compose de trois segments : Le cerveau, subdivisé par une scissure
médiane
en deux hémisphères, occupe la presque totalité d
eau, égale-ment partagé incomplètement en deux lobes par une scissure
médiane
. Le névraxe, couché obliquement sur l'os basila
éral. Les trois couches à noyaux correspondent à la traînée blanche
médiane
, nommée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divisions de
tance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers la région
médiane
et centrale de la face interne de chaque hémisphè
actif., centre moyen ou optique, centre postérieur ou auditif, centre
médian
ou sensitif. (Pl. IV, 9, 10, 11, 12). Le centre
un plan plus élevé ; sa structure est aussi moins ferme. Le centre
médian
est situé entre le centre moyen et le centre post
le lobe pariétal supérieur ; un troisième faisceau, situé à la région
médiane
, le faisceau longitudinal supérieur (Pl. VI, 1),
u réseau des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion
médiane
décrit une anse curviligne libre au milieu de la
rieures (forceps posterior). Toutes ces fibres passent sur la ligne
médiane
, les unes au-dessus des noyaux opto-striés et con
utres se dirigent vers la paroi du ventricule moyen et vers le centre
médian
de la couche optique. Un troisième groupe suit un
bourrelet du corps calleux, chaque fascicule se porte vers la ligne
médiane
, s'étale en une bandelette aplatie, s'adosse au b
et sont situés en arrière du corps cendré, de chaque côté de la ligne
médiane
; ils sont composés de cellules fusiformes, absolu
ralement dans la substance grise de la couche optique, vers le centre
médian
. Les pédoncules postérieurs ou inférieurs crois
omposé de deux lobes latéraux réunis l'un à l'autre par un petit lobe
médian
et séparé des lobes occipitaux du cerveau par la
est en contact médiat avec la face postérieure du névraxe. Le lobe
médian
présente une éminence en forme d'arête antéro-pos
iel, passent au-dessus du corps rhomboïdal et se portent vers le lobe
médian
. Les fibres qui proviennent des régions inférieur
y. — Encéphale. A au-dessous du corps rhomboïdal et gagnent le lobe
médian
. Ces deux groupes de fibres constituent la substa
ce médullaire des Vermis superior et inferior ; elles sortent du lobe
médian
et se répandent dans le lobe opposé vers les régi
iant dans les interstices des fibres ascendantes, croise sur la ligne
médiane
les fibres du groupe congénère, continue son traj
res s'entre-croisent avec celles de son congénère en formant un raphé
médian
, gagnent le côté opposé, traversent les interstic
tes s'infléchissent en dedans, s'entre-croisent au niveau de la ligne
médiane
, passent dans le côté opposé à celui d'où elles p
le et se prolonge, dans toute son étendue, de chaque côté de la ligne
médiane
sous la forme de deux colonnes grises à peu près
latineuse de Rolando (Microphotographie, PL G, fig. IV). La portion
médiane
juxtaposée entre les sommets des deux colonnes py
res renferme un groupe de cellules, réunies vers la région interne et
médiane
, qu'on désigne sous le nom de colonne de Clarke o
iters) qu'ils séparent en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, se redressent et continuent en avant leur trajet
es cornes postérieures en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, s'accolent à la face postérieure des pyramides a
e la moelle, en quatre colonnettes formées de chaque côté de la ligne
médiane
par la tête des cornes antérieure et postérieure
; la base des cornes an-térieures se place de chaque côté de la ligne
médiane
, la base des cornes postérieures vient se ranger
stance grise. La base de la corne antérieure se prolonge sur la ligne
médiane
; la base de la corne postérieure envoie un prolon
La base de la corne antérieure se prolonge de chaque côté de la ligne
médiane
sur toute la longueur du plancher du quatrième ve
ssique de l'hypoglosse est situé sur l'extrémité postérieure du raphé
médian
, de chaque côté de la ligne médiane. Ces deux noy
r l'extrémité postérieure du raphé médian, de chaque côté de la ligne
médiane
. Ces deux noyaux sont adossés l'un à l'autre et f
e fasciculus teres, que forme le facial à la partie moyenne du sillon
médian
du plancher du quatrième ventricule. Ce noyau est
dis delà partie supérieure, elle renferme, de chaque côté de la ligne
médiane
, un groupe de cellules multipolaires de 30 à 60 p
de l'aqueduc de Sylvius deux intumescences de chaque côté de la ligne
médiane
; ce sont les tubercules quadrijumeaux. Le noya
bérance, un amas de substance grise forme, de chaque côté de la ligne
médiane
, dans chaque pédoncule cérébral, un noyau transve
présentent un petit orifice, une sorte de hile, tourné vers la ligne
médiane
et un peu en haut. Cette substance grise est comp
lerons corpus Luysii, a une forme semi-lunaire, renflée à sa partie
médiane
. Il est formé par un tissu dense et cohérent, d'u
le. — Les cordons latéraux de la moelle s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, se redressent verticalement et continuent leur m
eurs de la moelle s'inclinent en avant, s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, au-dessus des précédents; s'accolent à la face p
pour se concentrer sur les côtés de l'extrémité postérieure du raphé
médian
, au-dessus de la substance grise du plancher du q
conséquent dans le bulbe, en avant du canal central, contre le raphé
médian
. Une portion des cordons antéro-latéraux n'a pa
du bulbe, se prolongent dans la protubérance de chaque côté du raphé
médian
. Au sommet du bulbe, la portion motrice des pyr
trice des pyramides occupe les côtés de la partie antérieure du raphé
médian
; la portion sensitive prend, au niveau du bord su
se entrecoupée de fibres transversales, qui s'entre-croisent au raphé
médian
. Les cordons antérieurs, dissociés par les fibres
nsversales des pédoncules cérébelleux moyens, de chaque côté du raphé
médian
. Plus haut, ces faisceaux, très faciles à disting
r sa portion interne, entre les pédoncules cérébraux, côtoie la ligne
médiane
, gagne le côté opposé, s'entre-croise avec son co
à la périphérie de la protubérance, s'entre-croise en avant au sillon
médian
; l'autre partie s'insinue à travers les fibres a
e s'insinue à travers les fibres ascendantes, s'entre-croise au raphé
médian
tavec les fibres congénères du côté opposé et dis
delette optique dans le nerf optique du côté homologue. b. Fibres
médianes
, entre-croisées, passant d'une bandelette optique
ortion motrice des pyramides offrant un aspect fascicule. i. Sillon
médian
antérieur. /. Raphé médian. t k. Cordon antér
offrant un aspect fascicule. i. Sillon médian antérieur. /. Raphé
médian
. t k. Cordon antérieur de la moelle; formation
e la corne antérieure. f. Portion motrice des pyramides. g. Raphé
médian
formé par l'entre-croisement des cordons postérie
ian formé par l'entre-croisement des cordons postérieurs. h. Sillon
médian
antérieur. i. Portion sensitive des pyramides.
ortion motrice des pyramides. k. Racine du grand hypoglosse. /. Raphé
médian
. m. Noyau sensitif et fibres radiculaires du gr
upe au niveau de la région supérieure de Volive bulbaire). a. Raphé
médian
. b. Noyau sensitif du grand hypoglosse (noyau c
ÉPHALE I. — Coupe verticale antéro-postérieure, faite suivant F axe
médian
. 1. — La section du cuir chevelu et des parois
res du cerveau. Le bord supérieur convexe est en contact sur la ligne
médiane
avec la surface concave de la lame vitrée des par
é en arrière et en bas avec une lame fibreuse, verticale dans le plan
médian
, la faux du cervelet, située entre les deux lobes
cervelet, située entre les deux lobes du cervelet. 3. — La cloison
médiane
des fosses nasales est recouverte de sa membrane
; en avant, par la lame perpendiculaire de l'ethmoïde et le cartilage
médian
des fosses nasales. Cette cloison n'est pas toujo
ière basilaire; sa face inférieure est rugueuse et porte un tubercule
médian
, tubercule pharyngien qui proemine sur la paroi p
ps renferme deux cavités, sinus sphénoïdaux, séparées par une cloison
médiane
verticale, communiquant avec la cavité des fosses
e droit par la faux du cerveau. L'apophyse crista galli et l'éminence
médiane
de la lame criblée de l'ethmoïde les sépare en av
les fosses occipitales supérieures en arrière. 16. — Coupe du lobe
médian
du cervelet. Les lobes latéraux du cervelet occup
-central, formé par deux circonvolutions séparées par un petit sillon
médian
horizon-tal. En arrière est le lobule pariétal in
e antérieure (6) et les piliers antérieurs du trigone. 9. — Section
médiane
des pédoncules cérébraux, au point où ils se sépa
s troncs des nerfs moteurs oculaires communs. 15. — Section du lobe
médian
du cervelet mettant en évidence la disposition ar
Section du bulbe rachidien présentant les fibres arciformes du raphé
médian
, la substance grise centrale du bulbe (18) et un
re} faite sur rEncéphale précédent à un milli-mètre en dehors du plan
médian
. (Cette série de coupes est faite sur un même c
(Cette série de coupes est faite sur un même cerveau frais, du plan
médian
antéro-postérieur vers la région externe de l'h
ules cérébelleux supérieurs après leur entre-croise-ment sur la ligne
médiane
. En avant et en bas est la substance grise du loc
tre moyen (10) en rapport avec le centre postérieur (11) et le centre
médian
(12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en
ro-pos-térieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. La section porte encore dans l'épaisseur des c
arrière est le centre postérieur de la couche optique (9); le centre
médian
(10) est situé entre ces deux noyaux, dans un pla
ro-posté-rieure de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. Les circonvolutions de la face interne de l'hé
couche optique; elles s'épanouissent dans le centre moyen, le centre
médian
, dont on n'aperçoit que le segment externe (8, 9,
rise de la couche optique, atteignant les segments externes du centre
médian
(16) et du centre postérieur (17). Entre ces deux
ro-pos-térieure de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. La substance grise corticale forme, à la périp
éro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. La substance grise corticale entoure les circo
éro-postérieure de un millimètre d épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. La substance grise corticale forme des traînée
chaque lobe s'isolent des fibres convergentes, passent sur la région
médiane
inter-hémisphérique, pour atteindre dans le lobe
calleux constitué par l'entrelacement et la condensation à la région
médiane
des fibres commissurantes des deux hémisphères. L
la fente cérébrale de Richat. La face supérieure présente un sillon
médian
(4) qui s'étend du genou au bour-relet; de chaque
Les fibres commissurantes forment, par leur condensation sur la ligne
médiane
, le raphé médian (9) et la portion cavitaire ou l
urantes forment, par leur condensation sur la ligne médiane, le raphé
médian
(9) et la portion cavitaire ou la voûte du corps
s la région centrale ; les fibres commissurantes passent sur la ligne
médiane
pour se rendre dans les régions homologues du côt
tés de la couche optique, et vers le bord interne, apparaît le centre
médian
. La toile choroïdienne re-couvre la cavité du ven
s des lobes occipitaux apparaît la section de la région supérieure et
médiane
du cervelet. Les fibres médullaires ont une direc
ieure et interne du centre moyen de la couche optique. 16. — Centre
médian
. Il reçoit par son côté externe des fibres qui on
masse. Le fascicule antérieur de ce faisceau se dirige vers le centre
médian
et la paroi du ventricule moyen. 18. — Pédoncul
e la cloison transparente. 24. — Section de la région supérieure et
médiane
du cervelet. Les fibres médul-laires ont la dispo
e fascicule antérieur (8, Pl. XXII) se porte en dedans vers le centre
médian
et la paroi du ventri-cule moyen. 11 semble par c
que (6, Pl. XX) est réduit à son dernier segment inférieur; le centre
médian
(16, Pl. XXII) a acquis toutes ses dimensions; il
s godronné ou fascia dentata. La section de la région supérieure et
médiane
du cervelet représente la disposition transversal
vergentes des régions posté-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre
médian
, vers la substance grise centrale de l'axe. 7.
aisceau de Vicq-d'Azyr (Pl. III). 12. — Segment inférieur du centre
médian
. Les fibres convergentes pénètrent dans la substa
s des régions internes du lobe occipital. 14. — En dedans du centre
médian
apparaît le faisceau des fibres efférentes des no
obes latéraux du cervelet. Les fibres médullaires traversent la ligne
médiane
, mettent ces deux lobes en connexion. Cette secti
antérieure {luette) (23) et la partie postérieure (24) de l'émi-nence
médiane
inférieure du cervelet nommée vermis inferior.
es, appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. Sur la ligne
médiane
est l'ouverture du quatrième ventricule, limitée
t). La section du cervelet comprend les lobes latéraux etl'éminence
médiane
inférieure, vermis inferior. Dans l'intérieur de
tilling. Ce petit noyau a une forme semi-lunaire, renflée à sa partie
médiane
. Il émet par son bord antéro-externe des fibres n
ébelleux supérieurs, processus cerebelli ad testes (26). Sur la ligne
médiane
, un groupe de fibres commissurantes met en connex
égions antérieures et inférieures se portent en arrière vers la ligne
médiane
; les fibres convergentes pénètrent par quelques
rent. La section a mis à découvert une grande étendue de la portion
médiane
de la commissure blanche antérieure (20, Pl. XXVI
rs qui se dirigent en avant et en haut, s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, puis de là se portent vers les noyaux rouges de
bral et se dirigent d'arrière en avant. 10. — Section de la portion
médiane
de la commissure blanche antérieure; ses branches
quatrième ventricule. La paroi antérieure est traversée par le sillon
médian
; de chaque côté de ce sillon apparaissent deux sa
corps rhomboïdal. 24. — Entre-croisement de ces faisceaux au raphé
médian
. Après avoir gagné le côté opposé à celui de leur
au corps strié (14. Pl. XXX). Entre ces deux segments est le raphé
médian
, la substance grise centrale de Taxe, qui se cont
re à l'intérieur de chacun des lobes cérébelleux, réunie sur la ligne
médiane
par des fibres commissurantes. A l'intérieur appa
issurantes du lobule orbitaire se dirigeant en arrière, vers la ligne
médiane
. 2. — Fibres arciformes dépendant du groupe qui
upées par des fibrilles très fines, qui s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, appartenant à la région antérieure des pédoncule
occupent le centre ; elles se réunissent Tune à l'autre sur la ligne
médiane
. En avant est la substance grise de l'espace perf
t le volume d'un pois ; ils sont situés un de chaque côté de la ligne
médiane
, entre le tuber cinereum et l'espace perforé post
sa Gavoy. — Encéphale. 15 masse et s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, sous le nom de pédoncules cérébelleux moijens. L
s la bandelette opposée (fibres commissurantes) ; un second faisceau,
médian
, croise, sur la région centrale du chiasma, son h
se de la protubérance annulaire ; elles s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, où elles forment un raphé médian. 14. — Faisce
lles s'entre-croisent sur la ligne médiane, où elles forment un raphé
médian
. 14. — Faisceaux moyens des fibres efférentes é
s rhomboïdal ; ces deux centres mé-dullaires sont réunis sur la ligne
médiane
par un groupe de fibres commissurantes. En haut
ale de Bichat ; leur entre-croisement constitue un raphé sur la ligne
médiane
(2). 3. — Fibres convergentes des régions supér
ules cérébelleux supérieurs (11). La section ayant enlevé la région
médiane
et inférieure du cervelet, le quatrième ventricul
de la moelle; sa forme est celle d'un losange que traverse le sillon
médian
(12) qui se continue en haut avec l'aqueduc de Sy
un petit renflement situé au niveau du bec du calamus sur les cordons
médians
postérieurs du bulbe. Ces cordons se continuent e
lleux inférieurs (17). Ils sont séparés l'un de l'autre par le sillon
médian
postérieur du bulbe, et limités sur leur bord ext
nt un trajet curviligne et consti-tuent, parleur passage sur la ligne
médiane
, le bourrelet du corps calleux. Les fibres commis
dons grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons
médians
postérieurs ou cordons de Goll, le sillon médian
rveuses des cordons médians postérieurs ou cordons de Goll, le sillon
médian
postérieur du bulbe qui les sépare. Sur leur bord
uement vers le bulbe rachidien, auquel ils s'unissent. 13. — Sillon
médian
du quatrième ventricule, en continuité en haut av
ntral du bulbe rachidien (14). 16. — Fibres médullaires des cordons
médians
postérieurs, limités sur les côtés par la substan
bstance grise des tubercules qua-drijumeaux. Au-dessous est le sillon
médian
du quatrième ventricule (12, Pl. XXXIV), se termi
inant un V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des cordons
médians
postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des
en dedans. Les fibres de ces cordons s'entre-croisent sur la ligne
médiane
et vont former la portion motrice des pyramides a
centre postérieur (12, Pl. XXXVIII) est enlevé; on aperçoit le centre
médian
en dessous et un peu en dehors du centre moyen et
on-cules cérébelleux supérieurs, après leur entre-croisement au raphé
médian
. La substance grise du locus niger de Sœmmering
et la substance grise qu'elle renferme et s'entrelacent sur la ligne
médiane
avec leurs homologues issues du lobe du côté oppo
s régions latérales ne sont pas en continuité avec celle de la région
médiane
, ainsi qu'on pourrait le supposer au premier exam
ibres du taenia semi-circularis. 12. — Centre moyen. 13. — Centre
médian
. 14. — Section des pédoncules supérieurs de la
ieure des cordons latéraux de la moelle qui s'entre-croisent au raphé
médian
. 28. — Cordons postérieurs de la moelle s'incli
me ; le centre moyen a acquis ses plus grandes dimensions ; le centre
médian
n'est représenté que par sa partie la plus antéri
on sensitive des pyramides (25; Pl. XL) s'entre-croisent sur la ligne
médiane
du bulbe, mais elles ne sont plus en continuité a
corps olivaire traversent sa substance grise pour gagner sur la ligne
médiane
les fibres homologues du côté opposé. XLII. — C
ntre moyen de la couche optique. 13. — Portion antérieure du centre
médian
. 14. — Portion antérieure ou segment antérieur
se de Sœmmering. La substance grise interpédonculaire occupe la ligne
médiane
au-dessus de la protubérance. De chaque côté de
ligne médiane au-dessus de la protubérance. De chaque côté de l'axe
médian
, les fibres spinales antérieures s'inclinent en d
térieures ou portion motrice, s'cntre-croi-sent plus bas sur la ligne
médiane
(25, Pl. XLII) et se continuent, du côté opposé d
rou borgne par Vicq-d'Azyr. Cette fossette se continue avec le sillon
médian
, qui occupe la face an-térieure du bulbe rachidie
inales constituent un faisceau qui descend de chaque côté de la ligne
médiane
, à travers la protubérance annulaire et le bulbe
es pyramides. 24. — Trou borgne de Vicq-d'Azyr, au sommet du sillon
médian
antérieur du bulbe rachidien. 25. — Segment ant
ptiques. Les fibres postéro-internes sont commis-surantes, les fibres
médianes
passent dans le nerf optique du côté opposé, les
obe à l'autre dans les régions homologues et constituent sur la ligne
médiane
la portion antérieure du corps calleux. Les fibre
xterne du segment moyen du corps strié (voir Pl. XXVII). Sa portion
médiane
est croisée perpendiculairement par les piliers a
es se portent en dedans, puis se relèvent et convergent vers la ligne
médiane
(voir PL VII). Les fibres convergentes se dirig
e grise des parois du ventricule moyen. 14. — Section de la portion
médiane
de la commissure blanche antérieure, en rapport a
es régions homologues du lobe du côté opposé, en formant sur la ligne
médiane
la portion réfléchie ou genou du corps calleux.
icule de la cloison transparente. Chaussier l'appelle sinus du septum
médian
; VVenzel le désigne sous le nom de premier ventr
rise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de Sylvius, sur la région
médiane
de l'encéphale ; chacune de ces couches de substa
égions inférieures. Ces faisceaux curvilignes s'adossent sur la ligne
médiane
où ils forment la portion réfléchie du corps call
vité est close en avant par le rapprochement progressif de la portion
médiane
des fibres commissurantes des régions supérieures
..... 00 I. Coupe verticale antéro-postérieure, faite suivant l'axe
médian
............ 55 II. Moitié latérale gauche de l'
, faite sur l'Encéphale précédent à un millimètre en dehors du plan
médian
............................ 62 IV. Coupe vertic
o-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
............ 66 VI. Coupe verticale antéro-posté
o-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
............. 70 VIII. Coupe verticale antéro-po
o-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
............ 73 X. Coupe verticale antéro-postér
o-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
........... 75 XII. Coupe verticale antéro-posté
o-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
............ 79 XIV. Coupe horizontale antéro-po
. - Qa, tubercule quadriju- meau antérieur. - 7 ! m, ruban de Itcil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgA
t obliquement en bas et en dedans et forment, avec le plan sagittal
médian
, un angle à sommet inférieur d'autant plus gran
L2, XL3, les trois segments du noyau lenticulaire. - NM, centre
médian
de Luys. - 0,, 0" première, deuxième circon-
e de la capsule devient donc ici presque parallèle au plan sagittal
médian
. Dans le segment rétro-lenticulaire de la capsule
et en dedans, est oblique en bas et en dehors et forme avec le plan
médian
un angle à sommet supérieur, qui est d'environ
ifférents segments de la capsule interne par rapport au plan sagittal
médian
. La zone de transition entre la région thalamiq
NL3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). - Vm, centre
médian
de la couche optique. - PaTh, pédoncule antérie
ouge passant par les radiations de la calotte. - Rm, ruban de Iteil
médian
. - Iil'h, radiations optiques de Gra- tiolet. -
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Iteil
médian
. - CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. C,'7,
. - IiC, radiations de la calotte. - Rgltm, région du ruban de Reil
médian
. - 11Tlc, radiations thalamiques. - S(p) branch
NA,noyauamygdalien.-i1'C'yueue du noyau caudé. - Rm, ruban de Iteil
médian
. Sti, substance innominée sous-lenticulaire de
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Heit
médian
. - CA, corne d'Ammon. - Ce (g), genou du corps
jumeaux antérieur. -RC, radiations de ta calotte. 7 ? ruban de Reil
médian
; 7 ? région de la couche optique située immé- d
NERVEUX. tubercule quadrijumeau antérieur. - 71M ! , ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations opti- . ques de Gratiolet. -
laire. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Rm, ruban de Heil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, s
n arrière, traversent le locus niger et s'accolent au ruban de Reil
médian
dans les régions inférieures du pied du pédon-
sversales de la protubérance (Eig. 36), s'adossent au ruban de Reil
médian
dans son trajet protubérantiel, puis rentrent dan
la protubérance et s'accolent à la partie interne du ruban de Reil
médian
. Plus bas, elles rentrent dans Fig. 35. - Le pi
érieur (xiPcs). - l'Lp, pes lemniscus profond. lIlII, ruban de Reil
médian
. RL, ruban de Reil latéral. - NIIl, noyau du ru
es fibres transversales du pont et leur adossement au ruban de Reil
médian
. - Coupe transversale du pédon- cule cérébral p
isement inférieur. - RI, ruban de Reil latéral. - Rm, ruban de Reil
médian
; les fascicules arrondies appartiennent à la voie
el. - Qa, tubercule quadriju- meau antérieur. - Riel, ruban de Reil
médian
. - RgRm. région du ruban de Reil médian. - SgAq
érieur. - Riel, ruban de Reil médian. - RgRm. région du ruban de Reil
médian
. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylviu
antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
; lil, ruban de Reil latéral ; sec, sillon du co
ennent de la partie antérieure du lobe pariétal, croisent le centre
médian
de Luys (Nm) et le noyau semi- lunaire de Flech
partie inférieure de la région thalamique et intéressant le centre
médian
de Luys, les trois segments du noyau lenticulai
, deuxième et premier seg- ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). - pCR, pie
ments du noyau lenticulaire. - Nm, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). - pCR, pied de la couronne rayonnante
, radiations du genou et du bec du corps calleux. Rm, ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgA
isième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. - noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). - PaTh, pédo
segments du noyau lenticulaire. - noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). - PaTh, pédon- cule antérieur du thal
Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - rgRm, région du ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sex
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Iteil
médian
. Ce, capsule externe. Cgi, corps genouillé intern
traverse le champ de fibres situé au-dessous et en arrière du centre
médian
de Luys (Nm), champ que nous avons désigné sous
de la calotte du pédoncule cérébral et s'adossent au ruban de Reil
médian
(Rm), en formant le pes lemniscus profond (Voy.
otte, et s'accolent dans une partie de leur trajet au ruban de Reil
médian
(Rm); elles consti- tuent le pes lemnicus profo
externe de la pyramide et celle des fibres.si tuées le long du sillon
médian
antérieur dans le cordon antérieur de la moelle
lles occupaient dans la moelle le cordon antérieur, le long du sillon
médian
antérieur. Quant aux autres fibres striées (Cbr
on, soit une atrophie de la bandelette optique, ou du ruban de Reil
médian
(Fig. 57 et 58, cas Pichepin, voy. aussi cas Ri
umeau postérieur. - Rl, ruban de Iteil latéral. - R1 ? ruban de Iteil
médian
atteint à droite de dégénérescence ascendante c
ssinés à un même grossissement. atrophie indirecte du ruban do Reil
médian
dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (
prendre un autre exemple, la voie pédonculaire et le ruban de Reil
médian
se trouvent sectionnés par une lésion protubérant
ire et une dégénérescence exclusivement ascendante du ruban de Reil
médian
. Mais, dès que la lésion protubérantielle est un
erne, et une dégénérescence rétrograde descendante du ruban de Reil
médian
, dans son trajet bulbaire. Ces dégénérescences
ijumeau postérieur et le bras de ce tubercule; sur le ruban de Reil
médian
et les noyaux des cordons de Z3ztrdacJt et de G
Atrophie indirecte de la partie ventrale du tha- lamus et du centre
médian
(Nm). Atrophie en masse du corps de Luys (CL), du
(NL2, NI.)), la partie ventrale du thalamus (Fig. 67, 68), le centre
médian
de Luys (\m), le FiG. 69. - Cas Pradel. Coupe h
e antérieure (coa). Atrophie indirecte de la région du mban de Reil
médian
(rgRm). - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur natu
égère de la bandelette optique. Atrophie indirecte du ruban de Reil
médian
. - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIB
uent le pes lemnicus profond (p. 51), s'a- dossent au ruban de Reil
médian
(Rm) et représentent les fibres aberrantes de l
mal. La dégé- nérescence se cantonne entre le pulvinar et le centre
médian
de Luys (Nm), dans cette région ventrale du tha
fais- ceau de Turck (FT). Atrophie se- condaire du ruban de Reil
médian
droit (Rm) (a), du pédoncule céré- belleux su
Atrophie des noyaux pontiques. Atropine indirecte du ruban de Reil
médian
droit (Hm (a) et du pédoncule cérébelleux supérie
es arrondis aberrants de la voie pédonculaire dans le ruban de Reil
médian
sain ou gauche; absence de ces fascicules dans le
e antérieure droite (Py a). Alrophie indirecte du ruban de Reil
médian
droit (Rm a), de l'entre- croisement piniform
rales (fPylil). La pyramide droite agénésiée (Py a) borde le sillon
médian
antérieur, s'entre-croise (xPy) sur la Fig. 155 e
agé- ncsiee forme une petite zone sclérosée qui borde le sillon
médian
anté- rieur de la moelle épi- nière. Des fibr
e autre partie, poursuivant son trajet descendant le long du sillon
médian
antérieur (faisceau pyramidal direct) (FPyd (a)
46) et le développement presque normal de sa partie ventrale (centre
médian
de Luys ]Il), noyau semi-lunaire (nif) (Iviô. l
té du noyau rouge, des radiations de la calotte et du ruban de Reil
médian
dans son trajet pédonculaire et protubérantiel.
o Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, et du ruban de Rei-
médian
. Dégénéres- cence des couches sagittales du s
stérieur, les corps genouillés externe et interne, le ruban de Reil
médian
à la partie supérieure de la calotte pédonculaire
pes lemniscus supei-il- ciel. 3° Dégénérescence du ruban de Iteil
médian
. Méthode de Weigert. Cogery il existe une dégén
Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, 1'gp, et du ruban de Reil
médian
. Dégénéres- cence des couches sagittales du s
'ul), le ruban de Reil (lim) immédiatement au-des- sous du centre
médian
de Luys (1\m), enfin le pilier postérieur du
u tubercule mamillaire; 3° par suite de la lésion du ruban de lieil
médian
(Rm), une diminution de volume considérable de ce
um intermedium (Stri). Dégénérescence rétrograde du ruban de Reil
médian
. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nalure. Dan
corps genouillé interne, et la région dite région du ruban de Reil
médian
; il sec- tionne (Fig. 189) le segment postérieu
eau postérieur (BrQp); dégénérescence rétro- grade du ruban de Reil
médian
(Itiii). Intégrité du noyau rouge (P\R) et de sa
do Turck. 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gion du ruban de Reil
médian
et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur; e
postérieur (Br Qp) et une dégénérescence rétrograde du ruban de Reil
médian
(Rm). d. Lésion du segment rétro-lenticulaire d
s du tiers interne du pied du pédoncule. Intégrité du ruban de Reil
médian
, du noyau rouge et de sa capsule de libres. Mét
bral. Il existe dans ce cas une intégrité parfaite du ruban de Reil
médian
(Rm), du noyau rouge (NR) et de sa capsule de f
e unique, commune aux deux hémisphères, mais étranglée sur la ligne
médiane
et limitée à ce niveau, en avant, en haut et en a
e corps, ses deux moitiés étant rejetées de chaque côté de la ligne
médiane
et occupant à peu près la situation des piliers
baires très saillantes sont séparées l'une de l'autre par un méplat
médian
qui loge le tronc basilaire. Tous les nerfs crâni
t une cavité ventriculaire unique, étranglée en bissac sur la ligne
médiane
par la scissure inler- z hémisphérique, mais do
a paroi inférieure de la cavité ventriculaire présente : sur la ligne
médiane
, le corps du trigone, formation triangulaire bo
cavité ventriculaire unique (VI), étranglée en bissac sur la ligne
médiane
par la scissure interhémisphérique (sih), entou
, le faisceau rétroflexe (F.1), le pied du pédoncule (P), le centre
médian
de Luys (i\m) et la partie postérieure du thalamu
missure postérieure (cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil
médian
(Ilm). La partie postérieure du thalamus (Th) est
'une petite lame verticale étendue du trigone au repli falci- forme
médian
qui fait saillie dans la cavité ventriculaire uni
eures du bulbe font complètement défaut et de chaque côté du sillon
médian
a ntérieur du bulbe on ne trouve que les petits
TION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 195 on trouve, de chaque côté du sillon
médian
antérieur, une légère saillie dépourvue de fibr
aux pyramidaux directs et croisés, c'est- 'L-dire le long du sillon
médian
antérieur et à la partie postérieure du cordon la
abenula (Gh, Fig.20G) avec son faisceau rétroflexe (Fil), le centré
médian
de Luys (Nm). La partie postérieure du thalamus
ialaniiiiiies. 198 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le ruban de Reil
médian
(Rm) est bien développé et peut être suivi dans s
que dans la partie ventrale du thalamus autour et en dehors du centre
médian
de Luys. Le cervelet et ses pédoncules cérébell
e perfore antérieur, la circonvolution du crochet, et, sur la ligne
médiane
, le losange opto-pédonculail c. Le cervelet par
be sont absentes, et il existe ici, comme dans le cas Long, un méplat
médian
bordé de chaque côté par la saillie des olives
al (Fig. 217 et 226), et en avant, par une mince cloison verticale et
médiane
que les coupes montrent formée par le ganglion
ie an 1 éro-iuféricme du noyau caudé où un diverticule inférieur et
médian
de la cavité ventriculaire la sépare de la lame
x hémisphères entre eux : elles atteignent, puis dépassent la ligne
médiane
, s'irradient dans l'hémisphère du côté opposé e
ge) à la partie inférieure de la tête du noyau caudé un diverticule
médian
, inférieur ou frontal de la cavité ventriculaire
ercule quadii- jumeau antérieur (Qa), le pulvinar (l'ul), le centre
médian
de Luys (1\'111), le corps de Luys (CL), et la
légie, - lorsqu'il existe deux lésions symé- triques, ou une tumeur
médiane
comprimant les deux lobules paracentraux. Elles
ons indirectes il est vrai - du lobe pariétal avec le ruban de Reil
médian
(Voyez IIe partie, Ruban de Iteil). Nous avons
gle du champ visuel de la moitié saine, passe, non pas par la ligne
médiane
, mais à 5 ou 10 degrés en dehors, respectant ai
lvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - 7 ? ruban de Hell
médian
. - Spa, substance per- forée antérieure. - Ti,
gner d'anesthésie de la moitié opposée du corps si le ruban de Reil
médian
participe à la lésion. Les mêmes réflexions s'a
le thalamus et s'arborise clans le noyau externe et dans le centre
médian
de Luys. De là partent de nouveaux neurones - neu
u antérieur. - Ne, noyau externe. - Ni, noyau interne. - Sm, centre
médian
du thalamus. - Nii, noyau rouge et sa capsule d
e la couronne rayonnante. - Tg, corps du trigone. - s7.q, le sillon
médian
de sa face inférieure. - Tga, le pilier antérieur
nt au-dessous de la lame névroglique, s'entre-croisent sur la ligne
médiane
avec des fibres de même nom du cùlé opposé, et
situé au-dessous du corps calleux (Fig. 257,258). Un profond sillon
médian
(s Tg), d'autant plus étroit que l'on considère de
e tronc du corps calleux dans le plan du noyau rouge et du centre
médian
de Luys; 4° dans le plan du champ de Forel et d
dedans et en avant, et atteint bientôt la partie profonde du sillon
médian
du corps du trigone. Il se place an-dessous de
dance dans toute la longueur du corps du trigone. Lorsque le sillon
médian
du Irigone se rétrécit (Fig. 258,3 et 4), le fa
ux, on les trouve sur les coupes sagittales très voisines du plan
médian
; au niveau du bourrelet, il faut a cause de l
sa face inférieure, puis se conti- nuent avec les plexus choroïdes
médians
du troisième ventricule. La fim- bria cesse de
rme la paroi interne dn ventricule latéral et se soude sur la ligne
médiane
à la corne d'Ammon du côté opposé. De celte dis
le plus volumineux; il se poite en dedans, s'enchevêtre sur la ligne
médiane
avec le faisceau homologue du côté opposé et fo
eptum [Ganser]). Le fornix longus forme, de chaque côté de la ligne
médiane
, un faisceau aplati et compact de fibres fortem
ventricu- laire par la substance grise centrale, mince sur la ligne
médiane
et il la partie interne du ganglion interne, be
en dehors du noyau rouge (Fig. 277) vers la région du ruban de Reil
médian
(Fig. 3 ? lui., 23), au delà de laquelle nous n
hors, dans le locus niger, une autre partie croise le ruhan de Reil
médian
, une autre enfin s'épanouit en éventail dans la
ccolent dans les régions pédonculaires inférieures au ruban de Reil
médian
, mais s'en séparent déjà dans les régions protu
ielles supérieures, de telle sorte que l'intégrité du ruban de Reil
médian
est absolument parfaite dans la région protubéran
oyau externe, s'étend à la partie ventrale de ce noyau et au centre
médian
de Luys (Nm),et occupe en particulier cette par
terne que nous avons désignée sur le nom de Région du ruban de Reil
médian
(Hg Rm, Fig. 284). Elle respecte toutefois le rub
il médian (Hg Rm, Fig. 284). Elle respecte toutefois le ruban de Reil
médian
(Um, Fig. 285) lequel apparaît sain sur toutes
égénérées que le pes lemnicus profond (PLp) envoie au ruban de Reil
médian
; il existe enfin une dégénérescence de la parti
ne du thalamus (Ne), de la lame médullaire externe (Lme), du centre
médian
de Luys (Nm) et de la région du ruban de Reil
), du centre médian de Luys (Nm) et de la région du ruban de Reil
médian
(RgRm). Intégrité du ruban de Reil médian (Fig.
région du ruban de Reil médian (RgRm). Intégrité du ruban de Reil
médian
(Fig.28S) dans la région pé- donculaire supérie
iculier sa couche ventrale, au niveau de la région du 'uban de Reil
médian
et s'étend au centre médian de Luys (Nm); en bas,
au niveau de la région du 'uban de Reil médian et s'étend au centre
médian
de Luys (Nm); en bas, elle peut être suiv ie ju
du bras du tubercule 41tiadi,i,ju- meau antérieur (BrQa), du centre
médian
de Luys (Nm).Dé2ëneresccnce du globus pallidus(
XL2, VG3, les trois segments du noyau lentri culaire. - Nm, centre
médian
de Luys. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thal
diées du noyau externe (Ne) du thalamus. Dégéné- rescence du centre
médian
de Luys (Nm) et de la région dite du ruban de Rei
e du centre médian de Luys (Nm) et de la région dite du ruban de Reil
médian
. 2° Lésion du putamen et du globus pallidus (Fi
thalamus (Fig. 29G), qui se continue autour et en dehors du centre
médian
de Luys (Nm, Fig. 297 et 298) e dont l'intensit
et du pulvinar (Pul). Dégénérescence cle la région du ruban de Reil
médian
(RgRm) et de la commissure postérieure consécut
escence du système de fibres striées a dis- paru ; le ruban de Reil
médian
et le noyau rouge ne contiennent que quelques r
- cicules aberrants de la voie pédonculaire dans le ruban de Reil
médian
. Intégrité des parties interne et externe du pi
genouillé interne, une dégénérescence de la région du ruban de Reil
médian
(Rg Rm), qui fait suite sur les coupes séri ées
e sur les coupes séri ées a la dégénérescence qui entoure le centre
médian
de Luys; 2° une dégénéres- cence de la capsule
édoncule cérébral (Fig. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Reil
médian
(Rm), la formation réticulée (SR) ne contiennent
lier do e l'anse lenticulaire, ne s'étend ni au ru- han de Reil
médian
, ni aux radiations de la calotte, ni au fais-
'adossent à la partie externe et à la partie interne du ruban de Reil
médian
dans GANGLIONS IIVrRICOR'fICAUI : CORPS STRIÉ.
vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni), du centre
médian
de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire de Flechsig (
e vitreuse des cellules du noyau interne du thalamus (Ni) du centre
médian
de Luys (Nm), du noyau semi-lunaire (NF) et de la
), il n'existe dans ce cas aucune dégé- nérescence du ruban de Reil
médian
(Rm), dans son trajet pédonculaire (Fig. 308 et
p) et le pes lemniscus superficiel (PLs), s'adossent au ruban de Reil
médian
qu'il existe une dégénérescence de ce faisceau,
pas le sillon pédonculo-protubérantiel. Intégrité du ruban de Reil
médian
malgré une dégénérescence de l'anse lenticu- la
t lenticulaire de Forel n'en- voient pas de fibres au ruban de Reil
médian
. 5° Que les fibres du faisceau thalamique et du
les noyaux externe et interne, et le désigna sous le nom de centre
médian
. Meynert (1870), frappé par la diffé- rence d'a
interne et le pulvinar. Avec v. Monakow, nous considérons le centre
médian
de Luys comme une dépendance du noyau interne, ma
est remarquable par sa pauvreté en fibres à myéline. Dans le centre
médian
de Luys et dans la couche ventrale du thalamus,
yaux est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le centre
médian
de Luys (Nm). A l'état frais, le noyau interne
antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau postérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
; lil, ruban de Reil latéral; - sec, sillon du c
lamus, dans les régions thalamiques moyenne et inférieure. Centre
médian
de Luys (Nm), (Fig. 15, 43, 47, 311). Au noyau
, 311). Au noyau interne de la couche optique se rattache le centre
médian
de Luys (Nm); c'est un noyau irrégulièrement sp
é Ses connexions corticales. Ses connexions striées. Centro
médian
do Luys, dépendance du noyau interne. 330 A
e interne. Malgré la fusion si intime du noyau interne et du centre
médian
de Luys, ces deux noyaux se distinguent très bi
par le carmin ou traitées par la méthode de Weigert- Pal. Le centre
médian
de Luys est très riche en fibres à myéline; il ap
es colorées suivant la méthode de Weigert. Les cellules du centre
médian
de Luys sont petites, triangulaires ou fusiform
lièrement abon- dant dans les parties postéro-inférieures du centre
médian
. Il se confond à ce niveau avec cette épaisse c
che de fibres situées à la partie postéro- inféro-externe du centre
médian
de Luys, que nous avons désignées sur nos figur
ns désignées sur nos figures sous le nom de région du ruban de Reil
médian
, et à laquelle font suite, dans les régions inf
inférieures, les radiations de la calotte (RC) et le ruban de Reil
médian
(Rm). Chez le chat, le chien, le lapin, la taup
hat, le chien, le lapin, la taupe, etc., le noyau homologue au centre
médian
de Luys affecte une forme rubannée; il est situ
ore le trajet que suivent les cylindres-axes des cellules du centre
médian
de Luys, nous savons toute- fois que ce centre
ar la région de la calotte et par la région sous-optique, le centre
médian
de Luys reçoit un certain nombre de fibres du rub
itudinales de la formation réticulée. Ces fibres abordent le centre
médian
de Luys par sa 1'ic. 311. Coupes sagittales des
c. 311. Coupes sagittales des corps opto-striés, passantpar le centre
médian
de Luys, le corps de Luys et le pédoncule olfac
yau externe. - Ni, noyau interne de la couche optique. - Nm, centre
médian
de Luys, séparé de la lame médullaire interne (
la région de la calotte, en particu- lier avec le ruban de Reil
médian
, le pé- doncule cérébelleux supérieur et la f
te la hauteur de sa face externe, puis s'y ter- minent. Le centre
médian
de Luys représente donc une sorte de relais gan-
rieure de la lame médullaire interne s'accentue et sépare le centre
médian
de Luys (Nm) de la région du ruban de Reil médi
sépare le centre médian de Luys (Nm) de la région du ruban de Reil
médian
(rgRm), du bras du tubercule quadrijumeau posté
n dehors du faisceau rétroflexe de Meynert (FM) et du ruban de Reil
médian
(Rm), en dedans du noyau semi-lunaire de Flechs
de la calotte (RC), les postérieures situées au voisinage du centre
médian
de Luys se rendent dans la région du ruban de R
du centre médian de Luys se rendent dans la région du ruban de Reil
médian
. La lame médullaire interne est formée de fibre
rrière, du noyau antérieur (Na), du noyau interne (Ni) et du centre
médian
de Luys (Nm) (Fig. 21). En dehors, il est recouve
adiations de la calotte (RC) (T. Il ? Fig. 285) et le ruban de Reil
médian
(Rm); 4° son tiers postérieur, enfin, est en rapp
noyau rouge. Les fibres postérieures sont comprises enlre le centre
médian
de Luys et le corps genouillé interne; elles oc
vons désignée sur nos coupes sous le nom de région du ruban de Reil
médian
(RgRm) (Fig. 47, p. 69 et Fig. 312) et se conti
sous-optique et dans la calotte pédo nculaire avec le ruban de Reil
médian
et les radiations de la calotte. Le ruban de Re
an de Reil médian et les radiations de la calotte. Le ruban de Reil
médian
est formé dans ces régions par un dense feutrage
qui entoure la partie postérieure, inférieure et externe du centre
médian
de Luys; les radiations de la calotte se caractér
partie ventrale du noyau externe; il est situé en dehors du centre
médian
de Luys (Nm) qu'il entoure à la façon d'un croi
ts. En dedans, la lame médullaire interne (Lmi) le sépare du centre
médian
de Luys; en dehors, une petite lamelle médul- l
Fth); en arrière, il ebt en rapport avec la région du ruban de Reil
médian
(RgRm) (Fig. 47 et 312); en bas, il repose sur
tubercule quadrijumeau antérieur. - rg Rm, région du ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sage,
ostérieur du noyau externe, en par- ticulier au voisinage du centre
médian
de Luys, la disposition des cel- lules nerveuse
avant du corps genouillé interne, en arrière et en dehors du centre
médian
de Luys et correspond à cette partie que nous a
rtie que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil
médian
(RgRm). Le troi- sième, ou interne, représenté
mite est constituée par le ganglion de l'habenula (Gh) et le centre
médian
de Luys (Nm). Plus bas encore (Fig. 47, p. 69),
es lemniscus superficiel situé à la partie interne du ruban de Reil
médian
. - l'o, protubérance. - pns, sillon prérolandiq
dier dans la première circonvolution temporale. - Rm, ruban de Reil
médian
. - RQa, radia- tions du tubercule quadrijumeau
quadrijumeau postérieur (BrQp) le sépare en avant du ruban de Reil
médian
(Rm, Fig. 313). Le corps genouillé interne est
o-seisoi-iels. Par la partie ventrale du noyau externe et le centre
médian
de Luys, elle reçoit le ruban de Reil médian; par
u externe et le centre médian de Luys, elle reçoit le ruban de Reil
médian
; par le corps genouillé externe et le pulvinar,
s le pulvinar (Pul), la partie ventrale du noyau externe, le centre
médian
de Luys (Nm), et occupe plus particulière- ment
(Nm), et occupe plus particulière- ment la région du ruban de Reil
médian
(rgRm) et celle du faisceau thalamique de Forel
sule du noyau rouge (CNR), mais elle ne s'étend ni au ruban de Reil
médian
(Rm) dans la région pédoncu- laire supérieure,
et qui abandonnent à différentes hauteurs du bulbe le ruban de Reil
médian
pour rentrer dans la constitution de la pyramid
us particulièrement la partie ventrale du noyau externe elle centre
médian
de Luys et détrui- sent par conséquent un nombr
plus ou moins considérable des fibres terminales du ruban de Iteil
médian
et du pédoncule cérébelleux inférieur : dans ces
s, on observe constamment une diminution de volume du ruban de Reil
médian
, une atro- phie indirecte, rétrograde, cellulip
qu'une dégénérescence très légère quoique manifeste du ruban de Reil
médian
, renforcée dans les régions protubérantielles p
orel, des radia- lions de la calotte, de la région du ruban de Reil
médian
, s'irradient dans toute la région ventrale du t
arrière du faisceau thalamique de Fore). La région du ruban de Reil
médian
(rgRm) comprend enfin ce dense feutrage de fibres
dons postérieurs croisés par l'inter- médiaire du ruban de Reil
médian
; à l'olive cérébel- leuse et à l'hémi- sph
e et ventrale du noyau externe du thalamus et qui entoure le centre
médian
de Luys en arrière, en bas et en dehors. Ces tr
la for- maton réticulée de la calotte, des fibres du ruban de Reil
médian
. L'étude des dégénérescences secondaires à l'ai
de des méthodes de Weigert et de Marchi montre que le ruban de Reil
médian
forme la majorité des fibres de la région du ru
l médian forme la majorité des fibres de la région du ruban de Reil
médian
, qu'il se termine surtout dans la partie postér
et ventrale du noyau externe en avant du pulvinar et dans le centre
médian
de Luys, mais qu'il envoie en outre des fibres da
orel, des radiations de la calotte et de la région du ruban de Reil
médian
. Il s'irradie principalement dans toute la hauteu
ibres dans la partie postérieure du noyau interne et dans le centre
médian
de Luys et établit les connexions de ces régions
fibres sont en généial des fibres à court trajet. Le ruban de Reil
médian
parait de même contenir quelques rares fibres des
halami et en partie par les fibres radiées du pulvinar et du centre
médian
de Luys. Taenia thalami (llh). - Le taenia thal
vinar. Un 'petit nombre de ces fibres, après avoir dépassé la ligne
médiane
, se termine dans le ganglion de l'habenula du c
enula, ce faisceau est situé (Fig. 47, p. 69) : en dedans du centre
médian
de Luys (Nm), en avant du tubercule quadrijumeau
e. Plus bas (Fig. 28, p. 43), il se place en avant du ruban de Reil
médian
(Rm), en dehors et en avant du faisceau longitu
me ventricule. - Ne, Ni, Nm. noyau externe, noyau interne et centre
médian
de la couche optique. - NR, noyau rouge, if\, p
ar. - RC, radiations de la calotte. - RrIR, région du ruban de Reil
médian
? Sgc, substance grise centrale. - sM, sillon d
Ganglion interpé- douculawe des ron- geurs. ganglion impair,
médian
et symétrique, le ganglion interpédonculaire (G
dont les fibres se détachent du ganglion de chaque côté de la ligne
médiane
(Fig. 332), se portent sagittalement d'avant en a
du plancher de ce même ventricule. C'est un corps mou, impair et
médian
, de couleur gris rougeâtre, d'as- pect grenu, d
i appartient au cerveau moyen et termine en haut le sillon sagittal
médian
des tuber- cules quadrijumeaux. Ces rapports s'
z les sauriens préhistoriques et qui est logé dans le trou pariétal
médian
- ne correspond pas à la ;lande pinéale de l'ho
au rétroflexe de Meynert; 6° enfin, avec la région du ruban de Reil
médian
situé en arrière et au- dessous du centre média
n du ruban de Reil médian situé en arrière et au- dessous du centre
médian
de Luys. La face inférieure, de moitié moins ét
irecte avec la calotte pédonculaire el les régions du ruban de Reil
médian
, n'affecte que des rapports éloignés avec le pu
oyenne qui délimitent le noyau semilunaire de Flechsig et le centre
médian
de Luys (Fig. 312, 324, 22); il reçoit en outre
ceau lenticulaire de Forel n'abandonnent de fibres au ruban de Reil
médian
(Voy. Région de la calotte, IIIe partie). 2. CO
cordons de Goll et de Burdach par l'intermédiaire du ruban de Reil
médian
; 2° Entre le corps de Luys el la bandelette op
lechsig, Bechterew, Edinger, Henschen et d'autres, le ruban de Reil
médian
, arrivé dans les régions supérieures du noyau rou
hie ou une dégénérescence du corps de Luys, et que le ruban de Reil
médian
se termine dans le thalamus (Voy. Ruban de Reil
do Goll et de Bur- dach par l'intermé- diaire du ruhan do Koil
médian
. Avec le noyau len- ticulaire croisé par l'
ssure de Meynert et se rendrait après entre-croisement sur la ligne
médiane
dans le noyau lenticulaire du côté opposé. Les
uiv.). Son épaisseur n'est pas partout la même : mince sur la ligne
médiane
GANGLIONS INFRACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE.
lliker). Un diverticule du troisième ventricule sépare sur la ligne
médiane
les éminences latérales du tuber cinereum, il d
s dans la lame perforée postérieure, puis se dirigent vers la ligne
médiane
qu'elles dépassent pour aborder le corps de Luy
ngueur de son trajet; chez le lapin, elle est profonde sur la ligne
médiane
où elle est située au-dessus du chiasma, mais d
on avec le noyau lenticulaire, le corps de Luys et le ruban de Reil
médian
, et admettent qu'elle contient deux systèmes de f
au corps de Luys du côté opposé; l'autre unissant le ruban de Reil
médian
d'un côté au corps de Luys et au noyau lenticul
la commissure de Meynert avec le corps de Luys et le ruban de Reil
médian
nous paraissent beaucoup moins certaines. Nous
ces points plus haut (Voy. Corps de Luys, p. 101, et Ruban de Reil
médian
) et expliqué pourquoi nous penchons à consi- dé
e Luys, soit en arrière de ce corps dans la région du ruban de Reil
médian
. Les dégénérescences même très intenses du ruba
eil médian. Les dégénérescences même très intenses du ruban de Reil
médian
n'entraînent pas de dégénérescence de la commis
e en avant et de dehors en dedans, puis s'entre-croise sur la ligne
médiane
avec celui du côté opposé, au voisinage immédia
vinar. - Qa, tubercul quadrijumeau antérieur. - Ranz, ruban de Reil
médian
. - Spa, substance perforée anté rieure. - T,, T
tre-croisent dans toute la hauteur et toute l'épaisseur de la ligne
médiane
du chiasma avec des fibres analogues du côté op
es courbes dont la convexité se rapproche plus ou moins de la ligne
médiane
du chiasma, sans toutefois jamais l'atteindre.
RANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 429 1 la bandelette. La ligne
médiane
du chiasma ne contient, par contre, que des fib
iasma ne contient, par contre, que des fibres croisées. Une section
médiane
entraînerait une hémianopsie bi-tem- porale, et
Chez le, mammi- fères. Aspect. 1° CERVELET Organe impair et
médian
le cervelet se développe aux dépens d'une parti
elleux ou lobes (1-ICv, Fig. 331, 332 et 333) réunis par une partie
médiane
et impaire qui doit à son aspect strié ou annel
31, el 33G). On considère à la face supérieure une partie sagittale
médiane
et sail- lante, le vermis supérieur (Vs) ou fac
donc pour la face supérieure du cervelet - être question d'un lobe
médian
et de deux lobes latéraux dans le sens strict d
sont séparés l'un de l'autre par une profonde scissure sagittale et
médiane
, la vallée (vallecula seu val- lella) de Reil,
la vallée (vallecula seu val- lella) de Reil, la scissure ou fente
médiane
du cervelet ou scissure longitu-- dinale médian
scissure ou fente médiane du cervelet ou scissure longitu-- dinale
médiane
, masquée sur le cervelet recouvert de ses méninge
, éminences latérales du tuber cinereum. Es, éminence vasculaire ou
médiane
du tuber cinereum. Floc, flocciilus ou lobule du
s développés dans leurs parties hémisphériques possèdent une partie
médiane
très réduite (Fig. 341 el 343). De cette façon
ules du cervelet dans leur partie hémisphérique et dans leur partie
médiane
: tel lobe, très épais au niveau du vermis, ne pr
e, très épais au niveau des hémi- sphères, se réduit dans sa partie
médiane
à un petit lobule insignifiant t ou encore à qu
tie correspondante du vermis et qui com- prennent chacun une partie
médiane
ou vermienne et deux parties laté- rales ou hém
elleux moyen à l'autre, el éprouvent à peine de chaque côté du lobe
médian
une légère inllexion qui sert à délimiter le ve
rieur et du lobe postérieur par l'in- dépendance de leur partie
médiane
ou vermienne (V). Celle-ci se présente sous l'a
une coupe sagittale du rhombencéphale passant par le plan sagittal
médian
du cervelet. Le lobe supérieur est coloré en bleu
ventricule. - Py, pyramide antérieure du bulbe. - Rm, ruban de Reil
médian
. - Sbc, substance blanche centrale ou noyau bla
s'implante dans ces cas sur la branche verticale de l'arbre de vie
médian
et semble n'être qu'une dépendance du lobe dn c
pes sagittales (Fig. 336), la branche verti- cale de l'arbre de vie
médian
(bv) de la branche horizontale (bh), puis dimin
obule du culmen (Fig. 337), ou encore pratiquer une coupe sagittale
médiane
(Fig. 336). Le lobe de la lingula se présente a
sous l'aspect d'un petit lobe triangulaire qui mesure sur la ligne
médiane
, dans le sens vertical, 8 à 12 millimètres et a
5 à 60 millimètres dans le sens transversal. Il comprend une partie
médiane
qui appartient au vermis et constitue la linaul
e de lamelles transversales au nombre de quatre à sept sur la ligne
médiane
et de deux à quatre sur les freins. Ces der- ni
décrit une courbe en N ou en L, d'autant plus accusée que la partie
médiane
est plus développée. Simple sur la ligne médian
usée que la partie médiane est plus développée. Simple sur la ligne
médiane
, plus rarement bifide, il n'affecte avec la r¡G
viligne, plus épais et plus étendu dans le sens vertical sa partie
médiane
qui appartient au vermis supérieur (lobule cent
s en avant de la branche verticale (bv, Fig. 336) de l'arbre de vie
médian
qu'elle contribue quelquefois à former; dans la r
développement de ses parties hémisphériques. Il comprend une partie
médiane
, le culmen, qui appartient au vermis supérieur, e
anche commune qui forme la branche verticale (bv) de l'arbre de vie
médian
et qui atteint seule la substance blanche central
sommet tronqué atteint le sillon marginal antérieur. Dans sa partie
médiane
, qui représente à peu près la moitié posté- rie
rse antérieur (Fig. 336). Elle est tapissée, surtout dans sa partie
médiane
ou vermienne, de lobules profonds très bien dél
une parlie superficielle hémisphérique droite et une petite partie
médiane
ou vermienne, qui s'enfonce dans la profondeur
rieurs. Au nombre de deux a trois, ils présentent une petite partie
médiane
ou vermienne et une partie hémisphérique dispos
ent leurs fibres dans la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
médian
(Fig. 336). La base d'inser- tion de ce lobe es
é sur le prolonge- ment de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(Fig. 336). Lapartie inférieure, beaucoup plus
s de la face inférieure de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(Fig. 336, p. 452). Lorsque les deux lobes sont
développés, séparés par un sillon superficiel. A ce minime segment
médian
ou vermien correspondent deux seg- ments hémisp
ée à la face inférieure de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
, au voisinage de la substance blanche centrale
omprend, comme tout lohe principal du cer- velet, un lobe impair et
médian
, la luette, et deux lobes pairs et symé- trique
ant (Fig. 3t.5). La luette est triangulaire sur une coupe sagittale
médiane
(Fig. 33G) et s'implante par un mince pédicule
naire inférieur. - Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. ms, le relief
médian
du versant supérieur du toit du 4' ventricule for
ou inférieure de la luetle (Fig. 345) présente une crête sagittale
médiane
qui occupe le fond de la gouttière du bulbe rachi
1° par sa petitesse; 2° par la grande distance qui sépare sa partie
médiane
Bords. Extrémité nitë- neurc. Extrémité s
e. Région pontine. Limites. Trou borgne supé- rieur. Sillon
médian
. Conformation extérieure. On peut décrire au ce
il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el forme sur la ligne
médiane
le trou borgne supérieur, profond diverticule tri
ant les pédoncules cérébelleux moyens (Pcm, Fig. 333). Sur la ligne
médiane
elle présente un sillon longitudinal peu profon
ans, des pédoncules cérébelleux moyens, situés en dehors. Le sillon
médian
mesure 2 à 2,5 centimètres de hauteur; il com-
re qu'au relief des bourrelets pyramidaux et à l'existence du raphé
médian
. Il existe en effet, même lorsque le tronc 1. P
e-mère des ré- gions pontine et bulbaire a été enlevée, le sillor
médian
antérieur écarté. (D'après la photogra- phie d'
salement par de gros fascicules de fibres qui se dirigent du sillon
médian
de la protubérance vers le cervelet, où ils con
tie supérieure du bulbe. Ils s'incurvent en même temps sur la ligne
médiane
au niveau des trous borgnes supérieur et inféri
upérieures et inférieures est très manifeste sur la coupe sagillale
médiane
du cerveau rhomboïdal, elle a conduit quelques
la face antérieure du cer- veau rhomboïdal présente : sur la ligne
médiane
, le sillon médian aillé- rieur du bulbe el, de
du cer- veau rhomboïdal présente : sur la ligne médiane, le sillon
médian
aillé- rieur du bulbe el, de chaque côté, la py
pyramide antérieure et l'olive bulbaire ou inférieure. Le sillon
médian
antérieur du bulbe mesure 20 à 21 millimètres de
es de hauteur; superficiel en bas, où il se continue avec le sillon
médian
antérieur de la moelle épinière et où il est co
, des libres transvcr- sales du pont. Région bulbaire. Sillon
médian
an- térieur. 484 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
au voisinage de la protubérance dans un diver- ticule triangulaire,
médian
et profond, le trou borgne de Vicq d'Azyr. A sa
ld) qui recouvrent les pyra- mides, puis s'enfoncent dans le sillon
médian
anlérieur et s'y enlre-croi- sent avec des fibr
s du bulbe (Py) (corps pyramidaux) bordent de chaque côté le sillon
médian
antérieur. Ce sont deux faisceaux arrondis et a
re-croisement ou la décussation des pyramides occupe dans le sillon
médian
antérieur du bulbe une hauteur de 6 à 7 millimètr
cordon antérieur du même côté de la moelle dont il longe le sillon
médian
anté- rieur. On l'appelle faisceau pyramidal di
érébrale, par hydrocéphalie, porencéphalie, etc. ,,etc. , le sillon
médian
antérieur est à peine accusé et à la place des py
ensuite au-devant de la pyramide, et s'entre-croiser dans le sillon
médian
anté- rieur du bulbe. Ces fibres, que l'on a ap
ulaire de l'isthme ou ruban de Reil laté- ral. - Rm, ruban de Iteil
médian
. si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, couc
bulbe où il reçoit le sillon des nerfs mixtes. On voit sur sa ligne
médiane
la fossette médiane de la base du bulbe, trou b
e sillon des nerfs mixtes. On voit sur sa ligne médiane la fossette
médiane
de la base du bulbe, trou borgne de Vicq d'Az.'
amides et forment le ponlicule d'Arnold. De chaque côté de la ligne
médiane
, le sillon buibo-protubérantiel sépare la protu
t, le frein de la valvule, qui s'étend jusqu'au sillon longitudinal
médian
interquadrigéminal (Fig. 337 et 351). Bulbe. Lo
x cordons divergents, les corps restiformes (Crst), et sur la ligne
médiane
par une mince membrane demi-transparente, la me
mes. On remarque sur la face postérieure du bul- be : le sillon
médian
po ? térieur, les pyramides postérieures, les
s et la membrane obturatrice du quatrième ventricule. Le sillon
médian
pos- térieur (sillon longitudi- nal postérieu
e épinière, dont il se dis- tingue par sa profondeur. Le sillon
médian
posté- rieur du bulbe représente en effet une
sté- rieur du bulbe représente en effet une véritable fis- sure
médiane
(Fig. 447) qui sépare complètement les pyrami
eminenlia teres. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - /) ? fossette
médiane
. - fsa, fst, fos- sette supérieure ou antérieur
f triju- meau. 11', valvule de Vieusseus. Configuration. Sillon
médian
pos- térieur. 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
pyramide antérieure, et s'enchevêtrent dans la profondeur du sillon
médian
antérieur avec des fibres analogues du côté opp
r du toit du quatrième ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne
médiane
à la substance blanche du nodule (SbNo) et laté
u verrou est une petite lamelle blanche, triangulaire, im- paire et
médiane
, tendue entre les deux pyramides postérieures (ob
ompte de la différence de profondeur de ce diverticule sur la ligne
médiane
et dans la région des valvules de Tarin. (Voy.
de Tarin et qui en dedans s'avance plus ou moins loin sur la ligne
médiane
à la rencontre de la ligula opposée. Tantôt, ses
e Luschka. Le trou de Magendie (TM) siège à la partie inférieure et
médiane
de la toile choroïdienne; il est de dimensions
us choroïdes du - le ventricule, que Luschka a distingués en plexus
médians
et plexus laté- raux. Les plexus médians s'éten
hka a distingués en plexus médians et plexus laté- raux. Les plexus
médians
s'étendent du trou de Magendie à la substance b
rgit à sa partie moyenne, émet en arrière un diverticule angulaire,
médian
(fV;, Fig. 336), qui s'enfonce dans la substance
est parcouru dans toute sa longueur par le sillon lon- gitudinal
médian
, qui se continue en haut avec le profond sillon
protubéranlielle du plancher pour former une véritable fos- sette
médiane
(fm, Fig. 3 : 5 et 335), puis se rétrécit, devi
appelée ventricule d'lrazatius (Fig. 444). Le sillon longitudinal
médian
est bor- dé de chaque côté par deux cordons lon
ans le calamus par une extrémité effilée très voisine de la ligne
médiane
, connue sous le nom d'aile blanche interne (apl
striation longitudinale du plancher est très accusée, les sil- lons
médians
et latéraux sont ininterrompus depuis l'aqueduc j
e auditive, interrompent les sillons latéraux, voire même le sillon
médian
, et masquent plus ou moins complètement les fun
plus souvent, on voit les stries émerger un peu en dehors du sillon
médian
, par une extrémité tantôt grêle, tantôt épaisse,
éunies à celles du côté opposé par un pont qui interrompt le sillon
médian
; d'autres fois elles émergent sur la partie con
les stries acoustiques obliques lorsqu'elles existent; la fossette
médiane
(fm), et le locus cærltlelts (Le, Fig. 352).
me ventricule. Le quatrième ventricule forme sur la coupe sagittale
médiane
un triangle dont le sommet est pos- térieur et
ostérieurs à la substance blanche centrale du vermis; sur la partie
médiane
, il est formé par la mince valvule de Vieussens q
res saillantes, séparées par deux sillons lon- gitudinaux. La bande
médiane
(ms) répond à la substance blanche de la liu- g
a et à la valvule de Vieussens, elle présente une légère dépression
médiane
, sorte de raphé rudimentaire. Les bandes latérale
embra- neuse. L'extrémité renflée etlo trou de Luschka. ligne
médiane
un noyau irrégulièrement arrondi, qui doit à sa s
é supérieure (Fig. 3.8). Très accen- tuée et saillante sur la ligne
médiane
, où elle correspond à l'insertion de la lingula
plus accidentée que la supérieure (Fig. 315 et 31ls); sur la ligne
médiane
, elle correspond à l'insertion de la toile choroï
et les branches horizontale et verticale de l'arbre de vie du lobe
médian
. - Méthode de Weigert-Pal. Grandeur nature. bli
t-Pal. Grandeur nature. bli, branche horizontale de l'arbre de [vie
médian
. - bu, branche verticale de l'arbre de vie médi
e l'arbre de [vie médian. - bu, branche verticale de l'arbre de vie
médian
. - Eca, grand entre-croisement commissural antéri
tachent, à la manière des rayons Fie. 339. - L'arbre de vie du lobe
médian
du cervelet. - Coupe sagittale passant en dehor
cervelet. - Coupe sagittale passant en dehors de la ligne sagittale
médiane
par le noyau du toit, les lamelles internes du
térieur. 510 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Arbre do vie du lobe
médian
. Modifications su- bies dans la région de t
le constitue la figure si caractéristique de l'arbre de vie du lobe
médian
du cervelet. Ce sont, en avant et en haut, les pe
du culmen connue sous le nom de branche verticale de l'arbre de vie
médian
(bv) ; en arrière, enfin, la branche mince et l
déclive connue sous le nom de branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(bh), vers l'extrémité posté- rieure de laquell
e de vie du vermis (coupe SI, Fig. 336) appartient au plan sagittal
médian
; elle s'altère rapidement de chaque côté du ver
359); puis les branches horizontale et verticale de l'arbre de vie
médian
se rac- courcissent et s'épaississent, la subst
Ngl)). Les branches ver- ticales et horizontales de l'arbre de vie
médian
en s'épaississant, en se raccourcissant el en s
n présentant encore des caractères propres à l'arbre de vie du lobe
médian
. Sur les coupes vertico-traesve·.sales qui pass
pond à la section de la branche horizontale (bh) cle l'arbre de vie
médian
. Elle reçoit en haut l'implantation des branche
lobe central, au-dessous de la branche verticale de l'arbre de vie
médian
, au-dessus de la substance grise sous-épendymaire
la valvule de Vieussens et la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. C'est un noyau brun ou gris clair, ovalaire ou
? ca)(hig. 31.G et 465), le noyau du toit, très rapproché de la ligne
médiane
du vermis, est séparé de celui du côté opposé p
d'un W et qui envoie dans la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(coupe S3, Fig. 411) deux ou trois prolongement
02, coupe S 5, Fig. 413.) bh, branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. - cUv, crête de la luette dépourvue d'écorce c
situé dans l'épaisseur de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(coupe S 4, Fig. 360), en avant de l'axe d'inse
belleux moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - 1', raphé
médian
de la protubérance avec ses fibres sagillales. Rm
n de la protubérance avec ses fibres sagillales. Rm, ruban (lelleil
médian
. Sy/o, substance grise de l'étage antérieur de la
de la voie pédonculaire (VP), entre ces fibres et le ruban de Reil
médian
(Rm) qui forme la limite antérieure de la régio
ou moins quelques fascicules arrondis, les adosse au ruban de Reil
médian
(Fig. 381, 382), puis les fait rentrer plus bas
ndes ou intermédiaires, s'entre-croisent à angle obtus sur la ligne
médiane
(Fig. 362). Les fibres antérieures se continuen
interne du thalamus. .VF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Sm, centre
médian
de Luys. - NL,, segment interne du globus palli
le. - RC, radiations de la calotte. - RgRm, région du ruban de Reil
médian
. - Rm, ruban de Heil médian. 111, ruban de Reil l
alotte. - RgRm, région du ruban de Reil médian. - Rm, ruban de Heil
médian
. 111, ruban de Reil laté- ral. Sir;, stratum zo
u du raphé (xPcs) : ils se reconstituent de chaque côté de la ligne
médiane
en deux faisceaux courts, volumineux et arrondis
, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) se rapproche de la ligne
médiane
; il est séparé du faisceau de même nom du côté
antielle et se trouve séparée de la partie externe du ruban de Reil
médian
par un intervalle d'autant moins grand que l'on c
mniscus profond. - RI, ruban de Reil latéral. - Orna, ruban de Reil
médian
. - SgAg, substance grise de l'aqueduc. - SR, for-
e Reil latéraux et qui s'étend d'avant en arrière, du ruban de Reil
médian
au faisceau longitu- dinal postérieur (coupe P
8, 369) que la partie antérieure du raphé, voisine du ruban de Reil
médian
, et dans les régions supérieures que la partie
(Fig. 48, p. 71, 46, p. 68, 44, p. 64), en dedans du ruban de Reil
médian
et en avant de la formation réticulée de la cal
nstitution de sa capsule (Fig. 33, p. 49), et plus bas par le raphé
médian
et le faisceau rétroflexe de Meynert (Fig. 34,
moyen. - l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
. SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SR, for
olive inférieure ou bulbaire. ? rloc, pédoncule du flocculus. raphé
médian
et stries acoustiques. - 1'11'" diverticule lat
re avec elle, s'entre-croise par gros fascicules au niveau du raphé
médian
et appartient au pédoncule cérébelleux moyen (p
ce dissociant la voie pédonculaire et refoulantgdana le ruban de Reil
médian
les fasci- cules aberrants de la voie 'pédoncul
ompris entre le pédoncule cérébelleux supérieur et le ruban de Reil
médian
. - -Vin, noyau du nerf moteur oculaire commun.
oisement inférieur. - Rl, ruban de Reil latéral. - Hum, ruban de Reil
médian
. - Sage, substance grise centrale. - SgPo, noya
protubérantielles de la voie hédoncu- laire dans le ruban de Iteil
médian
. Coupe horizon laie oblique en haut et en avant
érébelleux supérieur. - lil, ruban de Reil latéral. - rubin de Hei)
médian
. Sgl'o, substance grise antérieure du pont. - S
nt sur la région de la calotte, en particulier sur le ruban de Reil
médian
et le faisceau central de la calotte. Dans les
rapézoïde (1'r) ainsi qu'aux fibres longitudinales du ruban de Reil
médian
(Rm) el du faisceau central de la calotte (Fcc)
artie plus ou moins longue de leur trajet, la voie du ruban de Reil
médian
. On peut néanmoins considérer comme limite les
rdon antérieur homolatéral de la moelle épinière, le long du sillon
médian
antérieur; ils forment le faisceau pyramidal dire
travées grises des noyaux pontiques; les libres sagittales du raphé
médian
existent comme à l'état normal et proviennent en
transversales de laprotu- bérance et les fibres sagittales du raphé
médian
font complètement défaut. Dans son trajet pédon
tes de la voie pédonculaire. La plupart s'accolent au ruban de Reil
médian
dans son trajet pédonculaire, protubérantiel ou b
o-externes. Les deux premiers faisceaux s'adossent au ruban de Reil
médian
. Le pes lemniscus profond (PLp, coupes P 1, P 2,
l, traverse obliquement le locus niger et s'accole au ruban de Reil
médian
(Rm) au-dessus ou au niveau du sillon pédonculo-p
iciel en arrière et l'adossent à la partie interne du ruban de Reil
médian
. Quant aux fibres aberrantes postéro-externes (
cule quadrijumeau postérieur. Les unes s'accolent au ruban de Reil
médian
(Dejerine et Long)ou s'épuisent dans la région
n avoisinante de la calotte, les autres traversent le ruban de Reil
médian
(Fig. 374) et s'irradient dans le tubercule qua
e partielle des fascicules obliques qui traversent le ruban de Reil
médian
au voisinage du noyau rouge, et que nous avons
s protubérantielles (Fap) qui s'incorporent dans le ruban de Reil
médian
(Rm) (Fig. 378), descendent dans la couche in
s postéro- externes aux parties externe et moyenne du ruban de Reil
médian
. La FIC, 381 et 382. -. Dégénérescence de la
tubérance. Les unes s'adossent à la partie externe du ruban de Reil
médian
au voisinage du ruban de Reil latéral (fascicul
es lemniscus superficiel (Fig. 378,379, 380). Dans le ruban de Reil
médian
, ces fascicules aberrants conservent en général
e dans la moelle cervicale. Elle est limitée en dedans par le raphé
médian
qui la sépare de la région homologue du côté op
f ou supérieur des pyramides et se continuent avec le ruban de Reil
médian
. D'autres encore occupent la partie postérieure d
ale et ses no) aux de nerfs cra- mons. La colonne nu- cléaire
médiane
. La colonne nu- cléaire latérale. Les deux
terminaison des nerfs cra- niens, disposés de chaque côté du raphé
médian
en deux colonnes lon- gitudinales, moniliformes
raphé médian en deux colonnes lon- gitudinales, moniliformes, l'une
médiane
, l'autre latérale. La colonne cellulaire médian
oniliformes, l'une médiane, l'autre latérale. La colonne cellulaire
médiane
forme, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'o
rdach qui servent d'origine à la partie principale du ruban de Reil
médian
, les noyaux du corps restiforme, en connexion i
formalion réticulée et se logent dans la concavité du ruban de Reil
médian
, enformantle noyau innominé de Bechterew(SR, coup
fibres de la commissure postérieure et v la région du ruban de Reil
médian
; elle est traversée par le faisceau rétroflexe
dessous de la partie ventrale et postérieure du thalamus, du centre
médian
de Luys et du corps genouillé interne, en avant
inar. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Tin : , ruban de Reil
médian
. RI, ruban de Reil latéral. - SgAq, substance g
un. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 555 ruban de Reil
médian
, et dans le sens antéro-postérieur du noyau rouge
e la formation réticulée se loge dans la concavité du ruban de Reil
médian
; elle est formée d'épais trabécules de substance
Fig. 393), mince et allongée, est comprise entre les rubans de Reil
médian
et latéral et le bord antéro-externe de la comm
clairsemées qui se continuent insensiblement avec le ruban de Reil
médian
et a été désignée par v. K6111ker sous le nom d
e en effet toute la largeur de la calotte, s'étend du ruban de Reil
médian
à la substance grise centrale; son enchevêtreme
jumeau et forme avec le noyau du côté opposé une lentille biconvexe
médiane
, que divisent les fibres sagittales du raphé et q
scus profond. - RI, ruban de Reil latéral. - li>a, ruban de Reil
médian
. - Slt, formation réticulée. - Slri, stratum in
ux supérieur. Ill, ruban de Reil latéral. - 7 ! M : , ruban de Reil
médian
. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur d
Les noyaux central supérieur et circonflexe. - Les rubans de Ileil
médian
et latéral, le noyau du ruban de Reil latéral e
ibres sagittales. - Rl, ruban de Reil latéral. - Rm, ruban de Iteil
médian
. SgPo, noyaux pontiques. - spu, sillon post-cen
tudinales de la formation réticulée qui avoisinent le ruban de Reil
médian
, et avec celles qui limitent le noyau central s
ière, le faisceau central de la calotte en dehors, le ruban de Reil
médian
en avant; ces trois faisceaux ne se différencie
ne de la formation réticulée apparaît entre les deux rubans de Reil
médians
, au voisinage du raphé, le noyau réticulé de la
aLc, axe du lobe central. - bu, branche verticale de l'arbre de vie
médian
du cervelet. - Cj, ,corps juxta-restiforme. - E
céré- belleux moyen, inférieur et supérieur. - Iinz, ruban de Reil
médian
. - SR, formation réticulée. - Tr, corps trapézo
al et augmentent son diamètre antéro-posléricur. - Le ruban de Reil
médian
(Rm) se ramasse sur lui-même, gagne en profonde
ntielle inférieure. -- Le noyau central inférieur, le ruban de Reil
médian
et le faisceau central de la calotte. - L'olive
ceau pyramidal. r, raphé, ses fibres sagittales. R) ? ruban de Reil
médian
. Sglt, sub- stance gélatineuse de Rolando. - Sl
térieur et se place en dehors et un peu en arrière du ruban de Reil
médian
. Une ligne sagittale oblique, passant par ce fa
II° paire). Le segment interne présente en arrière du ruban de Reil
médian
, en dedans du faisceau central de la calotte, u
envoie de chaque côté un prolongement effilé entre le ruban de Reil
médian
(Rm) et le faisceau de la calotte (Fcc), et sur
eil médian (Rm) et le faisceau de la calotte (Fcc), et sur la ligne
médiane
un prolongement médian qui s'insinue entre les
isceau de la calotte (Fcc), et sur la ligne médiane un prolongement
médian
qui s'insinue entre les deux rubans de Reil méd
un prolongement médian qui s'insinue entre les deux rubans de Reil
médians
(Rm) et qui at teint la substance grise de l'étag
n bulbaire supérieure. Le noyau central inférieur, le ruban de Reil
médian
, le faisceau central de la calotte et.le faisceau
us. - rll ? diverticule latéral du 4° ventricule. Il»a, ruban de Reil
médian
. SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SgPo,
ngements. Dans la formation réticulée blanche apparaît sur la ligne
médiane
Y entre-croisement supérieur, sensitif, ou pi*n
calotte protubérantielle, étendu dans le sens transversal du raphé
médian
au point de pénétration dans la calotte des nerfs
hleife. Bechterew distingue dans la couche rubanée ou ruban de Reil
médian
un segment interne, originaire du noyau de Goll
optique, dans celle région située au-dessous el en dehors du centre
médian
de Luys, et que nous avons désignée sous le nom
, et que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil
médian
. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noy
. 401). Cet entre-croisement s'étend en longueur, du fond du sillon
médian
antérieur à la substance grise centrale (Fig.
La couche ruba- liée et ses deux seg- ments Kuban de Iteil
médian
. partie antérieure, inter-olivaire de la format
l inférieur, l'extrémité supérieure de l'olive bulbaire et le raphé
médian
. Couche rubanée. Au-dessus de l'olive bulbaire
les : l'une, volumineuse et interne, qui constitue le ruban de Reil
médian
(Rm) ou principal; l'autre, petite et externe, co
qui porte le nom de ruban de Reil latéral (RI). Le Ruban de Reil
médian
(Rm) procède de la couche inler-olivaire Biblio
oncules cérébelleux inférieur. moyen et supérieur, - IW ruban de Reil
médian
. Sbe, qtibstaiice blanche centmle du vermis. -
; il est renforcé probablement par quelques fibres du ruban de Reil
médian
. Les deux faisceaux de Reil (Rm et RI) se conti
ub- stance grise situés au sein de ces faisceaux. Le ruban de Iteil
médian
con- tient, en outre, un certain nombre de peti
antielles, les parties interne, moyenne ou externe du ruban de Reil
médian
. Ils sont particulièrement nom- breux dans les
et 391) l'olive protubérantielle n'existe plus, et le ruban de Reil
médian
(Rm) est séparé du ruban de Reil latéral (RI) par
'est plus situé sur la même ligne transversale que le ruban de Reil
médian
; il se porte en arrière, recouvre le pédoncule
faisceau triangulaire adossé à angle droit contre le rnban de Reil
médian
(Rm), lequel occupe toute la largeur de la calott
médian (Rm), lequel occupe toute la largeur de la calotte, du raphé
médian
au sillon latéral. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU
à sommet postérieur et à base antérieure, reliée au ruban de, Reil
médian
par un mince pédicule de fibres. Les fibres, d'
noyaux blancs, puis aux noyaux rouges de Stilling, le ruban de Reil
médian
(Rm) se porte de plus en plus en dehors et en a
ig. 23, p. 37, 48, p. 71, et Ti«, Fig. 322 à 321), le ruban de Reil
médian
change encore de forme. Son extrémité antérieur
halamus, dan; celte région située au-dessous et en dehors du centre
médian
de Luys c Lo ruban de Reil aux confins du la
due. que nous avons désignée sous le nom de région du ruban de Reil
médian
(Ilg lim, Fig. 47, p. 69). Le ruban de Reil se
re et inférieure du noyau externe du thalamus (Ne) autour du centre
médian
de Luys (Nm). Aucune fibre ne se rend directement
parait certain, c'est qu'elles n'appartiennent ni au ruban de Reil
médian
(Hm) niav la voie pédonculaire, car elles persist
rne de la formation réticulée ; il forme de chaque côté de la ligne
médiane
un petit faisceau de fibres fortement colorées pa
Yoy. Fig. É39). - r, libres sagittales du raphé. - Rm ruban de Reil
médian
. 7V, corps trapézoïde. - T', trijumeau. - \Vnr, n
upe H2, Fig. 424, p. G2G), il est séparé en avant, du ruban de Reil
médian
(Rm), par les fibres horizontales supérieures d
à ti38), il s'adosse et se fusionne en partie avec le ruban de Reil
médian
se place en dedans de l'olive supérieure ou pro
H8, Fig. 397 et 398, p. 561 et M3), il forme avec le ruban de Reil
médian
(Hm) un angle ouvert en arrière qui loge un prolo
essous (coupe H 9, Fig. 366, p. z)), il est séparé du ruban de Reil
médian
(Rm) par l'olive bulbaire; dans toute la hauteu
que du rhombencéphale doivent être parallèles soit au plan sagittal
médian
, soit au plan horizontal et sectionner le tronc e
Fig. 408 à 417) n'est pas rigoureusement parallèle au plan sagittal
médian
, mais dévie légèrement en dehors et en bas, de
coupe SI (Fig. 408), par exem- ple, qui intéresse le plan sagittal
médian
du cervelet, sectionne le tronc encéphalique un
velet, sectionne le tronc encéphalique un peu en dehors de la ligne
médiane
et passe par la couche inter-olivaire et le hil
quelle elle appartient du reste et qui passe par la ligne sagittale
médiane
du tronc encéphalique. Pour ne pas faire double
et 411). Coupe SI (Fig. 408). Coupe passant par la ligne sagillale
médiane
du vermis et sectionnant le tronc encéphalique
qui affecte la figure si caractéristique de l'arbre de vie du lobe
médian
. Considéré dans son ensemble, le vermis se prés
is en une branche commune, la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
(bh). La substance blanche centrale (Sbc) se ré
du vermis. Les deux branches principales de l'arbre de vie du lobe
médian
, portent le nom de branche verticale (bv) et de
ui porte encore de ce fait le nom de tronc commun de l'arbre de vie
médian
. La branche verticale : (bv), remarquable par s
e de l'olive bulbaire et l'étage antérieur du pont. Coupe sagittale
médiane
SI du vermis passant par la ligne de repère SI de
près la même épaisseur que la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
et se porte obliquement en haut et en avant. Le
rarement, elle se détache de la branche verticale de l'arbre de vie
médian
, et le lobe central ne représente dans ce cas q
isinage de l'embouchure de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. Après un trajet d'un centimètre environ, obliq
ince et le plus efûlé des axes principaux de l'arbre de vie du lobe
médian
. Il se déta che de la face inférieure du noyau
posé au point d'insertion de la branche verticale de l'arbre de vie
médian
, se porte obliquement en bas et en avant, et s'
que de la coupe S 1 (Fig. 408) étant sectionné à droite de la ligne
médiane
, nous ferons précéder sa description de l'élude d
ous ferons précéder sa description de l'élude de la coupe sagittale
médiane
S bis (Fig. 409). Le quatrième ventricule prése
section du sillon 592 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. longitudinal
médian
et du raphé. En bas, au voisinage de la partie in
stries acoustiques et le noyau du cordon de Goll. Coupe sagittale
médiane
SI bis du tronc encéphalique, passant par la li
ieur (Nci), sépare dans la région protubérantielle le ruban de Rcil
médian
(fim) adossé au stratum profun- dum (Strp), du
408) se modifie très rapidement dès qu'on s'éloigne un peu du plan
médian
du vermis. Toutefois, sur les coupes très rapproc
tance l'un de l'autre : 1° la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
; 2° l'axe de la pyramide ; 3° l'axe de la luette
131, le bourgeon terminal. ble, branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. - bru, bran- che verticale de l'arbre de vie m
l'arbre de vie médian. - bru, bran- che verticale de l'arbre de vie
médian
. - CI, cordon latéral. - Cp, cordon postérieur. '
trième ventricule. l'y, pyramide anté- rieure. - Rm, ruban de Iteil
médian
. SGc, substance blanche centrale. scf, grand sill
leur épaisseur près, la même disposition que sur la coupe sagittale
médiane
S 1 (Fig. 408). La coupe S 2 intéresse déjà l'é
ules longitudinaux de la formation réticulée (SR). Le ruban de Reil
médian
(Rm) n'est intéressé que dans la partie pro- tu
faisceau central de la calotte dont la fusion avec le ruban de Reil
médian
(Rm) et les connexions avec l'extrémité supérie
BI, bourgeon terminal. - ble, branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. - bv, branche verticale de l'arbre de vie médi
de l'arbre de vie médian. - bv, branche verticale de l'arbre de vie
médian
. - Eca, grand entre-croisement commissural du cer
rébelleux supérieur. - Py, faisceau pyramidal. - Rna, ruban de Reil
médian
. - sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Az
il en est de même de la brandie horizontale (bh) de l'arbre de vie
médian
dont l'extrémité postérieure, renflée et coudée,
e nous venons d'étudier, intéressent le vermis c'est-à-dire le lobe
médian
du cervelet. Les deux coupes S 4 et S 5 qui von
hémisphères, située immédiatement en dehors du sillon longitudinal
médian
et qui comprend le nid d'hirondelle, les noyaux a
odifications importantes, qui transforment peu à peu l'arbre de vie
médian
(coupe SI, Fig. 408) en arbre de vie des lobes la
ement se fait aux dépens des différentes branches de l'arbre de vie
médian
el aux dépens de la substance blanche centrale,
euse. Les transformations subies par les branches de l'arbre de vie
médian
dans la région de transition et dans la région
sont les suivantes : 1° La branche verticale (bv) de l'arbre de vie
médian
s'épaissit, s'élargit et se raccourcit dans la
ue l'extrémité supérieure de la branche verticale de l'arbre de vie
médian
(coupe S 1, Fig.408), s'étalent dans la région
08, et 411 à 415). 2° La branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
médian
subit des modifi- cations tout aussi importante
latère antérieur). 3° Pour les autres branches de l'arbre de vie
médian
, les transforma- tions sont moins radicales et
égulier et s'effectue aux dépens des six branches de l'arbre de vie
médian
, qui se raccourcissent à mesure que la substanc
nsformation subie par la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
médian
et par l'apparition, dans la substance blanche
. Méthode de Weigert-Pal. bh, branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. - bv, branche verticale de l'arbre de vie médi
de l'arbre de vie médian. - bv, branche verticale de l'arbre de vie
médian
. - Eca, grand entre-croisement commissural antéri
bulbaire. Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
. sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr
ge antérieur, la section des fibres longitudinales du ruban de Reil
médian
(Rm) etcellede la formation réticulée (SR), limit
éthode de Weigert-Pal. bh, la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. - FPoa, FPop, les fibres transver- sales antér
re de longueur fort inégale. La branche verticale de l'arbre de vie
médian
, représentée sur la coupe S 5 (Fig. il 3) par u
u vermis, elle présente la figure caractéristique de l'arbre de vie
médian
; Dans la région de transition que l'on peut en
le trou borgne supérieur, profonde dépression, située sur la ligne
médiane
entre les pédoncules cérébraux et la protubéran
rivent une courbe à convexité supérieure et atteignent sur la ligne
médiane
un niveau plus élevé que sur les parties latérale
t qui occupe la partie externe du pied et s'adosse au ruban de Reil
médian
(Itm). II refoule le locus niger (Ln) en dedans,
alité de la calotte pédonculaire; ils s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, puis se portent en dehors et en arrière, masquan
érieur (xil'cs). - PLp, pes lemniscus profond. - Rnz, ruban de Reil
médian
. RI, ruban de Reil latéral. - noyau du ruban de
lemniscus profond. - RI, ruban de Reil latéral. - Hm, ruban de Reil
médian
. SR, formation réticulée. - Slri, stratum interme
faisceau longitudinal postérieur en arrière (Flp), le ruban de Reil
médian
(Rm) et latéral (Rl) en dehors, et par une étroit
du pédoncule cérébelleux supérieur du côté opposé. Le ruban de Reil
médian
(Rm) apparaît comme une bande compacte de fibres
inaux clairsemés du noyau latéral (NI). En dehors, le ruban de Reil
médian
se continue avec le ruban de Reil latéral (RI),
piriforme et relié à celui du côté opposé par de petits fascicules
médians
sectionnés obliquement. La languette mé- diane
327, p. 651 à 659), n'existe plus sur cette coupe et les fascicules
médians
sont situés sur le même plan que le bord antérieu
(VP), qui s'infléchissent en arrière et s'accolent au ruban de Reil
médian
(Rm) en formant le système des fibres aberrantes
la face profonde du pied du pédoncule et adossent au ruban de Reil
médian
(Rm) les fascicules aberrants de la voie pédoncul
es fibres transversales du pont et leur adossement au ruban de Reil
médian
; la calotte pédonculaire, la com- missure de We
isement inférieur. - RI, ruban de Reil latéral. -Iim, ruban de Reil
médian
; les fascicules arrondis qu'il contient appartien
les régions antérieures de la calotte, au voisinage du ruban de Reil
médian
(Rm), les fibres du pédoncule cérébelleux supér
al de Wernekink. - Rl, ruban de Ileil latéral. - Rm, ruban de Iteil
médian
. - Sgl'o, substance grise antérieure de la protub
xe; elle se porte peu à peu en avant, à mesure que le ruban de Reil
médian
se déplace en dedans. COUPES INTÉRESSANT LA RÉG
elleux supérieur. - Rl, ruban de Iteil latéral. - Rm, ruban de Reil
médian
. - SgPo, substance grise antérieure du pont. -
bres transversales de la protubérance s'entre-croisent sur la ligne
médiane
à angle plus ou moins obtus avec celles du côté o
ieur du pont ; il est particulièrement dense au voisinage du sillon
médian
antérieur, où les fascicules sont presque paral
ques et dont l'extrémité antérieure effilée n'atteint plus le raphé
médian
. De chaque côté du raphé, les trabécules gris d
s'étend du faisceau longitudinal postérieur (Flp) au ruban de Reil
médian
(Rm), et qui se trouve sil- lonné par de nombre
ées par la laque hématoxylinique; elles traversent le ruban de Reil
médian
(Rm) et appartiennent déjà au corps trapézoïde (V
oncavité du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Le ruban de Reil
médian
(Rm) forme une bande transversale qui limite la
de termi- naison de certaines catégories de fibres du ruban de Reil
médian
, et du corps trapézoïde. On les désigne quelque
apézoïde, de noyaux du ruban de Reil. En dehors, le ruban de Reil
médian
(Rm) se continue à angle droit avec le ruban de
rps trapézoïde (Tr) et la dis- position qu'affecte le ruban de Reil
médian
(Rm). Le déplacement du pédoncule cérébelleux s
ittales du raphé. - lil, ruban de Reil latéral. - Rm, ruban de Reil
médian
. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pes, péd
e entre le faisceau central de la calotte (Fcc) et le ruban de Reil
médian
(Rm), puis s'infléchit en avant et entoure un pet
au voisinage du sillon latéral de la protubérance. Le ruban de Reil
médian
(Rm) s'est reporté un peu en dedans, et n'atteint
cs) en arrière et en dehors et qui n'atteint pas en dedans le raphé
médian
. Coupe H3 (Fig. 425). Cetle coupe passe par les
tteint en avant la périphérie du pont; seuls au voisinage du sillon
médian
antérieur, les noyaux pontiques (SgPo) des deux m
ieure, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. Le ruban de Reil
médian
avec ses fascicules aberrants de la voie pédoncul
elleux supérieur. - 1', fihres sagittales du raphé. Rm, ruban de Reil
médian
. - Sgl'o, substance grise antérieure du pont. -
a face profonde du stmclunz superficiale jusqu'au sillon longitudinal
médian
du quatrième ventricule; sur d'autres préparati
Le faisceau central de la calotte (Fcc) s'est adossé au ruban de Reil
médian
(Rm) et n'en est plus séparé, comme sur la coup
n avant par les fibres du corps trapézoïde (Tr). Le ruban de Reil
médian
( ! lm) s'est reporté en dedans et n'occupe plus
e de la calotte bulho-protuhérantielle passant par le ruban de Reil
médian
(Rm) dans son trajet protubérantiel, les noyaux d
de v. Monakow. - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. Rnz, ruban de Reil
médian
. - r, raphé. - riV" diverticules latéraux du qu
ôlé opposé; ces dernières sont homologues à celles du ruban de Reil
médian
. Le ruban de Reil médian (Rm) est traversé dans
sont homologues à celles du ruban de Reil médian. Le ruban de Reil
médian
(Rm) est traversé dans le sens de sa largeur par
divisent en champs rectangulaires. Sur la coupe H3 le ruban de Reil
médian
du côté gauche contient un certain nombre de fa
occupent les parties latérales de la calotte entre le ruban de Reil
médian
(Rm) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pes).
pe de fibres à trajet hori- zontal situé en dehors du ruban de Reil
médian
(Rm) et qui passant en avant de l'olive supérie
u bulbe et se place dans la protubérance en dehors du ruban de Reil
médian
(Rm), jusqu'au-dessous du plan passant par le n
profondes (FPop) de la protubérance; la calotte avec le ruban de Reil
médian
(Rm), le faisceau central de la calolte (Fcc),
on réticulée, le noyau réticulé, l'olive supérieure, le ruban de Reil
médian
, le fais- ceau longitudinal postérieur et le fa
xe du lobe central. - bv, branche verticale de l'arbre de vie du lobe
médian
du cervelet. - Cj, corps juxta-restiforme. Eca,
moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
. -SR, formation réticulée. - Tr, corps trapézoi
is et les hémisphères; elles s'entre- croisent ensuite sur la ligne
médiane
du vermis, le long de l'axe du lobe central (aL
moyen. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
. Sbc, substance blanche centrale du vermis. - SgR
) et l'olive supérieure (Os) sont toujours adossés au ruban de Reil
médian
(Rm), ce dernier est traversé par les fibres ho
ères fibres radiculaires de la Ve paire. De chaque côté de la ligne
médiane
, en arrière du faisceau longitu- dinal postérie
t les noyaux du toit et s'entre-croisent à angle droit sur la ligne
médiane
du vermis en formant l'entre-croisement des noyau
ulée (SR) et peuvent être suivies sur la coupe jusqu'au ruban de Reil
médian
(Rm). Le noyau réticulé (Nrt), le faisceau cent
noyau du facial (NVII), le corps trapézoïde (Tr) et le ruban de Reil
médian
(Rm) présentent les mômes caractères que sur la
les cérébelleux inférieur, moyen et supérieur. - Rm, ruban de Jteil
médian
. - Sglt, substance gélatineuse de Rolando. - SI
rrondis, les noyaux du toit (Nt), situés de chaque côté de la ligne
médiane
du vermis, très bien déli- mités en arrière, en
otte s'est étendue dans le sens antéro-postérieur. Le ruban de Reil
médian
(Rm), qui n'occupe plus que la moitié interne de
(Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le ruban de Reil
médian
(Rm) est traversé par les fibres horizontales du
périeur. - puy, faisceau pyramidal. - r, raphé. - Rm, ruban de Reil
médian
. SgR, substance gélatineuse de llolando. - SR,
du faisceau longitudinal postérieur (Flp), de chaque côté du raphé
médian
. La, elles se coudent, affectent un trajet asce
me de fascicules sectionnés obliquement, à travers le ruban de Reil
médian
(Rm) et en dehors du faisceau pyramidal (Py). A
par la calotte ]J1'otuúérantielle et présente le sillon longitudinal
médian
, et de chaque côté deux éminences répondant aux
ures ont encore diminué, et qui présente de chaque côté de la ligne
médiane
les noyaux du toit (Nt). De ces noyaux arrondis
e de l'olive; on ne peut le suivre sur cette coupe jusqu'à la ligne
médiane
du vermis. A droite, le pédoncule cérébelleux i
cette coupe une fente transversale étroite, plus large sur la ligne
médiane
, limitée en avant par le bulbe, en arrière par
du diverticule latéral du quatrième ventricule. - Rm, ruban de Reil
médian
. S9R, substance gélati- neuse de Rolando. - SgP
utefois pas très intime. La coupe intéresse, en effet, sur la ligne
médiane
entre les deux pyramides, le trou borgne inférieu
he, le faisceau pyramidal (Py) est en contact avec le ruban de Reil
médian
(Rm) et le faisceau central de la calotte (Fcc).
ig. 430, p. 640), ce noyau est limité en avant par le ruban de Reil
médian
(Rm), l'olive bulbaire (Oi) et le faisceau cent
e, en avant de l'olive protubérantielle, en dehors du ruban de Reil
médian
(Voy. coups H7, Fig. 430, p. 640). Le faisceau la
es du ruban de Reil latéral et par quelques fibres du ruban de Reil
médian
. Dans la partie fermée du bulbe, reçoit le fais
de fibres arciformes ; on voit ses fibres traverser le ruban de Reil
médian
(Rm) et le faisceau central de la calotte (Fcc)
a couche interolivaire comprend surtout les fibres du ruban de Reil
médian
, de là le nom de couche lemniscule qui lui est
des plus manifestes, se continuent au niveau du sillon longitudinal
médian
du quatrième ventricule avec les stries acoustiqu
tubercule acoustique (Tub. ac). Au voisinage du sillon longitudinal
médian
, on les voit passer en avant d'un faisceau arro
NVIIIv). Il est limité en dedans, au voisinage du sillon longitudinal
médian
, par un petit noyau arrondi pauvre en fibres à
est du reste très nettement mise en évidence sur la coupe sagittale
médiane
SI bis (Fig. 409, p. 592). L'olive bulbaire n'a
nexion avec le noyau arqué (Narc); elles s'enfoncent dans le sillon
médian
antérieur du bulbe, s'y entre-croisent et se cont
e l'hypo- glosse (Nxu), situé de chaque côté du sillon longitudinal
médian
dans l'aile blanche interne. De ce noyau se dét
dantes de la couche inter-olivaire, en particulier du ruban de Reil
médian
. Les fibres arciformes inlerréliculées (fir) ap
(NCp), montent dans la couche inter-olivaire et dans le ruban de Reil
médian
, du côté opposé et se terminent dans la couche
n plus en largeur. On trouve, de chaque côté du sillon longitudinal
médian
, le noyau de l'hypoglosse (\1u), noyau volumineux
ÉPHALE. 677 continuent avec les fibres ascendantes du ruban de Reil
médian
, c'est-à-dire avec une partie des fibres de la
saillant en avant, et séparé de celle du côté opposé par le sillon
médian
antérieur, qui atteint dans cette région une gran
ses dimensions antéro-postérieures se sont très réduites. La ligne
médiane
est occupée par l'e ? tîe-c2,oise ? ? ieiîl sen
de pin, dont le sommet, dirigé en avant, atteint le profond sillon
médian
antérieur; de là le nom d'entre-croisement pini
ans la constitution de la couche inter-olivaire et du ruban de Reil
médian
. Les fibres de la partie antérieure de la forma
urt, compris entre la substance grise centrale et le fond du sillon
médian
antérieur, très rapprochés l'un de l'autre. De sa
forme, elle s'est déplacée en arrière, s'en- fonçant avec le sillon
médian
antérieur; une partie de ses fibres commence déjà
rrière et en dedans, occupent tout l'espace compris entre le sillon
médian
antérieur et la substance grise centrale, et s'
orne anté- rieure (Coa), devient presque parallèle au plan sagittal
médian
sur les coupes H 19 et H20. Ces deux coupes n'i
le canal épendymaire, on trouve en avant de chaque côté de la ligne
médiane
, les derniers vestiges de la colonne nucléaire de
ord postérieur de la substance grise centrale s'excave sur la ligne
médiane
et que les cordons postérieurs s'étendent dans
'une véri- table capsule de fibres et s'entre-croisent sur la ligne
médiane
du vermis au-dessous de l'entre-croisement comm
ité postérieure de la branche horizontale de l'arbre de vie du lobe
médian
(Fig. 437, p. G : 3); la couche sagittale de cett
les fibres semi-circulaires externes s'entre- croiser sur la ligne
médiane
en décrivant un grand arc ouvert en avant dont la
- mité postérieure de la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
médian
. Le grand enlre-croisement commissural antérieu
i occupe toute la hauteur de la branche verticale de l'arbre de vie
médian
et un segment horizontal oblique en bas et en a
ivie jusqu'à l'embouchure de la branche horizontale de l'arbre de vie
médian
. Tous les fascicules du grand entre-croisement
t se rendent dans le noyau du toit. Très net sur la coupe sagittale
médiane
ou sur les coupes qui en sont très rapprochées,
rmis passant par le noyau du toit un peu en dehors du plan sagittal
médian
. Méthode de Wei- gert-Pal. 10/1 grandeur nature
ouche sagittale de la branche horizontale de l'arbre de vie du lobe
médian
. Eca, grand cntre-cronfïnent commissural antérieu
deux parties d'un même tout sont inséparables et unies sur un plan
médian
. De même, les centres nerveux qui animent les deu
es deux moitiés du corps s'unissent en un tout symétrique, et le plan
médian
qui sépare ces deux moitiés du système nerveux ce
are ces deux moitiés du système nerveux central coïncide avec le plan
médian
du corps. Dans les animaux vertébrés les centre
ontraire, la chaîne, ou plutôt la tige nerveuse, occupe, dans le plan
médian
de l'animal, le côté dorsal du corps. Ainsi, dans
le Crocodilus lucius que nous avons sous les yeux, une première masse
médiane
et symétrique est logée dans l'anneau supérieur d
e qu'un segment de la moelle épinière. Un deuxième ganglion également
médian
et symétrique est logé dans l'anneau inférieur, a
la vésicule ombilicale est au côté dorsal. Ainsi donc cette division
médiane
qui, dans les vertébrés, affecte la chaîne du sym
ce fait de l'existence de petits ganglions collatéraux aux ganglions
médians
de la chaîne chez les ponbdellcs. il. 2 thique.
est au côté ventral est désigné par les auteurs sous le nom de sillon
médian
antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le s
sillon médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le sillon
médian
postérieur. En créant ces dénominations on a eu é
ominations on a eu égard à l'attitude verticale de l'homme. Le sillon
médian
antérieur est le seul dont on n'ait point contest
ertaines régions ils semblent ne point border immédiatement le sillon
médian
postérieur; un petit funicule accessoire forme da
lhier, dans son excellent ouvrage, les désigne sous le nom de cordons
médians
postérieurs. Peut-être serait-il mieux de les nom
Peut-être serait-il mieux de les nommer funicules marginaux du sillon
médian
postérieur. Que sont ces funicules? sont-ils un
le, se rapprochent de plus en plus et bordent immédiatement le sillon
médian
postérieur au niveau de la région dorsale. Mais à
région lombaire où les funicules ont reçu le nom impropre de cordons
médians
postérieurs. 2° Le système lombo-dorsal qui s'épu
vicale où ses extrémités atténuées reçoivent encore le nom de cordons
médians
postérieurs. 3° Enfin, le système cervical qui s'
ux autres systèmes. En conséquence de ces observations, les cordons
médians
postérieurs sont évidemment dans chaque région, V
s d'une II à branches courbes. Entre les deux lamelles est un canal
médian
que limite une paroi propre d'aspect gélatineux,
triple quelquefois; mais, en réalité, le ventricule est parfaitement
médian
, et toujours unique. Son existence est constante
rtains animaux tels que les ruminants, forment de chaque côté du plan
médian
un petit cordon arrondi. Je donne à ces cordons l
un cercle complet. Cette partie du ventricule, enroulée dans un plan
médian
, est ce que les auteurs ont appelé troisième ven
ux appeler ventricule intermédiaire. Ce ventricule donne dans le plan
médian
deux diverticulum, l'un inférieur, qui est le tub
et enroulement. Nous donnons le nom d'étage inférieur du ventricule
médian
à l'arc de ce ventricule qui est au-dessous de la
e l'autre, qu'elle arrivent presque à se toucher. Un petit intervalle
médian
les sépare. Tel est le ventricule de Sylvius (cin
l, se portent à sa face supérieure, en s'enroulant avec le ventricule
médian
. Elles constituent les piliers de la voûte. Cette
vre, à la manière d'un opercule, la région vestibulaire du ventricule
médian
. Au delà de Y opercule, les bandelettes de la voû
ord postérieur de la région de la protubérance annulaire. Un sillon
médian
divise la face antérieure du bulbe en deux moitié
moitiés symétriques. Ce sillon, beaucoup moins profond que le sillon
médian
de la moelle épinière, en est la suite et se term
de la moelle épinière, en est la suite et se termine par une fossette
médiane
qui touche au bord postérieur de la protubérance,
si ces cordons antérieurs écartés par elles ne bordent plus le sillon
médian
, et cheminent au côté externe des pyramides. Ces
ce blanche formée de fibres transversales juxtaposées, qui, du sillon
médian
antérieur du bulbe, d'où elles semblent naître, s
rapèze répond au bord postérieur du pont. Elle présente, sur la ligne
médiane
, une petite échancrure qui forme la marge du trou
ement recourbé et légèrement échancré sur le milieu. Cette échancrure
médiane
répond à ce que nous désignerons tout à l'heure s
'éléphant. Sa face libre est convexe ; on y distingue : a) Une vallée
médiane
qui suit la direction du sillon médian antérieur.
n y distingue : a) Une vallée médiane qui suit la direction du sillon
médian
antérieur. b) Aux côtés de cette vallée, deux c
ubérance, et l'on aura une idée générale des pédoncules. L'intervalle
médian
qui les sépare est désigné sous le nom d'espace i
e intime. Toutefois, vers le côté du pédoncule, qui touche à la ligne
médiane
, un prolongement de cette masse grise dépasse en
t vers une production symétrique, s'unit avec elle en une masse grise
médiane
qui enveloppe la saillie de l'entonnoir du ventri
oulement et le cornet fibreux de l'éventail ; sur le milieu le sillon
médian
du bulbe, la vallée de la protubérance, l'espace
roit, concave, et au fond de sa concavité existe la trace d'un sillon
médian
. La substance qui en forme le fond est d'un gris
eux, cette couleur et ces perforations ont fait donner à cette cavité
médiane
le nom d'espace cendré perforé postérieur. La p
épond au bord antérieur de la protubérance et touche à son échancrure
médiane
. Il y a là un enfoncement plus marqué, qu'on dési
ent l'axe. Cette lame, qui appartient à la paroi propre du ventricule
médian
, mérite le nom de valvule antérieure. Elle est su
ractus est la commissure de la valvule de Vieussens. Un petit pinceau
médian
tombe de l'intervalle des tubercules testes sur c
e qu'elle était dans la moelle, on y reconnaît aisément les faisceaux
médians
postérieurs du bulbe, semblables par leurs renfle
ure transversale sur le milieu de laquelle s'ouvre une autre scissure
médiane
. Elle se trouve ainsi réduite à deux petites lame
ement parler, les ventricules du cervelet. On en distingue trois, une
médiane
qui répond aux cervelets médians, et deux latéral
cervelet. On en distingue trois, une médiane qui répond aux cervelets
médians
, et deux latérales pour les cervelets latéraux.
l'autre avec les ventricules cérébraux. Une troisième appendice est
médiane
et occupe le côté dorsal du ventricule. C'est là
édiane et occupe le côté dorsal du ventricule. C'est là le ventricule
médian
du cervelet. Les quatre autres sont paires et s
s parlé. Les parties que recouvre la paroi antérieure du ventricule
médian
doivent être décrites ici. J'ai déjà dit que cett
e postérieure de la commissure du bulbe. On y remarque : 1° un sillon
médian
très-régulier; 2° de chaque côté de ce sillon, de
s blanches obliques qui s'implantent d'avant en arrière sur le sillon
médian
. Les anciens anato mistes aimaient les comparai
nom fameux de calamus scriptorius. La tige de la plume est le sillon
médian
. Ses barbes sont les stries blanches obliques, l'
sillon médian. Ses barbes sont les stries blanches obliques, l'angle
médian
compris dans l'écartement des deux corps restifor
on du pédoncule. Au niveau de la région du pédoncule, le ventricule
médian
s'atténue en un canal étroit, sous le nom d'aqued
une arcade qui présente, pendant toute la vie, les traces d'un raphé
médian
, M. Cruveilher désigne ces faisceaux sous le nom
en croix, séparent ces quatre masses l'une de l'autre; l'un d'eux est
médian
, et parfaitement rectiligne; l'autre est tracé da
eurent une idée singulière. Si l'on admet avec eux que le ventricule
médian
est une cavité comprise entre les deux moitiés de
commissure des habenœ, et qu'on peut considérer comme une dilatation
médiane
de l'aqueduc de Sylvius vers son orifice antérieu
rent nettement la face supérieure de la couche optique d'avec sa face
médiane
. II. Le second faisceau s'étale en une membrane
rps calleux. I. Des ventricules du cerveau. C'est dans l'intervalle
médian
qui sépare les deux axes pédonculaires, entre les
culaires, entre les deux couches optiques, qu'est situé le ventricule
médian
. Ce ventricule qu'on désigne, en général, sous le
s plus ou moins vastes ; les unes se développent dans le sens du plan
médian
de l'encéphale, entre les deux moitiés du noyau c
lent autour des deux masses terminales de l'axe. Les premières, les
médianes
, sont au nombre de deux; la plus considérable app
le nom à'infundibulum donné à cette partie. Le second prolongement
médian
est fort petit, il émane de l'arc supérieur de l'
ajet, le ventricule intermédiaire , indépendamment de ces dilatations
médianes
, conserve quelque chose de sa forme tubuleuse. Ma
tubuleuse. Mais de l'arc supérieur du tube naît, le long d'une fente
médiane
(1) qui (1) Cette expression de fento est fort
atation communique avec celle de l'arc supérieur du tube par la fente
médiane
que nous venons d'indiquer. Nous lui avons donné
cules cérébraux. La modification de l'étage supérieur du ventricule
médian
ne se borne point là. Les deux côtés du vestibule
ntales des deux ventricules latéraux, s'enroulent comme le ventricule
médian
. Or, de même que celui-ci se dilate en un vestibu
re molle, au-devant et en arrière de laquelle se voit béante la fente
médiane
de l'étage supérieur du ventricule médian. Voilà
le se voit béante la fente médiane de l'étage supérieur du ventricule
médian
. Voilà ce que les anatomistes avaient pris pour d
entail droit s'unissent avec celles qui naissent à gauche en un raphé
médian
; ou bien ces fibres, s'entre-croisant sur la lign
en un raphé médian; ou bien ces fibres, s'entre-croisant sur la ligne
médiane
, poursuivent leur trajet au delà. Nous discuteron
sale du noyau cérébral fait bien voir la première courbure. Une coupe
médiane
de ce noyau fait apprécier la seconde. Elle perme
rc uniforme. Dans toute sa longueur, en effet, il présente une vallée
médiane
, limitée de chaque côté par deux soulèvements par
par deux soulèvements parallèles. Cette vallée répond à l'intervalle
médian
qui sépare les deux moitiés de l'axe; les soulève
tapisse la face supérieure sans s'avancer cependant jusqu'aux parties
médianes
qui demeurent libres. Arrivée à un millimètre env
édianes qui demeurent libres. Arrivée à un millimètre environ du plan
médian
, elle se détache de l'opercule, monte verticaleme
du ventricule latéral. Ces choses se passent de chaque côté du plan
médian
. Ainsi, en passant de chaque côté de la voûte au
es symétriques demeurant distinctes, il y a entre elles un intervalle
médian
, un espace intermédiaire vide, dans lequel les an
montré que le méat de Sylvius n'est rien autre chose qu'un intervalle
médian
, compris entre les deux cornes frontales des vent
laquelle deux expansions latérales seraient surajoutées au ventricule
médian
. Si ces dilatations accessoires se prolongeaient
erse. A l'aide d'une modification si simple on retrouve le ventricule
médian
, les piliers antérieurs de la voûte, le méat de S
te. Ce mouvement d'enroulement ne modifie pas seulement les parties
médianes
du noyau, il se retrouve encore dans les parties
l'antérieure ou l'inférieure est concave, celle-ci présente une fosse
médiane
aux deux côtés de laquelle on voit deux grandes o
érieure du cervelet. La grande échancrure du cœur ou plutôt la vallée
médiane
qui sépare ses lobes se prolonge donc à la face i
mmunique, par l'intermédiaire d'une gouttière profonde, avec la fosse
médiane
; on lui a donné le nom d''échancrure marsupiale.
se médiane ; on lui a donné le nom d''échancrure marsupiale. La fosse
médiane
intermé- diaire, aux deux échancrures, est ce q
rties latérales du cœur le nom d'hémisphères du cervelet. Les parties
médianes
ont reçu des noms divers. Ainsi, la face dorsale
es noms divers. Ainsi, la face dorsale du cervelet présente une arête
médiane
, plus ou moins saillante, qui est le monticule, d
t suite, sous la forme d'une colline intermédiaire, qui est le vermis
médian
. Sur les côtés du cervelet, dans les extrémités é
érale du cervelet, trois masses secondaires, savoir : 1° Une niasse
médiane
dilatée en avant, très-rétrécie en arrière et don
a un corps et une queue. Le corps sera pour nous le corps du cervelet
médian
, la queue, repliée sous la face inférieure du cer
epliée sous la face inférieure du cervelet, est le vermis du cervelet
médian
. 2° Deux masses latérales. Ces masses, comprise
. Ces masses, comprises dans les deux angles que le corps du cervelet
médian
forme à droite et à gauche avec son vermis, sont
mposent trois groupes de lobules transverses. Le vermis du cervelet
médian
présente également plusieurs divisions ou lobules
ule qui termine, à la face inférieure du cervelet, la queue du vermis
médian
. B. — Le corps de chaque cervelet latéral compr
qui, dans les singes et surtout dans l'homme, se rapproche du vermis
médian
pour s'en éloigner de nouveau de manière à figure
tinent. Ils correspondent à la lame transversale supérieure du vermis
médian
. 2° Les lobes postéro inférieurs] ils sont fort
épais, et répondent aux lamelles transversales inférieures du vermis
médian
. 3° Les lobes grêles dont la direction est obli
e lame nerveuse transversale établit entre lui et la luette du vermis
médian
. Une lamelle semblable existe des deux côtés de l
ieu du vermis inférieur. Ce voile transversal, adhérent à une saillie
médiane
, a rappelé l'idée du voile du palais. Dès lors ce
médiane, a rappelé l'idée du voile du palais. Dès lors cette saillie
médiane
est devenue une luette, et les lobules auxquels e
est bien apparente sur le rocher des enfants nouveau-nés. le vermis
médian
. Entre ce vermis et la lingule est une fosse prof
la lingule est une fosse profonde divisée en trois compartiments l'un
médian
, et deux latéraux. Ces compartiments sont revêtus
leurs le corps des cervelets latéraux prédomine sur celui du cervelet
médian
. Dans les singes la prédominance passe peu à pe
Dans les singes la prédominance passe peu à peu au corps du cervelet
médian
, et la grandeur relative des vermis s'accroît de
les ruminants, dans la plupart des pachydermes, le corps du cervelet
médian
est fort réduit, mais celui du cervelet latéral e
cervelet latéral est pour ainsi dire anéanti. En revanche, le vermis
médian
et les vermis latéraux se développent au point de
plication singulière. Ainsi dans les genres Canis et Felis, le vermis
médian
offre des ondulations marquées, mais les vermis l
cées demeurent les mêmes dans leur généralité. Le corps du cervelet
médian
est souvent moins large et moins développé que so
nent lieu à des observations nouvelles, savoir : 1° Que les parties
médianes
du cervelet antérieur et le système entier des ve
orps du cervelet antérieur elles s'infléchissent au dessus de l'arête
médiane
en formant de petites anses intermédiaires concav
large, (1) Comme Perrault l'avait déjà remarqué. regarde le plan
médian
de l'encéphale. Ces bourses coiffent, en quelque
ébral qui enferme le ventricule latéral et s'avance jusqu'à la vallée
médiane
du corps calleux. L'ouverture de l'hémisphère est
yau d'enroulement (voir p. 57), et se porte obliquement vers la ligne
médiane
où il rejoint le corps calleux. Dans tout ce traj
'hémisphère opposé. Dans sa partie inférieure, elle s'éloigne du plan
médian
de l'encéphale et se moule sur la face convexe du
des faisceaux moyens par des racines qui s'entrecroisent sur la ligne
médiane
d'un côté à l'autre, si bien que la pyramide de
ond du sillon antérieur, et l'autre la paroi antérieure du ventricule
médian
. Or, à partir de l'entrecroisement des pyramides,
t complètement à découvert cette dilatation rhomboïdale du ventricule
médian
, qu'on nomme le quatrième ventricule. De ce fait
ulte d'un amas de substance grise compris sur les côtés du ventricule
médian
entre la commissure et le faisceau antérieur d'un
nt des axes gris entre la commissure et la paroi étalée du ventricule
médian
. Cet aplatissement a lieu en effet, ce qui rend a
nous examinons, deux amas principaux; l'un interne qui touche au plan
médian
du bulbe, répond à cet amas de cellules multipola
lis. Dans les ruminants les olives sont très-rappro-chées de la ligne
médiane
et cachées derrière les pyramides. Dans les coupe
cerebellum (Philos, trans., 183G, t. GXXV1). gent du fond du sillon
médian
antérieur, enveloppent de chaque côté les pyramid
s'étendent des faisceaux moyens au cervelet, en passant dans le plan
médian
du bulbe, et de là sur sa face antérieure, pour g
ccessoire ils sont plus particulièrement en relation avec ses parties
médianes
. Les fibres areiformes sont très-rapprochées le
intervalles où s'engagent les fibres transversales du bulbe; un raphe
médian
parcouru par les fibres antéro-postérieures sépar
touche à la pyramide et le sommet à la paroi antérieure du ventricule
médian
. Ce groupe représente, par sa structure, l'arêt
les unes droites, les autres gauches, qui s'entrecroisent sur le plan
médian
, mais ni leur origine ni leurs terminaisons ne so
icule à la face inférieure du bulbe. (a). Les plus proches du raphé
médian
tiennent du côté du ventricule à un tubercule gri
eaux moyens, se dirigent sous la couche grise des axes, vers la ligne
médiane
, traversent le bulbe d'avant en arrière de chaque
raphé entre les deux faisceaux antérieurs, émergent du fond du sillon
médian
antérieur, passent derrière et devant la pyramide
transversales de la protubérance subissent l'inflexion d'où la vallée
médiane
résulte. M. Cruveilher a, avec beaucoup de raison
nous suivrons ici son exemple. Les anciens pensaient que la vallée
médiane
était destinée à loger une artère médiane connue
ens pensaient que la vallée médiane était destinée à loger une artère
médiane
connue sous le nom d'artère basi-laire. M. Cruvei
se, irrégulière ou déviée tantôt à droite, tantôt à gauche; la vallée
médiane
, au contraire, est toujours parfaitement médiane,
à gauche; la vallée médiane, au contraire, est toujours parfaitement
médiane
, régulière et symétrique. Selon l'habile auteur
rotubérance, soulèvent de chaque côté le plan superficiel, une vallée
médiane
sépare ces deux soulèvements ; telle est la maniè
es composent des plans très-minces ; elles émergent du fond du sillon
médian
et se portent de chaque côté vers le cervelet, en
confusion de leurs fibres, qui s'exprime par la formation d'un raphe
médian
dans toute l'épaisseur de la protubérance. Là est
l'épaisseur de la protubérance. Là est aussi la cause de cette vallée
médiane
et des collines latérales qui forment ses limites
une même disposition des faisceaux antérieurs de chaque côté du raphé
médian
, et le même aspect des faisceaux qui corresponden
visions qui va aux tubercules quadrijumeaux s'anastomose sur la ligne
médiane
avec sa congénère et forme, au-dessous d'eux, une
moins pendant toute la vie présente-t-il à son côté dorsal une suture
médiane
. Ainsi la continuation du ventricule chemine sous
postérieure du tuber cinereum, et au-devant de laquelle le ventricule
médian
descend pour s'enrouler d'avant en arrière autour
ue présente la commissure blanche de la moelle. Elle offre un raphé
médian
que parcourent, d'arrière en avant, des fibres ém
chaque couche optique en une cupule dont la concavité regarde le plan
médian
et embrasse les noyaux gris des couches. Ces noya
rés comme le centre de l'enroulement des parties qui occupent la face
médiane
de chaque pédoncule, de même que le corps strié e
tum lucidum. Il y a une de ces lames à droite et une à gauche du plan
médian
. Elles limitent immédiatement le méat de Sylvius
'on divise le cervelet par des sections pratiquées soit selon le plan
médian
, soit dans un sens oblique ou horizontal, on cons
ce grise. La coordination de ces divisions est telle, dans les coupes
médianes
du cervelet, qu'elle donne lieu sur chacune des s
immédiatement divisé en deux branches, dont l'une répond au cervelet
médian
, etl'autre à son vermis. Chacune de ces branches
rminer plus particulièrement dans cette partie de fécorce du cervelet
médian
qui répond à la partie moyenne de son corps et à
ne de son corps et à son vermis. Elles appartiennent donc aux régions
médianes
du cervelet, aussi leur nombre est-il en raison d
ient dans le milieu du cervelet médkn, dans toute l'étendue du vermis
médian
et dans le vermis latéral. Ainsi les deux vermis
animaux les parties latérales du cervelet l'emportent sur les parties
médianes
, et parmi ces parties latérales, le corps des cer
s latérales, le corps des cervelets latéraux sur le corps du cervelet
médian
. Dans les singes qui sont inférieurs, au point
ne étendue d'autant plus grande qu'il y a relativement plus de masses
médianes
et de vermis, et moins de masses latérales, car p
n instant des conséquences utiles. En nous résumant, 1° les parties
médianes
du cervelet antérieur, le vermis médian et les ve
us résumant, 1° les parties médianes du cervelet antérieur, le vermis
médian
et les vermis latéraux, sont en rapport avec le d
océdons. Nous divisons en premier lieu l'encéphale suivant son plan
médian
. Les deux hémisphères sont ainsi séparés l'un d'a
t du ventricule intermédiaire autour de la commissure dont la tranche
médiane
occupe le centre même de la couche optique. L'é
urbe touche à la précédente par ses extrémités, en sorte que la coupe
médiane
de l'espace compris entre elles a la forme d'un c
leux, dit-il, doit manifestement naissance à la jonction sur la ligne
médiane
d'extrémités de fibres des deux pédoncules cérébr
au désir de la reproduire. On y voit le corps calleux avec sa vallée
médiane
correspondant au système de la voûte et, de chaqu
dans le genou postérieur du corps calleux; après avoir passé la ligne
médiane
, elles marchent vers le côté opposé, s'engagent s
es anato-mistes, que les nerfs olfactifs offrent aussi une commissure
médiane
à la manière des nerfs optiques. Anal, et Phys. d
et un peu d'arrière en avant. A mesure qu'elle s'approche ( du sillon
médian
, elle devient de plus en plus superficielle ; « à
nes du nerf facial d'un côté, s'entre-croisent en partie dans le plan
médian
du bulbe avec celles du côté opposé. Ils ont pu s
ricule, où quelques-unes de leurs fibres s'entrecroisent sur la ligne
médiane
avec celles du côté opposé. Ces fibres paraissent
superficielles qui s'entre-croisent d'un côté à l'autre sur la ligne
médiane
. Mais j'avoue ne les avoir pas aperçues d'une man
se porte avec lui dans le cervelet. L'autre se dirige vers le plan
médian
de l'axe, au-dessous du pédoncule cérébelleux sup
passent au côté opposé de l'axe, d'où il résulte un entre-croisement
médian
. Quelques fibres de cette racine, d'après les mêm
a substance grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'au sillon
médian
. Ces fibres, obliquement dirigées vers ce sillon,
eur. Ils ont, en conséquence, un rapport essentiel avec la dépression
médiane
qui sépare en deux moitiés distinctes les deux lo
du deuxième mois, cette vésicule est ouverte en dessus par une fente
médiane
. Il est fort difficile de décider, comme l'a fort
etc., tome IL Il est fort à remarquer que, du moment où la division
médiane
du cerveau intermédiaire s'est effectuée, on doit
, et le cerveau intermédiaire, bien que déjà divisé par une ouverture
médiane
, est encore complètement à découvert. Cependant l
u-dessus de lui, augmentait graduellement d'épaisseur. Une dépression
médiane
en divisait la surface en deux moitiés symétrique
lobes optiques, ils étaient fort étendus avec une trace de division
médiane
, ils se prolongeaient en arrière et touchaient à
Celui-ci était divisé en deux moitiés symétriques, par une dépression
médiane
; en arrière, le quatrième ventricule était largem
; le cervelet représentait une lèvre supérieure divisée par un sillon
médian
, et les corps restiformes une lèvre inférieure. L
es lobes latéraux des plexus cho roïdes du ventricule. L'échancrure
médiane
de la lèvre inférieure troublait seule l'exactitu
tendue entre les deux extrémités du cervelet et divisée par un sillon
médian
en deux moitiés symétriques, représentait la prot
la surface de laquelle s'étalaient, en s'infléchissant vers le sillon
médian
, deux plans fibreux émanés des faisceaux moyens.
et leur intérieur communiquait avec le ventricule latéral. Une coupe
médiane
de ce cerveau présentait les particularités suiva
distincte; mais ces moitiés n'étaient point encore unies dans le plan
médian
du cerveau. Le bord de la grande ouverture de l
cervelet, ses parties latérales prédominaient encore sur ses parties
médianes
, si bien qu'à la place du vermis médian et du cul
ient encore sur ses parties médianes, si bien qu'à la place du vermis
médian
et du culmen, il n'y avait qu'une gouttière. Ains
omme, le développement des masses latérales devance celui des parties
médianes
. A partir de ce moment, l'accroissement de l'en
itiés de la commissure molle s'unissent et se confondent dans le plan
médian
. Pendant que ces métamorphoses s'accomplissaient,
rfaitement lisse. Ses parties latérales prédominaient sur les parties
médianes
, qui présentaient une dépression manifeste. Mais
arche avait tout devancé, se ralentit; en revanche, celui des parties
médianes
s'accélère. Le culmen s'élève; le bord antérieur
stinct où se dessinent trois ou quatre plis transverses ; le vermis
médian
, très-large à celte époque, se divise en ses lobu
nt et communiquent par une lame transversale avec la luette du vermis
médian
, au-dessous des lobes latéraux. Tout cela est b
èrent leurs derniers développements qu'après l'achèvement du cervelet
médian
et de son vermis. Quant aux vermis latéraux, ils
it déjà parfaitement constituée à partir du cinquième mois. Le sillon
médian
y était rigou rcusèment tracé, et sa surface ét
ition précède, ainsi que nous l'avons vu plus haut, celle du cervelet
médian
. Ces faits sont, je le répète, fort contraires au
on peut dès lors compter tous ses lobules. A cette époque les parties
médianes
ont devancé les parties latérales et l'emporteron
ux lames qui sont la base du cervelet futur se sont unies sur le plan
médian
, jamais cet organe ne ressemble chez l'homme à ce
une déclivité singulière. Ses grands lobes, tant le corps du cervelet
médian
que ceux des cervelets latéraux, et ces derniers
oup plus réduits que dans l'homme adulte: en revanche, les vermis, le
médian
et plus particulièrement les latéraux, ont une gr
rse. Les lobes latéraux préexistent aux vermis : à la place du vermis
médian
, il n'y a en effet dans le principe qu'une dépres
u vermis médian, il n'y a en effet dans le principe qu'une dépression
médiane
, un sillon. Jamais d'ailleurs ce vermis n'atteint
quadrijumeaux était simplement divisée en deux moitiés par un sillon
médian
; enfin le cervelet, partagé en deux masses latér
ment distincts est complète. Enfin le cervelet, grand par ses parties
médianes
et réduit dans ses masses latérales, est sillonné
ier organe se dessinent, il est vrai, en premier lieu sur le cervelet
médian
, mais des hémisphères, (1) Ex. l'Éléphant. Voy.
le épinière et forme deux replis, dont l'un tapisse le fond du sillon
médian
antérieur, tandis que l'autre pénètre dans le sil
est, à son tour, recouvert par l'opercule. De chaque côté de la ligne
médiane
on remarque, à sa face inférieure, deux petites s
sphénoïde et qui embrasse le nœud de l'encéphale. L'autre repli est
médian
et vertical; sa forme est celle d'une lame de fau
de l'autre de manière à se tendre réciproquement. Un deuxième repli
médian
, assez peu saillant, sépare incomplètement les fo
plis. Le premier est connu sous le nom de tente du cervelet. Le repli
médian
falciforme est la faux du cerveau. Le petit repli
et. Le repli médian falciforme est la faux du cerveau. Le petit repli
médian
qui sépare les fosses cérébelleuses est désigné p
e les replis de la dure-mère, dans le lieu de l'intersection du repli
médian
falciforme et de la tente du cervelet. Ce canal e
e la dure-mère. « Je reconnus, » dit-il, c de chaque côté de la ligne
médiane
deux filamens nerveux étendus de la cinquième pai
la face interne des hémisphères. Avant de s'engager dans la scissure
médiane
, les deux carotides s'unissent par une anastomose
nférieure et s'unissent au niveau de la protubérance en un seul tronc
médian
, connu sous le nom d'artère ba silairc. Ce tron
tions de la face supérieure du cerveau, se portent vers la scissure
médiane
, se dirigent d'arrière en avant, s'unissent aux v
urs deux cavités aériennes séparées l'une de l'autre par une l'loison
médiane
. Le même type se retrouve, dans l'elhmoïde, seule
iculaire, élévation d'où résulte l'ampliation simultanée de la courbe
médiane
occipilo-frontale et de la courbe transversale in
ises entre le sommet de la scissure de Sylvius, et la grande scissure
médiane
qui sépare les deux hémisphères. Cette région est
humain, et tout aplatissement de cette courbe des deux côtés du plan
médian
est un signe fâcheux. Nous signalerons particuliè
rd. La réaction est directe. Ainsi divise-t-on la moelle dans un plan
médian
sur un animal décapité, l'excitation des parties
on lombaire de la moelle en deux moitiés symétriques, par une section
médiane
, anéantit la sensibilité des deux membres postéri
excitateur des organes de la génération, mais seulement par son lobe
médian
. Ses hémisphères sont excitateurs du mouvement de
unité dans le corps calleux. Il ne résulte de sa division sur un plan
médian
qu'une incertitude légère dans les mouvements, et
ganglions. \. Ganglion céphalique double , réuni par une commissure
médiane
; il est placé au-dessus de l'œsophage. i. Doub
, comme chez tous les animaux, est divisé en trois parties. 1. Lobe
médian
ou ver supérieur. a. Lobe latéral, ici peu volu
de beaucoup, en avant, par les lobes ethmoïdaux. Cervelet.— i. Lobe
médian
, le plus considérable de tous. i. Lobe latéral,
ite vient le cerveau, divisé en deux lobes symétriques, par un sillon
médian
; à droite et à gauche de ce sillon, une large ci
Fig. 3. Encéphale du renard, coupé d'avant en arrière sur la ligne
médiane
. A. Circonvolution antérieure. 0. partie inte
tif; puis le cerveau divisé en deux parties symétriques par un sillon
médian
; puis le cervelet dont les parties latérales sont
cerveau. Fouine. Trois circonvolutions. En avant, la circonvolution
médiane
s'écarte de la circonvolution correspondante, pou
côtés du cerveau sont presque symétriques. De chaque côté de la ligne
médiane
, en arrière, se trouve une petite circonvolution,
u du côté externe et contenu dans le crâne que j'ai scié sur la ligne
médiane
. 0. Circonvolution orbitaire. 1. Portion de l
Fig. 4- Encéphale de mouton coupé d'avant en arrière, sur la ligne
médiane
. Comme dans la fig. 3, on voit ici quels sont les
ui s'unit + à la circonvolution antérieure située près de la scissure
médiane
. Les lettres P. A. de la même figure, sont plac
ur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique. o. Nerf optique. Le lobe
médian
( i ) du cervelet est très petit en comparaison d
. ENCÉPHALE HUMAIN. — FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE. Fig. \. Coupe
médiane
du crâne et de l'encéphale, destinée à montrer d'
ires. p. v. Pont de Varole ou protubérance annulaire. b. m. Coupe
médiane
du bulbe. 1. o. Lobes optiques ou tubercules qu
tubercules quadrijumeaux. a. v. Arbre de vie résultant d'une coupe
médiane
du cervelet. Fig. 2. Développement de l'ensembl
Éminences mammillaires. p. v. Pont de Varole. b. m. Bulbe (coupe
médiane
), v. n. Quatrième ventricule. CHARRUAS ADULTE.
e Vieussens que recouvrent en partie certains prolongements du lobe
médian
du cervelet, qui sont désignés sous le nom de lin
de Rolande l. Faisceau moyen dans la région du buîbe. m. Cordons
médians
postérieurs, ou funicules grêles, dans la région
les grêles, dans la région du renflement cervical, limitant le sillon
médian
antérieur. n. Cordons médians postérieurs, dans
enflement cervical, limitant le sillon médian antérieur. n. Cordons
médians
postérieurs, dans la région du renflement lombair
stérieur de Vicq-d'Azyr. i. Trou borgne antérieur. y'., /. Sillon
médian
antérieur do la moelle. Fig. 4. Face postérieur
comprendre la véritable signification des funicules grêles ou cordons
médians
postérieurs. A. Portion du ronflement cervical.
enfle- ment lombaire séparés l'un de l'autre par deux petit cordons
médians
postérieurs. á. Cordons médians postérieurs, qu
n de l'autre par deux petit cordons médians postérieurs. á. Cordons
médians
postérieurs, qui résultent d'un prolongement de
région intermédiaire au bulbe et au renflement cervical. a. Sillon
médian
antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Si
et au renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon
médian
postérieur. c. Sillon latéral postérieur. d.
de la même moelle vers le milieu du renflement cervical. a. Sillon
médian
antérieur. b. Sillon médian postérieur. f. Fa
ieu du renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon
médian
postérieur. f. Faisceaux disséminés. On peut
de la même moelle, vers le milieu du renflement lombaire. a. Sillon
médian
antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Si
ieu du renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon
médian
postérieur. c. Sillon latéral postérieur. d.
dulte vers le milieu du renflement cervical (Cf. fig. 6). à. Sillon
médian
antérieur, á. Sillon médian postérieur. Fig.
ment cervical (Cf. fig. 6). à. Sillon médian antérieur, á. Sillon
médian
postérieur. Fig. 4G\ Coupe de la même moelle ve
moelle vers le milieu de la région dorsale (Cf. fig. 7). a. Sillon
médian
antérieur. b. Sillon médian postérieur. Fig.
égion dorsale (Cf. fig. 7). a. Sillon médian antérieur. b. Sillon
médian
postérieur. Fig. \\. Coupe de la même moelle, v
de la même moelle, vers le milieu du renflement lombaire. a. Sillon
médian
antérieur. b. Sillon médian postérieur. N.B.
ieu du renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon
médian
postérieur. N.B. Si l'on compare ces trois dern
du Chat pratiquée vers le milieu du renflement lombaire. à. Sillon
médian
antérieur. á. Sillon médian postérieur. c. Si
ieu du renflement lombaire. à. Sillon médian antérieur. á. Sillon
médian
postérieur. c. Sillon latéral postérieur et rac
he du ventricule de la moelle. h. Fibres entrecroisées sur la ligne
médiane
con- stituant la commissure antérieure. i. Pe
longement de la masse du corps strié externe qui rejoint sur la ligne
médiane
un prolongement analogue venu du côté opposé et c
ert l'ensemble des corps striés et des couches optiques. a. Cordons
médians
postérieurs. //. Renflements mamelonnés. c. C
rfs longitudinaux de Lancisi, parcourant d'avant en arrière la vallée
médiane
du corps calleux. Fig. 4. Bouton terminai de l'
ule quadrijumeau antérieur. m. Commissure molle divisée sur le plan
médian
. n. Rêne gauche des habena? de la glande pinéal
ps strié supérieur ou interne. ff. Corps calleux divisé sur le plan
médian
de l'encéphale. y*. Ses expansions dans le bord
c. Lobe semilunaire ou postéro supérieur. d. Monticule du cervelet
médian
. e. e. Amygdales. Fig. 2. Face postérieure du
ouffe. f. Section des pédoncules cérébelleux. g. Luette du vermis
médian
. Fig. 5. Cervelet du Papion vu de profil. Le pl
b. Ses plans profonds. c. Lobes qui composent le corps du cervelet
médian
. d. Appendice auriculaire du vermis latéral. d\
eux comprendre les propositions indiquées, t. II, p. 239. a. Vermis
médian
chargé de plis. b. Cervelets latéraux encore ab
c. Amygdales. d. Lame qui unit à la touffe la luette du vermis
médian
. e. Lobes latéraux des plexus choroïdes du qua-
ce. Fig. 45. Profil du cervelet de l'Atele Belzébuth. a. Cervelet
médian
et son vermis. b. Corps du cervelet latéral.
. Profil du cervelet d'un Macaque. (Maca-eus radiatusj. a. Cervelet
médian
. a. Son vermis. h. Corps du cervelet latéral.
érieure du cervelet de l'Hyp-sprymnus murinus. à. Corps du cervelet
médian
, moins épais que son vermis. á. Cervelet laté
du lapin (Lepus cuniculus), vu en arrière et d'en haut. a. Cervelet
médian
, dans la portion qui correspond à l'échancrure se
Fig. 24. Même cervelet. Face postérieure vue d'en bas. a. a\ Vermis
médian
énorme. b. Corps du cervelet latéral très-rédui
rrière. C. C. Lobes latéraux du cervelet séparés par une dépression
médiane
et semblable à une lèvre supérieure recouvrant le
étrécie. C. Parties latérales du cervelet, séparées par un sillon
médian
où ne se voit, encore aucune trace de vermis. L
s optiques nettement séparés en deux masses latérales par un sillon
médian
. H. G. Hémisphères cérébraux encore vésiculeux
molle dont les deux moitiés n'étaient pas encore réunies sur le plan
médian
du cerveau. Cette figure fait bien apercevoir l
e figure fait bien apercevoir les courbures successives du ventricule
médian
. La commissure antérieure est déjà bien apparente
)- + Expansions du nerf optique dans Thé-mi sphère. Fig. \ 2. Coupe
médiane
du cerveau du Kanguroo de Bennett. C. G. et V.
t de Varole. C. G. Cervelet latéral gauche. SC C. Grande scissure
médiane
du cerveau. S. S. Scissure de Sylvius largement
couvert. C. B. Corps bordant également à découvert. 1 Fig. 4. Coupe
médiane
du même cerveau, face interne de l'hémisphère gau
molle dont les deux moitiés ne s'étaient point réunies sur le plan
médian
. S. L. Septum lucidum. C. C. Corps calleux très
ébrales, ou hémisphères, sont séparées l'une de l'autre par une fente
médiane
(la fente interhémisphérique), sensiblement plus
les sont paires et symétriques, mais reliées entre elles sur la ligne
médiane
par des fibres commissurales qui constituent le r
branche de bifurcation interne, adjacente à sa congénère sur la ligne
médiane
, se perd, au-dessus et en avant du chiasma (CH),
tubercules cpiadrijumeaux antérieurs ou supérieurs (QA). Sur la ligne
médiane
, entre les tubercules quadrijumeaux antérieurs, o
rieurs s'enfonce la fente de Bichat (Bf). Elle s'avance, sur la ligne
médiane
, au-dessus des tubercules quadrijumeaux antérieur
et il y a presque toujours avantage à diviser le cerveau sur la ligne
médiane
. D'autre part, il est préférable d'enlever de l
bulbo-protubérantiel), est parcourue d'arrière en avant, sur la ligne
médiane
, par l'artère basilaire. Si l'on relève d'arrière
s pour permettre de diviser l'encéphale, symétriquement, sur la ligne
médiane
. Mais d'abord il faut séparer le cerveau propreme
our cela, il suffit de se guider sur les nombreux repères de la ligne
médiane
: le milieu du chiasma, la tige pituitaire, l'int
l'on veut être sûr de diviser les hémisphères exactement sur la ligne
médiane
dans toute la hauteur, il faut se guider sur l'aq
r la surface même de la section protubérantielle, dans l'axe du raphé
médian
et de l'aqueduc de Sylvius ; puis de couper d'arr
tapissent et qui pénètrent dans les ventricules. D'ailleurs, la coupe
médiane
, interhémisphérique passe nécessairement à traver
, à la cavité du quatrième ventricule, s'ouvre dans une loge impaire,
médiane
, immédiatement sus-jacente à la base du cerveau.
halique, et que les deux hémisphères ont été séparés par une scissure
médiane
intéressant le pont de Varole (PV) et le bulbe ra
ps calleux et lui, lorsque la coupe est faite exactement sur la ligne
médiane
, on voit s'étendre, comme un voile, une cloison v
m lucidum. Mais lorsque la coupe ne passe pas exactement sur la ligne
médiane
, le septum lucidum reste en dehors ou en dedans d
s antérieurs et les deux tubercules postérieurs, divisés sur la ligne
médiane
par la coupe interhémisphérique, sont réunis, cha
tique (GI1). C'est qu'en effet la glande pinéale, située sur la ligne
médiane
, se confond latéralement avec le ganglion de l'ha
antérieure est un faisceau transversal, compact, divisé sur la ligne
médiane
par la section interhémisphérique. Placée immédia
est le double feuillet de substance blanche qui réunit, sur la ligne
médiane
, la face inférieure du corps calleux (ce) à la fa
igone, décrit une grande courbe à concavité postérieure. Sur la ligne
médiane
, la fìmbria du côté gauche est reliée à la fìmbri
a face interne, y compris les portions centrales situées sur la ligne
médiane
et divisées par la section inter-hémisphérique. L
ère, parallèlement à cette face et à un centimètre environ de la Ugne
médiane
, on constate que toute la paroi inférieure de la
du ventricule latéral droit. Le corps calleux (ce) coupé sur la ligne
médiane
envoie la plupart de ses fibres au centre ovale d
ux, a été fort bien décrite par M. Testut. Elle se compose des fibres
médianes
du ce, corps calleux; SPL, sploniuui ; TRI,
gros noyaux, proémiiiant dans les cavités ventriculaires sur la ligne
médiane
; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau
e bourrelet ne se réfléchit pas comme le genou, du moins sur la ligne
médiane
; la réflexion d'arrière en avant existe en réalit
en avant existe en réalité, mais seulement de chaque côté de la ligne
médiane
, et lorsqu'on peut la reconnaître sur une coupe p
émisphérique, cela prouve que le plan de section n'est pas exactement
médian
. Au-dessous du corps calleux, le trigonc cérébr
érébral droit a été séparé de l'hémisphère gauche non par une section
médiane
, mais par une section sagittale tangente à la par
la masse cérébrale, une coupe sagittale a été pratiquée sur la ligne
médiane
. L'hémisphère se présente alors comme une volumin
é séparé de l'hémisphère droit par une section sagittale sur la ligne
médiane
. Le trait de section a divisé en deux le chiasma
e circonvolution temporale. Cette circonvolution rejoint sur la ligne
médiane
le cap du lobe carré (CQ), auquel elle est réunie
tion temporale proprement dite. Il résulte de là que c'est l'incisure
médiane
du lobule fusiforme qui compense par son importan
cipital, n'émet pas ses fibres transversales, directement de la ligne
médiane
à l'écorce. Les fibres frontales, en majeure part
ique (C). La commissure blanche antérieure (CA) coupée sur la ligne
médiane
est séparée du tubercule de jonctiori par une pet
idum est donc la continuation de la tête du noyau caudé vers la ligne
médiane
, où elle se confond avec celle du côté opposé au
ec celle du côté opposé au devant de la commissure (CA). Sur la ligne
médiane
, la très mince couche de substance grise qui réun
ers. 11 en est séparé en réalité par un autre noyau profond, le noyau
médian
de Luys (voy. pl. XXIII, fig. 75, 77, NmC). Nou
itale interne {sQ) pour se porter en avant et en dedans vers la ligne
médiane
. Au-dessous du cuneus nous retrouvons le gyrus
e). Ce prolongement de la scissure occipitale est donc séparé du bord
médian
de l'hémisphère par le pli supérieur du lobule pa
et 15), lorsque les fibres moyennes se portent en masse vers la ligne
médiane
, tandis que les fibres inférieures, toujours fonc
it de plus en plus, son angle supéro-interne se rapproche de la ligne
médiane
; cela tient à ce que le faisceau moyen (FOm) du
57 et 42, on distingue au-dessous du corps calleux (ce), sur la ligne
médiane
, la moitié de la section transversale de la gland
ns la région supérieure, elle s'incurve de plus en plus vers la ligne
médiane
, et sa face supé- BRISSAUD. H rieure est repr
calleux et représentent les tractus de Lancisi ou stries médullaires
médianes
. Ces tractus sont parfois à peine visibles, tantô
rtico-transversale de la glande pinéale (G), couchée sur la gouttière
médiane
, antéro-postérieure, qui sépare l'un de l'autre l
n dehors par la couche optique (Th), est le prolongement antérieur et
médian
de la grande fente cérébrale de Bichat. Cavité
ttale qui a divisé les deux hémisphères passe exactement par le raphé
médian
; le bord rectiligne de cette région inférieure e
ibres transversales du pont de Varolc (PV) on distingue vers la ligne
médiane
un tractus foncé (Lem) nettement isolé en bas (fi
e grise du plancher du quatrième ventricule, au voisinage de la ligne
médiane
. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur (fig.
ent au niveau de son entre-croisement avec son congénère sur la ligne
médiane
. Sur un plan horizontal, on peut se figurer aisém
a face interne, la masse protubérantielle est sectionnée sur la ligne
médiane
, depuis la commissure postérieure (CP, fig. 65) j
che), au niveau de son entrecroisement. Il forme à gauche de la ligne
médiane
un demi-cercle régulier, clair au centre, où ses
t d'une teinte toujours foncée. Il est juste au contact de la ligne
médiane
; ses fibres sont antéro-postérieures, d'une façon
la coupe, c'est-à-dire en haut et en avant, parallèlement à la ligne
médiane
, à gauche de laquelle il est situé. Puis il chang
ssus de la substance grise de l'aqueduc (SG), franchit ainsi la ligne
médiane
, aborde le tubercule quadrijumeau postérieur (QP'
acent au précédent, remonte, comme ce dernier, à gauche de la ligne
médiane
, appartenant ainsi à la couche de Reil. Puis il s
avité interne, en avant et au-dessus du premier, et franchit la ligne
médiane
en se mettant en contact avec la substance grise
oisième ruban (LM3) remonte comme les précédents à gauche de la ligne
médiane
, puis s'infléchit en dehors (Laq3); mais il n'app
t sus-jacent à l'aqueduc de Sylvius. Il franchit, lui aussi, la ligne
médiane
en avant des deux rubans précédents, passe sous l
n contact, en avant, avec un gros faisceau qui se croise sur la ligne
médiane
avec son congénère et qui n'est autre que le pédo
fin que les fibres les plus profondes ne subissent pas la décussation
médiane
et qu'elles vont se mêler à la capsule interne du
se compose de fibres compactes, situées juste au contact de la ligne
médiane
; à aucun moment de leur trajet postéro-antérieur
e. Cette dernière couche porte un nom spécial : on l'appelle faisceau
médian
de la couche de Reil. Il nous reste à ajouter q
ncavité interne; il arrive ainsi au-dessus de l'aqueduc, sur la ligne
médiane
, où il s'entre - croise avec son congénère; de là
é opposé et se perdent dans la couche optique, aux environs du centre
médian
(vo.y. plus loin). BP. Les fibres du faisceau d
BP. Les fibres du faisceau de la commissure qui ont franchi la ligne
médiane
représentent donc, pour la couche optique, l'anal
in, à l'occasion des coupes de la planche suivante. Lm. Le faisceau
médian
de la couche de Reil (Lm) est ce petit faisceau i
solé, dont nous avons déjà parlé, qui est, de chaque côté de la ligne
médiane
, dirigé directement d'arrière en avant, isolé-du
, 65), sur toutes les figures de cette planche, présente sur la ligne
médiane
une épaisseur qui répond à sa hauteur propre et à
alleux (ce, 68) jusqu'à la glande pinéale n'établit pas de séparation
médiane
entre les deux moitiés latérales du ventricule mo
(fig. 69) continue de s'entre-croiser avec son congénère sur la ligne
médiane
, limité en haut par le faisceau longitudinal post
nt dite de la calotte; et de celle-ci on voit se porter vers la ligne
médiane
les fibres qui vont former la commissure de Meyne
uillé in terne de la portion du thalamus qui porte le nom de cenlre
médian
(NmC). Ce rapport sera plus facile à constater su
us ; et comme celui-ci s'entre-croise avec son congénère sur la ligne
médiane
, au-dessus des tubercules quadrijumeaux, on peut
La plus grande partie de ses éléments franchissent en effet la ligne
médiane
obliquement; ils ne sont pas transversaux. Ce son
fibres blanches transversales, venues de la commissure, sur la ligne
médiane
, et se portant horizontalement en dehors où elles
et avec le bras du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du centre
médian
. On voit sur les coupes suivantes (70, 71, 72) qu
(GH, fig. 76) forme une convexité qui peut arrriver jusqu'à la ligne
médiane
, au-dessus de la commissure postérieure (CP). Le
ur convexité interne est toujours à une certaine distance de la ligne
médiane
. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ne di
sule interne (CID, 76), il est séparé, en bas et en dedans, du centre
médian
(NmC, 75, 74) par un faisceau blanc issu de ce de
4) par un faisceau blanc issu de ce dernier cenlre. NinC. Le centre
médian
ou centre de Luys (fig. 75, 74, 75, 76, 77) est u
s successives, faites d'arrière en avant, n'intéressent pas le centre
médian
dans une grande étendue antéro-postérieure. Il fa
es grises est celle que nous venons de signaler sous le nom de centre
médian
de Luys (NmC, fig. 75); la plus postérieure est l
de nombreuses fibres; en haut et en dedans, il (ist séparé du centre
médian
(NmC, fig. 7(5) par le bras du pulvinar (RP) et l
narqi]cra sur les coupes 75 et 74, qu'il existe au-dessous du (neutre
médian
(NniC), juste au niveau du passage du bras du pul
glion de l'habénule (GH, fig. 76) arrive presque au contact du centre
médian
(NmC). Mais elle en est séparée par des fibres qu
passer les faisceaux descendus de l'hémisphère (FP), gagnent la ligne
médiane
, la franchissent et se répartissent de la façon s
iculièrement derrière le faisceau pyramidal (FP), arrivées à la ligne
médiane
, s'entre-croisent, elles aussi, dans le raphé pro
mme elle, il se termine entre le corps genouillé interne et le centre
médian
(NmC) ; mais il semble que ses fibres entrent sur
substance grise du pulvinar, du corps genouillé interne ou du centre
médian
, tout comme la lamina lateralis. Pour préciser en
longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne
médiane
les régions de la calotte de l'un et l'autre côté
Tes, pédoncules cérébelleux supérieurs s'entre-croisant sur la ligne
médiane
, au-dessous de la commissure de Meynert. dirigé
bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), au-dessous du centre
médian
(NmC) et de la lamina laterahs (Lmd). — Sur les c
la commissure se porte au-dessus de l'aqueduc pour franchir la ligne
médiane
, le faisceau de la décussation antérieure s'épuis
TiJrck-Meynert (FM, fîg. 75, 78); puis, arrivées au-dessous du centre
médian
(NMC, fig. 75, 76, 77), elles s'y dispersent en r
ux supérieur (Pcs). Toutefois, il laut remarquer que d'autres fibres,
médianes
aussi et situées sur un plan plus inférieur, appa
r la coupe 78, il réapparaît au moment où il se rapproche de la ligne
médiane
et se porte en arrière. FM. Le faisceau de Tùrc
d'ailleurs remarquer que celles qui sont le plus voisines de la ligne
médiane
ont la coloration la plus accentuée. FSe. Le fa
et 77, que la couronne rayonnante du thalamus semble sortir du centre
médian
(NmC), au-dessous du noyau externe du thalamus (N
eC, fig. 77). En réalité, elle sort de la partie antérieure du centre
médian
. Quant aux fibres du noyau externe (NeC), elles v
externe. C'est une voûte en ogive, dont l'arête correspond au sillon
médian
du corps genouillé. Substance grise. CAM. Cor
prendre une direction antéro-postérieure de chaque côté de la ligne
médiane
, juste au-dessus des pédoncules cérébraux dont il
ne de l'étage supérieur du pédoncule. Il est assez voisin de la ligne
médiane
, ce qui fait qu'en pratiquant des coupes sagitt
leux supérieur a perdu sa forme primitive de demi-cercle : ses fibres
médianes
s'entre-croisent sur le raphô ; ses fibres extern
al postérieur (FLP, fig. 81), se place presque au contact de la ligne
médiane
, au-dessus de la commissure de Meynert (Pcs, fig.
perficielle du laqueus, s'cntrecroisantavec sa congénère sur la ligne
médiane
pour former le bras du tubercule quadrijumeau pos
(Laq*); FCP, faisceau de la commissure, passant au dessus de la ligne
médiane
, pour former le bras du pulvinar du côté droit, m
e lamina tegmenti (LTE) ; — Lm, lamina medialis, adjacente à la ligne
médiane
et poursuivant son chemin de bas en haut, en deda
es dans le faisceau du laqueus; mais, à sa teinte foncée sur la ligne
médiane
, on reconnaît qu'elle poursuit son trajet antéro-
en d'autres termes, le locus niger paraît s'étendre jusqu'à la ligne
médiane
; il n'en est rien : la substance noire de Sœmmeri
s'arrête précisément à la lamina medialis, qui le sépare de la ligne
médiane
. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig. 79) re
concavité supérieure; son extrémité interne atteint presque la ligne
médiane
, où il arrive au contact clc la lamina medialis
rapports en dehors; mais en dedans il ne vient plus jusqu'à la ligne
médiane
. CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 86. 87, 90
ules cérébelleux supérieurs (Pcs) ; ils s'entre-croisent sur la ligne
médiane
avant d'aller se jeter, en décrivant une spirale,
s le troisième ventricule que se trouvent, de chaque côté de la ligne
médiane
, les noyaux de la troisième paire. Mais ceux-ci n
5, 86) poursuit son chemin d'arrière en avant, au contact de la ligne
médiane
, insensiblement confondue en dehors avec la subst
après que celui-ci s'est entrecroisé avec son congénère sur la ligne
médiane
au niveau de laquelle il a été sectionné (Pcs).
(fig. 85) est dirigée en haut et en dehors ; elle s'étend de la ligne
médiane
à la région inférieure de la couche optique. Elle
de la lamina tegmenti (LTE) viennent en effet directement de la ligne
médiane
, au-dessous de la partie la plus antérieure des p
très petit nombre (Pcs, fig. 91), passant de l'autre côté de la ligne
médiane
. Au moment où toutes les fibres du pédoncule céré
uge; le prolongement interne se rapproche de plus en plus de la ligne
médiane
et se termine un peu plus en avant (pl. XXVR, fig
dans le plan de la coupe, dirigées en bas et en dedans, vers la ligne
médiane
, où elles se terminent dans les noyaux de la prot
ansversalement sous la couche optique, jusqu'au voisinage de la ligne
médiane
, dont il n'est séparé que par la couronne rayonna
medialis le segment interne, celui qui est le plus voisin de la ligne
médiane
. Les stries du putamen et celles du globus pall
(AjNL), qui vont se placer à sa partie interne, tout contre la ligne
médiane
, immédiatement en arrière de l'espace perforé pos
e que les lames en question envoient, d'un côté à l'autre de la ligne
médiane
, des fibres commissurales à la partie la plus ant
n-culaires G1P. Derrière elles s'avancent, de chaque côté de la ligne
médiane
, deux petits tractus clairs, perforés d'orifices
ent dans la substance grise centrale, soit de chaque coté de la ligne
médiane
, soit, plus en dehors, dans la portion de cette s
versant le noyau de la calotte après s'être entre-croisé sur la ligne
médiane
avec le pédoncule cérébelleux du côté opposé ; Tl
pe de l'hémisphère opposé. La commissure antérieure franchit la ligne
médiane
en avant du pilier descendant de la voûte, au som
coupé transversalement sur le schéma 171, s'entre-croise sur la ligne
médiane
avec un faisceau homonyme du côté opposé (racine
), puis sous l'anse du globus medialis (GLM), et va, gagnant la ligne
médiane
, se confondre avec la substance grise du tuber ci
toujours sous-jacent à la commissure antérieure, il atteint la ligne
médiane
, il la franchit dans la substance grise du tuber
optique (lig. 110, 112, 113) se rapproche progressivement de la ligne
médiane
. FG. Le faisceau géniculé (fig. 111) est tout c
tum lucidum. La paroi interne du ventricule est formée par la section
médiane
du tuber cinereum (TC, fig. 120). Le tuber cinere
et en avant, mais sur un plan à peu près horizontal, jusqu'à la ligne
médiane
. On remarquera sur les coupes 119, 120, que la
porte de haut en bas et de dehors en dedans (fig. 120), vers la ligne
médiane
où elle est brusquement sectionnée, entre le trig
blanche antérieure (CA, fig. 124, 125, 126) est divisée sur la ligne
médiane
. Au-dessous de la commissure antérieure, la secti
PUT. Le putamen (fig. 121, 122, 123, 125) se rapproche de la ligne
médiane
et aussi du noyau caudé (NC, fig. 125). L'interva
omme nous Vavons dit, toujours sous-jacent. De là il gagne la ligne
médiane
au-dessus et en arrière du chiasma (CH). GSL. L
ns, s'amincissant toujours, de façon à ne plus présenter sur la ligne
médiane
qu'une épaisseur tellement insignifiante que son
sans précautions un cerveau frais. C'est là que se perdent les fibres
médianes
des deux nerfs optiques. C'est de là que s'élève,
125 et 124), et, devenant brusquement transversale, atteint la ligne
médiane
(CA, 124, 125, 126), au-dessus de la lame termina
visible à la fois (fig. 124) sous le globus pallidus et sur la ligne
médiane
, puisqu'elle décrit un arc à concavité antérieure
re; mais, non moins souvent, elle s'avance de chaque côté de la ligne
médiane
, au-dessus de l'espace perforé antérieur, de faço
ts de son trajet : d'abord sous le globus pallidus, puis sur la ligne
médiane
. Tel est le cas (très fréquent d'ailleurs) qui s'
sure antérieure (CA), vue de profil. Elle est sectionnée sur la ligne
médiane
, juste au devant du pilier descendant du trigone
l'hippocampe (Hip) et du lobule de l'hippocampe (IIL). de la ligne
médiane
, elle s'abaisse vers l'espace perforé (fig. 125),
urs jamais. Tantôt elle s'incline insensiblement à partir de la ligne
médiane
, tantôt elle plonge brusquement en bas, en dehors
leur terminaison dans la commissure à un demi-centimètre de la ligne
médiane
nous paraît un fait d'une absolue constance. La
ais nous doutons que leur nombre soit bien considérable. Sur la ligne
médiane
, elle n'est déjà pas, chez l'homme du moins, un f
on entrée dans ce canal, à quelques millimètres en dehors de la ligne
médiane
. Le canal de Gratiolct est un canal lymphatique p
124, 126). BO. La bandelette optique (fig. 121) arrive sur la ligne
médiane
au chiasma. CH. Chiasma optique (fig. 122, 125)
du septum. LÂT. La lame terminale (fig. 127), blanche sur la ligne
médiane
, foncée en dehors, reçoit dans sa substance grise
upe le milieu de la région protubérantielle, au voisinage de la ligne
médiane
. 11 est enveloppé par les faisceaux de la calotte
ganglion interpédonculaire situé, immédiatement en dehors de la ligne
médiane
, en avant du noyau rouge (NR), reçoit un petit fa
) qui la dépasse en dedans (fig. 5). En avant, elle franchit la ligne
médiane
, au-dessus de la lame terminale (LAT) et du pied
grosse masse grise qui, à sa partie inférieure, est séparée du centre
médian
(NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à sa parti
tuer le noyau postérieur de la couche optique (NpC). NmC. Le centre
médian
, situé juste au devant de la masse du pulvinar, s
x noyaux interne et externe de la couche optique, au-dessus du centre
médian
. Il en a été déjà question à propos des coupes ve
) est, parmi les' faisceaux de la calotte, le plus voisin de la ligne
médiane
. Il est coupé perpendiculairement à son axe; situ
u cérébello-thalamique (CEO, fig. 4), s'épanouit au-dessous du centre
médian
. LTE. La lamina tegmenti, située plus en avant
Substance blanche CA. La commissure antérieure, coupée sur la ligne
médiane
, s'enfonce obliquement sous la substance grise du
plus grande étendue du sillon olfactif interne [soi). Sur la ligne
médiane
, la moitié droite du chiasma (CH), le tuber ciner
de telle ou telle coupe. Seules, les coupes qui avoisinent la ligne
médiane
peuvent être faites sur quelques points de repère
otte, faisceau rubro-thalamique. NLe. Noyau lenticulaire. NmC. Centre
médian
(Luys). NO. Nerf optique. NpC. Noyau postérieur
supérieure du noyau lenticulaire. RNm. Couronne rayonnante du centre
médian
. RO. Recessus opticus. nos. Fiostrum, fibres tr
cule latéral. VL. Fibres du pont de Varole se croisant sur la ligne
médiane
pour s'adjoindre au lemniscus. VM. VcnliicLilc
... xvn Cauda nuclei caudati (NCC)..............lxxix, 224 Centre
médian
(NraC).................. 76, 241 Centre ovale (
Faisceau longitudinal supérieur (ARC).......... 254, 504 Faisceau
médian
de la couche de Reil (Lm)........... 214 Faisce
(ÏSË)........ 399 Fibres du pont de Varole se croisant sur la ligne
médiane
pour s'adjoindre au lemniscus.................
rijumeaux et la glande pinéale. Le cervelet a été divisé sur la ligne
médiane
; son hémisphère gauche a été excisé, et le droit
ême tronçon pédonculaire. B, valvule de Vieussens fendue sur la ligne
médiane
. U, coupe du pédoncule céré-belleux. A, F, planch
ce plancher traversée par des tractus nerveux allant jusqu'à la ligne
médiane
. A F, relief longitudinal du faisceau moyen de la
gitudinal du faisceau moyen de la moelle allongée le long de la ligne
médiane
de ce plancher ventricu-laire. On voit en bas le
sommet de ces pyramides se continue à droite et à gauche de la ligne
médiane
en un petit faisceau distinct qu'on peut suivre j
ire on voit se prolonger deux petits faisceaux conjugués sur la ligne
médiane
. Ces petits faisceaux font partie de l'axe de la
uivantes jusqu'à celle du n° 15 inclu-sivement), on voit sur la ligne
médiane
un point noir qui représente la lu-mière du ventr
eau. FIGURE 4e. Cette figure représente l'écartement sur la ligne
médiane
en arrière des deux moitiés congénères de la moel
DD, tubercules quadrijumeaux. S, glande pinéale divisée sur la ligne
médiane
. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la ligne médian
visée sur la ligne médiane. J, aqueduc de Sylvius ouvert sur la ligne
médiane
.NN, Région fasciculée du pédoncule. UU' U", faisc
er vers le sommet de la pyramide se rendent successivement à la ligne
médiane
pour s'en-trecroiser avec leur congénères et remo
ère , donne, en sus d'une dissection de la moelle allongée, une coupe
médiane
du noyau cérébral ; elle montre même, en dehors d
grande région du cercle fibreux de l'ourlet. I, olfactif. CJC', coupe
médiane
du corps calleux. C'', prolongement conoïde posté
x de l'ourlet sous le bourrelet postérieur du corps calleux. 0, coupe
médiane
de la commis-sure antérieure. T, partie convexe d
ire de la couche optique. V, partie plane du même cotylédon. S, coupe
médiane
de la glande pinéale. D, tubercules quadrijumeaux
au con-tact de la protubérance. FIGURE 2e. Division sur la ligne
médiane
de la moelle allongée. E E', piliers anté-rieurs
ement de la région fasciculée, de l'autre côté se portent de la ligne
médiane
en dehors et en arrière dans le faisceau moyen de
faisceaux de la région fasciculée qui s'entrecroisaient sur la ligne
médiane
, d d', convexité ex-terne de la région fasciculée
e du cervelet. Elles montrent que cet organe est composé d'une partie
médiane
, l'éminence vermiforme, à laquelle on distingue u
gue aussi une région supérieure et une région inférieure. Les parties
médianes
du cervelet comme ses parties latérales sont form
rvelet. I, I, I, I, grande circonférence du cervelet. G, échancrure
médiane
pos-térieure de cette circonférence. S, Hémisphèr
région fasciculée du pédoncule cérébral. P, protubérance. M, sil-lon
médian
de cette protubérance. Q, ruban fibreux oblique d
Dans cette figure le cervelet a été divisé verticalement sur la ligne
médiane
. On voit l'arbre de vie des éminences vermiformes
cérébelleux rétrécie conduisant dans l'aqueduc de Sylvius. A, sillon
médian
superficiel du plancher ven-triculaire. E E, trac
a moelle épinière. FIGURE 3. Le cervelet a été coupé sur la ligne
médiane
comme dans la figure 2, puis renversé en dehors.
forme, toutes les fibres qui l'enveloppent se rapprochent de la ligne
médiane
après l'avoir, dépassé, et forment les parois du
re cérébral du côté gauche. Le corps calleux a été coupé sur la ligne
médiane
. J C/ surface de cette coupe. R, cloison transp
ques. On voit dans le centre de celte figure, en arrière sur la ligne
médiane
en C, le bourrelet postérieur du corps calleux ;
ncom-plètes. Il n'existe qu'une traverse pariétale entière , c'est la
médiane
marquée I. On voit en K une masse épaisse s'uni
une de l'au-tre, et la plus interne du faisceau moyen. Sur la ligne
médiane
à la hauteur d'Y, on voit la lumière de l'aqueduc
eau de nouveau-né. FIGURE \™. i, corps calleux coupé sur la ligne
médiane
. K , chiasma. K7, tuber cinereum. M, éminence mam
., circonvolutions de la face interne de l'hémisphère. I d, tractus
médians
du corps calleux. J, partie transversale; L, part
rties déjà connues de cette figure ne sera pas donnée ici. M, ligne
médiane
du corps calleux, en dehors de laquelle on voit d
atérales. Y X f, parties postérieures du bulbe rachidien. C, partie
médiane
an-térieure du corps calleux. C, partie médiane d
rachidien. C, partie médiane an-térieure du corps calleux. C, partie
médiane
de son bourrelet postérieur. d, tractus médians a
ps calleux. C, partie médiane de son bourrelet postérieur. d, tractus
médians
antéro-postérieurs. a, tubérosités antérieures du
I, olfactif. C, partiemédiane antérieure du corps calleux, d, tractus
médian
de ce corps. J J, partie transversale, a, tubé-ro
entes régions du cerveau. Le corps calleux a été coupé sur la ligne
médiane
; c'est la moitié gau-che de l'encéphale que repr
épendent des expansions fibreuses du ruban de l'ourlet. .1 J, coupe
médiane
du corps calleux. J' J", coupe transversale de ce
ane du corps calleux. J' J", coupe transversale de ce corps. S, coupe
médiane
de la glande pinéale. T, face plane de la cou-che
s du noyau. J J, parties transversales du corps calleux, d, tractus
médians
longitu-dinaux de ce corps. L'hémisphère cérébral
FIGURE 5e. A, commissure antérieure avec ses rayonnements. JE coupe
médiane
du corps calleux. I I, fragments du ruban fibreux
pratiquer, sur les hémisphères séparés l'un de l'autre sur la ligne
médiane
, une série de coupes dans dif- férents sens, -
ve, Yolocéphalie, caractérisée par le rapprochement ou la réu- nion
médiane
des oreilles au-dessous de la tète. (Dareste.)
r la formation d'une tète rudimentaire encadrée d'une seule oreille
médiane
, 3° par un état rudimentaire de la première vésic
ivision de la fcsiculc des hémi- sphères en trois par- les, une
médiane
et [eux latérales. 1 1 g B h c d
rcules mamillaires (fig. 22). La vésicule des hémisphères, impaire,
médiane
et insignifiante au début, est plus haute que l
et 18). Vers la fin de la quatrième semaine, un repli mésodermique
médian
et antéro-postérieur, la faux primitive du cerv
deux moitiés latérales, l'une droite, l'autre gauche. La dépression
médiane
ainsi produite, porte le nom de grande scissure
es hémi- sphères en trois parties : 1° une petite partie impaire et
médiane
, le tronc, la base ou la portion axiale du cerv
eau antérieur comprend de même trois parties, une partie antérieure
médiane
et axiale, limitée en avant par la lame terminale
cer- veau antérieur com- prend également trois parties : une
médiane
et deux la- térales, les ventri- cules latéra
é antérieure correspond, -il la partie moyenne de la fente vertico-
médiane
de la première vésicule encéphalique primitive. M
e lance. La cavité présente par conséquent quatre sillons, deux
médians
étroits et profonds, et deux latéraux beau- c
s et profonds, et deux latéraux beau- coup plus larges. Le sillon
médian
postérieur, de moitié moins profond que Y ant
t considérable des cor- dons antérieurs. Apparition du sillon
médian
antérieur. Torsion de la corne postérieure.
nt en avant de la commissure anté- rieure, la formation d'un sillon
médian
, le futur sillon médian antérieur, d'autant plu
re anté- rieure, la formation d'un sillon médian, le futur sillon
médian
antérieur, d'autant plus accentué et d'autant plu
ent déprimée à ce niveau. Cette dépression corres- pond au sillon
médian
postérieur, lequel ne peut être comparé au sil-
sillon médian postérieur, lequel ne peut être comparé au sil- lon
médian
antérieur ni embryolo- siquement,ni morphologi
correspondent exactement au premier u Septum postérieur. Sillon
médian
pos- térieur. Cordon de Goll. Commissure gl
antérieu- res, et qui constituent les fu- tures artères du sillon
médian
antérieur de la moelle, abor- dent la partie
. Les deux artères spinales antérieures et les deux artères du sillon
médian
antérieur, se rapprochent de la ligne médiane e
deux artères du sillon médian antérieur, se rapprochent de la ligne
médiane
et se fusionnent l'une avec l'autre vers la six
donner naissance à une seule artère spinale antérieure, impaire et
médiane
, et a une seule artère du sillon médian antérie
ale antérieure, impaire et médiane, et a une seule artère du sillon
médian
antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparition des a
s, et se portent vers l'extrémité postérieure de l'artère du sillon
médian
antérieur. Les artères qui pénètrent dans la mo
elle, au cerveau postérieur pro- .. prement dit. Un sillon profond,
médian
et longitudinal, la tige du càlamus scriptorius
en deux moitiés latérales; il se continue en haut avec le sillon
médian
an- térieur de l'aqueduc de 'Syl- vius, et en
ns le quatrième ventricule, et con- stitue de chaque côté du sillon
médian
, les funiculi tel'etes des anciens auteurs; ell
her en portion bul- baire et portion pro- tubérantielle. Sillon
médian
an- térieur. Sillon latéral. Lame fondamcn-
aire de la moelle. Sih, sillon inter-hémispberiquo. - smp, sillon
médian
postérieur. - sp, sillons primitifs. st, sillon
amphibies et les reptiles, il se présente sous l'aspect d'une lame
médiane
, la lame cérébelleuse, l'homologue du lobe moye
e, et l'absence de plexus cho- roïdes. L'aqueduc présente un sillon
médian
antérieur assez profond (fig. 37 et 38), qui se
rieur assez profond (fig. 37 et 38), qui se continue avec le sillon
médian
du plancher du quatrième ventricule, et deux si
ie intra-utérine, les deux couches optiques se soudent sur la ligne
médiane
, au-dessus du sillon de Monro, pour former la c
de la cU11chc optique. / Recessus geniculi de His. Le centre
médian
1 : I,uysest le dernier vestige du recessus
étendue, peuvent arriver à ne former qu'une seule masse impaire et
médiane
. Une fois développée, la couche optique est lim
s- tige permanent du recessus geniculi est représenté par le centre
médian
de Lui/s, qui conserve d'après Flechsig, certai
de His. Les tubercules mamillaires (coyora candicantia), simples et
médians
au début de la vie embryonnaire, restent tels c
e intra-utérine, on voit appa- raître chez l'homme, un léger sillon
médian
qui divise le tubercule médian en deux tubercul
raître chez l'homme, un léger sillon médian qui divise le tubercule
médian
en deux tubercules latéraux; ceux-ci se recouvr
cerveau anté- ' rieur trois parties : une petite partie impaire et
médiane
, la base ou portion DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NE
la voûte du cerveau intermédiaire. Sa partie inférieure, impaire et
médiane
, répond à la zone trapézoïde de His et persiste p
sième mois de la vie intra-utérine. Elles forment ainsi une cloison
médiane
, le septum lucidum ou cloison transparente, qui
a surface triangulaire, et donnent ainsi naissance à un noyau gris,
médian
et symétrique, qui prend un grand accroissement e
du côté opposé, en formant le raplté du corps cal- leux. La suture
médiane
du tronc du corps calleux fait suite à celle du g
par différenciation cellulaire, des libres blanches longitudinales,
médianes
. qui forment les nerfs de Lancisi et des amas l
e (Mantelschicht de His), riche en neuroblastes, n'atteint la ligne
médiane
ni en avant ni en arrière; il en résulte que la
e au travers de la corne antérieure; puis elles atteignent la ligne
médiane
, s'entrecroisent avec celles du côté opposé et en
e, envoie ses fibres en arrière; elles s'entrecroisent sur la ligne
médiane
, traversent la partie supérieure de la valvule de
lvule de Yieussens et deviennent libres de l'autre côté de la ligne
médiane
. C. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NERFS SENSI
cher de la moelle en avant, et déterminent la formation d'un sillon
médian
, le futur sillon médian antérieur, dans lequel la
nt, et déterminent la formation d'un sillon médian, le futur sillon
médian
antérieur, dans lequel la pie-mère envoie un pr
rendent dans le segment des cordons antérieurs qui répond au sillon
médian
antérieur. Au niveau de la voûte, les prolongem
ui. Il ne se forme pas en effet au niveau de la voûte, une scissure
médiane
analogue à celle du plancher; le soi-disant sil
ule de Golgi. Le nerf aborde en général le corpuscule par sa partie
médiane
, plus rarement par l'une de ses extrémités, et
sure profonde verticale et antéro-poslé- rieure, la grande scissure
médiane
ou inter-hémisphérigue (Sih), les sépare complè
ro-postérieures, les nerfs de Lancisi (NL) ou tractus longitudinaux
médians
. Le corps calleux se recourbe en bas à sa parti
issance de chaque côté à deux tractas blancs longitudinaux, les uns
médians
, les autres latéraux; les médians portent le nom
tas blancs longitudinaux, les uns médians, les autres latéraux; les
médians
portent le nom de nerfs de Lancisi (NL), les la
corps calleux. Parallèles et adossées l'une il l'autre sur la ligne
médiane
, en avant du bec du corps calleux, les bandelet
tte diagonale de Broca que nous venons d'étudier. 2° Sur la ligne
médiane
par une mince membrane grise, la commissure gri
Luys; d'autres enfin entrent dans la constitution du ruban de Reil
médian
. (Voy. Coupes horizontales microscopiques, fig.
st un peu . plus épaisse sur ses parties latérales que sur la ligne
médiane
, où elle est très mince et déprimée, aussi se d
entricule, et est facile à voir sur une coupe antéro-postérieure et
médiane
d'un cerveau durci dans le bichromate (fig. 188).
stérieur. rif, diverticule de l'infundibulum. - R111,ruban de Iteil
médian
. /'0, diverticule sus-optique. sec, sinus du co
l'un de l'autre par une lame fibreuse. Sur les coupes verticales et
médianes
, on voit de suite que le lobe postérieur entre
ondies, de 6 millimètres de dia- mètre, très rapprochées delà ligne
médiane
et séparées l'une de l'autre par un sillon prof
arées l'une de l'autre par un sillon profond (fig. 187). Uniques et
médians
au début delà vie embryon- naire et jusqu'au tr
u trou borgne et le divise en deux moitiés symétriques. La partie
médiane
de l'espace inter-pédonculaire est seule criblée
aire est occupe, chez les rongeurs, par un petit ganglion impair et
médian
, décrit par Gudden et par Forel, la gang lion i
). Chez les rongeurs ce faisceau forme, de chaque côté de la ligne
médiane
, une bandelette étendue du tubercule mamillaire
de la ligne médiane, une bandelette étendue du tubercule mamillaire
médian
au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184). Régi
ns. Ce triangle est légère- ment déprimé à son sommet, sur la ligne
médiane
, par un sillon longitu- dinal antéro-postérieur
jumeaux. La base est fortement échancréc et présente, sur la ligne
médiane
, un sillon profond, médian et antéro-postérieur
ent échancréc et présente, sur la ligne médiane, un sillon profond,
médian
et antéro-postérieur, qui se continue avec le sil
rofond, médian et antéro-postérieur, qui se continue avec le sillon
médian
de l'espace perforé postérieur et avec celui qui
lui qui sépare les tubercules mamillaires. De chaque côté du sillon
médian
, antérieur, on trouve un second sillon oblique
, 19 ! ). Quant au champ du triangle il présente : 1° sur la ligne
médiane
, le raphé du pédoncule, et au voisinage des tub
rijumeau postérieur. - Bl, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil
médian
. Tpo, toenia pontis. SgAq, substance grise de l'a
gulaire de l'isthme ou ruban de Reil latéral. - Uni, ruban ,de Reil
médian
. - si, sillon latéral du mésencéphale. - Th, co
rouges, le noyau de la troisième paire, ., le tubercule mamillaire
médian
et le tubercule mamillaire latéral. (Méthode de W
eur, se rendant it l'entre-croisement de Meynert. Rm, ruban de Reil
médian
. - SgAq, substance 1 grise de l'aqueduc de Sylv
ies mamelonnées, disposées deux par deux de chaque côté de la ligne
médiane
; un sillon médian antéro-postérieur, croisé à ang
sposées deux par deux de chaque côté de la ligne médiane; un sillon
médian
antéro-postérieur, croisé à angle droit par un
rs et tubercules quadrijumeaux postérieurs ou inférieurs. Le sillon
médian
, sillon, longitudinal des tubel'culesquadl'ijumea
eau pos- *, térieur. Rl, ruban de Reil latéral. R)iî, ruban de Reil
médian
. sell, sillon choroïdien. - Sexv, surface extra
transversal des tubercules quadrijumeaux, peu accentué sur la ligne
médiane
, sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs d
rveau, ne peuvent être étudiés dans leur ensemble que sur une coupe
médiane
et sagittale (fig. 151 et ! 95), qui sépare l'un
séparé de ce dernier, en avant, par une mince cloison verticale et
médiane
, le septum lucidum (SI) ou cloison transparente
on trouve le troisième ventricule ou ventricule moyen (V3), cavité
médiane
, qui affecte la forme d'un entonnoir aplati lat
tubercules mamillaires (Tm) (fig. 19(i). On rencontre, sur la ligne
médiane
et de haut en bas, la vaste et épaisse commissu
du trigone et de la toile choroïdienne, on aperçoit, sur la ligne,
médiane
, l'étroit ventricule moyen, ou troisième ventricu
érieur. rif, diverticule de . ' l'infundibulum. - Rm, ruban de Reil
médian
. ro, diverticule sus-optique. sec, sinus du cor
ÉBRALE. 339 Tronc du corps calleux (Cc). Sur une coupe sagittale et
médiane
Troncducorpscai- (fig. 151) séparant les deux h
partie du sillon de l'hippocampe foetal (Voy p. 12'1). Sur la ligne
médiane
, cette face présente deux saillies blanches, liné
ésente deux saillies blanches, linéaires, les tractus longitudinaux
médians
ou nerfs de Lancisi (NL) dirigés d'avant en arr
pocampe. Entre les nerfs de Lancisi on trouve quelquefois un sillon
médian
, longitudinal, plus large en arrière, vestige d
u voûte des ventricules laté- raux, et donne insertion sur la ligne
médiane
, en avant, au septum luci- dum (SI), en arrière
Trigone cérébral. d épaisseur environ; sur une coupe sagittale et
médiane
le corps calleux - présente une apparence strié
le bec du corps calleux, un espace triangulaire occupé sur la ligne
médiane
par le septum lucidum (fig. 201 à 203). Le tr
e dans le sens antéro-postérieur, elle donne insertion sur la ligne
médiane
au septum lucidum (SI), tandis que ses parties
res de la protubérance. Py, faisceau pyramidal. Rrrt, ruban de Reil
médian
. Rp, partie pédonculaire du ruban de Reil. -SR,
aisceau pyramidal.- RC, radiations de la calotte. Rm, ruban de Reil
médian
. Slgr, stratum granulosnm de la circonvolution go
um. Le septum lucidum, ou c oison transparente, occupe sur la ligne
médiane
l'espace triangulai- re, large en avant, ét
es ventricules la- , téraux (VI), situés de chaque côté de la ligne
médiane
et séparés l'un de l'autre par le septum lucidu
de Monro (TM). Plus rapprochés de la base du cerveau et de la ligne
médiane
en avant, ils divergent en arrière, et s'enroul
oisième ventricule ou ventricule moyen (V3) est une cavité impaire,
médiane
et symétrique, située entre les deux couchcs opti
AqS); 2° dans la région, de l'in- fundibulum, une rainure profonde,
médiane
, qui fait suite au sillon médian Troisième vont
fundibulum, une rainure profonde, médiane, qui fait suite au sillon
médian
Troisième vontri- cule. Ses parois latérale
ostérieur. - rée, diverticule de l'infundibulum. lim, ruban de Reil
médian
. - ro, diverticule optique. - sec, sinus du corps
membrane épendymaire qui limite les trous de Monro, et sur la ligne
médiane
, avec l'épendyme qui tapisse la face ventricula
du pilier antérieur du trigone où il est très rapproché de la ligne
médiane
, et où il n'est séparé de celui du côté opposé
rieure ou tête, régulièrement arrondie, très rapprochée de la ligne
médiane
, où elle n'est séparée de celle du côté opposé qu
ux inférieur et postérieur. - Lsm, lobe ** cérébelleux supérieur et
médian
. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur.
cl'hab6- nula et fasciculus rétro-flexus de Mey- ncrt. Centre
médian
de Lny". s. co la sépare nettement des noya
écrit en outre dans la couche optique un quatrième noyau, le centre
médian
de Luys (Nm), profondément enclavé dans la couche
egments du noyau lenticulaire, - ce dernier étant dédouble. Nm, noyau
médian
de la couche optique (centre médian de Luys). -
rnier étant dédouble. Nm, noyau médian de la couche optique (centre
médian
de Luys). - 0,, 0 ? première et deuxième circonvo
uveaux noyaux profondé- ment enclavés dans son épaisseur, le centre
médian
de Luys (Nm) et le corps genouillé interne (Cgi
médian de Luys (Nm) et le corps genouillé interne (Cgi). Le centre
médian
de Luys (Nm), situé entre le noyau interne et l
ébral. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Rnz, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - S
ieur (Qa). A la partie moyenne, le noyau rouge (NR), le ruban de 7M
médian
(Rm), et près du raphé, en. avant de l'aqueduc
ion de la calotte conte- nant le noyau rouge (NR), le ruban de lcil
médian
(Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Fl
ans lequel on trouve la surface de section du ruban de /<'e<7
médian
(Rm), du faisceau loccifrcdi.ual postreriezcr(Iil
imbique. -Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Rm, ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - Sg
limbique. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, sub
hala- mus. NL3, troisième segment du noyau lenticulaire. Nin, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). - A'R, noy
egment du noyau lenticulaire. Nin, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). - A'R, noyau rouge. - Or, faisceau occi
(l'o) et le cervelet. Écorce. Sur cette coupe, très voisine du plan
médian
de l'hémisphère, on reconnaît tous les sillons
t antérieur. - Lill, lingula. - L'on, lobe cérébelleux inférieur et
médian
. Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur.
Voy. fig. 181). Le diver- ticule inférieur, très petit sur la ligne
médiane
, s'élargit considérablement en dehors (voy. cou
'autant plus antérieure que la coupe sera plus rapprochée de la ligne
médiane
. Au sur et à mesure que l'on se porte en dehors
d'arbre de vie du cervelet. Comme elle passe assez près de la ligne
médiane
, elle intéresse un noyau gris irrégulier, le no
ébelleux inférieur et antérieur. ? m, lobe cérébelleux inférieur et
médian
. Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur. L
belleux antérieur et supérieur. -Lsm, lobe cérébelleux supérieur et
médian
. - lisp, lobe cérébelleux inférieur et postérie
, noyau interne de la couche optique. - NL3, pu- tamen. - Nm, noyau
médian
de la couche optique. - NR, noyau rouge. - 0,, pr
e de l31claal. Au-dessous du noyau interne (Ni) se trouve le centre
médian
de Luys (Nm) ou noyau médian du thalamus. Les n
noyau interne (Ni) se trouve le centre médian de Luys (Nm) ou noyau
médian
du thalamus. Les noyaux de la couche optique re
arrière en avant, quatre noyaux gris : le pulvinar (Pul), le centre
médian
de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et le corps de
détachent des fibres qui se portent en dedans, traversent la ligne
médiane
au niveau de la substance perforée postérieure,
rne (NL,) et le segment moyen (GP) du noyau lenticulaire, le centre
médian
de Luys (Nm), le noyau rouge (NR) et les radiat
noyaux externe (Ne) et interne (Ni) du thalamus apparaît le centre
médian
de Luys (Nm) remarquable par sa grande richesse
. NLa, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen1. Nm, noyau
médian
du thalamus. - XII, noyau rouge. OF, faisceau occ
la lésion Ou de la destruction du ganglion de l'habénula. Le centre
médian
de Luys est sillonné par un grand nombre de fib
llaire interne, pénètrent clans la partie supéro- externe du centre
médian
de Luys. Du riche feutrage de fibres du centre mé
terne du centre médian de Luys. Du riche feutrage de fibres du centre
médian
(Nm) partent de nombreuses fibres qui se porten
tte du noyau rouge et entrent dans la constitution du ruban de Reil
médian
. C'est il la capsule du noyau rouge que se rend
rme de gros fasci- cules onduleux et pénètrent, soit dans le centre
médian
de Luys (Nm), soit dans les lames médullaires d
, le noyau rouge est entouré par les fines fibres émanées du centre
médian
de Luys et qui entrent dans la constitution du ru
on post-rolandique. Py, faisceau pyramidal. - /in : , ruban de Reil
médian
. RTla, radiations optiques de Gratio- let. - RT
he optique et qui envoie de nombreuses libres dans le ruban de Reil
médian
(Rm). Le pied du pédoncule cérébral (P) est com
n) et le corps genouillé interne (Cgi), se trouve le ruban de Ileil
médian
(Rm) dont les fibres, sectionnées très obliquemen
tubercule quadrijumeau anté- rieur. - rgRm, région du ruban de Reil
médian
. - Rm + Brqp, union du ruban de Reil médian, av
, région du ruban de Reil médian. - Rm + Brqp, union du ruban de Reil
médian
, avec le bras du tubercule quadrijumeau postéri
Tml, pédoncule du tubercule mamillaire latéral. - Rm, ruban de Reil
médian
. Rôle, racine olfactive externe. - Itolm, radiati
yau l'auge (NIt), pour entrer dans la constitution du ruban de Reil
médian
(Rm); c'est le pédoncule du tubercule mamillaire
e la paroi, ventre- culaire du tronc du corps calleux. Sur la ligne
médiane
, au voisinage du nerf de Lancisi (NL), les fibr
Ni.3, troisième segment du noyau lenticulaire (putamen). Nm, noyau
médian
de la couche optique (centre médian de Luys). P
nticulaire (putamen). Nm, noyau médian de la couche optique (centre
médian
de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la couche
n voit le premier indice d'un cinquième noyau thalamique, le centre
médian
de,L ? Iys (Nm), encore mal délimité sur cette
figure 299. Cette coupe passe par le trou de Monro (Tl), le centre
médian
de Luys (Nm), le ganglion de l'habe'nzcla (Gh)
ème, deuxième et premier segments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). pCR, pied de
gments du noyau, lenticulaire. Nm, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). pCR, pied de la couronne rayonnante.
re, du pulvinar (Pul), et au niveau de sa partie moyenne, du centre
médian
de Luys (Nm). Le noyau interne du thalamus (Ni)
ptique ou segment antérieur de la capsule, interne (Cia). Le centre
médian
de Luys (Nm) présente un aspect grenu particuli
ue cependant facile- ment, grâce à sa richesse en fibres. Le centre
médian
de Luys se présente donc sous la forme d'un noy
e à peu près le tiers de la couche optique, il est séparé du centre
médian
de Luys (Nm) et du noyau externe (Ne), par la par
nterne (Lmi). A l'union de ces trois noyaux, pulvinar (Pul), centre
médian
de Luys (Nm) et noyau externe, du thalamus (Ne) o
ème, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luy). - PaTh. pédon
gments du noyau lenticulaire.- Nm, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luy). - PaTh. pédoncule antérieur du tlulamu
tu- bercule quadrijullleau antérieur. rgRm, région du ruban de Reil
médian
. RTh· radia- tions optiques de Gratiolel. - Sex
e coupe de Flechsig (Schalenfôrmiger Korper), situé entre le centre
médian
de Luys (Nm), et le noyau externe du thalamus (
la couche optique (PaTh); en arrière, il se confond avec le centre
médian
de Luys (Nm), et il est séparé du ganglion de l'h
amp irrégulier, riche en fibres, la future région du ruban de lieil
médian
(rg Rm), le sépare du centre- médian de Luys (Nm)
uture région du ruban de lieil médian (rg Rm), le sépare du centre-
médian
de Luys (Nm) et du noyau semi-lunaire de Flechs
couche optique, entre le corps genouillé interne (Cgi) et le centre
médian
de Luys (Nm); 3° le faisceau lIlI/lamique de Fore
neux, le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa). Le centre
médian
de Luys a disparu, il est remplacé par un champ d
bres qui entrent dans la constitution de la région du ruban de Reil
médian
(rg Rm). Le noyau externe du thalamus a disparu
s'est porté en dehors et s'est rapproché du champ du ruban de Ileil
médian
(rgRm). Le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa
masse grise sous- épendymaire qui forme de chaque côté de la ligne
médiane
le seplum lucidum (SI) et qui recouvre la tête
u rouge passant par les radiations de la calotte. Rm, ruban de Reil
médian
. lIT/¡, radiations optiques de Gratiolet. Sge,
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil
médian
. CA, corne d'Ammon. - Cc(g)', genou du corps call
propre dans tout son trajet pédonculaire. En avant du ruban de Reil
médian
(Rm), on trouve des libres fasciculées, fortement
ale, se porte en dehors et forme dans la concavité du ruban delleil
médian
(Hm)nn faisceau de fibres, le faisceau de la com-
o-inlerne de la couche optique (PiTh); antérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. '1</
rière et en dehors du noyau rouge (NR), on aperçoit le ruban de Reil
médian
(Rm) vu en section transversale, et de forme se
aine épaisse de myéline, qui forment la partie externe (lit de Reil
médian
et représentent l'union du ruban de Reil médian (
xterne (lit de Reil médian et représentent l'union du ruban de Reil
médian
(Hm) avec le bras du tubercule quadrijumeau pos
postérieur (BrQI>+I3m). En dehors et en arrière du ruban de Reil
médian
, le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQ
EAU. 62;i en avant et en dehors et se rendent dans le ruban de Reil
médian
(Ilrru, les pro- fondes appartiennent au systèm
de Luys (CL) et le noyau rouge (NR), puis atteint le ruban de Reil
médian
(Rm) qu'il traverse, et dans le- quel ses fibre
qui forment il ce tuber- cule un slratum zonale.. Le ruban de Reil
médian
(Rm) s'est allongé dans sa partie postérieure,
y), radiations du genou et du bec du corps calleux. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, s
latéral. Qp, tuber- cule quadrijumeau postérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, s
, le bord externe du noyau rouge (NR), et traverse le ruban de Reil
médian
(Rm) dans lequel il se perd. Sur cette coupe n°
e la calotte est constituée. La partie postérieure du ruban de Reil
médian
(Rm) aborde, le ganglion du tubercule quadrijum
rtie pos- térieure, qui correspond a sa partie supérieure du centre
médian
de, Ato/.s'nette- ment apparent sur la coupe su
UPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 63o de l'habénula (Gh), le centre
médian
de Luys (Nm), la commissure molle (com) et la l
isième, deuxième et premier segments du noyau lenticulaire. Nm. noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). PaTh, pédo
egments du noyau lenticulaire. Nm. noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). PaTh, pédoncule antérieur du thalamus.
amus a beaucoup diminué d'épaisseur; il sa place apparaît le centre
médian
de Luys, ou noyau médian du thalamus (Nm), que
'épaisseur; il sa place apparaît le centre médian de Luys, ou noyau
médian
du thalamus (Nm), que l'on intéresse toujours,
la partie inférieure, de la commissure postérieure (cop), le centre
médian
de Luys (Nm), le noyau semi-lunaire de Flechsig
terne du thalamus. NF, noyau semi-lunaire de Flechsig. Ni ? ? , noyau
médian
du thala- mus (centre médian de Luys). NL3, NL"
mi-lunaire de Flechsig. Ni ? ? , noyau médian du thala- mus (centre
médian
de Luys). NL3, NL" NI ? NL ? troisième, deuxième
ascicules, situés entre le ganglion de l'habénula (Gh) et le centre
médian
de Luys (Nm). La lame médullaire interne du thala
ère, le noyau semi- lunaire de Flechsig (NF), situé entre le centre
médian
(Nm) et le faisceau tlcalre- miquc de Forel (Ft
? par la lame médullaire interne supplé- mentaire lmi'. Nvz, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). oF,, partie
nterne supplé- mentaire lmi'. Nvz, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). oF,, partie or- bitaire de la premièr
on trouve encore le noyau semi-lunaire de Flechsig (NF), le centre
médian
de Luys (Nm), le faisceau rétroflexe de Meynert,
trois segments, dont l'interne est divisé en deux i et ? A'm, noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). SB, noyau ro
rne est divisé en deux i et ? A'm, noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). SB, noyau rouge. PTml, pédoncule du t
-e(Tm) et du noyau rouge (NR) et par la partie inférieure du centre
médian
de Luys (Nm). Au sur et à mesure que l'on desce
mente. On reconnaît encore très nettement sur cette coupe le centre
médian
de Luys (ThNm), dans lequel les fibres ont consid
de Reil, qui se trouve constitué immédiatement au-dessous du centre
médian
de Luys (Voy. coupe suivante n° 7 x, fit. 322,
(Pul); les moyennes se portent en avant et en dehors vers le centre
médian
de Luys (ThNm) ; les profondes appartiennent à
s à un certain nombre de fibres fines, qui se portent vers la ligne
médiane
dans la substance grise de l'espace perforé pos
inereum (Te). En arrière, de la commissure de Meynert, sur la ligne
médiane
, on trouve un petit faisceau de fibres qui se p
ieur du trigone. Th\'e, noyau externe du thalamus. 7'AA'n : , noyau
médian
du thalamus (centre médian de Luys). Tm, tuberc
au externe du thalamus. 7'AA'n : , noyau médian du thalamus (centre
médian
de Luys). Tm, tubercule mamillaire. Tml, tubercul
ent interne du noyau lenticulaire (NL,, ¡') en arrière, ni la ligne
médiane
en avant. La substance perforée antérieure (Spa
te coupe la partie inférieure de la région sous- optique. Le centre
médian
de Luys a disparu, et à sa place on trouve, en de
et en arrière du noyau î,oige (NR),Ie commencement du ruban de Reil
médian
(Rm), uni au niveau de sa partie postérieure à
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil
médian
. Ce, capsule externe. Cgi, corps genouillé intern
aire (Tm), formé par un gros noyau gris situé très près de la ligne
médiane
, entouré d'une mince couche de fibres blanches,
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil
médian
. Ce, capsule externe. Cg, circonvolution godronné
nalus (Fu). La bandelette optique (II) s'entre-croise sur la ligne
médiane
pour former le chiasma des nerfs optiques (xll)
mp assez mal délimité et compris dans la concavité du ruban de Reil
médian
. (Rm). Le faisceau longitudinal posléJoiew' (Fl
tre, on trouve les noyaux de la troisième paire (III). Sur la ligne
médiane
il existe un petit noyau impair, allongé, forma
aqueduc. En dedans du noyau latéral, en arrière du noyau central ou
médian
, on trouve de chaque côté un petit noyau ovalaire
rébral et la disposition particulière que présente le ruban de Reil
médian
(Rm), qui reçoit un faisceau extrêmement net de
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil
médian
. CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. Cg, circ
s radiculaires de la lzoi- sième paire (III). Arrivées sur la ligne
médiane
, elles s'entre-croisent à angle extrêmement aig
semi-lunaire que présente la section transversale du ruban de Reil
médian
(Rm) uni au bras du tubercule quadrijumeau post
èlement au bord supérieur du locus niger, traverse le ruban de Reil
médian
(Rm) et se perd dans la zone mal délimitée, situé
ée entre le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), le ruban de Reil
médian
(Rm) et le faisceau longi- ludinal postérieur (
1'culc. quadl'ijumeau postérieur (BrQp), adossées au ruban de Iteil
médian
(Rm). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'une pe
et profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radia- tions optiques de Gratiolet. RTh',
bercule quadrijumeau antérieur (Qa) se dirigent vers le ruban de Reil
médian
(lim), auquel elles apportent un contingent ass
pulvinar. Qa, tubercule quadriju- meau antérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, s
fibres se continuent insensiblement en dedans avec le ruban de Reil
médian
(Rm). Ce dernier augmente de volume au sur et il
fe en dehors le noyau rouge (NR).Dans la concavité du ruban de Reil
médian
se loge le faisceau de la commissure postérieure
ssent du noyau rouge et entrent après entre-croisement sur la ligne
médiane
, dans la constitution de la substance réticulée
supérieur. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil
médian
. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius.
l de la calotte de Forel (xF), on trouve de chaque côté de la ligne
médiane
un groupe de cellules nerveuses assez abon- dan
exion avec le fasciculus retroflexus de Meynert. Le ruban de Reil
médian
(Rm) n'est pas modifié. Le bras du tubercule qua-
sur la coupe précédente, mais ses connexions avec le ruban de Reil
médian
(Rm) restent tou- jours les mêmes. Le noyau d
fortement colorées, qui entrent en connexion avec le ruban de Reil
médian
(Rm) et qui constituent le ruban de Reil latéral
(Itl). Ce ruban de Reil inférieur (Ri) se distingue du ruban de Reil
médian
(Rm) par sa situation d'une part, et par le cal
térieures et externes du ruban de Reil, tandis que le ruban de Reil
médian
(Rm) en occupe la partie antéro-interne et se t
assez serrées. Le ruban de Reil lalé2-al ([il) et le ruban de Reil
médian
(Rm) affectent dans les régions pédon- culaires
drijumeau postérieur. ni, ruban de Reil latéral. lim, ruban de Reil
médian
. SgAq, suhstance grise de l'aqueduc de Sylvius.
es plus internes. Aussi ces derniers constituent-ils un simple pont
médian
, qui réunit la partie antérieure des fais- ceau
zone claire qui sépare cette substance 'réticulée du ruban de Reil
médian
(Rm), on trouve le faisceau, de la commissure p
et dont quelques-unes traversent la partie interne du ruban de Reil
médian
(Rm). Le locus niger (Ln) présente ses groupes
ur, qui constitue le nerf de Lancisi, ou strie longitudinale in- ou
médiane
. L& partie externe de l'induseum griseum, en
- RCge, radiations du corps genouillé externe. - Ilm, ruban de Reil
médian
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SR, s
midale et dont le prolongement principal est dirigé du côté du plan
médian
inter-hémisphérique. Le mode de terminaison du cy
l'Tnl, pédoncule du tubercule mamillaire latéral. Rm, ruban de Reil
médian
. Rôle, racine olfactive externe. Rolm, radiations
s vers la partie antérieure du corps calleux, traverserait la ligne
médiane
au niveau du genou du corps calleux, pour se te
s'entre-croisent dans tous les sens, au niveau de la *&* ligne
médiane
. Les faisceaux superficiels deviennent profonds d
sceaux superficiels deviennent profonds de l'autre côté de la ligne
médiane
, les fibres des régions antérieures d'un hémisphè
es d'un hémisphère s'irradient, après entre-croisement sur la ligne
médiane
, dans les régions plus postérieures de l'hémisp
olfactif et de la pointe temporale), s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, à la manière des fibres de la commissure antér
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil
médian
. CA, corne d'Ammon. Ce ( ! ), genou du corps ca
gulièrement superposées; elles ne s'entre-croisent pas sur la ligne
médiane
et constituent vraisemblablement de véritables
ti f (\Ieynert), et 2° des fibres qui s'entre-croisent sur la ligne
médiane
, et unissent le lobe olfactif d'un côté au lobe t
musculaires des fesses sont très peu déve- loppées, le pli fessier
médian
est un peu asymétrique, le pli sous-fessier est
més, présentent des rayures dans le sens longi- tudinal, l'ongle du
médian
montre les traces d'un traumatisme ancien. Ce q
insi que la phalangine qui, pour s'adapter, a dû dévier de la ligne
médiane
, ce qui explique l'accolement du médius à l'ind
'aine gauche, sur la poitrine, sur le tronc, la nuque. Sur la ligne
médiane
du cou un peu il gauche de la pomme d'Adam, on
e cordon postérieur est encore plus lésé; ses parties antérieure et
médiane
sont sclérosées, il n'y a que quelques faisceau
it que la douleur est provoquée non par la compression sur la ligne
médiane
mais un peu vers le côté (aux lieux corresponda
une double paralysie du nerf radial, sans atteinte du cubital ni du
médian
; le long supinateur était atteint comme les ex
que, la bouche est bien en place, la langue est tirée dans la ligne
médiane
et projetée dans toutes les directions. Il n'ex
SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 109 Les nerfs radial, cubital et
médian
au poignet ne donnent pas de réactions motrices
une matité sur le sternum et en arrière,des deux côtés de la ligne
médiane
, une respiration prolongée. La figure est enflée,
ient dans la zone périphé- rique antérieure. La zone périphérique
médiane
(autour du sillon antérieur) est presque nor ma
des vertèbres. La matité à la percussion des deux côtés de la ligne
médiane
et les vertèbres cervicales douloureuses parlerai
ostérieur droit, près de la zone périphérique, non loin de la ligne
médiane
. -- " La structure de tous ces foyers est la su
d'une grosse orange, aplatie. En avant elle n'arrive pas à la ligne
médiane
(deux travers de doigt), en haut jusqn'à la branc
en arrière elle est séparée de quatre travers de doigt de la ligne
médiane
, en bas, de deux travers de doiglau-dessus de l
do-mastoldiens se tendre. L'omoplate droite est séparée de la ligne
médiane
par une distance de cinq tra- vers de doigt, la
ne force moyenne. Le mouvement des épaules en arrière vers la ligne
médiane
est tout à fait aboli. Les deux omoplates (surt
emarqué dans notre IX0 cas un fait étrange : dans la moelle dorsale
médiane
et inférieure on ob- servait des masses dégénér
i- gine du spasme voici ce que l'on trouvait : à droite de la ligne
médiane
, dans la paroi abdominale, un peu au-dessous de
courent le long de la tubérosité de cet os, au niveau des processus
médians
et latéraux, présentent comme une interruption.
térieure semi-circulaire ; ten- dance d'un autre tourbillon frontal
médian
. Front bas, étroit et fuyant. Sour- cils tendan
352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescence se déplace vers la ligne
médiane
, vers les faisceaux de Goll, elle reste pourtan
perpendiculaire à l'axe du corps, ou, moins nettement, en placards
médians
formés de deux portions symétriques (noevi symé
XL), limité en dedans par une ligne généralement parallèle à l'axe
médian
du sternum, s'étendant un peu en dehors pour de
an du sternum, s'étendant un peu en dehors pour devenir franchement
médiane
vers sa pointe inférieure ; se dé- viant légère
bord postéro-interne du bras, l'autre croisant légèrement la ligne
médiane
de la face antérieure du bras, descendant parallè
Ce groupe de taches est particulièrement foncé à la région interne et
médiane
, où les macules sont cohérentes ; puis la teint
PIJotolYlUe Bel thaud Paris SUR LES NÉVI SYSTÉMATIQUES 403 l'axe
médian
du bras (Van Gehuchten, Anatomie du système nerve
rgeur moyenne d'une main. Il part en arrière (fig. 4), sur la ligne
médiane
, au niveau de la Se vertèbre dorsale, se dirige
érieur de la 7e côte, pour venir mourir sans estompage sur la ligne
médiane
antérieure entre la pointe de l'appendice xypho
ace latérale (rameaux latéraux), et presque horizontal vers la zone
médiane
antérieure (rameaux antérieurs (Van Gehuchten, fi
endante (fig. 9) pour gagner la région péri-ombilicale sur la ligne
médiane
, la dépassant légèrement il gau- che, puis envo
la dépassant légèrement il gau- che, puis envoyant sur cette ligne
médiane
un prolongement vertical, étroit, descendant ju
91 et 10° segments médullaires, elle vient recouvrir vers la ligne
médiane
la zone d'enchevêtrement des rameaux perforants
c ; s'arrêtant en arrière comme en avant, très nettement à la ligne
médiane
. La lésion porte exclusivement sur ra pigmentat
uteur au niveau de la colonne vertébrale. Ce naevus, rigoureusement
médian
(PI. XLII. est constitué par deux par- ties sym
fissuraire pigmentaire et verruqueux, suivant notam- ment la ligne
médiane
de la face et du cou, et se réfléchissant sur le
noevus pigmentaire brun, légèrement verruqueux, suit toute la ligne
médians
DE la face (PI. XXLII), depuis la naissance des c
des che- veux jusqu'à la région hyoïdienne, suivant toute la ligne
médiane
frontale, na- sale ; le lobule du nez, qui prés
labial; puis arrivant sur la muqueuse, il se réfléchit sur la ligne
médiane
de la voûte et du voile du palais, passe entre
gne verruqueuse reparaître sur le dos de la langue, suivre sa ligne
médiane
; puis sur le raphé de la langue, la ligne médian
suivre sa ligne médiane ; puis sur le raphé de la langue, la ligne
médiane
du plancher buccal ; reparaissant sur le sillon
e, la ligne médiane du plancher buccal ; reparaissant sur le sillon
médian
de la lèvre inférieure, divisant le menton et l
nt le menton et la face antérieure du cou. Sur cette grande ligne
médiane
, viennent se greffer des naevi linéaires éga- l
'étend entre le sternum et le scapulum. Il est évident que la ligne
médiane
est une zone intermédiaire entre les deux nerfs
e, de telle sorte que les apophyses épineuses ne sont pas sur l'axe
médian
antéro-postérieur mais sur l'axe transversal du c
qui arrive dans les cas où la tumeur siège en avant ou sur la ligne
médiane
. Dans certains cas les douleurs étaient telleme
s régions sont souvent le siège d'une microgyrie accentuée. La face
médiane
de l'hé- misphère est traversée par de nombreux
t soutenu que le corps calleux n'avait été détruit que sur la ligne
médiane
et que ses parties la- térales ou intrahémisphé
, ne présentait aucune altération appréciable à l'oeil nu. L'écorce
médiane
cependant s'était trouvée légèrement atteinte. A
complètement exposées, grâce à ce que la majeure partie de la paroi
médiane
du ventricule fait défaut. Il en résulte une ex
t disposés. D'une façon générale, les sillons aussi bien de la face
médiane
que de la face latérale de cet hémisphère, affe
yonnante se trouve comprise entre deux voies d'association. La voie
médiane
ou interne est constituée par le cingulum, le fai
ment dévelop- pées. De chaque côté, le trigone est accolé à la face
médiane
de l'hémi- sphère en avant, mais plus en arrièr
résulte du fait que les fibres calleuses n'atteignent plus la ligne
médiane
.Plus loin encore ce fais- ceau se bifurque, for
icule, mais constitue néanmoins et le tapétum latéral et le tapétum
médian
de la corne temporo-occipitale. Le faisceau sou
e corps calleux devait nécessairement manquer. Le faisceau sagittal
médian
intra-hémisphérique qu'il ne pou- vait évidemme
r une raison qui nous est incon- nue, au lieu de traverser la ligne
médiane
, elles ont formé dans chaque hémisphère un fais
ntra- hémisphérique, fait complètement défaut au niveau de la ligne
médiane
. -La lyre et la cloison transparente manquent é
ginal font également défaut, et la région correspondante de la face
médiane
des hémisphères est tra- versée par cinq sillon
e cas, toute une suite d'anomalies, à savoir : une fente abdominale
médiane
, une hernie ombilicale et une hernie diaphragma
sseuses sont normales et c'est seulement au niveau de la fontanelle
médiane
qu'on observe une légère dépression osseuse.
raccourcissement prédomine sur plusieurs os, ce sont surtout les os
médians
et ceux du côté cubital ou péronier qui sont atte
: certains os sont atteints plus souvent que les autres. Les rayons
médians
et externes, et en particulier le quatrième, sont
u-dessous du noyau lenticulaire, correspondant à peu près à la partie
médiane
. Hémisphère droit. Là encore la lésion la plus
pendant jusqu'à son extrémité antérieure. Du reste,à partir du plan
médian
frontal, elle diminue très rapidement et n'est pl
découvrit les lésions syphilitiques microscopiques dont la tunique
médiane
de ce vaisseau est parfois le siège. ' L' aorti
illes nerveuses (fig.2). On observe la même chose dans la tunique
médiane
avec celle différence que les foyers sont ici p
. Paralytique général de 45 ans Gomme caséi6ée de la paroi de l'aorte
médiane
. 1. Paralytique général de 40 ans. Rupture et f
les leucocytes ; ils présentent une inllammation légère. La tunique
médiane
est très épaissie et la tuméfaction progresse du
atrices que l'on rencontre çà et là disséminées à l'intérieur de la
médiane
. 628 LADAME Les fibrilles élastiques disparue
e plus ou moins intense du tissu connectivo-vasculaire des tuniques
médiane
et adventice. Puis la formation de gommes, le p
bord l'a lieiition,c'es[ qu'on ne retrouve pas au niveau de la face
médiane
, la moindre trace du corps calleux. Son emplace
e au lobule lingual ; elle est séparée des autres circon- volutions
médianes
par l'extension antérieure exagérée de la scissur
ue qui sépare la tête du noyau caudé des circonvolutions de la face
médiane
. Elle est entourée d'une couche de fibres assez
transparente, mais par une lame grise qui relie l'écorce de la face
médiane
au tuber cinereum et aux ganglions de la base.
égénérée. A l'endroit où la commissure antérieure franchit la ligne
médiane
(PI.1,XXIII- C), la paroi interne du ventricule
interbémisphérique. Le ventricule n'est donc plus clos sur la ligne
médiane
. La masse de fibres située à l'angle supérieur du
e laisse toutefois suivre assez facilement vers les circonvolutions
médianes
et vers le bord supérieur de l'hémisphère. 1.'a
ules inférieurs se dirigent horizontalement en dedans vers la ligne
médiane
et semblent se rendre au tubercule cendré mais
se confond avec la substance blanche profonde des cir- convolutions
médianes
. A l'appui de ce mécanisme dans la genèse de cett
tie détruite. Au pourtour de la circonvolution limbique et de la face
médiane
de la couche optique on trouve une abondance de
utiles répétitions, nous appellerons désormais le faisceau sagittal
médian
. Ce fais- ceau reçoit constamment de la zone so
fibres voisines sont franchement dégé- nérées. Le faisceau sagittal
médian
se confond au-dessous avec la partie laté- rale
até- rale du trigone, mais il est séparé de ce dernier sur la ligne
médiane
par un prolongement de la pie-mère. D'ailleurs,
uttière à concavité iuterue dans laquelle repose le faisceau sagittal
médian
. La configuration de la couche optique (PI.LXXI
dans sa totalité un mou- vement de rotation externe. Ainsi, sa face
médiane
empiète sur sa face dorsale dont le tubercule a
dymaire dans leur trajet de la capsule externe au faisceau sagittal
médian
. Ces fasci- cules renferment, ainsi que nous l'
gone pour former un prolongement conique qui s'avance vers la ligne
médiane
en passant entre le bord inférieur de l'écorce li
la circonvolution limbique pour se déferler au dehors vers la ligne
médiane
, mais on voit très nettement, toutefois, que qu
olution d'origine. La seconde zone, formée par le faisceau sagittal
médian
ou faisceau calleux sagit- 640 ARCHAMBAULT ta
t la plus inférieure est représentée par le trigone dont le segment
médian
, nettement dégénéré, s'accole à la face dorsale
le latéral. Le trigone est séparé du faisceau sagittal sur la ligne
médiane
par une incisure et plus en dehors par un septu
u caudé, du noyau dorsal de la couche optique et le long de la face
médiane
de ce ganglion, une abondance d'altérations vascu
interne de l'hémisphère qui n'attei- gnent pas à ce niveau la ligne
médiane
. Le long du bord inférieur de la circon- voluti
st en grande partie profondément enclavé dans la substance du noyau
médian
de la couche optique. Ses rapports avec le segmen
externe. Un petit foyer de ramollissement siège au niveau du noyau
médian
de la couche optique et a probablement détermin
étale ascendante et lobule paracentral) envoie au faisceau sagittal
médian
. De même, la couronne rayonnante temporale n'of
plein développement du carrefour ventriculaire,le faisceau sagittal
médian
s'accroît avec une rapidité étonnante et la dispo
fibres cons- tituantes sont dirigées pour la plupart vers la ligne
médiane
. Ces fascicules qui émanent de la zone sous-épe
cuper un champ ovalaire situé dans l'épaisseur du faisceau sagittal
médian
et compris entre les prolongements de deux fascic
n ne saurait différencier ses fibres de celles du faisceau sagittal
médian
. Ce dernier est en- core nettement séparé du tr
nt séparé du trigone sous-jacent par un sillon profond sur la ligne
médiane
, mais plus en dehors les deux systèmes se confond
de la circonvolution limbique. Cette partie du faisceau sa- gittal
médian
qui côtoie le ventricule, ainsi que la zone sous-
nt son maxi- mum de développement, on voit que le faisceau sagittal
médian
se renfle pour former un forceps majeur typique
e son volume est moindre et qu'il s'avance moins loin vers la ligne
médiane
au-dessous de l'écorce limbique. Le faisceau sa
ligne médiane au-dessous de l'écorce limbique. Le faisceau sagittal
médian
s'étend donc à ce niveau au-delà de la voûte du v
SIE DU CORPS CALLEUX 643 réunies du trigone et du faisceau sagittal
médian
, entre lesquels il n'existe plus de ligne de dé
l'hippocampe. Les fibres du trigone e ainsi refoulées vers la ligne
médiane
se laissent suivre à leur tour à travers l'épai
les fibres constituantes du trigone et celles du faisceau sagittal
médian
; le trigone qui est sous-ventriculaire en bas
nce de ce fait très intéressant, à savoir, que le faisceau sagittal
médian
entoure complètement la cavité ventriculaire et
erticalement, sont pour la plupart tributaires du faisceau sagittal
médian
. Cependant au niveau de la partie moyenne de la p
ieur ou pariétal se confond grossièrement avec le faisceau sagittal
médian
, alors que le cingulum inférieur ou temporal es
du pôle occipital, on constate que les fibres du faisceau sagittal
médian
entourent presque complètement la corne ventricul
pement maximum des ganglions de la base et à l'arrivée sur la ligne
médiane
de la commissure antérieure, un foyer hémor- AG
es coupes précédentes. La commis- sure antérieure traverse la ligne
médiane
entre les feuillets d'une membrane délicate sit
emment la commissure hypothalami- que. En arrivant près de la ligne
médiane
, l'anse lenticulaire semble être le siège d'une
d'autres se recourbent en arrière et se confondent avec la capsule
médiane
du noyau rouge, d'autres enfin, contournent le pi
erne. Au niveau du lobe occipital et des circonvolutions de la face
médiane
de l'hémisphère, on ne distingue que deux couches
prôfondes. Toutefois, on voit très nettement se détacher de l'écorce
médiane
un bon nombre de fibres courtes qui traversent
interne de cette corne est formée en partie par les circonvolutions
médianes
et en partie par un prolongement cor- tical qui
deux forma- tions se colorent très mal et sont réunies sur la ligne
médiane
par un repli pie- mérien très altéré, qui se co
escription de l'hémisphère gauche, sous le nom de faisceau sagittal
médian
. En avant de la corne frontale, les fibres de c
e terminale (ou le rudiment de la cloison transparente) de l'écorce
médiane
du lobe frontal. Ce sillon semble se prolonger so
paroi ventriculaire interne et sert à séparer le faisceau sagittal
médian
du pilier antérieur du tri- gone dont le segmen
upes suivantes le septum qui sépare le trigone du faisceau sagittal
médian
est remplacé par un sillon dans lequel s'engage u
mère au niveau de la circonvo- lution de l'hippocampe et de la face
médiane
du lobe frontal. La commissure molle et la comm
é son enchevêtrement avec la partie antérieure du faisceau sagittal
médian
, jusque dans la zone sous-corticale de la circonv
onvolution la plus postérieure (circonvolution limbique) de la face
médiane
. La couche externe peut être suivie sans diffic
ns difficulté jusqu'au pôle frontal. En dedans du faisceau sagittal
médian
et dans la région sous-corticale de la circonvolu
Ses fibres affectent le même trajet que celles du faisceau sagittal
médian
et peuvent être suivies en avant jusque dans le
sans doute le contin- gent calleux restauré des couches sagittales
médianes
. En arrière, ces fasci- cules croisent obliquem
cules croisent obliquement les fibres du trigone, forment le tapétum
médian
sur une courte étendue et se confondent près de
ngeant en avant, se confondent avec les fibres du faisceau sagittal
médian
qui est lui-même devenu très volumineux. De cette
ire de la corne frontale et l'ergot de Morand. Le faisceau sagittal
médian
(Ballcenlangsbündel de Probst) forme à ce nivea
de Probst) forme à ce niveau la plus interne des couches sagittales
médianes
de l'hémi- sphère, recouvre en dedans le corps
Les relations qui existent entre le trigone et le faisceau sagittal
médian
sont assez complexes et suffisamment intéressante
i arriver, doivent traverser toute l'épaisseur du faisceau sagittal
médian
. Bien que d'une façon générale ces deux systèmes
que de pair avec le développement progressif du faisceau sagit- tal
médian
et la disparition concomitante du trigone, il se
du trigone se trans- portant lentement travers le faisceau sagittal
médian
jusque dans la profon- deur de la circonvolutio
t d'autant plus facile à suivre que les fibres du faisceau sagittal
médian
se colorent fortement alors que les fibres du t
sous-corticale de la circonvolution limbique. Le faisceau sagittal
médian
finit donc par former sur toute la lon- gueur d
paroi ventriculaire interne la plus profonde des couches sagittales
médianes
et se trouve ainsi à constituer le tapétum. La zo
certain nombre de coupes et sert à délimiter le fais- ceau sagittal
médian
du cingulum dont les fibres poursuivent un trajet
se rend en partie au pôle frontal, en partie à l'écorce de la face
médiane
, et s'entrecroise partout avec les libres calle
n arrière,là où il aborde la corne occipitale, le faisceau sagittal
médian
se renfle pour former un forceps majeur typique
ur une coupe normale prise au même niveau. Que le faisceau sagittal
médian
n'est autre que le segment homolatéral, anormal
u-dessus du ventricule, les fibres constituantes du faisceau sagittal
médian
poursuivent un trajet moins rectiligne, se disp
croyons pas. Lesystème calleux comprend non seulement la commissure
médiane
compacte qui relie les deux hémisphères, mais a
pour former un long faisceau sagittal au lieu de traverser la ligne
médiane
et de s'irradier dans l'écorce de l'hémisphère op
l'état normal. A coup sûr, quant à son volume, le faisceau sagittal
médian
de l'un ou de l'autre hémisphère n'est pas l'éq
en tenir compte de ce fait que dans notre cas, le faisceau sagittal
médian
et le tapétum ne renferment que les radia- tion
ième mois de la vie intra-utérine, il se fait une fusion des parois
médianes
des vésicules hémisphériques en avant et au-des
ue dans leur cas, la commissure antérieure fait défaut sur la ligne
médiane
alors qu'elle se retrouve très nettement au niv
ne commissure interhémi- sphérique peut ne manquer que sur la ligne
médiane
. Il s'en suit naturel- lement que, du fait qu'i
s vu les rapports intimes qui existent entre le faisceau sagit- tal
médian
et le trigone, et nous avons constaté que le corp
ution limbique en traversant toute l'épaisseur du faisceau sagittal
médian
. Il y a longtemps que nous avons soupçonné ces re
rontal ; en arrière elles se mêlent aux fibres du faisceau sagittal
médian
pour constituer le tapétum de la paroi interne. I
eau sain, le cingulum n'entre pas dans la cons- titution du tapétum
médian
, mais il se rend cependant dans le lobe occi- p
que le fais- ceau de Sachs manque là où le cingulum occupe la paroi
médiane
de la corne postérieure, et revient dans son do
ique lorsque le cin- gulum n'est plus visible au niveau de la paroi
médiane
. Ces faits sont suffisamment démonstratifs. '
ailleurs et tapisse partout la paroi des ventricules laté- raux et
médian
; elle est très marquée dans l'angle du ventricule
0 coupes sagittales de l'hémisphère gauche, rapprochées de la ligne
médiane
; e' et /' sur une autre série de 10 coupes passa
es circonvolutions frontales droites dépassaient nettement la ligne
médiane
, empiétant sur le côté gauche. Les coupes ayant
e. Diamètre transversal, 7 centimètres ; diamètre antéro-postérieur
médian
, 3 centimètres ; diamètre postérieur médian, 3
mètre antéro-postérieur médian, 3 centimètres ; diamètre postérieur
médian
, 3 centimètres; côté droit, (1) Franco GENOFRH,
sus d'invo- lution sont constatés à la base, surtout dans le centre
médian
de Luys. L'écorce des lobes frontaux est, dans
conservation des deux premiers lombricaux qui sont innervés par le
médian
, et dont l'action est la même que celle des int
URES DES NERFS 69 Parfois le troisième lombrical est innervé par le
médian
, ce qui expli- querait la participation fréquen
rveuses (innervation des faisceaux internes du fléchis- seur par le
médian
) et aussi d'un certain degré de rétraction tendin
aires notables conduiront au diagnostic exact. III. LÉSIONS DU NERF
médian
. Le médian est le nerf de la pronation, de la f
s conduiront au diagnostic exact. III. LÉSIONS DU NERF médian. Le
médian
est le nerf de la pronation, de la flexion du car
tion du pouce. A. Paralysie complète. En cas de section totale du
médian
ou de lésion, grave de ce nerf, la main du bles
palement, apparaît très modifiée dans un grand nombre de lésions du
médian
. La peau est rouge, violacée, quelquefois même
B. Paralysie incomplète. , Les lésions partielles, dissociées, du
médian
apparaissent, d'après notre statistique, comme
écrire à propos des paralysies complètes. Le bord externe du nerf
médian
est rarement touché isolément. Le bord interne
en séton de la partie interne du bras. Lorsque la lésion du nerf
médian
revêt la forme particulière décrite sous le nom
coloration et cet aspect de la peau n'occupent que le territoire du
médian
, tranchant ainsi nettement sur le territoire du
a sueur perle en gros- ses gouttes sur tout le territoire cutané du
médian
qui tranéhe ainsi non seulement par cette sudat
e des muscles situés au-dessus de la lésion et n'appartenant pas au
médian
. L'évolution des phénomènes douloureux est heur
la croissance de ces tissus. IV. LÉSIONS concomitantes DES NERFS
médian
ET cubital. Ces lésions fréquentes déterminent
B. - Paralysies incomplètes. Les paralysies incomplètes des nerfs
médian
et cubital réalisent des types cliniques variés
'aspects différents, selon que la lésion la plus grave porte sur le
médian
ou sur le cubital, selon que tels ou tels faisc
Les troubles observés au cours de ces lésions partielles des nerfs
médian
et cubital constituent la plus belle illustrati
sécréteurs ayant déterminé une hypersudation dans le territoire du
médian
(pl. XVIII, fig. B, E et F). En somme, dans ces
s, le pouce et le petit doigt tendant à se rapprocher vers la ligne
médiane
au-dessous des trois autres doigts, eux-mêmes a
con trac- ' ture des fléchisseurs de l'avant-bras ; « main du nerf
médian
». b) L'aspect en bénitier ; la paume de la mai
radial et cubital ». ' d) La main en col de cygne, « main des nerfs
médian
et cubital » fléchie à angle aigu sur le poigne
cutive à une fracture de l'humérus et à une section incom- plète'du
médian
avec névrome. (1) P. Marie et Foix, Soc. méd. d
nous venons de le" dire, d'une paralysie partielle et incomplète du
médian
. Cette paralysie ne pouvait être considérée comme
u biceps. Comme là passe l'artère humera le, comme il existe sur le
médian
un volumineux névrome qui peut irriter l'artère
ge du pouce. La douleur légère, dont le trajet semble être celui du
médian
(éminence thénar, partie moyenne du coude, face
en fixer le siège dans l'angle formé par la racine interne du nerf
médian
et par le nerf cubital qui en émerge. Cela nous
rvicale, première dorsale) et les irradiations douloureuses dans le
médian
. Çe point coïncide parfaitement avec le trajet
ceps. , 0. Observation III. - Main EN ciseaux par hypotonie dans le
médian
, due à la section incomplète avec névrome, et p
l'interligne articulaire inférieur du radius, presque sur la ligne
médiane
; la cicatrice de sortie il la face palmaire au m
us fut traversé et le cubitus fêlé sans cal appréciable. Névrome du
médian
de la grosseur d'un haricot au niveau dé la cic
xion du poignet. ' 6. Sensibilité. Anesthésie dans le territoire du
médian
et du radial à la main. Pas de trouble subjecti
INE ET PAUL COURBON l'éminence hypothéuar. En résumé, état grave du
médian
, assez grave du cubital à la main » (le 15 déce
ve plus longtemps la chaleur. 14. Interprétation. I. La lésion du
médian
est rendue évidente par le siège de la blessure
'ÉCHASSIER OU COL DE cygne par hypotonie du radial et hypertonie du
médian
(PI. XXVII, M). 1. Historique. - Blessé le 9 ma
s rameaux musculaires, il y a eu hypotonie du radial, hypertonie du
médian
, celle-ci conséquence de la première, et toutes
stérique. R. Observation V. Main DE l'annonciateur par hypotonie du
médian
et hypertonie du premier interosseux dorsal (PI
ésion dans le domaine du cubital a amené l'hypertonie dans celui du
médian
: hypertonie qui donna lieu à une contracture sui
ucteurs et élévateurs de l'omoplate, qui est rapprochée de la ligne
médiane
. Le membre, qui parait plus court que l'autre,
esquilles. A la face palmaire on note, un peu en dehors de la ligne
médiane
, la cicatrice de sortie allongée transversalement
ur le cubital, où la diminution est un peu plus marquée, et pour le
médian
à la main comme à l'avant-bras » (Dr Castex, 6
13. Interprétation. A la suite d'une blessure dans le territoire du
médian
et du radial apparurent une hypotonie des extense
premier. En d'autres termes, une lésion siégeant dans le domaine du
médian
amena l'hypertonie du cubital, hypertonie dite
s s'accompagne d'un endolorissement qui remonte le long d'une ligne
médiane
, depuis la face antérieure du poignet jusqu'à l
à ce niveau, au dos de l'avant-bras et un peu en dedans de la ligne
médiane
, la cicatrice de l'orifice d'entrée. La cicatri
des phalanges du pouce, sont sous la dépendance d'une hypertonie du
médian
. Enfin, la position du premier métacarpien (abd
(« hypotonie du fléchisseur superficiel par section incom- plète du
médian
avec névrome ») et aussi quand il s'agit de contr
t sur un tronc nerveux défini (III, main en ciseaux après lésion du
médian
,- du cubital et du radial par perforation de l'ex
s de la main), IV (R.) (extenseurs), IX (R. + P.) (radial, cubital,
médian
), II (0.) (tous les nerfs), III (0.) (flé- chis
osseux : NF<NO<PF), III (0.) (réaction de dégénérescence dans
médian
et cubital). 5° Tendance à l'égalisation des se
itafe ; III, main en ciseaux, précédée d'une cpntracture d'amont du
médian
; XI, main de mea culpa, précédée d'une contrac
rniers doigts et la région palmaire moyenne. Cubital hypoexcitable,
médian
inexcitable électriquement ; secousse galvanique
ar et du 1er espace interosseux ; R. D. complète dans le domaine du
médian
et du cubital. En somme, lésion du médian et du
lète dans le domaine du médian et du cubital. En somme, lésion du
médian
et du cubital à la partie inférieure du bras, a
considérable des éminences thénar et hypothénar, pouce de singe. Le
médian
et le cubital, engaînés dans du tissu fibreux, av
X, B, C). En somme, lésion très incomplète du cubital et surtout du
médian
gauche, immédiatement au-dessous de l'aisselle.
e phalanges de l'index et du médius. En somme, lésion incomplète du
médian
. En outre, le malade a des douleurs à peu'près
S Er ! }. ED3 .G1 ! EZ'LES BLESSÉS NEIl VEUX . 129 phérique du nerf
médian
, la partie externe de la main, les trois pre- m
ion de l'artère humé- raie ou radiale associée à une lésion du nerf
médian
ou du médian et du cubital n'a provoqué aucun t
re humé- raie ou radiale associée à une lésion du nerf médian ou du
médian
et du cubital n'a provoqué aucun trouble vaso-m
s avait sectionné Tarière numérale qui fut liée ; la para- lysie du
médian
persista, on intervint et l'on trouva le nerf com
iques s'observent presque exclusivement après atteinte soit du nerf
médian
, soit de la branche interne du sciatique. Les ble
e cas tous les caractères des, formes causalgiques des blessures du
médian
ou de la branche interne du sciatique : paralys
membre, main ou pied, quel que soit le niveau du membre où le nerf,
médian
ou sciatique interne, ait été touché; au pied e
souvent, doubles ou bilobées; elles sont plus ou moins latérales ou
médianes
. ' Les index sont indemnes, à l'exception d'une
nt atteints et leur innervation appartient à deux nerfs différents (
médian
et radial), alors que le pouce, qui est responsab
mill.' PF = 6 mill. Côté sain : NF = 3 mill. - PF=5mill. Nerf
médian
et cubital et muscles tributaires : réactions abs
ssus par la circonvolution de l'hippocampe et une partie de la zone
médiane
de la première circonvolution temporo-occipitale,
nt dit, l'atrophie porte d'une façon inégale sur tout le domaine du
médian
et du cubital (plexus brachial inférieur), sans
semble que ce traumatisme n'a pu agir que d'une seule façon sur le
médian
, le cubital et peut-être le mus- culo-cutané, à
joue droite sont plus colorés que ceux du côté opposé. Sur la ligne
médiane
au niveau du philtrum, on remarque nettement le
férieure de l'organe. Le raphé lingual ne se trouve pas sur la ligne
médiane
, la moitié droite de la langue mesurant sur sa
e cervicô-faciale est strictement unilatérale. Limitée par la ligne
médiane
verticale de la face et du cou, elle s'étend en a
ent vaguement la topographie d'un nerf périphérique, par exemple le
médian
. -Ils consistent en parésies et atrophies plus
et déformations analogues dans le cours de névrites irritatives du
médian
. Mais dans leurs observations, il s'agissait de v
onstatation peut être faite pour les autres troncs nerveux du bras,
médian
, radial, circon- flexe. II n'est d'ailleurs pas
celle qui empêche l'erreur de diagnostic. r En ce qui concerne le
médian
, l'hyperesthésie nerveuse peut encore être mise
Le signe de l'élongation douloureuse dans la névrite irritative du
médian
. Soc. de Neurologie, 1918. 356 CHIRAY, BOURGUIG
d'autre part, prenant à peu près à l'avant- bras la localisation du
médian
. Des troubles trophiques superficiels existent
t-bras et à la main. Il n'existe aucun signe de R. D., même pour le
médian
, aurun galvanotonus, aucune élévation des seuils.
par l'hyper- esthésie à la pression au nivean du point d'Erb et da
médian
. Les autres éléments nerveux ne sont pas. doulo
e n'était pas encore décrite. Le rapport des seuils cherché pour le
médian
à la main est anormalement élevé. Pour le théna
gine ner- veuse de ces douleurs. Le point d'Erb, le circonflexe, le
médian
, sont en effet nettement et électivement doulou
u cinquième doigt, côté sain : 12,1 côté malade : 14,6. ' Pour le
médian
et pour les muscles du groupe radiculaire supérie
aisse du rapport, ce qui correspond à un léger état dégénératif. Le
médian
donne : côté sain : 13,7 ; côté malade : 11,6.
e de douleurs à la pression au niveau du point d'Erb et du tronc du
médian
. Etiologie.- Contusions violentes par éboulemen
lexus brachial. La pression digitale au point d'Erb et au niveau du
médian
détermine une sensation douloureuse, preuve cli
ocale gauche absolument immobile, mais de peu en dehors de la ligne
médiane
: la voix est aiguë dans sa tonalité, couverte
e. La corde vocale gauche est toujours un peu en dehors de la ligne
médiane
, mais la droite se juxtapose, sauf an centre où l
est en position cadavérique, mais la corde droite dépasse la ligne
médiane
et se juxtapose à sa congénère. 16 octobre. Mêm
ynx. - ' 1er mai 1916. - Corde vocale droite immobile, sur la ligne
médiane
, rouge, l'aryténoïde basculé en avant : le gauc
dans la région thyroïdienne, commençant à 2 centimètres de la ligne
médiane
. 31. - Corde vocale droite toujours immobile et
ale droite toujours immobile et roséè, un peu en dehors de la ligne
médiane
. Pouls : 120. 4° septembre. - Corde vocale droi
s de la glotte, grâce à la corde gauche qui dépasse un peu la ligne
médiane
. 27. La radioscopie du thorax (D' Barjon) montr
, corde vocale gauche mobile, corde droite rectiligne, sur la ligne
médiane
. - 11 septembre ? Pouls : 80, corde droite un p
en position cadavérique, la corde vo- cale droite dépasse la ligne
médiane
pour se juxtaposer, son aryténolde passant un p
rativement sur les deux membres supérieurs, sur les nerfs (cubital,
médian
, radial, circomplexe), l'excitabilité faradique
et dont la surface ou circonférence, soutenue par deux tiges osseuses
médianes
, le rachis et le sternum, est divisée, pour le mo
ruciale-mentdes parois du crâne, pour former deux grands replis, l'un
médian
vertical, la taux cérébrale, et l'autre horizonta
s muscles extenseurs et dans les muscles fléchisseurs, les deux tiges
médianes
, le rachis et le sternum, faisant ici l'office de
as de la cavité buccale, et partagées en deux par une cloison osseuse
médiane
. Chacune des fosses nasales, tapissée par une mem
tronc et la tête. Dans sa charpente osseuse, il est formé par la tige
médiane
de la portion cervicale du racbis , composée de s
deux poches séreuses latérales renfermant les poumons,etuu intervalle
médian
qui loge le cœur et ses enveloppes, et laisse en
, qui montent verticalement. Les veines sont : au milieu, la frontale
médiane
ou veine préparate, origine de la veine faciale ;
chacun d'un ou deux vaisseaux qui accompagnent les vaisseaux du front
médians
et latéraux. 6° Nerfs. Ils sont fournis par la ci
sinus longitudinal supérieur logea sa face crânienne; (b) la portion
médiane
inférieure du front, siège des sinus frontaux, do
une épaisseur énorme. FACE. La face comprend huit régions : trois
médianes
et impaires, les régions nasale, labiale et mento
ité inter-maxillaire ou nasale est partagée au milieu par une cloison
médiane
en deux cavités latérales, dites fosses nasales
st complété par les cartilages latéraux, ceux des ailes du nez, et le
médian
de la sous-cloison. La portion molle du nez est
x de nutrition par l'appareil ganglionnaire. 4° Squelette. La cloison
médiane
est constituée par la lame perpendiculaire de l'e
aire de l'ethmoïde et le vomer et complétée en avant par le cartilage
médian
. Les parois latérales sont constituées par les os
es dans la cavité buccale. RÉGION MENTONNIÈRE. Située à la partie
médiane
inférieure de la face, dont elle forme l'extrémit
LAIRE. Situation, configuration, délimitation. Située sur la partie
médiane
et latérale de la tête, à l'union du crâne et de
ation, configuration, délimitation. Située de chaque côté à la partie
médiane
et supérieure du cou, limitée en haut par la base
des différentes parties sont maintenues par trois aponévroses, l'une
médiane
ou sus-hyoïdienne, très résistante, et deux latér
de de l'axis. THORAX. Au thorax se rapportent cinq régions : deux
médianes
, les régions sternale et diaphragmatique; et troi
ation, configuration, délimitation. Située de chaque côté à la partie
médiane
et postérieure du dos, séparée de sa congénère pa
eure, moyenne et inférieure, dont chacune renferme trois régions, une
médiane
et deux latérales. i° Zone supérieure ou thorac
partie supérieure de l'abdomen, séparée de sa congénère par le sillon
médian
de la ligne blanche, elle s'étend de la fossette
deux saillies latérales, comprises entre trois sillons verticaux, un
médian
et deux latéraux ; elle est excavée chez les suje
muscles sterno-pubiens, et partagée au milieu par le sillon vertical
médian
. Saillante chez l'enfant et chez le sujet obèse,
des sacro-spinaux, et séparée en deux moitiés par le sillon lombaire
médian
. A l'extérieur, les deux régions lombaires latéra
xtérieur, dans les sujets maigres, la double saillie, entre le sillon
médian
de la ligne blanche et les sillons latéraux indiq
au milieu, et de chaque côté, le pli inguinal; en arrière, la région
médiane
sacro-coccygienne, flanquée de l'une et l'autre r
figuration, délimitation. Située au-dessous de l'abdomen, à la partie
médiane
antérieure ou pubienne du bassin ; limitée supéri
é par les deux branches verticales des pubis réunis par leur symphyse
médiane
. Dans la couche sous-cutanée rampent des artériol
s caverneux. Ces deux cylindres sont séparés par une cloison fibreuse
médiane
, dont un prolongement inférieur sur le gland cons
accolés en dedans, où ils forment, par leur adosse-ment, une cloison
médiane
d'isolement. Fixé en haut., au contour du pubis,
aire rhomboïdale du périnée s'accomplissent, par les orifices cutanés
médians
, les fonctions qui ont pour objet l'expulsion des
onfondus en dedans par l'entrecroissement de leurs fibres en un raphé
médian
mi-partie fibreux et aponévrotique, interrompu pa
bis, par les racines du pénis, dont la masse forme une longue saillie
médiane
rétrécie entre les branches des ischiums. L'orifi
ent de la ligne transversale des tubérosités sciatiques avec la ligne
médiane
antéro-postérieure. Parties constituantes de la
osta-tique. Ces divers muscles profonds sont unis dans leurs attaches
médianes
par la petite aponévrose d'insertion intra-périné
lumineuses, destinées au pénis, ne commencent à approcher de la ligne
médiane
qu'en arrière des bulbo-caverneux, et par conséqu
de huit à dix lignes de largeur, qui constitue à lui seul la portion
médiane
cutanée du périnée dans la femme. Le sphincter an
G1ENNE'. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie
médiane
postérieure du bassin, où elle termine inférieure
ssée au-dessous du petit pectoral par une anse d'anastomose des nerfs
médian
et musculo-cutané et croisée dans sa direction so
t cutané interne; puis, le nerf radial, la veine axillaire et le nerf
médian
; enfin, l'artère numérale, la veine numérale exte
rofondément dans le sillon des gros vaisseaux, se rencontrent le nerf
médian
et la veine numérale interne, recouvrant l'artère
éunissent inférieurement en V où ils se continuent par une dépression
médiane
. Ces sillons indiquent au dehors les limites de l
aux nerfs sous-aponévrotiques qui en parcourent l'étendue. Au sillon
médian
aboutit la veine radiale antérieure qui forme con
e se divise en V au-devant du tendon du biceps pour former les veines
médianes
; l'interne ou basilique et l'externe ou céphaliqu
céphaliquc qui montent dans les sillons latéraux. Dans son milieu, la
médiane
céphaliquc est croisée par les filaments du nerf
s du nerf cutané externe qui passe derrière elle sur l'aponévrose; la
médiane
basilique est croisée, au milieu par les fdets du
ieu de l'articulation ; à deux lignes plus en dedans le tronc du nerf
médian
. Ces vaisseaux, comme nous l'avons dit, croisent,
roisent, à une ligne et demie de profondeur, la direction de la veine
médiane
basilique. Tous ces rapports sont de la dernière
rincipaux figurent en grand nombre dans ce groupe. A partir du sillon
médian
supérieur, l'artère et les veines humé-raies se d
ment palmaire, la masse des tendons des trois fléchisseurs et le nerf
médian
; en dehors, en contournant d'arrière en avant la
GION PALMAIRE'. Portion métacarpienne. Elle se compose de la partie
médiane
ou creux palmaire, flanquée sur les côtés par les
oisième, intermédiaire aux deux autres, et correspondant à la flexion
médiane
de la main dans son ensemble. La couche sous-cula
s-jacens. En troisième plan viennent les branches digitales des nerfs
médian
et cubital, l'arcade palmaire de l'artère et des
essus et au-dessous du genou, elleoffre,à l'extérieur, une dépression
médiane
, dite le creux du jarret, comprise entre deux mas
renflement déterminé par les muscles du mollet, séparés par le sillon
médian
des jumeaux; dans la moitié inférieure existe la
illon médian des jumeaux; dans la moitié inférieure existe la saillie
médiane
du tendon d'Achille, qui sépare deux dépressions
du pied, elle est plus mince et très sensible dans la portion voûtée
médiane
comprise entre les deux coussinets de pression so
rallèles, disposées en étages, deux ou trois de chaque côté. La série
médiane
est le véritable sommet 1 Planche 66. de la c
orte à contourner la face interne du bras, les deux nerfs cutanés, le
médian
et le cubital, sont seuls comprimés; mais le radi
être présentée horizontalement entre le sterno-mastoïdien et la masse
médiane
laryngo-trachéale, presque directe d'arrière en a
upportable en haut, où il est inévitable qu'elle appuie sur les nerfs
médian
, cubital et les deux cutanés. Déjà, au milieu du
bras, les trois derniers nerfs, s'écartant par leur direction, et le
médian
lui-même, mobile sous la peau, pouvant être un pe
convient mieux d'agir au tiers inférieur du bras, où le tronc du nerf
médian
s'isole de l'artère en dedans. Toutefois, en comp
la saignée; en ce point sont les confluens veineux formant les trois
médianes
: cette saignée est usitée presque exclusivement
orption. Lésion d'une artère. C'est au bras et eu saignant la veine
médiane
basilique, dont la direction croise en diagonale
postérieure et la cubitale antérieure, près de leur jonction avec les
médianes
pour former la basilique et la céphalique; au mil
es médianes pour former la basilique et la céphalique; au milieu , la
médiane
commune et les deux branches ascendantes de sa bi
commune et les deux branches ascendantes de sa bifurcation en V : les
médianes
basilique et céphalique. De l'observation des r
trajet de la radiale postérieure, de la cubitale antérieure et de la
médiane
commune, excepté, pour cette dernière, à sa parti
ison ou la radiale à sa naissance, et, dans des cas rares où la veine
médiane
serait portée plus en dedans, l'artère cubitale à
ait portée plus en dedans, l'artère cubitale à son origine et le nerf
médian
. 3° La saignée sur la médiane céphalique, au mili
artère cubitale à son origine et le nerf médian. 3° La saignée sur la
médiane
céphalique, au milieu de son trajet, peut intéres
u profonde est dangereuse sur presque tous les points du trajet de la
médiane
basilique, car, (ci) eu plan sous-cutané, au mili
rofondes; plus haut, son abouchement dans la basilique répond au nerf
médian
. Procédé opératoire. Découvrir préalablement le
la malléole ou par deux branches antérieure et postérieure. La veine
médiane
ou la branche antérieure, la plus forte quand il
qu'elle supplée l'antérieure ou qu'elle n'est en réalité que le tronc
médian
déplacé. Sa situation est plus profonde, appuyée
son bord postérieur. Opération. Saphène interne. On saigne le tronc
médian
quand il est unique ou la branche antérieure quan
inférieur de la cuisse, jusque sous l'arcade du soléaire sur la ligne
médiane
, et au cinquième supérieur de la jambe, elle est
élection. On lie la poplitée sur plusieurs points : 1" par l'incision
médiane
, clans un point quelconque de l'étendue de la pl
la cuisse. Cette incision , qui n'intéresse que la peau, est presque
médiane
, mais cependant un peu inclinée en dehors et en b
ur profond. Ecartant alors ou en dedans ou en dehors le tronc du nerf
médian
juxta-posé, on peut pratiquer la ligature soit de
e entre les branches externe et interne quand il y en a deux. Le nerf
médian
, qui sert de guide dans les opérations ,1a croise
ement la peau très mince en ce point, pour ne pas intéresser la veine
médiane
basilique et les filamens du nerf cutané interne
isant avec précaution le pannicule adipeux, isoler d'un côté la veine
médiane
basilique que l'on déjette latéralement dans le s
ors apparaît le faisceau vasculaire profond ; en premier plan le nerf
médian
appliqué au côté interne et antérieur de l'artère
le biceps , et en particulier le cordon sous-cutané formé par le nerf
médian
. Si le sujet est très musclé, et parconséquent le
e la main gauche, dont la pulpe sent en profondeur la saillie du nerf
médian
et les battemens de l'artère, inciser verticaleme
gaîne aponévrotique en dehors ou vers soi. Alors se présente le nerf
médian
, que l'on écarte également en dehors; au-dessous
terne, et glisser l'instrument de dedans en dehors en évitant le nerf
médian
. 3° Ligature à la partie supérieure du bras (pl
et reconnaît, à travers les tégu-mens, le cylindre formé par le nerf
médian
et l'artère sensible à ses battemens. La directio
hors, et qui forme le bord externe, se présentent : le cordon du nerf
médian
, puis la veine humérale, soit le tronc unique si
se découvre placée entre cette veine, eh dedans, et en dehors le nerf
médian
, et plus profondément la veine humérale externe
s de la veine sont le nerf musculo-cutané et les deux racines du nerf
médian
. Dénuder alors avec beaucoup de ménagement la vei
verte par la veine; enfin plus en dehors et en arrière sont les nerfs
médian
, musculo-cutané et radial, et à la partie supérie
ant renversée en arrière mais dans sa rectitude naturelle sur le plan
médian
, la moindre inclinaison faisant changer les rappo
er une espèce d'il et à disséquer deux lambeaux relevés de l'incision
médiane
comme centre. Cette méthode est surtout avantageu
les parties qu'on veut extirper en faisant une incision sur la ligne
médiane
cle la face; de cette manière il dissèque un lamb
Alors d'un seul coup l'opérateur la divise verticalement sur la ligne
médiane
jusque l'os, et prolonge inférieurement, jusqu'
ion avec le fer rouge. Les deux lambeaux sont rapprochés sur la ligne
médiane
et réunis à la partie supérieure par la suture en
nt envahis par la maladie; au lieu d'une incision simple sur la ligne
médiane
, il convient alors de cerner l'altération au moye
dans le dernier temps de l'opération. Ayant remarqué que la cicatrice
médiane
tend, par une rétraction consécutive, à tirer la
eau, qui, devenant plus court que l'autre, n'arrive plus sur la ligne
médiane
, et déplace ainsi la cicatrice sur les parties la
plus, nous trouverons encore dans l'isolement du biceps et du triceps
médian
une raison puissante pour ne pas les faire partic
ule de lui-même, mais le cubitus entre dans la poulie par une saillie
médiane
qui, en raison de l'impossibilité de luxer par la
cavité cotyloïde. 20 Du milieu de la symphyse pubienne ou de la ligne
médiane
, point plus facile à déterminer que l'épine du pu
ne du membre artificiel dans la station, la cicatrice se trouve alors
médiane
; tandis qu'il y aurait une exubérance de chairs e
onc du nerf cutané externe, avant qu'il envoie une forte branche au
médian
. 11. L'une des racines du nerf médian. 12, 12
envoie une forte branche au médian. 11. L'une des racines du nerf
médian
. 12, 12. Vaisseaux acromio-thoraciques, avec le
interne. 16. Veine basilique. 17. Nerf musculo-cutané. 18. Nerf
médian
. 19. Nerf cutané interne. 20. Nerf cubital.
. B. Section du muscle grand pectoral. Creux axillaire. 1. Nerf
médian
. 2. Artère axillaire. 3. Veine axillaire. B
s ; au contour se voient : 1° En dedans : 4. Continuation du nerf
médian
. 5. Vaisseaux numéraux dans leur gaîne. 6. Ne
eine céphalique. Pli du bras. 9. Nerf cutané externe. 10. Veine
médiane
céphalique. 11. Veine médiane basilique, sous l
9. Nerf cutané externe. 10. Veine médiane céphalique. 11. Veine
médiane
basilique, sous laquelle croisent le nerf médian
alique. 11. Veine médiane basilique, sous laquelle croisent le nerf
médian
et les gros vaisseaux. 12. Nerf cutané intern
ané interne. 13. Veine cubitale postérieure. Avant-bras D. Loge
médiane
du long fléchisseur superficiel. Derrière le feui
4. Vaisseaux cubitaux. 15. Nerf cubital. 16. Continuation du nerf
médian
. 17. Vaisseaux médians de l'avant-bras. E. Lo
15. Nerf cubital. 16. Continuation du nerf médian. 17. Vaisseaux
médians
de l'avant-bras. E. Loge du grand supinateur et
les vaisseaux cu- bitaux. 21. Filamens du nerf radial. 22. Nerf
médian
. 23. Nerf cubital. On suit les branches digit
érieur. 1. Vaisseaux numéraux, l'artère, les deux veines et le nerf
médian
. 2. Vaisseaux collatéraux externes, artères, ve
ur. 5. Loge du long fléchisseur superficiel. 6. Vaisseaux et nerf
médian
. 7. Loge du long fléchisseur profond des doigts
ndon du long fléchisseur du pouce. 7. Vaisseaux cubitaux. 8. Nerf
médian
. 9. Tendons des long abducteur et court extense
osant. 7. 7. Gaînes des interosseux palmaires et dorsaux. 8. Nerf
médian
. 9. Nerf radial. 10. Nerf cubital. IL Branche
e terminale, qui sert généralement à le maintenir, présente une fente
médiane
propre à recevoir le frein de la langue dans la s
ne du membre, produit le gonflement des veines superficielles: (1) la
médiane
basilique; (2) la médiane cépha-lique ; (3) la ra
onflement des veines superficielles: (1) la médiane basilique; (2) la
médiane
cépha-lique ; (3) la radiale antérieure, ou média
basilique; (2) la médiane cépha-lique ; (3) la radiale antérieure, ou
médiane
commune ; (4) la radiale postérieure; et (5) la c
main droite de l'opérateur (b), appliqué au-dessous du confluent des
médianes
, en maintient la réplétion; (c) est la lancette,
ontre le plan sous-aponévrotique, les veines superficielles, moins la
médiane
basilique, conservées en premier plan au-devant d
3. (10) Artère numérale : (11) Veines humerales satellites; (12) Nerf
médian
. SAIGNÉE DE LA SAPHÈNE INTERNE, FIGURES 4 ET 15
ale profonde externe. e. Veine humérale profonde interne. f. Nerf
médian
, aperçu entre les vaisseaux. g. Nerf musculo-cu
s brachial. C. Artère brachiale à sa sortie de la tumeur. c. Nerf
médian
. d. Veine humérale interne. e. Muscle petit p
montrer les rapports des vaisseaux. A. Artère humérale. B. Veine
médiane
basilique. C. Veine basilique. Il est remarqu
formait, au-dessous de l'anévrisme,avec l'artère cubitale. E. Nerf
médian
. F. Nerf cubital. Tome 6 Pl.33 bis D aprè
anato-supplémentaires, Fig. 2. —5. Veine radiale commune. — 6. Veine
médiane
basilique. — 7. Veine médiane céphalique. — 8. Ve
. —5. Veine radiale commune. — 6. Veine médiane basilique. — 7. Veine
médiane
céphalique. — 8. Veines humérales profondes. — 9.
Veine médiane céphalique. — 8. Veines humérales profondes. — 9. Nerf
médian
. — 10. Tendon du biceps humerai. LIGATURE DE L'
aponévrose superficielle.— 3. Gaîne des vaisseaux numéraux. — 4. Nerf
médian
.— 5. Veine hurnérale interne. — 6. Artère huméral
Gaîne des vaisseaux huméraux. — 6. Veine humérale interne. — 7. Nerf
médian
. — 8. Artère humérale, soulevée par l'anse de l'a
sur l'artère carotide. — 14. Artère carotide primitive. — 15. Tendon
médian
du scapulo-hyoïdien. — 16. Muscle scalène antérie
ux acro-mio-thoraciques. —10. Vaisseaux thoraciques longs. — 11. Nerf
médian
. — 12. Nerf inusculo-cutané. — 13. Nerf cubital.
brandies deltoïdiennes des vaisseaux acromio - thoraciques. — 5. Nerf
médian
. — 6. Nerf musculo-cutané. — 7. Nerf cubital, ape
coq, en mouvement, a déjà pratiqué à moitié la section de la fraction
médiane
; la dernière est encore intacte, séparée seuleme
ORTION MOYENNE DE LA MACHOIRE. (Procédé de Dupuytren.) La portion
médiane
de la mâchoire étant seule malade, le chirurgien
malade, le chirurgien a incisé verticalement les chairs sur la ligne
médiane
, en continuant la section de la peau jusqu'au-de
l'os, le vaste lambeau dermo-musculaire (d), d'abord dans sa portion
médiane
, puis de chaque côté, en coupant les attaches des
récédente, formant une simple plaie rectiligne : une seule bandelette
médiane
est placée comme indication ; les fils à ligature
re, les incisions latérales ont été précédées par une petite incision
médiane
sous-acromiale ; ultérieurement, au travers de ce
e des régions dorsale et lombaire. Les lombes formaient une gibbosité
médiane
, dont le côté droit était un peu plus saillant qu
née à droite par la courbure dorsale, et elle déborde un peu la ligne
médiane
du côté gauche. Le thorax est oblique dans le m
ème dorsale à la douzième, se porte, aux lombes, à gauche de la ligne
médiane
presque autant qu'il s'en était écarté à droite.
viées sont portées toutes dans le même sens, ici à gauche de la ligne
médiane
. Les quatre premières lombaires, les quatre pre
es, ne s'est pas assez développée pour entraîner à droite de la ligne
médiane
les vertèbres placées au-dessus et au-dessous d'e
milieu de la courbure est deux ou trois fois plus distant de la ligne
médiane
du rachis. La courbure accessoire supérieure, à
ie postérieure droite du thorax, située très haut et près de la ligne
médiane
, est courte, comme ramassée et très proéminente.
re, longue et peu marquée, mais en partie située à gauche de la ligne
médiane
, de sorte que la colonne lombaire forme, avec le
milieu correspond à la neuvième dorsale. Elles reviennent à la ligne
médiane
par des incurvations secondaires placées, comme e
milieu de la courbure principale à plus de 13 centimètres de la ligne
médiane
. Cette courbure, prise isolément, a, dans la figu
périeure est insuffisante pour ramener le haut du rachis sur la ligne
médiane
, et le tronc reste fortement incliné à droite et
de ces vertèbres à l'autre ligure assez bien la direction de la ligne
médiane
; il n'y a pas moins de 9 centimètres entre ce fil
ème et neuvième dorsales, se trouve ainsi à 9 centimètres de la ligne
médiane
. Aussi le corps des vertèbres dorsales moyennes e
ité gauche, est plus prononcée ; elle est située à gauche de la ligne
médiane
, et sa corde est à peu près verticale, au lieu d'
énérale, formée par toutes les vertèbres placées à droite de la ligne
médiane
, est à 8 centimètres de cette ligne dans son mili
s abaissé à droite, quand on replace l'apophyse épineuse sur la ligne
médiane
. Le corps présente une autre particularité : il a
le plus saillant en avant se trouve sur le côté, à droite de la ligne
médiane
. Fig. 8. — Septième dorsale, vue par sa face su
artère iliaque primitive droite, née de l'aorte fort loin de la ligne
médiane
, est beaucoup plus longue et aussi plus volumineu
sales. Le milieu de cette courbure était à 67 millimètres de la ligne
médiane
. Une gibbosité costale étroite, allongée, remonta
hyses épineuses les plus déviées n'étaient plus distantes de la ligne
médiane
que de 27 millimètres. La flexion des côtes droit
le moyenne. Le point le plus dévié était à 26 millimètres de la ligne
médiane
. Les vertèbres dorsales supérieures décrivaient u
ement dans des directions opposées, ondule d'un seul côté de la ligne
médiane
. On observait, comme on le voit dans la figure,
milieu de la courbure dorsale n'était qu'à 12 millimètres de la ligne
médiane
. Les courbures accessoires étaient très légères.
re dorsale, situé un peu plus bas, était à 25 millimètres de la ligne
médiane
. La saillie du côté droit du dos était un peu plu
de la courbure principale n'est plus qu'à 13 millimètres de la ligne
médiane
. La saillie du côté droit a diminué ; l'épaule dr
éro-postérieur. Le foyer s'étend également des deux côtés de la ligne
médiane
, en débordant toutefois un peu plus à droite vers
foyer hémorrhagique du lobe gauche du cervelet, ayant envahi le lobe
médian
et après la déchirure du vermis inférieur arrivan
otubérance offre dans son épaisseur, sur l'un des côtés de la ligne
médiane
, de petites cicatrices irrégulières, d'un brun ja
rès prononcé. Dans le tiers inférieur du pont de Varole, sur la ligne
médiane
, existe un caillot récent du poids de 8 grammes.
lles se développent, non plus que sur un point quelconque des parties
médianes
, mais bien vers le centre de la région fessière,
égion sacrée et s'étendent également à droite et à gauche de la ligne
médiane
. portaient également sur le lit. Dans un cas (o
qu'un pois; la plus considérable se trouve près de la grande scissure
médiane
à la réunion du tiers antérieur avec les deux tie
misphère droit, il n'y a du pus qu'à la partie voisine de la scissure
médiane
, tout le long de cette scissure, mais non point e
xième vertèbres dorsales, à trois centimètres et à droite de la ligne
médiane
. Le trajet de la plaie était oblique de droite à
se produisit sur la fesse droite, à quelques centimètres de la ligne
médiane
au-dessous du niveau de l'extrémité du coccyx. La
mêmes parties dans les jointures des membres du côté droit. Le nerf
médian
du membre supérieur droit est comparé au nerf cor
des vaisseaux, relativement volumineux et fortement injectés. Le nerf
médian
gauche offre, au contraire, la pâleur de l'état n
e. L'injection vive du névri-lème et l'augmentation de volume du nerf
médian
doivent aussi, croyons-nous, être rapportées à un
me ceux-ci, la coloration, la consistance, le volume normaux. Le nerf
médian
du côté gauche est un peu plus volumineux, plus c
ulier sous le rapport du volume et de la coloration. Les deux nerfs
médians
ont été comparés l'un à l'autre. Ils étaient d'ég
ils sont beaucoup plus rares (Pl. IV, fîg. h et o). Les deux nerfs
médians
ont paru présenter le même volume et la même colo
ne étendue égale de la région.,symétrique de l'autre côté de la ligne
médiane
. (Travail collectif de la commission, 1er rapport
nsi que se produisent, en particulier, les griffes radiale, cubitale,
médiane
caractéristiques, suivant que l'excitation mécani
excitation mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou enfin le
médian
. La'contracture ainsi provoquée est très énergiqu
s tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la partie
médiane
, au niveau de l'insertion du deltoïde, amène une
du corps. Mais, la propagation de l'excitation peut dépasser la ligne
médiane
et la contracture, qui en est la conséquence, s'é
apport, l'axe médullaire peut être divisé suivant un plan vertical et
médian
— presque toujours, en effet, un côté du corps es
nulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du nerf cubital le nerf
médian
innervant les deux faisceaux externes) ; inteross
ranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du nerf
médian
, et son action porte principalement sur les phala
ofond dont les deux faisceaux externes habituellement innervés par le
médian
recevraient, en cette hypothèse, des rameaux du n
oses nombreuses entre les terminaisons du nerf cubital et celles du
médian
, et que, par l'intermédiaire de ces anastomoses,
ubital pourrait s'étendre plus ou moins aux ramifications voisines du
médian
. Griffe médiane. — L'excitation du nerf médian
'étendre plus ou moins aux ramifications voisines du médian. Griffe
médiane
. — L'excitation du nerf médian un peu au-dessus d
ications voisines du médian. Griffe médiane. — L'excitation du nerf
médian
un peu au-dessus du pli du coude donne des résult
alors une attitude qui trouve sa raison dans la distribution du nerf
médian
et la physiologie des muscles que ce nerf tient s
ues mots les notions anatomi-ques relatives à la distribution du nerf
médian
à l'avant-bras et à la main. Le nerf médian fou
la distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main. Le nerf
médian
fournit des rameaux aux muscles suivants : rond p
nd des doigts (les deux faisceaux externes sont seuls innervés par le
médian
, les deux faisceaux internes étant innervés par l
ivant : Action partielle de chacun des muscles innervés par le nerf
médian
. Rond pronateur. — Pronateur et fléchisseur de
x qui correspondent à l'index et au médius sont seuls innervés par le
médian
). — Fléchisseur des troisièmes phalanges des doig
. Lombricaux (dont les deux premiers sont innervés seulement par le
médian
). — Extenseurs des deux dernières phalanges et fl
l'influence de Faction combinée de tous les muscles innervés parle
médian
. A priori, l'excitation du tronc nerveux lui-même
l'heure. 'Pronation énergique. — Aucun des muscles innervés par le
médian
n'est supinateur, et ne peut par cela même contre
le petit palmaire et le cubital antérieur) deux sont innervés par le
médian
. Ce sont les deux palmaires. Flexion des doigts
sculaire, paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'excitation du
médian
doit donner lieu aux mouvements suivants: 1° Pr
tude qu'a prise la main sous l'influence de l'excitation mécanique du
médian
pendant l'état d'hyper-excitabilité neuro-muscula
bilité neuro-musculaire et que nous désignerons sous le nom de griffe
médiane
. Nous verrons qu'elle est parfaitement d'accord
voit alors l'action s'étendre à des muscles en dehors de la sphère du
médian
, aux muscles de l'épaule rotateurs de l'humérus,
ion de ses rameaux peut facilement faire prévoir, Fig. 11. — Griffe
médiane
. Fig. 12. — Griffe médiane. Le nerf radial in
ement faire prévoir, Fig. 11. — Griffe médiane. Fig. 12. — Griffe
médiane
. Le nerf radial innerve sans exception tous les
moteurs de la face antérieure de l'avant-bras et de la main, M, nerf
médian
. — 1, muscle rond pronateur ; 2, grand palmaire ;
plus facilement que ces muscles étaient situés plus près de la ligne
médiane
. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué q
utre externe à concavité inférieure. — Plis transversaux de la partie
médiane
du front qui devient lisse au-dessus de la moitié
irigée de haut en bas et de dehors en dedans ; — la peau de la partie
médiane
du front est lisse et tendue ; — plis transversau
. Si l'excitation, tout en demeurant unique, se rapproche de la ligne
médiane
, comme sur la Fig. 3 de la Planche VI, le mouveme
ts points de ses fibres. En excitant sur la lèvre inférieure un point
médian
, situé à peu de distance de l'ouverture buccale,
dentelé qui lui est synergique. (Voy. p. 350). L'excitation du nerf
médian
produit la griffe médiane. (Voy. p. 342). En insi
gique. (Voy. p. 350). L'excitation du nerf médian produit la griffe
médiane
. (Voy. p. 342). En insistant, une fois la griffe
it la griffe médiane. (Voy. p. 342). En insistant, une fois la griffe
médiane
produite, l'excitation sort de la sphère du média
ne fois la griffe médiane produite, l'excitation sort de la sphère du
médian
. Ce sont les muscles rotateurs du bras en dedans
à l'avant-bras par les muscles pronateurs qui relèvent directement du
médian
. A la face, l'excitation se propage très facile
ons (le tampon négatif) était placé et maintenu sur le sternum (ligne
médiane
), et l'autre tampon était appliqué successivement
t maintenu sur le sommet de la tête, à 2 ou 3 centimètres de la ligne
médiane
, à l'extrémité d'une ligne verticale qui passerai
e sur le sommet du crâne à quelques centimètres en dehors de la ligne
médiane
; l'autre, un peu au-dessus et en arrière du pavi
action : c'est ainsi que se produisent les griffes radiale, cubitale,
médiane
, 1. Société de Biologie, 21 janvier 1882. 2.
excitation mécanique porte sur le nerf radial, le cubital ou enfin le
médian
. Les muscles eux-mêmes peuvent être directement e
iveau du ligament dorsal du carpe est hypérémiée. Fig. 7. — Le nerf
médian
à l'avant-bras du membre supérieur droit coté par
fortement injectés. Les deux branches en lesquelles se divise le nerf
médian
avant de former les rameaux musculaires et cutané
ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3. — Excitation unique et
médiane
des eux dmuscles dilatateurs des narines. Fig.
ale pendant la léthargie, p. 336,'879; — pai' farad isation, p. 340; —
médiane
, p. 342, 345; —? radiale, p. 346. 91 Hallucin
es cordons postérieurs à la région lombaire, à cheval sur le septum
médian
, une région ovoïde dont le développement est ta
io-périphérique, faisceau de Hoche à sa partie supérieure, triangle
médian
sacré ou triangle de Gombault et Philippe à sa pa
sur chaque système de fibres. ' z 5e Sacrée. - Le triangle sacré
médian
est réduit à une bande très mince allant du mil
st réduit à une bande très mince allant du milieu environ du septum
médian
à la périphérie. En avant, ce trian- gle se rel
és un riche réseau de fascicules éparpillés en éventail ; le septum
médian
contient beaucoup de ces fibres. Les fibres colla
nts radiculaires suivants (v. fig. 1). 4e Sacrée. Le triangle sacré
médian
, qui dans cette moelle n'a pas du tout la forme
ngulaire, est plus volumineux ; il occupe toute l'étendue du septum
médian
et se confond en arrière avec des faisceaux de fi
au contact de la substance gélatineuse. 3° .Sacrée.- Le triangle
médian
en voie d'accroissement forme une bandelette à
tiers antérieurs du septum ; immé- diatement en arrière du triangle
médian
le septum s'élargit beaucoup, de sorte que les
générées (fig. 1 et 2). lre Sacrée. La séparatiou entre le triangle
médian
et le faisceau conservé de la zone cornu-radicu
urale; ces fibres sont également plus nombreuses autour du triangle
médian
. 22 NAGEOTTE 5e Lombaire ? Le triangle médian
utour du triangle médian. 22 NAGEOTTE 5e Lombaire ? Le triangle
médian
a beaucoup diminué de volume ; il forme mainten
corne postérieure commence à se regarnir de fibres. Ici le triangle
médian
forme une ligne minuscule vers l'u- nion du tie
one cornu-commissurale sont nettement rejetées de côté et la partie
médiane
de cette zone est très pâle, presque complètement
nt l'un parallèle, l'autre perpendiculaire à la direction du septum
médian
; le premier est nettement tranché, le second est
C'est à ce niveau que l'on constate le dernier vestige du triangle
médian
, qui forme une ligne presque imperceptible vers l
; à la 6° cervicale son extrémité antérieure est située sur le septum
médian
à l'union du tiers antérieur avec les deux tier
s fibres horizon- tales de même aspect qui cheminent dans le septum
médian
(fig. 3). 24 NAGEOTTE Les coupes faites par l
bande rectiligne située immédia- tement en dehors du triangle sacré
médian
; elle s'étend du col de la corne pos- térieure
caux de la corne postérieure. Sont conservés : 1° le triangle sacré
médian
; 2° une zone en bordure, épaisse le long de la
de Flechsig. 5° Lombaire. - Tandis qu'à ce niveau le triangle sacré
médian
commence à diminuer d'étendue dans le cas de dé
s le cas de dégénération de la queue de cheval, on voit ici la zone
médiane
conservée devenir de plus en plus volumineuse et
se est périphérique et dont l'angle antérieur est situé sur le septum
médian
, un peu en avant de son milieu. Ce faisceau méd
ué sur le septum médian, un peu en avant de son milieu. Ce faisceau
médian
de fibres radiculaires con- servées prend une e
t séparés par une mince bande conservée qui court le long du septum
médian
; leur extrémité n'atteint pas la périphérie de l
rne postérieure. Son bord interne est rectiligne et limite une région
médiane
saine au même degré que les champs postéro-exte
bandelettes arrivent au contact sur le tiers anté- rieur du septum
médian
. 5° Cervicale. Les bandelettes se déforment et
floues; elles se touchent en avant sur le tiers antérieur du septum
médian
; la ligne de sclérose intense qui marquait le
s qui suivent le même trajet et les recouvrent en partie. Le septum
médian
,'à la région sacrée, contient un grand nombre de
icales dans les cor- dons de Goll à la partie postérieure du septum
médian
, au niveau de la Vile cervi- cale. ÉTUDE ANAT
a région lom- bo-sacrée, deux formations particulières, le triangle
médian
sacré, ou triangle de Gombault et Philippe, et
l'une des formations endogènes à grosses fibres, le triangle sacré
médian
, est seule dégénérée à l'exclusion du faisceau
r que l'on puisse les comparer avec celles de la pl. V. a) Triangle
médian
sacré. - L'observation de Souques et Marinesco, e
99. ÉTUDE ANATOMIQUE DES. CORDONS POSTÉRIEURS 37 client du septum
médian
, y pénètrent et dessinent à la région lombaire
e un an). Comparer avec les figures de la planche l, où le faisceau
médian
, qui est dégénéré ici, est au contraire conservé
ire. Apparition d'une sclérose en forme de fuseau le long du septum
médian
. Fio. 7. Ire sacrée. Augmentation du volume du
triangulaire des coupes suivantes. Fia. 9. - I([e sacrée. Triangle
médian
sacré. Fia. 10 et 11. IVe et V sacrées. Triangl
e. Triangle médian sacré. Fia. 10 et 11. IVe et V sacrées. Triangle
médian
sacré. 38 NAGEOTTE vent'. Dejerine et Theohar
ctivement la continuité entre la portion périphérique et la portion
médiane
du faisceau de Hoche, mais souvent on voit débu
iane du faisceau de Hoche, mais souvent on voit débuter la sclérose
médiane
, dans les cas de lésion transverse de la moelle
a moelle, par un tout petit faisceau qui semble naître sur la ligne
médiane
aux environs de la tre sacrée, qui s'élargit en d
nt effectué leur trajet entre la portion périphérique et la portion
médiane
à l'état isolé, et qu'il a été impossible de su
e des moelles où le passage des fibres de la périphérie à la région
médiane
se fait, en totalité ou en partie, par l'interm
ns sa région de transition,qui prend plus ou moins bas sa situation
médiane
, et qui affecte une forme variable dans la régi
ngueur de la cloison postérieure et dont la base répond à la partie
médiane
de la périphérie postérieure de la moelle, exac
missure et le bord de la corne postérieure, en découvrant la partie
médiane
de la commissure. Ses limites du côté des cordo
s endogènes sont complètement intactes (zones de Lissauer, triangle
médian
sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de
ulées de plus en plus en dedans vers le cordon de Goll et le septum
médian
(loi de Kahler) de sorte que si à la région cer
ans son trajet ultérieur et se rapprocher de plus en plus du septum
médian
. Mais une telle lésion, si localisée qu'elle so
Westphal ou zone radicu laire antérieure ; T s, fibres du triangle
médian
sacré, ou triangle de Gombault et Philippe (ter
nt : 1° un faisceau dans la zone cornu-commissurale; 2° le triangle
médian
sacré, ou triangle de Gom- bault et Philippe. C
ur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. C. Le triangle
médian
est entièrement distinct du centre ovale de Fle
a sclérose des parties latérales des cordons postérieurs. La partie
médiane
au contraire est relativement res- pectée. On c
angulaire, mais semble plus limitée au cordon de Goll. Sur la ligne
médiane
, au milieu de ce faisceau, on constate une fente
sclérose du cordon postérieur affecte la même forme dans sa partie
médiane
; mais au niveau des angles postérieurs du triang
se dans le cordon postérieur est toujours plus marquée sur une zone
médiane
et triangulaire mais elle est plus diffuse et, en
ième frontale droite ne présente pas d'altération. Nerfs. Les nerfs
médian
gauche (au niveau du poignet), cubital gauche (
e (au niveau du poignet), cubital gauche (au niveau de l'aisselle),
médian
droit (au niveau de l'aisselle), radial droit et
t (au niveau de l'aisselle), radial droit et gauche (à l'aisselle),
médian
droit (au niveau du poignet) ne présentent aucune
ésie gauche, complète au tact et à la piqûre ; limitée par la ligne
médiane
. Autant qu'on peut en juger, il semble qu'il exis
rveuses, suivant qu'elles occupent les régions circonférentielle ou
médiane
, le pôle central ou le pôle périphérique : par ré
cellules du pôle central sont les cellules circonfé- rentielles et
médianes
qui sont les plus proches des racines à leur entr
ules du pOle périph6- rique sont les cellules circonférentielles et
médianes
les plus proches des racines à leur sortie du g
plètement disparu, dans la région circonférencielle et dans la région
médiane
du ganglion, mais surtout dans la première. Les
fait au début de ce travail, une zone circonférentielle et une zone
médiane
, la zone du pôle central et la zone du pôle périp
plus qu'une petite infiltration sanguine sous l'aspect d'une tache
médiane
et radiée dans la partie antérieure des cordons p
qucs sout à noter. L'un, gros caillot rond, qui distend le sillon.
médian
autre- FiG. a. Coupe passant par le bord supéri
s la figure d, mais trilobée. Un gros caillot rond occupe le sillon
médian
antérieur. En plus des hémorrhagies analogues à
travers le Ve segment cervical de la moelle. Le caillot du sillon
médian
antérieur est réduit à une virgule sanglante. Les
plus qu'une petite infiltration sanguine sous l'aspect d'une tache
médiane
et radiée dans la partie antérieure des cordons
roite, qui dans les efforts de phonation reste immobile en position
médiane
. De plus il existe une luxation partielle du ca
rieure : ici cette dégénération s'approche immédiatement de l'angle
médian
de la corne antérieure et paraît sortir de cet
Van Gieson. Nous avons examiné tant à droite qu'à gauche les nerfs
médian
et radial à l'avant-bras, cubital il la main ; au
latéraux et la base des cornes antérieures et traversant la partie
médiane
derrière le canal de l'épendyme qu'elle laisse
fération névroglique. L une des deux branches de l'artère du sillon
médian
antérieur, se portant vers la corne antérieure
mal. Les artérioles des septa sont épaisses ; les artères du sillon
médian
antérieur , surtout à la région cervicale présent
ifestement en certains points la direction de l'artériole du sillon
médian
postérieur. Si l'on se souvient aussi qu'en plu
gion cervicale. Coloration par la méthode de Weigert-Pal. La cavité
médiane
occupant presque toute la substance grise se cont
-mère. - Une autre fente très analogue se voit à la place du sillon
médian
postérieur. Les fentes, ainsi que la cavité princ
tre à la partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du sillon
médian
postérieur. Cette fente dirigée d'arrière en av
aboutit toujours à la périphérie, au point de pénétration du sillon
médian
. Les caractères histologiques des parois de ces
ale, mais seulement une fente antéro-postérieure occupant le sillon
médian
postérieur et qui s'élargit en avant en une dil
antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du sillon
médian
postérieur, etc.). Les fentes, les fissures étroi
re de la moelle avec saillie de son rebord de chaque côté du sillon
médian
antérieur. A un examen plus attentif, après chr
atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' ' Nerf
médian
droit. - Même aspect que le radial. : ' . Nerf
' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le radial. : ' . Nerf
médian
gauche.- Abondante prolifération interstitielle,
l'atrophie musculaire n'a pas fait de progrès notables). B. Nerf
médian
. Coupe transversale. (Pal et Carmin). ATROPHIE
ses, pelotons de libres de régénération. (Pal et Carmin). E. Neif
médian
, coupe longitudinale. ([>,11 et Carmin). A
iques. - Examen des nerfs du plexus brachial gauche (nerfs cubital,
médian
, radial, circonflexe, musculo-cutané et brachial
eux ce tissu conjonctif se condense soit pour former FiG. 3. - Nerf
médian
. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE MUSCULA
al. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. FIl" 6. - Une fibre du nerf
médian
. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. ATROPHIE MUS
let citent les différences qu'ils ont trouvées en comparant le nerf
médian
au sciatique ; dans le premier, la gaine lamell
ation, c'est-à-dire dans la région du coude des fragments des nerfs
médian
et cubital et une tranche comprenant la peau, le
(gr. 2 1/2 d.) B. Epiderme et derme (gr. 14 d.) C. Muscle. D. Nerf
médian
(gr. 7 d.) - E. Nerf cubital (gr. 7 d.) - F. Nerf
e. D. Nerf médian (gr. 7 d.) - E. Nerf cubital (gr. 7 d.) - F. Nerf
médian
, fragment (gr. 3o d.). - G. N. médian (coupe lo
cubital (gr. 7 d.) - F. Nerf médian, fragment (gr. 3o d.). - G. N.
médian
(coupe longit.) (gr, 7 d.) H. Nerf cubital (coupe
eur calibre est normal. III. Nerf cubital. - Bien différent du nerf
médian
, ce nerf n'est pas hyper- trophié (fig. E). L'h
t encore mieux sur des coupes longitudinales. Les faisceaux du nerf
médian
sont plus espacés que ceux du nerf cubital (fig
r que cette anomalie de structure n'est pas égale partout ; le nerf
médian
est plus remanié que le nerf cubital ; les coupes
du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité ; le ruban de Reil
médian
dont il respecte peut-être les fihres les plus in
: le bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur, le ruban de Reil
médian
(exception faite de sa portion la plus interne)
résentée figure 8, le foyer primitif qui intéresse le ruban de Reil
médian
, le locus niger et la partie antérieure de la cap
e et détruit à ce niveau le ruban de Reil latéral, le ruban de Reil
médian
(moins sa portion la plus interna) et la partie
ongement qui ne détruit plus que la moitié externe du ruban de Reil
médian
et vient en arrière s'arrêter à la partie antér
du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité, le ruban de Reil
médian
(moins sa portion tout interne) et une grande par
-ci et détruit le ruban de Reil latéral en partie, le ruban de Reil
médian
(moins sa portion la plus interne), et la substan
soit à leur passage à travers la partie interne du ru- ban de Reil
médian
, soit dans la partie antéro-externe de la capsule
que la partie antérieure du Reil latéral, la partie externe du Reil
médian
et effleure les fibres les plus externes du péd
et intéressant la région sous- optique, on voit en dehors du centre
médian
de Luys, dans la région du ru- ban de Reil médi
dehors du centre médian de Luys, dans la région du ru- ban de Reil
médian
, qu'il n'y a pas de dégénération à proprement par
nt plus espacées et moins nombreuses qu'à l'état normal. Les noyaux
médian
et externe du thalamus ne semblent pas atrophiées
age postérieur on note : une atrophie très marquée du ruban de Reil
médian
dont la couche des fibres est réduite au moins
uées de nombre. Or ce sont là justement les fibres du ruban de Reil
médian
dont on poursuit toujours la forte dégénération
aussi avec la dégénération rétrograde très accusée du ruban de Reil
médian
mentionnée dans la'région bulbaire supérieure,
et postérieur, le ruban de Reil latéral en partie, le ruban de Reil
médian
en presque totalité et la partie adjacente de l
é; et une dégénération rétrograde des pi nifestes, du ruban de Reil
médian
, que l'on suit dans la protubéi dans le bulbe j
e pédonculaire, une destruction presque com- plète du ruban de Reil
médian
(dont seules les fibres les plus internes, adja
essée et qu'ainsi la région occupée par les fibres du ruban de Reil
médian
et les parties latérales de la formation réticulé
u de temps, d'après von Monakow, lorsque la lésion du ruban de Reil
médian
n'est que partielle ou qu'elle se fait lentement,
quelques rares fibres de la portion la plus interne du ruban deReil
médian
ontété conser- vées ? Pent-être aussi - ce qui
mianesthésie d'origine mésocéphalique, (par lésion du ruban de Reil
médian
) ce sont surtout les troubles de sensibilité pr
e. Or ce fait, c'est-à-dire la conservation des fibres radiculaires
médianes
, rapproché de la paralysie complète de la muscu
par Bernheimer et d'autres, selon laquelle les fibres radiculaires
médianes
les plus proxima- les de la IIIe paire appartie
ubercu'e quarijumeau antérieur. Qp. postérieur. Rm. Ruban de Reil
médian
. ni. - - latéral. RTh. Radiations optiques.
gélatineuse de Rolando. SRa (Rm). Formation réticulée blanche (Reil
médian
). W. Champ de Wernicke. xpin. Entrecroisement
ne déformation due au ramollissement du tissu nécrotique. Le septum
médian
, au lieu d'être droit, à cause des pressions et
Polynévrite aiguë douloureuse, avec localisation grave dans le nerf
médian
droit. C. Perd..., âgée de 4 ans, du départemen
, et la réaction de dégénérescence aux muscles innervés par le nerf
médian
droit. ' 220 JACINTO DE LÉON La petite malade
exion de la main droite était impossible à cause de la paralysie du
médian
; elle restait assise, bien qu'incli- née en av
té, comme dans le cas 5, topographie périphérique parlésion du nerf
médian
, on a une donnée de grande valeur ; la connais-
lisa- tion de névrite grave, comme dans les muscles innervés par le
médian
droit du live cas, et les réactions galvaniques
Le front bombé, olympien,les bosses frontales exagérées avec sillon
médian
, la petitesse du mas- (1) P. Marie et P. SAINTO
, très haute, elle n'est pas soudée complè- tement et, sur la ligne
médiane
, le doigt sent un sillon net. Mais si les os ne
grosses dents molaires de la pre- mière dentition et deux incisives
médianes
de la deuxième dentition en voie de développeme
re inférieure, dont 2 seulement de seconde dentition, des incisives
médianes
qui commencent seulement à pointer, et encore d
nts irrégulières, petites, cupuliformes, mal implantées ; incisives
médianes
en retrait sur leur bord interne, canine supplé
épais, quelques orifices dans les deux pariétaux près de la suture
médiane
gros comme une tête d'épingle. Un ou deux trajets
honation la corde vocale droite se porte sans vigueur vers la ligne
médiane
; c'est la corde gauche qui achève l'occlusion gl
des fibres qui émanées.du noyau du triju- meau traversent la ligne
médiane
pour gagner le faisceau sensitif (2). Il existe
; il y en a entr'autres toute une série de fraîches dans la partie
médiane
de Th. opt. Les fibres nerveuses de l'écorce so
uelles avec les nerfs de cette région, entr'autres le VIII. Le bord
médian
du néoplasme contient des fibres nerveuses encore
.fig. 9 et 10) que l'on peut suivre jusque sur le bord antérieur et
médian
de l'hémisphère droit du cevelet. Ce kyste ne par
à la face interne du bras, au niveau de la section osseuse, du nerf
médian
et d'une artère, petite, accolée à lui ; injectio
r la face antérieure de la cloison intermusculaire interne. Le nerf
médian
passe sur la face antérieure de ce faisceau ; dan
éseau veineux superficiel est composé essentiellement par une veine
médiane
venue de l'avant- bras, recevant de la profonde
antérieur ; c, Long supinateur ; d, Nerf musculo- cutané ; e, Nerf
médian
; f, Doigts ; g, Humérus. 294 KLIPPEL ET BOUCHE
ndon du long supinateur ; g, Tendon du brachial antérieur ; h, Nerf
médian
; i, Artère radiale ; j, Artère cubitale ; k, R
Rond pronateur ; d, Tendon du long supinateur ; e, Doigts ; f, Nerf
médian
et ses divisions ; g, Tendon du bra- chial anté
nateur extrêmement développé, avec insertions normales. ' Le nerf
médian
innerve le rond pronateur et les deux muscles épi
u- rien d'anormal non plus. Nerfs. - Membre supérieur droit. - Le
médian
, au pli du coude, passe entre les deux fléchiss
de ce nerf reçoivent ses branches. Membre supérieur gauche. - Le
médian
est très ténu ; il innerve ses muscles normaux,
rfore pas le caraco-brachial; il est peu diminué de volume. Mais le
médian
, le radial, le cubital sont beaucoup plus atrophi
etites masses musculaires épitrochléenne et épicondylienne. Le nerf
médian
, le cubital et le radial, à part leur réduction d
pli du coude. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 319 Le
médian
se prolonge au-delà du pli du coude en un petit r
branches musculaires s'épuise au voisinage du tiers inférieur ; le
médian
se réduit au-dessous du tiers inférieur à un grêl
un corps charnu mal diffé- rencié, longé à sa partie externe par le
médian
et l'artère humérale que bordent en dehors les
pal- maire et le cubital antérieur sont normaux. L'artère du nerf
médian
a un volume considérable. De l'étude anatomique
e la division s'est faite au niveau même des territoires nerveux du
médian
et du cubital, celui-ci formant un collatéral d
i formant un collatéral de plus, quoiqu'on trouve trace du filet du
médian
cons- tituant normalement le collatéral externe
nts. Pour la première fois on constate une tuméfaction sur la ligne
médiane
de la tête, commençant un peu eu arrière du pla
iable et très amincie dans sa totalité, sauf au niveau de la partie
médiane
de la région frontale. Au niveau de la tumeur e
ette tumeur a perforé la dure-mère sur un petit]espace de la- ligne
médiane
et envahila voûte crânienne. Elle est située, sur
ne médiane et envahila voûte crânienne. Elle est située, sur la ligne
médiane
et à droite et à gauche de la ligne médiane, au
st située, sur la ligne médiane et à droite et à gauche de la ligne
médiane
, au-dessous de la dure-mère à la quelle elle ad
a faux du cerveau dans son trajet interpariétal. La tumeur, d'abord
médiane
, s'est peu à peu étalée de chaque côté, au-dess
de. Nerfs périphériques. Nous avons examiné le tibial antérieur, le
médian
, le cubital, le musculo-cutané du côté droit. T
ration. Les nerfs de la main ont été examinés isolément (cubital,
médian
, collaté- raux des doigts). Dans tous ces tronc
du plexus brachial et dans leurs bran- ches. En outre dans le nerf
médian
on remarquait des corps arrondis ou ovales que,
sées à tous les rameaux nerveux de la main. Dans les nerfs du bras (
médian
, cubital), l'examen histologique montrait seule-
aire en dehors ; en dedans débordant légèrement en deçà de la ligne
médiane
et euvahissant l'angle droit de l'oeil ; en hau
la paupière supérieure (filets descendants), à la peau de la partie
médiane
du front (filets ascendants), à la peau de la rac
rofond des doigts, long fléchisseur du pouce, carré pronateur. Le
médian
passe entre ces deux couches. le) Extenseurs.
é malade une diminution du nombre des fibres qui composent un nerf (
médian
, musculo-cutané, radial) et des fibres qui comp
puis elle repart, lentement à cause de ma résistancejusqu'à la ligne
médiane
, ou rapidement quand ma résistance est vaincue.
ou était déplacé vers la droite, la tête restant à gauche de la ligne
médiane
du corps ; le cou portait la tête comme celle-c
rieure ; 2° Les portions du cordon de Goll adjacentes à la scissure
médiane
pos- térieure ; 3° La zone comprise entre le
paraître complètement en allant se confondre au niveau de la partie
médiane
de la phalangine avec le doigt normal. Symétriq
le névraxe deux adhérences, situées à droite et à gauche du sillon
médian
antérieur (fig. 13 Adh) ; ces deux adhérences,
édullaire circonscrite : elles sont symétriques par rapport au plan
médian
, mais ne siègent pas exactement à la même hau-
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 57 symétriquement placées par rapport au plan
médian
; elles occupent,dans la région antéro-latérale
ctus fascicule qui aboutit aux racines sensitives. Les deux sillons
médians
an- térieur et postérieur sont fortement déjeté
nsistent en 2 noyaux gom- meux, situés de part et d'autre du sillon
médian
antérieur, l'un un peu plus élevé que l'autre,
rs; ces deux adhérences, symétriquement placées par rapport au plan
médian
, c'est-à-dire au point d'émergence des racines an
ires réunissant la tumeur aux méninges de part et d'autre du sillon
médian
. Les vaisseaux pré- sentent les mêmes lésions,
une façon générale, dans tout l'étage de notre lésion, les portions
médianes
et pos- térieures des cordons postérieurs sont
roite et la LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE . ' 113
médiane
gauche. Toutes les grosses molaires droites manqu
grosse. Les dents qui restent offrent l'aspect suivant. L'incisive
médiane
supérieure droite offre la configuration généra
nstate aujourd'hui. L'ulcération palatine est à cheval sur la ligne
médiane
, peu près à égale dis- tance du bord alvéolaire
eures ca- riées.Jfac/Mt're sllpériell1'e.Il ne reste que l'incisive
médiane
gauche, l'incisive 138 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE
si ce n'est l'état de ses dents. - 1° Mâchoire supérieure Incisive
médiane
gauche : sillon profond transver- sal, encoche
uche : sillon profond transver- sal, encoche d'Hutchinson. Incisive
médiane
droite, mêmes caractères. Incisive latérale gau
Microdontisme et usure de l'incisive latérale et des deux incisives
médianes
qui sont, de plus, striées transversalement. Sill
droite, il manque la dernière grosse molaire. Les deux incisives
médianes
sont striées transversalement : leur bord libre
X... l'existence de lésions dentaires très spéciales. Les incisives
médianes
et latérales, supérieures et inférieures, sont
ais présentant à leur bord libre quelques érosions et les incisives
médianes
inférieures atteintes de carie. Membres inférie
sté intact, tandis que le passage de la cir- convolution occipitale
médiane
à la circonvolution pariétale inférieure est in
insi une démarcation très distincte de la circonvolution occipitale
médiane
. A la surface inférieure, les circonvolutions o
fait que les faisceaux latéraux ne sont pas plus atrophiés que les
médians
ou les centraux. Dans la partie voisine de la p
uteurs, est généralement divisée en trois par- ties : les faisceaux
médian
, central et latéral. , Le faisceau central, dén
rance. Tous les auteurs sont d'accord pour admettre que le faisceau
médian
entre en connexion avec le lobe frontal et avec
question de savoir où se terminent en direction distale ces fibres
médianes
.Tandis que .Jelgers1na (4) croit qu'elles s'acc
nes entrenl en relations avec le lobe occipital et les' fibres plus
médianes
avec les circonvolutions temporales supérieures
rieures, tandis que les fibres internes se terminent dans la partie
médiane
du lobe temporal. Frylinck les fait plonger aus
inférieure de la moelle lombaire, de chaque côté du sillon sagittal
médian
. D'autres sont épars dans toute la hauteur de l
dégénérescence décrite plus haut. C'est surtout le groupe antérieur
médian
et latéral qui est affecté par le processus patho
coupe intéresse l'origine des rameaux qui vont au septum du .sillon
médian
antérieur; Tarière en général vide de sang, plu
ement de la pie-mère au niveau de l'insertion en triangle du septum
médian
, mais le tissu conjonctif est mince, délicat, san
s ne forment qu'une masse unique au niveau de l'insertion du septum
médian
antérieur, mais surtout elle est souvent en con
restent adhérents à la méninge, et par le même processus le sillon
médian
antérieur disparait grâce il l'accollement sur
lle-même, ou bien un exsudat sous-pie-mérien, l'adhérence du septum
médian
antérieur aux cordons nerveux voisins, tous phé
t pour ainsi dire pas de noyaux. Au niveau de l'insertion du septum
médian
antérieur, elle se confond avec l'arachnoïde et l
directe- ment sur le tissu conjonctif voisin. Au niveau du sillon
médian
postérieur de la moelle, à l'insertion du sep-
vaisseaux gorgés- de sang. Sur une coupe, en particulier, le septum
médian
postérieur présente une dilatation vasculaire con
ès épaisse, excepté, chose rare, au niveau de l'insertion du septum
médian
antérieur, est très infiltrée de cellules ronde
ent épaissie, elle est fibreuse, contenant peu de noyaux; le septum
médian
antérieur est très large, fibreux contenant peu d
rière par un ex- sudat grenu sans structure, au contraire le septum
médian
antérieur est accolé aux deux cordons blancs vo
u niveau de l'émer- gence des racines antérieures el près du sillon
médian
postérieur. A l'aspect ordinaire du tissu médul
ours vagues et arrondis, à noyau violacé sans nucléole. Le sillon
médian
antérieur est très large, on distingue encore net
fibreux, onduleux, d'où part un tractus épais, sans doute le septum
médian
antérieur; en effet il son insertion on reconnaît
ble. Mais d'abord elle n'est plus orientée normalement, son sillon
médian
anté- rieur au lieu de correspondre à Taxe anté
considérable et un autre très marqué aussi à l'insertion du septum
médian
postérieur. L'arachnoïde est mince, la dure-mèr
lle la fusion des trois méninges au niveau de l'insertion du septum
médian
anté- rieur. Il y a là un tissu fibreux très se
space sous- arachnoïdien et qui t'infiltrent elle-même. Le septum
médian
antérieur épaissi emplit complètement le sillon e
ment infiltrée de cellules embryonnaires et envoyant dans le sillon
médian
antérieur un septum épais, entièrement fibreux, s
isolées, et l'infiltrat ne se montre que vers la partie tout à fait
médiane
de l'espace sous- arachnoïdien postérieur, au n
e triangle fibreux très épais de l'insertion pie-mérienne du septum
médian
antérieur on reconnaît très distinctement l'artèr
st peu épaisse, non adhérente, cependant elle envoie dans le sillon
médian
antérieur un septum volumineux, entièrement fibre
une même masse fibreuse en avant au niveau de l'insertion du septum
médian
la dure-mère et la pie-mère ne s'écartent en arri
épaisse, elle est fibreuse, contient peu de noyaux colorés, le septum
médian
antérieur est très large. Les vaisseaux sont
plongés au milieu d'une masse à injec- tion. Au niveau de la partie
médiane
et postérieure l'espace sous-arachnoïdien est a
, les lésions des vaisseaux soit au niveau de l'insertion du septum
médian
antérieur, où au milieu du tissu fibreux serré un
naires, mais surtout elle présente au niveau de l'insertion du septum
médian
antérieur une masse fibreuse où les vaisseaux s
e, le plus souvent atteinte dans ses parties conjonctives, sep- tum
médian
, septa radiés, vaisseaux de l'épendyme, vaisseaux
semble possible d'admettre que ce dédoublement atteint,sur la ligne
médiane
, environ la moitié de la hauteur de l'ongle. La
al. Or, comme ce bord est distant de deux centimètres de la ligne
médiane
, il est évident que les deux autres coupes divi
ère coupe. La coupe sagittale pratiquée à un centimètre de la ligne
médiane
tombe sur le genou de la capsule interne. (PL.
ase du cerveau. Donc à 15 millimètres environ en dehors de la ligne
médiane
, la partie postérieure du lobule orbitaire reço
laires. Quatrième coupe. A deux centimètres en dehors de la ligne
médiane
, la coupe tombe sur le trajet du bord externe d
lleux, l'autre sagittal, à deux centimètres en dehors de la ligne
médiane
. Ces faisceaux extrinsèques, qui passent par le
ord (segment capsulaire) de cet angle diverge également de la ligne
médiane
avec laquelle il forme un angle de 40°. Le so
cette gerbe au sur et à mesure que la section s'éloigne de la ligne
médiane
. Le tiers antérieur du segment postérieur ne co
es autres externes; les internes, abou- tissant aux circonvolutions
médianes
, font suite aux fibres capsulaires, qui, ici, c
Or, la coupe sagittale faite à 2 centimètres en dehors de la ligne
médiane
(Pl. III) nous a démontré qu'à ce niveau tous l
calleux . La coupe sagittale pratiquée à un centimètre de la ligne
médiane
tombe sur ce fais- ceau dans presque toute sa l
sceau, la section doit porter à 3 centimètres en dehors de la ligne
médiane
. Le faisceau longitudinal supérieur ou arqué de
ourbes, parallèles entre elles, d'autant plus éloignées de la ligne
médiane
qu'elles sont plus élevées, la section horizont
tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la partie
médiane
, au niveau de l'insertion du deltoïde amène une
orps. Mais, la propagation de l'exci- tation peut dépasser la ligue
médiane
et la contracture, qui en est la conséquence, s
aire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du nerf cubital, le nerf
médian
inner- vant les deux faisceaux externes); inter
er au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du nerf
médian
, et son action porte principalement sur s 66
ond dont les deux faisceaux externes habituellement innervés par le
médian
recevraient, en cette hypothèse, des rameaux du
oses nombreuses entre les terminaisons du nerf cubital et celles du
médian
, et que, par l'inter- médiaire de ces anastomos
al pourrait s'étendre plus ou moins aux ra- mifications voisines du
médian
. Griffe médiane. L'excitation du nerf médian un
ndre plus ou moins aux ra- mifications voisines du médian. Griffe
médiane
. L'excitation du nerf médian un peu au dessus d
ifications voisines du médian. Griffe médiane. L'excitation du nerf
médian
un peu au dessus du pli du coude donne des résu
rs une attitude qui trouve sa raison dans la distri- bution du nerf
médian
et la physiologie des muscles que ce nerf tient
s mots les notions ana tomiques relatives à la distribution du nerf
médian
à l'avant-bras et à la main. Le nerf médian f
distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main. Le nerf
médian
fournit des rameaux aux muscles suivants : rond
es doigts (les deux fais- ceaux externes sont seuls innervés par le
médian
, les ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES
ant : Action partielle de chacun des muscles innervés par le nerf
médian
. Rond pronateur. Pronateur et fléchisseur de l'
cor- respondent à l'index et au médius sont seuls innervés par le
médian
).- Fléchisseur des troisièmes phalanges des doigt
Lombricaux (dont les deux premiers sont innervés seulement par le
médian
). Extenseurs des deux dernières phalanges et fl
nfluence de l'action com- binée de tous les muscles innervés par le
médian
. A priori, l'excitation du tronc nerveux lui-mê
à l'heure. Pronation énergique. Aucun des muscles innervés par le
médian
n'est supinateur, et ne peut par cela même contre
e petit palmaire et le cubital antérieur) deux sont innervés par le
médian
. Ce sont les deux palmaires. Flexion des doigts
usculaire paraît même devoir l'emporter. En résumé, l'excitation du
médian
doit donner lieu aux mouvements suivants : 1°
de qu'a prise la main sous l'influence de l'excitation mécanique du
médian
pen- dant l'état d'hyperexcitabilité neuro-musc
lité neuro-musculaire et que nous désignerons sous le nom de griffe
médiane
, Fig. 11. - Griffe médiane. 72 PHYSIOLOGIE PA
nous désignerons sous le nom de griffe médiane, Fig. 11. - Griffe
médiane
. 72 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Nous verrons qu
t de pronation forcée de l'avant-bras tend à s'exa- Fig. 12. Griffe
médiane
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 73
de la surface cérébrale qu'au delà (en dedans, par rapport à l'axe
médian
) du corps godronné. C'est l'opinion, et, disons
2 de la Planche I du tome III) est en dehors (par rapport au plan
médian
du cerveau) de ce bord du corps bor- dant, est
située dans le ventricule; tout ce qui est en dedans (vers le plan
médian
) du corps bordant appartient à la surface de l'
lus facilement que ces muscles étaient situés plus près de la ligne
médiane
. En tout cas, nous avons bien des fois remarqué
re externe à concavité infé- rieure. Plis transversaux de la partie
médiane
du front qui devient lisse au-dessus de la moit
igée de haut en bas et de dehors en de- dans ; la peau de la partie
médiane
du front est lisse et tendue; plis transversaux
'excitation,' tout en demeurant' unique, se rap- proche de la ligne
médiane
, comme sur la Figure de la Planche X, le mouvem
points de ses fibres. En excitant sur la lèvre inférieure' un point
médian
,, situé à peu de distance de l'ouverture buccal
rale, la cathode est alternativement amenée sur l'hypogastre (ligne
médiane
) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE, NERVEUSE, étales d
blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau,' 'là ligné
médiane
des hémisphères (rôle de la' substance' réticul
ajoutée celle des pyramidaux du nez. Fig. 3. Excitation unique et
médiane
des deux muscles dilatateurs des narines. Fig
ans le sillon qui sépare la protubérance du bulbe, près de la ligne
médiane
,le nerf de la Ge paire ou moteur oculaire externe
ne le perçoit qu'au moment précis où il arrive sur le plan vertical
médian
de l'oeil pour venir se placer en face de la mo
les zones de Lissauer qui sont entièrement sclérosées. Le triangle
médian
postérieur de Gombault et Philippe est conservé
e correspondant à la ban- delette externe. Conservation du triangle
médian
postérieur de Gombault et Philippe. B. (Méthode
de Burdach qui n'atteint ni la périphérie de la moelle, ni le sillon
médian
postérieur. Le champ cornu-commissural, le cham
ne des zones de Lissauer, triangle de sclérose atteignant le sillon
médian
postél ieur limité par les champs postérieurs con
périphérie de la moelle, et une ligne virtuelle parallèle au sillon
médian
postérieur et passant par le point où la substanc
phérie de la moelle qu'il' n'atteint pas , en dedans par le sillon
médian
pos- térieur qu'il respecte, se trouve un terri
moyennement dégénérées, triangles de sclérose atteignant le sillon
médian
postérieur, s'écartant un peu davantage de la pér
dante (virgule de Schultze ( ? ), bandelette périphérique, triangle
médian
postérieur) sont conservés. Il faut remarquer, en
st limitée : en dedans par une ligne virtuelle, parallèle au sillon
médian
postérieur et passant par le point où la substa
t pharmacologie, nus 1 et 2, 1898. 138 nENRY 11rE1GE tait l'arêle
médiane
très saillante. Les dents très fortement altérées
cm. 5 de long et 2 cm. 5 de large : elle ne dépassait pas la ligne
médiane
. L'autre parlait de la queue du sour- cil ; ell
individus âgés et amaigris. A la nuque, de chaque côté de la ligne
médiane
, on constate une masse os- seuse semblant prove
atéralement par le bord in- terne des omoplates écartés de la ligne
médiane
, et limitée, en haut, par les faisceaux inférie
contraire un très grand nombre où la myéline adisparu. Les nerfs
médians
, sciatiques, tibial antérieur et musculo-cutanés
eps crural. Membre supérieur : collatéral externe du pouce, radial,
médian
, brachial cutané, musculo-cutané après sa sorti
off) A. Cas 1. Cavité crânienne, vide antérieurement. Dans la fosse
médiane
on voit une portion de substance cérébrale reco
ent falciforme se fusionne avec la tente du cervelet. Dans la fosse
médiane
, il recouvre du côté droit un reste de substanc
e crânienne antérieure on ne voit que des os et le long de la ligne
médiane
courent des faisceaux qui commen- cent entre le
ne qui recouvre la masse cérébrale disposée dans la fosse crânienne
médiane
. (PL XXIII, A.) Lorsque le cerveau fut enlevé o
e d'hémorrhagies; cette membrane recouvrait dans la fosse crânienne
médiane
un reste de cerveau et, dans la fosse postérieu
t recouvre ici un reste de substance cérébrale, situé dans la fosse
médiane
du crâne; postérieurement, le prolongement falcif
Front à bosselures latérales, présentant de chaque côté de la ligne
médiane
un soulèvement, une bosselure comparable à ce que
lus ou moins prononcée. 3° Front en carène, présentant sur la ligne
médiane
une saillie qui suit le trajet de la suture méd
on occipito-parié- tale ; 2° C'est un crâne parcouru sur la ligne
médiane
et dans le sens antéro- postérieur par une rigo
a face sont loin d'être divisés en deux moitiés égales par la ligne
médiane
représentée ici par un trait. Le segment droit
que je constate sur lui, à l'âge d'un an, en 1890, l'une (incisive
médiane
supérieure droite) présente sur son bord libre un
ligence est très vive. En outre, légères érosions sur les incisives
médianes
supérieures ; léger de- gré de rachitisme (chap
e des fascia sacro-lombaires. De la partie inférieure de la portion
médiane
partent, à gauche, des branches osseuses qui vo
le gauche en avant ; l'extrémité sternale est poussée vers la ligue
médiane
. Apophyse coracoïde réunie il la clavicule par un
est dévié vers la droite, de un demi-centimètre au delà de la ligne
médiane
. La déviation de la lèvre supérieure dans cette d
t. Traînée pigmentaire avec poils frisottés (de nègre) sur la ligne
médiane
antéro-postérieure, dans la ré- gion occipitale
rontale saillante. La saillie anormale de la face s'arrête à la ligne
médiane
dé- viée du côté gauche : un trait passant par
. IIÉ\IIIIYPERTROPnIE FACIALE 31 centimètres à gauche de la ligne
médiane
. Les tissus mous ainsi que les os sont augmenté
oute la physionomie semble participer à cette déviation et la ligne
médiane
du visage forme une courbe à concavité tournée
té antérieure du la suture sagittale et descendant suivant la ligne
médiane
du front, du nez et du menton, irait gagner l'a
1. Le maxillaire inférieur est augmenté de volume depuis la partie
médiane
de la symphyse jusqu'au milieu du corps de l'os
'hypertrophie gingivale commence au bord droit de l'incisive droite
médiane
et se continue en arrière sons la lèvre supérieur
liquide transparent et qu'au centre seulement de la fosse crânienne
médiane
, existait une parcelle de cerveau, comparable par
esse crânienne antérieure et dans les parties latérales de la fosse
médiane
il n'y avait que des os re- couverts de périost
LOVTZOFF encore plus isolés et apparaissent dans la fosse crânienne
médiane
, sous l'aspect de deux formations sphériques.
e ce qui suit (l'1.1L,r1 et B) : lesfosses crâniennes antérieure et
médiane
sont recouvertes d'une membrane très fine, il t
us-jacents, et c'est seulement dans le centre de la fosse crânienne
médiane
qu'on aperçoit un restant de substance cérébrale,
d'une fine membrane transparente (reste du cerveau). Dans la fosse
médiane
on voit les couches optiques ; dans la fosse post
os, recouverts de périoste, et ce n'est que dans la fosse crânienne
médiane
que l'on découvre un reste de cerveau ayant l'as-
laris medialis divisant la couche optique en deux noyaux : le noyau
médian
et le noyau latéral ; dans le premier se trouve l
sée. Elle s'étend en dedans jusqu'à une faible distance de la ligne
médiane
; en bas bien au-dessous de l'angle inférieur de
ion lombaire, une masse plate très mobile. Elle s'étend de la ligne
médiane
à deux pouces en dehors, et verticalement de la
Abduction et flexion de 15°, extension jusqu'à la ligne axil- laire
médiane
. ' Bras gauche. Abduction mis, flexion 15° et e
nt deux pouces à droite et deux pouces et demi à gauche de la ligne
médiane
. Les vertèbres sacrées sont à peine un peu plus p
: ainsi,au niveau de l'épine scapulaire, il est distant de la ligne
médiane
de 9 centimètres tandis que au même niveau du c
Le bord spinal de l'omoplate est toujours plus éloigné de la ligne
médiane
que du côté sain (7 1/2 à droite, 5 1/2 à gauch
n- tuée : l'angle inférieur est à 4 centimètres environ de la ligne
médiane
, l'angle supéro-interne à 10 centimètres (Pl. X
attitude précédente ; en effet l'angle inférieur vient sur la ligne
médiane
, tandis que l'angle supéro-interne en reste dista
423 bord spinal du scapulum reste toujours plus éloigné de la ligne
médiane
à droite qu'à gauche, et l'os in loto plus élev
te attitude, l'omoplate reste notablement plus éloignée de la ligne
médiane
que du côté sain, eu même temps qu'un peu surelev
èze scapu- laire rapproche le bord spinal de l'omoplate de la ligne
médiane
, fixe ce bord contre le thorax et lui imprime u
utre part, ils sont antagonistes : le premier rapproche de la ligne
médiane
le bord spinal du scapulum, le second l'en éloi
de l'omoplate. 3° Eloignement du bord spinal par rapport à la ligne
médiane
. 4° Obliquité du bord spinal. 5° Ecartement d
du scapulum. 2° Rapprochement du bord spinal par rapport à la ligne
médiane
. 31, Parallélisme de ce bord par rapport au rac
ion de l'abaissement de l'angle externe et se rapproche de la ligne
médiane
, en faisant une saillie sous la peau. » ' C'e
e l'éloignement du bord spinal de l'omoplate par rapport à la ligne
médiane
. Cet éloignement relève évidemment de la paraly
tonique suffit à le maintenir à cinq ou six centimètres de la ligne
médiane
. Il est vrai que le rhomboïde et l'angulaire semb
réalité, ces deux mus- cles rapprochent très faiblement de la ligne
médiane
le bord spinal du scapulum. Ils ont surtout pou
à l'état normal, ce bord spinal est à peu près parallèle il la ligne
médiane
, dont il reste distant de six centimètres envir
pendant que son angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne
médiane
. On doit donc prévoir que, si le grand dentelé vi
a surtout pour rôle d'éloigner lebord spinal du scapulumde la ligne
médiane
, tout en le maintenant contre le thorax, et de fa
ent, et que l'angle inférieur en s'élevant se rapproche de la ligne
médiane
. Le bord spinal du scapulum devient ainsi obliq
e bascule qui élève l'angle infé- rieur et le rapproche de la ligne
médiane
. Tandis que Duchenne incrimi- nait la paralysie
lève davantage l'angle inférieur et le rappro- che plus de la ligne
médiane
. Il s'ensuit évidemment une obliquité plus marq
cet os, le rapprochement de son bord spinal par rapport à la ligne
médiane
, le détachement de ce bord spinal par rapport au
comme nous l'avons mon- tré, rapproche plus l'omoplate de la ligne
médiane
que l'élévation du bras en avant. Dans l'élévat
bord spinal, d) l'éloignement de ce bord spinal par rapport à ligne
médiane
, e) l'écartement de ce même bord par rapport au
inal, d) le rapprochement de ce bord spinal par rapport il la ligne
médiane
, e) la situation en aile du scapulum. 6° A cô
é, tandis que l'angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne
médiane
; en même temps le bord spinal de l'omoplate s'
ion des gros-orteils ; ils sont raccourcis et repliés vers la ligne
médiane
du pied de sorte que leur extrémité est au-dessou
mides antérieures bulbaires. En re-montant, à la partie inférieure et
médiane
de la coupe, vous découvrez deux grand tractus bl
la région comprend tout le lobe sphénoïdal, l'occipital et la partie
médiane
jusqu'au bord antérieur du lobe quadrilatère. Là,
uses qu'ailleurs aux extrémités supérieures des deux circonvolu-tions
médianes
et surtout dans le lobe paracentral. Elles sont d
onnaître l'exactitude. (1) Consultez, sur la topographie de la face
médiane
du cerveau, la planche vin de l'Atlas de Foville
s, l'occasion toute naturelle de décrire la configura-tion de la face
médiane
des hémisphères, région qui, jusqu'à, ce jour, es
be paracentral représente l'extrémité interne renversée sur la face
médiane
de l'hémisphère, des deux circonvolutions as-cend
enter : 1° en avant du lobe paracentral, vous reconnaissez la surface
médiane
de la première circonvolution frontale (C F) ; 2°
t parler au lobe pariétal; c'est, pour ainsi dire, la face interne ou
médiane
du lobule pariétal supérieur.-En arrière, la -sci
noïdal latéral ou lobule fusi-forme; b) le lobule occipito-sphénoïdal
médian
ou lobule lingual; 6° je me bornerai à mentionner
ipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les parties postérieures et
médianes
de l'hémis-phère jusqu'au bord postérieur du lobe
, dirigées obliquement d'arrière en avant, convergent vers la ligne
médiane
et s'unissent en un seul tronc, le tronc basilair
la partie antérieure de la tête du noyau caudé. Le second — groupe
médian
postérieur, 2, — vient de la moitié postérieure d
du sommet sont verticales ; l'une d'elles occupe en général la partie
médiane
de la circonvolution; les artères du versant sont
la face interne du cerveau. — CC, corps calleux coupé suivant le plan
médian
. — G f, gyrus fornicatus. — H, gyrus hippocampi.
-marginalis. - F première circonvolution frontale vue du côté du plan
médian
. — fin du sillon central. — A, circonvolution cen
e. Dans la protubérance, la ressemblance est frappante, les artères
médianes
naissent à angle droit de l'artère basilaire qui
en quelque sorte, atténuée par une modification spéciale. Les artères
médianes
du bulbe ne naissent pas directement des gros tro
ques jaunes ayant détruit dans une grande étendue les circonvolutions
médianes
, sans altération concomitante du corps strié et a
vement exceptionnels. Un plan antéro-postérieur, passant par la ligne
médiane
du corps, établit la limite de l'in-sensibilité q
sion, une tumeur par exemple, située en T, c'est-à-dire sur la partie
médiane
du chiasma, de façon à intéresser seulement les f
l'hémiopie dite nasale, caractérisée par la sup-pression de la partie
médiane
du champ visuel se produirait si le cours des fib
de l'hémisphère (L 0 G, L 0 DJ, sur un point indéterminé de la ligne
médiane
, peut-être dans les tuber-cules quadrijumeaux (T
chiasma, se rapprochent de nouveau les uns des autres, vers la ligne
médiane
. Est-ce sur ce point que se fait l'entrecroisemen
ar les seuls moyens de l'anatomie. Sans doute, il existe sur la ligne
médiane
, entre les tubercules quadrijumeaux, de nombreux
eipzig, 1875. rieure des faisceaux latéraux, au voisinage du sillon
médian
une lésion nettement circonscrite. La lésion occu
ticale des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Enfin, vers la partie
médiane
, vous voyez la lumière de l'aqueduc de Sylvius au
arités suivantes. En arrière et en dedans, au voisinage de la ligne
médiane
, est la couche optique ; en avant de la couche op
'un hémisphère; c'est une coupe antéro-postérieure, parallèle au plan
médian
, et pratiquée à un centimètre et demi environ de
ois. Mais, déjà, vous le voyez, vers le dix-septième jour, lapartie
médiane
ou sous-rolandiqne du cerveau est marquée par la
e présente sous la forme d'un espace triangulaire, occupant la partie
médiane
de l'étage inférieur. La base de ce triangle est
e se trouve en quelque sorte divisée en trois régions ; a) une région
médiane
représentée par le faisceau pyramidal dégénéré
peut dégénérer pour son propre compte, sans participation du faisceau
médian
. Lorsqu'on a pratiqué des coupes minces de la r
région pé-donculaire, on peut s'assurer immédiatement que le faisceau
médian
dégénéré correspond exactement au faisceau pyrami
téressaient pas seulement le segment antérieur, mais aussi le segment
médian
, le genou de la capsule; et, dans ce cas, la lési
antérieur de la capsule (celui-là dégénère rarement); 2° un faisceau
médian
qui répond aux deux tiers antérieurs du segment p
me l'a montré encore M. Betz. Là aussi c'est dans les circonvolutions
médianes
et dans le lobule paracentral que l'on observe le
me conduit à relever, Messieurs, que les circonvo-lutions centrales,
médianes
, rolandiques, si vous voulez les appeler ainsi, s
.en dehors. Elle n'est autre que l'écorce grise les circonvolutions
médianes
ou ascen-dantes. La face antérieure est représent
plus haut, la lésion semble s'effiler et n'occupe plus que la partie
médiane
, qui, dans les régions supérieures delà moelle ép
Ce sont là les rudiments des faisceaux de Burdach ; les faisceaux
médians
ou faisceaux de Goll ne sont pas encore développé
es qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contraire, les faisceaux
médians
l'empor-tentpar leurs dimensions sur les faisceau
venues d'une des cornes de la substance grise, franchissent la ligne
médiane
et vont faire partie du faisceau antérieur du côt
e suivies, jusqu'à une certaine distance, de j'autre côté de la ligne
médiane
. Ces fibres pénètrent-elles dans les faisceaux
xpressives de l'attention se réunissent et se continuent sur la ligne
médiane
pendant la contraction des deux muscles frontaux.
courbes à concavité inférieure, qui, en se réunissant sur la ligne
médiane
, forment une nouvelle courbe à concavité supérieu
hors en dedans et de haut en bas, et enfin que la peau de la partie
médiane
du front est nécessairement tendue et lisse. II
. J'ai déjà fait remarquer que, chez ce sujet, la peau de la partie
médiane
du front résiste à l'action des pyramidaux, au po
Destinée, ainsi que la figure suivante, à l'étude des rides frontales
médianes
qui sont produites par la contraction du sourcili
'il s'est développé plusieurs plis cutanés transversaux sur la partie
médiane
du front, du côté électrisé, et qu'en dehors de c
e sourcilier est mis en contraction de chaque côté. Ici les sillons
médians
du front se rejoignent, et décrivent au centre un
chez la femme qui est représentée dans les figures 26, 27, les lignes
médianes
du front sont plus nombreuses. — J'en ai compté j
éjourné longtemps à Naples). Dans ce cas, on le conçoit, ces lignes
médianes
du front sont plus rapprochées les unes des autre
, 24 et 25 nous montrent que chez l'adulte, encore jeune, les sillons
médians
du front produits par le sourcilier sont moins no
contraction de ce muscle y est plus forte. — La courbe de ces lignes
médianes
du front est gracieuse et plus prononcée que sur
et 29, la contraction moyenne du sourcilier n'a pas produit de ligne
médiane
sur le front. Le maximum d'excitation a fait para
e maximum d'excitation a fait paraître chez la plus âgée un léger pli
médian
, que l'on verrait dans la figure 29, si elle avai
e dedans en dehors; que la peau est sillonnée seulement sur la partie
médiane
, tandis qu'en se tendant en dehors, elle a fait
arc décrite par lui, ne peut produire des rides limitées à la partie
médiane
du front. I*. — Expression. La plus légère co
ont été photographiées spécialement pour l'étude des lignes ou rides
médianes
douloureuses du front, chez un sujet d'un certain
à la face externe de l'os malaire, et qu'elle s'exerce sur la partie
médiane
de la lèvre supérieure et de la ligne naso-labial
19, 20, 2/i, 25). Fig. 70. — Tête du Laocoon de Rome. Les lignes
médianes
du front sont en parfait accord avec le mouvement
ures 66, 67, sans que les sillons cutanés fussent limités à la partie
médiane
du front, sans que, sur les parties latérales de
nt devraient, pour être naturels, se continuer avec ceux de la partie
médiane
, comme dans la figure 8, sous l'influence du musc
igure 71, où j'ai essayé de rétablir les rapports naturels des lignes
médianes
du front et du méplat de ses parties latérales av
bliquité du sourcil, le gonflement de sa tôte et les sillons frontaux
médians
. Un fait d'une telle importance, — qui est démo
urcil oblique, si quelques plis douloureux avaient sillonné la partie
médiane
de son front? Rien n'est au contraire plus émouva
ême sinuosité, et la tête est également gonflée, les lignes frontales
médianes
sont semblables (J), et enfin le regard est tourn
nservant et même en augmentant la courbe du sourcil. (I) Les lignes
médianes
de la figure 76 sont moins visibles que dans la f
urcil oblique, si quelques plis douloureux avaient sillonné la partie
médiane
de son front?» La réponse à cette question est éc
ertain âge, sur la racine du nez, tandis quelle la tend sur la partie
médiane
du front. Ces faits ressortent des expériences re
ramidal du nez est puissamment contracté, et que la peau de la partie
médiane
du front doit être attirée en bas et nécessaireme
u nez) soient exactement rendues, la présence des rides transversales
médianes
qui constituent les lignes secondaires de la doul
haut, le rhéophore au-dessus de la poignée du sternum sur la ligne
médiane
. Ce rhéophore doit être petit. Je le renverse e
lors qu'un bord du tampon qui touche la peau au-dessus de la partie
médiane
du sternum. Je pose l'autre rhéophore par toute
l Necker. Clinique chirurgicale (t) ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
POUR DEUX CAS DE NÉVRITE TRAUMATIQUE Vous m'a
m'avez vu, Messieurs, pratiquer tout récemment l'élongation du nerf
médian
chez un homme atteint de névrite traumatique de c
cette opération, un second malade atteint de névrite traumatique du
médian
se présentait dans nos salles. Vous avez pu voi
ade le moindre service. En même temps les doigts, dans la sphère du
médian
, étaient de- venus insensibles, et ne sentaient
rations qui dénotent des troubles trophiques dans la sphère du nerf
médian
. En effet, on constate d'abord un épaississement
la main, anesthésie complète au niveau des doigts l environnant le
médian
, et enfin un certain degré d'atrophie de l'éminen
de rétrécissement du champ visuel. ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
/ 67 Le malade se présentait donc avec la triad
paralysie, anesthésie et troubles trophiques dans le territoire du
médian
. Il était donc bien évident que ce nerf avait d
des vaisseaux et nerfs cubitaux, notablement en dedans du trajet du
médian
. On pouvait alors supposer que le fragment de v
de verre avait par cette voie, pénétré obliquement jus- qu'au nerf
médian
. La lésion du médian par ce mécanisme était en so
ette voie, pénétré obliquement jus- qu'au nerf médian. La lésion du
médian
par ce mécanisme était en somme possible, et dè
e traumatique étaient évidentes, et que d'autre part la blessure du
médian
par le fragment de verre était encore l'hypothè
plus vraisemblable, je me décidai il aller à la recher- che du nerf
médian
, et dans ce but, le 3 juin 1892, je pratiquai dan
on longitudinale répondant au trajet du nerf en question. Le nerf
médian
était normal en ce point et il était clair qu'il
atismes avaient porté sur cette région et avaient pu at- teindre le
médian
. L'un était cette plaie par éclat de vitre, l'aut
vitre, l'autre l'entorse du poignet. Ne trouvant pas de lésion du
médian
au niveau de la première, j'allai mettre à nu l
ion du médian au niveau de la première, j'allai mettre à nu le nerf
médian
à la face antérieure du poignet. J. Là nous tro
hute, il y avait eu en même temps que l'entorse, une lésion du nerf
médian
soit par tiraillement soit par contusion ou par t
atrice transversale, et au niveau des doigts, dans le territoire du
médian
, des ulcérations analogues à celles quenous avi
cur, est pourtant une preuve que la plaie était profonde, et que le
médian
a pu être touché. Dans quelles proportions a-t-il
LTq. ATTAILLE LT ..Cie i'ditkurs ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
69 A l'examen purement objectif, ce jeune homme
cela dans le territoire innervé par les branches terminales du nerf
médian
. Le mé- dian est donc lésé, et a probablement s
troubles trophiques. Voici donc deux malades chez lesquels le nerf
médian
a été lésé, et qui, outre l'anesthésie et la pa
s, d'établir un rapprochement entre ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
71 ces troubles trophiques par blessure des ner
rvan, la syringomyélie et la lèpre. ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
73 tels ces malades qui, ayant longtemps marché
e. Mais il n'est pas rare de voir des cas de névrite extensive : le
médian
seul a été touché et le premier il est atteint de
er un malade, atteint de troubles trophiques dans la sphère du nerf
médian
, à la suite d'une plaie de l'avant-bras par écl
e mieux écarter les ten- dons des palmaires. On aperçoit alors le
médian
, qui présente les modifications suivantes : le
ilisés et soumis à une légère trac- ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
75 tion qui constitue même un certain degré d'é
on, on constatait que le bout péri- ÉLONGATION ET RÉSECTION DU NERF
MÉDIAN
77 phérique ne prenait pas la coloration noire
- sions normales. La môme chose se voit en arrière vers le sillon
médian
postérieur : à côté d'une artériole normale, pl
estion dans un instant. On la voit encore s'insinuer dans le sillon
médian
antérieur autour des vaisseaux qui sont logés d
bryonnaire de la pie-mère a visiblement envahi la moelle. Le septum
médian
postérieur (smp) est considérablement épaissi par
. coloration par la méthode de Pal et le carmin d'alun. Smp. Septum
médian
postérieur élargi et infiltré de cellules rondes
des capillaires (B). FiG. 3. Renflement cervical, RÉGION du sillon
médian
antérieur. (Double coloration, picro-carmin et
localiser avec une intensité toute particulière au niveau du sillon
médian
antérieur (Voir planche XIII, XIV, XV, fig. 3). U
rice rougeatre et ovalaire ; l'ongle est épais, bosselé à sa partie
médiane
, longitudinalement strié, hyppocratique. Sur l'
coupes par un coagulum, qui rempli légalementpar endroits le sillon
médian
antérieur. On a l'impression, après l'examen d'
t liquide, ayant envahi la substance grise cen- trale par le sillon
médian
antérieur, pour s'infiltrer entre les éléments de
périphérique d'une part (sous-ménin- gée) et à la région du septum
médian
postérieur d'autre part. Les parois des pe- tit
ment cervical, la pie-mère présente au niveau de l'entrée du sillon
médian
antérieur une infiltration embryonnaire assez abo
se prolonger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le sillon
médian
postérieur est complètement effacé. A l'aide d'
nges elles-mêmes sont touchées. Ainsi en avant, au niveau du sillon
médian
antérieur, l'artère et la veine spinales se mon
l'antipy- rine. Leur siège principal étail la région dorso-lombaire
médiane
, sur une sur- face à peu près égale il celle de
e déjà égale. Maintenant, éloignons-nous de nouveau de 30°, du plan
médian
jusqu'au méridien marqué 120° dans la table cam
et avec la même intensité. A mesure que nous nous éloignons du plan
médian
vers le méridian horizontal, nous produisons une
s obtiendrons le même résultat; plus nous nous appro- chons du plan
médian
, plus s'approche le point de la rétine qui produi
hent de plus en plus au sur et à mesure que nous approchons du plan
médian
. En opérant pour la rétine droite en toutes ses
contracture droite ou gauche. Les deux arcs se coupent dans le plan
médian
, vertical passant par la macula lutea, et de l'ir
ine une hémicontraclure, tandis que l'irritation des par- ties plus
médianes
des moitiés temporales ou nasales de la rétine pr
8. Névrite traumatique, deux casd'élongation et résection du nerf
médian
, par Le Dentu, 65. Ostéo-arthropathie aiguë c
I à XLI. Troubles trophiques consécutifs à une bles- sure du nerf
médian
, VIII. TABLE DES FIGURES Champ visuel dans :
nstante dans l'ataxie locomotrice. Sclérose fasciculée systématique
médiane
. — Sclérose fasciculée latérale. — Dans l'ataxie
locomotrice progressive. Les résultats Sclérose limitée aux cordons
médians
ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — F
, 1872, p. 364.) — Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau
médian
des cordons postérieurs. {Ibid., 1873, p. 74.)
clérose consécutive affecte exclusivement, en pareil cas, les cordons
médians
ou cor-dons de Goll. Il était déjà rendu vraisemb
e la moelle, que par les deux minces bandelettes grises ; le faisceau
médian
était exempt de toute altération (Planchk I, Fig.
d'un phénomène analogue à celui qui détermine la sclérose fasciculée
médiane
ascendante, à la suite des myélites partielles ;
rieurs que les membres supérieurs, et cependant la lésion des cordons
médians
faisait défaut ici à la région lombaire, tout aut
ourrait être désignée sous le nom de sclérose fasciculée systématique
médiane
ou sclé-rosée des cordons de Goll; elle existe ta
lassiques qui font commencer la sclérose de l'ataxie, par les parties
médianes
, au voisinage des mé-ninges, celle-ci débute, au
est de l'extension si habituelle de la sclérose latérale aux cordons
médians
, nous n'avons pas remarqué jusqu'ici qu'elle ajou
nce grise et les fais-ceaux latéraux, soit en dedans vers les cordons
médians
. Dans le sens vertical, elle s'étend progressivem
la disposition de bandelettes latérales, en même temps que le cordon
médian
devient habi-tuellement le siège d'une sclérose c
. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux
médians
postérieurs ; propagation de la sclérose aux band
este strictement limitée, dans les cordons postérieurs, aux faisceaux
médians
; telle est du moins la règle ; or, ainsi que nou
ous l'avons démontré dans la dernière séance, la lésion des faisceaux
médians
n'a pas pour effet, lorsqu'elle occupe le renflem
propose à leur sujet. En outre de la sclérose fasciculée des cordons
médians
postérieurs, il existe presque toujours, dans les
aire ascendante de-meure, comme c'est la règle, limitée aux faisceaux
médians
des cordons postérieurs, on n'observe dans les me
était nécessaire. Vous n'avez pas oublié, en effet, que les faisceaux
médians
(cordons de Goll) peuvent être sclérosés sans que
asciculée secondaire, laquelle occupe, dans le premier cas, la partie
médiane
des cordons postérieurs et, dans le second cas, l
e la moelle épinière lésée dans toute son épaisseur, jusqu'à la ligne
médiane
. La lésion doit avoir, par conséquent, interrompu
i les parties correspondantes de la sub-stance grise jusqu'à la ligne
médiane
. Dans ces conditions spéciales, et dans celles-là
e horizontale bien tranchée et en dedans très exactement par la ligne
médiane
. Vous comprenez aisément, d'après ce qui précèd
la moelle. {Fig. 7, b.) Elle n'est pas placée exactement sur la ligne
médiane
, mais bien un peu à gauche du sillon médian antér
exactement sur la ligne médiane, mais bien un peu à gauche du sillon
médian
antérieur qu'elle a repoussé vers la droite, de t
nts les plus fortement comprimés, c'est-à-dire au voisinage du sillon
médian
, une épaisseur de plus de deux millimètres. — Voi
èrement incliné de bas en haut, viennent s'entre-croiser sur la ligne
médiane
. 11 y a lieu d'admettre, en outre, que les faisce
t, remontent vers l'encéphale, ne s'éloignent pas notablement du plan
médian
antéro-postérieur et qu'ils occupent la partie ce
nt de ce même côté de la moelle suivront leur trajet jusqu'à la ligne
médiane
et s'y entre-croiseront avec ceux du côté opposé,
'altération, pourvu que celui-ci s'étende réellement jusqu'à la ligne
médiane
, et ils subissent tous, par conséquent, dans cett
ressions sensitives paraissent ne pas s'éloigner notable-ment du plan
médian
anléro-postérieur, où ils occupent, de chaque côt
ononcée, mais qui, ne s'étendant pas rigoureu-sement jusqu'à la ligne
médiane
, épargnant des faisceaux dont il s'agit, n'aurait
lionnaire sain. — B, corne antérieure droite — b, noyau ganglionnaire
médian
dont les cellules sont détruites et qui est repré
ssi, au voisinage du bord inférieur du grand pectoral ; un troisième,
médian
, placé au-dessous de l'appendice xiphoïde ; — 2°
pondant au second groupe droit et un autre situé à gauche de la ligne
médiane
, à égale distance de l'ombilic et de l'extrémité
n immédiatement en arrière de la commissure postérieure, sur la ligne
médiane
, de manière à intéresser à la fois les deux faisc
scles compris dans la sphère d'inner-vation du nerf radial et du nerf
médian
sont surtout atrophiés, tandis que ceux qui dépen
sais. S'il était établi que les filets d'origine des nerfs cubital et
médian
émergent de la moelle plus bas que ceux du nerf
diat du sillon de Rolando, en ar-rière de lui, non loin delà scissure
médiane
, c'est-à-dire une région appartenant, pour une pa
à divers degrés. Des altérations ana-logues ont été observées sur le
médian
et sur le cubital examinés à l'avant-bras ; sur c
ombre de fibres restées saines, quelques fibres dégénérées. Le nerf
médian
du côté gauche, examiné, après durcissement, sur
s n'y fait reconnaître aucune déformation : la luette occupe la ligne
médiane
et elle n'est pas pendante à l'excès : le voile m
moelle épiniôre ; 3° di-vers tronçons pris sur les nerfs sciatiques,
médians
et ra-diaux ; 4° un fragment de la paroi musculai
la moelle à la région cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon
médian
, b, les cornes postérieures, y compris le point d
rvicale. a, a, Rubans externes envahis par la sclérose. — b, Cordon
médian
resté intact. Charcot,Syst.nerv., t.II. Oeuvres
stante dans l'ataxie lo-comotrice. Sclérose fasciculée systématique
médiane
. — Sclérose fasciculée latérale. Dans l'ataxie lo
. — Des symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux
médians
postérieurs : propagation de la sclérose aux band
e paralysie faciale en bas âge, que les muscles voisins de la ligne
médiane
peuvent se contracter quand on excite ceux de l
le pour les muscles placés près de 40 MENDICINI ET ARTOM la ligne
médiane
qui entre-croisent (Bernhardt) leurs fibres, il e
d iù;rl imri Wtda . 60 MMGË Le développement exagéré du tubercule
médian
est, d'ailleurs, presque normal chez l'enfant,
rajet que les segments moyen et postérieur : b) le long du sil- lon
médian
postérieur, un champ ovale, visible jusque dans l
e à la face inférieure du cervelet, ses, fibres atteignant la ligne
médiane
du vermis. Le faisceau de Gowers continue son t
de la formation réticulée, dans l'angle formé par le ruban de Reil
médian
et le Reil latéral, en avant du pédoncule céréb
ehors du pédoncule cérébelleux supérieur qui va vers la décussation
médiane
, arrivent ainsi au bile du tubercule quadrijume
t, à la face inférieure du noyau externe du thalamus, près du noyau
médian
, que la dernière trace de cette voie as- cendan
rminaison delà voie des cordons postérieurs, celle-ci étant surtout
médiane
et postérieure, tandis que celle des cordons laté
térieur et postérieur. RI, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil
médian
. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi, su
rtout celle qui est directement située de part et d'autre du sillon
médian
postérieur est à peu près intacte. Au niveau
it la compression. Mais toute la partie située à gauche des sillons
médians
est un peu moins étendue que la partie droite.
pnplité externe, le cubital, le brachial cutané interne, surtout le
médian
sont très augmentés de volume et très nettement
couche opti- que (noyau antérieur, noyau ventral antérieur et noyau
médian
b), la région sous-thalamique et le noyau rouge
s moyen ; elle atteignait tout particulièrement la zone grise dorso
médiane
dont la substance moléculaire était notablement r
cu- larités. Alors qu'on constatait une intégrité parfaite du noyau
médian
de la couche optique et de la zone capsulaire f
d'abord le noyau antérieur, le noyau ventral antérieur et le noyau
médian
de la couche optique, puis, après avoir traversé
trié de la capsule interne, entre dans la constitution de la partie
médiane
de la lame médullaire externe et de la zone cap
ure de ce noyau. Les fibres s'épuisent au niveau - des zones grises
médiane
et dorso-médiane du noyau rouge et entrent en r
n contingent thalamo-rubrique provenant du noyau interne, du centre
médian
et de la zone réticulée de la couche optique et p
qui retiennent le noyau rouge à la lame médullaire externe (partie
médiane
), ai la couche optique (centre médian en particul
e médullaire externe (partie médiane), ai la couche optique (centre
médian
en particulier), et à la corticalité préfrontal
s la constitution du tiers antérieur de la couche péri-cap- sulaire
médiane
. Pour ce qui en est des fibres qui proviennent de
(Schéma n° I ; Fig. 2, 3 et 4). . Ramollissement ancien de la face
médiane
du lobe temporo-occipital gauche. Dans le lobe
scissure calcarine. La lé- sion respecte l'extrémité postérieure et
médiane
du lobule lingual, mais elle atteint la moitié
e. Au niveau du carrefour ventriculaire, la lésion occupe la partie
médiane
du lobule fusiforme et la circonvolution de l'hip
ne décoloration assez nette de la subs- tance profonde de la région
médiane
du lobe temporal, dans le domaine du cingulum e
u tubercule antérieur ainsi qu'une légère décoloration de la partie
médiane
du noyau interne. Dans le lobe pariétal, on note
postérieur. On observe encore une certaine raréfaction de la partie
médiane
du champ juxta-rubrique latéral, mais c'est surto
bien,- en effet, que cette dégénérescence occupe tout le seg- ment
médian
du champ dit des radiations de la calotte, qu'ell
LE ARCHAMBAUJLT ment inférieur. La lésion sous-corticale de la face
médiane
de l'hémisphère atteint à cet endroit le corps
rouge, c'est-à-dire une dégénérescence très considérable de la partie
médiane
du territoire appartenant aux.radiations de la
lles se trouvent ainsi à sectionner les fibres provenant de la face
médiane
. Quant aux lésions limitées au lobe occipital o
s convaincre que certaines de ces radiations proviennent de la face
médiane
du lobe temporal, d'autres de la partie antérie
et dorso-médiane. D'une façon générale, dans les lésions de la face
médiane
du lobe tem- poro-occipital, la dégénérescence
cté aux radiations de la calotte dont elle occupe surtout la partie
médiane
. De ce territoire la dégénérescence s'étend à la
capsule dorsale el sur les zones marginales grises dorsale et dorso
médiane
; au niveau du tiers moyen, elle atteint surtout
5 222 ' LA SALLE ARCHAMBAULT pas rare dans les lésions de la face
médiane
du lobe temporal ; nous avons trois observation
Or, nous avons vu que le noyau rouge reçoit des libres de, la face
médiane
du lobe temporal et que ces libres passent parl
ue l'on a rencontrés dans les lésions atteignant tan- tôt la partie
médiane
du noyau lenticulaire tantôt la couche optique ou
autres, de la région operculo-cenliale, d'autres, enfin, de la face
médiane
du lobe temporal. Le lobe occipital, le lobe pari
latérale el ventro-latérale. Les fibres qui proviennent de la face
médiane
du lobe temporal se rendent au noyau rouge en p
e et affectent des rapports surtout avec les zones marginales dorso
médiane
et dorso latérale. Il est possible que la lésio
lle osseuse, qui sur nos épreuves apparaît comme brisée à sa partie
médiane
, comme s'il s'était agi d'un véritable éclateme
avec soin pour éviter la déformation de l'image : le plan sagittal
médian
de la tète était bien parallèle à la plaque sensi
spect normal. La calotte est sans altérations. Les rubans de Reil
médians
et les lemnisci' latéraux, les pédoncules céréb
terrifiantes. Les douleurs siègent aussi dans la région thoracique
médiane
, dans la région lombaire, dans les membres, dou
s'étalent ; une plus grande sur l'épaule gauche, une, très étendue
médiane
, au niveau de la XII° vertèbre lombaire. Sous
Le pouee et l'auriculaire sont à peu près intacts. Les 'rots doigts
médians
sont surtout atteints : boudinés, énormes ; l'ann
un crâne en dôme ; à noter, comme dans le cas précédent, la saillie
médiane
très prononcée qui forme comme une crête. La
a conformation ovoïdale de la boîte crânienne avec saillie de l'arête
médiane
, et avec la surélévation exagérée du vertex.
e de la hase, présente toujours un renfoncement marqué de la partie
médiane
correspondant au corps du sphénoïde; sur la fac
ssez vive de la gouttière basilaire, un peu en dessous de sa partie
médiane
, en sorte qu'elle est, dans sa partie antérieur
et limitée : en dedans par une ligne virtuelle parallèle au sillon
médian
postérieur et passant par le point où la substanc
la forme d'un H dont la branche verticale interne atteint le sillon
médian
postérieur qu'elle longe dans une partie seu- l
peu près mesurée par la majeure partie du tiers postérieur du sillon
médian
postérieur, moins une petite étendue tout il fa
clé4 reuse respecte un petit territoire ovalaire adjacent an sillon
médian
postérieur; ce territoire intact occupe la situ
stérieure ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau du sillon
médian
postérieur, respectant le faisceau ovale de Fle
e Goll est respecté. D'autre part, la zone de Lissauer, le triangle
médian
sacré, la zone marginale de Wesiplial, le réseau
de diamètre et qui semble se propager à travers l'os; sur la ligne
médiane
de la tête, cm. 1/2 au-dessus de la protubéranc
transversale qui en outre fut prolongée en arrière jusqu'à la ligne
médiane
. La longueur totale de l'incision était de 10 cen
par la destruction ; le trajet de la balle n'a pas frôlé la surface
médiane
de l'hémisphère, et à son point le plus profond i
'ouverture n'aurait pas manqué d'amener une mort subite. La surface
médiane
de l'hémisphère est irri- guée par l'artère cen
des érosions et des cannelures très marquées, surtout les incisives
médianes
supérieures. On ne reconnaît pas là la dent d'I
éveloppées. Au niveau de la clavicule gauche, on sent sur la partie
médiane
un cal énorme, et l'on voit par la radiographie,
e monstruosités : la fissure spinale ou spina bifida, l'oeil unique
médian
, l'exencéphalie, le coeur double, la fusion des
9 ans 1/2, elle avait encore des dents de lait, sauf les incisives
médianes
de la mâ- choire inférieure, les incisives étai
du crâne. Eu effet on constate que le frontal présente sur la ligne
médiane
un sillon assez large et assez prononcé qui va
vers leur partie supérieure. La moitié droite du front (de la ligne
médiane
à l'insertion latérale des cheveux) est plus pe
e du côté droit. A la mâchoire inférieure, il existe deux incisives
médianes
dont la gauche, très petite, donne l'impression
qu'une seule molaire. Le cou est plutôt court, n'ayant sur la ligne
médiane
qu'une longueur dé 56 millimètres. Les épaule
e un développement modéré des poils. Ils se continuent sur la ligne
médiane
en haut jusqu'au voisinage du manubrium. Vu d
ivants ont été prélevés : à la sortie du creux axillaire, les nerfs
médian
, axillaire, radial, brachial cutané interne ; à
interne (Grossissement : 20 diamètres). FIG. d. - Fragment du nerf
médian
(Grossissement : 50 diamètres). Planche XXXIX
les cordons postérieurs par contre sont très réduits, leur portion
médiane
, sur les coupes traitées par la méthode de Pal,
Le milieu en est beaucoup plus saillant et se rapproche de la ligue
médiane
plus que celui de gauche (omoplate ailée). L'extr
he à des névrites par compression. Il isole ainsi un type thénar ou
médian
, un type hypothé- nar ou cubital et pense qu'il
ales de l'artère spinale antérieure qui, parvenue au fond du sillon
médian
antérieur, se bifurquent ou obliquent à droite ou
orantes, quelques-unes, plus importantes, sui- vent l'une le sillon
médian
postérieur, l'autre le sillon radiculaire anté-
ésions de névrite interstitielle ancienne frappant le cubital et le
médian
du côté droit, et déterminant une des- truction
peu près complè- tement sain ainsi que le musculo-cutané. Sur le
médian
, la lésion est presque exactement dimidiée. Tandi
nt,sans grande erreur, que les lésions sont strictement limitées au
médian
et surtout au cubital du côté droit, ce qui cad
chez le vieillard par Joffroy et Achard, frappant le cubital et le
médian
du côté droit. Intégrité à peu près absolue des
ls nous reviendrons ultérieurement. En Dix : c'est encore une fente
médiane
et transversale avec un cliver- ticule postéro-
he, long de 6 centimètres, profond d'environ 1 centimètre à la partie
médiane
; la lèvre supérieure de la cicatrice chevauche
ommence à changer. Les sillons antérieur et postérieur ne sont plus
médians
, mais dévient légèrement vers la droite. La même
artent de plus en plus dans leurs parties périphériques de la ligne
médiane
vers la droite ; en un endroit distant de près
ructure régulière ; les faisceaux postérieurs retournent à la ligue
médiane
. La dure-mère dans les limitas de la déformation
utant sur la face dorsale de l'avant-bras, tout le long de la ligne
médiane
, on a les mêmes résultats que du côté gauche, mai
aient sur le cubital droit, presque entièrement scléreux, et sur le
médian
du même côté, dont l'une des moitiés est presque
sion de névrite scléreuse ancienne portant sur les nerfs cubital et
médian
à partir du coude. Atrophie réflexe modérée des 7
ne, mêmes lettres que dans la figure précédente. Lésion dimidiée du
médian
, à droite tubes nerveux relativement conservés
e l'excita- tion galvanique est très diminuée. Dans le domaine du
médian
à la main, on constate aussi de la D. R. moins
uscles, sans altération qualita- tive de D. R. Dans le domaine du
médian
et du radial à )'avant-bras, pas d'altérations ac
cusées des réactions. A gauche : état sensiblement le même, pour le
médian
et le radial à l'avant- bras. Diminution plus
aine du cubital à la main. Même état qu'à droite dans le domaine du
médian
à la main. En résumé, amyotrophie non progressi
ensemble troubles à peu près exclusivement limités au territoire du
médian
(court abducteur et opposant). L'examen de la r
M. A. pour hypothénar). Les muscles de la main innervés par le nerf
médian
présentent l'hypo-exci- tabilité faradique et g
e n° 4, être également causée par une né- vrite localisée aux nerfs
médian
et cubital. Le deuxième groupe concerne des atr
te avec autopsie, les lésions frappaient à la fois le cubital et le
médian
, si bien qu'il est difficile d'invoquer une com
enne par exemple ou hypothénarienne, doive relever d'une névrite du
médian
du cubital ; qu'une amyotrophie diffuse soit pl
respectée ainsi que les interosseux. Comme dans les lésions du nerf
médian
, l'adducteur du pouce est respecté, le court fl
notre observation IV, où il s'agissait de névrite du cubital et du
médian
. La douleur ne fournit pas un meilleur moyen de
ns d'une petite prune, et pendant à l'entrée du médiastin. Ce noyau
médian
est hémorragique. Le thymus n'est pas retrouvé.
'autre ; la lame perpendi- culaire de l'ethmoïde qui est exactement
médiane
la divise en deux parties à peu près symétrique
u à gauche de la lIe vertèbre dorsale. La tumeur épigastrique est
médiane
, lisse, bombée et grosse comme une tête de foet
ures et l'origine de la couche latérale du ruban de Reil. La couche
médiane
des fibres sensitives n'est pas développée, ain
s sensitives. Mais les pédoncules cérébelleux supérieurs, la couche
médiane
des fibres sensitives manquent; manquent aussi
radiques. Excitabilité normale aux points d'électrisation des nerfs
médian
, radial, cubital. Cet homme est dans un état de
le nerf facial, les nerfs du membre supérieur, circonflexe, radial,
médian
, cubital, ont leur calibre, leur aspect nacré,
ses cervi- cales et lombaires, antérieures et postérieures, le nerf
médian
au tiers moyen du bras, le nerf tibial postérie
elques fibres grêles (1 sur 10 environ). Les nerfs facial, cubital,
médian
au niveau de l'avant-bras, radial (au poignet),
scles, deltoïde, triceps, long su- pinateur ; 5° Nerfs : cubital,
médian
, facilement excitables ; radial, excitabilité trè
. Peut-être très légère hyperalgésie dans la zone sensitive du nerf
médian
(face palmaire des 10e, 2°, 3° et moitié extern
yloïde du radius) pour devenir postérieure. La préhension du nerf
médian
au milieu du bras est douloureuse, ainsi que la
1'61)itroclilée, du nerf radial dans la gouttière de torsion, du nerf
médian
au pli du coude, du nerf sus-scapulaire dans l'
mètres environ d'épaisseur, est formé par les nerfs musculo-cutané,
médian
, cubital, brachial-cutané interne. Le nerf muscul
hial croisant ainsi la face antérieure de la tête humérale. Le nerf
médian
situé à 1 ou 2 centimètres plus en dedans est à
ticulaire aux autres troncs nerveux n'est guère possible. Les nerfs
médian
, cubital et brachial-cutané interne, en raison de
uelques secondes des perceptions sensitives, dans la sphère du nerf
médian
. Rien à noter dans la sphère des autres nerfs d
tal. Cette anesthésie était bien moindre dans les sphères des nerfs
médian
et radial. Quinze jours après, M. le professeur
t-bras et tous les fléchisseurs; 3° Perte complète pour les nerfs
médian
, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSC
ial, derrière l'épi trochlée pour le cubital, au pli du coude pour le
médian
, fait naître une douleur bien plus vive dans le
éduction, les troubles nerveux étaient limités aux nerfs cubital et
médian
, le radial était à peine intéressé (territoire de
s par une roue de charrette par exemple, les autres troncs nerveux (
médian
et cubital) ne peuvent être atteints par une fr
ée en masse ; son bord spinal est un peu plus rapproché de la ligne
médiane
à droite qu'à gauche : cette différence au niveau
en réalité, le bord spinal reste sensiblement parallèle à la ligne
médiane
. Ajoutons que, de plus, il ne semble pas nettem
u thorax. Le méplat normal compris entre ce bord spinal et la ligne
médiane
. du corps est moins marqué du côté droit ; il e
es inégales : la partie située au-dessus du trapèze, entre la ligne
médiane
et le hord spinal, a la forme d'une rigole étro
CASTAIGNE niveau de l'épine, le bord spinal est éloigné de la ligne
médiane
de 2 centimè- tres 1/2 environ, tandis que cett
oins écarté du thorax, il est par contre plus rapproché de la figue
médiane
qu'il atteint à 1 centimètre près, au niveau de
u rachis à droite qu'à gauche, tout en restant parallèle à la ligne
médiane
. En dedans de ce bord on voit un relief du musc
, pendant ce mouvement, maintenir le scapulum rapproché de la ligne
médiane
, malgré l'intégrité du grand dentelé, mais alor
ètre environ ; il est en outre un peu porté en de- hors de la ligne
médiane
. Le malade de Voodmann avait l'angle inférieur
inférieur s'écarte beaucoup en arrière et se rapproche de la 1 igné
médiane
. Chez la femme de Kohlcr, l'angle inférieur de l'
souvent élevé (de 1/2 il 3 centimètres) et rap- proché de la ligne
médiane
. Dans le fait de Wiesner et dans un cas de Wébe
é, tandis que l'angle inférieur s'élève et se rapproche de la ligne
médiane
; un mouvement de rotation sur un axe vertical,
s nerfs sont encore moins in- tenses qu'aux membres inférieurs : le
médian
et le cubital ont été exami- nés. Sur le nerf
sont point colorées, mais elles constituent l'exception. . Le nerf
médian
.présente des altérations très légères ; les fibr
e, la déprédation sourcilière et celle de la chevelure sur la ligne
médiane
. Les pommettes sont plaquées de rouge écarlate.
ndir. D'autres fois, les cheveux commencent par tomber sur la ligne
médiane
. La ligne s'élargit beaucoup, et chez les sujet
oi abdo- minale. La chevelure est notablement dégarnie sur la ligne
médiane
. Les enfants mâles issus de cette femme sont bi
s ne perçoivent pas le toucher ; il en est de même pour la par- tie
médiane
de la plante du pied gauche. Les deux fesses et à
sie absolue à la cuisse dans une bande étroite, située sur la ligne
médiane
au-dessous du pli fessier, qui se prolonge jusqu'
eil se relève dans l'extension forcée, tandis que les trois orteils
médians
et sur- tout le petit doigt s'écartent fortemen
irconférence au niveau du poignet droit 16 avant-bras circonférence
médiane
16 au niveau du poignet gauche 16 avant-bras
édiane 16 au niveau du poignet gauche 16 avant-bras circonférence
médiane
16.5 partie inférieure du bras droit 19.5 gau
ophie et sclérose des racines qui en émergent. Les nerfs moteurs (
médian
) possèdent une gangue conjonctive très épaisse,
r certains mus- cles n'existe plus qu'à l'anode. B. - Nerfs. N.
médian
(au-dessus du poignet) An S : rien avec 7 millia.
dessus du poignet) An : rien avec 7 millia. K a SF : 9 millia. N.
médian
(au pli du coude) An FS : 8 millia. Ka SF : 7 m
que ; disparition complète pour plusieurs muscles. B. Nerfs. N.
médian
(poignet) : 4 centim. 50 . N. cubital : 5 50
erfs. N. médian (poignet) : 4 centim. 50 . N. cubital : 5 50 N.
médian
(pli du coude) : 6 50 N. cubital : 7 centimètre
C < PFC. A gauche, NFC = 12 m. a., PFC = 4 m. a. B. Nerfs. '
Médian
: NFC < PFC. A droite, NFC = 4,5 ; PFC = 5.
4,5 c. m. Masséter ; à droite, 6, à gauche, 7. B. - Nerfs. Nerfs
médians
; à droite, 7,25 c. m. ; à gauche, 7,50 c. m. Cru
t des ilots et des tractus découpent la largeur du filet nerveux.
Médian
, eM&t<6tt)Y<t. Epaississement du tissu
toplasmique delà substance grise. Les corps cellulaires des parties
médianes
de la corne antérieure ont des dentrites traver
I. LXV111). I. Tact. - A. Face antérieure. - Anesthésie sur la face
médiane
et au côté droit, depuis les orteils jusqu'à tr
isant de la main le geste de tracer une division nette sur la ligne
médiane
du corps. La langue est un peu tremblante. Il exi
pe classique qui refoule les parties voisines eu dehors de la ligne
médiane
. Il ne présente aucune lésion corticale. L'hé
e. C'était une hémi-hypoesthésie nettement arrêtée suivant la ligne
médiane
et accompagnée d'une anesthésie en botte de la
vertébrales. Conservation de l'excitabilité faradique pour le nerf
médian
au tiers moyen du bras et pour le radial. Inexc
mère. Ces deux faces sont assez nettement délimitées par une ligne
médiane
: la réunion ne se lait pas à des niveaux diffé
rammes de nitrate de pilocarpiue sous la peau au niveau de la ligne
médiane
de l'abdomen a pro- duit une sudation bilatéral
agne la racine postérieure droite. L'épen- dyme constitue la partie
médiane
de la cavité ; li,des cellules épithéliales NOU
une bande de même nature plus épaisse et plus large limite la paroi
médiane
postérieure de la cavité. La lésion fend dans leu
on antérieur, qui est élargi et dévié, ni par rapport il la cloison
médiane
postérieure qui est attirée fortement du côté d
nombre de quatre, le gros orteil et trois autres. Les deux orteils
médians
sont unis par une syndactylie, qui n'occupe que l
orteils est complet et on voit que la syndactylie des deux orteils
médians
est pu- rement cutanée. En résumant les malfo
urent à la formation de ce massif osseux. A sa partie antérieure et
médiane
est l'hypophyse; c'est un nodule de si à 6 mill
. On ouvre ensuite la dure-mère en avant et en arrière sur la ligne
médiane
de façon à découvrir la moelle dans toute sa lo
lanche et grise disposées symétriquement de chaque côté de la ligne
médiane
. Le tissu néoplasique apparaît sous forme d'une
oite, et postérieure. Avec un peu d'attention, on reconnaît le sillon
médian
antérieur ; une légère ligne foncée en bas est
antérieur ; une légère ligne foncée en bas est le vestige du sillon
médian
pos- térieur, on voit aussi les régions corresp
e temps d'ailleurs qu'elle se dé- veloppait à gauche, que le sillon
médian
antérieur, au lieu de se trouver dans le prolon
exister dans le prolongement que la pie-mère envoie dans le sillon
médian
antérieur. Sur le reste du pourtour de la coupe
cellules nerveuses principalement en avant de chaque côté du sillon
médian
antérieur, dans les régions correspondant aux c
(C. VIII, D.I), origine des nerfs sensitifs et moteurs (cubital et
médian
) de la main et des doigts, que s'observe la tum
s ; - une affection localisée à un nerf périphérique : paralysie du
médian
, avec la flexion de la main sans force, l'anest
la graisse qui siège ha- bituellement dans cette région. Le nerf
médian
faisait complètement défaut dans toute la moitié
é (Voy. pi. L111, fig. A, a). Ce cylindre n'est autre que le nerf
médian
que l'on peut poursuivre jus- XVI 22 332 DURA
bout central : 1,5 centim. de large, sur cent.'de long. Tronc du
médian
au-dessus de névrome : 1 centim. de diamètre. .
du médian au-dessus de névrome : 1 centim. de diamètre. . Tronc du
médian
au niveau de l'aisselle 0,5 centim. de diamètre.
bras, permet de se rendre compte du volume énorme que présentait le
médian
. Il ne s'agissait évidemment pas là d'une simpl
x reprises différentes, en 1898 eten 1899, pour un lipome diffus du
médian
, par le D'' Péraire. Celui-ci en a publié l'obs
urgie, 1900 (1). (1) Pénale, MtGNOT et MESLAY, Lipome dissociant du
médian
. Opération. Guérison (Société anatomique, janvi
té anatomique, janvier il Pi'.uaihe et MALLY, De la résection du nerf
médian
(Revue.'de chirurgie, nov. 1900). Nouvelle Ic
ènes douloureux d'abord localisés au poignet puis dans la sphère du
médian
, mais sans perte de la sensibilité tactile ni d
sensibilités tactile et thermique persistent dans le territoire du
médian
comme dans ceux du radial et du cubital, sauf à l
bout d'un mois, par comprendre une partie du territoire digital du
médian
. En 1899, apparition de nouveaux phénomènes dou
du fourmillement dans les doigts, particulièrement dans la zone du
médian
. Après incision, M. Péraire trouve le névrome ter
matoire. Malgré une résection aussi étel1due,supprimal1tle tronc du
médian
depuis 324 DURANTE la moitié de l'avant-bras
ation, mais sur- (1) G. DURANTE, Hypertrophie graisseuse diffuse du
médian
(lipome diffus ou né- vrome). Soc. de Neurologi
sseaux interfasciculaires sont notablement épaissies. 3° Tronc du
médian
. Plus on s'élève, moins le tissu lâche cellulo-
t à ce que l'on observe dans le bout périphérique, dans le tronc du
médian
les cylindraxes sont presque toujours parfaitemen
ts principaux suivants : Apparition chez une enfant d'une tumeur du
médian
au niveau du poi- gnet gauche. Cette tumeur, d'
sensitifs nécessitent une intervention, et le Dr Péraire résèque le
médian
^depuis le milieu de l'avant-bras jusqu'au tiers s
le névrome terminal, sont réguliers et volumineux dans le tronc du
médian
. Mais ici, ils sont composés d'un mélange de fibr
nce de la sensibilité chez notre malade, après large résec- tion du
médian
, est également incompatible avec la théorie du Ne
c., ont également observé des faits de section complète du tronc du
médian
sans troubles sensitifs consécutifs. On peut en
'être peu à peu établie et fonction- ner déjà avant la résection du
médian
, puisque la malade a pu, de suite après l'opéra
tement des sensations gagnant l'écorce par des troncs autres que le
médian
. Il est vrai que l'on s'explique mal pourquoi c
x. Peut-être est-ce à ces anastomoses vraies entre le cubital et le
médian
, anastomoses plus perméables que normalement et
t du centre. La persistance de la sensibilité dans le territoire du
médian
s'explique par une suppléance du cubital rendue
parfois même de la compléter. Planche LXII. Fin. A. - m, Tronc du
médian
, du milieu de l'avant-bras jusqu'à l'ais- selle
à l'ais- selle, avec ses rameaux musculaires. a, Névrome central du
médian
. b, Son bout périphérique avec ses rameaux digi
al au niveau du tiers supérieur de l'avant-bras. En le comparant au
médian
on peut se rendre compte de l'énorme hypertrophie
ment. Planche LXIII. FiG. E. Coupe longitudinale du bout central du
médian
au niveau du bras. Plusieurs fibres montrent
us fort grossissement. BIBLIOGRAPHIE Alexander. Résection du nerf
médian
pour un névrome (Dissert. chirurg. De Tumoribus
sché- mas), par Lannois et POROT, 108. Névrome adipeux diffus du
médian
; l'ésec- tion; régénération autogène (3 pl. en
de la sensibilité (LANNois et Po- BOT), XXIII. Névrome adipeux du
médian
(DunANTE), LXII à LXIV. Noyau rouge (Lésions
otamment à la lèvre inférieure gauche à 0,5 centimètres de la ligne
médiane
, une petite place d'environ un cen- timètre et
léger mouvement de latéralité de la jambe en dedans, vers la ligne
médiane
. L'état des muscles du membre est excellent ; e
les deux hémisphères se rapprochent. Par suite de l'absence du lobe
médian
le cervelet est diminué transversalement; ses sil
mais inclinée, sont disposés de haut en bas par rapport à la ligne
médiane
. En bas le cervelet prend une forme conique et
ogue à celui du cas I. Le cervelet est mal développé dans sa partie
médiane
; à sa partie inférieure se joint la valvule de T
ans ces deux cas nous remarquons le manque de développement du lobe
médian
du cervelet. Cas III. - Même tableau (Phot. 4 P
tricule est tout a fait pâle. Phot. 7. De chaque côté de la fissure
médiane
, près l'une de l'autre, dans la direction de la
rs passant dans la moelle allongée constituent un isthme. La partie
médiane
de cet isthme plus pâle, contient les fibres myél
lle passent les fibres myéliniques pour s'entrecroiser sur la ligne
médiane
dans l'espace compris entre le fond de la fissu
la ligne médiane dans l'espace compris entre le fond de la fissure
médiane
antérieure et l'enfoncement du 4e ventri- cule.
ceau fondamental du cordon latéral, n'allant pas jusqu'à la fissure
médiane
longitudinale antérieure, comme dans les coupes
par la substance gélatineuse de Rolando. Sur les côtés de la ligne
médiane
, plus en avant, apparaît une partie triangulaire,
n macroscopique du cervelet (Phot. 1) on peut remarquer que le lobe
médian
n'est pas représenté et mainte- nant il n'y a p
plein développement, mais une forme irrégulière (Phot. 19). Le lobe
médian
est absent et les deux hémisphères sont réunis
à explorer par l'excitation électrique la distribu- tion des nerfs
médian
, radial et cubital au point do vue sensitif, mais
au contraire, quand l'excitation était portée sur le trajet du nerf
médian
ou du nerf radial G... accusait des sensa- tion
, fusiformes, avec un noyau unique et volumineux occupant la partie
médiane
de la cellule ; ordonnées en tourbillons concen
ette sternale à l'appendice xyphoïde et suivant exactement la ligne
médiane
; en bas une ligne horizontale passant à un centim
gion deltoïdienne. Face pos- térieure : tache s'arrêtant à la ligne
médiane
et allant de l'angle supéro-in- terne de l'omop
le bord spi- nal de l'omoplate et le rachis, s'arrêtant à la ligne
médiane
, et se continuant en haut avec la tache précéde
horizontale passant vers le milieu du cou, en arrière par la ligne
médiane
. En avant cette plaque n'a pas de limites pré-
e horizontale aboutissant à la narine droite, en avant par la ligne
médiane
, en arrière par le bord postérieur du pavillon
et à 5 centimètres au-dessous du pli fessier,en avant par la ligne
médiane
,en arrière par la ligne médiane. 3° A la main,
du pli fessier,en avant par la ligne médiane ,en arrière par la ligne
médiane
. 3° A la main, face dorsale et face palmaire.
r le tronc, s'arrêtant en avant et en arrière exactement à la ligne
médiane
. Mais de plus, et bien qu'il ne s'agisse pas d'
ê- tent sur le tronc, en avant et en arrière, exactement à la ligne
médiane
. Cette vaso-paralysie cutanée congénitale résul
n dedans par les fibres pâles myéliniques. De chaque côté du sillon
médian
longitudinal anté- rieur se trouve le faisceau
posées en deux larges faisceaux, suivant les deux côtés de la ligne
médiane
; sur le devant ils diminuent subitement et passe
périphérie, en forme de deux croissants, sur les côtés de la ligne
médiane
. A côté de la moelle allongée se trouve la subs
, dans sa partie dor- sale, apparaît l'entrecroisement sur la ligne
médiane
des fibres du ruban de Reil, partant des cordon
rieurs, contenant des fibres myéliniques seulement dans leur partie
médiane
en forme de croissant ; ce sont surtout ceux qu
ÈME NERVEUX CEITRAL DANS LE SPINA BIFIDA 255 placent dans sa partie
médiane
. Avant que les cordons postérieurs de la moelle
ée, commence à pâlir dans la partie à laquelle appartient le sillon
médian
postérieur. Dans la moitié voisine les fibres m
au faisceau cérébelleux venant de la moelle épinière. Par le sillon
médian
longitudinal postérieur, ayant une position pench
était séparée des cordons postérieurs du côté voisin par le sillon
médian
longitudinal posté- rieur. Cette coupe nous mon
niques horizontales, entre lesquelles, plus rapprochées de la ligne
médiane
, se mon- trent des masses grises. Du côté oppos
antérieure de la moelle épinière a aussi un peu changé : la fissure
médiane
longitudinale antérieure s'est allongée postéri
deux moi- tiés, correspondant aux hémisphères du cervelet, son lobe
médian
n'étant pas développé. Ce cas se distingue de
aux cordons postérieurs, sont disposées aux deux côtés de la ligne
médiane
à l'ex- trémité de la moelle, limitant les noya
En largeur elle s'étend, sur la droite, à 5 centimètres de la ligne
médiane
; à gauche, les premiers poils s'implantent à u
que normalement ; l'axe- du tibia droit s'écarte un peu de la ligne
médiane
et présente une légère con- cavité antérieure.
me de la main et jusqu'au talon de celle-ci, une incision verticale
médiane
pour poursuivre le 308 . BÉGOUIN ET SABRAZÈS
aussi sentir, mais beau- coup moins fréquemment, aux trois orteils
médians
, la fréquence dimi- nuant du quatrième au deuxi
ux sciatiques, le nerf crural droit.les deux nerfs radiaux, le nerf
médian
droit, le cubital gauche. Sur les pré- paration
a partie latérale et viennent s'entrecroiser au niveau de la partie
médiane
(Fig. 1). Nous ne constatons l'existence d'aucun
bulbo-prolubé- rantielle (Fig. 2). Nous remarquons le ruban de Reil
médian
à la partie supé- rieure duquel des fibres fine
paraissent sous le plancher ventriculaire et rapprochés de la ligne
médiane
. Sur le côté supéro-externe nous voyons une zon
o-interne de cette région bulbaire. Elle constitue le ruban de Reil
médian
. Ici les fibres sensitives forment (la bordure
Faisceau sensitif. B. Fibres sensitives s'entrecroisant à la région
médiane
. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
lectriques a donné le résultat suivant. Réaction fara- dique : nerf
médian
, normale; nerf cubital,dans le canal épitrochléen
, pouce et tous les interosseux, abolie. Réaction galvanique : nerf
médian
, normale ; nerf cubital, conservée, CcN > CcP,
el. Pathologie interne. · BALLET. - Névrite double du cubital et du
médian
. DEJEnIiVB. Séméiologie du système nerveux. D
lat, sans déviations du rachis, mais le sacrum présentait une arête
médiane
, épaisse, saillante, très forte, an point d'empêc
limè- tres sur la face droite, 3 millimètres seulement sur la ligne
médiane
et 9 mil- limètres sur la face gauche. La 6° do
ure du col, on réunit par deux points de suture laté-raux et un point
médian
; ces fils sont retirés successivement du sixième
ces deux incisions sur le raphé, où vous ferez une troisième incision
médiane
qui continuera la fin des deux premières. Chaque
Chaque incision verticale aura 5 à 6 cen-timètres de long; l'incision
médiane
s'arrêtera à i centimètre et demi au-dessus du bo
ie inférieure du rectum. Dans le troisième, il n'y a que la portion
médiane
du périnée qui soit rompue, son bord antérieur et
s solutions de continuité de ce groupe suivent ordinairement la ligne
médiane
, on les a vues quelquefois s'écarter en forme de
étés très-inté-ressantes. Tantôt elles se trouvent juste sur la ligne
médiane
; et c'est même souvent ainsi que commencent à se
e la cloison recto-vaginale ; puis on noue tous les fils sur la ligne
médiane
. Troisième temps. — Des incisions latérales son
on en fait autant pour l'autre, et on s'occupe ensuite de la portion
médiane
, qui est plus ou moins étendue suivant que la déc
ue, tou-jours avec le bistouri, la membrane muqueuse de cette portion
médiane
, et même celle d'une partie de la cloison recto-v
rficielle assurent la réunion parfaite de la peau le long de la ligne
médiane
. Pour vérifier l'exactitude du rapprochement, on
sur cette cheville à l'aide d'un coulant de plomb. S'il y a un hiatus
médian
en avant, comme la suture enchevillée en produit
es deux surfaces symétriques ainsi avivées sont limitées sur la ligne
médiane
par la ligne verticale des bords de la déchirure,
n l'en-fonce sur le même bord à la même distance à droite de la ligne
médiane
, pour la faire ressortir sur la peau du côté oppo
ui se mettent aussitôt en contact par leur bord saignant sur la ligne
médiane
; le rectum est alors fermé. Ce fil ainsi tendu e
on étroitesse naturelle, soit à l'emboîtement réciproque des colonnes
médianes
delà mu-queuse cervicale, soit à la contraction s
us; pendant que dans le prolapsus il fait sentir un vide sur la ligne
médiane
, et des espèces de cordes sur les côtés, cordes f
che, parce que l'une des branches présente une coulisse sur la li-gne
médiane
et qu'un écrou, placé sur l'autre branche, fixe à
e trop haut. J'eus l'idée de faire une section verticale sur la ligne
médiane
du polype, de bas en haut. Le bistouri coupait av
Le premier acte est l'in-cision de la peau de l'abdomen sur la ligne
médiane
. La longueur de cette incision varie avec le volu
Eexé-cution de ce temps consiste à s'égarer sur les côtés de la ligne
médiane
et à prendre les aponévroses postérieures des mus
ies égales, est passée à travers le col utérin, en avant sur la ligne
médiane
, dans sa portion sus-vaginale ; l'instrument sort
ste est plutôt situé du côté droit ou du côté gauche que sur la ligne
médiane
; ordinairement les côtés du kvste sont encadrés p
et elle convient surtout lorsque le kyste est développé sur la ligne
médiane
. La pa-tiente doit être placée horizontalement et
stes de l'ovaire à l'aide de la pâte de Vienne appliquée sur la ligne
médiane
, à 27 ou 55 millimètres au-dessous du nombril, ou
de la plaie, et serre ensuite for-tement les deux chefs sur la ligne
médiane
: c'est cette obli-quité du trajet des fils qui p
iction des sutures précédentes a formé cet entonnoir, dont la portion
médiane
et profonde est ici plus éclairée qu'elle ne doit
e. Pour obtenir cet effet, l'une des branches est fendue sur la ligne
médiane
, et un écrou placé sur l'autre branche sert à fix
ptômes d'un étranglement interne ; à l'autopsie, on trouva la par-tie
médiane
et gauche de l'abdomen occupée par une tumeur vol
bouton B. Figure xvii. Coupe destinée à faire comprendre la taille
médiane
recto-vésicale, par écrasement linéaire. A bord p
DE L'URÈTHRE ET DE LA VESSŒ TAILLE PRÉRECTALE, LITHOTRITIE, TAILLE
MÉDIANE
ET LITHOTRITIE PÉRINÉALE. -«SS^ï- FiGURE i.
A l'incision courbe transversale, on a ajouté une incision verticale
médiane
, ce qui donne à la plaie cuta-née la figure trian
eux qui se font sur le raphé, et dont on voit les débris sur la ligne
médiane
en I. Au-dessous de la lèvre inférieure de l'inci
écution de cette hthotritie à l'aide de la voie ouverte par la taille
médiane
sous-bulbeuse. V. Vessie dont la moitié latéral
lotte; c, bord replié de l'épiglotte; d, ligament glosso-épiglottique
médian
, présentant de chaque côte la cavité glosso-épigl
igure xi bis. Montre l'aspect de la cavité du larynx après la section
médiane
du cartilage thyroïde. En bas on voit le polype;
ré, a, tube de la canule ; bc, tube transversal à trois orifices ; un
médian
, dans l'axe de la canule, et deux terminaux. Au p
arentes à 15 mm. environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne
médiane
. La zone droite a 15 mm. de largeur sur 20 mm.
opique. La suture fronto-pariétale, est un peu sinueuse à sa partie
médiane
, offre la forme d'un S italique très allongé ;
ale d'abord rectiligne et légèrement sinueuse, présente à sa partie
médiane
des dentelures plus grandes pendant 3 cm. envir
commissures horizontales. Lèvre supérieure peu élevée, avec sillon
médian
assez marqué. - Physionomie sans expression. De
de 2 centimètres environ, for- mant une dépression allant du tiers
médian
de la ire circon- volution frontale à l'extrémi
moplate du côté droit est plus rapprochée que la gauche de la ligne
médiane
. Les membres supérieurs sont bien musclés. On o
es.- Cheveux châtains foncés, un tourbillon en arrière sur la ligne
médiane
. Les cheveux empiètent beau- coup r : ur les cô
nférieure plus étroite. Même duvet au-des- sous d'elle sur la ligne
médiane
. Les doux lèvres sont pâles) Dentition : -12den
pas être désagréablement impressionné par la quinine, Sur la ligne
médiane
, la face antérieure du maxillaire inférieur est
t s'étend à 5 centimètres au-dessous dans l'abdo- men. Sur la ligne
médiane
, elle occupe à peu près l'étendue de l'appendic
le bord supérieur du pariétal droit à un centimètre );2 de la ligne
médiane
. L'antérieure est éloignée de 4 centimètres de
i bien qu'au toucher. - Cheveux châtains; tourbillon sur la ligne
médiane
, à l'union de la face postérieure et de la face
rieur, court, peu profond, est situé à demi distance entre la ligne
médiane
et la partie inférieure gauche de la suture méto-
t à une diminution très nette d'épaisseur. Au voisi- nage delaligne
médiane
se trouvent deux points, l'un droit, l'au- tre
mince en arrière. A gau- che, elle est à 15 millimètres de la ligne
médiane
; elle est d'une épaisseur à peu près uniforme.
la partie moyenne du frontal, à un centimètre à gauche de la ligne
médiane
, existe une autre dépression de la table intern
yton. Le tourbillon postérieur est régu- lier et situé sur la ligne
médiane
. Visage allongé et ovale. - Front assez large e
à droite, dans la région pariétale, à 4 centimètres 1/2 de la ligne
médiane
, une cicatrice cutanée répondant à une dépressi
peu grande. La lèvre supérieure fait saillie surtout à sa partie
médiane
. Voûte palatine légèrement ogivale; voile du pala
ures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la ligne
médiane
. La suture sagittale présente aussi des dentelu
r les parié- taux en arrière de la suture coronale près de la ligne
médiane
. Ces plaques sont au nombre de deux à l'angle f
de l'occiput, elle offre 0, 01 centimètre d'épaisseur sur la ligne
médiane
vers le front, et 0, 007 millimètres au point c
nt implantés, avec tourbillon postérieur un peu à droite delà ligne
médiane
. Veinosités sous-cutanées au niveau du front et
Pas de prognathisme inférieur. - Voûte palatine en ogive. La ligne
médiane
de la voûte est déviée a gauche. Pas de divisio
blonds, régulièrement implantés. Un tourbillon à droite de la ligna
médiane
à l'union des faces postérieure et supé- rieure
s et la nourriture. - Le menton est rond, petit, situé sur la ligne
médiane
. - Les oreilles sont bien conformées. L- coti
sur les tempes, à tourbillon postérieur, situé àgauche de la ligne
médiane
. Tête volumineuse, d'apparence symétri- que. Bo
tes. Bou- che bien fendue. Langue normale. Palais régulier. Raphé
médian
non dévié. Il n'y a rien de particulier aux amygd
n consistait en une incision à deux travers de doigts de la ligne
médiane
, 9 centimètres sur 6 millimètres. Puis, M. Lann
Pénil saillant, recouvert de poils rares, assez longs sur la partie
médiane
et inférieure. - Quelques poils formant une tra
la pro- tubérance occipitale semble reportée à droite de la ligne
médiane
, l'épaisseur des parois crâniennes varie de 2 à 4
ures très fines et devient presque rectiligne au niveau de la ligne
médiane
. La suture sagittale présente aussi des dentelu
près de la ligne Fig. 33. 310 Sutures DU crâne dans l'idiotie.
médiane
. Ces plaques sont au nombre de deux à l'angle f
à 15 millimètres environ de la suture fronto-pariétale sur la ligne
médiane
. La zone droite a 15 mil- limètres de largeur s
étopique. La suture fronto-pariétale, un peu sinueuse à sa partie
médiane
, a la forme d'un S italique très allongé ; elle
le, d'abord rectiligne et légèrement sinueuse, présente à sa partie
médiane
des dentelures plus grandes pendant 3 centimètr
s sectionnées de l'entrecroise- ment sensitif ou du ruban de Reil
médian
il ses débuts. Coupe B. A'.\7/, noyau de l'hy
du pont. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Rm, ruban de Reil
médian
très diminué à gauche. Py, pyramide. SR, fo
Ni·t, noyau réticulé de la calotte. Coupe F. Rm, ruban de Reil
médian
, diminué il gauche. SR, formation réticulée a
ule cérébelleux supérieur. Lc, locus coeruleus. RI, ruban de Reil
médian
. Pt, protubérance (pont de Varole). fPcmcal,
ire est déformée, sans s atrophie notable (PI. II, C). Les noyaux
médians
de Burdach de même que les noyaux de Goll sont t
st-;i-dire dans les groupes cellulaires qui sont situés à la partie
médiane
du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette rég
la région où le noyau de Deiters commence ai apparaître. La partie
médiane
du noyau du corps res- tiforme dont nous parlon
oncules cérébelleux supérieurs. Et même dans le voisinage du centre
médian
de Luys et dans la couche optique les fascicule
énérescence considérable du corps restiforme gauche, dont la partie
médiane
ou ventrale est' le mieux conservée, comme nous
férieure de la région du pont de Varole à gau- che près de la ligne
médiane
est le point le plus comprimé par l'anévrysme.
misphère gauche du cervelet et ses pédoncules. La moitié dorsale ou
médiane
de l'hémisphère cérébelleux gauche est dans un
nférieur est presque complètement détruite à gauche depuis la ligne
médiane
. Il n'en existe plus qu'un mince lacet de quelque
ère, et qui atteignent la lar- geur d'un centimètre depuis la ligne
médiane
. Le resle de l'hémisphère céré- belleux gauche
la base du crâne, entre l'hémisphère gauche du cervelet et la ligne
médiane
se trouvait l'anévrysme, gros comme un oeuf de pi
e groupe cellulaire assez développé qui forme un réseau à la partie
médiane
du corps restiforme (dans le ANÉVRYSME DE L'ART
al du pont et du pédoncule cérébral à gauche surtout dans la partie
médiane
; cette atrophie correspondait à la dégénérescen
umons et le coeur. La partie inférieure du thorax avec sa gibbosité
médiane
et ses ailes latérales renflées logeait le foie,
r les faits suivants : Les- gros troncs nerveux (cubital, radial,
médian
, sciatique, crural), les 32 PIERRE MARIE ET A.
, le malade présente seu- lement, au-dessous du menton, une saillie
médiane
ayant l'aspect d'un croissant à concavité supér
méfaction tantôt unique, tantôt divisée en deux lobes par un sillon
médian
. Dans ce der- nier cas, les deux tumeurs supéri
grosses bosses. Quelquefois elles se conjuguent en une tuméfaction
médiane
qui fait circonvallation l'ombilic. Le nombril, d
s sont symétriques, tantôt disposées par paires, tantôt impaires et
médianes
; de plus, elles présentent tous les caractères o
avant du maxillaire inférieur par un sillon. En avant sur la ligne
médiane
la masse lipomateuse mesure cent. 1/2 de hauteur.
norme collier lipomateux autour du cou divisé en deux par un sillon
médian
antérieur et postérieur. La peau au niveau de l
par une large pédicule à la partie inférieure du dos, sur la ligne
médiane
, de l'é- paisseur d'un doigt environ, de la lar
; en largeur, il s'étale sur 10 à 15 cm. de chaque côté de la ligne
médiane
. L'épaisseur de la tumeur est de 20 cm. à sa pa
eptembre. Anesthésie à l'éther. On mène d'abord une longue incision
médiane
, sur la partie supérieure du pédicule, afin de
constate une cicatrice de 25 centimètres de longueur, verticale et
médiane
, au niveau de la région lombaire. La peau présent
onger, à cause du volume de cette tumeur, de son siège exac- tement
médian
, de sa consistance inégale, à une tumeur à tissus
le : son diamètre transversal est de cinq centimètres. La gouttière
médiane
, plus profonde à gauche mesure cependant jusqu'
ière du corps vertébral est remplacée,un peu à gau- che de la ligne
médiane
, par une saillie osseuse dirigée en avant et affe
la suivante : toute la partie gauche du bord supérieur,de la ligne
médiane
au trou de conjugaison correspondant, donne nai
outtière transversale. Ce casque, situé un peu à gauche de la ligne
médiane
, surplombe d'environ trois centimètres la vertè
e des nerfs axillaires et des nerfs musculo-cutanés des deux côtés.
Médian
. - A droite, pas de DR, à gauche DR partielle dan
culo-cutaaé et cubitaux. - A droite et il gauche absence de DR. '
Médian
. - A droite. pas de DR, à gauche, DR en voie de r
Il était placé suivant un trajet ascendant en haut et vers la ligne
médiane
, la con- vexité dirigée vers cette ligne. La bl
tion de deux tumeurs presque juxtaposées de chaque côté de la ligne
médiane
, à la nuque : celle du côté gauche a grossi plus
peu accentuée, à concavité tournée à droite, qui traverse la ligne
médiane
du corps au niveau de la huitième wertif- Fig.
s au-dessus de la crête iliaque et à quatre centimètres de la ligne
médiane
. Un examen même très attentif ne permet pas de
ssement de l'épaule droite. Plis cutanés loin- baires droits. Ligne
médiane
du thorax reportée à gauche. Colonne lombaire e
arque un pli cutané peu profond allant de droite à gauche. La ligne
médiane
du thorax est reportée il gauche : aussi du même
s apophyses épineuses se rangent suivant une ligne droite, la ligne
médiane
du corps. La voussure thoracique gauche per- si
ond évidem- ment au point culminant de la cyphose dorsale. La ligne
médiane
de l'abdomen est déviée à gauche. Le bassin est
bules du lobe semilunaire supérieur les plus rapprochés de la ligne
médiane
; on peut les reconnaître dans les couches passan
sont plus fas- ciculées et sont groupées de chaque côté de la ligne
médiane
, en un gros faisceau unique, circulaire. La s
restiforme. Le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil
médian
sont nor- maux. l'atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBE
e médullaire externe, aussi bien dans le noyau externe et le centre
médian
, que dans le noyau interne, mais on n'y découvre
line du côté gauche ; à l'arrêt brusque, la tête revient à la ligne
médiane
, puis se porte légèrement à droite et enfin la tê
le plan sagittal, portant un peu en dehors et à droite de la ligne
médiane
. La broche est obliquement dirigée vers le bas et
- vait sur la voûte palatine deux cicatrices, l'une il droite de la
médiane
, à peu de distance de l'arcade dentaire, l'autr
peu de distance de l'arcade dentaire, l'autre à gauche, près de la
médiane
dans la direction de l'apophyse basilaire. Gr
« Dans l'hémisphère droit, à la limite de la circonvolution frontale
médiane
et de la frontale inférieure, on trouve une ouv
e par un gibbosité. Cette gibbosité est postérieure. Elle peut être
médiane
, mais elle est d'habitude rejetée latéralement.
être observé assez souvent sur les dendrites basilaires. b) Région
médiane
. Le tableau microscopique a été approximativeme
ès nettement une zone plus claire autour du point noir. - b) Partie
médiane
. Pour l'examen on prit cinq mor- ceaux. Sur les
y a ici bien moins de foyers de ramollissement. C) Région motrice (
médiane
et inférieure). - A l'examen sous le microscope
gauche. Dans la substance blanche sous-corticale auprès de la ligne
médiane
on ren- contre parfois de petits foyers de ramo
générées disséminées s'accumulent en grande quantité dans la région
médiane
du pied du pédoncule des deux côtés. Les fibres
tements de l'artère ; à droite la palpation reconnaît, sur la ligne
médiane
et légèrement en de- dans, deux petites masses
des blessures (cicatrices) à la voûte palatine. Une à droite de la
médiane
à peu de distance de l'arcade dentaire, l'autre
à peu de distance de l'arcade dentaire, l'autre à gauche près de la
médiane
dans la direction de l'apophyse basilaire Obs
rme, on put alors constater un enfoncement ova- laire de la portion
médiane
du pariétal gauche. Le grand axe de la déforma-
st aussi visible que pour le segment supérieur du membre, le sillon
médian
antérieur étant plus marqué que pour le côté op
te derrière la tête. Dans ce mouvement il ne peut dépasser la ligne
médiane
pos- térieure.. , Mains. - Dynamomètres, main
dante accompagnée d'oreillons. Le cordon postérieur, dans sa-partie
médiane
, contient un foyer présentant l'état dit aréola
yent cette expérience. On fait commencer l'écriture depuis la ligne
médiane
, les deux mains rappro- chées. Les lignes écrit
achevé. Le tympanal présente aussi trois points d'ossification : un
médian
et inférieur, et deux latéraux; leur union se fai
les veines émissaires sous-zygomatiques sont ou post-glénoïdiennes ou
médianes
ou latérales, selon qu'elles sont situées en arri
zygomatique, en la dépassant de io-i5 millimètres; c'est le vrai plan
médian
mastoïdien. La moitié antérieure de la ligne asté
le plancher de la fosse cérébrale moyenne. Le point supérieur du plan
médian
indique l'extrême limite des cellules mastoïdienn
on-zygomatique, en bas par la ligne de Ihering, en arrière parle plan
médian
mastoïdien, en avant par l'insertion du pavillon.
, de ii-i/i millimètres chez l'enfant au-dessous de io ans. Le plan
médian
mastoïdien marque la limite antérieure du sinus s
upérieure est comprise entre la ligne astérion-zygomatique et le plan
médian
; la seconde ligne horizontale indique la limite i
gment ou noyau secondaire externe, un autre moyen ou noyau secondaire
médian
, et un troisième interne. La résection de la bran
llules nerveuses au niveau de la zone postérieure du noyau secondaire
médian
. Les fibres émanées de ce noyau bulbo-protubéra
rrespondants, et une paralysie de la corde vocale gauche, en position
médiane
; il n'y avait pas le moindre trouble paralytique
ue la commissure labiale gauche s'éloignait petit à petit de la ligne
médiane
pour occuper sa situation normale ; Je malade put
, surtout dans le plan sagittal. Cette dernière présente sur la ligne
médiane
une grande et profonde scissure, en rapport imméd
cher du quatrième ventricule. Le cervelet est constitué par un lobe
médian
nommé vermis et deux lobes latéraux, les hémisphè
l'embryon. Il forme, sur la face supérieure du cervelet, une saillie
médiane
à striation transversale, séparée des hémisphères
ieure, on aperçoit le vermis intérieur, au fond de la grande scissure
médiane
ou vallée de Reil. Il olfre, d'avant en arrière :
ens anatomistes. Au sein de la substance blanche, et près de la ligne
médiane
, on aperçoit l'olive cérébelleuse ou corps dentel
; 4° Le bouchon ou embolus. Le noyau du toit est accolé à la ligne
médiane
; le corps dentelé appartient à l'hémisphère : ent
aisceau vestibulo-cérébelleux, se placent dans la substance réticulée
médiane
et descendent dans le fondamental antérieur. Cett
s sensitives, sont en connexion, par l'intermédiaire du ruban de Reil
médian
, avec l'olive inférieure, le noyau réticulé de la
.................. 4 — — postéro-inférieurs, rapprochés de la ligne
médiane
...... 3 — central hémisphérique................
be sous la dure-mère intacte. Celle-ci se montre aplatie sur la ligne
médiane
, au niveau du vermis inférieur. Le sinus longitud
d diamètre transversal, tout contre le sinus sigmoïde. Sur la ligne
médiane
, entre le bulbe et le vermis, on voit le quatrièm
ri ou les ciseaux, dans une étendue de quatre millimètres, la portion
médiane
du cartilage tarse, en ayant soin de ménager le b
ion malaire. En thèse générale, l'angle le moins obtus entre la ligne
médiane
des deux plaies est le plus favorable; la torsion
am-beau triangulaire de chaque côté, pour les rapprocher sur la ligne
médiane
de manière à former le dos du nez. Procédé de M
pratiquée sur la ligne moyenne, divise en deux cette portion cutanée
médiane
. Ce premier temps achevé, on procède à la dissect
ont les deux latérales sont mo-biles par un pas de vis sur la portion
médiane
, de manière que le porte-ligature peut être à vol
dans certains cas, jusqu'à l'apophyse orhitaire externe. Une cloison
médiane
, as-sez irrégulière et souvent incomplète, sépare
même de la lèvre soit d'un seul côté en dehors du phittrum ou sillon
médian
sous-nasal, c'est le bec-de-lièvre simple, ou des
cartement simple des os maxillaires (fig. 9) ou avec l'inter-position
médiane
d'un tubercule osseux sous-uasal qui supporte les
existe deux os incisifs et parcon-séquent dans le squelette une fente
médiane
et deux latérales. C'est ce mode de division pers
ux labio-gingival, empêcherait de pouvoir s'étendre vers le tubercule
médian
. 2° Tailler d'abord les côtés du tubercule sous-n
milieu par une anse defil, pour le tendre, et de conserver sa partie
médiane
pour servir de tubercule moyen de la lèvre supéri
vant la confi-guration des parties avant l'opération. Si le tubercule
médian
était très large à sa base, et les scissures très
d'avant en arrière, et forme une seule lente d'écartement latérale ou
médiane
; ou bien le tubercule incisif, isolé de chaque cô
s latéraux, les réunir par des sutures ; enfin retourner le tubercule
médian
, sa face cutanée en bas, l'appliquer contre la cl
le troisième jour on peut enlever l'aiguille supérieure et l'une des
médianes
, s'il y en a quatre ou plus. Le quatrième, ou le
ar traction ces deux lam-beaux l'un au-devant de l'autre sur la ligne
médiane
, les réunir par un premier point de suture entort
e entortillée, et successivement fixer les deux lambeaux sur la ligne
médiane
jusqu'en bas par autant de points de suture qu'il
nté vers la commissure correspondante; les deux lambeaux quadrilatère
médian
et triangulaire latéral étant affrontés au contac
our la réunion, une extrémité de langue régulière, si le cancer était
médian
(fig. 3), ou au moins irrégulière, s'il était lat
sang ne re-parut plus , et la plaie guérit d'elle-même. (b) Cancer
médian
. L'ablation complète de la langue n'a pas encore
Procédé de M. Mirault d'Angers. Pratiquer préalablement sur la ligne
médiane
une incision étendue de deux centimètres en ar-ri
garnie d'un fil qui vient traverser la base de la langue sur la ligne
médiane
, faire sortir l'aiguille par la bouche, et s'en s
te osseuse palatine n'est point intéressée, la scissure ordinairement
médiane
, et sans perte de substance, gène les mouvemens d
dant que le second nœud soit formé. La ligature antérieure, puis la
médiane
, sont pratiquées de la même manière, en ayant soi
ligne sterno-claviculaire, et des trois lobes qui la composaient, le
médian
avait le volume de la tète d'un fœtus. Le malade
rs l'épaisseur de la peau et des muscles sous-hyoïdiens, une incision
médiane
verticale qui commence un peu au dessus, et finit
s sterno-hyoïdiens et sterno-thyroïdiens, tantôt accolés sur la ligne
médiane
, tantôt séparés par un intervalle celluleux de qu
, tenu de la main droite en première position, pratiquer sur la ligne
médiane
une incision étendue de-puis le cartilage cricoïd
le de la trachéotomie pour la partie inférieure. En effet, la section
médiane
du cartilage thyroïde avec êcartement des deux mo
Fouilhoux a conseillé de couper le cartilage sur le côté de la ligne
médiane
; mais cette modification n'empêchant pas la lésio
ïde. Le bistouri, plus facile à gouverner avec précision sur la ligne
médiane
, est préférable. L'instrument étant conduit de l
dienne. L'essentiel est que la section soit maintenue bien exactement
médiane
, de ma-nière à séparer les deux muscles thyro-ary
ent. Dans la zone sous-ombilicale, on a encore à éviter, sur la ligne
médiane
et en bas, la vessie ; à gauche , l'S iliacpie du
nti-mètres au-dessous de l'appendice xiphoïde , abaisser sur la ligne
médiane
, dans une longueur de 8 à 9 centimètres, une inci
2 centimètres, qu'il convertit en T en abaissant une seconde incision
médiane
antéro-postérieure, diri-gée vers le coccyx. L'in
le sac, s'écoule par le trou dont est percée cette tige , à sa partie
médiane
. On fixe la canule, à l'aide d'un fil jeté autour
és sont creusées d'une gouttière, et les branches offrent une rainure
médiane
qui va se terminer à la partie moyenne du corps ,
et au-delà de la partie adhérente. On a ainsi trois lambeaux, dont le
médian
reste fixé sur le gland. S'il n'est large que de
s , afin d'éviter un phimosis consé-cutif; si au contraire le lambeau
médian
a plus de 6 millimètres de largeur, on laissera l
a cicatrisation sera complète, on pratiquera l'extirpation du lambeau
médian
, qui pourra être faite sans crainte de voir les a
i le séparent de la peau; ces muscles, unis par un raphé sur la ligne
médiane
, sont con stitués par divers plans de fibres; cel
les bourses sont séparées l'une de l'autre par une fente sur la ligne
médiane
, de sorte que la mala-die présente assez bien l'a
réunion congéniale des deux moitiés de cet organe le long de la ligne
médiane
supérieure. Le pénis ne présente que fort peu de
que des portions membraneuse ou prostatique ; l'hypertro-phie du lobe
médian
de la prostate; enfin , chez des sujets très irri
resque inévitable, en particulier lorsqu'il y a hy-pertrophie du lobe
médian
de la prostate (Pl. 53, fig. 8 et ro). Alors il a
ux lambeaux fixés et maintenus par une compression douce sur la ligne
médiane
, ainsi que le propose M. Velpeau, revient au même
Les moyens employés par M. Leroy ont pour objet d'agir sur le lobe
médian
pathologique, et consistent dans la dépression, l
dilatation, la scarification et la ligature. i* Dépression du lobe
médian
de la prostate. Dans un pre-mier procédé, M. Lero
(Pl. 57, fig. 1 et 2); en écartant ces branches, on dé-prime le lobe
médian
pathologique de la prostate, ou bien on éloigne l
s parois, la portion prostati-que de l'urètre, ou bouche, par le lobe
médian
, le col de la vessie. :'/" Scarification. Lorsq
e ; que la maladie au lieu de diminuer augmente, et enfin que le lobe
médian
, engorgé, fait une saillie assez considérable dan
rticale, allant de la symphyse pubienne à l'anus, en suivant la ligne
médiane
, on obtient pour résultat un triangle, dont le so
beaucoup plus considérable sur les parties latérales que sur la ligne
médiane
; 3° Lfaponévrose superficielle du périnée , lame
ient s'insérer sur le bulbe de l'urètre, et se confondre sur la ligne
médiane
avec l'extrémité inférieure du bulbo-caverneux et
. 5° Plus profondément que la couche mus-culaire, existe sur la ligne
médiane
le bulbe et la partie membra-neuse de l'urètre, p
de déterminer la déchirure de cet organe. GRAND APPAREIL OU TAILLE
MÉDIANE
. Elle consiste à inciser les parties directemen
m, recta plaga, cervicem vesicœ incidimi). Si c'est bien là la taille
médiane
, il n'y aurait donc point lieu, commele veut M. B
reste, quoique Romani paraisse avoir généreusement démontré la taille
médiane
, ce n'est pas lui néanmoins qui la publia, et il
cto-vésicale, s'ar-rêta, après divers essais comparatifs, à la taille
médiane
, qu'il crut être nouvelle : voici comment il agis
nt dans la cannelure du cathéter, il incisait le périnée sur la ligne
médiane
depuis la racine des bourses jusqu'auprès de l'a-
tait assez large pour lui donner passage. Appréciation de la taille
médiane
. Pratiquée en suivant à la lettre le procédé de
oûtante; et en outre, comme on ne divise la prostate que sur la ligne
médiane
, ou suivant son plus petit diamètre, on n'obtient
éter sur ce qui nous reste à dire. Considérée en elle-même, la taille
médiane
, par le procédé de Maréchal ou de Vacca, est enco
cet instrument on peut pratiquer la taille latéra-lisée ou la taille
médiane
. Cathéter de Savigny. Cet instrument (pl. 68, f
able. Scarpa, A. Cooper et d'autres fixaient le cathéter sur la ligne
médiane
. Au reste, qu'on le place droit ou oblique, une f
ision un peu plus qu'à l'ordinaire, à cause d'une tentative de taille
médiane
qui avait été faite quelques jours auparavant. Le
de cette maladie. L'impuissance est un accident propre à la taille
médiane
et à la taille latéralisée, et dépend de ce que l
e tissu graisseux du périnée dont nous avons déjà parlé. Sur la ligne
médiane
il n'y a aucuns vaisseaux dont on puisse redouter
ouri, en suivant exac-tement sa cannelure et la direction de la ligne
médiane
du corps, jusque dans la cavité de la vessie à tr
ision, qui commence derrière la prostate, s'étend en suivant la ligne
médiane
jusque vers le milieu de l'espace compris entre l
itions étant prises, il incisait, avec un rasoir, le long de la ligne
médiane
, la peau, le fascia superficialis et les aponévro
arties extérieures. Incision ik i.a l'Aitoi abd jiminai.e. Incision
médiane
sur la ligne blanche. Le chirurgien placé à la dr
gle de ce doigt, et en le faisant glisser de haut en bas sur la ligne
médiane
, il tombe presque de lui-même dans le méat urinai
) en dedans des fils. La même opé-ration est recommencée sur la ligne
médiane
antérieure. M. Vel-peau termine en nouant les fil
Dans quelques cas il arrive que la symphyse est déviée de la ligne
médiane
, et qu'elle ne se trouve pas derrière l'incision
ie du bassin est détruite, ces os s'écartent inéga-lement de la ligne
médiane
. Il n'est point utile, comme on l'a prescrit, de
nsverses, se rétractaient en sens opposés. 1" Incision sur la ligne
médiane
, ou procédé de Mauriceau. Voici comment s'exprime
ormale de l'urètre, 221. — Tumeurs de la prostate. Dépression du lobe
médian
, dilatation, scarifications, liga-ture, 221, 222
éale, 255-257. — Petit-appareil, 267, 258. — Grand ap-pareilou taille
médiane
. Historique, 268; procédé ancien, 25g; procédés d
tat, nous séparons la face en deux parties, en « plaçant sur la ligne
médiane
une cloison ; puis, faisant alterna-« tivement li
uvre le tendon des muscles génio-glosses , afin de dessiner une corde
médiane
superposée à celle que forme la portion tendineus
raphie, derrière l'os maxillaire inférieur, dont nous rasons la ligne
médiane
, en ayant soin d'embrasser l'insertion des génio-
sse, le tranchant tourné en avant, derrière le menton et sur la ligne
médiane
, jusqu'à ce que le doigt, placé dans la bouche, l
12 et i3). Mais déjà, il faut convenir cpie, avec la position du nerf
médian
et la situation latérale des vaisseaux et des ner
onctive avec la pince et les ciseaux. Figure 3. Excision d'un lambeau
médian
du cartilage tarse pour nu ectropion de la paupiè
ouvert par le soulèvement total de la paupière. Toutefois la portion
médiane
, inter-médiaire aux deuxsections latérales, étant
tenu par la main droite du chirurgien. Figure 4. Plan de la section
médiane
d'un œil de profil. L'objet de cette figure est d
ssant, achève la section de la cornée. Figure 8. Plan de la section
médiane
d'un œil de profil. L'objet de cette figure est l
os nasaux, les maxillaires supérieurs et, au mi-lieu, par la cloison
médiane
, le vomer. A la partie supérieure (b) on voit le
rois triangles : deux latéraux pour les ailes du nez, et un supérieur
médian
pour la sous-cloison. (d) Lambeau appliqué sur
fragmens seulement sont conservés : l'un de la portion cartilagineuse
médiane
en avant, l'autre de la cloison os-seuse du vomer
latéraux sont réunis par des sutures, l'un avec l'autre, sur la ligne
médiane
, et chacun d'eux avec la joue correspondante, jus
l est formé par le noyau-squelette qui porte les deux dents incisives
médianes
, et il est en-vironné d'un bourrelet gingival ave
ort saillant : les deux dents inci-sives inférieures sont en position
médiane
, mais déviée; les deux au-tres, éloignées des pre
d. Épiglotte dont les attaches sont coupées à gauche. e. Section
médiane
du cartilage thyroïde. f. Section latérale et p
Figure 4. Canule de M. Bretonneau vue en position sur une sec-tion
médiane
de la trachée.— E. Canule isolée. F. Érigne dou
de haut en bas : réuni avec son premier bout, il étrangle la portion
médiane
de la tumeur par un autre serre-nœud (d); tandis
gure 8. Oblitération du col de la vessie par le développement du lobe
médian
pathologique de la prostate. On a produit à desse
». Autres, de M. Leroy-d'Etiolles. 4° LIGATURE DE LA PROSTATE (lobe
médian
, pathologique). Figures 65 et 66. Porte-ligatur
T LA VESSIE. PLANCHE 57. PROSTATE. Figure i. Dépression du lobe
médian
, pathologique, delà prostate avec le dépresseur a
s pa-rois, la portion prostatique de l'urètre, ou bouche, par le lobe
médian
, le col de la vessie, et produit ainsi un obstacl
pratiquées avec le bistouri boulonné (M. Vi-dal de Cassis). TAILLE
MÉDIANE
. Figure 3. (Grandeur naturelle.) Celle figure r
ate el du col de la vessie par laquelle Dupuytren terminait la taille
médiane
. Le dessin est le même que dans la figure 3 de la
NE. SYMPHYSÉOTOMIE. DEMI-NATURE. FIGURE i. OPÉRATION CÉSARIENNE
MÉDIANE
. L'incision, pour cette figure, occupe la ligne
on est représentée par le procédé ordinaire, c'est-à-dire, la section
médiane
verticale des tégumens du pénil. L'incision du pl
al, et s'y continue ensuite sous la conjonctive. La section du tendon
médian
du droit externe (c) montre celle double dis-posi
itaux en dehors et en dedans, mais aussi, au milieu, le tronc du nerf
médian
et la branche artérielle qui l'accompagne entre l
parties molles pour déprimer l'artère avec les deux veines et le nerf
médian
; avec le doigt indicateur de sa main gauche (b, i
sie totale ; les centres trophiques de la moelle, à savoir, la partie
médiane
et peut-être la corne moyenne. Quoi qu'il en so
il à fracture, début des phénomènes parétiques. — Compression du nerf
médian
, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Caractère
ectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du nerf
médian
, dans le développement des accidents. Messieurs
e la styloïde cubitale. « La pression exercée en avant sur la ligne
médiane
, auniveau du médian, est très douloureuse. La dou
e. « La pression exercée en avant sur la ligne médiane, auniveau du
médian
, est très douloureuse. La douleur est locale et n
ale et n'irradie pas dans les doigts. La douleur à la pression sur le
médian
, jointe à la déformation considérable notée en av
fracture pouvait être à la rigueur entretenue par la. compression du
médian
; considérant, d'autre part, que Vintervention, n
opération le 16 mars 1889. « Chloroforme. Bande d'Esmarch. Incision
médiane
verticale de six centimètres environ sur le traje
ncision médiane verticale de six centimètres environ sur le trajet du
médian
. Le nerf est facilement mis en évidence ; il n'es
par leur disposition topographique avec le siège de la lésion du nerf
médian
. Ce point mérite de nous arrêter un instant. A
port avec la distribution du nerf comprimé. Il s'agissait en effet du
médian
et l'insensibilité était absolue clans toute l'ét
remarquait, phénomène bien singulier dans l'hypothèse d'une lésion du
médian
au poignet, que l'anesthésie remontait tout le lo
i l'ont poussé à pratiquer l'ablation de l'exostose qui comprimait le
médian
. Le double résultat qu'il attendait s'est produ
modiques dans l'œil gauche. Diplopie.— Pas de diplopie dans le plan
médian
et horizontal. A gauche, diplopie croisée dans le
temps des deux extrémités de la jambe et se rejoignent vers la partie
médiane
. Par la pression on produit des élancements dou
erritoire limité en avant parla crête tibiale,en arrière par la ligne
médiane
et la face postérieure de la jambe il y a anesthé
e supérieure, du droit supérieur, et du petit oblique ; b) des noyaux
médians
pour le droit interne et le droit externe. En bas
myéliques) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et
médians
). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité
nsèques peuvent être dits poliomyéliques — antérieurs, postérieurs et
médians
. Les poliomyéliques antérieurs sont ceux qui prov
cet égard telles qu'on les avait supposées. Quant aux symptômes dits
médians
, il reste à leur actif les troubles trophiques si
deux ovariennes, deux sus-mammaires en des points symétriques et une
médiane
dans la région lombaire; la pression au niveau de
lis moins saillants est situé à deux centimètres à gauche de la ligne
médiane
du front. Cet abaissement du sourcil, cette fosse
par une petite cicatrice arrondie, située à un centimètre de la ligne
médiane
, à la hauteur de l'apophyse épineuse de la septiè
Vous voyez à droite de la septième vertèbre cervicale rigoureusement
médiane
la cicatrice produite par la blessure ancienne. A
droite, puis l'apophyse de la deuxième dorsale se reporte sur le plan
médian
, ou du moins s'en écarte à peine vers la droite.
, suivant toute probabilité, une innervation purement motrice ; 3° au
médian
qui donne lieu à la même observation1. Eh bien! u
erosseux, les fléchisseurs, tous tributaires soit du cubital, soit du
médian
; vous comprenez, enfin, l'exclusion du radial, qu
ur les fibres irido-di-latatrices, sur le brachial cutané interne, le
médian
et le cubital. Mais ce n'est pas tout d'affirme
l à gauche, d'un écartement de un mètre et se fusionnant sur la ligne
médiane
. En outre, la papille droite est décolorée compar
'œil n'exécute qu'un très léger mouvement, sans s'écarter de la ligne
médiane
, puis, si l'on insiste, il se porte brusquement e
gent prononcé des deux yeux, comme si l'objet fixé était sur la ligne
médiane
, près du dos du nez, alors qu'il est à droite de
roit avec un autre petit tubercule dans la protubérance, sur la ligne
médiane
. Tout concorde donc en faveur de l'hypothèse d'
l à fracture, début des phénomènes paré-tiques. — Compression du nerf
médian
, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Caractère
ectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du nerf
médian
, dans le développement des accidents. ... 29 II
yélique's) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et
médians
). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité
direct. L'autre portion vient de la rétine nasale, croise la ligne
médiane
au niveau du chiasma, passe dans la bandelette
tout d'un coup, comme par enchantement, après avoir passé la ligne
médiane
; leur sortie est plus lente, normale quand ils pa
ma- lade, en allant progressivement de la périphérie vers la ligne
médiane
. Le malade ne voit ni les doigts ni la main du
hemianopsique, il ne voit qu'au moment où la main atteint la ligne
médiane
. Même expérience peut être faite avec un papier
des plus intéressantes : un diapason vi- hrant, placé sur la ligne
médiane
(dents, vertex), est perçu dans l'oreille sourd
initive; la plus grande partie est représentée par le ruban de Reil
médian
qui, après entre-croisement dans le bulbe (entre-
re-croisement piniforme), va se terminer dans les noyaux externe et
médian
de In couche optique (Dejerine, y. Monakow). D'
é du corps opposé à la lésion cérébrale. Elle s'arrête sur la ligne
médiane
du corps, en la dépassant ordinairement de 1-2
rologique, n° 6, IG09). TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVÉ. 515
médian
et du pulvinar, ainsi que les fibres correspondan
lésions de la calotte pédonculaire qui intéressent le ruban de lleil
médian
; elle peut s'accompagner de paralysie totale o
es bandes de distribution radiculaire dépassent légèrement la ligne
médiane
(Sherrington). Les schémas donnés par les auteu
et postérieure. lluelduefois l'anesthésie s'avance jusqu'à la ligne
médiane
(6''et 7" cervicales). Aux troubles sensitil's
paraplégique, ou segmentaire. [ROUSSY.] Fig. 58. Névrite du nerf
médian
. Topo- graphie des troubles sensitifs ; anesthé
t du carpe pour atteindre la paume de la main. Dans la névralgie du
médian
existent des points douloureux sur le bord inte
ial, dans la zone d'inner- vation cutanée du radial, du cubital, du
médian
, du llulsculo-cutai7é. Il est à remarquer que l
et a décrit un point médio-slernal situé n l'interseclion de la ligne
médiane
avec une horizontale passant par les quatrièmes
contraction des adducteurs qui rapprochent la cuisse de la ligne
médiane
: c'est le réflexe contralatéral des adducteurs.
s adducteurs se traduira par un déplacement- du genou vers la ligne
médiane
, et le réflexe produit par la percussion du ten
veau de l'abdomen successive- ment à droite et à gauche de la ligne
médiane
: il se produit, une con- traction des muscles
ous de l'ombilic successive- ment il droite et à gauche de la ligne
médiane
. Il se recherche de même au niveau de l'épigast
voqué ce réflexe en percutant avec la pointe d'un marteau la partie
médiane
de la lèvre inté- rieure au niveau des incisive
stérieures en dehors et en dedans par une ligne parallèle au sillon
médian
postérieur et amenée du coude de la corne posté
I', racines sensitives du côté droit, s'entre-croisant sur la ligne
médiane
pour se rendre à la colonne sensitive CSG du cô
partie moyenne de la face externe du radius. , Innervation. Nerf
médian
. Physiologie. Le rond pronateur est d'abord pro
extrémité supé- rieure du deuxième métacarpien. Innervation. Nerf
médian
. Physiologie. Son rôle principal est de fléchir
sceaux les plus élevés de l'abducteur du pouce. Innervation. Nerf
médian
. Physiologie. Le petit palmaire fléchit la main
on. Le fléchisseur commun superficiel des doigts est innervé par le
médian
. Le fléchisseur commun profond des doigts est i
médian. Le fléchisseur commun profond des doigts est innervé par le
médian
et par le cubital. Le médian, par l'intermédiaire
profond des doigts est innervé par le médian et par le cubital. Le
médian
, par l'intermédiaire MUSCLES DU MEMBRE SUPERIEU
lange unguéale du pouce. Innervation ? Nerf interosseux, branche du
médian
. Physiologie. Le long fléchisseur propre du pou
dans son quart inférieur. Innervation. Nerf interosseux, branche du
médian
. : Physiologie. Il l'ait tourner le radius de deh
les lombricaux et interosseux et se divise en trois languettes, une
médiane
et deux latérales. La languette médiane s'insèr
se en trois languettes, une médiane et deux latérales. La languette
médiane
s'insère sur l'extrémité postérieure de la deuxiè
pouce. Innervation. Le court abducteur du pouce est innervé par le
médian
et par un rameau inconstant du radial. Le cou
nconstant du radial. Le court fléchisseur reçoit son innervation du
médian
pour son faisceau externe, et de la branche pro
du cubital pour son faisceau interne. L'opposant est innervé par le
médian
, l'adducteur par la branche pro- fonde du cubit
bord cubital du cinquième métacarpien, il le rapproche de la ligne
médiane
du corps (adduction) ; si l'on rapporte son actio
e termine sur le tendon extenseur du petit doigt. Innervation. Le
médian
innerve les deux lombricaux externes, la branch
so-phalangionne correspondante se divise en trois languettes, l'une
médiane
et deux latérales. La languette médiane s'insèr
en trois languettes, l'une médiane et deux latérales. La languette
médiane
s'insère sur l'extrémité postérieure de la deuxiè
gros orteil sur le métatarse elle rapproche légèrement de la ligne
médiane
du corps (adduc- tion). Court fléchisseur du
r est innervé par un rameau du nerf plantaire interne (homologue du
médian
à la main), le faisceau externe est innervé soi
in- sère en bas sur la face postérieure du sternum jusqu'à la ligne
médiane
et sur la face postérieure du premier cartilage
inférieur, ses libres se portent en bas et en dedans vers la ligne
médiane
et s'insèrent sur la face, antérieure de l'os h
le bras est ver- tical, elle l'abaisse en le portant vers la ligne
médiane
jusqu'à ce qu'il soit devenu horizontal (geste
e bras est étendu transver- salement, elle le rapproche de la ligne
médiane
(geste d'embrasser) ; quand le bras est pendant
nt basculer l'omoplate dont l'angle inférieur s'éloigne de la ligne
médiane
. Les libres de la portion moyenne qui s'insèrent
sèrent en dedans des précédentes rapprochent l'omoplate de la ligne
médiane
, effacent le moignon de l'épaule; elles sont ad
bord spinal du scapulum se dévie à 10 ou 12 centimètres de la ligne
médiane
, le moignon de l'épaule se porte en avant ; si
ment de rotation qui porte la face palmaire en dedans vers la ligne
médiane
. Quand le bras est placé dans une direction paral
late, le tiers supérieur du muscle rapproche l'omoplate de la ligne
médiane
de deux a trois centimètres; en se contractant
ait basculer cet os dont l'angle inférieur se rapproche de la ligne
médiane
, tandis que le moignon de l'épaule s'abaisse. S
en dedans. Les omoplates peuvent encore se rappro- cher de la ligne
médiane
grâce au grand dorsal (Haillon). Angulaire de l
Physiologie. Le grand oblique de la tête, rapprochant de la ligne
médiane
l'apophyse transverse de l'atlas, détermine un mo
es faisceaux internes s'entre-croisent le plus souvent sur la ligne
médiane
au-dessous du menton avec ceux du côté opposé et
vexe, il se porte en avant vers l'orbite. Les faisceaux internes ou
médians
vont vers la région intersonrcitière et ta semb
a conca- vité inférieure raccordés de droite il gauche sur la ligne
médiane
par des plis à courbure inverse, 1 ascension de
iologie. Le dilatateur des narines écarte l'aile du nez de la ligne
médiane
. Il se contracte dans la dyspnée pour faire pénét
e faisceau irradié à la peau de la lèvre supérieure jusqu'au sillon
médian
et au delà au cartilage de l'aile du nez et de
ige en haut et en dedans, s'entre-croise partiellement sur la ligne
médiane
avec celui du côté oppose et vient se fixer en
emi-orbiculaire supérieur naissent à droite et à gauche de la ligne
médiane
de la face profonde de la peau et de la muqueus
naso-fronta) de l'iuion en suivant bien la ligne sagittale ou ligne
médiane
antéro-pos- téricurc, prendre la moitié de cett
t, dans certains cas, on peut observer une bande hypo-estlié- sique
médiane
, région qui est innervée par la sixième et la sep
u -plexus brachial amènent une paralysie dans le territoire du nerf
médian
et du nerf cubital. C'est à la main que se cons
adiculaire inférieure, l'impotence des muscles innervés par le nerf
médian
expli- que que la grille soit moins pure que ce
bre supérieur tandis que l'angle inférieur se rapproche de la ligne
médiane
, le bord interne de l'os s'écarte de la co- lon
e la première phalange de l'index et du médius. Paralysie du nerf
médian
. La paralysie du nerf médian est consé- cutive
'index et du médius. Paralysie du nerf médian. La paralysie du nerf
médian
est consé- cutive à des traumatismes (plaies du
- bras), à des névrites infectieuses ou toxiques. Lorsque le nerf
médian
est lésé au niveau du bras, tous les muscles in
court fléchisseur) et les loinbricaux. . La paralysie complète du
médian
a des conséquences sérieuses. La flexion de la
ont innervés par le cubital. Consécutivement à la'paralysie du nerf
médian
on observe une grille spéciale de la main, la g
du nerf médian on observe une grille spéciale de la main, la griffe
médiane
: la région de l'éminence thénar est atrophiée,
sibilité font très souvent défaut dans les cas de paralysie du nerf
médian
. Quand ils existent, ils occupent la zone de di
corde en position cadavérique le plus souvent, parfois en position
médiane
. Cela lui paraît impossible pour des lésions de l
c-t-ellc à être cherchée : 1 immobilisation d'une corde en position
médiane
ne gêne pas la parole et gêne peu la respiratio
e qui tient à ce que la corde vocale saine tend à dépasser la ligne
médiane
dans une adduction forcée et à rejoindre la corde
constatation plus courante : la corde est im- mobilisée en position
médiane
, c'est-à-dire dans la position qu'elle occupe p
e vraie (Garel), mais si la corde n'est pas exactement sur la ligne
médiane
, du moins s'en rapproche-t-elle beaucoup. Enfin
ement au moment de la deuxième phase d'immobili- sation en position
médiane
, mais elle se produit rarement, car il est exce
ne des nerfs musculo-culané et radial, parfois du circonflexe et du
médian
. Dans la paralysie radiculaire inférieure, les mu
, le radial, le sciatique poplité externe, le sciatique, parfois le
médian
, le circonflexe, le cru- ral, etc. Elle débute
variole, de la streptococcie (névrite puerpé- rale du cubital et du
médian
), de la pneumonie, de la coqueluche, etc. La né
égalités de l'allure, dans le projettement du pied hors de la ligne
médiane
pendant la marche, dans l'élévation trop grande
thesic et plus souvent de l'anesthésie cutanée dans les domaines du
médian
, du radial et du cubital. Dans certaines formes
araplégie). L'escarre est typique au niveau du sacrum, qu'elle soit
médiane
(affections médullaires) ou latérale (affec- Fi
obe vésical est distendu, et se présente sous la forme d'une tumeur
médiane
vohotn- RÉTENTIONS D'URINE. f neuse. arrondie
plateau lisse (première grosse molaire, Fournier), et des incivises
médianes
supérieures de la seconde dentition obliquement
et l'un des bords, quelquefois les deux côtés ou seulement la ligne
médiane
, brûlent atrocement le patient. Ces crises se r
GIE DE LA MAIN. premières phalanges et de la; paume jusqu'au sillon
médian
de la peau. La paume est excavée, bourrelée de
.. , ATTITUDES. VICIEUSES. 'I 035 innervés par le cubital et le
médian
, fléchisseurs et pronateurs, interos- seux et l
nt ; on a ainsi une griffe radiale, une griffe cubitale, une griffe
médiane
; chacune d'elles est totale ou partielle. Le d
ans la fièvre typho ! d la grippe, dans l'alcoolisme. - La griffe
médiane
amène la paralysie de tous les muscles antérieurs
médius et de la moitié externe de celles de l'annulaire. La grille
médiane
s'observe plus ou moins complète dans les trallll
ou de paralysie des muscles de la main dans le domaine a la fois du
médian
et du cubital : c'est une main de singe avec «rif
)"' paire dorsale (d'où partent la plus grande partie des fibres du
médian
et du cubital), dans certaines lésions nél'1'iliq
uction de celte même main. Toutes les lésions portant sur les nerfs
médian
et cubital ou leurs racines peuvent produire ra
ter des paralysies traumatiques ou obstétricales; sur les troncs du
médian
ou du cubital, des traumatismes, des compressions
est dû à un spina-bifida : le plus sou- vent la tumeur rachidienne,
médiane
» arrondie ou elliptique, molle, fluctuante ou r
rtical de l'intervalle séparant l'une de l'autre les deux incisives
médianes
inférieures; il se trouve à la partie à la fois l
; pour repérer ce point, correspondant à l'intervalle des incisives
médianes
supérieures en leur point d'implantation, il co
latérales, chaque bosselure étant située de chaque côte de la ligne
médiane
, ou encore le front en carène bossue par les sa
ligne médiane, ou encore le front en carène bossue par les saillies
médianes
qui suivent le trajet de la suture médiofrontale
rieure en deux moitiés globuleuses qui sont séparées par une rigole
médiane
antéro-postéricurequc l'on peut comparer au pli
vergente. Cette malformation dentaire siège au niveau des incisives
médianes
supérieures de seconde dentition, elle est le plu
côté interne de ce doigt, à un demi centimètre environ de la ligne
médiane
, ou même, suivant Aubourg, au niveau de la lign
e la ligne médiane, ou même, suivant Aubourg, au niveau de la ligne
médiane
. L'aiguille sera dirigée légèrement en haut et
es muscles que l'on veut exciter, le plus généralement sur la ligne
médiane
(par exemple sur l'une des régions suivantes : sl
al, assez 'fréquente sur le nerf sciatique poplité externe, le nerf
médian
et le nerf cubital, plus rare ou exceptionnelle s
st placée loin des régions à examiner et de préférence sur la ligne
médiane
du corps e); 1. Lorsque l'électrode indifférent
5. Nerf museulo-culanc, 16. Biceps; 1 ï. Brachial antérieur. 18. Nerf
médian
; 19. Long supinateur; 20. Rond pronateur; 21.
super- ficiel des doigts; 23. Long fléchisseur du pouce; - 24. Nerf
médian
; 25. Court abducteur du pouce; 26. Opposant; 27
nue en place, sur un point assez éloigné, très souvent sur la ligne
médiane
du corps et notamment sur la colonne vertébrale à
trodes, l'anode géné- ralement, est placée il la nuque sur la ligne
médiane
ou sur le côté opposé à celui de la paralysie;
tits ciseaux mousses la dure-mère à droite et il gauche de la ligne
médiane
, puis une nouvelle incision est faite perpendic
iffe de Duchenne-Aran, rosi, 1058. radiale, 1050. cubitale, 1057.
médiane
, '108. - pied-creux, 1056. - avec extension des
axillaire supérieur, névralgie, 587. - Injection d'alcool, 425. -
médian
, paralysie, 652. - moteur oculaire commun, pa-
lia0. - traitement électrique, 1050. - du nerf cubital. - du nerf
médian
, 652. - du nerf crural, (i ? - du nerf sciat
épendance; de même le centre de l'avant-bras comprend les noyaux du
médian
et du cubital d'une part, et du radial d'autre pa
nde s'étendant jusqu'au pli du poignet et ne dépassant pas la ligne
médiane
des faces antérieure et postérieure des bras (Pla
t du bras (Planche II). La ligne de démarcation passe par la partie
médiane
des faces antérieure et postérieure des bras ;
; au niveau de l'épaule elle va rejoindre horizontalement la ligne
médiane
en passant un peu au-dessus du mamelon ; la lim
ue horizontaux. De même les omoplates sont rap- prochés de la ligne
médiane
et leur bord interne fait saillie par la rétracti
a région cervicale saillantes sous la peau par l'atrophie des chefs
médians
et inférieurs du trapèze. Ses bras sont ballants
ieds ; 2° Une aneslhésie, totale on dissociée, qui occupe la partie
médiane
de la face postérieure des cuisses et des jambe
qui empiète sur la partie avoisi- nante des fesses et sur la partie
médiane
du tiers supérieur de la face pos- térieure de
a région fessière inférieure. Assez souvent elle envahit. la partie
médiane
de la face postérieure de la cuisse, plus raremen
édiane de la face postérieure de la cuisse, plus rarement la partie
médiane
de la face postérieure de la jambe et le bord ext
puisque nous en avons relevé 24 cas. Rarement situées sur la ligne
médiane
, elles se trouvent ordinairement en plein faiscea
e de la clavicule au-dessous du mamelon, d'une part, et de la ligne
médiane
à la ligne thoraco-brachiale. d'autre part. Le si
c- tée et moins colorée. Il est en outre plus rapproché de la ligne
médiane
du corps (de 1 cent. environ) et de la clavicul
oite. On peut juger du degré de cette déviation, en tirant la ligne
médiane
du corps depuis la fourchette sternale jusqu'à l'
jusqu'à l'ombilic. Il est facile de constater alors que cette ligne
médiane
se superpose presque au bord gauche de l'os. Il
lement égal du côté droit et du côté gauche, par rapport à la ligne
médiane
du corps, devient plus petit à droite (de il à
lléd., t. VI). Nous pouvons donc supposer que les champs internes,
médians
de la sensibilité viscérale font image sur le pôl
ssance à une lame osseuse s'amincissant graduellement vers la ligne
médiane
; les 2 lames restent distantes de 2 cm. 5 enviro
e droite moins développée que la gauche empiète un peu sur la ligne
médiane
. Il y a en somme à ce niveau comme une large cr
souples. C'est le pariétal gauche qui empiète de 1 cm. sur la ligne
médiane
, environ 3 fois plus développé que le gauche. -
tente, mais 2 replis falciformes latéraux. En arrière, à la partie
médiane
pos- Fig. 1. Fig. 2. Schéma de l'ossificati
à homologuer à la faux du cerveau ne s'insère pas là. De ce repli
médian
légèrement saillant se dirige, partant à 5 millim
veau est donc sur la gauche à 45 millimètres d'écart de la par- tie
médiane
postérieure du crâne (dimension prise en suivant
vers l'axe antéro-postérieur, se dirige en avant, dépasse la ligne
médiane
à droite et n'est plus apparent après un trajet d
tre eux, formant par leur soudure l'os incisif revêtu de sa portion
médiane
de lèvre supérieure. Mais au lieu de s'être fusio
e cette même scissure. La face externe droite présente en sa partie
médiane
une sorte de cupule, cavité élargie équivalant
, nous voyons que leur section (pl. XXVIII, fig. E), au lieu d'être
médiane
et de répondre par parties égales à chacun des
(pi. XXVIII, fig. D) une scissure profonde allant jusqu'à la ligne
médiane
dont la direction est analogue à celle de sciss
ons ici qu'il y avait une zone complètement insensible dans la zone
médiane
du pont d'union. La coordination motrice est pa
orps thyroïde existe, mais semble bien moins développé sur la ligne
médiane
. En raison de l'amaigrissement du malade,aux cr
de hauleur et un peu plus de 7 centimètres de diamètre à sa partie
médiane
(PI. XXXII). Sur les lames d'argent qui l'entou
one. Une section sagittale de l'hémisphère, à un centimètre du plan
médian
,démontre qu'il s'agit bien d'une dégénérescence
a douleur, comprenant la face, ces- sant régulièrement sur la ligne
médiane
, mais épargnant néanmoins quelques zones de la
hésie, en bande, à la partie interne de chaque fesse et à la partie
médiane
de la face postérieure de chaque cuisse; elle int
d occupait, dechaque côté, la partie interne de la fesse, la partie
médiane
de la face postérieure de la cuisse et, à gauch
crite, de chaque côté, à la partie interne de la fesse, à la partie
médiane
de la face postérieure de la cuisse et de la ja
emier segment sacral, tes téguments du périnée et ceux de la partie
médiane
de la région fessière, des le et 5e segments sa
artie adjacente de la fesse, et se prolongeant le long de la partie
médiane
de la face postérieure de la cuisse, avec parti
té- ration de rameaux terminaux appartenant à plusieurs artérioles (
médianes
antérieures, radiculaires internes et externes,
s la protubérance et dans l'isthme de l'encéphale, le ruban de Reil
médian
prend, au voisinage des tubercules quadrijumeaux
ésignée par M. et Mme Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil
médian
. Dans cette région, les fibres cheminent au milie
épuise rapidement; beaucoup d'entre elles pénè- trent dans le noyau
médian
, qui est situé en arrière (en haut) et en dedans.
et en dedans. Ces deux groupes cellulaires, noyau externe et noyau
médian
, sont les seuls aboutissants des fibres du- rub
sse à quelques millimètres au-dessus dû point où disparaît le noyau
médian
et nous avons pu nous assurer qu'aucune fibre a
dernière portion (zone du ruban S02 BABINSKI ET NAGEOTTE de Reil
médian
) sont les suivants : en avant la zone dégénérée r
erne ; en arrière et en dedans elle pénètre largement dans le noyau
médian
; en arrière et en dehors, elle répond à la rég
l gauche et qui provient de fibres sectionnées à gauche de la ligne
médiane
avant leur entre-croisement; ce sont naturellem
es dégénérés 5D'i Il 13BABINSKI ET NAGEOTTE sont écartés du raphé
médian
par l'apparition d'un faisceau longitudinal non
Reil et au noyau réticulé ; le côté interne ré- pond à ce faisceau
médian
non dégénéré que nous venons d'indiquer, plus h
nce d'altérations dans les deux voies sensitives bulbaires, la voie
médiane
et la voie latérale, cadre bien avec ce fait clin
BABINSKI ET NAGEOTTE RL. Ruban de Reil latéral. RM. Ruban de Reil
médian
. T. Pilier antérieur du trigone. Tr. Trapèze.
la lésion qui paraissait nettement limitée au vermis et aux parties
médianes
de la face inférieure du cervelet était en réal
ie dans la portion lombaire, avec sclérose commençante de la partie
médiane
des cordons de Goll et de la partie inférieure
ntenait encore un peu de substance blanche. Les cordons postérieurs
médians
du bulbe rachidien étaient convertis en une subst
ut traitement deux moxas sur la tumeur, un de chaque côté de la ligne
médiane
. Au bout de quinze jours, amélioration légère, en
laire. Fig. 2. La coupe représentée fig. 2 a été faite sur la ligne
médiane
, et verticalement d'avant en arrière. On y voit l
en bas, de telle façon qu'un bassin étroit supporte un membre unique,
médian
, symétrique, formé par la fusion plus ou moins co
,réunies dans toute leur longueur, sont formées par trois os, dont un
médian
PR, plus grêle, représente les deux péronés confo
garde en haut. Les deux petits orteils confondus constituent l'orteil
médian
; les deux gros orteils occupent les bords; les de
que les côtés externes de ces deux extrémités sont unis sur la ligne
médiane
: et voilà pourquoi la concavité des fémurs est d
n moins remarquable. Les deux pubis, complètement soudés sur la ligne
médiane
, présentent une crête saillante, dirigée d'avant
nis dans leurs branches ascendantes, continuaient en arrière la crête
médiane
, et, se renflant tout-à-coup, formaient une masse
raneuse : les petits orteils distincts occupent les côtés de la ligne
médiane
, les gros orteils regardent en dehors, la face do
atéraux, parce que ceux qui, par la suite, doivent devenir impairs et
médians
, se trouvent divisés en deux moitiés semblables,
réunion ; car enfin, et toujours dans cet ordre d'idées, les parties
médianes
et impaires seraient les seules qui parcourraient
ussi grande tendance à se conjoindre que les deux moitiés des organes
médians
, et, si elles ne l'ont pas fait, c'est parce qu'e
qui sont contigus chez le fœtus, n'ont pas suivi le sort des organes
médians
. (i) Histoire générale et particulière des anom
est hydrocéphale. *La circonférence de la tête, prise suivant le plan
médian
du corps, d'avant en arrière, est de vingt-et-un
était arrêté à une petite profondeur. Cette appendice occupe la ligne
médiane
:elle est formée par une languette cutanée, curvil
du corps. Son extrémité supérieure présente trois éminences, dont une
médiane
ET représente les deux grands trochanters confond
le considérable, sans vestige de nez ; réunion des joues sur la ligne
médiane
; 4° la bouche, largement ouverte, a la forme d'u
pariétaux et de la portion verticale des frontaux ; il y a fissure
médiane
de l'épine avec écartement des deux moitiés latér
olyphémie ou monopsie, à une monstruosité qui consiste dans la fusion
médiane
des deux yeux, de telle sorte que le petit monstr
proprement dite : les deux orbites sont réunis en une seule cavité
médiane
et surmontés par une trompe ; mais tantôt il y a
istincts contigus, tantôt les deux yeux sont confondus en un seul œil
médian
. De là plusieurs variétés. ire variété. Un seul
iste essentiellement dans l'atrophie des parties situées sur la ligne
médiane
avec fusion des parties latérales, il me semble q
e du fœtus, vu par la face postérieure. Point de fesses. Sur la ligne
médiane
, ouverture anale A , de laquelle sort un prolonge
LPL,CPL,qui sont distincts postérieurement de chaque côté delà ligne
médiane
. Les muscles jambier antérieur JA, extenseur co
rènes. Les os iliaques sont comme étalés et horizontaux. Sur la ligne
médiane
, on trouve d'arrière en avant, le sacrum, qui est
ère. A la jambe, les péronés sont situés de chaque côté de la ligne
médiane
, et, par conséquent, au lieu d'occuper le côté ex
ar leur face postérieure; bassin et os ilium étalés, et, sur la ligne
médiane
, sacrum et coccyx; orifice inférieur du bassin OI
aux régions temporo-pariétales que sépare en arrière et sur la ligne
médiane
un angle très saillant; la troisième répond à la
ilage paraît ossifié; l'oreille droite est à peine visible. La partie
médiane
et occipitale de la tête donne insertion à un gra
ilic n'était pas plus ouvert que sur un fœtus de cinq mois : la ligne
médiane
n'offrait aucune trace de fissure. A quelle épo
. A quelle époque faudrait-il donc remonter pour voir les scissures
médianes
de M. Serres et les intestins dans l'épaisseur du
pect contraste avec la couleur des aréoles pleines de sang. Le nerf
médian
avait été envahi, ou plutôt la transformation var
ire par atrophie, sans pouvoir les pénétrer. Ainsi les filets du nerf
médian
avaient été écartés, disséminés. L'un de ces file
yait une autre beaucoup plus petite, sphéroïdale, placée sur la ligne
médiane
, immédiatement au dessus de la fourchette du ster
t avec les épigastriques. Il en résultait, de chaque côte de la ligne
médiane
, un tronc, dont le volume dépassait celui de l'ar
entique à celui de la tumeur inférieure. Les faisceaux postérieurs et
médians
de la moelle étaient pulpeux, grisâtres et demi t
acéré dans l'alcool concentré. Protubérance un peu déformée ; ligne
médiane
saillante; parties latérales déprimées. Petit foy
e une cellulosité infiltrée. — Dégénération gris jaunâtre des cordons
médians
postérieurs. — Tumeur encéphaloïde autour de la q
e contenant un liquide. Du reste, à partir de ce point, les cordons
médians
postérieurs sont transformés en une substance gri
tumeur et l'altération de la moelle. Quant à la conversion du cordon
médian
postérieur en substance gris jaunâtre, j'aurai oc
entait à-peu-près les deux tiers de son volume ordinaire. Les cordons
médians
et postérieurs de la moelle ont été transformés e
oelle établit que l'altération et très exactement limitée aux cordons
médians
postérieurs : elle établit, en outre, que cette a
rvicale qu'aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons
médians
et postérieurs, les racines postérieures des nerf
fecté, les autres restant intacts. Ce fait de l'influence des cordons
médians
postérieurs de la moelle sur le mouvement, aussi
cette altération , sauf la consistance des parties. Les deux cordons
médians
et postérieurs de la moelle sont convertis en une
à envahir la portion des faisceaux latéraux, qui avoisine les cordons
médians
postérieurs. Les racines postérieures des nerfs s
me pas la conséquence fondamentale de ce fait, savoir que les cordons
médians
postérieurs et les racines postérieures^des nerfs
et la transformation ou dégénération grise était limitée aux cordons
médians
postérieurs. Amaurose.—Paraplégie du mouvement
se.—Paraplégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des cordons
médians
postérieurs. Une jeune fille amaurotique , para
toute sa longueur une grande colonne gris rosé, formée parles cordons
médians
postérieurs. Cette colonne était traversée par de
e et dorsale, les cordons postérieurs et les petits cordons du sillon
médian
postérieur de la moelle étaient affectés, mais qu
térieurs étaient sains, et l'altération limitée aux cordons du sillon
médian
. Du reste la dégénération a des limites parfaitem
e, dans d'autres cas, nous avons vu la dégénération grise des cordons
médians
postérieurs affecter bien plus le mouvement que l
facultés sensible et motrice, on ne peut pas conclure que les cordons
médians
postérieurs président exclusivement au sentiment.
sur l'une d'elles retentissait manifestement sur l'autre. La portion
médiane
avait été seule appréciable pendant la vie. Les p
e ferai remarquer que, relativement à la dégénération grise, la ligne
médiane
n'est pas une limite, que les sillons de séparati
prononcé. Au niveau de cette altération , il semble que les sillons
médians
n'existent plus, et que la moelle soit transformé
lème, j'ai reconnu que les cordons médullaires qui occupent le sillon
médian
postérieur, avaient subi la dégénération grise, e
t de la moitié correspondante de la protubérance, jusque sur la ligne
médiane
; ce foyer est parfaitement circonscrit, et n'a fa
l'arachnoïde. — Une grande quantité de sérosité remplit l'excavation
médiane
de la base du cerveau et le canal vertébral. Le
e scorbutique , et dans son épaisseur, sur l'un des côtés de la ligne
médiane
(je n'ai pas noté lequel), de petites cicatrices
ase du sacrum. C'était aux dépens des ligamens jaunes et sur la ligne
médiane
qu'avait lieu cette perforation : il n'y avait pa
ampoule rectale et au-dessus. L'utérus n'était pas juste sur la ligne
médiane
, mais bien dévié à gauche, et cette déviation qu'
ssection. Les renflemens les plus considérables appartiennent au nerf
médian
RM et au nerf radial RC. Le renflement du nerf mé
iennent au nerf médian RM et au nerf radial RC. Le renflement du nerf
médian
semblait se prolonger à une certaine hauteur au-d
tumeur encéphaloïde développée sur la branche collatérale interne du
médian
N G, destiné au doigt indicateur. Les filets nerv
senter les tumeurs cancéreuses développées dans l'épaisseur des nerfs
médian
et radial. J'ai vu un cas plus curieux encore q
les vues par leur face inférieure. La prostate offrait une dépression
médiane
antéro-postérieure, dépression qui était la trace
e d'une membrane épaisse ; il n'y avait aucune trace de cette portion
médiane
de la prostate qu'on appelle improprement lobe mo
possible. Lorsque la rétention d'urine tient à l'hypertrophie du lobe
médian
, il suffit quelquefois de traverser le pédicule d
obe médian, il suffit quelquefois de traverser le pédicule de ce lobe
médian
ou la traverse musculeuse qui le supporte, pour a
le canal de l'urètre ouverts par leur face supérieure et sur la ligne
médiane
. Indépendamment de l'hypertrophie de la vessie,
puru-lens, à parois très anfractueuses, un de chaque côté de la ligne
médiane
. RÉFLEXIONS GÉNÉRALES SUR LES RÉTRÉCISSEMENS DU
est déformée, inégalement développée à droite et à gauche, le lobule
médian
très volumineux. La prostate est bosselée, et la
g. 3'), qui occupe la face dorsale de la verge, au niveau de la ligne
médiane
; l'autre inférieur (fig. 3), qui présente la situ
me de ceux du creux de l'aisselle , dont plusieurs compriment le nerf
médian
. Les autres organes étaient sains. i° La forme
enne de la convexité de l'hémisphère gauche, au voisinage de la ligne
médiane
, j'aperçus quelque chose d'insolite; c'était une
érus, le vagin, la vessie et le rectum ayant été divisés sur la ligne
médiane
, nous avons vu (xxme livr., pl. vi, fig. 3) que
ns la planche v, xvie livraison. La figure i représente une section
médiane
antéro-postérieure dé la tumeur formée par le vag
ieure de la portion de vessie déplacée ayant été divisée sur la ligne
médiane
, on est arrivé à un cul-de-sac formé par le périt
par du tissu adipeux TA. 5° Plus en arrière encore se voit la coupe
médiane
du museau de tanche et du col utérin, l'orifice O
es hypo-chondres, mais bien les régions épigastriques, que leur ligne
médiane
répondait à l'axe d'union des deux fœtus, que les
ace une cellulosilé infiltrée. Degeneration gris-jaunâtre des cordons
médians
postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour de la que
se. Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons
médians
postérieurs. = Paraplégie complète du sentiment e
. — Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons
médians
postérieurs. = Paraplégie incomplète du mouvement
ce une cellulosité infiltrée. Dé-génération gris jaunâtre des cordons
médians
postérieurs. Tumeur encéphaloïde autour de la que
se. Paraplégie du mouvement seulement. Dégénération grise des cordons
médians
postérieurs. = Paraplégie complète du sentiment e
angle inférieur de l'omoplate s'élève en se rapprochant de la ligne
médiane
, tandis que son bord spinal s'écarte de la paro
ent, et certaines d'entre elles offrent l'aspect suivant : Incisive
médiane
supérieure gauche, deux larges cupules latérale
médiane supérieure gauche, deux larges cupules latérales ; incisive
médiane
supérieure droite, 2 cupules également ; l'une
ue deux cuspides pointues. Il existe un léger sillon sur l'incisive
médiane
inférieure gauche. Les canines supérieures droi
laquelle elle se réfléchit à la façon d'une bor- dure. Le septum
médian
et le septum intermédiaire sont épaissis et fibre
ale davantage sur les parties latérales, laissant le long du septum
médian
un espace linéaire moins scléreux. Dans les fai
reuse occupant en arrière la zone postéro-interne bordant le septum
médian
, pour se diriger de là vers la tôle de la corne p
ieurs sont encore le siège d'une sclérose occupant surtout- la zone
médiane
et dans celle-ci la zone postérieure. Tout le lon
sensibilité douloureuse augmente graduellement. Le long de la ligne
médiane
sur la surface antérieure du corps la sensibilité
ez, dont le dos est beaucoup moins sensible que les côtés. La ligne
médiane
antérieure du tronc est moins sensible il la doul
e antérieure du tronc est moins sensible il la douleur que la ligne
médiane
postérieure. Aux pulpes des doigts la sensibili
femme au-dessus du mont de Vénus sans remonter le long de la ligne
médiane
. Il en existe aussi, mais très peu, sous les ai
re unilatérale, située il la région sacrée gauche, près de la ligne
médiane
, de forme losan- gique, mesurant 4 centimètres
gorgement. Sur la région fessière du côté gauche, près; de la ligne
médiane
du sa- crum, eschare, de forme irrégulière, de
t douloureux profond à la région sacrée, de chaque côté de la ligne
médiane
, dans une étendue de 4 centimètres carrés environ
ect étaient également normaux fut,incisée au bistouri, sur la ligne
médiane
, dans toute la hauteur de l'ouverture osseuse.
11'0 lombaire. A ce niveau, une esquille faisait saillie sur la ligne
médiane
du canal rachidien, et s'enfonçait dans la part
la ligne médiane du canal rachidien, et s'enfonçait dans la partie
médiane
de la moelle, en respectant les racines du nerf
ngue, qui est complètement déviée a gauche (voir planche). Le raphé
médian
forme une courbe à concavité tournée de ce Nou.
101(hell. La pie-mère est hyperémiée. Les ventricules laté- raux et
médian
contiennent du liquide séreux. L'épendyme prése
. La zone radiculaire moyenne est partout respectée. Près du sillon
médian
postérieur, la dé- coloration n'est pas aussi a
ers la commissure posté- rieure sont normales, tandis que la partie
médiane
des cordons postérieurs et la zone radiculaire
n. L'examen à un fort grossissement nous a fait voir dans la partie
médiane
du cordon postérieur qui avoisine le sillon pos
issable : sur la région fronto-pariétale vers la droite de la ligne
médiane
, il existe une plaque dénudée beaucoup plus éte
onc à dire, en ce qui concerne les tumeurs figu- rées sur la partie
médiane
du front, qu'on peut les considérer pour la plu-
du, pédoncule cérébral droits passant un peu en dehors de la ligne
médiane
. 8, noyau du moteur oculaire externe du côté ga
p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau antérieur
médian
, n. a. 1, noyau antérieur latéral. 270 NOUVELLE
ire gauche. Ces centres, situés en effet de chaque côté de la ligne
médiane
, sont presque au contact. N'oubliez pas enfin q
droits et gauches de la troisième paire sont contigus sur la ligne
médiane
et qu'un foyer atteignant ceux du côté gauche d
es vaisseaux du tronc ba- silaire el que ses artères se divisent en
médianes
et en latérales (Fig. 5G). Or les artères protu
édianes et en latérales (Fig. 5G). Or les artères protubérantielles
médianes
, qui correspondent aux médianes antérieures de
). Or les artères protubérantielles médianes, qui correspondent aux
médianes
antérieures de la moelle, naissent de la partie
asi- laire, se dirigent directement en arrière, en suivant la ligne
médiane
, et viennent s'épanouir au-devant et un peu en
r conséquent aux noyaux des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les artères
médianes
antérieures et postérieures du bulbe et de la pro
tant à la fois sur les artères latérales gauches et sur les artères
médianes
donnera lieu à des altérations du faisceau pyra
tion remonte sur le tronc, où elle se limite en dedans par la ligne
médiane
, en haut par une ligne horizontale passant par l'
bilicale. Comprimés par les deux muscles droits écartés de la ligne
médiane
, les intestins forment une saillie médiane au n
oits écartés de la ligne médiane, les intestins forment une saillie
médiane
au niveau de l'éventration et deux latérales au n
An S Z = secousse rapide. 8 El. 8". Ksz. An S, néant. Nerf
médian
droit'. 18 El. - 700. Ks T = contraction téta
naissent des ver- tébrales, et, descendant de chaque côté du sillon
médian
, elles s'en écartent et s'en approchent symétri
nt : 1° Les artères du sillon (art. M/cz), c'est-à-dire nos artères
médianes
antérieures (Voy. in Arch. de Phys. 1874, le de
ures, en suivant les racines anté- rieures, arrivent près du sillon
médian
antérieur, où elles se divisent en deux branche
s situées au-dessus et au-dessous. Il en résulte en avant du sillon
médian
antérieur une longue anastomose (anastonzosis a
9t, 10e, 110 paires nerveuses dorsales. Elle parcourt sur le sillon
médian
posté- rieur un trajet d'environ H à 15 centimè
les petites branches déjà connues : les artères du sillon (artères
médianes
anté- rieures), les artères radiculaires, et le
s que les artères spinales antérieures forment une seule anastomose
médiane
, qui suit le sillon médian, les artères spinale
ntérieures forment une seule anastomose médiane, qui suit le sillon
médian
, les artères spinales postérieures en forment d
our terminer que de ces artères anastomotiques naissent les artères
médianes
et les artères radiculaires posté- rieures. V
u'on observe dans toute sa hauteur : artères REVUE d'anatomie. 85
médianes
et artères radiculaires de chaque côté. Trois vei
face antérieure de la moelle trois veines principales : 1° la veine
médiane
anté- rieure ; 2" la veine latérale antérieure
ntérieure droite ; 3° la veine latérale antérieure gauche. La veine
médiane
antérieure suit le sillon médian, légèrement si
ale antérieure gauche. La veine médiane antérieure suit le sillon
médian
, légèrement sinueuse d'abord, puis formant çà et
une anse plus régulière : à ce moment on voit facilement les veines
médianes
qui sortent du sillon médian pour s'y jeter. De
moment on voit facilement les veines médianes qui sortent du sillon
médian
pour s'y jeter. De la veine médiane partent de
s médianes qui sortent du sillon médian pour s'y jeter. De la veine
médiane
partent de distance en distance des veines spin
. Les veines latérales antérieures sont plus petites que la veine
médiane
. Elles cheminent sur la face antérieure des cordo
des sortes d'anses dont les deux extrémités s'abouchent à la veine
médiane
, tantôt elles se vident directement dans les vein
rsales plus ou moins sinueuses, qui viennent se jeter dans la veine
médiane
. b) A la face postérieure de la moelle existent
postérieure de la moelle existent trois veines longitudinales, une
médiane
, deux latérales, plus régulièrement disposées q
ment l'injecter tout entier. Les veines inlra-médullaires : veines
médianes
, veines radiculaires, se rendent aux grandes vein
cale celui de Busk, le point où la branche verticale coupe la ligne
médiane
répond au bregma (bî,egina c2,dnioiiiét21q lie)
quelques fois double, n'a pas de rapport constant avec la ligne -
médiane
. Seulement on peut apprécier les déviations antér
f vague se trouvent voisins, et à une certaine distance de la ligne
médiane
(intégrité de l'hypoglosse). Tenant compte de R
82, assisté par le Dr Osborne, M. IIammond pratiqua l'élongation du
médian
, mais en n'exerçant que des tractions légères.
s cette hypothèse, le succès de l'opé- ration sérail dû à ce que le
médian
aurait été rendu impropre à transmettre les imp
MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 149 ficielle, pratiquée sur la ligne
médiane
du plancher du quatrième ventricule détruit cet
coup plus prononcée : les pupilles s'écar- tent à peine de la ligne
médiane
. A l'aide d'un verre coloré, on fait apparaître
portait instinctivement la tête à gauche pour ramener sur la ligne
médiane
la moitié droite du champ visuel où la vision é
porter le regard à droite ; les pupilles ne dépassent pas la ligne
médiane
. L'am- plitude des mouvements du côté gauche ne
ticulier dans la convergence ou la fixation à distance sur la ligne
médiane
. L'occlusion d'un oeil développe dans l'autre u
directions du regard avec peu d'écartement des images. Sur la ligne
médiane
, la diplopie n'apparaît qu'à un mètre cinquante
asse à côté de la région cicatricielle, tandis que le cubital et le
médian
s'y terminent en formant un névrome d'amputatio
s, on observait une suspension complète de la fonction motrice du
médian
et du cubital, et la sensibilité des deux nerfs,
né, également intéressé dans la blessure; le reliquat des filets du
médian
péri- phérique s'étaient aussi rattachés à ce m
roduit"ta' griG'ejmé- y 1 68 : )`Enririsistnt; une fois)la griffe
médiane
^ produite ? l'excitation -,sort 'dérha.'sphèrea'd
iit-brà'S' par les muscles pronateurs qui relèvent directement du
médian
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME 1 CIIEZ, LES '(HYSTÉRIQU
es,remplies d'un liquide clair;[dans une zone limitée par la ligne,
médiane
, le, bord inférieur delà jnaj- choe et une lign
nsi qu'une, névralgie portant d'une manière .prédomi- nante sur, le
médian
, peut s'accompagner, par exemple, d'une douleur
. ( . JitMi#M,t u, ? > ? ? ? <>t t Sur quelques sujets, le
médian
ne recevait rien de la sixième 1, paire',1 mais
ussée qu'au pre- mier étage, disposées de chaque côté d'un corridor
médian
. L'ins- tallation offre à signaler particulière
par des cellules (plus de deux cents) de chaque côté d'un corridor
médian
; chaque fenêtre éclaire deux cellules. Aux extr
la partie supero-ex- terne et complètement dégénéré dans sa partie
médiane
. Le faisceau longitudinal inférieur est aussi r
lombaire, respecte la zone radiculaire moyenne et gagne la cloison
médiane
postérieure; dans la moelle dorsale, elle n'att
ne postérieure; dans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les zones
médianes
, ni les zones latérales, confinant au bord médi
nt ni les zones médianes, ni les zones latérales, confinant au bord
médian
des cordons postérieurs, et elle continue à êtr
e la protubérance occipitale externe, un peu à gauche de la ligne
médiane
: réunion après trois mois de suppuration. Quatre
ment au-dessous de l'apophyse épineuse un peu en dehors de la ligne
médiane
, l'aiguille étant introduite entre les arcs des v
ement les nerfs périphériques, le cubital et le radial au coude, le
médian
au poignet, ou les sciatiques au niveau des fes
A POLYNEVRITE. '189 trée dans la moelle, s'approchent vers la ligne
médiane
et elles se placent dans la portion externe des
postérieurs ; et puis, en se rendant de plus en plus vers la ligne
médiane
elles atteignent les cordons de Goll et font pa
pées par de la substance blanche. Les parties qui sont sur la ligne
médiane
sont alimentées par les branches qui proviennen
nent des artères à direction antéro- postérieure, longeant la ligne
médiane
. Les parties latérales, y compris les tubercule
provenant des communicantes postérieures, convergent vers la ligne
médiane
du trigone. Toutes ces branches dans le sillon
e. Deux d'entre elles, plus fortes, se dirigent le long de la ligne
médiane
jusqu'à l'aque- duc de Sylvius, où, de chaque c
nt en rameaux terminaux. Dans la protubérance, de ces deux branches
médianes
partent, à cer- taines distances, des rameaux a
s rameaux-là, dans la région pédonculaire se détachent des branches
médianes
sous des angles aigus ou droits. De sorte qu'il
aux qui se détachent sous un angle aigu se rendent : 1° à la partie
médiane
de la substance noire de Soemmering ; 2° aux pé
e les dislricls vasculaires qui existent des deux côtés de la ligne
médiane
, et ceux qui occupent les parties latérales el
a pas de vaisseaux unissant les vaisseaux des parties latérales et
médianes
de la région des pédoncules cérébraux. La parti
érales et médianes de la région des pédoncules cérébraux. La partie
médiane
du côté où l'on a fait l'injection est très bie
côté où l'on a fait l'injection est très bien injectée ; la partie
médiane
de l'autre côté est peu injectée ; l'injection
rtie postérieure (tubercules quadrijumeaux). La sphère vascu- laire
médiane
, injectée, a la forme d'un triangle à base vers l
côté à l'autre. Il est probable qu'entre les vaisseaux de la région
médiane
d'un côté et de la région médiane de l'autre cô
'entre les vaisseaux de la région médiane d'un côté et de la région
médiane
de l'autre côté il y a des vaisseaux très fins
aux très fins qui établissent une ' communication entre le vaisseau
médian
d'un côté et le vaissean médian de l'autre; mai
' communication entre le vaisseau médian d'un côté et le vaissean
médian
de l'autre; mais, dans le pédoncule cérébral même
sculaires. Il n'y a pas non plus d'union vasculaire entre la partie
médiane
et la partie latérale d'une part, ni entre la p
partie médiane et la partie latérale d'une part, ni entre la partie
médiane
et la partie posté- rieure d'autre part ; le te
re d'autre part ; le territoire vasculaire situé à côté de la ligne
médiane
est donc un territoire autonome et isolé. On re
ieure, depuis son toit jusqu'à l'extré- mité antérieure de sa paroi
médiane
, ses fibres parvenant aux extrémités convexes e
ntricule (Alveus). On constate aussi, le long de la face dorsale et
médiane
du noyau caudé, l'existence d'une mince bordure
- duellement ; une couche interne correspondante visite la .paroi
médiane
de la corne cérébrale antérieure jusqu'à l'écorce
fissure panéto-occipitale, on voit que, sui- vant ce plan, la paroi
médiane
du lobe occipital présente, du côté du ventricu
pue de fibres du corps calleux ; en arrière ou en haut, les parties
médianes
du fragment moyen de Beevor (splenium), au mili
es fibres latérales du corps calleux pro- prement dit et des fibres
médianes
qui quittent le corps calleux à angle droit. Le
du genou du corps cal- leux, ou bien est un prolongement de la raie
médiane
de Lancisi. La substance blanche du gyius subca
ance blanche du gyius subcallosus envoie alors une racine olfactive
médiane
au tuber tracti 01{act01'ii, Les autres fibres se
formé par la branche latérale delacorne d'Ammon qui, dans sa partie
médiane
, contient les fibres antéro-inférieures du segm
a partie médiane, contient les fibres antéro-inférieures du segment
médian
de Beevor, ne prennent point part les fibres ta
t médian de Beevor, ne prennent point part les fibres tangentielles
médianes
. Ce trajet n'est suivi que par les fibres plus
ongent eu ce point dans les raies de Lancisi. Plus loin, ies fibres
médianes
se trouvent en dedans du corps godronné auquel
ne permettent pas de préciser cette voie. Meynert a indiqué la zone
médiane
de la calotte comme tractus moteur. Ce sera à exa
termédiaire. Chacun d'eux est aussi accompagné d'un petit satellite
médian
également composé de fibres optiques; les fibre
lion termi- nal des fibres optiques, de celles qui occupent la face
médiane
de la [racine optique inféro-postérieure. Les f
cer- velet par le corps restiforme, dans lequel il occupe la partie
médiane
. En passant dans le bulbe, ce trousseau, jusque
rcome congénital siégeant au bras droit. La fumeur avait englobé le
médian
et le cubital : ces deux nerfs durent être comp
u prédicateur; les muscles SOCIÉTÉS SAVANTES. 487 innervés par le
médian
et le cubital sont complètement paralysés et pr
t en extension. Paralysie persistante des mus- cles innervés par le
médian
et le cubital, mais le courant fara- dique appl
é par le cubital est revenue. Les résultats sont moins nets pour le
médian
. Le malade se sert de sa main pour manger, pour
27 cent. et demi. De la malléole externe à l'extrémité de l'orteil
médian
, 16 cent. Gr... mange assez proprement, se sert
t usées jus- qu'au niveau des gencives; en haut, les deux incisives
médianes
de lait persistent en avant des dents définitiv
tumeur thyroïdienne. On sent distinc- tement le larynx sur la ligue
médiane
en plaçant la tête dans l'extension et en dépri
ux côtés, l'érysipèle dépasse le mamelon, tendant à gagner la ligne
médiane
. De même, la rougeur descend sur le côté droit
e des pariétaux et la partie antérieure du tem- poral. Sur la ligne
médiane
, ils s'avancent sur le milieu du frontal en for
r le milieu du frontal en formant unehoupette; entre cette houpette
médiane
et les parties latérales il existe une calvitie
ution frontale ascendante (F A) assez maigre, sauf f vers sa partie
médiane
, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieu
ane, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieurs. Celte partie
médiane
isolée est reliée à la. deuxième cir- convoluti
la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa partie
médiane
par une scis- sure sous-pariétale (Se. sp.). -
lution pariétale ascendante (P. A.) est maigre, surtout à sa partie
médiane
. Le lobule pariétal supérieur (P,), irrégulier,
ssure parallèle pariétale. Au niveau de sa courbe. puis à sa partie
médiane
, elle est interrompue par les plis trans- versa
et pariétale ascendantes. On remarque un peu en avant de sa partie
médiane
un sillon en y grec assez profond, et en arrière
e poche globuleuse, d'un volume considérable, apparaît sur la ligne
médiane
. C'est le péricarde distendu par une grande qua
t l'oesophage, après une incision de la peau pratiquée sur la ligne
médiane
, on recherche le corps Tux- ROIDE entre la trac
c fait saillie et les droits de l'abdomen n'adhèrent pas à la ligne
médiane
. La malade peut marcher lentement et en chancel
horizontale et trois scissures plus profondes, perpendiculaires; la
médiane
appartient au sillon de Rolando. Le lobe quad
eloppé, est peu élevé et ne présente pas d'incisures ; l'in- cisure
médiane
est à peine ébauchée, elle est limitée en avant
petit que le droit. Les deux hémisphères sont séparés sur la ligne
médiane
. Cette coupe, ainsi que plusieurs autres pratiq
d'un noyau de cerise ; 2° à sa partie inférieure, près de la ligne
médiane
, un renflement analogue; 3° au-dessus de la pyr
ment deux gros noyaux à gauche, un moins volumineux vers la ligne
médiane
et enfin un autre, à droite, du volume d'un gro
fron- tales et celui qui est situé un peu en arrière à la partie
médiane
de la seconde frontale. La première frontale es
t irrégulière, présente une coloration rouge foncée. Sur la ligne
médiane
, il existe une dépression infundibuliforme, où
d'où sortent, assure-t-on, les excréments. Egalement t sur la ligne
médiane
, à la partie la plus saillante, on trouve une p
AIBLISSEMENT PROGRESSIF; MORT ; AUTOPSIE. 199 à peu près à la ligne
médiane
du corps. Sur sa face infé- rieure et externe,
ase 27 cent. 1/2. La peau est épaissie, principalement sur le tiers
médian
, dans le sens de la hauteur; elle est ridée tra
tant le scrotum inha- bité (1). Organes génitaux. - Dans la fente
médiane
dont il est question plus haut, on constate l'e
mince pli de passage, allant du pli pariétal inférieur à la partie
médiane
de la parié- tale ascendante; elle possède un r
l'une des cicatrices est située immédiatement à droite de la ligne
médiane
du dos, au niveau de la 7e vertèbre cervicale ; e
dehors en dedans. L'autre cicatrice est située à gauche de la ligne
médiane
; son extrémité supérieure se trouve à 2 centim
us et le radius nettement distincts semblent ensuite vers la partie
médiane
de ce rudiment d'avant-bras se fusionner en un
int. Sur une coupe verticale et transversale, passant par la partie
médiane
de la tumeur et intéressant la totalité du lobe
ie supérieure de la face antérieure du thorax, il existe sur la ligne
médiane
une excavation qui se relève sur le côté et à l
e de la main droite qui se trouve en extension et écarté de son axe
médian
. Vues par leur face palmaire, les mains présenten
hénar produit une excavation qui est très accentuée, vers la partie
médiane
de l'éminence thénar. Par suite de cette atroph
bitale, au lieu d'être convexe est excavée el se rapproche de l'axe
médian
parsuile de l'atrophie des muscles de l'éminenc
sont que des équivalents des diverses lésions de la substance grise
médiane
el postérieure. Je ne veux pas dire, par là, po
cculente, que celle-ci relève de l'altération de la substance grise
médiane
et postérieure. Mais par quel mécanisme ? S'agit-
dans la région lombaire, c'est encore de part et d'autre de la zone
médiane
que les lésions sont prédominantes dans les cordo
lésions sont plus accentuées. Elles portent sur- tout sur la partie
médiane
des cordons postérieurs et la zone radiculaire
petit dossier auquel est fixée une courroie ou sangle. Sur la ligne
médiane
à l'union du tiers pos- térieur et des deux tie
ntre les 9e et 10e dorsales, à 3 centimè- tres à droite de la ligne
médiane
; seulement le trajet de pénétration était diri
é blessé d'un coup de couteau à 2 centimètres ci droite de la ligne
médiane
du dos, entre les 8° et 9° vertèbres dorsales.
gion des 6e et 7e apophyses épineuses dorsales à gauche de la ligne
médiane
. Une année après l'accidenl, on constatait de l
z (2), l'instrument tranchant a pénétré un peu à droite de la ligne
médiane
du dos, entre les 5e et 6e vertèbres dorsa- les
entre les 1'" et 2e vertèbres dorsales, un peu à droite de la ligne
médiane
. Le lendemain de l'accident on a constate chez
e l'anesthésie du côté gauche, qui s'arrêtait exactement à la ligne
médiane
du corps, et qui remontait jusqu'au niveau du m
qui avait pénétré entre l'occipital et l'atlas, à droite de la ligne
médiane
, on avait constaté : une paralysie motrice et u
ui présente plus souvent des anomalies de position. Il est rarement
médian
et présente souvent des déviations latérales de 2
photographie de l'un de ces cas; on voit de chaque côté de la ligne
médiane
une petite dépression en cul de poule un peu au-d
it des régions sus-jacentes, les muscles de la main innervés par le
médian
, les muscles de l'éminence thénar sont pris à l
main gauche présente de l'atrophie dans le domaine du cubital et du
médian
, tandis que l'atrophie de la main droite est ci
-ils plus haut ou plus bas que ceux qui se rendent au cubital et au
médian
, et sont-ils compris au même degré dans l'allé-
toutes ces branches s'éteignent un peu avant d'arriver sur la ligne
médiane
qui, en aucun point, n'est atteinte. A premiè
égeant au niveau du menton, entre la commissure labiale et la ligne
médiane
. En arrière, le noevus s'étend derrière l'oreil
e la figure, et débordant à gauche, sur toute sa longueur, la ligne
médiane
d'environ 4 millimètres. Cette tache, facile
ection est constamment unilatérale et exactement limitée à la ligne
médiane
; 2° Les lignes d'agencements répondent à l'épa
er des deux côtés du corps ; ou bien déborder légère- ment la ligne
médiane
, comme dans notre observation III, comme dans les
caries filets nerveux ne s'arrêtent pas rigou- reusement à la ligne
médiane
, comme le montrent entre autres Galewsky et Sch
e Spietcliska, Hallopeau). 2° Les noevi constitués par des placards
médians
formés de deux por- tions symétriques, comme da
eur au niveau de la colonne ver- tébrale. Ce noevus, rigoureusement
médian
, est constitué par deux parties symétriques, s'
es gauches. Chez les deux derniers le tourbillon reste sur la ligne
médiane
, et chez les six hémiplégiques droits il est dé
six hémiplégiques droits il est dévié aussi à droite ou sur la ligne
médiane
. Dans les cas d'hémiplégie gauche la déviation
ou, deux tumeurs mamelonnées qui semblent se rejoindre sur la ligne
médiane
. Cela peut être un goitre. Mais les deux append
lluscum seulement siègent sur le front, un peu à gauche de la ligne
médiane
; au-dessus du sourcil droit, il semble exister
timètres; elle était située à la nuque, un peu à gauche de la ligne
médiane
. Le patient était faible sur ses jambes, mais, so
Lieferuno Berlin, t895, p. 13; Fig. 3. 316 F. RAYMOND la ligne
médiane
, elles se ramifient dans le foyer ou centre de la
8, racines sensitives du côté droit, s'entrecroisant sur la ligne
médiane
pour gagner la colonne sensitive gauche, CSG. -
ie et le siège de la lésion nerveuse : ainsi dans un cas où le nerf
médian
était blessé, les articulations du pouce, de l'in
tion vertébrale est, en géné -ral, comprise tout entière dans le plan
médian
antéro-postérieur du corps. Toutefois ce caractèr
n'y a pas à s'y tromper : sur ce premier moule, nous voyons une bosse
médiane
; sur le second, une gibbosité postéro-latérale.
on des forces nutritives. Le rachitisme peut produire une gibbosité
médiane
; je vous en offre un cas clinique des plus intér
descendant au-devant des scalènes, il vient se collecter sur la ligne
médiane
, en arrière des cavités du pharynx et du larynx,
ouble poche. D'abord assez largement ouverte chez l'enfant, la partie
médiane
se fronce ensuite, se plisse longitudinalement, f
ésulte de ce que cette éminence osseuse se trouve séparée de la ligne
médiane
du corps, chez les sujets atteints de luxation co
ort à l'autre. La distance qui sépare le grand trochanter de la ligne
médiane
du coccyx est moins considérable du côté luxé.
s chacun de ces cas : c'est l'écartement du grand trochanter de l'axe
médian
du corps. Disons toutefois qu'on pourrait le renc
le est déjà fort rétrécie; elle se trouve située à gauche de la ligne
médiane
, sur laquelle on sent une saillie osseuse qui app
le ne fait que ramener l'extrémité supérieure de la courbe à la ligne
médiane
. Les enfants, les femmes encore jeunes prennent a
. Le mouvement qui se produit pour ramener les vertèbres sur la ligne
médiane
donne lieu à une courbure verticale, formée surto
tronc, et en ramenant en sens inverse le haut du corps vers la ligne
médiane
; ou bien en courbant d'abord le haut du corps et
s médecins d'alors avaient reconnu que la gibbosité commune n'est pas
médiane
, qu'elle est située en arrière et sur le côté, et
'état tout à fait normal, et dans les dorsales moyennes, cette partie
médiane
est le point le plus courbé et forme une saillie
avant, la figure d'une parabole dont le sommet répond à cette saillie
médiane
. Or, par l'effet de la déformation , ce sommet se
du côté de la concavité de la courbure et reviennent ainsi à la ligne
médiane
, dont l'inclinaison de la vertèbre tend à les éca
r une déviation des apophyses épineuses qui les rapproche de la ligne
médiane
, sans les y ramener complètement. Il est bon d'ob
m, revient à droite par une inclinaison opposée, s'écarte de la ligne
médiane
dans ce sens d'autant à peu près qu'il s'en était
dans l'autre, et se porte de nouveau à gauche pour regagner la ligne
médiane
vers la région cervicale, qui ne participe que fo
aux muscles de ramener les deux extrémités de la courbe dans la ligne
médiane
. Mais il y a plus : l'équilibre rompu par l'inc
rsale, qu'une courbure en retour; elle ne fait que ramener à la ligne
médiane
l'extrémité inférieure de la courbe principale. I
vertèbres de la courbure principale s'éloignent davantage de la ligne
médiane
, elles entraînent de leur côté les vertèbres des
rbures voisines. La corde de celles-ci ne se trouve plus sur la ligne
médiane
; elle s'incline à droite ou du côté convexe de la
et, au lieu de se porter successivement à droite et à gauche du plan
médian
du corps, le rachis serpente d'un seul côté de ce
omme dans une courbure simple, l'une qui écarte les vertèbres du plan
médian
du corps, l'autre qui les (1) Voy. pl. 3, fig.
(1) Voy. pl. 3, fig. 2; pl. 6, fig. \. 15. ramène vers la ligne
médiane
. La figure du rachis, ainsi fortement courbé dans
ale; l'espace manque pour que son sommet s'éloigne autant de la ligne
médiane
(3). Cette pièce est une de celles où la flexion
ité de chacune d'elles, restent toujours plus rapprochées de la ligne
médiane
. De là résultent les faits suivants : 1° La lig
si ce n'est que son inventeur lui a donné des gibbosités tout à fait
médianes
, comme celles de la cyphose. On observe, en out
son extrémité xiphoïde. Cet os reste ordinairement situé sur la ligne
médiane
, et n'est plus en face du rachis porté vers l'un
r, attirent les vertèbres horizontalement et les écartent de la ligne
médiane
. C'est une erreur de Levacher de la Feutrie (l),
tendant un fil de la septième apophyse épineuse cervicale à la crête
médiane
du sacrum, et en mesurant la distance de cette li
la même époque que le sternum apparaît sous la forme d'une gibbosité
médiane
, comme dans la cyphose. Je n'ai parlé que de la
roite forme une excavation prononcée. Il y a une gibbosité antérieure
médiane
et non antéro-droite. Vous avez déjà vu cette dis
paule tirent sur les vertèbres déviées et les rapprochent de la ligne
médiane
, ou que, dans l'action du membre thoracique, les
cubitus. L'écartement de ces deux lignes au crayon, marquant la ligne
médiane
et la courbe des apophyses, déjà moindre, vous le
n ramène plus ou moins les apophyses des deux courbures vers la ligne
médiane
, de même que par les extensions, si la déformatio
avoir lieu. S'il n'existe pas de saillie antérieure ou si elle est
médiane
, la pression antérieure se pratique sur le sternu
ie l'inclinaison de la courbe lombaire ; nous rapprochons de la ligne
médiane
le milieu de la courbure dorsale ; il se produit
d'une large courroie en spirale, que supporte du côté du dos une tige
médiane
inclinée à gauche, qui est le levier. Cette courr
sion transverse primitivement limitée à gauche eût franchi la ligne
médiane
, gagné la face postérieure de la moelle, la sub
médiane, gagné la face postérieure de la moelle, la substance grise
médiane
, à mesure qu'elle libérait le faisceau moteur gau
ev. Neurologique, 1875, p. 474) sont les signes des tumeurs du lobe
médian
et du vermis. Mais les tumeurs mêlent aux trou-
côté : un profond, le transversaire épineux, qui est aussi le plus
médian
; il s'étend du sacrum à l'axis, composé de fai
la région dorso-lombaire, les renetsmuscuiafresuessment. un losange
médian
(li. 1), dont les deux côtés inférieurs réponde
de ce côté devient plus ouvert, tout en se rapprochant de la ligne
médiane
du dos (lig. 3 et 4). En même temps les plis cu
s se mettre au contact de la crête iliaque ; s'enroulant vers l'axe
médian
, elles s'im- briquent les unes dans les autres.
un aux deux affections, l'on trouve chez nos malades une dépression
médiane
, un chapelet chondro-costal, un déjettement du re
araît être doué d'une résistance toute particulière, car sa branche
médiane
est conservée sous forme d'un trait noir mince
igert on remarque que, dans cette partie et surtout dans le jambage
médian
de l'U (formé par Fli.),les fibres sont fortement
le externe de l'orbite et ne peut plus être ramené jusqu'à la ligne
médiane
.Dès la fin de 1898, l'oeil gauche reste fixé su
e médiane.Dès la fin de 1898, l'oeil gauche reste fixé sur la ligne
médiane
. Les efforts du malade pour le mouvoir ne réuss
, pédoncule cérébelleux supérieur. Py, pyramide. Rm, Ruban de Reil,
médian
. Ln locus niger. Tm, tumeur. F'iG. 8. Aqs, aque
érieur. - N IV, noyau de la IV. paire. RL, ruban de Reil. Rm, ruban
médian
. X Pcs, croisement du pédoncule cérébelleux supé-
métrie de la face déviée à gauche, la langue est tirée sur la ligue
médiane
, la branche supérieure du facial n'est pas atte
t le côté droit du corps, faoe et langue comprise, jusqu'à la ligne
médiane
. Perte du sens musculaire et du sens stéréognos
bouche est tirée en haut vers la gauche, la langue reste sur la ligne
médiane
. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, les
t par le faisceau longitudinal postérieur, se croisent sur la ligne
médiane
en bas des tubercules quadrijumeaux et vont dir
- tion de la concavité palmaire. La main semble creusée à sa partie
médiane
. Les plis palmaires sont bien dessinés. A la
23 milli- mètres, elle est de 18 millimètres sur la ligne frontale
médiane
; les bosses temporales sont moins accentuées q
a; le cartilage thyroïde mesure 15 millimètres de haut sur la ligne
médiane
; ses faces latérales ont 26 milli- mètres de ha
ofil du crâne. Coupe demi-schématique passant en dehors de la ligne
médiane
. En noir : les sinus. En hachure : les os enlevés
ose des faisceaux fondamentaux des cordons la- téraux, de la partie
médiane
du bord interne des cordons de Goll et des band
vancée. Il existe surtout une forte vascularite au niveau du sillon
médian
postérieur. Weigert-Pal. Les cordons postérieur
iens : sclérose des bandelettes externes de Pierret et de la partie
médiane
antérieure du cordon de Goll. A la région sac
ninges sont infiltrées de cellules rondes ; les vaisseaux des sillons
médians
antérieur et postérieur sont enflammés (péri-ar
méningée prédomine de beaucoup dans la partie antérieure. L'artère
médiane
antérieure est atteinte d'endartérite marquée.
ation des faisceaux fondamentaux des cordons latéraux, de la partie
médiane
du bord interne des cordons de Goll et des bandel
yaline des artères et épaississement chronique des veines du sillon
médian
antérieur. Weigert-Pal. Il existe une radiculit
La microgyrie s'étend aux autres circonvolutions voisines. Le lobe
médian
et le lobe droit paraissent normaux. Examen l
s cérébraux, et que les fibres dégénérées ne dépassent pas la ligne
médiane
. En un mot, chez ce chien, l'atrophie du lobule
de la gauche dans la rectitude. Quand elle l'a ramenée sur la ligne
médiane
, elle ne sent pas si sa tête est bien droite, et
très limités. Le moignon de l'épaule est plus rapproché de la ligne
médiane
du côté malade ; cette asy- métrie est très app
irrégulières, petites, cupuliformes, mal implantées : les incisives
médianes
sont en retrait sur leur bord interne. La malad
mentaire au niveau du rebord alvéolaire supérieur, près de la ligne
médiane
. Léger progna- thisme : nez normal mais légèrem
eur bord libre est en retrait sur le bord alvéolaire, les incisives
médianes
en retrait par leur bord interne sur leur bord ex
aillantes. Le sternum est normal. , Le front est énorme ; un sillon
médian
, vertical, large et profond surtout vers la rac
-CRANICNLYE HÉRÉDITAIRE 309 amener au contact en avant sur la ligne
médiane
, et en arrière, passage possible par dessus la
es sont sur une ligne horizon- tale et à égale distance de la ligne
médiane
. Les diamètres externes du bassin sont les suiv
ssement transversal de la voûte crânienne donnant lieu à une rigole
médiane
antéro-postérieure, prolongement du sillon précé-
fférentes : les masses latérales, loin de se rejoindre sur la ligne
médiane
, sont étalées à droite et à gauche du plan de sym
: l'apopliyse basilaire forme un bloc co- hérent occupant la ligne
médiane
, elle s'articule latéralement de part et d'autre
ment ouvert ; ou bien, au contraire, ils se réunissent sur la ligne
médiane
et forment vraiment une voûte. Nous trouvons un
e le sommet opposé va rejoindre l'occipital. Par rapport à la ligne
médiane
du crâne, la hauteur du triangle pariétal est dis
x reposant sur la dure-mère, infiltrés de vaisseaux. Dans la partie
médiane
existe, par endroits, des îlots vasculaires qui s
x fibres nerveuses. A la périphérie de la moelle, au bord du sillon
médian
antérieur les fibrilles sont extrêmement abonda
on ne voyait facilement leurs rapports avec la névroglie, du sillon
médian
antérieur, des travées et des vaisseaux. . D'
ras, et les interosseux, de chaque côté, contractions nulles. Nerfs
médian
, radial et cubital, contractions nulles. Muscle
réaction longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du bras. Nerf
médian
, 10 m. A., contractions musculaires faibles. Ne
chisseur commun des doigts, interosseux, contractions nulles. Nerfs
médian
, radial et cubital, contractions nulles. Grand de
s, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux, contractions nulles. Nerf
médian
, radial et cubital, 15 m. A., NFC > PFC, contr
oils sont longs .et luisants. Les dents se superposent sur la ligne
médiane
, tandis que sur les côtés les inférieures dépasse
ar trois phalanges dont la dernière est aplatie et présente un trou
médian
. Une radiographie latérale nous aurait éclairé
protubérance et du bulbe. Sur une coupe pas- sant près de la ligne
médiane
et correspondante à la coupe S S 1 bis du schém
rsque le bras est élevé à angle droit ne présente pas la dépression
médiane
que l'on voit à droite. La fonte atrophique du
la ligne sur laquelle s'exerce le plus grand . effort. Cette ligne,
médiane
, est nécessairement la suture inter-occipitale :
de bas en haut (avant en arrière) et soudés entre eux sur la ligne
médiane
de façon à constituer un canal rachidien, s'étale
; la dernière, renflée en forme de massue, se rapproche de la ligne
médiane
par son point d'implantation. Au niveau du condyl
é horizontalement dans ses parties latérales, est lisse à la région
médiane
. Les mouvements de froncement et d'élévation des
sa pointe sont également distants à gauche et à droite de la ligne
médiane
; le moignon de l'épaule est en place, non abais
rveau de la boîte crânienne. La paroi de la boîte cède sur la ligne
médiane
, le cerveau passe entre les deux moitiés de l'occ
latéraux, un moyen, un inférieur ou quatrième et un antéro-supérieur
médian
, cinquième ventricule, ou ventricule de la cloiso
ubercule pisiforme. — 7, Nerf oculo-moteur commun. —8, Espace perforé
médian
. — 9, Coupe de la glande pinéale. — 10, Fente de
ent dans la formation des plexus (prévertébraux), situés sur la ligne
médiane
dans les cavités viscérales. Ceux-ci, après avo
et hypogaslrique sont aussi uniques et situés à peu près sur la ligne
médiane
. De chaque côté du plexus solaire, au point où
nsparence l'innervation palmaire, laquelle est partagée par les nerfs
médian
et cubital de la façon suivante: le cubital anime
tié interne de l'annulaire), le reste de la main étant suppléé par le
médian
. A la face dorsale la distribution nerveuse dev
ié externe de l'annulaire) reçoivent leur innervation dorsale du nerf
médian
, comme il suit : au niveau du pli interdigital, l
ue côté du médius sont innervés par deux nerfs seulement : cubital et
médian
pour le côté interne, radial et médian pour le cô
x nerfs seulement : cubital et médian pour le côté interne, radial et
médian
pour le côlé externe, le médius, lui, se trouve i
côlé externe, le médius, lui, se trouve innervé par trois nerfs : le
médian
, qui lui fournit ses collatéraux palmaires et ses
r à travers la suture suffisamment serrée et présentant, sur la ligne
médiane
, une sorte de crête saillante avec deux rigoles l
t incliné de la vulve à la paroi postérieure du vagin, avec une crête
médiane
saillante très prononcée; les fils de cette sutur
le liquide s'écoulait facilement au dehors de chaque côté de l'éperon
médian
, et la rectocèie, même dans les efforts faits par
de l'anus à la commissure vulvaire, trois centimètres ; sur la ligne
médiane
se voit un raphé, trace de la suture, et sur les
olution. Elle est partagée en deux portions symétriques par le sillon
médian
de la nuque, dans lequel s'avance une traînée tri
oyau de o,3; enfin, en bas du noyau externe, mais du côté de la ligne
médiane
du tronc, est un noyau plus petit. Tous sont le
rmé de deux autres disposés symétriquement de chaque côté de la ligne
médiane
. Leur bord inférieur est au niveau de la sixième
te que dans la moitié de la circonférence de l'organe. Dans le sillon
médian
que nous avons décrit, et à trois centimètres env
périeure est le siège d'un double bec de lièvre, formant sur la ligne
médiane
une vaste solution de continuité. La perte de sub
la recouvre est comme formé de petites lamelles soudées par leur bord
médian
, à ce niveau on retrouve une légère dépression li
arines..., ce qui rend l'alimentation difficile. 3° Le dédoublement
médian
de la lèvre inférieure a lieu suivant une ligne h
é produit peu à peu parla pression exercée sur la lèvre par le lobule
médian
du bec de lièvre supérieur. Ce lobule a, en effet
dessus d'elle , en remontant vers l'appendice xiphoïde, sur la région
médiane
, les veines sous-cutanées sont légèrement dilatée
s dans une hauteur de 12 à 14 centimètres. Au voisinage de la ligne
médiane
, en se portant à droite, on a bien la sensation d
t.im. et dans une largeur de 4 à 5 centimètres de chaque côté du plan
médian
. Le palper, la percussion, bien que pratiquée ave
deux scrotum; ces derniers sont adhérents l'un à l'autre sur la ligne
médiane
; la moitié interne de chaque scrotum est atrophi
i alors le cartilage thyroïde de haut en bas exactement dans la ligne
médiane
, et je pus ainsi, sans notable résistance, fendre
yrotomie, c'est-à-dire la division du cartilage thyroïde sur la ligne
médiane
. Le choix de ce procédé opératoire est, à notre a
aucun point douloureux, ni dans les fosses iliaques, ni sur la ligne
médiane
: on sent encore l'utérus au niveau de la symphys
pratiquée en 1899). Fig. 1. Colonne cervicale (coupe sagit- tale
médiane
). Soudure des lames par ossification des ligame
rme de la 6e à la 12e vertèbre dorsale, un peu à droite de la ligne
médiane
; or cette bande osseuse néoformée siégeait pré
r les maxillaires et forment une rangée irrégulière ; les incisives
médianes
supérieures sont grandes et très proémi- nentes
pédonculaires proviendraient de la partie latérale du ruban de Reil
médian
(lemniscus) et seraient'destinées à la pre- miè
d'autres fibres ayant la même origine et qui se rendraient au noyau
médian
de la couche optique et aux circonvolutions rol
ainsi que les muscles de la région antérieure des bras (sphères du
médian
et du cubital), les éminences thénar et hypothé
les éminences thénar et hypothénar, les interosseux et lombricaux (
médian
et cubital) sont manifestement atteints de paré
ne dégénérée de la couche sagittale externe a abandonné sa position
médiane
et occupe la partie moyenne du segment horizontal
quel que soit le siège du ramollissement (circonvolutions latérales,
médianes
ou inférieures), qu'il s'agisse de lésions pure
thalamiques provenant des circon- volutions inférieures de la face
médiane
. Il va sans dire que ce résumé ne correspond pa
ntingent que ce fais- ceau reçoit et émet pour les 'circonvolutions
médianes
et supérieures du lobe occipital. Ces deux fais
ur la longeur ; ces dernières sont surtout situées vers les parties
médianes
et se délimitent assez bien des fibres de la couc
nt, au niveau du passage de la commissure anté- rieure sur la ligne
médiane
, la presque totalité du segment horizontal de la
ique, mais de relier chacune d'elles aux circonvolutions de la face
médiane
et aussi de la face latérale de l'hémisphère et v
fois 4 à 5 filets radiculaires, toujours d'un seul côté de la ligne
médiane
. Ces filets répondaient habituellement, comme l
e la IVe paire, du faisceau central de la calotte, du ruban de Reil
médian
, de la toenia pontis et de la substance réticulée
ce réticulée grise sauf une partie comprise entre le ruban- de Reil
médian
, le pédoncule cérébel- leux supérieur et le fai
ite, la destruction est limitée au coude formé par le ruban de Reil
médian
et sa partie latérale, à une partie du faisceau c
profundum, quelques fibres du corps trapézoïde et du ruban de Reil
médian
, une partie des fibres du stratum superficiale
le, la com- missure, les cordons de Goll et de Burdach et la partie
médiane
du cordon antérieur du côté gauche sont atteint
ojectile a pénélré par le vertex à gauche à 1 cent. 1/2 de la ligne
médiane
, et est ressorti à 7 centimètres transversalement
ous le sein gauche et s'étendant transversalement de- puis la ligne
médiane
antérieure jusqu'au-dessous de l'angle de l'omopl
male. Du côté du tube digestif : la lèvre est fissurée sur la ligne
médiane
. La langue est normale. Les dents, cariées et a
: le' cubital au coude, le radial dans la gouttière de torsion, le
médian
à la face interne du bras, le sciatique poplité
« La corde vocale gauche est contracturée en adduction sur la ligne
médiane
. Le cartilage aryténoïde gau- che est luxé en a
est le plus souvent épaissie. Les coupes des nerfs crural, radial,
médian
, cubital, circonflexe nous ont révélé des lésio
ont un peu plus nombreuses, de chaque côté, sur les bords du septum
médian
. Les zones de Lissauer sont également plus pâle
que les fibres sont un peu plus abondantes sur les bords du septum
médian
, dans la zone radiculaire postéro-externe et da
e. XII° dorsale. - La dégénérescence est plus marquée vers la ligne
médiane
; il ne persiste à ce niveau qu'une très mince
ste à ce niveau qu'une très mince bande de fibres le long du septum
médian
, ainsi qu'un petit triangle à l'extrémité postéri
s clairsemées ; elles sont un peu plus abondantes le long du septum
médian
et surtout en avant où elles se confondent avec
constatai ion facile, non seulement sur les gros nerfs des membres
médian
, cubital, radial, origines du plexus brachial d
téro-postérieur (V. la radiographie, pl. LXXIX, fig. 1) ; une section
médiane
antéro-postérieure du rachis montre que cet épe
ituées en regard du foyer tuberculeux ; 2° l'autre occupe la partie
médiane
des cordons de Goll ; séparée par une bande de
vation X sur la colonne cervicale isolée et sectionnée sur la ligne
médiane
n'a pu, même alors, déceler la lésion minime ex
de la substance grise antérieure du pont. Il s'arrête sur la ligne
médiane
. Il a détruit la partie profonde de la couche t
le céré- belleux inférieur, la branche horizontale de l'arbre dévie
médian
, et les lobes, central, quadrilatères antérieur
dessus la partie de l'arbre de vie précédant la branche horizontale
médiane
est percée de vaisseaux très dilatés et entourés
stérieur du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La substance blanche
médiane
immédiatement en avant de l'olive cor- responda
stingue de plus 5 foyers : . Deux antérieurs, l'un externe, l'autre
médian
, en rapport avec le pédon- cule cérébelleux inf
en rapport avec le pédon- cule cérébelleux inférieur (PCI). Deux
médians
, l'un intra-ciliaire, l'autre dans le feutrage ex
ncore 3 foyers : l'un antérieur, formé de deux segments externes et
médian
, indiquant le pédoncule cérébelleux inférieur , l
ernes et médian, indiquant le pédoncule cérébelleux inférieur , le 2°
médian
extra-ciliaire ; et le 3° dans le feutrage soit
Comment s'expliquer la décoloration si intense des circonvolutions
médianes
non lésées, et reconnaître l'intégrité du segme
à la doctrine admise, nous devons dire que pour nous, le lemniscus
médian
, le ruban de Reil, a comme centre terminal de p
aisceau pyramidal direct est, au contraire, dé- placé vers la ligne
médiane
au niveau de la moelle mais il faut dire que les
icile) avec d'autres des voies du tronc encéphalique : le lemniscus
médian
ou latéral. Nous avons voulu démontrer qu'il po
dans le segment sus-ventriculaire de cette couche et longent la paroi
médiane
(interne) sont disposées en une couche très min
ont contourné la corne ventricu- laire et viennent côtoyer sa paroi
médiane
; de plus, nous croyons que cet entrecroisement
Deuticl;e. LAMDOTTE (A.) et SANO (F.). - Section partielle du nerf
médian
. Suture. Restauration fonctionnelle. Brochure i
e, on trouva dans le tiers inférieur du pont de Varole sur la ligne
médiane
, un caillot récent du poids de deux drach- mes.
scendante lombaire, sclérose ascendante cervicale dans les colonnes
médianes
et postérieures. A. Marie. 222 REVUE D'ANATOMIE
l'ablation de tout le cervelet, d'un hémisphère (deux cas), du lobe
médian
et de la substanoe blanche d'un hémisphère (ave
upière droite. Le voile du palais n'est pas atteint ; la luette est
médiane
; les piliers ne sont pas plus tombants d'un côt
al, qui est lui-même entouré d'une touffe abondante. Sur la ligne
médiane
, au-dessous du pubis, se voit un petit organe q
n; les deux petits replis cutanés qui en se réunissant sur la ligne
médiane
forment ce capuchon représenteraient les petite
reviendrons. Si on écarte ces deux replis on découvre sur la ligne
médiane
, au-dessous ou plutôt en arrière de la verge, u
mparable à une vulve, que pré- sente le scrotum divisé sur la ligne
médiane
. Dans notre cas, cette apparence est assez gros
rappellent vraiment que de très loin des grandes lèvres. Le raphé
médian
n'existe pas; dans beaucoup de cas cependant, I
E ET HYPOSPADIAS. 299 il est signalé comme représenté par une bride
médiane
placée sous la verge et s'étendant plus ou moin
y a contracture de quel- ques muscles innervés par le cubital et le
médian
, intégrité de l'adducteur du pouce, de l'abduct
, du petit palmaire, innervés par le cubital ; dans le domaine du
médian
, le fléchisseur sublime et le fléchisseur profond
riques - qu'une étude restreinte bornée à quelques troncs nerveux :
médian
et sciatique poplité externe de chaque membre.
ogival, les dents sont assez régulièrement plantées, les incisives
médianes
supérieures larges en fer de bêche; l'incisive
sage est rond ; la peau est fine. Le cou est moyen, circonférence
médiane
, 32 c. 5. Le corps tout entier est bien proport
atégorie particulière d'impressions sensitives; 4° Le ruban de Reil
médian
représente un système complexe de fibres. Il co
dantes pédonculaires ; on sait en particulier que le ruban de Reil
médian
s'arrête dans le noyau externe et le centre média
le ruban de Reil médian s'arrête dans le noyau externe et le centre
médian
de la couche optique ; -, 7° Les connexions d
le sur le côté du sillon postérieur sous forme de cordon postérieur
médian
. Les fibres qui sortent des racines sensitives
des fibres déjà incorporées : ainsi se forment un cordon postérieur
médian
et un cordon postérieur latéral ; 2° le faiscea
mitent essentiellement aux cordons antérieurs et encore à leur zone
médiane
. Ces fibres sont indubitablement, pour la plupa
cervelet qui méritent le nom de tractus céré6cllo- spinal antérieur
médian
. Sur les coupes transverses de la moelle ces fi
du vermis ; le reste contourne la face antérieure des gros noyaux
médians
du cervelet, s'entrecroise sur la ligne médiane e
ure des gros noyaux médians du cervelet, s'entrecroise sur la ligne
médiane
et se perd peut-être en partie dans ces noyaux,
pose plus au sulfure de carbone. P. K. XXIII. Le faisceau optique
médian
du pigeon; par A. WALLEXBERG. (Neurolog. Ceutoa
e REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 415 de fibres
médianes
, que l'on peut suivre jusqu'à l'extrémité infé-
ertainement tenues pour dégénérées. Du chiasma, le faisceau optique
médian
gagne d'abord le bord externe du nerf optique d
aire à l'axe, montre que le faisceau en question est bien un groupe
médian
à faible excen- tricité. L'entrée du nerf opt
ompartiment postérieur, externe, inférieur. Or, le faisceau optique
médian
se répand presque complètement dans le compar-
anches d'une pince. Le territoire in- nervé par le faisceau optique
médian
commence donc bien en dehors de la papille et v
onstate que quelques dégénérescences éparses. Le faisceau optique
médian
vient donc de l'isthme et se termine dans la ré
uteur du noyau du pathétique, il oblique en arrière et sur la ligne
médiane
vers le hile antérieur du gan- glion de l'isthm
ganglion; celles-ci les renvoient aux fibres du fais- ceau optique
médian
qui représentent la branche efférente centri- f
ent la branche efférente centri- fuge de l'arc. Le faisceau optique
médian
se terminant dans la rétine et dans les régions
tatera que le siège de cette fracture est aux environs de la partie
médiane
de l'os, que sa direction est oblique de haut e
obes oculaires produit une douleur intense notamment dans la partie
médiane
de la paroi orbitaire ; ils sont sensibles à la
r de sa surface, et a alors usé le pariétal gauche près de la ligne
médiane
en avant de la suture lambdoïde ; cette végétat
IE NERVEUSE. LXVIII. Contribution à la pathologie des paralysies du
médian
par M. Bernhardt. (Neurolog. Ces<)'< : /6
nhardt (Cenlralbl. f. Nenvenheilh., 1885) montrent que la lésion du
médian
au niveau de l'articulation du poignet produit
té que les éléments sensitifs et moteurs des deux nerfs (cubital et
médian
) s'anastomosent les uns avec les autres; les fa
e des nerfs optiques. La compression, d'abord exercée sur la partie
médiane
du chiasma qui contient les fibres entre-croisé
.\ ! < ! srE.Prese ! )tation()'un, 150. Faisceau optique. Le -
médian
du pigeon, par Wallenberg, 424. Faisceau pyra
par Salomonson, 482. De la - phosphorée, par llens- cheu, 485. du
médian
, par Bernhardt, î98. - traumatique du plexus
enfin des gouttelettes de sang dessinent la lettre A, sur la partie
médiane
du front, un peu à gauche (1 cen- timètre de ha
noyau des cordons de Goll du côté opposé, ainsi que dans le segment
médian
du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'u
aux tractus sensitifs de la moelle épinière. L'angle inférieur et
médian
du noyau interne de l'acoustique du mêmecôté lui
oisième' ventricule (peut-être à la couche optique ? ), à la partie
médian
du ruban de Reil (Reichert, de Gudden) : ces de
mis. La moitié spinale gagne, un peu en arrière de l'autre, le plan
médian
du pédoncule cérébelleux moyen, se trouve perpe
les du côté opposé. Donc le lobe pariétal, au moyen de fibres fines
médianes
et laté- rales du ruban de Reil, se rattache au
le (un cas), immobilité de la corde vocale gauche, près de la ligne
médiane
, puis elle reprend ses fonctions ainsi que les
sentaient une tension telle, une fixité si solide, près de la ligne
médiane
, que le courant phonétique expiratoire faisait
il cent, et demi. De la malléole externe à l'extrémité de l'orteil
médian
, 16 cent. Gr... mane assez proprement, se sert
long des vertèbres cervicales et dor- sales, sans dépasser la ligne
médiane
(rougeur et douleurs accou- tuméesl. Points dou
elle lombaire et dorsale infé- rieure, (double raie entre le sillon
médian
postérieur et le bord interne de la corne posté
L'auteur montre à l'aide de cinq observations de blessures que le
médian
innerve non pas seulement la face palmaire des do
négalité dans les zonesaneslltésiques raltachables aux blessures du
médian
(ques- tion de degré et d'étendue de la lésion e
t usées jus- qu'au niveau des gencives; en haut, les deux incisives
médianes
de lait persistent en avant des dents définitiv
tumeur thyroïdienne. On sent distinc- tement le larynx sur la ligne
médiane
en plaçant la tête dans l'extension et en dépri
ux côtés, l'érysipèle dépasse le mamelon, tendant à gagner la ligne
médiane
. De même, la rougeur descend sur le côté droit
e des pariétaux et la partie antérieure du tem- poral. Sur la ligne
médiane
, ils s'avancent sur le milieu du frontal en for
le milieu du frontal en formant une houpette ; entre cette houpette
médiane
et les parties latérales il existe une calvitie
volution frontale ascendante (FA) assez maigre, sauf vers sa partie
médiane
, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieu
ane, est coupée par deux sillons antéro-posté- rieurs. Cette partie
médiane
isolée est reliée à la deuxième cir- convolutio
la circonvolution du corps calleux, dont il est séparé à sa partie
médiane
par une scis- sure sous-pariétale (Sc. sp.).-La
lution pariétale ascendante (P. A.) est maigre, surtout à sa partie
médiane
. Le lobule pariétal supérieur (P,), irrégulier,
ssure parallèle pariétale. Au niveau de sa courbe, puis à sa partie
médiane
, elle est interrompue par les plis trans- versa
et pariétale ascendantes. On remarque un peu en avant de sa partie
médiane
un sillon en y grec assez profond, et en arrière
e poche globuleuse, d'un volume considérable, apparaît sur la ligne
médiane
. C'est le péricarde distendu par une grande qua
t l'oesophage, après une incision de la peau pratiquée sur la ligne
médiane
, on recherche le corps THY- RoiDE entre la trac
c fait saillie et les droits de l'abdomen n'adhèrent pas à la ligne
médiane
. La malade peutmarche)- lentement et en chancel
e la corde forme sur le cou arrive-t-il en arrière jusqu'à la ligne
médiane
à gauche, tandis qu'à droite il s'avance beaucoup
de arrivée dans la région de la nuque, se prolonge jusqu'à la ligne
médiane
, qu'elle dépasse même un peu. A droite, la trac
l'aisselle et au bras, sur tout le parcours des principaux nerfs :
médian
, cubital et radial. On ne trouve pas de douleur à
l'angle supérieur et antérieur du pariétal gauche, près de la ligne
médiane
. La cicatrice et le cuir chevelu environnant ét
rophiées, surtout au commencement des trois frontales à l'extrémité
médiane
de la frontale antérieure et dans le voisinage
3. Nerf accessoire de Willis (ori- gine centrale du), 104. Nerf
médian
(paralysies du), 226. Névralgie de la cinquième
jambes s'écartent également de 50 centimètres envi- ron de la ligne
médiane
. Pas d'urination, ni de défécation', ni de mors
e irrégulière, comme tassée; quoiqu'elle soit peu développée, son V
médian
pré- sente des traces de dédoublement, ou plutô
iane partant de sa pointe dans la scissure de Sylvius; cette partie
médiane
se trouve inférieurement située à un demi-cen-
émisphérique ne sont pour l'antérieur que l'exa- gération du sillon
médian
paracentral prolongé en haut et en bas. La scis
scendante une scissure parallèle frontale in- terrompue à sa partie
médiane
par deux plis d'insertion de la deuxième circon
à 3 millimètres environ de la scissure interpariétale ; à sa partie
médiane
une scissure transverse assez profonde la met e
sure sous-pariétale et d'autre part avec un sillon vertical profond
médian
du lobule paracentral à la partie inférieure de
oupée par de nombreux sillons verticaux; elle envoie vers sa partie
médiane
un pli de passage à niveau à la circonvolution
'épanchement siégeait principa- lement dans la partie antérieure et
médiane
de la plèvre diaphragmàtique et était de nature
frontale est également bien développée, très découpée; à sa partie
médiane
se trouve un sillon profond allant de la premiè
occipitales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie
médiane
de la circonvolution est légèrement en retrait
n isolé des circonvolutions envi- ronnantes ; il présente un sillon
médian
transversal. - La scissure calloso-marginale es
CURSIVE. proéminence de l'occipital qui. est surmonté par un méplat
médian
et régulier ; les bosses pariétales et frontale
du pariétal et de l'occipital, une autre plus petite vers la partie
médiane
et s'étendant à gauche à la partie supérieure de
proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas partant de la partie
médiane
au niveau de la suture fronto-pariétale gauche.
d gauche : une près de la rotule à gauche. - Périonyxis de l'orteil
médian
droit; sur le 4° orteil gauche, légère ulcérati
repoussé à droite, que son lobe gaucho atteint tout juste la ligne
médiane
, que son bord antérieur ne descend pas jusqu'au
irconvolution frontale; l'un se continue directement avec la partie
médiane
de la portion triangulaire. - La deuxième sciss
saux antéro-postérieurs la divisent presque entièrement, l'un même,
médian
, atteint son 132 DE l'épilepsie PROCURSIVE. b
t qu'en partie , le laissant complètement à découvert sur la partie
médiane
. La pie-mère est oedématiée, l'artère communica
supérieure de sorte qu'il s'y forme des plis verticaux sur la ligne
médiane
et sur les côtés, obliques en dehors et en haut
ure s'insèrent les premières phalanges du doigt externe et du doigt
médian
, qui sont indépendantes. Ces deux doigts pos- s
normale, entre lui et le qua- trième doigt. Il est séparé du doigt
médian
en avant seulement depuis la moitié antérieure
ne façon mal habile avec lo doigt externe. Le doigt ex- terne et le
médian
ont quelques mouvements propres très peu étendu
rtout, ainsi que l'avait remarqué M. Bourneville, sur les incisives
médianes
supérieures. (1 ? 7. 18). Il semble y avoir ent
on de la fontanelle, antérieure, le long des sutures et à la partie
médiane
du front sur une sur- face d'environ 2 cm. q. A
oit; la protubérance occipitale semble reportée adroite de la ligne
médiane
. L'épaisseur des parois crâniennes varie de 2 à 4
ulement représentées par de légères stries. Petit kyste à la partie
médiane
. - Rein gauche (170 gr.), il a conservé sa form
non saillantes, régulières, symétriques. Bouche moyenne, la partie
médiane
de la lèvre supérieure est légèrement déviée à
che a une coloration d'un rouge violacé très pro- noncé. L'incision
médiane
ordinaire étant faite, la dissection des muscle
grosse, partagée en deux par une fissure peu profonde sur la ligne
médiane
. Voûte palatine profonde. Menton peu développé.
e, épaisse, recouverte d'un léger duvet. Menton large avec fossette
médiane
. Oreilles régulières, bien ourlées; lobule asse
s moignons est colorée, rosée, et, à gauche, il existe sur la ligne
médiane
une petite ulcération de 6 à 7 mm. C'est sur ce
rieur à gauche. Tourbillon postérieur un peu à gauche de la ligne
médiane
. Pas de ganglions lymphatiques perceptibles au
loso-mar- ginale, profonde, sinueuse, est interrompue à sa partie
médiane
par un pli de passage à niveau allant de la circo
la scissure interpariétale et qui n'est interrompu vers sa partie
médiane
que par un petit pli de passage à niveau allant d
ile du palais très bas. Amygdales non procidentes. Luette petite et
médiane
. Absence complète de dents.-Langue normale. L'e
rance et des pédoncules cérébraux et est en rapport avec le lobe
médian
du cervelet. Aux dépens de ces organes la- fume
ertrophie considérable des amygdales qui se rejoignent sur la ligne
médiane
. Cou court, circonférence : 34 centimètres. Que
en avant d'elles les os frontaux ne se sont pas soudés sur la ligne
médiane
. ' La calotte crânienne représente environ les
pariétales sont peu accu- sées; au sommet de la tête, sur la ligne
médiane
, se trouve une saillie arrondie. La fontanelle
s ; la branche droite ne se prolonge qu'à 4 centimètres de la ligne
médiane
et les bords qui la limitent se rencontrent en
tres, allongés dans le scnsantèro-posté- rieur et occupant la ligne
médiane
de l'aire de la fontanelle postérieure. Le plus
raneux qui a persisté de chaque côté, à 4 cen- timètres de la ligne
médiane
, au niveau des fosses cérébel- leuses. Il ne
ntinuer avec la tente du cervelet qui forme une sorte de cul-de-sac
médian
assez aigu dont le sommet se dirige en haut et
la même façon que cette faux. Ces membranes s'écartent de la ligne
médiane
au niveau de la partie supérieure delà fontanel
'odorat semble bon. Bouche petite, lèvres un peu épaisses. La bride
médiane
qui unit la lèvre supérieure aux gencives est t
La langue est grosse et présente un sillon- 286 : Hydrocéphalie.
médian
assez profond auquel viennent aboutir des sillons
apillomateux à la face supérieure de la langue à droite de la ligne
médiane
. Malgré le manque de roséole et le résultat' né
et frisés se prolongeant dans les aines et remon- tant sur la ligne
médiane
. Verge : long. 90 mm. ; circonf. 93 mm. Testicu
qui paraissent naître d'une ébauche simple sont placés sur la ligne
médiane
, Il n'y a pas un seul organe non médican simple ;
lle. Mais me voici en péril d'hérésie : la simplicité des organes
médians
n'est qu'une apparence, et la réalité est la dupl
ale chez les oiseaux est reconnue par tous les auteurs. Les organes
médians
en généra}. Au point où nous en sommes et à la
droit de douter véhémentement de l'unicité primitive de tout organe
médian
quelque apparente que soit cette unicité ? Ne c
ividualité de chacun des blastomères pri- mitifs. Quand d'un organe
médian
vous me dites, M. Bonne,qu'il provient d'une éb
ire bilatéral, je n'ai pas le droit d'affirmer que tous les organes
médians
se constituent de même ; mais j'ai celui, raiso
attendant preuve contraire. Quand donc vous me parlerez d'un organe
médian
, ne me dites pas seulement : cet organe est né
éjà, dès avant Chabry, il était tout naturel de penser qu'un organe
médian
se formait aux dépens des deux £ côtés de l'oeu
tat actuel de la science il y a lieu de croire que tous les organes
médians
, même ceux nés d'une ébauche sim- ple, sont nés
tif. Après ce qui précède, je pourrais cesser de parler des organes
médians
: la question qui les concerne se trouve tranch
vons déjà que lorsque mon critique le déclare formé par une ébauche
médiane
simple, il n'a avancé qu'un fait sans significa
le : Le tube digestif est, comme chacun sait, un organe impair et
médian
avant les torsions et déplacements qu'il subit.
odermique s'étale symétrique- ment à droite et à gauche de la ligne
médiane
; et ses deux moitiés latérales, pendant le dév
éveloppement du tronc, sont séparées l'une de l'autre, sur la ligne
médiane
, par la plaque cordale. Ce n'est qu'ultérieurem
ue les deux moitiés se rejoignent et s'accolent le long de la ligne
médiane
. On peut donc être autorisé à considérer l'épithé
plus urinaire que génital, et annexe véritable du tube diges- tif,
médian
d'ailleuis. Chez la femme, il est tout entier for
le point de départ de la formation de l'urèthre, organe d'ailleurs
médian
. Le système des organes génitaux est donc doubl
satisfaction : l'un et l'autre de ce, : organes naît d'une ébauche
médiane
d'apparence simple.Puis se forment des parties
ce que nous avons dit plus haut de la corde dorsale et des organes
médians
. Voici enfin la rate ; et c'est certainement pa
sente le mésogastre postérieur, c'est-à-dire la cloison conjonctive
médiane
qui unissait primitivement l'esto- mac à la par
a donc été conçue, - que M. Bonne excuse cette image,- sur la ligne
médiane
. C'est L là qu'a commencé sa formation qui dès
ormation qui dès lors a, à l'origine, été celle de tous les organes
médians
. Qu'un phénomène secondaire l'ait ensuite rejet
ce des deux côtés, c'est-à-dire dans le sens méridien, sur la ligne
médiane
. Tous les organes, système nerveux compris sero
e. Tous les organes, système nerveux compris seront donc doubles et
médians
cependant que leurs cellules se disposeront, pe
e partisan de la théorie de la concrescence pour identifier le plan
médian
de l'animal avec le premier plan, le plan mérid
en ces termes : « Le premier plan de seô mentation devient le plan
médian
de, la larve, et constitue durant L'HOMME'EST-I
e flanc gauche d'un tel animal correspond morphologiquement au plan
médian
d'une larve complète, on voit que l'atrium droit
puisque tous naissent d'ébauches paires ; et pour les autres, tous
médians
, ils ne peuvent tirer argument de ce que l'ébau
fournies par l'un et l'autre côté de l'oeuf s'accolant sur la ligne
médiane
. ' 5 preuve. Le caractère d'individualité de ch
ent égale des deux premiers blastomères à la formation des ébauches
médianes
. Dans l'oeuf insegmenté les répartitions consta
rimer ainsi, et de m'adresser, à propos de la formation des organes
médians
des im- putations que rien n'autorise. On compr
a langue, double dans ses bases, l'est anatomiquement dans le corps
médian
.La thyroïde, le thymus sont bilobés dans l'embr
is où ai-je « déclaré que le tube digestif se forme par une ébauche
médiane
simple » ? Vous avez pris, Monsieur Sabatier, v
n : le tube ner- veux est double puisqu'il s'est formé sur la ligne
médiane
? Que nous importe « le grand développement des
usivement sur le côté droit de la moelle dépassant à peine la ligne
médiane
. Dans le sens de la hauteur les extrémités supé
s du segment proximal du noyau du III les plus voisines de la ligne
médiane
; que les noyaux d'E. W. ne font très probablem
du lobe sphénoïdal des caillots dans les ventricules latéraux et
médians
, de la sclérose des noyaux gris,ce qui indiquait
La langue,très déviée à gauche, ne peut être rame- nés sur la ligne
médiane
que lorsque la volonté est aidée par la suggest
oins important que l'impossibilité de ramener lalangue sur la ligne
médiane
; dans cer- taines formes frustes, les deux moi
on perceptibles ; front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne
médiane
(voir le tableau spécial pour la mensuration de
s sont glabres, les seins non dévelop- pés ; duvet roux à la partie
médiane
et supérieure de la face postérieure du thorax
disparaît en grande partie par l'allongement de la moelle. Une ligne
médiane
sépare la moelle en deux parties et sur les côtés
e, des ganglions véritables et pas de nerfs intermédiaires. Une ligne
médiane
règne tout le long de la moelle, qu'elle partage
anglions, interception complète de la séparation, et même de la ligne
médiane
(1). Un ganglion anal termine la moelle ; il est
yllosome, ces deux moitiés latérales tendent à se réunir sur la ligne
médiane
à l'extrémité antérieure du corps ; elles sont di
oyaux médullaires et les segmens du corps sont confondus sur la ligne
médiane
en une seule masse ganglionaire ; mais les deux c
semblable et ne constituent plus qu'un seul tronc placé sur la ligne
médiane
. Enfin dans le palémon celte réunion des deux moi
e les ganglions ne présentent plus de traces de division sur la ligne
médiane
et que les cordons de communication ne sont resté
e les parties latérales du système nerveux se rapprochent de la ligne
médiane
, des modifications analogues se font remarquer su
de leur séparation. Tréviranus a donné cette interprétation au sillon
médian
qui se trouve dans la partie moyenne du quatrième
ue toujours uni à celui du côté gauche, sans qu'il existe à la partie
médiane
aucune trace de division. Ce ganglion a été consi
e celle du côté opposé; l'une et l'autre arrivent au niveau du sillon
médian
inférieur de la moelle, et s'unissent en formant
ls sont implantés à la partie inférieure de la moelle, près du sillon
médian
. M. Serres assure les avoir mesurés sur vingt poi
Elle se trouve comme divisée en deux moitiés latérales par un sillon
médian
fulcral et un autre sillon médian spinal, ce dern
eux moitiés latérales par un sillon médian fulcral et un autre sillon
médian
spinal, ce dernier plus profond que l'autre, et s
ande partie de son épaisseur, excepté toutefois les faisceaux spinaux
médians
qui sont simplement réunis par un tissu filamente
la moelle dans le canal central de cet organe. Ces faisceaux spinaux
médians
existent dans tous les poissons, même les plus pe
on à la moelle. Assez communément, on les suit jusqu'auprès du sillon
médian
, les racines fulcrales étalées sur le faisceau mé
t ; cependant, quelques-unes de ces dernières dirigées vers la partie
médiane
de l'organe, s'unissent aux fibres correspondante
on, il faut couper l'encéphale d'un goujon, par exemple, sur la ligne
médiane
, et en placer une moitié sur le compresseur; un g
nal, comme celle des poissons. De chaque côté, et tout près du sillon
médian
spinal, se trouve un sillon presque su perflcíe
lame optique croisant les racines du nerf, se dirigent vers la ligne
médiane
où elles se continuent sans aucune interruption
facefulcrale, la moelle épinière a dans toute sa longueur, un sillon
médian
très distinct; sur sa face spinale trois sillons,
sillon médian très distinct; sur sa face spinale trois sillons, l'un
médian
, qui s'ouvre largement à l'endroit que je viens d
nt le cerveau du lapin et celui de l'agouti. De chaque côté du sillon
médian
qui s'éten danl d'avant en arrière, sépare le cer
au, le putois, un sillon transversal qui coupe crucialement le sillon
médian
ou antéro-postérieur du cerveau : ce sillon a une
é droit et celle du côté gauche forment, parleur adossement, la ligne
médiane
du cerveau; elles commencent l'une et l'autre par
avant du cerveau (fig. 1, I), et se terminer en bas, entre le sillon
médian
du cerveau et la racine du nerf olfactif (I, fig.
a cloison, premier ventricule, cinquième ventricule, simis du système
médian
). Tarin admet que ce ventricule communique avec l
pl., fig. lre), dont les circonvolutions qui s'éloignent de la ligne
médiane
n'ont pu être comprises dans la section. La dif
s, la luette, l'extrémité inférieure et postérieure du vermis ou lobe
médian
du cervelet, les pédoncules du cervelet, et la fa
es et les guenons, c'est-à-dire, le plus grand nombre des singes sont
médians
et emportés. Il y a pourtant quelques exceptions
e a son siège dans la seconde circonvolution à commencer par la ligne
médiane
. Cette circonvolution est plus large et plus bomb
ir leur habitation sur des lieux élevés, il est situé ce sur la ligne
médiane
du crâne, immédiatement au-dessus de l'organe de
36tf, (2) Id., id., p. 399. circonvolutions placées vers la ligne
médiane
et séparées seulement par l'interposition de la p
on pyramidale dont la base est à l'écorce grise des circonvolutions
médianes
(ou ascendantes) et qui, se diri- geant en bas
notable, rigidité cadavérique peu prononcée; il existe une eschare
médiane
de n centimètres à la région sacrée, et une aut
sé : il est détruit dans toute sa moitié droite, à partir du sillon
médian
, dans les deux tiers antérieurs ; il n'y a plus
re, au-dessus du ves- tibule, dans le prolongement du petit dortoir
médian
, ou a mé- nagé un lavabo et un cabinet de toile
uxgangtionsindépen- dants l'un de l'autre. L'un, placé sur la ligne
médiane
, est formé de petites cellules. L'autre, placé
ercules mamillaires, traverse simplement ceux-ci, entre le ganglion
médian
et le ganglion latéral, sans affecter plus ample
rige intérieurement d'avant en arrière, et se rend dans le ganglion
médian
du tubercule mamillaire, d'où part un se- cond
certaine étendue avec le faisceau de Vicq d'Azyr, affecte un trajet
médian
par rapport à ce dernier, pour bientôt bifurque
le antérieur correspondant, du faisceau de Vicq d'Azyr, du ganglion
médian
du corps mamillaire et du faisceau de la calotte
atrophié ; la même observation peut être faite à propos du ganglion
médian
. Pourquoi ? Voici le résultat des recherches en
es restes sus-men- tionnés demeurent intacts. C'est que le ganglion
médian
n'est pas simple ; il se compose, à son tour, d
r le faisceau de la calotte ; l'entrecroisement a lieu sur la ligne
médiane
; la méthode de préparation et l'association d'
long prolongement conique en dedans et en arrière, jusqu'au sillon
médian
postérieur. Entre ce prolongement et la commiss
1862. Le projectile péné- tra dans le crâne, au niveau de la ligne
médiane
, à un pouce et quart au dessus de la protubéran
tale externe, et sortit en un point situé à deux pouces de la ligne
médiane
et à trois pouces du point d'entrée. 11 n'y eut
n ahéolo-condyloidien de Broca. L'orifice d'entrée est sur la ligne
médiane
à 3 centim. 5 au dessus de la protubérance occi
xterne. La ligne tirée du bregma à la cicatrice en suivant la ligne
médiane
, mesure 1 cen- tim. 5. L'orifice de sortie es
ontale est à 6 centim. 5 du bregma; le milieu correspond à la ligne
médiane
(à S centimètres de distance). Son extrémité fron
interne, les fibres du faisceau latéral croisent encore la ligne
médiane
de façon que le centre visuel reçoit des fibres d
supérieur et inférieur ne se contracturent pas bien. La pression du
médian
, du radial donne la contracture et la griffe co
es griffes des muscles résultantes de la pression des trois nerfs :
médian
, cubital et radial). Le 16 de ce mois, légère a
elleux inférieur jusqu'à ces petits noyaux et à l'entre-croiseinent
médian
. Il est possible que sou entrecroisement atteigne
grise superficielle du tubercule bijumeau antérieur et des portions
médianes
et antérieures du corps genouillé ex- terne ; s
e ou avec le pulvinar sont insignifiants. Par conséquent, la partie
médiane
de la sphère visuelle s'unit presque exclusivem
infracorticaux ; sa partie latérale s'unit plutôt avec des portions
médianes
des centres optiques infracorticaux. En ce qui
la disposition des fibres du nerf optique, l'ablation de la partie
médiane
de la sphère visuelle entraîne l'atrophie de to
dessus et au-dessous de chaque noyau de l'oculomoteur, sur la ligne
médiane
par rapport au noyau principal, existe un petit
oculo-moteur apparaît dans toute sa vigueur on trouve, sur la ligne
médiane
, c'est-à-dire entre les deux noyaux, un noyau m
sur la ligne médiane, c'est-à-dire entre les deux noyaux, un noyau
médian
qui, de chaque côté, envoie des fibres au nerf.
, sauf dans la région lombaire où elle présente au niveau du sillon
médian
antérieur, quatre petites plaques du volume d'u
e du bras. Lésions sem- blables à celles des filets du radial. 4°
Médian
à la partie moyenne du bras. Mêmes altérations.
ui ont été signalées dans les nerfs du bras gauche. Sur le tronc du
médian
on constate des modifications de même ordre, ma
que les parties molles, comme les parties dures, situées sur la ligne
médiane
, se développent par des points latéraux qui viend
s par le cul-de-sac, se sont dirigées d'arrière en avant sur le raphé
médian
non encore consolidé et ont maintenu un trajet fi
diamètre antéro - postérieur : point de trace d'anus , point'de raphé
médian
. Au niveau du sommet du coccyx, petite dépression
A, TSA n'étaient pas symétriquement placés des deux côtés de la ligne
médiane
. Les deux muscles fessiers étaient réunis sur la
ligne médiane. Les deux muscles fessiers étaient réunis sur la ligne
médiane
, au niveau de l'ouverture postérieure O, par un r
adhérait nullement. Elle remplissait entièrement la grande excavation
médiane
de la base du cerveau, et s'avançait jusqu'au-dev
proportionnellement en si grande abondance dans la grande excavation
médiane
de la base du cerveau, et qui est essentiellement
ui est essentiellement distinct de la pie-mère. (J'appelle excavation
médiane
l'excavation bornée en arrière par les pédoncules
tervalle qui existe entre la protubérance et le bulbe. LM est le lobe
médian
, CC les deux lobes latéraux du cervelet. Il y a p
ait pris son origine dans le tissu cellulaire de la grande excavation
médiane
du cerveau, pour pénétrer dans le troisième ventr
le tissu cellulaire séreux sous-arachnoïdien de la grande excavation
médiane
du cerveau, que cette tumeur s'était développée;
FAP (fîg. i). Comme dans ce dernier sens, il ne dépasse pas la ligne
médiane
; mais cette ligne médiane est déjetée à droite; l
ce dernier sens, il ne dépasse pas la ligne médiane; mais cette ligne
médiane
est déjetée à droite; le sang semble être à nu so
e moelle en arrière dans toute sa longueur, en divisant la commissure
médiane
et renversant de chaque côté les deux moitiés dép
deux petits faisceaux FM, faisceaux mamillaires qui sortent du sillon
médian
de la moelle, se renflent légèrement en forme de
r, le col COL ne présente d'autre trace de division qu'une dépression
médiane
longitudinale ; mais il existe deux museaux de ta
pour les dimensions, et l'incision du col de chaque côté de la ligne
médiane
démontre deux cavités bien distinctes, dont chacu
une dépression ou rainure superficielle qui règne sur toute la ligne
médiane
et se prolonge le long du vagin. A cette dépres
ense pas qu'il y ait défaut, absence des parties situées sur la ligne
médiane
; car, dans tous les faits connus, les deux lobes
orique : le kyste de l'ovaire se place en effet de suite sur la ligne
médiane
, par la raison qu'il se développe dans le sens qu
leux n'était atrophié ni d'un côté ni de l'autre : c'est que la ligne
médiane
n'est pas la limite de ce qui appartient à l'un e
corps calleux : dans cette excavation, qui mérite le nom d'excavation
médiane
du cerveau, se voit une assez grande quantité de
directe entre ces ventricules et le tissu cellulaire de l'excavation
médiane
? Plusieurs faits sembleraient l'indiquer. On cher
mme disséquées. Le cerveau ayant été renversé, j'ai vu l'excavation
médiane
du cerveau remplie par une substance jaunâtre, de
. Le cerveau renversé présentait à sa base, dans la grande excavation
médiane
, une couche très-épaisse de pus concret déposé da
nt portait à la partie inférieure de la région lombaire, sur la ligne
médiane
, une tumeur hémisphérique de quatorze lignes de
es lombaires ( i', 2 ); 20 deux pièces, une de chaque côté delà ligne
médiane
, pour le corps des troisième, deuxième, première
dans l'hémisphère gauche du cerveau HG, sur les côtés de la scissure
médiane
: la plus petite T'C était logée dans une excavat
elle de l'hémisphère droit HD, également sur les côtés de la scissure
médiane
qui était elle-même déprimée : au niveau de ces t
nomateuse TC (fig. 3) située sous l'arachnoïde, à côté de la scissure
médiane
, à la réunion des circonvolutions antérieures ave
ité. La matière pseudo-membraneuse abondait surtout dans l'excavation
médiane
de la base du cerveau et le long des prolongemens
'arachnoïde et la pie-mère du cervelet C, mais seulement sur la ligne
médiane
et au voisinage. L'infiltration s'étendait jusque
ndon du biceps, de l'artère brachiale, des veines brachiales, du nerf
médian
, et même de la peau, à travers laquelle s'échappe
La veine céphalique VC, la veine basilique VB, les veines cubitales,
médianes
, radiales, YC, VM, VR, et leurs divisions sont vo
veine céphalique VC est remplie de pus liquide, ainsi que les veines
médianes
VM, VM, et la veine radiale VR. La veine basiliqu
rare du côté gauche, que du côté droit. De chaque côté de la ligne
médiane
, la face postérieure de l'utérus était parcourue
ine et la couche la plus superficielle du tissu de l'utérus. La ligne
médiane
seule était respectée : les troncs lymphatiques l
é. Quelquefois il y a deux thymus parfaitement distincts sur la ligne
médiane
; dans d'autres cas, les deux thymus communiquent
sur le cervelet; et en écartant avec précaution la portion de lobule
médian
du cervelet qui répond à la face postérieure du b
ne, qui des bords du calamus scriptorius s'étend à la portion du lobe
médian
du cervelet, connue sous le nom de vermis inferio
liée 3e livraison, je n'avais pu me rendre compte ni de cette cloison
médiane
qui divisait incomplètement la tumeur en deux moi
istincts, l'un interne plus petit , qui longe de chaque côté la ligne
médiane
, l'autre externe, plus considérable, que l'on peu
est située en dehors et en avant, Fautre en arrière près de la ligne
médiane
. Leur forme était irrégulière. D'une part, elles
ercule considérable, du volume d'une noix aplatie, occupait la partie
médiane
du cervelet, et se voyait dans le 4e ventricule,
lume et de la forme d'une bille de moyen calibre , occupait le lobule
médian
du cervelet, et faisait saillie dans le quatrième
antéro-postérieure qui montre les tendons fléchisseurs TF, et le nerf
médian
N intacts et libres au milieu de la dégénération.
occipitale et leur position relative, l'une lre TO occupant la ligne
médiane
immédiatement derrière la suture sagittale, l'aut
n transversale de la convexité présente, à côté de la grande scissure
médiane
, une perte considérable de substance. On dirait q
et des anfractuosités de l'hémisphère gauche qui avoisinent le sinus
médian
plusieurs foyers d'apoplexie capillaire caractéri
re droit, l'une des circonvolutions qui avoisinent la grande scissure
médiane
présentait une perte de substance analogue à cell
ture du cadavre. — Hémisphère gauche du cerveau. A côté delà scissure
médiane
, les circonvolutions qui répondent à la partie la
la rotule, du bassin, et des mains ; la colonne vertébrale, organe
médian
, présente une scoliose dorsale, sans incurvatio
r un assez grand nombre d'os situés tous d'un seul côté de la ligne
médiane
: un cas sem- blable n'avait pas encore été rap
iaque ne semble pas déjetée plus que l'autre par rapport à la ligne
médiane
. Sur les radiographies du bassin on constate mani
à ce niveau des larges et longs plis qui dépassent un peu la ligne
médiane
. Les mamelles sont peu développées. Si on exa
ucun signe d'atropine des lèvres, la langue est tirée dans la ligne
médiane
et projetée en avant, à droite, à gauche en haut
voit les deux omoplates qui vont un peu en s'éloignant de la ligne
médiane
avec une inclination de haut en bas et de dedans
se cantonnent surtout dans le territoire du nerf cubital et du nerf
médian
. Voyons si notre cas peut être placé dans un de
), Gowers ont trouvé de l'anesthésie sur le trajet du cubital et du
médian
chez des sujets atteints de crampe des écrivain
de la réaction de dégéné- rescence sur les muscles innervés par le
médian
. Remak cite ce cas comme un exemple typique de
mains, peu- vent voir survenir une paralysie dans le territoire du
médian
, avec atro- phie de l'éminence thénar, puis des
oigts de la main droite ; une névralgie se déclara sur le trajet du
médian
, et cette névral- gie amena une impotence fonct
de 3 centimètres de longueur, située à deux centimètres de la ligne
médiane
à droite et un peu au-dessus de la saillie du cor
plégie d'origine cérébrale par exemple, section traumatique du nerf
médian
ou cubital, anévrysme de l'artère axillaire compr
ençait à jouer, avait des douleurs très vives dans les trois doigts
médians
de la main gauche, douleurs qui cessaient quand
déjà dit, observé dans deux cas de la névrite sur le territoire du
médian
, et la crampe réflexe semblait alors être provo
altères de Lothar Dreyer). De plus, l'os apparait formé d'une bande
médiane
claire et de deux bandes latérales sombres très
it plus qu'une certaine sensation douloureuse à la pression du nerf
médian
et du nerf cubital du côté droit et une légère di
e, de la parésie du côté gauche. A l'autopsie, on trouva une tumeur
médiane
, du volume d'un abricot sous-jacente au corps cal
- rieurs ou inférieurs avec une prédilection marquée pour les nerfs
médian
et cubital, ou encore sur certains nerfs crânie
e, dans la région dorsale moyenne, l'un des feuillets de la cloison
médiane
antérieure apparait looalement épaissi el scléros
n dorsale, le cordon anté- rieur présente, de chaque côté du sillon
médian
antérieur, des lésions de même ordre, encore pl
, et un peu d'attention fait vite éviter l'erreur. Dans le septum
médian
postérieur, de nombreuses coupes montrent (fig.
e qu'à gauche et il nous semble que c'est à droite plutôt la partie
médiane
du muscle qui est conservée. Déjà quand l'enf
bord par les cornes postérieures, puis s'entrecroisent sur la ligne
médiane
, passent dans les cordons latéraux et montent d
es abdominaux (aussi des grandes droits) aux parties inférieures et
médiane
de la paroi abdominale, mais les muscles étaient
a '12° ver- tèbres dorsales un naevus pigmenté à droite de la ligne
médiane
; il en porte un autre sur la face antérieure de
'ombilic qu'il déborde légère- ment en haut ; il s'arrête sur ligne
médiane
. L'autre, oblique en bas et en avant, commence
evus : il occupe la région mammaire, confinant en dedans à la ligne
médiane
, atteignant en bas le pli mammaire inférieur et
e, il vient mourir au ni- veau de la paume de la main entre son axe
médian
et l'éminence thénar. Au niveau du dos, il occu
a troisième vertèbre; mais cette fente est oblitérée dans sa région
médiane
par une tubérosité osseuse entre la troisième et
fuse dans tout le membre et spécialement dans le territoire du nerf
médian
. A l'examen objectif on nota alors : de la paré
n objectif on nota alors : de la parésie dans le territoire du nerf
médian
du côté droit. Le cubital et le radial étaient fo
ial étaient fonctionnellement intacts. Dans la zone innervée par le
médian
, il y avait des troubles de sensibilité sous fo
objectif des diverses formes de la sensibilité. La parésie du nerf
médian
s'améliora rapidement avec quelques séances d'a
iliaque, il est éga- lement dévié en dedans relativement à la ligne
médiane
. A gauche, il s'est déplacé du côté externe et
gauche ou note une dépression peu profonde qui s'étend de la ligne
médiane
presque 3 centimètres latérale- ment et en haut
rononcées, la surface en est régulière ; l'épaisseur dans la partie
médiane
est presque de 3 centimètres. L'omoplate se p
exion que dans celui de l'extension. La rotule est mobile. Au tiers
médian
et inférieur de la jambe, la peau pré- sente su
atténuée. Au-dessous de la figure du Président Carnot, sur la ligne
médiane
, on voit un masque tragique, et, de chaque côté
professe publiquement des idées anarchistes. Il porte sur la partie
médiane
du dos une tête de femme, sur les régions scapula
un matelot, quelques fleurs et une figure d'Espagnole. Sur la ligne
médiane
une femme nue dont le sexe est voilé fait un pi
blent à l'aeil nu avoir complètement disparu au niveau de la partie
médiane
de ce noyau. Celles qui persistent, sur coupe h
corps restiforme et à des fibres postérieures qui suivent la ligne
médiane
pour se recourber et aboutir au corps restiform
oie pyramidale et atteint environ le quart interne du ruban de Reil
médian
; il se prolonge en arrière jusqu'au faisceau l
oyer détruit la voie pyramidale, la moitié interne du ruban de Reil
médian
, quelques fibres du pédoncule cérébelleux supérie
p moins bien qu'à droite et semblent atrophiées. Le ruban de Reil
médian
est atteint au niveau de son quart interne ; dans
ée et frappe avec une égale intensité les lobes latéraux et le lobe
médian
, le flocculus, l'amygdale, etc. Il existe égaleme
al, d'une dégénération ascendante du quart interne du ruban de Reil
médian
, enfin et surtout d'une dégénération descendante
es organes étaient conservées dans leurs grandes lignes. La fissure
médiane
antérieure, le sillon bulbo-protubérantiel étai
une forte déviation avec incur- vation vers la droite, delà fissure
médiane
antérieure. Les hémisphères céré- belleux étaie
ster- nèbres se sont soudées ensemble pour former une plaque unique
médiane
, présentant des prolongements irréguliers sur l
ra en passant que sur ce crâne l'os frontal présentait sur la ligne
médiane
une crête verticale assez saillante dans le crâ
craniectomie dans ces cas. Enfin j'ai pratiqué une fois un lambeau
médian
par une double craniectomie pariétale et parallèl
jusqu'à près d'un centimètre sur le pariétal, non loin de la suture
médiane
. Je ne parle pas ici d'exostoses proprement dites
rarement dans l'hystérie, où l'on rencontre ordinairement la griffe
médiane
ou radiale. De plus, les antagonistes étaient peu
HYSTÉRIQUES tt SIMULATEURS)). 1d.9 moins perpendiculaire à la ligne
médiane
du corps, passant, suivant les cas, au-dessus o
i-ci à la manière d'un double menton, dans la région sus-hyoïdienne
médiane
. Sur les parties latérales de cette région', au n
t cariées et irrégulièrement implantées. Les deux grandes incisives
médianes
supérieures sont atteintes de carie, ainsi que
ne douloureuse siégeant à la partie inférieure du dos sur la région
médiane
, un peu au-dessus du sacrum. Cela lui faisait mal
ression est douloureuse, mais il y a un point il gauche de la ligne
médiane
qui semble plus particulièrement douloureux. Po
u'il vous faut connaître sont les suivants (fig. 50) : Sur la ligne
médiane
: a. La glabelle, rendement situé au-dessus de
et amenée à l'autre oreille. Son point d'intersection avec la ligne
médiane
antéro-postérieure est le bregma céphalométriqu
burini, Verga, Virgilio, Amadei. 1° La courbe a7atéro-potérieure ou
médiane
, ou longitudinale, ou fI'Ol1to-hlÍaque. Elle se
sur la partie postérieure de la tête, en restant toujours dans plan
médian
antéro- postérieur. L'écartement maximum des
ur le membre supérieur droit. Quant à l'électrisation des nerfs, du
médian
au bras, au pli du coude et au poignet, du radial
ves et les canines supérieures sont petites et offrent, les incisives
médianes
une double rangée, les autres une rangée unique
viennent d'autant plus vives qu'on s'approche davantage de la ligne
médiane
où elles se montrent normales. Pour la thermoan
s une érosion unique hori- zontale, sauf les deux grandes incisives
médianes
supérieures qui offrent le type parfait des den
e mouvement en dedans, les yeux atteignent à peine jusqu'à la ligne
médiane
; d'ailleurs les mouvements en haut et en bas s
en calculant l'angle facial de Camper au moyen du goniomètre facial
médian
de Broca; nous y reviendrons tout à l'heure.
hauteur et la largeur de la face (Hg. 5G); 2° Le goniomètre facial
médian
oblique de Broca ou la double équerre pour pren
Les points de repère à connaître sont les suivants : Sur la ligne
médiane
, a. L'ophryon. b. Le point mentonnier au mili
uriculaire. Cet angle peut se mesurer au moyen du goniomètre facial
médian
oblique de Broca (Cig. 57). Cet instrument se c
gnuido qui est prise comme dénominateur. Fig. 57. Goniomètre facial
médian
oblique de Broca. 278 NOUVELLE ICONOCKAl'iUË DE
-deux dents en tout. Ces dents sont numérotées à partir de la ligne
médiane
. Pour leur forme, les incisives sont tranchantes,
0 et z). EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES IDIOTS. 291
médiane
, sauf pour les incisives inférieures (loi de décr
agesse en haut, ou la dent de sagesse, la prémolaire, les incisives
médianes
en bas. Jamais on n'a vu manquer la canine. D'a
ires s'éloignent d'un angle qui va en augmentant jus- qu'à la ligne
médiane
. Lorsque la bouche est fermée, il reste entre les
la ligne de l'arcade supérieure se re- lève fortement sur la ligne
médiane
au niveau des os incisifs ; d'autre part et surto
sthésie superficielle très exquise, limitée exactement par la ligne
médiane
. Cette hyperesthésie, surtout prononcée dans le
ne dépression de dimension va- riable située au niveau de la partie
médiane
et antérieure du (borax. Cette dépression est f
1391 ). 331 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. de la ligne
médiane
et s'étendant du bord supérieur de la troisième c
ucun traumatisme tho- racique. Il offrait, au niveau de la partie
médiane
du thorax, une large excavation de 2 centimètre
moitié gauche de la protubérance, doit évidemment dépasser la ligne
médiane
et empièter sur la moitié droite dans le domaine
s, au nombre de 3, A, 5, descendant adroite et à gauche de la ligne
médiane
; ces plis se retrouvent plus petits, moins long
ouleur quitte la région dorsale pour venir se localiser à la partie
médiane
et supérieure du thorax : nouvelles frictions e
interne par deux espaces remplis de tissu graisseux. Leur insertion
médiane
ne se fait qu'au bord du sternum, tandis que le
rnum, tandis que le grand pectoral gauche s'insère jusqu'à la ligne
médiane
sur la face antérieure de cet os (fig. 78). D
ant de dedans en dehors : le nerf cubital, l'artère cubitale, le nerf
médian
, et, sur un plan plus superficiel, le tendon du g
cicatrice : ses ra-meaux subjacents ont un volume normal. La gaine du
médian
a con-tracté quelques adhérences avec la cicatric
rophiés : on re-trouve facilement les filets que leur fournit le nerf
médian
. Les muscles de Véminence thénar sont petits, m
rne de l'annulaire, qui offre ici une anas-tomose avec une branche du
médian
, les branches pour les muscles de l'éminence hypo
niers lombricaux sont absents, comme ces muscles eux-mêmes. Le nerf
médian
n'offre de remarquable que ses adhérences à la ci
uand on comparait avec la coupe d'un autre nerf, par exemple, du nerf
médian
du môme côté. 11 s'a-gissait, d'après M. Charcot,
s le collet du bulbe. Troisième temps. Placer la sonde dans le plan
médian
du corps en relevant le pavillon au-devant du pub
du bulbe. Troisième temps. Placer le plan de la sonde dans le plan
médian
du corps, en élevant le pavillon, le bec étant fi
ue s'étend sur toute la tumeur. Elle se trouve, en haut, sur la ligne
médiane
; elle dévie ensuite légèrement à gauche. Cependa
éphalocèle, il dit que celte hernie ne se produit jamais sur la ligne
médiane
, qu'elle correspond toujours à l'extrémité d'une
am-mation du tissu osseux. L'orifice de la hernie occupait la ligne
médiane
, et ce siège est assez fréquent. (Leriche.) Cet o
eut pas sup-porter plus de 30 grammes d'eau tiède. —Je fais la taille
médiane
en me soumettant de la façon la plus absolue au m
eur. — On fait une incision longitudinale sur la partie antérieure et
médiane
de la tumeur. On dissèque alors la peau et le tis
uin. Poussant plus loin notre examen, nous avons pratiqué une coupe
médiane
de la tumeur, ou plutôt de la paroi antérieure de
à dit que son épaisseur était très-inégale. Fort mince vers la partie
médiane
et antérieure, où elle mesure à peine quelques mi
cription de l'anomalie du rein : Les reins sont soudés sur la ligne
médiane
par leur extrémité inférieure présentant la forme
planche XVII.) La portion de tissu rénal qui se trouve à la partie
médiane
et qui unit les deux reins était située au niveau
ité supérieure, l'autre à 1 centi-timètre et demi environ de la ligne
médiane
, tout à fait à la partie inférieure du rein. L'
lon situé à la partie antérieure du rein à 2 centi-mètres de la ligne
médiane
. Dans le hile du rein droit l'on trouve six con
timètres de largeur. Celte dépression est à 4 centimètres de la ligne
médiane
. L'uretère droit passe comme le gauche à la parti
l qui en maintient le centre contre la sonde, présente un enfoncement
médian
, froncé, qui l'aplatit et le fait ressembler à ce
i faisait percevoir deux images dès que la bougie dépassait le plan
médian
du corps pour passer au côté droit; l'image rouge
.S, bords du vagin renversés, après l'incision pratiquée sur la ligne
médiane
de la face postérieure du vagin; ¦— OU, col utéri
d'abord la portion sous-ombilicale. Au-devant du pubis, sur la ligne
médiane
, se trouve une saillie arrondie, se prolongeant v
embres inférieurs, un peu plus développée que la droite. Sur la ligne
médiane
se voit en avant un sillon prononcé qui se termin
e se voit en avant un sillon prononcé qui se termine par une vésicule
médiane
située à 5 centimètres i /2 au-dessus de l'ombili
orte, à 6 centi-mètres de l'ombilic et à 4 centimètres de la scissure
médiane
, un bourgeon fongoïde qui doit être le rudiment d
cave supérieure, qui fournit bientôt trois vaisseaux secondaires : le
médian
pour l'extrémité céphalique, les deux laté-raux p
é, dont les deux extrémités s'insèrent sur la clavicule. De la partie
médiane
de cette omoplate part un ligament qui supporte l
l'inférieure un peu renversée, la supérieure saillante à la partie
médiane
. - Langue, palais et voûte palatine normaux, sy
égion des tempes, à cause de l'implantation des cheveux ; hauteur
médiane
4 cent. - Face large. - Le diamètre transversal e
glabelle, le bregma et le lambda, au lieu d'être tous sur la ligne
médiane
, sont placés dans un plan fortement oblique d'a
e 12 dents légèrement écartées et bien rangées ; les deux incisives
médianes
sont absentes. - Menton carré et légèrement dév
s thyroïde est normal (5 gr.) ; le thymus (5 gr.), occupe la partie
médiane
et mesure H cent. de long. - Les cordes vocales
est assez bas. Front assez dé- couvert, mesurant 6 cent. de hauteur
médiane
. Bosses frontales peu marquées. La forme géné
que les cheveux et séparés par un no- table écartement sur la ligne
médiane
. Les fentes palpébra- les sont larges et horizo
rmées. Le front est bas, étroit, fuyant vers les tempes. La hauteur
médiane
est de 4 centimètres. Il est continuellement ri
laté- ralement déprimée et préominant anguleuse ment sur la ligne
médiane
. Mâchoire inférieure : Douze dents saines et bien
7). abondants et régulièrement implantés, à tourbillon postérieur
médian
. Sourcils assez fournis et accentués ne correspon
larités de la surface osseuse; une crête est saillante sur la ligne
médiane
, son origine ,est à la racine du nez, aile va e
gauche est t 136 Description du malade. plus éloignée de la ligne
médiane
que la droite. La moitié gauche de la ligne sup
ée à droite. Le palais forme une voûte triangulaire dont le raphé
médian
est fortement dévié à droite dans sa moitié posté
uns, abondants ; deux épis sur le front, de chaque côté de la ligne
médiane
. - Crâne de volume nor- mal, symétrique, nettem
: 13 dents; la canine gauche est en voie d'éruption ; les incisives
médianes
sont.bien rangées, légèrement écartées, érodées
sortie. Articulation temporo-rnaxillai1'e normale ; les incisives
médianes
supérieures, par suite de leur petitesse, recouvr
A. R. S., artère rénale supplémentaire; A. R. M. S., artère rénale
médiane
supplémentaire; B., bassinet ; u., ure- tère ;
centimètres. Au pénil, dans sa moitié inférieure et dans la partie
médiane
; poils châtain foncé de quatre à cinq centimètr
évident que le centre de gravité est contenu dans le plan sagittal
médian
qui divise le corps en deux parties latérales q
qui sert il l'expérience, c'est-à-dire perpendiculairement au plan
médian
sagittal du sujet. En dernier lieu, le sujet
bsolu- ment symétriques. La verticale passe exactement par la ligne
médiane
de la tète, du cou etdu tronc, puis descend ent
te inférieure et externe, elle se confond avec la cuisse. Le sillon
médian
des reins est incurvé laté- ralement, et cette
endu qu'elle continue sans démarcation arrêtée. En avant, le sillon
médian
du torse subit une inflexion analogue il celle
accentuée, suivant que le pied s'éloigne plus ou moins de la ligne
médiane
. Elle s'accompagne en outre d'inclinaison en ar
ut les épaules. La distance du bord spinal de l'omoplate a la ligne
médiane
est de 7 centi- mètres et cette distance est la
s accentués. Cela tient ;i la conservation du faisceau deltoï- dien
médian
, les portions antérieure et postérieure ayant sub
és et les bords spinaux de l'omoplate fortement écartés de la ligne
médiane
, mais verticalement dirigés, tandis que les ang
bles masquées par l'effet de la propagation de l'excitation au nerf
médian
. Triceps. Notablement atrophié et faible. Longu
plus fortes que celles produites dans les m. posté- rieurs). NERF
médian
au PL du couDE : A 105 C. minima, les C. se produ
ns les fléchisseurs; à 100 C. assez bonnes, même distribution. NERF
médian
au poignet : à 105 C. minima; à 90 C. bonnes dans
dorsal : 1 m A, X, NFC" seule ; 1 1/2, XIV, NFCC' > PFC". Neuf
médian
au coude : 3/4 m A, VIII, NFC" > PFC ? ; 1 3/4
; 3 1/2, XVIII, NFCC (légt Te) > PFC > POc'" (Ire POc). Nerf
médian
au poignet : 3/4 m A, XIV, NFC"' > PFC'" ; 3,
éplacement il 55. 1er 2e, 3°, 4e Interosseux dorsaux : idem. Nerf
médian
(au coudé) : à 80mm C. seulement dans les muscles
dorsal : 3 1/2 m. A. 1FC'>PFC"' : 5 1/2 m. A. NFC>PFC'. Nerf
médian
(au coude) : 2 m. A. NFC" seule ; 3 m. A. NFC'>
e rentre dans les troubles trophiques et les signes polio-myéliques
médians
de Charcot. C'est aussi l'opinion de Morvan, po
dées entre elles : il porte un ongle auquel un sillon longitudinal,
médian
, donne une apparence de hifidite. A la place de
l'apo- physe articulaire. Puis il ouvrait la dure-mère sur la ligne
médiane
pos- térieure, la rabattait en dehors et par ab
enfin sur la même feuille un troisième dessin, fait après incision
médiane
et rabattement bilatéral des méninges reproduit
ocalisé plutôt vers les cornes postérieures. Il s'agirait ici du type
médian
postérieur de la classification anatomo-physiol
cordons neurodermiques dorsaux, le médullaire, qui est im- pair et
médian
, le neural (intermédiaire de Dis), et le latéral
e noyau interne (VIII i) (Clarke, Meynert, IIubuenin), noyau dorsal
médian
, noyau principal de Schwalbe, noyau central de St
médian, noyau principal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau
médian
de la racine postérieure de Krause, partie médian
de Stieda, noyau médian de la racine postérieure de Krause, partie
médiane
du noyau supé- Nouv. ICONOCIt DE LA SALPÊTRIÈRE
yau interne. C'est le noyau externe de Meynert, de Clarke, le noyau
médian
des racines antérieures de Krause, le noyau latér
latérale gauche de son corps : ce demi-anneau, par ses deux pointes
médianes
repoussées en arrière, rétrécissait il l'extrême
tion, qu'une cicatrice linéaire placée un peu il gauche de la ligne
médiane
, et comme stigmates de la lésion médullaire, qu
oint directement la même verLèbre. Il est plus profond sur la ligne
médiane
et latéralement qu'en arrière. 11 est limité par
se décomposent en deux segments n'ayant de commun que le réfectoire
médian
. Chaque section consiste en une salle de réunio
sur le bulbe, nous avons divisé les artères nourricières en artères
médianes
ou artères des noyaux bulbaires, et en artères
aires, et en artères radiculaires. Les premières occupent le sillon
médian
, les autres pénétrent dans le bulbe en suivant
de même pour les artères nourricières de la moelle : les unes sont
médianes
, les autres radiculaires... Il y a dans la moel
ianes, les autres radiculaires... Il y a dans la moelle des artères
médianes
antérieures et postérieures et des artères radi
ière fois, croyons-nous, le trajet et les ramifications des artères
médianes
antérieures et postérieures, des artères radicu
it que ce réseau est alimenté en avant et en dedans par les artères
médianes
; en avant, par les artères radiculaires ; en d
le système des vaisseaux centripètes dans lequel il place l'artère
médiane
pos- térieure ou (artère de la scissure, artera
système dont toutes les branches vasculaires convergent vers l'axe
médian
. Cette conception paraît d'adord séduisante : m
ce système centrifuge les rameaux de l'artère de la fissure (artère
médiane
postérieure) qui, quoique ténus quand ils attei
omen- clature spéciale et difficultueuse : ainsi l'artère du sillon
médian
antérieur s'appelle pour lui artère du sillon (
ui artère du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère du sillon
médian
postérieur porte le nom d'artère de la fissure
Ces deux noms différents sont inutiles : nos dénominations d'ancré
médiane
antérieure .et X artère médiane postérieure son
nutiles : nos dénominations d'ancré médiane antérieure .et X artère
médiane
postérieure sont plus simples, plus en rap- por
ptée pour le cerveau et pour le bulbe où existent aussi des artères
médianes
ayant une dis- tribution géographique analogue.
ire remarquer déjà, dans nos travaux, cette disposition des artères
médianes
répond à une loi générale. L'artère du sillon (
dessus des autres. (Cette disposition en échelon pour les artères
médianes
a déjà été signalée par nous et figurée dans notr
s des détails plus nombreux. Nous disions, en effet : « Les artères
médianes
antérieures parcourent un tra z jet assez court
ontales, apparaît comme un prolongement (processus sulci) du sillon
médian
, qui semble se bifurquer. Parmi les branches co
istribution que nous avions assigné d'une façon sommaire à l'artère
médiane
. La distribution des veines est semblable à cel
est semblable à celle des artères : les veines du sillon ou veines
médianes
sont en nombre égal aux artères. Elles sont for
sous le nom d'artère de la fissure (arieîia fissurai), notre artère
médiane
postérieure ; 2° d'arlerl z·ada'cum î)osieî,io2
gélation du cerveau. Par les fontanelles de chaque côté de la ligne
médiane
, des chevilles sont enfoncées, destinées seulem
e inférieur droit et de la moitié droite du tronc, jusqu'à la ligne
médiane
, est fortement hypercsthésié. La limite supérie
irigée et même incurvée vers la commissure labiale gauche. Le raphé
médian
décrit une courbe à concavité regardant en arrièr
rs la gauche. L'on aperçoit alors, que le point où aboutit le raphé
médian
, présente une incisure verticale, plus marquée
in), le malade le sent pesant et lui fait à peine dépasser la ligne
médiane
. A l'intérieur de la cavité buccale, lorsqu'on
droit, rapproche les membres écartés, dans la direction de la ligne
médiane
. 15. - Il remue facilement sur son lit les deux
a localisation exacte commence à varier ; la douleur gagne la ligne
médiane
du dos, apparaît dans la partie basse des vertèbr
nt même, rejet du liquide ingur- gité. 16. Douleurs dans la ligne
médiane
de la cage thoracique ; nausées ; T1L11TI ? IEN
ous. Après la suppression des adhérences ou mit à jour sur la ligne
médiane
une masse abondante néoformée, molle, ayant l'app
et elle peut dans une faible mesure ramener la jambe vers la ligne
médiane
; lui arrive-til de tenter un effort pour vaincre
ntimètres. Entre l'ombilic et le pubis : 17 centimètres. La ligne
médiane
entre l'ombilic et le pubis est couverte de poils
ion. Le nez est normal sans l'enfoncement de sa racine sur la ligne
médiane
. La voûte palatine ogivale, les dents supérieur
lavicule : 8 centimètres. Le corps thyroïde impalpable sur la ligne
médiane
. Les lobes latéraux semblent perceptibles. Le m
t angle est obtus. La ligne âpre est rugueuse et présente nn sillon
médian
et deux crêtes latérales. Son extrémité supé- r
buccales. La voûte palatine est excavée avec une crête sur la ligne
médiane
. Micromélie surtout rhizomélique, le bras : 20
nseur propre de l'index et l'extenseur commun, les nerfs cubital et
médian
au poignet, l'adducteur du pouce, les interosseux
cérébelleux, ainsi que les faisceaux pyramidaux directs et la partie
médiane
des cordons de Goll sont' faiblement colorés. L
ques voisins, un corps thyroïde très petit et alrophi- que. Le lobe
médian
était à peine visible et la glande était.fibreuse
influence localisatrice périphérique dans notre cas. L'excroissance
médiane
plus haut décrite, semble indiquer el jp aussi qu
uche est attirée en arrière et en haut ; la gouttière naso- labiale
médiane
est fortement oblique en bas et à gauche; aussi l
osées en arc de cercle de la commissure labiale gauche à la portion
médiane
du menton, et qui n'existent pas du côté droit.
haut et en arrière, le menton se creuse de chaque côté de la ligne
médiane
, les peauciers, enfin, tendent la peau de la pa
ossette, elle est nettement attirée en haut et en dehors. Le sillon
médian
de la lèvre supérieure est situé à gau- che de
ure est situé à gau- che de l'axe de la face, ainsi que le bourgeon
médian
de cette lèvre. A cause de l'élévation de la co
se remarque surtout au niveau du menton qui se replace en position
médiane
et qui a plutôt une tendance à être entraîné du
TUBERCULOMES MULTIPLES DU CERVEAU ET DES MÉNINGES 401 Par une coupe
médiane
on sépare les deux hémisphères l'un de l'autre et
e celle-ci'se voit une membrane mince, coupée au niveau de sa ligne
médiane
, et qui n'est très vraisemblablement qu'un vestig
lablement qu'un vestige du trigone; en somme, au niveau de la ligne
médiane
, on ne constate aucun vestige de VtiVELIE ICONO
e de la vue. La radiographie montra une balle siégeant sur la ligne
médiane
au niveau de la partie postérieure de la selle
ou turritum caput, ou tlurmschoedel. La déformation au lieu d'être
médiane
est-elle limitée à un seul côté donnant l'apparen
ecs, le plus atteint (tir 7),est coupé sagit- talement sur la ligne
médiane
: on voit t nellemen sur celle coupe l'épais- s
a portion écailleuse (schéma 3). Aussi, si l'on joint par une ligne
médiane
le bord antérieur et le bord postérieur du trou
oûtes orbitaires sont hypertrophiées, qu'aux envi- rons de la ligne
médiane
, où les fosses ethmoïdales et la partie antérieur
on regarde un crâne de pagétique coupé sagitlale- ment sur la ligne
médiane
, on est frappé de la similitude des déforma- ti
portion occipitale ; faciès fuyant. PL. LXIX. - Coupes sagittales
médianes
. - Fio. 1 et 2. - Les crânes normaux des figure
onique avec les parties voisines. Immé- diatement en dehors du plan
médian
axial de l'encé- phale, on voit en bas le pédon
te cavité, comme en formant la paroi interne (par rapport au plan
médian
), la saillie blanche de la corne d'Ammon (en H)
ammonique droite et la gauche arrivant à se toucher sous la région
médiane
du corps calleux et à se souder dans cette part
8). Ici les deux formations ammo- niques se rapprochent de le ligne
médiane
, et une de leurs parties arrive presque au cont
e de droite et celle de gauche), qui se sont soudées sur la ligne
médiane
, et, en passant en revue, des séries de coupes
ns sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont soudées sur la ligne
médiane
; V, cavité de l'hémisphère ; CC, partie corticale
racines, immédiatement à leur issue du corps resti forme. Le noyau
médian
des racines postérieures occupe le plancher du
de Krause, correspondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau
médian
des racines postérieures correspond au noyau in
s postérieures correspond au noyau interne de Huguenin, et le noyau
médian
des racines antérieures au noyau externe de Hug
de noyau supérieur du nerf auditif, celui que Krause appelle noyau
médian
des racines postérieures noyau interne de Hugue
e Huguenin. Le noyau latéral de Henle équivaut, en partie, au noyau
médian
des racines antérieures de Krause, et au noyau
ori- gine au nerf auditif : son noyau central correspond au noyau
médian
des racines postérieures de Krause; son noyau l
dian des racines postérieures de Krause; son noyau latéral au noyau
médian
des racines anté- rieures de Krause; son noyau
cheveux ont recommencé à tomber, mais peu abondamment. A la partie
médiane
et antérieure de la tète, il existe une cal- vi
thésie cutanée n'est d'ailleurs pas limitée exactement à la ligne
médiane
: il existe une plaque sensible de la largeur de
cours de l'observation, présentait aussi un bec-de-lièvre supérieur
médian
compliqué de gueule-de-loup. Les difficultés qu
seul ventricule. Laplaceduventriculemoyenestmar- quéepar une fente
médiane
dont losbordssont immédiatement adjacents. Un b
cette dernière jusqu'au corps genouillé latéral, au corps genouillé
médian
, aux tubercules quadrijumeaux et à la racine de
deux branches : la plus forte passe au-dessous du corps genouillé
médian
dans le ruban de Reil et gagne l'olive; l'autre,
e la première et la deuxième vertèbre dorsale, à droite de la ligne
médiane
, existe une plaie large de trois centimètres. I
e raccourcir le bandage et de faire avancer la pelote vers la ligne
médiane
ou de la rapprocher de l'épine iliaque. - D, Br
anus. Elle s'arrête exactement, en avant et en arrière, à la partie
médiane
du corps ; mais elle ne dépasse pas en hauteur
symétrique, profondément émaciée. Le front est large ; la suture
médiane
des deux moitiés du frontal est saillante; les bo
ns sous-calleuses des deux cornes d'Ammon sont «ondées sur la ligne
médiane
; 1', cavité de l'hémisphère; - CC, partie coitica
du poignet et des doigts. La main se mit en extension sur la ligne
médiane
et du côté cubital ; à différentes reprises, les
la grande scissure longitudinale. La portion moyenne de la surface
médiane
ne parait pas être comprise dans ce schéma. Mon
ussi l'importance relative de la portion antérieure, postérieure et
médiane
du centre visuel de l'écorce '. » > . Op. ci
la seconde circonvolution externe, plus particulièrement sa portion
médiane
ou pariétale, produit une cécité de l'oeil oppo
rale, laquelle devait être presque certainement située sur la ligne
médiane
, au voisinage du plancher du quatrième ven- tri
e de fibres, lui-même divisé en un segment latéral et en un segment
médian
, passe de l'autre côté; ce faisceau entre-crois
es entre- croisées varie selon les divers animaux. Près de la ligne
médiane
, de chaque côté, au milieu même des fibres qui
qui s'entre-croisent existe un autre ganglion, le ganglion profond
médian
du mésocéphale. Existe-t-il des fibres commissu
, un sys- tème périphérique qui vient du lobe occipital, un système
médian
par rapport au premier qui est en relation avec
ompte de la nature des trousseaux de fibres qui occupent le secteur
médian
du pédoncule central, parce que les fibres s'y
; 2° des filets obliques, dirigés en arrière de chaque côté du plan
médian
du corps calleux et qui vont constituer l'origi
nes. Ils se placent, très rapprochés l'un de l'autre, sur le plan
médian
de la voûte à sa partie supérieure, parcourent
on sinueuse bien prononcée, avec la convexité dirigée vers la ligne
médiane
... D'un côté, cette circonvolution se continue
'ai coupé tout le côté gauche de la moelle, à l'exception du cordon
médian
antérieur et postérieur. Quoique la plus grande
n antérieur et postérieur. Quoique la plus grande portion du cordon
médian
postérieur gauche et tout le cordon médian post
grande portion du cordon médian postérieur gauche et tout le cordon
médian
postérieur droit, de même que la substance gris
. Elle est aussi contraire à l'hypothèse que la colonne postérieure
médiane
est la voie du sens musculaire du même côté. Ca
en plongeant un kératome triangulaire dans la scissure postérieure
médiane
à une telle prolondeur, que j'avais calculée, p
la moelle et qu'il n'est pas contenu ni dans la colonne postérieure
médiane
, ni dans le cordon cérébelleux direct, ni dans le
Hanovre) présente à la Société une malade atteinte de paralysie du
médian
et du cubital. Le 12 novembre 1889, tandis qu'e
e traumatique de l'artère humérale. Toute la région innervée par le
médian
et le cubital du côté était paralysée inté- gra
la douleur per- sistant. On posa le diagnostic de : section du nerf
médian
et du nerf cubital, blessure de l'artère huméra
eux ovariennes, deux sus-mammaires en des points symétriques et une
médiane
dans la région lombaire; la pression au niveau
s moins saillants est situé à deux centimètres à gauche de la ligne
médiane
du front. Cet abaissement du sourcil, cette fos
- Ces cordons, c'est-à-dire le postérieur externe et le postérieur
médian
, qui ne subissent pas de décussation dans la mo
entière apparemment de toute la zone frontale excitable, de la face
médiane
et convexe; l'animal, qui présente d'abord une
é, ne voit pas un objet, jusqu'au moment où il passe sur la ligne
médiane
; mais le champ visuel est autrement normal. Munk
OTTES; , par EULENDU11G. (Neurol. Ce7aL'albl. 1889.) Paralysie du
médian
comprimé dans son trajet superficiel au- dessus
', 462; - de la main par les menottes, par Eulen- burg, 4)2; - du
médian
et du cubital, par Bruns, 292; disso- ciée du
de plus en plus nombreuses à mesure que l'on se rapproche du septum
médian
. La seconde zone des lésions occupe une grande
n dedans, s'écartant de la corne postérieure pour aboutir au septum
médian
, un peu en arrière de la commissure grise. L'au
- sement du tact. Paralysies dans les domaines des nerfs cubital,
médian
, péroné et facial. Panaris analgésiques. Pas de d
ontrons successivement, en allant de la corne postérieure au sillon
médian
postérieur, une bandelette de fibres saines ado
dégénération moins accusée généralement, celle qui longe le sillon
médian
postérieur. Quelques fibres du centre ovale de
ent les fibres périphériques et se continue jusqu'au fond du sillon
médian
antérieur. A ce niveau, elle touche, par conséq
ne période latente plus ou moins longue, quand on excite le segment
médian
de la partie antérieure du gyrus sigmoïde (en a
opsie temporale hétéronyme (angle antérieur ou postérieur, ou ligne
médiane
du chiasma), est loin de celle qui produit le d
uatrième ventricule, admissible ici, eût-il pu exercer sur la ligne
médiane
du chiasma une pression et causer ainsi l'hémiano
e, des troisième et quatrième lombricaux) ; atteinte très faible du
médian
(parésie faible des fléchisseurs de la main ; p
oïde, le musculo-cutané, la branche du grand dentelé, le radial, le
médian
, le cubital. Lésion des cinquième et huitième r
réussie de la moelle épinière d'un lapin pour reconstituer le nerf
médian
de l'homme, par 11. RoBSON. A. MARIE. XXXI. Ali
avant-bras, intéressant par conséquent des muscles iner- vés par le
médian
, le radial et le cubital. L'exploration électriqu
'expliquer ni par un traumatisme nerveux (section ou compression du
médian
), ni par le mécanisme des paralysies réflexes, ni
stérieure de la scissure du Sylvius, et pour le coeur, sur la ligne
médiane
même, en un point situé au-dessus du processus.
droite une atrophie complète de tous les mus- cles innervés par le
médian
et une atrophie incomplète des muscles innervés
ntes aussi de prolifération gra- nuleuse, du radial, du cubital, du
médian
, du pneumogastrique. Dégénérescence totale des
avant d'atteindre le nerf périphérique, passent 'deux fois la ligne
médiane
, dans le raphé et dans la valvule. Le nerf de
un territoire triangulaire dont le sommet est tourné vers la ligne
médiane
, et contenu entre le bout ventral du faisceau c
c'est-à-dire qu'il reste toujours à côté du bout latéral du ruban
médian
, à mesure que celui-ci s'aplatit, mais au niveau
u, il tourne brusquement dans la direction ventro-latérale, du côté
médian
du bras antérieur du corps quadri- jumeau, cont
a base du pédoncule et se continuent dans la même direction du côté
médian
. Les fibres disséminées s'amassent dans la régi
en Ihii-iiei-eltiiiiei,u ? 9. Internat. Beilræge zur Wissenschaftl.
Médian
, leslschrift Rutlolf Virchow's. Bd. Il. ARCHIVE
au principal constitue une masse bien circonscrite, excepté pour le
médian
et le cubital qui ont un noyau principal commun
é qu'au point de vue de leur structure le noyau externe et le noyau
médian
se ressemblent, c'est-à-dire qu'ils sont compos
s cellules d'origine des fibres du facial supérieur; 3° Le groupe
médian
et le groupe externe représentent le noyau d'or
stérieures, mais,-dans son segment postérieur existe le - trousseau
médian
du cordon latéral décrit par moi en 189 et en 1
mois, à un foetus de cinq à six mois. « Les fibres de ce trousseau
médian
sont, disais-je (l'auteur continue), très proba
crit comme étant un trousseau spécial est précisément mon trousseau
médian
des cordons latéraux. » P. K. LVIII. UNE NOUVEL
gments osseux rétrécissent sur tout le canal vertébral sur la ligne
médiane
et épargnent les régions latérales; dans l'obse
nt de ce dernier faisceau, elles courent des deux côtés de la ligne
médiane
pour atteindre les cordons antérieurs (Iield).
e - du cer- veau, par Lamarchia, 45. COIIDOS LA'IÙ, \UX Trousseau
médian
des - de la moelle, par de Becti- tercez,'498
f, Paris. Coupe verticale antéro - postérieure, faite suivant l'axe
médian
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE II
, faite sur l'Encéphale pr^cécLent. à un millimétré en dehors du plan
médian
. l-IBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE I
éro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. i_IBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE V
éro-postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE VI
éro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE X
éro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS PLANCHE XI
éro-postérieure de un millimétré d'épaisseur, faite en dehors du plan
médian
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS PLANCHE XI
s, dans la moelle épinière et une névrite parenchymateuse des nerfs
médian
et cubital. L'auteur rapporte les hyperkinésies
a moelle, 181 ! ). ' MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 1 I 1 rieure et
médiane
des circonvolutions de la face orbitaire du cer
postérieure, à sommet antérieur, situé d'autant plus près du sillon
médian
qu'il appartient à une racine dont le ganglion
nner finalement dans le petit triangle situé au voisinage du sillon
médian
; donc, à partir d'un certain niveau, ce triangl
rale (b'), et il finit en dedans, à une certaine distance du sillon
médian
postérieur dont il reste séparé par un faisceau
e racine cervi- cale jusqu'au bulbe; limité en dedans par le septum
médian
, il atteint en dehors le septum intermedium ; i
, le faisceau endogène descendant se place de chaque côté du sillon
médian
postérieur. 11 occupe une zone irrégulièrement
on sacrée, le faisceau descendant reste situé tout contre le sillon
médian
; mais il se présente sous forme de triangle; sa
orde la périphérie même de la moelle et atteint en dedans le sillon
médian
; elle apparaît quand cesse la vir- gule de Sch
ions du faisceau endogène descendant, dit « faisceau triangu- laire
médian
» de la "ég-ion sacrée inférieure et du cône term
Il est représenté par une zone décolorée, de chaque côté du sillon
médian
postérieur (procédé de Weigert-Pal). Cette coup
cine lombaire). Le quadrilatère tabétique gagne du côté de la ligue
médiane
. - Il faut remarquer la disproportion qui exist
est pris dans toute la hauteur de la moelle (faisceau triangulaire
médian
, centre ovale, bandelette périphérique dorso-lo
es mêmes conditions se trouve la nutrition des segments internes et
médians
du noyau et des libres radiculaires. - 3° Les a
stinés au droit supérieur et à l'oblique inférieur ; 'les faisceaux
médians
, au droit interne, au droit inférieur, à l'élév
and dentelé, des deux pectoraux, axillaire, musculo-cutané, radial,
médian
, cubital ; il existe des troubles correspondant
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 233 dans sa plus grande partie ; le
médian
et le cubital ne le sont que partiellement. La
rvicale. Il tend également à penser que 1° les fibres sensitives du
médian
destinées à la face palmaire du pouce sont à l'
la sortie des racines du deuxième nerf cervical. Le ruban de Reil
médian
se dégénère en entier en direction ascendante ;
on descendante se dégé- SOCIÉTÉS SAVANTES. 345 nèrent le faisceau
médian
supplémentaire du ruban de Reil et la partie pr
). En suivant la direction des fibres dégénérées du ruban de Reil
médian
(principalement), le rapporteur put s'assurer qu'
rne ; 3° la troi- sième partie des fibres, en passant par le centre
médian
, s'achève dans les cellules situées de son côté
ouve en dedans du « dorsale Abtheilung (de liôsel) du ruban de Reil
médian
du pédoncule céré- bral et qui est dégénéré en
pandue de l'arachnoïde, une inflammation circonscrite dans le tiers
médian
des circonvolutions centrales droites, qui a prov
t limi- tée dans la région d'anesthésie (nerf cubital, nerfs cutané
médian
et interne), en même temps survint une atropine
ppement progressif de la névrite; une douleur à la pression du nerf
médian
et en partie du nerf cubital, ainsi qu'une atro
es centrales de la substance blanche, le corps calleux et la partie
médiane
de la région centrale de l'hé- misphère droit p
de la capsule interne et vers la capsule externe gauche; la partie
médiane
du noyau caudé et le noyau lenticulaire ne sont
cier est très marquée et on n'y voit que la contraction du faisceau
médian
. Le changement des con- tractions électriques c
omplète flexion. La plante anormalement voûtée tourne vers la ligne
médiane
. Par consé- quent le bord interne est un peu pl
arvient pas à atteindre une com- plète extension. L'annulaire et le
médian
droits sont toujours accolés. . Un fait bien
agies. Les cavités situées latéralement, au contraire des cavités
médianes
de la moelle, manquent toujours d'un revêtement é
ntre toujours, du moins sur un certain par- cours, dans les cavités
médianes
. La formation cavitaire ne s'étend pas sur les
nuque jusqu'à la septième vertèbre cervicale, excepté sur la ligne
médiane
et dans un espace de deux centimètres de chaque
locale, névrite du cubital, parésieavecdégénérescence partielle du
médian
; b) névrose ; troubles nombreux de la sensibili
bulbe, sous la forme d'un triangle dont le sommet vient de la ligne
médiane
et qui est en dehors de la corne antérieure; ce
ïde, et, plus tard, il est contigu au côté externe du ruban de Reil
médian
. A la hauteur du noyau latéral de l'étage supér
la tète et dans la première pariétale droite, tout près de la ligne
médiane
, en arrière de la ligne bi-auriculaire. 11-21.
thésie sensi- tivo-sensorielle, qui s'arrête franchement à la ligne
médiane
du corps. L'examen oculaire a été pratiqué pa
rice descend de la racine des cheveux, à égale distance de la ligne
médiane
du crâne et de la fosse temporale gauche, sur u
t l'ataxie cérébelleuse. On soupçonnera a une tumeur de la partie
médiane
du corps calleux quand le vomissement fera défa
ant un arc de cercle à conca- vité antérieure, passe dans le centre
médian
de la couche optique et dans les parties mitoye
pas très développé chez le chat, le chien, les rongeurs, le centre
médian
de la couche optique n'est pas tout à fait médi
ngeurs, le centre médian de la couche optique n'est pas tout à fait
médian
(Détails dans le mémoire). Le faisceau interne
out à fait médian (Détails dans le mémoire). Le faisceau interne ou
médian
du ruban de Reil s'en va, par-dessus le bord su
lle lombaire et charrie de bas en haut le sang, le long de la ligne
médiane
de la moelle. C'est dans celte direction que le
el rapport affecte la virgule de Schultze avec le faisceau postèro-
médian
de la moelle lombaire et sacrée ? Voici une autre
paire lombaire quelques grosses mottes, des deux côtés de la ligne
médiane
; au niveau de la deuxième paire lombaire, elle
Schultze et une lésion réelle, quoique faible, d'une zone postéro-
médiane
. En outre, le cordon postérieur, dans toute la mo
eau de la huitième paire dorsale, on remarquait un groupe antéro-
médian
peut-être un peu moins limité que la virgule de S
nzième paires dorsales, il était difficile de distinguer ces fibres
médianes
descendantes de celles de la virgule; au niveau
e, la zone de Schultze ayant disparu, il reste cette dégénérescence
médiane
, toujours située dans les parties antérieures d
qu'il y a bien un faisceau posléro-médian des deux côtés delà ligne
médiane
, dont le trajet en bas est court ; qu'il y a u
énérescence 424 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
médiane
descendante, indépendante de la zone de Schultze,
occupe les plans supérieurs de la moelle des deux côtés de la ligne
médiane
et s'éparpille dans les parties antérieures du
supérieure de la moelle ; 2° A la formation du trousseau postéro-
médian
prennent part des fibres descendantes que l'on vo
e de la couche optique et dans la couche grillée ainsi qu'au centre
médian
(Singer et Munzer, Ferrier et Tur- ner, W. Mott
HOLOGIQUES. 507 petit nombre d'entre elles se dirigent sur la ligne
médiane
et, gagnant le bord antérieur du pied du pédonc
lamique moyenne deMeynert,et arrivent, après avoir franchi la ligne
médiane
par un chemin analogue entre la pédoncule et la
t d'entre elles, en effet, se servant surtout de la lame médullaire
médiane
et latérale ainsi que la couche blanche inter-
malgré toutes ces variations, c'est vers la parlie pos- térieure et
médiane
ou médiane externe qu'il faut chercher le noyau
es ces variations, c'est vers la parlie pos- térieure et médiane ou
médiane
externe qu'il faut chercher le noyau du facial
ueur, mais les lésions frappent surtout les parties postérieures et
médianes
. Plus tard et à moindre degré, les cordons laté
la main innervés par le cubital, mais encore à ceux innervés par le
médian
; dans tous ces muscles il existe de la D R; au
bital pourrait être expliquée de cette façon mais non la névrite du
médian
. Elles paraissent plutôt avoir été produites pa
532. Névrites expérimentales, par Mom- dio, 311, 332. - dps nerfs
médian
et cubital, par Huet, 531. 3152 TABLE DES M
rigide, est dans l'adduction; si on parvient à l'écarter de la ligne
médiane
et qu'ensuite on l'abandonne à lui-même, il revie
on les voit sur la partie antérieure du tronc, au niveau de la ligne
médiane
(poignée du sternum, appendice xyphoïde) sous la
l'omoplate, dans la région lombaire, à droite ou à gauche de la ligne
médiane
, au coccyx ; chez l'homme, il n'est pas rare de v
non seulement du cubital qui innerve les interosseux, mais encore du
médian
, sous l'influence duquel agissent les fléchisseur
nce duquel agissent les fléchisseurs. D'ailleurs, la participation du
médian
est encore mise en lumière par l'attitude du pouc
l'autre mouvement est produit par l'opposant, qui est innervé par le
médian
. D'ailleurs, nous n'allons pas nous borner à de
plus simple montre que, pour déterminer celte attitude, c'est le nerf
médian
qui est surtout en jeu, il anime en effet les flé
n du nerf qui était en cause dans la production de la déformation, du
médian
. Cette opération qui, antérieurement déjà, quand
ère. L'opération a été faite à la partie supérieure du bras : ce nerf
médian
, soulevé sur une sonde cannelée, a été, à deux re
ale ; à chaque coup, on voit la cuisse droite entraînée vers la ligne
médiane
par un mouvement très prononcé d'adduction. Pro
rophique, c'est qu'elle porte surtout sur les membres innervés par le
médian
et le cubital, tandis que ceux qui sont soumis à
sent-ils plus haut ou plus bas que ceux qui se rendent au cubital, au
médian
, et ne sont-ils pas compris au même degré dans l'
iable, car les jours suivants, l'insensibilité se bornait à la région
médiane
du front et du nez. Le reste du tégument externe
dernières parties de la main (cubital et radial pour la face dorsale,
médian
et cubital pour la face palmaire) et vous avez co
tée comme nous le supposions tout à l'heure, avait envahi les parties
médianes
de la colonne grise, cette fois l'anesthésie port
endue et profonde, localisées dans le tiers moyen des circonvolutions
médianes
(frontale et pariétale ascendantes), a pour consé
vrait supposer limitée étroitement au tiers moyen des circonvolutions
médianes
. Dans un bon nombre de cas de lésions corticales
he american nombre de faits de lésions limitées aux circonvolutions
médianes
, dans lesquels, outre la paralysie motrice, on a
à la zone motrice, et qu'elle s'étend en arrière des circonvolutions
médianes
aux parties adjacentes du lobe pariétal \ Mais à
vocale gauche était immobilisée, que le bord libre occupait la ligne
médiane
et divisait l'aire gloltique comme la perpendicul
le, on voit les cordes vocales s'écarter ou se rapprocher de la ligne
médiane
, quand on dit au malade de chercher à crier. On c
des du lieu où s'est développée l'hystérie, 240. Elongation du nerf
médian
dans un cas de contracture traumati- que, 1^2
périeurs et du thalamus. Ils sont situés de chaque côté de la ligne
médiane
, ceux d'un côté presque en contact avec ceux du
u cervelet : à l'ouverture du quatrième ventricule par une incision
médiane
au travers du vermis et de la valvule de Vieuss
ure et postérieure. La zone postérieure n'est autre que le triangle
médian
et posté- rieur figuré déjà par Sehullze1 dans
siégeant assez haut l3arbacci Iloclie 4. ? C'est sur ce triangle
médian
que MM. Gombault et Philippe 5 ont particulière
t et Philippe. Loc. cil. Fig. 6. 86 ANATOMIE. rieure une région
médiane
et garnie de tubes il myéline ; cette zone décr
tes coupes comprises entre ces deux hauteurs, les deux zones saines
médianes
existent toujours, l'une antérieure, l'autre po
ssurales qui, dans la région précédente, se touchaient sur la ligne
médiane
sont ici très écartées, l'une de l'autre, de so
sépa- rées par une surface dégénérée. Quant aux deux bandelettes
médianes
(centre ovale) on voit ici qu'elles ont reculé ve
nion du quart postérieur avec les trois quarts antérieurs du septum
médian
. » C'est, on le voit, exactement la description
nous-mêmes et qu'on peut voir dans la figure 11. « Nos bandelettes
médianes
(centre ovale) touchent la périphé- rie de la m
rie de la moelle toujours séparées l'une de l'autre par le septum
médian
. Elles sont un peu plus minces que dans la région
n dégénérées à la suite de compressions radicu- laires, toutes deux
médianes
, l'une antérieure, l'autre pos- térieure. Mai
ement formée par des fibres radiculaires La zone limitant le sillon
médian
postérieur est restée libre de dégénérescence j
ut à fait en bas le long de la partie la plus postérieure du sillon
médian
. La longue distance à laquelle se produit la dé
arrière, redevient angulaire pour se terminer en forme de triangle
médian
décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc f
postérieur, faisceau angulaire, centre ovale de Flechsig, triangle
médian
de Gombault et Philippe ne sont que les différe
û céder une large place, est refoulé symétriquement vers la ligne
médiane
et vers la hase contre lesquelles il est appliqué
ent sans saccades et en quatre temps : abduction, retour à la ligne
médiane
, adduction et de nouveau retour à la ligne médi
etour à la ligne médiane, adduction et de nouveau retour à la ligne
médiane
. ? 6° Lever la jambe d'une seule pièce, sans fa
ras, se voit une forte cicatrice, répon- dant à peu près à la ligne
médiane
du membre, d'une longueur de 9 centimètres et d
ait méconnaissable. C'est, sur le front, un oedème rigoureusement
médian
, de forme régulièrement arrondie. Ce sont les sou
3 à 4 milimètres. Trois quarts de minute après environ, la partie
médiane
de la bandelette se fonce; les bords sont plus ma
xistence de deux noyaux gommeux situés de part et d'autre du sillon
médian
antérieur au niveau des régions cervicale infér
ns inférieures, puisque dans tout l'étage de la lésion les portions
médianes
et postérieures des cor- dons sont relativement
es muscles masticateurs. Langue difforme, elle a trois pointes, une
médiane
et deux latérales, l'atrophie musculaire l'a re
Les anomalies de développement se montrent fréquemment sur la ligne
médiane
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 471 L'auteur a
toit de la protubérance, formée en partie par des cellules géantes
médianes
, en partie par de petites cellules. Les prolong
par se confondre. Une série de petits trous, disposés sur la ligne
médiane
d'avant en arrière, se forme dans la masse adhé
menté de la cavité placée derrière lui et les trous en ligne droite
médiane
, signalés plus haut, finissent par se confondre
nférieure, une saillie plus faible à gauche qu'à droite de la ligne
médiane
. Le toucher vaginal a donné les renseignements su
constate ce qui suit : La région de la nuque, à droite de la ligne
médiane
, est criblée de trous de profondeur variable. D
reil comprend : deux pièces latérales pour les aisselles, une pièce
médiane
subdivisable en deux parties, servant de soutien
utien à la tête pendant l'opération. Ces deux parties de la pièce
médiane
sont de forme triangulaire al- longée et sensib
x cubitus paraissent égaux. La demi-envergure mesurée de la ligne
médiane
du sternum est de 85 centimètres à droite et de 8
DE LA SALPÊTRIÈRE. latérales de la selle turcique, dans les fosses
médiane
et latérale de la hase du crâne. , La glande
ubstance compacte de forme carrée interrompue seulement à sa partie
médiane
par une fine membrane fibreuse. Les autres foss
ns je me limiterai seulement à noter que l'oc- cipital sur la ligne
médiane
présente un développement extraordinaire du dip
èbre dorsale ; mais cette déviation, avant de se faire sur la ligne
médiane
, s'est produite latéralement à droite; aussi, e
c'est-à-dire que, le milieu des lèvres tout en restant sur la ligne
médiane
, la commissure gauche en est bien moins éloignée
cerveau sur la W.1'IO\IIC PATHOLOGIQUE DE L'ACROMÉGALIE. 7 ligne
médiane
aux lieu et place du corps pituitaire une tumeur
tres vertèbres cervicales ont le corps un peu saillant sur la ligne
médiane
, les lames de l'arc postérieur raboteuses extérie
s du ;¡8 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1'GfItIUItE. wlurnc d'un
médian
normal. Les sympathiques sont aussi un peu plus g
roite par une ligne horizontale passant par l'ombilic, sur la ligne
médiane
par la ligne blanche, en dehors, par le bord ex
16 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l'ombilic, sur la ligne
médiane
par la ligne blanche, en dehors par le bord ext
de 9 mill. Chacune des lames palatines, de chaque côté de la ligne
médiane
, est convexe en bas. On pourrait presque dire q
avant que les os intermaxillaires ne sont pas soudés sur la ' ligne
médiane
, leur suture palatine latérale est très nette sur
a partie supérieure de son écaille, les pariétaux près de leur bord
médian
ont 10 mill. environ d'épaisseur. L'épaisseur n'e
GALIE. 39 existe une cloison verticale, placée à gauche de la ligne
médiane
. Ils sont t fort dilatés. Etage moyen. L'écar
rop forte. 96 HU LT.ItANT2 crânienne, surtout le long de la ligne
médiane
. Il en était ainsi dans 5 des 6 cas que j'ai ex
x. Plus fréquente encore est la dépression en sillon de la su- ture
médiane
, surtout dans la région obélique. Elle a été obse
e la base pré- sentait toujours un renfoncement marqué de la partie
médiane
, corres- -pondant au corps du sphénoïde et aux
assez vive de la gouttière basilaire un peu en dessous de sa partie
médiane
, en sorte qu'elle est, dans sa partie supérieur
'est dans le crâne dont la figure 1 ci-jointe représente la section
médiane
. Dans deux cas, par contre, il y avait une courbu
ont souvent élargis et incomplètement séparés des Fig. 1. - Section
médiane
du crâne dysostosique d'Helsingfors (demi-grandeu
cundes9crW esexaminés loi HULTKRANTZ . on n'a constaté de fissure
médiane
(palatoschisis), et si, à vrai dire, j'ai quelq
bservé chez des sujets vivants un sillon assez profond sur la ligne
médiane
, un examen attentif ne m'a jamais permis de remar
ntes, et aussi 3' fois une protrusion en forme de bec de la portion
médiane
du bord alvéolaire. En ce qui concerne le max
ainsi que, dans un des crânes de Vienne, j'ai trouvé pour la partie
médiane
des maxil- 'laires supérieurs (correspondant au
t, ensemble, 160 grammes.Une autre tumeur se trou vait,sur la ligne
médiane
,au-dessous du corps thyroïde. Une autre masse s
'étalement complet de la dure-mère section- née le long de la ligne
médiane
postérieure. En avant les adhérences commen- ce
t- phal, surtout dans sa partie cornu-commissurale et un demi-ovale
médian
le long du sillon médian postérieur , centre du
partie cornu-commissurale et un demi-ovale médian le long du sillon
médian
postérieur , centre du centre ovale de Fleschsig
avant et une mince bande, le long de la moitié antérieure du sillon
médian
postérieur, correspondant au faisceau de Hoche (1
dence le triangle de Gombault et Philippe allongé le long du sillon
médian
postérieur jusqu'au bord postérieur de la moell
montrant par l'intermédiaire de la bande allongée le long du sillon
médian
postérieur (faisceau de Hoche), la continuité du
médian postérieur (faisceau de Hoche), la continuité du fais- ceau
médian
du centre ovale de Fleschsig et du triangle de Go
une fois de plus l'unité systématique de ces formations : faisceau
médian
du centre ovale de Flechsig,faisceau de Hoche et
t de la zone marginale de Westphal, cornu-commissurale, du faisceau
médian
du centre ovale de Fleschsig (3) (faisceau de Ho-
f le circonflexe. Les muscles innervés par le nerf cubital, le nerf
médian
et le nerf musculo-cutané sont paralysés et ils
rouvait cantonnée en grande partie aux muscles innervés par le nerf
médian
et un autre dans le malade de Heyse chez lequel
itudinale. - Même coloration et même grossissement. Fig. 13. Nerf
médian
gauche dans le bras. Coupe longitudinale. Méthode
en extension : le membre entier en adduction, rapproché de la ligne
médiane
, la cuisse étendue sur le bassin, le genou étendu
nuent entre elles sans solution de continuité, sauf un léger hiatus
médian
. Il faut remarquer que l'imbrication des lames ve
se reproduit plusieurs fois est cons- tituée par une jetée osseuse
médiane
qui sectionne en deux l'espace laissé libre ent
ite. Lorsque les paupières sont fermées, les yeux sont sur la ligne
médiane
, dès qu'elles sont ouvertes la déviation conju-
ne du ventricule latéral ; base : celle du cerveau, depuis la ligne
médiane
jusque près de l'écorce de l'insula. Les par- t
e, tant aux pieds qu'aux mains, sur le troisième segment ou segment
médian
, Je plus atteint chez lui. , 2° Il n'est pas in
rs. Maxillaire supérieur régulier et symétrique. Les deux incisives
médianes
, cariées jusqu'à la gencive, font défaut, ainsi
Maxillaire su- périeur, régulier et symétrique. Les deux incisives
médianes
sont larges et dentelées : la canine droite, la
efois un développement en largeur exagéré des incisives supérieures
médianes
. Le voile du palais et la voûte palatine sont s
deux centimètres et se termine par un seul ongle, offrant un sillon
médian
, indice de la réunion anormale. On ne sent au p
se à deux centimètres du vertex et empiétant à gauche de la ligne
médiane
; la pression et le passage du peigne sont doulour
le postérieure, très irrégu- lière, mesure 2 cent. 1/2 sur la ligne
médiane
, entre les pa- riétaux et l'occipital ; à droit
e partout ailleurs (h ypeostose), plus marquée à gauche de la ligne
médiane
. Le front, de la racine du nez à la naissance d
utres, allongés dans le sens antéro-postérieur et occupant la ligne
médiane
de l'aire e de la fontanelle postérieure. Le pl
mbraneux qui a persisté de chaque côté, à 4 centimètres de la ligne
médiane
,au niveau des fosses cérébelleuses. Il ne nou
ntinuer avec la tente du cervelet qui forme une sorte de cul-de-sac
médian
assez aigu, dont le sommet se dirige en haut et
a même façon que cette faux. Ces membranes s'écartent de la ligne
médiane
au niveau de la partie supérieure de la fontanell
des ventricules latéraux, et largement ouverte en haut sur la ligne
médiane
. Cette poche a envi- ron 15 centimètres de long
efois un développement en largeur exagéré des incisives supérieures
médianes
. Le voile du palais et la voûte palatine sont s
deux centimètres et se termine par un seul ongle, offrant un sillon
médian
, indice de la réunion DE 1.'HI'STERO-EPIL1PSIE.
se à deux centimètres du vertex et empiétant à gauche de la ligne
médiane
; la pression et le passage du peigne sont doulour
seconde circonvolution REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. t l5 (
médiane
) dans le lobule postfrontal. Chez quinze chiens s
e. Dans le pont, les fibres dégénérées sont situées près du raphé
médian
. Noyaux bulbaires sains. '1 i 5° Cas de Ross. (
ard a vu chez un goutteux une excitabilité électrique anormale du
médian
avec spasme de la main et difficulté de l'écri-
tyloïde. La main est déformée; son axe ne correspond plus à l'axe
médian
de l'avant-bras. Elle semble déjetée vers le radi
u noyau de l'oculo-moteur externe gauche, dépassant un peu la ligne
médiane
du côté droit, et intéressant de ce fait, outre
a manière suivante : Sclérose beaucoup plus prononcée dans le noyau
médian
(classique) et beaucoup plus faible dans l'acce
é dans la pyramide motrice droite, à cinq millimètres de la ligne
médiane
et à huit millimètres de la face inférieure du
de la protubérance. - Deux foyers de ramollissement vers la ligne
médiane
. protubérance, on trouve, à la par- tie moyen
trans- versales. Les deux foyers sont très rapprochés de la ligne
médiane
. (1%rg. 10.) A 1 examen histologique, après d
stérieure de la pyramide motrice gauche, se rejoignant sur la ligne
médiane
à un foyer récent occupant le quart postérieur
bonne heure, dans la moelle dorsale, une étroite bande de sclérose
médiane
de chaque côté du sillon postérieur. A un degré
apparaît comme un ovoïde ou un triangle circonscri- vant le sillon
médian
postérieur. Quant à la zone antérieure des cord
demeure presque toujours indemne, à l'exception d'une étroite bande
médiane
qui se dirige de l'aire moyenne sclérosée au si
postérieur latéral et, d'une façon moins prononcée, sur les groupes
médian
et latéral antérieur. Elle est très accusée dan
tions les plus accentuées. Intégrité absolue des faces latérales et
médianes
des lobes frontaux, pariétaux, occipitaux, dont l
es; les bâtiments qui le cons- tituent comportent un corps de logis
médian
cruciforme d'où partent à angle droit deux gran
un angle droit, de deux petites ailes latérales. Le corps de logis
médian
renferme, dans la portion parallèle aux deux gr
s appliquées sur leurs côtés extérieurs. Les deux ailes du bâtiment
médian
dirigées de l'est l'ouest abritent les tranquil
ibles du côté gauche. L'atrophie est net- tement limitée u la ligne
médiane
, s'étendant à toute la moitié gauche, mais cepe
prédominance anato inique de ses portions latérales sur sa portion
médiane
comme un perfectionnement de date relativement
fet, la moelle, mince ruban trans- versal, est dépourvue de sillons
médians
, et l'encéphale ne pré- sente, sur toute sa lon
, centre plus important, sont souvent à peine déprimés sur la ligne
médiane
. Dans le cervelet, les centres corticaux prépos
préposés aux synergies bilatérales, et, par conséquent, impairs et
médians
, par exemple la partie du lobe postérieur repré
res afférentes ou efférentes tra- versent ainsi obliquement le plan
médian
, tandis que chez les Invertébrés, même les plus
oies ner- veuses afférentes et efférentes ne traversent pas le plan
médian
, les voies optiques ne subissent non plus aucun
ont exécutés synergi- quement et symétriquement par rapport au plan
médian
, et les points également éloignés de celui-ci s
rne gauche, etc.),mais d'après leur si- tuation par rapport au plan
médian
et, conséquemment, par rap- port à chaque oeil.
entraux présentent une disposition sy- métrique par rapport au plan
médian
, ainsi que les appareils ré- flexes qui sont le
riquement par rapport à l'un des plans latéraux et non plus au plan
médian
. B. EMBRYOLOGIE ET ANATOMIE. - 1" Dualité d'o
La langue double dans ses bases l'est anatomiquement dans le corps
médian
. La glande thyroïde, le thymus sont bilobés dan
ue ? Au fond, peu importe : cette portion se développe sur la ligne
médiane
; mais l'extrémité inférieure de la gouttière r
taux pairs sont alliés physio- logiquement à des organes impairs et
médians
, dont l'ébauche primitive ne peut raisonnableme
is les deux somatopleures se sou- dent l'une à l'autre sur la ligne
médiane
et forment pont par dessus le « vide digestif »
ds externes qui finissent par se souder l'un à l'autre sur la ligne
médiane
,puis perdent leur connexion primitive de contin
a vainement répondu que « l'ébauche primi- tive [en est] simple et
médiane
» et « par suite de l'évo- lution prend l'aspec
. Delage nous apprend lui-même que le tube s'est formé sur la ligne
médiane
. Les deux co-êtres y ont donc égale- ment parti
xemple, les parois sont plus épaisses latéralement que sur la ligne
médiane
.il n'en est plus de même pour les vésicules encép
ours nettement indiqués avant qu'ap- paraisse la moindre dépression
médiane
; les hémisphères céré- braux forment encore à
encéphale, mais dont les parois ne présentent en- core sur la ligne
médiane
ni saillie ni dépression : le développemen t co
. Mais ce grand déve- loppement, qui rend plus profonde la scissure
médiane
, est com- pensé, ou plutôt complété par le déve
loignement ou de la profondeur des corps situés soit dans le plan
médian
, soit à droite, soit à gauche. La vision stéréosc
ément différentes, que l'enfant les localise par rapport à son plan
médian
, à la surface de son corps, comme dans le milie
e la personalité, le siège des im- pressions par rapport à la ligne
médiane
n'est pas remar- qué ou ne l'est qu'après par r
d'ouvrir complètement les yeux.On fixe alors dans le plan vertical
médian
de la figure du sujet un écran disposé de telle
deuxième circonvolutions limbiques aux cir- convolutions des faces
médiane
et latérale de l'hémisphère et vice versa ; ses
tie postérieure du tronc est traversée de haut en bas par un sillon
médian
, large et profond à la région lom- baire et qui
la première vertèbre dorsale. Au-dessous commence le sillon dorsal
médian
, ou raie du, dos, au fond duquel les apophyses
des lombes qui est ici notre principal objectif, le fond du sillon
médian
est géné- ralement occupé par une série de sail
qu'elle acquiert son maximum de développement (fig. 16). Le sillon
médian
lombaire est alors remplacé FIG. 14. - Station
flexion 'du tronc apporte à la morphologie de la région. La saillie
médiane
qui se pro- duit alors n'est pas uniforme. Elle
mais un peu atténuées. Dans la station droite, le sillon lom- baire
médian
est généralement uniforme, mais, dans la station
exposées au Luxembourg, on reconnaîtra la proéminence lombaire '
médiane
de la station assise dans les statues du Jeune jo
APHIE DELA SALPÊTRIÈRE. 1 avant et en arrière au niveau de la ligne
médiane
; elle est également plus 1 faible à la face qu'
ès verticale située à peu près à un centimètre à gauche de la ligne
médiane
. A gauche de cette ligne, il n'existe aucune ta
t surtout dans la flexion du tronc en avant, on observe une saillie
médiane
, marquée de renflements qui répondent aux somme
es bords spinaux des omoplates sont presque au contact sur la ligne
médiane
. L'épaule gauche paraît abaissée. , Lorsqu'on d
tre ma- lade ; la colonne lombaire offrait une concavité directe et
médiane
en arrière, tandis que peu à peu la colonne dor
t. Douleur assez vive dans la région lombaire, à droite de la ligne
médiane
. En mai 1886, saison de trois semaines à Plombi
pas un tassement plus prononcé du corps vertébral à droite du plan
médian
? Enfin, il est intéressant de voir les exacerb
quée que l'antérieure et ne se trouvait pas exactement sur la ligne
médiane
, mais s'inclinait du côté droit produisant une
eure (PL. II), pratiquée à deux centimè- tres en dehors de la ligne
médiane
. La coupe transversale (PL. IV), à deux centimè
upe anléro-poslérieure ii deux centimètres en dehors de la scissure
médiane
. t. Irradiations extra-nucléaires de la portion
r par le trou optique une fine pince et s'en va, en rasant la ligne
médiane
,arracher la bandelette optique. Cet arrachement d
ant de la paroi thoracique; il en est en maints cas de même du bord
médian
de l'omoplate. P. K. XIII. Contribution au TRUT
s danois; les giteux sont placés sur une paillasse percée d'un truu
médian
. Trente cellules assez spacieuses, à parois cim
llimètres carrés, à peu près, à 2 centimètres en dehors de la ligne
médiane
. RECUEIL DE FAITS CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU D
e titre générique de pariéto-occipital, et d'appliquer à la portion
médiane
, comme à la portion latérale, les dénominations
ntaux. Adhérence extraor'dinairement ma ? - quée entre les surfaces
médianes
des lobes frontaux. Pas d'atrophie La substaiic
qui est en même temps le plus long, contient dans les constructions
médianes
, à deux étages, les habitations du médecin en c
construction à rez-de-chaussée annexée en arrière du corps de logis
médian
. Les chambres de bains contiennent des baignoir
étage, en briques, richement ornementés. L'en- semble des bâtiments
médians
est formé de neuf constructions des- tinées aux
e petite dé- pression. La protubérance parait symétrique; le sillon
médian
a une largeur d'au moins deux millimètres. Lès
supérieure).- Le lobe paracentral est bien développé avec un sillon
médian
central. Le lobe carré est large et parait norm
AVAf. Médecin-adjoint des asiles de la Seine. II. Face INTERNE ou
médiane
DES hémisphères cérébraux. C'est la surface pla
Broca désignait sous le nom de grand lobe limbique toute la partie
médiane
des hémisphères en rapport decontiguité directe
le sillon occipital transverse, ainsi que sa direction sur la face
médiane
de l'hémisphère où il rejoint la fissure calcar
la moelle épinière et des racines antérieures. Les nerfs radial,
médian
, crural, sciatique, présentent la dégénérescence
e chaque rétine, pour empiéter des deux côtés sur la moitié interne
médiane
. En dix semaines, on constatait une atro- 1 Voy
e anléro-poslérieure à deux centimètres en dehors .. de la scissure
médiane
. z 9. Irradiations extra-nucléaires de la porti
xemple), l'asymétrie de la base crânienne, la scoliose de la partie
médiane
de la base, mais cela ne donne aucune notion pr
qui apparaît, consiste dans la déviation, la scoliose de la partie
médiane
de la base cra- nienne depuis le corps du sphén
te endofrontale est repoussée du côté malade, si bien que la partie
médiane
de l'os frontal considéré par la face externe n
. Si on calcule l'angle que fait la ligne du rocher avec la ligue
médiane
horizontale, on constate qu'il est plus petit d
les deux cas, la macro-esthésie sur- vint à la suite de névrite du
médian
, à la phase de la régénéres- cence. Il est prob
elques symptômes de localisation, selon quela tumeur occupe le lobe
médian
, les lobes latéraux, les pédoncules cérébelleux
int de vue embryologique, comme le corps du thymus et les thyroïdes
médianes
et latérales, les parathyroïdes sont des dérivé
nt accen- 102 CLINIQUE NERVEUSE. tuées au niveau du cubital et du
médian
, que l'on peut sentir dans toute la hauteur du
DR très prononcée dans tout le domaine du nerf cubital et du nerf
médian
à la main; dans le domaine antibrachial de ces
ire du tegmentum pontis de Hechterew, le noyau central supérieur ou
médian
de ]3eclitei-ev, le noyau inomiaé de Hechterew,
latéral, ou tout court, noyau central supérieur, média), ou mieux
médian
. On le trouve également chez le chien et l'homme,
arésie du nerf facial droit dans ses ramifications infé- rieures et
médianes
. Des mouvements involontaires dans les muscles
térieure droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la région dorsale
médiane
, où s'augmente de nouveau à l'étendue des deux
occupait encore la pie-mère, principalement dans la région dorsale
médiane
. On rencontrait dans la néoformation une quan-
yau principal constitue une masse bien circonscrite excepté pour le
médian
et le cubital, 236 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. qui o
urs segments médullaires, deux, trois, et même davantage ; le noyau
médian
a des fonctions motrices étroitement liées à l'
. 2° Toujours le trouble de la vue dis- paraît d'abord sur la ligne
médiane
et en bas, de sorte que finale- ment il ne rest
té que la lésion, ainsi qu'à la substance réticulaire et aux noyaux
médians
des fais- ceaux de Burdach des deux côtés symét
che restante des faisceaux de Goll ainsi que dans l'angle posiél'o-
médian
des faisceaux de Burdach : il y en a autant des d
Ces fibres-ci se séparent de la portion externe du ruban de Reil
médian
, au niveau environ du corps genouillé externe, po
ignet qui avait subi cinq ans avant de mourir une résection du nerf
médian
depuis la paume de la main jusqu'au tiers supér
en que, chez le malade en question dont la plaie occupait la région
médiane
du nez, la toxine tétanique se soit propagée pa
de la chirurgie conservatrice. IL C. XVI. Névrome adipeux diffus du
médian
. Résection, régénération autogène; par Durante.
l'hypoglosse droit, par Dan : ,kl, 423. NEVROSE adipeux diffus du
médian
. Résection, régénération autogène, par Durant
es. Sourcils abondants, châtain foncé, se réunissant sur la ligne
médiane
. Cils longs, noirs et bien implantés. Pas de blép
e de l'utérus et de ses annexes qui sont fixés à droite de la ligne
médiane
. La mort est due a la tuber- culose généralisée
re (L.Q.), assez volumi- neux, divisé en deux parties par un sillon
médian
, - Coin IC,), première et deuxième circonvoluti
les couleurs. Nez légèrement épaté, narines horizon- tales, cloison
médiane
. Odorat normal. - l3ouche assez grande, lèvres
5 - tu-temporal " " » » » '» » u 11.5 11.5 12 12 12 12 12 Hauteur
médiane
du front 4 4 4 4.5 5 5 5 5 5 5 5 5 5 5, 5 5 - -
tour des paupières ; la lèvre supérieure est assez forte, le sillon
médian
est régulier : la lèvre inférieure est en saillie
- tales sont saillantes, séparées par une dépression de la partie
médiane
du front. Les régions temporo-frontales sont apla
ou- Ides digestifs ni de diarrhée. - Au niveau des deux incisives
médianes
inférieures, qui viennent de percer, on note une
blonds, abondants, bien plantés ; pas d'épi, tourbillon postérieur
médian
. Visage de forme allongée. Arcades sourcilières
aillie des amygdales. Seules des dents per- manentes, les incisives
médianes
et les premières prémolai- res supérieures et i
plis de passage importants, l'un tout à fait antérieur et l'autre
médian
. F3 est un peu grêle, surtout au niveau du territ
les tempes : pas de cicatrices, pas d'épi, tour- billon postérieur
médian
. Le crâne est rond, volumineux, plagiocéphale,
renflement cervical, le canal central est dilaté; cette dilatation,
médiane
, rejoint la périphérie postérieure de l'organe;
antérieure. Cicatrice oblique sur le pariétal droit vers la partie
médiane
, résultant, selon le malade, d'une chute pendan
faisceau entrecroisé parait presque exclu- sivement uni à la moitié
médiane
de la sphère visuelle, le faisceau non entrecro
autres auteurs élongèrent le nerf cubital en même temps que le nerf
médian
. Le professeur Verneuil', qui modifia la méthod
broyé le nerf, entreprit une double élon- gation en étirant le nerf
médian
et ensuite le cubital à un homme de trente-neuf
ison complète. Auerbach' entreprit en 1882 l'élongation des nerfs
médian
et cubital dans un cas de paralysie agitante, o
vit. Gillette (1881) étira avec une force de quinze kilos les nerfs
médian
et cubital à une femme qui accusait de l'ataxie
elles des extrémités inférieures augmentèrent. Elongation du nerf
médian
. Callender3 (1874) : Un homme de quarante-cinq
moignon après une amputation de l'avant-bras. L'élongation du nerf
médian
amena un amendement des douleurs. M. Callenderl
. Il communique deux cas de mort à la suite de l'élongation du nerf
médian
. Sa première observation se rapporte à un jeune
et pris de tétanos. Quarante-huit heures après l'élongation du nerf
médian
, le malade mourut, La deuxième observation conc
uel on amputa le pouce, ce qui amena du tétanos, élongation du nerf
médian
, mort le lendemain. Struckmann' Maag : Une femm
ans accusait de la névralgie de l'avant-bras; L'élongation du nerf
médian
amena du soulagement. Estiander' : Un homme de
ieure d'une névralgie d'origine trauma- matique. Elongation du nerf
médian
; amélioration. Thomas' (1879) : Tétanos d'origi
un jeune homme de vingt-trois ans qui se blessa à la main; le nerf
médian
fut élongé et broyé sur une sonde cannelée; con
eux à l'avant-bras; il s'en suivit du tétanos; l'élongation du nerf
médian
amena la guéri- son. Le' Fort (1882) : Névralgi
un accident de chasse; guérison complète après l'élongation du nerf
médian
. Pour en finir avec le membre supérieur citons
n homme de vingt-neuf ans, qui avait été blessé; élongation du nerf
médian
, retour de la sensibilité, mais pas d'améliorat
sophage, le larynx et tous les autres organes sont sains. Le nerf
médian
paraît plus gris et plus petit à gauche qu'adroit
de Rolaudo et se prolongeant avec la branche transversale du sillon
médian
du pli pariétal supérieur; cette partie delà scis
été faite. A part quelques artérioles, telles que l'artère du nerf
médian
, de plus gros calibre et de dissection plus ais
t volumineux, une artère spé- ciale leur est destinée, ainsi que le
médian
, le sciatique, l'optique nous enoffrentdesexemp
crire l'artère du musculo-cutané ou du saphène interne que celle du
médian
ou du sciatique. Il y a plus : c'est autour des
multiplicité desaffluents artériels. La figure 3 re- présente le
médian
sur tout son trajet, jusqu'à ses ter- minaiso
fournit un ramuscule as- hnes aux ncrfs. Fig. 3. Artères du nerf
médian
. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 9
ourni un trajet récurrent. Les exem- ples ne manquent pas. Voyez le
médian
au bras (lïq. 3), les branchioles qui lui vienn
le nerf saphènes externes, le bra- chial cutané interne et la veine
médiane
basilique, etc. Les autres, le musculo-cutané,
s veinules émanées du nerf voisin. La figure 13 mon- tre ainsi le
médian
, au bras, émettant une série de ramuscules qu
au bras) rece- vant les veines d'un tronc nerveux satellite (nerf
médian
). ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 2
te réfractaire à toute excitation; tous les muscles innervés par le
médian
, se con- tractent excepté lui. Diagnostic : név
e trajet et la sphère d'évolution du cubital, voire du radial et du
médian
. Intégrité du tact. Affection symétrique mais i
ant, soit en descendant. - 3. Quant aux fibres placées dans la zone
médiane
, impossible d'en savoir plus long. - 4. En ce qui
ons postérieurs. 5. Les fibres de la zone radi- culaire postérieure
médiane
proviennent toutes des racines postérieures qui
s abandonnent les cordons postérieurs par trois chemins. Les fibres
médianes
vont en partie dans le raphé (cloison postérieu
: '. des premières : les zones radiculaires moyennes - les zones,
médianes
des cordons postérieurs (dont l'évolution est par
rmée de deux systèmes de fibres : ♦ a). Des fibres du ruban de Reil
médians
, qui se dirigent vers le noyau de Luys et vers
natomiques, ce n'est pas le territoire innervé par le cubital ou le
médian
qui est anesthésique, c'est la main ou le poignet
ne section plus ou L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 331 moins complète du
médian
et surtout de ses filets superficiels. Mais en
acent des lignes circulaires ayant leurs points fixes sur la ligne-
médiane
antéro-postérieure, qui, par conséquent, briden
ètres au-dessous du cartilage cricoide, un peu à droite de la ligne
médiane
; elle est déterminée par un crochet du morceau
e supérieur droit et la main gauche se trouve plus près de la ligne
médiane
que la droite. Le membre supérieur gauche est f
e ce travail. On trace, par exemple, un trait le long de la ligne
médiane
du corps ; on prévient le sujet en expérience q
e, etc.). Or, voici ce qu'on observe : A une distance de la ligne
médiane
variant, suivant.les individus, de 2 à 3 centim
Bien souvent le malade déclare qu'une excitation porte sur la ligne
médiane
, tandis que le point excité est séparé de cette
limite sera atteinte. Si maintenant, au lieu de choisir la ligne
médiane
comme limite, on trace sur une partie quelconqu
très marqués de l'aorte ascendante, à gauche et à droite de l'ombre
médiane
; à l'examen radiographiquc, on constate une di
ères, P. F. C. est très nette. L'électrisation des troncs des nerfs
médian
, cubital et radial ne provoque aucune contracti
érance occipitale externe. La convexité du lambeau atteint la ligne
médiane
au niveau de la ligne bi-auriculaire et la base
inter-hémisphérique est fortement rejetée à gauche du plan sagittal
médian
du corps. L'hémisphère droit auquel sont append
le trapèze de ce côté est tendu, le dos de la main regarde la ligne
médiane
du corps ; de plus, l'avant-bras se fléchit sur l
ive ; c'est du moins ce que j'ai constaté dans le cas de section du
médian
, du cubital, du sciatique, du facial. Je ne con
je ne soutiens pas que la dégénération des muscles innervés par le
médian
, le cubital, le facial, soit nécessairement déf
les fibres dégénérées suivent le trajet classique du ruban de Reil
médian
; elles se disséminent bientôt dans toute l'épai
IRES 299 M. et 1\1"'e Déjerine sous le nom de zone du ruban de Reil
médian
, à la partie inférieure du noyeau externe, au-d
rtie inférieure du noyeau externe, au-dessous et en dehors du noyau
médian
, dans lequel elles pénètrent en grand nombre. O
u'à quelques milli- mètres au-dessus du point où disparaît le noyau
médian
, puis toute dégénérescence cesse, et nous nous
l gauche et qui provient de fibres sectionnées à gauche de la ligne
médiane
avant leur entre-croisement ; ce sont naturelle
pli fessier ou à la fesse à plus de 6 ou 7 centimètres de la ligne
médiane
, on n'obtient aucune contraction ; mais cette c
erture de la dure-mère. Une longue incision est tracée sur la ligne
médiane
dorsale correspondant aux apophyses épineuses d
ge. La dure-mère étant largement mise à nu, on l'ouvre sur la ligne
médiane
et l'on aperçoit de suite une tumeur bien circons
rosse olive, de couleur rouge violacée, située à droite de la ligne
médiane
et comprimant la moelle qui présente sur son flan
icale. Notons aussi l'existence de deux petites gouttes à la région
médiane
inférieure de la COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 43
s attitudes régies par l'anato- mie, telles que la griffe cubitale,
médiane
, etc. Voilà en quoi consistait le phénomène som
e fait un blessé atteint d'anes- thésie par lésion du cubital ou du
médian
. Ils varient souvent d'un instant à l'autre, se
rt, une paralysie incomplète des muscles de la main innervés par le
médian
et d'une parésie des extenseurs et des fléchiss
'e Ath. Benisty, décrivant la forme douloureuse des lésions du nerf
médian
, font remar- quer que la main est émaciée dans
ssus du niveau de la lésion et n'apparte- nant pas au territoire du
médian
, que les réflexes ostéo-périostés et ten- dineu
grand modèle, pendant 10 minutes, puis ce fut le tour de la partie
médiane
de la cuisse et, enfin celle du mollet. C'est a
ciété de Neurologie, 2 juillet 1908). t52. Section du cubital et du
médian
à la partie inférieure de l'avant-bras. Causes
cyphose très prononcée. Les épaules très rap- prochées de la ligne
médiane
. Le bord supérieur des muscles proéminent comme
la position des épaules qui sont haussées et rapprochés de la ligne
médiane
. On constate une fracture consolidée de la clav
ovoïde à contour régulier. Che- veux châtains à un seul tourbillon
médian
, ligne d'insertion antérieure semi- circulaire.
oxo-fémorales. La cage thoracique dans ses deux tiers, supérieur et
médian
, est complètement immobile. La respiration est du
ande est atteint de sclérose très accusée. Les nerfs périphériques (
médian
, radial) paraissent infiltrés de graisse. Le ti
nts constituants. Nerfs périphériques. L'examen a porté sur le nerf
médian
et le sciatique poplité externe ; on note autou
occipi- taux) se tassant, prennent une forme massive ; leurs bords
médians
sont plaqués l'un contre l'autre. A- leur périp
ertension intra-crànienne ; au contraire, la 29 située sur la ligne
médiane
, semble obturer l'aqueduc : les trois premiers ve
us les tubercules quadrijumeaux inférieurs, à peu près sur la ligne
médiane
, qu'elle déborde de chaque côté, davantage à gauc
que cet exemple, que Ménétrier et Gauckler (t), à propos d'un kyste
médian
du cervelet, du volume d'une mandarine, attribu
bord externe du trapèze. Les placards n'empiètent pas sur la ligne
médiane
; leur extrémité inférieure correspond, en avant
une pièce d'un franc. En avant ces taches ne dépassent pas la ligne
médiane
du membre autrement dit une ligue réunissant le m
convexité tournée vers la colonne vertébrale n'atteint pas la ligne
médiane
. Plus bas, au niveau de la 7e côte, elle forme
inférieur et remonte vers le sternum ; elle atteint enfin la ligne
médiane
au niveau de la 3° côte et gagne obliquement la
T. XXIV, PL.XXXVI1. Fie 8. - Coupe sagittale, prise sur la ligne
médiane
d'un disque interv. (H) normal avec les parties
brale a été sciée en deux parties égales suivant la ligne sagittale
médiane
. De la partie antérieure de cette section a été
aut, en bas et en dedans. En dehors l'oeil dépasse à peine la ligne
médiane
. Il en est de même en haut et en dehors et en b
bande mince. En arrière l'omoplate gauche est éloignée de la ligne
médiane
, le creux sus- épineux paraît amaigri. A l'ét
Au contraire, du côté gauche l'omoplate reste éloignée de la ligne
médiane
. Ce sont les faisceaux du rhomboïde que l'on ap
tirer au dehors. L'hémiatrophie est extrêmement marquée, le sillon
médian
dévie, la langue flasque et anémiée du côté gau
rmale en haut, en bas et en dedans. L'oeil dépasse à peine la ligne
médiane
dans le regard en dehors, en haut, et en dehors
ontour régulier, re- couvert de cheveux noirs, à un seul tourbillon
médian
et à ligne d'insertion antérieure semicirculair
es sourcils bien développés sont légèrement imbriquées sur la ligne
médiane
. Les pupilles sont égales et leurs réflexes conse
sont très clairsemés et mau- quent presque complètement à la partie
médiane
. Le malade fait spontané- ment remarquer que sa
ale. La projec- tion de la tète en arrière est également brusque et
médiane
, la tète revenant aussitôt à son point de dépar
rieures, dans les cordons postérieurs, sur les deux bords du sillon
médian
pos- térieur. Il y a, en outre, de petits foyer
endue de trois quarts de pouce (en mesurant à partir de la scissure
médiane
du cerveau) les deux circonvolutions avaient un
'atrophie des muscles des mains innervés par les nerfs cuúi- tal et
médian
. Cette atfection a débuté il y a deux années, a
t divisés en symptômes polymyé- litiques antérieurs, postérieurs et
médians
; les extrinsèques en leucomyélitiques latéraux
io-tabétique, parfois le tremblement. Les troubles polyomyélitiques
médians
sont : 1° des troubles trophiques cutanés (vari
mps des deux extrémités de la jambe et se rejoignent vers la partie
médiane
. Par la pression on produit des élancements dou
toire limité en avant par la crête tibiale, en arrière par la ligne
médiane
et la face postérieure de la jambe il y a anesthé
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES D'UN nouveau diagramme du plan
médian
,\NTÉl1.0-POSTÉ : l1.IEUl1. du crâne; par M. Be
ntégrité de. la substance nerveuse même) qui comprend, sur la crête
médiane
de l'hémisphère, la plus grande partie des deux
la plus grande partie des deux ascendantes, c'est-à-dire la portion
médiane
de la frontale ascendante et latérale de la par
xiste au moins deux : un premier, vertical, situé en dehors du plan
médian
z Fig.28. c, ? Corps calleux. - C. g., Corps
n petit tractus blanc qui, né du bec du corps calleux, sur la ligne
médiane
, chemine d'avant en arrière le long de la ligne
ur la ligne médiane, chemine d'avant en arrière le long de la ligne
médiane
jusqu'au niveau de la lame grise dite racine gr
ussi sur la circonvolution postfrontale, mais plus près de la ligne
médiane
que celui du membre anté- , localisation der Fu
n arrière. L'innervation du facial (fig. 38") provient de la partie
médiane
de la circonvolution supra- sylvienne. Cette ré
ne postérieure immédiatement supérieure par leur côté .interne et
médian
, au point où elles pénètrent dans le cordon posté
fibres radiculaires dans le cordon posté- rieur gagne sur la ligne
médiane
le faisceau de Goll ; la section des racines du
pondantes. Intégrité du ventricule latéral. Dégénérescence du tiers
médian
et latéral du pied des deux pédoncules. Intégri
ents D, C, G. - a, b, F, portions minces restaurées. - A, B, noyaux
médians
des'segments. E, extrémité du segment B, attein
arrière. La face parait symétrique. Arcade dentaire supérieure :
médianes
sont larges, crénelées; les incisives latérales m
est proéminente. Les arcades dentaires sont normales. Les incisives
médianes
supérieures sont larges, les inférieures sont c
e l'oreille pour la région temporale, et de chaque côté de la ligne
médiane
pour la région occipitale. Les tiges des ther-
au conduit auditif externe, et distantes d'un centimètre; la ligne
médiane
est divisée en cen- timètres depuis la racine d
relativement volumineuse. Une dépression longitudinale sur la ligne
médiane
du front indique que la suture métopique est pe
eproduire. C. T. REVUE DE thérapeutique. 333 XI. Suture du NERF
médian
DIVISÉ; par le Dr 11ULRE. [Société clinique de
linique de Londres, et the Lancet, février 1880, p. 288.) Le nerf
médian
avait été coupé à la partie inférieure de l'avant
sure étant incomplète, et l'anesthésie des doigts inner- vés par le
médian
persistant, on fit la suture des deux bouts du
mourut dans le marasme. A l'au- topsie, on découvrit que la partie
médiane
du centre semi-ovalaire droit, toute la région
s le lavage le fait disparaître; la dure-mère, incisée sur la ligue
médiane
en avant et en arrière, laisse voir la face ant
upérieure sont recou- vertes d'un capuchon de tartre. Les incisives
médianes
supé- rieures sont larges, crénelées, les latér
momètres placés sur deux points symétriques (par rapport à la ligne
médiane
du corps) indi- quent au début de l'expérience
t l'oreille qu'elle recouvre, la région pariétale et enfin la ligne
médiane
où elle rencontre sa 'congénère. Jusqu'à ce mom
ue, à la tête et au cou, elle est encore assez éloignée de la ligne
médiane
en avant et en arrière. Enfin, le cou tout enti
la face finit par l'être aussi, mais ce sont les points de la ligne
médiane
les plus saillants qui sont les derniers attein
rémités. L'anesthésie générale résulte de la. fusion sur la ligne
médiane
de ces différentes plaques primitivement écloses
e la selle turcique, cette méninge présente exactement sur la ligne
médiane
, à 4 centimètres et demi au-dessus du bord antéri
Rq ? .OR09ri n ? ? )j ? 8p ? r-<>°p grossissant vers la ligne
médiane
. Il en est-separe 0 m- aijfaiinii 8-U 9oon>a
résence dans le centre ovale gauche d'une tumeur occupant la partie
médiane
desfaisceauxpariétauxsupérieurs.pédiculo-parlét
par Hammond, 587. Etalagistes, par Lunier, 485. Fibrome du nerf
médian
, par Rémy et Bulteau, 291. Fièvre (influence
40. Nerf intercostal (anomalie du le.,), par Grutier, 428. Nerf
médian
(fibrome du), par Ré- my et Bulleau, 291. Ner
428. Nerf médian (fibrome du), par Ré- my et Bulleau, 291. Nerf
médian
(suture du), par Hulke, 333. Nerfs de l'orbit
mutité (éducation dans la), par Hartmann, 594. Suture nerveuse du
médian
, par Hulke, 333. Strychnine (recherche de la)
ements D, C, G. a, b, F, portions minces restaurées. - A, B, noyaux
médians
des segments. E, extrémité du segment B, attein
oro-occipital latéral. T , circonvolution, ou pli temporo-occipital
médian
. II, circonvolution de l'hippocampe. CT, circon
· absolument indolent. On trouve de plus actuellement une fissure
médiane
sur la langue, et sur les bords une petite ulcéra
n'offre aucune lésion ma- croscopique. On fait d'abord une section
médiane
; puis de chaque côté on débite la protubérance
un peu d'infiltration de la pie-mère spinale tout le long du sillon
médian
antérieur. Réservée pour un examen microscopiqu
a au noyau du droit interne du même côté; l'autre franchit la ligne
médiane
pour aller au noyau du droit externe opposé.
couche optique ; après avoir traversé transversalement le centre
médian
, elle ne gagne que la partie postérieure du noyau
n se rapproche du plan antérieur du corps, tout en gagnant la ligne
médiane
, il faudrait placer la partie antérieure du noy
servé ; le groupe postéro-latéral est atrophié en partie; le groupe
médian
a disparu. Réduction de nombre des cellules occup
ée de la membrane interne et de l'externe, tan- dis que la membrane
médiane
était dépourvue d'éléments muscu- laires. La
alé plus haut, à direc- tion horizontale et rejoignant sur la ligne
médiane
celui du côté opposé. Cet organe canaliculaire,
n'a trouvé aucune lésion appréciable dans les nerfs périphériques (
médian
, cubital, sciatique, etc.). Les méninges rachid
saillie, son angle inférieur est soulevé et rappro- ché de la ligne
médiane
; lors de l'élévation du bras, l'omoplate s'éloi
ubérance dans le faisceau géniculé, s'entrecroisent là sur la ligne
médiane
et abordent le noyau d'origine situésousle planch
ure-mère est sectionnée le long de sa face postérieure sur la ligne
médiane
. Jusqu'à la quatrième cervicale, la moelle prés
s gauches sont beaucoup plus déviées et paraissent sortir du sillon
médian
anté- rieur ; elles sont minces et paraissent a
t ultérieur est encore fort mal connu. Après avoir franchi la ligne
médiane
(comme le montre le syndrome de elles se dissoc
côté, détermine une inégalité pupillaire ; 2 ? l'excitation du nerf
médian
produit encore de la dilatation pupillaire du c
des tubercules quadrijumeaux antérieurs, de chaque côté de la ligne
médiane
, et renferme des cellules moyennes multipolaires.
e. Au niveau du liers anté- rieur de ce noyau, on aperçoit un noyau
médian
à grosses cellules; - sa partie externe et supé
t comment les fibres dégénérées, après entrecroisement sur la ligne
médiane
du côté opposé, vont des deux côtés du raphé au
entimètres au-dessus de la rotule et à sept centimètres de la ligne
médiane
, qu'exaspère d'abord la pression, bientôt modér
tres d'association dans toute leur étendue s'unissent avec le noyau
médian
de la couche optique, par quelques fibres de pr
tions des sphères seusorio-corticales, tant que le rapport du noyau
médian
de la couche optique avec les conducteurs senso-
ette conjonctif d'origine pie-mérienne qui pénètre dans les sillons
médians
antérieur et pos- rieur de la moelle. D'un di
Cru, deuxième feuillet du lobe oplique. D, cervelet. D', cervelet
médian
. D", lobes latéraux du cervelet. E, commissur
enveloppe P. M. formée de deux membranes a été incisée sur la ligne
médiane
et renversée de cha- que côté, pour montrer que
s mois, développé. ' ' Fig. 3. Coupe verticale du même sur la ligne
médiane
. ' Fig. 4. Même encéphale d'embryon un peu plus
ance médullaire et fibreuse. Cette capsule est ouverte sur la ligne
médiane
. Les autres signes comme dans la figure précédent
1 protubérance. -d. corps dentelés des olives, ouverts sur la ligne
médiane
. Fig. 10. Coupe du même organe, au-dessous ou d
paralytique les eût précédées. L'autopsie fit constater que la partie
médiane
(interne) du trijumeau avait seule été intéressée
du radius avait produit un cal volumi-neux, lequel comprimait le nerf
médian
. En conséquence il s'étaitformé sur la peau du po
n. — D, corne anté-rieure droite, malade, sans le noyau ganglionnaire
médian
dont les cellules sont détruites et qui est repré
sur la région sacrée du côté droit, àquelques centimètres de la ligne
médiane
, immédiatement au-dessous de l'extrémité du coccy
e l'étendue du renflement lombaire, où elle remonte le long du sillon
médian
postérieur, contrairement à la disposition que pr
cérébrale. — a, Partie mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse. parties
médianes
, mais bien vers le centre de. la région fessière,
un des orifices siégeait en haut du front, un peu à gauchede la ligne
médiane
; veau, exclusivement du côté correspondant à l'
prédilection des esehares de cause cérébrale : là, il occupe la ligne
médiane
et s'étend aux parties voisines, symé-triquement,
-che. — B, Commissure grise postérieure et canal central. — C, Sillon
médian
intérieur, — a, a. Groupe de cellules antérieur e
normale, ainsi que les ecchymoses s'arrêtaient brusquement à la ligne
médiane
. La moitié droite de l'épicrâne, au contraire, av
parfaite et correspond, je le répète, à peu de chose près, à la ligne
médiane
. Un autre trait qui mérite bien d'être mentionné,
thésie affecte toute une moitié du corps et s'arrête juste à la ligne
médiane
. La moitié correspon-dante de la face, la peau au
re. Il en a.été de même dans le fait observé parM. Luys(2): le centre
médian
de la couche optique étaitlésé, mais l'altération
les muscles et peut-être les os ; elle s'arrête exactement à la ligne
médiane
. Cette sorte de généralisation de l'anesthésie
f en quelques points. Une coupe trans-versale pratiquée sur la partie
médiane
, fait voir une sorte de semis de plaques de sclér
dent fut suivi immédiatement d'une douleur occupant le trajet du nerf
médian
. Dès le lendemain, était survenue une contrac-tur
ace antérieure de l'avant-bras, particulièrement sur le trajetdu nerf
médian
. Si l'on insiste, il s'ensuit une sorte de crise
etit tronçon de la moelle épinière, on l'incise le long de la ligne
médiane
et l'on écarte chaque côté de la dure-mère. On
e du men- ton est tirée à gauche (Pl. III, IV), et dépasse la ligne
médiane
. Le muscle élévateur gauche du menton étant con
e torse, mesure quatre têtes, du sol, au pli de l'aine en sa partie
médiane
qui répond dans la profondeur au centre articul
a déviation vertébrale sous la rubrique : symptômes poliomyéliqlles
médians
; c'est dire qu'il tend à la considérer comme r
ois centimètres de la crête iliaque, à quatre centimètres de la ligne
médiane
». Eu ce point aucune modification objective n'
cas particulier. Ce sont des déviations compensatrices dans le plan
médian
et dans le plan transversal, dont le sens est dét
rmi- nent des déviations. Ces déviations se produisent dans le plan
médian
, quand la lésion porte sur les muscles extenseu
st portée en avant. Déjerine et Sollier. Persistance de la suture
médiane
du frontal. Base du crâne asymétrique. Comme
vertè- bre dorsale est très notablement déviée à gauche de la ligne
médiane
; l'épine de la 4e vertèbre dorsale se dévie, a
'altéra- tion frappe les muscles qui meuvent le rachis dans le plan
médian
. Elles ont été observées dans les cas de paraly
itués de chaque côté du rachis cessent de le maintenir dans le plan
médian
, et la colonne ver- tébrale s'incurve latéralem
en comprimant les gros troncs artériels et nerveux des bras (nerfs
médians
et les artères brachiales par exemple). La fr
tre tôles du sol au-dessous du grand trochanter. Le point de repère
médian
qui marque la mesure de deux têtes n'est pas mo
lative des membres inférieurs et du torse. A la naissance, le point
médian
du corps, dans le sens de la hauteur, est au-de
e du corps, membres, face et tronc, exactement à partir de la ligne
médiane
, pour toutes les impressions de tact, de douleu
cipale parce que celle-ci est accompagnée par les nerfs cubital et
médian
qui sont presque toujours atteints dans ce cas
sur le ca- libre de leur vaisseaux. Ziemssen, ,Elec{1'Íc¡{at in der
Médian
, 20 partie, Berlin, 1885. 380 NOUVELLE ICONOGRA
ules que nous voulons et de dissimuler les autres derrière la planche
médiane
. On écrit à la craie, au-dessous de chaque tringl
bi-temporal — 9.3 9.5 10.1 10.1 10.2 10.2 10.2 10.2 10.2 10.5 Hauteur
médiane
du front............... 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5.5 5
non perceptibles ; front d'une hauteur de 6 centimètres sur la ligne
médiane
(voir le tableau spécial pour la mensuration des
rté: lesaisselles sontglabres,lesseinsnon développés; duvet roux à la
médiane
et supérieure de la face postérieure du thorax: v
méfaction située à la partie postérieure du cou, à droite de la ligne
médiane
; elle a une hauteur de 10 cm., compris entre la p
bord supérieur de l'oreille, son diamètre transversal va de la ligne
médiane
au sillon auriculaire postérieur; pas de fluctuat
! — bi-temporal. . 8.5 8.5 9 9 9 9.5 9.5 9.5 9.5 11.5 11.5 ! Hauteur
médiane
du i front......... 4.7 4.7 4.5 4.5 4.5 5 5 5 5
aucune trace d'albumine. L'éphidrose s'arrête exactement à la ligne
médiane
de la face. En passant la main dans ses cheveux
DES éphidroses de la face. 67 frontale. Elle commence à la ligne
médiane
, envahit la tempe, la racine du nez à sa partie
ère et par devant elle s'étend jusqu'à la ligne passant par le plan
médian
du corps. L'ombilic occupe le milieu ;de sa lim
le permet l'intrication des filets nerveux qui dépassent la ligne
médiane
. Puis tantôt lentement, tantôt rapidement, l'ép
frontale est également bien développée, très découpée; à sa partie
médiane
se trouve un sillon profond allant de la premiè
occipilales paraissent assez bien con- formées, toutefois la partie
médiane
de la circonvolution est légèrement en retrait
n isolé des circonvolutions envi- ronnantes ; il présente un sillon
médian
transversal. - La scissure calloso-marginale es
que, sans proéminence de l'occipital qui est surmonté par un méplat
médian
et régulier; les bosses pariétales et frontales
du pariétal et de l'occipital, une autre plus petite vers la partie
médiane
et s'étendant à gauche à la partie supérieure de
proéminentes. Cicatrice oblique de haut en bas partant de la partie
médiane
au niveau delà suture fronto-pariétale gauche.
ied gauche : une près de la rotule à gauche. Périonyxis de l'orteil
médian
droit; sur le 4° orteil gauche, légère ulcérati
repoussé à droite, que son lobe gauche atteint tout juste la ligne
médiane
, que son bord antérieur ne descend pas jusqu'au
irconvolution frontale; l'un se continue directement avec la partie
médiane
de la portion triangulaire. La deuxième scissur
saux antéro-postérieurs la divisent presque entièrement, l'un même,
médian
, atteint' son 390 CLINIQUE NERVEUSE. bord pos
incom- plète (treize faits de zones épargnées, deux faits de ligne
médiane
dépassée ou non atteinte) - hémianalgésie simpl
la bouche nous fait voir sur la voûte palatine, à droite du sillon
médian
, une dépres- 452 SOCIÉTÉS SAVANTES. sion liné
hène, péronier et tibial postérieur - crural, sciatique et radial -
médian
et cubital. Les petites branches musculaires sont
te due certainement à une névrite dégénérative périphérique du nerf
médian
, car les accidents, y compris la réaction dégén
malformation. Discussion. M. 13.1DLICH. C'est l'absence de la zone
médiane
de l'encéphale qui détermine l'étendue delà mal
configura- tion normale en conséquence de la curvature de la ligne
médiane
centrale, dont j'ai parlé plus haut. Les alté
ation; mais, en haut, même quand il y a une apparence de séparation
médiane
, on trouve un échange de faisceaux plus ou moin
guë du 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. nerf
médian
droit avec anidrose et ichthyose symptomatique de
dilatateurs. Obs. II. Névrite infectieuse ( ? ) à récidives du nerf
médian
gauche avec ichthyose diffuse de la face interne
ieuse, avec planche à l'appui, de laquelle il résulte que la partie
médiane
du ruban de Reil contient surtout des fibres de
r une petite cicatrice arrondie, située à un centimètre de la ligne
médiane
, à la hauteur de l'apophyse épineuse de la sept
ous voyez à droite de la septième vertèbre cervicale rigoureusement
médiane
la cicatrice produite par la blessure ancienne.
oite, puis l'apophyse de la deuxième dorsale se reporte sur le plan
médian
, ou du moins s'en écarte à peine vers la droite
ital. 172 CLINIQUE NERVEUSE. innervation purement motrice ; 3° au
médian
qui donne lieu à la même observation'. Eh bien
osseux, les fléchisseurs, tous tributaires soit du cubital, soit du
médian
; vous comprenez, enfin, l'exclusion du radial,
les fibres irido-di- latatrices, sur le brachial cutané interne, le
médian
et le cubital. Mais ce n'est pas tout d'affir
oré ; la substance cérébrale à nu. La plaie se trouve sur la suture
médiane
sagittale, légèrement portée vers la droite, pl
cervelet est incisée, celui-ci enlevé. On remarque sur sa scissure
médiane
inférieure, jusqu'à la naissance de la moelle,
surtout du côté droit, à la partie la plus interne et sur le sillon
médian
se dirigeant vers le calamus scriptorius. Le pu
vers le calamus scriptorius. Le pus concrète remarqué sur le sillon
médian
cérébelleux inférieur, adhère très intimement à
ress. Inaug. Diss. Dorpat. 1886. NicAisE. - Trophonévrose faciale
médiane
. Revue de méd., 1887. BApvisE. Lancent, 31 dece
ps devient rigide, les bras en extension se rapprochent de la ligne
médiane
, les faces des mains tournées l'une contre l'au
cylindriques. Le plus volumineux mesure 240 P; il occupe la ligne
médiane
du cûté gauche du raphé et est séparé du plancher
bas, elles forment un trousseau compact, des deux côté de la ligne
médiane
, et se dirigent en dehors; dans le ruban de Reil
at actuel, Tête arrondie, assez grande ; aplatissement de la partie
médiane
de l'occipital, avec saillie latérale : apla- t
- Nez aquilin. - Bouche assez grande, dents bien rangées, incisives
médianes
larges ; voûte palatine peu profonde, assez lar
et normal comme forme; la pyramide de Lalouette se détache du lobe
médian
. Thymus. remplacé par du tissu cellulaire assez
. - Ne ? droit, bouche petite, lèvre supérieure épaisse à sa partie
médiane
, la lèvre inférieure jusqu'aux commissures ; me
notam- ment dans les cordons postérieurs de chaque côté du sillon
médian
, et à la périphérie môme dans les cordons latér
ure). - Le nombre des dents, saines, est normal. Les deux incisives
médianes
permanentes inférieures ont effectué leur érupt
Elle ne présente que de rares zones de trans- parence sur la ligne
médiane
le long de la suture sagittale au niveau de l'e
tale au niveau de l'emplacement de la fontanelle et sur la partie
médiane
du frontal. A la face externe, la suture coronale
ce externe, la suture coronale est très contournée sauf à sa partie
médiane
où elle est en dents de souris, limitant un os
lles des sutures voisines. Les deux tiers sont à gauche de la ligne
médiane
. La suture sagittale part t du tiers droit de s
ux dans toute la région dorsale. Sclérose des cordons posté- rieurs
médians
dans la région dorsale. Zones sclérotiques irrégu
aires. Sclérose ascendante dans les cor- dons cervicaux postérieurs
médians
. C. SCHÉPILOFF. VIII. La géographie de la moell
ment éloigné du corps genouillé externe en se portant vers la ligne
médiane
et sur les coupes pas- sant par la partie antér
rritoire de ce dernier. En avant il est limité par le ruban de Reil
médian
. Sur les coupes plus bas nous le voyons derrière
IV paire des deux côtés, dans la pyramide et dans le ruban de Reil
médian
et même dans le ruban de Reil latéral du côté c
ez-de-chaussée, mais les vitres en sont plus épaisses, et la partie
médiane
peut être fermée à clef, les parties latérales
des gâteux : leur matelas est segmenté en trois parties. La partie
médiane
, correspondant au siège, est recou- verte d'une
: une atrophie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~nerf
médian
; une paralysie du nerf cubital à la suite d'une
1° Que la voie pédonculaire dégénérée abandonne au ruban de Reil
médian
, soit à la partie inférieure de la région pédoncu
aire. Ces fibres se portent en arrière, s'adossent au ruban de Beil
médian
ou pénètrent dans son épaisseur, descendent dan
nd et s'adossent à la partie antérieure et externe du ruban de Reil
médian
; les autres constituent le pc.s lemnicus superf
de la partie interne du SECTION DE NEUROLOGIE. 503 ruban de Reil
médian
. Les fibres aberrantes prolubéranlielles peu- v
aire ; elles sont refoulées en arrière et adossées au ruban de Reil
médian
par les fibres trans- versales profondes du pon
res aberrantes bulbaires, elles s'incorporent dans le ruban de Reil
médian
au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, im
re. Elle n'occupe en effet qu'une partie du trajet du ruban de Reil
médian
; elle fait défaut dans son segment sous- optiqu
oll et de Burdach. Quant à la diminution de volume du ruban de Reil
médian
que l'on constate dans les lésions de la zone s
de Gudden et von Monakow qui frappe non seulement le ruban de Reil
médian
, mais encore tous les faisceaux de la moitié du
éder, outre les fibres aber- ran;es qui s'adossent au ruban de Reil
médian
, d'autres fibres aberrantes. Telles sont : a)
sacrée entourent le faisceau septo-marginal (centre ovale, triangle
médian
). Fauceaux endogènes. La zone cornu-commissural
llze, faisceau septo-marginal (centre ovale de Flechsig et triangle
médian
de Gombault et Philippe), le faisceau descendan
ège : 1° der- rière la commissure postérieure, 2° le long du septum
médian
, 3° comme une bande étroite, entre les cordons
osse tumeur de la couche optique gauche qui, plantée dans la partie
médiane
de cet organe, s'en va assez loin en arrière da
i a souvent la forme d'un losange à deux angles situés sur la ligne
médiane
.-ne présente aucune altération visible de la pe
s autres; il rapproche l'angle. inférieur de l'omoplate de la ligne
médiane
en même temps qu'il le porte en haut et fait ba
u dos, à la partie inférieure de la région lombaire et sur la ligne
médiane
; cette sensation n'était pas continuelle. Quand
ns cervicale, dorsale, et lombaire de la moelle épinière, des nerfs
médian
, cubital, et sciatique, des nerfs cutanés et de
l en existe deux : l'un antérieur, plus petit, comprend deux noyaux
médians
et deux noyaux latéraux (Darkschewitsch); l'aut
d'Edinger-Westphal, qui contourne les pré- cédents ; enfin la ligne
médiane
est occupée par un 'dernier noyau dit central.
du groupe des cellules antéro- externes. Fig. 3. - Coupe du nerf
médian
de polynévrite à la région inférieure de l'avant-
érées. Nerfs cutanés. - Il ne présentent aucune altération. Nerfs
médian
et cubital. Indemnes. Nerf sciatique. - Quelque
sies. Muscles et nerfs. -- On a prélevé pour cet examen : le nerf
médian
à la partie moyenne du bras, supérieure, moyenne
it avec un autre petit tubercule dans la protubérance, sur la ligne
médiane
. Tout concorde donc en faveur de l'hypothèse d'
ence du nerf, fesse, point rétro-trochantérien, face postérieure et
médiane
de la cuisse, creux poplité, point péronier, mo
de lésions. Ainsi qu'on l'a vu, les troncs nerveux de ce membre, le
médian
et le cubital, examinés même au niveau de leur
en particulier, portait surtout sur l'éminence thénar. Or, le nerf
médian
présentait, il est vrai, quelques fibres ayant
sy- métrique, profondément émaciée. Le front est large, la suture
médiane
des deux moitiés du frontal est saillante; les
oint directement la même vertèbre. Il est plus profond sur la ligne
médiane
et latéralement qu'en arrière. A son niveau, 'l
t déclare avoir la sensation d'une boule qui partirait de la partie
médiane
du pénil (il ne sait dire si elle part du testi
le : 1350 grammes. La dure-mère, un peu épaissie adhère à la partie
médiane
de la voûte osseuse. La pie-mère n'est pas cong
le, pour se continuer en haut et se terminer au niveau de la partie
médiane
de la colonne cervicale. Dans cette dernière po
xité du foie, mais à son extrémité gauche qui s'arrête sur la ligne
médiane
. Le foie est situé tout entier à droite de la c
urs et parallèles ; les deux os se touchent en avant sur la ligne
médiane
, par leur face interne et non plus par leurs sur-
'arcade dentaire supérieure est assez régulière; onyvoit l'incisive
médiane
droite en voie d'érup- tion ; les autres sont a
ge. L'arcade dentaire supérieure est bien rangée, munie d'incisives
médianes
à couronne très large. Sur l'arcade inférieure,
point du cuir chevelu situé un peu au-dessus du front, sur la ligne
médiane
, à la partie antérieure et médiane du cuir chev
au-dessus du front, sur la ligne médiane, à la partie antérieure et
médiane
du cuir chevelu, par conséquent. De là, elle se
erminer sur le côté droit du crâne à quatre centimètres de la ligne
médiane
. Elle recouve donc, d'abord'la partie supérieure
ligne médiane. Elle recouve donc, d'abord'la partie supérieure et
médiane
du frontal, puis une petite partie, partie antéro
s (dans la première attaque), ces phénomènes dépassè- rent la ligne
médiane
pour envahir tout le champ visuel, ren- dant le
xation. Le scintillement, néanmoins, dépasse très' souvent la ligne
médiane
. Une observation intéressante d'amblyopie trans
E physiologie pathologiques. 263 XII. Remarque relative A la racine
médiane
DU nerf OPTIQUE chez LES oiseaux; par PERLIA. (
corps de Luys du côté opposé; l'autre, des fibres du ruban de Reil
médian
qui, après entre-croisement sur le plancher du
rotubé- rance, les voies motrices de la parole occupent les parties
médianes
et postérieures (dorsales) de la masse des pyra
n coup de poignard à peu près au milieu du dos, à gauche de laligne
médiane
. P. K. XX. DEUX cas DE paralysie générale AIGUE
tion consistait en une incision à deux travers de doigt de la ligne
médiane
, sur le côté gauche -9 9 centimètres sur 6 mill
t chaque os pariétal divisé antéro-pos- lérieurement. La bande d'os
médiane
, qui avait un pouce de large et s'étendait de l
forme; tête rasée; précautions antiseptiques. Incision sur la ligne
médiane
de la base du nez jusqu'au-delà de la protubéranc
du crâne est écartée d'un pouce environ de chaque côté de la ligne
médiane
; l'ossification des os du crâne était complète
visai les pariétaux sur une étendue d'un pouce et demi, à la partie
médiane
du sommet de la tète, coupant perpendiculairement
ichlorure de mercure. Suture de l'enve- loppe du crâne sur la ligne
médiane
avec le catgut. Pansement aseptique. Le malade
trépan le 8 novembre 1890. Il enleva sur le côté droit de la'ligne
médiane
, deux boutons d'os, d'un pouce de dia- mètre et
cules quadrijumeaux, leur extension, leur contiguité sur la ligne
médiane
, pourraient bien difficillement donner lieu à des
s d'écorce, appartenant au lobule pariétal supérieur et à la partie
médiane
du lobule pariétal inférieur (supramarginal) de l
eption à cette règle ; il s'agissait d'une paralysie traumatique du
médian
et du cubital; sous l'in- fluence des étincelle
égie externe polyné- vritique, par Rossolino, 80. OPTIQUE, racine
médiane
du nerf chez les oiseaux, par Perlia, 363; -e
e les trous de conjugaison : elle repose de chaque côté de la ligne
médiane
, sur la série des lames vertébrales et des ligame
ière c'est-à-dire celle qu'ils placent « de chaque côté de la ligne
médiane
». Plexus postérieur. D'un ou de plusieurs poin
Le réseau nerveux de la corne antérieure (excepté dans sa por- tion
médiane
) est formé presqu'en totalité par des fibrilles t
sante du nerf trijumeau et, se détour- nant plus loin vers la ligne
médiane
, se dirige dorsalement, à par- tir du corps tra
èze. - Les omoplates sont détachée^ et un peu éloignées de la ligne
médiane
(davantage à droite). 0 10 : 2 PATHOLOGIE NER
inusculo-cutané, 1 et, .pari communication de - quelques fibres du.
médian
,, anesthésie du pouce et de l'indicateur. 1 Que
de l'indicateur. 1 Quelques, cas de paresthésie (musculo-culané et
médian
). « qlr Quandion excite ! à l'aide de forts -ex
impossibilité pour le mode de ramener la langue déviée sur la ligne
médiane
un élément plus important que dans les déviatio
incision d'environ, trois quarts de,,pouce; à droite(de ''la ligne
médiane
/ commençant au bord : antérieur" de,s]a chevelure
ume de la main, encore adhérentes, tendant à se réunir sur la ligne
médiane
; de plus on aperçoit une plaque noirâtre, sèche
tombe immédiatement sur une tumeur volumineuse située sur la ligne
médiane
à un centi- mètre du bord antérieur des lobes f
érodée et détruite à ce niveau. On sectionne la tumeur sur la ligne
médiane
et, les hémisphères étant séparés, on complète
nslucide, qui remplace la l, Fig. 13. La tumeur coupée sur la ligne
médiane
; son prolongement en arrière dans la circonvolu
une masse très largement pédiculée qui s'est avancée sur la ligne
médiane
en refoulant à droite les circonvolutions de l'ou
il faut qu'on la lui amène de gauche à droite en dépassant la ligne
médiane
, ce qui prouve . ' Voir Archives de Neurologie.
à une moitié du cervelet, nous les montrent franchis- sant la ligne
médiane
, pour se terminer dans les cellules ner- veuses
édio-antéro- postérieur du corps genouillé externe, avec la branche
médiane
duquel elles se confondent. Donc, chez l'homm
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cheveux. De chaque côté de la ligne
médiane
, on remarque cinq sillons profonds allant d'arr
profonds allant d'arrière en avant; les plus rapprochés de la ligne
médiane
sont rectilignes, les autres sont légèrement in
sal s'accroît, prenant la place du premier au niveau de la, partie,
médiane
de la substance grisë`centoale : 4'Au niveaulde
plupart des fibres du cubital, .d'un certain nombre i de fibres. du
médian
, .du radial, du musculo- cutané; atrophie dégén
r A bâtonnets ET boulier. dissimuler les autres derrière la planche
médiane
; sur la planchette antérieure, qui est placée a
ertes de croûtes jaunâtres, siégeant sur le dos du nez et la partie
médiane
du front. - Le traitement est supprimé le 31 ao
fines et claires. Cette plaque commence exactement sur la partie
médiane
, suit la direction de l'espace intercostal. Arr
tour de l'épine. Elles commencent en dehors, exactement à la partie
médiane
et deviennent de moins en moins nombreuses en a
iput aplati. Cheveux châtains, peu abondants. Pas d'épi; tourbillon
médian
. - Plusieurs cicatrices de petites dimensions,
ival ; les dents sont assez régulièrement plantées, les inci- sives
médianes
supérieures larges, en fer de bêche; l'incisive
sage est rond ; la peau est fine. Le cou est moyen, circonférence
médiane
, 32 c. 5. Le corps tout entier est bien proport
gauche, la ligne de la bouche se; relève un peu a gauche, la ligne
médiane
du nez accuse également une légère déviation du
lobule est moyen et non adhérent. Le cou est normal, circonférence
médiane
30,5. - La poi- trine est un peu plate au-desso
es cuisses. Au visage, le collier de barbe s'est étendu sur la face
médiane
et antérieure du cou et descend jusqu'à la four
ine du nez). En arrière au niveau du tourbillon des cheveux qui est
médian
, méplat assez largo au-dessous duquel l'occiput
e petite dé- pression. La protubérance paraît symétrique; le sillon
médian
a une largeur d'au moins deux millimètres. - Le
supérieure).- Le lobe paracentral est bien développé avec un sillon
médian
central. Le lobe carré est large etparait nurma
ntérieure. - Cicatrice oblique sur le pariétal droit vers la partie
médiane
, résultant, selon le malade, d'une chute pendan
de Rolando et se prolongeant avec la branche transversale du sillon
médian
du pli pariétal supérieur; cette partie delà scis
R. S., artère rénale supplémen- taire ; A. R. M. S., artère rénale
médiane
supplémentaire ; 13., bassi- net ; u., uretère;
ères descendent obli- quement, passent à 2 centimètres de la partie
médiane
an- térieure du fer à cheval, sur lequel ils la
à cheval, sur lequel ils laissent leur em- preinte ; sur la partie
médiane
antérieure du fer à cheval se trouve une dépres
nt dans la substance rénale par deux divisions au bord inférieur et
médian
de la partie transversale du rein, au niveau de
aperçoit, placée entre les tubercules quadri- jumeaux, sur la ligne
médiane
, à 5 millimètres en avant de l'extrémité postér
lig. 5), est presque identique au notre, uretères en avant, artères
médianes
provenant de l'aorte un peu avant sa bifurcation,
e jusqu'à l'épaule ; son trajet répondrait assez bien à celui du nerf
médian
(?). « On dirait qu'on me coupe le bras ou bien q
à la malléole externe....... 38 39 Distance de celle-ci à l'orteil
médian
......... 17 18 L'influence du froid sur la peau
e-ci à la malléole externe. 40 40,5 Distance de celle-ci à l'orteil
médian
. . 17 18 La sensibilité générale et la sensibil
malléole externe. 32 33,5 — de celle-ci à l'extrémité de l'orteil
médian
.......... 16,5 16,5 Dans la marche, le talon es
malléole externe............ 33 37 Distance de celle-ci à l'orteil
médian
. 14 15,5 T... marche en détachant assez facilem
ête ; le point qu'elle indique répond à l'entrecroisement de la ligne
médiane
antéro-postérieure avec une ligne qui réunirait l
— Il siège au niveau de l'angle antérieur des pariétaux, sur la ligne
médiane
et occupe une étendue égale à celle d'un franc. L
en arrière, à la ligne des apophyses épineuses ; en avant, à la ligne
médiane
. Les piqûres d'épingle déterminent des deux côt
ins parfait, puis se rapprochent souvent l'un de l'autre sur la ligne
médiane
, les poignets se touchant par leur face dorsale (
ntes, les sourcils sont assez fournis et se réunissent sur la ligne
médiane
par une petite bande de poils fins. Les paupièr
est dans l'état suivant : à la mâchoire supé- on compte 2 incisives
médianes
, centrales, définitives ; pas d'incisives latér
s sourcils bruns, bien implantés, ne se rejoignent pas sur la ligne
médiane
, les paupières normales, sans blépharite. Les f
rynx et le corps thyroïde. Par une coupe pratiquée suivant la ligne
médiane
de la face postérieure du pharynx et de l'oesop
ophagien en deux points. Une perforation siège à droite de la ligne
médiane
postérieure, à un centimè- tre environ de cette
on, la poche kystique se vide et on sent de chaque côté de la ligne
médiane
, un peu au-dessus et le long des nerfs optiques
sens. Le centre ovale de ces circonvolutions est occupé à sa partie
médiane
par des nodules de sclérose; à sa périphérie pa
t extrêmement retardée à la mâchoire inférieure. Les deux incisives
médianes
sont seules sorties it moitié de leur hauteur,
constater la présence du corps thyroïde. De chaque côté de la ligne
médiane
, on perçoit une masse adipeuse se continuant en
▲