse convient surtout, comme nous l'avons vu,

é-cepte exclusif, et qu'il devient souvent nécessaire de combiner les méthodes entre elles et d'improviser des modifications pou

l'excision. Il faut remarquer seulement que rarement une seule de ces méthodes suffit, et qu'il convient le plus souvent de les

se convaincre (pa-les anciens non seulement connaissaient toutes les méthodes usitées de nos jours mais distinguaient encore av

s au moyen d'un 1er rouge. L'école d'Alexandrie perfectionne ces deux méthodes ; elle insiste prin-cipalement sur la cautérisatio

té chaque jour, pendant plusieurs semaines, montre tout le vice d'une méthode où l'irritation produite appelle l'inflammation s

uger si l'opéra-tion est praticable, ou, dans le cas contraire, de la méthode et du procédé opératoires qui doivent lui être pr

l'extraction par fragmens. Arrachement (pl. i5, fig. 1 et 2). Cette méthode , qui a également pour objet d'obtenir la destruct

nou d'arrachement. Historique, instrumens. L'arrachement, celle des méthodes qui est la plus employée, est aussi l'une des plu

s à remettre la fin de l'opération à un autre jour. Ligature. Cette méthode , aussi fréquemment employée que la précédente, a

de trajets irréguliers. PnÉCAUTIONS DERNIÈRES. Quelle (pie soit la méthode a laquelle on ait eu recours, torsion, arrachem

ue, qui en a primitivement amené le développement. Appréciation des méthodes curatives des polypes des fosses nasales. La ca

artie la plus résistante. Vexcision en elle-même est, en théorie, une méthode excellente, et, suivie de la cauté-risation, elle

seconde pour ceux qui font saillie par la narine pharyngée. Ces deux méthodes , auxquelles il faut ajouter l'excision, s'appliqu

e nez ou par la joue. Par la bouche. i0 Perforation des alvéoles ( méthode de Meïbomius) (pl. 16, fig. 6). Attribuée à tort

vait mise en pratique pour guérir une carie de l'os maxillaire; cette méthode a depuis été perfectionnée par Huermànn, Richter

ire de l'incliner un peu en haut et en arrière pour la première. La méthode de Meïbomi us, offrant l'avantage de pratiquer l'

e sinus n'est pas trop déformé. 2° Perforation de la paroi externe ( méthode Lamorier) (pl. 16, fig. 7). 11 s'agit de pénétrer

giques qui se rencontreraient. 3° Perforation de la voûte palatine ( méthode de Callisen). Cette méthode ne convient que lorsq

t. 3° Perforation de la voûte palatine (méthode de Callisen). Cette méthode ne convient que lorsqu'on reconnaît la fluctuatio

un séton par cette double ouverture. Weinhold emploie également la méthode du séton; mais son procédé diffère en ce qu'il ou

lus de dents molaires. Un heureux succès couronna sa tentative. Cette méthode peut être employée comme exceptionnelle dans cert

irurgiens à suivre son exemple. Néanmoins on comprend qu'une pareille méthode doive être complètement rejetée, puisqu'on peut t

l'état embryonnaire, M. Velpeau et M. Cru-ï. vu. L'excision, seule méthode en usage, se pratieme avec deux sortes d'instruin

rurgiens. Dionis, Heister , Quesnay l'asso-ciaient aux agglutinatifs, méthode qu'a renouvelée M. Roux. Mais aujourd'hui on ne l

a glande parotide. i° Cicatrisation de l'orifice fistuleux. Cette méthode suppose que la fistule, soit récente, soit an-cie

. Procédé de Morand (fig. 3). C'est à ce chirurgien (pie l'on doit la méthode de dilatation. Voici en quoi elle con-siste. Plac

elette agglutinative. 3" Formation d'un conduit artificiel. Cette méthode n'est applicable rigoureusement que dans les cas

iel et pour l'empêcher de se cicatriser, (a) Au rapport de Saviard la méthode elle-même aurait été inventée par Deroy. Ce chiru

n. Exercée soit avec le fer chaud, soit avec les caustiques, c'est la méthode la plus anciennement connue. Em-ployée dans l'ant

à des eschares dont la chute est suivie d'une cicatrisation, est une méthode véritable-ment curative, mais c'est un moyen doul

es chirurgiens qui ont créé ces deux moyens, en appa-rence d'une même méthode , témoignent clairement du vague qui reste sur l'é

e bouton lui-même, par une nouvelle incision. 5" Extirpation. Cette méthode est très ancienne. On sait que dans l'antiquité,

s l'impossibilité de déterminer historiquement la valeur relative des méthodes . 6° Excision. Comme on l'a vu , jusqu'au dix-hu

eux ma-nières, par l'instrument tranchant ou la ligature. La première méthode , plus certaine, plus prompte et moins douloureuse

rête également bien à l'emploi de la ligature, mais on sait que cette méthode par ses lenteurs et les douleurs qu'elle cause, d

ers chirurgiens, des modifica-tions nombreuses ont été apportées à la méthode originale, et dans le mode opératoire, et dans l'

long du bord postérieur des os palatins. 2° M. Bonfds, appli-quant la méthode indienne, taille de chaque côté sous la voûte pal

ture. 3° Mieux inspiré M. Dief-fenbach (pl. 23, fig. 1 1), imitant la méthode de Celse, prati-que parallèlement et de chaque cô

que, à l'aide de divers instrumens. Vivement blâmée par Dionis, cette méthode , depuis plus d'un siècle, est complètement aban-d

moitiés. Cette idée, dont la reproduction récente forme la base de la méthode générale de M. Mayor de Lausanne, a été suivie av

le tissu en est solide, il faut avoir recours à d'autres moyens. Six méthodes sont mises en usage dont le choix se motive d'apr

s, les incisions et l'extirpation. Cautérisation. L'emploi de cette méthode est fort ancien; mais, comme la cautérisation ne

sans avoir beaucoup fixé l'attention. Rogier, qui le décrit comme une méthode d'application usuelle, indique de placer deuxséto

s arterioles qu'on lie également. En procédant, ainsi avec lenteur et méthode , on arrive à isoler peu-à-peu la tu-meur jusqu'à

de même de M. Ilédénus qui compte déjà plusieurs cas deguérison. lia méthode de ce chirurgien diffère de la précédente, en ce

bronchotomie. Des cas de ce genre n'ont besoin que d'être indiqués. MÉTHODES OPÉRATOIRES. La bronchotomie comprend cinq opér

emiers anneaux de la trachée. L'ap-plication d'une canule, dans cette méthode , ne peut se faire que par la plaie trachéale, l'é

e ces indications suffit pour indiquer dans chaque cas le choix de la méthode à suivre. Pour agir dans le larynx, la méningo-cr

dans l'un ni dans l'autre, et elle réunit les inconvé-niens des deux méthodes dont elle est l'intermédiaire : le danger de l'

le temps nécessaire à la cicatrisation. Restent donc les deux vraies méthodes dont l'expérience a démontré l'effica-cité : la t

r ses nombreux succès, la préférence qu'on lui accorde sur les autres méthodes dans tous les cas où l'on peut choisir. BRONCII

inet (de la Creuse), suppléer à la perte de substance en excès par la méthode autoplastique, en empruntant un lambeau cutané au

res pour l'établir et le reti-rer? De là à proposer la ligature comme méthode générale, et au besoin l'élargissement de la plai

s, le même découragement se manifeste, les chi-rurgiens passant d'une méthode à l'autre, et attribuant tour-à-tour aux vices de

lui ci-dessus mentionné, de deux morts sur sept opérés. Choix de la méthode opératoire. La convenance de l'opéra-ration étant

on. Morand conseille la ponction réitérée à plusieurs temps, c'est la méthode hippocratique , à laquelle se rattache aujourd'hu

li le diagnostic, il serait à désirer, avant d'en faire la base d'une méthode opératoire, qu'ils fussent soumis à un nouvel exa

es, qui permettent la dilatation lente du poumon refoulé, semblent la méthode la plus rationnelle; aussi est-ce celle qui a pré

rainte de tomber dans les adhérences ou en dehors de l'épanchement. méthodes opératoires. Appareil instrumental. La ponction

e, des pinces et des fils à ligature en cas de lésion d'une artère. Méthode par incision. Procédé ordinaire. Le malade est

ard de Lyon qu'appartient l'honneur d'avoir réhabilité cette ancienne méthode des Grecs consignée dans Hippocrate, mais avec de

des ponctions successives à des intervalles voulus. application des méthodes et procédés aux variétés de l'empyème. Nous emp

do-pleural. Employer à cet effet le procédé par incision, ou mieux la méthode de M. Rey-bard. Pour obtenir une plus large ouver

ie au secours de la médecine. Quant à la médecine opératoire , deux méthodes ont été propo-sées : la perforation du sternum et

e-lative des procédés opératoires. 1° Trépanation du sternum. Cette méthode , la plus ancien-nement proposée, est celle qui pr

bistouri étroit, guidé par la pulpe du doigt. Les avantages de cette méthode sont de n'offrir aucun danger quant au lieu sur l

ob-tenus MM. Godèle, Speranza et Bricheteau, doit être rejetée comme méthode générale, et elle ne convient guère cpie dans les

ée de l'ascite au moyen d'une canule à demeure, a servi de base à une méthode générale qu'em-ploie aujourd'hui M. Baudens, et q

st-à-dire l'établissement d'un anus artificiel, préférablement par la méthode de Scarpa , que la nature tend à établir d'elle-m

intestinales nécessitent l'emploi de la suture , sauf l'examen de la méthode et du procédé le plus con-venable pour chaque cas

ance qui ne le ferait un simple nœud. Suture a points passés. Cette méthode est en quelque sorte surannée en ce qu'elle s'opp

rs bien moins à craindre de donner lieu à une déchirure. Dans cette méthode de suture à points passés, on peut, après la rédu

nt plus la surface de l'intestin, et enfin il y a peu à se fier à une méthode qui met en contact les surfaces muqueuses, dont l

vement, du moins plus particulièrement aux plaies longitudinales, les méthodes et les procédés qui suivent, conviennent d'une ma

rendue telle pour régulariser et simplifier l'emploi du procédé. La méthode la plus ancienne est celle dite des Quatre-Maitre

e, les deux bouts rapprochés au contact. Evidemment, c'est dans cette méthode qu'est l'idée mère des sutures, avec ou sans inva

llaume de Salicet et Guy de Chauliac, cpii en parlent, blâ-ment cette méthode et lui préfèrent la suture du Pelletier. Pourta

et lui préfèrent la suture du Pelletier. Pourtant c'est cette même méthode des quatre-maîtres qui a été reproduite avec fave

sous le nom de réunion directe. Rhamdor est l'auteur d'une seconde méthode , dans laquelle un bout de l'intestin est invaginé

laquelle un bout de l'intestin est invaginé dans l'autre. Enfin la méthode originale la plus nouvelle a pour but de mettre e

le support d'un corps étranger. i ° Suture sur un corps étranger. Méthode de Duverger. — Réunion directe. i° Procédé de Du-

, le corps étranger ayant été évacué par les selles. Cette première méthode , en raison des succès qu'il avait déjà obtenu à d

ontraire, ont rapporté chacun un cas de guérison. Enfin c'est à cette méthode qu'il faut rapporter une modification récente, te

n ait encore été faite à l'homme. Procédé de M. Amussat. C'est à la méthode de Rhamdor que doit être rapporté ce procédé qui

'application, d'autant que l'idée originale, sur laquelle se fonde la méthode , était déjà en quelque sorte du domaine public.

testin par un rebord circulaire flottant. Les procédés empruntés delà méthode de Duverger ne ré-pondent réellement à aucune des

e malades. En vain Paré s'éleva-t-il avec énergie contre la prétendue méthode généralement usitée de son temps, de retrancher l

issance anatomique étant absolument indispensable pour comprendre les méthodes et les procédés que nous aurons à décrire. anat

ait à remédier aux accidens d'une hernie étranglée, ou à employer une méthode curative, le chirur-gien doit toujours s'occuper

dens dont il peut être la source s'il est employé sans mesure ou sans méthode . Une pression brusque, trop forte ou mal dirigée

séquent est de les employer concurremment autant que possi-ble. Telle méthode a réussi une ou plusieurs fois, qui échoue ensuit

et vous arriverez à ce résultat, qu'après tout, le taxis exécuté avec méthode et persévérance est encore ce qu'il y a de mieux

e. Opère-t-on tardivement et après l'essai préliminaire de toutes les méthodes de réduction, la marche rapide des accidens infla

s sûr pour conduire le bistouri. Pigray, élève de Paré, décri-vit une méthode qui consiste à faire une ouverture à la paroi abd

umeur, et à tirer en dedans, par cette ouverture, l'intestin déplacé, méthode qui, d'a-près le travail historique de l'auteur d

ver l'étranglement par la dilatation de l'anneau aponévrotique. Cette méthode a dû être accueillie avec faveur, puisqu'elle n'e

ur satisfaire aux conditions de-mandées. B. Incision. Cette seconde méthode , applicable dans tous les cas et préférable à la

à cause de l'étroi-tesse au niveau du collet, il faudrait, suivant la méthode d'Ar-naud, débrider par l'intérieur de l'intestin

ération de la hernie étranglée, nous n'avons point parlé de certaines méthodes opératoires qui sont à-peu-près complètement aban

trouvé quepeu de défenseurs; mais il n'en est pas de même d'une autre méthode proposée par J.-L. Petit. Ce chirurgien a insisté

é péritonéale. Avec des avantages aussi nombreux, il semble que cette méthode devrait, être prise en sérieuse considération, ma

ques-uns de ces motifs pourraient être employés à combattre une autre méthode opératoire qui s'an-nonce, de nos jours, comme vo

homme, l'artère testiculaire. On com-prend par conséquent pourquoi la méthode de débridement par dilatation ou bien par plusieu

ard qu'on isola le sac de manière à l'étreindre sans le cordon, et la méthode prit le nom de suture royale, bien plutôt en rais

qu'ils ne l'ont définitivement fixé : ainsi, pour l'appréciation des méthodes nouvelles, le jugement serait encore un peu préma

l'exposé qui va suivre , nous ne parlerons que de quel-ques-unes des méthodes nouvelles, et de la compression, la setdedes méth

l-ques-unes des méthodes nouvelles, et de la compression, la setdedes méthodes anciennes, qui mérite d'être conservée. COMPRES

ction soit de longue durée. L'histoire des perfectionneinens de cette méthode , liée intimement avec les perfectionneinens que l

sociés. Mais , avouons-le aussi, la gêne extrême nécessitée par cette méthode et l'incertitude du succès permettent rarement d'

dans sa cavité. Quoi-que fort différente dans son application, cette méthode , quant à son intention chirurgicale, se rapproche

Thèse de M. Thierry, pour une chaire de médecine opératoire, 1841.) MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. GEHUY. Cette opération n'est

la cure a paru définitive, même plusieurs mois après l'opé-ration. MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. RONNET, DE LYON. Celte méthod

ès l'opé-ration. MÉTHODE ET PROCÉDÉS DE M. RONNET, DE LYON. Celte méthode consiste à oblitérer le sac au moyen d'épingles

ts. methode f.t procédés de m. velpeau. M. Velpeau a employé deux méthodes différentes, l'injection et les scarifications. I

r a conseillé d'injecter du sang dans la cavité du sac. Une seconde méthode de M. Velpeau consiste à scarifier l'inté-rieur d

des hernies. Malgré quelque parenté reconnaissable avec plusieurs des méthodes des siècles passés , il est clair qu'ici l'on a a

tout ce qu'il importe d'en spécifier pour servir de base aux diverses méthodes opératoires. Les moyens employés pour la cure p

uture, c'était une idée toute naturelle d'y appliquer dans ces cas la méthode de l'anaplastie. M. Collier, le premier, tenta de

Scbmalkalden, en 1798 , est le premier cpii en ait conçu l'idée. La méthode dont il attendait la réussite était la ligature.

tre. Cette blessure nécessita la création d'un anus artificiel par la méthode de Littre; il fut établi par Daguesceau , docteur

l'un contient une obser-vation d'opération d'anus artificiel, par la méthode de Littre; la femme, Agée de 03 ans, vécut trois

'anus artificiel, par le pro-cédé de Littre avec des succès variés. Méthode de Littre (perfectionnée par Duret). Procédé opé-

tin hors du péritoine, mais cette modification n'a pas été adoptée. Méthode de Callisen. Le procédé proposé par Callisen, chi

ue, ce même chirurgien a eu l'occasion de pratiquer plusieurs fois la méthode de Callisen sur des enfans nés avec une imperfora

provoque des douleurs vives et inces-santes. Appréciation. Dans la méthode de Callisen l'intestin étant ouvert en dehors du

à l'employer que celle de Littre, aussi doit-elle être adoptée comme méthode générale. C'est là une opinion qui prend tous les

le qu'on doit attribuer la réprobation générale dont a été frappée la méthode pendant près de l\o ans. Maintenant reste à chois

uver le malade. Nous dira-t-on qu'elle est dangereuse, surtout par la méthode de Littre? nous en conviendrons; mais l'opération

he, dans la direction normale du rectum. En procédant avec lenteur et méthode , l'indicateur ne tarde pas à reconnaître le cul-d

a nécessité de pratiquer une opération toujours très grave à quelque méthode que l'on ait recours , il est bien préférable d'o

ien de pareils exemples doivent rendre circonspect sur l'emploi d'une méthode opératoire qui peut amener des résultats aussi fu

re des idées saines sur la nature même de la maladie. Mais, quant aux méthodes curatives, il est curieux de voir dans la suc-ces

raintifs au sujet des opérations sanglantes, disparaissent toutes les méthodes de section. Les caustiques et la ligature sont se

et à nœuds. Mais Guy de Chauliac montre un progrès en reproduisant la méthode par incision et prouve son bon sens chirurgical e

rès, il convient d'at-tendre que les succès en soient mieux avérés. méthodes opératoires. Cautérisation. Cette méthode ne sa

n soient mieux avérés. méthodes opératoires. Cautérisation. Cette méthode ne saurait convenir que pour les fistules simples

sont les choses, on ne peut encore ni approuver, ni im-prouver cette méthode . Il faut attendre des faits nouveaux en plus gran

guérison assurée. Les coarctations du rectum sont traitées par quatre méthodes opératoires , la dilatation, la cautérisation , l

umeurs sanguines, fongus, tumeurs érectiles, hé-morrhoïdes, etc. Deux méthodes principales y sont appliquées, le tamponnement et

s jusqu'à présent mis en usage. Ainsi le tamponnement qui est déjà la méthode la moins offensive, est celle aussi qui devien-dr

les, qui rendent si graves les opérations sur le rectum, si par cette méthode on ne peut absolument les pré-venir, du moins on

, du moins on les rend un peu moins probables. Cautérisation. Cette méthode successivement reprise et aban-donnée à diverses

t mis en usage : la liga-ture, l'incision et l'excision. De ces trois méthodes , la ligature est le plus anciennement et le plus

eu offensive, à ce point que M. Gibson assure n'avoir perdu par cette méthode qu'un seul malade sur trois cents opérés. Des rés

assurée par ses dispositions préliminaires, marche régulièrement avec méthode et sans con-fusion. L'extrémité de l'intestin se

Chaumet me racontait cette modification qu'il avait apportée dans la méthode d'excision des tumeurs hémorrhoïdales, déjà il av

t avec l'incision préa-lable de M. Chaumet, il en ressortît enfin une méthode opéra-toire plus avantageuse qu'aucune de celles

a chute de l'utérus et du vagin offre l'analogue chez la femme. Les méthodes opératoires en usage pour remédiera la proci-denc

mençant l'opération , si l'on compare les résultats fournis par cette méthode avec ceux qu'on obtenait par les moyens qu'on emp

la suture enchevillée. Cautérisation de l'anus. Anciennement cette méthode était beaucoup employée, Marc-Aurèle Séverin en é

ombre de raies qu'on doit faire n'a rien de fixe. On attribue à cette méthode la faculté de resserrer les tissus et de favorise

lorsque tous les autres moyens avaient échoué, avant qu'on connût la méthode par l'excision des plis de l'anus, est actuelleme

é le sang , et n'a point à redouter l'hémorrhagie. Appréciation des méthodes . La réduction suffit quelquefois pour obtenir une

rer, car elle est appliquable dans tous les cas où le sont les autres méthodes , n'est suivie d'aucun danger, et guérit constamme

giens modernes , dans des circonstances données , porteront le nom de méthodes anciennes y les autres, mis au jour par des chiru

autres, mis au jour par des chirurgiens de notre époque , seront dits méthodes nouvelles. méthodes anciennes. La cautérisati

r des chirurgiens de notre époque , seront dits méthodes nouvelles. méthodes anciennes. La cautérisation, employée d'abord p

ain nombre de succès. Elles ont été bientôt remplacées par Vincision, méthode déjà in-diquée par Celse et qui ne manque pas enc

e, on remplit la cavité de l'hydrocèle de boulettes de charpie. Cette méthode , malgré le suffrage des chirurgiens que nous avo

lluleux, et par suite la cicatrisation de cette vaste cavité. Cette méthode , l'excision , encore aujourd'hui employée par que

Injection. Généralement adoptée par les chirurgiens moder-nes , cette méthode fut, dit-on, imaginée par un nommé Monro et mise

iron 3a". Manuel opératoire. Le malade étant disposé comme pour les méthodes précédentes, le chirurgien se place du côté droit

ifs. Un des accidens les plus graves cpie l'on ait à redouter de la méthode par injection , c'est la gangrène du scrotum , qu

roide. Méthodk de M. Baudens. Ce chirurgien a créé dernièrement une méthode qui compte déjà un grand nombre de succès. Elle c

uses (Gazette des hop., p. 33 i, 184o). Telles sont les différentes méthodes qui, tour-à-tour, ont été mises en usage dans le

encore l'injection vi-neuse , et mieux l'injection iodée , ou bien la méthode de M. Bau-dens. Mais dans les cas où, comme pour

casion d'y revenir dans un autre chapitre. Appréciation. Toutes les méthodes étant exposées, avec leurs avantages et leurs inc

avec leurs avantages et leurs inconvéniens , l'injection d'iode et la méthode de M. Baudens, nous paraissent incontestablement

ons dans les auteurs que des données statistiques incomplètes sur les méthodes cpie chacun d'eux a inventées, et cependant il no

uérison et de la récidive. C'est en passant ainsi en revue toutes les méthodes que nous avons décrites , cpie nous croirons avoi

r dans un traité de mé-decine opératoire. Et d'abord, procédant des méthodes les plus usitées vers celles qui le sont le moins

celles qui le sont le moins, nous commencerons par l'injection. Cette méthode est sans contredit celle cpii réussit le mieux et

initive. Pour les cas particuliers nous avons dit quelles étaient les méthodes préférables, nous n'y revien-drons pas. La méth

les étaient les méthodes préférables, nous n'y revien-drons pas. La méthode de M. Baudens, dont nous avons constaté les bons

urs résultats sont insignifians , comparés aux succès journaliers des méthodes pré-cédentes. L'expression seule d'excision ind

jusqu'au point d'avoir occasionné la mort. Le seul avantage de cette méthode , mais cpii ne suffit pas pour contrebalancer ses

ve en raison de la solidité des adhérences. Ce que nous di-sons de la méthode , nous le disons aussi des procédés à l'excep-tio

qué. Pour le séton , il en est à-peu-près de même ; seulement cette méthode a des inconvéniens absolument opposés. Ainsi , in

accidens graves. En résumé, dans l'état actuel de la question , les méthodes à préférer à toutes les autres, seront l'injectio

n , la compression , la ligature et enfin la castra-tion ; toutes ces méthodes dites anciennes , qui ont en partie été mises en

irurgiens de notre époque, procédés seuls réellement applicables, les méthodes anciennes étant pour la plupart pires que le mal

ciennes étant pour la plupart pires que le mal lui-même, (i) Quatre méthodes générales ont été principalement suivies par les

les ont été principalement suivies par les modernes, et de ces quatre méthodes découlent huit procé-dés , qui ont été imaginés p

. Voulant se mettre à l'abri de tous les accidens qu'entraînaient les méthodes ancien-nes , et de plus voulant éviter la phlébit

venable de se borner à recommander l'usage d'un suspensoir. Quant aux méthodes anciennes, elles doivent être bannies désormais d

amènent que très lentement la guérison. Malheureusement, soit par les méthodes anciennes, soit par les nouvelles , il n'existe n

t ses inconvéniens, et il serait certaine-ment le plus employé, si la méthode sous-cutanée n'était venue envahir aussi cette pa

partie de la chirurgie. Pour les deux autres procédés de M. Velpeau ( méthode sous-cutanée), ainsi que pour ceux de M. Ricord e

l n'y aurait pas là une contre-indication absolue pour l'opération. méthodes opératoires. Autrefois, lorsqu'on voulait prive

nal déférent. Ces chirurgiens prétendent également qu'en mettant leur méthode en pratique, ils ont obtenu des gué-risons, et qu

nfin, sur un point intermédiaire ; l'essentiel, lors-qu'on suit cette méthode , est défaire la ligature au-dessus du mal (Pl. 48

tirer l'attention et ne saurait détourner le praticien d'employer une méthode qui, en général , réussit très bien. Au reste , c

quait ancienne-ment ; mais ils n'ont pu réussir à faire adopter cette méthode . Boyer, qui l'a tentée plusieurs fois, dit en avo

. Elle se lait par incision , par excision et par circon-cision. i" Méthode par incision. Procédé ordinaire. Il consiste à

tres, par exemple (Pl. 5o, fig. 2). Appréciation des procédés de la méthode par incision. L'inci-sion dorsale présente un gra

t l'opération, sans ap-porter un remède plus efficace à la maladie. Méthode par excision. Procédé ordinaire. Lorsqu'on a fa

re. Lorsqu'on a fait l'incision dorsale dont nous avons parlé dans la méthode par incision, on saisit successi-vement avec une

il en pratique plusieurs dans des points voisins (Pl. 5o, fig. 3). Méthode par circoncision. Procédé de M. Lisfranc. Il fa

qu'il vaut mieux employer le procédé de M. Bégin. Appréciation des méthodes . Sans avoir chacune leurs appli-cations bien tran

des. Sans avoir chacune leurs appli-cations bien tranchées, les trois méthodes ne conviennent ce-pendant pas indifféremment à to

difformité diminue beaucoup; d'ailleurs rien n'empêche de combiner la méthode de l'incision avec celle de l'excision. 20 Si le

s, une fois terminée, n'exige pour tout pansement, quelle que soit la méthode qu'on ait suivie, que l'application d'un linge tr

us l'avons dit, à faire adopter le cathétérisme rectiligne même comme méthode exceptionnelle. C'est à M. Amussat qu'appartient

sont ce qu'il y a de mieux pour obtenir des appréciations exactes. MÉTHODES OPÉRATOIRES MISES EN USAGE POUR GUÉRIR les RÈTRÈC

rétrécissement ou toute autre cause. Rètrècissemens incomplets. Les méthodes opératoires em-ployées dans ce cas sont la dilata

cautérisation et les scarifications. DILATATION GRADUÉE. C'est la méthode la plus anciennement connue : on la pra-tique ave

urel, et que l'urine sorte sans difficulté. On a pour but, dans cette méthode , de comprimer la partie du canal hypertrophiée et

par le n" 9 ou 10. M. Velpeau, le principal auteur de cette nouvelle méthode , dit, qu'il a acquis la conviction, fondée sur un

plus d'intensité qu'auparavant. On a lait de graves reproches à la méthode que nous venons d'étudier, et, entre autres, d'êt

tion forcée a été proposée en 1835 par M. Mayor de Lausanne comme une méthode nouvelle pour traiter les rétré-cissemens de l'ur

iner les raisons sur lesquelles se fondait l'auteur, et sou-mettre sa méthode au creuset de l'expérience; ainsi il préten-dait:

habiles, en ont produit chacun une, en voulant tenter cette nou-velle méthode , et les désordres produits par M. Mayor lui-même,

ces faits que les observations fournies par M. Mayor à l'appui de sa méthode , sont incomplètes, mal choisies, et plutôt contra

l'examen critique qu'en a fait M. Vidal (de Cassis), ainsi que de la méthode en général {Journal hebdomadaire n° 4? ' 835), on

sont plus spécieuses que solides ; et on en conclura que sa nouvelle méthode , loin d'être susceptible de devenir générale, ne

usceptible de devenir générale, ne doit être considérée que comme une méthode exceptionnelle, dont les applications se restreig

enus par son emploi, soit à cause de la pusillanimité des malades, sa méthode était tombée en désué-tude, lorsque Wiseinan d'ab

écurité fournies par l'usage des instrumens imaginés par Ducamp. « La méthode de la cautérisation, dit M. Lallemand, lui est re

« pourraient y être restées. » Cautérisation d'avant en arrière. La méthode précédente n est applicable qu'autant que le rétr

mand, à ce qu'il rapporte, ait essayé trois (ois avec succès de cette méthode , elle nous paraît trop dange-reuse et trop suscep

s rétrécissemens de l'urètre, disent MM. Bégin et Lallemand , est une méthode ingénieuse et utile ; elle procure un prompt agra

est de même de M. Amussat. M. Velpean, au contraire, pense que cette méthode a l'inconvénient de n'offrir que peu de chances d

nous considérons que les scarifications consti-tuent actuellement une méthode de traitement des rétrécissemens de l'urètre peu

vessie ou de la portion musculo-membraneuse du canal lui-même. Les méthodes opératoires mises en usage contre la rétention de

l'introduction des bougies. Au reste, ajoute l'auteur, quoique cette méthode ait été imaginée pour un cas exceptionnel, quelle

ades. M. Amussat peut bien avoir un peu exagéré les avantages de sa méthode , cependant tous les chirurgiens qui l'ont employé

s dans le but seulement de rétablir les voies naturelles. C'est cette méthode qui constitue le cathétérisme forcé, toujours pér

iqué de point de suture. M. Lefèvre de Joinville a obtenu par cette méthode un succès complet chez un homme dont l'urètre éta

cas dans lesquels il convient d'inciser soient rares, attendu que les méthodes dont nous avons déjà parlé suffi-sent le plus sou

, qu'on n'aura pu réussir à vaincre le rétrécisse-ment par les autres méthodes dont nous avons parlé, et qu'il y aura urgence d'

en avant, pour rétablir la route naturelle. Nous pensons que cette méthode , qui permet de reconnaître les altérations deform

lemand,de Montpellier, soutientles mêmes principes et conseille cette méthode .L'observation citée par Boyer prouve la justesse

réparer la perte de la substance aux dépens des tissus voisins . La méthode indienne, consistant, comme on sait, à prendre

ne dura pas plus de huit jours. M. Ricord, de son côté, a mis cette méthode en pratique une fois, mais il n'a pu obtenir la g

e. i° Extraction avec dilatation préalable. Depuis long-temps cette méthode était connue des Égyptiens qui dilataient le cana

Depuis lors la ponction par le trocart a été adoptée en France comme méthode générale. Voici comment on la pratique. Procédé

eurant, de Lyon, est généralement regardé comme l'inven-teur de cette méthode . Ce chirurgien ayant remarqué, en por-tant le doi

ensable, qu'il n'hésite plus à perforer la vessie. appréciation des méthodes entre elles. Chacune des ponctions de la vessie

ge de faire uriner le ma-lade par les voies naturelles, de suivre une méthode qui donne si peu de chances d'un résultat curatif

ident rare. Enfin, ce qui s'oppose le plus à ce qu'on choisisse cette méthode , c'est la gène que détermine une canule en ce lie

la cloison recto-vésicale. Aussi recom-mande-t-on de ne choisir cette méthode , que dans les cas où l'on sent, avec le doigt por

es doctrines chirurgicales, qu'aujourd'hui même, après l'emploi d'une méthode nouvelle, dont l'application est si heu-reuse dan

oussées par les autres qui leur en substituent de contraires. Trois méthodes générales sont aujourd'hui en vigueur : l'ex-trac

e, les Arabes et le moyen âge, la chirurgie ne connaît encore d'autre méthode d'opérer la taille que le petit appareil. Mais dé

atives, apparemment insuffisantes, ne laissent aucun souvenir, car la méthode égyptienne, dite de Celse, est la seule mise en u

t imprimer aux esprits un nou-vel essor. A partir de cette époque les méthodes nouvelles se mul-tiplient avec rapidité : Franco

du xviuc siècle des pro-cédés nombreux viennent modifier ces diverses méthodes . En même temps de nouveaux essais sont tentés, le

que de la dissolution des calculs, semblent aujourd'hui promettre une méthode nouvelle, la moins offensive de toutes , et appli

n général, sont souvent des plus impor-tantes pour fixer le choix des méthodes et des procédés opératoires. 5° Mobilité ou fix

péciale, et de l'appréciation établie entre la valeur comparative des méthodes entre elles, et des procédés d'une même méthode e

leur comparative des méthodes entre elles, et des procédés d'une même méthode entre eux. Quant à la situation générale du malad

ostate, qui soit une con-tre-indication formelle à toute opération. MÉTHODES OPÉRATOIRES. L'ordre chronologique d'appréciati

mme un heureux moyen auxiliaire, ou préparatoire ou complétif. Deux méthodes ont été tentées dans ces derniers temps : la disg

de dissolvant. Galien, qui parle de ce mode de traitement comme d'une méthode usuelle, recommande une foule de re-mèdes interne

s ouvrages de chimie les plus modernes, on niait la possibilité d'une méthode générale dialytique par la nécessité, où l'on cro

formulée par les appareils et les résultats de nos chirurgiens en une méthode positive, il n'ait plus été possible de contester

n soit, un écrivain du xv° siècle parle de la lithotritie comme d'une méthode sinon efficace, du moins usuelle. Alex. Benedictu

ais grossiers, on ne peuts'empê-cher de reconnaître le germe des deux méthodes de l'usure pro-gressive, et du broiement par perc

s'en présentera, dans la description que nous allons faire des divers méthodes et procédés de la lithotritie et des instrumens p

du Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques, établit quatre méthodes : i° perforation successive des calculs et écrase

celle de M. Velpeau dans laquelle la lithotritie est partagée en deux méthodes , la méthode rectiligne et la méthode curviligne ;

elpeau dans laquelle la lithotritie est partagée en deux méthodes, la méthode rectiligne et la méthode curviligne ; sui-vant qu

ithotritie est partagée en deux méthodes, la méthode rectiligne et la méthode curviligne ; sui-vant qu'on emploie des instrumen

de ne rien fixer dans l'esprit. Nous décrirons donc successivement la méthode des perforations suc-cessives, l'évidement des ca

ici comment est constitué l'instrument dont on se sert encore dans la méthode des perforations successives avec tousses perfect

aration à faire subir au malade avant l opération. Quelle que soit la méthode qu'on veuille employer, il faut d'abord exa-miner

fois par son auteur, mais sans succès. Le grave inconvénient de cette méthode est de ne permettre de pratiquer qu'un trou de 7

urs. Pour obvier à l'inconvénient que nous venons de signaler dans la méthode précédente, on a apporté dans la disposition de l

rogressive des calculs de la circonférence vers le centre. Les deux méthodes précédentes, de même au reste que la mé-thode par

ès lentement le calcul et le laissent fréquemment échap-per. Aussi la méthode de l'usure concentrique est elle complète-ment ab

Un dernier appareil, qui, par son objet, est intermédiaire entre la méthode de l'usure et de l'écrasement, est celui que M. R

ragmens dans lesquels la pierre a été réduite. Lorsqu'on emploie la méthode de l'égrugement on n'a pas à s'occuper de l'extra

ue la vessie est complètement débarrassée, tandis que dans les autres méthodes il n'en est pas de même; le calcul pri-mitif est

dureté du calcul doit aussi entrer pour beaucoup dans le choix de la méthode , car, toutes choses égales d'ailleurs, un calcul

urs se livrer avant « de se décider à opérer, et de faire choix de la méthode conve-« nable. L'application de la méthode, le co

r, et de faire choix de la méthode conve-« nable. L'application de la méthode , le commencement de l'exé-« cution de cette métho

application de la méthode, le commencement de l'exé-« cution de cette méthode , constituent seuls l'opération , et ce « n'est qu

a-tions de la chirurgie; pendant bien des siècles elle a été la seule méthode usitée pour débarrasser les maladies de la pierre

complet et instructif de cette opération, il faut passer en revue ses méthodes , ses procédés, ses indications, ses contre-indica

e l'urine par l'hypogastre, le vagin et le ves-tibule. Le choix des méthodes est déterminé par le volume des calculs, les dang

e manière. OPÉRATION. La taille périnéale se pratique suivant six méthodes qui por-tent les noms de petit appareil, grand ap

drilatérale. PETIT APPAREIL. On a long-temps attribué à Celse une méthode qui ne lui ap-partient pas en réalité : c'est cel

nt d'interprétations di-verses, comme nous le verrons plus loin. La méthode , dont il s'agit ici, appelée ultérieurement Metho

ée depuis plusieurs siècles, reçut au vie siècle, vers l'époque où la méthode du grand appareil fut connue, le nom de Petit app

miner, comme on ne doit jamais manquer de le faire quelle que soit la méthode qu'on mette en usage, s'il n'y en avait pas d'aut

de la même manière. Suivant Boyer, les parties divisées dans cette méthode sont la peau , le tissu cellulaire, le muscle tra

totomie proprement dite. Telle que nous venons de la décrire, cette méthode mérite de graves reproches, ainsi : comme on ne s

de s'étendre plus au long sur les avantages ou les inconvéuiens d'une méthode inusitée depuis long-temps, comme application gén

i à Mariano Santo de Barletta (Marianus Sanctus), le révélateur de sa méthode , où, tout en louant l'exactitude et l'élégance de

-naissance publique l'en a récompensé en appelant, d'après lui, cette méthode du nom de Sectio Mariana qu'elle a conservé de-pu

de l'amitié qui s'établit entre eux, L. Collot apprit d'Octaviano sa méthode d'opérer la taille, et après la mort de son ami,

bien que Franco, G. Fabrice et quelques autres auteurs connus-sent la méthode latéralisée, elle ne commença à se répandre que v

les des sondes dont se servent « ceux qui taillent suivant l'ancienne méthode ; il prit un bis-« touri un peu plus long que ceux

isait la dissection des parties divisées, reconnut, lui aussi, que la méthode du Frère Jacques était bonne, et que son incertit

. Toutefois en 1701 Hunault avait déjà donné une description de cette méthode dans un ouvrage accompagné de planches dessinées

ous les cas, on ne saurait lui refuser d'avoir appliqué le premier sa méthode , à quoi nous ajouterons qu'il en a donné la premi

ectification de sa mé-thode; qu'avant de l'avoir vu il opérait par la méthode du grand appareil; qu'après avoir assisté à ses o

inslow : Si je voulais vous détailler ici tous les avantages de cette méthode de faire la taille, prouvés par plus de mille exe

l disait dans un discours prononcé à Leyde, qu'il avait taillé par sa méthode 1 547 individus affectés de calcul. Quoiqu'il e

l. Quoiqu'il en soit, après la mort de Raw, cpii arriva en 1719, sa méthode se trouva encore ignorée, et pour la retrouver il

latéralisée en Angleterre, et avant que rien n'eût été pu-blié sur sa méthode , Garengeot etPerchet, chirurgiens de la Cha-rité

ait tellement con-vertie en règle que les chirurgiens cherchaient une méthode cer-taine pour y parvenir lorsque Frère Conte don

toire de la lithotoinie. On a donné le nom de taille latérale à une méthode dans la-quelle les parties extérieures sont le pl

dans la taille latéralisée. Enfin il terminait comme dans les autres méthodes . Procédé Thomas. C'était le même que celui de F

artie inférieure du périnée, et pour éviter la lésion du rectum. La méthode latérale, par elle-même, est vicieuse, aussi est-

éter, puisqu'il tombait souvent sur le corps de la vessie. Quant à la méthode , son vice essentiel est qu'elle ne permet pas de

se servant de la cannelure du cathéter comme guide. Mais encore cette méthode ainsi pratiquée, non seulement ne ga-rantirait pa

tit appareil décrit par les auteurs grecs, constitue de nos jours une méthode particulière. C'est l'explica-tion erronée de ce

ome double). 68 Dupuytren accordait les avantages suivans à cette méthode sur les précédentes : Elle est plus facile à ex

est plus facile à exécuter, plus prompte et plus sûre que les autres méthodes . On a l'avantage d'inciser le périnée dans la par

ont trop petites pour qu'on puisse redouter leur lésion. Enfin, cette méthode est également applicable sur l'homme, sur la femm

insuffisant à quelques per-sonnes , pour juger de la valeur de cette méthode comparative-ment à celle des autres, il n'en est

clard et de Scarpa, que la taille bilatéral»: doit être adoptée comme méthode générale , veut que le point le plus élevéde l'in

du périnée en faisant les incisions obliques antérieures. Aussi cette méthode doit-elle être réservée pour les cas exceptionnel

ieure. Nous avons déjà vu comment se pratique cette incision dans les méthodes variées des tailles périnéales, le petit et le gr

us permis de négliger, car, avant d'opérer, il faut faire choix de la méthode et choisir la moins dangereuse. Or, nous savons q

on ne peut faire autrement; mais elle serait très mauvaise, érigée en méthode générale, comme Maret de Dijon et Louis ont essay

enir à la vessie par le rectum. Rien, qu'air dire de M. Clol, cette méthode soit connue depuis long-temps en Egypte, et que F

il n'en est pas moins vrai que Sanson est le premier qui ait érigé en méthode l'extraction de la pierre à travers l'extrémité i

btenus Vacca en suivant ce procédé, qui lui ont fait donner le nom de méthode de Vacca. Second procédé de Sanson dans lequel

s enfans, parce qu'en général ils guérissent fort bien par les autres méthodes . TAILLE HYPOGASTRIQUE OU SUS-PUBIEME. Comme s

il décrivit soigneusement la taille sus-pubienne et la proposa comme méthode générale. Quoiqu'il l'ait beaucoup vantée, il par

den rapportent que, de 1719a 1723, sur 1 5 ma-lades taillés par cette méthode , ils n'en ont perdu que 2 ; sur i 2, Thornhill n'

ara le partisan; après lui, son neveu M. Souberbielle, l'adopta comme méthode générale, et. la pratiqua exclusivement comme il

ssie et l'extraction du calcul. Il n'y a donc ici, en réalité, qu'une méthode , car il n'y a qu'un trajet à parcourir et par un

tiles, il nous a donc paru convena-ble de décrire d'une seule fois la méthode générale , dérivée du fait lui-même, et par consé

efois d'assez grandes 72 difficultés. Mais par le fait même de la méthode qui permet de mettre la cavité de la vessie large

des chirurgiens considèrent la taille par le haut appareil comme une méthode exceptionnelle, et pensent qu'on doit la réserver

en faveur de l'opinion le plus généralement reçue, quoique par cette méthode on parvienne à la vessie à travers des parties pe

nnent lieu les points de vue divers du diagnostic, des manœuvres, des méthodes et de leurs résultats, nous avons cru ne pas devo

avers, dans l'étendue de 27 à 35 millim. (Voy. pl. 67, fig. 3). Cette méthode a généralement été reconnue comme mauvaise, parce

e vagin. Méry donna plus tard un autre procédé qu'il voulut ériger en méthode géné-rale. Bussière conseilla également cette opé

e qui arrive dans les cas des fistules ordinaires. Appréciation des méthodes usitées pour pratiquer la taille chez la femme. D

es méthodes usitées pour pratiquer la taille chez la femme. Des trois méthodes dont nous venons de parler, la taille vestibulair

s fort considérables, qu'on ne pourrait retirer par aucune des autres méthodes ; elle est facile à exécuter, n'est accompagnée d'

leurs calculs tous les cas qui se sont présentés, sans distinction de méthode el de pro-cédés ; cependant, il eût été important

ividus opérés par Douglas, Cheselden, Macgill et Thornill, suivant la méthode sus-pubienne, il y a eu 5 morts, ce qui donne i s

tara rapporte que des i433 sujets mâles, 1, io3 ont été opérés par la méthode du grand appareil, ou de Marianus Sanc-tus ; que

, comme intérêt scientifique et philosophique pour la comparaison des méthodes , des temps et des lieux; mais en rapprochant les

ion du plus grand nombre de faits. Ainsi en moyenne, les deux grandes méthodes de tailles semblent se balancer; elles fournissen

depuis lors et dans les derniers temps surtout, on a tenté plusieurs méthodes : savoir, r" l'obtu-ration mécanique de la fistule

, 4° la suture, 5" l'auto-plastie, 6° l'oblitération du vagin , 7° la méthode palliative. OBTURATION MÉCANIQUE DE l'oRIFICE F

hode palliative. OBTURATION MÉCANIQUE DE l'oRIFICE FISTÜLEIIX. i° Méthode de Desault. Ce chirurgien se proposait deux chose

rmine la cure des fistules qu'on est parvenu à rétrécir par une autre méthode . suture. Jusqu'au commencement du xixc siècle

ciation de la suture. D'après ce que les au-teurs rapportent de cette méthode , on voit qu'elle a été pratiquée un assez grand n

que réclamerait l'état des parties. ÉLYTROPLASTIE. Voyant que les méthodes précédentes étaient rarement suivies de succès, M

s dans le voisinage du vagin. Il a déjà appliqué plusieurs fois cette méthode avec des résultats variés ( Bul. de T Acad. roj.

la difficulté de l'écoulement des règles. APPRÉCIATION GÉNÉRALE DES MÉTHODES PRÉCÉDENTES. Cette appréciation n'est pas facil

, ou contre lesquelles on ne pourrait raisonnablement tenter il'autre méthode que celle de M. Vidal; nous voulons parler de cel

in, il ne resterait plus à leur opposer que la mé-thode palliative. Méthode palliative. Elle consiste à se borner aux soins d

onsiste dans l'application, avec les modifications convenables, de la méthode qu'employait Dupuytren, pour guérir les anus cont

rocédés on ne connaît actuellement contre ce genre d'affection que la méthode palliative. TUMEURS DU VAGIN. Le vagin peut d

succèdent à la chute des eschares soient cicatrisées. Jusqu'ici cette méthode n'a produit aucun bon résultat connu. Les malades

ès douloureuse, et incapable de donner de meilleurs résultats que les méthodes précédentes. On ne cite aucune guérison en sa fa-

dent également avoir réussi [Gazette méd., i83q), « mais^dit de cette méthode M. Velpeau, « si elle n'a point échoué entre les

; puis de réunir à l'aide de la position et de la compression. Cette méthode , qui est encore à l'état de proposition , car ell

oigt dans le trou du pes-saire, tirent directement dessus; mais cette méthode , de mèrne que celle du ruban, sont mauvaises. Il

vaquer à leurs occupations sans en être incommodées. En France, cette méthode n'a point encore été expérimentée. Pour les ant

êterons pas plus long-temps. 2" Arrachement. Rarement usitée, cette méthode sera sans cloute venue de ce que certains polypes

s crainte de rien blesser. En résumé, l'arrachement n'est bon comme méthode générale que dans les cas de polypes vésiculeux e

cident, et au bout de peu de temps, la guérison fut complète. Cette méthode , comme la précédente, ne doit être employée cpi'e

aves acci-dens. 11 était à désirer qu'on pût lui substituer une autre méthode , à l'aide de laquelle il fût possible de les évit

possible de les éviter, et qui fût aussi sûre et plus rapide : cette méthode est l'excision. 6° Excision. Quoique cette opér

s faites avec succès, a mis tous ses efforts à la faire adopter comme méthode générale, et a réussi. Manuel opératoire. La fe

cas, la femme mourut. Mais Dupuy-tren qui n'a jamais pratiqué d'autre méthode , ne s'est trouvé qu'une seule fois dans la nécess

nir après l'opéra-tion. Mais, si l'excision a ses dangers, les autres méthodes sont loin aussi d'être exemptes d'accidens. L'arr

e rarement suivie d'ac-cidens graves, et qu'elle offre sur les autres méthodes l'avantage de débarrasser plus promptement et plu

ison que l'on s'accorde aujourd'hui, d'après Dupuytren, à l'ériger en méthode générale. TUMEURS DE L'UTÉRUS. 11 s'en présen

contre lesquels il serait inu-tile et dangereux d'employer les autres méthodes . C'est pour cette raison que nous trouvons conven

r la séreuse. EXCISION DU COL DE l'uTEKUS, PRÉALABLEMENT ABAISSÉ. Méthodes opératoires. Il y en a deux bien distinctes : cla

le spéculum qui doit garantir les parois du vagin. Appréciation des méthodes . Des deux méthodes dont nous venons de parler, la

t garantir les parois du vagin. Appréciation des méthodes. Des deux méthodes dont nous venons de parler, la seconde, celle cpi

déchi-rures et de grandes douleurs à la femme. C'est, en un mot, une méthode exceptionnelle, parce qu'elle ne permet pas d'app

r de laquelle tourne le tranchant est plus commode. Dans la seconde méthode , le spéculum est indispensable ; celui qui mérite

ure et simple, et l'extirpation avec dissection du péritoine sont les méthodes qu'on emploie. i" Ligature. La fig. 3 de la pl.

mortification, et forme un temps préparatoire de l'excision, si cette méthode est préférée. Il vaut mieux agir de cette dernièr

rs, terme le plus long auquel ait at-teint une seule d'entre elles. Méthode opératoire. Il y en a deux principales : dans l'u

deux principales : dans l'une on fait l'opération par l'hypogastre , méthode hjpogastrique, et dans l'autre par le vagin , mét

l'hypogastre , méthode hjpogastrique, et dans l'autre par le vagin , méthode vaginale. Méthode vaginale. C'est celle qu'on e

ode hjpogastrique, et dans l'autre par le vagin , méthode vaginale. Méthode vaginale. C'est celle qu'on emploie le plus fréqu

ir le péri-toine, devrait être préféré si la maladie le permettait. Méthode hypogastrique. L'extirpation de la matrice par l'

u second a succombé le troisième jour. C'est assez dire que c'est une méthode très dangereuse. Il est vrai qu'elle permet mieux

une méthode très dangereuse. Il est vrai qu'elle permet mieux que la méthode vaginale de voir ce que l'on fait, et d'enlever m

ile de discuter longuement les avantages et les inconvéniens des deux méthodes d'extirpation de l'utérus. Le peu de succès qu'on

oit possible d'appré-cier la valeur de cette opération. De toutes les méthodes opéra-toires, l'extirpation est celle qu'on doit

t aux enfans, il en périt aussi beaucoup. Lauverjat, dans sa Nouvelle méthode de pratiquer l'opération césarienne, dit que, sur

reil, àl'hôpital Saint-Louis, et M. Monod un autre, à la Maternité. Méthodes opératoires. L'opération césarienne abdominale

igne blanche, préconisa plus tard dans un ouvrage intitulé : Nouvelle méthode de pratiquer l'opération césarienne, une incision

, d'ailleurs que d'être suivie d'accidens presque aussi graves que la méthode ordinaire. Procédé de Physick. D'après M. Dewes

24;ké-ratomieoblique, kératomie supérieure, 2 5 ; kératomie latérale, méthode mixte, 26. — Pupille artificielle. Généralités, 2

atomie opératoire des fosses nasales, 36, 37. = Nez. Rhinoplas-tique. Méthodes italienne, indienne, française, 37, 38.— Tu-meurs

92, g3; ponction, g3,g4; térébration d'une côte, 94; applica-tion des méthodes , 94. —Paracentèse du péricarde, g5, 96. — Corps

on , 1 33. — Opération appliquée aux her-nies spéciales, 1 33-1 35. — Méthodes et opérations ayant pour but la cure radicale des

suture, i4o; anaplastie, i4o; entérotornie, 141 » = Anus artificiel. Méthode de Littre, 143; méthode de Callisen; procédés de

, i4o; entérotornie, 141 » = Anus artificiel. Méthode de Littre, 143; méthode de Callisen; procédés de MM. Amassât et Baudens,

16g—28g. opérations qui se pratiquent sur le scrotum. Hydrocèfe. Méthodes anciennes. Cautérisation, tentes, canule et séton

es, canule et séton, excision, incision, injection de vin, 169-171. Méthodes nouvelles. Acupuncture, compression, injection d'

71. Méthodes nouvelles. Acupuncture, compression, injection d'iode, méthode deM.Baudens, 171, 172.—Variétés d'hy-drocèle et l

de F. de Hilden, Méry, Bussière, procédé ordinaire. Appréciation des méthodes , 291, 292. Résultats statistiques des diverses

stules vaginales. — Fistules vésico-vaginales. Obturation mé-canique. Méthode de Desault, 3o6. Rapprochement des lè-vres de la

au, Leroy (d'Étiolles), 3i t. Oblitération du vagin, appréciation des méthodes , 3 1 2. — Fistides recto-vaginales. Cautérisatio

sus complet. Ligature, excision, 33g. Cancer de l'utérus non déplacé. Méthode vaginale; procédés de MM. Sauter, Récamier, Duble

t à l'excès les résultats de la petite modification qu'il appelait sa méthode , et, pour la faire prévaloir, exagérant ses avant

'en servira à l'avenir. Deux modes de sclérotomie sont en usage. La méthode ordinaire oû, avec le précepte anciennement établ

e l'air, les procédés, en réalité, s'en écartent plus ou moins; et la méthode particulière de M. J. Guérin, entièrement basée s

convenable. Il voulait appliquer à la section des muscles droits « la méthode sous-cutanée. Je parlerai plus loin de ce procédé

nteur, puis M. J. Guérin aurait eu la même idée comme induction de sa méthode sous-cutanée et M. Stromeyer comme extension des

ue ceux qui ont opéré les premiers l'ont fait en suivant pas à pas sa méthode sans y rien changer; la preuve c'est que l'auteur

es-sayer de la myotomie oculaire. Néanmoins il est supposable cpie la méthode opératoire n'avait pas encore été bien comprise e

nctions des deux derniers peuvent, être remplies par des assistans. méthodes et procédés opératoires. Il existe deux méthode

r des assistans. méthodes et procédés opératoires. Il existe deux méthodes opératoires de section des muscles : la section à

de M. Amus-sat, en partie sous-conjonctival, est intermédiaire de la méthode de Stromeyer à celle de M. J. Guérin. Considéré e

upé le tendon dans toute sa largeur. SECTION SOUS-CON.TONCTIVALE. Méthode de M. J. Guérin. L'auteur opère par' deux procé

l paraît se tenir définitivement et qui constitue particulièrement sa méthode .Toutes ces manœuvres, pratiquées par l'auteur, se

là de part et d'autre plus qu'il n'en faut pour juger la valeur d'une méthode ou d'un procédé opératoire. De l'examen comparati

erf et d'aucune artère, et que l'on peut diviser si facilement par la méthode sous-cutanée. 11 suffit, pour opérer cette sectio

chaque effort que fait le bègue pour exprimer sa pensée. Défaut de méthode . La difficulté momentanée ou même l'im-possibilit

hangemens, vraiment merveilleux, apportés en quelques mi-nutes par la méthode de M. Colombat; mais il faut, dire aussi que l'in

e résultat de l'imitation , on con-çoit qu'on doive avoir recours aux méthodes , préférablement à l'opération. Ainsi les traiteme

bégaiement. Quelque blâme que nous soyons contraint de verser sur sa méthode , l'idée-mère au moins lui appartient aussi origin

4 r, personne ne songeait à opérer les bègues. On en était réduit aux méthodes physiologiques plus ou moins ingénieuses de madam

t, de l'Isère. Tout au plus, ce der-nier ajoutait-il quelquefois à sa méthode la section du frein , lors-que le Journal des Déb

'étant pas encore connue, chacun, dans l'i-gnorance des détails de sa méthode , s'ingénia pour en trouver une. Si l'on peut en c

gnorons, toujours est-il qu'on ne peut s'empêcher d'y reconnaître une méthode originale, puis-qu'il transportait aux muscles so

hillips lui-même, auraient-elles concentré en commun les idées sur la méthode opératoire sous-linguale, qui deviendrait alors l

lors la propriété de tous? Nous ne saurions le dire. Toutefois, cette méthode en elle-même est remarquable en ce qu'elle consti

paraissent devoir être conservés. Après avoir tracé l'historique des méthodes , c'est à un autre point de vue que nous croyons d

és, un myotome ou un ténotome mousse, et enfin un perforateur pour la méthode sous-cutanée. Après cela, libre aux amateurs des

lui présente et en reçoit les instrumens nécessaires à l'opération. MÉTHODES ET PROCÉDÉS OPÉRATOIRES. Trois méthodes opérato

écessaires à l'opération. MÉTHODES ET PROCÉDÉS OPÉRATOIRES. Trois méthodes opératoires de section de muscles existent pour l

r le bégaiement : i° La section des muscles intrinsèques delà langue ( méthode allemande) ; 1° la section sous-muqueuse à découv

deux dernières doivent leur origine à la première, et constituent la méthode française proprement dite. Ainsi que nous l'avons

oyen, nous laisserons les auteurs eux-mêmes décrire leurs procédés. MÉTHODE ALLEMANDE. C'est dans une lettre adressée à l'I

s de muscles dans un grand nombre de maladies spasmodiques. » Trois méthodes différentes , qui toutes ont pour but la sé-parat

r et toute son épaisseur. C'est particulièrement sur cette dernière méthode que ce chi-rurgien avait fondé le plus d'espéranc

cine de la langue. Elle fut faite pour examiner l'importance de cette méthode par rapport à la facilité ou à la difficulté de l

s brusques du malade. Au reste M. Dieffenbacb s'ex-prime ainsi sur sa méthode . « L'importance d'une si grave opé-ration, les da

s temps qui suivent l'opération. » Telle est, en texte original, la méthode de M. Dieffenbacb, avec les observations et les r

por-ter, à cet égard, aucun jugement personnel, constatons que cette méthode , encore à sa naissance, est déjà complètement aba

l'opération de M. Dieffenbacb : sur l'annonce de i4 guérisons par une méthode aussi extraordinaire, on a vu de suite apparaître

que nous essaierons encore de motiver plus loin par des faits. A la méthode allemande se rattachent l'opération de M. Gears-l

erappeler ces tentatives qui appartien-nent à l'histoirede lapremière méthode opératoire du bégaiement. M. Gearsley, en prati

imitation de celle de M. Jearsley et n'a eu également aucun succès. MÉTHODE FRANÇAISE. Bornée à la section des génio-glosse

des génio-glosses, dans un point différent selon les procédés, cette méthode a pour but de faire cesser la rétraction spasmodi

siste le procédé opératoire de M. Amussat; mais ce qui caractérise la méthode de ce chirurgien, c'est le soin qu'il a d'empêche

és à une même pratique, nous semble militer fortement en faveur de la méthode qui leur est commune. Procède de M. Baudens (i)

ats avec ceux que nous allons voir déclarés par M. Bonnet, de Lyon. MÉTHODE SOUS-CUTANÉE (2). M. Colombat de l'Isère, d'apr

té , voici quelles sont les opérations successives qui constituent la méthode actuelle du chirurgien de Lyon, d'a-près un Mémoi

plus; maisl'accidentle plus grave et qui appartient en propre à cette méthode , est un épan-cbement sanguin au-dessous de la mem

urs. M. Bonnet signale la tuméfaction comme un accident inhérent à la méthode sous-cutanée. Mais il assure que, dans sa pratiqu

rvi de base aux différens appareils du pied-bot et qui ont réalisé la méthode de la flexion opposée à celle de la compression.

s qui sont nécessitées pour chaque genre de section en particulier. Méthode générale opératoire. Aujourd'hui il n'existe pl

opératoire. Aujourd'hui il n'existe plus, en réalité, qu'une seule méthode , c'est celle dite sous-cutanée , qui a pour objet

res et une suite d'acci-dens funestes. Traitement chirurgical. Deux méthodes ont été mises en usage pour redresser les dé-viat

embre à sa position normale ; mais elles diffèrent en ce que, dans la méthode la plus ancienne, et qui a prévalu comme la plus

eu que de mauvais résultats. M. Dieffenbach, en pratiquant la même méthode , a changé le sens du mouvement ; il commençait pa

le témoignage de M. Phillips, qui l'aurait pratiquée lui-même, cette méthode soit censée avoir eu de bons résultats, nous croy

ns encore récentes, mais pleines d'avenir. « Le point de départ de la méthode , dit l'auteur, est la section sous-cutanée du ten

onne, dans une série de propositions, les diverses applications de la méthode autres que la ténotomie proprement dite et dont l

entreprendre avant la con-naissance préalable du fait principe de ma méthode . » ( Ouv. cité, pag. 34. ) Mais telle est la fé

éthode. » ( Ouv. cité, pag. 34. ) Mais telle est la fécondité de la méthode , qu'outre ces appli-cations déjà si nombreuses, i

(Gaz. des hop., 2 oct.). Parmi les chirurgiens qui ont appliqué la méthode sous-cu-tanée, citons les suivans : i° MM. Bart

. Nous ne faisons qu'énumérer rapidement ces faits confirmatifs de la méthode , les succès et les revers s'étant mon-trés propor

l'air. MANUEL OPÉRATOIRE (Pl. II etP). Si nous devions suivre la méthode sous-cutanée dans toutes les applications de déta

tion du moins, ce nouveau mode de ponction de l'empyème, déduit de sa méthode générale sous-cutanée. Selon nous ce procédé est

diverse nature, situés profondément. Ayant suivi pour l'empyème la méthode générale de ponc-tion dans ses détails les plus m

u à aucun accident local. Nous n'hésitons donc pas à considérer cette méthode comme un progrès remarquable de la chirurgie à no

s, acquises; convulsions générales, état spasmodique local, défaut de méthode , influences morales, irritation, in-fluences atmo

e et de la nature du bégaiement, xxx. —Appareil instrumental, xxxi. — Méthode allemande, procédés de M. Dieffenbach, xxxi, xxxn

xxxi. — Méthode allemande, procédés de M. Dieffenbach, xxxi, xxxn. — Méthode française. Procédés de MM. Phillips, Lucas, Velpe

cédés de MM. Phillips, Lucas, Velpeau, Amussat, Bau-dens, xxxu-xxxv — Méthode sous-cutanée,procédé de M. Bounet, de Lyon, xxxv-

le de la difformité. i° Appareils mécaniques; 2° Sections scléreuses; méthode générale opératoire ; muscles à diviser, xli, xli

E 11. OPÉRATIONS DE PUPILLES ARTIFICIELLES. GRANDEUR NATURELLE. méthode par incision. Figure 1 (procédé de Cheselden).

de l'iris et de la cornée avec un petit couteau à double tranchant. méthode par excision. Figure G (procédéde Wenzel). La d

membrane est saisie avec une érigne qui l'engage entre les ciseaux. méthode par décollement. Figure 9 (procédé de Scàrpa).

DULTE, DEMI-NATURE. Figures 1, 2, 3. Restauration du nez en entier ( méthode in-dienne). Figure 1. Aspect du nez après ïabla

après la section du pédicule. Figures 7 et 8. Rhinoplastique par la méthode italienne. Figure 7. L'opération est représenté

itudinale parallèle au bord de la division est prati-quée, suivant la méthode de Celse, de chaque côté, à un centimètre plus en

s de suture. Figure 4. Ablation par ligature d'un goitre cancéreux. Méthode de M. Major. L'ablation du goitre par l'instrum

deux fois de suite entre les mains de son auteur M. Amussat. C'est la méthode de Callisen, mais modifiée par l'incision transve

vessie. PLANCHE 58. Figure i . Opération de la lithotritie par la méthode et avec l'appareil de M. Ch'iale {Usure suivant l

L PLANCHES 69, 70 ET 71. PLANCHE 09. FIGURE i. Suture du périnée ( Méthode de Ce/se). Après une déchirure du périnée, les

quées à la peau, suivant le procédé de M. Dieffenbach, emprunté de la méthode de Celse. FIGURES 2 A 4- FISTULES RECTO-VÉSICAL

ortification, et forme un temps prépara-toire de l'excision, si cette méthode est préférée. Sur la figure, l'utérus et le vagin

au dehors. FIGURE 4. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS RENVERSÉ. Dans cette méthode de Langenbeck, modifiée, la portion malade de l'u

. PLANCHE 75. EXTIRPATION DE L'UTÉRUS DANS SA POSITION. FIGURE i. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de M. Sauter).

rus qui sera renversé en bas et en avant pour l'extraire. FIGURE 2. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de M. Dubled).

schamps (d) la ligature du ligament large du côté gauche. FIGURE 3. MÉTHODE HYPOGASTRIQUE. Demi-nature (Procédé de M. Langenb

une bride, la paupière inférieure auparavant tombante. PLANCHE E. MÉTHODE SOUS-CONJONCTIVALE DE M. J. GUERIN. Figures l,

le s'y applique plus particulièrement. PLANCHE H. FIGURES t et 2. Méthode générale de ténotomie sous-cutanée de M. J. Guéri

paule au contraire est saillante et fortement musclée. PLANCHE P. MÉTHODE DE PONCTION SOUS-CUTANÉE DE M. J. GUÉRIN. INSTR

tales et vertico-transversales microscopiques, colorées suivant les méthodes de Weigerf ou de Pal (Fig. 281 à 28G et 293, T. 1

piques de l'hémisphère cérébral (Fig. 3, 13 et 14) traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le segment antérieur de l

ant la région thalamique de la capsule interne et le trou de Monro. Méthode de Wcigcrt. (Voy. description [de cette coupe T

n Lhalamique supérieure de la capsule interne (détail de la fig. 14). Méthode de Weigert. Cc, corps calleux. - rCc, Radiati

coupe vertico-transversale de la région du genou du corps calleux. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T. 1

halamus et le noyau rouge en arrière de la circonvolution du crochet. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T.

tico-transversale passant par le pli courbe et le sommet du cuneus. Méthode de Weigert. C, cuneus. - Ep, épendyme ventricul

corps calleux et la partie réfléchie de la queue du noyau caudé. - Méthode de Weigert. Alv, alveus. - CA, corne d'lmmon. -

ts antérieur postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe, t

ouronne rayonnante vu sur une coupe horizon- tale du lobe temporal. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe, t

oïdale et sectionnant le noyau amygdalien et le pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe, L

segments an- térieur et postérieur de la couronne rayonnante. ( Méthode de Weigert.) C, cuneus. - Ce. corps calleux :

tie inférieure du segment antérieur de la couronne rayonnante. ( Méthode de Weigert.) jd7,anselenticulaire. A Il. avan

interne, et le segment pos- téiieur de la couronne rayonnante. ( Méthode de Weigert.) Al, anse lenticulaire. bd, ban

ersale passant par la partie moyenne de la commissure anté- rieure. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe, T. 1

u putamen, la tête et la queue du noyau caudé. z/1 grandeur nature. Méthode de Weigert.) AU, avant-mur. - Ce, corps calleux

postérieur et le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe T. le

rne et du faisceau géniculé · dans la région thalamique inférieure. Méthode Weigert. bcl, bandelette diagonale de Broca. -

. l'anse lenticulaire et le pédoncule inféro-interne du thalamus. - Méthode de Wei- gert. (Voy. description de cette coupe,

ur une coupe horizontale oblique parallèle à la bandelette optique. Méthode de Weigert (voy. explication de cette coupe T.

rieure du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le noyau rouge. ( Méthode de Weigert.) Alv, alveus.- Crf, corne d'Ammon.

ontale passant par la partie moyenne de la commissure antérieure. - Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe, T. l

e faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventriculaire. -

de la capsule interne dans la région adjacente au segment postérieur. Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventriculaire.

sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante (Fig. 32). Méthode de Weigert. Les zones dégénérées sont colorées

re antérieure et sectionnant le corps de Luys, et le noyau rouge. - Méthode de Weigert. (Voy. description de cette coupe T. l

rouge, l'espace perforé antérieur et la bandelette de Giacomini. - Méthode de Weigert (voy. description de cette coupe Ti,

Lp, Fig. 35). L'étude des dégénérescences récentes, traitées par la méthode de Marchi (Fig. 37 et 38), montrent qu'il s'agi

ré- belleux supérieurs et l'entre-croisement des nerfs pathétiques. Méthode de Weigert- Le stratum intermedium est coloré e

nhelles qui forment la lèvre inférieure du trou borgne supérieur. - Méthode de Weigert. Le stratum intermedium est coloré en

ond (PLp, Fig. 37) et du pes lemniscus superficiel (PLs, Fig. 38). ( Méthode de Marchi.) Cette dégénérescence est consécutiv

au interne et simule une dégénérescence partielle de ce faisceau. - Méthode de Weigert. La zone dégénérée est colorée en ja

nt très visibles sur les dé- générescences récentes traitées par la méthode de Mardi ! (Fig. 37 et 38). Elles permettent d'

41. Coupe horizontale de la région thalamique de la capsule interne. Méthode de Weigert. 4/1 grandeur nature. Ce, corps ca

e de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule céré- belleux supérieur ( Méthode de Weigert). Aol, aire olfactive. - B, carrefou

Luys, les trois segments du noyau lenticulaire et le trou de Monro. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails des

ce innommée sous-lenticulaire de Reichert et le pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Détails dessinés

a couche optique, en particulier au pulvinar (Pul). Elles naissent ( méthode des dégénérescences pathologiques et expéri- me

ral (cette coupe appartient au cas Bras, cécité corticale, p. 115). Méthode de Wei- gert. 3/2 grandeur nature. Détails dess

appartient à la substance innominée sous-lenticulaire de Reichert. Méthode de Weigert. G/l grandeur nature. .Il, anse lent

égion inférieure du thalamus aux confins de la région sous-optique. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

égion sous-optique en passant en avant du corps genouillé interne. ( Méthode de Marchi.) 3. RADIATIONS DU CORPS GENOUILLÉ IN

bercule quadrijumeau postérieur, et les radiations de la calotte. - Méthode de Weigert-Pal. - 2/1 grandeur naturelle. Détails

teur et à la constitution des faisceaux pyramidaux de la moelle. La méthode des dégénérescences secondaires La voie pédoncu

t assez difficile d'établir l'origine de ces fibres. L'emploi de la méthode des coupes microscopiques sériées montre toutefoi

même une dégéné- rescence du faisceau externe du pied du pédoncule ( méthode de Marchi). Pusateri (1898) en extirpant chez l

ion temporale moyenne (zone auditive de Munck) constata par la même méthode la dégénérescence de ce faisceau et sa terminai

ut être suivie, ainsi que nous avons pu le constater à l'aide de la méthode de Marchi, au delà du tiers supérieur de la pro

TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les travaux de Flechsig basés sur la méthode embryo- logique. - La constitution du pied

e et lenticulaire. Les recherches de Dejerine (1893), basées sur la méthode des dégénérescences secon- daires étudiées à l'

econ- daires étudiées à l'aide des coupes microscopiques sériées, - méthode qui doit en dernier ressort fixer l'origine de

T DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL ÉTUDIÉES : 1° PAR LA MÉTHODE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES 2" DANS CERTAINE

et de Goll gauches (\G, \B), du côté opposé à la lésion cérébrale. ( Méthode de Weigert.) pagnant d'une dégénérescence ou d'

s de projection du manteau est tel, que l'emploi systématique de la méthode des dégénéres- cences secondaires permet seul d

res, la substance fondamentale étant atrophiée. Double coloration. ( Méthode de Weigert et Carmin.) Fig. 61. FiG. 60. Atro

s uns contre les autres et séparés par très peu de substance grise. Méthode de Weigert-. Le trigone atrophié et le trigone

es lésions. 98 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Importance de la méthode de Marchi pour cette étude. pouvant s'accompa

de de la voie pédonculaire). D'une manière générale, l'emploi de la méthode de Marchi est supérieure à celle de Weigert, da

loyer pour étudier des coupes de grandes dimensions; mais c'est une méthode positive, montrant la dégénérescence de la myél

ilieu d'un faisceau sain, résultat que l'on ne peut obtenir avec la méthode de Weigert. Cette méthode de Marchi est également

résultat que l'on ne peut obtenir avec la méthode de Weigert. Cette méthode de Marchi est également précieuse, car elle perme

elle permet l'étude des lésions très récentes, à une période où la méthode de Weigert ne donne pas encore de résultats. Pa

ode de Weigert ne donne pas encore de résultats. Par l'emploi de la méthode de Marchi on peut, d'autre part, établir dans u

es lésions anciennes de la corticalité rolandiques, par exemple, la méthode de Weigert montre dans le segment postérieur de

l médian se trouvent sectionnés par une lésion protubérantielle, la méthode de Marchi permet de déceler dans les lésions tr

ence rétrograde de ces deux faisceaux survient. On constate alors ( méthode de Marchi) outre les dégénérescences que nous ven

ructive, et leur interprétation est en général facile, même avec la méthode de Weigert-Pal. Mais, s'il s'agit d'un neurone co

mpagner même d'une disparition complète de la cellule d'origine. La méthode de Weigert per- mettra bien, dans ces cas, d'ét

LE. 99 ces cas, ne faut-il jamais négliger d'étudier, soit par la méthode du carmin en masse, soit, lorsque la chose est

Les résultats fournis par l'étude des dégénérescences secondaires ( méthodes deweigert et de Marchi) confirment les recherches

es deweigert et de Marchi) confirment les recherches de v. Monakow ( méthode au carmin), tout en complétant certains détails e

u globus pallidus et au corps de Lugs qu'un petit nombre de fibres ( méthode de Marchi'). 2° Que les lésions de l'écorce, su

ire (NLi, NL2, NL3) qui n'a subi qu'une simple atrophie en masse. - Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. 3 Cas Pradel. V

gauche de la figure 68 à la moitié droite des figures 68 et 69.) - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

). Atrophie indirecte de la région du mban de Reil médian (rgRm). - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Pradel.

a bandelette optique. Atrophie indirecte du ruban de Reil médian. - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

s externe (Cge) et interne (Cgi) du locus Niger et du noyau rouge. ( Méthode de Weigert.) Cas Pradel. Vaste lésion cortica

ux supérieur et moyen droits et hémi-atrophie de la calotte gauche. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIG. 76. - Cas

ure droite, atrophie en masse de la moitié droite de la moelle. Méthode de Weigert 3/1 grandeur nature. Fig. 78. - Ca

al par les fihres du système de projection du man- teau cérébral. Méthode de Weigert 15/i grandeur nature. Cas Pradel.

, du stratum zonale (Strz) et des fibres radiées du pulvinar (Pul). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Courrière.

de cette région au voisi- nage de la bandelette optique (Fig. 83). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

andelette optique (Fig. 84) et par le pédoncule cérébral (Fig. 8a). Méthode de Weigert. 3/2 gran- deur nature. ' TOME II.

énérées sont colo- rées en jaune, la lésion pril1li Li ve en brun.) Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Bibliothèque d

ieur du trigone (Tga). (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Bras. Cé

re antérieure (coa). (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

rconvolution pariétale relevant de la lésion de l'hémisphère droit. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Les zones dégé

la capsule interne. (Les zones dégénérées sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

pédoncule cérébral. - Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Fic. 96.- Cas

tes fibres d'association du sillon marginal postérieur de l'insula. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

érieure (coa) consécutive au foyer lacunaire de la capsule externe. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Jouan. L

(Fig. 99) et la partie inférieure (Fig. 100) du pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

égion jthalamique (Fig. 103) et la région sous-thalamique (Fig. 104). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. La substance

du pédoncule cérébral (P(d). Intégrité du faisceau de Tiirck (FT). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

moyenne (Fig. 108) de la région tlialamique de la capsule interne. Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

in- quième moyen du pied du pédoncule cérébral et du locus niger. Méthode de Weigert, 3/2 grandeurnature. Les zones dég

égénérescence partielle du segment antérieur de la capsule interne. Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature. Les zones dégéné

l' et OF). Intégrité du seg- ment postérieur de la capsule interne ( Méthode de Weigert). 2/1 grandeur nature. Cas Schwcigoj

par les fibres horizon- tales saines de l'anse len- ticulaire. Méthode de Weigert. 2/1 gran- Bibliothèque des Intern

Leur tra- jet est encore peu élucidé et ne peut être suivi par la méthode de \'eigerL-Pal; car il s'agit ici de libres peu

ici de libres peu nombreuses, isolées, non réunies en faisceau. La méthode de Marchi donne de meilleurs résultat s (Voy. N

pyra- mide antérieure du bulbe sans dégénéres- cence appréciable. Méthode de Weigert. Cas Schweigeffer. \fonoplégiofaci

interne. (RCgi, Fig. 126). Inté- grité de la commissure antérieure Méthode de Weigert. 2° La lésion de la zone rolandique

cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 127 et 128). Méthode de Weigert-Pal. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE

dant aux fibres saines du faisceau moyen de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. z ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.

ée consécutivement à un petit foyer lacunaire situé sur son trajet. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Fic. 433- ri

ures du bulbe passant par la région moyenne des olives bulbaires. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. traversent la

pied du pédoncule cérébral. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. frontal, (OF)

ment antérieur de la couronne rayonnante. (Voy Fig. 137 et 138.) Méthode de Weigert, 2/1 grandeu nature. 150 ANATOMIE

l et passe au-dessus du noyau caudé et du tronc du corps calleux. Méthode de Weigert, 5J4 grandeur nature, dessiné à un

cavité ventriculaire, le volume et l'aspect normal du noyau caudé. Méthode de Weigert. Même échelle (5/4 grandeur nature)

rigone droit. Remarquer l'hypertrophie de la capsule interne saine. Méthode de Weigert. La fig. 147 est dessinée à la même éc

ie considérable de la voie pédonculaire du côté sain ou ' gauche. Méthode de Weigert. 2/1 1 grandeur nature. FiG. 151.

atrophié. Hypertrophie considérable de la voie pédonculaire gauche. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Rivaud.

t de l'olive bulbaire gauche. Hyper- trophie de la pyramide gauche. Méthode de Weigerl. 4/1 grandeur nature. Fig. 133. - Ca

5 et envoie des travées névrogliques dans le cordon latéral gauche. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Riva

ortant sur la substance grise et l'ensemble des cor- dons blancs. Méthode de Weigert,.6/1 grand, nature. FIBRES DE PROJ

upes do la région cervicale inférieure, traitée par le carmin ou la méthode de Rosin (lng. ta9) que l'on trouve dans le cordo

te la moitié gauche de la moelle (substance grise et cordons blancs). Méthode de Itosin. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. H

emicircularis (Lsc) et les fibres qu'il envoie à la couche optique. Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. FIBRES DE

des autres. (Comparer cette figure avec la Fig. 78 du cas Pradel.) Méthode de Weigert- Pal. 10/1 grandeur nature. Cas Hi

ordon latéral droit un volumineux faisceau pyramidal croisé (FPyc). Méthode de Weigert-Pal. 15/1 grandeur nature. FIBRES DE

sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante (CSgt). Méthode de \VeigerL. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PRO

ntérieur (Tga) aborde le tuber- cule mamillaire (Tm, Fig. 171). Méthode de Weigei t. 3/2 grandeur nature. sépare se

Meynert qu'il croise et ses connexions avec le tubercule mamillaire. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIG. 173. -

nérescence des faisceaux antéro-internes de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert. Cas Racle. Hémi- plégie droite av

sion du segment sous-lenticulaire de la capsule interne (Fig. 176) ( Méthode de Weigert), Cas Cogery. Hémi- plégie gauche,

artie adjacente du segment postérieur de la capsule interne du Cip. Méthode de Weigert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉ

iscus supei-il- ciel. 3° Dégénérescence du ruban de Iteil médian. Méthode de Weigert. Cogery il existe une dégénérescence

d du pédoncule cérébral et de la partie adja- cente du locus niger. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. rc.183, 484,18

ermedium (Stri). Dégénérescence rétrograde du ruban de Reil médian. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nalure. Dans le cas

t à la partie adjacente de la couche optique et du globus pallidus. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJ

l'anse lenticulaire. Intégrité de la com- missure antérieure (coa). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIG. 190 et 19

le de la commissure antérieure et du trigone céré- bral (Tgp, Tga). Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature. FIBRES DE

e du pied du pédoncule. Conservation relative du faisceau de Turck. Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature. Fir. 193 e

du ruban de Reil médian, du noyau rouge et de sa capsule de libres. Méthode de Weigert-Pal 5/4 grandeur nature. FIBRES DE P

e la figure intéresse un plan plus postérieur que la moitié droite. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FiG. 203.

a membrane épen- dymaire qui recouvre le noyau caudé et le putamen. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FiG. 204

droite, et par la partie postérieure de la couche optique à gauche. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FIBRES DE

leux supérieurs (Pes). Agénésie complète de la voie pédonculaire. Méthode de Weigert-l'al. 3/1 t grandeur nature. FIBRE

ntérieur de la protubérance ne contient aucune fibre longitudinale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 grandeur nature. Cas Longer

es bulbaires. Agénésie complète des pyramides antérieures du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 7/1 grandeur nature. Biblioth

us des olives bulbaires et sectionnant rentre-croisement piniforme. Méthode de Weigert Pal. 7/1 grandeur nature. ' Fic.`

as Longery. Coupe passant - par la moelle cervicale supérieure. 1 Méthode de Weigert-Pal. 7/1 grandeur nature. Cas Long

occipital gauche, passant par la ligne de repère 6 de la Fig. 213. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. Cas Richard. Po

- Sge, substance grise sous-épen- dymaire. VI, ventricule latéral. Méthode de Weigert-Pal, 2/1 grandeur nature. La cavité

olutions de la face externe du manteau à celles de la face interne. Méthode de Weigert-Pal. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERV

a limite en avant et la sépare de la lame interhémisphérique (lih). Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. TJ\l1' I

il s'infléchit en avant pour se continuer avec le corps du trigone. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. FIBRES D

tient un certain nombre d'amas hétéroto- piques de substance grise. Méthode de \\'cigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Rich

apissée par la membrane [qui ferme incomplètement la porencéphalie. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. FIBRES D

géniculé et descendent dans la partie interne du pied du pédoncule. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. 214 lui

alotte et se dirigent vers le tubercule quadriju- meau antérieur. Méthode de Weigert-Pal. 3/2 grandeur nature. Fic. 232

emarquable des fibres sagittales du raphé. Intégrité de la calotte. Méthode de Weigeit-Pal. 5/1 grandeur nature. FIG. 233

nne des olives. Agénésie totale des pyramides antérieures du bulbe. Méthode de Weigert- P;t).'7/i grandeur nature. (Voy. Lo

alisations cérébrales fut nettement posée et résolue à l'aide de la méthode anatomo-clinique par Broca pour le langage articu

des autopsies faites avec la technique moderne, c'est-à-dire par la méthode des coupes microscopiques sériées. Localisation

région. C'est lorsque l'on étudie des cerveaux pathologiques par la méthode des coupes microscopiques sériées, que l'on peut

depuis par plu- sieurs auteurs. Or, lorsqu'on étudie ces cas par la méthode des coupes micro- scopiques sériées, on trouve

lésion corticale, protubérantielle et bulbaire, on aurait pu, si la méthode des coupes microsco- piques sériées n'avait été

s observé nous-mêmes deux cas très nets de ce genre, étudiés par la méthode des coupes microsco- piques sériées. Il resso

n der Frozztallappen (Recherches expérim. sur le chien et le lapin, méthode de Marchi), Wissensch. Versamml. d. Aerzte d. St.

vertico-trans- versale du pédoncule olfactif gauche de l'homme. ( Méthode de Weigert.) be, bord externe. - bi, bord i

ve étala circon- volution du crochet; elles dégénèrent (Loewenlhal, méthode de Marchi) après ablation du bulbe olfactif et

sous le nom de faisceau sel)lo-ilialaî2îzqzie. Il a montré en outre ( méthode de Marchi) qu'il dégénère à la suite de lésion

epto-thalamique, le faisceau de Vicq d'Azyr et l'anse lenticulaire ( Méthode de Weigert). Al, anse lenticulaire : Al + FI, s

térieur du thalamus, en dedans du plan des coupes Fig. 251 et 253. ( Méthode de Weigert.) Al, anse lenticulaire. - Al + FI,

égie cérébrale infantile (p. 150) détail de la fig. 1 \'5, p. 153). Méthode de Weigert. 10/1 grandeur nature. Ci(g), genou

e faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alveus intraventriculaire. Ilv

rantes du bourrelet du corps calleux, vues sur une coupe sagittale. Méthode de Weigert-Pal. 4/1 Grandeur nature. Ce (Spl),

aines, du trigone cérébral. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthode de Weigert-Pal. Gj j GranLlcur nature. FIBRES D

rforantes, mais bien à la disposition des radiations cal- leuses. Méthode de Weigert-Pal. (4/1 Grandeur nature). Cc(g),

tubercule mamillaire, le noyau rouge et la commissure postérieure. Méthode de Weigert-Pal). 3/1 Grandeur nature. CB, carre

e Gudden. Coupe sagittale passant en dehors du plan de la Fig. 262. Méthode de Weigert-Pal. (4/1 Grandeur nature). CM, comm

e le faisceau occipito-frontal envoie dans la capsule externe (OF). Méthode de Weigert-Pal. Fig. 273. - Dégénérescence du t

jacente à la première circonvolution temporale. - Coupe horizontale. Méthode de Weigert-Pal. Cisl, segment sous-lenticulai

che optique, le tubercule mamillaire et le ganglion de la cloison. ( Méthode de Weigert-Pal.) C. calotte pédonculo-protubéra

pagne d'une intégrité parfaite des deux ta nia thalami, et 0. Vogt ( méthode de Marchi) a constaté que ceux-ci ne dégénèrent

t et en avant parallèle au plan du pédoncule cérébelleux supérieur. Méthode de Weigert-Pal. F, champ de Forel. - fate, fais

figuré par Vicq d'Azyr (PI. XXXI), ne peuvent être élucidés par la méthode des coupes microscopiques sériées : dès la bifurc

udden. - Coupe sagittale passant en dehors de celle de la fig. 262. Méthode de Weigert-Pal. Caf, commissure de Meynert. - C

putamen. Les recherches faites par Marchi, en 1887, à l'aide de la méthode de Golgi et confirmées par les recherches récente

Golgi (à cylindre-axe court). Noyau lenli- culaire du lapin adulte. Méthode de Golgi. Bibliothèque des Internes en Médeci

e, cellule du type II de Golgi, à cylindre court, à dendrites velues. Méthode de Golgi. Cellules névrogli- qucs et épendn

etc., etc., reste encore à démontrer. Les résultats fournis par la méthode de Golgi, par l'anatomie expérimentale et par l'é

mie expérimentale et par l'étude des dégé- nérescences secondaires ( méthodes de Weigert-Pal et de Marchi) sont, en effet, en

- Cellules épendymaires du corps strié. Foetus humain de 6 mois. Méthode de Golgi. GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRI

rez cette coupe avec les Figures 29 à 32 et avec le schéma, Fig. 27). Méthode de Weigert. 2/1 Grandeur nature. Alv, alveus

a courbure que le pulvinar décrit autour du cops genouillé externe. Méthode de Weigert. 2/1 Gran- deur nature. Alv, alveu

re des cellules nerveuses du corps strié; Marinesco, à l'aide de la méthode de Marchi, a observé la dégénérescence de quelq

nsi que le montrent, non seulement les préparations traitées par la méthode de Weigert-Pal, mais encore celles traitées suiva

r la méthode de Weigert-Pal, mais encore celles traitées suivant la méthode de Marchi. Le faisceau occipito-fronlal ne doit d

les lésions corticales étendues ou limitées, - traitées suivant la méthode de Weigert-Pal, le globus pallidus ne parait subi

eutrage aussi dense qu'à l'étal normal. C'est donc à l'emploi de la méthode de Marchi qu'est dévolue la tâche d'élucider ce

récentes, l'une étendue, l'autre limitée, examinées à l'aide de la méthode de Marchi, par l'un de nous, avec son interne L

sL), du fais- ceau lenticulaire de Forel et du corps de Luys (CL). ( Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFIIACORTICAUX : CORPS S

ipitale. Il n'existe dans le pied du pédoncule cérébral, examiné à la méthode de Marchi, aucune dégénérescence appréciable. L

ent parfaitement toutes les dégénérescences étudiées à l'aide de la méthode de Weigert-Pal (Voy. p. 142), il faut ajouter u

nger les a étudiées chez de jeunes embryons de mammifères et par la méthode des dégénérescences secondaires chez un chien auq

e sans lésion concomitLante du corps strié. V. Monakow a employé la méthode des dégénérescences secondaires expérimentales et

ne (cas Rivaud, Fi". 142 à 1G2, p. 151 et suiv.); 3° à l'aide de la méthode de Marchi dans plusieurs cas de lésions étendue

interne, et les coupes vertico-transversales, colo- rées suivant la méthode de Weigert, montrent très nettement leur trajet

a tète et la queue du noyau caudé et les radiations du noyau caudé. Méthode de Weigert. 4/1 grandeur nature. AM, avant-mu

enticulaire de la capsule interne et la partie moyenne du thalamus. Méthode de Weigert. -'r/1 gran- deur nature. Ce, corp

us, les lames médullaires externe et interne du noyau lenticulaire. Méthode de Weigert. 4/1 grandeur nature. Bd, bandelet

psule interne. (Cas Rivaud, p. z1, détail de la figure 145, p. in.) Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. 326 ANATO

ent postérieur de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. 151 et suiv.) Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. Bibliothè

ns strio-luysiennes, l'anse len- ticulaire et le faisceau de Turck. Méthode de Weigert. 5/1 grandeur nature. Al, anse lenti

ès étendues du corps strié. Ce fait est bien mis en évidence par la méthode de Weigert-Pal. Dans le cas Racle, par exemple

ntes. L'étude des dégénérescences secondaires, faite à l'aide de la méthode de Marchi, montre qu'il existe toujours en amon

ia thalami. Dégénérescence partielle de la com- missure antérieure. Méthode de Marchi. 2/1 grandeur nature. GANGLIONS INFRA

culier de l'anse lenticulaire et du faisceau lenticulaire de Forel. Méthode de Marchi. 2/1 grandeur nature. Fic. 300. F

Intégrité des parties interne et externe du pied du pé- doncule. Méthode de Marchi. Cas l2oosc. 1^ Ld- sion sous-corti

érescence partielle et régionale des radiations strio-luy- siennes. Méthode de Marchi 2/1, grandeur nature. Bibliothèque de

. 73). Certaines lésions du noyau lenticulaire entraînent en outre ( Méthode de Marchi) la dégénérescence d'un petit faiscea

- Dans aucun des nombreux cas de lésions centrales traités par la méthode de Weigert-Pal ou par celle de Marchi, que nous a

(\L3). Coupes horizontales obliques en bas, en dehors et en avant. ( Méthode de Marchi.) Il s'agit d'une femme de 49 ans, at

rieur de la capsule interne, du pilier antérieur du trigone (Tga). ( Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS ST

306). Intégrité du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral. ( Méthode de Marchi.) Cas Gardette. Dou- ble lésion do

ce qui est particulièrement évidente sur les coupes traitées par la méthode de Marchi, la démonstration de ces fihres reste

cences secondaires du tronc encéphalique de l'homme étudiées par la méthode de Marchi. Ruban de Reil, pes lemniscus, locus

ype I à cylindre-axe long. Les recherches pratiquées à l'aide de la méthode de Golgi et entreprises par Marchi (1SSG), par

re nombreuses et serrées, et donnent aux coupes traitées suivant la méthode de Weigert-Pal une apparence foncée spéciale et

e de Meynert, le noyau rouge, le pédoncule cere- helteux supérieur. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. ? 10 aire olfact

rmin, et comme eux il apparaît pâle sur les coupes traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Il se rapproche également

la lame médul- laire interne (Lme). Sur les coupes traitées par la méthode de Weigert ou de Pal, ces fascicules de fibres

rais, soif sur des coupes colorées par le carmin ou traitées par la méthode de Weigert- Pal. Le centre médian de Luys est t

s, et plus foncé que ce dernier, sur les coupes colorées suivant la méthode de Weigert. Les cellules du centre médian de Lu

ièrement apparentes sur les coupes traitées par le carmin ou par la méthode de Marchi. Bien que l'on ne connaisse pas encor

e centre médian de Luys, le corps de Luys et le pédoncule olfactif. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Aol, aire olfa

e carmin et apparaît plus foncé sur les coupes traitées suivant les méthodes de Pal ou de Weigert (Fig. 21 et 43). Il est do

le du pulvinar et du noyau interne. Sur les coupes traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le noyau externe se disti

s, le noyau semi-lunaire se présente sur les coupes traitées par la méthode de 1\'ei- gert ou de Pal comme un noyau très cl

t sectionnant les commissures postérieure, moyenne et antérieure. - Méthode de Weigert (voy. des- cription de cette coupe,

t impriment au noyau externe, sur les préparations traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, une colo- ration foncée.

coloration sur les coupes traitées soit au carmin, soit d'après les méthodes de Weigert et de Pal. Sur les coupes horizontales

corps genouillé interne et le tubercule quadrijumeau anté- rieur. - Méthode de Weigert, 3/2 grandeur nature. BrQa, bras du

plasma réagit mal vis-à-vis des réactifs colorants. Traitées par la méthode de Golgi, ces cellules apparaissent pourvues de

- Partie inférieure du corps genouillé externe du chat nouveau-né. Méthode de Golgi (d'après R. y Cajal). A, fibres optiqu

nsécutives aux lésions cor- ticales de date récente étudiées par la méthode de Marchi. Jusqu'ici, en effet, on a surtout ét

on a surtout étudié des cas de lésions corticales anciennes par les méthodes de Weigert-Pal, ou par le carmin. Or, si ces méth

ennes par les méthodes de Weigert-Pal, ou par le carmin. Or, si ces méthodes nous ont appris que la couche optique est en ra

escence rétrograde de ces neurones est assez vite constituée. Si la méthode de Marchi, même lorsqu'on l'applique à l'étude

80). Dans les lésions récentes de la couche optique traitées par la méthode de Marchi, on ne constate dans la région sous-opt

'étude de lésions sous-corticales récentes pratiquée à l'aide de la méthode de Marchi donne des résultats plus positifs, mais

e Reil médian. L'étude des dégénérescences secondaires à l'aide des méthodes de Weigert et de Marchi montre que le ruban de

ces consécutives aux lésions du thalamus et traitées à l'aide de la méthode de Marchi (Voy. cas Gardette, Fig. 302 à 309 p. 3

de court trajet, car leur dégénérescence ne peut guère être suivie ( méthode de Marchi) au delà de la région des tubercules

écutivement à l'ablation du lobe temporal (zone auditive, du chien, méthode de Marchi) avec lésion concomitante des voies o

ntérieur consécutive à une lésion du faisceau visuel intracérébral ( méthode de Marchi), nous n'avons jamais vu la dégénéres

res dégénérées de la com- missure postérieure peuvent être suivies ( Méthode de Marchi), en partie dans le pulvinar du côté

ten et de Cajal, confirmés par Külliker et pratiqués à l'aide de la méthode de Golgi. FiG. 318. - Les éléments cellulaires

ganglion de l'habenula du chien nouveau- né (d'après Cajal, lb9'r). Méthode de Golgi. ,1, cellules du noyau interne. - B, c

es ou vertico-transversales, colo- riées au caimin ou d'aprèi les méthodes de Weigert ou de Pal, le ganglion de l'habenu

stérieur de la capsule interne. Les dégénérescences traitées par la méthode de Marchi montrent qu'elle occupe la partie ext

e (Cih) et se termine dans le ganglion de l'habenula du côté croisé. ( Méthode de Marchi.) GANGLIONS INFRACORTIC AUX : COUCH

de l'hypothèse de Darkschewitch et de Honegger; même à l'aide de la méthode de Marchi, nous n'avons jamais pu constater de

et en avant, parallèle au plan du faisceau rétroflexe de Meynert. ( Méthode de Weigert.) Cge, corps genouillé externe. - Cg

e (Fig. 319, p. 639, T. ICI'). Sur les préparations colorées par la méthode de Weigert, chaque fascicule présente une parti

r Ganser, le ganglion interpédonculaire a été étudié à l'aide de la méthode de Golgi par Edin- ger chez les reptiles, par v

nt postérieur de la capsule interne jusque dans le globus pallidus. - Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature. Al, anse len

présente une couleur jaune-rosée, et sur celles traitées suivant la méthode de Weigert une couleur foncée qu'il doit à sa r

nsécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées suivant la méthode de Marchi. Mais le corps de Luys est en outre e

, consécutives aux lésions du noyau lenticulaire et traitées par la méthode de Marchi (cas Ronse, Fig. 298). Le corps de

és pour la première fois chez l'homme par Mahaim et par v. Monakow ( méthode au carmin) et dont nous avons été à même de vérif

avec notre matériel anatomo-pathologiquepersonnel trai- tés par les méthodes de Weigert-Pal et de Marchi. Le corps de Luys ne

rps opto- . striés et dont les préparations ont été traitées par la méthode de Wei- gert-Pal ou par le carmin ; mais lorsqu

hode de Wei- gert-Pal ou par le carmin ; mais lorsqu'on applique la méthode de Mar- chi, on constate dans ces cas une dégén

ticales, capsulaires protubérantielles ou bulbaires, traitées par la méthode de Weigert-Pal, ainsi que par de nouveaux cas s

a méthode de Weigert-Pal, ainsi que par de nouveaux cas soumis à la méthode de Marchi que la destruction du ruban de Reil n

e manière de voir; ce dernier auteur toutefois, en se basant sur la méthode myélogénétique, incline à considérer cette racine

coupes microscopiques horizontales ou obliques, traitées suivant la méthode de Weigert-Pal, semble de prime abord confirmer

la face inférieure du globus pallidus. Les résultats fournis par la méthode des dégénérescences secondaires ne sont pas non

bservé la dégénérescence de la commissure de Meynert à l'aide de la méthode de Marchi dans quelques cas de lésions destructiv

e n'est pas encore faite et on n'a pas encore établi à l'aide de la méthode de Golgi le trajet des cylindres-axes des cellu

nale ou collatérale des fibres du corps de Luys. La dégénérescence ( méthode de Marchi) des fibres strio-luysiennes après lési

e tiers du corps cellulaire. L'étude de ces cellules à l'aide de la méthode de Golgi montre qu'elles appartiennent pour la

vius, où elles forment un petit noyau décrit par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal révèle dans la substance grise c

ostérieure et la commissure sous-thala- mique postérieure de Forel ( Méthode de Weigert). La région sous-optique comprise en

s du système des radiations strio-luysiennes. Elle ne dégénère pas ( méthode de Marchi) dans les lésions du noyau lenticulaire

ile à suivre,soit lorsque la commissure de Mey- nert est dégénérée ( méthode de Marchi) par suite de la lésion du noyau lent

s dernières dans certaines lésions destructives du globus pallidus ( méthode de Marchi). Le départ de ces fibres ne peut donc

e Marchi). Le départ de ces fibres ne peut donc être fait ni par la méthode myélogénétique, ni par celle des dégénéres- cen

ces secon- claires du tronc encéphalique de l'homme étudiées par la méthode de Marchai : Ruban de Reil, pes lemniscus, locu

le olfactive, soupçonnée par Schulze, a été constatée, à l'aide des méthodes de Golgi et d'Ehrlich, par Arnstein, Grassi et

. BIBLIOGRAPHIE. - AI;wTEw. Die Melhylblaufurbung als hislologische Méthode . Anat. Anz., 1887. - 13RU;'\;\'. Die Nervenendi

goureusement fermés et nettement séparés les uns des autres. Par la méthode des dégénérescences secondaires, on constale touj

ent dégénéré. Elles appar- tiennent à ces fibres en anse et, par la méthode des coupes sériées, il^est, en général, facile

t pas à l'appui de l'opinion de Darkschewitsch; même à l'aide de la méthode de Marchi, nous n'avons jamais constaté de dégé

s été plus d'une fois à même de confirmer chez l'homme, soit par la méthode de Weigert, soit par celle de Marchi. Les fibre

, les lobes inférieur, inféro-interne et inféro-antérieur en jaune. Méthode de Weigert. - 2/1 Grandeur nature. Et, bourgeon

la luette et le pédicule d'implantation latérale des amygdales. - ( Méthode de Weigert-Pal.) Amg, amygdales. pAmg, base d'i

entriculaire et le diverticule angulaire du toit du 4e ventricule. ( Méthode de Weigert.) Eca, grand entre-croisement commis

ées définitivement par Axel Key et Retzius, en 1870, à l'aide de la méthode des injections, et en 1885, par Hess à l'aide d

anches horizontale et verticale de l'arbre de vie du lobe médian. - Méthode de Weigert-Pal. Grandeur nature. bli, branche h

postérieur en rose, les lobes inférieur et inféro-antérieur en jaune. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. (Voy. desc

les lobes inférieur, inféro-interne et inféro-antérieur en jaune. - Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. (Voy. descri

térieur en rouge, les lobes inférieur et inféro-interne en jaune. - Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. (Voy. des-

oison ou sub- stance blanche extra- ciliaire. protubérantiel. - Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. Voy. descrip

rantielle moyenne, un peu au-dessous de l'émergence du trijumeau. - Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (Voy. descri

erminaison dans le noyau rouge et la couche optique du côté opposé. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. , Amg, amy

sant par le toenia pontis et la décussation des nerfs pathétiques. - Méthode de Wei- gert-Pal.3/1 Gr.nature.(Voy. descriptio

upérieure. Le noyau rouge présente, sur les' coupes colorées par la méthode de Weigert-Pal, un aspect strié ou tacheté spéc

oyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et le noyau du toit. Méthode de Weigert. 3/2 Gran- deur nature. (Voy. descri

les tubercules acoustiques, l'émergence du nerf glosso-pharyngien. Méthode de Weigert-Pal. n/t Grandeur nature. (Voy. desc

ves bulbaires et les fibres radiculaires du nerf glosso-pharyngien. Méthode de Weigerl-Pal. 3/1 Gran- deur nature. (Voy. de

mée par l'entre-croise- ment des pédoncules cérébelleux supérieurs. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (Voy. desc

e par l'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux supérieurs. - Méthode de Weigert-Pal. 3/t Gran- deur nature. (Yoy. de

Coupe transversale du bulbe passant au-dessous de l'olive bulbaire. [ Méthode de Weigert-Pal. 6/1 Grandeur nature. (Voy. desc

transversale passant par le collet du bulbe. - 6/1 Grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. (Voy. description de cette coup

dans les cas de dégénérescence du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi (Fig. 383). Au-dessous de l'olive bul

ns les cas de dégénéres- cence du faisceau pyramidal traités par la méthode de Marchi; 3° Dans les cas d'agénésie ou de dég

éciables seulement dans les cas de dégé- nérescences traités par la méthode de Mardi ! (Fig. 390); tantôt elles se réunisse

e par deux lésions, l'une capsulaire et l'autre pro- tubérantielle. Méthode de Weigert. 9/1 Grandeur nature. 1,'Ily, faisce

rébelleux supérieurs (Pcs). Intégrité des voies pédonculaires (VP). Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur na- ture (Voy. Cas

e interne, et la partie adja- cente du segment rétro-lenticulaire. ( Méthode de Marchi.) Il existe, en outre, dans ce cas, u

cas de dégénérescence de la voie pédonculaire trai- tés par la méthode de Mar- chi (Fig, 3-il aL 377). Étant données

nt, du noyau arqué et des fibres sagittales du raphé bulbaire. ( Méthode de Marchi.) 546 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.

tre-croisementpiniforme(xpin) ou sensitif du bulbe (Fig. 384). Méthode de Marchi. 1 Bibliothèque des Internes en Méd

pyramidale au-dessus de la décus- sation des pyramides (Fig. 381). Méthode de Marchi. (Voy. pour l'Obs. anatomo- clinique.

cence de la voie pédonculaire consécutive à une lésion capsulaire. ( Méthode de Marchi). - Les fibres pyramidales homolatérale

connaissables à l'état nor- mal sur des coupes traitées suivant les méthodes de Weigert ou de Pal (coupes H2 etH3, Fig. 1-21

ns les cas de dégénérescence de la voie pédonculaire traitée par la méthode de Marchi (Fig. 378, 379, 380, 381, 382). L'exame

rotubérantiel et la par- tie inférieure de la valvule de Vieussens. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (Voy. desc

t des nerfs pathétiques et le tiers supé- rieur de la protubérance. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (Voy. des-

bas, perpendiculaire il l'axe longitudinal du tronc encéphalique.' Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature (Voy. descrip

hale passant par le hile du cervelet et l'émer- gence du trijumeau. méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. (Voy. descri

fibres radiculaires des nerfs moteur oculaire externe' et facial. - Méthode de \'i'eiert-l'al. 3/1 Grandeur nature. (Voy. d

lbaire, au-dessus du diverticule latéral du quatrième ventricule. - Méthode de Weigert-Pal. 5/1 gran- deur nature. (Voy. de

solitaire, le noyau de l'hypoglosse. Coupe transversale du bulbe. - Méthode de Weigert-Pal. 5/1 grandeur nature. (Voy. descri

de Goll, de Burdach et de v. Monakow. Coupe transversale du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. (Voy. desc

culée à la partie supérieure de l'entre-croisement moteur du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. (Voy. descri

.) En janvier 48G, Sappey et Duval reconnurent, en se servant de la méthode des coupes microscopiques sériées, que les fibr

elle avait droit. La même année (18 zig), Flechsig démontra, par la méthode myélogénétique, l'inexactitude de l'hypothèse d

en 1883, qu'Edinger, puis Flechsig démontrèrent à l'aide de la même méthode (chez un foetus de 8 mois), la continuation des

e l'hypoglosse et les libres radiculaires du nerf pneumo-gastrique. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. (Voy. descri

de Burdach et l'entre-croisement piniforme ou sen- sitif du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. (Voy. descri

H19, Fig.H9,p. 685); elle ne peut en être distinguée que par la méthode myélogénétique ou par celle des dégéné- resce

rréticulées et l'entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 1a/1 grandeur nature. f.Vl3, fi

tionnant la partie moyenne de l'étage antérieur de la protubérance. Méthode de Weigeil-Pal. 3/1 grandeur nature. (Voy. descri

nerf masticateur et noyau sensitif du trijumeau. 8/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Fcc, faisceau central de la c

cences secondaires du tronc encéphalique de l'homme étudiées par la méthode de Marchi. Soc. Biol., 1898, 30 juillet. - Edinge

diane SI du vermis passant par la ligne de repère SI de la fig. 407. ( Méthode de Weigert-Pal.) 2/1 grandeur nature. vie, br

ar la ligne de repère SI bis de la fig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Cp, cordons postérieurs.- j'ai,

gittale S du vermis passant par la ligne de repère S2 delaFig. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. 131, le bo

e S 3 du vermis, passant par la ligne de repère S 3 de la Fig. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. BI, bourge

sant par la ligne de repère S4 de la Fig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. bh, branche horizontale de l'ar

ant par la ligne de repère S 5 de la fig. 401. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. bh, la branche horizontale de l

n de transition, passant par la ligne de repère S 6 de la Fig. 407. Méthode de Weigert- Pal. 2/1 grandeur nature. Crst, c

la région de transi- tion, passant parla ligne S 7 de la Fig. 407. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. fie, feutr

ssant parla ligne de repère 8 delà fiv. 407. 2/1 gran- deur nature. Méthode de Weigert-Pal. fec, feutrage extra-ciliaire. -

ant par la ligne de repère 9 de la fig. 407. 2/1 Gran- deur nature. Méthode de Weigert-Pal. fec, feutrage extra-ciliaire. -

ulo-protubérantiel, passant par la ligne PI de la Fig. 431, p. 043. Méthode de \Veiert-Pal, 3/1 grandeur nature. Aq, aquedu

antielle, passant par la ligne de repère P2 de la Fig. 431, p. 643. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Flp, faisc

de la protubérance passant par la ligne H 1 de la Fig. 118, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Fcc, faisc

de la protubérance, passant par la ligne H2 de la Fig. 418 p. 615. Méthode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. ? ce, faisce

tubérance passant par la ligne de repère H3 de la Fig. 418, p. 613. Méthode de Weigell-Pal, 3/1 gran- deur nature. Fcc, f

nc du trijumeau (Vs) à la partie supérieure de la moelle cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cp, cordon

du rhombencéphale, passant par la ligne H 4 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. aLc, l'axe

ous des noyaux du trijumeau par la ligne H5 de la Fig.418, p. Gl;i. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps

du rhombencéphale, passant par la ligne H6 de la Fig. 418, p. 613. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corps

H7 du rhombencéphale, passant par la ligne H 7 de la Fig. 418, p. 615 Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cj, corp

que l'on croyait ascendante avant les recherches pratiquées par la méthode de Golgi). Une autre partie des fibres du nerf

des noyaux du trijumeau et passant par la ligne C 1 de la Fig. 431. Méthode de Weigert-Pal, 2/1 Grandeur nature. Eca, gra

rieur de la protubérance et passant par la ligne C2 de la Fig. 431. Méthode de Wei- gert-Pal.9/1 grandeur nature. bu, bra

re externe et facial, et pas- sant par la ligne C 3 de la Fig. 431. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. Cj, corps

a Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. Cj, corps

a Fig. 431. La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. Cj, corps

Fig. 431. (La cavité du quatrième ventricule est colorée en rouge.) Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. bh, la bra

e la protubérance, passant par la ligne H 8 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 5/1 grandeur nature. bp, sillon

dégénérescences secondaires du fais- ceau pyramidal traitées par la méthode de Marchi à la présence de fibres pyra- midales

nerf glosso-pharyngien et par la ligne H10 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. o/i grandeur nature. Cj, corps

rsale Hll du bulbe passant par la ligne Hll de la Fig. 418, p. 615. Méthode de )'eigert-Pal. 5/1 grandeur nature. Cj, corps

sale H 12 du bulbe passant par la ligne H12 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 5/1 grandeur nature. Cj, corps

transversale H13 passant par la ligne H13 de la Fig. ·'r18, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nalure. Cp, cordon

pe transversale H14 passant par la ligne H14de la Fig. 118, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, extrémité

transversale H 15 passant par la ligne H 15 de la Fig. 418, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, cordons p

centrale, et les préparations de moelles d'embryon traitées par la méthode de Golgi montrent que la sépara- tion de ces de

transversale H16 passant par la ligne H 16 de la Fig. 418, p. 015. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. CI3, cordo

transversale H17 passant par la ligne H 17 de la Fig. 418, p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. GIS, cordo

rans- versale H18 passant par la ligne H18 de ! a Fig. 418, p. 015. Méthode [de Weigert-Pal. 0/1 grandeur nature. Ca, cor

s H19 et H20 passant parles lignes H19 et H20 de la Fig.18, p. 615. Méthode de Weigert- Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cor

transversale H21 passant par la ligne H21 de la rig ? r18, p. 013. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cordon

transver- sale H22 passant parla ligne H22 de la Fig. 118, p. 015. Méthode Weigert-Pal. G /1 grandeur nature. Ca, cordon

e racine cervicale. Coupe passant par la ligne H23 de [la Fig. 418. Méthode de Weigert-Pal. 6/i grandeur nature. Ca, cordon

ttale d'un lobule cérébelleux de l'homme adulte. (Coloration par la méthode de Rosin.) cg, couche granuleuse ; cette couche

t dirigés plus ou moins obli- quement (Fig. 4sus). L'emploi de la méthode de Nissl permet de déceler dans le corps cel- F

agittale, perpendiculaire au grand axe d'une lamelle cérébelleuse. ( Méthode de Golgi.) l'j, cellule de Purkinje des crêtes

dro-axito. pendiculaire au grand axe d'une lamelle cérébelleuse. ( Méthode de Golgi.) Pj, cellule de Purkinje d'une crête

gitudinale (parallèle à son grand axe) d'une lamelle cérébelleuse. ( Méthode de Golgi.) - Figure demi-schématique d'après Ca

muscules et que, sur les coupes un peu épaisses traitées suivant la méthode de Golgi, la couche granuleuse parait presque c

au grand axe d'une lamelle cérébelleuse d'un chai figé de la jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) flk. zon

875 et par E. Schultze, n'est bien connue que depuis l'emploi de la méthode -de Golgi. Golgi, en 1885, montra que les fibre

re parti- culièrement nombreuses sur les coupes traitées suivant la méthode de Fig. 459. - Les éléments constitutifs de l'é

Deiters et E. Schultze. Sur les coupes traitées suivant la nouvelle méthode de Weigert pour la coloration de la névroglie,

Le rendement 1 conique périphérique n'est pas appréciable par celle méthode . Elles sont très abondantes dans la paralysie g

rogliques. Dans la couche granuleuse, on ne constate à l'aide de la méthode de Weigert aucune fibre névroglique. Dans la su

oupe transversale d'une lamelle cérébelleuse colorée à l'aide de la méthode de Weigert-Pal, on constate que la couche moléc

lètement dépourvus. Sur de bonnes préparations traitées suivant les méthodes de Weigert ou de Pal, il n'est pas rare d'y renco

t ne seraient pas décelables sur les prépa- rations traitées par la méthode de Weigert,; il en serait de même des collatéra

Ces libres terminales ont été découvertes par Cajal à l'aide de la méthode de Golgi : les unes, fibres moussues, s'arboris

au grand axe d'une lamelle cérébelleuse d'un chat âgé de 22 jours. Méthode rapide de Golgi (d'après t.. ILelziua). il k, z

. - Cellules de l'olive cérébelleuse du foetus humain de six mois. ( Méthode de Golgi.) Gy, cylindre-axe d'une cellule du

s terminales de l'olive cérébelleuse du foetus humain de six mois. ( Méthode de Golgi.) a, arborisations terminales. - cy. c

e. axe que l'on ne peut suivre sur les préparations traitées par la méthode de Golgi que sur un court trajet. 3° Fibres d

férieur de la protubérance, le genou du facial et le noyau du toit. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. - (Voyez des- c

que pas la substance blanche centrale, - cle suivre, à l'aide de la méthode de Marchi, des fibres dégénérées dans des régions

6, Fig. 425 à 420 et S4 à S9, Fig. 412 à 417), colorées suivant les méthodes de Weigert, ou de Pal; les fibres semi-circulaire

valvule de Tarin et le diverticule latéral du quatrième ventricule. - Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. - (Voy. de

sant par le noyau du toit un peu en dehors du plan sagittal médian. Méthode de Wei- gert-Pal. 10/1 grandeur nature. aLc,

LAURÉAT DE L'INSTITUT ET DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE ' TOME PREMIER MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE EMBRYOGÉNIE HISTOGENÈSE ET HIST

la structure du système nerveux chez l'embryon ou le nouveau-né, la méthode de Golgi a rendu des ser- vices considérables,

dite du névraxe de l'homme, nous n'avons encore jusqu'ici que deux méthodes à notre disposition. Basées toutes deux sur l'e

sur des tissus normaux ou pathologiques, préalablement durcis, ces méthodes se complètent l'une l'autre, et c'est à leur em-

scopiques sériées et sériées sans interruption. C'est à ces deux méthodes que j'ai eu recours pour l'élaboration de cet o

e, m'a permis de contrôler dans un très grand nombre de cas, par la méthode des dégénérescences secondaires, les résultats

x, il est indispen- sable de décrire, avec détails, les différentes méthodes d'étude usitées en anatomie nerveuse, les progr

n effet toujours marché de pair avec les progrès effectués dans ces méthodes . L'étude du névraxe, basée sur l'examen des cou

ment, adonné depuis longtemps tout ce qu'elle pouvait donner. Cette méthode , qui doit être conservée en tant que méthode d'

pouvait donner. Cette méthode, qui doit être conservée en tant que méthode d'anatomie topographique, ne peut fournir que d

dernière ne peut être étudiée avec succès, qu'au moyen de plusieurs méthodes se complétant les unes les autres, et que nous

es autres, et que nous passerons successivement en revue. Parmi ces méthodes il en est deux sur- tout, que nous avons mises

epose sur l'élude des dégéné- rescences secondaires. Cette dernière méthode s'applique mieux que toute autre au cerveau de

origine de leurs nerfs respectifs. PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE 1 MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX 1. - M

CHAPITRE 1 MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX 1. - MÉTHODES GÉNÉRALES D'ÉTUDE Au commencement de ce siècle

oute la substance médullaire moyenne du cerveau ». C'est avec des méthodes aussi imparfaites que travaillèrent, au commen-

t avec des méthodes aussi imparfaites que travaillèrent, au commen- Méthodes em- ployées au commeu- cement de ce siècle

Ilenle. Keii-'hert. ]-îCtnak,Khrt;nbcrg. Travaux de Stilling. Méthode des coupes sériées de Stilling. Perfectionnem

mé- thode. .Micro tome. Coloration au car- min de Gcrlach. Méthode de \\-ci- gert. cernent de ce siècle, Gall, S

Slilling que revient le grand mérite d'avoir inauguré une nouvelle méthode , celle des coupes minces en séries, pratiquées ap

immense, et sont encore aujourd'hui d'une importance fondamentale. Méthode des coupes en séries. - La méthode des coupes en

i d'une importance fondamentale. Méthode des coupes en séries. - La méthode des coupes en séries est basée sur l'examen his

rminé, depuis son origine jusqu'à sa terminaison. A l'aide de cette méthode , aujourd'hui encore journellement employée, nou

reconstituant un embryon après l'avoir débité en coupes sériées. La méthode des coupes en séries a, du reste, subi, entre les

des coupes par le carmin (Gerlach, 1858), et surtout l'emploi de la méthode de Weigert pour colorer les gaines de myéline (

e Weigert pour colorer les gaines de myéline (1884), ont donné à la méthode de Stilling une précision remarquable. A celt

donné à la méthode de Stilling une précision remarquable. A celte méthode sont attachés les noms de Lenbossek, Schroeder va

ériées, pratiquée à un faible grossissement est, en effet, la seule méthode qui nous permette d'étudier la texture si compliq

amon y Cajal, Kolliker, Retzius, etc., il s'en faut de beaucoup que MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 9 nou

rapport à sa texture, surtout en ce qui con- cerne le cerveau. La méthode de Stilling, en effet, a été surtout appliquée ju

. Par contre, dans l'étude du cerveau de l'homme, l'emploi de cette méthode se heurte à d'assez grandes difficultés et c'est

donner. Appliquée au cerveau humain, elle constitue, en effet, une méthode longue, pénible, fastidieuse, exigeant un temps

eur agit sur de grandes surfaces, il lui faut, pour appliquer cette méthode , étudier et. com- parer un très grand nombre de

ependant, malgré toutes les difficultés inhérentes à l'emploi de la méthode de Stilling, c'est encore aujourd'hui la meille

ons employer pour étudier la texture si compliquée du cerveau. La méthode de Stilling, quelqu'excellente qu'elle suit, n'es

qu'elle nous fournit, ont besoin d'être contrôlés à l'aide d'autres méthodes qui, bien que parais- sant de prime abord assez

t cepen- dant vers le même but en se prêtant un mutuel appui. Ces méthodes nous sont fournies par l'Anatomie pathologique, d

nt, étude de l'apparition de la myéline dans tel ou tel faisceau ou méthode de Flechsig; l'Anatomie comparée, comparaison c

la Pathologie expérimentajti ? \}}t ? I61eq ? f ? la Tératologie. Méthode des déuénékescences secondaires. LOI'SCIlIllIl ·r

es. Waller avait vu d'emblée, le parti que l'on pouvait tirer de sa méthode i' Application de la méthode de Stilling à

parti que l'on pouvait tirer de sa méthode i' Application de la méthode de Stilling à 'étude de la texture : lu cet-v

la texture : lu cet-veau. ; î Les resu1tats 01lte- nus par la méthode le Stil11ng doivent. tre contrôlés à l'aide ¡

méthode le Stil11ng doivent. tre contrôlés à l'aide ¡ l'autres méthodes . I I I Expériences de Waller. i Déc

a- t matiquesdc Vulpiati Système de ncu- ; rbnes. i il La méthode des dégénérescences permet de suivro la par

points d'anatomie du système nerveux périphérique, et de fait cette méthode a été employée plus d'une fois, pour élucider le

aux nerveux traversant des plexus ou s'anastomosant entre eux. La méthode de \\'aller, fut par la suite appliquée aux centr

mportants. Leur nombre augmente chaque jour, et l'application de la méthode de Stilling - coupes sériées - à l'étude de ces

il est possible et souvent même facile, de suivre à l'aide de celte méthode , le trajet d'un système dégénéré, par contre il

l'on obtient sur les animaux à l'aide de la mé- thode de Gudden. MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX, il Mé

de Gudden. MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX, il Méthode de FLECHSIG. Cette méthode est basée sur le fait

ÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX, il Méthode de FLECHSIG. Cette méthode est basée sur le fait que, dans le système nerv

e l'importance de ces différences de coloration en étudiant, par la méthode des coupes en séries le cerveau, le bulbe et la

oloration des centres nerveux dues à Weigert et à Pal, ont rendu la méthode de Flechsig d'une application beaucoup plus facil

méthode de Flechsig d'une application beaucoup plus facile. A cette méthode de Flechsig sont attachés les noms de Pierret, vo

oms de Pierret, von Bechterew, Edinger, Darkschewitch, etc. Cette méthode , basée sur l'époque de myélinisation différente d

s- tème nerveux central le trajet de certains faisceaux. Mais cette méthode ne présente pas une sécurité absolue, car, si l

t pas au même système que celui que l'on étudie (voy. Histogenèse). Méthode rasée sur l'anatomie comparée. L'anatomie comparé

M. Duval, Rahl-Riickhard, Ziehen et Kükentlial, Spitzka, etc. La méthode de Leuret et Gratiolet est basée sur ce fait géné

a méthode de Leuret et Gratiolet est basée sur ce fait général que, Méthode de Floc si, basée sur 'ut,o que d'apparition

Difficulté d'étudié DiMcuMd'ctudic COMP14tement l'aide de la méthode 1 de Flechsig un sys tème de fibres Ion gué

st le plus souvent beaucoup plus complexe que chez l'homme. A cette méthode se rattachent toutefois les noms de Stiédi, layse

li, Osborn, Forel, Bellonci, Ahlborn, Ad. Meyer, Ilonnegger, etc. Méthodes expérimentales. Méthode de Gudden. L'expérimenta-

onci, Ahlborn, Ad. Meyer, Ilonnegger, etc. Méthodes expérimentales. Méthode de Gudden. L'expérimenta- tion sur les animaux,

t Munzer, Barbaci, etc.) Appliquée dans certaines conditions, celte méthode porte le nom de méthode de Gudden. Méthode de

Appliquée dans certaines conditions, celte méthode porte le nom de méthode de Gudden. Méthode de Gudden, Cette méthode dif

ines conditions, celte méthode porte le nom de méthode de Gudden. Méthode de Gudden, Cette méthode diffère des autres métho

thode porte le nom de méthode de Gudden. Méthode de Gudden, Cette méthode diffère des autres méthodes expérimentales, en

hode de Gudden. Méthode de Gudden, Cette méthode diffère des autres méthodes expérimentales, en ce que, au lieu d'opérer sur

il cet âge de la vie, du processus de résorption cellulaire. Cette méthode , il laquelle sont attachés les noms de Gudden,

al nouveau-né se laisse opérer facilement, les hémorrhagies ne sont MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 13 gu

phériques, et les résultats obtenus ne sont pas moins importants. Méthodes basées sur l'embryogénie E'r la 1'l.IiATOLOGIE. E

- loppement ou de malformations (Tératologie), constitue encore une méthode importante de recherches, en montrant que tel o

t de développement de telle ou telle partie de l'encéphale. A cette méthode sont attachés les noms de Flechsig, Forel et On

ce, et nous paraît préférable à l'emploi de la scie. Cette dernière méthode , usitée à l'étranger, a le défaut d'exposer l'o

la mollesse extrême du tissu cérébral à cette époque de la vie. La méthode qui nous parait être la meil- leure dans ces ca

ères, suivant le parti que l'on en veut tirer, suivant, en d'autres MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 1 : ;

u canal rachi- dien, au moyen du rachitome d'Amussat et du marteau, méthode préférable de beaucoup, à celle qui consiste à

au corps calleux, pour pénétrer dans les cavités ventriculaires. MÉTHODES USITEES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 1- ?

le. Le seul avantage de la coupe de Meynert est de rendre possible, MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 1J ap

pes vertico-transversales et parallèles au sillon de liolando. La méthode de Pitres, très bonne quand il s'agit de localise

rne, étude qui n'est possible que sur des coupes horizontales. A la méthode de Pitres se rattache celle de Nothnagel (1879),

s grande étendue, le genou en est extrêmement accentué, et la coupe MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 21 in

dégénérescences secondaires de certains gros faisceaux. Mais cette méthode a donné depuis longtemps tout ce qu'elle pouvai

misphère est ainsi divisé en trois segments : un postérieur compre- MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 23 na

dégénérescence, ce qu'il est impossible de faire avec les autres méthodes de coupes. Quels que soient le siège et l'étend

microtome les seg- monts une fois durcis. Importance de cette méthode pour l'étude des localisa- tions et des dégén

e, et de plonger de suite cet organe dans le liquide de Millier. 4. Méthodes de durcissement. - Qu'il s'agisse de pièces norma

donnons, pour notre part, la pré- férence au liquide de Millier. MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 25 di

ls de chrome, pour se prêter à de bonnes différencia- tions par les méthodes de Weigert ou de Pal. Pour la moelle épinière il

manière générale, nous croyons qu'il est préfé- rable d'employer la méthode de durcissement lent. Lorsqu'il s'agit de cerve

pide obtenu par le liquide d'Erlicki. Inconvénients do cette méthode . Liquide de Fol. Nécessité d'em- ployer le

r le microtome pour les coupes du système nerveux cen- tral. - Méthode d'inclu- sion des pièces. ramollissement surt

nisés, entre autres le liquide d'Erlicki dont voici la formule : MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 27 pa

ans la technique, le jour où M. Duval introduisit en histologie, la méthode d'in- clusion au collodion, permettant d'exécut

ollodion, permettant d'exécuter des coupes minces et sériées. Cette méthode de Duval est aujourd'hui en usage dans tous les l

que- ment pur. Voici la façon de pratiquer l'inclusion avec cette méthode . La pièce est lavée pendant quelques jours une

e collodionnée au préalable. Lorsque l'on a affaire à de petits i Méthode de lJuyal.1 i Inclusion daus col-; lodion. '

dion de pièces de petit volume. Emploi de la cel- loïdine. Méthode de Duval. Collodionnage des coupes., 1 d'in

e sous le -tran- chant du rasoir. Dans ce cas il faut recourir à la méthode de Duval, c'est- à-dire au collodionnage des co

atique la coupe ; on répète la même opération à chaque coupe. Cette méthode du collodion- nage des coupes est très précieus

s de fusion différents - de ÍO à .'>2°, mélange que l'on fait il MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 29 pa

robement de la pièce avec de la paraffine fondue, con- stituent des méthodes d'enrobement, de contention, mais non d'impré-

st applica- ble qu'a des pièces de petites dimcll- ! sious. t Méthode d'enrobe- L ment il la cire et i\ * la paraff

mie pathologique. Au contraire, le Fic. 7. - Microtome de Gudden. MÉTHODES USITEES DANS L'ETUDE DES CENTRES NERVEUX. 31 mi

piques sériées, pratiquées au microtome de Gudden, sont colorées et Méthode des cou- pes en série. Procédé de Dark- sch

a et moulera dans une série. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Méthodes de colo- ration. Coloration des fibres à my

Méthodes de colo- ration. Coloration des fibres à myéline. Méthode de Wei- crt. montées par les procédés ordinai

n par la géla- tine stérilisée. On prépare la solution suivante : MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 33 le

l'aide du liquide suivant dont nous devons la formule à Weigert : MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 35 La

plus parfaite des fibres à myé- line, Weigert a modifié sa première méthode , et imbibe d'un sel de cuivre la pièce avant de

pour l'ouvrage que nous publions ici n'a été traitée par le cuivre. Méthode de Pal. Cette méthode n'est qu'une variante de la

s publions ici n'a été traitée par le cuivre. Méthode de Pal. Cette méthode n'est qu'une variante de la précé- dente. Les c

ne solution d'hématoxyline, préparée de la même manière que dans la méthode de Weigert. Si la pièce dont elles proviennent

es coupes dans la mé- thudcdcPaJ. Avantages respec- tifs îles méthodes de et de Pal. Modifications ap- portées a l

tifs îles méthodes de et de Pal. Modifications ap- portées a la méthode de Weigert par Vas- sale. 1 Il est préférab

et traitées, pour être montées, par les mêmes procédés que dans la méthode de Weigert, - alcool, xylol phéni- qué.- Les pr

gert, - alcool, xylol phéni- qué.- Les préparations obtenues par la méthode de Pal diffèrent de celles traitées par la méth

obtenues par la méthode de Pal diffèrent de celles traitées par la méthode de Weigert, par ce fait que tout ce qui n'est pas

ala, l'éosine et sur- tout par le carmin acétique ou aluné. Dans la méthode de Weigert ces différents procédés de coloratio

oloration ne donnent pas de bons résultats. L'une et l'autre de ces méthodes devront toujours être employées en anatomie nor

es méthodes devront toujours être employées en anatomie normale. La méthode de Pal l'emporte sur celle de Weigert pour la c

ernière pour différencier les faisceaux les uns des autres. Avec la méthode de Weigert on obtient dans les faisceaux de l'enc

s variée, du moins d'après notre expérience personnelle, qu'avec la méthode de Pal. En anatomie pathologique les deux métho

nelle, qu'avec la méthode de Pal. En anatomie pathologique les deux méthodes doivent être généralement employées, en particu

es ou dif- fuses, scléroses en plaques, etc. , Modification de la méthode de Weigert d'après Vassale. Ce procédé, qui a p

eigert d'après Vassale. Ce procédé, qui a pour but de simplifier la méthode de Weigert et de la rendre d'une exécution plus

que, hématoxyline. Couleurs d'aniline. Imprégnations métalliques. MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 37 a.

ation lente est celui qui donne les meilleurs résultats. Avec cette méthode - colo- ration lente dans une solution faible,-

1° Séjour dans un cristallisoir contenant la solution suivante : MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 39 ve

rt. Sur les pièces dur- cies par les bichromates et colorées par la méthode de Forel, on distingue en général très facileme

r les scléroses de la moelle épinière (1890). Hématoxyline. Une des méthodes qui permet le mieux d'apprécier l'état des tiss

s éléments nucléés. Emploi en anato- mie pathologique <le la méthode de colo- ration en masse de Forel. Procédé

s possèdent au contraire une grande fixité. b. Couleurs d'aniline. - Méthode de Jelgersma. - Cette méthode, basée sur l'empl

rande fixité. b. Couleurs d'aniline. -Méthode de Jelgersma. - Cette méthode , basée sur l'emploi du « bl2ce-black ». fournit

ules, leur noyau et leur nucléole, ainsi que le cylindre-axe. Cette méthode a été recommandée par quelques auteurs, pour l'

kinje du cervelet. En anatomie patholo- gique c'est aussi une bonne méthode pour l'étude des altérations cellu- laires. L'a

raitées comme des coupes colorées au carmin. Schmaus a modifié la méthode de Jelgersma. Il emploie une solution alcooliqu

ec le procédé de Schmaus on peut colorer des coupes traitées par la méthode de Weigert. Nigrosinc. Cette méthode employée p

rer des coupes traitées par la méthode de Weigert. Nigrosinc. Cette méthode employée par Luys et par Gaule, fournit les mêm

employée par Luys et par Gaule, fournit les mêmes résultats que la méthode au blzce-blach, dont e ,l ? tNEllrè ? e, par la

recommande la formule suivante : 12 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Méthode d'P;hrlich an bleu de méthylène employée sur

te dans le xylol et on la monte dans le baume de Canada. Avec cette méthode , on obtient une bonne coloration des cel- lules

moins fortement que les cellules. La myéline reste incolore. Cette méthode est en outre excellente pour l'étude du protopl

e est en outre excellente pour l'étude du protoplasma cellulaire. Méthode d'Ehrlich au bleu de méthylène. Dans cette méthod

asma cellulaire. Méthode d'Ehrlich au bleu de méthylène. Dans cette méthode , les nerfs sont colorés sur l'animal vivant, en

injecter la solution colorante dans le sac lympha- tique dorsal. La méthode d'Ehrlich donne de précieux résultats, surtout

ajoute une trace de picrate d'ammoniaque. Retzius, appliquant cette méthode à l'étude des terminaisons nerveuses chez les I

au bout de combien de temps la coloration est la plus nette. cr. Méthodes d'imprégnations métalliques. (Centres nerveux et

qui lui reconnut la propriété de colorer en noir les graisses et la MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 43 my

coupes, des fragments du système nerveux central ou périphérique. Méthode d'Exner. - Les pièces provenant de la moelle ou d

e se conservent pas. Bellonci a modifié de la manière suivante la méthode d'Ëxner : la pièce, qui doit être également de

de la lumière. Au sortir de la solution, ces fragments sont inclus Méthode d'Exner. Procédé de Bellonci. Examen des nerf

de la disso- ciation après colora- tion a l'acide osmi- que. Méthode de Ranvier dans la paraffine par la méthode ord

l'acide osmi- que. Méthode de Ranvier dans la paraffine par la méthode ordinaire, puis coupés au microtome et à sec. L

, a pris une coloration gri- sâtre. En anatomie pathologique, cette méthode est très précieuse, car elle permet d'étudier d

que extrémité sur une planchette de liège. L'étude des nerfs par la méthode précédente (dissociation, acide osmique, etc.), r

transversales, après durcissement dans l'acide osmique. Voici la méthode que nous employons dans nos recherches sur les

lacé ensuite pendant vingt-quatre heures, dans une solution d'acide MÉTHODES USITÉES DANS L'ETUDE DES CENTRES NERVEUX. 4 : ;

me, si on désire garder la préparation. Les nerfs traités par cette méthode , peuvent être conservés pendant une quinzaine de

ger, lorsque l'on doit exa- miner un grand nombre de nerfs. La même méthode est applicable à l'étude des racines spinales e

oyé comme agent durcissant et colorant. Nous ne citerons, parmi ces méthodes , que celle de Marchi et Alghieri, employée surt

ude des dégénéres- cences secondaires de cause expérimentale. Cette méthode donne de bons résultats dans les dégénérescence

Dans les dégénérescences de date un peu ancienne, l'emploi de cette méthode n'est pas indiqué. Dans la mé- thode de Marchi

n suivante dite de Marchi : .' 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Méthode d'Upson. Elles y séjournent cinq à six heures,

puis on les plonge dans le mélange suivant, récem- ment préparé : MÉTHODES USITÉES DANS L'ETUDE DES CENTRES NERVEUX. 47 à

: 48 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Procédé lent de Golgi. La méthode de Golgi au nitrate d'argent varie, suivant que l

les soumet à l'action des solutions suivantes : Solution : 1 : . MÉTHODES USITEES DANS L'ÉTUDE DES' CENTRES NERVEUX. 40 m

d'argent à 0,75 p. 100. On traite ensuite les coupes comme dans la méthode lente. - Procédé rapide de Golgi. - Ce procéd

S NERVEUX. nouIlle et triple imprégnation de Ra- mon y Cajal. Méthode de Golgi au sublimé. solution (van Gehuchtcn)

ur obtenir de bonnes réductions par l'argent, R. y Cajal emploie la méthode de la double et même de la triple imprégnation et

triple imprégnation, on recommence la même série de manipulations. Méthode de Golgi au sublimé (d'après Mercier). Les pièces

ndre 8 à 10 jours avant de couper les gros morceaux. L'imprégnation MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. 51 se

cellules et leurs prolongements sont teints en noir, comme dans la méthode au sel d'argent. Cette dernière donne des résulta

écis, aussi l'emploi du sublimé est-il aujourd'hui peu usité. Les méthodes de Golgi ont rendu des services considérables en

considérables en histo- logie nerveuse. C'est grâce à elles et à la méthode d'Ehrlich, que nous sommes arrivés à connaître

s des cellules nerveuses, ainsi que leurs modes de terminaison. Les méthodes de Golgi présentent cependant les inconvé- nien

ts suivants bien résumés par Mercier. Sur une coupe traitée par ces méthodes , on constate qu'un petit nom- bre seulement des

si les prolongements des cel- lules ganglionnaires, colorées par la méthode de Golgi, ne sont-ils pas droits comme après l'

hode de Golgi, ne sont-ils pas droits comme après l'emploi d'autres méthodes , mais forment une ligne brisée. Enfin, et c'est

insi que nous avons été à même de le constater plus d'une fois, ces méthodes ne fournissent pas comme d'autres, ce qu'on est c

système nerveux central, et les découvertes faites à l'aide de ces méthodes , ont produit une véritable révolution. Pour p

uit une véritable révolution. Pour parer aux inconvénients de ces méthodes , différentes modifications ont été proposées.

ées. Importance des mé- thodes de Golgi. Inconvénients de ces méthodes . 52 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Modificatio

ces méthodes. 52 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Modification des méthodes de Golgi. Méthode de Flechsig. Méthode de Zie

ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Modification des méthodes de Golgi. Méthode de Flechsig. Méthode de Ziehc Méthode de blec

EUX. Modification des méthodes de Golgi. Méthode de Flechsig. Méthode de Ziehc Méthode de blechsig. Cette méthode a p

des méthodes de Golgi. Méthode de Flechsig. Méthode de Ziehc Méthode de blechsig. Cette méthode a pour Dut de combiner

Méthode de Flechsig. Méthode de Ziehc Méthode de blechsig. Cette méthode a pour Dut de combiner la mé- thode de Golgi au

line. Les pièces sont d'abord traitées par le sublimé comme dans la méthode de Golgi, mais les coupes sont ensuite plongées

s un bain d'alcool à 90°, puis dans le liquide colorant suivant : MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. : i3

ions, de saisir les coupes avec un instrument métallique. Avec la méthode de Ziehen, les fibres à myéline et sans myéline,

es cellules nerveuses sont également colorés et différenciés. Cette méthode n'est pas absolument constante. Méthode de Gr

és et différenciés. Cette méthode n'est pas absolument constante. Méthode de Greppin. - Cette, méthode s'applique aux coupe

hode n'est pas absolument constante. Méthode de Greppin. - Cette, méthode s'applique aux coupes déjà colorées par la méth

reppin. - Cette, méthode s'applique aux coupes déjà colorées par la méthode de Golgi au nitrate d'argent. Les coupes ainsi

romique val/2 p. 100, et on les colore à l'hématoxy- line selon les méthodes de Weigert ou de Pal. R. y Cajal reproche au pro-

concave pour les petites. Dans ce cas, la platine de verre est rem- Méthode de Greppin. Examen mic-0sco pique des coupes.

rnant, pour l'élude des grandes coupes microscopiques du cerveau. MÉTHODES USITEES DANS L'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. : ;5

reproduction des coupes au moyen d'un appareil à projection. Cette méthode a déjà été employée dans ce but, et Edinger a con

sées par la lumière, et en outre qu'elles soient colo- rées par les méthodes de Weigert ou de Pal, méthodes qui, en différenci

e qu'elles soient colo- rées par les méthodes de Weigert ou de Pal, méthodes qui, en différenciant fortement les faisceaux d

sent une image autre- ment nette, que celle que l'on obtient par la méthode au carmin. Cet appareil, construit sur le princ

e celles de la moelle exceptées et, pour continuer à nous servir de méthodes ne donnant pas de prise à l'interpré- tation pe

les travaux de His, la thèse de Vignal et les travaux basés sur la méthode de Golgi, que nous devons à Golgi, Ramon y Cajal,

noyaux spongioblastiques. Les recherches récentes faites d'après la méthode de Golgi ont montré, en outre, qu'il s'agit dan

mique de la cellule épendymaire, démontrée par Golgi à l'aide de sa méthode , est aujourd'hui admise sans contestation; mais i

érales de la moelle foetale (fig. 89). Golgi (1886), à l'aide de sa méthode , a montré que ces prolonge- ments atteignent la

laires. D'après les recherches de Nansen, pratiquées à l'aide de la méthode de Golgi, les cellules névrogliques proviennent d

quo adulte. Les cellules névro- gliques étudiées d'a- près la méthode de Golgi. Caractères qui dis- tinguent les

ous d'origine ectodermique. Dans les préparations faites suivant la méthode de Golgi, on retrouve les cellules névrogliques

longs se terminent par des extrémités libres et pointues : avec la méthode de Golgi on ne retrouve pas en effet les anastomo

re qui avait échappé aux observateurs antérieurs à Golgi, et que la méthode de cet auteur démontre de la façon la plus éviden

s par lequel il est bientôt masqué (fig. 90). Lorsqu'à l'aide de la méthode de Golgi, on étudie les cellules névrogli- ques

jumeau dans l'épi- thélium de la muqueuse olfactive de la souris. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) ? il, fi

nts proto- plasmiques ou dendrites (Mis). Examinés à l'aide de la méthode de Golgi, les dendrites et les cylin- dres-axes

fig. 101). L'extension des dendri- tes est énorme, ainsi que la méthode des dissocia- tionslefaisaitdureste pres- sen

minal. Fic. 100. - Cellules pyramidales en voie de développement. Méthode rapide de Golgi. (D'après A. Thomas.) a, b, cel

une cellule pyramidale de l'écorce cérébrale de la souris adulte. Méthode rapide de Golgi. (D'après R. y Cajal.)- a, -t

eux cellules radiculaires de la moelle dorsale d'un chien nouveau-ne. Méthode rapide de Golgi. (Dessin de v. Gehuchten d'aprè

ouche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âge de huit jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après R. y Cajal.) a, cylin

latérales. La commissure postérieure est formée par un seul faisceau. Méthode rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten.) 468

e longitudinale de la moelle dorsale d'un embryon de vache de Om,5. Méthode rapide do Golgi. (D'après v. Gehuchten.) Les

ule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,

ittale d'une circonvolution du cervelet du lapin âgé de sept jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) ak, couc

d'une coupe sagittale du bulbe olfactif d'un lapin âge de deux jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) .. ? .

sentent ces deux variétés de prolon- gements, examinés à l'aide des méthodes de Golgi, de Nissl, etc., on doit se rattacher

i. Travaux de His. Travaux de Forcl 11ases sur l'emploi de la méthode de Gud- den. Travaux de Cajal. 'l'ravaux &l

1887, Forel et His s'opposèrent simultanément, en se basant sur des méthodes différentes, à la théorie du réseau anastomotique

aire. Forel, en se basant sur les résultats obtenus il l'aide de la méthode expé- rimentale de Gudden, fut également condui

halo-mé- dullaires de certains faisceaux de fibres nerveuses. (Voy. méthode des dégénérescences secondaires, p. 9.) Penda

particulier chez les nouveau-nés, et c'est sur elle qu'est basée la méthode expérimentale de Gudden qui a donné de si beaux

que chez des animaux nouveau-nés on arrache un nerf moteur, ou 12 Méthode des déé- nérescences secon- daires. Altérat

mes des am- putés. Lésions do la moelle chez les am- putés. Méthode de Gud- den, son application aux nerfs moteur

on aux nerfs moteurs. 178 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans la méthode expérimentale de Gudden. fibre ner- veuse s

Hayem sur l'arrachement des nerfs moteurs. Application de la méthode de Gudden aux nerfs sensitifs. lorsqu'on prat

mme dans les cas d'ablation de l'écorce ou des noyaux gris. Dans la méthode de Gudden, la fibre s'altère donc dans toute son

mble donc séparer complètement les résultats obtenus à l'aide de la méthode - de Gudden d'avec ceux obtenus à l'aide des dé

sentant l'aspect de cellules araignées (Forel). Les résultats de la méthode de Gudden ne se différencient donc que quantita

itativement, ainsi que le fait remarquer Fore ! , d'avec ceux de la méthode dite des dégénérescences. Lorsqu'on opère, non

l'atrophie des ramifications arboriformes des cylindres-axes. La méthode expérimentale de Gudden et la méthode des dégénér

formes des cylindres-axes. La méthode expérimentale de Gudden et la méthode des dégénéres- cences montrent donc que la fibr

tes indirectes observées spécialement par v. Monakow à l'aide de la méthode de Gudden. Ces atro- phies indirectes s'observe

l'Étude du développement des cellules de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi. C. R. Soc. de Biol., 1894. - VIGNAL. Su

d, Charcot et Vulpian, Gudden, Flechsig, etc., travaux basés sur la méthode des dégénérescences, sur la méthode des atrophies

sig, etc., travaux basés sur la méthode des dégénérescences, sur la méthode des atrophies expérimentales et sur l'époque de

et névroglie. Aujourd'hui, depuis les travaux récents basés sur la méthode de Golgi, cette division des éléments constitut

cuticulairc, que l'on constate avec tant de netteté à l'aide de la méthode de Golgi sur les cellules épendymaires foetales

x prolongements des cellules né- vrogliques examinés à l'aide de la méthode de Golgi, nous n'y reviendrons pas ici. La cell

protoplasma à striation nettement fibrillaire. Etudiée à l'aide des méthodes de coloration nouvelles, en particulier à l'aid

des méthodes de coloration nouvelles, en particulier à l'aide de la méthode de \issu, cette masse de protoplasma se trouve

l constater lorsqu'on examine des cellules nerveuses à l'aide de la méthode d'Ehrlich, c'est-à-dire à l'aide d'une injectio

e antérieure do la moelle épinière de l'homme, colorée d'après la méthode de Nissl. [D'après Edinger.) HISTOLOGIE GÉNÉRAL

e moelle, de bulbe, de cervelet ou de cerveau, traitée à l'aide des méthodes de Weigert ou de Pal. Très sembables par leur a

a établi en 1886, et le fait a été depuis confirmé, a l'aide de la méthode de Golgi, par Cajal et v. Gehuchten, que la fibre

et le corps de la cellule ganglionnaire, on trouve, en employant la méthode de Golgi, une arborisation péricellulaire très

récents de Cajal, Kolliker (1889), v. Gehuchten, Sala, basés sur la méthode de Golgi, on considérait les cellules des gangl

e temps, plus nettement qu'après l'emploi de n'importe quelle autre méthode (Ranvier), la présence dans chaque segment inter-

inés frais et dans l'eau. » Golgi, puis Rezzonico, en appliquant la méthode Golgi (bichromate de potasse et nitrate d'argen

e. Pour les étudier, il faut, comme l'a montré Ranvier, employer la méthode de la dissociation et celle des coupes. Si on che

jal, 1W Ilil : er, v. Gehuchten et Sala l'ont montré à l'aide de la méthode de Golgi. A son extrémité périphérique il se te

la mé- thode de Golgi, par Golgi, van Gehuchten, Retzius, etc. La méthode des chromates d'argent a démontré jusqu'à l'évi

ves dans l'épithélium pavimenteux stratifié'. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. IPic. 134. - Terminaisons nerv

l'épithélium des lèvres d'un foetus humain. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES NER

s dans l'épithélium de l'oesophage du chat. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. ô,7, couche conjonctive sons

ique du larynx d'un chat : g de six semaines. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. Arborisation termi- nale lib

ttique du larynx d'un chat âgé de 4 semaines. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n, fibres nerveuses qui, de la

e la région respiratoire des cavités nasales. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. , n, libres nerveuses montan

oils du museau d'une souris de 5 à G jours. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. hst, couche cornée. - réseau d

glande sous-maxillaire du Lacerta agilis. (D'après G. Retzius.) Méthode ra- pide de Golgi. 1. lumière du canal excré-

s dans les dents du lézard (lacera agilisj (D'après G. Retzius. \ Méthode rapide de Golgi. d, dentino (Zahnbein). - nd, c

er- veuses, signalée par Ranvier, n'a été retrouvée,' à laide de la méthode de Golgi, ni par Cajal, ni par Retzius. Ces deu

iles de la tunique musculaire (Ranvier). Retzius, en employant la méthode d'Ehrlich (bleu de méthylène in2tra- vitam), a

le cardiaque d'une souris âgée de 11 jours. (D'après G. Retzius.) Méthode de Golgi. Fie. 147. - Terminaisons nerveuses mo

isses de la vessie d'un lapin âgé de 9 jours. (D'après G. Retzius.) Méthode de Golgi. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEU

érébelleux supérieur, le noyau de la IVe paire et le tamia pontis. ( Méthode de Weigert.) Agrandissement de 3 diamètres et d

le tubercule mamillaire médian et le tubercule mamillaire latéral. ( Méthode de Wei- gerl.. Agrandissement -1/diamèl,res.)Dé

corps genouillé externe et la partie externe du pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. (Agrandissement de deux diamètres et

tique, le ruban de Reil et la partie moyenne du pédoncule cérébral. Méthode cie Weigert. (Agran- dissement de deux diamètre

ion et de pro- jection, ne sont possibles, qu'en ayant recours à la méthode des coupes microscopiques sériées, associée il

res ainsi que sur les préparations microscopiques,, colorées par la méthode de Pal ou de Weigert (fig. 392), ou encore par

blanche, que les sels de chrome, et surtout les colorations par la méthode de Weigert ou par le carmin différencient en quat

es à un faible grossissement. Appliquée à l'anatomie normale, cette méthode , quelque précieuse qu'elle soit, ne suffit toutef

cas de dégénérescences secondaires. L'emploi simultané de ces deux méthodes , combinées avec celles de Gudden et de Flechsig

tome de Gudden ou au microtome à traîneau, ont été colorées par les méthodes de Weigert ou de Pal, et dessinées avec notre a

vertico-transversale n° I, passant par la ligne I de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

lico-transversale, n° II, passant par la ligne II de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

co-transversale, n° III, passant par la ligne III de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

e coloration foncée toute spéciale, sur les coupes traitées par les méthodes de Pal ou de Weigerl. Ces libres sillonnent la

tico-lransversale, no IV, passant par la ligne IV de la figure 278. Méthode de \'1'ei7crt. Agrandissement 3/2. Détails dessin

tico-transversale, n° VI, passant par la ligne VI de la ligure 278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

1 pratiquées il l'état frais, soit sur les coupes colorées par les méthodes de Pal ou de Weigert, on trouve dans le noyau e

co-transversalc, no VII, passant par la ligne VII de la ligure 2/8. Méthode de WeigerL Agrandissement de 3/2. Détails dessiné

ansversate, no VIII, passant par la ligne VIII, de la figure 2 ? 8. Méthode de Wcigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

lico-Li-aiisversale, n° IX, passant par la ligne IX de )atfigu ? 8. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

tico-transversale, nO XI, passant par la ligne XI de la figuré 278. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

ico-transversale, n°XII, passant par ]a ligne XII de la figure 278. Méthode de Weigert. Agrandissement de 3/2. Détails dessin

sont dépourvues et qui présen- tent, sur les coupes colorées par la méthode de Weigert, une teinte pâle très spéciale. Au n

s de l'hémisphère droit et passant par la ligne A de la figure 291. Méthode de Wei- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 303

urs de l'hémisphère droit et passant par la ligne de la figure 291. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

de l'hémisphère droit et passant par la ligne C de la figure '294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

s de l'hémisphère droit et passant par la ligne D de la figure 294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

s de l'hémisphère droit et passant par la ligne E de la figure 294. Méthode de Pal. 3/2 grandeur naturelle. Détails dessiné

F, du lobe temporal droit, passant par la ligne F de la figure 294. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails dessi

puis le centre ovale jusqu'au pédoncule cérébral et colorées par la méthode de Weigert. Ces 13 coupes qui ne sont pas équid

ntale microscopique, n° 1, passant par la ligne 1 de la ligure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ntale microscopique, n° 2, passant par la ligne 2 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ntale microscopique, n° 3, passant par la ligne 3 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

nt, soit obliquement, et qui se colorent moins intensivement par la méthode de W(igert que les fibres appartenant il d'autr

ntale microscopique, n° 4, passant par la ligne 4 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ontale microscopique n° 5, passant par la ligne 5 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

h), et d'autres fibres, horizontales également, mal colorées par la méthode de Weigert, et qui appartiennent aux fibres len

st claire et ne reçoit que de rares fibres à myéline, colorées par la méthode de Weigert. Dans la couche profonde, on observe

ontale microscopique n° 6, passant par la ligne 6 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ode de Pal; elles ne sont au contraire que faiblement colorées par la méthode de Weigerl. Elles se groupent à la partie posté

(le) on rencontre un faisceau de libres fines, mal colorées par la méthode de Weigert, peu large en avant, beaucoup plus p

laire (lme), formée surtout de fibres se colorant faiblement par la méthode de Wei- gert et disposées en gros fascicules, c

ntale microscopique n° 7, passant par la ligne 7 de- la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

rizontale microscopique" n.passant par la ligne 8 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur n lle. Détails dessinés

ant une série ininterrompue de coupes de la région, traitées par la méthode de Weigert, on voit apparaître l'obliquité des

ntale microscopique n° .9, passant par la ligne 9 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

temporal (T ? T3), ainsi que l'un de nous a pu le constater par la méthode des coupes microsco- piques sériées dans cinq c

es fibres obliques en avant et en dedans, fortement colorées par la méthode de Weigert. Ce faisceau entre dans la constitut

ale microscopique, n° 10, passant par la ligne 10 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ale microscopique n° 11, passant par la ligne 11 de la figure 29tu. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

aciles à étudier et à suivre, sur les préparations traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Si on les étudie dans les

ale microscopique n° 12, passant par la ligne 12 -de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

(Rm), on trouve des libres fasciculées, fortement colorées par les méthodes de Weigert ou de Pal; elles constituent les radia

ale microscopique, n° 13, passant par la ligne 13 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

ale microscopique n° 14, passant'.par la ligne 14 de la figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

peu riches en myéline, faiblement colo- rées par conséquent par la méthode de Weigert. Ces libres constituent le straittzn

niveau du corps de Luys [par des fibres faiblement colorées par la méthode de Weigert. Dans cette région, la bandelette op

es radiations thalamiques (RTh). Ces dernières, peu colorées par la méthode de Weigert, sont parallèles et il direction antér

rosses et se colo- rent beaucoup plus intensivement il l'aide de la méthode de Weigert. En avant, les fibres du faisceau lo

le microscopique n° 15, passant par la ligne 15 de la - figure 299. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

que. Sur ces coupes, prati- quées de haut en bas et colorées par la méthode de Pal, on retrouvera, mais sous un aspect un p

FiG. 316. Coupe n° 1 x, passant par la ligne 1 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

. Inc, 317. Coupe n° 2 x, passant par la ligne 2x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

Fil;. 318. Coupe n° 3 x, passant par la ligne 3 x de la figure 3ta. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

fascicules de fibres très élégantes, se colo- rant fortement par la méthode de Weigert, qui traversent toute la moitié intern

FIG. 319. Coupe n° 4 x, passant par la ligne 4 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

Il ! . 3°30. Coupe n° 5 x, passant par la ligne 5 x de la ligure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

FiG. 321. Coupe n° 6 x, passant par la ligne 6 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

Fit;. 322. Coupe n° 7 x, passant par la ligne 7 x de la figure 315. Méthode de Pal. ` ? /I grandeur naturelle. Détails dess

la Fig. 323. Coupe n° 8 x, passant par la ligne 8 x de la figure z. Méthode de l'al. 2/1 Grandeur naturelle. Détails dessin

Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant par la ligne 9 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

ens, groupées en petits fascicules et se colorant faiblement par la méthode de Weigert. Ces fascicules, qui dégénèrent à la s

Fie. 325. Coupe n° 10 x, passant par la ligne 10 x de la figure 315. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

FiG. 326. Coupe n° 11 x, passant par la ligne 11 x de la figure 3t5. Méthode de Pal. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

la calotte, seront du reste étudiés en détail dans le tome II, par la méthode des dégénérescences secondaires consécutives à

Fic. 327. Coupe n° 12 x, passant par la ligne 12 x de la figure 313. Méthode de Pal. 3/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

FlG. 328. Coupe n" 13 x, passant par la ligne 13 x de la figure 315. Méthode de Pal. 3/1 grandeur naturelle. Détails dessiné

e- ment perpendiculairement à sa longueur et colorée soit par les méthodes de Weigert ou Pal, soit par le carmin, on const

rrégulières. Sur des préparations traitées par l'acide osmique, les méthodes de Weigert, de Pal ou de Wolters, cette couche es

é lieu à de nombreux tra- vaux. Martinotti a montré, à l'aide de la méthode de Golgi, que les libres Kcorcedumautcau céré

e l'écorce cérébrale du lapin de 8 jours. Coupe antéro-postérieure. Méthode rapide de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, cy

de l'écorce cérébrale du lapin âgé de 8 jours. Imprégnation par la méthode rapide de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A et

la circonvolution frontale ascendante d'un foetus humain de 8 mois. Méthode de Golgi. (D'après G. Retzius.) 0, Surface de l

ule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi. Ilamoii y Cii.jiil.) a, tige

de la tige radiale d'une cellule pyramidale de la souris adulte. Méthode rapide de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,

e type moyen de l'écorce cérébrale de l'homme adulte. Lobe frontal. Méthode de Golgi. Dessin de M. Azoulay (d'après ses prépa

e de l'écorce de la souris d'un mois (Région supra- ventriculaire). Méthode de Golgi. Objectif C. Zeiss. Ocul.3. (D'après Ram

pyramidales, où il se présente sur des préparations traitées par la méthode de Weigert, sous l'aspect d'une ligne foncée co

l'écorce cérébrale sont décelables à l'aide de l'acide osmique, des méthodes de Weigert, de Pal et de Welters ' ; ; elles af

ivis jusqu'au . delà de la strie externe de Baillarger. * 1. La méthode de Wolters colore la myéline, les cylindres-axes,

nt de la substance blanche et s'arborisant dans la substance grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, fibres as

une idée nette de ce feu- trage intracortical, il faut employer la méthode de Golgi, car les innom- jtjjtt brables ramific

rvues d'un manchon de myéline et parlant ne se colorent pas par les méthodes de Weigert et de Pal. Les éléments qui prennent

la partie inférieure de l'écorce occipitale d'un cobaye de 8 jours. Méthode double de Golgi. (D'après Cajal.) . A, couche m

FiG. 347. - Coupe vertico-transversale du lobule lingual de l'homme. Méthode de Wei- gert. Agrandissement de 10/1. Détails d

direction horizontale et s'étendent à de grandes distances. Par la méthode de Weigert, on constate que beaucoup de ces fibre

ies longitudinales internes apparaissent soudées en une lame grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, fibres du

4-9. - Coupe longitudinale d'un nerf de Lancisi d'un rat de 15 jours. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a, cellule

-transversale de la corne d'Ammon passant par les corps genouillés. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails dessi

-transversale de la circonvolution de l'hippocampe, colorée par les méthodes de Weigert ou de Pal, on constate que la couche m

eaux, et qui, sur des coupes vertico-transversales traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, donnent à cette couche un a

, puis Schaitfcr et Cajal ont appliqué à l'étude de cette région la méthode par l'imprégnation d'argent. Les différences de

par FiG. 354. - Coupe de la corne d'Ammon d'un cobaye de dix jours. Méthode double de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A

adiatum. Fie. 355. - Coupe de la corne d'Ammon du cobaye d'un mois. Méthode de Cox. (D'après Ramon y Cajal.) B, substance

f>I ? campique (CA) el godronné(Ite)lii'tJJjj};....r'1\m- mon. Méthode de Golgi. (D'tipre'stfliï61 y Cajal.) CA, petit

r Cajal, FiG. 360. - Coupe de la corne d'Ammon du cobaye d'un mois. Méthodes de Cox et de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.)

n fibres nerveuses à myéline. Sur les préparations traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, cette couche de fibres ap

a circonvolution godronnée au voisinage de la couche molécu- laire. Méthode rapide de Golgi. (Dessin fait par M. Azoulay d'ap

irconvolution godronnée dans la région du hile de la corne d'Ammon. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, couche mo

iG. 367. Coupe de la circonvolution godronnée du cobaye' d'un mois. Méthode de Cox. (D'après Ramon y Cajal.) a, b, corps

368. - Coupe de la circonvolution godronnée du cobaye de huit jours. Méthode de . Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) .l, couc

es glo- mérules, ne sont connues que depuis l'appli- cation de la méthode de Golgi à l'étude de ce lobe. Chez les anima

meau dans l'épithélium de la mu- queuse olfactive de la souris. Méthode rapide de Golgi. (D'a- près G. Retzius.) n',

une coupe sagittale du bulbe olfactif d'un lapin àgé de deux jours. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) mi, cell

ns par M. Duval. Paris, 1879. Kans. Die Anwendung der TVolters'chen Méthode auf die feinen Fasern der Himrinde. Neurol. Centr

ontribution à l'étude de l'évolution des cellules cérébrales par la méthode de Golgi (Société de Biologie, 1894). - TODT un

mammifères, on peut arriver à résoudre la difficulté à l'aide de la méthode de Golgi, ainsi que l'a montré Cajal. 1° Pour

intensivement par l'héma- toxyline. Sur les coupes traitées par la méthode de ? I les fibres calleuses apparaissent foncée

t de la substance blanche cl, s'arborisant dans la substance grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal. a, libres asc

u uncinatus se colore peu intensivement par l'hématoxyline dans les méthodes de Pal et de Weigert, et existe à l'état compacte

nt-mur, le faisceau uncinatus et la substance innommée de Reichert. Méthode deyYeigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

377) de Wernicke. Sur les coupes microscopiques traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le faisceau arqué se colo

és. Nous avons pu constater en effet à différentes reprises, par la méthode des coupes microscopiques sériées, que lorsque

oses sont ici tout a fait comparables à ce nue l'on observe dans la méthode expé- rimentale de Gudden, où les extirpation

382) ou horizontales (Iïg. 301 à 304 et 295, 296), traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Les fibres du faisceau occi

m, faisceaux occipito-frontal, longitudinal supérieur et uncinatus. Méthode de Weigert. Agran- dissement de 3/2. Détails de

. C'est là un résultat que nous fournit l'expérimentation et que la méthode des dégénérescences secondaires ne pouvait nous

r le carrefour ventriculaire en arrière de la queue du noyau caudé. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessinés

s scissures pariéto-occipitale et calcarine et par l'ergot de Morand. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessiné

étudie des coupes microscopiques traitées par le carmin ou par les méthodes de Weigert ou de Pal. Elles sont en outre faciles

e cérébrale avoisinante (fig. 386). Sur les coupes traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le fais- ceau longitudina

'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. ï71 t supérieur de la couche optique. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

sceau annulaire, facile à distinguer sur les coupes traitées par la méthode de Weigert (p. 60 fig. 290, et p. 768 fig. 384).

e fais- , ceau longitudinal inférieur aborde ' le noyau amygdalien. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails des

s dégénérescences secondaires, de l'anatomie com- parée ou d'autres méthodes . Pour nous, la partie inférieure du faisceau lo

oyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détails dessiné

s, le lobule lingual, ou le lobule fusi- forme, - et étudiés par la méthode des coupes microscopiques sériées, lui ont mont

que, passant par la partie supérieure de la région sous-thalamique. Méthode de l'al. Agrandissement de 2/1. Détails dessiné

'écorce temporale, iraient s'arboriser dans l'écorce occipitale. La méthode des dégénérescences secon- daires est impuissan

impuissante pour trancher cette question, carnous savons de par la méthode expérimentale de Gudden (voy. p. 12 et 178) et de

ux encéphaliques ou médullaires s'al- tèrent dans les deux sens. La méthode des dégénérescences secondaires, qui présente u

L'examen microscopique de coupes du lobe occipital, colorées par les méthodes de Weigert ou de Pal, montre combien les coupes

genou du corps calleux et de la corne frontale du ventricule latéral. Méthode de f. Weigert. Agrandissement de 3/2. Détails d

es coupes vertico-transversales mi- croscopiques colorées selon les méthodes de Weigert ou de Pal, que l'irra- diation des f

sur les coupes microscopiques colorées au carmin ou traitées par la méthode de Weigert (fig. 391). Le genou du corps call

ne de la couche optique et les deux segments du noyau lenticulaire. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

DES' CENTRES NERVEUX. Trajet des fibres calleuses étudié par la méthode des dégé- nérescences secon- daires. Dégéné

u tapetum et de celles du forceps, ne peut être fait à l'aide de la méthode des dégénérescences secondaires consécutives au

la base du cunéus (C) et la partie moyenne du lobule lingual (Lg). Méthode de Pal. 3/2 grandeur naturelle. Détails dessinés

s du lobe occipital. Mais l'examen méthodique de la pièce, par la méthode des coupes microscopiques sériées, montre qu'au

e postérieure du tronc du corps calleux ainsi que de son bourrelet. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur naturelle. Détails des

par la commissure antérieure et la région sous-optique inférieure. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur naturelle. Détails des

nt par l'hématoxyline et présentant sur les coupes traitées par les méthodes de Pal ou de Weigert l'intensité de coloration de

e le sujet, en tant qu'il s'agirait de signaler les principes et la méthode , je ne verrais pas grand'chose à y changer; car e

les développements ont été effectués à l'acide pyrogallique par la méthode imaginée par l'un de nous. Nous tenons, en term

au-dessous de l'ent1'8-cl'oisement des pyramides, et colorée par la méthode de Pull. A. Corne antérieure. B. Corne postér

pe pratiquée dans la région du renflement cervical, et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postér

oupe pratiquée dans la région cervicale supérieure, et colorée par la méthode de Weigert. Le canal central et ses cellules y

e. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postér

Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de Pali, A. Corne antérieure. B. Corne postér

térieure. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La corne postérieure est vue au grossi

upe pratiquée dans la région du renflement lombaire et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postér

Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de Weigert. On y voit l'asymétrie des deux moit

E. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. La diffusion de l'inflammation très ne

- Coupe pratiquée dans la région dorsale inférieure et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont disséminées et atteig

oupe pratiquée dans la région cervicale inférieure, et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont presque exclusivement

Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de Pall. Les lésions sont localisées dans la pa

Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée par la méthode de Pall. On voit une petite plaque de sclérose

du cordon latéral droit de la préparation précédente colorée par la méthode de Pall. On y voit la persistance de nombreux t

e. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe la presque totalité

Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de Pall. On y voit la distribution très irrégul

Coupe pratiquée dans la région cervicale inférieure et colorée par la méthode de Pall. On voit des plaques de sclérose extrêm

cordon latéral gauche de la préparation précédente, colorée par la méthode de Pall. 11 n'existe guère que du tissu de nouv

Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. Les plaques de sclérose sont disséminé

èce provenant d'un autre sujet que la précédente) et colorée par la méthode de Weigert. Les altérations sont extrêmement in

vicale. Coupe 1"dtICLIÉB dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. Il s'agit d'une lésion des cornes anté

dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale, et colorée par la méthode de Pall. La pièce appartient au même sujet que

N dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe les cordons postéri

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La sclérose est cantonnée dans des zon

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode au carmin. On y voit la dégénération du faiscea

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On voit la dégénération portant sur le

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. La dégénération plus ancienne est t

dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. La dégénération plus ancienne est t

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. On voit la dégénération ascendante

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Weigert. La dégénération occupe symétriqueme

Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Weigert. La dégénération siège dans les cord

cordon de Goll dégénéré de la préparation précédente coloré par la méthode de Weigert et vu à un fort grossissement (obj. 4,

e. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. On y voit la lésion des cornes antérie

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. On voit les lésions des cornes antérie

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. On voit aisément la différence cons

Coupe pratiquée au niveau du renflement lombaire et colorée par la méthode de Weigert. Il est aisé d'y constater l'asymétr

mbaire. - Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Weigert. On constate la présence de deux foy

baire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée n<r la méthode de Pall. Il s'agit d'un cas de tabès au début,

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. Les lésions occupent, d'une façon c

n dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. Cas classique dans lequel on voit l

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe son siège habituel da

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. Il s'agit d'un cas où les lésions é

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On y voit la lésion particulièrement i

Coupe pratiquée au niveau du renflement cervical et colorée par la méthode de Weigert. La lésion, contrairement à celle de

Coupe pratiquée dans la région cervicale supérieure et colorée par la méthode de Pall. La sclérose des faisceaux pyramidaux e

ical. Coupe pratiquée dans le renflement cervical et colorée par la méthode de Pall. La lésion est visible dans la zone des

e. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. La lésion est strictement cantonnée da

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La lésion occupe toujours la zone des

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pâli. On y voit le peu de développement du m

rvicale. Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Weigert. L'absence presque complète de la my

ale. 1 Coupe pratiquée dans la région cervicale et colorée par la méthode de Pall. La distribution de la sclérose est bea

Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. On y voit très nettement la distributi

ssement d'une partie du faisceau de Burdach sclérosé, coloré par la méthode de Pall. A-A. Substance fibrillaire du tissu de

lombaire. Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La distribution des lésions est tout i

lombaire Coupe pratiquée dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. On voit la cavité pathologique central

nférieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Mêmes lésions, d'apparence un peu diff

e. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. Les lésions semblables sont plus accus

E. Coupe pratiquée dans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. La moelle est presque complètement dét

n dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Cavité aplatie transversalement recouv

e dans la région de l'entrecroisement des pyramides et colorée par la méthode do - Pall. On y voit la tumeur située à la pa

e. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. On voit que le fibrome occupe la parti

Coupe pratiquée dans la région lombaire supérieure et colorée par la méthode de Pall. Le fibrome siège au centre de la moell

mme élémens dans la pratique des plus complexes. Déviant un peu de sa méthode pour les opérations de la petite chirurgie, il re

lle doit remplir ; 3° le manuel opératoire en lui-même. Dans une même méthode , nous décrirons et ferons représenter, quand ils

lieu d'élection. C'est le cas des amputations, de l'ané-vrisme par la méthode d'Anel, etc. 3° Choix du mode opératoire. 11 es

r une succession d'actions très différentes . c'est ce que l'on nomme méthodes et procédés opératoires. Quoique ces deux mots so

cependant pas bien nettement définie. En général, la qualification de méthode s'applique à l'intention curative que l'on se pro

s moyens pour y parvenir; de sorte que le procédé est compris dans la méthode ; mais c'est lui qui constitue l'opération. Là où

utique, les opérations se multiplient, il en résulte une ou plusieurs méthodes , renfermant chacune un seul ou plusieurs procédés

la lithotomie par les tailles sus-pubienne, latéralisée, etc., toutes méthodes différentes comprenant chacune divers procédés. L

isons qui, dans la pratique, entraînent le chirurgien à choisir telle méthode ou à substituer tel procédé à tel autre, se dédui

rveux. Toutefois, James Moore a tenté de convertir ce précepte en une méthode d'application générale, là où la compression est

t à la combinaison des deux espèces de compression que se rapporte la méthode hémostatique, dite d'ex-jectation, du chirurgien

pé, pourvu qu'un calme et un repos parfaits soient maintenus. Cette méthode , qui a eu quelque retentissement, n'est par le fa

agie. Ambroise Paré imagina de lier les vaisseaux , et, quoique cette méthode lui fût déjà connue, car, pour la faire adopter,

ne étendue et particulièrement dans l'opération de l'anévrisme par la méthode de Hunter, plusieurs chirurgiens, et parmi eux Bo

ux iustrumens étant tenus comme une plume à écrire. En procédant avec méthode , on parvient à isoler le clou en entier sans caus

fongueux avant que le malade réclame le secours du chirurgien. Quatre méthodes de guérison ont été employées, imaginées à divers

die. i° Redressement de l'ongle avec dépression des chairs. Cette méthode imaginée par Desault a pour objet de remédier à l

'argent de M. Dudon. 2° Rétrécissement de longle. Le but de cette méthode est d'obvier à l'inclinaison de longle et d'en fa

3° Arrachement de la portion de l'ongle encastrée. L'objet de cette méthode est d'enlever la portion de l'ongle incarnée , ca

ire la maladie. Mais à part la modification de M. Larrey, lesquatre méthodes opératoires qui précèdent, en laissant subsister

on tendant à se reproduire dès qu'un nouvel ongle est formé. La seule méthode véritablement curative consiste donc à enlever en

mbeau adhérant par un simple pédicule; de là deux sous-divisions : la méthode de Celse et la méthode indienne. Encouragée par u

imple pédicule; de là deux sous-divisions : la méthode de Celse et la méthode indienne. Encouragée par un premier succès, la ch

ller chercher un lambeau sur une partie éloignée, ce qui constitue la méthode de Tagliacozzi ou méthode italienne. Enfin, on pe

ur une partie éloignée, ce qui constitue la méthode de Tagliacozzi ou méthode italienne. Enfin, on peut appeler méthode de M. R

a méthode de Tagliacozzi ou méthode italienne. Enfin, on peut appeler méthode de M. Roux une quatrième combinaison conçue par c

des indications plus précises, à chacune des opérations spéciales. Méthode de Celse. La plus ancienne et par cela même la pl

peau présente une mobilité égale ou inégale dans les divers points. Méthode indienne. Dans celle-ci, le lambeau n'est point c

t qu'il a introduit dans l'orifice à parois ravivées de la fistule. Méthode italienne. Dans ce mode opératoire, le lambeau es

rurgien avant de l'entreprendre, Les cas pour lesquels s'emploie la méthode italienne sont plus particulièrement les pertes d

ence sur le malade, qui volontiers réclame de lui-même le choix de la méthode italienne. Quoi qu'il en soit, l'opération étan

édés usités à notre époque, et ne suffit pas pour légitimer le nom de méthode allemande qu'il lui a donnée. CICATRICES VICIEU

uation déterminée, soit la demi-flexion, la demi-extension, etc. Deux méthodes principales ont pour objet de remédier aux cicatr

incision. Elargissement par incision. Dans ce mode opératoire, dit méthode ancienne, l'art corrige la difformité d'une ancie

e de substance au moyen de l'autoplastique , par l'une quelconque des méthodes indiquées, suivant le besoin. Oblitération et r

elle-même; mais délicate, vu la proximité des gros vaisseaux. Deux méthodes sont employées:l'incision préalable de la peau et

la gravité de l'opération en elle-même. Toutefois, en procédant avec méthode et précaution, on peut atteindre encore avec asse

r en augmenter le saignement ; 20 sur les plaies empoisonnées, par la méthode du docteur Barry, pour attirer au-dehors les liqu

dit plus haut on voit qu'il ne s'agit que de procéder avec lenteur et méthode en n'élevant pas trop haut la pression et surveil

ement d'une inflammation adhésive. De seize malades traités par cette méthode , l'opération sur quatre n'a en absolument aucun r

, on saurait promptement à quoi s'en tenir sur la valeur comparée des méthodes opératoires : car, en définitive, ce qu'il s'agir

s les lésions traumatiques; D. Anel, en 1710, établit positivement la méthode de lier au-dessus de l'anévrisme, suivie à la fin

fin du siècle par Desault et Hunter; et Brasdor institue la dernière méthode , complétive de la thérapeutique de l'anévrisme,

emment en dedans ou en dehors. Incisions latérales. Le but de cette méthode est d'aller chercher l'artère sous le bord tibial

e succès? c'est en particulier le cas de l'anévrisme popí i té par la méthode d'Anel : aussi cette ligature est-elle la plus fr

évrisme faux consécutif Anéviusme variqueux. On y rapporte quatre méthodes de traitement. i° Compression permanente sur la

aitement général de l'anévrisme interne la médecine ne possède que la méthode de Valsalva, moyen d'exténuation qui a pour but d

et dont les effets curatifs sont loin de justifier la cruauté. Cette méthode au reste, loin d'avoir été imaginée par le médeci

pendant la longue durée de l'état anémique, et si, en définitive, la méthode à elle seule a jamais produit une guérison complè

y accorde, la théorie actuellement en vigueur est peu favorable à la méthode outrée de Valsalva. Car si, d'un côté, l'état d'a

on et réduite aux proportions d'un traitement antiphlogistique, cette méthode est utile comme auxiliaire dans l'anévrisme exter

t bon de jeter d'abord un coup d'œil historique sur la succession des méthodes : sauf à reprendre les procédés dans un autre ord

n des méthodes : sauf à reprendre les procédés dans un autre ordre. MÉTHODES OPÉRATOIRES. Les réfrigérans et la compression,

ismes. Par leur nature et leurs effets ils constituent évidemment des méthodes distinctes. Toutefois, comme par la simplicité de

opératoire, l'usage a prévalu de réserver plus spécialement le nom de méthode à la ligature, pour distinguer entre eux les diff

donc particulièrement de la ligature que nous avons à nous occuper. Méthodes de ligatures. i° Méthode ancienne (ouverture du

ligature que nous avons à nous occuper. Méthodes de ligatures. i° Méthode ancienne (ouverture du sac). C'est par la lésion

). C'est par la lésion et l'évacuation du kyste que se caractérise la méthode ancienne généralement usitée jusqu'à Llunter. A

rs procédés se rattachent à deux idées générales qui caractérisent la méthode ancienne : lier l'artère avec sous-section pour i

core plus avancé, Paré et Guillemeau devancent par leurs préceptes la méthode qui sera fondée par Anel. 20 Méthode nouvelle (

vancent par leurs préceptes la méthode qui sera fondée par Anel. 20 Méthode nouvelle (ou méthode a"Anel). (Ligature simple.)

ceptes la méthode qui sera fondée par Anel. 20 Méthode nouvelle (ou méthode a"Anel). (Ligature simple.) Anel, en 171 o, ouvri

nstance qui a permis à ses compatriotes d'appeler ce mode de ligature méthode de Hunter, tandis que les chirurgiens français la

ure méthode de Hunter, tandis que les chirurgiens français la nomment méthode dAnel dont, en réalité, Hunter n'a pu être que l'

SUR LA TUMEDB Topiques rèfrigérans, Styptiqueset astringens. Cette méthode inoffensive, si elle ne guérit pas toujours, du m

intrac, ont constaté les bons effets des réfrigérans. En résumé cette méthode est restée dans la science. Elle n'est contre-ind

rocédé, dont l'indication est la même que celle de la ligature par la méthode de Brasdor, a été essayé par un chirurgien milita

en a toujours employé ce moyen à l'Hôtel-Dieu. LIGATURE. Voici la méthode la plus nette et la plus efficace d'oblitérer les

nérale, eu égard à l'anévrisme, les deux procédés d'application de la méthode ancienne et de la méthode d'Anel. Méthode ancie

isme, les deux procédés d'application de la méthode ancienne et de la méthode d'Anel. Méthode ancienne. — Procédé opératoire.

cédés d'application de la méthode ancienne et de la méthode d'Anel. Méthode ancienne. — Procédé opératoire. Appareil. Il se

e compresses, et maintenir le tout par un simple bandage contentif. Méthode et procédé d'Anel. L'opération par le procédé d

e devait opérer par l'électro-galvanisme. De cette opinion est née la méthode suivante, dont l'action réelle ne saurait être co

onnent lieu. ouverture des arcès en général. Elle renferme quatre méthodes : la ponction, l'incision , le séton, et les caus

er une mèche entre deux ouvertures à l'aide du stylet aiguillé. Cette méthode est applicable seulement aux trajets fistuleux de

onsidérables se rendent à la tumeur on a proposé de combiner les deux méthodes opératoires en faisant préalablement la section c

es. Il nous suffit, eu égard à la médecine opératoire, de décrire les méthodes et les procédés employés pour les détruire, et en

dés employés pour les détruire, et encore d'une manière générale, ces méthodes et procédés nous étant connus dans les opérations

lus importons, figurer en leur lieu parmi les opérations spéciales. méthodes opératoires. Lathérapeutiquechirurgicaledestume

irurgicaledestumeursavecdégénérescence des tissus comprend toutes les méthodes connues dont l'objet est de satisfaire à l'indica

surface. irritation inflammatoire (tumeurs vasculaires). Dans cette méthode opératoire l'intention curative est de provoquer,

rodie et Lawrence, en France par MM. Gensoul et Bonnet de Lyon, cette méthode , malgré les succès que lui doivent ces chirurgien

ction des artères qui leur fournissent des vaisseaux. Cependant cette méthode , si judicieuse en théorie, manque complètement so

ement abandonné. 3° Ligature des troncs artériels principaux. Cette méthode a été fréquemment employée par un grand nombre de

euses offrant aux membres plus de latitude dans le choix des diverses méthodes et permettant même, comme ressource dernière, l'a

arrachement, rroiement. La déchirure et Y arrachement sont inoins des méthodes que des manœuvres dépendantes de l'extirpation. O

pation. On peut ranger sous ce chef l'excision, qui n'est que la même méthode appliquée à une masse moindre. L'extirpation se

tions; 2° sur la continuité des os. MALADIES DES ARTICULATIONS ET MÉTHODES OPÉRATOIRES QUI S'Y RAPPORTENT. HYDROPISIES ART

ientes répétées; c'est alors que les injections à demeure, suivant la méthode de M. Récamier, pourraient être très efficaces.

'extraction. Compression. A peu près complètement abandonnée, cette méthode consiste à faire glisser le corps étranger dans u

tention des chirurgiens et pour les conduire à tenter eu pratique une méthode que la nature leur avait révélée. Cependant l'exp

lable opération. * 2° Création dune articulation artificielle. La méthode à suivre pour pratiquer cette opération consiste

n pied touchait le sol, et il boitait à peine. MALADIES DES OS ET MÉTHODES OPÉRATOIRES QUI S'Y RAPPORTENT. INSTRUMENS DE D

gmens l'un sur l'autre et par suite leur adhésion, de sorte que cette méthode agirait absolument comme la précédente. La compre

ent le tissu fibreux qui sépare les deux bouts de l'os. Quoique cette méthode n'ait pas encore la sanction de l'expérience, ell

i on interroge les résultats de la pratique, on reconnoît cpie chaque méthode compte plus de revers que de succès. Peu importe

icace lorsque le cal est devenu définitif. 3° Rupture du cal. Celte méthode , ajuste titre abandonnée, consiste à porter, sur

et le traiter comme une fracture nouvelle. 4° Section du cal. Cette méthode n'est autre chose que la précédente exécutée par

Selon. S'adressant aux cas où le cal est définitivement formé, cette méthode a pour objet d'enflammer le cal et de le ramollir

éunir ces différentes variétés dans une thérapeutique commune. Quatre méthodes principales ont été employées contre ces espèces

re s'oblitérer et le kyste reparaître. C'est donc encore une mauvaise méthode . 3° Excision. La tumeur ayant été préalablement

iathèse générale qui a développé d'abord l'élément vasculaire. Deux méthodes de traitement s'appliquent à la carie : la cautér

u la totalité d'un ou de plusieurs os, il en sera traité plus loin. méthodes de section des os en particulier. Les opération

ciseaux, les trépans perforatifs tombent dans l'oubli; et la nouvelle méthode plus simple de pratiquer la trépanation est suivi

un principe rigoureux; en un mot, dans les résections il n'y a pas de méthodes opératoires, il n'y a et il ne peut y avoir que d

équer deux lambeaux relevés de l'incision médiane comme centre. Cette méthode est surtout avantageuse pour la résection des os

dans la continuité ou par extraction complète de l'os. Cette dernière méthode convient presque exclusivement pour les os du car

bras. Procédés opératoires. Ils peuvent tous être rangés sous deux méthodes principales: i° méthode par incision simple, qui

ires. Ils peuvent tous être rangés sous deux méthodes principales: i° méthode par incision simple, qui se subdivise elle-même;

pales: i° méthode par incision simple, qui se subdivise elle-même; 2° méthode par formation d'un lambeau. Chaque procédé se réd

l'extraction de la clavicule, MM. Velpeau et Malgaigne conseillent la méthode par trois incisions circonscrivant un lambeau qua

rave. Manuel opératoire. On applique à cette articulation les mêmes méthodes de résection qu'à l'articulation de l'épaule. L'i

ise en usage par M. Seutin, paraît plus convenable à M. Malgaigne; la méthode à lambeau est au contraire suivie par MM. Rossi,

ier à ce grave inconvénient que M. Dieffenbach a proposé une nouvelle méthode opératoire applicable aux résections des os de la

considérée en elle-même. Archigène lait un nouveau pas et complète la méthode de Celse, en y ajoutant la ligature des vaisseaux

a jointure fût séparée et que le membre tombât de lui-même. Que cette méthode cruelle ne doive pas être décorée du nom d'amputa

ons à l'époque moderne, qui s'ouvre en quelque sorte par une nouvelle méthode . A la fin du dix-septième siècle Lowdham et Verdu

ons spéciales, que nous aurons soin de rappeler dans l'exposition des méthodes générales. Préparatifs. Le malade, préparé comm

diverses autres pièces d'appareil communes à toutes les opérations. MÉTHODES OPÉRATOIRES. Méthode circulaire. La méthode c

'appareil communes à toutes les opérations. MÉTHODES OPÉRATOIRES. Méthode circulaire. La méthode circulaire, suggérée la

es les opérations. MÉTHODES OPÉRATOIRES. Méthode circulaire. La méthode circulaire, suggérée la première par la structure

même marche, sauf l'inclinaison clu couteau au troisième temps. La méthode circulaire est la plus universellement adoptée, e

uscles perpendiculairement ou obliquement au niveau de la jointure. Méthode à lambeaux. La manière de former les lambeaux,

scles profonds, pensant réunir ainsi les avantages rattachés aux deux méthodes . Pour les amputations dans la continuité, les d

et faciliter l'entrée du couteau dans l'articulation. Soit clans la méthode circulaire, soit dans la méthode à lambeaux, la l

dans l'articulation. Soit clans la méthode circulaire, soit dans la méthode à lambeaux, la longueur des tissus à conserver do

uvrir, en ajoutant la somme de rétractilité de ces mêmes tissus. La méthode à lambeaux ne se prête pas à une appréciation abs

on des os; elle n'est guère plus prompte et moins douloureuse cpie la méthode circulaire, et dans beaucoup de cas elle recouvre

ans beaucoup de cas elle recouvre moins bien les surfaces osseuses. Méthode ovalaire. Soupçonnée par Decourcelles, indiquée

aux résections. Suivant ce chirurgien, elle réunit les avantages des méthodes circulaire et à lambeaux en permettant, d'une par

ndifféremment sur la continuité ou la contiguïté des os, sans plus de méthode pour les fractions terminales que pour les autres

l'épaisseur des parties molles à la face palmaire, font que dans la méthode circulaire la réunion doit être transversale, et

tions sur sa face antérieure. Manuel opératoire. On met en usage la méthode circulaire ou à lambeau suivant l'état des partie

scie, ou des ciseaux de Liston, suffisent pour cette opération. i0 Méthode circulaire. Inciser les tégumens à six millimètre

fe ne craint pas d'employer quelquefois le ciseau et le maillet. 2° Méthode à lambeau, lambeau inférieur. Faire une incision

ton, de bistouris étroits et de pinces à disséquer et à torsion. i° Méthode circulaire (pl. 69, fig. 1, 2, 3). Le poignet et

coupe les os un à un soit avec la scie, soit avec les cisailles. 20 Méthode à lambeau. Premier procédé de M. Velpeau. Le chir

moins possible l'extrémité de ces mêmes métacarpiens. Toutefois la méthode àdeux lambeaux (premier procédé) nous paraît préf

rable quand l'étendue de la lésion le permet; vient en second rang la méthode circulaire, et enfin la méthode à lambeau palmair

on le permet; vient en second rang la méthode circulaire, et enfin la méthode à lambeau palmaire : le cas qui nécessiterait la

u premier métacarpien et des quatre ; autres par l'une ou l'autre des méthodes indiquées; mais la section , du premier métacarpi

ontinuité, et nous apprécierons la valeur relative de ces procédés. Méthode circulaire. M. Sédillot a proposé cette méthode.

ve de ces procédés. Méthode circulaire. M. Sédillot a proposé cette méthode . Si la si section de l'os ne devait pas porter au

at ne nous semble pas devoir être avantageux pour la cicatrisation. Méthode à lambeau. Les procédés connus sont très variés m

ens du côté interne du pouce et de l'éminence thénar; toutefois nulle méthode ne nous paraît supérieure à I ovalaire, qui convi

on, avant ou après avoir divisé la commissure. Mais nous préférons la méthode ovalaire; que l'ovale soit sur la face dorsale, o

on métacarpo-phalangienne. Mais il vaut encore mieux lui appliquer la méthode ovalaire, en dirigeant la pointe de l'ovale sur l

est longue, difficile, et la difformité bien plus notable que par la méthode ovalaire, dont le manuel est exactement le même q

iciel. Les inter-osseuses sont accolées au ligament inter-osseux. méthode circulaire. On se sert des mêmes instrumens que

ées. Cette modification est sans contredit supérieure et à l'ancienne méthode et au procédé plus récent de M. Velpeau. Troisi

travail de la cicatrisation. Louis et Alanson n'ont pas étendu leur méthode générale à l'amputation de l'avant-bras , et cons

c le couteau glissé à plat sur les faces antérieure et postérieure. méthode a lambeaux. Grœfe, renouvelant le procédé de Ve

t relative. On n'a véritablement pas fait d'objection sérieuse à la méthode circulaire pour l'amputation de l'avant-bras, c'e

ement le rapporter aux mauvais procédés suivis pour la pratiquer, aux méthodes vicieuses de pansement ou aux circonstances dans

rehaussées, afin d'obtenir ainsi le bénéfice du cône d'Alanson. La méthode à lambeau semble, au premier abord, convenir dava

et procurer une cicatrice plus régulière que celle qui résulte de la méthode circulaire. Mais ces avantages sont plus spécieux

emarquer Boyer après Ruysch qui n'osait pas tout à fait rejeter cette méthode , on s'écarte de la règle qui veut qu'on conserve

ambeaux. Du reste, si les circonstances réclamaient l'emploi de cette méthode , il faudrait autant que possible user du procédé

bas il y a de l'avantage à se placer en dedans pour le bras gauche. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temp

par les chairs, qui ne laissent point de vide, comme il arrive par la méthode d'Alanson, et la peau retombe sans effort sur tou

ficielles du triceps, qu'il faudrait alors diviser aussi isolément. méthode a lamreaux. Klein et Langenbeck, qui ont vulgar

a lamreaux. Klein et Langenbeck, qui ont vulgarisé en Allemagne la méthode à lambeaux pour l'amputation du bras, ont attaché

utation au tiers supérieur. MM. Bégin et Sanson, qui ont étendu cette méthode à tout le membre, conseillent un lambeau unique,

ieure et postérieure, mais ils tendraient davantage à se rétracter. Méthode mixte. Procédé de M. Sédillot. Tailler deux petit

er l'os. Appréciation. Avoir voulu appliquer, dans tous les cas, la méthode à lambeaux aux deux tiers inférieurs du membre no

ystème. Nul autre point des membres n'est plus défavorable pour cette méthode ; et nul autre n'est plus convenable pour l'amput

dans toute son extension, dans tous ses perfectionne-mens. Certes la méthode à lambeau ne saurait protéger plus efficacement l

e ne paraît pas y attacher une grande importance; il appartient à une méthode que l'auteur cherche à généraliser. amputation

tite perte de substance possible; et nous ne pensons pas qu'une autre méthode puisse mieux y parvenir epic la circulaire mise e

non doit être dans une position moyenne. On a très peu insisté sur la méthode circulaire, dans la conviction où sont restés bea

ire, dans la conviction où sont restés beaucoup de chirurgiens que la méthode à lambeaux lui était préférable; aussi les auteur

les procédés mis en usage pour l'amputation au tiers inférieur. La méthode à lambeau ne doit être ni préconisée ni rejetée d

ù nous les exposerons en détail. AMPUTATIONS DES OS MÉTATARSIENS. Méthode ci lambeaux. Amputation du premier os métatarsien

. MM. Dupuytren, Blandin, Malgaigne, Yelpeau, Sédillot, suivent cette méthode , par laquelle on évite la saillie du cunéiforme,

pratiquent sur chacun de ces os en particulier. On peut ramener les méthodes à deux : l'ovalaire et celle à lambeaux, qui conv

intéressait toutes les parties molles, sciait l'os d'après l'ancienne méthode , cl. rapprochait les bords de la solution de cont

parties molles, pour en conserver la plus grande quantité possible. Méthode ovalaire. Cette méthode, proposée par M. Scoute

nserver la plus grande quantité possible. Méthode ovalaire. Cette méthode , proposée par M. Scoutetten, convient à tous les

utre sur la face plantaire. Amputation du cinquième métatarsien. La méthode à lambeau latéral et 1 ovalaire conviennent, pa

ire faite suivant les règles fixées plus haut, et exciser l'os; cette méthode doit faire proscrire à tout jamais d'intéresser l

premier os métatarsien : comparant d'abord les divers procédés de la méthode à lambeaux, il ne faut point oublier que clans l'

il ne faut point oublier que clans l'amputation cle cet os toutes les méthodes ont pour but cle fournir des tégumens qui recouvr

testable; le procédé cle Sabatier est évidemment imparfait. Quant aux méthodes comparées entre elles, la méthode ovalaire, d'une

st évidemment imparfait. Quant aux méthodes comparées entre elles, la méthode ovalaire, d'une exécution rapide, d'une régularit

vantageux, comparés aux incon-véniens que nous avons reconnus dans la méthode à lambeaux, nous paraissent mériter en général la

ode à lambeaux, nous paraissent mériter en général la préférence à la méthode ovalaire. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DE LA P

que, même après Sollingen, beaucoup de chirurgiens qui adoptèrent sa méthode le firent bien plus par respect pour les précepte

iers inférieur de la cuisse; le pied est soutenu par un autre aide. Méthode circulaire. — Procédé de MM. Bell, Velpeau, Roux

dage roulé, modérément serré, et de laisser une libre issue au pus. Méthode à lambeau. — i° Procédé de Ravaton. Ravaton appli

de à lambeau. — i° Procédé de Ravaton. Ravaton appliqua le premier la méthode à lambeau à l'amputation sus-mal-léolaire; par un

5 ). M. Garavel voudrait qu'on commençât par le lambeau postérieur. Méthodes mixtes. — Procédé de M. Blandin. Sur une incision

exclusive de celui de M. Blandin ne sont pas suffisantes, puisque la méthode circulaire donne les mêmes résultats que ce procé

ne réunion toujours difficile. Nous préférons donc jusqu'à présent la méthode circulaire, qui n'entraîne pas la gangrène aussi

facilement sous l'influence des mouvemens qu'on imprime au membre. Méthode circulaire (pl. 82 ). Procédé de Louis. Incisio

p préférable à la réunion antéro-postérieure adoptée par M. Larrey. Méthode ci lambeau. Historique. La manière dont Heister

lambeau. Historique. La manière dont Heister et Louis parlent de la méthode à lambeau montre assez comment de tout temps les

Faye, s'arrêtent spécialement sur l'inutilité de la ligature après la méthode à lambeau, les premiers pour en établir le précep

Ainsi débarrassée de toutes les fausses idées qu'on y rattachait, la méthode à lambeau, créée d'abord pour la jambe, resta dan

rait être interprété dans ce sens : il ne s'agit évidemment que d'une méthode en trois temps, qui consistait à couper d'abord l

Faye repoussa cette modification, qui fut renouvelée de nos jours. La méthode à lambeau, prêtant par sa nature à des variétés i

lignes les tégumens antérieurs à la base du lambeau, couper selon la méthode d'Alanson les muscles profonds, diviser les fibre

ielle de Verduin; en un mot, ce procédé réunit tous les avantages des méthodes circulaire et à lambeaux. Procédés à deux lambe

reviendrons pas, l'ayant suffisamment détaillé dans l'explication. MÉTHODE OVALAIRE. La modification ne porte ici que sur

peau, puisque les muscles sont toujours coupés circulairement. Cette méthode , comme nous l'avons déjà dit plus haut, nous semb

ns celui de M. Baudcns, qu'on pourrait peut-être mieux rapporter à la méthode mixte. Procédé de M. Baudens.—Premier temps. Fa

la peau relevée. Appréciation. De l'avis de tous les praticiens, la méthode circulaire est la meilleure qu'on puisse employer

ent porté par une expérience universelle, tout en convenant que cette méthode n'est peut-être pas en harmonie complète avec la

t de côté les raisons fausses ou surannées, alléguées en faveur de la méthode à lambeau, nous la considérons dans ses avantages

mbe artificielle, que Verduin avait aussi inventée à l'occasion de sa méthode . Le but que l'on doit se proposer, avant tout,

de sa méthode. Le but que l'on doit se proposer, avant tout, par la méthode à lambeau, est de recouvrir avec les muscles tout

En attendant, nous pensons qu'il faut comparer soigneusement ces deux méthodes , étudier les causes de revers dans chacune d'elle

res chirurgiens, le lieu d'élection à la tubérosité du tibia; mais la méthode de M. Larrey ne doit jamais être admise que dans

s l'amputation de la cuisse, ou la désarticulation tibio-fémorale? La méthode de M. Larrey compte des succès et peut donc être

it fortement la scie vers la partie postérieure des tubérosités. La méthode circulaire paraît ici la plus avantageuse; niais

. Heister suit à la fois les procédés de Louis et de J.-L. Petit : la méthode deDupuytren revient, à peu de chose près, à celle

chairs à la face externe et antérieure. M. Velpeau, qui indique cette méthode , l'a mise en pratique, mais reste clans l'indécis

e est légèrement fléchie sur la cuisse, et la cuisse sur le bassin. MÉTHODE CIRCULAIRE. L'opérateur se place généralement e

n plus, outre des branches musculaires, la fémorale profonde. Trois méthodes ont été proposées pour la réunion : les chirurgie

ur sur le milieu de la cicatrice. M. Velpeau s'en tient à la première méthode : nous croyons devoir conseiller la troisième.

réserver ainsi la peau (Chélius, traduct. de Pigné, t. II, p. 459). méthode a lambeaux. Procédé de Vermale (pl. 86). Le chi

res, et coupent circulairement les chairs au niveau de sa base. Cette méthode , que M. Velpeau propose de modifier en faisant un

second externe qui rejoint le premier sur chaque face à angle aigu. Méthode mixte. — Procédé de MM. Baudens et Sédillot. La m

angle aigu. Méthode mixte. — Procédé de MM. Baudens et Sédillot. La méthode de ces deux chirurgiens offre, à notre avis, une

e, inciser circulairement et en cône rentrant les muscles profonds. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Malgaigne. Il est fondé

ou la carie de l'os, qui survenaient presque inévitablement avec les méthodes anciennes. C'est clone à ce point de vue capital

al que nous devons nous placer pour apprécier sainement la valeur des méthodes qui ont été proposées; la meilleure sera celle qu

ère. Le seul avantage qu'on puisse raisonnablement se proposer par la méthode à lambeaux, c'est de recouvrir exactement le fému

, l'avantage qu'on en retirerait, et que procurait tout aussi bien la méthode circulaire, n'est-ce pas l'acheter trop cher que

ne peuvent être maintenus rapprochés! Resterait-il, en faveur cle la méthode à lambeaux, la régularité de la cicatrice; mais q

s ces reproches si fondés, que M. Lisfranc a souvent élevés contre la méthode à lambeaux appliquée à la cuisse, ont été partagé

avoir retirés. 11 demeure clone établi, du moins pour nous, que la méthode à lambeaux n'est applicable que dans les cas exce

nées. La structure cle la cuisse nous paraît réclamer éminemment la méthode circulaire; qu'on devrait créer pour elle, si ell

l que nous donnerions la préférence. Reste maintenant à apprécier les méthodes mixtes, inventions particulières à notre époque e

sont encore évités dans le plus grand nombre des cas par l'emploi des méthodes ovalaire et à lambeau qu'on a surtout généralisée

ur presque toutes les espèces cle désarticulations, l'usage de quatre méthodes , et principalement de celle à lambeaux, ont donné

s désarticulations ne sont point envisagées par Hippo-crate comme une méthode générale systématique, ainsi qu'on pourrait l'inf

chirurgiens ont généralement admis les désarticulations, sinon comme méthode générale, du moins comme une ressource dans certa

ase de tous ceux qui ont été entrepris après lui sur cette matière. MÉTHODES OPÉRATOIRES APPLICARLES AUX DÉSARTICULATIONS. C

Comme nous l'avons fait entrevoir dans les amputations en général, la méthode circulaire n'est guère applicable qu'à deux condi

et son peu de profondeur au milieu des parties molles.. Autrement les méthodes à lambeaux ou ovalaire sont préférables, et surto

lambeaux est meilleur que tel procédé ovalaire et où, par contre, la méthode circulaire peut être mieux applicable. RÈGLES G

verser sûrement l'articulation. 3° Ménager les parties molles. La méthode circulaire donne, pour recouvrir la plaie, des té

sorte d'énucléation, comme nous l'avons indiqué plus haut. Dans la méthode à lambeau, s'il n'y en a qu'un on le taille en de

pli pour l'articulation de la deuxième avec la troisième phalange. Méthode Circulaire. Pratiquée de tout temps, indiquée par

, en ressortant de l'articulation, couper les tendons fléchisseurs. Méthode a lamreau. — i° A deux lambeaux. —(a) Lambeaux do

s prétexte qu'elle nuit par son volume au rapprochement des doigts. Méthode circulaire. Indiquée par quelques auteurs, pratiq

moins bien recouverte que dans les procédés ovalaire ou à lambeaux. Méthode a lam re aux. i° Procédé de J.-L.Petit(jp\.6S, fi

réciser en l'offrant à la surface articulaire avant de le détacher. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutetten(p\. 68, fig.

une bandelette agglutinative maintient le lambeau. Quant au choix des méthodes , l'amputation ovalaire est celle qui donne le mei

amputation ovalaire est celle qui donne le meilleur résultat; pour la méthode à lambeaux, le procédé de M. Lisfranc est préféra

et en arrière dont la tête du deuxième métacarpien forme le sommet. Méthode circulaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig.

é avec avantage pour l'ablation simultanée de deux ou trois doigts. Méthode a un lambeau palmaire. — Procédé ordinaire perfec

au procédé le plusexpé-ditif et le plus simple, qui est selon nous la méthode circulaire. amputations dans les articulations

e est'inclinée en bas et en dedans, du bord externe vers l'interne. Méthode a un lamreau. — Procédé ordinaire (pl. 70, fig. 2

teur, permet de donner au lambeau la forme et l'étendue désirables. Méthode ovalaire. Décrite par Lassus, elle a été pratiqué

plus facile, mais il fournit une plaie allongée en fer à cheval ; la méthode ovalaire, qui ne laisse qu'une plaie linéaire, es

du bistouri dirigé vers la partie moyenne du second os métacarpien. Méthode a un lamreau.— i° Procédé ancien. La main mise en

au pouce, n'y offre pas le même avantage et le cède en résultat à la méthode ovalaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Sco

pas le même avantage et le cède en résultat à la méthode ovalaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutelten. Ce procédé

aux procédés opératoires, le procédé ancien est le plus facile et la méthode ovalaire est celle qui donne la plaie la plus pet

partielles, ces amputations ont été pratiquées isolément par les deux méthodes à lambeau et ovalaire. Au point de vue opératoire

jonction est facile après la section de leurs ligamens postérieurs. Méthode a lambeau (pl. 70, fig. 4)- Inciser en plein dans

s deux côtés de la plaie quand le levier osseux a encore sa fixité. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Langenbeck. Rien de plu

r les I iranien s latéraux, outre les gaines fibreuses des tendons. Méthode circulaire (pl. 71, i{§, 1 et 2).— Procédé ordina

ment d'avant en arrière, d'arrière en avant ou d'un côté à l'autre. méthode a deux lambeaux.— Procédé ancien (pl. 7 1, fig. 3

raneux antérieur et postérieur et des deux forts ligamens latéraux. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. i° L'opérate

i rend la désarticulation plus facile et donne deux artères à lier. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Baudens (pl. 91, fig. 1

les chairs, est abondamment recouvert par le vaste lambeau externe. Méthode a un lambeau. — Procédé deBiasdor. Le membre plac

peu près le même dans les deux cas. Réunion. Ordinairement, dans la méthode à lambeau, deux artères sont à lier, la radiale e

ent, le résultat favorable étant à peu près le même dans les diverses méthodes . amputation dans l'articulation scapulo-iiuméra

e squelette et fermé seulement par le ligament acromio-coracoïdien. Méthode circulaire. Imaginée dans le siècle dernier, où

ui de M. Larrey. Procédé de M. L. Sanson (pl. 76). C'est en fait la méthode circulaire complète. Le membre élevé horizontalem

, on est exposé à avoir une plaie trop large en bas vers le thorax. Méthode à lambeau. Elle se pratique par un grand nombre

du siècle dernier; la seconde, plus récente, est contemporaine de la méthode ovalaire, à laquelle elle ressemble pour le résul

elle ressemble pour le résultat. i° Lambeaux de recouvrement. — (a) Méthode à un lambeau ( lambeau postérieur ou interne). Pr

ainsi qu'il a été pratiqué nombre de fois par MM. Cline et Chiari. Méthode à deux lambeaux. — Procédé de Bell. Inciser circu

nécessairement comprend une portion de la face externe du deltoïde. Méthode ovalaire. 11 y a en résultat une grande analogi

Méthode ovalaire. 11 y a en résultat une grande analogie entre la méthode à lambeaux antérieur et postérieur et la méthode

de analogie entre la méthode à lambeaux antérieur et postérieur et la méthode ovalaire. Toutefois on y trouve deux différences

explique les débats qui ont eu lieu sur la priorité d'invention de la méthode ovalaire. D'après M. Velpeau, la première mention

nt pour la section des muscles. Appréciation et valeur relative des méthodes et des procédés. Le choix entre ces trois métho

eur relative des méthodes et des procédés. Le choix entre ces trois méthodes , et les nombreux procédés qui en dérivent, est fo

s se rapportent à l'état du membre et les autres aux conditions de la méthode et du procédé en eux-mêmes. A. Si [articulation

mes à feu, de telle sorte cpie le chirurgien, lihre d'appliquer telle méthode et tel procédé, n'ait plus qu'à juger leur valeur

une seule ligne, dont la direction peut être commandée à volonté, les méthodes circulaire et ova-laire sont évidemment bien préf

éthodes circulaire et ova-laire sont évidemment bien préférables à la méthode à lambeau. Les chairs, peu abondantes et continue

mêmes qu'à la main, à lambeaux ou ovalaire (pl. 79, fig. 1 et 2) : la méthode ovalaire est évidemment préférable. Il nous paraî

la même ligne, et les deux derniers déclives vers le bord externe. Méthode a un lambeau plantaire. — Procédé de M. Lisfranc.

e avec la pince. Le lambeau est appliqué par première intention. La méthode ovalaire, applicable ici comme à la main, ne sera

ous croyons inutile d'en faire la description. Enfin l'une et l'autre méthode peuvent s'appliquer à la désarticulation de deux

arsiens internes et inférieurs et un ligament externe inter-osseux. Méthode a un lambeau. — Procédé de M. Lisfranc. Le pied p

par la section de la capsule et du ligament sur la face plantaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scouletten. Pied gauche

utre côté vers le point de départ. Ce n'est, comme on le voit, que la méthode ovalaire appliquée à deux métatarsiens au lieu d'

ille du lambeau de Chopart; et celui de M. Baudens, qui constitue une méthode mixte et transporte avec avantage l'amputation au

de cette distance la sépare du tubercule du cinquième métatarsien. Méthode mixte de M. Bmtdens (pl. 91, fig. 3). L'objet de

lagineuses. La désarticulation fémoro-tibialc s'opère par les trois méthodes : la méthode à lambeaux plus ancienne, la circulai

La désarticulation fémoro-tibialc s'opère par les trois méthodes: la méthode à lambeaux plus ancienne, la circulaire et l'oval

ambeaux plus ancienne, la circulaire et l'ovalaire toutes récentes. Méthode a lambeaux. — Procédé de Hoin (pl. 84). Le membre

cas, cité par J.-L. Petit, où cet os gênait après la cicatrisation. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. Inciser la p

tre recouverte, mieux vaudrait pratiquer l'amputation de la cuisse. Méthode ovalaire.—Procédé de M. Baudens(p\. 91, fig. 6).

cution paraît brillante sur le ca-•davre. Valeur relative des trois méthodes , La méthode à lambeaux par le procédé de Hoin est

brillante sur le ca-•davre. Valeur relative des trois méthodes, La méthode à lambeaux par le procédé de Hoin est la plus anc

ar cela même le plus grand nombre de succès; toutefois aujourd'hui la méthode circulaire et surtout l'ovalaire doivent lui être

t en dedans. La désarticulation coxo-fémorale s'opère par les trois méthodes , à lambeaux, circulaire et ovalaire, chacune d'el

culaire et ovalaire, chacune d'elles comprenant plusieurs procédés. Méthode à lambeaux. Cette méthode est la plus ancienne

d'elles comprenant plusieurs procédés. Méthode à lambeaux. Cette méthode est la plus ancienne et celle qui, par conséquent

t trochanter et abat également à angle droit le lambeau postérieur. Méthode circulaire. Procédé d'Abernethy (pl. 90, fig. 2

up la capsule articulaire sur la demi-circonférence antéro-interne. Méthode mixte. Procédé de M. Larrey (pl. 87, fig. 3). N

xte. Procédé de M. Larrey (pl. 87, fig. 3). Nous appelons du nom de méthode mixte ce procédé, qui se compose d'une incision c

ambeau externe eu rentrant dans la première incision longitudinale. Méthode ovalaire. Cette méthode n'a encore été appliqué

dans la première incision longitudinale. Méthode ovalaire. Cette méthode n'a encore été appliquée qu'un petit nombre de fo

n procède à la désarticulation. Pansement et valeur comparative des méthodes et des procédés de désarticulation coxo-fémorale.

is ce précepte se modifie suivant le procédé dont on a fait usage. La méthode ovalaire se traduit naturellement par la ligne qu

se traduit naturellement par la ligne que nous venons d'indiquer, la méthode circulaire se prête indifféremment à toute inclin

mment à toute inclinaison voulue dans la ligne de réunion. Quant à la méthode à lambeaux, on est plus commandé par les lignes d

diminuer la pression sur une ligne déterminée. Quant au choix de la méthode et du procédé : si, en thèse générale, on peut di

en est libre de choisir le mode opératoire. Gela étant, en théorie la méthode la meilleure est celle qui fournirait une étendue

ettrait ensuite la réunion oblique ou en une direction quelconque. La méthode circulaire est celle qui, d'abord, paraît, rempli

et clifficul-tueuse: inconvéniens qui restreignent l'emploi de cette méthode aux cas où la désorganisation des tegumens s'éten

haut à la circonférence du membre pour exclure tout autre procédé. La méthode ovalaire par le procédé de MM. Gornuau et Mal-gai

davre; mais elle n'a pas encore reçu la sanction de l'expérience. Les méthodes à lambeaux sont celles qui ont été le plus expéri

o-postérieurs (Béclard); et mieux valent encore, pour la réunion, les méthodes où ces lambeaux sont obliques, antéro-interne et

inale, 179. Anévrismes, 179, 186. Anévrisme artériel, 181, 186. — Méthode ancienne, méthode d'Anel, 181, 182. —Topiques, co

rismes, 179, 186. Anévrisme artériel, 181, 186. — Méthode ancienne, méthode d'Anel, 181, 182. —Topiques, compression médiate,

ES FRACTIONS. Page 229—275. AMPUTATIONS. Historique, généralités. Méthodes opératoires ; circulaire, à lambeaux, ovalaire :

6. Désarticulation astr agalo-scaphoïdienne et calcanéo-cuboïdienne ( méthode de Chopart) avec un lambeau interne (procédé de M

cier, Benard et Cie. DIVERSES AMPUTATIONS DES DEUX MEMBRES PAR LA MÉTHODE GÉNÉRALE DE M. BAUDENS. ADULTE, DEMI-NATURE.

même plan. Figure A. Amputation sus-malléolaire de la jambe par la méthode mixte de l'auteur, comprenant un lambeau cutané o

ticulation fémoro-tibiale. Figure 7. Amputation de la cuisse par la méthode mixte. Section ovalaire de la peau formant lambea

e des plus attrayants. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de rééducation (1) par m. 10 dr BÉniLLON, pro

fait qu'il constitue par lui-même, la première et la plus active des méthodes de rééducation ; 5° de la possibilité d'en doser

ence qui consiste à provoquer l'hypnotisme constitue en elle-même une méthode de rééducation de l'attention et de la volonté.

Ceux qui revendiquent une priorité quelconque dans l'utilisation des méthodes de rééducation n'ont fait que suivre d'un pas tar

s noms s'inscrivent en lettres de sang sur les pages de l'histoire. Méthodes pour l'emploi de l'hypnotisme Quelques faits de l

atteints de troubles nerveux, tardent si longtemps à s'adresser à la méthode hypnotique, qui seule peut les guérir, et souffre

té qui favorise les suggestions. Je dirai enfin quelques mots d'une méthode , dont je me suis bien trouvé, chez les nombreux m

les 2. 4, 8 jours, et enfin elle disparaissait. Je crois que cette méthode que j'ai appelée substitutive, parce qu'elle subs

caractères anormaux. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de rééducation par le Dr Bérillon, professeur a

de fautes expérimentales. Dans ce cas. il faudrait incriminer, non la méthode , mais le défaut de compétence de l'expérimentateu

par les mauvaises suggestions. Quoiqu'en disent cenx qui taxent cette méthode de « cambriolage cérébral », je l'emploie fréquem

facile de rendre aux sujets leur personnalité, grâce précisément ? la méthode elle-même. Mais, la suggestion hypnotique ne pe

t, pour voir disparaître les troubles psychiques ? Non, il faut de la méthode , de la clairvoyance et faire preuve d'esprit d'a-

n, mais même dans ce cas, la fatigue surviendra, l'ennui suivra et la méthode fera faillite, si le malade n'est pas soutenu, gu

nte de psychasthénïe depuis cinq ans, se montrait réfractaire à cette méthode . Elle n'en avait point la force, disait-elle et l

on s'étant manifestée, j'ai fait bénéficier plusieurs sujets de cette méthode . De cette façon et à son insu, le malade fixe s

le docteur Hurtrel d'avoir rappelé ma priorité dans l'exposé de cette méthode . Un certain nombre de confrères l'utilisent avec

la culture intellectuelle et morale, de la prépondérance à donner aux méthodes actives qui mettent enjeu les observations person

r Bérillou, de Paris, sur : Les arriérés du jugement. — Résultats des méthodes de redressement appliquées à l'établissement médi

e 3* volume de Y Anthropologie bolivienne reproduisent, suivant cette méthode métrique — dont l'exactitude et la simplicité ne

s Liégeois. (à suivre) TRAVAUX ORIGINAUX La psydrothérapie et les méthodes de rééducation : Le sophisme de la « suggestion à

seconde : Le savant (1) Reçut du Clergé, T. XXIV. p. 575. (2) La Méthode historique. Paris, 1903. in-12, p. 18. (3) G. F

le miracle ? ou encore : Peut-on discerner le miracle par remploi des méthodes scientifiques ? H suffira, pour répondre claire

erveilleuses (1). » De telles exigences dépassent celles même de la méthode scientifique (2). Il n'est pas nécessaire, pour c

écrivait Charles Renouvieren 1897, ne connut assez les limites et la méthode des sciences expérimentales, ponr comprendre qu'e

n se garde de sourire, déjà ont été sauvés du naufrage moral, par les méthodes médico-pédagogiques, des êtres qu'on croyait irré

ui est la manifestation du génie, a réuni les éléments d'une nouvelle méthode positive, génératrice de progrès et de découverte

de et vénérée mémoire. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la a suggestion à l

emier plan la tendance unitaire qui, dans l'état d'incohérence de nos méthodes , apparaît seule capable de satisfaire aux besoins

es mots espoir ou optimisme obtienne le rang qui lui convient dans la méthode psychologique, c'est-à-dire le tout premier rang.

lement le terme supérieur ; et l'on ne peut guère contester que cette méthode nous autorise a espérer des avatars indéfinis. Da

raison le progrès moral. Il ne faut plus admettre avec Spencer que la méthode évolutive est caractérisée par la tendance des ph

génétique représentant également les deux fonctions maltresses de la méthode rela-tiviste et progressiste qui, sous le nom de

olution que le psychologue doit emprunter les jalons essentiels de sa méthode . Le peu que nous en avons dit nous a déjà fait en

humaine et la plus synthétique de la nature. m En préconisant la méthode évolutive, nous ne saurions nous dispenser de rap

voyant lTéminent professeur tenter d'approprier à la psychologie une méthode que nous tenons pour supérieure à toutes les antr

e idée n'en est pas moins l'hypothèse nécessaire de la logique, de la méthode et du bon sens. Encore la question de la respon

s ont été en possession n'un objet bien défini, de postulats et d'une méthode . . Les postulats, c'est à dire les principes, a

que par un côté, sous un seul aspect, à un unique point de vue. La méthode est un moyen de clarifier, d'ordonner, de sérier

ective, une loi de notre pensée en une loi des choses, un artifice de méthode en une vérité absolue, applicable à toutes les ré

appliqué rigoureusement aux faits. Sans cesser d'être fidèle aux méthodes scientifiques et sans devenir, pour cela, cupide

e des problèmes métaphysiques au nom d'une simple discipline de telle méthode scientifique. Il en est, — et j'en suis. — qui on

est, — et j'en suis. — qui ont, autant que quiconque, le respect des méthodes scientifiques, sans tomber, pour cela, dans l'ido

s des traumatismes. L'emploi de la suggestion hypnotique constitue la méthode non seulement la plus efficace, mais aussi la plu

ofondie des cas, par une analyse des fonctions •mentales au moyen des méthodes psychophysiologiques, que l'on arrivera à Taire l

doivent s'habituer à la collaboration avec le pédagogue au moyen des méthodes scientifiques. A ce point de vue. les universités

béciles moraux et irréguliers affectifs doivent être examinés par les méthodes médico-psychologiques. Les études entreprises e

lance : il serait désirable qu'on applique aux deux groupes les mêmes méthodes d'investigation et qu'on arrive à une meilleure c

professeur Liégeois. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de rééducation Le sophisme de la « suggestion à l

e que ses contemporains s'empresseraient de tirer parti des nouvelles méthodes dont il venait de doter la psychologie et la méde

s ont été en possession d'un objet bien défini, de postulats et d'une méthode ... Chacune de ces sciences étudie un certain nomb

lors il est interdit au physiologiste d'appliquer à la psychologie la méthode des sciences naturelles et au médecin d'empiéter

s. Il serait, d'après moi. interdit d'appliquer à la psychologie la méthode des sciences naturelles ? Ai-je dit cela ? Où et

re scientifique, a le droit, que dis-je ? le devoir d'appliquer celte méthode , mais a son objet propre. — qui n'est pas celui d

nent à de nouvelles vérités, à la condition de rester fidèles à leurs méthodes , de se cantonner rigoureusement dans leur domaine

ut, il faut en quelque sorte la respecter, il faut laisser de côté la méthode des punitions dangereuses et des gâteries inoppor

maîtres qui sont ici ont fixé avec tant d'autorité l'emploi de cette méthode , que je n'aurais rien de mieux à faire que de tou

'historique de toutes les médications employées, ni la critique de la méthode actuellement en vogue, la méthode opothérapique.

ons employées, ni la critique de la méthode actuellement en vogue, la méthode opothérapique. Les relations qui existeraient ent

tifs en particulier, faisant connaître les résultats obtenus, par les méthodes psychologiques, c'est-à-dire par l'éducation et l

s observés, connaissant l'inefficacité des différentes médications et méthodes employées et se basant sur les résultats déjà obt

et dans les maladies mentales par M. Luzicato à l'aide de différentes méthodes sphygmographiques. 3° Les résultats obtenus et

'un cas unique, nous croyons qu'il suffit pour montrer l'infuence des méthodes psychiques sur les troubles émotifs et même objec

DT Bliiii.lon, professeur. Objet du coins : 1° L'hypnotisme et les méthodes de rééducation en psychothérapie. 2» L'hypnotisme

Psychologie expérimentale M. Louis Favre. Objet du cours : De la méthode dans les recherches psychiques. Les vendredis à s

logie comparée. M. Louis Favre consacrera ses leçons a l'emploi de la méthode expérimentale en psychologie. Les cours seront

ément pas d'eu douter. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les méthodes de rééducation. Le sophisme de la « suggestion à

être des faits certains et emprunter leur certitude à la valeur de la méthode d'observation ; mais ils no sont pas des faits de

et condense en les perfectionnant la psychologie de toutes les autres méthodes . Et d'abord, je veux insister sur ce point qu'o

e du jour : D' Pebsicky (d'Odessa) : Le traitement des phobies par la méthode analytique. D' Bsmllox : 1° L'œsophagisme des név

de plus en plus éloignés, obtiennent les meilleurs résultats de cette méthode . Lorsque je l'associe aux autres procédés d'hypno

lon, dans ses travaux, et, en particulier, dans Psychothérapie et les méthodes de rééducation, démontre que l'hypnotisme consist

sition des mains : c'est la psychothérapie par le merveilleux. « La méthode , que M. Déjerine croit être la seule vraie, est l

nt. Toutes les philosophie*, toutes les religions ont recours ù cette méthode de persuasion. Les Bossuet, les Fénelon, les Pasc

dement de jour en jour; et comme l'écrit judicieusement M. Delage, la méthode évolutîonniste nous permet de tirer de l'idée de

1) ». La psychologie universitaire ne peut tarder à pratiquer cette méthode générale sans se placer a l'état de schisme vis-à

iologie générale que lu psychologie doit se référer pour organiser sa méthode , c'est à la cosmogonie tout entière. Car la psych

is la signification des deux termes ne vaut qu'à titre relatif, et la méthode psychologique réclame la solution d'une antithèse

es à la deuxième. S'il faut attendre qu'on sache tout pour établir la méthode approximative qu'exige tout enseignement bien ord

l'intérêt semble majeur. S'il est vrai, comme nous l'estimons, que la méthode générale du transformisme, telle qu'elle est prat

ux-Mondes du 15 janvier 1910, page 324. que perfectionnera ladite méthode , et en rehaussera la valeur explicative aux yeux

. » (1) Le terme panpsychisme nous semble parfaitement approprié a la méthode universelle dont nous préconisons l'emploi, et do

ous avons reconnu la nécessité d'introduire ce genre d'aperçu dans la méthode . Dans le devenir continu des phénomènes bio-psych

sente plus guère qu'un amas de recettes incohérentes, et, faute d'une méthode synoptique, la psychologie demeure enlisée dans l

es physiques et morales, infligées par les partisans de la soi-disant méthode rapide. Cette démonstration lui donnera la certit

la certitude du succès éventuel. Au point de vue psychologique, la méthode que je préconise pour les morphinisés d'habitude

e, il obtiendra des résultats supérieurs à ceux qu'on obtient avec la méthode de contrainte. De malade dont je rapporte succi

te tellement frappés des résultats si satisfaisants obtenus par cette méthode , qu'ils se proposent de l'appliquer dorénavant da

proposent de l'appliquer dorénavant dans leur établissement. Cette méthode , toute graduelle qu'elle puisse être, est néanmoi

raindre les rechutes éliminatoires si souvent constatées dans l'autre méthode , et qui, de l'aveu même de ceux qui l'appliquent,

traiter ces malados, qu'il est inutile d'y revenir longuement ici. La méthode a été décrite du reste, dans des articles que j'a

-cinq aus, il a le premier apporté à ses recherches le contrôle de la méthode graphique. Ses observations ont mis en lumière le

ceptes les plus judicieux, mais aussi h réaliser les conditions d'une méthode de dénior-phinisation exempte de souffrances. C

ls ils ont recours sans les entourer d'un certain mystère, expose ses méthodes sans réticence. Mais malgré leur facilité apparen

heureux de pouvoir également apporter mon témoignage en faveur de la méthode du Dr Jennings. Ce qui détourne beaucoup de morph

tténuer qne nous avions adopté jusqu'ici au Vesinet, à la place de la méthode rapide, la méthode gra- duelle, qui nous perm

ions adopté jusqu'ici au Vesinet, à la place de la méthode rapide, la méthode gra- duelle, qui nous permettait d'arriver à

rance est déjà un graud point, mais ce n'est pas le seul profit de la méthode Jeunlugs. Ici la suppression ne se fait pas à l'i

sychothérapie sur laquelle on a nouvellement greffé le pithia-tisme,— méthode de traitement qui met en œuvre les bons effets qu

ées de fondement. Que le médecin réussisse, soit par hasard, soit par méthode , à bien connaître l'état d'Ame de son malade, il

angère, cesse d'en user aussitôt qu'il rencontre un compatriote. La méthode qui consiste à rechercher ce qui dans certaines n

e les manifestations apparentes, telles que les phobies, s'appelle la méthode psycho-analytique. Créée par le professeur Freud,

le la méthode psycho-analytique. Créée par le professeur Freud, cette méthode consiste dans l'analyse des plaintes du malade et

on étudie par quelles associations le* malade réagit à certains mots ( méthode de Jung), ou bien on analyse les rêves, qne, malg

de Bechtereff, en mars 1908, j'ai fait un rapport but le succès de la méthode , et ce rapport (1) provoqua des débats animés.

te assemblée, je voudrais exposer mon point de vue sur cette nouvelle méthode . Je citerai, par exemple, le cas suivant : TJne

un certain état de dé-Ci) Pevnizky. Troubles obsédants traités par la méthode psycho-analytique de. Breuer Freud. ; Revue de ps

force est donc de les découvrir, de les étudier, de les juger. Cette méthode devient de la véritable orthopédie psychique. D

ymboliques de tourments moraux déterminés, et on peut, au moyen de la méthode psycho-analytique, les étudier, les expliquer, ma

evsitzky (d'Odessa) [•>m* communication (1}] Plus on étudie la méthode psycho-analytique, plus on l'apprécie ; je pourra

des résultats comparables à ceux de l'analyse psychologique. Cette méthode est également applicable au traitement de l'hysté

e ; mais comme l'état d'Ame de l'hystérique est très compliqué, cette méthode , si elle permet au médecin d'arriver à y voir cla

l'avantage de donner le traitement rationnel de l'affection. Cette méthode est également applicable au traitement des obsess

d'arriver à connaître l'origine des phénomènes pathologiques. Ici la méthode ne réussira que dans les mains très expérimentées

expérimentées (Yung, Loewenfeld, Seif). L'un des avantages de cette méthode est d'obliger le médecin à parler an malade sur l

çue de l'Hypnotisme Î898), 1) et dans une brochure l'Hypnotisme et la Méthode graphique » (2), décrit l'influence exercée par l

anges au pithiatisme de Babinski, il cherche a démontrer que ces deux méthodes sont souvent insuffisantes pour faire disparaître

u progrès indéfini s'impose à la Psychologie rationaliste, comme à la Méthode générale des sciences. Et d'ailleurs s'il est vra

er le dédain ou la raillerie, proposer qu'on réforme sur ce point les méthodes routinières de la psychologie et de la pédagogie

qne les mots ont creusés sur le tableau de la genèse universelle, la méthode rationnelle du Transformisme s'efforce de les com

perfectionner la méthodologie des sciences. Bien qu'il fut épris des méthodes verbales qui tiennent encore le premier rang dans

) » et cette expression même nous fait saisir le défaut capital de sa méthode . Car d'une part la dialectique est l'art de raiso

propre système, et il le voue au même genre d'insuccès que toutes les méthodes antérieures Car aucune expression verbale n'est a

tisme religieux, il s'obstina dans l'espérance de faire triompher une méthode qui concordait avec les prévisions lointaines (

a formation des espèces occupe logiquement le premier rang dans cette méthode ; la description analytique des formes locales et

on Evolution de la Mémoire, M. Piéron se rallie virtuellement à cette méthode . Parmi les applications très heureuses qu'il en a

nie à s'enclaver dans nos définitions séparatives, nous revenons à la méthode absolutiste et illusoire que les classiques tienn

une extinction de ce schéma verbal serait fort utile au progrès de la méthode explicative. Si l'on s'en réfère aux démonstratio

de son dernier volume sur les ftévroses, se sont déjà ralliés à cette méthode . Et nous ne saurions assez vivement féliciter M.

t ou le fait travailler au jardinage. C'est ce qui consti- tue la méthode Frœbel. Cette méthode est excellente parce que ce

r au jardinage. C'est ce qui consti- tue la méthode Frœbel. Cette méthode est excellente parce que cette méthode, comme la

tue la méthode Frœbel. Cette méthode est excellente parce que cette méthode , comme la méthode Mulot, s'appuie sur le développ

rœbel. Cette méthode est excellente parce que cette méthode, comme la méthode Mulot, s'appuie sur le développement du sens tact

éro 185, rue de Charonne, à V Union familiale, vous pouvez voir cette méthode appliquée par M11*' G-abery avec beaucoup de succ

de tracer des lignes horizontales et verticales sur la sphère par la méthode Mulot, de ne "pas dépasser ces lignes, produit, c

nt si fréquents chez les aveugles en particulier. C'est grâce à cette méthode de faire des lignes horizontales et verticales et

ppement de l'intelligence et nous démontre aussi la supériorité de la méthode de l'enseignement Mulot et Frœbel sur les autres

iorité de la méthode de l'enseignement Mulot et Frœbel sur les autres méthodes . Ces méthodes sont de vrais systèmes pédagogiqu

hode de l'enseignement Mulot et Frœbel sur les autres méthodes. Ces méthodes sont de vrais systèmes pédagogiques puisque, comm

ur fait en toute chose œuvre de raison avec l'enfant en employant ces méthodes , et je suis convaincu que ces moyens d'éducation

otre seconde tentative, un peu plus heureuse : Nous inspirant de la méthode du Dr Paul Parez pour transformer le sommeil norm

même l'occasion d'introduire plus de rigueur et de précision dans la méthode proposée. Un réveil ordinaire, A la petite aigu

m, de notre phonographe. Nous ne tardâmes pas à reconnaître à cette méthode les mômes inconvénients que ceux que nous avions

de Candolle, p. 32. Mémoires extraordinaires, p. 1911 287, 320. Méthodes pour l'emploi de l'hypnotisme, par Joire, p. 23

othérapie (La cure de), par Bérillon, p. 257. Psychothérapie et les méthodes de rééducation (La), par Bérillon, p. 2, 34, 71,

yens « rationnels ». Mais les bègues que j'ai vus, avaient employé la méthode Chervin ou d'autres méthodes analogues sans r

s bègues que j'ai vus, avaient employé la méthode Chervin ou d'autres méthodes analogues sans résultat, tandis que l'hypnoti

réussira pas à convaincre la masse des médecins de l'inutilité de la méthode que nous préférons à la sienne parce que, pour no

p étendues selon qu'on veut, ou non, résumer en elles, telle ou telle méthode de chant ou de diction. Mieux vaut faire appel à

juger de la sincérité d'un confrère, il convient moins d'examiner la méthode de traitement qu'il préconise que la valeur moral

asernes. M. Moreau : professeur spécial d'agriculture à Reims : Les méthodes d'enseignement agricole applicables dans les régi

vertébrales. M. Quinque, professeur spécial pour enfants anormaux : Méthodes de lecture à l'usage des enfants arriérés. M. L

tisme ; — passion du fait.scientifique, de la vérité démontrée, de la méthode rigoureuse et puis de tout ce qui perfectionne ou

ant de ces faits, notre devoir scientifique et moral est d'étendre la méthode à tous les cas auxquels elle peut bénéficier au l

années d'expérience, nous pouvons affirmer que le public a compris la méthode que nous tous, hypnotiseurs suisses, avons appliq

s, parce qu'ils ont vu rapidement l'avantage qu'on peut retirer d'une méthode rigoureusement exacte lorsqu'on apprend à l'adapt

trer que la psychothérapie selon il. Dubois ne pourra jamais être une méthode pratique. Elle exige beaucoup de temps; M. Dubois

iples me disait qu'il ne pouvait voir plus de 10 malades par jour. La méthode de AI. Déjerine est plus pratique. Dans sou servi

endant une heure ou deux, il pourra réunir quelques malades, selon la méthode de Wetterstrand, et s'occuper d'eux tous pendant

l'ai fait pour combattre les idées de M. le prof. Combe dont toute la méthode curative consiste à fixer l'attention du malade s

thode curative consiste à fixer l'attention du malade sur ses bobos, ( méthode dont les gens d'esprit comme M. Brisson ont su se

sychologie des foules : Principes de la circulation dans les villes ; méthode de sécurité. — Discussion : M. Bérillon, Paul Mag

'est pas rose dans la profession médicale, surtout quand, suivant les méthodes nouvelles, on veut faire de lu prévoyance et de l

es. Montrons-leur par les applications que nous savons faire de leurs méthodes , par la rigueur avec laquelle nous poursuivons no