LL1KRE. CALLE DEL PRINCIPE, 11. 1839-1857 CE LIVRE EST DÉDIÉ A LA
MÉMOIRE
DE Jeanne-Françoise-Charlotte de LAV ERR IE d
827, in-4°,p.87. — Deuxième édition, 1846, p. 195.—Voyez aussi Duges,
Mémoire
sur la conformité orgatiique dans l'échelle anima
missure entre les deux hémisphères. Aussi, le signalons-nous ici pour
mémoire
. Les anatomistes le décrivent sous le nom de comm
(1). (1) Cette manière de voir a été critiquée. M. Dareste, dans un
mémoire
récent, m'a accusé, je ne sais d'après quel indic
i pour moi ; mais je crois en avoir assez dit. Cf. Dareste. Troisième
mémoire
sur les circonvolu~ lions du cerveau, dans Ann. d
r la structure de la couche corticale des circonvolutions du cerveau {
Mémoires
de l'Académie de Médecine. Paris, 1840. Tom. VIII
C'est là l'opinion d'Arnold et de Reil (1); M. Owen, dans son célèbre
mémoire
sur le cerveau des Marsupiaux, accepte la même ma
pent le bord externe et la face supérieure du lobe olfactif. Dans mon
mémoire
sur l'organe de Jacobson (1), je me suis trompé s
été acceptée, mais qui était un véritable progrès. Dans sa mé- (1)
Mémoires
ie l'Académie de Berlin, 1166, page VI. thode,
ng et le Chimpanzé, ce que j'ai fait connaître dans un autre ouvrage (
Mémoire
sur les plis cérébraux de l'homme el des primates
u'il a admises, et de renvoyer pour de plus amples détails à son beau
mémoire
. Dans un premier cas on agissait à la fois sur
celles de la partie moyenne, la raison; celles de la postérieure, la
mémoire
. En effet l'imagination habitait les ventricules
eurs ; la pensée les ventricules moyens, les postérieurs logeaient la
mémoire
. Cette opinion était celle d'Aetius (1) du célèbr
front se contracte ; cherchons-nous à nous remettre quelque chose en
mémoire
, nous nous frottons le derrière de la tête. Ainsi
lib. II, p. 147. Opera omnia Venetiis, 1584. l'imagination et de la
mémoire
, de celle-ci et de la raison, logeant la raison d
moyenne du cerveau, l'imagination dans son extrémité antérieure et la
mémoire
dans celle qui est en arrière; car la mémoire et
rémité antérieure et la mémoire dans celle qui est en arrière; car la
mémoire
et l'imagination ont les mêmes objets, quoique un
prodigieusement sur le reste des ventricules, ont infiniment plus de
mémoire
que l'homme ; mais, d'autre part, les autres anim
aux inférieurs devraient avoir plus de raison que d'imagination et de
mémoire
, ce qu'on n'accordera pas, je suppose. Voilà en q
e et de vie, mais aveugle, mais sourd, mais absolument dépourvu (1)
Mémoires
lus à l'Académie des sciences en 1822 et 1823. —M
artie. §3. pr. 3. d'intelligence, de spontanéité, de jugement et de
mémoire
, incapable par conséquent de sensations véritable
ences nombreuses sur des lapins, et en consigna les résultats dans un
mémoire
écrit sans ordre et dont les conclusions sont obs
xclusivement sensitifs. Ce fait est nettement établi dans son premier
mémoire
. Ce n'est pas tout. Il pratique l'hémisection d
analogues pour le mouvement, quïl nomme fibres kynésodiques (1). Ce
mémoire
de M. Schiff est intéressant, mais par la manière
lques jours, la sensibilité se rétablit, mais que chez les mam- (1)
Mémoires
sur la physiologie de la moelle épinière, lus à l
s la partie cendrée du cerveau parce qu'elle y exerce les actes de la
mémoire
(1). » Ces centres nerveux ont un effet croisé
II, p. 613. Cf. Morgagni, De sed. et caus. morborum. Ex. 9, 20, et le
mémoire
de Eller, Acad. de Berlin, t. VIII, 1752, et Cruv
hoses présentes se dissipent, elles composent le trésor où puisera la
mémoire
. Que d'hypothèses sans preuves ! De pareils systè
té que l'âme a de conserver les traces des impressions passées est la
Mémoire
. Il est possible, à la rigueur, de comprendre l
posent une certaine intervention du corps, et il en est de même de la
mémoire
. Les maladies le prouvent assez. Ainsi l'âme sent
s expériences dans le chapitre où nous traiterons de la théorie de la
mémoire
, théorie sur laquelle ces faits sont appelés à je
veau. Évidemment, si l'on donne jamais une explication positive de la
mémoire
, elle sera fondée sur des observations de la natu
ue ; nous reviendrons ailleurs sur ces faits. CHAPITRE III. DE LA
MÉMOIRE
. § *. De la mémoire en général. Si les sensat
ailleurs sur ces faits. CHAPITRE III. DE LA MÉMOIRE. § *. De la
mémoire
en général. Si les sensations sont difficilemen
dans un mystère profond, combien sera plus inexplicable encore cette
mémoire
qui, en l'absence de tout objet actuel, reproduit
et la pierre d'achoppement des philosophes ; aussi définissent-ils la
mémoire
sans l'expliquer. Quoi qu'il en soit, nous nous r
el artifice on pourrait peut-être expliquer le rôle du corps clans la
mémoire
; pour le moment nous nous bornerons à esquisser
chaîne; c'est parcourir à reculons les feuillets d'un livre. Ainsi la
mémoire
complète ne réveille pas seulement l'idée de fait
sons disposés en séries musicales se gravent plus facilement dans la
mémoire
que des bruits incohérents. De même des mots ench
que des mots sans suite et sans liaison; voilà pourquoi sans doute la
mémoire
des perroquets est si bornée quant aux phrases qu
nts sont mis en musique facile, les chants demeurant aisément dans la
mémoire
, les mots qui leur ont été accidentellement assoc
disait fort nettement non-seulement l'air, mais les paroles. Ainsi la
mémoire
, infidèle clans le cas où les mots étaient des id
t des idées exprimées en vers, en vers rimes surtout, entrent dans la
mémoire
plus facilement que la prose : plus en effet l'id
t point absolument une difficulté que de concevoir des degrés dans la
mémoire
. Il y a des mémoires promptes ou lentes, solides
ne difficulté que de concevoir des degrés dans la mémoire. Il y a des
mémoires
promptes ou lentes, solides ou fugaces. On peut e
fugaces. On peut encore à certains égards concevoir pourquoi tel a la
mémoire
des yeux, tel autre des sons ou des contacts, et
rvention d'une attention spéciale. Ainsi à chaque sens correspond une
mémoire
qui lui est corrélative, et l'intelligence a comm
es habitudes naturelles de l'esprit. Un de mes amis, doué d'une telle
mémoire
des formes qu'il fait aisément de souvenir des po
les multiplier ici. Mais il y a des faits plus curieux ; ce sont ces
mémoires
incomplètes dans un même ordre de laits. Rien n'e
rande fortune. Il est probable que ces altérations partielles de la
mémoire
tiennent à quelque affaiblissement général et gra
avec les meilleurs philosophes, que cela seul reste aisément dans la
mémoire
qui est conçu selon un ordre naturel. Si donc la
ment dans la mémoire qui est conçu selon un ordre naturel. Si donc la
mémoire
s'affaiblit, c'est à l'égard des noms propres que
pris réciproque. Quoi qu'il en soit, on comprend aisément que si la
mémoire
s'affaiblit dans deux hommes ainsi disposés, l'un
isposés, l'un, celui qui a des images plus vives des faits, perdra la
mémoire
des mots avant celle des choses et hésitera souve
ue l'autre, celui qui se contente du signe, perdra tout en perdant la
mémoire
des noms. Mais chez l'un et l'autre, le premier r
chez l'un et l'autre, le premier résultat de l'affaiblissement de la
mémoire
sera une sorte de dissociation entre l'idée des c
ine participation du corps, il est certain que tous les phénomènes de
mémoire
supposent un certain état des organes; en un mot,
, l'âme se rappelle par le cerveau ; mais on peut encore admettre une
mémoire
du corps sans intelligence. Je vais expliquer ma
ces ; il évoque, il compare, il discute ses souvenirs : c'est là la
mémoire
de l'esprit. Tel autre, au contraire, marche en a
suit la route, évitant les obstacles et arrivant au but; telle est la
mémoire
du corps ou de l'automate. En voici un autre ex
e leur était venue tout à coup, ils eussent hésité. Il y a donc une
mémoire
par le cerveau et une mémoire par l'automate. Tou
, ils eussent hésité. Il y a donc une mémoire par le cerveau et une
mémoire
par l'automate. Tous les organes ont une mémoire
ar le cerveau et une mémoire par l'automate. Tous les organes ont une
mémoire
propre, c'est-à-dire une tendance acquise à repro
à coup sûr ne prouve mieux que l'intelligence n'est pas tout dans la
mémoire
et que le corps y joue un rôle important; car évi
te a marché de pair avec l'analyse des Philosophes. L'énergie de la
mémoire
, sa promptitude, sa ténacité diffèrent beaucoup s
culté est grande dans l'enfance et s'affaiblit dans la vieillesse. La
mémoire
à cet âge conserve encore, mais n'acquiert plus.
s de la jeunesse; mais les impressions nouvelles glissent sur lui, sa
mémoire
n'en conserve plus la trace. Combien de fois n'ai
entôt dans un océan où tout s'abîme (2). Nous venons de dire que la
mémoire
s'affaiblit parfois; c'est là une tendance à l'an
dans l'hystérie, la catalepsie et les autres affections nerveuses, la
mémoire
peut illuminer tout à coup les régions les plus o
'est là, à proprement parler, ce qui s'appelle réminiscence; genre de
mémoire
dangereux et qui expose souvent les auteurs à l'a
ion de plagiat. Je pourrais ajouter beaucoup sur les prodiges de la
mémoire
. Certains hommes ont eu le privilège d'une mémoir
les prodiges de la mémoire. Certains hommes ont eu le privilège d'une
mémoire
presque divine ; tels étaient le prince de la Mir
iaise Pascal. Ces merveilles sont rares; la plupart des hommes ont la
mémoire
incomplète et faible. On s'est donc occupé de la
sme. Il serait d'un haut intérêt d'expliquer ici le mécanisme de la
mémoire
. Malheureusement, cette explication n'est point f
s serons réduits à proposer quelques hypothèses. § S. Théorie de la
mémoire
. Si la mémoire a pour cause le corps ou plutôt
à proposer quelques hypothèses. § S. Théorie de la mémoire. Si la
mémoire
a pour cause le corps ou plutôt le système nerveu
'esprit et se traduit par des idées corrélatives, il reçoit le nom de
mémoire
. On ne saurait assez insister sur ce fait fonda
séries régulières aident-ils merveilleusement à ces phénomènes de la
mémoire
, et ses phases sont comme des gammes alternativem
endantes. Il n'y a donc point, à proprement parler, de traces dans la
mémoire
; l'explication de cette merveilleuse faculté est
us proposons ici est fondée, rien ne paraîtra plus automatique que la
mémoire
. Cependant l'intelligence règne aussi sur elle. L
main, veux-je dire ; car est-il bien prouvé que les animaux aient une
mémoire
identique à celle de l'homme? La faculté dépenser
a grandeur ! ses tranquilles plaisirs plutôt que sa liberté ! Sans la
mémoire
, l'homme ne serait rien ; la mémoire est la base
plutôt que sa liberté ! Sans la mémoire, l'homme ne serait rien ; la
mémoire
est la base de la personnalité dans ce monde et d
tant que l'esprit libre s'exerce ainsi sur les faits réservés par la
mémoire
, en tant qu'il les mêle et les combine, il s'appe
t plus immédiat ; après avoir tracé en quelques mots l'histoire de la
mémoire
, élevons-nous d'un degré dans l'étude de l'intell
l'a pour la première fois déterminée, ce phénomène se confond avec la
mémoire
; dans le cas contraire, c'est la réminiscence. C'
ayant beaucoup lu et beaucoup entendu, ont plus de sensibilité que de
mémoire
. Car il y a cette différence essentielle entre la
lité que de mémoire. Car il y a cette différence essentielle entre la
mémoire
et la réminiscence, que la mémoire rattache un so
te différence essentielle entre la mémoire et la réminiscence, que la
mémoire
rattache un souvenir à son origine première, et c
gie du Goût. (2) Cf. Encyclopédie. Art. Somnambulisme. (3) Lelut.
Mémoire
sur le sommeil, les songes et le somnambulisme. P
besoin, et je m'endormais sans y avoir satisfait. Ces faits, dont ma
mémoire
a conservé le souvenir, jettent beaucoup de lumiè
qu'il était alors le premier de sa classe. Cf. Sauvages de la Croix.
Mémoires
de l'Acad. des Sciences, 1742, p. 400. leuse et
n réveil d'avoir rêvé qu'il l'assassinait en effet. Mais le manque de
mémoire
est le cas le plus fréquent. (2) Zoonomie ou lo
n phénomène habituel et peut-être continu. Mais comme au réveil notre
mémoire
ne se rappelle qu'imparfaitement les idées qui on
erlin. T. Vlil, 17-iU. a pensé pendant la journée (1). L'absence de
mémoire
est donc un fort mauvais argument contre la doctr
hez lui la moindre trace. Les rêves, dit-il, sont donc possibles sans
mémoire
. Gela est certain; mais il ne l'est pas moins que
ettais. Il y eut là cependant une lacune d'une minute ou deux dans ma
mémoire
. J'ai fait sur moi-même une autre observation q
s sont confus et fort obscurs, et ceux-là ne subsistent point dans la
mémoire
; d'autres sont mieux enchaînés et laissent un sou
mbla une nuit que j'avais extrait mon propre cer- l'I) L'absence de
mémoire
est évidemment le cas le plus fréquent. Cf. Henri
ute la fin du rêve. Cet exemple est, entre mille, une preuve que la
mémoire
des choses éprouvées ou exécutées pendant la veil
isqu'il est démontré que certains songes peuvent être rappelés par la
mémoire
, à plus forte raison peut-on admettre que leurs i
c'est-à-dire des pensées du sommeil. Baillarger, Des hallucinations (
Mémoires
de l'Académie de Médecine. Paris, 1846, t. XII, p
il, les réminiscences claires des songes se transformant au réveil en
mémoire
! Combien de recherches auparavant inutiles et là
sur ces matières difficiles. —Des hallucinations, chap. il. Dans les
mémoires
de l'Académie de Médecine. Paris, 1846. T. XII, p
ce fait la plaisante histoire que Vordac a racontée. Mais qui n'a sa
mémoire
abondamment pourvue d'anecdotes semblables? Le do
ous le nom de stupeur. (2) T. Puel. De la catalepsie. Paris, 185G. (
Mémoires
de l'Académie impériale de médecine, t. xx, p, 40
) en effet, après l'accès, sa durée laisse si peu de traces dans la
mémoire
, qu'on voit souvent les malades achever une phras
t moi l'avons démontré dans des expériences récentes... Cf. du Clerq.
Mémoires
. Lib. IV, cap. xiv. — Porta. Mag. nat. Lib. 11, c
sont capables d'affecter sympathi- (1) Des hallucinations, dans les
Mémoires
de l'Académie de médecine, Paru, 1846, t. XII.
cipe d'association que nous avons invoqué plus haut, en parlant de la
mémoire
, donne la clef d'une multitude d'effets admirable
. (2) Macario, Ouvr. cit., p. 205. (3) Cf. Chastenet de Puységur.
Mémoires
pour servir à l'histoire du magné" tisme animal.
.t sect, IV, cap. in. De animabus brulorum. Ainsi, n'ayant point la
mémoire
d'elles-mêmes, il ne peut y avoir en elles aucune
e que la coche se fût de nouveau présentée. Ces faits indiquent de la
mémoire
, du jugement et de l'intelligence. En voici d'aut
angage des bêles. Paris, 1730. 3e part. (2) Cf. Dureau de la Malle.
Mémoire
cité. les petits font d'eux-mêmes et parfaiteme
, le tout est pris pour la partie. sophic la morale el la médecine (
mémoires
de l'Académie de médecine, Paris. 1846, t. xii, p
est fort remarquable. Demandez à un chanteur qui vient d'exécuter de
mémoire
une période compliquée, de combien de sons succes
r lesquelles est en grande partie fondé le prodigieux mécanisme de la
mémoire
intellectuelle. L'analomio pathologique du cervea
t évident, en effet, que la perception, la volonté, l'imagination, la
mémoire
, sont des qualités inséparables d'un même sujet q
ion et du système nerveux tout entier. 6. Les modifications d'où la
mémoire
résulte ne sont pas propres au cerveau, et le sys
xplique probablement le phénomène, au premier abord inexplicable, des
mémoires
partielles. Tel a la mémoire des formes, tel autr
ène, au premier abord inexplicable, des mémoires partielles. Tel a la
mémoire
des formes, tel autre celle des sons; l'un retien
les différences sont innombrables. Cette sorte d'élection que fait la
mémoire
tient d'ailleurs à des causes très-complexes, mai
ses très-complexes, mais elle ne prouve pas plus contre l'unité de la
mémoire
que l'anesthésie ou l'hypéresthésie partielles co
iments généraux et des passions.......... 455 CHAPITRE III. — De la
mémoire
.................. 457 § 1. De la mémoire en gén
55 CHAPITRE III. — De la mémoire.................. 457 § 1. De la
mémoire
en général.................. ib. § 2. Théorie d
. De la mémoire en général.................. ib. § 2. Théorie de la
mémoire
.................., 4G!) CHAPITRE IV. — De l'ima
DU SYSTÈME NERVEUX M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur,
Mémoires
, Notes et Observations Parus pendant les années
nq ans plus tard, en 1883, — il y a donc huit ans à peine, — après le
mémoire
de M. Ballet (1) fait dans mon service et quelque
18, 15 septembre 1888. los Bulletins de la Société aiiatomique, au
mémoire
clo M. Ballet et à la thèse de M. Chantemesse (1)
oir rappeler tous los faits de ce genre, laissez-moi vous citer, pour
mémoire
, deux exemples de kystes hydatiques publiés par G
dal. —Bulletin de la Société anatomique,i8%b, p. 332. (4) Féré. —In
mémoire
de Ballet, loc. cit. (5) Dérignao, in (Jharcot
nt. La malade revient alors progressivement à son état habituel et la
mémoire
de tout ce qu'ellp a vu précédemment persiste, ma
e à l'aide de certaines suggestions. Le premier, M. Mesnet, dans deux
mémoires
où il relatait l'histoire de deux malades atteint
ique. (Arch. gèn. de méd., 1860, 1, p. 147.) — De l'automatisme de la
mémoire
el du souvenir dans le somnambulisme pathologique
son travail, M. Mesnet pouvait dire en parlant du sujet de son second
mémoire
: « On peut l'influencer, changer son rêve, lui d
n complète clo ce malade se trouve, avec une série d'autres, dans mon
Mémoire
sur lo somnambulisme hystérique. (V. plus loin n°
. et de chir. (22 mars 1890). Voir aussi (no* XXVIII et XXX) mes deux
mémoires
sur ce sujet, où la question est exposée en détai
vue scientifique, 19 février 1876). (2) Ribot. — Les maladies de la
mémoire
, p. 54, Paris, 1886. (3) Charcot. — Leçons du M
. — hoc. cit., p. 302 et suiv. (2) Mesnet. — De l'automatisme de la
mémoire
et du souvenir dans le somnambulisme patholoqique
es avec le Dr Sophie Woltke (d'Odessa). Nous ne rappellerons que pour
mémoire
l'observation du médecin d'Odessa, parce que le m
lières qu'explique le long séjour de la malade à la Salpêtrière et la
mémoire
qu'elle a de tout ce qui s'y passe: « Monsieur, M
omme s'il voyait réellement la trappe qui figure, si nous avons bonne
mémoire
, dans le premier acte des Mystères de Paris. Ce
vons fait écrire notre malade (Fig. 1, 2 et 3). M. Mesnet, dans son
mémoire
si éminemment suggestif déjà cité, décrit un fait
tat hallucinatoire qui crée l'idée-image et donne à la pensée ou à la
mémoire
une telle tendance de réflexion vers les sens, qu
sourd, avait les jambes enflées et des troubles assez accentués de la
mémoire
. Au boutde deux mois de convalescence il fut enfi
gastriques : inappétence, vomissements et une sorte de trouble de la
mémoire
, qui durèrent quatre ou cinq jours. Ces prodromes
ions de chaud et de froid. A cela s'ajoute une sorte de trouble de la
mémoire
, il ne se rappelle plus rien, oublie ce qu'il a f
beaux les trépassés me font. Il y a là évidemment soit un défaut de
mémoire
, soit une véritable faute de style. Les deux mots
alade écrivait les vers ci-dessus, qu'il ne faisait que reproduire de
mémoire
. Il a du reste peu composé pendant ses attaques d
pendant lesquels il réfléchissait, il a presque toujours reproduit de
mémoire
des pièces déjà faites. Pendant qu'il écrit, il
te vingt jours auparavant. Il y a là une espèce d'hyperacuité de la
mémoire
bien remarquable. Il est peu probable qu'à l'état
M. Mesnet, qui le formule nettement dans l'un et l'autre de ses deux
mémoires
, que nous avons eu si souvent l'occasion de citer
omnambules hystériques-M. Mesnet l'avait déjà notée. Dans son premier
mémoire
, il écrit, à propos de sa malade, « que la sensat
nnent de leur vie antérieure et que la personne délirante conserve la
mémoire
de la personne normale. Nous ne parions ici, bien
t décembre 1890, recueillie par M. Blocq. Voir plus loin (¹ XXX) mon
mémoire
sur ce sujet, où la question est traitée dans tou
es et sentiments qui le traduisent » (personnalité psychique) « et la
mémoire
», il s'ensuit que si le premier facteur seul est
a modification est assez profonde pour que les bases organiques de la
mémoire
subissent une sorte de paralysie, restent incapab
nt soma-tique, physique, et que l'on n'avait point consulté l'élément
mémoire
, qui, clans la clinique courante, constitue le me
is ils peuvent être interprétés (1) Mesnet. —De l'automatisme de la
mémoire
et du souvenir dans le somnambulisme pathologique
nt de la personnalité, tel que nous l'entendons ici, le trouble de la
mémoire
peut varier suivant les cas. Tantôt le dédoubleme
s. Il est accompagné d'une perte complète de la connaissance et de la
mémoire
, le malade n'ayant aucune notion des actes de sa
t ce qui s'est passé pendant l'état de veille... Il a donc une double
mémoire
, l'une se rapportant au cours habituel de ses pen
tivité fébrile et une dextérité peu commune. « L'intelligence et la
mémoire
sont plus affinées ; la suractivité de cette dern
mbutique, elle n'y est pas troublée par la présence de ces lacunes de
mémoire
qui existent à l'état normal, et portent alors su
'une de nos deux observations personnelles. Je ne rappelle que pour
mémoire
deux des faits rapportés par MM. Bourru et Burot
e instant. Elle ne sait plus lire, ni écrire, ni toucher du piano. La
mémoire
des choses et des objets les plus communs est per
ù est la limite exacte ? autrement dit, quel est le rôle strict de la
mémoire
dans la constitution de la personnalité 2 cela es
: Des amnésies, etc., th. Paris, 1885 ; et Ribot : Les maladies de la
mémoire
. Paris, 1883. (2) Camuset. — Ann. médico-psycho
me contenterai de le résumer sans grands détails, d'après le dernier
mémoire
de M. Azam. En 1858, lorsqu'il la voit pour la
t été sa durée. Je ne rappellerai qu'un exemple de cette lacune de la
mémoire
: « Etant en condition seconde, elle s'est aban
aralysies apparaissent. En même temps l'enfant perd complètement la
mémoire
du passé. Il ne sait plus lire, ni écrire, ni com
e libre usage de ses membres inférieurs, avec une perte absolue de la
mémoire
de tous les faits antérieurs au mois précédent, e
ents sur sa famille, on voit déjà apparaître les premières lacunes de
mémoire
dont l'en- semble suffît en somme pour constitu
ouvrages de femmes, correctement, sans maladresses ni défaillances de
mémoire
. Elle sait lire les chiffres et les nombres com
paralysies, point de contractures spontanées. Si Ton s'adresse à la
mémoire
, on s'aperçoit tout de suite qu'il existe là un
is le changement est encore bien plus accentué si l'on s'adresse à la
mémoire
. Elle connaît tous les détails de sa vie antérieu
souvenirs adressés à diverses personnes, qu'elle a gardé une parfaite
mémoire
de son passage à l'hospice et des gens qu'elle y
drôle à ceux qui m'entourent. Sais-tu ce qu'ils disent ? Que c'est la
mémoire
qui me fait défaut à certains moments. J'ai beau
Félida en lisant cette lettre, mais Félida en état prime, puisque sa
mémoire
était entière (1) La malheureuse enfant aborde
ci, sans s'en douter, la difficile question de la participation de la
mémoire
dans la constitution de la personnalité. Elle n'a
nt son état et nous l'avaient fait ainsi dénommer, les troubles de la
mémoire
, si importants cependant dans l'espèce, nous avai
de Marie Hab... dans l'état vigilambulique. Si l'on s'adresse à la
mémoire
, en particulier à la mémoire des faits, on s'aper
vigilambulique. Si l'on s'adresse à la mémoire, en particulier à la
mémoire
des faits, on s'aperçoit tout de suite qu'elle n'
ns. La modification, si nettement caractérisée par ce trouble de la
mémoire
, porte également, dans l'état A, sur les phénomèn
de conserve non seulement la notion de sa personnalité mais encore la
mémoire
de tout ce qui s'est passé à l'état de veille. Te
lité et d'innervation motrice; la personnalité est un phénomène de la
mémoire
(1). » Nous avons déjà abordé, en commençant, cet
déjà abordé, en commençant, cette question de la participation de la
mémoire
dans la constitution de la personnalité ; nous n'
définitivement cette question. Je ne cite pour ainsi dire que pour
mémoire
les actes réflexes absolument instinctifs, tels q
ine mesure. Tout d'abord, dans les cas comme celui de Félida, où la
mémoire
de l'état prime persiste dans l'état second, le f
mpréhensible. Dans la condition seconde, il n'y a point de lacunes de
mémoire
. Dans les périodes d'état normal, au contraire, i
nclusions que l'on peut tirer tant de ce travail que de mon précédent
mémoire
— il y aurait donc deux modifications spéciales d
, amnésie rétrograde ; amnésie antérograde (impossibilité d'eqre-: là
mémoire
, les fafrs actuels). Caractère hystérique du ca
e avec une exactitude et une précision qui témoignent chez elle d'une
mémoire
véritablement très fidèle et très brillante. Mais
e répète, à partir du 15 juillet au matin, il n'y a plus rien dans sa
mémoire
; c'est la nuit profonde. Elle ignore aussi l'évé
laps de temps oublié par la malade (période d'amnésie rétrograde), la
mémoire
s'est exercée d'une façon absolument normale, c
es qui l'ont approchée ou qui ont vécu avec elle. Oui,, Messieurs, la
mémoire
est restée normale jusqu'au 28 août. Mais l'événe
, que la malade est devenue incapable désormais d'enregistrer dans sa
mémoire
les faits actuels quels qu'ils soient. Non seulem
endemain de la crise et comme toujours depuis lors, les organes de la
mémoire
fonctionnent parfaitement, brillamment même, comm
que nous avons pu hypnotiser, retrouve dans le sommeil hypnotique la
mémoire
de tous les faits écoulés jusqu'au moment présent
nerveux, un changement de polarisation des éléments organiques de la
mémoire
, et tout pourra rentrer dans l'ordre. Et déjà vou
rs du moi inconscient, et, tous ces souvenirs en apparence perdus, la
mémoire
consciente ou psychologique les fera siens et s
gymnastique méthodiquement et fréquemment répétée, les organes de la
mémoire
réapprendront peu à peu à fonctionner suivant la
ie que celle que je vous ai déjà signalée, je veux dire son défaut de
mémoire
. Il faut que je vous dise cependant qu'elle a tou
s'agisse de faits très éloignés ou très rapprochés de cette date, la
mémoire
de cette femme est également heureuse. Le fait lu
ique (août 1880). (3) Kœmpfen. — Observation sur un cas de perte de
mémoire
[Bullet. Académie de mèd., 1885, t. IV, p. 489).
contraste est complet, l'opposition absolue entre la fidélité de sa
mémoire
pour les faits antérieurs au 15 juillet (1) et le
l'idée de recourir à l'usage d'un carnet pour suppléer son défaut de
mémoire
. Sur ce carnet elle inscrivait, car elle écrit, l
ré de cette amnésie, nous avons acquis la conviction que ce défaut de
mémoire
est purement apparent. Je m'explique. Nous avons,
êves parlés témoignaient déjà hautement du dépôt inconscient, dans sa
mémoire
, des événements qu'elle ignore à l'état de veille
eil hypnotique pour suggestionner cette malade et lui rendre ainsi sa
mémoire
. C'est en effet le procédé que nous nous proposon
us haut, une nouvelle preuve de l'enregistrement inconscient, dans la
mémoire
de la malade, de tous les faits qu'elle paraissai
e. Elle n'a donc plus qu'une lacune d'une quinzaine de jours; 2° La
mémoire
présente s'est beaucoup élargie : au lieu de gard
disparition de l'amnésie rétrograde, amélioration considérable de la
mémoire
présente, font espérer que la guérison pourra êtr
éviation vertébrale, qui ont été consignés chez cinq des 9 malades du
mémoire
de Friedreich. De plus, contrairement à ce qui a
à l'appui de cette localisation mésencéphalique. Les conclusions du
mémoire
de Graux sont : qu'il existe surleplancher du qua
ot. Elle est tout à fait analogue à l'observation VI (personnelle) du
mémoire
de Graux. Si elle en diffère sur quelques points
vie. Pas de scansion ni de tremblement véritables de la parole. La
mémoire
est considérablement affaiblie, mais l'intelligen
et Dejerine, etc.. — Voira ce sujet : Pierre Marie et Georges Guinon,
mémoire
cité, page 836), mais seulement au point de vue c
rcot. Clinique des maladies du système nerveux; leçons du professeur,
mémoires
, notes et être très grande suivant les cas, d'o
t amyolrophie généralisée), page 203 et n° XI, page 237 (Extrait d'un
mémoire
de Georges Guinon et E. Parmentier, sur le même s
) Voir à ce sujet : Landouzy et Dejerine, P. Marie et Georges Guinon,
mémoires
cités. (2) Duchenne (de Boulogne). — De Velectr
usse un peu les malades, si on aide leurs souvenirs en dirigeant leur
mémoire
et en appelant leur attention sur les phénomènes
minutie, bien attirer l'attention des patients, pour leur remettre en
mémoire
des troubles dont l'importance, vu leur brièveté
urs supérieur à ceux qu'ils ont fournis. Nous ne mentionnons que pour
mémoire
ceux qui ont nié l'existence de l'aura au début d
its laryngés proférés par Bill... et, en même temps, elle se remet en
mémoire
par association d'idées, bien qu'elle ne la regar
nt, un élève de M. Debove, M. Achard, a signalé le même fait dans son
mémoire
sur l'apoplexie hystérique (Archives de Médecine,
rétrograde ; amnésie antérograde (impossibilité d'enregistrer dans la
mémoire
les faits actuels). Caractère hystérique du cas.
expériences d' — , 23 ; Fréquence de 1' —, 170;-— et suggestion, 171;
Mémoire
dans 1' —, 285 ; Contagion dans Y —, 457. Hysté
Structure, vascularisation du —, 4, 12, 13; Fonctions du —, 5. M
Mémoire
: — dans le somnambulisme hystérique, 151 ; — dan
l'élément convulsif de l'attaque, 130; Durée de l'attaque de —, 132;
Mémoire
dans le —, 151. Somnambulisme hypnotique, 68; —
ue : 67, 70, 168, 177; Aspect extérieur des malades dans le —, 184;
Mémoire
dans le —, 184, 252, 257 ; Cénesthésie dans le —,
à l'hystérie. L'un des malades dont l'observa- tion figure dans ce
mémoire
, a déjà fait l'objet d'une communication à la S
ques avaient ' G. Ballet. Du bégaiement hystérique, in Bulletins et
mémoires
de la Société médicale des hôpitaux, séance du
les mêmes : J, m, n, r, pu'il prononce èel, èem, etc. En outre la
mémoire
des mots semble un peu diminuée et le ma lade n
expliquer le bégaiement. Dans une observation rap- portée dans le
mémoire
de M. Cartraz, le malade déclarait que l'air lu
s le Bulletin médical de 1888. , Dans un récent et très intéressant
mémoire
, paru dans la Revue de médecine (1889-1890), Le
ris la question dans la Revue de médecine de 1886 et a intitulé son
mémoire
: « Sur la maladie des tics convulsifs. p M.
ie l'un des termes du titre que Gilles de la Tourette a donné à son
mémoire
. Quant à l'autre terme, écholalie, qui signifie
ar beaucoup d'épileptiques est encore peu connue. Après avoir lu le
mémoire
de M. Cul- lerre, j'ai cherché si elle existait
ATOMIE DE L'ENCÉPHALE; par A. 13OETTIG8R. (Arch. PS1jch. XXI, 2.)
Mémoire
intéressant par l'étude clinique, anatomo-patholo
RS cérébrales ; par H. OPPENHEIM. (Arch. f. Psych., XXI, 2-3.) Ce
mémoire
en cours de publication contient actuellement vin
les agents pharmacodyna- miques, les modificateurs diététiques (le
mémoire
en contient une complète description). A propos
S MALADIES MEN- TALES ; par ZACHER. (Arch. f. Psych. XVIII, 1-2.)
Mémoire
donnant la relation clinique, atiatomopatliologiq
imitante, pauvre en myéline, est le corps restiforme secondaire. Le
mémoire
décrit avec de menus détails l'évolution généra
onclusions; mais il n'est que juste de faire remarquer que ce court
mémoire
est fort intéressant, très suggestif, rempli de
WOItTiI. (Tite Juu1'nul ut ¡JI cntat Science, janvier 1888.) · Ce
mémoire
se résume dans les conclusions suivantes : 1° L
ntes, - pouls lent- hémiplégIe gauche transi- toire idéation lente,
mémoire
bonne ; manie aiguë succédant à d'autres symptô
rcussion; pouls rapide : attaques épileptiformes ; idéation lente ;
mémoire
mauvaise ; manie aiguë succédant à d'autres sym
59 ; t. XIII, p. 314, 65,' z1, 393 ; t. VIII, p. 393. 3 Voyez notre
mémoire
. Colonies d'aliénés in Congrès International, d
une résection de cette nature. Discussion. - M. Richter rappelle le
mémoire
de M. Flechsig 0 (1384) peu favorable à ces har
race la vie et les oeuvres. L'assistance se lève en l'honneur de sa
mémoire
. 111. 13UDDEBERG. De la forme dépressive à évol
que de la question de la para- lysie générale et de la syphilis. Ce
mémoire
sera publié in ea;tenso r : Discussion. - M. Sc
anxier. Pans, Alasson, édit., 1890.) Il s'agit dans cet intéressant
mémoire
de l'étude détaillée d'un malade atteint, très
des médicales de Bruxelles. Année 1889, 1.). En dehors de plusieurs
mémoires
sur la pathologie en général et la chirurgie, n
tement des maladies de la moelle épinière par la suspension ; 2° un
mémoire
du Dr de Beck sur les névroses trauma- tiques.
parties. Il nous est impos- sible d'analyser en détail les nombreux
mémoires
qu'on y ren- contre et dont plusieurs sont d'ai
on avec Lasègue. Dans le second volume, nous trouvons à côté de ses
mémoires
sur les colonies d'aliénés de S/tee< et de L
thologie, soit généraux, soit spéciaux, dans aucun des travaux ou
mémoires
traitant spécialement de ce sujet, qui sont par
s dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a décrits en 1875 dans le
mémoire
que nous avons déjà cité. A côté de ceux-ci pre
urs, tôt ou tard, d'un affai- blissement de l'intelligence ou de la
mémoire
, pouvant aller jusqu'à la démence, et la déchéa
les mêmes caractères que celui de la sclérose en plaques. - Dans un
mémoire
récent, sur lequel je reviendrai plus loin, Buz
util publie dans la Nouv. lo7togi,. de la Salpëlrière, un important
mémoire
sur les tremblements hystériques (1890, n° 1 et
entre internes, j'ai entendu avec un grand intérêt la lecture d'un
mémoire
de M. Sacaze, interne à la clinique des vieilla
LLES parJ. HoPPE (Jahrb. f. Psych., VII, 1, 2.) Etude critique du
mémoire
et des opinions de Kandinsky'. On sait que M. H
ire et des opinions de Kandinsky'. On sait que M. Hoppe a publié un
mémoire
sur la même question 2. La critique présente se
ar de KRAFFT-EBING (Jahrbùch.f.Psychiat. VIL1.2.) C'est la suite du
mémoire
publié dans le même journal (VI. 2. 3) déjà ana
peuvent, par suite d'un trouble fonctionnel, appeler à leur aide la
mémoire
des images jadis emmagasinées dans leur cerveau,
lle sa méthode, en employant ses électrodes impola- risables (V. le
Mémoire
et les numéros antérieurs des Archives de Neuro
S. (Arch. f. Psych., XVIII, 3.) En réalité, l'auteur traite dans ce
mémoire
la question suivante : Des modifications de la
ue, etc., etc. Ces détails sont très minutieusement exposés dans ce
mémoire
accompagné de planches. P. KERAVAL. VIII. L'éle
Idiote de vingt ans (amenée le 23 mai -1857), présentant para- ' -
Mémoire
d'Onufrowicz. Archives de Neurologie, t. XX, p. 9
peau et les extrayait avec une aiguille. M. lVionDREr communique un
mémoire
sur l'atrophie thyroïdienne chez les idiots, d'
r l'avancement des sciences, comprenant vingt-cinq cas. Sou nouveau
mémoire
comprend un cas inédit observé par lui à l'asil
e de l'idiotie myxdémateuse. MM. Voisin et HARANT communiquent un
mémoire
sur l'urine dans les états léthargiques prolong
, idées de couleur mystique relatives au spiritisme, troubles de la
mémoire
et de la marche, qui ont per- sisté après les a
ns les premiers jours, hallucinations hypnagogiques, troubles de la
mémoire
pré- dominants et très accentués. Perte absolue
ieux conservés, mais cependant confus. Elle a surtout bien gardé la
mémoire
des lieux pour cette époque, et des personnes.
ôté, les auteurs mettent en relief l'importance des troubles de. la
mémoire
ayant atteint même la mémoire orga- nique, la m
lief l'importance des troubles de. la mémoire ayant atteint même la
mémoire
orga- nique, la malade ayant perdu même les act
auteurs, sont la preuve d'une atteinte à la mé- moire organique. La
mémoire
intellectuelle est également atteinte, comme le
voté non ; il n'y a eu que quatre voix contre). M. BnuNET lit un
mémoire
sur le travail agricole des aliénés con- cluant
conjoints la même manifestation pathologique. - M. DUBUISSON lit un
mémoire
sur la Folie traumatique. - L'am- nésie accompa
u'il y a lieu de distinguer, comme il l'a fait l'an dernier dans un
mémoire
communiqué en commun avec M. Bourneville au Con
ysie générale vraie. ' M. COSTE DE LAGRAVE (de Rouen) communique un
mémoire
sur l'auto-suggestion cause d'hystérie, dont vo
veuses de Berlin. M. ROLLER (de Brake) sur la folie héréditaire. Ce
mémoire
a été lu dans la dernière séance 2. Disctissi
s bibliogra- phiques de l'orateur qui résume les particularités des
mémoires
sur ce sujet : Neurolog. Centralbl, 9° année n°
600 francs soit accordée à M. Sérieux, médecin de Vaucluse pour son
mémoire
intitulé : De l'état mental et du délire chez l
600 francs. Elle est accordée à MM. Taty et Relous, co-auteurs d'un
mémoire
sur les difficultés que présente le diagnostic
échelle donnée. Il est impossible de faire comprendre en détail ce
mémoire
sans le traduire in extenso en en reproduisant
r nous, ainsi qu'avec les notes que nous avions recueillies pour un
mémoire
spécial. (B.) 296 varia. thodes pour étudier
s ? 6 fr. HENRY (Ch.). Loi générale des réactions psycho-mot1'ices.
Mémoire
présenté au congrès de Paris en 1889 à l'Associ
é publiée dans les leçons de M. Charcot (t. III, p. 202) et dans un
mémoire
, de MM. Marie et Guinon, sur les formes cliniqu
la planche Ces figures qui se rapportent à l'observation I de ce ce
mémoire
, ont été faites au pastel par le malade lui-mêm
certain temps, je n'ai pas cru devoir différer la publication de ce
mémoire
, estimant suffisant l'appui que j'ai trouvé che
parmi les observateurs consciencieux dont parlait Vulpian; et de ce
mémoire
, si l'ensemble est démoli, il restera au moins
unication' n'est pas de faire une étude complète des troubles de la
mémoire
, mais simplemènt d'attirer l'attention sur cert
vant dans un état de faiblesse excessif, elle commença ci perdre la
mémoire
. Un jour son fils venait de passer : elle a de-
s surprise et elle a dit : « Mais com- ment, je vais donc perdre la
mémoire
que je ne reconnais plus mon petit Henri. » Pui
facultés intellectuelles de notre malade, et parti- culièrement la
mémoire
, ne paraissaient pas se rétablir, et que d'un a
e temps après son accouchement et indiqué différents troubles de la
mémoire
qu'elle avait présentés à ce moment. Actuelle
importants qui ne sont, en somme, que le résultat de troubles de la
mémoire
très étendus et dans lesquels viennent rentrer
de déterminer l'étendue, l'origine et la nature des troubles de la
mémoire
. Nous savons, d'après les travaux psychologique
psychologiques récents, qu'il faut distinguer plusieurs espèces de
mémoires
; l'une, mémoire élémentaire appelée aussi organ
écents, qu'il faut distinguer plusieurs espèces de mémoires; l'une,
mémoire
élémentaire appelée aussi organique, l'autre, m
oires; l'une, mémoire élémentaire appelée aussi organique, l'autre,
mémoire
psychique ou mémoire com- plexe. La mémoire org
élémentaire appelée aussi organique, l'autre, mémoire psychique ou
mémoire
com- plexe. La mémoire organique ressemble de t
ssi organique, l'autre, mémoire psychique ou mémoire com- plexe. La
mémoire
organique ressemble de tous points à la seconde
e qui en réalité n'est qu'un phénomène surajouté. Un des faits de
mémoire
organique les plus caractéristiques c'est celui d
, ne peut guère se trouver que dans une disparition des faits de la
mémoire
orga- nique relatifs à la marche et à la statio
iennent ensuite automatiques et dont l'exécution relève ainsi de la
mémoire
organique, tels que l'acte de coudre. Or, notre
Voici donc des symptômes qui nous indiquent combien la lésion de la
mémoire
était pro- fonde puisqu'elle s'étendait à des.
s.. Il y a, à l'état normal, un rapport étroit entre l'état de la
mémoire
et l'état de la sensibilité. C'est là un lait que
ation d'engourdissement et prétend ne pas sentir son aiguillé. La
mémoire
intellectuelle plus complexe, repose en réalité
ctuelle plus complexe, repose en réalité sur les mêmes bases que la
mémoire
organique; l'élément nouveau qu'elle renferme,
nt de la vie par des images sensibles d'une espèce déterminée et la
mémoire
des phéno- mènes complexes dépend de la reprodu
e physiologie, 1887, et Minet, lieu. phil. 1889. ' Maladies de la
Mémoire
, 1887. 3 Pierre Janet. Automatisme psychologiqu
ts aspects sous lesquels se présentent chez elle les troubles de la
mémoire
intellec- tuelle. Pour se rappeler un événement
. D'où il résulte qu'il y a trois portes ouvertes aux erreurs de la
mémoire
. Nous venons déjà de voir des faits rentrant da
puerpérale; amnésie, etc. 401 dans tous ces cas, les troubles de la
mémoire
sont justiciables du mécanisme que nous avons e
a localisation dans le temps qui constitue la caractéristique de la
mémoire
intellectuelle se fait en général à l'aide de poi
c'est bien qu'ayant cons- cience parfaitement de la faiblesse de sa
mémoire
, la malade raisonne toujours inconsciemment, co
cette malade pour montrer qu'il ne s'agit là que de troubles de la
mémoire
, et que, loin d'avoir affaire à une démente, co
de cette gym- nastique particulière. Pour ce qui est du cas de la
mémoire
intellectuelle, la marche que nous avons suivie
e restait indécise. Nous avons essayé de fixer ces derniers dans sa
mémoire
comme précédemment et nous lui avons créé ainsi
procédés d'expérimentation et de thérapeutique psychologique. Si la
mémoire
n'est pas encore intégralement restaurée, au mo
t. Ce sont des sillons trophiques. Voilà l'esprit fondamental de ce
mémoire
. P. K. XL1V. DU TEMPS DE réaction D'UNE IMPULSI
e le siège principal de la pensée. Telle est l'idée marquante de ce
mémoire
. Un appendice comprend des ta- bleaux. donnant
ar 0 . 1;IN5\'.1NGER. ( ! t1'Clt. f. Psych., XIX, 3.) Le corps du
mémoire
se compose d'une introduction et des ex- périen
NE autre; par W. Nasse. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 4-5.) Ce
mémoire
est basé sur trois observations de mélancolie et
IONS cliniques A la connaissance de l'affaiblissement général de la
mémoire
; par C. S. h'RECND. (Archiv. f. Psychiat., XX,
qui, d'après l'auteur, témoignent d'un affai- bli-sement pur de la
mémoire
, sans complication d'autres acci- dents intelle
, par DE IiRAFFT-EBING.(Jahrb2ec/e. f.Psyc/a.,Vlll,l, ? .) Suite du
mémoire
déjà analysé dans lequel on trouvera sept ob- s
oelle est elle-même atteinte. en résulle toujours des lacunes de la
mémoire
. P. K. LXVII. DE la température CHEZ LES paraly
ré, Gilbert, \YhalLcr. Le jury étant tiré à tort avant le dépôt des
mémoires
, il en résulte que des candidats connaissant le
tirage du jury après l'inscription des candidats et le dépôt des
mémoires
. L'ivresse au point DE vue iDICO-Ll : CAL. Voic
ucune cause physique extérieure. On avait déjà, si nous avons bonne
mémoire
, proposé pareille chose au Con- grès de médecin
rBiaute, 436 : érysipèle ayant agi sur une -, par Uinter, 'iî3.
Mémoire
, affaiblissement général de la - , par Freund,
N DE LA PLANCHE. Ces figures qui se rapportent à l'observation 1 du
mémoire
due M. Babinski ont été faites au pastel par le
t un grand jour sur leur état; ils n'y ont pas pris garde ou leur
mémoire
rudimentaire n'en a pas gardé le souve- nir. Av
d'impulsifs au feu, six, dont les observations servent de base à ce
mémoire
. En les rapprochant les unes des autres, j'ai c
sans mauvais instincts. Il n'avait jamais pu apprendre à lire et sa
mémoire
était rudimentaire, mais l'opinion publique déc
s mé- dico-psychologiques en mars 1874, et qui appartiennent à un
mémoire
intitulé : « Hypertrophie du cerveau ». Il s'agit
w, Gudden. Cette analyse ne se plie pas à un compte rendu. (Voir le
mémoire
.) P. K. V. Communication provisoire SUR L'ORI
erches anatomo-pathologiques sur l'encéphale humain. Observation du
mémoire
cité suprà (Arch. f. Psych., XIV, 3) '. Porencé
avec l'avant-coin et la pariétale ascendante ( ? ) Observation du
mémoire
actuel. Encéphalomulacie des deux lobes occipitau
En 1852, paraissait, dans les Archives générales de médecine, un
mémoire
du professeur Lasègue, sur le délire de persécuti
110, t. VII, p. 125, t. V. p. 94. 2 Voy. Archives de Neurologie,
Mémoires
cités. 11 2 SOCIÉTÉS SAVANTES. présentait plu
quand on se sert du réactif de Tanret et de celui de Yokohama (voy.
mémoire
, p. 65). L'albuminurie transitoire, notable le
NIEZ. (A. Delahaye et E. Lecrosnier, éditeurs; Paris, 1885.) Gros
mémoire
de 480 pages, produit à l'école de la Salpêtrière
er Esquirol en témoignage. M. Cotard dit même dans un remarquable
mémoire
sur Je délire des négations qu'il est rare, et po
e l'arbitraire, ils le perdent par leur union. Je ne parle que pour
mémoire
des responsabilités qu'ils diminuent en les éte
écernés pour le concours de 1886. Prix Amussat. - 4,000 fr. Un seul
mémoire
a concouru. L'Aca- démie décerne le prix à M. l
saky, professeur agrégé à la Faculté de médecine de Lille, pour son
mémoire
: De la suture des nerfs à distance. Prix Civ
des nerfs à distance. Prix Civrieux. 1,000 fr. La migraine. Douze
mémoires
ont concouru. L'Académie partage le prix entre
fr. Des rapports entre la paralysie générale et la cérébrale. Aucun
mémoire
n'ayant été adressé, l'Académie remet la même q
lexus brachial ; 21 M. le Dr Léon Per- rin (de Marseille), pour son
Mémoire
sur la s';rcotm<0 ! ecu<a ? tee. Elle acc
fectieuses).' Prix Portai. G00 fr. Le goitre exophtalmique. Trois
mémoires
ont concouru. L'Académie décerne le prix à M. l
nes audibles, la perte ou l'altération plus ou moins complète de la
mémoire
de la signification des sons ». Dans son trav
, ont leur siège en un point particulier du cerveau (centre de la
mémoire
auditive des mots, centre des images orales), q
ilité de leur retour, consécutives à la lésion du centre mp de la
mémoire
auditive, aient pour effet le défaut de répétit
rrectement les mots, nous avons besoin de les avoir présents à la
mémoire
. Ainsi l'amnésique verbal, qui jouit de la facu
des mots correspondants, qu'il ne peut trouver cette image dans sa
mémoire
. Que l'on me permette de citer à l'appui de mon
ermette de citer à l'appui de mon dire le fait suivant : Ayant la
mémoire
des noms propres assez infidèle, j'avais à mon
rien à y ajouter. Il est donc possible que, dans cer- tains cas, la
mémoire
visuelle des mots supplée au défaut de mémoire
cer- tains cas, la mémoire visuelle des mots supplée au défaut de
mémoire
auditive, et que par suite la paraphasie conséc
là une simple question de degré dans l'excitabilité du centre de la
mémoire
auditive des mots. On me permettra toutefois
pourra s'observer en l'absence de toute altération du centre de la
mémoire
auditive des mots. En effet, l'amnésie orale co
oduire l'amnésie orale, même en l'absence de lésion du centre de la
mémoire
auditive des mots ; et, en pareil cas, l'amnési
l'avoir comprise, la comprennent en la répétant, et par 1 Marcé.
Mémoire
sur quelques obs. de phys. pathol. tendant à dé
trer l'existence d'un principe coordinateur de l'écriture, etc.... (
Mémoire
de la Soc. de biol. 2e s., t. III, p. 102. * Be
Dans le premier cas, on s'explique le fait par l'inté- grité de la
mémoire
des mouvements de la parole ; dans le second ca
le ; dans le second cas, par le défaut de fonctionnement de cette
mémoire
. Mais qu'est-ce que la mémoire des mouvements d
défaut de fonctionnement de cette mémoire. Mais qu'est-ce que la
mémoire
des mouvements de la parole ? On donne générale
otrice. Or, ces centres-là ne mé- ritent généralement pas le nom de
mémoires
; qui dit mémoire dit plutôt centre d'acquisiti
es-là ne mé- ritent généralement pas le nom de mémoires ; qui dit
mémoire
dit plutôt centre d'acquisition périphérique, p
par exemple, que la substance grise de la moelle est le siège de la
mémoire
des mouvements généraux de l'organisme, parce
siège dans le cerveau, ou pour touteautre raison, mérite le nom de
mémoire
; cette mémoire, en tant qu'elle actionne la pér
cerveau, ou pour touteautre raison, mérite le nom de mémoire; cette
mémoire
, en tant qu'elle actionne la périphérie motrice
te mémoire, en tant qu'elle actionne la périphérie motrice, est une
mémoire
motrice, centrifuge, qui agit sur les muscles s
ne démontre à priori que le centre de Broca soit en même temps une
mémoire
centripète, destinée à des acquisitions .d'orig
om de mé- moire des mouvements de la parole, mais plutôt celui de
mémoire
des impulsions orales. Il y a pourtant lieu d'a
ales. Il y a pourtant lieu d'admettre l'existence d'une véritable
mémoire
des mouvements de la parole. Pour la mettre en
peut imaginer d'autre intervention, en pareil cas, que celle de la
mémoire
des mouvements de la parole. Et ce que je dis
ied de la deuxième circonvolution frontale gauche, il y a aussi une
mémoire
des mouvements de l'écriture, dont le rôle est
trôler le fonctionne- ment de la première. C'est par cette dernière
mémoire
que nous saisissons les lettres et les mots que
imant à notre main des mouvements appropriés. 1 10% Grâce à cette
mémoire
des mouvements de l'écri- ture, il est facile d
. de M. Charcot, qui «ne lisait qu'en écrivant; de même, grâce à la
mémoire
des mouvements de la parole, il est facile de c
lieu d'admettre, relativement à la parole, deux ordres distincts de
mémoire
: l'une qui mérite le nom de mémoire des impuls
role, deux ordres distincts de mémoire : l'une qui mérite le nom de
mémoire
des impulsions orales affectée à la production
ctée à la production des mouvements de la parole, l'autre véritable
mémoire
des mouvements de la parole, destinée à la perc
iers mouvements. Cela posé, doit-on considérer ces deux ordres de
mémoire
comme siégeant dans un même centre cérébral ? J
superposition fonctionnelle n'est guère admissible. D'ailleurs la
mémoire
des mouvements de la parole, au sens où je la c
il ne semble pas possible de contester la réalité. Il y a donc une
mémoire
des mouvements musculaires, comme une mémoire d
té. Il y a donc une mémoire des mouvements musculaires, comme une
mémoire
de chacun des sens ordinaires, et c'est à cette
comme une mémoire de chacun des sens ordinaires, et c'est à cette
mémoire
du sens musculaire que l'on doit rattacher les
'est à cette mémoire du sens musculaire que l'on doit rattacher les
mémoires
des mouvements de la pa- role et de l'écriture.
ne con- naissons la localisation d'aucune de ces trois dernières
mémoires
; mais ce n'est pas une raison pour en nier l'ex
une nouvelle preuve de la diffé- rence de siège des deux ordres de
mémoire
qui nous occupent, j'ajouterai que l'on a pu co
qui ne peuvent pas s'en- tendre parler, se reprennent aussi ; leur
mémoire
des mouvements de la parole a donc fonctionné c
ments de la parole a donc fonctionné correcte- ment, alors que leur
mémoire
des impulsions orales fonctionnait d'une façon
at défectueux de leur articulation; chez ceux-ci le plus souvent la
mémoire
des mouve- ments de la parole est conservée, al
méd. du système nerveux. Paris, 1886. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE.
mémoire
des mouvements de la parole (écholaliques de Vo
ace, quand par suite ces caractères sont tracés par moi sans que la
mémoire
des impulsions gra- phiques soit entrée en acti
s caractères ainsi tracés : il y a dans ce cas fonctionnement de la
mémoire
des mouvements de l'écriture avec repos de la m
nnement de la mémoire des mouvements de l'écriture avec repos de la
mémoire
des impulsions graphiques. Le cas de Marcé, déj
des mouvements de l'écriture avec fonctionne- ment persistant de la
mémoire
des impulsions gra- phiques. On en trouve d'aut
exemples dans les au- teurs. Enfin le fonctionnement conservé de la
mémoire
des mouvements de l'écriture en l'absence de mé
1. Il me semble pouvoir conclure de cette discussion : 1° que la
mémoire
des mouvements de la parole est distincte comme
a parole est distincte comme fonction et comme localisation de la
mémoire
des impulsions orales; 2° que le centre de Broc
e des impulsions orales; 2° que le centre de Broca mérite le nom de
mémoire
des impulsions orales et non celui de mémoire d
roca mérite le nom de mémoire des impulsions orales et non celui de
mémoire
des mouvements de la parole; 3° que la mémoire
es et non celui de mémoire des mouvements de la parole; 3° que la
mémoire
des mouvements de la parole, dont la localisati
portion distincte du terri- toire cérébral affecté à cette dernière
mémoire
; 4°qu'il 1 y a donc, en résumé, trois centres c
ionnement du centre des im- pulsions orales : c'est le centre de la
mémoire
des mouvements de la parole. Grâce à cette co
pas trace d'atrophie, nutrition satisfaisante. L'intelligence et la
mémoire
paraissent intactes ; les sens ne présentent rien
DE FRIEDREICH ; Par Peul BLOCQ, interne des hôpitaux. Le premier
mémoire
de Friedreich consacré à la détermi- nation de
rareté (cinq cas sur cent cinquante). 11 rapporte cependant dans ce
mémoire
trois observations de Paranoia secondaire dével
se sont le plus occupés de l'étude de la Paranoia. Dans un premier
mémoire
, Buccolal (1882) reprend l'étude des délires sy
délire sont nettement étu- diées. Mais le point le plus original du
mémoire
est la classi- fication. Les auteurs admettent
1883. Archives de physiologie normale et pathologique, 1884) et du
mémoire
d'Eisenlohr'. 1. P. K. Voy. Archives de Neurolo
ique est 2 4 ! e SOCIÉTÉS SAVANTES. peu fondé : Il admet dans son
mémoire
une classe de persécutés persécuteurs (ils le s
a maison de ses ascendants ou de ses descendants. Or. si j'ai bonne
mémoire
, le Gouvernement nous avait fait à l'origine un
disparu ; on l'a envoyé à l'école où il apprenait passablement; la
mémoire
était assez bonne; il était doux et affectueux, m
pas de miction in- volontaire ; pas de folie. L'intelligence et la
mémoire
n'au- 326 CLINIQUE NERVEUSE. raient pas dimin
plusieurs fois par jour, ne pro- duisirent aucune diminution de la
mémoire
, mais la perversion des instincts, dont Grand..
ils durèrent trois quarts d'heure sans perte de connaissance. La
mémoire
a diminué depuis deux ans ; le caractère n'a pa
érêt. Ce malade, comme l'a trèsbien démontré Baillarger, dans son
mémoire
de 1843 'avait conservé son intelli- gence, mai
alors s'expliquer cela par l'intégrité et le développe- ment de la
mémoire
des images écrites, qui suppléait en quelque so
de la mémoire des images écrites, qui suppléait en quelque sorte la
mémoire
des images orales ; ici il est impossible d'adm
ans la première de ces langues, et par suite il ne saurait avoir la
mémoire
de ses images écrites. Je conclus delà que, si
ant S...-L... (Gard); bonne santé habituelle, intelligence intacte,
mémoire
bien conservée; tempérament lymphatico-sanguin
es orales était suppléé parle centre des images écrites, puisque la
mémoire
des images écrites, assez peu développée chez e
tégrité du langage oral on aurait pu invoquer la suppléance de la
mémoire
des images graphiques, l'imagination orale étai
faits la surdité verbale ne résulte d'une atteinte du centre de la
mémoire
des images orales (m p, fig. 4). Elle ne résult
et ne serait-ce que comme moyen commode de fixer facilement dans la
mémoire
les dif- férents types cliniques de la surdité
d'un point quelconque du trajet P a efmo IV entraîne la perte de la
mémoire
des mou- vements de la parole ; - quand cette l
mots consécutive à leur arttculation·1 - Le centre mé représente la
mémoire
des images écrites, communiquant, avec l'entend
ormaux. - Le malade est suffisamment intelligent, conserve toute sa
mémoire
; mais a une certaine tendance à pleurer et surt
is les travaux de Morel, nous ne rencon- trons sur ce,sujet que des
mémoires
isolés, décrivant des formes vésaniques qui. ma
re des persécutions de Legrand du Saulle ' (1873), amplification du
mémoire
de Lasègue sur le même sujet. Ce délire, nous l
E NERF OPTIQUE; par DE Monakow (Arch. f. Psych., XVI, 2). Fin des
mémoires
dont nous avons publié l'analyse en bloc'. D'ab
s. Douze cas de tabes dont six ob- servations sont décrites dans le
mémoire
. On en a examiné parti- culièrement : 4° les fi
e de la commis- sion du prix Esquirol, ayant eu entre les mains les
mémoires
du Concours, il s'est aperçu que l'un des candi
ès avoir salué l'assis- tance, consacre quelques paroles émues à la
mémoire
du docteur de GuDDKN ; les membres présents se
rstitielle; par le Dl DuGUET. Paris, 4886, Steinheil, éditeur. Ce
mémoire
repose sur l'étude de trente-quatre observations
facultés intellectuelles assez brillantes. D'autres sont doués d'une
mémoire
étonnante ou manifestent des dispositions excepti
ns. il étail considéré routine tin petit prodige, nais depuis lors sa
mémoire
autrefois remarquable n a cessé de diminuer. Sa s
ère (notes de conduite) 4. De l'aiipb'cation, de l'attention, de la
mémoire
'ilotes de travail 5. Des sentiments affectifs
notique dont nous ferons prochainement connaître l'organisation. La
mémoire
des hypnotises. Nous recevons de notre éminent
aison île la Renie ijuini, un de vos collaborateurs, s'occupant de In
mémoire
'les hypnotisés, me cite el m'attribue, ainsi qu'
é, à la Salpèlriére même, j'ai ravivé riiez la fameuse W illinnnn, la
mémoire
des actions qu'elle avait exécutées à l'élat île
86 je publiais dans la Iterue philoxc-phique un article étendu sur la
Mémoire
des hypnotise.où, me fondant sur île nombreuses e
se concilier les bonnes grâces du maître spic de servir utilement sa
mémoire
, ont. dans leurs écrits, outrepassé- ses doctrine
'opposé, dans les organes iinpressifs et perceptifs des sens el de la
mémoire
: appliquant largement au sommeil et aux états an
ssez d'efforts d attention pourfaire réapparaître et associer dans sa
mémoire
les traces de perceptions qui s'v sont formées et
ce demeurant active et flottante dans le cerveau et principalement la
mémoire
et les sens, par l'effet de l'accumulation d'une
e, les mouvements de l'esprit de ceux qui rêvent, sans rester dans la
mémoire
au réveil, sont parfois logiques, raisonnables, a
s les sensations internes et externes et ilans les maltu-iaiix «le la
mémoire
: les premiers, inconscients on apparence, et con
r : d'où parfois par contre-coup «le la surexcitation des sens, de In
mémoire
et «le l'intelligence : les seconds, souvent cons
avec «le la force nerveuse encore resiée libre «lans les sens «¦! la
mémoire
, mais très diminuée «tans ces organes . d'où pres
s rêveries sont marquées encore par de l'exaltation des sens el de la
mémoire
; mais que ces dormeurs n'ont de sens et île conc
t la veille, tontes les fonctions psychiques de la sensibilité, de la
mémoire
, de l'intelligence et des mouvements volontaires,
élucidés encore, concernant des troubles de la personnalité ou île la
mémoire
. On peut dire que ce médecin a crée, par ses qu
re l'histoire très complète de la fameuse l'elida X... et beaucoup de
mémoires
fort intéressants sur divers sujets de psycho-phy
reux phénomènes d'impressions dans les sens et de perceptions dans la
mémoire
, preuve qu'à ce pole ils ne sont isolés qu'en app
leurs facultés impressives et perceptives : celles des sens et de la
mémoire
. Chez eux. de ce second côté comme du premier, le
on â me répondre; je remarquai qu'ils retrouvaient toujours dans leur
mémoire
, dès qu'on le leur suggérait, ces linéaments pris
à la volonté, qui. affaiblies, se reflètent ainsi dans les sens et la
mémoire
des dormeurs profonds, au pôle d'activité du somm
t en général peu marquées, puisqu'elles ne renaissent ensuite dans la
mémoire
que par suggestion, doivent s'effacer plus rite q
nt pour les autres idées qu'ils immobilisent tous les jours dans leur
mémoire
et qui y deviennent inconscientes, à inoins qu'il
t en moindre quantité qu'auparavant dans le cerveau et le champ de la
mémoire
, et par conséquent y étant nécessairement affaibl
épartie partout ailleurs dans l'organisme. J'ai souvent parlé de la
mémoire
. Est-ce que les nombreuses ¡dees qu'elle contient
entes, les idées suggérées restent en arrét, immobiles au foyer de la
mémoire
, en attendant qu'elles s'ébranlent enfin elles-mê
sairement aussi à noire insu, mais comme avec une intelligence et une
mémoire
à elles, dans ce foyer commun, le cerveau, à côté
ent naissance dans les points du svslème nerveux et du corps, sens et
mémoire
, où par contre-coup, depuis l'entrée en sommeil,
ce nerveuse d'attention dans le domaine îles sens et dans celui de la
mémoire
. Ce rêve est moins intellectuel, et moins automat
ont presque toujours été. en tout, tirésdu magasin inépuisable de la
mémoire
. Très rarement, comme on va le voir, ils ont pris
cet état? Chez moi. les sens cèdent nécessaireinent ici la place à la
mémoire
toujours bien fournie d'idées. Autant que j'ai
urtout intellectuels et de ne laisserait réveil pas de traces dans la
mémoire
, etc., mes rêves sont incohérents, et leurs souve
ages, qui servent à composer mes rêves, ont reparu de nouveau dans ma
mémoire
, comme à la suite d'un éclairage soudain des obje
que excellent qui a le précieux avantage de remettre toute l'œuvre en
mémoire
et surtout de donner à la philosophie de Tolstoï
2 et 3. p. 312 à 334.) A. BINET et V. HENRI. — La Simulation Je la
mémoire
. (Revue Scientifique. 10 juin 1898.) W. r. BECH
die chaque lois avec des matériaux imagés peu nombreux gravés dans ma
mémoire
lors de ces époques, mais mêlés avec de nombreux
s images qui, de ces époques, se sont reproduites dans mon esprit, ma
mémoire
ail été plus allaiblic pour le rappel de celles d
. a déjà constaté dans son livre sur le Sommeil et (es Hêves 1 que la
mémoire
tient plutôt à l'énergie de l'impression première
le, qu'au temps écoulé et qu'à la faculté spéciale de se souvenir. La
mémoire
ne garde-t-elle pas le tableau de ses impressions
u de profondeur? Mes rêves se sont le plus souvent représentés â la
mémoire
dès le réveil, contrairement à ce qui arrive chez
uit qui se sont effacés le plus souvent et le plus complètement de ma
mémoire
et cela dans les proportions suivantes, ainsi que
a propriété de rendre plus fidèle une faculté aussi importante que la
mémoire
. Pour en finir, j'ajoute que les rêves de secon
es de la pensée de la veille, pensée se reflétant dans le champ de la
mémoire
. Sauf des proportions différentes dans l'intensit
ans ce qu'il reste encore de force nerveuse libre dans les sens et la
mémoire
. Et c'est par suite de la dissociation de la pens
actif de la pensée, la finesse des sens et riiupressionuabilité de la
mémoire
qui ont été reconnues dans le sommeil le plus pro
conscientes les perceptions nombreuses qui se font à son insu dans la
mémoire
ou qui y sont déjà gravées. Est-ce A dire que,
le champ du ressouvenir, à en juger par certains somnambules dont la
mémoire
est prodigieuse, et par quelques remémorations qu
s par an) et très douloureuse. Caractère emporté. Emotivité exagérée.
Mémoire
et volonté très faibles. Il y a quatre ans elle
es sont également touchées. Il faut noter une réelle diminution de la
mémoire
. L'n des malades avait oublié trois langues sur q
son sujet en ait connaissance au réveil, alors qu'il en retrouvera la
mémoire
fidèle et précise dans une nouvelle phase som-nam
ntent les même phénomènes d'amnésie, avec intermission complète de la
mémoire
au moment où ils se réveillent. Vienne une autre
s ignoraient à quelques minutes d'intervalle. La reviviscence de la
mémoire
est donc aussi la même pour tous les deux. Je m'a
aire et de plus logique ? Ce qu'il exerce surtout, ne scmil-ce pas sa
mémoire
et un flair développé par l'habitude ? Loin d'êtr
Emotmté exagérée, il pleure à la moindre observation qu'on lui fait.
Mémoire
, intelligence, volonté assez bonnes. Son état gén
amélioration considérable. L'éducation des éplleptiqnes. Dans un
mémoire
sur ce sujet, lu en présence de l'Association des
bles des nerfs, il faut que l'épileptique retienne sans cesse dans sa
mémoire
deux mots qui devraient toujours être unis ensemb
suite, de l'éducation spéciale a l'épileptique. (Médical Record.)
Mémoire
visuelle. M. Paeelti signale, dans la Riforma m
ion d'un jeune épileptiquc. d'intelligence débile, qui est doué d'une
mémoire
prodigieuse, d'origine visuelle. A peine a-t-il r
nsidérée dans ses rappris avec les actes. avec l'attention et avec la
mémoire
, mais les étroites limites qui me sont imposées m
nt organisées et automatiques apparaît la conscience sous la forme de
mémoire
, raison, sentiment et volonté. Considérons seulem
des délits et crimes par suggestion hvpnotiquc a été renforcée par un
mémoire
lu par le juge Dalley, de New-York, au Congrès de
depuis leîGtl dans les Archives générales île médecine, les nombreux
mémoires
qu'il avait communiqués â la Société médico-psych
lus complexes. Sensations, idées, associations, réflexion, attention,
mémoire
, raison, délibération, volonté, présence d'esprit
nément, M. le Dr Dupon-chel (2) publiait dans la Revue de médecine un
mémoire
dans lequel il démontrait le rôle considérable jo
assez rite un répertoire où il n'a, en quelque sorte, qu'à puiser de
mémoire
pour être fixé sur ce que l'on veut de lui. Le
es. qu'il a pu étudier utilement la scission et la reviviscence de la
mémoire
l:ins les états de veille et d'hypnose. Dans le
tte délibération où ont pris place une foule de faits d'attention, de
mémoire
, de réflexion, d'imagination, de raison. Celte dé
doubles et taisaient concurrence au Christ. La Bible nous conserve la
mémoire
d'un d'entre eux évangile selon saint Marc. chap.
19 fevrier 1894.. — Présidence de M. Dumontpallier (Suite.) De la
mémoire
dans le somnambulisme provoqué Par M. le Dr Jea
s attirer l'attention de la Société : quels sont les caractères de la
mémoire
dans le somnambulisme provoqué et que faut-il ent
tres, l.uys et bien d'autres ont cru pouvoir représenter l'état de la
mémoire
pendant le somnambulisme par les 3 propositions s
emment en somnambulisme. Jusqu'ici nous avons envisagé l'élat de la
mémoire
chez des sujets endormis ou non. sans leur avoir
ques, disait notamment : « En me basant sur les modifications de la
mémoire
suivant l'état de guérison ou de maladie, sur le
e l'eust faict son grand scneschal. » « Un jour, dit Bussy dans ses
mémoires
, les maréchaux d'Albret et de Clérambaul, Françoi
chaque fonction, et le soir venu il en fait autant. .Se défiant de sa
mémoire
, il a une feuille ou un carnet bourrés de notes s
notes sur sa vue, son appétit, son pouls, ses sueurs, ses urines, sa
mémoire
, ses souffrances, ses ascendants, il a toujours p
. Aussi n'en finit-il pas de ses descriptions assommantes, véritables
mémoires
écrits sans ordre, au caprice de ses sensations,
ilà bien sa caractéristique, accompagnée du défaut de confiance en sa
mémoire
, en son intelligence et d'une impossibilité absol
oui d'une vogue aussi inattendue qu'éphémère. Nous rappellerons, pour
mémoire
, les préparations souvent dangereuses, a base de
les modes les plus divers dans les faits de : sensation, perception,
mémoire
, imagination, raisonnement, pensée, etc. Celle
férenciation plus complète de l'organisme, l'instinct, l'habitude, la
mémoire
, et tous les phénomènes de sensibilité interne qu
s réciproques. » C'est le phénomène intellectuel avec ses attributs :
mémoire
, jugement, volonté, pensée, etc., sur lequel je n
invités à adresser à l'avance au secrétaire général le litre de leurs
mémoires
ou communications. Comme les années précédentes
ue, 120. Maladies et hygiène des gens nerveux, par Gélineau, 256.
Mémoire
des hypnotisés (la), 29. Mémoire visuelle, 190.
gens nerveux, par Gélineau, 256. Mémoire des hypnotisés (la), 29.
Mémoire
visuelle, 190. Mémoire dans le somnambulisme pr
u, 256. Mémoire des hypnotisés (la), 29. Mémoire visuelle, 190.
Mémoire
dans le somnambulisme provoqué (de la), par Jean
e nocturne traité par suggestion, 13. Somnambulisme provoqué (de la
mémoire
dans le), 301. Somnambulisme (un cas de), par C
IQUE 24e Année. — N° 1. Juillet 1909. BULLETIN Un monument â là
mémoire
du pMftjj^fc/Liégeois. — Le banquet de la Société
après des trauniatismes psychiques. Cette considération me remet en
mémoire
une discussion peu banale survenue il y a quelque
illesse, qu'il lut à l'Académie des sciences morales et politiques un
mémoire
sur « La suggestion hypnotique dans ses rapports
d'agitation pendant la nuit. Il accusait une grande diminution de la
mémoire
, la perte de la capacité de travail, qui autrefoi
e dessin a été détruit et le souvenir en a disparu actuellement de sa
mémoire
. Dans ces conditions, me rapportant à d'autres fa
ut ce que je vous dirai. Mon intention, pour remettre au jour de sa
mémoire
consciente ce qui avait existé dans son cerveau i
t les temps les plus récents, qui s'effaceront momentanément de votre
mémoire
à mesure que vous passerez dans des jours plus an
exactitude absolue les différents points que je vais rappeler à votre
mémoire
. Vous connaissez les défauts qui existent dans
gnale des détails insignifiants qui étaient complètement sortis de sa
mémoire
: une bicyclette appuyée sur le quai de la gare,
n état profond d'hypnose, que pour le procédé de rétro-gression de la
mémoire
qui peut être utile dans certains cas. L'anesth
ientèle qui ne veut plus souffrir. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE La
mémoire
chez Napoléon, Cuvier et de Candolle. On racont
reur avait le cerveau merveilleusement construit, que les cases de sa
mémoire
étaient méthodiquement remplies comme l'armoire d
ies avec celle de Napoléon. « Chez lai. dit Alphonse de Candolle (1),
mémoire
était basée sur l'esprit de classification. Je pu
prouver par une anecdote. Mon père le félicitait nn Jour de sa grande
mémoire
. Cnvler lui dit : « Mais c'est tout simple ; n'av
isque nous sommes sur ce chapitre tant rebattu et toujours neuf de la
mémoire
, je venx encore citer deux faits authentiques et
on de l'abbé Morellet ponr l'avoir entendu denx fols. Les exemples de
mémoire
extraordinaire ne sont pas rares, mais c'est l'au
sorte * que ceux qui l'entendaient le prenaient pour un insensé. » (
Mémoires
de S'" Thérèse). N'était-il pas l'un de nos alg
es nmis et les élevés du Pr a. Giard. désireux de rendre hommage à sa
mémoire
, ont constitué, sous la présidence de M. Malassez
e caractère, il s'est placé dans les premiers rangs de ceux que notre
mémoire
fidèle a voués au culte du souvenir. Mon pauvre
r Liégeois, à Bains-les-Bains L'inauguration du monument élevé à la
mémoire
du professeur Liégeois a eu lieu à Bains-les-Bain
t, dû au talent de M. le sculpteur Bussières. et élevé sur place à la
mémoire
du regretté savant, donne satisfaction au désir d
paru, conçurent le projet d'élever un monument destiné a perpétuer sa
mémoire
près de la place même où il fut tué. Un comité
dit avant moi. mais je me restreindrai à rappeler brièvement a votre
mémoire
ses titres et qualités sous le triple rapport d'h
l'Ecole de Nancy, il en fut le plus fidèle collaborateur. Dans son
mémoire
sur la suggestion hypnotique dans les rapports av
orbonne. Messieurs. J'ai désiré m'associer à l'hommage rendu à la
mémoire
du profosseur Liégeois. Je laisse a d'autres le
e, à l'appui des savants étrangers dont les noms sont dans toutes les
mémoires
. Dans cette période initiale a laquelle je vien
-les-Bains. je viens recevoir le monument érigé dans notre parc, à la
mémoire
du professeur Liégeois par de nombreux savants fr
qui en font leur aliment ? Et. dit un Attalus en « Sénèque. que la
mémoire
de nos amis perdus nous agrée, comme « l'amer au
grand pourvoyeur des souvenirs, il va de soi que chez nos anormaux la
mémoire
est fuyante, infidèle, et que les impressions pas
ormations, si, de par ce mystérieux agent, la raison, le jugement, la
mémoire
sont abolis ou diminués, si l'hypnotisé, dans cer
umettre, en 1884. à l'Académie des sciences morales et politiques, un
mémoire
sur : « la suggestion hypnotique dans ses rapport
révéla bientôt, péremp-toire. Quatre ans après, Liégeois fit de son
mémoire
un livre, portant comme -titre : * De la suggesti
it universel. C'est à ce titre que je salue cette grande et vénérée
mémoire
. TRAVAUX ORIGINAUX La psychothérapie et les m
uels les plus élémentaires de philosophie le mentionnent encore, pour
mémoire
. Binet-Sanglé écrit qu'il deviendra un « antidé
es de l'erreur judiciaire fournira une nouvelle occasion d'évoquer la
mémoire
du savant inspirateur que fut le professeur Liége
ur nous, l'occasion de rendre un nouveau témoignage d'admiration à la
mémoire
du maître regretté. Cette année, l'enseignement
ce cas ne sont plus à prouver ; je me contente de les formuler, pour
mémoire
: 1° Les rêves spontanés peuvent avoir une impo
on de cette projection peut ne pas être enregistrée exactement par la
mémoire
, et, dans ce cas, il y a déplacement de la projec
-être de ce que l'endroit marqué ne reste pas assez nettement dans la
mémoire
de l'expérimentée ou bien de ce que des impressio
ne raisonne pas, mais son cerveau est un merveilleux enregistreur, sa
mémoire
des sensations est extraordinaire. Le dressage mé
éd.-vétérinaire : Le dressage des animaux suite de discussion). Les
mémoires
extraordinaires La note récente du DT Callamond
es mémoires extraordinaires La note récente du DT Callamond snr les
mémoires
extraordinaires de certains grands hommes m'a rap
de la Bible ou à peu près, môme snr les moins connue, pas nne fols sa
mémoire
ne s'est trouvée en défaut. Il commençait a récit
le nombre de secondes que vous aviez vécu a l'heure présente, etc. Sa
mémoire
fonctionnait comme une machine absolument sûre. O
nt a la question, je leur serais reconnaissant de signaler les cas de
mémoire
vraiment extraordinaire qui pourraient être parve
emis no professeur Teissier un livre Jubilaire contenant soixante-dix
mémoires
originaux et Inédits, rédigés à cette occasion pa
royale de Londres refusa de publier comme « peu scientifique >, le
mémoire
de Joule qui contenait la détermination de l'Equi
blables. Lorsque Franklin présenta à la Société royale de Londres son
mémoire
sur les paratonnerres, personne ne le prit au sér
populaire considère avec raison, de même qu'elle fait pour certaines
mémoires
exagérément cultivées, comme l'ennemie du jugemen
Van Eenterghem (d'Amsterdam), s'organisa pour élever un monument à la
mémoire
du maître regretté. L'inauguration en fut faite
ui de Liébeault. nous aurons la satisfaction de rapprocher dans notre
mémoire
deux savants qui furent si glorieusement unis dan
rs du concours de l'agrégation de 190S, porté aux pouvoirs publics un
mémoire
résumant les revendications du Corps médical, mém
oirs publics un mémoire résumant les revendications du Corps médical,
mémoire
demandé par le Ministre et resté sans réponse.
il représente ta sélection. . Comme le dit il. Eené Worms. dans un
Mémoire
qui vient de paraître et qui confirme de tous poi
e champ dit la conscience perd sa limpidité et semble se rétrécir, la
mémoire
commet des infidélités regrettables, l'attention
assassin. — La psychologie peut-elle être utile h la justice ? Les
mémoires
extraordinaires C'est surtout parmi les gens d'
urtout parmi les gens d'Eglise que l'on rencontre des hommes doués de
mémoires
extraordinaires. Clément VI, qui fut d'abord béné
bord bénédictin, puis évêque d'Arras, étonna ses contemporains par sa
mémoire
prodigieuse. H avait appris el retenu tout ce qu'
possible d'apprendre de sou temps, et Pétrarque a fait l'éloge de sa
mémoire
. s Un autre érudit dout la mémoire fit l'étonne
t Pétrarque a fait l'éloge de sa mémoire. s Un autre érudit dout la
mémoire
fit l'étonnement de ses contemporains, fut le bén
fit l'étonnement de ses contemporains, fut le bénédictin Mabillon. La
mémoire
de ce religieux s'exerça surtout dans le domaine
les questions se rattachant a l'histoire religieuse. D'ordinaire la
mémoire
des gens d'Eglise est plutôt une mémoire de mots
religieuse. D'ordinaire la mémoire des gens d'Eglise est plutôt une
mémoire
de mots qu'une mémoire d'érudition. Cela tient à
re la mémoire des gens d'Eglise est plutôt une mémoire de mots qu'une
mémoire
d'érudition. Cela tient à ce que, dans les sémina
ent vous être signalés. On peut se demander si le développement de la
mémoire
des mots, poussé a un tel point, est de quelque u
ilité pour cenx qnl en sont donés. Un très Lecteur. A propos de
mémoires
extraordinaires, mon excellent ami le D' Charpent
ndement. Je serai heureux de recevoir de nos lecteurs les exemples de
mémoires
extraordinaires qui pourraient parvenir à leur eo
n engourdissement très accentué. Ils ont une volonté défaillante, une
mémoire
accidentellement fragile, des compromissions de c
a pour lui une source de douces consolations, s'il a conservé dans sa
mémoire
un agréable souvenir de ses années disparues. Xou
s, qne, malgré toute leur absurdité apparente-, le malade garde en sa
mémoire
et trouve intéressants sans qu'on sache pourquoi.
conscient. Après un certain nombre de sollicitations s'adressant à la
mémoire
et .ayant pour but de provoquer le souvenir de la
sations a M. le Dr Faroz, 1SJ, boulevard Haussmann. Quelques cas de
mémoires
extraordinaires C'est avec raison que votre cor
les prêtres et les religieux que l'on a rencontré des sujets doués de
mémoires
très développées. Aux noms qu'il a cités, il aura
rapprochée de nous, considéré comme un phénomène pour la prodigieuse
mémoire
dont il était doué. Né a Bologne en 1771 et mort
développement des plus hautes facultés de l'esprit. J. B. ' à La
mémoire
qui permet aux officiers de retenir tris rapideme
fille et fait des rêves de bonheur, le souvenir honteux reparaît à sa
mémoire
. Il se croit corrompu, honni, indigne de l'amour
ui obéit sans raisonnement. Ce qu'il faut lui reconnaître c'est une
mémoire
prodigieuse des impressions reçues. Les chemins p
ent d'après des sensations qu'il ne peut oublier. M. Béhillox. — La
mémoire
, la snggestibilité et l'association des idées son
cs à l'effet de récompenser ceitalns travaux snr l'homosexualité. Les
mémoires
devaient démontrer qne cet instinct dévié constit
s de l'ouvrage que M. Piéron vient de publier sur l'Evolution de ta
Mémoire
par M. le Dr Brldou i Dans nos articles précé
Le bel ouvrage que M. Piéron vient de publier sur Y Evolution de la
Mémoire
prfite un heureux appni à notre thèse ; et les qu
ysiologie, de l'esthétique et du bon sens. Dans son Evolution de la
Mémoire
, M. Piéron se rallie virtuellement à cette méthod
du devenir physique esthétique et mental. Dans son évolution de la
mémoire
, M. Piéron subordonne franchement les aptitudes c
M. Piéron subordonne franchement les aptitudes conservatrices, de la
mémoire
? la tendance critique et novatrice de la synthès
de l'avoir pratiquée aussi franchement dans sa précieuse étude de ta
mémoire
. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Prési
n M. Demoscht. — Un des procédés les plus capables de fixer dans la
mémoire
les détails anatomiques c'est de faire le modelag
. p. 221. Magnétiseur et exercice illégal de la médecine, p. 286,
Mémoire
chez Xapoléon, Cuvier et de Candolle, p. 32. Mé
ine, p. 286, Mémoire chez Xapoléon, Cuvier et de Candolle, p. 32.
Mémoires
extraordinaires, p. 1911 287, 320. Méthodes p
Monoplégie du membre supérieur, par Lupianez, p. 155. Monument à la
mémoire
du professeur Liégeois, p. 1. Morphinomanie (Le
ficiel de la Société d'hypnologie et de psychologie, qui y publie ses
mémoires
et les comptes rendus de ses séances. — Un exempl
de l'accouchement. La même année il obtenait le prix Montyon pour un
mémoire
sur le même sujet. Nommé chef de clinique à la Fa
taux. En 1875, il obtenait un prix à l'Académie de médecine pour un
mémoire
sur l'étude Des anomalies de l'éruption vaccinale
thérapeutique. En 1882, il présentait ù l'Académie des sciences des
mémoires
sur L'hypnotisme et l'hystérie, et à l'Académie d
notisme et l'action de divers agents physiques dans l'hystérie. (Deux
mémoires
présentés à l'Académie des Sciences avec M. Magni
aractère pour l'affirmer. Dumontpallier eut ce courage dans plusieurs
mémoires
à l'Académie des Sciences, il l'eut dans son serv
ite et reproduite à satiété dans nombre de livres, de brochures et de
mémoires
, et bien qu'appuyée d'une démonstration des plus
la manière dont un mot doit s'écrire, et après d'inutiles efforts de
mémoire
, je me déclare incapable de m'en sortir. Mais je
ume ! Ce qui a levé ma difficulté, ce qui est venu au secours de ma
mémoire
défaillante, c'est une pensée qui a dirigé ma mai
er sa collaboration assidue. Chaque année, nous avons reçu de lui des
mémoires
originaux ayant trait à toutes les questions qui
troupe, il avait débuté par être simple artilleur; mais, pourvu d'une
mémoire
heureuse, travailleur, bon soldat, il franchit un
découverte du mécanisme de la régularisation thermique et dans divers
mémoires
sur la respiration, te travail musculaire, l'infl
luence de l'alimentation, l'influence de la volonté sur les échanges,
mémoires
d'un très grand intérêt publiés de 18S6 à 1891, d
faites par lui. M. Charles Richet est encore l'auteur de plusieurs
mémoires
importants : sur les effets physiologiques et psy
, alors qu'il était interne de Le Fort, à l'hôpital Beaujon. Dans son
mémoire
, M. Richet formulait déjà les propositions suivan
cinations rétroactives. Si l'on pense que de ces hallucinations de la
mémoire
peuvent résulter de faux témoignages, on ne compr
es sujets avaient été réellement témoins. 2° Des déformations de la
mémoire
, c'est-à-dire des souvenirs faussés, représentant
ribuant les actes à d'autres auteurs, etc.). 3° Des illusions de la
mémoire
, portant sur l'appréciation de la durée, et altér
s. 5° La possibilité de provoquer les phénomènes d'altération de la
mémoire
aboutissant à la constitution d'un faux témoignag
nce que le sujet n'a pas conscience des faits qui sont gravés dans sa
mémoire
, ils ne doivent pas non plus nous arrêter longtem
arrêter longtemps. Dans une étude que nous avons faite ailleurs de là
mémoire
, nous avons vu autrefois que nous possédons dans
urs de là mémoire, nous avons vu autrefois que nous possédons dans la
mémoire
une foule de choses dont nous n'avons pas conscie
lieu à des actes sans môme que nous ayons conscience du réveil de la
mémoire
. Les faits de la troisième catégorie ne sont en
eur de sa situation scientifique devraient suffire à mettre sa grande
mémoire
à l'abri de telles insinuations. Quand l'imaginat
céphalée continuelle, en casque, avec instabilité très notable de la
mémoire
et de la volonté ; sensation horriblement pénible
uisse produire une amnésie tout au moins passagère, une éclipse de la
mémoire
, c'est un fait que l'expérience journalière perme
C'est en vain que nous cherchons à réveiller quelque souvenir : la
mémoire
n'a pas conservé le moindre vestige des événement
peler comment il est parti de chez elle, et, à dater de ce moment, la
mémoire
lui fait complètement défaut. Il ne peut plus se
y est arrivé. Il s'est trouvé en prison et, à partir de ce moment, sa
mémoire
le sert un peu mieux. Il raconte assez bien sa vi
ait pas trop ce qu'il dit. Le lendemain, tout cela laissait dans sa
mémoire
une lacune profonde et il ne pouvait se souvenir
ait dès sa jeunesse des abus de boisson. Il se plaignait de perdre la
mémoire
pendant ses accès et ensuite, il avait besoin qu'
livre de suite à ses occupations, les traces légères laissées dans la
mémoire
par l'activité subconsciente du sommeil sont irré
destinés à l'enseignement du français et du latin un grand nombre de
mémoires
qui ont paru pour la plupart dans la Revue de V I
citation suivante : « Dans cet ouvrage, antérieur a la publication du#
Mémoire
de Hicmann et aux travaux de Helmoltz et de Boltr
ême : Pourquoi moûrôni'-noùs ? Revue philosophique, 1891, I, 243.
mémoire
sur cette question : Pourquoi mourons-nous ?x II
e et la liberté. C'est une tentative de ce genre qu'il afaitedans son
mémoire
sur La liberté et ses effets mécaniques, communiq
ntifique3, dans la Revue philosophique4 des notes à l'appui d'un gros
mémoire
, « tout hérissé de formules savantes et de réflex
ique avec l'existence de la vie et de la liberté morale ; extrait des
Mémoires
de la Société des Sciences, de l'Agriculture et d
urant passe donc par les cellules visuelles, puis par les cellules de
mémoire
tactile avant de devenir centrifuge. C'est ce qu'
eur de sa situation scientifique devraient suffire à mettre sa grande
mémoire
à l'abri de telles insinuations. Quand l'imaginat
'est pas celui qui a conquis, par la faveur ou par des exercices « de
mémoire
, le plus de titres ou de galons, mais celui qui r
du cours d'ophthalmo-logie à la même Université2. Le premier de ces
Mémoires
contient le récit d'expériences faites par Delbœu
rdinaire ment rapide. Cette expérience, et d'autres encore, dont le
mémoire
cité donne les détails, ont conduit l'auteur à ce
re, à Paris, devant l'Académie des sciences morales et politiques, un
Mémoire
sur la Suggestion hypnotique dans ses rapports av
. J'ai ensuite repris et développé ce sujet dans un ouvrage plus 1.
Mémoire
cité, p. 36. 2. Extrait des Bulletins de l'Acad
'Académie des sciences morales et politiques, 1884, i. CXXII, p. 155:
Mémoires
de l'Académie de Stanislas, de Nancy, 1884, 5e sé
de cette entière bonne foi, je rappellerai seulement que, au cours du
Mémoire
ci-dessus rappelé, il reconnaît pourtant, « dans
propos d'un cas de manie homicide, guéri par suggestion, 200 ; 15° La
mémoire
che% les hypnotisés. VII, 29; 16° Deux cas de d
ntration, les vérités fortifiantes et élevées se graveront dans votre
mémoire
à un degré beaucoup plus profond que sur la surfa
isme : illusions, hallucinations, variations de la personnalité. — La
mémoire
dans les états hypnotiques : amnésies, hypermnési
ypnotisme ; mais que, si les mêmes individus étaient réhypnotisés, la
mémoire
perdue revenait spontanément, dans le plus grand
es plus particulièrement sujet ? 6. — D'une manière générale, votre
mémoire
est-elle : Bonne ? Médiocre ? Mauvaise ? 7. —
vous fûtes le plus sujet au phénomène de fausse reconnaissance, votre
mémoire
était-elle meilleure, ou plus mauvaise qu'elle n'
rs quelle époque, par rapport à l'apparition des phénomènes de fausse
mémoire
? 27. — Pouvez-vous provoquer l'apparition des
l'ignorance du danger (?). Tout ce qui diminue la perception et la
mémoire
peut occasionner la bêtise temporaire. L'homme
séance dans laquelle il a émerveillé ses auditeurs par sa prodigieuse
mémoire
et par son étonnante puissance d'effectuer mental
trois chiffres : pendant deux minutes, il s'efforce de fixer dans sa
mémoire
tous ces énoncés, puis il fait mentalement et suc
ours d'aucun tableau noir ou d'aucun papier, parvenir à fixer dans sa
mémoire
de longues séries de chiffres et à effectuer de s
M. Diamandi ne tarde pas à posséder, très profondément gravés dans sa
mémoire
, tous les nombres qu'on lui a proposés. Dès lors,
visuelles, mais sous forme d'images auditives qu'il les fixe dans sa
mémoire
; ce qu'il retient, c'est le son de sa propre voi
ide d'images sonores qu'il calcule mentalement sur les nombres que sa
mémoire
vient d'enregistrer. On voit donc que « l'image
ar exemple, le dixième chiffre d'un nombre précédemment acquis par la
mémoire
., le visuel apercevra aussitôt ce chiffre sur son
des variations parfois considérables (1). En outre, pour apprendre de
mémoire
ou pour calculer mentalement, il se prend la tête
e davantage ; il peut utiliser à des œuvres intelligentes fécondes sa
mémoire
, peut-être moins facile et moins prompte, mais, à
décrivait l'hypnotique coma comme la période extrême dans laquelle la
mémoire
n'est pac ravivée dans les hypnoses suivantes.
.... Signalons encore un excellent chapitre sur la simulation de la
mémoire
des chiffres. Enfin, une étude très remarquable e
Lemesle, qui ne peut assister à la séance. M. le Dr Valentin Ht un
mémoire
de M. Marandon de Montyel sur deux cas de fausses
s qu'elle passa sur les bancs de l'école lui valut des éloges pour sa
mémoire
heureuse et son intelligence éveillée. Seules, un
les actions des autres. « 3° L'extraordinaire renouvellement de la
mémoire
qui leur permet de se souvenir de choses depuis l
e veille. « 4° Le remarquable effet de contact dans le réveil de la
mémoire
. a 5° La condition de double conscience et de d
ion durant le sommeil et n'être, par conséquent, que des effets de la
mémoire
rappelée, par certains contacts, aux idées qui y
s ou imprimés. Pour tout ce qui l'intéresse, cet enfant possède une
mémoire
prodigieusement facile et tenace qu'il applique t
d'Otto Pœhler. que vous révélez au jeune Otto se gravent dans sa
mémoire
d'une manière en quelque sorte indélébile : soit
mme d'un auxiliaire précieux, toutes les fois qu'il veut confier à sa
mémoire
quelque nouvelle connaissance. D'après tout ce
ion ; ce sont des images visuelles qu'il accumule et conserve dans sa
mémoire
, par exemple à la manière de Diamandi ; mais, tan
député français quelconque pour qu'aussitôt il vous fit connaître, de
mémoire
et sans aucune hésitation, la circonscription éle
'air niais et l'apparence extérieure d'un imbécile ou d'un idiot ; sa
mémoire
des chiffres était extraordinaire, mais, il était
on, sans doule merveilleuses, existent à peu près seules ; c'est à la
mémoire
et à une assez rudimentaire association d'images
compromises par le développement prépondérant et même exclusif de la
mémoire
; or, il importe qu'on ne les étouffe et qu'on ne
s encore c'est avec lui que nous fixions l'ordre d'apparition des
mémoires
originaux de toute provenance, la mise en page
ts, etc. (Laboratoire particulier pourtl'étude'desipliéuomènesde la
mémoire
et de l'attention). -- Professeur . 31. Sanfoéd,
développe l'hypothèse du rôle de l'hémisphère droit comme siège des
mémoires
,de,tous ordres, enregistrées par région selon les
Le passage à la démence secondaire s'annonce par des troubles de la
mémoire
et du jugement, une conscience imparfaite de la
monie digne des deux illustres aliénistes dont elle veut honorer la
mémoire
. M. JOFFROY propose de voter un crédit illimité
arras de la parole. Affaiblissement des facultés et notamment de la
mémoire
. Incapacité de se diriger. Excitation par inter
marqué chez lui d'idées de grandeur ou de ri- chesse. Perle de la
mémoire
surtout marquée depuis six mois, sa femme était
à cette époque son maître se plaignait beaucoup de ses absences de
mémoire
. Son caractère qui habituellement était très em
rend ses fonctions plus ou moins normales. Dans les cas avancés, la
mémoire
peut aussi faiblir. Les troubles de la sphère m
ant avallées, la fille demeuroit tran- quille en un moment, et sans
mémoire
de tout ce qui s'estoit passé; qu'elles ont tém
hique, caractérisée surtout par l'affaiblissement ou la perte de la
mémoire
et par un état général d'indifférence, et qui e
un peu arides, -sont le résumé de tableaux fort complets annexés au
mémoire
. Ils mon- trent combien est grande, en somme, l
l novembre 1893. Présidence de M. PELMAN. Le président consacre àla
mémoire
de MM. Cramer, HOESTERMANN et Charcot des parol
s amis, les admirateurs et en géné- ral tous ceux qui apprécient la
mémoire
de ce grand homme qui, par son enseignement et
général de la Seine et de la profes- sion médicale, pour honorer la
mémoire
de deux médecins émi- nents, qui ont laissé dan
'elle avait de fondamental. Dans le même ordre de recherches, son
mémoire
sur le mode de formation du cerveau et sa communi
ologique et physiologique. 154 varia. Que dire de son remarquable
mémoire
sur les hallucinations, auquel l'Académie de mé
és à la fin des deux volumes, donnent une idée d'ensemble de chaque
mémoire
, si bien 'que les questions les plus ardues dev
breuses. Parmi elles, celles qui se rapportent à des troubles de la
mémoire
, consécutives à des émotions morales sont en tr
in. méd.-psycla., 1874, t. XI, p. 350. ' Ribot. Les maladies de la
mémoire
, 8e édition, 1893, p. 69. ' Rouillai d. Essai s
sie, très étendue, et probablement à cause de cette faiblesse de la
mémoire
, dont elle avait conscience et dont elle souffr
athologie des émotions, 1892, p. 325. * Sollier. Les troubles de la
mémoire
, p. 188 et suiv. Souques. - Essai sur l'amnésie
idées de suicide. Mais ce qui est important à relever, c'est que sa
mémoire
était manifestement diminuée; elle en paraissai
y ait eu de la stupeur suivie de dysmnésie. L'affaiblissement de la
mémoire
a dû, bien que consé- cutif à l'accident, se dé
ouvenirs ». En d'autres termes, Je diagnostic de ces troubles de la
mémoire
pouvait se formuler de cette manière : Amnésie
in. Je n'ai jamais constaté de changement notable dans l'état de sa
mémoire
, si ce n'est qu'elle paraît s'affaiblir pro- gr
ntellectuels morbides de Mmo B..., c'est l'amnésie. L'étude de la
mémoire
de \Ie 13... doit comprendre trois parties : ét
s visuelles paraissent chez elle avoir été mieux conservées dans sa
mémoire
que les résidus des autres sensations. Mais cet
autre, attendu surtout qu'il n'y a pas eu de scission nette dans la
mémoire
de -M"10 B... L'exploration du champ de la mémo
on nette dans la mémoire de -M"10 B... L'exploration du champ de la
mémoire
postérieure à l'acci- dent est vite faite, car
que très peu nombreuses, restent dans certaines conditions dans sa
mémoire
; je reviendrai d'ailleurs là-dessus. Mais, en
période qui a suivi l'accident sont à peu près nuls; il y a dans sa
mémoire
une lacune énorme qui s'agrandit tous les jours
D'abord la plus grande partie de ce qu'on est convenu d'appeler la
mémoire
orga- nique n'est pas abolie, puisque la malade
usage plus fréquent, ils se sont plus profondément fixés dans sa
mémoire
. Etudier ce reliquat c'est circonscrire exactemen
es images visuelles semblent tenir une place considé- rable dans sa
mémoire
des signes du langage. Cela cadre d'ailleurs av
amour est enfant de Bohème (de Carmen). J'ai dit plus haut que la
mémoire
organique était en partie con- servée. Ainsi el
connus et les lieux qu'elle a habités, elle possède encore dans sa
mémoire
une foule de faits, notamment touchant le langage
elle se différencie d'une démente, malgré les lacunes énormes de sa
mémoire
et malgré surtout son incapacité radicale, absolu
e cite les vertes et les brunes. , J'expérimente alors l'état de la
mémoire
verbale. Je lui cite des mots familiers tels qu
ment conscience de sa situation mentale, et sait qu'elle a perdu la
mémoire
, ce qui la chagrine beaucoup. Sa susceptibilité s
la, à cause de mes questions qui mettent en lumière sa faiblesse de
mémoire
dont elle souffre, qu'elle se sou- met difficil
ce ne consiste donc pas simple- ment ± dans l'affaiblissement de la
mémoire
et demande (d'au- tres conditions psychologique
l est curieux de constater qu'avec un effondrement si complet de la
mémoire
et une faiblesse si grande du pouvoir de la rév
cas de ce genre quisurviennentchez des hystériques, la perte de la
mémoire
semble être définitive chez M018 B... et deveni
de fixer de nouveaux souvenirs. Ses caractères sont de respecter la
mémoire
organique et certaines connaissances rela- tive
un jour, c'est-à-dire existent-ils encore à l'état latent dans une
mémoire
inconsciente ? Cette dernière hypothèse n'est p
vateurs ont remarqué dans des cas analogues où les troubles de la
mémoire
, ordinairement transitoires et disparaissant à de
t. 'Il ' est probable qu'entre lé champ de l'amnésie et celui de-la
mémoire
, il doit exister une zone où les images sont de
ÉTRO-ANTÉROGRADE. 183 Quant à la cause objective de ce trouble delà
mémoire
, il faut, vraisemblablement, la voir dans une é
ement de la personnalité. En, d'autres termes, les élé- ments de la
mémoire
existeraient puisqu'on pourrait, par l'hypnotis
z bi ? 8... un dédoublement de la personnalité,, c'est-à-dire'de la
mémoire
, qui permettrait aux' souvenirs échappant actue
en- joint au dict Promotteur de luy remettre entre les mains les
mémoires
et, autres preuves qu'il pouvoit avoir; autre arr
il auroit esté ordonné au dict Salin de prouver incessamment sur
mémoire
et nommer les tesmoins qu'il entendroit faire ouy
t les renseignements fournis par l'examen clinique. Dans le présent
mémoire
l'auteur attire l'attention sur un mode de stat
n<)'a<6<. f. Ncr- ,venheiIA-. N. F., IV, 1893.) Suite au
mémoire
paru dans le même journal en 1881 (t. Vil), pro
xiste des condi- tions rendant probable l'infection antérieure ; ce
mémoire
permet même de dire chez toutes. Sans doute la
an- glion si reculé qui n'ait son nom et sa fonction probable. La
mémoire
, disséquée, se résout en mémoires partielles dont
on nom et sa fonction probable. La mémoire, disséquée, se résout en
mémoires
partielles dont chat > cune a son habitat. O
Nous pouvons percevoir des impressions, les emmagasiner dans notre
mémoire
, vouloir des actes sans que l'esprit ait la not
la somme des phénomènes .conscients. A côté de la sensation, de la
mémoire
, de la volition conscientes, il y a donc des se
e de l'ordre que nous avons donné et qui s'était emmagasiné dans la
mémoire
de la subconsciente. La subconscience est ainsi
ns visuelles, les caractères du délire qui est surtout un délire de
mémoire
, sa courte durée, la constatation de quelques-u
lisation par l'Etat. ' M. Roui3y lit sur ['alcoolisme en Algérie un
mémoire
dans lequel il établit que l'ivrognerie fait be
iculier Charcot pour la polynévrite alcoolique, par une perte de la
mémoire
mas- sive, écrasante, portant plus spécialement
électriques dont il s'occupait un peu avant son tirage au sort. La
mémoire
, du reste, n'est pas seulement atteinte; il y a c
sformer l'un dans l'autre et la persistance presque constante de la
mémoire
des actes accomplis, pendant l'un, dans l'autre
délire. Tout se réduit, chez la plupart, à l'affaiblissement de la
mémoire
, à la dissociation des idées; si le délire se s
tions heureuses sont survenues, les facultés se sont améliorées, la
mémoire
s'est affirmée plus nette, l'as- sociation des
dressés par lui à Paris. M. Bouchu dressa, en outre, une sorte de
mémoire
réca- pitulatif, en faisant état de toutes les
t que des réponses faites aux demandes que celui-ci prenait sur des
mémoires
écrits de la main de soeur Buvée. Malgré tout
304 HISTOIRE ET CRITIQUE. D'un autre côté AI. Legoux terminait un
mémoire
sur la possession par ces mots : . , « Par to
anthropologie; par P. NOEcrE. (Neiii,olog. (;eiiti-albl., 1893.)
Mémoire
résumant les diverses écoles à localisations et e
QUES. 319 violette), et basophiles (vert bleu), sont à lire dans le
mémoire
. De l'interprétation savante des substances col
plus tard, et l'on constate alors des troubles de la parole, de la
mémoire
et de l'intelligence qui ne laissent aucun dout
ux de microcéphales. I. Les premières planches sont empruntées au
mémoire
bien connu de Vogt ; les dix suivantes au remar
es au mémoire bien connu de Vogt ; les dix suivantes au remarquable
mémoire
de Giacommi, paru en 1890 ; les planches XV à X
890 ; les planches XV à XXI sont tirées du 332 SOCIÉTÉS SAVANTES.
mémoire
de M. Miquel Bombarda, qui vient de paraître. Les
si que celle du cerveau d'Eder... (pl. XXVI). ' Dans notre second
mémoire
sur la microcéphalie, fait en colla- ' boralion
e de jours auparavant et dont le plus saillant est un trouble de la
mémoire
, se présentant sous la forme dite amnésie conti
ensations actuelles. Mais tout ne se borne pas là ; il en est de la
mémoire
comme de la perception extérieure, et de même q
sement du champ de la conscience pour les faits de perception et de
mémoire
. Enfin le réveil obtenu alors par le souffle su
es dans ces différentes opinions ; aussi comme conclusions de ces
mémoires
, M. A. Foville5 déclare-t-il qu'il lui parait res
voir à Cornell, qui a doté cette école, en 1886, pour perpétuer la
mémoire
de sa femme. Il a donné pour cela 200,000 dolla
se juge parmi affai- blissement des facultés intellectuelles. Le
mémoire
se termine par une analyse délicate et peu démons
nous avons appris à apprécier l'origine, la modalité, le but. La
mémoire
est la propriété de la substance nerveuse d'être
c'est la conscience de la persistance des images commémoratives. La
mémoire
consciente, c'est l'association de ces images,
qui l'avaient le plus tourmenté disparaissaient pour un temps de sa
mémoire
: il ne s'en souvenait jamais que comme d'un rê
avec les autres malades. M. Kirs. De l'anthropologie criminelle. Ce
mémoire
a paru ili extenso dans l'Allg. Zeitsch.1. Il c
riels ont eu leur contre-coup sur l'état général. Malgré tout, la
mémoire
persiste, l'intelligence est le plus souvent in
cérébrale. En 1889, Gilbert et Lion réunissaient dans un important
mémoire
tous les faits connus jusque-là de syphi- lis m
vocabulaire international et rendre accessible à tous la lecture de
mémoires
ou d'observations toujours intéres- sants mais
mes désignent. Nous croyons devoir l'emprunter presque en entier au
mémoire
de ' AGg·eazactg mad Di/Jérenlial-cliagtose cle
isé, d'après les observations présentées par les auteurs dans leurs
mémoires
. Ils ne devraient jamais être employés qu'accom
mots, des lettres et des nombres est a noter dans les espèces de ce
mémoire
. Les séries étaient composées de périodes dans ch
ire et comprendre en parfaite connaissance de cause les ouvrages ou
mémoires
étrangers de psychopathologie. Aucun des articl
enir pénible, mais ce souvenir finit lui aussi par s'évanouir de la
mémoire
. Ou bien elle dure quelques semaines pour guéri
ue avec con- servation de la pleine lucidité des perceptions, de la
mémoire
, etc. Il en est enfin d'intermédiaires. La cons
ue pouvait servir de base à l'édification d'un délire fixe. Dans un
mémoire
ultérieur, Snell indiqua combien de ses malades
M. Jastrowitz, malgré les travaux antérieurs de Snell et Sander, le
mémoire
de Westphal est le premier qui ait constitué d'
vis de l'intoxi- cation générale de l'organisme. Les troubles de la
mémoire
sem- bleraient se rencontrer seulement dans la
r, fièvre typhoïde, influenza, on constate aussi des troubles de la
mémoire
, pertes partielles ou totales avec ou sans névr
On doit appliquer à toutes ces démences la loi de régression de la
mémoire
. Les faits récents dis- paraissent avant les fa
ance à l'hypocondrie, quelques hat- lucinations, des troubles de la
mémoire
et des sentiments affectifs, des impulsions, et
nnel religieux. Le Bureau de la société des aliénistes complète son
mémoire
en le faisant suivre des indications bibliograp
- sement progressif de toutes les facultés, sans délire actif. La
mémoire
diminue progressivement. le travail intellectuel
est plus appréciable; le malade s'est aperçu de la diminution de sa
mémoire
, tout effort ' Mauriac. Gaz. hebd., 1876, n° 5.
'écorce. 3 Magnan Rapports de la paralysie générale el de la folie,
mémoire
couronné par l'Acad. de médecine; prix Civrieux
pathique et indifférent. Il a des idées de grandeur et de richesse.
Mémoire
nulle. Hémianesthesi'6' droite. Rougeur é1'ythé
n homme de petite taille, bien musclé, apathique et indifférent. La
mémoire
est mauvaise ; l'em- barras de la parole est ac
tite, apathique. Elle a quelques idées puériles de satisfaction. La
mémoire
est défaillante. L'embarras de la parole très n
de tout l'univers), ses richesses (plusieurs fois millionnaire). La
mémoire
est très mauvaise. Les pupilles sont immobiles,
de taille moyenne, d'un faciès triste. La parole est hésitante, la
mémoire
est mauvaise. Pupilles inégales. Sur les membre
ona, le mari s'aperçut que sa femme hésitait en parlant, perdait la
mémoire
. A son entrée à Villejuif, R... Céline ne conse
le. Affaiblissement des facultés mentales, particulièrement de la
mémoire
. Idées mélancoliques. Pupilles resserrées, la gau
plus tard, l'entourage du malade s'aperçut qu'il perdait un peu la
mémoire
. Il est inconscient, apathique. A peine était-il
1889. Il y eut à cette époque hallucinations de l'ouïe, perte de la
mémoire
, hésitation de la parole. Elle n'a jamais eu d'
llaire. » C'est une femme de moyenne taille, brune, apathique. La
mémoire
est faible, la parole hésitante. Les pupilles dil
lle moyenne, maigre. Inconscient et indifférent de sa situation. La
mémoire
est affaiblie. Quelques idées puériles de satis
iques, affaiblissement très marqué de l'activité syp- chique, de la
mémoire
et de la faculté combinative. La malade ne peut
, je me sens mal ». A l'examen on constata un affaiblissement de la
mémoire
, des maux de tête dans les régions frontale, pa
où il faut aller pour passer d'une rue à l'autre. En même temps la
mémoire
concernant d'autres représentations est conser-
on incapabilité de s'orienter dans l'espace et sa perte complète de
mémoire
concer- SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 nant les couleu
er cas de MuDer, dans les- quels a souffert aussi principalement la
mémoire
des représenta- tions visuelles anciennes. De
e, etc., etc. Dans les intervalles de tranquillité on trouve que la
mémoire
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. loi e
it, demande à revenir dans la salle commune. Elle a un peu perdu la
mémoire
, se sent toute changée, et manifeste la crainte
une grande dépression intellectuelle et un affaiblissement de la
mémoire
. La malade ne se souvient plus de ce qui s'est pa
ble de la sensibilité objective. Il n'y a pas d'hallucinations; la
mémoire
est un peu affaiblie, mais pas d'une façon bien
peu d'importance des phénomènes de déficit, la conserva- tion de la
mémoire
et de l'intelligence indiquaient l'intégrité re
hiques de Flechsig, présidant aux opérations plus délicates de la
mémoire
, de l'association des idées, du jugement, etc.,
qu'elle ne se souvient pas. Elle dit cependant n'avoir pas perdu la
mémoire
: l'interrogatoire ne révèle en effet aucune la
Aussi est- il très difficile de se rendre compte des lacunes de sa
mémoire
. Il n'y a aucune idée délirante. La malade est
elle commence en général quand se présente une perte marquée de la
mémoire
des faits récents. Le caractère est irritable.
Newealveilk., XVIII. N. F. vi, 1895.) Il s'agit de la critique des
mémoires
de L. Weissmann, qui con- teste l'hérédité de f
te pas de trouble de la sensibilité, ni des organes des sens, de la
mémoire
, du langage. Bien que les antécédents héréditai
ion motrice de l'estomac. Le prix est de quatorze cents francs. Les
mémoires
seront reçus au Secrétariat de l'Institut jusqu
rois mois avant l'entrée à Vil- lejuif, la famille s'aperçut que la
mémoire
du malade diminuait beaucoup. Le délire commenç
remarqué dans l'en- tourage du malade une certaine diminution delà
mémoire
et l'hé- sitation de la parole. En février, un
tellectuelles se sont affaiblies depuis le mois de juillet 1896. Sa
mémoire
avait des lacunes ; elle ne faisait plus son tr
l'embarras de la parole est très net ; les pupilles sont inégales.
Mémoire
nulle ; quelques idées de satisfaction : elle e
s, ni idées de richesse et paraît s'intéresser à sa situa- tion. La
mémoire
est satisfaisante. L'hésitation de la parole exis
en musclé, d'une physionomie apathique. La parole est hésitante, la
mémoire
très affaiblie ainsi que toutes les facultés in
il sourit à l'idée de sa fortune imagi- naire et de ses titres. La
mémoire
est nulle. Tout sentiment affectif est complète
re, parlant de ses millions d'une voix hésitante et embarrassée. Sa
mémoire
est très pauvre. La pupille droite est plus lar
faiblisse- ment des sentiments moraux et intellectuels, perte de la
mémoire
; inconscience de la situation. Embarras très c
dérable des facultés psychiques, morales; apathie, indifférence. La
mémoire
est nulle, il y a de l'embarras de la parole et i
de fausse couche. Cinq mois avant son entrée D... Cécile perdait la
mémoire
, et la parole devenait un peu hésitante. La mal
ues de satis- faction et de richesse. La parole est embarrassée, la
mémoire
nulle, les pupilles inégales et paresseuses.
aractéristique. Tremblement fibrillaire des lèvres et de la langue.
Mémoire
très mauvaise. Les pupilles sont inégales et n'
es pupilles sont inégales et paresseuses. La parole hési- tante. La
mémoire
très mauvaise. La malade a quelques idées pué-
ette. Les pupilles sont inégales et n'agissent pas à la lumière. La
mémoire
est mauvaise. Elle gâte par moments. , Alopéc
e sans cohérence. Hésitation de la parole, inégalité pupillaire. La
mémoire
est mauvaise. L'aizes- thésie cutanée est compl
st riche, belle, a une voix superbe. La parole est hésitante ; la
mémoire
mauvaise. Les pupilles sont inégales. Depuis plus
olument inconsciente de sa situation, avec diminution notable de la
mémoire
. Embarras très prononcé de la parole. Les pupil
la parole et l'inégalité pupillaire sont accentués. La perte de la
mémoire
est absolue. Le malade est couché depuis plusie
'a pas conscience de sa situa- tion. Les pupilles sont inégales. La
mémoire
nulle. L'embarras de la parole est très caracté
des maisons, etc. L'embarras de la parole est des plus accusés. La
mémoire
est très affaiblie. II a une forte alopécie d
lques idées vagues et enfantines de richesse et de satisfaction. La
mémoire
est nulle. Syphilis ? Etait sobre, buvait de l'
, d'un faciès apathique. Il est riche, content de son sort, gai. La
mémoire
est très mauvaise. Nous ne savons pas s'il a eu
rillaire des lèvres et de la langue. Les pupilles sont inégales. La
mémoire
est nulle. Les mains sont OE<mM<tëes, rou
as admise d'une façon absolue'par tous les aliénistes. Le premier
mémoire
sur la question est dû à M. Biaute3. Il rapport
rophie chez des paralytiques généraux. A l'étranger, Jolly donna un
mémoire
sur la question. En 1874, M. Liouville publiait
nérale. (A,eh. ol med. o f 11 ew-l-orl,·, 1883.) Voisin et Hanot.
Mémoire
de la Société de biologie, 1872. 3 Jolly. OLer
1895. A cette époque, on a remarqué que 11-e M... Clara perdait la
mémoire
et parlait de fortune imaginaire. Elle pesait 8
ande parce que grâce au souvenir très vivace qu'elle laisse dans la
mémoire
, elle nous permet d'éviter les excitations péni
quelquefois. .-On observe de l'amnésie continue. Conservation de la
mémoire
des faits antérieurs à la maladie actuelle, per
ffection et qui sont presque pathognomo- niques. Ces troubles de la
mémoire
s'observent tantôt sous forme d'oubli permanent
amnésie des his- toires invraisemblables. Tous ces troubles de la
mémoire
surviennent dès le début de la maladie, et en g
s; ce sont les symptômes mentaux qui domi- nent toute la scène ; la
mémoire
est affaiblie, il existe des pseudo- réminiscen
troubles mentaux consécutifs caractérisés par des altérations de la
mémoire
, de l'apathie, des idées de suicide, des attaqu
e chapitres distincts, les points sui- vants de la question : 1° la
mémoire
, son fonctionnement à l'état normal, ses troubl
al, ses troubles;-2°des hypertrophies générales et partielles de la
mémoire
: -3' de l'hypermmsie physiologique et du » déjà
e nous avons appelées hyper- trophies générales ou partielles de la
mémoire
sont des troubles pathologiques consistant dans
des malades, du moins des anormaux. Et plus l'hypertrophie de leur
mémoire
sera partielle, plus ils seront anormaux, sembla-
pour désigner uniquement un trouble de l'évocation des images. La
mémoire
agissant par pur automatisme, en l'absence de l'a
vé le nom d'hypermnésie à l'accé- léralion du troisième temps de la
mémoire
. Cette accélération fai- sant penser dix, vingt
! <e ; p/taste aucc A('/ ? t ! p/e6't'e gattc/te; amjage du Var;
Mémoire
sur le choléra ri l'lcôpital Saint-Atztoine, etc.
nt. Prix Aubanel. LE Secrétaire général annonce la réception d'un
mémoire
envoyé par M. Régis pour le prix Aubanel. Ce mé
ception d'un mémoire envoyé par M. Régis pour le prix Aubanel. Ce
mémoire
est remis à une commission composée de MM. Cliisl
restait logique avec lui-même en alléguant simplement une perte de
mémoire
. Marcei BRIAND. VARIA. IX0 Congrès DES médeci
its ou imprimés, sont exceptés de cette dernière disposition. Les
mémoires
présentés au concours pour les services généraux
Brésil). 800 francs. Ce prix sera distribué à l'auteur du. meilleur
mémoire
ou oeuvre inédite, sur n'importe quelle branche
rganisation des asiles publics ou privés consacrés aux aliénés. Les
mémoires
concurrents devront toujours être divisés en deux
veux central ; par le 1)' SYDNEY Hun. Dans un long et intéressant
mémoire
l'auteur résume l'état actuel de nos connaissan
sions de la base) et des dyspepsies indépendantes sura- joutées. Ce
mémoire
est composé de 71 observations rigoureusement r
rticulière d'adaptation au monde extérieur, certains troubles de la
mémoire
avec incapacité pour comparer les expériences a
'origine subjective des phénomènes hypnotiques ? De ce volumineux
mémoire
il ressort que Braid et Myers ont beaucoup cont
de persécution ; parles D's TATY et Toy. D'un long et intéressant
mémoire
s'appuyant sur près de deux 'cents observations
eux qui sont restés peu répandus. M. Bramwell a retrouvé plus de 40
mémoires
différents de Braid dont la plupart rarissimes et
gement et de raisonnement en même temps que de la disparition de sa
mémoire
, mais le malade continua néanmoins la gestion d
e au somnambulisme ambu- latoire. Comment pareille inhibition de la
mémoire
peut-elle être expliquée ? peut-être pourrait-o
t un certain nombre d'observations, signa- lées seulement dans leur
mémoire
paru dans les Archives de Neuro- logie. 21. L
ne rolandique que les seuls centres d'association et peut-être de
mémoire
musculo-tactile. Et encore l'auteur s'abstient-il
tracturés eux aussi. 1 Toulouse et Itoubinovitch. De la mélancolie,
mémoire
à l'Acadé- mie, 189G. 358 PATHOLOGIE MENTALE.
se livre à des examens de conscience minutieux, repassant dans sa
mémoire
ses moindres actes, en particulier ceux qui tou-
19, 11. 3 Briquet. Traité de l'hystérie, p. 293. * Voir aussi le
mémoire
de 1)'Olier,intitulé : De la coexistence de l'hys
es, considérées dans les deux sexes et en particulier chez l'homme,
mémoire
qui renferme plusieurs observa- tions que nous
ire une démonstration qui aujour- d'hui est faite notamment dans un
mémoire
de M. Gilbert sur la myélite diffuse syphilitiq
e de plusieurs Sociétés de neurologie en Europe, publia de nombreux
mémoires
, des leçons, des observations relatives à la Mé
1884 (en tout 12 volumes), dans lesquelles il a publié 35 notes ou
mémoires
relatifs surtout au système nerveux et aux réfo
aliénés. Il a publié avant et depuis ce journal, une série d'autres
mémoires
parmi lesquels nous citerons les suivants : A s
publié en outre dans les Archives de neurologie un très intéressant
mémoire
intitulé hontni- bution à l'étude de fhénzinnop
entre la volonté qui tend à reprendre la direction des idées, et la
mémoire
et l'imagi- ' nation qui continuent à agir d'un
1, p. 2(i et suiv. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. li -17 « On m'a ôté la
mémoire
et jusqu'à la liberté de me jeter dans les bras
es souvenirs moteurs suffisent à diriger sa main; il a pu perdre sa
mémoire
visuelle, sans pour cela se trouver privé de la f
it le courant (voir le dessin pour comprendre le mécanisme, dans le
mémoire
). P. Keraval. LXXXIX. Observation DE paralysie
nces, hallucinations de la vue, migrations, affaiblisse- ment de la
mémoire
, confusion dans les idées, obtusiou. Même état
u tubercule quadrijumeau. Nous renvoyons pour les autres détails au
mémoire
lui-même. L'auteur croit qu'une partie du ruban
précipita dans le canal de Vaires où il se noya. Erratum. Dans le
mémoire
de MM. Vallon et Marie, la note 4 de la page 37
e, emportements et attendrissements sans motif, affaiblissement de la
mémoire
. Il y a, dans cette forme, prédominance des troub
i-même, mais il copie cependant une page, d'une écriture tremblée. La
mémoire
est aussi affaiblie que le jugement et la volonté
de l'exploration galvanique (courants continus), je vous remettrai en
mémoire
que l'un des pôles qu'on appelle indifférent, est
qu'il a autrefois fréquentées. Il voit bien ces rues dans son esprit (
mémoire
visuelle), et quand il les parcourt, il reconnaît
péciale qu'on pourrait appeler, ainsi que nous le dirons ailleurs, la
mémoire
visuelle des signes du langage. Ces vues de M.
jets (formes et couleurs)1. Sommaire. — Gall, Gratiolet, Ribot. Des
mémoires
partielles. — Destruction partielle des diverses
émoires partielles. — Destruction partielle des diverses formes de la
mémoire
. - Mémoire visuelle. — Observation de Gallon. — C
tielles. — Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. -
Mémoire
visuelle. — Observation de Gallon. — Cas de suppr
ans l'ouvrage important qu'il a consacré à l'étude des Maladies de la
mémoire
2, M. ^h. Ribot; a parfaitement fait remarquer qu
ve que déjà Gratiolet 4 avait reconnu qu'à chaque sens correspond une
mémoire
qui lui est corrélative et que l'intelligence a,
minance 1. Leçon recueillie par M. Bernard. 2. Les maladies de la
mémoire
. Paris, 1881, p. 111, 112. 3. Fonctions du cerv
logie, la méthode des facultés a si bien réussi à faire considérer la
mémoire
comme une unité que l'existence des mémoires part
ssi à faire considérer la mémoire comme une unité que l'existence des
mémoires
partielles a été complètement oubliée ou prise po
e montre que, « dans la réalité, il n'y a en dernière analyse que des
mémoires
spéciales; ou comme disent certains auteurs, loca
» Or, s'il est vrai qu'à l'état normal « les diverses formes de la
mémoire
» — c'est toujours M. Ribot qui parle — « out une
'exiger aucune explication, puisqu'il résulte de la nature même de la
mémoire
. » J'appellerai aujourd'hui votre attention sur
e en pathologie de cette suppression isolée de l'une des formes de la
mémoire
. Il s'agit, dans ce cas, de la perte de la visi
ère, professeur de langues orientales à L..., possède, lui aussi, une
mémoire
des plus remarquables. Il en est de même de son f
es dates historiques. M. X... jouissait, il y a un an encore, d'une
mémoire
aussi remarquable. Comme celle de son père et de
arquable. Comme celle de son père et de son fils, c'était surtout une
mémoire
visuelle. La vision mentale lui donnait, au premi
auteur favori plus tard? Deux ou trois lectures avaient fixé dans sa
mémoire
la page avec ses lignes et ses lettres et il réci
et les perspectives qui l'avaient frappé. Il dessinait assez bien. Sa
mémoire
lui offrait, quand il le voulait, les panoramas l
cherchait qu'un détail, lui apparaissait dans tout son ensemble. La
mémoire
auditive a constamment fait défaut à M. X... ou t
autour de lui. Il était devenu nerveux et irritable. En tous cas, la
mémoire
visuelle des formes et des couleurs avait complèt
il pouvait, par d'autres moyens, en invoquant d'autres formes de la
mémoire
, continuer à diriger convenablement ses affaires
y a pour moi impossibilité complète de retrouver cette couleur en ma
mémoire
, aussi complète que celle de m'imaginer sa person
mptôme somafique n'a précédé, accompagné, suivi cette déchéance de la
mémoire
visuelle observée chez notre malade. Aujourd'hu
veut se rappeler un propos tenu devant lui, il sent bien que c'est la
mémoire
auditive qu'il lui faut maintenant consulter, non
. X... paraît avoir très bien analysé tout le mécanisme nouveau de sa
mémoire
et les remarques di\erses que nous faisons devant
voit par là qu'il lui faut compenser à l'aide de la main le défaut de
mémoire
visuelle des mots dont il est affecté à un certai
us me représenter ce qui est visible, et ayant absolument conservé la
mémoire
abstraite, j'éprouve journellement des étonnement
obligé aujourd'hui de me dire les choses que je veux retenir dans ma
mémoire
, pendant que j'avais auparavant seulement à les p
ons à son sujet, à de très courtes remarques. On a vu que la grande
mémoire
dont jouissait encore M. X., il y a dix-huit mois
apparaissent toujours comme nouveaux, qu'il ne sait plus dessiner de
mémoire
, etc. — n'ait pas eu pour effet de modifier chez
ver à ce propos que, à partir du moment où il s'est senti privé de la
mémoire
visuelle, M. X. a été conduit, pour ainsi dire in
M. X. a été conduit, pour ainsi dire instinctivement, à développer sa
mémoire
auditive qu'il avait, semble-t-il, jusque-là fort
ux, on 1. L'observation decotte malade se trouve in extenso dans un
mémoire
de MM. Charcot et Marie : Sur une forme spéciale
et les doigts tremblent individuellement, mais gravez bien dans votre
mémoire
l'attitude toute particulière de la main. Les pha
seulement relever quelques particularités propres à vous remettre en
mémoire
l'état de ces enfants, à l'époque où ils furent p
ît avoir été commise par MM. Oppenheim et Thomsen (de Berlin) dans un
mémoire
qui I. Arch. de Westpkal. Bd. XV. Heft 2 et 3.
atteint d'incontinence d'urine. Toujours il a été peu intelligent, sa
mémoire
est faible et il n'a pas appris grand chose à l'é
lacer sous vos yeux. Aux quelques traits que je vais vous remettre en
mémoire
, vous allez certainement reconnaître que, à part
it pour bien comprendre ce qui doit suivre. Donc je vous remettrai en
mémoire
tout d'abord que, dans la phase léthargique de ce
ue, M. le Dr Babinski, d'abord dans le Progrès médical1, puis dans un
mémoire
qui fait par- 1. Babinski, De L'atrophie muscul
— Ch. Richet et Brissaud. Progrès médical, 8 mai 1880. — Paul Richer,
Mémoire
inédit présenté à l'Académie de médecine, 1883. (
mes leçons d'alors, en y ajoutant quelques traits personnels, dans un
mémoire
intéressant1, fondé sur une vingtaine d'observati
n jeune espagnol dont vous trouverez l'observation in extenso dans le
mémoire
de M. Cartaz. On me le présenta comme atteint, de
oncer des paroles indistinctes. Chez lui, ce n'est pas la perte de la
mémoire
des mouvements d'articulation qui existe, ce n'es
l, il va m'écraser. » En réalité, le malade a complètement perdu la
mémoire
ds tout ce qui s'est passé au moment de l'acciden
resse. Du jour, au lendemain, il varie dans son récit ; évidemment la
mémoire
est assez profondément altérée et l'intelligence
stion qui jouerait le rôle capital. 11 convient ici de se remettre en
mémoire
, tout d'abord, les phénomènes du s/iock local*1 d
es relatifs aux détails de son accident tels qu'il les a imaginés. Sa
mémoire
, d'ailleurs, paraît considérablement affaiblie. D
ême manière que les centres sensitifs forment la base organique de la
mémoire
des impressions sensitives, et le siège de leur r
siège de mouvements différenciés, sont aussi la base organique de la
mémoire
des mouvements correspondants, et le siège de leu
iège de leur réexécution ou reproduction idéale. Nous avons ainsi une
mémoire
sensilive et une mémoire motrice, des idées sensi
ou reproduction idéale. Nous avons ainsi une mémoire sensilive et une
mémoire
motrice, des idées sensitives et des idées motric
dansé, elle recouvra la parole et fut guérie. » Ou trouve dans les
mémoires
de l'Académie des sciences (1753) l'histoire d'un
Trois autres cas qu'il a observés en môme temps sont publiés dans un
mémoire
fort intéressant paru dans la Revue de la Suisse
is, pas plus que maintenant, l'intelligence ne fut atteinte, seule la
mémoire
, pour quelques faits récents, me faisait défaut.
en ordre. Notre malade passe ses journées à lire, a écrire de vrais
mémoires
dans lesquels il décrit ses diverses impressions.
entement. Obs. XVI. — (Revue de la Suisse romande, 1883 ; obs. 2 du
mémoire
de Revilliod). — Homme de 48 ans, admis à l'hôpit
t devenu sourd-muet depuis 1878. Obs. XVII. — (Revilliod, obs. 3 du
Mémoire
.) — Femme de 47 ans qui, sans avoir l'habitus h
s éléments du mot. C'est donc en résumé, à quatre modes spéciaux de
mémoire
du mot (ou des impressions et actes par lesquels
mitif de M. Charcot mis en place, se faire une idée de ces centres de
mémoires
partielles, des connexions qui les unissent entre
ont avec le monde extérieur. Prenons, par exemple, le centre de la
mémoire
des signes du langage écrit, ou centre visuel des
ui réunissent entre eux, dans les deux sens, les quatre centres de la
mémoire
des mots, ils expriment les connexions intimes et
re auditif par le centre moteur d'articulation, et cela, parce que la
mémoire
des mouvements d'articulation et celle des mouvem
ntres. Tandis que les personnes qui n'ont cultivé qu'un seul genre de
mémoire
des images du mot se trouvent toutes désemparées,
s images du mot se trouvent toutes désemparées, si le centre de cette
mémoire
vient à être altéré. Et, dans ce cas, on peut voi
jets (formes et couleurs). Sommaire. — Gall, Gratiolet, Ribot : des
mémoires
partielles. — Destruction partielle des diverses
émoires partielles. — Destruction partielle des diverses formes de la
mémoire
. — Mémoire visuelle. —Observations de Galton. — C
tielles. — Destruction partielle des diverses formes de la mémoire. —
Mémoire
visuelle. —Observations de Galton. — Cas de suppr
: « Je te maudis ! je te maudis ! » taudis qu'elle conserve pour sa
mémoire
le plus pieux et le plus affectueux souvenir. D
qui intervient plus ou moins dans tous les autres, le trouble de la
mémoire
. Je vous dois donc de vous indiquer dans quel s
e souvent, son état mental, et elle m'avait complètement oublié. Sa
mémoire
pour tous les événements survenus pendant son s
faits auxquels j'avais été mêlé. Peut-être cet état bizarre de la
mémoire
aurait-il duré quelque temps, mais je fus curieux
ées fixes : un certain nombre seulement dépendent de troubles de la
mémoire
. L'astasie abasie, telle que l'a décrite M. Blo
de Rosé. , l'amnésie HYSTÉRIQUE. 35 laisser aucune trace dans la
mémoire
. Ces faits sont bien connus, je préfère insiste
malade perd la faculté d'acquérir aucun souvenir ; elle conserve la
mémoire
des événements anciens antérieurs à une certain
e certaine époque, mais elle ne garde plus que quelques instants la
mémoire
des événements présents. J'avais remarqué déj
u de temps, elle va être reprise et ana- lysée complètement dans un
mémoire
de M. Souques. Je ne dois donc vous la rappeler
ur étonnante suggestibilité, dépendent de tous ces troubles de leur
mémoire
. Je ne puis vous en décrire les innombrables va
ades que je viens de vous décrire, nous disons qu'elle a perdu la
mémoire
de tel ou tel événement. C'est une expression jus
l événement. C'est une expression juste, mais très vague : le mot «
mémoire
» en effet résume un ensem- ble de phénomènes e
logiques très différentes les unes des autres. Une altération de la
mémoire
considérée dans son ensemble peut être due à un
diagnostic médical. Suivant que nous attribuons le trouble de la
mémoire
à l'une ou à l'autre des opérations élémentaires,
ésies et les distingue de tous les autres. - Il y a d'abord dans la
mémoire
telle que les philosophes la décrivent des opér
ns pas à insister sur leur étude. Il nous faut considérer dans la
mémoire
des opérations plus 38 CLINIQUE NERVEUSE. élé
, quelques-unes des précautions à prendre pour étudier les faits de
mémoire
alternante. On n'arrive pas toujours immédiatem
résents et qu'il ne lui manque que bien peu de chose pour avoir une
mémoire
normale. Mais tout ce que je sais, c'est que M.
l'amnésie hystérique K Mais où donc chercher cette altération de la
mémoire
qui doit bien exister quelque part pour produir
riptions, n'admet- .tent pas d'autres phénomènes élémentaires de la
mémoire
, en dehors de la conservation et de la reproduc
s qu'ils ont tort et que la maladie décompose et analyse mieux la
mémoire
que n'a pu faire la psychologie. Ainsi que nous
lires, des somnambulismes, etc., dont elles semblent n'avoii aucune
mémoire
. . 44 clinique nerveuse. qu'une sorte de synt
son absence suffira pour produire chez les malades un trouble de la
mémoire
qui sera, pour eux, une véritable amnésie. Voye
q ou six personnalités' différentes, ou plutôt cinq ou six états de
mémoire
différents, caractérisés chacun par des sou- ve
l état de la sensibilité, pour faire naitre immédiatement l'état de
mémoire
correspondant. On constate chez ce malade et ch
e rela- tion étroite entre l'état de la sensibilité et l'état de la
mémoire
, telle que nous l'avions rencontrée en observan
s vraiment utiles et nous faire comprendre certains phénomènes de
mémoire
; nous croyons les rencontrer dans certains cas de
considérer qu'à un seul point de vue, sont des modifications de la
mémoire
; ce sont des états dans lesquels les sujets on
ressants. Ainsi je vous propose d'appeler états ou somnambulismes à
mémoire
réciproque ou, pour abré- ger, somnambulisme ré
pendant cette même période de sommeil. Ce sont donc là deux états à
mémoire
réciproque. - - Pendant qu'elle est endormie,
logiques que cette,, malade traverse. Vous verriez que les états de
mémoire
ne deviennent identiques qu'au moment seulement
devenues équivalentes. Je n'insiste pas sur d'autres variétés de la
mémoire
pendant le somnambulisme : je ne fais que vous
888, t. I, p. 616.) 54 CLINIQUE NERVEUSE. - L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE.
mémoire
est rétablie chez elle d'une façon merveilleuse.
que nous voyons le mieux l'association de la sensibilité et de la
mémoire
dont je vous ai parlé. Certains sujets ont donc d
ans expression. Les facultés intel- lectuelles, particulièrement la
mémoire
, sont très affaiblies. Con- ceptions lentes et
rectum. Une semaine plus tard, excitabilité, affaiblissement de la
mémoire
des choses toutes récentes, obnubilation de la co
gressive; par J. KRYPIAYIEWICZ. (Jahr- buch. f. Psychiat., X, 1.)
Mémoire
surtout remarquable par cette observation. H...,
este mélanco- lique, incapable de travail ; il croit avoir perdu la
mémoire
, craint de ne pas recouvrer la santé. Intégrité
enso t). M. WAGNER. Des éléments somatiques des psychoses aiguès.
Mémoire
également publié 2. Discussion : M. L11EYNERT.
entla question. La Société fera bien de récidiver. M. ANTON lit son
mémoire
sur les troubles du sens musculaire et présente
n'ont pas été publiés; d'ailleurs, ils se résument en l'analyse des
mémoires
publiés dans le JahrGûcher f. Psychiatrie, que
ble de la parole survenant par accès chez une paralytique générale.
Mémoire
publié2.' ' Voyez Archives de Neurologie, t. XX
rts depuis la session d'Iéna. L'assemblée se lève pour honorer leur
mémoire
. Le président communique en outre que les gouver-
. Mosu et Wernicke, rapporteurs. - Il est avant tout entendu que le
mémoire
de M. Sommer sera lu après ces rapports, avant
écrit il y a six ans, j'ai tenté de le rattacher à un trouble de la
mémoire
: le même malade a été examiné, six ans plus ta
es symptômes actuels ne sauraient être rattachés à un trouble de la
mémoire
encore existant, sans cependant pour cela qu'il
que j'ai établies entre le trouble de la parole et le trouble de la
mémoire
, qu'à cette époque j'ai nettement mis en évidence
e expérimentalement que le malade avait passagèrement recouvré la
mémoire
et, qu'en même temps que cette amélioration, il a
ey sont impuissantes à en rendre compte. Or, entre un trouble de la
mémoire
si prodigieux et l'aphasie de Grashey, il n'y a
'il avait eu affaire à des simulatrices. Après avoir critiqué les
mémoires
de Bérillon et Velander, l'au- teur examine l'i
si tous ne l'étaient à un égal de- gré. Il contient, en effet, des
mémoires
de premier ordre qui ont consacré à jamais la g
qu'on nous saura gré d'avoir indiqué où se trouvent réunis tous ces
mémoires
épars dans les recueils périodiques. De plus qu
aladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur,
mémoires
, notes et observations des années scolaires 188
- nales médico-psychologiques. Sollier (P.). - Les troubles de la
mémoire
. Volume in-12 relié, de 262 pages, avec 35 figu
grand du Saulle, parmi les nombreuses observations réunies dans son
mémoire
sur la folie du doute avec délire du toucher, s
d'autres observations a fait plus tard le sujet de l'inté- ressant
mémoire
de M. Babinski (43). Il est vrai, qu'avant ces
s de paralysie, pas de convulsions, pas de perte de connais- sance.
Mémoire
très affaiblie. Affaiblissement cérébral et gén
la première fois connaissance de son très important et très estimé
mémoire
sur la Topographie des circonvolutions cérébrales
tique ou de matière médicale. Un des points les plus originaux du
mémoire
est celui qui traite de l'étiologie des intoxic
s du caractère, de l'idéation, insomnie ou hypnose, désordres de la
mémoire
etc., enfin des états délirants qui sont ramené
'exemple à renonciation des phénomènes morbides. C'est la partie du
mémoire
la plus utile aux chercheurs. Un autre chapit
ressant l'hygiéniste, l'anthropologiste et le philosophe en font un
mémoire
très instructif et utile il consulter. C'est un
idées mélancoliques s'évanouissent totale- ment, mais lacunes de la
mémoire
pour tout le temps passé à l'asile jusqu'au déb
appareil visuel reprend son parfait fonctionnement, et, soudain, la
mémoire
revient, le poids du corps remonte, la guérison e
restreints et, depuis douze ans; époque à laquelle parut le premier
mémoire
de Cotard sur le sujet, on ne peut réunir sur l
ncolie anxieuse, devant passer à l'état chronique ; dans son second
mémoire
plus complet, il croit devoir isoler décidément
note sur les Retraites des médecins d'asile. Les conclusions de son
mémoire
sont votées par le Congrès '. M. Gilbert Ballet
nérés à préoccupations hypochondriaques ou mélancoliques. Depuis le
mémoire
de Lasègue, les caractères qui différencient le
oissier, interne à Villejuif. Une mention honorable est accordée au
mémoire
de M. Guérin, ancien interne du même asile. Pri
partagée entre 1\1111. Malfilâtre et Nicoulau, co-auteurs d'un même
mémoire
. . Prias Aubanel à distribuer en 1893. Des rapp
de Paris de cette année. ALBIN. Rousselet. X. Les troubles de la
mémoire
; par le Dr Paul SOLLIER. (Bibliothèque médicale
ophes les indi- cations nécessaires pour étudier les maladies de la
mémoire
au 358 bibliographie. point de vue médical, e
dre. L'exposé psychologique des données que nous possédons sur la
mémoire
normale, par laquelle il débute, va servirdebase
aladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur,
mémoires
, notes et observations des années scolaires 188
lampsie. Dans son enfance, Marie est intelligente, a une excellente
mémoire
, fait des progrès à l'école, mais elle ne compr
le cas où celui-ci viendrait pen- dant la journée à s'effacer de sa
mémoire
. Lorsqu'elle essaye de ne pas sceller ainsi cha
elle décrit ses sensations avec beaucoup de précision, elle a une
mémoire
suffisante de tous les événement : , qui lui sont
ence, le phénomène qui tient la première place c'est la perte de la
mémoire
. Celle-ci commença à se manifester chez G... pe
. Ce travail demandait une vigueur physique peu ordi- naire, et une
mémoire
prompte et résistant au tapage; et à la confusi
armonie avec l'état mental de la malade, dans lequel la perte de la
mémoire
comme nous l'avons remarqué plus haut, tenait l
on pouvait déjà se douter d'après les troubles de la parole, de la
mémoire
et de l'intelligence, maintes fois observés penda
nsorielle, selon Angelucci (42), c'est-à-dire liée à la perte de la
mémoire
(graphique) des mots. 430 . CLINIQUE NERVEUSE.
pied de la circonvolution de Broca), mais bien aux trou- bles de la
mémoire
optique, dont les centres occupent le lobe occi
oca, ou des voies qui unissent cette circonvolution au centre de la
mémoire
optique. La plupart des cas d'hémiopie transi
limité (3 à 5 degrés de diamètre), où la vue était de un tiers. La
mémoire
topographique et le sens chromatique étaient ab
Pelletan. - Coup d'oeil sur la migraine. (Paris, 1830.) 4. Piorry.
Mémoires
sur la migraine (1831) et traité de médecine pr
ggestions dont je vais ' Pierre Janet. Les actes inconscients et la
mémoire
pendant le somnambulisme. (Revue philosophique,
t automatique des idées se mani- feste jusqu'à un certain point; la
mémoire
, l'association des idées, l'habitude, sont des
tremble légèrement. Ce- pendant, par intervalles, il semble que la
mémoire
fasse défaut pendant quelques instants; John se
lal of mental Science, avril 188 ! J,) L'auteur a rassemblé dans ce
mémoire
plusieurs cas intéressants de folie incendiaire
rican journal. ' ofinsanity, avril 1891.) ' Les conclusions de ce
mémoire
sont les suivantes : 1° L'histoire naturelle du
e la deuxième, c'est-à-dire d'une partie de la région affectée à la
mémoire
sensorielle des mots. Amélioration. Obs. V. - F
une chirurgie cérébrale phy- siologique propre à l'homme ( ? ). Le
mémoire
, d'ailleurs, très détaillé, contient de précieu
asiles d'aliénés français et à l'assistance des aliénés en France (
Mémoire
publié à part). Discussion : M. PELMAN préten
lleuse façon ; leurs prolonge- ments nerveux sont des plus nets. Le
mémoire
sera publié in extenso. M. ASCIIER. De l'apha
ration dégénérative de leurs noyaux d'origine, avec démonstration. (
Mémoire
publié dans la Neurolog. Central- blatf.) M.
Eiu maintient l'exactitude des indications données par lui dans son
mémoire
. Séance du 9 mars 1891. Présidence de M. JoLLY.
en tenant compte de l'élément héréditaire. On en rencontre dans le
mémoire
de Ruprecht sur la rigidité spasmodique congénita
rations de lésions anatomiques dans la paralysie infantile spinale.
Mémoire
publié dans les -lr- chiv. f. Paychiat. Séanc
aladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur,
mémoires
, notes et observations des années scolaires 188
56; - Un mot sur Laënnec, par Guermonprez, 357; - 'Troubles de la
mémoire
, par Sollier, 357; - Leçons sur les maladies
va en s'accentuant, et le 7 janvier le malade est guéri. Dans le
mémoire
de Lyncha consacré aux manifes- tations nerveus
niers travaux importants sur ces manifes- tations ourliennes est le
mémoire
de Gaillard, qui leur consacre une notable part
En terminant cette première partie, faisons remarquer, pour simple
mémoire
, le fait de l'absence totale de vomisse- ments,
remonte à une époque assez éloignée, ne 4 Citons, à ce sujet, pour
mémoire
, les expériences de l'iourens et l'observation
s dispositions si précoces, et les faits sont restés gravés dans sa
mémoire
. Les poupées étaient fabriquées par la mère et
aux excès de bière, présentant un affaiblissement très marqué de la
mémoire
avec désordre dans les idées ; apa- thie. L'Obs
ituante qu'à l'électrothérapie. En résumé, on peut dire, d'après ce
mémoire
qui renferme sept 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
ch. f. Psych., XV, 2 et 3.) Transcrivons d'abord les conclusions du
mémoire
: 1- L'anesthésie et l'hémianesthésie sensoriel
plextrs symptomatique spasmodique de la paralysie progressive. Long
mémoire
qui est basé sur cinq belles observa- 88 REVUE
tte malade, recueillie avec le plus grand soin, est publiée dans ce
mémoire
avec tous les détails : nous ne relevons ici qu
ite à l'âge de deux ans. Elle sait lire et écrire, A quinze ans, sa
mémoire
diminue et ses jambes s'allai- blissent au poin
stoire d'une malade ayant ses règles, faisant une chute, perdant la
mémoire
consécu- tivement, et la retrouvant après une h
à surexciter les facultés en substituant à l'en- seignement par la
mémoire
la culture intellectuelle d'ordre élevé. Les pé
en introduisant les jeux gymnastiques anglais. Discussion des deux
mémoires
précédents. M. Meschede a, dans ces dix dernièr
IE LÉGALE DE VIENNE Séance du 26 mai 18811. M. 1 ntrsctt lit un
mémoire
sur le délire systématique des gens qui se plai
ésentées dans le corps du journal par la publication in extenso des
mémoires
lus dans le sein de la Société. On en trouvera
peut être fixée ; l'intelligence est toujours très embrouillée ; la
mémoire
est obtuse ; c'est à peine si le malade sait le
délire étant moins équivoques, on la confia à mes soins. C'est ma
mémoire
seule qui me fournit tous ces détails, que je n
vations (avec autopsie) pouvant se rapporter au tabès combiné. Ces
mémoires
, complétés par celui de Schultze, s'échelonnent
ts. L'étude de la lésion combinée de la moelle était le but même du
mémoire
. Il donne cinq obser- vations nouvelles (nos 11
s observations continuent à se multiplier en Alle- magne. Dans deux
mémoires
successifs, Zacher 3 pu-' blie quatre nouveaux
nte dans l'histoire du tabes combiné. Nous ne citerons ici que pour
mémoire
et pour éviter les confusions, les mémoires de
ne citerons ici que pour mémoire et pour éviter les confusions, les
mémoires
de Démange 2 (in- téressants à rapprocher à cer
e « contracture tabétique » em- ployés dans le titre de l'un de ces
mémoires
pour- raient faire croire qu'il s'agit là de ta
rds atherom. Ibid. juillet 1885. DU TABES COMBINÉ. 167 deuxième
mémoire
, comprend un peu la symptomato- ]ogie du tabès
anatomo-pathologique, qu'au point de vue clinique. Presque tous les
mémoires
cités dans notre Historique sont des travaux d'
tement. Premièrement, en ce qui concerne le but et le plan de mon
mémoire
, je considérerai exclusivement les cas publiés d'
de connaissance, hémiplégie droite. La paralysie et la perte de la
mémoire
durèrent deux ou trois mois. Pas d'aphasie appa
attaque épileptiforme, il y a environ six ans, pendant la nuit. La
mémoire
est bonne; elle a été faible autrefois, mais il
e; au dire des parents, comprend ce qu'elle entend et répond bien ;
mémoire
faible, faiblesse musculaire générale, mais pas
que. (Ce diagramme fut montré à la Société le jour de la lecture du
mémoire
.) Venons-en maintenant aux considérations théor
omparaison et le jugement sont chez Arch... à peu près normaux ; la
mémoire
est, à la suite des accès plus forts, un peu ob
e allusion et qui ont été dernièrement le sujet d'un très important
mémoire
: La Famille névropa- thique de M. Ch. Féré, mé
rition du cerveau; par Tu. MEYNERT. (Jnltrbùch. f. Psych., V, 3.)
Mémoire
portant en sous-titre : Fragment du chapitre sur
ON MONAKOW (Arch. f. Psych. XVI, 1). t Il s'agit de la suite du
mémoire
en partie analysé par nous dans les Archives de
mplément, par des études microscopiques, des expériences du premier
mémoire
sur des chats et lapins nouveau-nés (ablation d
avec aucun fait physiologique ou clinique. L'analyse d'un pareil
mémoire
n'est guère possible ; nous nous bornerons à indi
tions, nous ne pouvons passer sous silence le dernier paragraphe du
mémoire
, où l'auteur envisage les phénomènes de conscie
u profeseur Neumann décédé; l'assistance se lève en l'honneur de sa
mémoire
. M. Koenig (de Dalldorff) présente un cerveau d
ions impor- lunes à la tête et dans les yeux, affaiblissement de la
mémoire
. Depuis l'agression de 1883, agression qui d'ai
; chez lui, se croit entouré d'en- SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 nemis ;
mémoire
extraordinairement affaiblie. Diagnostic. Com-
réflexes cutanés et tendineux, de la force motrice; atteinte de la
mémoire
dans toute son étendue... Mais le malade finit
mmes, dépressions, malaises hypochondriaques, affaiblissement de la
mémoire
, idées délirantes), bien qu'ils se soient produ
TGIN. Sur les rapports delà syphilis avec la paralysie progressive.
Mémoire
publié in extenso à part '. Discussion : M. ScH
s, la marche de la maladie est très rapide. M. ZEKKER rappelle un
mémoire
lu au congrès international de Copenhague, suiv
aliénés et les Institur lions psyclcicttriqzces de la ScandinaLie.
mémoire
écrit en fran- çais. Nous ne l'analyserons donc
as ; on fera bien de se reporter comparativement à notre analyse du
mémoire
de Claus '. B . An.nhwmcz . Contribution ci l'h
de la population est de 1 : 1,000. 1 Voy. Archives de Neurologie,
mémoire
de Laehr, t. X, p. 293. , '-Id., t. V, p. 125 e
que syphilitique. M. Eckeliiann (de llarbur) traite de Vaphasie. Ce
mémoire
sera publié à part in extenso avec quelques mod
yait un tirage à partduTouzwal of 3leizitil Science, avril 1885, du
mémoire
intitulé : On insanity alternuling with spas- z
en question et du tabès est du reste sujette à des variations. Ce
mémoire
sera publié in-extenso '. 1 Voy. Archives de Ne
des reins. L'examen n'est pas encore complètement terminé. Voir le
mémoire
qui sera publié dans ce recueil ? . M. Zacher
sont qu'apparentes. Ainsi, en jetant un regard sur la planche 1 du
mémoire
de Tuczek' on voit que ce dernier a vu disparai
ns respec- tueuses. L'assistance se lève ensuite |en l'honneur delà
mémoire
de KRETZ (d'Illenau) décédé l'an dernier. On
(d'Illenau) décédé l'an dernier. On procède à la discussion sur le
mémoire
de Zacher, reportée par nous à sa place logique
ommaire. Etat de somniation dans leur intervalle. Les lacunes de la
mémoire
seraient proportionnelles à la somme des défici
ie classique mais à évolution rapide (à peine deux mois de délire).
Mémoire
publié in extenso dans la Ber·l. filin. Wochens-
ng, parmi les cas du même genre, ne produit sous la dénomination du
mémoire
de Tuczelc que ceux qui ont récidivé. M. 1'uc
oursuivantper- sistance de l'état d'obnubilation (comparer avec les
mémoires
de Siemens et Witkowski 2.) Quelle différence
même centre et le défaut de transmission au centre voisin. (Voy. le
mémoire
d'Unverricht) i. Le sopor elles états qui lui r
rs une irritation faible à la même partie du cerveau, on produit la
mémoire
d'une action peu intense; en conséquence, la co
B, interne des hôpitaux de Lyon. Nous nous proposons, dans ce court
mémoire
, de faire connaître une lésion assez singulière
es formuler ; à part ces phéno- mènes, l'intelligence est nette, la
mémoire
fidèle. L'appétit est bon, les fonctions de la
at soporeux à la fin de l'accès. Etat actuel. Perte notable de la
mémoire
. Pas de faiblesse dans les membres . - Pas de t
lée ni dans les thèses du Dr Coulbeau et du DI Cassaone, ni dans le
mémoire
de Bourneville et Bricon, ni dans le livre clas
RAD et J. WaGNER. (Arch. f. Psych., XVI, 4). Contrôle critique du
mémoire
d'Engelskjoen, à la lumière -de sept observatio
l; par C. Engelsksjoen (Arch. f. Psych., XVI, 1). Seconde partie du
mémoire
'. Développement atténué de la 1 Voy. drchives
soustrait pas à leur présence. Il n'y a ni tremblement ni perle de
mémoire
; les sens paraissent normaux à tous égards; la
l of Mental Science, avril 1881.) L'auteur ne se fait pa', dans son
mémoire
, l'avocat de l'alimen- tation par le rectum; il
. (The Journal of Mental Science, oc- tobre 1884.) L'auteur de ce
mémoire
se demande si l'on tire dans les asiles d'alién
aux travailleurs : tel est le résumé des idées principales de ce
mémoire
où plusieurs autres questions de détail sont trai
cas mentionnés « dans les tableaux ou commentés dans le texte de ce
mémoire
, « plusieurs sont, je crois, très suggestifs. I
enfants; quatre, (ce sont les quatre soeurs qui font l'objet de ce
mémoire
) ont été atteintes de mélancolie, et deux d'ent
t entrer des affections très différentes : il s'est proposé dans ce
mémoire
de définir l'un des groupes secondaires qui con
ch. f. Psych., XV 3). ' Dans quatre cas del'auteur, dont le présent
mémoire
contient une observation complète, l'élongation
la matière, M. de Watteville s'est efforcé de donner dans un court
mémoire
une esquisse des principes qui doivent guider l
certains types de folie (Ann. méd. 2)sych.), etc. La plupart de ses
mémoires
ont été réunis dans deux volumes qu'il a publié
rs jours. Actuellement, elle urine par jour 200 à 300 grammes. La
mémoire
et l'intelligence sont conservées. Le caractère d
outre, suivie tous les mois jusqu'au moment de la publication de ce
mémoire
. La malade fut endormie par un des procédés hab
in, puis sur notre ordre elle écrivit. La malade récite plutôt de
mémoire
les courtes lettres que nous lui faisons lire :
pendant un certain temps. Elle a quelquefois de courtes absences de
mémoire
. Elle se plaint d'avoir parfois des sueurs abonda
temps, le lieu, l'espace ; mais il est encore parfois capable de
mémoire
. Quand la maladie affecte une marche moins aiguë,
matériaux dans des illusions et même dans des hallucinations de la
mémoire
. La période d'acmé de la maladie est caractéris
SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET NEUROLOGIE DE VIENNE '. La plupart des
mémoires
dont la liste suit ont été publiés dans le Jahr
xaminé après durcisse- ment. On décrira la lésion en détail dans un
mémoire
qui sera publié. M. Wernicke présente un mala
ce de M. Wernicke, M. HEBOLD. Contribution à l'étude de l'aphasie. (
Mémoire
publié dans l'Allg. Zeitsch. f. Psych., t. L.)
avait artério-sclérose très marquée, diminution préma- turée de la
mémoire
, il était atteint de phtisie pulmonaire, était
ici, peut-être cependant l'hérédité exerce-t-elle de l'influence. (
Mémoire
publié dans la Berlin. hlizzisch. Wochenschrift.)
ait occupée par un vieillard dont l'âge avait affaibli la vue et la
mémoire
. Il était menacé de perdre sa place qui était s
in, l'hystérie et l'épilepsie, Esqui- rol lui demanda de rédiger un
mémoire
sur les observations qu'il y avait recueillies.
été si affectueux et si bienveillant qu'il ne s'effacera pas de ma
mémoire
. C'est pendant une de ces visites que la pensée
ELLULES; par Kreuser. (Allg. Zeitsch. f. Psy- chiat., L. 1 et 2.)
Mémoire
très complet. Conclusions. 1° Tout asile public
Meynert et Fritsch, ainsi que nous l'avons vu dans leurs premiers
mémoires
sur l'incohérence hallucinatoire (halluci- nato
En 1876, cet auteur a lu devant l'Académie de médecine de Paris, un
mémoire
intitulé : Sur une névrose vaso-motrice se ratt
ée ou diffuse. L'observation rapportée tout au long dans le présent
mémoire
appartient à. la première catégorie par son déb
1 Dans cette rédaction nous introduisons aussi la substance d'un
mémoire
publié à part dans le même fascicule du même jour
ion étaient des sarcomes à petites cellules rondes. M. WULFF lit un
mémoire
sur l'hypoplasie du crnur chez les malades atte
du crnur chez les malades atteints d'affaiblissement intellectuel.
Mémoire
publié in extenso'. M. 0. SNELL. Du congrès i
etc., etc.; Les faux témoignages des en- faîzts devant la justice.
Mémoire
lu à l'Académie de médecine (Anzz. d'hygiène et
étruire, atténuer, ou aggraver le caractère de criminalité. Dans ce
mémoire
, M. Motet a étudié l'ivresse simple, qu'il cons
dministratif ou médico- administratif, M. de Lamaëstre a publié les
mémoires
suivants : De la fracture cles os métacarpiens
Malgaigne, 1846); À izéu7,ismes à la région frontale (Ibid., 1846);
Mémoire
sur la pyélo-néphrile (Revue med : co-c/tt)' !
us incombe en pareille affaire, nous avions toujours présentes à la
mémoire
, ces paroles de Tardieu : « Un premier principe
r un cas d'érythromélalgie qui peut servir de contre-partie à notre
mémoire
. 013SERV,TION'. .E'n/</t)'o ? Ka/te sous la
trer dans l'exposé des effets patholo- 1 Depuis la rédaction de mon
mémoire
, j'ai eu l'occasion de prendre dans le service
trumpell, Bernhardt, Enlenburg. Lewin et Benda ré- sument dans leur
mémoire
l'opinion des auteurs (Berliner Kliie. Cen- tra
soit de la théorie de Raynaud soit de celle de Vulpian. Dans leur
mémoire
, Lewin et Benda prennent le parti d'être éclect
alement impossible, puisque cette analyse est empruntée au précieux
mémoire
de M. Cramer. Dès mainte- nant, tout nuage est
ations sensorielles, avec conservation de l'intelli- gence et de la
mémoire
(Wiglesworth) ; en dehors de ces deux éléments
e Bordeaux.) L'amnésie rétrograde ou rétroactive est la perte de la
mémoire
des faits antérieurs. Les traumalismes du crâne
prétend, en effet, dansson excellent ouvrage sur les Troubles de la
mémoire
, que l'amnésie rétrograde ne se manifeste que dan
l'interrogeant dans ce sens, je m'assurai même que la lacune de sa
mémoire
remontait en arrière jusqu'à la veille, au moment
nes d'extra ou d'auto- intoxication. » En terminant cet intéressant
mémoire
, M. Régis examine l'in- fluence que peut avoir
ales médico-psychologiques, oct. 1894.) L'auteur, dans un précédent
mémoire
, a montré que le foie, lésé par l'alcool, pouva
sychologique, s'élèvera cette année à la somme de 2,400 francs. Les
mémoires
devront être déposés au plus tard le 31 décembr
ordeaux, 1894. - Librairie Féret et fils. ' SEGUIN (E.). Rapport et
mémoires
sur l'éducation des enfants MOt'- maux et anorm
Férier et de Hitzig confirmèrent les données de ces auteurs. 1 Ce
mémoire
a obtenu une mention honorable à l'Académie royal
iante' qu'ils ont dû se représenter mentalement pour rédiger 'leurs
mémoires
et leurs classifications. Le mélange semble 'en
urs observations dans la langue où elles ont été rédigées.' Dans le
mémoire
de M. Cramer, auquel nous avons fait de nombreu
jalonsàl'esprit des psychiatres dési-' reux de bien comprendre les
mémoires
qu'ils lisent, à l'aide de l'exacte définition
côtés. 294 RECUEIL DE FAITS. A part quelque affaiblissement de la
mémoire
et une naunce d'obtusion intellectuelle, la mal
par le bromisme. L'obtusion de l'intelligence était aug- mentée, la
mémoire
affaiblie; la céphalalgie était devenue plus in
pas d'obtusion in- tellectuelle, pas de mal de tête. Toutefois, la
mémoire
laisse encore à désirer, et elle ne se sert de
désigné autrement, mais que lui, HELwEG, a fait eu 1886 paraître un
mémoire
en danois sur le trajet central des tractus ner
ratiolet, Ecker, Huxley, Wernieke). Aussi n'est-ce pour l'auteur du
mémoire
qu'une variété de cerveau normal; ces variétés
aval. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE XXII. Les états affectifs ET la
mémoire
; leçon de M. le Pr RIBOT, au Collège de France;
lie par M. DANVILLE. On savait jusqu'ici qu'il y a quatre sortes de
mémoire
: la mé- moire visuelle, l'auditive, la tactile
ve, la tactile, la motrice, auxquelles on avait ajouté récemment la
mémoire
du langage verbal. Mais l'on ne s'é- tait pas e
ceptibles de contribuer pour leur part au souvenir. Existe-t-il une
mémoire
des sensations internes ? Conserve-t-on une mémoi
Existe-t-il une mémoire des sensations internes ? Conserve-t-on une
mémoire
des émotions et des passions ? En cas d'affirma
emble de nos cogitations ? Quel intérêt théorique offrent enfin ces
mémoires
? Telles sont les questions que M. Ribot essaye
y a 310 REVUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? deux formes distinctes'de
mémoire
: la mémoire dite de conserva tion et la mémoir
VUE 'DE PATHOLOGIE MENTALE ? deux formes distinctes'de mémoire : la
mémoire
dite de conserva tion et la mémoire de rappel o
rmes distinctes'de mémoire : la mémoire dite de conserva tion et la
mémoire
de rappel ou d'évocation.. * -10 11 n'est.pas d
. < ' if* ,Mais le deuxième mode de reproduction du souvenir, la
mémoire
de rappel ou d'évocation s'applique-t-il aussi
ui traitent de la question et après ses propres expériences, que la
mémoire
de rappel ou d'évocation existe bien pour chacu
vant les individus. En résumé, il y a lieu de considérer dans toute
mémoire
ou repro- duction d'états affectifs d'une part,
a LOI. La castration chez ()) LES criminels; par le Dr Hughes. Ce
mémoire
, publié dans le Médical and surgical reporter de
, désorientation (le malade ne trouve plus sa chambre), perte de la
mémoire
, confusion mentale, désordre dans les idées, em-
de mise en équilibre de la jambe. Nous renvoyons à l'analyse de son
mémoire
dans les Archives de Neurologie. (Archiv f. Psy
n des aliénistes français appartient maintenant à l'histoire. Si la
mémoire
de beaucoup d'entre eux, 332 BIBLIOGRAPHIE. d
9 pages. Berlin, 1895. Librairie Fischer's. Seguin (E.). Rapport et
mémoires
sur l'éducation des enfants zzor- maux et anorm
s diversas artiesdu s stème nerveux.-Nous ayons encore présent a la
mémoire
le souvenir d'une malade que plusieurs médecins
perte de connaissance de quelques minutes, mais conservation de la
mémoire
, car au moment de le mettre sur la civière, il
t voisin du sien, il ne le reconnut pas. Il s'était produit dans sa
mémoire
une lacune pour les vingt années - précédant l'
estion faite. De temps à autre très irritable, mais pas violent. La
mémoire
s'est améliorée, la lacune dans les souvenirs s
pital, on ne saurait retracer les étapes de ce retour partiel de la
mémoire
, mais il est probable que les visites fréquente
ses amis, lui parlant du passé, y ont fortement contribué. Mais sa
mémoire
actuelle est très faible ; s'il sort de chez lu
l s'accuse de plus en plus, d'abord il n'y avait que de la perte de
mémoire
, mais depuis peu, il agit et prend des détermin
pas été touchée. Il est difficile, pour ce qui touche l'état de la
mémoire
, de faire autre chose que des suppositions; cer
IIOUG- BERG. (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L, 3-4.) . Très long
mémoire
basé sur 107 observations, la plupart avec auto
terdiction. Il y a donc lieu d'examiner les points principaux de ce
mémoire
. M. Neelél examine successivement les griefs ar
mann des indications scientifiques qui manquent totalement dans le
mémoire
accusateur. Il est des plus regrettables de voi
science de l'état morbide dans la paranoïa. Publié in extenso 1. Ce
mémoire
soulève une courte discussion. (Allg. Zeilschi,
uses, laborieuses; il a dû con- sulter non seulement les importants
mémoires
qui ont paru en France sur ce sujet, mais la co
mmobilité extérieure à l'obtusion intellectuelle, à l'embarras delà
mémoire
, à la nullité sentimentale ! Les stupides, impu
1895. Librairie L. Bataille et CI'. - SɻGui'-i. (E.). Rapport et
mémoires
sur l'éducation des enfants nor- maux et anorma
différents au contraire selon les diverses catégories de sujets. Ce
mémoire
ne sera consacré qu'aux premiers, les seconds s
re leurs repas, nous nous en occuperons en conséquence dans notre
mémoire
relatif aux quartiers spéciaux. Restent trois c
eize éléments dans tous les quartiers sans exception. Dans un autre
mémoire
j'es- sayerai d'établir quels sont les éléments
e s'affaiblir et déchoir progressivement; comme eux, ils perdent la
mémoire
, bien que moins rapidement et d'une façon moins
Nezo-York Médical Journal, 14 juillet 1894.) Les conclusions de ce
mémoire
sont les suivantes : 1° L'hétérophorie sous une
New-Yorh médical Journal, 21 juillet 1894.) L'auteur résume dans ce
mémoire
les résultats qu'il a obtenus contre le deliriu
on trouve en effet que le testateur devait être sain d'esprit et de
mémoire
entièrement conservée pour que ses dernières vo
rendant incolore par une teinte person- nelle ce qui était noir. Sa
mémoire
pour les faits et les détails fut extraordinair
idente de la haute 494 VARIA. estime qu'on a dans ce pays pour sa
mémoire
». Le total de la souscription s'élève à 4,120
fr. 50. Aux bureaux du Pro- grés médical. Bourneville. Rapport et
mémoires
sur Véducalion des enfants nor- maux et anormau
ith, 387. Massage sur la gymnastique et le , par Sandblom, 466.
Mémoire
, états affectifs de la -, par Ribot, 309. Men
à cette question un cha- pitre de sa thèse et y est revenu dans un
mémoire
qui fait époque ; Coingt y y revient à plusieur
ésiter. Les réponses données correspondent aux questions posées. La
mémoire
est complètement conservée tant pour les faits
plus longues réponses consistent dans une proposi- tion simple. La
mémoire
est très altérée, autant pour les faits ré- cen
; ainsi que, nous ne pouvons pas nous rendre compte de l'état de la
mémoire
, de la perception et du raisonne- ment de notre
la réponse ne correspond pas aux questions que nous lui posons. La
mémoire
est diminuée tant pour les faits ré- cents qu'a
st gardée. L'association des idées et le jugement sont atteints. La
mémoire
est altérée. La volonté est en défaut. Aux in
faire une idée sur l'état de ses facultés intellectuelles et sur sa
mémoire
. La mé- moire pour le calcul paraît bonne, il e
s forcés de lui opérer l'estomac pour lui extraire les aliments. La
mémoire
est boune : elle se rappelle qu'elle s'est coup
e son lit sont humides. Il est impossible de juger sur l'état de sa
mémoire
, de ses idées, de son intelligence et de son ra
ion sont à peu près impossibles, l'imagination est très bornée ; la
mémoire
en général, est faible, sauf la mémoire auditiv
nation est très bornée ; la mémoire en général, est faible, sauf la
mémoire
auditive qui parait très déve- loppée ; jugemen
étendues enfin à tous les membres; depuis six mois diminution de la
mémoire
, intervalles d'agitation avec incohérence ; ext
tête toujours localisés à la région pariétale droite ; peu à peu sa
mémoire
s'affaiblit en même temps que sur- viennent des
s plus importantes ' Voir dans la llev. phol. des hôp., 1871, notre
mémoire
sur les riotlerop. conséc. aux maladies du cerv
premières notions sur la syphilis médullaire datent de 1797 avec le
mémoire
de Portai sur le mal de Pott syphilitique, et i
rouvé ce symptôme sans grande importauce dans ses recherches. Les
mémoires
de Sarbo (Neu·ologisclces CezL·alblalt,189G); W
ative. L'intelligence est très obtuse, l'affec- tivité diminuée; la
mémoire
est affaiblie; l'association des idées et ,1e j
igne, etc. L'in- Lelligeuce et le jugement complètement altérés. La
mémoire
est affaiblie autant pour les faits récents que
é des gâteaux. En cas d'être jugé, il préfère qu'on le condamne. Sa
mémoire
est assez bien conservée. Les sentiments affectif
'auto-accusations. L'intelligence et le jugement sont conservés. La
mémoire
semble diminuée surlout pour les faits récents.
le a déjà répondu à d'autres docteurs ce que nous lui demandons. La
mémoire
paraît conservée. L'idéation et le raisonnement
zoopsies. L'intelligence et le jugement conservés, de même que la
mémoire
. Les sentiments affectifs et la sphère morale ne
uestion. La parole très lente et basse, presque imper- ceptible. La
mémoire
de quelques rares réponses que nous recueil- lo
eu aucun avortement, elle a eu deux accou- chements gémellaires. La
mémoire
paraît diminuée pour le pré- sent et le passé.
re qu'elle a des ulcérations, qu'elle est une prostituée, etc. La
mémoire
est conservée, mais elle ne peut pas nous donner
rlent avec elle. On voit par là qu'il existe des hallucinations. La
mémoire
est bien conservée. Le raisonnement et l'associ
arce que l'idée et l'image du crime lui sont toujours présentes. La
mémoire
paraît conservée, elle se rappelle les noms de
tre et demi d'urine. Etat psychique. Le malade est très déprimé. La
mémoire
est diminuée tant pour les faits récents qu'anc
Elle nous repousse de près d'elle, parce qu'elle sent mauvais. La
mémoire
est bonne, elle nous dit qu'elle est née à la Sai
aration, car le monde l'accus d'avoir cassé la tête à sa mère. La
mémoire
est conservée. L'orientation dans le temps est er
e désir de retourner chez lui pour voir~sa femme et ses enfants. La
mémoire
ne parait pas bien atteinte ; il se rappelle en
rs des zones cor- ticales embryogéniques composantes. Le reste du
mémoire
est consacré à la légitimation des centres d'as
duquel je n'avais pu déceler la syphilis ; j'étais mal servi par ma
mémoire
. Ce jeune homme, en effet, paralytique général, d
s, invités 176 bulletin bibliographique. ont bu et trinqué à la
mémoire
du défunt. La cérémonie mortuaire s'est ensuite
ur les réflexes dans cette maladie'. ' Voir à ce sujet les quatre
mémoires
que nous avons déjà publiés sur 198 PATHOLOGI
ut traitement, mo- difications du caractère, émotivité, perte de la
mémoire
, du juge- ment, du sens moral, idées extravagan
vertes de la pathologie et de l'histogie pathologique. Les nombreux
mémoires
antérieurs publiés dans le même sens par M. Klipp
ui attendent des vacances, sont démontrés par des chiffres (voir le
mémoire
). Il en est de même de l'accroissement du nombr
ception à la règle. A priori on 1 Neuvième et dernier chapitre d'un
mémoire
qui a obtenu en 1895, le prix Aubanel de la Soc
un laboratoire d'analyses chimiques. Nous ne mentionnerons que pour
mémoire
l'analomie pathologique et la bactériologie qui
sie, en effet, est toute spéciale. Ce n'est pas la diminution de la
mémoire
classique, celle des démences simples et vésani
mme on le voit, un état à part, qui n'est pas seulement la perte de
mémoire
des événements anciens ou récents, comme dans l
uer tous ces détails, les éclairer sur leur position, rappeler leur
mémoire
, leur poser de petits problèmes et leur en dema
re le travail d'Onanofî, l'auteur publiait sur ce même réflexe un
mémoire
intitulé : « Note sur le réflexe viril. » Il join
SOCIÉTÉS SAVANTES. 33U Commissions des prix. Prix Bclhomme (deux
mémoires
). Commissaires : MM. BoucuE- veau, BOURNEVILLE,
BOURNEVILLE, Briand, SGLAS, Sollier. Prix Moreau (de- Tours) (huit
mémoires
). Commissaires : -. MM. ARNAUD, Ballet, BoiSSIE
ientèle de ville et les hôpitaux ordinaires, ajoutons enfin que son
mémoire
sur la stupidité publié en 1854, contient en su
e sentiments affectifs, de sens moral et social. Ils gardent leur
mémoire
intacte, conservent leur activité physique, et s'
re les jambes à l'aide de ses mains. Etalprésenl. Intelligence et
mémoire
bien affaiblies; quel- ques consonnes sont mal
rcent de démontrer que les troubles mentaux et notamment ceux de la
mémoire
dans la psychose polynévritique ont une marque
èrement douloureux à la palpation. Du côté psychique, trouble de la
mémoire
sous forme d'amnésie et de faux souvenirs. Le m
ieurs ; les troncs nerveux sont dou- loureux. Affaiblissement de la
mémoire
; amnésie pour les événe- ments présents et réce
réflexes rotuliens sont exagérés. Du côté psychique, troubles de la
mémoire
sous forme d'amnésie et de faux souvenirs, cara
s, alcoolique avéré. A partir d'automne 1892, affaiblissement de la
mémoire
, amnésie, douleurs aux membres inférieurs et in
ce cas. M. Tokarsky ne croit pas l'amélioration des troubles de la
mémoire
comme un signe pathognomonique. M. Minor dit qu
eur exercice, toute leur vivacité. L'attention, la per- ception, la
mémoire
, l'association des idées ne témoignent nullemen
leur exercice, toute leur vivacité. L'attention, la perception, la
mémoire
, l'association des idées ne semblent nullement
n plein accès, ils font preuve dans la conversation d'attention, de
mémoire
, d'une idéation étendue; ils s'occupent, lisent
ations psychiques; en outre, séparaient-ils à tort les processus de
mémoire
inhérents à l'écorce des voies de communication
i se font uniquement dans l'écorce cérébrale, avec le concours de
mémoire
et d'attention; cet auteur niait les localisation
s du langage et donnaient par contre beaucoup trop d'importance aux
mémoires
verbales, devant suffire par elles-mêmes à l'ac
moins à la théorie des localisations, et tout en reconnaissant les
mémoires
verbales, insiste particulièrement sur les asso
t, en ce qui concerne l'acte de la parole, la différence entre la
mémoire
verbale sensorielle qui sert à rappeler les imp
elle qui sert à rappeler les impressions respectives des sens et la
mémoire
des asso- ciations qui est destinée à relier le
it alors associer les images opti- ques ou ensemble avec elles, les
mémoires
motrices avec des images vocales, et puis rappe
mouvements nécessaires pour l'articulation des sons ou l'écriture (
mémoire
motrice) ; 3° reçoivent les excitations du mond
outer la parole, car chaque mot est composé de sons et de bruits (
mémoire
auditive), ou bien la lecture, c'est-à-dire l'act
ou bien la lecture, c'est-à-dire l'action de percevoir les lettres (
mémoire
optique). Les mémoires senso- rielles font part
est-à-dire l'action de percevoir les lettres (mémoire optique). Les
mémoires
senso- rielles font partie de la mémoire organi
es (mémoire optique). Les mémoires senso- rielles font partie de la
mémoire
organique ou automatique, dans laquelle nous ra
organique ou automatique, dans laquelle nous rangerons également la
mémoire
d'associa- tion du centre moyen. Pour comprendr
i s'accomplis- sent dans l'écorce avec le concours indispensable de
mémoire
et d'attention. Ce processus se distingue des a
l'observation par exemple, par une plus grande complexité, car les
mémoires
sensorielles doi- vent d'abord s'associer dans
n. Kussmaul qui donnait plus d'importance aux processus dynamiques (
mémoire
el association) propres exclusivement à l'écorc
lle d'association. Pour nous, le mutisme constitue un trouble de la
mémoire
verbale sensorielle (auditive, optique ou motri
verbale sensorielle (auditive, optique ou motrice) ou bien de la
mémoire
d'association (centre moyen ou postérieur). C'est
prenant l'aphasie de Grashey et les cas, où l'affaiblissement de la
mémoire
auditive empêche de comprendre les paroles et l
parole et la mutilé proprement dite. Le premier tient à ce que les
mémoires
verbales sont affaiblies par suite d'un vice qu
de l'affection, le traitement du mutisme consiste à dévelop- per la
mémoire
verbale sensorielle ,ou coordinatrice ; celle d
te de la parole spontanée tient dans la première aux troubles de la
mémoire
motrice sensorielle, et dans la seconde, à l'al
ième année ; ce trouble tient alors à la faiblesse tempo- raire des
mémoires
verbales sensorielles et à l'irrégularité consé
à partir du 8 décembre jusqu'au moment présent, il existe dans sa
mémoire
une lacune complète : de tous les événements se r
s dit, de grands excès de coït. Son intelligence parait moyenne. La
mémoire
est fidèle, sauf en ce qui concerne la période
t toujours les mêmes stigmates d'hystérie et la même lacune dans la
mémoire
. HYSTÉRIE MALE. 67 Le 8 septembre, P... nou
. Dans la mélancolie on n'observe jamais cette dissociation de la
mémoire
des faits actuels et de la mémoire des faits anci
jamais cette dissociation de la mémoire des faits actuels et de la
mémoire
des faits anciens. Dans la mélancolie avec stup
ême temps que toute une période de son existence s'effaçait de sa
mémoire
, P... recouvrait le souvenir de toute sa vie anté
parlé aussi vite que ses frères et soeurs. Il est intelli- gent, sa
mémoire
est bonne. A deux ans et demi, il présente tou-
es au niveau de la région temporale gauche ; son intelligence et sa
mémoire
diminuent. 502 SOCIÉTÉS SAVANTES. Brusqueme
face respectée, pas de douleurs, pas de vertiges : intelligence et
mémoire
intactes. Téguments pâles, froids; peau glacée,
me des actes et des pensées de leur vie passée. Ce n'est pas que leur
mémoire
soit abolie, elle n'a jamais été si vive, si prom
DE L'INVERSION SEXUELLE PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE (Supplément du
mémoire
publié dans la Revue de l' Hypnotisme). n° 6, 1
s, produisit un changement complet qui, ainsi que je l'ai dit dans le
mémoire
susdit, fut suivi du rétablissement des fonctions
ersions sexuelles. Peu de temps après la publication de mon premier
mémoire
, le 6 octobre 1889 — mon malade m'écrivait ce qui
que beaucoup l'ont et que tous peuvent l'avoir. H ne cite, que pour
mémoire
, la fable rapportée par Fracastor au commencement
l'cdmiitrafiem du cbhrcfc* me et des autres agents ameitbésiques. Le»
mémoires
écrit» en allemand, français ou anglaif doivent p
sera la fois la médecine légale et la nosologie M. Laschi, dans son
mémoire
, a divisé .es régicides en trois catégories, 1° l
olie marchent souvent ensemble, donne la relation de quelques-uns des
mémoires
qu'il a rédigés pour le Parquet ou le Tribunal. I
ucinations, idées de mystique relatives au spiritisme, troubles de la
mémoire
et de la marche. A l'entrée, la malade est incapa
ans les premiers jours; hallucinations hypnagogiques : troubles de fa
mémoire
prédominants et très accentués. Perte absolue des
t mieux conservés, mais cependant confus Elle a surtout bien gardé la
mémoire
des lieux pour cette époque, et des personnes
e cote, les auteurs mettent en relief l'importance des troubles de la
mémoire
s'étendant jusqu'à la mémoire organique, puisque'
relief l'importance des troubles de la mémoire s'étendant jusqu'à la
mémoire
organique, puisque' la malade a perdu même les ac
. Charcot et Blocq, qui rattachent ces désordres à des troubles de la
mémoire
organique. Ici la mémoire intellectuelle est égal
ttachent ces désordres à des troubles de la mémoire organique. Ici la
mémoire
intellectuelle est également atteinte, comme le p
suggestion cause d'hystérie. M. Coste de Lagrave donne lecture d'un
mémoire
sur ce sujet, dont voici les conclusions : L'au
ides, et quand elle revient A elle, elle ne recouvre que lentement la
mémoire
. L'enfant, autrefois intelligente, est devenue so
: nence nocturne d'urine. Nous avons noté aussi l'amélioration de la
mémoire
, et de l'état mental. Enfin. chez dix autres, les
'état de veille. Cette conclusion est absolument contraire à celle du
mémoire
de MM. Gilles de la Tourette et Cathelineuu sur l
rtaine analogie avec la maladie du doute de Falret. a-t-pris pour son
mémoire
un titre qui ne préjugeait en rien la question. L
Psychizytie, 1872 p. 300 de la folie du doute. Je veux parler du
mémoire
de Westphal,(1) publié en 1877 sur les obsessions
la tête sont atteints, je ne puis ni-penser.ni parler clairement, la
mémoire
disparait. Je souffre atrocement à cause décela.
et le dégagement se fait avec rapidité. Je ne mentionnerai que pour
mémoire
l'avantage de la suspension des contractions lors
morbide. En effet, en 1888, G... a eu la fièvre typhoïde. Depuis, sa
mémoire
est allée en s'affaiblissant progressivement, à c
n corps avec les tendances et les sentiments qui la traduisent, et la
mémoire
( i ). En fait, le premier de ces deux facteurs d
ibilité ct d'innervation motrice, la personnalité est un phénomène de
mémoire
(a). » Dans le sommeil hypnotique, la notion de
omme elle se figure, avec tes res-sources de son imagination et de sa
mémoire
, que devrait parler, penser et agir une religieus
Berlin sur l'emploi du courant continu en gynécologie. L'un des deux
mémoires
du docteur Gautier renferme- les indications néce
ment que des laits survenus en dehors du sommeil. Elle aura donc deux
mémoires
distinctes, d'une portée inégale, lui servant alt
s, mais elle se préoccupait surtout d'une altération périodique de la
mémoire
qui se reproduisait sous forme de crises presque
t été publiées par MM. Mac Nisli (philosophy of sleep. 1830), Mesnel (
Mémoire
sur l'automatisme de la mémoire, etc, Paris, 1874
(philosophy of sleep. 1830), Mesnel (Mémoire sur l'automatisme de la
mémoire
, etc, Paris, 1874.).Dufay (La notion de la person
le paraît avoir deux vies, dit M. Azam: en réalité, elle n'a que deux
mémoires
». Les changements qui se produisent périodique
e la dame américaine de Mac Nish (1) », dans laquelle le jeu des deux
mémoires
alternantes n'était pas le même que chez la malad
dinaire. A son réveil, elle avait oublié tout ce qu elle savait; sa
mémoire
était comme une tabula rata, et n'avait conservé
, !.i malade de Mac Nish n'avait pas, comme la malade de M. Azam. une
mémoire
commune aut deux états et une mémoire propre a l'
comme la malade de M. Azam. une mémoire commune aut deux états et une
mémoire
propre a l'un deux. Les deux mémoires étaient lim
re commune aut deux états et une mémoire propre a l'un deux. Les deux
mémoires
étaient limitées chacune aux événements accomplis
lus les mêmes idées, les mêmes penchant, les mêmes tendances, la même
mémoire
qu'il avait à vingt ans. Ces; le même individu, p
se trouve pleinement confirmée par l'étude de certains troubles de la
mémoire
et de la personnalité qui se rencontrent assez fr
et reprennent celle qu'ils avaient au moment précis où s'arrête leur
mémoire
. C'est 1 ces phénomènes complexes à'amnésie par
e qui s'était passé depuis cette date était complètement effacé de la
mémoire
. Plus tard, les attaques convulsives de notre m
• nerveux restaient étroitement associées dans les profondeurs de la
mémoire
inconsciente, de telle sorte que la reviviscence
viens d'appeler votre attention, les conclusions qu'ils comportent.
MÉMOIRE
RELATIF A CERTAINES RADIATIONS PERÇUES PAR LES SE
pratiques hypnotiques au domaine des autres sciences positives. Le
mémoire
suivant a été lu, en 1865, devant l'Académie des
e. Lohée pour désigner l'effluve spécial dont il est question dans ce
mémoire
. tances inorganiques : les diamants, par exempl
mmuniqué à l'Académie des sciences morales et politiques un important
mémoire
qui fut le point de départ d'une discussion sur l
ussions n'avaient encore ni envenimé ni obscurci le débat. Dans son
mémoire
pour établir la possibilité de faire commettre de
onsabilité des somnambules. On a bien signalé et on trouvera dans les
mémoires
de Hernheim et de Pitres des exemples de résistan
n France, en Belgique, en Italie et dans plusieurs autres contrées.
MÉMOIRE
RELATIF A CERTAINES RADIATIONS PERÇUES PAR LES SE
age* sont nombreux : ils ont été publiés par non fil*. On remarque un
Mémoire
sur l'k'tabtissement des cimetières hors de la vi
r est naturelle ». Au sujet de l'hypooiisme. il publia, en 1785, un
Mémoire
sur la Catalepsie, et son fils publia en 1808 : D
premier tous les phénomènes de transfert des sens, d'alternance de la
mémoire
, de dédoublement de la personnalité, de suggestio
connus. Notre devoir est de faire revivre see idées en célébrant sa
mémoire
et réimprimant ses ouvrages. La conférence de M
e, le Dr Jean-Pierre Falret, de réunir en deux volumes la plupart des
mémoires
qu'il a publiés au cours de sa longue el laborieu
epsie et état mental des épileptiques. — Troubles du langage et de la
mémoire
des mots dans les affections cérébrales. — Folie
tité et la variété des sujets irailés; j'ajoute que la plupart de ces
mémoires
n'ont pour ainsi dire pas vieillis, quelques-uns
mité de médecine américains offre un prix de 2,000 francs au meilleur
mémoire
sur la question que voici : — L'usage habituel de
mment se produisent les lésions et quelles sont-elles? Adresser les
mémoires
avant 1893. à M. Alfred L. Lomis, à New-York; le
dresser les mémoires avant 1893. à M. Alfred L. Lomis, à New-York; le
mémoire
récompensé deviendra la propriété de l' American
'état de veille; cette conclusion est absolument contraire à celle du
mémoire
qui a provoqué ce travail. Ces analyses m'ont p
ravail. Ces analyses m'ont paru présenter cet avantage sur celle du
mémoire
de MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau, que
tte dernière appréciation sont SIM.Brouardel etDelbœuf. (A suivre.)
MÉMOIRE
RELATIF A CERTAINES RADIATIONS PERÇUES PAR LES SE
. — C'est par erreur que dans le numéro précédent, on m'a attribué ce
mémoire
dont je ne suis que l'éditeur. — A. de Hochas.
'année 1886 par M. le professeur Delbœuf. en vue d'expériences sur la
mémoire
et la veille somnambulique (2). Depuis lors, elle
irconstances font prévoir quoique obstacle au travail de la nature.
MÉMOIRE
RELATIF A CERTAINES RADIATIONS PERÇUES PAR LES SE
, les principales sources de Lohée qu'on ait observées. Dans un autre
mémoire
, nous étudierons les propriétés particulières à c
udierons les propriétés particulières à cette Lohée. fin du premier
mémoire
DISCUSSIONS ET POLÉMIQUE La Nutrition dans l'
lus que la contracture somnambulique. Au point de vue psychique, la
mémoire
est revenue, la malade se rappelle tout son passé
eut, et ne se plaint qae d'une contusion à une jambe. A ce moment, sa
mémoire
parait complète, car il se rend parfaitement comp
ses souvenirs sont brouillés et confus. Pour le temps qui précède, sa
mémoire
est entièrement nette. Ainsi, reconduit chez lui,
de sa mère et des objets qu'il avait l'habitude de voir. La perte de
mémoire
n'est complète que pour les quatre jours qui ont
* l'accident, qui n'a eu du reste aucune suite, Philippe X... a vu sa
mémoire
revenir. Elle s'est rétablie graduellement de la
ceux du vendredi, du samedi et du dimanche sont revenus. Cependant sa
mémoire
était encore bien faible ; elle était comme un pi
. Bonnet, interne de l'Asile d'aliénés de Villejuif (Seine), pour son
mémoire
manuscrit Intitulé : • Contribution à l'élude de
t pour sujet: « De la vision chez les idiots et les imbéciles ». Deux
mémoires
ont été envoyés. Sur le rapport do SI. Pichon, le
e des hôpitaux. Le prix Aubanel, de 2,500 francs, destiné au meilleur
mémoire
sur : » La folie chez les vieillards -, n'a pas é
ulevard Saint-Germain, Paris, 1891. Ribot (Th.). — Les Maladies de la
mémoire
, septième édition, in-12, 170 pages. — Félix Al
rités, de son vivant, au lieu d'adresser nos tributs respectueux à sa
mémoire
, comme cela n'arrive que trop souvent. La date
et cela surtout chez des névropathes. Nous ne citerons ici que pour
mémoire
les troubles de la sensibilité génitale qui jouen
; les idées sont inco- hérentes, mobiles, l'agitation continue, la
mémoire
très affaiblie. L'écriture trahit manifestement
re très affaiblie. L'écriture trahit manifestement le trouble de la
mémoire
par les mots qu'il oublie et l'incoordination m
xtérieur dès le début de mai 1900. Il néglige ses affaires, perd la
mémoire
, erre à travers Paris le jour et la nuit, fait de
che un peu plus grande, mais elles réagissent bien à la lumière. La
mémoire
est très diminuée, il a peine à nous rappeler s
beaucoup pendant son séjour à l'asile. A côté des troubles de la
mémoire
, de l'attention, nous notons des hallucinations p
e rapports qu'à titre tout à fait exceptionnel puisque dans notre
mémoire
relatif au sens tactile nous n'avons trouvé ce
système nerveux central de l'Homme et des Animaux', de ses nombreux
mémoires
d'anatomie comparée de la Société de Senckenber
erveux peut-elle donner à ce problème capital de la psychologie, la
mémoire
? Comment les processus nerveux peuvent-ils êtr
nd des événements semblables ou divers ont lieu ? Ce problème de la
mémoire
, on peut l'aborder sans 11e1'vel1syslem. Leipzi
pas d'appétit. Instruction rudimen- taire : intelligence ordinaire;
mémoire
faible. Caractère triste et par moments irascib
f Mental Science, avril 1900.) Nous ne pouvons qu'indiquer ce court
mémoire
de M. Mercier, qui est une réplique à l'article
tifs au moyen de corridors. R. DE DUSGIt4VE-CLAT. VIII. Résumé d'un
mémoire
sur la nécessité d'isoler les aliénés phthisiqn
. A. ToKARSKY.CoH<)'t6 : ;<t')K expérimentale à l'étude de la
mémoire
. La communication de M. Tokarskv a suscité une
seur S. Ko7-saliog». Des discours ont été prononcés, consacrés à la
mémoire
du défunt, par M. le professeur Roth, A. Kornil
la part des particuliers. On a discuté la question de perpétuer la
mémoire
du défunt et on a décidé : 1° D'éditer un jou
ances de la Société, le buste du défunt; 3° de fonder un prix en sa
mémoire
; 4° de fonder un capital, destiné à subvention
es efforts peuvent aboutir, il y a alors reproduction (association,
mémoire
). Chaque représen- tation est une force, c'est
un récompense, doit être le moins possible utilisée, de même que la
mémoire
pure, dont les exercices ne sont qu'une nécessi
ynécologiques, deux sujets sur ce nombre étant indemnes. Dans notre
mémoire
de '1898 à la Société de chirurgie, notre pourc
troubles intellectuels consistant surtout en affaiblissement de la
mémoire
. Cette amnésie remontait au 8 mars, date à laqu
qui cons- titue de beaucoup la note dominante. c'est la perte de la
mémoire
. Cette amnésie, en partie rétrograde, porte sur
où il habitait, mais il ne peut tout d'abord indiquer le numéro. La
mémoire
visuelle de son appartement est mieux conservée
neuf mois, nous avons assisté à des fluctuations curieuses de la
mémoire
.) ! )) a pas en elretchez fi... absence absolue d
ès, il croira l'avoir vue le matin même. Quelque soit la variété de
mémoire
interrogée, quelques soient les sensations perç
ci Bicêtre, ou c'est Villejuif. » L'examen détaillé des différentes
mémoires
donne les résultats suivants : La mémoire organ
détaillé des différentes mémoires donne les résultats suivants : La
mémoire
organique, c'est-à-dire celle qui correspond au
cette interprétation que, peu entraîné à se servir d'une plume, la
mémoire
motrice graphique a toujours été chez lui très
s piqué dans un autre endroit, il répond : a Oui,à la figure». La
mémoire
visuelle commune, qui, nous l'avons dit, était un
u'il a été à l'hôpital Saint-Louis avant de venir ici. Toutefois la
mémoire
laisse beaucoup à désirer encore, la reviviscen
l'affectivité n'est pas émoussée ; la conscience de son trouble de
mémoire
lui est bien vite revenue. Voici par exemple
n affaiblissement spécialisé des facultés men- tales portant sur la
mémoire
. Sans doute, les exemples d'amnésie survenant à
survint dans ces conditions un affaiblissement très prononcé de la
mémoire
. Fallût 2 signale chez une femme de soixante-tr
z laquelle ultérieurement survint un affaissement très marqué de la
mémoire
, mais avec dé- chéance généralisée des facultés
quinze jours, évoluants d'après ce mode habi- tuel : troubles de la
mémoire
mal déterminés, puis amnésie marquée, puis inco
appeler sa fonction passive, destructive ( ? ), cette perte de la
mémoire
semble remonter au delà de plusieurs semaines,
rl ingénieusement que dans cette forme particulière la lésion de la
mémoire
ne réside pas dans la perte de la conservation
sième élément qu'on s'accorde assez généralement à reconnaître à la
mémoire
=, la pe1'cep- tion personnelle ; c'est ce trois
al.. 189 ? .) Janet. Névroses el idées fixes. Dugas. La perle de la
mémoire
et la perte de la conscience. (Revue philosoph.
avons que trop peu de choses encore sur le mécanisme in- time de la
mémoire
, sur les cellules qui entrent en jeu et sur leu
les reproduire ensuite dans un ordre semblable ou différent. En son
mémoire
sur la biologie des abeilles, von Buttel-Reepen
de nombre d'actions réflexes héréditaires, des signes assurés d'une
mémoire
individuelle; bref, que ces invertébrés peuvent
s laissé pourtant de produire quelques résultats. La question de la
mémoire
, on l'a vu, se ramène à des consi- dérations qu
l'hypothèse d'une conscience : il suffirait de donner au concept de
mémoire
un sens plus étendu, une acception qui excède e
tliè\\". (Neurolog. Ceutrul6lutt, XIX, 1 ! jojo,)' Confirmant son
mémoire
russe de l'Obozrénié psichiatrii de 1899, le pr
ton sentimental positif, comme dans une des observations du présent
mémoire
: cette femme conversait soi-disant, à tout pro
x qui écrivent en miroir sont doués d'une attention faible et d'une
mémoire
visuelle affaiblie. B. Les gens peu exercés ri
'actéristiques de la syphilis : au point de vue mental, perte de
mémoire
, incohérence, idées délirantes de forme soupçonne
i des muscles producteurs du son articulé; 2° Amnésie ou perte la
mémoire
des mots; 3° Agraphie ou impossibilité d'écrire.
eur a pris soin de formuler lui-même les conclusions de intéressant
mémoire
; nous les résumons ici : Il est généralement ad
du langage en abaissant l'énergie des centres du mouvement et dela
mémoire
. Ordinairement, les malades, bien qu'ils soient
moins limité, ce qui est probablement dû à. une insuffisance de la
mémoire
qui retient plutôt que de la mémoire qui reprodui
t dû à. une insuffisance de la mémoire qui retient plutôt que de la
mémoire
qui reproduit. L'aphémie est rare, et quand ell
(/e ! eHce, janvier 1900.) M. W. Ireland, qui, si nous avons bonne,
mémoire
, est coutu- mier de ces curieuses études de psy
qu'aux der- niers moments de sa vie, de sa parfaite lucidité, de sa
mémoire
étendue et bien équilibrée; de son jugement sai
logie. Morel lui-même ne consacre qu'une faible part de son court
mémoire
à la mentalité de Swedenborg et cherche plutôt à
de partie de sa jeunesse chez des reli-, gieuses; elle avait peu de
mémoire
et travaillait sans aucun succès à son instruct
intervalle de ses hallucinations G... est parfaite- ment lucide, sa
mémoire
est à peu près normale, le jugement est juste.
vie passée. Il lui faut donc faire effort d'attention, d'examen, de
mémoire
, de jugement, de synthèse pour qu'il arrive à s
ques parties. 1 J. Séglas. XLIV. Recherches expérimentales sur la
mémoire
des impressions visuelles; par A.-W. GUERWLR. (
s assertion-, Bianchi et Picc ? 1\'UJ : l.p.ublièI'ent un troisième
mémoire
dans lequel IIsTS'onnent trois observations nouve
leurs recherches confirment les conclusions de leurs deux premiers
mémoires
. Ils en déduisent qu'il existe une forme cocciq
upuytren, deux grands neurologistes, a-t-il dit, dont il a salué la
mémoire
. En terminant, il a rappelé le souvenir du gent
des réflexes rotuliens. Affaiblissement intellectuel, trouble de la
mémoire
, délire de satis- - faction. Accès impulsifs fr
estations de la vie cons- ciente de l'individu, c'est-à-dire sur la
mémoire
, la volonté, le rai- sonnement, l'attention, et
é gauche ; 6° Démence marquée caractérisée par nne diminution de la
mémoire
et de la faculté d'orientation. Lésions. La dur
le avec les autres affections organiques intra-craniennes. Enfin le
mémoire
se termine par des considé- rations sur le pron
une lacrymation abondante, et dans 1 cas du nystagmus. Le reste du
mémoire
est consacré à peu près exclusivement à un résu
la fourchette. A la classe les progrès sont plus lents; il a peu de
mémoire
, cependant il est parvenu a placer les lettres
e suivre un tracé. (Nous avons plusieurs enfants dans ce cas). La
mémoire
, des plus fugitives, fait oublier à Chai... ce qu
les idées qu'elles expriment. ' Très mal doué sous le rapport de la
mémoire
, Sterlin... éprouve une grande difficulté pour
ration dans l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la
mémoire
a paru se développer et les progrès en toutes c
rché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de
mémoire
un certain nombre de mots, tels que ceux concer
Ce sont les résultats que nous avons obtenus qui font l'objet de ce
mémoire
. I. On désigne, comme on sait, sous le nom de d
ques et les hystériques qui avaient fait l'objet de son précédent
mémoire
n'y figurent pas, or ces deux catégories d'aliéné
que tous les huit jours, et, à partir de 1858, l'intelligence et la
mémoire
s'affaiblirent de plus en plus, au point qu'il de
-parésie externe, et s'écartant un peu par là de l'objet du présent
mémoire
. Enfin le troisième groupe comprend onze cas do
illeurs en parlait accord avec celle de Babinsky et Charpentier. Le
mémoire
se termine par quelques considérations sur les
endre et citer les observations que M. A. Marie a publiées dans son
mémoire
déjà cité. Presque toutes les observations rela
revanche, l'acte ou plutôt sa représentation s'enregistre dans la
mémoire
organique, cette représentation persiste, se so
rnal, 28 juillet 1900.) Nous reproduisons ici les conclusions de ce
mémoire
étendu : 1° le corps pituitaire est un organe f
s nerfs qui transmettent les effets'du sti- mulus ; 4° le centre de
mémoire
qui reçoit la totalité de l'impres- sion ; 5° l
ire pour donner les raisons de cette opinion, que le centre de la
mémoire
qui reçoit l'impression totale est situé dans les
optiques ; 5° enfin l'impression totale étant amenée au centre de
mémoire
, les différentes parties de cette impression (cou
ience, octobre 1900.) Travail accom- pagné de planches. Ces trois
mémoires
sont des démonstrations faites au moyen de proj
otuliens et superficiels. Mentalement, intelligence très affaiblie,
mémoire
très faible. Il fut pris de somnolence habituelle
roïdien des psychoses. M. LEGRAIN donne lecture d'un rapport sur le
mémoire
de 540 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Pilez, relatif a
r enfin définitivement après l'avoir repris. L'auteur termine son
mémoire
par une étude d'ensemble de tous les cas de fol
L, Dauriac, 67. , Visuelles. Recherches expérimen- tales sur la
mémoire
des im- pressions, par Guerwer, 225. Vomissem
otisme à la production du sommeil artificiel, quand il y aperte de la
mémoire
, de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun sou
des névropathes; ils présentent de l’instabilité mentale, manquent de
mémoire
ou de sensibilité ou d’attention, se montrent vio
à des degrés divers, sa volonté, son libre arbitre, sa conscience, sa
mémoire
. Dans cet état, qui est le somnambulisme, l’hypno
réhensibles; le plus souvent, ils laissent une certaine place dans la
mémoire
du malade. Cette fugue n’est, d’après M. le Dr Br
es hypnotiques dont les résultats ont été consignés dans des notes et
mémoires
présentés à la Société de Biologie, à l’Académie
ffer les lois qui régissent la suggestion, l'attention, l’émotion, la
mémoire
, l’association dc-s idées, les lois des phénomène
s empreintes du plus pur esprit scientifique médical ». Il a salué la
mémoire
de Charcot, qui est parvenu à mettre en évidence
de la moyenne, et surtout remarquable par sa pondération et sa grande
mémoire
, sans parler des qualités spéciales aux autres av
rès avoir fait l’éloge ému de notre Président d'honneur, a rendu à sa
mémoire
le juste tribut de notre profonde admiration et d
lé, honni, bafoué. Alors il écrivit aux académiciens ; il adressa des
mémoires
aux spécialistes, en adjurant ceux-ci d’en prendr
n loin d’être complète ; nous nous donnons comme tâche de défendre sa
mémoire
et de vulgariser son œuvre : nous n’y faillirons
. Dans la seconde édition parue en 1876, Cf. 1,326-408; II, 1-54.
mémoire
ou des passions. Dans ces cas, les affirmations s
ions, à l’aliénation, aux états de la conscience où l’imagination, la
mémoire
, l’attente, les passions déterminent sans réflexi
conscient. Après un certain nombre de sollicitations s’adressant à la
mémoire
et ayant pour but de provoquer le souvenir de la
uvre et nous conserverons pieusement dans cette maison le culte de sa
mémoire
. Les autres conférenciers furent Lionel Dauriac
cation ; considérations générales. (Neuvième et dernier chapitre d'un
mémoire
qui a obtenu en 1898 le prix Aubanel de la Sociét
ires d’intoxication gastro-intestinale. — (Troisième chapitre du même
mémoire
. (Archives cliniques de Bordeaux, 1899. n# 9 et 1
se qu'on entend quelqu’un de ces derniers, dont la logique et même la
mémoire
ne semblent pas atteintes, assurer posément, alor
est de même des sentiments, de l’intelligence et, bien entendu, de la
mémoire
. Il semble ne voir, ne comprendre, ni môme entend
entripète de l’arc; 2° Un neurone de sensation ; 3° Un neurone de
mémoire
; 4° Un neurone do mouvement volontaire; 5° U
par la voix de l’étranger! Aphasie intense avec conservation de la
mémoire
musicale. A la société de médecine interne de B
ontre, il peut chanter et dire correctement des mélodies entières, la
mémoire
musicale ne se perd donc pas avec le langage. Ici
ter après avoir chanté. Pour expliquer ce fait, on a supposé que la
mémoire
musicale et le langage musical s’exercent parallè
it dessiné un deuxième centre pour le langage musical. La perte de la
mémoire
musicale évolue parallèlement à la perte de la mé
La perte de la mémoire musicale évolue parallèlement à la perte de la
mémoire
des mots. La cécité verbale correspond à la cécit
eux appréhendées par la conscience et se gravent profondément dans la
mémoire
. Partant de là, j’ai, grâce à l’hypnotisme, refai
r de tête, de céphalalgie, de vertige, d'inappétence, d’insomnie ; sa
mémoire
est diminuée ; puis, progressivement, survient un
t associés chez un même malade. IV Hypcramiboisme des neurones de
mémoire
. I. — Amnésies hystériques. On peut distingue
nésies hystériques. On peut distinguer trois espèces de neurones de
mémoire
: les neurones à images simples, les neurones à i
ensation s, et, communiquant normalement avec celui-ci, un neurone de
mémoire
me contenant une image. L!oubli de cette image co
que si un système donné a déjà laissé une empreinte sur un neureon de
mémoire
, un autre système identique passera sur cette emp
province de l’écorce. Il est à remarquer aussi que les neurones de
mémoire
les derniers impressionnés ont une plus grande te
ipctc *, neurone de seusaîion. d, nsuro-dlélectrlquc. sic. neurone de
mémoire
. I.a flèche indique le sens du courant nerveux
en recueillir d’autres. C’est qu’un grand nombre de leurs neurones de
mémoire
non encore impressionnés sont en état de rétracti
chés. S’il arrive que le neuro-diélectrique qui isole ie neurone de
mémoire
rétracté ne soit pas absolument infranchissable,
ravers. C’est à ces décharges mnésiques que j’attribue ces éclairs de
mémoire
qui surviennent après une période de tension d'es
ont dues selon moi à la rétraction d’un certain nombre de neurones de
mémoire
voisins. L’agrégat Mé ainsi rétracté conserve ses
que. Il est dès lors facile de comprendre pourquoi ces troubles de la
mémoire
se trouvent si souvent associés chez un même mala
lques secondes de distance. — Soit en effet un agrégat de neurones de
mémoire
rétracté et absolument isolé, c’est-à-dire amnési
centripètes [cp, c’p'), les neurones de sensation 5, et le neurone de
mémoire
mé, arrivent aux neurones de mouvement. Il exis
ennes sans donner lieu à une perception, qu’il arrive aux neurones de
mémoire
, qu’il y détermine des réveils et des association
continuent de communiquer par leurs collatérales avec les neurones de
mémoire
et même avec les neurones de sensation. De telle
sont plus lorsqu'il s'agit d’exécuter un S chime G. vU, neurone de
mémoire
. vio. s. neurone supérieurs de mouvement. mo. i*
e rétraction. J’ai signalé un phénomène analogue pour les neurones de
mémoire
. Si la rétraction porte sur les neurones moteur
ns de l’intelligence et du caractère produites par les troubles de la
mémoire
chez les hystériques. Il n’est pas un instant d
e parcourent les conducteurs qui réunissent entre eux les neurones de
mémoire
et ne fassent entrer en phosphorescence les empre
e intelligence l’ensemble de ces opérations. L'intelligence a donc la
mémoire
pour base. Elle travaille sur les empreintes cont
ase. Elle travaille sur les empreintes contenues dans les neurones de
mémoire
. La grandeur de l’intelligence dépend : 1° Du
veuses qui les traversent. Dès lors on conçoit qu'aux trous dans la
mémoire
correspondront, chez les hystériques, des trous d
stupide. Mais comme ils ont toujours un certain nombre de neurones de
mémoire
en état de rétraction, leur intelligence n’es
et les idées recueillies avant la maladie. C’est que les neurones de
mémoire
impressionnés depuis la maladie sont moins nombre
caractère des hystériques résultent de la rétraction des neurones de
mémoire
associée ou non à la rétraction des neurones de s
ls s’attristent si aisément, c’est que rien ne vient du champ de leur
mémoire
atténuer l’idée triste ou joyeuse qui passe en le
des trois systèmes de neurones supérieurs (neurones de sensation, de
mémoire
et de mouvement). En général des neurones de dive
ion, et l’on constate à la fois des troubles de la sensibilité, de la
mémoire
et de la molilité. Les neurones de sensation se
ité. Les neurones de sensation se trouvant en amont des neurones de
mémoire
et de mouvement, la rétraction de ceux-là entraîn
s : 1° Les troubles de la sensibilité sont suivis de troubles de la
mémoire
; 2° La diminution ou la perte du sens musculai
ainsi que la restauration de la sensibilité est suivie de celle de la
mémoire
et de la motilité. La réextension des neurones
Les troubles de la sensibilité sont toujours suivis de troubles de la
mémoire
et de la motilité (amyosthénie par exemple) et qu
ration de la sensibilité est toujours suivie d'une amélioration de la
mémoire
et de la motilité. Toutefois Paul Sollier est a
tériques à l’anesthésie. Car il se peut très bien que les neurones de
mémoire
ou de mouvement se rétractent avant les neurones
s les variétés de sensations, aurait tous ses souvenirs présents à la
mémoire
, ferait contracter toutes ses fibres musculaires
es, ses neurones do sensation entreront en vibration, ses neurones de
mémoire
seront impressionnés,il acquerrades connaissances
'œuvre inaugurale du jeune docteur, qui avait déjà publié de nombreux
mémoires
d’anatomie pathologique ayant trait surtout au sy
ssociation et de projection des hémisphères cérébraux. Dans un de ses
mémoires
, il battait en brèche la nouvelle conception de F
a poliomyélite, à la syringomyélie. En outre, il publia de nombreux
mémoires
sur les affections des nerfs périphériques; le ne
ulaire, par Raymond, p. 26. Aphasie intense avec conservation de la
mémoire
musicale, p. 285. Aphonie rebelle ; p. 315. A
urs, il y a eu chute de la paupière gauche. Depuis cette époque, sa
mémoire
a di- minué, son sommeil est devenu agité, et i
trouvons dans les Archives de Westphal (I88c,, xvu 217) un nouveau
mémoire
de Strttmpell . Weber eine besttmmte FOl'1n del,
t s'étendre qu'à une petite partie des images empreintes en notre
mémoire
; les flammes plus faibles représentent les ac-
nt étroit, on a toujours une série d'images assez nombreuse dans sa
mémoire
, aussi l'association des images est si vive qu'
és d'accepter la dernièreim- pression, parce que ou leurs images de
mémoire
sont perdues, et en conséquence la dernière arr
en la faculté de comparaison manque-le premier cas est le manque de
mémoire
, le deuxième le dé- faut du jugement. Pendant l
fluences extérieures peu énergiques produisent dans les images de
mémoire
des irritations partielles, dont l'extension va
hésié, l'autre côté étant anesthési- que, fait signalé déjà dans le
mémoire
de MM. Bourru et Burot '. Pour le démontrer d'a
leptique sans troubles de la connaissance, sans aucune lacune de la
mémoire
, cela n'existe pas, mais il y a lieu de tenir c
nt et la direction des circonvolu- tions des divers lobes. (Voy. le
mémoire
et les planche*.) Intégrité des autres parties
ui. 1 Voy. Arch. de Neurologie, t. IX, p. 107. 2 Comparez avec le
mémoire
de Siemens, Arch. de Neurologie, t. IX, p. 268.
ils sont suivis d'hébétude et d'agitation : affaiblissement de la
mémoire
. Il y a trois mois, troubles de la vue, suivis de
, faciles à lire et à comprendre pour tous les prolétaires (voy. le
mémoire
), mais contenant à dessein des vocables qui exi
The Journal of Mental Science, juillet 1884.) Les conclusions de ce
mémoire
sont les suivantes : « fol,a folie de l'alcooli
torpeur. C'est là un symptôme mental que l'auteur dans un précédent
mémoire
, avait rattaché à l'atrophie des lobes frontaux
enir présentent un intérêt réel; nous reproduisons ici, d'après son
mémoire
, les plus importants de ces résultats; ils ont
servation du malade et l'autopsie sont relatées avec détail dans ce
mémoire
qu'accompagne une planche intéressante. R. M. C
et les interprétations de l'auteur, il est indispensable de lire le
mémoire
. P. K. XXXII. De l'influence exercée parla gros
encore s'effectuer au bout d'un an ou deux. Pour le reste, voir le
mémoire
. P. K. XXXIV. Contribution A l'étude DE la foli
arrivent en général plus aisément, sinon on le voit attendre que la
mémoire
les lui ait fournis; il n'est au reste pas rare
s qu'il lise encore, qu'il est obligé de compter sur ses doigts, sa
mémoire
ne lui présentant que sa table de multiplica- t
100) du type cri- minel. Tous sont paresseux , impulsifs, privés de
mémoire
, dépourvus de sens moral, émotifs, excitables;
ch., XLI, 4-3.) C'est, comme le dit l'auteur, la partie spéciale du
mémoire
déjà analysé par nous 2. On y trouve les observ
ent entre les phénomènes ten- dineux et lu réaction dégénérative. -
Mémoire
publié à part'. Séance du 9 mars 1883. Présiden
éveloppements de l'auteur seront publiés par l'auteur sous forme de
mémoire
2. Discussion : M. Hirschberg. 11 est rare qu
mine en s'inscrivant contre les critiques de M. Charcot à propos du
mémoire
de Thomsen et Oppenheim 1. M. Westphal présen
six cas d'hystérie chez l'homme. '1\1. Oppenheim a publié depuis un
mémoire
spécial que l'on trouvera aux Revues analytique
é décerné à M. Larroque, interne de la maison de Charenton, pour un
mémoire
intitulé : Des rémissions dans la paralysie gén
accor- dée à M. Dumas, interne de la maison de Charenton, pour un
mémoire
intitulé : Des transformations de la personnalité
Deux récompenses ont été accordées : la première, de 800 francs, au
mémoire
de M. Dericq, interne de l'asile Sainte- Anne ;
nt de lui. Il restait à la caserne, faisait des commissions, car sa
mémoire
est bonne ; il était assez affectueux, et se ch
sous tous les rap- ports ses progrès sont presque nuls; n'a pas de
mémoire
, ne peut faire ni gymnastique, ni escrime. 21
n gymnastique. Lecture courante, mais peu intelligente, calcul et
mémoire
, néant. Poids : 3UwO0. Taille : lm,21. 9 mvl.-
expressive; calcul, ne con- naît que l'addition et la soustraction;
mémoire
presque nulle, ne peut apprendre ni histoire, n
is la manie de s'aider d'un bâton pour marcher. Pas de céphalalgie;
mémoire
très médiocre; il ne peut rien apprendre par co
gie; mémoire très médiocre; il ne peut rien apprendre par coeur; sa
mémoire
est conservée pour les faits et les choses usue
août 1886. L'état intellectuel de Gr... s'est aussi amélioré; la
mémoire
paraît meilleure, il semble un peu plus vif, su
il a toute sa lucidité d'esprit, et il semble doué d'une excellente
mémoire
et d'une intelligence assez vive. Le membre s
utres observations que nous ne publions pas pour ne pas donner à ce
mémoire
'1 < ' . j J t ? J 1) t une trop grande lo
ade, que je dus examiner très rapidement, semblait intelligente; sa
mémoire
ne laissait rien à désirer; sa parole très nett
t parle vite. 15 janviei- 1886. - G... dit que son intelligence, sa
mémoire
, sa faculté de Iravailler et son caractère sont
eloppement de la mala- die, ses particularités, sont à lire dans le
mémoire
, ainsi que l'examen objectif du patient et la p
otion de temps et de lieu, absence de discernement, de jugement, de
mémoire
, démence rapidement croissante, impossibilité d
nt les premierssymptômes, de la localisation de l'atrophie (voir le
mémoire
), de l'absence de convulsions fibrillaires et de
ité des origines sociales de chacun des membres envisagés. Le petit
mémoire
de M. Ber- nhardt, gros de faits, prouverait to
poplectique (troubles de la motilité à droite affaiblissement de la
mémoire
) ; il y a six mois, nouvel ictus apoplectique (
me de soixante-treize ans. Il y a seize mois, affaiblissement de la
mémoire
; depuis neuf mois, dé- revue DE pathologie ner
ure-mère dans la pre- mière frontale. P. K. XLV. Remarques sur LE
mémoire
de Déjerine INTITULÉ : Du rôle joué par la méni
cordons latéraux. Telle est l'interprétation de M. Westphal sur le
mémoire
de 1\1. Déjerine; M. Westphal revendique lapriori
voies ferrées); par M. H. Oppenheim (Arch. f. Psych., XVI, 3). Ce
mémoire
constitue une réponse à la manière de voir de M
cultés intellectuelles (préoccupations sans affai- blissement de la
mémoire
); par des phénomènes épileptiformes de tout gen
il a été plus d'une semaine sans en avoir. Le patient a une bonne
mémoire
, et a dressé un véritable graphique de sa malad
ée en termes émus par le Président. 1 M. RITTI donne lecture d'un
mémoire
sur la curabilité de la démence qui lui a été a
ur, il y a seulement lieu de faire des réserves sur le fond même du
mémoire
. M. Dufour envoie une note pour contribuer à l'
e étude sur l'idiotie crétinoïde est un extrait revu et complété du
mémoire
présenté par l'un de nous en dé- cembre 1885 à
jusqu'à <'< ! ? 6 de huit «Hs ; puis somnolence, perte de la
mémoire
, parole pâteuse et indistincte, démarche incert
d changement; elle tombait souvent de sommeil, même en mangeant; sa
mémoire
devint défectueuse, et si on l'envoyait faire q
ole lente et monotone; idéation lente; lecture et écriture, nulles;
mémoire
seulement des faits an- té1'ieurs à l'tige de s
ération. Fatigue et crampes dans les jambes oedématiees; absence de
mémoire
de plus en plus marquée; inattention; règles pe
erd tout à coup. En février 4881, anémie prononcée, faiblesse de la
mémoire
, mains engourdies. En février 1883, les symptôm
engourdies. En février 1883, les symptômes s'amendent, sauf pour la
mémoire
et la voix. 6o Reverdm. - Arthur B..., quaran
heveux rares, secs ; parole lente, physionomie stupide, perte de la
mémoire
, lenteur des mouvements, etc. Trachée réduite d
mais il est im- possible de la faire se souvenir de son suicide; sa
mémoire
se perd au moment où, de concert avec K..., ell
cause du peu de temps accordé à la lecture des communi- cations, le
mémoire
suivant n'est nécessairement qu'une simple desc
n dans l'oubli des pré- cautions ; c'est ce qui a causé sa mort. Sa
mémoire
sera respectée et son nom, non seulement à titr
IIE. Relations entre la criminalité et la folie, par le 1) SemaI. -
Mémoires
divers. Volume in-6a de 38 ? pages; Gand, 1886.
aux ateliers, soit enfin dans les prominades (2). (Voir dans notre
mémoire
au Congrès des aliénis-tes et neurologis tes de R
connaissances primaires élémentaires, cependant avait gardé une bonne
mémoire
et récitait des monologues. Les accès étaient ass
t sur ce que l'enfant n'était pas trop en retard quoique ayant peu de
mémoire
le classa dans la catégorie des aspirants au cert
s, ses dictées ne renferment plus que relative-ment peu de fautes. Sa
mémoire
et son intelligence s'étant suffisamment développ
par 9. Copp.., n'ayant que 14 ans à peine et son intelligence et sa
mémoire
s'étant très sensiblement développées depuis son
jaunâtre, pustules d'acné, etc.), la diminution de la volonté, de la
mémoire
, de l'activité intellectuelle, l'inaptitude non s
ons précises et nettes, qu'on rappelle et fait surgir pour exercer la
mémoire
et la réflex-tion. Leçons de choses constantes qu
ves, cauchemars, accès de cris, attaques de sommeil; somnambulisme.
Mémoire
, raisonnement, attention; écolage : degré d'ins-t
, température, douleur, cha-touillement. Intelligence. — Attention,
mémoire
, raisonnement, asso-ciation des idées. — Parole.
ents de dents. Tics. Manies. Onychophagie. Coprophagie ou salacité.
Mémoire
(anditricc, visuelle) olfactive, gustative, des p
es Intelligence, goût, penchants, jeux, \ comparer avant attention,
mémoire
, réflexion,' etc..lia puberté et etc. \après. V
eille de plus en plus et s'occupe aux travaux du ménage. 1899. — La
mémoire
se développe. B... comprend bien tout ce qu'on lu
oduire; actuellement, il syllabe, trace des mots, sait même écrire de
mémoire
son nom, son âge, ses vêtements, les jours de la
e, l'écriture est lisible et chaque jour il copie et écrit ensuite de
mémoire
sa leçon de lecture, sait écrire les nombres jusq
que l'orthographe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de
mémoire
sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les n
prendre goût à la classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de
mémoire
et les 3 premières opérations, caractère toujours
ur en classe, il est en bonne voie pour la lecture courante, écrit de
mémoire
un grand nombre de mots ainsi que les chiffres ju
de suivre un tracé. (Nous avons plusieurs enfants dans ce cas). •— La
mémoire
, des plus fugitives, fait oublier à Chai..., ce q
inué sensiblement, il écoute avec attention les leçons orales mais la
mémoire
est toujours très fugitive et empêche ses progrès
é de la classe. Il est en bonne voie pour la lecture. Chai... fait de
mémoire
de petites dictées, sait écrire les nombres jusqu
gique de Vitry-sur-Seine. questions qui lui sont posées. li a de la
mémoire
et retient les leçons orales. 1902. — Ch... lit
orales. 1902. — Ch... lit et comprend ce qu'il écrit, reproduit de
mémoire
, sur son cahier, un certain nombre de mots connus
1902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de
mémoire
un certain nombre de mots imprimés. Il établit bi
marché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de
mémoire
un certain nombre ds mots, tels que ceux qui conc
Cet enfant a fait des progrès pour les exercices classiques. Il a une
mémoire
extraordinaire pour l'ortho-graphe des mots qu'il
alcul. 1898. — L'améiioration continue lentement, mais sûrement, la
mémoire
est lente, mais fidèle. 1899. — Notre élève a b
amusement et sur lesquels nous comptons beaucoup pour graver dans sa
mémoire
la forme graphique d'un grand nombre' de mots.
lit presque couramment, fait l'addition et la soustraction, écrit de
mémoire
sous forme de dictée un certain nombre de nos mot
ioration dans l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la
mémoire
a paru se développer et les pro-grès en toutes ch
mais jusqu'à présent, il nous a été impossible de lui faire écrire de
mémoire
la plus petite dictée, même celle des mots qu'il
orte de l'attention et ferait des progrès beaucoup plus rapides si sa
mémoire
était plus fidèle; mais ce qu'il sait parfaitemen
ablit une relation entre le chiffre et la quantité correspondante, la
mémoire
est toujours fugitive. XXX IX. Sombr... (Marcel
es du langage et turbulence par intervalles, avec absence complète de
mémoire
. — Le caractère était extrêmement timide et crain
ésirée prend goût aux différents exercices classiques, a une certaine
mémoire
et l'on remarque une certaine émula-tion; elle a
à sa toilette, s'habillait avec fort peu de goût. Elle n'avait aucune
mémoire
, il lui était impossible de dire le nom de sa rue
se rendre compte de ce qu'elle écrivait. Elle possédait une certaine
mémoire
pour les choses usuelles et les lieux, avait beau
ant, querelleur; elle se faisait détester de toutes ses compagnes. La
mémoire
paraissait très faible pour les leçons classiques
, ne supportait pas la moindre observation. Elle avait une certaine
mémoire
pour les leçons scolaires, mais n'y mettait aucun
à croire que l'enfant lira couramment dans le courant de l'année. La
mémoire
n'est pas mauvaise, l'en-fant récite des fables e
ême; elle prend part à tous les jeux de ses compagnes. Elle a bonne
mémoire
pour les choses usuelles, soutient une conversati
couture, repassage, soins du ménage, tout était inconnu pour elle. La
mémoire
lui faisait souvent défaut. Comme caractère, elle
qui lui étaient posées. Elle était très craintive, restait inerte, sa
mémoire
paraissait très faible; elle était nulle pour la
très fort contingent, ont été écartés. Ils seront le substratüm d'un
mémoire
spécial: Ce que deviennent les enfants anormaux s
1892 1894 Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
mémoires
). 1880. Bourneville. — Contribution à l'étude
outeille. - Traité de la chorée, 1 SIS, 3e partie, p. 329. 1 Itard.
Mémoire
sur quelques fonctions involontaires des appareil
NewYorlc),pré- sentait à l'Association neurologique, en 1880, un
mémoire
intitulé : ci Les sauteurs du Maine », dans leq
H. Jones. -Studies on funrtious of ? tert)0 : M system, 187°. 2 Le
mémoire
de Beard a été publié dans le x Journal of nervou
cord, nous n'avons trouvé dans ce journal que la mention du premier
mémoire
de Beard : numéro du 15 août 1878, p. 368. DE
le CLINIQUE NERVEUSE. 013SLIRVITION' I. Première partie : Itard :
Mémoire
sur quelques fonctions involon- tcziz'es des ap
re l'oreille droite, peut-être d'origine stru- meuse ( ? ). Bonne
mémoire
, intelligent, bien développé ; rien au coeur, u
e l/t5 à 1/10 de grain 2. En 1866 3, M. Benedikt publiait un second
mémoire
; cette nouvelle série se composait en général
ussi à produire de brûlure douloureuse. Telle est lasubstance de ce
mémoire
dont les par- ticularités sont relevées, compar
malade revint à la santé. R. M. C. VI. Un C\S de perte aiguë de la
mémoire
; par G. SAVAGE. (Journal cf mental Science, avr
al cf mental Science, avril, 1883, p. 85.1 Les cas de perte de la
mémoire
ne sont pas rares ; mais dans le cas dont il s'
plement hystérique ; c'est à partir de ce moment qu'elle a perdu la
mémoire
. Elle dit actuellement qu'elle est mariée depuis
le déclare qu'elle est redevenue elle-même et qu'elle a recouvré la
mémoire
: vérifica- tion faite, au bout de deux minutes
u'avant J'attaque peut-être avec une très légère amélioration de la
mémoire
. La portée de l'attaque convulsive est considér
t, le nom- mer quand on le lui présente ; mais elle n'a pas plus la
mémoire
des choses lues que des choses entendues. Elle
onnaît les notes 1 l'oreille et à la vue, et peut jouer du piano de
mémoire
. La place d'une telle malade est-elle dans un a
sable une personne dont les impressions sont aussi fugitives, la
mémoire
des choses les plus récentes aussi oblitérée ? Li
taques qui affaibliront encore 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sa
mémoire
eu même temps qu'elles feront tomber son intellig
nstitués par du malaise, de la lassitude, de rafïaibti-sement de la
mémoire
, de la céphalalgie, de l'angoisse prrcordiaie. su
sant de côté les recherches bibliographiques très com- plètes de ce
mémoire
, il nous reste dix-sept expériences per- sonnel
par la méthode fran- çaise à l'acide nitrique. 11. lltizig lit un
mémoire
sur la température au-dessous de /tt) ! 0 ? mal
température au-dessous de /tt) ! 0 ? male cliez les paralytiques Ce
mémoire
sera publié in ex- M. 1"UEI(ST.NEII (d'lleidPlb
ion avec gémissements, suivie d'hébétude, de troubles du côté de la
mémoire
, de desordre dans les idées; pendant les séries
nomènes cliniques caractéristiques. MM. Loeiir et Zinn remettent en
mémoire
le cas semblable d'ULLmoi (1 le séance de la So
habituelle de ces délinquants. M. LOEHR présente à l'Assemblée le
mémoire
suivant emprunté à l'héritage littéraire de M.
l'emploi de l'hydrothérapie à l'asile d'aliénés d'Iicclccrmiwle. Ce
mémoire
était destine à la société. Pour agir comme dériv
é cela, a son entrée à l'asile, autant d'ailleurs qu'aujourd'hui.sa
mémoire
est iiieip,ti)[e de 1(ii fournir ttieuii 1-ell-
des aliénés qu'en donnant aux asiles un périmètre 1 A rapprocher du
mémoire
sur la basse Franconie de M. Rieer, Ar- chives
ale droite, avec , trouble de la sensibilité, termine cet important
mémoire
. Parinaud. VIL L'influence du travail neruo-mus
la direction de 11. Vulpiati, dans les Archives de physiologie, les
mémoires
originaux qui suivent : 1876. Etude relative ci
° série, t. IV. Depuis son séjour au Brésil, il a publié différents
mémoires
: )t4 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. en 1879 ; six
t l'observation que nous-avons rapportée. Nous ne'citerbns que pour
mémoire
plusieurs obser- vations empruntées par Olivier
n'en ont pas moins une valeur incontestable. H.-J. Petit 1, dans un
mémoire
intitulé : De l'ataxie loco- motrice dans ses r
observation ne se trouve pas indiquée dans la première partie de ce
mémoire
publiée en janvier 988s, époque à laquelle nous n
t d'une nature plus on moins excitable. » Don- nons un résumé de ce
mémoire
où la méthode médi- cale n'a pas présidé à la c
68-75. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 191 I mieux de la lecture du
mémoire
de M. O'Brien, dont nous ne pouvons donner que
sies chez les choréiques. Thèse, Paris, 1884, p. 37. 2 Consulter le
mémoire
de François. Essai sur les convulsions idiopa-
it des bâtons; calcul : connaît les chiffres. - Parait avoir peu de
mémoire
; parle difficilement. Gymnastique : ne fait qu
pression de l'hydrothérapie. Progrès peu sensibles à l'école, etc.;
mémoire
faible. Malgré les douches, les accès ont augme
cole sontassez bonnes, toutefois l'on constate une diminution de la
mémoire
, et « depuis six mois, Cr... est devenu acariât
ion maniaque et les accès de violence deviennent plus fréquents. La
mémoire
diminue. Il apprend moins bien qu'autrefois (fa
u tailleur et de l'école sont bonnes; l'enfant fait des progrès; la
mémoire
serait redevenue bonne, mais C... est insubordo
facultés intellectuelles ont baissé durant cette année, surtout la
mémoire
. Les accès s'étant un peu éloignés en 188,1, on
Vierordt. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) L'observation principale de ce
mémoire
concerne une jeune fille de vingt-trois ans, sy
ienne. Une planche accompagne ce travail. P. K. XXV. Appendice au
mémoire
intitulé : Sur une affection semblable au table
ions pathologiques. L'analyse ne saurait suppléer à la lecture du
mémoire
, à l'étude des figures et des tracés, à l'appréci
aliénés; par F. Siemens. (-41,ch. f. Psych., XIV, 3 : XV, 1.) Long
mémoire
compact, riche en indications bibliographiques
ne marche pas légèrement près d'elle, les surprises l'effrayent, la
mémoire
a di- minué; mais ce qui est surtout notable c'
iblissement gra- duel, insensible de l'intelligence qui domine ; la
mémoire
s'affaisse pour les faits-récents comme chez le
ssinent et le discer- nement des notions de justice subit, comme la
mémoire
, une évolution inverse du mode, suivant lequel
ons de manière à permettre aux élèves de fixer facilement dans leur
mémoire
l'enseignement qui leur était donné. C'est une he
à M. Luigi Lucioni, professeur à l'université de Florence, pour son
mémoire
sur les localisations sensorielles dans l'écorc
Sciences, 1878, Jan.) 6 Czerny. Loc. cit. 7 Dup)ay. Bulletins et
mémoires
de la Société de Chirurgie, 1878, IV, p. 773- -
Archives de médecine, 1881, vol. I, p. 707. 3 Thomas. Bulletins et
mémoires
delà Société de Chirurgie, 1879. V. p. 173. 4
p. 933. ' Grainger Stewart. Ibid., p. 803. 9 Blum. - Bulletin et
mémoire
de la Société de chirurgie, isso. 304 . PATHOLO
uets* Depuis deux ans, on le trouve quelquefois un peu sombre. La
mémoire
est la même; elle n'a subi aucun changement depui
iations de la température durant des psychoses périodiques. Dans ce
mémoire
, qui ne renferme rien de nouveau, il n'y a que
M. Magnan, sur l'invitation de M. Falret, donne communication du
mémoire
qu'il a lu à l'Académie de médecine sur les ano-
reau de Tours. Ce prix, d'une valeur de 200 francs, sera décerné au
mémoire
le plus méritant sur n'importe quel sujet de pa
miné devant un conseil de guerre, donne en ces termes, l'analyse du
mémoire
de M. Miraglia : « Le 13 avril 1884, dans la so
bord gingival ; les facultés mentales baissent de plus en plus ; la
mémoire
est telle- ment obtuse qu'il ne se rappelle plu
Id., t. 111, p. 247, ' . SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 complète de la
mémoire
; un certain degré d'agitation la nuit, qui le
liorn, dont il a été parlé dans la séance précédente', a laissé des
mémoires
posthumes, l'un sur l'hydrothérapie, commu- niq
valeur de 200 fr., les oeuvres d'Esquirol, sera décerné au meilleur
mémoire
manuscrit sur un point de pathologie mentale.-Pri
Tours).-Ce prix, de la valeur de 200 fr., sera décerné au meilleur
mémoire
manuscrit ou imprimé, ou bien à la meil- FAITS
de France, sur une question de pathologie mentale et nerveuse. Les
mémoires
imprimés et les thèses devront avoir été publié
imprimés et les thèses devront avoir été publiés en 1885. Nota. Les
mémoires
manuscrits ou impri- més, ainsi que les thèses,
aison nationale de Charenton, secrétaire général de la Société. Les
mémoires
manus- crits seront accompagnés d'un pli cachet
oix, ou prenant celle du fanatisme et de la passion pour elle, sans
mémoire
du passé, sans conscience du présent, sans pres
ropagation sympathique des névroses et des monomanies, et plusieurs
mémoires
scientifiques. La médecine aliéniste perd en M.
par Wi- glesworth, 67. Marche a reculons delà grenouille, 98.
Mémoire
(perte aigué de la), par Sa, f7 mis(l (affair
insultantes). Hallucinations passagères de la vue. Intégrité de la
mémoire
. Huit examens périmétriques du champ visuel. Ci
, mars 1895. Au- DANEI,. (Rapport de la Commission du prix) sur les
mémoires
pré- sentés et traitant : (De la valeur diagnos
pupilles. Cerztralbl., f. Nervenlaeilk., XXIII N. F., 1900. MAGNAN.
Mémoire
de la Société de biologie, 1868. MARANDON DE Mo
s alié- nés dans sa thèse si souvent citée (1). M. Meige, dans un
mémoire
bien-connu 1°) s'en rapporte simplement à l'au-
nés n'a donc pas, à pro- prement parler, de bibliographie. Dans mon
mémoire
sur les Fugues dans la démence precoce (2), j'a
es si intéressantes des déments précoces (3). J'ai montré dans ce
mémoire
qu'aucun des caractères invoqués jusqu'ici pour
) cité par II. Meige, loc. cit. p. 45, 46, 47. (2) Comme pour mon
mémoire
sur les Fugues dans la démence pré- coce, ces o
absolument défaut. » En peu de jours, il redevient gai « sent sa
mémoire
el son énergie revenir. » Il conserve un peu de t
ut de la démence précoce. J'en ai cité deux observations dans mon
mémoire
précité et j'ai donné à ces phénomè- nes le nom
ssion insiste particulièrement sur ce point que la continuité de la
mémoire
s'étend sur toutes les circonstances et sur tou
ment soit dans tous les états semblables passés. Mais le vide de la
mémoire
est absolu dès qu'il s'agit des autres états. A
isme dans l'intoxication alcoolique; 2° les caractères du défaut de
mémoire
dans la phase automatique; 3° les conditions ca
upable. La première sensation éprouvée avait été enregistrée par la
mémoire
avec une telle intensité que le sou- venir de l
son désir. r. La suggestion hypnotique et le développement de la
mémoire
. M. DAMOGLOU (du Caire). Un jeune homme doux et
ide esquisse de quelques autres notions psychologiques : lo- gique,
mémoire
, attention, intelligence, imagination, raison, ét
gie, par le Dr Sano, agrégé et assistant à la Faculté de Bruxelles.
Mémoire
couronné par l'académie royale de médecine de f
ronophagie pourra enfin être envisagée sous un jour scientifique Le
mémoire
se termine par l'énumération des 329 travaux re
nts (amnésie traumatique) ; à l'asile, où il resta si\ semaines, la
mémoire
lui revint peu à peu. Les autres fugues sont ca
tic, de démence précoce se confirmait. Je renvoie à mon pre- mier
mémoire
pour l'exposition des caractères de ces fu- LES
uées romanesques, qu'il affirme être vraies. Grande faiblesse de la
mémoire
: il est forcé de tout écrire : il localise trè
deur énormes. 11 ne peut rien dire de ses fugues dont il a perdu la
mémoire
, el répond au hasard. Quelques mois après, en r
endant leurs fugues est, sinon absente, du moins très affaiblie; la
mémoire
des lieux traversés etdes incidents du voyage e
ces d'actes délictueux. IV. Débilité mentale. La conscience et la
mémoire
des fugues sont intactes ou plus ou moins troub
a paralysie générale (période mé- dico-légale). La conscience et la
mémoire
sont à peu près nettes ; en elle-même, la fugue
onf4>;·. 134 RrVlr DE PATHOLOGIE NERVEUSE* mée : Conscience et
mémoire
nulles ou vagues ; la fugue n'a ni but ni motif
es forces, sans dormir ni manger. VI. Démence sénile. Conscience et
mémoire
nulles ; les fugues sont faites au hasard, le m
es à celles des alcooliques ; 2" fugues d'impulsion ; conscience et
mémoire
obscurcies. La fugue débute brus- quement ; ell
e depuis qu'il n'y a pas lieu à l'heure actuelle, d'insister sur ce
mémoire
. XX. Fièvre hystérique chez l'enfant; par Comby
e, est comme elle coexistait avec une certaine.conserva- lion de la
mémoire
el de la lucidité (ce qui est le propre dans la
stress; la ruine, stress; l'accession à la fortune, stress. Dans un
mémoire
sur les rapports des salaires ouvriers avec le cr
. (The Journal of Mental Science, juillet · 1904. ) Ce n'est pa3 un
mémoire
, mais l'ouverture; d'une discussion à laquelle
e. Prix Aubaitel. Le Secrétaire général fait connaître que quatre
mémoires
ont été envoyés pour le, prix sur le sujet 148
SllI' des ob- scrvatiolts personnelles. - Prix Esquirol. Un seul
mémoire
a été envoyé. Commission des prix. Prix Aubanel
rnée à MM. Privât de Fortunié, Raviard et Lorthiois, co-auteursd'un
mémoire
; la même somme est accor- dée dans les mêmes c
Prix : pour nos abonnés (franco) 1 fr. 50. SEGUIN (Ed.). Premiers
mémoires
de Séguin sur l'idiotie (1833-1843), publiés pa
s... Tout ce qui s'est passé autour de la malade n'aura laissé à sa
mémoire
aucune notion coor- donnée dans le temps ou dan
rès les expériences de Dumontpallier, mais la plus grande partie du
mémoire
est employée à rechercher si ces expériences ne
que : chacun d'eux, en effet, à sa conscience, sa sensibilité, sa
mémoire
, son expérience et jusqu'à sa raison particulière
'habitudes, de règles de conduite antérieurement incorporées à sa
mémoire
» (p. 56), nous aurons à recheicher (3°) si, dans
fond de notions, d'habitudes.... antérieurement in- corporées i ba
mémoire
, comme le sont les images, les ob- jets, les se
ions, les sentiments, les idées, bref, tout ce que peut contenir la
mémoire
, pour faire la part des éléments communs aux de
leur origine que par leurs effets psychiques et leur place dans la
mémoire
. Il en est de même pour la plupart des élé- men
x hémisphères. Les sensations les plus facilement évoquées par la
mémoire
sont celles dont la teinte affective était le p
moins compliqués de l'entendement, et sont toujours donnés par la
mémoire
conjointement avec des souvenirs élémentaires emm
S. XX. Contribution expérimentale et statistique à l'étude de la
mémoire
; par M. GUICCL1RD i. (in Revista sperimentale di
1905, vol. XXXI, III, IV.) Etudiée au moyen de tables spéciales, la
mémoire
verbale est plus étendue que la mémoire des ima
yen de tables spéciales, la mémoire verbale est plus étendue que la
mémoire
des images ; il y a également des va- riations
faiblesse énorme de la synthèse mentale. L'étude des troubles de la
mémoire
et de la volonté chez les hystériques est, à ce
appliquer à un travail sérieux. 11 a cherché ¡d'aire du théâtre. Sa
mémoire
était prodigieuse. Les sentiments affectifs vis
it qu'une sensation se lie ou est ca- pable d'être rattachée par la
mémoire
à la masse de celles qui l'ont précédée depuis
E DU CORPS. 297 cation plus ou moins profonde du caractère et de la
mémoire
, avec persistance de quelques idées et souvenir
exposant les faits, parlé « de deux personnalités ayant chacune sa
mémoire
» (p. 30), « d'une double conscience simultanée
il semble qu'il y ait deux moi... deux per- sonnes ayant chacune sa
mémoire
, sa synthèse » (p. 30). Ces propositions, l'Aut
ATERALE DU CORPS. 303 dans la plupart des actes qui entrent dans la
mémoire
, dans ceux surtout dont la répétition a quelque
ème. A ce moment, V... est « bon »' mais il y a dps lacunes dans sa
mémoire
et « il a oublié à écrire et à lire » : l'hémis
rillon, 1884, p. 183 et 184.) A propos du rôle des troubles de la
mémoire
dans les variations de la personnalité.l'Auteur
issent pas la biindividua- lité « ne peuvent l'expliquer que par la
mémoire
» (p. 45), le duplicisme « reconnaît et fonde l
rave méconnaissance des données élémentaires de la psychologie : la
mémoire
qui joue un rôle dans le senti- ment de l'ident
le constamment coordonnée, et n'y aurait-il pas tôt ou tard dans la
mémoire
des lacu- nes pouvant se manifester par du déso
). Sous le couvert de Leibniz « une Sensibilité rudimentaire et une
Mémoire
sommaire » s'opposent à « la Sensibilité supéri
sibilité supérieure qui raisonne et précise ses sensations et à une
Mémoire
supé- rieure [celles du MoiJ qui classe et buri
avec ces tendances. Les co -êtres n'a\ aient tout [(l'heure qu'une
mémoire
rudimen- taireo et pourtant ils enregistraient
impulsion, mais aussi « sous l'influence de motifs » (p. 106). Leur
mémoire
entre donc en jeu dans les préliminaires de leu
nc en jeu dans les préliminaires de leurs actes; or l'essence de la
mémoire
est de ne pas représenter à l'esprit toutes ses
ons psychiques les plus élevées, de cons- cience, d'aperception. de
mémoire
, d'évocation, de syn- thèse de la personnalité.
e le centre moteur était le siège d'une (1) ,"oir Le problème de la
mémoire
1900,e61'.lssocialion en psychologie 1;)7. In 1
es conséquences, au point de vue du méca- nisme de la pensée, de la
mémoire
, et de la constitution du moi, sont si intéress
de tout travail extérieur et chargé seulement de vouloir. Il a une
mémoire
: les archives en sont « classées dans les regi
e : les archives en sont « classées dans les registres privés de la
Mémoire
de chaque coêtre » (p. 112). Tandis que chaque
les coêtres, ou tirés par la Raison elle-même du « dossier de la
Mémoire
ou de l'étude des conditions du milieu.... ne s
sur les établissements d'aliénés est arrêtée par le préfet, sur le
mémoire
des agents préposés au transport. En l'ab- senc
l of mental Science, juillet 1906.) Les conclusions générales de ce
mémoire
servent en même temps de résumé aux points prin
evenue inconsciente, c'est-à-dire de phénomènes recouvrables par la
mémoire
. Et il se peut que l'on puisse concevoir ces ét
ce, et il rappelle les beaux travaux de Ribot sur l'évolution de la
mémoire
. Puis il fait remarquer que, dans la folie prog
par diverses considérations se rapportant aux cas rapportés dans le
mémoire
. R. de Mus grave CLAN. LXIV.- Lipomes multiples
s objections pour base à mes répon- ses. Il les a formulées dans un
mémoire
publié en 1905 dans les Archives de Psychologie
ent à en imaginer une de plus. Mais dans la seconde partie de son
mémoire
, M. Cla- parède consacre un long chapitre à une
de cerveau, et pour le prouver je les fais (1) « Les troubles de la
mémoire
a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE NERVEUSE. dispa
'entendement où les images des objets sont seules présentées par la
mémoire
, sans les mots qui les expriment, la collaborat
Année psychol., VIII, p. 396 à 400, 1902. Chez les ambidextres, la
mémoire
de l'oeil et de l'oreille gauches l'emporte con
ogie, 5°édit., Leipzig, W. Engelmann, t. I, 1902. La partie de ce
mémoire
qui a paru dans le numéro d'avril n'a pu être r
The Journal of mental Science, juillet 1906.) Les conclusions de ce
mémoire
sont les suivantes : 1° Il existe une connexité
ests mentaux modifiés de Binet, de la faculté de comparaison, de la
mémoire
auditive, de la mémoire des images, des chiffre
Binet, de la faculté de comparaison, de la mémoire auditive, de la
mémoire
des images, des chiffres, du dessin, etc., l'au
ons seulement que le malade dont l'observation a servi de base à ce
mémoire
était atteint de psychose de Korsalww. R. M. C
ar 1\laule Smith, p. 59. Mélancolie. Voir Dépression mentale.
Mémoire
. Voir Suggestion. Mémoire. Contribution expéri-
Mélancolie. Voir Dépression mentale. Mémoire. Voir Suggestion.
Mémoire
. Contribution expéri- mentale et statistique à
ions. Il restait donc là une lacune, elle fut comblée en 1883 parle
mémoire
de Kojewnikoff1, qui, dans une autopsie minutie
igine à ces faisceaux. La polémique, suivant nous, n'enlève rien au
mémoire
que nous venons d'analyser briève- ment ; les q
Sur LE tabès de la femme; par P.-J. MOEBIUS. Défense : appendice au
mémoire
PRÉCÉDENT; par le même auteur.' Nouveaux cas DE
avor- tements = syphilis de la femme), forment le fond du premier
mémoire
. Après avoir procédé à la Revue critique des fait
'un autre syphilitique (locus minoris resistentix). Dans son second
mémoire
, M. Moebius relate treize nouvelles observation
NDINSIiY. {Centralbl. f. Ner- venheilk.. 1884.) On se rappelle le
mémoire
de l'auteur sur son propre cas'. Il y a peu de
ent, il les a conden- sés sous forme de proposition dans ce premier
mémoire
. Les voici : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 105 Io
si ce n'est une grande vivacité intellectuelle avec une prodigieuse
mémoire
et sans avoir obtenu une réponse caracté- risti
ente des crises laryngées et des parésies des muscles du larynx. Un
mémoire
sera publié. Discussion : M. MENDEL. Les alté
t qu'elle était endormie, et qu'en revanche, pendant le sommeil, sa
mémoire
embrasse les faits de la veille et ceux des éta
-nous, fort goûtée, grâce aux schémas qu'on y rencontre. De récents
mémoires
ont rajeuni la pathologie de la moelle allongée
lique. Une somme de 1,000 fr. sera répartie entre les auteurs des
mémoires
couronnés. Les ouvrages ou mémoires devront être
répartie entre les auteurs des mémoires couronnés. Les ouvrages ou
mémoires
devront être remis au secrétariat général de l'
rbert Spencer. - Principes de psychologie, t. III, chap. vi (sur la
mémoire
). SUR LA TENSION DES MUSCLES. 147 pensées a l
s'impose et devient pressant ; obsédé il fouille vainement dans sa
mémoire
, il éprouve un très grand malaise, il se sent o
l n'y aurait aucune raison d'y insister si, dans quelques récents
mémoires
, on ne relevait une tendance singu- lière à exc
ueuse, il sait les trois premières opérations d'arith métique. La
mémoire
est toujours faible, la compréhension lente; les
me, en effet, pendant l'état prime, avait autant de lacunes dans la
mémoire
qu'elle avait présenté de périodes antérieures
second. ' Or, notre malade en état prime a perdu, il est vrai, la
mémoire
de l'état second, et, à ce point de vue, il est l
merie de cet établissement. De même pour Bonneval; il conservait la
mémoire
de la dernière partie du séjour qu'il fit dans
'il fit dans cet asile, mais il ignorait y avoir été para- lysé. La
mémoire
, dans cette condition, n'offre donc pas comme d
éter dans ses lignes princi- pales l'histoire des altérations de la
mémoire
chez notre malade, nous montrerons que chez lui
ficiellement. Dans cet état, le malade avait un véritable délire de
mémoire
de la première enfance. 11 parlait et agissait
giques changent ainsi le ton général de l'organisme et par suite la
mémoire
? Un état du système vasculaire ? Une action in
la mé- moire puisque dans l'état prime et dans l'état second, la
mémoire
n'est pas entière. Cette modification de la mémoi
état second, la mémoire n'est pas entière. Cette modification de la
mémoire
parait plutôt due à une anesthésie ou à une par
d'hérédité n'en révèle pas l'origine première. Tel est l'esprit du
mémoire
. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué
nésie, des accès de rage ne laissant également aucune trace dans la
mémoire
(équivalents psychiques), des périodes d'obnubi
t fi'l- J.' ... , '' ' ' ' M. Scander, a été chargé du rapport /'Le
mémoire
qu'il lit, très. étendu'et' circonstancié à tou
aires de l écorce , dans la paralysie progressive des aliénés, ? Ce
mémoire
déjà publié dans le rC211',)107. centralD. de 1
e hromiqüe.l , ( ... , L'heure avancée ne permet pas d'entendre les
mémoires
de Nasse Sur l'emploi sous-cutané du fer dans l
xprime ses regrets de ne pouvoir se joindre à nous pour hoitorer'la
mémoire
du savant illustre qui a tant contribué à l'amé
e l'affection de tous les malheu- reux qu'il avait secourus. « La
mémoire
de Pinel est restée vivante et pure comme celle d
aleur de 500 fr., sera décerné à la fin de l'année 1886 au meilleur
mémoire
sur la question sui- vante : Exposer aux popula
sage quotidien et longuement prolongé des boissons alcooliques. Les
mémoires
écrits très lisiblement en français doivent êtr
les quatre opérations, sait un peu d'histoire et de géographie; la
mémoire
est demeurée un peu paresseuse; il comprend bie
l ne sait pas écrire, qu'il prononce bien et parait avoir un peu de
mémoire
. Il connaît les objets usuels. Il est très turb
re, dans cet ordre d'idées, que l'observation de M. Bernheim et les
mémoires
de M. Aug. Voisin lus aux congrès de Blois de t
lences, agita- tion extrême. - Erreurs de personnalité, perte de la
mémoire
de certains faits antérieurs au délire, pervers
alors calme, ne délire pas, fait de la musique... Certains faits de
mémoire
, antérieurs à la maladie, ont été oubliés, l'anné
tudes, d'idées de persécution, d'hallucinations, ni de douleurs. La
mémoire
des faits de sa vie d'enfant et de jeune fille
ns et, comme délire, n'a plus que ses erreurs de personnalité et de
mémoire
. Hier soir, une malade ayant eu à côté d'elle u
sous l'influence des suggestions. Eruption furonculeuse. 11. - La
mémoire
de tons les faits antérieurs à son délire est.
nte de ramollissement on ne constatait encore que de la perte de la
mémoire
, des vertiges, une faiblesse extrême des jambes
symptômes étaient plus prononcés; outre les vertiges et la perte de
mémoire
, il y avait une sen- siblerie maladive qui la p
femme, d'une intelligence supérieure, avait perdu non seulement la
mémoire
des noms, mais encore celle des lieux. Elle ne
rente-neuf ans, condamné pour vol en 1 Voy. Archives de Neurologie,
Mémoire
de Sommer et thèse de Coul- bault, t. III, p. 3
s, de calomnie, de persécution. En prison, réclamations, pétitions,
mémoires
insupportables. En 1882, sorte de recrudescence
ons ici les conclusions dérailleur, conclusions qui, au cours de ce
mémoire
, sont respectivement appuyées sur des faits. Su
dernière conclusion, par laquelle l'auteur termine son intéressant
mémoire
; elle est ainsi formulée : « La valeur thérapeu
eur, ni reproduire les intéressants ta- bleaux qui accompagnent son
mémoire
; nous devons par consé- quent nous borner à rep
pliquer les causes en dehors de l'hérédité; plus tard, l3aillarger (
mémoire
de 1847) et Lunier ont fait intervenir l'hérédi
inations; ce ne sont pas les persécutés de nos asiles; ils font des
mémoires
, soulignent les mots, ont des formes de langage
rillants, poètes, calcula- teurs, peintres, sculpteurs; ils ont une
mémoire
prodigieuse; ce sont des génies partiels, d'apr
zcsclcz·ijl, 1872, n" 47. 5 Vulpian. Arch., de plcys., 1873. An. du
mémoire
de Westphal. Déjerine. Recherches sur tes lésio
re de véri- tables trous dans son territoire intellectuel. Il a une
mémoire
des plus ingrates ou bien il ne peut rien compr
; sa voix, son attitude, sa physionomie sont celles d'un enfant. La
mémoire
, qui embrasse toute son enfance, s'arrête à la
haute voix : je ne peux écrire, la main droite étant paralysée. La
mémoire
, très précise pour les moindres détails actuels (
nière partie de son séjour à'Bicêtre. Tou- tefois, il a conservé la
mémoire
de la deuxième partie de sou séjour à Bonneval,
inage. Entre Bon- neval et Bicêtre, s'étend une grande lacune de la
mémoire
; d'autre part, son enfance, son séjour à Saint
onomie, les goûts sont tels que nous venons de les décrire, mais la
mémoire
est limitée à une époque antérieure. V... vient
st poli, timide, triste; son intelligence paraît très obtuse; '; sa
mémoire
confuse; il ne sait rien des personnages et des é
rfaitement. Il sait très bien lire et convena- blement écrire. La
mémoire
embrasse toute son enfance. Il se rappelle les
prononciation nette. Il vit très bien et écrit convenablement. Sa
mémoire
embrasse toute sa vie, à l'exception de la seule
état complet pour l'époque qu'il embrasse, c'est-à-dire ayant sa
mémoire
limitée du temps, des lieux, des personnes, des a
tre, au 2 janvier 1884. L'intelligence, les facultés affectives, la
mémoire
sont exacte- ment telles que nous les avons déc
ur une épidémie de fièvre typhoïde à l'asile d'aliénés d'Osnabrùck.
Mémoire
publié in extenso dans ce journal-. DMCMS6tOH :
M. EICKIoLT. Contribution à l'étiologie de la démence paralytique.
Mémoire
publié in extenso dans ce recueil'. Discussion
croscopique. M. Peretti. Sur l'action narcotique de la paraldéhyde.
Mémoire
imprimé à part '. M. Freusberg. Sur la folie
desjindividus qui les entouraient ? Evidemment non; et cependant la
mémoire
leur fait ultérieurement défaut. M. 008EKE. Con
par FRANZ TUCZEK. in-8°, Berlin, 4884; A. Hirschwald, éditeur. Ce
mémoire
constitue le développement, avec pièces justifica
ique. Une somme de 9,000 francs sera répartie entre les auteurs des
mémoires
cou- ronnés. Les ouvrages ou mémoires devront ê
épartie entre les auteurs des mémoires cou- ronnés. Les ouvrages ou
mémoires
devront être remis au secré- tariat général de
avoir d'elle un renseignement un peu précis ou délicat, bien que sa
mémoire
soit en grande partie conservée. Quant aux sy
e ces recherches, dont vous pourrez lire tous les détails dans un
mémoire
très documenté, qui sera prochainement publié p
ta line, confusion mentale, un affaiblissement de combinaison et de
mémoire
, ' une humeur opprimée et triste; le malade se
voyant rien de ce qui se passe autour de lui. Affaiblissement de
mémoire
et de combinaison. Mange et dort bien. Graduellem
délirantes, qu'elle exprime quelquefois en parlant d'un péché. Sa
mémoire
, pour autant qu'on pouvait le constater, est affa
s, comme dans l'aphasie, perte de l'usage de l'un des centres de la
mémoire
verbale ou du langage intérieur, mais bien usag
pas les quatre mais les cinq centres suivants : 1° trois centres de
mémoire
verbale, auditif, moteur, visuel; 2° un centre
que l'un des précédents, mais non identique à lui ; 3° le centre de
mémoire
verbale graphique, avec lequel ne coexiste pas
centre lésé et du fonctionnement des centres spéciaux, du centre de
mémoire
musicale, par exemple, dans les cas de surdité
ail à la fois très complet et très inédit sur les trou- bles de' la
mémoire
et de la conscience dans l'épilepsie, prélude.
si rigoureuses, on pour- rait dire qu'en général les troubles de la
mémoire
entraînent1'i1'l'es- ponsabilité pénale, tandis
ues); mais dans beaucoup d'autres' circonstances les troubles de la
mémoire
et de la conscience peu- vent être dissociés et
redites à ce sujet qu'il serait abusif aujourd'hui de commencer un
mémoire
comme celui-ci par un nouvel historique. Je me
raient, donnant quelques renseignements exacts sur sa famille (donc
mémoire
), et elle n'eut plus de crises convul- sives, a
te sont habituellement raisonnables, mais elles ont des absences de
mémoire
plus ou moins fréquentes, 1 Mahé. l.oc. cil.
e cite aucun cas de crétinisme avec épilepsie. Il publie dans son
mémoire
un rapport écrit de l'Instituteur de Rosières-aux
pression bien fondée de More], et l'épilepsie. Dès 1890, dans un
mémoire
adressé à l'Académie de méde- cine de Belgique,
roïde. Tout ce que nous avions dit dans les premières parties de ce
mémoire
devait, du reste, faire présumer qu'il doit en
n juger par une des observa- tions que nous relatons à la fin de ce
mémoire
. L'élévation de température si sensible que nou
, parce que le fait n'a peut-être pas été exprimé, que l'absence de
mémoire
au réveil vis-à-vis des suggestions intra- hypn
est passé, quel que soit le moyen persuasif employé pour raviver sa
mémoire
. Il y a eu véritable paralysie momentanée des c
iERLY. (The Journal of Mental Science. Juillet 1902). Dans ce court
mémoire
, qui ne contient, dit l'auteur lui-même, ni thé
elles constituent des poisons du système nerveux. Dépouillement des
mémoires
sur ce sujet. « Si les faits,mis en relief semb
B. XXV. Du langage chez les idiots ; par le De MAUrnT>;. D'un
mémoire
très documenté présenté pour le prix Belhomme e
anesthésie profonde et phénomènes paralytiques. Les troubles de la
mémoire
vinrent compléter les symptômes carac- téristiq
tisme crânien. Depuis cinq ans on a remarqué de la diminution de la
mémoire
de l'affaiblisse- ment de l'intelligence et que
Cestan et Oberthur ont relevé quelques faits sem- blables dans leur
mémoire
du Congrès de Grenoble de 1902, mais c'est la p
ritique et expérimentale; A. MopsELLi, Gênes, 1903. Cet important
mémoire
est divisé en trois parties : I. LES névroses E
L'intelligence est, au contraire, dans un état d'hyperexcitabilité (
mémoire
excel- lente, sens critique très avisé, etc.) q
ux du ma- lade. Telle est l'analyse très succincte de l'important
mémoire
de Mor- selli représentant un excellent travail
le de Ville-Evra,,d. \ Le présent travail est le complément de deux
mémoires
déjà publiés, consacrés à la révision des aspec
nge. On relève alors de l'affaiblissement des facultés, bien que la
mémoire
soit assez bien conservée. Il n'existe pas d'id
s membres. Il existe des idées de satisfaction, mais la malade a la
mémoire
nette des troubles qu'elle a présentés et a con
ée, affaiblissement intellectuel avec lacunes considé- rables de la
mémoire
; désorientation complète; elle ne sait où elle
montrerons la valeur par des faits cliniques insérés à la fin de ce
mémoire
. Pathogénie. - Nous venons de voir d'un côté l'
s. Cependant, surune des coupes, dont la reproduction est jointe au
mémoire
, on voit nettement quelques fibres sortir de la
uer vers la théomanie. Le Secrétaire général donne connaissance des
mémoires
en- voyés pour les prix à décerner en 1904. P
lysie générale, appuyée sur des observations personnelles. (Aucun
mémoire
n'a été déposé). Prix Esquirol. - Quatre mémoir
onnelles. (Aucun mémoire n'a été déposé). Prix Esquirol. - Quatre
mémoires
ont été envoyés : 1° Contribution à l'étude de
soupissement di- minua, se manifesta un trouble très accentué de la
mémoire
, un manque presque total de mémoire pour les fa
un trouble très accentué de la mémoire, un manque presque total de
mémoire
pour les faits récents, mais une bonne mémoire
que presque total de mémoire pour les faits récents, mais une bonne
mémoire
pour les faits anciens, et une inclination aux fa
niscences (comme dans la maladie deKorsakoff). La restitution de la
mémoire
se faisait lentement. Actuellement la malade mar-
distraction, un enfantil- lage dans la conduite et une faiblesse de
mémoire
. Point de dé- mence marquée, et l'état psychiqu
lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence, le trouble de
mémoire
du type de la psychose de Korsakoff. L'appariti
u point de vue clinique, administratif et législatif. NOTA. - Les
mémoires
manuscrits ou imprimés devront être déposés le
enton, secré- taire général de la Société médico-psychologique. Les
mémoires
manuscrits devront être inédits et pourront êtr
uillaume IIeHV, jé- suite. Parmi ses publications nous relevons son
mémoire
intitulé : Les phénomènes hystériques et les ré
propos la Revue : .' , « En tête, le P. Hahn a placé cette note : «
Mémoire
couronné au concours de Salamanque, le 23 octob
émique acerbe. L'autorité ecclésiastique y mit fin en inscrivant le
mémoire
du P. Hahn à l'Index. « Jugea-t-elle fausse q
e, caractérisé par de la torpeur intellectuelle, des troubles de la
mémoire
, s'affaiblit de jour en jour. Surviennent des h
l'école communale et a toujours été des premiers de sa classe ; sa
mémoire
est excellente et il com- prend bien. Habitudes
s hystériques de la folie simple ; par F. Nissl.. - Critiques de ce
mémoire
; par E. SToncu. Réponse de XissL. (Centralblalt
enheilk, XXIV. N. F. XII, 1901). Modèle d'examen propre à l'auteur.
Mémoire
écrit en français. . P. 11HRAVAL. L. Hallucin
e psychologique de 1902 (IXe année) consacre sa première partie aux
mémoires
origi- naux. Nous y trouvons le résultat d'une
la distinction des sensations des deux yeux, et enfin une série de
mémoires
dus à M. A. Binet sur la sensibilité. La deuxiè
volume et fournit aux inté- ressés la liste de tous les articles ou
mémoires
parus durant l'année précédente, tant en France
troubles délirants ou hallucinatoires. Mais, ni les troubles de la
mémoire
, ni les troubles de l'attention, ni l'affaiblis
. (The Journal of Mental Science, juillet 1903). Très intéressant
mémoire
, mais qu'il faudrait non analyser, mais suivre
di /'ren. fasc. 4, 1903).- Voici les conclusions de cet important
mémoire
: 1° Les irrégu- larités de la respiration sont
ec laquelle certains éléments psychiques (atten- tion, aperception,
mémoire
...) prennent part à des actes mentaux déterminé
ion, soit d'un phénomène d'aperception, soit d'un effort intense de
mémoire
pour évoquer des souvenirs oubliés. i ï° Les pa
dans le calcul toute son attention et fait des efforts intenses de
mémoire
. 21° La réaction de la fréquence respiratoire a
of Mental Science, avril et juillet 1903). La première partie de ce
mémoire
contient 13 observations fort intéressantes, et
table regret que nous nous voyons réduits, par la nature même de ce
mémoire
, à cette brève et insuffisante mention. R. DE i
u d'imprécision des idées. Il ne parait pas avoir de troubles de la
mémoire
; il n'est pas désorienté, sait par- faitement o
Notons ici que l'on peut pas- ser à côté de pareils troubles de la
mémoire
sans les remarquer; le malade répond correcteme
il se prête volontiers à ceux qui n'exi- gent qu'uu léger effort de
mémoire
. Tout effort, toute application tout exercice u
de l'évocation spontanée des images qui caractérisent l'état de sa
mémoire
; elles se résu- ment en cette formule : spontan
tre que l'affaiblissement intellectuel est encore peu accentué ; la
mémoire
semble intacte sauf quelques lacunes ; on note
t de l'exagération du réllexe rotulien. , , Du côté psychique, la
mémoire
parait profondément altérée; F... ne se souvien
une façon alter- native. Elle n'est pas consciente de son état ; la
mémoire
est assez bien conservée si l'on tient compte d
accrocs dans la parole sont devenus beaucoup plus mani- festes ; la
mémoire
lui fait défaut pour préciser certains faits; t
r rapport au temps, au lieu et à l'entourage, la conservation de la
mémoire
pour la période du délire. Du côté émotif, par
usion et l'incohérence prédominent. Nous comprendrions ainsi que la
mémoire
, pour la période de délire, doit faire défaut d
it le récit. 27 janvier. Persiste dans ses convictions. Conserve la
mémoire
des faits qui ont précédé le début du delirium
s du délire. Il est bien aidé dans ce travail par le défaut de la
mémoire
. Il serait intéressant d'étudier dans quel ordr
rence impatiente ou obstinée. Brissaud dit que l'intelligence et la
mémoire
disparaissent, mais que le caractère n'est pas
ntal Science. Janvier 1903). Voici les conclusions de cet important
mémoire
: 1° L'alcalinité du sang est physiologique dan
ue les animaux privés de leurs hémisphères perdent non seulement la
mémoire
et la perception, qui sont les bases principale
groupe : Intelli- gence redevient complète (conscience, attention,
mémoire
.) Mais persistance de quelques troubles physiqu
du compte commencèrent à diminuer et s'ar- rêtèrent tout à fait. La
mémoire
du malade est assez bien conser- vée ; il peut
rie des représentations. A.-N. Bernstein rappelle que le trouble de
mémoire
dans la paralysie générale ne se propage pas, e
ropage pas, en somme, toujours égale- ment sur toutes les formes de
mémoires
, et la capacité de la loca- lisation régulière
ympl0mes hys- tériques de la simule, par i'iis1. Critiques de ce
mémoire
, pr Siorch, 3 : 31. Htlpllll'p de Nissl. Quel
. En octobre 1887, le Dr Magitot a lu à l'Académie de médecine un
mémoire
sur la glossodynie (Glossodynia exfoliativa, in
la vis. C'était une femme instruite, intelligente et possédant une
mémoire
excel- lente. Depuis qu'elie est en proie à ces
au public instruit de l'Europe, ont été, dès 1879, exposées dans un
mémoire
intitulé : Il moto siclaico ' / e la coscienza
ersistance et du rappel 36 PHYSIOLOGIE. des images, partant de la
mémoire
, ont fait défaut. Au contraire, dans la mélanco
ait, chez Buccola, la même que chez Herzen et chez Ardigo'. Dans un
mémoire
sur les Idées fixes et leurs conditions physiop
urs les mêmes chez le même individu, sont tout ce qui reste de la
mémoire
organique qui présidait à l'automa- tisme des c
es et des impulsions incoercibles, est dû à Tamburini '. Dans son
mémoire
sur les hallucinations motrices, ce savant n'a
de l'énergie. En outre, A. Gau- tier ayant dit que la sensation, la
mémoire
, l'intel- ligence, ne pouvaient avoir d'équival
d'une description qui affirma son autonomie. Ce fut là l'objet d'un
mémoire
de PaulBlocql, qui, en 1888, publia un travail
z une fille hystérique', °, Salenni Pace publie à la même époque un
mémoire
très inté- ressant, sous le titre « Amnése parr
sley et plusieurs autres ont été notés par Mills dans son excellent
mémoire
sur les localisations cérébrales et ses conséqu
t suivie d'une hémiopie gauche qui persistait toujours quand leur -
mémoire
fut écrit, dix-sept mois après l'opération. Ce so
grande partie de ce centre est pour lui du luxe. Les « images de la
mémoire
(Erinnerzungs biJder) de la perception visuelle s
SUIVENT la pensée DU - SUJET chez LEQUEL ELLES SE produisent, ET LE
mémoire
DE il. Mu SALOION sur la double pensée ; par HO
r J. METZGER. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV, 5.) Il s'agit dans ce
mémoire
des signes de dégénérescence phy- sique. Examen
e, M. Baillarger a eu l'heureuse idée de réunir en deux volumes les
mémoires
qui établirent sa réputation et répandirent son
BIBLIOGRAPHIE. 143 premier volume, je détacherai tout d'abord trois
mémoires
qui, à eux seuls, suffiraient à garantir de l'o
devenait ainsi le plus haut degré de la lypémanie. En 1854, vint le
mémoire
sur la folie a double forme qui établit l'exist
tuelle ayant son point de départ dans l'exercice involontaire de la
mémoire
et de l'imagination, quoique souvent assimilée,
it injuste de ne pas accorder une mention spéciale au très original
mémoire
: Recherches statis- tiques sur l'hérédité de l
ydenham sur la folie consécutive aux fièvres intermittentes, et des
mémoires
bourrés de faits obser- vés, comme sait observe
bien ! le second volume ne le cède en rien au premier. A part le
mémoire
, point de départ de tant de cotitrove ? S, sur
e la plus incontestée, est la partie clinique. Elle embrasse treize
mémoires
dont six réalisèrent cinq grandes découvertes. En
anéité de ces deux délires chez les mêmes paralytiques. Ensuite, le
mémoire
, antérieur de dix ans, dans lequel M. Bail- lar
ace dans l'étiologie de l'affection paralytique. Enfin, l'important
mémoire
pratique, de 1858, consacré à l'influence heure
thétique de l'oeuvre du célèbre médecin de la Salpêtrière. Ces six
mémoires
mettent bien en relief l'existence : 1° d'une par
re partie du second volume renferme, sous six numéros d'ordre, onze
mémoires
relatifs au crétinisme et au goitre. M. Baillar
n° 60, p. 335. Sur la demande de l'au- teur, nous déclarons que ce
mémoire
a été déposé dans nos bureaux le 15 juillet 188
ériel d'exécution et serait dirigé, par le centre cortical, «par la
mémoire
psychologiques qui in- diquerait le genre d'imp
nnelle spéciale et partielle de la moelle épinière avec perte de la
mémoire
motrice dynamique et statique '. Nous nous rang
e spinal correspondant. Dans celui-ci, en d'autres termes/réside la
mémoire
psychologique des actes sommaires qu'il faut pr
eul'appareil, soit pour en arrêter le fonctionnement, tandis que la
mémoire
organique, qui préside à l'exécution, dans tous
seulement il est fait mention de l'état du sens musculaire dans les
mémoires
originaux. Dans six, la seule preuve donnée de
ration des trijumeaux. Nous ne pouvons que renvoyer sur ce sujet au
mémoire
original. P. K. XIV. Affection EN FOYER DU LOBU
ions personnelles suivies d'au- topsie qui constituent les faits du
mémoire
. Il existe, d'après M. Freund, trois espèces cl
couche blanche sous-corticale. P. K. XVI. Remarques A ajouter au
mémoire
DE ZIEHEN SUR LE MYOCLONUS ET la MYOCLONIE (Arr
. Allures des pupilles sur 100 cas. Il est impossible d'analyser un
mémoire
de 168 pages pleines de docu- ments, de rapproc
comparative- ment chez les animaux et sur l'homme. Dans le présent
mémoire
, l'auteur considère le rôle que joue le même sy
naître, tandis qu'ils en ont une per- ception consciente nette, une
mémoire
optique fidèle, pensez à la forme'transcortical
humaine, par C LaUFENAUER. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1889.) Ce
mémoire
est le rapport de la commission nommée par la S
eitsch. f. Psych., XL1V, 4,5. Deux observations témoignent, dans ce
mémoire
, d'une réduction considérable de la cloison tra
. Burckhardt, évidente (nous renvoyons aux tracés et aux courbes du
mémoire
). Enfin, en matière de pathologie men- tale, il
A guérie, par KRAOSE. (.Mettrai CMtraM., 1890.) Nous diviserons ces
mémoires
en trois groupes. Le premier groupe (cas de Pic
eprésentatives, d'images commémoratives, dont la somme constitue la
mémoire
. L'activité psychique consiste à associer, à tr
des prix. PRIX AUnaNEL. De la folie chez les vieil- lards. Un seul
mémoire
a été déposé. La commission se com- pose de MM.
Prix Belhomme. De la vision chez les idiots et les imbéciles. Deux
mémoires
. Commissaires : MM. Vallon, Pichou, J. Voisin,
ogique de la para- 292 sociétés savantes. lysie générale. Un seul
mémoire
. Commissaires : MM. Métivié, Falret, Bouclier e
passants une discussion assez vive, puis subitement avait perdu la
mémoire
. Au moment où le fait se produisait, elle ne s'
rs heures, quelquefois même des journées entières. Puis, lorsque sa
mémoire
oublie le mot que sa langue a si souvent pronon
ux des formes si variées de la paralysie générale. Nous devons à sa
mémoire
de citer, en les divisant méthodiquement, ses N
étails intéressants, sans en détruire le fond. On connaît aussi son
mémoire
sur le déplissement (Etendue de la surface du c
singer). - Statistique appliquée l'étude des maladies mentales : ce
mémoire
est l'exposé des motifs de la création de la So
Laissez-moi vous rappeler, à ce propos, un fait qui me revient à la
mémoire
. Il y a huit ans de cela, on m'a- menait une je
à l'aide de certaines suggestions. Le premier, M. Mesnet, dans deux
mémoires
où il rela- tait l'histoire de deux malades att
travail, M. Mesnet pouvait dire en par- lant du sujet de son second
mémoire
: « On peut l'in- fluencer, changer son rêve, l
e. (Arch, gén, rie méd, 1860,1, 1, 1). 147.)-De l'automatisme de la
mémoire
et du souvenir dans le somnambulisme pathologique
les Archives ' G. Ballet. Du Bégayement hystérique. In Bulletins et
Mémoires
de la Société médicale des Hôpitaux ; séances d
ologie. Juillet 1890. 366 PATHOLOGIE NERVEUSE. - de Neurologie un
mémoire
complet sur la même question. D'un autre côté,
aiement hystérique. J'ai déjà dit, dès les premières lignes de ce
mémoire
, que le cas de M. Ballet ne ressemblait en rien
'hystérie dans tous les cas de bégaie- ment. NOTE A L'OCCASION DU
MÉMOIRE
DE M. CHER VIN Par M. GILBERT BALLET. Je répo
ses communications à la Société médicale des hôpitaux, soit dans le
mémoire
publié en collaboration avec M. P. Tissier, qu'
es. Il rappelle, il est vrai, Roze et Féréol ». Mais, si j'ai bonne
mémoire
, ni M. Desnos, ni M. Gérin-Roze n'ont mis en do
on fondamentale, la seule, à la vé- rité, que m'adresse l'auteur du
mémoire
que l'on vient de lire. J'ai eu tort, d'après l
nt fait beaucoup d'autres expériences qu'ils ont publiées dans leur
mémoire
dans les Phil. Trans. et ils reéher- chèrent au
goût, » En regardant- cependant les figures qui accompa- gnent leur
mémoire
on peut n'en trouver qu'une (n° 2, planche 4) o
is remontent déjà aune date ancienne que le malade retrouve dans sa
mémoire
, par suite d'un travail rétrospectif qui est le
recherchant chez eux la capacité vocale, le sens de l'harmonie, la
mémoire
musicale, etc. Il les a classés, les uns et les
té les psychoses fébriles de l'influenza, qui ont fait l'objet d'un
mémoire
présenté récemment par M. le professeur Revilho
de Falret père et deMitivié et qu'à cette époque, il traité dans un
mémoire
l'influence des maladies intercurrentes sur le
ubilation de la conscience, affaiblissement très considérable de la
mémoire
et des phéno- mènes paralytiques. Ces derniers
ALIÉNÉS EN FRANCE : RAPPORT GÉNÉRAL; RAPPORTS SPÉCIAUX. Dans son
mémoire
intitulé : Des établissements d'aliénés en Fran
du service de Bicétre pour l'an- née 1884, p. 174. - Voir aussi les
Mémoires
de Félix Voisin. 474 FAITS DIVERS. FAITS DIVE
lésion située entre le pli courbe et les centres corticaux de la
mémoire
visuelle commune (Dejerine). " G. D. X. État de
s de longs discours qui servent en quelque sorte d'adjuvants à sa
mémoire
. Il se répète fréquemment. En parlant spontanémen
à la vérité, Le quatrième jour, état normal, sauf une lacune de la
mémoire
portant sur deux jours (sommation). NI. Gudden,
'aphasie si particu- lière provenait, selon lui, d'un trouble de la
mémoire
et de l'atten- tion, dû à une altération généra
cun symptôme objectif ni subjectif, mais souvent le patient perd la
mémoire
de l'accès lui-même, notamment quand celui-ci a
résie générale, mot par lequel il désigne la paralysie générale. Ce
mémoire
. est un simple exposé de la question. Il. de nI
on de l'hystérie. M. Babinski apporte sur cette proposition un long
mémoire
dont l'étendue ne permet pas la lecture complèt
et. des idées émises, par Flechsig (opposition des sensations à la
mémoire
et aux autres phénomènes* 132 REVUE D'ANATOMIE
cience, de l'attention volontaire : voir les développements dans le
mémoire
. C'est le gouvernement qui utilise les produits
mes sentiments distingués. -0" A. Marie. BIBLIOGRAPHIE. II. La
Mémoire
, quatrième volume de la Bibliothèque internatio-
2. L'auteur se propose « d'esquisser l'histoire du problème de la
mémoire
et son évolution dans l'espace de ces quinze dern
nirs, en les rappelant, en les reconnaissant : d'où trois sortes de
mémoires
, la mémoire de fixation, la mémoire de reproduc
rappelant, en les reconnaissant : d'où trois sortes de mémoires, la
mémoire
de fixation, la mémoire de reproduction et la m
aissant : d'où trois sortes de mémoires, la mémoire de fixation, la
mémoire
de reproduction et la mémoire d'identification.
mémoires, la mémoire de fixation, la mémoire de reproduction et la
mémoire
d'identification. La mémoire de fixation est un
on, la mémoire de reproduction et la mémoire d'identification. La
mémoire
de fixation est universelle. Dès la plus haute an
re suppléées par des territoires voisins. Il y a autant de types de
mémoire
qu'il y a d'individus qui retiennent. Les grand
t utiles que comme direction. Il y a prédominance de telle ou telle
mémoire
, mais le visuel pur, par exemple, n'existe pas.
tenir l'importance de l'élément moteur dans la mémo- risation. La
mémoire
de reproduction a été également étudiée par des
diée par des médecins et des psychologues. Les altérations de cette
mémoire
peuvent être attribuées à la destruction des li
accidents épi- leptiques n'est consécutif qu'à des troubles de la.
mémoire
de repro- duction. Des expériences faites par
int de vue fonctionnel, il n'y a pas deux cerveaux semblables. La
mémoire
d'identification nous permet de reconnaître un so
liser dans le passé. Laparamnésie consiste en une erreur de cette
mémoire
; on croit '170 ' bibliographie. reconnaître c
es cécités et surdités psychiques sont dues à des altérations de la
mémoire
d'identification. Elles sont produites par l'alté
, par exemple). Les expériences faites sur cette troisième sorte de
mémoire
n'amènent aucune conclusion. Cela tient, croyon
e d'isoler complètement une faculté, et dans les expériences sur la
mémoire
entrent fatalement en jeu l'émotivité. le raiso
utôt un résumé d'expérimenta- tions, qu'une théorie nouvelle sur la
mémoire
. Sa lecture -n'en est pas moins intéressante, e
5 000 - FAITS DIVERS. 175 francs, pour être attribué au meilleur
mémoire
original et inédit sur l'Histoire clinique et l
et le traitement de l'Epilepsie. Ne sont admis à concourir que les
mémoires
originaux. Tous les manuscrits devront être en
hives, 21 série, t. XIII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. phal dans son
mémoire
sur les obsessions, en '1877. Bénédickt a décla
, l'éminent directeur d'études à la Sorbonne, a pris texte de notre
mémoire
sur l'Ereuthophobie pour écrire sur la théorie
ges, août 1901.) - 184 CLINIQUE NERVEUSE. Nous avions, dans notre
mémoire
, émis le regret de n'avoir pu nous livrer à des
ssion. Je ne peux préciser la date de son apparition. Autant que ma
mémoire
est exacte, elle remonte à ma première année d'
ches Centralblall, 1S86, p. z, 5.) - Nous avons donné, dans notre
mémoire
paru dans le numéro de janvier 1897 des Archive
sayer de ne pas y songer. Je cherche à effacer de mon esprit, de ma
mémoire
, tout ce qui, mot ou objet, peut rap- peler de
pel des divers incidents de douze et vingt-trois ans --+- + Oh ! la
mémoire
est bonne, mainte- nant, je me rappelle tout mo
s des sensations d'abord, puis tout un'monde d'idées s'affranchit :
mémoire
et imagination. Bien entendu nous emprun- tons
ions externes contribuent exclusivement au travail intellectuel. La
mémoire
étant bonne, celui-ci est principalement passif,
.-W. Tmor.r;ren'. (06orénié psicleicctrü, V, 1900.) L'intérêt de ce
mémoire
gît dans les observations : : ' - 1° Particuliè
une altération sénile des vaisseaux, la conservation passable de la
mémoire
et partielle du jugement et de la logique contr
outre ce délire perd son lustre, ses dimensions, il se rétrécit. La
mémoire
se rétablit; l'attention, la volonté, le jugeme
l'affaiblissement de la volonté, du jugement, de l'attention, da la
mémoire
; une complète indifférence à tout, même à ses i
4 trancs. Paris 1901, O. Doin, éditeur. VAN BIERVLIET (J.-J.). La
Mémoire
, in-8" de 350 pages. Prix : 4 francs. Pans 1901
onner aussitôt et mon idée fixe revenait toujours. Parfois ma bonne
mémoire
me venait en aide et si j'étais resté pendant des
rrerie de caractère, irritabilité, affaiblissement progressif de la
mémoire
, vie de famille impossible. -Un oncle paternel se
à la géographie, pour ne plus s'y intéresser de plusieurs mois. La
mémoire
est laborieuse, mais elle parait assez fidèle.
et d'en tirer des déduc- tions. Son imagination, du fait même de sa
mémoire
, parait féconde, mais en réalité elle ne fait q
role, à une trop faible attention de l'ouïe, à l'insuffisance de la
mémoire
des sons. Il en est qui n'ont pas dépassé la pé
e foncé (sulfocyanure de fer), très favorable à la photographie. Le
mémoire
renferme des figures relatives à des hémiplégiq
s accusés dans la psychose à base d'interprétations. ' Grâce à sa
mémoire
souvent très exercée, à sa dialectique tou- jou
ernement de Novgorod Kolmovo (Itussie). - En 1891, Ilaig, dans un
mémoire
intitulé Urie acid as Il faclor in the causai i
nous importe. Si dans les minutieuses observations données dans le
mémoire
nous recherchons l'abaisse- ment du taux de l'a
volume de 21f pages, avec six belles planches, se compose de trois
mémoires
. Le premier, de beaucoup le plus important, est
service de Bicêtre (voir lS91, p. 182 et 1899, p. 183). Le second
mémoire
, consacré à la classification des idioties, pèse
ssification anatomo-pathologique propre à l'auteur. Dans un dernier
mémoire
, M. Pellizzi étudie les rapports de l'épilepsie e
cependant Brown-Sequard l'a vue, Westphal aussi, et l'auteur de ce
mémoire
également. Du reste les cochons d'Inde ne réagi
Centralbl. f. iîe2-veizhilk., XXIII, N. F. XI, 1900.) Critique du
mémoire
de Nissl sur « les maladies mentales dites fonc
de cas d'homicide épileptique, la cons- cience est conservée, et la
mémoire
n'est pas oblitérée, du moins immédiatement. Ma
inconscience, que pourtant elle n'implique pas. La conscience et la
mémoire
ne sont pas toujours associées à l'acte crimine
e; dans la convalescence, chan- gement de caractère, troubles de la
mémoire
, légère confusion mentale. Elle entre un mois a
ur la durée approximative de cette cure. Au demeurant, le manque de
mémoire
, dont elle souffre, la met dans l'impossibilité
estions qu'on lui adresse, trahissent une certaine diminution de la
mémoire
. Vous voyez que ses pupilles, moyennement dilat
tellectuel. Vous avez pu vous rendre compte de l'imperfection de sa
mémoire
. Avec cela, d'A... éprouve une certaine difficu
instants. La malade ne perd pas connaissance, elle ne tombe pas. Sa
mémoire
a faibli, aussi bien quel'ensemble de ses facul
ar notre malade, l'affaiblissement intellectuel et la perte de la
mémoire
, que nous notons chez elle. Il y a également de q
inution de l'intel- 442 '1) . CLINIQUE NERVEUSE. ligence et de la
mémoire
- ne nous fournissent aucune indication précise
s de grand et de petit mal, diminution de l'intel- ligence et de la
mémoire
- parlent en faveur de l'existence de lésions c
t des actes ou des pensées de sa vie antérieure lui reviennent à la
mémoire
. Très perplexe elle interroge sa conscience, re
ées les plus bizarres qui lui ont traversé l'esprit réviennent à la
mémoire
et elle examine attentivement son état mental, de
dans l'idée, je n'en suis pas la cause ». La malade repasse dans sa
mémoire
les divers moments de sa vie. Les moindres évén
e. Et à chaque réminiscence de ce souvenir l'hypothèse revient à la
mémoire
. Elle ne s'effacera que lorsque la pensée primi
t ainsi qu'on le constate alors extrêmement affaiblies, perte de la
mémoire
, idées délirantes de grandeur et de richesse, t
trombone manifeste embarras de la parole, tremblement des mains. La
mémoire
ne semble guère atteinte. Il déclare se bien po
mbres, embarras de la parole, perte de la 490 RECUEIL DE FAITS. 1
mémoire
, état démentiel des facultés, gâtisme. Toute enqu
paralysie générale progressive parvenue à une période très avancée.
Mémoire
éteinte. Embarras de la pa- role. Inégalité pup
Deux observations caractérisées par une atteinte remarquable de .la
mémoire
. Dans la première, il s'agit d'un homme de trente
énérale, accidents du décubitus, céphalalgie, affaiblissement de la
mémoire
. Pas de névrite multiloculaire. Le malade se ré
e, mais, sans autre symptôme psychique d'ailleurs, le trouble de la
mémoire
subsiste. Rien du côté de l'écriture. Trembleme
ré. Malade depuis trois ans, fort irritable, il a surtout, perdu la
mémoire
. On constate, au point de vue physique, de l'in
une sciatique : à l'asile, il a fait une myosite. Le trouble de la
mémoire
a, dans les deux cas, porté sur les faits récen
ni latéropulsion, ni rétropulsion. L'affaiblissement marqué de la
mémoire
ne s'accompagne pas de diminution du jugement, de
nes suivantes empruntées à l'une des quatre observations du présent
mémoire
. Le malade décrit en personne ' son mal. « De
The Journal of Mental Science, juillet 1900.) L'auteur fait dans ce
mémoire
un exposé intéressant de la manière dont il a r
ique, par Block, 91. Médecine en 1800, par S. MltrlIell, 254.
Mémoire
. La- par J. van Bieivliet, 168. MLM\GO-E\CÉ1'
ée par le nerf optique. En 1879, paraissent la thèse de Boy et le
mémoire
de Dou- trebente qui, ayant examiné 47 paralyti
u : on lui en veut, on lui vole ses effets. Aucune systématisation.
Mémoire
abolie. Signes physiques : marqués de paralysie
ous les signes de la paralysie générale à la der- nière période. Sa
mémoire
est abolie, son inconscience est absolue. Bredo
alysie générale progressive. Etat m6H<t"6s facultés. Perte de la
mémoire
. Idées de grandeur absurdes : il avait 92 milli
elligence, dans les troubles de l'attention, les défaillances de la
mémoire
, l'in- suffisance de la volonté. 1 Ce sont là
s générales encore, des facultés de sensibilité, d'adaptation et de
mémoire
de la matière vivante. Mais ne nous écartons pa
Presque tous les ivrognes ont perdu absolument ou partiellement la
mémoire
des événements qui se sont passés pendant leur
acun de ses repas. L'eau-de-vie de cidre frappe particulièrement la
mémoire
. Lacon- - sommation alcoolique est passée dans
ie. C'est à ce titre que nous devons rendre un dernier hommage à sa
mémoire
. SERGE SOUXHANOrI. 1VÉCROLOGIE.- Nous appreno
it pas constituer une espèce indépendante. Depuis 1894, de nombreux
mémoires
ont paru sur la folie à deux. En général, les a
affaiblissement intellectuel carac- térisé surtout par un défaut de
mémoire
assez prononcé. Elle con- naît mal son âge et l
tanément comme avant. Son état intellectuel semble avoir baissé, la
mémoire
est plus défectueuse et elle est satisfaite d'e
une faiblesse marquée du côté intellectuel et principalement de la
mémoire
; lucide d'ailleurs, elle nous raconte très net
opsie; parS. Goldfum. (-YCIII-010g. Ce21ti-albl. xxi, 1902.) Gros
mémoire
réparti entre les numéros 4, 5, 6, 7,8, 9, 10 et
au point de vue de la loi de 1898 ; par William COTTON. Ces deux
mémoires
visent et discutent, au point de vue de leur fo
janvier 1901.) Ce travail est un commentaire ou une discussion des
mémoires
publiés par M. Whiteway, en octobre 1899 et par
par M. Whiteway, en octobre 1899 et par M. Mercier, en avril 1900,
mémoires
dont il a été rendu compte à cette place. L'aut
nfluence de ces prédispositions héréditaires ou acquises. Dans un
mémoire
, l'un de nous a dit que les psychoses post-opér
servation du malade du Dr Legrain et qui se trouve à la fin de ce
mémoire
(obs. IV). 1 . Un malade opéré de cure radicale
onostic diffère naturellement selon la variété du délire. Dans le
mémoire
déjà cité (1 ? mars 1898) l'un de nous citait l
é dans un ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-oP&RATOIRES. 221 précédent
mémoire
(Picqué et Dagonet, Recueil des Tra- vaux, 2e v
r obtenir une brève réponse. « Causer me fatigue ». Par moments, la
mémoire
lui échappe, puis revient. Quelques vagues idée
a disparu, mais l'intelligence est restée quelque peu affaiblie; la
mémoire
présente des lacunes. L'état physique commence
urrir. » Elle fait une tentative de suicide parce que, dit-elle, sa
mémoire
s'effaiblissait et qu'elle se sentait incapable d
n. Asymétrie faciale droite. Voix nasillarde. Trouble profond de la
mémoire
portant seulement sur les faits récents, car le
ec une voiture ici, de l'hôpital (Sainte-Anne). » « Je n'ai plus de
mémoire
, du tout, voilà déjà longtemps que je n'ai presqu
les deux observations suivantes que nous joignons avec plaisir à ce
mémoire
: Observation VI(communicluée par 11. le D' Dub
connaissance des troubles de la conscience avec conservation de la
mémoire
chez les épileptiques ; par M. K. BONIIOEFFER.
grande partie des autres symptômes lui sortent promptement de la
mémoire
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
l'existence d'une obnu- bilalion psychique épileptique, bien que la
mémoire
en l'espèce soit rarement aussi nette que norma
ésordre des opérations mentales comparable à celui du rêve. Lire le
mémoire
. ~ P. IGRAVAL. XVI. Altérations des os de la fa
portant sur la thérapeutique des mala- dies mentales protégeront sa
mémoire
contre l'oubli. Son nom restera toujours attach
logie, le Progrès médical. Nous citerons les plus importants de ses
mémoires
: Contribution à l'étude du délire d'origine symp
ical auquel nous sommes si intimement liés par notre mandat, que la
mémoire
du docteur Febvré restera fidèlement conservée;
s rappelle celui du Sauvage de l'Aue·oz, qui a fait l'objet de deux
mémoires
remarquables d'Itard, que nous avons réimprimés
e Besoigne, lI, 128-9. 0 Recueil de pièces.-Relation citée. 60. '
Mémoires
pour servir « l'histoire de Port-Royal et it la v
s larmes" » Enfin, dans la nuit du 24 au 25 jan- ' Pierre Guilbert.
Mémoires
historiques et chronologiques sur l abbayede Po
attester la gravité toute spéciale de la gasserectomie. Depuis le
mémoire
de Krause du reste, d'autres interven- tions on
e polynévritique d'origine alcoolique ; démence, perte totale de la
mémoire
, impulsions automatiques au suicide, vague déli
l est caractérisé par une hébétude profonde avec perte totale de la
mémoire
dont la malade a une vague conscience ; elle ré
eux pas penser à ce qu'elle a fait... Je n'ai plus d'idées, plus de
mémoire
. Je ne me rappelle plus d'un instant à l'autre
de la dégéné- rescence2. En 1897, Luigi Cappelletti publiait un.
mémoire
sur la paralysie générale chez les imbéciles'.
actérisée par des troubles de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 367
mémoire
, la perte de tout sentiment affectif et un état d
ien la cause de ces complications. Recherches expérimentales sur la
mémoire
immédiate des aphasiques. MM. P. Marie et N.
rie et N. Vaschide. Il résulte des recherches de ces auteurs que la
mémoire
immédiate des chiffres, des syllabes, des sons
eusement atteinte. Leurs sujets aphasiques n'avaient presque pas de
mémoire
immédiate et elle était limitée à la répétition
ent indéfinis paraissent pouvoir se fixer plus facile- ment dans la
mémoire
des aphasiques. Chez un sujet atteint d'aphasie
oire des aphasiques. Chez un sujet atteint d'aphasie traumatique la
mémoire
immédiate était excellente par rapport aux autr
lement; la Archives, 2o série, t. XV. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES.
mémoire
peu développée ; l'humeur toujours gaie, prononce
l'un des symptômes de cette maladie : le mensonge. Un remarquable
mémoire
est consacré à l'étude des rapports de l'impote
Fossé.- Loc. cit. 79. ' lie de M. Thomas du Fossé : en tête (lèses
mémoires
, XVII. 'Pierre Thomas du Fossé. Luc. cil. 212.
d. 387. Ibid. 383. ' "' Pierre Thomas du Fossé. Loc. cil. 98. *
Mémoire
de Le Maître en tète des mémoires de Nicolas Font
e Thomas du Fossé. Loc. cil. 98. * Mémoire de Le Maître en tète des
mémoires
de Nicolas Fontaine. ° Vecnolore de Port-Roial,
), il eut une hallucination auditive, dont il ne parle pas dans ses
mémoires
, mais que Nicolas Fontaine nous a rapportée dan
donc passé ? Pour le comprendre, il nous faut nous reporter aux
Mémoires
de Louis de Pontis. Louis de Pontis devint soli-
mort subite d'un de ses amis. Voici ce qu'il écrit, à la fin de ses
mémoires
, au sujet de cette personne : « J'appris une ch
de la part de Dieu » » ' Nicolas ronlaine. llémoires, If, 179. '
Mémoires
du sieur de Pontis, Paris, 1778 11, : m'7, 4u21
proches ou de ses serviteurs. Mais voici qui est intéressant. Les
Mémoires
de Louis de Pontis furent rédigés par Pierre- T
de notre dévot s'exprime ainsi : « M. du Fossé recueillit aussi les
Mémoires
de M. de Pontis, qui étoit alors retiré à Port-
e 4 novembre'. » De telle sorte que Pierre-Thomas du Fossé avait la
mémoire
toute fraîche de l'anec- dote relative à l'ami
x de Bourbon. L'intelligence reste intacte. Aussi put-il écrire ses
Mémoires
, tout en étant obligé de les inter- rompre plus
Fossé . Loc. cil. 506. ' Vie de M. Thomas du Fossé, en tête de ses
mémoires
, XXXIII. Nécrologe de Poi-1-Roïcil. 421. PHYS
r à Paris avec ' Epitaphe de Pierre Thomas du Fossé, en tète de ses
mémoires
. XXXIX. * Pierre Thomas du Fossé. Loc. cit.,
homas du Fossé. Loc. cil.. 94. 6 Ibid. 98. 8 Nicolas du Fontaine.
Mémoires
pour servir à l'histoire de Port-Royal, A Colog
piété éclairée et uni- ' Vie de Il. Thomas du fusse, en tète de ses
mémoires
, XXVII. 1. 2 Vie de M. Thomas du Fossé, XXXI.
vangélistes. A la fin de 1697 (soixante-trnis ans), il commença ses
Mémoires
, et les acheva après Pâques 1698. Enfin il coll
Nicolas du Fontaine. Loc. cit., II. 180. ' Epitaphes en tête de ses
mémoires
, XXXIX. 3 Dictionnaire de 31oi,e ? ,i. Art. Tho
fit religieuse à Port- Vie (le.11. Thomas du Fossé, en tète de ses
mémoires
, XXXIII. ' Dictionnaire de lIoiei,i. A-1. Thoma
'ort-Roial, 175. ' Nécrologe de Porl-Roïal, 175. 3 Ibid. 176. '
Mémoires
pour servir, etc.. Relation de Marguerite Gii ous
' Mémoires pour servir, etc.. Relation de Marguerite Gii oust. 5
Mémoires
pour servir, etc., Relation de Marguerite Giroust
1 Jérôme Besoigne. IV, 98. " Peirre Guilbert Loc. cit., 1555. 0
Mémoires
pour servir, etc' il, 510. 7 IGicl. H. 440 HI
: le malade raisonne correctement sur tout et a gardé intacte la
mémoire
de tout son passé jusqu'à il y a trois ans. Inc
endant le sommeil; tantôt des suggestions spéciales. L'habitude, la
mémoire
, l'associa- tion des idées, l'imagination ont c
gations sont toujours posées. Ainsi l'attention est soutenue, la
mémoire
excellemment entrai- née, l'émulation suscitée
longtemps retenir l'urine; impotence. La cons- cience est nette, la
mémoire
peul-être un peu affaiblie, mais le malade en d
sticlues concernant sa maladie ; on ne remarque point de défauts de
mémoire
marquée; l'intelligence est diminuée à ce qu'il
aux débats. Il a été question [ensuite des moyens pour éterniser la
mémoire
du défunt président de la Société, le professeu
Rybalioff et W. Roth. En discutant sur la question d'éterniser la
mémoire
du défunt professeur A. J. Kojevnikoff, la Soci
eile de ? ' Neurologie zzncl Psychiatrie. L'Annuaire des travaux et
mémoires
, ayant trait ci la Neurologie et à la Psychiatr
LE Dantec. Instinct et Servitude. (Suite et fin). P. Hous- seau. La
mémoire
des rêves dans le rêve. Analyse et comptes rendus
agraphie. par Stadelmann, 182. Voir Réactions sensorielles, Voir
Mémoire
. Apophyse mastoïde. Voir Accidents nerveux.
onnaissance des troubles de la conscience avec conservation de la
mémoire
chez les -. par lion- hoell'er, 202. Comment me
esetatsau cours des granulies tuberculeuses, par Bienvenu, 289.
Mémoire
. Recherches expérimenta- les sur la mémoire imm
par Bienvenu, 289. Mémoire. Recherches expérimenta- les sur la
mémoire
immédiate des aphasique ? part'. 119arie et Vas
deviennent incohérentes; les actes et les propos sont décousus; la
mémoire
paraît absente; l'at- tention ne peut être fixé
offre des rémissions, la marche éclairera, je le recon- nais ; la
mémoire
, l'attention luiront et s'éclipseront alternati
matin en se levant, soit à propos de changements de température. La
mémoire
semble s'affaiblir. D'après la description du m
lié dans les Annales iné(lico-l ? sychologiques (septembre 1880) un
mémoire
dans lequel il attire l'attention sur une forme
mement de la forme de mélancolie qui fait le sujet de son précédent
mémoire
. Nous avons eu l'occasion d'observer une dame c
vation sont les mêmes que ceux mis en relief par M. Cotard dans son
mémoire
: nous les rappellerons ici : 1° Anxiété mélanc
ale, du 2'. avril 1884, 3 laquelle nous empruntons la traduction du
mémoire
du D Hammond. 7'e 4 REVUE CRITIQUE. « Le ca
rimitive ou à une dégénération primitive. Telle est la teneur de ce
mémoire
. P. Kéraval. 76 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
c perte de connaissance, de troubles intellectuels avec perte de la
mémoire
, d'agitation maniaque furieuse : inconscience d
piniâtres et fréquentes, une emotivité exagérée, des troubles de la
mémoire
, des convulsions pendant les premières années d
ement psychique; par E. Kroepelin. (rh°ch. f. P.ych..XIII, 2.) Ce
mémoire
représente une étude de psycho-physioiogie patho-
enville (de Lausanne). (Soc. méci. de la Suisse romande.) Dans ce
mémoire
, l'auteur cherche à réhabiliter les injections de
générale; par Fischer. (Arch. f. Psyth. u. Nervenk., XII, 3.) Ce
mémoire
constitue une réminiscence de la méthode d'élec-
tre utilisés un jour. M. LE Secrétaire général donne lecture d'un
mémoire
de M. Parant, relativement à la séquestration d
est décerné à M. Vétault, interne de l'asile Sainte- Anne, pour un
mémoire
intitulé : Du délire hypochondriaque dans quelq
ence de notion sur les antécédents ? Exposer ces caractères. » Deux
mémoires
ont été déposés. Une mention honorable avec réc
onorable avec récompense de 1.800 francs est accordée à l'auteur du
mémoire
n° 2, M. Saury, médecin de la maison de santé d
ne allocation de 600 francs, à titre d'encouragement, est donnée au
mémoire
no 4. Ce dernier travail a pour auteurs MM. Bru
rches personnelles. Prix : 800 francs. Conditions des concours. Les
mémoires
, lisiblement écrits en latin, en français ou en
ire de l'Académie, à Bruxelles. Seront exclus des concours : Il les
mémoires
qui ne rempliront pas les conditions précitées;
itions et les pages des livres auxquels ils les emprunteront. Les
mémoires
doivent porter une épigraphe répétée sur un pli
ement le lauréat. Lorsqu'une récompense seulement est accordée à un
mémoire
de concours, le pli qui y est joint n'est ouver
squ'il aura fourni au se- crétaire de la Compagnie la preuve que ce
mémoire
est son oeuvre. L'Académie accorde gratuitement
ire est son oeuvre. L'Académie accorde gratuitement aux auteurs des
mémoires
dont elle a ordonné l'impression cinquante exem
mentionner ici de nouveau. D'ailleurs, en plus d'un passage de ce
mémoire
, nous aurons à revenir sur quelques-uns d'entre
c'est là le point nouveau sur lequel nous voulons insister dans ce
mémoire
), l'attaque hys- térique, dans quelques cas, re
attaques successives. Au moment ou nous étions occupés a rédiger ce
mémoire
, notre ami P.Marie, chef de clinique de la facu
édénts numéros des Archives1. Nous donnons ici1 simple"nîëntcpbùr
mémoire
la description résumée de ces lésiôlin'9z èltlut'
ons,a saus,sortirhdu sujet. qui nousioccupe'spécialement dans 1 cet
mémoire
, nous arrêter affaire ég'c;rtiit6--âté]6s"pàrti
. Ces sortes d'observations sont très rares. J'allais terminer ce
mémoire
, sans parler de l'insula droit, faute de matéri
e explication découle natu- rellemeut de la substance même de notre
mémoire
. On sait, en effet, que le sang nutricierdes ir
spéciaux qui feront reconnaître la maladie; il y a des pertes de
mémoire
, des lacunes intellectuelles qui n'échappent poin
pour être remplacée par « la béatitude parfaite`». A ce moment, la
mémoire
des mots sera déjà fort atteinte, tout raisonne
riptive en général ; mais il peut être utile dégrouper dans un seul
mémoire
les diverses , ` .f '( orr .<* ! Ida 9'U il
Lobe frontal. : 11. Pozzi' fait à bon droit remarquer que, dans le
mémoire
de Gratiolet (Plis cérébraux, etc.), le lobe fr
est irritable, excitable, déraisonnable, incohérent; il a perdu la
mémoire
; en dehors de l'état de mal, il est docile, mai
nal of mental Science, octobre ,1882, p. 343.) . a L'auteur de ce
mémoire
, connu depuis longtemps par une série d'intéres
doute n'était pas possible, l'intégrité et même l'excellence, de sa
mémoire
, il affirme lors des deux der- *»> ,. >«f
ommunications 'relatives ^ la neurologie ? C'est ainsi que bien des
mémoires
.de la .dernière catégorie, ont j été présentes
de son bagage verbal se composa de participés ? en même temps la
mémoire
était remarquablement faible' pour ces'associatio
levée aboutit à un rejet. ' , " «' - '-j z M. Oppenheiu lit un long
mémoire
sur l'Expression du, visage chez /es (f ! Ht !
redouterait l'exposé en tête à tête. yr 1 La lecture de ces deux
mémoires
ayant absorbé le temps dispo- nible, les travau
pu, dit-il, faire quand même de bonnes études à cause de son peu de
mémoire
; sa conversation indique une intelligence et un
tiges) ; 3° Il résulte, d'autre part, des faits rapportés dans ce
mémoire
(et les observations ultérieures démontre- ront
crirons-nous 3 M revue D'AKATOMIE et de physiologie. plus tard un
mémoire
semblable sur le reste de l'encéphale, et alors
n'avons que tout juste le temps d'introduire dans le corps de notre
mémoire
quelques additions, nous réservant, si besoin e
es à Sander, Fischer, Meynert (Arch. f. Psych., V. VII) à Rudinger (
Mémoire
de Bonn, 1882), Giacotnini (Arch. ital. de Biol
tème nerveux central ; par Gierke. (Neurol. Cenlrulbl., 1883.) Ce
mémoire
d'avant-garde relate brièvement les points les pl
e ; par M. InIEBL1NN. (Jalarbùch. f. Psych., IV, 2 et 3.) Ce long
mémoire
est basé sur l'étude micrographique pure de deu
ation avec des lésions d'un autre ordre en ces organes).-Le dernier
mémoire
(D) n'a d'ail- leurs plus trait à la paralysie
ébrale; par R. Friedlcender. (JVCM-0<. Centralbl., 1883.) . Ce
mémoire
repose sur l'examen de vingt-trois hémiplégiques,
e; intelligence bien au-dessous de la moyenne dès l'enfance; pas de
mémoire
. A son entrée, elle comprend à peine les questi
meron. (Journal of mental Science, janvier 1883, p. 319.) Ce long
mémoire
se termine par les conclusions pratiques que vo
rappelle qu'elle n'est pas responsable des opinions émises dans les
mémoires
signés. Elle ajoute que l'auteur parait oublier
D. IL1CK TUKE. (Journal of mental Science, avril 1883, p. 55.) Ce
mémoire
a été lu devant l'Association niédico-ps3 chologi
mpression de deux moi; « 5° Quelques fonctions mentales, comme la
mémoire
, peuvent être exaltées; et il peut y avoir des
plus précise, naturellement. M. 1 uEUSrvLa (d'Heidelberg) lit un
Mémoire
, intitulé : Contri6u- tion à la pathologie et a
cation et ne réapprennent plus; tel est l'af- faiblissement de leur
mémoire
qu'ils oublient, dès qu'ils cessent de les voir
maladies nerveuses les plus usités ne parlent pas plus que bien des
mémoires
sur le massage de ce mode de traitement dans le
ncée : Contribution au diagnostic des lésions prolubérantielles. Ce
mémoire
sera publié in extenso 3. Discussion : M. B
; jamais de myosis. M. Thomson clôt la séance par la lecture de son
mémoire
Sur les allures du champ visuel dans leurs rapp
les affections nerveuses dites hystériques. Paris, 1841 ; Plan et
mémoire
concernant les constructions projetées à l'asile
e que beaucoup ne savent (1) Nous avons préparé avec M. J. Boyer un
mémoire
sur la main idiote que nous publierons dès que
ement une syllabe et à en reconnaître la représentation écrite ; la
mémoire
visuelle se trouve ainsi exercée parallèlement
te ; la mémoire visuelle se trouve ainsi exercée parallèlement à la
mémoire
auditive. Les sons simples nous ont occupé tout
e l'on fait reproduire par l'enfant, soit d'après modèle, soit de
mémoire
. Ces jeux divers exercent à la fois la main et
jour, a pris goût à la lecture et à l'écriture. Doué d'une bonne
mémoire
, il lit un grand nombre de papiers, qu'il com-
e à écrire et commence à former quelques let- tres sur le cahier. -
Mémoire
des plus fugitives et grande difficulté pour la
musement et sur lesquels nous comptons beaucoup pour graver dans sa
mémoire
la forme graphique d'un grand nombre de mots. (
dont il est formé; la forme graphique seule s'est fixée dans leur
mémoire
. C'est un signe, désignant une chose, qu'ils on
iérés, par ;Il. ,1. Noyer. LVIII Grande école. bien fixés dans la
mémoire
des enfants puisqu'ils les reconnaissent à prem
mme un bébé qui commence il dire quelques mots. Elle n'avait pas de
mémoire
, son attention Enseignement pratique ET primair
in de lacunes, et leurs travaux dégénèrent rapidement en travaux de
mémoire
purement mécaniques ; d'un autre côté les maîtr
- Mère, convulsions, évanouissements', perte intermittente de la
mémoire
, migraines, - Grand-père et grand'mère mater- n
des attaques en octobre lob97. - Affaiblis- sement simultané de la
mémoire
, déchéance intellectuelle, embarras de la parol
ient de plus en plus énervé, on constate un affaiblisse- ment de la
mémoire
et de l'intelligence. - Le Dr Mouflier conclut
éographie ; la nous nous trouvons encore en présence d'une perte de
mémoire
, puisque, d'après sa grand'mère, en juillet U89
res. - L'attention est de peu de durée, la rél1exion impossible, la
mémoire
comme engourdie, l'imagination paresseuse. Un p
x heures; l'enfant s'était taquiné avec un de ses camarades. - La
mémoire
revient, l'enfant peut apprendre de petits morc
La maladie débute à douze ans, et provoque un affaiblissement de la
mémoire
et de l'intelligence, ce qui est rare dans l'hy
e, l'activité se règle, les attaques diminuent et disparaissent, la
mémoire
se raffermit, l'intelligence réapparaît et le m
y a plutôt chez lui association de mots qu'association d'idées. La
mémoire
, surtout visuelle, est très faible. Il n'est pa
ent les deux précédents. Nous de- vons aussi renvoyer le lecteur au
mémoire
de d'Olier : De la coexistence de l'hystérie et
881 ; et à celui de Clopatt, Etude sur l'hystérie infantile (1888),
mémoires
dans les- quels sont reproduites plusieurs obse
observations du ser- vice (1). Tous ces travaux, pas plus que notre
mémoire
(avec Voulet, n'ont point paru dignes d'une men
un affaiblissement notable des ('acuités et, en particulier, de la
mémoire
, une excitation turbulente très grande avec un
convulsions et que, après, l'intelligence avait diminué, surtout la
mémoire
. En janvier 1882, on nota chez lui quelques abs
notablement diminué. Il n'avait plus d'attention et presque pas de
mémoire
. Seul, son caractère n'avait pas changé. A so
il cause de son tremblement. Il connait il peine la numération. La
mémoire
est presque nulle, son jugement peu développé.
métique ; l'écriture reste défec- tueuse à cause du tremblement. La
mémoire
est assez bonne. B..... apprend quelques petite
s connaissances en histoire et en géographie sont très limitées. La
mémoire
est assez bonne; son caractère est taquin, son
ulté- rieurement la diminution de l'intelligence et surtout de la
mémoire
durant l'année qui a précédé l'admis- sion à Bi
aires, pédoncule cérébral, protubérance, etc. Rappelons aussi, pour
mémoire
, les lésions méningi- tiques et l'égalité des h
l'observation, nous dis- pensent d'insister davantage. Notons pour
mémoire
, les trainées de nodosités scléreuses des ventr
LLI\. La folie de l'enfance et de l'adolescence, malgré quelques
mémoires
intéressants et entre autres celui de M. Paul M
nt trois ou quatre jours ; consécutivement, légère diminution de la
mémoire
. Beaucoup de gourme de 10 à 1 t ans, otorrhée g
crises depuis sa sortie de Villejuif mais est toujours nerveuse. Sa
mémoire
s'affaiblit. Albertinc dit que de temps en temps
rieurs, tout était fini au bout de cinq minutes. Il assure que sa
mémoire
ne diminue pas ( ? ). Il octobre. - La mère de
e diminue pas ( ? ). Il octobre. - La mère de Mun... affirme que la
mémoire
de notre malade ne diminue; pas sensiblement. I
avait sur les joues des raies violacées. Cela a duré deux jours. Sa
mémoire
ne varie pas plus qu'autrefois. Son irascibilit
Ces dix derniers jours cependant il travaille 540 Diminution de la
mémoire
. et gagne 12 it 15 francs par semaine, ce qui e
pas d'une façon régulière, depuis le mois de janvier. Il dit que sa
mémoire
diminue de plus en plus « aussi bien pour son t
tique, pas de défécation, au moment des accès. Il constate que sa
mémoire
diminue. Il est sans travail depuis 15 jours. I
dans la moitié gauche de la tête, surtout au- tour de l'oreille. La
mémoire
baisse. Il avoue qu'il ne sait plus s'il a 7 ou
vent 50. Il continue à faire des chansons, toutefois il dit qui; sa
mémoire
baisse sensiblement. De temps en temps, il se d
inution des facultés intellectuelles, entre autres et surtout de la
mémoire
, et la diminution de la puissance génitale. V
service. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
mémoires
). 1880. LEROY (A.). - De l'étal de mai épilep
brale, diminution de différentes fonctions intellectuelles, manque de
mémoire
, d'attention, de volonté, changement du caractère
par conséquent d'une collaboratrice dévouée. Je lève mon verre à la
mémoire
du père de Bérillon, je lève mon verre à sa digne
Elève et compatriote de ce grand savant, vous avez tenu à honorer sa
mémoire
et faire ressortir l'importance de ses découverte
ent ; cela à plusieurs reprises. Mes doigts avait recouvré toute leur
mémoire
automatique, et mon esprit toute sa mémoire de nu
avait recouvré toute leur mémoire automatique, et mon esprit toute sa
mémoire
de nuances et de mouvement. J'en avertis la chant
osables. Quand il s'agissait d'accompagnement, j'ai laissé reposer ma
mémoire
musicale et ma mémoire tactile, sans m'en préoccu
ssait d'accompagnement, j'ai laissé reposer ma mémoire musicale et ma
mémoire
tactile, sans m'en préoccuper, sans m'en soucier.
plus cette éducation scientifique si désirable. Demandons moins à la
mémoire
beaucoup plus au raisonnement et à l'expérience ;
tte nymphe timide et craintive qui me rappelle un de ses plus récents
mémoires
sur la psychologie des timidités, qu'il nous suff
tout le monde le sait. Un des orateurs qui m'ont précédé a rappelé la
mémoire
de l'homme vaillant que fut le père du Dr Bérillo
exemple relatif à la môme histoire montrera bien l'insuffisance de la
mémoire
pour observer des faits de ce genre. Le lendema
sai, ne fit nulle difficulté de reconnaître qu'il avait très mauvaise
mémoire
; il avait raconté, le lundi soir même, à Madame
ent de ce que j'avais pu lui dire. Ceci nous montre à quel point la
mémoire
peut tromper même les meilleurs esprits. A mon
n épanouissement de votre talent. Il n'est que juste d'évoquer ici sa
mémoire
. (Applaudissements.) Mesdames et Messieurs, je
que, sans une minute d'hésitation, je me mis à l'œuvre et rédigeai un
mémoire
dans lequel les expériences étaient passées au cr
énétrante; aussi Paul Magnin et moi, tous deux également fidèles à sa
mémoire
, nous n'avons pas failli à l'honneur de continuer
des professeurs du Muséum et en particulier celui d'Henry Bouley à la
mémoire
duquel j'adresse ici un hommage ému et reconnaiss
de Brown Séquard. Paris. 1883 (l'original était publié en 1843) ; et
Mémoire
sur l'Hypnotisme, communication faite à l'Académi
— Les principes établis par Braid dans sa Neuryp-nologie. III. — Le
Mémoire
(chapitre additionnel) de Braid adressé à l'Acadé
1860. — Et le général François Joseph Noizet (1792-1881), envoya son
Mémoire
sur le Somnambulisme à l'Académie de Berlin en 1S
vieillards affaiblis au physique et au moral, à qui, il est vrai, la
mémoire
fait défaut, qui sont bruyants, bavards, incapabl
nnue... ou on le lui recommande en pressant légèrement le siège de la
mémoire
. » (S. L., p. 255.) 10) Braid : Après avoir déc
tisme a la production du sommeil artificiel, quand il y a perte de la
mémoire
, de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun sou
ide se lie « toujours aux causes naturelles. » (S. L., p. 107.) - 13)
Mémoire
: Relation entre le tégument frontal et la mémoir
L., p. 107.) - 13) Mémoire : Relation entre le tégument frontal et la
mémoire
. Braid : «Mes expériences sur le contact du cui
soutiens qu'il y avait des relations entre le tégument frontal et la
mémoire
. » > p. 258.) Faria : Nous avons déjà cité l
la plus inférieure des fonctions intellectuelles, c'est-à-dire de la
mémoire
, ne pouvaient assurer qu'un recrutement médiocre,
les faire arriver : élimination de tous ceux auxquels ces prodiges de
mémoire
, passé vingt-cinq ou trente ans, et ils sont nomb
ective scientifique révolutionnaire, tout cela, incompatible avec la.
mémoire
faculté-reine. A ceux-là, vous ferez difficilemen
a défense sociale contre les maladies ?ierueuses, par le Dr Grasset ;
Mémoire
sur la vie de l'abbé de Faria et Réédition du som
un état toul-à-fait distinct de l'état habituel, avec troubles de la
mémoire
, actes impulsifs et inconscients, l'existence de
ents de violence, suivis d'affaissement, la compréhension diminue, la
mémoire
disparait petit à petit; les idées sont décousues
ce fameux trac qui risque de diminuer leurs moyens, d'obnubiler leur
mémoire
et de compromettre leur succès. Cette année, comm
il hésite et fait des fautes de doigté; sa main tremble; il manque de
mémoire
et, comme il dit, se met à « perdre la tète ». Je
il se dit : a Pourvu que je sache jouer ce passage..., pourvu que ma
mémoire
ne me fasse pas défaut..., pourvu que mes mains n
ire: Action de la suggestion hypnotique sur le déve-• loppement de la
mémoire
. MM. Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires
on des inhumations prématurées . Voici un autre cas. En 1888, si ma
mémoire
est fidèle, M. Leroux présentait à la Société des
ire). — Action de la suggestion hypnotique sur le développement de la
mémoire
. MM. Lépixay et Grollet, médecins-vétérinaires
omment il en arriva à croire à sa propre messianité. J'étudierai sa
mémoire
, la tournure de son imagination, son goût de l'al
aire).— Action de la suggestion hypnotique sur le développement de la
mémoire
. M. le Président met aux voix les candidatures
dépravé. La première sensation éprouvée avait été enregistrée par la
mémoire
du sujet initié avec une telle intensité que le s
de l'agrégation, qui ne pourra jamais reposer que sur des épreuves de
mémoire
et non sur des preuves de jugement, d'intelligenc
ndidat aux divers concours est occupé, pendant ce temps, à charger sa
mémoire
de connais- sances inutiles ou démodées. Il n
raire, arrêt du mouvement, impression de vide du cerveau, absences de
mémoire
(inhibition) enfin par un trouble général moteur
ontrent combien son père lui inspirait de crainte. Il évoque dans ses
Mémoires
d'Outre-Tombe les lugubres veillées du château de
L'action de la suggestion hypnotique sur le développement de la
mémoire
par M. le Docteur Daiioglou (du Caire). Le su
Pendant la séance, il lui suggère d'avoir l'esprit clairet lucide, la
mémoire
tenace; puis il lui fait répéter dix mots, en lui
lui fait répéter dix mots, en lui recommandant de les graver dans sa
mémoire
. Dès son réveil, pendant 48 heures, c'est-à-dire
'a pas oublié un seul de ces mots. Après la 3' et dernière séance, sa
mémoire
est exaltée à un point tout à fait satisfaisant :
qu'il enseigne, il n'a rencontré chez aucun élève une aussi heureuse
mémoire
. Pendant huit mois, il continue ses études dans
poignard, alors que l'autopsie a prouvé ces actes. Une telle perte
mémoire
ne portant que sur quelques points d'une série d'
'on ne le croirait généralement Nous avons tous encore présent à la
mémoire
le costume genre boer de nos fantassins, dans leq
proclamé, c'est au concours de l'agrégation, basé sur des épreuves de
mémoire
et faussé par le favoritisme, qu'il faut reporter
nt manifestement dans la genèse de cette faiblesse les troubles de la
mémoire
, de la volonté et de l'attention. Leur étude est
aît précisément comme le plus important facteur de restauration de la
mémoire
, de la volonté et partant de la synthèse mentale.
pte du fonctionnement défectueux de ses sens et de l'infidélité de sa
mémoire
et il est conscient de sa faiblesse organique ; c
ir ministériel. » Son successeur, un nommé Bour-beau, de prestigieuse
mémoire
, apposa, un beau matin, sa noble signature au bas
n temps précieux. Malgré la pompe dont sont entourés ces exercices de
mémoire
, un esprit quelque peu sérieux ferait preuve d'un
, par Bérillon, p. 26. Suggestion hypnotique et développement de la
mémoire
, par Damoglou, p. 278. Suggestion appliquée au
ficiel da la Société d'hypnologîe et de psychologie, qui y publie toi
mémoires
et los comptes rendus de sesséances. — Un exempla
a fait un long voyage pour présider une séance consacrée à honorer la
mémoire
de Liébeault, M. le D' Huchard, nouveau membre d'
T, etc. L'année psychoioflique contient, en outre, une quinzaine de
mémoires
originaux de psychologie, signés des noms de Bine
recueil présente l'analyse critique et approfondie des principaux
mémoires
de psychologie parus dans l'année 1903 ; maintes
ments les plus expressifs qu'il soit donné de créer pour perpétuer la
mémoire
d'un homme illustre. Qu'un homme arrivé à la no
sur les faits importants du mois; 3' Des articles de fond (travaux et
mémoire
* originaux!; 3* Des revues critiques ; 4' Les m
d (travaux et mémoire* originaux!; 3* Des revues critiques ; 4' Les
mémoires
et le* comptes rendus de* séance* de la Société d
clol do la Société d'hypriolofTie ai de psychologie, qui y publie ses
mémoires
et los comptes rendus de sesseances. — Un exempla
aux termes des Statuts accordés par le Roi au mois de Février 170C. (
Mémoires
de rAcadimic des Sciences, année 17*2.) ment
sur les faim important* du mois; Des articles - do fond (travaux et
mémoires
originaux); S' Dos revues critiques; 4' Le* mém
nd (travaux et mémoires originaux); S' Dos revues critiques; 4' Le*
mémoires
et les comptes rendu* de* séance* de la Société d
ficiel de 1« Société d'hypnolople et de psychologie, qui y publie ses
mémoires
et les comptes rendus de s>* séance*. — Un exe
i avaient précédé son sommeil, tout en ayant conservé assez vivace la
mémoire
des faits plus antérieurs. M. B. n'a pas davant
physiologiques normales, peut-être auralt-on pu ranimer peu a peu sa
mémoire
défaillante et l'aider à évoquer dans son esprit
impressions ressenties pendant son sommeil. A moins d'admettre que la
mémoire
se soit effondrée, par suite de l'ébranlement des
i avait pu l'impressionner au cours de sa léthargie. Cette perte de
mémoire
est la reproduction amplifiée de ce qui se passe
r le* fait* importants du mois; î* Dca articles de fond (travaux et
mémoires
originaux!; s* Dca revue» critiquea ; 4* Le*
(travaux et mémoires originaux!; s* Dca revue» critiquea ; 4* Le*
mémoires
et les comptes rendus des de la Société d'hypnolo
officiel de la Société doypnologU «t do psychologie, qui y publie se*
mémoires
et les comptes rendus de ses séances. — TJn exemp
t de Berlin, a publié d'importants travaux historiques et de nombreux
mémoires
archéologiques. (3J V Illustration, 18Î3. b
ar leur nom. Elle demande sa mère dont les trails sont restés dans sa
mémoire
aussi nettement que si elle l'avait vue la veille
ans; mais, pour tous les événements qui ont précédé cette période, sa
mémoire
est aussi fraîche que s'il s'agissait d'événement
fait place, d'emblée, à la pleine conscience, avec conservation delà
mémoire
pour tout ce qui Ta précédé et amnésie complète p
ils restent paralysés. Pendant l'hypnose tous les sens s'exaltent, la
mémoire
aussi, les malades se rappellent de nouveau le mé
lysies fonctionnelles, le mécanisme du mouvement, reconstitué dans la
mémoire
par la suggestion, persiste dans la majorité des
ntourage, éprouve des angoisses non motivées, se plaint de manquer de
mémoire
comme aussi d'éprouver de la fatigue cérébrale à
t passée sans convulsions et n'a duré qu'une vingtaine de minutes. La
mémoire
de la malade s'améliore manifestement, elle lit e
ne angoisse presque constante et ne sait comment s'en débarrasser. La
mémoire
a beaucoup diminué. Je l'hypnotise pour la prem
intenant elle sent un bien-être général ; plus d'angoisse du tout, la
mémoire
s'est améliorée, l'épaule ne fait plus mal. Je
l'amélioration du bien-être général, du sommeil, de l'appétit, de la
mémoire
, etc. En outre, ce cas met en lumière l'importanc
r les faits Importants du mois; 2* Des articles do fond (travaux et
mémoires
originaux!; S' Dca revues critiques ; 4* Los
(travaux et mémoires originaux!; S' Dca revues critiques ; 4* Los
mémoire
» et les comptes rendus des seaneea de 1» Société
devait s'imposer. O'est parce que cet hommage n'a pas été rendu à la
mémoire
du savant directeur de l'Institut Pasteur, par ce
les faits important* du mois ; l' Dos articles de fond (travaux et
mémoires
originaux); S* Dos revues critiques; *• Les m
(travaux et mémoires originaux); S* Dos revues critiques; *• Les
mémoires
et les comptes rendus des séances do la Société d
ficiel de la Société d'hypnolocie et do piyohologle, qni y publie tes
mémoires
ot les comptes rendus de ses séances. — Un exompl
ge le spectacle de l'effondrement progressif de toutes les facultés :
mémoire
, jugement, parole, vision, mouvements, tout a dis
sur les faits importants du mois; Des articles de fond (travaux et
mémoires
originaux); 3* Dca revues critiques; 4* Les mém
nd (travaux et mémoires originaux); 3* Dca revues critiques; 4* Les
mémoires
et les comptes rendus des séances de la Société d
ficiel do la Société d'hypnologie et do psychologie, qnl y publie aes
mémoires
et les comptes rendus de ses séances,— Un exempla
ussi d'observation constante dans les lycées? Nous avons tous dans la
mémoire
le souvenir d'un camarade par trop rebelle aux co
sultat que l'on ambitionne. Pouvons-nous parler, autrement que pour
mémoire
, de l'internement de ces malades dans des asiles
le» faits importants du mois; 2' Ile* articles d* fond (travaux et
mémoires
originaux); 3* Oes revues critiques; 4" Lea m
(travaux et mémoires originaux); 3* Oes revues critiques; 4" Lea
mémoire
* et les comptes rendus des séances do la Société
fficie! de la Société d'hypnoiogie et do psychologie qui y pabilo sos
mémoires
el les comptée rendus de ses séancei. — Dn exempl
u auprès de vous la souscription ouverte pour élever un monument à sa
mémoire
, montre bien que lousvous aviez compris la haute
élé. Je n'en citerai qu'un exemple. Je l'extraits des impressionnants
mémoires
qui nous ont été transmis parle général Marbot. I
r les faits importants du mois; 2* Des articles do fond (travaux et
mémoires
originaux! ; 3' Des revues critiques; 4* Les
(travaux et mémoires originaux! ; 3' Des revues critiques; 4* Les
mémoires
et te» comptes rendus des séance* de la. Société
ficiel do ta Société d'hypnologie et do psychologie, qui y publia sas
mémoires
et les comptes rendus de ses séances.— Un exempla
félicitations. M. le Secrétaire général présente à la Société deux
mémoires
manuscrits relatifs à une même jeune fille qui, a
r les faits important* du moi*; 3* Des articles de fond (travaux et
mémoires
originaux); y De» revues enUques; 4* Les mémo
ond (travaux et mémoires originaux); y De» revues enUques; 4* Les
mémoires
et les comptes rendus des séances de la Société d
ur les lails importaula du mois; f Des articles do tond (travaux et
mémoires
originaux); 5* Dos revue* eriliques; 4* Le* m
(travaux et mémoires originaux); 5* Dos revue* eriliques; 4* Le*
mémoires
et tes complu* rendus des séances de la Société d
fficiel ào la Société dbypnolORie et do psychologie, qui y pnblie ses
mémoires
et los comptes rendus de sesseanocs.—TJn exemplai
assez de respect, et enfin il s'aperçoit que sa santé décline, que sa
mémoire
et son intelligence s'afTaiblissent. Toutes ces c
nt la suggestion éthyl-méthylique. J'ai très nettement présentes à la
mémoire
les observations de cinq malados qui présentaient
r les faits Importants du mois; 2* Des articles de fond (travaux et
mémoires
originaux!; 3' Des revues critiques; 4.» Lea
(travaux et mémoires originaux!; 3' Des revues critiques; 4.» Lea
mémoires
et les comptes rendus des séance* de la Société d
ficiel do la Société d'hypnologie et do psychologie, qui y pablio ses
mémoires
et les comptes rendus de sesseanoes. — TJn exempl
it créée au sujet do ce cheval. On connaissait déjà l'intensité de la
mémoire
chez le cheval ; Hans nous montre avec quelle hab
r complet. Puis, l'acoustique psychologique et l'oreille musicale; la
mémoire
dans ses rapports avec la musique sous sa double
t en quatre espèces : plaisirs de l'oreille, de l'intelligence, de la
mémoire
, de l'imagination. M. Dauriac les étudie séparéme
r les faits importants du mole; 2* Des articles de fond (travaux et
mémoires
originaux); 3* Des revues critiques; 4* Les m
(travaux et mémoires originaux); 3* Des revues critiques; 4* Les
mémoires
et les comptes rendus des séances de la Société d
rre MARIE, interne des hôpitaux. Nous nous proposons, dans ce court
mémoire
, de . faire connaître un trouble fonctionnel as
colères terribles, cassant tout ce qui lui tombe sous la main ; sa
mémoire
est médiocre, et il est obligé de prendre en no
st fatiguée; elle est inca- pable de penser et d'agir; elle sent sa
mémoire
diminuer chaque jour. Bourdonnement atroce, é
écient peu en général les pertes subies par leur intelligence. Leur
mémoire
est restée affaiblie, leur imagination sommeill
te prévision. 52 RECUEIL DE FAITES. OBSERVATION.Pe)'<e de la
mémoire
, troubles de la parole, amblyopie; pftt'ttpte s
uve un peu de difficulté pour bien saisir certaines conceptions.-Sa
mémoire
est profondément amoindrie ; ainsi il se rappel
inférieurs, accompagnée de troubles de la parole, avec perte de la
mémoire
. Mais l'exploration ne s'arrêtait pas là ; il fal
vait, dans notre cas, que les troubles de la parole, la perte de la
mémoire
, et l'amaurose légère d'ailleurs. L'absence du
en maintes cir- constances. Trois des observations publiées dans le
mémoire
de CAS DE SCLEROSE EN PLAQUES FRUSTE. 55 M. V
du bras, et embarras de la parole; un tiii lilits tard, perte de la
mémoire
; embarras permanent de la parole. \V..., tren
e. Sa parole devient embarrassée d'une façon permanente, il perd la
mémoire
. Cocher, il oublie le nom des rues et il n'aura
I. Sur les vaisseaux de la moelle épinière (analyse et critique du
mémoire
de M. Adamkiewicz [Suite)'; par M. Durent, chir
ar M. Durent, chirurgien des hôpitaux. Deuxième Partie. Le second
mémoire
de M. Adamkie- wicz est relatif à l'étude des v
de citer nos recherches sur ce sujet; nous avons montré dans notre
mémoire
sur la circulation bulbaire quelle importance c
ur curative ou toxique des odeurs par lequel M. Althaus termine son
mémoire
. P. K. 111. DE QUELQUES ARRÊTS DE DÉVELOPPEMENT
paralysies alternes et celles des pédoncules. M. Duret termine son
mémoire
par l'élude des lésions des hémisphères, tant d
e, il s'entend non moins bien à généraliser. Comme appendice à ce
mémoire
, l'auteur a joint une étude sur la doctrine des
s inquiétudes, est en bonne voie de guérison. M. Cotard dépose un
mémoire
sur le Délire des négations, qui serait selon l
Falret. M. Colard a déposé sur le bureau, à la dernière séance, un
mémoire
intitulé : Délire des négations. Je vous demande
du délire des négations. SOCIETES SAVANTES. 113 M. Bounnm lit un
mémoire
sur le Mensonge chez les enfants. M. Legrand du
pour sujet : Fonctions de la couche optique chez l'homme. Un seul
mémoire
a concouru ; le prix n'est pas décerné et le suje
sujet est main- tenu pour l'année prochaine. Le Dr Amidon lit un
mémoire
sur les Variations du tracémijogra- p/HMedttMsf
e produite par le bromure de jiotassium; c'est un appendice à son
mémoire
de l'année dernière sur le même sujet ; il décrit
les urines que lorsque le malade prend de l'iodure de potassium.
Mémoire
sur les tumeurs cérébrales, par M. Mills. Ce trav
cervicale, mais limitées aux cordons de 1·ürcl : . Dans un second
mémoire
, M. Gibney cite deux cas de com- pression de la
AVANTES. 123 Quelques paroles sont consacrées par le président à la
mémoire
duU'Brandes. Obermedieinalrath, un des plus ard
sur les établissements d'aliénés sera arrêtée parle préfet, sur le
mémoire
des agents préposés à ce transport. La dépense
éviation conjuguée peut avoir avec les lésions des hémisphères. Son
mémoire
est rempli de considéra- tions ingénieuses et d
ntre siège dans le cervelet. Les voici : Depuis que j'ai remis ce
mémoire
à la rédaction des Archives de Neurologie, j'ai
ions qu'on lui pose; il n'est pas aphasique. Son intelligence et sa
mémoire
paraissent bien DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON
antécédents inconnus ; affai- blissement de l'intelligence et de la
mémoire
, délire hypochon- (lî,2*aque, idées de persécut
palement de l'affaiblissement des facultés intellectuelles et de la
mémoire
, de la confusion dans les idées, du délire hypo
estmultiple; d'unepart, il a, comme l'indique le titre même de son
mémoire
, étudié les phénomènes qui accompagnent, par ra
es secousses musculaires. Après avoir rendu compte de l'intéressant
mémoire
de M. Amidon, qu'il nous soit permis d'y signal
matières : Ajoutons que si nous faisons ces remarques à propos du
mémoire
de M. Amidon, ce n'est pas, nous le répétons, que
Au point de vue cérébral : lenteur de l'intelligence, perte de la
mémoire
; émotivité, ou même dans le cas de Ord agora- p
rises un embarras de la parole. Contrairement aux conclusions de ce
mémoire
, cette dernière observation et la seconde porte
qui sera décerné, au congrès de juin 1881, à l'auteur du meilleur
mémoire
sur les fondions de la couche optique chez l'homm
1° Les concurrents de toutes les nationalités y sont admis ; 2° Ces
mémoires
doivent être basés sur des observations origina
20 th. Streot, New-York City, avant le premier février 1884. Chaque
mémoire
devra porter une devise qui sera répétée dans un
ans un pli cacheté contenant la carte de visite de l'auteur ; 5° Le
mémoire
couronné deviendra la propriété de l'associatio
'auteur à la commission ou à l'un de ses membres, ferait exclure le
mémoire
du concours ; 7" Le résultai du concours sera ann
ue à la Faculté de médecine. Lors de la publication de leur premier
mémoire
sur les Localisations corticales', MM. Charcot
qui relie la monoplégie crurale aux lésions du lobule para- i Ce
mémoire
était composé lorsqit'it été communiqué do la Soc
ftffa ? t i·y a·il t.I`1 thara-ie, et qui a fait 1 objet du présent
mémoire
. Ces 171' P-,j ntrnilir(ifil ftffl(-" i-'>l
de ce 'tn ? Rl4fn,uoft ? i i t rrrl, ? ? 0'<n t.r ? tr.n ,r17
mémoire
, M. Dumonlpallier a tout particulièrement' tizo
1 13'ulleliis`dé'l'Acar.lémie nationale de médecine; 1830, pi, 34 4, -
Mémoires
de'cat/cMte.'t : I : XV.11 'iiinob "1) tilHO'I
ol)nubilatiori'du sensoriunilidimi2 nution de l'activité psychique (
mémoire
, etc.); troubles'de coor- dination'et`de 'l'équ
es ou primitivement centrales. i r r L'hystérie n est, conclut le
mémoire
, qu'une faiblesse de résis- tance congénitale o
. 3° Altération vacuolaire. C'est le chapitre le plus original du
mémoire
, c'est aussi celui auquel l'auteur a donné le plu
t de'l'atrophie pigmentaires des cellules nerveuses.' En résume, le
mémoire
de M. Barraquer soulevé .un certain nombre de q
tl. Medicin. XXXVIII, 1.) Basé sur deux séries d'observations, ce
mémoire
envisage : , 1° les néphrites englobées sous le
s sur ces contradictions relevées avec à-propos par M. Koch dans ce
mémoire
, le point capital résidant, à notre sens, dans
la statistique fort intéressante par laquelle l'auteur inaugure son
mémoire
, pour.ne nous occuper que des trois observation
uirol. La commission qui doit examiner SOCIÉTÉS savantes. 387 les
mémoires
déposés cette année pour le prix Esquirol est ain
l'ordre du jour, le président consacre quelques paroles émues il la
mémoire
des collègues morts pendant l'année qui vient d
objection. La parole e>t donnée à M. Furstner pour présenter son
mémoire
sur les Lésions céphaliques et les psychoses. L
Munich, mais que MM. les rapporteurs n'ont jamais pu terminer leurs
mémoires
assez à temps pour qu'on en agit ainsi. M. l3rc
ssant après elles de l'affai- blissement de l'intelligence et de la
mémoire
, et de la dépression des forces. Bientôt appara
d'attaques de sommeil, de somnambulisme provoqué, d'anomalies de la
mémoire
, de dédoublement de la personnalité, de double co
us à des opbtlialmologistes français. Il ne mentionne pas le récent
mémoire
du professeur Panas dans lequel il eut pu glane
que de la Salpêtriére. Mentions honorables, à MM. Liégeois pour son
mémoire
sur la névropathie du coeur et de l'appareil res-
hèse d'agrégation (1853) sur la paralysie générale progressive, des
mémoires
variés dans les Archives générales de médecine, o
rurgicale. Parmi ses principaux travaux, nous citerons une série de
mémoires
FAITS DIVERS. 425 5 sur l'hypnotisme et le so
le et le crétinisme, sur la maladie cérébro-cardiaque, et plusieurs
mémoires
sur les troubles laryngés dus à des affections
oir Archives de Neurologie, 1890, t. XIX, p. 228, à la fin de notre
mémoire
intitulé : Nouvelle observation d'idiotie JIIyxoe
la moindre contrariété. L'attention est assez difficile à fixer. La
mémoire
parait très bornée. Pseudo-lipomes des aisselle
emps que la régularité dans les mouvements, Delannoy a recouvert la
mémoire
, mais il se plaint de douleurs terribles ? ? à
ppeler ce que j'avais fait. Étudions d'abord la singulière perte de
mémoire
dont Delan- noy prétend avoir été atteint. Une
ue dans ces conditions est définitive, la lacune qui existe dans la
mémoire
ne se comble jamais ; or, chez Delannoy, la per
la mémoire ne se comble jamais ; or, chez Delannoy, la perte de la
mémoire
n'a été que temporaire, le nuage qui obscurciss
lle même ce détail qu'il a laissé le lit à moitié fait. Or, qui dit
mémoire
d'un fait dit conscience de ce fait. Qu'est-ce
oire d'un fait dit conscience de ce fait. Qu'est-ce en effet que la
mémoire
? C'est la faculté de se rappeler un événement
isant la première phase des scléroses communes. Dans un remarquable
mémoire
2 cet auteur a donné de ces lésions des figures
Tout récemment encore nous la trouvons figurée sur les planches du
mémoire
de Michaël Lapinshi' et ici elle apparais- sait
tués. Une tumeur cérébelleuse les 1 Nous citerons en particulier le
mémoire
de Koloman Pàndi sur l'empoisonnement par le br
sur les chiffres. On notait aussi un certain affaiblissement de la
mémoire
et du niveau intellectuel. Pas de cécité psychi
une conscience apparente, mais son intelligence resta obtuse, et sa
mémoire
, du moins en ce qui touche l'accident et ses su
lade est très bien portant, ne se plaint plus de céphalalgie, et sa
mémoire
et son attention sont nettement améliorées; mai
t à l'heure actuelle .devoir être définitifs. L'auteur termine ce
mémoire
par les considérations suivantes, - dans lesque
ations et expériences. Psy- chologie des sens, sensations et idées,
mémoire
. Lois de l'asso- ciation. La conscience et l'in
serpent, c'est que les éléments de ces apparitions étaient dans sa
mémoire
. Ce qui est nouveau alors, c'est seulement leur
lté de lire la musique, tout en conservant le pouvoir d'exécuter de
mémoire
ou de reproduire des airs entendus. Le cas de l
ultés mentales. Ribot a établi, comme une loi de régression, que la
mémoire
est constituée par une stratification d'impress
ttct 'biânce,, ! à\'ril 1894.) - . On ne peut que signaler ici ce
mémoire
intéressant qui touche successivement à tous le
ir volontairement des résultats analogues, ou même supérieurs. Leur
mémoire
toutefois est plutôt consacré à poser le problè
de l'existence d'une épidémie dans la localité, des troubles de la
mémoire
; les accès épileptiques ou délirants antérieur
délires épileptiques, le délire aigu, les psychoses toxiques. Le
mémoire
se termine par dix-sept observations. P. Sérieu
traitement de l'épilepsie ; par MM. G. MARINESCO et Paul SÉRIEUX. (
Mémoires
de l'Académie de médecine de Belgique, XIV, fas
sement malade. Quoiqu'il n'y avait pas de grandes affections de la
mémoire
, mais cependant, en examinant l'état mental du ma
l'état mental du malade indiquait qu'il avait des singularités. La
mémoire
devenait encore plus faible et encore moins net
e que l'on dit d'elle, observe très bien, et possède une excellente
mémoire
. Elle dit à son père qu'elle sait bien qu'elle
vague. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 213 Ce
mémoire
se termine par quelques considérations intéressan
faits sont venus aider à éclaircir le diagnostic. Dans son premier
mémoire
il publiait 124 cas, il apporte aujour- d'hui 1
les plus simples opérations intellectuelles rendues difficiles, la
mémoire
défectueuse, la parole embarrassée, l'écriture
schr. f. Psychiatrie, t. LU, f. 1, 1895, p. 1-74.) , Dans ce long
mémoire
, l'auteur étudie la question, si contro- versée
ements intentionnels. Au point de vue mental on note la perte de la
mémoire
et l'affaiblissement intellectuel. Pendant un a
vieillard, le débile ont généralement la conscience de leur peu de
mémoire
; lorsqu'il s'agit d'un événement quelconque, ils
. Séance du 24 février 1896. PRÉSIDENCE DE M. Charpentier. Fausse
mémoire
. M. ARNAUD communique une observation d'illusio
M. ARNAUD communique une observation d'illusions de 'N vu ou fausse
mémoire
. Il s'agit d'un officier de trente-quatre ans qui
re cherchée dans le mécanisme de la perception et dans l'état de la
mémoire
. Elle pourrait être trouvée dans l'influence co
ns les auteurs qu'un très petit nombre d'exemples de troublés de la
mémoire
liés au paludisme. ' M. JANNET critique le term
mémoire liés au paludisme. ' M. JANNET critique le terme de fausse
mémoire
. Pour lui, il s'agit plutôt d'un trouble de per
s'agit plutôt d'un trouble de perception, que d'un trouble de la
mémoire
. Il a observé des phénomènes analogues chez un hy
vé, parce que ce syndrome ne s'observe que chez les amoindris de la
mémoire
. M. JaN\ET. - Un auteur anglais, Mayer, qui a p
JaN\ET. - Un auteur anglais, Mayer, qui a publié un travail sur la
mémoire
, désigne le phénomène du nom de promnésie. Il s
de rechercher quelles formes d'amnésie coexis- tent avec la fausse
mémoire
. M. Charpentier demande à M. Arnaud quelle sera
lui donne-t-il ' ? M. ARNAUD. - Il me répond invariablement que la
mémoire
lui fait défaut et qu'il ne se souvient plus de
ions de l'organisation matérielle d'un asile d'aliénés moderne. Son
mémoire
, très documenté, mérite d'être consulté. Il f
oup de documents précieux et de renseignements intéressants dans ce
mémoire
d'une trentaine de pages : il y en a ,même trop
peut très bien être impraticable chez sa voisine. L'auteur, dans un
mémoire
des plus documentés, répond à cette objection e
membres du congrès qui désireraient faire insérer le titre de leurs
mémoires
ou communications au programme im- primé devron
ont aussitôt supprimés. L'excitation a disparu, le syllogisme et la
mémoire
sont intacts. D... nous remercie de nos soins,
S TROUBLES PSYCHIQUES. 333 convenablement avec nous : syllogisme et
mémoire
intacts. La fièvre typhoïde évolue avec des sym
ible, par la suggestion, d'enlever de l'esprit de l'hypnotisé toute
mémoire
des circonstances ou actes accomplis pendant l'
aux sur lesquels l'auteur a voulu insister dans ce très intéressant
mémoire
sont les suivants : 1° La présence du rein gran
Journal of Mental science, juillet 1895.) Ce long et intéressant
mémoire
se résume dans les conclusions suivantes que no
ns le numéro du 15 mars 1895 du Neurologisches ? Cezztrctl6lall, un
mémoire
ainsi libellé : « sur les paresthésies qui surv
ête de l'hémisphère), etc. Le reste est à étudier en détail dans le
mémoire
, y compris l'étude embryogénique minutieuse du
peu après, la som- nolence s'établit chez beaucoup d'individus. Le
mémoire
est accompagné de tracés du pouls et de la resp
ntralbl., XLV, 1895.) L'auteur joint son observation personnelle au
mémoire
de Bern- hardt sur les paresthésies et sensatio
ie d'effet réflexe, mais enregistrant une impression dans l'écorce (
mémoire
) doit entraîner une modification inverse : inté
contribue, à notre avis, à rendre plus claires les notions de 1 Ce
mémoire
est l'exposé de leçons que nous avons faites en f
de Waller n'est pas exacte dans ce qu'elle a d'exclusif. Dans un
mémoire
en collaboration avec M. Durante, nous avons in
ent dans le neurone sectionné de 1 Voir pour la bibliographie notre
mémoire
cité plus haut. {Revue de Méd., 1895, janvier e
Revue de Méd., 1895, janvier et numéros suivants.) 2 Voir le même
mémoire
cité plus haut pour l'indication bibliographique
1 Travaux de Tuczek, de Marie, de Joffroy, etc. Voir aussi noire
mémoire
: Lésions et symptômes spinaux, formes spinales d
guments des plus puissants. A ce sujet nous renvoyons le lecteur au
mémoire
de Jelgersma '. La variété de tabès qui nous oc
le de Flischig, dont la topographie vient d'être pré- cisée, par le
mémoire
de Hoche'. Cette dégénérescence dérive de l'alt
ant que nous avons cherché à établir, M. Durante et moi, dans notre
mémoire
sur les dégénérescences rétrogrades en l'opposa
les collatérales sont nettement dégénérées. De son côté, dans un
mémoire
récent, M. Marinesco 2 a montré le rôle et l'im
/ sont encore fort restreintes. M. Flatau ', dans son remarquable
mémoire
sur le neurone, pense qu'on ne peut pas encore ti
enir plus tard sur ce sujet, nous voudrions simplement compléter ce
mémoire
en ajoutant sur ce point quelques brèves consid
uses d.u côté des os; associa- tion des idées excessivement lente ;
mémoire
très rudimentaire. » Mars 1887. Infirme par acc
'est pas la critique banale que l'on trouve habituellement dans les
mémoires
de ce genre. Il n'a pas repris les sentiers bat
ill, 352.-ayuéconsé- cutive à un traumatisme par Hoisholt, 37J.
Mémoire
. Fausse -, par Arnaud, 295. au cours d'une fi
ce. Dans les cas que nous avons observés depuis la publication du
mémoire
de M. Babinski, les épaules se trouvaient toujo
a UN cas d'abasie-astasie. - 47 Î repris les onze observations du
mémoire
de M. Blocq et t les a ramenées à trois types b
t arrivée, on le sait bien, à distinguer quatre modes spéciaux de
mémoire
du mot, à savoir mémoires auditive, visuelle, m
ien, à distinguer quatre modes spéciaux de mémoire du mot, à savoir
mémoires
auditive, visuelle, motrice d'articulation et m
culation et motrice graphique, et à nous montrer que chacune de ces
mémoires
par- tielles a son siège à une région déterminé
ulier, le matériel de la faculté du langage, a sup- primé plusieurs
mémoires
partielles et donné naturel- lement lieu à plus
té verbale, d'autres sont pris de surdité ver- bale et ont perdu la
mémoire
des images motrices graphiques. Mais le rapport
e du cervelet, que Luciani a inaugurées, en 1884, dans un premier
Mémoire
, ne soulèvent pas une pareille critique. Ins- t
, ce qui domine, c'est ce qu'on peut appeler, « par un hommage à la
mémoire
de Fiourens M, l'incoordination des mouvements
dente; par A. Eu- LE^IBURG (Centralbl. f. Nervenheilk, 1887). Ces
mémoires
ou notes, parmi lesquelles cinq observations (Eu-
I, 3. XVIII, 1-2.) D'après l'auteur, les troubles qualitatifs de la
mémoire
et les anomalies de la faculté de localiser dan
ve photographique d'un événement antérieur. ^L'hall, simple de la
mémoire
~se rencontrerait surtout dans la pa- ralysie gé
l'asile de Brieg. L'assistance tout entière se lève pour honorer sa
mémoire
. M. Liss : UER. Un cas de cécité psychique. - L
ociation infirmerait plutôt le diagnostic de paralysie générale. Le
mémoire
sera publié in extenso. Le temps avancé s'opp
n sur les établissements d'aliénés est arrêtée par le préfet sur le
mémoire
des agents préposés à ce transport. En l'absenc
groupés sous le nom de folie morale, raisonnante. Enfin,' les deux
mémoires
les plus récents ont pour objet la folie à deux,
de l'hypnotisme a décerné le prix d'une valeur de 2,000 francs au'
mémoire
écrit en français de MM. les docteurs de Grandc
s isolées, mais en quelque sorte « électives ». Un des plus beaux
mémoires
de Golgi, et je ne parle que de ceux qui ont un
dans l'esprit de la méthode du maître. Nous ne dirons donc rien des
Mémoires
de Roméo Fusari où, comme dans celui sur l'Hist
s vertébrés supérieurs ». Nous ne ferons également que signaler les
Mémoires
de Livio Vin- cenzi Sur la morphologie cellulai
on essentiellement diffuse, avec ceux de la motilité. C'est dans ce
mémoire
que Tam- burini a vérifié, une fois de plus, qu
ançaise pour l'avancement des sciences (séance du 14 août 1889), un
mémoire
relatif à trois cas empruntés à nl. Gimeno, Ern
ins imparfaite, existe à des degrés divers. Il en est de même de la
mémoire
. L'attention, elle aussi, peut-être fixée. La c
du D'' Drobnik. Je partage l'avis de la majorité. Tout récemment un
mémoire
remarquable a été écrit sur les premiers symptô
tions sont telles que ce n'est pas assez de dire qu'en analysant le
mémoire
, on n'en donnerait qu'une idée impar- faite ; i
ffaiblissement de la vue de zip gauche, diminution de l'ouïe, de la
mémoire
, de l'activité cérébrale. En octobre, blépharop
l'on prend des exemples cliniques d'un autre ordre (voy. dans le
mémoire
deux cas concernant : l'un, une hystérique, l'aut
Esquirol : MM. Baillarger, Falret, Mitivié, Ritti et Séglas. (Deux
mémoires
.) Prix Belhomme : MM. Christian, Legrain, Maran
. Christian, Legrain, Marandon de Mon- tyel, Vallon, J. Voisin. (Un
mémoire
.) Prix Moreau (de Tours) : MM. Ballet, Dubuisso
de poésie sans bé- gaiement aucun. Discussion. M. Neuendorff. Le
mémoire
de M. Sperlin ne nous apprend rien de nouveau.
la théra- peutique suggestive. Voici les conclusions decetimportant
mémoire
: 1. La suggestion est un agent thérapeutique,
condition qu'on procède avec ménagement. M. 11AHLIS : 1U11 lit un
mémoire
sur la folie juvénile, à la lumière de deux obs
lication de Koster (Evolution de la folie. b'1'enfeund, 1865, et le
mémoire
de Raggi et Bergonzoli (Archivio italiano per le
ement mécontenté; mais au moment de ses accès il élait incapable de
mémoire
et d'intelligence. Le surlen- demain, il écrit
enier qu'il rem- plissait avant la conscription, il avait si peu de
mémoire
qu'il lui fallait mettre par écrit les ordres q
On le soumet aux courants faradiques; tout aussitôt, il recouvre la
mémoire
, dit qu'il est d'Essen, que son père y habite e
- gard de la lumière. Délire des grandeurs, affaiblissement de la
mémoire
avec périodes d'excitation maniaque; myosis, pron
aduisant par les symptômes vasoparalytiques que l'on sait. Quand la
mémoire
perd de son énergie, on a affaire à coup sûr à
Mental Science, octobre 1886.) M. Ireland qui a consacré plusieurs
mémoires
fort inté- ressants à l'histoire du développeme
é- rieures. Nous résumerons ici, aussi brièvement que possible ce
mémoire
qui montre une fois de plus que le droit divin pe
partager le prix de 8,000 francs qu'elle avait destiné au meilleur
mémoire
sur l'épilepsie, ex-aequo, à un médecin américa
me neroeux et un Manuel l'Eléctl'uthémpie, sans compter de nombreux
mémoires
sur divers sujets de pathologie nerveuse. M. le
il dirigeait les Arch. sur Psychiatrie und Neruenkranlcheitert. Ses
mémoires
se rapportent surtout aux 'ma- ladies de la moe
iabète et la glycosurie, il cite le travail d'Auerbach (1885) bon
mémoire
, sans doute; mais déjà nous avions l'ar- ticle
que nous possédons actuellement. Ainsi, M. Madame% qui a publié le
mémoire
le plus récent sur cette ques- tion, n'a pu y r
casionné par d'autres impressions contemporaines ou fournies par la
mémoire
, nous avons déduit les conditions de nos expéri
entier après une longue recherche, en rassemblant d'abord dans la
mémoire
les parties isolées d'une seule lettre, en comb
emble que les considérations qui viennent d'être expo- sées dans ce
mémoire
, relativement à chacun des points pratiques sur
du moins au point de vue moral. Malgré le titre très général de son
mémoire
, l'auteur s'est borné à l'étude d-es aliénés qu
lèmes et de leurs éléments composants, fort bien disséqués dans son
mémoire
, conclut comme suit : 11 Tous les aliénés décla
que fournit la première méthode. Nous ne pouvons analyser ici ce
mémoire
dans ses détails qui sont très complexes; nous
r le Congrès (P. K.). 'Point que nous avons traité aussi dans notre
mémoire
. Nous y avons parlé des étapes progressives; l'
ganisé des onanistes ; 2° Folie systématique chronique expansive;
mémoires
originaux cités dans la communication de M. corne
, dyspepsie, pyrosis, angine de poitrine, amblyopie. perle de la-
mémoire
, etc.), le nombre de séances de suggestion pour o
suggestion pour obtenir la guérison, avec les dates à l'appui. Les
mémoires
pour les deux prix ci-dessus'pourront être rédi
saines entourant la zone. Ce numéro renferme un tableau relatif au
Mémoire
de 11. Caslraras qui aurait dû paraître dans le
tait entrecoupé de cauche- mars, de sauts dans le lit. Elle a bonne
mémoire
, raisonne et parle bien, elle sait lire et écri
Fièvre typhoïde à 12 ans, bénigne, pas de délire, ni de perte de la
mémoire
à la suite. Pas de convulsions dans l'enfance,
parce j'étais fou.» L'aspect est déprimé et l'affaiblissement de la
mémoire
et des facultés intellectuelles est très net.
t il traite le problème de l'origine et de la nature de la vie. Ses
mémoires
, qu'il vient de pu- blier sous le titre indiqué
, LWOFF, Pactet, Sérieux el SoLLIER sont désignés pour examiner les
mémoires
des candi- dats au prix Auhanel. Prix Esquiro
gage musical. M. i\Al HAN. - 11 s'agit d'un pianiste qui a perdu la
mémoire
musicale, nu reconnaît pas et ne peut reproduir
veille de plus en plus et s'occupe aux travaux du ména 1899. - La
mémoire
se développe. B ? comprend bien tout ce qu'on l
uire; actuellement, il syllabe, trace des mots, sait même écrire de
mémoire
son nom, son âge, ses vêtements, les jours de l
l'écriture est lisible et chaque jour -il copie et écrit ensuite de
mémoire
sa leçon de lecture, sait écrire les nombre.% jus
l'orthographe des mots, chaque jour il copie et écrit ensuite de
mémoire
sa leçon de lecture, il sait lire et écrire les n
endre goût à la classe. Il lit couramment, fait quelques dictées de
mémoire
et les 3 premières opérations, caractère toujou
en classe, il est en bonne voie pour la lecture courante, écrit de
mémoire
un grand nombre de mots ainsi que les chiffres
suivre un tracé. (Nous avons plusieurs enfants dans ce cas). - La
mémoire
, des plus fugitives, fait oublier à Chai ? ce q
ué sensiblement, il écoute avec attention les leçons orales mais la
mémoire
est toujours très fugitive et empêche ses progr
e la classe. Il est en tonne vo : e pour la lecture. Chai ? fait de
mémoire
de petites dictées, sait écrire les nombres jus
n effort qu'il répond aux questions qui lui sont posées. Il a de la
mémoire
et retient les leçons orales. 1902. - Ch ? li
orales. 1902. - Ch ? lit et comprend ce qu'il écrit, reproduit de
mémoire
, sur son cahier, un certain nombre de mots connus
902, il lit presque couramment, copie ce qu'il lit et écrit même de
mémoire
un certain nombre de mots imprimés. Il établit
rché de front, il copie chaque jour la leçon de lecture et écrit de
mémoire
un certain nombre de mots, tels que ceux qui co
enfant a fait des progrès .pour les exercices classiques. Il a une
mémoire
extraordinaire pour l'ortho- graphe des mots qu
cul. 1898. - L'amélioration continue lentement, mais sûrement, la
mémoire
est lente, mais fidèle. 1899. Notre élève a bea
musement et sur lesquels nous comptons beaucoup pour graver dans sa
mémoire
la forme graphique d'un grand nombre de mots.
it presque couramment, fait l'addition et la soustraction, écrit de
mémoire
sous forme de dictée un certain nombre de nos m
ration dans l'intellect de cet enfant. A partir de cette époque, la
mémoire
a paru se développer et les pro- grès en toutes
is jusqu'à présent, il nous a été impossible de lui faire écrire de
mémoire
la plus petite dictée, même celle des mots qu'i
te de l'attention et ferait des progrès beaucoup plus rapides si sa
mémoire
était plus fidèle; mais ce qu'il sait parfaitem
lit une relation entre le chiffre et la quantité correspondante, la
mémoire
est toujours fugitive. XXX IX. SOMER ? (Marcell
du langage et turbulence par intervalles, avec absence complète de
mémoire
. Le caractère était extrêmement timide et crain
irée prend goût aux différents exercices classiques, a une certaine
mémoire
et l'on remarque une certaine émula- tion ; ell
sa toilette, s'habillait avec fort peu de goût. Elle n'avait aucune
mémoire
, il lui était impossible de dire le nom de sa r
la jambe droite, puis les quatre membres. Ne se souvenait de rien.
Mémoire
affaiblie. Délire violent consécutif aux crises.
très accusée; l'affaiblissement intel- lectuel est très notable, la
mémoire
presque nulle ; l'absence d'orientation est fra
ux ans. Sa femme s'est aperçue qu'il « était drôle >, perdait la
mémoire
, avait des idées ambitieuses au-dessus de sa po
i on ne le met pas en liberté. / Très grand affaiblissement de la
mémoire
: ne sait pas où il demeure. Inconscience de sa
hez l'homme,provoque des troubles prédominants dans la sphère de la
mémoire
et du jugement produit chez le chien l'abolition
tionnaires, les Journaux spéciaux. Le premier volume : Recueil de
mémoires
, notes et observations sur l'idiotie, contient
té, pour cette période, par un second volume intitulé : Rapports et
mémoires
sur le Sauvage de l'Lt ve1l1'on, l'idiotie et la
ard (1). Le troisième volume, paru en 1895, intitulé : Rapport et
mémoires
de Béguin sur l'éducation des enfants normaux et
éguin avait été délégué par le gouvernement des Etats-Unis, et deux
mémoires
spéciaux : Education psycho -physiologique d'un
re réimprimer, nous faisons prendre sa place Ivolume III.), par les
Mémoires
de Séguin, anté- rieurs à son Traité de 1846 et
éface du Dr Bourneville. Ensuite viendront : Volume X : Rapports et
mémoires
de Séguin, de 1846 à sa mort (1880), y compris
ort (1880), y compris son rapport à l'Expo- sition de Vienne et les
mémoires
sur l'éducation de la main et de l'oeil qui for
logical Method, by E. Seguin (Traduction en course - Volume XII :
Mémoires
et discours de Delasiauve (en prépara- lion). B
tcx. 800 francs. Question : Des délires chez les épileptiques. Deux
mémoires
ont été présentés. Le prix est décerné à M. le
1) Jacque- mart, de Paris. Prix Clareus. - 400 francs. - Quatorze
mémoires
ont été présentés. L'Académie accorde une menti
rd. Traité de l'alcoolisme. Prix Desporl.es. 1.300 francs. Dix-sept
mémoires
ont été présentés. L'Académie accorde une menti
Dr Toulouse, médecin en chef de l'asile de Villejuif : Ensemble des
mémoires
concernant la thérapeutique générale et le traite
asile de Clermont(Oise). Prix Henri l.o1't]uet.- 300 francs. - Sept
mémoires
ont été pré- sentes. Le prix est décerné à M. E
0 juin 1904.) Affaiblissement des facultés intellectuelles et de la
mémoire
, confusion mentale, consécutives à un traumatis
de exagère ses troubles intellectuels en ce qui concerne ceux de la
mémoire
quant à savoir s'il existe des présomptions gra
e rendre compte de ce qu'elle écrivait. Elle possédait une certaine
mémoire
pour les choses usuelles et les lieux, avait be
t, querelleur; elle se faisait détester de toutes ses compagnes. La
mémoire
paraissait très faible pour les leçons classiqu
ne supportait pas la moindre observation. Elle avait une certaine
mémoire
pour les leçons scolaires, mais n'y mettait auc
s Cliniques, considère ces phénomènes comme exceptionnels. Dansun
mémoire
récent concernant dix-huit cas de sclérose laté
rouvé chez leurs malades aucun trouble intellectuel, ni perte de la
mémoire
, ni idées délirantes, ni affaiblissement mental
ve sous son traversin un couteau qu'il cher- chait à dissimuler. La
mémoire
est obtuse, la notion du temps conservée cepend
e qui concerne l'état des facultés intellec- tuelles ; toutefois la
mémoire
n'est pas abolie et elle a conscience du cours
écutive à une affection organique des centres nerveux : perte de la
mémoire
, sensiblerie, automatisme, embarras extrême de
e fournir des renseignements sur ses antécédents hé- réditaires. La
mémoire
est, d'ailleurs, chez lui, à peu près oblité- r
ence très oblitérée en raison «'une perle à peu près complète de la
mémoire
. Il ne se rappelle aucune date, et ne peut situ
croire que l'enfant lira couramment dans le courant de l'année. La
mémoire
n'est pas mauvaise, l'en- fant récite des fable
MEDICO-PEDAGOGIQUE DES IDIOTIES. 463 de ses compagnes. Elle a bonne
mémoire
pour les choses usuelles, soutient une conversa
uture, repassage, soins du ménage, tout était inconnu pour elle. La
mémoire
lui faisait souvent défaut. Comme caractère, el
i lui étaient posées. Elle était très craintive, restait inerte, sa
mémoire
paraissait très faible; elle était nulle pour l
rès fort contingent, ont été écartés. Ils seront le substratum d'un
mémoire
spécial : Ce que deviennent les enfants anormau
(1\7'OttV. Icon. de la Salpét1'ière, 1905, ne4, 5, 6.) Important
mémoire
de 92 pages, illustré de nombreuses figu- res,
. Bégaiement. Le - épileptique, par Cli. Féré, 18. Bénédik. Ses
mémoires
, par Le- duc, 157. Bérillon. 13aiiqieL en l'h
ues par la sérosité épanchée dans l'épaisseur du derme ? ' Mare ?
Mémoire
sur la contractilité vasczclaire (Ann. des se. M
i, non. Parfuis elle prononce quelques mots que sa mère traduit. La
mémoire
est relativement plus développée que les autres
AN GREENLEES. (7'/te Journal of Mental science, octobre 188S.) Ce
mémoire
très intéressant, très nourri de faits, et qui a
n cardiaque joue le rôle d'une cause prédisposante à la folie. Le
mémoire
se termine par quelques considérations sur la s
ce par des hallucinations puis desillusionsavecconserva- tion de la
mémoire
et des facultés de raisonnement. Ces phéno- mèn
e du tableau pathologique avec ce que l'on sait en psychiatrie. (Ce
mémoire
sera publié in extenso plus tard.) , 111. li.nl
s cavités. M. Zaciier insiste sur la réfutation de M. Bucbholz. (Le
mémoire
sera publié Mt extenso.) M. Zaciier (deStepha
oelle. Dans les deux cas, paralysies simple- ment transitoires. (Le
mémoire
sera publié in extenso ailleurs.) Discussion :
ant ? Existe-t-il de l'affaiblis- sement de l'intelligence ou de la
mémoire
, des hallucinations, des conceptions irrésistib
terminer là. Mais l'auteur a pensé qu'il convenait de rafraîchir la
mémoire
en résumant, en deux autres appendices, la phys
it devant l'Académie des Sciences morales et politiques de Paris un
mémoire
sur la sugges- tion hypnotique dans ses rapport
ns ses rapports avec le droit civil et le droit criminel. Dans ce
mémoire
l'auteur exagérait partilièrement le rôle des s
76,. en apprenant qu'à l'époque (t884)où M. Liégeois présentait son
mémoire
à l'Académie des Sciences « les phénomènes que
affection peut être définie une amnésie auditive, ou la perte de la
mémoire
du sens et de la valeur des sons articulés qui
est un bruit confus ; les mots employés ne font pas revivre dans sa
mémoire
les idées correspondantes, et l'effacement des
ue les impressions auditives des mots ne se rétablissaient pas, les
mémoires
visuelle et kinesthésique étaient intactes, car
nné ailleurs plusieurs exemples, dans lesquels le trouble dans la
mémoire
des représentations auditives était limité aux
cience, mais le malade ne peut raviver le mot correspondant dans sa
mémoire
; mais quoiqu'il ne puisse de son plein gré ravi
i une forme d'amnésie ver- bale, dans laquelle le malade a perdu la
mémoire
du sens conventionnel des symboles graphiques.
elui de la transmission graphique et verbale. Le Dr Ross, dans un
mémoire
sur l'aphasie senso- rielle, mentionne le cas d
ye de parler, mais il' ne peut y arriver; il a perdu tout à fait la
mémoire
des mouvements spécialisés qu'il faut faire pou
aphasie motrice. DftMS l'après- midi, commencement du retour de la
mémoire
et des mouvements spécialisés pour l'articulati
faculté n'a été modi- fiée que dans un de ses éléments à savoir la
mémoire
des mouvements coordonnés qu'il faut faire pour
ient absolument incapables de proférer un seul mot : par contre, la
mémoire
auditive n'avait pas été modifiée, les malades
En ce qui concerne les malades des Observations XXXIII et XXXIV, la
mémoire
visuelle des mots et la mémoire des mouvements
Observations XXXIII et XXXIV, la mémoire visuelle des mots et la
mémoire
des mouvements graphiques ne peuvent pas être p
rix de Kant n'a été altérée ni modi- fiée que sous le rapport de sa
mémoire
auditive des mots; le malade entendait tout, ma
ntendait tout, mais il ne comprenait rien. 11 n'aurait pas perdu la
mémoire
des mouve- ments coordonnés pour articuler les
er les mots ; il proférait tous les mots. Chez lui, il n'y avait ni
mémoire
visuelle des mots, ni mémoire- des mouvements g
été modifié sous plusieurs rapports. 11 avait perdu tout à fait la
mémoire
des mouvements coordonnés qu'il faut faire pour
iculer les mots ; le malade ne profé- rait pas un seul mot : b), la
mémoire
visuelle des mots : il ne pouvait pas lire, men
s : il ne pouvait pas lire, mentalement, ce qui était écrit; c), la
mémoire
des mouvements graphiques : il n'était pas capa
t. y6)'KCHA.eifA, 1887). ' Suite de l'observation relatée dans son
mémoire
de 1879 (3lns- kclsteifigkeit und Muskelhypertr
ur (sensibilité morale), diminuent l'élasticité intellectuelle, la.
mémoire
, émoussen fia force de volonté, l'énergie. Cet
LlssauEa (de Breslau) communique trois cas d'affaiblissement de la
mémoire
chez les alcooliques. Les deux premiers concernen
'un épisode de délire, conservèrent un profond affaiblissement delà
mémoire
caracté- risé, non seulement par l'oubli rapide
t à des paralysies des muscles de l'oeil; l'affaiblissement de la
mémoire
lui succéda dans les mêmes conditions et le patie
de Breslau). Deux cas d'affaiblissement grave et géné- ralisé de la
mémoire
. - Ils se rapportent à deux femmes, alcooli- qu
stants. Ce qui persiste invariable, c'est l'affai- blissement de la
mémoire
, relatif aux événements antérieurs à l'explosio
e l'importance dans cette entité morbide, que les illu- sions de la
mémoire
à l'aide desquelles le malade brode de fabuleux
ves de Neurologie, t. XVI, p. 294 1 306. - - 1 Nous résumons ici le
mémoire
publié a part. (P. K.) 312 SOCIÉTÉS SAVANTES.
Nous reprocherons encore à l'auteur, qui prenait pour titre de son
mémoire
c la descendance des alcooliques », d'avoir, da
et qui ne sont que des complications de l'aliénation mentale. Le
mémoire
se termine par deux chapitres fort importants,
Neurolog. Centralblalt, 1-1' 16, 1884. TRAVAUX NON CITÉS DANS CE
MÉMOIRE
ET DANS CELUI DE 1878 Bull (Eduard). Noi-(li5le
e 200 francs, plus les oeuvres d'laquirol, sera décerné au meilleur
mémoire
manuscrit sur un point de pathologie mentale. P
Tours). Ce prix de la valeur de 200 francs sera décerné au meilleur
mémoire
manuscrit ou imprimé, ou bien à la meilleure FA
rance, sur un sujet de pathologie mentale et nprveuse.Ao<(t. Les
mémoires
manuscrits ou imprimés, ainsi que les thèses, d
aison nationale de Charenton, secrétaire-général de la Société. Les
mémoires
manuscrits seront accompagnés d'un pli cacheté
éléments cons- tituants, je veux dire sans l'étude préalable des
Mémoires
publiés par Luciani et Tamburini Sur les centre
gie expérimentale, dont le point de départ avait été le premier des
mémoires
cités ici, et dont il faut citer les termes lor
able », écrivaient Luciani et Tamburini, en 1878, dans leur premier
mémoire
'. Mais, si ce problème est ici posé dans les t
res se sont plutôt rapprochés qu'éloignés, de lui dans leur dernier
Mémoire
(1883), tandis qu'il traite Luciani et Seppilli
ontenir. 11 a une loquacité intarissable, puis- samment aidée d'une
mémoire
très active, qui lui sert à exprimer des idées
achexie pachydermique, ont été exposées avec détail en 1885 dans le
mémoire
déposé par notre ami Bricon,pour le prix Belhom
M. Séglas. Plusieurs auteurs et entre autres Erlenmayer, dans son
mémoire
sur les troubles intellectuels du cocaïnisme, ont
a publié des cas analogues qui ne sont pas rares. Il demande si la
mémoire
était complètement abolie ou si plutôt la malad
enir des faits accomplis depuis son intoxication ? M. Garnier. La
mémoire
des faits antérieurs au suicide était très préc
s plus fréquentes qu'on ne le pense. Il connaît des enfants dont la
mémoire
s'est affaiblie par l'habitude qu'ils avaient c
es facultés intellectuelles, paresse, défaut d'initiative, perte de
mémoire
et des autres facultés, et à peu près en même tem
t Leipzig, in-8, 1887. Urban et Schuarzenberg, édit. L'étoffe de ce
mémoire
est à peu près constituée par la théorie du pro
ique; - De l'épilepsie procursive. Nous citerons plusieurs notes et
mémoires
personnels sur la microbiologie, l'anatomie pat
voyer' au secrétariat du Congrès les titres et conclusions de leurs
mémoires
, au plus tard le 15 juil- let 1889. Trois exc
Neisser, 311. Médico-légaux (quelques faits), par Mabille, 1.
Mémoire
(deux cas d'affaiblissement de la), par Freund,
éoccupalion se retrouve dans les portraits dessinés pour perpétuer sa
mémoire
, et il n'y a rien de plus singulier que les monum
et état mental la défectuosité la plus apparente est une lacune de la
mémoire
, une amnésie partielle : elle ne se rappelle abso
a vie passée, le souvenir de l'émotion du 20 décembre revient dans sa
mémoire
: « J'ai eu très peur et je me suis endormie ». M
t dans Vantiquitê. t. III. p. 560. (3) Doem,: Oie Sammlung Cesnola.
Mémoires
de l'Académie de Saint-Pétersbourg, 1873. (4) R
— Eon gnostique. Femme avec de ia barbe. )M. de Hammer). gnonne. Ce
mémoire
lui avait été inspiré par la découverte aux sourc
attendail autre chose, elle retournait au logis paternel. Mais sa
mémoire
non abolie pendant la crise, gardait très exactem
ant la maquette du buste que l'initiative de notre Société élève à la
mémoire
du Dr Liébeault, notre secrétaire général a évoqu
'on se remémorerait le conseil suggéré par un magnétiseur, de même la
mémoire
vous rappelle les passages musicaux qui vous ont
s, ayant pour titre : Suicide d'un enfant de dix ans, nous a remis en
mémoire
, le passage dans lequel Briquet décrit l'état men
r vivement son imagination. De plus, pour graver profondément dans sa
mémoire
le souvenir de sa réception, on lui présente cert
gnard a reproduit les figures du coffret d'Essarois dans un important
mémoire
;2;. Elles figurent également à la fin d'un livre
, pourrait prouver la nature non divine de cet état. Rappelons pour
mémoire
l'émission involontaire d'urine dont on ne parle
e classe des neurasthéniques. Ils souffrent souvent de céphalée. Leur
mémoire
est lente et paresseuse. Ils éprouvent le besoin
II, 1 à 3. (5) Nécrologe de Port-Royal. (6) Via II, 1 à 3. (7)
Mémoires
pour servir à l'histoire de Port-Royal et à la vi
» (5). Cela donne la mesure de sa suggestibilité. (à suivre) (1)
Mémoires
pour servir, etc.. III. 32. (2) (3) (4) (5) Víe
noté, en effet, comme symptômes plus importants : la diminution de la
mémoire
, la perte de la volonté, l'affaiblissement de tou
oxication par les bromures. Il a un aspect perpétuellement somnolent,
mémoire
totalement obnubilée, il a l'air tout à fait hébé
n considérable, les crises sont beaucoup plus rares, plus légères; la
mémoire
et l'intelligence reviennent d'une façon très sen
à la musique : exercer la main et les yeux de l'enfant autant que sa
mémoire
; avoir souci de la santé de son corps, de son ad
our sujet : La Psychothérapie. A cette occasion, voulant honorer la
mémoire
du regretté docteur Liébeault, qui peut être cons
d'avoir permis, par leur collaboration si opportune, de perpétuer la
mémoire
de l'illustre créateur de la psychothérapie. Deux
l'Ecole de psychologie et la ville de Nancy se disposent à honorer la
mémoire
du Dr Liébeault, nous apprenons la création &
é un travail de psychologie comparée relatif aux manifestations de la
mémoire
chef les chevaux. Ce3 communications ont donné li
de résoudre des problèmes fort complexes. Il a terminé en évoquant la
mémoire
de Bourgelat, de Henri Bouley qui furent si bien
Au dessous du portrait de Mme Pilou, édité pour la grande édition des
mémoires
de Conrard, on trouve cet envol, de style fort mé
vasomoteurs ou sécrétoires, agitation ou impotence motrice, perte de
mémoire
, etc. 2" Le trac résultant de la diathèse de sc
uteur, se demande s'il sait son morceau, s'il n'aura pas d'absence de
mémoire
, s'il ne fera pas de fausse note, etc. En présenc
ui se passe chez les jeunes élèves, quand ils apprennent une leçon de
mémoire
. L'un est silencieux et immobile ; sans faire u
sa voix; il prononce pour prononcer, c'est-à-dire qu'il fixe dans sa
mémoire
des images motrices d'articulation. Un autre, e
enfin, écrit de sa propre main sa leçon tout entière ; il confie à sa
mémoire
des images motrices graphiques. La méconnaissan
user le libre usage des images dont il a besoin pour impressionner sa
mémoire
. Pour ce qui est de la récitation des leçons en
is, il la possède bien ; il est môme capable de l'écrire à nouveau de
mémoire
... Puis, le dimanche, en chaire, il bredouille la
ticulatoires les images visuelles ou graphiques qu'il a confiées à sa
mémoire
. L'asynergie des images mentales est seule respon
et possédait si bien. Lui aussi s'est contenté d'emmagasiner dans sa
mémoire
des images visuelles ou graphiques, sans s'exerce
inement attentifs au son de leur propre voix ; ainsi se grave dans la
mémoire
un faisceau de quatre sortes d'images synergiques
ons de l'intelligence. Le cheval, cela est certain, a une prodigieuse
mémoire
et un faible jugement, mais dans la circonstance,
jugement, mais dans la circonstance, c'est plutôt le jugement que la
mémoire
qui le fait agir. Nos grands animaux sont donc
e des sciences, l'inauguration du buste, élevé par souscription, à la
mémoire
du D' Liébeault. Aux médecins français, désireu
u Comité et se joindront à lui pour honorer, comme 11 le convient, la
mémoire
du D' Liébeault. L'ordre du jour est ainsi fixé
es de l'épuisement avant de l'avoir entrepris. Il nous revient à la
mémoire
un cas de fatigue suggérée avant l'effort qui se
oposa d'ouvrir une souscription dans le but d'élever un monument à la
mémoire
du Dr Liébeault. La Société d'hypnologie et de ps
ire que je suis de cœur avec vous dans l'honneur que vous faites à la
mémoire
du penseur original, de l'homme de cœur auquel no
être présent à la solennité du 1« février et porter mon hommage à la
mémoire
du vénéré maître Liébeault; dans ma pensée, je se
eur Beaunis. Berlin. Nous sommes avec vous pour honorer la grande
mémoire
de Liébeault. D' 0. VoGT. Liège. M'associe
gie et de psychologie d'ouvrir une souscription destinée à honorer la
mémoire
de ce grand savant, sa proposition fut accueillie
ur répondre à notre invitation. Ils ont pensé que rendre hommage à la
mémoire
d'un homme dont la vie tout entière a été consacr
et de son enseignement. La fidélité de leur admiration perpétuera la
mémoire
de Liébeault et rappellera qu'il eut le mérite de
e j'apporte, de Londres, l'hommage des psychothérapeutes anglais à la
mémoire
du 1)" Liébeault. Je remercie particulièrement
e de l'hypnotisme. Le meilleur hommage que nous puissions rendre à sa
mémoire
, c'est de nous inspirer de son exemple et de nous
ault, a développé et commenté les idées du maître dans le remarquable
mémoire
sur la Suggestion hypnotique dans son rapport ave
En général, j'ai toujours recherché quelle était chez mon sujet la
mémoire
la plus développée (visuelle, auditive ou motrice
gestion qu'il se la fera sous la forme la mieux adaptée à son mode de
mémoire
prédominant. Très bon aussi sera l'effet obtenu s
fet obtenu si le malade possède deux ou même les trois éléments de la
mémoire
, les divers mécanismes d'auto-suggestion visuelle
é. Je viens d'attirer votre attention sur les diverses formes de la
mémoire
. Chacun de nous, en effet, a pour ainsi dire sa s
re à amener le réveil dynamique de l'écorce, et la reviviscence de la
mémoire
, soit par l'hypnose, soit par la mécanothérapie o
é. Ils lui ont tari ses larmes. Elle n'a plus de sentiment, plus de
mémoire
, plus de pensée : ils lui ont tout pris, elle n
peut rapporter à celles de Foville. BROCA insiste beaucoup dans son
mémoire
sur le rattache- ment de l'appareil olfactif au
ntérieures et postérieures de Hitzig et deFritsch. » Déjà dans s le
Mémoire
composé avec Tamburini, en 1878, sur les Centres
lisées à tous les membres). Luciani avoue que, lorsqu'il publia son
mémoire
: Sulla patogenesi délia epilessia, ces faits d'é
ne reconnaissait plus ni les gens ni les lieux, mais parce que la
mémoire
et l'attention (Ferrier) étaient lésées, c'est-à-
que les cordons latéraux sont scléreux, qu'il y a syringomyélie. Le
mémoire
très substantiel et très instructif de Kronthal
Psych., XXI, 1, 2.) Nous signalons rapidement l'étude critique des
Mémoires
publiés 128 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE
èse de l'épilepsie humaine, il convient de se montrer pru- dent. Le
mémoire
contient en outre une analyse complète de toute
de Neurologie, t. XIX, p. 270) la clinique. Cette seconde partie du
mémoire
(voy. Archives de Neurologie, t. XXI, p. 283) t
par W. Bechterew. (Neurol. Centralbl. 1890.) 1 L'auteur combat le
mémoire
de Gowers (voy. Archives de Neu- rologie, t. XX
objet imprégné d'un vernis de sucre et de dextrine (formule dans le
Mémoire
), vous rangez vos coupes à l'alcool à l'aide d'
ur les Rapports de la syphilis et de la paralysie générale. Un seul
mémoire
avait été présenté. Pria; Aubanel. Le prix n'es
Après le rapport de M. Vallon, le prix est accordé à M. Marie. Deux
mémoires
avaient été présentés. M. RITTI, secrétaire g
rant t de quatre années, parallèlement à un affaiblissement de la
mémoire
et du raisonnement, à des frayeurs fréquentes et
driaque. Au bout de six mois, légère amélioration dans l'état de la
mémoire
. Le rapporteur considère ce cas comme une psych
ssaires et escrocs ; 4° les meurtriers. M. Cramer vient soutenir le
mémoire
lu par lui il la dernière séance. D'un groupe d
par les soins du bureau. Celui-ci se réserve de fixer l'étendue des
mémoires
ou communications livrées à l'impression. Tout
étendue des mémoires ou communications livrées à l'impression. Tout
mémoire
qui n'aura pas été remis au Secrétaire général le
sujet CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 175 dans un
mémoire
de MM. Tuffier et Hallion, publié dans la Nouve
ur quelque chose ? Réponse doublement affirmative, Il faut lire ces
mémoires
pour se rendre compte de la discussion. P. K.
intense et dura jusqu'au 25 août, 232 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. la
mémoire
était revenue au malade ainsi que la conscience d
nées d'abus de boissons, l'affaiblissement de l'intelligence, de la
mémoire
, de l'imagination, de la volonté; les étourdiss
et parfois à la paralysie générale. M. A. Carrier lit ensuite un
mémoire
de M. Régis sur le même sujet. (L'auteur de ce
veloppement parallèle de la paralysie générale. M. CAMUSET lit un
mémoire
où il conclut de ses observations à ce que l'al
re question du pro- gramme. La parole est donnée à M. Camuset. Le
mémoire
qui fait l'objet de cette communication rentre
acceptée, sinon il n'y a plus de responsabilité. M. RouBY lit un
mémoire
sur la folie de Ravaillac : « Ravaillac était a
euse qui a frappé leur système nerveux. M. ContnEMALE communique un
mémoire
sur les rapports de la paralysie générale préco
llies à l'asile d'aliénés de Montpellier. ' M. CULLERRE envoie un
mémoire
sur un effet paradoxal obtenu par la suppressio
et porencéphalie du lobe frontal droit. M. Rrrrr donne lecture d'un
mémoire
de M. Salgo, médecin en chef de l'asile d'alién
mérienne issue du déve- loppcment anormal d'un vaisseau du cerveau.
Mémoire
publié dans le Centrtrlb, f. Nervenheil1¡, 1889
Revues analytiques. 2 Une fois pour toutes, on trouve l'analyse des
mémoires
publiés à par dans les Archives de Neurologie,
cles sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tumeur cérébrale.
Mémoire
publié à part. M. Oi'l'ENUE). Des allures des
sicaux. Dans six cas seulement, ceux-ci man- quaient totalement. Le
mémoire
sera publié. 272 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du
préparations empruntées à un malade atteint de névrose traumatique.
Mémoire
publié dans la Neu- rolog. Centralblatt, en com
, M. Bernhardt. - Du traitement des tabétiques par la suspension.
Mémoire
publié dans le Berl. klin Wochenschrift, 1889.
nedu nerf optique, des foyers bilatéraux dans le lobe occipital. Le
mémoire
sera publié. Séance du 11 novembre 1889. Présid
xpliquent point le trouble de la lecture. Elle a également perdu la
mémoire
des faits récents. MM. Bernhardt et KItoIVTfIAL
la mort de M. DE Ludwiger. L'assemblée se lève en l'honneur de sa
mémoire
. , M. K.\HL8,\U ? De la psychopalhie connue, so
avec remarques relatives aux méthodes de recherche en psychiatrie.
Mémoire
publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance
De la substance blanche du lobe occipital dans le cerveau humain.
Mémoire
publié. Démonstrations anatomiques au moyen de
M. CLEMENS NEISSER. De la catatonie avec présentation des malades.
Mémoire
publié. M. LISSA UER. Contribution à l'anatomie
M. SCHUBERT, Contribution à la pathogénie de la folie circulaire.
Mémoire
publié dans la Neurolog. Centralbl., 1890. Voy. A
ction irritante sur un terrain prédisposé (psychoses afébriles). Le
mémoire
sera publié in extenso. Discussion. - M. Fuerst
nen. - Un cas de contagion psychique terminé par complète guérison.
Mémoire
publié in extenso. Il s'agit d'une infirmière de
la couche optique et du faisceau latéral du pédoncule cérébral. Le
mémoire
sera publié en détail. M. Landerer. Présentatio
-. Paris, 1891, imprimerie H. Jouve. . BOURNEVILLE. - Recueil de
mémoires
, notes et observations sur l'idio- tie. Tome I.
ses facultés intellectuelles n'ont pas baissé : il n'a pas perdu la
mémoire
; il s'occupe du service de la bibliothèque avec
n diffère cependant parce qu'elle ne s'accompagne ni de perte de la
mémoire
, ni d'affaiblissement notable de l'intelligence
il a des accès de gaité; d'autrefois des accès de tristesse. , La
mémoire
serait devenue plus lente depuis le début de la
pro- 1 Comparez dans les Archives de Neurologie, t. XIX, p.418, le
mémoire
de Werner, t. XVIII, p. 312; t. XIII, p. 31 E ;
tion de l'appétit, affaiblissement progressif des facultés et de la
mémoire
, incoordination des mouvements, tituba- tion, p
.. M. ScumTZ. - De l'aliénation mentale consécutive l'influenza'.
Mémoire
publié. Discussion. - M. Pklman. A l'asile de B
e de la branche supérieure du facial (orbi- culaire des paupières).
Mémoire
publié dans les Arch. f. Psychiat. ' Voy. le ra
ollègues de la province, de même que' je n'ai point hésité dans mon
mémoire
sur la loi sénatoriale ' 1 sup- plier la Chambr
avoir le courage de crier sus à cette perfidie. Mes deux précédents
mémoires
, en effet, s'ils ont soulevé colères et animosi
que la vérité et de tous mes souvenirs classiques le plus cher à ma
mémoire
est le vers sublime que Sophocle a mis dans la bo
uis née pour partager l'amour et non la haine » mes deux précédents
mémoires
ne m'ont suscité que des contra- dicteurs, le p
rents, je n'ai rien à ajouter à ce que 'ai formulé dans mon dernier
mémoire
, il n'en est pas de même relativement à un corp
médical des asiles telle qu'elle découle des considéra- tions de ce
mémoire
: 1° Division des services dans tous les asiles
(0. Doin, Paris, 1888.) . L'auteur a réuni dans ce volume plusieurs
mémoires
dont quel- ques-uns avaient été publiés auparav
aient à rien moins qu'à démontrer que ces animalcules sont doués de
mémoire
et de volonté et en font preuve, soit dans le c
u caractère de certitude. 1 Lu à l'Académie de médecine en 1875, ce
mémoire
, destiné 1 une autre publication, est resté iné
cru révéler une vérité nouvelle. Elle figure, dès 1859, dans notre
mémoire
sur la pseudomono- manie et, si nous ne nous tr
s exacte, soit avec la démence où se trahissent la débilité de la
mémoire
, la stérilité de la pensée et l'impuissance mor
mme tout le monde, avait entendu prononcer le nom de spiritisme. Sa
mémoire
n'en avait conservé qu'un souvenir confus. Elle
ORS DES ATTAQUES; Par Pierre MARIE, interne des hôpitaux. Dans un
mémoire
publié en février 1882 (American Journal of Neu
s de son service. Nous donnons tout d'abord une analyse rapide du
mémoire
de L. C. Gray. Cet auteur a constaté qu'en deho
mes les plus éminents de notre époque, Charles Vogt, est intitulé :
Mémoire
sur les microcéphales ou hommes singes1 ; l'aut
d'être de plomb ; il se plaignait enfin d'un affaiblissement de la
mémoire
. - Les accès ont eu la marche suivante : 56 REC
Torino, 1879. Goltz et Gerbeus, Pflzcger's Arcle. Bd. XIII. - 2e
mémoire
, même recueil, Bd. XV. Goltz. Communication au
au congrès médical international de Londnes, 1881. Brown-Sequard,
Mémoires
et recueils de faits divers in Arch. de phys., 18
portance des événements ; en essayant de suppléer aux lacunes de sa
mémoire
, l'épileptique se crée un style maniéré, agréme
cine mentale de Belgique, année 1880, 2e fascicule, p. 31-53.) Ce
mémoire
réfute l'assertion que toutes les fractures de
né lui-même, elles sont souvent dues à une violence très légère. Ce
mémoire
est suivi de l'exposé : 1° d'un cas d'ostéo- ma
r dessus tout la disparition de toute énergie, de toute volonté. La
mémoire
qui réagit encore promptement et fidèlement dan
des règles et flueurs blanches abondantes, affaiblissement de la
mémoire
, apathie, diplopie, accès de fièvre intermittente
nous ramène, à peu de chose près, aux généralités qui inaugurent le
mémoire
. M. Kroepelin se rattache pour cer- tains cas à
n des parois du crâne. M. P. M.\n41s'(de Tours) lit une note sur un
mémoire
du docteur Roberto-Adriani. médecin directeur d
utonome confié à la direction d'un psychiatre. M. DRRENBC11G lit un
mémoire
sur les examens de l'urine chez les aliénés. Ap
ue quelques jours s'étaient écoulés, des- quels elle n'avait aucune
mémoire
. La maladie ne concordait pas SOCIÉTÉS SAVANTES
-ci est élu par acclamation. Son premier soin est de consacrer à la
mémoire
du Dr Fischer, con- seiller intime aulique, déc
utant plus grande que tout dernièrement, lors de la publication des
mémoires
visés ici, On eut affaire à des cas de simulati
MENTALE DU DÉLIRE DES NÉGATIONS; - . Par M. COTARD. L'important
mémoire
dans lequel M. Lasègue, en 1852, a détaché des
persécutions. DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 153 Je me propose, dans ce
mémoire
, d'exposer une évolution délirante spéciale, qu
apable et se reconnut telle. Elle s'aperçut qu'elle n'avait plus de
mémoire
, plus de suite dans les idées et elle eut la co
ical Sciences, juillet 1881.) Après avoir indiqué dans un précédent
mémoire
l'existence, l'étiologie, l'anatomie pathologiq
STIBLES; par L. WILLE (Archiv. f. Psych. u. 7VerueM ? XII, 1.) Ce
mémoire
admet en premier lieu l'identité des conceptions
r; aussi le caractère de l'acte incons- cientest-il d'échapper à la
mémoire
. Voilà pour la physiologie. La pathologie de la
) Voici les conclusions auxquelles sont arrivés les auteurs de ce
mémoire
: L'hyoscyamine possède indubitablement des pro
1li. Buillurâer, Mitivié, Lunier et Blanche, lit un rapport sur les
mémoires
envoyés prtur le prix Esquirol. Le rappor- teur
és prtur le prix Esquirol. Le rappor- teur conclut à récompenser le
mémoire
portant pour épigraphe : z Ce qui est vrai cert
ajonet, Falret, Legrand du Saulle et Mesnet, lit un rapport sur les
mémoires
présentés pour le priellubanel que se disputaie
de qu'une récompense de 600 francs sera accordée à MM. Azam pour un
mémoire
sur les Troubles intellec- tuels consécutifs au
Avant de s'occuper de l'ordre du jour, le Président consacre à la
mémoire
du professeur Waldenburg quelques paroles de regr
ur la proposition de AI. le président Meynert, la discussion que ce
mémoire
appelle est remise, à cause de l'heure avancée,
ssemblée la lettre de retraite du Dr Kapsamer et en consacrant à la
mémoire
du D, Ludwig Schlesinger quelques paroles d'adi
symptômes des lésions en foyer. De la stupeur. Quelques-uns de ces
mémoires
ont été publiés dans les Annales de la Société,
enne trahir ce trouble inté- rieur ? Westphal, dans son excellent
Mémoire
sur cette perversion instinctive, qu'il désigne
rare non plus qu'il existe une perte plus ou moins complète de la
mémoire
des mots. Certaines aphonies passagères sont pe
ations. C'est l'opinion professée par M. Lécorclié, dès son premier
mémoire
. C. Les facultés intellectuelles se dérangent,
n premier mémoire. C. Les facultés intellectuelles se dérangent, la
mémoire
s'affai- blit ; le malade tombe dans la tristes
I. Sur les vaisseaux DE la moelle épinière (Analyse et critique du
mémoire
de M. Adamkiewicz); par H. DuRET, chirurgien de
est attribuée partout. Il se borne, en effet, dans le cours de son
mémoire
, à cette simple mention, que nous croyons devoir
ans toute la vascularisation de l'axe cérébro-rachidien. Dans notre
mémoire
sur le bulbe, nous avons divisé les artères nou
tères médianes a déjà été signalée par nous et figurée dans notre
mémoire
sur la circulation du bulbe). Elles sont accompag
ée à cette affection. Ce sont ces complications qui font l'objet du
mémoire
du D Andrews. L'auteur est plus au courant des
des travaux français. Il ne cite pas et ne parait pas connaître le
mémoire
, classique en France, du professeur Brouardel,
elle est en pleine convalescence : elle parle rai- sonnablement, sa
mémoire
est bonne ; elle n'a toutefois pas encore entiè
onctions intellectuelles plus élevées, telles que l'attention et la
mémoire
, R. de M. C REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 395
xtrême abaissement de l'intelligence (surtout en ce qui touchait la
mémoire
), (le M.-C. 396 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
s'est adonné à l'étude de la paralysie générale des 'aliénés ; le
mémoire
dont il s'agit ici ne le cède point en intérêt au
tome VIII des Œuvres complètes de M. Charcot se com-pose de nombreux
mémoires
, notes ou articles tirés soit des recueils spécia
vre typhoïde: Louis, ouvrage cité, t. II. p. 453. — Morand, de Tours,
Mémoires
et observations clini-ques, 113-117. Tours, 1845.
e M. Barth, dans Presse médicale, 1837, p. 5). Andral (Rapport sur le
mémoire
de M. Delarroque, dans Presse médicale, 1837, p.
tures on the nature and treatmenl of fe-ver, Dublin, 1853. — Gerhard,
Mémoire
cité (1564). — M. Valleix, Du typhus fever et de
edic.-chirurg. Transact., London, 2e série, vol. XXXIII). — Les trois
mémoires
du docteur Jenner ont été tra-duits en français p
i, le typhus fever de la fièvre typhoïde. Il a rassemblé en outre (3e
mémoire
), un certain nombre de faits qui tendraient à fai
VIII, part, XIV, cap. II, III, IV, Paris 1774, in-12). — Samoilowitz,
Mémoire
sur la peste qui, en 1771, ravagea l'empire de Ru
oscou la capitale, etc. Paris, Pétersbourg, et Moscou, 1783, in-8°. —
Mémoire
sur l'inoculation de la peste, etc. Strasbourg et
(in Bullet. de l'Acad. roy. de méd. 1836, t. I, p. 354). — Chollet,
Mémoire
sur la peste qui a régné épidémique,nent à Consta
i de la discussion dans le sein de l'Académie, 1846, in-8. — Pariset,
Mémoire
sur les causes de la peste et sur les moyens de l
Louis, Recherches sur la fièvre jaune de Gibraltar de 1828 (Dans les
Mémoires
de la Société médi-cale d'observation de Paris, t
n. de méd., p 68, t. VI, 3e sé-rie 1839). — Chervin, Rapport sur deux
mémoires
de M. le docteur Rufz, relatifs à la fièvre jaune
approché de ceux qu'a signalés M. Doyère, lors de l'épidémie de 1854 (
Mémoire
des savants étrangers à l'Institut). Il démontre,
ai eu à examiner, comme rapporteur, quarante-trois let-tres, notes ou
mémoires
, adressés à l'Académie et relatifs au traitement
lui-là voudrait que l'on but de l'urine d'enfant, etc. Les Notes ou
Mémoires
émanant de médecins ou d'étu-diants en médecine o
mier volume de la Pathologie rationnelle de Henle, et enfin dans deux
mémoires
publiés récemment, l'un par M. le docteur Notla,
mais elle diffère 1. En collaboration avec M. Cotard ; Extrait des
Mémoires
de la Société de biologie, 1865, p. 41. de cell
n trouve encore dans le même ouvrage de Yoigtel un fait em-prunté aux
Mémoires
de la Société de médecine de Londres pour 1792 (t
ISIÈME PARTIE Des kystes hydatiques. DES KYSTES HYDATIQUES I.
Mémoire
sur les kystes hydatiques du petit bassin *. Le
e gué-rison complète. Presque toujours la nature de la maladie a t.
Mémoires
de la Société de biologie, 1852, p. 101. 2. Lau
'incision de ses parois, en plusieurs points, par le vagin. Dans un
mémoire
intitulé : Observations sur les tumeurs de ï exca
e ï excavation pelvienne qui peuvent rendre r accouchement difficile,
mémoire
célèbre dans l'art obstétrical et publié dans les
un exemple à rapprocher de ceux que l'un de nous a rassemblés dans un
mémoire
lu à la Société en 1852 et à celui que notre coll
e des corpuscules calcaires des échinocoques. — Nom- \. Extrait des
Mémoires
de la Société de Biologie, 1857, p. 103. — En col
que, depuis un mois environ, l'intelligence s'était amoindrie, que la
mémoire
était devenue beaucoup moins nette, qu'il existai
e, nous constatons les phénomènes suivants: hébé-tude très prononcée,
mémoire
évidemment très affaiblie, inappé-tence telle qu'
ux régions sous-maxillaires. Jamais ces engorgements 1. Extrait des
Mémoires
de la Société de biologie, 1854, p. 117. — En col
s de percussion, pl. 27, p. 59, et Alios, Procédé opératoire; Duplay,
Mémoire
sur F ampliation morbide de Cestomac, Arch.gén. d
exceptionnel, à ce qu'il nous a semblé du moins. Dans le remarquable
mémoire
de M. Duplay, on trouve rassemblé un grand nombre
ique sont au con- traire atrophiées. On trouve bien encore, dans le
mémoire
de M. Duplay, des cas d'ampliation de l'estomac d
foie. Sans doute, dans le cas qui nous occupe, comme dans VObs. I du
mémoire
de M. Duplay, les adhérences qui existaient entre
ion, en attendant le moment favora-ble déplacer les remèdes. Des deux
Mémoires
qui furent jugés dignes de partager le prix, l'un
n fut composé par Voul-lonne 3, l'autre par Planchon 4 ; un troisième
Mémoire
, écrit en latin et dû à Jaubert5 fut également re
galement remarqué de l'Aca-démie et obtint l'accessit. C'est dans ses
Mémoires
que le sujet qui nous occupe fut, pour la premièr
pectatione op-posita arte curandi nuda expectatione. Paris, U30. 3.
Mémoire
sur la question proposée, etc. Avignon, 1776. 4
s articulations, née avec 1. Loc. cit., t. I, p. 40. 2. Mondière,
Mémoire
sur la sueur habituelle des pieds (journal l'Expé
invoqués dans la discussion de la question qui nous oc-cupe. Dans un
mémoire
1 où M. Timbart cherche à soutenir les conclusion
. Viglaa fait, en 1852, à la Société des hôpitaux, un rap-port sur un
mémoire
de M. Laboulbène, contenant cinq observations de
le même numéro de la Gazette hebdom., nous trouvons l'analyse de deux
mémoires
qui sont faits à peu près dans le même sens. Dans
es idées qui se rapprochent beaucoup de celles de M. Dieth ; mais son
mémoire
est surtout dirigé contre l'emploi de la saignée,
là pour ainsi dire une question de dia-gnostic. M. Marrotte, dans un
mémoire
inséré dans les Archi-ves générales de médecine (
ceptibles de subir l'influence favorable de ce traite-ment. Dans le
mémoire
que l'un de nous (M. Charcot) a publié en commun
wiew., 1847, t. XXIII. — Perry, British Med. Rewiew., 1841. — Périer.
Mémoire
sur une épi-démie de dyssentérie qui a régné à Ve
humatisme articulaire aigu par les alcalins à haute dose, me remet en
mémoire
quelques essais du même genre que j'ai tentés, l'
nt que possible, aux préceptes formulés par M. À.-B. Garrod, dans son
mémoire
publié en 1855, dans les Transactions médico-chir
.................. 209 TROISIÈME PARTIE Des kystes hydatiques. I.
Mémoire
sur les kystes hydatiques du petit bassin........
ne chercherai pas à entrer dans les détails qui feront l'objet de ce
mémoire
d'ensemble. Plus modeste sera ma prétention et je
tian, en 1891, dans les Annales d'Hygiène de Paris, je ne vois que le
mémoire
de M. Marandon de Monthyel en 1893, dans les Arch
d'utiles recherches. Les sensations, les mouvements, l'attention, la
mémoire
, la volonté, l'idéation, la durée des actes psych
hui autour de ce buste, témoignage de nos sentiments d'estime pour sa
mémoire
. » Baillarger. « Le maître que nous honorons
lectuelles chez les hypnotisés ? 8° Quels sont les caractères de la
mémoire
des hypnotisés ? 9° Y a-t-il des modifications
ypnose, les faits de la vie somnambulique-automatique reviennent à la
mémoire
. Il y a une parenté étroite entre les états de
enfantine constitués simplement d'après les rudiments existants de la
mémoire
, mais aussi par de nombreuses idées, des traits e
e tout fait d'exhibition hypnotique (falsifications suggestives de la
mémoire
, production d'hallucinations, exécution d'actes,
s le sens des remarques précédentes. Lôwenpeld 17 s'occupe, dans un
mémoire
spécial, de la relation entre l'hystérie et la su
en sensations ces impressions venues des sens, et les dépose dans la
mémoire
sous la forme d'idées-images ; puis il revivifie
effort, soit pour recueillir des sensations, soit pour fixer dans la
mémoire
leurs produits qui sont les idées, soit pour rais
au cerveau, à la création des idées et à leur enmagasinement dans la
mémoire
; elle sert par dessus tout à aider et à favorise
airementtrès diminuée, estfollement restée active dans le foyer de la
mémoire
et les sens surtout, par l'effet d'un amoindrisse
e, par suite, l'attention a retourné en assez grande quantité vers la
mémoire
et les sens, il suffit de l'impression vive d'un
en faut conclure que certains rêves ne laissent aucune trace dans la
mémoire
de l'état de veille, bien que leur souvenir soit
rcot se gardait bien de la lire ou de la réciter comme un exercice de
mémoire
. Pour faire pénétrer sa pensée et la graver pro
oir ministériel. « Son successeur, un nommé Bourbeau, de prestigieuse
mémoire
, apposa, un beau matin, sa noble signature au bas
n temps précieux. Malgré la pompe dont sont entourés ces exercices de
mémoire
, il ferait preuve d'une indulgence vraiment exces
ie, la criminalité, la psychologie des enfants; plusieurs articles et
mémoires
inédits avec planches, graphiques et tables, repr
-t-il, outre mesure. » En note, mentionnant avec grand éloge le court
mémoire
de M. Liégeois, je disais : « Je ne m'alarme pas
. J'emprunte les termes des récits à l'auteur lui-même. (I) Voir le
mémoire
précité. Elles sont reproduites dans son ouvrage
rompte et plus sûre. Leur sensibilité est affinée, leur adresse, leur
mémoire
dépassent les bornes où elles sont renfermées à l
s hésiter, je réponds non. (à suivre) (1) Voir mon article sur la
Mémoire
des hypnotisés. (Revue Philosophique, mars 1886),
ns anatomiques,les processus histologiques des phénomènes tels que la
mémoire
, l'association des idées, l'imagination, et de mê
e (1), selon les circonstances. On conçoit qu'ainsi l'imagination, la
mémoire
, l'association des idées deviennent plus actives
consulter pour un état hypocondriaque et une diminution notable de la
mémoire
et de la force morale, ainsi que pour des acciden
'odorat. Le goût est seulement un peu obtus. La parole est nette ; la
mémoire
a diminué dans une assez forte proportion ; il en
° Un service de Fiches analytiques, donnant l'analyse en français des
mémoires
publiés en langues étrangères ; 2° Un service spé
développées et accompagnées de tous les documents nécessaires dans un
mémoire
complet, je considère comme démontré que le somme
ailleuse. C'est elle qui, avec sa sœur, m'a servi à mes études sur la
mémoire
des hypnotisés, sur leur esprit d'imitation, sur
lle n'accusa plus, en effet, aucune souffrance et avait même perdu la
mémoire
de la douleur. Je dois le dire, le mari fut en
étudierait sa leçon, chaque mot se graverait si profondément dans sa
mémoire
que. lorsqu'on lui demanderait d'épeler un mot, i
n'est pas senti à la plante du pied droit. La parole est nette, la
mémoire
est à peu près normale; l'intelligence est au-des
ée à cet arrêt, à cet empêchement a dû se graver profondément dans la
mémoire
. Ensuite, qu'advient-il? Notre docteur psycholo
s ne nous représentons pas sans impression ; c'est le phénomème de la
mémoire
— Ces arrêts sont évidemment déterminés par des c
de la pensée? — le centre de la mémoire-visuelle ; — le centre de la
mémoire
auditive ; — le centre de la mémoire visuelle ver
ire-visuelle ; — le centre de la mémoire auditive ; — le centre de la
mémoire
visuelle verbale; celui de la mémoire auditive ve
re auditive ; — le centre de la mémoire visuelle verbale; celui de la
mémoire
auditive verbale; enfin les centres moteurs. Tous
te contenu ; il pense le souvenir de ses réactions verbales; il a une
mémoire
très développée, des mouvements nécessaires à eff
l'acte devient fréquent, la trace devient profonde, et il existe une
mémoire
persistante de cet acte (une mémoire de la sensat
vient profonde, et il existe une mémoire persistante de cet acte (une
mémoire
de la sensation centripède et de la réaction cent
une mémoire de la sensation centripède et de la réaction centrifuge),
mémoire
qui n'est pas constituée par un souvenir visuel d
constituée par un souvenir visuel des membres se mouvant, mais par la
mémoire
même des modifications occasionnées sur le systèm
bras droit, pensez un, mouvement de ce bras, vous aurez alors par la
mémoire
le souvenir de la sensation de ce qui se passe en
études, on n'a songé qu'à brider votre initiative et à exercer votre
mémoire
, et brusquement, sans transitions, on vous demand
Son seul travail consistera à accoler les épitaphes du début : a A la
mémoire
de mes glorieux ancêtres, à la gloire de mon Maît
1° Etat de veille. — Sommeil. — Rêves. — Sommeil pathologique ; 2°
Mémoire
. — Maladies de la mémoire. — Mémoires visuelle, a
eil. — Rêves. — Sommeil pathologique ; 2° Mémoire. — Maladies de la
mémoire
. — Mémoires visuelle, auditive. — Imagination;
s. — Sommeil pathologique ; 2° Mémoire. — Maladies de la mémoire. —
Mémoires
visuelle, auditive. — Imagination; 3° Hallucina
nsistait en troubles de la perception, en altérations curieuses de la
mémoire
se rapprochant beaucoup de l'amnésie continue, ce
aussi de nouveaux troubles de la sensibilité, de l'attention et de la
mémoire
, qui se surajoutent aux premiers. Si nous faisi
ue chez ces malades hystériques les troubles de la sensibilité, de la
mémoire
, de la volonté, sont devenus beaucoup plus nets e
vresses, des extases, de nouveaux troubles de la sensibilité et de la
mémoire
, etc. Mais le phénomène intermédiaire, cause supp
l sur la matière datant de 1885 et appartenant à M. G. Nicoladoni. Le
mémoire
de M. Nicoladoni est intitulé : « lieber eine ari
ils relatifs à ce genre de déformation, je vous engage à consulter un
mémoire
de mon ancien chef de clinique M. le docteur Babi
ux pas laisser passer inaperçue. Si vous voulez bien vous reporter au
mémoire
des Archives de Neurologie publié par M. Babinski
matière date de 1856 ; il est de Delpech et porte le titre suivant :
Mémoire
sur les accidents que développent chez les ouvrie
vriers en caoutchouc C inhalation du sulfure de carbone en vapeur. Ce
mémoire
a été lu à l'Académie de Médecine. On peut dire
r maintenant les caractères nosographiques. Vous trouverez dans les
mémoires
de Delpech et dans ceux de ses successeurs, plusi
aucune bonne raison de douter de sa sincérité ou de la fidélité de sa
mémoire
. « Je ne me suis pas aperçu, nous a-t-il dit vi
ts de ce genre. Messieurs, il sera légitime, je pense, avec Lendet (
Mémoire
sur les chorées sans complications, terminées par
e une fois, qu'il ne succombe dans un bref délai. Son cas me remet en
mémoire
ce qui m'est arrivé souvent chez les vieillards a
nts, les moindres bruits. Il a, dit-il, la tête vide ; il n'a plus de
mémoire
ou pour le moins il a la mémoire très lente. S'il
it-il, la tête vide ; il n'a plus de mémoire ou pour le moins il a la
mémoire
très lente. S'il veut penser à quelque chose, com
ais avant d'en arriver à ce point, je crois utile de vous remettre en
mémoire
quelques détails relatifs à la physiologie pathol
les faits anatomo-pathologiques que j'ai cru devoir vous remettre en
mémoire
. Il ne me reste plus, pour en finir avec la digre
ut entière à M. le Dr Motchoutkowsky d'Odessa. Il l'a exposée dans un
Mémoire
publié en langue russe il y a cinq ans (1882), et
college, et M. le Dr Raymond y ont fait allusion, le premier dans son
mémoire
intitulé Neurectasy or Nerve Stretching for the r
ins,quelques-uns des faits consignés par le Dr Motchoutkowsky dans le
mémoire
auquel nous avons fait allusion plus haut. Ce tra
nce. Quelques préceptes formulés par M.leDr Motchoutkowsky dans son
mémoire
relativement au procédé opératoire méritent parti
el de la faculté du langage se rapporte à quatre modes spéciaux de la
mémoire
du mot, à savoir : la mémoire motrice d'articulat
rapporte à quatre modes spéciaux de la mémoire du mot, à savoir : la
mémoire
motrice d'articulation, la mémoire motrice graphi
e la mémoire du mot, à savoir : la mémoire motrice d'articulation, la
mémoire
motrice graphique, la mémoire visuelle et enfin l
: la mémoire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la
mémoire
visuelle et enfin la mémoire auditive du mot. La
lation, la mémoire motrice graphique, la mémoire visuelle et enfin la
mémoire
auditive du mot. La suppression isolée de chacune
n la mémoire auditive du mot. La suppression isolée de chacune de ces
mémoires
est représentée en clinique par autant de formes
d'aphasie liée aune lésion organique, il est de règle que toutes les
mémoires
dumot soient touchées simultanément, bien qu'à de
ant, il se dit obligé de regarder ses pieds ; — affaiblissement de la
mémoire
ou, pour mieux dire, mémoire lente et difficile à
rder ses pieds ; — affaiblissement de la mémoire ou, pour mieux dire,
mémoire
lente et difficile à mettre en œuvre : « ma tête
énique, à savoir plaque cérébelleuse et plaque frontale. — Tête vide,
mémoire
lente, impossibilité de fixer l'attention d'une f
de pour mettre son intelligence en jeu. Grande torpeur cérébrale : sa
mémoire
s'est affaiblie, surtout pour les choses récentes
: céphalée spéciale ; craquement dans le cou ; confusion des idées ;
mémoire
affaiblie ; abattement, découragement ; la physio
as entendre un bruit sans tressauter. 11 lui semble qu'il n'a plus de
mémoire
; il ne peut plus penser à rien sans que la cépha
uré, ensanglanté tel qu'il était au moment de l'accident. H sent sa
mémoire
affaiblie, il est distrait, ne se souvient pas de
plomb. Aucune cause apparente. Céphalée ; dépression psychique ;
mémoire
affaiblie ; dyna^ momètre, 58,55. Rétrécissemen
. Menacé d'être noyé il y a 4 mois. Céphalée, dépression psychique,
mémoire
affaiblie, dyspepsie. Dynam.fâ, 21, Rétrécissem
), il y a 1 mois. Céphalée, dépression mentale extrême, air sombre,
mémoire
confuse, dyspepsie, affaiblissement sexuel, Dynam
a quinze mois. Céphalée, dépres* sion men taie, tend, mélancolique,
mémoire
confuse, dyspepsie, affaiblissementsexuel, dynam.
ant vous ; mais, pour ce faire, il est nécessaire de vous remettre en
mémoire
les principales circonstances du cas. Je pourrais
attention. On cite volontiers le cas de Kaempfen qui fait partie des
mémoires
de l'Académie de médecine pour 1835 (2). Il s'agi
ne pour 1835 (2). Il s'agit d'un 1. Rouillard, loc. cil. p.39. 2.
Mémoires
de l'Académie de médecine, t. IV, p. 489,1835.
les de Médecine, 1860, avril et octobre 1861. — Ribot, Maladies de la
mémoire
, 1881, p. 54. subconscience marqués par une imp
a réparation s'est faite progressivement, et chose assez curieuse, la
mémoire
s'est rétablie jusqu'à la minute même de l'accide
us dense. 11 me suffira de vous renvoyer à ce propos aux remarquables
mémoires
de M. J. Falret sur l'état mental des épileptique
ous les mouvements vulgaires, a perdu précisément et exclusivement la
mémoire
des mouvements qu'il faut faire pour donner leur
utant de groupes cellulaires distincts, où résideront désormais les «
mémoires
partielles » qui présideront à l'accomplissement
e spinal correspondant. Dans celui-ci, en d'autres termes, réside la.
mémoire
psychologique des actes sommaires qu'il faut pres
jeu l'appareil, soit pour en arrêter le fonctionnement, tandis que la
mémoire
organique, qui préside à l'exécution, dans tous l
'asphyxie, sous le coup de la diathèse hystérique et remettez-vous en
mémoire
les caractères que présentait son état mental au
il s'est produit chez elle de l'amélioration sur toute la ligne : La
mémoire
est toujours fort en défaut sans doute et je ne c
lement aperçu, en l'interrogeant à maintes reprises, qu'il n'a pas de
mémoire
et qu'il enchevêtre les faits les plus éloignés p
lacé devant vos yeux une malheureuse créature sans intelligence, sans
mémoire
et sans jugement; faible aussi moralement, bien e
oduits par la suite vers l'âge de 36 ans. Veuillez vous remettre en
mémoire
, Messieurs, la situation d'un sujet chez lequel,
ution. III Mais, au préalable, je crois utile de vous remettre en
mémoire
l'arrangement que j'ai proposé d'adopter dans le
ment. Leur histoire se trouve tracée tout au long dans un intéressant
mémoire
de MM. Ballet et Dutil, publié en 1884 dans la Re
l'étourdissement, la stupeur, la perte de connaissance,la perte de la
mémoire
, l'incohérence dans les discours, le délire quelq
édique des sciences médicales (1), et le professeur Nothnagel dans un
mémoire
fort intéressant inséré dans les archives de Virc
si bien que tout travail lui est devenu complètement impossible. La
mémoire
surtout a été profondément altérée ; elle l'est e
prits en Allemagne vers la solution française s'est accentuée dans le
mémoire
de M. Strümpell, paru en 1888, et, dans son derni
'accident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa tête à lui, que sa
mémoire
était embrouillée ». Après quelques jours de re
avait autrefois, mais son intelligence paraît intacte. Par contre sa
mémoire
est affaiblie; il te sait et il s'en plaint. « Il
digestions pénibles, un affaiblissement général, de la tristesse, la
mémoire
amoin drie, voilà quels sont les troubles qu'il
rque par desrêves effrayants, des hallucinations hypnagogiques ; leur
mémoire
présente de nom breuses lacunes ; leurs facultés
nnaie courante de l'hystérie. Il y a encore l'affaiblissement de la
mémoire
, la torpeur intellectuelle. Est-ce qu'il n'est pa
eurasthéniques que leur état d'apathie^ leur dépression mentale, leur
mémoire
troublée rendent incapables de se livrer à leurs
e affection, qui ont été récemment réunis par M. EdgardHirtz, dans un
mémoire
publié en juin 1886, dans les « Archives de médec
), 11. Marquezy, 392. Marshall (John),200. Mathieu, 139. Méhu, 443.
Mémoires
partielles, 360. Ménière (Vertige de) (Voy. Ver
66. — Intentionnels dans la chorée, 130. — Mécanisme des, 367. — (
Mémoire
organique des) 367.— (Mémoire psychologique des),
chorée, 130. — Mécanisme des, 367. — (Mémoire organique des) 367.— (
Mémoire
psychologique des), 367. — Volontaires dans la ch
s, 385. — et tabès, 388. — Hyperesthésie, 386. — (Lacunes dans la
mémoire
dans la), 389. — Pied tombant, 382. — Pronostic
ale, nous pouvons renvoyer tout d'abord le lecteur aux figures d'un
mémoire
publié en 1875 dans les Archives de Physiologie
cation qui nous avait semblé probable lors de la publi- cation du
mémoire
, penser que ces fibres ont été rompues par le f
semblable après les recherches que nous expo- .sonsjdans le présent
mémoire
. On pourrait croire qu'il est facile de produir
e son traite- ment, p. 255 et suiv. Paris', 1874. Comptes-rendus et
mémoires
du Congrès international des sciences médicales
tiliserons peu à peu dans la série de pu- blications qu'inaugure ce
mémoire
. Dans quelques cas, nous avons pu faire l'autop
de revenir sur la nature de la lésion dans la seconde partie de ce
mémoire
, qui nous est commune avec notre ami M. le doct
à l'étranger prin- cipalement. L'importance de quelques-uns de ces
mémoires
et l'abondance des documents qu'ils renferment
s les travaux de MM. Gray, Mills, Maragliano et dans un tout récent
mémoire
de Mmo Mary Putnam Jacobi. Dans son article s
e très complète de centres corticaux. Nous renverrons le lecteur au
mémoire
original pour les figures intéressantes dressée
e et de la physiologie, 1880, n° 1, page 56, avec 2 planches.) Ce
mémoire
renferme des faits d'anatomie topographique bul
eur Osier revit le malade; il avait encore la parole hésitante ; sa
mémoire
était mauvaise, et il avait souvent de la peine
vice de M. Bris- towe, pour des troubles visuels, de la perte de la
mémoire
et un état d'hébétude qui duraient depuis trois
ou relatives à d'autres considérations étran- gères au fond de son
mémoire
. De ces dix observations, cinq ont pour sujet d
nts DE la lypémanie ; par M. H. Mabille. Cette première partie du
mémoire
de M. Mabille ne traite que du nombre de pulsat
ent sur le nombre exagéré d'heures de travail et le surmenage de la
mémoire
qu'on exige des élèves dans les établissements
all, à Londres. L'auteur rapporte dans cette dernière partie de son
mémoire
, trois observations de mélancolie et de démence
ques présentant des phénomènes aigus. Un autre pointimportant de ce
mémoire
est celui qui a trait à l'importation d'affecti
celles du reste qu'on est habitué à rencontrer dans les précédents
mémoires
de cet auteur. C'est ainsi que M. Landouzy pren
ue de M. Landouzy : malgré son volume apparent, il s'agit là d'un
mémoire
condensé et "dans lequel les aperçus originaux et
plus long; à propos de celle de M. Robin, on se demande pourquoi ce
mémoire
occupe 600 pages ? Fallait- il donc, sur une qu
orcée du pied (phéno- mène du pied, - épilepsie spinale). Dans ce
mémoire
, nous nous proposons d'étudier cet intéressant
de cet état, dit-il, Y attention est faible, inefficace, nulle ' la
mémoire
est confuse, infidèle, 'entièrement perdue ; le
nue de plus en plus ? M... a de la peine à trouver,ses réponses;,la
mémoire
devient de plus en plus con- fuse. Soir : T. R.
bétée, parle peu; sa'paroleest lente, sans être embar- rassée. La
mémoire
est affaiblie. 'En un mot, diminu- tion considé
ments de quel- 228 CLINIQUE MENTALE. ques secondes de durée; la
mémoire
s'affaiblissait aussi d'une manière sensible. 1
n remarqua à l'école qu'il restait station- nairc en tout et que sa
mémoire
avait baissé. Depuis cette époque jusqu'au 15 d
at stationnaire : l'enfant ne profite plus des leçons ; bientôt, la
mémoire
s'af- faiblit, le'raisonnement s'obscurcit, le
outurés de nombreuses cicatrices qui rendent le visage hideux. La
mémoire
est notablement affaiblie, mais n'est pas tout à
MENTALE. , - .. 211f1f' IStJ "11 'r.y ) ? twr'.j ? )(n) ? Bs.qf,
mémoire
remarquable de cet auteur a donc singu- L ü ? a
nches VI, VII et VIII sera donnée dans le pro- chain numéro avec le
mémoire
correspondant, relatif à l'Idiotie. 3 iATY3ti à
nt de côté ces, détails d'érudition que l'on'trouvera dans de-grand
mémoire
d'Andry et Thouret (So- ciété royale de médecin
e du . 1,1, mu, 1 ? il-, ? H. nr 1 1 - n * ' nIm " ' " - ; ' beau
mémoire
d'Andry : et Thouret. Nos premières expériences
rvosi et diffé- 270 , i ' T f REVUE CRITIQUE. ' 71 , ,. '.U rents
mémoires
. Cette lecture nous a montré, comme cela était
e l'aimant. Comme pour celui-ci,' nous renverrons le lecteur, aux
mémoires
de l'ancienne Société royale de médecine. Il s'y
profit dans Mauduyt. Ce qui nous intéresse pour l'instant dans son
mémoire
, c'est non pas la partie clinique, composée de
très intelligent, mais il ne sait ni lire, ni écrire, il compte de
mémoire
avec la plus grande facilité, mais il ne peut g
s* le moment'où il Vêtait levé; néanmoins il n'en pouvait croire sa
mémoire
, vu l'étrangeté du fait et il pensait n'avoir p
de , la 1, par M. H. Mabille.' "... .K,,Cette, seconde partie de,
mémoire
de M. Mabille (est, relative .à l'état de la se
NS LE RÉGIME DES ÉTABLISSEMENTS D'ALIÉNÉS; par E. C. SEGUIN. (Trois
mémoires
, Archives de médecine de N.-Y., octobre, dé- ce
Tite Alienist and 11'eurologist, janvier 1880.) L'auteur, dans un
mémoire
très étendu, examine la question de la curabili
vait communiqué en 1879 à Y American neurolo- gical Association, le
mémoire
que publie le Journal of neruous and mental dis
ement du Rhône. Un prix de 1,000 francs sera décerné 'à l'auteur du
mémoire
couronné. Les mémoires devront être remis à la
x de 1,000 francs sera décerné 'à l'auteur du mémoire couronné. Les
mémoires
devront être remis à la préfecture du Rhône ava
nque des sciences médicales, abondonnée au choix de l'auteur. Les
mémoires
envoyés en réponse à ces questions doivent être
e la So- ciété, Coupure, -15, à Gand. Il sera accordé à l'auteur du
mémoire
couronné : 1° un prix de 500 fr. pour la questi
° le titre de membre correspondant; 3° cinquante exemplaires de son
mémoire
. (Annales de la Soc. de méd. de Gand.) Sociét
t-ils des modifications ? Le prix sera de 2,000 fr. Les ouvrages ou
mémoires
devront être remis au secrétariat général de l'oe
sité, 6; avant le 1or janvier 1881. Pour le Con- cours spécial, les
mémoires
écrits en français seront accompagnés d'un pli
au demeu- rant, présentait un affaiblissement considérable de la
mémoire
: du reste, elle parlait bien, posait des ques-
onça ses premières paroles : elle put té- moigner alors d'une bonne
mémoire
, et d'une pleine conscience d'elle-même. Les mo
miplégiques guéries ou améliorées que M. Lion a rapportées dans son
mémoire
ce fait n'est pas signalé ou décrit avec assez
de la glotte dans l'ataxie a été rapportée par Cruveilhier. Dans un
mémoire
lu à la Société des hôpitaux, M. Féréol a décri
et pendant les périodes de calme, le malade avait conservé assez de
mémoire
et de jugement pour avoir exactement conscience
sium par son action sur l'appareil vaso-moteur. En terminant leur
mémoire
, MM. M'Bride et James mentionnent dans l'ordre su
. (Gazetta degli ospitali, - 1° année, n° 9, 15 mai 1880.) LXX1V.
Mémoire
SUR LE vaginisme ; par V. DE PEMO. (Lo Sperimen-
ement avec plus ou moins d'activité ; la perception est normale, la
mémoire
et la faculté d'association des idées intactes,
Galvanisation CONTRE le trismus. - Dans la seconde par- tie de son
mémoire
, l'auteur rapporte deux observations où un tris
érébrale, étude qui a eu 32 498 bibliographie. pour prologue le
mémoire
de M. Rouchard, et qui prenant les lésions soit
siologie pathologique de la contracture ; toute cette partie de son
mémoire
est basée sur des expériences personnelles exéc
tation vive, telle qu'une fara- disation inopportune. A la fin du
mémoire
de M. Brissaud se trouvent de nom- breuses obse
TRUWPEL. (Al'chiv. f. Psych.. Il. 7VeeNA ? 'aMA., 1880, t. XL) Ce
mémoire
, qui n'est que le complément du même sujet trai
et dans plusieurs autres maladies du système nerveux. Erb, dans son
mémoire
sur la pathologie du tabes dorsalis (Deutsch. A
ré- brales ou spinales, dans la syphilis, etc. Depuis son dernier
mémoire
, Erbaréuni quatre-vingt-quatre cas de tabes ata
es. Il cite, entre autres, quelques observations publiées dans un
mémoire
du docteur John Vansant en 1870. On the physiolo-
En quelques mois ou en quelques années, on a observé la perte de la
mémoire
, l'imbécillité, la démence et en outre tous les
x. M. le Secrétaire général, donne ensuite lecture des différents
mémoires
déposés àla Société en vue des concours. Prix Aub
UI, s'est passé pendant l'accès; 2° le retour, complet aussi, de la
mémoire
dans un accès suivant,' sauf sur la notion du t
upart des accès somnambuliques, il ne se manifeste au réveil aucune
mémoire
des actes somnambuliques. Cet oubli, qui est tr
tre de.Documents de Neurologie, ïVI. Ilâmmônd a 'réuni une sérié'de
mémoires
et'de'faits cliniques intéressants, '' dot"nous
ritique sur ce sujet', ce qui nous a empêché d'en rendre compte. Le
mémoire
de M. Mara- gliano est fort important ; l'auteu
de biologie'. Nous' devions' réunir nos tra- vaux et divers autres
mémoires
, et publier une monographie de l'hystérie chez
taient communs et déposa pour le concours du prix ESfluirol,1f úilJ
mémoire
'"nourri1 de faits' intéressants' et plein d'a-
idées, il a lu récemment il la tYctv- Y01'/¡ Academy of Sciences un
mémoire
sur les Gurdetz Schools, où il proposait d'anne
, avec les mêmes rédacteurs. L1 , L'auteur entre dans le détail des
mémoires
contenus dans notre premier fascicule et conclu
e, ont concouru à former ~* gramme de chaque fascicule comprend des
mémoires
originaux, ' une revue critique, des revues ana
e spéciale, la Gazette ren- dra compte prochainement des principaux
mémoires
que les trois premiers fascicules renferment; m
in, 1881. Chez Hirsclwvaltl. ' 111130T (Th.). Les maladies -de la
mémoire
, 1 vol. in-8° de 170 pages. Prix 2 fr. 50. Pari
droit. Tremblement de la langue; trouble de la parole. Verte de la
mémoire
, démence. Douleurs fulgurantes des membres et d
it bientôt que ses réponses sont loin d'être nettes et précises; sa
mémoire
a subi une atteinte évidente. Ses antécédents h
le est restée plusieurs heures sans connaissance ; la perte de la
mémoire
que la malade présente, et dont elle se rend asse
insi que la langue, pendant la parole. Les réponses sont lentes, la
mémoire
est défectueuse sur bien des points ; ainsi il
tobre 1891. Paraplégie transitoire. Troubles urinaires. Perte de la
mémoire
. Tremblement intense des lèvres et de la langue
cte ; en même temps, à peu près, il lui semble qu'il perd un peu la
mémoire
; il a surtout une certaine peine à trouver des
sonnement est encore assez correct, mais il est lent et pénible. La
mémoire
des choses anciennes est peu atteinte, ainsi le
role chez un enfant. Si son cerveau a été frappé dans la zone de la
mémoire
auditive des mots, il y aura le même mutisme qu
y aura le même mutisme que s'il a été atteint, dans le centre de la
mémoire
motrice des mots. Il est évidemment beau- - cou
p : 4 130.) f ' * -1 ' ? J 'l" ! l'> '.L.,)li 1 z Dans ce long
mémoire
, qui, lui a servi de thèse, l'auteur examine la
ment les organes situés au-dessous des clavicules, laissant pour un
mémoire
, ultérieur leur étude dans les maladies du cou et
intellec- tuelles, troubles de l'attention, de la perception, de la
mémoire
, de la volonté, déterminant un état d'égarement
qui aient été l'objet d'opinions plus , contradictoires. Dans son,
mémoire
, M. Vallon défend là thèse de la non-existence
-Autopsie.) ' En dehors des observations insérées dans le corps du
mémoire
, le lecteur y trouve annexés les cas antérieure
cas de rémission ou de guérison de paralysie générale vraie. ' Le
mémoire
de M. Vallon donne sous une forme concise et clai
·ducotzcoürs : ï-. 10 (Le concours » est \ international ; 20,, Les
mémoires
pourront ! être- présentés' en' français, en néer
ents étrangers seront) tenus 11 de <n faire/ accompagner ! leurs
mémoires
d'un résumé et de la traduction de leurs : ) conc
u moment où elle paraîtra dans la publication de la Société ; 5° Le
mémoire
^envoyé'au concours,et pli cacheté dans lequel l
Lorsque la Société n'accorde-qu'une.. mention-- honorable à (Uin
mémoire
de concours,, le pli quiFyr esta joint,n'est ouve
i quiFyr esta joint,n'est ouvertrqn'à la demandeî,deil'auLeur. Lèse
mémoires
doivent. être adressés avant le 311 décembre 18
de Neurologie. PREMIÈRE LISTE. , FAITS DIVERS. 79 monument à la
mémoire
du Pr Charcot. Le Conseil municipal, dans sa sé
r' inf»> salais Y'6902a0t f p 'î ? > >" tw ."-i"' 4 ' Deux
mémoires
relatifs au même sujet, l'un de J. Kopp, l'autre
ont paru en 1892 dans les Archives dc ,Virç31ow. Le premier de ces
mémoires
s'occupe même exclusivement de l'appareil de Rena
e boisson, vagabon- u dage nocturne, affaiblissement notable, de la
mémoire
, illusions du souvenir, troubles mentaux divers
s délirantes; un peu d'irritation sans autre anomalie de l'humeur..
Mémoire
des faits anciens, exagération, des réflexes pa
tions psychiques et des associations d'idées, avec diminution de la
mémoire
des images optiques et interruption des coordin
tée. P. KTRAVAL. VARIA. Comité pour l'érection d'un monument A la
mémoire
de J.-M. CHARCOT. Président d'honneur : M. Pa
lne s'en souvenait t pas à ce moment : nous verrons en effet que sa
mémoire
a de sin- gulières lacunes, et qu'il aparfois l
us de prix comme auparavant, ses compositions étaient mauvaises, sa
mémoire
surtout était devenue très infidèle : il travai
Très souvent il dit qu'il ne sait pas, qu'il ne se souvient pas; sa
mémoire
est évidemment en défaut à tout instant : « Est
ltés qui avaient pu àun'instant pa- raître brillantes, obnubiler la
mémoire
, substituer à tout cela la confusion et l'incoh
;w .m, : ? '. SS·Y .iC '0 i 1 ? Ce qui suit est le complément- d'un
mémoire
paru en 1892, dans les nos 68 et 69 des Archive
vaf) '='i ? rn' ' '" · , .1, , - .. ,Je mesuis applique, -dans mon,
mémoire
, à faire ressortir uin"- jv ,VU..i-1 ? tt,JJ" 1
reproduire ici tous ces'* détails 'longuement'relatés'dans' mntil
mémoire
, pas plus que les considérations de psÿcliolôâié(
cérébro-spinale, moderne. 41, jI973aU Ot'zïs& 29a`91Z97 tic Mon
mémoire
, on le voit facilement ? n'est, d'un : bout'à''
ressive ; puis,, attaque L4 apoplectiforme ? affaiblissement deulac
mémoire
, aphasie amnésique; accès de dyspnée. Mort en o
ralysie isolée du grand dentelé; par L. Bruns. 1893.) Addition A ce
mémoire
par LE même. (Neurolog. Centralbl., 1893.)' *'
all ucinalions 'de Ma vue,'de l'ouïe' : 'stupidité ; troubles de la
mémoire
,' titubation ? incoordination motrice. Parfois ac
uée par. derla dé- mence, un affaiblissement des facultés et de lai
mémoire
, etc ? etc. On constate à l'atitopsiefà(,» l'hy
d'excellents résultats. Qu'on relise avec soin les détailsldans' le
mémoire
(huit planches à' 1 l'appui.) P. KERAVAL. W .
hologiques. anatomiques est fort bien faite dans toute l'étendue du
mémoire
de M. Oppenheim. P. K." ·- (fii 96 99npqrYtri
'a XXV, 2.) ' ... Etat des survivants de l'épidémie de Frankenberg (
mémoires
. ·zr, 1 REVUE 'DE, THÉRAPEUTIQUE. 225 de S
au tableau"* de", cent cas"de myxoedème qui sert d'appendice à' son
mémoire
! Nous notons seulement "au passage lés points pr
petites restaient inaperçues. Auburtin raconte dans un intéressant
mémoire
publié en 1863 par la Gazette hebdoma- daire de
oubliées, et qui« cependant avaient ; gardé une.placetautfond.de la
mémoire
? Il est bien établi aussi, et tous ceux[qui on
e' d'une afièvret5-phoide, affaiblissement notable et illusion delà
mémoire
; troubles mentaux divers ; pas d'hallucinations
98 HEVUE9DE P ? THOLOGIE \IE\'f.LE. publiée par John Bell, dans son
mémoire
« sur le développement illimité des'tumeurs t,
r. Notre collègue a inspiré à l'un de ses internes, M. Lachaud; un*
mémoire
sur les causes de cette dis- simulation, que no
l'arlieu- lation dans les familles et,les écoles. On suit, dans ce
mémoire
pas a pas 1 évolution syllabique du langage par
i(yl9rf^, 20 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. BoupNEVII.1,E. Rapports et
mémoires
sur le sauvage de ? 4t)e//ro ? t ; l'Idiotie et
ois elle étouffait, remuait bras et jambes, se tordait les bras. La
mémoire
diminuait : P... racontait des faits contradictoi
vient desentir'artiçuler; , de», femmes publiques... saletés ! » La
mémoire
est assez bien con- , servee. La voix devient n
nstrative. Les signes d'affaiblissement psychique (diminution de la
mémoire
, de l'intelligence,, modifications, du caractèr
t;. R''j ^.1R lu ). r ? a ..Nous ne rappellerons également que pour
mémoire
certains points de détail de notre observation
Voii\danS;^e,|tome;IX,(p.,102\ des OEuvres complètes de Charcpt. un
mémoire
très important, où sont -résumées aussi les,-idéé
et à'l'histologie morbide'du'systeme ner- veux complète. les' deux
mémoires
précédents. On pourrait l'appeler Exposition de
parleur souscription, permettre d'honorer comme il con- vient, la
mémoire
d'un savant qui est une des gloires scienti- fi
jl , - 1 1 1 BULLETIN,BIBLIOGRAPHIQUE. BOUR\EVILLE. Rapports et
mémoires
sur le sauvage de l'Aveyron ; l'Idiotie et la S
, ? J ' . Facultés intellectuelles conservées ; pas de lacune de la
mémoire
pour les faits récents ou remontant à un certai
e, ayant ' un souvenir confus;des propos qu : elle ientdeAtenir. La
mémoire
, cependant, ne parait nullement ! atteinle,.dan
t; la, procédure : de l'offi- : cial'lui'fut`rémise`pour·servir`.dè%
mémoire
à l'instruction ? nouvelle ? 5"' sab Pq-10) 0b
raient pas une trépanation. t * t & ! if ; Discussion sur LE
mémoire
de M. PELMAN : Les récentes .attaques dirigées
? ajjfb 't ? i.{- 4. j w .t IX. Bibliothèque d'éducation spéciale (
mémoires
," notes et' observations sur' l'idiotie)aT : '
es," notes et' observations sur' l'idiotie)aT : ' II· : Rapports et
mémoires
sur le* Sauvage de i- rAu ? )'0) : ; r ! Mt ! '
pas perdu notre temps, car nous y avons trouvé la mention de deux
mémoires
concernant l'objet même de cette publication et
l'Aveyron, sont pleins d'enseignements utiles. L'un est intitulé :
Mémoire
sur le mutisme produit par la lésion des fondio
tilité; 4° des troubles de la santé géné- rale. Les' troubles de la
mémoire
surtout pour' les faits récents, la fatigue de
l'amaurose et l'aphasie. Nous' aurions encore' à citer dé nombreux
mémoires
'd6 réclier- ches sur l'épilepsie; sur la' phys
e sorte ? ' , Tel est le juâement'pôi'té=,par un'confrère'contre lé
mémoire
de M. Hafner. ^.a,^., ,. , ? , >" ., ., . ,
? ' ( vmJQ3 lak eqvlpt). 'h-c Sauvage DE l'Aveyron, rapports et '
mémoires
sur le -; l'idiotie et la surdi-mutité; par Ita
le et de sommeil. II est intelligent, sait lire, écrire, calculer; sa
mémoire
est remarquable. Enfant doux et honnête, il est d
du pouls au moyen du sphygmographe. Ces travaux sont exposés dans ce
mémoire
et ont permis a l'auteur de formuler des règles p
frictions et, avant tout, l'électricité faradique. Dans le deuxième
mémoire
, l'auteur développe son idée et s'adresse a l'inh
ne, à quelque école française qu'il appartienne, qui fera le meilleur
mémoire
sur cette question : » La cachexie nicotique : se
y a lieu, des médailles honorifiques seront accordées aux auteurs des
mémoires
qui, sans obtenir le prix de 600 fr.. auront néan
s d'une valeur de 200 francs environ et une médaille de vermeil. Le
mémoire
pourra être rédigé en français, en allemand, en a
s, et les manifestations les plus convaincantes du dédoublement de la
mémoire
dans la série des phénomènes hypnotiques... Tels
Quel exemple plus convaincant peut-on trouver de la scission de la
mémoire
dans les deux états de veille et de sommeil ! !
les yeux une nouvelle et très remarquable preuve de la scission de la
mémoire
, tant de fois constatée chez elle, dans la compar
nage nouveau et irrécusable de l'invariabilité des troubles de la
mémoire
dans la série des phénomènes hypnotiques, et nous
ogique, fort importante en médecine légale, que ce dédoublement de la
mémoire
pourrait devenir, dans telles circonstances parti
té se transporte à l'époque de la vie où existe cette contracture; le
mémoire
est limitée au temps qu'elle a duré; en un mot, t
ais répétée, un état anatomi que particulier, quelque chose comme une
mémoire
matérielle, qui fait que toute excitation nouvell
ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette
mémoire
matérielle des cellules cérébrales qui, constamme
e émotif, ne fait que des efforts partiels. C'est principalement à sa
mémoire
et à son imagination que, dans les classes de let
ien, dans certains concours de récitation, la culture intensive de la
mémoire
est mise en activité. C'est là une manière de f
inion que je viens d'émettre sur l'autonomie et l' indépendance de la
mémoire
proprement dite par rapport aux opérations du jug
me à laquelle je donne actuellement des soins, et qui est douée d'une
mémoire
véritable- met extraordinaire. Elle retient des
e ce qui se passe autour d'elle. et elle montre ainsi l'exemple d'une
mémoire
excessivement brillante et de la déraison concomi
ission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les états de la
mémoire
dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L
lleurs, être assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les
mémoires
lus au Congrès. Nous sommes heureux de constate
d'enregistrer des impressions durables (c'est-à-dire de conserver la
mémoire
de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond,
comptent pas dans l'ensemble des opérations mentales gravées dans la
mémoire
. Ces phénomènes sont principalement déterminés
tion dans laquelle il joue un rôle. C'est une jeune fille qui a de la
mémoire
et qui sait chanter. Elle organise immédiatement
jeune fille de dix-neuf ans, déjà vue par M. Pitres et citée dans le
mémoire
de Gilles de la Tourette. Mlle X... est atteinte
ui-même dans le but de retrouver tous ses souvenirs, il arrive que la
mémoire
s'ouvre et que le patient parle parce qu'il se ra
professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a lu un
mémoire
intitulé : De l'hypnotisme et de la suggestion ap
ubliques à l'instar de celles de M. le docteur Lié-beault. Dans son
mémoire
, dont la lecture a été suivie avec tout l'intérêt
, au lieu de recourir à l'hypnotisme. La lecture de cet intéressant
mémoire
a été suivie de quelques débats qui ont conduit à
es hommes devenus célebres par la facilité de leur parole et par leur
mémoire
des mots, il a exprimé le regret que la pratique
sier de cette affaire, les renseignements réunis par la famille et un
mémoire
auto-biographique rédigé par le docteur Lamotte d
ifeste et plus caractérisée qu'au mois de juillet; les troubles de la
mémoire
sont très marqués ; il ne se rappelle plus le nom
périence, et cela dans le même ordre. N'est-ce pas là un phènomène de
mémoire
? et ne peut-on pas expliquer par cette vivacité
dans un vase agissent par suggestion et auto-suggestion et que la
mémoire
est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à
ue la mémoire est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à cette
mémoire
, on pourra expliquer des toits qui sont restés ju
i recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon premier
mémoire
et 31 depuis. L'investigation faite par tous les
je ne puis passer sous silence un fait topique que je trouve dans le
mémoire
de M. Coutant. Il s'agit d'un soldat atteint de p
t, nous aurions pu, d'accord ensemble, rectifier quelque défaut de sa
mémoire
, ce qui aurait évité a la Société une explication
r pas prévenu de cette publicité, et ne s'être pas prémuni contre une
mémoire
peu fidèle ? Veuillez agréer, Monsieur le Prési
écernera, s'il y a lieu, des récompenses honorifiques aux auteurs des
mémoires
qui, sans avoir obtenu ce prix, auront néanmoins
tions ayant une valeur scientifique digne de fixer l'attention. Les
mémoires
, écrits en français, en anglais, en allemand ou e
enveloppe cachetée, portant une épigraphe qui est répétée en tête du
mémoire
. Cette enveloppe n'est ouverte que si le travail
à distance qu'il a faites sur Mme B..., depuis la publication de son
mémoire
à ce sujet. Ce sont des expériences inédites à aj
étrique, qui lui aura été adressé. Pour être admis au concours, les
mémoires
doivent être écrits en français, inédits, accompa
tant le nom de l'auteur et reproduisant l'épigraphe placée en tête du
mémoire
, et être adresses franco, avant le 1er novembre 1
je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son état normal. Sa
mémoire
est entière pour tout ce qui lui est arrivé aupar
le passage rappelé. Mes seuls somnambules, avec perte régulière de la
mémoire
, sont les premiers sujets que j'ai créés, lorsque
évrier, mars 1888.) MM. Auvard et Secheyron ont basé leur important
mémoire
sur huit observations détaillées, dans lesquelles
urs dans l'état premier : on peut conclure à tort de cette absence de
mémoire
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. »
es sur les sujets mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs
mémoires
intéressants, dans esquels il prétend être arrivé
ptômes les plus ennuyeux ont disparu comme par enchantement. (i) Le
mémoire
de M. Voisin est publié plus haut in-extenso.
d public : dans les sciences, la popularité est un péril. Les livres,
mémoires
, articles, recueils d'observations et d'expérienc
NOTISME (depuis 1880) Janet (Pierre) : Les actes inconscients et la
mémoire
dans le somnambulisme. (Revue philosophique, mars
'abord à donner seulement une seconde édition, revue et augmentée, du
Mémoire
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet
savants français et étrangers. La modeste brochure que formait mon
Mémoire
devient ainsi un livre qui. par ses proportions t
imples on peut paralyser un corps, supprimer une volonté, éteindre la
mémoire
, transformer un homme en automate pour en faire l
le et de sommeil. II est intelligent, sait lire, écrire, calculer; sa
mémoire
est remarquable. Enfant doux et honnête, il est d
du pouls au moyen du sphygmographe. Ces travaux sont exposés dans ce
mémoire
et ont permis a l'auteur de formuler des règles p
frictions et, avant tout, l'électricité faradique. Dans le deuxième
mémoire
, l'auteur développe son idée et s'adresse a l'inh
ne, à quelque école française qu'il appartienne, qui fera le meilleur
mémoire
sur cette question : » La cachexie nicotique : se
y a lieu, des médailles honorifiques seront accordées aux auteurs des
mémoires
qui, sans obtenir le prix de 600 fr.. auront néan
s d'une valeur de 200 francs environ et une médaille de vermeil. Le
mémoire
pourra être rédigé en français, en allemand, en a
s, et les manifestations les plus convaincantes du dédoublement de la
mémoire
dans la série des phénomènes hypnotiques... Tels
Quel exemple plus convaincant peut-on trouver de la scission de la
mémoire
dans les deux états de veille et de sommeil ! !
les yeux une nouvelle et très remarquable preuve de la scission de la
mémoire
, tant de fois constatée chez elle, dans la compar
nage nouveau et irrécusable de l'invariabilité des troubles de la
mémoire
dans la série des phénomènes hypnotiques, et nous
ogique, fort importante en médecine légale, que ce dédoublement de la
mémoire
pourrait devenir, dans telles circonstances parti
té se transporte à l'époque de la vie où existe cette contracture; le
mémoire
est limitée au temps qu'elle a duré; en un mot, t
ais répétée, un état anatomi que particulier, quelque chose comme une
mémoire
matérielle, qui fait que toute excitation nouvell
ont créé en nous cet état anatomique dont parle le Dr Bordier, cette
mémoire
matérielle des cellules cérébrales qui, constamme
e émotif, ne fait que des efforts partiels. C'est principalement à sa
mémoire
et à son imagination que, dans les classes de let
ien, dans certains concours de récitation, la culture intensive de la
mémoire
est mise en activité. C'est là une manière de f
inion que je viens d'émettre sur l'autonomie et l' indépendance de la
mémoire
proprement dite par rapport aux opérations du jug
me à laquelle je donne actuellement des soins, et qui est douée d'une
mémoire
véritable- met extraordinaire. Elle retient des
e ce qui se passe autour d'elle. et elle montre ainsi l'exemple d'une
mémoire
excessivement brillante et de la déraison concomi
ission de la pensée. (Id. May 1887.) Edmund Gurney: Les états de la
mémoire
dans l'hypnotisme. (Id. May 1887.) Lombroso : L
lleurs, être assurés d'avoir in extenso, dans le prochain numéro, les
mémoires
lus au Congrès. Nous sommes heureux de constate
d'enregistrer des impressions durables (c'est-à-dire de conserver la
mémoire
de ce qu'il a dit ou fait), il parle, il répond,
comptent pas dans l'ensemble des opérations mentales gravées dans la
mémoire
. Ces phénomènes sont principalement déterminés
tion dans laquelle il joue un rôle. C'est une jeune fille qui a de la
mémoire
et qui sait chanter. Elle organise immédiatement
jeune fille de dix-neuf ans, déjà vue par M. Pitres et citée dans le
mémoire
de Gilles de la Tourette. Mlle X... est atteinte
ui-même dans le but de retrouver tous ses souvenirs, il arrive que la
mémoire
s'ouvre et que le patient parle parce qu'il se ra
professeur Donders. le docteur A.-W. Renterghem, d'Amsterdam, a lu un
mémoire
intitulé : De l'hypnotisme et de la suggestion ap
ubliques à l'instar de celles de M. le docteur Lié-beault. Dans son
mémoire
, dont la lecture a été suivie avec tout l'intérêt
, au lieu de recourir à l'hypnotisme. La lecture de cet intéressant
mémoire
a été suivie de quelques débats qui ont conduit à
es hommes devenus célebres par la facilité de leur parole et par leur
mémoire
des mots, il a exprimé le regret que la pratique
sier de cette affaire, les renseignements réunis par la famille et un
mémoire
auto-biographique rédigé par le docteur Lamotte d
ifeste et plus caractérisée qu'au mois de juillet; les troubles de la
mémoire
sont très marqués ; il ne se rappelle plus le nom
périence, et cela dans le même ordre. N'est-ce pas là un phènomène de
mémoire
? et ne peut-on pas expliquer par cette vivacité
dans un vase agissent par suggestion et auto-suggestion et que la
mémoire
est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à
ue la mémoire est très vive dans le sommeil hypnotique. Grâce à cette
mémoire
, on pourra expliquer des toits qui sont restés ju
i recueilli jusqu'à ce jour i3i cas de pelade : 100 avant mon premier
mémoire
et 31 depuis. L'investigation faite par tous les
je ne puis passer sous silence un fait topique que je trouve dans le
mémoire
de M. Coutant. Il s'agit d'un soldat atteint de p
t, nous aurions pu, d'accord ensemble, rectifier quelque défaut de sa
mémoire
, ce qui aurait évité a la Société une explication
r pas prévenu de cette publicité, et ne s'être pas prémuni contre une
mémoire
peu fidèle ? Veuillez agréer, Monsieur le Prési
écernera, s'il y a lieu, des récompenses honorifiques aux auteurs des
mémoires
qui, sans avoir obtenu ce prix, auront néanmoins
tions ayant une valeur scientifique digne de fixer l'attention. Les
mémoires
, écrits en français, en anglais, en allemand ou e
enveloppe cachetée, portant une épigraphe qui est répétée en tête du
mémoire
. Cette enveloppe n'est ouverte que si le travail
à distance qu'il a faites sur Mme B..., depuis la publication de son
mémoire
à ce sujet. Ce sont des expériences inédites à aj
étrique, qui lui aura été adressé. Pour être admis au concours, les
mémoires
doivent être écrits en français, inédits, accompa
tant le nom de l'auteur et reproduisant l'épigraphe placée en tête du
mémoire
, et être adresses franco, avant le 1er novembre 1
je ne pourrais pas deviner qu'elle n'est pas dans son état normal. Sa
mémoire
est entière pour tout ce qui lui est arrivé aupar
le passage rappelé. Mes seuls somnambules, avec perte régulière de la
mémoire
, sont les premiers sujets que j'ai créés, lorsque
évrier, mars 1888.) MM. Auvard et Secheyron ont basé leur important
mémoire
sur huit observations détaillées, dans lesquelles
urs dans l'état premier : on peut conclure à tort de cette absence de
mémoire
au succès de l'hypnotisme comme anesthésique. »
es sur les sujets mis en état d'hypnotisme. 11 avait publié plusieurs
mémoires
intéressants, dans esquels il prétend être arrivé
ptômes les plus ennuyeux ont disparu comme par enchantement. (i) Le
mémoire
de M. Voisin est publié plus haut in-extenso.
d public : dans les sciences, la popularité est un péril. Les livres,
mémoires
, articles, recueils d'observations et d'expérienc
NOTISME (depuis 1880) Janet (Pierre) : Les actes inconscients et la
mémoire
dans le somnambulisme. (Revue philosophique, mars
'abord à donner seulement une seconde édition, revue et augmentée, du
Mémoire
que j'ai lu, il y a quatre ans. sur le même sujet
savants français et étrangers. La modeste brochure que formait mon
Mémoire
devient ainsi un livre qui. par ses proportions t
imples on peut paralyser un corps, supprimer une volonté, éteindre la
mémoire
, transformer un homme en automate pour en faire l
plique l'état d'esprit singulier de notre jeune malade, ses pertes de
mémoire
, son somnanbulisme diurne et ses crises. L'effi
vec une certaine appréhension à mes questions. Intelligence nette. La
mémoire
, peu exercée, est infidèle. Quant au tic, il est
bien l'élément émotionnel, véritable « hypermnésie systématique de la
mémoire
affective », selon l'heureuse expression des aute
lusions presque identiques, lu jour où j'ai pris connaissance de leur
mémoire
. Après avoir en effet renoncé à comprendre, d'a
, tandis que dans le sommeil déterminé, l'esprit du sujet conserve la
mémoire
de la personne qui l'a endormi, de là provient le
favoriser la concentration mentale du patient et do rappeler ainsi la
mémoire
perdue. Berheim dit : « Si je pose ma main sur le
s d'Azam et de Broca, il adressa à l'Académie des Sciences un dernier
mémoire
, remarquable résumé de ses ouvrages, dans lequel
Société d'hypnologie et de psychologie ne manquera pas de donner à sa
mémoire
le tribut d'admiration et de regrets auquel il a
u génie? Qu'en pense lo Dr Toulouse ? B. R. — N'est-ce pas dans les
Mémoires
de Constant qu'on lit que Napoléon se rongeait so
soutenue à ce sujet, depuis 1884, par le rapporteur, d'abord dans un
Mémoire
lu à l'Académie des sciences morales et politique
rapporteur s'efforce de combattre l'argumentation de M. Delbceuf à la
mémoire
duquel il rend d'ailleurs un hommage mérité, et d
y règne. Même quand il s'agit d'hypnose légère qui n'exclut pas toute
mémoire
, il est difficile de se procurer des renseignemen
rté d'esprit, ses facultés d'attention et d'analyses, enfin où la
mémoire
n'est ni abolie ni même affaiblie. Considérant
pas classé dans les premiers. Notons que, dans ces derniers temps, sa
mémoire
a diminué, et qu'en outre il n'est plus capable d
ernand F... est redevenu l'excellent élève qu'il avait été jadis ; sa
mémoire
est plus facile et plus prompte . il ne se fatigu
iste ou injurieux et leur reproduction monotone témoigne du défaut de
mémoire
et d'imagination du dément sénile. Au début des
isme à la production du sommeil artificiel, «quand il y a perte de la
mémoire
, de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun sou
tion de mot ; il y a plus, cependant. J'ai démontré, en effet, que la
mémoire
n'est jamais abolie après Thypnose profonde; que
tisme. Cet ouvrage était un résumé de Neurypno-to/j'y et contenait le
mémoire
envoyé par Braid à Azara en 1860. Ce mémoire lui
o-to/j'y et contenait le mémoire envoyé par Braid à Azara en 1860. Ce
mémoire
lui était parvenu après avoir été en possession d
ypnotisme au point de vue médico-légal. C'est ainsi qu'il a publié un
mémoire
sur la fascination exercée dans un butcrimincl et
créer de nouvelles ; accroître l'énergie de l'attention et de la
mémoire
; éveiller et développer les aptitudes naturelles
u sommeil hypnotique. 2° L'emploi de l'hypnose pour faire perdre la
mémoire
d'une scène dont le sujet aurait été témoin et se
om et au nom de la Société toute entière, un respectueux hommage à sa
mémoire
. M. Paul Hartenderg lit une communication sous
ndant de longues années, et c'était pour moi un devoir de rendre à sa
mémoire
la justice que lui méritent la valeur de ses trav
llerie ou le Rôle que la Bible a joui chez les sorciers. (Extrait des
Mémoires
de F Institut égyptien). — Iri-4* — Le Caire, 189
e, la haute intelligence qu'a été Delbœuf! I Delbœuf s'attaque au
Mémoire
que, dix ans auparavant, j'avais eu l'honneur de
Belgique, Delbœuf s'empare de deux des expériences décrites dans mon
Mémoire
de 1884, et reproduites dans l'ouvrage que j'ai p
er, ce que je lui avais dit de faire. Mais j'avais ajouté, dans mon
Mémoire
de 1884 :« presque sans transition, sa mère lui r
en était pas (1) Voyer. Littré. (2) M. Bernheim, dans son dernier
mémoire
, page 9, s'exprime ainsi : « On désigne sous le n
ude Bernard, et rappelée par M. Paul Janet, dans la discussion de mon
Mémoire
à VAcadémie des sciences morales et politiques, c
éories que je soutiens depuis près de quatorze ans. Delbœuf Tacite de
mémoire
dans son Discours à l'Académie de Belgique, mais
ication des comptes-rendus, a décidé que les notes manuscrites et les
mémoires
communiqués à la Société, doivent être remis au s
ajoute des jugements de réalité aux séries de l'imagination et de la
mémoire
(1) ». Dès lors, ce que l'on a pu réaliser ou con
bservation dont il s'agit, que nous avions déjà mentionnée dans notre
Mémoire
de 1S84, et qui présente un cas très curieux de c
nt était grande, complète, absolue, dans son esprit, la rupture de la
mémoire
, entre la condition seconde et l'état normal ! Ah
u réveil, retrouve, une fois remis de nouveau en sommeil provoqué, la
mémoire
de tout ce dont il a été — pendant les sommeils p
ication des comptes rendus, rappelle que les notes manuscrites et les
mémoires
communiqués à la Société doivent être remis au se
ication des comptes-rendus, a décidé que les notes manuscrites et les
mémoires
communiqués à la Société, doivent être remis au s
e pour le sujet et que le sujet construit selon son imagination et sa
mémoire
apparaît et répond aux questions qui lui sont adr
à force d'entendre et de répéter ces termes, il les retiendra dans sa
mémoire
, mais je doute qu'il en conçoive le sens. » Nous
utisme (au moins temporaires), trau-matismes, fractures, pertes de la
mémoire
, paroles incohérentes, cris désordonnés, nouement
gique), par exemple, quand il s'agit de stimuler ou de développer une
mémoire
peu facile, peu tenace ou peu prompte. C'est ains
ne, 1&*8.) suscités et dissociés, l'observation interne et la
mémoire
au réveil exaltées, etc. La psychologie en généra
lus éminents du barreau de Paris, nous indique le passage suivant des
Mémoires
secrets de Bachaumont, dans lequel se trouve une
'il en réchappera ; que s'il est 1. Vie de Jacqueline Pascal. (ij
Mémoires
secrets de Bachaumont, p. 287. Paris, A. Dclahays
7. — La première partie de ce gros volume de 825 pages comporte douze
mémoires
originaux signés de MM. Kibot, Binet, Courtier, V
'à ce que l'opérateur le réveille, on ne peut pas toujours raviver sa
mémoire
par la suggestion. Il est vrai que le sujet peut
ue les suggestions les plus pressantes ne peuvent en faire revivre la
mémoire
. Tandis-que M. Bernheim affirme que la mémoire
en faire revivre la mémoire. Tandis-que M. Bernheim affirme que la
mémoire
peut toujours être rappelée, il décrit dans son o
ous reste plus qu'à développer chez cette personne les facultés de la
mémoire
visuelle et l'habileté manuelle qui sont si néces
t nettement au type vituel et elle est douce au plus haut degré de la
mémoire
visuelle. Cette observation nous confirme dans l'
. L’auteur a provoqué l’examen de l'Académie par la lecture d’un long
mémoire
dans lequel il substitue au mot magnétisme celu
« L’Académie a entendu avec le plus grand intérêt la lecture de ce
mémoire
. « Un des membres de l’assemblée a fait observe
ssoulevés par les expériences et par les recherches de l’auteur de ce
mémoire
pour que l’Académie du Gard restât étrangère à ce
favorables au développement des phénomènes sympathiques, l’auteur du
mémoire
s’empresse de se mettre à la disposition de l'Aca
loignés et connaissance de ce qui s’y passe à l’instant même; mais la
mémoire
ne conserve que pour un temps très-court le souve
vis pour moi en ce moment! Chers élèves de Besançon, rappelez à votre
mémoire
les faits qui servirent ù votre conviction et qui
nt digne « Du Dieu des bonnes gens. » De ses leçons gardons bien la
mémoire
; Qu’il nous conserve un flatteur souvenir; El
veut traduire. On se dispute sur ce terrain, et il se compose de gros
mémoires
pour substituer un H* à un H8 dans l’écriture reç
u 28 janvier. — Un nouveau membre, M. Péreyra, de Tiflis, lit un long
mémoire
, dont voici les passages principaux. Poil leneb
ments, elle enflamma nos cœurs. Honneur à Mesmer! Messieurs, que la
mémoire
ds cet homme de bien soit impérissable; que la vé
par nous consacré; bientôt nous ne serons plus seuls à en rappeler la
mémoire
. Le magnétisme se répand, il échauffe lés âmes, e
oniaque. Son auteur fatigue périodiquement J’Académie des Sciences de
mémoires
sur les prétendues fonctions des plexus nerveux,
eusement au lieu de les décrire. Tout ce que je puis vous dire de ces
mémoires
, c’est qu’ils sont tous datés de châteaux royau
t comme toujours, dans ces moments, personne ne trouva un nom dans sa
mémoire
. s Shakspeare, » dit enfin le compagnon de voyage
l'attraction magnétique. Séance du 2 avril. — M. Dubois lit un long
mémoire
sur une sorte d’obsession momentanée, d’action oc
. « Je me retirai avec promesse de revenir le lendemain, sachant de
mémoire
les prières et les signes à tracer. Je fus donc t
(Suite.) § VIII. — MAGIE. Troisième observation. Un passage des
Mémoires
de Saint-Simon pourrait faire croire que quelque
in le sort de tous les grands génies : il fut persécuté! Hommage à sa
mémoire
, Messieurs ;' que notre reconnaissante égalé tes:
us remplaceront bientôt dans notre mission’. Honneur à Mesmer? que sa
mémoire
soit impérissnblè comme sa découverte! » Ce dis
, aimable, savant baron du Potct ! « Promettons-lui de conserver In
mémoire
de ses « œuvres, et fasse Dieu qu’il nous pénètre
r protesta. Un autre artiste encore voulut concourir à éterniser la
mémoire
de cette fête, comme si rien ne devait être laiss
erchent l’auteur, l’honorent s’il vit; s’il n’est plus, conservent sa
mémoire
comme le seul tribut qu’on puisse payer aux morts
a mort date de 1815. Il est temps de rendre publiquement hommage à sa
mémoire
. La ferveur des adeptes, qui ne s’est jamais refr
couvertes. « Mais est-ce là le cas de l’homme dont nous vénérons la
mémoire
? Le vil-on jamais dépouiller la veuve ou l'orp
déshérités de toute vertu. Bien plus, ne laissons jamais outrager la
mémoire
de ceux qui nous tendirent une main secourable da
des sociétés «de médecine, qui lui avaient été opposés; écrivait des
mémoires
, qu’il envoyait à la Convention, sur l’extinclion
e seul nom de Mesmer faisait battre leur cœur en réveillant dans leur
mémoire
les grandes pensées humanitaires qu’il y avait dé
l’inspiration, atteste plutôt leur ignorance de la suspension de la
mémoire
que leur fourberie pourcacher ce phénomène, que n
contient l’exposé de scènes magnétiques qui prouvent que l’auteur des
Mémoires
d'un Médecin n’est étranger ni ù la science de Me
ste vérité, Portera contre vous un blâme mérité, El lernira.volre
mémoire
. Ah! suivez sa bannière, il en est temps encor
an-Jacques. Cela sera curieux, à part la ressemblance. Ayant déjà les
Mémoires
d’une somnambule des plus lucides, nous désirons
rien ne lui était étranger. Il écrivit sur ces diverses questions des
mémoires
qui lurent envoyés à la Convention, et que nous a
ner la race humaine. Mais, malgré l’attrait qu'offre la lecture de ce
mémoire
, nous l’eussions certainement laissé dans nos car
pose ici avoir précédé, il reconnaîtra l'arbre. Son imagination et sa
mémoire
, par les modifications que le mouvement de la pre
ternelle comme elle. VARIÉTÉS. Le malade et le médecin. — Dans un
mémoire
sur lo magnétisme qui nous parvient, nous trouvon
èrent et brûlèrent. Mais nous avons des exemples de bien plus récente
mémoire
. Je ti ns du président de La Tourette qu'il a vu
esprit quand elles veulent. « Nous avons encore un exemple de notre
mémoire
advenu à Bordeaux en 1571, alois qu’on persécuta
que ceux qui ont été endormis par breuvages narcotiques n’ont aucune
mémoire
de chose quelconque, tandis que les sorciers on
le créance ils méritent. Le National du 13, dans son feuilleton les
Mémoires
d'un Prêtre, expose d’une manière très-favorable
s tons-«dè l'orgue a«iîerveau plus-délicat ie Byron, s’étendait (1)
Mémoires
«ur la fie Je lord Byron. magnétiquement à tous
éminiscence, devenue contagieuse par la soudaine association de leurs
mémoires
et l’accord involontaire de leurs sentiments. Car
u contact le plus élémentaire des sens. Mistress Hutchinson, dans ses
Mémoires
, raconte comment un jeune homme s'éprit d’amour p
’avait aucune prise sur cette âme aussi candide que fière, et que ses
Mémoires
forment par leur authenticité un monument politiq
c, considérée comme inspirée. La Presse continue la publication des
Mémoires
d'un médecin, feuilleton où les scènes magnétique
magnétique animal, ainsi que de ses effets relativement aux maladies,
mémoire
lu à l’Athénée électromagnétique de Lyon. La po
eau examinée en 1848, et les magnétiseurs sont invités à adresser des
mémoires
pour éclairer le congrès.. Espagne. — Le Consei
de 1784, qu’il cite sans cesse , est mensonger, et que c’est dans un
mémoire
secret que les commissaires ont exprimé leur opin
s hommes touchant la science qui nous occupe. On peut donc espérer un
mémoire
intéressantet à coup sûr instructif. Le Guetteu
primande qu’il vous adresse : « ... Depuis cinq mois, si j’ai bonne
mémoire
, vous en êtes à votre troisième mécompte: mécompt
on n’a jamais toutes les perfections. Nous parlons de ce livre pour
mémoire
et pour qu’il soit classé avec les œuvres des ant
oute espèce d’influence, ont réussi pleinement, et servent de base au
mémoire
de M. Andriveau qu’on va lire tout à l’heure. U
es a rattachées aux lois astronomiques, ainsi qu'on va le voir par le
mémoire
suivant qu’il adresse à M. du Potet. Monsieur,
tifs qu’on nous en cite ne trouvent leur explication dans un effet de
mémoire
. Si le sujet parle dans un idiome qui lui est inc
r je n’ai pas besoin de vous dire quel degré de puissance acquiert la
mémoire
dans le somnambulisme magnétique. Du reste, vous
124, 149 Lucidité. (Voy. Clairvoyance.) Le Magnétisme. (Ode.) 20
Mémoire
de Mesmer sur la morale, l'éducation et la législ
de la Salpè- trière, le seul travail récent sur la matière était un
mémoire
de 11f. Cli. lticltct sur le somnambulisme prov
entes manièresde concevoir la question, nous ne citerons que pour
mémoire
celle qui consiste dans la négation pure et simpl
mpruntés à la thérapeutique ordinaire. Nous ne parle- rons que pour
mémoire
de l'hypnotisme dont l'étude nous entraînerait
davantage sur les hypothèses possibles. Mentionnons seulement pour
mémoire
celles, forcément non soutenues, qui attribuaie
ent, victime d'une fièvre typhoïde contractée dans son service. Son
mémoire
a pour titre : De la coexistence de l'hystérie et
'il ne soit pas décerné cette année à cause de l'insuffi- sance des
mémoires
qui ont été présentés, et que dorénavant on met
e dans les comptes rendus des Asiles. » La discussion à laquelle le
mémoire
donne lieu porte principalement sur la difficul
complets au point de vue étiologique. Le De Fletcher BE.1CI lit un
mémoire
sur Y «Hypertrophie du cerveau chez les imbécil
on suivante : Le Conseil d'Etat ; etc. Vu la requête sommaire et le
mémoire
am- pliatif, présentés pour le département de l
ncours est FAITS DIVERS. 155 ouvert à toutes les nations ; 2° les
mémoires
doivent s'appuyer sur des observations et des e
nales recueillies sur l'homme et sur des animaux inférieurs; 3° les
mémoires
doivent être écrits en anglais, en français ou
s ce dernier cas, ils doivent être en caractères italiens) ; 4° les
mémoires
doivent être adressés, affranchis, avant le 1"
u Dr E.-C. Seguin, il, West-street, n° 0, cité deiNew-Yorlz. Chaque
mémoire
portera une devise, qui devra être répétée dans
veloppe cachetée, conte- nant la carte de visite de l'auteur; 5° le
mémoire
couronné sera la propriété de l'Association, qu
d'un remède curatif de l'épilepsie. Conditions des concours. Les
mémoires
, lisiblement écrits en latin, en français ou en
aire de l'Académie, à Bruxelles. Seront exclus du concours : 1° les
mémoires
qui ne rempliront pas les conditions précitées;
itions et les pages des livres auxquelles ils les emprunteront. Les
mémoires
doi- vent être revêtus d'une épigraphe répétée
u'une récompense seule- 15(5 FAITS DIVERS. ment est accordée à un
mémoire
de concours, le pli qui y est joint n'est ouver
is, en fournissant au secrétaire de la com- pagnie la preuve que ce
mémoire
est son oeuvre. L'Académie ac- corde gratuiteme
est son oeuvre. L'Académie ac- corde gratuitement, aux auteurs des
mémoires
dont elle a ordonné l'impression, cinquante exe
repos mérité, après une vie de labeur, M. Marchant a laissé dans la
mémoire
de tous de» souvenirs sympathiques auxquels les
re été en France l'objet d'aucune monographie spéciale ; dans les
mémoires
consacrés à l'étude des circonvo- lutions, on d
ance grise du corps godronné). Les principaux points que le présent
mémoire
a pour objet de mettre en évidence, comme absol
points, un rapide coup d'oeil sur les planches qui accompagnent ce
mémoire
suf- fira pour fournir au lecteur préparé la dé
ploi de la faradisation localisée. Ce rapprochement nous a remis en
mémoire
les belles expériences de Duchenne (de Boulogne
,1'examen de l'écriture n'a pas été fait. Enfin, en,1876, parait le
mémoire
de M. Kùssmaul « sur les troubles de la parole
on pourrait appeler l'anidie ou mieux asématomné- sie. Y a-t-il une
mémoire
distincte pour les signes fournis par la vue et
ième. : ... ' in. . - . X " En 1876, M. Küssmaul a réuni, dans le
mémoire
que nous avons déjà cité, quatre observations d
bord se lever, mais l'intelligence était encore abolie ainsi que la
mémoire
. X... ne reconnaissait pas ses parents et ne se s
son état normal. Le lendemain; il n'y avait plus de troubles de la
mémoire
et de l'intelligence. Les jours suivants, le ma
ions, contracture et troubles passagers de l 'intelligence et de la
mémoire
. Nou- velle application du traitement, nouvelle
t nF · r rrr, t... ? , . ? f, r < . - . . La première portion du
mémoire
, celle dont il s agit ici, porte·.lé'titré'de P
e complexité de ce titre fait déjà prévoir qu'il ne s'agit pas d'un
mémoire
'ayant fia prétention rde'jtraitersàjfond; ! ces
12 sa m1' Xt) ,b ' y) · IU n -'i > ui< ^..J .iii ''" Dans ce
mémoire
important, dont l'analyse est, bien;loin.de rem
r .7nl)Trrr rc l -».,i-, ^,ir.,^ servations relatées au cours de ce
mémoire
. Les malades^en »fl» ? I I»- oi ? ril. 1 n'. tr
la cause de l'organisation «/non il- 2nw Y )'Les - conclusions; du'
mémoire
, ! en ce qui»touche; à'propre- mont,parler la c
e. La terre, ,va iecouvrir à nos,yeux ses, derniers restes, mais sa
mémoire
vivrâ i : egëettée et honoréefSonnom ne sera ou
Furstner commence la série des communi- cations par la lecture d'un
mémoire
sur le Délire aigu '. " M. Jolly présente un tr
'ajoute des développements historiques et matériels. Il il, . 1 'Le
mémoire
de M. ROLLER sur les Racines. spinales des jierfs
s le cadre de la neuro-patholo-ie. i ? fh'h n L'auteur a divisé son
mémoire
en quatre chapitres princi- étudie successiveme
ecine dans un travail qu'il présenta au concours du prix Corvisart,
mémoire
dans lequel il traitait des épanchements pleuré
surtout constitués par des troubles divers de la sensibilité, de la
mémoire
, de la volonté, qui se manifestent par des mo-
ultanément tous les instruments et suivant par la lecture ou par la
mémoire
la partition de l'opéra, réunit dans chacun de
hystérique. Nous avons suivi son exemple, Breuer et moi, dans un
mémoire
préliminaire (Uber den psychischen Mechanismus
u2-olog. Centralblatt, n° 1 und : 3, 1893). Nous démontrons dans ce
mémoire
que les symptômes permanents de l'hystérie dite
té de l'écorce cérébrale serait une région sensorielle, siège de la
mémoire
et de la volonté. En admettant, par exemple, que
nations du sens musculaire (membres amputés) et récem- ment dans un
mémoire
de Tamburini sur les hallucinations du mouvemen
er à la hauteur de ce glorieux apostolat... » ' Nous citerons les
mémoires
suivants : Descente tardive du testicule, prise
est sorti son beau Traité de l'épilepsie (1854) et son remarquable
mémoire
: Des principes qui doivent présider à l'édu- c
liénation m-nlale occasionnée par les émanations mercurielles,18l0;
Mémoire
sur divers cas de furoncles, d'anthrax, pustule
e sur divers cas de furoncles, d'anthrax, pustules malignes, 1841 ;
Mémoire
sur divers cas de réten- tion d'urine, 1841; -
gnes, 1841 ; Mémoire sur divers cas de réten- tion d'urine, 1841; -
Mémoire
sur divers cas de fractures, 181; Expérience su
jonctives. avec la solution concentrée de nitrate d'argent, 98f4; -
Mémoire
sur l'exlase, 1812; - Considérations sur les te
eurs et un de ses anciens présidents. Elle conservera pieusement la
mémoire
de M. Delasiauve ;. son nom sera toujours prono
te tribut de sym- pathie et de reconnaissance que nous devions à sa
mémoire
. Aui nom de tous, adieu, cher et vénéré maître.
t pas de moindre mérite et au nom duquel je viens saluer sa vénérée
mémoire
: celui d'anthropologue et de membre de la Soci
pologie, je salue'de ces hommages respectueux et reconnaissants, la
mémoire
du D'' Delasiauve. M. le Dr ISA11OEARD, député
M. Baker vient donner aujourd'hui quelques renseignements, dans un
mémoire
accompagné d'une photogravure et d'un plan déta
soit enfin d'hémon'hagies an- ciennes, comme Minor l'admet dans un
mémoire
récent, ou de foyers de ramollissement comme le
ta i,.t "if' xitdq iin t ! 1"J'hJ(1'" 0 . t v t.. t r · t w` `1 'r
Mémoire
très bien, ordonné avec observations personnelles
x observations paraissent démontrer la localisation du centre de la
mémoire
visuelle des mots au niveau du lobule pa- riéta
ue, t ' général; par B. Feist. (Neurol. Centralbl., 1892.) . il i
Mémoire
très détaillé avec dessins. L'analyse ne peut sup
, de dénûment dans leur provision de mots, de perturbations dans la
mémoire
ekl'association des, conceptions, ' d'une obnub
-, ? - `' ` Résumé de quelques- travaux, sur la parole des,.idiots (
mémoire
'de Solfier) : L'auteur conclut que la symptoma
xemple, la découverte d'un remède curatif de l'épilepsie. N. B. Les
mémoires
lisiblement écrits en 176 s BULLETIN BIBLIOGRAP
il fut le collabora- teur assidu de 1857 à 1869. En outre de ses
mémoires
originaux, sur l'Endocardite ulcéreuse, les Emb
es et qui sert généralement de guide aux praticiens ; son admirable
mémoire
sur la Foi qui guérit, dans lequel il prouve qu
de dire, d'une façon exacte, le nombre des thèses de doctorat, des
mémoires
et des thèses d'agrégation auxquels il a apport
ssurer avant de mourir. Il n'est plus là pour agir. Mais l'illustre
mémoire
du père, le souvenir des immenses services qu'i
lheur, hélas ! est arrivé. 202 J.-M. CHARCOT. Lorsqu'on lit son
Mémoire
de la fin de 1892, pensé avec une si haute élév
ement qui admi- nistre notre pays, lui devait un deuil national. Sa
mémoire
respectée survivra certainement sans avoir reçu
de passer en revue les résultats obtenus par ces aliénistes, car ce
mémoire
est un travail exclusivement clinique destiné à
oses espacées dont les résultats complets feront l'objet d'un autre
mémoire
et arrêtée également sans trace d'accoutumance,
ce point, une série de recherches qui seront sous peu l'objet d'un
mémoire
spécial. Pour l'ins- tant, nous nous bornerons
- Mensonge et aliénation mentale. ' ( J Nous rappelons que tous les
mémoires
inscrits ici sont publiés in extenso à part et
nt pour ceux qui sont susceptibles de travail. Tel est le fond du
mémoire
de M. Noecke, peut-être nous trom- pons-nous, m
centrale bien pourvue prête à parer à toutes les éventualités. Le
mémoire
de M. Noecke ne nous donné point tort. Voici par
au concours à la Société médico-psychologique en 1886, et que deux
mémoires
sont publiés, un par M. Legrain, un par nous-mê
arrête au milieu de sa phrase pour retomber dans sa torpeur. , La
mémoire
est complètement perdue; la malade n'a plus aucun
nciation supérieure qui caractérise les cellules nerveuses. Dans un
mémoire
précédent je me suis efforcé de montrer que cer
nt-elles presque des traduc- tions : ce sera le cas pour le présent
mémoire
. ' L'auteur rappelle d'abord qu'en traitant des
Communication casuistique relative A l'étude DES illusions DE -- la
mémoire
; par H. SCHELDTLER, (Allg. ZC2tSCÎ6, f. Psychicit
moins grande chez les sauvages et les peuplades 1 Voir Bourneville.
Mémoire
sur la condition de la bouche chez les idiots;
isager les faits de M. Hoppe est exacte. . Discussion relative au
mémoire
de M. LEYDEN. -j)7 ? /g/t<e chor21- que et l
ci l'examen objectif de la sensibilité dans la névrose traumatique.
Mémoire
publié in extensol. Discussion : 'M. JOLLY dema
a pathologie dans la paralysie spi- nale atrophique chronique.1 1
Mémoire
publié in extenso dans les A1'chiv. sur Psychiatr
aison plau- sible ou sous le couvert de prétextes irraisonnés. La
mémoire
est souvent atteinte, soit dans son ensemble, soi
ur n'insiste, pas davantage sur ce phénomène, et il faut arriver au
mémoire
de Loeri (deBudapesth), sur les maladies du laryn
aux de M. Magnan ont complètement élucidé et défini cette étude. Le
mémoire
de Lasègue fait l'histoire de catégories très d
des revendi- cations qu'il croit justes. Les images optiques et la
mémoire
visuelle présentent chez lui une intensité d'im
défectueuse; une idée abstraite demeure difficilement fixée dans sa
mémoire
. Il 378 RECUEIL DE FAITS. déclare que, étant
a conception et supprime les facultés d'analyse. Les troubles de la
mémoire
et de l'éducation empêchent enfin l'utilisation
ore EWART. (The Journal of Mental Science, juillet 1890.) Dans un
mémoire
de plusieurs pages, M. Ewart insiste sur les se
90.) On ne peut que résumer ici les principales conclusions de ce
mémoire
qui sont les suivantes : A. En ce qui touche le
s; par A. Mercier. (The Journal of Mental Science, Avril 1891.) .
Mémoire
très important (dans lequel pour la détermination
e nous reprochera pas de donner quelque étendue à l'analyse de ce
mémoire
, et de suivre presque pas à pas l'auteur dans le
symptômes étaient passa- gers et se montraient surtout le matin, la
mémoire
était légère- ment atteinte, il y avait un peu
èdent; o° dans leur association; 6° dans leur stabilité; 7° dans la
mémoire
: hy- permnésie, amnésie, paramnésie. Ce sont
prétention, dans cette brève communi- cation, de vous présenter un
mémoire
détaillé sur les variétés cliniques du délire d
s et diverses autres affections, par J. Ba- bilisizi. (Bulletins et
Mémoires
de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 1
vent ce phénomène nerveux. Outre ce bégaiement, je constatai que la
mémoire
était encorebien diminuée et une sorte d'hébétude
ces, puisqu'elle rend d'un seul coup l'enfant amnésique. Il perd la
mémoire
des mouvements coordonnés des lèvres et de la '
que l'enfant était complètement guéri de son bégaiement, et que la
mémoire
lui était revenue. Cette observation offre un c
moi une révélation. Tant de coxalgies dans i 1 Voir à ce sujet le
mémoire
de M. Babinski intitulé : « De la migraine ophl
'accidents z pathologiques dont la discussion n'appartient pas à ce
mémoire
, ou, ce qui est' plus probabfe.le tuyau ' médul
ement avec les scotomes qu'elle devait sans cela suivre fatalement.
Mémoire
publié in extenso. M. KLI';MPEREIt. Contributio
- : Clinique-des maladies du système nerveux (leçons du professeur,
mémoires
, notes et observations). Parus pendant les années
lusions, communication casuis- tique relative à l'étude des de la
mémoire
, par Scheldtler, 326. Impulsions, sur deux cas
Klamperer, 496; un cas de tuberculeuse, par Ri- berolles, 506.
Mémoire
, communication casuisti- tique relative à l'étu
ouvenir au moment même du réveil, s'efface très prompte-ment de notre
mémoire
lorsque le réveil est devenu complet. , SOCIÉTÉ
'avaient jamais existé. Mais l'oubli n'est que relatif : une certaine
mémoire
subsiste à l'état latent dans la sphère subconsci
absolument, mais des choses que nous avons oubliées; ils exaltent la
mémoire
; ce sont des rêves hypermnésiques. En voici d'u
ues heures après qu'ils ont eu lieu, il est déjà trop tard, car notre
mémoire
n'est plus fraîche, des détails nous échappent ;
point, certes, la bonne foi du narrateur, mais les incertitudes de sa
mémoire
et les constructions de son imagination vigile.
plus émotif, et par contre sa capacité d'attention était moindre, sa
mémoire
et ses autres facultés psychiques moins parfaites
vers animaux, pour expliquer en « quoi consistent l'imagination et la
mémoire
». Sur son frontispice, on pourrait graver cett
pas. Je puis comme pas mal de gens de ma connaissance, extraire de ma
mémoire
maint souvenir de faits aux allures extraordinair
t pas étudié les hallucinations, dont nous allons tant parler dans ce
mémoire
(1). 1° En une impression faite par les objets
pourrait faire mieux; comme Marie Alacoque elle pourrait rédiger ses
mémoires
et les faire imprimer. Si la maladie s'aggrave,
igieux et des religieuses dans les couvents ; Marie Alacoque dans ses
mémoires
parle le même langage que le Père Capucin dans so
nels produisant un état de manie aiguë, qu'elle nous décrira dans son
mémoire
. (A suivre) COURS ET CONFÉRENCES Contract
ience des sujets. Développement de la suggestion. 17 Décembre. — La
mémoire
et la volonté. Influence de la suggestion sur c
eurs purement humains. C'est dans cet ordre d'idées qu'est écrit ce
mémoire
. Mais, avant de raconter l'histoire de la chemise
e tel. ¦ Ce sont ces deux miracles qui font l'objet principal de ce
mémoire
: ils eurent une grande importance et d'immenses c
volontaires. En effet, si l'image d'actes antérieurs disparait de la
mémoire
, il devient impossible de reproduire ces actions.
ut signaler le rôle important joué par le souvenir inconscient. Notre
mémoire
présente en général trois aspects: 1° les traces
veille. C'est comme si son cerveau était organise-en vue d'une double
mémoire
, une pour l'hypnose et une pour l'état de veille.
entreprises, ou font la noce- Sur l'intelligence : les qualités de
mémoire
, de jugement, de raison- nement, de sens crit
es symptômes éprouvés; c'est ce que l'on peut constater en lisant les
mémoires
de sœur Clément et ceux de Marie Alacoque. Noto
it. (1) Voir les numéros d'Octobre, Novembre, Décembre 1902. (2) Ce
mémoire
a été la à la Société de médecine d'Alger. J'
cette forme d'aliénation. Avant d'aborder le sujet principal de ce
mémoire
, je vais citer l'observation d'une malade dont le
ons pas nous étendre trop longuement sur ce sujet, en reproduisant le
mémoire
en son entier ; ce serait raconter pour ainsi dir
nt être dirigées vers l'étude des facultés primordiales telles que la
mémoire
, et elles devront avoir pour but la dissociation
les actes polygonaux sont des actes psychiques, parce qu'il y a de la
mémoire
et de l'intellectualité dans leur fonctionnement.
hèse. Un côté curieux de la psychologie sommeil est l'état de la "
mémoire
. -I1 y a des rêves qu'on se rappelle au réveil,
s oubliés au réveil peuvent avoir laissé cependant leur trace dans la
mémoire
polygonale et alors le sujet les retrouve dans le
tisme à ta production du sommeil artificiel, quand il y a perte de la
mémoire
, de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun sou
hiques de l'hypnose, il est facile de voir encore que ni l'état de la
mémoire
, ni (1) Paul Richer et Gilles de la Tourette. A
d considérait comme la caractéristique de l'hypnotisme la perte de la
mémoire
de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun souv
ctes et dans certains cas les transmet à son propre 0 ; des ordres de
mémoire
polygonale (enregistrement d'images ou dïdées dan
n de son propre 0 ; et ainsi il est capable non seulement d'actes, de
mémoire
; mais aussi d'associations psychiques, même compl
ée avec un charme inexprimable d'exécution... Il se réveille, et « de
mémoire
» écrit exactement ce qu'il croit avoir rêvé. »
nt acquérir, durant le sommeil un degré plus grand de sensibilité. La
mémoire
, l'association des idées, l'imagination et même l
l'inexécution n'empêche pas toujours l'exercice de la volition. La
mémoire
joue, sinon le rôle le plus important, du moins l
gination. Autrement dit, en appliquant le parallélisme des forces; fa
mémoire
, la volonté, l'association des idées et toutes le
rès difficile, dans nos rêves musicaux (et cela, surtout parce que la
mémoire
n'est pas nette à notre réveil, quelqu'effort qu'
utant, c'est surtout la préoccupation, à un moment, de la perte de la
mémoire
, et, comme il le dit, d'un trou tout noir, qui se
hésitations. Les demandes et les réponses se succèdent sans trêve, la
mémoire
est constamment en éveil et l'esprit tendu. Malhe
u'il recherche les occasions d'être questionne afin de se remettre en
mémoire
ce qu'il a appris depuis longtemps. L'effort en c
entraînement. Autant que j'ai pu en juger, on s'adresse surtout à sa
mémoire
, plus qu'à son raisonnement. On ne procède pas pa
u cerveau de l'enfant un instrument d'induction et de déduction. La
mémoire
est très entraînée et très développée. Volonté.
de ses muscles dont l'usage lui revient. Maintenant il retrouve la
mémoire
des mots et parle librement. Mais l'amnésie des f
c'est une rééducation qui se refait sous nos yeux, un retour de la
mémoire
disparue, rapide, angoissant et peu à peu, avec l
importante : Après la motiIité,la faculté la plus atteinte est la
mémoire
. Le sujet est en amnésie complète : amnésie des m
hemars provoqués par une mauvaise digestion. — Docteur! je perds la
mémoire
, nous confessent presque tous les stomacaux, je p
s la mémoire, nous confessent presque tous les stomacaux, je perds la
mémoire
et je n'ai plus d'énergie ! C'est le refrain pe
manifester qu'à la suite de l'exercice des comparaisons auxquelles la
mémoire
fournit les éléments. Supprimez la mémoire, vou
mparaisons auxquelles la mémoire fournit les éléments. Supprimez la
mémoire
, vous ne pouvez plus comparer, et par suite votre
arrive dans un moment où tout notre temps est occupé à parfaire deux
mémoires
que nous devons lire au Congrès de Madrid, dans q
devons lire au Congrès de Madrid, dans quelques jours par conséquent,
mémoires
concernant l'un, les miracles hystériques de Lour
ivement : Convention nationale; ce qui précise l’époque à laquelle co
Mémoire
fut écrit. (Note de PÉditeur). lité; 8° augment
up d’œil ce qu’il ne trouve que par un effort d’esprit, un travail de
mémoire
: les similitudes, oppositions et différences qui
e en maîtresse; les aérolithes tombent comme jadis , malgré vos beaux
mémoires
sur ces impossibilités. Et ce magnétisme animal,
ir pour tout magnétiste de donner une marque d’écialant souvenir à la
mémoire
du plus grand bienfaiteur des hommes, notre maîtr
pêcher les manifestations. 0 siècles affreux, disparaissez de notre
mémoire
! vous ternissez notre histoire, et vous n’offrire
ent de reprendre la publication du feuilleton de M. Alexandre Dumas :
Mémoires
d un Médecin. Dans la première partie il y avait
cela l’exemple des contemporains de Mesmer , entache plus ou moins la
mémoire
et la conduite de cet homme respectable : c’est u
vant magnétiste, M. de Tristan, et a été inséré dans le tome VIII des
Mémoires
de la Société des Sciences, etc., d’Orléans. Dans
s émotions pour ne les perdre jamais complètement, sans doute; car la
mémoire
de chacun reproduira souvent à l’esprit ces scène
tre maître, de tous les dénis de justice. Le temps, en entachant leur
mémoire
, les montrera ce qu’ils sont ou ont été, vains et
côté gauche. La vue s’affaiblissait extraordinairement, ainsi que la
mémoire
. M'"° C*** oubliait jusqu’au nom de son enfant. E
n génie, il sait qu’après lui seulement les hommes auront souci de sa
mémoire
, et regretteront d’avoir été ingrats : cela lui s
monde ne s’en occupe point, Ilippocrate seul est toujours présent. La
mémoire
de Mesmer sera non moins durable, car il a, plus
l’histoire. Les enfants des hommes qui nous maudissent béniront notre
mémoire
, car ils jouiront d’un bien conquis par nos effor
l même, par la haine et l’envie, la postérité qui t’attend vengera ta
mémoire
. « Et comment pourrai-je manquer de reconnaissa
âmes. « A Mesmer ! messieurs, à notre illustre maître! Buvons à sa
mémoire
, car il fut homme de bien. » A LA GLOIRE DE MESME
ée. Fête douce et tranquille, animée par les sentiments venus de la
mémoire
du cœur! Réunion sympathique, assemblée de frères
t dit, il y a déjà longtemps (i ), et c’est faute d’avoir connu (1)
Mémoire
sur la découverte du Magnétisme animal, 1784. 20
la séance du 28 mai, MM. Despretz et Becquerel vinrent lire chacun un
mémoire
sur ce sujet. Tous les deux avaient répété l’expé
le ses propres paroles) que, « dans la vie future, « elle conserve la
mémoire
du passé et des amitiés « faites sur la terre , e
orté au.siège «le la conscience qu’il n'en reste aucune trace dans la
mémoire
quand le dormeur recouvre ses sens. » Dix-huiti
Histoire académique du. Magnétisme animal, pag. S et G. (2) Premier
Mémoire
de Mesmer, proposition 1, p. 12 des Mémoires et A
ag. S et G. (2) Premier Mémoire de Mesmer, proposition 1, p. 12 des
Mémoires
et Aphorismes de Mesmer. Germer-Baillère, 1842.
(5). « Ainsi, théorie ou pratique, tout dans le mes- (1) Premier
Mémoire
de Mesmer, p. 113, aphorisme 80. (2) Jtàpporl d
(2) Jtàpporl de la Société ruijale de médecine, 1" part., 5 I. (5)
Mémoires
et Aphorismes de Mesmer, p. 172 ; apli. 333 et 33
(traduclion de M. Jourdan), t. VI, p. 101 et 102. Paris, 1815. (i)
Mémoires
et Aphorismes de Mesmer, p. 17-2; aphorisme 333.
er, p. 17-2; aphorisme 333. (5) Procédés de d’Eslon, à la suile des
Mémoires
et Aphorismes, p. 208 el 20‘J. mérisme concoura
novateur par des préoccupations grossières ; que le côté vrai- (1)
Mémoires
et Aphorismes, p. 152; aphorisme 194. (2) Mémoi
côté vrai- (1) Mémoires et Aphorismes, p. 152; aphorisme 194. (2)
Mémoires
et Aphorismes \ aphorisme 197. (5) Mémoires et
2; aphorisme 194. (2) Mémoires et Aphorismes \ aphorisme 197. (5)
Mémoires
et Aphorismes ; aphorisme 19S. ment noble de so
eur étranger eut en lui un impétueux et utile auxiliaire, l u premier
mémoire
apprit au public les cures merveilleuses de Mesme
mander son enfant l’injure sur les lèvres et l’épée à la main (2). Ce
mémoire
, qui tendait à (1) Foissac, Rapport et discussi
t discussions sur le Magnétisme animal, note 1, p. 220. (2) Premier
Mémoire
de Mesmer, p. 53. concilier à Mesmer l'intérêt
(2) Rapports et discussions, etc-, note 1, p. 222. (3) Bachaumont,
Mémoires
secrets, t. XXV, p. 252 el 255. (i) Burdin jeun
s’était séparé de ses confrères; on opposa son rap- (1) Bacbaumont,
Mémoires
secrels, l. XXV, p. 221. (2) Burdin jeune et Du
ils élevaient leur protestation jusqu’à la menace. » (1) Puységur,
Mémoires
pour servir à tHistoire el à l'établissement du M
e épurée arrive jusqu'à lui, Je le vois vous bénir, et sons i|UO sa
mémoire
Console votre avenir que le bonheur a fui. Pour
phénomènes mesmériques, tout en les attribuant > l'électricité. (
Mémoire
sur la découverte des phénomènes jue présentent l
SiagnéUmr animal, t. I", p. 88 (édit. de 1819). — Voy. encore Mesmer,
Mémoire
sur la découverte du Magnétisme animal, Propositi
iqués de la manière la plus simple et la plus satisfaisante » dans un
Mémoire
que lui, M. Pouillet, présenla à l’Académie le 16
e, 2e série, l. XL, p. 196. — L’auteur donne ensuite un extrait de ce
mémoire
dans lequel il démontre l’existence des courants
l, placés dans les circonstances ordinaires, par M. Saigey. — Dans ce
Mémoire
, ou voit que M. Saigev Le savant auteur des Élé
ssance d’un fils (ij. « Extrêmement malade, dit Mme Guyon, dans ses
Mémoires
, on fit venir le père Lacombe pour me confesser.
l’Évangile, qu’ils semblaient avoir oubliés. Vous revivrez dans la
mémoire
des génies des temps anciens qui luttèrent pour é
docteur Frapart, qui défendit si courageusement notre art, et dont la
mémoire
sera impérissable , mourut sans qu’on daignât fai
ce qu’on écrit sur cette vérité mystérieuse semble être dicté par une
mémoire
infidèle où l’imagination tient lieu de réalité ;
rs vertus et de leur probité, nous font un devoir de réhabiliter leur
mémoire
. Valentín Greatrake, né en Irlande en 1C28, app
ue ses élèves. Le comte de Thun , issu d’une des familles les (1)
Mémoire
sur la découverte du Magnétisme. plus illustres
e. L’archevêque de Paris interdit même le culte que l’on rendait à la
mémoire
du diacre Pâris. Alors les malades se réunirent d
. ERRATUM. — Dans le dernier numéro, p. 514, ligne 28; au lieu de ■
mémoire
des génies, etc. ; lisez : mémoire, génies, etc.
ro, p. 514, ligne 28; au lieu de ■ mémoire des génies, etc. ; lisez :
mémoire
, génies, etc. Avis. — L’abondance des matières
able, pour lui dire : Vos frères pensent à vous ; ils conservent la
mémoire
de tant de dévouement ; ils ont voulu honorer vos
pu la comparer à tant d’autres lucidités menteuses, de rendre à sa
mémoire
ce juste et public hommage. Modèle de clairvoya
éthode l’ont quelquefois indirectement appliqué, je compte publier un
Mémoire
qui expliquera les phénomènes qu’ils ont exposé t
des impressions journalières, ou plutôt du moment. Le jugement, la
mémoire
et l'attention sont faibles. Il est paresseux,
tte maladie sous le nom de « difformité du poignet de Madelung » en
mémoire
du premier auteur qui l'étudia. J'estime que la
c absence de perte du jugement (fehlender Ratlosikeit), perte de la
mémoire
de fixation, conservation de l'attention, confail
ertain point, du juge- ment, malgré les altérations profondes de la
mémoire
de fixation, et de la mé- moire en général. «
ne de l'oubli ». Une malade disait : « Pour une femme de 80 ans, ma
mémoire
est encore bonne ; c'est l'avis de tout le monde.
iste un sentiment exact de la maladie : « Quand on est si vieux, la
mémoire
est mauvaise »,« La mémoire ne veut plus rien s
a maladie : « Quand on est si vieux, la mémoire est mauvaise »,« La
mémoire
ne veut plus rien savoir ». « Je suis un vieil
servons aussi dans la presbyophrénie des troubles ac- centués de la
mémoire
de fixation et d'évocation ainsi que la perte de
lles les symptômes prédominants sont précisément des troubles de la
mémoire
, et la fabulation. » 1 Enfin, une autre opini
imaginaires qui lui permettent de combler les lacunes énormes de sa
mémoire
, ou de masquer son ignorance du sujet de la conve
s attendaient comme un régal. Depuis plus d'un an, diminution de la
mémoire
: se couche et s'endort après le déjeûner, qu'e
e très développés. Depuis le début de 1909, perte progressive de la
mémoire
, surtout de la mémoire des faits récents ; accu
is le début de 1909, perte progressive de la mémoire, surtout de la
mémoire
des faits récents ; accuse un voisin de l'avoir v
omnies, irritabilité, troubles gastro-intestinaux, diminution de la
mémoire
, mais depuis 3 mois, l'état s'est aggravé : hallu
lexe, où l'activité de l'imagination supplée aux défaillances de la
mémoire
, représente ici en quelque sorte, à l'état d'éb
ts de la vie réelle, relevantd'un trouble plus ou moins isolé de la
mémoire
; enfin, fabulation proprement dite, trouble qui
ent sur le passé. D'après la loi bien connue de la régression de la
mémoire
, on sait que l'amnésie de fixation et la dispar
ordinaire à la conser- vation relative et même à l'exaltation de la
mémoire
des faits anciens, surtout des plns habituels,
agination se bornant presque uniquement à combler les lacunes de la
mémoire
. Il est, assez souvent, difficile de faire la par
créa- trice n'est plus simplement proportionnelle au déficit de la
mémoire
. Son rôle de suppléance à l'égard de l'amnésie
mprunt des matériaux de cette activité fabulante aux éléments de la
mémoire
épar- gnés par l'amnésie c'est-à-dire : soit au
imagination se présente à lui sous les apparences trompeuses de la
mémoire
. Il affirme l'exactitude des récits qu'il avanc
e se trouve précisée. Le sujet 1 est atteint, non seulement dans sa
mémoire
, mais aussi clans son jugement'; il n'a pas con
aussi clans son jugement'; il n'a pas conscience des lacunes de sa
mémoire
, et il n'a pas conscience * de sa fabulation. L
éments. Altération d'ordre régres- sif, portant électivemeni sur la
mémoire
et l'imagination, elle ramène, à certains égard
onditions psychologiques de l'enfance. De même que l'enfance, où la
mémoire
est insuffisamment fournie de matériaux, où l'i
n, de dissolution de l'imagination,parallèle à la dissolution de la
mémoire
(1), et qui mérite, elle aussi, une élude particu
blis- sement relatif, démentiel ou non, portant électivemeut sur la
mémoire
et l'imagination. Cette signification clinique
nt masquer la faiblesse psychique sous- (1) B-1130T, Maladies de la
mémoire
. AMNÉSIE ET FABULATION 115 5 jacente. De même
NEL de cette trouvaille ni sur son entrée au Musée de la ville. Les
mémoires
de la Société des sciences et lettres du Loir-e
se faisoyent parmy Paris grandes guorres et grans festeyements. Il (
Mémoires
. Ed. Petilot,t.2, p. 229). Remarquons de plus qu'
r ainsi sa femme à une heure indue dans la rue. Il se plaint que sa
mémoire
s'en aille, que ses idées ne se suivent pas. «
ait assez naturel d'admettre la théorie nerveuse des noevi. Dans un
mémoire
récent, MM. Klippel et Pierre Weill (2) ont, en o
qui vont être passées en revue, de consacrer quelques lignes de ce
mémoire
à la descrip- tion de l'appareil nucléolaire no
t l'intensité des phénomènes d'osmose.» R. Legendre (3), dans son
mémoire
très documenté, compare la mem- brane nucléaire
affection pour les divers membres de sa famille. Il a assez bonne
mémoire
, mais un jugement restreint. Il est enfin vantard
premier abord, c'est la diminution de l'intelligence, le défaut de la
mémoire
, le manque d'orientation et l'apathie générale
exemple unique du genre, mérite bien enfin qu'on le signale. Or, du
mémoire
de Itol)lot (2) et de l'étude de Costantini (3) o
sée au tronc. En 1901, lemalade commença visiblement à perdre de sa
mémoire
. Vers le même temps ses extrémités inférieures
s irrécusables. bibliographie Nous n'indiquons que les travaux et
mémoires
postérieurs il 1905. ApEr. Une famille d'achond
iques,il n'est pas besoin de l'exposer longuement, chacun a dans sa
mémoire
les tirades du Tril)oulet de Victor Hugo, il y ve
C. Parhon et C. Urechie). DE LA POLYDACTYLIE CHEZ LES ALIENES 393
Mémoire
passablement bonne. L'attention est par contre as
t d'un rappel de type infantile. Enfin nous avons retrouvé dans les
Mémoires
de Larrey (campagne d'Egypte) la description pr
et résumées à la fin de ce L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 407
mémoire
. Nous en avons extrait les caractères essentiels
ué. C. Habitus infantile. L'examen des photographies jointes à ce
mémoire
montre qu'il s'agit bien de véritable infantilism
ture et le calcul sont toujours effectués avec la même facilité. La
mémoire
est conservée. La conversation ne décèle aucun
emier slade : car lors- que s'accusent des troubles thyroïdiens, la
mémoire
devient infidèle et la parole un peu traînante
tat d'apathie mo- dérée, avec lenteur des réponses et paresse de la
mémoire
, n'est signalée que trois fois. De tout ceci
esticulaire : il en obtint d'heureux effets pour ses troubles de la
mémoire
, pour sa faiblesse générale et sa frilosité. Mais
lande dont le trouble est le premier en date; l'examen attentif des
mémoires
montre assez souvent l'insuffisance testiculair
Y). Larrey cite ces faits intéressants dans le second volume de ses
Mémoires
de chirurgie militaire el campagnes, 1''e éditi
lis ; frigidité totale. Thyroïde non perçue ; affaiblissement de la
mémoire
et de l'énergie, fatigue facile; frilosité tran
t devenue lente, somnolente, comme enfan- tine ; parole traînante ;
mémoire
infidèle. La thyroïde est manifestement atrophi
absolue ; les réflexes sont normaux. L'intelligence est faible, la
mémoire
diminuée, les pleurs faciles. Le corps thyroïde
est presque aboli à gauche. L'iiitellig,nce est peu développée, la
mémoire
confuse, le caractère irascible. On ne sent pas
L'étal mental est très modifié : a) On constate des troubles de la
mémoire
pour tous les événements de la vie sociale du s
t pour trait plusieurs sujets dont l'observation est restée dans ma
mémoire
et dans mes notes. Voici l'exemple le plus typiqu
ntatives infructueuses de coït. L'intelligence est peu modifiée; la
mémoire
est légèrement affaiblie. On ne sent aucune tra
gnages attristés de sa femme : il n'y a ni apathie,ni paresse de la
mémoire
ou de la voix qui ne s'est pas modifiée. Le c
AqCUEI'F, Beitriige zur pathologis. Anatomie, 1904, p. 401. Laurey.
Mémoires
de chirurgie militaire et Campagnes 1812. Magdi
nne, testiculaire et surrénale (1). Elle a été développée dans deux
Mémoires
des mêmes auteurs (2) parus dans le « Journal d
premiers cas de cet ordre; il nous a donc fallu, dans un troisième
Mémoire
(3), justifier la conception de l'insuffisance
1l", {glandulaire endocrinienne. Individualisa- tion clinique -.la,
mémoire
) : Confirmation analomique des faits cliniques :
des faits cliniques : observations anatomique et Itis/uloyi'lue 2'
mémoire
), Journal de physiologie et pathologie géné- ra
justifier toutes les critiques et appuyer les conceptions des trois
mémoires
de Claude et Gougerot, elle apporte confirmatio
es actuelles sur la pathologie de l'anomalie qui fait l'objet de ce
mémoire
, la question de sa palhogénie demeure dans le d
Bellet (1905) (1). Plus récemment, Claude et Chauvet ont publié un
mémoire
sur la Séméiologie réelle des sections totales
ficiel de la Société d'hypnologie et de psychologie, qui y publie ses
mémoires
et les comptes rendus de ses séances. — On exempl
jalousie, colère, emportement, affaiblissement de la volonté et du la
mémoire
) survînt sans douleurs préalables une paraplégie
- On nous inspirait surtout la crainte de Dieu dit du Fossé dans ses
Mémoires
, et l'on avait pour catéchisme la Théologie famil
es livres de Du Vergier, et il nous a laissé, entre autres œuvres, un
mémoire
sur l'organisation de son école du Cïiesnai. t L'
ires s'assemblèrent plusieurs fois pour délibérer, etl'on composa des
mémoires
,dont quelques-uns, écrits de la main de Biaise, c
tigue. tï° Les rêves d'une intensité moyenne persistentplus dans la
mémoire
et ils sont plus continus,- tandis que les rêves
rofond et le rappel des vieux souvenirs, avec ce qui se pusse dans la
mémoire
des déments (cas de régression de Ribot). Si l'on
précédée dans la tombe. Etienne Périer qui était doué d'une grande
mémoire
et qui montra très jeune des dispositions pour le
x oraloricns de Clermont. « Je suis restée seule, écrit-elle dans ses
mémoires
... Je dois dire, comme Simon Machabée, le dernier
ée 1882 et tout ce qui s'était passe de 1882 à 1890 était sorti de sa
mémoire
; elle avait oublié toui. les événements accompli
'il traita son premier malade, par l'hypnotisme, accidentellement: le
mémoire
de Dubois jaillissait subitement de sa conscience
s on n'a pas le droit de mesurer toute capacité mentale à celle de la
mémoire
, et c'est h tort que l'on conclut de l'abolition
de la mémoire, et c'est h tort que l'on conclut de l'abolition de la
mémoire
à celle de la conscience : c'est une erreur psych
lle de la conscience : c'est une erreur psychologique d'identifier la
mémoire
et la conscience. En effet, on sait que, grace
totalement. De même, le sommeil hypnotique fait nettement renaître la
mémoire
des états de conscience survenus pendant une anes
antérieure. II serait donc faux de prétendre que la dégradation de la
mémoire
mesure celle de la conscience. Tel est le résul
est un état conscient caractérisé par la concentration mentale et la
mémoire
hypnotique n'est pas toujours latente. Quanta B
n des idées diffère beaucoup suivant qu'il s'agit de faire revivre la
mémoire
hypnotique ou la mémoire ordinaire. Pierre Janet
oup suivant qu'il s'agit de faire revivre la mémoire hypnotique ou la
mémoire
ordinaire. Pierre Janet objecte bien qu'un nombre
M. Decroix, les observations ne furent jamais rédigées et c'est pour
mémoire
seulement et ù l'appui de celle communication que
intes, cette attitude de reploiement sur soi-même, cette démar- (I)
Mémoires
. P). (3), (i> Nécrologie de P. R./page>
sensation que ce moment était venu. » Je ne pus faire jaillirde sa
mémoire
les procédés par lesquels elle avait corrige les
ndant à noter que, pendant la veille normale, C. n'avait pas assez de
mémoire
pour retenir la série compliquée des nombres sugg
loin d'être résolue. S'il né reste à l'état normal aucune trace de la
mémoire
hypnotique, quel avantage la conscience normale r
Le premier, il vulgarisa en France les expériences de Braid, dans un
mémoire
sur le Sommeil nerveux ou hypnotisme paru, en 18G
s, que, d'autre part, il y a exagération à affirmer qu'en outre de la
mémoire
, do certaines idées conçues spontanément ou suggé
ville, rien qu'au son de leur veix. Pendant le sommeil naturel, la
mémoire
du passé peut se trouver-exaltée. Ainsi, l'un des
'opium, le chanvre indien, etc., donnent un sommeil pendant lequel la
mémoire
subit parfois une excitation pathologique. Ainsi,
Inconnues et définitivement acquises, ainsi qu'il résulte de son beau
mémoire
de 1879. Rappellerai-je ses publications d'ordr
ous savions tous combien il l'aimait ; et nous garderons chèrement la
mémoire
du maître, du savant et.de l'ami. NOUVELLES E
dès la premiere fois. Sans doute, Aug. Voisin, dont nous vénérons la
mémoire
,/page> page n="243"> s'est souvent serv
l'on a constaté des troubles psychiques, tels que hébétude, perte de
mémoire
, altération des facultés intellectuelles. Quoiqu'
onnes qui pratiquent l'autosuggestion naturelle en ce qui concerne la
mémoire
. La mémoire est une faculté bien délimitée qui fe
atiquent l'autosuggestion naturelle en ce qui concerne la mémoire. La
mémoire
est une faculté bien délimitée qui fera comprendr
rendre d'autant mieux le mécanisme de l'auto-suggestion naturelle, ^
Mémoire
. Ce sont les acteurs, comédiens, artistes lyriq
, comédiens, artistes lyriques qui font l'appel le plus puissant à la
mémoire
. L'acteur apprend son rôle et s'adapte tous les
xemple l'amoureux, nous constatons que la vue, l'ouïe, le toucher, la
mémoire
, l'intelligence et toutes les facultés intellectu
Il s'agit de la malade au sujet de laquelle j'ai publié, en 1880, mon
mémoire
sur « Les Fugues hystériques ». Le matin, il lui
l'hypnotisme expérimental. Rapporteur : M. le professeur BoinAC. La
mémoire
dans les différentes races. Les psychologues am
blanc, d'un noir ou d'un Indien, d'un homme ou d'une femme, qui a la
mémoire
la plus longue ? Se rappellc-t-on mieux les événe
des blancs, des nègres, et des Indiens, des individus ayaut gardé la
mémoire
d'événements remontant à la première année de leu
ieurs points. Dans les séances ultérieures, au fur et à mesure que la
mémoire
et le discernement lui reviendront, elle me donne
ous ses actes à cette nouvelle disposition de son esprit. Douée d'une
mémoire
prodigieuse, de facultés de raisonnement très dév
tération de la personnalité évolue d'après un mécanisme alternant. La
mémoire
parait complète dans chacune des modalités de la
sait :€ Elle parait avoir l eux * ies ; en réalité, elle n'a que Jeux
mémoires
.» De la personne qui faitVobjct de notre étude, o
rsonne qui faitVobjct de notre étude, on peut dire qu'elle n'a qu'une
mémoire
, mais qu'elle a deux sensibilités morales. L'alté
par ses travaux sur la psychologie des émotions, vient de publier un
mémoire
, traduit dans le numéro de janvier du Journ I of
ls prolongés, nocturnes ou diurnes, des lacunes s'établissent dans la
mémoire
; l'enfant, à l'école, ne peut plus suivre ses con
me : illusions, hallucinations, variations de la personnalité. — La
mémoire
dans les étals hypnotiques : amnésies, hypermnési
emblables (La), par Félix Regnault, p. 141. Médecine légale, 341.
Mémoire
dans les différentes races, par Colegrave, p. 2
le 20 no- vembre, l'intelligence du malade commença à baisser ; la
mémoire
s'affaiblit, ses paroles étaient incohérentes,
un affaiblissement progressif et continu des facultés mentales. La
mémoire
a beaucoup diminué, elle a même presque disparu
s thérapeutiques. Nous n'en parlerons que très brièvement et pour
mémoire
mais nous ne les décrirons pas; mais nous nous
le nom ; c'est le symptôme, non d'un affaiblissement général de la
mémoire
, mais d'une lésion en foyer ; 2° il trouve en écr
conceptions sont pauvres, lentes sont ses associations d'idées, sa
mémoire
est bornée, sa volonté insuffisante, mais sur l
ne présentent pas d'arrêt de dévelop- pement : l'intelligence et la
mémoire
sont normalement dévelop pées, il n'y a pas de
tration objective de leur réalité, pour déjouer la simula- tion. Ce
mémoire
confirme les idées de Charcot et traite de la sup
par de la céphalée, des vertiges, de la diplopie, de la perte de la
mémoire
et enfin par un embarras assez pro- noncé de la
rtiges disparaissent, la diplopie disparaît, plus de céphalée et la
mémoire
redevient normale. L'état général est bon, les
o, internes du survice des femmes de l'asile de Villejuif pour leur
mémoire
sur les Rapports du tabès avec la paralysie gén
peut considérer comme une paralysie faciale systématique depuis le
mémoire
de M. Babinski sur ce sujet. Le pseudo-tabes hy
interrompue de temps en temps. Appendice. Au moment de terminer ce
mémoire
, nous devons ajouter l'observation suivante que
ntellectuel. Son intelli- gence a baissé beaucoup : elle a perdu la
mémoire
. Le 3 août 1893 elle entre dans une série d'acc
Parkinson. L'auteur en possède sept observations dont deux dans ce
mémoire
. On constatait ce qui suit dans l'es- pèce. C
étations minu- tieuses (chimie microscopique) qu'ils proposent. Ces
mémoires
ont été analysés en leur temps. Rien de nouveau
, jalousie, accusations fausses, diminution de l'at- tention, de la
mémoire
, perversions sexuelles (érotisme, frigidité, ma
e faute de ressources suffisantes, on pourrait publier in extenso
mémoires
et discussions si la société voulait faire un lég
nveloppes et de la moelle; c) la tuberculisation de la moelle. Le
mémoire
de Liouville indique un progrès important dans
e cherche pas ses mots et s'exprime avec la plus grande netteté. La
mémoire
est intacte et on peut lui faire conter avec le
ier empire et maints autres événe- ments historiques. D'ailleurs la
mémoire
des faits récents est aussi sûre; là encore, el
irantes, se montre raisonnable en somme, malgré son âge, et dont la
mémoire
est si présente, étant donné surtout que rien a
nt faire éliminer du premier coup la démence sénile. L'état de la
mémoire
en particulier est caractéristique. Notons en pas
taté aucun trouble mental, elle était intelligente, très sensée; sa
mémoire
était intacte : elle n'oubliait rien des faits ré
Ils aiment à pérorer, à, improviser des poésies, à écrire de longs
mémoires
. Leur per- sonnalité s'entle jusqu'aux plus ext
orie était déjà inscrite dans tous les traités classiques lorsqu'un
mémoire
de Moebius (188), important non par ses dimensi
out, mais quelques particularités ont laissé leur empreinte dans la
mémoire
et ne se sont point effacées. Il est d'autres c
. -..., (l3ouRNEVlLLE,) 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. nistes la perle de
mémoire
comme le critérium le plus pur; la triade épile
s, fatigue rapide, irascibilité. Puis survient une diminution de la
mémoire
qui affecte vivement le patient. On observe des
a période d'état on constate une augmentation de la faiblesse de la
mémoire
ainsi que la diminution du juge- ment. Les conc
est moins accusée chez eux, que ce sont surtout les troubles de la
mémoire
qui prédominent. Les lacunes morales fonl en ou
e de notre Bibliothèque d'éducation spéciale, intitulé : Rapport et
mémoires
sur l'éducation des enfants normaux et anormaux
de l'incontinence d'urine parfois; le caractère devient violent, la
mémoire
faiblit, la parole s'embarrasse, les mains trem
ravailler. État actuel. - Wek... a un air niais et pleurnicheur, sa
mémoire
des faits recents est fort altérée, tandi- qu'i
rédulité est extrême, le caractère devenu irritable et coléreux; la
mémoire
reste fidèle et le raisonnement correct. Au comme
rent l'attention sur l'état mental; on constate des lacunes dans sa
mémoire
, une légère hési- tation de la parole lorsque l
urologique, juillet 1894.) . Les deux observations publiées dans ce
mémoire
sont des exemples très nets de lésion du plexus
névralgie du trijumeau, la céphalalgie, l'insomnie, la perte de la
mémoire
, des crises épileptiformes, la folie, etc., ont
odorat. Ce procédé nouveau est basé sur la loi de l'association des
mémoires
. Quand le malade peut se rendre au gymnase, il
nt de vue psychique, il présente un affaiblis- sement notable de la
mémoire
. Le brillant élève du collège Chaptal d'autrefo
pinale. (Année scolaire 1894- 1895.) FAITS DIVERS. Hommage 9 la
mémoire
DE HACK 'I'UIE. Dans le but de perpé- tuer le s
Bretagne. Ce comité a été d'avis que le meilleur moyen d'honorer la
mémoire
de HACK TORE, était la création d'un prix ou d'
nvier 1894.) , Les conclusions des recherches de l'auteur et de son
mémoire
sont les suivantes : 1° La grande majorité de
h1'i(t (Iii' Psychiatrie, 1890, LI, 5.) L'auteur veut défendre la
mémoire
de son père contre les 400 REVUE DE PATHOLOGIE
ur intelligente et active, mais d'un caractère très autoritaire. Sa
mémoire
est très t développée. Elle développe son histo
qui peuvent lui faire honneur, bien qu'il prétende avoir perdu la
mémoire
depuis une maladie qu'il a eue au service et surt
is rien ne montre l'existence d'une affection mentale. L'absence de
mémoire
constatée chez lui est simulée et contraste avec
vail, exécution correcte de la lâche accoutumée, conservation de la
mémoire
, incohérence énorme dans le langage parlé ou éc
ranquille, gai, sans hallucinations,- ni conceptions délirantes; la
mémoire
est bonne; l'aptitude à faire de petites opérat
délire chez les imbéciles et les idiots. 1\1. Legrain, analysant le
mémoire
de M. Sérieux émettait cette proposition : le p
ux a fourni à l'auteur quelques observations intéres- santes de son
mémoire
encore inédit. Les conclusions de ce travail so
ANDON DE MONTYEL, Médecin en chef 'illc-Evrard. Dans un précédent
mémoire
j'ai étudié les éléments consti- tutifs communs
éléments communs au complet qui ont fourni l'objet de notre premier
mémoire
, car elle n'hospitalise pas seulement les alién
proscrit pour les raisons que j'ai déjà fournies dans mon précédent
mémoire
. Lalingerie et 1 a décharge auront ici les même
étuels; une véritable confusion préside à tous ses rai- sonnements.
Mémoire
assez développée, récite sans y rien com- prend
e, mais elle écrit très gros, car elle appuie trop sur sa plume; la
mémoire
scolaire parait se développer; elle connaît la
d'agitation, de délire. Dans une catégorie de cas le trouble de la
mémoire
apparaît presque d'une façon aiguë : il peut être
in, chez une troisième catégorie de malades, sur les troubles de la
mémoire
, de l'idéation et de la conscience prédo- minen
symptômes d'une irritabilité psychique exagérée. L'altération de la
mémoire
présente dans beaucoup de cas et lorsqu'elle es
ne amnésie ordinairement temporaire, inclure entre deux périodes de
mémoire
normale, limitée aux faits récents aussi bien a
consciente. Celte amnésie est conforme aux lois de régression de la
mémoire
. La guérison, lorsqu'elle survient, s'accomplit
du temps aigu, avec des troubles de la sensibilité, désordres de la
mémoire
, agitation, délire; l'apparition d'une paralysie
remens, suivis de para- lysie et de troubles caractéristiques de la
mémoire
. Il est possible que l'action toxique de l'alco
symptômes intellectuels consistent en une perte très accusée de la
mémoire
, des alternatives d'hypochon- diie et d'euphori
omberont, j'espère, en partie du moins, les alarmes suscitées par mon
Mémoire
de 1884, lu à l' Académie des Sciences morales et
rquable au travail d'esprit. Ils avaient une étrange diminution de la
mémoire
, une singulière hésitation au moment de se déterm
n des maladies de la part de l'enfant; en ne faisant mention que pour
mémoire
des études de Ch. West, des Leçons cliniques d'He
l (7) vient de publier sur les maladies simulées chez les enfants, un
mémoire
plein d'intérêt. Les travaux des devanciers et le
Lc dialogue suivant fera mieux comprendre ces modifications de la
mémoire
qui laissent intacte la faculté de raisonnement.
es autres acquisitions de l'esprit: elles font désormais partie de la
mémoire
, s'y conservent plus ou moins intact» et y réappa
rnier fait avait déjà été affirmé par le marquis de Puységur dans ses
Mémoires
: « La susceptibilité qu'ont les malades en cri
les documents qui s'y rapportent et observations personnelles. » Les
mémoires
devront dire adressés avant le 1er mai S'adress
s sont inconscientes, involontaires, et pourquoi elles échappent A la
mémoire
. Le sujet ne s'en sourient pas, parce que son int
bsence de volonté, de liberté, et généralement aussi par l'absence de
mémoire
. Avançant un peu plus sur ce terrain, ne confon
e; et les actes posés dans cet état échappaient à la conscience, a la
mémoire
et aussi à la liberté. La quatrième forme, quel
catholique de Louvain, a traité cette question et a demandé, dans un
mémoire
présenté à l'Académie de médecine de Bruxelles, q
le, les sons deviennent moins distincts, l'abattement est profond. la
mémoire
faiblit et il y a impossibilité de continuer le t
er, nous lui prouvons qu'il est un simulateur malgré lui et que si la
mémoire
, le jugement et le raisonnement lui semblent rest
ages sensorielles prennent donc une intensité extraordinaire. Notre
mémoire
ne se compo»e pas seulement de souvenirs que nous
et cependant il se rend compte de bien des choses et il manifeste une
mémoire
généralement suffisante. Dès le 9 juin, "'ai es
sensibilité, ni générale, ni spéciale: pas de zone hystèrogène... Sa
mémoire
ne porte que sur les faits qui se sont passés en
t de se promener dans la cour. A l'état de somnambulisme, F... a la
mémoire
complète: il se rappelle non seulement tout ce qu
tras d'insanités dont on commence par surcharger, comme à plaisir, la
mémoire
et obscurcir le jugement, on ne se fait pas faute
mentales. M. Marsudon de Montyel a ensuite donné lecture d'un long
mémoire
sur le même sujet. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERN
is non interprété; le sujet ne sait plus ce qu'il voit; il a perdu la
mémoire
local* qui lui donne la sigoi» ficaiionde l'obj
atteinte d'une affection héréditaire et spécifique. Tête dure, peu de
mémoire
, n'est pas studieuse, est désobéissante et menteu
eulement elle a toujours continué d'arriver en retard à l'école et sa
mémoire
est restée la même. 14. — 25 mars 1887. — M...
st menteur paresseux, n'écoute rien en classe ni chez ses parents. Sa
mémoire
, qui était très bonne, est très diminuée.— Mis 5
enirs inconscients peuvent ainsi s'inscrire dans le cerveau. Telle la
mémoire
des mouvements nécessaires à l'articulation des m
et celle des mouvements de coordination nécessaire à l'écriture : ces
mémoires
ont. comme on sait, des localisations spéciales d
s cellules de la troisième circonvolution frontale, qui conservent la
mémoire
motrice de la parole articulée, sont détruites, i
conscience. La sensation entre dans le domaine de la conscience : la
mémoire
organique devient mémoire consciente. Telle est
entre dans le domaine de la conscience : la mémoire organique devient
mémoire
consciente. Telle est la première interprétatio
ervira une histoire des châtiments corporels à récole, ce substantiel
mémoire
livre, sans compter, sur la question, des documen
rocédés barbares consignés avec une si scrupuleuse exactitude dans le
mémoire
de Franck d'Arvert? Aucun; ils en sont le contre-
onvient de donner dans les écoles primaires, p. 24. (2) FCIix Voisin,
Mémoires
sur l'abolition de la peine de mort*. sibleri
lles. Sans pénible labeur, en quelque sorte sans qu'on s'en doute, la
mémoire
se meuble. Point capital : à se refuser au métier
t les amis de Duc henné Idc Boulogne) ont l'intention de perpétuer la
mémoire
dur. des grand» promoteur» de la neuropathologie
tations hypnotiques, les mêmes troubles des organes des sens et de la
mémoire
. Après avoir causé avec elle pendant quelques m
-gnomoniques de son état mental, de même qu'à la perte complète de la
mémoire
au réveil de la malade. Telle je l'avais observ
ns cette circonstance, un témoignage si parfait du dédoublement de la
mémoire
, de sa scission et de sa reviviscence, que j'avai
aissait pas. Bien que la scission qui s'opère dans l'exercice de la
mémoire
, d'une part à l'état de veille, d'autre part à l'
dont elle prend possession, et qui va disparaître complètement de sa
mémoire
, quand, un instant après, je la réveille et lui d
idée. Est-il un exemple plus démonstratif de la reviviscence de la
mémoire
? — Réveillée quelques minutes après, tout est
des (acuités mentales, et plus particulièrement dans l'exercice de la
mémoire
, dont la scission et la reviviscence, bien et dûm
s de la physiologie ne pouvaient expliquer. Je le gardai Jonc dans ma
mémoire
comme question à étudier, me proposant de l'expér
alablement retirés. Sa réponse n'avait évidemment pour guide que sa
mémoire
, et non l'application de sa vue aux objets actuel
artition écrite. Il la Ht des yeux, il la comprend avec son esprit.sa
mémoire
, son intelligence, il l'exprime avec ses doigts,
travail mental complexe, qui met en œuvre toutes les ressources de sa
mémoire
, de son discernement et de sa compréhension.
et d'une vie propres, pouvant séparément accomplir des opérations de
mémoire
, de jugement, de discernement, de volonté et déte
ns de la vue et de t"oule dans ta première et deuxième enfance. » Les
mémoires
devront être adresses à l'Académie avant le i" ma
ence cérébrale n'a pas conscience. Ajoutons à ces laits celui de la
mémoire
consciente. Nous ne pouvons nous souvenir conscie
a fois qu'un bien petit nombre d'associations dynamiques, d'images de
mémoire
du miroir de notre conscience. A chaque instant m
trière est loin d'être épuisée. Je n'en veux pour preuve qu'un récent
mémoire
des Archives de Neurologie (janvier et mars 1889}
lle pouvait répéter ces formules sans difficulté. En même temps, la
mémoire
revenait, le sommeil était calme: plus d'idées fi
. Elle est souvent prise d'une toux rauque. La parole est nette, la
mémoire
ne laisse rien à désirer. Lalvpé-manie est très i
rsonne ne songe à le nier, et Ton en trouve un aveu explicite dans le
mémoire
de Babinski (p. too) : « II (Charcoti reconnaît l
premier a trait à Grétry, « qui (c'est lui-même qui le dit dans ses
Mémoires
), ne dut le développe- ment de son génie pour l
ment enlevé à la science, le regretté Dr Foville. Rendant compte du
mémoire
du Dr Azam, il croit qu'il ne faut admettre l'i
X, p. 568, anal. par Dumesnil.) Je citerai encore un intéressant
mémoire
de Krafft- Ebing (Ueber die durci 6'e/ ? er. ?
s'inspirant de ses leçons qu'Azam a publié en 1881 son intéressant
mémoire
(Arcla. de Illéd. février et mars 1881). Je s
énéralement pas jusque-là : la 14 PATHOLOGIE MENTALE. perte de la
mémoire
se borne d'ordinaire aux faits contemporains de
, l'une des plus célèbres est celle de Kaempfen, insérée dans les
Mémoires
de l'Académie de médecine, 1835. Il s'agit d'un
dans un manège, tombe sur le pariétal droit, et perd absolument la
mémoire
de tout ce qui s'est passé pendant vingt-quatre
un état comateux. Pendant des mois, l'amnésie a été complète; la
mémoire
s'est rétablie progressivement jusqu'à la minut
eures » concourent à la formation des nerfs optiques. La lecture du
mémoire
de Panizza peut seule donner une idée de l'éten
a délia scoperta del centro visivo corticale, en appendice au grand
mémoire
de Tamburini sur la genèse des hallucinations (
lerai en traitant des fonctions motrices du cerveau, est devenue un
mémoire
publié à Naples, en 1883, que je ne connais que
psychique, jamais une cécité absolue. L'animal perdrait ainsi la
mémoire
des images perçues ; il conserverait encore la
dans la Revue mensuelle de médecine et de chirurgie (1877-1879), le
mémoire
de Dario Maragliano sur les localisations motri
Mauthner et Exner, Angelucci, du manicome de Macerata, publiait un
mémoire
remar- quable sur les lésions de la circonvolut
écorce, et de tous les centres cor- ticaux en général, dans un beau
mémoire
sur la phy- siologie et la pathologie du langag
s (aphasie) dérivent de l'abolition ou de l'affaiblisse- ment de la
mémoire
, et que les altérations de la sensibilité spécifi
théorie appartient à MM. Pol et Watelle qui l'ont émise dans leur
mémoire
sur les effets de la compression de l'air appli
- perméable et d'un casque métallique fixé sur la collerette de '
Mémoire
sur la pression atmosphérique, dans ses rapports
evient docile, attentif, la lecture est bonne ainsi que l'écriture.
Mémoire
a<sez facile. 16. - Il existe encore de l'
r à l'University Collège de Londres, y faisait allu- sion 3 dans un
mémoire
. Mais c'est seulement depuis la leçon de M. le
s troubles gustatifs, acoustiques et olfactifs. J. RoumnoYiTcn. ]V.
MÉMOIRE
sur l'arrêt DES hémorrhagies DE l'artère cérébral
29 avril 1889. - Présidence de M. FALRET. Prix Esquirol. - Un seul
mémoire
avait été présenté. Sur le rapport de M. Pichon
commande au peaucier. M. WOLLE1VDEItG. De l'infection psychique. Ce
mémoire
sera pu- blié in extenso '. Séance du 9 juill
re, on y vient assez faci- 174 FAITS DIVERS. leinent et le récent
mémoire
de Thorburn {M anches med. Chron. 1889) contien
es faits, nous n'avons pas cru devoir allonger par un historique ce
mémoire
; nous indique- rons seulement à sa suite une li
nous avons eu à nous servir; ce sont surtout, en pathologie, les
mémoires
ayant trait à la paralysie générale pro- gressi
l'intelligence la plus éveillée. A partir de cet âge, il perdit la
mémoire
, puis les autres facultés, et tomba dans une dé
E. 201 des troubles cérébraux, céphalalgie, vertiges, éclipses de
mémoire
. Ces symptômes s'aggravent progressive- ment, s
fonction de la glande thyroïde, qui, à ce qu'il paraît, est en 1 Ce
mémoire
nous a été adressé en juin 1888. L'abondance des
la vue et de l'ouïe, affaiblissement de l'activité mentale, de la
mémoire
, difficulté du langage, un sommeil agité, le poul
parole lente et difficile, idéation ralentie, affaiblissement de la
mémoire
et des facultés intellectuelles, irritabilité p
e, MÉDICO-LGAL; par ICoIN(All3. Zeitsch. f. Psych., XLV, 1-2). Ce
mémoire
est le résultat d'études faites à la prison cellu
oncerne l'hyoscine. M. BRIAND lit un travail sur les TROUBLES DE la
mémoire
dans L'IN- T031C : 1TION par L'OXYDE DE carbone
-même, mais il copie cependant une page d'une écriture tremblée. La
mémoire
est aussi affaiblie que le jugement et la volon
sie du bras, et embarras de la parole; un an plus tard. perte de la
mémoire
;, embarras permanent de la parole. W..., tren
Sa parole devient embar- rassée d'une façon permanente, il perd la
mémoire
. Cocher, il oublie le nom des rues, et il n'aur
onceptions, - elle est parfois comme un enfant- la diminution de sa
mémoire
, et l'altération de son caractère, ce pourquoi
- ment. Elle nous dit s'appliquer avec beaucoup de difficulté. La
mémoire
est affaiblie : elle se souvient toutefois des pr
tefois des principaux épisodes de son affection. L'altération de la
mémoire
porte surtout sur les faits récents, et en part
nir. Puisque Luciani et Tamburini se sont placés, dans ce premier
mémoire
, sur le terrain anatomique pour édifier leur hy
e part, dans les parties plus profondes du cerveau. La lecture du
Mémoire
où Schiff a traité, sous forme d'appendice, ce
e est sûre : ce ne sont pas des centres corticaux. » V. les savants
mémoires
du professeur Schiff, Cebeo die E"I'egbm'keit d
térieurs, associée à une parésie des extrémités ? » C'est dans ce
mémoire
que Luciani démontre qu'en excitant mécani- que
lirait la perception des impressions périphériques. Mais, dans le
mémoire
publié avec Luciani sur les centres corticaux p
t, savoir, que l'écorce cérébrale est le siège des idées et de la
mémoire
, c'est-à-dire des résidus des perceptions' anté
nt, fuient la piqûre menaçante, etc.2. Je ne rappellerai que pour
mémoire
les belles expériences semblables de Llitzij. '
its de leur vie passée disparaissent à peu près tout à fait de leur
mémoire
. Les malades ne font aucune attention et ne s'i
vertiges, de pleine incapacité de travailler, d'affaiblissement de
mémoire
et des facultés mentales, de pénibles insomnies
- vier 1886.) Exposées au Congrès de Psychologie d'Anvers dans un
mémoire
dont celui-ci n'est que la traduction, les idée
tique, pendant lequel les hallucinations deviennent sporadiques, la
mémoire
s'affaiblit ainsi que l'ouïe. Le traitement galva
ladie des reins ; elle se traduit 1 Nous renvoyons t'analyse de son
mémoire
: les psychoses dans les pér : iteatiers. (Revu
tiques de chacune de ces formes, on les trouvera comparées dans une
mémoire
à part. Pour le moment, il importe de se souven
ui consiste à décumposer un accord en ses éléments constitutifs, la
mémoire
musicale caractérisée par la justesse des sons re
id considérait comme la caractéristique de l'hynotisme la perte de la
mémoire
de façon qu'au réveil le patient n'ait aucun souv
. Nous la vîmes pour la première fois, le 2 août 1883, et voici, de
mémoire
, quel était à peu près son état. Etat cataleptiqu
ient pas éphémères, mais qu'au contraire elles s'enregistrent dans la
mémoire
d'une façon durable. On y arrivera, ici comme
laient, ou peu s'en faut, à une récitation. La moindre défaillance de
mémoire
, la plus légère inexactitude dans la tenue du cah
ion directe de son initiative d'esprit ; là, comme ailleurs, c'est la
mémoire
qui est surtout en jeu, ce sont des mots qui entr
iter de sa curiosité naturelle, sans jamais lui demander un effort de
mémoire
. Je vais maintenant au-devant de l'objection. T
r par eux-mêmes; et, sous prétexte d'instruction, doit-il fatiguer la
mémoire
, au point do tuer les facultés d'initiative? Da
tent des signes de l'activité psychique affaiblie, la faiblesse de la
mémoire
, l'abais-i sèment de l'énergie.une tendance vers
ossède une extrême rapidité dans le doigté et une étonnante sûreté de
mémoire
; la nature l'a étonnamment doté ; mais il a encor
'Euclide, ou s'il en a entendu parler, et s'ils lui sont revenus à la
mémoire
par une réminiscence inconsciente. M. Lionel Da
udié la vie de sainte Thérèse dans ses biographes et dans ses propres
mémoires
: mon opinion première n'en fut que confirmée. V
tion de la scène fameuse de la Transvcrbêralhn que nous détachons des
Mémoires
de la sainte (édition Arnault d'Andilly) : « A
ion de Vattenlion, et j'ajoute sans crainte d'être contredit, que les
Mémoires
de sainte Thérèse, contiennent l'indication et l'
dans de soi toutes ses puissances, c'est-à-dire l'entendement, la
mémoire
et la volonté a ; 3* Oraison d'uniont qui est la
stophe Colomb, devaient s'élever deux renommées qui s'imposèrent à la
mémoire
des hommes. A l'immortel tortionnaire de Santa-
Elle avait aussi de l'amnésie et, fait plus curieux, une perte de la
mémoire
des mouvements et de la sensibilité musculaire. A
ance en Chine, vient d'adresser à l'Académie de médecine un important
mémoire
intitulé : Hystérie et Boxeurs en Chine. Trois
Direclcur-Médecin de l'Asilo d'alivacs do La Kochc-sur-Yon Dans un
mémoire
publié en 1896 dans les Archives de Neurologie (2
dans un état de surexcitation nerveuse développée par le travail, la
mémoire
affaiblie, la voix fatiguée, il lui semblait impo
toutes les nuances. La suggestion augmentait aussi la puissance de sa
mémoire
et remédiait à la fatigue de sa voix. Le résultat
te confiance en elle-même, elle n'était plus sûre de sa voix ni de sa
mémoire
. Son état était tel qu'il y avait sérieusement à
identifié au personnage qu'il doit représenter, qu'il soit sûr de sa
mémoire
et de son geste, qu'il n'ait plus aucune appréhen
e certaine mesure, et, pendant son sommeil hypnotique, il retrouve la
mémoire
de certains faits dont il n'a pas conscience à l'
emps, cherché à développer ou à stimuler ses facultés d'attention, de
mémoire
et d'intelligence. Il y eut peu de résultat et
'école, qu'il apprendrait et comprendrait mieux, qu'il aurait plus de
mémoire
, etc. Dans une quatrième, puis une cinquième et
attentif, il prend du goût au travail, son intelligence s'éveille, sa
mémoire
augmente; il devient un bon élève et fait des pro
le sommeil hypnotique et pourrait être souvent utilisée. III Pour
mémoire
et brièvement, je rappellerai le cas d'une fillet
le riait continuellement sans motif, avait perdu l'intelligence et la
mémoire
, lesquelles étaient très développées chez elle. N
es forces, toutes ses facultés de compréhension, d'intelligence et de
mémoire
: le résultat fut durable et définitif. IV Sp
r Renault, de Lyon, désigne d'une façon si heureuse sous le nom de la
mémoire
du neurone. Pour arriver à ce résultat, on invite
autres par le fait des facultés, imagination, association des idées,
mémoire
. Chaque idée qui se présente naturellement forme
'auto-suggestion, ni l'association des idées, ni l'imagination, ni la
mémoire
n'entrent en jeu. — L'ordre est donné au cerv
r des certificats d'une bien grande va- (1) Pierre-Thomas du Fossé.
Mémoires
pour servir à Fhistoire de Port-Royal. A Utrecbt,
-Trinité dernière » (*). Cette tumeur, lit-on d'autre part dans les
Mémoires
de Pierre Thomas du Fossé, « s'augmentoit peu à p
ns, et devint si monstrueuse qu'elle avoit le (1) Nicolas Fontaine.
Mémoires
pour servir à l'histoire de Port-Royal. A Cologne
nite hystérique. (3J Vies.m, 268. (4) et(5) Pierre-Thomas du Fossé,
Mémoires
. (6) Aujourd'hui encore on montre: Io Le prépuc
et Religion, Soc. d'édit. scient. 1899. (1) Pierre-Thomas du Fossé.
Mémoires
. (2) (3) (4) Vies inter. et édif. III, 269-70.
clinique du dynamisme psychique. Paris, 1897, p. 93. (2) Du Fossé.
Mémoires
, (3) Vits inu ÏU, 266. Immédiatement après
garde contre la simulation. Cette règle ne peut être citée que pour
mémoire
, car aujourd'hui l'observateur, le médecin vérita
mi le D' Bérillon. « C'est pourquoi nous conserverons pieusement la
mémoire
de celui qui vient de disparaître et c'est pourqu
he. Est-ce que l'explication la plus simple n'est pas de supposer une
mémoire
des parties impressionnées. Notre cerveau sait si
matique et le mode d'action plus obscur encore ! Ceci nous remet en
mémoire
cette boutade d'un vieux professeur, très savant
e, idées fixes, certaines impulsions, nombreuses obsessions, perte de
mémoire
, innombrables peurs ou phobies, modifications du
ompagnés par une capacité de retenir les excitations antérieures, une
mémoire
rudimentaire qui, à l'origine, constituait toute
ons cellulaires se stéréotypaient par suite d'une longue hérédité, la
mémoire
de ces changements primitifs devenait subliminale
oi-disant spiritisme sera la constatation de la richesse inouïe de la
mémoire
subliminale et de la résurrection possible de sou
ion; il conserve son état d'hébétude et de torpeur intellectuelle; sa
mémoire
demeure obstinément fermée toutes les fois qu'on
ère, il va passer aux assises. Au bout de quelques mois seulement, la
mémoire
lui revient : il peut alors s'expliquer et se dis
ation par l'oxyde de carbone, il devient sale, présente des pertes de
mémoire
, du tremblement, des troubles du côté des yeux, d
s, association qui ne lui paraissait pas très rare. La lecture du
mémoire
de Baillarger n'entraîne pas préci- sément à co
'a remarqué autre chose chez l'un de ses malades que la perte de la
mémoire
et l'embarras de la parole et cependant il s'es
UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 3 Il n'est pas un mot de son
mémoire
pouvant faire supposer qu'il ait pensé à des lé
marquer à ce propos, que les cinq observations qui consti- tuent le
mémoire
de z1 sont des observations sans autopsie et qu
on du délire datait de quarante jours 2. » 1 Dans aucun de ces deux
mémoires
, Baillarger ne parle de syphilis cérébrale, et
éso- lue par Baillarger, comme on le dit habituellement; ces deux
mémoires
jettent même très peu de lumière sur cette étude.
nduite démontre qu'en réalité ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Un
mémoire
récent de Klippel 2 conclut dans le même sens.
e aucun progrès. Plus tard il devint de plus en plus mou, perdit la
mémoire
et toute affection pour sa famille et ses amis.
qué. Lwoff. XI. LE RÔLE de l'élément suggestif ET DES ERREURS DE la
mémoire
dans LE procès DE BI : RCIITOLD; par SCHRENR-0'
dans son travail de 1894'. 1. Au moment même où nous rédigeons ce
mémoire
, nous lisons dans la Revue neurologique du 15 j
t avoir des hallucinations de la vue (fixité du regard), perte de
mémoire
, anesthésie cutanée. 'Au commencement de juillet,
ur LE nerf isolé; par A. WALLER (l3z'rzit, part. LXXVI. 1896). Ce
mémoire
est avant tout graphique ; les 45 planches qui le
ntielle. 111. Waller sesert toujours du dispositif indiqué dans ses
mémoires
précédents (voir Arc/¡ de Neurol. 1897, t. I, p
minée par la guérison. L'alcoolisme en Vendée; par le Dl Terrier. -
Mémoire
sur les délires transitoires au point de vue mé
Mémoire sur les délires transitoires au point de vue médico-légal.
Mémoire
sur les mutilations dans les compagnies de disc
r, M. Ritti, l'hommage qui lui est dû. Vous avez tous présents à la
mémoire
ses remarquables éloges de Pinei et d'Esquirol,
M. le D1' Reyneau, d'Orléans, dont vous avez lu déjà le remarquable
mémoire
sur : les Psychoses post-opératoires. » Sont
lopédique des sciences médicales et enfin Verneuil (1883), dans ses
Mémoires
de chirurgie, portentle dernier coup au délire
question provoque surtout à l'étranger une quantité considérable de
mémoires
et soulève dans les sociétés savantes d'importa
à l'Académie de médecine de New-York trente-huit cas nouveaux. Des
mémoires
sur la question sont aussi publiés par Glaevech
tions sur l'utérus et ses annexes. Il ya lieu de citer encore le
mémoire
de Ferrarini en Italie, les travaux de Rohé de
, les facultés du malade commencent à baisser. Il a des absences de
mémoire
. Un peu plus tard M. Magnan note quelques signe
onnaissance la plus vive pour l'Ecole de médecine d'Angers, pour la
mémoire
de mes premiers maîtres, comme j'ai gardé pour
ais manquer au devoir de la reconnaissance, si je n'évoquais ici la
mémoire
de mes prédécesseurs. Ils ne sont pas nombreux,
à la nuque, pointes de feu, etc... 22 juillet. Amélioration de la
mémoire
. Il faut arriver en sep- tembre pour remarquer
F., vin, 1S97.) Arlicle court, fait pour appeler l'attention sur ce
mémoire
publié dans l'Allgemeine Zeitschr, f. Psychiat.
e (principalement dans la forme vertigineuse), l'intelligence et la
mémoire
sont affaiblies, la sensi- bilité morale très é
communication de M. Charrin à la Société de biologie en 1892 et les
mémoires
successifs de M. Klippel, dont le premier a par
, *1 Médecin en chef des asiles publics d'aliénés de la Seine. Ce
mémoire
est le premier d'une série destinée l'élude des
qu'il était interne des hôpitaux de Paris, a écrit, en '1846, un
mémoire
pour établir qu'à cette phase prodromique, tout
e mesure à d'autres milieux ruraux. (Annales médico-psychologiques,
mémoire
de 02 p., janvier-août 1898.) - E. B. l , I
assez sou- vent accompagnée d'aliaiblissement de l'attention, de la
mémoire
, de l'aperception et d'autres fonctions psychiq
des actes assez compliqués et il resta obnubilé, sans conserver la
mémoire
de ce qui s'était passé. Pendant toute la journ
l fut en proie à une torpeur cérébrale légère qui gêna le jeu de la
mémoire
et lui rendit difficiles des travaux qui n'étai
ion isolée de ces deux agents pathogènes, l'auteur, dans le présent
mémoire
, complète ses recherches par l'étude minutieuse
s, doit être du plus haut intérêt. L'auteur termine son substantiel
mémoire
par l'annonce de nouvelles recherches sur les a
e calculateur mental Zaneboni, contribution A la PSYCIIO- LOGIE DES
mémoires
partielles; par GUICCIARDI et FERRARI. (Riv. sp.
ococcique. De belles planches hors texte illustrent cet intéressant
mémoire
. (.1me1'iean Journal of itzsunit, octobre 1897.
econnaît comme sujet (personnalité). Développement de la parole. La
mémoire
des sons s'amasse pro- bablement d'assez bonne
centre sensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y forme la
mémoire
motrice d'articulation. A mesure que cette mémo
a) et y forme la mémoire motrice d'articulation. A mesure que cette
mémoire
mécanique augmente, à mesure que s'accroît la m
ure que cette mémoire mécanique augmente, à mesure que s'accroît la
mémoire
sensorio-audilive, l'enfant com- mence à répéte
in de la deuxième année) du développement de la parole autonome. La
mémoire
sen- sible sensorielle et motrice ayant enregis
connaissance les images sensorio-motrices déjà unies pour avoir la
mémoire
des mots. Celte faculté prend ensuite un caract
ieim), mais un proces- sus psychique, qui tient à l'élaboration des
mémoires
sensorielles et à l'association consciente des
ies. Bien que la région motrice de Broca contienne l'ensemble de la
mémoire
des mots (mémoire sensorielle), il est très pro
égion motrice de Broca contienne l'ensemble de la mémoire des mots (
mémoire
sensorielle), il est très probable que les alté
rouage psychique qui, pour celte raison, appartient à l'écorce. Les
mémoires
sensorielles ne sont pas du tout des centres spec
. Pour la parole, comme pour l'entendement en général, il faut : la
mémoire
, l'aptitude à l'association des idées et des im
l'écri- ture). Mais la parole est plus compliquée ; il faut que les
mémoires
sensorielles des mots se mettent préalablement
raduire le sens. L'aphasie comporte donc : A, soit un trouble de la
mémoire
sensible (motrice, sensorielle, et visuelle des
suelle des lettres) : aphasie sen- sible ; B, soit un trouble de la
mémoire
d'association des centres d'association moyen o
é verbale ; le centre d'association moyen agit sans contrôle sur la
mémoire
sensitive des mots entendus, .des sons des mots
Motrice (t1'l ! nscorticale) par affaiblissement fonctionnel de la
mémoire
motrice.- b) Sensorielle, exemples : les aphasi
ples : les aphasies de Grashey ; les cas où l'affaiblissement de la
mémoire
sensible de l'ouïe rend difficile l'intelligence
ssibilité dans laquelle il est de conserver assez longtemps dans la
mémoire
l'image du mot pour pouvoir le transcrire ; la
l'esprit; il ne possède plus la parole intérieure, en dehors de la
mémoire
sensible sensorielle, pour comprendre les paroles
érieures, et aussi la faculté d'en con- server de nouvelles dans sa
mémoire
; il voit les objets, mais ne les reconnaît pas,
er de nouvelles im- pressions avec celles qui existent déjà dans la
mémoire
. Cette cécité psychique dénote un trouble des a
Marinesco. (Ceîit7,ttlbl. f. Nervenheilk., \11, T. F., IX, 1898.)
Mémoire
écrit en français, avec figures. P. Keraval.
les voies. » Du tatouage chez les criminels, par Ch. Perrier. - Ce
mémoire
est une partie détachée d'une étude relative à
volution de la peine, autre- ment que ne le fait M. Makarewicz. Son
mémoire
n'en est pas moins très instructif. Zaborowski.
le nom de spasme saltatoire2. Nous ne faisons ici qu'indiquer ce
mémoire
, sur les conclusions duquel nous aurons à reven
il n'est jamais tombé. Il n'accuse ni douleurs de tête, ni perte de
mémoire
, ni aucun trouble de sensibilité spéciale. Du c
rce qu'il avait souffleté sa soeur au parloir. 1885. 3 mars. - La
mémoire
est assez bien conservée; la parole est libre.
6. Traitement : capsules de bromure de camphre. 1886. Janvier. - La
mémoire
est médiocre; le malade est dans un état de sem
AL. 85 D. La Palestine ? Il. C'est un endroit qui est opposé à la
mémoire
. On le force à fixer son attention sur une grav
s à sortir demi-nu si on l'en priait avec quelque persistance. La
mémoire
des noms et des choses est mieux conservée, et
uvoir d'association des idées et conservation très incomplète de la
mémoire
. L'état mental actuel n'est que la conséquence
ut ressentir, même à un faible degré, les joies de la famille. La
mémoire
, qui joue un si grand rôle dans la durée des sent
- cot sur les attaques de sommeil, recueillies par llillioti'; un
mémoire
de M. Pitres =, l'éminent doyen de la Faculté de
souvent leur existence lui fût jusque-là tout à fait sortie de la
mémoire
. Le mécanisme serait, d'après M. Rosenbach : con-
ce de AI. Magnan. M. le Président annonce la mort de M. Bigot, à la
mémoire
duquel il rend hommage. LE Secrétaire général
se dérouler sous nos yeux, mais il y ajoute un nouveau facteur, la
mémoire
. La vivacité du souvenir est très nette dans la
mme nécessaires en l'espèce. Sous le mérite de ces observations, le
mémoire
de M. WulIF est adopté. Seconde séance. M. le D
ES. ligence (reconnaissance et distinction), de la forme et de la
mémoire
de la forme. Suivant qu'existe ou que prédomine c
ra à apprendre à écrire et à dessiner, mais non à lire. Si c'est la
mémoire
de la forme qui tient la tête, l'enfant apprendra
ne direction compétente et éclairée 1 Th. Ribot, Les Maladies de la
mémoire
.. Paris, 1881, p. 9. 200 pathologie NERVEUSE.
our ac- tionner. On peut dire que si les groupes corticaux ont la
mémoire
du genre d'impulsion qu'il faut donner pour dét
sur un plan, et, pour tel ou tel mode d'ascension et de descente (
mémoire
psychologique), les centres spinaux, eux, charg
ux, chargés de l'exécution dite automatique, inconsciente, ont la
mémoire
des réactions nécessaires pour répon- dre à ces
par un ou plusieurs centres spinaux où seule réside désormais la
mémoire
des détails des mouvements associés qui doivent
mblement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la parole. La
mémoire
est nulle. La miction est involontaire depuis t
neuf uns. - Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la
mémoire
. Périodes de mélancolie et (['agitation.- Rhumati
par Etoc-Demazy3 serait une troisième forme. Kiernan1, dans deux
mémoires
consécutifs sur la question, reproduit en somme
int de vue du somnambulisme spontané que nous ne signalons que pour
mémoire
. Il n'en est plus ainsi dans certains cas de st
1869, M. Legrand du Saulle publiait dans la Gazette des Hôpitaux un
mémoire
intéressant sur ce sujet encore à l'étude aujou
urer; mais l'affaiblissement de l'intelligence du jugement et de la
mémoire
présentait des interruptions, des irrégularités
alpêtrière de Paris une statue à Ph. Pinel, la France a ho- noré la
mémoire
d'un homme qui, quatre-vingt-sept ans aupara- v
quelquefois raffermit les facultés intellectuelles, spécialement la
mémoire
( ? ). Dans la colonie, on se sert d'une solution
ernera, à la fin de l'année 1888, un prix de 500 francs au meilleur
mémoire
qui lui sera adressé sur un sujet se l'attachant
il sera ajouté au prix qui serait donné deux années plus tard. Les
mémoires
devront être envoyés au secrétaire général de l
our nos abonnés : 20 fr. ROLLAND (E.). De l'épilepsie jacksonienne.
Mémoire
couronné par la Sociélé de médecine et de chiru
omme robuste, vigoureux, puissamment musclé. Son intelligence et sa
mémoire
n'ont subi aucune altération. Il fait avec une
Au mois de juillet dernier, nous avons publié, dans cette revue, un
mémoire
consacré à l'Etude des condi- tions êliologique
s nous avait conduit l'étude des faits relatés dans notre premier
mémoire
, tels sont aussi -les enseignements qui se déga
à une critique qui nous a été adressée, au sujet de notre premier
mémoire
, par un auteur allemand, M. Edinger. « Il est d
s les trois semaines, puis tous les quinze jours. Vers douze ans la
mémoire
a commencé à faiblir; il tombait alors fréquem-
tante, car très prochainement nous publierons, M. Dastre et moi, un
mémoire
sur le déplacement énorme que les viscères abdo
e 1880, à Eisenach, un travail de Fink sur l'hébéphrénie. Dans ce
mémoire
, Fink donne trois cas d'hébéphrénie qui ressemble
gues mais sous des étiquettes différentes. D'ailleurs même avant le
mémoire
de Kalhbaum 2, on rencontre dans les livres spé
peur et phénomènes cataleptiques, publiées sous ce titre depuis le
mémoire
de Kalhbaum et que nous avons pu recueillir, no
et et Féré ont repris dernièrement ces études dans un intéressant
mémoire
et ont rapporté de nouveaux exemples de ces faits
ularités qui la rapprochent de celles publiées par Kalhbaum dans le
mémoire
que nous avons analysé. Observation III. - In1-
is plus pro- noncée chez Lem... que chez D... ; tous deux ont de la
mémoire
et leur physionomie est niaise, mais nullement
. V, p. 117), et l'observation de M. P. Blocq (t. XIII, p. 217); le
mémoire
très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose e
mme et chez l'homme. Si nous avions à faire l'étude critique de ses
mémoires
et de ses faits, nous ne serions pas long à dém
émontrer l'insanité de ses prétentions, en regard de la netteté des
mémoires
et des faits de M. Charcot (Voy. Archives de Ne
ion de longues années. Il parle de cinquante années et rappelle son
mémoire
de 1850. Ueber die Berauschungs- mittel des Men
u moins systématique. P. K. XIX. Contribution A la pathologie DE la
mémoire
; par A. P¡CK. (Arch. f. Psych., XVII, 1.) Ob
vation très détaillée permettant d'établir les lois de retour de la
mémoire
. Il s'agissait d'une amnésie pure générale et pro
al de persécutés persécuteurs distinct du délire de persécution. Le
mémoire
se termine par quinze observations très écourlé
sentées dans notre dis- cussion. Examinant ensuite le remarquable
mémoire
de Foville' sur la folie avec prédominance d'id
ombe en février et sera célébrée par un banquet. M. Thomsen lit son
mémoire
sur les troubles de la sensibilité chez les ali
o et présente des préparations mi- croscopiques correspondantes. Ce
mémoire
sera publié ailleurs '. ' llevues analytiques.
eûne prodigieux de l'évêque de Spire, 153. Jounnl nouveau, 493.
Mémoire
(pathologie de la), par Pick, 414. Nécrologie
, outre l'affaiblissement des facultés psychiques, un trouble de la
mémoire
, en forme d'amnésie et de réminiscences fausses
élucider ce que nous avons exposé dans la première moitié de notre
mémoire
. Pour éviter des malentendus et aussi pour plus
au mécanisme des éléments nerveux. Dans la seconde moitié de notre
mémoire
, nous avons essayé d'appliquer l'étude des neur
té un grand nombre de cas de mutité chez des enfants entendants. » (
Mémoires
de la Société française d'otologie, 1895> DU
ce dans quelques-unes de ses fonctions telles que Y attention et la
mémoire
, ce qui avait eu sans doute pour conséquence de
oique doué d'un organe de l'ouïe normal. Dès la prime enfance, la
mémoire
devait être inhabile chez D... à recevoir et à
utisme persistant, nous ne pouvions plus en accuser l'attention, la
mémoire
, ni la compréhension; il fallut en chercher la
sor, notamment en ce qui concerne les facultés d'observation; et de
mémoire
. La réflexion s'est également exercée dans une
- chement laborieux, c'en est assez si nous nous rappelons le
mémoire
même de Little pour justifier le nom de malad
derne et l'alcoolisme. COMMISSION DES PRIX. Prix Aubanel. Aucun
mémoire
n'ayant été déposé, le prix Aubanel est reporté
Rapport des auto-intoxications avec le délire. -prix Fsquirol, Deux
mémoires
ont été reçus. Commission : MM. Bouchereau, Falre
'examen du système nerveux nous montre des troubles multiples. La
mémoire
est un peu diminuée par les événements récents;
la poly- névrite, mais encore le tabès vrai comme en témoigne le
mémoire
de Guinon et Souques. Le corollaire de cette dé
assible étant connues et nous examinerons ici la deuxième partie du
mémoire
, qui est consacrée à des considérations de phys
ée des membres et du corps en général ; la netteté singulière de la
mémoire
, pendant la convalescence, à l'égard des événem
rme hypocondriaque de la paralysie générale. Aucune faiblesse de la
mémoire
, ni autre confusion de l'intelligence, que les
rpeur intellectuelle, déchéance mentale, perte de l'attention de la
mémoire
et de toute initiative, somnolence, état semi-c
. Capacité men- tale très faible. Crises épileptiques fréquentes .-
Mémoire
insuf- fisante. La répétition des crises épilep
Journal of Mental Science. Jan- vier 1897.) Les conclusions de ce
mémoire
sont les suivantes : 1° Dans les deux cinquième
forme d'idées délirantes, de tendances au suicide, de pertes de la
mémoire
, de parésies, d'affaiblissement intellectuel.
établissement du genre de ceux que demandait 111. Moebius dans son
mémoire
(Die Behandlung and Ne1'Venk1'Ll11ken und die E
ons simplement observer que nous avons uni- quement en vue, dans ce
mémoire
, les localisations médullaires de la maladie; à
res ; elle a été employée, dans quelques travaux récents dont notre
mémoire
inaugural a donné l'exposé détaillé. Nous croyo
me propose de signaler et de dis- cuter dans un autre travail '. Ce
mémoire
est, en effet, exclusi- vement consacré aux deu
f; c'est la thèse que j'ai soutenue en 189 dans ce journal avec mon
mémoire
sur la Réorgani- sation du personnel médical de
decin traitant, » 1 Voir dans la Tribune médicale de mai mon récent
mémoire
sur la héonjanisalioii de 1 ? Itljiival. LE P
e telle organisation. Un dernier point à traiter avant de clore ce,
mémoire
dont l'importance extrême du sujet justifiera,
ture étant intégralement intact, il existe un affaiblissement de la
mémoire
ayant altéré le fonction- nement du mécanisme g
degré de perfection. « Est-il nécessaire de rappeler le remarquable
mémoire
de Pinel sur la manie périodique ou intermitten
ons, la merveilleuse sagacité clinique dont il fait preuve dans son
mémoire
sur l'alié- nation mentale des nouvelles accouc
e grande oeuvre philanthropique unit inlimement et à jamais dans la
mémoire
des hommes le maître et le disciple, à tel poin
l indique les remèdes avec une admirable précision, dans le célèbre
mémoire
qu'il présenta au ministre de l'intérieur, en sep
Les noms de Pinel et d'Esquirol restent profondément gravés dans la
mémoire
des hommes; leurs oeuvres sont inscrites dans l
plus encore que par l'absurdité des idées; - par les lacunes de la
mémoire
, par les altérations du sens moral, de la conduit
e. Si le malade aw conservé soit un peu d'attention, soit un peu de
mémoire
, soit la; 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. faculté d'as
qu'il a vus dans le service de J. Simon. Enfin, nous signalons pour
mémoire
une courte communication que nous fîmes à la So
vent ce phénomène nerveux. Outre ce bégaiement je constatais que la
mémoire
était encore bien diminuée et une sorte d'hébétud
amné- HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 301 sique et qu'il perdait la
mémoire
des mouvements coordonnés des lèvres et de la l
que l'enfant était com- plètement guéri de son bégaiement et que la
mémoire
lui était revenue. Cette observation offre un
te ou injurieux et leur reproduction monotone témoigne du défaut de
mémoire
et d'imagination du dément sénile. Au début d
tative et olfactive, et enfin sen- sibilité tactile et visuelle. La
mémoire
n'a apparu que longtemps après. Les souvenirs l
u motrices, et dans les essais faits pour provoquer le retour de la
mémoire
, le souvenir était plus aisément évoqué par des
oire. Enfin, l'attention volontaire était due à l'in- tensité de la
mémoire
, il la richesse des souvenirs. Une mobilité d'e
logie : compréhension incomplète de l'entourage, faible critique et
mémoire
, manque d'intelligence et très grande faiblesse d
simplement psychique comme semblait le vouloir l'école allemande (
mémoire
de Duvernay, de Bâle) et comme ten- .daient à l
et permanent et douleur hystérique de la hanche décrit dans le même
mémoire
. C'est surtout dans ces cas d'association intim
E. 389 « Etiologie » l'indique, et les observations II et V de ce
mémoire
le démontre de la façon la plus claire, la plus
anisme. On trou- vera un certain nombre de nos observations dans le
mémoire
de Clopatt et dans nos Comptes rendus de Bicêtr
de la sensibilité générale. Etat psychique. Affai- blissement de la
mémoire
surtout pour les faits récents. Hyperaffec- tiv
ns une attitude conve- nable et se soumet facilement à l'examen. La
mémoire
est atfai- blie, elle parait parfois conservée
ous avons rendu compte à cette place du travail du D1' Ranney et du
mémoire
du Dr Peterson : nous ne pouvons suivre l'auteur
anxieux panophobique ne sont. pas rares. On en trouve un dans le
mémoire
si remarquable de Morel. Il s'agit de ce banquier
s qui ont la préten- tion de combattre l'élément sclérose. C'est le
mémoire
de Charcot et Vulpian, fait d'après les travaux
s expérimen- tales sur l'innervation vaso-motrice du foie (3e et 4e
mémoires
: Réflexes vaso-constricteurs) ; par MM. Ch.-A.
cherches sur l'excitation des nerfs par les rayons électriques (1er
mémoire
) ; par M. B. Danilew,sky; Recherches sur l'éxci-
herches sur l'éxci- tation des nerfs par les rayons électriques (2°
mémoire
) ; par M. B. Danilewshy ; Action des états vari
elle finit par travailler régulièrement à la couture; toutefois la
mémoire
est toujours peu précise en ce qui concerne les
plus pour lui qu'une cause d'ennui et quelque peu d'angoisse. La
mémoire
est moins fidèle. En décembre, les troubles mél
SES DE défense; par S. FREUD. (Neurolog. Cent1'illbl., XV, 1896.)
Mémoire
finement détaillé, divisé en trois parties : 1°
de douleurs localisées, d'excitation maniaque ,et de troubles de la
mémoire
caractérisés par une amnésie de la commotion, a
vent avoir des fonctions délicates, telles que l'intelligence et la
mémoire
; mais la démonstration de ces faits n'en a pas en
lobule dans sa partie antérieure, le sujet a perdu complètement la
mémoire
et presque totalement l'intelligence. Six années
irconvolutions frontales supérieures et moyennes, et avec elles, la
mémoire
et l'intelligence. Ce cas est intéressant, parc
nt en une représen- tation vive, une hypermnésie systématique de la
mémoire
affective, en une réviviscence spontanée d'une
ut l'observer dans nos asiles et Baillarger en cite un cas dans son
Mémoire
sur les hallucinations (5 SI).- ' Moreau de T
ubles mentaux consistaient en hallucinations multiples, perte de la
mémoire
, obnubilations et délire incohérent. Les symptô
qu'on lui dit, copie sans fautes, mais ne peut écrire exactement de
mémoire
pas plus que sous la dictée, en omettant syllab
re de recevoir qui il veut, quand il veut et comme il veut. Dans un
mémoire
publié en janvier do cette année dans les Annal
elations de famille durant un certain temps, j'ai moi-même dans mon
mémoire
des Annales médico-psycholo- giques examiné deu
0 francs (bisannuel). - Ce prix sera décerné à l'auteur du meilleur
mémoire
sur la thérapeutique des maladies mentales et s
tales, en en arrêtant ou en en atténuant la marche terrible. Quatre
mémoires
ont été soumis à l'examen de l'Académie. Une so
). Question : de l'hallucina- tion dans les maladies mentales. Deux
mémoires
ont concouru. Le prix est décerné à Mule Dr Pau
Dr Paul Sérieux, médecin de l'asile de Villejuif (Seine), auteur du
mémoire
inscrit sous le n° 2. L'Aca- démie accorde un e
t sous le n° 2. L'Aca- démie accorde un encouragement à l'auteur du
mémoire
portant le n° 1, M. le Dr Albert Pégurier, méde
(bisannuel). - Question : le morphinisme et la morphinomanie. Huit
mémoires
ont élé présentés sur. cette question. L'Académ
et Raoul Leroy, internes à l'Asile Sainte- Anne, Paris, auteurs du
mémoire
inscrit sous le n° 6 ; Une mention très honorab
leur ouvrage portant le n° 1 ; M. le Dr Gustave Duranle, de Paris,
mémoire
n° 4. Prix Lefèvre, 1,800 francs (triennal). Qu
èvre, 1,800 francs (triennal). Question : de la mélanco- lie. Trois
mémoires
ont été adressés à l'Académie. Le prix est dé-
oulouse, chefs de clinique à l'Asile Sainte-Anne, Paris, auteurs du
mémoire
inscrit sous le n° 3. Uue mention honorable est
des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon, auteurs du
mémoire
portant le n° 2. Prix PROPOSÉS POUR l'année 189
nctionnels variés : de l'abaissement intellectuel, de la paresse de
mémoire
, des douleurs ayant nécessité l'intervention 15
ndon, Truhuer, 1878.-Nous regrettons de n'avoir pu nous procurer le
mémoire
de Riccardi, publié in Archivio per l'Antropologi
s chiffres, n'a rien appris en gymnastique, n'a ni discernement, ni
mémoire
. Si on lui montre un objet usuel, en lui en dem
s que 2 et 1, 4 et 3, mais ne connaît pas tous les chiffres. Pas de
mémoire
. Pas de discernement. Gymnastique : sans aucune
énuant une pression exagérée. IV. L'un des cas mentionnés dans ce
mémoire
(celui de M. Anderson) permet d'espérer que des
lace le premier travail de M. Bruce : les conclusions de ce nouveau
mémoire
sont les suivantes : 1° le plus ou moins longue
es sentiments, du langage, de l'intelligence proprement dite, de la
mémoire
, de l'association des idées, du raisonnement, e
écessaires au développement de l'activité mentale, la volonté et la
mémoire
, par exemple. L'absence de l'attention, toute c
la folie soupçonneuse, puis les modifications de l'attention, de la
mémoire
et du caractère. Ces troubles mentaux sont asso
derne et l'alcoolisme. Commissions des pris. Prix Aubanel : Aucun
mémoire
n'ayant été déposé, le prix Aubanel est reporté
orts des anto-iiitoxications avec le délire. - Prix Esquirol : Deux
mémoires
ont été déposés. Commission : MM. MITIVIÉ, Bouc
ettre en évidence les troubles psychiques élémentaires des malades (
mémoire
, enchaîne- ment des idées, jugement, actions, e
e persécution systématisées. Pas de cons- cience de l'état maladif.
Mémoire
excellente, langage très cohé- rent ; la malade
deux ans céphalée très violente, surtout la nuit; diminution de la
mémoire
et de l'application au travail. Excitabilité, tro
les de la parole. Le malade se plaint surtout de la faiblesse de sa
mémoire
: il ne peut s'orienter ni dans le temps m dans
intellectuelle et porte des jugements exacts sur les choses où la
mémoire
n'intervient pas. Il comprend toutes les question
ble, pour ne pas dire la disparition de la 250 SOCIÉTÉS SAVANTES.
mémoire
, accompagnée de la persistance de l'intelligence,
jet avait alors une conscience parfaite de son état et, bien que sa
mémoire
fût dimi- nué, il pouvait donner des renseignem
les juges ; il défend sa cause et celle des siens ^dans de nombreux
mémoires
injurieux et menaçants, épuise toutes les jurid
toutes les juridictions. Sa soeur et son père signent avec lui les
mémoires
en question. Nicolas est interné en 1888 à l'as
plus longtemps notre attention, comme étant spéciale au sujet de ce
mémoire
. Nous croyons que le tabétique peut pâtir du cô
a sensa- tion des saveurs. Rappelons à ce sujet qu'au cours de ce
mémoire
nous avons Insisté sur la fréquence des anesthé
s plus hautes fonctions de la vie cérébrale (association des idées,
mémoire
, intelligence). Quant à la com- plexité des con
s, soupçon- neux et ne supportent ni contradiction ni conseils ; la
mémoire
, surtout celle des choses courantes, s'affaibli
server chez les vieillards, l'affaiblissement de l'attention, de la
mémoire
, de l'intelligence. L'épilepsie sénile est souv
naires. Chez tous les autres animaux dont il a été question dans ce
mémoire
, l'auteur a constaté que : 1° cer- 364 REVUE D'
la comparaison des divers cas entre eux. II. La seconde partie du
mémoire
est consacrée aux observa- tions personnelles d
ans manifestations méningitiques ( ? ) Intelligence peu développée,
mémoire
paresseuse. A onze ans accès convulsif ( ? ). M
s conceptions, un ralentissement de la pensée, une diminution de la
mémoire
. Parmi les troubles les plus caractéristiques e
cas p. 100. Elle est caractérisée par une diminution extrême de la
mémoire
, comme on ne l'observe que chez les paralytiques
laissent ensuite aller à proférer des injures. La diminution de la
mémoire
peut déterminer de faux témoignages, des vols.
este : des actes compliqués peuvent ne laisser aucune trace dans la
mémoire
et vice versa. Pour ce qui est des décharges mo
M. THOMSEN relève quelques particularités concernant l'état de la
mémoire
daus les formes d'obnubilation transitoire de l'é
ctuel, une absence totale d'énergie, une dimi- nution notable de la
mémoire
. Comme cette amnésie élait très variable, qu'el
s'orien- taient mal à l'égard de leur entourage et avaient perdu la
mémoire
des événements récents. Les premières acquisiti
grandeur; mais souvent les malades, par suite des la- cunes de leur
mémoire
, du défaut d'orientation et de l'euphorie, écha
olescents. Il y aurait inté- rêt à réunir sous forme de thèse ou de
mémoire
les faits analogues. FAITS DIVERS. Asile d'al
presque inintelligibles; il tutoie toutlemonde; il ne manque pas de
mémoire
et est capable de quelque attention. Son regard
ériode (attaques de sanglots, de spasmes, etc.) la conscience et la
mémoire
sont intégralement conservées. 2° Dans la pério
ions toniques et cloniques du type épileptoïde, la conscience et la
mémoire
sont totalement abolies. Dans les attaques frus
, de catalepsie, de léthargie, de délire etc.), la conscience et la
mémoire
se comportent exactement comme dans les cas où
tabes en trois grandes périodes. Dans la première période, avec le
mémoire
original de Bourdon et Luys (1861), la maladie
in de province, après de* observations bien faites, avait présenté un
mémoire
sur l’effet de ce remède. C’était tout bonnement
uite.) Ecrire est parfois un plaisir, une puissante distraction. La
mémoire
reproduit en image les faits d’un autre temps ; o
ennemis si nombreux et si puissants que je doute par instants que ma
mémoire
soit bien fidèle. Je ne suis point romancier ; j’
que j’écris n’est pas le fruit d’un rêve. Quelle belle chose que la
mémoire
! C'est elle qui a donné naissance à la civilisas
ot. Retranchez-lui la vue, l’ouïe, qu’importe, si vous lui laissez la
mémoire
? L’homme est là tout entier. Réservoir de toute c
ce, point de départ de toute instruction, on ne sait point comment la
mémoire
se produit. Ses magasins reçoivent et conservent,
d’intervenir et de publier quelques pièces oubliées, pour remettre en
mémoire
des attaques plus vives de l’allopathie contre l’
nes, dans cette circonstance, une lettre, des plus flatteuses pour la
mémoire
de cet officier, adressée à sa veuve avec le brev
le 22 novembre 1842 , à la Société royale de médecine de Londres, un
mémoire
sur l’amputation d’une cuisse faite dans les même
elle passait à une autre. Pendant cette scène, elle lit preuve d'une
mémoire
prodigieuse , d’un sens exquis, d’une modestie et
et attendre le moment du réveil pour leur insufflation, afin que, la
mémoire
ayant repris son jeu, vous puissiez conserver pen
, nous réparons donc un peu tardivement une omission involontaire. Le
mémoire
dont il s agit, malgré son peu d’étendue, offre d
nt aux fous, ou bien à l’aide d’un développement extraordinaire de la
mémoire
, employait une langue dont il avait eu autrefois
tions dont je suis l’au- leur et que j’ai fait connaître dans des
mémoires
adressés aux congrès homœopathiques tenus à Paris
uvaient pas exister, et a annoncé quelle jetterait au panier tous les
mémoires
qui pourraient lui être adressés sur ces matières
dra pourtant approfondir tôt ou tard. Sept concurrents ont envoyé des
mémoires
. C’est en 4855 que la section de philosophie, par
somnambulisme et des merveilles de la lucidité. Comme, du reste, ces
mémoires
se recommandent par des études importantes et par
tous ceux dont les idées s’écartent d’une certaine orthodoxie. Les
mémoires
sont classés par le rapporteur suivant l’ordre cr
irons de ces appréciations que ce qui concerne le somnambulisme. 1°
Mémoire
n° 6. « L'auteur, dit M. Lélut, admet aveuglément
érations du magnétisme. » On se . contente de ce coup de massue. 2°
Mémoire
n° 1. « Il y a tout un chapitre consacré à traite
rtificiel d’après l’existence supposée d’un corps virtuel, etc.» 3°
Mémoire
n° 3. Ici le rapporteur devient plus sévère : « L
adémie, ou à ce qu’il en a regardé comme la partie principale, par un
Mémoire
dont le somnambulisme magnétique constitue presqu
ond et la fin. D'après cela seul, V Académie pensera peut-être que ce
Mémoire
eût dû être, ou à peu de chose près, écarté du co
u problème posé, le concours ne pourra rien lui apprendre, et les
Mémoires
ne devront être nue des amplifications sur des id
ront être nue des amplifications sur des idées connues d’avance. h°
Mémoire
n° h. «Suivantl’auteur, dit M. Lélut, non-seuleme
ert les nouveaux pouvoirs dont il est déjà question dans l’analyse du
Mémoire
précédent, et auxquels celui-ci fait une part enc
xquels celui-ci fait une part encore plus grande. D’après l’auteur du
Mémoire
n° A, il n’y a rien qui échappe à l'âme dans l’ét
pte des erreurs, des défaillances, des illusions de la lucidité. 5»
Mémoire
n* 7. ’L’auteur est médecin et partisan du magnét
s-hautes, etc. »• D’après les précautions prises par l’auteur de ce
Mémoire
, on voit l’influenco fâcheuse des décisions préso
rcle arbitrairement tracé, et nuisent aux progrès de la science. 5°
Mémoire
n° 2. Le rapporteur, après une, analyse déteilr l
n° 2. Le rapporteur, après une, analyse déteilr lée des parties de ce
Mémoire
relatives au sommeil ordinaire, félicite l’auteur
de ses prévisions. » 7° Enfin le rapporteur arrive à l’examen du
Mémoire
n° 5, en faveur duquel il réclame le prix qui lui
appréciations du rapporteur. Après avoir rendu compte de la partie du
Mémoire
concernant le somnambulisme naturel, M. Lélut s’e
d'abord lui donner son vrai nom. Ici, pour rappeler, avec l'auteur du
Mémoire
n° 5, les paroles d’un spirituel philosophe qui a
ement décidé par là qu’elle partageait son avis sur la supériorité du
Mémoire
en faveur duquel on réclamait le prix ; mais elle
sible au malade do le faire. moderne de MM. Didot, dans plusieurs
mémoires
publiés dans la Renie archéologique, l’auteur s’é
éjà beaucoup occupé de recherches sur le diable et sur les auges.. Le
mémoire
lu à l’institut se rapporte à peu près aux mêmes
tteint en montant à l’assaut, et d’autres détails qui échappent à ina
mémoire
, mais dont l’exactitude rigoureuse aurait été rec
e magnétique que la fêté do 23 mai réclame son concours ; et que tout
mémoire
, tout chan , toute pièce devers, en laveur du pui
si dire, en ramenant son regard sur lui ; et alors, avec l’aide de la
mémoire
qui lui garantit son identité, des sens et de l’i
où il ep est resté, quand il est entré en crise, et se replace par la
mémoire
dans les circonstances où il se touvait à l'insta
du mal que j’avais encore à combattre. J’avais beau repasser dans ma
mémoire
tous les cas plus ou moinsexceptionnels que j’ava
n, il y a là l’usage d’une faculté quC Dieil a accordée à l’homme, la
mémoire
, au moyen de laquelle-'l’àme conserve le souvenir
ieux que ¡es-yeux ne peuvent saisir, mais qui1 «ont conservés^dans la
mémoire
, y a-t-il déplacement de l’âme et estme en‘Vertu
omète qui illuminait naguère les profondeurs du ciel, lui revint à la
mémoire
, et volontiers elle aurait répété avec Claudius :
a plume du docteur Sotteau. La jeune personne qui fait le sujet de ce
mémoire
« peut être regardée comme entièrement rétablie d
s de fer: l'un intitulé : Le Régent et la cour de France, extrait des
Mémoires
de Saint-Simon, p. 31 ; l'autre, Mesmer et le Mag
es espaces qu’elle ne peut » pas sonder, dont elle ne rapporte aucune
mémoire
, mais « qui l’avertissent assez que l’ordre prés
me. ' « Nous en tirerons nos preuves de l’admirable phénomène de la
mémoire
. « On sait que le corps de l’homme, jusqu’à un
apprit la mort de 1 enfant, les paroles de M"" *** lui revinrent à la
mémoire
, et non-seulement à elle, maisencore à d’autres a
i acquit, par l'affaire du collier, une si triste célébrité. Tous les
mémoires
du temps, tous les documents historiques s’accord
effleurées ; mais il n’a pas dissipé les ténèbres qui environnent la
mémoire
de l’homme extraordinaire dont il s’est fait le b
n donner le titre sans commettre une sorte de profanation envers leur
mémoire
vénérée, sans insulter au bon sens et à la gramma
ce serait une profanation que d'appeler magiciens des savants dont la
mémoire
est justement vénérée. Profanation ! mon cher mon
écidé qu’à l’avenir elle jetterait au panier, sans les lire, tous les
mémoires
qui pourraient lui être adressés concernant le ma
du 27 avil précédent, une discussion a eu lieu concernant l'excellent
mémoire
de M. le docteur Puel sur la catalepsie (1). M.
mps après sa mort, beaucoup de pauvres familles bénissaient encore sa
mémoire
. » Non plus qu’une infinité d’autres révélation
ns et je me dis : Epar- (1) Je publierai dans le mois de janvier le
mémoire
que j’ai fait remettre, il y a deux ans déjà, à S
lieu aussi régulièrement. Le même empire s’exerce également sur la
mémoire
; par exemple, le sujet oublie son nom, celui d’u
lus que de la qualification d'er-gotcur, que du reproche de manque de
mémoire
. Quand, dans mon argumentation, je parle de M. Mo
, 90. — Analyse critique du rapport de M. le Dr Lélut, sur les divers
mémoires
traitant de ladite question, par M. Morin, 149. —
S. Morin. Annonce de la prochaine publication de cet ouvrage, 644.
Mémoire
sur l'histoire de l'astrologie et de la magie dan
'idiotie microcéphalique. Son observation figure in extenso dans le
mémoire
que nous avons commu- niquée, avec notre intern
t verbal de M. V. Goupy, a émis l'avis suivant. Le Conseil, Vu le
Mémoire
par lequel M. le Directeur propose de créer à l
7 février, M. Thuillier, chargé de rapporter cette affaire, a lu le
mémoire
suivant pré- senté par l'Administration : Mes
s détails sur les travaux qui sont proposés aujourd'hui, puisque le
mémoire
, présenté par l'Administration sur cette affair
En conséquence le Conseil émet l'avis suivant : Le Conseil, vu le
Mémoire
par lequel M. le Directeur sou- met à son exame
e (Incl feeble-miided Persons (1876-1886) renferment des plans, des
mémoires
et des docu- ments de toutes sortes qui devraie
i d'Amédée Blondeau, son regretté prédécesseur, restera dans leur
mémoire
, comme celui d'un homme dont la vie entière a é
peu cultivée chez nous, mais qui avait été l'objet de beaucoup de
mémoires
et de multiples recherches à l'étranger, surtout
ns encore, comme relevant plus particulièrement de la clinique, les
mémoires
que nous avons faits ensemble : De la Rubéole o
est devenu peureux depuis il mois, et, depuis la même époque, la
mémoire
a diminué. Le raisonnement a toujours été puéri
verge peu développée; gland découvrable. Parole un peu traînante;
mémoire
assez bonne; C... est assez intelligent, affect
uberté. - Modification défa- vorable du caractère, diminution de la
mémoire
. - Hydre- thérapie. Picrotoxine. Ram... Gabri
facultés intellectuelles paraissent assez développées; toutefois la
mémoire
semble un peu faible. La tenue est bonne, le ca
illis a été utilisée par l'un' de nos élèves, le Dr Bricon, pour un
mémoire
couronné par la Société médico-psychologique (c
ous avons complété ces documents et publié avec lui, en 1886 (4) un
mémoire
reposant sur 13 observations, puis en 1888 (5),
cot et de ses élèves, en particulier, l'observation du Pacha et les
mémoires
des au- teurs anglais, fut amené à examiner plu
a mère, une soeur et une tante du malade de 1'OBSERVATION X (le`'
mémoire
) ; - chez le père de deux autres (OBs. VI et VI
pas de salacité. Ils sont susceptibles d'attention, ils ont de la
mémoire
à un certain degré ; ils deviennent propres, ap
re des autres formes de l'idiotie : la présence chez (1) Dans notre
mémoire
de 1886, nous avons consacré tout un chapitre à
ésumé des travaux de M. Horsley et de M. Schiff, dans notre premier
mémoire
. 108 . CLINIQUE. ces malades et leur absence
la vie est à peu près la règle chez tous les idiots. (1) Ferrus.
Mémoire
sur le Goitre et le Crétinisme ; Paris, 1851, p
marche même assez longue. Conscience des besoins. Conservés.
Mémoire
relativement développée ; caractère en général do
es faits, nous n'avons pas cru devoir allonger par un historique ce
mémoire
; nous indique- rons seulement à sa suite une li
nous avons eu à nous servir; ce sont surtout, en pathologie, les
mémoires
ayant trait à la paralysie générale pro- gressi
aise pour l'avan- cement des sciences (séance du lli,aoùt 1889), un
mémoire
relatif à trois cas empruntés à MM. Gimeno, Ern
de l'insérer dans le Compte rendu de 1889, afin de le rapprocher du
mémoire
sur le même sujet qui figure dans ce volume.
t après le déjeuner. Il dort bien, mais tardivement quelquefois. La
mémoire
reste excellente. L'enfant est très affecté de
de la folie avec, prédominance du , délire 'des grandeurs, p. 37 du
mémoire
; obsel'Yation VCParis, 1871. » Morel. - Op. cit
4 et suiv. Paris, 1860. 2 Ach. Foville fils. - Op. citai., p. 13 du
mémoire
.' " " 1 c DU DÉLIRE DANS LA- VÉSANIE. 27 pui1
e dépression, des. tentatives de, suicide dont.ils avaient perdu la
mémoire
à la guérison.,L'oh-; servation, directe n'appo
ion sans «cesse croissante'- de sou intellect ? Il' courttaprès'sa'
mémoire
'et'1Ses .jdées.qui. luiéchap'pent; il déplore
té^ 1,'pbtusionj intellectuelle àveclsoni cortège-d'ab-1 sence de :
mémoire
,^ derdéfaut deC¡ suite' dmls iJesTidées d'inapt
epeyt,Jett;la,raison,mais sur. ses auxiliaires,, lac sensation, la-
mémoire
,; j la repré. sentation.mentale,1`imanination ?
s : runclY1 t ? ,...,h y.)lIOil9 ? t : mfll ;j1l01 : . ,}J1101O Ce
mémoire
est loin de donner la solution"de toutes lesfqu
neau de Mussy, que nous avons omis de-citer dans notre thèse. Son
mémoire
,1 sur ce sujet nous étant inconnu à cette époque,
o ! tc,a.sjçm ? ¡ ! }lRH9 ! ml¡\,\...à di<<ers,endroits,déice
mémoire
8B'1 'Jij IfI1lV) 'il. r;'1 trrno 'ma ,jl1J,,1f !
j 1 tu 1 1.·1 ,t la description même. Nous dirons simplement que ce
mémoire
est divisé en trois parties. La première, sous
' de limitation ! exacte du mal' et si la planche qui accompagne le
mémoire
, donne une belle image' des ''ventricules -enva
ns observé un certain nombre. , i Ch. Riche ? La personnalité et la
mémoire
dans le somtamhu- lisme. [Revue philosophique,
s'associe aux paroles du président et se lève en l'honneur de leur
mémoire
. Appel nominal tenant lieu de pré- sentation mu
re des cultes, au ministère de l'in- térieur, à la chancellerie. Le
mémoire
adressé en triple expédition propose le type ad
». Le président propose ensuite de remettre au lendemain matin le
mémoire
sur le placement des criminels aliénés; les membr
e 'cours' des 'séances ? ? croit devoir cesser la lecture' de' son'
mémoire
'sur les sensations parce qu'il a déjà traité c
ér ? Iw '. q1-'I ? t1111l wu . £ q 1.11} m- ? l, La continuation du
mémoire
de M. Pohl est remise à la séance suivante. R
que des membra- nes qui recouvrent les tubercules quadrijumeaux. Ce
mémoire
sera publié en détail. (JaAr6MC/te)' f : Psychi
connaissance de l'épileptique, : Inversement la persis- tance de la
mémoire
ne saurait être d'emblée considérée comme une p
état de pro- fonde sommation somnambulique. 2° M. OEDECKE lit son
mémoire
, sur les Onctions (révulsives) du crâne dans la
en lui un collaborateur actif et ardent. L'assistance se lève en~sa
mémoire
. ' 1 ' ? 1 Archives de .Neurologie, Revues an
tel est le dési- dératum auquel il. est .permis de penser que tout
mémoire
un peu étudié donne une satisfaction approchée.
e a publier gratuitement, dans la Gazette médicale de l'Algérie, le
mémoire
couronné. Le programme détaillé du concours ser
neurologie et de psychologie légale. Le second numéro contient les
mémoires
suivants : Cas rare de grande hystérie, par Pas
i est de nature à lui être favorable. 11 ne s'arrête que là où la
mémoire
lui manque et il dit alors : « Je ne sais pas...
très connu*. D'autres particularités sont également biffées de sa
mémoire
: le 11 octobre, par exemple, il a écrit à s;;
iples'. On n'est pas en droit non plus d'in- criminel, chez eux, la
mémoire
, qui reste, en général, bonne malgré la maladie
que spéciale et à les dési- gner sous le nom placé en tète de notre
mémoire
? Comme données cliniques, les faits principaux
echerches, on en pourra constater aisément la différence. Dans le
mémoire
de MM. Bourneville et Brissaud [Archives de Neu
uck aus Prager- Fez Jahrsclara ft. Bd. CXXVI et CXXXIII). Dans ce
mémoire
, l'auteur dit qu'on trouve certaines formes de
alescence, il retourna à l'asile ; il apprenait bien et avait de la
mémoire
, mais, tous les huit à dix jours, il avait un u
les symptômes cliniques de l'idiotie complète : parole embarrassée,
mémoire
affaiblie et ensuite presque nulle, difficulté
le chapitre précédent; aussi nous ne ferons que les rappeler pour
mémoire
dans cette classification. Causes occasionnelle
aite d'une source d'erreur dans la recherche du phénomène du genou.
Mémoire
publié in-extenso 1. " La discussion correspond
lS¡;[ja¡¡[jl'é¡¡Cll.JJ des ]J ! ¡yc ! w¡Jathrs' ÍpaI'ali/sIÍs;'J Le-,
mémoire
sera publié en détail1..., ? 1..1' 3ayin-> (
ls plus ou, moins accusés (lenteur de « la parole, diminution de la
mémoire
, etc.) » C'est toujours deux ou trois mois aprè
épartie entre les auteurs des mé- moires couronnés. Les ouvrages ou
mémoires
devront être remis au secrétariat général de l'
ésout facilement cette apparente contradiction. L'enfant, dont la
mémoire
en avait contracté l'habitude, pronon- çait bie
de arrive non plus aphasique, mais avec une perte ab- solue de la
mémoire
; elle ne pouvait indiquer ni son nom, ni son a
du côté droit. Au bout de trois mois d'amnésie persis- tante, la
mémoire
revint en quelques jours. Le 30 juil- let 1882,
après le repas, on le surprenait mâchonnant avec 1 l3ourneville. -
Mémoire
sur la condition de la bouche chez les idiots,
pour parler une difficulté qui va s'augmentant; en même temps, la
mémoire
s'affaiblit graduellement. Un peu après l'accès
llité que sa parole semble confirmer. L'intelligence est obtuse, la
mémoire
affaiblie. Ce qui le préoccupe surtout, c'est la
s qui sont les mêmes que celles déjà consi- gnées dans l'analyse du
mémoire
de M. Tuczek sur la disposition de fibres dans
s; par TIGGES. (,Il/g. Zeitsschr. f. Psych., XXXIX, 2 et 3.) ' Ce
mémoire
traite successivement des sensations anormales de
jamais déliré ; au moment où elle fournit ces renseigne- ments, la
mémoire
présente des lacunes ; elle a au moins cons- ci
Quelque temps après on ne constate guère que quelques lacunes de la
mémoire
. Nous ne trouvons pas dans cet état l'affaiblis
on le voit, de l'hébétude, de l'obtusion et de la diminution de la
mémoire
, le jugement et la portée intel- lectuelle ne s
t en confirmant l'exactitude des observations et des conclusions du
mémoire
, regrette de n'y avoir pas vu mentionné l'athér
1. '' * Archives de Neurologie, t. II, p. 203, et' t. ,IV, p. 105 (
mémoire
de E. Kroepelin). SOCIÉTÉS SAVANTES. 429 le
illance est, avec elles, trop limitée. M. SCI ! OEFER lit un long
mémoire
sur la protection des médecins et des gardiens
tte première con- clusion, sauf à l'adresser ensuite, sous forme de
mémoire
, au Reichs- tag ou au conseil fédéral allemand;
étonné de voir tout lien faire défaut entre les deux parties de ce
mémoire
; en effet, il existait une transition toute indi-
perçus originaux et les faits sur lesquels on a peu insisté dans ce
mémoire
'. M. Dreyfous a bien indiqué les caractères de
ts laryngés proférés par Bill... et en même temps, elle se remet en
mémoire
par association d'idées, bien qu'elle ne la reg
es; , , par II. OPPENREIM. (Archiv. f. Pschini., XXII, 1.) Fin du
mémoire
déjà analysé dans les' Archives de Neurologie.
gie sénile; par W.-R. GowEns. (central. f. Nervenheilk., 1890.) ,
Mémoire
écrit en anglais. Affection sévissant chez des
E criminelle; par C. Lombroso. (Centralbl. f. NervenheiLk, 1890.)
Mémoire
écrit en français. Il s'agit de nouvelles observa
ves, surémotivité, intolérance à l'égard de l'alcool, lacunes de la
mémoire
, impulsions à des actes délictueux malgré les p
ritisme et ses manifestations principales. Une partie importante du
mémoire
est consacrée aux folies rhu- matismales. Le rh
dans leur sens, de trop grossir le rôle de l'arthritisme, si leur
mémoire
ne se terminait par une sorte de profession de fo
ir à souhait cette vieille question des folies diathésiques et leur
mémoire
est de tous points digne de la haute récompense
, en réinstallant les fameuses tables administratives, de si triste
mémoire
, pour obliger son médecin adjoint à prendre ses
reprendre l'histoire de cet homme célèbre. Disons seulement que ses
mémoires
de 1838, 1839 et 1841 avaient presque aussitôt
inion des alié- nistes de 1792 à 1840 dans le tome I" du Recueil de
mémoires
sur l'idiotie, que nous avons publié cette anné
e primaire, il apprit aisément à lire et à écrire. Doué d'une bonne
mémoire
, studieux et docile, il était un des mieux noté
romenade, avec des « et puis..., et puis..., et puis... » ; 2° Sa
mémoire
est notablement affaiblie. L'amnésie porte princi
bliés, des lettres mises à la place d'autres lettres. La main et la
mémoire
sont en défaut; 4° De l'inégalité des pupilles.
blement. Rien ne manque au tableau : Une déchéance profonde de la
mémoire
et de l'intelligence, l'embarras de la parole s
ils sont apathiques, taciturnes. L'activité mentale s'é- teint, la
mémoire
et l'intelligence vont s'affaiblissant par degr
r- çoit qu'il n'en a conservé qu'un souvenir confus. Autrefois sa
mémoire
le servait mieux, et il racontait, en riant, ce q
iation vertébrale, qui ont été consignés chez cinq des 9 malades du
mémoire
de Friedreich. De plus, contrairement à ce qui
ière, . et PAUL LONGE, interne des hôpitaux. Dans son remarquable
mémoire
sur les hallucinations, Baillarger a nettement
ensations. La température est un peu au-dessous de la normale. La
mémoire
est bonne, mais lente, comme toutes les autres '
épileptiques (égoïsme, irritabilité imbécillité). - L'examen de la
mémoire
peut fournir des rensei- gnements très précieux
ce. Les actes inconscients ne peuvent évidemment être rappelés à la
mémoire
. Lorsqu'elles sont partielles, incomplètes, ces
mmédiatement après l'accès et les oublier ensuite. D'aulres fois la
mémoire
subsiste, mais très confuse et pouvant donner lie
pouvons entrer ici dans une analyse détaillée de ce long et curieux
mémoire
, qui demande à être là dans son -entier. J. SÉG
qui est en relation intime avec les fibres des racines antérieures.
Mémoire
qui sera publié. M. SCHR.1DER (de Strasbourg).
it être rattachée à un trouble fonctionnel des nerfs trophiques. Le
mémoire
sera publié in extenso'. * Discussion. - à. KRO
rôle que joue l'attention dans l'acquisition des idées, et dans-la
mémoire
est tel quel'auteur a pu faire du degré de troubl
Ce trouble se manifeste bien nettement dans les degrés divers de la
mémoire
chez les divers idiots et chez l'imbécile, dans
er de ce genre qui ait été publié. Georges GUINON. VI. Recueil de
mémoires
, notes et observations sur l'idiotie; par BOURN
chaque Membre adhérent dans le mois de juillet ; "2° La lecture des
mémoires
ou les communications orales des Membre du Cong
IowDEN. (The Journal of Mental Science, janvier 1889.) , Ce court
mémoire
, accompagné d'un plan, donne une idée exacte de
d'intoxication chro- nique par l'opium, elle avait perdu toutes les
mémoires
, sauf la mémoire musicale : elle parait, il est
nique par l'opium, elle avait perdu toutes les mémoires, sauf la
mémoire
musicale : elle parait, il est vrai, avoir été ex
divers modes d'activité cérébrale (sentiments, volonté, attention,
mémoire
, jugement, raisonne- ment, etc.), qui constitue
osophie parlent tous les ans à leurs élèves des différents types de
mémoire
, des visuels, des audi- tifs, des moteurs, des
temps, elle m'a fait connaître une particula- rité importante : la
mémoire
de A... s'affaiblissait, la chose était évident
on intimité. Un exemple, entre autres, de cet affaiblissement de la
mémoire
: une de ses parentes lui demandait le nom de s
yopie double, mais surtout marquée à droite ; enfin, troubles de la
mémoire
. Nous arrivons maintenant à la relation des qua
s ; par l'affaiblissement rapide de la vue ; par des troubles de la
mémoire
; enfin par certaines modifications du caractèr
ES DE CES ANIMAUX; par BECHTEREW. (Netrol. Celzlralbl., 1890.) Ce
mémoire
n'est que la synthèse des précédentes communica-
e projection, telle est la tentative anatomique de l'auteur de ce
mémoire
qui forme les neuf dixièmes du présent cahier. M.
, ainsi que l'a montré la medico-psychological Association dans son
mémoire
intitulé : Observations and suggestions on the
urope. Consulter à ce piopos Archives de SOCIÉTÉS SAVANTES. 427 Î
mémoire
est le résultat d'une pratiqué de dix années à l'
rkhouse ; 1 C'est le plan que nous avons tracé nous-même dans notre
mémoire
au Congrès d'assistance publique de Paris en 18
du 2 décembre 1890 '. M. KAHLBAUM. Ce qu'on appelle la paranoïa. Ce
mémoire
qui comporte encore des développements sera pub
ts sont vains dans celte voie thérapeutique. La seconde partie du
mémoire
, intitulée : Clinique et anatomic pathologique,
uxiliaires actuels, laissera un souvenir des plus agréables dans la
mémoire
de tous ceux qui ont eu le plaisir d'y assister
aladies du système nerveux de la Salpétrière. Leçons du professeur,
mémoires
, notes et observations des années scolaires 188
i- 1 Il. Royer-Collard. - Rapport à l'Académie de médecine sur un
mémoire
de M. le D' Bail/m'gel', intitulé : « Recherches
tatistiques sur l'hé- rédité de la folie». 1847, 1). 10. Gintrac.
Mémoire
sur l'influence de l'hérédité. (Mém. de l'Icadé-
erandre le Grand et de Xénon le Stoïcien éclairés par la médecine. (
Mémoire
lu il l'Académie des beaux-arts, le 22 mai 1 ?
tisme, etc., ne jouent que le rôle de causes déterminantes; dans un
mémoire
encore inédit sur les causes de l'ataxie locomo
rente ans. LA FAMILLE KËYROPATUIQUE. 37 Nous ne citerons que pour
mémoire
cette maladie encore mal caractérisée que Fried
celles de la moelle que nous dési- rons appeler l'attention dans ce
mémoire
. B. Examen microscopique de la moelle. I. Top
grossissement. -Nous au- rons plus d'une fois, dans la suite de ce
mémoire
, à revenir sur certains des détails que nous al
t attentivement la topographie de cette sclérose sur les figures du
mémoire
de M. Prévost, on constate qu'elle ne se dispos
ath., u° 7, ISS ? . FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 63
mémoire
de Westphal, ne serait pas ici légitimement pla
' Nous Mgnalerons simplement en note les observations I, II et V du
mémoire
de Westphal, qui sont d'une interprétation très d
l n'a non plus au- cun mauvais penchant et se montre affectueux. La
mémoire
semble avoir diminué depuis le début de l'affec
rante et assez expressive; l'enfant comprend bien les problèmes; sa
mémoire
est bonne et il apprend aisément l'histoire et
eurement dans un appendice cette Revue. Tels sont, entre autres, un
mémoire
de Koerner, une note de M. Bou- chaud, etc. R
du petit mal : j'ai rapporté quelques exemples de cet ordre dans un
mémoire
' 1 présenté l'an dernier à l'Académie de médec
s net- 1 G. Ballet. - Des accidents épileptiformes dans l'hystérie.
Mémoire
couronné par l'Académie. (Prix Civiieux, 1882.
llusion dans cette discussion seront publiées prochainement dans un
mémoire
spécial. BIBLIOGRAPHIE. 135 tement les symptô
des muscles innervés par le facial inférieur (Charcot et Pitres, «
Mémoires
sur les localisations », Revue de Médecine, 187
llis dans les services de MM. Charcot et Maurice Rayuaud. Depuis le
mémoire
de M. Lépine, deux ob- servations nouvelles ont
. (Magnus, Milliers. Archiv, 1817, p. 258.) Observation extraite du
mémoire
de M. Lépine et résumée. Femme de vingt-cinq
cérébral assez accentué. Intelligence très af- faiblie ainsi que la
mémoire
. Pas de troubles de la respiration. Pouls régul
lors apparaissent les symptômes de la paralysie glosso-labiée. Ce
mémoire
était à l'impression lorsque nous avons trouvé
e la capsule interne. Pas d'examen microscopique. 4° Cas de Ross (
Mémoire
cité du Brain.) Henri H..., qua- rante ans. Att
ès du raphé médian. Noyaux bulbaires sains. '1 i 5° Cas de Ross. (
Mémoire
cité du Brain.) - Homme de trente-quatre ans. E
important dans la pathogénie du coma diabétique ? C'est là, dans un
mémoire
qui paraît vouloir résumer l'état actuel de la sc
rature médicale. A la fin de ce travail se trouve une analyse d'un
mémoire
de Johnson sur les symptômes laryngés produits
stème nerveux des poissons. » Le prix est de deux mille francs. Les
mémoires
devront être envoyés au plus tard le 31 décembr
profond chan- gement survenu dans ses facultés. Il avait perdu la
mémoire
visuelle des objets; illui était devenu impossi
s passagers, accompagnés de maux de tête, d'affaiblissement de la
mémoire
et des facultés intellectuelles; cet état dure qu
e. Etat actuel. Malade très affaissé au point de vue cérébral. La
mémoire
n'est pas encore complètement perdue et l'on pe
qu'on le voit, donnent aisément le change. Une seconde partie du
mémoire
est consacrée à la pathogénie des phénomènes te
déterminations symptomatiques sont complètement trai- tées dans le
mémoire
. Observation III. Un garçon de deux ans et demi
(Archiv. f. Psych. u. Nervenk., XII, 3.) Cette troisième portion du
mémoire
est consacrée à l'anatomie pathologique du tabe
par A. ScuVARZ. (Arcle. f. Psych. u Nelroenh., XIII, 3.) D'après ce
mémoire
basé sur l'étude et la discussion de quinze obs
x de ses membres MM. Ballet et Garnier, ont déposé à l'Académie des
mémoires
qui viennent d'être couronnés. Du rôle de la
ereaux chez des marchands de vernis, est nettement établi. Delpech (
Mémoire
, Académie de médecine, 1856), Hugenin (thèse 18
ychologique au congrès de Londres, d'où il a rapporté l'intéressant
mémoire
sur l'asile de Broadmoor, auquel le récent proj
de séparation. Les dénominations précises adoptées dans le corps du
mémoire
valent mieux que l'expression plus géné- rale d
ion de M. Blum, viennent de réunir dans deux volumes la plupart des
mémoires
394 4 BIBLIOGRAPHIE. qu'il a publiés et dont
alysie générale, par S lurON. Thèse de Paris, 1883. Dans son récent
mémoire
tendant à établir la dualité de la pa- ralysie
oduction historique. Il est donc naturel de donner la préférence au
mémoire
qui contiendra la plus grande quantité de reche
. Pour la première thèse, le concours est international, mais les
Mémoires
ne pourront être écrits qu'en italien ou en franç
tres questions, le concours est réservé aux écrivains italiens. Les
Mémoires
, originaux, inédits, anonymes, sur la pre- mièr
s le premier cas, l'auteur est obligé de donner cinquante copies du
mémoire
publié, à la direction de la Revue; dans le sec
ent .exem- plaires. Le prix sera donné le jour de la publication du
mémoire
récompensé. (Ann. méd. ]Jsyclwl.). faits DIVE
. Paris, 1884. Imprimerie de l'Etoile, 1, rue Cassette. - Résumé du
mémoire
qui a obtenu le prix Esquirol en 1883. Stillm
a risée du monde, elle se propose de publier ce fait étrange dans ses
Mémoires
, qui ne tarderont pas à voir le jour. qu'elle n
nce les uns à l’égard des autres ; — permettez que je vous remette en
mémoire
un simple souvenir philosophique. Vers le milie
ire de divins fruits. Vivons avec cet espoir et portons un toste à la
mémoire
du génie bienfaisant qui nous révéla le magnétism
de la Société de magnétisme de Paris, n'oublions pas de boire : A la
mémoire
des Sociétés Philanthropico-magnétique et du Mesm
plus orthodoxe Dans 1111 banquet mesmcrien ; Laissons le cœur et la
mémoire
Nous dir!Ar un teste plus doux : Mes clic:., co
cupons tous de magnétisme en ce pays, pu y instituer cette fête ;ï la
mémoire
du savant illustre qui introduisit dans les scien
portons pour la première fois, dans ce pays classique, un toast à la
mémoire
vénérée de notre maître à nous tous, — à Mesmer !
tager à ses confrères ses nouvelles convictions. Il adressa donc un
Mémoire
à l’Académie, et il le terminait en demandant la
tion du prix, j’allais dire de la plaisanterie Burdin, et bien que le
Mémoire
fit mention expresse que M. Cornet entendait ne p
sans doute de dire tout le contraire. Touchante confraternité ! Le
Mémoire
était intéressant, et les faits-qu’il annonçait m
stifiées cette fois, n’avait pas tardé à succomber. Pour conserver la
mémoire
d’un si beau succès, on a empaillé l’animal : ce
des faits plus décisifs que ceux que nous trouvons consignés dans les
Mémoires
de Henri Zscliokke. Cet écrivain, grand par son
sme, mais un de nos abonnés, M. Bauche, nous ayant fait parvenir un
Mémoire
dont lu contenu mérite considération, nous avons
publication pouvait en être utile. On a réussi, est-il dit dans cc
Mémoire
, à reproduire, en présence de plusieurs personnes
nambule se rappellera de ce qu’il a dit et vu, aussi longtemps que la
mémoire
de l’homme peut conserver un souvenir? Ainsi, m
IQUE. SPIRITUALISME. Nous donnons communication à nos lecteurs du
Mémoire
que nous avons annoncé. A notre avis la vérité a
et ne portons pas un jugement précipité. Baron du Potet. Voici le
Mémoire
: Monsieur le Baron, Pendant plusieurs mois,
ent un tout petit, tout petit bout de magnétisme ; mais la lecture du
mémoire
eût bien tenu trois quarts d’heure, et l’assemblé
on de sa princi-piante. Et cela dans tout! Ne le perdons jamais de la
mémoire
. C'est par allusion à ces trois modes intégrants
C’est l’intelligence (inlùs legenlia, lecture intérieure). Dans un
mémoire
envoyé récemment à l’institut, en réfutation d’un
ore cc fait attesté par bien des autopsies : c’est que la perte de la
mémoire
de certains ordres d’objets ou de mots, l’affaibl
formation d’une tumeur intra-crànienne peut frapper d’impuissance la
mémoire
ou l’aptitude à parler, à juger, à enchaîner les
xercice déréglé, sans liberté, sans conscience et par conséquent sans
mémoire
. Pour concevoir l’animal, il suffit à l’homme de
ez l’enfance, l’aplitude à l’éducation, et plus de permanence dans la
mémoire
. De là dérive aussi cette quadruple opératiou d
le verra subséquemment. Je suis heureux d'en offrir l'hommage à la
mémoire
vénérable du studieux magistrat à qui son expérie
ré en fouillant les bibliothèques publiques, où il a pu consulter les
mémoires
particuliers, les rapports des diverses sociétés
decine. IV. Premières relations avec le Dr Desion. — Publication du
Mémoire
sur la découverte du Magnétisme animal. — D'Eslon
avoir signé au procès-verbal sous forme conditionnelle. — Adresse un
Mémoire
apologétique au comte de Maurepas, premier minist
ant. XVII. D'Eslon demande et obtient une commission, et publie son
Mémoire
sur la découverte du Magnétisme animal. — Descrip
« rien (1), » il venait, disait-il, apporter une science nou- (1 )
Mémoires
de la marquise de Créquy V. 3. p. (.">(. (Note
e médecin s’annonce avec le M. Cousin de Courcliamps, auteur de ces
Mémoires
rédigés d’après les notes originales laissées par
ontinuera, comme par le passé, de recevoir au bureau du Journal, tous
mémoires
ou observations qui intéresseraient la science du
Par les conseils de ce savant médecin, il exposa sa doctrine dans un
Mémoire
où il demande à prouver que « la i nature offre u
cine de Paris pour un dîner que pour une visite d’hôpital (3). » 11
Mémoire
sur la découverte du Magnélhme an. ln-12 de 88 p.
ion plaisante aux convulsionnaires du tombeau du diacre Pdris. ("2)
Mémoires
de ta marquise de Créquy, v. 5, p. 152 et 153.
essa vers la fin de mars, à M. deMaurepas, alors premier ministre, un
mémoire
apologétique dans lequel il de-mandaitsimplement
vienne, n° 16 (3), » un établissement le. traitement mesinérien. I)
Mémoires
de la marquise de Crcquy, ». b, p. 153. (-) Pré
ié, il suffit de lire beaucoup, de prendre des notes ou d'avoir de la
mémoire
; — le génie n’est pas nécessaire, et on peut tra
r, v. 8, p. 347. (2) Deleuze. Histoire critique, v, 1, p. 19. (3)
Mémoires
de la marquise de Créquy, v. 5, p. 157. (4) Enc
u’à la cour. On se rappelle la singulière anecdocte racontée dans les
Mémoires
de Saint-Simon (3), d’après laquelle un diseur de
fap. Opéra, edit. Amstelod. 1660), t. III, c. xii, §6, p. 135. (3)
Mémoires
, ch. clxi. magiques, et ils s’exécuieM encore a
es faits accomplis par M. Squire, médium américain, 305 , 320, 595. —
Mémoire
sur le même sujet par M. Bauche, rapportant les e
iques à stigmates. Leur attention est excessivement distraite, leur
mémoire
vague et infidèle. Ils ne distinguent qu'impar-
A. Voisin, Pitres, L. Gui- non, dont les noms se présentent à notre
mémoire
, sans avoir publié de statistiques de guérisons
ats, -la bonne soeur n'ont jamais existé, qu'ils sont effacés de sa
mémoire
, qu'elle n'y rêvera plus jamais ; qu'elle aura un
développements dans lesquels nous sommes entrés dans le cours de ce
mémoire
. L'incontinence essentielle d'urine des enfants
. Chez l'intéressant malade dont l'histoire fait l'objet du présent
mémoire
, on croit avoir affaire, à ne considérer que le
agé entre MM. JSCOVESCO et Battier. internes à Villejuif, pour leur
mémoire
ayant pour titre : Du délire de jalousie. Pri
e du 1 ? juin. Présidence DE M. Charpentier. Note sur le rôle de la
mémoire
dans la folie du doute. M. SOLLOER. - On ne com
r lequel on n'a pas insisté beaucoup, c'est l'affaiblissement de la
mémoire
. Cependant le défaut de mé- moire peut explique
cas, j'ai toujours constaté un trouble plus ou moins prononcé de la
mémoire
, tant pour apprendre des choses nouvelles que p
volonté n'a rien à y voir. Il reste donc seulement le trouble de la
mémoire
pour en expliquer le développement. L'aliénat
lissement intellectuel à marche progressive, intéressant surtout la
mémoire
. Les radiales sont un peu dures, les mains trem
t Philippe 5 ont particulièrement attiré l'attention dans un récent
mémoire
très remarquable, ainsi que sur l'interprétatio
ntré qu'il s'agit bien de fibres courtes. Dans une observation du
mémoire
de MM. Gombault et Phi- lippe au-dessous d'une
é, oublie facilement ce qu'il doit faire et se défie lui-même de sa
mémoire
, il a des étourdissements fréquents, et sa tête
des faits et de l'opinion exprimée par Bondurant dans son excellent
mémoire
sur la pachyméningite hémorragique interne'. Su
s le thrombus. Tel est l'avis soutenu par Bondurant qui termine son
mémoire
par ces mots : « En somme l'hémorragie méningée
soutenue, l'idéalion est lente, le jugement incomplet ou erroné, la
mémoire
très affaiblie. Les sentiments affectifs sont a
moins d'affaiblissement considé- rable, de l'activité modératrice (
mémoire
, réflexion, délibération), la suggestion crimin
; par J. Mickle. (Brain, printemps, été et automne 1895.) Ce long
mémoire
est une revue générale complète de la question.
itiques et hérédo-syptniitiques et des névralgies syphilitiques. Ce
mémoire
est .surtout un travail de critique très richem
e de soixante-treize ans) ; par le Dr Régis. Dans son remarquable
mémoire
au Congrès de Bordeaux sur les psychoses de la
-légale comme preuve d'une maladie mentale. Tels sont le nombre des
mémoires
, la conduite des malades, l'aspect de ses manus
leçon d'ouverture, M. le professeur Raymond, rendant hommage à la
mémoire
de son maître, avait fait sentir à ses auditeurs
te, prétend qu'elle n'a que vingt- trois ans. Perte fréquente de la
mémoire
, d'un moment à l'autre. Aurait eu autrefois, -
é soumis. La collection de ses actes renferme à côté d'une foule de
mémoires
originaux et de discussions intéressantes des r
ique, être retenue dans l'éta- blissement. M. le Dur RouBY lit un
mémoire
sur ]ïnlc1'llcment des aliénes en Angleterre. I
tiques répétés, des troubles de l'intelligence, de la parole, de la
mémoire
, des sentiments affectifs entrecoupés de rémiss
ne, et il commence à se faire comprendre assez bien en français. La
mémoire
normalement développée pour les langues, présen
De la dysesthésie ? Trouble de la parole ? Pouvoir de l'attention ?
Mémoire
? Le malade se rappelait-il mieux lés événement
ques... Empire sur soi-même... Endurance psychique... Jugement...
Mémoire
... Désirs... Affections... Illusions... Halluci
ndaison, parut très obnu- bilé pendant plusieurs jours et perdit la
mémoire
de sa tentative et de la période consécutive. I
la tentative de suicide. Mais chez certains sujets la lacune de la
mémoire
a été plus consi- dérable et a porté sur plusie
Nancy, la tâche était facile. Il aurait suffi de réimprimer : 1° le
Mémoire
historique, statistique et médical sur l'asile de
sur l'asile de Maréville, publié par Archambault, en 1847, dans les
Mémoires
de la Société des Sciences de Nancy ; 2° L'asil
que le souvenir de cette charmante journée ne s'effacera pas de la
mémoire
des assistants et dit qu'il est profondément ém
engraissé depuis qu'elle est malade. La face est bien colorée. La
mémoire
n'a pas souffert. L'intelligence est normale, l'h
est resté bon. Le malade mange et dort bien. L'intelligence et la
mémoire
n'ont pas souffert. Il a conservé son humeur gaie
bien musclé, avec un embonpoint très prononcé. L'intelligence et la
mémoire
n'ont pas souffert. Très émotif. La moindre contr
e malade s'occupe activement de ses affaires. Son intelligence etsa
mémoire
n'ont pas souffert. Il dort et mange bien. La
par le D1' G.-C. Ferrari. L'auteur remarque d'abord que le premier
mémoire
de Korsa- off (1887), travail qui n'a jamais ét
analogues dans la névrite multiple non alcoolique; que le deuxième
mémoire
(1890), aussi en russe, avait pour titre : Quel
certaine dans les centres nerveux. j) En effet, le trouble de la
mémoire
qui constitue presque en entier la maladie de K
s données par Ribot pour la régénération et la reconstitution de la
mémoire
. Il y a dissociation des processus de perceptio
eption (Wundt), c'est-à-dire que ce n'est pas tant un trouble de la
mémoire
qu'une altération de l'attention : « L'oubli dé
ression, conceptions difficiles, lentes et, du reste, rares, pas de
mémoire
, bégaiement de l'écriture (transposi- tion et o
tabilité de caractère avec incapacité de fixer l'attention et la
mémoire
, ainsi qu'une certaine tendance à la dépression m
ites au cours de l'obser- vation sont des plus intéressantes. Les
mémoires
du genre de celui de M. Mirallié ne se jugent pas
e de voix épigastriques. » 1 Baillarger. Automatisme psychique et
mémoire
sur les hallucina- lions. 2 Baillarger T. I,
its ouvrages aux prix qui seront réglés par ledit ingénieur sur les
mémoires
qui lui en seront présentés et enfin une lettre
u de la soumission précitée et que ces ouvrages seront payés sur le
mémoire
qu'il en fournira, préalablement réglé par ledit
sexuelles; par A. Hoche. (Nem ologie-Ce ? il7,(ilbl, VX. 1896.) Ce
mémoire
commence par la description d'un exhibitionniste
. Le diagnostic n'est-il pas bien fragile puis- qu'il repose sur la
mémoire
du coupable. Ce qui semble le plus probable, co
Publiée sous la direction du D' llOLnNE\ ILLe. Tome 1. Recueil des
mémoires
, notes et observations sur l'idiotie. Tome II.
mémoires, notes et observations sur l'idiotie. Tome II. Rapports et
mémoires
sur le Sauvage de l'Aveyron. - Tome nI. Rapport
rts et mémoires sur le Sauvage de l'Aveyron. - Tome nI. Rapports et
mémoires
sur l'éducation des enfants normaux et anormaux
ambroni, 117. Mélancolie. Traitement de la-, par Iteyuer, 3D i.
Mémoire
dans la folie du doute, par Sollier, 65. Ment
mission. D'autre part, grâce à l'instabilité psychasthénique de sa
mémoire
, l'image mentale de son mari s'est effacée, ell
riaux analogues, dans le domaine des souvenirs subsconscients où sa
mémoire
de névropathe laisse tomber tant de faits et où i
que plus tard nous avons retrou- vées complètement oubliées par la
mémoire
consciente et édifiées en révélations spirites
ons dans la sphère subliminale avec le minimum de réceptivité de sa
mémoire
normale. Deus dicte littéralement. «Planètes.
ès altéré. L'automatisme bat son plein sous toutes ses formes. La
mémoire
des faits actuels est fugace, le souvenir des phé
, car ainsi que nous le faisions remarquer antérieure- ment dans un
mémoire
sur Le crâne dans les idioties », sur 625 crâne
xtensibilité de la boite osseuse. ' Papillault. Salure métopique (
Mémoires
de la Société d'Auth¡'opo- logie, 1890). , Bu
(Mémoires de la Société d'Auth¡'opo- logie, 1890). , Bulletins et
Mémoires
de la Société d'Anthropologie de Paris, 1902, p
la dysharmonie que nous signalons. Nous avons insisté dans notre
mémoire
Le Crâne dans les Idioties, sur le défaut d'exp
ista-galli est plus ou moins déviée vers le côté malade. Dans notre
mémoire
« Le Crâne dans les Idioties », nous avons déjà
et de la forme géné- rale. Nous la ferons ultérieurement et dans un
mémoire
spécial, car les modifications relevées sont su
fusion, la distinguer nettement de la plagiocéphalie ordinaire. (Ce
mémoire
a été fait avec les crânes recueillis par notre
' Le crâne dans les idioties, loc. cit. 2 On trouvera un excellent
mémoire
de M. Manouvrier sur cette ques- tion dans les
auteur soutient énergiquement la thèse indiquée par le titre de son
mémoire
, en se basant principalement sur la banalité d'
24 (21,5 p. 100), amélioration (dont la nature est indiquée dans ce
mémoire
à propos de chaque cas). 30 (27 p. 100),amé- li
Pas d'autre trouble psychique qu'une diminution considérable de la
mémoire
. Mort deux ans ans après le début des accidents
phénomènes pathologiques, tels que angoisse, affaiblissement de la
mémoire
, fatigue céré- brale, insomnie, anorexie, phobi
mènes névritiques commencèrent à s'affaiblir graduellement, mais la
mémoire
restait toujours mauvaise; le malade était oublie
dans l'état psychique des malades, qui concernent principalement la
mémoire
. Souvent dans la maladie de KORSAKOFF on consta
symptômes différentiels de cette maladie, puisque des troubles de
mémoire
analogues peuvent s'observer aussi dans diverses
essais de manoeuvres spirites. . Pendant toute cette évolution, la
mémoire
a suivi les fluctua- tions de l'état mental lui
en des multiples conditions expérimentales mises en vedette dans le
mémoire
. M. Ceni conclut : Les phénomènes d'intoxicatio
de l'ombre; par J. PILTZ. (Neurolog. Ceatral6. YYI. 1902.) ' Long
mémoire
dont voici les conclusions : Io Il existe diver
r son lit; depuis lors on constata chez lui un affaiblis- sement de
mémoire
très accentué et une certaine agitation; les pr
ard, le malade commença à parler mieux, mais l'affaiblis- sement de
mémoire
restait au même degré. Une artériosclérose pas
ital, mais il n'en est pas sûr. Un affaiblissement très accentué de
mémoire
, surtout concernant les événements récents ; co
personnes avec lesquelles il parle, mais il les oublie aussitôt. Sa
mémoire
concernant les événements des dix années précéd
même tableau fondamental de, maladie. Il faut différer la perte de
mémoire
alcoolique de la perte de mémoire polynévritiqu
die. Il faut différer la perte de mémoire alcoolique de la perte de
mémoire
polynévritique ; dans le premier, car l'amnésie
groupe d'amentia de Meynert. Dans l'artériosclérose, le trouble de
mémoire
porte un caractèré progressif, est accompagné d'u
dite, elles se manifestent par des trou- bles de l'attention, de la
mémoire
, de la réflexion, du jugement, de l'association
tie l'auteur traite des problèmes A RÉSOUDRE. On ne peut lire aucun
mémoire
de ce genre sans se heurter à la préoccupation
fait toucher du doigt les inconvénients de ce système, à l'aide des
mémoires
mêmes des auteurs et du texte des argu- ments l
demander au docteur Raoul Leroy, le médecin en chef de Gaillon, un
mémoire
sur l'état pré- sent de Gaillon et sur son util
ance. 1 Le nouveau volume de l'Année psychologique contient comme
mémoires
originaux des études de Binet sur Paul Hervieu et
iles pour la pathologie mentale, et des articles de Larguier sur la
mémoire
, de Zwaardemaker sur la sensibilité de l'oreill
iques. (Fragment d'une élude sur la folie). Paris, 1879, 64 p. ; un
mémoire
récom- pensé par l'Académie de Médecine : De la
DE MONTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. M. Freud, dans deux
mémoires
, s'est efforcé de donner à l'obsession une étio
elle touchait, et puis, j'écris dans un journal scientifique et mon
mémoire
n'est destiné ni à corrompre la jeunesse ni à c
s de même cette fois. La mort mystérieuse de son père lui revint en
mémoire
et pour la première fois, il se sentit attiré v
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXVIII. Remarques critiques relatives au
mémoire
de Biels- chowsky intitulé : Diplopie monoculai
beau contraste. Il faut alors fixer à l'or ou au platine. (Voir le
mémoire
). Par ce procédé, les cellules nerveuses témoig
s des observations cliniques et des recherches expérimentales de ce
mémoire
qu'ac- compagnent d'édifiantes figures. I. Le
THÉRAPEUTIQUE. III. Traitement par le trional, et addition au même
mémoire
: par 'VoLSF. (Centralbl. f. Nervenheilk, XXIV.
onne lecture du rapport de la commission du Prix Esquirol. Quatre
mémoires
ont été présentés : 1° Contribution à l'étude d
. 4° Les incendiaires. Le prix est décerné à M. Gimbol, auteur du
mémoire
n° 4 ; une mention honorable est accordée à M.
ire n° 4 ; une mention honorable est accordée à M. Cornu, auteur du
mémoire
n° 3. M. le secrétaire général prononce l'élo
question en est là. Les détails de la polémique sont à lire dans le
mémoire
de Muen- zer. (Fi. ); et les controverses aussi
deux cas de méningite. Hoche annonce la publication prochaine d'un
mémoire
sur la question dû à la Clinique de Fribourg.
Gerhainn. (06orénié psichiatrü, VII, 1902. 6, 7, 8, 11, 12.) Long
mémoire
très soigné dans lequel sont successivement étu
le, a certainement un niveau inférieur à la moyenne ; elle a peu de
mémoire
et ne possède que des notions sommaires. , ,
ris; pas d'attaques de sommeil, pas de somnambulisme. Très peu de
mémoire
, pas de raisonnement. L'enfant est allé à l'école
partielle (Icono ! ! 1' pho- loger. de la Salpêtrière, 1878, t. II;
mémoire
de 90 pages avee 10 plan- ches et 2 figures) ;
re; une très grande difficulté à réveiller rapidement les images de
mémoire
. L'absence de frein à la cérébration auto- mati
par Panegrossi, 55. Diplopie. Remarques critiques rela- tives au
mémoire
de Bielschowsky intitulé : monoculaire sans cau
salongo, 62. - Trional. Traitement par le -, et addition au même
mémoire
, par Wolff, 355 ÏROPHOEDKME chronique acquis
circulation du sang ; de causer une éclipse totale ou partielle de la
mémoire
; de plonger l'enfant dans la décrépitude, le sava
«.....C'est elle qui, avec sa sœur, m'a servi à mes études sur la
mémoire
des hypnotisés, sur leur esprit d'imitation, sur
t. Evolution du sens chromatique chez l'enfant. Garbini, dans les
mémoires
de l'Académie des sciences de Vérone, a étudié ex
ations de caractère. Sans remonter à l'antiquité, nous voyons que les
mémoires
de Sully, de Commines, de Lauzun.de Retz, de de T
es habitudes sociales d'une certaine époque de la civilisation. Les
mémoires
de Saint-Simon sont uniques dans leur genre, ils
aient imité, c'est sans doute le bruit particulier qui a réveillé la
mémoire
héréditaire formant la base des instincts en géné
ves, celle-ci actionnent les centres représentatifs, c'est-à-dire des
mémoires
diverses servant à constituer l'idée thérapeutiqu
ique par la création, d'abord volontaire de représentations vives, de
mémoires
fortes, qui peuvent atteindre jusqu'à l'obsession
Le Journal de médecine de Paris cite le curieux extrait suivant des
Mémoires
particuliers de Mme Roland : « ... Avant ce tem
at de veille par association de mouvement, c'est-à-dire par rappel de
mémoire
. Un rêve peut aussi annoncer une affection late
'elle passait sur l'eau. J'imposais une tendance à son esprit par une
mémoire
d'assurance en elle-même, assurance d'autant plus
rêve. Je procédais par approche lente, en atténuant la lutte entre la
mémoire
pathologique de la peur et la mémoire thérapeutiq
en atténuant la lutte entre la mémoire pathologique de la peur et la
mémoire
thérapeutique et directement suggestive de passer
tion a besoin d'être maintenue, car dans la lutte des deux groupes de
mémoires
pathologique de peur e thérapeutique d'assurance,
n de la suggestion, rappeler cette même suggestion par association de
mémoires
: la pratique a confirmé la théorie ; le parfum r
forcée par un parfum selon la loi d'association d'idées par rappel de
mémoire
. 3° Dans le traitement psycho-dynamique par la
t, mais par un fait insignifiant en lui même (autosuggestion). La
mémoire
des fugues chez le vagabond hystérique qui revien
rvations et expériences. — Psychologie des sens, sensations et idées,
mémoire
. — Lois de l'association. — La conscience et l'in
mitantes, resterait peut-être encore discutable. Cécité des mots et
mémoire
visuelle. James Hinshelwood, de Glasgow, (The L
stater que sa vue était restée intacte ; il avait simplement perdu la
mémoire
visuelle. II voyait les lettres imprimées très ne
défectuosité mentale. Il n'y avait qu'un petit affaiblissement de la
mémoire
. En examinant le champ visuel du malade, l'auteur
t 13 mois ; sa santé physique fut pendant ce temps toujours bonne. La
mémoire
des noms s'était affaiblie, au dire du malade lui
irme ainsi l'expérience pathologique d'après laquelle le centre de la
mémoire
visuelle des mots se trouverait dans le voisinage
serait facile à établir d'ailleurs), à la suite de la lecture de mon
mémoire
sur Burq et le burquisme. « Vous avez, me disait-
), je ne puis me retenir d'exprimer mon contentement de voir ainsi la
mémoire
de Hahnemann réhabilitée. Il y a de cela un siècl
hie très complète des travaux de l'illustre professeur. Le nombre des
mémoire
énumérés est exactement de 200. Monument en l'h
cients. C'est ainsi qu'on parvient à expliquer le développement de la
mémoire
, l'association des idées, l'imagination, et même
rborisation terminale du nerf moteur. De même aussi l'imagination, la
mémoire
, l'association d'idées peuvent devenir plus activ
(1) Bouchut, Des signes qui permettent de reconnaître la mort relie.
Mémoire
, 1840- (2) Revue de l'hypnotisme, 1887, p. 290.
ni joie, ni tristesse, ni « colère, ni jalousie ; il n'avait plus ni
mémoire
, ni intelligence, u — (E. RrrrcnEn. Anatomic et p
s membres du congrès qui désireraient faire insérer le litre dc leurs
mémoires
ou communications au programme imprimé devront en
de constata que son caraetère avait changé ; un rien l'ennuyait et sa
mémoire
a diminué. Quelque temps après, à la suite de d
s plus d'un mois, la malade parait avoir retrouvé son état normal. La
mémoire
est revenue. L'aphasie et la cécité verbale ont c
rs : 1° une impression sensorielle ou splanchnique, qui constitue une
mémoire
; 2° une comparaison entre deux impressions, les m
constitue une mémoire; 2° une comparaison entre deux impressions, les
mémoires
deviennent alors des témoins, c'est le jugement q
é en lui. Il ne déraisonnait pas, mais il avait complètement perdu la
mémoire
. Lorsqu'on lui parlait, il paraissait s'éveiller
es hallucinations, idées de persécution, troubles de la parole, de la
mémoire
, de la vision. Je l'hypnotisais de temps à autre,
démie le rapport de la Commission qui avait été chargée d'examiner le
mémoire
présenté par M. le D'J.-B. Crocq, à Bruxelles, so
tions publiques d'hypnotisme en particulier, M. Crocq expose dans son
mémoire
les faits étranges qui se sont produits récemment
ts récemment et qui l'ont conduit à la conclusion que le titre de son
mémoire
indique suffisamment. Ces faits, les voici : Un m
ypnotisa-tion. Prenant comme base les faits relatés par l'Auteur du
mémoire
, M. Masoin discute la question de savoir quelle a
elations avec l'Académie; De déposer honorablement aux archives son
mémoire
dont j'ai du extraire touïe la portion originale
rendre ; car, à côté des conclusions particulières qui intéressent le
mémoire
, il faut déterminer quelle attitude l'Académie co
bles du), [guérison par la psychothérapie], 136. Cécité des mots et
mémoire
visuelle, par James Hinshelwood, de Glasgow, 215.
les assembler, il reproduire tous les chiffres et même à écrire de
mémoire
un grand nombre de nos mots imprimés sons forme
ui il lit presque couramment, cop : e ce qu'il lit et écrit même de
mémoire
un certain nombre de mots imprimés. Il établit
t enfant a fait des progrès pour les exercices classiques. Il a une
mémoire
extraordinaire Petite école complémentaire. xii
ecture est en bonne voie, l'écriture aussi, il commence à copier de
mémoire
quelques-uns de nos mots imprimés, fait XIV Tra
s leçons orales, il était d'ailleurs mal doué sous le rapport de la
mémoire
. L'amélioration morale n'avait pas marché de pa
cices d'invention. Il fait de petits problèmes sur les 4 règles. Sa
mémoire
et son intelligence sont bien développées. Il a
evoirs sont bien écrits; il comprend les explications don- nées. La
mémoire
est assez bonne; il étudie et récite la plu- pa
unâtre, pustules d'acné, etc.), la diminution de la volonté, (le la
mémoire
,, de. l'activité intellectuelle, l'inaptitude n
laïque, serve de modèle à ses collègues. Elles honoreront ainsi la
mémoire
de l'une de leurs meilleurs compagnes. Mademo
Son sommeil est agité et interrompu par des réveils en sursaut. La
mémoire
est très faible, le raison- nement défectueux,
plus nombreux, ce qui nous a permis, en nous servant également des
mémoires
publiés en Angleterre et aux États-Unis surtout
Susceptible d'attention, observatrice, rien ne lui passe inaperçu,
mémoire
fidèle. Elle s'habille et se déshabille, mais t
imentaires, qu'on ne peut en relever la moindre manifestation. - La
mémoire
existe, surtout la mémoire auditive. Marcelle
relever la moindre manifestation. - La mémoire existe, surtout la
mémoire
auditive. Marcelle n'a jamais pu rien apprendre
se, n'a plus eu d'impulsions à détruire, à incendier, à voler. La
mémoire
est bonne, l'affectivité bien développée. La tenu
où il montre quel- que goût pour l'arithmétique et les exercices de
mémoire
; sorti de classe il redevient taciturne et refu
UI\NE\'n,LK Depuis longtemps nous avons l'intention de publier un
mémoire
sur la main idiote sur laquelle nous avons main
foncement de la colonne verté- brale. » (Ibid. p. 72.) Dans notre
mémoire
de 1889 (Ibid., p. 103), nous écri- vions : Le
u'd., p. 170 ). IU° et 1 1° La malade, de l'observation II de notre
mémoire
de 1890 offrait une lordose très prononcée. (C'
impar- faite, existe à des degrés divers. Il en est de même de la
mémoire
. L'attention, elle aussi, peut être fixée. La c
de l'insérer dans le Compte-rendu de 1889, afin de le rapprocher du
mémoire
sur le même sujet qui figure dans 1 : 0 volume.
iquées par M. Papillault, dans son travail sur la suture métopique (
Mémoires
de la Société d'A nthl'opologic, 1896). ETUDE D
les lit indifféremment à l'envers et à l'endroit. Il est doué d'une
mémoire
surprenante. L'écriture s'améliore. Progrès abso-
Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de
mémoire
, tels que les jours de la semaine, les Fig. 21.
la soustraction avec retenues, ébauche la multiplication. Il a une
mémoire
extraordinaire pour les mots qu'il a lus. 11 fa
ux ie tête ; pas de tremblement. Sommeil bot. pas de cau- hemars.
Mémoire
, raisonnement très bons, assez instruit, i eu d
resse intellectuelle, elle avait de la peine à travailler et que la
mémoire
diminuait. Sa mère, une nuit, la vit porter la
eu son certificat d'études ; depuis, offaiblissement sensible de la
mémoire
: IL. dit qu'elle a beaucoup oublié. MÉLANCOL
ce. Description DU malade. 209 Sommeil calme, sans cauchemars. La
mémoire
parait peu développée. Il n'est jamais allé à l
grès bien qu'appor- tant toujours une grande bonne volonté. Doué de
mémoire
, il n'oublie pas ce qu'il a appris, fait des pr
1901). Traitement hiDICO-YEDAGOGIQIlE. dictée, écrit également de
mémoire
les jours de la semaine les mois de l'année, le
- dent. Travaux scientifiques faits dans le service. (Thèses et
mémoires
). 1880. LEROY (A.). De l'étal de mai épilepti
decin en chef. interne. à l'asile de Vaucluse. I. Dans un premier
mémoire
nous avons cherché à montrer, qu'à côté des dél
re. Thèse, Pans 1900. 4 Gazelle des Hôpitaux, 18 juin 1891. '- Ce
mémoire
ne constituant pas une revue sur la question du d
es lit indifféremment à l'envers et à) l'endroit. Il est doué d'une
mémoire
surprenante. L'écriture s'améliore. Progrès abso-
Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre de
mémoire
, tels que les jours de la semaine, les illig. 9
t la soustraction avec retenues, ébauche la multiplication. Il aune
mémoire
extraordinaire pour les mots qu'il a lus. Il fa
e intime, ainsi que le prouvent les faits rapportés dans le présent
mémoire
. (Revue neurologique, mai 1901). E.B. VII. L'
x, et de la dégénérescence du corps calleux, fort détaillés dans ce
mémoire
, se traduisent par les conclusions qui suivent.
mois d'excès alcooliques constata une diminution considérable de sa
mémoire
surtout à l'égard des événements récents, parmi
e chez le malade qui fait le sujet de l'observation, la perte de la
mémoire
est nettement sous la dépendance des excès alcool
ou à des rêves noc- turnes, à des troubles de la conscience, de la
mémoire
et de la personnalité. En dehors de ces faits l
utions à prendre : l'enfant est précoce, il a le travail facile, la
mémoire
complaisante, les parents sont enchantés de le
s. » De cette caenesthésie dépend le groupe- ment des phénomènes de
mémoire
qui constitue les impulsions et les idées délir
que; par G.-J. Rossolimo. (l'eUi-0109. G'eairal6. XX, 1901). Long
mémoire
basé sur 8 observations, duquel il résulte qu'il
a question du diagnostic et de l'étiologie est fort étudiée dans le
mémoire
. - P. Keraval. XX. Observation de myélite ou d'
ut oublié depuis cette date. Il se croit en 1879. Un mois après, la
mémoire
lui revient. Cette amnésie doit-elle être mise
Etat mental très affaibli. Confusion des idées et diminution de la
mémoire
. Petit à petit le malade s'affaiblit physiqueme
s, ils sont différents ou bien plus accusés. Ainsi la perte de la
mémoire
est un symptôme de neurasthénie, mais on peut d
que infantile sans épilepsie et dont l'intelligence est intacte; la
mémoire
du moins est remarquable. M. DKjËtu\E répond qu
dtplégique de .M. Marie n'est pas épileptique, mais malgré sa bonne
mémoire
il est un débile, donc son intelligence s'est p
espèce. L'intelligence est sortie non pas de l'instinct, mais d'nne
mémoire
fonctionnelle, distincte de la mémoire intellec
de l'instinct, mais d'nne mémoire fonctionnelle, distincte de la
mémoire
intellectuelle. (A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. XI
aux : troubles de la perception, troubles de la conscience, de la
mémoire
, etc., tout cela est exposé et sert heureusement
cours de rentrée, a pris pour texte de son étude les troubles de la
mémoire
dans leurs rapports avec la médecine judi- ciai
ieux de ces questions médicales, les rapports de ces maladies de la
mémoire
avec les troubles de la conscience et de la per
olue de la mé- moire des faits récents, conservation relative de la
mémoire
des 1 Voir n" 91 et 92 des Archives de Neurolog
r tous les exercices scolaires sont très lents, mais sans arrêt. La
mémoire
est lente, mais durable : ce qu'il a appris, il
ure courante. 1903. Il lit et comprend ce qu'il écrit; reproduit de
mémoire
sur son cahier un certain nombre de mots connus
ne très grande difficulté à réveiller immé- diatement les images de
mémoire
. L'absence de frein à la céré- SOCIÉTÉS SAVANTE
ntacte. Elle est d'une activité ex- traordinaire pour son âge et sa
mémoire
la sert encore admirable- ment, mais pour excus
Vallon. Notre savant confrère lui dit alors qu'un pareil manque de
mémoire
indiquait une folie nettement caractérisée et qu'
l'envoyer à Sainte-Anne. A ces mots, D... retrouva immédiatement sa
mémoire
et il déclara à l'expert qu'il se remettait fort
attribué le pouvoir de produire des ballu- cinations. A citer pour
mémoire
la méthode inacceptable de la narcose li-io7zal
e soulagement de l'état de raideur si pénible. Trénel rappelle pour
mémoire
la pellotine et l'ergotine. Pour les sédatifs,
Etudes sur a contraction tonique du muscle strié et ses excitants. (
Mémoires
de l'Académie Royale de Médecine de Belgique, t
développement de l'altruisme et de la solidarité. L'attention et la
mémoire
jouent un rôle prépondérant dans le développeme
Le mécanisme de la conscience. M. de VRirs (d'Amsterdam). La simple
mémoire
se développe dans la couche optique et dans le
De cette manière il est possible que la vue d'un objet rappelle la
mémoire
du nom, et que le nom écouté rappelle la mémoire
objet rappelle la mémoire du nom, et que le nom écouté rappelle la
mémoire
de l'objet. Avec le goût, la sensibilité de la
aux qui discontinuent les fibrilles des divers organes des sens. La
mémoire
plus complète se développe dans l'écorce elle-m
ces groupes peut mettre en action les autres, et faire rappeler la
mémoire
de l'objet et de ses qualités. De la même man
r la mémoire de l'objet et de ses qualités. De la même manière la
mémoire
de l'usage d'un objet est éveillée, de même les
ons, les réponses ordinaires des hommes ne sont rien de plus que la
mémoire
à propos des choses que l'on a vues et entendue
mporte trois parties distinctes : la première partie, consacrée aux
mémoires
originaux, nous offre d'importantes communica-
chologie, depuis les articles parus dans les périodiques, jusqu'aux
mémoires
présentés aux divers Congrès et aux ouvrages de
e ne me rappelle pas », elle ne fait aucun effort, aucun appel à sa
mémoire
lorsqu'on ne répète pas une question avec insis
d'Armentières. Dans des travaux antérieurs : Thèse deLille l90 ? ,
Mémoires
des Archives de Neurologie, janvier et août 190
prendre pour les préparations durcies à l'acide chromique (voir le
mémoire
). Le dessin microsco- pique est le même sauf qu
iscence. Le même problème se pose d'ailleurs pour le réveil dans la
mémoire
des images sensorielles, et, par le fait, pour
Nous pouvons donc concevoir la pensée que les représentations de la
mémoire
, de quelque genre qu'elles soient, sont, au point
'' BitLUroLT, qu'a disparu le grand méde- cin dont nous honorons la
mémoire
aujourd'hui, et chacun de nous se rappelle enco
utres sentiments que celui de les honorer c'est faire injure a leur
mémoire
. Le seul hommage qui convienne à Charcot, c'est
à toutes les stations thermales. » Le I)1' Boissier rappelle que la
mémoire
de Charcot est, aujourd'liui. plus vivante que
s avez résolu de l'éri- ger à Lamalou-les-Bains pour y consacrer la
mémoire
de Charcot. C'est cette pensée toute filiale qu
de saluer dans un élan commun d'admiration et de reconnaissance la
mémoire
de celui qui fut le plus illustre parmi les méd
e la République, qui glorifiait, il y a huit jours, en Bretagne, la
mémoire
d'un de nos penseurs les plus libres qui ait il
iii3y ELK[Ns (The Journal of Mental Science. Avril 1902 ) Dans un
mémoire
sur le même sujet publié par l'auteur en 1899 e
tement cessé d'avoir besoin de cette surveillance spéciale. Dans ce
mémoire
, l'auteur se propose de décrire les disposition
et pathologique du système nerveux. Tous, vous avez présentes à la
mémoire
ses publications aux différents congrès et soci
icat d'études. Néanmoins, elle se plaint d'un affaiblissement de la
mémoire
depuis qu'elle a ses vertiges. Tel est l'état d
ement à la diminution des vertiges, les mai- tres constatent que la
mémoire
devient meilleure. - ' 1897. Avril. Accès : Ava
avait dit, ce qui s'était passé la veille, etc. A côté de cela, la
mémoire
du passé, du déjà vécu était intacte. L'ap- pré
ingue facilement de l'aphasie, car on constate, non une perte de la
mémoire
des mots lus ou entendus et des images d'articu
die L. C. p. 223-224). Plus récemment M. Uhthoffl dans un important
mémoire
distingue du nystagnus vrai accentué et très ap
urs liée d'une sainte amitié ; le portrait qu'elle en fait dans ses
Mémoires
montre combien elle avait de goût pour lui. Fra
surnom de Docteur en théo- logie ; alors seulement elle commence de
mémoire
, sur la demande de ses directeurs, son autobiog
artistes, médecins). M. Vallon voudrait savoir si l'intensité de la
mémoire
à une influence sur l'intervention plus ou moin
es parleurs. Il n'y a donc pas de rapport fixe entre le degré de la
mémoire
et la rapidité de l'intervention des éléments l
du nom de leur auteur. Enfin le sujet conclut : Ce n'est pas ma -
mémoire
qui me sert pour cette description mais le raison
; il sut mettre à profit l'un et l'autre, et il publia de nombreux
mémoires
qui touchent à toutes les branches de la pathol
00), sur l'Et(it iiei2l(tl des épilepti- qites (1860). Dans ce beau
mémoire
, Jules Falret étudie avec un soin tout particul
Puis, viennent les recherches sur les Troubles du langage et de la
mémoire
des mois dans les tiffec- tions cérébrales (186
és attiraient l'attention de Jules Falret. Il publiait une série de
mémoires
sur la Colonie d'aliénés de Gheel (1862), sur l
t arrivée de la campagne, remarque elle-même qu'elle a une mauvaise
mémoire
, peut définir le jour, mais ne connaît pas le q
avail sur le Délire aigu observé dans les établissements d'aliénés {
Mémoires
de l'Académie de médecine, t. XI, p. 552). «
rdée, dans son temps, comme un miracle : très bien décrite dans ses
mémoires
, elle est fort intéressante pour des médecins e
« animaux pour expliquer en quoi consistent l'imagination et la «
mémoire
». Sur son frontispice, on pourrait graver cett
diminution de l'intelligence, le défaut d'attention, la perte de la
mémoire
, le défaut de jugement, la confusion, la faible
Quelques années plus tard, MM. Falret et Lasègue consa- crèrent un
mémoire
à l'étude de la folie communiquée 2. Voici leur
lus intelligente et aussi la plus volon- taire. Elle se vante d'une
mémoire
hors ligne. « Je sais, dit-elle, quel jour nous
que nous en savons, nous l'avons appris par intuition. Ce sont les
Mémoires
de M. Gorozz qui nous ont révélé ce que nous so
Elle ne peut nous renseigner d'une façon positive sur l'état de la
mémoire
ni sur le niveau mental exact. Jusqu'en mai, on
harretier, mais ses facultés intellectuelles étaient affaiblies, sa
mémoire
mauvaise; il perdait différents objets (fouet,
ent, tout à fait incapable de travailler, per- dant complètement la
mémoire
, mettant plus de deux heures à faire sa toilett
gueilleuse, du reste : ne nous dit-elle pas, quelque part, dans ses
mémoires
, qu'elle serait plus hon- teuse d'être née de b
30 L'oraison D'UNION. - « L'oraison d'union est un som- meil de la
mémoire
, de l'entendement et de la volonté qui ne se pe
ations éprouvées. Comme elle le dit, l'intelligence, la volonté, la
mémoire
ne sont pas perdues, mais sont dans un état de
lus; il cesse brusquement ou peu à peu, mais le sujet con- serve la
mémoire
des visions, auditions et sensations diverses p
ompagne la pluie de larmes. Cependant, dans un autre passage de ses
mémoires
elle raconte qu'en reprenant ses sens, elle tro
venons de faire pour les oraisons ; nous n'en parlons donc que pour
mémoire
. BONNE roi DE sainte Thérèse. La description de
l'excitation sans affaiblissement intellectuel, sans troubles de la
mémoire
. La parole élait normale, comme l'écriture; chez
ale, plus ou moins complexes dans le domaine de la perception,de la
mémoire
, paramnésies, contraste psychique, illusions, p
nerf optique par du tissu conjonctif et névroglique proliféré. (Ce
mémoire
paraîtra in exlenso avec les figures.) Les lé
ras de la parole, inégalité pupillaire, signe d'Argyll, perte de la
mémoire
, idées délirantes diverses (de grandeur, de nég
ur la première fois. 4° Qu'il marque des troubles quelconques de la
mémoire
. J'in- sisterais volontiers sur cette dernière
te dernière circonstance. Je pense que nous avons dans l'état de la
mémoire
un réactif d'une très grande sensibilité, réact
tout de l'absinthe et de l'alcool ; avait de continuelles pertes de
mémoire
, des « accès » durant lesquels il semblait perdre
e propriété (mensonges et vols). ' ce sujet, il nous revient à la
mémoire
le cas d'un garçon que sa mère, sous le coup d'
binski. (Revue neu- 1'alogique, novembre 1899.) L'auteur, dans un
mémoire
du plus haut intérêt clinique, décrit pour la p
r appoint psychique qui nous sont four- nies automatiquement par la
mémoire
reviennent avec une ténacité qu'on a grand pein
ec une ténacité qu'on a grand peine de rompre; on assiste à ces t
Mémoire
présenté à l'Académie de médecine, mention honora
nt de vue pa/A<oMe. 'Tout autre est l'obsession pathologique. La
mémoire
n'en fait plus seule les frais ; elle suppose u
trique de la région cor- ticale correspondant aux membres. Un autre
mémoire
sera con- sacré aux résultats physiologiques et
conclusions suivantes : I. -'l'outes les preuves accumulées dans ce
mémoire
tendent à une conclusion unique, l'existence de
Pr Marinesco. (Revue neurolojiquc, octobre 1899.) L'auteur, dans un
mémoire
du plus haut intérêt résume la suite de ses rec
ant toutes les facultés dont il a été question plus haut, manque de
mémoire
. Enfin, la dernière catégorie, et non la moins
XI. L'état présent de la science mentale (le premier d'une série de
mémoires
qui traiteront de la localisation des fonctions
tif Juurzul o/'3lezlccl Sciezce, avril 1901). ). Très intéressant
mémoire
, mais son étendue ne nous permet d'en donner qu
les lobes frontaux soient relati- vemeut les plus saillants ; 5" la
mémoire
n'est pas une faculté unique ; il y a des centr
es (nombres, temps, localités, airs musicaux, etc), en dehors de la
mémoire
des' mots dont la localisation est déjà précisée.
e et achilléen, etc. En même temps on constata des troubles de la
mémoire
portant à la fois sur les faits récents et les fa
personnes de l'entourage, en même temps que de la diminution de la
mémoire
et de la faculté d'at- tention. Arudt dit que
is il ne s'agissait plus d'hallucinations vraiment unilatérales. Ce
mémoire
se termine par des considéra- tions intéressant
ecin de l'asile de Leymes (Lot). Il a publié un cer- tain nombre de
mémoires
dans les Âîtntiles ilIédico-Psyrliologiq lies.
e en même temps, que Baillarger a puisé les éléments de son célèbre
mémoire
sur la Folie ci double forme. . Les travaux d
ecture faite par Baillarger à l'Académie de médecine, en 1854, d'un
mémoire
intitulé : « Noie sur un genre de folie dont le
comparant un certain nombre d'observations, dit Baillarger dans ce
mémoire
, on re- connaît qu'il existe des cas assez nomb
urù l'Académie, quelques jours après, un travail ayant pour titre «
Mémoire
sur la folie circulaire, forme de maladie menta
n, c'est 0 CLINIQUE MENTALE. la phrase suivante extraite de son
mémoire
: « Les dettx etats dont la succession constitu
Ritti en 1878, dans les deux dictionnaires de médecine, ensuite du
mémoire
que fit paraître à la même époque Jules Faire !
otrices médullaires . Mme 1)ar : atNr : présente à ce sujet un long
mémoire
à connaît- tre in extenso, un résumé bref ne po
es car- diaques qui ont entraîné la mort. Les ligures annexées au
mémoire
, et notamment celle (fig. 5) qui représente la
les mieux conservés au point de vue mental ont une diminution de la
mémoire
des faits ré- cents et une diminution de l'imag
s sont plus notablement affaiblis : dimi- nution plus marquée de la
mémoire
allant du nouveau à l'ancien et du complexe au
es de cette maladie, .t. Séglas. XIX. L'association médiate dans la
mémoire
émotive ; parErroRH P\TINI. fin liViSta di ¡wvl
l. Dans le pre- mier cas, on trouve une notahle différence entre la
mémoire
émotive et la mémoire des impressions sensoriel
as, on trouve une notahle différence entre la mémoire émotive et la
mémoire
des impressions sensorielles. Une telle différe
e, de l'attention, ch/'onoscopi(lue, de la dictée, du calcul, de la
mémoire
des chil- fres, de la combinaison. Puis il cite
odoral, du goût, de la vue, de l'attention, de la perception, de la
mémoire
, de l'imagination, du mouvement volontaire, de
mportance Irès grande, parce que, suivant son expression imagée, sa
mémoire
au- jourd'hui, c'est-à-dire son.passé, déborde
mes d'origine pleurale ; par nOCH. (Rev. de méd., décembre 1905.)
Mémoire
très intéressant dont les conclusions sont appuyé
lques semaines comme l'a éta- bli M. Christian dans son remarquable
mémoire
de 190C, à la suite d'une vésanie quelconque n'
familiales, nombreux sont encore les aliénistes qui, mal- gré le
mémoire
si probant de Bail, continuent la confu- sion.
véritable exception en pathologie mentale. En effet, dans nos deux
mémoires
, publiés l'un par le Journal de Neurologie sur
us ramènerait forcément au miasme ou microbe psy- chique de joyeuse
mémoire
, de Bouchut, qui soutenaitle transport au loin
t également LA FOLIE GÉMELLAIRE. 251 il n'y en a qu'une dans ce
mémoire
. Qui sait ce que leur réserve l'avenir et si la
nt,et médecin assistant à la clinique psychiatrique de Moscou ; son
mémoire
a paru en 1900. Il est partisan convaincu et en
ors que les deux ascendants sont purs de tout nervosisme.Dans notre
mémoire
du Journal de neu- rologie, nous avons démontré
esse à la suite d'une des causes que nous avons établies dans notre
mémoire
et que par conséquent il est indispensable de b
ue par conséquent il est indispensable de bien avoir présentes à la
mémoire
, si on ne veut pas errer par dénombrement impar
acquisition de grossesse. M. Serge Soukhanoff, dans son intéressant
mémoire
, accepte comme nous, la nécessité de la prédisp
suis certain qu'il lui suffira d'un cas pour le convaincre, car son
mémoire
prouve qu'il est un ob- servateur très sagace e
on seulement dans son pays, mais encore àl'étranger. Ainsi,dans son
mémoire
, il contribue à détruire l'erreur jusqu'alors r
blica- Z5G PATHOLOGIE MENTALE. tion,dans un journal français,du
mémoire
du Professeur de \loscou. . Pourtantle cas de
du matin. Qu'il nous soit per- mis de rendre un pieux hommage à sa
mémoire
et de nous souvenir avec émotion et reconnaissa
beau volume de RI. Vigouroux et de M. Juquelier, l'intéres- sant
mémoire
de M.Serge Soukhanoffet la très remar- quable t
me une modifica- tion notoire de l'opération. îV. Epreuves sur la
mémoire
. Il était généralement connu que les sels de br
Il était généralement connu que les sels de brome affaiblissent la
mémoire
. Cette fois, on a voulu voir si des petites dos
s petites doses de brome peuvent avoir une influence aiguë sur la
mémoire
, comparable aux influences chro- LES poisons
eu. Ce fait doit être attribué,pro- bablement, à l'altération de la
mémoire
sous l'influence du brome, et non pas à celle d
tes de connaître, choisir et associer, dans l'affaiblissement de la
mémoire
, 230 ÉTUDE CRITIQUE. etc., abstraction fait
d'une façon remarquable et qu'elle ex- celle dans les exercices de
mémoire
. Nous devons faire remar- quer (pièces essais d
était-ce ? R. Je ne me rappelle pas de tout ça. Lundi 11 avril. La
mémoire
est toujours très affaiblie, il nous reconnaît
ROUBLES DU langage. Amnésie rétro-antérograde. Les troubles de la
mémoire
dominent l'histoire de notre malade. Dès son en
6 (après 30"). 13 avril.- J'ai le coeur tout triste, dit-il, cette
mémoire
qui ne revient pas, je ne sais plus en quel end
ve. 20 septembre. - Il se souvient un peu de ses chansons,mais sa
mémoire
présente encore de nombreuses lacunes; toutefois,
out triste aujourd'hui, nous dit-il, je ne sais pas pourquoi, cette
mémoire
qui ne revient pas; tout à l'heure est venu un
u chagrin, l'idée de ne plus savoir lire, l'idée de n'avoir plus de
mémoire
, je ne saurai plus travailler, on me mettra à l
sa théorie aux différentes modalités de la reconnaissance et de la
mémoire
. Ch. Bonne. LV. - Ueber eigenartige Veraenderun
ère ou sous la frontière. G. D. tYlll.-Rapport de M. Motet sur un
mémoire
de M. Marie (deVillejuif) intitulé : « Paralysi
La -, étude médi- cale et psychologique, par Mas- selon, p. 53.
Mémoire
. L'association médiate dans la - émotive, par P
ale juvénile, par Derou- baix, p. 401. Rapport de M. Motet sur un
mémoire
de M. A, Marie, intitulé : générale et syphil
ud, Il. 219. Parole. Etudes et recherches expérimentales sur la
mémoire
des images acoustiques ct usuelles de la -, p
rès difficile d'ailleurs d'obtenir des renseignements précis car sa
mémoire
présente d'incontestables lacunes ; son état ment
ulier DIAGNOSTIC DES PARALYSIES SYPHILIT1QES 7 avec lacunes de la
mémoire
; mais il n'y avait actuellement aucun stig- mat
douzy etDéjerine, etc.. Voir à ce sujet P. Marie et Georges Guinon,
mémoire
cité, page 836), mais seulement au point de vue
Clinique des maladies du système nerveux ; leçons du pro- fesseur,
mémoires
, notes et observations, publiés. par Georges Guin
t amyotrophie généralisée), page 203 et n° XI, p. 231 (extrait d'un
mémoire
de Georges Guinon et E. Parmentier sur le même su
) Voir à ce sujet : Landouzy et Déjerine, P. Marie et Georges Guinon,
Mémoires
cités. (3) Duchenne (de Boulogne), De l'électri
accidents hystériques simulant l'épilepsie partielle ». Son premier
mémoire
sur cette question coïncida avec une observation
orsqu'il y a, dit M. le professeur Charcot (1), suppres- sion de la
mémoire
pour l'articulation des mots, c'est l'aphasie mot
aphasie de Broca qui se présente. Lorsqu'il y a suppres- sion de la
mémoire
qui permet de représenter les mots par l'écriture
mots qui viennent frapper son oreille, c'est qu'il est privé de la
mémoire
auditive du mot et on le dit alors atteint de sur
son que l'aphasie, c'était avant tout « une amnésie, un oubli de la
mémoire
du mot (1) ». La question de l'aphasie est donc
dans l'écorce cérébrale autant de centres dif- férents qu'il y a de
mémoires
partielles pour la production du mot. L'aphasie
n XIII. Empruntée au travail de M. Natier qui l'a tirée lui-même du
mémoire
de Bock ' (Werlner, cité par Kussmaul). Mutis
ncliner du côté de la méningite chronique ( ? ). Nous avons dans la
mémoire
un cas analogue observé aux Enfants-Malades : l'a
relativement aux nombreux travaux dont la syphilis cérébrale (1) Ce
mémoire
a été présenté au concours des hôpitaux en décemb
dés : crises moins fréquentes, céphalalgie moins vive, retour de la
mémoire
. L'enfant est re- tournée dans sa famille et ap
beaucoup le café en in- fusion. Il n'a jamais eu de troubles de la
mémoire
, de l'intelligence, des organes des sens. Pas d
les ; il répond d'une façon très précise el en faisant preuve d'une
mémoire
impeccable aux nombreuses questions qu'on lui p
lé dans l'observation de M. Babinski (2) et dans l'observation V du
mémoire
de Truc, observation recueillie dans le service
de la démence apathique sont : l'affaiblissement ou la perte de la
mémoire
et un état général d'indifférence. Ces deux ind
em- barras peu considérable de la parole, légère oblitération de la
mémoire
, indifférence complète pour les affaires les pl
delà vessie; ictus répétés, quelques trou- bles cérébraux (perte de
mémoire
, lenteur de parole) raideur de la nuque el exag
n fait analogue a été publié par Oppenheim (2), dans un intéressant
mémoire
sur la syphilis cérébro-spinale. Une femme de 2
tatistiques montrent que cette forme est exception- nelle : dans le
mémoire
de MM. Gilbert et Lion, on trouve 40 fois la pa
-même dans des cahiers spéciaux comme un étudiant il ses débuts. Sa
mémoire
s'était tellement affinée à ce labeur de bénédi
uidait d'une main ferme. Tous ici nous conserverons pieu- sement la
mémoire
de notre maître si regretté, et pour l'honorer no
droite, incontinence d'urine. La tête est complètement dégagée, la
mémoire
bonne, dit-il. Il entra à la Salpêtrière dans le
opposé il celui où l'anesthésie prédomine. Depuis la publication du
mémoire
de MM. Charcot et Gombault (1), les auteurs ont
s qu'avec de grandes réserves. Et même plus récemment, Erb, dans un
mémoire
auquel nous avons fait longuement allusion s'expr
ait en attaque, et celle-ci terminée, il pleurait abondamment. Sa
mémoire
fut aussi considérablement touchée, surtout pour
nt il a connu les détails par son impressario. Il perdit aussi la
mémoire
des langues étrangères qu'il avait apprises. Un d
arlait habituellement cette langue aussi souvent que l'allemand. La
mémoire
musicale était presque entièrement abolie. Lui qu
ent abolie. Lui qui composait au- trefois des airs et qui jouait de
mémoire
avec une grande facilité, il devint incapable d
ment rétabli, il reprit peu à peu son métier de violoniste; mais la
mémoire
ne lui revint guère, pas plus pour les faits que
. La dernière attaque, il y a 12 jours, a duré 6 minutes. Mais la
mémoire
s'affaiblit de plus en plus. Les insomnies sont f
ment aux questions. Il y a affaiblissement de la réflexion et de la
mémoire
. Elle travaille avec zèle et régularité. L'appé
al n'a pas subi de modifications notables. S... n'a pas recouvré la
mémoire
des langues apprises autrefois (italien, anglais,
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dessus de sa condition misérable. Sa
mémoire
ne parait pas avoir été touchée. Le phénomène s
pauvre Alhanar (c'était son nom) vivoit, il avoit la plus heureuse
mémoire
d'homme qui fust au monde : car il savoit parler
qu'un marchant anglois, estant de mon temps par delà, adverti de la
mémoire
gaillarde de cet esclave, le voulut avoir avec lu
se dé- pressive ne tarde pas à surgir. Et la maladie reparaît. La
mémoire
est souvent touchée, soit dans son ensemble, soit
au d'adresse. « Là, le jeune s'y façonne, le vieil y rafraischit sa
mémoire
, le docte s'y fait admirer, les autres y appren
élevée sur l'emplacement du bureau d'adresse perpétuera à jamais la
mémoire
du médecin Théophraste Renaudot, le plus grand
, et cherchait à la diffé- ' Prus. Bulletin Acad. méd. Paris, l815,
Mémoire
sur les deux mala- dies connues sous le nom d'a
pie-mérienne. M. le professeur Lépine a attiré l'attention, dans un
mémoire
important ', sur le rôle joué par ces anévrysme
pe. Ce sont là les deux points que nous désirons d'abord mettre 1
Mémoires
de la Société de biologie, 1867. HÉMORRHAGIE MÉ
ale. M. le profes- seur Lépine l'observait dans les deux cas de son
mémoire
déjà cité. Chez notre sujet l'hémiplégie étai
ieurs, puis plus tard cette raideur se localisait à la ' E. Boudet.
Mémoire
sur l'hémorrhagie des méninges. (J. des connais-
lmo'i- diennes, ainsi que M. Lépine le faisait remarquer dans son
mémoire
de la société de biologie : l'hypothermie initial
chef des asiles publics d'aliénés de la Seine. Dans deux précédents
mémoires
j'ai étudié le sens tactile ' 1 et le sens anal
ntimes détails. Certes, la mère ne conseillera pas la lecture de ce
mémoire
à sa fille et je ne la lui conseillerai pas davan
nt l'observation, nous dispensent d'insister davantage. Notons pour
mémoire
, les traînées de nodosités scléreuses des ventr
.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) Ce
mémoire
, basé sur 12 observations, a pour objet de traite
z des enfants et ressemblant beau- coup à la paralysie générale. Ce
mémoire
se termine par quelques considérations sur le d
ade et de celle du médecin. BIBLIOGRAPHIE. 1. Le problème de la
mémoire
, essai de psycho-mécanique; par le or Paul SOLL
logues sont aujourd'hui d'accord pour admettre deux parties dans la
mémoire
: l'une essentiellement organique, physiologiqu
llée et très précise de l'acte mnésique à ses différents stades. La
mémoire
comprend trois opérations essentielles, la cons
objet ; la véritable évocation se produit au point même où siège la
mémoire
, c'est-à-dire dans le lobe frontal. M. Sollie
ivre, en tentant une théorie mécanique des différents phénomènes de
mémoire
par comparaison avec les phénomènes électriques
nique, à la thérapeutique, à l'anatomie pathologique, se compose de
mémoires
sur la chorée, guérie par le bromure de camphre
ry, vol. VI, 1898. Ce volume d'une centaine de pages renferme les
mémoires
sui- vants : A color illusion, par G. Trumbull
ll-Itoùerlsozz ; le fond de l'oeil est normal. L'intelligence et la
mémoire
ne sont pas dimi- nuées ; la parole est tout à
ELLIN. La folie de l'enfance et de l'adolescence, malgré quelques
mémoires
intéressants et entre autres celui de M. Paul Mor
e de l'enfance. FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 113 affaiblissement de la
mémoire
. - Premiers troubles intellectuels, hallucinati
t trois ou quatre jours; consécutivement, légère dimi- nution de la
mémoire
. Beaucoup de gourme de dix à onze ans, otorrhée
depuis sa sortie de Villejuif mais elle est tou- jours nerveuse. Sa
mémoire
s'affaiblit. Albertine dit que de temps en temp
of Mental Science. Avril 1899.) ,- Les planches qui accompagnent ce
mémoire
sont indispensables' à l'intelligence du texte
Ossipow. (Oborénié psiclliatrii, nos 3, 4, 5, 6, 1898.) Ces deux
mémoires
pleins d'intérêt au double point de vue de l'hi
mêmes conditions à peu de chose près que M. Trapeznikow et pour son
mémoire
et pour l'installa- tion de l'alitement dans le
5.) De l'étude de 120 cas et de toutes les théories proposées, ce
mémoire
tire d'excellents éclaircissements pour la diffic
ns de s'assurer de leur réalité. La discussion serrée et concise du
mémoire
en rend la lec- ture nécessaire, tous les détai
t en cite plusieurs exemples qui lui reviennent successivement à la
mémoire
. M. Magnan a constaté maintes fois chez des hér
oureux devoir à remplir, celui d'exprimer nos profonds regrets à la
mémoire
d'un de nos rapporteurs les plus éminents, le p
ingué ? , le Dr Bouchereau, membre du Comité d'orga- nisation, à la
mémoire
duquel des témoignages émus d'estime et- d'affe
echerches de M. Th. Ribot SECTION DE PSYCHIATRIE. : 2 : )j sur la
mémoire
, la volonté, la personnalité, l'attention prouven
ieur le Secrétaire général du Congrès, je voudrais vous remettre en
mémoire
, dans une rapide revue rétrospective, les princ
t ces idées de souve- nirs, les centres des différentes variétés de
mémoires
. Au sur et à mesure des progrès de l'éducation
rès Saint-Pétersbourg et en z1896 il nous a fait part dans un petit
mémoire
des bons résultats qu'il en a eus. Mais un inté
e n'avais d'autre partémisdans un récent ouvrage, le Problème de la
mémoire
, , paru en janvier dernier dans la Bibliothèque
thèque de Philosophie Contemporaine, une théorie du mécanisme de la
mémoire
basée sur les analogies entre les phénomènes ps
ir relever que les critiques qui ont été faites de ma théorie de la
mémoire
ont paru mécon- naître sa portée. Analysant les
ë- moire. Je crois avoir le premier montré les analogies entre la
mémoire
et l'aimantation (p. 1). Le télégraphone, dont je
rlais tout à l'heure, rend mieux compte encore du méca- nisme de la
mémoire
au moins dans ses premières phases. De même pou
uer les parésies. J'ai montré en outre que cer- tains phénomènes de
mémoire
ne pouvaient s'expliquer que par les lois de ré
chique, et j'ai essayé de montrer comment les modifications de la
mémoire
pourraient s'expliquer par les pertes qui se pr
examiné les analogies qui existent entre tous les phénomènes de la
mémoire
clef de voûte de l'édifice intellectuel, et les
is été amené à une conception toute physique du méca- nisme de la
mémoire
qui se calque sur ce qu'on peut obser- ver dans
s anomalies de dimensions et de forme. Mais nous trouvons, dans les
Mémoires
de l'il Académie de Berlin pour 1760 des observ
al de Genève de 1877 et qui a été publié dans les comptes rendus et
mémoires
de ce Congrès (p. 642 et suiv.). D'autre part,
-cinq ans, soit à la Salpètrière, soit surtout à Bicêtre et sur les
mémoires
et les notes qui ont été publiés durant la même
ciation est trouvée par Flechsig dans la conservation des images de
mémoire
ainsi que dans la reproduction et l'association
nt pour le moment purement hypothétiques. L'hypothèse d'images de
mémoire
déposées dans certains groupes de cellules n'est
énomènes multiples englobés sous ce vocable, confusion résultant du
mémoire
même de Baillarger. En effet après avoir indiqu
antôt arrivent aux organes des sens », Baillarger consacre tout son
mémoire
(observations et discussions) à l'étude exclusi
bientôt son arrêt puis celui de la respiration ont dans le présent
mémoire
étudié l'action des courants continus. Ils ont
1 ? novembre 1898. SECTION DE. NEUROLOGIE. 411 L Dans ce nouveau
mémoire
, qui marque un réel progrès des recher- ches em
rrain clinique. En 1885, j'ai publié, dans la Revue de médecine, un
mémoire
sur la pathogénie de certains accidents paralyt
bservés chez le vieillard. Or, quelques-unes des observations de ce
mémoire
, recueillies à l'hospice d'Ivry, m'ont montré,
nces encore inédites, et dans un ouvrage intitulé le Problème de la
mémoire
, paru en janvier 1900. M. Paul Sollier, dont j'
t même quelquefois à des circonstances que l'on croyait sorties de la
mémoire
depuis longtemps. Elles présentent ceci de partic
122 pages, avec figures. Adrien Delahaye, éditeur. Au début de son
mémoire
, M. Laurent fait un rapide historique des solanée
ue et dont ces substances ont fait l'objet. M. Laurent a divisé son
mémoire
en deux parties : 1° action physiologique de ces
as et se rend compte de l'action du médicament : les conclusions d'un
mémoire
ne pouvant être toujours que générales. Voici les
HOPITAUX ENCÉPHALOCELE Réflexions, — Spring dans son remarquable
mémoire
sur les her-nies du cerveau1 distingue trois vari
re elle donne une idée exacte de la malformation du pied. 1 Spring.
Mémoires
de l'Académie de Belgique, t. III. que Leriche
commotion. Abordant ensuite la partie véritablement pratique de son
mémoire
» M. Muron se demande ce que va devenir ce sang ai
, fort de ses recherches anatomo-patho-logiques, fort d'un passage du
mémoire
de Botrel, attribue à la lymphangite la productio
e point revient à M. Iluguier, qui présenta à l'Académie, en 1859, un
mémoire
sur lequel nous aurons l'occasion do revenir souv
mitive du col qu'il faut attribuer une élongation si rare*. Dans le
mémoire
de Levret5, publié quelques années plus tard, nou
causis morborum, 1761. 4 « Istani raram longitudinem. » n Levret,
Mémoire
sur un allongement considérable qui survient quel
e de la matrice. Il existe néanmoins une lacune regrettable dans le
Mémoire
que nous citons; nous vouions parler du traitemen
ue d'accouche-ments, lui a fourni l'occasion de produire un excellent
mémoire
. A ce sujet, il a colligé les différents faits ép
. Si la tumeur est mollasse et fongueuse, la dilatation peut être 1
Mémoire
in-8° de 100 pages. Paris, Adr. Delahaye, éditeur
able, mais jamais ramollie entière-ment, comme il est indiqué dans le
mémoire
de Gillet. (Commission d'hygiène hippique, 1847).
tes nous ne nous avançons point trop en disant qu'après cet excellent
mémoire
, il sera donné à des chirurgiens moins expériment
ple du poumon. En 1866, il publiait dans les Ar-chives de médecine un
mémoire
duquel il ressort clairement que la congestion pu
secrétaire général, de secrétaires des séances. Art. 12. — Tous les
mémoires
lus au Congrès seront déposés, après chaque séanc
s le nom de molluscum. M. Malassez a eu la bonne idée de réunir en un
mémoire
les résultats de ces investigations. Nous signalo
ts de ces investigations. Nous signalons d'autant plus volontiers son
mémoire
à l'attention de nos lecteurs que, dans ce numéro
che habituelle. Telles sont les conclusions de la première par-tie du
mémoire
de M. Delbarre. Il n'en est pas moins prudent,
la dénudation sur la ligature des artères. Il cite des passages d'un
mémoire
de M. Notta, dont voici les conclusions : (* En r
ouleurs de tête continues, occupant surfout la région occipitale ; la
mémoire
s'affaiblit progressivement, l'intel-ligence est
est devenu calme, le ma-lade n'a plus ni rêves, ni hallucinations. Lt
mémoire
est plus nette, l'intel-ligence plus éveillée ; m
de 1871 et de cette année, plusieurs des chapitres qui composent son
mémoire
. Nous allons seulement les rappeler : Kystes de l
tomique néces-saire pour l'interprétation des faits pathologiques. Ce
mémoire
est divisé en neuf parties : I. Après avoir men
s avoir été développé, a paru ici même (1872, pages 452 et 199). Ce
mémoire
constitue une monographie complète, et je ne puis
le résultat d'un raisonnement par analogie. — Ainsi Gusserow, dans un
mémoire
tout récent sur le carcinome (Sammlung Klinicher
force promesses de prompte guôrison, le mal empirait rapidement... Le
mémoire
de M. Ilegar, fort incomplet, est néanmoins utile
ider plusieurs points qui n'étaient encore qu'ébauchés ; en somme, le
mémoire
de Schüller constitue un pro-grès réel. Voici,
fecté de tremblement avec affaiblissement de l'intelli-gence et de la
mémoire
; diminution de la vue, du sens du goût et perte d
nts convulsifs n'ont pas été modifiés ; de plus, l'intelligence et la
mémoire
s'affaiblissent. Le bromure de polas- sium est
thropathie. » Nous avons essayé de résumer cette première partie du
mémoire
qui est la partie clinique ; nous mentionnerons s
us — Kystes folliculaires. — Amputation du col. (Observation tirée du
Mémoire
de M. Huguier.) Madame X., âgée de 43 ans, prés
procédé de Dieffenbach, de la suture immédiate. Les conclusions du
mémoire
si instructif de M. Cornillon sont simples, mais
leur influence sur la marche du travail de l'accouchement. » C'est le
mémoire
présenté par lui que M. Sentex livre aujourd'hui
ineuses co/respondent aux points les plus spacieux de l'organe. » 1
Mémoire
in-8°de!50 pages. Paris, Adr. Delahaye, éditeur.
rer au médecin une certitude absolue. Dans la seconde partie de son
mémoire
, M. Sentex entre plus di-rectement dans l'étude p
opinions trop exclusives du fondateur du prix qu'a obtenu l'auteur du
mémoire
. Cependant, dans la plupart des cas de position
eraient mieux à leur place dans un traité d'accouchements que dans un
mémoire
de ce genre ; mais il faut savoir gré à l'auteur
u de 30 et quelques grammes, chiffres donnés par Beale, si j'ai bonne
mémoire
. M. Mallez aurait mieux fait de réserver son ch
un certificat d'identité. — Depuis la solution du problème, plusieurs
mémoires
ont paru, traitant de la digitale et de la digita
s ou moins ('tendue il la formation ammonique, voyez : Vicq d'Azyr,
Mémoires
de l'Académie des sciences, 1844, p. 312. Wenzel
lle en est séparée pour la première fois par sir William Gull '. Le
mémoire
de Gull lu, le 1 Sir W. Gull. On tz cretinoid s
; intelligence notablement affaiblie; réponses lentes et inexactes;
mémoire
impar- faite ; sens spéciaux atteints avec illu
tuelle, les troubles psychiques suivants : affaiblissement de la
mémoire
, particulièrement en ce qui concerne les faits
langage incohérent. L'attention est affaiblie, le jugement faux, la
mémoire
en assez bon état. Elle est affectueuse à l'éga
nt notable de l'intelligence, des réponses lentes et inexactes, une
mémoire
imparfaite, des illusions et des hallucinations
ses là. Il me fut impossible de tirer d'elle aucune réponse. « La
mémoire
était également atteinte. On fut obligé de lui
lusieurs erreurs, qu'elle finit par corriger pourtant elle-même. La
mémoire
des mots était peut-être plus atteinte, mais sa
? Présidence de M. Delasiauve. M. Bouedin présente à la Société un'
mémoire
sur l'aaztoztomnsie. On désigne,' dit-il, sous
elquefois les facultés psychiques sont sérieu- sement atteintes. La
mémoire
est imparfaite, particu- lièrement en ce qui co
Étal actuel. Elle est d'une intelligence très médiocre, a peu de
mémoire
, mais elle est laborieuse, aide aux travaux du
section des épileptiques. 11 y a quatre ans, il avait encore de la
mémoire
, reconnais- sait tout son monde, avait une conv
it tout son monde, avait une conversation suivie. Aujour- d'hui, sa
mémoire
a totalement disparu, et il reste indifférent a
les dans le monde quand elles le veulent, elles ont de l'esprit, la
mémoire
sûre, une imagination vive, une conversation an
die ; la physionomie est ordinairement intelligente, expressive, la
mémoire
est fidèle, l'imagination a de la vivacité; ell
aires de la base. Il semble, comme le fait ressortir l'auteur de ce
mémoire
, que les cerveaux des microcéphales aient eu à
; par Fritz Siemens. (Arch. f. Psych. te. lIeî,veîzk., t. XI.) Ce
mémoire
, rédigé à l'occasion d'une épidémie d'ergotisme
tion considérable de l'état intel- lectuel, et en particulier de la
mémoire
: cette amélioration : M2 REVUE DE PATHOLOGIE M
iteuftfaiMte figne de la croix, tout disparut. Et de plus fraifche
mémoire
vn home de cheual panant fous le cliafteau de Iou
ible degré au-dessus des parties anesthésiées. » Les conclusions du
mémoire
de M. Brown-Séquard étaient déduites de l'étude
. Ott et Smith ont été amenés par des travaux antérieurs au présent
mémoire
à admettre, dans les couches optiques, des cent
emble un fait incompatible avec cette manière de voir. Mais dans un
mémoire
ultérieur, publié avec la colla- boration de M.
nommé secrétaire général. La correspondance comprend les différents
mémoires
déposés pour le prix Aubanel et pour le prix Es
ts se sont présentés pour le premier de ces prix, et ont envoyé les
mémoires
suivants : Azam : Des troubles intellectuels co
ns le délire aigu. Pu cacheté : De l'hérédité dans le crime. Deux
mémoires
ont été déposés pour le prix Esquirol : Il De l
cer- nant la pathogénie doit être réservée. En somme, c'est la un
mémoire
consciencieux qui délimite par la condensation
on peut se convaincre par la lecture des nombreuses observations du
mémoire
que, malgré l'ancienneté de la maladie, en dépi
d'un remède curatif de l'épilepsie. Conditions des concours. Les
mémoires
, lisiblement écrits en latin, en français ou en
aire de l'Académie, à Bruxelles. Seront exclus du concours : 1° les
mémoires
qui ne rempliront pas les conditions précitées;
éditions etles pages des livres auxquels ils les emprunteront. Les
mémoires
doivent être revêtus d'une épigraphe, répétée s
ment le lauréat. Lorsqu'une récompense seulement est accordée à un
mémoire
de concours, le pli qui y est joint n'est ouvert
rais, en fournissant au secrétaire de la Compagnie la preuve que ce
mémoire
est son oeuvre. L'Académie accorde gratui- Leme
est son oeuvre. L'Académie accorde gratui- Lement, aux auteurs des
mémoires
dont elle a ordonné l'impression cinquante exem
? i00 fr. à décerner, au mois de juin 1882, à l'auteur du meilleur
mémoire
relatif aux fonctions de la couche optique chez
suivantes : 41 le concours est ouvert à toutes les nations ; 2° les
mémoires
doivent s'appuyer surdos observations et des ex
nales recueillies sur l'homme et sur des animaux inférieurs; 3° les
mémoires
doivent être écrits en anglais, en français ou
ans ce der- nier cas ils doivent être en caractère italien); 4° les
mémoires
doivent être adressés, affranchis, avant le Il,
au Dl E.-C. Seguin, 41, West, rue n° 20, cité de New-York; chaque
mémoire
portera une devise, qui devra être répétée dans u
veloppe cachetée contenant la carte de visite de l'auteur ; 1° le
mémoire
couronné sera la propriété de l'Association, qui
relatif à la continuation des tra- vaux à l'hospice de Bicêlrc. Le
mémoire
a été présenté par le directeur de l'Assistance
idiots et épileptiques (M. Piperaud, rapporteur). Le Conseil, Vu le
mémoire
, en date du 29 juillet 1887, par lequel M. le P
frappé vos yeux, il en est un que je voudrais voir fixe dans voire
mémoire
, c'est celui du dévouement merveilleux de ces f
fâmes, on lui imposa sa démission. Déjà Seguin avait publié trois
mémoires
qui avaient attiré l'at- tention (1838, 1839, 1
e publique de Paris. L'étonnement redouble lorsqu'on se souvient du
mémoire
si éloquent adressé en 1859 à cette Administrat
coté droit parfaitement soumis à la volonté. L'intelligence et la
mémoire
étaient très faibles chez ce jeune homme. Le rh
de quelques semaines, lui survinrent dans les promenades ' Itard.
Mémoire
sur quelques fonctions involontaires des appareil
omie comparée du cerveau, t. II, p. G3,. Paris, 1828. " Toutmouchc.
Mémoires
de l'Académie de médecine. 1833, vol. Il, p. 37
disparu ; on l'a envoyé à l'école où il apprenait passablement; la
mémoire
était assez bonne; il était doux et affectueux, m
pas de miction in- volontaire ; pas de folie. L'intelligence et la
mémoire
n'au- 30 de l'épilepsie PROCURSIVE. raient pa
plusieurs fois par jour, ne pro- duisirent aucune diminution de la
mémoire
, mais la perversion des instincts, dont Grand..
ils durèrent trois quarts d'heure sans perte de connaissance. La
mémoire
a diminué depuis deux ans ; le caractère n'a pa
long à se remettre, s'assoupissait pendant deux heures au moins. La
mémoire
était obscurcie pendant une journée et même dav
ion du bromure de potassium. 2 mai. - Traitement hydrothérapique. -
Mémoire
confuse, sait ses nom et prénoms, ignore le jou
religieuses préten- dent cependant qu'elle est douée d'une certaine
mémoire
et qu'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a
parce qu'il avait souffleté sa soeur au parloir. 1885. 3 mars. - La
mémoire
est assez bien conservée; la parole est libre.
- Traitement : capsules de bromure de camphre. 1886. Janvier. - La
mémoire
est médiocre; le malade est dans un état de sem
lement de la langue et des lèvres, de l'embarras de la parole. - La
mémoire
est nulle. La miction est involontaire depuis t
-neuf ans.- Vertiges. - Aura médiate au début. - Diminution de la
mémoire
.- Périodes de mélancolie et d'agitation.- Rhumati
s les trois semaines, puis tous les quinze jours. Vers douze ans la
mémoire
a commencé à faiblir ; il tombait alors fréquem-
istent seuls, l'intelligence paraît, en effet, peu atteinte et la
mémoire
semble bien conservée. La marche et la durée so
te des lésions des pédoncules cérébelleux. - M. 13elliomme, dans un
mémoire
sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en
légère émotion. - Santé générale satisfaisante; caractère pué- ril,
mémoire
bonne. - Onanisme ; atrophie du testicule gauche.
s. « Il y a vingt-huit ans et demi que je suis enfermé, dit-il. »
Mémoire
bonne : Der. se rappelle avoir vu l'un de nous à
cherchait à se faire comprendre par signes, par des grognements. La
mémoire
est bonne; il suffit qu'il voie une personne un
en dilîé- rencier ce qui est bien de ce qui est mal, il a une bonne
mémoire
, il est affectueux et très émotif. Il nous fa
is plus pro- noncée chez Lem... que chez D... ; tous deux ont de la
mémoire
et leur physionomie est niaise, mais nullement
. V, p. 117), et l'observation de M. P. Blocq (t. XIII, p. 217); le
mémoire
très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose e
était alors éveillé et se plaignait d'un sentiment de pesanteur, la
mémoire
était confuse, la respiration normale et les ba
néral. Cette question est pour la première fois traitée dans deux
mémoires
anglais, celui de Ballard, paru en 1860 et celu
le trouvent beaucoup mieux. Ils ont remarqué qu'il n'avait pas de
mémoire
comme autrefois et qu'il riait encore beaucoup.
rantes dans les termes les plus ardents et les plus voluptueux. Les
mémoires
de sainte Thérèse, ceux qu'on attribue à Madele
cours des dernières années, divers travaux notas- ment l'important
mémoire
de Henneberg et Max Koch (1) ~la communication
s béquilles, mais il ne lui serait rien resté au point de vue de la
mémoire
et de l'intelligence. Pas de chorée, pas de rhu
le va avoir un accès, elle devient toute blanche. - Sommeil normal.
Mémoire
assez bonne. Elle sait un peu lire et écrire; e
t les bruits, les sons musi- caux et la parole. Son attention et sa
mémoire
auditive sont (1) Nous avons examiné, à ce poin
on ; par A. Walijenberg. (--Vel4'olog. Cel1t¡'alúl" XXII 1903.) ,
Mémoire
complétant le travail publié en 1S ! )S. (Archive
fredonne une sorte de danse des ours (voir le texte musical dans le
mémoire
), ou la chante carrément en s'appujant au mur ou
oses ; par W. At.Tmx. (ILicl.. XXVI, N. F. XIV, 1903.) Le premier
mémoire
a été analysé dans le Progrès médical (1902, 11
on constate un notable affaiblissement intellectuel, la perle de la
mémoire
, en un mot les signes de la démence sénile ; de
donc repré- sentes dans le cervelet par sept centres moteurs. Un
mémoire
détaillé est en préparation. P. KElU\'AL. XX. L
aintenant de les contrôler. Voici pour le moment les conclusions du
mémoire
de l'auteur russe. « La pensée d'une personne s
schopp, les possédées de Krain.l.v, la jeune fille dont s'occupe ce
mémoire
. Les expé- riences rIelliclleL ((;Il.), Leutann
ouf trouver le terme d'un objet désigné. Il n'est question, dans ce
mémoire
, que de l'amnésie verbale par lésion en foyer d
atteinte pendant huit jours d'agraphie. En même temps lacune de la
mémoire
qui dure, elle, six semaines ; inca- pable de f
'ouïe. Au début de l'affection, elle ne pouvait retrou- ver dans sa
mémoire
les images optiques de l'écriture, bien qu'elle
une véritable sinécure. Commission des Prie. Prix lBllro7777ae (2
mémoires
]. Commission : MM. CLIV, Deny, Cuaslin, Keraval
: MM. CLIV, Deny, Cuaslin, Keraval, .). Voisin. Prix Esquirol (5
mémoires
). Commission, : MM. ÂNTHEAUME, Arnaud. (HRISTI1
Arnaud. (HRISTI1N, Dupain. POTTIER. l'l'i.7·.lln7'enu,7le Tours (8
mémoires
) Commission : MM. Ballet, Brunet, Moreau (de To
réée au sujet de ce cheval. On con- naissait déjà l'intensité de la
mémoire
chez le cheval : Halls nous montre avec quelle
de méchanceté innée. Ils apprennent à lire, (1) IT.W n, Rapports et
mémoires
sur le sauvage de l'Aneyron, vol II, dota Bibli
ttGOC;Ir SPÉCIALE. écrire, exercer un métier ; quelques-uns ont une
mémoire
extraordinaire pour certains faits, témoin Inau
rofonde, rendant tout entre- lien avec elle impossible. Perte de la
mémoire
. Gâtisme. L'acuité isiielle paraît fortement di
te de faffaiblisement men- ta) itemiplegiqueest la diminution de la
mémoire
, presque cons- tante ; d'abord de caractère anL
organe préalablement décrits. 11 faut suivre cette analyse dans le
mémoire
au moyen des ligures. Ils prétendent que les gr
mportant. C'est pourquoi nous ne pouvons que renvoyer le lecteur au
mémoire
original. L. W. XXIX. Note sur les symptômes
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE XIII. Sur une altération singulière de la
mémoire
chez un aliéné alcoolique uxoricide ; par le Dr
, nets, précis, relatifs à son crime. En même temps, il y avait une
mémoire
exacte de la période intercalaire, même de l'am
n dédoublement de la per- sonnalité et pense que l'altération de la
mémoire
est en rapport avec le délire alcoolique. 11 ra
int un triple ictus épileptique suivi d'impuissance, de perte de la
mémoire
, de désorientation sans délire, ni compression
eur préconise l'examen expérimental des réactions sen- sibles, delà
mémoire
, de l'association des idées, des conceptions mo
ovec nous l'ail la gracieuseté de publier un résumé en français des
mémoires
originaux. Nécrologie. Nous avons le profond re
un caractère de sincérité indé- niable ; et, à ce point de vue, les
mémoires
, biographies, et confessions des religieuses de
umonie. Autopsie (ligures). L'étude microscopique sera l'objet d'un
mémoire
ultérieur. Hérédité maternelle très chargée. La
EUSE. Nous donnerons, il l'occasion de ce travail, le résume d'un
mémoire
intitulé : Des centres corticaux de la sécré- t
la limitation exacte. n'est ni héréditaire ni familial. De- puis le
mémoire
fondamental de Il. Meige, on admet que le tro-
décerné à I. le Dr Paul Sérieux, de Ville-Evrard pour, une série de
mémoires
ayant trait à la thérapeutique des maladies men
ion : du rôle de la syphilis dans les maladies de l'encéphale. Deux
mémoires
ont été présentés. Le prix est décerné à M. le
s. Question : la neurasthénie ;Ixttlzogé- nie et traitement. Quatre
mémoires
ont été présentés. Le prix n'est pas décerné, m
tement du nzal comitial. J'ria- 1 ! enri Lorquet : 300 francs. Cinq
mémoires
ont été en- voyés. L'Académie ne décerne pas le
panola (mars), à la construction d'un monument afin de perpétuer la
mémoire
de l'illustre aliéniste français. Nous remercio
éfectuosités de la méthode de recherches adoptée.Les tableaux de ce
mémoire
sont donc les premiers qni paraissent. Les voic
mportante étude du sens musculaire, nous ne pouvons que renvoyer au
mémoire
original ce travail'surtout critique ne se prêt
Messieurs, l'Institut médico-légal conservera précieu- sement la
mémoire
d'un homme qui possédait à un si haut degré les
qualités de l'aliéniste et du médecin légiste. Il survivra dans la
mémoire
de ses élèves ; ainsi se conti- nuera l'oeuvre
formes de la folie. Est-il né- cessaire de rappeler ici son savant
mémoire
sur les vertiges avec délire, qui fut couronné
rches sur la coexistence d'un double délire chez le même sujet; son
mémoire
sur l'a- phasie et la folie ? Mais c'est surtou
nous permettra. toutefois, de signaler d'une façon spé- ciale son
mémoire
siprudcnt et si pondéré sur l'automa- tisme som
t-il pas que jela considère comme un hommage de plus rendu à leur
mémoire
? » Nous aimions à le suivre dans toute l'activ
. - Voir Palais. - Voir Assistance familiale. Voir Rapport.- Voir
Mémoire
. Voir Anesthésie. Note sur les processifs, pa
paralysie générale, par De- roubaix, 307. Kronthal. Critique du
mémoire
de intitulé : Cellule ner- veuse et psychose,
e publique, par ' Bourneville, 416. Mélancolie. Voir Epilepsie.
Mémoire
. Sur une altération singulière de la chez un
maladies i min mm M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur,
Mémoires
, Notes et Observations Parus pendant les années
te cachexie pachy-dermique ou myxcedème, n'a pas publié moins de cinq
mémoires
sur ce sujet du panaris analgésique, de 1883 à 18
émoires sur ce sujet du panaris analgésique, de 1883 à 1889. Tous ces
mémoires
se trouvent dans la Gazette hebdomadaire. M. Morv
(Soc. Clin., 1885, et Ann. de Dermat. et de Syphilog., même année) un
mémoire
de M. Prouff, également un confrère breton, qui r
difiés de 1883 à 1889, pendant cette période de six ans. Le premier
mémoire
de M. Morvan (1883) est intitulé : Parésie analgé
analgésiques des extrémités supé-« rieures qui font l'objet de notre
mémoire
. Nous nous « armons aussitôt d'une épingle et nou
r et la température. M. Morvan le dit expressément dans son cinquième
mémoire
consacré à la défense de l'autonomie du syndrome
i pour notre étude d'aujourd'hui (1). Il s'agit d'un assez volumineux
mémoire
dans lequel les tremblements hystériques, étudiés
it et maigrit beaucoup. Il n'avait plus d'entrain pour travailler. Sa
mémoire
était fort amoindrie ; il oubliait à tout moment
été médicale des Hôpitaux de Paris, 12 avril 1889, p. 182. Obs. II du
mémoire
de M. Rendu. L'odorat est aboli à gauche, ainsi
erbations périodiques dont parle M. Senator dans son fort intéressant
mémoire
: La douleur de tête, en effet, reparaît par mome
799. Damaschino (1), celui du Dr Fabre (de Marseille) (2), enfin un
mémoire
de Weir Mitchell (de Philadelphie) (3) qui croyai
e pathologie, soit généraux, soit spéciaux, dans aucun des travaux ou
mémoires
traitant spécialement de ce sujet, qui sont parve
mps dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a décrits en 1875 dans le
mémoire
que nous avons déjà cité. A côté de ceux-ci prenn
ère (côté paternel) a des accès dans lesquels il perd complètement la
mémoire
de ses actes ou des faits passés et prononce des
veux. Arrière-grand-père. Frère, paroles incohérentes, perte de
mémoire
par accès. Grand»père sain. Son frère. Fill
s Leçons du Mardi (tome II, leçon du 30 octobre) et également dans le
mémoire
cité de MM. Guinon et Parmentier (Obs. n° XI).
lé l'atten- (1) Voir à ce sujet, plus haut, p. 138 et suivantes, le
mémoire
de MM. Georges Guinon et Parmentier. tion, se m
qui est atteint. D'après Thornburn, à qui nous devons un intéressant
mémoire
sur ce sujet, les racines inférieures sont les pl
s, fait parfaitement ressortir les caractères dont il s'agit, dans un
mémoire
publié dans les Transactions médico-chirurgicales
arenthèses: partial — partielle, parce qu'en (I) Voir à ce sujet le
mémoire
très complet de MM. Georges Guinon et E. Parmenti
ans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1890 et 1891. Dans ce
mémoire
, M. Parmentier et moi avons, d'après les données
tique (1890) ne comptait pas moins de 31 autopsies confirmât!ves (son
mémoire
porte sur 220 cas de paralysie nucléaire). Le gro
aralysie bulbaire totale à (1) Ces observations sont extraites d'un
mémoire
que j'ai publié en collaboration avec M. Parmenti
en voulu m'autoriser à prendre son observation et à l'insérer dans ls
mémoire
cité plus haut. C'est à elle qu'il est fait allus
ie, ni polyurie, ni glycosurie. Pas de vertiges. Pas de somnolence.
Mémoire
excellente. Depuis l'âge de vingt ans (il en a
1890. Depuis cette époque et postérieurement à l'impression de notre
mémoire
cité plus haut de l'Ico-nographie de la Salpêtriè
un moment donné la polioencéphalomyélite ? Nous ne citerons que pour
mémoire
la pachy méningite cervicale hypertrophique dans
le diabète et la glycosurie, il cite le travail d'Auerbach (1885) bon
mémoire
, sans doute; mais déjà nous avions l'article de F
. Laissez-moi vous rappeler, à ce propos, un fait qui me revient à la
mémoire
. H y a huit ans de cela, on m'amenait une jeune f
cident primitif. Vous trouverez des renseignements à ce sujet dans un
mémoire
de MM. Tuffîer et Hallion, publié dans la Nouvell
i, il est dessinateur, vous ai-je dit, et il ne sait plus dessiner de
mémoire
. Nous devons donc admettre que, en outre de la zo
ous disais-je, un point sur lequel M. Marie, dans un très intéressant
mémoire
(1), a insisté avec beaucoup de raison. Le cas ac
aru, la marche n'est plus profondément troublée, l'intelligence et la
mémoire
ne sont pas sensiblement affaiblies. Il ne lui re
l'œil dans la paralysie du droit externe. Déjà l'un de nous, dans un
mémoire
publié autrefois dans la Gazette hebdomadaire (1)
ergence. Il arrive, en effet, comme l'un de nous l'a démontré dans le
mémoire
cité, que ces phénomènes spasmodiques sont suscep
; le pouls est normal et régulier. Fille d'intelligence moyenne, sa
mémoire
est restée satisfaisante ; ja- mais elle n'a ép
tasie-abasie, ni de phénomènes polynévritidues. C'est plutôt pour
mémoire
que je rappellerai le diagnostic avec le tabes
n des centres nerveux. En 1863, il affir- ma son existence, dans un
mémoire
publié sous le titre de « Dégénéres- cence atro
bre de pu- blications, entr'autres une conférence de Leyden (3), un
mémoire
d'Arthur Rosenfeld (4), etc. De l'ensemble de
urieux de voir que sir James Paget lui-même rédigeant son pre- mier
mémoire
remarquait la ressemblance existant entre certain
u puérilisme, entre celui-ci et la loi de l'involution sénile de la
mémoire
, formulée par Ribot. Lorsque l'on réfléchit au
ée par Ribot. Lorsque l'on réfléchit au rôle primordial joué par la
mémoire
dans l'édification de la personnalité, on peut
rères, éd., Paris, 1884). Ce savant confrère a publié in extenso le
mémoire
de Paré adressé au Parlement à l'occasion de son
e, alors que le latin était la langue sacrée des médecins. Dans son
mémoire
à Messeigneurs de la Cour, l'accusé dit que depui
. dans les éditions suivantes ; il nous en donne la raison dans son
mémoire
adressé aux conseillers du Parlement : c'est qu'o
s de cette accusation : « Quant aux écrouel- les, écrit-il dans son
mémoire
au Parlement, cela est connu et avéré de tous q
de « poudre de momie ». C'est à cette occasion que Paré écrivit son
mémoire
sur ce sujet. La poudre en ques- tion était adm
faire la curiosité du même seigneur des Ursins que Paré écrivit son
mémoire
Sur la licorne. Il reconnaît qu'on n'est pas d'
t roman, protégé contre les méfaits des ans, conservera toujours la
mémoire
d'un des premiers protecteurs des « insensés ».
. Mais unferventde ce culte éteint, s'efforce de faire revi- vre la
mémoire
du Saint guérisseur des fous, et de célébrer sa v
e son état général. Son intelligence est normale ; doué d'une bonne
mémoire
, il répond avec une rapidité suffisante aux que
t immédiatement l'endroit où nous sommes. 146 WEBER ET PAPADAKI
Mémoire
bonne, même pour les faits récents ; intelligence
éclats et se met à danser jusqu'à tomber par terre. Orientation et
mémoire
encore bonnes. Status corporel.-Sensibilité nor
e typhoïde, le malade conserve une surdité bilatérale légère, et sa
mémoire
aurait notablement diminué. A l'âge de 20, 21 e
onfrère de Berlin, M. le professeur Zabludowski, publia son premier
mémoire
dans le Langenhecks journal « sur le traitement p
remontent à dix-huit mois environ, depuis quelques mois il perd la
mémoire
, ramasse les bouts de cigarettes, etc. L'emba
lite diffuse produit surtout un affai- blissement très marqué de la
mémoire
et du jugement, chez le chien, le trouble intel
de sensa- tions ou d'idées anciennes; sans faire abstraction de la
mémoire
, on peut dire que, chez le chien, les conceptio
onsultant patiemment les mo- nographies, les journaux médicaux, les
mémoires
spéciaux, que nous pourrons esquisser le cadre
des hôpitaux. E. AGASSE-LAFONT Interne des hôpitaux. Depuis le
mémoire
de Paget sur « l'ostéite déformante » (1876), on
communication de P. Varnier, 314 M. VILLAI1F'C ET FRANCO; ! lent
mémoire
de Couvelaire (1) qui met la question au point. Q
(1) E. GEOFFROY-SAINT-H1LAIRE, Sur de nouveaux anencéphales humains (
Mémoires
du Muséum, t. XII, 1825). PATHOGÉNIE DE LA PS
e genre sont nombreuses. Voir en particulier N. JoLY et I. GutTARD,
Mémoire
sur un enfant noseiicéphale adhérent à son placen
t 1850 (Mém. Acad. des Se. de Toulouse, 1851, p. 141). (4) Béclard,
Mémoire
sur les foetus acéphales (Bulletin de la Faculté
considérées dans leurs rapports aveu les lois de l'organogénie. 2e
mémoire
: De l'anencéphalie el de la monnpie (Annales de
comparatif m'a donné les précieux résultats que je consigne dans ce
mémoire
. A ces dix foetus est venu s'en ajouter un onzi
qu'ils ont bien voulu m'abandonner. C'est donc sur 12 cas que ce
mémoire
est établi. Grâce à ce matériel abon- dant, j'a
au du cou. Celle-ci est, en quelque sorte, projetée (1) C. DARESTE,
Mémoire
sur un chat ileadelphe à tête monstrueuse. Annale
r est nettement affirmée dans un travail de Belhomme (4) et dans le
mémoire
précédemment cité de Joly et Lavocat; elle est
rts de l'Exeucéphalie et des productions congéni- tales objet de ce
mémoire
. On sait que ces rapports sont considérés comme t
t se refusent à suivre le doigt de droite à gauche. Intelligence et
mémoire
un peu lentes. 16 mai 1904. Spasme des masséter
bes.- Sphincters normaux L'intelligence semble un peu affaiblie. La
mémoire
est nettement diminuée. Affectivité normale.
lente, enfantine ; mais sait lire, écrire. Instabilité men- tale.
Mémoire
conservée. Caractère colère par moments. Nous
is beaucoup moindre qu'on ne le croirait au premier abord. C'est la
mémoire
surtout qui a souffert chez Georges H... Rappel
e la marche avec raideur. Etat actuel : Intelligence très diminuée,
mémoire
médiocre, orientation bonne. Dépression morale
es lésions ne dépassèrent guère la moelle. Dans le pre- mier cas du
mémoire
de Strumpell de 1904 (cas Polster), la sclérose l
... de D... ! nous sommes des diables de l'enfer ! » La perte de la
mémoire
après la crise est loin d'être complète chez pl
nouveau-né sont encore ignorées, aussi les éli- minerons-nous de ce
mémoire
relatif aux seules dystrophies de l'enfant à la
o- logique de cette maladie. Nous étudierons spécialement dans ce
mémoire
l'achondroplasie vraie et la dystrophie périost
s du rachitisme vrai. En 1889, Porak reprend cette question dans un
mémoire
où, en apportant de nouveaux faits, il discute
e vrai et de la syphilis. Parmi les plus importants, signalons le
mémoire
de Kaufmann (1893), basé sur 11 observations, q
eu retrouvera la liste dans l'index bibliographique qui termine ce
mémoire
. Nous nous bornerons il. signaler ici, parmi le
ement 502 PORAK ET DURANTE dans la suite, en particulier dans les
mémoires
de Kircltler et Marchand, de Kaufmann, de Kling
e de néofor- mation périostale. 508 PORAK ET DURANTE Chaussier (
Mémoire
sur les fractures et luxations survenues à des fo
roplasie doivent rentrer dans la catégorie des rachitiques. Dans le
mémoire
de Bonchacourt et Lévi, les deux premières radi
es. ' L'hérédité de l'achondroplasie, déjà signalée dans le premier
mémoire
de Porak et relevée, aujourd'hui, dans un grand
moins l'attention n'a pas été suffisamment attirée sur eux avant le
mémoire
que Pierre Marie (1) a publié en 1900. Apert (2
qui est défec- tueuse. Il ne connaît que sa langue maternelle. Sa
mémoire
de fixation ainsi que celle de reproduction et
sique tels qu'ils ont été indiqués d'une façon magis- trale dans le
mémoire
de Pierre Marie. En effet,nous trouvons chez no
tion de la main a été retrouvée dans tous les cas publiés depuis le
mémoire
de cet observateur. On la trouve notée ainsi da
ue peu accentuée. SUR DEUX CAS D'ACHONDROPLASIE 551 l'hospice. La
mémoire
du passé est assez fidèle. Les événements actuels
il (3), avait été utilisée par l'un de nous (4) dans un précé- dent
mémoire
. (1) Leonocx, Exostoses ostéogéniques, ou de cr
631 relativement considérable. Certaines ont été consignées dans le
mémoire
de Soulier (1) et, parmi les faits les plus réc
u'il a trouvés dans l'histoire de l'Académie des Sciences, dans les
mémoires
de l'Académie de Chirurgie, dans le Sepulcretum
nois et Roy, finalement, émettent comme dernière conclusion de leur
mémoire
cette assertion : « Pour la variété spéciale de
métrique donne toujours des résultats identiques. Nous parlons pour
mémoire
seulement de troubles musculaires précoces au v
édecine de Paris, 1898). (4) Mes recherches étaient terminées et ce
mémoire
rédigé depuis plusieurs se- maines lorsqu'est s
ntage d'expliquer les destructions s'étendant (1) ,IOL1 et Guitard,
Mémoire
sur un enfant nosencéphale adhérent à son placenl
cises ont fait si longtemps défaut. Les résultats consignés dans ce
mémoire
sont contenus dans les propositions suivantes.
hen Werwachsungen, Inaug. Dissertalio. Kônigsberg, 1899. BÉcLARD.
Mémoire
sur les foetus acéphales. Bulletin de la Faculté
considérées dans leurs rapports avec les lois de l'orgonagénie, 2-
mémoire
: de l'Anencéphalie et de la Monopie. Annales d
oduction artificielle des monstruosités. 2e édition. Paris, 1891.
Mémoire
sur un chat ileadelphe à tête monstrueuse. Annale
ités humaines. Paris, 1822. Sur de nouveaux anencéphales humains.
Mémoires
du Muséum, t. XII, 1825. - Considérations génér
hérent à son pla- centa et né vivant à Toulouse le 26 juillet 1850.
Mémoires
de l'Académie des Sciences de Toulouse, 1851.
logiques sur un anencéphale anoure ap- partenant à l'espèce bovine.
Mémoire
de l'Académie des Sciences de Toulouse, 1855. A
e d'évolution des êtres organisés, à la Sorbonne. (1) Depuis que ce
mémoire
est imprimé, deux travaux ont paru : G. F. COS\
x qui l’ont connu éprouve le besoin de rendre un dernier hommage à sa
mémoire
, et de retracer, bien que d’une manière imparfait
pervertit ou améliore notre être? Voit-on les agents qui éveillent la
mémoire
assoupie lorsque rien en nous ne semblait la soll
'instinct qui les dominait venait à s’éteindre, elles per-« daient la
mémoire
de ce qu’elles avaient annoncé. » « Avec tous c
e, la vision à distance, le dév eloppement de l’intelligence et de la
mémoire
, etc. ; malheureusement elle n’engendre le plus s
ses communications spiritualistes portent évidemment le cachet d’une
mémoire
prodigieuse et d’un développement manifeste des f
de même qu’il revivra toujours au milieu de ses nombreux amis par la
mémoire
du cœur. Voici les renseignements que j’ai pu m
sentation des Extases de M, IIochenez, où Sainville, de regrettable
mémoire
, et Hyacinthe, l’inimitable Hyacinthe, se livraie
janvier, la pétition suivante, accompagnée de commentaires : • «
Mémoire
présenté aux honorables membres du sénat cl de tu
ccasion. « En vue des faits et des considérations contenues dans ce
Mémoire
, vos concitoyens pétitionnent respectueusement à
nt même qui me constitue. C’est que déjà j’ai payé ma témérité : ma
mémoire
a subi quelques atteintes ; j’ai vu sans doute bi
ent en résulter. Je reviendrai sur ce sujet après la publication de
mémoires
et de pièces très-importants qui nous sont parven
saisir des choses immatérielles. Baron DU POTET. BIBLIOGRAPHIE.
MÉMOIRE
SUR LE SOMNAMBULISME ET LE MAGNÉTISME ANIMAL, ■ad
qui dominent encore dans les académies de France, mit au concours un
mémoire
sur le magnetisme animal. M. Noizet, et l'eu le
estimés sur celte matière, concoururent et envoyèrent ensemble leurs
mémoires
. Mais l’époque de la clôture avait été indiquée d
ait été indiquée d’une manière erronée par le Moniteur français ; les
mémoires
n'arrivèrent à Berlin qu’après la clôture. Le con
ure. Le concours n’eut pas de résultat; l’académie jugea qu’aucun des
mémoires
présentés ne satisfaisait aux conditions du progr
le sommeil : quand il y a rêve, l’esprit agit encore, il est vrai, la
mémoire
et l’imagination présentent des scènes confuses,
curieuses où l'auteur développe et explique quelques parties de son
mémoire
. Nous avons remarqué celle qui concerne les table
u rôle du somnambulisme dans les temples de la Grèce ont rappelé à la
mémoire
que dans le temple d’Esculape c’étaient des somna
des membres correspondants, exige des candidats absents l’envoi d'un
mémoire
, sur un sujet de leur choix, pour tenir lieu d’ex
taires, comme les phénomènes extérieurs, ne laissent de trace dans la
mémoire
qu’autant qu’ils ont frappé l’attention de celui
é de la tartine qui touchait la terre en tombant : nous ne gardons la
mémoire
que de ce qui 11e nous est pas indifférent. Mai
’ai gardé aucun souvenir, que d’actes ma volonté a dû produire que ma
mémoire
n’a pas retenus ! N’a-t-il pas fallu formuler en
à quelle époque et niellées je 11e sais où dans un coin ignoré de ma
mémoire
? Dussent les mauvais plaisants présenter la con
l’état normal. Lorsque le sujet est isolé, on observe qu’il perd la
mémoire
de tout ce qui s’est passé pendant sa crise, même
uvenir trùs-net ii'actes d’un certain ordre avec perte complète de la
mémoire
île tous les autres actes. Peut-être y a-t-il plu
eurs sentiments, leur emprunter leurs connaissances, puiser dans leur
mémoire
; et, comme il ne perd pas sa personnalité, il peu
ces vires, il a la toute-puissance. « Chers compagnons, honorons la
mémoire
de notre maître, tous ensemble pavons-lui aujourd
e. « Mentionnons-les, Messieurs, car Us ont bien travaillé, et leur
mémoire
doit nous être chère. « Laforgue, le premier d’
cicatrisation des plaies de son âme ulcérée. n En nous rappelant la
mémoire
de cet homme éminent, sachons, Messieurs, que le
l magnétique; 1,200 fr. devaient Être accordés à l’auteur du meilleur
mémoire
sur cette difficile question. Eh bien 1 parmi ceu
t dignement honoré, et que jamais fête plus belle ne fut offerte à sa
mémoire
. ARNETTE. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). I
irées. L’attendrissement était universel. Le pays bénira longtemps la
mémoire
de cet homme de bien. Baron DU POTET. BIBLIOG
la mémoire de cet homme de bien. Baron DU POTET. BIBLIOGRAPHIE,
MÉMOIRES
SECRETS, DE 1770 à 1830, par M. le comte d’Auosti
ilosophique et médicale' du magnétisme animal, parle D' Bellanger. Ce
Mémoire
, d’une assez grande étendue, sera publié par frag
ec diarrhée et migraine, et, dans certains moments, perte complète de
mémoire
. Je m’empressai de le soumettre à l’influence du
u 19 courant, entendu le rapport de la section do philosophie sur les
mémoires
adressés pour concourir au sujet de prix relatif
L’Académie, adoptant les conclusions du rapport, a décerné le prix au
mémoire
enregistré sous le n” 5 du concours, ayant pour é
quand il veut faire l’ange, il fait la bête, (Pensées de Pascal) ;
mémoire
dont l’auteur est M. Albert Lemoine, docteur ès-l
puissance d’aucun être de me donner une paix parfaite sans m’ôter la
mémoire
. Me souvenant des innombrables phénomènes que j’a
lume dont nous allons rendre compte reproduit la majeure partie de ce
mémoire
; c’est le même ouvrage avec de nouveaux développ
plus question. Dans la veille, l'intelligence a beau solliciter la
mémoire
, celle-ci ne peut se rappeler les actes du sommei
eaucoup de faits contemporains ignorés aujourd'hui, j’évoquerai de ma
mémoire
ceux de ces faits qui ont eu pour but l'attaque d
ur à l’esprit de son auteur. HÉBERT (de Garnay). BIBLIOGRAPHIE.
MÉMOIRES
DE LA BARONNE D OBERKIRCH, sur la cour de Louis X
française avant 1789. ‘2 vol. in-18. Paris, Charpentier, 1S53. Ces
Mémoires
, publiés récemment par M. le comte de Montbrison,
re-» ternissait comme une trompette voilée de crêpe. » La suite des
Mémoires
apprend que cette prédiction s’est en effet réali
trop prouvé depuis. Ce jour-là restera irrévocablement gravé dans ma
mémoire
. J’eus de la peine à m’arracher à une fascination
; quant à moi je l’ai fidèlement tenue et je n’y manquerai point. Ces
Mémoires
, s’ils paraissent, ne verront le jour qu’à une ép
ffliction se conçoit d’autant mieux que, dans un autre endroit de ces
Mémoires
, il est dit: « Parmi les personnes les plus honor
frappent toutes les imaginations, même les plus sérieuses, et si ces
Mémoires
en offrent de nombreuses traces, c’est qu’ils son
Stainville était souffrant; le souvenir de la prédiction me vint en
mémoire
. «Ah! dis-je, il ne s’en relèvera pas! _ a Le
M. le Dr Louyet, pour l'obtention du grade de membre titulaire. 130.—
Mémoire
adressé par M. Petit d'Or-moy, comme membre corre
t parlantes. — Du mouvement des tables et des dictées par les tables;
mémoire
par M. Petit-d'Ormoy, 237.— Protestation du simpl
de vitesse du mouvement giratoire des personnes, 54. Spiritualisme.
Mémoire
sur les ma-nifestations spirituelles, présenté au
méricains, 203. — Rapport et observations critiques sur l'objet de ce
mémoire
, par M. le sénateur Shields, 360. Tables tourna
es morales et politiques décerne un prix à M. Albert Lemoine pour son
mémoire
sur le Sommeil considéré au point de vue psycholo
vue des journaux de médecine, rédigée par le Dr Cornet. — Examen d'un
mémoire
du Dr Bellanger, sur l'histoire du magnétisme, in
uillermo de Lima. — Appré-ciation analytique, par M. Bal-haut, 242.
Mémoires
de la baronne d Ober-tirch, sur la cour de Louis
pparitions, etc.; avec commentaires par M. Hébert (de Garnay), 719.
Mémoires
secrets, de 1770 à 1830, par M. le comte d'Allonv
par M. le comte d'Allonville. —Extrait relatif au mesmérisme, 363.
Mémoire
sur le somnambulisme et le magnétisme animal, par
travail. Aide naturaliste au Muséum d'Histoire naturelle, auteur de
Mémoires
justement estimés sur l'anatomie du cerveau, ne c
progrès. Le nouveau séminariste, qui avait un véritable culte pour la
mémoire
de son frère, et l'ambition de lui succéder, ne t
térêt sur les effets de l'acétate de morphine. En 1825, il écrivit un
mémoire
sur la structure de la membrane interne de l'esto
rces. Il vit des malades à Nancy et dans les environs, et publia un
mémoire
sur la dothinentérite observée dans la Meurthe au
31, avant la présence du choléra chez nous, un très-long et très-beau
mémoire
sur cette maladie, et concourut par ses sages con
ement chez les aliénés, et sur la pesanteur spécifique du cerveau. Ce
mémoire
, dédié à M. Esquirol, est le produit des observat
onceptions délirantes, un travail qui fut remarqué et publié dans les
mémoires
de cette Société savante. La pensée qui y était e
'altération du sang. Thèse inaugurale. Paris, 42 mai 1826, in-4. 2.
Mémoire
sur la dothinentérite observée à Nancy, au commen
morphine, par MM. Déguise, Dupuy et Leuret. Paris, 1824, in-8. o.
Mémoire
sur la structure de la membrane interne de l'esto
ales d'hygiène et de méd, lég. 4 834 , t. V, p. 225 et suiv.). 4 3.
Mémoire
sur l'épidémie du choléra-morbus qui a ravagé l'I
nnales d'hygiène et de méd. lég. 1838, t. XX, p. 346 et suiv.). 23.
Mémoire
sur le traitement moral de la folie, lu à l'Acadé
ent moral de la folie, lu à l'Académie de médecine le 21 août 1838 (
Mémoires
de l'Académie royale de médecine. Paris, 4 838, t
e l'Académie royale de médecine. Paris, 4 838, t. VII, p. 552). 24.
Mémoire
sur l'emploi des douches et des affusions froides
traitement moral de la folie. Paris, 4 840, in-8 de 462 pages. 31.
Mémoire
sur la révulsion morale dans le traitement de la
ement de la folie, lu à l'Académie de médecine, le 2 février 4 844 (
Mémoires
de l'Académie royale de médecine. Paris, 1841, t.
acea utriusque Siciliœ, etc. Parme, 1791, 179a et 1828, in-fol. (7)
Mémoires
pom servir à l'Histoire et à l'Ànatomie des Mollu
à deux coquilles. Coll. acad. p. étr. t. 2. p, 34^. (2) G. Cuvier,
Mémoires
sur les mollusques. Mémoire sur le clio. (3) Bl
. p. étr. t. 2. p, 34^. (2) G. Cuvier, Mémoires sur les mollusques.
Mémoire
sur le clio. (3) Blainville, Manuel de malacolo
femelles ont-elles été (1) Le docteur Hecker a publié un excellent
mémoire
sur la chorée épidé-mique, mémoire dans lequel il
cteur Hecker a publié un excellent mémoire sur la chorée épidé-mique,
mémoire
dans lequel il trace d'un point de vue élevé et t
élevé et tout-à-fait philosophique l'histoire du tarentisme. Voyez ce
mémoire
traduit de l'allemand par le docteur Ferdinand Du
beasts, birds, insects and plants. Lond., i685, a vol. in-fol. (a)
Mémoires
de la Société' de Harlem, 176a.— Mémoires de l'Ac
i685, a vol. in-fol. (a) Mémoires de la Société' de Harlem, 176a.—
Mémoires
de l'Académie des Sciences, savons étrangers, t.v
étrangers, t.vr, 1774. (3) Elemenla physiologiœ, 1766, t. rv. (4)
Mémoires
de l'Jcad. Royale des Sc., savans élr., t. vu, Pa
nid, se mit à battre le rossignol voltigeur, de sorte (i) Quelques
mémoires
sur différens sujets , la plupart d'histoire natu
ppent pas aux oiseaux, car ceux-ci ne se trompent jamais de nid; leur
mémoire
est si bonne que tel oiseau voyageur, absent depu
euples sauvages, ce C'est en écoulant le son, nous le gravant dans la
mémoire
, le reconnaissant lorsqu'il est répété, le discer
primordiales de l'entendement, savoir : la sensation, l'attention, la
mémoire
, l'imagination, le jugement et jusqu'à un certain
vent, étudient plusieurs des choses qui se passent autour d'eux. La
mémoire
est presque aussi développée chez certains oiseau
éunion, résulte une circonvolution unique (2). (1) M. Owen, dans un
mémoire
intitulé : On the anatomy of the clieetah, felisj
ule, le pilier de la voûte n'est pas si exactement appliqué sur (i)
Mémoire
, sur quelques particularités du cerveau. (? ) A
tes. (i) (i) M. Parchappe, dans ses Recherches sur l'encéphale (i*r
mémoire
, an. i838), fuit remjjgquer avec raison que les p
eure. (i) J'ai déjà fait cette objection aux phrénologistes dans un
mémoire
publié en t835 {Gazette médicale, p. i,u), et M.
ette médicale, p. i,u), et M. Bouvier l'a reproduite en 18Î9, dans un
Mémoire
sur la forme générale du crdne dans ses rapports
t Camper. (i) Mem. o/ the royal society, etc., vol. 5. p. 3o5. (?2)
Mémoires
, etc., p. 5aa. (3) Mém, de l'Acad, de Saint-Pét
a valeur des monnaies, etc. « 6° Fido fera des tours d'adresse et. de
mémoire
, » En tenant compte de la part qu'avait prise l
i que l'on peut s'en convaincre par le récit (t) Dureau de Lamatle,
Mémoire
sur le développement des facultés intellectuelles
si éloigné de l'homme par son organisation. (i) Parenl-Duchâtelet ,
Mémoires
sur les questions les plus importantes d'hygiène
le, et chaque paire se réunit à d'autres pour (i) Extrait de divers
mémoires
de M. Sarrasin, médecin du roi à Québec , sur le
du roi à Québec , sur le rat musqué, par Réaiimur : dans VAbrégé des
mémoires
de l'Académie des sciences , pour t 7 a ri ; P F.
s mâles, surtout, sont (t) Essai sur la domesticité des mammifères {
Mémoires
du Musée, t. Mit, p, 4»6), des animaux bruts, g
aucun inconvénient à nourrir les porcs avec de la chair de cheval. V.
Mémoires
sur les questions les plus importantes de l'hygiè
de la perfection de leurs sens. 39. Les animaux ont des idées, delà
mémoire
, du jugement; quelques-uns ont Se sentiment de la
enveloppe qui les recouvre. 8° L'éducabililé, ou perfectibilité, ou
mémoire
des choses, ason siège, suivantGail, dans la part
rs, la sensation arrive au cerveau, et la perception s'y opère : la
mémoire
des sensations se fixe dans les circonvolutions c
le souvenir des siècles passés, conservé d'âge en âge, reste dans sa
mémoire
; il scrute le présent, il sonde l'avenir. Les œu
malade pense un peu len- tement, il faut lui tirer ses réponses. La
mémoire
et la force intel- lectuelle ne sont pas affaib
ué au-devant du second. quatre centres fonctionnels corticaux de la
mémoire
du mot ou des im- pressions (centres d'impressi
e la fonction, la perte plus ou moins absolue du mode spécial de la
mémoire
du mot rattaché à ce centre, il en ré- suite un
ouble pathologique d'une faculté spéciale qu'on pourrait appeler la
mémoire
visuelle des signes du langage. (Charcot, in Le
h et Hitzig. Reichertu. du Bois Reymond's. Arcl ? H. III, 1870. 1"'
mémoire
. Httzig. lieichei,t u. du Bois Reymond's. Archiv.
is Reymond's. Archiv. H. III et IV, 1873, publié en janvier 187, 2e
mémoire
. Unters. ub. d. Gehirns. Berlin, 1874. 1 D. F
centre cortical du grand hypoglosse sont réunis dans un remarquable
mémoire
sur le trajet intral-cérébral de l'hypoglosse p
e catatonie 84 REVUE CRITIQUE. que donne Kalhbaum à la fin de son
mémoire
nous montre, si déjà la lecture de la symptomat
IE NERVEUSE. vases pleins d'eau à diverses températures. Le présent
mémoire
contient : trois observations du retard de la s
faite, le morphinisme laissant après lui de l'affaiblissement de la
mémoire
, de l'énergie, de l'assimilation, de la réflexion
f Ilental Science » ainsi que ceux que j'ai relatés dans le présent
mémoire
constituent des exemples d'un état cérébral mor
le prix Moreau (de Tours) à M. Barri pour sa thèse sur l'Etat de la
mémoire
dans les vésanies. Deux mentions hono- rables s
culaires, pas d'hypérémie, pas de pro- lifération nucléaire. : Le
mémoire
sera publié en détail plus tard 1. M. IMMERMANN
ades, il ne se produisit d'accidents inflammatoires progressifs. Ce
mémoire
sera publié en détail *. M. Kast. Présentatio
les multipolaires de la moelle n'en paraissent pas susceptibles. Le
mémoire
est publié eu détail '. Banquet de clô- ture. (
nalytiques. 100 SOCIÉTÉS SAVANTES. apathie; affaiblissement de la
mémoire
; lipothymie. Actuellement, exophlhalmie double
as encore de monographie et son histoire était éparse jusqu'ici. Le
mémoire
de M. Rolland qu'elle a couronné comble assez b
n'ait pas été pris avec le même soin que celui de l'esprit et de la
mémoire
, Le Dr Azam cite plus brièvement un second cas
par le Pr Bail, l'auteur se propose d'étu- dier les troubles de la
mémoire
d'origine toxique en eux-mêmes et quant aux rap
une amnésie grave, le mercure un alfai- blissement progressif de la
mémoire
, le sulfure de carbone une amnésie peu intense,
nésie accidentelle, la nilro-benzine un peu d'affaiblissement de la
mémoire
. Le tabac produit peu d'excitation et peu d'amn
ecine légale (2e série, t. XXXI, p. 274-286, 1869). Le contenu d'un
mémoire
manuscrit de M. Aublé, agent de la Société pour
s 1883 , M. Charpentier lisait à la Société de médecine de Paris un
mémoire
relatif à notre ques- tion, lequel a été publié
Les malades des Observations V et VII avaient perdu tout à fait la
mémoire
des mouvements qu'il faut faire pour parler, ca
, ah, oh, oh, oh. L'un et l'autre avaient conservé tout à fait la
mémoire
auditive des mots, car ils compre- naient parfa
entourage, était la mimique. Il n'y avait pour ces deux malades ni
mémoire
visuelle des mots, ni mémoire des mouvements gr
Il n'y avait pour ces deux malades ni mémoire visuelle des mots, ni
mémoire
des mouvements graphiques, car ils ne savaient
riences relatées déjà, et par celles que nous relaterons dans notre
mémoire
avec M. le pro- fesseur Dastre, nous avons démo
et art. Sensibilité du Dict. Dech. Charcot et Pitres. Rev. mens. Se
mémoire
(1883). 4 Du reste, nous verrons dans le cours
u faisceau géniculé bien connu aujourd'hui depuis la publication du
mémoire
de MM. Raymond et Artaud, l'est surtout par les
t Pitres. Art. Encéphale du Dict. Dech. Charcot et Pitres, série de
mémoires
. Revue mens. 1877, 79, 83. Ci. de Boyer. Th, ci
rice corticale, au centre ovale ou à la capsule interne. A. Pitres.
Mémoire
, in Proq. méd., n° 7, 1877. Issartier. Des dégé
la moelle. Th. Paris, 1878, déjà citée. Charcot et Pitres. Dernier
mémoire
, in Rev. nien- suelle, 1883. - Linley et Sherri
nal of ille71lal Scieizee, avril 1885.) Dans ce long et substantiel
mémoire
où se trouve discuté avec beaucoup de soin et d
après l'hypnose est-elle réelle ? Et d'abord quel est l'état de la
mémoire
et du souvenir chez un hypnotisé ? Tantôt l'ind
les : folie systématique aiguë ou folie stupide (récupération de la
mémoire
impossible), névropathies constitutionnelles (d
l'usage de la paraldéhyde, il fournit quelques renseignements : sa
mémoire
est bonne, le travail physique ou intellectuel
ures et demie, tout d'un coup, le malade a recouvré complètement la
mémoire
des mouvements de l'articulation des mots et il
istent seuls, l'intelligence paraît, en effet, peu atteinte et la
mémoire
semble bien conservée. La marche et la dii2ée s
uite des lésions des pédoncules cérébelleux. « M. Bethomme, dans un
mémoire
sur le tournis, lu à l'Académie de médecine en
sultat d'expé- riences dont le protocole n'est pas consigné dans le
mémoire
. . P. Keraval XVHL Un C9 d'hystérie bien NET
paroles émues. L'assistance se lève tout entière en l'honneur de sa
mémoire
. M. Pelman. Des suicides dans les asiles d'alié
ent une confirmation éclatante aux assertions de M. Nasse, dans son
mémoire
relatif à la transformation soudaine d'une moda
ification de docu- ments, prétend avoir presque totalement perdu la
mémoire
, ne sait plus, dit-il, en quelle année il est,
point les lecteurs des Archives de Neurologie sera certainement le
mémoire
de notre maître et savant ami, M. le Dl Georges
n- tale, de paralysie générale de névroses. La dernière partie du
mémoire
est consacrée à l'étude médico- légale et à la
t lorsqu'il était spontané, il empruntait ses éléments à des faits de
mémoire
. Il nous reste à étudier les rêves que pourraient
te poudre condensée le soir, trois heures après un léger repas. Si ma
mémoire
est fidèle, j'en mis 75 à 80 centigrammes dans un
sens des symboles graphiques des mots; la percussion du centre de la
mémoire
visuelle des mots, du lobule du pli courbe, met f
ns la léthargie, ne permettait pas d'expérimenter sur le centre de la
mémoire
motrice des signes graphiques ou de récriture, c'
calisations cérébrales, ainsi qu'il en témoigne dans plusieurs de ses
mémoires
(2). « En faisant passer, dit-il, des couranu con
Untersuhungen ruber das Gehirn. Berlin. 1874. Voir, outre le premier
mémoire
Sur l'excitabilité électrique du cerceau (1870),
mémoire Sur l'excitabilité électrique du cerceau (1870), le neuvième
mémoire
, intitulé Ueber die beim Galvanisiren des Kopfet
sur ceux surtout qu'elles ont fixé dans leur imagination el dans leur
mémoire
par leurs remarques (l) La chaleur, jointe au c
iliers à Genève, au XVIe et au XVIIe siècle. (Brochure extraite des
mémoires
de la Société d'Histoire et d'Archéo- logie. to
ès une direction dans un ordre d'idées quelconque. Aussi le nombre de
mémoires
présentés a-t-il été considérable, et parmi ces t
les mêmes questions sous plusieurs formes; il ne se contredit pas. La
mémoire
a conservé son intégrité. Organes des sens. — L
produire. Je pris donc le moyen suivant pour rappeler rapidement à sa
mémoire
toutes les combinaisons possibles de sons et lui
secrétaire général. Nous publierons in extenso un certain nombre de
mémoires
lus au Congrès et nous donnerons l'analyse des au
uvenir qui a réellement existé, que l'on possédait auparavant dans la
mémoire
. Ce sont là les amnésies que l'on a appelées rétr
as de souvenirs. Ils semblent avoir perdu non pas les résultats de la
mémoire
, mais la faculté même de la mémoire. L? sujet sen
perdu non pas les résultats de la mémoire, mais la faculté même de la
mémoire
. L? sujet sent, entend, raisonne même, mais il pe
ant. M. le professeur Charcot a désigné l'altération principale de ta
mémoire
sous te nom d'amnésie antérograde, amnésie qui ma
t le souvenir de tous les événements survenus depuis le 14 Juillet Sa
mémoire
minutieuse pendant le somnambulisme contrastait d
in à retrouver le moindre souvenir, on pouvait mettre en évidence une
mémoire
absolument complète par les actes subconscients,
se d'Aïn-Fezza. par M. le professeur Liégeois, de Nancy. Dans son
mémoire
, il. le professeur Liégeois tente l'application d
uand il s'agit de psychothérapie. L'emploi déraisonnable de ces (I)
Mémoire
lu au Congrès de psychologie expérimentale de Lon
par M. Van Eeden sont conformes à celles que j'ai formulées dans deux
mémoires
sur l'origine des effets curatifs de l'hypnotisme
Psych., XLVIII, 2.) « Contribution a i étude de l'infidélité de la
mémoire
». Toulouse (E,). — « Des hallucinations unilat
ria d'articles parus dans la Revue philosophique sous ces titres : La
mémoire
chez les hypnotisés; De l'influence de l'imitatio
tion : à la contagion de la folie de l'homme aux animaux. Depuis le
mémoire
de Lasègue et Jules Falret, on décrit chez l'homm
estions comme devant être suivies de résultais, que s'il n'ont aucune
mémoire
de ce qui leur est arrivé pendant l'hypnose ; dan
emblement, des vomissements, de l'anorexie et l'affaiblissement de la
mémoire
; puis survinrent des accès con-vulrifs. Comme t
ndant sa durée est devenu emportée. Elle n'a pas d'hallucinations, sa
mémoire
est intacte, son intelligence bonne, sa volonté a
eur à Dorpat, en Russie, et maintenant appelé en Allemagne; et autre»
mémoires
; les cas du D' Voisin, de la Salpétrière, des élè
mai* il dit n'avoir aucun souvenir de l'avoir écrite, cherche dan» *a
mémoire
et n'y trouve rien: bien plus, il nie avoir jamai
ère pour des « crises de nerfs ». Les élèves ont encore présente a la
mémoire
la figure de la mère lorsque, sur mon insistance
urs. Ouïe normale. Articulation des mots facile. Pas de trouble de ta
mémoire
. Rien de particulier dans les poumons et an cœur.
élémen-mentaires devoirs de reconnaissance, il semble n'avoir reçu la
mémoire
que pour les choses désagréables qui lui arrivent
ien conservé, les réflexes sont normaux ; l'Intelligence est vive, la
mémoire
bonne. Les attaques convulsives sont spontanées
le sujet sans qu'il le sache et sans qu'il le veuille. III. — De la
mémoire
dans les états hypnotiques. L'étude de la mémoi
e. III. — De la mémoire dans les états hypnotiques. L'étude de la
mémoire
chez les sujets hypnotisés a donné lieu à de nomb
r par nous-mêmes pour nous faire une opinion. Il est évident que la
mémoire
ne peut être étudiée que dans les états hypnotiqu
ndition paraît nécessaire pour pouvoir démontrer la persistance de la
mémoire
, c'est que le sujet soit en communication avec l'
u'il puisse répondre aux questions; ceci nous conduit à penser que la
mémoire
des choses connues à l'état de veille est conserv
gorique relativement à la troisième proposition émise- à propos de la
mémoire
des sujets en état de sommeil hypnotique : d'aprè
i. Émotivité exagérée, il s'emporte facilement et souvent sans cause.
Mémoire
et volonté bonnes. Intelligence assez développée.
là est sorti son beau Traité de l'épilepsie (1851) et son remarquable
mémoire
: Des principes qui doivent présider a l'éducation
is, 280. Marotte, necrologie, 352. Médecine et confession. 185.
Mémoire
dans les états hypnotiques (de la), 358. Minimu
de la dyspepsie. Mais surtout ses élèves doivent avoir conservé la
mémoire
de son enseignement. Les troubles de la sensi
puisse du reste être sa bravoure. J'ai toujours conservé dans la
mémoire
les en- seignements de Beau et ce doit être la
nier n'étant disons-le tout de suite, que le premier d'une série de
mémoires
que nous nous proposons de publier plus tard su
côte droit parfaitement soumis à la volonté. L'intelligence et la
mémoire
étaient très faibles chez co jeune homme. Le rh
de quelques semaines, lui survinrent dans les promenades 1 Itard.
Mémoire
sur quelques fonctions involontaires des appareil
comparée du cerveau, t. II, p. 634. Paris, 1828. - Toulinouclie. -
Mémoires
de l'Académie de médecine, 1833, vol. II, p. 37
- pelle le sens musculaire « sens du mouvement ». Landry dans ses
mémoires
sur la paralysie du sentiment de l'activité mus-
usculaire, nous réservant de citer dans le cours de cette revue les
mémoires
moins importants qui sont venus grossir cette b
ctivité céré- brale avec certaines idées de mouvements produits. La
mémoire
aurait conservé le souvenir de cette associatio
an qui s'est montré le défenseur de cette opinion. Dans son premier
mémoire
sur le sens muscu- laire (Brit. Med. Journal, 1
ement dues à l'activité des centres mo- teurs. » Dans son dernier
mémoire
, cet auteur s'élève de nouveau contre l'opinion
e affirmée, mais point démontrée. Les explications abondent dans ce
mémoire
, empruntées aux auteurs les plus divers de l'Al
quent jamais - l'aila : blls- sement intellectuel et la perte de la
mémoire
les persécutés, selon lui, ne deviendraient pas
é, furent d'une chaleur et d'une sécheresse extrêmes, telles que de
mémoire
d'homme, on n'en avait encore jamais vu. Aussi,
ire même d'une hémiplégie passagère. Lumbroso', dans un intéressant
mémoire
sur la para- lysie hystérique cite un fait de c
moment de mettre sous presse, je viens de prendre connaissance d'un
mémoire
du professeur Adamkiewicz (de Cracovie), paru l
esses fréquentes, qu'il de- venait subitement pâle et froid, que sa
mémoire
avait diminué et qu'il ne comprenait plus bien
nit par guérir, mais on s'a- perçoit alors que le gendarme perd .la
mémoire
, qu'il se met à boire; on le transfère au Val-d
religieuses préten- dent cependant qu'elle est douée d'une certaine
mémoire
et qu'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a
long à se remettre, s'assoupissait pendant deux heures au moins. La
mémoire
était obscurcie pendant une journée et même dav
ression du bromure de potassium. 2 mai. Traitement hydrothérapique.
Mémoire
confuse, sait ses nom et prénoms, ignore le jou
rigine entoptique, ayant en somme le même mécanisme que le rêve. Ce
mémoire
les décrit avec une grande richesse d'expressions
hallucination; puis allure maniaque pendant cinq jours; amnésie. Le
mémoire
n'est pas encore fini. P. K. V. L'HYSTÉRIE dans
nne part en même temps. XXIX. M. STEINBEIiG litson étude « sur la
mémoire
». La mémoire, dit l'auteur est une fonction de
ême temps. XXIX. M. STEINBEIiG litson étude « sur la mémoire». La
mémoire
, dit l'auteur est une fonction de la cellule ne
toutes les propriétés des éléments nerveux à l'étude des lois de la
mémoire
. Les fonctions préparatoires de la mémoire, telle
à l'étude des lois de la mémoire. Les fonctions préparatoires de la
mémoire
, telles que la faculté de savoir, d'apercevoir,
ôt adoptées par ceux qui les connurent. En 1857, il avait publié un
mémoire
plein de recherches et d'idées sur l'homicide e
e de l'Etat pour les alié- nés criminels à Auburu. En 1868, dans un
mémoire
sur les rela- tions de la folie avec la médecin
onnellement l'American journal o/' insanity, et publia une série de
mémoires
en 1871, La folie dé- ' The Boulon méd. Journal
ues ; en 1878, des Extraits de lois relatives à l'aliénation, et un
Mémoire
sur le suicide; en 1880, un travail sur la Jusq
publiés le résultat de ses recherches, et c'est à son intéres- sant
mémoire
que nous allons emprunter les principaux faits qu
estions qu'on lui fait. Chose remarqua- ])le ! pendant cet état, la
mémoire
est plus développée et plus lucide qu'à l'état
asse pendant la période hypnotique reste à l'état de lacune dans sa
mémoire
. Au contraire, dans l'état de sommeil, elle se
les événements qui ont eu lieu à l'état de veille, de sorte que sa
mémoire
est plus éten- due que dans la période de révei
légère;émotion. - Santé générale satisfaisante; caractère pué- ril,
mémoire
bonne. Onanisme; atrophie du testicule gauche.
s. « 11 y a vingt-huit ans et demi que je suis enfermé, dit-il. »
Mémoire
bonne : Der. se rappelle avoir vu l'un de nous à
cherchait à se faire comprendre par signes, par des grognements. La
mémoire
est bonne; il.suffit qu'il voie une personne un
en diffé- rencier ce qui est bien de ce qui est mal, il a une bonne
mémoire
, il est affectueux et très émotif. Dans un pr
Aussi devez-vous conserver précieusement son souvenir dans votre
mémoire
. L'administration préfectorale commence à se pé
. Ils apprécient avec exactitude les choses qui les entourent, leur
mémoire
est bien conservée. Que leur manque-t-il donc ?
ations inscrites sur la plaque commémorative récemment édifiée à sa
mémoire
. Dans l'allocution qu'il a prononcée à cette oc
age (troubles du écrit chez les demi-idiots), par Berkhan, 276.
Mémoire
(sur la), par Steinberg, . 302. Méningocèle e
ont tant insisté les auteurs. En 1855, paraît dans les Archives le
mémoire
de Gerdy sur la pe-riostite et la méduUile, où il
observé une forme très-intéressante de la maladie. A l'occasion d'un
mémoire
de Klose, analysé dans les Archives de 1858, mémo
l'occasion d'un mémoire de Klose, analysé dans les Archives de 1858,
mémoire
dans lequel cet auteur, se fondant sur treize obs
69-70, pages 588, 087 et 781. Plus près de nous, nous trouvons deux
Mémoires
très-importants l'un dû à Poser (1865), l'autre à
le publié à cette époque 1 n'est-il que le tableau un peu étendu d'un
mémoire
publié en 1791, à propos d'un procès scandaleux n
gure au signe o. 2 L'observation du malade est consignée dans notre
mémoire
intitulé : de l'Em-ploi de la fève de Calabar dan
aquements manifestes. BIBLIOGRAPHIE Comptes rendus des séances et
mémoires
de la Société de biologie. — Année 1869. — Un f
ogie, thérapeutique, ont fait l'objet de communications et parfois de
mémoires
importants. Des travail-leurs infatigables sont v
s, Babuteau, Yul-pian, etc., etc. — Nous ne pouvons analyser tous les
mémoires
contenus dans ce volume; nous ne pouvons même les
r la transfusion du sang, etc. MM. Bert et Jolyet nous ont donné deux
mémoires
, l'un sur l'action physiologique de l'acide phéni
par MM. Arloing et Tripier. Parmi les différentes communications ou
mémoires
ayant trait à Yanatomie pathologique, l'encéphale
ques-uns présentent un grand intérêt. Un des plus volumineux est un
mémoire
de M. Bouchut sur Vophthalmoscopie appliquée au d
lmoscopie appliquée au diagnostic des maladies de la moelle épinière,
mémoire
duquel l'auteur essaye de faire ressortir les fai
ote sur l'endocardite et l'hémiplégie puerpérales par M. Ollivier; un
mémoire
de M. Lépine sur la température des nou-veau-nés,
terminer sans donner un mot d'éloge aux planches qui accompagnent ces
mémoires
de la Société de biologie ; elles ne laissent rie
ent à ce que ses accès ont empêché qu'on pût la garder à l'école1. La
mémoire
est bonne. L... raisonne bien. Son caractère est
s observa-tions éparses dans les différents recueils périodiques, les
mémoires
originaux, les chapitres consacrés à cette maladi
ions n'aient pas été pratiquées d'une façon plus régulière. Dans un
mémoire
intéressant de M. W. Roberts (de Manchester) inti
vient sans exfoliation apparente, ni fistules. (IIe Observation du 2e
mémoire
de Bœckel. — Observation de Fritz. Société anatom
ime une certaine hébétude, et annonce une intelligence médiocre. — La
mémoire
est mauvaise : ainsi D... ne se rappelle même plu
u plus tard, en 1856, Wilks inséra dans les Guys Hospital Re-ports un
mémoire
plein d'intérêt sur les tumeurs lardacées, et plu
de nos lecteurs qui s'occupent plus spécialement des accouchements le
mémoire
de M. Tachard. Il contient les principales indi-c
de la rate (Thèse de Paris). 1818. Piorry. — Pathologie médicale et
mémoires
, et particulièrement : sur Vengorgement de la rat
èvres in-termittentes (Gazette médicale de Paris, 1833). Pezerat. —
Mémoire
sur l'état de la rate dans les fièvres périodi-qu
soit dans les recueils des sociétés savantes et d'un grand nombre de
mémoires
, parmi lesquels nous devons citer particulièremen
es caractères botaniques, qui se trouvent longue-ment exposés dans le
mémoire
de M. Gastinel. Nous dirons seule-ment que le cha
e lorsque, en 1856, M. Personne présenta à la Sociôlé de pharmacie un
mémoire
sur l'analyse du chanvre indien. 11 résulte du tr
s, avec tracés. Adr. Delahaye, éditeur. Yoici les conclusions de ce
mémoire
: 1° à dose très-minime, le chlorhydrate de narcé
France en Egypte, vint lire devant l'Académie de médecine de Paris un
mémoire
sur le traitement de celte terrible maladie par l
n-dication la plus urgente, celle d'empêcher la vie de s'éteindre. » (
Mémoires
de ÏAcad. de méd., 1848.) Dans le numéro du 11
aide de ce médicament. En analysant les observations relatées dans ce
mémoire
, nous trou-vons que le hachisch fut administré da
Hervieux (analyse G. Peltier), 28. — Comptes rendus des séances et
Mémoires
de la Société de biologie (anal. G. Peltier), 61.
nces possibles. La nuit, il rêve de son ancien métier de scieur, la
mémoire
du traumatisme souffert se mêle confu- sément a
truit le mamelon dans le cas précité 2. Je lisais dernièrement un
mémoire
fort intéressant du Dr Fowler On y trouvera l'e
sa propre torture à la pédérastie passive (voir les détails dans le
mémoire
). Conclu- sion. Dégénérescence mentale; psychop
. Ces pièces proviennent de la collection du père de l'auteur de ce
mémoire
. La racine motrice du trijumeau prend naissance
; par NOISZE- wski. (Centmlbl. f. Nevenheilk., 1891. N. F 11.) La
mémoire
des impressions visuelles est le produit d'une em
it, cette raie ou strie intra- oculaire est le signe matériel de la
mémoire
. (Mendel-Meynert.) 116 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
s aspects dont les linéaments s'im- prègnent en nous. Pour fixer la
mémoire
des impressions, il en faut SOCIÉTÉS SAVANTES.
lorure de sodium chez les aliénés sitiophobes en état de collapsus.
Mémoire
publié. Discussion : M. SCHUELE. Cette pratique
. Sous le coup des condi- tions physiques des diverses émotions, la
mémoire
, l'association des idées subissent des variatio
mière partie de chacun des numéros des Archives est consacrée à des
Mémoires
originaux sur /'aliénation mentale ou la NEUROL
e de l'amyotrophie (éminence thénar, observation de Cahn, dans le
mémoire
de MM. Gilles de la Tourette et Dutil, Nouvelle
reconnaissant une origine spinale. MM. Landouzy et Déjerine dans un
mémoire
important, où non seulement ils complétèrent l'
bservation de la malade, telle qu'elle fut publiée en 1885, dans le
mémoire
de MM. Marie et G. Guinon, où se trouvent figur
n Allemagne, eu Belgique, aux Etats- Unis, en Italie, ainsi que les
mémoires
originaux des Annales médico-psyclzologiques et
t apprit correctement à parler, mais il ne marcha qu'à six ans ; sa
mémoire
était bonne, mais il était original et pleurait
les des cornes antérieures. L'examen complet n'a pas été achevé. Ce
mémoire
sera publié plus tard in extenso. M. G. Aschaff
e d'ensemble de ces troubles, M. Blocq, tout dé- signé déjà par son
mémoire
aujourd'hui classique sur l'astasie- abasie, ne
pathologie mentale. Prix Baillarger (2,000 fr., 4894). Au meilleur
mémoire
sur la thérapeutique des maladies mentales et sur
ans beaucoup de cas il s'ac- compagne de troubles intellectuels, de
mémoire
chancelante. Le diagnostic de la catalepsie pur
l of Mental Science, janvier 1892.) Nous nous bornons à signaler ce
mémoire
à ceux de nos lecteurs qui s'intéressent à la l
of Mental Science, avril 189.) L'auteur a résumé ou rappelé dans ce
mémoire
une série de documents intéressants sur l'histo
affaiblissement des facultés intellectuelles, du jugement et de la
mémoire
, elle aboutit à la démence complète. Il est e
GtEco. (Il manicomio, fasc. 2-3, 1892.) L'auteur cherche dans ce
mémoire
à élucider deux points, d'a- bord établir les d
I. Menzies a pu observer deux de ces familles, dont il annexe à son
mémoire
l'arbre généalo- gique. 11 décrit avec soin et
aladies ter- minales est la tuberculose. On trouve à la fin de ce
mémoire
une bonne bibliographie du sujets R. 11.-C. S
ît, l'appétit renaît.. Les facultés intellectuelles productives, la
mémoire
, l'association des idées, l'imagination sont dé
RT et A. IIEITON. (The Journal of mental Science, avril 1890.) Ce
mémoire
, très intéressant dans ses détails et accompagné
applicables qu'à l'Angleterre, les conclusions des au- teurs de ce
mémoire
: . 1° Il est contraire à l'intérêt bien entend
de M. Bonthoux, le conseil émet l'avis suivant : Le conseil, vu le
mémoire
par lequel M. le directeur de l'administra- tio
t fait quelconque, une sensation dé- ' Les actes inconscients et la
mémoire
pendant le somnambulisme. Revue philosophique,
orpsychical research, 1892, p. 436.) 1 Les actes inconscients et la
mémoire
pendant le somnambulisme. (Revue philosophique,
sujet dans tel ou tel état hypnotique retrouvait complète- ment la
mémoire
de ces idées fixes subsconscientes. De semblabl
te, d'une propreté irréprochable, ce qui frappe chez un campagnard.
Mémoire
conservée, idées lucides, compréhen- sion facil
e nerveux consiste en une dimi- nution de la vision, la perte de la
mémoire
et une abolition tem- poraire du pouvoir sexuel
gie des affections mentales, surfout dans les pays chauds. Mais son
mémoire
est plutôt une intéressante revue du sujet qu'u
dans une note, leur responsabilité en rappelantque les auteurs des
mémoires
publiés sont seuls responsables de leurs assert
ppelée KATATONIE, par M. J. NOLAN. (Ibid.) Le premier de ces deux
mémoires
, assez étendu, est con- sacré à une étude génér
e MM. Bouchereau, Falret, Mitivié et Ritti, passe en revue les cinq
mémoires
qui ont été déposés. Le prix Esquirol est remis à
e de MM. Dagonet, Garnier, Magnan et A. Voisin, expose qu'un seul
mémoire
a été présenté pour le prix, qu'il n'y a pas lieu
MM. Bounet et Marie, médecins adjoints des asiles et co-auteurs du
mémoire
. Le sujet choisi pour Je prochain concours est
t des anomalies des sillons et des circon- volutions cérébrales. Le
mémoire
sera publié in extenso. A ce propos, M. DERaBaN
s qui constituent les observations détaillées par Sandet dans son
mémoire
sur la Verrucktbeit originelle, qui presque tous
tématique (Verrùcktheit) ordinaire ou l'héléphrein. M. 1VEISSER. Le
mémoire
sur la Yerrucktheit originelle (Sander) a été s
alité s'exagère subsidiaire- ment ; il survient des illusions de la
mémoire
, et l'individu forge de toutes pièces une histo
point de vue physiologique et évolutif, par lio- bertson, 459.
Mémoire
visuelle et mouvements ré- ilexes, par Ivoizews
stériques simulateurs, que nous aurons exclusivement en vue dans ce
mémoire
, doivent se placer les associa- tions hystéro-o
il faisait de cette question une étude absolument complète, dans un
mémoire
des- tiné à un concours (octobre 1889) et aujou
ait en mars ou avril 1888 (le malade ne peut préciser davantage, sa
mémoire
ayant beaucoup baissé). Il semble avoir eu du m
depuis sa maladie : il est triste, déprimé; il a perdu beaucoup la
mémoire
et son visage est peu expressif. L'appétit est
il est devenu sombre, mé- lancolique et a perdu progressivement la
mémoire
. Il a commencé 1 avoir des accès d'angoisse dur
rlé d'in- tervention chirurgicale. C'est surtout depuis lors que sa
mémoire
a beaucoup 21 1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
; il aurait eu autrefois de la diplopie. B. Troubles psychiques. Sa
mémoire
est toujours affaiblie; il pleure tous les jour
franche. Depuis six ans il est affligé de vertiges etdeperte de la
mémoire
. Il atrois ans, est survenu un ictus apoplec- t
phénomènes, il présente encore de l'am- blyopie, des troubles de la
mémoire
et de l'écriture. C'est bien là un tableau fait
e d'articuler les mots qui se présen- taient bien, d'ailleurs, à sa
mémoire
. Ces attaques épileptiformes, parfois spontanée
ns visuelles ou auditives, plus d'apparitions d'étincelles, etc. La
mémoire
reprit de la netteté, l'impressionnabilité extr
vants, caractéristiques de la sclérose en plaques : facies spécial,
mémoire
affaiblie, langue tremblante, parole lente et t
urie; ni glycosurie. . - . ;, , Pas de Vertiges. Pas de somnolence.
Mémoire
excellente. z Depuis de vingt ans (il en a. auj
re beaucoup plus souvent que par le passé. » Ceci est écrit dans le
mémoire
de MM. Gilles de la Tourette et Dutil', la prem
e 1. Leçon du mardis juin 188 ! J. - Observation in extenso dans le
mémoire
de Gilles de la 'Courette et Dutil. 74 NOUVEL
ture et du tremblement. Ceci corrobore la proposition émise dans le
mémoire
de MM. Gilles de la Tourette et Dutil : « L'oed
La malade revient alors progressivement à son état habituel et la
mémoire
de tout ce qu'elle a vu précédemment persiste, ma
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la thèse de Maréchal, dans le
mémoire
de M. Letulle (Archives de phy- siologie , 1887
de la sclérose en plaques (Voir les observations II, III, IV, IX du
mémoire
de M. Letulle2, l'observation XIV du nommé Schu
et maigrit beaucoup. Il n'avait plus d'entrain pour travailler. La
mémoire
élait fort amoindrie; il oubliait à tout moment
ralement. Son entourage et lui s'en rendent parfaitement compte. La
mémoire
en particulier est très diminuée. En dehors d'e
ignait aussi d'une gêne douloureuse siégeant à la région sacrée. Sa
mémoire
s'amoindrit : il avait, nous dit-il, la tête pe
s citées de M. 7estplialt étaient exactes et les conclusions de son
mémoire
légitimes, s'il, existait, en dehors de l'hysté
DE LA SALPÊTRIÈRE. des malades atteints de sclérose. La perte de la
mémoire
, la facilité des rires et des pleurs sans motif
n France. MM. Tillaux, Felizct, s'en déclarèrent partisans, mais le
mémoire
de M. Chédevcrgne paru en lSGcJ la fit rentrer
e ne croyait pas à la vertu de ce moyen si deux", et le 1. Voy. les
Mémoires
du marquis de Sourches, t. I, p. 90 et 376. 2.
nte le roi de France. » Lettre du 25 juin 1719, t. II, p. 123. 1.
Mémoires
du marquis d'Argenson, édit. Itathery, t. I, p. 4
errogée sur sa santé, sur le début de la maladie de sa fille, et sa
mémoire
et ses réponses sont parfaitement lucides. Rien
(1 m. 54)" et pèse 44 kilogr. Son intelligence est très nette et sa
mémoire
très précise. Elle accuse cependant « des peurs »
ait autrefois, mais son intelligence paraît intacte. Par contre, sa
mémoire
est affaiblie; il le sait et il s'en plaint. « Il
ccident qui lui était arrivé, il n'avait plus sa tête à lui, que sa
mémoire
était embrouillée». Après quelques jours de rep
es troubles dyspeptiques persistent. Elle est triste, apathique; sa
mémoire
est très amoindrie; elle est comme hébétée ; el
urnée de travail, parce qu'elle était très faible et parce que « sa
mémoire
était perdue ». Elle oubliait il chaque instant u
ncé, bila- téral et permanent du champ visuel. L'intelligence el la
mémoire
sont indemnes, et la santé générale est parfait
où depuis les travaux de Morel1 cette étude n'a fait l'objet que de
mémoires
partiels, épars çà et là dans différents pério-
e produit souvent des accidents 1. Les planches qui accompagnent ce
mémoire
et. reproduisent des types de difTércntcs défor
n moment donné la polioencéphalomyélite ? Nous ne citerons que pour
mémoire
la pachyméningite cervicale hyper- trophique da
psie de ce genre appartient à Gowers et se trouve consignée dans le
mémoire
d'IIutchinson ('1879). Les altérations cons- ta
lligence a subi également un arrêt de développement. Il a un peu de
mémoire
, saisit assez bien tout ce qu'on lui dit, sait li
des idiots myxoedémateux, que M. Bourneville donne dans son dernier
mémoire
comme très rétrécis, mentons petits et cachés s
w. 1. 19 282 t). NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans un
mémoire
fait en collaboration avec notre collègue et ami
le jeune D... ne m'avait révélé, l'hystérie et en cherchant dans ma
mémoire
, je ne trouve rien qui eût pu m'y faire penser.
e] les artistes. Nous en'avons signalé un certain nombre dans notre
mémoire
sur « les Difformes et- les Malades dans l'art o,
r une dépression transversale (Lambron)2. Nous ne citerons que pour
mémoire
les déformations consécutives à des traumatisme
derniers de publier une remarquable leçon sur le même sujet. Notre
mémoire
, qui devait être remis le 15 octobre en vue d'u
M..., coloriste, trente-deux ans. , M. le docteur Raymond, dans un
mémoire
resté inéditfaisait en 1874, au sujet de cette
un membre frappé de contracture hystérique. Dans son remarquable
mémoire
, M. Babinski traçait les caractères principaux
tudiant, vingt-quatre ans. Telle est en résumé l'observation XII du
mémoire
de Roth, qui, malgré l'anesthésie tactile, reje
tions. Le clinicien désormais devra avoir sans cesse présente il la
mémoire
la possibilité de ces associa- tions, et par su
HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 155 (de Marseille) 1, et enfin dans un
mémoire
récent de Weir Milchell3; (b) L'oedème bleu, su
la parole sur ce chapitre, que j'ai traité assez largement dans mon
mémoire
sur l'Infantilisme du type Lorain, paru en 1908
Sal- pêtrière. M. Bauer qui semble avoir pris connaissance de mon
mémoire
, persiste cependant à ne considérer comme des I
le sont pas toujours, et ce que j'ai dit des soeurs Servi dans mon
mémoire
, en est la meilleure preuve : ces deux femmes n
ion maladive, n'ont cependant rien en eux d'infantile. ' Dans mon
mémoire
, j'ai affirmé ma conviction à ce sujet, en modifi
ésentant le type décrit par cet auteur. Dans les conclusions de son
mémoire
, M. Ilalmagrancl, en exprimant les idées de M.
i, et je l'admets, les trois infantiles que j'ai dé- crits dans mon
mémoire
sont « des infantiles vrais », car ils ont dans l
tement persistants. L'un de ces cas, qui fera l'objet d'un prochain
mémoire
, présentait une maladie de Banti qui fut la cau
chez les infantiles dont j'ai donné la description dans mon premier
mémoire
, ni l'un ni l'autre de ces deux nouveaux cas ne p
exprimé mes convictions sur la question des'infantilismes dans mon
mémoire
sur ce sujet; je ne veux donc pas me répéter ici
détaillée des opinions et des théories de cette dystrophie dans le
mémoire
de Porak et Durante, et la statistique intéress
mine assez jolie et un regard intelligent. Or, peu à peu la parole,
mémoire
, le langage, tout alla en empirant, tandis que la
e langage, tout alla en empirant, tandis que la voix s'altérait, la
mémoire
diminuait et le sensorium s'émoussait. A présen
'ange gardien de ses jours et de ses nuits. Je n'ai pu contrôler la
mémoire
de Marguerite que d'une façon sommaire : Je lui
est très attachée à sa mère, à ses frères et à sa soeur Aurélie. Sa
mémoire
est assez bonne, elle se rappelle des faits ant
CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE 137 il persista des troubles de la
mémoire
des mots et des troubles de l'écriture. L'urine
bles mentaux ; il persiste seulement un affaiblissement léger de la
mémoire
. Les troubles paralytiques et trophiques sont t
. Nous notons les troubles suivants. Un léger affaiblissement de la
mémoire
des mots persiste ; la parole est encore un peu
ion des troubles paralyti- ques,mais persistance des troubles de la
mémoire
des mots et des troubles de l'écriture ; la par
bles mentaux, il ne persiste plus qu'un léger affaiblissement de la
mémoire
et une légère scansion de la parole ; les troub
elle phase pendant la- quelle il ne persista que des troubles de la
mémoire
des mots et des trou- bles de l'écriture. Ce n'
par les auteurs et dont j'ai déjà fait un résumé dans un précédent
mémoire
, je me bornerai à un aperçu sommaire du sujet.
, progressive et diffuse, portant sur tous les départe- ments de la
mémoire
, très caractéristique par l'oubli instantané des
fibres dès faisceaux pyramidaux par exemple ou dans les centres des
mémoires
au- ditives, visuelles, etc. Il y a une distrib
est pas exclusive de l'achondroplasie, car un de deux auteurs de ce
mémoire
(Franchini) l'a vérifiée dans un cas d'infantilis
la pathogénèse de celle affection. M. Cestan par exemple, dans son
mémoire
, affirme qu'il n'existe pas de race naine blanc
ne. bibliographie Nous ne citons que les cas qui concernent notre
mémoire
et peu d'autres qui ont été oubliés dans la bib
rflu d'y revenir encore une fois, d'autant plus que deux importants
mémoires
sur ce même sujet ont paru, il y a à peine quel
Phénomène de Babinski absent. Sphincters normaux. Etal mental.
Mémoire
et intelligence très affaiblies : désorientation
t Campbell. Plus récemment Halo Rossi et Roussy (14) ont publié des
mémoires
successifs sur l'étude de quatre cas de sclérose
DE NANCY SUR LES NEVI SYSTÉMATIQUES ET LEUR PATHOGÉNIE - - (3e
mémoire
) PAR G. ETIENNE Professeur agrégé à la Facu
résent plus précis de m'en tenir aux ca- ractères indiqués dans mon
mémoire
de 1897, auquel MM. Klippel et Pierre Weill ont
hypothèse analogue en ce qui se rapporté à l'observation 5 du même
mémoire
, dont les figures 17, 18, 19 et 20 indiquent un
uvrant le territoire d'un nerf péri- phérique (obis. de mon premier
mémoire
) ou reproduisant sa disposi- tion projetée sur
nt sa disposi- tion projetée sur la peau (obs. 1, 6, de mon premier
mémoire
), ou plus exactement, des prolongements sensiti
es dispositions analogues à celle de l'obser- vation VII du présent
mémoire
, et aux quelques rares cas publiés, no- tamment
de famille, et peu fortuné. , A force d'opiniâtreté, et grâce à une
mémoire
exceptionnelle, il rem- porta cette victoire, l
savait les mettre à profit, grâce aux ressources inépuisables de sa
mémoire
. Sans brillantes qualités ora- toires, il avait
agittal que l'on observe dans les cas d'agénésie calleuse. Un autre
mémoire
très important sur l'agénésie du corps calleux es
probablement aussi une pathogénie différente; dans nos précé- dents
mémoires
sur ce sujet, nous avons exposé nos convictions f
Pellizzi qui a écrit sur la question des infantilismes un excellent
mémoire
, quoique malheureusemeut dépourvu d'observations
menta- lité infantile sont à peine constatâmes. Dans nos précédents
mémoires
sur ce sujet, nous avons montré comment les sym
la plus lé- gitime d'infantilisme : lout ce que nous disons dans ce
mémoire
prouve, il nous semble, que cette conception n'
omposée de nains ; nous n'avons pu malheureusement nous procurer ce
mémoire
. Enfin Taruffi, dans son excellenl mémoire sur
usement nous procurer ce mémoire. Enfin Taruffi, dans son excellenl
mémoire
sur la microsomie, donne une liste des nains cé
Cela nous entraînerait trop loin et nous renvoyons le lec- teur au
mémoire
original qui vaut bien la peine d'être lu en enti
tic,car d'après ce que savons de son cas par la lecture de son beau
mémoire
,- nous vou- drions définir son sujet comme un e
andes lignes aux individus dont nous donnons la description dans ce
mémoire
. Mais naturellement nous ne nous croyons pas au
hasard, établir l'i- dentité et retrouver l'histoire dans un ancien
mémoire
italien de Taruffi que nous avons cité plus hau
faitement tout ce qu'on lui dit et répond toujours logiquement ; sa
mémoire
est assez bonne ; il est très affectionné à son
ICROSOMIE ESSENTIELLE HÉREDO-FAMIL1ALE 557 point de vue normale. De
mémoire
excellente, prompt à comprendre, toujours calme
a Faculté le numéro de la revue qui contient cet article. Dans un
mémoire
dont l'intérêt est considérable, MM. Guiseppe FnA
ie n'est pas exclusive à l'achondroplasie, car un des auteurs de ce
mémoire
(Franciiini) l'a vérifié dans un cas d'infan- t
sion, au bout de cinq à six ans, notre frère convers, si j'ai bonne
mémoire
, se rendit à Cologne, en compagnie de son frère
t jour en s'efforçant de tout prévoir, ne s'effaceront jamais de la
mémoire
. Et cependant, plus d'un et les grands exprimaien
que Hugues se plaisait à peindre. » - Dans d'autres passages de son
mémoire
, Wauters analyse les caractères de la folie du
opinion que l'un de nous a soutenue avec M. Delamare dans plusieurs
mémoires
(En particulier : ÉpendYlllites aiguës et subai
es radiogra- ph iques. Les documents radiographiques annexés à ce
mémoire
nous semblent confirmerpleinement la constatati
e d'infantilisme (voir à ce propos la première observation dans mon
mémoire
sur l'infantilisme du type Lorain (Nouvelle Acon.
en doute la possibilité ; nous en avons largement traité dans notre
mémoire
sur l'infantilisme de Lorain en discutant les i
elon nous, à juste titre, le nom d'infantilisme de Lorain. Dans nos
mémoires
sur ce sujet nous croyons avoir suffisamment pr
Iconographie de la Salpêtrière. - Nous avons lu dernièrement deux
mémoires
sur le soi-disant nanisme mitral, l'un par M. B
suivre d'une description explicative. Le monument a été érigé à la
mémoire
d'un patricien lucernois du XVIII" siècle, prét
tre entourant la cathédrale de Lucerne, près du monument élevé à la
mémoire
des soldats français de l'armée de l'Est, morts à
el de la faculté du langage se rapporte à quatre modes spéciaux de la
mémoire
du moi, à savoir: la mémoire motrice d'articulati
e rapporte à quatre modes spéciaux de la mémoire du moi, à savoir: la
mémoire
motrice d'articulation, la mémoire motrice graphi
de la mémoire du moi, à savoir: la mémoire motrice d'articulation, la
mémoire
motrice graphique, la mémoire visuelle, et enfin
: la mémoire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la
mémoire
visuelle, et enfin la mémoire auditive du mot. La
ation, la mémoire motrice graphique, la mémoire visuelle, et enfin la
mémoire
auditive du mot. La suppression isolée de chacune
n la mémoire auditive du mot. La suppression isolée de chacune de ces
mémoires
est représentée en clinique par autant de formes
d aphasie liée à une lésion organique, il est de règle que toutes les
mémoires
du mot soient touchées simultanément, bien qu'à d
ue s'est concentrée chez l'homme dans les phénomènes d'habitude ou de
mémoire
. Nous ne recherchons pas, comme nous l'avons déjà
le médium interroge son esprit. Cet oubli des phénomènes livrés à la
mémoire
automatique nous permet de penser consciemment à
ur les sensations de pression et pour les impressions électriques. Sa
mémoire
tactile était si extraordinairement développée, q
a volonté, l'appréciation des phénomènes de perception sensi-tive. de
mémoire
et de transformation de sensibilité en mouvement,
ntion spéciale aux travaux de notre collègue le docteur Mesnet et aux
mémoires
du professeur Azam de Bordeaux, de M. Azam auquel
core être exécutés, même lorsque la vue ne les dirige pas, grâce à la
mémoire
motrice et au pouvoir moteur des des images, d'un
e au muséum. Nous nous associons de grand cœur à l'hommage rendu à la
mémoire
d'Henri Bouley. L'esprit de ce grand savant était
s heures entières, jusqu'à ce que l'on ait fini par retrouver dans sa
mémoire
ce mot ou ce nom qui avaient échappé à notre souv
ues variés. Elle nous entraînerait beaucoup trop loin et exigerait un
mémoire
spécial, ou même un volume. Nous devons nous bo
enstruation «j'en vous citant ces quelques lignes que j'emprunte au
mémoire
de Raciborski, publié dans les Archives générales
m donna lecture à la Société de Biologie, en 1883, de son remarquable
mémoire
sur la suggestion à l'état de veille. Mais qu'i
es médicaments, onanisme, aux défectuosités natives ou acquises de la
mémoire
et de l'intelligence, aux attaques convulsives, a
le Docteur Baron Von SCHRENCK-NOTZING (de Munich). Encouragé par le
mémoire
du professeur docteur von Krafft-Ebing, qui, aprè
main répétée, un état anatomique particulier, quelque chose comme une
mémoire
matérielle, qui lait que toute excitation nouvell
tres que nous, ou a ce qu'ils n'y soient pas. Acuité anormale de la
mémoire
Dans un travail publié dans le ?ulletin médical
.ock est amené. A rappeler qu'A l'occasion d'influences spéciales, la
mémoire
prend,-comme on sait, une acuité extraordinaire :
étaire arabe. Ce prince aimait beaucoup l'histoire, et avait si bonne
mémoire
qu'il se rappelait tous les événements avec leurs
t excessif de certaines facultées intellectuelles, spécialement de la
mémoire
. Il sont amoureux de la poésie, des spéculations
activité fébrile et une dextérité peu commune. L'intelligence et la
mémoire
sont plus affinées ; la suractivité de cette dern
s allures; suractivité des fonctions psychiques, en particulier de la
mémoire
; qui s'en distingue surtout par l'oubli complet,
ité plus prononcé. Les modifications du caractère, de l'allure, de la
mémoire
sont identiques. Notre malade réalise donc spon
ient à trois ans. Elles avaient été précédées d'une certaine perte de
mémoire
et du syndrome qu'on a désigné sous le nom de « r
ndre que le jury, a décerné le prix d'une valeur de 2, ooo francs, au
mémoire
écrit en français de MM, les docteurs de Grand-ch
tous les documents qui s'y rattachent. Observations personnelles. Le
mémoire
couronné portait pour épigraphe : SCIENTIA COMMUN
e docteur Puel, vient de succomber à Tige de 77 ans. Un remarquable
mémoire
de lui, sur ta Catalepsie, fut couronné, il y a q
de partager le prix de 8,ooo francs qu'elle avait destiné au meilleur
mémoire
sur l'épilepsie, ex aquo entre un de nos confrère
i.'hypnotisui* À certains moments, Emile X... perd complètement la
mémoire
. Alors, tous ses souvenirs, les plus récents comm
la perception de ses perceptions >, une nouvelle vie, une nouvelle
mémoire
, un nouveau moi commencent pour lui. Alors il mar
s états mentaux ne se superposent jamais, chaque état mental ayant sa
mémoire
particulière. - K. E. a réussi de tranformer l'
out se suit et s'enchaîne sans lacune, sans la plus petite absence de
mémoire
et sans que le sujet manifeste le moindre étonnem
eints de troubles nerveux (1). J'avais lu les travaux de Charcol, les
mémoires
de liai-denhain.Weinhold, Eulcnburg.Benediki.d Es
tomac, dyspepsie, pyrosis, angine de poitrine, am-lyopie. perte de la
mémoire
, etc.), le nombre de séances de suggestion pour o
de suggestion pour obtenir la guérison, avec les dates 4 l'apui. Les
mémoires
pour les deux prix ci-dessus pourront être rédigé
de le livrer a un décrassement sérieux. Mous ne parlerons que pour
mémoire
de la repoussante saleté de la plupart des cabine
les primaires. 2° Un prix de 500fr à M le docteur A. Fabre pour son
mémoire
relatif aux jeux actifs à in-troduire ou à encour
sion par le contact des mains, tel que j'ai indiqué dans un précédent
mémoire
. Le 28 juin, le malade ayant été mis par moi da
l'ouvrage de M. Liégeois qui n'est d'ailleurs que le développement du
mémoire
sur le même sujet qu'il fut admis à lire en 1884,
e rappelle les événements des deux périodes. C'est le phénomène de la
mémoire
alternante et la base de toutes les complications
decine légale. — Le projet de révision de la loi du 30 juin 1838.— 3°
Mémoires
présentes par les membres du Congres. - 4° Visite
de magnétiseurs, 253. Mélancolie des dégénérés (la) par Legrain,
Mémoire
(acuité anormale de la), 170. Ménageries hypnotis
tendue. Il me remit 12 7 MÉDECINE LÉGALE. alors ultérieurement un
mémoire
contenant le récit très explicite de sa simulat
e man- quant pas de déverser son esprit critique dans ce sens. Sa
mémoire
fut trouvée très développée, car il avait amass
voir contribué à former les images motrices enregistrées dans notre
mémoire
, elles nous permettent de contrôler incessammen
tions de même nature antérieurement perçues et déjà fixées dans la
mémoire
, soit avec des sensations différentes, surtout vi
les, la représentation mentale complète de l'objet surgit dans la
mémoire
. En sorte qu'on peut dire qu'il s'agit d'une véri
ont cédé la place à un état mélancolique avec affaiblissement de la
mémoire
, incohérence des propos et lé- ger embarras de
ces réflexes séparément, recherches qu'il a exposées dans plusieurs
mémoires
publiés antérieurement. Il compare la nature de
(rare); hypochondrie; affaiblissement de l'énergie psychique, de la
mémoire
; apathie ; rêvasserie, quelquefois excitabilit
santé physique générale et rétablit, à un degré considérable, la
mémoire
et l'intelligence. L'auteur rapporte ensuite à
éciables. Pas d'hallucinations, mais faiblesse mentale, perte de la
mémoire
, inintelligence des choses les plus simples, le
e affaire Vacher dont les détails sont encore présents à toutes les
mémoires
. On se rappelle aussi les conclusions des exper
es colères soudaines et violentes. Son intelligence plutôt vive, sa
mémoire
excellente. Son humeur a toujours été capricieu
s migraines les facultés intellectuelles commencèrent à baisser, la
mémoire
à dimi- nuer rapidement. A cette époque il eut
près cette cure qu'on remarqua surtout la diminution sensible de sa
mémoire
. Symptômes cliniques. Status en novembre 1897.
ld, en 18S ! r, est le premier auteur qui attira l'attention sur le
mémoire
de Huntington, dont personne n'avait parlé depu
eut-être King donne-t-il plus de détails sur ces incidents dans son
mémoire
? En tout cas cette observa- tion isolée au mil
ns la famille Rinderknecht. En 1888, nous avons d'abord l'important
mémoire
de Lan- nois dans la Revue de médecine, sur leq
ceux de Clarke, en 1897. En tri 1898 nous avons le très important
mémoire
de Facklam avec 8 observations personnelles de
iblisse- ment qui s'accompagne d'une diminution progressive de là
mémoire
, aboutit très souvent à la démence complète et,
; lipothymies; accès d'angoisse; affaiblissement de l'ouïe et de la
mémoire
; insomnie, constipation. Il y faut joindre, en
du cerveau dans la paralysie générale. M. Brunet donne lecture d'un
mémoire
d'où il résulte que l'atro- phie du cerveau ser
t être séparés de leurs conditions organiques : la cons- cience, la
mémoire
, la volonté, etc., sont précisément de simples
sthésiques ou dysesthésiques. Son intelligence est très nette, sa
mémoire
intégralement con- servée. Il s'inquiète de son
uence, le mode de développement, la valeur pronostique terminent le
mémoire
. J. SÉGLAS. XXIV. Sur les rapports de la céré
c est défavorable, et le traitement ne donne guère de résultats. Ce
mémoire
est suivi de trois observations. H. de ! \IOSGR
tologique du sommeil. Comptes rendus heb- domadaires des séances et
mémoires
de la société de Biologie de Paris. 1895, p. 74
ar la méthode de Golgi. Comptes rendus hebdomadaires des séances et
mémoires
de la Société de Biologie. Paris, 1891, p. 6G.
ice d'Abraham. D'autres, comme Lovat, se crucifient tout vivants en
mémoire
du supplice du Christ ; d'autres, pour se mutil
roulant sur sa vie passée, principalement sa jeunesse. Ce délire de
mémoire
a duré trois heures. Ensuite elle a recommencé
té auditive diminuée surtout à droite. Rien au goût. Etat mental.
Mémoire
un peu paresseuse, pas de troubles de la parole
. Recherches expérimentales sur l'origine de quelques erreurs de la
mémoire
; par.). Fmzi. (Riv. di pal. nerv. et iiieizt., fa
excitations externes sur la grille des fibrilles de l'encéphale. La
mémoire
, pour lui, n'est pas produite par une provision
btenu soit dans la cellule, soit dans la grille des ^ fibrilles, la
mémoire
en un mot. La mémoire est un état ; qu'une onde
lule, soit dans la grille des ^ fibrilles, la mémoire en un mot. La
mémoire
est un état ; qu'une onde excitatrice vienne iL
de la couche optique n'est pas tout à fait médian (Détails dans le
mémoire
). Le faisceau interne ou médian du ruban de Rei
omplet de personnalité ; elle devient calculatrice, intéressée ; sa
mémoire
, ses facultés de raisonnement se développent, ses
issantes de l'époque, où l'on ne se contentait pas de surcharger la
mémoire
par des exercices d'entraînement pour les exame
u de ses malades. Il publie alors en collaboration avec Magnan deux
mémoires
d'un vif intérêt historique et clinique, car il
mais il laissera dans'cet asile, dont il fut un des fondateurs, une
mémoire
pure et durable; il y laissera en môme temps l'
ui ont foi dans la justice ». Tous, nous conserverons pieusement la
mémoire
de l'ami excellent, du médecin dévoué, de l'hom
. Mais, d'ailleurs, le culte, dont vous n'avez cessé d'honorer la
mémoire
de vos maîtres qui avaient noms : Andral, Falret
s... Il laissera dans cet asile, dont il fut un des fondateurs, une
mémoire
pure et durable ; il y laissera en même temps l
'homme qui le vit se réaliser ? Il sera mieux que nous honorions sa
mémoire
en cherchant à faire revivre en nous-mêmes les
s le malade souffre de pituites, et de plus, il s'est aperçu que sa
mémoire
avait beaucoup diminué ces derniers temps. En
tient, par l'injection de l'artère basilaire, l'injection du bulbe (
Mémoires
de l'académie impériale des sciences de Vienne,
aines crises psy- chiques totalement dépouvues de convulsions. La
mémoire
se perd progressivement, toujours par le même p
s. Prix Aubanel. LE Secrétaire général annonce le dépôt d'un seul
mémoire
. Le Président désigne pour former la commission
diminuée. Attention fugitive. La volonté semble fort amoindrie. La
mémoire
est complètement troublée. Brout... parle parfo
con- daires (pédoncule, protubérance, etc.). Rappelons aussi pour
mémoire
, les lésions méningitiques. Un dernier point à
des cas de section expérimentale de troncs nerveux chez le chat. Ce
mémoire
de plus de 40 pages est richement documenté au
décembre 1860 l'Académie de Médecine lui décernait un prix pour son
mémoire
sur le diagnostic et le traitement de la mélanc
Mélancolique. La sénilité précoce chez les -, par Arnaud, 235.
Mémoire
. Origine de quelques er- reurs de la -, par Fin
es aphasiques caractérisés es- sentiellement par une atteinte de la
mémoire
verbale. Il y a encore un autre motif, pour nou
aturelle et en dehors de toute intervention thérapeu- ti que. (1)
Mémoire
de GUBLER, Paralysies alternes. Gazette hebdomada
Menière, Annaudale (Fig. 5), Gueniot (-1). On peut y ajouter pour
mémoire
, l'observation publiée par A. Sou- ques et H. L
mise en jeu non pas d'un centre de sensibilité mais d'un centre de
mémoire
et d'associa- '. tion. Or la réalité de ces cen
ade aucun autre trouble de la santé qu'une certaine diminutionde la
mémoire
coïncidant avec des cauchemars troublantconstamme
ce sont déjà (tes centres ( association ;1 .-......... . ? et de
mémoire
musculo-tactile, comme les centres rolandiques mo
rès une chimère que de rechercher le siège de l'intelligence, de la
mémoire
, du jugement, de la volonté. Et en février 1897
nce proprement dite ; ses lésions provoqueraient des troubles de la
mémoire
et de l'association des idées, l'incohérence, l
du tibia et l'altitude humaine à l'époque quaternaire (Extrait des
Mémoires
de la Société d'Anthropologie de Paris, 2" séri
is là se bornent les stigmates psychiques de l'enfance, car pour la
mémoire
, la réflexion et le jugement, cet enfant de cor
consécutivement il des phénomènes de compression ; il intitule son
mémoire
« La prétendue myosite ossifiante r.. En terminan
matismes. Depuis ce dernier-auteur, un nombre assez considérable de
mémoires
ont paru sur la question : Kohts 1884, Reidhaar
par Munchmeyer sans contrôle nécrop- sique; Lexer qui intitule son
mémoire
«L'induration conjonctive dans la myosite ossif
alacie et d'arthropathies, il nous a été impossible de consulter le
mémoire
ori- ginal de l'auteur. ANATOMIE PATHOLOGIQUE
cies hébété. Son intelligence est bien au-dessous de la moyenne. La
mémoire
semble conservée. La parole est hésitante. Trem
alades et contre l'audacieuse fourberie des opérateurs. Voici, pour
mémoire
, la liste de ceux qui ont été commentés et repro-
alade ail baissé, pour devenir lourde et torpide. En même temps, la
mémoire
s'est affaiblie. Cependant X..., avec le seul sec
ie, de l'affaiblissement de l'intelligence, delà diminu- tion de la
mémoire
. Voilà pour l'état actuel. Or nous avons à teni
laquelle il a fait ces photographies, ainsi que d'au- tres, pour ce
mémoire
et pour des mémoires antérieurs. NOUV, ICONOGRA
es photographies, ainsi que d'au- tres, pour ce mémoire et pour des
mémoires
antérieurs. NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
J'atrophie simple, saite d'atrophie du genou, qui fait l'objet de ce
mémoire
(région lombaire). Diminution notable de la cor
u moins complète des articula- lions de la racine des membres. Le
mémoire
de M. P. Marie est basé sur six observations : tr
dont l'un avec autopsie ; nous n'avons pu prendre connaissance des
mémoires
de 13ecllterew. Nous ne saurions guère ajouter
n (1887-88) enrichissent encore la litté- rature sur ce point. Un
mémoire
de Kiwull (1890) apporte une observation très doc
ariation sous l'influence des change- ments du milieu. Bulletins et
mémoires
Soc. de biologie, 1896, p. 790. IIÉNII11'PfiRTR
torique. L'histoire des hémihypertrophies faciales acquises date du
mémoire
de Stilling sur la « Spinal Irritation )) (1840
e N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1898 INAUGURATION DU MONUMENT ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT L'Inauguration du
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT L'Inauguration du monument dédié à la
mémoire
du Professeur J.-M. Cli.),IICOTP,11 ses El èves
I). La Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière a déjà consacré à la
mémoire
de son regretté fondateur un article, écrit en
e Gou- vernement a voulu témoigner que celui dont nous célébrons la
mémoire
est une de nos gloires nationales. Si beaucoup
iques. Tous les peuples, qui ont le culte de la science, ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 40H ont répondu à l
Paris veillera avec un soin jaloux sur le monument qui consacre la
mémoire
d'un de ses enfants les plus chers, le Conseil
r confie l'exécution de ce vau, sais qu'ils l'accompliront et qu'en
mémoire
de leur Maître ils soutiendront, au grand profit
se qu'il vient de faire, la la Ville de Paris, du monument élevé la
mémoire
de Charcot. Le Conseil mu-. nicipal a voulu s'a
bien, mon seul désir est-il de mettre en lumière le rôle ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 407 de créateur, jo
pilepsie par- tielle, une paralysie, un trouble du langage ou de la
mémoire
, des crises dou- loureuses ont été guéris ou at
distinctes et définies : centres de relai, placés entre ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 409 ceux qui siègen
rapide ;nous la leur procurons souvent immédiate, grâce ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-\I. CllARCOT 411 il ce que nou
sme, revêt les apparences du surnaturel, et d'en ,> ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 413 fournir une exp
ier à ses travaux et se montrer digne de marcher sur ses ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CHARCOT 415 traces. Mais il
ui a ouverte, et fille reconnaissante elle veillera à jamais sur sa
mémoire
, car il est impérissable le nom de celui que no
nctionnant ainsi son succès de clinicien pour ainsi dire ÉLEVÉ A LA
MÉMOIRE
DU PROFESSEUR J.-M. CUARCOT 417 sans égal et do
er l'oeuvre admirable de l'homme dont nous célébrons aujourd'hui la
mémoire
. Cette oeuvre est une des plus surpre- nantes d
i, Archiv. sur path. Anat. und Phys., t. LXXIV, p. 473. (2) Berger,
Mémoire
paru à Iireslau, 1813 et 1815. (3) LEwiNsKi, Vi
tentative de précipitation. Dans les moments de calme apparent, sa
mémoire
paraissait con- sidérablement affaiblie. Le 30
aussi bien de diagnostic que de pro- nostic.Parmi les cas dont j'ai
mémoire
.j'en rapporterai un vraiment curieux que M. IIa
ra-t-on.'la statue du Maître, revêtu de ses insignes, perpétuera sa
mémoire
. Elle remplit SOIL hut. Elle ne manque, après t
ulière à fixer les impres- sions visuelles par le dessin. Celle «
mémoire
des -yeux ». que Charcot avait excellente, lui ét
uis rapide; le plus souvent, il s'en rapportait à la fidélité de sa
mémoire
visuelle..Mais son choix élail toujours dicté par
nd longtemps on l'a vu de très près, on ne saurait mieux honorer sa
mémoire
qu'en le montrant tel qu'il fut réellement. Que
ses. Par contre, il aimait la grosse farce. Il citait volontiers de
mémoire
des passages' de Habelais. En cela, Charcot res
nnes (2 phot., 1 fig.), 343. Inauguration du monument élevé il la
mémoire
du professeur J.-M. Charcot (1 phot.), 401. I
lité, ni dans le degré de profondeur du sommeil, ni dans l'état de la
mémoire
ou de la conscience — mais uniquement dans l'état
Quand, au réveil, les tableaux du rêve apparaissent nettement dans la
mémoire
, il est bon de les faire préciser sans tarder et
ès nette d'avoir révé, mais aucun élément du rêve ne subsiste dans sa
mémoire
. — « Oui, j'ai rêvé, dit-il, j'en suis bien sûr;
le mérite. Elle met au premier rang les facultés de second ordre : ta
mémoire
, la pente h limitation, l'absence d'initiative, t
en a pas perdu une syllabe. » Si quelques bribes sont restées dans sa
mémoire
, il se les répète dans la veille ultérieure ; ell
D'après Ribot, le sentiment de notre individualité a pour base une
mémoire
organique, laquelle se forme sous l'empire d'un s
d'une série d'états conscients, qui ont laissé chez lui des traces de
mémoire
. Certainement l'existence d'une mémoire organique
laissé chez lui des traces de mémoire. Certainement l'existence d'une
mémoire
organique est une condition sans la réalisation d
on dispose sur la suggestibilité. comme on peut la concentrer sur la
mémoire
par exemple. Il faut considérer la plupart des
tère d'effacer son nom de l'histoire d'Aymoin pour en faire perdre la
mémoire
ou la rendre douteuse (') ». De sa femme Bertrade
ongue épreuve. Ce qui me reste à dire, le voici : J'aurai toujours en
mémoire
, dans les circonstances énoncées, ces malheureux
un classement, des combinaisons multiples des éléments fournis par la
mémoire
et permet, par voie d'abstraction, la formation d
es à ce fonctionnement ; il faut donc supposer chez lui une espèce de
mémoire
inférieure, qui, d'ailleurs, parait être liée, en
épendante dans le système nerveux. Nous avons proposé d'appeler cette
mémoire
, la mémoire fonctionnelle. Son existence a été pr
ns le système nerveux. Nous avons proposé d'appeler cette mémoire, la
mémoire
fonctionnelle. Son existence a été prouvée expéri
azzotti ; et leurs expériences ont montré qu'elle est distincte de la
mémoire
intellectuelle puisque des pigeons privés des hém
nnement des autres organes. Nous croyons que l'intelligence est de la
mémoire
fonctionnelle perfectionnée. Ainsi considérée,
. • Ainsi l'intelligence serait sortie, non du réflexe mais de la
mémoire
fonctionnelle. Il faut supposer l'existence de
de la mémoire fonctionnelle. Il faut supposer l'existence de cette
mémoire
tout à fait à l'aurore de la vie, chez les êtres
t se dirige vers là substance qui nourrit, il montre qu'il possède la
mémoire
fonctionnelle. Il ne faut pas ici, bien entendu,
ntendu, parler de volonté, c'est-à-dire d'acte raisonné ; mais il y a
mémoire
des conditions dans lesquelles s'accomplit la fon
moire des conditions dans lesquelles s'accomplit la fonction et cette
mémoire
semble inséparable de la matière vivante. Je croi
accorde une irritabilité et des facultés qui sont inséparables de la
mémoire
simple. Messieurs, j'ai dû indiquer, ici, seule
s intelligents, des êtres instinctifs et des êtres doués seulement de
mémoire
fonctionnelle J'appelle, en terminant, route
tz ru Contraction. (Pftiiaer's Archiv, iST6(BdXlII.) (*) M. Schiff,
Mémoires
physiologiques, t. II. et de printemps, qui p
s aucun traitement. La malade se plaint de distraction et de perte de
mémoire
; mais les paroxysmes d'angoisse durent peu. Sur l
le des accès; le malade a l'intelligence lucide, les idées nettes, la
mémoire
intacte, il jouit de sa pleine puissance de synth
viez-vous eu des accès ou des hallucinations ? 26. Est-ce que votre
mémoire
ne s'affaiblit pas? 27. Est-ce que vous continu
places publiques de la ville, le monument destiné à perpétuer dans la
mémoire
de ses compatriotes le nom et la grande ligure du
nd connaissance. Les facultés intellectuelles reparaissent, à part la
mémoire
des choses qui ont précédé ses premières attaques
gnement de l'Ecole de Charcot. REVUE DE LA PRESSE Les éloges â la
mémoire
du Dr Liébeault Un grand nombre de journaux fra
ont-Sainï-Vincent. Mais après une année de pratique, convaincu par le
mémoire
que venait de présenter le Dr Azam à l'Académie d
secondaires qui résultent du fonctionnement de ce grand ressort de la
mémoire
qu'on nomme la liaison des idées. Cette puissan
'ailleurs, n'a rien de saisissant pour l'œil, ni d'imprégnant pour la
mémoire
. Il faut un effort pour le lire, un autre pour le
doit obéissance immédiate, et sans souci de l'avenir. Il faut que sa
mémoire
soit mise à même d'entrer enjeu pour des circonst
enue dans le palais du Rme cardinal Lucido-Maria Parocchi, d'illustre
mémoire
, le douzième jour des calendes de l'année 1902, p
ette séance, la Société se propose de rendre un hommage solennel à la
mémoire
du Dr Liébeault. Elle espère qu'à cette occasion
eur, un avocat, d'un beau procès, un professeur, d'un bel examen. .La
mémoire
latente d'un long passé se réveille au contact d'
pour élever un monument au Dr), ?- 289. Liébeault (Les éloges à la
mémoire
du Dr), p. 308. Liébeault (Souscription ouverte
rvé/.VV 5? AVIS DE L'EDITEUR Ce volume comprend les leçons, les
mémoires
et les ob-servations de M. Charcot sur les maladi
des poumons, nous avons été amené à intercaler, entre les leçons, des
mémoires
relatifs au sujet traité dans ces leçons. Pour ce
tte disposition est très reconnaissable sur Ja figure 9, empruntée au
mémoire
de M. Schultze. Cette figure montre l'orifice d'u
autres ne sont pas visibles; mais nous recon- 1 Voyez la fig. 1 du
mémoire
de Colberg. 2 Reindfleisch, fig. 335. Fi /5.
t, jan. 8, 1876, p. 47); ceux enfin d'Otto Frey, rassemblés ' dans un
mémoire
publié à Berlin en 1877. La section des récurre
, que je vous ai retracés dans une leçon précédente. Remettez-vous en
mémoire
les premiers linéaments du développement du poumo
e du 1 Voir, sur ce point, Charcot, toc. cit., p. 391, et sutout le
mémoire
de M. G. lohnson : On tlte /omis and stages of Br
ochement vous paraîtra peut-êLre plus saisissant si je vous remets en
mémoire
à propos du rein, comme je le ferai tout à l'heur
chronique an 1 Lebert. —Atlas d'anatomie pathologique, p. 670. 2
Mémoires
de la Société de biologie, 1855, p. 2. emphysèm
médical science. Dublin, 1838, t. XIII). Il faut signaler aussi un
mémoire
de M. Sutton 2 et de nom-breux travaux présentés
si justes que cet auteur a émises se sont par la suite obscurcies. Le
mémoire
de Pearson a une réelle impor-tance et il convien
7. — Le docteur Fuehrer a parlé incidemment de la mélané-mie, dans un
mémoire
sur les altérations de la rate. (Archiv, von Vier
ès de fièvre intermittente ; elle peut i Voir à ce sujet : Jacquot,
Mémoire
sur les fièvres comateuses, etc., obs. III, p. 15
vations ni dans le tome II du Traité des maladies du cœur, ni dans le
Mémoire
sur les concrétions polypifor-mes du cœur inséré
dans une des observations rapportées par M. Hughes Bennett, dans son
mémoire
sur la leucocythémie (Comptes rendus de la Soc. d
es multiples contenont une matière puriforme, etc. (Comptes rendus et
mémoires
delà Société de Biologie, 1851, p. 189. — Voir pl
Transact., London, 1846, t. XXIX. — J. M. Charcot, Comptes rendus et
Mémoires
de la Société de Biologie, 1^51, t. III et 2e sér
ux, pupilles contractées. L'intelligence n'est pas très affaiblie; la
mémoire
est encore assez nette, le malade a assez de diff
Pulmonary Arteries (London Medico-Chi-rurgical Transactions, premier
mémoire
, 1844 ; deuxième mémoire, 1845). Willis (Pharmace
on Medico-Chi-rurgical Transactions, premier mémoire, 1844 ; deuxième
mémoire
, 1845). Willis (Pharmaceutices ratto?ialis. P. 2,
'altération des veines rénales dans quelques mala-dies du rein, etc. (
Mémoire
de la Société de biologie, 1853, p. 125). 3 3.
us allons donner Fexposé sommaire : Obs. VII. —Dans son intéressant
mémoire
sur les morts subites par obstruction de l'artère
xistait point de caillots. On trouve cependant, dans un intéressant
mémoire
de Simp-son sur la mort subite dans l'état puerpé
I, p. 232, 3C6. — Kokilansky. Path. anat., Bd. II, p. 477. — Charcot.
Mémoires
de la Société de biologie, 1851, p. 189, et 1851,
de la portion ascendante et de la crosse de l'aorte, 1841. — Gendrin.
Mémoire
sur le diagnostic des anévrismes des grosses artè
publié par Peacock en 1849 ; plus tard, Rokitansky a exposé, dans son
Mémoire
sur les maladies des artères, le résultat de ses
éside constamment au développe-ment de cette lésion. Dans son dernier
mémoire
, Rokitansky, qui partageait autrefois l'ancienne
5. —Nicholls-Phitosofjhical Transactions. Vol. LU, p: 269. — Maunoir.
Mémoire
sur l'ané-vrisme et la ligature des artères Genèv
tient à Syme (d'Edimbourg) ; elle fut publiée en 1831. Depuis lors le
mémoire
justement célèbre de Thurnam a fait connaître les
nes des opinions de ces devanciers. Nous signalerons en même temps le
mémoire
d'Aran, sur l'ouverture des anévrismes aortiques
à une simple fente longitudinale. Dans l'un des cas rapportés dans le
mémoire
de Thurnam, l'oreillette droite et la veine cave
rela-tives à ce genre de lésion, s'est considérablement augmenté. Le
mémoire
inséré par M. Barth dans la Presse médicale, en 1
ir. prat., Art. Aorte. — Dalmas. Dict. de Méd. en. 30 vol. — Goubaux.
Mémoire
sur les paralysies du cheval causées par l'oblité
es fibrineux de l'aorte. Thèses de Paris, 1864, no 156. — Lancereaux.
Mémoires
d'anatomie pathologique. Paris, 1863, p. 161. — V
e à part sous le nom de strongylus armatus mi-no?'. M. Rayer, dans un
mémoire
approfondi sur cette matière, où les travaux de s
sseau et Leblanc. Arch. yen. de MM., t. XVI, p. 193 ; 1828. — Hcring.
Mémoires
sur les anévrismes internes du cheval. In Recueil
posé, Messieurs, de désigner le syndrome dont il s'agit dans un petit
mémoire
qui date de 1859 (Soc. de Biolo-gie), sous la dén
e fondamental est, en effet, que, dans le membre ischémie 1 Voir le
Mémoire
, p. 572. l'impuissance motrice douloureuse, nul
ndant sur les docu-ments fournis par ces divers auteurs que, dans mon
mémoire
de 1859, j'ai donné de la claudication intermitte
Stenson. — Elementorum Myologice spécimen, 1667. 2 Brown-Séquard. —
Mémoires
sur les propriétés et usages du sang rouge et du
chémique chez l'homme. J'en ai donné la pre-mière description dans le
mémoire
auquel j'ai fait allusion déjà1 ; dans ce cas, il
uccombé. Nous avons vu dans une autre circonstance (Comptes rendus si
Mémoires
de la Société de biologie, t. III, p. 89, 1851)l,
e d'en rapporter l'exposé, du moins sommaire-ment. C'est d'abord un
mémoire
publié en 1846, dans le Journal de Prague, parle
atomi-que que MM. Ch. Robin et Isambert ont étudiée à nouveau dans un
mémoire
lu à la Société de biologie en 1855 (t. II, 2e sé
on pays, reçoit une mort digne d’envie. Plus glorieuse encore sera la
mémoire
de celui qui, pouvant éviter les périls, les a re
l consulta, furent d’avis qu’il y avait, en effet, lieu à réforme. Un
Mémoire
fut écrit dans ce sens par M* Jules Favre, et dis
r d’air et de lur mière. « Il y a plus « Les appelants, dans leur
Mémoire
, se sont bien, moins occupés à discuter les circo
ême plan et considérera les choses sous un autre point de vue. « Le
Mémoire
dont nous venons de parler, Messieurs, est toutef
es somnambules de pouvoir imaginaire. « Singulier procès ! selon le
Mémoire
des appelants, où tout reposerait sur la dépositi
la réalité du magnétisme en général et du somnambulisme, l’auteur du
Mémoire
pose ce qu’il appelle les vérités fondamentales a
illant des prestiges du style et des charmes de l’imagination. « Ce
Mémoire
, Messieurs, survivra au procès Mon-gruel ; il le
à l’administration de la justice? « A ce dernier titre, l’auteur du
Mémoire
doit doublement regretter les paroles qui ont pu
us. Me Jules Favre, avocat des sieur et dame Mongruel, qui, dans le
Mémoire
auquel a fait allusion M. le rapporteur, a combat
couté avec une religieuse attention les critiques dirigées contre mon
Mémoire
, dans le savant et lumineux rapport qui vous a ét
nétisme, l’avait étudié et défendu. Il eut l’audace d’exposer dans un
mémoire
remarquable les faits nombreux dont il avait été
it ordinairement d’un bel organe, d’une certaine faconde, d’un peu de
mémoire
et de beaucoup d’aplomb. Je juge mieux maintenant
extraire ce qui reste en moi des choses acquises et conservées par ma
mémoire
. Je n’ai point la passion qui pousse certains h
sement sur la gravité de sa position, le témoin retrouve peu à peu la
mémoire
, et déclare ce qui suit : J’ai connu la fille C
du magnétisme. Il exprima la crainte que les médecins envoyassent des
mémoires
hostiles, et que les magné- liseurs no. fissent
niaient en public, et renfermaient dans les cartons de l’Académie les
Mémoires
où ils avaient constaté la vérité. Bien mieux,
i, du moins pour moi, ce que j’avais senti, ce que j’avais vu, car la
mémoire
peut devenir infidèle. Les livres mystiques que
longtemps de maux d’yeux et de maux de tête qui parfois m’ôtaient la
mémoire
; j’avais consulté les plus célèbres oculistes, do
faire pour la session de i85i, qui aura lieu en mai à Charleston, un
Mémoire
sur le magnétisme animal et la phrénologie. — N
moyen d’un fluide universellement répandu, et susceptible, par (I)
Mémoire
sur la découverle du Magnétisme, p. 7t. ïujuî X.
ousser les effluves du magnétisme, et des individus placés der- (1)
Mémoire
sur le Magnétisme. Proposition 19. (ijThéorie d
ment d’une crise : la perturbation, la coclion et l'évacuation. (I)
Mémoire
, etc., page 78, Propos. 10. 11 reconnaissait en
évélations. C’est en butinant ainsi, à son insu probablement, dans la
mémoire
des savants avec lesquels il a eu des rapports j
seur des beaux jours où, dans cent lieux différents, on glorifiera la
mémoire
de l’homme illustre qui découvrit la loi magnétiq
mis en les enrichissant. « Gloire à Mesmer, Messieurs, honneur à sa
mémoire
, car ce qu’il nous a transmis est plus qu’une sci
fois interrompu par des applaudissements, montrait clairement que la
mémoire
de Mesmer était vivante dans tous les cœurs, et q
as, en songeant au but de cette réunion, celui de rendre hommage à la
mémoire
d’un homme qui a non-seulement honoré son siècle
ho-norer les imitateurs de son talent ? Comment mieux faire chérir sa
mémoire
qu’en l’associant iv la glorification de scs disc
agnétique par divers travaux, mais par une Lettre adressée à Deleuze,
Mémoire
contenant les aperçus les plus judicieux, les vue
commun des faits nouveaux signalés ou observés par les membres. Le
mémoire
suivant pourra donner une idée des recherches et
clin d’œil dans tous les canaux de la vie, produit les sensations, la
mémoire
, la tristesse ou la joie, la raison ou le vertige
côté de vous; j'ai eu sous votre main des sensations, des joies, des
mémoires
, des tristesses, des délires..... que ma pensée
t suivi les cours de Sorbonne, à l’aris; comme elle avait beaucoup de
mémoire
, ce digne ministre lui avait appris le français
e veille. Mouvements, sensibilité, sensations, émotions, perceptions,
mémoire
, tout a été parfaitement dominé. M. Lewis, le nèg
lieu aussi régulièrement. Le même empire s’exerce également sur la
mémoire
; par exemple, le sujet oublie son nom, celui d’un
orce motrice qui les met en jeu. Le mouvement volontaire, le goût, la
mémoire
, les organes de la vision, de la parole et quelqu
scion son caprice; il le rendait sourd et aveugle; il lui enlevait la
mémoire
complètement el au point d’anéanlir jusqu’au souv
d de « votre cœur, recueillez mes paroles, conservez-les dans « votre
mémoire
, et dans celte vue ne regardez que a ce grand Aut
Nous avons eu des tostes de rigueur et des lostes volontaires. A LA
MÉMOIRE
DE MESMER, DELEUZE, PUYSÉGUR! A LA SANTÉ DE M.
ue l'instinct qui les animait venait à s’éleindre, elles perdaient la
mémoire
de ce qu’elles avaient annoncé. » Ce qui veut d
dix-neuvième siècle : « Toutes les sibylles modernes qui perdront la
mémoire
de ce qu’elles auront dil en consultation, et les
perdront la mémoire de ce qu’elles auront dil en consultation, et les
mémoires
de leur montant, seront proclamées lucides, extra
(1) Aphorisme 504 (2) Hist. crit. du magnét., t. I, p. 122. (3)
Mémoires
, p. 4G. (4) Exposition physiologique, p. 57.
Mesmer, Aplior. 304. — Delouzo, Instruct. prat., p. 81. — Puj--ségur,
Mémoire
, p. 47. (2) Instruction prat., p. 80. çant du
t souvent les malades d’une (1) Aphorismes 240—292. (2) Puységur,
Mémoire
, p. 414. — Despine, Observ. do Médecino pratiquo,
520. (3) Aphorisme 21. (i) Histoire critique, t. I, p. 124. (5)
Mémoires
, etc., p. 107. (6) Ouvrage cité, p. 53-34. (7
se dissipent rapidement sous l’empire de l’harmonie. On lit dans les
Mémoires
de VAcadémie des sciences, 1707-1708, plusieurs o
dans l’endroit désigné; mais cet objet était entièrement sorti de sa
mémoire
. Cette expérience intéressa vivement. Nous suivio
es arts-et-mé-tiers de Bruxelles, 367 ; — 2° Jurisprudence française.
Mémoire
par M. Jules Logerotte, avocat à la Cour d'appel
rès qu'elle a été reflétée de là, la reproduction de l'objet par la
mémoire
; cette sensibilis Ùnpl'essio peut être reflétée
e de découvrir la partie du cerveau, où l'àme exerce ses fonctions.
Mémoires
de l'Académie Royale des sciences. Année 1741, p.
se trouvent en relation étroite avec la conscience, la volonté, la
mémoire
, le sentiment conscient corporel etc. de l'animal
es, cet objet réapparaît, comme on a l'habitude de dire, dans notre
mémoire
et nous revient à la conscience, comme nous ayant
doit être rare. IIertoghe en a rapporté un beau cas (obs. I de son
mémoire
). Par contre, plusieurs auteurs, Tobiesen, 74 C
sexes n'avaient pas la tare dysostosique. XXI 1 94 HULTKRANTZ
mémoire
détaillé sur l'anatomie et la pathogenèse de la d
es médullaires sont toujours normales. - Colella (1903). dans son
mémoire
sur la polynévrite tuberculeuse ne mentionne pa
ermé dans un asile d'aliénés, voilà qui est certain. D'une part, ma
mémoire
, qui cependant est d'une grande sûreté, ne me rap
1 . - -......- 'Le cas qui nous a fourni l'occasion d'écrire ce
mémoire
est le suivant : Alice WherreL, âgée de 18 ans,
ourdonnements d'oreilles, douleurs articulaires, diminu- tion de la
mémoire
, tristesse, sont symptômes fréquents,qu'ils soien
telle que Russel Reynold l'a appelée une « cho- rée des idées ». La
mémoire
est atteinte. Dans les cas atténués, les mala-
iers à faire défaut. Dans certains cas, Charcot, Westphal ont vu la
mémoire
si mauvaise que la lecture était impossible.
, instabilité mentale avec asthénie intellectuelle,diminution de la
mémoire
, fatigue, manque de tonus allant jusqu'à l'impo
ois il s'entête, mais peu de temps ; il a un optimisme accentué. La
mémoire
est très bonne. Il a des colères faciles, s'emb
suivante un travail cérébral intensif, sans tendance au sommeil, la
mémoire
redevenue facile et sûre, avec sensation subjec-
centaines, ainsi que le font remarquer Pierre Marie et Leri dans un
mémoire
récent (1), les autopsies en sont rares, car on n
et les plus intéressants. Les observations qui font l'objet de ce
mémoire
sont caractérisées par quelques particularités
que de celle d'un enfant. Connaissances d'école. Elle a très bonne
mémoire
et se rappelle parfai- tement le peu qu'on lui
ocre. La faculté d'attention est nor- male, l'imagination nulle, la
mémoire
très pauvre. L'affectivité est très déve- loppé
observer qu'il y avait torpeur, somno- lence, affaiblissement de la
mémoire
, et aussi développement énorme du tissu cellula
ologistes. Cette affection qui a faitrécemment l'objet de plusieurs
mémoires
en Allemagne est, croyons-nous, assez peu connu
ence est bien conservée avec un léger degré d'affaiblissement de la
mémoire
. Le caractère est triste. La marche est diffici
me G... Réglée il y a 3 semaines. Intelligence plus que médiocre.
Mémoire
défectueuse ; ne sait par exemple pas si son de
Toutefois la famille nous affirme que, dès la première attaque, la
mémoire
diminua ; après la seconde se montrèrent des ph
our celui-ci un souvenir de l'excitation. Il y a là un phénomène de
mémoire
élémentaire. L'effet persiste même après que la
s toutes ses cellules en même temps et s'il n'avait pas conservé la
mémoire
de son état antérieur. S'il pouvait se transforme
e avec éclat clans le ciel de la suggestion rapporte, et je cile de
mémoire
, qu'un jour, en mangeant des cerises, un noyau
au bout d'un' mois il peut reprendre son travail,ayant conservé la
mémoire
de cette première crise, qui ne laissa pas, che
ns qu'on lui pose. Le jugement fait aussi complètement défaut. La
mémoire
est affaiblie. Interrogé sur les connaissances ac
en. Il fait difficilement une addition très simple. Ses troubles de
mémoire
consistent surtout en amnésie d'évocation avec di
s que même les radiographies publiées par Meige et Allard dans leur
mémoire
ne me semblent pas probantes dans le sens voulu
isme est souvent lié au rachitisme et De Sanctis dans son excellent
mémoire
reconnaît que souvent les infanti- les sont cla
s positifs et encore plus sur les reproductions qui sont unies à ce
mémoire
. D'autres faits sont dignes aussi d'être mentio
et psychique est incontestable. Dans les conclusions de son récent
mémoire
, M. Ilalmagrand admet que « la non-soudure des
ux faits qui,rapprochés de ceux que M. De Sanctis a réunis dans son
mémoire
, suffisent à démontrer que les observa- tionscl
es chèvres d'une capsule surrénale. A ce sujet j'ai montré dans mon
mémoire
récent (Levi elStefanelli) qu'on doit donner au
et particulièrement des ovaires. Dans un des cas publiés dans notre
mémoire
on avait remarqué, la suite de l'ovariotomie, de
telle conclusion nous paraît la seule acceptable quoique selon des
mémoires
récents la question semble définitivement résolue
n de la conduite. Ils ont une faculté de perception assez bonne, la
mémoire
normale, mais l'attention toujours très défectu
ment résumé avec beaucoup de soin dans un long- 448 . ETTORE LEVI
mémoire
les résultais de ses,éLudes sur le psychisme des
2° Pouvoir d'abstraction incomplet ; 3" Energie et fidélité de la
mémoire
insuffisantes ; 4° Défaut d'indépendance et imp
à ce sujet : j'ai recueilli moi-même il y a deux ans dans un court
mémoire
sept cas (dont l'un inédit) dans lesquels l'ané
ard la fatale erreur. En dehors des observations réunies dans mon
mémoire
, d'autres analo- gues furent publiées successiv
3. ACHARD et Démanche. Un cas d'atrophie tesliculaire. Bulletins et
mémoires
de la Société méd. des hôpit., no 38, 27 déc. 1
onsultés avec profit au sujet de la thèse que j'ai soutenue dans ce
mémoire
. in AKTON. Vier Vorlrâge über Eittwickelungssib
m. 1 L'enfant est calme, raisonne bien, lit et écrit volontiers. La
mémoire
est' conservée, l'enfant ne fait pas d'erreur d
t étudié ces troubles sous tous les points de vue ; ses thèses, ses
mémoires
, ses traités classiques, dans toutes les langue
enologia Clinica, Torino, 1907, p. 250. QUELQUES REMARQUES SUR LE
MÉMOIRE
DE M. VALOBRA INTITULÉ : « CONTRIBUTION A L'ÉTU
e (Semaine médicale, 6 jan- vier 1909). QUELQUES REMARQUES SUR LE
MÉMOIRE
DE M. VALOBRA 507 Je ne m'arrêterai pas aux cas
e rigoureux et désobligeant que nous exi- QUELQUES REMARQUES SUR LE
MÉMOIRE
DE M. VALOBRA 509 geons. C'est sur cette consta
la simplicité. ' Une telle simplicité ne va pas sans grandeur.1 La
mémoire
de l'homme qui sut regarder la mort avec cette
ontestablement originaux bien que parfois assez obscurs, tantôt des
mémoires
dans lesquels un luxe d'analyse donne souvent l
our ainsi qu'on peut s'en convaincre en étudiant comparativement le
mémoire
de M. S,4FLL ". En 1894 et en 1896 Wernicke0 pu
r les assertions de l'indi- vidu. Le médecin à qui l'on présente un
mémoire
d'algèbre et de mécanique illustré de dessins c
halée ni de vomissements. Conservation de l'in- telligence et de la
mémoire
. La situation s'aggrava progressive- ment ; les
érale de l'hérédité. M. Sollier donne lecture d'un rapport sur le
mémoire
commu- niqué par M. Orchan=lki dans la séance d
émoire commu- niqué par M. Orchan=lki dans la séance de février. Le
mémoire
se 58 SOCIÉTÉS SAVANTES. compose de deux part
prix Moreau (de Tours), décerne ce prix à M. Bernard-Leroy pour son
mémoire
sur L'illusion de fausse recon- naissance. Une
tt donne lecture du rapport de la commission du prix Belhomme. Deux
mémoires
avaient été présentés. Le prix avec une somme d
on avec une somme de 250 francs est décernée aux auteurs de l'autre
mémoire
, MM. Rodier et Ameline, internes à l'Asile clin
éri après avoir conservé pendant assez longtemps des troubles de la
mémoire
. ' Voir le dernier numéro, juin, p. 476-506.-
- tal s'améliore. Mais pendant plusieurs semaines, la perte de la
mémoire
subsiste. Ma seconde observation est identique à
hoses. - En Italie, Angelucci et Pieraccini ont publié également un
mémoire
très important sur la question. En France, pe
sence de la souffrance physique. Si, comme nous l'exposions dans un
mémoire
présenté à la Société de chirurgie de Paris, ce
. CLINIQUE MENTALE. portent les développements nosographiques de ce
mémoire
. Les prémisses du raisonnement étant fausses, c
réllé- chissant et en rappelant à lui ses souvenirs, il se remit en
mémoire
certains faits qui avaient passé inaperçus et q
etc... est tout il fait régulier. Chen... sait lire et écrire, sa
mémoire
est assez fidèle; mais son esprit n'est pas trè
gurés dans un travail récent de P.-S. de Magalheies ' et dans les
mémoires
plus anciens de Vogt", Bruns3, Jetter4, etc... L'
cerveau intelligent deux groupes de centres : a) des centres de la
mémoire
et du langage intérieur, centres subalternes, c
la forme desquels les sujets observés avaient emmagasiné dans leur
mémoire
l'expression de telle personnalité existant ou
es provoquer ou de les l'aire provoquer souvent chez eux. Plus leur
mémoire
est riche, plns et mieux elle a été meublée dan
Paralysie générale chez une imbécile; par le Dr CoLr.EanE. Dans un
mémoire
sur la démence paralytique chez les imbé- ciles
s psychiques. 1° Les phénomènes intellectuels tels que : attention,
mémoire
, association d'idées, raisonnement, imagination
té, etc.; d'autre part des troubles intellectuels, diminution de la
mémoire
, de la volonté, tendance aux impulsions irrésisti
en 1846 et William Gull 2- en relate plusieurs cas typiques dans un
mémoire
de 1859 'sur les anévrysmes des vaisseaux céréb
tés diffé- rentes et si elle porte sur de grandes facultés comme la
mémoire
, l'intelligence, l'imagination, elle est suscep
sion. M bout de huit mois, amélioration progressive. Troubles de la
mémoire
. Guérison sans affaiblissement intellectuel.
ps et des lieux. Mais il est facile de constater qu'il y a, dans sa
mémoire
, d'importantes lacunes ; l'étendue de ces derni
élat du malade continue à être très satisfaisant. Les lacunes de la
mémoire
, signalées plus haut, persistent sans aucune mo
u début de son affection, ont persisté et persistent encore dans sa
mémoire
. Contrairement à ce qui s'observe dans la major
eignement sur sa vie antérieure. Son attention est peu soutenue, sa
mémoire
très faible. Depuis sa naissance, elle n'a jama
se rend compte de l'endroit où il se trouve, sans avoir récupéré la
mémoire
. Pupilles moins larges, sommeil réparateur pend
propres à développer la faculté du langage chez les idiots : Pas de
mémoire
. 1886. De l'idiotie et en particulier des lésio
, physiolo- giques et psychologiques propres aux criminels : Pas de
mémoire
. 1892. De la vision chez les idiots et les imbé
' Nous pourrions d'ailleurs critiquer sur bien d'autres points ce
mémoire
de Krewer. -Nous retiendrons simplement ceci :
es, ayant leur point de départ dans l'exercice involontaire de la
mémoire
et de l'imagination, et qui sont souvent assimilé
nous pensons à quelque, chose, nous faisons appel à nos diverses
mémoires
. Les multiples souvenirs réveillent en nous des
des attaques en octobre. 1897. - Affaiblissement simultané de la
mémoire
, déchéance intellectuelle, embarras de la parol
evient de plus en plus énervé, on constate un affaiblissement de la
mémoire
et de l'intelligence. Le Dr moufter conclut à l
éographie ; là nous nous trouvons encore en présence d'une perte de
mémoire
, puisqne, d'après sa grand'- mère, en juillet 1
res. - L'attention est de peu de durée, la réflexion impossible, la
mémoire
comme engourdie, l'imagination paresseuse. Un p
ux heures ; l'enfant s'était taquiné avec un de ses camarades. - La
mémoire
revient, l'enfant peut apprendre de petits morc
ENTS NERVEUX REVUE D'ANATOLE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 399
mémoire
se raffermit, l'intelligence réapparaît et le mal
e façon graduelle ». Une petite contradiction est à relever dans le
mémoire
des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434 CLINI
bles psy- chiques non systématisés, obnubilation définitive de la
mémoire
, sans troubles moteurs, on a tout juste le droit
ent diriger. On constate seu- lement un peu d'affaiblissement de la
mémoire
. Elle réclame par tous les moyens qui sont en s
ène à parler de l'origine de ces images motrices conservées dans la
mémoire
. Tout le monde est d'accord pour penser que les
impressions conscientes susceptibles de laisser des traces dans la
mémoire
, nous parait donc un inter- médiaire superflu.
paralysie générale : Affaiblissement intellectuel avec perte de la
mémoire
, oublie facilement ce qu'il a fait, répète impa
deur dans la région occipitale et à la nuque, une diminution de la
mémoire
et de l'acuité visuelle. Intégrité des nerfs cran
lement aux intelligences les plus obs- cures : elles fixent dans la
mémoire
les mouvements commandés. Le son du tambour ou
un homme de bien. Tous ceux qui l'ont connu resteront fidèles à sa
mémoire
et gar- deront de lui un bon et sympathique sou
Strasbourg, 1864. Duboué, Emploi d'un procédé à lambeaux, dans les
Mémoires
de la Société de chiinirgie de Paris, t. YI, 1865
s et des injections calmantes. Le vaginisme, déjà bien connu par un
mémoire
de Michon et Debout, De la contracture spasmodiqu
, Cystocèle vaginale, dans Bulletin de thérapeutique, 1844. Jobert,
Mémoires
de l'académie de médecine, t. VIII, p. 697. Mal
académie de médecine, t. VIII, p. 697. Malgaigne, sur la Rectocèle.
Mémoires
de l'académie royale de médecine^ 1838, vol. VII,
842. Baker-Brown, Surgical diseases of women, LondoU;, 1861. Huguier,
Mémoire
sur tes allongements hypertropldques, Paris, 1860
856. Jobert, de la Réunion en chirurgie, Paris, 1864. Demarquay, dans
Mémoire
de Launay, Gazette médicale, 1864. Maisonneuve,
utérisation rend plus abon-dantes. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. Jobert.
Mémoire
mr la cautérisation. Paris 1833. Mémoire sur les
X BIBLIOGRAPHIQUE. Jobert. Mémoire mr la cautérisation. Paris 1833.
Mémoire
sur les nerfs de l'utérus et la cautérisation du
8, M. Strohl publia Mans la Gazette médicale de Strasbourg, n" jo, un
mémoire
sur le trai-tement du catarrhe utérin par les inj
té de l'uté-rus, août 1846, et Union médicale, n"" 66 et 70. Robert :
Mémoire
sur l'inflammation chronique de la muqueuse utéri
De l'oblitération complète du col de l'utérus chez la femme enceinte.
Mémoires
de l'Acad, de méd. de Paris. 1860, t. XXIV. — Dep
é produits devant la Société obstétricale de Londres, à l'occasion du
mémoire
du docteur Barnes. Le professeur Simpson est pe
ion des gynécologistes ; M. Stoltz a rappelé à ce propos un excellent
mémoire
de Levret sur un allongement considérable ciui su
ision qui sert de base au travail de M. Huguier existait déjà dans le
mémoire
fait par Levret il y a cent ans. Les hypertroph
er ce sujet à fond trouveront les détails les plus minu-tieux dans le
mémoire
de M. Huguier; ajoutons seulement que les inflamm
Bulletins de la Société de chirurgie de Paris, 1838. Maisonneuve.
Mémoire
sur la ligature extemporanée., Paris, 1860, et Cl
Lausanne. De la ligature en masse. Paris, 1838. Mayor de Lausanne.
Mémoire
sur la ligature appliquée à r amputation du col d
de l'utérus, Paris, 1860, p. 182 ; sur les hypertrophies. Huguier.
Mémoire
sur les allongements hypertrophiques du col de l'
onné des succès dans le cas de polypes utéro-folliculaires. Dans un
mémoire
sur l'apparition intermittente des polypes de l'u
chir. de Paris, tom. 11, Paris, 1831, et Rapport de M. Huguier sur ce
mémoire
. Société de chirurgie de Paris. Bulletin de jui
ale, 1844 et 1846. Favrot. Revue médico-chirurg. Janv. 1848. HuUin.
Mémoires
de médecine et de chirurgie pratiques. Paris, 186
de chir. de Paris; sur les polypes du vagin. Février 1834. Letenneur.
Mémoire
sur les polypes du vagin. Nantes 1839. Clarke. Mé
, en se servant d'un onglet métallique, dont nous ne parlons que pour
mémoire
, à cause des dangers auxquels il expose, cherchai
APHIQUE. Atlee. Medîco chirurgical Review, vol. XIV, 1834. Amussat.
Mémoire
sur Panât, patholog. des tumeurs fibreuses de l'u
tre sens, ne doit pas être perdue; nous l'enregistrons ici. De deux
mémoires
publiés par Tyler Smith, sous ce titre : On a new
5" Incision du kyste. — Cette méthode due à Le Dran, a été depuis son
mémoire
mise en pratique un grand nombre de fois notammen
es portant sur SgS opérations, et depuis lors les observations et les
mémoires
se multiplient ; certains chirurgiens ont déjà fa
u. Au moment de terminer cette étude, nous trouvons dans un nouveau
mémoire
de M. Nussbaùm (Mûnchen 1869) des renseignements
d. Kystes tubo-ovariques. Acad. de méd. de Paris, 10 février 1857, et
Mémoires
de la Société de chirurgie de Pans, vol. III. D
r a-Vegas. Paris, 1864. Charcot. Kystes hydatiques du petit bassin.
Mémoires
de la Société de biologie. Paris, 1852, t. IV.
° TRAITEMENT. Ollenroth. London, Médical Gazette, i^^^. Tavignot.
Mémoire
sur l'hydropisie enkystée des ovaires, dans l'Exp
e des hôpitaux. Paris, 9 déc. 1869. Kœberlé. De l'Ovariotomie, dans
Mémoires
de l'Acad. de médecine de Paris. 1864. Laskowsk
ESSAIRES INTRA-UTERINS. Les ligures i, ii, m, iv, v, sont tirées du
mémoire
du D"" Barnes {Transactions of the obstétrical so
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